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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 783 -



Un mercredi 8 mai inoubliable

Hier matin, mercredi, je suis tiré de mon sommeil par Estelle qui se blottit très fort contre moi, comme si elle avait froid.
Je suis encore étourdi lorsque Clémentine fait la même chose. Nous sortons tous les trois de notre torpeur en gémissant.
C'est rapidement ludique. Un concert de gémissements. Nous faisons déjà les pitres. C'est de bonne augure. Et excellent.
Nous rions de bon cœur des petits cris très aigus qu'arrive à produire Estelle. Elle se saisit de ma bite et de mes couilles.
< Tu sais que les castrats n'en n'avait plus ! > me fait Estelle. Je réponds : < C'est bien pour ça que je reste baryton ! >

Nous en rions de bon cœur. Estelle se lève la première en chantant, sur un mode lyrique d'opéra : < Je vais faire pipi ! >
Clémentine me couvre le visage de bisous en me chuchotant : < J'ai peur pour cet après-midi et suis morte de trouille ! >
Je la rassure une fois encore, tout se passera au mieux. Il est 8 h. Dehors il fait une météo exécrable. Il pleut à torrent.
La lumière est sinistre. Estelle revient et nous fait : < Je descends préparer le petit déjeuner ! > Elle dévale les escaliers.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Je la tiens pendant son pissou puis je la torche délicatement. Joie.

Elle me tient la bite pour en diriger le jet avant d'en récupérer les dernières gouttes. C'est notre rituel pisseux quotidien.
Morts de faim, nous dévalons les escaliers à notre tour pour rejoindre Estelle à la cuisine. Elle me saute au cou. Contente.
Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous en disant : < Aujourd'hui, tu es notre ange gardien, notre protecteur ! >
Elle aussi éprouve une excitante appréhension à l'évocation de l'après-midi qui nous attend. Je dis : < Le grand jour ! >
Nous savourons notre copieux petit déjeuner en bavardant. Nous évitons soigneusement de parler des écuries, du haras.

Nous traînons à table. Avec cette météo, pas de jogging. Ce sera l'entraînement intérieur. Notre gymnastique. Superbe.
Il y a quelques bourrasques de vent qui projettent de la pluie contre les carreaux. C'est exécrable. Une météo merdique.
La vaisselle. Nous remontons pour nous laver les dents et nous mettre en tenues gym. Une heure d'entraînement intense.
Aérobic, abdos, charges additionnelles. Lorsque nous sommes tous les trois, il y a une sorte d'émulation à l'intensité. Joie.
Une heure à nous défoncer au maximum. Estelle prend sa douche la première. Nous sommes couverts de sueur. Sympa.

Estelle revient pour s'habiller. C'est à nous. Nous nous savonnons consciencieusement. Pas besoin de se presser. Super.
Nous rejoignons Estelle. Nous sommes tous les trois vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux et de nos baskets.
Je suis au milieu des filles qui s'accroupissent toutes les deux pour poser leurs têtes en appui contre mes cuisses. Rires.
< Notre bon "Maître" saura t-il bien nous protéger cet après-midi ! > fait Estelle. < Et avec efficacité ! > dit Clémentine.
Je pose mes mains sur leurs têtes en répondant : < Rassurez vous, mes délicieuses "Soumises", "Maître Julien sera là ! >

Nous rions de bon cœur de cette farce presque quotidienne. Je sors ma bite afin qu'elles puissent y frotter leurs visages.
Elles sucent un peu à tour de rôle en gloussant. Je les force à cesser en disant : < Gardez vous pour cet après-midi ! >
Nous descendons. Nous allons dans l'atelier. Avec cette météo que faire d'autre que de travailler un peu, tous les trois.
Les filles sont assises devant l'ordinateur. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 9 h30. Nous voilà très studieux.
Nous adorons ces séances de travail. Parfois l'un se lève pour rejoindre l'autre. Lui faire des bisous. Chuchoter des trucs.

< Viens voir ! > me lance Clémentine en m'entraînant par la main. Il y a un courriel de Juliette qui nous invite au repas.
Ce soir, après la séance de "dressage", Juliette nous propose de manger avec elle et de faire le bilan de cette expérience.
La suite est assez croustillante. C'est comme une sorte de contrat. Il est précisé qu'il faut l'assentiment des deux filles.
Estelle lit à haute voix. < Ben on est d'accord de toute façon. On a déjà échangé des mails pour confirmer ! > fait elle.
Les filles me consultent du regard. Je ne sais trop quoi dire à part : < C'est un consentement mutuel. Une formalité ! >

Juliette agit en chef d'entreprise, toujours soucieuse de se "couvrir". C'est Clémentine qui répond. Estelle qui suggère.
C'est évident que les filles sont parfaitement d'accord puisqu'elles ont accepté cette expérience. Plutôt deux fois qu'une.
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'Estelle rajoute : < Elle ne veut pas aussi qu'on paie pour se faire "dresser" ? >
Clémentine lit à haute voix le texte qu'elle prépare pour l'oral de vendredi. Nous applaudissons. Super développement.
Puis c'est au tour d'Estelle. Tout aussi à l'aise, Estelle se met à argumenter. Un déroulement logique et imparable. Bien.

Nous applaudissons une nouvelle fois. les écrits sont presque définitifs. Quelques ajustements et ce sera parfait. Super.
Il est presque midi. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Les filles rangent leurs affaires. Et il commence à faire faim.
Nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle m'aide à laver le choux fleur et les patates.
Je prépare de la pâte à crêpe et je fais revenir les crevettes. Estelle m'aide à faire les beignets dans de l'huile bouillante.
< Ne vas pas te brûler la bite ! > me fait elle en passant sa main sous mon tablier pour vérifier qu'elle est bien rangée.

Clémentine et Estelle n'arrête pas de se blottir contre moi, même quelques secondes. Je sens bien le besoin de sécurité.
Même si elles ne disent rien, je sais bien à quoi elles pensent. Aussi, je les réconforte. Des bisous, des câlins. Douceurs.
Les beignets de crevettes s'empilent sur le plat. Superbes. Croustillants. Et pour éviter qu'ils ne soit gras, sur du Sopalin.
Le Sopalin absorbe la graisse. J'égoutte le choux fleur et les patates. Je râpe du gruyère de Comté. Estelle aime le faire.
Je fais une rapide sauce. Crème fraîche tiède dans laquelle je rajoute du persil, de l'ail et de l'oignon finement émincés.

Clémentine a préparé une salade de tomates dans laquelle elle a rajouté de fines tranches d'avocat et cœurs d'artichaut.
Estelle met la table. C'est bien. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles évoquent l'oral de vendredi.
Ces petites thèses qu'il faut préparer et présenter devant un jury de cinq étudiants sont notées pour le Doctorat. Super.
L'oral ne dure que dix minutes et constitue le développement de l'écrit présenté en même temps. Excellentes révisions.
Nous ne traînons pas. Clémentine et Estelle ne cesse de regarder la pendule accrochée à la cuisine, au dessus du frigo.

< On téléphone. On n'y va pas. Je suis malade ! > lance Estelle en éclatant d'un rire nerveux. Et elle se lève en vitesse.
Assise sur mes genoux, les filles me racontent leurs appréhensions qui se transforment en angoisses. C'est si amusant.
Je dis : < C'est toujours comme ça la première fois. Dès la seconde fois, vous serez au haras une heure en avance ! >
Nous en rigolons comme des bossus. Cet humour rassure un peu les filles. Estelle frissonne. Comme si elle avait froid.
Je passe énergiquement ma main dans leurs dos en rajoutant : < Venez on fait la vaisselle et on monte se préparer ! >

Les plaisanteries fusent. C'est surtout pour se donner de la contenance que les filles m'entraînent dans une ronde. Rire.
Nous faisons le tour de la table de la cuisine en sautillant, en rythme et en improvisant des chansons surréalistes. Joie.
La vaisselle est faites. La cuisine rangée. Il y a comme un blocage. Les filles restent au bas de l'escalier à m'attendre.
Elles me tendent les mains. Je les entraîne dans l'escalier. Je dis : < Venez, on se prépare ! >. Clémentine s'arrête net.
Une nouvelle hésitation. Nous nous asseyons sur les marches. Les filles serrées contre moi. Le besoin d'être rassurées.

Je les tiens par leurs épaules. Je murmure : < Allez, on annule tout ! On n'y va pas. Et on se cache sous les draps ! >
Nous éclatons de rire. Je sens bien que l'excitation qui se mêle à l'appréhension est entrain de gagner doucement. Joie.
Je rajoute : < C'est une grande première. Clémentine, tu en rêves depuis si longtemps, Estelle tu en meures d'envie ! >
< Oui mais… > chuchote Estelle. < Il faut quand même surmonter ! > fait Clémentine. Je dis : < Courage, fuyons ! >
Nous éclatons de rire. Les filles se lèvent. Nous nous frappons dans les mains. < On va gagner ! > lance Clémentine.

La séance de "Dressage"

Il est 13 h30. Clémentine nous entraîne à l'étage. Je la sens fébrile et animée d'une certaine impatience. Je sais pourquoi.
Depuis plus de deux ans de vie commune, je connais sa façon de fonctionner. Occulter son trouble en s'agitant. Être forte.
Aussi, devant le miroir de l'armoire, elle nous fait : < On va se faire belles et beau ! >. Estelle semble suivre aveuglément.
C'est un peu sa manière de fonctionner. Suivre Clémentine dans les moments d'égarements, de troubles et d'inquiétudes.
Clémentine choisi une de ses jupes kilt à carreaux rouges. Un chemisier blanc sous un pull bleu nuit tricoté d'un fin coton.

