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Une rencontre délicieuse et perverse

Envoyé par yoxxxx22 
Une rencontre délicieuse et perverse
Tuesday 16 March 2021 14:47

yoxxxx22
Homme, 57 ans, Nioué
C'était la fin de l'été. Je m'étais assoupi quelques minutes sur la plage. A mon réveil, je découvrais qu'une jolie femme s'était installée à seulement quelques mètres de moi. J'ai trouvé cela bizarre. La plage était presque déserte à cette heure.

Elle était allongée sur le ventre et portait simplement un bas de maillot de bain des plus minimalistes. Son soutien gorge était posé négligemment dans le sable tout près d'elle. Profitant qu'elle avait le visage plongé entre ses bras croisés, je matais à loisir son corps ambré. J'imaginais la chaleur de sa peau et le bonheur de la caresser sensuellement. J'adore fantasmer et avais là un très beau début de scénario. J'ai alors pris mon cahier et mon stylo et me suis mis à écrire mes envies.

A peine avais-je commencé mon récit qu'elle tourna la tête vers moi. Elle m'a souri. 
"Bonjour" lui ai-je dit.
"Bonjour" me répondit-elle.
"Vous êtes Français ?"
Nous étions dans le sud de l'Espagne. Nous avons alors commencé à discuter sagement. J'ai appris qu'elle était française et vivait ici avec son mari. Moi je n'étais qu'en vacances hélas. Après quelques minutes, elle m'a demandé ce que je faisais, me voir écrire sur un cahier l'intriguait.

"Non, je ne suis pas écrivain, mais j'aime bien, à mes heures perdues, coucher sur le papier les idées qui me viennent."
"C'est intéressant. Moi aussi j'aime écrire parfois. Et vous faites plutôt dans quel genre ?"
J'ai hésité un instant mais ai fini par avouer.
"Plutôt dans l'érotisme."

Son visage s'est illuminé. Elle s'est tournée vers moi, posant sa tête sur sa main et dévoilant sans pudeur deux jolis seins lourds et appétissants.
"C'est décidément très intéressant et peu habituel. Et donc, là, vous étiez en train d'écrire ? Je vous ai interrompu peut-être ?"
"Ca n'est pas bien grave, je laisse mon imagination divaguer sans plan pré-conçu."
"Et donc vous aviez trouvé une source d'inspiration ?"
Je l'ai regardée en souriant. Mes yeux, sans discrétion aucune, ont scruté son corps offert. Elle ne s'est absolument pas sentie gênée, bien au contraire. 
"Oui, j'ai effectivement une très jolie source d'inspiration."
Et de nouveau je l'ai matée en toute transparence.

"J'adorerais que vous me racontiez ce que vous avez écrit."
"Je n'ai pas l'habitude de partager mes écrits vous savez. Je ne suis pas un vrai écrivain. Et j'ai peur de ne pas être à la hauteur."
"Ne vous en faites pas. Je suis certaine moi que vous savez manier les mots avec goût. Allez, s'il vous plaît, faites-moi la lecture."
Elle s'est légèrement redressée. Sa main libre a glissé sur son ventre pour disparaître entre ses cuisses serrées. Elle me regardait avec un air mutin tout à fait délicieux.

J'ai alors commencé ma lecture, avouant donc les envies lubriques qu'elle faisait naître en moi. Le plaisir sensuel que je prenais à la regarder, mes mains qui glissaient sur son corps, ses tétons qui durcissaient, la chaleur de sa peau, ma queue qui se dressait. Plus mon histoire avançait, plus les mots devenaient crus. Je parlais très lentement, faisais de longues poses pour la regarder et me régaler de mes désirs sensuels.
Elle avait légèrement écarté ses jambes. Sa main ainsi libérée appuyait sur son sexe. Je me mis alors à relater la manière dont je l'imaginais se caresser si intimement. Ses doigts insistant sur son abricot. Une trace humide commençant à révéler son excitation. La coquine gardait les yeux grands ouverts et me fixait en reproduisant à présent les mouvements que je dictais.

J'ai raconté comment ses doigts se sont faufilés sous son maillot et, aussitôt, sa main s'est glissée sous le petit triangle de tissu imbibé. Son majeur s'est enfoncé lentement dans son antre, bientôt accompagné par son index. Elle restait toujours sur le côté, m'offrant une vue admirable sur ses caresses indécentes. 

La plage était déserte. Je bandais. A mon tour, j'ai glissé ma main entre mes cuisses pour m'emparer de mon dard et le serrer fort entre mes doigts. La Belle écartait ses cuisses et se touchait sans aucune pudeur à présent. Ses tétons étaient durs et gonflés. Je me branlais en la regardant tout en poursuivant ma lecture imaginaire, décrivant son impudique masturbation. Elle reproduisait chacun de mes gestes avec un plaisir non dissimulé. Ses yeux étincelaient de luxure. Sa respiration se faisait de plus en plus rapide et bruyante.

J'ai sorti ma queue de mon caleçon pour mieux l'astiquer. Elle la regardait avec excitation. Sa culotte ne cachait plus rien de son sexe trempé. Je me régalais de voir ses doigts entrer et sortir, vriller, écraser son clitoris. J'aurais bien aimé lécher cet abricot mûr et gorgé de jus. Tout comme je me serais bien vu lui donner mon pieu à sucer. Mais ça n'était pas le sujet pour l'instant.

Nous étions tous deux de joyeux exhibitionnistes et voyeurs en train de prendre leur pied sur cette belle plage déserte.  Elle s'est mise à gémir. Ses paupières se sont refermées. Je lui ai ordonné de les ouvrir et de me regarder. Elle a joui sans baisser les yeux.
Que c'était bon de voir tout son corps trembler de plaisir. Ses tétons étaient si durs. J'ai attendu qu'elle termine sa jouissance pour déclencher la mienne. Je voulais qu'elle y assiste pleinement. Je me suis tourné vers elle et me suis astiqué lentement en la regardant. Elle s'est mis à rire en voyant enfin mon foutre gicler sur le sable. Je râlais de plaisir. Que c'est bon de partager de tels moments.

Nous sommes restés un long moment à nous regarder sagement et reprendre nos esprits. 
"Vous êtes une sacrée allumeuse quand même !"
Elle s'est esclaffée.
"Et vous, un gros pervers !"
Nous avons éclaté de rire.
"Et si nous allions nous baigner ?"
Je lui ai tendu la main. Elle me la prise et s'est relevée. 
"Et comme il n'y a plus personne..."
J'ai laissé tomber mon caleçon à terre. Elle a enlevé son string.
Tranquillement, nous avons marché nus jusqu'à la mer dans laquelle nous avons plongés l'un contre l'autre. J'avais très envie toucher son corps.

  
Homme, 49 ans, France, Occitanie
magnifique merci!!
Homme, 57 ans, France, Bretagne
Que cela relève du vécu ou du fantasme,c'est superbe, Mister yoxxxx22 Super
Bravo Fort Danser
Homme, 52 ans, France
merci pour ce récitSuper
Homme, 65 ans, France
...une situation vraiment exceptionnelle, qui a été gérée a merveille. Un gentleman.
Homme, 52 ans, France, Nouvelle-Aquitaine
Superbe récit bien bandant
Homme, 57 ans, Nioué
Merci pour vos commentaires qui m'encouragent à continuer le partage...


Je me régalais à la regarder nager autour de moi, sans aucune pudeur. Elle me dévoilait ses fesses, ses seins, son sexe, me frôlait, me jetait des regards coquins. Oui, j’avais bien raison de la traiter d’allumeuse tout à l’heure.

Malgré toutes mes envies lubriques, je gardais une certaine retenue. Avoir à faire à une exhibitionniste ne donne pas le droit de disposer de son corps librement. Je me contentais donc de mater cette sirène sensuelle et de discuter avec elle. J’ai appris ainsi qu’elle attendait son mari, mais que celui-ci avait du retard. Elle m’a également expliqué qu’elle adorait ce petit jeu auquel nous venions de jouer et qu’elle s’y adonnait régulièrement, mais quasiment toujours avec son homme.

« Et quand n parle du loup, justement… »

J’ai tourné la tête vers la plage et ai vu un homme marcher vers la serviette de la Belle. Celle-ci est sortie de l’eau pour le rejoindre. Ils se sont embrassés et on longuement discuté. De temps en temps, ils jetaient de coups d’oeil vers moi. Nul doute qu’elle était en train de lui raconter notre petit délire. Puis elle s’est mise à déshabiller son homme. Nus tous les deux, ils ont traversé la plage pour venir se baigner. Arrivé à quelques mètres de moi, le mari s’est mis debout.

« Merci d’avoir respecté Tina » m-a-t-il lancé. « Je lui ai toujours dit de faire attention quand je ne suis pas avec elle. On ne sait jamais sur qui on peut tomber. »

« C’est normal. Mais je comprends votre inquiétude, surtout avec une telle allumeuse. »

Il s’est mis à rire. Il savait bien entendu à quelle point son épouse pouvait être excitante. Celle-ci d’ailleurs s’est approchée pour grimper sur le dos de son homme. Elle a entouré son corps de ses jambes puis, en bonne petite salope, elle a posé sa main sur son ventre pour la faire glisser jusqu’à son sexe. Elle l’a alors astiqué langoureusement en me regardant. Même si tout cela se passait sous l’eau, je devinais aisément que ce membre était en train de gonfler entre ses doigts experts.

Le chanceux a tourné son visage vers celui de sa femme. Ils se sont embrassés avec fougue. J’observais leurs langues se mélanger avec envie. Après quelques instants, la Belle a desserré son étreinte puis s’est laissée glisser dans l’eau. Elle a contourné son homme, pris sa respiration puis a disparu. Je ne voyais plus que le haut de sa tête dépasser. Lui a posé sa main sur ses cheveux. Il m’a regardé en souriant. Ma queue s’est raidie d’un coup à le voir se faire sucer ainsi, juste à côté de moi. Il s’est esclaffé.

