Français English
FORUM

Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur Film

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe32

La Confrérie de l'Ordre de la Création Murale

Chers Membres (Bienfaiteurs, bénévoles, donateurs et sympathisants)

Bonjour
Un samedi soir chaud, ensoleillé et doux, il n'en faut pas davantage pour éveiller la créativité de ma compagne.
Elle s'empare de mon Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre un mur. Elle réalise un chef-d'œuvre.
Un chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous : < La création murale, est-elle notre petite joie dominicale ? >

Notre création murale du samedi 13 août, par 23°, vers 20 h52

Alain Perméable

Pour découvrir le chevalier du Dimanche, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Avec notre soif d'apprendre...

< Il est hyper masturbatoire, ton Blog ! > m'affirme t-elle...

LA BELLE HISTOIRE DU DIMANCHE - (Plus longue parce que c'est dimanche) -

< La création murale, est-elle notre petite joie dominicale ? >

J'arrive chez Valérie vers 19 h30. C'est une grande maison, ancienne, très jolie, un peu à la sortie du bourg.
Je gare ma mobylette dans le cabanon du jardin, au fond, là où sont rangés les outils, la tondeuse et la brouette.
Il y a même l'échelle double en aluminium anodisé qui permet la cueillette des fruits du verger et du jardin. Bientôt.
C'est Clémentine qui vient à ma rencontre. La jeune fille m'attendait. C'est elle qui s'occupe des préparatifs.
Clémentine est mon "manager". C'est elle qui gère les affaires, trouvent les spectacles, s'occupe des contrats.
Elle est rejointe par Valérie qui fête ses 19 ans ce soir avec ses copines de la Fuck de Lettres. Fuck de la ville voisine.

Il y aura là une quinzaine de filles désireuses de faire la fête, de s'amuser. Il faut un spectacle de haute qualité.
Je suis donc l'homme providentiel. L'homme de la situation. Mes prestations "Chippendales" sont reconnues. Appréciées.
Le spectacle que je propose est donc devenu, en quelques semaines, une attraction très prisée et recherchée.
Clémentine et Valérie m'emmènent aux toilettes. Les WC feront office de loge où je pourrais me préparer. Faire pipi.
Les festivités sont prévues pour 20 h. J'ai donc juste le temps de me vêtir, de m'échauffer et de m'exercer. Vocalises.
Je prends les deux sacoches de ma mobylette qui contiennent le nécessaire. Les costumes de scène et les accessoires.

Je me revêt de mon costume de scaphandrier. Il faut ajuster le casque, les gants et les lourdes chaussures de plomb.
Clémentine visse le casque et Valérie me branche le tuyau. Je me regarde dans le miroir. C'est du plus bel effet. Classe.
Je monte sur ma mobylette et j'attends le signal. Toutes les filles sont arrivées. J'entends la musique du générique.
Sur un signal de Clémentine, je surgis dans le grand salon. L'effet de surprise est fantastique. C'est un triomphe.
Je descends de ma mobylette pour monter sur l'estrade. Valérie s'empare du micro et monte me rejoindre. Applauses !
< Bonsoir les filles ! Je vous présente notre animateur "maison". C'est le monsieur des saucisses ! > fait Valérie.

Sous un tonnerre d'applaudissements, les filles se mettent à hurler : < La saucisse ! La saucisse ! >. Je suis ému.
Clémentine s'occupe de la musique "Disc-Jockey". C'est donc sur "Aline" de Christophe que je commence ma prestation.
Esquissant mon Moon-Walk, parfaite imitation de celui de Michael Jackson, j'interprète la chanson de Christophe.
C'est un succès. A la fin de la chanson, je suffoque un peu sous mon casque de scaphandrier. Il fait chaud. Mois d'août.
Je continue avec "Yesterday" des Beatles. Avec un french-cancan parfaitement chorégraphié, c'est sublime. Incroyable.
Une fois encore, à peine ai-je terminé ma prestation que c'est une véritable ovation. Les filles sautent et crient. Joie.

Je termine cette première partie par une interprétation en tyrolien ancien de "Formidable". Du chanteur Belge. Stromae.
Cette chanson de Stromae, interprétée en Tyrolien ancien, du XIX ème siècle, connait un véritable triomphe. Immense.
Les filles reprennent le refrain en cœur. Ce n'est pas seulement "Formidable", c'est également magnifique. Applauses !
Les filles, en plein délire, commencent à monter sur l'estrade pour tenter de m'attraper. Ce sont des hurlements. Furies.
Une fille se saisie de mon tuyau sur lequel elle se met à tirer en criant : < La saucisse ! > Le tuyau finit par lâcher.
Perdant le pantalon déchiré de ma combinaison de scaphandrier, je me précipite pour me réfugier aux toilettes. Ouf !

Je peux enfin faire pipi. Pendant ce temps, Valérie fixe mes bas noirs à mon porte-jarretelles noir. Nous rions. Amusés.
Le ravissant petit gilet de cuir noir, que je porte en bustier, est assorti à mes souliers noirs, à talons aiguilles. Sexy.
Clémentine me fixe la belle plume rose, derrière, dans le porte-jarretelles. Je suis prêt pour la seconde partie. Let's go.
C'est avec la chanson "Ne me quitte pas" de Jacques Brel que j'attaque tout en faisant mon fameux Moon-Walk. Fou !
Les filles sont déchaînées. J'interprète la chanson de Jacques Brel en patois Bielo-Russe de l'entre deux guerres. 1932.
Pour être original, je mélange un peu de Serbo-Croate du XIX ème siècle. C'est un véritable déchaînement. Hystérie...

Les filles hurlent, me lancent leurs petites culottes. Valérie passe la serpillère sous les chaises. Il y a des flaques.
Certaines de mes nouvelles admiratrices tentent de m'attraper. On m'arrache mes bas, mon porte-jarretelles. A poil !
Je suis tout nu avec juste la plume derrière. Je suis obligé de me sauver aux toilettes et de m'y enfermer. Sauvé...
Derrière la porte des filles crient, hurlent, frappent : < Le-Branleur, ta saucisse, ta saucisse! > Je prends peur. Trouille.
Heureusement Clémentine est là. Je fais pipi pendant que Valérie ajuste mon string doré à paillettes argentées.
Je porte toujours ce string à l'envers, avec la ficelle devant. Valérie doit donc redoubler d'efforts pour l'ajuster. Bien !

Je reviens pour la dernière partie. Je porte juste mon string , mes bottes noires à talons aiguilles. Et la plume dans le c.
J'attaque avec "Vanina" de Dave dont j'imite les mouvements de plume à la perfection. C'est à nouveau le vrai bordel.
Une fille m'arrache mon string. Je suis obligé de sauter de l'estrade. Clémentine me réceptionne et me rattrape. Fuite.
Valérie fait barrage de son corps et m'entraîne au WC. Nous nous enfermons avec Clémentine et Valérie. A double tour.
Nous attendons que tout se calme. Une demi-heure d'attente. Je reviens pour signer quelques autographes. Fébrile.
Des filles insistent pour que je signe leurs petites culottes. J'ai l'impression d'être les Beatles à moi tout seul.

C'est le rituel des photographies. Je pose au milieu des filles en agitant ma belle saucisse de Morteau. Au fromage.
Finalement, tout le monde s'en va. Valérie est contente. < C'était au-delà de mes espérances ! > me confie t-elle.
Clémentine, en parfait manager, éponge mon front, me mets une serviette sur les épaules et récupère le chèque.
Clémentine m'aide à accrocher les sacoches au porte-bagages de ma mobylette. < Tu as été parfait ! > dit-elle.
< N'oublie pas ! Tu as une soirée "Chippendale" samedi prochain, chez Solène pour ses 19 ans ! > rajoute t-elle....

Tous droits réservés - © - 2016 -

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -

Classe



Pour que le plaisir continue encore un peu, je clique sur chacune des images ci-dessus pour lire ce qui est écrit...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe33

La Confrérie de l'Ordre de la Création Murale

Chers Membres

Bonjour
En évoquant les Membres, hier, dimanche soir, ma compagne s'est saisie du mien pour réaliser son chef-d'œuvre.
Elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre un mur. Ma compagne aime tant se livrer à la création murale.
Nous découvrons ce chef-d'œuvre ci-dessous, intitulé : < La création murale est-elle devenue une sorte d'idéal ? >

Notre création murale du dimanche 14 août, par 23°, vers 20 h58

Alain Posteur

Pour découvrir le chevalier du Lundi, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Avec notre légendaire envie d'apprendre...

< J'en ai qui dégouline sur le pull en goûtant ta saucisse ! > me dit-elle...

HISTOIRE DU LUNDI

< La création murale est-elle devenue une sorte d'idéal ? >

Hier matin, dimanche, j'arrive chez Clémentine. Je gare la mobylette dans le jardin. Les volets sont encore fermés.
Je sonne. Clémentine, toute nue, vient m'ouvrir. Elle m'embrasse avec la bouche pâteuse. Elle baille longuement.
< Viens vite. Entre. Préparons notre pique-nique pour aujourd'hui ! > me fait la jeune fille en m'entraînant par la main.
Je prépare les sandwichs à la saucisse et au fromage. Clémentine prépare les salades et les crudités. Elle est contente.
< C'était superbe, hier soir, ta prestation "Chippendale", chez Valérie. Demain, on regarde les photos ! > me fait-elle.

Lorsque tout est prêt, Clémentine me propose de venir la savonner sous la douche. Je décline son offre avec politesse.
En effet, la vision d'un corps nu, tout mouillé et dans une salle de bain, me coupe tous désir, supprime toutes envies.
J'attends en feuilletant le dernier numéro du "Figaro Madame". La rubrique "Jardinage" qui attire toute mon attention.
Clémentine revient. Elle est vêtue d'une belle robe légère. Avec un bustier de coton ajouré et chaussée de sandalettes.
< Comment tu me trouves ? > me demande Clémentine en tournoyant, ce qui découvre sa merveilleuse touffe poilue.

Nous voilà en route pour aller pique-niquer. Clémentine conduit la mobylette, fonçant à plus de 40 km/h sur la route.
Je suis assis derrière, sur le porte bagage. J'ai les mains sous la robe de la jeune fille. Je me tiens à ces longs poils.
Nous croisons deux filles, cyclistes, à bicyclette, qui, découvrant le spectacle, nous font "coucou" de la main en souriant.
Clémentine avise un magnifique petit coin de verdure dans l'enclos d'une de ces typiques petites chapelles Bretonnes.
Je dispose les Tupperwares dans l'eau fraîche d'un ruisseau qui coule à l'ombre des bosquets. Il fait chaud, il fait doux.

