Français English
FORUM

Une étudiante pas comme les autres !

Envoyé par YanValyan 
Homme, 45 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
Comme la rubrique l’indique, ceci est un témoignage aussi fidèle que possible d’une aventure vécue sur plusieurs années, avec des rebondissements réels qui font de la vie un roman car la vie est faite de détours, de RDV ratés et de regrets utiles.

Qui n'a jamais été mis à l'épreuve au hasard d'une rencontre ? Ce genre de rencontre fortuite, fantasmatique et dont le souvenir nous envahit des jours entiers et met les nerfs en boule ? Une de celle qu'on n’attendait pas et dont l'intensité bouleverse celui qui la fait, qui traverse les années et devient un bout de notre histoire. J’ai vécu ce bref moment où la voiture de tête sort des rails, quitte le parcours jalonné des gares, détraque l'aiguillage et déraille. J'éprouve aujourd'hui le besoin d'en faire part, de le partager ce souvenir par très lointain afin de le comprendre, peut-être de l’exorciser.
J’ai débuté dans la carrière en comprenant rapidement que les regards des jeunes-filles -en quête d'apprentissage- pouvait être concupiscents, déplacés et même pervers (les filles aussi ont leur failles adolescentes). Mais j’ai fait avec, observant les désirs monter et descendre sans trop y prêter attention, ces relations étant biaisées et dangereuses. J’ai su regarder ailleurs, changer la longueur d'onde, ignorer les appels du pied.

Ça faisait déjà pas mal d'années que j’étais dans la fonction et je passais les 40 ans quand je reçois, dans ma classe, une jeune-fille russe qui devait changer de groupe car elle souffrait de phobie dans son autre classe. Je n'ai rien à dire et je l'accueille comme il se doit -on sait tous que rejoindre un collectif en cours d'année n'est pas facile. Cette jeune-fille était déjà mûre dans son corps et semblait avoir grandi avant ses congénères. Elle disait présenter des symptômes d'ordre psychologique dans sa première classe (elle m'a avoué plus tard que c'était pour rejoindre MA classe et SA copine qu'elle avait un peu accentué ses angoisses). Outre sa maturité, ce qui la distinguait des élèves de son âge était sa culture ukrainnienne. A 16 ans, elle avait la physionomie d'un mannequin et ressemblait à une de ces filles qu'on dit "de l'est". Elle fera très vite se retourner les hommes dans la rue et ce d’autant plus qu’elle fait plus que son âge. Elle avait aussi la passion de la danse classique pratiquait à haut niveau mais ayant grandi vite sa taille lui rendait difficile l'accès aux écoles supérieures ; elle avait 3 cours intenses par semaines. Il m’avait fallu l'accompagner ses choix d'orientation et l'amener à renoncer à cette carrière rêvée de danseuse qui était tout pour elle et lui ouvrir les yeux sur les agissement inappropriés sa professeur de danse qui lui impose des régimes aussi durs que vains : elle est vouée à grandir et ses hanches s’arrondissent.

Elle se bien mieux dans cette nouvelle classe et poursuit à présent une scolarité qu’on pourrait dire épanouie. L'année d'après, elle s'inscrit au club d'art que j'anime chaque semaine. Elle était très libre dans ses propositions artistiques et avait tout le temps envie de se dépasser. On travaillait alors sur un évènement, une forme de spectacle, de performance théâtrale et corporelle qu’on présenterait en public. Son activité de danseuse lui donnait une sûreté que les autres filles n'avaient pas encore, surtout dans sa façon d'éprouver le mouvement et de laisser s'exprimer son corps. Un premier évènement mémorable s'était déroulé un jeudi à 18h quand l'atelier prenait fin. Ce jour-là, j'avais pressé tout le monde de se changer en rapidement car je devais quitter et partir pour un RDV à 60 km. Tout le monde s'exécute et s'en va vite, sauf elle, que j'attends (les filles se changent dans la coulisse et je n'y pénètre jamais). Il ne reste plus qu'elle quand j'entends un appel à l'aide comme si elle était victime d'un malaise. Je me précipite et la découvre allongée, en sous-vêtements, comme si elle s'était évanouie. Je suis mal à l'aise d'autant plus que sa tenue est plus que légère : elle est étalée au sol de manière quelque peu théâtrale avec un ensemble qu'on peut dire transparent : je ne peux pas ne pas le voir (j'apprendrai quelques années plus tard que c'était inconsciemment intentionnel :). Je trouve un manteau pendu dans les loges pour la couvrir lui signalant que j'allais prévenir l'infirmerie. Elle se relève, me dit que ce n'est pas la peine, que ça va aller et quelle est trop fatiguée à cause des la danse et de son régime (imposé par la prof de danse).

Je préviens malgré tout l'infirmière de la situation car je suis un peu inquiet pour elle mais aussi perturbé par ce que je considère comme une mise en scène un peu déplacée. L'année passe et elle abandonne les entrainements épuisants de danse et se consacre à ses études et à l'atelier d'art. Elle s’épanouit physiquement et devient vraiment femme. Elle s’amuse à porter des jupes courtes et provocantes alors que c’est une élève modèle. Ses résultats au BAC sont brillants : la vie lui tend les bras, et les garçons car elle est maintenant majeure. Elle quitte le lycée mais passe de temps en temps pour prendre des nouvelles et suivre la création de l’année avec les élèves qu’elle a connus...



