Ma découverte de l'exhib

Etant jeune, j’étais en fait plutôt farouche. Ce n’est que plus tard à mes 25 ans, que j’ai rencontré mon mari, plus âgé que moi, déjà divorcé et expérimenté. Il m’a fait gouter à la soumission, il a révélé en moi des instincts des plus vicieux.
Toutefois, a peine majeure j’avais pris conscience de mon corps et du bien qu’on peut se procurer à soi-même. Je m’étais mise à me masturber très souvent, plusieurs fois par jour. Je prenais le rouleau à pâtisserie de ma mère pour me faire du bien. J’ai dû me masturber dans presque toutes les pièces de la maison familiale à grand coups de ce rouleau épais que je m’enfonçais profondément dans la chatte. Si bien que je n’étais plus vierge à mon premier rapport. Je le nettoyais bien sûr à chaque fois afin d’éviter de donner aux tartes aux pommes maisons un gout aphrodisiaque de tarte aux poils.
On n’avait pas tous internet à l’époque, le minitel existait encore. J’avais parfois eu l’occasion de voir des films pornos et je me délectais de voir des bites en érection. Il me manquait d’en voir de vrais. Je savais déjà que mon corps attirait le mâle et pouvait le faire bander. Cela m’existait davantage lors de mes séances de masturbation. Bien que m’habillais très court, je restais toutefois assez timide voir sauvage avec les garçons.
Reste qu’un jour d’été je n’ai pas su retenir la salope qui dormait en moi. Nous étions plusieurs amis réunis dans une belle maison d’été avec piscine entre Poitiers et Tours pour les grandes vacances. Tout près du lieu de la fameuse bataille de 732. Vous savez, l’année ou les musulmans avaient passé les Pyrénées et se disent qu’ils vont conquérir la France comme si c’était François Hollande au gouvernement. Malheureusement pour eux, le type aux commandes n’est pas un obèse asexué formé dans la couveuse à merde du parti socialiste. Il s’appelle Carolus (Charles) et il n’a pas oublié de prendre son marteau de guerre avant de descendre de son appart pour aller nettoyer la cage d’escalier. Mais je m’égare, la maison était louée par les parents du fiancé de ma grande sœur. J’avais un maillot de bain 2 pièces à ficelles plutôt sexy et j’avais remarqué que j’étais reluquée par les mâles présents. Notamment le mâle dominant, à savoir, le père du fiancé de ma sœur. Il était souvent assez proche de moi, même que j’en étais un peu gênée. Il n’hésitait pas à m’effleurer dans la piscine.
Sur le coup des 18 heures, j’avais décidé d’aller me doucher. La salle de bain principale étant déjà occupée, je pris la direction de la douche du sous-sol contiguë au garage. Il s’agissait d’un coin douche équipé juste d’un rideau à moitié moisi que je ne préférais pas toucher si bien que je l’ai laissé ouvert. De là je vis que le papa en question m’avait suivi. Il restait loin de moi, il semblait ranger du matériel. Je fis semblant de ne pas l’avoir vu et retirais mon haut de maillot pour me doucher. Les seins dénudés, j’imaginais déjà son regard lubrique me chauffer les tétons. Je commençais à me savonner face au mur. Je n’entendais plus les bruits de rangement mais je sentais sa présence. Silencieux, je l’imaginais entrain de me regarder. En me lavant le corps, je me sentais de plus en plus en chaleur, ma tête bouillonnait et je compris que j’avais une énorme envie de retirer mon slip. Toujours face au mur, je lui tournais le dos. Mon cerveau chauffait et ma chatte devenait humide de l’intérieur en imaginant qu’il puisse me voir entièrement nue. Il m’avait fallu bien 3 à 4 longues minutes de réflexion et de lavage pour me lancer. Il montait en moi cette idée irrésistible et incompréhensible. D’un seul coup, après encore quelques secondes d’hésitation, j’enlevais mon slip. Les fesses à l’air, il fallait maintenant que je me retourne. J’hésitais encore, je n’osais pas et je ne savais même pas s’il me regardait réellement bien que je le sentais. De l’autre côté du garage, il devait être à une petite dizaine de mètre à peine. Même moins, au point de pénalty… Je repris une grosse goutte de shampoing et me relavais les cheveux de sorte à être pleine de mousse sur la tête. Puis ce fut irrésistible, toute pleine de mousse, les mains cachant mon visage comme pour m’essuyer les yeux je me retournais pour lui offrir la vue full frontal qu’il attendait peut-être. Faisant semblant de ne rien voir. Mais je le vis là, entre mes doigts, en face de moi à 6 ou 7 mètres me regardant immobile. Je sentis comme un coup d’électricité, c’était la première fois qu’un homme me voyait toute nue, de face, comme ça depuis que j’étais devenue une femme. J’avais à l’époque la chatte poilue au naturel. Avec juste quelques coups de rasoir pour que mes poils pubiens ne dépassent pas de mon mini slip de bain. (N’étant que très peu poilue d’origine, j’étais très loin du standard néandertalien).
Je fis semblant de ne rien voir encore quelques secondes en continuant de me frotter les yeux. Il était toujours immobile face à moi, je m’arrêtais soudainement quand je laissais tomber mes bras le long du corps. Je croisais son regard à présent, j’étais comme paralysée pendant ces quelques secondes, qui m’ont paru si longues, ou nous nous regardions debout face à face. Moi nue et lui en short de bain. Le plaisir qu’il prenait à me regarder de haut en bas, à fixer ses yeux sur mon sexe me donnait une sorte de tournis paralysant. C’était un plaisir intérieur intense. Ne réfléchissant plus, je reculais légèrement jusqu’à m’adosser au mur derrière moi et recommençait à me laver le corps comme au théâtre, je lui offrais ce loisir de continuer à me voir me caresser. Car en fait, rapidement après avoir passé mes mains savonneuses sensuellement sur mes seins, je les passais sur mon sexe en m’y attardant. Puis, je me caressais carrément la chatte quand il s’approchât jusqu’à à peine 3 mètres. Je ne le fixais que par intermittence tantôt les yeux baissés tantôt relevés pour marquer mon appétence à le laisser me reluquer. Sans doute rassuré par mon attitude complaisante, Il sorti sa bite toute raide de son short en commençant à en manipuler le manche. A mon tour cette vue me fascina davantage et je me mis à me doigter, a écarter mes petites lèvres et caresser mon clitoris de l’autre main. Puis le voyant commencer à se branler, je m’asseyais en tailleur, ouvrais bien les cuisses, le laissant un temps reluquer ma vulve déjà ouverte et gonflée, je repris de me masturber en caressant le clito tout décalotté puis en m’enfonçant profondément deux doigts dans le vagin. De plus en plus vite. Comme lui le faisait devant moi en astiquant son chibre dur. Je soupirais alors que l’eau qui coulait de la douche en couvrait le bruit. Mais je me mis à respirer plus fort avant que d’un coup, je me torde de jouissance. Mon orgasme puissant me soulevait les fesses du sol pendant que je faisais à présent des va et vient frénétiques dans ma chatte. Je crois même avoir hurlé durant cet orgasme. Lui n’a pas résisté non plus à ce spectacle et a joui un long jet dont le sperme est venu jusqu’à mes pieds. Le temps de souffler fût à ce moment très court pour lui, car mon gémissement intense avait dû lui faire peur que quelqu’un ne l’ai entendu. Il a remballé sa bite et est reparti aussi vite qu’un go fast qui passe la frontière sans passer par la case départ. Il n’a pas touché 20 000.
Moi je suis restée une petite minute le cul au sol avant de me reprendre mes esprits. De finir de me rincer ensuite puis de me sécher. J’en avais les jambes qui tremblaient tellement j’avais joui.
Le reste de la semaine nous avions fait comme si de rien n’était. Nous n’avons jamais été amants. Je crois qu’il est resté un homme fidèle et c’est tant mieux. J’avais été guidés par une impulsion et rien de plus. Je n’aurais pas voulu qu’il en soit autrement. Toutefois bien des années plus tard, alors que mon apprentissage de salope était entamé avec maître mon mari, quand lui avait passé les 60 ans, j’eue l’occasion de lui montrer un jour que je n’avais pas de culotte sous ma jupette. Il avait cru s’en apercevoir et je lui avais donné satisfaction en la soulevant davantage afin qu’il puisse constater que ma chatte était dorénavant bien taillée en i avec la fente bien dégagée comme les oreilles du grand Charles.