Clémentine étend la nappe dans l'herbe. < Regarde ! > me fait-elle en se mettant de trois quart pour pisser par jets.
Elle lâche plusieurs petits jets dont l'or brille dans les rayons du soleil. Un magnifique spectacle qui sait m'émouvoir.
< Tes sandwichs à la saucisse et au fromage, c'est quoi, aujourd'hui ? > me demande la jeune fille, cuisses écartées.
Je déballe ma saucisse à gratin. < Put-hein, comme elle pue ! C'est sans doute la chaleur ! > me fait Clémentine, ravie.
< C'est quoi le fromage, au bout ? De la "Vache qui rit" ? > me demande t-elle encore en humant les parfums du truc.

J'observe Clémentine entrain de renifler les effluves parfumées de ma saucisse à gratin. L'air écœurée, elle goûte.
Clémentine passe la langue pour récupérer le fromage gluant. Cela fait de longs filaments. La jeune fille semble ravie.
< Elle pue, c'est dégueu, mais comme j'aime ! > fait-elle en savourant, les yeux fermés, poussant des gémissements.
Rapidement, Clémentine a du jus de ma saucisse à gratin qui lui dégouline autour de la bouche, sur le menton, le cou.
Je lui passe une serviette en papier. La jeune fille, repue, s'essuie la bouche. < Quel bonheur ! > fait-elle, heureuse.

Nous passons une agréable matinée. Couchée à plat ventre, la tête entre les cuisses de Clémentine, je prends l'apéro.
Je lui lèche longuement le minou. Avec la chaleur, l'odeur est aussi savoureuse que les goûts. C'est absolument divin.
J'entends Clémentine gémir de plaisir. Elle est couchée sur le dos en me maintenant par les oreilles. C'est délicieux.
Elle finit par se lâcher dans un orgasme fabuleux. Comme à chaque fois, Clémentine tente de me repousser. Je résiste.
Je lui impose un second tour qu'elle accepte avec volupté presque immédiatement. Après m'avoir pissé dessus. Salope...

Bonne saucisse à gratin pour toutes et tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe34

La Confrérie de l'Ordre de la Création Murale

Chers Membres

Bonjour
Le lundi soir, surtout lorsqu'il est chaud, est le soir de l'inspiration absolue pour ma compagne qui se met à créer.
Elle s'empare alors de mon Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre un mur, réalisant le chef-d'œuvre.
Le chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous, intitulé : < La création murale est-elle l'objet d'un jeu électoral ? >

Notre création murale du lundi 15 août, par 23°, vers 20 h56

Alain Pertinent

Pour découvrir le Chevalier du mardi, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Avec le profond désir de s'instruire...

< Tu n'a pas honte ? Tu as senti comme elle schlingue ? > me fait-elle...

HISTOIRE DU MARDI

< La création murale est-elle l'objet d'un jeu électoral ? >

Hier, lundi, j'arrive chez Clémentine de très bonne heure. Je mets ma mobylette sur béquille devant la porte de la cave.
Clémentine me reçoit : < Viens vite, j'ai sélectionné les photos de la soirée "Chippendale" de samedi ! > me fait-elle.
J'entre à la cuisine. Sur l'écran de l'ordinateur, en mode "Diaporama", défilent de superbes photographies. C'est beau.
< Tiens, prépares donc les sandwichs au saucisson pour notre pique-nique ! > demande Clémentine en m'embrassant.
La jeune fille prépare les crudités et les salades qu'elle dispose dans des Tupperwares. Nous observons les photos...

Sur les clichés, on me découvre dans mes différents numéros. En combinaison de scaphandrier, dansant le Moon-Walk.
En porte-jarretelles, avec la plume dans le cul, entrain de faire mes imitations. Les photos où je suis entouré des filles.
Certaines me tiennent par la taille, certaine me tiennent par les épaules. D'autres encore sont accroupies à mes genoux.
Là, au milieu on peut me voir, agitant jésuitiquement ma saucisse de Morteau dont le jus gicle partout. Et le fromage.
< Elles sont biens, hein ? > me demande clémentine en me sortant la queue pour l'agiter, faisant gicler le fromage...

Nous voilà en route. Cette fois-ci, c'est moi qui conduit la mobylette. Clémentine, assise derrière, me tient par la bite.
Ses mains dans mon short, elle me branle un peu en me criant des cochonneries à l'oreille. Nous fonçons à 40 km/h.
J'avise un endroit absolument charmant. A l'orée d'une épaisse forêt de hêtres. Il y a une petite rivière qui coule.
Pendant que Clémentine étend la nappe dans l'herbe, je dispose les Tupperwares dans l'eau fraîche de la petite rivière.
La jeune fille, accroupie sur un petit dolmen, me fait : < Mâte un peu, mon salop ! > Elle lâche plusieurs jets de pisse.

Elle revient et me fait encore : < Tu as quoi comme saucisse, aujourd'hui ? > Je déballe ma belle saucisse Albigeoise.
< Comme elle est belle. C'est quoi au bout ? Du camembert ? > Je lui révèle la nature du fromage que je laisse au bout.
Clémentine, à genoux dans l'herbe, renifle longuement les effluves parfumées de ma saucisse Albigeoise. Elle glousse.
< Tu es un vieux salop ! > fait-elle avant de goûter. Rapidement, sa mine ravie fait place à son écœurement. Elle aime.
Après sa dégustation, s'essuyant le jus autour de la bouche, elle dit : < Délicieux ! Tu me lèches le minou après ? >...

Bonne saucisse Albigeoise à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe35

La Confrérie de l'Ordre de la Création Murale

Chers Membres

Bonjour
Ma compagne a une préférence pour ses créations du mardi soir. Elle me sort le Zob et, dans la douceur, se met à créer.
Me tenant la bite pour en diriger le jet contre un mur, elle s'applique à réaliser le plus somptueux chef-d'œuvre. Ravie.
Un chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous et intitulé : < La création murale, a t-elle un caractère spécial ? >.

Notre création murale du mardi 16 août, par 23°, vers 20 h57

Alain Pôt

Pour découvrir le Chevalier du Mercredi, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Avec le désir fort de s'instruire...

< Jamais, tu la laves, pue du Zob ? > me demande t-elle avec un clin d'œil...

HISTOIRE DU MERCREDI

< La création murale, a t-elle un caractère spécial ? >

J'arrive chez Clémentine. Je gare ma mobylette dans le jardin. La jeune fille se précipite pour venir m'embrasser. Joie.
< Viens vite, on se prépare la bouffe pour notre pique-nique ! > me fait-elle en m'entraînant par la main. Heureuse.
A la cuisine, sur la table, il y a une dizaine de tirages papier de quelques photographies prises samedi soir. Très belles.
Je prépare les sandwichs au thon-mayonnaise. Clémentine prépare les salades dans des Tupperwares. Tout est rapide.
Nous voilà prêts. J'accroche le panier à provision au guidon de la mobylette. C'est Clémentine qui va nous conduire...

Assis sur le porte-bagages, à l'arrière, j'ai passé mes mains sous la jupette de Clémentine. Je me tiens bien aux poils.
J'en profite pour jouer doucement avec son clitoris. La jeune fille roule à un vitesse folle. Sans doute à fond. 40 km/h.
Nous découvrons un endroit réellement charmant. Nous sommes déjà venus dans l'enclos de cette belle petite chapelle.
Un de ces nombreux petits édifices Bretons, classés au patrimoine historique en pierres de granit, aux tuiles d'ardoise.
Je dispose les Tupperwares dans l'eau fraîche du ruisseau qui coule. Clémentine étend la nappe à carreaux dans l'herbe.

La jeune fille, tout en riant, monte sur le muret. Cuisses largement écartées, elle nous lâche une série de jets de pisse.
Le jet semble jaillir des tréfonds de cette invraisemblable belle touffe épaisse que Clémentine porte façon "Portugaise".
Elle reste ainsi. Elle est vêtue de sa petite jupette tennis, plissée, de son T-shirt moulant et chaussée de ses baskets.
< Tu aimes me voir faire ma salope ? > me demande t-elle en se masturbant doucement. Je prends quelques clichés.
< Tu as quoi comme saucisson, aujourd'hui, mon vieux cochon ? > me fait-elle en lâchant un dernier petit jet précis...

Je lui déballe mon salami aux quatre poivres. < Wouah ! C'est ça qui sentait aussi fort ? > demande la jeune fille, ravie.
< C'est quoi, au bout, les petits grumeaux jaunâtres qui collent ? > fait-elle encore, accroupie, pour renifler le salami.
Je lui révèle la nature des grumeaux jaunâtres lorsqu'elle goûte. Elle cesse, s'essuie le jus et s'écrie : < Vieux salop ! >
< J'adore le salami. Et puis ça change un peu ! > fait Clémentine en déglutissant avec peine. Elle se redresse, ravie.
Ave des petits grumeaux jaunâtre collés autour de la bouche, elle me fait : < On nique après notre pique-nique ? >...

Bon salami aux quatre poivres à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Dresseur de saucisses) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe36

La Confrérie de l'Ordre de la Création Murale

Chers Membres

Bonjour
Ma compagne se marre à chaque fois qu'elle voit le mot "Membre" sur le forum. Aussi, elle s'empare de mon Zob, riant.
Elle me tient alors la bite pour en diriger le jet contre un mur. Comme elle rigole, cela secoue. C'est un chef-d'œuvre.
Un chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous : < La création murale, est-elle une émanation théatrale ? >.

Notre création murale du mercredi 17 août, par 20°, vers 20 h37

Aain Primeur

Pour découvrir le Chevalier du jeudi, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Avec le désir fou de s'instruire...

< Elle pue, tu n'as pas honte ? > m'affirme t-elle, péremptoire...

HISTOIRE DU JEUDI

< La création murale, est-elle une émanation théatrale ? >

Hier matin, j'arrive chez Clémentine de bonne heure. Je gare ma mobylette dans le jardin. La jeune fille m'embrasse.
< Viens, entre vite, je suis entrain de faire de l'essayage ! > me fait-elle en m'entraînant dans la chambre à coucher.
Sur le lit, plein de vêtements épars. < Avec cette météo, je te propose une "expédition" exhib ! > me fait Clémentine.
Je suis assis dans la chaise à bascule et j'observe la jeune fille essayer des jupes, des robes. J'adore m'occuper ainsi.
< Tu es un amour ! Tu es le seul homme que je connaisse qui a tant de patience ! > fait-elle en me faisant une bise.