Modifié 3 fois. Dernière modification le 16/07/23 23:28 par YanValyan.
Homme, 41 ans, France, Hauts-de-France
Bjr ,
La suite avec impatience
Homme, 40 ans, France
Bonjour Très jolie début j'ai hâte d'avoir la suite
Homme, 45 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
L’année passe, elle poursuit ses études je ne reçois d’elle qu’un message en septembre me donnant quelques nouvelles informelles. Elle me demande quand j’ai cours puis plus rien...

L’année d‘après, je ne la vois pas jusqu’à un jeudi de janvier où elle débarque comme une fleur en fin de matinée (comme elle habite tout près, elle a fait un passage en se disant qu’elle verrait bien quelques anciens profs). Je la vois arriver dans ma salle mais j’ai beaucoup d’élèves et il est difficile de se parler. On a à peine le temps d’aller prendre un café en salle des profs mais on se dit qu’on peut aller prendre un verre en fin de la journée, je n’ai rien de prévu et on sera plus tranquille car, visiblement, elle aimerait bien me dire des trucs, comme au temps où j’ai dû la conseiller dans ses choix d’études et de vie. Elle n’a pas beaucoup changé mais a renforcé sa tendance à s’habiller de manière hyper sexy avec des cuissardes avec une jupe courte cachée par un manteau noir très long qui renforce ses formes et la protège des brises glacées de l’hiver. Les collègues femmes qui l’ont connue élève et qui la voient traverser la salle des professeurs (elle dit bonjour à tous les profs qu’elle a connus) sont un peu sévères (certaines un peu jalouses) et trouve son style inapproprié : au pire, elle ressemble à un p***e, au mieux, elle est un peu provocante (mais elle peut se le permettre) ! Les profs hommes remarquent quelle est devenue très plantureuse mais qu’elle s’habille un peu trop vulgairement.

La fin de la journée arrive (elle était repartie chez elle pour revenir à l’heure dite) et elle m’attend à la sortie. On part en voiture au bar le plus proche car il n’est pas à côté mais pas trop loin non plus. C’est le genre de trajet où on a juste le temps de se retrouver côte à côte pour entamer une conversation. Ce sont des moments étranges où la proximité est un peu dérangeante, subie mais heureusement la parole vient habiller la maladresse des corps. Nous nous vouvoyons toujours et on se dit qu’il est difficile de sortir de la convention : c’est idiot on se dit qu’il faudrait se tutoyer car c’est maintenant artificiel, je ne suis plus son prof ! On fait onc le pari qu’on se tutoie dès à présent. Peine perdue : on se redonne du vous en sortant de la voiture après qu’elle m’ait dit qu’elle se posait des questions sur ses études et qu’elle avait besoin d’en parler. Je redeviens le prof ou grand-frère qui conseille et le vouvoiement refait surface : j’ai brisé la promesse et perdu le pari : c’est moi qui paierai les consommations et on sort de la voiture car on est déjà au bar. Je prends une bière et elle un verre de vin blanc moelleux. Elle me dit avoir envie d’un peu d’alcool pour se détendre. Je lui demande si elle est tendue et elle me répond que certains jours, oui, elle est très tendue. Elle me parle de ses études qu’elle réussit mais qui la laissent sans passion. L’art lui manque et les études administratives et juridiques l’ennuient. Elle se pose des questions : suis-je prête à finir secrétaire juridique dans un ministère ? Bof bof ! Elle rêve des trois C : Costumes, Cosplay, Comédie musicale (elle chante incroyablement bien et sait danser - et pas seulement la danse classique). Choisir entre deux domaines aussi éloignés n’est vraiment pas aisé, surtout à 20 ans ! Je lui rappelle quand même des évidences : le monde du spectacle est difficile, il y a des profiteurs et, dans ce type de parcours il faut s’accrocher sans cesse, surtout quand on vieillit. Il faut aussi un peu de chance et savoir gérer ses réseaux. Elle me dit qu’elle va de toute façon finir son cursus et qu’elle verra bien après… Elle a le temps, non ?

Mais la discussion dérive et elle me parle un peu de sa vie familiale et affective. Ses parents, quoi que cultivés, n’ont pas des ressources énormes (ils sont arrivés d’Ukraine jeunes adultes et ont dû se débrouiller pour apprendre la langue et faire valoir leurs compétences). Elle a pu recevoir les bourses dans le secondaire mais n’y a plus droit cette année, son père étant monté en grade. Elle habite toujours chez eux et ça commence à lui peser. Je l’engage à faire une demande de résidence universitaire au CROUS mais sans bourse, ses parents sont réticents. Je crois aussi qu’ls ne veulent pas la voir partir mais elle se sent enfermée. Quelques larmes au creux des yeux suivi d’un petit chagrin, même si elle garde son sourire… Je suis grand seigneur, j’ai des mouchoirs, je sèche ses larmes, elle rend les armes : entre deux petits hoquets d’émotion elle me prend la main, elle a besoin de réconfort et de parler. Je lui demande si elle a une histoire avec un mec (elle s’affirmait toujours comme hétéro convaincue) et elle me dit que, justement, sur ce plan-là, c’est le désert complet et c’est bien le problème. Elle a rencontré un gars qui semblait sympa mais dont le regard un peu trop appuyé sur ses formes l’a dissuadé d’aller plus loin. Elle repousse tous les mecs et c’est un problème puisqu’elle n’a finalement jamais pu passer à l’acte et elle se juge idiote et retardée car encore vierge à 20 ans. Je lui dis de laisser aller ses envies et d’arrêter de se juger, mais c’est toujours plus compliqué qu’on le pense. Les injonctions données aux filles produisent des symptômes difficiles à vivre. Elle m’avoue que ce n’est pas une question de désir (elle en a plein, trop même et doit trouver des stratégies !) mais de relation réelle qu’elle fuit. Elle sait bien qu’elle est désirée, elle s’en aperçoit puisque les relous le lui font bien sentir dans la rue ou les transports (elle prend le train tous les jours pour aller au campus) mais elle n’en éprouve que du dégoût. Cercle vicieux : elle s’habille pour se faire plaisir dans sa féminité, elle aime un peu provoquer (c’est surtout ce que pense la plupart des gens qui la voient) mais semble innocente et sans arrière-pensée. Il lui faut un mec, c’est une évidence mais elle les fait fuir. Je demande à une copine ce qu’elle en pense. Elle me répond qu’il faut qu’elle change de style vestimentaire, qu’elle travaille sur une autre image d’elle-même.

