Toujours soucieux de me maintenir fermement pour des séances d’exhibitions dont certains d’entre vous on prit connaissance, Maître avait un jour acheté un kit d’attache de lit BDSM. J’avais déjà la paire de menottes cerclée de fourrure toute douce mail il lui en fallait davantage. Une idée lui était venue lors d’une soirée où nous nous étions fait une branlette mutuelle en regardant du youporn.
Nous avions bien joui en regardant une femme attachée sur le lit à la disposition d’hommes bienveillants.
Ni une ni deux, 5 jours après le kit était dans la boite à lettres. Après un test très classique entre nous, il nous fallait expérimenter une aventure plus réjouissante :
C’est ainsi que maitre eut l’idée de d’inviter un tiers, mais pour rendre l’aventure plus excitante, il me mettrait un bandeau sur les yeux et surtout… je ne connaitrais pas l’invité à l’avance. C’était la surprise du chef.
Cela aurait pu être un quidam, beau mec recruté sur le web, où un partenaire connu. La surprise aurait déjà été savoureuse. Mais non, son idée était de faire venir quelqu’un de notre entourage. Une personne que nous connaissions tous les deux, et qui ne m’avait jamais vu autrement qu’habillée. Quelqu’un à qui je n’avais jamais offert un espoir de sexe ni de provocation.
Pour le challenge, je ne devais pas savoir qui se serait. Ce pari très risqué quand je sais d’où il vient, je l’ai accepté. J’y ai consenti seulement après quelques jours de réflexion. En fait, déjà le désir montait. Ma cervelle ne voulait pas mais mon corps le réclamait. L’appétit de mon sexe est parfois irrésistible.
Il a toutefois fallu 2 bons mois à maitre pour trouver le personnage. Je n’ose même pas imaginer comment il a entrepris ses recherches.
Toujours est-il que le grand jour est arrivé. C’était un après-midi en période de congé. La maison était vide.
Je n’ai pas vu arriver la voiture, de sorte que je ne puisse pas identifier le coupable. Préalablement j’avais pris une douche, je m’y étais bien rasé la chatte en laissant une toute petite touffe de poils en i 2 cm au-dessus de ma vulve. J’avais mis une robe qui s’ouvre sur le devant par boutons pressions, pas de soutien-gorge mais une petite culotte en coton noire taille basse.
J’attendais dans la chambre quand j’entendis une voiture arrivée. Maître m’attachât sur le lit à ce moment, allongée sur le dos, un petit cousin sous la tête. Je n’avais plus qu’à attendre. Mon cœur battait assez fort déjà. Je ne savais pas du tout qui allait me baiser. Mais une chose était sûre, c’est qu’un mâle qui avait envie de moi sans jamais m’avoir possédée allait me voir les seins et le sexe avant certainement de me fourrer la bouche et me pénétrer la chatte avec son membre tout dur. La question de son identité me tournait à l’esprit en permanence depuis quelques heures. Maintenant, elle devenait lancinante.
Le suspect était tenu au courant, il ne devait surtout pas parler afin que je ne reconnaisse pas sa voie.
Maître aussi était nerveux, je le sentais tout excité également. Quand ils sont arrivés dans la chambre, j’entendais comme une aveugle chacun de leurs pas, ils s’arrêtèrent devant le lit. Comme pour me dévisager du regard. Maître donnait les consignes par gestes gardant ainsi le silence pesant. Ils restèrent silencieusement plusieurs minutes devant, cela me parût une éternité, j’étais là offerte comme un fraisier dans la vitrine du pâtissier. Et ils attendaient. J’avais faillis parler pour demander qu’est ce qui se passait quand maître m’interrompu d’un ordre bref à me taire en me mettant une claque sur le pied. J’eus à ce moment un premier sursaut. Surprise par ce touché brutal que je ne voyais pas venir. Mon cœur battait plus fort… mais que faisaient-ils bon sang ?
S’ensuivit une main qui me pris la cheville, je reconnais celle de maître mais je me mis à frissonner lorsque ma cheville gauche fût saisie à son tour. J’étais attachée jambes et bras écartés comme sur une croix de st André, quand j’ai senti cette main étrangère me prendre la cheville et remonté jusqu’à ma cuisse, j’avais déjà la moule trempée. J’imaginais déjà que l’humidité de ma petite culotte allait trahir mon excitation devant ce soldat inconnu qui lui me connaissait.