Finalement, au bout d'une demi heure, le choix de la jeune fille se porte sur une robe en lin. Légère, écrue et cintrée.
Un bustier très léger, de style "Boléro" et d'élégantes sandales à petits talons achèvent de la rendre belle et attractive.
Clémentine esquisse un pas de danse. Elle fait tournoyer sa robe ce qui dévoile sa superbe touffe épaisse et fournie.
Elle termine son pas de danse dans mes bras. Je la soulève de terre, continuant à la faire tournoyer. Elle m'embrasse.
Nos partons pour la ville avec sa vieille bagnole. Clémentine me demande de rouler, ainsi elle peut jouer avec ma bite.

Nous arrivons au supermarché. Clémentine veut absolument pousser le caddie. Je marche à ses côtés. Rayon vêtements.
Là, entre le caddie et les slips homme, la jeune fille, accroupie, peut s'exhiber discrètement. Je reste à l'écart. Le jeu.
Il y a un quidam, quadragénaire, qui passe en poussant son chariot. Il découvre le magnifique spectacle. Et la touffe...
Il passe. Il repasse. Clémentine fait son show avec sa virtuosité habituelle. L'inconnu est rejoint par une femme. Fini.
Arrive un autre. Il découvre lui aussi, le divin spectacle. C'est le style casse-couilles. Il engage la conversation. Boulet.

Clémentine, excédée par l'attitude du quidam se redresse et change de rayon. Bien sûr, l'emmerdeur se met à la coller.
Clémentine vient me rejoindre. Le type se casse sans continuer à la faire chier. Nous continuons notre petit manège.
Une fois de retour à la voiture, Clémentine me demande : < Tu as quoi comme saucisse au fromage, aujourd'hui ? >.
Je déballe ma saucisse de Biot. < Put-hein, comme elle pue ! > fait-elle en se penchant pour la renifler. Elle goûte.
En s'essuyant le jus, Clémentine me fait : < Le frome est dégueu. Cet aprème, exhib en Musée ! > Elle secoue le truc...

Bonne saucisse de Biot à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Dresseur de saucisses) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe37

La Confrérie de l'ordre de la Création Murale

Chers Membres

Bonjour
Riant aux éclats, lorsque j'évoque les "Membres", ma compagne me dit : < Passe-moi donc le tien de "Membre" ! >
Mon Zob dans la main, elle me tient la bite pour en diriger le jet contre un mur. < Et voilà le travail ! > me fait-elle.
Je découvre un chef-d'œuvre. Le chef-d'œuvre ci-dessous : < La création murale, peut-elle rendre d'humeur joviale ? >

Notre création murale du jeudi 18 août, par 20°, vers 20 h32

Alain Provisation

Pour découvrir notre Chevalier du vendredi, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Avec le désir de s'instruire...

< J'aime tant la savourer longuement ! > me dit-elle avec un clin d'œil...

HISTOIRE DU VENDREDI

< La création murale, peut-elle rendre d'humeur joviale ? >

Hier matin, j'arrive chez Clémentine qui m'attend dans le jardin. J'ai juste le temps de garer ma mobylette. Gros bisous.
< Viens vite, je fais de l'essayage pour mes exhibs d'aujourd'hui ! > fait-elle en riant et m'entraînant dans la chambre.
Là, sur le lit, sont étalés quelques vêtements. Clémentine porte une robe carmin très élégante. Elle m'observe, ravie.
< Qu'est-ce que tu en penses ? Avec une veste légère ? > me demande t-elle. Je trouve cela exquis et très élégant.
Clémentine enfile ses sandales à légers talons. Je confirme qu'elle est merveilleuse. Elle me fait une bise sur le front.

< Tu as quoi comme saucisse, en apéro, ce matin ? > me demande la jeune fille en me faisant un clin d'œil appuyé.
Je lui déballe mon salami aux herbes. < Put-Hein ! Pas dans la chambre à coucher, ça schlingue ! > s'écrie Clémentine.
< Et puis, c'est quoi, au bout ? On dirait de la fondue savoyarde qui colle ! > fait-elle. Je lui révèle la nature du frome.
Clémentine renifle longuement mon salami aux herbes avec un air écœuré. < Je goûte à midi ! > fait-elle, dégoûtée.
Nous prenons sa vieille Toyota Yaris. La jeune fille me demande de rouler. Comme ça, elle peut me tripoter la queue.

Clémentine me propose de commencer par une exhib en salon de thé. Nous avisons un salon de thé en centre ville.
Nous sommes assis à une table, en retrait, au fond. Nous avons commandé deux petits cafés. Il y a très peu de monde.
A une table, en face, il y a un couple. La dame nous tourne le dos. Par contre le monsieur observe sous notre table.
Clémentine m'explique, en chuchotant, qu'elle a les cuisses largement écartées. Elle se touche discrètement, amusée.
Je tourne le dos au couple. Je mâte dans la vitre de mon smartphone. Le mec mâte à la limite de l'apoplexie. Consterné.

Le show dure un bon quart d'heure. Clémentine, en chuchotant, me dit : < Si je n'arrête pas, je m'offre un orgasme ! >
Le couple se lève et s'en va. Nous décidons de faire de même. Nous décidons une visite à la FNAC. Opportunités...
Clémentine, accroupie au rayon des livres de cuisine, offre aux rares privilégiés, quelques grands moments d'exhibitions.
L'ambiance feutrée du lieu est propice aux prestations discrètes de la jeune fille. Il est midi, nous retournons à l'auto.
< Donne moi ton salami aux herbes, j'ai une petite faim ! > fait la jeune fille en dégustant le jus qui se met à couler...

< Put-hein ! Comme il est juteux, ton salami. Par contre, le fromage, au bout, est dégueu ! > me fait Clémentine, ravie.
Dans le rétroviseur que j'ai baissé, j'observe les expressions d'enchantements sur les traits de la jeune fille se régalant.
Clémentine pousse de petits cris de ravissements. Les yeux fermés, elle savoure mon salami aux herbes, et au fromage.
Je roule doucement en direction de la zone commerciale. Je gare la voiture sur le parking de la Halle aux Chaussures.
Clémentine se redresse. Elle s'essuie le jus et me fait : < Une super "plan". Je vais essayer des godasses. Exhibs ! >...

Bon salami aux herbes à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe38

La Confrérie de l'Ordre de la Création Murale

Chers Membres

Bonjour
Une fois encore, en découvrant le mot "Membre", ma compagne éclate de rire. Elle se saisie du mien, de mon membre.
Mon Zob dans la main, elle me tient la bite pour en diriger le jet contre un mur, réalisant un nouveau chef-d'œuvre.
Un chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous : < La création murale, est-elle marquée en lettres capitales ? >.

Notre création murale du vendredi 19 août, par 20°, vers 20 h43

Alain Pudent

Pour découvrir le Chevalier du Samedi, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Avec l'envie folle de s'instruire...

< J'adore y mettre mon nez, car l'odeur forte m'enivre ! > m'affirme t-elle...

HISTOIRE DU SAMEDI

< La création murale, est-elle marquée en lettres capitales ? >

Hier matin, vendredi, j'arrive chez Clémentine qui m'attend dans le jardin. Elle se précipite pour m'embrasser, heureuse.
< Tu n'oublies pas que ce samedi soir, tu fais l'animation à la soirée "Filles" chez Solène ! > me rappelle Clémentine.
Je gare ma mobylette en rassurant la jeune fille. Cette dernière est à la fois mon "manager" et mon agent artistique.
Clémentine m'entraîne à la cuisine. < Préparons la bouffe pour notre pique-nique d'aujourd'hui ! > me fait la jeune fille.
Je beurre le pain des sandwichs, j'y dépose les tranches de jambon. J'y étale un peu de moutarde. Clémentine observe.

La jeune fille a préparé les salades qu'elle a disposé dans des Tupperwares. Nous mettons le tout dans le petit panier.
Clémentine insiste pour conduire la mobylette. Je suis assis sur le porte-bagages, à l'arrière, mes mains sous sa jupe.
Je me tiens fermement aux poils puibens de la jeune fille qui fonce à plus de 40 km/h sur les routes de campagne.
Nous arrivons au bord du lac. Clémentine étend la nappe bleue à carreaux Vichy dans l'herbe, me montrant sa foufoune.
Je mets les tupperwares dans l'eau du lac. Je reviens. Clémentine me fait : < Regarde un peu ! > Elle pisse en riant.

< Demain soir, samedi, tu te déguises en quoi ? > demande la fille en lâchant plusieurs jets de pisse loin devant elle.
Je refuse de gâcher l'effet de surprise. Je précise que c'est un secret qui sera révélé dans la belle histoire du dimanche.
< Et ta saucisse d'aujourd'hui ? C'est un secret aussi ? > me demande Clémentine en mettant sa main dans mon short.
Je lui déballe ma saucisse de Toulouse. Avec la chaleur, elle colle un peu sur le tissus de son emballage. Bien gluante.
< Et c'est quoi, l'espèce de Maroilles au bout ? > demande la jeune fille en se pinçant le nez, prenant son air écœuré.

Clémentine, à genoux dans l'herbe renifle longuement ma saucisse de Toulouse. Je lui tourne la saucisse sous le nez.
< On sent que c'est toi, ça se sent que c'est toi ! Oui, c'est bien toi ! > me fait-elle, chantant le tube de Téléphone.
Nous rions de bon cœur de cette imitation du chanteur Jean-Louis Aubert. Clémentine goûte ma saucisse de Toulouse.
Elle savoure longuement, déglutissant avec peine, en poussant d'adorables petits cris de ravissement. Le jus lui coule.
S'essuyant la bouche, Clémentine me fait encore : < C'est un secret aussi, la saucisse "Chippendale"de demain soir ? >

Bonne saucisse de toulouse à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe39

Les fantômes de Jean Navet et Jean Néplus - (Pour changer un peu des autres jours de la semaine) -

Chers amis

Bonjour
Ma compagne ne croit pas vraiment aux revenants et aux fantômes. Elle est dans le réel avec ses pieds bien sur terre.
Elle préfère se saisir de mon Zob. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre un mur. Réalisant un chef-d'œuvre.
Un chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous et intitulé : < La création murale. Idéale pour faire le Chippendale >.

Notre création murale du samedi 20 août, par 19°, vers 20 h39

Notre belle création murale de hier, samedi, portrait de fantômes...

Pour voir les deux fantômes qui se superposent, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Avec fébrilité et impatience...

< Ta saucisse est puante, comme tous les jours. Mais je l'aime ! > me dit-elle...