Il se trouve qu’en continuant la conversation, alors qu’elle m’explique ses problèmes d’argent liés aux coûts de transports, il se trouve que je pourrais la conduire chaque lundi à un de ses cours car j’habite en ville et cela lui éviterait le train. Il faut partir à 15h. Ca ne me dérange pas, au contraire, un voyage de 45min accompagné, c’est toujours sympa. On se quitte et le lundi suivant arrive vite ; elle m’attend comme prévu pour notre premier voyage hebdomadaire. Comme j’en avais parlé avec mon amie, je décide de lui parler de ses tenues, lui expliquant qu’elles étaient provocatrices et que ça n’aidait pas à créer une relation cool avec un mec. Elle comprend mais elle tient à rester sexy. Elle s’habille toujours avec le regard de sa tante et leurs codes culturels sont russo-ukrainiens : une fille doit être un minimum sexy ! On est mal barré. Je lui dis qu’il faudrait qu’on regarde ensemble sur internet pour que je lui fasse voir ce que je trouve « too much » ou acceptable. Elle est vraiment preneuse de conseils et on se demande comment faire. Elle prendra un train 1h30 après son cours (c’est le 1er) et peut passer chez moi entre temps, comme ça, on aura vidé le sujet...

Message : peut-elle arriver plus tôt que prévu, son prof a écourté la séance à cause d’une A.G. à la fac ? Pas de problème : elle arrive 10min après on boit un verre et on allume l’ordinateur. J’ai une activité de photographe et je décide de consulter des galeries de modèles pour voir les différents styles vestimentaires et pour mettre à jour les « limites » de l’acceptable par rapport à ses désirs. Elle me dit ce qu’elle aime beaucoup et c’est souvent très hot. Je lui demande pourquoi elle tant besoin d’être sexy ? Elle a déjà remarqué cela mais n’a pas de réponse. Elle me promet qu’elle va essayer un nouveau style 2 fois par semaine et qu’elle m’enverra une photo d’une tenue à laquelle elle pense quand elle sera rentrée. C’est une fille super volontaire ! On reparle de ses études et je lui dis qu’elle peut essayer d’avoir une activité qui mettrait en jeu son goût pour les costumes et le cosplay et la comédie musicale. Elle sait que je suis photographe et me dit du tac au tac : « J’aimerais trop poser en costume, j’en ai plein et je pourrai me faire un book… ». Je trouve l’idée sympa et ça me changera des plateaux de théâtre. Je n’ai pas de studio mais on peut bricoler un fond et j’ai quelques éclairages, je fouille avec elle et retrouve un projecteur et un diffuseur. On regarde les plannings et ce sera samedi car toutes cases cochent. Je reçois le soir même une photo d’elle en tenue sage qui révèle vraiment sa douceur. « - RDV samedi 13h, comme prévu ! On se briefe avant pour les costumes ! »…
Homme, 47 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
Récit très bien écrit et alléchant, vivement la suite !
Homme, 45 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
Merci... La suite plus tard, promis ! Tirer la langue
Homme, 45 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
(suite...)

Messages vendredi 21h :
- J’ai sorti mes costumes, je ne peux pas tout prendre : on part sur quoi ?
- Difficile à dire, il faudrait que je les vois !
- On peut s’appeler en visio ?
- Oui, sur @#$%&, WhatsApp, Messenger ? (avant l’épisode du COVID tout ça)
- Ok… @#$%& car plus simple sur l’ordi, mon smartphone merde, je dois le changer la semaine prochaine !