Maître lâchât ma cheville alors que l’autre me serrait la cuisse gauche dans ses deux mains, afin d’ouvrir brutalement le haut de ma robe pour me libérer les seins en faisant sauter les boutons pressions. Après une légère hésitation, l’inconnu portât alors une main sur mon nichon et se mit à me peloter doucement puis sévèrement. Je commençais à me tordre, le plaisir montait en moi crescendo. Je fus surprise quand maître me mis un doigt dans la bouche puis deux. Une seconde me suffit pour que je les lui suce. Il les retirât quand je sentis la main de mon inconnu lâcher mon sein et agir par imitation. Je lui suçais l’index à son tour. Peut-être me prenait il alors pour une grosse salope dont il ignorait les agissements mais qu’importe, je me laissai aller. Mon cerveau avait décroché
Puis sa main, sous l’impulsion de maître descendit sur mon ventre qui frémissait. Il arrivât à ma culotte dont il sentit qu’elle était trempée, il semblait être surpris, glissa sa main dessous sur mes quelques poils. Enfin il posât son majeur sur ma vulve qui s’entrouvrit immédiatement, Son doigt glissait dans ma chatte aussitôt. J’étais saisi d’envie et me tordait le corps avec de petits gémissement comme dans l’exorciste. Je n’ai toutefois pas réussi à faire un 180 avec la tête comme dans le film.
Maître arrachât les 2 derniers boutons pressions et je me sentis presque nue devant eux. Restait ma culotte mouillée. Ayant les jambes écartées en croix, il fallut la couper au ciseau pour m’en libérer.
Dorénavant toute nue devant eux ils me scrutèrent longuement en me caressant d’un doigt, de mes tétons à ma bouche, en passant par le nombril le sexe et les cuisses.
Enfin je sentis mon inconnu s’allonger à mon côté droit et, portant sa main à mon sexe commencer à me masturber. Il me caressait le clitoris, me rentrait deux doigts dans le vagin. Puis sans doute invité par maitre je le sentis se redresser pour approcher son visage du mien, je sentais son souffle court quand il me mit sa langue dans la bouche. Surprise, je tournais toutefois alors doucement la tête vers lui afin de faciliter la manœuvre, Il entreprit de me rouler une pelle alors que maitre me fouillait la chatte. Je me tordais en même temps qu’il me léchait la langue.
C’est alors qu’il changeât de position à nouveau pour se déloquer, peu après c’est sa bite déjà toute dure dont je sentais le gland me caresser la joue, venir à la commissure de mes lèvres et enfin de forcer l’entrée de ma bouche. Je suçais alors ce manche assez long et fin au gland tout humide et glissant. Pendant que je le suçais je sentais ses mains me prendre la tête pour me guider le long de son chibre. Parfois il me la lâchait pour me re-peloter les nichons et me titiller un tétons. Maître sait que j’y suis sensible, il avait dû l’y inciter. Je dus reprendre un peu ma respiration car il me fit une gorge profonde. Les bras prisonniers, je ne pouvais pas agir et j’avais failli suffoquer. Maître me détachait alors les pieds afin que je puisse remonter les genoux. L’inconnu, me les écartait et commençât à me lécher la vulve. M’aspirât le clito et glissât sa langue profondément dans le vagin en m’écartant les petites lèvres avec les doigts. De temps en temps il reprenait sa respiration, je sentais qu’il prenait un malin plaisir à me fouiller le sexe du regard et du doigt car il prenait son temps. A ce moment, après un premier orgasme a moitié étouffé par maitre qui a son tour m’avait fourré la bouche, j’eu à nouveau mon cerveau qui se mis sur « on », et je réfléchissais à qui pouvait bien être cette langue qui me badigeonnait le minou. Etait-il un voisin, un collègue, un beau frère ou un cousin, ou tout simplement un copain…. Rien n’était à exclure et ça me torturait l’esprit à nouveau.