LA BELLE HISTOIRE DU DIMANCHE - (Plus longue parce que c'est dimanche) -

< J'assure ma prestation Chippendale chez Solène >

Comme convenu, samedi j'arrive chez Solène pour 19 h30. Clémentine est déjà là. Les deux filles sont dans le jardin.
Clémentine et Solène m'invitent à les suivre. Je gare ma mobylette dans la descente de la cave. Pour la discrétion.
Je décroche les deux sacoches arrières qui contiennent mes costumes, mes accessoires et mon maquillage. Mon matose.
Nous allons tous les trois aux toilettes. En effet, comme souvent, ce seront les WC qui me serviront de loge. Parfait.
Enfermés, Clémentine, Solène et moi, nous préparons mon premier costume. Clémentine le met sur un cintre. Repassé.
Clémentine est mon "manager" et mon "agent artistique". C'est elle qui s'occupe des contrats, de la logistique. Efficace.

Il est 20 h. Nous entendons les invitées qui arrivent. C'est une soirée "Filles". C'est l'anniversaire de Solène. Etudiante.
Il y aura une quinzaine de filles. Des étudiantes en première année de la Fuck de médecine. Une soirée privée. Secrète.
Solène fête ses 19 ans. Chose qui n'arrive qu'une seule fois dans une vie. Il faut donc marquer cet évènement. Précieux.
Il est 20 h15. Clémentine fait "Disc-Jockey". C'est sur "Les copains d'abord" de Georges Brassens que je fais mon entrée.
Je suis revêtu de mon costume de Dark Vador. Je suis chaussé de mes palmes de plongée. Je porte le masque. Superbe.
Je fais mon entrée sur ma mobylette pétaradante en agitant mon sabre laser. C'est un tonnerre d'applaudissements.

Solène est sur l'estrade. Elle présente le programme de la soirée. L'assistance écoute religieusement. Dans le silence.
Je suis prêt. J'éteins le moteur de ma mobylette de manière théâtrale en exagérant chacun de mes mouvements lents.
< Bonsoir les filles. Je vous présente LE-BRANLEUR, le monsieur des saucisses ! >. C'est un vrai accueil chaleureux !
Les filles applaudissent en criant : < La saucisse ! La saucisse ! On veut la saucisse ! > Je suis très ému et touché.
Je sors ma saucisse de Morteau que j'agite devant l'assistance en délire. Avec la chaleur, il y a du jus qui coule parterre.
< C'est quoi, au bout, on dirait des petits bouts d'omelette collés ? > me demande Solène en me chuchotant à l'oreille.

Je saute sur l'estrade. Je commence à chanter en dansant mon "Moon-Walk", une parfaite imitation de Michael Jackson.
Les filles reprennent le refrain avec moi : < Les copains d'abord >. C'est la perfection. Un véritable triomphe. Emotion.
Les filles applaudissent à tout rompre. Je continue avec < Que je t'aime > de Johnny Hallyday. Phénoménal ! Grandiose.
Je continue par < Je l'aime à mourir > de Francis Cabrel. Dans l'assistance, je peux sentir monter une certaine tension.
Je m'accompagne au banjo, frappant le sol de ma palme du pied gauche. Je fais l'homme orchestre. Une perfection.
Je chante Francis Cabrel en patois Bavarois ancien, du XIX ème siècle. Ce qui étonne et enchante les filles qui crient.

Dans l'assistance, c'est le délire. Des filles essaient de m'attraper par mon sabre laser ou par le bas de ma cape noire.
Une d'entre elles, que j'ai remarqué très remuante, essaie même de m'attraper par ma saucisse de Morteau. Au frome.
Heureusement, avec la chaleur des projecteurs, ma saucisse de Morteau est gluante. Elle lui glisse dans les mains.
Clémentine et Solène m'entraînent au WC afin de me mettre à l'abri des assauts de toutes ces filles en furie. Follie.
J'en profite pour faire pipi. Cela fait bien une demi-heure que je dois faire pipi. Solène m'enfile mon string dorée.
Comme toujours, je porte mon string à l'envers, la ficelle devant. Aussi, Solène a un peu de mal à ajuster l'ensemble.

Clémentine me place la grande plume rose derrière. Je chausse mes bottes de jardiner en caoutchouc gris. C'est beau.
Dehors, les choses semblent s'être calmées. Je reviens pour la seconde partie de ma prestation. Le silence est revenu.
C'est sur "Let it be" des Beatles que j'attaque tout en faisant un pas de "French-Cancan" endiablé. Un vrai triomphe.
Je remue du cul. Ce qui a pour effet de faire bouger la grande plume rose fixée derrière, à mon string pailleté et doré.
L'assistance reprend le refrain avec moi. Le bordel recommence. Une fille essaie de s'emparer de ma plume. Trouille !
Je continue avec < Félicie aussi > de Fernandel en m'accompagnant au triangle et à la guimbarde. C'est une ovation...

Des filles montent sur l'estrade pour tenter de se saisir de ma personne. Elles m'arrachent mon string doré à paillettes.
Me voilà nu, juste chaussé de mes bottes de jardinier. Je saute de l'estrade, échappant de justesse aux furies. J'ai peur.
Clémentine et Solène m'entraînent à nouveau à l'abri. Nous nous enfermons dans les WC. Je suis sauvé et protégé.
Des filles frappent contre la porte en criant : < On veut la saucisse ! On veut la saucisse ! > Je prends à nouveau peur.
Clémentine m'aide à enfiler mon costume de Mickey. Je mets mon masque de Donald. Je suis à nouveau prêt. Suite.
Lorsque tout est calme, je reviens pour terminer ma prestation. Je grimpe sur l'estrade. Très vite, c'est déjà le bordel.

Je commence par < Paint in Black > des Rolling Stones. C'est immédiatement le délire. Les filles chahutent, hurlent.
Solène passe la serpillère sous les chaises. Des petites culottes volent dans tous les sens. Je suis Mick Jagger No 2.
A nouveau, sans même pouvoir terminer "Gabriel" de Johnny, je suis obligé de quitter les lieux en catastrophe. Et vite.
Nous sommes à nouveau enfermés dans les cabinets. Pendant que je fais pipi, Solène m'enlève mon costume humide.
Au bout d'un quart d'heure, le calme semble revenu. Je peux enfin ressortir. Les filles commencent à partir. Sérénité.
Certaine me tendent leurs petites culottes afin que j'y appose un autographe. C'est la gloire et la célébrité. Star !

Il est temps de faire l'obligatoire séance photo au milieu des filles. Je pose déguisé en Adam, avec la feuille de vigne.
Des filles me tiennent par la taille. D'autres me tiennent par les épaules. D'autres encore sont accroupies ou à genoux.
Moi, jésuitiquement, debout au milieu, j'agite ma superbe saucisse de Morteau dont le jus dégouline sur quelques têtes.
Une fois seuls, Clémentine m'éponge le front et me dépose une serviette sur les épaules. Solène fait le chèque. Stylo.
< Tu as été parfait ! Samedi prochain, tu assures la soirée chez Christelle ! > me fait Clémentine agitant le contrat.
Clémentine, mon "manager" signe un tas de contrats pendant que je fais mon spectacle. Une femme d'affaire. 50 / 50

Tous droits réservés - © - 2016 -

Le créateur mural - (Dresseur de saucisses) -

Classe



Pour que la magie continue encore un peu, je clique sur les deux belles images ci-dessus...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe40

La Confrérie de l'ordre de la Création Murale

Chers Membres

Bonjour
Rien à faire, à chaque fois que j'écris le mot "Membre", ici, sur ce superbe forum, ma compagne se met à rigoler.
Elle attrape mon "Membre". Elle me tient le "Membre" pour en diriger le jet contre un mur. C'est un chef-d'œuvre.
Un chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous : < La création murale, est-elle d'une sensibilité sentimentale ? >

Notre création murale du dimanche 21 août, par 24°, vers 20 h54

Alain Pureté

Pour découvrir le Chevalier du Lundi, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Avec le désir sincère de s'instruire...

< C'est quoi, cette puanteur ? > me demande t-elle avec un clin d'œil...

HISTOIRE DU LUNDI

< La création murale, est-elle d'une sensibilité sentimentale ? >

Hier matin, j'arive chez Clémentine de bonne heure. Je gare ma mobylette dans le garage. Clémentine m'embrasse.
< Viens vite, j'ai les photos de ta prestation "Chippendale" de samedi soir ! > me fait-elle en m'entraînant à l'intérieur.
Là, dans la cuisine, sur la table, sur l'écran de l'ordinateur, en mode "Diaporama", défilent les magnifiques photos.
On peut me découvrir en spectacle, déguisé en Dark Vador, chaussé de mes palmes de plongée, entrain de chanter.
Sur d'autres clichés, les filles m'entourent. Je suis vêtu de mon déguisement d'Adam, agitant ma saucisse de Morteau.

< Aujourd'hui, nous partons en pique-nique au bord de la mer. Tu prépares les sandwichs ? > me demande Clémentine.
Pendant qu'elle prépare les salades, je prépare les sandwichs à la saucisse de Baccarat. Une spécialité rare et fameuse.
Nous admirons le défilement des photographies. Celle où je suis déguisé en Mickey, avec le masque de Donald. Super !
Le point d'orgue sont les clichés où on me voit chanter Johnny vêtu de mon collant mauve, en string avec la plume rose.
Lorsque nous avons terminé, nous disposons le tout dans le panier en osier. Panier que j'accroche à la mobylette.

Nous voilà en route. Comme toujours, c'est Clémentine qui conduit la mobylette. Je suis assis à l'arrière, je me tiens.
J'ai passé mes mains sous la jupe de la jeune fille. Je la tiens fermement par les poils pubiens. Je sens son clitoris.
Clémentine s'arrête au bord d'une petite rivière qui se jette, un peu plus loin, dans l'océan. C'est la marée basse.
Je dispose les Tupperwares dans l'eau pendant que la jeune fille étend la nappe dans l'herbe. < Regarde ! > fait-elle.
Là, accroupie, cuisses écartées, Clémentine lâche de copieux jets de pisse qui viennent se briser loin devant elle. Super !

< Tu as quoi comme saucisse en entrée, aujourd'hui ? > me demande la jeune fille en terminant son superbe spectacle.
Je déballe ma saucisse de Baccarat. < Elle est belle. L'espèce de fromage, collé au bout, c'est normal ? > me fait-elle.
Clémentine reste accroupie. Je m'approche pour lui passer ma saucisse de Baccarat sous le nez. Elle en respire l'odeur.
< Tu n'es pas seulement dresseur de saucisse, créateur mural, tu es aussi un Maître fromager ! > me fait Clémentine.
Elle savoure longuement. S'essuyant le jus autour de la bouche, elle me dit : < J'en reprends pour le dessert ! >...

