Plus ancien que mon souvenir de jeunesse que je vous ai déjà confessé, je me souviens d’une époque lorsque j’étais étudiante ; Un début juin où nous étions partis avec des copains et copines de fac à 7 dans 2 voitures jusqu’à Royan pour y passer un long weekend end en camping avec objectif plage. Nous étions 4 filles et 3 garçons, seuls 2 d’entre eux formaient un couple, les autres dont moi-même étions libres.
L’un des garçons était mon amourette secrète de jeunesse. Chose classique chez les jeunes, il ne le savait pas. Je n’avais jamais osé lui dire quoi que ce soit, au demeurant j’étais toujours un peu ballot en m’adressant à lui. De ce weekend end entres amis pouvais-je peut être en tirer quelque chose. Ce ne fût pas ce que j’attendais.
Nous étions en tante, une petite 2 places pour le couple, une autre 2 places pour les 2 garçons restant et une un peu plus grande pour nous, les 3 filles qui restaient.
Nous n’avions pas beaucoup de temps à perdre, à peine arrivés au camping, les tantes montées, nous partions à la plage. A l’époque où il y avait moins de revendication salafiste et de pudibonderie, nous faisions du topless. Je n’étais pas mécontente de montrer mes petits nénés à mon chéri qui bien sûr n’avait jamais eu l’occasion de les voir. Sans doute allait il me reluquer davantage. J’avais un peu hésité mais on en avait parler en douce avec ma copine et on s’était résolu à le faire comme beaucoup de femmes à l’époque sur la plage.
C’est donc après un petit rire narquois que nous avions retiré nos teeshirts pour avoir les nichons à l’air devant des garçons qui n’en demandaient pas tant. Ils faisaient mine de ne pas y prêter attention mais on voyait bien qu’ils nous mataient comme des cochons. Je portais un slip de bain sexy a ficelles et taille basse.
On n’y voyait pas ma touffe une fois mouillé comme ceux que m’a acheté maître plus tard mais, sans être un bikini, il était quand même suffisamment petit pour que, étendue sur le sable, on puisse voir quelques poils de mon pubis dépassés au-dessous de mon nombril à la lisière du slip... Après la première baignade, cela n’avait pas échappé aux garçons. Leurs regards se faisaient plus insistant sur le haut de mon slip.
Ce n’était pas pour me déplaire. Timide je faisais semblant de ne rien remarquer. Cependant alors que la troupe retourna à la baignade je restais seule avec le mâle dominant. Ce n’était pas celui que j’espérais mais tant pis. Il se mis le côté pour commencer à me parler seul à seule et me draguer. En fait on n’en attend pas moins d’un mâle non déstructuré par l’évolution moderne des féministes hystériques de gauche. La nature de la femme est tout de même faite pour attirer l’homme et vice versa. A part bien sûr Mathilde Panot, son cul d’éléphant et sa gouaille de poissonnière !
Ce beau brun dont je rappelle qu’il n’était pas mon premier choix fit preuve de culot lorsqu’il n’hésitât pas à me dire que j’avais de beau seins, plus beau que ma copine. Il profitait que nous étions tous les deux seulement. Voyant que j’étais sensible à ce compliment, il s’enhardit en prenant une longue brindille d’herbe dont il fit parcourir le bout sur mon ventre et mon nombril. Je ne résistais pas à ce léger chatouillis en le laissant agir à sa guise. Ainsi le bout de brindille arrivât jusqu’à mes nichons. Je m’étais un peu redressée sur les coudes. Il tournât autour de mes tétons puis m’en chatouillât le bout. C’était une sensation agréable et je ne pouvais pas le repousser. Je le regardais faire, sans broncher, sans réprobation, sans sourire mais sans grimace non plus. Il me demandât toutefois après quelques secondes si cela était agréable. Après avoir répondu d’un oui timide, il reprit sa progression en redescendant le bout de sa brindille sur le ventre jusqu’à la lisière de mon slip où 3-4 poils dépassaient. ça commençait à me chauffer. C’était une sensation que j’aimais. Il fixait alors ces petits poils, m’en fit la réflexion en s’amusant à les batailler avec sa brindille comme dans un duel de cap et d’épées (au fleuret. C’était une petite, pas un bout de bois façon épée de William Wallace pour découper du roastbeef)
J’en fus gênée sur le moment mais je n’esquissais aucun geste de réprobation. Je me mise même à sourire. C’est sous doute ce qu’il attendait, comme un feu vert pour continuer. Il glissât alors sa brindille sous mon slip. Je commençais à mouiller et à ce moment j’eu une envie folle qu’il me regardât la touffe. Mon idée immédiate fut de sentir un gratouillis et ce faisant je portais ma main à hauteur, soulevais un peu le tissu pour me gratter le pubis. Bien sûr il n’avait rien raté du spectacle de mon poilu taillé en triangle pendant ces 2 secondes. Cette fois ci c’est lui qui fût interloqué par cette vision éclair et soudaine. Je pus voir qu’il se mettait à bander. La bosse sous son slip de bain ne faisait aucun doute.
