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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 6 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1076 -



Estelle, Clémentine et moi, les trois mousquetaires

Hier matin, mardi, je suis réveillé par un léger froissement des draps, un léger mouvement du matelas. C'est discret.
Lorsque je me réveille, Clémentine s'en rend immédiatement compte. Car ma respiration change. Et c'est à mon insu.
Aussi, tout cesse. Elle se blottit contre moi en murmurant : < J'ai fait un rêve cochon, il y avait deux vrais salauds ! >
Elle me couvre le visage de bisou. C'est donc sa masturbation qui m'a réveillé. Nous en rions de bon cœur. C'est bien.
Je lui propose de me raconter ce rêve devant un bon petit déjeuner. Il est 8 h05. Nous nous précipitons aux toilettes.

Morts de faim, vêtus de nos tenues sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Dehors il pleut. Il fait moche.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte son rêve. Un parc, deux inconnus. Un qui veut la sodomiser.
Clémentine déteste la sodomie. Cet individu disparaît donc très rapidement de l'histoire. L'autre qui est un impuissant.
Comme souvent, tout est surréaliste. Les visages des protagonistes changent pour prendre les traits de gens connus.
Ce qui la réveille tout excitée c'est la masturbation qu'elle pratique déjà devant un inconnu et qui perdure à son réveil.

Je la félicite. Je dis : < Branle toi un peu devant moi, de temps en temps, aujourd'hui. J'adore savoir et te voir faire ! >
Clémentine, assise sur mes genoux, m'enlace de ses bras pour chuchoter : < Promis. Et j'aime tant faire ça ! >. Bisous.
La vaisselle. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Avec cette météo médiocre c'est à l'intérieur.
Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos. Comme toujours, avec une intensité maximale. C'est superbe.
La douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux, espadrilles. Nous redescendons. Nous allons dans l'atelier.

Clémentine est assise devant son ordinateur. Je suis installé devant mon chevalet. Clément m'appelle. Deux courriels.
Il y a un message de Julie qui nous remercie pour la soirée de hier. Elle aimerait bien passer cet après-midi avec nous.
Elle vient pour 14 h30 jusqu'à 18 h. Nous répondons. Elle est la bienvenue. Et un mail de Juliette qui vient demain soir.
Nous répondons également. Quelques réjouissances en perspectives. Clémentine se plonge dans ses travaux d'écriture.
Je commence un nouveau dessin préparatoire. Un paysage d'après une photo prise dans les environs. C'est très beau.

Il est 10 h30. Nous travaillons en chantonnant. Clémentine m'apprend de nouveaux cris totalement surréalistes. Rires.
Parfois, l'un se lève pour venir faire des bisous à l'autre. Voir ce qu'il fait, lui chuchoter des douceurs, ou cochonneries.
Il est presque midi. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade, moi des spaghettis.
Je coupe les poireaux en petits morceaux que je fais bouillir. Je concocte une Béchamel. Champignons et ail à la poêle.
J'égoutte les spaghettis et les poireaux. je mets les morceaux de poireaux dans la Béchamel avec un peu de la poêlée.

Je fais une belle pâte à pain. Clémentine met la table. < J'ai faim et toi ? > me dit elle, sa main dans son jeans. Branle.
Je la trouve adorable. Je dis : J'ai faim de toi ! >. Clémentine contourne la table pour venir se frotter contre moi. Bises.
Nous nous embrassons comme des fous. La Béchamel repose sous son couvercle. La pâte à pain repose sous son linge.
Le nécessaire pour notre Flamiche Picarde, cette tarte aux poireaux qui fait le délice de nos mardis soirs est prêt. Super.
J'ai récupéré un peu de Béchamel en accompagnement des spaghettis et des des filets de colin que j'ai panné et poêlé.

Nous mangeons de bon appétit tout en revenant sur le rêve de Clémentine, le film réalisé dimanche après-midi. Bien.
Par association d'idée, Clémentine suggère de faire le second visionnage dimanche prochain, l'après-midi, avec Julie.
Comme elle vient pour 14 h30, nous lui soumettrons l'idée. Nous traînons à table. Dehors le temps est médiocre. Dur.
Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte son impatience de revoir le Jura durant nos vacances de Pâques. Joie.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est 13 h30. Nous retournant dans l'atelier. Nous reprenons nos activités. Bien.

Trois coups de sonnette que nous entendons à peine. Clémentine se lève. < Viens, on va accueillir Julie ! > me dit elle.
Julie est sous son parapluie. Vêtue de ses jeans, d'un sweat sous son anorak. Ses bottines. Lunettes et cheveux noués.
Son sourire est radieux. Elle est tellement contente d'être de retour avec nous. Nous nous serrons la main. Trois bises.
Nous allons au salon. Je propose un thé. Les filles évoquent leurs études. Julie qui revient sur son douloureux problème.
Comme le restaurant de l'étang ferme deux mois cet été, elle n'aura pas de travail, pas de rentrée d'argent. Son souci.

< Je ne suis pas venue pour vous raconter mes petites misères ! > conclue t-elle en passant à d'autres préoccupations.
Clémentine propose de faire découvrir notre réalisation cinématographique et pornographique à Julie pour ce dimanche.
Ce qui ravi Julie. Elle pourra venir après son service au restaurant pour 14 h30, repartir pour celui du soir à 18 h. Bien.
Julie semble parfois en proie à une certaine tristesse. Et visiblement ce souci ne lui permet plus de rester très sereine.
Même si elle tente d'aborder d'autres sujets, sa tante, sa famille, ce paramètre revient régulièrement la perturber. Dur.

Pour achever de lui changer les idées, je propose à Julie de m'accompagner aux toilettes. Je lui dis : < Je dois pisser ! >
Après un instant d'hésitation elle me lance : < Volontiers ! >. Nous nous levons tous les trois pour nous rendre aux WC.
Debout devant la cuvette, Julie à ma gauche, penchée en avant, ses mains en appui sur ses genoux, pour bien regarder.
Clémentine à ma droite qui me tient la bite pour en diriger les multiples petits jets nets et précis que je lâche avec joie.
Une parfaite maîtrise de la situation. Comme je bande mou, je pisse voluptueusement, sous les regards des deux filles.

< Tu veux la tenir un peu ? > propose Clémentine à Julie. La surprise. Sans dire un mot, Julie s'en saisit délicatement.
Julie tient mon sexe "religieusement", entre le pouce et l'index. < C'est génial, on sent quand ça vient ! > lance t-elle.
< Tu devrais y gouter ! > rajoute Clémentine qui s'accroupit pour observer de près. Julie ne répond pas. C'est habituel.
Depuis quelques temps, nous commençons à bien comprendre le fonctionnement de cette jeune étudiante de 20 ans.
Sexuellement, ce sont les filles qui l'intéresse. Pour les jeux, les situations et les émois, ce sont les hommes. Fabuleux.

Cela fait un moment que je me suis vidé la vessie. Julie reste dans sa position sans lâcher mon sexe. Je bande bien dur.
C'est amusant. Je suis maintenu par les deux doigts délicats de Julie qui reste immobile comme subjuguée par la queue.
Elle la contraint délicatement vers le bas et l'oriente vers la droite pour la présenter à Clémentine qui se met à la sucer.
J'entends la respiration de plus en plus forte de Julie qui souffle entre deux apnées. Concentrée et excitée par la scène.
Je passe ma main autour des hanches de Julie qui se serre contre moi. Rassurée, heureuse, comblée. Clémentine suce.

Je demande à Julie : < Tu te touches parfois ? >. Elle éclate de rire pour me répondre : < Tout le temps ! >. Sympa.
< Même en venant vous voir dans la voiture ! > rajoute t-elle. Je dis : < Et pourquoi ne pas continuer maintenant ? >
Julie est une fille réservée, vicieuse mais terriblement timide. Il n'en est pas encore question, tout cela arrive trop tôt.
Je force Clémentine à se redresser. Julie ne me lâche pas le sexe. Trop heureuse de pouvoir la tenir. La main délicate.
Clémentine nous propose de retourner au salon. Je suggère de faire visiter l'atelier à notre adorable visiteuse. Super.

Julie me lâche le sexe. Nous allons dans l'atelier. Comme je n'ai pas de toile en cour d'exécution, l'endroit est ouvert.
C'est lorsque je peins que l'accès aux étrangers y est interdit. Julie découvre l'endroit avec ravissement. Silencieuse.
La découverte de cet endroit secret l'étonne. Elle regarde partout. Elle fait le tour de la grande pièce. C'est fabuleux.
Elle regarde par une des deux grandes baies vitrées. Le paysage encore hivernal qui donne sur la campagne. Super.
< C'est génial ! Vous passez vos journées ici ? Quand je vous téléphone vous êtes là ? > me demande t-elle étonnée.

Clémentine répond souvent pour moi. < Oui, c'est ici ! > fait elle à Julie qui ne cesse d'ouvrir de grands yeux. Si belle.
La voilà assise dans le vieux canapé de velours carmin. Elle continue de tout regarder avec enchantement. C'est beau.
Comme un gamin dans un magasin de bonbon. Je prends un grand carnet à croquis. Feuilles épaisses en papier Velin.
Je m'installe sur le tabouret. Avec un crayon, je commence à faire le portait rapide de Julie qui reste émerveillée. Joie.
Julie reste immobile. Clémentine est accroupit à côté de moi pour regarder ce que je fais. Le silence est total. Sublime.

Une dizaine de minutes me suffisent pour croquer le visage délicat de Julie. J'arrache délicatement la feuille de papier.
Je la lui tends. Elle s'en empare. < C'est magnifique ! C'est moi ! > lance t-elle. Je lui fais : < Cadeau ! >. Un silence.
Je me lève pour chercher une chemise de carton afin de protéger le dessin qui fait 35 x 28 cm. Julie reste sans voix.
Il est déjà 17 h30. Elle va devoir nous quitter. Il y a la mise en place au restaurant. Et elle doit passer chez elle avant.
Nous la raccompagnons jusque sur le pas de la porte. A l'abri sous le parapluie, serrant son précieux cadeau, elle part.

Un dernier coucou. Nous regardons la voiture s'éloigner en même temps qu'arrive celle d'Estelle. Nous l'accueillons là.
Elle nous fait la bise et me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Et nous allons dans l'atelier.
Estelle et Clémentine sont devant l'ordinateur à comparer leurs travaux de recherches. Je commence un autre dessin.
< Fais gaffe, toi là-bas, je suis jalouse comme une teigne ! > me lance Estelle quand nous racontons notre après-midi.
La suggestion de Clémentine de nous offrir un après-midi cinéma dimanche comble de joie Estelle qui sautille partout.

< J'ai commencé le montage du film. En fait, il n'y a rien à retirer. Aucune longueur. Tout est parfait ! > lance Estelle.
Il est 18 h30. La visite du fantôme. Le florilège habituel des bruits les plus divers à l'étage. Et une dizaine de minutes.
Nous rangeons nos affaires. Nous quittons l'atelier. A la cuisine, Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la laitue.
Estelle travaille la pâte pour la rendre onctueuse. < Et j'ai mes "petits machins" de fille ! > nous fait elle, en soupirant.
Je réchauffe la Béchamel. Une préparation rapide. La tarte aux poireaux est au four. Nous passons au salon. C'est bon.

Vautrés dans le canapé, Estelle à ma droite qui me tord la queue dans tous les sens en parlant, Clémentine à gauche.
Nous racontons notre visite aux toilettes, Julie qui m'a tenu la bite pour pisser. Estelle me tord le sexe avec cruauté.
< Salaud ! Je suis jalouse ! > s'écrie t-elle à chaque fois. Estelle viendra passer la soirée avec nous et Juliette demain.
Comme elle a ses règles, que ce sont les vacances, elle n'ira pas baiser avec son parrain dans la cave de son pavillon.
Nous en rigolons comme des bossus. < Et je veux t'avoir à l'œil toi ! > me fait encore Estelle en me secouant la bite.

La sonnerie du four. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit en bavardant.
Le projet de regarder le film une première fois samedi soir puis une seconde fois dimanche enchante les filles. Super.
Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les deux coquines font mille projets pour les jours à venir. C'est bien.
Estelle nous confie quelques nouveaux fantasmes. Ce qu'elle a vécu dimanche avec moi, lui a donné quelques idées.
La vaisselle. Nous allons au salon. Clémentine se masturbe en regardant Estelle me sucer. 22 h. Elle doit partir. Dur.

Bonne soirée à toutes les coquines qui sont impatientes de découvrir le film porno où elles font l'actrice...

Julien - (J'offre à Clémentine un merveilleux orgasme, sous les draps, avec un cunnilingus d'enfer. Elle s'endort) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1077 -



Estelle, Juliette, Clémentine et moi

Hier matin, mercredi, une fois encore, je suis réveillé par la discrète masturbation de Clémentine. Elle se frotte à moi.
C'est tellement délicieux d'être tiré de mon sommeil de cette manière. Je lui couvre le visage de bisous. La tendresse.
< Je t'aime Julien. J'ai encore rêvé à des trucs bien cochons ! > me murmure t-elle avant de me chevaucher en riant.
Quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes pour pisser dans la plus agréable des voluptés. Soulagement.
Vêtus de nos tenues sport, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Il est 8 h et un ciel tout gris.

Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine qui me raconte son rêve.
Il y est encore question d'une exhibition dans les ruines de ce château où nous randonnons quelquefois en belle saison.
< Ça fait longtemps que je n'ai pas pratiqué. J'en meure d'envie et j'ai un besoin urgent de m'exhiber ! > me fait elle.
Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous enfilons K-way, bonnets, gants. Quelques mouvements d'échauffement.
Tant pis si le sol est détrempé, nous ressentons un besoin viscéral de nous offrir un bon jogging au grand air. Parfait.

Une heure d'un running des plus agréables et nous voilà de retour. La douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises.
Clémentine m'entraîne dans l'atelier. Assis tous les deux devant son ordinateur nous découvrons deux courriels. Bien.
Le message de Juliette qui confirme sa venue ce soir pour 19 h30. Le message de Julie qui veut revenir demain. Joie.
Nous répondons. Julie est la bienvenue. Comme hier, elle viendra vers 14 h30 et repartira vers 17 h30. C'est superbe.
Je laisse Clémentine à ses travaux de recherches et à ses prises de notes. Moi je vais m'installer devant mon chevalet.

J'entreprends un nouveau dessin préparatoire. C'est un paysage d'après un autre cliché pris durant une de nos balades.
J'aime entendre Clémentine chantonner. Parfois elle vient me rejoindre. Elle caresse mon cou, mes joues, fait un bisou.
Presque midi. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Le pavé de saumon et la pâte feuilleté ont décongelé. Bien.
Clémentine s'occupe de la salade. Je fais gonfler du riz complet en grande quantité. J'émince le saumon, l'ail et l'oignon.
Je fais revenir à la poêle pendant que je concocte une Béchamel. J'y rajoute la poêlée. Je rajoute du gruyère râpé. Bien.

J'en récupère un peu en accompagnement de notre riz. Je verse sur la pâte feuilleté placée dans le moule à cake. Bon.
Il suffit d'enrouler la pâte, de badigeonner du mélange œuf et lait de soja. Le reste de riz dans un plat. Le tout au four.
Un gratin de riz en accompagnement d'un feuilleté de saumon pour le repas du soir. Juliette emmène le dessert. Super.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine revient sur son envie d'exhibition. Quelque chose rapide.
Je lui propose de partir en "expédition" cet après-midi. Trouver un plan quelque part. < Génial ! > s'écrie t-elle. La joie.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns.
Nous nous changeons. Clémentine met son leggings "trafiqué". Il y un trou qui laisse dépasser les lèvres de son sexe.
C'est extrêmement discret. Seul un œil exercé peut s'en rendre compte en situation normale surtout sous un manteau.
Ce n'est qu'une fois accroupie que l'on découvre cette étonnante particularité. Un simple sweat sur un sous pull. Super.
Sur la demande de Clémentine, je porte un pantalon noir à plis, une chemise blanche sous un pull noir, au col en "V".

Nous voilà en route pour le bourg voisin. Il s'y déroule une bourse aux vêtements et aux antiquités. Salle polyvalente.
Ce sont des associations caritatives. La marraine d'Estelle y est impliquée. Elle nous en a parlé hier. De quoi s'amuser.
Je roule doucement. 3 km. Clémentine joue de sa main à l'intérieur de ma braguette et j'ai ma main entre ses cuisses.
Cette ouverture et l'absence de culotte permettent un accès facilité à son sexe humide. Je gare la voiture. Du monde.
Malgré le froid revenu, cette bourse aux vêtements et aux antiquités est un franc succès. On s'y bouscule. C'est super.

Clémentine nous entraîne dans les allées. Il y a des gens partout. Beaucoup de séniors. Des bénévoles, des amateurs.
< Regarde, un plan ! > me fait Clémentine en me montrant le type assis entre les caisses de disques vinyles, de livres.
C'est un quadragénaire, plutôt élégant, une fine barbe, légèrement dégarni. Je reste en retrait. Clémentine s'approche.
Elle regarde les livres. En tire un d'une caisse. Feuillette un album. Elle ne tarde pas à susciter l'intérêt du barbu. Bien.
Je contourne le stand pour aller derrière. Je fais semblant de regarder les vestes suspendues à des cintres. Je surveille.

Le type est assis sur une chaise. Il me tourne le dos. A environ trois mètres. Clémentine s'accroupit devant les caisses.
Tout en faisant mine de regarder les pochettes des vieux disques vinyles qu'elle retire un à un, elle écarte ses cuisses.
C'est absolument génial. La vue est fantastique. Notre V.P. (Victime Potentielle), reste immobile à mâter discrètement.
Le bougre prend même une bande dessinées pour loucher plus discrètement encore. Il vient de gagner au loto. Super.
En effet, il est l'heureux élu des jeux exhibitionnistes de Clémentine. Je bande comme un salaud. Son manteau ouvert.

Je me rends compte que ça faisait longtemps que nous n'avions plus pratiqué. Cela manquait beaucoup à Clémentine.
Elle m'en parlait de plus en plus souvent. La voilà donc en situation. Enfin. Et là elle savoure l'instant avec raffinement.
J'admire le stoïcisme de notre voyeur involontaire. Il vit probablement là un grand moment. Cette superbe jeune fille.
Clémentine, tout en restant accroupie, change de bac. Fouillant les disques, les livres et bien orientée entre les caisses.
De là où je me trouve, la vue est aussi parfaite que pour le barbu toujours assis. Il ne tente absolument rien. Esthète.

Il y a des mecs capables de réflexion. A quoi bon tenter une approche ? Cela mettrait un terme à ce fabuleux spectacle.
Ce mec est un esthète. Ce sont en général les plus vicieux. De quoi satisfaire n'importe quelle fille exhibitionniste. Bien.
A la limite de l'ankylose, des fourmis dans les jambes, Clémentine se redresse. Quelques minutes et elle revient. Pareil.
Le type prend toute la mesure de son merveilleux privilège. Il a sans doute compris. Cette jeune fille le fait exprès. Joie.
De quoi vivre un enchantement paradisiaque. Surtout que Clémentine, vicieuse extrême récidive à trois reprises. Super.

Je pourrai me branler tellement c'est bon. Clémentine s'adresse autant à moi qu'à l'inconnu devant lequel elle s'exhibe.
Il y a un couple qui se pointe. Merdre. Cela met un terme aux jeux de Clémentine. Deux vieilles dames qui rappliquent.
Nous nous rejoignons devant le stand des gaufres. Nous en prenons deux. Nous les savourons en flânant. C'est super.
Nous repassons plusieurs fois dans les parages. Mais il y a là tout le temps quelqu'un pour bavarder avec notre barbu.
Il est presque 17 h30. Nous repartons. Dans la voiture je touche Clémentine. J'enfonce un doigt avec facilité. Mouillée.

Clémentine qui me confie son ressenti. < Comme c'était génial ! Si tu avais vu son regard sournois. Le vrai pervers ! >
Elle me raconte. Le type qui faisait semblant de lire sa bande dessinées en louchant de manière à être remarqué. Joie.
< Ce type prenait un plaisir fou à me permettre de faire ça sans intervenir ! Un super pervers ! J'adore ! > me fait elle.
Nous arrivons à la maison pour 17 h45. Estelle est déjà là. Elle est entrain de dresser la table au salon. Toute contente.
Elle nous fait la bise et me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Nous lui racontons le bourg.

< Vous avez sûrement croisé ma marraine, elle s'occupe de la collecte de vieux fringues c'est son dada !> lance Estelle.
Clémentine s'accroupit en disant : < Je me suis éclatée comme rarement ! >. Et tout en écartant largement ses cuisses.
< Moi, je veux me refaire ça aussi ! > s'écrie Estelle. Elle se serre contre moi pour rajouter : < Et tu me "sécurises" ! >
Nous nous promettons un plan exhibe pour vendredi après-midi. < Samedi après-midi aussi ! > s'écrie Estelle. Rigolade.
Nous allons dans l'atelier. Clémentine me tend un mouchoir. Je m'accroupis. Elle se cambre sur ses genoux fléchis. Bien.

Je la torche consciencieusement sous le regard amusé d'Estelle. Je me redresse pour lui montrer le mouchoir en papier.
Les filles assises devant l'ordinateur à comparer leurs travaux de recherches. Je termine le dessin commencé ce matin.
Il est 18 h30. La visite du fantôme. Cela dure dix minutes. La succession de bruits insolites. Nous rangeons les affaires.
Pour ce soir nous restons vêtus ainsi. Clémentine veut montrer son leggings "trafiqué" à Juliette. Sa création couturière.
Nous en rions de bon cœur. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Nous mettons les tabliers. Il faut se préserver.

Clémentine s'occupe de la salade. Estelle réchauffe le feuilleté de saumon et le gratin de riz. Tout est bien doré. Miam.
Estelle nous fait : < Je vous préviens, le film est une réussite totale. Le meilleur que nous ayons réalisé. Vraiment ! >
Nous découvrirons cette réalisation lors de notre soirée cinéma de samedi soir. Avec seconde séance dimanche. Super.
< Tu as été merveilleux Julien. Ta prestation cinématographique frise la perfection. Tu es un salaud de rêve ! > dit elle.
Nous en rigolons comme des bossus. Je sors ma bite. Estelle s'accroupit, soulève mon tablier pour renifler ma queue.

< Tu dégoulines mon salaud ! Ça te fait de l'effet les show de Clémentine je vois ! > rajoute Estelle avant de me sucer.
< Fais voir ! > dit Clémentine qui s'accroupit. Elles se refilent la bite. Je tiens le tablier relevé. Trois coups de sonnette.
Clémentine se redresse. Elle se précipite pour aller ouvrir. Juliette entre dans la cuisine et découvre le spectacle. Pipe.
< Décidément, c'est une annexe de Saint Claude dans le Jura ici, la capitale de la pipe ! > lance Juliette en s'avançant.
Nous éclatons de rire. Estelle se redresse. Nous nous serrons la main. La sonnerie du four. Je retire mon tablier. Super.

Je propose aux filles de faire le service, de m'occuper de tout. < Ah mais hors de question ! > fait Juliette tout en riant.
Nous prenons chacun un plat. Nous voilà installés devant un repas délicieux. Juliette raconte les activités au haras. Bon.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine encore toute contente de son aventure se met à parler.
Elle se lève, s'accroupit pour montrer sa création. Cette ouverture d'environ 10 cm soigneusement cousue. C'est "pro".
< Je vous conseille les pantalons d'équitation. Ils se prêtent très bien à cette customisation ! > fait Juliette qui se lève.

Juliette est vêtue de sa tenue d'écuyère. C'est sa tenue de travail dans son entreprise. Elle s'accroupit. C'est sublime.
De son index, elle montre la couture à l'endroit de son sexe. Sa vulve se devine parfaitement. Lèvres de chaque côté.
< Il suffit d'ouvrir là. De mettre un point de couture en haut et en bas ! > explique t-elle. Nous l'écoutons en silence.
Je propose à Clémentine d'acheter un pantalon d'équitation, suite aux explications, aux recommandations de Juliette.
< Je m'en offre un aussi ! > lance Estelle. Nous en rigolons tous les quatre comme des bossus. La vaisselle. Je bande.

Je n'arrête plus de me branler devant les filles qui m'y encourage toutes les deux minutes. Visite aux toilettes. Quatre.
Estelle et Clémentine qui me tiennent la bite pour en diriger les jets sous le regard étrangement libidineux de Juliette.
Il est 22 h15. Nous la raccompagnons à sa voiture. Nous raccompagnons Estelle à la sienne. Séparation difficiles. Dur.
Au lit, j'offre à Clémentine des suites de cunnilingus, de pénétrations, de léchages de minous, pendant qu'elle raconte.
< Le besoin de m'exhiber redevient une nécessité vitale ! > me fait elle avant de hurler dans un orgasme foudroyant.

Bonnes exhibes à toutes les coquines exhibitionnistes qui attendent les beaux jours pour recommencer leurs jeux...

Julien - (J'écoute les confidences de Clémentine. Lorsque je la suce, lorsque je la pénètre, lorsqu'elle s'endort) -

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Plein d'imprévus pour cette journée de jeudi

Hier matin, jeudi, je suis réveillé par des gémissements. J'ouvre les yeux, C'est Clémentine qui rêve. Si surprenante.
Couchée sur le dos, les yeux fermés, la bouche entrouverte, son sixième sens l'averti, elle lève les paupières. Super.
Je n'ai jamais l'occasion de la regarder longuement comme j'aime. Elle se tourne vivement pour se serrer contre moi.
Presque 8 h. Quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues sport nous descendons.
Morts de faim, nous préparons un bon petit déjeuner. Il reste de la tarte aux abricots ramenée par Juliette hier soir.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Dehors il fait moche, de la tempête. Il pleut. C'est épouvantable.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte ce qu'elle se souvient de son rêve. Fabuleux.
C'est souvent incongrue, surréaliste. Cette fois il était question d'un bateau du port de plaisance, de son plaisancier.
Une invraisemblable situation d'exhibitionnisme et de voyeurisme qui dégénérait soudain en une sorte de partouze.
Nous rigolons comme des bossus. La vaisselle. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Super.

Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos. Le tout avec l'intensité maximale habituelle. Nous adorons.
La musique ridicule de mon smartphone a résonné quatre fois. Je ne décroche pas durant l'entraînement. Détestable.
< On verra qui c'est plus tard ! Viens ! D'abord la douche ! > me lance Clémentine en m'entraînant à la salle de bain.
Il est presque 10 h lorsque nous sommes habillés de nos jeans, de nos chemises à carreaux et chaussés d'espadrilles.
J'emmène le smartphone, nous descendons. Il y a cinq appels. C'est mon oncle. Mon ami qui tient ma galerie en été.

Clémentine allume l'ordinateur. Trois courriels. Celui de Juliette qui nous remercie pour l'agréable soirée de hier. Bien.
Nous répondons qu'il en est de même pour nous. Celui de Julie qui confirme sa venue cet après-midi. Nous répondons.
Celui de mon oncle. Sa disponibilité pour cet été risque d'être fortement compromise. C'est pour des raisons de santé.
C'est un homme plein d'entrain, dynamique. Cela fait 18 ans qu'il tient ma galerie d'Art tous les étés, en juillet, août.
Il a 84 ans. Dans son long message il m'explique la gravité d'une situation qu'il veut tenter de rétablir. Dure fatalité.

Je réponds. Je promets de venir le voir dès la semaine prochaine. Le smartphone. Je décroche. C'est mon oncle. Bien.
Pendant que Clémentine surfe sur le site de l'université nous bavardons. J'en sais davantage. Il n'est pas inquiet. Bon.
Par mesure de prudence, il préfère m'informer quatre mois avant afin que je puisse me retourner, trouver la solution.
Nous nous saluons. Nous raccrochons. J'expose la situation à Clémentine assez préoccupée. Nous allons dans l'atelier.
Je la rassure. Depuis quelques années, je ne peins plus que par passion. Une saison de perdue n'a aucune incidence.

Tous les ans depuis cinq ans, je me promets de prendre une retraite. Toutefois Clémentine me persuade de continuer.
En même temps que je dis : < Nous trouverons bien une solution ! > il me vient une idée. Et si c'était un plan "Julie".
Clémentine est assise devant son ordinateur, absorbée pas ses travaux de recherches et ses prises de notes. Silence.
Je suis assis devant le chevalet, occupé à la réalisation d'un nouveau dessin préparatoire. Dehors la violence du vent.
Nous sommes télépathes Clémentine et moi. Je l'entends soudain s'écrier derrière moi : < Et si c'était pour Julie ? >

Nous cessons nos travaux pour nous regarder longuement en silence. Elle se lève pour venir s'assoir sur mes genoux.
< Voilà une possibilité ! Elle a le sens des responsabilités, elle est hyper sérieuse et travailleuse ! > lance Clémentine.
Je l'écoute. Clémentine a toujours été de bon conseil. Il me suffit de l'écouter, de suivre ses recommandations. Parfait.
Je dis : < Elle arrive cet après-midi. Nous allons lui en parler ! >. Clémentine me couvre le visage de bisous. Superbe.
Il est presque midi. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade, l'assaisonnement.

Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je prépare une belle pâte à pain. Ce sera pour les pizzas de ce soir. L'autre rituel.
Je concocte notre garniture. Tomates fraîches, ail, oignons, champignons, olives noires, persil et ciboulette à la poêle.
J'en récupère un peu comme sauce avec les coquillettes que j'égoutte. Clémentine râpe du parmesan et met la table.
Je fais rissoler deux filets de cabillaud blanc. Jus de citron, sel, poivre, curcuma, paprika doux. Une odeur alléchante.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Julie étant le principal sujet de conversation. Nous traînons à table.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Rire.
Clémentine m'entraîne dans la chambre pour me faire tomber sur le lit. Couchée à côté de moi, elle me sort la queue.
Sa tête sur mon ventre, jouant avec mon sexe, elle évoque nos vacances de Pâques. Notre séjour dans le Jura. Bien.
< Mmhh ! > murmure t-elle, humant les effluves parfumées "Parmezob" qui se dégagent du prépuce qu'elle décalotte.
Je peux sentir la puanteur monter jusqu'à mes narines. Je peux également sentir sa langue qui s'y glisse pour fouiller.

Sous la douceur de l'indicible caresse, je suis saisi de vertige. Enivré par cette fellation divine, je me laisse aller. Bon.
Je caresse la nuque à Clémentine. Je lui chuchote mes impressions. Elle aime m'entendre décrire mes émotions "pipe".
Nous restons ainsi un long moment. Toutes les deux ou trois minutes, pour reposer sa mâchoire, Clémentine s'arrête.
Nous échangeons alors nos ressentis. Elle me montre le foutre gluant qu'elle récupère en suçant. La bouche ouverte.
Je la félicite. Nous aimons tous deux rester excités pour le restant de la journée. Nous cessons. Nous redescendons.

Au dehors, c'est une véritable tempête. Nous dévalons les escaliers. Il est presque 14 h15. Je garde la bite bien à l'air.
Sur l'insistance de Clémentine, j'ai le Zob qui pend de ma braguette déboutonnée. Je bande mou. Ça dégouline. Le jus.
Trois coups de sonnettes. Clémentine se précipite. Julie entre. Vêtue de ses jeans, un sweat noir, chaussée de bottines.
Comme à chaque fois, la jeune fille ignore totalement mon Zob pour me serrer la main. Radieuse et heureuse d'être là.
Clémentine nous propose d'aller directement dans l'atelier. Les voilà assises toutes les deux dans le vieux canapé. Bien.

Je prépare notre thé au jasmin sur la plaque électrique qui sert à mes préparations d'huiles de lin et d'œillette cuites.
Je demande : < Tu es toujours en recherche d'un emploi pour cet été ? >. Julie me regarde attristée et dit : < Oui ! >
Je continue : < Serais tu intéressée par la tenue de ma galerie d'Art. C'est du lundi 29 juin au samedi 5 septembre ? >
Julie ouvre d'énorme yeux. L'étonnement est vif. Elle reste un moment à nous regarder Clémentine et moi. En silence.
< Mais j'y connais rien en peinture ! > s'écrie t-elle comme pour s'excuser. Je dis : < Je vais assurer ta formation ! >

C'est très rapide. La seconde semaine des vacances de Pâques, je propose à Julie de venir ici pour tous les après-midi.
Ainsi, elle pourra s'imprégner de peinture. Elle pourra me voir peindre. Je pourrais expliquer les différents processus.
Je la mettrais en situation. Nous irons visiter ma galerie d'Art. Julie écoute avec attention. De plus en plus enchantée.
Je précise : < Ce n'est pas la vendeuse que je cherche, c'est quelqu'un d'aimable capable de recevoir, de converser ! >
Dans le domaine de l'Art, il n'y a pas de clients. Il y a des acquéreurs, des collectionneurs, des amateurs de peinture.

Clémentine rajoute : < Il te suffit d'être présente, d'assurer l'animation du lieu. Et les choses se font toutes seules ! >
Julie est évidemment enchantée par cette proposition. Elle propose toutefois de bien y réfléchir. Réponse ce dimanche.
Elle observe à présent mon sexe dont les coulures de foutre ont maculé mon jeans juste sous la braguette et la cuisse.
Je conclue en précisant : < Un excellent salaire et une couverture sociale assurée. Tout dans les règles......de l'Art ! >
< Je vous dis oui dès à présent mais il me faut examiner cela sous tous les angles ! > s'écrie Julie, contente, soulagée.

Je l'invite à découvrir les toiles tournées contre le mur du fond. < Comme c'est beau, c'est magnifique ! > s'écrie t-elle.
Je lui donne quelques explications en évoquant la peinture hollandaise du "siècle d'Or", le XVII ème. Les peintres. Bien.
Nous la sentons très intéressée. Nul doute que cela deviendra rapidement passion. L'idéal pour s'occuper d'une galerie.
Clémentine commente les toiles que je montre. Je les tiens en hauteur. Ainsi Julie peut également admirer ma biroute.
< C'est génial ! > fait souvent Julie. < Quoi donc ? > demande Clémentine en me faisant un clin d'œil. C'est si sublime.

< Tout est génial. De vous connaître, de la confiance que vous me faites, de me proposer cette activité ! > lance Julie.
Son attitude est beaucoup plus détendue. Elle se met à rire. C'est merveilleux de la voir enfin sereine. Grand moment.
Nous passons l'après-midi ainsi. Clémentine commente chaque toile. Je donne des informations quand à notre galerie.
Déjà 17 h30. Julie doit nous quitter. Elle passe d'abord chez elle avant d'aller faire la serveuse en soirée. Mise en place.
Nous la raccompagnons jusque sur le pas de la porte. Elle pique un sprint jusqu'à sa voiture à trente mètres. Très vite.

Un dernier coucou, nous la regardons partir en même temps qu'arrive Estelle. Elle aussi cavale à toute vitesse. Pluie.
Elle nous fait la bise, me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Nous rentrons bien au chaud.
La pâte à pain repose sous son linge dans un saladier. La garniture repose sous son couvercle dans la casserole. Bien.
Nous allons dans l'atelier. Je reprends mon dessin préparatoire. Un paysage. Les filles sont assises devant l'ordinateur.
Clémentine raconte ce qui s'est passé aujourd'hui. La mauvaise nouvelle qui concerne mon oncle. Proposition à Julie.

< Wouah ! Génial ! J'aimerai bien tenir une galerie d'Art ! La tienne ! > lance Estelle. Nous en rions de bon cœur. Bien.
Il est 18 h30. C'est l'heure des manifestations paranormales. La visite du fantôme de mon ancienne compagne. Bruits.
Pendant dix minutes c'est un florilège de grincements de portes, de claquements, meubles déplacés, course poursuite.
Tout cesse aussi brutalement que ça a commencé. Dehors, la tempête fait rage. Il est presque 19 h05. Morts de faim.
Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle travaille un peu la pâte à pain.

Je réchauffe la garniture. Je râpe une grosse quantité de gruyère de Comté. Les pizzas au four. Nous passons au salon.
Assis dans le canapé entre Clémentine à ma droite et Estelle à ma gauche qui s'amuse avec ma bite, nous bavardons.
La conversation reste axée sur Julie. Elle reviendra dimanche pour notre après-midi cinéma. Notre film pornographique.
< C'est du sévère, je vous préviens. Tu as été parfait Julien, professeur "Libido" ! >. Nous rigolons comme des bossus.
La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit en évoquant professeur Libido.

Nous traînons à table. Plusieurs fois Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine avec sa grande vulgarité.
Je me lève pour agiter ma queue que je fais tournoyer comme un lasso. < Zorro ! > fait à chaque fois Estelle en riant.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle a ses "petits machins" de fille. Elle veut absolument me tailler une pipe.
Vautrée dans le fauteuil, Clémentine se masturbe en regardant cet étonnant spectacle. Estelle à genoux sur le coussin.
Cela dure jusqu'à 22 h. J'éjacule. Nous raccompagnons Estelle sur le pas de la porte. Séparation difficile dans le vent.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se réjouissent déjà du week-end "cinéma" qui s'annonce chaud et humide...

Julien - (Au lit, j'offre à Clémentine un cunnilingus de ouf qui s'achève par un orgasme cataclysmique. Puis dodo) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 9 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1079 -



Un vendredi plein de bonnes surprises

Hier matin, vendredi, nous nous réveillons quasiment en même temps. serrés l'un contre l'autre, échange de bisous.
Il est presque 8 h. Clémentine est toujours très amusée par mon impressionnante érection matinale. Elle me la tient.
L'impérieux besoin de pisser met rapidement un terme à nos amusantes explorations du réveil. Nous courrons au WC.
Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. C'est le petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant la visite de Julie, hier. Le vague programme de la journée. Superbe.

Nous traînons à table en bavardant. Dehors, le ciel est lumineux. La vaisselle. Nous enfilons K-way, bonnets et gants.
Nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur vive. C'est parti. Un jogging d'un bon rythme.
Il est 9 h30 quand nous sommes de retour après un running des plus gratifiants. Nous revenons avec le soleil. Parfait.
La douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux, espadrilles. Nous allons directement dans l'atelier. 10 h.
Clémentine allume son ordinateur. Nous découvrons deux messages. Celui de Julie qui nous remercie pour hier. Joie.

Elle nous fait part de son immense joie suite à notre proposition de tenir la galerie cet été. Elle a réfléchi toute la nuit.
Nous répondons. Elle confirme venir passer le dimanche après-midi avec nous. Nous nous réjouissons d'être ensemble.
Un message de mon oncle qui s'excuse une fois encore de ne pas pouvoir assurer cet été. Nous le rassurons. Parfait.
Je lui promets de passer mardi après-midi. Clémentine se plonge dans des travaux. Je vais m'assoir devant le chevalet.
Le dessin préparatoire de mon septième paysage. Parfois l'un se lève pour rejoindre l'autre. Bisous, câlins, confidences.

Il est presque midi. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade d'endives. Superbe.
Je fais gonfler du millet doré. Je fais rissoler des crevettes à la poêle avec l'ail, oignon, champignons, persil, ciboulette.
Juste avant de couper le feu, je rajoute un petit pot de crème fraîche. Du gruyère râpé. Je couvre d'un couvercle. Bien.
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine me parle du séjour en Jura.
C'est dans six semaines. Elle est pressée de revoir le lieu de nos premières vacances ensemble il y a trois ans. Sympa.

Le ciel s'est à nouveau couvert pour devenir menaçant. Clémentine propose d'aller faire nos courses dans l'après-midi.
< Ça nous laisse le samedi matin peinard. On ira juste au marché ! > suggère t-elle. Je trouve l'idée très sympa. Bien.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir. Rires.
La musique imbécile de mon smartphone. Clémentine s'en empare. C'est Estelle. Et elle sera là dans un quart d'heure.
Nous nous changeons. Clémentine met sa jupe de velours carmin, légèrement évasée au dessus du genoux, bas noirs.

Un chemisier blanc sous un pull noir, col en "V". Ses souliers à légers talons. Je la félicite, elle est délicieusement sexy.
Sur sa demande, je porte un pantalon à plis, gris, une chemise blanche sous un pull gris, col en "V". Et souliers de ville.
Nous prenons la pose devant le miroir de l'armoire quand Estelle entre dans la chambre. < Wouah ! > fait elle. Bisous.
Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bises. < On est ensemble jusqu'à dimanche ! > dit elle.
Comme tous les week-end, Estelle emmène des affaires dans son sac de sport. Elle veut s'habiller comme Clémentine.

Assis sur le lit, je regarde les filles comparer leurs vêtements, leurs formes et leurs poses suggestives. Elle sont belles.
Toutes les deux, accroupies devant moi, cuisses largement écartées, me font profiter de l'absence de culotte. Si beau.
Ces deux chattes invraisemblablement poilues sont de toute beauté. Je les félicite. Elles se redressent en riant. Super.
< Sors ta bite ! > me fait Estelle lorsque nous dévalons les escaliers. Nous prenons le cabas contenant les sacs. Parfait.
Nous mettons nos manteaux. Nous sommes tous les trois très élégants. Le ciel est gris, lourd. Il fait moins frais. Bien.

Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière, me caresse le cou, les joues, et mâte.
Il y a 13 km jusqu'à la zone commerciale. Je gare la voiture sur le parking. Il y a moins de monde qu'un samedi matin.
Je pousse le caddie. Clémentine nous entraîne dans les rayons avec la liste des courses en main. Estelle se tient à moi.
Elle ne lâche ni mon bras, ni le chariot. Nos hautes tailles, cet homme d'âge mûr et ces deux jeunes filles, de quoi voir.
Nous attirons bien des regards. De curiosité chez les femmes. Libidineux chez certains hommes. Les filles s'en amusent.

Lorsqu'un regard est trop insistant, l'une ou l'autre me dépose un bisou sur la joue ou la bouche. Pas d'ambiguïté. Rire.
Clémentine nous entraîne au rayon culturel. C'est là qu'il y a les meilleures opportunités. En effet il y a peu de monde.
Il y a ce type en jogging, portant une casquette qui feuillette des magasines sport. < Celui-là ! > nous fait Clémentine.
Estelle et moi restons en retrait, aux bandes dessinées. Nous observons la manœuvre d'approche de Clémentine. Ruse.
Debout à un mètre du mec, protégée de la vue derrière elle par le chariot, elle s'accroupit pour mâter les livres du bas.

< Put-Hein, génial ! > murmure Estelle qui reste tout près de moi. Nous faisons semblant de lire une bande dessinée.
Clémentine se tourne discrètement de trois quart vers le type, ses cuisses de plus en plus écartées. Spectacle fameux.
Notre inconnu ne tarde pas à découvrir l'attitude de cette magnifique jeune fille qui sort un livre pour le remettre. Vue.
Comme tous les autres, pour mieux en profiter, notre gaillard s'accroupit à son tour. Les magasines du rayon inférieur.
Il nous tourne le dos. Par contre on voit bien ce que fait Clémentine qui joue avec virtuosité de cette position ambiguë.

< Attend ! > me fait Estelle qui me laisse pour aller se positionner à la droite du mec. Son manteau ouvert et en jupe.
Le type doit probablement se croire victime d'une hallucination. Ou alors d'une machination. Il découvre Estelle. Idem.
C'est moi qui hallucine en découvrant cette situation hautement improbable et pourtant bien réelle. C'est du grand art.
Ce pauvre gars qui n'a rien demandé à personne, se retrouve entouré de deux splendides créatures exhibitionnistes.
Estelle est dans la même position que Clémentine. S'en est trop pour notre V.P. (Victime Potentielle), qui se redresse.

Va t-il tenter le contact ? Les filles se sont redressées toutes les deux. Elles le dépassent d'une demi tête. Là, il hésite.
Il semble assez gêné, peut-être mal à l'aise. Je devine ses interrogations. Se connaissent elles ? Est ce un piège ? Dur.
Finalement tout cela est probablement au-delà de ses capacités à appréhender une situation unique qui n'arrivera plus.
Il opte pour la fuite. Estelle et Clémentine éclatent de rire. Notre pauvre garçon se retourne là-bas, il comprend enfin.
Elles viennent me rejoindre. Nous rigolons comme des bossus de cette bonne plaisanterie. Ce fut une super exhibition.

Les filles, peu désireuses d'en rester à cette petite aventure cocasse, ont l'envie forte de récidiver. Une autre victime.
Pourtant, nous avons beau tourner dans tout ce secteur de l'hypermarché, il ne se présente aucune autre opportunité.
< C'est rageant ! > lance Estelle. < C'est frustrant ! > rajoute Clémentine. Je leurs confie ma légère déception. Rires.
Au rayon jardinage, il y a un "beau vieux", athlétique, cheveux blancs, mèche "D'jeune". Il mâte les outils, les graines.
< Une "V.P." ! > murmure Clémentine qui une fois encore va se positionner. Les sachets de graines du rayon du bas.

Notre sénior n'est pas tombé de la dernière pluie. Il sait saisir une telle occasion. Avec un certain tact et de la finesse.
Estelle me tient par le bras. Nous faisons semblant de choisir des gants de protections. En les enfilant un après l'autre.
Clémentine est une virtuose de l'exhibition discrète. Ce qui ne tarde pas à éveiller l'attention de notre beau vieux. Bon.
Lui ne s'accroupit pas pour mieux voir sous la jupe de cette magnifique jeune fille qui lui offre là un panorama unique.
Par contre il se met à lui parler en secouant un sachet de graines. < Put-Hein, mâte, il se touche ! > murmure Estelle.

En effet, je viens de découvrir sa main libre avec laquelle il se palpe la braguette. C'est un autre virtuose. Un vicelard.
< Il se masse carrément la queue au travers du tissu ! > me chuchote Estelle. < Attend ! > me dit elle en s'éloignant.
Elle se met à droite, et près du vieux beau. Il ne la remarque pas de suite, tout occupé qu'il est à draguer Clémentine.
Je bande comme le dernier des salauds. Le vieux probablement aussi car il découvre Estelle. Le voilà entouré de filles.
Ce genre de situation n'arrive qu'une fois dans une vie. Lorsqu'elle daigne arriver. Aussi notre homme en est remué.

Ce vieux cochon se touche effrontément en adressant la parole à Estelle. Il se doute que c'est une complicité de filles.
Pas tombé de la dernière averse. Le voilà à faire son charmeur, son numéro de séducteur. C'est pathétique. Le sénior.
Une femme arrive en poussant un caddie. Cela met un terme à la situation épique, (et colégram), c'est sa compagne.
< Il a bien failli se faire prendre la main dans le "sac" ! > fait Estelle. < Une main qui palpait ! > rajoute Clémentine.
Nous en rions de bon cœur. Nous terminons nos achats par la poissonnerie. Nous passons en caisse. C'est si rapide.

Nous flânons longuement dans la galerie commerciale. Les filles aimeraient bien un autre "plan". C'est trop bien. Rire.
Nous regardons les menus affichés à la cafétéria. Je propose aux filles de nous prendre de la tourte aux fruits de mer.
Elles préfèrent toutes les deux rentrer. < J'ai envie de faire des trucs à la maison ! > dit Estelle. Nous éclatons de rire.
Dans la voiture, assises toutes les deux sur le siège passager malgré mon interdiction, elles jouent avec ma bite. Joie.
Il est presque 19 h quand nous arrivons à la maison. Nous rangeons les courses. Nous montons nous changer. Sympa.

En glissant mes mains entre les cuisses des coquines, je découvre cette merveilleuse sensation de moiteur. Humidité.
Estelle me tient la queue. Je bande mou. Avec l'excitation de l'après-midi, nos sexes sont bien mouillés. C'est fameux.
Clémentine s'occupe de la salade. Estelle réchauffe le millet en mettant la table. Je pane trois filets de colin à la poêle.
Nous mangeons de bon appétit tout en traînant à table. Les filles rient de leurs aventures de l'après-midi. Les exhibes.
La vaisselle. Au salon, nous baisons comme des malades. Je pénètre l'une puis l'autre. Je me bouffe de la chatte. Miam.

Bonnes expéditions exhibitionnistes à toutes les coquines dont la passion est d'être vues, admirées, discrètement...

Julien - (Au lit, Clémentine à ma droite, Estelle à ma gauche qui s'endort, nous évoquons nos aventures folles) -

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Un samedi peinard, Estelle, Clémentine et moi

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par les incessants mouvements que fait Estelle serrée contre moi.
Toute la nuit, lorsqu'elle dort avec nous, Estelle reste tout contre moi. Je sens ses bras m'enlacer. C'est merveilleux.
Comme une naufragée accrochée à sa bouée. Il est 8 h30. Je lui dépose un délicat bisou sur le front. De la douceur.
Elle se réveille en gémissant. Ce qui tire Clémentine de son sommeil. Elle vient se blottir. Je suis entre mes anges.
C'est la distribution de bisous. Les chuchotements plein de tendresse. Mais il y a l'impérieux besoin de pisser. Dur.

Estelle se lève la première pour se précipiter aux toilettes. Clémentine me chevauche, frottant son sexe sur le mien.
< C'était si bon hier soir, j'en ai la chatte encore toute congestionnée ! > me murmure t-elle en évoquant la soirée.
Estelle revient. Elle enfile sa tenue de jogging. < Je vais préparer notre petit déj ! > lance t-elle avant de descendre.
Clémentine m'entraîne par mon érection matinale jusqu'aux toilettes. Le rituel pisseux. Nous vêtons nos tenus gym.
Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour aller rejoindre Estelle à la cuisine. Odeur de brioche, pain grillé, café.

Nous avons fait nos courses hier après-midi. Il y a de la brioche jusqu'à lundi matin. Jour de la rentrée universitaire.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant notre "baise party" de hier soir, tous les trois. C'était sublime. Joie.
Nous en rions de bon cœur. Dehors, le ciel est couvert. Gris. Menaçant. Le vent est si violent. Nous traînons à table.
La vaisselle. Nous enfilons nos K-way, nos gants et nos bonnets. Dehors. Nos quelques mouvements d'échauffement.
C'est parti. Estelle qui impulse un rythme soutenu dès le départ et jusqu'à l'arrivée. Un superbe running d'une heure.

Nous revenons pour 10 h30. Sous les premières gouttes de pluie. Estelle prend sa douche la première. C'est rapide.
Clémentine et moi découvrons le message de Julie qui confirme une fois encore son plaisir de nous rejoindre demain.
Nous y répondons. Un message de Juliette qui nous invite à l'animation qu'elle organise au haras demain après-midi.
Nous répondons en nous excusant. Il nous sera impossible de venir faire un tour. Estelle revient de la douche. Vêtue.
C'est à notre tour. Nous montons à toute vitesse. Nous nous habillons. Jeans, chemise à carreaux. Nous descendons.

Estelle a préparé le cabas qui contient les sacs. Nous enfilons nos anoraks. Il pleut. Nous sortons sous les parapluies.
Le vent devient tempétueux. Il faut faire vite. Estelle propose de prendre sa voiture d'entreprise. Je préfère la mienne.
Nous voilà en route. Je roule doucement sur les trois kilomètres qui nous séparent du bourg. C'est le jour du marché.
Clémentine joue avec ma queue. Estelle derrière, caresse mon cou, mes joues tout en mâtant ce que fait Clémentine.
Je gare la bagnole sur le parking. Malgré cette météo qui s'annonce déplorable pour la journée, il y a plein de monde.

Inutile de prendre les parapluies, ils seraient détruits dès les premières secondes. Nous nous couvrons des capuches.
Il faut marcher vite sous des bourrasques qui pourraient nous projeter au sol. Et c'est une tempête impressionnante.
Nous faisons provisions de fruits et de légumes. Nous prenons des pâtes feuilletées Bio chez notre boulangère. Bien.
Nous faisons provisions de yaourts, de beurre, de fromages, d'œufs et de crème fraîche chez notre artisan fromager.
Nous n'avons jamais fait notre marché aussi rapidement. Nous voilà trempés et nous en rigolons comme des bossus.

La route du retour. Il y a un arbre qui est tombé sur la route. C'est un très vieux chêne séculaire et impressionnant.
J'anticipe. Avant d'être bloqué dans la circulation, je tourne dans le chemin à droite. Au risque de m'embourber. Vite.
Je fais demi tour. Bien m'en a prit car il y a d'autres voitures qui vont se faire piéger en attendant les employés ONF.
Nous faisons le détour par le lotissement près de chez Estelle. Nous passons devant l'entreprise de ses parents. Bien.
Il est 12 h30 quand nous revenons. Nous montons immédiatement mettre des vêtements secs. Les autres à sécher.

Nous rangeons nos courses. < On fait comme tous les samedis ! > me propose Clémentine qui s'occupe de la salade.
Estelle verse les haricots verts et les petits pois encore congelés dans le Wok. Je prépare le bouillon pour les moules.
Nous n'arrêtons pas de nous faire de rapides bisous. Estelle me palpe la braguette que Clémentine m'ouvre en riant.
C'est un repas vite préparé. Nous mangeons de bon appétit. Le tas de coquilles vides de moules est impressionnant.
Nous traînons à table en bavardant. Les filles évoquent la rentrée universitaire de lundi matin. Et la fin des vacances.

Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine font un vague programme de ce dernier week-end de congé. Parfait.
Clémentine propose de faire le ménage partout dans la maison cet après-midi plutôt que demain matin. Bonne idée.
La vaisselle. Clémentine monte s'occuper de notre chambre. Estelle passe l'aspirateur en chantonnant. C'est super.
Je nettoie la cuisine et les chiottes du bas. C'est sympa de faire tout ça un samedi après midi à la météo déplorable.
J'oublie même le piège habituel que tend Estelle les dimanches matins. Le "droit de passage". Je n'y échappe pas.

Elle jaillit toute nue, juste avec ses chaussettes au bas de l'escalier, adorable, pour me sauter au cou. Je la soulève.
Elle m'enserre de ses jambes pour s'accrocher à moi comme une naufragée à sa branche. Elle me couvre de bisous.
Je l'emmène au salon. Je la dépose sur le bureau. Je sors mon Zob. Je frotte mon sexe contre le sien. Je bande fort.
Estelle s'en saisit pour en introduire l'extrémité en se mordillant la lèvre inférieure. Nous avons tant baisé hier soir.
Elle m'attrape par le cou. Un coup de reins, elle s'enfile presque toute la queue. Je l'emmène "promener". Sublime.

< Mon Tour Operator adoré ! > me fait elle en se mettant à se secouer. Je reviens la déposer sur le bureau. Terminé.
Je me retire : < Non ! > s'écrie t-elle avant de rajouter : < T'es vilain avec moi, j'aime tes visite guidées. Je t'aime ! >
Je lui tends ses fringues en disant : < Viens, on monte rejoindre Clémentine ! >. Estelle me dit : < Je monte à poil ! >
Quelle n'est pas la surprise de Clémentine lorsqu'elle voit entrer Estelle toute nue dans la chambre, avec ses fringues.
Nous en rigolons comme des bossus. Estelle se rhabille vite. Les fenêtres de la chambre sont grandes ouvertes. Brrr.

Je ramasse le tas de draps sales pour les emmener à la salle de bain. Clémentine vient rapidement me rejoindre. Joie.
Je lui raconte la petite baise en bas, avec Estelle. < Et moi ? > me chuchote Clémentine. Nous en rions de bon cœur.
Je lave le bac à douche, le bidet. Clémentine s'occupe du lavabo et des miroirs. Nous n'arrêtons pas de nous tripoter.
< On se garde pour ce soir. On a notre film à visionner ! > me fait Clémentine tout en s'accroupissant pour me sucer.
Juste quelques minutes. Je bande comme le dernier des salauds. < Miam ! > fait elle lorsque je la force à se relever.

Nous entendons Estelle passer l'aspirateur en chantonnant. Clémentine descend avec le panier à linge plein à ras bord.
Je nettoie les chiottes du haut. Le moment préféré d'Estelle qui vient silencieusement s'accroupir derrière moi. Bisous.
Elle frotte son sexe contre mes reins en me chuchotant des cochonneries. Je tire la chasse. J'enlève mes gants. Bien.
Nous nous redressons en même temps. Je me retourne. Nous nous embrassons comme des fous, passionnément. Joie.
Les mentons trempés de salive, nous nous essuyons avec du papier cul en éclatant de rire. Nous descendons l'escalier.

Nous rejoignons Clémentine à la cave, dans la buanderie. Nous aidons à trier le linge. Les filles évoquent leurs études.
J'aime écouter les stratégies et les ruses qu'elles appliquent pour préparer leurs cours, cette émulation qui les anime.
Il est presque 17 h quand nous remontons. La maison sent bon le propre. Un peu le chlore depuis les toilettes du bas.
Nous allons dans l'atelier. Les filles mettent immédiatement en pratique l'un de leurs projets devant l'ordinateur. Bien.
Je suis assis devant mon chevalet. J'attaque le dessin préparatoire de la huitième toile de ma série des dix paysages.

Nous travaillons ainsi jusqu'aux environs de 19 h. Ce soir, et curieusement, il n'y a aucune manifestation du fantôme.
Nous voilà serein. Nous avons avancé dans nos travaux respectifs. Nous faisons les clowns en sautillant dans l'atelier.
Les filles m'entraînent dans une ronde en improvisant des paroles loufoques sur une musique toute aussi fantaisiste.
J'ai la bite à l'air. Je bande mou. Les filles me lâchent les mains pour applaudir ma prestation. Je fais bouger la queue.
< Il commence à faire faim ! > lance Estelle. Nous nous précipitons à la cuisine. Nous voilà assis à table. Les légumes.

Tout en bavardant, nous épluchons les légumes de notre potée du week-end. Il y en aura pour trois repas. C'est bien.
Pommes de terre, carottes, céleri, navet, fenouil, persil, oignon, ciboulette, ail. On coupe en petits morceaux. Parfait.
Estelle se charge de la cuisson dans la vieille cocotte en fonte. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la scarole.
Je pane trois filets de cabillaud blanc. D'abord trempés dans l'œuf, puis dans la chapelure, recouverts de gruyère râpé.
Nous adorons préparer le repas. C'est une source de plaisir insoupçonné pour la plupart des gens. C'est aphrodisiaque.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles sont encore plus impatientes que moi pour voir notre film.
Nous traînons malgré tout à table. Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine veulent profiter de chaque minute.
Ces vacances sont encore passées si vite. Trop vite. Fatalité irrémédiable des bons moments de la condition humaine.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. La lourde cocotte en fonte contenant la potée posée sur le rebord de la fenêtre.
Nous nous regardons en silence. < Go ! > s'écrie soudain Estelle. Nous filons au salon. Elle sort la petite boîte à secret.

Dans cette petite boîte en plastique transparent il y a la carte SD. C'est notre film. Estelle l'agite sous nos yeux, riant.
< Attention, âmes sensibles s'abstenir. Interdit aux moins de 18 ans ! > lance encore Estelle en sautillant et chantant.
Clémentine et moi nous tirons la table basse devant le canapé. Le meuble à roulettes sur lequel est posé le téléviseur.
Estelle tend la carte SD à Clémentine qui l'introduit dans l'ordinateur relié à la télé par le câble HDMI. Elle s'y connaît.
J'aime à observer Clémentine dans ses préparatifs. Elles sont toutes les deux fébriles mais se maîtrisent plutôt bien.

Nous voilà vautrés dans le canapé. Estelle à ma droite. Nous regardons Clémentine terminer les branchements.
Elle vient s’installer à ma gauche. A l’aide de la télécommande, elle fait quelques essais. Et tout fonctionne bien.
L’écran est bleu. Il y a soudain de la musique classique. Nous reconnaissons le Rondo Veneziano. C’est superbe.
En gros plan le visage d’Estelle maculé de foutre et de pisse. Des mèches de cheveux qui lui collent à la gueule.
L’image disparaît en fondu enchaîné. Apparaît soudain ce titre « Professeur Libido ». C'est en lettrage Gothique.

Nous éclatons de rire. C’est fameux. La musique disparaît doucement en même temps que le titre. Très bien fait.
Nous découvrons le décors que nous avons constitué avec le tableau noir et les bancs d’écoles montés de la cave.
On s’y croirait. L’angle de la caméra est parfait. C’est un champs resserré qui ne permet pas d'en voir davantage.
L’image disparaît à nouveau. Cette fois elle réapparaît avec les deux filles assises aux tables vues de dos. Super.
Elles font vraiment lycéennes anglaises. Vêtues de leurs jupes kilt, de leurs chemisiers blancs, pulls bleus cols "V".

On me voit entrer dans le champs. J’avance devant le tableau noir. Voilà le Professeur Libido qui donne son cours.
J’ai l’air un peu ridicule avec mes fausses moustaches et cette paire de lunettes cerclées de noir, tout à fait inutile.
Je dessine une bite sur le tableau noir. Estelle qui lève le doigt pour demander : < Et c’est quoi donc Monsieur ? >
Le lecteur qui a lu notre récit de lundi dernier se souvient de cette scène. Sinon je l’invite à retourner le lire. Vite.
Estelle qui pointe son doigt vers la braguette du professeur Libido en lui demandant de lui montrer le Zob. Fameux.

Clémentine fait le premier arrêt sur image au moment précis où je présente ma queue toute molle à Estelle. Bien.
Estelle, assise à ma droite, qui me glisse à l’oreille : < C’est toujours le moment que je préfère avant la suite ! >
Nous en rions de bon cœur. Clémentine appuie sur la télécommande. Le film reprend. Ce sont de superbes images.
La netteté de la qualité 4K est invraisemblable. Géniale. Dans le film, on voit Clémentine qui se lève. Elle disparaît.
C’est à cet instant qu’elle est allée allumer l’appareil photo d’Estelle réglé sur mode caméra. Une qualité moindre.

C’est moins bon. Format Avi. 1080p. Estelle a procédé là à un montage très professionnel. Comme toujours. Super.
A l’image on me voit pisser au visage d’Estelle. Surprise elle tente d’éviter les jets que je lâche en mitraille. Fameux.
Clémentine refait un arrêt sur image. < Tu as vu le genre de mec. Mais c'est un vrai dégueulasse ! > s’écrie Estelle.
< Tu les aimes les mecs du genre professeur Libido, non ! > lui répond Clémentine en relançant le film. C’est super.
A l’image, on me voit chopper Estelle par sa tignasse, lui frotter ma bite sur la tronche. On l’entend même gueuler.

Lorsqu’elle me traite de salaud en recrachant la pisse qui lui dégouline des narines. Elle en tousse d'écœurement.
On la voit, parfaitement écœurée, tenter de se soustraire à l’étreinte puissante du professeur Libido. Se débattre.
Je lui fais bouffer de la bite. On me voit lui allonger sa première gifle. La pisse sur son visage éclabousse partout.
Pas une seule fois on peut identifier l’autre fille dans ce film. L’autre fille qui se fait éclabousser de pisse. Dégueu.
Cette autre fille n’est autre que Clémentine qui bouffe de la queue. Je la tiens par ses cheveux. On l'entend gémir.

Arrêt sur image. Nous sommes tous les trois entrain de nous masturber. C’est tellement excitant. Grand moment.
Nous ne nous sommes même pas rendus compte que nous étions à nous branler en regardant ce film. Surprenant.
Clémentine remet en marche. J’invite le lecteur à relire le texte de lundi dernier, celui du 24 février. Il comprendra.
C’est un film qui dure exactement 28 minutes. Estelle a éliminé les temps morts, tout ce qui n’apportait rien. Bien.
Mais ce sont vingt huit minutes d’une intensité folle. D’une densité incroyable. Le meilleur de nos neuf réalisations.

Lorsque les mots "The End" apparaissent à l’écran, nous sommes trempés de sueur. Nos sexes bouillants. Excités.
Sur l’écran il y a nos trois visages. Celui de Clémentine, méconnaissable, là sur la gauche. Le mien là, sur la droite.
Nous entourons le visage d’Estelle méconnaissable aussi. Trempé de pisse et de foutre comme rarement. Sublime.
Nous sourions tous les trois à l’objectif. L’image dure une bonne minute. Nous sourions à la caméra. Un peu bêtes.
L’image disparaît définitivement. Nous sommes tous les trois épuisés, haletants et excités comme jamais. Fameux.

< Tu crois qu’on pourra décemment montrer ce film à Julie, demain ? Sans déconner ? > demande Estelle. Silence.
< Elle fait partie du Club, même si elle n’est pas un membre actif, elle en est une sympathisante ! > dit Clémentine.
Nous en rigolons comme des bossus. Estelle me prend la queue. < Wouah ! Elle est dure ! Salaud ! > s’écrie t-elle.
< Fais voir ! > lance Clémentine qui s’en saisit à son tour. Je propose aux filles de tout abandonner et de remonter.
Je précise : < Le ménage est fait ! On se fait une matinée de vicelards demain ! > . Les filles se lèvent vite en riant.

D’un bond. Nous éteignons la petite lampe fixée sur le téléviseur. Nous nous précipitons aux WC. Le rituel pisseux.
Je tiens Estelle par la nuque pendant qu’elle pisse. Je lui frotte la bite sur la gueule. C'est tout comme dans le film.
Je me mets à genoux pour lui lécher le sexe, récupérer ses jus, le mélange, en suçant comme un assoiffé. Délice.
C’est au tour de Clémentine. Elle pourrait en avoir un orgasme tellement c’est bon. Tellement elle apprécie. Super.
C’est à mon tour. Elle se refilent ma bite pour en diriger les nombreux jets. Puis elles sucent à tour de rôle. Miam.

Nous sommes épuisés. Nous nous observons dans le miroir au dessus du lavabo des toilettes. Nos yeux cernés.
< C'est une véritable honte de s'éclater comme nous le faisons tout le temps ! > lance Estelle. Nous en rigolons.
C'est vrai que cela frise souvent la démesure. Deux jeunes filles de 22 ans et délurées avec un homme d'âge mûr
N'est-ce pas la configuration idéale pour vivre les plus indicibles séquences de jouissances, de joie et de plaisirs ?
Nous en sommes parfaitement conscients. Nous montons nous coucher. Nous tentons un dernier truc. Dur. Dodo.

Bonne soirée cinéma à toutes les coquines qui aiment se voir jouer dans un film personnel et privé...

Julien - (Je lèche une dernière fois Estelle qui s'endort en gémissant de bonheur. Clémentine suce un peu) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 11 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1081 -



Une "soirée cinéma" en plein après-midi

Hier matin, dimanche, je suis réveillé de cette façon si particulière quand Estelle dort avec nous. Une partie Culière.
Elle reste serrée contre moi toute la nuit. Ses mouvements sont toujours délicats. Elle saisit mon érection matinale.
D'une main ferme, avec poigne. Elle me couvre le visage de bisous. Ce qui réveille évidemment Clémentine. Déjà 9h.
Je suis entre mes deux anges. J'ai passé mes bras sous leurs nuques. Elles sont blotties contre moi et me chuchotent.
Ces matins, toujours si exceptionnels malgré leur fréquence, nous enchantent presque jusqu'aux larmes. Le privilège.

Estelle se lève la première en s'écriant : < Pipi ! >. Elle se précipite aux toilettes. Clémentine saisit ma queue. Le relai.
Elle glisse sa tête sous les draps pour me téter avec une telle douceur. Je lui caresse la nuque en gémissant de plaisir.
Estelle revient, demande : < Elle est où Clémentine ? >. Elle comprend rapidement en voyant la bosse sous la couette.
Elle s'approche, saisit un coin de la couette pour la soulever. < Bonne appétit ma demoiselle ! > fait elle. Je l'attrape.
< Je t'aime ! > me fait elle. < Je descends préparer le petit déjeuner ! > me dit elle en me faisant plein de bises. Joie.

Elle s'habille. Elle dévale les escaliers. Clémentine émerge de sous les draps. Elle m'entraîne aux toilettes par la queue.
Nous nous habillons. Nous descendons rejoindre Estelle à la cuisine. Cette délicieuse odeur de pain grillé, brioche, café.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles évoquent la rentrée universitaire demain matin. C'est bien.
Elles se réjouissent. Estelle en vient rapidement à parler de notre soirée cinéma, hier. Le film intitulé Professeur Libido.
< Tu as vu un peu comme tu sais te comporter avec les filles ! > me fait Estelle s'asseyant sur mes genoux. Des rires.

C'est dimanche. Aujourd'hui pas de gymnastique, de jogging ou encore d'entraînement. De plus le ménage est déjà fait.
Nous nous félicitons d'avoir nettoyé la maison hier après-midi. Clémentine vient s'assoir sur mes genoux. C'est sublime.
Dehors, il fait moche. Le ciel est bas. Les bourrasques de vent jette des paquets de pluie contre les carreaux. C'est dur.
Nous traînons à table. Estelle parle des réjouissances à venir. La visite de Julie cet après-midi qui vient visionner le film.
Je promets aux filles d'être bien vicelard. Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Et il reste de la brioche pour demain.

Le pavé de saumon et la pâte feuilletée sont entrain de décongeler. C'est Estelle qui exige de préparer le repas de midi.
Nous sommes tous les trois vêtus de la même façon. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns. Si drôle.
Les filles miment des fellations en faisant une bosse à l'intérieur de leurs joues avec un mouvement de brosse à dents.
Je demande : < Vous faites une pipe à qui ce matin ? >. Estelle qui s'écrie : < Au professeur Libido ! >. Nous en rions.
< A Julien ! > lance Clémentine. Nous nous rinçons la bouche tous les trois au dessus du lavabo. Nos têtes se touchent.

C'est dans cette ambiance que nous faisons le lit. Nous prenons des poses devant le miroir de l'armoire en déconnant.
Estelle palpe ma braguette alors que Clémentine y glisse la main. < Tu as obligation de garder la bite à l'air ! > dit elle.
Nous en rigolons comme des bossus. Nous dévalons l'escalier pour aller dans l'atelier. C'est le dernier jour de vacances.
Les filles mettent à profit le reste de cette matinée pour préparer leurs affaires. Y mettre de l'ordre. Devant l'ordinateur.
Je suis installé devant mon chevalet à réaliser le dessin préparatoire de la neuvième toile de la série des paysages. Bon.

Il est 11 h20. Estelle nous quitte et dit : < Interdiction de venir à la cuisine. Je viens vous chercher quand c'est prêt ! >
Dans l'encadrement de la porte elle mime une masturbation masculine en me faisant : < Et soyez sage professeur ! >
Cette adorable coquine mime encore une pipe avant de disparaître. Clémentine vient s'assoir sur mes genoux. Délicate.
Je tente bien de dessiner tout en écoutant les confidences que me fait Clémentine. Son impatience d'être au printemps.
Ses désirs d'exhibitionnisme. < Aux premiers beaux jours, je vais me dépasser ! > fait elle à plusieurs reprises. Rires.

Nous travaillons encore un peu. Il est 12 h15. Estelle qui revient. < C'est prêt ! > fait elle en venant me faire des bises.
Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Le feuilleté de saumon est encore au four. Il y a la salade d'endives.
La table est mise. La potée embaume toute la cuisine. < A table ! > lance Estelle en nous invitant à nous assoir. Super.
Nous commençons par la salade en bavardant. La sonnerie du four. Estelle en sort un plat magnifique, doré à souhait.
Nous mangeons de bon appétit. Nous félicitons Estelle pour la qualité de ce repas. C'est un vrai régal. C'est si délicieux.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles reviennent sur la séance cinéma qui nous attend cet aprème.
Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous rangeons bien la cuisine. Nous passons au salon. Tout est encore prêt.
Il suffit d'allumer le téléviseur et l'ordinateur. Il est presque 14 h30. Trois coups de sonnette. Clémentine se précipite.
Estelle glisse sa main dans ma braguette pour en extraire le Zob. Julie entre dans le salon. Elle est radieuse. Si belle.
Elle me serre la main. Comme à chaque fois, attitude féminine, elle ne jette aucun regard sur le Zob que tient Estelle.

Nous voilà tous les quatre installés dans le canapé. Je suis entre Estelle et Clémentine. Julie aux côtés de Clémentine.
Nous bavardons un peu. Julie raconte le service de midi au restaurant. Et son impatience de rentrer en cours demain.
Estelle tout en bavardant, me tord la bite dans tous les sens. Julie se penche quelquefois en avant pour observer. Bon.
Julie me fait : < J'ai bien réfléchi. Je suis pressée de m'occuper de votre galerie cet été. Je me réjouie. C'est super ! >
Je la félicite pour cette décision. Il faudra nous organiser pour assurer sa formation à l'Art et à la peinture. C'est facile.

Clémentine allume les appareils. Elle tient la télécommande. Comme hier soir, le générique Professeur Libido à l'écran.
Les mêmes images très excitantes d'une salle de classe, deux filles vues de dos qui observent un tableau noir. Silence.
Nous revoyons ces images avec une excitation grandissante. Julie éclate de rire lorsque j'apparais à l'écran. C'est fou.
Mes fausses moustaches, mes lunettes, comme sur la photo de mon avatar. < C'est vous ? > s'écrie Julie en rigolant.
Je confirme. La suite est connu des lecteurs. Professeur Libido qui dessine une bite molle sur le tableau. Avec réalisme.

Estelle qui demande : < C'est quoi monsieur ? >. Avant d'exiger de voir la vraie. La porte du buffet est ouverte. Bien.
Clémentine l'a ouverte de manière à ce que la vitre reflète nos silhouettes sur le canapé. Et je peux voir nos réactions.
Surtout celles de Julie qui assiste là à son premier véritable moment de stupre et de luxure. Je peux voir ses émotions.
Elle reste immobile. Comme craintive. Estelle et Clémentine ont glissé leurs mains libres dans leurs jeans déboutonnés.
Julie croise les bras. Nous pouvons entendre sa respiration s'affoler en même temps que ses sens. Et c'est prodigieux.

Ce sont les scènes où professeur Libido pisse au visage d'Estelle qui précipitent soudain les choses. Julie qui bouge.
Elle aussi glisse sa main dans son jeans. J'observe ce qu'elle fait dans le reflet de la vitre. Ça m'intéresse davantage.
Estelle me masturbe. Elle se lève, se met à genoux sur le coussin entre mes jambes écartées. Julie se penche, mâte.
La pauvre. Elle ne se contrôle plus vraiment. Clémentine fait des arrêts sur image pour les commenter. Julie écoute.
Je me fais tailler une pipe des familles sans cesser d'observer les attitudes de Julie dans la vitre du buffet. Magnifique.

Julie ose enfin poser des questions précises quand aux images. Mais ce sont surtout les attitudes du professeur Libido.
En effet, mes attitudes dans le film sont tellement suggestives, parfois celles d'un "Maître" avec ses "Soumises". Joie.
De quoi affoler une jeune fille de 20 ans déjà bien délurée, hyper voyeuse, vicieuse et si curieuse de choses nouvelles.
Chaque fois que je tourne la tête, que je me penche pour la regarder, elle retire vivement sa main de sa culotte. Bien.
Ces réflexes sont adorables. Un peu plus d'une heure passe ainsi. Julie cesse de se toucher. Je découvre une passion.

< Tu fais ça souvent ? > demande Clémentine. Estelle cesse de sucer pour écouter. Julie répond : < Tout le temps ! >
< Nous aussi ! > fait Estelle. Je la force à se relever pour venir s'installer dans le canapé. Je propose un thé au jasmin.
Clémentine se lève. Elle me prend la main pour m'entraîner à la cuisine. Nous entendons Estelle et Julie rire au salon.
< Tu es génial dans le film. Julie te découvre vraiment. Attendons la suite des évènements ! > chuchote Clémentine.
Nous retournons au salon. Surprise. Estelle a remis le film. Elle commente l'arrêt sur image ou je lui pisse à la gueule.

Ce sont ces images qui semblent fasciner le plus Julie. Elle est penchée près de l'écran pour bien voir. C'est fabuleux.
< Bienvenue au "Club" ! > lui fait Clémentine. < Merci de m'accueillir ! > lance Julie soudain pleine d'aplomb. Super.
Depuis près de deux ans, nous avons appris à nous jauger quelque peu. Là, cet après-midi, nous faisons connaissance.
Julie dévoile un peu de sa personnalité encore secrète. Nous dégustons des petits gâteaux secs d'Ecosse. Thé chaud.
Ce sont trois étudiantes. Ce sont des filles. Elles ont rapidement le contrôle sur leurs libidos et leurs émotions. Belles.

J'écoute. Les filles évoquent leurs études. Leurs rentrées universitaires de demain. A l'écran toujours la même image.
Le professeur libido tenant fermement Estelle par ses cheveux d'une main en frottant sa bite pisseuse sur son visage.
Les séquences préférées de Julie que ce film a considérablement impressionné. < Tu veux tourner ? > lui fait Estelle.
Julie me fixe. C'est rare qu'elle soutienne ainsi mon regard. C'est certain, dans sa tête elle se met à la place d'Estelle.
Je peux deviner ses pensées. Elle en meure d'envie. Elle se contente de dire : < Cela demande réflexion ! >. Silence.

Clémentine rajoute : < Tu aurais participé à ce film, tu serais entrain de savourer une victoire sur tes inhibitions ! >
< C'est certain. Mais laissez moi du temps. Ça m'intéresse ! > fait elle en soupirant. Nous en rions de bon cœur. Joie.
L'après-midi s'achève ainsi. Déjà 17 h30. Julie doit nous quitter pour aller faire la mise en place au restaurant. Le job.
Nous la raccompagnons jusque sur le pas de la porte. Elle revient demain soir. Elle cavale à toute vitesse vers l'auto.
Nous rentrons. < C'était génial, c'est sûr elle voudra participer ! > lance Estelle. < Pas sûr du tout ! > dit Clémentine.

Nous rangeons le salon. Estelle récupère sa carte SD qu'elle insère dans sa petite boîte en plastique. Elle l'agite. Rire.
< J'en ai neuf, cachés dans un endroit connu de moi seul ! Vivement le dixième ! > lance t-elle. Nous éclatons de rire.
Nous restons vautrés dans le canapé. Je propose aux filles un bon léchage de minous après le repas. Estelle se lève.
< Pourquoi pas avant déjà ! > lance t-elle en déboutonnant son jeans. Les coquines retirent leurs jeans, les culottes.
A genoux sur le coussin, je commence par savourer le croupion d'Estelle. Les dimanches nous restons dans nos jus.

Elles ont les chattes trempées. Je passe de l'une à l'autre. Je lèche les raies culières, la cyprine qui y a coulé. Superbe.
Elles se masturbent lorsque je ne suce pas leurs clitoris. Nous cessons toujours juste avant l'orgasme. Vrais virtuoses.
Morts de faim nous allons à la cuisine. Je réchauffe la potée. Estelle réchauffe le reste de feuilleté à la poêle. C'est bon.
Clémentine s'occupe de la salade. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. La vaisselle. Au salon, et vite.
Nous reprenons les choses où nous les avons laissé en y rajoutant des pénétrations. Orgasmes. 22 h. Estelle doit partir.

Bon dimanche après-midi à toutes les coquines émoustillées par la présence d'une nouvelle membre du "Club"...

Julien - (J'écoute les derniers ressentis de Clémentine qui est blottie contre moi sous les draps. C'était génial) -

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Une rentrée universitaire parfaite

Hier matin, il est 5 h55 lorsque la Marche Turque de Mozart nous arrache cruellement de nos profonds sommeils.
< Cinglé ce type ! > s'écrie Clémentine qui se couche sur moi pour éteindre le réveil déposé sur ma table de nuit.
Je suis condamné à la double peine. Un réveil brutal et tout le poids de Clémentine reposant sur moi. Une torture.
Une torture dont je m'accommode fort bien avec quelques papouilles avant de nous précipiter aux toilettes. Pipis.
Morts de faim, vêtus de nos tenues gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Préparer le petit déjeuner.

Nous mangeons de bon appétit tout en reprenant nos esprits. Clémentine est toute contente à l'idée de reprendre.
Ses études sont passionnantes. Elle s'est bien affutée durant ses vacances. Elle est prête comme une championne.
Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Ce qui nous transforme en guerriers pour la journée.
Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos, le tout avec l'intensité maximale des journées guerrières.
La douche. Je descends le premier sous la pluie battante, à l'abri du parapluie, pour préparer l'auto de Clémentine.

Il fait étrangement doux. Le vent est retombé. Clémentine me rejoint vêtue jeans, sweat sous le blouson, bottines.
Un dernier bisou. Il est 7 h45. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer me mettre sec.
Je fais notre lit, la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Seul le radiateur fonctionne. Inutile d'allumer cheminée ou poêle.
Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette en chantant "Le Pornographe" de Georges Brassens. Bien.
J'attaque ce matin, la dix huitième toile destinée à ma saison d'été. Une scène de genre à trois personnages. Super.

Je peins dans un enthousiasme délirant. Je pousse les cris les plus surréalistes. Je suis tellement heureux d'être là.
J'ai le privilège, depuis tant d'années, d'allier ma passion et mon travail. C'est un bonheur de me livrer ainsi à cela.
Il est aux environs de 10 h quand la musique ridicule de mon smartphone le fait vibrer au fond de la poche. Blouse.
Je m'en saisis en maugréant. C'est Julie. Elle m'appelle entre deux cours, depuis les toilettes de la Faculté de Lettres.
La jeune étudiante me confirme sa venue ce soir. Elle me confie à quel point elle est impatiente, sa voix tremblante.

Julie n'a que quelques minutes. Nous nous saluons avant de raccrocher. Je peins en pensant à cette étonnante fille.
Il est rapidement midi. Je quitte l'atelier. Je vais à la cuisine. Je fais gonfler du pilpil de blé. Je lave un choux fleurs.
Je le coupe en petits morceaux avec des pommes de terre épluchées à la hâte. Je lave le tout avant de le faire cuire.
Je fais rissoler un beau filet de lieu noir préalablement panné, à la poêle avec de l'ail et de l'oignon. J'adore préparer.
J'égoutte les légumes que je verse dans un plat en terre cuite. Je recouvre de gruyère râpé, de chapelure et sésame.

Je mets au four. Je mange de bon appétit. C'est le pilpil de blé, le filet de poisson accompagnés d'une salade verte.
Je tente bien d'écouter les informations. Toujours ces sempiternelles actualités basées sur la peur, la paranoïa. Dur.
C'est au dessus de mes forces. J'éteins la radio. Dehors il pleut, il fait très moche. C'est un véritable temps de mars.
Je ne traîne pas. Je prépare une sauce. Des crevettes que je fais rissoler à la poêle avec des champignons, échalote.
Juste avant la fin de la cuisson rapide, je verse le contenu d'un petit pot de crème fraîche. Je couvre. J'éteins le feu.

La vaisselle. Je range la cuisine. Je vais au salon pour dresser la table monastère pour ce soir. Et ainsi, tout sera prêt.
Je retourne dans l'atelier. Déjà 13 h15. Me voilà enfin confortablement installé devant mon chevalet. Même sensation.
Il est rapidement 16 h30. Clémentine rentre de cours. J'anticipe. Je pose ma palette et mes pinceaux sur la desserte.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa journée. Ses cours et les professeurs.
< Hélas, aujourd'hui pas de "Professeur Libido" pour nous dessiner de belles bites au tableau noir ! > fait Clémentine.

Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine a encore du travail. Il lui faut mettre ses notes au propre. Habituel.
Nous adorons ces séances de travail ensemble. Parfois, l'un se lève pour venir faire des bisous à l'autre. C'est super.
Parfois Clémentine se met à chantonner. < Put-Hein ras le bol ! > lance t-elle soudain. Il est 18 h30 et nous cessons.
La nuit commence à tomber. Et avec la durée des jours qui rallongent, les manifestations paranormales disparaissent.
C'est presque aussi étrange ce silence au dessus de nos têtes. < Le fantôme est parti en vacances ! > dit Clémentine.

Nous rangeons nos affaires. Clémentine m'entraîne dans le canapé et dit : < Tu seras mon salaud vicieux ce soir ? >
Nous en rions de bon cœur. Elle glisse sa main dans ma braguette ouverte pour en extraire une bite mollasse, moite.
< Je les adore molles, à point et prêtes à êtres dégustées ! > murmure t-elle avant de se pencher pour se la goûter.
Je demande : < Elle est à votre goût mademoiselle ? >. Clémentine se met à téter avec passion en gémissant. Miam.
Je lui murmure des cochonneries. Elle cesse toutes les deux minutes pour laisser reposer sa mâchoire, me répondre.

J'aime lorsqu'elle ouvre la bouche pour me montrer toute la jute épaisse et gluante qu'elle a du mal à déglutir. Super.
Il est 19 h. Je propose de remettre cette pipe délicate à plus tard, d'aller nous occuper du repas. Julie vient à 19 h30.
Clémentine m'entraîne à la cuisine par la queue, comme par la laisse. J'adore. Elle découvre mes préparations du soir.
< Mmhh, un gratin de choux-fleurs. Comme c'est bien ! > s'écrie-elle en me couvrant le visage de bisous. Tendresse.
Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade déjà lavée. Une belle laitue aux feuilles grasses et généreuses.

J'allume le four pour réchauffer le gratin. Je réchauffe la sauce à feu doux. Nous n'arrêtons pas de nous tripoter. Rire.
Trois coups de sonnette. Il n'est que 19 h15. Julie, tellement impatiente de nous retrouver est déjà là, bien en avance.
Clémentine se précipite pour aller l'accueillir. Je suis à la cuisine, la bite à l'air, bien molle et légèrement dégoulinante.
Julie entre dans la cuisine. Son visage est radieux. Elle semble si sereine depuis quelques jours. Elle me serre la main.
Notre amie étudiante est vêtue d'un jeans, un sweat, ses bottines. Elle porte ses lunettes, les cheveux en toute liberté.

Je la félicite pour sa simplicité. < J'aime pas me pomponner ! > confie t-elle. Je propose de faire le service. C'est non.
Les filles exigent que nous faisions tout ensemble. Je comprends. Il y a encore dix minutes de cuisson avant le repas.
J'invite Julie à me suivre dans l'atelier. C'est une grande première. Quelqu'un a le droit de voir une toile en gestation.
< Génial ! > fait Julie en se penchant pour regarder mon travail de la journée. Clémentine lui explique. Elle sait bien.
Je dis : < Lorsque tu seras en situation, cet été, dans la galerie, il te faudra répondre à toutes sortes de questions ! >

Julie écoute attentivement les explications de Clémentine. Nous planifions la seconde semaine des vacances de Pâque.
Julie viendra tous les après-midi pour rester avec nous dans l'atelier. Pour se familiariser avec cet univers si particulier.
Elle se réjouie. Je la rassure une fois encore. Je ne cherche ni une vendeuse, ni une commerciale, juste une présence.
Tenir une galerie d'Art ne nécessite aucun talent autre que d'être à l'écoute, savoir expliquer, être accueillante. Parfait.
La sonnerie du four. Morts de faim nous nous précipitons à la cuisine. Chacun s'empare d'un plat. Nous allons au salon.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Julie pose quelques questions précises concernant ma galerie d'Art.
Nous la sentons déjà passionnée par ce projet. Elle s'y implique déjà avec beaucoup d'intérêt, de curiosité. C'est super.
La conversation s'axe rapidement sur la situation vécue hier. Le visionnage de notre film porno. Professeur Libido. Rire.
Julie nous confie y avoir pensé durant tout son service, au restaurant le soir. Et même descendue aux WC, se toucher.
Nous en rions de bon cœur. Je me lève pour agiter ma queue molle dans sa direction. Elle cesse de manger pour voir.

Julie observe toujours mes attitudes comme si c'était la première fois. Je secoue ma bite tout en la faisant tournoyer.
Je reproduis cet amusant spectacle à plusieurs reprises durant le repas. Pour la plus grande joie des filles qui mâtent.
Je dis : < Tu sais Julie, il n'y a aucune contre partie, tenir une galerie d'Art n'implique pas de coucher avec l'artiste ! >
Soudain, comme soulagée d'une dernière inquiétude, Julie qui s'écrie : < Je n'osais par en parler. Aborder ce sujet ! >
Je la sens soulagée d'un grand poids. Elle découvre cette certitude supplémentaire. Je ne suis pas ce genre d'individu.

Le reste de la soirée se déroule à présent dans une ambiance totalement détendue. Julie n'a plus la moindre question.
Nous faisons la vaisselle tous les trois. Les filles évoquent leurs études. Clémentine en sciences, Julie en Lettres. Bien.
J'invite Julie à m'accompagner aux toilettes en disant : < Je dois pisser depuis 18 h. Je me garde pour le spectacle ! >
Je ne suis pas obligé de le proposer deux fois. Cette fois, c'est même elle qui nous précède. Clémentine a un clin d'œil.
Debout devant la cuvette des WC, les mains sur les hanches, je lâche les premiers jets guidés par Clémentine. Super.

D'abord penchée en avant, les mains en appui sur ses genoux pour regarder, Julie finit par s'accroupir. Une première.
Elle prend même appui sur la lunette des toilettes pour ramener son visage tout près. Elle en louche presque. Superbe.
Je pisse par tous petits jets nets et précis. La main experte de Clémentine qui guide chacun d'eux. Le bruit de la flotte.
Clémentine, entre chacun des jets, pointe l'extrémité de mon sexe qui commence à durcir vers le visage de Julie. Joie.
La jeune fille a un réflexe de recul. Je précise : < N'aie aucune crainte. Ce n'est que lorsque tu me le demanderas ! >

Julie, intimidée par la situation, se contente de pousser un gloussement à peine perceptible. Clémentine me masturbe.
Entre chacun des derniers jets, Clémentine me branle. Elle dirige ma queue vers le visage de Julie qui semble amusée.
Il est fini le temps où elle redoutait ces situations. Elle m'a vu interpréter le rôle du Professeur Libido dans le film hier.
Mon comportement de vicelard ne la jamais indisposé, même dans les toilettes du restaurant où elle aime venir mâter.
Je lui pose la main sur la tête. Elle lève les yeux pour me faire le plus adorable des sourires. Clémentine qui s'accroupit.