Bonne saucisse de Baccarat à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Dresseur de saucisses) -

Classe



Bien évidemment, en cliquant sur les merveilleuses images, je découvre, émerveillé, ce qui est écrit dessus...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe41

La Confrérie de l'Ordre de la Création Murale

Chers Membres

Bonjour
Ma compagne est encore entrain de rigoler à la lecture du mot "Membres". Elle se saisie alors du mien de "Membre" !
Elle me tient le "Membre" pour en diriger le jet contre un mur. N'hésitant pas à me secouer la bite pour le chef-d'œuvre.
Le chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous : < La création murale, il ne faut pas s'en mettre sur le futal >

Notre Création Murale du lundi 22 août, par 23°, vers 20 h49

Alain Putrescible

Pour découvrir le Chevalier du Mardi, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Avec le désir fort de s'instruire...

< Parce qu'elle est belle et qu'elle sent très fort ! > m'avoue t-elle en riant...

HISTOIRE DU MARDI

< La création murale, il ne faut pas s'en mettre sur le futal >

Hier matin, lundi, j'arrive chez Clémentine de bonne heure. La jeune fille m'attend dans le jardin et vient m'embrasser.
Je gare ma mobylette à la cave. < Viens vite, mon grand fou, on se prépare le pique-nique d'aujourd'hui ! > me fait-elle.
Nous entrons dans la cuisine. Je prépare les sandwichs à la saucisse du Puy et au fromage. Clémentine fait les salades.
Lorsque tout est prêt, nous disposons nos victuailles dans le panier en osier. Je le suspends au guidon de la mobylette.
C'est Clémentine qui conduit. Moi, comme toujours, je suis assis derrière, me tenant à ses poils pubiens. Nous fonçons.

Nous avisons un magnifique endroit de verdure aux côtés d'un étang. Il y a un vieux pêcheur à la ligne sur l'autre bord.
Je mets les Tupperwares dans l'eau. Clémentine étend la nappe à carreaux Vichy dans l'herbe. Elle me prend la main.
< Viens, regarde, je vais faire un show ! > Clémentine, accroupie, cuisses écartées, bien devant le pêcheur lâche un jet.
Là-bas, à plus de 100 mètres, le vieux pêcheur n'en croit pas ses yeux. Il regarde, bouche ouverte, ses yeux écarquillés.
A la limite de l'apoplexie, le vieux observe ce magnifique spectacle. Clémentine en profite pour pisser de nombreux jets.

Vêtue d'une robe légère, Clémentine a toutes les facilités pour s'exhiber dans les toutes meilleures conditions. Un must.
Lorsqu'elle a fini, elle vient me rejoindre derrière le bosquet où je suis caché. Bises. < Je suis excitée ! > me fait-elle.
Je touche sa cramouille dont l'épaisse touffe de poils dégouline encore de pisse. Je l'essuie avec un mouchoir en papier.
Nous regardons au delà de l'étang. Le vieux pêcheur est concentré sur le flotteur de sa ligne à la surface de l'eau calme.
< Tu me fais l'amour après ? > me demande Clémentine, presque implorante. Je la rassure et lui promets de l'aimer...

< Tu me fais goûter à la saucisse du Puy que tu as apporté ? > demande Clémentine, sa main fouillant dans mon slip.
Je déballe ma superbe saucisse du Puy. Avec la chaleur, le bout gluant colle dans le tissus. L'odeur est vraiment forte.
Des mouches commencent à tourner autour de ma saucisse du Puy. < C'est quoi le frome au bout ? > fait Clémentine.
Je lui révèle la nature du fromage fondu qui colle au bout. Je chasse les mouches. Clémentine goûte. Le pêcheur mâte.
Au bout de dix minutes, s'essuyant le jus, Clémentine me fait : < C'est un vrai régal. J'en reprends pour le dessert ! >

Bonne saucisse du Puy à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Dresseur de saucisses) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe42

La Confrérie de l'Ordre de la Création Murale

Chers Membres

Bonjour
Une fois encore ma compagne est pliée de rire en me voyant utiliser le terme "Membre". Elle prend mon "Membre".
< Viens ! Donne-moi donc ton membre ! > me fait-elle en me tenant le membre pour en diriger le jet contre un mur.
Créant le chef-d'œuvre que nous retrouvons ci-dessous : < La création murale, qu'à t-elle de vraiment spécial ? >

Notre création murale du mardi 23 août, par 24°, vers 20 h52

Alain Pulsif

Pour découvrir notre "Alain" du mercredi, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Avec le désir de s'instruire...

< Même si elle schlingue, j'aime la sentir ! > m'affirme t-elle en souriant...

HISTOIRE DU MERCREDI

< La création murale, qu'à t-elle de vraiment spécial ? >

Clémentine m'attend dans le jardin. Impatiente de me revoir. Lorsque j'arrive elle me saute dans les bras, m'embrasse.
J'ai à peine le temps de poser ma mobylette contre le mur sous la fenêtre de la véranda, qu'elle m'entraîne à l'intérieur.
< Prépare donc nos sandwich à la saucisse pendant que je prépare les salades ! > me fait Clémentine, très autoritaire.
J'aime son côté "patronne" et ses initiatives toujours heureuses. Aussi, c'est avec célérité que j'obtempère en silence.
Lorsque nous avons terminé, nous disposons le tout dans le panier en osier que j'accroche au guidon de la mobylette.

C'est Clémentine qui conduit. C'est moi qui suis assis derrière. La jeune fille aime piloter la mobylette à toute allure.
C'est à plus de 40 km/h. Nous fonçons. Il fait beau, il fait chaud. Nous transpirons sous nos casques. C'est magnifique.
Clémentine s'arrête près d'un ruisseau. Il y a un petit carré de pré. Derrière la palissade, il y a des vaches qui broutent.
< Oh ! Tu me broutes aussi, après ? > fait Clémentine en étendant la nappe à carreaux Vichy dans l'herbe verte du pré.
Je lui fait un sourire et un signe de la tête positif tout en disposant les Tupperwares dans l'eau fraîche du ruisseau.

< Regarde un peu ça ! > me fait Clémentine, accroupie et cuisses écartées, entrain de pisser en direction du chemin.
Il y a un promeneur qui passe. Il s'arrête pour mâter. Je reste planqué derrière un bosquet d'épais saules pleureurs.
Le quidam fait un signe de la main à Clémentine qui lâche plusieurs petit jets qui viennent s'écraser loin devant elle.
Le type sort sa bite et se met à la secouer comme un lasso. De sa main libre, il lève le pouce et crie : < Bonjour ! >
Clémentine, délicieusement salope, reste dans la même position, faisant durer son plaisir exhibitionniste. C'est beau !

Le mec se branle doucement. Il ne peut pas venir à cause de la barrière qu'il tente de contourner. Clémentine cesse.
Je sors de ma cachette. En toussotant, gêné, l'inconnu remballe et continue son chemin. Clémentine est toute ravie.
< Tout ça m'a mis en appétit. Tu as quoi comme saucisse aujourd'hui ? > fait Clémentine en fouillant dans mon slibard.
Je lui déballe ma saucisse qui, avec cette chaleur, est grasse et macère dans son jus. Le fromage, au bout, dégouline.
Clémentine savoure en poussant des petits cris de ravissement. < Elle pue mais elle est bonne ! > fait-elle en avalant.

Bonne saucisse bien grasse à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Dresseur de saucisses) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe43

La Confrérie de l'Ordre de la Création Murale

Chers Membres

Bonjour
C'est en riant que ma compagne se saisie de mon "Membre" pour en diriger le jet contre un mur. Le mot "Membre" !
C'est ce mot qui la fait rire. Ce qui ne l'empêche toutefois pas de réaliser un sublime et "Glandiose" chef-d'œuvre.
Un chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous : < La création murale, ça peut donner la pêche et le moral ! >.

Notre Création Murale du mercredi 24 août, par 24°, vers 20 h45

Alain Présario

Pour découvrir notre "Alain" du jour, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Avec le désir fou de s'instruire...

< J'aime quand le jus dégouline ! > m'affirme t-elle avec un clin d'œil...

HISTOIRE DU JEUDI

< La création murale, ça peut donner la pêche et le moral ! >

Hier matin, j'arrive chez Clémentine de bonne heure. Clémentine m'attend déjà sur la terrasse. Je gare ma mobylette.
< Viens vite, on prépare la bouffe et on se casse en pique-nique ! > me fait-elle, complètement à poil. Je me dépêche.
Je prépare les sandwichs au jambon. Clémentine prépare les salades. Nous disposons le tout dans le panier en osier.
J'accroche ce panier au guidon. C'est Clémentine, habillée d'une robe légère qui conduit. Moi, je suis assis à l'arrière.
Je me tiens fermement aux poils pubiens de Clémentine qui fonce à plus de 40 km/h. Nous arrivons à un bel endroit...

C'est près de la mer. Nous avons accès à la plage en descendant. Je mets les deux Tupperwares dans l'eau du ruisseau.
Clémentine étend la nappe à carreaux Vichy dans l'herbe. Il est dix heures du matin et il fait déjà chaud. C'est superbe.
Nous allons nous baigner à la plage. Tout en gardant un œil sur nos affaires à cent cinquante mètres. Tout est en ordre.
Clémentine est vêtue de son bikini jaune. Elle est toute bronzée. Son corps fin et sculptural est sublimé par le soleil.
Il y a déjà quelques baigneurs. Il y a des joggeurs. Là-bas, il y a même une famille qui fait un beau château de sable.

Nous remontons le sentier chaussés de nos sandalettes en plastique transparent. Il y a un promeneur de chien là-bas.
Clémentine me fait : < Planque-toi derrière le Dolmen, je vais faire un show ! >. Je me cache. Clémentine se prépare.
Accroupie, le slip de bain à mi-cuisses qu'elle tire vers le haut, Clémentine est face au quidam qui fait pisser son chien.
Il est à environ 100 mètres. Il regarde dans la direction de la jeune fille. Clémentine lâche une série de jets puissants.
Le type s'est arrêté. Il mâte comme hypnotisé par ce merveilleux spectacle. La pisseuse s'en donne à cœur joie, ravie.

L'inconnu tire sur la laisse de son clébard pour venir vers Clémentine. Je sors de ma cachette. Cela détourne son pas.
Il s'en va dans la direction contraire. Son spectacle terminé, Clémentine se redresse, remonte son slip et se réajuste.
< C'est quoi la saucisse que tu as apporté en apéro ? > me demande Clémentine en fouillant dans mon maillot de bain.
Je lui déballe une superbe saucisse d'Amien. < Comme elle est belle. C'est quoi, au bout ? Du frome ?> me fait-elle.
Elle déguste longuement, s'essuie le jus et me dit, ravie : < Avec la chaleur, le jus se mélange au fromage fondu ! >.