Joli récit d'une jolie femme

Un témoignage qui donne envie d'en connaitre plus sur vous!

Plus de 20 ans ont passé...

Superbe récit très excitant qui donne envie d’en découvrir davantage
Au plaisir

Sympathique récit. Merci

Magnifique ton récit.... jai eu l'impression de voir des images en le lisant...

Merci superbe histoire

En avançant dans ton récit hautement érotique et si bien imagé , un feu c'est allumé dans mon bas ventre, si intense que je n'ai eu d'autre choix que d'attraper ma verge et m'imaginer très facilement à la place de cet homme . Te voir assise devant moi , dénudée et en rut m'a conduit à l'explosion, mais contrairement à monsieur, je me trouvais juste au dessus de ton corps. Ma semence t'a innondé le visage, à coulée sur tes seins et tu t'es régalée à l'étaler sur ton corps entier, dans un gémissement lourd de sens .
Quel bonheur.
Je suis persuadé que l'homme qui à réellement vécu ton récit, à le film intact gravé dans sa mémoire et qu'il doit souvent revivre la scène les yeux fermés et le sexe à la main . Quel chanceux.
J'imagine que tu as vécu d'autres aventures aussi belles que celle-ci , et à la vue de ton talent de narratrice je prendrai encore un immense plaisir à te relire.

20 années de libertinage m'ont laissé plq souvenirs torrides. J'en rédigerais certains. Merci du compliment

Magnifique récit

on se croit a la place du beau pere, le dard en main... tres bien ecrit et vraiment torride...

hate d'en lire d'autres...

Merci pour ces belles écritures.. Très excitantes..
Et vous avez un corps de rêve.. Comme j'aime !!

Merci du compliment petit coquin 33, j'en rédigerais d'autres. J'ai de nombreux souvenirs à raconter

Vivement le partage d’autres souvenirs torridement excitants!

Un magnifique récit, encore. Merci à toi de nous faire profiter

Des histoires très érotiques sans tomber dans la vulgarité. Je suis heureux de t'avoir trouvé, je promets de continuer tes histoires agréables.

Bravo quel beau récit j'ai vraiment pris plaisir à le lire

Popopooo !!! Quel récit de folie !
Merci beaucoup, c’est magnifique