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Mes retrouvailles après une longue période d’abstinence.

Envoyé par labique 
Homme, 64 ans, Belgique, Namur
Corinne avait visiblement pris goût à nos jeux en trio. Elle en voulait encore mais plus longtemps, comme toutes les femmes. J’avais donc convenu avec Arnaud que nous ne nous reverrions qu’après une période d’abstinence : pas de masturbation ni de baise durant plusieurs semaines. Corinne devrait alors être affamée de caresses, de queues et de foutre. Arnaud et moi devions être comme des mâles en rut, les couilles pleines à ras bord. Je pense aussi que nous commencions à apprécier tous les deux de plus en plus de voir nos bites respectives. Arnaud m’avait demandé de pouvoir me filmer en train de baiser Corinne, ce que j’avais accepté. Visiblement, il avait très envie de voir une autre queue que la sienne occupée à aller et venir dans le vagin de sa femme. Cette idée m’excitait aussi beaucoup.
Durant le trajet jusque chez eux, mon imagination allait bon train et mon excitation aussi. Ma bite était déjà bien tendue lorsque je me présentais devant leur porte. N’y tenant plus, je sortis ma queue hors de mon pantalon ainsi que mes testicules. Mon cœur battait la chamade. Corinne vint m’ouvrir nue sous son peignoir et poussa un petit « ooh » de plaisir en me voyant dans cet état. Elle prit ma queue d’une main ferme et décidée, tout en me faisant entrer. Arnaud vint à notre rencontre, complètement nu. Il bandait déjà un peu. Il tenait une caméra à la main et me demanda s’il pouvait filmer ; je lui fis oui de la tête. J’étais content de le revoir et de pouvoir admirer sa longue queue. Il s’approcha de moi et entreprit de me déshabiller pendant que Corinne me masturbait. J’admirai ses beaux seins dont les tétons pointaient fièrement. Je les caressai et les léchai pendant qu’elle s’amusait avec mon gland et mes couilles. Arnaud se plaça à mes côtés et Corinne prit nos deux queues. Elle s’agenouilla pour nous les lécher tour à tour, triturer nos boules, rapprocher nos glands côte à côte. Nous nous prîmes chacun par la taille afin de mieux nous rapprocher et laisser monter l’excitation. N’y tenant plus, je poussai un cri rauque et inonda le visage de Corinne d’une longue giclée de sperme. Arnaud, à cette vue sans doute, éjacula également ; ma vue resta fixée sur son gland luisant d’où sortait un flot de sperme bien crémeux et sur le spectacle de sa longue bite prise par les soubresauts de l’orgasme. Il avait réussi à pouvoir filmer la scène. Mon excitation était tellement forte que je continuais à bander. Corinne se releva et vint se placer devant moi et approcha les fesses de ma bite. Tout en l’embrassant dans le cou et lui caressant les seins, le vente et la chatte, je pris ma pine et la plaçai entre ses cuisses. Elle se pencha afin de mieux sentir mon dard aller et venir au bord des lèvres et ensuite exciter son clitoris. Je sentais qu’elle mouillait fort et que son minou s’ouvrait largement. Arnaud s’était placé face à elle et filmait la scène. Corinne se mit à quatre pattes et je me plaçai à genoux derrière elle. Je n’eus pas de peine à entrer en elle. Arnaud plaça la caméra au sol de façon à pouvoir bien prendre ma queue aller et venir dans le vagin de Corinne et mes couilles frapper ses fesses. Il se remit debout et vint présenter sa bite devant le visage de Corinne qui commença à lui faire une fellation d’enfer. J’avais donc le double spectacle des fesses merveilleuses de Corinne et de la bite d’Arnaud allant et venant dans cette bouche goulue. Les testicules d’Arnaud étaient tendus. J’augmentais la cadence de mes vas et vient ; je planais complètement ; j’avais l’impression par moments de ne plus ressentir ma bite. Corinne jouissait comme une folle et poussait des petits gémissements ; elle avait sorti la bite d’Arnaud de sa bouche et était en train de la masturber avec vigueur ; je voyais ce gland aller et venir, le frein tendu à mort, presqu’au bord de la rupture. Corinne semblait prise d’une frénésie. Elle tirait les couilles d’Arnaud avec sa bouche. Je vis cette longue bite en érection maximale, le gland écarlate et luisant, les couilles tendues comme deux boules de golf de part et d’autre de la base de la bite. Ma pine était également sous tension maximale et était entourée sur toute sa longueur de la mouille de Corinne et de la mienne. Cela permettait de coulisser merveilleusement bien. J’enfonçais ma bite le plus loin possible. Arnaud poussa un soupir et je vis plusieurs jets puissants de sperme sortir de ce gland gonflé. Je pus admirer la longue hampe de sa bite prise des spasmes permettant d’expulser le foutre. Cette vision admirable me fit jouir fortement. Je sentis ma verge expulser la semence dans le con de Corinne. Les contractions devaient être puissantes car Corinne eut un nouvel orgasme très intense.