Bonne saucisse d'Amien à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses)

Classe



Je clique sur les images pour voir ce qui est écrit dessus...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe44

La Confrérie de l'Ordre de la Création Murale

Chers Membres

Bonjour
C'est le mot "Membre" qui fait rire ma compagne. < Donne-moi donc ton "Membre" ! > me fait-elle en rigolant.
Elle me tient alors le "Membre" pour en diriger le jet contre un mur. Elle réalise un sublime chef-d'œuvre.
Un chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous : < La création murale est-elle une symphonie pastorale ? >

Notre Création Murale de ce 25 août caniculaire, par 28°, vers 20 h41

Alain Plosion

Pour découvrir notre "Alain" du vendredi, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Avec la soif d'apprendre...

< Elle ce qu'elle sent toujours comme ça ? > me demande t-elle en riant...

HISTOIRE DU VENDREDI

< La création murale est-elle une symphonie pastorale ? >

Hier matin, j'arrive chez Clémentine de bonne heure. Je gare ma mobylette dans le jardin. Clémentine m'embrasse.
< Viens vite, avec cette canicule, on se prépare notre pique-nique ! > fait-elle en m'entrainant par la main à l'intérieur.
Je prépare les sandwichs au pâté pendant que Clémentine prépare les salades. Nous mettons le tout dans le panier.
Je suspends ce panier en osier au guidon. C'est Clémentine qui conduit la mobylette. Moi, je suis assis derrière à l'aise.
Je me tiens aux poils pubiens de la jeune fille qui fonce à plus de 40 km/h pour nous emmener au bord de la mer...

Nous arrivons au même endroit que hier. Je dispose les tupperwares dans l'eau du ruisseau. Clémentine étend la nappe.
La jeune fille est vêtue d'une petite robe légère. Sans le moindre sous-vêtement. Elle reste accroupie. Je vois sa touffe.
Nous descendons vers la plage. Depuis là nous pouvons garder un œil sur nos affaires. Nous nous baignons avec joie.
Clémentine est toute nue. Il y a quelques joggeurs, quelques baigneurs. Personne ne nous prête la moindre attention.
Sortant de l'eau, Clémentine passe une grande serviette. Nous remontons l'étroit sentier. Au loin, il y a un promeneur.

< Planque-toi derrière le Dolmen, je fais mon show ! > fait Clémentine en s'accroupissant, serviette autour du cou.
Le promeneur est entrain de fumer sa clope. Il tourne la tête. Depuis les 100 mètres où il se trouve, il peut bien voir.
Clémentine lâche quelques jets puissant qui viennent se briser loin devant elle. Le quidam a jeté son mégot et mâte.
Clémentine, en parfaite salope, maîtrise parfaitement son art. Cambrée sur ses cuisses écartées, elle dirige ses jets.
Le type, devant ce spectacle magnifique, semble hypnotisé. Par contre, en parfait gentleman, il reste à distance. Poli.

Je sors de ma cachette sur un signe convenu de la jeune fille. Le type reprend une clope et continue sa promenade.
< Tu me fais goûter la saucisse que tu as emmené pour l'apéro ? > me demande clémentine, à genoux, implorante.
Je déballe ma saucisse de Biot. < L'odeur du frome, au bout, avec la chaleur, est épouvantable ! > fait-elle en goûtant.
Le promeneur repasse et contemple la scène. Clémentine savoure ma saucisse de biot en gémissant. Le type regarde.
Clémentine, s'essuyant la bouche, me fait : < Délicieuse ! >. Le promeneur lève le pouce de sa main droite et s'en va...

Bonne saucisse de Biot à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisse) -

Classe



Je clique sur les belles images pour lire ce qui est écrit dessus...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe45

La Confrérie de l'Ordre de la Création Murale

Chers Membres

Bonjour
Ma compagne aime les épisodes caniculaires. Cela éveille toujours chez elle de vraies et profondes velléités créatives.
Elle se saisie alors de mon Zob d'une main ferme. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre un mur. Visant juste.
Elle réalise le chef-d'œuvre que découvrons ci-dessous : < La création murale restera t-elle dans les annales ? >.

Notre Création Murale du vendredi 26 août, par 26°, vers 20 h39

Alain Poli

Pour découvrir notre "Alain" du Samedi, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Avec le profond désir de s'instruire...

< Je me suis masturbé en lisant les histoires ! > m'affirme t-elle...

HISTOIRE DU SAMEDI

< La création murale restera t-elle dans les annales ? >

Hier matin, j'arrive chez Clémentine vers huit heures. Je gare ma mobylette devant la porte de la cabane à outils.
Clémentine m'accueille en se précipitant dans mes bras. < Viens vite, on prépare notre pique-nique ! > me fait-elle.
Elle m'entraîne à la cuisine. Je prépare les sandwichs au Reblochon. Clémentine prépare les crudités et les salades.
Comme chaque jour, nous disposons nos victuailles dans le panier en osier que je suspens au guidon de la mobylette.
C'est moi qui roule. Clémentine est assise derrière. Elle a passé ses mains dans mon short et se tient à mes couilles.

Je fonce à toute allure. C'est à plus de 40 km/h que je négocie les virages. J'avise un endroit magnifique dans un pré.
Il y a les ruines d'une chapelle Bretonne, un petit ruisseau et le lieu est absolument charmant. Bucolique et accueillant.
Je mets les tupperwares dans l'eau fraîche du ruisseau. Clémentine étend la nappe rose à petits carreaux dans l'herbe.
Sur le chemin, à une centaine de mètres, passe un quidam qui marche en poussant son VTT. Il a sans doute crevé.
Clémentine me fait : < Planque toi, je dois pisser ! >. Je me cache derrière les ruines. Clémentine se met en position.

Accroupie, sa robe légère relevée, la jeune fille, cuisses largement écartées, se met à pisser dru, lâchant plusieurs jets.
Le cycliste s'arrête. Il regarde, consterné. Le merveilleux spectacle semble l'hypnotiser. Clémentine fait son "numéro".
Le type pose son vélo contre le tronc d'un arbre, descend son short en lycra noir, et se met à se branler devant la fille.
Clémentine s'en donne à cœur joie, trop heureuse de susciter un tel intérêt. La situation perdure quelques minutes.
L'inconnu est certainement entrain d'éjaculer car je le vois animé de soubresauts. Clémentine ankylosée, se redresse.

Le bougre reprend sa bicyclette et continue son chemin. Clémentine me fait : < Tu as emmené quoi comme saucisse ? >
Je lui déballe ma splendide saucisse à jus. < Comme elle est belle ! > me fait la jeune fille en venant la renifler, ravie.
< Tu n'oublie pas ta soirée "Chippendale" chez Christelle, demain soir, hein ? > me demande Clémentine en goûtant.
< S'essuyant le jus de ma saucisse à jus, Clémentine me fait : < Avec cette chaleur, le fromage au bout, est dégueu ! >
Je lui broute longuement le minou encore humide de pisse. Je me régale de ses saveurs enivrantes. Elle est heureuse...

Bonne saucisse à jus à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -

Classe



Je clique sur les merveilleuses images ci-dessus pour découvrir ce qui est écrit en lettres gothiques...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe46

La Confrérie de l'Ordre de la Création Murale

Chers Membres

Bonjour
Cet épisode caniculaire, étonnant pour une fin de mois d'août, a été propice à l'inspiration créatrice de ma compagne.
Chaque soir, elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre un mur. Réalisant de vrais chef-d'œuvres. Intemporels.
Nous en découvrons un exemplaire ci-dessous, intitulé : < La création murale et la nouvelle histoire dominicale >.

Notre Création Murale du samedi 27 août, par 28°, vers 20 h42

Alain Périal

Pour découvrir notre "Alain" du dimanche, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Avec l'envie folle de se cultiver...

Elle désire goûter ma saucisse de ce dimanche, m'affirme t-elle...

LA BELLE HISTOIRE DU DIMANCHE - (Plus longue parce que c'est dimanche) -

< J'assure ma prestation "Chippendale" chez Christelle >

Clémentine, qui est mon agent artistique et mon "manager", m'a encore téléphoné ce samedi matin à 8 h. Ponctuelle.
< Tu n'oublies pas que tu fais l'animation, ce soir, pour l'anniversaire de Christelle, hein, trésor ? > me rappelle t-elle.
Je la rassure immédiatement. Je serais chez elle pour 19 h30 pétante. J'apporterais tout mon matériel. Mes sacoches.
J'arrive à l'heure convenue. Clémentine me présente Christelle. Une ravissante jeune fille très sexy qui fête ses 19 ans.
Il y aura une quinzaine de filles. Des étudiantes de la Fuck de droit de l'université voisine. Une belle et grande soirée.
Il est déjà 19 h30. Clémentine et Christelle m'accompagnent aux toilettes. Ce sont les toilettes qui seront les loges.

La soirée commence à 20 h tapante. Je n'ai donc que le temps de me revêtir de mon superbe costume noir. Repassé.
Pour la première partie de ma prestation, je serais vêtu de mon déguisement de Zorro. Magnifique et légendaire tenue.
Toutefois, avec ce costume de Zorro, je serais chaussé de mes palmes de plongée. Je trouve que c'est beau, esthétique.
Je passe mon masque noir, je mets mon chapeau noir. Je couvre mes épaules de ma cape noire. Me voilà fin prêt.
Clémentine fait "Disc-Jockey". C'est sur la musique de "Indiana Jones" que je fais une entrée phénoménale. Remarquée.
Sur ma mobylette, recouverte d'un drap noir, j'ai fixé une tête de cheval sur le guidon. Cheval en bois d'un manège.

L'effet est extraordinaire. Toutes les filles présentes se mettent à applaudir à tout rompre. Je cabre ma mobylette.
Je suis cabré sur la roue arrière. Mon épée pointée vers le plafond, ma mobylette pétaradante, l'effet est grandiose.
Hélas, je perds le contrôle de ma mobylette qui vient s'encastrer dans le buffet du salon. C' est la salle de spectacle.
Moi, je n'ai rien. Le buffet par contre est complètement défoncé. Avec mon épée, j'ai décroché le lustre qui tombe.
Les filles, croyant que cela fait partie de mon numéro, me font une véritable ovation. Clémentine regarde le buffet.
En parfait professionnel, je monte sur l'estrade. Show must go on ! Partant de ce postulat je commence mon show.