Elle se met à me sucer. Cette passion pour les mélanges, les reliquats de pisse mêlés au foutre. Julie se penche. Mâte.
Elle observe cette scène qui la projette aux combles de l'excitation et je l'entends soupirer entre ses apnées répétées.
Je lui caresse les cheveux. Son visage est tout près de celui de Clémentine. Julie semble vouloir en respirer les odeurs.
C'est un moment de très grande intensité. Pour tous les trois. Il manque Estelle. Je me fais tailler un pipe des familles.
Sous le regard passionné, et passionnant de Julie qui en meure probablement d'envie. Pourtant elle refuse de le faire.

Je force Clémentine à cesser. Je préfère me garder pour le lit, tout à l'heure. Elle se redresse. Et Julie reste accroupit.
Je fais bouger ma queue dégoulinante en contractant mes muscles fessiers. Spectaculaire pour la jeune voyeuse. Joie.
Il est déjà 22 h. Nous raccompagnons Julie sous nos parapluies. Elle revient le plus tôt possible. Elle nous téléphonera.
Au lit, Clémentine veut me sucer encore. Une fois qu'elle a commencé, elle a du mal à cesser. Je la lèche à mon tour.
Nous faisons l'amour comme nous aimons. Immobiles à nous confier nos ressentis. Cunnilingus, fellation. Orgasmes.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment accompagner leur couple d'amis aux toilettes pour voir pisser le mec...

Julien - (J'écoute les confidences de Clémentine qui vient d'avaler mon sperme avec peine, blottie contre moi) -

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Classe - 13 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1083 -



Clémentine et moi partons visiter tonton

Hier matin, mardi, c'est l'air du cœur des esclaves de Verdi qui nous arrache avec cruauté de nos profonds sommeils.
< Put-hein l'enfoiré ! > dit Clémentine, couchée sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur la table de nuit.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Il est 6 h. Morts de faim, vêtus de nos tenues sport. Bien.
Nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine pour y préparer notre petit déjeuner. Clémentine est assez euphorique.
Le mardi elle termine à midi. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant la soirée de hier avec Julie. Superbe.

Nous montons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. La fraîcheur.
Il est 7 h45. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Je me dépêche de rentrer. Je fais notre lit et la vaisselle. Bien.
Je vais dans l'atelier. Inutile d'allumer la cheminée ou le poêle. Un des deux radiateurs suffit. Je prépare ma palette.
Je suis assis devant mon chevalet. La peinture de cette dix huitième toile destinée à ma saison d'été m'accapare vite.

Je peins dans une euphorie communiquée par Clémentine ce matin. Je pousse mes cris surréalistes habituels. Fameux.
Il est 10 h quand la stupide musique de mon smartphone le fait vibrer au fond de la poche de ma blouse. Je l'en sors.
C'est Julie. Comme à chaque fois, elle m'appelle depuis les toilettes de la faculté entre deux cours. Peu de temps. Dur.
Elle me remercie pour la soirée. Elle me témoigne une fois encore sa reconnaissance. Ce super job d'été qui l'attend.
Je précise qu'elle me rend autant service que moi je lui rend service. C'est un échange de bons procédés. C'est quitte.

Julie me propose de passer vendredi après-midi si la météo est mauvaise. Elle sera là pour 14 h30 et jusqu'à 17 h30.
Nous pourrons ainsi commencer cette "formation". Tenir une galerie d'Art nécessite quelques connaissances basiques.
Rendez-vous est pris. Nous nous saluons avant de raccrocher. Julie n'a toujours que quelques minutes entre les cours.
Je continue ma séance sans cesser de penser à cette étonnante jeune fille. Sérieuse, travailleuse, cordiale et vicieuse.
Il est midi. Je quitte l'atelier pour aller à la cuisine. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je coupe deux beaux poireaux.

Il est 12 h20. Clémentine qui rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visages de bises.
Tout en préparant la salade Clémentine me raconte sa matinée. Je fais une pâte à pain. Je fais cuire le poireau. Bien.
Je concocte une Béchamel. J'égoutte les coquillettes et le poireau. Le poireau dans la Béchamel et je râpe le gruyère.
Pour notre tarte aux poireaux, cette Flamiche Picarde qui fait les délices de nos mardis soirs, tout est prêt. C'est bien.
J'ai récupéré un peu de Béchamel en accompagnement de nos coquillettes et des crevettes. C'est un véritable délice.

Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le programme de l'après-midi. Nous avons prévu de visiter mon oncle.
Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres.
Clémentine reste vêtue de son jeans, son sweat, ses bottines. Sur sa demande, je m'habille de la même façon. Bien.
Nous dévalons les escaliers. Dehors, la fraîcheur reste vive. Nous voilà en route. Un ciel gris mais lumineux. Superbe.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Il y a un peu plus de 40 km jusqu'à la petite cité de caractère.

C'est là que j'ai ma galerie fermée dix mois de l'année. C'est là que vivent mon oncle et ma tante. Endroit charmant.
Il est 14 H30 lorsque je gare la voiture dans la propriété de mon oncle. Il vient nous accueillir tout heureux. Sympa.
C'est un homme grand, les longs cheveux blancs en catogan, encore athlétique pour ses 84 ans. Dynamique, alerte.
Il nous invite à le suivre. Nous venons rarement dans cette vieille demeure de pierres. Ma tante nous accueille. Joie.
Nous sommes installés au salon, dans de confortables fauteuils. Devant des infusions, des crêpes sèches enroulées.

Mon oncle, qui tient ma galerie depuis 18 ans, en juillet et en août, prend un plaisir fou à cette activité. Une habitude.
Il nous confie la douloureuse raison qui l'empêchera de le faire cet été. Je le rassure. Nous avons quelqu'un. Soulagé.
Il est heureux que ce soit une jeune fille qui prend le relai. Il se propose de passer la voir de temps en temps. Parfait.
Nous restons ainsi une bonne heure à bavarder. Nous quittons mon oncle et ma tante aux environs de 15 h45. Super.
Nous descendons l'étroite rue qui passe devant le manoir pour arriver sur la place de la cité médiévale. Des touristes.

Nous ne sommes qu'au début mars et il y a déjà quelques visiteurs. Nous allons voir la galerie. Les volets sont fermés.
Tout est en ordre. Clémentine a pensé à emmener la clef. Cette odeur de beurre rance des vieilles demeures fermées.
C'est un peu tristounet. Les murs de pierres, les cimaises vides, la grande cheminée contenant le vieux buffet de bois.
Clémentine me pousse dans un des deux fauteuils autour de la petite table ronde. Elle ouvre ma braguette, accroupie.
< Mmhh ! > murmure t-elle en décalottant légèrement le gland. L'odeur de Parmezob me monte aux narines. Beurk.

Pourtant Clémentine en raffole. Le bout de sa langue qui explore. Qui glisse entre la peau du prépuce et celle du gland.
Malgré l'obscurité je peux voir cette bosse mouvante que fait la langue exploratrice de Clémentine. Je caresse sa tête.
Je me fais tailler une pipe des familles. Je lui murmure des douceurs, des cochonneries. Je lui propose une promenade.
Profiter de cette petite cité médiévale où nous ne venons que trop rarement. Je lui essuie la bouche avec un mouchoir.
Nous voilà à déambuler sur la grande place pavée. Des commerces sont déjà ouverts. Les restaurants, salons de thé.

Nous passons saluer un couple de nos connaissances qui tient la boulangerie pâtisserie. Ils sont tous contents. Sympa.
C'est un peu insolite d'être ici en dehors de la saison touristique. Nous prenons un kouign amann, compote de pomme.
Nous remontons doucement la rue jusqu'au manoir. Nous passons récupérer la voiture dans la propriété de mon oncle.
Nous voilà repartis. Quand Clémentine a commencé à goûter à ma bite, elle n'a qu'une envie, celle de continuer. Bien.
Je me fais donc sucer durant la moitié de la route du retour. Parfois j'appuie sur sa nuque pour bien enfoncer la queue.

Clémentine adore ces comportements. Je l'entends glousser de plaisir lorsque je le fais. J'entends le gargouillis. Bulles.
Il est 18 h30 quand nous sommes de retour. En même temps que la nuit. Estelle est déjà là. Elle prépare notre repas.
Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Nous l'aidons à préparer. La tarte au poireau.
Clémentine s'occupe de la salade tout en racontant notre après-midi. Estelle nous raconte le sien. Entreprise familiale.
Estelle me pose d'amusantes questions sur mon comportement de dépravé, hier soir, avec Julie. Je lui raconte. Elle rit.

La Flamiche Picarde est au four. Je coupe notre beau kouign amann en deux. Gâteau au beurre. Une part pour Estelle.
Je l'enveloppe dans un papier sulfurisé avant de le mettre dans un sachet en papier. Estelle qui me palpe la braguette.
Nous passons au salon. Clémentine me pousse dans le canapé. Elle se met à genoux sur le coussin entre mes jambes.
Estelle est assise à ma gauche. Elle observe. Elle passe ses bras autour de mon cou. Clémentine me sort la bite. Joie.
< Quand je commence, je n'arrête plus ! > dit elle avant de la prendre en bouche pour une fellation passionnée. Bien.

Estelle me fait plein de bisous en me murmurant des cochonneries. Demain soir elle retourne chez son parrain. Baise.
Je lui pose d'amusantes questions quand au matelas gonflable sur lequel ils baisent à côté de la chaudière à la cave.
Clémentine qui cesse de pomper pour laisser reposer sa mâchoire, éclate de rire aux explications d'Estelle. Trop drôle.
Clémentine qui a vécu cette expérience. Baiser avec le parrain d'Estelle sur le matelas gonflable à la cave, se rappelle.
Nous en rigolons comme des bossus. La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Rien que l'odeur. Miam !

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. En riant beaucoup. Estelle qui s'amuse à mimer des branles de mec.
Debout, imitant une masturbation masculine, elle me fait des clins d'œil. Je me lève à chaque fois pour agiter mon Zob.
Tout cela fait partie de nos rituels habituels. Mais ils restent très excitants. Clémentine se contente de mimer des pipes.
Nous traînons à table. Estelle et Clémentine évoquent leurs études. J'écoute car c'est toujours très intéressant. Super.
Assises sur mes genoux, elles échangent leurs impressions quand au film porno que nous avons réalisé et vu deux fois.

Estelle est déjà sur le prochain projet. Un truc en extérieur. Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Ranger la cuisine.
Nous passons au salon. < Moi aussi je veux sucer ta queue ! > me fait Estelle en se mettant à genoux entre mes pieds.
Elle prend ainsi la place de Clémentine qui s'installe dans le fauteuil pour bien regarder la scène. Et c'est sa préférence.
Elle retire son jeans et sa culotte. Cuisse droite posée sur l'accoudoir droit, cuisse gauche posée sur l'accoudoir gauche.
Elle se touche. Elle me fait un adorable sourire. Lève le pouce de sa main gauche en signe de félicitation, un clin d'œil.

Dans ces situations, rien n'excite davantage Clémentine que de me voir faire le vicelard et le pervers avec Estelle. Joie.
Estelle qui me suce comme si sa vie en dépendait. Il faut dire qu'avec les fellations de l'après-midi, il y a du jus. Super.
Elle se régale. Je lui caresse la tête. Je passe mes doigts sur ses joues creusées par l'effort de succion. Grand moment.
Clémentine se masturbe. Parfois elle descend une jambe pour se pencher en avant. Elle observe la pipe d'Estelle. Joie.
Je saisis parfois Estelle par les oreilles pour la guider. Elle adore. Parfois je lui frotte la bite sur le visage. C'est génial.

Je découvre qu'Estelle se masturbe également. Une main dans sa culotte, l'autre posée sur la cuisse. Fellation délicate.
Clémentine évite l'orgasme deux fois. Juste à temps. En poussant un petit cri, en se mordillant la lèvre inférieure. Bien.
Je lui dis : < Si tu arrives à te garder jusqu'au lit, je t'offre un broutage de minou qui te fera hurler ! >. Elle se relève.
Estelle cesse de sucer pour dire : < Sans moi ! Vous êtes salauds tous les deux ! >. Nous rigolons comme des bossus.
Je promets à Estelle de lui bouffer la chatte tout le jeudi soir, après demain. Elle se remet à pomper en gloussant. Joie.

Je la force à cesser et à se relever en même temps que moi. Je l'entraîne aux toilettes. Clémentine qui nous y rejoint.
Je tiens Estelle fermement par sa tignasse. Je la force à s'accroupir. Elle se met carrément à genoux en se touchant.
Je lui passe la bite sur la gueule. Clémentine est accroupit pour observer. Je dis à Estelle : < Petite chanceuse va ! >.
Elle éclate de rire et répond : < J'en ai parfaitement conscience ! >. Je lui enfonce la bite dans la bouche. Elle pompe.
Je sors le Zob. Je pisse. Je me soulage une bonne minute sous le regard des filles. J'éjacule dans la bouche d'Estelle.

Bonne soirée à toutes les coquines qui raffolent de se bouffer la bite d'un authentique vicelard toujours bien salaud...

Julien - (Au lit, j'offre un cunnilingus de folie à Clémentine qui jouit dans un long gémissement de plaisir dément) -

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Juliette est ravie de passer la soirée avec nous

Hier matin, mercredi, c'est la Symphonie Fantastique de Berlioz qui nous tire cruellement de nos profonds sommeils.
< Fantas Trique ! > s'écrie Clémentine, couchée sur moi pour éteindre le réveil posé sur la table de nuit de mon côté.
Quelques papouilles Il est 6 h. Nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues sport nous descendons vite.
Morts de faim nous préparons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant la soire de hier.
< Soirée pipe ! > lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Je rajoute : < Et soirée de masturbation pour toi ! >

Nous remontons nous livrer à notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Il y a un vent froid. Clémentine qui me rejoint.
Il est 7 h45. Le jour est à présent entièrement levé. Un dernier bisou. Je regarde la voiture s'en aller. Dernier coucou.
Je rentre. Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Assis devant mon chevalet, je prépare ma palette. Parfait.
Il est 8 h15. Me voilà à la peinture de la dix huitième toile destinée à ma saison d'été. Cette scène de genre est jolie.

Je peins dans une sorte d'euphorie délirante qui me fait pousser les cris les plus fantastiques et les plus surréalistes.
Il est aux environs de 10 h quand la stupide musique de mon téléphone le fait vibrer au fond de la poche. Ma blouse.
Je m'en saisis en maugréant. Surprise. C'est Juliette. Elle me confirme sa venue ce soir. Les civilités d'usage. Super.
Nous sommes contents de nous entendre. Nous bavardons en mode haut parleur ce qui nous permet de rester actifs.
Juliette en arrive rapidement aux dernières frasques vécues au haras. Les visites de monsieur Gérard. Mardi et jeudi.

Des anecdotes qui me font très vite bander comme le dernier des salauds. Des histoires où se mêlent bouffes et cul.
Nous restons ainsi une bonne vingtaine de minutes à papoter. J'écoute bien plus que je ne parle. C'est très instructif.
Nous nous saluons avant de raccrocher. J'aime peindre avec l'érection du taureau en rut. Ça participe de l'inspiration.
Il est presque midi. Cette toile sera terminée ce soir. Je vais à la cuisine. Je fais gonfler du riz complet. Avec la radio.
Ces histoires de pandémie mondiale m'intéresse. Je lave et coupe une aubergine, une courgette. En petits morceaux.

Juliette a insisté. Elle emmène le repas ce soir. Ce sera une surprise. Je n'ai donc pas à m'en préoccuper. C'est super.
Je lave les feuilles d'une belle laitue. Pour midi et pour ce soir. Je fais revenir un filet de colin à la poêle. Ail et oignon.
Je mange de bon appétit. Je tente d'écouter les informations sans être révolté par les affirmations d'un conar à virus.
C'est au dessus de mes forces. J'éteins la radio. La vaisselle. Il reste du riz et du coulis de courgette aubergine. Bien.
Je range la cuisine. Je vais au salon afin d'y dresser la table. J'enfile mon anorak. Je sors. La fraîcheur est vive. Vent.

Je fais le tour de la propriété. Je rentre. Je retourne dans l'atelier. Il est 13 h15. Me voilà installé devant le chevalet.
Je peins avec les mêmes émotions que ce matin. Comme toujours, livré à ma passion, aucune perception du temps.
Il est rapidement 16 h30. Clémentine rentre de cours. J'anticipe. Je pose ma palette et mes pinceaux sur la desserte.
Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte sa journée. Les cours, les profs, le menu du restaurant universitaire.
Elle a encore du travail. La voilà installée devant son ordinateur. Encore une de nos séances d'émulations communes.

Parfois, l'un se lève pour venir voir ce que fait l'autre. Lui faire des bisous. Lui chuchoter des douceurs, cochonneries.
Il est plus de 18 h30. Il fait à présent encore jour. Les manifestations du fantôme ont probablement cessé pour mars.
Elles recommenceront certainement à la fin du mois d'octobre. < Ras les bottes ! > s'écrie Clémentine. Nous cessons.
Nous rangeons nos affaires. Je raconte l'appel téléphonique à Clémentine qui me fait : < On la voit en vraie ce soir ! >
Nous quittons l'atelier. Nous allons nous vautrer dans le canapé au salon. Clémentine pose sa tête sur ma cuisse. Joie.

Je lui caresse la tête, je lisse ses cheveux en l'écoutant me confier son impatience de revoir notre Jura aux vacances.
< Je compte les jours ! > chuchote t-elle comme si elle me livrait un secret. Et elle glisse sa main dans ma braguette.
J'aime quand elle fouille dans mon slip pour tenter d'en extraire le Zob. Clémentine fait preuve d'adresse. C'est facile.
Je me retrouve rapidement avec la bite contre sa joue. Elle se retourne sur le côté pour en humer les parfums. Forts.
C'est lorsqu'elle décalotte légèrement le gland, en tirant délicatement la peau du prépuce, que l'odeur monte au nez.

< Mmhh ! > gémit elle en léchant le méat. < Méat coule pas ! > fait elle avant de s'enfiler l'extrémité dans la bouche.
J'aime la voir téter. Biberonner en gémissant d'aise. Il est 19 h. Je propose d'aller faire l'assaisonnement de la salade.
Nous nous redressons. < Regarde ! > me fait Clémentine en me montrant les grumeaux de Parmezob sur ses lèvres.
Elle rajoute : < J'aime le fromage écossais ! >. En m'entraînant par la bite à la cuisine. Nous coupons l'ail , l'oignon.
Une cuillère d'huile d'olive. Une cuillère d'huile de noix. Une cuillère de vinaigre de cidre de pomme. Assaisonnement.

Il est 19 h15 lorsque les trois coups de sonnette retentissent. Clémentine se précipite pour aller ouvrir. C'est Juliette.
Vêtue de sa tenue d'écuyère qui est aussi sa tenue de travail, elle entre dans la cuisine avec un sourire si magnifique.
Nous nous serrons la main. Ce soir ses cheveux noirs flottent jusqu'au milieu de son dos. Cette femme est sublime.
Je le lui fais remarquer. Elle pose un grand panier rond sur la table pour en sortir des Tupperwares et quatre boîtes.
< Il faut les mettre dix minutes au four ! > précise t-elle. Ce sont six tartelettes. Des tourtes aux fruits de mer. Bien.

Juliette remarque enfin mon sexe qui pend assez lamentablement de ma braguette béante. Elle me fait un clin d'œil.
Clémentine jette les feuilles de laitue dans le grand saladier. Moi je réchauffe les petits légumes qu'a apporté Juliette.
Juliette, en appui contre le buffet, les bras croisés, nous raconte un peu de son quotidien. Directrice d'entreprise. Dur.
La saison va bientôt toucher à sa fin. Des propriétaires de chevaux vont bientôt venir récupérer leurs bêtes. Son job.
Juliette tout en bavardant, fixe mon sexe avec insistance, suivant de son regard mes allées et venues dans la cuisine.

La sonnerie du four. Chacun prend un plat. Nous nous suivons jusqu'au salon. Clémentine a allumé les trois bougies.
C'est la seule lumière. C'est soudain une ambiance à la fois mystérieuse, érotique et source de sérénité. C'est "zen".
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Juliette nous raconte les dernières actualité aux haras. C'est hard.
Pierre, le mari de Mme Walter, vient la baiser tous les samedis soir pendant que sa femme, attachée, ficelée, mâte.
Parfois Mr Gérard participe. Ce vieux cochon se fait sucer. Que peut-il faire d'autre avec sa petite bite impuissante !

Nous en rions de si bon cœur. Par contre, nous évitons complètement de parler de nos réalisations pornographiques.
Sur la demande d'Estelle. Juliette semble d'ailleurs avoir oublié notre proposition de faire la figurante du dernier film.
Je me lève à plusieurs reprises, surtout quand je bande comme un taureau, pour agiter ma queue vers les filles. Joie.
J'adore quand Juliette prend son air sévère et pose ses mains à côté de son assiette pour observer mes agissements.
Clémentine n'arrête pas de me faire du pied sous la table. M'encourageant à faire le vicieux par des gestes et regards.

Nous débarrassons. C'est devenu une autre habitude. Tout faire ensemble. La vaisselle et essuyer. C'est très sympa.
Nous rions beaucoup. Juliette nous invite à une soirée ce samedi. Une petite fête. Clémentine préfère rester évasive.
Depuis quelques semaines, elle a le souhait de ne s'occuper que de moi, de rester à nous amuser avec Estelle. Bien.
Juliette n'insiste pas. < Les cabinets ? > me lance t-elle en mimant l'attitude typiquement masculine de tenir le Zob.
C'est toujours magique de voir une belle bourgeoise, terriblement sexy dans sa tenue d'écuyère, faire des obscénités.

Clémentine se saisit de ma queue, juste à sa base, entre le pouce et l'index pour l'agiter en direction de Juliette. Joie.
Je lui demande : < Combien de pipe au vieux Gérard depuis samedi ? >. Juliette éclate de rire. < Une ! > lance t-elle.
Elle rajoute en nous suivant pour aller aux toilettes : < Ce cher vieux cochon vient se faire sucer le mardi et jeudi ! >
Je suis debout devant la cuvette des toilettes. Ça aussi c'est devenu un vrai rituel avec nos visiteuses. Julie et Juliette.
Elles ont d'ailleurs des attitudes très similaires. Juliette aussi est penchée en avant, les mains en appui sur les genoux.

Elles peuvent ainsi observer ce qui se passe. Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets avec grande précision.
Je lâche plusieurs petits jets, nets et précis, que je contrôle parfaitement quand je bande mou. Des coulures de foutre.
Avec l'excitation, les épanchements de liquide séminal, dégoulinent complètement dissociés des jets de pisse. Superbe.
C'est ce phénomène qui passionne Juliette tout autant que Julie. Entre chaque jet, Clémentine présente ma bite molle.
Juliette a ce réflexe naturel de repousser sa tête. Cette fois, elle s'accroupit, son visage tout près de mon sexe pisseux.

Je lui pose la main sur la tête. Elle me repousse le bras doucement. Je ne recommence pas. C'est son fonctionnement.
Je commence à bander bien dur. Les jets deviennent fins et incontrôlables pour cesser. Clémentine me branle. Douce.
Juliette observe avec passion. < On ne s'en lasse pas ! > murmure t-elle comme si elle se parlait à elle même. Super.
< N'est ce pas ! > rajoute Clémentine qui s'accroupit pour se mettre à téter. Sucer les derniers reliquats du mélange.
Juliette observe avec l'attention d'une entomologiste. Elle lève la tête pour me fixer de son regard sévère, inquisiteur.

Je lui fais un clin d'œil en levant le pouce de la main gauche. Je caresse la tête de Clémentine. Juliette qui se redresse.
Il est déjà 22 h. Tout comme nous, Juliette se lève tôt pour son heure d'entraînement. Nous en parlons très souvent.
C'est une telle source de bien être et de joies. Je force Clémentine à cesser puis à se redresser. Je lui essuie la bouche.
Nous raccompagnons Juliette dans le hall. Elle enfile son manteau. Nous la raccompagnons à sa voiture. C'est difficile.
Juliette réitère sa proposition pour samedi soir. Clémentine fait : < On verra. On vous prévient avant ! >. Tout est dit.

Bonne soirée à toute les coquines qui aiment se trouver aux toilettes avec un couple d'amis à regarder le mec pisser...

Julien - (Au lit, j'offre à Clémentine un premier cunnilingus, une douce pénétration et un second cunnilingus. Joie) -

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Pourquoi cesser nos pizzas du jeudi soir ?

Hier matin, jeudi, c'est la Sarabande de Haendel qui nous arrache cruellement de nos profonds sommeils. Sans pitié.
< Saramerde ! > s'écrie Clémentine allongée sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté sur la table de nouille.
Quelques papouilles. Il est 6 h. Nous nous précipitons aux chiottes pour y pisser dans une volupté libératrice. Super.
Morts de faim, vêtus de nos fringues de gym, nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine, y préparer le petit déjeuner.
Nous y mangeons de bon appétit tout en évoquant notre soirée de hier, la visite de Juliette, mon attitude de vicelard.

Nous remontons nous livrer à notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos.
La douche. Je descends le premier pour aller préparer la petite auto de Clémentine qui me rejoint sous le parapluie.
Il pleut. Un vent tempétueux. Il est 7 h45. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Et je rentre.
Je fais notre lit, la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'ai terminé hier cette dix huitième toile destinée à ma saison d'été.
C'est donc en toute logique que je place la dix neuvième toile sur le chevalet devant lequel je suis assis. C'est parfait.

Je prépare ma palette en chantant "L'orage" de Georges Brassens. La passion qui me gagne presque immédiatement.
Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser les cris les plus phénoménaux, les plus surréalistes. Bien.
Il est aux environs de 10 h05 quand la stupide musique du téléphone le fait vibrer au fond de la poche de ma blouse.
C'est Juliette. Elle tient tout particulièrement à me remercier pour notre très agréable soirée de hier. Pareil pour moi.
Après les quelques civilités d'usage, Juliette en arrive rapidement à son sujet de préoccupation préféré, le sexe. Joie.

Nous bavardons en mode haut parleur. Ce qui nous permet de rester actif. Moi j'écoute beaucoup plus que je ne parle.
Juliette me raconte quelques amusantes anecdotes. Pierre, le mari de sa collaboratrice, Mme Walter qui vient samedi.
Ce salaud ne vient pas seulement la baiser mais il vient également baiser Eveline, la jeune palefrenière. Vraie coquine.
J'écoute tout cela en riant beaucoup. Une vingtaine de minutes à converser. Nous nous saluons avant de raccrocher.
Je peins à présent avec une majestueuse érection qui m'oblige à sortir ma bite pour davantage de confort. C'est bien.

Il est presque midi. Je quitte l'atelier pour aller à la cuisine. Dehors c'est sombre, les bourrasques incessantes de pluie.
Je lave les feuilles d'une belle laitue pendant que cuisent les coquillettes. Je fais une pâte à pain. Les pizzas de ce soir.
Je prépare la garniture. Tomates fraîches, ail, oignon, champignons, persil, ciboulette. C'est toujours un tel plaisir. Bon.
J'égoutte les coquillettes. Je récupère un peu de garniture comme sauce avec les coquillettes. Je râpe du gruyère. Bien.
Je mange de bon appétit tout en tentant d'écouter les informations. La manœuvre de paranoïa continue. Conar à virus.

Dans le monde, 1 650 000 gamins déjà morts de malnutrition depuis le début de 2020. Le conar à virus en a tué 360.
70 000 décès par le tabac. 40 000 décès par l'alcool. C'est cette démesure qui me révolte. J'éteins la radio. C'est trop.
Je fais la vaisselle. Je range la cuisine. La garniture repose sous son couvercle et la pâte à pain repose sous son linge.
C'est donc parfaitement serein que je monte me laver les dents avant d'aller dans l'atelier. Je peins avec tant de joie.
Il est rapidement 16 h30. Clémentine rentre de cours. J'anticipe. Je pose ma palette et mes pinceaux sur la desserte.

Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les cours, les profs, les menus du restaurant universitaire. Bien.
Dans son université également il y a d'élémentaires mesures de sécurité qui sont appliquées. C'est tout à fait normal.
Il y a même l'éventualité que l'université ferme quelques jours. < Des vacances ! > me fait Clémentine depuis l'ordi.
Assise devant son ordinateur, elle met au propre ses notes du jour. Nous voilà dans cette saine émulation si agréable.
Dehors, le vent souffle avec violence. Des paquets de pluie sont projetés contre les vitres. C'est très impressionnant.

Il est 18 h15. Estelle arrive à son tour. Elle se précipite pour s'assoir sur mes genoux, me couvrir le visage de bisous.
Estelle évoque également l'éventualité de se retrouver en vacances forcées. < On reste confinés ensemble ! > dit elle.
Nous en rions de bon cœur. Les filles comparent l'avancée de leurs travaux. J'aime les entendre échanger. C'est bien.
< Put-Hein, ras le bol ! > s'écrie soudain Clémentine. Il est 18 h45. Nous rangeons nos affaires. La faim se fait sentir.
Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle travaille la pâte à pain. Parfait.

Je réchauffe la garniture. Nous bavardons. Estelle qui nous raconte sa baise, hier soir, avec son parrain, en cachette.
Nous rigolons comme des bossus. Estelle me demande : < Et toi, hier soir, avec Juliette, tu as encore fais le show ? >
Nous en rions de bon cœur. Je lui raconte. Clémentine donne les détails que j'ai oublié. Estelle éclate de rire. Si drôle.
Les pizzas sont au four. Trois grosses galettes sur trois étages. La table est mise. Nous passons au salon. C'est super.
< Mardi soir, tu m'as promis un truc pour jeudi soir ! > fait Estelle qui pose le coussin au sol en retirant jeans, culotte.

Je suis ébahis devant tant d'initiative. La coquine n'a pas oublié la promesse de m'occuper de son minou. Cunnilingus.
Clémentine toute aussi surprise, retire rapidement son jeans et sa culotte. Elles sont vautrées dans le canapé. Super.
Je suis à genoux sur un des épais coussins. Il y en a un devant chacune des coquines. Je hume le sexe à Estelle. Fort.
L'odeur m'enivre complètement. Estelle m'attrape par les oreilles. Comme pour me guider puis elle se glisse en avant.
Les effluves fortement odorantes de fille négligée m'envahissent les narines jusqu'à la nausée. Elle ne s'est pas lavée.

Estelle le fait exprès. Elle sait ce qui va se passer en soirée. Elle anticipe. Je surmonte rapidement mon écœurement.
C'est tellement bon. Clémentine se masturbe en attendant son tour. Je lèche, je suce, je fais la raie culière. Superbe.
Je passe au croupion de Clémentine. J'apprécie cette subtile différence de goût. Ce sont deux nectars différents. Bon.
Lorsque je ne suce pas leurs clitoris, les filles se masturbent en gémissant d'aise. J'ai le bas du visage trempé. Miam.
La sonnerie du four. Je suis debout. Les filles me tendent les mains. Je tire leurs mains pour les aider à se redresser.

Nous nous précipitons à la cuisine. Je dispose des feuilles de papier absorbant sur les coussins de chaises. C'est bien.
Double couche. Je sors ma bite. Il est très désagréable de bander avec la queue contrariée au fond du slip. Superbe.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles évoquent la proposition de Juliette. Cette fête de samedi.
Ni l'une ni l'autre n'ont envient de s'y rendre. < Pas envie en ce moment ! > fait Clémentine. < Pareil ! > dit Estelle.
Par contre, Estelle développe le scénario du prochain film qu'elle a envie de réaliser. "Docteur Libido". Et j'ai compris.

Après avoir interprété "Professeur Libido" dans le dernier film, je vais interpréter "Docteur Libido" dans le prochain.
Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine propose quelques scènes originales. Estelle développe ses projets.
L'histoire en est encore très vague mais fort attractive. < Je prépare un scénario pour ce week-end ! > fait Estelle.
Il est donc fort probable que ce dimanche après-midi soit consacré à la réalisation et au tournage de ce nouvel opus.
Tout en mangeant, Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. Le "Docteur Libido ".

Nous en rions de bon cœur. Comme à chaque fois, je me lève également pour agiter ma bite molle dans sa direction.
< J'aime quand tu fais l'hélicoptère ! > me lance Clémentine qui mime une fellation. Nos repas sont tellement drôles.
Nous traînons à table. Je dis à Estelle : < Imagine. Un film où je me comporte en vicelard pendant tout le repas ! >
< Génial ! > s'écrie Estelle. Clémentine rajoute : < Comme tu faisais au début, quand Estelle découvrait tes plans ! >
Rapidement, cette suggestion semble accaparer toute l'attention d'Estelle qui n'arrête pas de dire : < Super plan ! >

Le lecteur qui suit nos aventures depuis le début, se souvient de mon comportement avec Estelle il y a deux ans. Joie.
Combien de fois ne jouait elle pas à l'innocente, choquée et consternée par mes attitudes de satyre pervers et vicieux.
C'était une période riche en enseignement car Estelle, loin d'être innocente, interprétait ce rôle à la perfection. La fille.
< On se fait ça ! Oui ! C'est hyper excitant. Je n'y ai pas pensé ! > fait plusieurs fois Estelle. Elle propose des détails.
La vaisselle. Je vais récupérer les feuilles de papier absorbant sur les coussins de chaises ainsi préservés de la mouille.

Je les agite devant les fille en disant : < L'œuvre de Clémentine, l'œuvre d'Estelle ! >. Elles éclatent de rire. Sublimes.
< Tu aimes l'Art contemporain maintenant ? > me lance Estelle. < L'Art conceptuel ? > rajoute Clémentine. Nous rions.
Je passe mes mains entre les cuisses des coquines, je glisse les doigts dans les raies culières. J'enfonce dans les trous.
Clémentine, cambrée sur ses genoux fléchis, m'attrape le poignet pour bien guider mes pénétrations vicelardes. Génial.
Estelle fait de même. Ça rentre comme dans du beurre. Nous sommes pressés de retourner au salon. Je bande si fort.

Toutes les deux, vautrées dans le canapé, m'offrent leurs succulentes cramouilles. Je déguste. Je savoure. Je m'enivre.
Des sexes de jeunes filles sont le nectar de jouvence le plus délicieux qui soit pour un homme d'âge mûr. C'est si bien.
Estelle m'attire sur elle. Je la pénètre. Depuis quelques temps elle tente de rester immobile, comme le fait Clémentine.
Elle a découvert les plaisirs que procurent les confidences murmurées, parfaitement immobiles, à s'embrasser. Super.
Je passe à Clémentine. Je fais de multiples allées et venues, de l'une à l'autre. Elles se masturbent avec de petits cris.

Quand je suis enfoncé dans l'une, l'autre rapproche son visage pour écouter les confidences murmurées. C'est génial.
Estelle connaît un orgasme cataclysmique. Clémentine se lève soudain pour se précipiter aux toilettes en pissant déjà.
Il n'y a qu'à suivre les flaques de pisse qu'elle laisse au sol dans sa précipitation. Nous l'entendons hurler aux chiottes.
Je me précipite. Estelle me cavale après. Clémentine debout devant la cuvette, cambrée sur ses jambes fléchies jouit.
C'est un spectacle grandiose. Elle s'assoit en haletant pour reprendre ses esprits. Impossible de se lasser de tout ça.

Clémentine, armée du balai brosse et de la serpillère, nettoie le sol pendant qu'Estelle me taille une pipe des familles.
Je la tiens par les oreilles. Je me masturbe doucement dans sa bouche avec un mouvement de hanche régulier, doux.
Clémentine revient des toilettes pour s'assoir à côté d'Estelle. Je lui frotte la bite sur le visage. Elle ouvre grand le bec.
Je passe d'une bouche à l'autre. J'éjacule consciencieusement dans un orgasme fabuleux qui me fait hurler de plaisir.
Je distribue généreusement un foutre abondant. Il est 22 h. Nous raccompagnons Estelle sur le pas de la porte. Pluie.

Bonne soirée à toutes les coquines qui adorent se faire lécher le croupion, se faire pénétrer en se masturbant...

Julien - (J'écoute les dernières confidences de Clémentine qui s'endort blottie contre moi sous les draps) -

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Classe - 16 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1086 -



Julie vient nous rejoindre dans le cadre de sa formation

Hier matin, vendredi, je suis tiré de mon sommeil par quantité de bisous que l'on me dépose sur les joues, le front.
J'ouvre péniblement les yeux. Clémentine s'allonge sur moi pour éteindre le réveil avant que ne résonne la musique.
Son visage bienveillant au dessus du mien. < Bonjour mon amour ! Il est l'heure d'aller à l'école ! > murmure t-elle.
Comme elle est adorable encore ce matin ! Je la serre fort contre moi. Nous nous précipitons aux toilettes. Déjà 6 h.
Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Préparer le petit déjeuner.

Nous mangeons de bon appétit. Le vendredi, Clémentine termine à midi. Ce qui la met dans un état bien euphorique.
Nous remontons nous offrir notre heure de gym. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, les abdominaux.
La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement habillée.
Il y a un vent froid, le ciel est gris et bas. Un dernier bisou. Il est 7 h45. Je regarde la voiture partir. Dernier coucou.
Je me dépêche de rentrer me mettre au chaud. Je fais le lit, la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Je prépare ma palette.

Il est 8 h15. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans la continuité de l'euphorie du levé.
La peinture de cette dix neuvième toile destinée à ma saison d'été me plonge dans les profondeurs de la passion. Joie.
Comme toujours quand je me livre corps et âme à cette passion divine, je n'ai aucune perception du temps qui passe.
Il est rapidement midi. Je quitte l'atelier pour aller à la cuisine. Je fais gonfler du millet doré. Aubergine et courgette.
Je les lave soigneusement. Je les coupe en rondelles que je fais revenir à la poêle avec des crevettes, l'ail et l'oignon.

Il est 12 h30. Clémentine rentre de cours. Elle se précipite, s'écriant : < C'est week-end, je t'aime ! >. Je la soulève.
Elle me couvre le visage de bisous. Clémentine s'occupe de la salade et de l'assaisonnement en racontant sa matinée.
Elle a pris de l'essence. < Je suis tombé sur un exhibitionniste. Je me demande si je ne l'ai pas déjà vu ! > me dit elle.
Un individu, quadragénaire, plutôt élégant, manteau ouvert, la bite à l'air avec une méchante érection faisant le plein.
< Je me suis masturbée tout le long de la route du retour. Mais je te promets, j'ai été prudente. Personne ! > fait elle.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Dehors, il s'est mis à pleuvoir. Il y a du vent.
< Quand je tombe sur un exhibitionniste, ça me porte toujours chance ! > fait Clémentine. Nous en rions de bon cœur.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Rires.
Clémentine, de la mousse dentifrice aux coins des lèvres, mime une fellation, faisant une bosse avec sa brosse à dents.
Je demande : < Tu suces qui ? >. Elle tente de répondre avec la bouche pleine : < Le vicieux de la station essence ! >

Nous rigolons comme des bossus tout en nous rinçant la bouche au dessus du lavabo. Clémentine me sort le Zob mou.
Elle me le tient fermement pour m'entraîner dans la chambre. Elle me fait tomber sur le lit et s'allonge à côté de moi.
Sa tête posée sur mon ventre, elle joue avec mon sexe dont elle décalotte légèrement le gland. L'odeur de Parmezob.
< Mmhh ! > gémit elle en humant longuement les effluves parfumées "fromage du terroir" certifié AOC. Elle adore ça.
Je lui caresse la tête, la nuque. Je lisse ses cheveux. L'indicible douceur de sa bouche se referme sur ma queue molle.

Je me fais sucer. Clémentine est une passionnée de fellation. Quand elle cesse par intermittence, elle me raconte. Joie.
La vision de ce sexe, l'exhibitionniste qui prenait de l'essence, son regard bovin, tout cela l'a considérablement excitée.
Nous restons ainsi une bonne demi heure. Nous aimons tous deux rester excités tout le reste de la journée. On arrête.
Nous dévalons les escaliers. Il est presque 14 h30. A peine en bas, trois coups de sonnette. Et Clémentine se précipite.
Julie arrive. Elle est radieuse. Ses longs cheveux noirs noués en une longue natte. Ses lunettes, jeans, sweat, bottines.

Nous évitons de nous serrer la main. Plus de bise. D'élémentaires mesures de précaution. Et à cause du conar à virus.
Nous allons tous les trois dans l'atelier. J'invite Julie à s'assoir sur une chaise à côté de la mienne, devant le chevalet.
Clémentine va s'installer devant son ordinateur. Je peins. Il y a un silence total dans cette grande pièce. Juste le vent.
Parfois, j'explique à Julie ce que je suis entrain de faire. Le mélange de couleurs sur la palette. Les pigments, l'huile.
Pour les couleurs claires, le diluant reste l'huile d'œillette avec de l'ambre dissous. Les couleurs sombres, huile de lin.

Julie pose quelques questions précises à propos des médiums que j'utilise. Huiles cuites au bain marie, deux fois 8 h.
J'y rajoute quelques gouttes d'ambre dissous. Ces flacons reposent à la lumière du jour entre le double vitrage. Bien.
J'ai de quoi tenir pour le restant de l'existence. Il y a quatre grands flacons de chaque huiles entre les vitres. Parfait.
J'explique à Julie les vertus de l'ambre dissous. Cette matière cornée permet de conserver chaque pigment. Définitif.
Il est alors inutile de vernir la toile terminée puisque l'ambre constitue le vernis dans toute l'épaisseur de la peinture.

Julie semble si passionnée par mes explications. Pour elle, tout cela tient de l'alchimie, de l'empirisme et de la magie.
Clémentine vient quelquefois nous rejoindre. Debout derrière nous elle écoute et observe silencieusement. Un cours.
Julie s'imprègne de cette séance de peinture. C'est la première fois qu'elle assiste à ça. Un cours magistral. Superbe.
Ses questions sont toujours pertinentes. Elles trouvent une réponse précise. Je m'applique à ne rien laisser en floue.
L'après-midi passe ainsi. Une séance studieuse. Il est presque 17 h. Je montre quelques toiles déjà réalisées. Parfait.

J'explique, je montre. Je tends une loupe à fort grossissement à Julie afin qu'elle puisse découvrir la couche picturale.
< C'est génial ! > fait elle souvent. La jeune fille s'imprègne rapidement de cet univers particulier. C'est passionnant.
Je l'entraîne à l'une des deux grandes baies vitrées. Je saisis un flacon d'huile d'œillette puis un flacon d'huile de lin.
Je les tends à Julie qui s'en empare pour les faire tourner à la lumière. < On dirait de l'or liquide ! > murmure t-elle.
Je dis : < Tu es dans le vrai. Un gramme d'ambre dissous vaut le prix de trois grammes d'or ! Bien plus précieux ! >

Il est est 17 h30. Julie doit nous quitter. Elle a sa mise en place à faire au restaurant. Cette séparation lui est difficile.
Nous comprenons parfaitement. Les rares personnes qui passent un moment dans notre demeure s'y sentent si bien.
Nous sommes sur le pas de la porte, à l'abri de la pluie. Voilà Estelle qui arrive. Nous l'attendons en haut de l'escalier.
Elle gare la voiture à côté du garage. Trente mètres dans un sprint qui bat tous les records sous la pluie. Le parapluie.
Elle me saute au cou. Je la soulève. Et même si cela fait rager notre conar à virus, elle me couvre le visage de bisous.

Nous retournons dans l'atelier. Estelle et Clémentine sont assises devant l'ordinateur à comparer l'avancée des cours.
Je nettoie ma palette. Clémentine propose d'aller faire nos courses à l'hypermarché ce soir. Un gain de temps demain.
Je trouve la suggestion pleine de bon sens. Demain matin, il n'y aura que le marché à faire, au bourg voisin. Superbe.
Estelle se réjouie. Nous montons nous changer. < Et tu n'as pas montré ta bite à Julie ? > me demande Estelle. Rires.
Clémentine répond : < Non elle est venue s'imprégner d'une séance de peinture. Prendre un cours d'Art. Elle aime ! >

Je rappelle à Estelle que cet été, du lundi 29 juin au samedi 5 septembre, Julie tiendra ma galerie d'Art. C'est parfait.
Il est donc nécessaire qu'elle sache répondre à toutes les questions, qu'elle puisse présenter mon travail. C'est mieux.
Estelle, Clémentine et moi, nous sommes vêtus de la même manière. Jeans, chemises blanches, pulls noirs, col "V".
Nos blousons de cuir noir. Nos bottines. Nous voilà prêts. Nous dévalons les escaliers pressés de filer pour l'aventure.
Même si cette nouvelle aventure se déroule dans l'hypermarché d'une zone commerciale à treize kilomètres d'ici. Rire.

Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière me caresse les joues en mâtant le Zob.
Clémentine raconte le coup de l'exhibitionniste à la station essence. < Ça n'arrive qu'aux autres ! > lance Estelle. Rire.
Je gare la voiture sur le parking. Il faut faire vite. La pluie. Je pousse le caddie. Et Clémentine tient la liste des courses.
Estelle reste accrochée à moi. Elle me tient par mon bras. Nous suivons Clémentine qui nous entraîne dans les rayons.
Il y a moins de monde le vendredi en soirée que le samedi matin. Il y a donc peut-être quelques opportunités de jeux.

Clémentine nous entraîne au rayon culturel. C'est le tout meilleur endroit pour s'amuser. Jeux d'exibes et de voyeurs.
< Gagné ! > lance Estelle. En effet, il y a un jeune homme qui feuillette des magasines. Il est seul. Et plutôt élégant.
Nous restons en retrait pour observer la manœuvre d'approche de Clémentine. Elle pousse le chariot. C'est très habile.
Le chariot, poussé contre le rayon, derrière elle, fait écran. Debout à un mètre du gars, Clémentine saisit un magasine.
Estelle et moi, nous restons au rayon des bandes dessinées. Il n'y a pas d'affluence. C'est une situation parfaite. Bon.

< La salope ! > murmure Estelle, commentant l'attitude de Clémentine qui a une main discrètement entre ses cuisses.
< Et elle a tous les culots ! > chuchote Estelle. Le jeune homme doit s'être rendu compte du comportement de la fille.
Je bande. Clémentine n'est pas seulement très adroite dans ces jeux là mais elle en est surtout une véritable virtuose.
C'est assez surprenant. Même si depuis plus de trois ans j'ai assisté à quantité de situations, c'est toujours si fabuleux.
Là encore, elle se surpasse. De se tripoter ainsi, dans la plus totale discrétion, à côté d'un parfait inconnu est excitant.

Hélas, tout cela ne dure pas. < Les beaux gosses ne sont jamais seuls. Chercher la femme ! > murmure Estelle. Rire.
En effet, une belle jeune femme vient rejoindre notre homme. Elle ne prête aucune attention à Clémentine. C'est bon.
Ils s'en vont. Clémentine vient nous rejoindre. Nous continuons nos achats. Il n'y a aucune autre occasion de jouer.
Nous passons en caisse. Nous flânons dans la galerie commerciale. Les menus proposés à la cafétéria sont alléchants.
Comme il y a peu de gens, nous décidons de manger là. Des moules avec des petits légumes de saison, des patates.

Nous traînons à table. Les filles évoquent leurs études. Estelle nous expose le scénario de notre prochain film porno.
Le projet est d'une simplicité déconcertante. Filmer un de nos repas vicelards en redoublant de cochonneries salaces.
On fera ça demain soir, dans la cuisine. Estelle exige du glauque. Je lui promets d'être à la hauteur de ses ambitions.
Clémentine se chargera de filmer. Elle adore s'occuper de la caméra. Encore un grand moment qui nous attend là !
Il est 21 h30. Nous prenons la route du retour. Estelle doit rentrer, elle aide sa maman au bureau demain matin. Dur.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se réjouissent déjà pour le nouveau projet cinématographique de samedi soir...

Julien - (J'offre à Clémentine un cunnilingus d'enfer, une petite pénétration de courtoisie. Orgasmes. Puis dodo) -

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"Mario", le serveur à la saucisse folle

Hier matin, samedi, je suis réveillé par le mouvement masturbatoire que fait Clémentine contre mes hanches. Douce.
J'ai une de mes jambes entre ses cuisses. Elle se frotte en gémissant. Elle se réveille probablement aussi, comme ça.
Il est 8 h. Nous restons ainsi à nous bercer en luttant contre l'impérieux besoin de pisser. Et on résiste. Peine perdue.
Nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers, tenaillés par la faim.
Nous préparons un copieux petit déjeuner que nous savourons en prenant tout notre temps. Nos courses sont faites.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte le rêve érotique. Une histoire de friche industrielle et glauque.
Un camionneur vicieux. Un rêve très confus. Il s'y mêlent des situations déjà vécues et d'autres totalement oniriques.
Nous en rions de bon cœur. Dehors, le ciel est lumineux. Nous optons pour un jogging. Cela nous manque tant. Bien.
La vaisselle. Nous enfilons nos K-way, les bonnets et les gants. Nous sortons. La fraîcheur est vive. Pas désagréable.
Quelques mouvements d'échauffement et nous voilà à courir. C'est un bonheur intense. Il faut parfois éviter la boue.

Nous revenons pour 9 H30 après une heure d'un running des plus gratifiants. La douche. Nous prenons notre temps.
Nous nous habillons. C'est une bonne idée d'avoir fait nos courses à l'hypermarché hier soir. Et il y a juste le marché.
Nous sommes vêtus tous deux de la même manière. Jeans, chemises blanches sous nos pulls noirs avec cols en "V".
Nos bottines. Une écharpe. Nos blousons de cuir noir. Nous voilà en route. Il y a 3 km jusqu'au bourg voisin. Parfait.
Je roule doucement. Clémentine a glissé sa main dans ma braguette. Voilà le soleil qui fait son apparition. C'est bien.

Je gare la voiture sur le parking. C'est jour de marché. Il y a toujours beaucoup de monde qui vient de toute la région.
Nos hautes tailles, cette superbe jeune fille au bras d'un homme d'âge mûr, attirent bien des regards. Et c'est si drôle.
Nous nous en amusons. Il y a de l'envie dans le regard de certains hommes. Et de la curiosité dans celui des femmes.
Quand ce sont des regards trop appuyés, afin de bien situer les choses, Clémentine me dépose une bise sur la bouche.
Nous faisons provisions de fruits, de légumes. Nous bavardons un peu avec les agriculteurs qui vendent leurs produits.

Si ce ne sont pas des cultures biologiques, elles sont issues de l'agriculture "raisonnée". Et notre choix est drastique.
Nous faisons provisions de yaourts, de fromages, de beurre, de crème fraîche et d'œufs frais issus du même principe.
Notre artisan fromager fait toujours preuve d'humour. Le moustachu n'est pas indifférent aux charmes de Clémentine.
Lui aussi, depuis trois ans qu'il nous voit faire nos courses ensemble, a cette curieuse étincelle dans le regard. Sympa.
Nous ramenons nos courses à la voiture. Les sacs sont lourds. Nous faisons les achats pour la semaine. Plus pratique.

Il nous suffit d'aller acheter le pain, les pâtes feuilletées et la brioche chez Mme Marthe, notre boulangère préférée.
Sa camionnette, qui est également son stand, propose quantité de pains. Notre préférence, les pains aux noix. Bio.
Deux pains vont toujours directement dans le congélateur avec les pâtes feuilletées. Nous bavardons un peu. Super.
Nous flânons un peu. Pas besoin d'aller à la zone commerciale. Bien. Il est un peu plus de midi quand nous revenons.
Nous rangeons nos courses. Nous montons nous changer. Sur la demande de Clémentine, ma braguette est ouverte.

Elle veut pouvoir y fourrer la main ou en sortir le locataire à tout moment. Nous en rigolons comme des bossus. Joie.
Nous redescendons. Clémentine s'occupe de la salade d'endives. J'épluche l'aubergine, la courgette, les champignons.
Je fais gonfler du riz complet. Avec les légumes, je concocte une sauce au Roquefort. Et je panne deux filets de colin.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine me propose une bonne randonnée pour cet après-midi.
Je trouve la suggestion excellente. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous remontons vite.

Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Clémentine mime une fellation.
Je demande : < Et là, tu suces qui ? >. Clémentine, de la mousse aux coins de la bouche, répond : < Le fromager ! >
Nous en rions de bon cœur en nous rinçant la bouche au dessus du lavabo. Nos têtes se touchent. On se sèche. Rire.
Nous dévalons les escaliers avec nos grosses godasses à la main, pressés de filer au grand air. Nous nous chaussons.
Nos anoraks ouverts. Nous descendons jusqu'à la rivière, main dans la main. Clémentine me parle du Jura. Bientôt !

Nous longeons la rivière dont le niveau d'eau ne permet pas de rester sur l'étroit sentier. Nous restons sur le chemin.
Clémentine s'arrête souvent pour se blottir dans mes bras, me faire plein de bisous ou pour m'embrasser avec fougue.
J'ai rapidement la bite à l'air. Je glisse souvent ma main dans sa culotte. De l'autre côté de la rivière, des promeneurs.
Il faut donc ruser. Ce sont le plus souvent des jeunes filles, écuyères à cheval car nous arrivons à proximité du haras.
Nous en distinguons d'ailleurs les bâtiments, là-bas, de l'autre côté de la route. Il y a du monde. C'est samedi. 14 h30.

Nous faisons notre boucle des quatre heures. C'est tellement agréable. Nous n'avons pas cessé de nous tripoter. Joie.
Comme souvent, nous nous sommes adonnés à nos jeux passionnants. Tantôt exhibitionnistes, tantôt voyeurs. Génial.
Il est 18 h15. La voiture d'entreprises est garée à côté du garage. Estelle est déjà là. Elle nous fait la bise. Si contente.
Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous, glisse sa main dans ma braguette pour palper.
< T'es encore tout mouillé ! Cochon ! > me fait elle. Nous l'aidons à éplucher les légumes pour la potée du week-end.

Assis tous les trois à la table de la cuisine, nous bavardons en épluchant patates, navets, céleris, carottes, oignon, ail.
C'est devenu une habitude. Nous en faisons en grande quantité pour assurer trois repas. C'est beaucoup plus simple.
Cela accompagne tant les omelettes, que les panures ou encore les grillades. C'est une activé très agréable. Pratique.
Estelle s'occupe de la cuisson dans la vieille cocotte en fonte. Clémentine prépare la salade. Je fais griller les gambas.
Je fais une mayonnaise que je répartis dans deux petits bols. Dans l'un de l'ail pilé, persillé, dans l'autre du paprika.

Nous mangeons de bon appétit. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. Vulgaire.
Je me lève pour agiter ma queue toute molle. Je fais "l'hélicoptère" selon l'expression de Clémentine qui mime la pipe.
Estelle tire la petite boîte en plastique transparent de la poche de sa chemise. Elle contient la carte SD. Je comprends.
< Génial ! > s'écrie Clémentine. C'est ce soir que Estelle veut réaliser le dixième film de sa collection. Excellent. Rires.
Les filles, tout en terminant le repas, mettent rapidement au point la succession des évènements prévus. C'est parfait.

Clémentine s'occupe de la caméra. Estelle reste à table. Moi, j'interprète "Mario", le serveur. C'est trop drôle. Super.
La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Si amusant.
Clémentine choisi nos vêtements pour le film. Estelle est vêtue d'une jupe kilt, d'un chemisier blanc, le pull bleu nuit.
Des escarpins à talons hauts. < Je fais délicieusement pute ! > fait Estelle devant le miroir de l'armoire. Elle est belle.
Je dis : < Une superbe pute ! >. Nous rions de bon cœur. Je suis vêtu d'un pantalon noir strict. Ma chemise blanche.

Un nœud papillon parfaitement ridicule termine de me déguiser en "Mario", le serveur. Nous rigolons comme des fous.
Je porte mes fausses moustaches et mes lunettes noires. Comme sur la photo de mes avatars, dans la galerie photos.
Nous dévalons les escaliers, pressé d'aller interpréter nos personnages. Clémentine prépare la caméra sur le trépieds.
Elle fait un essai. Estelle introduit la carte SD 8 Go. De quoi filmer plus de 45 minutes. Nous faisons la mise en place.
Estelle et moi nous poussons la table de la cuisine vers le mur. A la place, nous installons la petite table étroite. Bien.

Sur la petite table, là, au milieu de la cuisine qui est spacieuse, nous disposons une assiette, un verre, des couverts.
Une serviette en tissu. Une autre en papier. un petit bol contenant le reste de mayonnaise au paprika doux. Parfait.
Estelle, debout hors champs de la caméra, se touche, une main sous sa jupe. Je sors mon sexe mou et dégoulinant.
< Moteur ! > fait Clémentine comme une vraie professionnelle. Estelle entre dans le champs. Doucement et calculé.
Elle est hyper sexy avec ses cheveux qui flottent dans son dos, vêtue comme une étudiante anglaise. Formidable.

La voilà assise à consulter une carte fictive, (un vieux calendrier des postes qui fait illusion). J'attends deux minutes.
J'entre à mon tour dans le champs de la caméra. Je suis "Mario" l'improbable serveur qui vient prendre la commande.
Estelle, avec ce sérieux impressionnant, pose quelques questions. J'ai envie d'éclater de rire. C'est tellement farfelu.
Je suis de profil. Ma queue qui pend mollement à une cinquantaine de centimètres du visage d'Estelle. Super vicelard.
< Elle est préparée comment votre saucisse ? > demande la "cliente". J'entre dans le jeu. Des dialogues improvisés.

Estelle continue tout en me montrant la carte : < C'est la spécialité de la maison, je crois, la saucisse au naturel ? >
Estelle est très habile dans l'improvisation. Adolescente elle a fait un peu de théâtre. Et je suis nettement moins bon.
La commande est prise. Je sors du champs de la caméra. Estelle se touche en regardant partout autour d'elle. Super.
L'air ingénue, curieuse, coquine, elle tourne la tête vers la caméra sans toutefois fixer l'objectif. Une actrice de talent.
Je reviens avec un peu de potée dans une petite assiette. Je la dépose devant Estelle. < Et cette saucisse ? > dit elle.

Je saisis mon sexe mou à sa base pour en diriger un petit jet net et précis sur la potée. Je dis : < En voilà le jus ! >
< Oh, mais c'est parfait. Ne m'en mettez pas trop ! > lance la "cliente". Elle se met à manger. Et je reste debout là.
Une serviette sur mon bras plié, droit comme un militaire, j'attends les désirs de la "cliente". Elle savoure en silence.
< A mon goût ! Vous auriez peut-être un peu de crème ? > dit encore Estelle en saisissant mon sexe entre les doigts.
Elle soulève son assiette pour y tremper ma queue. Je commence à bander. Elle la force vers le bas. Il y a la potée.

J'en ai plein la bite. Elle se met à téter. Clémentine qui déplace légèrement la caméra. Il y a le stabilisateur d'images.
"Mario", debout là, se fait tailler une pipe par la "cliente". Cela dure un petit moment. Clémentine zoome, gros plans.
Estelle cesse pour se remettre à déguster la potée. Je me concentre. Je dois méchamment pisser depuis notre rando.
Je lâche un jet, court, net et précis sur la potée. C'est une assiette creuse. La potée baigne dans la pisse. Il en flotte.
Estelle, imperturbable continue de manger devant la caméra. Je me branle. < C'est absolument exquis ! > dit Estelle.

Elle rajoute : < C'est une spécialité de la maison, je crois, la potée à la saucisse en sauce ? >. Je ne sais quoi dire.
Il me faut improviser. Je réponds : < Oui ! C'est une saucisse qui marine dans son jus de longues heures. Nature ! >
< C'est réellement divin ! > fait Estelle en posant sa fourchette pour essuyer sa bouche qu'elle ouvre devant le Zob.
Je n'ai plus qu'à viser soigneusement, à y pisser par petits jets précis. J'arrose copieusement le visage de la cliente.
J'entends la respiration de Clémentine, là, derrière la caméra qu'elle dirige avec précision. Et tout cela l'excite tant.

Même excellente actrice, Estelle ne peut éviter les hauts le cœur de dégoût qui la submerge. Une envie de dégueuler.
Je comprends. Mais plus c'est dégoûtant, plus cela l'excite. Même fonctionnement que Clémentine. Le visage trempé.
Le visage d'Estelle ruisselle de pisse. Elle tousse, elle crache, elle a des spasmes. C'est si parfaitement dégueulasse.
Je la saisis par ses cheveux pour lui frotter la bite sur la gueule. Elle tente de me repousser. Je la maintiens bien fort.
Je lui pince le nez afin qu'obligée de reprendre son souffle, elle ouvre la bouche. J'en profite pour lui enfoncer la bite.

Rien n'excite davantage Clémentine que mes attitudes avec Estelle. Je me comporte en véritable pervers. Vicelard.
Avec les filles, arrivé à un certain stade, on ne sait plus. J'entends Estelle gémir en me suçant de force. Le plaisir ?
Pourtant, lorsqu'elle arrive à se soustraire à mon étreinte, elle manque de vomir, son visage déformé par le dégoût.
Je n'arrête pas d'alterner la pipe forcée et la pisse en pleine gueule. Clémentine filme et se touche. A genoux. Bien.
Estelle, de la pisse et du foutre qui maculent le haut de son pull, me tient par les hanches. Elle ne me repousse plus.

Je murmure : < Petite goinfre ! Tu reviendras goûter la saucisse à la potée de Mario ? >. Elle cesse et dit : < Oui ! >
Je lui éjacule au visage. Une incroyable quantité de foutre épais, visqueux qui reste là comme figé. Clémentine filme.
Je mets une gifle à Estelle en disant : < Et pour votre dessert, ce sera quoi ? >. De la pisse et du foutre qui giclent.
< Saucisse à la crème ! > s'écrie Estelle, fixant l'objectif de la caméra. Elle a rarement autant de jute sur la gueule.
Dans chacun des films que nous avons réalisé, Estelle pose toujours ainsi devant l'objectif. Sérieuse et le regard fixe.

Je lâche la dernière rasade de pisse. En sournois, sans prévenir. Estelle s'essuie le visage avec la serviette. Terminé.
Le bip sonore de la caméra indique que les capacités de la carte SD sont arrivées à leurs termes. 40 minutes de vice.
< C'est dans la boîte ! > fait Clémentine en venant s'accroupir pour sucer les reliquats de jus qui s'écoulent du Zob.
Estelle se lève. Elle m'embrasse avec fougue. Elle fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Je la sens si contente.
< Tu as été parfait ! > me fait Estelle. Je force Clémentine à se relever. Il y a de la pisse partout parterre. Nettoyer.

Je passe la serpillère pendant que les filles font la vaisselle utilisée pour le film. Puis nous remettons la table en place.
< Je fais le montage de ce film et on se le mâte samedi prochain ! Nouvelles réjouissances Ça vous dit ? > fait Estelle.
< Super bien ! > s'écrie Clémentine. Nous montons. Estelle prend sa douche. J'offre à Clémentine un bon cunnilingus.
Un orgasme cataclysmique. Je sèche les cheveux d'Estelle. Elle aime tant quand je m'occupe d'elle. Le sèche cheveux.
Il est 22 h. Nous voilà au lit. Estelle s'endort si vite blottie contre moi. Clémentine serrée contre moi, me parle. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment interpréter le rôle de la "cliente" d'un restaurant gastrono bite...

Julien - (Je suis entre Estelle qui ronfle déjà et Clémentine qui me confie ses ressentis en massant ma queue) -

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Classe - 18 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1088 -



Dimanche, c'est "ménage à trois"

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par les mouvements que fait Estelle qui reste serrée toute la nuit contre moi.
Cette fois, encore endormie, elle se saisit de mon érection matinale d'une poigne de fer. Cela la réveille également.
Elle me fait des bisous. Tout cela réveille à son tour Clémentine qui vient se serrer contre moi au milieu des anges.
Elles me chuchotent des douceurs. Je distribue des bisous. Nous luttons le plus longtemps possible contre le pissou.
Estelle se lève la première pour se précipiter aux toilettes en s'écriant : < Pipi ! >. Clémentine glisse sous le drap.

C'est toujours une curieuse impression que de se faire sucer au réveil car c'est une érection naturelle pas excitante.
Estelle revient : < Elle est où Clémentine ? > demande t-elle avant de découvrir la bosse sous la couette. Rigolade.
Estelle s'habille. < Je descends tout préparer. Venez vite, j'ai peur toute seule ! > nous fait elle avant de descendre.
Clémentine m'entraîne par la queue jusqu'aux toilettes. Il est presque 8 h30. Et nous rejoignons Estelle à la cuisine.
L'odeur de café, de pain grillé, de brioche, Estelle qui me saute au cou, l'enchantement paradisiaque des dimanches.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Estelle évoque notre réalisation pornographique. Le film "Mario".
Car c'est ainsi que ce film s'intitule déjà. Nous en rigolons comme des bossus. < Tu étais parfait ! > s'écrie Estelle.
< Mario me servira t-il également une de ses spécialités un de ces jours ? > dit Clémentine assise sur mes genoux.
Nous pourrions regarder ce film sans montage. Mais Estelle aime bien peaufiner, améliorer et mettre un générique.
< Cela nous fera une nouvelle soirée cinéma samedi prochain ! > précise encore Estelle. C'est bien d'anticiper. Joie.

Nous traînons à table. Le dimanche matin aucun entraînement, aucune gym, aucun jogging. C'est le rituel ménage.
Estelle passe l'aspirateur partout. Clémentine s'occupe de notre chambre, moi je nettoie et passe la serpillère. Bien.
La vaisselle. Clémentine me fait un dernier bisou avant de monter. Estelle qui me fait un bisou avant d'aller aspirer.
Je commence par la cuisine. J'entends Estelle chanter depuis le salon. Elle improvise paroles et musique. Amusant.
Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère sur les carrelages. Je m'apprête à monter rejoindre Clémentine.

C'est compter sans le piège que me tend Estelle. Je m'y attends. C'est au bas de l'escalier qu'elle m'attend. A poil.
Assise sur la troisième marche, juste en chaussette, les cuisses largement écartées, se masturbant, c'est l'obstacle.
< Votre droit de passage, monsieur ! > fait elle en agitant des doigts de gauche à droite sur son clitoris. Très vite.
Je sors mon Zob. Je prends la main qu'elle me tend. Je l'entraîne au salon. Devant le bureau je la soulève. Délicat.
Je l'installe sur le bureau. Elle écarte ses cuisses. Je frotte mon sexe contre le sien. < J'adore ça ! > chuchote t-elle.

J'y introduis doucement l'extrémité. < Mmhh ! > fait Estelle qui, d'un coup de reins, s'enfile presque toute la queue.
Je la soulève. Elle m'attrape par le cou. Je l'emmène faire le tour de la grande pièce. Puis devant les portes fenêtres.
Nous regardons dehors. Il y a du soleil. < Cet après-midi, balade ! > fait Estelle pénétrée jusqu'à mes couilles. Bien.
Je la dépose sur le bureau. Je me retire. < Vilain ! > s'écrie t-elle. Je lui tends ses vêtements. Elle se rhabille. Rires.
Nous montons rejoindre Clémentine. Il fait si froid dans la chambre car les deux fenêtres sont ouvertes afin d'aérer.

Je raconte la petite baise de courtoisie à Clémentine qui fait : < J'exige la même chose après ! >. Elle se serre fort.
Je ramasse les draps sales. Nous allons à la salle de bain. Je fais le bac à douche. Clémentine les miroirs, le lavabo.
Nous entendons Estelle chanter en passant l'aspirateur. S'embrasser le dimanche matin, c'est bien. Le goût brioche.
Clémentine descend avec le panier à linge. Je nettoie les chiottes du haut. Seconde initiative amusante pour Estelle.
Elle vient toujours silencieusement lorsque je suis accroupis devant la cuvette des WC pour frotter. Elle se serre fort.

Accroupie derrière moi, elle frotte son sexe contre mes reins tout en murmurant des douceurs et des cochonneries.
Nous nous redressons en même temps. Je tire la chasse. Je retire mes gants en caoutchouc. Nous nous embrassons.
Nous adorons le goût brioche. Nous descendons rejoindre Clémentine à la cave, dans la buanderie. Et le tri du linge.
Estelle insiste pour s'occuper du repas de midi. Elle nous laisse. J'aide Clémentine à suspendre les draps déjà lavés.
Je la tiens par les hanches. Je suis derrière elle. Je chuchote : < Viens, je te pénètre un peu mon ange ! >. Silence.

Ma proposition qui fait fondre Clémentine. Nous remplissons une seconde machine. Elle retire son jeans et sa culotte.
Je la soulève pour l'installer sur la machine à laver. Nulle vibration. Je frotte mon sexe contre le sien. C'est fabuleux.
Je la pénètre délicatement. Juste l'extrémité de la queue. Nous restons immobiles à nous fixer. C'est si merveilleux.
< Je t'aime Julien. Comme une folle ! > chuchote t-elle. Je murmure : < Je t'aime Clémentine. Et comme un fou. ! >
Nous restons ainsi un petit moment à nous confier nos secrets. Je m'enfonce un peu plus. Clémentine en gémit. Joie.

Nous remontons pour rejoindre Estelle dans la véranda. Du saumon en papillote sur le barbecue électrique. Superbe.
La potée réchauffe. Même la salade est déjà prête. Nous mettons la table. < Interdit ! > dit Estelle qui veut tout faire.
Clémentine reste blottie contre moi. Nous regardons Estelle tourner et retourner les papillotes. Une faim se fait sentir.
< Allez vous installer ! Je fais le service ! > lance Estelle. Nous voilà assis. Nous mangeons de bon appétit en parlant.
Clémentine propose une belle randonnée dans l'après-midi. Avec cette météo il serait stupide de ne pas profiter. Bien.

Comme à presque chaque repas, Estelle se lève plusieurs fois pour mimer une masturbation masculine. Bien vulgaire.
< J'aime être vulgaire ! > précise t-elle souvent lorsque je lui fais remarquer à quel point elle est adorable en imitant.
Je me lève à chaque fois pour agiter ma queue molle en faisant "l'hélicoptère". Nous ne traînons pas. Notre vaisselle.
Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain.
Nous redescendons avec nos grosses godasses à la main. Pressés de filer. De nous retrouver au grand air. Il fait beau.

Le climat est très agréable. Nous pouvons marcher en gardant nos anoraks ouverts. Pas de gants. Et pas de bonnet.
Nous descendons jusqu'à la rivière. Je marche entre mes deux anges chaque fois que la largeur du chemin le permet.
Nous nous tenons par la main. Parfois, en fonction de nos échanges, de nos éclats de rire, elles se serrent à mon bras.
Nous longeons la rivière. Estelle glisse sa main dans ma braguette ouverte pour en extraire une bite molle et humide.
< Tu sais que j'ai beaucoup apprécié le comportement de "Mario" hier soir. Le menu était "gouteux ! > me dit Estelle.

Nous en rigolons comme des bossus. Je glisse mes mains dans les culottes. C'est moite, humide et c'est fantastique.
Nous avons pour habitude de macérer dans nos jus tous les dimanches. Nous ne nous lavons pas. Pour rester sales.
Les goûts de nos sexes s'en trouvent sublimés. Nous en raffolons tous les trois. Aussi, je me fais sucer sur le sentier.
C'est frustrant pour les filles comme pour moi car j'aimerai beaucoup me bouffer de la chattes sales. Ce sera ce soir.
Nous croisons quelques promeneurs. Le plus souvent des familles. Des cavalières. Même deux amateurs de VTT fous.

Il faut donc ruser. Rester prudents et attentifs. Quand l'une me suce au coin d'un fourré, l'autre fait le guet. Parfait.
Nous passons derrière les bâtiments du haras. Il y a un monde fou. L'animation de Juliette connaît un franc succès.
Nous arrivons à la maison abandonnée. C'est la maison de l'ancien garde barrière. Il y a la cabane à outils derrière.
C'est là, assises toutes les deux sur le vieil établi, les jeans et les culottes retirées, que je peux déguster les moules.
Le sexe d'Estelle, déjà pénétré ce matin, stimulé par ses masturbations m'offre ses effluves de fille négligée. Miam.

Je passe à celui de Clémentine. Je suis toujours enivré de plaisir quand je peux me bouffer leurs minous. C'est bon.
Les filles se masturbent quand je ne suce pas leurs clitoris. J'ai des poils plein la bouche. Un cheveux sur la langue.
C'est un concerto pour gémissements en Sol majeur. C'est merveilleux. Je suis le chef d'un orchestre symphonique.
C'est grandiose. Les instrumentistes sont de parfaites virtuoses. La musique monte crescendo. Très philharmonique.
Je bats la mesure lorsque soudain, pas si loin, résonnent des voix, des rires. < Put-Hein les cons ! > s'écrie Estelle.

A la vitesse de l'éclair, les filles sautent de l'établi. Mettent leurs fringues. Dans la précipitation Estelle sans culotte.
Nous en rions de bon cœur. Un prétexte pour l'enfiler plus tard. Nous sortons du cabanon. Une famille de Simpson.
En fait, il y a là probablement deux familles. Cinq chiards qui cavalent dans tous les sens en hurlant. C'est la poisse.
Nous saluons toutefois ces gens qui nous regardent sortir de l'enclos. Nous nous éloignons jusqu'à l'amas rocheux.
Il suffit d'attendre que les gens s'en aillent. Ils entrent dans le jardin. Ils vont voir. < S'ils savaient ! > lance Estelle.

Nous attendons un peu. Les filles me sucent à tour de rôle. Nous pouvons enfin y retourner. Estelle remet sa culotte.
Nous préférons reprendre nos activités à la maison. Il est déjà 17 h. Il y a encore une bonne heure trente de marche.
Nous arrivons juste avant que tombe la nuit. Le crépuscule est déjà bien avancé. C'est super. La randonnée sublime.
Morts de faim, nous nous mettons à la préparation du repas. Estelle prétexte un sexe qui la démange. Sans culotte.
Clémentine retire elle aussi son jeans et sa culotte. J'adore glisser mes doigts dans tous les creux, tous les plis. Bien.

Clémentine s'occupe de la salade. Estelle prépare une belle omelette au fromage et aux champignons. C'est superbe.
Je réchauffe la potée. Ce qui me permet de glisser mes mains entre leurs cuisses, entre leurs fesses, dans les trous.
Nous adorons ça. A tel point qu'Estelle propose que cette manière de préparer la bouffe devienne un nouveau rituel.
< Affaire conclue ! > fait elle en s'emparant de ma queue molle pour la secouer dans tous les sens. J'en bande mou.
La table est mise. Nous voilà confortablement installés. J'ai déposé des feuilles de papier absorbant sur les chaises.

Les deux anges sont des "mouilleuses" de première. Il est donc préférable de préserver les coussins de chaises. Rire.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le bilan de ce nouveau week-end qui s'achève dans la joie et le plaisir.
A nouveau, à plusieurs reprises, Estelle qui fait ses imitations de branlettes masculines avec sa vulgarité coutumière.
Cette fois, je me lève pour l'attraper par derrière. Je lui passe la main entre les cuisses chaudes et humides. Génial.
J'enfonce mon doigt. D'abord la chatte. Puis le trou du cul. Je l'en ressors pour le renifler. < Bon appétit ! > dit elle.

Nous rigolons comme des bossus quand je fais sentir mes doigts. D'abord à Estelle puis à Clémentine. Les grimaces.
Nous traînons à table. Nous rions beaucoup. Assises sur mes genoux, les filles évoquent les cours de demain matin.
J'enfonce mes doigts dans tous les trous. A part quelques mouvements réflexes, elles continuent de causer sérieuses.
Pourtant ces quelques mouvements réflexes trahissent les émois qu'elles aiment à surmonter par jeu. C'est féminin.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Les filles m'entraînent au salon. Elles se vautrent dans le canapé. En attente.

Je suis à genoux sur l'épais coussin posé entre les jambes d'Estelle. Je lui bouffe la chatte, je lui lèche la raie culière.
Je passe au croupion de Clémentine. Elles se masturbent quand je ne suce pas leurs clitoris. Put-hein, c'est sublime.
Je me lève d'un coup. Je file aux toilettes récupérer la cuvette en plastique, la serpillère et du papier cul. Prévention.
L'orgasme d'Estelle est prodigieux. Comme une première fois. Elle en a carrément une éjaculation de cyprine. Super.
L'orgasme de Clémentine, bien pisseux, la fait hurler dans de véritables convulsions. Le fond de la cuvette est rempli.

Bon prochain dimanche à toute les coquines qui ont à présent une idée très précise quand aux activités de plein air...

Julien - (Au lit, Clémentine blottie contre moi, me confie à quel point ses orgasmes la font vaciller de plaisir. Dodo) -

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Julie vient passer la soirée à la maison

Hier matin, lundi, c'est l'Adagio d'Albinoni qui nous arrache, avec une certaine délicatesse de nos profonds sommeils.
< Carpaccio ! > fait Clémentine, qui s'allonge sur moi pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit de mon côté.
Il est 5 h55. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes pour y pisser dans une plus parfaite volupté.
Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. Préparer notre petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine évoque cet agréable week-end que nous avons passé.

Nous remontons. Notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles et les abdominaux.
La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue.
Un dernier bisou. Il est 7 h45. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. Pénible fraîcheur.
Je fais le lit, la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Je prépare ma palette en chantant "Le Gorille" de Georges Brassens.
Il est 8 h15. Je suis confortablement assis devant mon chevalet. La dix neuvième toile destinée à ma saison d'été.

Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait moduler longuement mes cris les plus surréalistes. C'est superbe.
Il est 10 h lorsque la stupide musique de mon téléphone le fait vibrer au fond de la poche de ma blouse. Je le prends.
C'est Julie qui m'appelle depuis les toilettes de la Faculté de Lettres, entre deux cours. Elle n'a que quelques minutes.
La jeune étudiante me confirme sa venue pour la soirée. Elle termine à 17 h. Je lui propose de venir ici directement.
Ce, dans le cadre de sa formation, bien évidemment Quelle n'est pas sa joie. Nous nous saluons avant de raccrocher.

Je peins en pensant à cette étonnante jeune fille de 20 ans, faussement innocente, véritablement timide et réservée.
Il est presque midi. Dehors, le ciel est gris et lumineux. La fraîcheur constante encore accentuée par le vent. Les 8°.
Je vais à la cuisine. Je lave les feuilles d'une belle laitue, pour midi et pour ce soir, pendant que gonfle le riz complet.
Je coupe un choux fleurs, des pommes de terre que j'épluche. Je lave le tout avant de le laver de mettre à la cocotte.
Le rituel du lundi soir impose un gratin de choux fleurs. Je concocte une bonne sauce au Roquefort et Champignons.

Je rajoute de l'émincé de cabillaud blanc. J'en récupère un peu comme accompagnement du riz. Je râpe du gruyère.
Je mange de bon appétit en tentant d'écouter les informations. C'est au dessus de mes forces. J'éteins la radio. Dur.
J'égoutte le choux fleurs et les patates. Je verse dans un grand plat en terre cuite. Je recouvre de gruyère de Comté.
Le mélange œuf et crème fraîche versé dessus. De la chapelure. Je dispose au four. Pour ce soir, tout est prêt. Bien.
Je fais la vaisselle. Je range la cuisine. Je vais au salon pour y dresser la table. J'enfile mon anorak. Me voilà dehors.

C'est ce maudit vent qui apporte la fraîcheur désagréable. Je fais le tour de la propriété. Des branches mortes au sol.
L'entreprise paysagiste intervient au début avril. Il y aura du boulot. Avec ces tempêtes incessantes, du bois partout.
Les arbres ont souffert. Certaines de leurs branches cassées jonchent le sol. Je rentre me mettre au chaud. Parfait.
Il est 13 h15. Me voilà à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Habité du même enthousiasme fou.
Quand je me livre ainsi, corps et âme à ma passion, je n'ai plus la perception du temps qui passe. C'est très étrange.

Il est 16 h30. Clémentine rentre de cours. J'anticipe. Je pose la palette, les pinceaux sur la desserte. Elle se précipite.
Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte sa journée. Les cours, les profs, le menu du restaurant universitaire.
Ses bras autour de mon cou elle me rassure. Pas le moindre "conar à virus" dans l'amphithéâtre de l'université. Bien.
Clémentine a encore du travail. La voilà assise devant son ordinateur à mettre ses notes du jour au propre, chantant.
Je lui raconte l'appel téléphonique de Julie et mon invitation. < Super idée ! > lance t-elle. Nous travaillons avec joie.

Il est 17 H30 quand résonne les trois coups de sonnette. Clémentine se précipite pour aller ouvrir. Julie. Ponctuelle.
Elle entre dans l'atelier, un peu coincée. Elle sait que c'est l'antre magique du magicien. Julie s'avance. Je me relève.
Clémentine l'invite à faire comme elle veut. J'accueille Julie sans lui serrer la main. Règles élémentaires de prudence.
Même si nous savons très bien que tout cela n'est probablement qu'une vaste fumisterie la réserve est là préférable.
Julie s'installe à côté de moi sur une chaise. Silencieuse, elle observe mon travail. Je lui explique tout. L'exactitude.

C'est très étrange. La présence de Julie studieuse et observatrice ne m'indispose nullement. J'entends sa respiration.
Il est 18 h30. < Stop ! > s'écrie Clémentine. Nous cessons. Nous rangeons nos affaires. Julie semble ravie. Superbe.
Je l'invite à me suivre au fond de la grande pièce. Là, devant les étagères de la bibliothèque, je lui montre des livres.
Je tire un gros ouvrage "La peinture Hollandaise au Siècle d'Or". C'est un livre très lourd, épais, fort bien documenté.
Je l'emmène sur la table de travail. Julie l'ouvre religieusement. Clémentine vient se serrer tout contre moi. Silence.

Julie feuillette l'ouvrage, admirative et passionnée. Clémentine qui connaît tout cela par cœur, commente les images.
Ce sont des reproductions de toiles de Maîtres Hollandais du XVIIème siècle. Gérard Dou, Jan Steen, Pieter de Hook.
Il y a là de quoi émerveiller toute personne ayant l'intérêt des belles choses. Julie en fait visiblement partie. Superbe.
Je lui propose d'emmener ce gros livre avec elle. Qu'elle le garde le temps qu'il faudra pour assimiler les rudiments.
Tenir la galerie d'Art d'un peintre qui travaille dans ce style, nécessite de connaître en profondeur toute cette époque.

Julie semble embarrassée. < C'est trop bien ! > dit elle. Je précise : < Ce n'est pas un cadeau, c'est ta formation ! >
Julie serre le gros livre contre sa poitrine pour me rassurer : < Au mois de juin, je saurai tout. Je vous le promets ! >
Nous en rions de bon cœur. Il est presque 19 h. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. J'allume le four. Parfait.
Il n'y a qu'à réchauffer le gratin de choux fleurs et la sauce. J'aide Clémentine à la préparation de l'assaisonnement.
Julie reste plongée dans la découverte de son livre. Nous passons au salon. La table est déjà mise. La faim qui arrive.

Il y a juste les trois grosses bougies que Clémentine a allumé. Cela participe de cette ambiance de mystère. Superbe.
Les gens qui viennent chez nous s'imprègnent rapidement de cette atmosphère d'un autre temps. Vraiment magique.
Julie, assise à côté de Clémentine, se penche pour me dire : < J'apprécie, car il n'y a pas de mélange des genres ! >
Julie sous entend que je ne mêle pas sexe et formation. Clémentine la rassure : < Ce n'est pas le genre à Julien ! >
Je précise : < Je compte sur tes compétences, Julie, notre saison en dépend et pour le reste c'est quand tu veux ! >

Nous en rions tous les trois de bon cœur. Julie, rassurée, émue aussi, me remercie pour mes attentions. Ce job d'été.
Je rajoute : < Si l'expérience est concluante, ce seront les prochaines saisons qui te seront réservées. Ton travail ! >
Julie s'écrie : < Génial ! >. La sonnerie du four. Je propose aux filles de s'installer. Je m'occupe de tout. Je fais Mario.
Nous en rigolons comme des bossus lorsque Clémentine lance : < Oh que oui ! Mario et sa spécialité à la saucisse ! >
< Pas question. On fait tout ensemble ! > fait Julie en se levant la première. Nous nous précipitons à la cuisine. Bien.

Chacun, muni d'un plat, nous retournons au salon. Le gratin de choux fleurs et sa sauce au Roquefort sont un délice.
Nous mangeons de bon appétit. < Vous voulez bien m'en dire davantage à propos de ce "Mario" ! > demande Julie.
Nous éclatons de rire. Clémentine raconte notre réalisation pornographique de samedi soir. Julie fait : < Je capte ! >
Nous l'invitons à revenir dimanche prochain, l'après-midi, pour visionner le film avec nous. < Génial ! ! > lance Julie.
Nous fêtons également l'anniversaire d'Estelle. Elle aura 22 ans. C'est un anniversaire différé. Elle est née 11 mars.

< Et ce "Mario" ? > relance Julie. Là, je comprends immédiatement. Je sors ma queue sous la table. Je bande mou.
Je me lève. Je tiens mon sexe à sa base entre le pouce et l'index. Je le fais tournoyer. Je l'agite en direction de Julie.
< L'hélicoptère ! Une spécialité de Mario ! > fait Clémentine. Julie est aussi admirative que pour la peinture. Super.
Je contourne la table pour venir me mettre à sa droite. Elle a un mouvement de recul bien légitime. C'est si vicelard.
< Voilà "Mario", le serveur ! > fait Clémentine. Je rajoute : < Pour te servir ! >. Nous éclatons tous les trois de rire.

Je me branle. Je dis : < Veux tu un peu de crème avec ton gratin ? >. Julie lève les yeux pour me fixer, air sévère.
< Non merci, ça ira très bien comme ça ! > fait elle. Je la contourne pour saisir le grand verre à sangria. C'est bien.
Là, à une cinquantaine de centimètres du visage de Julie qui n'en perd pas une miette, je pisse dans le verre ambré.
Le silence est lourd. On n'entend que le bruit du liquide qui emplit le verre. Il peut contenir un bon litre. No problem.
Je pisse par petits jets. Nets. Précis. Rigoureux. Et sans en mettre la moindre goutte à côté. J'entends Julie respirer.

Rien n'est plus excitant pour Clémentine que mes comportements salaces devant une de nos invitées. C'est sublime.
D'autant plus que nos invitées, triées sur le volet, sont toutes, sans exception, de fieffées coquines. Membres du club.
Aussi, Julie admire ma prestation avec la même ferveur que les tableaux de Maîtres Hollandais. Un enchantement !
Je pose le verre au milieu de la table. Sur la pisse flotte un peu de liquide séminal. Excité comme je suis, de la jute.
Nous débarrassons. Clémentine me fait du coude. Je surprends Julie penchée au dessus du verre pour mâter de près.

Nous faisons notre vaisselle. < Et qu'est ce que vous faites du contenu du verre, après ? > me demande la jeune fille.
< On le vide dans les chiottes ! Pourquoi ? Tu veux l'emmener dans une bouteille ? > lance Clémentine. Nous rigolons.
Julie répond : < J'en ai plein dans les toilettes homme du restaurant ! >. Nous éclatons de rire. Un humour décapant.
J'agite ma bite en direction de Julie qui termine de faire la plonge. Je suspends mon torchon. Elle me sourit. Délicate.
Nul doute. Elle passe encore avec nous une soirée inoubliable. < Maître peintre mais aussi Maître vice ! > me dit elle.

Il est 22 h. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. J'ai la bite à l'air. Toute molle, qui pend de ma braguette.
< N'attrapez pas froid. Ce serait dommage pour la prochaine fois ! > me dit elle. Surprise. Elle la saisit dans sa main.
C'est chaud. Il est rare qu'elle ait cette initiative. < Je peux venir vendredi après-midi ? > nous demande Julie. Joie.
< Dans le cadre de ma formation ! > s'empresse t-elle de rajouter. Elle tient son gros livre. Nous la regardons partir.
Au lit, Clémentine me suce. Je lui offre un cunnilingus de ouf. On se pénètre pour le principe. Je la termine en lèche.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aimeraient volontiers se spécialiser en peinture hollandaise du XVIIème...

Julien - (J'aime quand Clémentine me confie ses dernières impressions, la bite en main, avant de s'endormir) -

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Une soirée pipe accompagnée d'histoires

Hier matin, mardi, c'est le concerto pour harpe de Mozart qui nous tire avec délicatesse de nos profonds sommeils.
< Trop bien ! > fait Clémentine qui s'allonge sur moi pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit de mon côté.
En fait, elle commençait à se réveiller juste avant. Le mardi, Clémentine termine à midi et cela la rend très joyeuse.
Quelques papouilles. Il est 6 h. Elle m'entraîne par mon érection naturelle jusqu'aux toilettes pour y pisser peinards.
Morts de faim, vêtus de nos tenues sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Préparer le petit déjeuner.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine évoque la visite de Julie, hier soir. C'était très sympa.
Nous remontons. Une heure de gym. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos. L'intensité maximale.
La douche. Je descends pour aller préparer la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Fraîcheur.
Un dernier bisou. Il est 7 h45. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Le ciel est bas, lourdement menaçant. Dur.
Je me dépêche de rentrer. Je fais le lit, la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Il est 8 h15. Je prépare ma palette. Super.

Je suis assis devant mon chevalet. Je termine ce matin cette dix neuvième toile destinée à ma saison d'été. Parfait.
Je peins dans la continuité de cette euphorie partagée par Clémentine en matinée. Je pousse mes cris surréalistes.
Il est exactement 9 h55 lorsque mon téléphone se met à vibrer au fond de la poche de ma blouse. Je vais chercher.
C'est Julie. Elle m'appelle depuis les toilettes de la Faculté. Entre deux cours. Comme elle le fait toujours. C'est bien.
< J'aime rôder dans les toilettes ! > me fait elle ce matin. Nous rions de bon cœur. Julie n'a que quelques minutes.

