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La première rencontre

Envoyé par yoxxxx22 
La première rencontre
Monday 4 December 2023 13:23

yoxxxx22
Homme, 57 ans, Nioué
Quel plaisir de l’apercevoir au milieu de la foule. Elle portait une petite robe fleurie, courte et légère et une paire de sandales romaines dont le laçage remontait autour de ses mollets. Ma valise à la main, je me suis dirigé vers elle. C’était la première fois que nous nous rencontrions. Nous correspondions depuis plus d’un an déjà. Une correspondance érotique et sensuelle intense et chaude. Notre sexualité pourtant déjà fort débridée avant cette relation épistolaire avait pris une dimension encore plus insensée. Que de jouissances indescriptibles, de conversations mouillées, de caresses intimes nous nous sommes offertes à mille kilomètres de distance.

Et l’occasion s’est enfin présentée. Son mari en déplacement pendant une semaine. Le temps pour moi de prendre un billet d’avion et de louer une petite maison isolée dans la campagne et me voilà donc la rencontrant dans le hall de l’aéroport. Quel plaisir de la voir enfin. Ses fesses rondes et généreuses. Le galbe de ses jambes. Ses seins opulents. Sa jolie petite robe suit à la perfection chaque courbe de son corps. Et dire qu’elle ne porte rien en dessous. C’est une habitude chez elle. Et une obligation que j’ai fixée pour ces quelques jours de rencontre.

Je pose ma main sur sa hanche et me penche. Nous nous faisons sagement la bise comme deux amis qui se retrouvent. Elle est trop connue ici pour que je lui dévore la bouche en public. Mais je bande déjà. Je connais si bien ce corps. Je sais, sans même la toucher, que ma petite coquine est déjà trempée de désir. Qu’elle a certainement dû déjà se toucher avec intensité en conduisant vers l’aéroport, jusqu’à se faire jouir à plusieurs reprises. Le mot nymphomane me semble avoir été inventé pour elle. Un mot, une suggestion, une situation à peine érotique, et Lisa se met à ruisseler. Jamais je n’ai connu une femme aussi réceptive. Aucune de nos discussions ne s’est terminée sans qu’elle jouisse au moins une fois. Tout ce qui dans ces moments tombait sous sa main finissait irrémédiablement dans l’un de ses orifices. C’était assez fou. Et tellement excitant.

Je la suis sur le parking. Les fesses de ma petite salope(elle adore quand je l’appelle comme ça) ondulent magnifiquement devant moi. Je me vois déjà les écartant pour lui dévorer la rondelle et la préparer ainsi à une sodomie intense et puissante. C’est son pêcher mignon. J’ai tellement hâte. Elle a démarré. Nous sortons du parking. J’ai posé ma main sur sa cuisse. Elle les écarte. Je la regarde. « Je vais te baiser » Quel sourire. Son visage tout entier s’illumine à ces mots. Elle ne demande que ça. Mes doigts n’ont pas encore atteint sa fente qu’ils sont déjà tout mouillés. J’adore. Mon index et mon majeur s’enfoncent avec autorité. Ma coquine râle. Sa chatte gicle. Je la fouille depuis moins d’une minute que déjà elle jouit ma petite salope.

