Comme c’est tentant… Cette coquine qui, sans aucune pudeur, urine devant mes yeux. Habituellement, cela ne fait pas partie de mes fantasmes, mais là. Elle m’allume la petite salope. Alors pourquoi se priver. Je prends mon dard dans la main, tire sur sa peau pour découvrir mon gland. Je pose mon autre main sur l’épaule de la coquine et appuie. Elle s’agenouille sans me lâcher du regard. Un sourire resplendissant illumine son visage. Elle n’attend que ça.
Ma pisse commence alors à couler. D’abord mollement. Elle éclabousse ses cuisses. Puis, rapidement le jet se renforce et remonte sur le corps offert. Le ventre. Les seins. C’est la première fois que je me vide ainsi sur une femme. Et, la voir si heureuse de cette offrande me rend moi aussi heureux. Elle se régale de sentir cette douche tiède ruisseler sur sa peau. Elle s’en badigeonne tout le corps, jusqu’à même glisser ses doigts souillés dans sa bouche. Quelle putain. Si c’est ce qu’elle veut. Je relève ma queue un peu plus haut. Le jet dessine un bel arc de cercle qui retombe au milieu de son visage. Elle ouvre la bouche. C’est tellement obscène. Mais tellement délicieux aussi. Quelle grosse salope.
Il est temps d’aller faire quelques courses. Nous n’allons pas pouvoir vivre seulement de sexe et d’eau fraîche. Une fois rincés, nous nous sommes habillés. J’ai choisi moi-même sa tenue parmi celles qu’elle a apportées. Une grande chemise ample qui lui arrive à mi-cuisses et une ceinture de cuir serrée autour de sa taille. Et, bien entendu, rien en dessous. J’ai pris soin de ne la boutonner que le strict nécessaire, ce qui rend le moindre de ses mouvements très osé. Le plus petit pas découvre ses cuisses à la limite de leur jonction. Et si elle se penche, ses seins lourds se dévoilent beaucoup plus que la morale ne l’autorise.
Je la regarde bouger devant moi. Elle est prête et visiblement très excitée à l’idée de se montrer ainsi. Attends ma coquine, il manque une chose. Je fouille dans sa valise et y trouve ce que je cherchais :de magnifiques boules de geisha d’une taille impressionnantes. Elle me sourit et approche d’elle-même. Avec soin, j’insère une première boule dans sa chatte déjà trempée. « Retourne-toi ». La coquine m’obéit immédiatement et me présente ses fesses qu’elle écarte sans que j’ai besoin de lui demander. Je lèche son petit cul quelques secondes avant d’y insérer la seconde boule qui entre sans difficulté. Il faut dire que son anus est habitué à se faire dilater. Une violente claque sur son cul et nous voilà partis.
Arrivés dans le magasin, je décide de prendre un peu de distance, histoire de mater ma petite salope déambuler dans les rayons. Elle semble si à l’aise à exhiber son corps. Elle n’a vraiment aucune pudeur. Je me régale à voir tous les regards se poser sur elle. Celui des femmes, plutôt réprobateur, et celui des hommes, très excités par ces cuisses qui se dévoilent si haut. Après quelques minutes, je m’approche. « Tu fais bander tous les mecs. Je suis certain que tu imagines leurs queues raides et dures. Tu serais si bien à les branler, les sucer, les vider, l’une après l’autre. A déguster leur jus tiède et épais. A les sentir plonger dans ton cul et le défoncer. »Elle me jette un regard plein d’excitation. Oh oui, je sais qu’elle en rêve. Et que mes mots ne font qu’attiser ses envies lubriques. Elle en serre les cuisses et les fesses pour sentir remonter en elle les boules de geisha. Sa chatte ruisselle sur ses jambes. Ses tétons pointent sous le tissu de sa chemise. Discrètement, j’en presse un, très fort, entre mon pouce et mon index. Elle gémit, ferme les yeux, se mord les lèvres. Des gouttes de mouille tombent sur le sol. Elle jouit si facilement. Quelques mots. Un geste déplacé. Quel plaisir de pouvoir être aux commandes d’une telle créature.
Nous avons rempli notre panier. Le caissier (une chance, c’est un homme) ne se prive pas de mater le décolleté qui s’ouvre devant ses yeux lorsque ma coquine ramasse nos courses au bout du tapis. Que c’est amusant. Je reste derrière elle alors que nous rejoignons la voiture sur le parking. Elle balance ses fesses outrageusement de droite à gauche. J’ai envie de les mordre. Et je ne suis pas le seul. A côté de moi, un jeune homme a les yeux rivés sur ce spectacle insensé. « Pas mal, hein ? ». Il se tourne vers moi, visiblement gêné de s’être fait surprendre. Il rougit.« Non, ne t’inquiète pas, il n’y a pas de mal à se faire du bien. ». Il semble rassuré. « Elle est excitante n’est-ce pas ? » Il acquiesce. Alors je décide de l’achever. « Tu veux qu’elle te suce ? ». J’adore l’expression de son visage. Il est stupéfait de cette proposition, semblant se demander si je me moque de lui. Mais je ne lui laisse pas le temps de réfléchir. « Viens. » Il me suit sans un mot.