Elle me remercie pour la soirée de hier. Elle se réjouie pour passer le vendredi après-midi avec nous. Et nous aussi.
Dans le cadre de sa "formation" ces visites répétées ne sont pas sans créer une nouvelle forme d'addiction. Plaisant.
Nous nous saluons avant de raccrocher. Je peins à présent en pensant à cette étonnante étudiante de 20 ans. Joie.
Il est 11 h30. Je dépose la dernière pointe de jaune de cadmium sur la surface de ma toile. La voilà terminée. Bien.
Je la dépose sur le second chevalet afin qu'elle y sèche. Je pose la vingtième toile sur le chevalet. La scène de genre.

C'est le dernier tableau de la série des personnages. Dix œuvres. C'est le timing parfait. Je quitte l'atelier. La cuisine.
Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je prépare une pâte à pain. Je coupe les poireaux en petits morceaux grossiers.
Direct dans l'eau bouillante. Comme les coquillettes. Il est 12 h25. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou.
Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bisous. En préparant la salade, elle raconte ses cours.
Je prépare une Béchamel. J'y verse les poireaux égouttés. Je remue. J'y rajoute gruyère, persil, ciboulette. C'est bon.

Voilà. Le nécessaire de la Flamiche Picarde, cette tarte aux poireaux qui fait les délices de nos mardis soirs, est prêt.
Je récupère un peu de Béchamel. En accompagnement de nos coquillettes et des deux filets de colin cuits à la poêle.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Dehors, la météo reste menaçante. Un risque de pluie imminente.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie à quel point elle se réjouie pour le Jura.
< Je compte les jours, un peu plus de quatre semaines ! > me fait elle. Nous traînons à table en faisant mille projets.

Durant les huit jours que nous allons passer dans cette magnifique région, Clémentine promet de se surpasser. Bien.
< J'en meure d'envie. Si je ne me livre pas à ma thérapie préférée, je pète un câble ! > dit elle. Nous éclatons de rire.
La vaisselle. Nous montons nous laver les dents, faisant un concours de grimaces devant le miroir de la salle de bain.
Clémentine mime une fellation. Une bosse à l'intérieur de sa joue avec la brosse à dents, mousse aux coins des lèvres.
Je demande : < Tu suces qui ? >. Nous nous rinçons la bouche au dessus du lavabo, Clémentine dit : < L'inconnu ! >

Nous en rions de bon cœur. < Dans le Jura, je me suce un mec ! > me confie Clémentine m'entraînant sur notre lit.
Couchée à côté de moi, sa main dans ma braguette, Clémentine me confie ce fantasme qui revient la tarauder. Joie.
Je demande : < Raconte moi comment tu aimerais que les choses se déroulent. Raconte moi cette belle histoire ! >
Clémentine pose sa tête sur mon ventre. Elle extrait mon sexe de ma braguette. Je bande mou. Elle en hume l'odeur.
< Non, invente moi un scénario. Je t'écoute en suçant ! > me fait elle. Elle me décalotte légèrement. Et ça schlingue.

Je me fais tailler une pipe des familles dans la volupté d'un enchantement paradisiaque. Et je commence à raconter.
Je ne suis pas obligé de faire un effort d'imagination. Il me suffit de penser à nos aventures et d'en faire un mixage.
Clémentine écoute en gloussant. Toutes les deux à trois minutes elle cesse pour laisser reposer sa mâchoire. Super.
Elle me pose alors une question précise. Me demandant de développer telle ou telle situation. Une surenchère. Rires.
Nous avons vécu tant de choses depuis plus de trois ans que ce ne sont pas les inspirations qui manquent. Superbe.

Nous aimons tous deux rester excités pour le reste de la journée. Estelle vient ce soir. De quoi stimuler nos libidos.
Il est 14 h. Nous descendons. Voilà la pluie. Nous allons dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur.
Je suis assis devant le chevalet. Nous adorons ces séances de travail communes. Cette émulation productive. Bien.
Parfois, l'un se lève pour venir rejoindre l'autre. Lui faire des bisous, lui murmurer des douceurs, des cochonneries.
La peinture de cette vingtième toile destinée à ma saison d'été, me comble d'une satisfaction supplémentaire. Joie.

Il est 18 h. Estelle arrive. J'anticipe. Je pose la palette et les pinceaux sur la petite desserte à roulettes sur la droite.
Estelle se précipite. Les filles se sont vues ce matin en cours. Assise sur mes genoux, Estelle nous raconte. Superbe.
Demain, c'est son anniversaire. 22 ans le 11 mars. Et depuis le temps que j'anticipe leurs 22 ans à toutes les deux.
Nous différons la fête pour dimanche. < Tu me feras ma fête ? > lance Estelle, mutine, espiègle, d'un ton si coquin.
Je dis : < Tu auras une magnifique bougie dans ton gâteau ! >. Nous en rigolons comme des bossus. Réjouissances.

Clémentine qui précise : < Dès demain, jour de ton anniversaire, tu pars pour tes 23 ans ! >. Nous éclatons de rire.
Ce qui sera le cas pour Clémentine qui fêtera son anniversaire le premier avril. < Tu parles d'un poisson ! > fait elle.
Les filles comparent l'avancée de leurs travaux. Assises toutes les deux devant cet ordinateur. Je nettoie ma palette.
< C'était comment avec Julie hier soir ? > demande soudain Estelle en venant me rejoindre pour se serrer très fort.
Clémentine relate la soirée. < Une fille sérieuse, studieuse, toujours à l'écoute ! Et moi, je la devine à la hauteur ! >

< Put-Hein ! Moi aussi j'aimerai bien avoir un job aussi cool. Tenir ta galerie ! > lance Estelle, sa main dans mon slip.
Elle rajoute : < Fais gaffe, Julien, je suis hyper jalouse ! Qu'elle reste à distance d'au moins un mètre. Non ! Deux ! >
Nous en rigolons comme des bossus. Nous rangeons nos affaires. Les manifestations paranormales ont cessé. Parfait.
Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Il est presque 19 h. La faim se fait cruellement sentir. On prépare tout.
Clémentine qui s'occupe de la salade de carottes. Estelle travaille la pâte à pain pour la rendre plus onctueuse encore.

Je réchauffe la Béchamel. Tout est rapide. Estelle n'arrête pas de me tripoter, de se frotter vulgairement contre moi.
Clémentine lui fait : < Tu vas encore t'éclater comme une brute demain soir, avec ton parrain, dans sa chaufferie ! >
< Arrête ! Ce salaud me baise comme une machine ! > lance Estelle en frottant sa braguette contre ma cuisse. Joie.
La tarte aux poireaux est au four. La table est mise. Nous passons au salon. Nous voilà vautrés dans le canapé. Bien.
Je propose aux filles un léchage de minou dans les règles de l'Art. < Moi, ce soir, je veux de la pipe ! > lance Estelle.

< Toi aussi ! > s'écrie Clémentine qui se lève la première pour se mettre à genoux entre mes jambes, sur le coussin.
Estelle, prise de vitesse, se couche à côté de moi, sa tête contre mon ventre pour bien mâter ce que fait Clémentine.
Quand Clémentine commence l'après-midi par la pipe, cela se prolonge en général par l'impérieux besoin de récidive.
Je raconte à Estelle la sieste crapuleuse du début d'après-midi. Je lui caresse la nuque. Elle en a des frissons de joie.
Clémentine cesse au bout de quelques minutes pour tendre ma bite raide et mouillée à Estelle qui suce avec fougue.

Elles se refilent ma queue. Je leur raconte une histoire assez délirante où je les mets en scène durant une aventure.
Là, je mélange savamment une situation réelle, vécue tous les trois dans des toilettes publique à Edimbourg, l'hiver.
Elles s'en régalent autant que de ma turgescence dégoulinante. Celle qui ne suce pas demande de développer. Rires.
La sonnerie du four. Les filles se lèvent d'un bond. Elles m'entraînent par les mains à la cuisine. La Flamiche Picarde.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Estelle nous confie avoir travaillé au montage du film de samedi.

< Rien à retoucher. Rien à supprimer. J'ai juste rajouté de la musique au début avec le générique ! > explique t-elle.
Ce sera le sujet de notre "soirée cinéma" de samedi. Nous le regarderons une seconde fois dimanche avec Julie. Joie.
< Fais gaffe ! Je suis jalouse ! > répète une fois encore Estelle qui se lève pour mimer une masturbation masculine.
Je me lève pour agiter le Zob dans sa direction. C'est ma grande spécialité, "l'hélicoptère" devant les filles complices.
Nous traînons à table. C'est tellement bon. Assises sur mes genoux, elles élaborent mille projets pour nos vacances.

< L'Ecosse c'est dans moins de quatre mois ! > fait Estelle de plus en plus souvent. Mais nous en rions de bon cœur.
< Laisse nous vivre encore un peu. Il y a le printemps d'abord ! > lance Clémentine. La vaisselle. On range la cuisine.
Les filles, pressées de retourner à la dégustation de ma bite juteuse, m'entraînent au salon. La même configuration.
Cette fois elles sont toutes les deux à genoux à se refiler ma queue. Je bande comme le dernier des salauds. La jute.
C'est tellement bon que je dois rester concentré. Je veux faire durer toute la soirée. J'aime les regarder, les écouter.

Celle qui ne suce pas, donne ses impressions. Je leurs caresse la tête, les cheveux, la nuque, les joues. Mes anges.
Parfois, je me penche pour déposer un bisou sur un front puis sur l'autre. Je chuchote une nébuleuse improvisation.
Cette fois, à partir d'un fait réel, j'invente une histoire de mec à petite bite, les préférées de Clémentine et d'Estelle.
Elles partagent toutes les deux cette préférence pour les petites queues, suintantes, bien molles de quelques vicieux.
J'en arrive tout naturellement à évoquer la queue minuscule et bien molle de Mr Gérard pas revu depuis longtemps.

A l'évocation du nom de ce vieux cochon à la retraite, j'entends les gloussement excités de Clémentine. Le souvenir.
La soirée se déroule ainsi. Il est 22 h. Je me lève. Les filles toujours à genoux, me retenant par les hanches, sucent .
J'éjacule avec soin. Je veille à bien partager. A bien distribuer. Que chacune en a pareil. Je suis passé maître de l'art.
Nous allons aux toilettes. Le pipi de chacune. Je lèche les croupions dégoulinants de cyprine et le reliquats des pipis.
Nous raccompagnons Estelle jusque sur le pas de la porte. Il pleut. Nous la regardons filer. Nous montons vite. Le lit.

Bonne soirée à toutes les coquines passionnées de fellations juteuses et de belles histoires pendant la pipe...

Julien - (Au lit, j'offre à Clémentine le plus merveilleux des orgasmes avec un cunnilingus délirant. Dodo) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 21 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1091 -



Juliette nous invite à une soirée pipe

Hier matin, c'est la Traviata interprétée par Luciano Pavarotti qui nous tire cruellement de nos profonds sommeils.
< Poulet rôti ! > dit Clémentine qui s'allonge sur moi pour éteindre le réveil posé de mon côté, sur la table de nuit.
Quelques papouilles. Il est presque 6 h. Nous nous précipitons aux toilettes pour y pisser dans une douce volupté.
Morts de faim, vêtus de nos tenues sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Préparer le petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine évoque la "soirée pipe" de hier. Elle a adoré. J'aime.

Nous remontons pour l'heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles et les abdominaux.
La douche. Je descends pour aller sortir la petit auto de Clémentine qui me rejoint. Il est presque 7 h45. Fraîcheur.
Un dernier bisou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer.
Je fais le lit, la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Assis devant mon chevalet, je prépare ma palette et tout en chantant.
Le travail sur la vingtième toile destinée à ma saison d'été m'accapare rapidement d'une passion dévorante. Super.

Je peins dans un enthousiasme délirant. Je module longuement mes cris les plus surréalistes. Les plus fantastiques.
Il est aux environs de 10 h quand la musique imbécile de mon téléphone le fait vibrer tout au fond de la poche. Dur.
Je l'en tire en maugréant. C'est Juliette. Après les civilités d'usage, la jeune femme me confirme sa venue en soirée.
Nous bavardons en mode haut parleur. Ce qui nous permet de causer tout en travaillant. Juliette est au bureau. Bon.
Très rapidement elle en vient à ses préoccupations sexuelles en me racontant quelques anecdotes arrivées au haras.

J'écoute beaucoup plus que je ne parle. Je me contente de dire : < Vous m'en direz davantage ce soir n'est-ce pas ! >
Nous échangeons ainsi durant une bonne vingtaine de minutes. Juliette est plutôt loquace et descriptive. C'est sympa.
Une fois encore Juliette insiste pour emmener le repas qu'elle aura préparé. Et nous nous saluons avant de raccrocher.
Je continue ma séance en pensant à cette étonnante jeune femme de 43 ans. J'ai mon téléphone posé sur la desserte.
Je le saisis à nouveau pour faire un texto court à Estelle. < Bon anniversaire ! >. Elle est en cours, elle l'aura à midi.

Hier, par inadvertance, j'ai évoqué ses 22 ans alors qu'elle fête aujourd'hui ses 23 ans. Et son parrain lui fera la fête.
Ce sera ce soir, sur le matelas gonflable, dans la cave, dans le local de la chaufferie durant l'absence de sa marraine.
J'en ris déjà. Il est presque midi. Je quitte l'atelier pour aller à la cuisine. Il y a des séquences d'ensoleillement. Bien.
Je lave les feuilles d'une belle laitue. Pour maintenant et pour ce soir. Je fais gonfler du riz complet. Je pane un colin.
Je fais revenir ce filet de colin à la poêle avec des champignons. Aubergine, courgette. Je râpe du gruyère de Comté.

Je mange avec appétit tout en tentant d'écouter la radio. Les informations très inquiétantes quand au "conar à virus".
Selon Organisation Mondiale de la Santé, l'épidémie se transformerait en pandémie. Des nouvelles plutôt alarmantes.
Je préfère éteindre la radio. Je n'aime pas cette façon insidieuse qu'ont les médias aux ordres de distiller la paranoïa.
Pour 95 % des gens, dans le pire des cas, ce sera un nez qui coule, des maux de tête, une toux tenace. Une grippe !
La vaisselle. Je passe au salon afin d'y dresser la table pour ce soir. J'enfile mon anorak pour aller faire quelques pas.

Il fait très doux. Le thermomètre extérieur indique 16°. Je fais le tour de la propriété. Mon téléphone se met à sonner.
Un message d'Estelle. < Je penserai à toi ce soir ! > écrit elle avec un émoticone "clin d'œil". Message de Clémentine.
< Sois salaud ce soir ! > écrit elle. Il est presque 13 h. Elles sont toutes les deux au restaurant universitaire. Sympa.
Je rentre. Je suis confortablement installé devant mon chevalet dans la plus parfaite continuité de la séance matinale.
Il est rapidement 16 h30. Clémentine rentre de cours. J'anticipe. Je dépose ma palette et les pinceaux sur la desserte.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle raconte sa journée et les menus du restaurant universitaire.
Clémentine a encore du travail. La voilà assise devant son ordinateur à mettre au propre ses notes d'aujourd'hui. Bon.
Nous aimons ces séances d'émulations communes et fort productives. Nous y travaillons encore deux bonnes heures.
< Ras les bottes ! > s'écrie Clémentine. Il est 18 h30. Nous rangeons nos affaires. Je nettoie ma palette, les pinceaux.
Nous quittons l'atelier pour aller au salon. Sur la table, la tarte aux pommes a décongelé. La nuit va tomber. Superbe.

< Viens, je te mets dans les toutes meilleures dispositions pour tout à l'heure ! > fait Clémentine en s'accroupissant.
Elle glisse sa main dans ma braguette afin d'en extraire une queue molle, moite, plutôt odorant. < Miam ! > fait elle.
C'est surtout lorsqu'elle décalotte la peau fripée de mon prépuce que les effluves de Parmezob me montent au nez.
J'adore voir Clémentine faire tourner mon Zob, pencher sa tête de tous les côtés pour bien l'observer. Pour le scruter.
C'est à la fois excitant et émouvant. Surtout lorsqu'elle glisse sa langue exploratrice entre mon prépuce et le gland.

Cette amusante petite bosse qui fait le tour du gland dans un concert de gémissements, de gloussements de plaisir.
Je lui caresse la tête. Clémentine se met rapidement à téter passionnément, poussant de petits cris de ravissement.
Je passe ma main sous ses cheveux pour lui saisir la nuque. De mon autre main je la tiens sous le menton. Douceur.
Tout cela se transforme évidemment en une de ces pipes des familles dont Clémentine est coutumière. Elle en raffole.
Sous l'effet de l'indicible caresse, je dois m'appuyer contre le bureau. Les vertiges me font vaciller. Et comme enivré.

Tout est déjà prêt. Nous pouvons tranquillement nous livrer à nos passions pour la pipe. La passion de Clémentine.
Trois coups de sonnette. Clémentine se redresse. < Déjà ! > fait elle. Juliette est en avance et il est à peine 19 h15.
Elle le précipite en s'essuyant la bouche. Je reste appuyé contre le bureau. Je bande comme le dernier des salopards.
Juliette entre dans le salon. Je me masturbe doucement. Elle reste un instant à l'arrêt. < Décidément ! > me dit elle.
Juliette est vêtue de sa tenue d'écuyère. Ce qui est également sa tenue de travail. Elle s'approche. Elle s'accroupit.

Avec ces histoires de "conar à virus", nous évitons de nous serrer la main. < La pipe est moins risquée ! > dit elle.
Clémentine vient se serrer tout contre moi. < C'est vrai une fellation est infiniment moins risquée ! > rajoute t-elle.
Nous rions tous les trois de bon cœur. Surtout quand Juliette se redresse pour préciser : < J'ai pratiqué hier soir ! >
Il y a les tartelettes aux fruits de mer ramenées et préparées par Juliette à mettre au four. Nous allons à la cuisine.
Clémentine met les feuilles de salade déjà lavée dans l'assaisonnement. Juliette met les tartelettes au four. Parfait.

Je réchauffe le riz complet en gratin. Nous restons à bavarder à la cuisine. Juliette nous parle de son entreprise. Bien.
Des propriétaires commencent à venir récupérer leurs chevaux. Ce qui fait bien moins de travail pour les palefreniers.
< Eveline peut consacrer plus de temps à son sexe qui semble mobiliser beaucoup son énergie ! > dit Juliette. Rires.
Nous rigolons comme des bossus quant elle nous explique les visites très fréquentes de Gérard, de Pierre. C'est bien.
Gérard se fait sucer au fond des écuries. Pierre, sous les yeux de sa femme, Mme Walter, baise la palefrenière. Joie.

< Vos visites nous manquent d'ailleurs beaucoup. Surtout à ce vieux cochon de Gérard ! > dit Juliette à Clémentine.
< Je commence à y penser également ! > répond Clémentine qui me confie depuis quelques jours son désir de pipes.
Sucer ce vieux salaud de Gérard reste un must pour Clémentine. Surtout lorsqu'elle cesse durant quelques semaines.
La sonnerie du four. Nous prenons chacun un plat pour passer au salon. Je bande mou. Juliette ne cesse de regarder.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. A intervalles réguliers je me lève pour agiter le sexe vers Juliette.

Juliette qui évoque nos "dernières fois". Lorsqu'elle me suçait et que Clémentine suçait Gérard. < C'est à refaire ! >
Nous en convenons. Aussi, Juliette propose un samedi soir à quatre pour une partie carrée spéciale "Pipe". Superbe.
< Pas ce samedi, on a soirée cinéma. Mais celui d'après ! > lance Clémentine. < Un film perso ? > demande Juliette.
Nous n'en disons pas davantage. Mais le mouvements de main de Clémentine devant sa bouche en disent bien plus.
La soirée se passe ainsi. Juliette avoue son désir ardent de nous retrouver tous les quatre. Sucer ma queue surtout.

Je contourne la table pour venir me mettre tout près de Juliette. Je bande mou mais cela reste très enviable. Sympa.
Je la sens hésiter. Elle pose sa fourchette et son couteau. J'agite doucement mon sexe et je le décalotte légèrement.
< Pas maintenant Julien. Je vous en prie. Je préfère une soirée entière à m'y consacrer ! > fait elle avec un air déçu.
Je comprends. Il en va de même pour moi. < Juste goûter. Entre la poire et le fromage ! > rajoute Clémentine. Rire.
< Le Fromage ? Parlons en ! > fait Juliette en rapprochant son nez pour renifler les grumeaux de Parmezob. Frome.

Nous faisons la vaisselle ensemble. Ce qui semble être devenu un rituel obligatoire nous emmène aux toilettes. Pipi.
Clémentine me tient la bite pour en diriger les multiples petits jets nets et précis. Sous le regard de Juliette. Super.
Penchée en avant, les mains en appui sur ses genoux, Juliette scrute avec une attention passionnée. C'est sublime.
Elle finit par s'accroupir, son visage à une trentaine de centimètres de mon sexe. Je recommence à bander. Je pisse.
Clémentine s'accroupit à son tour pour se mettre à sucer entre chaque jet. Elle tend ma queue à Juliette qui hésite.

Pourtant la jeune femme se maîtrise parfaitement. Comme la plupart des femmes, elle domine totalement la pulsion.
Je reste admiratif devant cette attitude toute féminine. < Je me garde pour notre prochaine soirée ! > s'écrie Juliette.
Clémentine cesse de pomper. Elle montre le contenu de sa bouche grande ouverte à Juliette. Cette dernière s'excite.
Juliette est bisexuelle. La bouche de Clémentine suscite un désir plus ardent. < Je peux vous embrasser ? > fait elle.
Clémentine que cette idée révulse se redresse sans répondre. J'en suis attristé. J'aimerai la voir embrasser Juliette.

Il est 22 h. Juliette se lève tôt, comme nous, une heure d'entraînement avant la douche et sa direction d'entreprise.
Nous la raccompagnons à sa voiture. Assise au volant, la vitre baissée, elle renouvelle sa proposition. Soirée fellation.
Nous promettons d'y réfléchir. Ce sera samedi 21 mars. De toute façon, nous nous verrons mercredi prochain. Repas.
J'agite ma bitte molle dans l'habitacle de la bagnole, juste devant le visage de Juliette qui s'en amuse. C'est superbe.
Au lit Clémentine veut absolument me sucer. Je lui offre un cunnilingus qui s'achève par un orgasme nucléaire. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui apprécient les visites aux toilettes pour pouvoir mâter et frissonner d'envie...

Julien - (J'écoute les confidences de Clémentine qui cesse de sucer toutes les deux minutes pour évoquer Gérard) -

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Nous fêtons l'anniversaire d'Estelle

Hier matin, jeudi, c'est la 3ème de Ludwig Van Beethoven qui nous arrache cruellement de nos profonds sommeils.
< Bite au vent ! > lance Clémentine allongée sur moi pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit de mon côté.
Quelques papouilles. Il est presque 6 h. Nous nous précipitons aux toilettes. Nous nous habillons. Tenues de sport.
Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine pour y préparer notre petit déjeuner. Et plutôt copieux.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine évoque l'attitude de Juliette, hier soir. C'était sympa.

Nous remontons. Notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles et nos abdominaux.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint sous son parapluie. Sous le vent.
Il est presque 7 h45. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer bien au sec.
Je fais le lit, la vaisselle avant d'aller dans l'atelier. Assis devant mon chevalet, je prépare ma palette en chantonnant.
La peinture de cette vingtième toile destinée à ma saison d'été me comble d'un plaisir spirituel et physique. Charnel.

Je peins dans une sorte d'euphorie qui me fait moduler longuement mes cris les plus surréalistes. Cris fantastiques.
Il est aux environs de 10 h quand mon téléphone se met à vibrer sur la desserte à ma droite. Je m'en empare. Dur.
C'est Juliette. La jeune femme nous remercie pour la soirée, hier. Elle me témoigne également sa joie, mon attitude.
Nous bavardons en mode haut parleur. Ce qui nous permet de rester actifs tout en parlant. C'est Juliette qui cause.
J'écoute. Très rapidement ce sont les préoccupations sexuelles de la jeune femme qui meublent notre conversation.

Juliette réitère sa proposition. Cette "soirée fellation" du samedi 21 mars. Je lui promets que nous allons y réfléchir.
Il y aura Mr Gérard, Juliette, Clémentine et moi. La discussion n'excède pas vingt minutes. Nous nous saluons. Bien.
Après avoir raccroché, je peins en bandant comme un priapique en phase terminale. Ce qui participe de l'inspiration.
Il est presque midi. Je quitte l'atelier pour aller à la cuisine. Dehors il pleut. Il y a un vent tempétueux. Bourrasques.
Je fais bouillir l'eau de mes coquillettes. Je prépare une belle pâte à pain à laquelle j'incorpore le Parmesan râpé fin.

Je concocte une garniture. Tomates fraîches, champignons, ail, oignon, persil, ciboulette, petits morceaux d'avocat.
Le jeudi soir, c'est le rituel des pizzas. Tout est très rapidement prêt. J'égoutte mes coquillettes. Je râpe du gruyère.
La pâte à pain repose sous un linge. La garniture repose sous un couvercle. J'en récupère comme accompagnement.
Je mange de bon appétit en tentant d'écouter les informations. C'est au dessus de mes forces. J'éteins la radio. Dur.
La vaisselle. Je range la cuisine. Je vais dans l'atelier. Il est presque 13 h. Et me voilà installé devant mon chevalet.

Je peins avec le même état d'euphorie constructive que ce matin. Je ne vois pas passer le temps. Bien trop absorbé.
Il est 16 h30. Clémentine qui rentre de cours. Je dépose ma palette, mes pinceaux sur la desserte. Elle se précipite.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte ses cours, ses profs et leurs attitudes.
D'amusantes anecdotes en ces temps de paranoïa et d'angoisse pandémique. Les menus du restaurant universitaire.
< L'université ferme ses portes lundi prochain. Nous aurons nos cours par Internet ! > m'apprend Clémentine. Dur.

Clémentine a encore ses notes du jour à mettre au propre. La voilà installée devant son ordinateur et à chantonner.
Nous adorons ces séances de travail ensemble. Parfois l'un se lève pour rejoindre l'autre, voir ce qu'il fait. Des bises.
Il est 18 h15. Estelle arrive à son tour. Une fois encore je pose ma palette et mes pinceaux. Elle se précipite. La joie.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte sa soirée de hier. Avec parrain. A la cave.
< Hier soir, je lui ai taillé une pipe avant et après la baise ! > lance t-elle comme après avoir remporté une victoire.

Nous en rions de bon cœur. < Il n'aime pas la ça, mais c'était pour mon anniversaire ! > rajoute t-elle en rigolant.
Je lui dépose un bisou sur le front en lui souhaitant, avec un jour de retard : < Bon anniversaire pour tes 23 ans ! >
< Tu me fais ma fête aussi, ce soir ? > me demande t-elle, ingénue, espiègle et mutine. Nous en éclatons de rires.
Clémentine qui s'écrie : < Encore ! Mais tu deviens une vraie nymphomane ! >. Nous en rigolons comme des bossus.
Les filles sont assises devant l'ordinateur à comparer l'avancée de leurs travaux. Je peins en écoutant leurs paroles.

Comme elles n'auront plus cours en faculté dès lundi, Estelle et Clémentine mettent au point la stratégie à adopter.
Les cours seront donnés sur l'ordinateur, par Internet. Ainsi que les interventions des professeurs. Très méthodique.
Les corrections ainsi que les informations se feront par ce biais informatique. Estelle propose de venir tous les jours.
Il est donc décidé qu'elles prennent leurs cours ici. < C'est génial ! Tous les trois ensemble. Confinés ! > dit Estelle.
< Mas évitons toutefois de tomber dans la psychose. Et ne dévalisons pas les hypermarchés ! > lance Clémentine.

Je précise : < Oui, inutile. Le congélateur à la cave est plein à craquer, le buffet de la cuisine également. Parfait ! >
Nous en rions de bon cœur. Nous travaillons ainsi jusqu'à 18 h45. Nous rangeons nos affaires. Je nettoie la palette.
Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, les filles élaborent leurs stratégies de cours, d'études. Bien.
Il est 19 h. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Estelle pétrie la pâte à pain pour la rendre onctueuse.
Clémentine s'occupe de la salade d'endives. Je réchauffe la garniture. Tout va très vite. Estelle me tripote en riant.

Les pizzas sont au four. La table est mise. Estelle m'entraîne par la queue jusqu'au salon. Je bande mou. C'est bon.
Clémentine retire son jeans et sa culotte pour s'installer dans le fauteuil. C'est le code. C'est le signal. C'est parfait.
Estelle retire son jeans et sa culotte pour se coucher sur l'épais tapis devant le canapé. Je retire mon jeans, le slip.
Estelle m'attire sur elle. Je lui chuchote plusieurs : < Bon anniversaire ! > en frottant mon sexe contre le sien. Bon.
Je regarde Clémentine qui se masturbe déjà. C'est un de ses spectacles préférés. Nous voir baiser, Estelle et moi.

Estelle saisit délicatement mon sexe pour l'introduire dans le sien. Je reste prudent. Je m'introduis si délicatement.
D'un coup de reins, en se mordillant la lèvre inférieure, Estelle s'enfile presque toute la longueur de mon érection.
Cette fois, avant de se mettre à bouger, elle reste immobile. Depuis quelques temps, Estelle découvre cette façon.
Pour ne pas peser de tout mon poids, je reste en appui sur mes coudes. Mais Estelle me veut tout contre son corps.
Elle me serre. J'entends les premiers gémissements de Clémentine. Je la regarde. Elle est déjà en sueur. Le plaisir.

Pourtant, Estelle et moi, nous faisons à présent comme si nous étions seuls. Nous nous mettons à bouger. Douceur.
Un mouvement lent et régulier. C'est Estelle qui mène cette danse lascive, sensuelle et tellement délicieuse. Super.
Elle me garde serré contre elle. Ses jambes enroulées autour des miennes. Elle accélère et retrouve ses habitudes.
Je me retrouve très vite à faire la "machine à coudre" lorsque la sonnerie du four nous rappelle le repas qui attend.
Je me retire doucement. J'ai la bite gluante. Estelle se met à me sucer pour en savourer les épanchements. Régal.

Nous nous précipitons tous les trois à la cuisine. Juste vêtus de nos chemises, en chaussettes. C'est trop amusant.
Nous en rigolons comme des bossus en faisant une farandole autour de la table. Bienvenue chez les doux dingues.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles reviennent sur les règles à adopter semaine prochaine.
Je suis admiratif. L'organisation féminine dans toute sa redoutable efficacité. Nous traînons à table. C'est délicieux.
J'ai pris soin de protéger les coussins de chaises avec du papier absorbant. La double couche. Et même la mienne.

La vaisselle. Je leurs montre les feuilles de papier absorbant. < Sopalin ! Zob au jus ! > lance Estelle pliée de rire.
Nous rangeons la cuisine. Pressées de se retrouver en situation, les filles qui m'entraînent, me soulèvent presque.
Clémentine se réinstalle dans son fauteuil. Cuisse droite posée sur l'accoudoir droit. Cuisse gauche sur le gauche.
Cette fois Estelle s'embroche sur moi, à califourchon. Elle est encore tellement mouillée que ça rentre facilement.
< A dada sur mon doudou ! > s'écrie t-elle avant de se pencher pour m'embrasser avec fougue, si passionnément.

J'entends la respiration de Clémentine. Son souffle après ses apnées. Elle mâte. Elle aussi est à la fête à sa manière.
Cette position est inconfortable pour Estelle qui se glisse adroitement sous moi et pour se faire pénétrer à nouveau.
Cette fois, nous gardons un rythme lent et soutenu. Estelle me chuchote des douceurs, me raconte. Parrain. Baise.
Je lui couvre le visage de bisous. Nous faisons l'amour avec tant de passion que nous en sommes comme étourdis.
Estelle me confie à quel point c'est bon, à quel point elle est heureuse. Clémentine pousse soudain un cri strident.

Son orgasme est tout simplement délirant. De justesse elle a ramassé la cuvette en plastique juste avant le drame.
Nous l'entendons pisser. Nous la regardons. Son corps est parcouru de spasmes, de frissons, de forts tremblements.
C'est impressionnant. Nous accélérons la cadence. Estelle glisse souvent une main entre nos pubis pour se toucher.
Elle adore se masturber pendant la pénétration. C'est adorable de sentir son poignet et sa main bouger. C'est génial.
Clémentine vient s'allonger à côté de nous. Son visage tout près des nôtres pour écouter nos chuchotements. Bien.

Cette merveilleuse complicité à trois prend ici encore, une fois de plus, une dimension plus profonde encore. Super.
Nous murmurons des choses à trois. Clémentine se frotte à nouveau contre moi, une jambe relevée sur mes fesses.
L'orgasme d'Estelle se pointe. Il sera impossible de s'y soustraire. Elle me repousse délicatement mais rapidement.
Elle crie de bonheur. Clémentine l'observe avec intérêt. < Julien ! Julien ! > murmure Estelle en se blottissant si fort.
J'ai la bite en feu. Les couilles en ébullition. Je suis couché entre les deux coquines. Nous reprenons nos esprits. 22 h.

Nous allons aux toilettes. Nos rituels pisseux. Je tiens chacune par la nuque pendant qu'elle pisse dans la volupté.
Je lèche le croupion de chacune. Mélange divin. C'est à mon tour. Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet.
Entre chacun, à tour de rôle, les filles me sucent comme si leurs vies en dépendaient. C'est monstrueusement bon.
J'éjacule en tâchant de bien répartir. De bien partager. D'en offrir autant à chacune. Elles en pompent les reliquats.
Nous raccompagnons Estelle à sa voiture sous le parapluie. Séparation difficile. Dernier bisou. Nous rentrons vite.

Bonne baise à toutes les coquines qui aiment fêter leur anniversaire dans la joie, le plaisir et la jouissance délirante...

Julien - (Au lit, j'écoute les confidences de Clémentine qui me félicite de lui offrir tant de spectacles tous les soirs) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 23 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1093 -



Nous emmenons Julie en expédition

Hier matin, vendredi, je suis réveillé par les mouvements masturbatoires que fait Clémentine contre moi. Elle rêve.
Elle ne tarde pas à sortir du sommeil. Tout cela est tellement rapide. J'éteins le réveil juste avant la musique. Bien.
Il est 5 h55. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes pour y pisser dans la plus parfaite volupté.
Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine prendre le petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte son rêve. Il y est question d'un inconnu qui devient Gérard.

Nous en rions de bon cœur. Ce sont toujours des situations totalement incongrues, insolites et surréalistes. Délires.
Je dis : < Ce vieux salaud de Gérard recommence à hanter tes rêves. Il est temps de passer à l'acte. La fellation ! >
Nous remontons en rigolant. Notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos.
La douche. Je descends pour aller préparer la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Le froid.
Ce matin la température n'excède pas 2°. Un dernier bisou. Il est 7 h45. Je regarde Clémentine partir. Un coucou.

Je me dépêche de rentrer. Je fais le lit, la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Joie.
Me voilà assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette en chantant "Le grand Chêne" de Georges Brassens. Bien.
Il est 8 h15. La peinture de cette vingtième toile destinée à ma saison d'été est un enchantement de chaque instant.
Il est aux environs de 9 h30 quand mon téléphone se met à vibrer au fond de la poche de ma blouse. Musique idiote.
C'est mon oncle. Il me donne quelques nouvelles. Il s'excuse une fois encore de ne pouvoir tenir ma galerie cet été.

Je le rassure, j'ai trouvé quelqu'un. Je lui parle de Julie. Il me propose de la rencontrer pour lui parler de la galerie.
Je propose de passer cet après-midi. Rendez-vous est pris. Chez lui. Pour 14 h45. Nous nous saluons, raccrochons.
Je peins dans la plus totale sérénité en poussant les plus invraisemblables cris d'animaux. Mon bestiaire imaginaire.
Il est 10h lorsque mon téléphone vibre pour la seconde fois. Et cette fois c'est Julie qui m'appelle entre deux cours.
Comme d'habitude, elle m'appelle depuis les toilettes de la faculté. Elle a juste deux trois minutes. Cela l'enchante.

Elle confirme sa venue cet après-midi. Je propose de venir la récupérer à 14 h près de chez elle. Ce plan est parfait.
Le programme est simple. Nous passons la prendre. Nous allons chez mon vieil oncle puis nous passons à la galerie.
Julie ne se sent pas de joie et laisse éclater son enchantement. Rendez-vous est pris. 14 h, parking du Mac Do. Bon.
Nous nous saluons avant de raccrocher. Je peins en pensant à cette étonnante jeune fille de 20 ans si sympathique.
Il est presque midi. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je quitte l'atelier.

Je fais bouillir l'eau des spaghettis. J'épluche une aubergine et une courgette. A la poêle avec de l'ail et de l'oignon.
J'émince finement du cabillaud que je fais frire avec des champignons. J'y rajoute de la crème fraîche et à feu doux.
Il est 12 h25. Clémentine qui rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bises.
Elle s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. Les profs ont procédé à des simulations sur les ordinateurs.
A partir de lundi, les universités seront toutes fermées en France. Les cours se feront en ligne. La magie d'Internet.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine se réjouie pour ce nouveau défi. Les études en ligne.
Les profs seront disponibles aux heures de cours. Les corrections et les informations se feront par ordinateurs. Bien.
< C'est loin d'êtres des vacances anticipées. On va bosser dur. Mais on sera ensemble toute la journée ! > fait elle.
Je lui raconte le programme que j'ai organisé pour cet après-midi. < C'est absolument génial ! > s'écrie Clémentine.
Nous ne traînons pas. La vaisselle. Ce soir, nous mangerons les restes. Nous montons nous laver les dents. Parfait.

Clémentine reste vêtue de son jeans, de sa chemise à carreaux sous son fin pull noir. Je m'habille exactement pareil.
Mes bottines. Nos blousons de cuir noir. Nous redescendons. Nous voilà en route. Il y a 13 km jusqu'au rendez-vous.
Je roule doucement. Le ciel est bleu. Il y a du soleil. Mais la fraîcheur est vive. Clémentine joue avec ma queue. Bon.
Nous arrivons sur le parking du Mac Do. Il n'est que 13 h50. Julie est déjà là. Elle attend et elle repère notre voiture.
Clémentine m'enfonce carrément la bite dans la braguette. Julie se précipite toute souriante. Nous sortons de l'auto.

Terminées les poignées de mains. Nous nous contentons de nous saluer à l'orientale, mains jointes en nous inclinant.
Cela nous fait rire mais c'est devenu très rapidement une nouvelle norme dans certaines universités. Bonne initiative.
Nous remontons dans la voiture. Il y a encore plus de 25 km jusqu'à la petite cité de caractère ou vit mon vieil oncle.
Je roule doucement. Les filles évoquent leurs études. A partir de lundi, Julie aussi prendra ses cours en ligne. Parfait.
Clémentine, tout en conversant, glisse sa main dans ma braguette. Julie, assise à l'arrière, ne s'en rend pas compte.

Nous arrivons. Nous contournons la partie médiévale de la cité pour aller vers les propriétés en hauteur. La colline.
Il est 14 h30. Mon oncle vient nous accueillir. Il nous invite à le suivre au salon. Sa compagne qui vient nous saluer.
Les filles font le salut à l'orientale. Je fais de même. Mon oncle et sa compagne nous imitent, riants. Nous voilà assis.
Je présente Julie. C'est elle qui tiendra la galerie cet été. Mon oncle semble enchanté. Il faut dire que Julie est belle.
Même un homme de 84 ans, reste un homme. Toujours sensible aux charmes des jeunes filles. Un premier contact.

Mon oncle précise à Julie qu'il passera régulièrement la voir en juillet et en août à la galerie. Il sera disponible. Super.
< En cas de pépins, de soucis ou pour n'importe quoi, n'hésitez pas à m'appeler ! > précise t-il à la jeune fille. Idéal.
Il se lève pour aller chercher une petite carte. Il revient pour la tendre à Julie. Adresse mail et numéro de téléphone.
Cela rassure encore davantage Julie qui écoute avec beaucoup d'attention les anecdotes, les recommandations. Bien.
Je ne connais pas grand chose du fonctionnement quotidien. Ce qui importe c'est que les toiles trouvent acquéreurs.

Aussi, j'écoute toujours avec intérêt les histoires vécues de mon vieil oncle. Nous dégustons des petits gâteaux. Thé.
Nous restons là jusqu'aux environs de 16 h. Nous prenons congé. Je veux faire visiter la galerie à Julie. C'est parfait.
< Il est drôlement sympa ce monsieur ! > lance Julie, beaucoup plus rassurée encore. Clémentine palpe la braguette.
Cette fois, Julie s'en rend compte. Dans le rétroviseur je viens de croiser son regard amusé. Julie me fait un sourire.
Je gare la voiture sur le parking obligatoire encore peu fréquenté à cette période de l'année. Nous traversons la rue.

Il y a 500 mètres jusqu'à la galerie. Julie découvre enfin l'endroit où elle va passer ses mois de juillet et d'août. Bien.
Nous entrons. Cette agréable odeur de beurre rance, typique des vieilles demeures fermées. Clémentine tire le volet.
Tout l'espace s'éclaire. < C'est génial ! > s'écrie Julie. Le plancher en lames de chêne cirées. Les poutres apparentes.
Les murs de pierres. La grande cheminée dans laquelle il y le vieux buffet bas. La petite table ronde, deux fauteuils.
Je dis : < C'est ici que ça se passe. Aux cimaises, sur les murs, il y aura mes toiles. Il y a un passage incessant ! >

En effet, la petite cité médiévale étant classée, il y a tous les ans plus de cent mille visiteurs. C'est continuel, vivant.
Je fais visiter. La galerie est un espace d'environ 60 mètres carrés. A l'arrière, une petite cuisine équipée, la douche.
Les toilettes sont vastes. Il y a un lavabo, une armoire à pharmacie. Avec réserve de papier, serviettes, et produits.
Julie est absolument ravie de ses découvertes. Elle pose un tas de questions. Elle va se plaire ici et déjà son univers.
Je la vois prendre possession des lieux. Clémentine lui explique les commodités d'usages. Les trucs de filles. Parfait.

D'un des tiroirs du vieux buffet bas, je tire un album photos. Je le tends à Julie. Ce sont des photos prises en saison.
Elle peut ainsi se faire une autre idée en période d'affluence. Voir à quoi ressemble le lieu avec des tableaux partout.
J'ouvre les deux portes du buffet. Il y a là des gobelets, des assiettes, des couverts, des carafes, bref un peu de tout.
Je lui montre le fonctionnement des volets électriques. Celui de la grande vitrine. Celui de la porte. L'alarme sécurité.
Je dis : < En cas de problème, tu as le libraire à côté et la boulangerie plus loin ! >. Julie reste admirative, sans voix.

Il est temps de repartir. Julie travaille au restaurant ce soir. Il lui faut faire la mise en place à partir de 18 h30. Bien.
Dans la voiture, Clémentine glisse sa main dans ma braguette pour en extraire le locataire. Je bande mou. C'est bon.
Julie croise mon regard à plusieurs reprises dans le rétroviseur. Se rend t-elle compte de ce que me fait Clémentine ?
Elle pose de nombreuses questions quand à la galerie. Tout se met en place. Et elle aborde cette idée avec sérénité.
Nous la déposons sur le parking du restaurant de l'étang. Nous sortons pour nous saluer à l'orientale. En riant. Bien.

Nous laissons Julie à son travail de serveuse dans le restaurant de sa tante pour reprendre le chemin du retour. Joie.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue qu'elle suce par instants. J'appuie sur sa nuque en vrai vicelard.
J'adore entendre les gloussements de plaisir que cela lui procure. Je tire sur ses cheveux pour la forcer à se redresser.
Il est presque 19 h lorsque nous arrivons à la maison. Morts de faim, nous réchauffons notre repas du soir. Et rapide.
< J'aime tes attitudes dans la voiture ! > me confie Clémentine en préparant l'assaisonnement de la salade d'endives.

Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant notre après-midi. Les attitudes de Julie en découvrant notre galerie.
< Ça va bien se passer, je la sens bien ! > rajoute encore Clémentine. Je me lève pour frotter le Zob sur son visage.
Je la tiens fermement par ses cheveux pour lui enfoncer la bite dans la bouche. Elle mâchait encore des spaghettis.
Je cesse pour retourner m'assoir. < J'adore Julien ! Tu n'es pas assez vicieux avec moi. J'en veux encore ! > fait elle.
Je recommence. Je passe mon sexe dans les restes de son assiette avant de le lui enfoncer sans ménagement. Joie.

J'adore ses gémissements, ses gloussements et ses petits cris de ravissements. Elle aime mon comportement salaud.
Je n'en fais pas assez. Combien de fois ne me demande t-elle pas d'avoir ces attitudes de pervers. Je n'y pense pas.
Je promets d'avoir ce genre d'attitude beaucoup plus souvent maintenant que nous serons ensemble toute la journée.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. J'entraîne Clémentine au salon en la tenant fermement par la nuque. Sublime.
Je la fais mettre à genoux sur l'épais coussin que je jette au milieu de la pièce. Je lui frotte la bite sur la gueule. Joie.

Je la fais sucer. J'enfonce ma bite. Elle en tousse. Elle manque de s'étouffer, vomir parfois. Je suis abjecte. Sournois.
Je me penche pour lui cracher au visage. Je lui mets une gifle. Ce ne sont jamais des actes de violence. C'est le jeu.
Les petits cris de ravissement que pousse Clémentine qui me suce comme si sa vie en dépendait, sont un indicateur.
Je la fais se relever. Son visage trempé de foutre. Je l'entraîne aux toilettes. Je lui pisse à la gueule, dans la bouche.
Je lui montre son visage dans le miroir. Trempé de pisse. Nous montons. Au lit, je la baise comme un vrai salopard.

Bonne soirée à toutes les coquines ayant des penchants pour la soumission amoureuse et les situations glauques...

Julien - (Au lit, j'écoute les confidences émerveillées de Clémentine qui me supplie d'être plus souvent comme ça) -

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Une nouvelle "soirée cinéma"

Hier matin, samedi, je suis réveillé par les gémissements que pousse Clémentine serrée contre moi. Je m'inquiète.
Je la serre contre moi en lui caressant la tête. < Je t'aime ! Mmhh ! C'était bon ce que tu m'as fait hier ! > fait elle.
Il est à peine 8 h. Nous luttons contre l'impérieux besoin de pisser avant de nous précipiter aux toilettes. Agréable.
Vêtus de nos tenues de sport, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Enfin le petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Clémentine évoque notre après-midi de hier et la compagnie de Julie.

La vaisselle. Nous enfilons nos K-ways, les bonnets, les gants. Nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement.
Nous nous offrons enfin un jogging en extérieur. C'est tellement plus agréable que sur tapis roulants. Il fait très frais.
Une heure d'un running des plus gratifiants et nous voilà de retour. Notre douche. Nous nous habillons à l'identique.
Jeans, chemises blanches sous nos pulls bleus nuit aux cols en "V". Nos bottines. Nos blousons de cuir noir, élégants.
Nous redescendons. La fraîcheur reste vive. Je roule doucement. Clémentine glisse sa main dans ma braguette. Bon.

Trois kilomètres jusqu'au bourg. C'est jour de marché. Comme tous les samedis. Il y a des gens. Promiscuité sympa.
Nous faisons provisions de fruits, de légumes. Nous en remplissons nos sacs. Navets, céleris, salades, carottes, etc...
Nous faisons provisions de fromages, de beurre, de yaourts, de crème fraîche et d'œufs. Provisions pour la semaine.
Nous retournons à la voiture. Les produits frais rangés dans la glacière. le reste dans quatre cagettes dans le coffre.
Nous voilà en route pour la zone commerciale. Quinze kilomètres où Clémentine me sort la bite pour s'amuser avec.

< Fais moi comme hier. C'était trop bon ! > me fait elle avant de se pencher sur sa gauche pour me sucer. Délicate.
Je glisse ma main droite sous ses cheveux. J'appuie soudain sur sa nuque pour enfoncer davantage de Zob. Tendre.
< Mmhh ! > glousse Clémentine qui adore tant mes initiatives. Nous arrivons. Je gare l'auto sur le parking. Des gens.
Je lui essuie les coins de la bouche avec un mouchoir en papier. Je remballe. Clémentine tient à fermer les boutons.
< J'ai ouvert, je referme ! > me fait elle. Nous en rions de bon cœur. Je pousse le caddie. Clémentine nous entraîne.

Elle tient la liste des courses pour nous guider dans les rayons. Il y a un monde fou. Sans doute l'effet Conar à virus.
Nous refusons de céder à toute psychose. Nous faisons nos courses le plus naturellement du monde. Pas de panique.
Je garde mes gants. C'est fou le nombre d'individus, victimes de parano, qui tiennent leurs chariot sans aucun gant !
La bêtise humaine n'a aucune limite. Il serait vain de tenter un plan exhibe avec une telle foule. Ce monde partout.
Nous ne traînons pas. Nous passons en caisse. Il faut patienter. Il y a une telle affluence. Et sept caddies devant.

Nous flânons un peu dans la galerie commerciale. Curieusement, il n'y a presque personne dans la cafétéria. Peur ?
Nous rangeons nos affaires dans le coffre. Clémentine étale un peu de gel dans mes mains. Nous frottons en riant.
Tant de gens différents peuvent toucher les boîtes de conserves, les emballages avant de choisir ce qui leur convient.
La prudence n'est pas un luxe inutile. Nous voilà en route. A nouveau Clémentine m'extrait la queue de la braguette.
Tout en suçant elle saisit ma main droite posée sur le volant pour la poser sur sa nuque. Je comprends. Et j'appuie.

Il est midi trente quand nous revenons à la maison. Avant de ranger nos courses, nous nettoyons chaque emballage.
Une éponge humide avec un peu de produit vaisselle. Nous gardons des gants de caoutchouc. Et c'est comme un jeu.
Nous montons nous changer. Nous redescendons à toute vitesse, morts de faim, pour préparer la bouffe. C'est super.
Clémentine s'occupe de la salade. Je fais bouillir l'eau des moules. Je balance les haricots verts congelés dans le Wok.
J'y rajoute les petits pois. Le samedi à midi, on ne se fait pas chier. On va au plus simple. Comme de vrais blaireaux.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine propose une bonne randonnée cet après-midi. Super.
Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Si drôle.
Nous dévalons les escaliers avec nos grosses godasses à la main. Pressés de filer, pressés de nous retrouver dehors.
J'entraîne Clémentine au salon. Du tiroir du bas du bureau, je tire le collier canin et la laisse. Clémentine en glousse.
J'ajuste son foulard en soie. Je lui passe le collier de cuir autour du cou. Pas de contact avec la peau. J'y fixe la laisse.

< Merci "Maître". Vous n'imaginez pas à quel point vous me comblez d'aise ! > fait Clémentine, se mettant à genoux.
Je l'entraîne par la laisse pour faire le tour de la grande pièce à quatre pattes. Parfois, elle lève une patte. Si sublime.
Je la force à se redresser en disant : < Venez, ma délicieuse "Soumise", profitons de ce soleil. C'est l'heure du pipi ! >
Nous voilà au dehors. Il fait agréable sous les rayons de ce soleil annonciateur de jours meilleurs. De printemps. Joie.
Nous descendons jusqu'à la rivière main dans la main. Nos anoraks ouverts. Clémentine me tend la laisse. Demande.

Je comprends. Je saisis la poignée pour l'entraîner le long de la rivière. Le sol est encore partiellement humide. Bien.
Je sors ma queue et mes couilles. Le tissus de la braguette fait garrot. Les boutons métal sont encore un peu froids.
Nous nous arrêtons souvent. J'embrasse Clémentine avec tant de fougue, tant de passion qu'elle en pousse des cris.
< Je vous aime "Maître". J'avais tant besoin que vous manifestiez un peu de votre autorité avec moi ! > me fait elle.
C'est tellement émouvant. C'est tellement beau. Je n'ai absolument pas l'âme d'un "Maître", mais ce jeu est enivrant.

A plusieurs reprises, je force Clémentine à s'accroupir devant moi pour lui frotter la bite sur le visage. Elle en gémit.
J'insiste sur les lèvres de sa bouche. Je fais tourner la queue sans jamais l'enfoncer dans sa bouche. Là je fais durer.
Il faut être prudents. Nous arrivons près des bâtiments du haras. C'est samedi. Il fait beau. Quelques cavaliers. Dur.
Ce sont souvent des jeunes filles. Seules ou à deux. Toujours sur le grand chemin de l'autre côté de la rivière. Bien.
La plupart sont mineures. Il est donc tout à fait hors de question de leurs infliger de tels spectacles. Ce serait si con.

Nous faisons notre boucle des quatre heures. Il fait parfois si doux que nous retirons nos anoraks. Portés à la main.
C'est dans le cabanon, dans l'enclos de l'ancienne maison abandonnée du garde barrière, que j'entraîne Clémentine.
Assise sur l'anorak, posé sur l'établi, son jeans et sa culotte posés à ses côté, que Clémentine se fait lécher le minou.
Je m'applique. Nos jeux du "Maître" et de sa "Soumise" excitent tellement Clémentine que sa chatte en bave de jus.
J'ai de quoi me régaler. Je m'introduis malgré tout avec d'infinies précautions. Je tiens la laisse au plus court. Super.

Nous faisons l'amour comme nous aimons. Parfaitement immobiles, l'un dans l'autre, à nous confier nos impressions.
Clémentine me demande une fois encore de lui offrir de tels moments tous les jours. D'interpréter le 'Maître". Super.
Je me mets à bouger. Je me mets à la baiser. Elle tombe en appui sur ses coudes pour m'offrir son corps, son âme.
C'est démentiel de baiser une fille belle comme un ange. Malgré 3 ans de vie commune, c'est comme une première.
Clémentine pousse des petits cris de ravissement. De la pointe de ses deux doigts préférés, elle se touche le clitoris.

Je préfère cesser. Surtout avant d'atteindre l'instant critique. Nous préférons rester excités sur le reste de la journée.
Et il faut nous garder pour la soirée. Estelle. La séance de visionnage. Je me retire délicatement. Clémentine respire.
< Comme c'est bon ! > fait elle en passant ses bras autour de mon cou. Je la soulève pour la promener. C'est étroit.
Clémentine remet son jeans et sa culotte. Ses grosses godasses. Nous prenons le chemin du retour. Il est déjà 17 h.
Il est 18 h15 quand nous arrivons. Estelle est déjà là. Sa voiture est garée à côté du garage. Nous rentrons très vite.

Estelle est entrain d'éplucher les légumes pour la potée du Week-end. Elle se précipite pour nous faire la bise. Joie.
Je tiens Clémentine par la laisse. < Wouah ! Et moi ? > s'écrie Estelle qui me saute au cou pour me couvrir de bises.
Je dis : < Je t'emmène promener à la laisse demain. Ce sera ton tour ! >. Nous aidons Estelle à la préparation. Bien.
Assis tous les trois autour de la table de la cuisine nous épluchons navets, céleris, patates, carottes en quantité. Bon.
Le rituel de la potée du week-end qui fera trois repas. Les filles évoquent leurs études. Les cours en ligne. Stratégie.

L'organisation est méthodique. Les cours en ligne sont assurés par les professeurs habituels et commencent à 8 h30.
Estelle viendra nous rejoindre tous les matins pour 8 h15. Les études peuvent continuer dans une certaine sérénité.
Jusqu'à 11 h45. Reprise à 14 h jusqu'à 16 h. Je conseil à Estelle de rentrer tous les soirs. D'avoir une vie familiale.
Estelle se lève pour sautiller tout autour de la table. Toute contente de ce programme qui n'a encore aucune limite.
Clémentine s'occupe de la salade de tomates. Estelle remue la potée dans la vieille cocotte en fonte. Spatule en bois.

Je pane trois filets de lieu noir que je fais revenir à la poêle avec de l'ail, de l'oignon. Nous commençons à avoir faim.
Estelle tire la petite boîte en plastique transparent de sa poche. Boîte qui contient la carte SD. C'est notre soirée film.
< Surprise ! > fait elle en agitant la boîte. Nous savons pouvoir lui faire confiance. Il est 19 h30. Nous voilà à table.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à savourer ce délicieux repas. C'est succulent. Bon.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Les filles m'entraînent au salon. Clémentine fait les branchements. C'est bien.

Nous voilà confortablement installés dans le canapé. Clémentine tient la télécommande. Estelle tient ma bite molle.
L'écran du téléviseur s'illumine. L'image est fixe. Une assiette vide, des couverts. Apparaît soudain le mot "Mario".
Nous éclatons de rire. La musique arrive. C'est un vieux ragtime joué au piano. C'est absolument divin. Super drôle.
Nous félicitons Estelle pour ce générique. A la fois cocasse et décalé. En fondu enchainé, le film commence. Fameux.
Le lecteur qui a suivi la réalisation de ce film, dans le récit de dimanche dernier, sait à quel point tout est bien fait.

Estelle nourrit le fantasme de faire l'actrice porno depuis son adolescence. Notre complicité lui permet de le réaliser.
Chacun imagine l'indicible satisfaction que cela procure. Estelle adore se voir. Pas par narcissisme, mais par plaisir.
Elle m'a confié que la vue de son visage d'ange, souillé, lui procure les plus indicibles émotions. C'est une addiction.
A l'écran, nous découvrons Estelle assise à table entrain de lire une carte des menus. Consciencieuse. Très attirante.
De voir cette jeune fille de 23 ans à l'écran et de la sentir contre moi à ma droite, me procure d'ineffables émotions.

Je ne connais aucune émotion plus profonde, plus violente. Être en "vrai" à côté de l'actrice que je vois dans le film.
C'est d'ailleurs une émotion que nous partageons tous les trois. A l'écran, voilà "Mario", le serveur qui arrive. Super.
C'est moi. Pantalon noir. Chemise blanche, nœud papillon, la bite qui pend outrageusement de la braguette ouverte.
Clémentine fait le premier arrêt sur image. Les filles ont déjà une main dans la culotte. Je commence à bander dur.
Estelle me tient la queue d'une main ferme. Clémentine appuie sur "Start". Le film reprend. C'est hallucinant. Super.

On voit "Mario" pointer sa bite vers le visage de la jeune fille, viser soigneusement, lui pisser à la tronche. Jet court.
Estelle, qui adore se voir, commente les émotions ressentis lors du tournage. Là à l'écran on l'entend pousser un cri.
Clémentine fait un nouvel arrêt sur image. Les filles se masturbent. C'est Clémentine qui tenait la caméra. Fabuleux.
Je bande comme un salaud. Je n'ai jamais eu le fantasme de faire l'acteur. Mais là, j'avoue, je suis un Alain De Long.
C'est ainsi qu'Estelle me surnomme à chaque film que nous réalisons. Nous en rigolons comme des bossus. Si drôle.

Quand la caméra s'attarde rapidement sur mon visage, on découvre la même tronche que sur la photo de l'avatar.
Mes fausses moustaches noires, mes lunettes noires. Il manque juste la casquette. Et nous en rions de si bon cœur.
Les 35 minutes que durent le film ne sont qu'une succession de fellations pisseuses, juteuses, vulgaires et salaces.
Mon comportement de vicelard est inimaginable. C'est un film privé. Personne n'en verra jamais les images. Super.
Nous arrivons à la conclusion. A l'écran on me voit barbouiller le visage d'Estelle de sperme. Et ses cheveux collent.

C'est hyper dégueulasse. Super dégoûtant. Tout ce qu'aiment par dessus tout Estelle et Clémentine. Belles images.
Le mot "Fin" apparait en même temps que la musique ragtime au piano. Nous sommes en sueur. Et hypers excités.
Nous félicitons Estelle. Tant pour sa prestation que pour le montage. Peu de séquences ont été supprimées. Parfait.
< On se le mâte une seconde fois demain avec Julie ! > lance Clémentine qui n'a pas cessé de se masturber. Joie.
Je demande à Estelle : < Tu n'as pas honte devant Julie ? >. Estelle répond très vite : < Elle rêve de faire pareil ! >

< C'est certain ! De toute façon, elle est membre du "Club" ! > rajoute Clémentine. C'est vrai que Julie aime le cul.
Même si c'est d'une façon déviante et peut-être dépravée, Julie adore tout ce qui concerne les situations glauques.
Nous sommes épuisés. Je propose de nous offrir une superbe fin de soirée au lit. Pas besoin de proposer deux fois.
Nous nous précipitons aux toilettes pour le rituel pisseux. Je me régale des mélanges de mes deux anges. Sublime.
Elles se régalent des miens. Au lit, je suce une chatte après l'autre en me faisant sucer. Cela tient du prodige. Joie.

Bonne soirée à toutes les coquines dont le fantasme absolu est de tourner dans un film porno totalement privé...

Julien - (J'offre à mes deux trésors, les plus délicats orgasmes. Estelle dort déjà que Clémentine pompe encore) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 25 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1095 -



Un dimanche ensoleillé. Des chattes mouillées...

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par les mouvements incessants que fait Estelle en dormant, serrée contre moi.
Elle me tient subitement par mon érection matinale en me chuchotant : < Je t'aime, Julien ! >. Elle se serre très fort.
Tout cela fini par réveiller Clémentine qui se blottie à sont tour contre moi. Je suis là entre mes deux anges. Sublime.
Clémentine, sentant que ma bite est déjà occupée, se saisit de mes couilles qu'elle tient à pleine main. Des douceurs.
Estelle se lève la première pour se précipiter aux toilettes. Clémentine passe sous les draps pour me sucer. Superbe.

C'est à notre tour. Estelle revient, s'habille et descend préparer le petit déjeuner. C'est son rituel du dimanche matin.
Nous pissons dans la plus parfaite volupté. WC. Nous nous habillons. Nous dévalons l'escalier pour rejoindre Estelle.
Cette odeur de pain grillé, de café et de brioche fraîche achève d'ouvrir nos appétits d'ogre. Estelle me saute au cou.
< "Mario" ! > dit elle faisant allusion à mon rôle dans le film pornographique que nous avons réalisé et revu hier soir.
Nous en rions de bon cœur. Je la soulève pour la faire tourner. Elle m'enlace de ses jambes pour me couvrir de bises.

Nous mangeons de bon appétit. Il est 8 H30. Le dimanche pas d'entraînement. C'est le rituel du ménage et nettoyer.
Dehors, il fait beau. Le ciel est entièrement bleu. Nous bavardons. La répartition des tâches. Nous adorons faire cela.
Estelle s'occupe de l'aspirateur qu'elle passe partout. La poussière. Clémentine de la chambre. Je passe la serpillère.
La vaisselle. Clémentine monte. Je commence par la cuisine. J'entends Estelle chanter en passant l'aspirateur. Salon.
Depuis quelques années, tout cela participe de l'enchantement paradisiaque de nos existences. C'est tellement super.

Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère partout sur les carrelages. Je m'apprête à rejoindre Clémentine.
Assise sur la troisième marche, Estelle juste en chemise à carreaux et en chaussettes, cuisses écartées, me regarde.
< Il faut vous acquitter de votre droit de passage cher monsieur ! > fait elle en me tendant les mains. Je les saisis.
Elle se lève d'un bond. Je la soulève pour l'entraîner au salon. Je l'assois sur le bureau. Je sors mon Zob. C'est mou.
Je frotte mon sexe sur le sien. Estelle me le prend de la main pour s'en introduire l'extrémité. Avec de la délicatesse.

Nous restons immobile à nous fixer en silence. Nous éclatons soudain de rire. Estelle m'attrape par le cou, se relève.
Accrochée à moi elle enserre ses jambes autour de mes hanches. Je la soulève pour la promener dans toute la pièce.
< C'est si bon ! > murmure t-elle en me couvrant le visage de bisous. Je reviens la déposer sur le bureau. On arrête.
Je me retire si délicatement. Estelle se rhabille. Nous montons à toute vitesse rejoindre Clémentine qui termine le lit.
Nous lui racontons l'épreuve de mon droit de passage. Clémentine dit : < On va l'instaurer dans toute la maison ! >

Nous en rions de bon cœur. Je ramasse le tas de draps sales pour les emporter à la sale de bain. Le panier à linge.
Je fais le bac à douche. Clémentine vient me rejoindre. < Mon droit de passage ! > me lance t-elle en se blottissant.
Nous nous embrassons comme des fous. Nous en avons de la salive tout autour de la bouche. Le goût de la brioche.
Nous entendons Estelle chanter en passant l'aspirateur. Clémentine fait les miroirs, le lavabo. On se tripote en riant.
Clémentine me laisse pour descendre avec le panier à linge. Je nettoie les chiottes du haut. Estelle qui me rejoint.

Comme à chaque fois, c'est par surprise. Je suis accroupis entrain de récurer dans la cuvette des toilettes. Le chlore.
Elle s'accroupit derrière moi pour frotter son sexe contre mes reins, ses bras autour de mon cou pour se masturber.
Ses chuchotements, ses murmures, tout cela m'enivre. Puis nous nous redressons en même temps. Je tire la chasse.
Je me retourne pour la serrer contre moi. Nous nous embrassons comme des fous. Le goût de la brioche. Délicieux.
Nous descendons rejoindre Clémentine à la cave, dans la buanderie. Nous aidons à trier le linge avant les machines.

Les filles évoquent leurs études. Les cours en ligne qui commencent dès demain matin, lundi. C'est un nouveau défi.
Pour ménager la vie familiale de ses parents, Estelle rentrera tous les soirs mais viendra nous rejoindre l'après-midi.
C'est une excellente stratégie. Ainsi, rien ne viendra bouleverser l'ordre des choses. Estelle insiste pour faire le repas.
Elle nous laisse pour remonter. Nous sortons les draps de la machine pour les accrocher. Clémentine se blottie si fort.
< J'aurai beaucoup besoin de toi dans les prochains temps. Tu t'occuperas bien de moi ? > me murmure t-elle. Joie.

Je la rassure. Je serai là. Comme un roc, inamovible. Sécurisant. Que ne ferais je pas pour mon ange. C'est si beau.
Nous montons rejoindre Estelle qui se bat avec le saumon en papillotes qu'elle tourne sur notre barbecue électrique.
Clémentine fait l'assaisonnement de la salade. Une laitue dont Estelle a déjà lavé et essoré les feuilles. C'est parfait.
Je remue la potée qui réchauffe dans la cocotte en fonte. Il est presque midi. Nous sortons prendre la température.
Il fait très agréable. Presque doux. < Virée vélo cet après-midi ! > lance Clémentine. < Excellent ! > répond Estelle.

Elle enfile son anorak, sort en courant. < Je vais chercher mon vélo, je suis là dans dix minutes ! > nous lance t-elle.
Nous regardons la voiture s'en aller. Estelle habite à trois petits kilomètres. Clémentine glisse sa main dans mon slip.
< Nous avons à faire ! > me dit elle en me sortant la queue. Elle a déjà bien servi ce matin, aussi elle suinte. Mouille.
< Mmhh ! > murmure Clémentine en s'accroupissant pour la téter avec passion. Il y a des filaments de foutre gluant.
Voilà Estelle qui revient. Elle sort son vélo de l'arrière du véhicule d'entreprise. Et elle se dépêche de nous rejoindre.

Nous mangeons de bon appétit. Julie qui devait nous rejoindre ne pourra pas venir. Un changement de programme.
Avec les mesures de précautions édictées par le gouvernement, les restaurants sont fermés. Prétexte pour nettoyer.
Julie va donc aider sa tante à tout ranger, tout nettoyer avant de fermer pour une durée indéterminée. C'est parfait.
Julie nous a prévenu par texto. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons. Rapide.
Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous nous changeons. Superbe.

Nous voilà dans nos leggings et sweats en lycra noir. Nos baskets. Pressés de filer nous dévalons les escaliers. Bien.
Dans le petit sac à dos que je trimballe partout avec nous, trois pommes, des barres de céréales, la bouteille d'eau.
Il faut toutefois mettre les K-ways, les bonnets et les gants. Un petit vent de Nord Est assez désagréable. Et tant pis.
Je vérifie le gonflage des pneus de nos bicyclettes. 4,5 bars devant et derrière. C'est parfait. Nous voilà partis. Bien.
Nous descendons le chemin, nous traversons le petit pont sur la rivière. Les trois cent mètres, voilà la piste cyclable.

Il y a du monde. Plein de gens profitent de cette magnifique journée. Nous croisons quantité de cyclistes. C'est bien.
Des joggeurs, des jeunes filles en rollers, des promeneurs. Des couples en balade, des familles. C'est si sympathique.
Il y a comme une ambiance de printemps. Nous pédalons contre ce léger vent frais. Il nous poussera au retour. Bon.
Arrêt pissous au cabanon de l'écluse. Il y a plein de cyclistes. Impossible pour les filles de pisser au milieu de la piste.
Il faut donc ruser. Il y a un cycliste solitaire qui arrive. Elles n'ont que quelques secondes. Les filles en position. Vite.

Leurs leggings et leurs culottes aux genoux, accroupies l'une à côté de l'autre, elles pissent juste quand le mec passe.
C'est du grand art. J'ai le temps de me planquer derrière les fourrés de lauriers. Le cycliste croit sans doute halluciner.
Il ralenti. Là, présentant leurs sexes, il mâte ces deux superbes jeunes filles qui font leurs besoins. Spectacle fameux.
Estelle n'arrive pas à pisser. Trop gênée mais si contente d'imiter Clémentine. Et d'autres cyclistes se pointent là-bas.
Il faut se redresser. Les filles se torchent. C'est limite. Ouf. Il n'y a que le cycliste solitaire qui a eu droit au spectacle.

Nous reprenons notre route pour arriver au port de plaisance vers 15 h30. Nous avons parcouru 25 km contre le vent.
Il y a du monde également. Tous les bateaux sont encore bâchés. Et il y a bien trop de gens pour tenter un autre plan.
Dans les fourrés à côté des bâtiments sanitaires et toilettes publiques, il y a les jeunes du bourg voisin. Rendez-vous.
C'est un peu rageant car les filles, excitées par l'aventure précédente, aimeraient beaucoup une petite récidive sympa.
Le vent est assez désagréable. Il apporte une fraîcheur inutile. Nous décidons de prendre le chemin du retour. Super.

Avec le vent qui nous pousse, la facilité de pédaler, nous apprécions enfin la douceur de l'après-midi. C'est sublime.
Autant de monde au retour qu'à l'allée. Nouvelle tentative au cabanon de l'écluse. Nouvelle déception. Du passage.
Il est presque 18 h30 quand nous revenons. Nous montons nous changer en faisant les pitres devant le miroir. Rire.
Je suis prié de laisser pendre ma bite de la braguette ouverte pour le restant de la soirée. Une excellent suggestion.
Nous dévalons les escaliers pour aller préparer notre repas. Morts de faim. Clémentine s'occupe de la salade. Endive.

Estelle concocte une belle omelette aux champignons. Je réchauffe le reste de potée. Les filles évoquent leurs études.
Ces cours en ligne qui commencent demain matin ne sont pas sans les préoccuper. Comment cela va t-il se dérouler.
C'est une grande première. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. J'écoute surtout les filles. C'est super.
Estelle se lève toutefois à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine avec cette vulgarité habituelle.
Je me lève pour agiter ma queue avec toute la mienne. Faire "l'hélicoptère" est une de mes grandes spécialités. Rire.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles évoquent une fois encore le programme des cours en Web.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Je propose aux filles un bon léchage de minou au salon. Elles applaudissent.
Le dimanche nous apprécions de rester à macérer dans nos jus. Pas de douche. Ce sont toujours de belles surprises.
Avec la bicyclette, l'excitation, mes mains baladeuses, les chattes de mes deux anges, offrent les plus folles saveurs.
A genoux sur les épais coussins, devant le canapé où elles sont vautrées, je passe d'un croupion à l'autre. Un régal.

Le reste de la soirée se passe ainsi. Dans une exquise dégustation de moules juteuses et si délicieusement relevées.
J'offre là à Estelle un orgasme qui la fait frémir. Son corps couvert de spasmes n'est plus que plaisirs et jouissances.
J'offre à Clémentine un orgasme qui la fait hurler de bonheur. Qui la fait pisser dans la cuvette également. Je lèche.
Estelle reprend lentement ses esprits alors que Clémentine, comme une assoiffée, me taille une pipe des familles.
Il est 22 h. Nous raccompagnons Estelle à son auto. Séparation difficile. Elle revient demain à 14 h. Pour les cours.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire nettoyer la chatte "nature", dans son jus du dimanche...

Julien - (J'écoute les dernières confidences de Clémentine, sous les draps, serrée contre moi. Tellement heureuse) -

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Classe - 26 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1096 -



Lundi, premier jour de cette étrange semaine

Hier matin, il est presque 6 h lorsque nous nous réveillons quasiment en même temps. Clémentine se serre si fort.
< Je t'aime Julien ! > me chuchote t-elle blottie contre moi. Nous n'avions pas branché le réveil. Nul besoin. Bien.
Comme les cours se font sur Internet, l'impératif horaire n'est plus une obligation à laquelle se plier. Pourtant. 6 h.
Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers. Joie.
Nous préparons un copieux petit déjeuner. Le lundi il reste toujours de la brioche. Nous mangeons de bon appétit.

Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. C'est dans une étrange atmosphère que cela se fait.
Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos. Le tout avec une intensité maximale. Sans précipitation.
La douche. Nous redescendons. Il est 7 h40. Comme tous les autres jours de la semaine. Nous enfilons nos K-way.
La fraîcheur est assez vive. Il y a le gazouillis des oiseaux. Le ciel est clair déjà bleu. Le printemps pointe. Discret.
Nous faisons le tour de la propriété. < Et ça me fait tout drôle de ne pas partir en cours ! > me confie Clémentine.

Je partage cette impression. Nous rentrons. Il est 8 h10. Nous allons dans l'atelier. Les deux radiateurs fonctionnent.
Clémentine s'installe devant son ordinateur. Je m'installe devant mon chevalet. Je prépare ma palette, chantonnant.
< Ça fonctionne ! > s'écrie Clémentine qui commente les opérations de connexions. Je me lève pour venir constater.
En effet le site de l'université affiche plusieurs menus. Ce sont les options de cours en fonction des niveaux d'études.
Clémentine m'explique ce que je vois à l'écran. Soudain s'affiche "Vidéo Conférence". Elle clique. Et apparaît un prof.

Clémentine porte ses écouteurs. Je la laisse à ses cours. Je retourne m'installer confortablement devant le chevalet.
Je peins dans une sérénité rare et dans un enthousiasme décuplé. Nous adorons ces séances de travail en commun.
Je n'entends que la respiration de Clémentine. Quelquefois elle émet un son, un mot, une parole. Toute concentrée.
C'est amusant. Il est aux environs de 10 h quand mon téléphone se met à vibrer, posé sur la desserte à ma droite.
Je m'en saisis. C'est Julie. Elle est chez elle, devant son ordinateur. Elle m'annonce qu'elle ne viendra pas en soirée.

< Je ne cède à aucune paranoïa mais ne prenons aucun risque inutile ! > me confie t-elle d'une voix si tristounette.
Je me tourne vers Clémentine qui relève un de ses écouteurs pour demander : < C'est qui ? >. Je dis : < Julie ! >.
Nous bavardons quelques minutes. Je la rassure. Je comprends parfaitement. S'exposer inutilement serait stupide.
Je raccroche. Je rejoins Clémentine qui reste très concentrée sur ses cours. Les questions réponses se font en ligne.
Sur un bout de papier, je note le résumé de la conversation. Clémentine lève le pouce de sa main droite. C'est OK.

La matinée se passe ainsi. < Terminé ! > s'écrie Clémentine qui vient me rejoindre. Il est 11 h45. Le timing parfait.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me donne ses impressions. Les cours en ligne c'est super.
Il n'y a pas de rupture dans la continuité des sujets traités à l'université et donnés en ligne. C'est plutôt rassurant.
Je termine cet après-midi cette vingtième toile destinée à ma saison d'été. La dernière scène de genre. C'est super.
Ensuite ce sera la série des paysages. Huit dessins préparatoires sont déjà réalisés sur les dix toiles prévues. Bien.

Nous quittons l'atelier. Nous allons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je lave et coupe un choux fleurs.
J'épluche et coupe des patates. Je fais cuire à l'eau. Ce sera pour le gratin de ce soir. A midi, riz complet et poisson.
J'égoutte les légumes que je dispose dans un plat en terre cuite. Et je recouvre d'une couche de gruyère de Comté.
J'y rajoute de l'ail finement émincé. Je recouvre de chapelure. Curcuma, paprika doux et graines de sésame grillées.
Je mets au four. Clémentine a mis la table. Nos filets de cabillaud rissolent à la poêle. Le riz a bien gonflé. C'est bon.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine évoque ses cours en ligne. L'étrangeté de la formule.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me confie à quel point elle apprécie.
< Prendre mes cours à la maison me permet de rester avec toi tout le temps ! > s'écrie t-elle avant de m'embrasser.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents. Clémentine mime une pipe. C'est si drôle.
De la mousse dentifrice aux coins des lèvres, elle fait une bosse à l'intérieur de sa joue avec sa brosse qu'elle bouge.

Je demande : < Tu suces qui là ? >. Pour ne pas risquer d'avaler du dentifrice, nous nous rinçons d'abord la bouche.
< Je suce l'homme que j'aime ! > me répond t-elle en glissant sa main dans ma braguette ouverte. Elle sort la bite.
< Viens par là, toi, j'ai deux mots à te dire ! > rajoute t-elle en m'entraînant par la queue jusqu'à la chambre. Rires.
Elle me fait tomber sur le lit. Elle s'allonge à côté de moi. Sa tête posée sur mon ventre, elle joue avec ma biroute.
Je bande très mou. Clémentine commente à haute voix ce qu'elle fait. Je sens bien qu'elle me décalotte légèrement.

Il est à peine 13 h. Estelle n'arrive que pour 14 h. Les cours en ligne reprennent à 14 h15. Tout s'enchaîne si bien.
Je caresse la tête à Clémentine qui se met à téter délicatement. Un peu comme si elle dégustait une friandise rare.
Pour laisser reposer sa mâchoire, à intervalles régulier, elle cesse pour me confier quelques impressions, des plans.
Lorsqu'elle se met à réellement sucer, avec sa passion coutumière, je lui appuie quelquefois sur la nuque. Elle aime.
Je l'entends glousser. Parfois, un petit cri de ravissement. < Mmhh ! > fait elle à plusieurs reprises. Elle se régale.

Même si je suis beaucoup plus actif que passif, d'être couché ainsi sur le dos à me faire sucer, reste un plaisir divin.
Surtout que cette petite fellation se transforme doucement en véritable pipe des familles, passionnée, juteuse, folle.
Nous passons ainsi plus de 45 minutes où j'alterne les attitudes de vicelard et le comportement du salaud sournois.
Tout ce qu'aime Clémentine qui me supplie de continuer ainsi tous les jours, à chaque occasion. Cela la passionne.
Nous entendons le bruit de la voiture d'entreprise d'Estelle qui arrive. On arrête. < Dommage ! > lance Clémentine.

Je remballe en gardant la braguette ouverte. Clémentine m'entraîne dans les escaliers. Estelle est déjà dans le hall.
Elle se précipite pour nous faire la bise. < Comportement à risque ! > lance Clémentine. < Prudence ! > dit Estelle.
< Mais tu peux me montrer ta bite ! > fait Estelle en mimant une masturbation masculine. Nous rions de bon cœur.
Il est un peu plus 14 h10. Nous sommes de retour dans l'atelier. La conversation tourne autour de ce maudit virus.
Estelle a emmené son ordinateur. Le même MacBook Pro gris que j'ai offert à Clémentine à Noël. Très performant.

Les filles sont rapidement concentrées sur leurs écrans. Les écouteurs de leurs casques sur les oreilles. Leurs cours.
Je suis assis devant mon chevalet. Cet après-midi, il est possible de poser des questions aux professeurs. C'est bien.
J'entends donc les questions mais pas les réponses. En tous cas cela suppose un cours magistrale. Je comprend rien.
Je dépose la dernière pointe de rouge de cadmium sur la surface de ma toile achevée. Il est presque 16 h. Superbe.
Je dépose le tableau terminé sur le second chevalet. Il pourra y sécher. Je prend une nouvelle toile. Dessin déjà fait.

Je me félicite toujours d'avoir réalisé des dessins préparatoires à l'avance. Je n'ai plus qu'à peindre. Gain de temps.
< Fini ! > s'écrie Clémentine qui vient me rejoindre la première. Estelle éteint son ordinateur et nous rejoint aussi.
Assises sur mes genoux, les bras autour de mon cou, les filles font le bilan de cette première journée de télétravail.
< C'est génial ! En plus ils ont drôlement bien fait ça ! > conclue Estelle. < Pas de déplacement ! > fait Clémentine.
< Pas de notes à mettre au propre puisqu'on écrit et qu'on enregistre ! > rajoute encore Estelle. Elles en sont ravies.

Il est 16 h10. Il fait beau. Je ne vais pas commencer la peinture de mon premier paysage. Et vingt et unième toile.
Clémentine propose une bonne balade. < Bite à l'air ! > fait Estelle. < Bite à l'air ! > dit Clémentine. Je sors le Zob.
Il n'y a qu'à mettre les baskets. Le sol est sec. Nous enfilons nos anoraks. Nous voilà au dehors. Il fait très agréable.
Nous pourrions nous passer des anoraks. Mais il est préférable de prévoir la fraîcheur du retour. Nous marchons vite.
Nous descendons jusqu'à la rivière. Les filles me tiennent par le bras. J'ai la bite qui pend lamentablement. Mollasse.

Une fois sur le sentier qui longe la rivière, à l'abri des regards éventuels, Estelle s'accroupit devant moi. Elle mâte.
< Elle mouille au bout ! > s'écrie t-elle. Clémentine lui en donne la raison. La pipe de notre sieste crapuleuse. Rire.
< Salauds ! Sans moi ! > fait Estelle avant de se mettre à téter délicatement pour bien vider le prépuce de son jus.
Clémentine, serrée contre moi, observe avec attention. Je commente les sensations. Cela fait rire Estelle en suçant.
Je lui caresse la tête. Clémentine m'embrasse pour fouiller ma bouche de sa langue exploratrice. Je bande très dur.

Estelle se redresse en disant : < Miam ! T'es encore bien juteux mon salaud ! >. Nous rigolons comme des bossus.
Nous longeons la rivière sur ses trois kilomètres. Là-bas, les bâtiments du haras. Et il y a des voitures dans la cour.
Comme il n'y a plus école, nous croisons quelques jeunes cavalières qui se promènent de l'autre côté de la rivière.
Il faut donc rester prudents. Pas questions d'imposer à la vue de jeunes filles mineures des situations incongrues.
Par contre, Estelle, comme une assoiffée se régale tous les 500 mètres. < C'est tellement bon ! > fait elle en riant.

Nous traversons la petite route pour longer le ruisseau. Là-bas, à trois cent mètres, l'arrière des écuries. Personne.
La caravane à Mr Gérard est toujours là. Et son barbecue aussi. Je me fais encore sucer dans les ruines du cabanon.
Cette fois, Estelle et Clémentine, toutes les deux accroupies, se refilent ma bite dure à l'abri de toutes éventualités.
Je leurs caresse la tête. Je lisse leurs cheveux. Je leurs chuchote des cochonneries. Et elles en gloussent de plaisir.
Il faut songer à retourner. Il est déjà 17 h45. Nous marchons plus rapidement. Je suis entre mes deux anges. Joie.

Il est presque 18 h45 quand nous sommes de retour à la maison. Morts de faim, nous préparons notre repas. Bien.
Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la laitue dont les feuilles ont été lavées à midi. Estelle allume le four.
Je fais une sauce aux crevettes. Je les fais revenir à la poêle avec l'ail et l'oignon. Crème fraîche en fin de cuisson.
Nous passons au salon. Les filles veulent reprendre leurs dégustations. < L'apéro ! > fait Estelle. Je me fais sucer.
< Et après l'apéro, il y a le digestif ! > rajoute Clémentine. Je suis vautré dans le canapé. Les filles à genoux. Joie.

La sonnerie du four. Je les aide à se relever. < Je me fais vieille, j'ai 23 ans depuis mercredi ! > nous lance Estelle.
< Moi, c'est dans un peu plus de deux semaines ! > répond Clémentine. Les filles m'entraînent à la cuisine. Odeur.
Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Les filles qui font le bilan de cette première journée de cours en ligne.
Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine font mille projets pour les jours à venir. Bien.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Elles m'entraînent au salon. < Dessert et digestif ! > s'écrie Estelle. Sympa.

Il est 8 h30. J'ai proposé aux filles un bon léchage de minou. Elles préfèrent toutes les deux se savourer de la bite.
Soudain, la sonnerie à l'ancienne du smartphone d'Estelle. Elle cesse de pomper pour le chercher dans son anorak.
Elle revient en parlant avec sa maman. Elle nous fait d'horribles grimaces. Clémentine a cessé de sucer. On mâte.
Estelle s'assoit à côté de moi en posant le téléphone : < Put-Hein à partir de demain on est confiné ! > lâche t-elle.
Elle nous explique. Ses parents ont écouté et regardé l'allocution présidentielle à la télé. Nous restons consternés.

Bien évidemment cette nouvelle nous coupe la chique. Nous restons silencieux à regarder dans le vide. Hallucinant.
< Créer un problème pour imposer une solution ! > lance Estelle. Clémentine rajoute : < Ils nous ont tout fait ! >
< Sans entrer dans des théories complotistes, tout cela reste quand même très étrange ! > dit encore Clémentine.
Nous prenons toute la mesure que cela signifie. Estelle ne pourra plus venir au moins deux semaines. Ce sera dur.
Cette triste réalité nous chagrine. Estelle restera chez ses parents. Clémentine et moi confinés ici, dans la demeure.

Nous encaissons le coup après une bonne demi heure. Il sera impossible de s'y soustraire. C'est une mesure d'Etat.
Nous autres, qui habitons à la campagne, nous pourrons toujours sortir pour nous balader. Dernier privilège secret.
Il est 22 H30. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. Les larmes aux yeux. Et quand nous reverrons nous ?
Nous restons encore un peu dans le froid de la nuit à nous tenir par la main. < Orwell ! > murmure Estelle. Certes.
Nous voilà en pleine sciences fiction. Et pourtant tout cela est bien réel. Nous regardons Estelle partir dans la nuit...

Bonne soirée à toutes les coquines qui s'apprêtent à rester confinées. Les plus chanceuses avec leurs complices...

Julien - ( J'écoute Clémentine qui me donne ses impressions. < Nous sommes en guerre ! > murmure t-elle) -

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Nous observons le protocole

Hier matin, je suis réveillé par quantité de bisous que l'on me dépose partout sur le visage. On me saisit la queue.
J'adore être réveillé de cette agréable manière. Sans même ouvrir les yeux, je serre Clémentine fortement. Délicat.
Il est à peine 6 h. Et nous avons décidé de nous réveiller naturellement. Nous nous précipitons aux toilettes. Pissou.
Vêtus de nos tenues de sport, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Copieux petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine revient sur la nouvelle apprise hier soir. Confinement.

Nous remontons pour notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, et les abdos.
La douche. Nous prenons tout notre temps. Clémentine n'a plus besoin de partir à 7 h45. C'est beaucoup plus cool.
Nous faisons la vaisselle. Nous enfilons nos K-ways pour aller prendre l'air. Le jour est levé, gazouillis des oiseaux.
Il fait presque doux. Nous faisons le tour de la propriété en évoquant les mesures gouvernementales. C'est unique.
Les cours en ligne commencent à 8 h15. C'est un peu le principe de la vidéo conférence. Nous rentrons. Il est 8 h10.

Clémentine, assise devant son ordinateur, commente à haute voix ses connexions. < Tout fonctionne ! > fait elle.
Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette. J'écoute Clémentine me raconter la suite des opérations.
La peinture de cette vingt et unième toile destinée à ma saison d'été m'absorbe très rapidement. C'est passionnant.
Le paysage No 1 de ma série de dix. Je peins dans un enthousiasme encore décuplé par la présence de Clémentine.
Nous adorons cette émulation si positive et cette ambiance studieuse. Je me lève parfois pour rejoindre Clémentine.

< C'est génial d'être en cours et d'avoir l'homme que j'aime près de moi ! > me fait elle sans cesser de fixer l'écran.
On y voit un professeur assis à un bureau qui parle. Je ne l'entends pas puisque que Clémentine porte les écouteurs.
Je lui dépose un bisou délicat avant de retourner à mon travail. La matinée se déroule ainsi. C'est très sympathique.
< Fini ! > s'écrie Clémentine qui vient me rejoindre. Il est 11 h45. Les cours reprennent à 14 h15. Tout est superbe.
Clémentine, assise sur mes genoux, se masse le poignet. < A force de gratter, la crampe de l'écrivain ! > me dit elle.

Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade de carottes et de son assaisonnement.
Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je prépare une pâte à pain. Je coupe des poireaux en petits morceaux. Cuisson.
Ce soir nous serons seuls, sans Estelle, pour déguster la Flamiche Picarde. La tarte aux poireaux de nos mardis soirs.
Je concocte une belle Béchamel. J'y rajoute le poireau égoutté. La pâte sous un linge. La Béchamel dans la casserole.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Nous avons tout notre temps. C'est parfait.

Assise sur mes genoux, Clémentine me fait : < On s'offre une soirée rien qu'à nous. Je suis tellement contente ! >
Clémentine me fait souvent part de son désir de plus grande intimité avec moi. Cela va être le cas pour 2 semaines.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Pour ce soir tout est prêt. Nous sortons. Il fait doux. Le soleil est haut, chaud.
Nous parcourons la propriété. L'avantage de vivre à la campagne, dans sa demeure, c'est de pouvoir sortir chez soi.
C'est assez vaste pour y passer du bon temps. Nous restons assis sur les rochers au bord du bassin. L'eau est sale.