Il nous aura fallu moins d’une demi-heure pour arriver à la maison. L’endroit est totalement retiré. Pas un voisin à l’horizon. Je sors de la voiture, la main dégoulinante. Je n’ai eu de cesse de jouer avec sa chatte. Elle a joui à répétition. Sa robe est trempée. La clé de la porte doit être cachée sous ce pot. J’entre. La maison est petite mais décorée avec goût. Une grande pièce faisant office de cuisine, salle à manger et salon, une chambre avec un grand lit king size et une salle de bain avec douche à l’italienne. La terrasse donne sur une petite piscine. De quoi nous rafraichir un peu. Il fait déjà chaud alors que l’été n’est pas encore là. Nous posons nos valises au milieu de la pièce principale. Je regarde ma Lisa. « Viens manger ». Tout en prononçant ces paroles, je défais mon ceinturon et ouvre mon pantalon. Je bande dur. La belle ne se fait pas prier. Elle s’agenouille à mes pieds. Ses mains enveloppent mes boules, glissent sur mon dard. Quelques baisers chauds et doux. Et elle me gobe. « Oh oui, suce salope ». Ces mots ont un effet incroyablement excitant. Ma petite pute se met à me pomper avec vigueur. Elle aime tellement ça. Je la regarde en contre bas aller et venir. Elle me branle. Elle me suce. J’admire son décolleté s’ouvrir sur ces seins opulents. J’imagine déjà les jeux auxquels je vais m’adonner avec eux. Mais pour l’instant, ma salope me taille une pipe, et c’est bon. Je me sens déjà venir. « Regarde-moi ». Elle lève les yeux sans cesser sa fellation. Je pose ma main sur sa tête. Mes doigts se perdent dans ses cheveux. Je gémis. Je sens ma sève monter le long de ma colonne. « Oh ouiiiiii ». Mon jus fuse dans la bouche de ma gourmande. Elle l’accueille avec bonheur. Elle aime tellement le sperme. Ses yeux pétillent de luxure. Ses lèvres sont toutes blanches. Elle déguste ma semence en me fixant du regard. Et je jute. Encore et encore. Le bonheur absolu.

Je n’en peux plus. Mon excitation s’est calmée. La coquinese régale de ma crème en me souriant. « J’ai hâte de rebander… pour te prendre par le cul… ». Elle me regarde. « Quand tu veux. Le plus vite possible même ». Elle se met à rire. Je la tire par les cheveux pour qu’elle se relève. Nous nous roulons un patin monstrueux aux relents de sperme. Mes mains s’emparent de ses fesses. Je la soulève. Elle m’entoure de ses jambes. Nos langues n’en finissent pas de s’emmêler. Le séjour commence sous les meilleurs hospices. La température de l’eau est juste comme il faut pour nous rafraichir. Nous nageons tous les deux nus dans la piscine. Nos corps se frôlent, s’effleurent. Nous nous enlaçons, nous nous caressons. Comme ma petite salope me plaît. J’aime le goût de sa peau. La fermeté de ses tétons. Je les suce l’un après l’autre, avec délectation et soin, une main entre ses cuisses pour parfaire son plaisir. Un moment délicieusement érotique, sensuel.

Petit à petit, je l’oriente dans les escaliers jusqu’à la faire asseoir sur le bord de la margelle. Je mate sans pudeur son abricot. Si je l’ai déjà admiré des dizaines de fois en visio, le plus souvent élargi par des doigts ou des jouets fouilleurs, le voir là en vrai, à quelques centimètres de moi est incomparablement plus excitant. Avec envie, je me laisse glisser vers ce bonbon exquis. Quelques baisers sur les cuisses ouvertes avant d’embrasser avec douceur les lèvres entrouvertes. Lisa gémit et s’allonge sur le dos. L’une après l’autre, je pose ses jambes sur mes épaules puis replonge mon visage vers ce lieu divin. Ma langue se faufile dans la fente. Que c’est bon. Le goût de la cyprine dans ma bouche. Les râles en continus de ma petite salope. Son petit bouton qui se dresse et durcit entre mes lèvres. Comme j’aime le sexe des femmes…

Elle a encore joui. Si rapidement. Si intensément. Sa mouille ruisselle sur mon menton. Je suis de nouveau tout excité, la queue dure et raide. Chose promise… Je me relève tout en gardant les jambes de Lisa autour de mon cou. La voilà sous moi, sur le dos et les fesses relevées. D’une main ferme, je m’empare de mon dard pour le conduire vers cette destination interdite. J’appuie mon gland à l’entrée de son anus. Elle me regarde. « Oh oui, prends-moi». Lentement, je me laisse retomber sur la Belle. Le poids de mon corps suffit à la faire s’ouvrir. Ma queue s’enfonce doucement mais fermement dans son petit cul. Quel bonheur de la voir prendre son pied à cette pénétration contrenature. Elle aime tellement ça. Je vais. Je viens. De toute la longueur de ma bite, je la lime avec soin. Son conduit est délicieusement serré malgré tout ce qu’il a l’habitude de recevoir. J’embrasse les pieds ma putain, mordille ses orteils sans cesser de regarder son visage épanoui. Nos corps s’entrechoquent. Je me fais de plus en plus ferme, violent même. Les rayons du soleil chauffent mon dos. « Prends-ça putain ! ». Notre excitation mutuelle est intense. Je ne lui fais pas l’amour. Non, je la baise. Je la baise comme la dernière des catins. Par le cul. Petite salope. Elle crie de plaisir. Vas-y, exprime-toi ! Ce n’est pas les voisins qui vont nous gêner. Je ne me rappelle pas avoir défoncé un cul aussi férocement. Et elle en redemande. « Encore. Encore ». Elle serre mes avant-bras fermement. Ses ongles s’enfoncent dans ma chair. Mes coups de reins sont violents. Sa chatte gicle de bonheur. Elle hurle. Je la rejoins dans un brâme bestial, giclant tout au fond de ses tripes ma semence épaisse. Je te féconde petite salope et j’aime ça.