La visio est drôle : des costumes à profusion, des beaux costumes de figures de films d’animations connus (je ne les connais pas, ce n’est pas ma culture). Elle est à fond et veut tout montrer avec impatience mais j’ai du mal à voir à l’écran. Difficile d’imaginer une ligne quand on ne voit qu’un drapé. Elle a l’idée d’essayer pour que je vois mieux sur elle et qu’on puisse choisir ce qui sera pour un shooting. Elle se montre en soutif mais ça semble normal car l’intérêt est vraiment ailleurs On part sur des princesses très Disney. Je me demande comment on va créer du sens avec de tels clichés. Faire des clichés d’un cliché ? Comment faire On verra bien demain…
Elle m’appelle : elle est en bas : je lui dis d’attendre car elle est impatiente de monter chez moi mais elle doit porter une valise énorme pas facile à manier dans les escaliers : le bas frotte contre les marches et je descends les 5 étages - il n’y a pas d’ascenseur. J’ai préparé une pièce dans laquelle elle pourra se changer et une autre pour les photos avec un fond totalement blanc et des lumière déportées. On commence tout de suite : mettre le costume prend du temps avec voilette pour les cheveux, barrettes, perruque épinglée., gants et lentilles de couleur, sans parler du maquillage… Elle a besoin d’aide alors que je pensais la laisser seule pour se changer mais elle me dit qu’elle ne sera pas choquée si je la vois en soutif - culotte, elle a mis des dessous confortables pour les costumes.
On boit une bière bien fraiche pour parler rapidement de comment on commence. Elle a chaud dans ce costume alors on fait vite. Ces « déguisements », même s’ils sont travaillés restent très artificiels. Je fais quelques photos pour régler ma lumière et choisir mes optiques. L’univers est à la fois enfantin (ambiance déguisement de princesse) et un peu folklorique (on dirait des costumes folkloriques sur elle) et je me dis qu’il faut travailler sur le décalage pour créer de la surprise et du sens, et pour qu’on la voit ELLE et non pas le costume.

Elle a une idée suite à nos discussions : on peut partir sur une princesse au départ très sage qui deviendrait un peu fofolle. On commence : sourire niais, pose clichée de princesse momolle et fausse. Je veux des sourires « à l’américaine », ceux d’une fille idéale et tellement gentille comme on en voit sur les photos de famille posés sur un meuble au milieu du salon : « Home Sweet Home ». On cherche ensuite des transformations dans le regard : clins d’œil suggestifs, langue tirée, langue alanguie. Je vois une princesse qui aurait envie d’être super sexy et qui n’est plus du tout une figure pour petite fille. Je lui en fais part : elle sourit et me dit : « bonne idée ! ». Elle enchaine les déhanchés et les poses avec des courbes suggestives et je lui demande aussi des regards caméra très directs. On joue la scène d’une princesse qui aurait envie de se débarrasser du cliché et du regard qu’on a toujours eu sur elle et qui affirmerait enfin son désir réel. Elle briserait les tabous hypocrites et montrerait qui elle est réellement. Il fait chaud et le vouvoiement n’est pas suffisamment direct et je propose de la tutoyer. « Tu dois avoir envie de montrer qui tu es derrière ce costume ! » Elle prend une ou deux poses coquines avec le doigt dans la bouche. C’est un peu encore une image de princesse mais sans réelle effronterie. Ta princesse a le droit de montrer et de bouger son corps comme elle le souhaite et au rythme qu’elle veut, moi je te dirai ce que j’éprouve en la voyant dans le viseur ». Elle me sourit et l’idée semble vraiment lui plaire. Je lui demande si ça lui parle et elle me dit « Oh oui ! ». Elle dévoile son soutif de manière coquine : en montrant sans montrer avec des clins d’œil. Je la trouve gentiment jolie et lui dis que je voudrais qu’elle la voir belle et pas seulement jolie. Elle s’arrête parce qu’elle a une idée : elle me propose d’enlever son soutif et de remettre la robe pour se dévoiler ensuite. Elle me dit qu’elle a déjà fait plein de photos topless, même sa mère la prend topless à la plage ! Je suis partant…
Homme, 45 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
(la suite...)

Je constate que je n’ai plus de batterie sur un de mes flashs et même pas une pile pour dépanner. Je cours en bas de chez moi acheter 4 piles AA pendant qu’elle se prépare pour son effeuillage. Même pas 10 min après, on finit la bière et on reprend. Elle a envie de rire et l’ambiance est au jeu. Rendre cette princesse un peu plus sûre d’elle nous fait rire et c’est excitant car coquin. Elle enlève un peu sa robe, montre des seins et un sourire timides, puis un peu moins. Je lui demande de n’être plus du tout timide et elle se met de face et prend sa poitrine dans les mains, les regarde, se titille le téton droit puis le gauche. Pourquoi cette princesse aurait-elle froid aux yeux ? Comment peut-elle s’affirmer davantage ? Elle descend la robe, l’arrête à la limite de sa petite culotte, se retourne, la baisse un peu plus. Si le prince était là, que lui dirait-elle : elle fait « chuuttt ! » devant la bouche avec l’index tout en se caressant le sein droit avec sa main gauche. Elle devient princesse Marilyn le temps d’un sourire. Je lui demande d’enlever sa culotte sans rien montrer. C’est une étape qui semble la bousculer un peu mais en lui laissant vraiment le choix de faire ce qui lui semble faisable, elle me répond que c’est nouveau pour elle et un peu intimidant mais qu’elle est tout à fait prête à continuer le jeu. Elle s’amuse tout de suite à mettre en scène cet enlèvement de petite culotte, c’est drôle et je ris plus que je shoote.