Cependant, je n’eus pas à y réfléchir longtemps car l’inconnu en question, sans enfiler de capote, m’introduisit son zob dur comme du bois bien profond jusqu’au milieu des hanches… A demi couché sur moi il entamait son coît qui me faisait soupirer à chaque rentrée… C’était comme dans un moteur à explosion bien graissé, ça glissait dedans et à chaque poussée, mon corps se reculait vers la tête de lit. Je fini par croiser les jambes autour de sa taille pour qu’il me défonce encore plus fort. J’étais totalement abandonnée au plaisir charnel à l’image d’une nonne qui se ferait déboiter par Jean Paul II.
J’eu un nouvel orgasme long et vigoureux puis, après qu’il eut changé de position en me mettant le bassin de travers et les genoux serrés et repliés, il m’introduisit à nouveau pour me pilonner toujours plus fort. Il était endurant le bougre !... Il avait bien raison puisqu’il pouvait en profiter à sa guise. J’eu un nouvel un orgasme. C’est à ce moment qu’il sorti sa bite, m’enjambât, et, alors que maître me redressait la tête, je sentis son gland qui portait l’odeur de ma chatte me forcer à nouveau la bouche. Il se branlât un peu devant mon visage, j’avais son gland trempé sous les naseaux. Quand soudain il me l’enfonçât complètement dans la bouche pour se vider et me déverser tout son sperme sur la langue et dans la gorge. Maître me donna l’ordre d’avaler d’une traite. Deux grosses giclées, une pinte de bière à couille pour le bain de bouche et une deuxième pour la plongée sous-marine.
Alors que j’ai entendu son brame de jouisseur quand il déchargeait dans ma bouche, je n’ai toutefois pas pu l’identifier.
J’étais nue, à nouveau les cuisses écartées, la chatte disloquée grande ouverte quand ils me regardèrent silencieusement, j’entendis maître proposer à notre invité d’aller chercher son tel pour une photo souvenir. Sans un mot, il s’était éloigné puis revint avec son appareil. Maître me fit bien ouvrir les cuisses. Il lui fallait une vue bien dégagée de mon sexe encore ouvert et humide à conserver. Ils se sont assis et sont rester quelques minutes encore à me reluquer. J’avais bien essayer de dire quelques mots à ce moment pour entendre une voix. Mais maître restait imperturbables, leur silence se faisait pesant et je tentais de me redresser un peu. Maître réajustait de temps en temps mon bandeau. Ils quittèrent ensuite la pièce m’abandonnant attachée et j’entendais la portière de la voiture claquée puis partir. Maitre revint me détacher.
Il bandait et il me prit en levrette dans le petit. J’eu un quatrième orgasme. Par le cul ce coup-ci.
Parfois on se branle ensemble en y repensant. Nous n’avons pas renouvelé l’expérience car il est difficile de trouver le bon personnage répondant aux critères. Pourtant ça m’aurait plu.
J’aurais souhaité savoir qui il était… ou non. Je ne sais pas en fait ! Maître a garder le secret. En revanche, ce pervers m’a dit le lendemain que c’était un de nos copains du club de 4x4 avec qui on faisait régulièrement des randonnées (pas un de mon récit précédent). De sorte que lorsqu’on y retourne, je sais que parmi eux, il y en a un qui m’a baisée, et possède dans son téléphone 3 ou 4 photos de moi pour se branler. Il y en a 4 que je soupçonne, ou même 3 quand je m’imagine la taille de leurs pénis. Dès fois je croise avec insistance leurs regards afin de voir si mon inconnu se trahit. J’ai même tenté d’en regarder un pisser dès fois que je reconnaisse sa zigounette. Il voyait que je le matais, il a dû me prendre pour une pervers si ce n’est pas lui ! Toutefois je suis suffisamment expérimentée pour savoir qu’une queue molle qui urine est bien différente d’une bite en érection. Je me fais des idées à chaque fois qu’ils me matent à leurs tours, surtout en été quand je suis en tee shirt sans soutif. Ne pas savoir continue à me faire mouiller quand je les vois.
Et JF qui se marre. S’il ne meurt pas brutalement au combat pendant la prochaine guerre civile contre les mamelouks et les islamo gauchistes, peut-être me le dira-t-il avant d’avaler son bulletin de naissance, sur son lit de mort. Et là je pourrais m’exclamer : « A putain ! non pas lui…. L’enfoiré… ! ».
Vive la liberté bordel.