L'entreprise paysagiste intervient le lundi 6 avril pour tout nettoyer. Clémentine glisse sa main dans ma braguette.
< C'est bien chaud là dedans ! > me fait elle avant d'en extraire le locataire. Je bande mou. Clémentine qui adore.
C'est la bite de la photo pour l'anniversaire d'Estelle. Clémentine a donc toujours de quoi s'occuper. S'amuser aussi.
< Tu sais que je suis heureuse de ne l'avoir que pour moi. Je vais donc à sa redécouverte ! > rajoute t-elle en riant.
Je lui dis : < La bite la plus proche est celle de Mr Bertrand. Notre plus proche voisin à plus de 300 mètres ! >. Rire.

Clémentine pose sa tête sur mon épaule pour me confier : < En ce qui me concerne, le confinement, ça a du bon ! >
Nous en rions de bon cœur. Il est 14 h passé. Nous rentrons. < Garde ta bite à l'air, je l'ai à disposition ! > dit elle.
Il est 14 h10. Clémentine est assise devant son ordinateur. L'après-midi est consacré aux questions posées au prof.
Je suis installé devant mon chevalet. J'aime sentir le contact du lin de la blouse contre le sexe. C'est rugueux. Bon.
Deux heures passent ainsi dans la joie d'une activité productive. < Terminé ! > lance Clémentine. Elle vient s'assoir.

< J'ai un message d'Estelle. Elle nous propose une Webcam pour la soirée ! > m'apprend Clémentine. Il est 16 h15.
Je nettoie la palette. Nous sortons. Il fait encore meilleur qu'à 13 h. Nous parcourons la propriété. C'est si agréable.
J'ai la queue à l'air. Nous évitons toutefois de rester à découvert trop longtemps. Les Bertrand pourraient nous voir.
Je demande à Clémentine : < Tu n'a jamais fantasmé sur Mr Bertrand ? >. Clémentine reste silencieuse et amusée.
< Non ! Mais en cas de confinement prolongé, ça pourrait arriver ! > me fait elle. Nous rigolons comme des bossus.

Monsieur Bertrand est un homme plutôt jovial. Sa compagne et lui sont des gens très discrets et sans progénitures.
Lui porte une fine moustache très british, travaille beaucoup au jardin et dirige une petite entreprise artisanale. Bien.
Elle est une femme élégante, souriante. Ils sont à l'aube de la soixantaine. Des gens serviables, honnêtes. Sympas.
Je dis : < Il serait malvenu de détourner Mr Bertrand de sa bonne moralité ! >. Nous en rions de bon cœur. Si drôle.
Clémentine m'entraîne à la roseraie. Dans les jardinières fleurissent déjà les premières roses, les premières tulipes.

Dans d'autres il y a la ciboulette, le persil et de la menthe qui sortent de terre. Nous allons y planter des légumes.
Le double vitrage de la serre permet de la culture intensive. Clémentine s'accroupit pour me renifler la queue. Joie.
< Mmhh ! Et c'est tout pour moi. Plus obligée de partager ! > fait elle avant de me décalotter légèrement. Odeurs.
< Miam ! Il y a tout ce que j'aime. Rien que pour moi ! > rajoute elle en faisant tourner le Zob pour bien l'observer.
< Les couilles aussi ! Je veux la totale ! > dit elle encore en les sortant de la braguette. C'est un peu plus difficile.

Clémentine reste ainsi jusqu'aux limites de l'ankylose. Elle hume, renifle, respire les effluves parfumées Parmezob.
L'odeur me monte aux narines. Comme il m'est interdit de me décalotter sous la douche, il y a là de quoi l'occuper.
Elle se met à téter la peau du prépuce. Je la sens y glisser la langue pour tenter de fouiller. Premier gémissement.
Je pose ma main sur sa tête pour lui lisser délicatement les cheveux. Je me fais tailler une pipe des familles. Miam.
Clémentine, assise sur une des vieilles chaises métalliques savoure sa friandise préférée. J'aime la regarder. Si belle.

Je me penche pour murmurer : < Confiné avec un ange, c'est déjà le paradis !. >. Elle dit : < Sois un diablotin ! >
Je passe une main sous son menton, l'autre sous ses cheveux pour saisir sa nuque. Et je lui fais bouffer de la queue.
Ses gloussements de plaisir témoignent de l'agréable moment qu'elle passe. Elle saisit mes poignets qu'elle guide.
Je pourrai éjaculer tellement c'est bon mais je me garde pour ce soir. Il en faut pour plusieurs fois. Je suis si juteux.
Je la force à cesser. Je l'aide à se relever. < Mmhh ! Tu es délicieux ce soir ! > me fait elle en se serrant contre moi.

Nous sortons de la serre. La sensation de fraîcheur est immédiate. Il est déjà 18 h. Nous marchons encore un peu.
La propriété est vaste et nous pouvons en faire le tour plusieurs fois. Là-bas, il y a les Bertrand dans leurs potager.
Ils commencent à retourner la terre pour y planter prochainement les premiers légumes. Et nous ferons de même.
Quoi qu'il arrive, nous ne manquerons pas de l'essentiel, les légumes frais. Ils nous aperçoivent. Je planque le Zob.
Juste à temps. Clémentine se met devant moi. Nous les saluons d'un signe de la main. Je la tiens par les hanches.

Nous rentrons. Nous allons au salon pour y fermer les deux grandes portes fenêtres qui donnent sur le perron. Bien.
Le soleil descend sur l'horizon. Clémentine me tient la queue. Elle s'accroupit en disant : < Oh, il faut l'assécher ! >
Avec l'excitation de la fellation, je suis dégoulinant de jus. De quoi régaler Clémentine qui recommence à pomper.
Cette fois, je la tiens fermement par ses cheveux. Et je lui sors la queue de la bouche pour la faire mettre à genoux.
A quatre pattes, je l'entraîne derrière le bureau. Du tiroir du bas, je sors les genouillères. Je les lui enfile et les fixe.

Ainsi protégée des lames de chêne du plancher, je l'entraîne, à quatre pattes pour faire le tour de la grande pièce.
Comme toujours, Clémentine imite un chien qui ferait pipi en levant une jambe aux coins des meubles. Si vicelarde.
J'adore les initiatives de Clémentine qui aime ces situations. Je frotte ma bite mouillée sur son visage. Quelle joie.
Je l'emmène ainsi à la cuisine. Je l'aide à se relever. < Je t'aime ! J'aime tout ce que tu me fais ! > dit Clémentine.
Nous préparons notre repas du soir. Clémentine s'occupe de la salade. Je travaille la pâte, je réchauffe la garniture.

Notre tarte aux poireaux est au four. < Tu me refais des trucs ! > s'écrie Clémentine en m'attrapant par la queue.
Je passe ma main entre ses cuisses bouillantes pour palper son sexe au travers le tissus de son jeans. C'est génial.
Je l'entraîne ainsi au salon. La musique imbécile de mon smartphone. Clémentine s'en empare. C'est Estelle. Super.
Clémentine met sur mode haut parleur. Je peux entendre la voix d'Estelle. Elle propose d'allumer l'ordi ce soir. 20 h.
< On s'offre une soirée Webcam tous les trois. Je suis trop mal sans vous ! > lance Estelle d'une voix plaintive. Dur.

Pendant que les filles bavardent, je caresse les tous petits seins de Clémentine. Je passe ma main dans sa culotte.
J'ouvre la braguette de son jeans afin d'avoir le meilleur accès possible. Et parfois je lance quelques mots à Estelle.
< Je veux ta bite ! > répond t-elle à chaque fois. Nous en rigolons tous les trois de bon cœur. La sonnerie du four.
Estelle doit descendre manger elle aussi. Nous nous disons à ce soir. Nous nous précipitons à la cuisine. C'est prêt.
Nous mangeons de bon appétit. Nous prenons conscience de l'absence d'Estelle. Mais Clémentine me veut pour elle.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie son désir de sexe.
< Sois vicieux, sois salaud. A partir de demain, je mène le jeu. On se fait des plans exhibes, voyeuristes ! > dit elle.
Je sais pouvoir lui faire confiance. Nous faisons notre vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous retournons au salon.
Clémentine allume l'ordinateur. La Webcam fonctionne. Estelle n'est pas encore connectée. Il est pourtant déjà 20 h.
Je force Clémentine à se mettre à quatre pattes. La caméra est orientée afin de bien voir toute la partie de la pièce.

Je lui frotte la bite sur le visage. < Coucou ! >. C'est la voix d'Estelle. Son visage apparaît à l'écran. Nous sourions.
Nous lui faisons de grands signes. A l'écran on voit Estelle s'éloigner pour nous montrer sa main dans sa braguette.
< Devinez ce que je fais toute seule là dans ma chambre ? > fait elle. Nous découvrons que la coquine se masturbe.
Clémentine, à genoux devant moi glisse une main dans sa braguette. Je la tiens par les épaules. Nous nous mâtons.
C'est absolument génial. Des jeux masturbatoires en "vidéo conférence". J'agite ma bite vers l'écran vers la caméra.

< Faites moi du spectacle ! > fait encore la voix d'Estelle. Je force Clémentine à se tourner de profil. Je me déplace.
Je lui frotte la queue sur la gueule sous les commentaires si salaces d'Estelle qui a descendu son jeans et sa culotte.
Je me fais tailler une pipe tout en conversant avec Estelle qui nous raconte sa journée de cours en ligne. Ses études.
Clémentine suce en gloussant. Parfois en riant elle tousse, manquant de s'étouffer. Je suis hyper excité, très juteux.
Lorsque Estelle cesse de causer c'est pour se concentrer sur sa masturbation. Je sors ma queue pour la lui montrer.

Cela fait de longs filaments gluants qui relient ma queue à la bouche de Clémentine. < C'est génial ! > fait Estelle.
Là-bas, chez elle, à peine à trois kilomètres d'ici, elle peut partager des moments intenses. Nous apprécions aussi !
J'entraîne Clémentine à quatre pattes pour faire le tour de la pièce en restant dans le champs de la caméra. Super.
Estelle nous confie que l'orgasme ne va pas tarder à la submerger. Cette nouvelle expérience nous excite beaucoup.
Nous offrons ainsi le spectacle de nos merveilleuses déviances à Estelle qui se met à pousser de petits cris. Plaisir.

Elle jouit. Nous cessons nos jeux pour l'observer. Elle revient tout près de la caméra pour nous montrer ses doigts.
En nous fixant elle les lèche. Elle dit : < Je n'ai plus que ça ! >. Nous éclatons tous les trois de rire. C'est amusant.
Nous prenons conscience de notre immense privilège. Clémentine et moi, nous sommes deux à vivre cette situation.
Il est plus de 22 h. Estelle, épuisée, et après nous avoir avoué s'être touchée plusieurs fois aujourd'hui nous laisse.
Nous montons nous terminer au lit. J'offre à Clémentine un cunnilingus qui l'achève. Remettons la pipe à demain !

Bonne soirée à toutes les coquines qui découvrent de nouvelles manières de s'amuser malgré le confinement...

Julien - (J'écoute Clémentine me murmurer les projets "sexe" qu'elle a en prévision dès demain. Dodo) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 28 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1098 -



Je reçois la visite d'une jeune fille

Hier matin, nous nous réveillons quasiment en même temps. Il est un peu plus de 6 h. Nos horloges biologiques.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues sport, on descend.
Nous préparons un copieux petit déjeuner. Pain grillé et beurre. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.
Nous remontons. Notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, nos abdominaux.
La douche. Nous prenons notre temps. < Ça me fait tout drôle ces nouveaux horaires ! > me confie Clémentine.

Il est 7 h40. Nous enfilons nos anoraks pour aller faire un tour dehors. Nous faisons le tour de la propriété. Calme.
Il fait doux. Le gazouillis des oiseaux. Nous marchons main dans la main. Clémentine me parle de ses cours. Bien.
Il est beaucoup plus facile d'être à jour par cette formule de cours en ligne. Mais cela n'est plus une préoccupation.
Nous rentrons. Inutile d'allumer le poêle dans l'atelier. Seul un des deux radiateurs fonctionne. C'est très suffisant.
Il est 8 h15. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Un petit casque très léger.

De l'un des écouteurs il y une tige terminée par un fin micro. La voilà plongée dans ses cours. Je prépare ma palette.
Je suis assis devant le chevalet. La peinture de ce premier paysage destiné à ma saison d'été, m'accapare très vite.
Je peins dans un enthousiasme décuplé par la présence de la fille que j'aime. Il en va de même pour elle. Sublime.
Parfois je me lève pour venir voir. Sur l'écran de l'ordinateur l'image d'un autre professeur que celui de hier. Sympa.
Je n'entends pas ce qu'il dit. Clémentine me passe le bras autour des hanches pour me serrer contre elle. J'observe.

La matinée se déroule ainsi. < Fini ! > s'écrie Clémentine derrière moi. Elle vient me rejoindre. Toute contente. Bien.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle regarde ma toile déjà bien avancée. < Superbe ! > dit elle.
Il est presque midi. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade, l'assaisonnement.
Il reste deux parts de tarte aux poireaux de hier soir. Estelle n'étant plus là il y a des reliquats. Je cuis les petits pois.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine évoque ses études. La dernière information de la fac.

Si cette épidémie perdure, il est question de faire de cette année universitaire une "année blanche. Une hypothèse.
< Tu te rends compte ! Tout ce travail pour rien ! > me fait elle un peu dépitée. Et des professeurs tombent malade.
Eux aussi évoquent la possibilité d'exercer leur droit de retrait. Assise sur mes Genoux, Clémentine semble inquiète.
Nous faisons la vaisselle. Dehors c'est une véritable journée de printemps. Nous sortons et simplement en chemise.
Il fait presque chaud au soleil. Nous faisons le tour de la propriété. Assis près du bassin nous apprécions l'ambiance.

Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte. < J'ai un beau scénario pour ce soir ! > me chuchote t-elle.
Elle m'expose son idée. Clémentine se propose d'interpréter le rôle d'une représentante qui ferait du porte à porte.
Même si cela n'existe quasiment plus, je trouve l'idée amusante. Et excitante. Je promets d'être à la hauteur. Client.
Nous en rions de bon cœur. Clémentine ne donne aucun détail. Ce sera la surprise. De quoi enchanter l'après-midi.
Clémentine me sort la bite. Tout en parlant, elle me la tient fermement. Nous parlons d'Estelle qui ne viendra plus.

Il faudra probablement attendre plusieurs semaines avant que tout ne rentre dans l'ordre. Pareil pour Juliette, Julie.
Chacune est confinée chez elle. Juliette avec ses chevaux, Julie chez ses parents. Estelle chez les siens. L'autre vie.
Nous prenons toute la mesure de nos privilèges. Une nouvelle épreuve à surmonter. Mais la vie est faite d'épreuves.
C'est sur ces considérations philosophiques que nous rentrons. Il est presque 14 h10. Nous retournons dans l'atelier.
Clémentine, assise devant son ordinateur. Je l'entends poser des questions. Je n'entends pas les réponses. Insolite.

Je peins dans une douce sérénité dont j'apprécie chaque instant tout autant que chaque coup de pinceau. Sublime.
< Fini ! > s'écrie Clémentine pour venir me rejoindre. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Nous quittons l'atelier.
Il fait tellement beau que nous sommes pressés de sortir. Il fait chaud sous ce généreux soleil. C'est le printemps.
Nous allons au garage, par la porte de derrière, pour en récupérer les chaises longues sous la bâche. C'est fameux.
Nous voilà confortablement vautrés dans nos transat à savourer l'instant. Pas un souffle de vent. C'est formidable.

Max, le doberman géant des Bertrand est monté jusqu'ici pour nous saluer. Il remue la queue tout content. Sympa.
Sa visite ne dure que quelques instants, il fait sa ronde. Nous le regardons filer sur le chemin qui mène à la rivière.
< Le décret ne s'applique pas aux animaux ! Et notre sort les laisse parfaitement indifférents ! > lance Clémentine.
C'est vrai. Ils n'ont que faire de nos préoccupations humaines. Ce qui, dans un sens, les rend infiniment supérieurs.
Nous restons ainsi à philosopher. J'aime écouter Clémentine. Sa vision des évènements m'enchante. C'est un livre.

Clémentine est médium. Elle perçoit les choses. Elle a ce don de percevoir des évènements, de les anticiper. Super.
Il est presque 18 h30. La fraîcheur commence à se faire sentir. Nous rangeons les chaises longues et nous rentrons.
Il fait à présent jour jusqu'aux environs de 19 h. Demain nous nous occuperons du potager. Retourner la terre. Joie.
Clémentine s'occupe de la salade de tomates. Je fais gonfler du riz avec le reste de petits pois. Deux filets de colin.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Ce soir, il n'y aura pas de Webcam. Ce sera demain, jeudi. Bien.

Avec Estelle, nous avons décidé de pratiquer les mêmes habitudes. Même si elles sont à présent devenues virtuelles.
Nous utiliserons ce principe les mardis, les jeudis et les samedis soirs. Sinon, c'est trop dur car Estelle nous manque.
Nous traînons à table. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Drôle.
Clémentine fait : < Tu descends le premier. Tu vas au salon et tu attends la suite des évènements ! >. Je descends.
Je suis vautré dans le canapé. Il y a juste la petite lampe sur le bureau. Sa lumière est diffuse, discrète, envoûtante.

Trois coups de sonnette. Qui cela peut-il bien être ? Je me précipite croyant Clémentine encore à l'étage. Toilettes.
Quelle surprise. Là, devant la porte, Clémentine, vêtue d'une jupe plissée noire, d'un chemisier blanc, veste blazer.
< Bonsoir monsieur. Je fais un sondage d'opinion à propos de la situation actuelle. Je peux entrer ? > me fait elle.
J'avais totalement oublié le "plan". Tout me revient. Je joue le jeu. Je dis : < Suivez moi mademoiselle ! >. Super.
J'invite l'élégante demoiselle à me suivre au salon. A prendre place dans le fauteuil. Je suis très ému. C'est si bien.

Clémentine, avec cette formidable capacité à interpréter les rôles les plus divers, interprète celui-là à la perfection.
Me voilà assis en face d'une splendide jeune fille qui me pose des questions sur mon mode de vie et ma profession.
C'est comme si Clémentine avait préparé tout cela alors que ce ne sont qu'une succession d'improvisations. Génial.
Elle a posé sur ses genoux un carnet. Elle tient un stylo et prend des notes. Moi je ne fais pas encore trop attention.
Tout en posant ses questions, la jeune "sondeuse" écarte discrètement les genoux. Je distingue le porte jarretelle.

C'est une situation très réelle. Je sens mon cœur accélérer. C'est trop bien. Elle me fixe à chacune de ses questions.
Même si c'est la fille que j'aime, que je partage ma vie avec elle depuis plus de trois ans, la situation me bouleverse.
C'est hyper excitant. Peut-être encore davantage que si c'était une inconnue. Je bande soudain comme un salaud.
La jeune fille écarte ses cuisses un peu plus à chacune de ses questions. Et je commence à avoir des propos confus.
La situation me rend fébrile. Je me mets à présent, avec grande facilité, dans la peau du personnage. C'est fameux.

Je me détends. Je m'adosse enfin. J'écarte bien les jambes, ne sachant que faire de mes mains. Mon cœur qui bat.
La jeune fille, imperturbable, gardant la plus parfaite maîtrise d'elle même, écarte ses cuisses tout en questionnant.
Elle les écarte autant que le fauteuil le permet. Pas de culotte. Elle me fixe. Un air à la fois arrogant et bien vicieux.
Je me retrouve là, ce soir, dans la peau d'un de ces messieurs qui ont déjà été confrontés aux exhibitions de la fille.
Je comprends soudain toute la profondeur des émotions qu'ils ont ressenti à découvrir Clémentine, exhibitionniste.

C'est une très étrange sensation. Mon cœur bat la chamade. Pas seulement par l'excitation mais par un amour fou.
Que peut-il arriver de mieux dans la vie d'un homme que de partager son existence avec une femme imaginative ?
C'est merveilleux. J'ai envie de tomber à genoux, de lui embrasser les pieds, de la remercier d'exister. Merveilleux.
Je maîtrise cette pulsion folle. Je veux savoir jusqu'où ira ma merveilleuse complice. Elle lève sa jambe. Geste lent.
Elle pose sa jambe gauche sur l'accoudoir gauche. Je l'ai vu faire tant de fois. Pourtant, c'est comme une première.

Je sors mon Zob. La jeune "sondeuse" joue la parfaite ingénue qui s'en rend pas compte. C'est passionnant. Génial.
Je me branle doucement. Elle lève sa jambe droite pour la poser sur l'accoudoir droit. Tout en posant une question.
Je n'ai jamais été soumis à tel interrogatoire car elle demande à présent la fréquence de mes masturbations. Super.
Tout en me branlant doucement, je réponds franchement. < Oui, je me touche sur mon lieu de travail ! Souvent ! >
Je continue : < Oui, j'aime le sexe. J'aime le cunnilingus. Ma préférence ! >. La jeune fille lance : < Intéressant ! >

La soirée se passe ainsi. Nous nous masturbons l'un en face de l'autre. Je réponds à des questions délirantes. Joie.
Avec le plus grand sérieux du monde, nous interprétons nos rôles à la perfection. C'est un de nos plus beaux jeux.
< Je peux passer la nuit ici car il se fait tard pour rentrer ! > me fait encore l'adorable jeune fille. C'est merveilleux.
< Vous m'accompagnez aux toilettes, monsieur, s'il vous plaît ? > me fait elle en se levant. Je l'invite à me suivre.
Au lien de s'assoir sur la cuvette des toilettes, elle saisit la cuvette afin de s'accroupir au dessus. Un grand moment.

< Je préfère pisser ainsi devant de parfaits inconnus ! > fait elle. Le bruit de la pisse résonne d'une étrange façon.
Je suis tellement impressionné. Je me tiens au lavabo d'une main pour me branler doucement de l'autre. Sublime.
Je dis : < Je peux vous torcher mademoiselle ? >. Elle me fixe, dit : < J'allais vous le demander cher monsieur ! >
Je continue : < J'ai mieux qu'un bête bout de papier ! >. Je me mets à genoux. Elle se redresse pour se cambrer.
Debout, fléchie sur ses genoux, jambes écartées, elle m'offre sa chatte que je suce comme un dément. C'est miam.

Les spasmes qui secouent le corps de Clémentine m'impressionnent. Et je sens l'intérieur de ses cuisses frissonner.
C'est merveilleux. Elle me tient par les oreilles pour frotter son sexe sur mon visage tout en gémissant de bonheur.
Elle me repousse juste à temps. L'orgasme guette. < Viens mon amour ! > s'écrie t-elle en m'entraînant par le Zob.
Nous montons à toute vitesse. Au lit, nous faisons l'amour comme jamais. Immobiles, parfois en nous berçant. Bon.
Clémentine murmure : < Tu as été merveilleux Julien. C'était très intense pour moi ! >. Je lui confie que moi aussi.

Bonne soirée à toutes les coquines qui ont suffisamment d'imagination pour meubler les soirées de confinement...

Julien - (J'offre à Clémentine un des plus beaux orgasmes de son existence. Je la sens s'endormir si heureuse) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 29 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1099 -



L'imagination de Clémentine m'enchante

Hier matin, jeudi, ce sont les mouvements masturbatoires que fait Clémentine contre mes hanches qui me réveillent.
C'est tellement adorable. Elle ne dort plus. Et sans ouvrir les yeux, je la serre contre moi. Elle me fait plein de bisous.
< J'ai rêvé de ce qu'on a fait hier soir ! > me chuchote t-elle. Je lui propose de me raconter devant le petit déjeuner.
Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers en riant.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine raconte son rêve. Il y avait Estelle. Nous avons un pincement au cœur.

Nous remontons. Notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles et nos abdominaux.
La douche. Il est 7 h40. Nous enfilons nos K-way pour sortir. Il fait doux. Nous faisons le tour de la propriété. Super.
Là-bas, dans son potager, derrière ses haies, il y monsieur Bertrand déjà occupé à son jardinage. Il ne nous voit pas.
Clémentine se frotte contre moi en me murmurant : < Je n'en ai encore jamais fait ma "V.P." (Victime Potentielle ! >
Nous en rions de bon cœur. Il n'en est évidemment pas question. < Sauf cas extrême évidemment ! > rajoute t-elle.

Nous rentrons. Les cours en lignes commencent à 8 h15. Nous allons dans l'atelier. Je prépare ma palette. C'est bon.
Il est 8 h15. Clémentine est assise devant son ordinateur, casque micro vissé sur les oreilles, plongée dans ses cours.
Je suis installé devant mon chevalet. La peinture de la vingt et unième toile destinée à ma saison d'été, m'accapare.
Je peins dans une sérénité totale. La présence de la fille que j'aime est un stimulant supplémentaire. C'est rassurant.
Parfois, je me lève pour aller regarder ce qu'elle fait. Debout derrière elle, je lui masse délicatement la nuque. Doux.

Sur l'écran, il y a un autre professeur, assis derrière un bureau, qui donne son cours. Parfois des images d'équations.
Clémentine me fait passer à sa gauche, passe son bras autour de mes hanches. Nous ne faisons aucun bruit. Super.
Il est aux environs de 10 h lorsque la musique idiote de mon smartphone le fait vibrer sur la desserte. Je m'en saisis.
C'est Juliette. Nous parlons en mode haut parleur. Sur un bout de papier j'écris "Juliette". Je le montre à Clémentine.
Elle lève le pouce de sa main gauche sans cesser d'écrire et d'écouter. Juliette me raconte sa nouvelle vie. Confinée.

Il n'y a plus aucune activité externe. Kim Son et Eveline, les deux palefreniers s'occupent des 60 chevaux. Travail.
Monsieur Gérard ne vient plus. Il n'y a plus aucune visite. Il y a madame Walter, son assistante. Qui est perturbée.
Juliette me rassure. Malgré la situation, tout va bien. Comme nous, elle s'entraîne le matin, fait un jogging en soirée.
Elle monte les chevaux. L'enceinte du haras est vaste. Juliette ne sort donc pas de son espace privé. La comparaison.
Vivre à la campagne, même en période de "guerre", permet quand même une existence ou peu de choses changent.

La conversation dure une vingtaine de minutes. Juliette est dans son bureau car elle a donné congé à la secrétaire.
Si la situation perdure les chevaux resteront au haras au-delà de la durée habituelle. Les propriétaires sont confinés.
Il faudra faire venir du fourrage. Juliette a du stock jusqu'au début juin. Pas au -delà. Mais tout est déjà réglé. Bien.
Nous nous saluons avant de raccrocher. Je peins en pensant à cette étonnante jeune femme. Bourgeoise de 43 ans.
Chef d'entreprise elle mène sa barque avec poigne. < Terminé ! > s'écrie Clémentine qui vient me rejoindre. 11 h45.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle m'écoute. Je lui raconte les propos échangés avec Juliette.
< Cette salope. Il ne lui reste plus que Kim Son, son palefrenier, à se mettre sous la dent ! > fait Clémentine. Rires.
Elle rajoute : < A se mettre sur la langue sans doute ! >. Nous en rigolons comme des bossus. La faim se fait sentir.
Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade en me racontant ses cours. Les profs.
Je fais bouillir l'eau des coquillettes pendant que je prépare une pâte à pain pour la pizza de ce soir. Rituel du jeudi.

Je concocte une belle garniture. Tomates fraîches, ail, oignon, champignons, persil, ciboulette. J'en récupère un peu.
Ce sera en accompagnement des coquillettes que j'égoutte. Deux filets de lieu noir panés que je fais frire à la poêle.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. < Et ce soir, fais donc un tour au jardin tout seul ! > lance t-elle.
Je comprends presque immédiatement. L'application d'un nouveau fantasme. La vaisselle. Nous sortons en chemise.
Il fait chaud. C'est une vraie journée de printemps. Les arbres, les bosquets, les fourrés, la pelouse, tout est fleuri.

Il est à peine 13 h. Nous faisons le tour de la propriété. Le gazouillis est oiseaux est la plus merveilleuse bande son.
Nous sortons les chaises longues de l'arrière du garage. Nous voilà confortablement allongés au soleil. C'est super.
Clémentine revient sur son rêve. < Il n'y a plus que les fantômes des gens qu'on aime. Mais il y a nous ! > fait elle.
Nous nous prenons la main. Voilà Max, le doberman géant de nos voisins. Il fait sa ronde et tourne autour de nous.
Il est affectueux, ne s'attarde jamais et continue sa promenade. Là-bas, à 300 m, on discerne les toits de la maison.

Clémentine me confie son désir d'exploiter tout l'éventail de ses fantasmes. Profiter de l'opportunité de tout réaliser.
Je lui promets d'être le partenaire idéal et de me montrer à la hauteur des rôles qui me seront demandés. Rigolade.
Clémentine se lève. Glisse sa main dans ma braguette ouverte pour en extraire le locataire. Je regarde. Personne !
< Voilà, c'est mieux. Il faut profiter de ce soleil pour l'aérer ! > me fait elle en retournant s'allonger. C'est agréable.
Nous restons ainsi jusqu'à 14 h. Les cours reprennent dans moins d'un quart d'heure. Nous rentrons un peu tristes.

Clémentine m'entraîne par le Zob. Nous allons dans l'atelier. Elle m'emmène jusqu'à ma chaise. Et elle m'embrasse.
< A tout à l'heure ! > me fait elle en retournant s'assoir derrière la table de travail, devant son ordinateur. Parfait.
L'après-midi est consacré à des échanges entre étudiants, aux questions et aux réponses. Clémentine qui demande.
J'entends les questions qu'elle pose. Mais je n'entends jamais les réponses. C'est insolite. Je peins dans la sérénité.
L'après-midi se déroule ainsi. < Stop ! > s'écrie Clémentine. Il est déjà 16 h. Que le temps passe vite. C'est dingue.

Je nettoie la palette et les pinceaux. Clémentine m'entraîne par la main. Nous sortons. Si pressés d'aller au dehors.
Il fait chaud. Le thermomètre extérieur affiche 22°. < Attends moi là. Va te cacher dans un coin ! > dit Clémentine.
< Je reviens ! > me fait elle en courant vers la maison. Je ne sais trop quoi faire. J'entends travailler Mr Bertrand.
Je vais entre les fourrés et la futaie derrière la roseraie. Je sors la bite. Je me planque là. Je me masturbe un peu.
Je reste ainsi à guetter. Personne ne peut me voir. Mais il n'y a personne. Cette idée me fait rire tout seul. Sympa.

Là-bas, soudain, apparaît Clémentine qui contourne le bassin en restant sur les dalles de grès. Merveilleuse surprise.
Clémentine est vêtue d'une de ses jupes kilt, d'un chemisier blanc, chaussée de ses escarpins noirs et à talons hauts.
Cette vision divine fait battre mon cœur. Je comprends le jeu auquel Clémentine va nous livrer. Quelle imagination !
Elle ne sait pas où je suis planqué. Aussi, elle flâne un peu. Je la vois lever le bras. Elle fait un signe à Mr Bertrand.
Comme il passe ses journées dans son jardin, il vient probablement là d'apercevoir la jeune fille qui partage ma vie.

Clémentine continue son exploration. A l'abri des regards du voisin, là-bas, à plus de 300 m, elle s'accroupit. Génial.
Elle reproduit cette position à plusieurs reprises et dans toutes les directions. Elle ne sait pas où je suis caché. Bien.
C'est absolument divin de voir cette merveilleuse jeune fille s'adonner à son vice. L'exhibition. Je me branle. Parfait.
Clémentine qui se redresse, une main sous sa jupe, entre ses cuisses, elle explore les multiples cachettes possibles.
La propriété est vaste. Ce ne sont pas les cachettes qui manquent. Là, elle est penchée en avant, pour bien mâter.

Même s'il n'y a personne, Clémentine joue à la voyeuse. Elle se sait observée. Et elle me sait planqué à la regarder.
Ce jeu est très excitant. Je bande comme un vrai salaud. Elle se retourne. Elle s'accroupit. Elle se met à pisser. Joie.
Plusieurs jets qu'elle projette loin devant elle en se cambrant. Une main au sol et l'autre écartant les lèvres du sexe.
Je sors de ma cachette. Je me masturbe. Je m'approche. < Bonjour Mademoiselle. Vous auriez peut-être l'heure ? >
Clémentine interprète une fois encore son rôle à la perfection. Elle redresse la tête. Elle cesse de pisser. Et me fixe.

< Non monsieur, je n'ai plus l'heure car je l'ai donné à un nécessiteux ! > lance t-elle avec cet humour si particulier.
Je continue : < Vous connaissez le coin ici, vous pourriez peut-être me renseigner ! >. Quelques derniers petits jets.
< Non je ne suis pas d'ici, je me promène. J'ai garé ma voiture plus haut, j'avais besoin de pisser ! > rajoute t-elle.
Je vis là une situation très réelle. C'est super. Je me mets à la place des mecs qui ont déjà surpris Clémentine ainsi.
Il y en a eu quelques uns. Je m'approche davantage. La jeune fille se redresse. Prête à s'enfuir. Je reste rassurant.

Elle s'en retourne. Je dis : < Ça vous tente ? >. Elle se retourne pour demander : < Quoi donc ? >. J'agite la bite.
Je fais : < Une petite pipe ! >. La jeune fille hausse les épaules et continue son chemin sans répondre. Jeu génial.
Je me retrouve vraiment dans la peau d'un de ces nombreux mecs ayant eu le privilège de rencontrer Clémentine.
Mon cœur bat la chamade. Autant par mon amour fou pour la fille qui partage ma vie que par la situation géniale.
Pourtant, elle a disparu. A mon tour de fouiller chaque recoin. Enfin. Elle est là, à se masturber entre deux troncs.

Clémentine ne joue pas. C'est toujours une véritable masturbation à laquelle elle se livre dans ces situations. Super.
Nous nous observons longuement sans cesser de nous masturber. Le soleil descend sur l'horizon. Presque 18 h 50.
Nous cessons en même temps. Clémentine vient se blottir contre moi. < Tu as été génial, comme j'aime ! > dit elle.
Je lui confie les délicieux tourments qui m'envahissent devant toutes ses initiatives. Je la félicite pour ses qualités.
Morts de faim, nous rentrons. Clémentine enfile son tablier pour ne pas salir ses beaux vêtements. Elle fait la salade.

Je travaille la pâte à pain. Je réchauffe la garniture. Les deux pizzas sont au four. < C'est pas fini ! > dit Clémentine.
Elle m'entraîne au salon. Elle me fait tomber dans le canapé. Elle s'éloigne pour aller s'accroupir au milieu de la pièce.
La fête continue. Les cuisses largement écartées, les mains posées sur ses genoux, elle me fixe, immobile. Le silence.
C'est prodigieux. Je reste là à admirer ce merveilleux spectacle. Je tiens mon sexe dure comme du bois sans bouger.
< Si la situation perdure, je peux me faire surprendre comme ça par le voisin ? > me demande soudain Clémentine.

Je reste sans voix. < J'ai trop besoin d'être vue par un étranger, par un inconnu ! > rajoute t-elle, une voix plaintive.
Je lance : < Les choses ne seront plus jamais comme avant, s'il te voit ! >. Clémentine avec sa logique, me rassure.
< Ne t'inquiète pas. Je serai très adroite. Il ne saura jamais que je le fais exprès ! > me dit elle. Logique imparable.
La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Un délice.
Clémentine m'expose les différentes déclinaisons possibles pour être vue par monsieur Bertrand. Elle évoque le plan.

< Il a quelquefois un regard qui en dit long quand nous bavardons dehors. Quand je le croise en rentrant ! > dit elle.
Clémentine m'a déjà confié cette évidence. C'est une magnifique jeune fille de 22 ans. Quoi de plus normal. Superbe.
J'écoute les stratégies possibles que m'expose Clémentine. J'admire sa ruse, sa capacité à anticiper des évènements.
Je propose de faire un essai ce week-end, en s'entourant de toutes les précautions. Clémentine souhaite que je filme.
Je trouve l'idée géniale. < Il n'y a aucun mal à se faire du bien. Surtout dans une période de confinement ! > dit elle.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine évoque d'autres possibilités de s'offrir des moments fous.
L'entreprise paysagiste par exemple. Ils sont souvent à deux employés. Un jeune et un plus âgé. De quoi s'amuser.
Je dis : < Clémentine, cette situation particulière prendra fin. Et comment réagiras tu alors ? >. Elle éclate de rire.
< Mais comme toujours, avec une totale indifférence et une totale désinvolture. Pourquoi ? > rajoute t-elle encore.
Nous en rigolons comme des bossus. Je glisse ma main entre ses cuisses. Mon doigt entre comme dans du beurre.

Ses bras autour de mon cou, tout en gémissant de plaisir, Clémentine fait : < Imagine un peu, confinée sans toi ! >
Je réponds : < Il en va de même pour moi ! Je suis si conscient de notre privilège ! >. Je la masturbe doucement.
La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Superbe.
Clémentine m'entraîne au lit. Il est à peine 21 h30. Elle se met à me sucer comme une assoiffée. Puis c'est à moi.
En faisant l'amour Clémentine confie quelques anecdotes concernant le voisin. Des choses jamais révélées. Génial.

Bonne soirée à toutes les coquines qui ne manquent pas d'imagination pour oublier ces temps difficiles...

Julien - (Je découvre, émerveillé, les révélations de Clémentine. Des choses sans importances à exploiter) -

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Classe - 30 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1100 -



On s'installe dans notre nouvelle existence

Hier matin, vendredi, je me réveille le premier. 6 h. A ma gauche, Clémentine qui dort encore. C'est tellement rare.
J'aime tant la regarder dormir. Souvent sur le dos, la bouche légèrement ouverte, totalement abandonnée. Si belle.
Hélas, mon plaisir est de courte durée. Clémentine est avertie par son infaillible sixième sens. Elle sait que je mâte.
Sans ouvrir les yeux, dans un gémissement lascif, elle se tourne pour se blottir contre moi. Comme un petit animal.
Nous luttons quelques instants contre l'impérieux besoin naturel. Inutile. Nous nous précipitons aux toilettes. Pissou.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. Préparer le petit déjeuner.
Je presse les oranges pendant que Clémentine fait le café. Les tranches de pain grillé sont éjectées de l'appareil.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Il est important de conserver toutes nos habitudes en ces jours.
Cela maintient le parfait équilibre physique et moral. La vaisselle. Nous remontons nous offrir notre heure de gym.
Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles et exercices abdominaux. Nous pratiquons avec l'intensité maxi.

La douche. Ces conditions de vie, encore exceptionnelles, nous permette d'êtres nonchalants. Prendre notre temps.
Nous descendons. Il est presque 7 h40. Le jour s'est levé depuis longtemps. Nous sortons marcher un peu. Superbe.
Il fait plutôt agréable. Nous faisons le tour de la propriété. Les arbres qui fleurissent avec une extraordinaire rapidité.
Nous rentrons. Les cours en ligne commencent à 8 h15. Nous allons dans l'atelier. Il est presque l'heure. Des bisous.
Clémentine est installée devant son ordinateur, son casque audio sur les oreilles. Je suis assis devant mon chevalet .

Je prépare ma palette. La peinture de cette vingt et unième toile destinée à ma saison d'été m'emplit de satisfaction.
Je peins dans un enthousiasme rare. La présence de la fille que j'aime est un formidable catalyseur d'énergie. Super.
Parfois, je me lève pour venir la rejoindre. Debout derrière elle je regarde le prof à l'écran qui exerce son cours. Bon.
Je lui masse la nuque. Elle écrit vite. Il faut prendre des notes qu'elle met au propre l'après-midi avec les questions.
Elle me saisit le poignet de sa main libre. Je n'entends pas ce que dit le professeur puisque Clémentine à l'écouteur.

La matinée se passe ainsi. Studieuse et productive. < Terminé ! > s'écrie Clémentine qui vient me rejoindre. Bisous.
Elle garde ses lunettes. J'aime la voir avec ses lunettes. Elles sont anti bleu et filtrent les rayon à plus de 35 %. Bon.
Passer des heures devant un écran nécessite quelques précautions. Le vendredi, les cours finissent à midi. Superbe.
Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Clémentine qui s'occupe de la salade d'endives. Je lave le choux fleurs.
J'épluche les patates. Je lave le tout. Je fais cuire à la cocotte minute. Ce sera pour le gratin de ce soir. C'est si bon.

A midi, ce sera du millet avec deux filets de colin pannés. Un coulis d'aubergine et de courgette. Clémentine m'aide.
< Tu ne t'ennuies pas avec moi ? Tu me supportes à longueur de journée ? > me demande t-elle en se serrant fort.
Je la rassure. Je cite en exemple nos vacances d'été en Ecosse. Et nous y sommes également ensemble 24 h sur 24.
< Je t'aime ! Moi je suis si contente d'être tout le temps avec toi ! > me chuchote t-elle en se blottissant contre moi.
J'égoutte le choux fleurs et les patates. Je verse le tout dans le plat en terre cuite. Il y en aura pour demain à midi.

Je rajoute le mélange œuf et crème fraîche. Du gruyère râpé. Je mets au four. On ne s'en occupe plus. C'est parfait.
Nous mangeons de bon appétit. Le millet doré, accompagné de colin pané et de coulis de légumes est un vrai délice.
Nous traînons à table. Dehors, le soleil est encore plus généreux. Si ça continue, on mange dans la véranda. Sympa.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie quelques fantasmes à venir. A exploiter.
J'écoute, amusé, les différentes déclinaisons possibles pour chaque situation. Clémentine a une imagination si fertile.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir. Joie.
< Je mets une robe ! > fait Clémentine en m'entraînant dans la chambre. < Et toi tu sors ton Zob ! > rajoute t-elle.
Assis sur le lit, je la regarde prendre des poses devant le miroir de l'armoire. Elle porte une robe. Des motifs floraux.
Comme elle est belle. Sa taille étroite. < J'ai pas de seins ! > lance t-elle en se touchant la poitrine. Elle s'accroupit.
< Mais j'ai du poil ! > dit elle. Nous éclatons de rire. < Viens on va au soleil ! > fait elle en m'entraînant par la main.

Nous allons au garage afin de prendre les chaises longues. Le gazouillis des oiseaux. La plus parfaite des musiques.
Nous voilà confortablement allongés. Le soleil est chaud. C'est limite. Je propose de chercher le grand parasol. Non.
< On ne sait pas si cette météo exceptionnelle va durer. Profitons ! > fait Clémentine en prenant ma main. Superbe.
J'ai la bite à l'air. < La thérapie du soleil ! > rajoute Clémentine en retroussant sa robe jusqu'au nombril. Nous rions.
Nous restons ainsi, immobiles. Clémentine s'endort doucement. Enfin, je vais pouvoir l'admirer tout à loisir. Fameux.

Et bien non. Cela ne dure que quelques minutes. < Il ne faut pas ! Sinon je ne dors pas bien cette nuit ! > fait elle.
Nous avons emmené un livre. Clémentine se plonge dans la lecture. La biographie Gala écrite par Dominique Dona.
Je me plonge dans la lecture de ce superbe ouvrage "Le matin des magiciens" de Louis Pauwels et Jacques Bergier.
Il y a les premiers insectes qui virevoltent. Rien de gênant. Et il y a deux écureuils qui s'amusent au bord du bassin.
Ça aussi, c'est merveilleux. Partager des moments de lectures. Nous le faisons trop rarement. Et l'après-midi passe.

Il est presque 17 h. La chaleur est moindre mais le climat reste très agréable. Clémentine se lève pour aller pisser.
Là, entre les rochers autour du bassin, elle s'accroupit à quelques mètres. Elle me fixe. Elle lâche plusieurs giclées.
Je suis assis au bord du transat pour admirer la scène. C'est magnifique. Et Clémentine prend des poses exagérées.
Nous en rions de bon cœur. < Il me faut une V.P. (Victime potentielle), dans les tous prochains temps ! > fait elle.
Avec le confinement, il y a peu de possibilités de s'offrir des exhibes devant des inconnus, des promeneurs. Difficile.

Nous sommes à la campagne. Il y a toujours des agriculteurs, des promeneurs de chien. Et quelques opportunités.
Nous percevons d'ailleurs au loin, le bruit du moteur d'un tracteur. Je propose à Clémentine de lui lécher la chatte.
J'adore après le pissou. Clémentine qui s'installe sur la quatrième marche du petit pont de bois au dessus du bassin.
Cuisses largement écartées, elle m'offre son sexe. Je viens me mettre à genoux sur la première marche. C'est bien.
A peine ai-je posé ma langue entre les lèvres charnues de son sexe que Clémentine a ce tressautement significatif.

Quand elle referme ses cuisses contre mes joues, je peux sentir les petits frissons contre mon visage. Je lèche. Bon.
Je me régale de ce sexe. Je suce un peu le clitoris géant de la fille que j'aime. Elle me saisit par les oreilles et guide.
Je l'entends gémir. C'est absolument divin. Nous restons ainsi jusqu'aux premières véritables fraîcheurs. Déjà 18 h.
Clémentine me repousse délicatement. Nous aimons tous deux rester excités le plus longtemps possible. Superbe.
Nous cessons juste à temps. Quelques instants supplémentaires et c'était l'orgasme. J'aide Clémentine à se relever.

Nous nous précipitons à l'intérieur. Clémentine a prévu un jeans et sa chemise à carreaux en coton. Elle se change.
Nous pouvons ressortir pour marcher un peu dans la propriété dont nous faisons le tour en flânant et en bavardant.
Nous saluons les Bertrand, nos plus proches voisins. Ils sont occupés dans leur potager. Nous commençons demain.
Nous bavardons un peu. Pour nous autres, à la campagne, le confinement, ça a du bon. Nous pouvons nous occuper.
La faim commence à se faire sentir. Nous avons notre gratin de choux fleurs qui nous attend. Nous prenons congé.

Il y a la voiture de la Gendarmerie qui se gare en haut du chemin. Deux gendarmes viennent prendre des nouvelles.
Nous bavardons un peu. Nous les rassurons. Car tout se passe très bien. Ils feront des visites régulières aux isolés.
Nous rentrons. Il est presque 19 h. Clémentine s'occupe de la salade et de l'assaisonnement. Je réchauffe le gratin.
Il reste du coulis d'aubergine et de courgette. L'accompagnement idéal. Et la table est mise. Nous passons au salon.
Clémentine allume l'ordinateur. Trois messages. Celui de Julie, celui d'Estelle et celui de Juliette. C'est sympathique.

Julie nous raconte son quotidien de confinée. Au jardin avec sa maman. Son papa continue de travailler. C'est bon.
Estelle nous raconte ses activités. Elle aussi passe le temps libre au jardin. Ses parents possèdent un grand terrain.
Quand à Juliette, elle ne manque pas d'occupations avec son haras. La seule visite étant celle du vétérinaire. Bien.
Nous répondons à chacune. La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit.
Le gratin est délicieux. Nous mettons au point la stratégie des courses à faire demain matin. Au marché du bourg.

Clémentine propose de nous faire livrer les légumes et les fruits mais d'aller à proximité du marché quand même.
Je devine la motivation. Nous éclatons de rire. < J'en ai trop envie on se munie de l'attestation, on est en règle ! >
Il est en effet possible de s'offrir quelques frissons sans le moindre risque. Si risque il y a bien évidemment. Rires.
Nous mettons tout cela au point. Excellente stratégie toute féminine qui me rend une fois encore admiratif. Super.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine rajoute encore : < Et demain matin je me surpasse ! >

Nous connaissons bien le bourg, ses proximités. Les abords du marché. Les recoins. Clémentine évoque les "plans".
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine.Il reste du gratin pour demain midi. Nous enfilons les K-ways pour ressortir.
La fraîcheur du soir est agréable et vivifiante. J'ai la bite à l'air. Clémentine est toute à son projet d'exhibe demain.
J'écoute en riant. Nous flânons. La nuit est étoilée. Il est déjà 21 h30. Nous rentrons. Nous montons nous coucher.
Nous avons mis la télé devant le lit. Nos mains tripotent le sexe de l'autre. On éteint très vite pour nous amuser...

Bonne soirée de confinement à toutes les coquines qui font preuve d'imagination pour vivre leurs fantasmes...

Julien - (J'écoute les secrets de Clémentine. Je lui offre un cunnilingus orgasmique. Elle me fait une pipe d'enfer) -

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Première "expédition" au marché

Hier matin, samedi, je suis réveillé par quantité de bisous que l'on me dépose délicatement sur le nez et les joues.
Lorsque Clémentine se réveille la première, elle déteste rester seule. Aussi, elle sait comment s'y prendre. Superbe.
Sans ouvrir les yeux, je la serre contre moi. Elle me saisit par mon érection naturelle pour chuchoter des douceurs.
< J'ai mes "machins de fille" avec un jour de retard ! C'est le confinement! > murmure t-elle. Nous éclatons de rire.
Il est 8 h. Nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues de gym, morts de faim, nous dévalons l'escalier.

Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Les tranches de pains éjectées du grille pain. Bruit sec.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Il nous est impossible d'aller courir dans la campagne. Merdre.
Clémentine propose de faire notre jogging en faisant plusieurs fois le tour de la propriété. Aller courir à l'extérieur.
Excellente initiative. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, clémentine rigole.
< Je prépare nos attestations de déplacement dérogatoire ! Nos ausweis obligatoires ! > lance encore Clémentine.

Nous en rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < C'est la loi martiale, il faut des laissés passer ! >. Cela est exact.
La vaisselle. Quelle surprise. Le ciel est couvert et gris. Mais c'est le froid qui est également revenu. C'est médiocre.
Il faut enfiler les K-ways, les bonnets et les gants. Nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement. C'est bon.
Nous avons le réflexe de descendre vers la rivière. Il y a 200 mètres au-delà de notre propriété. Nous hésitons. Dur.
< Viens, il faut savoir braver les interdits ! > fait Clémentine. Nous continuons à courir d'un bon rythme. Energique.

Je suis Clémentine. Nous courons sur l'étroit sentier le long de la rivière. Il n'y a évidemment personne. C'est super.
La rivière est encaissée sur plusieurs kilomètres. Nous sommes totalement invisibles de partout. La nature est belle.
Nous courons sur les trois kilomètres qui mènent aux bâtiments du haras que nous voyons là-bas. Belle expédition.
Nous faisons quelques exercices pour prendre le sentier dans l'autre sens. Une heure de running des plus agréables.
La douche. Nous nous habillons. Clémentine a mis sur imprimante une bonne trentaine d'attestations. Il faut cocher.

C'est la case "Déplacement pour achats de première nécessité". < C'est surréaliste ! > fait Clémentine en cochant.
Je prends le cabas contenant les sacs. Clémentine prend la glacière. Je sors la voiture. Le froid s'est accentué. Dur.
Je roule doucement. Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte. Il y a 3 km jusqu'au bourg. Tranquille.
Pas le moindre contrôle sur cette petite départementale totalement déserte comme toujours. Juste un gros tracteur.
Par contre, malgré la "guerre", il y a plein de monde. Je gare la voiture en retrait. Nous sommes vêtus chaudement.

< Viens, on va rôder un peu par là ! > fait Clémentine en m'entraînant dans une des ruelles en escaliers. Des gens.
Les gens du bourg font leurs courses comme d'habitude. Il n'y a aucune restriction. Les distances sont maintenues.
Chacun est conscient. Les gens de la campagne ayant le sens civique, chacun respecte les consignes d'éloignement.
Clémentine m'entraîne vers le petit square. Il est désert. Il y a là d'anciennes toilettes publiques toujours utilisées.
C'est une vieille maison ovale. Faite de pierres de tailles. Un toit en "chapeau chinois". Clémentine qui m'y entraîne.

Il y a un type qui en sort en même temps que nous y entrons. L'intérieur est semi circulaire. Quatre urinoirs muraux.
Deux lavabos. Quatre cabinets. C'est propre. Bien entretenu. Malgré la vétusté des lieux. Nous visitons les cabinets.
Clémentine ouvre chaque porte en tenant les poignées avec un mouchoir en papier. C'est nickel mais ça sent le caca.
Je me planque dans le dernier. Le couvercle est rabattu. Je monte dessus. Je peux voir par dessus le mur. C'est bien.
Clémentine imite une danseuse faisant ses pointes, virevoltant dans l'espace circulaire, bras levés, faisant des bonds.

Des bruits de pas. < Chut ! > fait elle soudain. Elle se positionne devant un lavabo. Le flacon de gel hydroalcoolique.
C'est un mec. Il est vêtu d'un anorak jaune. D'un jeans et de baskets. Il doit avoir la trentaine. Et de taille moyenne.
Il est plus petit que Clémentine. Il semble surpris de voir cette jeune fille ici. Il hésite. Urinoirs ou cabinet ? Cocasse.
Finalement, tout content de l'aubaine, sa libido prenant probablement les initiatives à sa place, il opte pour l'urinoir.
Il ouvre son anorak, ouvre sa braguette sans cesser de regarder la fille qui lui tourne le dos. < Bonjour ! > lance t-il.

Clémentine se retourne pour répondre : < Bonjour ! >. Il y a un flottement dans l'attitude de notre inconnu coquin.
Le type commence à converser. Je ne vois pas sa bite. Je ne sais pas s'il pisse. Il me tourne le dos. C'est surréaliste.
Clémentine engage la conversation avec cet aplomb qui m'excite toujours considérablement. Ils bavardent peinards.
Il est question du confinement. Des courses qu'il faut faire. Clémentine tout en parlant, fixe sans vergogne la queue.
Je ne sais pas ce que fait le type. Il est immobile. Pas de geste masturbatoire. Il se tourne. Je le vois de profil. Bite.

C'est une belle queue. Un peu tordue. Un prépuce qu'il décalotte à plusieurs reprises doucement tout en bavardant.
J'hallucine. Clémentine glisse sa main dans son jeans par le haut, relevant légèrement son pull. C'est époustouflant.
Avec le confinement qui va probablement se prolonger au delà des délais prévus, ces situations vont êtres sublimes.
Et nombreux seront celles et ceux qui retrouveront le sens des plaisirs simples, de l'attirance et de ces jeux sexuels.
En tous cas, cinq jours sans sortir provoquent déjà leurs effets sur Clémentine. Le type est très rassurant. Très cool.

< On va pouvoir s'amuser si tout cela dure ! Les flics auront bien d'autres choses à faire ! Non ? > fait notre gaillard.
< Tout à fait ! > répond Clémentine dont je vois le mouvement du poignet. Elle ne triche jamais. Vraie masturbation.
Je bande comme un salaud. Je ne veux pas prendre le risque de faire le moindre bruit. C'est trop génial de regarder.
Clémentine à quelques mètres de notre playboy de cabinets, se masturbe comme elle le fait à maison. Très souvent.
Le type commence enfin à se branler doucement. < C'est génial ! > lance t-il. < Génial ! > répond Clémentine. Vrai.

La situation perdure. Une bonne trentaine de minutes. Clémentine et ce gentleman branleur, bavardent. Surréaliste.
Pas une seule fois notre Casanova des cabinets ne fait la moindre proposition. Ce qu'apprécie vraiment Clémentine.
La chance est avec nous car personne ne vient. C'est vraiment une aubaine. Je suis terriblement frustré. Silencieux.
Le type accélère son mouvement. S'arrête, recommence. Le type maîtrise parfaitement son sexe, sa masturbation.
< Je vais juter ! Ça ne vous dérange pas au moins ? > fait le bougre en éjaculant parterre. Plusieurs jets puissants.

Il gicle. C'est surprenant. Au moins à deux mètres. Et quelle quantité. < Wouahhh ! > fait Clémentine admirative.
< C'est toujours autant ? > demande t-elle, espiègle et mutine. < Toujours devant une fille ! > répond Casanova.
Il débande assez rapidement. Il agite son sexe en direction de Clémentine en disant : < On refait quand tu veux ! >
< Il y a marché le mercredi et le samedi, c'est ça ? > demande Clémentine. < C'est ça ! > fait le mec, remballant .
Clémentine cesse de se masturber. Elle dit : < On se voit samedi prochain et à partir de 10 h30 ? Ça vous dit ? >

< Avec plaisir ! > répond notre homme en se réajustant. Il ne s'approche pas. Lui aussi respecte la bonne distance.
Il va vers la porte. < Au revoir. Moi c'est Thierry ! A samedi prochain ! > lance t-il sans même attendre de réponse.
Je sors du cabinet. Clémentine se blottie contre moi en murmurant : < Comme c'était bon ! J'en ai trop besoin ! >
Nous rions de bon cœur. Elle me palpe la braguette. Je bande comme un priapique en phase terminale. Belle bosse.
Nous quittons les lieux. Nous retournons chercher les sacs à la voiture. Nous faisons nos courses. Un vent très froid.

Nous faisons provisions de légumes, de fruits. Nous faisons provisions de fromages, de beurre, d'œufs et de yaourts.
Les sacs sont lourds. < Merdre ! > s'écrie Clémentine. Là, à une dizaine de mètre, le mec des WC. Avec une femme.
Il me voit. < C'est pour ça que c'était si cool ! > fait Clémentine. C'est une belle jeune femme, la trentaine. Superbe.
Nous nous croisons sans manifester la moindre émotion. Nous prenons la route du retour. Là encore, aucun contrôle.
Un peu plus de midi dix quand nous revenons à la maison. Nous rangeons nos courses. Nous montons nous changer.

Nous descendons. Clémentine s'occupe de la salade en me donnant ses impressions. Elle veut y retourner samedi.
< Je veux en savoir plus sur ce "Thierry". Tu as vu sa façon de se branler ? Comme toi. Totale maîtrise ! > dit elle.
Je dois reconnaître que c'est un alter égo tout à fait remarquable. Je réponds : < Et il a une superbe compagne ! >
< Fais gaffe ! Je suis jalouse comme une teigne ! > lance Clémentine. Je sais. Nous en rigolons comme des bossus.
Il suffit de réchauffer le gratin de choux fleurs. Je fais une sauce au Roquefort avec des champignons. Du gruyère.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine revient sur cette merveilleuse rencontre dans les WC.
Je suggère que nous allions à l'hypermarché mardi prochain. Comme Clémentine n'a pas cours l'après-midi, c'est ok.
< Je veux me surpasser. Quand tout ça sera terminé, je veux sucer tous les mecs qui montrent leur bite ! > dit elle.
Nous en rions de bon cœur. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine me confie ses ressentis. Joie.
La vaisselle. Nous rangeons notre cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir.

< Je te fais revivre la situation, tu veux ? > suggère Clémentine en glissant sa main dans son jeans. Je sors la bite.
Nous reproduisons presque exactement la situation. Clémentine qui se souvient de la conversation se met à parler.
Je réponds un peu comme le faisait le type. < C'est trop ! Viens ! > s'écrie t-elle en m'entraînant dans la chambre.
Elle me fait tomber sur le lit. Nous retirons nos vêtements. Clémentine a ses "petits machins de fille". Pas de soucis.
Je ne m'occupe que de son clitoris géant. Encore plus gros en cette période de règles. Et terriblement excité. Super.

Nous frôlons l'orgasme à plusieurs reprises. Je cesse toujours de sucer juste à temps. Un instant de calme et hop !
Je recommence. Clémentine est en sueur. Elle m'attire sur elle. Je ne peux pas la pénétrer. Nous restons ainsi. Bon.
Nous échangeons nos impressions. Je dis : < On se garde pour ce soir ! > quand Clémentine veut me faire une pipe.
Pour mettre fin à cette situation affolante, je me lève le premier. Clémentine me tend les mains. Je l'aide à se lever.
Nous nous habillons. Nous dévalons l'escalier en riant. Comme prévu, nous sortons au jardin. S'occuper du potager.

Il faut retourner la terre. Tous les deux, armés de bêches, nous nous mettons à bêcher. Avec gants de protection.
Nous faisons cela doucement. C'est tellement agréable. Il est rapidement 18 h. Quelques gouttes de pluie. Merdre.
Nous rentrons. Nous avons décidé de garder nos habitudes. Aussi nous préparons la potée pour le week-end. Bien.
Assis à la table de la cuisine, nous épluchons les patates, le céleri, le navet, les carottes et le choux. C'est sympa.
Estelle nous manque cruellement. Nous maudissons ces restrictions aux libertés. Mais il faut jouer le jeu. Obligés.

Nous gardons le contact. < Et ce sera encore mieux après ! > fait toujours Estelle à la fin de nos séances Webcam.
Clémentine s'occupe de la salade. Je pane deux beaux filets de colin. La potée mijote dans la vieille cocote en fonte.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Dehors, il s'est mis à pleuvoir. Si moche.
< Si nous rusons, nous pouvons nous offrir de supers plans avec des inconnus ! > précise encore Clémentine. Joie.
J'écoute ses suggestions. < De plus, avec le confinement, la libido s'exprimera beaucoup plus ! > lance Clémentine.

Il est certain que les plus malins trouveront là, en cette période troublée, quantité d'idées nouvelles. C'est superbe.
La vaisselle. Nous sommes épuisés. Le sexe, le jardin. Il est presque 21 h. Nous retournons au salon. La Webcam.
C'est le rendez-vous avec Estelle. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine raconte les WC.
< Put-Hein, je suis entrain de me chercher des "plans". Des trucs réalisables ! > fait Estelle qui se touche. Super.
Nous passons la soirée à bavarder ainsi, par Webcam interposée. A nous promettre mille folies après la "guerre".

Il est 22 h30. Debout devant l'ordinateur, j'agite ma bite devant l'écran. Le visage d'Estelle s'illumine de bonheur.
Clémentine qui passe derrière moi pour prendre le relai. < Put-hein ! Vous en avez de la chance ! > s'écrie Estelle.
Nous nous séparons à regret. Nous montons. Le dernier rituel pisseux avant d'aller au lit. Clémentine me branle.
Elle aime me raconter des trucs tout en jouant avec ma queue. Je lui promets une belle surprise demain. Superbe.
Clémentine me supplie de me comporter en "Maître" depuis quelques jours. Je ferai donc au mieux. Elle s'endort.

Bonne journée à toutes les coquines qui aiment à faire travailler leur imagination pour passer les temps difficiles...

Julien - (J'aime entendre Clémentine s'endormir. Sa respiration qui change. Son corps qui s'abandonne) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 32 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1102 -



Un dimanche presque normal

Hier matin, dimanche, je suis réveillé de cette façon si merveilleuse dont Clémentine fait presque mon quotidien.
De délicats bisous qu'elle me dépose sur le visage tout en saisissant mon érection matinale d'une main si douce.
Sans même ouvrir les yeux, je la serre contre moi pour parfaire cet enchantement paradisiaque. C'est l'émotion.
Clémentine glisse sous les draps pour téter l'extrémité de mon sexe. Juste quelques instants, elle remonte vite.
Nous sommes tous deux victimes de l'impérieux besoin de pisser qui nous oblige à nous précipiter aux toilettes.

Nos rituels pisseux. Il est presque 9 h. Nous dormons très rarement aussi tard. Nous nous habillons rapidement.
Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Dehors il fait un temps médiocre, un ciel gris et bas.
Le thermomètre extérieur indique 4°. Nous préparons notre petit déjeuner. Je presse nos oranges. Les vitamines.
Le bruit sec du grille pain qui éjecte les quatre tranches de pain complet. Clémentine nous a fait un superbe café.
Nous avons de la brioche. Un chinois au pudding. < Espérons qu'il ne contient pas de pangolin ! > dit Clémentine.

Nous en rigolons comme des bossus. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous parons de hier matin.
Cet inconnu que Clémentine a croisé dans les toilettes publiques au bourg. C'était une aventure exaltante. Sublime.
< Il m'en faudrait un tous les prochains jours ! > lance encore Clémentine. Nous en rions de bon cœur. C'est Drôle.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine fait le programme du matin.
Les dimanches matins sont assez semblables. Pas de gym. Deux heures sont consacrées au ménage, au nettoyage.

La vaisselle. Clémentine se propose de s'occuper de l'étage. Moi je m'occupe du ré de chaussée. L'excellente idée.
Un dernier bisou, Elle monte l'escalier en courant. Je commence par la cuisine. Je passe l'aspirateur partout. Bien.
J'ai un pincement au cœur. Une larme me monte à l'œil. Il me revient le souvenir des chansons d'Estelle. C'est dur.
Elle passait l'aspirateur en chantant. Je dois déglutir et serrer les dents. J'entends Clémentine chantonner à l'étage.
Je suis soudain serein. Je prends encore une fois conscience que nous sommes à deux pour affronter cette épreuve.

J'ai une pensée pour tous ces gens qui sont seuls. Confinés dans un appartement, en ville. Nous sommes privilégiés.
C'est sur ces considérations philosophiques que je termine de passer la serpillère avant de l'étendre aux toilettes.
Je monte rejoindre Clémentine qui termine pareil en haut. Elle se précipite pour se blottir contre moi. < Je t'aime ! >
Elle m'avoue avoir eu les même préoccupations que celle que je lui confie. < Préservons nous ! > me chuchote t'elle.
Nous nous embrassons amoureusement, avec fougue au point dans baver. Le délicieux goût de la brioche. C'est bon.

Il est déjà 11 h45. Nous dévalons les escaliers pour aller préparer notre repas. Clémentine s'occupe de notre salade.
Je réchauffe la potée. Le pavé de saumon a décongelé. Je l'émince pour le faire revenir à la poêle avec l'ail, l'oignon.
J'y rajoute des champignons. Je concocte une sauce au Roquefort que je verse sur le tout. Rien que l'odeur. Plaisir.
Nous mangeons de bon appétit tout en causant. Nous irons faire d'autres courses à l'hypermarché, mardi après-midi.
Nous ne manquons pas réellement de quoi que ce soit, mais c'est un excellent prétexte pour aller s'encanailler. Joie.

< Je vais me surpasser. Je veux une "V.P." (victime potentiel), de qualité ! > fait Clémentine. Nous éclatons de rire.
Quelque soit la météo, Clémentine mettra une jupe. Elle a besoin d'une exhibition magistrale, de très haut standing.
Nous en rions de bon cœur. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle fait des projets bien vicelards.
Nous traînons à table. Nous avons tout notre temps. Pas de promenade possible. La météo est sinistre. C'est moche.
La vaisselle. On range la cuisine. Clémentine se serre contre moi. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous.

< Je monte. Je te prépare une surprise. Tu m'en prépares une aussi ? > me fait elle. Je comprends immédiatement.
Elle monte à toute vitesse. Je vais au salon. Du tiroir du bas du bureau je tire le collier canin, la laisse, les menottes.
Je fixe des cordelettes aux pieds de chaise. J'allume l'ordinateur. Trois messages. Juliette, Estelle et Julie. Des longs.
Clémentine revient. Elle et vêtue de sa jupe kilt, d'un chemisier blanc, ses escarpins noirs, fermés et à talons hauts.
Elle est merveilleuse. C'est une vision angélique. Une apparition qui suscite à la fois l'admiration et l'excitation. Joie.

Elle fait le tour de la grande pièce sans cesser de me fixer. C'est si intense que j'ai du mal à ne pas baisser les yeux.
Elle prend un des épais coussins pour le jeter au milieu de la pièce. Je lui passe le collier canin autour du cou. Parfait.
J'y fixe la laisse. Ses mains derrière le dos dont je menotte les poignets. Je sors mon sexe et je l'agite vulgairement.
< Merci "Maître" ! J'ai besoin d'être reprise en main ! J'ai eu un comportement de salope hier matin ! > me fait elle.
Je prends la laisse pour la forcer à se relever. Je dis : < Venez ma délicate "Soumise" nous avons des messages ! >

Assise sur mes genoux, les mains menottées dans le dos, tenue à la laisse, Clémentine découvre les trois messages.
Avec le confinement forcé, chacune a le temps à consacrer à de longues missives. Celle de Julie est un vrai roman.
Elle nous raconte son quotidien. Elle vit avec ses parents dans une petite maison située dans un lotissement. Bien.
Elle a voisin vicieux. Voyeuse, Julie peut donc quelquefois provoquer des situations très affriolantes pour le vicieux.
Il lui suffit d'aller au jardin, vêtue en serveuse du restau, de longer l'arrière de la maison quand le type est dehors.

Elle se dissimule derrière la haie de lauriers. De là, elle peut voir ce mec se branler en tentant de lui montre sa bite.
Cela fait quelques années que ça dure. Mais là, avec le confinement forcé, c'est un jeu qui prend une autre ampleur.
Nous répondons à ce message. Clémentine me dicte les mots. Nous racontons notre aventure dans les toilettes hier.
Le message de Juliette est un aveux supplémentaire quand à ses perversions de bourgeoise. Kim Son, le palefrenier.
Juliette aussi s'amuse à créer des situations afin de troubler le jeune homme. Ce qui trouble Eveline, la palefrenière.

Pour le moment encore, le vétérinaire qui vient régulièrement visiter les écuries, est épargné. Ce sera pour bientôt.
Nous découvrons les stratégies que met en œuvre Juliette pour satisfaire tous ses vices. C'est étonnant. Si excitant.
Nous répondons. Là aussi Clémentine dicte les mots que je tape sur le clavier. Nous découvrons le courriel d'Estelle.
Elle nous raconte son quotidien. Ses parents qui ont réduit le temps de travail des cinq employés de leur entreprise.
Il n'y a pas de voisin direct. Estelle aussi est terriblement voyeuse. Elle nous raconte ses ruses, ses stratégies. Bien.

Il y a parfois un monsieur qui promène son chien. Il passe sur le chemin derrière la propriété, le long du bâtiment.
Ce sont les murs du hangar de l'entreprise. Pour provoquer les réactions souhaitées, Estelle joue à l'exhibitionniste.
Elle nous raconte sa façon de se faire surprendre, en jupette, et entrain de mimer des masturbations masculines.
Ce sont les détails qui sont passionnants. Elle tourne le dos à son promeneur de chien. Comme s'il y avait un type.
Un autre type, là bas à qui elle s'adressait ainsi avec la vulgarité qui lui est coutumière. Nous connaissons Estelle.

Nous savons de quoi elle est capable. Et le promeneur de chien commence à se comporter comme elle le souhaite.
Il se balade depuis deux jours, à l'abri de tout regard, la bite à l'air lorsqu'il passe sur ce tronçon du chemin. Bien.
Estelle a donc là également de quoi nourrir ses fantasmes. Nous répondons en lui racontant notre aventure de hier.
Les mails sont envoyés. Leurs lectures nous a quelque peu émoustillés. Des aveux de filles sont toujours excitants.
Je passe la main entre les cuisses de Clémentine. Un frisson secoue tout son corps. Je joue avec la ficelle. Tampax.

Je la force à se lever. Je me lève à mon tour. Je tire les genouillères du tiroir de bureau pour les fixer à ses genoux.
Ses genoux ainsi protégés, j'ordonne : < A quatre pattes ! >. Je la tiens à la laisse. Je l'emmène "promener". Joie.
Je lui fais faire le tour de la grande pièce à trois reprises. A l'angle des meubles, Clémentine lève la patte. Sublime.
Souvent, je me cambre sur mes genoux fléchis pour lui frotter la bite sur la gueule. Elle m'en présente les parties.
Je l'entraîne devant une des deux grandes portes fenêtres. Je dis : < Je vais t'emmener faire ton pissou dehors ! >

Elle en glousse de contentement. Je la force à se relever. Je la tire par la laisse pour l'entraîner hors du salon. Bien.
Dans le hall d'entrée, je dépose le manteau sur ses épaules. Je mets le mien car il cache ma queue. Je bande mou.
Nous sortons. Il fait plutôt froid. J'entraîne Clémentine. Nous descendons l'escalier. Je la tiens par la laisse. Parfait.
Nous restons sur les dalles de grès. Nous pouvons ainsi parcourir une grande partie de la propriété. C'est superbe.
J'entraîne Clémentine entre l'arrière de la roseraie et la haie de lauriers. Nous pouvons là êtres vus depuis le voisin.

Monsieur Bertrand est dans son jardin. C'est exactement ce que je souhaitais. Clémentine s'arrête. Une hésitation.
Je lance : < Votre désir, chère "Soumise", n'était-il pas d'être vue par notre voisin ! >. Clémentine est toute rouge.
Envahie par la honte, Clémentine marque un temps d'arrêt. Monsieur Bertrand est là-bas, à un peu plus de 300 m.
Je regarde. J'attends le meilleur moment. Celui ou il regardera vers ici. Il y a juste un espace à découvert. Parfait.
Là ! Il regarde. Il a les mains sur les hanches. C'est le moment que je choisis. Puis je donne un à coup sur la laisse.

Je retire le manteau des épaules de Clémentine qui grelotte. Elle est tirée par la laisse pour marcher derrière moi.
Penchée en avant, les mains menottées dans le dos, ses genouillères fixées aux genoux, ses talons hauts. Insolite.
Je louche en direction du voisin qui observe cette scène qui ne dure qu'un bref instant. Nous voilà à l'abri de tout.
Je remets le manteau sur les épaules de Clémentine. Nous retournons vite vers la maison. Un nouveau découvert.
Là, en longeant le mur du garage, depuis chez le voisin, la vue est précise. Nous lui tournons le dos. Il mâte. Sûr.

Nous rentrons vite. Il fait bien trop froid pour s'amuser plus longtemps dehors. Il fait bien chaud dans notre maison.
Je passe ma main sous la jupe kilt de Clémentine pour palper sa chatte. Bouillante. L'épreuve concluante. Excitée.
Je dis : < A présent, rien ne sera plus comme avant. Notre voisin aura un autre regard sur toi ! Tu es contente ? >
< Oui "Maître" ! Vous êtes si bon avec moi ! > répond Clémentine en s'accroupissant pour ouvrir en grand la bouche.
J'y fourre ma bite toute molle. Je regarde cette scène dans le grand miroir du hall d'entrée. C'est époustouflant. Bon.

C'est la fille que j'aime. Cette fille qui me supplie si souvent d'avoir ce comportement de "Maître". Là, elle se régale.
Je sors ma queue. Je saisis Clémentine par ses cheveux pour la faire tomber à genoux devant le miroir. Elle se mâte.
Son image l'a toujours érotisé. Sans narcissisme. Et comme beaucoup de jeunes filles de son âge son image l'excite.
Je me penche, mon visage tout près du sien pour murmurer : < Regarde un peu cette salope que je te présente ! >
Je tire ses cheveux pour faire bouger sa tête. Elle se fixe. Un air de défi. Comme fière d'être présenter à elle même.

Je fais : < Chère "Soumise", je vous présente Clémentine. Et vous ne rencontrerez jamais une telle autre salope ! >
< Oui "Maître" ! > fait elle en étant bien droite sur ses genoux, mains menottées dans le dos. Je lui mets une gifle.
Ce ne sont jamais des actes de violence. J'en serai bien incapable. Cela fait partie du rôle qui m'est demandé. Dur.
Je l'entraîne à quatre pattes pour retourner au salon. A nouveau je lui fait faire le tour de la pièce. Elle lève la patte.
J'ai préparé la cuvette en plastique. Posée au milieu de la pièce. Je l'y entraîne : < Votre pissou chère "Soumise" ! >

Clémentine, accroupie au dessus de la bassine, se concentre. Je dis : < J'exige dix jets. C'est un ordre ! Allez y ! >
Clémentine se concentre. J'entends sa respiration. Quand elle est excitée, ce sont là souvent des apnées répétées.
Il lui faut alors reprendre son souffle dans de longs soupirs. C'est un indicateur. Je constate son degré d'excitation.
Un premier jet. Je compte. Je lui mets une seconde gifle. Second jet. Je la saisis de ma main libre sous le menton.
Je la force à me fixer. Je murmure : < Vous êtes la plus belle des salopes ma délicieuse "Soumise" ! >. Elle sourit.

Troisième jet. Je compte. Il y en a même onze. Onze, notre valeur numérologique à tous les deux. Je l'en félicite.
Je m'accroupis pour contempler le contenu de la cuvette. Je dis : < C'est bien, vous êtes une bonne pisseuse ! >
Je la force à se relever. Je la fais s'assoir sur la chaise, le dossier entre les cuisses. Je détache enfin ses poignets.
Je les masse un peu. J'ordonne : < Mains sur la tête ! >. Clémentine pose ses mains sur la tête. Je la contourne.
Je lui frotte à nouveau la bite sur la gueule en murmurant ses obscénités préférées. J'évoque l'inconnu des WC.

Je lui enfonce la bite dans la bouche. Elle pompe comme si sa vie en dépendait. Je chuchote quelques aventures.
Des situations particulièrement vicieuses qu'a vécu Clémentine lors de nos expérimentations, de nos expéditions.
Lorsque je sors la bitee de sa bouche, il y a de longs filaments gluants qui l'y relie. Et pour lui pisser à la gueule.
Elle en tousse, elle en a des hauts le cœur. Le visage trempé. Des cheveux qui collent sur ses joues, sur le front.
Je lui mets une gifle. Cela fait gicler de la pisse partout. < Merci "Maître" ! > dit elle entre les pénétrations orales.

Nous passons une bonne partie de l'après-midi à ce jeu. Clémentine, haletante, reprend ses esprits sur le plancher.
Assise sur sa cuisse gauche dans une mare de pisse elle me regarde avec reconnaissance, avec tant d'amour. Belle.
Je suis assis dans le canapé. Nous nous observons ainsi longuement. Clémentine est ruisselante de pisse, de foutre.
Elle me demande : < Faites quelques photos mon bon "Maître ! >. Je saisis le smartphone pour en faire plusieurs.
Je me lève pour venir les montrer en disant : < Regardez moi cette merveilleuse salope ma délicate "Soumise" ! >

Il n'est bien évidemment pas question de montrer ces photos à qui que ce soit. Mais de les regarder rajoute du sel.
Je propose de mettre un terme à la séance. De monter prendre une douche. Clémentine me tend les mains. Super.
Je l'aide à se relever. Nous allons aux toilettes récupérer le seau, le balai et la serpillère pour tout nettoyer parterre.
Nous en rigolons comme des bossus. Nous montons à toute vitesse. La douche. Je sèche les cheveux de Clémentine.
Nous prenons notre temps à la salle de bain. < Je t'aime Julien. C'est tellement merveilleux nous deux ! > fait elle.

La faim commence à se faire sentir. Nous descendons jusqu'à la cave, la buanderie. Laver nos vêtements trempés.
Nous remontons. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe la potée. Je prépare une belle omelette. Gruyère.
Nous mangeons de bon appétit. Nous rions tous deux de nos yeux extraordinairement cernés. La fatigue du plaisir.
Nous traînons à table. Nous évoquons le voisin. < Maintenant il sait ! Je vais pouvoir m'amuser ! > fait Clémentine.
La vaisselle. Il est 21 h30. Nous montons nous coucher. J'offre à Clémentine un suçage de clito qui la fait hurler.

Bonne séance de "Soumission" à toutes les coquines dont c'est le fantasme. Bon début de semaine aux autres...

Julien - (J'écoute toujours les dernières confidences de Clémentine lorsqu'elle s'endort. C'est passionnant) -

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Nous nous installons dans notre nouvelle existence

Hier matin, lundi, Nous nous réveillons quasiment en même temps. Il est 6 h. Nous ne mettons plus le réveil. Mieux.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers.
Nous préparons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Dehors le jour se lève déjà.
Clémentine évoque notre journée de hier. La séance de "dressage" dont elle vante les mérites et le plus grand bien.
Nous en rions de bon cœur. Clémentine me supplie de refaire, de lui réserver de petites surprises. Je promets. Joie.

La vaisselle. Nous montons pour nous offrir notre heure d'entraînement. C'est toujours un grand moment de plaisir.
Jogging sur tapis roulants. Charges additionnelles et abdos. Nous pratiquons souvent avec l'intensité maximale. Bon.
La douche. Nous prenons tout notre temps. Les cours en ligne ne commencent qu'à 8 h15. Nous enfilons nos k-way.
Nous sortons faire quelques pas au dehors. Il fait un froid vif. Le thermomètre extérieur indique moins 4°. C'est dur.
< Voilà l'hiver au début du printemps ! > s'écrie Clémentine me tenant le bras. Nous faisons le tour de la propriété.

Monsieur Bertrand est déjà affairé dans son potager. Il nous voit et nous nous saluons d'un grand geste de la main.
Clémentine chuchote : < J'ai honte. Il nous a vu hier. Mais j'aime avoir honte, ça m'excite ! Tu refais ça bientôt ! >
Nous rentrons. Nous allons dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, son casque sur les oreilles.
Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette. Il est presque 8 h15. Nous voilà livrés à nos passions.
La peinture de cette vingt et unième toile destinée à ma saison d'été me plonge dans une délicieuse introspection.

Je peins avec un enthousiasme délirant. Encore décuplé par la présence de la fille que j'aime. C'est tellement super.
Les deux radiateurs fonctionnent. Parfois je me lève pour rejoindre Clémentine, passer derrière elle, regarder l'écran.
C'est le même prof que l'autre jour. Comme Clémentine porte les écouteurs, je n'entends rien de ce qu'il dit. Silence.
Clémentine me passe le bras autour des hanches sans cesser d'écrire. Je lui dépose un bisou sur la joue. Je la laisse.
La matinée se déroule ainsi jusqu'à ce que Clémentine s'écrie : < Terminé ! >. Il est 11 h45. Elle vient me rejoindre.

< J'aime cette méthode d'enseignement. Ça devrait être comme ça toute l'année ! Je serai avec toi ! > me fait elle.
Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Dehors le ciel est d'un bleu limpide. Il y a un magnifique soleil. Si beau.
Mais il fait un froid hivernal. A peine 4°. Un vent de Nord Est qui refroidit tout. Clémentine s'occupe de notre salade.
J'épluche des patates, je les coupes en fines tranches que je fais revenir à la poêle. Je coupe aubergine et courgette.
Je les fais cuire dans le wok avec de l'ail et de l'oignon. Je pane deux beaux filets de cabillaud. Chapelure, les œufs.

Je retourne constamment les fines tranches de pommes de terre pour en faire des chips. Et c'est une cuisson rapide.
Il y en aura également pour ce soir. Tout comme la garniture d'aubergine et de courgette. Je fais en grande quantité.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine revient sur notre séance de "dressage", hier. Sublime.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle voudrait bien refaire. Elle aime tant.
Je promets de lui réserver quelques surprises. < Une par jour ! Je fais pareil ! > s'écrie t-elle. Nous éclatons de rire.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. C'est drôle.
Clémentine mime une pipe en faisant une bosse à l'intérieur de sa joue avec la brosse à dent qu'elle branle en riant.
Nous nous rinçons la bouche au dessus du lavabo, tête contre tête. Nous nous redressons pour nous essuyer. Rire.
Je demande à Clémentine serrée dans mes bras : < Cette fois, tu as sucé qui ? >. Clémentine fait : < Le "Maitre" ! >
Elle glisse sa main dans ma braguette pour rajouter : < J'aime la bite de mon "Maître" ! >. Elle en extrait la queue.

Je propose d'aller prendre l'air. Clémentine m'entraîne en me tirant par le sexe. Nous descendons les escaliers. Vite.
Nous enfilons nos anoraks. Il fait un peu moins froid à l'abri du vent. Nous faisons le tour de la propriété. C'est bien.
Clémentine m'entraîne derrière la roseraie. Là, cachés par la haie de lauriers, nous pouvons observer vers le voisin.
Monsieur Bertrand passe ses journées à s'occuper à l'entretion sa propriété. C'est un vrai homme de la campagne.
Il est avec sa femme. Ils sont tous les deux sur des échelles à élaguer des arbres. Ils sont là, à trois cent mètres.

J'ai froid à la queue. < Oh la pauvre ! Viens, je la réchauffe ! > dit elle en s'accroupissant pour la prendre en bouche.
C'est immédiatement génial. J'ai l'impression d'avoir la bite dans un bol de purée chaude. Je lui caresse les cheveux.
Nous ne nous attardons pas. Il va être l'heure. Nous rentrons. Clémentine est assise devant son ordinateur. Parfait.
Je suis installé devant mon chevalet. L'après-midi est consacré aux questions que les étudiants peuvent poser. Bon.
J'entends quelquefois parler Clémentine. Comme si elle causait toute seule. Une interactions avec d'autres étudiants.

Il est pile 16 h quand je dépose la dernière touche de bleu de cobalt sur la surface de la toile. Clémentine a terminé.
Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte.
Si tout se passe bien, ce second trimestre se terminera encore mieux que le précédent. Elle trouve la formule idéale.
Le télé travail, les cours en lignes, permettent de revenir plusieurs fois sur des détails précis et de bien comprendre.
Nous quittons l'atelier. Nous enfilons nos anoraks. Il est 16 h30. Nous montons vers la petite route. Boîte aux lettres.

Il n'y a aucun courrier. Voilà la voiture de la gendarmerie. Nous bavardons un peu avec la jeune femme gendarme.
Ils patrouillent pour voir si personne n'a besoin de rien. Si tout va bien. Nous la rassurons. Nous restons longtemps.
Les gendarmes aussi ont besoin de parler un peu avec les gens qu'ils visitent. Ils ont besoin d'êtres rassurés aussi.
C'est une jeune femme d'une trentaine d'année. Plutôt jolie. Sexy dans son uniforme. Le gendarme fait de l'humour.
Nous rions beaucoup de quelques anecdotes qu'ils nous racontent. Il commence à faire réellement très froid. Vent.

Nous nous saluons. Je les invite à passer prendre le café la prochaine fois. < Ok ! Sympa ! > lance la jeune femme.
Nous les regardons partir avant de redescendre. Le moteur du motoculteur de monsieur Bertrand. Et plutôt lointain.
Nous faisons le tour de la propriété avant de rentrer au chaud. Il est presque 18 h. Nous allumons l'ordinateur. Joie.
Il y a trois messages. Celui de Julie qui nous raconte sa journée. Son voisin vicieux qui tente de lui montrer la bite.
Nous répondons en racontant un peu de notre dimanche après-midi, la séance de "dressage" de Clémentine. Super.

Le message de Juliette qui nous raconte sa journée. Les petits trucs bien vicelards auxquels elle se livre par jeux.
Le seul homme dans les écuries étant Kim Son, le jeune palefrenier, c'est sur lui que se focalise Juliette. Sublime.
Nous rions de bon cœur à imaginer les scènes qu'elle décrit là. Pousser Kim Son à se comporter en jeune branleur.
D'autant plus qu'Eveline, la jeune palefrenière, exerce elle aussi son jeu de jeune fille sur le jeune garçon. Sympa.
Il y a Mme Walter aussi. Ce n'est pas le travail qui manque dans une pension pour chevaux. Et ils sont 60 chevaux.

Nous répondons en faisant un copié/collé de ce que nous avons déjà écrit à Julie. La séance de "dressage" de hier.
Il y a le message d'Estelle qui nous raconte son dimanche. Elle qui pousse le promeneur de chien dans ses limites.
C'est très drôle. Ce type promène son clébard plusieurs fois par jour. Il s'attarde évidemment derrière le bâtiment.
Estelle se montre très rapidement. Juste pour allumer le mec. Depuis samedi, il s'arrête au même endroit. Il pisse.
Il le fait exprès. Estelle qui se montre très rapidement entre les cyprès qu'elle longe en tenant un outil de jardinage.

Elle nous invite à une Webcam demain soir, mardi. Garder nos contacts. Nous répondons avec le même copié/collé.
Nous joignons à chaque réponse une photo prise récemment. Clémentine sur mes genoux, ses bras autour de moi.
Il est presque 18 h45. Nous allons à la cuisine. La faim commence à se faire sentir. Clémentine prépare la salade.
Je réchauffe les pommes chips à feux doux. Je réchauffe la garniture d'aubergine, de courgette. Crevettes poêlées.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine évoque les aventures de Julie, d'Estelle, de Juliette.

Dans cette situation particulière de confinement, chacune fait preuve d'imagination pour continuer les petits plaisirs.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine en arrive à ses désirs. Joie.
< Quand tout cela sera terminé, j'exercerai une vengeance sans pitié sur la fatalité ! Je serai une salope ! > fait elle.
Nous en rigolons comme des bossus. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine avant de passer au salon. Il est 20 h30.
Nous voilà vautrés dans le canapé. < Tu comptes jusqu'à 50 et tu me cherches ! > dit soudain Clémentine. Surprise.

Elle se lève pour filer à toute vitesse. Quelle adorable compagne. Toujours pleine d'initiatives. Le feu de ses 22 ans.
Le confinement entre un homme d'âge mûr et une jeune fille devrait être une mesure gouvernementale prioritaire !
Cette pensée m'amuse. J'arrive à 50. Je me lève. Le silence est total. Je vais à la cuisine. Personne. Je vais aux WC.
Là, dans la lumière vacillante d'une bougie, Clémentine toute nue, assise contre le mur, cuisses largement écartées.
Elle se masturbe. Elle me fixe avec cet air de défi qui me procure toujours un véritable trouble, une sorte de vertige.

Je ne sais quoi faire. Je n'ai pas l'imagination débordante de Clémentine. Je décide rapidement de me fier à l'instinct.
Je sors ma bite. Je m'avance. Elle se masturbe en accélérant légèrement le mouvement de ses doigts sur son clitoris.
La petite ficelle blanche de son tampax pend dans sa touffe dense et fournie. Ce spectacle est merveilleux. Grandiose.
De voir cette jeune fille, ainsi livrée à tous ses vices, me comble de plaisir, de bonheur et de joie. C'est tellement bon.
Je tiens ma queue encore molle à sa base, entre le pouce et l'index. Je la sens durcir lentement. Je dois pisser. Bien.

Je dirige mon sexe que j'agite de plus en plus lourdement. Je pisse sur la fille qui en gémit de plaisir. Elle se branle.
Je pisse sans cesser. Clémentine est rapidement trempée, assise dans une flaque de pisse. Elle se masturbe. Super.
Elle pousse de petits cris en se tortillant. Des frissons parcourent tout son corps. Ses cuisses qui tremblent. Génial.
Je la saisis par ses cheveux attachés en catogan pour la traîner dans toutes les toilettes. C'est là une grande pièce.
Je la tire en la faisant glisser sur le carrelage. Avec la pisse ça glisse tout seul. Et elle ne cesse pas de se masturber.