Estelle s'habille exactement de la même façon. Elles sont toutes les deux chaussées d'escarpins noir, fermés, talons hauts.
La petite sangle de cuir qui enserre délicatement la cheville. < Les chaussures de baise ! > comme les appelle Clémentine.
Sur la demande de Clémentine, je porte mon pantalon de cuir noir, la chemise blanche à jabot et aux manches bouffantes.
Je suis chaussé de mes bottes de cuirs noir. < Notre Mousquetaire ! > s'écrie Estelle. Je suis entre les filles. Et je les tiens.
Elles se blottissent contre moi. < On est beaux tous les trois ! > lance Clémentine. Nous nous observons longuement. Joie.

Nous descendons. Nous passons au salon. Dehors il pleut toujours encore à verse. Je récupère le collier canin et la laisse.
Je passe le collier autour du cou de Clémentine. Je fixe la laisse. Je donne un à coup. Estelle me fait : < Et moi ? >. Rire.
Je lance : < Toi, je te trimballe comme ça ! >. Je l'attrape par la nuque. Je la sens frissonner. < J'ai la trouille ! > dit elle.
Nous mettons nos manteaux. Nous filons à toute vitesse sous l'immense parapluie pour aller jusqu'à la voiture. Il pleut.
Il est 13 h50. Je roule doucement. Les filles sont silencieuses. Je caresse la joue de Clémentine dans un geste rassurant.

Il y a quelques voitures déjà garées dans la cour déserte. Je saisis la laisse pour entraîner Clémentine vers l'écurie prévue.
Estelle nous abrite sous le parapluie. Une trentaine de mètres et nous voilà à l'abri. C'est Juliette qui vient nous recevoir.
< Pile à l'heure ! > fait elle en nous invitant à la suivre. Juliette est vêtue d'une jupe noire, en cuir et évasée aux genoux.
Un chemisier blanc. Chaussée de bottes noires à hauts talons. Nous entrons dans la petite salle du fond. Toujours fermée.
Monsieur Gérard, vêtu d'un simple pantalon de velours noir, d'un sweat noir et de souliers noirs nous reçoit, très élégant.

Ses cheveux blancs attachés en catogan. Il se saisit de la laisse qu'il me prend de la main. Il entraîne Clémentine. Ferme.
Il y a Léon qui est assis sur la banquette. < Il n'était pas prévu celui-là ! > me chuchote Estelle qui reste tout près de moi.
Juliette accompagne Gérard qui tire Clémentine par la laisse sur une estrade. Il lui fixe les poignets à l'aide des menottes.
Les bras levés, fixés aux poutres, Clémentine me regarde. Gérard écarte ses jambes pour les fixer, écartées, aux poutres.
Ainsi attachée, en "X", Clémentine reste une jeune fille fière. Elle fixe Gérard d'un air de défi, le toisant de sa haute taille.

Gérard lui met une gifle. < Depuis le temps que j'attends ça ! > lance t-il en passant sa main sous la jupe de Clémentine.
Elle a un réflexe. Elle crache au visage de Gérard. Un mollard de belle facture qu'elle a probablement préparé. Et il coule.
Gérard s'essuie. Il saisit Clémentine sous le menton pour la forcer à redresser la tête. Il la fixe, maintenant son visage.
< Regarde ! > me chuchote Estelle en montrant Léon, le vieux black qui est assis, entrain de se lever en se masturbant.
Il s'approche à côté de Juliette qui lui prend la queue. Ils regardent tous deux ce que fait Mr Gérard. Clémentine offerte.

Il vient de fixer une sangle de cuir qui maintient une boule de caoutchouc rouge dans la bouche ouverte de Clémentine.
Pour éviter qu'elle ne puisse l'insulter, l'injurier ou simplement hurler. Gérard est certainement entrain de la masturber.
Nous voyons son bras bouger, sa main sous la jupe de Clémentine. Il lui touche les seins. Il lui touche les fesses. Salaud.
Il est d'une incroyable vulgarité. Clémentine ne peut faire que bouger. Sa marge de mouvements extrêmement réduite.
Ce salaud en profite un maximum. Il branle cette fille sans le moindre égard. Juliette est accroupit pour mieux regarder.

La scène est terriblement excitante. Je découvre la grande maîtrise dont fait preuve "Maître" Gérard. La classe absolue.
Chacun de ses mouvements est lent, calculé, virtuose. Il s'y connaît le vieux saligaud. Il en a déjà dressé des salopes.
Et celle-ci est sans doute la cerise sur le gâteau. Juliette lâche la bite de Léon pour venir nous rejoindre. Elle est sévère.
Sans prévenir, avec une force insoupçonnée, elle saisit Estelle par la nuque. Elle n'a pas le temps de s'accrocher à moi.
Estelle est entraînée chez Gérard, tenue fermement par la tignasse. Il l'attache face à Clémentine sur le mur d'en face.

Estelle n'est pas du genre à se laisser faire aussi facilement. Beaucoup moins docile que Clémentine. Elle lutte, se débat.
Elle se ramasse une gifle. Juliette la tient fermement pour permettre à Gérard de l'attacher, bras et jambes en "X". Belle.
J'ai sorti ma bite. C'est trop excitant. Je me branle tout en m'approchant. Spectateur privilégié. Je vais de l'une à l'autre.
Gérard a bandé les yeux de Clémentine. Léon se branle également. Il s'approche des filles pour les observer de tout près.
Gérard a passé sa main sous la jupe d'Estelle qui se met à l'insulter. Il dit : < T'as gardé ta culotte toi ! Petite salope ! >

Il se baisse pour la descendre. Les jambes écartées ne permettent pas de la tirer plus bas qu'aux genoux. Il l'arrache !
Il l'enfonce dans la bouche à Estelle pour l'empêcher de gueuler. Elle ne peut pas se défendre. Un spectacle hallucinant.
Gérard détache Clémentine qui tente de se soustraire à son étreinte. Juliette l'aide à la retenir. Il lui attache les mains.
Clémentine, les poignets fixés derrière le dos est entraînée vers une caisse. En fait, cette caisse est ouverte à l'arrière.
Gérard la fait mettre à genoux dans la caisse, sur une couverte pliée. Son cou vient se caler dans une entaille prévue.

Léon s'approche. Il se met à genoux derrière Clémentine à qui il retrousse la jupe pour lui regarder le cul. Il scrute bien.
Gérard est retourné tripoter Estelle qui donne de violent coups de hanches dans l'espoir de pouvoir se détacher. Inutile.
Léon vient se placer devant Clémentine. Il agite sa bite à quelques centimètres de son visage. Il bande mou, mais long.
Clémentine reste sur ses gardes. Gérard revient pour la saisir par ses cheveux. Vulgaire et sans égard. Il sort sa queue.
Ils sont tous les deux à agiter leurs bites devant le visage de Clémentine. Juliette me fait un clin d'œil. Elle me rejoint.

< Ça te plaît je vois ! > me fait elle en m'imitant dans ma masturbation. Elle reste très calme. Habituée de ce qui arrive.
J'entends un cri. Je regarde. Léon et Gérard sont entrain de pisser au visage de Clémentine. Elle tente de se détourner.
Sa nuque est fixée. Elle est obligée de subir. De rester dans cette position. Les deux salauds cessent et recommencent.
Elle se ramasse une gifle. Léon lui frotte la queue sur la gueule alors que Gérard lui tient la tête fermement. Ahurissant.
Je regarde Estelle, toujours attachée qui regarde ce spectacle. Elle semble s'être calmée, prendre goût à ce qui se passe.

Léon tente d'enfoncer sa bite dans la bouche de Clémentine. Elle garde les lèvres serrées, les yeux fermés à se débattre.
Juliette reste près de moi. Elle me lance : < Tu as une belle salope avec toi ! Deux belles petites salopes avec Estelle ! >
Léon a enfin réussi à mettre sa bite dans la bouche de Clémentine. Gérard lui pinçait les narines. Et elle devait respirer.
Cette ordure en a profité pour mettre sa queue. Clémentine n'a d'autre choix que de sucer. Et elle s'applique. Avec soin.
Soudain , la porte en fer du fond s'ouvre. C'est un mec complètement à poil, cagoulé, chaussé de bottes en caoutchouc.

Je reconnais la silhouette de Pierre. Il s'approche de Clémentine. Elle regarde apeurée. Inquiète. Il se penche vers elle.
< Tu es venue te faire dressée, petite salope, tu vas aussi te faire baiser. Et comme tu le mérites ma belle ! > lui fait il.
Il la saisit par ses cheveux pour lui frotter la bite sur la gueule. Clémentine est trempée de pisse. Elle se prend une gifle.
Gérard ramène un matelas qui était placé à la verticale. Il le pose au sol. Milieu de la pièce. Il s'empare de Clémentine.
Toujours attachée, les membres entravés. Pierre la soulève comme un jouet. Il la jette sans ménagement sur le matelas.

Juliette se précipite pour l'aider à attacher Clémentine. Les quatre membres contraints par les chaînes fixées aux piquets.
Elle est attachée sur le dos. Les jambes relevées et pliées, écartées au maximum, fixées. Les bras attachés. Ecartés aussi.
Pierre la touche et dit à Gérard : < Touche ! Regarde comme elle mouille ! Une vraie éponge à foutre ! >. Il la palpe. Dur.
Clémentine, bâillonnée ne peut pas parler, se plaindre ou s'exprimer. Pierre bande comme un taureau. Il s'introduit. Doux.
Il sait qu'il faut y aller doucement. Clémentine est étroite. Il a déjà baisé avec elle. Il porte une capote jaune fluo ridicule.

Gérard est allé détacher Estelle pour l'entraîner avec Juliette dans la caisse. Elle se débat. Se ramasse une gifle. Bâillonnée.
La tête fixée par la nuque, elle subit le même sort que Clémentine. La porte en fer s'ouvre à nouveau. C'est madame Walter.
Elle est vêtue d'une jupe noir, évasée aux genoux, chaussée de bottes à talons hauts, d'un chemisier blanc. Elle me sourit.
Elle marche rapidement vers moi. Me serre la main en faisant bouger son index dans ma paume. Elle est magnifique. Belle.
Elle s'accroupit devant moi en ouvrant grand la bouche. Madame Walter est une authentique soumise. Une vraie "esclave".

