Oh, mon bain fut une volupté... Je sors à regret de ma baignoire. Je me sèche lentement, comme si je voulais découvrir, redécouvrir peut-être en ce jour férié - j'ai le temps- chaque partie de mon corps. Un petit regard vers mon épilage... Mes poils restent discrets, voire invisible. J'aime la sensation de ma main sur ma jambe douce, en haut de mes cuisses, cette peau parfaite au plus profond de mon intimité, même autour de...
Comment vais-je m'habiller ? Je cherche dans mon armoire ; j'ai les vêtements que je viens d'acheter tout devant, trois belles culottes, toutes d'occasion, des bas dimup, blancs et noirs, un joli haut avec de la dentelle, un soutien gorge joliment galbé 95B, une belle robe dénichée sur Vinted...
Quelle culotte vais-je mettre ? J'opte pour la blanche. Le blanc, c'est le plus simple et le plus charmant qui met bien en valeur mes cuisses, et puis surtout la dentelle, elle épouse à merveille le galbe de mes fesses, puis la culotte couvre mon petit trou, épouse juste mon entre cuisse, et la dentelle doublée d'un empiècement qui fait un maintient idéal, revient délicatement, en idéal, sur le pubis.
Malgré moi, ma main s'aventure, trop de pulsion... Elle glisse sur le haut de mes cuisses qui ont si hâte de retrouver la beauté d'un bas, que je mettrai blanc, puis caresse entre mon sexe et mon petit cul, par dessus la dentelle. J'ai décidé de rester sage. Aussi, je reste par dessus mon slip à caresser le petit trou. Je le devine bien refermé, tout propre de mon bain, ses petits bords bruns qui se referment, puis se décontractent doucement sous ma caresse, puis qui se referment encore.
J'aime les plaisirs humides, qui me font rêver de mouille tiède. Alors, je suce mes doigts pour saliver un petit peu ma culotte, précisément entre mon petit trou et mon sexe. Oh quel paradis d'Equateur de sentir ainsi ma culotte humide entre mes cuisses. Je remonte, mon clitoris est bien installé dans son petit logement. Savez-vous mon fantasme ? Aimant à la fois par devant et par derrière, je voudrais qu'il frole mon petit cul, qu'il s'y épanouisse, que les deux sensations n'en fassent plus qu'une...
(À suivre)

A suivre très très volontiers.

Je glisse maintenant mes doigts sur la dentelle, devant ma culotte. Dentelle devant, doublée de lycra...C'est comme cela que j'aime mes culottes : un doux maintient pour mon pubis. J'aime le caresser, puis glisser mes doigts maintenant sur le nombril, puis remonter encore, encore... jusqu'à mes aréoles et mes tétons dressés. Mais, trêve de douceur. Je dois continuer à m'habiller.
Des bas noirs ou blancs ? Dim-up ou porte-jarretelle ? Finalement, je vais prendre les derniers bas auto-fixants Dim-up tout neufs. J'adore par dessus tout ces mouvements, allonger ma jambe gauche, faire entrer mes doigts tout délicatement, le long du bas blanc, dans sa douceur de soie... je fais glisser le bout de mon pied, puis je remonte doucement le bas sur mes mollets, mes genoux, puis mes cuisses, jusqu'en haut où la jarretière se colle à merveille sur ma peau. Je fais de même avec le deuxième... Oh que j'aime cette sensualité apportée par de simples bas.

Je continue sur le blanc avec mon soutien-gorge, un joli en dentelle d'Aubade, 95A. Il me serre un peu, en dessous de la poitrine ou sur les épaules, mais j'aime cette sensation de se savoir la poitrine bien maintenue dans la soie, la sentir au détour d'un mouvement sur mes tétons, en bas de mes seins. Puis, pour finir, j'ai choisi une robe midi, qui descend juste un peu au dessus des genoux. Elle est dans des tons écrus, assez droite, et de jolis boutons couleur d'argent qui font le tour d'un col échancré.