Depuis plus de trois ans que nous vivons ensemble, je connais parfaitement la nature profonde de ma compagne.
Je sais sa nature de "soumise". Clémentine est une authentique soumise et c'est le pivot central de toute sa libido.
Cela me dépasse totalement. Aussi, chacune de mes attitudes de "Maître", la propulse aux confins de ses plaisirs.
Là encore, je me surpasse. J'essaie d'être à la hauteur de la demande. Sans aucune violence, je lui mets une gifle.
Cela fait partie du jeu. Je la force à se mettre à genoux. Je lui frotte la bite sur la gueule en murmurant des trucs.

Nous détestons tous deux la sodomie. Clémentine a ses règles. Il ne reste que sa bouche à souiller de ma queue.
Je l'y enfonce en la maintenant de mes deux mains par les oreilles. Puis par la nuque. Sous le menton. Le vicelard.
C'est un concerto de gémissements, de petits cris et de gloussements. Clémentine ne cesse de se masturber. Bien.
Je lui éjacule au fond de la gorge en la maintenant fermement. Elle en tousse, manque de s'étouffer, pour déglutir.
Elle ouvre les yeux pour me lancer un regard plein de reconnaissance. Un regard amoureux plein de remerciement.

Je lui mets une seconde gifle. De la pisse gicle partout. Je la force à se relever. Clémentine est mouillée et grelotte.
Je prends une large serviette dans le placard pour la frotter énergiquement. < Je t'aime Julien ! > murmure t-elle.
Nous nettoyons le sol que le mélange de nos pisses a littéralement inondé. Et nous en rigolons comme des bossus.
Nous montons à toute vitesse. Nous prenons une douche. Je sèche les cheveux de Clémentine. Le sèche cheveux.
Au lit, je lui offre le plus merveilleux cunnilingus. Elle en hurle de plaisir. Je m'applique. Elle veut me sucer encore.

Lorsque je suce le clitoris géant, incroyablement turgescent de Clémentine, je peux sentir les battements de cœur.
Elle aime se confier, me raconter les choses les plus vicieuses pendant que je m'applique. Et c'est absolument divin.
Lorsque le second orgasme l'envahit elle se cambre comme en proie à une douleur hystérique. C'est fabuleux. Bon.
La voilà enfin revenue au calme, sa tête posée sur ma poitrine, tenant mon sexe, me décrivant tout ce qui l'habite.
Nous nous endormons ainsi dans une volupté étourdissante. Envahis d'une sérénité absolue. Confinés, c'est si bon.

Bonne soirée à toutes les coquines qui ont besoin d'émotions, de sensations, de situations délirantes et intenses...

Julien - (J'aime tant écouter Clémentine s'endormir contre moi après m'avoir chuchoté les dernières révélations) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 34 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1104 -



Le mardi Clémentine termine à midi

Hier matin, je suis réveillé par les mouvements que fait Clémentine encore dans son sommeil. Il est presque 6 h.
Je la serre contre moi pour lui chuchoter : < Il faut se lever. Il y a école ! >. Elle se blottit contre moi. Très fort.
Nous restons ainsi quelques instants à nous faire des papouilles en tentant de lutter contre cet impérieux besoin.
N'en pouvant plus, en riant, nous nous précipitons aux toilettes pour y pisser dans une volupté qui nous soulage.
Vêtus de nos tenues de sport, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Dehors même climat.

Nous préparons un copieux petit déjeuner que nous savourons en bavardant. Clémentine évoque notre soirée, hier.
< Il faut une surprise tous les jours ! > fait elle. Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle puis nous remontons.
Notre heure d'entraînement. Intensive. Joggings sur tapis roulants, charges additionnelles et les abdominaux. Joie.
La douche. Nous nous habillons. Nous enfilons nos anoraks, nos bonnets et nos gants. Thermomètre extérieur -4°.
Il est à peine 7 h40. Nous parcourons la propriété. Le froid est vif et toujours ce vent polaire. C'est si désagréable.

Le ciel est d'un bleu limpide. Le soleil en est déjà le maître. Clémentine reste tout près de moi en tenant mon bras.
Nous rentrons pour aller dans l'atelier. Il est 8 h10. Clémentine est assise devant son ordinateur, bientôt les cours.
Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare ma palette. Je commence la vingt deuxième toile pour ma saison.
Un des paysages dont j'ai fait le dessin préparatoire durant les vacances de février d'après une photo des environs.
Je peins dans cette volupté enchanteresse que me procure la présence de la fille que j'aime. Un très grand moment.

Parfois je me lève pour rejoindre Clémentine. Je lui masse délicatement la nuque, le cou. Elle est là en plein cours.
Sur l'écran, il y a un professeur qui parle et je n'entends rien puisque Clémentine porte son casque sur les oreilles.
Elle passe son bras autour de mes hanches pour me garder près d'elle tout en écrivant. Nous faisons plusieurs fois.
La matinée se déroule ainsi. < Fini ! > s'écrie Clémentine depuis la table de travail. Il est 11 h48. Le cours est finit.
Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Cet après-midi nous partons pour la zone commerciale, y faire nos courses.

Clémentine m'entraîne par la main jusqu'à la cuisine. Elle s'occupe de la salade. Je fais gonfler du riz complet "Bio".
Je coupe les poireaux en petits morceaux que je lave et que je plonge dans l'eau bouillante. Je prépare la Béchamel.
Nous préservons soigneusement tous nos rituels. Dont celui de la Flamiche Picarde, tarte au poireau du mardi soir.
J'égoutte les poireaux pour les verser dans la Béchamel. Je rajoute du gruyère de Comté. Je couvre d'un couvercle.
Je fais la pâte à pain. Clémentine dresse la table en me racontant les cours du matin. Cette formule en ligne l'a ravi.

La pâte à pain repose sous un linge. Notre repas du soir et de demain midi est assuré. Le récupère de la Béchamel.
En sauce avec le riz et deux filets de saumon poêlé à l'échalote, à l'ail. Nous mangeons de bon appétit en causant.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine fait le programme du jour.
Nous ne cédons à aucune psychose. Nous faisons toujours une liste des courses à faire. Il suffit de doubler le tout.
Nous avons depuis toujours un stock de papier cul assez conséquent. Inutile d'en dévaliser les rayons au magasin.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents et nous changer. Clémentine veut profiter de cet espace de liberté.
Pouvoir retourner dans le monde, ne serait-ce que quelques heures. Elle porte sa jupe kilt à carreaux rouges. Belle.
Un chemisier crème sous un pull noir au col en "V". Ses bas noirs fixés à son porte-jarretelle noir. Souliers à talons.
Sur sa demande, je porte un pantalon noir à plis et à pinces. Chemise blanche sous un pull noir sous la veste noire.
< Regarde comme on est beaux tous les deux ! > fait Clémentine en se serrant contre moi. Nous faisons les pitres.

Clémentine s'accroupit. Sa tête posée sur ma jambe qu'elle tient dans ses bras. Elle écarte largement ses cuisses.
< Mon bon "Maître" m'autorise t-il à faire ma salope cet après-midi ? > me demande t-elle en montrant sa chatte.
Ses "petits machins" de fille sont terminés. Plus de petite ficelle blanche dans la touffe abondante. C'est superbe.
Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Ma délicieuse "Soumise", je vous y encourage totalement ! >. Joie.
Toujours accroupie, passant devant moi, Clémentine frotte son visage contre ma braguette. Je sors ma bite molle.

Je lui passe la queue sur la gueule. < Mmhh ! > fait elle toute heureuse de mon initiative. Je la laisse téter un peu.
Je la force à se redresser. < Je vous aime "Maître ! > dit elle. Je fais : < Je vous aime ma délicieuse "Soumise" ! >
Nous descendons. Nous mettons nos manteaux. Nous prenons encore la pose devant le miroir du hall d'entrée. Bon.
Nous sommes d'une élégance folle. Nous sortons. Clémentine s'est occupée des attestations dérogatoires de sorties.
< Nos Ausweis Herr Kommandant ! > fait elle. Nous en rions de bon cœur. Nous voilà en voiture. Il fait très froid.

Je roule doucement. En cas de contrôle, il est préférable de rouler braguette fermée. Clémentine en palpe la bosse.
Il y a treize kilomètres jusqu'à la zone commerciale par cette petite route souvent déserte à longueur d'année. Bon.
Pas l'ombre d'un policier. Nous arrivons sans encombre. Ce qui est normal, nous ne l'avons pas emmené avec nous.
Je gare la voiture sur le parking de l'hypermarché. Il y n'y a pas trop de monde. Je mets des gants en caoutchouc.
Avec un peu de gel hydro alcoolique sur un mouchoir je nettoie consciencieusement la poignée du caddie. Propre.

Clémentine nous entraîne dans les rayons. A part le personnel portant des masques, tout paraît absolument normal.
Pas de rayons dévalisés. Pas d'hystérie. Les quelques clients ont un comportement parfaitement normal. C'est Bien.
Nous prenons notre temps. Cela fait du bien d'être là, dans la vraie vie. Même s'il y a des endroits où rôde la mort.
Clémentine, fermement décidée à se surpasser à la moindre opportunité, commente à voix basse notre expédition.
Nous faisons nos achats. Nous prenons toutefois tout en double. Réflexe imbécile mais assez naturel vu la situation.

Pâte dentifrice, savon Bio, lingettes, papier absorbant. Boîtes de crevettes. Farines complètes et Bio, en quantité.
Clémentine tient la liste. Cette fois, le chariot est bien rempli. < Comme des blaireaux ! > lance Clémentine. Rire.
Elle m'entraîne au rayon culturel. Il y a quelques individus soucieux de meubler le confinement avec de la lecture.
Il y a ce jeune homme, la trentaine, qui est accroupit devant le rayon du bas. Les polards. Il porte jeans et anorak.
Il a des lunettes. Clémentine prend le caddie pour s'approcher. Je reste à l'écart au rayon des bandes dessinées.

Clémentine met le chariot contre le rayon, à sa gauche. Il fait écran et dissimule ce qu'elle s'apprête à faire. Super.
J'ai toujours le cœur qui bat la chamade lorsque j'observe sa manœuvre d'approche. Sa manière d'entrer en scène.
Le jeune homme ne porte encore aucune attention à cette splendide jeune fille debout à environ deux mètres. Bon.
Clémentine ne tarde pas à s'accroupir. Le caddie la protège de tout regard sur sa gauche. Et l'homme sur sa droite.
Excellente combine. De trois quart tournée vers le type, elle tire un livre, le remet pour en prendre un autre. Bien.

Je contourne mon rayon pour tenter de mieux voir. Clémentine écarte légèrement les cuisses à chaque mouvement.
C'est absolument prodigieux. De là où je suis, à une dizaine de mètres, je ne distingue pas sa chatte velue et poilue.
Je me déplace. Je vais de l'autre côté, au rayon des bouquins de cuisine. Là, je louche discrètement le jeune homme.
Il s'est rendu compte de ce qui lui arrive. Le veinard. L'élu des dieux. Je le vois gagné par le trouble. Il mâte partout.
Cette formule est géniale. Comme me l'explique Clémentine, c'est souvent le type qui fait le guet puisqu'il surveille.

Clémentine contrôle à la perfection la situation. C'est elle qui mène les festivités. Et une distance de 2 m les sépare.
Je vois le mec faire semblant de feuilleter les bouquins qu'il tire machinalement du rayon. Il louche. Il ruse. Super.
Il mâte discrètement à s'en déboiter les globes oculaires. Clémentine carrément positionnée vers lui. C'est énorme.
Ils méritent bien des félicitations les hommes qui arrivent à garder leur sang froid dans ces situations si affolantes.
En voilà encore un qui mérite d'être décoré de la grande croix de la Légion "Voyeur". Comment entrer en contact ?

La situation perdure. Clémentine en rajoute. La véritable virtuose. Le type se lève le premier, massant ses genoux.
Clémentine, à la limite de l'ankylose, fait de même. Elle se tourne pour saisir le chariot et s'en aller. Le test ultime.
Le jeune homme l'a regarde s'en aller. Il semble hésiter. Il se raisonne certainement car il reste devant les rayons.
Clémentine fait le tour de l'allée, me fait un clin d'œil, lève discrètement le pouce de la main droite et y retourne.
Cette fois, c'est à droite du jeune homme. Je le devine enchanté du retour de cette délicieuse exhibitionniste. Joie.

Il faut préciser qu'il a passé le test avec brio. Clémentine déteste les boulets, les dragueurs ou encore les suiveurs.
C'est elle qui veut le contrôle, ne pas être importunée. Les "baratineurs" sont la pire chose qui puisse arriver. Dur.
La voilà accroupie de l'autre côté de notre gaillard. Il ne tarde pas à s'accroupir aussi. Et le même jeu recommence.
Je bande comme un salaud. Certainement autant que la "V.P." (Victime Potentielle) de Clémentine. Il reste adroit.
Je retourne aux bandes dessinées pour bien observer les réactions du jeune homme. C'est son jour. Gain au Loto.

Je me déplace. Clémentine fait toujours ses démonstrations pour nous deux. Ce qui importe ce sont ses sensations.
Ce sont les situations d'exhibitions contrôlées qui restent la plus grande source pour alimenter sa libido. C'est super.
Elle "pratique" depuis l'adolescence. Elle a acquis un extraordinaire savoir faire. Ce qui compte ce sont ses émotions.
Les situations où se mêlent la honte, le vice, l'excitation et le courage. Les ingrédients magiques, nécessaires. Bien.
L'ankylose gagne probablement à nouveau car cette fois c'est Clémentine qui se redresse la première. Le type suit.

Il s'est établi une complicité avec cet inconnu. A nouveau Clémentine s'en va. Le jeune homme qui reste à sa place.
Ce comportement a toute la préférence de Clémentine. Ce type joue le jeu à la perfection. La "Victime" consentante.
Clémentine passe tout près de moi pour chuchoter : < Génial ! >. Nous jouons aux parfaits étrangers. C'est fameux.
Nous y avons tant joué et pourtant c'est à chaque fois comme une grande première. Clémentine fait le tour du lieu.
Elle revient à nouveau. J'ai envie d'aller féliciter ce jeune mec. Clémentine reproduit pour la troisième fois le "plan".

Une fois encore, ce parfait gentleman ne tente rien. Un timide ? Un introverti ? Ou un voyeur passif qui se régale ?
J'opte pour cette hypothèse. Un connaisseur. Un de ces esthètes qui savent que s'ils interviennent tout se termine.
Nous en avons déjà rencontré quelques uns. Tout le contraire des pénibles "morts de faim" qui font chier les filles.
Il n'a pas non plus de comportement suspect. Il a toujours un livre en main qu'il feuillette en louchant. Très discret.
L'ankylose. Clémentine qui se redresse. Le mec fait à chaque fois la même chose quelques instants après. Synchro.

Cette fois, c'est lui qui s'en va. D'un pas nonchalant. Clémentine se débrouille, là-bas, pour le croiser. Un sourire.
Elle récidive à nouveau. C'est un véritable jeu de séduction. Pourtant notre homme reste distant. Souriant aussi.
Finalement il quitte complètement la zone du magasin où nous nous trouvons. Clémentine qui vient me rejoindre.
< Alors là, chapeau ! Tu as vu ? Je lui ai fait la "totale" ! Rien ! > me fait Clémentine. Nous en rions de bon cœur.
C'est en passant en caisse que nous avons un début d'explication. Le jeune homme est accompagné. Une femme.

Elle semble légèrement plus âgée que lui. < Brigitte et Emmanuel ! > lance Clémentine. Nous en éclatons de rires.
C'est une femme très élégante. Elle tient le jeune homme par son bras pour lui montrer des articles dans un rayon.
< Une "cougar" en virée ! > fait encore Clémentine. Nous flânons dans le magasin. Nous prenons tout notre temps.
Il y a de moins en moins de monde. Il n'y a plus aucune opportunité. Dommage car Clémentine est bien "allumée".
Le rayon poissonnerie. Nous passons en caisse. Nous déambulons dans la galerie commerciale. C'est très sympa.

Nous retournons à la voiture. Nous prenons la route du retour. Toujours aussi déserte. Il est 17 h30. Nous rentrons.
Je roule doucement. Clémentine palpe l'énorme bosse qu'il y a dans ma braguette tout en racontant ses émotions.
Ses exhibitions sont toujours source de plaisirs intenses. Elles lui sont aussi nécessaires que l'air qu'elle respire. Joie.
Il est presque 18 h quand nous arrivons à la maison. < Un petit tour dans la civilisation ! > lance Clémentine. Rires.
Nous rangeons les courses. Les poissons dans le congélateur à la cave. Clémentine se frotte contre moi. Si contente.

Nous remontons nous changer. Je propose de nous garder pour la soirée et ne rien commencer malgré l'excitation.
Nous dévalons l'escalier pour aller à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare la tarte aux poireaux.
Voilà notre Flamiche Picarde au four. La table est mise. Nous allons au salon. Clémentine allume notre ordinateur.
Trois messages. Celui de Juliette, celui d'Estelle et celui de Julie. Juliette nous raconte ce qui se passe aux écuries.
Il y a encore 55 chevaux dont il faut s'occuper. Les propriétaires, confinés, préfèrent laisser les bêtes en pension.

Dix autres seront toutefois cherchés d'ici samedi. Juliette évoque évidemment l'évolution de la situation. Vicieuse.
Elle nous apprend que Kim Son, son palefrenier est "courageux". Nous comprenons. Nous répondons. Félicitations.
Estelle nous raconte son quotidien. Elle travaille beaucoup à ses études. Il y a du travail au bureau de la "boîte".
Il y a également ce promeneur de chien qui passe au moins dix fois par jour. Qui lui montre sa queue en soirée.
Là aussi, l'évolution des choses est fort plaisante. Estelle, reste à présent à découvert pour être bien vue. Super.

Le message de Julie qui nous raconte son confinement. Avec ses parents dans la maison du lotissement en ville.
Là également, les choses évoluent favorablement. Son voisin est également un véritable exhibitionniste. Super.
Nous répondons en racontant un peu de nos aventures. La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine.
Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Clémentine évoque les aventures de ses trois consœurs si salopes.
Nous rigolons comme des bossus. < Les membres du "Club" savent occuper leurs confinements ! > lance t-elle.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine me confie le plaisir des émotions vécues cet après-midi.
< J'avais envie de me toucher. La prochaine fois, je monte encore la barre d'un cran ! > lance Clémentine. Rires.
Je dis : < La barre du mec ? >. Rigolade. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons. Il est déjà 21 h15.
Au lit, j'offre à Clémentine une alternance de cunnilingus, de pénétrations qui la font hurler de plaisir. Je m'applique.
Son orgasme est nucléaire, cataclysmique. Je lui propose de remettre la pipe à demain. Je promets d'être vicelard.

Bonne exhibitions à toutes les coquines qui aiment "s'allumer" devant un inconnu soigneusement choisi.

Julien - (J'écoute les dernière confidences vicieuses de Clémentine qui s'endort serrée dans mes bras) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 35 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1105 -



Prendre son temps pour toute chose

Hier matin, mercredi, je suis réveillé par Clémentine qui se blottit soudain contre moi en gémissant très fortement.
Je suis immédiatement inquiet. < J'ai fait un mauvais rêve ! >me chuchote t-elle comme souffrante. Je la serre fort.
Je lui propose de me raconter ce mauvais rêve devant notre bon petit déjeuner. Nous nous précipitons aux toilettes.
Il est 6 h. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gymnastique, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Parfait.
Je presse nos oranges. Clémentine s'occupe du café. Les tranches qui sont éjectées du grille pain avec un bruit sec.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me parle de son rêve. Une sorte de vision apocalyptique de la situation.
J'écoute en silence. Clémentine est une authentique médium. Elle a toujours un sens aigu, profond des évènements.
Et cela se vérifie à chaque fois. Elle relate des choses inquiétantes. Ce qui ne l'empêche pas d'avoir des bons mots.
La vaisselle. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entrainement. C'est une véritable thérapie. Un bonheur.
Jogging sur tapis roulants. Charges additionnelles. Nos exercices abdominaux au sol. La douche. On traîne pas mal.

Nous prenons tout notre temps. < C'est bientôt tout ce qui restera à prendre ! > lance Clémentine, éclatant de rire.
Nous nous habillons. Nous redescendons. Nous enfilons nos anoraks, nos bonnets et nos gants pour sortir. Le froid.
Le ciel est immensément bleu. Le soleil en est le roi. Par contre ce vent glacial nous projette en pleine hiver. Dur.
Il est 7 h40. Nous parcourons la propriété. Clémentine me tient par le bras. Elle revient sur son rêve. Nous flânons.
Monsieur Bertrand, là-bas, à quelques trois cent mètres, est déjà affairé dans son potager. Nous rentrons au chaud.

Il est 8 h10. Clémentine est installée devant son ordinateur, le casque sur les oreilles. Les cours commence à 8 h10.
J'allume un bon feu dans la cheminée. Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Joie.
La peinture de cette vingt deuxième toile destinée à ma saison d'été m'envahit rapidement d'une profonde sérénité.
Je peins animé d'une grande paix intérieure. Parfois, je me lève pour rejoindre Clémentine. Je suis là, derrière elle.
Je masse son cou, sa nuque. Je lisse ses cheveux. Elle me fait passer à sa gauche avec son bras autour de ma taille.

Elle écrit rapidement mais directement au propre. A l'écran un des professeurs de la fac donne son cours magistral.
Je n'entends pas ce qu'il dit puisque Clémentine porte les écouteurs. Je viens ainsi la retrouver à trois reprises. Joie.
< Terminé ! > s'écrie Clémentine. Il est 11 h50. Elle met deux bûches dans cheminée et vient me rejoindre. Bisous.
Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade tout en racontant ses cours. La laitue.
J'épluche les patates que je coupe en petits morceaux pour les faire cuire à l'eau bouillante. Je prépare l'aubergine.

Je fais revenir des crevettes à la poêle avec de l'ail et de l'oignon. J'y rajoute l'aubergine, du persil de la ciboulette.
J'égoutte les pommes de terre que je passe au moulin pour en faire une onctueuse purée. Je rajoute du lait de soja.
Du gruyère râpé, des épices, du sel. Je verse un petit pot de crème fraîche sur les crevettes. J'éteins le feu. Parfait.
La table est mise. Nous faisons suffisamment pour faire deux repas. Nous mangeons de bon appétit tout en parlant.
Nous traînons à table. Clémentine n'est pas du genre à verser dans la théorie du complot. Elle reste donc prudente.

Elle revient sur ce rêve que nous n'espérons pas prémonitoire. Elle évoque les scénarios les plus probables. La crise.
< Des gens obligés de travailler 60 h par semaine. C'est réduire un peuple à l'esclavage ! > lance Clémentine. Folie.
J'écoute le développement de son raisonnement. Tout se tient toujours. Nous traînons à table. Un repas si délicieux.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine passe à un autre sujet. Beaucoup plus rassurant.
Elle évoque notre aventure à l'hypermarché, hier après-midi. Le comportement du jeune homme très distant. Rire.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. On en rit.
Il n'y a pas meilleure catharsis que le rire. Clémentine d'un naturel optimiste, à retrouvé toute sa forme. Dérision.
Du dentifrice aux coins de la bouche, elle fait une bosse à l'intérieur de sa joue avec la brosse à dents. La fellation.
Nous nous rinçons la bouche, tête contre tête au dessus du lavabo. Je demande : < Là tu faisais une pipe à qui ? >
< Au mec de hier, derrière le rayon des bouquins ! > fait elle. Nous en rigolons comme des bossus. C'est si drôle.

< Tu sors ta bite Julien ? > me dit Clémentine en prenant l'initiative de glisser sa main dans ma braguette ouverte.
Je me retrouve rapidement avec le Zob mou dans la main chaude de Clémentine qui m'entraîne ainsi dans l'escalier.
Nous enfilons nos anoraks. Bonnets et gants. C'est ce vent détestable qui rafraîchit l'atmosphère. Nous voilà dehors.
Il est 13 h30. Nous parcourons la propriété. Nous descendons même jusqu'à la rivière à 300 m. Le terrain du voisin.
L'eau est claire et limpide. Nous restons sur le sentier. Tous les arbres sont en fleurs. Malgré les gelées nocturnes.

Nous ne nous éloignons pas trop. Pas pour respecter le kilomètre autorisé mais parce que les cours vont reprendre.
J'ai un peu froid au sexe malgré l'anorak fermé. < Oh le pauvre ! > fait Clémentine en s'accroupissant pour sucer.
Je lui caresse la tête en lui chuchotant des douceurs et des cochonneries. Nous prenons le chemin du retour. Bien.
Cette fois, en remontant de la rivière, monsieur Bertrand nous aperçoit. Nous nous saluons de loin. Geste du bras.
Nous rentrons au chaud. Nous allons dans l'atelier. Il y fait chaud. Clémentine qui s'installe devant son ordinateur.

Je suis assis devant mon chevalet. Je peins avec la même profonde sérénité que ce matin. Des séances magiques.
La proximité de la fille que j'aime. Tous les éléments sont réunis là pour travailler dans les meilleures dispositions.
Il y a des interactions entre les étudiants et le professeur. J'entends les questions et les échanges de Clémentine.
C'est un peu surréaliste car je n'entends pas les réponses. L'après-midi se passe ainsi. Fructueux, gratifiant. Riche.
< Fini ! > s'écrie Clémentine qui vient me rejoindre. Je nettoie la palette et les pinceaux. Clémentine qui sautille.

Elle fait ainsi le tour de la pièce. Imitant une danseuse de ballet qui ferait des pointes avec des positions vicieuses.
C'est si drôle. < Je m'en fout du reste. Je suis toute la journée et toute la nuit avec toi ! > crie encore Clémentine.
Elle me saute au cou. Comment pourrais je vivre sans cette merveilleuse compagne ? Je le lui murmure à l'oreille.
Je la soulève pour la faire tournoyer. Elle me couvre le visage de bisous. Nous nous jetons dans le vieux canapé.
Sa main glissée dans ma braguette elle me propose de jouer aux inconnus. J'écoute le développement du "plan".

Avec ce froid là dehors, ce n'est pas très drôle. Aussi Clémentine suggère de le faire ici, dans l'atelier. De s'amuser.
< Attends moi là. Je reviens très vite ! Prépare toi ! > me fait elle en se précipitant vers la porte. Un dernier bisou.
Je rajoute une bûche dans la cheminée. Je vais regarder dehors par une des deux grandes baies vitrées. Le soleil.
Quelle surprise, là-bas, au loin, une cavalière qui parcourt le prés au galop. Serait-ce Juliette ? Et cela se pourrait.
Je me tiens la queue en admirant la campagne qui s'étale à perte de vue. Un bruit de pas. Des talons. Je regarde.

Clémentine entre dans l'atelier. Vêtue exactement comme hier. < Bonjour monsieur ! > lance t-elle en virevoltant.
Je dis : < A ton tour de m'attendre là, je reviens très vite ! >. Surprise, Clémentine me regarde m'enfuir très vite.
Je monte me changer. Moi aussi, je veux offrir à Clémentine le meilleur. Elle m'aime en veste et en pantalon à plis.
Je m'habille rapidement. Je dévale les escaliers. Je reviens dans l'atelier. Clémentine couchée sur la table de travail.
En appui sur ses coudes, cuisses largement écartées, orientée vers la large vitre. Elle se masturbe. Elle m'aperçoit.

< Génial ! Oh comme j'apprécie ! > me fait elle en me voyant ainsi vêtu. Je reste à distance pour admirer le show.
Nous restons à environs quatre mètres l'un de l'autre. Nous nous masturbons en nous observant. C'est magnifique.
Je propose qu'à partir de ce soir, à chaque séance de plaisir, nous appliquions ce nouveau protocole. Être élégant.
< Riche idée, cher monsieur ! > s'écrie Clémentine. Elle écarte les lèvres charnues de son sexe pour lâcher un jet.
Un jet de pisse qui passe à côté de moi. Pisser aussi loin. C'est fantastique. Mais son record doit faire six mètres !

Je n'ai jamais connu une fille qui pissait aussi loin et avec une telle puissance que Clémentine. Et là plusieurs jets.
Je reste admiratif. Surtout qu'elle fait ça comme s'il était tout à fait naturel d'être vautrée sur une table et pisser.
Je bande. Je me masturbe doucement d'un geste régulier. Et dans quelle direction son imagination va t-elle aller ?
Les jets deviennent moins puissants. Entre chacun d'eux Clémentine se branle. Elle se mordille la lèvre inférieure.
C'est absolument génial. Je m'approche. Je recule. Je tourne autour de la table. Clémentine me fixe, se touchant.

D'évoluer ainsi autour d'elle, pour la contempler, la comble de plaisir. Clémentine est une véritable exhibitionniste.
Rien ne peut la ravir autant que d'être vue. D'être observée. D'être scrutée. Nous restons silencieux à nous branler.
< Nous respectons la distance de sécurité cher monsieur ! > me fait Clémentine en s'enfonçant deux doigts. Rare.
J'ai une méchante envie d'aller lui bouffer la chatte. Surtout qu'il ruisselle encore de la pisse, une coulée de cyprine.
Il y a du jus de fille sur le bord de la table. Du jus qui goutte parterre. C'est si génial. Je me masturbe doucement.

Je regarde le carrelage. Les tomettes de terre cuite et en quinconces qui brillent aux endroits recouverts de pisse.
Clémentine se redresse pour descendre de la table. Tout en se touchant, elle fait le tour de la grande pièce. Super.
Elle ne cesse de me fixer. Ses yeux bleus et clairs qui sont comme les phares d'un camion la nuit. Si merveilleuse.
Elle s'accroupit devant les flaques de pisse pour me les montrer du doigt, l'autre main entre ses cuisses écartées.
< Qu'est-ce qui vous attire tant chez les authentiques salopes, mon cher monsieur ? > me demande Clémentine.

Je réponds : < La compagnie d'une salope m'est aussi nécessaire que l'air que je respire très chère demoiselle ! >
Je rajoute : < Je m'ennuie tant avec celles qui ne le sont pas. Qui n'ont aucune imagination, qui sont passives ! >
Clémentine se redresse pour continuer à marcher. Restant à distance, elle tourne lentement tout autour de moi.
Silencieuse. Il y a juste le bruit de ses talons hauts qui résonne d'une étrange façon. Je suis en admiration. Super.
< Regardez voir cher monsieur ! > me fait Clémentine en allumant l'écran de l'ordinateur. Là, le visage d'Estelle.

Je suis déjà monstrueusement excité mais je monte encore d'un cran au risque de vaciller par le vertige. La folie.
Pendant que je peignais, et pendant les cours, Estelle et Clémentine avaient prévu ce plan. Je découvre à l'instant.
< Bonsoir Julien. Toujours aussi vicelard je vois ! > lance la voix d'Estelle rendue nasillarde par les hauts parleurs.
Ainsi, depuis le début, Estelle était dans sa chambre, en Webcam, à nous observer. C'est tout simplement génial.
Je me tourne bien face à l'écran pour agiter mon sexe dans sa direction. Je dis : < Bonsoir Estelle tu vas bien ? >

< Oh oui. Tout ça me manque en vrai. Un de ces jours je pète les plombs et je viens vous rejoindre ! > fait elle.
< Pourquoi te gêner ! Tu rappliques en vélo par le sentier de la rivière. Là, tu es invisible ! > lui fait Clémentine.
Je propose de respecter le confinement. Même si nous sommes loin de toute crainte, il est préférable de le faire.
< C'est si dure. Je n'arrête pas de me toucher toute la journée à cause de vous ! > fait elle en éclatant de rires.
Estelle s'éloigne de la caméra pour nous montrer sa main dans sa culotte qu'elle agite de haut en bas. Superbe.

Je la félicite. Nous bavardons ainsi tous les trois en nous masturbant. Les filles qui échangent leurs impressions.
Nous nous promettons qu'une fois tout cela terminé, nous aurons des comportements de déments tous les trois.
Je promets à Estelle de la baiser partout dans la maison. < Moi je te suce dans tous les recoins ! > répond t-elle.
Il est presque 19 h. Estelle doit s'habiller. Sa maman fait teinter la cloche du repas au bas de l'escalier. Superbe.
Nous nous saluons. Clémentine se précipite hors de l'atelier. J'éteins l'ordinateur. Elle revient. Serpillère et seau.

Nous rigolons comme des bossus en nettoyant le sol. < Ils vont êtres propres ! > s'écrie Clémentine en essorant.
Je passe l'éponge sur le bord de la table. Tout est propre. Et morts de faim nous quittons l'atelier pour la cuisine.
Nous mettons nos tabliers pour ne pas nous salir. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade déjà bien lavée.
Je réchauffe la purée et la sauce. Nous mangeons de bon appétit et tout en évoquant notre extraordinaire soirée.
Je remercie Clémentine pour cette délicate surprise. < Tous les jours une surprise, c'est le pacte ! > lance t-elle.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me propose des trucs fous.
Faire venir un technicien pour contrôler l'installation électrique. Ou un technicien pour une intervention extérieure.
Je tempère un peu ses délires, précisant qu'avec la situation, beaucoup de techniciens sont en chômage technique.
Nous en rigolons comme des bossus. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous retirons nos tabliers. Si élégants.
< Tu comptes jusqu'à 30 et tu me cherches ! > me fait elle avant de quitter la cuisine précipitamment. Je compte.

Je pense à hier soir. Et je commence par aller voir aux toilettes. Personne. Je vais dans le hall d'entrée. Personne.
Je vais au salon. Personne. En apparence. J'entends un léger bruit. De l'eau qui coule. Je contourne notre bureau.
Là, accroupie au dessus de la cuvette, Clémentine pisse par petits jets. Sa spécialité. Je me tiens la queue molle.
Clémentine me fixe avec son regard si implorant. Il y a juste la lumière d'une des grosses bougies du chandelier.
Cette fois je m'approche. Je la saisis par sa tresse. J'attends les deux dernières giclées. Je la force à se redresser.

Je l'entraîne sur le canapé. Je jette le coussin au sol. Je me mets à genoux pour fourrer mon visage sur son sexe.
Je me bouffe de la chatte avec tellement de bonheur que j'en gémis tout comme Clémentine. Je la sens trembler.
Tout son corps n'est que frissons, spasmes et plaisirs. Elle m'attire sur elle. Je m'introduis avec précaution. Douce.
Nous restons ainsi, parfaitement immobiles, à nous fixer. < Je t'aime. Je t'aime comme une folle ! > me fait elle.
Nous alternons les mouvements de berceuse que nous affectionnons tant et les séquences immobiles. Merveilleux.

Comme toujours, je me retire délicatement pour venir lui bouffer la chatte. Il y a de quoi remplir une tasse. Folie.
Je me redresse. Avant de la pénétrer à nouveau, je lui fourre la bite dans la bouche. Elle en crie de plaisir. La pipe.
Comme elle a tant pissé ce soir, son orgasme reste très raisonnable. Elle en hurle de bonheur. Et c'est inquiétant.
Je l'entraîne aux toilettes. Je la tiens par la nuque pour la faire pisser, lui enfonçant un doigt dans le cul. Surprise.
Elle me tient la bite pour en diriger les multiples jets. Elle suce comme une assoiffée entre chacun d'eux. Sa joie.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment réserver des surprises étonnantes et insolite à leur compagnon...

Julien - (J'écoute avec ravissement les dernières révélations de Clémentine qui s'endort contre moi) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 36 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1106 -



Un jeudi plein de petites joies

Hier matin, jeudi, je suis réveillé comme j'aime. On me couvre le visage de bisous. On me tient par mon érection.
Clémentine se serre contre moi pour me chuchoter des douceurs. Il est un peu plus de 6 h. Et quelques papouilles.
Nous nous précipitons aux toilettes pour y pisser dans la plus agréable des voluptés matinales. Un grand moment.
Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers à toute vitesse jusqu'à la cuisine. En riant.
Nous préparons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine parle du rêve.

Elle me tend ses tranches de pain grillé afin que je les beurre, que j'y étale miel ou confiture. J'écoute son histoire.
Ce sont souvent des rêves amusants. Surréalistes et aux situations insolites. Je ne me souviens jamais des miens.
Nous traînons un peu à table avant de faire la vaisselle et de remonter pour notre heure d'entraînement. Intense.
Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles et abdos. La douche. Nous nous habillons. Nous enfilons l'anorak.
Nous sortons. Toujours ce vent glacial et ce froid intense. Le thermomètre extérieur indique moins 5°. Il est 7 h45.

Nous parcourons une partie de la propriété. Clémentine reste serrée contre moi. Le ciel est légèrement voilé. Beau.
Nous ne nous attardons pas. Les cours en ligne commencent à 8 h15. Nous rentrons pour aller dans l'atelier. Bien.
J'allume un superbe feu dans la cheminée. Clémentine est assise devant son ordinateur, son casque sur les oreilles.
Me voilà installé devant mon chevalet. Je prépare ma palette. La peinture de cette vingt deuxième toile m'accapare.
Je peins dans une sorte d'euphorie. Et je reste toutefois silencieux pour ne pas perturber les études de Clémentine.

Parfois, je me lève pour aller la rejoindre. Debout derrière elle, je regarde le professeur sur l'écran. C'est un autre.
Je n'entends rien des paroles qu'il prononce puisque Clémentine porte ses écouteurs. Je masse son cou, sa nuque.
Elle me fait passer sur sa gauche. Tout en écrivant avec sa main droite, elle passe son bras gauche autour de moi.
Je viens ainsi à quelques reprises. La matinée se déroule ainsi. < Terminé ! > s'écrie Clémentine. Il est déjà 11 h50.
Clémentine met deux bûches dans la cheminée. Nous quittons l'atelier pour nous rendre à la cuisine. Morts de faim.

Clémentine s'occupe de la salade tout en me racontant ses cours. Je coupe le poireau en petits morceaux. Appliqué.
Nous sacrifions au rituel de la Flamiche Picarde, cette tarte au poireau qui fait le délice de nos jeudis soirs. Habitude.
Je prépare une pâte à pain. Clémentine fait cuire les coquillettes pour midi. Je concocte une Béchamel. Onctueuse.
J'égoutte les petits morceaux de poireau pour les rajouter à la Béchamel avec du gruyère de Comté finement râpé.
Je récupère un peu de Béchamel comme sauce d'accompagnement de nos coquillettes. Je pane deux filets de colin.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine évoque Estelle avec qui elle reste en contact durant les cours. Superbe.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine fait les programmes à venir.
Le marché du bourg, samedi matin, est maintenu sur décision préfectorale. C'est bien. Cela fera notre sortie. Parfait.
Demain, comme tous les vendredis, il n'y a pas de cours l'après-midi. Pour le moment tout fonctionne parfaitement.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous enfilons nos anoraks, nos bonnets et nos gants pour aller prendre l'air.

Le froid reste vif. Le ciel reste voilé mais lumineux. Nous faisons le tour de la propriété pour descendre à la rivière.
Il y a un agriculteur sur son tracteur qui retourne la terre de son champs, là-bas, de l'autre côté de la rivière. Bien.
A la campagne, la vie continue. Il faut assurer la continuité de toute chose. Nous longeons la rivière sur le sentier.
L'agriculteur ne prête aucune attention à nous. Nous a t-il seulement aperçu ? Il est concentré sur son labeur. Bon.
< Planque toi ! C'est un super plan ! > me fait Clémentine. Je passe derrière les fourrés déjà en fleurs et les troncs.

Clémentine s'approche de la rivière. Juste dans la trouée d'arbres de l'autre côté. Le tracteur est à environ 300 m.
Elle a largement le temps de préparer sa mise en scène. L'occasion est trop belle. Elle ouvre son anorak. Superbe.
Elle descend son jeans et sa culotte. Le tracteur arrive lentement. J'ai le cœur qui bat la chamade. Le mec mâte.
De là-bas, il ne doit pas immédiatement comprendre ce qu'il découvre. Il ne ralentit pas mais il a compris. Fameux.
Il fait froid. Clémentine n'a pas de difficulté à pisser. Mais il est fort probable qu'à cause de la distance ce soit vain.

L'homme passe une seconde fois. Il regarde avec insistance sans perdre le contrôle de son véhicule agricole. Bien.
Clémentine me lance : < Put-hein il fait froid avec le cul nu ! >. L'agriculteur passe une troisième fois. C'est super.
Et cette fois il ralentit. Il est à environ 300 m. Il lui est impossible d'identifier cette jeune fille qui s'exhibe là-bas.
Il roule au pas. Il continu sans cesser de regarder par là. Clémentine se redresse et remonte ses vêtements. Vite.
Il fait un froid de canard. Il faut retourner. Nous attendons d'être hors de vue pour remonter jusqu'à la propriété.

Nous percevons le bruit du moteur de son tracteur presque jusqu'en haut. Monsieur Bertrand est dans son potager.
Là-bas, à 300 m. Il nous voit. Nous nous saluons d'un geste du bras levé. Il est temps de rentrer au chaud. 13 h55.
La Béchamel repose dans sa casserole, sous son couvercle. La pâte à pain repose dans son saladier sous son linge.
Notre délicieux repas de ce soir est prêt. Nous allons dans l'atelier. Malgré le froid, Clémentine s'est bien "allumée".
Considérablement excitée par sa petite exhibition, elle se frotte contre moi en me chuchotant ses impressions. Bon.

La voilà assise devant son ordinateur, son casque sur les oreilles. Cet après-midi, interactions et questions. Super.
Je suis installé devant mon chevalet. Je peins dans la sérénité du juste. J'entends tous les échanges de Clémentine.
C'est insolite de l'entendre parler toute seule alors qu'en fait elle s'adresse aux professeurs ou à d'autres étudiants.
Je ne la dérange pas. La peinture de cette vingt deuxième toile destinée à ma saison d'été me comble de surprises.
< C'est fini ! Ouf ! > lance Clémentine qui vient me rejoindre. Il est 16 h10. Je nettoie ma palette et mes pinceaux.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie que les cours demandent de l'attention.
La concentration constante et exigeante procure une fatigue nerveuse. < On va voir si le mec est là ? > me dit elle.
Je comprends. Nous quittons l'atelier. Nous enfilons nos anoraks pour retourner au dehors. Toujours ce vent glacial.
Nous descendons vers la rivière. Pressée, Clémentine m'entraîne par la main. Il n'y a plus aucun bruit. Il est partit.
Le champs est parfaitement labouré. Mais il n'y a plus personne. Il faut se faire une raison. Et Clémentine qui rigole.

Nous marchons d'un bon pas. Serrés l'un contre l'autre. < Des sangliers ! > s'écrie Clémentine en montrant le pont.
Il y a toute une horde qui flâne sur le petit pont de pierres. C'est impressionnant et ils sont au moins une trentaine.
Il y en a quelques uns qui sont énormes. Comme de gros tonneaux sur pattes. Ils ne nous prêtent aucune attention.
Là-bas, les bâtiments du haras. Nous avons une méchante envie d'aller saluer Juliette. C'est frustrant. On s'abstient.
Nous reprenons le chemin du retour. Il est presque 18 h30 lorsque nous revenons. Cette marche nous a fait du bien.

Nous nous dépêchons de nous mettre au chaud. Clémentine m'entraîne au salon. Elle allume l'ordinateur du bureau.
Trois messages. Juliette, Estelle, Julie. Juliette nous raconte son quotidien, la vie au haras. Et quelques confidences.
Kim Son et Eveline, les deux jeunes palefreniers savent occuper le très rare temps libre au fond d'une des écuries.
Juliette, en voyeuse discrète, sait mettre à profit ces moments d'intimité pour aller mâter depuis quelques cachettes.
Dans une écurie ce ne sont pas les endroits qui manquent. Tant pour s'amuser à deux que pour une voyeuse de voir.

Nous répondons en racontant que nous étions ce soir tout près du haras. Le message de Julie est très drôle. Rigolo.
Elle nous raconte sa vie de confinée dans la petite maison de ses parents. Elle est souvent au jardin. Il y a le voisin.
C'est un affreux vicieux, écrit elle en nous décrivant les attitudes, les comportements, les ruses de l'exhibitionniste.
Entre 13 h45 et 14 h ce salaud lui a discrètement montré sa grosse queue. Un sacré engin précise Julie. Gros. Laid.
Nous répondons en racontant notre aventure à 13 h30 avec un agriculteur. Le message d'Estelle est très émouvant.

Estelle vit tout cela avec une certaine difficulté. Pour passer le temps après ses cours en ligne, elle aide au bureau.
L'entreprise familiale tourne au ralenti. Mais il y a du travail. Et le soir, Estelle passe derrière les bâtiments. Super.
Là, derrière la haute clôture, dissimulée derrière les haies de laurier, chaudement vêtue, elle peut s'amuser un peu.
Le promeneur de chien semble passer vingt fois par jour sur l'étroit chemin. Parfois Estelle se montre. C'est un jeu.
Elle fait semblant de s'occuper des haies. Ou alors elle a un outil de jardin à la main. Estelle est une vraie stratège.

Depuis quelques jours, ce type ouvre sa braguette à une cinquantaine de mètres du même endroit. La bite à l'air.
Il passe ainsi devant la jeune fille. Elle fait mine de ne pas voir. Hier soir il lui a fait : < Bonsoir mademoiselle ! >
Il s'arrête toujours au même endroit pour pisser. C'est un type un peu enveloppé, de taille moyenne, 45, 50 ans.
C'est un vicelard. Estelle nous raconte quelques détails. Elle est hyper voyeuse. Et c'est un moment très intense.
Celui là possède une queue flasque, longue qu'il agite doucement en pissant. Des jets fumants de vapeur de pisse.

Nous répondons. Estelle et Clémentine gardent le contact pendant les cours. Nous restons donc très proche. Super.
Il est 19 h. Morts de faim, nous allons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Bon.
Je travaille la pâte à pain pendant que réchauffe notre Béchamel. J'étale la pâte dans le plat. J'y verse la Béchamel.
Je recouvre de gruyère, de graines de sésame grillé. Je mets au four. Clémentine propose de manger au salon. Fête.
Nous déroulons le chemin de table en lin écru pour y disposer les assiettes en grès et les couverts en laiton. Parfait.

Comme convenu, Clémentine monte la première pour se changer. Elle reste cachée. Et je monte me changer aussi.
Clémentine apprécie mes pantalons à pinces et à plis. Je mets une chemise blanche, col déboutonné et veste noire.
Me voilà prêt. Nous avons convenus de partager nos repas du soir en étant très élégants. Cela participe du plaisir.
C'est très excitant également. Je redescends. Quelle surprise. Clémentine vêtue d'une jupe plissée, carmin, super.
Un chemisier blanc. Des souliers à talons hauts. Ses cheveux relevés en chignon. Elle est époustouflante. Sublime.

Assise sur la chaise qu'elle a mis au milieu de la pièce simplement éclairée des trois grosses bougies du chandelier.
Sa silhouette évoque une jeune fille du XIX ème, pensive, innocente. Elle me fixe là de son regard par en dessous.
Ce regard vicieux qu'ont les filles vicieuses qui ont un message séducteur à transmettre. Et je fonds littéralement.
Elle me découvre vêtu ainsi. < Vous êtes très élégant, monsieur ! > susurre t-elle en s'adressant à moi en Anglais.
J'ai compris. Ce soir nous allons échanger exclusivement dans ma langue natale. Et nous le faisons souvent. Parfait.

La sonnerie du four. Je propose à cette sublime jeune fille de prendre place. Je m'occupe de son service. C'est bien.
Je sors la tarte aux poireaux du four. Je sors également ma queue. Je bande mou. Sur le pantalon noir, elle "jette".
J'invite le lecteur à découvrir le "tableau" en allant visiter ma galerie photo. Il pourra s'en faire une idée très exacte.
J'apporte le plat. Clémentine est assise bien droite. Ce soir encore, elle joue son personnage à la perfection. Si belle.
Elle fixe mon sexe qui pend de ma braguette ouverte. Je retourne chercher la salade. Je reviens. Là je bande mou.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine évoque nos séjours en Ecosse. Séjours à Edimbourg.
A plusieurs reprises je me lève pour agiter mon sexe dans sa direction. Ce soir encore, ce n'est que pour elle. Joie.
Nous nous exprimons exclusivement dans un Anglais très pincé. En ayant des manières. Et Clémentine joue si bien.
A chaque fois que j'ai mon comportement de satyre, elle me lance un regard courroucé. C'est génial. Très excitant.
Je bande comme un salaud. Je me branle sous la table tout en écoutant cette conversation que me fait Clémentine.

Elle se touche probablement aussi. Son bras sous la table mais parfaitement immobile. Elle saisit le verre à sangria.
Ce grand verre bullé de Biot qu'elle me tend avec un regard hyper vicelard. Par en dessous. Comme elle joue bien !.
Je me lève. Je saisis le verre. Je dépose ma queue molle sur le bord. Je pisse. Un petit jet précis. Un second. Super.
Le verre est déjà emplit à moitié. Un bon demi litre de pisse jaune, claire. Je le rends à Clémentine qui s'en empare.
Elle le passe devant les bougies. Elle me fixe avec un air sévère. Clémentine qui mime une masturbation masculine.

Cette fois, elle place le verre sous ma queue. Je me branle. Je suis tellement excité. Il y a du liquide séminal. Clair.
Clémentine fait tourner le verre afin que le jus de bite dégouline sur la paroi interne du verre. Une superbe coulure.
Ce liquide épais, crémeux et visqueux flotte à la surface de la pisse. Elle place à nouveaux le verre sous ma queue.
Je me branle comme un bienheureux sous le regard de Clémentine qui joue là un de ces plus beaux rôles. Sublime.
Il y a plein de foutre qui flotte à présent à la surface de la pisse. Clémentine tient le verre à pleine main pour voir.

Elle scrute les liquides avec une attention d'entomologiste. Elle soulève le verre puis l'observe en le faisant tourner.
Elle trempe son doigt pour touiller délicatement tout en me fixant d'un regard très sévère. C'est absolument divin.
Je bande comme un vrai saligaud. Clémentine porte son doigt à sa bouche pour le sucer. Tout en me fixant. Génial.
Elle pose le verre. Se lève. Chaque geste est lent et calme. Elle s'assoit sur le bord de la table. S'allonge sur le dos.
Je pousse le banc. Je frotte mon sexe contre le sien. Je m'y introduis avec d'infinies précautions. Et par millimètres.

Clémentine, en appui sur ses coudes, me fixe toujours avec ce regard perçant. Comme pour me jauger. C'est fort.
Nous restons parfaitement immobiles. Je contracte mes muscles fessiers pour faire bouger mon sexe dans le sien.
Elle fait de même. Je sens sa vulve se serrer légèrement. Nous communiquons souvent ainsi. Superbes sensations.
Nous nous mettons à nous bercer. Clémentine lève ses jambes pour les poser sur la table. Je me mets à la baiser.
Cette fois nous baisons comme des acharnés. Ce n'est pas vraiment notre truc. Mais cela fait partie du jeu du soir.

Nous retournons au calme. Clémentine tend le bras pour saisir le verre qu'elle porte à sa bouche. C'est démentiel.
Elle en boit une gorgée. Elle me fixe. < Cold ! > chuchote t-elle avant de faire une horrible grimace. La pisse froide.
Une seconde lampée. Elle me montre l'intérieur de sa bouche. Du foutre sur la langue qu'elle fait tourner. Dégueu.
Elle pose le verre pour me repousser délicatement. Elle se lève. Elle reprend le verre qu'elle place entre ses cuisses.
Je la regarde pisser consciencieusement. Elle remplit le verre. De la pisse chaude. Elle pose le verre et s'accroupit.

Je lui frotte la bite sur la gueule. Je la force à se relever. Nous débarrassons la table. Nous faisons notre vaisselle.
Cette alternance de moments d'une sexualité intense et les tâches ménagères apporte une excitation surréaliste.
Nous montons à toute vitesse. Aux toilettes je lèche les reliquats de jus de fille et de pisse de Clémentine. Fameux.
Au lit, nous nous aimons comme des fous. J'alterne les cunnilingus et les pénétrations. Clémentine en hurle de joie.
Son orgasme est cataclysmique. Elle s'endort épuisée contre moi. Nous remettons la pipe à demain. Rien ne presse.

Bonne soirée à toutes les coquines qui apprécient de jouer à des rôles d'ingénues, d'innocentes, mais si salopes...

Julien - (J'aime sentir le cœur de Clémentine battre contre le mien lorsqu'elle s'endort blottie contre moi) -

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Le week-end commence vendredi à midi

Hier matin, vendredi, nous nous réveillons en même temps. Il est 6 h. Une horloge biologique qui fonctionne bien.
Quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues gym nous descendons.
Clémentine est plutôt euphorique ce matin. C'est vendredi et le vendredi les cours, même en ligne, finissent à midi.
Je presse nos oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous prenons notre copieux petit déjeuner en riant beaucoup.
Nous remontons. Notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles et nos abdos. Joie.

La douche. Nous nous habillons. Nous enfilons nos anoraks, nos bonnets et nos gants. Nous sortons. De la fraîcheur.
Le thermomètre extérieur indique moins 5°. Nous parcourons la propriété. Le ciel est bleu, limpide et le vent glacial.
Il est 7 h40. Clémentine reste serrée contre moi. Elle me raconte son rêve de la nuit. Rien d'érotique cette fois. Rire.
Nous rentrons nous mettre au chaud. Il est 8 h10. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine assise devant son ordinateur.
J'allume une bon feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur ma palette. Sympa.

La peinture de cette vingt deuxième toile destinée à ma saison d'été me plonge dans de profondes introspections.
Et s'il n'y avait pas de saison d'été ? Et si en raison des évènements, tout serait foireux ? Autant d'interrogations !
Je peins toutefois dans la plus totale sérénité. Cette activité étant pour moi la plus efficace des thérapies. Passion.
Parfois, je me lève pour rejoindre Clémentine. Debout derrière elle, je lisse ses cheveux. Je mâte le prof à l'écran.
Je commence à les connaître. Clémentine me tient par les hanches tout en continuant d'écrire. Je le refais souvent.

La matinée se déroule ainsi. Productive. Gratifiante. < Terminé ! > module longuement Clémentine, me rejoignant.
Elle sautille autour de moi en s'écriant : < C'est Week-end et c'est Zen ! >. Je nettoie ma palette et mes pinceaux.
Clémentine met deux bûches dans la cheminée. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Préparer notre repas.
Tout en préparant la salade, Clémentine me raconte sa matinée. Elle est en contact avec Estelle. C'est très sympa.
Je lave le choux fleurs et les pommes de terre. Le tout coupé en petits morceaux. Le rituel du choux fleurs gratiné.

Je fais cuire le tout à la cocotte minute. Je réchauffe la reste de la tarte aux poireaux de hier soir. La bonne moitié.
J'égoutte les légumes que je verse dans un plat en terre cuite. Je couvre de gruyère. Le choux fleurs et les patates.
Je verse le mélange œuf et crème fraîche sur le tout. Au four. Repas de ce soir et de demain à midi. C'est superbe.
Je pane deux filets de lieu noir que je fais rissoler avec un peu d'ail et d'oignon. Nous mangeons de si bon appétit.
Nous traînons à table. Clémentine me fait part de son désir de retourner près de la rivière. Un même plan que hier.

Nous en rions de bon cœur. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me fait part de ses fantasmes.
Il y aura peut-être l'agriculteur de hier. Le champs est labouré. On ne sait jamais. J'écoute les désirs de Clémentine.
Nous faisons la vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Le gratin de choux fleurs est au four. J'ai réglé la cuisson. Super.
Nous montons nous laver les dents. Depuis quelques jours nous vivons à un rythme beaucoup plus lent et pondéré.
Clémentine mime une fellation avec sa brosse à dents. Bosse à l'intérieur de sa joue et mousse aux coins des lèvres.

Nous nous rinçons la bouche, tête contre tête en faisant les clowns. Je demande : < Et là, tu as sucé qui ? >. Rires.
< Le type de hier sur son tracteur ! > me fait elle. Nous en rions de bon cœur. Clémentine qui se frotte contre moi.
Je la soulève pour la faire tournoyer. Elle me couvre le visage de bisous. Nous sommes pressés de filer. On descend.
Nous enfilons nos anoraks. Gants et bonnets. Le froid reste vif. Ce désagréable vent de Nord Est continue à souffler.
Il est 13 h30. Là-bas, à 300 m, dans son potager, nous distinguons monsieur Bertrand derrière les thuyas et cyprès.

Bras dessus, bras dessous, nous descendons jusqu'à la rivière. De l'autre côté, le champs bien labouré reste désert.
Il n'y aura évidemment personne. Nous longeons la rivière. Sur plusieurs kilomètres, elle est encaissée, c'est parfait.
Nous pouvons parcourir les 3 km jusqu'au haras sans êtres vus de nulle part. De plus le chemin est à l'abri du vent.
Là-bas, de l'autre côté de la route, les bâtiments du haras. L'entreprise de Juliette. Nous la devinons bien occupée.
Nous restons un petit moment. A l'abri du vent, assis sur un tronc renversé, nous apprécions les caresses du soleil.

Clémentine glisse sa main dans ma braguette. Elle me fait : < Quand tout ça sera terminé, je vais être nympho ! >
Nous en rigolons comme des bossus lorsque je lance : < As tu vraiment besoin que ce soit terminé pour en être ? >
< De toute manière, rien ne sera plus vraiment comme avant. Ce sera différent ! > rajoute t-elle soudain fataliste.
Elle pose sa tête sur mon épaule pour dire : < On s'en fout, on fera en fonction des évènements. On est à deux ! >
J'ai la bite à l'air. Protégés des vents, c'est plutôt agréable. Clémentine me la tient à sa base entre pouce et index.

Elle me l'agite. Me la fait tourner dans tous les sens. Elle se lève pour s'accroupir entre mes jambes. Elle la renifle.
< Mmhh ! > fait elle avant de se redresser, de se mettre debout à côté de moi pour faire tournoyer le Zob. Rapide.
< L'hélicoptère ! > dit elle en se penchant pour observer de plus près. Elle me confie à quel point elle rêve de plans.
< Quand toute cette histoire sera terminée, je veux me sucer plein de bites ! Je peux ? > me fait elle en sautillant.
Je dis : < Mais j'espère bien que tu vas te surpasser chaque opportunité devra être mise à profit pour t'en offrir ! >

Nous en rigolons comme des bossus lorsqu'elle répond : < Alors il me faut de l'entraînement ! >. Et elle s'accroupit.
Je la regarde humer le bout du gland qu'elle a légèrement décalotté. L'odeur de Parmezob nous monte aux narines.
Je la regarde téter la peau du prépuce. Elle adore y fourrer sa langue pour fouiller sous la peau. C'est très agréable.
Je lui caresse la tête en murmurant des douceurs et des cochonneries. Clémentine tète avec une délicate régularité.
Avec juste la peau fripée du prépuce, elle peut suçoter longuement sans se fatiguer la mâchoire. C'est un bon truc.

Je lui promets le collier et la laisse pour ce week-end. < Oh oui ! J'ai besoin d'être sévèrement recadrée ! > fait elle.
A présent, je me fais tailler une véritable pipe des familles. Clémentine se prend au jeu. Sa préférence avec un mec.
Je la laisse sucer longuement. Parfois elle cesse pour me donner ses impressions. Pour me poser une question. Rire.
Son imagination ne tarie jamais. Elle m'expose des situations réalisables. Mais souvent saugrenues. Nous en rions.
< Tu sais, il y a la petite pochette en cuir qui contient des photos. Mon visage couvert de ton sperme ! > me dit elle.

Cela fait plusieurs mois que cette pochette, rangée dans le tiroir du bas du bureau, attend d'être utilisée. De servir.
Il y a bien quelques idées. Mais nous n'avons encore rien trouvé de vraiment sympa. < Demain ! > fait Clémentine.
Le marché du bourg, par dérogation préfectoral, est ouvert. Les choses seront différentes. L'accès en sera restreint.
Il suffit de ruser. Je fais confiance à Clémentine. Car dans ce domaine, elle a beaucoup plus d'imagination que moi.
Nous prenons le chemin du retour. Personne dans la campagne. Nous voyons des chevreuils là-bas dans le champs.

Les animaux n'ont que faire des préoccupations humaines. Peu à peu, ils reprennent leurs droits. Il n'y a personne.
Nous flânons. J'ai la bite qui pend lamentablement de ma braguette ouverte et Clémentine s'accroupit très souvent.
Elle en récupère les coulures de liquide séminal. Avec l'excitation de cette fellation, je mouille toujours longuement.
Il est 16 h30 lorsque nous revenons au bas du chemin. Je remballe la queue car le vent se fait à nouveau fort, froid.
Nous montons. Du bas du chemin, on voit bien dans la propriété des Bertrand. Le voisin est en haut d'une échelle.

< On se fait un plan "voisin" ! > murmure Clémentine qui m'entraîne par le bras derrière la roseraie et les fourrés.
Les haies de lauriers et les bosquets en fleurs offrent déjà de bonnes cachettes. Nous observons. Parfaits voyeurs.
< On devrait avoir la paire de jumelle ! > chuchote Clémentine qui cherche une manière de s'offrir un petit frisson.
Nous sommes à l'abri du vent. < J'ai une idée. Ne bouge pas, regarde. C'est pour toi aussi ! > me fait Clémentine.
Elle s'éloigne rapidement. Il y a deux endroits à découvert. Elle guette le bon moment, une main entre ses cuisses.

Elle tourne la tête pour me faire un clin d'œil. Elle quitte sa planque. Il y a quelques mètres à découvert. Elle sort.
Faisant semblant de téléphoner, Clémentine reste debout juste au milieu de l'espace découvert. Le voisin l'aperçoit.
Il est en haut de son échelle à manier un grand sécateur. J'observe. Il regarde plusieurs fois dans notre direction.
Clémentine reste ainsi longuement. Bien évidemment elle louche vers le voisin, les yeux cachés sous ses cheveux.
Ce sont toujours des situations intenses qui font accélérer mon rythme cardiaque. Je bande toujours très vite. Bon.

Clémentine avance pour disparaître derrière la rangée de lauriers. Elle apparaît à nouveau un peu plus loin. Ruse.
Cette fois, tout en parlant toute seule pour imiter une conversation téléphonique, elle a une main entre les cuisses.
Depuis là-bas, à 300 m, sur son échelle, il est impossible à monsieur Bertrand de ne pas s'en rendre compte. Bien.
Clémentine insiste évidemment en exagérant le mouvement. Elle retire sa main pour l'agiter comme en discutant.
Puis elle la replace entre ses cuisses. Le spectacle est divin. Tant pour moi que pour le voisin que je vois immobile.

Monsieur Bertrand, son sécateur entre les mains reste sans bouger. Il admire probablement autant que moi. Génial.
Clémentine disparaît. Elle avance. Elle revient. Cela dure une bonne demi heure. J'ai sorti ma bite. Je me masturbe.
C'est une situation affolante. Je me demande souvent où Clémentine trouve ce cran, ce courage. C'est remarquable.
Elle m'explique souvent cette émotion particulière, ou se mêlent la honte de le faire et l'excitation que cela procure.
Là, enfin, elle lève la tête. Elle change parfois de main. Elle fait semblant de découvrir le voisin. Un coucou du bras.

Sans gêne, elle continue à se toucher de la main droite en levant la main gauche et le téléphone pour faire un signe.
Monsieur Bertrand fait de même. Curieusement il retourne à sa taille. Comme s'il était gêné. Je peux le comprendre.
Clémentine disparaît pour venir me rejoindre. < Génial ! Ça reste discret ! Et comme j'aime ! > me murmure t-elle.
< J'enfonce le clou ! > rajoute t-elle avant de s'éloigner pour passer une dernière fois. Monsieur Bertrand qui mâte.
Je contourne la roseraie pour aller vers le garage puis la maison sans être vu. Je laisse Clémentine jouer la "finale".

Elle flâne encore un peu. Monsieur Bertrand lui fait un second coucou, bras levé. Clémentine y répond, main levée.
Elle me rejoint. < J'en ai fait un complice. Cela n'engage à rien, ne changera pas la nature de la relation ! > dit elle.
J'en suis convaincu également. Il est presque 18 h. Nous rentrons au chaud. Nous allons au salon. Il y fait agréable.
Clémentine m'entraîne derrière le bureau. Assise sur mes genoux, elle allume l'ordinateur. Trois messages. Super.
Celui de Juliette, celui d'Estelle et celui de Julie. Juliette nous raconte le quotidien au haras. Visites du vétérinaire.

Quelques propriétaires se sont débrouillés pour venir récupérer leurs chevaux la semaine prochaine. Cela soulage.
Il restera tout de même encore 38 chevaux. C'est une part importante de travail. Juliette nous confie des histoires.
Kim Son et Eveline, les deux jeunes palefreniers sont probablement tombés amoureux. Ils n'arrêtent plus de baiser.
Ce qui permet à Juliette, voyeuse extrême, d'assister, cachée, à des galipettes de première bourre. C'est très drôle.
Il y a madame Walter, l'assistante, qui fait de même de son côté. Chacun vit son confinement comme il peut. Rire.

Nous répondons. Julie nous raconte l'évolution de la situation avec son voisin vicieux et terriblement exhibitionniste.
Elle aussi, voyeuse extrême, peut s'offrir de joyeux petits moments où elle peut se mettre en scène dans son jardin.
Julie a un certain talent de narratrice. Elle est étudiante en Lettres Modernes. Ce qui explique certainement ce don.
Nous répondons. Le message d'Estelle est très sympathique. Elle aussi, voyeuse extrême, s'est organisée son plan.
Le promeneur de chien. Ce vieux cochon passe vingt fois par jour sur l'étroit chemin derrière l'entreprise familiale.

Estelle le voit par la fenêtre du bureau, au premier étage d'un des bâtiments. Elle le voit regarder dans les fourrés.
Il cherche. Il observe. Ce n'est qu'en soirée qu'Estelle fait son petit tour, un outil de jardin à la main pour s'amuser.
Ce salopard bedonnant lui montre sa bite. Un peu plus loin il pisse en lui souriant. Vieux libidineux salace, pervers.
Mais comme le dit Estelle : < A défaut de grives on mange des merles ! >. Nous répondons en joignant une photo.
Il est presque 19 h. La faim commence à se faire sentir. Nous allons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade.

Je réchauffe le gratin de choux fleurs. Je fais rissoler des gambas. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.
Clémentine revient sur le show qu'elle a offert au voisin. < Demain, on va discuter un peu avec lui ! > fait elle. Rire.
Elle rajoute : < Question de prendre la température ! >. Nous en rions de bon cœur. Clémentine me confie son plan.
Je trouve tout cela très adroit, très judicieux. Monsieur Bertrand est un homme charmant, courtois et "bonhomme".
Nous nous connaissons depuis si longtemps. Il a toujours vécu là. Proche de la retraite, il tient un petit artisanat.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine invente un tas de situations.
Les déclinaisons les plus délirantes. Nous éclatons de rire. C'est souvent surréaliste. Souvent irréalisable. Saugrenu.
Quelle imagination débordante. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Lumière de la bougie.
Je jette un des coussins au sol. Je m'y mets à genoux entre les jambes écartées de Clémentine qui retire ses habits.
Je me bouffe de la chatte jusqu'au vertige. Clémentine se laisse faire dans un abandon total, me tenant les oreilles.

A plusieurs reprises elle me repousse délicatement pour éviter l'orgasme. A chaque reprise, elle remonte d'un cran.
Ce soir, c'est sirupeux. Liquoreux. Avec l'excitation de ses petites exhibes devant le voisin, il y a beaucoup de jute.
Je m'en régale. Lorsque j'aspire, j'en tire de la sauce onctueuse. Des filaments visqueux mélangés à de la cyprine.
Lorsque j'aspire son jus de fille, Clémentine se masturbe. Elle malaxe son clitoris géant entre le pouce et son index.
Je propose de la terminer au lit. Il est déjà presque 22 h. Un tour aux toilettes. Je lèche le mélange. On est au lit.

Bon début à toutes les confinées qui vont se faire lécher, se faire baiser, s'offrir une séance "Bondage"...

Julien - (J'écoute les derniers secrets de Clémentine blottie contre moi sous les draps. Ma bite dans sa main) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 38 Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1108 -



Un samedi des plus sympathiques

Hier matin, nous nous réveillons quasiment en même temps. Il est 8 h. C'est rare que nous dormions si longtemps.
Par contre, après quelques papouilles il est impossible de lutter contre l'irrépressible besoin de pisser. C'est inutile.
Nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues sport, morts de faim, nous dévalons les escaliers. Cuisine.
Nous préparons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Programme d'aujourd'hui.
Clémentine me propose un bon jogging. Riche idée. Nous traînons un peu à table. La vaisselle. Nous voilà d'attaque.

Le thermomètre extérieur indique 2°. Le vent est tombé. Nous enfilons nos K-way, nos bonnets et nos gants. Bien.
Nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement et nous courons d'un bon rythme sur notre parcours habituel.
Munis de nos attestations bien inutiles car il n'y a évidemment personne sur les sentiers, tous les chemins perdus.
Une heure d'un jogging enchanteur. Il est 9 h30 quand nous revenons après un running des plus agréables. Super.
La douche. Nous nous habillons. Comme nous partons pour le marché du bourg, Clémentine veut saisir l'occasion.

Vêtue de sa jupe carmin, légèrement évasée au dessus des genoux, d'un chemisier blanc sous un pull bleu marine.
Ses bas noirs fixés à son porte-jarretelle. Ses souliers noirs à légers talons. Ses cheveux qui flottent sur les épaules.
Sur sa demande, je porte un jeans, la chemise blanche sous un pull bleu nuit. Clémentine m'attire devant le miroir.
< Regarde comme on est beaux tous les deux ! > fait elle en s'accroupissant pour poser sa tête contre ma cuisse.
Se serrant contre ma jambe, elle nous observe dans le miroir. Ses cuisses largement écartées. Absence de culotte.

< Mon bon "Maître" daigne t-il procéder à mon recadrage aujourd'hui ? Je m'égare quelque peu ! > dit Clémentine.
Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Je vais faire le nécessaire ma délicieuse "Soumise", c'est promis ! >
Tout en restant accroupie Clémentine passe devant moi pour frotter son visage contre ma braguette en gémissant.
Je sors ma queue pour la lui frotter sur la gueule. Je la laisse téter un peu avant de la forcer à se redresser. Parfait.
Nous dévalons les escaliers, pressés de filer. Nous enfilons nos manteaux. Il fait presque agréable ce matin à 10 h.

Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite tout en évoquant son exhibition de hier soir devant notre voisin.
Nous en rions de bon cœur. Certes, depuis bien deux ans, monsieur Bertrand à fait quelques agréables découvertes.
Mais cela n'a jamais été aussi flagrant que hier, fin d'après-midi. Après tout Clémentine est une jeune fille. 22 ans.
A cet âge il est bien normal d'être un peu superficielle et volage. C'est dans la nature des choses. C'est bien normal.
Trois kilomètres. Nous arrivons au bourg. Je gare la voiture sur un parking à moitié plein. Et ce n'est pas habituel.

Je suis prié de garder ma braguette ouverte. C'est invisible sous mon manteau. Nous prenons le cabas et les sacs.
Il y a un parcours fléché. Il faut suivre les marques au sol. Garder une distance d'un mètre et c'est dur entre nous.
Nous faisons provisions de fruits et de légumes. Notre artisan habituel propose des livraisons à domicile. Superbe.
Cela explique le peu d'affluence de ce matin. Beaucoup de gens ont déjà opté pour cette formule. Excellente idée.
Nous faisons provisions de yaourts, d'œufs, de fromages, de beurre, de crème fraîche chez notre artisan habituel.

Nous passons commande pour une livraison hebdomadaire à domicile à partir de la semaine prochaine. Vendredi.
Nous ne nous attardons pas. L'ambiance n'est ici pas réellement festive. Nous retournons à la voiture tout ranger.
Clémentine m'entraîne dans la petite ruelle aux escaliers. J'ai compris. Elle m'emmène dans le petit square désert.
Le bâtiment rond au toit en chapeau chinois des toilettes publiques. C'est un espace ouvert pour les commodités.
Un panonceau sur la porte annonce les horaires d'ouvertures. C'est surréaliste. Il n'y a personne. Nous y entrons.

Nous retrouvons les mêmes lieux que samedi dernier. Nous guettons près de la porte coincée par mon pied. Bien.
Nous ne touchons évidemment à rien. L'odeur de chlore et de javel est forte, presque obsédante. Mesure normale.
< Un mec ! > s'écrie Clémentine. En effet, il y a un type qui est entré dans le square. Il se dirige vers les toilettes.
C'est probablement un des agriculteurs artisans qui viennent vendre leurs productions sur le marché du petit bourg.
Il est vêtu d'un pantalon brun, un gros tablier bleu sur un pull à col roulé brun. Une sorte de béret vissé sur la tête.

J'ai juste le temps de me planquer dans le même cabinet que samedi dernier. Et debout sur le couvercle rabattu.
Par dessus le mur je peux regarder. Clémentine se lave les mains à l'un des deux lavabos. Devant un des miroirs.
Le type entre. Il semble un peu surpris de voir cette grande jeune fille élégante dans les toilettes homme. Super.
Il n'hésite pas. Probablement pressé par un timing précis, il se déboutonne devant un des deux urinoirs. Il pisse.
A part le bruit du jet dans l'eau stagnante du fond, c'est le plus parfait silence. Il tourne la tête vers la jeune fille.

Leurs regards se croisent dans le miroir. < Bonjour ! > finit il par dire. < Bonjour ! > répond Clémentine. Sourire.
Je bande. Je retiens ma respiration. Combien de fois n'ai je pas assisté à cette situation. Pourtant c'est tout neuf.
Cela me fait à chaque fois cette impression. Le type termine de pisser en lançant de petits jets sonores. Insolites.
Clémentine se retourne. Debout, à environ quatre mètres de l'inconnu, elle fait : < Vous vendez sur le marché ? >
< C'est ça, les fruits et les légumes "Fredouard" pour vous servir ! > répond cet inconnu débonnaire. Très sympa.

Tout en parlant, il agite sa queue pour en secouer les dernières gouttes. Il me tourne le dos. Il prend son temps.
Soudain conscient de son privilège, il se tourne franchement vers Clémentine en tenant son sexe en main. Gros.
C'est un sexe impressionnant. Par sa taille comme par son épaisseur. Clémentine regarde plutôt impressionnée.
Le bonhomme sort une carte de visite de la poche de son tablier qu'il tient relevé avec son coude. Tranquillement.
Notre heureux veinard ne semble plus du tout pressé. Il tend la carte à Clémentine qui s'avance pour s'en saisir.

< Merci ! Je viendrais vous voir sur votre étal. Je crois savoir où est votre stand ! > lance Clémentine. C'est vrai.
Je crois savoir moi aussi. Il est toujours sur la rangée de droite parmi les autres artisans agriculteurs. C'est bien.
Le bougre garde sa bite à la main tout en parlant de la situation actuelle. Le confinement, son rôle dans tout ça.
Lui aussi fait des livraisons à domicile. < J'ai vos coordonnées. Cela peut nous intéresser ! > lui lance Clémentine.
Utilisant volontairement le "nous". < Je reste à votre service. Je ne vends que du Bio ! > précise encore l'artisan.

Je le vois de profil, en contrebas du mur. Il est plus petit que Clémentine. Environ la quarantaine et assez costaud.
Il tient son sexe tout en expliquant ses tournées de livraisons dans un rayon de 20 km. Tous les jours. C'est super.
Je devine déjà ce que Clémentine a derrière la tête. Elle est debout à deux mètres de notre homme et bras croisés.
Elle écoute. C'est un bavard. Plutôt jovial. Sachant visiblement saisir les opportunités pour s'amuser un peu. Bien.
C'est toutefois un parfait gentleman. Il ne tente rien. Son attitude est même rassurante malgré sa queue à la main.

Il agite doucement son sexe. Il bande légèrement. C'est un sexe assez étonnant. Il s'affine un peu au bout en cône.
La moitié est épaisse et l'autre plus fine. Une bonne vingtaine de centimètres d'une chair sombre, au prépuce fripé.
Clémentine joue le jeu. Cette conversation dure une bonne dizaine de minutes. Elle semble plutôt admirative. Joie.
< Elle est sympa, non ? > fait l'artisan en agitant son sexe. < Oui ! Je n'en ai jamais vu des comme ça ! > fait elle.
On imagine facilement ce que peut ressentir un vicelard dans un tel moment. Avec une telle appréciation. Superbe.

Une chose qui n'arrive qu'une fois dans une vie. < Il va falloir que je vous laisse. Ma femme est seule ! > dit le mec.
< Je retourne bosser ! > rajoute t-il en reculant pour continuer à agiter doucement son sexe jusqu'à la porte du WC.
Il s'en va. Je sors de ma cachette. < Put-Hein le mec ! Tu as vu. Il est resté cool tout le temps ! > lance Clémentine.
C'est vrai. C'est encore une rencontre assez particulière. Chacune de ces situations est unique dans sa redondance.
Nous attendons un instant en regardant par la porte entre baillée. Personne. Nous en profitons pour sortir. Superbe.

Prudents, nous nous passons du gel sur les mains que nous frottons longuement. Le type portait lui aussi des gants.
Nous retournons à la voiture. Clémentine, considérablement excitée, me dit : < Et si on se fait livrer par ce type ? >
Je roule doucement. Je propose d'y réfléchir. Clémentine a bien fait comprendre à ce type qu'elle n'était pas seule.
Les risques sont donc minimes. Clémentine, tout en jouant avec ma queue me confie les émotions encore vécues là.
< Tu as vu sa bite. Un premier cylindre mince fixé à un second tout gros. Il bande mou. J'aime ! > dit Clémentine.

Il est presque midi quand nous arrivons à la maison. Nous montons immédiatement nous changer avant de ranger.
Clémentine me confie son trouble. Sa profonde excitation tout en préparant la salade. Je réchauffe le gratin. Bien.
Un gratin de choux fleurs réchauffé est un véritable délice. Surtout avec des moules au bouillon puis grillées. Bon.
Nous mangeons de bon appétit tout en évaluant l'éventualité de se faire livrer nos fruits et nos légumes par le mec.
Nous avons déjà conclu l'affaire avec nos producteurs habituels. Clémentine me fait : < Je fais faire un bon deal ! >

< Après ce qu'il a vécu dans les chiottes, il serait capable de venir nous livrer une seule pomme ! > fait elle encore.
Nous en rigolons comme des bossus. Super plan. Nous traînons à table. Nous faisons le programme de l'après-midi.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine envisage déjà différentes déclinaisons et stratégies.
Je l'écoute amusé et admiratif. Son imagination est sans limite. Même si les idées sont parfois irréalisables. Fofolles.
Nous traînons à table. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Rires.

< Je mérite bien d'être recadrée, non ? > me fait Clémentine en se serrant contre moi. Je la soulève. Plein de bises.
Nous dévalons l'escalier, si pressés de filer. Il fait presque chaud au soleil et c'est tellement plus agréable que hier.
J'entraîne Clémentine au salon. Du dernier tiroir du bureau, je sors le collier canin, la laisse et les menottes. Super.
< Génial ! > lance Clémentine qui se met immédiatement à genoux pour me tendre son cou et ses mains. Heureuse.
Je fixe le collier de cuir sur le fin foulard en soie réservé à cet usage. Pour éviter toutes frictions du cuir sur la peau.

J'y attache la laisse. Je passe les menottes autour de ses poignets. Je sors ma queue pour la lui frotter sur le visage.
Je l'aide à se relever. < Comme je suis contente "Maître" ! > murmure Clémentine que j'entraîne par la laisse. Bien.
Nous sommes vêtus de nos jeans, chemises à carreaux sous nos épais sweat de coton. Nous sortons. Il fait si doux.
Je donne un à coup sur la laisse en disant : < Je vous emmène faire votre pissou dehors, délicieuse "Soumise" ! >
Nous descendons les trois marches de l'escalier. J'entraîne Clémentine vers le garage. Il y a là un espace découvert.

Monsieur Bertrand est dans son potager, là-bas, à 300 m et en contrebas de notre terrain. Il assiste à cette scène.
Clémentine est rouge de honte. C'est son émotion préférée dans ces situations. Cette vision ne dure qu'un instant.
Nous descendons le chemin qui va à la rivière. Clémentine marche derrière moi, mains menottées, tenue en laisse.
Je donne des à coups. Fermes. Je m'arrête aux premiers bosquets. Nous nous nous y cachons pour observer. Bien.
Je sors la petite paire de jumelles de son étui fixé à ma ceinture. Monsieur Bertrand est caché derrière sa palissade.

Il n'a probablement rien raté de cette scène surréaliste. Ce n'est pas la première fois qu'il y assiste. Il connaît bien.
Je passe les jumelles à Clémentine qui mâte en murmurant plusieurs fois : < Génial ! >. Je lui touche la braguette.
Je glisse ma main entre ses cuisses chaudes. Ce petit sursaut qui secoue tout son corps. C'est absolument exquis.
Nous restons dissimulés derrière les fourrés jusqu'à la rivière. J'embrasse Clémentine à pleine bouche. C'est si bon.
Je glisse ma main dans sa culotte. Et c'est trempé. Excitée comme elle l'est, Clémentine se cambre pour se frotter.

Nous longeons la rivière. Nous nous arrêtons d'innombrables fois pour nous embrasser avec fougue. Avec passion.
Il y a 3 km jusqu'aux petit pont de pierres. Là-bas, les bâtiments du haras. Nous sommes parfaitement dissimulés.
Je force Clémentine à s'accroupir. Je ne suis pas obligé de forcer beaucoup. Je lui frotte la bite sur la gueule. Joie.
Quelle surprise. Là, de l'autre côté de la rivière, il y a Juliette sur un cheval. Elle ne nous a pas encore remarqué.
Elle arrive. < Bonjour les amoureux ! > lance t-elle toute heureuse de nous revoir. Clémentine se redresse. Super.

Juliette descend de cheval. Elle est de l'autre côté de la rivière infranchissable. A environ 5 m. Superbe rencontre.
Nous bavardons. J'en oublie la bite qui pend de ma braguette. Juliette nous raconte un peu de sa vie de confinée.
< Je longe souvent la rivière jusqu'en bas de chez vous ! > lance t-elle. Nous mettons rapidement au point un plan.
C'est au bord de la rivière que nous allons nous fixer un rendez-vous quotidien. C'est absolument génial. Superbe.
< Je suis en plein dressage ! > explique Clémentine en lui montrant la laisse et le collier de ses mains menottées.

Demain, il est convenu de se rencontrer de ce côté ci de la rivière. En respectant un éloignement de circonstance.
Je promets à Clémentine et à Juliette de leurs réserver une bonne surprise. S'il fait beau, on se fait un pique nique.
Nous mettons rapidement tout au point. Juliette est libre, demain dimanche, entre 15 h et 17 h. De quoi se réjouir.
Nous bavardons ainsi une bonne demi heure. C'est tellement agréable de nous revoir enfin après trois semaines.
< Elle me manque ! Et nos repas du mercredi soir aussi ! > me fait Juliette en me regardant me masturber. Rires.

Nous nous saluons. Nous regardons Juliette s'éloigner sur sa monture. Il est presque 17 h. La fraîcheur s'accentue.
Nous prenons le chemin du retour. Nous évoquons Juliette et le rendez-vous de demain. Nous en oublions la laisse.
Il est 17 h45 quand nous sommes de retour. J'ai détaché les mains de Clémentine. Et la laisse pend sur son sweat.
< Attends moi là, regarde avec les jumelles ! > me fait elle. Je comprends immédiatement. Nous allons à la serre.
Là, caché derrière la roseraie, je regarde Clémentine descendre le terrain le long des thuyas en flânant. La balade.

J'observe avec les jumelles. Monsieur Bertrand manipule une brouette qui dépose lorsqu'il voit arriver Clémentine.
Je le vois se rapprocher pour la saluer. Ils bavardent. Clémentine porte le collier canin et la laisse pend sur le pull.
Je bande comme un salaud. Clémentine aime infliger des émotions à ses interlocuteurs masculins dans ses "jeux".
Je les vois rire. Notre voisin est un homme débonnaire. Affable, serviable et d'une gentillesse exquise mais réservé.
Cette conversation dure une vingtaine de minutes. Clémentine tend soudain la laisse à monsieur Bertrand. Il prend.

Quelle n'est pas mon étonnement lorsqu'il fait quelques pas en tenant Clémentine à la laisse. Il éclate de rire. Joie.
Cela ne dure qu'un instant, sur quelques mètres. Il semble plié de rire. Clémentine remonte très rapidement. Frais.
Je reste dissimulé. Clémentine me rejoint. Nous nous dépêchons de rentrer. La fraîcheur du soir s'accentue. Normal.
Une fois à l'intérieur, Clémentine me raconte la nature de sa conversation avec monsieur Bertrand. Très intéressant.
Sa femme est partie passer quelques jours chez sa vieille maman de 96 ans. Toute seule dans sa maison du bourg.

Monsieur Bertrand passe donc quelques jours seul. Il a de quoi s'occuper. Un grand potager à préparer. Du terrain.
Je retire le collier canin et la laisse du cou de Clémentine. Je le lui masse si délicatement. Elle se blottie contre moi.
< Encore une magnifique journée ! > chuchote Clémentine. Nous allons à la cuisine. La faim se fait sentir. 18 h45.
Clémentine s'occupe de la salade. Je fais bouillir l'eau des spaghettis. Je prépare de l'aubergine et de la courgette.
Revenues à la poêle avec des champignons, elles accompagneront les spaghettis et les filets de cabillaud poêlés.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me confie ses ressentis. Toutes les émotions de cette superbe journée.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux et ses bras autour de mon cou, Clémentine m'expose une possibilité.
< Et si on s'organisait un rencard avec Juliette et Estelle, au bord de la rivière ? >. Je reste longuement silencieux.
Je la raisonne. Il y a trois bornes de chez Estelle jusqu'à chez nous. Même à vélo sur le sentier, cela fait du chemin.
Ne prenons pas de risques inutiles. Clémentine se raisonne rapidement. Car cette évidence lui apparaît de bon aloi.

La fatigue se fait un peu sentir. Ce fut une journée mouvementée. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. 21 h30.
Nous allons au salon pour allumer l'ordinateur. Trois messages. Julie, Estelle et Juliette. Nous les découvrons ravis.
Nous répondons à chacune en joignant un selfie pris à l'instant. Tous les deux avec de ridicules casquettes de golf.
Nous montons. Le rituel des pissous où nous aimons nous pourlécher de nos mélanges. Et excités il y en a pas mal.
Au lit, j'offre à Clémentine les plus douces tendresses. Pénétrations, cunnilingus, pipe. Orgasmes dithyrambiques.

Bon confinement à toutes les coquines qui font travailler leur imagination pour s'évader un peu dans le fantasme...

Julien - (Je promets à Clémentine de lui faire une belle surprise demain après-midi en compagnie de Juliette) -

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Il faut changer le programme

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par les mouvements masturbatoires que fait Clémentine contre ma hanche.
Ses cuisses autour de ma jambe, elle bouge de façon régulière en se réveillant doucement. Je la serre contre moi.
C'est tellement merveilleux d'être tiré du sommeil de cette façon. < J'ai fait un rêve cochon ! > me murmure t-elle.
Nous nous offrons plein de papouilles jusqu'à ce que l'envie de pisser devienne insurmontable, douloureuse. Dure.
Nous nous précipitons aux toilettes pour nous soulager dans la plus voluptueuse des libérations. C'est si agréable.

Il est 8h30. Le dimanche pas de gym. Pas d'entraînement, pas de jogging. Nous nous habillons. Jeans et chemises.
Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Je presse nos quatre oranges. Clémentine fait le café.
Ce matin, il y a de la brioche. Un "chinois" au pudding et des amandes. Il est gros. Il en restera pour demain matin.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine me raconte son rêve érotique. C'est encore délirant.
Cette fois, c'est monsieur Bertrand, notre voisin, qui est un des acteurs principaux de cette odyssée du vice. Drôle.

Une histoire assez farfelue. Il y est question de légumes, de potager, de laisse, de masturbations également. Rires.
Nous traînons à table. Nous avons tout notre temps. Nous faisons le programme de la matinée. Faire notre ménage.
Clémentine s'occupe de l'étage. Je fais le bas. Nous aimons bien transformer cette tâche en activité ludique. Facile.
La vaisselle. Clémentine me laisse pour monter faire la chambre. Je nettoie la cuisine, les chiottes du bas et le hall.
Je passe l'aspirateur partout avant de passer la serpillère. J'entends Clémentine chanter. Elle improvise des paroles.

Je monte la rejoindre. Elle termine de passer la serpillère partout. Je l'aide à rincer le seau et le balai brosse. Bien.
Clémentine se blottie dans mes bras. < Je n'arrête pas de penser à Estelle ! > confie t-elle. J'avoue une réciproque.
Déjà deux semaines sans sa présence. Notre "petit animal de compagnie" dont l'absence se fait cruellement sentir.
Nous descendons à la cave avec le panier à linge. Dans la buanderie nous trions le linge. Les draps dans la machine.
Nous nous faisons plein de bises. Un réflexe qui ponctue nos phrases les plus amusantes comme les plus sérieuses.