Je regarde Estelle, maintenue par les cheveux, entrain de se faire pisser à la gueule en criant de dégoût. Une autre gifle.
Pierre, couché sur Clémentine, est entrain de la baiser. Elle me cherche du regard. Elle me fixe avec un air de défi. Le jeu.
Pierre est un baiseur fou. La vraie "machine à coudre". Il baise la fille comme un sauvage. Elle ferme les yeux. Contente.
Le sentiment d'extase que je devine sur les traits de Clémentine, me rassure. Estelle est entrain de sucer Léon et Gérard.
Pierre lève la tête pour lui lancer : < Hé, Estelle, après c'est à ton tour ! >. Je vois Estelle. L'extase se lit sur son visage.

J'introduis ma queue dans la bouche de madame Walter. Elle me fixe, ravie de mon initiative. Elle se met à me sucer. Fou.
Juliette, accroupit derrière Pierre, le tient par les couilles. Penchée, elle observe Clémentine qui s'éclate comme rarement.
La situation perdure un long moment. Comme elle ne peut pas se masturber en se faisant baiser, Clémentine doit subir.
Juliette se déplace d'un groupe à l'autre, sans participer. J'ai la confirmation. Cette femme est une vraie vicieuse perverse.
Pierre se retire. Il se lève pour pisser sur Clémentine. Il vise son visage. Elle tente de se détourner en crachant. Dégoûtée.

Il se dirige vers la caisse contenant Estelle trempée de pisse, de foutre. Ses cheveux défaits et qui collent sur son visage.
Comme pour Clémentine que détache Gérard, Il s'empare d'Estelle comme d'un jouet pour le jeter sur le matelas. Salaud.
Clémentine reste prostrée dans un coin, assise sur une couverture épaisse. Elle me fait un sourire. Mme Walter me suce.
Estelle, attachée sur le matelas trempé, est entrain de se faire baiser de la même façon. Pierre fait très gaffe mais nique.
Léon s'approche de Clémentine. Elle veut se défiler. Gérard la tient fermement. Elle est obligée de pomper le vieux black.

Ce salopard est certainement entrain d'éjaculer car je vois Clémentine maintenue par la tête entrain de tousser. Difficile.
Elle a des hauts le cœur. Gérard l'empêche de se détourner. Elle n'a d'autre choix que d'avaler. Du sperme gicle partout.
Clémentine tousse. Gérard ne la lâche pas. Pierre se retire, laissant Estelle comme hébétée, couchée sur le dos. Délire.
Pierre, lui pisse dessus en visant son visage. Pierre rejoint le trio Gérard Léon et Clémentine. Il lui met la bite en bouche.
Elle tente bien de se détourner mais "Maître" Gérard veille au grain. Il la tient fermement en lui pinçant les narines. Dur.

Pierre prend le relai. Pour reprendre sa respiration, Clémentine n'a d'autre choix que d'ouvrir la bouche. Pierre en profite.
Gérard se dirige vers Estelle pour la détacher. Elle se masse les poignets et les chevilles avant de se masser le sexe. Dur.
Elle vient de se faire baiser réellement, pour la première fois de sa vie. Elle vient me rejoindre. Mme Walter me pompe.
< J'ai mal ! Ce salaud m'a fait mal avec sa grosse bite ! > me fait elle. Je la prends contre moi pour la consoler. Ça coule.
Je n'ai pas envie de me faire mouiller de la pisse froide des trois enfoirés. Ça sent dégueulasse. Comme dans des chiottes.

Pierre doit éjaculer à son tour. Je le vois cambré sur ses genoux fléchis en maintenant fermement la tête de Clémentine.
Il est resté cagoulé toute la durée de la séance. Plus de deux heures de rut et d'assauts terriblement vicieux. Salopard.
Il tient fermement la tête d'Estelle et dit à Léon : < Viens te les vider, cette salope aime ça ! >. Léon ne se fait pas prier.
Le voilà dans la bouche de Clémentine. Elle grimace. La nausée la fait vomir par le nez. C'est dégueulasse. C'est hideux.
Je pourrai intervenir. Mais après tout, Clémentine a désiré vivre cette expérience. Un véritable "dressage" et en règle !

Madame Walter, passionnée, me suce avec un tel bonheur, une telle avidité que je ne peux m'empêcher de l'admirer.
Je lui chuchote des félicitations. Pas la peine d'encourager cette femme qui s'enivre de jus de couilles avec délectation.
Estelle reste près de moi en grelottant. Juliette, qui a prévu, lui apporte une grande serviette. Elle peut enfin se sécher.
C'est Gérard qui tente de se faire sucer. Clémentine se redresse violemment. Je ne l'ai jamais vu aussi pleine de force.
Elle arrive à s'arracher de l'étreinte de Gérard. Pierre essaie de la chopper. < Assez ! Stop ! Terminé ! > s'écrie Juliette.

Comme sur un ordre, tout le monde reste immobile et silencieux. Clémentine, en larmes, trempée de pisse vient vers moi.
Elle éclate en sanglots. Juliette lui tend une serviette propre. Je sors ma queue de la bouche de madame Walter. Terminé.
< On s'en va ! > fait Clémentine en m'entraînant par le bras. Nous ne saluons personne. Nous fuyons comme des voleurs.
Dans la voiture, Clémentine sèche ses larmes. Estelle reste silencieuse. Nous arrivons à la maison pour 18 h15. Epuisés.
Nous montons. Clémentine me supplie de rester avec elle. Je prends la douche avec elle. Je la console. Et je la caresse.

C'est au tour d'Estelle qui n'arrête plus de grelotter. Clémentine se lave les dents, se rince la bouche longuement. Bien.
Elle veut parler. Je mets ma main sur sa bouche pour dire : < Reprends tes esprits. Tu m'en parles demain. Tu veux ? >
< Je t'aime Julien ! Tu comprends tout. Tu sais qui je suis ! Je t'aime ! > me fait elle en se blottissant contre moi. Bisous.
Estelle arrive à son tour. Nous sommes tous les trois allongés sur le lit. Silencieux, serrés les uns contre les autres. Joie.
Nous mangeons. Bon. Les filles évitent d'évoquer ce qu'elles ont vécu. 22 h15. Nous raccompagnons Estelle à sa voiture.

La séparation n'a jamais été aussi difficile. A tel point que nous lui proposons de rester avec nous. De passer la nuit ici.
Elle préfère rentrer. Je la serre contre moi. Elle me dit : < Maintenant je sais que tu n'es pas un vrai "Maître" ! >. Rires.
< Je préfère mon faux "Maître" ! > surenchérit Clémentine. Nous rions de bon cœur lorsque je dis : < Jamais de la vie ! >
Jamais je ne pourrai faire preuve de tant de maîtrise dans cet art délicat. Nous nous promettons d'en rester à nos jeux.
Au lit, Clémentine me supplie de la pardonner. Je précise que je n'ai rien à pardonner. Elle voulait tenter ce truc. Dodo.

Bonne séance de "Dressage" à toutes les coquines dont c'est le fantasme…

Julien - (Qui sait que Clémentine aura à surmonter quelques émotions avant de digérer cette première séance)

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Classe - 8 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 784 -



Estelle et Clémentine font le bilan

Hier matin, jeudi, nous nous réveillons juste avant que ne résonne la musique. J'éteins le réveil avant qu'il ne fonctionne.
Clémentine se blottit contre moi. Je la serre fort. Il faut se lever. 5 h55. Nous nous précipitons aux toilettes. Rituel pisseux.
Morts de faim, nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. Nous préparons un copieux petit déjeuner. Clémentine rêveuse.
Elle me semble comme absente. Nous mangeons toutefois de bon appétit. Clémentine me donne la raison de son attitude.
C'est ce qui s'est passé hier. Elle en est encore toute remuée et en a même rêvé cette nuit. Cela la laisse comme épuisée.

Nous sommes en tenues de sport. Dehors, il pleut. Nous remontons pour remplacer notre jogging par de la gymnastique.
Une heure d'entraînement avec une intensité maximale qui transforme Clémentine en guerrière. La voilà à nouveau "Top".
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint sous son parapluie. Chaudement vêtue.
Un dernier bisou. < Je t'aime Julien. Merci ! > me glisse t-elle à l'oreille avant de filer. Je regarde la voiture s'en aller. 7 h45.
Je me dépêche de rentrer. Je fais notre lit et la vaisselle avant d'aller dans l'atelier. Je prépare ma palette et mes pinceaux.

Il est 8 h15. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je vais terminer cette nature morte, demain, pour midi.
Je peins dans la sérénité du vainqueur car je remporte quantité de victoires, quart d'heure après quart d'heure. Fantastique.
Il est aux environs de 10 h lorsque la musique imbécile de mon smartphone résonne au fond de la poche de ma blouse. Lin.
C'est Juliette. Sur mode "haut parleur" nous devisons. Juliette me donne ses impressions quand à la séance de "dressage".
Elle me demande les miennes. Personnellement j'ai passé un très bon moment. Aux premières loges d'un excellent spectacle.

Je souligne les aptitudes de madame Walter. Le caractère besogneux de son mari Pierre et le professionnalisme de Gérard.
Je n'ai encore aucun retour des filles. C'est bien trop tôt. Nous n'en parlerons sans doute pas avant ce Week-end. Patience.
Mais je peux assurer que cette expérience restera positive. Même si elle ne doit plus jamais se reproduire. On n'en sait rien.
De toutes manières, Juliette sera tenue informée par la personne concernée. Clémentine ne manquera pas de faire le bilan.
Je tiens à féliciter Juliette pour son comportement. Elle me confirme ne jamais participer autrement qu'en "assistante". Rire.

