Cherbourg. Un restaurant très chic sur le port.
J’étais assis à une table, buvant mon apéro en discutant avec ma femme lorsque j’ai vu ce couple entrer. Ils se sont assis non loin de ma table.
La femme, la cinquantaine, ronde, portait une robe sage bien qu’un peu courte et de grosses chaussures rouges. Un ensemble quelque peu original qui a capté mon attention. Elle s’est installée face à moi et m’a sourit. Discrètement, je le lui ai rendu.
Je me suis alors mis à fantasmer sur elle, levant souvent les yeux pour mieux imaginer encore ses trésors. De gros seins que je malaxais, ses tétines que je mettais au supplice, sa chatte que je dévorais. C’était extrêmement agréable de bander ainsi pendant que je mangeais.
Je ne sais pas si c’est mon manque de discrétion qui a provoqué la suite.
Sa main droite s’est mise à glisser sous la table pour se porter jusqu’à son genou. Et, lentement, elle a remonté la robe déjà courte jusqu’à ce que je puisse entrevoir que la coquine portait des bas. Nos regards se sont croisés. Quel sourire elle m’a lancé. Elle m’allumait ! Quel délice.
Tout en parlant à son homme, elle caressait sa cuisse, glissait la main entre ses jambes. Avec toujours ses regards vers moi, chauds et sensuels.
Tout comme elle, j’ai descendu ma main sous la table pour la poser sur mon sexe dur. Que c’était bon. Nous nous caressions discrètement sans que personne ne nous remarque. Mes envies d’elle se faisaient de plus en plus intense. J’imaginais le goût de sa mouille. Ma queue dans sa bouche. Mes doigts la fouillant.
Juste avant le dessert, je me suis levé pour aller aux toilettes. Lorsque j’ai ouvert la porte pour en ressortir, la coquine se tenait devant moi. Elle est entrée en me poussant à l’intérieur. Je l’ai enlacée. Nos langues se sont emmêlées. Mes mains ont glissé sur ces fesses. Elle ne portait pas de culotte. L’intérieur de ses cuisses ruisselait. J’ai enfoncé trois doigts dans sa chatte coulante. Elle m’a mordu le cou et s’est mis à geindre de ma masturbation intense. En moins d’une minute elle a joui.
Elle s’est aussitôt agenouillée pour ouvrir mon pantalon. Quelle pipe ! Elle m’a dévoré le dard avec entrain. J’ai juté très rapidement tellement j’étais excité. La salope n’en a pas laissé une goutte s’échapper de sa bouche. Elle a relevé la tête pour me regarder, a dégusté mon sperme quelques secondes avant de l’avaler sous mes yeux pétrifiés de bonheur.
Je suis sorti des toilettes des étoiles plein les yeux. Ce fut court mais tellement intense.
Nous n’avons cessé de nous regarder jusqu’à la fin de notre repas. Quel dommage que nous n’ayons pas échangé nos numéros. Je suis sûr que nous nous serions bien amusés.
Peut être le hasard nous fera-t-il nous rencontrer une autre fois… j’aimerais tellement…