« Ne t’inquiète pas si tu trouves qu’elle reste longtemps sous l’eau, c’est une championne d’apnée ! »

Et il est vrai que j’ai été impressionné de la voir rester tant de temps sans reprendre sa respiration. Elle a tout de même fini par réapparaitre. Mais juste le temps d’aspirer une grande bouffée d’air frais. Au bout de la troisième fois, l’homme l’a empêchée de replonger en l’attrapant par les cuisses. Il l’a soulevée à hauteur de sa taille puis l’a laissée redescendre doucement. La petite catin a gémi. La queue raide de son mari venait de la pénétrer. Elle se faisait saillir sous mes yeux, accrochée au cou de son mari, dans un tourbillon d’écume blanche. Quel spectacle. Je m’astiquais sous l’eau.

Les deux amants rugissaient de plaisir. Leur étreinte était si fougueuse. Chacun d’eux me jetait de temps en temps un regard complice. Ils aiment être matés, c’est évident. Quelques coups de reins bien sentis et un long râle est sorti de la gorge du mâle, aussitôt accompagné par les cris de jouissance de la femme. Mon dard était au bord de l’explosion. J’ai choisi d’attendre encore un peu, histoire de leur faire partager au mieux mon plaisir.

Les vagues se sont calmées. Ils sont restés accrochés l’un à l’autre en me regardant. J’ai reculé vers la plage jusqu’à ne plus avoir d’eau que jusqu’à mi-cuisses. Ainsi, ils pouvaient me voir me branler sans contrainte. J’ai serré ma verge entre mes doigts et me suis fait venir par de lents mouvements la main. Mon foutre a giclé dans leur direction. C’était bon.

Nous sommes remontés vers nos serviettes ensemble, heureux de ce moment impudique. Nous nous sommes habillés puis salués. Je les ai regardés partir un peu frustré. Ils se sont arrêtés quelques instants. Elle lui a murmuré quelques mots à l’oreille. Il s’est retourné et est revenu vers moi. Il a tiré de sa poche une petite carte de visite.

« Si vous ne savez pas quoi faire demain après-midi, passez-nous voir chez nous. Ma femme en serait enchantée. Et moi aussi. »

J’ai pris la carte en main. Ils sont repartis. Avant de disparaître, elle m’a jeté un regard de feu. Vivement demain me suis-je dit.
Homme, 57 ans, France, Île-de-France
Merci pour ce beau récit
Homme, 65 ans, France
et alors?...la suite, que l'on attend avec impatience...
Re: Une rencontre délicieuse et perverse
Wednesday 24 March 2021 11:13

yoxxxx22
Homme, 57 ans, Nioué
Il faisait vraiment chaud. J'ai sonné à l'entrée à 15 heures, une bouteille à la main. Aucune réponse. J'allais appuyer à nouveau sur la sonnette quand j'ai entendu des bruits derrière la porte. Elle s'est ouverte. Manuel est apparu en peignoir.
"Désolé, j'étais dans la piscine. Entre."

J'ai fait quelques pas et lui ai tendu la bouteille. Il m'a remercié en refermant la porte derrière moi et m'a fait traverser la maison. Un petit détour par la cuisine pour mettre mon cadeau au frais et je suis arrivé sur une superbe terrasse en bois au milieu de laquelle trônait une jolie piscine. Tina était assise sur les marches de celle-ci, l'eau jusqu'à la taille. A ma grande joie, elle n'était pas seule. Elle discutait avec une femme très à mon goût. La soixantaine, très mince, les cheveux blonds coupés courts, elle ressemblait beaucoup à une de mes anciennes collègues avec laquelle j'avais eu une relation très sensuelle.

"Je te présente Maria, notre voisine. Il fait si chaud aujourd'hui que nous l'avons invitée à se rafraichir chez nous. J'espère que ça ne te dérange pas."

En disant cela, Manuel m'a fait un clien d'oeil. Il se doutait que cette présence ne pouvait que réjouir le voyeur que je suis. Les deux femmes m'ont salué en me souriant. Je leur ai rendu leur sourire. Mon hôte a laissé tomber son peignoir à terre et a sauté dans l'eau, nu, éclaboussant tout le monde. Je restais sur le bord à mater les deux coquines. Si Tina avait des seins lourds et bandants, sa voisine en possédait une paire beaucoup plus petite. En forme de poire, ils étaient surmontés de gros tétons qui me donnaient mille envies vicieuses.

Les deux amies discutaient en espagnol. Je ne comprenais rien. Manuel m'a invité à le rejoindre dans la piscine. Lentement, je me suis déshabillé. Les filles m'ont regardé faire sans s'en cacher. Je rentrais le ventre le plus que je pouvais pour faire bonne impression. J'ai ouvert mon pantalon et l'ai laissé descendre le long de mes jambes. Je ne portais rien en dessous. Ma queue pendait encore. J'ai ramassé mes vêtements pour les jeter dans un coin puis me suis approché des marches. Je prenais beaucoup de plaisir à me sentir maté.J'ai effleuré Tina en descendant puis ai plongé dans l'eau fraiche. Les deux coquines ont repris leur discussion. Je me suis mis à nager vers mon hôte et nous nous sommes accoudés à la margelle. Nous avons parlé de tout et de rien. Puis il m'a expliqué qui était Maria, une petite bourgeoise BCBG, cadre dans le secteur bancaire et divorcée depuis quelques années.

Après quelques minutes, il est sorti pour aller chercher ma bouteille. Les filles se sont levées. Elles étaient nues bien sûr. La voisine avait un joli petit cul rond et des jambes fines et musclées. Nul doute qu'elle devait être sportive. Une petite toison blonde et rase en forme de triangle soulignait son pubis. Sa peau était dorée. Je les ai regardées monter les marches. Une vue en contre-plongée magnifique sur leurs sexes s'offrait à moi. Ma queue a commencé à gonfler. Mais si cela peut-être gênant sur une plage, révéler un certain état d'excitation ici ne me dérangeait pas. Je suis à mon tour sorti de l'eau, la bite légèrement relevée. Ces dames m'ont regardé en souriant. Ce spectacle de mon excitaton naissante semblait à leur goût.

Sur le sol, un amas de matelas et de coussins formait un espace de détente des plus attirants. Manuel et Tina se sont assis l'un à côté de l'autre, Maria et moi-même avons pris place en face d'eux. Chacun un verre à la main, nous avons trinqué. Nous avons discuté, rit. Mes hôtes faisaient les traductions entre Maria et moi. Une playlist  jouait des ballades rock. L'ambiance était vraiment agréable et détendue. 'A whiter shade of pale' de Procol Harum a retenti. L'un des plus grands slows que je connaisse. L'occasion était trop belle.

Je me suis levé et ai tendu la main vers la voisine pour l'inviter à danser. J'ai adoré son sourire lorsqu'elle l'a attrapée. Je l'ai aidée à se relever. Elle a posé ses bras sur mes épaules pour les croiser derrière ma nuque. J'ai glissé mes mains sur ses hanches. Nous avons reculé de quelques pas en nous fixant du regard et avons commencé à nous déhancher lascivement. Face à moi, nos hôtes se sont rapprochés l'un de l'autre. 

J'ai baissé les yeux vers ma partenaire. Nos corps ne se touchaient pas encore. Je matais ses petits seins. Je les imaginais dans ma bouche, entre mes doigts. Ces pensées coquines m'excitaient et, tout naturellement, mon dard se redressait de plus en plus. Il en est venu à frôler le ventre de Maria. Celle-ci a baissé la tête, jeté un long regard vers le bas puis a relevé les yeux vers moi. L'expression de son visage était délicieuse. Elle semblait à la fois être amusée et fébrile. Un petit coup d'oeil au dessus de son épaule a quant à lui ajouté un supplément stimulation érotique.

Manuel, toujours assis et un verre à la main, se faisait sucer par sa femme. Lentement, la tête de celle-ci montait et descendait le long de son sexe turgescent. De ses doigts, elle caressait avec précaution ses bourses, branlait sagement cette belle tige raide. Lui, me regardait avec un air amusé. La vie peut-être vraiment belle.

J'ai fait pivoter Maria pour me coller contre son dos. Elle découvrait le spectacle de ses amis se donnant du bon temps. J'ai glissé mes mains sur son ventre chaud. J'ai fait descendre la droite sur sa petite toison rase et remonter la gauche vers sa poitrine. Mes doigts se sont emparés de son téton, d'abord gentiment. Je le pressais sans forcer, le faisant rouler entre mon pouce et mon index  tout en posant mes lèvres sur son épaule. La Belle a commencé à frissonner. Elle s'est cambrée. Ma queue raide s'est retrouvée écrasée entre nos deux corps, Nous ondulions toujours au rythme de la musique. Comme c'était agréable de sentir mon sexe être ainsi massé.

Tina de son côté s'est arrêtée de sucer son homme. Elle s'est mise à genoux, tournée vers nous. Manuel s'est allongé. Elle l'a enjambé puis s'est emparé de sa verge dressée pour la conduire vers son bel abricot mouillé. C'est en nous regardant impudiquement qu'elle s'est empalée. Lascivement, elle s'est branlée ainsi avec la queue de son homme, sans baisser son regard.

Excitée, Maria a attrapé ma main droite pour la faire glisser entre ses cuisses. Sa chatte dégoulinait déjà. Elle était lisse et brûlante. Mon index l'a pénétrée. Elle a gémi tout en appuyant sa main sur la mienne. Son désir d'être fouillée était intense. Mon majeur est entré à son tour dans son antre. J'enfonçais mes doigts au plus profond d'elle. De mon autre main, je continuais à exciter ses tétons de plus en plus fermement. Je les pressais, les étirais, les faisais rouler. J'ai senti son bras glisser entre mon ventre et son dos. Elle a agrippé mon sexe et l'a serré puissament. Elle me branlait lentement mais avec vigueur. Je lui ai mordillé la nuque. Elle m'a offert sa bouche. Nos langues se sont emmêlées. Sa petite chatte ruisselait.

Tina rebondissait littéralement sur la queue de son mari. Je voyais celle-ci ressortir de sa grotte presque complètement avant de la pénétrer de nouveau avec force de toute sa longueur. La petite salope se massait les seins. Les mains de Manuel étaient agrippaient les hanches de son amante fermement. Tous les deux gémissaient fortement.