Je demande : < Vous n'avez pas envie d'avoir de rapports durant ces séances ? >. Juliette répond : < Non ! J'ai à faire ! >
Elle m'explique que son rôle d'assistante de "Maître" Gérard demande toute sa diligence. Elle aime surtout être voyeuse.
Juliette n'est pas seulement la vicieuse, légèrement perverse, c'est également l'incorrigible voyeuse. Et une vraie passion.
< Participer depuis 8 ans à ce genre de choses, constitue un privilège extrême. Et c'est bien trop rare ! > me confie t-elle.
Juliette me remercie d'avoir permis à Clémentine de faire ses premiers pas dans cet univers particulier. Réelle complicité.

La conversation dure une bonne demi-heure. Nous nous revoyons peut-être dimanche ou mercredi prochain. Salutations.
Je peins animé d'une passion divine sans cesser de penser à Juliette, sans cesser de bander. Une étonnante jeune femme.
Depuis la disparition de ma première compagne, je n'ai cessé de faire d'étonnantes rencontres, des trucs extraordinaires.
C'est sur ses réflexions qu'il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je lave la salade verte. Je fais bouillir l'eau. Nouilles.
Je prépare une pâte à pain pour les pizzas de ce soir. Je concocte la garniture avec des tomates fraîches, de l'ail, oignons.

J'en récupère un peu comme sauce pour accompagner mes nouilles chinoises que je fais revenir à la poêle. Un vrai délice.
Je mange en tentant d'écouter les informations honteusement mensongères. Et cela me révulse tant que j'éteins la radio.
La vaisselle. Dehors, il ne pleut plus. Il y a même quelques éclaircies passagères. Je mets l'anorak pour aller faire un tour.
Il fait moins froid. Il y a toujours un vent fort. Je fais le tour de la propriété. Il est 13 h15 lorsque je suis dans mon atelier.
Je peins dans les mêmes conditions mentales et psychiques que ce matin. En poussant les cris surréalistes que je module.

Du bruit. Il est déjà 16 h20. Clémentine entre dans l'atelier à toute vitesse. Elle jette son cartable et se précipite vers moi.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée, les cours, les profs, le menu du restaurant universitaire. C'est superbe.
Elle me confie avoir tout le bas ventre comme congestionné. < Les assauts de Pierre, hier ! > me fait elle tout en rigolant.
Me voilà rassuré. Clémentine a encore ses notes à mettre au propre et à peaufiner ses écrits pour son oral demain matin.
Nous travaillons dans le silence. Il est 18 h15 quand Estelle arrive à son tour. Le même réflexe. Elle se précipite vers moi.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle parle avec Clémentine de l'épreuve de demain matin. Les cours.
Elles n'ont pas échangé leurs impressions quand à hier. D'un commun accord elles en font un bilan personnel. La méthode.
Estelle rejoint Clémentine. Toutes les deux lisent à haute voix leurs écrits. J'écoute avec intérêt. C'est si bien rédigé. Joie.
Debout au milieu de la grande pièce, chacune, à tour de rôle, fait le développement de son texte. Superbe prestation. Bien
Il est 18 h45. Nous rangeons nos affaires. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Les filles se blottissent contre moi. Bises.

< Merci d'avoir sécurisé nos folies ! > me fait Estelle. < Sans toi, je n'aurai jamais franchi le pas ! > rajoute Clémentine.
Je les entraîne à la cuisine. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade déjà lavée. Estelle travaille la pâte à pain.
Je réchauffe la garniture. Je râpe une quantité industrielle de Parmesan. Je coupe de petits cubes de Roquefort. C'est prêt.
Les pizzas sont au four. La table est mise. Nous filons au salon. Nous voilà vautrés dans le canapé. Je suis entre les filles.
Elles échangent leurs premières véritables impressions. Physiques d'abord. Cette congestion du bas ventre. C'est la baise.

Estelle me sort le Zob. Je bande mou. Tout en bavardant, elle me le tord dans tous les sens. Mou, ce n'est pas douloureux.
< Mon "Doudou" préféré reste ta bite, Julien ! > fait Estelle. < Et moi aussi ! > surenchérit Clémentine, tenant mes couilles.
Nous rions de bon cœur. Je précise : < Pourtant vous commencez toutes les deux à avoir des éléments de comparaisons ! >
< Justement, c'est grâce aux comparaisons que ma préférence s'affine ! > me fait Estelle qui se penche pour humer le Zob.
Je propose de soulager cette légère congestion avec un léchage de minou thérapeutique après le repas. Elles sont joyeuses.

< Moi, c'est ce qu'il me faut ! > s'écrie Estelle. < Oh oui, quelques soins adaptés ! > rajoute Clémentine. Estelle me suce.
Clémentine m'embrasse. Je leur raconte le coup de téléphone de Juliette. < Cette salope ! Tu as vu hier ? > dit Clémentine.
Estelle se redresse. Elles évoquent l'attitude de Juliette. < Elle ne participe jamais sexuellement ? > demande Estelle. Rire.
< C'est un mystère qu'il nous faudra éclaircir. Cette femme est tellement vicieuse ! > fait Clémentine. La sonnerie du four.
Nous nous précipitons à la cuisine. Les pizzas sont encore meilleures que d'habitude. J'ai mis des crevettes grillées dessus.

Nous mangeons de bon appétit. La conversation s'axe sur l'épreuve de demain matin. Et un peu sur la séance de "dressage".
Nous traînons à table. La vaisselle. < Tu as suggéré une thérapie, avant, au salon ! > fait Estelle en montrant sa braguette.
Je l'entraîne par le bras. Clémentine m'attrape par les hanches. Nous voilà au salon. Les filles retirent leurs jeans, culottes.
A quatre pattes sur l'épais tapis, les coudes en appui sur le canapé, elles me présentent leurs splendides culs. Magique.
Je me mets à quatre pattes derrière Estelle pour lui renifler les fesses la première. Je les écarte bien. Ça schlingue à mort !

Après un instant de légitime répulsion, j'y fourre ma gueule. C'est écœurant. Je félicite Estelle pour son manque d'hygiène.
Je passe au cul de Clémentine. J'ai des poils plein la bouche. Je ne sais pas à qui ils sont. Je n'arrête pas de les recracher.
Je vais d'un cul à l'autre dans un concerto de gémissements. Elles bougent et remuent du popotin dans un ballet féérique.
Je me couche sur le dos. Je glisse mon visage entre les cuisses d'Estelle. Ça dégouline déjà. C'est de plus en plus fréquent.
Elle, qui est restée passablement "sèche" durant presque deux ans, commence enfin à distiller le jus de ses plaisirs. Super.

Je pompe, je suce. J'en récupère plein. Je passe à Clémentine. Là, c'est l'abondance. Le goût est moins âcre, plus sirupeux.
Les deux sont liquoreuses et offre une cyprine plutôt épaisse. J'adore voir couler la foutrine d'une chatte excitée. C'est beau.
Les filles se pâment. C'est la thérapie idéale pour soulager cette congestion après une baise torride. Estelle jouit la première.
Elle frotte son sexe sur mon visage. Je suis trempé de jus de fille. Ça colle, ça picote. Je suis convaincu qu'il y a des urines.
Estelle tombe sur le côté en serrant ses mains entre ses cuisses. Elle respire fort. Je glisse entre les cuisses de Clémentine.

Je dois me taper ce soir un bon verre à moutarde plein à ras bord de jus de filles. J'en ai jusque dans le cou. C'est délirant.
Estelle profite que je sois couché sur le dos pour me tailler une pipe. Sa tête sur mon ventre, vautrée à côté de moi. Super.
Clémentine frotte son sexe sur mon visage. Cesse, se cambre, revient, s'arrête, tortille du bassin. Une parfaite jouisseuse.
Je sais ce qu'elle me réserve. Je reste sur mes gardes. Lorsqu'elle jouit, elle ne ne se contrôle pas. Je suis inondé de pisse.
Je lui suce le clitoris, je reviens aspirer le jus incessant de sa moule, je retourne sur le clitoris. Clémentine pousse des cris.

Je suis même certain qu'il y a déjà des urines. J'ai le visage dégoulinant de jute. Il m'en coule dans les cheveux, la nuque.
Soudain, dans un véritable déchaînement de tous ses sens, Clémentine se lâche. Et dans tous les sens du terme. Orgasme.
J'ai le temps de me retirer. Je regarde cet étonnant spectacle. Cette fille qui mord ses lèvres en pissant comme une vache.
Estelle qui a cessé de sucer regarde avec moi. C'est impressionnant. Nous avons repoussé le tapis au bon moment. Pisse.
Clémentine reprend ses esprits. Elle reste un moment recroquevillée, comme prostrée avant de se lever péniblement. Rire.

Elle file aux toilettes pour y chercher le seau, la serpillère et le balai. Estelle a repris sa pipe. Je lui caresse la tête. Douce.
Clémentine fait : < C'est la meilleure médecine que la votre, cher "Maître" ! Je suis soulagée. Plus aucune congestion ! >
Estelle cesse de pomper pour rajouter : < C'est vrai c'est la meilleure thérapie. Soigner le mal par le mal. Merci Julien >
Nous rigolons tous les trois comme des bossus. Clémentine me tend une serviette afin que je puisse m'essuyer la tête.
< Pauvre Julien, compisser jusque dans sa chemise ! > fait Estelle en retournant à sa fellation juteuse. Clémentine essuie.

Je caresse délicatement la tête, le cou et la nuque d'Estelle qui me suce avec sa passion coutumière. Une passion divine.
Je lui chuchote des douceurs et des cochonneries. Clémentine regarde, son visage à proximité de celui de ma pompeuse.
Estelle lui donne ma bite à sucer. Les filles se la refilent. J'attire leur attention sur le fait qu'il est déjà 22 h15. Ça passe.
Ce soir, j'éjacule dans la bouche de Clémentine. Estelle lui retire prestement ma queue pour en sucer le reliquat. Douce.
Il faut reprendre ses esprits. Nous raccompagnons Estelle à son auto. Séparation difficile. Et nous rentrons à tout vitesse.

Bonne soirée de thérapie buccale à toutes les coquines qui ont besoin d'un remontant après un bon "dressage"...