- Peux-tu remettre ta robe ?
- -Oui
- Tu es maintenant une princesse qui est venue totalement nue sous sa robe et qui va vouloir le montrer car elle a envie de quitter le costume pour ENFIN affirmer qui elle est.
Elle commence directement à se mettre en mouvement, avec des poses où elle éprouve son corps avec lenteur. Je la guide : regards, orientation du corps pour le cadrage et pour la lumière. Je maintiens le rythme lent qui nous rapproche car la lenteur laisse plus de latitude au cadrage, à la mise au point et au temps de pose. Elle défait le zip dans dos et se tourne pour laisser voir le début des fesses en se cabrant un peu… Je lui demande le revenir à la face, de remonter le zip et de lever le bas de sa robe avec indécence pour présenter son sexe au photographe de manière franche mais avec le même rythme. Elle remonte sa robe depuis l’ourlet du bas avec une extrême lenteur : je veux que le geste soit volontaire et guidé par l’envie de montrer. Je lui enjoins d’oser exprimer l’envie par le regard, par les lèvres la bouche et enfin par un geste de la main. Elle fait délicatement tomber la robe de profil. Je l’enlève du champ et me baisse pour la cadrer en contre-plongée de plus près mais je n’ai pas la bonne optique. Je change d’objectif mais mon jean me serre pour être accroupi en position de cadrage en contre-plongée. J’enlève un bouton en expliquant vouloir être à l’aise. Je reste en boxer et nous repartons dans les aventures de la princesse qu’elle est. Je veux que ses mains prennent conscience de son corps et qu’elle profite pour elle de sa beauté. Une caresse depuis le haut du buste en passant par les hanches dessine son contour. Elle refait le parcours d’une caresse depuis le creux du dos jusqu’aux fesses. Elle revient sur son sein d’une main et je lui dis qu’elle ressent un désir plus intense. Elle descend sa main droite au bord de la cuisse, près de son sexe. Je lui dis que la princesse peut se caresser les cheveux et elle le fait immédiatement en mettant la tête en arrière. Je lui dis qu’elle peut maintenant se caresser si et seulement si la princesse en a envie et sa main, qui semblait déjà prête, enveloppe d’un geste évident tout son pubis, annulaires et majeurs rentrant un peu plus profondément entre ses lèvres…
Homme, 45 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes







Homme, 38 ans, France, Bretagne
Sacrée histoire ! vivement la suite !
Homme, 47 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
Le récit est superbe...on visualise parfaitement, mais les photos...ouah ! Encore mieux !
Bravo et vivement la suite
Homme, 45 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
Merci les gars. J'aimerais vraiment des retours de femmes, s'il y en a qui trainent parfois par ici (et qui aiment lire), ce serait super...
La suite quand j'aurais le temps !

Bonne canicule !(et comme disait le professeur Choron en août 1976 dans Hara-Kiri : "Canicule : on s'encule !" Soleil )



Modifié 1 fois. Dernière modification le 18/07/23 17:53 par YanValyan.
Homme, 40 ans, France, Bretagne
Un seul mot superbe...
Belle écriture, belles photos...
Merci
Re: Une étudiante pas comme les autres !
Wednesday 19 July 2023 12:53

nuange
Couple, 55 ans, France
Bonjour,

Beau récit , les photos sont sexy et non vulgaire.
Bravo à toi et au modèle.


Miss Nuange
Homme, 49 ans, France, Occitanie
vraiment magnifique
Homme, 45 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
Merci, vous êtes gentils et suis heureux que Miss Nuange ait apprécié l'érotisme que je recherche toujours car la pornographie des images m'ennuie... Amoureux

(La suite...)

Cette caresse subite la transporte ailleurs, c’est sûr ! La façon qu’elle a de se mordiller la lèvre inférieure sans pouvoir contrôler son geste en est un signe évident. Nous rebuvons un verre sans quitter le studio improvisé pour reprendre au plus vite. Ce qui rend la situation intenable pourrait se résumer en peu de mots : un jeu de rôles ambivalent. Si c’est la pseudo-princesse qui joue et accepte les règles du jeu, c’est la fille qui vit dans son corps les sensations du plaisir ; si la princesse a envie de laisser monter le désir, la fille cherche à rester maîtresse d’elle-même et à cacher son état second ; autre ambivalence : le photographe qui invente les règles est aussi un ancien prof -en qui elle a toujours eu confiance- mais un prof quand même. Nous avons donc inventé ensemble un jeu érotique intense qui peut durer des heures. Il n’a pas de limite et la jouissance n’en sera que plus forte. Voilà plus d’une heure qu’on prend des poses. Je m’approche d’elle et lui demande si elle a envie de se reposer un peu et de s’assoir contre le mur. Elle a compris qu’elle n’avait pas à me répondre en mots mais en gestes car je lui laisse toujours la possibilité d’interpréter comme elle veut mes conseils. Je ne lui donne pas d’ordres mais lui propose des situations franches qu’elle interprète à sa guise en restant libre de refuser. Je lui dis que si elle sent en elle le plaisir, elle a le droit de fermer les yeux et, quand elle le sent, d’ouvrir doucement les jambes pour me montrer, car j’aime voir. La tête contre la cloison, elle ferme les yeux et parait se reposer en se concentrant sur son corps. Elle ouvre lentement les jambes… et laisse voir le reflet brillant de son sexe humide. Elle m’avouera plus tard avoir eu ce reflex de chercher à cacher le plaisir qui lui coulait d’entre les cuisses. Elle semble maintenant apaisée de ne plus rien avoir à cacher. Elle peut se consacrer totalement au plaisir et elle sait, je lui dis que je trouve simplement belle. Si elle veut, elle peut partir de ses cuisses et laisser ses mains faire. Elle s’exécute, serre ses cuisses des deux mains, les relâche et les glisse à l’intérieur dans une caresse symétrique ; elle les rapproche de son sexe et exerce avec une pression continue qui referme ses lèvres. Je déclenche mais suis instable au ras du sol et j’ai du mal à retenir mon souffle car son plaisir est aussi le mien. Je lui dis qu’elle est exactement au centre de la cible, que le plaisir se faisait indécent et intime et qu’elle pouvait avoir l’audace d’en prendre encore plus et laissant s’ouvrir son sexe et en se caressant. Elle écarte et referme tout son sexe plusieurs fois et éprouve le besoin de souffler. L’air qu’elle respire lui semble plus précieux et plus rare. Sa main vient au-dessus de son bouton sur lequel elle appuie avec toute la main avant d’exercer une caresse circulaire de tout son sexe en se doigtant, tout doucement, avec tact et générosité, sans aller trop loin au-dedans, les yeux toujours fermés. Voyant sa tête rejoindre son épaule droite, je l’invite si elle le souhaite, à s’allonger. Je fais quelques plans en plongée alors qu’elle continue de se caresser. Je lui demande si elle a envie de plus. Elle sourit… Si c’est oui, elle peut sucer son doigt. Elle ouvre instantanément la bouche pour aspirer son index. - Deux doigts, c’est mieux, non ? Sourire et petit rire en hoquet. Je pose l’appareil et lui demande si elle veut ma bouche sur ses lèvres du haut, ma bouche sur ses lèvres du bas ou ma main dans son sexe. Sans ouvrir les yeux elle me répond : « TOUT… ».