Mes doigts dégoulinaient de cyprine. Je les ai enlevés pour retourner ma partenaire sexy et l'ai soulevée de terre en la prenant par les fesses. Elle m'a entouré de ses jambes. Quelques pas en avant et j'ai fléchi mes jambes pour la déposer sur le matelas, juste à côté de nos hôtes. Sans doute s'attendait-elle à ce que je la prenne ainsi, que j'enfonce mon pieu en elle, en la regardant les yeux dans les yeux. Hélas, je ne suis pas un étalon et sais ne pouvoir tenir la distance dans un tel état d'excitation. Je me suis alors mis à glisser le long de son corps, embrassant son torse, sa poitrine, son ventre, son pubis. La bouche à hauteur de son abricot, j'ai pris le temps de le regarder, d'écarter ses grandes lèvres avec mes doigts, avant d'y plonger la langue avec gourmandise. Les fesses de la Belle ont décollé du sol. Je l'ai dévorée goulûment. Mon menton suintait de sa mouille.

A côté de nous, nos hôtes continuaient leur saillie sauvage. Tina s'était retournée. Elle sautait toujours vigoureusement sur la dard raide de son compagnon. Ils ont joui presque simultanément. Leurs râles de bonheur étaient si bons à entendre.

Maria ne faisait plus de bruit. J'ai relevé les yeux tout en continuant ma dégustation. Tina s'était penchée vers elle et l'embrassait à pleine bouche. Ma langue s'est enfoncée. Quel régal de boire à cette source. Les gémissements ont repris. Ils ne se sont plus arrếtés jusqu'à ce que la voisine coquine atteigne le septième ciel. J'étais trempé et heureux d'avoir réussi à la mener au nirvana. Son corps s'est affaissé. Je me suis relevé légèrement pour remonter son corps. Nous nous sommes embrassés. Son regard était étincelant. Elle m'a poussé. Je me suis laissé tomber sur le dos. Je l'ai regardée descendre son visage jusqu'à atteindre mon sexe. Elle l'a pris dans sa bouche chaude et a commencé à me sucer merveilleusement. J'échangeais des regards complices avec les deux amants.

Il n'a pas fallu longtemps pour que je sente ma jouissance prête à exploser. Je n'ai pas l'habitude d'imposer à mes partenaires une éjaculation buccale. J'ai posé ma main sur sa tête en la prévenant. C'est en riant que Tina m'a dit :
"Ne t'inquiète pas pour ça, Maria est une salope qui aime le foutre, presque autant que moi."

Alors je me suis laissé aller. Quel bonheur. Elle m'a pompé jusqu'à la dernière goutte, recueillant l'intégralité de mon jus dans sa bouche, sans en laisser échapper la moindre trace. Une fois mon dernier jet survenu, elle a relevé la tête, les lèvres entrouvertes, et m'a regardé avec un air mutin. Tina s'est approchée d'elle pour prendre son visage dans sa main. Elle l'a conduite vers le sien. Leurs bouches se sont collées l'une à l'autre. Les deux coquines se sont roulées un patin monstrueux, se partageant avec délectation ma semence encore tiède tout en me jetant des regards incendiaires.

"Quand Tina te disait qu'elle aimait le foutre, ça n'était pas un mensonge, tu vois ?"
J'ai regardé Manuel. Nous nous sommes mis à rire.

Nous sommes tous les deux retournés à l'eau, laissant nos catins seules sur les matelas.
Elles nous ont alors offert un sacré spectacle.

A suivre...
Re: Une rencontre délicieuse et perverse
Wednesday 24 March 2021 18:21

dvd83
Couple, 50 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Superbe récit
Homme, 57 ans, Nioué
Nous étions tous les deux debouts dans la piscine à regarder ce spectacle splendide.

Nos deux coquines s'enlaçaient sur les matelas. Caresses, baisers, léchage, tout y passait. Je ne connais rien de plus excitant que de voir deux femmes se faire du bien. Je suivais chaque mouvement de main, de cuisse, observais la manière dont leurs doigts jouaient avec l'autre. Je ne bandais pas encore car je venais de jouir mais mon excitation était déjà totale.

Plus le temps passait, plus leurs attouchements devenaient lubriques, jusqu'à ce qu'elles se mettent toutes les deux sur le côté, face à nous, et croisent leurs jambes pour faire se toucher leurs sexes trempés. Leurs regards étaient brûlants. Elles frottaient leurs abricots juteux l'un contre l'autre en nous regardant, comme pour nous défier. Elles nous allumaient d'une manière incroyablement vicieuse.

Je me caressais la queue sous l'eau. Manuel faisait de même juste à côté de moi.
Tina s'est mise à rire.

"Ca vous plaît de voir ça, hein mes petits branleurs, deux petites salopes qui se gouinent ? "

Même si elle ne parlait pas français, je suis certain que Maria devinait la teneur des propos de sa copine. Elle me jetait des regards de folie.

Ma queue commençait à se raidir. Connaissant la nature voyeuse de Tina, je suis sorti de l'eau pour m'allonger devant les coquines et leur montrer à quel point elle m'excitaient. Je caressais ma tige en les regardant. Manuel s'est assis près de moi pour faire la même chose. Les filles semblaient vraiment apprécier mais Tina nous a provoqué de nouveau.

"C'est tout ce que vous avez trouvé pour nous exciter ? C'est un peu gentil."

La salope nous défiait. Il était hors de question de ne pas répondre. Mon complice semblait penser la même chose. Nous nous sommes regardés un instant et, sans échanger le moindre mot, nos bras se sont croisés et nous avons attrapé le sexe de l'autre. Jamais je n'avais encore touché la queue d'un autre homme, même si cela faisait, depuis longtemps, partie de mes fantasmes.

J'ai tout de suite aimé cette sensation d'être branlé par une main masculine tout comme celle d'astiquer une verge bien dure qui n'était pas la mienne. Nos gestes étaient lents et doux. Nous prenions tous les deux beaucoup de plaisir à nous masturber. Les filles avaient arrêté leur manège, sans doute surprises de voir ces deux mâles se donner du bon temps.

"Alors mes petites salopes, vous trouvez ça toujours gentil ?"

A notre tour de rire. Les deux amies ont repris leur frottement lubrique sans nous quitter des yeux. C'était ultra excitant. Et puis...

Manuel s'est penché sur moi. Il a posé quelques baisers chauds sur le bout de mon gland avant d'ouvrir sa bouche et d'y glisser ma queue raide. Comme c'était bon de me sentir dans cet endroit si doux. Il me suçait doucement, voluptueusement. J'ai posé ma main sur son crâne. Il montait et descendait le long de ma verge à un rythme régulier. Ses lèvres douces serraient mon membre.

Les deux coquines haletaient de plus en plus fort. Leurs abricots jutaient l'un contre l'autre. Elles ont joui quasiment en même temps en gémissant longuement. Puis elles se sont figées pour continuer à nous mater.

Je ne voulais pas venir tout de suite. Trop envie de remercier Manuel de ses attentions. Mais trop envie aussi de goûter à mon tour à cette friandise qui se tendait entre ses cuisses. Je l'ai repoussé doucement. Nos regards se sont croisés. Il a tout de suite compris ce que je voulais. Il s'est étendu sur le dos. J'ai embrassé son ventre, son pubis. Sa queue frôlait mon visage. J'ai gobé sa verge avec gourmandise.  Quelle sensation extraordinaire. Comme j'ai aimé le sucer en prenant mon temps, sentir son dard gonfler dans ma bouche, son corps se raidir de plaisir. J'ai parcouru sa queue du bout de la langue, empruntant chaque sillon avec volupté, découvrant ce nouveau monde qui s'offrait à moi avec un plaisir incroyable. 

Tout en me régalant, je malaxais sa bourse avec précaution, branlais cette magnifique tige doucement. Le coquin s'est mis à râler. Ses fesses ont décollé du sol. Il m'a lancé un "Attention" annonçant son érection. Même si la perspective de recevoir son foutre dans ma bouche ne faisait pas véritablement partie de mes envies, je n'avais pas l'intention de gâcher ce moment en le frustrant d'une jouissance bien au chaud dans ma bouche. J'ai serré mes doigts à la base de sa queue et je l'ai pompé comme j'aime tant qu'on me le fasse. J'ai reçu sa jute par jets saccadés. Ca n'était pas aussi mauvais que je le pensais. Et surtout quel plaisir de l'amener à ce niveau de plaisir.

Tout en le pompant, j'entrouvrais mes lèvres pour laisser son sperme tiède s'écouler sur son pieu. Ma main était souillée et j'aimais ça. Son corps s'est affaissé. Je me suis relevé. Nous nous sommes regardés. Les filles étaient surexcitées. 

"Tu n'étais pas obligé" m'a-t-il dit.

"Non, mais j'en avais très envie. Et je recommencerais avec grand plaisir."

Il m'a embrassé sur la bouche. J'ai trouvé ça extrêmement naturel et très plaisant. Puis il s'est penché sur ma queue et m'a offert une pipe extraordinaire. Et lui n'en a pas perdu une seule goutte...
Homme, 57 ans, Nioué
J’ai accompagné Maria jusqu’à sa maison. L’après-midi avait été chaud et fantastique mais toute chose à une fin. Sur le court chemin, nous n’avons pas échangé un mot, faut à la barrière de la langue. Quel dommage, car j’aurais bien aimé continuer à la chauffer un peu.

Arrivé devant son portail, nous sommes restés un moment à nous regarder. J’ai pris mon portable, j’avais trop envie de la revoir. J’ai tapé « J’aimerais vous inviter demain », demandé la traduction et lui ai montré le résultat. Elle a pris le téléphone en main pour me répondre en espagnol.

Hélas elle travaillait mais a ajouté qu’elle était libre le jour d’après. Je lui ai alors proposé qu’elle vienne après son travail et qu’elle reste en suite jusqu’au lendemain. Elle a accepté avec un grand sourire. Je lui ai demandé son numéro pour lui envoyer les coordonnées de ma location. Vivement demain soir.