C'est sur "La poupée qui fait non", de Michel Polnareff, que je commence en m'accompagnant au banjo. C'est glandiose.
Tout en chantant, tout en jouant, je tape du pied sur l'estrade. Chaussé de mes palmes, cela cré une belle percussion.
Je fais l'homme orchestre. C'est un véritable triomphe. Je fais mon fameux "Moon-Walk", à la façon de Michael Jackson.
Clémentine monte sur l'estrade et s'empare du micro. Elle demande le calme. Se tournant vers moi, elle précise :
< Bonsoir les filles ! Je vous présente Le créateur mural, c'est notre monsieur des saucisses ! > Une véritable ovation.
< La saucisse ! La saucisse ! On veut la saucisse ! > se mettent à crier les filles en tapant dans leurs mains. Folie.

Clémentine demande le silence. Je continue avec "Dans mon H.L.M." de Renaud. C'est un véritable triomphe. Magnifique.
Des filles montent sur l'estrade pour tenter de m'arracher mes habits. Je suis rapidement en slip et en palmes. Trouille.
Je n'ai que le temps de fuir. Clémentine et Christelle m'entraînent au WC où nous nous enfermons à double tour. Ouf !
Dehors, des filles frappent contre la porte en criant : < La saucisse ! La saucisse ! On veut la saucisse ! > J'ai très peur.
Clémentine me rassure pendant que Christelle ajuste mon string doré que je porte à l'envers avec la ficelle devant.
Comme j'en profite pour faire pipi, Christelle éprouve quelques difficultés à ajuster mon string à paillettes argentées.

Dehors, les choses se sont un peu calmées. Je reviens pour la seconde partie de ma prestation. Je monte sur l'estrade.
Je suis vêtu de mon string, chaussé de mes palmes de plongée. Je porte ma perruque bouclée et rousse. C'est beau.
Je commence par la belle chanson de Alain Süshi et de Laurent Voulzon "Belle Île en mer". C'est un véritable succès.
Je continue avec " Quelque chose de Tennessee" de Johnny Hallyday. Dans l'assistance, le bordel recommence. Fou !
Des filles montent sur l'estrade pour tenter de m'arracher ma perruque et surtout mon string doré. C'est le bordel.
Je me retrouve rapidement tout nu. Juste chaussé de mes palmes, j'ai du mal à terminer mon "Moon-Walk". Je file...

Je saute de l'estrade pour aller me réfugier dans les cabinets. Je dois faire pipi. Christelle me tend mon collant mauve.
Clémentine me fixe la grande plume rose, derrière, avec un peu de gel et du scotch. Je garde mes palmes noires.
Je mets un tablier de jardinier, je porte mon collant mauve. J'ai mis mon masque de "Johnny Depp". C'est superbe.
Dehors, tout s'est enfin calmé. Je remonte sur l'estrade pour la dernière partie de ma prestation "Chippendale".
Je chante "Vanina" de Dave en remuant du cul. Ce qui a pour effet de faire bouger la plume rose juste derrière ma tête.
Je fais mon "Moon-Walk" sur une jambe. Je continue avec "Couleur menthe à l'eau" de Eddy Mitchell. C'est le triomphe.

Dans l'assistance, le chahut est à son comble. Les filles me lancent leurs petites culottes en hurlant. Une vraie pagaille.
Christelle est entrain de passer la serpillère sous les chaises. Des filles montent sur l'estrade. Je suis obligé de fuir.
Nous nous enfermons dans les WC pour attendre que les choses se calment. Il faut attendre une bonne demi-heure...
Enfin, je peux revenir. Des filles m'attendent. Certaines me tendent leurs petites culottes humides pour un autographe.
Je signe à tour de bras. C'est le rituel des photographies. Je sors ma saucisse de Morteau que j'agite en souriant.
Les filles m'entourent. Certaines me tiennent par les hanches, d'autres par les épaules. Clémentine fait les photos.

Je suis là, agitant jésuitiquement ma saucisse de Morteau qui, à cause de la chaleur, dégouline de son jus épais. Gras.
Il y a du jus qui dégouline un peu partout. Pendant la séance photo, il y a même du jus qui coule sur quelques têtes.
Des filles en ont plein les cheveux et semblent s'en amuser. La chaleur fait fondre le fromage qui colle au bout. Odeurs.
Nous voilà enfin seuls. Il est minuit. Christelle fait le chèque à Clémentine. Christelle est enchantée de sa soirée.
< J'aimerais avoir 19 ans tous les soirs ! > me fait Christelle en se penchant pour goûter ma saucisse de Morteau.
S'essuyant le jus qui lui coule sur le menton, Christelle me demande, espiègle : < Tu reviens pour mes 20 ans, dis ? >

Clémentine m'aide à tout ranger dans les sacoches de la mobylette qui est un peu abîmée à cause du buffet.
< Tu prends note, s'il te plait, samedi prochain, tu assures ta prestation "Chippendale" chez Séverine ! >
Séverine, étudiante en Fuck de lettres, fête ses 19 ans. Il y aura une quinzaine de filles. Uniquement des filles.
Clémentine a aménagé son grand salon en petite salle de spectacle. Business oblige. Il y a une petite scène au fond.
Cela va nous permettre d'organiser toutes nos soirées "Chippendale", (et les autres), ici, pour des shows privés.
Rendez-vous donc, à samedi prochain, pour l'anniversaire de Séverine. Encore un grand moment en perspective...

Tous droits réservés - © - 2016 -

Le créateur mural - (Dresseur de saucisses) -

Classe



Pour que la magie continue encore un peu, je clique sur les deux merveilleuses images ci-dessus...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe47

La Confrérie de l'Ordre de la Création Murale

Chers Membres

Bonjour
Un épisode caniculaire qui a inspiré, pendant toute sa durée, les élans créatifs de ma compagne. Mon zob dans la main.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre un mur. Ce sont de merveilleux chef-d'œuvres. Intemporels et uniques.
Nous découvrons, ci-dessous, le chef-d'œuvre du dimanche : < La création murale, est-elle une pulsion viscérale ? >

Notre création murale du dimanche 28 août, par 26°, vers 20 h39

Alain Cliné

Pour découvrir notre "Alain" du lundi, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Avec le besoin de se cultiver...

< Mais avec plaisir. On se fait un "plan" par M.P. ! C'est quand tu veux ! >

NOTRE HISTOIRE DU LUNDI

< La création murale, est-elle une pulsion viscérale ? >

Hier, dimanche, avec cette canicule tardive, j'arrive chez Clémentine de bonne heure. Elle m'attend sur le perron. Ravie.
Je gare ma mobylette dans le jardin. Clémentine se précipite pour venir m'embrasser. Elle est en jupette et en T-shirt.
< Viens vite, on prépare la bouffe pour aller pique-niquer au bord de la mer ! > me fait-elle en m'entraînant au salon.
Je prépare les sandwichs au thon et à la "Vache-qui-Rit". Clémentine prépare les salades. On met tout dans le panier.
J'accroche le panier au guidon de la mobylette. Une fois encore, c'est Clémentine qui conduit. Je suis assis derrière...

La jeune fille fonce à toute allure. Nous roulons à plus de 40 km/h. Je me tiens fermement aux poils pubiens, rassuré.
Clémentine s'arrête à notre endroit habituel. Sur le pré au-dessus de la plage. Je mets les tupperwares dans l'eau.
Clémentine étend la nappe à carreaux Vichy bleus sur l'herbe. Nous sommes installés juste aux côtés du vieux Dolmen.
< Demain, j'aurais tout préparé et tu pourras voir les photos de ta prestation "Chippendale" de samedi ! > me fait-elle.
Je suis très satisfait de cette soirée. < Il faut inviter le lecteur à en découvrir le déroulement ! > me fait Clémentine...

Tout en bavardant, nous apercevons un quidam, serviette sur l'épaule, portant un petit sac, qui descend vers la plage.
Il marche sur le sentier à environ 100 mètres. < Planque-toi derrière le Dolmen ! > me fait Clémentine s'accroupissant.
Cuisses écartées, jupe relevée, la jeune fille cambrée sur ses jambes, lâche plusieurs jets qui s'écrasent loin devant elle.
Le baigneur l'aperçoit. Il s'arrête, mâte avec grande attention. Clémentine s'éclate un maximum de sa petite exhibition.
Je suis caché et j'observe. Le type lève la main et fait un signe. Clémentine, délicieusement salope, fait de même...

L'inconnu enjambe la barrière pour traverser le pré. A cet instant, moi, je sors de ma cachette. Le type fait demi-tour.
Fair-play, il fait un nouveau signe avant de disparaître derrière les rochers. Clémentine se redresse et se réajuste.
< Tout ça m'a donné faim. Tu as quoi comme saucisse en apéro ? > me fait encore Clémentine les mains dans mon slip.
Je déballe ma juteuse saucisse de Brest. Avec la chaleur, le fromage au bout fond dans le jus qui colle dans le tissus.
Clémentine savoure en gémissant. S'essuyant le jus, elle me fait : < Tu me broutes le minou après le repas de midi ? >

Bonne saucisse juteuse à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Dresseur de saucisses) -

Classe



Je clique sur les merveilleuses images pour découvrir ce qui est écrit dessus...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe48

La Confrérie de l'Ordre de la Création Murale

Chers Membres

Bonjour
Hier soir, lundi, ma compagne, toute contente que la canicule soit terminée, s'est saisie de mon Zob, d'une main ferme.
Me tenant la bite, elle en dirigea le jet contre le mur. Ce même mur où elle réalise ses chef-d'œuvres quotidiens.
Un chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous et intitulé : < La création murale n'est pas toujours que murale >

Notre Création Murale du lundi 29 août, par 19°, vers 20 h33

Alain Sushï (et Laurent Voulzon)

Pour découvrir notre "Alain" du Mardi, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Avec la soif d'apprendre encore...

< J'aime la regader longuement ! > m'affirme t-elle avant de la goûter...

HISTOIRE DU MARDI

< La création murale n'est pas toujours que murale >

Clémentine m'attend sur le perron de la véranda. Elle est vêtue d'une de ses petites jupes d'été, légères et colorées.
Lorsqu'elle me voit arriver, j'ai à peine le temps de garer ma mobylette qu'elle se précipite pour m'embrasser, heureuse.
< Viens vite, j'ai préparé les photographies de ta prestation "Chippendale" de samedi soir ! > fait-elle en m'entraînant.
Là, sur la table de la cuisine, en mode "Diaporama", défilent les somptueux clichés de notre sublime soirée de samedi.
Tout en préparant les sandwichs au "Maroilles" je regarde. Sur chaque photo on peut me voir dans mes différents shows.