Modifié 1 fois. Dernière modification le 19/07/23 16:12 par YanValyan.
Homme, 45 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes









Homme, 47 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
SUBLIME c'est effectivement le mot, autant pour le récit que pour les photos et la jeune femme princesse
Homme, 49 ans, France, Hauts-de-France
Superbe histoire, et superbes modèle et photos.
Homme, 45 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
Merci pour vos retours...
La réalité sans le rêve me laisse sans envie et le rêve sans la réalité sans voie de sortie. Pas toujours facile d'assembler les deux... Tirer la langue
Homme, 45 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
(la suite...)

Je glisse les doigts dans sa fente pour prendre la mesure de son état d’excitation. Je tends le bras pour reprendre mon boitier poser sur la table basse derrière moi et tente une ultime photo, la dernière car il nous faut maintenant dépasser les images et éprouver nos corps. Comment répondre à ce désir de totalité. ? Nos cerveaux sont totalement connectés et je réponds à ce « tout » en introduisant mon pouce dans ses lèvres du bas et ma bouche dans celles du haut. Je cherche une simultanéité entre la pénétration de son intimité et la gourmandise des baisers sauvages. La fougue conduit nos langues et elle me prend la tête pour que la sienne aille au plus profond de ma bouche cependant que mon puce exerce une pression ferme sur son bouton (gonflé depuis longtemps) ; plus nos bouches se dévorent, plus mes doigts cherchent la profondeur du gouffre : sa langue rentre, mes doigts sortent, dans un rythme symétrique mais faire l’amour est, comme la musique, un art de variations. Nous ralentissons la fréquence sans savoir qui a commencé à ralentir, et les langues scrutent, effleurent, dessinent des contours imaginaires tandis que mes 4 doigts se resserrent à l’entrée, sans forcer le passage mais en marquant la possibilité d’une effraction. Ma main serrée dessine un mouvement circulaire qui provoque chez elle une respiration plus saccadée. C’est là que j’ai pensé à la porter sur le lit le plus proche. Je la dépose sur des draps lisses et sa peau diaphane révèle toute sa fragilité et dont la clarté fait contraste avec la couleur bleu-nuit des draps. Je suis face à une beauté de porcelaine, une beauté de princesse. J’ai tout de suite l’envie d’embrasser cette peau, d’en éprouver la douceur et la fragilité ; ma langue s’égare sur un sein puis sur l’autre, descend toujours plus bas, en marquant une pression forte avec le bout de la langue sur le contour extérieur de ses grosses lèvres que je referme sur les miennes. Je pose mon front sur le haut de son pubis en faisant ressentir le poids de ma tête. Je lui demande si elle veut ma langue maintenant et lui rappelle qu’elle doit me répondre par gestes. Elle rapproche ses mains de son sexe, resserre symétriquement ses lèvres puis les saisis fermement ou m’ouvre très grand son sexe. Je tourne autour du bouton en prenant soin de l’éviter, l’apex s’exprimant dans un mouvement circulaire. Je lui demande de s’ouvrir toujours plus pour ressentir mon contour giratoire et elle gémit en ouvrant ses cuisses et son sexe. J’ose une pression sur le bouton en redescendant vers l’entrée grande ouverte et ma langue au plus dure va tout au fond, mon nez lui caressant le bouton. Elle n’en peut plus : premier orgasme dans un cri.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 21/07/23 00:32 par YanValyan.
Homme, 45 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes



Homme, 45 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
Merci pour ce retour, je n'ai pas l'impression qu'il y ait beaucoup de lecteurs. Les affamés se jetteront sur les photos. Si ça pouvait déclencher le désir féminin, j'en serai ravi et c'est que j'aurais été fidèle à celui qu'elle a pris... Tirer la langue
Couple, 46 ans, France, Bretagne
Nous confirmons les écrits de mklx.
Couple, 55 ans, France
Bonjour,
Toujours aussi bien écrit et décrit, on se croirait à la place de ta dulcinée.
J'adore lire des récits de ce genre, je trouve cela excitant...
Dommage que je sois là seule femme.
Dans l'attente de la suite.
Miss Nuange
Homme, 45 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
Merci de ce petit mot Nuange Amoureux, ça me fait vraiment plaisir ! J'aime bien écrire mais c'est mon premier témoignage. Peut-être que d'autres femmes viendront ?
Comme toi, un récit a la capacité de me transporter plus loin dans l'excitation, même en l'écrivant. Je dois être un peu cérébral ! Pouffer

Une autre photo que j'ai oubli de posté plus haut, en attendant la suite car suis occupé quelques jours...