Nous remontons pour aller à la cuisine. Dehors, il s'est mis à pleuvoir. Le thermomètre extérieur indique moins 2°.
Le froid est de retour. Il n'y aura pas de rendez-vous avec Juliette. C'est rageant. Il faisait si bon hier après-midi.
Il est 11 h30. Clémentine s'occupe de la salade en me racontant quelques anecdotes universitaires du temps passé.
J'épluche les pommes de terre, les carottes, le céleri, le navet et le choux rouge pour la potée. J'en fais beaucoup.
Ainsi nous en aurons pour ce soir, demain à midi et en soirée. Je fais cuire dans notre vieille cocotte en fonte noire.

Je prépare deux pavés de saumon en papillotes que je fais cuire sur le barbecue électrique dans la véranda froide.
C'est rapide. Derrière la vitre, Clémentine mime une masturbation masculine en me faisant un clin d'œil. Superbe.
Pour ne pas risquer de me brûler, je ne sors pas mon sexe. Mais je me palpe l'entre jambe vulgairement. Très bon.
Je ramène les papillotes. Je remue les légumes qui collent toujours un peu au fond de la vieille cocotte. Si normal.
Nous voilà installés à table. Nous mangeons de bon appétit. Dehors, c'est une météo sinistre. Le retour de l'hiver.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque notre samedi matin.
Les toilettes publiques et la rencontre avec monsieur Fredouard, l'artisan agriculteur dont la carte est sur le buffet.
Nous ferons livrer nos fruits et nos légumes à partir de la fin de la semaine prochaine si le marché devient interdit.
C'est probablement le scénario qui se dessine. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Tout est bien propre et rangé.
Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. C'est tellement drôle.

Clémentine imite une fellation, faisant une bosse à l'intérieur de sa joue avec sa brosse à dents, la mousse partout.
Nous nous rinçons la bouche, tête contre tête. Je demande : < Là, tu as sucé qui ? >. Clémentine s'essuie en riant.
< Monsieur X, l'inconnu des toilettes publiques du bourg ! > dit elle. Nous en rigolons comme des bossus. Amusant.
< Et là, j'examine la bite de monsieur Julien, l'homme que j'aime ! > fait elle en s'accroupissant pour sortir le Zob.
Le dimanche, nous restons dans notre jus. Pas de douche. L'odeur de Parmezob est pestilentielle et monte aux nez.

Lorsque Clémentine me décalotte très légèrement, la puanteur envahit la salle de bain. Elle adore alors la renifler.
Elle fait tourner la bite pour en humer les effluves fromagères avec soin, longuement. J'ai toujours un peu honte.
C'est gênant d'avoir le sexe sale. La préférence de Clémentine qui aime les productions fromagères locales et Bio.
Je lui caresse délicatement les tempes, le front. Je lisse ses sourcils. Je l'observe à inspecter soigneusement. Zob.
Du bout de la langue qu'elle tente de glisser entre le prépuce et le gland, elle récupère de ce fromage grumeleux.

< Mmhh ! > gémit elle en me montrant les fruits de sa cueillette. Il y a des particules de Parmezob sur sa langue.
Clémentine se met à téter. Juste la peau fripée du prépuce qu'elle étire au maximum pour y glisser la langue. Zob.
Je la laisse savourer en lui chuchotant des saloperies. Elle se met à genoux pour commencer à sucer avec passion.
Je ma fais tailler une pipe des familles. Je la force à cesser pour l'aider à se relever. Je lui masse les genoux. Bien.
< Vous êtes si attentionné mon bon "Maître" ! > me susurre t-elle alors que j'essuie sa bouche avec un mouchoir.

< Je vous fais une agréable surprise, mon bon "Maître", si vous m'accordez quelques minutes ! > fait Clémentine.
Je dis : < Je vous attends au salon ma délicieuse "Soumise" ! >. Je dévale les escaliers jusqu'au salon. Il est 14 h.
J'allume l'ordinateur. Il y a nos trois messages. Celui de Julie, celui d'Estelle et celui de Juliette. De longs courriels.
C'est devenu un rituel quotidien. Clémentine vient me rejoindre. Vêtue de sa jupe carmin, chemisier, talons hauts.
Elle fait le tour de la grande pièce en tournant autour de moi. Elle vient virevolter devant le bureau où je suis assis.

J'admire en silence. C'est un merveilleux spectacle. Soudain immobile, les pieds écartés, Clémentine qui se cambre.
Les genoux fléchis, elle passe une main sous sa jupe, entre ses cuisses. Elle se touche en me fixant. C'est sublime.
Je sors ma queue. C'est trop bien. C'est trop bon. Clémentine s'accroupit doucement. Cuisses largement écartées.
J'ai le souffle court. Je n'arrive jamais à m'habituer aux initiatives de Clémentine. Je suis l'homme le plus heureux.
Elle me fixe. Je regarde ses doigts bouger doucement sur son clitoris. C'est absolument génial. Elle y prend plaisir.

Elle se redresse sans cesser de se masturber pour refaire le tour de la grande pièce. Le silence est pesant et lourd.
Je dis : < Nous avons nos messages, ma douce "Soumise". Voulez vous les découvrir avec moi ? >. Elle me rejoint.
Assise sur mes genoux, une main autour de mon cou, l'autre sous sa jupe, Clémentine découvre nos courriels. Joie.
Nous commençons par le "roman" de Julie qui adore partager de longues histoires. Etudiante en Lettres Modernes.
Julie nous raconte sa journée de hier, samedi. Il faisait si doux qu'elle était au jardin tout l'après-midi à aider papa.

Ce n'est qu'en soirée, une fois seule, que son voisin a commencé son petit manège pervers. Caché derrière la haie.
Julie nous raconte la stratégie d'approche du vicieux. Hier, elle portait ses lunettes noires. Elle peut mieux observer.
Julie peut ainsi loucher tout en faisant semblant de s'affairer à autre chose. Décrocher le linge consciencieusement.
Le type est caché derrière sa clôture à guetter le moment où la jeune fille regarde dans sa direction. C'est un rusé.
Là, entre deux trouées dans la haie, il se montre soudain en faisant semblant de ne pas le faire exprès. Il se branle.

Julie l'aperçoit quelquefois depuis qu'elle est adolescente. Elle est dans le secret. Et personne ne se doute de rien.
Ni la femme du voisin, ni les parents à Julie. Et c'est juste gênant lorsque ses parents bavardent avec les voisins.
Julie est si voyeuse. La situation n'a rien pour l'importuner. Avec le confinement le mec donne dans la surenchère.
Nous répondons à son courriel en racontant un peu de nos aventures. Le message d'Estelle nous amuse également.
Elle aussi a profité de la douceur de l'après-midi de hier. Estelle par contre à affaire à un promeneur de chien. Bien.

Avec le confinement le mec promène son chien vingt fois par jour. Il semble même passer son temps sur le sentier.
Ce n'est qu'en soirée qu'il sévit, queue à la main. C'est toujours dans l'étroit passage entre le bâtiment et la rivière.
Estelle le voit passer plusieurs fois par jour depuis la fenêtre du bureau de l'entreprise familiale, au premier étage.
En soirée, elle va au jardin, juste derrière les fourrés et les buissons en fleurs de la rangée de thuyas. Elle attend là.
Pas besoin d'attendre très longtemps. Le type vient du bourg à deux bornes. Il passe doucement. Le chien attaché.

Notre promeneur s'arrête tous les trois mètres pour permettre à son clébard de renifler, de pisser, de lever la patte.
Le type en profite pour scruter chaque recoin derrière les fourrés, de l'autre côté de la haute clôture. Une habitude.
C'est là que Estelle se montre en faisant mine de bricoler, de vider la poubelle à épluchures dans le bac à compost.
Autant de prétextes qui lui permettent de s'amuser de la situation. Hier soir encore il y avait là de quoi se distraire.
Cette fois, le mec s'est positionné, braguette ouverte, bite à la main, exactement devant la trouée entre les thuyas.

Estelle, le cœur battant, retenant sa respiration, prenant tout son courage, un sécateur à la main, apparaît soudain.
Là, à peine à deux mètres, ce type entrain de pisser. Le jet dans sa direction qui fait : < Bonsoir mademoiselle ! >
Estelle qui répond. Cette fois, elle décide de l'embarrasser un peu. Elle se met à couper les pointes des thuyas. Bien.
Ce salaud se branle doucement tout en pissant. Il a une queue épaisse avec la peau matte. Une véritable "saucisse ".
Estelle nous raconte tous les détails. Le type qui entame la conversation le plus naturellement du monde. Vicelard.

Nous répondons à son message en faisant un copié/collé du texte envoyé à Julie. Avec quelques rajouts personnels.
Le courriel de Juliette est des plus divertissants. Elle nous raconte le quotidien au haras, notre belle rencontre hier.
Elle aussi est déçue par ce brusque changement de météo. Elle aurait été si contente de passer du temps avec nous.
Ce n'est que partie remise. Nous ferons cela dès que le climat le permettra. Juliette nous raconte ce qui se déroule.
Kim Son et Eveline, les deux jeunes palefreniers ont transformé les écuries et leurs jobs en parties de cul effrénées.

Juliette précise toutefois que le travail est bien fait. Irréprochable. Elle a ses planques d'où elle peut mâter tout ça.
Notamment à l'étage de la vieille écurie. Par les espaces entre les lattes du plancher. Il faut juste être silencieuse.
Kim Son et Eveline semble privilégier la position du missionnaire qu'ils pratiquent plusieurs fois par jour. Et court.
En fait, ils ne vont jamais jusqu'à l'orgasme. Juliette nous raconte tout ça dans son style d'écriture unique. Sympa.
Nous répondons avec le même copié/collé agrémenté de passages personnalisés. C'est une activité fort plaisante.

Il est 15 h. Nous voilà instruits des dernières actualités des gens qui nous sont le plus proche. Clémentine se serre.
Mes genoux commencent à êtres ankylosés. Elle se lève pour m'entraîner par la main jusqu'au canapé. M'y pousse.
Clémentine est toute émoustillée par sa lecture. Je touche son sexe. Trempé. Je propose un bon léchage de minou.
Je ne suis pas obligé de le proposer deux fois. Me voilà à genoux sur un des épais coussins. Confortable et à l'aise.
Mes mains posées sur les cuisses largement écartées de Clémentine je hume longuement ses odeurs de fille excitée.

J'écarte les poils pour admirer un peu de crème épaisse qui garnie les lèvres charnues du sexe de Clémentine. Joie.
Je lèche en suçotant. Je prends tout mon temps. Clémentine est très juteuse. Ses épanchements son conséquents.
Du bout de la langue je fouille les plis et les replis. Je nettoie consciencieusement chaque recoin, chaque aspérité.
Clémentine m'observe. Je savoure ce goût acidulé, légèrement vinaigré. Cela me procure les plus délicats vertiges.
C'est lorsque je suce le clitoris géant, follement dressé et turgescent, qu'elle m'attrape par les oreilles, gémissante.

C'est rapidement le concerto habituel en cris majeurs ponctués de soupirs et d'appogiatures brèves rythmées. Bien.
Cette partition est jouée de main de maître. La Coda est toutefois repoussée au soir. Car nous aimons rester excités.
Nous jouons toutefois avec les limites à plusieurs reprises. Clémentine me repousse délicatement juste quand il faut.
Nous évitons l'orgasme aux bons moments. Il est presque 17 h. Clémentine est en sueur. Je l'emmène aux toilettes.
Son pissou. Je la tiens sous le menton de ma main gauche. Puis je lui enfonce l'index de la main droite dans le sexe.

Cela met chaque fois un terme au jet. C'est amusant. Par contre lorsque je le lui enfonce dans le cul, un jet violent.
Je me mets à genoux. Clémentine se redresse en gardant les cuisses largement écartées pour me permettre l'accès.
J'adore la nettoyer ainsi. Sucer les derniers reliquats de pisse qui se mélangent à la cyprine qui dégouline. C'est bon.
De quoi la propulser à nouveau vers les enchantements divins du cunnilingus. Elle se frotte sur mon visage. Miam.
Cette fois c'est elle qui m'aide à me redresser. Nous nous embrassons comme des déments. Et de la salive partout.

Nous retournons au salon. Je suggère de mettre nos anoraks, de prendre le grand parapluie et d'aller prendre l'air.
Excellente initiative. Il faut mettre les bonnets et les gants. Il y a du vent. Mais c'est très gérable pour le parapluie.
Nous restons à l'abri des haies. Nous passons derrière la roseraie. Avec cette météo, monsieur Bertrand est absent.
Dans la serre, je sors ma bite pour l'offrir à Clémentine. Avec l'excitation, elle colle au fond du slip dans son sperme.
Clémentine pousse de petits cris émerveillés à la quantité de liquide séminal qu'elle suce. J'entends les gargouillis.

Il fait bien meilleur dans la serre. Pas de vent. Pas de pluie. Je suis assis sur une des chaises en fer. C'est sympa.
Clémentine, à genoux sur un sac de terreau bien mou, se régale de mes épanchements. Je chuchote des histoires.
Je remémore des situations bien vicelardes que nous avons vécu. J'évoque cet inconnu que Clémentine a pompé.
Là-bas, en Ecosse, au sous sol des toilettes publiques de Mornigside, l'été dernier. Elle en glousse de plaisir. Joie.
Nous restons ainsi une bonne heure. Toutes les deux à trois minutes, Clémentine cesse pour reposer sa mâchoire.

Elle me pose alors des questions. Me demande mon avis. Me confie ses émotions quand aux souvenirs que j'évoque.
C'est très excitant. Je lui parle de la toute petite bite molle de monsieur Gérard. Qui reste sa friandise préférée. Bon.
< Quand tout ça sera terminé, je vais me sucer ce vieux salaud tous les jours ! > fait elle. Nous rions de bon cœur.
Il est plus de 18 h. Nous rentrons sous quelques désagréables bourrasques. Nous montons nous changer. Se sécher.
Clémentine qui était dehors en jupe a froid aux jambes. Je la réchauffe. Et nous faisons les clowns devant le miroir.

Nous descendons. La faim commence à se faire cruellement sentir. Nous allons à la cuisine. La préparation du repas.
Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe la potée. Je fais une belle omelette aux champignons. A la ciboulette.
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Nous évoquons à nouveau quelques aventures passées. Joie.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte les émotions vécues lors de situations.
La vaisselle. Avec le changement d'heure, dans la nuit de samedi à dimanche, il fait jour plus longtemps. On monte.

Bon début de semaine à toutes les coquines qui aiment à faire travailler leur imagination pour les jours prochains...

Julien - (Au lit, j'offre à Clémentine une alternance affolante de cunnilingus, de pénétrations et coulées de sperme) -

Classe



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Homme, 53 ans, France
Classe - 40 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1110 -



La petite routine du confinement

Hier matin, lundi, je suis réveillé par les profonds gémissements qu'émet Clémentine encore toute endormie. Dodo.
J'ouvre les yeux un peu inquiet. Elle se réveille à son tour de son rêve en se blottissant contre moi. Je la serre fort.
Il est un peu plus de 6 h. Je lui propose de me raconter ce rêve devant notre bon petit déjeuner. Nous nous levons.
Nous nous précipitons aux toilettes pour y pisser dans une volupté libératrice. C'est le premier très grand moment.
Vêtus de nos tenues de gym, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. J'y presse nos oranges.

Clémentine s'occupe du café. Le lundi matin il reste de la brioche. Le pain grillé, le beurre, du miel, de la confiture.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte son rêve. Une course poursuite dans une vieille cathédrale.
Des réminiscences de séjours en Ecosse, de monuments Gothiques et de situations exhibitionnistes. Intéressantes.
Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous montons nous offrir notre heure d'entraînement. Le second moment.
Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles et abdominaux au sol. Dans l'intensité maximale habituelle. Joie.

La douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux et baskets pour aller marcher un peu dehors. Parfait.
Nous enfilons nos anoraks car la température est de moins 4°. Nos bonnets, nos gants. Nous sortons dans le froid.
Nous faisons le tour de la propriété. Il est 7 h40. Le ciel est gris mais lumineux. Nous flânons malgré tout. Sympa.
Nous rentrons. Nous allons dans l'atelier. Il est 8 h10. Clémentine est installée devant son ordinateur. Les études.
Les cours en ligne commencent à 8 h15. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je suis assis devant mon chevalet.

Je prépare les couleurs sur ma palette. Pour la peinture de cette vingt troisième toile destinée à ma saison d'été.
Je peins dans une sorte d'exubérance fort plaisante. La présence de la fille que j'aime n'y est pas étrangère. Joie.
Il est aux environs de 10 h lorsque la musique imbécile de mon smartphone le fait vibrer sur la desserte. Merdre.
Je m'en saisis en maugréant. C'est monsieur Gilbert de Morteau. Il désire nous rembourser l'acompte de location.
Avec les évènements, le confinement étant reconduit, le séjour prévu dans le Jura n'aura pas lieu. Bien dommage.

Nous mettons tout cela au point. Bon. Je remercie monsieur Gilbert pour sa grande probité et pour son honnêteté.
Clémentine, son casque sur les oreilles n'entend pas notre conversation. Je lui écris "Gilbert" sur un grand papier.
Je lui expliquerais à midi. La matinée se déroule ainsi, dans cette émulation productive. Nous adorons la situation.
< Fini ! > s'écrie Clémentine qui vient me rejoindre. Il est 11 h50. Clémentine ne tarit pas d'éloge sur la formule.
Les cours en ligne permettent d'assimiler les choses tout en les mettant au propre immédiatement. C'est bien fait.

Clémentine met deux bûches dans la cheminée. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. La faim est cruelle.
Clémentine s'occupe de la salade en me racontant ses cours. Je réchauffe la potée de légumes. Une bonne odeur.
Je panne deux filets de flétan en expliquant la raison de l'appel de monsieur Gilbert le loueur de cet appartement.
Ce gîte que j'ai réservé du 12 avril au 19 avril. C'est remis à une date ultérieure. Gilbert est un honnête homme.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant ces vacances ratées. Clémentine se réjouissait tant pour le Jura.

Nous y avons passé nos premières vacances ensemble, il y a trois ans. Vacances qui sont relatées dans ces récits.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine fait le programme du jour.
Cet après-midi ce seront des cours interactifs où les étudiants pourront poser leurs questions, interagir entre eux.
Ce sera l'occasion pour Clémentine d'être en contact avec Estelle qui nous manque beaucoup. C'est assez pénible.
La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Amusant.

Nous dévalons les escaliers, pressés de retourner faire quelques pas au dehors. Nous enfilons nos anoraks. Froid.
Clémentine reste accrochée à mon bras. Nous flânons malgré la fraîcheur vive. Là-bas, monsieur Bertrand. Jardin.
Cet homme qui ne craint visiblement pas le climat s'affaire dans son potager. Il ne nous voit pas, bien trop affairé.
Clémentine m'entraîne dans la roseraie. Dans la serre il fait toujours un peu meilleur. Le soleil fait une apparition.
< Fais le satyre ! > me fait elle en ressortant. Je sors mon sexe. Tout mou. Je l'agite en le tenant à sa base. Bien.

Clémentine revient. < Oh ! Mais que faites vous là, vilain monsieur ! > me lance t-elle en jouant la fille offusquée.
Elle interprète si bien bien les rôles qu'elle endosse que je reste admiratif. Je bande mou. J'agite ma queue molle.
< Ça me fait un entraînement pour demain après-midi ! > lance t-elle. Nous avons prévu d'aller faire des courses.
Nous ne traînons pas. Avec la fraîcheur ce n'est pas agréable de jouer à l'exhibitionniste et à la voyeuse. Rentrons.
Il est presque 14 h lorsque nous reprenons nos postes de travail dans l'atelier. Il y fait bien chaud. La cheminée.

J'entends Clémentine poser des questions. Que ce soit au prof ou à d'autres étudiants. Je l'entends aussi répondre.
Comme elle a les écouteurs sur les oreilles, je n'entends qu'elle. C'est à la fois insolite, surréaliste et très étrange.
L'après-midi se déroule ainsi. < Et terminé ! > s'écrie Clémentine en venant me rejoindre. Elle a encore du travail.
Il y a des recherches à faire pour un mémoire à préparer pour vendredi. Le bilan de deux semaines de télé travail.
Clémentine retourne s'assoir à la table. Je l'entends chantonner entre deux séquences de concentration. Ses cours.

< Mais là, j'en ai ras le bol ! > s'écrie t-elle soudain. Il est 18 h. Je nettoie la palette et les pinceaux. C'est parfait.
Assise sur mes genoux, les bras autour de mon cou, Clémentine observe mon travail. J'ai le bonjour d'Estelle. Bien.
Nous traînons un peu dans l'atelier. Avec le nouvel horaire d'été, il fait à présent jour jusqu'à 20 h. C'est agréable.
< Je monte me mettre en tenue ! > me fait Clémentine qui se sauve après m'avoir fait un bisou. Je la regarde filer.
Nous avons convenu de prendre nos repas du soir en étant vêtus d'élégante façon. Un confinement ludique. Bien.

Je vais au salon pour y dresser la table. Ce soir nous mangeons au salon. La surprise que je réserve à Clémentine.
Ce sont toutes ces petites attentions qui permettent de vivre cette situation particulière de la plus agréable façon.
Je déroule le chemin de table en lin écru sur lequel je dispose les assiettes en grès, les couverts en laiton, verres.
Clémentine arrive dans la grande pièce. < Génial ! > fait elle. Elle est vêtue d'un tailleur très strict. Noir. Sublime.
Ses cheveux relevés en chignon. Une cravate sur sa chemise blanche. Sa veste blaser. Ses souliers à talons hauts.

Je la félicite pour cette initiative. Elle garde ses lunettes. Cela lui donne un air professoral. Secrétaire de direction.
Je monte à mon tour. Je mets une costume noir tout aussi strict. Je vais à la salle de bain pour me coiffer. Super.
Je redescends. Clémentine est assise devant l'ordinateur. < Viens vite, on a nos trois messages ! > me lance t-elle.
Elle se lève pour m'inviter à m'assoir afin de s'installer sur mes genoux. Elle me félicite pour ma tenue "Directeur".
Nous découvrons les courriels de Julie, d'Estelle et de Juliette. C'est très amusant. Très excitant également. Super.

Julie raconte l'évolution de la situation. Ses cours en ligne. Son voisin exhibitionniste qui donne dans la surenchère.
Malgré le froid, bite à l'air derrière les bosquets et la clôture en guettant l'occasion de faire son numéro devant Julie.
Nous répondons. Le courriel d'Estelle qui nous raconte le promeneur de chien. Lui aussi s'affirme dans la démesure.
Il pisse à présent dans la trouée entre les thuyas, de l'autre côté de la clôture. Estelle qui bavarde avec lui. Superbe.
Nous répondons en lui avouant à quel point sa présence nous manque. Le message de Juliette est toujours amusant.

Voyeuse, elle trouve de nouvelles formules pour aller mâter les parties de cul de Kim Son et d'Eveline aux écuries.
Comme les deux jeunes palefreniers travaillent ensemble, ils baisent ensemble. Un peu partout. Juste un moment.
Cela ne dure jamais plus de quelques minutes mais cela se reproduit plusieurs fois par jour. Et ils ont cette formule.
Chacun vit son confinement en appliquant ses petites techniques. Nous répondons en avouant qu'elle nous manque.
Il est presque 19 h. Nous allons à la cuisine. Nous mettons les tabliers pour ne pas risquer de salir les beaux habits.

Clémentine s'occupe de la salade tout en me confiant à quel point la lecture de ces messages l'excite. Et moi pareil.
Je réchauffe le reste de potée de légumes. Ce soir avec une sauce au Roquefort et aux crevettes rissolées. Délicat.
C'est rapide. Nous emmenons les plats au salon. Nous retirons nos tabliers. Nous mangeons comme au restaurant.
Ce soir, nous nous vouvoyons. Ce soir, Clémentine est madame Queue. Je suis monsieur Zob. Notre nouveau jeu.
Monsieur Zob a évidemment un comportement digne de son patronyme. Le vrai vicelard qui se lève pour se branler.

Madame Queue, elle, a se comportement de jeune fille offusquée. Scandalisée. J'en rajoute dans l'outrance. Fameux.
Je viens agiter mon nœud à quelques centimètres du visage de Clémentine qui pousse de petits cris. Horrifiée. Bien.
Je pisse dans le verre ballon que je dépose devant son assiette. Avec son chignon et ses lunettes, elle fait plus âgée.
C'est génial. Durant tout le repas, madame Queue parle queue. Celles qu'elle a sucé. De sa préférée, celle de Gérard.
Je viens lui frotter la mienne sur la joue. Le repas est délicieux. Je débarrasse. Je ramène le dessert. Yaourt au miel.

Comme j'ai passé mon sexe plusieurs fois dans l'assiette de Clémentine, il y a plein de reste de bouffe collé au bout.
Clémentine se lève. Elle passe derrière moi pour me caresser les joues, le cou. Puis elle passe sous la table. Super.
< C'est là, que je veux passer le plus clair de mon temps ! > fait elle en se mettant à me sucer. C'est inconfortable.
Sa tête cogne contre la table. Je l'invite à se relever. C'est à quatre pattes qu'elle fait le tour de la table. Me fixant.
C'est hyper excitant. Une secrétaire de direction, d'une élégance folle, des airs d'innocente ingénue, à quatre pattes.

Je débarrasse la table. Clémentine me suit à la cuisine tout en restant à quatre pattes. Elle va avoir mal aux genoux.
Je l'aide à se relever. Nous enfilons nos tabliers pour faire notre vaisselle. Clémentine plonge, me raconte. J'essuie.
Je glisse ma main sous sa jupe. Les jupes droites ne permettent pas de le faire facilement. Mais quelles sensations !
L'absence de culotte me fait découvrir une chatte humide et moite. J'ai envie d'y gouter. Et c'est plus fort que tout.
Nous rangeons la cuisine. Clémentine se remet à quatre pattes pour retourner au salon. Je la suis en me branlant.

Nous avons des genouillères. Il serait plus avisé de les mettre afin de protéger ses genoux. Mais c'est ce qu'elle veut.
Clémentine est une authentique "soumise" mais absolument pas masochiste. Ce n'est que la "contrainte". Fantasme.
Elle est à genoux sur l'épais coussin, les mains posées sur la tête à me fixer avec un regard implorant. Et désespéré.
Je viens lui frotter la bite sur la gueule. Il y a encore l'odeur de la potée de légumes. Et probablement aussi son goût.
Je l'enfonce délicatement dans la bouche de Clémentine. Indicible sensation de la tremper dans un bol de purée tiède.

Je me comporte en véritable salopard. J'alterne les frottages que queue sur son visage et les pénétrations buccales.
Les gémissements, les petits cris de ravissements, tout cela participe de l'enchantement paradisiaque de cet instant.
Même si mes lombaires sont douloureuses à cause de la position cambrée, je savoure ce moment tout comme elle.
Clémentine a rapidement le visage barbouillé de jute visqueuse. Avec la chaleur des radiateurs, le foutre sèche vite.
Je vais au bureau. Je sors l'appareil photo du tiroir du haut. Je reviens. Je recommence à faite le salopard. Vicelard.

Je ne vais pas pisser. Il serait dommage de saloper les beaux vêtements de Clémentine qui n'attend pourtant que ça.
Je me fais tailler une pipe fantastique. Clémentine qui garde les mains croisées sur la tête, maintenant son chignon.
Elle s'apprête à déglutir la grosse quantité de sperme épais, gluant. Je me retire à temps pour lui éjaculer au visage.
Une invraisemblable quantité de purée visqueuse qui lui macule toute la gueule. Je prends plusieurs photos. Parfait.
Clémentine, de ses doigts, se nettoie le visage en suçant tout le sperme qu'elle récupère. Je la félicite pour la pipe.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, nous mâtons les photos sur l'ordinateur. Cinq vraies réussites.
Ce sont des photos magnifiques. Le visage de Clémentine maculé d'une véritable purée de foutre. J'ai bien éjaculé.
Personne ne verra évidemment jamais ces photos. Mais elles peuvent servir pour notre vieux projet. Des réussites.
< Elles sont encore mieux que les autres ! > fait Clémentine qui veut les tirer sur l'imprimante. Et c'est très rapide.
Elle les compare aux deux autres réalisées il y a plus d'un an. J'éjacule toujours de grosses quantités, mais là, fou.

Concernant ces photos, le projet de Clémentine est de les glisser dans la pochette en cuir. Un grand porte feuilles.
D'oublier cette pochette volontairement afin qu'un homme la trouve. Clémentine qui reviendrait alors la récupérer.
Nous n'avons pas encore trouvé le plan idéal pour réaliser ce fantasme. On imagine le mec qui trouve ces photos
Qui rencontre la fille des photos venue récupérer sa pochette en remerciant le type qui l'a trouvé. C'est fabuleux.
Il est 22 h30. Nous montons. Pipi avec le rituel du pompage de mélange. Clémentine m'offre de superbes giclées.

Bonne soirée à toutes les coquines qui échafaudent quelques stratégies d'exhibitions très particulières...

Julien - (Au lit j'offre à Clémentine une alternance de cunnilingus et de pénétrations qui la font hurler de plaisir) -

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Le mardi les cours en ligne finissent à midi

Hier matin, je me réveille le premier. Il est 6 h. je regarde Clémentine qui dort encore profondément. C'est si rare.
Je suis obligé de me faire violence pour la réveiller. Je murmure : < Mon Ange il va être l'heure d'aller à l'école ! >
En gémissant Clémentine se serre contre moi. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes en riant.
Vêtus de nos tenues de gym, morts de faim, nous dévalons les escalier jusqu'à la cuisine. J'y presse nos oranges.
Clémentine s'occupe du café. Le mardi, elle termine à midi. Ce qui l'a rend toujours considérablement euphorique.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine fait le programme de cette journée qui s'annonce.
Nous avons prévu d'aller faire quelques courses. La vaisselle et nous remontons pour notre heure d'entraînement.
Jogging sur tapis roulants. Charges additionnelles, abdos. Avec le changement d'heure il fait nuit plus longtemps.
La douche. Nous nous habillons. Nous enfilons nos anoraks, bonnets et gants. Le thermomètre indique moins 4°.
Nous parcourons notre propriété. Le ciel est immensément bleu mais malgré le soleil, il règne un froid de canard.

Il est 8 h05. Nous rentrons pour aller dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur. Elle chantonne.
J'allume un bon feu dans la cheminée. Me voilà installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs et la palette.
Il y a un silence qui m'inspire tout autant que la peinture de cette vingt troisième toile destinée à ma saison d'été.
Vingt troisième toile qui sera terminée pour midi. Je peins dans l'euphorie communiquée par Clémentine ce matin.
Parfois, je me lève pour rejoindre Clémentine plongée dans ses cours. Je ne la dérange surtout pas. C'est mieux.

Elle m'attrape toujours par la taille tout en continuant d'écrire et à observer le professeur que l'on voit sur l'écran.
< Terminé pour aujourd'hui ! > s'écrie t-elle. Il est 11 h50. Clémentine vient me rejoindre. Elle me raconte un peu.
Nous mettons deux bûches dans la cheminée avant de quitter l'atelier pour aller à la cuisine. La faim se fait sentir.
Clémentine s'occupe de la salade en évoquant le mémoire qu'il faut rendre vendredi matin. Elle est dans les clous.
Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je coupe le poireau en petits morceaux que je fais cuire à l'eau. Pâte à pain.

Il n'y a aucune raison de ne pas sacrifier à notre Flamiche Picarde, cette tarte aux poireaux qui régale nos mardis.
Tous les mardis soirs c'est le rituel de la tarte aux poireaux. Je concocte une Béchamel. J'y rajoute le poireau cuit.
Du gruyère, du jus d'ail et de la noix de muscade. J'en récupère un peu en accompagnement des coquillettes. Bon.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Nous avons tout notre temps. C'est bien.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine fait l'inventaire de nos courses à ne pas oublier.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Si drôle.
Nous nous changeons. Clémentine veut absolument faire de chaque sortie une fête. Être féminine et séduisante.
Elle porte une de ses jupes plissées, carmin, sa couleur préférée. Un chemisier crème sous un pull noir col en "V".
Ses bas noirs fixés à son porte jarretelle. Des souliers noirs à légers talons. Ses cheveux dénoués et qui flottent.
Sur sa demande, je porte un pantalon noir à plis. Une chemise blanche sous mon pull noir. Une veste noire. Strict.

Clémentine nous entraîne devant le miroir de l'armoire. < Regarde comme on est beaux tous les deux ! > fait elle.
Nous prenons des poses ridicules en éclatant de rire. Je trouve que je fais employé des pompes funèbres. Sévère.
Clémentine s'accroupit devant le miroir, cuisses largement écartées. Elle enserre ma jambe en y appuyant sa tête.
< Mon bon "Maître", je vous aime. Savez vous que j'ai besoin d'être sérieusement recadrée ? > me dit Clémentine.
Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Ma délicieuse "Soumise", je m'en occupe dès à présent ! Certain ! >

Tout en restant accroupie, Clémentine passe devant moi. Elle frotte son visage contre ma braguette en gémissant.
Je sors mon Zob pour le lui frotter sur la gueule avant de le lui enfoncer dans la bouche. Je bande très mou. Bien.
Je la tiens sous le menton et par la nuque. Je la fais sucer un peu. Je commence à bander de plus en plus fort. Dur.
Je la tiens par les oreilles en imprimant un mouvement masturbatoire, bougeant le bassin dans un rythme régulier.
Je sors mon sexe de sa bouche en y laissant deux longs filaments de foutre épais, visqueux. Je saisis ses cheveux.

Je fais tourner sa tête afin qu'elle puisse se voir avec sa coulée de foutre aux coins des lèvres. Elle adore se mâter.
Je me penche pour lui murmurer : < Regarde un peu la gueule de salope que tu te traînes encore aujourd'hui ! >
Je l'aide à se relever pour lui masser les genoux. Je passe mon index sur sa lèvres pour récupérer cette coulure.
Clémentine suce mon doigt en me fixant d'un regard implorant. Je l'attrape par la nuque pour l'entraîner. Ferme.
Nous descendons l'escalier ainsi. Je l'emmène au salon. Du dernier tiroir du bureau, je retire le collier et la laisse.

Je fixe le collier canin autour de son cou sur le fin foulard de soie pour ne pas irriter la peau. J'y attache la laisse.
< Je vous aime "Maître" ! Vous êtes tellement attentionné avec moi ! > me fait elle. Je l'embrasse comme un fou.
Je la tire par la laisse. Nous mettons nos manteaux, nos chapeaux de feutre noir. Nos écharpes et nos gants noirs.
Nous traversons cette partie du jardin jusqu'au garage. Là-bas, à 300 mètres, dans son jardin, monsieur Bertrand.
Je tire Clémentine par la laisse. Elle marche derrière moi légèrement penchée en avant. Mr Bertrand vient de voir.

Clémentine lui fait un signe amical de la main. Nous voilà en voiture, dument munis de nos attestations de sorties.
Je roule doucement. Clémentine joue avec mon sexe qu'elle a sorti de ma braguette ouverte. Elle est euphorique.
Il y a 13 km jusqu'à la zone commerciale dont seul l'hypermarché est ouvert. Clémentine me donne ses ressentis.
Parfois, elle se penche sur sa gauche pour sucer un peu. A chaque fois j'appuie sur sa nuque pour bien l'enfoncer.
Je gare la voiture sur le parking. Il n'y a pas grand monde. Je nettoie la poignée du caddie avec le gel désinfectant.

Clémentine tient la liste des courses. Elle m'entraîne dans les rayons. La laisse pend sur son pull, manteau ouvert.
Il faut vraiment regarder avec attention pour découvrir l'ustensile fixé au collier canin discret qu'elle porte au cou.
Nous flânons dans les rayons. Il ne manque rien. L'approvisionnement est constant. Et aucune pénurie à l'horizon.
Il y a toujours un décalage entre les affirmations des médias et la réalité beaucoup moins anxiogène. C'est un jeu.
Clémentine, bien "allumée" m'entraîne aux rayons culturels. Peu de clients. Aucun homme seul. On fait trois tours.

C'est au rayon jardinage que nous trouvons la "victime" des petits jeux de Clémentine. C'est un sénior athlétique.
Il regarde les sachets de graines. Je reste en bout de rayon. Clémentine pousse le caddie. Elle arrive près du mec.
Elle met le charriot contre le rayon. A environ deux mètres de l'inconnu, elle s'accroupit. C'est toujours si excitant.
Je fais semblant de comparer de petits sécateurs mais je louche discrètement. Clémentine regarde les accessoires.
Notre sénior ne manque pas de se rendre très rapidement compte de son privilège. Il me tourne à présent le dos.

Il s'accroupit à son tour afin de pouvoir mâter discrètement sous la jupe de la belle jeune fille qui est à ses côtés.
Bien évidemment, Clémentine se retrouve dans cette situation embarrassante qui la comble du plaisir recherché.
Le type se redresse. Je ne vois pas ce qu'il fait. Il mâte plusieurs fois autour de lui. Il m'aperçoit là, à dix mètres.
Il est convaincu que je suis un client à la recherche d'un outil. Moi je suis convaincu qu'il se touche devant la fille.
A la façon qu'à Clémentine de regarder souvent et à la dérobée vers la braguette de l'inconnu. Situation vicieuse.

Il s'accroupit une seconde fois. Cette fois il engage la conversation. Je vois Clémentine se faire draguer. Superbe.
Elle est là, tournée de trois quart vers ce type, les cuisses légèrement écartées, à causer avec lui, à sourire aussi.
Un jeu de séduction qui me fait probablement bander comme le sénior. Avec une telle fille pas besoin de Viagra.
Il est vêtu d'un anorak gris, de jeans, de chaussures de ville. Il porte une casquette noire. Il se redresse encore.
Je suis certain que ce vieux salaud se touche en discutant. Clémentine garde les yeux braqués sur sa braguette.

J'aimerai bien mâter. Voir ce que fait le bougre. Clémentine se redresse. A la limite de l'ankylose et des fourmis.
Cet homme respecte la distance recommandé. Tout le monde le fait maintenant. Mais il tend une carte de visite.
Clémentine sort un mouchoir en papier de sa poche, le déplie pour saisir la carte. Le type éclate de rire. Normal.
Il doit visiblement s'en aller. Il se tripote encore un peu devant cette superbe jeune fille avant de s'éloigner vite.
Clémentine vient me rejoindre. < Un virtuose ! Il a sorti sa bite. Quel salaud. Un Zob comme Gérard ! > dit elle.

Nous en rigolons comme des bossus. Dans le rayon informatique nous comprenons l'empressement de l'inconnu.
Il est accompagné d'une femme. Il ne nous voit pas. Nous les regardons s'en aller. < Salaud ! > fait Clémentine.
Nous terminons nos flâneries par la poissonnerie. Nous faisons provisions de fruits de mers, de poisson. Quantité.
Il n'y a aucune autre opportunité. Pourtant nous faisons bien le tour de tous les rayons, de tout le vaste magasin.
Nous passons en caisse. Il est 17 h30. Nous allons à la voiture. Il fait un froid désagréable. Un froid polaire. Dur.

Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue en me donnant tous les détails de sa rencontre avec le mec.
Une toute petite bite qu'il a sorti avec une discrétion virtuose, prenant soin de la dissimuler de la main. Vicelard.
Une conversation principalement axée sur sa petite activité de retraité. Jardinage, réfection des murs de maison.
Il est 18 h quand nous arrivons à la maison. Nous descendons directement à la cave avec les paquets de poisson.
Tout dans le congélateur. De quoi tenir un bon mois. Nous en faisons grande consommation. Seul aliment carné.

Nous montons nous changer. Je recommande à Clémentine de mettre une vieille jupe, un vieux chemisier à jeter.
< J'ai pas ! > fait elle en devinant où je veux en venir et rajoutant : < Mais on lave directement après ! >. Rires.
Nous dévalons les escaliers. J'ai retiré le collier et la laisse. < Le type n'a même pas remarqué ! > dit Clémentine.
Je dis : < Il était beaucoup plus préoccupé par le spectacle que tu lui offrais. Il mâtait sous ta jupe le vicelard ! >
Nous en rions de bon cœur. Nous allons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je travaille la pâte à pain.

J'étale la pâte dans le grand moule rond et haut. J'y verse la Béchamel réchauffée contenant le poireau, gruyère.
Je recouvre d'un fin couvercle du reste de pâte. Je badigeonne du mélange œuf et lait de soja. Je dispose au four.
Tout est prêt. Nous dressons la table au salon. Clémentine m'entraîne derrière le bureau, elle allume l'ordinateur.
Nos trois messages habituelles. Julie, Estelle et Juliette. Nous découvrons avec bonheur les récits de nos amies.
Nous y répondons en joignant un selfie pris à l'instant, Clémentine assise sur mes genoux, bras à mon cou. Joie.

Clémentine est né le premier avril. C'est donc demain son anniversaire. Et un évènement que je marque toujours.
Je lui promets de bons moments. Une séance de dressage comme elle en raffole. Je lui promets de me surpasser.
< Tu m'en donnes un aperçu après ? > me murmure t-elle en se levant pour passer sous le bureau et me toucher.
Je la saisis par ses cheveux pour lui frotter la gueule sur ma braguette ouverte. Elle pousse des petits cris de joie.
Je sors ma queue toute molle mais gluante à cause de mon voyeurisme à l'hypermarché. Clémentine s'en régale.

Je lui appuie sur la nuque pour y enfoncer le maximum de queue. Je suis d'une vulgarité qui enchante Clémentine.
J'ai enfin le comportement qu'elle apprécie tant. Elle me tient les mains, croisant ses doigts entre les miens. Pipe.
La sonnerie du four. Je l'aide à se relever de sous le bureau sans se cogner la tête. Nous filons à la cuisine. Faim.
Nous ramenons les plats au salon. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine revient sur l'exhibe de l'après-midi.
< J'adore les vieux vicieux. Vivement que tout cela soit terminé que je puisse m'offrir la bite à Gérard ! > fait elle.

Nous traînons à table. Clémentine sait me surprendre. Elle monte sur la table. Accroupie, les cuisses écartées. Belle.
La carafe d'eau sous ses fesses. Elle me fixe. Elle se met à pisser. Juste un petit jet et ça dégouline encore un peu.
Elle revient s'assoir pour continuer à manger. Elle refait ça plusieurs fois. La carafe se remplit. C'est extraordinaire.
Elle se lève, pousse mon assiette vide, s'assoit sur la table pour me présenter sa chatte. Je me prends mon dessert.
Put-Hein mais qu'est-ce que j'aime ça me bouffer de la chatte. Et lorsque c'est présenté et offert comme ça ! Miam.

Je peux sentir les frissons des cuisses de Clémentine contre mes joues lorsqu'elle m'enserre le visage en gémissant.
C'est limite. Juste avant l'orgasme. Clémentine me repousse délicatement. Je lui dis < Bon anniversaire anticipé ! >
< Je t'aime comme une folle ! > s'écrie t-elle en s'asseyant à califourchon sur ma queue raide. Ça rentre tout seul.
C'est rare que nous faisions l'amour ainsi. Clémentine fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Tarte au poireau.
Nous restons ainsi un bon moment, alternant les bercements et l'immobilité pour nous chuchoter plein de douceurs.

Nous en oublions la vaisselle. Clémentine se redresse. Cette position ne lui est pas favorable et agréable longtemps.
Nous débarrassons. < J'aime avoir mon anniversaire. Et tu me le fêtes tous les jours ! > me lance Clémentine. Rire.
Je dis : < Demain, tu as 23 ans ! >. Clémentine dit : < Et ça fait quatre ans que l'on s'offre le meilleur de la vie ! >
La vaisselle. Il est 21 h30. Nous montons. Le rituel des pissous ou je peux me régaler de tous ses mélanges de fille.
Au lit, j'alterne les cunnilingus, des pénétrations, la bite en bouche et les comportements odieux. Orgasmes fous.

Bonne soirée à toutes les coquines qui s'attendent à passer un anniversaire des plus inoubliables...

Julien - (J'offre à Clémentine un aperçu de ce que je lui réserve pour son anniversaire. Un 1er avril prestigieux) -

Classe



Classe


Homme, 53 ans, France
Classe - 42 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1112 -



Pas de poisson d'avril

Hier matin, mercredi, je suis réveillé par de doux murmures, une infinitude de : < Je t'aime ! >. C'est merveilleux.
Sans ouvrir les yeux, je serre Clémentine contre moi pour lui dire : < Bon anniversaire mon Ange. Tu as 23 ans ! >
Nous tentons bien de lutter contre cet irrépressible besoin de pisser pour terminer par nous précipiter aux chiottes.
Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. Préparer le petit déjeuner.
Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Les tranches de pain sont éjectées du grille pain. Clac.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte la nature étrange de son rêve. Cocktail érotique et délirant.
Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous remontons afin de nous offrir notre gratifiante heure d'entraînement.
Jogging sur tapis roulants. Charges additionnelles. Abdos. Toujours avec une intensité maximale. Toujours le plaisir.
La douche. Nous nous habillons. Nos enfilons nos anoraks pour aller prendre la température. Moins 3°. Il fait froid.
Il est 7 h40. Le ciel est immensément bleu, il y a le soleil. Il y a ce froid polaire. Nous faisons le tour de la propriété.

Nous rentrons. Il est 8 h05. Clémentine est assise devant son ordinateur, son casque sur les oreilles. Cours en ligne.
J'allume un bon feu dans la cheminée. Me voilà assis devant mon chevalet et je prépare les couleurs sur ma palette.
J'attaque ce matin la vingt quatrième toile destinée à ma saison d'été. La quatrième de la série de mes 10 paysages.
Je peins dans un enthousiasme qui me fait déborder d'inspiration créatrice. La présence de la fille que j'aime. Super.
Vers dix heures il y a la musique idiote de mon smartphone qui le fait vibrer sur la desserte. Mais qui est cet enfoiré.

Je décroche. C'est l'entreprise paysagiste. Le patron me demande s'il n'y a aucun soucis pour les travaux de demain.
Je confirme. Je préviens qu'il y aura pas mal de boulot. Les deux employés seront là demain matin pour 8 h. Parfait.
Je fais appel à la même entreprise depuis plus de quinze ans. Les employés changent mais la qualité reste identique.
Il est presque midi lorsque Clémentine s'écrie : < L'école est finie ! >. Elle vient me rejoindre pour tout me raconter.
Cette formule de cours en ligne permet un gain de temps appréciable et d'assimiler quantité d'informations. Fameux.

Clémentine dépose deux bûches dans la cheminée. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Il est midi tapante.
Le rituel du mercredi. Le gratin de choux fleurs. Clémentine s'occupe de la salade. Je lave le choux fleurs et patates.
Je fais cuire les petits morceaux à la cocotte minute. Ce sera pour notre repas de ce soir et demain à midi. Très bien.
Je fais gonfler du riz complet. Je prépare un coulis de courgette et d'aubergine que je fais revenir à la poêle. Oignon.
Je pane deux filets de cabillaud que je fais finement dorer à la poêle. J'égoutte le choux fleurs, les pommes de terre.

Je dispose le tout dans un plat en terre cuite. Je recouvre d'une bonne couche de gruyère de Comté, de chapelure.
Au four. On ne s'en occupe plus. Nous mangeons de bon appétit, tout en bavardant. Nous pouvons traîner à table.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me dit : < Ça y est j'ai 23 ans je me fais vieille ! >
Nous en rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Tu voudras encore d'une "vieille" ! >. Je la serre fort contre moi.
La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Si drôle.

Nous écoutons très peu les informations. La plupart d'entre elles sont échangées par les étudiants durant les cours.
Souvent Clémentine me fait remarquer que depuis trois ans, tous les deux, nous vivons le plus parfait confinement.
< On est tellement bien tous les deux. Et j'avais tant besoin de cette vie depuis toute petite ! > rajoute Clémentine.
Nous dévalons les escaliers, si pressés d'aller au dehors. Nous enfilons nos anoraks, bonnets et gants. Nous sortons.
La température extérieure au soleil est de 8°. Il est 13 h30. Monsieur Bertrand, le voisin est déjà dans son potager.

Depuis le bas du terrain, à quelques 300 m, il nous aperçoit. Nous nous saluons de la main. Nous restons au soleil.
Clémentine me tient par le bras. Nous descendons jusqu'à la rivière. Les eaux sont limpides. Leur niveau a baissé.
Nous longeons le cour d'eau. Il y des canards, des poules d'eau et deux cygnes ont élu domicile ici. C'est très beau.
Clémentine glisse sa main dans ma braguette. < Mmhh, c'est bien chaud là dedans ! > me fait elle, sortant le Zob.
Je me retrouve, bite à l'air, pour le chemin du retour. Clémentine ne me la lâche pas. Sa main est chaude. Super.

Il est 14 h. Clémentine est assise devant son ordinateur, le casque sur les oreilles. Les cours en ligne commencent.
Je suis installé devant mon chevalet. Je peins animé du même enthousiasme que ce matin. C'est tellement sympa.
< L'école est finie ! > refait Clémentine qui vient me rejoindre pour s'assoir sur mes genoux et me raconter. Super.
Par contre son travail n'est pas finit. Elle doit encore se consacrer à l'écrit de son mémoire pour ce vendredi matin.
Nous partageons donc ces précieux moments d'émulation productive dans un silence religieux. C'est un vrai plaisir.

Il est 18 h lorsque Clémentine, tournant dans la grande pièce, son texte à la main, le déclame à haute voix. Super.
Telle une actrice de théâtre faisant une révision de son monologue, Clémentine accentue certains passages. Parfait.
Je nettoie ma palette et mes pinceaux. J'applaudis la prestation de Clémentine. Elle imite la danseuse virevoltante.
Les bras levé, faisant des pointes elle tourne sur elle même en chantonnant : < Ils me font chier, ils font braire ! >
J'adore la regarder. C'est tellement merveilleux. Debout sur ma chaise, j'applaudis à tout rompre. Elle me rejoint.

Ses bras autour de mes hanches, son visage contre ma braguette, Clémentine chante : < Je vous aime "Maître "! >
Je pose ma main sur sa tête pour chanter sur le même air : < Je vous aime ma délicieuse "Soumise" ! >. La poilade.
Je descends. Il est 18 h30. Nous allons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe le gratin. Parfait.
Nous dressons la table au salon. Du tiroir du bas du bureau, je sors le collier canin, la laisse et la paire de menottes.
Je dispose les cordelles de coton blanc sur le bureau. Je pose une petite boîte cubique enveloppé d'un papier cadeau.

C'est l'anniversaire de Clémentine. Nous prenons tous les soirs nos repas vêtus d'élégante façon. Un nouveau rituel.
< Je monte me préparer ! > me fait Clémentine en me faisant un bisou sur la bouche avant de filer à toute vitesse.
Ce sera mon tour après. Je fixe les cordelettes aux pieds de la chaise que je place au milieu de la pièce. Préparation.
Je cherche la cuvette en plastique bleu, un seau et la serpillère aux toilettes. Je dispose le tout près de cette chaise.
< Je suis prête. Mystère et surprise ! > dit Clémentine depuis le couloir en restant dissimulée. C'est à moi. Je monte.

Ce soir, je revêts mon pantalon de cuir noir, mes bottes, ma chemise blanche à jabot à larges manches bouffantes.
Je descends doucement. Nous voulons tous deux préserver l'effet de surprise. Je prends chaque marche en silence.
< Mon mousquetaire ! > s'écrie Clémentine qui s'était cachée pour me surprendre. Elle me saute au cou. Heureuse.
Je la soulève. Je la fais tourner. Elle me couvre le visage de bisous. Je la dépose au sol pour l'entraîner à la lumière.
Elle est vêtue d'une de ces jupettes d'été. Carmin. D'un simple sweat noir et fin. Ses souliers de baise, talons hauts.

Clémentine les appelle ainsi à cause de cette petite lanière de cuir qui enserre délicatement ses chevilles. Sublime.
Grace à ses fines lanières, elle peut se livrer à toutes sortes d'acrobaties sans risquer de perdre un de ses souliers.
Elle virevolte dans la grande pièce en tenant sa jupette qu'elle soulève pour me montrer l'absence de toute culotte.
Comme elle est belle. J'en ai les larmes aux yeux. C'est si émouvant. Chaque jour m'apporte son lot de merveilles.
La sonnerie du four. Je propose à Clémentine de faire le service. < Non, je vous lâche pas d'une botte ! > dit elle.

Nous allons à la cuisine. Je sors le gratin de choux fleurs du four. Sublimement doré. Clémentine remue la salade.
Elle se frotte sur le coin de la table. < Quand j'étais adolescente, j'étais amoureuse des coins de table ! > fait elle.
Elle rajoute : < Je me suis toujours fait tous les coins de table des endroits où je vivais. Et toi tu n'étais pas là ! >
Nous en rions de bon cœur. Nous ramenons les plats au salon. Clémentine s'assoit sur la chaise au milieu du salon.
< C'est pour moi ça ? Après ? > me demande t-elle, ingénue, assise avec le dossier de la chaise entre ses cuisses.

Je viens la chercher. Je la soulève. Tout comme une jeune mariée, je l'emmène jusqu'à la grande table monastère.
< Je vous aime mon "Maître". Et si vous saviez à quel point vous avez fait de moi une femme heureuse ! > fait elle.
Je dis : < Je vous aime ma "Soumise. Vous n'imaginez pas à quel point vous faites de mes jours un vrai paradis ! >
Je rajoute : < Bon anniversaire mon Ange ! >. Nous mangeons de bon appétit en nous vouvoyant, parlant l'Anglais.
C'est ma langue natale. Nous échangeons souvent en Anglais. Clémentine le maîtrise à la perfection. C'est ludique.

Clémentine pose souvent sa main sur la mienne pendant que nous dégustons ce gratin de choux fleurs. Si contente.
J'insiste pour débarrasser. Je vais récupérer le petit emballage cubique sur le bureau. Je le pose devant Clémentine.
Pendant que je débarrasse, elle découvre un de ses cadeaux d'anniversaire. Une bague finement ciselée en argent.
Une véritable dentelle d'argent qui habille merveilleusement son annulaire long et fin. Elle se lève, me saute au cou.
Clémentine adore les bijoux en argent. Chaque année c'est son cadeau. Sa collection commence. Elle m'embrasse.

< "Maître", je vous appartiens. J'ai besoin d'appartenir à quelqu'un ! > murmure t-elle blottie tout contre moi. Joie.
Je suis ému. Je suis souvent pétri d'émotion dans ces moments d'intenses communions. J'aime tant cette personne.
Clémentine s'accroupit tout en posant ses mains sur la tête, bouche grande ouverte. Je lui caresse les joues, le cou.
Je retourne au bureau. Je ramène le collier canin et la laisse. Je le fixe autour de son cou avec la laisse. Un à coup.
Je l'entraîne vers la chaise à quatre pattes. Elle avance doucement sans cesser de me fixer de son regard si exalté.

Elle lève la patte au coin du bureau. J'hallucine. Elle y pisse vraiment. Juste un jet, court, net et précis. Une flaque.
Je la tire vers la chaise. Je la force à se relever. Elle s'y assoit, le dossier entre ses cuisses. J'attache ses chevilles.
Ses mains derrière le dos menottées à ses poignets. Je m'éloigne pour admirer ce merveilleux tableau de "Maître".
Elle ne cesse de me fixer de son regard implorant. Je nettoie immédiatement la flaque de pisse avec la serpillère.
Je passe derrière elle pour la toucher. Vulgairement. Grossièrement. Je touche ses tous petits seins, tétons durs.

Je lui palpe la vulve. J'enfonce légèrement un doigt. Mon visage contre le sien qui est déjà bien mouillé de sueur.
Clémentine a de délicieux petits soubresauts à chacune de mes explorations. Les premiers soupirs. Gémissements.
Je palpe le sexe. Je peigne les poils de sa touffe dense, fournie. De longs poils dont certains restent à mes doigts.
Je lui fais humer l'odeur de son intimité en passant mes doigts sous ses narines. J'y enfonce même l'index. Doux.
Je lui murmure des douceurs mais aussi des saloperies. Je commente ce que je fais. Je confie les émotions. Bien.

Tout cela achève de projeter Clémentine dans l'extase de ces moments divins qu'elle apprécie tant. En gémissant.
Je m'occupe d'elle. J'y mets à la fois toute la vulgarité possible mais aussi toute la délicatesse amoureuse. Super.
Clémentine sait bien que je n'ai absolument pas l'âme d'un "Maître". Même si je fais de mon mieux. Une ivresse.
Je me prends quelquefois à ce jeu. Clémentine m'entraîne dans cet univers avec toute sa délicatesse coutumière.
Je passe devant elle. Je lui frotte le sexe sur le visage. Encore une de ses passions. Elle en gémit de bonheur. Bon.

J'insiste longuement sans cesser de dire des cochonneries. De lui rappeler des situations bien glauques, vicelardes.
J'évoque la bite de Mr Gérard. La bite de Mr Wong. Toutes ces bites dont elle raffole. Je promets de bons moments.
Clémentine tente de gober mon sexe. Je l'en empêche en glissant la queue sur sa joue au dernier instant. Superbe.
Je m'éloigne. Je bande mou. J'ai envie de pisser depuis la fin de l'après-midi. Et je me suis soigneusement "gardé".
Ce qui me permet de lui pisser au visage en la maintenant fermement par la tignasse. Plusieurs petits jets sournois.

Entre chacun d'en eux, je lui enfonce la bite dans la bouche. Elle suce comme si sa vie en dépendait. Nouveau jet.
Je lui pisse à chaque fois au fond de la gorge. Ce qui l'a fait tousser, pousser des râles. Elle en les larmes aux yeux.
Je fais tout cela sans cesser d'évoquer quelques situations. Je pisse en disant : < Bon anniversaire Clémentine ! >
Elle tousse, manque de vomir. Des hauts le cœur. J'ai la maîtrise totale de mes actes. J'arrête juste quand il faut.
Le visage ruisselant de pisse, les cheveux lui collant dans le cou et sur les joues, Clémentine me suce en assoiffée.

Je la détache. Je la soulève comme un paquet pour l'emmener sur le bureau. Je maintiens ses chevilles fermement.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions en disant : < Bon anniversaire Clémentine ! >. Elle en hurle.
Les yeux fermés, complètement trempée de pisse, Clémentine est entrain de se faire baiser comme rarement. Dur.
Je ne suis pas un baiseur. Mais là, avec le rôle qui m'est demandé, je me comporte en gros blaireaux stupide, naze.
Clémentine en appui sur ses coudes, se couche complètement. Je la nique sans cesser de faire la machine à coudre.

Elle se masturbe en poussant des cris de jouissances. Elle veut me repousser délicatement pour s'offrir l'orgasme.
Cette fois, je reste bien planté au fond. C'est extrêmement rare car cela ne lui est pas agréable. Cette fois encore.
Je me retire in extremis. Je suis arrosé d'un jet de pisse d'une puissance étonnante. De la pisse chaude. C'est bon.
Il y a de la cyprine qui dégouline partout sur le bureau, entre ses fesses pendant qu'elle pisse en poussant des cris.
Je la laisse reprendre ses esprits. Mon pantalon de cuir noir ruisselle de pisse sur mes bottes. Clémentine soupire.

Elle se redresse pour s'accroupir entre le bureau et moi, s'essuyant le visage qui la picote. Je lui pisse à la gueule.
Elle ne s'y attendait pas. Je dis : < Bon anniversaire Clémentine ! >. Elle se couche sur le côté pour se masturber.
Couchée à même le sol trempé de pisse, les mains entre ses cuisses, Clémentine se masturbe comme une dingue.
Elle vient de jouir. D'avoir un orgasme foudroyant. Et voilà qu'elle recommence. Les yeux fermés tout en hurlant.
Je termine de me vider la vessie sur cette jeune fille qui en devient hystérique. Je répète : < Bon anniversaire ! >

Elle s'offre là, couchée dans la pisse, un second orgasme totalement délirant. Je ne l'ai jamais vu aussi hystérique.
C'est magique. C'est merveilleux. C'est grandiose. Elle ouvre enfin les yeux comme pour revenir à la réalité. Joie.
Elle me tend les mains. Je l'aide à se relever. Tous les deux bien trempés, nous nous embrassons comme des fous.
Nous nettoyons nos excès sans cesser de rire. Nous montons à toute vitesse prendre une bonne douche. 22 h30.
Au lit, Clémentine qui me gratifie d'une pipe magistrale. J'éjacule en hurlant. Put-Hein comme c'était bien ce soir.

Bon anniversaire à toutes les coquines que ce récit a émoustillé plus que de raison et qui se réjouissent déjà...

Julien - (Clémentine garde toujours mon sperme en bouche pour le savourer. Elle s'endort après l'avoir avalé) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 43 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1113 -



Surprenante Clémentine

Hier matin, jeudi, je suis réveillé par le mouvement masturbatoire que fait Clémentine en gémissant contre moi.
Dès qu'elle me sait réveillé, elle passe une jambe sous mes hanches, l'autre sur mon ventre pour se masturber.
Elle me chuchote des choses encore incompréhensibles. C'est tellement adorable que je suis déjà à fondre. Joie.
Hélas, l'impérieux besoin naturel n'éprouve aucune pitié pour nos effusions de tendresse. Nous courons aux WC.
Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine et notre petit déjeuner.

Je presse nos quatre oranges pendant que Clémentine s'occupe du café. Les tranches sont éjectées du grille pain.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine me confie la merveilleuse impression. Anniversaire.
< J'en ai la chatte encore toute congestionnée. Si je ne m'abuse, tu m'as baisé comme un fou hier soir ! > dit elle.
Nous en rigolons comme des bossus. < Après l'anniversaire il y a ma fête. Et j'ai deux prénoms ! > rajoute t-elle.
Je suggère que nous fêtions toutes les saintes du calendrier. < Et les saints ! > s'écrie Clémentine. L'éclat de rire.

La vaisselle. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. C'est toujours un très grand moment.
Jogging sur tapis roulants. Charges additionnelles et abdos. Nous aimons pratiquer avec une intensité maximale.
La douche. Nous nous habillons. Nous dévalons les escaliers pressés d'aller marcher un peu au dehors. C'est bon.
Nous enfilons nos anoraks, nos bonnets, nos gants. La thermomètre extérieur indique moins 2°. Toujours si froid.
Il est 7 h40. Nous faisons le tour de la propriété, serrés l'un contre l'autre en évoquant nos folies d'anniversaire.

Nous rentrons. Les cours en ligne commencent à 8 h15. Nous allons dans l'atelier. Soudain le bruit d'un véhicule.
Il est 8 h10. Clémentine est assise devant son ordinateur, son casque sur les oreilles. Je sors pour aller regarder.
C'est l'entreprise paysagiste. En fait il y a un petit camion benne et une camionnette. Je reconnais un employé.
Par contre c'est une jeune femme qui conduit la camionnette. Je ne l'ai jamais vu. Nous restons à distance. Bien.
Ils connaissent leur boulot. L'employé me demande quelques précisions. J'indique les priorités. Je les abandonne.

Je rejoint Clémentine. J'allume un bon feu dans la cheminée. Me voilà confortablement installé devant le chevalet.
Je prépare ma palette. La peinture de cette vingt quatrième toile destinée à ma saison d'été m'accapare très vite.
Je peins dans une sorte d'enthousiasme subtil qui me fait exécuter quelques prouesses picturales. C'est si sublime.
Je perçois le bruit des machines depuis dehors. Clémentine qui n'entend que ses professeurs dans ses écouteurs.
La matinée se déroule ainsi, dans cette ambiance que nous adorons tous les deux. < Fini ! > s'écrie Clémentine.

Il est déjà 11 h50. Elle met deux bûches dans la cheminée avant de m'entraîner par la main. Nous quittons l'atelier.
Nous allons à la cuisine. Le pavé de saumon a décongelé. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais une pâte à pain.
Le rituel des pizzas du jeudi soir. Je réchauffe le gratin de choux fleurs pour midi. J'émince le saumon, l'ail, l'oignon.
Je concocte une garniture. Tomate fraîches, persil, ciboulette. Le tout à la poêle avec le saumon. Je remue. Rapide.
Je travaille bien la pâte. Je récupère un peu de garniture comme sauce d'accompagnement. Du gruyère de Comté.

La pâte à pain repose sous son linge dans un saladier. La garniture repose sous son couvercle dans une casserole.
Le nécessaire de notre repas du soir est prêt. Le gratin de choux fleurs de hier est délicieux. Et meilleur réchauffé.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine évoque Estelle avec qui elle est en contact en cours.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur nos folies, hier.
Je promets de me montrer très entreprenant dans les prochains jours. < Je te promets des surprises ! > fait elle.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Amusant.
Depuis la fenêtre nous apercevons les deux employés assis à environs deux mètres l'un de l'autre et qui mangent.
C'est le même employé depuis quelques années. Mais il est toujours accompagné d'un autre. Là, c'est une femme.
La trentaine. Des cheveux en queue qui dépassent de son bonnet. Nous dévalons les escaliers et pressés de sortir.
Nous enfilons nos anoraks. La température extérieure est de 12°. Il fait presque bon au soleil. Nous en profitons.

Nous parcourons notre propriété. L'employé nous fait un signe de la main. Nous découvrons des haies déjà taillées.
< Ça bosse bien ! > lance Clémentine qui m'entraîne sur le chemin qui mène à la rivière. J'ai très vite la bite à l'air.
< Je peux tenter un truc un peu tordu avec le type de l'entreprise ? > demande soudain Clémentine en marchant.
Je dis : < Déconne pas trop tout de même ! C'est quoi ? >. Clémentine me choppe le Zob en disant : < Surprise ! >
Nous longeons la rivière. Il y a les deux cygnes qui s'approchent. Les cygnes vivent en couple toute leur existence.

D'une fidélité à toute épreuve, ces animaux nidifient au printemps. Nous les admirons. Ils sont majestueux. Beaux.
Clémentine qui tient ma bite molle à sa base, l'agite en direction des cygnes en disant : < C'est la bite à Julien ! >
Nous en rigolons comme des bossus. Nous reprenons le chemin du retour. Il fait presque doux au soleil. C'est bon.
Nous percevons le bruit des machines. L'employé est sur une échelle à manier un taille haie. La femme au potager.
Ils ne prêtent aucune attention à nous. Ils sont plongés dans leurs labeurs. Il est 14 h05. Nous rentrons au chaud.

Clémentine est assise devant son ordinateur, son casque sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Bien.
Je peins dans le même enthousiasme que ce matin. J'entends les questions que pose Clémentine. C'est intéressant.
Les après-midi sont consacrés aux interactions entre les étudiants et les professeurs. Je n'entends pas les réponses.
< Terminé ! > lance soudain Clémentine. Le temps a passé à une vitesse folle. Il est déjà 16 h15. Et elle me rejoint.
Clémentine a encore du travail en solitaire. Les écrits pour le mémoire à remettre vendredi matin. Une petite pause.

< Tu comptes jusqu'à 50 et tu viens au salon ! > me fait elle, assise sur mes genoux. Un dernier bisou. Elle se lève.
Je me mets à compter. Que me réserve t-elle encore. Je quitte l'atelier. Je la rejoins. Je ne la vois pas tout de suite.
Tournant le dos à une des portes fenêtres ouvertes, inondées de soleil, Clémentine est à genoux, mains sur la tête.
J'hallucine. Là-bas, le long des thuyas, l'employé sur un petit tracteur sans cesser de rouler doucement, regarde ici.
Je dis : < T'es dingue, ce pauvre homme est au boulot et tu le perturbes ainsi ! >. Clémentine me fait : < Génial ! >

Je reste dans la partie non éclairée du salon pour observer la scène et le comportement du type sur son véhicule.
Il mâte à en attraper un torticolis. Sans cesser d'aller et de venir. Clémentine se redresse pour aller sur le perron.
Vêtue de sa chemise à carreaux bleus, de son jeans et des ses baskets, elle descends les quatre marches. Soleil.
Elle regarde les allées et venues de l'employé sur son tracteur à environs 70 mètres. Le type reste consciencieux.
Clémentine remonte les marches, referme la porte fenêtre derrière elle, reste quelques instant à fixer l'employé.

Je dis : < J'aime les salopes, je me ferai chier si tu ne l'étais pas, mais tu exagères. Il ne t'a rien fait le bougre ! >
Clémentine me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Je la fais tournoyer. C'est sublime.
Nous retournons à l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur à travailler à son écrit. Je suis à ma toile.
Il est 18 h15 lorsque Clémentine parcourt la grande pièce en déclamant son texte comme une actrice de théâtre.
Je nettoie ma palette et mes pinceaux tout en écoutant la prose de Clémentine. Encore une prestation de qualité.

Debout sur la chaise, j'applaudis en criant : < Bravo ! Et bravissimo ! >. Clémentine se penche comme pour saluer.
Je la félicite pour la qualité remarquable de ses écrits. Même si le sujet me paraît abstrait. Mathématique, sciences.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur la situation crée tout à l'heure. Le mec.
Elle me confie ses ressentis et les émotions très excitantes que procurent ses mises en scènes devant des inconnus.
Je comprends. < Et tu veux découvrir ce qu'il a certainement ressenti ? > me demande Clémentine qui m'entraîne.

J'enfile mon anorak. Je sors. Je vais jusqu'à la rangée de thuyas. Mr Bertrand, là-bas, à 300 m qui me fait signe.
Nous nous saluons ainsi. Je regarde vers la maison. Là, dans l'encadrement de la porte fenêtre, il y a Clémentine.
Exactement dans la position où je l'ai vu deux heures avant. Elle me tourne le dos, à genoux et mains sur la tête.
J'imagine parfaitement. Je me mets à la place du type sur son tracteur. Que penser d'une situation aussi insolite ?
Cette jeune fille, à genoux, bien droite, les mains croisées sur sa tête. Sa très longue natte qui pend dans le dos.

La vision me fait bander. C'est trop génial. C'est probablement inexplicable pour un inconnu qui découvre la scène.
Comment analyser la situation ? Qu'en penser ? A qui cela s'adresse t-il ? Est-ce une volonté délibérée ? Mystère.
Et c'est ce mystère qui vient se rajouter à l'excitation de cette découverte insolite. Merveilleuse Clémentine. Belle.
Je reste ainsi une bonne dizaine de minutes. Comme tout à l'heure, Clémentine se relève pour sortir sur le perron.
Elle descend les quatre marches, reproduisant à l'identique, ce qu'elle à infligé à ce pauvre employé. C'est sublime.

Ce que je n'avais pas vu depuis l'endroit où je me trouvais à l'intérieur de la pièce. Clémentine se touche le sexe.
C'est donc ça qu'elle a fait devant le type une fois en bas des marches de l'escalier. Quelle adorable coquine. Joie.
Elle se met à courir pour me sauter dans les bras. < C'était comment ? > me demande t-elle alors que je la serre.
En l'entraînant vers les escaliers, d'un pas rapide pour retourner au chaud, je réponds : < Merveilleuse salope ! >
Nous en rigolons comme des bossus en refermant la porte fenêtre derrière nous. Il est presque 19 h. Il fait faim.

Clémentine s'occupe de la salade tout en confiant les mêmes plaisirs ressentis deux fois. S'exhiber devant un mec.
Je travaille la pâte à pain pendant que réchauffe la garniture. Les pizzas sont au four. Et nous retournons au salon.
Clémentine me pousse dans le canapé en disant : < Regarde ! Ce sont mes prochains plans ! >. Je la regarde faire.
Elle est à genoux dans le coin, entre la grande bibliothèque et l'horloge Westminster. Les mains croisées sur la tête.
Elle me tourne le dos. Elle demande : < Raconte moi les émotions que cela te procure en tant qu'homme ? >. Joie.

J'essaie de trouver les mots les plus justes. C'est indicible. Pas réellement explicable. C'est du domaine de l'insolite.
Je compare cette vision à celle d'un fantôme. Cela reste du domaine de l'improbable. De l'irrationnel peut-être. Dur.
Je dis : < Impossible d'en sortir indemne. Une vision qui reste forcément avec tout son mystère dans le souvenir ! >
Je me lève pour aller la rejoindre. Je m'accroupis derrière elle. Sans la toucher je me penche pour mâter son visage.
J'aime scruter ses expressions quand Clémentine se livre à un de ses fantasmes. Elle adore ma façon de l'observer.

Nous restons ainsi, silencieux, un long moment. Mon visage est tout près du sien. Je peux entendre sa respiration.
Nul doute que la situation l'excite. Je le constate aux apnées qui succèdent à ses reprises de souffle. A ses soupirs.
Je passe ma main par devant entre ses cuisses pour murmurer : < Je vous aime, mademoiselle, je vous adore ! >
Clémentine, jusqu'ici très droite se penche soudain en avant. Ma main entre ses cuisses, elle se met à s'y frotter.
Je lui dépose des bises sur la joue. De mon autre main, je caresse ses tous petits seins dont les tétons durcissent.

Je déboutonne son jeans pour glisser ma main dans sa culotte. C'est trempé. Je la masturbe doucement. Le clitoris.
Clémentine prend appui de ses mains sur le mur et le montant de la bibliothèque. Elle se contorsionne sur ma main.
Ce sont comme de petites convulsions. Son corps est tendu. Les premiers gémissements. Je la palpe vulgairement.
Je murmure de véritables saloperies. Je me mets à genoux également pour mieux tripoter. Comme un vrai pervers.
La sonnerie du four. Je cesse. Clémentine reprend ses esprits en soufflant. Elle me tend les mains et je les attrape.

Je l'aide à se relever. Nous nous précipitons à la cuisine. Il est 20 h. Nous sommes morts de faim. Le sexe creuse.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine me confie que Mr Gérard lui a fait la même chose.
Dans sa voiture. Dans les chiottes aux écuries. Clémentine adore se faire tripoter vulgairement dans tous les coins.
Je ne le fais pas assez. Je promets de me montrer à la hauteur de ses attentes car j'ai toujours peur de mal faire.
Ce n'est pas évident d'avoir ce genre de comportement. On n'est jamais certain que ce soit le bon moment. Ardu.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte des anecdotes.
Lorsque Mr Gérard s'occupait d'elle. Le goût de sa bite minuscule. Ses sécrétions continues. Les mélanges surprise.
Clémentine m'avoue à quel point tout ça lui manque. < Dès que tout cela sera terminé, je me surpasse ! > fait elle.
Nous rions de bon cœur. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Sans prévenir, par surprise, je saisis ses cheveux.
Je l'entraîne aux toilettes. Je la fais mettre à genoux dans le coin. J'ordonne : < Reproduis la situation, salope ! >

A nouveau je regarde. Elle se tient bien droite, à genoux, dans le coin à côté du lavabo. Je reste distant. Superbe.
Je reviens m'accroupir derrière elle. A nouveau j'approche mon visage à la droite du sien pour le scruter. Ecouter.
Lorsque je glisse ma main droite dans sa culotte, Clémentine se plie en avant. Je suis encore plus vulgaire. Salaud.
J'enfonce mon doigt dans sa chatte trempée. Je caresse son clitoris géant. Clémentine, visage collé au carrelage.
Elle gémit de plaisir. Je murmure les saloperies les plus ignobles. Je lui rappelle des situations qu'elle a vécu. Vice.

J'évoque la bite minuscule et impuissante de cet incontinent de Gérard. La bite "nem" de ce salopard de Mr Wong.
Au fur et à mesure que je décris les aventures vécues, Clémentine se contorsionne davantage sur ma main, le bras.
Nous sommes tous les deux à genoux. Je la tripote comme un véritable pervers en chuchotant de vraies saloperies.
Nul doute. Je pourrai emmener Clémentine à l'orgasme de cette façon. Elle m'avoue que Mr Gérard le lui fait ainsi.
La dernière fois sous l'urinoir, dans les toilettes du haras. Et les aveux de Clémentine m'excitent considérablement.

D'entendre ses histoires, même si je les connais toutes, me procure les souvenirs élégiaques des contes de fées.
Je pose des questions auxquelles Clémentine aime à répondre en donnant les détails les plus salaces. C'est super.
Je cesse pour la faire pisser. Je lèche cette chatte comme un bienheureux. Puis c'est à son tour. Suceuse de pisse.
Nous montons à toute vitesse. Au lit, j'offre à Clémentine une succession de cunnilingus et de pénétrations folles.
Elle ne cesse plus de me raconter les moments les plus salaces que lui ont fait vivre Gérard et Wong. Et moi aussi.

Bonne soirée à toutes les coquines qui adorent se faire tripoter, à genoux, ou assises dans les coins, parterre...

Julien - (J'offre à Clémentine un orgasme nucléaire. Je lui propose de remettre la pipe à demain. Dodo) -

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Le vendredi, Clémentine termine à midi

Hier matin, vendredi, je suis réveillé par quantité de bisous. Sur le front, sur le nez. On me tient par mon érection.
< Je t'aime Julien ! > me chuchote plein de fois Clémentine et je la serre fort contre moi. C'est tellement adorable.
Quand Clémentine est réveillée, il lui est impossible de se sentir seule. De plus il y a l'euphorie du vendredi. Rires.
Quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus des tenues sport, nous descendons.
Je presse nos quatre oranges. Clémentine fait le café. Nous nous préparons un copieux petit déjeuner. Pain grillé.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine évoque sa petite "expérience" de hier. Très sympa.
L'entreprise paysagère intervient aujourd'hui encore. < Si je peux trouver un bon plan, j'y vais ! > dit Clémentine.
Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous remontons nous offrir notre heure d'entraînement. L'intensité maxi.
Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles et abdos. La douche. Nous nous habillons. Nous descendons vite.
Nous enfilons nos anoraks pour sortir. Le thermomètre extérieur indique 0°. Bonnets et gants. Une fraîcheur vive.

Il est 7 h40. Nous parcourons la propriété en restant bien serrés. Le ciel est immensément bleu. Le soleil y est roi.
C'est très agréable de pouvoir prendre son temps. Depuis le début du confinement, nous découvrons cet avantage.
On s'adapte plutôt bien. Il est 8 h05. Nous nous apprêtons à rentrer au chaud quand arrive l'entreprise paysagiste.
A nouveau deux véhicules. Les mêmes employés que hier que nous saluons à distance. Je les félicite pour le boulot.
La propriété reprend son aspect printanier. Les haies sont taillées, les arbres élagués, les branches ramassées. Bon.

L'homme m'explique que ce matin il faut procéder à la vidange du bassin. La femme termine les abords du potager.
Nous leurs souhaitons une bonne matinée. Nous rentrons. Nous allons dans l'atelier. Il est presque 8 h15. Superbe.
Clémentine est assise devant son ordinateur, son casque sur les oreilles. Je suis assis devant mon chevalet. Parfait.
Je contemple mon travail de hier. Les choses avancent bien. Je me lève pour allumer un bon feu dans la cheminée.
Je prépare les couleurs sur ma palette. La peinture de la vingt quatrième toile destinée à ma saison d'été m'inspire.

Je peins dans cette euphorie communicative offerte par Clémentine depuis le réveil. Nous voilà en pleine émulation.
J'entends Clémentine parler. Sans doute avec un prof. Je n'entends aucune réponse puisqu'elle porte les écouteurs.
C'est amusant car elle prononce très souvent le mot : < Parfait ! >. Elle envoi son mémoire et ce sont les correctifs.
La matinée se passe ainsi. < Terminé de chez terminé ! > s'écrie Clémentine. Il est 11 h50, elle vient me rejoindre.
Elle met deux bûches dans la cheminée. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Nous quittons l'atelier pour la cuisine.

Clémentine s'occupe de la salade. Je fais gonfler du riz complet. Je prépare notre coulis d'aubergine et de courgette.
Cette fois, j'y rajoute de la carotte finement râpée. Ail, oignons. Le tout à la poêle. Je pane nos deux filets de flétan.
Clémentine m'entraîne dans la véranda. Là-bas, les deux employés qui prennent leur repas assis près du bassin vide.
Ils ne parlent quasiment pas. Distants d'environ deux mètres, ils sont chacun plongés dans les Tupperwares. 12 h20.
Nous mangeons de bon appétit et en faisant le programme de l'après-midi. Estelle et Clémentine ont monté un plan.

Nous nous retrouvons pour 15 h30 à l'hypermarché. Nous revoir enfin après trois semaines. C'est un besoin viscéral.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me fait : < Avant de partir, je joue un petit peu ! >
< Surprise ! > rajoute t-elle d'un air espiègle et mutin. Elle ne me laisse pas le temps de répondre, elle m'embrasse.
La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. C'est drôle.
Clémentine m'entraîne dans la chambre. Elle me fait assoir sur le lit. Elle ouvre l'armoire. Elle choisit des vêtements.

Sur le lit elle jette une jupe blanche et un maillot blanc. Clémentine retire son jeans et sa chemise à carreaux bleus.
Elle se change. Elle va au meuble à chaussures pour en retirer des souliers à talons hauts. Elle me fixe longuement.
< Je fais pute ? > me demande t-elle. Je dis : < Oui, délicieusement salope ! J'adore ! >. Elle me dépose des bisous.
Elle prend la pose devant le miroir de l'armoire. Accroupie, les cuisses largement écartées, sans culotte. Formidable.
< Viens, on descend ! > fait elle en m'entraînant par la main. Clémentine m'emmène au salon. Elle fait : < Chut ! >

Je reste à l'écart. Elle ouvre une des deux portes fenêtres. Le soleil inonde cette partie de la grande pièce. Superbe.
Là-bas, l'employé qui déroule un long tuyau. Il s'apprête à remplir le bassin. Il fait même plusieurs choses à la fois.
Clémentine va sur le perron. Il ne fait pas plus de 18° au soleil. Vêtue ainsi, en jupe et maillot, c'est très limite. Dur.
Je dis : < N'attrape pas froid ! >. Elle me fait un sourire et descend les quatre larges marches en arc de cercle. Bien.
Je reste dans la zone sans soleil. Je peux voir. L'employé vient d'apercevoir Clémentine. Il regarde quelquefois. Joie.

Clémentine fait mine de téléphoner. Elle marche doucement pour aller entre les bosquets. C'est un petit labyrinthe.
Je regarde admiratif. Cette silhouette blanche m'excite follement. Surtout qu'elle prépare un truc. Je sors la queue.
Là ! Elle vient de s'accroupir. Les cuisses écartées, position pipi. L'employé est à environ 100 m. Il regarde par ici.
J'imagine le choc. Clémentine me tourne le dos. Je ne sais pas si elle arrive à pisser. Je me branle. Super spectacle.
L'employé ne cesse de surveiller le niveau du bassin dont les eaux claires scintillent déjà sous les rayons du soleil.

Clémentine ne s'y attendait certainement pas. Voilà la jeune femme qui arrive en poussant une brouette, des outils.
Elle tombe sur ce spectacle extraordinaire. Elle a un grand sourire. Elle comprend sans doute immédiatement. Rire.
Clémentine se redresse rapidement. La jeune femme continue à pousser sa brouette pour aller vers le potager. Bon.
Clémentine remonte doucement les marches. Le mec regarde à plusieurs reprises sans cesser ses occupations. Bien.
Clémentine referme la porte fenêtre derrière elle, me demande : < C'était comment ? >. Elle me voit bite à la main.

Je n'ai pas besoin de répondre. Elle a compris. Elle vient s'accroupir devant moi. Je lui frotte la queue sur le visage.
Je murmure : < Tu as encore été parfaite ! >. Clémentine se frotte le visage contre ma bite qu'elle se met à sucer.
Je lui murmure mes impressions. Je la félicite pour ses audaces et pour ses comportements de vraie nymphomane.
Tout en suçant elle glousse en riant. Il est 14 h15. Je la force à se redresser. Je lui masse un peu les genoux. Doux.
Nous remontons nous changer. < Il fait bon au soleil ! > me fait encore Clémentine. Nous faisons les clowns, riant.

Clémentine porte une de ses jupes carmin, légèrement évasée au dessus du genoux, un chemisier sous un pull noir.
Ses souliers noirs à légers talons. Elle insiste pour rester jambes nues. Prévoyante elle prend un jean pour le retour.
Sur sa demande, je porte un jeans, une chemise blanche sous un pull bleu nuit fin et au col en "V". Une veste noire.
Nous prenons la pose devant le miroir. Accroupie, les cuisses largement écartées, Clémentine, sa tête sur ma jambe.
< Je vous aime mon bon "Maître" ! Grace à vous je peux me permettre toutes les fantaisies ! > me chuchote t-elle.

Je pose ma main sur sa tête. Je dis : < Ma délicieuse "Soumise", vous m'offrez les plus beaux instants de ma vie ! >
Clémentine se place entre le miroir et moi pour frotter son visage sur ma braguette. Je lui frotte la bite sur la gueule.
Je la laisse se régaler quelques instants. Je l'aide à se redresser. Nous descendons en restant serrés. Et doucement.
Nous sortons. Nous saluons les employés. L'homme me dit : < Nous aurons terminés pour 17 h ! >. Je les remercie.
Nous voilà en route. Munis de nos attestations de déplacement dérogatoires. Je roule doucement. Il fait beau, doux.

Clémentine tient ma queue. < Il me faudrait tous les jours un type que je pourrai transformer en voyeur ! > dit elle.
Nous en rigolons comme des bossus. Nous ne croisons aucune voiture sur les 13 km qui nous séparent des magasins.
Je gare la bagnole sur le parking de l'hypermarché. Il y a peu de monde. Je nettoie la poignée du caddie avec du gel.
J'enfile des gants en caoutchouc. Clémentine également. Je pousse le chariot. Nous parcourons les rayons en flânant.
Nous marchons séparément. Il vaut mieux suivre les directives écrites à l'entrée du magasin. Pas de couple. Parfait.

C'est très excitant de parcourir ainsi la grande surface en marchant à quelques mètres de Clémentine qui me sourit.
Discrètement, au bout d'un rayon, elle se touche. La main sur son sexe, au travers du tissus en velours de sa jupe.
Parfois, elle me fait un clin, d'œil, une horrible grimace ou me tire la langue. Quand elle est accroupie c'est sublime.
Elle me tend ainsi plein de petits pièges merveilleux aux coins des rayons lorsqu'il n'y a personne. En vraie virtuose.
Nous avons rendez-vous avec Estelle aux rayons culturels. Elle est là. Rayonnante. Un sourire merveilleux. Superbe.

Cela fait trois semaines que nous ne l'avons pas vu en chair et en os. Presque tous les jours seulement en webcam.
Nous avons l'envie folle de nous serrer tous les trois dans nos bras. Il ne faut pas. Mesures d'éloignements civiques.
Nous restons à quelques mètres les uns des autres. Estelle agite ses mains gantées de caoutchouc. Et nous imitons.
La faible distance permet quand même d'échanger sans forcer le ton. Une conversation qui reste intime. C'est super.
Nous sommes tellement contents de nous revoir que nous avons les yeux humides. Estelle porte une jupe, sa veste.

C'est très rare qu'elle soit vêtue ainsi. Et comme elle est belle. Trois semaines ça change une jeune fille de 23 ans.
< Je suis avec maman mais nous respectons la directive. Elle reste de son côté ! > fait encore Estelle en racontant.
Nous restons ainsi une bonne demi heure à converser. Les filles évoquent leurs cours en lignes car tout fonctionne.
Là-bas, Michèle, la maman d'Estelle qui nous fait un grand coucou sans s'approcher pour nous laisser nos intimités.
Elle est magnifique. La grande sœur d'Estelle. Le cœur gros, il nous faut nous quitter. On se promet de refaire vite.

Discrètement, Estelle mime une masturbation masculine en me disant : < Si tu savais comme elle me manque ! >
Elle mime une pipe en rajoutant : < Et tu ne sais pas ce qui t'attend toi ! >. Nous en rigolons comme des bossus.
Nous nous faisons plein de coucou avant de nous perdre de vue. Il y a peu de monde. Aucune opportunité d'exhibe.
< Je me ferai bien une "V.P.", (Victime Potentielle), me fait Clémentine qui cherche du regard une éventualité. Rien.
Il y a bien quelques hommes, forcément seuls, mais dans aucun rayon qui permettrait une petite exhibition sympa.

Nous faisons nos achats. Nous passons en caisse. Là-bas, Estelle et sa maman. Estelle mime un bisou de sa main.
Elle le souffle dans notre direction. Michèle nous fait un adorable sourire. Et nous marchons à distance, côte à côte.
Jusqu'à la voiture. Nous avons l'envie folle de nous embrasser. Nous préférons rester distants, prudents. C'est bien.
Clémentine et Estelle mettent au point notre prochaine webcam. Et c'est là que je surprends le regard de Michèle.
Un étrange regard. A la fois inquisiteur et suggestif. Presque vicelard. C'est un regard insistant et une seconde fois.

Je suis terriblement troublé par cette attitude. Estelle rentre dans la voiture. Sa maman se met au volant. Sourire.
Elles nous font un dernier coucou. Nous rangeons nos courses dans le coffre. Je raconte les regards à Clémentine.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Nous évoquons cette merveilleuse rencontre. Revoir Estelle.
Nous maudissons cette fatalité qui nous sépare. < Avec toi je m'en fout de tout. Le bonheur ! > me fait Clémentine.
Il est 18 h quand nous sommes de retour. Nous faisons le tour de la propriété. Tout est hyper nickel. Super boulot.

Il y a Mr Bertrand, là-bas, dans sa propriété. Nous nous saluons d'un geste de la main. Nous allons dans le potager.
La jeune femme a fixé les étiquettes sur des petits piquets. Les graines qu'elle a planté. Nos futurs légumes. Super.
Il y a différentes parcelles. Les patates, les salades, les choux, les carottes, les tomates. Et tout est si bien agencé.
Nous profitons encore un peu de la douceur de cette fin d'après-midi. Clémentine qui m'entraîne derrière la roseraie.
Je reste en retrait. J'ai compris. Elle s'avance jusqu'à la trouée dans la haie de lauriers. Là-bas, à 300 m, le voisin.