Au début des années 2000, il n’y avait pas le web que l’on connait maintenant où tous les ados ont accès au porno. J’adorais en regarder en cassette, en douce, quand cela était possible. Je me masturbais beaucoup y compris avec un manche de sorte que je n’étais plus vierge au sens médical du terme. Je n’avais toutefois jamais caressé de quéquette et n’avais encore moins vu une vraie bite en érection devant moi. Cela me mis en transe. J’étais à 2 doigts d’en voir une à portée de main. Ce n’était plus un rêve érotique, mais une réalité.
Je ne pouvais pas rater cette occasion. Cependant je ne savais pas quoi dire sur le coup d’autant plus que nous étions sur la plage, certes loin d’être bondée mais tout de même. On n’était pas sur la baie des cochons (Que je découvrirais plus tard avec maître). A l’époque je ne connaissais même pas son existence.
Je pris mon courage à 2 mains, à défaut d’autre chose, et lui fis la réflexion en feignant la surprise : « -je rêve où tu bande ? ». Une remarque que j’aime faire encore à ce jour.
Pas démonté le moins du monde, assez mature pour le coup, il n’hésitât pas à répondre par l’affirmative tout en écartant à son tour son slip me montrant le haut de sa bite toute dure où apparaissait le gland sous son prépuce. J’avais tellement envie de le toucher que j’avais l’impression d’être fiévreuse de la tête.
Je n’ai pas pu m’empêcher de lui signifier qu’il faisait trop chaud sous le soleil malgré le parasol. C’était bien sûr une invitation à retourner dans le camping sous la tante. Il saisit l’invitation au bond et nous y retournions ensemble en abandonnant les autres à leurs baignades. Tant pis pour mon amoureux. Moralité pour les garçons timides qui me lisent, l’occasion fait le larron et ne pas la laisser filer. Il faut battre le clito quand il est chaud.
Ainsi, en quelques minutes nous nous retrouvions dans la même position sous la tante à l’abri des regards. Il ne faisait pas spécialement plus frais. La tension était légèrement retombée mais rapidement il sut reprendre ses activités subversives. Cette fois c’est lui qui soulevât le tissu de mon slip avec les doigts pour y reluquer ma touffe. Je l’aidais en dénouant moi-même la ficelle sur son coté afin qu’il puisse découvrir mon sexe en entier. Cette vue le rendait tout excité. Il dénoua l’autre côté et je soulevais les fesses pour dégager ce slip de malheur. Il se mit à genoux sur mon côté et me dévorant la chatte du regard, restât un moment comme ça en se touchant la bite. Je mourrais d’envie de la toucher égaiement. J’attendais juste qu’il m’y invite mais lui-même était focus sur mon sexe. J’écartais les cuisses pour améliorer sa vue puis enfin il se mit à me toucher. Lui n’était plus puceau et faisait preuve d’une dextérité que je ne soupçonnais pas. Du moins me le paraissait-il à l’époque. Il me caressait la vulve et je lui guidais la main. J’écartais maintenant les cuisses à mon maxi alors qu’il me mettait 1 puis 2 doigts au fond de ma chatte trempée. Pendant qu’il me branlait ainsi l’allume cigare, je me caressais le bouton. Voyant que je me trémoussais et prenais un plaisir intense, il continuait sans s’arrêter ni songer à me lécher, jusqu’à ce que je parvienne à jouir. Je tentais d’étouffer mon orgasme pour ne pas alerter les pompiers qui auraient pu croire que l’alarme incendie se mettait en route.
