Réunion chaude

Je viens de revivre un moment érotique d'une grande intensité.Cela faisait plus de deux ans que je n'avais pas revu mon ancienne maîtresse.Nous avions arrêté notre relation car elle devenait trop envahissante dans nos vies respectives.

Un séminaire a été organisé par notre direction et nous nous sommes retrouvés dans une grande salle dans un hôtel de la région parisienne. Nous étions plus d'une trentaine de cadres à nous réunir. 

Quel plaisir de la revoir. Elle portait une jolie robe classe, arrivant juste au-dessus des genoux. La coquine était toujours aussi belle. COVID oblige, nous n'avons pas pu nous faire la bise. Nous nous sommes assis dans la même rangée, tout au fond de la salle, une chaise vide entre nous pour respecter la distanciation sociale de rigueur. Le show a commencé. Très ennuyeux et très long.

Heureusement, nous avions le droit d'ouvrir nos PC pour prendre des notes.Quel bonheur de recevoir un message de ma collègue via notre messagerie instantanée. Nous nous sommes mis à discuter, nous posant des questions sur l'évolution de nos vies ces dernières années. Au fur et à mesure que la conversation avançait, celle-ci se faisait un peu plus intime. Manifestement; elle prenait autant de plaisir que moi. 

Voici la copie de nos échanges qui ont suivi.

- Jolie robe
- Merci. Pas trop longue à ton goût ?
- Elle aurait pu être plus courte. Mais très jolie quand même. Tu as gardé tes habitudes ?
(Il faut savoir qu'au cours de notre relation passée, ma coquine avait pris l'habitude de ne rien porter sous ses jupes. C'était un vrai bonheur pour moi, lorsque nous nous retrouvions, de la savoir le sexe libre et toujours rasé de près.)
- Mes habitudes ? Je ne vois pas ce que tu veux dire.
- Innocente !
- Moi ? Non !
- Pff. Tu t'es remise à porter des culottes ?
- En temps normal, oui.
- En temps normal ? Et là, on est en temps normal ?
- Non.
- Ah bon ? Pourquoi ?
Pas de réponse...
- Le fait de me revoir y serait-il pour quelque chose ?
- Peut-être un peu...
- Un peu seulement ? 
- Non.
- Grrr. Tu sais que que c'est pas très gentil ça...
- Ah bon. Et pourquoi ?
- Innocente !
- Je ne vois pas.
- C'est très excitant de savoir ça.
- Et alors ? C'est si embêtant ?
- Disons que cela donne des envies...
- Agréables ?
- Très. De celles qui me font me sentir à l'étroit dans mon pantalon.
- Mmmm
- Et tu t'es faite toute douce aussi ?
- Oui, aussi
- Petite salope... (elle adorait que je la traite ainsi)
- Ce n'est pas à mon âge que je vais changer.
Après chaque phrase, on se jetait des regards complices. Nos yeux pétillaient de plaisir.
- Je me verrais bien glisser sous la table.
- Vraiment ? Pour quoi faire ?
- Imagine. Je suis agenouillé à tes pieds. Je les embrasse. Tu écartes tes jambes (elle ouvre ses cuisses). Mes mains chaudes longent tes mollets. Je mordille tes genoux, l'intérieur de tes cuisses. Tu sens mon souffle chaud à travers tes bas. Ca te plaît ?
Elle m'a regardé. Même caché par son masque, son sourire illuminait son visage. Discrètement, elle a retroussé sa robe pour dévoiler ses cuisses. Je pouvais continuer.
- Ma langue glisse enfin sur ta peau. Elle frôle ton sexe. Je veux qu'il soit tout mouillé avant de le déguster. Je veux qu'il ruisselle. Qu'il coule. J'ai envie de redécouvrir son goût.
Je l'ai regardée de nouveau. Elle a fermé les yeux. Ses jambes se sont serrées, très fort. Elle s'est mise à faire onduler son bassin. J'imaginais son sexe pressé, ses grandes lèvres frotter l'une contre l'autre, Je savais qu'elle était en train de mouiller. En en lieu plus discret, nul doute que ses doigts auraient déjà glissé dans sa fente.
- Tu me fais bander. J'ai très envie de te déguster, de sentir ta mouille couler sur mon menton. Ma langue glisse sur ton bouton, entre tes lèvres. Elle pénètre ton antre. Tu es si chaude. Et trempée. 
J'ai descendu ma main gauche sur ma braguette pour serrer ma queue raide. Ma coquine continuait à presser son sexe entre ses cuisses en lisant mes écrits.
- Mouille. Coule. Je veux te boire. Je veux te dévorer. Sentir tes doigts se crisper sur mon crâne. Entendre tes gémissements. Imagine ma bouche si chaude. Ma langue qui te fouille. Mes mains qui caressent tes cuisses. Je veux te faire jouir. Imagine ma queue si raide pour toi. Tu pourrais me la sucer comme tu aimes tant le faire. Me tailler une pipe gourmande. Aspirer mon gland. Lécher mon dard. Le serrer entre tes doigts. Sentir ma semence gicler dans ta bouche. La déguster. J'en ai tellement envie. 
Jouer avec mon sperme, c'était son péché mignon. Elle adorait ça. Jusqu'à l'avaler lentement en me regardant. 
- Oui, serre bien tes cuisses. Presse ton abricot. Fais-le suinter. Je le lèche, le suce, le pénètre. Coule dans ma bouche. 
Son corps s'est soudainement raidi. Elle a agrippé la table. Ses yeux se sont refermés. Quel bonheur. Elle a joui sans émettre le moindre bruit. Moi, j'étais au bord de l'explosion. Elle a repris ses esprits.
- Vilain coquin ! 
- Petite salope !
- Quand est-ce que je te suce ?
Nous n'avons hélas pas eu l'occasion au cours de cette journée de nous isoler pour nous permettre cette petite extravagance lubrique. Elle m'a appelé le soir quand j'ai repris le train pour rentrer chez moi. Je me suis astiqué dans les toilettes en l'écoutant me détailler ses envies de sexe. Elle se branlait en me parlant et a joui de nouveau alors que je giclais. Et cette fois-ci, elle n'a pas retenu ses gémissements. Quelle sacrée coquine.

Joli
A part qu'elle ne peut pas envahir sa propre vie :-p
Une aventure bien réussie



Modifié 1 fois. Dernière modification le 19/08/21 22:50 par baloo62.

Belle histoire

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