Je la regarde. Elle me tourne le dos. Elle est cachée derrière les haies et penchée en avant, à observer Mr Bertrand.
Il regarde quelquefois par ici. Il est affairé au près de sa cabane à outils. Il manipule des planches. Cela dure 10mn.
Clémentine se retourne parfois pour me faire un clin d'œil, mimer un bisou, ou faire un geste de masturbation. Rire.
Soudain, elle s'accroupit. Je comprends. Là-bas, le voisin vient de la voir. Elle lui offre un grand moment. Sublime.
Bien évidemment Clémentine garde la tête baissée, comme si elle ne savait pas être observée. Les cuisses écartées.

Elle est à une dizaine de mètres. Elle me tourne le dos. Je ne sais pas si elle pisse. Le voisin regarde très souvent.
Sans cesser de s'affairer à ses rangements, il lève plusieurs fois la tête pour regarder par ici. Il y a de quoi mâter.
Je regrette de ne pas avoir la paire de jumelles pour voir les expressions de Mr Bertrand. Un homme très réservé.
Cette superbe jeune fille qui vit avec moi depuis plus de trois ans, qu'il aperçoit souvent, lui offre là un super show.
Comme sa femme est partie passer quelques jours chez sa vieille mère, le voisin est seul et il peut mâter peinard.

Clémentine reste ainsi jusqu'à la limite de l'ankylose. J'ai filmé la scène sur mon téléphone. Je peux la lui montrer.
Nous récupérons nos courses à la voiture, nous rentrons. Il est 18 h45. Nous rangeons nos achats. Nous montons.
Nous nous changeons. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine prépare la salade.
J'épluche les patates, les navets, le céleri, les carottes, l'ail, l'oignon. C'est pour notre potée. J'en fais énormément.
Ainsi cela assure trois repas. Il nous suffit de réchauffer. Je montre le film tourné au jardin, l'exhibe de Clémentine.

Comme elle a gardé constamment la tête baissée, elle peut découvrir les attitudes de Mr Bertrand. Cool et stoïque.
Et pas une seule fois, dans son comportement, Mr Bertrand ne manifeste le moindre trouble devant ces situations.
Je remue la potée dans la vieille cocotte en fonte noire pendant que Clémentine scrute l'écran de mon smartphone.
Elle visionne certaines séquences plusieurs fois en les commentant. < Comme je suis salope ! > s'écrie t-elle. Rire.
Je dis : < Si tu ne l'étais pas, qu'est ce qu'on se ferait chier. L'enfer ! Mortel ! >. Nous rigolons comme des bossus.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine m'apprend que le marché au bourg voisin aura bien lieu demain matin.
Voilà un excellent prétexte pour nous y rendre. Tant qu'il est possible d'aller faire notre marché, c'est un vrai plaisir.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine parle d'Estelle. C'était bien.
Nous allons nous revoir bientôt. Les filles vont mettre au point quelques stratégies féminines dont elles ont le secret.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il fait à présent jour jusqu'aux environs de 20 h15. Nous allons nous balader.

Nous descendons jusqu'à la rivière. La nuit est claire. J'ai la bite à l'air sous mon anorak. Clémentine me la tripote.
Nous rentrons nous mettre au chaud. Au salon, je propose à Clémentine un bon léchage de minou. Elle en est ravie.
A genoux sur un des épais coussins, le visage entre ses cuisses, je me régale de ses jus de fille. Jus de la journée.
Nous déjouons son orgasme deux à trois fois. Clémentine m'attire sur elle. Je la pénètre avec d'infinies précautions.
Nous montons nous terminer au lit après le rituel pisseux où nous nous régalons de nos mélanges. Grand moment.

Bonne journée de rencontre à toutes les coquines qui échafaudent déjà les premières stratégies de contournement...

Julien - (J'offre à Clémentine un orgasme délirant avant de lui éjaculer dans la bouche avec l'attitude d'un dépravé) -

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Un samedi doux et ensoleillé

Hier matin, samedi, nous nous réveillons quasiment ensemble. Curieusement déjà blottis l'un contre l'autre. Super.
Intimement imbriqués comme les deux pièces d'un puzzle. Nous nous chuchotons quelques douceurs. Plein de bises.
Cet impérieux besoin naturel mais rapidement fin à nos effusions de tendresse. Nous nous précipitons aux toilettes.
Vêtus de nos tenues de jogging, morts de faim, nous dévalons les escaliers à toute vitesse jusqu'à la cuisine. 8 h30.
Nous préparons notre petit déjeuner dans une sorte d'euphorie festive. Nous mangeons de bon appétit en causant.

Nous traînons à table. Clémentine évoque nos journées de confinés en riant. < Mais ça change quoi ? > lance t-elle.
Clémentine de nature suspicieuse ne prête aucune foi à ces médias aux ordres. A toutes ces propagandes officielles.
Je l'écoute développer des arguments d'une logique imparable. La vaisselle. Nous enfilons K-ways, bonnet et gants.
Nous sortons. Il fait à peine 7°. Quelques mouvements d'échauffement. Le ciel est immensément bleu. Le soleil roi.
Nous descendons vers la rivière que nous longeons sur les trois kilomètres qui nous séparent du haras. C'est super.

Là-bas, de l'autre côté de la petite route, nous voyons les bâtiments des écuries. Dire que Juliette est toute proche.
Nous faisons nos exercices. Nous reprenons le chemin inverse. C'est un sentier encaissé, impraticable en bicyclette.
Il y a souvent les escaliers naturels que forment les amas rocheux. Il faut courir prudemment. Mais c'est agréable.
Il est 10 h quand nous revenons pour prendre notre douche. Nous nous habillons. Clémentine porte sa jupe carmin.
Un chemisier blanc sous un pull de coton noir. Sa veste, ses souliers à léger talons. Et ses cheveux noués en natte.

Sur sa demande, je suis en jeans, chemise blanche sous un pull noir, ma veste. Les poses devant le miroir en riant.
Nous dévalons les escaliers, pressés d'aller nous encanailler un peu au marché du bourg voisin. Il est 10 h30. Bien.
Il n'y a que 3 km jusqu'au bourg. Munis de nos attestations, nous prenons la petite départementale déserte. Soleil.
Je roule excessivement doucement. Nous ne sommes absolument pas pressés. Nous avons tout notre temps. Super.
Clémentine joue avec ma queue. Je gare la voiture sur le parking derrière la Mairie lorsque mon smartphone sonne.

Clémentine s'en empare. C'est Estelle. Elle nous fixe rendez-vous le long de la rivière, au lieu dit "Les trois chênes".
C'est un endroit magnifique. C'est quasiment à la moitié de la distance qui sépare nos lieux de résidence. Fameux.
Quelle excellente proposition. Estelle est au bureau de l'entreprise familiale qui redouble d'activité en cette période.
Je prends le cabas contenant nos sacs. Il n'y a pas l'affluence habituelle. Nous portons nos lunettes de soleil. Noires.
Nous suivons les marques tracées au sol. Nous respectons la distance de sécurité. Puis nous longeons les barrières.

Nous passons devant le stand de monsieur Fredouard, le type rencontré samedi dernier aux toilettes dans le square.
Toilettes aujourd'hui fermées, exclusivement réservées au personnel du marché. Nous sommes en temps de guerre.
< Bienvenue dans ce monde d'enfoirés que des salopards nous préparent ! > lance Clémentine. J'écoute en rigolant.
Nous faisons provisions de fruits et de légumes chez notre fournisseur habituel. Nous bavardons. Il y a peu de gens.
Nous faisons provisions de fromages, de beurre, de yaourts, d'œufs, de crème fraîche chez notre fromager habituel.

Nous ne nous attardons pas puisque tout le charme du monde passé a disparu. C'est même un peu sinistre ce jour.
< Tu as vu comme les gens se mâtent, ils ont tous la trouille que celui qu'il croise est un danger ! > dit Clémentine.
Nous croisons tout de même des gens souriants et débonnaires. Ils sont beaux, semblent optimistes comme avant.
Nous retournons à la voiture pour y disposer nos courses. Clémentine me fait remarquer le type dans son fourgon.
C'est probablement un livreur. Il porte une casquette avec le logo d'une célèbre boîte de livraison à domicile. Colis.

Il est à une quinzaine de mètres. Il sort de son véhicule noir qu'il contourne pour aller ouvrir une des portes arrières.
Clémentine ouvre la porte avant. Là, à l'abri des regards, n'étant vue que par le mec, elle s'accroupit. Le type mâte.
Je suis assis au volant. Je vois Clémentine de dos. Position pipi. Mais fait elle un pissou ? Je ne sais pas. C'est super.
Le livreur, un jeune homme d'environ 30 ans, son colis à la main, est debout à regarder la superbe jeune pisseuse.
Depuis l'endroit où il se trouve la vue est parfaite. Il en profite. Il reste là à mâter sans se gêner le moins du monde.

Je devine qu'il passe là le plus beau moment de sa journée de livraison. Surtout que Clémentine surenchérit. Super.
Il est impossible de voir Clémentine. Il y a d'autres clients du marché qui rangent leurs courses sans se douter. Bon.
Notre voyeur pose carrément le colis qu'il tient à la main pour allumer une cigarette tout en restant concentré. Joie.
Assis sur le bord du hayon arrière de sa camionnette il observe avec attention. Et cela dure une dizaine de minutes.
A la limite de l'ankylose, des fourmis dans les jambes, Clémentine se redresse. Elle se torche. Une position vulgaire.

Clémentine s'installe dans la voiture. Notre gaillard se lève, prend son colis, referme la portière et s'en va. Rapide.
Je démarre. Le Logo doré sur sa camionnette noire brille de mille feux. Je démarre. Nous partons lentement. Bien.
Je roule doucement. Clémentine me confie ses impressions. Cette petite exhibition l'a mise dans une humeur folle.
Je passe ma main droite entre ses cuisses. La touffe moite. Les lèvres charnues de son sexe bien humides. Miam.
< Rien de mieux pour se mettre en forme. Tant que le cul va, tout va ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur.

Il est un peu plus de midi lorsque nous arrivons à la maison. Il fait presque chaud au soleil. Journée de printemps.
Nous rangeons les courses. Nous montons nous changer. Clémentine s'occupe de la salade. Je descends à la cave.
J'y récupère des moules dans le congélateur. Avec notre potée de légumes, ce sera un rapide mais délicieux repas.
Nous mangeons dans la véranda. C'est la première fois cette année. Le soleil inonde presque toute la surface. Joie.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque le livreur du matin.

Bien décidée de mettre à profit chaque situation qui permet une exhibe, elle me confie à quel point c'était superbe.
< Tu as vu comme il mâtait le salaud ! > lance Clémentine pour conclure chacune des descriptions de ses ressentis.
Nous en rigolons comme des bossus. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns en haut.
Il est 13 h30. Clémentine porte une jupette tennis, un maillot fin et ses baskets. Sur sa demande, je porte un short.
Pressés de retourner au soleil, nous dévalons les escaliers. < Braguette ouverte ! > me fait Clémentine en l'ouvrant.

Nous admirons les eaux claires du bassin. Nous voilà sur le petit pont en bois. Le gazouillis des oiseaux. La chaleur.
Là-bas, à plus de 300 m, nous entendons des coups de marteaux. C'est notre voisin bricoleur dans sa propriété.
< Attends, on va lui offrir un petit moment récréatif ! > lance Clémentine en m'entraînant par la main. La roseraie.
Là, je reste à l'écart. J'entre dans la serre. J'ouvre la lucarne pour bien voir. Clémentine qui mâte derrière la haie.
Penchée en avant, près de la trouée, elle attend le moment opportun pour se montrer. Elle a sa main sous sa jupe.

J'ai toujours le cœur qui bat la chamade dans ces moments. Là, avec la chaleur de la serre, je suis même en sueur.
Clémentine fait plusieurs allées et venues. Cette première trouée dans la haie de lauriers fait environs deux mètres.
Mr Bertrand lève enfin les yeux par ici. Il est sur la dernière marche de son escabeau. Il tient un gros pinceau large.
Il trempe régulièrement son spalter dans un gros seau. Entre chaque coup de lasure, il regarde par ici. C'est l'idéal.
Clémentine profite de chacun de ses regards pour apparaître dans la trouée. Stratégie éminemment efficace. Ruse.

Cette fois, elle se fait surprendre accroupie, cuisses écartées, faisant mine de consulter un téléphone imaginaire.
Ce n'est qu'un vulgaire caillou plus où moins parallélépipédique. Mr Bertrand, toujours très calme, mâte souvent.
J'admire cet incroyable culot dont fait encore preuve Clémentine. Elle me tourne le dos, à environ quinze mètres.
Là-bas, au bas du terrain, à plus de 300 m, notre voisin qui mâte à chaque fois qu'il trempe son pinceau. Fameux.
Il faut dire que le spectacle en vaut véritablement la peine. Clémentine qui se redresse, disparaît derrière la haie.

Depuis le début du confinement, monsieur Bertrand a eu plusieurs occasions de voir Clémentine dans ses œuvres.
Que peut-il bien en penser ? Cela restera probablement un mystère. Peu importe. Ce ne sont que d'agréables jeux.
Clémentine, trop heureuse de pouvoir se livrer à son plaisir exhibitionniste, récidive à plusieurs reprises. Sublime.
Je me branle. Il fait trop chaud dans la serre. Je sors. Immédiatement une douce brise vient me rafraîchir. Super.
Je reste dissimulé entre la haie de lauriers et la rangée de thuyas. Il y a d'ailleurs les premiers insectes. J'observe.

Nous passons ainsi une bonne demi heure. Clémentine s'est montrée ainsi, dans la même position, plusieurs fois.
Elle vient me rejoindre. Elle prend ma main qu'elle poser sur ses tous petits seins pour me faire sentir son cœur.
Les émotions procurées font battre son cœur de façon très perceptible. < Je vais m'offrir un orgasme ! > fait elle.
Elle rajoute : < Il faut que je prenne mon courage. Un de ces jours il me verra me branler jusqu'à l'orgasme ! >
Nous rigolons de bon cœur. Nous rentrons en faisant une boucle afin de ne pas être vus ensemble par le voisin.

Nous avons rendez-vous avec Estelle à 15 h30. Il est déjà 14 h30. Nous préparons le petit sac à dos que je porte.
Petits gâteaux secs, bouteille d'eau gazeuse, des pommes, des barres de céréales. Nous voilà prêts. C'est parfait.
Nous descendons le chemin jusqu'à la rivière. Monsieur Bertrand est toujours là-bas sur son escabeau à travailler.
Nous nous saluons d'un grand geste de la main. Clémentine chuchote : < J'adore avoir honte de ce que je fais ! >
Je sais. Ses exhibitions lui offrent cette émotion où se mêlent l'excitation, la honte et la témérité. C'est fabuleux.

Nous longeons la rivière dans l'autre sens, en direction du bourg. Le sentier est un peu plus escarpé. Très abrupte.
Il faut être prudent parce qu'en contrebas, la rivière devient parfois très tumultueuse. De nombreuses chutes d'eau.
Nous arrivons au lieu du rendez-vous. Estelle est déjà là. Radieuse, souriante et tellement heureuse de nous revoir.
Nous en avons tous les trois les larmes aux yeux. Nous restons toutefois prudents. Pas de bisous. Pas d'étreintes.
Même si nous savons parfaitement êtres indemnes de toute contamination, nous préférons jouer de prudence. Bon.

Nous voilà assis tous les trois au soleil. Clémentine tout contre moi. Estelle installée à deux mètres en face de nous.
Nous bavardons. Les filles évoquent les études. Le mémoire qu'elles on rendu hier. Les cours en ligne. Elles aiment.
J'ai la braguette ouverte qui bâille. Estelle la fixe de plus en plus souvent. < Tu me la montre sel te pli ! > fait elle.
Je sors ma bite toute molle mais gluante à cause de mon voyeurisme du début d'après-midi. Nous le lui racontons.
Estelle nous raconte le promeneur de chien qui passe vingt fois par jour et qui lui montre sa bite en soirée. Il pisse.

Estelle nous confie à quel point elle adore revoir les films pornos que nous avons tourné ensemble depuis trois ans.
Il y en a neuf. < Il m'en faut dix ! Dès que cette période de merde est terminée, on s'en refait plein ! > lance t-elle.
< J'ai plein d'idées ! > rajoute t-elle en me regardant agiter ma queue dans sa direction. Clémentine se masturbe.
Estelle porte un short qu'elle déboutonne pour y glisser la main. Nous nous masturbons tous les trois en bavardant.
< Les affaires reprennent ! > lance Estelle qui se tortille assise sur son k-way. C'est intense de se retrouver à trois.

Clémentine s'allonge pour poser sa tête sur ma cuisse. Tout en se masturbant elle frotte son visage sur mon sexe.
Estelle, toute rouge, en sueur, redouble d'activité en contemplant ce spectacle. < J'aimerai aussi ! > nous dit elle.
Je préconise de rester prudents : < Attendons que toute cette merde soit finie ! >. Estelle rechigne un peu. Rires.
< Mais on n'a rien Julien ! Sel te pli ! >. Nous en rigolons comme des bossus. Je ne veux rien entendre. C'est non.
Je me fais tailler une agréable pipe des familles par Clémentine, couchée sur le côté, ses mains entre ses cuisses.

Estelle me montre ses doigts gluants de cyprine. Elle se touche. Se mordille la lèvre inférieure en gémissant. Belle.
Je dis : < Toi, quand tout ça sera derrière nous, je vais te bouffer ta petite chatte jusqu'à te la vider de sa jute ! >
< Oh oui ! Je te regarde faire sur les films qu'on a fait. Je veux le revivre en vrai ! > s'écrie t-elle et en accélérant.
Elle roule sur le côté pour se branler comme Clémentine, le corps agité de spasmes de plus en plus nombreux. Fou.
Clémentine cesse de sucer toutes les deux, trois minutes. Elle laisse reposer sa mâchoire. Elle donne son ressenti.

Nous partageons là un moment extraordinaire. Un de ces moments qui nous a tant manqué depuis trois semaines.
Nous avons bien l'intention de le faire durer toute l'après-midi. < On refait demain s'il fait beau ! > dit Clémentine.
< Je vais carrément camper ici ! > fait Estelle. Nous rions de bon cœur. S'il fait beau ce sera même tous les soirs.
Satisfaits de cette stratégie, nous dégustons nos petits gâteaux. Estelle a ramené des kiwis et des crêpes sèches.
Je débande sous le regard attentif d'Estelle qui ne cesse de me confier à quel point le goût de mon jus lui manque.

Nous reprenons nos masturbations, assis en tailleur, en nous racontant les sensations. C'est un délicieux moment.
Aucun d'entre nous ne désire aller jusqu'à l'orgasme. Estelle qui se garde pour ses folies solitaires dans sa chambre.
Clémentine et moi nous nous gardons pour les nôtres ce soir. Il est 18 h. La fraîcheur du soir accentuée par l'ombre.
Le soleil a tourné. Nous enfilons les K-ways sur lesquels nous étions assis. Nous nous relevons. Si dur de se quitter.
Nous nous regardons en silence. Les larmes inondent nos yeux. L'émotion est aussi puissante que le plaisir. Tristes.

Nous nous quittons en surmontant l'âpre et impérieuse envie de nous serrer fort tous les trois. On refait ça demain.
Nous nous séparons. Estelle marche à l'envers. Nous nous retournons souvent jusqu'à nous perdre de vue. Difficile.
< Si ces salopards nous ont volé notre printemps par leurs incompétences, il faut sévir ! > fait Clémentine en rage.
Nous revenons à la maison pour 19 h. Nous prenons conscience de notre privilège. Être deux dans l'adversité. Joie.
Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe le reste de potée de légumes et une poêlée de crevettes à la crème.

Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table en faisant le programme de demain. Surtout revoir Estelle.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie à quel point elle est heureuse. Super.
Malgré tout, nous n'avons pas à nous plaindre. Nous ne manquons de rien. La nuit tombe doucement. La vaisselle.
Il est 21 h. Nous voilà installés devant l'ordinateur au salon. Trois messages. Celui de Juliette, d'Estelle, de Julie.
Juliette nous raconte son quotidien. Elle aussi nous propose un rendez-vous près le rivière. Et nous y réfléchirons.

Estelle nous donne l'étendue des émotions qui l'étrennent encore après notre merveilleux après-midi masturbation.
Elle nous attend demain, 15 h, même endroit. Elle emmènera une couverture. Nous ferons de même. C'est parfait.
Julie nous raconte son confinement. Les soirées dans le jardin à faire la voyeuse devant son voisin exhibitionniste.
Nous répondons en joignant un selfie pris à l'instant. Je propose à Clémentine un bon léchage de minou. Le canapé.
< On monte ! > fait elle en m'entraînant par la main. Au lit, on se déchaîne. Le trop plein d'émotions, d'excitation.

Bonne journée à toutes les coquines combinardes qui savent aménager leurs réclusions pour s'offrir du bon temps...

Julien - (J'offre à Clémentine une succession de broutage de minou, de léchage de chatte et un orgasme fou) -

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Un dimanche radieux et ensoleillé

Hier matin, dimanche, je suis réveillé de la plus merveilleuse des manières. Mais toutefois d'une sensation étrange.
On suce mon érection matinale et naturelle. Parfaitement physiologique et n'ayant rien à voir avec la sexualité. Dur.
Je caresse la tête de Clémentine pour la faire revenir à la surface des draps sous lesquels elle s'est enfuie et blottie.
Il est 8 h30. Quelques papouilles en nous chuchotant des douceurs. Nous nous précipitons aux toilettes pour pisser.
Nous nous habillons, jeans, chemise avant de dévaler les escaliers à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Morts de faim.

Je presse nos quatre oranges. Clémentine prépare le café. Je déballe la brioche. Un "chinois" au pudding, amandes.
Les tranches sont éjectées du grille pain avec un bruit sec. Nous prenons notre copieux petit déjeuner. En goinfres.
Nous mangeons de bon appétit en évoquant ce merveilleux moment passé hier après-midi avec Estelle. On récidive.
Nous avons rendez-vous cet après-midi à 15 h. Cette simple idée nous rend totalement euphorique. C'est superbe.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine fait le programme du jour.

Le dimanche, pas de gym, pas d'entraînement, pas de jogging. Par contre deux heures sont consacrées au ménage.
La répartition des tâches est très simple. Clémentine fait l'étage, moi, je fais le bas. C'est rationnel et très efficace.
Dehors, il fait magnifique. La vaisselle. Nous sortons pour prendre la température. Une vraie journée de printemps.
Un dernier bisou. Clémentine monte à l'étage. Je commence par l'aspirateur que je passe partout. Puis la poussière.
Je nettoie la cuisine, les chiottes du bas. Je passe la serpillère sur le carrelage. Cuisine, toilettes et le hall d'entrée.

Je monte rejoindre Clémentine qui termine d'accrocher la serpillère sur l'étendoir fixé à la fenêtre de la salle de bain.
Nous nous serrons fort. Nous adorons nous embrasser avec le goût de la brioche. C'est très agréable, très excitant.
Il est 11 h15. Nous dévalons les escaliers, pressés d'aller au grand air. Il fait 22° au soleil et un véritable bonheur.
Nous avons presque trop chaud dans nos chemises à carreaux et dans nos jeans. Nous parcourons la propriété. Joie.
Là-bas, au bas du terrain, dans son grand jardin, monsieur Bertrand, notre voisin. Et nous nous saluons de la main.

La faim commence à se faire sentir. Je propose de sortir la table ronde et les chaises en métal du garage. Excellent.
Nous rentrons vite. Les deux pavés de saumon ont décongelé. Je les prépare en papillotes. Le barbecue électrique.
Clémentine s'occupe de la salade. Je fais bouillir les asperges. Je concocte une mayonnaise que je sépare en deux.
Dans le premier bol je rajoute du persil et la ciboulette finement hachés. Dans le second je rajoute de l'ail, l'oignon.
Dans chacun des graines de sésame grillées, une pincée de sel de Guérande. Clémentine sort avec éponge, cuvette.

Je la rejoins avec la toile cirée. La table de métal blanc est rapidement propre. Elle a passé l'hiver sous une bâche.
Nous rentrons chercher les plats. Nous voilà confortablement installés dans le jardin. C'est tellement bien au soleil.
C'est juste parfait. Nous nous régalons de ces grosses asperges achetées hier au marché. C'est un vrai délice. Bon.
Nous traînons à table. Max, le Doberman géant des voisins qui vient nous faire un coucou en remuant de la queue.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie son plaisir de revoir Estelle. Moi pareil.

Clémentine me rappelle que Juliette aussi nous propose de nous revoir au bord de la rivière, à proximité du haras.
S'il fait beau demain, lundi, nous le ferons. Nous débarrassons. La vaisselle. Nous laissons là la table et les chaises.
S'il fait aussi beau demain, nous prendrons notre repas de midi à l'extérieur. Clémentine qui sautille dans la cuisine.
Je la soulève. Elle enserre ses jambes autour de mes hanches en me couvrant le visage de bisous. Nous remontons.
Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Clémentine fait des imitations.

Tour à tour avec l'accent méridional, avec l'accent Belge ou encore avec l'accent Anglais. Je ris aux éclats. Géniale.
Nous nous changeons. Clémentine porte sa jupette plissée façon tennis, un T-shirt et ses baskets. Elle sautille. Joie.
Sur sa demande, je porte un de mes bermudas hawaïen ridicule qui la fait rire. Une chemisette à fleurs et baskets.
Nous faisons les pitres devant le miroir de l'armoire. Clémentine s'accroupit pour me faire admirer son sexe touffu.
Elle me montre les poils qui envahissent l'intérieur du haut de ses cuisses. J'adore cette incroyable toison si dense.

Sa tête en appui sur ma cuisse, tenant ma jambe dans ses bras, elle dit : < Mon "Maître", il faudra me recadrer ! >
Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Ma très chère "Soumise", votre comportement reste exemplaire ! >
Tout en restant accroupie, Clémentine se place entre le miroir et moi, frottant ainsi son visage sur ma braguette.
Je sors une bite toute molle et pas lavée. Le dimanche nous restons tous deux dans nos jus à en apprécier le goût.
Je frotte mon sexe sur le visage de Clémentine qui me fait : < Si le voisin est dans son jardin je lui fais un show ! >

Je me place de profil. Clémentine fait de même. Nous nous observons ainsi dans le miroir. Clémentine qui me suce.
Elle s'observe avec ma queue en bouche. Elle prend différente poses, différentes expressions. Et parfois elle louche.
Nous en rions de bon cœur. Je l'aide à se relever. Il fait tellement beau. Retournons au dehors. Nous redescendons.
Nous préparons le petit sac à dos. Pommes, petits gâteaux, du thé dans une thermos, bouteille d'eau. C'est parfait.
Tout est près. Nous sortons. Je remballe la queue mais je laisse ma braguette bien ouverte. Le voisin, là, à 300 m.

Le meilleur endroit pour une exhibition réussie, reste l'espace derrière la serre, entre les thuyas, la haie de lauriers.
Clémentine nous y entraîne. A peine 13 h45 et nous avons tout notre temps. Elle glisse sa main dans ma braguette.
Elle m'en extrait une bite molle. Elle me laisse pour contourner la roseraie, se positionner à une dizaine de mètres.
Clémentine me tourne le dos. Penchée en avant, dissimulée derrière la haie de laurier, une main entre ses cuisses.
Elle guette l'instant où notre voisin, occupé à passer de la lasure sur son cabanon de jardin, regardera par ici. Bien.

Il regarde souvent. Il a compris depuis quelques jours que c'est dans une des deux trouées que le show se déroule.
Mr Bertrand a certainement aussi compris que cette délicieuse jeune fille et sublime exhibitionniste le faisait exprès.
Clémentine vient s'accroupir exactement au même endroit. Son téléphone à la main qu'elle fait mine de consulter.
Cette fois, Mr Bertrand cesse de s'activer. Il regarde franchement vers ici. Il est à un peu plus de 300 m. C'est fou.
Clémentine, trop heureuse de l'aubaine, écarte ses cuisses au maximum. Je la vois de dos. Je me masturbe. Super.

Mr Bertrand ne me voit pas dans ma planque. Clémentine est obligée de se redresser car la crampe est imminente.
Elle disparaît derrière la haie. Mr Bertrand se remet à peindre les encadrements de ses fenêtres. C'est fantastique.
Clémentine me rejoint en se touchant. < J'ose pas me branler. Put-Hein j'aimerai bien devant ce mec ! > fait elle.
< Si je le fais je m'emmène à l'orgasme ! Je peux ? > rajoute t-elle. Je l'y encourage. < C'est le voisin ! > dit elle.
Je réponds : < Et alors ? Tu ne crois pas qu'il sait quelle genre de fille tu es ? Depuis le temps qu'il te voit faire ! >

Clémentine hésite tout en se masturbant. Je me branle aussi. Je rajoute : < Et si tu descendais parler un peu ? >
Clémentine hésite quelques instants. Je l'entraîne vers le sentier dallé de grès qui longe les thuyas jusqu'en bas.
Elle accélère légèrement son mouvement masturbatoire pour se stimuler au maximum. L'excitation à son comble.
Elle me fait un bisou et descend, marchant doucement, les bras croisés en flânant, regardant partout. Dilettante.
Elle arrive à la clôture qui sépare la propriété de monsieur Bertrand des rangées de cyprès et de thuyas. L'ombre.

Monsieur Bertrand n'est plus qu'à une dizaine de mètres. Il cesse de s'activer pour saluer Clémentine. Bavarder.
Je sors la petite paire de jumelles toujours dans le sac. Elle grossit 8 fois. Suffisamment pour bien voir. Je mâte.
Clémentine, les bras croisés, bavarde avec le voisin. Je la vois rire plusieurs fois. Je perçois des éclats de voix.
Monsieur Bertrand est un homme courtois, réservé, la soixantaine encore vigoureux, alerte. Je mâte l'attitude.
Pas une seule fois il n'a le moindre geste déplacé. Il invite Clémentine à franchir le portillon. Elle entre. Super.

Monsieur Bertrand lui fait visiter cette partie de sa propriété. Clémentine qui marche à ses côtés, ses bras croisés.
Parfois, je les perds de vue derrière le cabanon, derrière les bosquets, derrière les haies ou lorsqu'ils contournent.
Ils tournent à présent autour de la cabane de jardin que monsieur Bertrand passe à la lasure. Il explique. Gestes.
Cette petite visite de courtoisie dur un bon quart d'heure. Clémentine franchit le portillon avant de laisser le voisin.
Elle remonte en se retournant deux fois. A chaque fois elle lui adresse un signe de la main. Et elle me rejoint enfin.

Clémentine me raconte. Mr Bertrand lui a montré le potager, la serre, les travaux qu'il entreprend. Le désherbage.
< J'ose pas ! > me fait elle en recommençant à se toucher. Je n'ai pas arrêté de me branler en l'observant. Rires.
Surmontant son appréhension, Clémentine retourne se positionner dans la trouée entre les haies. Le voisin mâte.
A nouveau cette position de pisseuse. Cette fois, elle relève la tête. C'est le voisin qui lui fait un coucou, bras levé.
Clémentine y répond en levant la main. Je bande comme un vrai salaud. Clémentine fait ça pour moi également.

Elle reste ainsi jusqu'à la limite de l'ankylose. Elle se redresse. Elle vient me rejoindre. < J'ose pas ! > me fait elle.
Je comprends. C'est difficile de se masturber ainsi jusqu'à l'orgasme devant une personne que l'on croise souvent.
< Je le ferai, mais je dois prendre mon courage entre le pouce et l'index comme ça ! > dit elle en tenant son clito.
Nous en rions de bon cœur. Nous buvons un coup de flotte. Clémentine me fait sentir les battements de son cœur.
Il est 14 h30. Nous descendons le chemin. Mr Bertrand nous voit. Nous nous retournons pour lui faire un coucou.

Nous longeons la rivière sur le sentier escarpé. Les endroits où il faut redoubler de prudence. Clémentine me tient.
Parfois je la saisis par les hanches pour la faire sauter les marches naturelles que forment les pierres et les roches.
Estelle est déjà là. Assise sur une grande couverture. Elle nous voit. Elle se lève. Nous restons à distance. 2 mètres.
Même si nous nous portons comme un charme, nous jouons le jeu. Après tout, nous sommes "confinés". Le plaisir.
Nous sautillons tous les trois autour de la couverture en riant comme des fous. Nous sommes tellement contents.

Nous voilà assis en tailleurs, en chaussettes sur l'épaisse couverture à carreaux d'Estelle. Les filles causent cours.
Elles suivent les mêmes cours en ligne. Elles sont en contact permanent. Et nous faisons très souvent la webcam.
Estelle porte le même short que hier. Elle y glisse sa main. < On s'offre de la joie ! > s'écrie t-elle. Je sors ma bite.
Nous voilà tous les trois à nous masturber doucement tout en parlant de tout à fait autres choses. Surtout les filles.
Elles évoquent les cours de demain, les préparations et le mémoire rendu vendredi matin. Les résultats pour jeudi.

Estelle se couche sur le ventre, cambrée pour continuer à se toucher, elle observe mon mouvement masturbatoire.
Comme fascinée par ma bite qu'elle connaît pourtant sur le bout des doigts, de la langue et du vagin, elle regarde.
Je la lui tends. Je la lui présente. < Tu ne perds rien pour attendre , espèce de salaud provocateur ! > s'écrie t-elle.
Nous en rions de bon cœur. Estelle raconte l'évolution de la situation avec son promeneur de chien exhibitionniste.
Tous les soirs le mec vient pisser exactement au même endroit en discutant. Estelle attend son passage en soirée.

Avec ce confinement imposé, chacun trouve la meilleure astuce pour continuer à vivre ses fantasmes discrètement.
Celui d'Estelle, voyeuse depuis l'adolescence, y trouve son compte. Hier, elle a filmé discrètement la scène. Super.
Elle nous passe son I-phone pour nous montrer les images. C'est un type un peu enveloppé, dégarni à moustaches.
< Put-Hein, comme il est laid ! > lance Clémentine. < Regarde sa queue ! > répond Estelle. Clémentine me montre.
< C'est un vrai tuyau d'arrosage ! > s'exclame Clémentine. < N'est-ce pas ! Et il arrose le vicieux ! > lance Estelle.

Nous regardons le film plusieurs fois. Il dure exactement 2 minutes. Clémentine se masturbe, faisant : < Wouah ! >
< Tu te le sucerais bien ce sexe, hein ? > demande Estelle. < Et comment ! > répond Clémentine. Elle me montre.
Arrêt sur image, zoom, qualité d'image Apple. Il faut reconnaître que ce véritable pervers est superbement monté.
Nous le voyons bavarder peinard avec Estelle de dos en agitant sa queue tout en pissant avec une vulgarité dingue.
< Put-Hein, j'adorerai tomber sur ce genre de vicelard ! > lance Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus.

On voit le type s'essorer le prépuce en le tirant entre le pouce et l'index. On voit Estelle de dos, penchée pour voir.
Je dis : < Tu t'éclates un max ! Il passe ce soir ? >. Estelle qui me répond : < Oui et c'est entre 19 h45 et 20 h ! >
Clémentine fait : < Put-Hein, filme le tout en cachette et depuis le début. Je veux tout voir. Ses mises en scène ! >
S'il fait beau mardi après-midi, nous nous revoyons ici pour 15 h. Estelle nous promet de faire un superbe montage.
Nous sommes à nouveau assis en tailleur à nous passer le téléphone tout en nous masturbant. Nous rigolons bien.

Nous faisons des poses thé, petits gâteaux. Il y a des insectes. Rien de gênant. Ils partagent le miel des gâteaux.
Une fois encore, nous jouons avec les limites extrêmes juste avant nos orgasmes. C'est si génial de rester excités.
Je dis : < Les parties de baise avec ton parrain dans sa cave ne te manquent pas trop ? >. < Si ! > lance Estelle.
Nous en rigolons comme des bossus. < Il baise super bien ce salaud ! > fait Clémentine qui en garde le souvenir.
Clémentine reprend le téléphone plusieurs fois pour revoir le film du pisseur. < Ma batterie ! > fait Estelle. Rires.

Nous restons ainsi jusqu'aux premières fraîcheurs. Il est 18 h30. Nous avons chacun 1,5 km à parcourir. C'est bon.
Nous regrettons de ne pas pouvoir nous serrer tous les trois, nous faire des bisous. Nous nous quittons tristounets.
Estelle marche à reculons pour nous faire plein de coucous, de bisous qu'elle souffle dans sa main. C'est si difficile.
Nous arrivons à la maison pour 19 h. Morts de faim nous rentrons. Clémentine prépare la salade, l'assaisonnement.
Je fais bouillir l'eau des nouilles. Je pane deux beaux filets de cabillaud. Je concocte une sauce au Roquefort. Miam.

Nous mangeons de bon appétit et dans la véranda. Il y fait encore bien chaud. Nous évoquons nos belles aventures.
Les exhibitions de Clémentine devant notre adorable voisin. Notre après-midi avec Estelle. Le film du pisseur. Rires.
Cette nouvelle façon de nous rencontrer avec Estelle nous enchante. Ces après-midi de masturbations, de gâteaux.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine apprécie mes doigts vicieux.
Je les enfonce avec une facilité déconcertante dans les deux trous. Oh, juste la première phalange. C'est si sublime.

< La bite de ce mec me procure de drôles de sensations ! > me confie Clémentine à propos du sexe du mec du film.
Je dis : < Et pourquoi ne pas se prévoir un plan dans le jardin d'Estelle une fois que tout ce cirque sera terminé ? >
< Sucer ce type ? > demande Clémentine. Je réponds : < Oui ! La première pipe du déconfinement ! Bien salace ! >
Nous en rigolons comme des bossus. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. 21 h30. Je propose un bon cunnilingus.
Clémentine m'entraîne à l'étage. Au lit, je me bouffe de la chatte comme un salaud. De la bonne chatte fromageuse.

Bonne journée à toutes les coquines qui organisent leurs petites expéditions secrètes pour aller s'encanailler...

Julien - (J'adore la chatte du dimanche soir. Elle a macéré dans son jus. Elle a transpiré. Ça coule dans la bouche) -

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Classe - 47 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1117 -



Les journées ensoleillées se succèdent

Hier matin, jeudi, nous nous réveillons quasiment ensemble. Il est 6 h. Notre horloge biologique fonctionne bien.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenus gym, morts de faim, on descend.
Je presse nos quatre oranges pendant que Clémentine fait le café. Le lundi matin il reste la moitié de la brioche.
Nous prenons un excellent petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. C'est très agréable.
Clémentine revient sur notre après-midi, hier, avec Estelle. C'est tellement génial de repasser du temps avec elle.

La vaisselle. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. C'est toujours le second plaisir du jour.
Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles et abdos. Nous maintenons un rythme d'une intensité soutenue.
La douche. Nous nous habillons. Nous dévalons les escaliers pressés d'aller prendre la température extérieure. 6°.
Nous enfilons nos anoraks pour faire le tour de la propriété. Il est 7 h40. Les cours en ligne commencent à 8 h15.
Serrée contre moi, me tenant par le bras, Clémentine fait un très vague programme de la journée. Ce soir Juliette.

Nous nous sommes fixés rendez-vous pour 17 h à mi chemin entre chez elle et chez nous. 1,5 km. Sur le sentier.
Nous nous réjouissons de la revoir. Nous rentrons nous mettre au chaud. Nous allons dans l'atelier. C'est superbe.
Clémentine est assise devant son ordinateur, son casque sur les oreilles. Je fais un feu dans notre petit poêle rond.
Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette en chantonnant doucement. C'est bien.
La peinture de cette vingt cinquième toile destinée à ma saison d'été m'accapare rapidement et totalement. Super.

Je peins dans une sorte d'extase mystique en pensant à nos journées. Près de moi la fille que j'aime. C'est magique.
Dehors il fait beau. Le ciel est d'un bleu limpide. Il est aux environs de 10 h lorsque mon téléphone se met à vibrer.
Je m'en saisis. C'est Juliette. Nous bavardons en mode haut parleur. Je chuchote pour ne pas déranger Clémentine.
Juliette me confirme notre rendez vous cet d'après-midi. Nous nous retrouvons au lieu prévu entre 16 h45 et 17 h.
Nous ne discutons pas longtemps. Nous nous saluons avant de raccrocher. Sur un papier, je note Juliette en grand.

Je le montre à Clémentine qui sans cesser d'être concentrée sur son écran, lève le pouce de la main gauche. Parfait.
La matinée se déroule ainsi, dans une quiétude et la concentration. < Terminé ! > s'écrie Clémentine qui me rejoint.
Il est 11 h55. Elle m'entraîne par la main. Quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Super.
Je fais gonfler du riz complet. Je prépare un coulis d'aubergine et de courgette. Je panne les deux filets de cabillaud.
La toile cirée pliée sous le bras, les assiettes, les couverts sur un plateau, je fais un premier voyage jusqu'au jardin.

Je dresse la table. Clémentine me rejoint avec le saladier et le coulis de légumes. Je vais chercher le riz, le poisson.
Nous mangeons de bon appétit. Il fait aussi chaud que hier. Juste ce qu'il faut pour prendre ce repas sous le soleil.
Je raconte notre conversation de ce matin avec Juliette. Elle aussi nous sommes terriblement contents de la revoir.
Clémentine me fait : < Tu fais ton pervers avec elle. J'ai besoin de spectacle ! Tu veux bien ? Tu montres le Zob ! >
Nous en rions de bon cœur. Je promets de faire au mieux. Nous traînons à table. Nous profitons de ce bon moment.

Je débarrasse. Je rentre le tout. Je prépare deux grandes coupes glacées. Je rejoins Clémentine qui mâte le voisin.
< Regarde, il est déjà dehors. Sa femme est revenue ! > dit elle. En fait, eux aussi ont mangé à l'extérieur. Parfait.
Et il n'est évidemment pas question de se livrer à de petits jeux exhibitionnistes lorsque Mr Bertrand n'est pas seul.
En parlant avec Clémentine, hier, le voisin a expliqué que sa femme passe quatre jours par semaine chez sa mère.
< Il reste les trois autres jours ! > conclue Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Les glaces sont miam.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine dit : < Avec ce temps, le vélo va me manquer ! >
Je la console, disant : < Nous avons nos petites évasions le long de la rivière. Estelle notre amie. Il y a Juliette ! >
Nous rentrons faire notre vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Rires.
Nous dévalons les escaliers, pressés de retourner au soleil. Il n'est que 13 h30. Les cours qui reprennent à 14 h15.
Nous descendons jusqu'à la rivière et ses eaux limpides. Nous flânons doucement. Clémentine qui me sort la queue.

Serrée contre moi, son bras gauche autour de ma taille, elle me masturbe doucement de sa main droite en mâtant.
< Je te prépare pour tout à l'heure ! > dit elle. Nous en rions de bon cœur. Je ne tarde pas à bander. Une belle bite.
Fièrement dressée vers les nues, Clémentine m'agite la bite en la tenant entre son pouce et l'index, juste à sa base.
Elle contraint mon sexe vers le bas. Je comprends. Elle veut me faire pisser. On attend que je débande légèrement.
Je suis concentré. Un petit jet. Je bande mou. Clémentine s'accroupit, son visage à quelques centimètres de la bite.

Elle me tient la queue entre le pouce et l'index en son milieu pour bien en diriger les multiples petits jets. Elle mâte.
Ce sont les dernières giclées qui lui font le plus envie. Elle tend sa bouche ouverte. La dernière giclée qui la remplit.
Clémentine se met à téter. Juste la peau du prépuce. Je recommence à bander légèrement. Elle se met à me sucer.
Nous sommes au bord de la rivière, sur le sentier. Il n'y a personne mais nous pourrions êtres vus de l'autre côté.
Le champs est désert. J'invite Clémentine à retourner doucement. Je secoue les dernières gouttes dans sa bouche.

Je la saisis par sa natte pour la faire se relever. Je la tire ainsi sur une dizaine de mètres. Elle marche derrière moi.
Penchée en avant, tirée par sa natte comme par une laisse, elle s'écrie : < Je vous aime tant mon bon "Maître" ! >
Je me retourne pour la prendre dans mes bras. Je dis : < Je vous aime ma délicieuse "Soumise" ! >. Un long baiser.
Nous nous embrassons avec fougue. Rapidement de la salive suinte de nos bouches avides. Et nous repartons vite.
Il est 14 h05. Nous voilà de retour dans l'atelier. Clémentine s'installe devant son ordinateur, casque sur les oreilles.

Je suis assis devant mon chevalet. Je peins animé des mêmes émotions que ce matin. Enchantement paradisiaque.
J'entends Clémentine converser, poser des questions. Ce sont des interactions entre les professeurs, les étudiants.
Je n'entends pas les autres. C'est amusant. Comme si elle parlait toute seule. L'après-midi se déroule ainsi. Super.
< Fini ! > s'écrie Clémentine en venant me rejoindre. Il est 16 h05. Je nettoie la palette et les pinceaux. Rapidos !
Nous avons préparé le petit sac à dos. Pommes, thé dans la bouteille thermos, petits gâteaux secs. Nous sortons.

Nous sommes tous deux en shorts et en T-shirt. Nous marchons rapidement. Pressés d'aller à notre rendez-vous.
Clémentine me tient par la main. Parfois on s'arrête. Elle trempe sa langue dans ma bouche. Nous repartons. Joie.
Il est 16 h45 quand nous arrivons près de l'ancien lavoir. Juliette arrive là-bas, sur son cheval. Un grand coucou.
Elle aussi est tellement contente de nous revoir. C'est d'autant plus excitant que c'est dans la transgression. Bien.
Elle attache sa monture à une longue longe au tronc d'un arbre. Nous restons à distance et d'environ deux mètres.

Nous aimerions tant nous toucher. Nous serrer la main. Mais là aussi, nous jouons le jeu. Juliette est très souriante.
Elle est vêtue de sa tenue de cavalière. Terriblement sexy dans son pantalon d'équitation moulant, sa veste noire.
Elle garde sa bombe sur la tête pour nous entraîner le long du sentier pentu qui quitte la rivière. Sur environ 20 m.
Là, à l'écart de toute vue, elle s'installe sur un des deux bancs en pierres qui se font face devant le vieux calvaire.
Nous bavardons. Juliette nous raconte le quotidien de son entreprise. Il reste 28 chevaux au haras. C'est du boulot.

Elle évoque Kim Son et Eveline les deux jeunes palefreniers qui savent s'amuser durant leurs travail. Ça baise aussi.
Juliette, grande voyeuse, nous raconte ses différentes stratégies, les différents recoins d'où elle peut bien observer.
< Je n'arrête plus de me toucher ! > dit elle en éclatant de rire. < Nous pareil ! > lance Clémentine. Nous rigolons.
Clémentine confie nos petites aventures. A l'hypermarché, avec le voisin. Juliette pose quelques questions vicieuses.
Ce sont les détails et la psychologie des personnages qui l'intéresse. C'est pareil pour Clémentine qui répond à tout.

Nous prenons le thé dans des gobelets en plastique. Tout en grignotant des gâteaux, nous échangeons nos secrets.
Clémentine demande : < Et Mr Gérard, des nouvelles ? >. Juliette prend l'air dépité. < Il est confiné. Un appart ! >
< Le pauvre, il a juste un balcon. Un deux pièces au dernier étage d'un petit immeuble résidentiel ! > lance Juliette.
Nous prenons conscience de nos privilèges. Vivre à la campagne, dans une maison, pouvoir sortir n'importe quand.
< Mais nous bavardons au téléphone une bonne heure tous les jours ! > rajoute encore Juliette, main sur son sexe.

Juliette, les cuisses légèrement écartées, se touche de la main droite tout en nous racontant le sujet des causeries.
Je dis : < Lorsque tout ce cirque sera terminé, la première pipe sera un feu d'arti fesses ! >. Juliette éclate de rire.
< Comme vous dites ! > fait elle. Clémentine rajoute : < Je vais me le goinfrer aussi, sa petite bite me manque ! >
Nous rigolons tous les trois comme des bossus. Je sors ma bite. Je bande mou. Les filles sont soudain silencieuses.
Juliette croise ses bras pour se pencher en avant, prenant appui sur ses genoux. Elle observe mon exhibition. Joie.

< J'ai besoin d'une queue sinon je vais devenir folle ! > s'écrie soudain Juliette avant d'éclater de rire. Je me branle.
Elle se redresse pour glisser une main dans son pantalon. C'est un tissu léger et très élastique. Elle n'a aucun mal.
Clémentine a glissé la sienne dans son short. Elles sont toutes les deux assises là, un bras en appui derrière elles.
Nous nous masturbons tous les trois tout en bavardant. Quelle merveille, un papillon vient se poser sur Clémentine.
Juste entre ses seins minuscules. Nous cessons pour admirer. < J'aime les masturbations bucoliques ! > dit Juliette.

Je me lève. Je me place à l'extrémité entre les bancs, juste devant le calvaire. Je vise. Je pisse bien au milieu. Net.
Juliette à ma droite, Clémentine à ma gauche. Je lâche un jet. Je secoue vulgairement la queue. Et je recommence.
Je bande mou. J'agite mon sexe en direction de Juliette. < C'est de la provocation ! > lance t-elle. Je pisse un peu.
Je tends ma queue dégoulinante à Clémentine, puis à Juliette. Je lâche un jet. Je recommence. Je me branle. Bien.
J'alterne les séquences dans une vulgarité qui les enchante. Sans se concerter elles se mettent à applaudir. Rires.

Notre complicité retrouve là toute sa substantifique moelle. Rien ne change. Cela nous rassure. C'est merveilleux.
Je pourrai éjaculer tellement c'est jouissif d'offrir ma petite prestation à mes deux observatrices. Si concentrées.
Je commence à sentir mes lombaires. Je cesse pour m'assoir à côté de Clémentine. Elles reprennent leurs branles.
A nouveau nous nous masturbons tous les trois. Juliette nous raconte quelques anecdotes salaces vécues au haras.
Ces soirées que nous avons déjà vécu là-bas, à la limite de la partouze. Tout cela nous manque cruellement. Dur.

Juliette se lève. Elle passe devant le calvaire. Elle descend son pantalon et sa culotte avant de s'accroupir. Superbe.
Clémentine la rejoint pour se mettre dans la même position. < Celle qui pisse le plus loin ! > fait Juliette. Concours.
Elles se redressent toutes les deux pour descendre leurs culottes au maximum. Juliette porte ses bottes d'équitation.
Elles se mettent en position. < Tu fais l'arbitre ! > lance Clémentine. Elle prennent appui sur leurs mains. Cambrées.
Elles se mettent à pisser. A ce jeu Clémentine gagne toujours. Son record avec Estelle est de six mètres. Grand Art.

Je les encourage. Le jet de Juliette se tarit le premier. Un bon mètre sépare les deux pisseuses. Clémentine cesse.
Elles restent toutes les deux à regarder les dernières gouttes tomber de leurs sexes. Je me lève pour m'approcher.
Toutes les deux me regardent. Je reste à un bon mètre. Il y a de la cyprine qui s'écoule derrière les petites gouttes.
Au sol, sous leurs fesses, des coulées de crème fluide qui forment une petite flaque adorable. Je les félicite. Super.
Je montre la longueur du jet de Clémentine. Je me redresse pour aller me placer au bout. C'est bien à cinq mètres.

Elles se redressent. Je dis : < Clémentine championne ! >. Nous rigolons tous les trois comme des bossus. Fameux.
Je sors deux mouchoirs en papier du sac. Je les tends aux filles qui s'en emparent pour se torcher soigneusement.
Je ne peux plus participer au concours puisque j'ai déjà pissé. < On refait et vous jouer avec ! > me lance Juliette.
C'est parfait. Pour notre prochain rendez-vous, concours de pisse. Je bande mou. Juliette montre ma coulée de jus.
Elle remonte son pantalon. Elle se penche tout en restant à distance en pointant son index vers ma queue mollasse.

Lorsque je suis excité, que je me branle, les épanchements de liquide séminal sont conséquents. Je suis très juteux.
< Put-Hein, la quantité de foutre qui se perd ! > lance Juliette. < Par pour tout le monde ! > lui répond Clémentine.
La voilà accroupie devant moi à téter l'extrémité de mon prépuce en le tirant entre le pouce et l'index. Elle se régale.
Juliette recommence à se toucher. < Vous êtes salauds tous les deux ! J'en veux aussi ! > s'écrie t-elle, l'air grave.
Je dis : < Attendons que toute cette merde soit terminée avant de nous livrer au stupre, à la luxure, voulez vous ! >

Nous sommes entre adultes responsables, certes, et nous savons parfaitement que nous ne courons aucun risque.
Je trouve qu'il est préférable de respecter les gestes barrières et les mesures de distances. Et Juliette n'insiste pas.
Je me fais téter par Clémentine. Je lui retire la queue de la bouche. Un long filament qui relie ma bite à sa bouche.
< Wouah ! > murmure Juliette accroupie à un bon mètre. Elle se touche en regardant Clémentine sucer. Voyeuse.
J'aide Clémentine à se redresser. Elle montre le contenu de sa bouche à Juliette qui pousse un second < Wouah ! >

Je bande. Juliette se redresse. Je lui dis : < Lorsque nous pourrons reprendre nos petits jeux ce sera pour vous ! >
Il est 18 h30. La fraîcheur se fait sentir. Nous revêtons nos K-ways. Juliette remet sa veste, se coiffe de sa bombe.
Nous redescendons sur le sentier. Le cheval broute tranquillement. Il faut nous séparer. Et un pincement au cœur.
Nous nous promettons de nous revoir bientôt. Pourquoi pas mercredi s'il fait beau. Même endroit. Et même heure.
Nous regardons Juliette s'éloigner sur son cheval. Elle se retourne de nombreuses fois pour nous faire des coucous.

Nous rentrons. Il est 19 h quand nous arrivons à la maison. C'était génial de revoir Juliette. Notre complice voyeuse.
Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe le riz, le coulis de légumes. Je concocte une sauce au Roquefort. Bon.
Nous traînons à table en évoquant cette merveilleuse fin d'après-midi. Notre Club de vicieux reprend de son service.
Il faut savoir composer avec les évènements. Et vivre dans la transgression procure les plus subtils enchantements.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. 21 h15. Je propose à Clémentine un léchage de minou. Elle me saute au cou.

Elle m'entraîne à l'étage. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Rires.
Les rituels pisseux où je peux me régaler des mélanges de Clémentine. Il y en a du jus de fille ce soir. Un bonheur.
Au lit, j'alterne les cunnilingus et les pénétrations de circonstances en me comportant en véritable salopard. Plaisir.
Clémentine veut absolument me piper entre chaque séquence. Ce qui lui permet de retarder l'orgasme qui la guette.
Un orgasme foudroyant qui la fait hurler, la bouche encore pleine se sperme qu'elle avale difficilement. Si heureuse.

Bonne fin d'après-midi à toutes les coquines qui savent ruser pour s'offrir des petits plaisirs rares et subtils...

Julien - (J'écoute les dernières confidences de Clémentine blottie contre moi sous les draps. Je la caresse. Dodo) -

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Le délicieux petit rendez-vous secret

Hier matin, mardi, je suis tiré de mon profond sommeil par les doux bisous, les murmures que me fait Clémentine.
C'est tellement adorable. Lorsqu'elle se réveille la première, il lui est impossible de rester toute seule. Je serre fort.
Il est un peu plus de 6 h. Nous avons de la marge. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Pipi.
Vêtus de nos tenues sport, morts de faim, nous dévalons les escaliers. Le mardi, Clémentine termine à midi. Super.
Ce qui l'a rend euphorique et déconneuse. Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Tout va vite.

Nous prenons un copieux petit déjeuner fait de tranches de pain complet aux noix, passées au grille pain. Beurrées.
Miel et confiture. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine évoque notre rendez-vous. Juliette.
C'était déjà hier. Cet amusant concours de pisse qu'a encore gagnée Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Bien.
Cet après-midi nous revoyons Estelle à 15 h le long de la rivière, dans un endroit secret. De quoi êtres euphoriques.
La vaisselle. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Ce sont les réjouissances, les fous rires.

Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos. Nous y mettons l'intensité maximale. Un vrai plaisir. Joie.
La douche. Nous nous habillons. Nous dévalons les escaliers, pressés d'aller marcher un peu au dehors. Il fait beau.
Nous enfilons nos anoraks. Nous sortons. Il ne fait encore que 8°. Il n'est que 7 h40. Le ciel est immensément bleu.
Nul doute que cette journée va encore être magnifique. Nous parcourons la propriété. Clémentine me tient la main.
Nous passons sur le petit pont de bois qui enjambe le basin dont les eaux sont claires et limpides. Le ciel s'y reflète.

Nous rentrons nous mettre au chaud. Nous allons dans l'atelier. Il est déjà 8 h05. Clémentine devant son ordinateur.
Son casque sur les oreilles. Les cours en ligne commencent dans quelques minutes. J'allume le petit poêle rond. Bon.
Me voilà assis devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette. C'est toujours un énorme plaisir à faire.
Je termine ce matin cette vingt cinquième toile destinée à ma saison d'été. Je peins dans cette continuité euphorique.
La matinée se déroule ainsi. Dans un silence religieux où seuls les craquements du bois dans le poêle rond résonnent.

Il est 11 h30 quand je dépose la dernière pointe d'ocre rouge sur la surface de ma toile. Ce tableau qui est terminé.
Je le pose sur le second chevalet. Je place une nouvelle toile. J'ai fais le dessin préparatoire aux vacances de février.
Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je vais rejoindre Clémentine. Je suis derrière elle, les mains sur ses épaules.
Ses cours terminent à l'instant. < Ouf ! Fini ! > fait elle. < On regarde nos messages ! > rajoute t-elle. C'est parfait.
Nous avons trois courriels. Juliette qui nous remercie pour ce superbe moment, hier. Estelle qui confirme le rencard.

Julie qui nous raconte son quotidien. Elle s'ennuie passablement. Ses études de Lettres Modernes qui la passionnent.
Ce sont les soirées au restaurant de sa tante où elle fait la serveuse qui commencent à lui manquer. Les plans "WC".
Nous en rions de bon cœur. Nous répondons rapidement à chacune. Un copié/collé du même texte. Avec une photo.
Il est 12 h15. Morts de faim nous filons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je coupe deux bons poireaux.
Je les fais cuire à l'eau en même temps que les coquillettes. Je prépare une belle pâte à pain et je fais la Béchamel.

C'est mardi. C'est le rituel de la Flamiche Picarde, cette tarte aux poireaux qui fait les délices de notre repas du soir.
J'égoutte les coquillettes. J'égoutte le poireau que je verse dans la Béchamel avec du gruyère finement râpé. Comté.
Je récupère un peu de Béchamel en accompagnement. J'y rajoute du colin poêlé à l'ail et à l'oignon. Coupés très fin.
Clémentine dresse la table au jardin. Je la rejoins avec les plats. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Bien.
De pouvoir manger au soleil par cette journée de printemps, rajoute encore à la bonne humeur, à l'optimisme. Joie.

Nous traînons à table. C'est trop bien. Il y a des papillons qui virevoltent en se pourchassant. Une danse amoureuse.
Le gazouillis des oiseaux qui nidifient. C'est magique. Pas un brin de vent. Il fait 24° au soleil. C'est un vrai bonheur.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me fait part des réjouissances à venir. C'est parfait.
Nous débarrassons. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Déconne.
Nous nous changeons. Clémentine revêt une de ses jupettes plissées beige, style tennis, un T-shirt beige et baskets.

Sur sa demande je porte un de mes bermudas hawaïens parfaitement ridicules qui la font tant rire. Chemise à fleurs.
Nous prenons des poses devant le miroir de l'armoire. Clémentine s'accroupit, cuisses largement écartées. C'est bon.
Sa tête posée sur ma cuisse, elle enserre ma jambe dans ses bras. < Je vous aime "Maître" ! > fait elle, implorante.
Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Je vous aime ma délicate "Soumise" ! >. Elle se frotte sur ma jambe.
Ma cheville entre ses cuisses, je sens la douce chaleur de son sexe velu dont les poils me chatouillent. C'est si génial.

Clémentine cesse sa masturbation pour se placer entre le miroir et moi. Elle frotte son visage contre ma braguette.
Je sors une bite toute flasque que je lui passe sur les joues, les lèvres, le nez, le front. Un concert de gémissements.
Je décalotte légèrement le gland. L'odeur de Parmezob me monte aux narines. Clémentine hume longuement. Joie.
Je la laisse téter délicatement en lui caressant les joues creusées par l'effort de succion. Je la vois de dos, le miroir.
Je me mets de profil. Clémentine, toujours accroupie, suit mon déplacement et nous nous observons dans le miroir.

Elle adore se voir faire des trucs. Là, elle s'observe avec ma queue en bouche. Elle me fait des clins d'œil, mimiques.
Je me penche pour murmurer : < Vous êtes si adorable ma délicieuse "Soumise" >. Dans un gloussement elle suce.
Je retire ma bite de sa bouche pour y laisser un long filament laiteux et gluant qui s'étale sur le haut de son T-shirt.
Je l'aide à se redresser, à la limite de l'ankylose. Je lui masse un peu les genoux. Elle reste accrochée à moi. Bisous.
Je la tiens par la nuque pour lui montrer son visage, ses lèvres mouillées de foutre, la coulure sur le haut du t-shirt.

Je chuchote : < Regarde cette gueule de salope que tu vas encore te trimballer cet après-midi. Tu me rends fou ! >
< Toi aussi, tu me rends folle ! > fait elle. Je la soulève pour la faire tournoyer. Elle me couvre le visage de bisous.
Je la fais monter sur mon dos. Nous descendons ainsi prudemment. Il est 13 h30. Nous préparons le petit sac à dos.
Pommes, thé dans la thermos, gâteaux secs, barres de céréales. Clémentine qui garde une main dans ma braguette.
La pâte à pain repose sous un linge dans le saladier. La Béchamel repose sous un couvercle dans la casserole. Bien.

Nous voilà dehors. Nous descendons vers la rivière. Là-bas, dans leurs propriété, à 300 m, nos voisins, les Bertrand.
Nous nous saluons d'un grand signe de la main. Visiblement Mr Bertrand ne parle pas de Clémentine à sa compagne.
< Tant mieux je ne veux pas foutre le bordel dans un couple de retraités ! > dit Clémentine. Nous rions de bon cœur.
Nous longeons la rivière vers la droite. Jusqu'au bourg, à 3 km, c'est un sentier escarpé, parfois difficile, dangereux.
Il faut donc redoubler de prudence. Les rochers forment des escaliers naturels. J'aide Clémentine à les sauter. Rires.

Il est à peine 14 h30 lorsque nous arrivons au lieu du rendez-vous avec Estelle. Mais quelle surprise, elle est déjà là.
Son petit sac à dos posé à côté d'elle, assise sur un rocher, entrain de lire. Image romantique et bucolique. Magique.
Elle se redresse en s'écriant : < Génial ! >. Nous aimerions tant nous faire la bise, nous étreindre et nous embrasser.
La transgression n'empêche pas d'observer la plus parfaite règle de prudence. Nous restons à distance. Deux mètres.
Nous sommes tellement contents. Nous voilà tous les trois comme des gamins facétieux à danser en guerriers Sioux.

Estelle est vêtue d'une jupette noire, d'un T-shirt blanc, des baskets. Ses cheveux noués en une longue natte noire.
Elle ramasse le sac à dos. Nous quittons l'étroit sentier pour monter une vingtaine de mètres. Nous voilà dissimulés.
De son sac à dos, Estelle tire la couverture à carreaux qu'elle étale au sol. C'est juste la bonne surface. Bel endroit.
De là, nous avons une vue parfaite sur le sentier en contrebas, les champs de l'autre côté de la rivière. Les fourrés.
Assis tous les trois en tailleurs, nous bavardons. Les filles évoquent leurs études, les cours en lignes, formule idéale.

J'écoute en silence. C'est toujours tellement intéressant. Estelle sort sa tablette du sac à dos. Elle y met ses cours.
< J'enregistre tout ! > fait elle. < Moi aussi ! > rajoute Clémentine. J'admire toutes ces stratégies mises en œuvre.
Estelle, porte une culotte blanche. Alors que Clémentine n'en porte pas. Et j'ai une vue magnifique sous sa jupette.
Estelle découvrant mes regards coquins, relève bien sa jupette tout en parlant mathématique. Et c'est somptueux.
Les poils qui dépassent de chaque côté, qui garnissent l'intérieur du haut de ses cuisses. Je me mets sur le ventre.

Je suis à un peu plus d'un mètre. La vue plongeante sur l'entre jambes d'Estelle qui me gratifie de beaux sourires.
Clémentine me pose la main sur la nuque. Elle se penche pour me chuchoter : < Voyeur ! >. Nous éclatons de rire.
< Et la mienne ? > me fait Clémentine en se positionnant afin que je puisse comparer. Estelle retire sa culotte. Joie.
Je suis couché sur le ventre, mon menton en appui sur mes mains. J'observe les deux chattes très semblables. Bien.
Clémentine reste la plus velue. Sa touffe est plus dense. Celle d'Estelle est légèrement plus "aérée". Je commente.

Nous en rigolons comme des bossus. Elles restent ainsi en se passant la tablette, discutant mathématiques, cours.
Estelle, tout en bavardant, se touche à l'endroit de son clitoris du bout de l'index. Clémentine fait pareil. Pour moi.
Je les trouve adorables. La situation et la conversation dure une bonne demi-heure. J'ai envie de bouffer les fions.
< J'aimerai bien ! > me fait Estelle qui m'invite à venir la lécher d'un signe de l'index. Elle pose la tablette parterre.
Je propose de rester distant. Soyons dans la réserve. < C'est dur ! > s'écrie t-elle. Je sais mais jouons le jeu. Bien.

Il est déjà 15 h30. Estelle sort son I-phone de son petit sac à dos. < Regardez. J'ai filmé le promeneur de chien ! >
Clémentine vient s'allonger sur le ventre à côté de moi. Estelle reste assise, jambes relevées et bien écartées. Joie.
Elle nous tend son téléphone. Nous regardons. A l'écran, on voit le type qui se pointe avec son clébard à la laisse.
Estelle commente les images. < Je suis planquée derrière les haies. Et il ne m'a pas encore vu ! >. Nous observons.
On voit le mec mâter partout. Il regarde au dessus, il regarde par en dessous. Il cherche visiblement quelque chose.

< Prenez la tablette, vous verrez mieux ! La suite vaut le coup ! J'ai téléchargé depuis la caméra ! > rajoute Estelle.
Clémentine s'en saisit. L'image est d'une netteté parfaite. Filmée en 4K, c'est de la très haute définition. C'est génial.
A l'image, on voit le mec qui se rapproche. Estelle a planqué la caméra dans un angle judicieux. Et en automatique.
Clémentine et moi nous nous remettons assis en tailleur pour bien mâter. Estelle a la même chose sur son I-phone.
A l'image, on voit le mec s'arrêter dans la trouée entre les haies. Il regarde partout, autour de lui et dans le jardin.

Il sort sa bite. < Put-Hein ! La queue qu'il a ! Un tuyau d'arrosage ! > lance Clémentine. C'est assez impressionnant.
< Il vient arroser les lauriers tous les soirs ! > fait Estelle. Il est est là, sa queue à la main. Il attend tout en mâtant.
Sur l'écran, on voit Estelle arriver. De dos. Elle est vêtue comme maintenant. Le type a un grand sourire. Heureux.
On le comprend. Il y a une conversation. On ne comprend rien. Estelle nous raconte la nature de cette conversation.
A l'image, on voit le mec pisser par petits jets qu'il contrôle parfaitement tout en discutant avec la jeune fille. Super.

La situation dure une bonne dizaine de minutes. Le mec secoue les gouttes. C'est d'une vulgarité rare. Il en rajoute.
A l'image, Estelle s'accroupit. < Sans déconner, tu as osé ! > lance Clémentine. < Oui, je t'imite ! > répond Estelle.
< Tu avais une culotte ? > demande Clémentine. < Mais évidemment que non puisque je t'imite ! > rajoute Estelle.
Nous observons en retenant nos respirations. Là, sur l'écran de la tablette, Estelle, de dos, les cuisses bien écartées.
On voit le mec agiter sa queue dans sa direction tout en bavardant et en souriant. Il fait même quelques clins d'œil.

Je sors mon Zob. Je bande comme un salaud à la vue de ce film. Clémentine se masturbe de sa main libre. Super.
Estelle se masturbe également tout en commentant les images que nous regardons. Le type bande mou, se branle.
< Il ne bande pas très dur ! Regardez, sa bite reste mollasse ! > fait Estelle. < Mais quelle bite ! > dit Clémentine.
A voir, comme ça, à l'échelle de la main du mec, son sexe doit bien faire dans les 25 cm. Et 3 cm d'épaisseur. Mou.
Soudain, on voit une coulure qui suinte au bout. Elle s'écoule de la peau fripée de son prépuce. Le liquide séminal.

< Vous pouvez zoomer ! > fait Estelle. Clémentine agrandit l'image en la stoppant. On voit distinctement le foutre.
C'est de la jute épaisse et visqueuse qui tombe par grosses gouttes sur le petit muret de béton de la clôture. Jute.
A l'image, on voit Estelle, toujours de dos, se redresser pour s'approcher afin de mieux regarder le foutre s'étaler.
< T'es une vraie salope ! > lance Clémentine. < Je suis à la bonne école avec toi depuis 5 ans ! > répond Estelle.
Nous en rigolons comme des bossus. A l'image, on voit le mec qui se branle d'un geste lent. Les coulures de jute.

< Put-Hein mais ça n'arrête pas de dégouliner ! > s'écrie Clémentine. < Ça te rappelle personne ? > lance Estelle.
Je dis : < Mr Gérard mais avec un tuyau d'arrosage ! >. Clémentine me répond : < C'est vrai il est aussi juteux ! >
Je rajoute : < De quoi te régaler quand tout ce cirque sera fini ! >. Clémentine reste rêveuse et dit : < Wouah ! >
Estelle propose à Clémentine : < Après le déconfinement, tu viens à la maison. On se fait un plan ! >. C'est génial.
Le film dure vingt minutes. Pendant toute la durée de sa branle le mec n'a pas cessé de s'épancher. Spectaculaire.

On ne sait pas si c'est un orgasme mais le mec à un sursaut. Il secoue sa queue et se remet à pisser fort. Délirant.
A l'image, Estelle s'est redressée. Le type lui fait un signe de la main. Il remballe son sexe. Comme s'il l'enroulait.
Sur l'écran, on voit Estelle se rapprocher de la clôture, s'accroupir, regarder la caméra, montrer le foutre du doigt.
Elle fait un clin d'œil, lève le pouce de sa main gauche. Elle se redresse, vient vers la caméra. L'image s'éteint. Fini.
Nous restons un instant silencieux. < Génial, non ? > lance Estelle. Nous la félicitons. Pour sa prestation et le film.

J'ai des coulées de foutre qui macule ma main. Clémentine me montre ses doigts mouillés de cyprine. Estelle aussi.
Je sors la thermos du sac à dos, Clémentine prépare les gobelets en plastique. Et Estelle déballe les petits gâteaux.
Nous grignotons en nous régalant. Je passe un petit gâteau entre les lèvres charnues du sexe de Clémentine. Miam.
Je lui montre la foutrine que je récupère sur le coin du gâteau. Je me régale. Estelle aimerait bien me faire goûter.
Encore une fois, nous préférons garder la distance. Ce n'est que partie remise. Je dis : < On aura la revanche ! >

Il y a une jeune femme qui passe en contrebas, sur le sentier. Elle porte un petit sac à dos. Elle ne nous voit pas.
Nous restons silencieux. < D'autres amatrices de transgression ! > chuchote Estelle qui recommence à se tripoter.
Nous reprenons tous les trois notre masturbation. Il n'est pas question d'aller jusqu'à l'orgasme. On se préserve.
Ce sera pour ce soir. Estelle se couche sur le dos en nous montrant bien sa chatte. Elle se masturbe. Un geste lent.
Clémentine me montre ses doigts gluants de cyprine. Je les lèche. Estelle s'est endormie. Nous rions de bon cœur.

J'offre à Clémentine un cunnilingus de très haute qualité. On cesse deux fois juste à temps. Je lui offre ma queue.
Couchée sur le côté, sa tête contre mon ventre, Clémentine qui me suce passionnément. Elle a rallumé la tablette.
Je la lui tient. On se remâte le film. Tout en me taillant une pipe, Clémentine regarde les images. La bite du type.
Je lui chuchote : < Quand tout ça sera fini, on va visiter cette partie du jardin d'Estelle et ce tuyau d'arrosage ! >
Les gloussements de Clémentine finissent par réveiller Estelle qui se redresse pour découvrir la scène. Elle sourit.

< Salauds ! Sans moi ! > lance t-elle. Nous en rions de bon cœur. Il est déjà 18 h30. Il y a cette fraîcheur du soir.
Nous remballons nos affaires. J'aide Estelle a plier la couverture. Nous nous revoyons ici jeudi 16 h30. Rendez-vous.
La séparation est difficile. Nous avons tant envie de nous serrer tous les trois. Il faut se faire violence. C'est si dur.
Estelle marche à reculons sans cesser de faire des bisous qu'elle souffle dans sa main en notre direction. Si belle.
Nous nous perdons de vue. Clémentine se serre fort contre moi. C'est l'émotion. C'était si merveilleux encore. Joie.

Il est un peu plus de 19 h quand nous arrivons. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare la tarte aux poireaux.
Elle est au four. Nous allons au salon. Je propose à Clémentine un léchage de minou. Elle se vautre dans le canapé.
Tout en se faisant sucer et lécher, Clémentine me confie ses impressions. Ce bonheur d'avoir été avec notre amie.
La sonnerie du four. Clémentine me tend ses mains. Je l'aide à se redresser. De beaucoup se masturber ça fatigue.
Nous mangeons de bon appétit tout en revenant sur notre aventure de l'après-midi. Ce film nous a impressionné.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me parle du film. Ce pervers qui montre sa bite.
Je lui propose de la gouter dès que possible. Un mec qui ne bande pas et qui sécrète autant de jus. Sa préférence.
< Je peux ? > me demande plusieurs fois Clémentine. Je réponds à chaque fois : < C'est une recommandation ! >
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. La fatigue se fait sentir. Il est déjà 21 h30. Nous montons. Le rituel pisseux.
Au lit, nous faisons l'amour. Immobiles comme nous aimons. Clémentine me parle du "tuyau d'arrosage". Super.

Bon après-midi à toutes les coquines qui se livrent à la transgression dans le plus grand des plaisirs...

Julien - (J'encourage Clémentine a gouter ce "tuyau d'arrosage" dès que les évènements le permettront) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 49 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1119



Le petit rendez vous secret avec Juliette

Hier matin, mercredi, je me réveille en premier. J'ouvre les yeux pour regarder Clémentine qui dort encore. 6 h05.
Son sixième sens fonctionne à plein car elle cesse soudain son doux ronronnement pour se blottir fort contre moi.
Quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus des tenues sport, nous descendons.
Je presse nos quatre oranges pendant que Clémentine fait le café. Le grille pain éjecte quatre tranches. Bruit sec.
Nous prenons notre petit déjeuner tout en bavardant. Nous mangeons de bon appétit. Tartines de confiture, miel.

Nous prenons tout notre temps. Clémentine revient sur notre rencontre avec Estelle, hier après-midi. Le petit film.
La vaisselle. Nous montons nous offrir notre heure d'entraînement. Cette fois encore dans une fébrile impatience.
Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles et abdos. Nous envisageons de commander des vélos d'intérieur.
La douche. Nous nous habillons. Jeans, maillots fins, baskets. Nous dévalons l'escalier, pressés d'aller au dehors.
Nous enfilons nos anoraks. Nous sortons. La fraîcheur matinale de 8° malgré un ciel immensément bleu. Le soleil.

Il est 7 h45. Nous marchons un peu dans la propriété. Clémentine me tient par le bras. D'agréables instants de joie.
Elle me rappelle que nous avons notre petit rendez vous secret avec Juliette, en fin d'après-midi, pour 16 h45, 17 h.
Le premier arrivé attend l'autre. Nous apprécions beaucoup de nous aménager ces espaces de rencontres secrètes.
Toujours cette transgression qui constitue le piment de nos existences. Nous rentrons nous mettre au chaud. 8 h05.
Nous allons dans l'atelier. Clémentine est assise devant l'ordinateur, son casque sur les oreilles. Ses cours en ligne.

J'allume le petit poêle rond. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette. J'adore ça.
Je commence ce matin la peinture de la vingt sixième toile destinée à ma saison d'été. Le sixième paysage. Plaisir.
Je peins dans un enthousiasme rare. La fille que j'aime près de moi, me livrant à ma passion qui est aussi mon job.
Il est aux environs de 10 h quand la stupide musique de mon smartphone le fait vibrer sur la desserte. Un vrai con.
Je m'en saisis. C'est Juliette. Nous bavardons en mode haut parleur. Je parle doucement pour ne pas déranger. Dur.

Juliette me confirme sa venue cet après-midi pour 16 h45. Elle est toute contente elle aussi de nos petits scénarios.
Nous ne nous attardons pas. Nous nous saluons avant de raccrocher. Sur une grande feuille canson, j'écris Juliette.
Je la montre à Clémentine qui lève son pouce pour faire "OK". La matinée se déroule ainsi, dans l'émulation. Boulot.
< Terminé de chez fini ! > s'écrie Clémentine qui vient me rejoindre, debout derrière moi à me faire plein de bisous.
Il est 11 h55. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je lave le choux fleurs.

Je le laisse tremper. J'épluche les patates. Je fais cuire à la cocotte minute. Je réchauffe le reste de tarte au poireau.
Clémentine me raconte sa matinée, ses cours, les profs. Cet après-midi sera consacré aux interactions. C'est super.
J'égoutte le choux fleurs et les patates coupés en petits morceaux. J'en récupère un peu. Je mets dans un plat carré.
J'y rajoute une copieuse couche de gruyère de Comté finement râpé. De la chapelure. Je mets le tout au four. Bien.
Ce sera notre gratin de choux fleurs pour ce soir et demain à midi. Je rejoins Clémentine au jardin qui met la table.

J'apporte les plats. Nous voilà confortablement installés au soleil à savourer un délicieux repas et tout en bavardant.
Nous mangeons de bon appétit. Je raconte la nature des courts échanges avec Juliette, ce matin, au téléphone. Bon.
Nous nous réjouissons. Si cette météo exceptionnelle persiste, nous organiserons des rencontres régulières. Sympa.
Tout en respectant les gestes barrières, la distance de précaution. Même si pour nous tout va au mieux. C'est bien.
Nous traînons à table. Je débarrasse. J'emmène les plats et les couverts à la cuisine. Je prépare les coupes glacées.

Vanille, pistache et pralin. Je rejoins Clémentine qui reste les yeux fermés, tête en arrière pour profiter de ce soleil.
Il fait 24°. Nos glaces sont un autre régal. < Les voisins mangent dehors aussi ! > fait Clémentine qui est allée voir.
Comme ils sont à plus de 300 m nous n'entendons jamais rien. A part le gazouillis des oiseaux tout est si silencieux.
La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Amusant.
Nous mettons des vêtements plus légers. Jupette, short. Nous dévalons l'escalier, pressés de retourner au dehors.

Il est 13 h30. Nous descendons jusqu'à la rivière. Nous flânons, main dans la main. J'ai sorti le Zob qui pend mou.
< On se fait vicelards ce soir avec Juliette ! > me lance Clémentine, se saisissant de mon sexe pour le serrer fort.
Elle passe derrière moi, me tient les hanches de son bras gauche tandis qu'elle agite mon sexe de sa main droite.
Clémentine tient ma bite juste à sa base, entre le pouce et l'index. < L'hélicoptère ! > dit elle en la faisant tourner.
Nous en rions de bon cœur. Nous longeons la rivière sur une centaine de mètres. On s'arrête deux fois pour refaire.

En marchant, Clémentine me fait part de ses nouveaux fantasmes. La bite du promeneur de chien, vu dans le film.
Il sera très simple de finaliser le scénario de rencontre. Quand le confinement sera terminé, nous irons chez Estelle.
Là, dans cette partie délaissée du terrain, il suffira d'organiser un super plan. Nous en rigolons comme des bossus.
Nous remontons. Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Nous voilà à nos postes de travail. L'émulation. Le boulot.
Je peins en écoutant le monologue de Clémentine qui pose des questions, échanges avec d'autres étudiants. Bien.

Parfois, je me lève. Je pose la palette, les pinceaux. Je me tourne vers Clémentine. J'agite la bite dans sa direction.
Elle a beaucoup de mal à garder son sérieux. Son regard va de l'écran de l'ordinateur à ma queue. Bel hélicoptère.
L'après-midi se déroule ainsi. < Fini de chez terminé ! > s'écrie Clémentine. Il est 16 h05. Je nettoie mon matériel.
Nous ne traînons pas. Le petit sac à dos est déjà prêt. Pommes, thermos de thé, petits gâteaux secs et nous filons.
Nous dévalons littéralement le chemin qui descend à la rivière. Nous saluons les Bertrand, là-bas, dans leur jardin.

Nous croisons la même jeune femme aperçue hier. Elle marche d'un bon pas. Short, T-shirt portant petit sac à dos.
Nous nous saluons avec un grand sourire. Elle aussi est dans la transgression. Et ce qui fait de nous des complices.
Nous arrivons près du lavoir. Juliette est déjà là. Cette fois elle est venue sans cheval. A pieds. Elle est si contente.
Juliette est vêtue d'une robe d'été. Un large chapeau de paille. Une image merveilleusement bucolique. C'est beau.
La vision d'un autre temps. Nous gardons une distance de deux mètres. Même si nous avons l'envie de l'étreindre.

Nous quittons le sentier pour monter au calvaire. En surplomb, sur un espace ou se trouve deux bancs de pierres.
En temps normal l'endroit n'est quasiment jamais fréquenté. En cette période il est totalement déserté. Personne.
Nous déballons nos K-ways. Nous les laissons pliés comme des coussins pour s'assoir dessus. C'est si confortable.
Clémentine à ma droite. Juliette assise en face de nous. C'est la première fois que nous la découvrons vêtue ainsi.
Une magnifique jeune femme de 43 ans. Ses cheveux noirs qui flottent sur ses épaules, le haut de son dos. Super.

Nous bavardons. Juliette nous raconte un peu du quotidien de son entreprise. Il reste 22 chevaux dans son haras.
Leurs propriétaires viennent les chercher. Avec ces mesures de confinement, il en restera plus longtemps. Parfait.
Les pensions pour chevaux ont un coût. C'est tout bénéfice. Juliette est toujours passionnée en parlant de son job.
Il y a quatre salariés. Pauline la secrétaire. Mme Walter la collaboratrice, Eveline et Kim Son, les deux palefreniers.
Qu'il reste des chevaux en pension au delà de la période habituelle constitue là une appréciable rentrée financière.

Nous écoutons Juliette. Clémentine glisse une main dans ma braguette ouverte. Juliette observe tout en discutant.
Imperceptiblement elle écarte ses cuisses tout en bavardant. Je fixe son entre jambe. C'est discret. C'est très lent.
Juliette ménage bien évidemment ses effets. Pour accélérer un peu le processus, Clémentine me sort la bite molle.
Juliette me fixe de son air sévère habituel. C'est un jeu délicieux. A présent, je distingue sa culotte. C'est superbe.
Les main posées sur le bord du banc, les cuisses à présent écartées, Juliette en arrive à Mr Gérard qui est confiné.

Son ancien employé, à présent à la retraite, a pour habitude de venir s'installer dans sa caravane aux beaux jours.
Là, avec cette privation des libertés, le pauvre homme est confiné dans son petit appartement. Et juste un balcon.
Juliette lui téléphone tous les jours. Lui aussi est si impatient que tout cela cesse. Je fixe l'entre jambes à Juliette.
Clémentine se lève pour aller s'assoir à deux mètres de Juliette. Elle m'observe en souriant, mimant une branlette.
Je saisis mon sexe entre le pouce et l'index. Je me masturbe doucement sous le regard des deux coquines. Super.

Juliette reste à présent silencieuse. Elle observe. Toujours cet air sévère, inquisiteur, parfois offusqué. Super jeu.
Je bande mou. Je me lève pour agiter mon sexe dans sa direction. L'hélicoptère. < Quel vicelard ! > lance t-elle.
< Pour vous servir chère vicieuse ! > lui fait Clémentine qui a passé une main sous sa jupette et cuisses écartées.
< Un jour, il faudra tout de même élire le président de ce club de vicieux ! > rajoute Juliette en relevant sa robe.
Elles ont toutes les deux le teint mat. Juliette est une grande sportive. Une athlète. Son corps reste si musculeux.

Clémentine et Juliette comparent leurs cuisses. J'observe en me masturbant lentement. Juste pour tenir l'érection.
Juliette se lève. Elle ne fait qu'un mètre soixante quinze alors que Clémentine fait un mètre quatre vingt. Très bon.
Juliette descend sa culotte à mi cuisses. Une culotte de coton blanc et fin. Il y a un protège slip immaculé et blanc.
Elle reste ainsi, tenant sa robe relevée, ses mains sur les hanches. Clémentine se relève pour faire la même chose.
Les voilà toutes les deux debouts, la culotte à mi cuisses, comparant les touffes. A ce jeu, Clémentine victorieuse.

La toison de Juliette, triangulaire, parfaitement entretenue. Rasée sur le côté. Ce sont toutes les deux des latines.
Juliette est toujours admirative devant la touffe sauvage de Clémentine. < J'ose pas laisser pousser ! > fait elle.
Clémentine lisse ses poils en y passant les doigts comme un peigne. < C'est incroyable la densité ! > lance Juliette.
Clémentine retrousse alors les manches de son T-shirt qui arrivent presque aux coudes pour montrer ses aisselles.
La même touffe toujours soigneusement dissimulée. < Ça excite beaucoup de mecs ! > explique Clémentine. Rires.

< J'ose pas ! > fait encore Juliette qui montre ses aisselles glabres et lisses. < Faut tenter ! > lui lance Clémentine.
Elles s'assoient toutes les deux, l'une en face de l'autre, jambes relevées sur le banc pour se montrer leurs lèvres.
Celles de Clémentine sont charnues, son clitoris géant reste une incroyable attraction. Celui de Juliette est sympa.
Juliette est bisexuelle. Cela fait longtemps qu'elle est attirée par Clémentine. Hélas Clémentine ne l'est pas du tout.
Dans mes fantasmes d'homme préhistorique libidineux, j'aimerai beaucoup voir Clémentine se livrer au saphisme.

Une fois encore Juliette dit : < Wouah ! J'aimerai beaucoup gouter à tout ça ! C'est tellement appétissant ! >. Rire.
Elle n'insiste pas. Clémentine reste silencieuse, prend un air navré et désolé avant de hausser les épaules. Difficile.
Clémentine revient sur le cas de Mr Gérard. Pas seulement pour faire divertissement, mais pour évoquer sa queue.
Cette bite minuscule, qui ne bande pas mais qui reste terriblement juteuse. La meilleure qu'elle n'ait jamais gouté.
< Toutes celles qui ont gouté Gérard en redemandent. Et je peux le certifié par écrit ! > lance Juliette en rigolant.

Nous sommes pliés de rire. Juliette se lève. La culotte aux cuisses, qui tombe inexorablement, elle marche un peu.
Elle se positionne devant le calvaire, sous ce Christ qui n'en demandait peut-être pas tant, accroupie, nous fixant.
Sa culotte est accrochée à sa cheville droite, couvrant sa basket. Sans me quitter du regard, elle se met à pisser.
Je me masturbe d'un geste lent. Tout comme Clémentine qui vient me rejoindre en retirant complètement son slip.
Juliette pisse par petits jets. De la pisse bien jaune dont les éclats dorés scintillent de mille feux sous la lumière.

Je dis : < Juliette, je vous découvre très pisseuse depuis quelques temps. Auriez vous là quelque anecdotes ? >
Elle cesse de pisser pour se cambrer davantage. Elle fait : < Parfois, je descends de cheval pour me soulager ! >
< Quand il y a un promeneur, par exemple ? > demande Clémentine. < Bien sûr. Et surtout ! > répond Juliette.
Nous savons que Juliette est une voyeuse extrême. Nous la découvrons depuis quelques jours très exhibitionniste.
Je la félicite. Du petit sac à dos, je tire un paquet de mouchoirs en papier. Je le lui lance. Il tombe dans la pisse.

Le protège slip vient de se décrocher du fond de la culotte. < Oh shit ! > s'écrie Juliette : < J'en ai pas d'autre ! >
Nous en rions de bon cœur en la regardant lâcher plusieurs petits jets qui s'amenuisent doucement. Je me relève.
Je m'approche. Accroupis devant Juliette, à environ deux mètres, je scrute son sexe avec attention. C'est sublime.
Il y a une coulée de cyprine qui s'écoule de sa vulve, là, juste derrière les dernières petites giclées de pisse dorée.
De la crème blanchâtre et visqueuse qui coule lourdement pour se détacher et tomber au sol. Spectacle sublime.

Je demande si je peux prendre une photo en gros plan. < Bien sûr. Vous m'enverrez un exemplaire ! > dit Juliette.
Clémentine vient me rejoindre avec le téléphone. C'est elle qui prend quatre photos. Photos qui resteront privées.
Cadrée judicieusement, on y voit cette partie de l'anatomie de Juliette qui va de ses chevilles à son nombril. Super.
Juliette se saisit du paquet de mouchoir pour en tirer un qu'elle déplie pour se torcher soigneusement. Elle montre.
La coulée de cyprine qui macule le papier qui a d'abord absorbé la dernière gouttelette de pisse. Et elle me le tend.