Je suis épuisé et me laisse retomber sur le dos tout contre elle. Je dois reprendre ma respiration. Les dalles de la terrasse sont chaudes, presque brûlantes. Elle pose sa tête au creux de mon épaule, sa main sur mon ventre. Je suis au paradis. Mais le soleil est trop intense. Nous ne pouvons pas rester ainsi. Allons prendre une douche fraîche au bout de la piscine. L’eau qui coule n’est pas si froide que ça. Lisa se rince en me regardant. Puis elle se fige un instant. Quelle cochonne. Un filet qui n’est pas de l’eau se met à couler le long de ses jambes. La salope se pisse dessus, sans aucune honte. Au contraire, cela semble l’amuser. Peut-être est-ce dû à l’expression incrédule de monvisage à ce spectacle impudique.J’avoue être un gros coquin mais je pense qu’elle n’a rien à m’envier ma petite salope. Et puisqu'il en est ainsi...
Re: La première rencontre
Monday 4 December 2023 15:22

Oursbarbu59
Homme, 48 ans, France
Magnifique
Re: La première rencontre
Wednesday 6 December 2023 10:22

Grandbreton
Homme, 41 ans, France, Bretagne
Magnifique récit, bien écrit et excitant.
Imagination ou souvenir ?
En tt cas, on voyage dans l'érotisme, le Sexe avec un grand S, il y a de l'intensité, du respect....le top.
Re: La première rencontre
Wednesday 6 December 2023 12:52

yoxxxx22
Homme, 57 ans, Nioué
Comme c’est tentant… Cette coquine qui, sans aucune pudeur, urine devant mes yeux. Habituellement, cela ne fait pas partie de mes fantasmes, mais là. Elle m’allume la petite salope. Alors pourquoi se priver. Je prends mon dard dans la main, tire sur sa peau pour découvrir mon gland. Je pose mon autre main sur l’épaule de la coquine et appuie. Elle s’agenouille sans me lâcher du regard. Un sourire resplendissant illumine son visage. Elle n’attend que ça.

Ma pisse commence alors à couler. D’abord mollement. Elle éclabousse ses cuisses. Puis, rapidement le jet se renforce et remonte sur le corps offert. Le ventre. Les seins. C’est la première fois que je me vide ainsi sur une femme. Et, la voir si heureuse de cette offrande me rend moi aussi heureux. Elle se régale de sentir cette douche tiède ruisseler sur sa peau. Elle s’en badigeonne tout le corps, jusqu’à même glisser ses doigts souillés dans sa bouche. Quelle putain. Si c’est ce qu’elle veut. Je relève ma queue un peu plus haut. Le jet dessine un bel arc de cercle qui retombe au milieu de son visage. Elle ouvre la bouche. C’est tellement obscène. Mais tellement délicieux aussi. Quelle grosse salope.

Il est temps d’aller faire quelques courses. Nous n’allons pas pouvoir vivre seulement de sexe et d’eau fraîche. Une fois rincés, nous nous sommes habillés. J’ai choisi moi-même sa tenue parmi celles qu’elle a apportées. Une grande chemise ample qui lui arrive à mi-cuisses et une ceinture de cuir serrée autour de sa taille. Et, bien entendu, rien en dessous. J’ai pris soin de ne la boutonner que le strict nécessaire, ce qui rend le moindre de ses mouvements très osé. Le plus petit pas découvre ses cuisses à la limite de leur jonction. Et si elle se penche, ses seins lourds se dévoilent beaucoup plus que la morale ne l’autorise.