Nous prîmes quelques moments de repos et Arnaud voulut visionner le passage où j’enfilais Corinne. Cela donnait pas mal : on voyait bien ma bite aller et venir, se remplir peu à peu de mouille, se tendre plus fort ; les petites lèvres restaient bien collées et épousaient les mouvements de ma queue ; le clitoris était bien sorti et frottait contre les jointures des petites et grandes lèvres. Corinne apprécia aussi mais dut s’en aller vers les WC pour évacuer mon sperme qui commençait à refluer hors de son con. Arnaud et moi poursuivîmes la vision de la vidéo. Nous purent enfin bien distinguer les spasmes de ma bite au moment de l’orgasme. Ces spasmes partaient du scrotum jusqu’à la base, au niveau des testicules. J’adorai ce spectacle et Arnaud également. Cette vision animale de don de vie nous excitait. Nous recommencions d’ailleurs à bander. A la fin du film, Arnaud se plaça face à moi et je sentis sa verge toucher la mienne. Soudain, il ne put retenir cette envie que je lui soupçonnais de prendre ma queue ; je lui laissai prendre mon pénis qu’il commença à branler délicatement, faisant aller et venir le prépuce autour du gland. Il tirait le prépuce vers l’avant afin de faire venir les testicules en avant. Il se mit à les titiller du bout des doigts. Ce plaisir neuf pour moi était très excitant. Je fis de même avec son long braquemart. Son prépuce était plus charnu que le mien et le mouvement de décalottage devait être plus prononcé que chez moi. J’aimai tenir cette queue qui palpitait, cette peau délicate du prépuce, ce gland qui gonflait sous la pression de mes doigts, ce frein que je titillai du bout des doigts et enfin ces deux couilles qui roulaient dans leur enveloppe de peau. Cette sensation nouvelle de se branler mutuellement avec un autre homme m’excitait énormément, mais curieusement de façon très graduelle. Je ne ressentais pas l’envie d’exploser tout de suite et je constatai qu’il en était de même chez Arnaud. Comme si nous voulions nous préserver et permettre de prendre du plaisir très longuement. Corinne revenue ne s’étonna nullement de la situation : elle savait parfaitement que son mari était bi et s’amusait de me voir le devenir… Elle se plaça ensuite accroupie devant nous et poursuivit la masturbation que nous avions entamée. Nous lui demandâmes ensuite de nous lécher doucement et longuement en prenant soin en priorité de nos couilles et de la hampe de nos bites pour terminer par nos glands. Visiblement, elle adorait s’occuper de nous comme cela ; petit à petit, tout en caressant ses seins et ses tétons, nous purent voir les lèvres de sa chatte se gonfler et s’ouvrir ; nous mirent nos doigts tour à tour dans sa chatte, au bord de son vagin, autour de son clitoris ; elle mouillait maintenant abondamment. Elle voulut se faire prendre de nouveau en levrette mais cette fois-ci par Arnaud. Je fus chargé de filmer leurs ébats pendant que je me faisais sucer par Corinne. Je pus voir la longue bite d’Arnaud aller et venir dans le con de Corinne et il admira le spectacle de ma queue dans la bouche de Corinne. Nous tenions cette fois-ci plus longtemps la cadence vu que nous avions déjà joui plusieurs fois auparavant, bien que nos testicules semblaient prêtes à exploser. Corinne était au septième ciel et eut plusieurs orgasmes très puissants. Elle criait comme une folle. Nous finîmes par éjaculer tous les deux en même temps après un temps qui nous parut une éternité. Je fus une fois de plus étonné de voir encore tant de sperme sortir de ma queue et inonder la bouche de Corinne. Arnaud fut moins surpris car son jus s’était mélangé au reste du mien dans le con de Corinne. Mais il m’avoua qu’il avait été fortement excité d’avoir pu sentir sa bite couverte de mon sperme lorsqu’il s’enfonça dans le vagin de Corinne. Elle lui avait le cadeau de ne pas avoir entièrement évacué ma semence de son vagin. Tant la vision de ma bite dans la bouche de sa femme que le fait de pouvoir mêler son jus avec le mien l’avait stimulé à pilonner comme un fou pour ensuite exploser en remplissant de foutre le con de son aimée. Je lui avouai pour ma part avoir énormément pris plaisir à cette première expérience bi-sexuelle. Corinne nous couvrit tous les deux de bisous en s’attardant une dernière fois sur nos sexes qui pendaient comme des queues d’animaux assoupis et repus. Elle lécha le liquide transparent qui s’échappait encore de nos glands et caressa délicatement nos testicules comme pour les stimuler à reproduire le plus rapidement possible cette semence qu’elle aimait gober et avoir en elle. Elle nous fit promettre de bientôt remettre cela. Arnaud m’embrassa pour la première fois sur la bouche, serrant son sexe sur le mien. Je sentais ses couilles frôler les miennes. Je me laissai faire et lui tapotai légèrement les fesses avec les mains. Corinne vint se mettre entre nous pour nous embrasser tour à tour. Je sentais un de ses seins se presser sur mes côtes. Cet amour qu’elle partageait pour nous deux me remplit d’émotion, ce qui se traduisit par une nouvelle érection. Arnaud serra son ventre contre ma verge et plaça son pénis contre le mien ; je le sentis distinctement prendre de l’ampleur contre le mien. Il fit quelques mouvements pour faire frotter nos couilles les unes contre les autres. Nous restâmes ainsi tous les trois enlacés quelques instants, goûtant à ce nouveau plaisir partagé. Nous nous résolûmes à nous séparer, laissant enfin nos bites et le con de Corinne goûter un repos bien mérité.
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