Clémentine prépare les salades tout en commentant le défilement des photographies. Certaines sont de couleur sépia.
On peut me voir, entouré des filles de la soirée. Certaine me tiennent par les épaules, d'autres par les hanches, riants.
Il y a des filles qui sont accroupies autour de moi, souriantes et radieuses. Moi, debout, j'agite ma saucisse en riant.
< Elles sont superbes, hein ? > demande Clémentine en mettant ses mains mouillées dans mon slip, et ça chatouille.
Lorsque tout est prêt, nous déposons nos victuailles au fond du panier en osier. Panier d'osier que j'accroche au guidon.

C'est Clémentine qui conduit la mobylette à blinde . Je suis assis derrière en me tenant fermement à ses poils pubiens.
Nous passons devant un camping. Clémentine s'arrête un peu plus loin. < Attends-moi là et mâte ! > fait a jeune fille.
Elle s'approche discrètement près d'une caravane où un type seul est assis devant une table pliante entrain de manger.
Clémentine s'approche encore de la clôture. Accroupie, cuisses écartées, elle se concentre. Le type étonné regarde la fille.
Elle se met à pisser par petits jets qui viennent se briser sur le grillage. Et ça éclabousse tout près du campeur hagard.

Le type dit quelque chose d'incompréhensible sans doute en néerlandais. Clémentine reste encore un peu accroupie.
Elle se redresse, s'en va et me rejoint. Le type est debout, tenant le grillage, il nous regarder filer comme des voleurs.
Nous arrivons au lieu de notre pique-nique. Je mets les tupperwares dans l'eau de la rivière. Clémentine étend la nappe.
< C'est quoi ta saucisse d'apéro, aujourd'hui ? > me fait Clémentine. Je lui déballe ma grosse saucisse à manger crue.
< Comme elle est belle. Elle sent fort. C'est quoi le fromage, au bout ? > fait-elle avant d'y goûter en gémissant...

Bonne saucisse à manger crue à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Dresseur de saucisses) -

Classe



Je clique sur les belles images afin de découvrir, ému et enchanté, ce qui est écrit dessus...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe

La Confrérie de l'Ordre de la Création Murale

Chers Membres

Bonjour
Hier soir, ma compagne m'a entraîné au dehors. Elle s'est saisie de mon Zob en disant. < Donne-moi ton "Membre" >.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre un mur. Une fois encore, animée de ce désir fort d'un chef-d'œuvre.
Un chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous : < La création murale, reste t-elle d'une réalité cruciale ? >

Notre création murale du mardi 30 août, par 21°, vers 20 h30

Alain Colore

Pour découvrir notre "Alain" du mercredi, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Avec le désir fou de s'instruire...

< J'ai envie de la goûter ! > m'affirme t-elle avec un clin d'œil...

HISTOIRE DU MERCREDI

< La création murale, reste t-elle d'une réalité cruciale ? >

Hier matin, Clémentine m'attend dans le jardin. Elle est vêtue de sa jupette plissée. J'arrive et je gare ma mobylette.
La jeune fille m'embrasse et m'entraîne à l'intérieur, impatiente et presque fébrile, elle me fait entrer à la cuisine.
< Prépare les sandwichs, moi je prépare les salades. On va pique-niquer ! > me fait clémentine, sa main dans mon slip.
Je prépare les tranches de jambon fumé que je dispose sur les tranches de pain que j'ai préalablement beurré avec soin.
< J'ai envie de baiser, aujourd'hui, si tu savais ! > m'affirme Clémentine en me sortant la queue pour me la secouer.

Lorsque tout est prêt, nous partons. C'est moi qui pilote la mobylette. Clémentine, assise derrière, me tient par la bite.
Ses mains dans mon short n'arrêtent pas de m'asticoter le Zob. Par intermittences, elle me serre les couilles et la bite.
J'avise un charmant petit coin de verdure à l'orée de la forêt du Nevet. Clémentine étend la nappe vichy dans l'herbe.
Je mets les tupperwares dans l'eau fraîche du ruisseau. Clémentine n'arrête pas de me tripoter la queue par derrière.
D'une main, elle me tient les couilles, de l'autre elle me branle. < J'ai envie de baiser ! > me fait Clémentine heureuse.

< Tu as quoi comme saucisse pour l'apéro, aujourd'hui ? > me demande Clémentine en tombant à genoux dans l'herbe.
Je lui déballe une superbe saucisse de Francfort. < Wouahhhh ! Elle est superbe. Avec la chaleur elle coule ! > dit-elle.
< C'est quoi les petits bouts gluants et laiteux qui collent au bout ? On dirait de la "Vache qui rit ?> demande t-elle.
Je lui révèle la nature du fromage. Clémentine renifle longuement. < Beurk ! L'odeur est immonde ! > fait-elle encore.
Je lui tourne ma saucisse de Francfort sous le nez. Avec la chaleur elle présente cet aspect luisant bien caractéristique.

Clémentine, poussant un soupir de contentement, se met à suçoter le bout de la saucisse. Les yeux fermés, gloussant.
Je la regarde savourer la saucisse en poussant des petits cris de ravissement. Clémentine déglutit avec peine. Ravie.
S'essuyant le jus qui lui coule sur le menton, elle me fait : < Quand je commence, j'ai du mal à arrêter ! C'est si bon !>
Je la soulève, je la dépose sur un petit Dolmen qui traîne là depuis quelques millénaires. Je la tiens par les chevilles.
Je m'introduis doucement, avec d'infinies précautions. Clémentine pousse de profonds gémissements. Je la baise...

Bonne baise à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -

Classe



Je clique sur les merveilleuses images ci-dessus pour découvrir ce qui est écrit dessus...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe

La confrérie de l'Ordre de la Création Murale

Chers Membres

Bonjour
Le mercredi soir est toujours un moment de créativité intense de la part de ma compagne. Elle se saisie de mon Zob.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre un mur. Je l'observe, concentrée. Elle réalise un de ses chef-d'œuvres.
Chef-d'œuvre que nous découvrons ci-dessous et intitulé : < La création murale est-elle protégée par le code pénal ? >

Notre création murale du mercredi 31 août, par 22°, vers 20 h32

Alain Fini

Pour découvrir notre dernier "Alain" de la série, il suffit de cliquer sur l'image ci-dessus. Avec la soif d'apprendre...

< On se branle l'un face à l'autre, en "duel" ? > me demande t-elle...

HISTOIRE DU JEUDI

< La création murale est-elle protégée par le code pénal ? >

Hier matin, Clémentine m'attend sur le pas de la porte. J'arrive et je gare ma mobylette dans le jardin. Elle m'embrasse.
< Viens vite, on se prépare notre pique-nique ! > me fait-elle en me prenant la main pour m'entraîner dans la cuisine.
Je prépare nos sandwichs à la saucisse au fromage. Clémentine prépare, comme chaque jour, les salades et crudités.
Elle est vêtue d'une robe d'été, très légère et un peu transparente. Toute cette saison, j'ai apprécié ses tenues simples.
Lorsque nous avons tout terminé, je dispose le tout dans le panier en osier que j'accroche au guidon de la mobylette.

C'est Clémentine qui conduit. Je suis assis à l'arrière, sur le porte-bagages. Je me tiens fermement à ses poils pubiens.
J'en profite pour lui caresser le clitoris. Nous arrivons dans une charmante petite clairière. Ambiance sympa et bucolique.
Je mets les tupperwares dans l'eau d'un ruisseau. Clémentine étend la nappe. Elle est à genoux dans l'herbe, souriante.
< Tu as quoi comme saucisse en apéro, aujourd'hui ? > me demande t-elle, espiègle et mutine. Je déballe ma saucisse.
< Superbe ! C'est une saucisse au fromage ? > me fait-elle en s'approchant pour en humer les effluves parfumées...

Je lui révèle la nature du fromage. < Pouah ! Tu es un porc ! > me dit-elle avant de goûter à ma saucisse au fromage.
Avec la chaleur, le jus de la saucisse ne tarde pas à dégouliner partout. Clémentine pousse de petits cris de joie. Ravie.
Nous sommes tous deux concentrés sur sa dégustation lorsque soudain, là, sur le sentier de droite arrive une personne.
C'est une jeune femme qui se promène. Très gênée par le spectacle, elle nous fait : < hum ! Bonjour, excusez-moi ! >.
Amusé, je fais : < Je n'excuse plus depuis longtemps, je préfère donner des gages ! >. Cette affirmation la fait rire.

< Je suis entrain de réaliser mon gage ! > fait Clémentine, du jus partout et du fromage fondu qui coule sur le menton.
La jeune femme observe cette belle et luisante saucisse au fromage avec amusement. Elle scrute en souriant, ravie.
< Vous la partagez avec moi ? > fait Clémentine à l'adresse de l'inconnue, tout en secouant la grosse saucisse vers elle.
< Je peux ? > fait la jeune femme en s'accroupissant au-dessus de la nappe bleue à petits carreaux Vichy. C'est beau.
Clémentine lui tient la saucisse qui dégouline de son jus épais sur les lèvres de l'inconnue qui y goutte en gémissant.

Clémentine me fait des clins d'œil. La jeune femme semble se régaler de l'opportunité de la surprise. C'est un plaisir.
Je lui fais tourner la saucisse dans la bouche. Ce qui a pour effet de lui faire pousser des petits cris de ravissement.
Le temps de la dégustation gastronomique dure un bon moment. La jeune femme déglutit avec quelques difficultés.
Clémentine lui tend une serviette en papier. L'inconnue s'essuie la bouche et me fait : < C'est quoi le bon fromage ? >
C'est Clémentine qui avoue la nature exacte du fromage. < Mais c'est dégueulasse ! > fait l'inconnue en y retournant.

Bonne saucisse au fromage à toutes et à tous...

Le créateur mural - (Eleveur de saucisses) -

Classe



Je clique sur les merveilleuses images ci-dessus pour découvrir ce qui est écrit dessus...

Classe
Homme, 45 ans, France, Pays de la Loire
Bonjour le branleur, pourquoi n'y a t il plus la petite histoire matinale?
J'aimais bien, à vous lire ma journée commençait avec gaieté!
Ce sujet est clos.
Wednesday 7 September 2016 12:46

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe

Ici, c'est terminé.

Les créations murales continuent mais dans le nouveau chapitre.

En cliquant ici :

[www.bobvoyeur.com]--

A bientôt...

Danser
Désolé,vous ne pouvez pas répondre à cette discussion, elle est fermée.