Je la regarde bouger devant moi. Elle est prête et visiblement très excitée à l’idée de se montrer ainsi. Attends ma coquine, il manque une chose. Je fouille dans sa valise et y trouve ce que je cherchais :de magnifiques boules de geisha d’une taille impressionnantes. Elle me sourit et approche d’elle-même. Avec soin, j’insère une première boule dans sa chatte déjà trempée. « Retourne-toi ». La coquine m’obéit immédiatement et me présente ses fesses qu’elle écarte sans que j’ai besoin de lui demander. Je lèche son petit cul quelques secondes avant d’y insérer la seconde boule qui entre sans difficulté. Il faut dire que son anus est habitué à se faire dilater. Une violente claque sur son cul et nous voilà partis.

Arrivés dans le magasin, je décide de prendre un peu de distance, histoire de mater ma petite salope déambuler dans les rayons. Elle semble si à l’aise à exhiber son corps. Elle n’a vraiment aucune pudeur. Je me régale à voir tous les regards se poser sur elle. Celui des femmes, plutôt réprobateur, et celui des hommes, très excités par ces cuisses qui se dévoilent si haut. Après quelques minutes, je m’approche. « Tu fais bander tous les mecs. Je suis certain que tu imagines leurs queues raides et dures. Tu serais si bien à les branler, les sucer, les vider, l’une après l’autre. A déguster leur jus tiède et épais. A les sentir plonger dans ton cul et le défoncer. »Elle me jette un regard plein d’excitation. Oh oui, je sais qu’elle en rêve. Et que mes mots ne font qu’attiser ses envies lubriques. Elle en serre les cuisses et les fesses pour sentir remonter en elle les boules de geisha. Sa chatte ruisselle sur ses jambes. Ses tétons pointent sous le tissu de sa chemise. Discrètement, j’en presse un, très fort, entre mon pouce et mon index. Elle gémit, ferme les yeux, se mord les lèvres. Des gouttes de mouille tombent sur le sol. Elle jouit si facilement. Quelques mots. Un geste déplacé. Quel plaisir de pouvoir être aux commandes d’une telle créature.

Nous avons rempli notre panier. Le caissier (une chance, c’est un homme) ne se prive pas de mater le décolleté qui s’ouvre devant ses yeux lorsque ma coquine ramasse nos courses au bout du tapis. Que c’est amusant. Je reste derrière elle alors que nous rejoignons la voiture sur le parking. Elle balance ses fesses outrageusement de droite à gauche. J’ai envie de les mordre. Et je ne suis pas le seul. A côté de moi, un jeune homme a les yeux rivés sur ce spectacle insensé. « Pas mal, hein ? ». Il se tourne vers moi, visiblement gêné de s’être fait surprendre. Il rougit.« Non, ne t’inquiète pas, il n’y a pas de mal à se faire du bien. ». Il semble rassuré. « Elle est excitante n’est-ce pas ? » Il acquiesce. Alors je décide de l’achever. « Tu veux qu’elle te suce ? ». J’adore l’expression de son visage. Il est stupéfait de cette proposition, semblant se demander si je me moque de lui. Mais je ne lui laisse pas le temps de réfléchir. « Viens. » Il me suit sans un mot.

Ma coquine nous voit arriver tous les deux. Je la regarde avec un grand sourire. « Je t’ai trouvé une jeune queue à gâter. ».Ses yeux pétillent de plaisir. Elle est tellement excitée. « A genoux ! ». Elle ne se fait pas prier. Je pousse le jeune homme vers elle et ouvre la portière arrière de la voiture pour cacher la scène. Ma petite salope a déjà ouvert le pantalon et sorti la queue mi-molle de son repère. Elle la gobe entièrement et se met à pomper. Le chanceux pose les mains sur sa tête et commence à imprimer le rythme de cette fellation. Sa verge est déjà dure. Elle est fine et longue. Si longue qu’elle en étouffe ma putain lorsque celle-ci l’enfonce entièrement dans sa bouche.
Deux minutes de ce traitement suffisent à avoir raison du jeune mec. Il se met à brâmer. Ses doigts plongent dans la chevelure de Lisa. Un flot de jute explose dans sa bouche. Elle tousse, ressort la bite quelques secondes pour la gober à nouveau. Quelle pipe. Le foutre s’écoule de la commissure de ses lèvres pour ruisseler sur son menton. Il est blanc et épais. Quelle vision. Elle branle. Elle suce. Elle avale. Elle aime tellement ça. La source est tarie. La queue du jeune s’est amollie. Pas un mot. Ma salope essuie son menton du bout des doigts pour les glisser dans sa bouche et déguster encore la semence. Il range son dard dans son pantalon et me regarde. Il semble de nouveau gêné. Ca m’amuse. « Qu’est-ce qu’on dit à la dame ? ». Il bredouille un merci et s’éloigne rapidement. Nous éclatons de rire.

