Il y a une dizaine d’années déjà j’étais avec une nana (qui peut être lira ce témoignage, sait on jamais) depuis près d’un an. Je connaissais ses penchants pour baiser dans un coin de rue sombre ou dans une voiture sur un parking, elle avait un coté un peu exihib et c’est d’ailleurs comme ca que notre histoire avait commencée à la sortie d’une boite. C’était une grande femme plutôt mince avec de bonnes hanches et une poitrine qui remplissait bien les bonnets C. Elle avait de grands yeux noir très souriante avec une frange brune qui la rendait vraiment sexy.
Les 1er mois nous aimions expérimenter en couple de nouvelles expériences sexuelles ; 1ere sodo, des objets multiples dans sa chatte, du SM soft à base d’épingle ou de bougies …elle était demandeuse mais au fur et à mesure, notre relation devenait plus soft et cela nous paressait normal.
On était du coup un peu moins centré sur nous et on recommençait à retrouver une vie sociale, avec des repas qui se passaient souvent dans les apparts des uns et des autres.
C’était déjà l’été et les soirées grillade étaient légion, nous venions d'aménager dans un appart plus confortable au rez de chaussé avec un petit jardin mais malheureusement sans trop de meubles. Beaucoup de nos amis avaient pris le chemin des vacances et nous attendions notre tour avec impatience. Seul mon meilleur pote, célibataire qui claquait tout son fric en soirées, était resté sur place.
Ce vendredi il fessait chaud est une soirées grillade-rosé était parfaite. Comme d’habitude on rigole il nous raconte des anecdotes ; ses plans foireux avec des nanas, des soirées dans lesquels il s’est retrouvé sans connaitre personne ou pire la demi centaine d’inconnus qui ont fêté l’anniv d’un mec qu’il n’a jamais rencontré.
Vers le 2h du mat ma nana était pas mal saoule et part ce coucher, on continu notre soirée en se remémorent nos histoires de jeunesses qui me rend un peu de nostalgique. 2 heures plus tard la pluie commence à tomber, on est trop ivre pour ranger quoi que se soit et on rentre dans l’appart, on avait juste 2 fauteuils qu’on avait récupéré mais pas de canap. Pas très lucide, je l’invite à dormir dans mon lit. Ma copine ne s’est pas aperçu de notre arrivé et je me suis allonge entre mon pote et ma nana sans que ni lui ni moi n'ayons le courage de quitter nos vêtements.
Quelques heures plus tard, je me suis un peu réveillé par des sons de voix. Toujours saoul je discerne mal la réalité de mes rêves, il fessait noir et il me semblait voir une ombre irréelle au dessus du lit. Je repars dans mon sommeil et je flotte quelques minutes entre la réalité et mes rêves, les voix reviennent est mon cerveau embrumé commence à donner l’alerte. C’est à ce moment la que j’entends ces voix qui sont les râles de plaisir de ma nana et mon pote. Un électrochoc se propage dans mon corps, j’ouvre les yeux et cette ombre devient réelle, c’ était mon pote à genoux sur le sol qui lime ma nana allongé sur le coté a quelques centimètres de moi. Je lui saute dessus, je tape de tout les cotés dans le noir sans viser, il réussi à s’échapper à moitié à poil. Je n’ai jamais désaoulé aussi vite. J’ai mis ma nana à la porte sans qu’elle puisse dire quoi que se soit. J’étais perdu dans mes sentiments...
Quelque semaines plus tard je me suis remis un temps avec cette fille. Ma libido n’avait jamais été aussi grande, j’était pris entre, le dégout et l’amour et cette nouvelle sensation qui était l’excitation de la voir ce faire fourrer en bonne salope. Je la baisais comme une pute à chien plusieurs fois par jour, sans respect, bestialement c’était devenu mon vide couilles et elle adorait ca, je n’ais jamais vu une chatte couler autant. Je pouvait la fister et l’enculer en même temps, lui craquer dans la bouche, la gifler, lui faire lécher mon cul, la goder et la fourrant …ca ne faisait que l’exciter davantage. On aurais pu la baiser à 20 qu'elle en redemanderait.
J’y ai mis un terme car il n’y avait pas d’avenir et plus de respect.
Quelques temps après j’ai changé de ville. Je sais qu’elle a des @#$%& et qu’elle est casée. Pas avec mon ancien pote bien sur. Mais lorsque j’y repense, je ressent l’excitation, je n’ai jamais retrouver un tel pied malgré ma souffrance.