Homme, 38 ans, France, Bretagne
Toujours aussi excellent ! Le récit comme les photos !
Homme, 40 ans, France
Magnifique recit bien illustré j ai hate de la suite
Homme, 47 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
J'adore...il me tarde de lire la suite
Homme, 48 ans, France, Île-de-France
Bonjour
Quelle belle écriture argumentée de beaux clichés
Homme, 45 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
(suite et fin de la première rencontre) Tirer la langue

Ce premier cri fut suivi d’un second et d’un troisième, qu’on pourrait qualifier de successifs. Le quatrième dura le temps d’une expiration. J’ai pensé à mes voisins car sa puissance est extrême et ma langue se souvient de contractions anarchiques mais puissantes remontant jusqu’à la ceinture abdominale que je voyais se contracter. Elle a besoin de parler car elle est dans un état second et me dit qu’elle a ressenti comme un flash électrique, qu’elle ne comprend pas pourquoi car elle n'a jamais ressenti cela avant. Est-ce désagréable ? Elle me répond que non mais qu’elle a totalement lâché prise. Ma langue revient sur son bouton et je la sens frissonner. La zone est hyper-sensible et j’arrête immédiatement alors qu'elle rit et se dérobe, surprise de cette sensation. Je choisis sa bouche pour un baiser langoureux qui nous permet de respirer, de ne plus être avoir de but, d’être simplement dans le temps du baiser. Yeux dans les yeux, nous nous fixons avec un sourire complice. Envie de jouer !

Mes mains lui cachent les yeux, je change les angles. Ma langue effleure ses lèvres puis c'est la sienne qui cherche la mienne. Elle ferme les yeux pour simplifier le jeu et j’ai les mains libres : je lui refuse un baiser en plaçant ma paume sur sa bouche. Je lui demande à l’oreille d’embrasser ma main. Elle s’exécute, mes doigts contournent sa bouche et je cherche à reproduire le mouvement circulaire que j’avais sur son sexe. Sa langue cherche à prendre mon majeur. Je place mon autre main derrière sa nuque, sous ses cheveux que je caresse au passage. Je peux maintenant avancer ou reculer sa tête au gré du jeu. Je lui chuchote à l’oreille : « montre-moi ce qu’est capable de faire ta bouche… ». Elle veut mon doigt et je lui donne, dressé ; elle le prend, l’aspire avec une envie non feinte. Je luis dis que sa gourmandise m’excite et qu’elle va aller plus loin encore. Je fais tout pour redevenir mou sinon je risque de ne pas pouvoir tenir la distance. Je la guide et lui enjoins de garder les yeux fermés.

Elle est maintenant à genoux devant moi et je reste assis sur le lit face à elle. J’ouvre les jambes : « Tu fais comme tu le souhaites car je n’ai pas d’envie précise. Ta gourmandise saura me donner du plaisir mais je veux que tu gardes les yeux fermés ». Elle baisse lentement mon boxer et prend mon sexe en main. Je mets mes deux pouces sur ses paupières, avec douceur : « Tu ne pourras pas le voir tout de suite mais ta bouche pourra le découvrir à sa guise. Elle me branle tout doucement et je sens que c’est une première pour elle. « Tu es tellement belle et tu sais tellement ce qu’il faut faire… ». Elle avance sa langue en gardant mon sexe décalotté. Elle joue avec sa langue qui m’effleure et se concentre sur le haut de mon gland tandis que la pulpe de mes pouces caresse ses paupières. Cette entrée en matière est longue et pleine de douceur. Je ne suis pas encore très dur et j’en suis content car j’ai résisté à l‘excitation ce qui m’est parfois difficile surtout quand la situation est, comme ici, plus que torride. J’ai souvent souffert jeune de ne pas pouvoir me retenir. Je descends mes mains et lui prend la tête juste au dessous des oreilles. Mes pouces titillent ses lobes et elle avale littéralement mon sexe dont la taille moyenne lui permet d’être au fond sans être gênée. Elle aspire avec force mon sexe et je lui signifie que c’est inutile et que la fluidité, en tout, est un gage de plaisir. « Tu peux me déguster, tu aimes donner du plaisir avec ta bouche, non ? ». Elle fait oui de la tête tout en redoublant d’intensité dans ses va-et-vient. Je lui demande d’aller doucement car elle m’excite trop. « Tu ne vas quand même pas me faire jouir dans ta bouche ? », lui dis-je. Elle soupire, sourit et esquisse un grand oui de la tête qui m’oblige à sortir de sa bouche. Je lui dis qu’elle est une coquine, qu’on ne sourit pas la bouche pleine et qu’elle DOIT GARDER LES YEUX FERMES. « - Je vais te faire payer sa coquinerie ! s’il te plait, tourne-toi et montre-moi tes fesses ! » Elle se tourne sur ses genoux, en souriant et vient se reposer sur ses avant-bras en me présentant ses courbes indécentes. Je lui mets une petite fessée, en lui écarte les fesses et enchaine quelques fessées plus fortes. « As-tu envie de moi ». Elle me dit que oui en mettant ses cheveux à l’avant et en accentuant sa cambrure.