De ma main je le stoppais alors que mes jambes flageolaient. Quelques secondes ont passées avant que l’envie de sauter sur l’occasion me prenne la cervelle. Je lui saisis la bite encore toute dure et chaude. Je pouvais enfin manipuler en vrai ce bois rond en peau de zob. Me redressant je le plaquais à son tour le dos au sol. Je découvrais pour la première fois la douceur d’une bite toute raide. Elle était humide du gland, je pouvais la branler à ma guise faisant aller et venir de haut en bas le prépuce. Ce fut pour moi une sensation bizarre et tellement agréable de sentir glisser la peau sur le dur du dessous. C’est lui dorénavant qui se trémoussait. Je tenais sa bite dans la main, posais mon pouce sur le dessus du gland dont la mouille sortait du trou. J’avais aussi une impression de puissance, comme un chef de char de combat qui du haut de sa tourelle, caresse le tube du canon de 105 avec la paume de la main, avant d’envoyer son gros obus rédempteur sur la gueule des terroristes palestiniens du Hamas.
Cette belle bite dressée comme une fusée Soyouz prête à décoller, avec ce gland rose foncé telle une fraise Gariguette bien mûre, il fallait absolument que je la goutte. Toujours nue à genoux devant lui alors qu’il me caressait les fesses, je me suis penchée sur lui. Après l’avoir décalotté à fond J’ai commencé à lécher son gland comme un cornet de glace pour en récupérer le gluant. J’ai tout de suite trouvé que ça avait bon gout, ce qui m’a incité à le prendre en entier dans la bouche. Je suçais ma première bite. C’était trop trop bon… Si j’avais été blanche neige, je crois que j’aurais sucé les 7 nains pour tous les gouter les uns derrière les autres (car savez-vous bande de cochons que vous n’avez pas tous le même gout de sperme). Je faisais comme j’avais vu dans les films pornos. Parfois je reprenais la branlette de la main puis je léchais sa tige jusqu’aux couilles (poilues). J’en profitais pour sous peser ses joyeuses dont je découvrais en même temps la peau toute douce. Une bourse molle et soyeuse qui manquait de monnaie à l’intérieur. Je reprenais sa bite en bouche en serrant bien les lèvres la langue collée sur le contour de son gland. Je m’appliquais car j’y prenais un réel plaisir. Il m’est passé par l’esprit de m’assoir dessus mais je n’avais pas de capote, ce n’était pas lui que je voulais dans mon ventre, et en outre, je voulais par-dessus tout voir son sperme gicler.
Ce fut lui qui m’en avertit, je continuais alors de lui tirer la culasse en arrière pour charger la cartouche de foutre. Un jet blanc jaillit sous mes yeux émerveillés qui lui arrivât jusqu’aux pecs. J’arrêtais le mouvement comme une débutante lorsque qu’il se repris avec la main pour la deuxième charge. Mon reflexe fut de me précipiter à nouveau la bouche sur son gland pour gouter au nectar qui jaillissait encore. Je n’allais pas rater cette occasion pour gouter du jus de couille. La dose qui finit dans ma bouche ne me suffisant pas, malgré que je gardais la bouche fermée autour du gland pour aspirer jusqu’à la dernière goutte, je lui léchais le ventre pour récupérer le premier jet. Je pus lui montrer ma langue pleine de ses @#$%& avant d’avaler cette cuillère à soupe de chromosomes x et y. Il me paraissait assez épais quand je le sentis couler le long de ma gorge. Que du bonheur ! J’avais l’impression de prendre le médicament au gout de banane qu’on prenait à l’époque et dont je ne me souviens plus le nom.
Nous n’avions pas baisé mais pour moi, l’objectif lune était atteint. C’était la première d’une longue série. Surtout depuis que j’ai rencontré maître qui n’hésite pas à m’inciter à sucer ses copains voir plus, comme en témoigne mes récits précédents. Un bémol toutefois, parfois la bite de ces messieurs sent un peu la pisse, c’est moins agréable. Svp, pensez donc à vous laver la nouille avant de me fourrer la bouche.
Vive la liberté bordel de Dieu (Pardon seigneur-lorsque j’arriverais au paradis, je te ferais une petite pipe pour m’excuser). Et celui qui se rappelle du médoc au gout de banane aura une gratification.