Julien - (Qui écoute les secrets que lui révèle Clémentine, blottie contre lui, au lit, avant de s'endormir heureuse) -

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Classe - 9 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 785 -



Les révélations de Clémentine

Hier matin, vendredi, c'est le beau Danube bleu de Johann Strauss qui nous tire du sommeil avec une certaine éloquence.
< Ta gueule Levi's ! > lance Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit de mon côté.
Quelques papouilles et nous filons aux toilettes. En tenues sport, nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. Morts de faim.
Nous préparons un copieux petit déjeuner que nous dégustons en bavardant. Clémentine termine à midi. Ce qui l'enchante.
Nous remontons nous livrer à notre heure d'entraînement. Pas de jogging pour cause de risque de pluie. Tout est détrempé.

La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. La fraîcheur est détestable.
Il est 7 h45. Un dernier bisou. Je regarde la voiture s'éloigner. Je rentre. Je fais notre lit, la vaisselle. Je vais dans l'atelier.
Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 8 h15. Je suis assis devant mon chevalet. Je peins dans une joie débordante.
Je termine ce matin cette vingt septième toile destinée à ma saison d'été. Un mois d'avance sur le timing habituel. Super.
Il est 11 h lorsque je dépose la dernière touche de rouge de cadmium sur la surface picturale. Je nettoie palette, pinceaux.

Je commence immédiatement le dessin préparatoire de la vingt huitième toile. Dehors, le ciel est lumineux, parfois du soleil.
C'est le dessin d'un paysage d'après une photo que j'ai prise dans les environs. J'y rajoute deux personnages, des moutons.
Ces scènes champêtres et bucoliques remportent toujours un franc succès. Surtout chez mes collectionneurs. C'est parfait.
Il est midi. Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau afin de faire gonfler le millet doré. Puis je pane deux filets de cabillaud.
Je les trempe d'abord dans l'œuf, puis dans la chapelure et le Parmesan finement râpé. Il est 12 h20. Clémentine qui arrive.

< Week-End ! > s'écrie t-elle en se précipitant dans mes bras. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Heureuse.
Elle me montre les petits boutons autour de sa bouche en tirant sur la peau. < Regarde c'est à cause des pipes ! > dit elle.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Estelle en a choppé aussi ! >. Je demande : < C'est de l'herpes tu crois ? >
< Non, c'est la réaction normale après l'excès ! > m'explique t-elle. Clémentine prépare la salade en racontant sa matinée.
Son oral s'est très bien passé. Encore mieux que la dernière fois. Un exposé de dix minutes et devant un jury d'étudiants.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Dehors, il y a du soleil. Quelques gros nuages menaçants, rien de grave.
Clémentine ressent le besoin de sortir, de bouger, de se dégourdir les jambes. Mais avec cette météo incertaine pas de vélo.
Je propose une randonnée sur les sentiers du lac. Suggestion reçue avec enthousiasme. La vaisselle. Il est seulement 13 h.
Nous allons à l'atelier. Clémentine adore passer les deux couches d'impression à l'acrylique "Terre de Sienne", sur la toile.
Ces deux couches d'acrylique sèchent très vite. Destinées à recevoir les couches supérieures à l'huile dès lundi matin. Bien.

Il est 13 h15. Nous montons nous laver les dents et nous mettre en tenues de randonnée. Vieux jeans et vieux sweat-shirt.
Nos baskets. Dans le petit sac à dos, nos K-ways, pommes, barres de céréales, et bouteille d'eau. Nous voilà prêts à partir.
Clémentine m'entraîne par la main à toute vitesse. Pressée de se retrouver à l'extérieur. Je roule doucement. 25 petits km.
Clémentine évoque ce qui s'est passé mercredi après-midi, au haras. Elle en a fait une mise au point et en garde le meilleur.
Elle joue avec ma bite en revenant sur quelques séquences précises. Notamment la baise avec Pierre, l'homme à la cagoule.

Avec le recul, son impression est devenue excellente. Se faire baiser par un mec dont le visage est dissimulé d'une cagoule.
J'émets une hypothèse : < Et si ce n'était pas Pierre mais un inconnu. Juliette est capable de tout ! >. Il y a un long silence.
Clémentine en gloussant fait : < Ce qui ne change rien à l'impression qui en subsiste ! >. Nous rions de bon cœur. Superbe.
Je demande : < Tu veux refaire ? >. Clémentine se penche pour me sucer un peu. Elle me répond : < Attendons un peu ! >
Nous en rigolons comme des bossus lorsqu'elle rajoute : < Je ne suis pas encore revenue de tout et il me faut "digérer" ! >

Je plaisante : < Surtout digérer le foutre de trois mecs différents ! >. En riant Clémentine rajoute : < Tu oublies la pisse ! >
Nous éclatons de rire. Nous arrivons au parking au bas des collines. Il y a d'autres voitures garées là. Il fait presque chaud.
Nous changeons de godasses. Nous voilà en chemin. Je suggère de nous réserver une table à la ferme auberge pour ce soir.
Avant de prendre le sentier, nous traversons le parking pour aller jusqu'au restaurant. Il est 14 h. Pas de soucis. Une table.
Le menu est plutôt alléchant. Nous réservons de la tourte aux fruits de mer et accompagnée de pommes de terre rissolées.

Nous voilà à gravir le sentier qui monte aux ruines du château. La vue sur le lac en contrebas est splendide. Le ciel dégagé.
Les eaux noirs du lac reflètent les quelques nuages. C'est de toute beauté. Clémentine est radieuse, heureuse d'être là. Joie.
Nous marchons malgré nous d'un bon pas. Nous croisons des marcheurs. Principalement des séniors, des couples. Sympa.
Clémentine glisse souvent sa main dans ma braguette discrètement ouverte. Nous sommes en T-shirt tellement il fait doux.
A chaque fois qu'il y a quelqu'un, pour cacher ma bite, Clémentine se serre dans mes bras. Ce qui suscite un certain intérêt.

Cette jeune fille dans les bras d'un homme d'âge mûr. De quoi se faire observer avec de curieux regards. C'est si amusant.
Nous arrivons aux ruines du château. Il y a quelques visiteurs dont cet homme seul qui est assis sur un rocher à dessiner.
Nous passons pas loin. L'inconnu fait une esquisse. C'est plutôt habile. Nous repassons une seconde fois. Regarder encore.
Pas de doute, l'homme est un agile dessinateur. Il lève un regard sur nous et nous fait un sourire. La quarantaine, svelte.
Nous le laissons à son dessin pour monter sur la partie accessible des remparts. C'est balisé et bien sécurisé. Aucun risque.

Clémentine ne cesse de me toucher. < J'ai envie de ta queue ! J'ai toujours envie de queue ! > fait elle en éclatant de rire.
Il faut ruser. Nous ne sommes pas seuls. Je ne voudrais pas me faire surprendre avec la bite à l'air. Je reste vigilant. Bien.
Clémentine m'entraîne sur les marches de l'escalier du donjon. Ce qu'il en reste et l'accès sont condamnés. Trop dangereux.
Par contre, dans une des ouvertures condamnées, nous pouvons parfaitement nous mettre à l'écart des regards, des gens.
Clémentine, à genoux sur un des sweats sorti du petit sac à dos, me taille une pipe des familles avec une passion folle. Joie.

Je ne peux pas me laisser aller. Je reste aux aguets. Prêt à me détourner si quelqu'un arrivait à l'improviste. Je fais gaffe.
Je tiens Clémentine par les oreilles. Parfois je glisse une main sous son menton. Parfois je la tiens fermement par la nuque.
C'est très excitant de pratiquer la fellation dans un endroit à risque. Mais cela interdit toute quiétude et tout relâchement.
Clémentine, que ces situations excitent jusqu'au paroxysme peut se livrer à son plaisir, sachant pouvoir compter sur moi.
Trop tard. Le dessinateur vient de nous surprendre, son grand livret à croquis dans la main. Il tousse, s'excuse et repart.

Je raconte à Clémentine ce qui vient de se passer. Sans cesser, elle glousse d'un rire étouffé. Je suis juteux. C'est excitant.
Il faut penser à l'heure. Pouvoir boucler notre parcours afin d'être de retour au restaurant pour 19 h45. Pour l'heure prévue.
Je force Clémentine à se redresser. Elle se blottit contre moi. Avec un mouchoir en papier, je lui essuie les coins des lèvres.
Toujours si avide et si gourmande, elle a tendance à baver. Mélange de salive, de liquide séminal. Nous quittons les ruines.
Nous descendons le sentier qui rejoint celui qui fait le tour du lac. Il y a davantage de monde. Il faut dissimuler ma queue.

Les petites pauses pipe que m'impose Clémentine se déroule sans trop de craintes. Nous savons anticiper. Et c'est excitant.
Je pourrai éjaculer tellement c'est bon parfois. J'ai le privilège d'avoir ma pompe à foutre partout avec moi. Mon aspirateur.
Ce sont les métaphores qu'aime à employer Clémentine pour désigner son désir fou de me pomper partout et n'importe où.
Je me plie volontiers à ses désirs et à ses penchants. Je le partage totalement. J'aimerai pouvoir faire pareil. C'est difficile.
On accède pas aussi facilement à un sexe féminin en plein air qu'à un sexe masculin. Ce qui me frustre assez souvent. Dur.

Nous faisons le tour du petit lac. Il y a quelques pêcheurs. Certains on tendance à encombrer le sentier avec leurs matériels.
Il est 19 h30 lorsque nous sommes de retour à la voiture. Fourbus mais heureux. Pas une seule goutte de pluie. C'est super.
Nous changeons de godasses. La fraîcheur du soir se fait sentir. Il faut remettre nos sweats. Il y a encore plein de bagnoles.
Nous traversons le parking pour entrer dans le restaurant. Label "Ferme-Auberge" car on y retrouve des produits d'origine.
Notre table nous attend. Près de la fenêtre. Il y a déjà plein de gens attablés. Nous avons déjà choisi et réservé. C'est bien.