Oh je me sens fébrile, dans l'excitation à l'idée de me regarder dans ma toute nouvelle tenue. Je m'assieds, je croise puis décroise mes jambes, j'ai tant de sensation. Oh, je voudrais que celle du nylon de mes bas sur ma peau, de mes jambes qui se frolent l'une à l'autre, de mon entre-cuisse qui se ferme et s'ouvre, dure à jamais. Cet univers féminin et sensuel qui m'emporte, me fléchit le corps et tous mes sens, se diffuse au creux de mon être, au plus profond de mon intimité, par tous les pores et orifices de mon corps. (...)

Je désire savourer ma nouvelle tenue, la goûter sur mon reflet, l'observer dans ses moindres détails. Aussi, j'installe mon grand miroir juste devant le canapé, puis je me regarde, exactement comme si je pouvais regarder une femme le plus librement possible, le plus longtemps, le plus intensément, et dont la beauté m'attire dans la rue.

Quoi de plus beau ? Qui pour décrire la beauté des jambes recouvertes de bas ? Tout y est à goûter ! Depuis les pieds nonchalants, qui glissent l'un vers l'autre comme dans une approche amoureuse, les mollets, puis genoux puis enfin les cuisses... examiner la jarretelle qui retient le bas sur la peau. Oh l'envie de curiosité. Deviner déjà, fantasmer ce qui se cache sous la robe, vouloir que ces cuisses s'écartent enfin, se montrent en une offrande secrète.

Qui pour décrire la sensation des doigts sur le nylon d'un bas ? d'abord ce doux murmure, cet imperceptible crissement sur les fibres de nylon qui se tissent, s'accouplent sur la jambe à l'infini, en une régularité mathématique presque mathématique !
Qui pour parler de ce paradis des caresses, des doigts qui explorent timidement d'abord, puis sensuellement ensuite, la jambe et qui ne seront jamais complétement rassasiés ?
(à suivre)

Merci de donner votre avis sur mes publication...

J ai bcp apprecier ton recit

Je vais faire une petite suite bientôt...

Était-ce l'émotion, la passion que j'avais mises à me vêtir ? La nuit quasi blanche que j'avais vécue à réfléchir encore et encore à la tenue, la robe, la culotte.. que j'allais mettre ? Je me suis senti(e) fatigué(e) tout à coup. Alors, je me suis allongé(e) sur le ventre sur la méridienne de mon canapé. Oh, je goûte à cette sensation si féminine de mon corps contre le lin du canapé... Puis, je devine mes tétons qui se dressent, sous le soutien gorge et ma robe. Imperceptiblement, ma poitrine, puis mes jambes, puis mon corps amorcent de très lent mouvements sur la méridienne, se caressant comme si le désir tirait doucement le corps du sommeil. Comme un bateau qui tangue dans un souffle sur les vagues bienveillante, dont les voiles s'épanouissent dans le vent du désir.
J'ai alors commencé à sentir cette vague douce qui a pris naissance autour de mes seins, puis a couru vers mon nombril, puis enfin a semblé s'installer au creux de mes cuisses. Juste à l'endroit du mont de Vénus, mon clitoris étant lui retourné vers mes fesses. Bien sûr, la vague s'étendait aussi jusqu'à mes jambes qui enclenchèrent alors une danse presque invisible sur le lin du canapé.
Tout mon corps frissonne maintenant d'impatience et d'envie. Alors, mes mouvements sur le canapé se font plus amples, je glisse très doucement de haut en bas sur quelques centimètres, en un lent mouvement de va et vient. Oh que j'aime cette texture du lin sous mes doigts. Il s'y agrippent comme lorsque l'on se serre contre une peau tendre et sensuelle, découvrent le délice de caresser le tissu alors que mes jambes s'écartent, que mes jambes glissent à présent de chaque côté de la méridienne.
J'avoue que, n'y tenant plus, j'ai soulevé ma robe de manière à ce que ma culotte et mon entre cuisse soit directement au contact du canapé. Ohhh, ce plaisir divin du mont de Vénus qui prend son aise, puis qui se frotte, puis se glisse en ce mouvement de bas en haut qui illumine tous mes sens !!!
(à suivre)



Modifié 2 fois. Dernière modification le 15/05/25 09:47 par Oasis17100.