J’ai consacré ma journée à préparer sa venue.

Elle a sonné à ma porte à 20h30. Nous nous sommes embrassés sur la bouche puis elle est entrée. Elle portait un grand sac en bandoulière. Sans doute ses affaires de toilette car elle restait cette nuit. Je l’ai pris et déposé dans un coin de la pièce. Je lui ai fait signe de ne plus bouger ensuite. Elle s’est figée, debout, attendant de voir ce que je voulais. J’ai commencé à tourner autour d’elle en la scrutant dans les moindres détails.
Elle portait une robe très légère, boutonnée sur le devant de bas en haut, avec une ceinture qui soulignait la finesse de sa taille. Aux pieds, elle arborait de jolis escarpins au bout pointu et au talon fin. Une jolie chainette entourait sa cheville droite.

J’ai bien entendu tout de suite remarqué qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Ses splendides tétons pointaient fièrement à travers le tissu léger. Mes yeux se dirigeaient de haut en bas, de bas en haut. Je me régalais à regarder ce corps que j’avais si bien dévoré hier et qui était donc une nouvelle fois offert à mes envies lubriques.

Comme nous ne pouvions échanger en parole, je forçais les expressions de mon visage pour qu’elle voit à quel point je la trouvais désirable et sexy. Mes mains la frôlaient avec délicatesse. Mon corps collé contre son dos, je lui ai embrassé la nuque. Elle a baissé la tête pour mieux me l’offrir. Lentement, j’ai commencé à défaire les boutons de sa tenue. J’ai commencé par ceux du haut et les ai tous enlevés jusqu’à arriver à sa ceinture. Je me suis alors remis devant elle et ai écarté les pans de la robe jusqu’à ce qu’ils ne cachent plus ses seins qu’à moitié. Quel décolleté fantastique.

J’ai ensuite enlevé les boutons du bas. Là encore, j’ai écarté la robe pour mater les jolies cuisses de mon invitée. J’ai découvert alors un string magnifique et très sexy, fait de dentelle ajourée, qui épousait parfaitement les reliefs de son sexe lisse. Si cette vision était très agréable, j’ai malgré tout lancé un regard de mécontentement vers Maria. J’aime les femmes qui ne portent rien sous leurs jupes.
Je lui ai fait comprendre que cet accessoire était en trop en faisant la moue. Elle m’a souri coquinement. Je lui ai alors fait signe que je voulais qu’elle l’enlève. Tranquillement, sans quitter mon regard noir, elle a glissé ses mains sous sa robe pour attraper sa petite culotte qu’elle a descendue le long de ses jambes.

Sa chatte était enfin offerte à mes regards pervers. J’ai tendu la main pour qu’elle me donne son string. Je l’ai ouvert et ai posé mes doigts sur le tissu, juste à l’endroit où sa fente était recouverte. Quel bonheur de sentir cette dentelle humide, légèrement poisseuse même. La petite cochonne était excitée. Je lui ai fait un grand sourire puis ai porté la culotte devant ma bouche. Je l’ai léchée en suivant la trace laissée par son sexe mouillé. C’était bon. La Belle a frissonné de me voir me régaler de ses premiers ruissellements.

Il était temps de manger un peu à présent, elle revenait du travail et devait avoir faim. Je l’ai conduite dans le salon et l’ai faite assoir sur un pouf confortable. Je me suis absenté pour aller chercher une bouteille de champagne et deux flûtes. Puis j’ai posé un petit plateau de sushis sur la table du salon. Je me suis assis sur celle-ci, juste en face de ma coquine. Nous avons trinqué.

Après avoir posé ma coupe, j’ai pris une paire de baguette et ai attrapé un sushi. J’ai regardé Maria en souriant. J’ai posé ma main libre sur son genou et l’ai poussé. La catin a ouvert ses jambes naturellement. J’ai déposé les pans de sa robe sur le dessus de ses cuisses pour dévoiler son sexe entièrement, puis, avec mon pouce et mon index, écarté ses grandes lèvres. Il ne me restait plus qu’à faire glisser le morceau de poisson dans cette fente humide pour le badigeonner de sa cyprine. Je l’ai fait lentement, consciencieusement. J’ai ensuite porté le sushi à ma bouche et l’ai dégusté en la regardant. Ses yeux pétillaient de plaisir de me voir me délecter de sa mouille.

J’ai attrapé un autre morceau pour réitérer l’opération. Cette fois, c’est elle qui a goûté à ce parfait mélange de saveurs. Nous avons chacun mangé 3 sushis. Il était temps que je lui fasse déguster une autre alliance de goûts. Je lui ai donné une petite coupelle noire et vide et lui ai fait signe de la tenir dans ces deux mains. Tranquillement, je me suis levé. J’ai alors enlevé un par un les boutons de ma braguette et ai sorti ma queue mi-molle. La petite salope s’est léchée les lèvres d’envie. J’ai soulevé ses mains pour qu’elle présente le récipient à la hauteur de mon sexe puis ai commencé à me palucher en la regardant. Elle était surexcitée.

Ma verge a rapidement grossi. La Belle frétillait, les jambes toujours écartées. J’ai porté ma main derrière sa tête pour l’approcher de mon ventre. Elle a ouvert sa bouche. J’y ai enfoncé mon dard raide sans arrêter de me branler. Elle m’a sucé avec appétit. Je n’ai pas tenu longtemps. Sentant ma jouissance arriver, j’ai repoussé le visage de Maria. Elle a présenté la coupelle à hauteur de mon gland. J’ai juté dedans avec bonheur. Ma semence blanche contrastait si bien. C’était parfaitement indécent. J’ai pressé ma queue pour en extirper jusqu’à la dernière goutte puis ai tendu mon sexe vers la catin pour qu’elle me le nettoie.

J’ai refermé mon pantalon et me suis assis. J’ai trempé avec application le sushi pincé entre les baguettes dans mon foutre encore tiède, raclant le petit bol, tournant le morceau de poisson dans tous les sens afin qu’il soit parfaitement imprégné de mon jus. Ma petite salope me regardait la bouche grande ouverte, attendant impatiemment que je lui donne à manger. Elle s’est plus que régalée de cette bouchée au goût lubrique. Quel bonheur de la voir la déguster avec tant de plaisir. Elle me lançait des regards si pervers…

J’avais suffisamment juté pour lui offrir un deuxième sushi imbibé de foutre qu’elle a de nouveau goûté avec délectation. Pour finir, j’ai porté à sa bouche le récipient encore maculé. Elle l’a léché avec entrain.
Le repas était terminé. Je pouvais passer à la suite des réjouissances. Pourvu qu’elle apprécie ma prochaine surprise.
Homme, 50 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Superbement bien raconté.
Homme, 65 ans, France
on s'en delecte...
Re: Une rencontre délicieuse et perverse
Wednesday 31 March 2021 18:40

yoxxxx22
Homme, 57 ans, Nioué
J’ai débarrassé la table puis suis revenu près de la Belle. Je lui ai tendu la main qu’elle a prise et l’ai fait monter debout sur le pouf. Quelle splendide spectacle de la mater ainsi, en contrebas. Je l’ai admirée sur toutes les coutures pendant quelques instants. La vision de sa vulve humide et gonflée était particulièrement excitante.

J’ai défait sa ceinture puis ai fait tomber sa robe à ses pieds. Elle était totalement nue à présent. Je suis allé chercher une grande boite en carton que j’avais rangée dans un coin et l’ai posé par terre derrière elle. Elle a tourné la tête. Je lui ai fait signe qu’elle ne devait pas. Obéissante, elle s’est redressée pour regarder le mur face à elle.

Je me suis penché et ai sorti de la boîte un superbe porte-jarretelles fait de dentelle blanche que j’avais choisi dans l’après-midi dans un magasin réservé aux adultes coquins. Je l’ai glissé sous ses pieds puis l’ai remonté jusqu’à sa taille. C’est drôle de voir comment un simple petite accessoire peut transformer une femme sexy en bombe sexuelle. J’ai de nouveau pioché dans le carton. J’ai fait le tour de ma coquine pour me mettre devant elle. Elle a baissé les yeux et m’a souri. Je lui ai montré de superbes bas blancs. Elle m’a aidé à les enfiler sur ses jambes en soulevant, l’un après l’autre, ses pieds. J’ai adoré les dérouler lentement jusqu’à ses cuisses et les accrocher ensuite aux attaches qui pendaient.

J’ai de nouveau longuement admiré mon invitée. Elle était si sexy. Je lui ai fait signe de descendre et me suis agenouillé. J’ai alors sorti de la boîte une paire d’escarpins à talon haut et très fin. Je les ai enfilés à ses pieds pour finir par attacher la petite bride autour de ses chevilles.

Quelle magnifique poupée excitante… En temps normal, une telle vision me pousserait à être tendre et romantique. Mais avec ce qu’elle m’avait montré la veille, j’avais prévu d’autres desseins pour ma belle catin. J’ai de nouveau pioché dans le carton. Cette fois, j’en ressortais un collier fait de cuir noir et de clous étincelants. J’ai vu ses yeux briller de plaisir au moment où je l’ai positionné autour de son cou. Quel bonheur de voir une telle réaction. Elle était bien joueuse, je ne m’étais pas trompé. J’ai terminé la préparation de ma petite salope en attachant une longue laisse en cuir.
A partir de ce moment, elle devenait ma chienne soumise. Mais allait-elle être obéissante ?

J’ai tiré sur la longe en direction du sol. Maria n’a pas eu d’autre choix que de s’agenouiller. Je me suis assis sur le canapé et ai de nouveau tiré sur la laisse. Docilement, la catin a suivi le mouvement et s’est mise à quatre pattes. Ses petits seins pointaient délicieusement. J’ai attrapé ma flûte de champagne et l’ai posée au creux de ses reins. Quelle magnifique table improvisée. J’ai versé le reste de la bouteille, laissant sciemment le verre déborder. La fraicheur de la boisson l’a faite frissonner.