Nous mangeons de bon appétit. < Regarde ! > fait Clémentine. Je tourne la tête. C'est le dessinateur qui entre à son tour.
Il n'est pas seul. Il y a une jeune femme avec lui. Il nous voit, nous reconnaît et esquisse un sourire discret. Ils s'assoient.
Ils ont certainement réservés cette table près de la nôtre. Nous n'y faisons plus attention tellement le repas est succulent.
De la tourte aux fruits de mer, accompagnée de pommes de terre, de petits pois et de haricots verts rissolés. C'est miam.
< Je lui fais le test des chiottes ! > me chuchote Clémentine en se levant pour aller aux toilettes. J'ai allumé le téléphone.

Je mets les écouteurs. Sur l'écran, je vois les lieux où entre Clémentine. Elle tient son téléphone à la main. Mode "caméra".
Pourtant, malgré une attente de plusieurs minutes. Personne n'arrive. Clémentine commente ce qu'elle fait. Et son pissou.
Elle se filme. Je la vois cambrée au-dessus d'un des urinoirs, jeans et culotte descendues, écartant les lèvres de son sexe.
En général, Clémentine, lorsqu'elle pisse debout, a tendance à en mettre partout. Ça gicle un peu n'importe comment. Dur.
En plus, elle doit surveiller la porte, écouter le moindre bruit. Elle se torche. Récupère le téléphone sur la tablette. Revient.

< Test négatif ! > chuchote t-elle en s'asseyant. Nous rions de bon cœur lorsque je dis : < Ce mec a tout ce qu'il faut ! >
C'est vrai que sa compagne est magnifique. Une jeune femme brune, un peu "précieuse" et certainement de petite taille.
Nous traînons à table. Il est 21 h45 lorsque nous demandons l'addition. Un dernier petit café. La salle est encore pleine.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Parfois elle me suce un peu. Elle revient sur la séance de mercredi.
J'en étais certain. Après quelques jours à revivre mentalement les situations, il n'en subsiste plus que les aspects positifs.

Bonne rentrée à toutes les coquines qui se font brouter la chatte au lit après une randonnée et une soirée restaurant…

Julien - (Qui s'applique toujours à offrir un cunnilingus à Clémentine avant de dormir. Ses orgasmes sont si forts) -

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Un samedi très habituel mais si agréable

Hier matin, samedi, je suis réveillé par le léger froissement des draps et par un tout aussi léger mouvement du matelas.
Pas de doute, je suis une fois encore réveillé par la masturbation discrète de Clémentine. Et elle sait quand je me réveille.
Ma respiration change. < J'ai fait un rêve érotique ! > me chuchote t-elle en se blottissant contre moi. Je la serre très fort.
Je murmure : < Bonjour belle masturbatrice ! >. Nous en rions de bon cœur avant de nous précipiter aux toilettes. Pissous.
Morts de faim nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Il est 8 h30. Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant.

Clémentine me raconte son rêve. Il y est question du haras, de monsieur Gérard et de situations un peu loufoques. Rires.
Nous sommes déjà en tenues sport. La vaisselle. Nous enfilons nos K-ways. Il faut affronter la fraîcheur et notre jogging.
Quelques mouvements d'échauffement. Nous sautillons sur place. Il est 8 h. Nous voilà partis. Rapide dès le départ. Bien.
Une heure d'un running des plus agréables et nous voilà de retour. La douche. Nous nous habillons. Jeans et sweat-shirt.
Devant le miroir de l'armoire, Clémentine s'accroupit à ma gauche, sa tête en appui contre ma cuisse. Regard implorant.

< Même si vous ne l'êtes pas vraiment, vous restez mon "Maître" préféré ! > me fait elle. Je lui caresse la tête, cheveux.
Je réponds : < Vous êtes ma "Soumise" préférée et je vous aime comme un fou ! >. Nous rions de cœur de notre rituel.
Je sors mon Zob afin qu'elle puisse y frotter son visage et téter un peu. Je l'aide à se redresser. Je lui masse les genoux.
Nous dévalons l'escalier. Dehors, même s'il fait un peu meilleur que les jours précédents, nous sommes loin des chaleurs.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. < Je deviens une véritable dépravée ! > me fait elle tout en riant.

Trois petits kilomètres et nous arrivons au bourg pour y faire notre marché. Je garde ma braguette discrètement ouverte.
Il faut être prudent, il y a du monde. Nous faisons provisions de fruits et de légumes en grande quantité. Belles asperges.
Nous faisons provisions de fromages, de beurre, de yaourts, de crème fraîche, de nos œufs. Chez nos agriculteurs locaux.
Retour à la voiture. Les produits frais dans la glacière branchée sur l'allume cigare. Et en route pour la zone commerciale.
Treize petits kilomètres. Clémentine tient fermement ma bite tout en me donnant quelques impressions quand au haras.

< C'est déjà derrière nous. Je fantasmais sur ce truc depuis quelques années. Et voilà que c'est fait ! > lance Clémentine.
Je la félicite. Il n'y que les imbéciles pour prétendre que les choses doivent rester fantasmes. C'est mieux de les réaliser.
Je gare la voiture sur le parking. Du monde. Je pousse le chariot. Clémentine nous entraîne, la liste des courses en mains.
Nous faisons en priorité les rayons des produits d'entretien. Le rayon des conserves. Le rayon des produits diététiques bio.
Par acquis de conscience, Clémentine nous entraîne au rayon culturel. Il y a plein de gens aux magasines. Pareil aux livres.

Aucune opportunité réelle de se livrer à nos petits jeux. Ce ne sont que des couples ou des femmes. Et aucun homme seul.
< Il ne reste que toi ! > me fait Clémentine légèrement dépitée. Elle se touche discrètement. Je suis le seul à pouvoir voir.
Je propose de jouer à l'inconnu, à la V.P., la "victime potentielle". < Oh oui ! > s'écrie Clémentine qui nous entraîne. Joie.
Nous arrivons au rayon des vêtements homme. Je reste en tête de gondole. Et je laisse Clémentine s'y rendre toute seule.
J'attends un peu. Je pousse le caddie en interprétant le rôle du parfait inconnu. Clémentine est debout devant les cravates.

Je ne m'en rends pas compte immédiatement. Clémentine se touche, une main qui glisse de sa braguette entre ses cuisses.
Je peux vivre l'émotion que vivent tant d'inconnus qui ont déjà assisté à son show. C'est à la fois émouvant et passionnant.
Cette grande jeune fille, au port de tête altier, aux allures d'aristocrate égarée, ses longs cheveux noirs en liberté. Elancée.
Je passe une première fois. Je repasse. Nous jouons nos rôles. La perfection. Je m'arrête à quelques mètres. Elle s'accroupit.
Même si elle est en jeans, de la voir ainsi, cuisses écartées, à se toucher le sexe d'une main, procure d'indicibles sensations.

J'ai poussé le caddie contre les chaussettes. Je fais mine de choisir un slip noir. Je me rapproche. Je suis à environ un mètre.
D'une main discrète, je me touche. C'est un jeu très excitant. Je vis exactement ce que vivent les mecs qui l'ont croisé ainsi.
Je bande comme un salaud. Même si cette fille magnifique est ma compagne, je peux parfaitement m'identifier à un inconnu.
Je me palpe la bosse. J'ai glissé ma bite par l'élastique du slip, sur ma cuisse gauche. Impossible de ne pas voir le gros truc.
Je me mets à draguer. J'assiste, non pas en spectateur caché mais en acteur actif, au numéro de Clémentine qui m'étonne.

Nous jouons ainsi un petit moment. Il faut êtres le plus discret possible car évidemment il y a du passage. C'est compliqué.
Clémentine se redresse, se serre contre moi pour me murmurer : < J'adore les satyres de votre espèce, monsieur ! >. Rire.
Elle m'entraîne en rajoutant : < Et je veux absolument goûter à votre bite de vicelard ! Je la devine à mon goût. Juteuse ! >
Nous en rions de bon cœur. Nous attendons notre tour aux rayon poissonnerie. Ce jeu nous a considérablement émoustillé.
C'est notre tour. Nous prenons des moules, des filets de saule, de cabillaud, pavés de saumon, langoustines roses. Promo.

Nous passons en caisse. La caissière, probablement une étudiante, regarde la main furtive de Clémentine sur ma braguette.
C'est un jeu que nous aimons bien pratiquer devant d'autres jeunes filles. Celle-ci semble prendre beaucoup de plaisir à voir.
Nous flânons dans la galerie commerciale. Nous découvrons les menus proposés à la Cafétéria. Mais il y a bien trop de gens.
Nous prenons la route du retour. < J'ai beaucoup aimé votre prestation, monsieur ! > fait Clémentine, jouant avec mon Zob.
Nous en rions de bon cœur. Clémentine rajoute : < Un jour, je pousserai le jeu plus loin pour sucer un de ces inconnus ! >

Je réponds : < Enfin ! >. Clémentine me suce un peu avant de se redresser pour lancer : < J'en ai de plus en plus envie ! >
Nous arrivons à la maison pour midi trente. il y a de nombreuses séquences ensoleillées. Nous rangeons les courses. Bien.
Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare le bouillon pour y jeter les moules. Et les haricots verts congelés dans le Wok.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant un vague programme de l'après-midi. Une nouvelle randonnée. C'est super.
Nous traînons à table. Clémentine, assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, évoque son rêve érotique.

C'est génial de vivre avec une authentique vicieuse. Pleine d'imagination. On n'est jamais obligé de la pousser au vice. Joie.
C'était déjà le cas avec Christine, ma compagne disparue. Je suis un véritable privilégié. Et autant que Clémentine d'ailleurs.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. C'est bien.
Nous nous changeons. Clémentine me fait tomber sur le lit. < Votre bite, s'il vous plaît, monsieur le satyre ! > me fait elle.
Couchée sur le côté, sa tête posée sur mon ventre, Clémentine me taille une véritable pipe des familles. Je caresse sa tête.