Ma coquine nous voit arriver tous les deux. Je la regarde avec un grand sourire. « Je t’ai trouvé une jeune queue à gâter. ».Ses yeux pétillent de plaisir. Elle est tellement excitée. « A genoux ! ». Elle ne se fait pas prier. Je pousse le jeune homme vers elle et ouvre la portière arrière de la voiture pour cacher la scène. Ma petite salope a déjà ouvert le pantalon et sorti la queue mi-molle de son repère. Elle la gobe entièrement et se met à pomper. Le chanceux pose les mains sur sa tête et commence à imprimer le rythme de cette fellation. Sa verge est déjà dure. Elle est fine et longue. Si longue qu’elle en étouffe ma putain lorsque celle-ci l’enfonce entièrement dans sa bouche.
Deux minutes de ce traitement suffisent à avoir raison du jeune mec. Il se met à brâmer. Ses doigts plongent dans la chevelure de Lisa. Un flot de jute explose dans sa bouche. Elle tousse, ressort la bite quelques secondes pour la gober à nouveau. Quelle pipe. Le foutre s’écoule de la commissure de ses lèvres pour ruisseler sur son menton. Il est blanc et épais. Quelle vision. Elle branle. Elle suce. Elle avale. Elle aime tellement ça. La source est tarie. La queue du jeune s’est amollie. Pas un mot. Ma salope essuie son menton du bout des doigts pour les glisser dans sa bouche et déguster encore la semence. Il range son dard dans son pantalon et me regarde. Il semble de nouveau gêné. Ca m’amuse. « Qu’est-ce qu’on dit à la dame ? ». Il bredouille un merci et s’éloigne rapidement. Nous éclatons de rire.
Ma coquine s’est relevée. Je glisse ma main entre ses cuisses et enfonce mon majeur et mon index dans sa chatte trempée. La boule de geisha est toujours bien plantée. « Tu es vraiment une grosse salope. ». Elle rit. « Oh oui, une très grosse salope même. Quand est-ce que tu m’encules ? ».Ma queue se dresse d’un coup dans mon pantalon. La perspective de lui démonter le cul est tellement excitante. Je la prendrais bien là, tout de suite, mais c’est beaucoup trop risqué sur ce parking. Vite à la maison ! Nous reprenons la route. Je suis ultra chaud. Tellement que je n’en peux plus d’attendre. « Prends ce petit chemin, là, à droite ».A peine garé, je sors de la voiture et ordonne à ma coquine de me rejoindre. Je la couche face contre le capot, remonte la chemise, sors ma queue.« Ecarte tes fesses ». Sa rondelle est entrouverte et laisse apparaître la boule de geisha. Je crache dans ma main, enduis mon gland de ma salive chaude et visqueuse et colle le bout de ma verge tout contre l’anus. Je ne prends pas le soin de retirer le jouet déjà enfoui. Un coup de rein puissant. Je me plante avec vigueur en râlant d’excitation. Lisa crie. Ma queue pousse la boule tout au fond de son colon. Je la sens bien cogner contre l’extrémité de mon dard.
Je suis totalement possédé par les envies lubriques que ma petite salope n’arrête pas de faire naître en moi. Une envie irrépressible de la posséder, corps et âme, et de lui faire subir les derniers outrages. C’est de toutes façons tout ce qu’elle veut cette chienne. Alors je l’encule violemment et me régale de l’entendre jouir en continu. Sa chatte gicle littéralement, jusqu’à sentir sa cyprine souiller mes couilles qui se balancent. C’est tout chaud. C’est si bon. J’ai envie de ce sexe en fusion. Alors je sors ma queue pour la replanter immédiatement dans ce fourreau trempé, retrouvant là encore une de ces boules de geisha que mon gland vient percuter à l’envi.
Rapidement, je n’en peux plus. Tant de sauvagerie… La sueur coule sur mon visage, dans mon dos. Mes cuisses ruissellent de mouille. Elle n’arrête pas de gicler cette putain. Je fatigue. Je ne suis pas un étalon, loin de là. Mais je suis déjà tellement heureux et fier d’apporter autant de plaisir à une femme. Je me fige soudainement. Je sens ma jouissance prête à éclater. J’agrippe les hanches de ma partenaire, pousse mon dard au plus profond de sa fabuleuse chatte et me mets à râler. Ma sève remonte le long de ma verge et fuse. Que c’est bon. J’éructe comme un animal. Je suis en rut. « Oh oui, remplis-moi, féconde-moi ! ». Quelle magnifique salope. L’entendre ainsi me réclamer décuple mon plaisir.
Je me suis écroulé sur elle. Je suis vidé et essoufflé. Nous ne bougeons plus. C’était si bon, si intense. Je mordille sa nuque. Elle gémit. Je me relève et l’attire contre moi. Un long câlin tendre et chaud. Quel contraste après toute cette violence. Mais quel délice aussi.