Je me suis avachi en la regardant. Du bout du pied, je l’ai caressée, d’abord les cuisses, puis le ventre, jusqu’à arriver sur sa petite poitrine. J’ai longuement joué avec ses tétons avant de diriger mon pied vers son visage. J’ai présenté mon gros orteil à sa bouche. Elle me l’a gobé en me lançant un regard impudique et s’est mise ensuite à le sucer d’une manière très provocatrice. Je sentais déjà ma queue reprendre de la vigueur.
Je me suis amusé ainsi avec elle quelques minutes, interrompant mes attentions de temps en temps pour boire une gorgée de champagne. Puis j’ai pris la télécommande du téléviseur pour l’allumer. A l’écran est apparu l’image figée d’une belle salope portant une tenue très similaire à celle que j’avais choisie pour Maria. J’ai lancé la lecture. Le visage de la soumise était filmé en gros plan. Elle haletait puis, soudainement, a émis un petit cri strident. Au même moment, un bruit de claquement sec s’est fait entendre. La caméra s’est éloignée pour présenter un plan plus large. La petite salope était elle aussi à quatre pattes et une trace rouge zébrait ses fesses. Derrière elle, un homme tenait une baguette.

Maria m’a regardé un sourire au coin des lèvres. Je me suis penché, ai plongé ma main dans la petite boite pleine de surprises et en ai retiré une cravache. Son visage s’est illuminé. Je ne m’attendais pas à une telle réaction. Elle ne semblait nullement intimidée voire même inquiète.

J’ai pris mon portable pour y saisir « Si vous n’êtes pas sage… » et lui ai montré la traduction espagnole. Elle a lu l’écran puis m’a répondu « Si Señor ». J’ai alors tapé « Je ne veux pas entendre le moindre bruit ni vous voir fermer les yeux. Sinon… ». Je lui ai tendu le téléphone en montrant la cravache. De nouveau elle m’a dit « Si Señor ». D’un geste sec, j’ai abattu la baguette gentiment sur sa fesse. Elle m’a regardé avec étonnement. J’ai souri puis mis mon doigt devant ma bouche. « J’ai dit silence ». Même si elle ne parlait pas français, elle a tout de suite compris que le jeu avait commencé.

J’ai alors tout fait pour la mettre en faute. J’ai débuté en m’occupant de ses tétons. Je les prenais entre mes doigts pour les étirer, les écraser, les faire rouler entre mon pouce et mon index. Je regardais son visage avec délectation. Que d’efforts elle devait mettre en œuvre pour respecter les règles édictées. A plusieurs reprises, elle a fermé les yeux, s’attirant mes foudres et la morsure de la verge. Ce qui me plaisait beaucoup était de voir sa réaction après chaque claquement. Elle me regardait avec un grand sourire qui me montrait que ce petit jeu était très à son goût.

Je me suis ensuite occupé de son sexe. Pour mon plus grand plaisir, il était déjà bien trempé avant même que mes doigts ne le touchent. Je l’ai caressé sensuellement pour commencer. Elle balançait son superbe cul au même rythme que je la masturbais. C’était vraiment beau à voir. Puis je me suis fais plus intrusif. Rapidement, je me suis retrouvé la main presque entièrement plongée dans son antre. Je la fouillais avec vigueur. Ses genoux quittaient le sol. Elle avait de plus en plus de mal à contenir ses gémissements. A chaque petite disgression à la règle, la cravache cinglait. Et à chaque fois, je me régalais de la voir me regarder en affichant un large et beau sourire.
Et puis vint le moment où elle ne pouvait plus se contrôler. Ses cris de plaisir ont pris le dessus. Le temps de la sentence était terminé. Elle avait amplement mérité une jouissance pleine et entière.

J’ai jeté la cravache à terre et me suis agenouillé derrière elle. J’ai regardé son cul zébré. Je ne l’avais pas trop abîmé heureusement, simplement un peu rougi. Je me suis penché et me suis mis à le lécher comme pour le soulager. Mon pouce a rejoint mes autres doigts et toute ma main à disparu dans son sexe béant. La catin ruisselait de bonheur. Ses cuisses luisaient de cyprine. Je léchais son anus tout en continuant à la fister par devant. Elle a joui intensément, longuement. Le sol était mouillé. Quel pied.

Elle se tenait toujours à quatre pattes comme une chienne. Petit à petit, elle retrouvait sa respiration. J’ai enlevé ma main. Son sexe restait ouvert, large et trempé. La Belle s’est affaissée, posant sa tête à même le sol, faisant remonter un peu plus son joli postérieur. Elle a tourné la tête vers moi tout en glissant ses mains de part et d’autre de ses fesses. Elle les a écartées. « Ven… »

Pas besoin de comprendre l’espagnol pour comprendre l’invitation. J’ai ouvert mon pantalon et en ai extrait ma queue raide. Je l’ai positionnée sur son anus plein de salive. Elle a coulissé sans aucune difficulté. Je me suis enfoncé jusqu’à la garde puis ai agrippé les hanches de ma soumise. Comme c’était bon de l’enculer ainsi. Ma verge était si bien serrée. Je n’ai pas mis longtemps à décharger en elle.

J’étais vidé. Je me suis écroulé par terre. Nous nous sommes enlacés, embrassés, caressés comme deux amants amoureux. Elle était magnifique dans cette tenue de putain. Sur l’écran de la télévision, cinq hommes avec des sexes monstrueusement gros s’occupaient de la petite salope. Je n’étais pas de taille à lutter avec eux. Mais j’étais quand même très fier d’avoir pu apporter autant de plaisir à Maria.

Nous sommes allés prendre une douche ensemble puis direction la chambre. Nous étions tous les deux fatigués. Nous nous sommes endormis rapidement. Je pensais déjà au lendemain. La fête lubrique n’était pas terminée.
Homme, 57 ans, Nioué
Lorsque je me suis réveillé, Maria n'était plus dans le lit. L'espace de quelques secondes, j'ai eu peur qu'elle soit partie. Mais une de ses chaussures trainait dans la pièce. J'étais rassuré. Aujourd'hui allait encore être un jour particulièrement excitant.

Je me suis levé. J'ai trouvé la Belle allongée sur le ventre sur l'un des bains de soleil disposé sur la terrasse. Elle était nue bien sûr. Je me suis assis près d'elle et ai posé ma main sur son corps. Sa peau était très chaude. Elle a tourné la tête vers moi. Quel beau sourire. Je me suis penché pour l'embrasser presque furtivement. Elle m'a rendu mon baiser avec une extrême délicatesse. 
Je l'ai caressée pendant un long moment. D'abord le dos, puis ses fesses, puis ses jambes. Mes gestes étaient sensuels et posés. Elle s'est délectée de cette douceur et a semblé un peu frustrée lorsque je me suis relevé. Il n'y a pas que le sexe dans la vie. Je lui ai fait signe que j'allais préparer le petit déjeuner. Notre débauche d'énergie la veille n'avait pas vidé que mes couilles.

Nous avons mangé nus au soleil. Il faisait chaud. Quel dommage que ma location ne comportait pas de piscine, j'aurais aimé plongé mon corps dans l'eau fraîche. Mais nous n'étions pas loin de la mer. J'ai proposé à Maria d'aller à la plage d'un "vamos a la playa" qui l'a faite rire. Mon espagnol ne devait pas être au top... Mais elle a acquiescé. J'ai mis un pantalon en lin, un t-shirt et enfilé mes claquettes. Elle a sorti de son sac un grand débardeur sans manche. L'échancrure au niveau de ses bras était tellement large que le moindre mouvement dévoilait ses petits seins sexy. Quel plaisir à regarder.

Pendant que j'allais à la voiture, elle s'est excusée car elle devait passer un coup de fil. J'ai patienté un moment avant de la voir réapparaître. Elle s'est assise à mes côtés. Son t-shirt était tellement impudique. Il ne cachait absolument rien de ses cuisses ni de sa poitrine. Avant que je démarre, elle m'a fait comprendre qu'elle m'indiquerait la route. En habituée de la région, elle connaissait les meilleurs endroits à n'en pas douter.
Nous sommes arrivés au bord de la mer. Je portais les serviettes dans un sac en bandoulière. La plage qu'elle avait choisie était bien entendu fréquentée par des nudistes. Il n'y avait pas trop de monde encore. Nous marchions dans le sable, côté à côté. Les regards des hommes sur Maria étaient insistants. Il est vrai qu'avec une telle tenue, cela n'avait rien de bizarre. Elle était encore plus sexy que si elle avait été nue.

Nous avons marché un bon moment avant que Maria ne se décide à s'arrêter. J'ai étendu les serviettes sur le sable. La Belle a enlevé son débardeur puis s'est allongée sur le ventre. Je me suis déshabillé et ai sorti un tube de crème solaire du sable. Agenouillé à côté d'elle, je me suis alors mis à enduire son corps. Je l'ai fait très sensuellement, n'oubliant aucune parcelle de sa peau, même les moins accessibles. Une fois le verso totalement couvert, Maria s'est retournée. J'ai repris mon soin. en insistant particulièrement sur ses seins. Je me suis beaucoup amusé avec ses tétons. Ceux-ci avaient durci à force de caresses. Je les pressais entre mes doigts glissants. La Belle se trémoussait de plaisir, serrant son sexe entre ses cuisses qui se frottaient l'une à l'autre. Je commençais à bien bander.

C'est à ce moment qu'une femme s'est approchée et à parler à Maria. Visiblement, elles se connaissaient bien et sont mises à discuter, à rire. Fini mes caresses érotiques. Terminé ce début de jeu sensuel. J'étais un peu frustré. Même ma queue dégonflait.

