Généralement c’est maître qui me choisit mes partenaires, cependant, une fois n’est pas coutume, j’ai eu à une époque un béguin pour un jeune trentenaire que je trouvais mignon, charmant et spirituel. Il était timide avec les femmes. On se demandait même s’il n’était pas homo car il n’avait pas de petite amie. D’ailleurs maître qui est aussi parfois du genre à faire courir les rouquins dans sa version menhir, l’avait toisé un jour en lui demandant un peu brusquement s’il n’était pas PD. Ce qu’il avait réprouvé de suite avec un rire forcé en coin. Je précise qu’on n’a rien contre les homos. Comme dit maître, plus il y a de PD moins il y a de concurrence. Vive la liberté. Je vais vous raconter comment maître me l’a offert. Pour des raisons de confidentialité, je vais lui affubler le pseudo de Toto.
C’était à l’époque où maître était chef d’entreprise et que je travaillais à ses côtés. Ce jeune mâle était un de ses fournisseurs. Il venait régulièrement au bureau pour présenter ses produits et assurer une assistance à la production. Ses visites étaient mensuelles car il siégeait à environ 200 km de notre lieu de travail. Toujours très aimable, compétent dans son domaine, il me faisait parfois assistance directement dans ma tâche. Ce n’était pas un bodybuilder, ni un maigrelet. De taille moyenne, avec des lunettes cerclées qui lui donnait un air spirituel, il était toujours bien rasé. En tant que fournisseur, Toto avait en plus la possibilité de nous inviter dans de bons restaurants. Dès les beaux jours, je suis toujours en jupe courte. Par conséquent il eut l’occasion à plusieurs reprises de me voir dans des tenues légères. Discret et commercial sérieux, Toto ne laissait pas transparaitre une éventuelle érection à la vue plongeante de mon décolleté ou du haut de mes cuisses. Pourtant, sur ordre bienveillant de maître, je ne mettais jamais de culotte quand il venait. Je n’ai jamais su s’il l’avait remarqué, pourtant des fois, j’avais la jupe bien courte.
Maître savait que je ne rechignais jamais à sortir sans culotte en sa présence et ce faisant il m’a demandé, pour une fois, s’il me plairait de le ken. Mon sourire avait trahi mon ambition. Encore fallait-il en trouver l’opportunité. Ce fût chose faite lors d’un salon professionnel au palais des congrès à Paris. Nous ne pouvions pas être sûr du résultat mais on avait un plan. Ce plan, c’était de rester sur le salon deux jours. Lui en tant que salarié d’un exposant restait 4 jours sur la capitale. Bon producteur, maître était bien vu du pro en question et nous avions été invité à nous restaurer avec eux.
Lors de ce déjeuner, maître avait proposé à Toto de passer la soirée avec nous pour se détendre. Il accepta et nous nous donnions rdv dans Paris à 22h, pas trop loin de nos hôtels respectifs, pour aller boire un verre. La surprise fût que Toto était accompagné d’un collègue qui s’ennuyait aussi ce soir-là et qui lui avait demandé s’il pouvait nous accompagner. Ne se doutant de rien, il avait acquiescé. En les voyant tous les deux nous avions failli renoncé à notre plan. Mais je mouillais d’avance de voir la quéquette en érection de mon petit commercial et même de lui polir le gland avec ma bouche. Donc, coup parti, pas de renoncement, l’autre ne devant pas s’en plaindre. C’était un jeudi soir, et maître avait choisi de nous emmener dans un petit club échangiste.
A paris ce n’est les établissements qui manquent. Le seul inconvénient étant qu’en arrivant avec 3 mecs et une fille, on pouvait se faire refouler à l’entrée. Ceux qui connaissent le milieu savent que nombre de clubs ne font rentrer que des couples. Heureusement ce n’était pas le cas du moins en ce milieu de semaine. C’était en Septembre, il faisait bon dehors mais je portais un long manteau qui cachait ma robe noire super sexy, courte, moulante et très échancrée. Lorsque nous sommes arrivés devant la porte discrète du club, nos 2 invités furent surpris et plutôt enthousiasmé de rentrer dans un bar d’ambiance aussi cosi. Ils ne furent pas surpris du prix d’entrée car par bonheur, le gérant nous disant qu’il y avait très peu de monde nous informa qu’on ne paierait que les consommations.
Visiblement Toto et son collègue ne connaissaient pas trop ce milieu mais étaient content d’y prendre un verre en notre compagnie. Après avoir déposé mon manteau au vestiaire, j’eue le droit aux félicitations concernant ma tenue qui sur le coup leurs fit écarquiller les yeux. Cette fois ci c’était la bonne, une fois assise sur la banquette moelleuse de notre table basse, je voyais bien mon toto me reluquer plutôt 2 fois qu’une. Pareil pour l’autre. En fait il n’y avait que 1 couple et 2 autres hommes seuls. Soit 2 nanas et 6 mecs. Cela faisait très peu de monde. L’ambiance n’était pas chaude, chacun restant à sa place. Cela n’allait pas être évident.
Après avoir discuté un peu boutique pour commencer, j’ai cru que le plan allait foirer et que j’allais m’ennuyer. Je gardais les jambes serrés pour ne pas faire trop pute. J’ai pris alors l’initiative de me lever pour aller aux toilettes, en bougeant ma tenue leur a permis de se rincer l’œil une première fois. C’est en revenant que je me suis vautrée sur les genoux de maître pour les exciter davantage. Il fallait provoquer un peu pour faire avancer les choses et maître l’avait aussi compris, Toto et Toto bis restaient paralysés. Il n’a fallu que 2 minutes sur ces genoux pour que maître me caresse un sein devant eux. Son autre main était tout en haut de ma cuisse, ma jupe très relevé laissant le bas de ma hanche apparaitre. La tension montait d’un cran.