Je ne suis absolument pas fétichiste. Je décline son offre avec un sourire. < Gérard en raffole ! > me fait Juliette.
Nous rions de bon cœur. Juliette se redresse pour enfiler sa culotte. Elle sort un mouchoir pour essuyer le paquet.
Elle le met dans le petit sac à dos en disant < Merci. Vous êtes un homme très attentionné, Julien ! >. Nous rions.
Il est déjà 18 h30. La fraîcheur du soir reste très supportable. Nous redescendons sur le sentier. Il faut se quitter.
Nous nous fixons immédiatement rendez vous vendredi après-midi. 15 h. Même endroit. Une séparation difficile.

Nous marchons d'un bon pas. Clémentine me donne ses impressions. < Une vraie salope de luxe. Je suis jalouse ! >
Je la rassure : < Tu n'as rien à lui envier ! Je te trouve beaucoup plus performante ! >. Nous en rions de bon cœur.
Il est 19 h15 quand nous sommes de retour à la maison. Clémentine s'occupe de la salade en évoquant l'après-midi.
Je réchauffe le gratin de choux fleurs. Je panne deux filets de cabillaud blanc à la poêle. Avec des champignons. Ail.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le sujet de conversation restant évidemment Juliette. Formidable.

< Elle pourrait être ma mère ! Ce serait super ! > lance Clémentine à plusieurs reprises. Mère qu'elle n'a pas connu.
J'abonde dans son sens en précisant : < Il faudrait faire une analyse génétique ! Vous êtes peut-être en famille ! >
Nous en rigolons comme des bossus. Sa mère ne lui manque pas à Clémentine. Tout ça est réglé depuis longtemps.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie ses désirs si fous.
Impatiente de pouvoir retrouver une existence normale et la bite de Gérard qui commence à sérieusement manquer.

La vaisselle. Nous rangeons notre cuisine. Je passe quelquefois ma main entre les cuisses bouillantes de Clémentine.
Son sexe est humide, moite, une invitation au stupre, à la luxure. Il est déjà 21 h 30. Clémentine m'entraîne au WC.
Nos rituels pisseux où nous pouvons nous délecter des reliquats de nos mélanges en gémissant de bonheur, de joie.
Au lit, j'alterne les léchages de minou, les suçages de clitoris, les pénétrations diverses. Dans la chatte et la bouche.
Nous détestons tous deux l'idée même de sodomie. Nos orgasmes sont cataclysmiques. Nous voilà serrés dans le lit.

Bonne petite transgression à toutes les coquines qui peuvent ainsi continuer à s'offrir les plus délicats extrêmes...

Julien - (J'écoute Clémentine me parler de la bite à Gérard. Elle est serrée contre moi et s'endort doucement) -

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Homme, 53 ans, France
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Chères amies lectrices
Chers amis lecteurs

Clémentine et moi remercions toutes nos lectrices et tous nos lecteurs pour leur fidélité.
Même si "Clémentine", "Julien", "Estelle", "Juliette", Gérard et tous les autres, ne sont qu'autant de pseudonymes.

Les contributions de "Clémentine" se limitent à ce que nous raconte la jeune femme au bas de nos récits.
Nous aimons à soigner nos lecteurs afin de les captiver, de les amuser et surtout de leur proposer du rêve.

Il est important de respecter l'anonymat des personnes. Tout particulièrement sur les forums "Sexe".
Même si tout cela est beaucoup plus réel encore que ne l'imagine le lecteur toujours étonné et amusé.

Nos récits ne demandent aucun commentaire. Aussi nous remercions toutes celles et tous ceux qui n'en mettent pas.
C'est une grande preuve de tact et de bon goût. La "Classe". Toute la place reste disponible pour les épisodes qui se suivent.
Ainsi chaque épisode suit le précédent dans l'ordre chronologique du déroulement des évènements sans aucune rupture.

Par contre nous remercions toutes celles et tous ceux qui nous contactent en messagerie privée pour témoigner leurs ressentis. Joies.
C'est vraiment beaucoup mieux. Cela reste privé et ne regarde personne. Les intéressés savent à quel point nous répondons toujours.

Continuons cette saga dans la magnifique vingt quatrième page qui nous attend déjà...

Cordialement.

Clémentine et Julien



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Homme, 53 ans, France
Classe - 1 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1120 -



Merveilleux petit rendez vous secret avec Estelle

Hier matin, jeudi, nous nous réveillons quasiment en même temps. Il est presque 6 h. Nous nous blottissons fort.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes pour y pisser dans un voluptueux soulagement. Parfait.
Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Notre petit déjeuner.
Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Le grille pain éjecte les tranches dans des bruits secs.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine me parle de ses cours en ligne. L'épatante formule.

La vaisselle. Nous remontons pour nous offrir notre séance d'entrainement quotidienne. C'est toujours magnifique.
Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos. Une heure d'activité physique d'une intensité maximale.
Notre douche. Nous nous habillons. Nous dévalons les escaliers, pressés d'aller prendre la température à l'extérieur.
Nous enfilons nos anoraks. Il ne fait que 10°. La fraîcheur est encore vive malgré cette belle journée qui s'annonce.
Le ciel immensément bleu. Il est 7 h40. Nous faisons le tour de la propriété. Nous rentrons nous mettre au chaud.

Nous allons dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, son casque sur les oreilles. Cours en ligne.
J'allume le petit poêle rond. Il est 8 h15. Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare les couleurs de ma palette.
La vingt sixième toile destinée à ma saison d'été m'absorbe rapidement. Un paysage d'après photo prise au dehors.
Je peins dans une sorte d'extase mystique. La présence de la fille que j'aime. Notre existence insouciante. Bonheur.
La matinée se passe ainsi, dans une studieuse émulation qui nous fait tous deux considérablement avancer. Parfait.

< J'ai fini ! > s'écrie Clémentine qui vient me rejoindre pour me caresser le cou et la nuque. Il est 11 h55. C'est bon.
Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Le jeudi soir, c'est le rituel des pizzas. A midi, le rituel des coquillettes.
Clémentine s'occupe de la salade tout en me racontant ses cours. Je fais bouillir l'eau de nos coquillettes. J'écoute.
Je prépare une belle pâte à pain avec farine complète, Bio à laquelle je rajoute du Parmesan finement râpé. Poudre.
Je fais la garniture. Tomates fraîches, ail, oignon, champignons. J'en récupère en accompagnement des coquillettes.

Je pane deux beaux filets de colin. J'égoutte les coquillettes. Clémentine dresse la table au jardin. Je râpe le gruyère.
La pâte à pain repose sous un linge dans le saladier. La garniture repose sous un couvercle dans la casserole. Super.
Le nécessaire pour les pizzas du soir est prêt. Je rejoins Clémentine avec les plats. Il fait plus chaud encore que hier.
Nous mangeons de bon appétit. Il y a l'odeur du barbecue qui monte depuis la propriété des Bertrand. C'est sympa.
Clémentine me parle de nos petits rendez vous secrets. Nous espérons très fort que cette météo perdure. C'est bien.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque l'attitude de Juliette.
Nous en rions de bon cœur. Nous découvrons chez cette femme quantité de nouveaux traits de caractère. Superbes.
Je débarrasse. J'emmène le tout à la cuisine. Clémentine me rejoint avec la toile cirée. Nous faisons notre vaisselle.
Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Nous nous changeons.
Avec cette chaleur digne d'une fin mai, Clémentine porte volontiers ses jupettes de tennis, plissées et à mi-cuisses.

Je porte un short. Nous mettons le même T-shirt carmins. Nous dévalons les escaliers, pressés de retourner dehors.
Nous descendons jusqu'à la rivière. Il est 13 h30. Clémentine glisse sa main dans ma braguette pour en tirer le Zob.
Me voilà à longer la rivière, tenu par la main, avec la bite à l'air. Tous les jours les feuillages des arbres grandissent.
Cela permet de marcher à l'ombre. Les deux cygnes sont venus jusque là. Ils nous observent, s'approchant. Beaux.
Deux couples qui se rencontrent, qui s'observent avec la même curiosité. Nous nous asseyons au bord de l'eau. Joie.

Les cygnes restent à proximité. Ils tournent, s'éloignent, reviennent, cherchent à communiquer peut-être. La ronde.
Nous restons ainsi à regarder la danse des cygnes, silencieux, émerveillés par cette ambiance bucolique. Un paradis.
Il faut retourner. Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Nous remontons. 500 m nous séparent de la maison. Bien.
Nous allons dans l'atelier. Il est 14 h. Clémentine est assise devant son ordinateur, son casque sur les oreilles. Prête.
Je suis assis devant mon chevalet. Je peins avec cette même exaltation que ce matin. C'est inspirant et si productif.

J'entends Clémentine échanger avec d'autres étudiants, avec les profs. Je n'entends qu'elle. Monologue surréaliste.
Les après-midi sont consacrés à des interactions entre les différents protagonistes. Le principe du télé travail. Bien.
< C'est fini ! > s'écrie Clémentine qui vient me rejoindre en sautillant autour de moi. Je nettoie palette et pinceaux.
Pressés de filer à notre rendez-vous, nous quittons l'atelier. Le petit sac à dos est déjà prêt. Il y a tout ce qu'il faut.
Thé en thermos, barres de céréales et petits gâteaux secs. Nous dévalons le chemin jusqu'à la rivière. Rapidement.

Nous prenons à droite. L'étroit sentier escarpé. Clémentine marche devant moi. Parfois elle s'arrête pour un bisou.
Les amas rocheux forment des marches d'escalier naturel. A chaque fois Clémentine me tend la main. On descend.
Il est 16 h30. Estelle est déjà là. Elle est en jupette, T-shirt et baskets. Assise entrain de lire. L'image romantique.
Elle nous voit. Elle se lève précipitamment. Nous restons à distance pour respecter l'éloignement. Mais quelle joie.
Nous faisons la danse des guerriers Sioux en tournant. Notre façon de témoigner l'immense bonheur de cet instant.

C'est à ce moment qu'arrive cette même jeune femme que nous croisons pour le troisième après-midi consécutif.
Elle porte un short kaki, un T-shirt blanc, baskets, un petit sac à dos. Elle est amusée de nous voir faire les clowns.
Nous nous saluons. Elle continue sa randonnée. Estelle nous invite à la suivre. Nous quittons le sentier. On monte.
C'est notre petit espace secret à une vingtaine de mètres de la rivière, au dessus du sentier. L'endroit stratégique.
De son petit sac à dos, Estelle sort la couverture à gros carreaux. Je l'aide à la déplier, à la secouer et à la déposer.

Nous voilà assis en tailleur dans une formation triangulaire. Les filles sont en contacts permanent pour les études.
Ces cours en ligne leurs permettent de communiquer en permanence. Elles font le bilan. Les résultats du mémoire.
Elles sont toutes les deux parmi les meilleures de leur promotion. Il faut préciser qu'elles bossent très dur. Super.
J'écoute. C'est tellement intéressant. Même si je ne comprends pas toujours les aspects les plus scientifiques. Dur.
Je verse le thé dans les gobelets en plastique. Je sors les petites crêpes dentelles sèches et craquantes. Un délice.

Nous racontons notre rendez-vous de hier avec Juliette. Estelle nous raconte sa soirée de hier. Le mec au clébard.
C'est devenu un vrai rituel. Clémentine pose des questions précises sur l'anatomie et le comportement du vicelard.
Nous rions de bon cœur à l'écoute des détails que décrit à merveille Estelle. < Vous voulez un autre film ? >. Rire.
Estelle nous propose de réaliser un autre film. Même si cette situation reste inchangée, toujours un peu la même.
C'est peut-être inutile. < Les choses se reproduisent à l'identique quasiment tous les soirs ! > précise Estelle. Bon.

Elle mime une masturbation masculine en rajoutant : < Avec quelques variantes dans les conversations ! >. Rires.
Estelle précise : < Hier soir, tout en pissant, tout en se branlant, il m'a parlé de son boulot. Et de son jardinage ! >
< Et toi, tu étais en jupette ? > lui demande Clémentine qui a passé une main sous sa jupette et dans sa culotte.
Estelle répond : < Oui, bien sûr. Mais je garde ma culotte. J'ose pas la retirer. Un de ces soirs je me la descends ! >
Elle se lève, s'éloigne sur le sentier abrupte qui descend à la rivière. Elle lève sa jupette, sa culotte sur les genoux.

Accroupie, elle nous fait : < C'est la surprise que je lui réserve pour la semaine prochaine si je trouve le courage ! >
Clémentine l'y encourage. Estelle est beaucoup plus voyeuse qu'exhibitionniste. Je la félicite pour ce projet d'exhibe.
< Tu filmes et on se mâte ça la semaine prochaine ! > lance Clémentine. Estelle remonte sa culotte et vient s'assoir.
Je sors ma bite. Je bande mou. Ce n'est pas très confortable de me masturber doucement dans cette position assise.
Je me met à genoux. Les filles me regardent comme si c'était la première fois que je m'adonne à la branlette. Rires.

Je bande très mou. J'ai une méchante envie de pisser. Il reste un peu de thé dans le gobelet d'Estelle. Elle le tend.
Elle le positionne juste sous ma queue. Clémentine me sort les couilles. La braguette fait garrot. C'est très saillant.
Je pose mes mains sur mes hanches. La position est un peu ridicule. Estelle, le bras tendu, son gobelet sous le Zob.
Je lâche une toute petit giclée. De quoi remplir le gobelet aux trois quart. Elle le porte sous son nez. Odeur de pisse.
Elle scrute soigneusement. Je vois bien qu'elle a l'envie folle de porter le gobelet à ses lèvres. Je m'écrie : < Non ! >

Je dis : < Estelle, même si nous savons que tout va bien, restons prudents, jouons le jeu des recommandations ! >
Clémentine rajoute : < Julien t'en garde. Lorsque tout cette histoire de confinement sera finie, tu en auras plein ! >
Nous en rigolons comme des bossus. Préservons nous de tous risques inconsidérés. Estelle tend le bras. Le gobelet.
Clémentine se met à quatre pattes. Son visage tout près de ma queue molle, suintante. Estelle se penche pour voir.
Clémentine se met à téter. Je bande de plus en plus fort. C'est hyper excitant. Surtout qu'Estelle fait des clins d'œil.

Je suis juteux. Aussi les montées de liquide séminal ne tardent pas. Abondantes. < Mmhhhh ! > fait elle en suçant.
Estelle tend à nouveau le gobelet. Clémentine cesse de pomper, ouvre la bouche, y laisse dégouliner un peu de jus.
C'est un foutre épais et visqueux qui vient s'étaler à la surface de la pisse. Estelle regarde le contenu de son gobelet.
Clémentine reprend sa pipe. < Vous me faite envie. Et j'en peux plus d'être tout le temps frustrée ! > s'écrie Estelle.
Je dis : < Pas d'inquiétude, je t'en garde au chaud, des bouteilles pleines pour l'avenir ! >. Clémentine cesse la pipe.

Elle recrache à nouveau la quantité de foutre pompée de mes couilles dodues dans le gobelet que tend Estelle. Jus.
Il y a bientôt autant de foutre que de pisse dans le gobelet. A chaque fois Estelle en hume le contenu. En gémissant.
Elle prend le gobelet à Clémentine. Clémentine reprend sa fellation. Passionnée par la pipe et passionnée par le jeu.
Je m'allonge sur le dos. Clémentine couchée sur le côté, sa tête posée sur mon ventre, tète, suce, pompe. Sublime.
Estelle, assise en tailleur, observe. Toujours prête à tendre le gobelet, chaque fois que Clémentine se redresse. Jus.

Cette extraordinaire turlute apporte à ce moment bucolique, une romance nouvelle, insolite qui nous comble. Bien.
Le second gobelet se remplit inexorablement. < Toute cette jute perdue ! > murmure Estelle qui mâte en voyeuse.
Si je n'étais pas allongé sur le dos, j'en aurai des vertiges car je me sens vaciller. Je me couche sur le côté. Mieux.
Clémentine est allongée sur le sol. Elle peut continuer à me sucer. Depuis un moment elle ne recrache plus. Bouffe.
Estelle reste là, son gobelet dans sa main, posée au sol, à y regarder, puis à nous observer, à me faire des sourires.

Clémentine, couchée sur le côté, une main sous sa jupe, me suce comme si sa vie en dépendait. Estelle se branle.
La main dans sous sa jupette, dans sa culotte, elle en frisonne de plaisir. Elle se met à parler du type au clébard.
Le promeneur de chien, son "tuyau d'arrosage", son comportement de pervers. < Je veux refaire ça ! > lance t-elle.
< Quoi donc ? > demande Clémentine qui cesse de pomper. < Une pipe ! > répond Estelle. Clémentine se redresse.
Je me redresse. Nous voilà à nouveau tous les trois assis en tailleur. Les filles se masturbent doucement en parlant.

Nous reprenons doucement nos esprits. Il est déjà 18 h. Nous prenons chacun une pomme. Elles sont délicieuses.
Nous promettons de nous revoir samedi après-midi à 15 h si la météo le permet. On a trop envie d'être ensemble.
Si Estelle n'était pas obligée de donner un coup de main au bureau de l'entreprise familiale, on se verrait demain.
Une frustration supplémentaire. Elle prend un gobelet dans chaque main et les compare. < Tout ce jus ! > dit elle.
Nous en rions de bon cœur. Un des gobelets est plein. Pisse, thé et foutre. Le second est à moitié plein de foutre.

Je dis : < Tu veux le mettre dans ta gourde et le ramener, le garder en souvenir ? >. Nous en éclatons de rire. Joie.
Estelle vide consciencieusement les deux gobelets sur une des pierres creuses en coupelle. Une sacré dose. La jute.
< C'est pour les fourmis, les papillons et les abeilles qui en feront leur miel ! > fait Estelle. Nous en éclatons de rire.
Il est 18 h30. Il faut déjà se séparer. C'est extrêmement difficile. Nous avons l'envie folle de nous étreindre. Atroce.
Nous nous séparons la larme à l'œil. Estelle marche à reculons pour nous faire des coucous, des bises dans sa main.

Nous rentrons. Clémentine se blottie plusieurs fois contre moi en disant : < Je t'aime Julien, comme c'est bien ! >
C'est vrai que de vivre cette épreuve est tellement plus facile à deux. La surprise. Nous croisons la jeune femme.
Nous lui cédons le passage en nous mettant debout sur un rocher afin de conserver notre distance d'éloignement.
Nous nous saluons une nouvelle fois. Cette fois, nous échangeons quelques mots. La jeune femme vient du bourg.
Elle y retourne. Nous continuons notre chemin jusqu'à la maison où nous arrivons pour 19 h15. Et morts de faim.

Clémentine s'occupe de la salade. Je travaille un peu la pâte à pain avant de l'étaler. Je réchauffe la garniture. Bien.
Les deux pizzas sont au four. Nous sortons. Le crépuscule ne va pas tarder. Et ce soir la lune est encore bien pleine.
Nous profitons de la douceur de cette soirée. Nous flânons un peu au potager. Les premières pousses. Les tomates.
Nous rentrons juste au moment ou la sonnerie du four retentit. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.
Nous évoquons notre rendez-vous avec Estelle. Les gobelets remplit de foutre. Nos jeux. Nos rires. Notre privilège.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie tous ses ressentis.
Son désir de me sucer ce soir, au lit : < Jusqu'au vertige ! > murmure t-elle. Je lui avoue mon désir de la léchouiller.
Nous nous promettons des rapports génitaux buccaux dès le lit. Nos préférences. La vaisselle. Nous sortons un peu.
La lune est pleine et inonde la campagne d'une lumière argentée. Magique. La fraîcheur est plus marquée. On rentre.
Au lit, j'offre à Clémentine des suçages de clitoris, des léchages de vulves, un comportement de pervers. Orgasmes.

Bon rendez-vous à toutes les coquines qui aiment aller remplir des gobelets avec le foutre qu'elle tirent de couilles...

Julien - (J'écoute les dernières confidences de Clémentine. Blottie tout contre moi, sous les draps. Confinée) -

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Classe - 2 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1121 -



Les petits rendez-vous secrets s'enchaînent

Hier matin, vendredi, je suis réveillé par quantité de bisous que l'on me dépose sur le front, les joues, sur le nez.
On se saisit même de mon érection matinale. Quand Clémentine est réveillée, elle déteste que ce soit toute seule.
Sans ouvrir les yeux, je réponds à ces < Je t'aime ! > en la serrant fort contre moi. Quelques papouilles. Douceur.
L'impérieux besoin de pisser met rapidement un terme à nos effusions de tendresse. Clémentine m'entraîne. WC.
Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Notre petit déjeuner.

Il est 6 h10. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous revenons sur notre rendez-vous avec Estelle.
Cette rencontre, hier après-midi, où nous nous sommes encore tant amusé. Cet après-midi, ce sera avec Juliette.
Le vendredi, Clémentine termine à midi. Ce qui la rend assez euphorique. Je la regarde sautiller autour de la table.
La vaisselle. Nous remontons pour nous offrir le second bonheur de cette journée qui commence. L'entraînement.
Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles et abdos. Nous pratiquons dans une intensité maximale. Super.

La douche. Nous nous habillons. Nous dévalons les escaliers pressés de mettre le nez dehors. Il fait tellement beau.
Nous enfilons tout de même nos anoraks. La température extérieure, à 7 h40, n'est que de 10°. Le ciel bleu. Soleil.
Nous faisons quelques pas dans la propriété. Clémentine reste à mon bras pour me parler de ses cours, des études.
J'écoute toujours avec attention. Pour vendredi de la semaine prochaine il y aura un autre mémoire à rendre. Bien.
Ce sont autant de challenges qu'aime à relever Clémentine qui s'y consacre à mille pour cent, passionnée. Sciences.

Il est 8 h. Les cours en lignes commencent à 8 H10. Nous rentrons nous mettre au chaud. Nous voilà dans l'atelier.
Assise devant son ordinateur, son casque sur les oreilles, Clémentine me fait un dernier coucou de la main. Boulot.
J'allume le petit poêle rond. Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette. J'adore cela.
La peinture de la vingt sixième toile destinée à ma saison d'été m'entraîne rapidement dans de profondes pensées.
Je peins toutefois avec cette euphorie communicative offerte par Clémentine. Une introspection positive. Plaisante.

Il est aux environs de 10 h lorsque la stupide musique de mon smartphone le fait vibrer sur la desserte. Je prends.
C'est Juliette. La jeune femme nous confirme sa venue cet après-midi. 15 h. Même endroit. Nous causons un peu.
Nous bavardons en mode haut parleur, ce qui nous permet de continuer à bosser. Je murmure pour pas déranger.
Nous nous saluons. Je raccroche. Je montre la feuille de papier Canson sur laquelle est écrit Juliette à Clémentine.
Tout en restant absorbée dans son télé travail, elle lève le pouce de la main gauche. OK. Je retourne à ma passion.

< J'ai fini ! C'est Week-End ! > chante Clémentine en sautillant tout autour de moi. Je nettoie palette et pinceaux.
Il est 11 h55. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'à la cuisine. Elle prépare la salade en racontant ses cours.
J'épluche les patates que je coupe en fines lamelles afin de les poêler en chips. Je coupe l'aubergine, la courgette.
Je fais revenir dans le wok avec l'ail, l'oignon, la ciboulette. Je rajoute des crevettes encore congelée. C'est bien.
Clémentine dresse la table au jardin. Je la rejoins avec nos plats. Deux voyages. Il fait si merveilleusement beau.

Il y a l'ombre du noyer qui nous offre son hospitalité. L'odeur de barbecue qui monte de chez nos voisins. Joyeux.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine évoque notre rendez-vous de l'après-midi. Juliette.
Ces petites escapades nous offrent de délicieux moments d'évasions et de frivolités jouissives. On en redemande.
Demain après-midi ce sera à nouveau avec Estelle. Pourvu que cette météo estivale perdure. C'est tellement bon.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine fait le timing du week-end.

C'est un programme très vague. Demain matin nous irons faire notre marché au bourg. L'après-midi Estelle. Joie.
Je débarrasse pour aller chercher les coupes glacées. Clémentine s'installe dans la balancelle. Image romantique.
Je reviens avec nos coupes glacées. Vanille, pistache et pralin. Nous nous régalons en évoquant nos aventures.
< Il y aurait de quoi écrire un livre. Un livre de 1121 pages ! > dit Clémentine évoquant nos récits sur les forums.
Nous en rions de bon cœur. Nous rentrons. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns.

Nous nous changeons. Clémentine revêt sa jupette plissée de hier. Un T-shirt crème, ses baskets. Je suis en short.
Nous prenons des poses délirantes devant le miroir de l'armoire. Clémentine s'accroupit, les cuisses bien écartées.
Elle étudie sa position. Je regarde admiratif. L'absence de culotte permet la vue sur cette merveilleuse touffe noire.
Nous ne nous attardons pas. Il est 13 h30. Nous sommes pressés de retourner au soleil. Comme une journée d'été.
Nous faisons le tour de la propriété en flânant. C'est le potager qui devient l'attraction du moment. Si surprenant.

Les premières pousses de tomate grimpent déjà le long des tuteurs. Les sillons se couvrent déjà de vert. Superbe.
Clémentine, accroupie devant moi qui me fixe d'un regard par en dessous. Et j'adore quand elle me "drague" ainsi.
Même si elle est ma compagne depuis plus de trois ans, ses attitudes, ses comportements, me troublent toujours.
Elle montre l'emplacement des poireaux de son index pointé tout en écartant les cuisses au maximum. C'est génial.
Je bande évidemment comme un salaud. Elle me fait : < Le poireau. Il a toute ma préférence. Surtout en sauce ! >

Je me redresse. Je regarde dans la direction des voisins, là bas et en contrebas, à plus de 300 m. Ils ne voient pas.
Je sors mon sexe. < Wouah ! > s'écrie Clémentine. Un silence. Elle rajoute : < Mon poireau préféré ! >. Nous rions.
Elle me tend ses mains. Je les saisis pour l'aider à se redresser. Nous sortons des sillons du potager pour se serrer.
Nous nous embrassons longuement. Jusqu'à la bave. J'essaie de garder ma distance pour ne pas tâcher la jupette.
< On s'en fout ! > murmure Clémentine qui frotte son sexe contre le mien au travers du tissu de sa jupette. Rires.

Nous rentrons préparer le petit sac à dos que nous trimballons toujours avec nous en promenade. Ne rien oublier.
Trois pommes, des petits gâteaux secs, le thé dans sa thermos, les barres de céréales, la petite paire de jumelles.
Accroupie entre la table et moi, Clémentine frotte son visage contre mon sexe en gémissant de plaisir. < Mmhh !>.
Je mets le sac sur mon dos. Clémentine se redresse. Elle me montre ses joues un peu mouillées de liquide séminal.
Nous rions de bon cœur. En route. Nous descendons jusqu'à la rivière. Cet après-midi, le sentier de gauche. Bien.

Nous marchons doucement. Soudain, derrière nous, un bruit de pas rapide. Nous nous arrêtons pour laisser passer.
C'est la jeune femme que nous croisons tous les après-midi depuis quatre jours. Nous nous saluons. Grand sourire.
Nous échangeons quelques mots. < Je m'évade de ma prison ! > lance t-elle. Clémentine répond : < Nous aussi ! >
< Au retour peut-être ! > dit elle avant de filer. Nous la regardons partir. Elle est vêtue d'un short kaki, T-shirt noir.
Un petit sac à dos comme celui que je porte. Nous y allons cool. Il est 14 h45 quand nous arrivons à l'ancien lavoir.

Quelle surprise, Juliette est déjà là, assise sur le muret. Elle porte la même robe d'été que la dernière fois. Superbe.
Son large chapeau de paille. Des baskets. C'est une vision d'un autre temps. Cette fois une longue natte noire. Belle.
Elle nous voit arriver. Elle se lève. Radieuse. Visiblement contente de nous retrouver. Et nous gardons nos distances.
Même si pour nous tout va pour le mieux, nous ne prenons aucun risque. Nous jouons le jeu. C'est tellement mieux.
Nous suivons Juliette. Elle monte l'étroite sente qui monte au calvaire. Les deux bancs de pierre. L'endroit est désert.

Déjà en temps normal il n'y a personne. Mais là, en période de privation de liberté, l'endroit reste quasi abandonné.
Juliette sort un petit coussin du sac en osier qu'elle porte à l'épaule. Elle le dépose sur le banc. Assise devant nous.
Je sors nos deux K-ways du sac à dos. Ils servent de coussins sur lesquels s'installer confortablement. C'est parfait.
Juliette nous raconte le quotidien de son entreprise. Encore 18 chevaux au haras. Le passage du vétérinaire. Super.
Clémentine demande : < Le vétérinaire, fait il partie de vos heureuses victimes ? >. Juliette qui éclate de rire. Joie.

< Non ! Quand il passe, c'est toujours pour raisons professionnelles. Et il y a du boulot ! Je le préserve ! > fait elle.
Nous en rigolons comme des bossus. < Par contre, je me rattrape avec mes deux palefreniers ! > fait elle encore.
Tout en bavardant, Juliette écarte toujours un peu plus ses cuisses. Assise devant nous, le spectacle est formidable.
Clémentine glisse sa main dans ma braguette. Juliette me fait un clin d'œil. Elle dit : < Les affaires reprennent ! >.
De l'autre main, Clémentine se touche. < Entre membres du même Club ! > fait Juliette, sa main entre les cuisses.

Clémentine extrait mon sexe de ma braguette baillante. Je bande mou. Juliette nous raconte quelques anecdotes.
Les planques d'où elle peut mâter Kim Son et Eveline, ses deux palefreniers qui baisent dans tous les coins. Bien.
C'est principalement à l'étage, le grenier au dessus des écuries. Les interstices entre les planches offrent des vues.
< Je marche en chausson que je laisse là-haut, pour me déplacer en silence. Je vois plein de trucs ! > fait Juliette.
< Croyez moi, ces deux là restent confinés l'un dans l'autre ! > nous dit elle. Nous en rigolons comme des bossus.

Juliette et Clémentine se font face. Leurs jambes relevées, les pieds sur le bord du banc. Elle se masturbent. Bien.
Nous nous masturbons tous les trois doucement, un peu mécaniquement, tout en bavardant et en riant beaucoup.
Parfois, je me lève pour agiter mon sexe. Une fois vers l'une. Une fois vers l'autre. J'y excelle dans "l'hélicoptère".
Je bande assez mou. Même si je suis excité, les conversations offrent un divertissement qui maintient la mollesse.
Ce n'est pas pour me déplaire. Lorsque je bande mou, il s'écoule davantage de liquide séminal. C'est plus attractif.

Je me mets au bout des deux bancs. Je dis : < Mesdames, je pisse ! >. Elles observent silencieuses et immobiles.
Je lâche un jet à plus de deux mètres. Qui tombe au milieu de l'allée. A environ un mètre de chaque banc. Parfait.
Un tonnerre d'applaudissement. < Bravo Julien ! > lance Juliette en se penchant vers ma queue pour mieux voir.
Un second jet. Même distance. L'ondinisme permet d'amusantes déclinaisons lors de nos fréquents jeux pisseux.
C'est juste une question de préférences. Celles des autres nous importent très peu. Nous sommes des hédonistes.

Entre chaque jet, il s'écoule du liquide séminale. Ce dernier perle au bout de mon méat avant de s'écouler parterre.
Pour Clémentine, s'en est trop. Elle a une sainte horreur de tout ce gâchis. Elle se lève pour venir s'accroupir à côté.
Juliette se lève. Pose son coussin sur le bout du banc. S'assoit, penchée en avant, à environ un mètre pour mâter.
Pour la véritable voyeuse qu'elle est, ce spectacle est un superbe petit film d'animation. Clémentine qui s'approche.
Elle se place devant moi. A genoux, sur le K-ways posé dans l'herbe. Sous le regard de Juliette elle taille une pipe.

Je lui caresse les cheveux. Je donne mes impressions, je décris mes sensations à Juliette qui regarde avec attention.
Juliette me pose des questions précises. Je réponds avec le plus de justesses possibles. Difficile de trouver les mots.
J'évoque ce bol de purée tiède dans lequel j'ai l'impression d'avoir fourré ma bite. Cela l'amuse beaucoup, la fait rire.
Je dis : < Quand toute cette sinistre histoire sera terminée, je vous en garde quelques bonnes couilles et pleines ! >
< Volontiers ! Et ce sera avec plaisir ! > répond Juliette. Elle se lève pour se placer à distance derrière Clémentine.

Elle me fixe. A nouveau avec ce regard sévère qui pourrait mettre mal à l'aise si je ne la savais pas aussi vicelarde.
Cela fait partie de sa personnalité. Ce n'est pas pour me déplaire. Elle se touche. Une main sous sa robe. Me fixe.
Je tiens Clémentine par ses oreilles. Je me masturbe d'un mouvement lent du bassin dans sa bouche. Juliette mâte.
< Espèce de vicelard, va ! Pervers ! > me fait Juliette à plusieurs reprises en observant mes attitudes bien vulgaires.
Les pieds écartés, légèrement cambrée sur ses genoux fléchis, Juliette bouge quand je bouge. Cesse quand je cesse.

Le poing de son autre main fermé, Juliette mime une pipe, faisant une bosse avec sa langue à l'intérieur de sa joue.
< T'aime ça, hein, espèce de salaud ! > me fait elle plusieurs fois. J'éjacule dans la bouche de Clémentine qui gémit.
< Salaud ! Tu te fais sucer jusqu'au bout ! > rajoute Juliette qui se penche en avant en accélérant sa masturbation.
Clémentine déglutit avec difficulté en plusieurs gorgées. Je balance mon épaisse purée en trois giclées abondantes.
Je tiens le visage de Clémentine sous le menton et par la nuque. Elle repart pour un second tour tout en gémissant.

S'en est probablement trop pour Juliette qui s'offre un orgasme fabuleux. Je ne l'ai jamais vu jouir autant. Super.
Elle se lâche. C'est extrêmement rare. Nous avons en commun la faculté de maîtriser totalement nos plaisirs. Bien.
Clémentine, ses mains posées sur mes hanches, redouble de succions, me pompant comme si sa vie en dépendait.
Juliette s'affale sur le coussin pour reprendre ses esprits. < Saligaud va ! > me lance t-elle en essuyant sa sueur.
Je force Clémentine a cesser. Mes lombaires sont bien trop douloureuses. Je l'aide à se relever. Et nous voilà assis.

Nous reprenons notre conversation. Je dis à Clémentine : < Tu es la seule à ne pas avoir eu un orgasme ! Dur ! >
Elle me répond : < Tu m'offre ça ce soir. Tu le fais si bien ! >. Juliette s'écrie : < Vous êtes tellement complices ! >
C'est vrai. Nous confirmons. Je me lève. Je me mets à genoux sur le K-ways, entre les jambes de Clémentine. Joie.
< Non, vous allez m'achever ! > lance Juliette. Je glisse mon visage entre les cuisses de Clémentine. C'est trempé.
Je me bouffe sa chatte. C'est onctueux. Son excitation a provoqué d'incessantes coulées de cyprine. Je me régale.

Cette fois, c'est Clémentine qui donne ses impressions à Juliette qui pose des questions bien salaces. La vicelarde.
Juliette recommence à se toucher. Cette fois elle est assise, cuisses écartées, ses pieds posés sur le bord du banc.
Lorsque je tourne la tête pour regarder, elle se cambre pour m'offrir le spectacle de sa masturbation. C'est fameux.
L'orgasme de Clémentine est divin. Il y a deux papillons blancs qui viennent virevolter autour de sa tête. Merveille.
Clémentine, accroupie là où je me tenais tout à l'heure, pisse d'incroyables jets qu'elle projette si loin devant elle.

Nous buvons du thé en grignotant nos pommes. Il est déjà 18 h30. Il va falloir nous séparer. On se voit lundi soir.
Si la météo le permet, nous nous retrouvons ici pour 16 h45, 17 h. Le premier arrivé attend l'autre. C'est au point.
Nous nous séparons avec quelques difficultés. Mais c'est infiniment plus facile qu'avec Estelle. Un dernier coucou.
Nous quittons le sentier pour remonter le chemin. Quelle surprise, la jeune femme est assise au bord de la rivière.
Nous la saluons. < C'était bien ? > nous demande t-elle. L'étrange question Clémentine précise : < La balade ? >

< Oui ! Bien sûr ! > répond la dame avec un énigmatique sourire. Nous nous saluons pour remonter vers la maison.
Clémentine prépare la salade en évoquant cette jeune femme que nous croisons tous les après-midi. C'est étrange.
Je dis : < Tu crois qu'elle se planque pour nous mâter ? >. Clémentine répond, < Honnêtement, je ne sais pas ! >
Je réchauffe les patates, le coulis d'aubergine et de courgette. Nous mangeons de bon appétit en parlant de Juliette.
Nous avons encore passé là, un après-midi merveilleux. Nous en évoquons chaque détail. C'était tellement intense.

Bon après-midi à toutes les coquines qui apprécient les situations excitantes, intenses et terriblement jouissives...

Julien - (Au lit, j'offre à Clémentine un nouvel orgasme. J'adore la lécher quand elle me raconte ses impressions) -

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Classe - 3 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1122 -



Le petit rendez-vous du samedi après-midi

Hier matin, samedi, je suis réveillé par les mouvements que fait Clémentine qui vient se blottir si fort contre moi.
Encore dans un demi sommeil, je la serre. Elle me couvre le visage de bisous et en me murmurant des douceurs.
C'est adorable. Je fonds déjà. Quelques papouilles. Clémentine m'entraîne par la main aux toilettes. Nos pissous.
Il est 8 h. Il est rare que nous dormions si longtemps. Morts de faim, vêtus en sport, nous dévalons les escaliers.
Je presse nos quatre oranges. Clémentine fait le café. Le grille pain éjecte ses tranches dans un claquement sec.

Nous prenons notre petit déjeuner, regardant la merveilleuse journée qui s'annonce. Nous mangeons, bavardant.
Clémentine fait le programme du jour. Il est d'une simplicité déconcertante. C'est samedi, confiné, bien peinard.
La vaisselle. Nous enfilons nos K-ways. Nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement. Fraîcheur matinale.
Nous descendons vers la rivière que nous longeons d'un rythme soutenu. Le sentier de gauche, le plus praticable.
Trois kilomètres dans un sens, jusqu'aux bâtiments du haras ou nous faisons des exercices. Retour en accélérant.

La douche. Nous nous habillons. Clémentine porte une de ses jupes légères et printanière d'un fin velours carmin.
Un chemisier sous une veste noire et légère. Des souliers de ville souples, à légers talons. Cheveux noués, natte.
Sur sa demande, je suis en jeans, une chemise blanche sous une veste noire. Mes mocassins marrons. C'est bien.
Nous prenons la pose devant le miroir de l'armoire. < Regarde, on est beaux tous les deux ! > lance Clémentine.
Accroupie, la tête contre ma cuisse, blottie contre ma jambe, elle me chuchote : < Je suis si heureuse "Maître" ! >

Je pose ma main sur sa tête pour murmurer : < Je suis l'homme le plus heureux du monde, chère "Soumise" ! >
Restant accroupie, se mettant entre le miroir et moi, Clémentine frotte son visage contre ma braguette. Lascive.
Je sors mon Zob pour le lui passer sur les joues, sur ses lèvres. Je la laisse téter un peu pour l'aider à se relever.
Riant comme des fous de notre jeu, nous dévalons les escaliers pressés de filer. Je prends la glacière. Le garage.
Nous voilà en route pour nous rendre au bourg. Comme tous les samedis matins, nous allons faire notre marché.

Je roule doucement. Clémentine glisse sa main dans ma braguette. C'est une matinée magnifique. Un jour d'été.
Je gare la voiture sur le parking derrière la Mairie. Je prends le cabas qui contient les sacs. Je ferme la braguette.
Avec les mesures d'éloignement, il faut suivre un parcours fléché au sol. Longer des barrières. Il y a peu de gens.
C'est un peu frustrant car nous devons respecter la distance réglementaire. Nous jouons le jeu. Si peu de monde.
Nous faisons provisions de fruits, de légumes, chez notre producteur local habituel. Quelques échanges. Plaisants.

Nous faisons provisions de fromages, de beurre, d'œufs, de yaourts, de crème fraîche chez notre artisan habituel.
Nous ne nous attardons pas. C'est tellement triste un marché en temps de guerre. Nous retournons à la bagnole.
Nous rangeons les produits frais dans la glacière branchée sur l'allume cigare. Les légumes et fruits dans le coffre.
Nous allons marcher un peu. C'est très curieux un village sans personne dans les rues. Nous allons vers le square.
Les toilettes publiques sont fermées. Seuls les commerçants du marché, muni de leur clef y ont accès. Préventif.

Il faut se faire une raison. Retournons vite dans notre coin de campagne, loin de toute cette ambiance anxiogène.
Sur la route du retour je dois ralentir et m'arrêter. Il y a là quelques chevreuils, peinards, qui regardent la voiture.
Nullement effrayés, ils restent ainsi à se pavaner fièrement. Clémentine prend quelques photos. Tellement insolite.
Finalement, ils se mettent sur le bord de la route et nous regardent passer. La nature reprend ses droits. Sublime.
Il est 11 h30 quand nous revenons. Il y a monsieur Bertrand, le voisin, qui est monté jusqu'à la propriété. Sympa.

Nous bavardons un peu. Max, son Doberman géant tourne autour de nous pour nous saluer. Il est impressionnant.
Mr Bertrand nous demande si tout va bien. Il nous rassure. De son côté tout baigne. Nous restons solidaires. Bien.
Sa femme est partie passer quelques jours chez sa vieille maman. Il aime ces séquences de solitude. Il nous laisse.
Nous rentrons. Il fait déjà chaud. Nous rangeons les courses. Nous montons nous changer. Je descends à la cave.
Du congélateur je sors un paquet de moules. Je me dépêche de remonter. Le samedi à midi on ne s'emmerde pas.

Clémentine s'occupe de la salade en me donnant ses impressions sur notre virée de ce matin. Un peu tristounette.
Je propose que nous nous fassions livrer en fruits et légumes pour éviter d'être confronté à cette triste désolation.
Je prépare le bouillon dans lequel je plonge les moules encore congelées. Ail, oignon, persil, ciboulette et du céleri.
Truc de ma grand-mère qui permet de parfumer le bouillon. Je fais gonfler du millet doré dans un peu du bouillon.
Nous dressons la table dans le jardin. Les feuilles du noyer offrent à présent un peu d'ombre et de fraîcheur. Joie.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous sommes déjà vêtus léger pour pouvoir filer tout à l'heure.
Clémentine porte sa jupette plissée, un T-shirt et ses baskets. Je suis en short hawaïen et en chemisette à fleurs.
Clémentine adore me voir dans cette tenue. Elle n'arrête pas de rire. Je fais touriste américain en vadrouille. Bien.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque notre vie tranquille.
Nous sommes très loin du monde et de toute cette période de doute. Ici en pleine campagne la vie ne change pas.

Je passe ma main entre les cuisses chaudes de Clémentine. Je glisse mes doigts juste sous l'élastique de la culotte.
J'aime ce petit réflexe féminin lorsque j'accède aux lèvres charnues de sa vulve. En fouillant un peu dans sa touffe.
< J'aime les explorateurs. Tu es mon Indiana Jones. Je t'aime ! > me fait elle en me couvrant de visage de bisous.
Nous laissons tout sur la table pour aller marcher un peu. Nous visitons notre potager. Tout pousse à toute vitesse.
Nous aurons nos premiers légumes dès le début mai. Une certaine autarcie qui tombe à propos avec la conjoncture.

Comme chaque jour, Clémentine se place de l'autre côté des rangées du potager. Accroupie, cuisses bien écartées.
Elle me fixe par en dessous. J'adore cette façon de me "draguer". C'est profondément troublant. La fille que j'aime.
Les hommes qui ont le privilège de vivre en compagnie d'une femme imaginative, pleine d'initiative, sont des élus.
J'en suis. J'en savoure le bonheur plusieurs fois par jour. Je fixe son entre jambes. Sa culotte de coton blanc. Joie.
Les poils qui poussent sur le haut de l'intérieur de ses cuisses et qui sont pour moi les plus fabuleux déclencheurs.

Clémentine me montre les pousses de tomate qui s'enroulent déjà autour des tuteurs. Et comme si de rien n'était.
J'adore. J'ai envie de l'embrasser, de lui bouffer la chatte, de lui hurler des : < Je t'aime ! > et de m'enivrer d'elle.
Elle le sait. Elle sait aussi comment entretenir cette flamme. Cette passion. Cet amour viscéral. La fille que j'aime.
Clémentine se redresse, contourne le parterre de tomates pour venir me rejoindre, constater l'effet qu'elle produit.
Elle me palpe le sexe. < Mais vous bandez mon bon "Maître" ! > fait elle avant de me sauter au cou. Je la soulève.

Nous retournons à la table. Il y quelques mouches attirées par les coquilles de moules. Elles se livrent à un festin.
Nous débarrassons. Nous emmenons tout à l'intérieur. La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie en me racontant.
< Demain, nous aurions pris l'avion pour partir dans le Jura ! Tant pis ! C'est partie remise ! > fait elle en rigolant.
Sautillant tout autour de moi, elle rajoute : < Tant pis pour l'avion, je m'envoie souvent en l'air quand même ! >
Nous rigolons comme des bossus. Nous montons nous laver les dents tout en faisant les clowns devant le miroir.

Clémentine mime une pipe en faisant une bosse à l'intérieur de sa joue avec la brosse à dents, mousse aux lèvres.
Nous nous rinçons la bouche au dessus du lavabo, tête contre tête tout en riant. Je fais : < Et tu as sucé qui là ? >
< Un inconnu, quelque part, certainement dans des chiottes publiques ! > répond t-elle en me palpant la braguette.
Nous éclatons de rire lorsqu'elle rajoute : < Avec la situation voudrais-tu bien interpréter le rôle de cet inconnu ? >
Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. Préparer le sac à dos.

Trois pommes, des barres de céréale, thé dans la thermos, petits gâteaux secs. Les K-ways. La paire de jumelles.
Nous voilà prêts. Clémentine retire sa culotte pour la fourrer dans la pochette avant et je mets le sac sur mon dos.
Nous sortons. Il est 14 h. Estelle qui nous attend pour 14 h30 à l'endroit convenu. Nous descendons vers la rivière.
Cette fois, c'est le sentier de gauche qu'il faut prendre. Cet étroit sentier, escarpé qu'il faut suivre avec prudence.
Il part du bourg à 3 km, pour aller jusqu'aux ruines de la chapelle, à 6 km. Il passe près du haras. Il longe l'eau.

C'est un parcourt de 9 km, encaissé. On y évolue à l'abri de tous regards, parfaitement invisible. Discrétion totale.
Avec le feuillage ce sentier offre une multitude de cachettes. D'opportunité de jeux voyeurs, jeux exhibitionnistes.
Nous longeons la rivière sur le kilomètre et demi qui nous sépare de notre lieu de rendez-vous. L'eau en contrebas.
A cet endroit l'eau est tumultueuse, profonde et tourbillonnante. Presque un torrent. Sur une largeur de 6 mètres.
Quelle surprise. Pour la cinquième fois, nous croisons cette jeune femme qui randonne. Nous nous arrêtons. Super.

Nous bavardons un peu. Tous les après-midi, elle parcours le sentier sur toute sa longueur. Allé et retour. 18 km.
Aujourd'hui encore elle porte son petit sac à dos, un short kaki, un T-shirt brun, ses baskets, une casquette noire.
Elle ne voit pas la braguette ouverte de mon short. Je la rabat toujours juste à temps. Cela nous amuse beaucoup.
Nous continuons notre marche. Estelle est déjà là. Cette fois elle porte une robe d'été. C'est tellement rare. Belle.
Elle est assise sur un rocher. En bas, à environ six mètres, les eaux tumultueuses. Elle nous voit se lève en vitesse.

Nous respectons la distance des gestes barrières. C'est frustrant. Nous sommes tellement heureux de nous revoir.
Estelle sautille autour de nous autant que le permet l'étroite corniche sur laquelle nous nous retrouvons. C'est bien.
< Venez ! > fait elle en nous entraînant sur la sente qui monte à droite. Notre cachette. Le promontoire habituel.
De sa panière Estelle tire la couverture que je l'aide à étaler au sol. Nous voilà assis en tailleur, formant un triangle.
< Figure magique ! > fait Estelle qui fait une allusion ésotérique. < Magie occulte ! > ponctue Clémentine en riant.

Les filles évoquent leurs cours, les études et l'avancée de leurs travaux. J'écoute en disposant les gobelets au sol.
Je les rempli de thé bouillant. Je déballe les petits gâteaux sur un mouchoir en papier. Les trois pommes. Sympa.
< Et toi ? > demande Estelle à Clémentine en relevant sa robe pour montrer l'absence de culotte. Superbe touffe.
< Pareil ! > répond Clémentine en relevant sa jupette. Nous rions de bon cœur. Clémentine toute proche de moi.
Estelle observe la distance d'un bon mètre et demi. Nous avons une vue parfaite sur sa touffe merveilleuse. Joie.

Estelle aussi se laisse une touffe de sauvageonne. Un peu moins dense que celle de Clémentine. Elles comparent.
J'arbitre la comparaison par quelque onomatopées et quelques borborygmes d'homme des cavernes. Nous rions.
< Mais ! Tu n'as pas encore la queue à l'air, Julien ! Que se passe t-il donc ? > me lance Estelle qui se masturbe.
Je sors mon sexe. Je bande mou mais il s'en écoule déjà un peu de liquide séminal, visqueux, épais et très gluant.
Réaction normale après les quelques excitations déjà vécues aujourd'hui. Et Clémentine se touche à présent aussi.

Nous voilà à nouveau à nous masturber tous les trois. Des gestes lents, un peu mécaniques et tout en bavardant.
Nous parlons des vacances. Ce serait triste d'êtres privés d'Ecosse cet été. Nous avons un "plan B". Ici. La rivière.
Il faudra faire en fonction des évènements. Clémentine précise : < Dès mes études finies, on va vivre là-bas ! >
C'est un projet murement réfléchi. J'ai le désir moi aussi de retourner dans mon pays, sur ma terre natale. Super.
< Une fois là-bas, chez nous, il pourra y avoir toutes les pandémies, on sera enfin arrivé à la maison ! > fait elle.

Estelle vide la moitié de son gobelet, me le tend. Je comprends immédiatement. Je me mets à genoux. Je prends.
Je lâche une giclée de pisse. Oh, un tout petit peu. Je lui rends son gobelet en disant : < Interdiction de gouter ! >
Avec les mesures d'éloignement et même si pour nous tout va pour le mieux, il est préférable de rester prudents.
Estelle regarde toutefois l'intérieur avant de répondre : < Put-Hein de Covid ! >. Nous rigolons comme des bossus.
Clémentine montre la coulure de foutre qui suinte de mon prépuce fripé. Estelle me tend son gobelet. Je le saisis.

Nous attendons un petit moment, silencieux, tous nos sens aux aguets. La goutte fini par tomber dans le gobelet.
Le foutre flotte sur le liquide. Estelle qui reprend son gobelet pour l'observer avec l'attention d'une entomologiste.
Clémentine se laisse glisser contre moi, son visage tout près de mon sexe qu'elle hume longuement. Estelle mâte.
Je lui dis : < La patience est une vertu. Tout cela finira un jour. Je t'en réserve des couilles pleines à ras bord ! >
< Put-Hein c'est chiant toutes ces conneries, vivement que ça se termine ! > crie t-elle, se mettant à plat ventre.

Estelle adore se masturber à plat ventre. Juste ses mains pour se toucher. C'est là moins confortable que sur un lit.
Elle s'installe sur le côté en mettant sa panière en osier entre ses cuisses pour se frotter dessus. En nous observant.
Nous lui offrons le spectacle d'une douce et tendre fellation. Estelle est rapidement toute rouge et en sueur. Belle.
Toutes les deux trois minutes Clémentine cesse de sucer pour laisser reposer sa mâchoire. Elle donne son ressenti.
< C'est comment, dis moi, je ne sais plus ! > murmure Estelle qui se frotte sur sa panière. Elle se masturbe si fort.

Clémentine lui montre l'intérieur de sa bouche. Elle fait une coupelle de sa langue pour y contenir le jus qu'elle suce.
< Put-Hein ! Comme j'ai envie ! > s'écrie Estelle qui se redresse pour s'assoir. Puis se remettre sur le côté, la branle.
Je suis en appui sur mes bras, derrière moi, les pieds allongés et croisés, à me faire pomper comme un bienheureux.
Nous changeons régulièrement de position. Je suis à genoux, Clémentine à quatre pattes. Je suis couché sur le dos.
Nous alternons jusqu'au moment où c'est moi qui m'allonge sur le ventre. Je suce Clémentine assise, bras en appui.

< Mais j'ai envie ! > s'écrie Estelle qui se met à quatre pattes pour se masturber ainsi. C'est limite. C'est frustrant.
Moi aussi j'aimerai bien aller d'une chatte à l'autre. Ça me manque. J'aime comparer les saveurs de mes coquines.
Nous cessons toujours juste avant l'orgasme. Parce qu'en reprenant, c'est encore meilleur. Car ça monte d'un cran.
Je vide le gobelet d'Estelle. Je l'essuie soigneusement. J'y verse du thé bouillant. Nous grignotons les gâteaux secs.
Assis en tailleur, nous faisons le bilan de nos petits jeux merveilleux. Estelle nous parle de son promeneur de chien.

Ce pervers qui vient pisser contre la clôture derrière le bâtiment de l'entreprise de ses parents. Tout en bavardant.
< Il a encore fait fort hier soir ! > nous confie Estelle qui nous raconte avec un luxe de détails. C'est hyper vicieux.
< Je refais un film ce soir. On se le mâte demain ! > rajoute Estelle. Nous reprenons nos masturbations en rigolant.
Il est 18 h30. Il faut se quitter. Nous nous revoyons ici demain après-midi, même heure. La séparation très difficile.
Une fois encore, nous avons les yeux humides. Estelle marche à reculons pour mimer plein de bisous. Des coucous.

Nous rentrons. Nouvelle surprise. Nous croisons la jeune femme juste à l'intersection du chemin vers notre maison.
< C'était bien ? > nous demande t-elle une nouvelle fois. < Mieux que hier ! > lui répond Clémentine. Une énigme.
En remontant le chemin, nous spéculons sur la présence répétée de cette femme que nous croisons tous les jours.
Il est 19 h15 quand nous arrivons. Clémentine s'occupe de la salade. J'épluche les légumes que je découpe et lave.
Patates, céleri, navets, carottes, ail et oignon. Ce sera pour notre potée du week-end. La quantité pour trois repas.

Je remue avec la spatule en bois. Je prépare cette potée de légumes dans la vieille cocotte en fonte noire. Tradition.
La cuisson est rapide. Je fais rissoler quatre beaux gambas. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le bilan.
Ces petits rendez-vous secrets, tous les après-midi, nous procurent les plus indicibles plaisirs. C'est tellement bon.
< C'est comme en cuisine, le meilleur se fait avec le peu qu'on a ! > fait Clémentine pour une métaphore très juste.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine parle déjà de demain. Bien.

La vaisselle. Avec toutes ces branlettes, toutes ces émotions, tous ces jeux, nous sommes toujours fatigués le soir.
Il est 21 h30. Nous allons marcher un peu dehors. La lune encore bien ronde, éclaire de sa lumière argentée. Belle.
Nous rentrons. Nous montons. Nous nous offrons nos rituels pisseux pour en savourer le reliquat de nos mélanges.
Au lit, j'offre à Clémentine une alternance de cunnilingus et de pénétrations qui achèvent de nous épuiser. Superbe.
Son orgasme est prestigieux. Immobile, prostrée, se tenant la chatte, Clémentine jouit dans l'extase et l'exaltation.

Bon après-midi à toutes les coquines qui aiment se rendre à des rendez-vous secrets dans la transgression totale...

Julien - (Je propose souvent à Clémentine de remettre mon orgasme à demain. Ce qui m'importe, c'est le sien) -

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Je cache mes œufs dans le jardin

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par le mouvement masturbatoire qu'imprime Clémentine contre ma hanche.
Dans un demi sommeil, elle se blottit contre moi pour me chuchoter : < J'ai fait un rêve cochon. Et si tu savais ! >
Je murmure : < Tu me le racontes à la cuisine, devant un bon petit déjeuner. Il y a de la brioche. Miam. Viens ! >
Quelques papouilles et Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Nous y pissons dans la volupté. Joie.
Nous nous habillons pour dévaler les escaliers à toute vitesse. Il est 8 h30. C'est dimanche. C'est la fête. Superbe.

Je presse nos oranges. Clémentine s'occupe du café. Le grille pain qui éjecte ses tranches avec un claquement sec.
Dehors il fait tellement beau. Il y a du soleil. Seule la température dissuade de prendre le petit déjeuner au dehors.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant un vague programme de la journée. Nous évoquons cet après-midi.
Nous voyons Estelle à 14 h30 à l'endroit convenu. C'est génial de repasser du temps ensemble, tout en composant.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte son rêve. Rires.

Il y est question d'un type, sur une plage, derrière les cabines. Un vicelard comme Clémentine les aime. Un pervers.
Comme souvent, ses rêves présentent la particularité de dévier vers les situations les plus surréalistes et délirantes.
La scène se déroule certainement en Ecosse. Dans sa description, on reconnaît les cabines de la plage de Portobello.
Nous en rions de bon cœur. Le dimanche matin est consacré au ménage. Un rituel. Clémentine s'occupe de l'étage.
Moi je nettoie la cuisine, les chiottes du bas, le hall d'entrée et le salon. Nous faisons la vaisselle. Nous sortons vite.

Il est 9 h. La température n'est encore que de 14°. Nul doute que cette journée va encore être magnifique. Super.
Nous allons faire un tour au potager. Avec ce soleil tout les jours, c'est fou ce que ça pousse. Des légumes en mai.
Il faudra arroser en soirée. Nous rentrons. Un dernier bisou, Clémentine monte à l'étage. Moi, je passe l'aspirateur.
Je commence par le salon. Je nettoie la cuisine. L'éponge partout. Je nettoie les chiottes du bas. Puis la serpillère.
Je monte rejoindre Clémentine qui termine de changer les draps. Je l'aide. Elle aussi a déjà tout terminé à 11 h30.

Nous descendons le panier à linge à la cave, dans la buanderie. Les draps direct à la machine. Nous trions le linge.
Depuis le début de la semaine, nous faisons sécher notre linge dehors. En séchant au dehors il sent tellement bon.
Nous remontons. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe la potée aux légumes. Je prépare nos papillotes.
Les deux pavés de saumon ont décongelé. Je les enveloppe dans le papier sulfurisé, dans une feuille d'aluminium.
Je les fais griller sur le barbecue électrique de la véranda. La température extérieure est à présent de 24°. Fameux.

Clémentine dresse la table au jardin. J'emmène les plats. Le noyer nous offre l'ombre de son feuillage. C'est parfait.
Nous montons nous changer. Vêtements d'été. Jupette, short et les T-shirt. Nous mangeons de bon appétit. 12 h15.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque le séjour en Ecosse.
Même si nous ne savons pas encore comment la situation mondiale évoluera, il est fort agréable de parler vacances.
Nous avons appris à composer avec les évènements. Quoi qu'il arrive nous agirons selon. Attitude responsable. Bon.

Je m'apprête à débarrasser la table quand Clémentine insiste pour le faire en disant : < Va donc cacher les œufs ! >
En rigolant comme un bossu je comprends immédiatement. Je vais vers la haie de lauriers derrière la roseraie. Bien.
De là, je vois bien la maison à presque 100 m. De ma braguette qui agit comme un garrot, je sors juste les couilles.
Je reste planqué. C'est amusant d'avoir les couilles à l'air. Rondes, la peau tendue, bien dodues, les couilles serrées.
Clémentine revient. Elle sait bien nos cachettes préférées. < Et où est le lapin de Pâques ? > chantonne Clémentine.

Mains sur les hanches, les joyeuses à l'air, j'attends derrière la haie. < Oh, les œufs de Pâques ! > fait Clémentine.
Nous en rigolons comme des bossus. < Mais que me présentez vous là, ils ne sont pas en chocolat ! > s'écrie t-elle.
Elle me rejoint pour s'accroupir devant moi. < Je peux goûter ? > demande t-elle, espiègle, mutine. C'est adorable.
La voilà qui me lèche les couilles tout en me faisant un clin d'œil. Je murmure : < Joyeuse Pâque mademoiselle ! >
< Quand j'étais petite je n'avais pas de jardin, le lapin ne passait pas ! > fait elle en se relevant. Elle m'embrasse.

Je connais l'histoire. C'est toujours émouvant. Même si c'est un passé que sa vie actuelle à largement éclipsé. Bien.
< Reste comme ça, juste avec les couilles à l'air, ça me plaît ! > lance Clémentine en m'entraînant dans la maison.
Nous faisons la vaisselle en riant beaucoup. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns. C'est si drôle.
Nous restons vêtus ainsi. Il n'y a que le petit sac à dos à préparer. Nous dévalons les escaliers, pressés de s'évader.
Trois pommes, le thé dans la thermos, les petits gâteaux secs. Aujourd'hui des crêpes dentelles bien sèches. Miam.

Il est presque 14 h. Nous descendons jusqu'à la rivière. A nouveau le sentier de droite. Et dans sa partie escarpée.
Il y a un kilomètre et demi. Il faut longer la rivière en contrebas en restant très prudent. C'est un vrai pierrier. Dur.
Quelle surprise. Nous croisons à nouveau cette jeune femme qui randonne tous les après-midi aux mêmes endroits.
Une fois encore nous nous arrêtons, gardant la mesure d'éloignement d'au moins deux mètres, pour bavarder. Bien.
Elle doit avoir quelques 40 ans. Des cheveux auburn, noués en natte. plutôt mince, de taille moyenne. Et souriante.

Cette fois, elle retire ses lunettes de soleil. Nous aussi. Cette dame fait ici tous les jours ses 18 km de randonnées.
Nous l'écoutons. < C'est vous la grande propriété qu'on voit depuis la rivière ? > demande t-elle. Nous confirmons.
Clémentine dit : < Passez à l'occasion ! Ne vous gênez pas ! >. La jeune femme semble ravie de l'invitation. Bien.
Nous nous saluons avant de continuer notre chemin. Il est presque 14 h30 et nous arrivons au lieu du rendez-vous.
Estelle est déjà là. Vêtue comme hier, d'une robe d'été, légère, à motifs floraux. Comme elle est belle, printanière.

Même s'il faut lutter contre nos désirs fous de nous étreindre, de nous embrasser, nous restons distants. C'est bien.
Nous jouons le jeu. Estelle nous entraîne. Nous montons la sente qui quitte l'étroit sentier, pour notre cachette. Joie.
De sa panière qu'elle pose au sol, Estelle tire la couverture. J'aide à la déplier. Nous voilà assis en tailleur. Triangle.
Nous bavardons. Nous sommes tellement heureux d'êtres à nouveau ensemble tous les trois. Un cadeau du destin.
Pourvu que cette météo perdure. Elle permet ces rendez-vous bucoliques. Déjeuners sur l'herbe de Edouard Manet.

C'est ainsi que les qualifie Estelle qui fait allusion au célèbre tableau du non moins célèbre peintre impressionniste.
Je trouve ce parallèle d'excellente facture. Nous en rions de bon cœur. < Laquelle se met nue ? > fait Clémentine.
En effet, dans ce tableau, il y a une femme nue en compagnie de deux messieurs, dans la forêt, au bord de l'onde.
Les filles se regardent, éclatent de rire. Estelle s'écrie : < Julien ! On refait le tableau à notre convenance, d'ac ? >
< A poil ! > rajoute Estelle subitement sérieuse en me pointant du doigt. Je consulte Clémentine du regard. Rires.

< Elle veut chercher les œufs dans ton jardin ! > fait Clémentine en déboutonnant ma chemisette à motifs floraux.
< Hé hé ! Je veux mes œufs et je veux surtout voir la bite de Pâque ! > lance Estelle qui se frotte les mains. Rires.
Me voilà à poil. Juste avec les baskets. Je me lève. J'entame la danse du guerrier Sioux sous les applaudissements.
L'endroit où nous nous trouvons n'offre qu'une surface d'environ 3 m sur 3m. Je fais donc le clown autour du plaid.
Je m'arrête souvent, mains sur les hanches, pour secouer mes organes génitaux sous les rires de mes deux anges.

Elles sont toutes les deux à genoux, bien droite, à me regarder tourner autour d'elles. Elles applaudissent en riant.
< Regarde ! > me fait Estelle en tirant de sa panière Bunny Boy, son lapin fétiche en peluche. Elle l'agite en riant.
Ce lapin sale qu'elle trimballe partout avec elle depuis toute petite. Je me mets à genoux pour dire bonjour Bunny.
Estelle relève sa robe, s'assoit, place son lapin entre ses cuisses contre sa touffe. Clémentine qui retire sa jupette.
La voilà toute nue. < Vous baisez pour moi et mon lapin ? > demande Estelle, implorante. Nous éclatons de rire.

Nous nous consultons du regard. Clémentine me dit : < Qu'en penses tu ? >. Je réponds : < Tout comme toi ! >
< Un 69 ! > lance Estelle. Clémentine et moi, nous hésitons un peu bêtement. Je fais : < Présenté comme ça ! >
Je me couche sur le dos. Clémentine se positionne sur moi. Nous commençons à nous lécher. C'est assez spécial.
L'excitation n'est pas encore présente. Estelle se lève pour tourner autour de nous, respectant la bonne distance.
C'est étrange de se sentir observés sans êtres réellement excités. Le sexe à Clémentine juste devant mes yeux.

Je fouille les plis et le replis des lèvres de son sexe du bout de ma langue. Ce goût acidulé, légèrement vinaigré.
Le dimanche, c'est un autre de nos rituels. Nous ne nous lavons pas. Nous restons à macérer dans nos jus. Bien.
Je récupère donc assez rapidement de ces miasmes gluants qui collent dans les replis. C'est évidemment un régal.
Je sens la succion de Clémentine sur mon sexe totalement flasque et mou. Je vois Estelle accroupie qui observe.
Elle se lève pour changer d'angles de vue. Toujours accroupie. Quand je la regarde, elle écarte ses cuisses. Joie.

Nous ne tardons pas à êtres excités. Estelle demande à Clémentine : < Elle est délicieuse le dimanche, hein ? >
Clémentine cesse, me décalotte légèrement avant de répondre : < Miam, regarde tout le fromage. La fondue ! >
< Put-Hein, j'en ai hyper envie ! > lance Estelle qui se déplace alors pour venir observer mon broutage de minou.
< Et toi Julien, c'est comment tu te régales aussi ? > me demande t-elle. Je réponds : < Yaourt, crème, miel ! >
< J'en aurai plein pour toi ! Regarde ! > me fait elle en écartant les fines lèvres de son sexe. Il y a des filaments.

Estelle observe tous les dimanches le même protocole. Chatte sale. Tendance fille négligée. J'adore la savourer.
Hélas, là, avec cette pandémie, nous préférons éviter tous rapprochements. Même si cela ne nous concerne pas.
Je bande comme le dernier des salauds. Je me fais tailler une pipe. Clémentine s'est prise au jeu. Elle dégouline.
Je me régale de sa cyprine fraîche et des miasmes de sa journée de fille. C'est enivrant. C'est vertigineux. Miam.
Estelle se touche. Quand elle vient me regarder sucer et lécher, elle me fait : < Comme je voudrais ça Julien ! >

Quand elle va observer la pipe de Clémentine, je l'entends dire : < Montre moi ce que tu lui tires des couilles ! >
Clémentine cesse de sucer pour lui montrer l'intérieur de sa bouche. < J'y pense chaque soir ! > s'écrie Estelle.
Clémentine se redresse. < Mets toi au dessus ! > me fait elle. Je me mets à quatre pattes à l'envers, au dessus.
Je lui enfonce la bite dans la bouche tout en continuant à lui bouffer la chatte. Estelle qui déplace pour tout voir.
< J'aimerai te faire le cul ! > me fait Estelle. La pipe de Clémentine est sacrément excitante. Pour Estelle aussi.

Cela fait bien une heure qu'on se régale de nos sexes sous l'œil d'Estelle qui est à genoux, accroupie, penchée.
Je prends appui sur mes bras. Je m'introduis dans Clémentine avec d'infinies précautions. Elle en gémit d'aise.
< Wouah, comme tu es doux et attentionné Julien. J'aime aussi quand tu me pénètres comme ça ! > dit Estelle.
Nous gardons le souvenir de nos baises. Et souvent le contraire. C'est Clémentine qui s'éclate à nous voir baiser.
Là, c'est Estelle qui n'a d'autre choix que de rester dans l'observation. La contemplation. Tout en se masturbant.

C'est extrêmement difficile pour Estelle de respecter la mesure d'éloignement dans la situation où elle s'est mise.
Nous sommes raisonnables. Malgré cet effort insensé qu'il lui faut faire, Estelle reste distante. Deux bons mètres.
Clémentine et moi, nous baisons comme on aime. Parfaitement immobiles à contracter nos muscles fessiers. Joie.
De contracter nos muscles fessiers permet de sentir bouger nos sexes l'un dans l'autre. C'est très excitant. Super.
Estelle nous demande : < C'est comment à l'intérieur ? > Clémentine répond : < On fait bouger doucement ! >

Nous en oublions presque notre voyeuse par instant, tellement c'est intense. Clémentine me fixe dans les yeux.
Cette façon de me regarder entretient mon érection d'une manière folle. Je ne connais rien de meilleur que ça.
Il faut répondre aux questions que pose Estelle, couchée sur le côté, à deux mètres, qui nous mâte et se touche.
Je lui dis : < Quand toute cette histoire sera finie, toi, je te baise une journée entière, tu vas déguster ! >. Joie.
< Oh oui ! J'attends tous les jours ce jour. Moi aussi je t'aime Julien ! > me fait elle avec une certaine tristesse.

Clémentine et moi, nous nous berçons lentement, l'un dans l'autre, alternant les séquences rythmées, immobiles.
Estelle se met soudain à gémir. Tout son corps, comme parcouru de convulsions se raidit. Et dans un cri elle jouit.
Nous l'observons. C'est merveilleux de la voir rouler sur le côté, là, les mains entre ses cuisses comme souffrante.
Nous baisons doucement. Clémentine s'accroche à moi. Je lui chuchote : < Viens, je t'emmène ! >. Mouvement.
Clémentine se masturbe toujours en même temps. Elle n'est pas vaginale mais clitoridienne. C'est sa particularité.

La nature l'a doté d'un tel clitoris que cette particularité est évidente. C'est comme une bite en miniature. Super.
De la taille de la dernière phalange d'un pouce d'homme, ce clitoris lui procure les plus indicibles plaisirs. Fameux.
Elle me repousse délicatement. Je me couche à ses côtés pour la voir jouir à son tour. Elle en hurle. Elle se tord.
Soudain, elle roule à côté de la couverture. Juste à temps. Estelle s'écarte. Clémentine qui pisse comme rarement.
Nous la regardons reprendre ses esprits. Je me précipite pour lui bouffer la chatte. J'adore les mélanges. Un régal.

Clémentine est toujours émerveillée quand je reviens la lécher, la sucer après ses orgasmes pisseux. Elle gémit.
Estelle qui s'écrie : < Mais Put-Hein, vivement que je revive tout ça ! J'en peux plus ! J'en ai marre ! >. Silence.
Nous éclatons tous les trois de rire. Heureusement que le bruit des eaux tumultueuses couvre ce qui se passe ici.
Il est impossible de nous entendre depuis le sentier, en bas à vingt mètres. Nous en rions de bon cœur. Sublime.
Je pisse. Clémentine, accroupie, me tient la bite pour en diriger les multiples petits jets que je contrôle très bien.

Entre chacun d'eux, elle suce pour se régaler du mélange. Petites gouttes de foutre qui perlent entre les giclées.
Estelle observe. Elle se masturbe à nouveau, accroupie à deux mètres devant nous. < C'est comment ? > dit elle.
Clémentine lui montre à chaque fois l'intérieur de sa bouche. Clémentine secoue les dernières gouttes en suçant.
Je lui éjacule dans la bouche sous les cris d'Estelle qui s'offre un second orgasme. Clémentine en gémit de plaisir.
Elle aussi se touche en déglutissant l'abondance de l'éjaculation. Nous voilà assis en tailleur, totalement épuisés.

Nous buvons du thé en grignotant les petits cigares de crêpes dentelles, sèches et friables. Il y en a plein le plaid.
Estelle nous raconte le passage du promeneur de chien, hier soir. Son comportement de pervers, de vieux vicieux.
Elle échange quelques mail secrets avec son parrain qui est pressé de pouvoir la baiser à nouveau, dans sa cave.
Il lui envoie des photos de sa bite. < Je vous montre ! > fait elle en sortant son téléphone. On connaît sa queue.
Clémentine qui a déjà baisé avec lui, il y a quelques mois, la connaît bien aussi cette queue de niqueur fou. Rire.

< Avec lui je l'ai souvent mon lapin de Pâque ! Ce salaud a commencé à me niquer, j'avais 16 ans ! > fait elle.
Nous connaissons bien cette histoire. Nous en rigolons comme des bossus. L'après-midi touche à sa fin. 18 h30.
Nous remballons. Nous nous habillons. Nous descendons sur le sentier avec beaucoup de précautions. Prudents.
La séparation est difficile. Nous nous revoyons mardi après-midi si la météo le permet. On en croise les doigts.
Comme à chaque fois, Estelle mime plein de bisous en marchant à reculons jusqu'à disparaître derrière le fourré.

Nous marchons vite, comme pour conjurer la tristesse qui nous étreint. Nous croisons à nouveau la jeune femme.
Cela nous change agréablement les idées de pouvoir bavarder un peu. Je n'ai pas eu le temps de fermer le short.
J'ai ma braguette ouverte. Je m'en rends compte en discutant. La jeune femme ne semble pas s'en être aperçue.
Il est 19 h15 quand nous arrivons à la maison. Nous préparons notre repas. Il y a quelques nuages. Oh merdre !
Nous mangeons de bon appétit. Totalement épuisés. Au lit, nous tentons un dernier truc. Trop fatigués. Le dodo.

Bon après-midi à toutes les coquines qui aiment se rendre aux rendez-vous secrets et mâter des parties de cul...

Julien - (J'écoute les dernières confidences de Clémentine qui m'avoue avoir sa chatte congestionnée) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 5 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1124 -



Les beaux jours permettent les belles rencontres

Hier matin, lundi, nous nous réveillons quasiment en même temps. Clémentine qui me murmure plein de douceurs.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Il est un peu plus de six heures. Les pissous voluptueux.
Morts de faim et vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Je presse nos oranges.
Clémentine fait le café. Les lundis matins, il reste toujours de la brioche. Nous prenons notre copieux petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous aimons faire le bilan de la journée précédente. Très sympa.

La vaisselle. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Ce sont de véritables réjouissances. Joie.
Jogging sur tapis roulant, charges additionnelles et abdos que nous pratiquons avec une intensité maximale. Super.
La douche. Nous nous habillons. Nous descendons. Nous enfilons nos anoraks pour aller faire quelques pas dehors.
La température extérieure n'est que de 8°. Il est 7 h40. Le ciel est bleu. Le soleil est là. Il y a bien quelques nuages.
Clémentine reste à mon bras. Nous allons au potager que nous avons arrosé hier soir. Tout y est déjà effervescent.

Avec cette météo, les premiers légumes feront leur apparition dès la première quinzaine de mai. Et peut-être avant.
Nous rentrons. Clémentine a quelques travaux en réserve. Nous allons dans l'atelier. J'allume un feu dans le poêle.
Clémentine est assise devant son ordinateur, son casque sur les oreilles. Je prépare ma palette. J'étale les couleurs.
Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Et devant cette vingt sixième toile destinée à ma saison d'été.
Je peins dans un enthousiasme délirant. La fille que j'aime près de moi, la passion qui anime chacun de mes gestes.

Nous avons décidé que ce lundi de Pâques serait une journée tout à fait comme les autres. Ce qui permet d'avancer.
Par contre, comme il n'y a rien de formel, l'un se lève parfois pour aller voir ce que fait l'autre. Bisous et tendresses.
Clémentine revoit ses cours. < On a trois messages ! > s'écrie Clémentine. Il est 11 h30. Je vais la rejoindre. Super.
Un message de Juliette qui nous propose un rendez-vous mercredi pour 16 h45. Si la météo le permet. Mêmes lieux.
Un message de Julie qui nous raconte son ennui, son voisin exhibitionniste avec qui elle bavarde en soirée. Vicelard.

Le message d'Estelle qui se réjouie pour nous retrouver cet après-midi, à l'endroit habituel pour 14 h30. C'est bien.
Nous répondons par le même copié/collé qu'il suffit de transformer légèrement. Nous y joignons un selfie. Superbe.
Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Clémentine est toute contente d'avoir pris une considérable avance. Cours.
Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je lave le choux fleurs, les patates.
Nous préparons un gratin de choux fleurs qui fera deux repas. Celui de ce soir. Celui de demain à midi. C'est bien.

Je fais gonfler du riz complet. Je prépare un coulis d'aubergine avec ail et oignon. Je cuis les légume à la cocotte.
C'est très rapide. Il fait moins chaud que hier. Nous dressons la table à la cuisine. J'égoutte le choux fleurs. Bien.
Je verse les légumes dans un plat en terre cuite. Je recouvre de gruyère de Comté finement râpé et de chapelure.
Je mets au four. On ne s'en occupe plus avant ce soir. Clémentine me raconte son travail de la matinée. Superbe.
Le riz complet et son accompagnement sont un véritable délice. Surtout avec une montagne de Parmesan. Miam.

Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le programme de l'après-midi. Et plutôt impatients de revoir Estelle.
Nous traînons à table. Installée sur mes genoux et ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque nos escapades.
Nous avons profité de chaque jour de ce temps magnifique pour nous sauver. < Nous évader > précise Clémentine.
Même s'il fait moins chaud que les jours précédents, cet après-midi s'annonce tout de même des plus prometteurs.
La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Amusant.

Nous nous changeons. Nous mettons de vieux jeans, de vieux sweats, les baskets. Je garde ma braguette ouverte.
Clémentine veut pouvoir y glisser la main quand elle le souhaite, voire même en extraire le locataire à tout instant.
Nous prenons des poses ridicules devant le miroir de l'armoire. Clémentine mime une masturbation masculine. Rire.
Je sors le Zob pour l'agiter vulgairement devant le miroir. Je pratique "l'hélicoptère". L'ample mouvement circulaire.
< Attends, je veux le faire aussi ! > s'écrie Clémentine qui se place derrière moi, qui s'empare de mon sexe. Ferme.

Le tenant juste à sa base, entre le pouce et l'index, elle le fait tournoyer de plus en plus vite. En parfaite virtuose.
Pressés de filer, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Nous préparons le petit sac à dos. Et les provisions.
Trois pommes. Un tout petit reste de brioche pour Estelle. Des petits gâteaux secs, la thermos qui contient le thé.
Nos K-ways. Nous voilà prêts. Il est 13 h45. Nous sortons. Il fait très agréable. Une légère brise. La belle surprise.
Nous descendons vers la rivière. Clémentine me tient la main. Là-bas, près des fourrés, il y a quelques chevreuils.

Pas du tout apeurés, ils nous observent. D'autres encore sortent des bosquets. Ils sont une bonne dizaine. Horde.
Nous prenons le sentier de droite. Clémentine marche devant moi. Souvent elle se retourne pour faire des bisous.
Là, elle s'arrête, se retourne, glisse sa main dans ma braguette et me masse la turbe en m'embrassant. On adore.
Du bruit. C'est la jeune femme que nous croisons tous les jours. On bloque le sentier. Elle est obligée de s'arrêter.
Nous nous saluons en riant. Clémentine a juste le temps de retirer sa main. Mais trop tard. Nous avons été surpris.

Nous bavardons un peu. Aujourd'hui la randonneuse est vêtue d'un jeans et d'un sweat. Petit sac à dos. Baskets.
Nous nous saluons avant de continuer notre marche. < Peut-être à ce soir ! > fait la randonneuse tout en partant.
Il est 14 h25 quand nous arrivons à notre rendez-vous. Estelle est déjà là, assise sur un rocher, jeans, son sweat.
Elle se lève d'un bond, tellement contente de nous revoir. Nous nous mettons à sautiller tous les trois. Si heureux.
Comme toujours, Estelle respecte la mesure d'éloignement. Deux mètres. Nous trouvons ça ridicule. Mais on fait.

Estelle ramasse sa corbeille pour nous inviter à la suivre. Nous prenons l'étroite sente qui monte à notre cachette.
Je l'aide à déplier la couverture. Nous voilà tous les trois assis en tailleur. Formant triangle. Ma braguette béante.
< Vous croisez aussi cette dame tous les jours ? > demande Estelle. < Oui tous les jours ! > confirme Clémentine.
< Elle vient du bourg. Je la croise parfois à la supérette ou à la boulangerie. Ma mère la connait. > rajoute Estelle.
Clémentine glisse sa main dans ma braguette en disant : < Elle nous a surpris comme ça sur le sentier ! > dit elle.

Nous en rions de bon cœur. Le promontoire sur lequel nous sommes installé est à l'abri de la brise. Il y fait si bon.
Nous avons trop chaud avec nos fringues. Nous les retirons pour nous retrouver en slips et en chaussettes. Drôle.
Estelle et Clémentine ont toutes les deux de tous petits seins. Elles ne portent jamais de soutiens gorge. Pratique.
J'adore les touffes qui dépassent sur les côtés et sur le haut de leurs culottes. En triangle jusqu'au nombril. Bien.
Les filles parlent de leurs cours. Estelle aussi, ce matin, a un peu travaillé à ses préparations. Confortable avance.

Elle nous raconte le promeneur de chien qui passe sur l'étroit chemin derrière le bâtiment de l'entreprise en soirée.
Tous les soirs, au même endroit, comme un véritable rituel, il pisse tout en discutant avec Estelle. Le vrai dépravé.
< Hier soir il m'a parlé de sa fille qui suit ses cours en ligne ! Elle est revenue de Paris juste à temps ! > dit Estelle.
Elle rajoute : < A force, je vais tout savoir de sa vie ! >. Nous en rions de bon cœur. Clémentine me sort la queue.
J'ai la bite qui dépasse du haut de mon slip tiré vers le bas. Estelle me fait : < Retire donc ce slip ! Il sert à rien ! >

Sans attendre, Clémentine me le retire. Estelle mime une masturbation masculine pour rajouter : < C'est mieux ! >
Je bande très mou. Clémentine passe sa main sous ma cuisse pour m'attraper le sexe par en dessous. Elle le tire.
Elle le tire avec force ce qui m'oblige à tomber sur le côté. Les jambes serrées, je me fais tirer la queue comme ça.
Me tenant les couilles d'une main, les serrant entre le pouce et l'index en anneau, elle agite ma queue fermement.
Estelle, penchée en avant, glisse une main dans sa culotte tout en observant. Clémentine qui se couche sur le côté.

Elle se met à me sucer ainsi, une main sur ma hanche, l'autre tenant mes couilles, couchée derrière moi. Sublime.
< Wouah ! > dit Estelle en se touchant doucement. Je bande. C'est contraignant de bander queue entre les cuisses.
Je lève une jambe pour pouvoir observer ce que fait Clémentine. C'est une pipe passionnée et passionnante. Belle.
Estelle se couche sur le côté. C'est sa position préférée pour se masturber. Surtout pour admirer ce spectacle fou.
J'ai rarement vu Clémentine pomper ainsi, dans cette position, son front contre mes fesses. Elle lèche les couilles.

La position reste toutefois inconfortable. Elle cesse en se massant la nuque. Je m'assois, jambes allongées. Mieux.
Les pieds croisés, en appui sur mes mains derrière moi, je regarde Clémentine s'installer pour recommencer. Pipe.
Estelle, tout en se masturbant me demande mes impressions, me pose des questions. Je réponds. C'est amusant.
Je caresse la nuque à Clémentine. Toutes les deux trois minutes elle cesse sa pipe pour discuter un peu avec nous.
Je lui appuis sur la tête pour lui enfoncer un maximum de bite dans la bouche tout en bavardant avec Estelle. Joie.

Clémentine passe une main dans sa culotte. Lorsqu'elle se redresse pour laisser reposer sa mâchoire, elle raconte.
Elle ouvre sa bouche pour montrer le résultat de ses succions à Estelle qui s'écrie : < Wouh ! J'en voudrai aussi ! >
Je fais : < Après le confinement, tu en auras des couilles pleines. Rien que pour toi ! >. Estelle lance : < Génial ! >
Je suis à genoux. Je tiens Clémentine par la nuque et sous le menton. Elle suce, à quatre pattes, tenue fermement.
Je bavarde avec Estelle. Nous parlons de nos soirées, des films pornos que nous avons réalisés, de nos baises. Joie.

Nous entendons Clémentine glousser à l'évocation de certains épisodes. Je lui retire la bite de la bouche souvent.
Je la tiens sous le menton pour montrer son visage à Estelle. < Tu me feras ça aussi à nouveau ! > s'écrie Estelle.
Je promets. Quand tout cela sera de l'histoire ancienne, je vais lui offrir des litres de foutres. Elle en rit aux éclats.
Je suis debout. Clémentine à genoux. Je la tiens par ses cheveux. Elle est toute entière à sa fellation juteuse. Joie.
Estelle s'est assise en tailleur, sa main dans sa culotte, elle observe tout en continuant de me poser des questions.

Je réponds à toutes. Je lui décris les situations dans laquelle je vais la mettre pour lui infliger un traitement spécial.
Elle veut entendre un luxe de détails. < Je regarde souvent un de nos films. Comme tu es salaud ! > s'écrie t-elle.
Elle me raconte les situations les plus glauques que nous avons filmé. Ces instants qui la font grimper aux rideaux.
Attachée dans le grenier à se faire tourmenter. L'élève à l'école. Attachée sur la chaise à se faire pisser à la gueule.
Nous en avons réalisé neuf. Quand Clémentine cesse de sucer, qu'elle prend part à la conversation, elle en rajoute.

Je propose de faire une pause. De nous offrir une collation bien méritée. Estelle déballe les gobelets. La thermos.
Elle est toute contente de trouver le petit morceau de brioche que nous lui avons gardé. Car nous pensons à elle.
Cette attention l'émeut. S'il n'y avait pas cette distance à respecter, nous serions tous les trois serrés plus près.
Nous bavardons. Les filles reviennent sur leurs études. Le prochain mémoire qu'il faudra préparer pour le 17 avril.
Elles se félicitent d'avoir passé leur matinée à bosser. Je passe un gâteau entre les lèvres du sexe à Clémentine.

Je lui montre la crème que j'en récupère. Le petit beurre maculé de cyprine épaisse et gluante. Je m'en pourlèche.
De me voir refaire encore une fois, excite considérablement Estelle. Je promets de lui faire pareil dès que possible.
Même si nous nous savons exempts de toute contamination, nous préférons jouer le jeu. Jouer de prudence. Bon.
Ni Estelle, ni nous, n'avons aucun contact avec qui que ce soit. Ce qui rajoute tout de même un peu de frustration.
C'est à mon tour d'offrir à Clémentine un cunnilingus. Sous le regard d'Estelle que cela excite à nouveau follement.

Moi aussi je lui montre le jus de fille que je tire de la vulve de Clémentine. Estelle pousse des < Waouh ! > sonores.
Je me bouffe de la chatte dans un vertige merveilleux. Estelle explose soudain dans un cri. Elle s'offre un orgasme.
Clémentine, couchée, le dos en appui sur le petit sac disposé contre la roche, me caresse la tête tout en gémissant.
Elle se touche le clitoris quand je cesse de le sucer pour me régaler de ses sécrétions. Son orgasme est si soudain !
Dans un cri, en se tordant de plaisir, son corps agité de spasmes, elle jouit comme une bienheureuse. J'en ai plein.

A nouveau, juste à temps, ce qui gâche un peu son plaisir, elle se tourne vers la pente pour pisser. Un vrai torrent.
Je lèche immédiatement pour me régaler du mélange. Je suce comme un possédé. Estelle qui s'écrie : < Wouah ! >
Nous reprenons nos esprits. Je débande doucement dans une flaque de foutre qui macule la couverture à carreaux.
Estelle fait : < Chaque tâche est le souvenir heureux d'un après-midi heureux. Cette couverture est une relique ! >
Nous en rigolons comme des bossus. Nous grignotons nos pommes. Nous nous revoyons demain 14 h30, ici même.

Nous bavardons encore un peu. Il est 18 h30. Il faut nous séparer. Sur le sentier, Estelle marche à reculons. Rire.
Jusqu'à disparaître derrière le fourré, elle mime des bisous qu'elle souffle dans sa main. C'est toujours émouvant.
Nous marchons vite. La fraîcheur du soir est plus marquée. Une fois encore, nous croisons la jeune femme. Super.
Nous échangeons quelques paroles avant de nous saluer. < A demain certainement ! > nous lance t-elle amusée.
Il est 19 h15 quand nous arrivons à la maison. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe le gratin de choux.

Je pane deux filets de colin. Nous nous félicitons de prévoir à l'avance nos repas. C'est un gain de temps appréciable.
Nous mangeons de bon appétit tout en revenant sur les jouissances de cet après-midi. L'orgasme pisseux et la pipe.
Nous traînons à table. La fatigue se fait sentir. De se masturber des après-midi entiers est épuisant. Nous en rions.
La vaisselle. Il est 21 h30. Nous montons. Rituels pisseux pour nous régaler des reliquats de nos délicieux tourments.
Au lit, nous tentons bien encore un truc. Trop épuisés, nous nous serrons fort. Clémentine qui me confie son bonheur.

Bon après-midi à toutes les coquines qui adorent se masturber en observant le couple d'amis en pleine action...

Julien - (J'écoute les confidences de Clémentine, blottie contre moi, sous les draps, qui s'endort doucement) -

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