Mais les deux amies, elles, ne semblaient pas s'en soucier. Maria m'a rapidement présenté. L'inconnue s'appelait Céline. Elle avait la soixantaine elle aussi. Ses cheveux étaient brun, tirés en arrière et retenus par une queue de cheval courte et serrée. Elle portait un chemisier ample qui cachait des formes que l'on pouvait à peine deviner. Mais assurément, elle possédait une poitrine généreuse.
Je n'ai pas mis longtemps à le découvrir. Après avoir étalé sa serviette près de celle de sa copine, Céline s'est dévêtue. Quelles belles formes. Ses seins étaient gros et lourds. Sa taille fine contrastait avec des hanches et des fesses larges. Je l'ai matée avec si peu de discrétion qu'elle m'a regardé fixement en me souriant. Comme pour me permettre de continuer mon observation de son corps, elle est restée un long moment debout devant moi, les mains posées sur ses hanches, discutant toujours avec Maria. je ne comprenais bien sûr pas un seul mot mais les regards furtifs que me lançaient les deux coquines me faisaient penser que je faisais partie de leur sujet de conversation.

Ses jambes étaient légèrement écartées et mettaient particulièrement bien en valeur sa chatte parfaitement lisse. Ses grandes lèvres pendaient très légèrement. Une très légère toison noire en forme de ticket de métro soulignait son pubis. J'y aurais bien plongé mes doigts. Avec cette image en tête, de nouveau mon sexe s'est mis à gonfler. J'ai ouvert mes cuisses pour le laisser s'épanouir à sa guise. Céline l'a immédiatement vu et m'a lancé un regard très coquin.

Elle s'est finalement allongée près de Maria sans s'arrêter de discuter. Quels moulins à parole celles-là. Elles riaient beaucoup en tout cas. Et très fort. Maria, allongée sur le côté face à son amie, me tournait le dos. Je caressais délicatement son bras, descendais sur sa hanche et sa cuisse puis remontais dans le sens inverse. Sa peau frissonnait. Passant sa main derrière elle, elle a attrapé ma bite dans sa main et s'est mise à l'astiquer avec douceur sans avoir l'air de rien. Elle parlait toujours autant avec Céline. 

Je ne savais pas si celle-ci voyait ce qu'il se passait mais j'ai trouvé cette situation des plus plaisantes. Se faire branler par une joie femme l'est déjà assurément, mais de cette manière désinvolte et en présence de quelqu'un d'autre ajoutait à l'excitation sans nul doute. J'ai approché mon visage de sa nuque et l'ai mordillée. En regardant par dessus son épaule, j'ai capté le regard de Céline. Assurément, elle savait ce qu'il se passait dans le dos de sa copine. Et cela lui plaisait. Ses yeux me fixaient intensément. La coquine jouait, une main entre ses cuisses, l'autre sur sa poitrine. Elle se faisait du bien sans aucune pudeur. 

Les deux amies avaient enfin arrêté de parler. Maria s'est retournée et m'a mise sur le dos. C'est là que je me suis aperçu que nous n'étions plus vraiment seuls. A quelques mètres de nous, cinq hommes, debouts, nous observaient. Chacun d'entre eux avait porté la main à sa queue et se caressait en nous mâtant.  

Ma petite cochonne me pompait à présent. Sa complice s'est collée tout contre elle et embrassait son dos. Maria a gémi. J'ai relevé la tête pour m'apercevoir, vue la position du bras de Céline, qu'elle devait être en train de se faire fouiller. Les cinq hommes gardaient leur distance. Le plus jeune d'entre eux arborait une queue fine d'une longueur impressionnante. Un papy d'au moins 70 ans montrait qu'il était encore bien vert. Son sexe court était bien raide.
Maria s'est mise à jouir bruyamment, délaissant mon dard gonflé. Les deux femmes se sont tournées l'une vers l'autre en s'embrassant avec fougue. Les doigts de Céline sont restés fermement plantés jusqu'à ce que le corps de ma coquine s'affaisse sur le sol. L'un des voyeurs a juté. Son foutre s'est perdu dans le sable. La cochonne plantureuse s'est alors agenouillée en présentant sa poitrine opulente. Les quatre hommes restants se sont approchés sans cesser de se palucher. Le papy a été le premier à la souiller, suivi rapidement de deux autres coquins. C'était un bien joli spectacle que de voir ses gros seins ruisseler de sperme.

Le jeune homme à la queue si longue semblait avoir du mal à atteindre l'orgasme. Céline l'a attrapée de sa main et s'est mise à l'astiquer à son tour. Maria s'est relevée. Les deux amies ont repris leur discussion. Elles semblaient toutes les deux impressionnées par la taille de cette tige. Celle-ci se faisaient maintenant branlée par les deux coquines. Chacune avait empoigné le dard d'une main, sans parvenir à la recouvrir complètement malgré tout. Elles y mettaient du coeur mais le jeune homme ne jutait toujours pas. Je le regardais. Il fermait les yeux comme pour s'imaginer une situation encore plus excitante. Mais que pouvait-il espérer de mieux ?

Moi en tout cas, je bandais de cette vue. Il a ouvert ses paupières un instant et j'ai aperçu une lueur d'envie lorsque son regard a fixé ma queue. Et si... ? Je me suis agenouillé près de mes coquines et ai porté ma main vers la perche du jeune homme. Les deux filles m'ont regardé, incrédules. Elles ont abandonné le dard que j'ai alors serré de mes doigts. Je l'ai astiqué lentement mais avec force. Moins d'une minute plus tard, un flot de crème a giclé sur les deux cochonnes. Le petit salaud avait les couilles bien pleines. Il n'arrêtait pas de juter sur mes complices en râlant de plaisir. 

La source s'est finalement tarie. Sa queue s'est amollie. Je l'ai lâchée pour la laisser pendre. Même là, sa taille était impressionnante. Sans un mot, je me suis levé en empoignant ma verge raide. Le jeune homme s'est agenouillé et m'a pris en bouche. J'ai posé ma main sur son crâne. Les deux femmes souillées se sont remises à parler. Elles semblaient ultra excitées.Le papy était toujours là à nous regarder, son sexe encore mou à la main. Il m'a souri. Je lui ai lancé un clin d'oeil complice. J'ai joui intensément dans la bouche de mon suceur. Bien entendu, la quantité de sève que j'ai crachée n'avait rien à voir avec celle que j'avais pu extraire de sa queue, ma débauche de luxure de ses derniers jours ayant entamé mes ressources de manière drastique, mais que j'ai aimé la voir malgré tout maculer ainsi la joue du jeune homme. Celui-ci m'a méticuleusement nettoyé avant de se relever et de partir, la serviette sur l'épaule. 

Nous nous retrouvions à trois sur cette plage, repus de plaisir. La peau des filles brillait du foutre reçu. Nous avons traversé la plage pour aller nous baigner. Nous nous sommes caressés dans l'eau fraîche. De mes doigts, j'ai fait jouir Céline. Après tout, elle était encore la seule à ne pas avoir atteint l'extase et ce n'était que justice de lui offrir ce moment après tout ce qu'elle venait de nous montrer. 

Céline a remis son chemisier puis nous a quitté. Maria et moi sommes restés encore un moment sur la plage. J'étais épuisé. A quelques mètres de nous, un couple s'est installé. Ils se sont caressés sensuellement puis ont fait l'amour. Je n'étais plus en état de bander. Notre papy par contre le pouvait. Il était de nouveau là à regarder le spectacle et sa queue était de nouveau raide dans sa main. Quelle santé ! Et quel pervers ! 

Pendant que nous étions dans la voiture pour revenir à la maison, Maria a reçu un appel sur son portable. J'ai tout de suite compris qu'il s'agissait de notre généreuse cochonne. Les deux filles parlaient fort. A la fin de la conversation, ma coquine m'a regardé en souriant en me montrant son écran qui affichaient la liste des appels. Le nom de Céline apparaissait comme étant le dernier n° reçu bien sûr, mais le dernier appelé également. Et là, je me suis souvenu qu'avant de partir, Maria avait passé un appel. Ses yeux pétillaient de malice. Notre rencontre sur la plage tout à l'heure n'était donc pas due au hasard. Quelle sacrée coquine. Ma main a claqué sur sa cuisse comme pour lui apprendre ce qu'il en coûte de se moquer de moi. Elle s'est esclaffée de rire. Mais mes doigts ont ensuite glissé vers sa fente. Et là, elle a écarté les cuisses. Décidément, elle n'en a jamais assez.
Homme, 45 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Re: Une rencontre délicieuse et perverse
Wednesday 7 April 2021 02:55

Chkrys
Homme, 43 ans, France, Occitanie
Superbement raconté.
On pourrai en faire un super scenario de film X.
J'adore !!!
Re: Une rencontre délicieuse et perverse
Wednesday 7 April 2021 13:05

Lanco
Couple, 55 ans, France, Île-de-France
Merci Yoxxxx22 de nous faire partager cette rencontre délicieusement perverse Amoureux
Vivement la suite Bisou
Homme, 57 ans, Nioué
En sortant de la voiture, ma main était encore trempée. Maria avait de nouveau joui. Quelle chance ont les femmes de pouvoir se permettre autant d'orgasmes à la suite. Pour ma part, j'étais vanné. Mes bourses n'avaient encore jamais subit autant de vidanges en si peu de temps. Et dire que j'avais encore prévu des festivités libidineuses pour ce soir... J'en venais à me demander si je n'avais pas eu les yeux plus gros que le ventre.

J'ai passé le reste de l'après-midi sur le transat à me reposer. Ma coquine s'est elle aussi octroyée une petite sieste. Mon téléphone a sonné à 20h00. J'avais mis une alerte. Il était donc temps pour moi de reprendre mes activités lubriques. Ces quelques heures m'avaient requinquées et, à ma plus grande joie, mes pensées érotiques ont repris le dessus. J'ai fait signe à Maria de se lever et de me suivre. 

Dans la chambre, je l'ai de nouveau habillée comme la veille. Porte-jarretelles, bas, escarpins fins, collier de chienne autour du cou, laisse pendante à celui-ci. J'ai ajouté à cet ensemble un petit tablier très minimaliste ne cachant que son pubis. Ainsi, elle devenait une formidable et envoutante servante sexy. Je lui ai fait signe de se mettre à quatre pattes puis l'ai conduite jusque dans la pièce principale en tirant sur la laisse. Elle était très docile. Là, je l'ai mise à genoux, posée ses mains sur le dessus de ses cuisses et suis parti vers la cuisine pour préparer la suite.