- As-tu peur
- Non !
- Reste les yeux fermés, je dois mettre un préservatif.
- Tu me sens à l’entrée ?
- Oh oui !
- Je vais rester devant ta grotte et c’est toi qui va venir, à ton rythme.

Elle n’attend pas longtemps pour esquisser un mouvement du bassin qui me fait rentrer en elle. En retour, je reste au bord car je souhaite aller doucement, non pas pour le mal qu’elle pourrait éprouver car elle est totalement ouverte et parce que je sais que je n’ai pas un membre de cheval qui pourrait lui faire mal, mais par souci de progression : je veux qu’elle me demande de la remplir totalement, qu’elle en éprouve le désir, un désir qu’on réserve aux femmes mais qui pourrait aussi combler les hommes.

- Je vais tout doucement venir au fond de toi.
- Oui, viens, viens !
- Tu me sens ?
- Oui…
- Alors je viens.

Je prends ses hanches et m’engloutis dans les profondeurs de ses secrets cachés. Elle halète et râle quand j’essaye d’aller encore plus loin en elle. Je mets mes deux mains sous ses genoux, dans ses creux poplités et je la soutiens ; je lui demande s’étendre les jambes et de s’assoir sur moi en. Je suis maintenant assis sur le lit et elle sur moi. Défi : « Tu vas te retourner sans que je sorte de toi. ». Sa souplesse lui permet de réaliser le défi sans trop de problème. Elle est sur moi et je lui dis d’aller encore plus au fond. Je m’allonge. Elle ne retient plus son envie, va tout au fond. J’entends un « P****n, c’est bon ! ». Elle accélère, sa respiration aussi et gémit comme si le plaisir la faisait pleurer. Alors que je lui prends les seins dans les deux mains, le gémissement se fait intense et se transforme en un cri, un long et immense cri qui résonnerait dans la vallée 30 secondes après qu’il ait été émis.
Je viens avec elle dans un frisson cérébral et je pense aux voisins. J’en rigole car ils ne semblent plus baiser beaucoup ces derniers temps.

Après la douche, nous sommes allés au zoo voir les animaux, les vrais. (Fin de la première rencontre).



Modifié 1 fois. Dernière modification le 25/07/23 17:09 par YanValyan.
Homme, 45 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
Des photos du shooting puisque je n'ai pas pris l'appareil après...



Modifié 1 fois. Dernière modification le 25/07/23 17:33 par YanValyan.
Homme, 45 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes





Homme, 47 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
Huuum génial !!!!
Couple, 47 ans, France, Nouvelle-Aquitaine
Superbes récits sensuels à souhait..et de belles illustrations en noir et blanc... j'adore..merci
Homme, 45 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
Merci pour vos retours qui font plaisir... Je ne sais pas quand j'aurai le loisir d'écrire le chapitre 2 de nos rencontres qui ont duré 1 an et demi. L'écriture me permet de revenir sur cette passade qui m'a un peu bouleversé ma vie. Rougir
Homme, 38 ans, France, Bretagne
Vivement le chapitre 2 !
Homme, 59 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Magnifique ! Autant le texte que les photos.
C'est à savourer :)
Homme, 59 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Et je trouve que c’est très délicat.
La aussi, autant le texte que les photos
Homme, 34 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Merci pour ce beau récit, j'ai tout dévoré en une fois... Une belle histoire qui vous aura marqué à tous les deux.
Encore merci pour ce partage.
Homme, 40 ans, France, Normandie
Très bien écrit et superbement illustré.
On veut la suite, la suite, la suite!!!
Homme, 45 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
Je suis entrain d'écrire le chapitre 2 qui sera plus court... Amoureux
Homme, 47 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
Mais encore plus torride on espère !
Homme, 52 ans, France
Merci pour ton récit..très excitant. Super
Homme, 45 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
Je remonte le fil car je n'ai jamais écrit jusqu'au bout le chapitre 2...
Désolé ! Rougir



Modifié 1 fois. Dernière modification le 30/01/24 23:08 par YanValyan.
Re: Une étudiante pas comme les autres !
Saturday 16 March 2024 07:19

anacona
Homme, 44 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Récit progressif,envoutant et très excitant, assez d'accord avec lili.
Homme, 48 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Magnifique recit ecrit d une tres belle manière tout en sensualité
Homme, 45 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
Merci les zamis... Je dois prendre le temps d'écrire la suite toujours aussi sensuelle de cette relation maintenant terminée mais je suis très occupé... Je promets de m'y mettre dès que j'ai l'esprit libre et le temps de revenir sur ma vie.


Homme, 45 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
En attendant...


Re: Une étudiante pas comme les autres !
Wednesday 20 March 2024 00:03

Xylag75
Homme, 48 ans, Belgique
Très beau récit et très belles photos N/B. Merci pour le partage.
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquez ici pour vous connecter