Je chuchote des douceurs, des cochonneries. J'aime l'entendre glousser, manifester son contentement pas des < Mmhh ! >
Parfois elle cesse pour poser sa tête dans mon cou et me donner ses impressions. Sucer un inconnu devient son fantasme.
Une nouvelle envie, un nouveau désir à assouvir. Mais, dans la réalité ce n'est pas aussi simple. Il faut créer une situation.
Il faut également que ce soit l'apothéose d'une situation bien vicelarde. Qui doit durer longuement. Clémentine en raffole.
Nous partons de situations déjà vécues de nombreuses fois pour inventer des scénarios encore improbables mais excitants.

A présent, c'est moi qui lèche le sexe à Clémentine. Avec l'excitation, il y a de quoi sustenter un honnête homme. Où moi.
Il faut êtres prudents. Je suce son clitoris géant en restant vigilant. Clémentine me repousse toujours juste à temps. Ouf !
Il faut cesser. Le moment devient critique. Nous voulons rester excités pour le restant de la journée. Nous nous habillons.
Nos vieux jeans, nos vieux sweats, nos godasses. Bonnes baskets de marche. Nos K-ways dans le petit sac à dos. Super.
Il est presque 15 h lorsque nous descendons le chemin jusqu'à la rivière que nous longeons sur les 3 km. Il fait doux. Bien.

Clémentine parle de ses cours, ce troisième trimestre fort intéressant. Presque la fin de cette première année de Doctorat.
Elle a ma bite dans la main. Parfois elle s'accroupit pour la sucer un peu. Nous ne croisons personne. Je reste aux aguets.
Nous traversons le pont de pierres, la petite route, nous longeons le ruisseau, nous passons à 300 m des écuries. Le haras.
Il y a la voiture de Gérard garée à côté de sa caravane. On ne voit personne. Nous continuons notre chemin. Il fait si beau.
< Je peux me sucer ce vieux salaud encore une fois avant l'Ecosse ? > me demande Clémentine. Nous rions de bon cœur.

Je réponds : < Mais pourquoi qu'une fois ! >. Nous rigolons comme des bossus. Je propose d'en informer Juliette. Super.
Juliette n'a pas sa semblable pour organiser des plans bien vicelards. Nous la voyons mercredi soir, pour le rituel du repas.
Nous faisons la grande boucle qui passe par la maison abandonnée, le moulin en ruine, la chapelle désacralisée, cimetière.
Nous n'avons pas arrêté de nous toucher, de nous embrasser, de rire. Notre amour fou et passionné nous enivre de vertige.
Il est presque 19 h lorsque nous sommes de retour. Le ciel commence à se couvrir. Nous avons profité du meilleur. Super.

Estelle est déjà là. Elle nous fait la bise, me saute au cou. Je la soulève. Elle nous a préparé des spaghettis sauce au pistou.
Estelle me couvre le visage de bisous. Nous mettons la table. Elle raconte sa journée. Le boulot dans l'entreprise familiale.
Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent leurs études. Rapidement toutefois elles en arrivent à notre mercredi.
Elles gardent à présent en souvenir les meilleurs moments de cette étonnante expérience. Ce n'était pas le désir d'Estelle.
Estelle n'a pas ce fantasme de soumise. Pourtant cette découverte l'a marqué favorablement. < A refaire ! > précise t-elle.

Nous traînons à table. Clémentine dévoile le nouveau fantasme qui la taraude depuis quelques temps. Et c'est de ma faute.
Sucer un inconnu. Ce fantasme sera sans doute réalisé cet été, en Ecosse. Estelle aimerait bien tenter aussi. Truc de filles.
< Nous sommes un trio de dépravés ! > fait Estelle pour conclure chaque nouveau scénario encore improbable. Fantaisiste.
< C'est si bon ! Il y a tout le restant de la vie pour se calmer. Et le plus tard possible ! > précise Clémentine à chaque fois.
Je ne peux qu'acquiescer à tant de logique. J'écoute en silence. C'est tellement génial d'entendre ces deux coquines parler.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Je propose aux filles un léchage de chattes dans les règles de l'art. Suçage de clitos.
Je ne suis pas obligé de le proposer deux fois. Autant elles aiment les pipes, autant elles raffolent de cunnilingus. Superbe.
Nous passons au salon. Comme à chaque fois, les filles retirent précipitamment leurs jeans et leurs culottes. En chaussettes.
Les voilà à quatre pattes, les coudes en appui sur le canapé, à me présenter leurs culs splendides. Un spectacle majestueux.
Je me fout complètement à poil. Ça les fait rire : < Monsieur Muscle ! > dit Estelle. < Sylvestone Staller ! > fait Clémentine.

Je vais chercher la bassine, la serpillère, le balai brosse. Je dis : < C'est bon, vous pouvez vous laisser aller, les salopes ! >
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'Estelle rajoute : < Vous pensez à tout "Maître" Julien ! >. Me voilà à quatre pattes.
Je commence par le cul d'Estelle. Il faut surmonter l'écœurement de son hygiène lamentable. Elle le fait exprès. La coquine.
Depuis qu'elle sait que j'adore les filles négligées elle m'en offre les saveurs à chaque occasion. Je ne tarde pas à savourer.
J'ai des poils plein la bouche. Je passe au cul de Clémentine. Un autre régal. Elle a marché, il y a de la sueur. C'est exquis.

Je suis le plus heureux des brouteurs de chagattes. Je suis rapidement couché sur le dos, à passer ma tête entre les cuisses.
Je me bouffe de la chatte jusqu'au vertige. Les filles adorent ça. J'ai droit à un concerto pour Clitoris en petits cris majeurs.
C'est absolument féérique. J'ai un peu froid, complètement à poil. C'est Estelle qui jouit la première. Je suis sûr qu'elle pisse.
Ce n'est jamais très franc. Juste des giclées qu'elle maîtrise comme elle peut. Elle tombe sur le côté en râlant de bonheur.
J'ai le visage trempé de jus de fille. Ça me dégouline jusque dans la nuque, sous les oreilles. Je passe au fion de Clémentine.

Estelle me chevauche pour introduire le bout de mon sexe dans le sien. C'est la toute première fois qu'elle a cette initiative.
Elle tient la bassine tout en descendant avec d'infinies précautions sur ma queue raide comme un piquet de clôture. Droite.
< Tu peux y aller ! Je suis prête ! > lance t-elle à Clémentine qui éclate de rire entre deux contorsions sur mon visage. Dur.
Elle se frotte sur ma gueule en gémissant de plaisir. Elle m'écrase un peu le pif, mais comme je suis complètement mouillé.
Son orgasme est terrifiant. Je me retire juste à temps. Estelle glisse la bassine entre les cuisses de Clémentine qui en pisse.

Estelle toujours assise sur mon sexe dans le sien tient soigneusement la bassine. Pas une goutte à côté. Je la félicite. Rire.
Clémentine tombe sur le côté en râlant de plaisir, les mains coincées entre ses cuisses serrées. Estelle se déboîte du Zob.
Elle place la bassine entre ses cuisses pour se mettre à pisser à son tour. < A toi ! > me fait elle après avoir terminé. Rire.
Je bande mou. Estelle me saisit la bite pour en diriger le jet dans la bassine qui commence à se remplir dangereusement.
Elle secoue les dernières gouttes avant de se mettre à sucer comme une désespérée. Clémentine reprend ses esprits. Joie.

Les filles se refilent ma bite qu'elles sucent comme si leurs vies en dépendaient. Je recommence à bander. En vrai salopard.
Je caresse leurs têtes, leurs joues, leurs nuques. Je leurs chuchote des douceurs que je mêle à de véritables cochonneries.
Je saisis Clémentine par ses cheveux. J'attire son visage contre le mien. J'éjacule dans la bouche d'Estelle. Un râle de joie.
Nous restons ainsi un long moment, couchés sur l'épais tapis, à nous donner nos impressions. C'est tellement merveilleux.
Nous montons nous coucher. Epuisés. Estelle s'endort la première, tout contre moi. Clémentine me livre des secrets. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire brouter le minou, pisser en jouissant et sucer une bite salace…

Julien - (Qui que se fait sécher la tête au sèche-cheveux par les deux coquines qui en rient de bon cœur) -

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Un dimanche très "classique" mais si agréable

Hier matin, dimanche, je me réveille entre Clémentine et Estelle de la plus merveilleuses des façons. Ça donne le tournis.
Estelle qui me tient par mon érection matinale avant de se glisser sous les draps pour me sucer. Clémentine qui se serre.
Elle me couvre le visage de bisous. C'est un enchantement paradisiaque. Il est 8 h. Je leurs caresse la tête. C'est si doux.
Ce n'est pas très excitant la pipe sur l'érection matinale. C'est un peu contraignant. Estelle cesse pour remonter. Sympa.
Nous restons ainsi un petit moment à savourer cet immense privilège. Estelle se lève la première en s'écriant : < Pipi ! >

Clémentine me chevauche en riant pour frotter son sexe contre le mien. Là, ça commence à devenir plus excitant. Super.
< On devrait pouvoir se figer dans le temps ! Je voudrait que ce soit éternel ! > me chuchote t-elle. Je caresse ses seins.
Estelle revient : < Je descends préparer le petit déj ! > dit elle avant de dévaler l'escalier dans son pyjama de soie mauve.
Nous nous précipitons aux toilettes, en slips et en T-shirt de nuit avant de rejoindre Estelle à la cuisine. Odeur de brioche.
Dehors, il y a du soleil, par contre le thermomètre extérieur indique à peine 8°. L'horreur de ce printemps pourri continue.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Si cette météo ce maintient, cet après-midi, nous retournons randonner.
Le dimanche matin, c'est le rituel du ménage à trois. Estelle s'occupe du salon et passe l'aspirateur. C'est toujours si super.
Clémentine fait la chambre. Je m'occupe des chiottes et de la serpillère. Nous traînons à table. Le dimanche, pas de sport.
La vaisselle. Clémentine monte. Estelle s'empare de l'aspirateur. Je commence par la cuisine. J'entends Estelle qui chante.
Je nettoie les chiottes du bas puis je passe la serpillère sur les carrelages, hall d'entrée, toilettes et cuisine. De la méthode.