Maître avait réussi à changer la conversation qui tournait autour de l’épilation des femmes, ça devenait lubrique. Je sentais que mon heure allait venir, mon minou commençait à suinter. Toto2 n’était pas prévu au programme mais tant pis pour lui. Ou pour moi, j’étais résolue quitte à ce qu’il me voit aussi toute nue à me faire tringler. La conversation devenait chaude, maître, après avoir prétendu que 9 femmes sur dix dans les centres naturistes avaient le minou tout lisse leur avoua que je faisais partie des 10 pour cent avec poils. Les totos étaient en face et cette fois leurs yeux se dirigeaient régulièrement sur mon entre jambe a peine couvert. Je fis à semblant de résister quand il releva un peu plus ma robe et leur montra que j’avais un petit ticket de bus (je n’aime pas le métro) au-dessus de la fente. Ils acquiescèrent et je sentais leurs regards me chauffer la vulve comme le rayon visuel de superman sur la kryptonite.
Ils mataient tous les deux mon petit poilu mais j’avais les jambes serrées. Pas longtemps, maître, des 2 mains m’écartait les cuisses afin qu’ils puissent aussi bien voir ma vulve qui s’ouvrait en corole. Je m’allongeais délicatement sur son corps en me laissant aller. Il me caressait maintenant doucement le clitoris de son index devant eux et quand je commençais à me trémousser, il m’enfonçât complétement son doigt dans la chatte. Je gémissais légèrement et après leur avoir dit que j’étais trempée, il invitait toto à vérifier l’information. Hésitant au début, il finit par approcher, je voyais sa main venir tout près de mon sexe et se poser sur ma cuisse, ça m’a fait comme un coup de chaud… Puis, je frémissais de plaisir quand il la remonta et me pénétra avec le doigt. Je ne pus m’empêcher de prendre sa main dans la mienne pour l’inciter à me masturber. Maître m’avait sortie les seins du décolleté pour me les caresser en en faire profiter les regards de braise qui m’assaillaient. Ces quelques minutes étaient intenses, toutefois maître nous interrompis pour me pousser à me mettre debout, et là, il fit glisser ma robe vers le bas. Je me retrouvais entièrement nue face à eux.
Ils étaient assis devant sur leurs bouts de banquette et je choisis à ce moment de m’assoir à califourchon sur mon toto favori. De là il pouvait commencer à sucer mes têtons alors que je cherchais sa queue dans son pantalon. Sa bite était toute dure, me reculant un peu, je me mis à genoux pour la lui sortir. Je la voyais enfin, une belle bite de taille moyenne, dure et droite qui bandait à l’horizontal. Je décalottais son gland et me mis à le sucer, lui aussi était tout humide, du méat sortait du petit trou. Je mis tout dans la bouche en lui caressant les boules. Je le sentais me souffler sur le coup et j’eus peur qu’il ne jouisse trop vite. J’ai lui alors baissé son froc et son slip jusqu’à ses genoux et me suis assise sur son chibre en le guidant avec ma main dans ma chatte gonflée. Ça glissait tout seul, son sexe allait et venais en moi comme un marteau piqueur dans un bitume trop chaud. J’en profitais pour lui rouler une pelle. Non-fumeur, sa langue avait un bon gout, le gout du Baileys qu’il venait de boire. Je lui ai mis ma langue tout au fond de sa bouche en cherchant la sienne tout en continuant mes mouvements de coït.
Un instant, je vis toto 2 a coté qui profitant du spectacle essayait de me caresser les fesses. Je mis ma main à son sexe à travers le pantalon, lui aussi bandait comme un diable. Il sortit sa bite et je pus le branler un peu. J’avais la main toute gluante de son sexe quand maître me fit lever pour que toto me prenne dans une autre position. Je vins alors sur le bord de l’autre banquette en position levrette, mon petit qq en l’air. J’avais la tête sur les cuisses de maître et toto pu a nouveau m’introduire son missile exocet qui a fait tant de ravage à la flotte britannique pendant la guerre des Malouines. Il me ramonait à merveille et j’ai joui comme une sirène de bateau à vapeur. Lui est sortie pour me gicler sa purée sur le dos et la raie des fesses. Toto 2, lui, s’était rapproché sur mon côté et me caressait les seins en se branlant. J’ai pu le finir à la main non sans l’avoir quand même un peu sucé pour qu’il sente avec son gland la chaleur de ma bouche. Lorsque nous eûmes fini, je filais à la douche car j’étais bien trempée. (Et oui, pour ceux qui ne connaissent pas ce genre d’endroit, il y a des douches à disposition).
Nous nous sommes quittés vers 2 heures du matin en ayant été invité à l’heure de régler l’addition en sortant. C’est la moindre des choses quand même… Nous sommes rentrés à l’hôtel et vers 3 heure du matin, j’ai encore eu la force de m’occuper de maître qui me pris de manière classique en position du missionnaire avec éjac interne sur le lit de la chambre d’hôtel. Bien évidemment, j’ai revu à plusieurs reprises mon petit toto chéri au bureau et souvent il eut l’occasion de revoir ma chatte au gré de mes différentes coupes de minou. En revanche nous n’avons jamais re baisé. Quant à toto 2, moi, je ne l’ai pas revu… sauf au salon de l’année suivante où, au milieu de la foule, il s’est contenté de me faire un clin d’œil discret.