Ma coquine s’est relevée. Je glisse ma main entre ses cuisses et enfonce mon majeur et mon index dans sa chatte trempée. La boule de geisha est toujours bien plantée. « Tu es vraiment une grosse salope. ». Elle rit. « Oh oui, une très grosse salope même. Quand est-ce que tu m’encules ? ».Ma queue se dresse d’un coup dans mon pantalon. La perspective de lui démonter le cul est tellement excitante. Je la prendrais bien là, tout de suite, mais c’est beaucoup trop risqué sur ce parking. Vite à la maison ! Nous reprenons la route. Je suis ultra chaud. Tellement que je n’en peux plus d’attendre. « Prends ce petit chemin, là, à droite ».A peine garé, je sors de la voiture et ordonne à ma coquine de me rejoindre. Je la couche face contre le capot, remonte la chemise, sors ma queue.« Ecarte tes fesses ». Sa rondelle est entrouverte et laisse apparaître la boule de geisha. Je crache dans ma main, enduis mon gland de ma salive chaude et visqueuse et colle le bout de ma verge tout contre l’anus. Je ne prends pas le soin de retirer le jouet déjà enfoui. Un coup de rein puissant. Je me plante avec vigueur en râlant d’excitation. Lisa crie. Ma queue pousse la boule tout au fond de son colon. Je la sens bien cogner contre l’extrémité de mon dard.

Je suis totalement possédé par les envies lubriques que ma petite salope n’arrête pas de faire naître en moi. Une envie irrépressible de la posséder, corps et âme, et de lui faire subir les derniers outrages. C’est de toutes façons tout ce qu’elle veut cette chienne. Alors je l’encule violemment et me régale de l’entendre jouir en continu. Sa chatte gicle littéralement, jusqu’à sentir sa cyprine souiller mes couilles qui se balancent. C’est tout chaud. C’est si bon. J’ai envie de ce sexe en fusion. Alors je sors ma queue pour la replanter immédiatement dans ce fourreau trempé, retrouvant là encore une de ces boules de geisha que mon gland vient percuter à l’envi.

Rapidement, je n’en peux plus. Tant de sauvagerie… La sueur coule sur mon visage, dans mon dos. Mes cuisses ruissellent de mouille. Elle n’arrête pas de gicler cette putain. Je fatigue. Je ne suis pas un étalon, loin de là. Mais je suis déjà tellement heureux et fier d’apporter autant de plaisir à une femme. Je me fige soudainement. Je sens ma jouissance prête à éclater. J’agrippe les hanches de ma partenaire, pousse mon dard au plus profond de sa fabuleuse chatte et me mets à râler. Ma sève remonte le long de ma verge et fuse. Que c’est bon. J’éructe comme un animal. Je suis en rut. « Oh oui, remplis-moi, féconde-moi ! ». Quelle magnifique salope. L’entendre ainsi me réclamer décuple mon plaisir.

Je me suis écroulé sur elle. Je suis vidé et essoufflé. Nous ne bougeons plus. C’était si bon, si intense. Je mordille sa nuque. Elle gémit. Je me relève et l’attire contre moi. Un long câlin tendre et chaud. Quel contraste après toute cette violence. Mais quel délice aussi. 
Re: La première rencontre
Sunday 10 December 2023 06:33

Novibesdan
Couple, 65 ans, Belgique, Luxembourg
Quelle aventure ! Et ce n'est que le 1er jour, cela va durer une semaine.
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