De temps en temps, je jetais un regard vers le salon. La Belle ne bougeait pas d'un poil, telle une jolie statut érotique. A 20h25, je suis revenu avec un grand plateau sur lequel j'avais disposé des flûtes et des amuse-gueules. Je lui ai tendu. Elle m'a présenté ses mains. Elle faisait un superbe présentoir. 

A 20h30 précise, la sonnette de la porte a retenti. Quelle ponctualité. Une bouteille de champagne à la main, je suis allé ouvrir. Tina se tenait juste devant moi. Elle avait pris soin d'ouvrir son manteau pour me dévoiler une robe hallucinante faite en mailles filet tellement grosses qu'aucun détail de sa belle anatomie n'était cachée. Aux pieds, elle avait choisi une paire de chaussures ouverte à talons aiguille qui faisait très putain. Et pour couronner le tout, une jarretière en dentelles entourait sa cuisse droite. Quelle vue parfaite. 

"Bonsoir Yox, Manuel gare la voiture dans la rue. Par contre, je me suis permise d'inviter des amis, j'espère que cela ne t'embête pas trop."

Une nouvelle fois, elle me faisait le coup. Elle s'est poussée légèrement sur le côté et j'ai découvert un couple de jeunes blacks, la petite quarantaine, c'est jeune pour moi) dont la beauté ne m'a pas échappée. L'homme était grand et fin. Il portait une chemisette ouverte sur son torse et un bermuda. La femme quant à elle était vraiment superbe. Les cheveux très courts, maquillée un peu plus que de raison, ses formes étaient généreuses. Ses seins étaient serrés dans un soutien gorge rouge qui laissait entrevoir ses mamelons. Quant à ses hanches, elles étaient moulées dans une jupe courte et ouverte sur les côtés. Elle avait opté pour une paire de spartiates dont les liens serpentaient autour des ses mollets. 

"Je te présente Léo et Malika. Ils ne parlent pas français eux non plus."

Je me suis effacé pour les laisser pénétrer. Manuel est arrivé. Nous nous sommes serrés la main vigoureusement. Il m'a fait un clin d'oeil alors que je fermais la porte en me montrant le superbe cul de sa nouvelle invitée. J'étais tout à fait d'accord avec lui, ces fesses étaient vraiment d'enfer.

Mes quatre convives ont découvert Maria en même temps. Tina m'a regardé d'un air surpris et amusée. Elle ne savait pas que j'avais conservé le contact de sa voisine. Léo semblait quant à lui subjugué par la vision de cette soumise docile et sexy. Je les ai invités à s'assoir sur les canapés disposés en U. J'ai ouvert la bouteille en faisant péter le bouchon. Je l'avais sciemment légèrement secouée et un flot de champagne a jailli sur le corps de ma servante improvisée. Je me suis aussitôt penchée vers elle pour lécher le précieux liquide à même sa peau. 

Tout le monde s'est mis à rire. J'ai soigneusement rempli les coupes sur le plateau puis me suis emparé de la laisse. Maria s'est levée avec précaution. Je l'ai alors entrainée vers mes invités. Chacun d'eux s'est servi. J'ai de nouveau tirée sur la lanière de cuir. Docile, la belle servante s'est agenouillée au milieu de nous. Un petit signe de la main et elle a posé le plateau à terre. J'ai alors appuyé derrière sa tête. La chienne s'est mise à quatre pattes.
J'ai installé les coupelles remplies d'amuse-gueules sur son dos et ses fesses et me suis assis sur le grand pouf. Quelle merveilleuse table elle faisait. L'ambiance était festive. Très vite, j'ai dû aller rechercher une bouteille. Cette fois, je n'ai pas fait exploser le bouchon mais, après avoir rempli chaque coupe, j'ai fait couler un peu du délicieux nectar sur le cul de Maria. Je me suis aussitôt fait un devoir de le lécher avec délicatesse, écartant les demies lunes pour glisser ma langue coquine jusqu'à l'entrée de son petit trou serré puis, plus bas, entre ses grandes lèvres dégoulinantes de champagne. C'était vraiment délicieux.

Les coquins me regardaient faire avec une certaine excitation. Chaque couple était collé l'un à l'autre et se caressait sensuellement. Ma servante mouillait déjà abondamment. Le goût du champagne avait laissé place à celui de sa cyprine. Je l'ai dégustée un petit moment puis me suis relevé. Les coupelles étaient presque vides. Je les ai enlevées du dos de Maria pour aller les poser sur une table. Avec mon portable j'ai alors lancé une playlist musicale et fais signe à la coquine de se mettre debout et danser pour nous. 

Nous la regardions tous onduler sensuellement. Elle prenait visiblement un énorme plaisir à nous chauffer dans sa tenue si sexy. Ses mains longeaient son corps svelte, ses mains jouaient avec ses petits tétons, disparaissaient entre ses cuisses, ses regards étaient brûlants. J'ai attrapé sa laisse pour amener son visage près du mien. Je l'ai embrassée sauvagement. Puis j'ai tendu la lanière vers Tina. Sans hésitation, cette dernière a répété l'opération. Voir ces deux coquines se rouler un patin a fait monter l'ambiance d'un cran. La laisse est passée de main en main et chacun s'est régalé à embrasser la servante à pleine bouche.

A présent, les filles se déhanchaient lascivement, côté à côte, se frôlant, se touchant, nous allumant d'une manière incroyable. je les regardaient toutes les trois avec envie mais je dois avouer que c'est sur le corps de Malika que mes yeux s'affairaient le plus longtemps. L'attrait de la nouveauté sans doute. Celle-ci l'a sans doute remarqué et s'est dirigée vers moi. Elle me regardait fixement tout en continuant à danser lascivement. Je la matais avec excitation, regardait chaque détail de son corps. Sa petite jupe ressemblait plus à présent à une large ceinture et ne cachait absolument plus rien des ses trésors lubriques. La Belle faisait onduler  ses fesses rondes à quelques centimètres de mon visage, puis se retournait pour me faire admirer sa vulve rose qu'elle écartait sans pudeur entre ses doigts. Je bandais comme un fou.

A côté de nous, les deux autres coquines étaient agenouillées et suçaient déjà les queues des deux hommes. Maria se régalait de Manuel tandis que Tina s'affairait sur l'impressionnant dard de Léo.

Malika se faisait de plus en plus salope. Son soutien gorge était par terre. J'ai posé mes mains sur ses hanches puis l'ai attirée vers moi. J'ai écarté mes jambes pour lui présenter l'un de mes genoux et l'ai faite asseoir dessus à califourchon. Son sexe était trempé et suintait sur ma peau. Je l'ai faite glisser sur ma cuisse d'avant en arrière. La coquine ruisselait. Quel délice que de la sentir se liquéfier de plaisir. Elle prenait un plaisir immense sans cesser de me regarder. Mon envie de goûter à son abricot était si fort. Tranquillement, j'ai basculé la Belle sur le canapé et me suis accroupi entre ses jambes. De mes doigts, j'écartais ses grandes lèvres pour admirer cette chatte rose et trempée. Une toison noire et courte l'entourait. J'embrassais ses genoux, l'intérieur de ses cuisses tout en massant la vulve délicatement. Malika était surexcitée. Elle n'en pouvait plus d'attendre que je la dévore. Elle a posé sa main derrière ma tête pour m'attirer vers elle. J'étais emprisonné entre ses jambes puissantes. Je me suis alors mis à déguster sa chatte avec frénésie. Elle coulait littéralement dans ma bouche. La cochonne haletait, gémissait. Ses ongles se plantaient dans mon cuir chevelu. Ma langue entrait, sortait, écrasait son clitoris gonflé, lapait sa mouille tiède. Elle a joui intensément en se recroquevillant sur moi. 

L'étau de ses cuisses s'est desserré. Mon menton dégoulinait. Je suis remonté sur son corps pour l'embrasser. Elle a fait glisser sa main entre nous pour aller chercher ma queue raide dans mon bermuda ouvert et a commencé à me branler en me regardant dans les yeux. Je me suis agenouillé sur elle pour présenter ma verge à hauteur de sa bouche. Elle m'a gobé avec appétit. Quelle pipe magnifique. Ses lèvres puissantes suçaient mon dard admirablement. Elle me pompait le gland tout en branlant la base de mon sexe. 

Maria s'était empalée sur la queue de Léo et la faisait entrer et sortir de son abricot avec vigueur. Ma petite soumise quant à elle se faisait prendre le cul en levrette, subissant les assauts frénétiques de Manuel en gémissant. Je regardais avec envie ses deux coquins. Comme j'aurais aimé moi aussi être un bon queutard.

Mais mon bonheur était pour l'instant dans la bouche de Malika. Quelle superbe suceuse. Je la regardais déployer tout son savoir-faire. Ses yeux me fixaient perversement. J'ai senti ma jouissance arriver. Je l'ai prévenue. Elle a serré ma queue dans ses doigts tout en l'éloignant de quelques centimètres de sa bouche. J'ai juté sur ses lèvres. Elle m'a aussitôt gobé pour que je finisse de me vider en elle. J'ai été étonné de voir qu'il me restait encore un peu de foutre malgré mes multiples jouissances des ces dernières heures. Une fois l'extase passée, ma verge s'est amollie. Elle me l'a sucée avec délicatesse encore un instant. Je me suis assis sur ses cuisses et ai regardé son visage. Son menton était souillé. Mon sperme blanc luisait sur sa peau noire. Cette vision était des plus excitantes.

Soudain, Tina a sauté vers nous et s'est mise à lécher le visage de sa copine, la nettoyant au passage de mes traces de foutre. Sur l'autre canapé, Maria se faisait à présent pilonner simultanément par les deux lascars. Quels étalons.

Tout en matant ce spectacle torride, Malika et Tina se caressaient presque sagement en discutant. Je me suis assis près d'elles pour reprendre mes esprits et mon souffle. En voyant ma servante se faire pénétrer par devant et par derrière, je me suis dit que j'aurais bien aimé moi aussi  défoncer son petit cul. Mais, pour l'instant, l'heure était à la récupération. La soirée ne faisait que commencer.

Et, de fait, ce soir-là, j'ai bien enfoncé ma queue dans un anus, mais ce ne fut pas celui de Maria.
Homme, 45 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Merci pour ce récit.
Homme, 50 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Superbement bien raconté bravo
Homme, 57 ans, France, Île-de-France
Merci yoxxxx22 pour ces magnifique recit
Homme, 57 ans, Nioué
Tout notre petit monde reprenait ses esprits. Les deux étalons avaient terminé de limer Maria. Chacun d'eux l'avait superbement bien défoncée avant de se vider sur son joli petit corps. Les deux autres filles quant à elles se caressaient toujours sensuellement en discutant.
J'en ai profité pour aller chercher de quoi nous requinquer dans la cuisine. Nous avions tous notre coupe à la main et avons trinqué une nouvelle fois joyeusement. Les couples s'étaient reformés. Tina ne portait plus sa robe si sexy. Elle avait par contre gardé ses superbes chaussures ainsi que sa jarretière. Son homme était allongé près d'elle, la tête sur ses cuisses et lui caressait les jambes.

La taille de Malika était toujours entourée par sa jupe totalement retroussée. Elle jouait gentiment avec la queue pendante de Léo. Le gaillard sirotait son verre tranquillement. 

Pour ma part, j'avais attiré Maria vers moi. Elle était assise en travers de mes jambes. Mes mains montaient et descendaient sur ses cuisses. Dans sa saillie sauvage, son petit tablier avait presque été arraché. Délicatement, je l'ai dénoué pour lui ôter. Je l'ai lancé en direction de Tina en riant.

"Toi aussi tu ferais une belle servante."

Elle m'a regardée avec un air pervers.

"Non, j'ai une meilleure idée."

Elle s'est retournée vers son homme et lui a tendu le tablier. D'abord étonné, Manuel s'en est emparé, s'est levé puis l'a enfilé autour de son cou. Il était tellement court qu'il ne cachait rien de sa queue pendante. Le coquin s'est mis à danser au milieu de nous, exhibant son joli corps tout en faisant balancer son gros dard encore mou. Tout le monde riait à le regarder faire. Maria s'est levée à son tour pour s'approcher de lui. Elle a ôté son collier de chienne pour le passer au cou du nouveau serviteur.  Elle a pris la laisse en main et l'a tendue à son amie.

L'ambiance venait de changer. Tina s'est mise à parler doucement en espagnol. Je ne comprenais pas ses mots mais le ton qu'elle employait montrait à l'évidence qu'elle endossait un nouveau rôle, celui de Maîtresse. De fait, son soumis s'est retrouvé rapidement agenouillé à ses pieds. Elle a ouvert ses cuisses et a tiré la laisse pour attirer la tête de son homme entre elles. La lanière de cuir a claqué sur son épaule. Le visage de Manuel s'est collé contre le sexe de sa femme pour le dévorer.

Nous regardions tous ce spectacle avec intérêt. Après quelques instants, la nouvelle Maîtresse a éloigné son esclave de sa vulve pour le faire plier jusqu'à lui faire mettre la tête contre le sol. Elle s'est levée et a soulevé une de ses jambes. Elle a posé son pied sur le dos du soumis. Le talon aiguille s'est légèrement enfoncé dans sa peau. Puis elle a de nouveau fait claqué la laisse avant de prononcer quelques mots d'une manière autoritaire. Son homme s'est alors mis à lui lécher le pied resté au sol. 

Que c'était excitant de le voir embrasser ce pied si sexy et encore plus lorsque sa langue s'est mise à monter et descendre le long du talon hyper fin. Elle n'arrêtait pas de lui parler sèchement. Lui était d'une docilité extrême et multipliait les coups de langues sensuels sur le superbe escarpin. 

Elle a assez soudainement enlevé son pied du dos de Manuel. D'un coup sec sur la laisse, elle l'a remis à quatre pattes et l'a conduit devant Malika. Celle-ci, amusée, a écarté ses cuisses puissantes. De nouveau le coquin l'a gratifié d'un superbe cunnilingus alors que sa Maîtresse continuait à lui parler. Même si je ne comprenais pas ce qu'elle disait, le ton qu'elle employait ne laissait aucun doute sur la nature de ses paroles. C'était extrêmement excitant.

Maria fut la suivante à se délecter de cette langue fouilleuse. Puis Tina a de nouveau tiré sur la laisse et c'est vers moi qu'elle a conduit sa petite chienne. Elle m'a regardé très amusée.

"Envie de te faire sucer par ma petite salope ?"

Je n'ai pas eu le temps de répondre. Le prenant par le collier, elle a déposé la tête de son homme sur ma queue. Il l'a gobé sagement pour me pomper lentement. Mon dard s'est aussitôt relevé. En un clin d'oeil, il venait de reprendre vie. Comme c'était bon. Les autres coquins observaient la scène avec intérêt. J'ai posé mes mains sur le crâne du serviteur. Tina, en français cette fois-ci, multipliait les commentaires salaces et excitants.

J'ai vu Maria se lever et se diriger vers Léo. Elle s'est agenouillée devant lui. Le chanceux ne s'est pas fait prier pour lui présenter sa verge. Elle l'a prise en bouche tout en lui malaxant les couilles délicatement. A côté d'eux, Malika se masturbait nonchalamment. 

"Allonge-toi sur le dos !"

Tina reprenait le contrôle des opérations. Le soumis s'est exécuté immédiatement. Un pied de chaque côté de sa tête, elle s'est accroupie jusqu'à coller son sexe sur le visage de son mari et a alors commencé à le frotter d'avant en arrière. Après seulement quelques instants, le menton de ce dernier ruisselait de cyprine. Son rôle de Maîtresse l'excitait vraiment beaucoup. 
Elle s'est relevée et tournée vers moi.

"A ton tour Yox. Fais-lui bouffer tes couilles."

Je n'ai pas hésité une seconde. A mon tour, je me suis assis sur le visage de Manuel. Quel délice de sentir sa langue me lécher le cul et la bourse. 

"Regarde comme il aime ça ce petit salop. Il bande !"

Effectivement, la queue jusqu'à présent inerte du soumis était en train de se redresser. Elle s'en est emparée et s'est mise à la branler vigoureusement. Moi, je me régalais toujours à me frotter sur son visage tout en regardant Tina l'astiquer.

A côté de nous, Malika se tenait à quatre pattes et Maria était allongée sur son dos. Cela faisait un bel empilement de salopes que l'étalon black était en train d'enfiler énergiquement. Solidement accroché aux hanches de la plus frêle, il les enfilait chacune à leur tour, faisant claquer ses cuisses contre les leurs. Encore une fois, j'étais impressionné par sa fougue. Un sacré baiseur.

Tina avait glissé sa main entre les cuisses de son homme à présent. Celui-ci, le dos cambré, avait soulevé ses fesses. Je devinais que les doigts de la Belle étaient en train de le fouiller. Et à voir sa queue toujours plus grosse, il est certain qu'il aimait ça. 

"Retourne-toi petite salope !"

Elle s'adressait bien évidemment à son soumis. Je me suis reculé. Manuel s'est mis sur le ventre. Elle l'a attrapé par les hanches afin de les soulever puis elle m'a regardé.

"Viens l'enculer maintenant."

Je n'attendais que ça. Tranquillement, je me suis relevé pour me positionner derrière lui. Ces fesses étaient offertes. La Maîtresse les a écartées puis a craché sur la petite rondelle. Doucement, j'ai positionné ma verge gonflée à l'entrée du tunnel. L'anus était encore serré. Sans forcer, j'ai appuyé ma queue, toujours de plus en plus fort. D'un coup, le petit trou s'est ouvert et mon gland a disparu. Manuel a gémi. Son corps s'est tendu. J'ai attendu un instant. Puis très lentement, j'ai fait coulissé mon dard jusqu'à la garde. 

J'ai relevé les yeux. Les deux filles étaient toujours l'une sur l'autre mais Léo avait visiblement terminé son oeuvre. Son membre était dans sa main et le dos de Maria était maculé de foutre. Tous les trois nous observaient attentivement.

J'ai posé mes mains sur le hanches du soumis puis ai commencé à le limer. Que c'était bon. Ma queue glissait dans son trou serré. Je lui massais le colon consciencieusement en me délectant des râles de plaisir qu'il émettait. Tina le branlait doucement. Quelques minutes de ce traitement on suffit à le mener à l'extase. Il s'est mis à éructer comme une bête. Sa Maîtresse s'est régalée de voir son sperme jaillir et n'avait de cesse de le traire encore et encore. Tous les muscles de Manuel se sont relâchés. Doucement je me suis retiré. Ma queue me faisait un peu mal. Toutes ces érections enchaînées pendant ces derniers jours commençaient à laisser des traces.

Dans un dernier élan vicieux, Tina a tiré sur la laisse pour conduire le visage de son homme vers l'endroit où sa semence s'était répandue. Il a léché le sol et aspiré chacune des traces gluantes comme une vraie petite putain.

C'était ma dernière soirée de vacances. Elle se terminait en apothéose.Je suis retourné régulièrement du côté de Malaga depuis. Tina et Manuel m'ont présenté d'autres amis coquins et m'ont même fait participé à une partouze géante dans leur club favori.
Maria la coquine ne vit plus seule. Elle s'est trouvé un petit jeune (de 20 ans son cadet) qui, à ma grande joie, est à la fois prêteur, très soumis et très très bi. Il me tarde que cette saloperie de COVID disparaisse et me permette de retourner les voir.
Homme, 45 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Homme, 50 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Bravo j adore ces recits
Homme, 57 ans, Nioué
Merci pour vos commentaires.
Je me pose une question : comment se fait-il que seuls des hommes commentent ? Mes écrits ne plairaient-ils uniquement qu'aux mâles ?
Homme, 57 ans, Nioué
Faire mouiller ta belle asiatique est un joli cadeau.
J'imagine si bien sa fente ruisseler et briller...
Tu nous la montres ?
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