Le bruit de l'aspirateur a cessé. Il n'y a plus que le chant d'Estelle. Je m'apprête à monter rejoindre Clémentine. Un piège.
Le piège tendu tous les dimanches matins. Estelle qui est à genoux sur un coussin dans l'encadrement de la porte. Salon.
Les mains sur la tête elle dit : < Maître, je vous aime ! >. Je me penche pour lui faire une bise sur le front. Elle me chope.
Par les couilles pour m'attirer à elle. La coquine prépare toujours son coup. Différent à chaque fois. Elle sort ma bite du slip.
Elle y frotte son visage avant de se mettre à la sucer. Je la tiens par ses oreilles. Je ne bande pas mais c'est très agréable.

Je la laisse sucer un peu avant de la forcer à se redresser. Je dis : < Viens on monte rejoindre Clémentine ! >. Des bisous.
Je la fais monter sur mon dos. Nous montons les escaliers. Je la jette sur le lit comme un paquet de linge sale. Elle y roule.
Je dis à Clémentine qui ferme la fenêtre : < Cette "Soumise" effrontée m'a sucé par surprise ! >. Nous rions de bon cœur.
< Cette "Soumise" sera punie. Et comme elle le mérite ! > fait Clémentine en se serrant contre moi. Elle est déjà habillée.
Nous nous habillons à notre tour car il fait froid dans la chambre. Estelle qui passe l'aspirateur. Je ramasse les draps sales.

Je rejoins Clémentine à la salle de bain. Je fais le bac à douche et le bidet. Clémentine fait les miroirs et le lavabo. Bisous.
Nous n'arrêtons pas de nous frôler, de nous embrasser, de nous chuchoter des douceurs. Nous entendons Estelle chanter.
Clémentine descend la première avec le panier à linge. Je nettoie les chiottes du haut. Le moment préféré d'Estelle. Rires.
J'ai les mains gantées, plongées dans la cuvette des toilettes lorsque la coquine arrive en silence et par derrière. Surprise.
Accroupie derrière moi, elle se saisit de ma braguette avant d'y glisser sa main tout en me chuchotant des < Je t'aime ! >

Tous ces dimanches matins qui se succèdent, avec les mêmes habitudes, resteront dans nos mémoires à tout jamais. Sûr.
Je me retrouve rapidement avec la bite à l'air. Je me redresse. Je tire la chasse. Je retire les gants. Estelle suce à nouveau.
Je la force à cesser. Je la fais monter sur mon dos. Nous descendons et avec prudence pour rejoindre Clémentine à la cave.
Nous trions le linge. Je laisse les filles pour remonter à la cuisine. Les pavés de saumon et la pâte feuilletée ont décongelé.
Il est 11 h. Je lave les tomates. Estelle est la première à me rejoindre. Elle revient derrière moi pour se serrer, me toucher.

Clémentine arrive à son tour. Elle s'interpose par jeu. S'empare de ma queue en disant : < Aujourd'hui propriété privé ! >
< Défense d'entrer ? > fait Estelle en montrant sa braguette. Nous rions de bon cœur lorsqu'elle dit : < Par effraction ! >
Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade. Estelle émince finement le saumon. Je coupe l'ail et les échalottes.
Je fais rissoler de petites pommes de terre. Estelle fait une Béchamel. Nous sommes organisés. Chacun est affairé. Bien.
Ce qui n'empêche pas les frôlements, les palpation de culs, de chattes et de bites. Les filles évoquent leurs études. Sympa.

Le feuilleté de saumon est au four, la table est mise. Nous enfilons nos anoraks pour sortir. Il y a un vent très désagréable.
C'est lui qui est responsable de cette détestable fraîcheur. Il y a quelques nuages d'altitude. Nous restons serrés, groupés.
Nous faisons le tour de la propriété. Il y a plein de ces petites fleurs blanches tombées des arbres qui jonchent le sol. Beau.
< On dirait de la neige ! > fait Estelle qui me tient par le bras. Je suis entre les filles, nous marchons doucement. Le soleil.
Dans la serre il fait presque chaud. L'effet double vitrage. Les roses et les tulipes forment de gros bougeons prêts à éclore.

Nous estimons l'heure. Il est 12 h15. Nous n'entendons pas la sonnerie du four. Nous nous dépêchons de rentrer. La faim.
Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de l'après-midi. Randonnée au petit lac. Une météo idéale.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents. Et en faisant les pitres devant le miroir. 13 h15.
Nous nous changeons. Nos vieux jeans et nos vieux sweats. Accroupies de chaque côté, les filles posent leurs tête. Belles.
Me serrant les jambes, elles s'observent dans le miroir de l'armoire. Mes mains posées sur leurs têtes contre mes cuisses.

< Notre bon "Maître" nous emmène promener et faire nos pissous dehors ? > demande Estelle. < Oui ! > fait Clémentine.
Je réponds : < Il n'y a qu'un seul collier mes délicieuses "Soumises", vous pourrez faire pipi en liberté et sans la laisse ! >
Nous rigolons comme des bossus. Je les aide à se redresser. Nous sommes pressés de filer. Le petit sac à dos est préparé.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, nous raconte.
25 petits kilomètres et nous arrivons sur le parking au bas des collines. Il y a plein de monde, plein de voitures garées là.

Nous pouvons retirer les sweats et rester en T-shirt, à l'abri du vent. Je porte le sac à dos. Nous changeons de godasses.
Nous voilà sur le sentier qui monte aux ruines du vieux château. Une heure trente de marche dans un paysage superbe.
En bas, les eaux du lac qui reflètent un ciel principalement bleu. Nous croisons plein de marcheurs. Souvent des groupes.
J'ai souvent la bite à l'air. Soit c'est Clémentine qui se serre contre moi pour la dissimuler, soit c'est Estelle. La discrétion.
Nous arrivons aux ruines. C'est plein de gens. Tout le monde se prend en photos. Il y a des familles de Simpson. Le bruit.

Il serait vain de tenter un "plan". Trop risqué. Ce qui ne nous empêche pas de nous tripoter chaque fois que c'est possible.
< J'ai envie de te bouffer la bite, si tu savais ! > me fait Estelle à plusieurs reprises. Clémentine lui répond : < Calmos ! >
Je dis : < Moi, j'ai une méchante envie de vous bouffer la chatte à toutes les deux ! >. Nous rigolons comme des bossus.
Nous continuons notre périple par les sentiers à flanc de collines pour rejoindre celui qui fait le tour du lac. Super balade.
C'est dimanche. Il y a évidemment des promeneurs partout. L'endroit est d'un charme fou, délicieusement bucolique. Joie.

Les collines abritent la région des vents. Enfin une certaine chaleur nous permet d'évoluer dans le confort et le bien-être.
A chaque occasion, on se touche. La chatte à Clémentine est mouillée. Celle d'Estelle est humide. Et je renifle mes doigts.
Les filles me prennent la main pour sentir aussi. Je dis : < Ce soir après le repas je vais vous nettoyer la chatte. Miam ! >
< Ta bite aussi demande à être nettoyée ! > lance Estelle. Il est 18 h30 lorsque nous sommes de retour à la voiture. Joie.
Je roule doucement. La bite à l'air. Clémentine me suce parfois. Estelle passe sa main entre les sièges et se contorsionne.

La circulation est dense. Il est 19 h15 lorsque nous arrivons à la maison. Nous sommes morts de faim. Et un peu fourbus.
Il suffit de réchauffer. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle prépare l'omelette. J'émince, les champignons et l'oignon.
Le repas est délicieux. Nous traînons à table. Nous faisons le bilan de cette magnifique randonnée, de nos attitudes. Rires.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. < Tu a suggéré un "nettoyage" de chattes ! > me fait Estelle en choppant ma bite.
Je les entraîne aux toilettes. Je dis : < Vous pissez d'abord ! Je ne veux pas m'en prendre plein la gueule ce soir ! >. Rire.

Je les tiens à tour de rôle par les cheveux. Je les torche délicatement. Juste en tapotant le papier cul pour ne pas essuyer.
Estelle me tient la queue pour en diriger le jet. Clémentine me tient fermement les couilles. Elles me sucent à tour de rôle.
Je les force à cesser pour les entraîner au salon. Elle retirent leurs jeans et leurs culottes à toute vitesse tout en rigolant.
Les voilà vautrées dans le canapé, jambes relevées, cuisses écartées. Je suis à genoux sur l'épais coussin. Quelles odeurs.
Je commence par le croupion d'Estelle. Elles ont transpiré toutes les deux. Le dimanche nous restons dans notre jus. Sales.

Je me bouffe de la chatte bien suintante, ayant macérée aux fonds de culottes humides. C'est à la fois gerbeux et délicat.
De la crème pas très fraîche qu'il me suffit de laper pour me régaler. Estelle est de plus en plus juteuse. Il y a du progrès.
Chez Clémentine, il y a même des petites bulles dans l'émulsion gluante qui dégouline sans couler de sa moule visqueuse.
Je passe de l'une à l'autre. Estelle connaît un orgasme tellurique. Depuis quelques temps, c'est un concerto de petits cris.
Elle est prostrée, tout le corps secoué de spasmes. Elle me repousse délicatement pour serrer ses mains entre ses cuisses.

Je termine Clémentine qui connaît un orgasme nucléaire. Il y a souvent une éjaculation vaginale qui précède le jet de pisse.
Pourtant, cette fois, comme je les ai fait pisser d'abord, les orgasmes se limitent aux jets de cyprine. Et je m'en pourlèche.
Il faut reprendre nos esprits. Il est déjà 22 h15. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. Séparation difficile. Bisous.
Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Au lit, Clémentine insiste pour me sucer un peu. Je lui propose de faire demain.
Demain soir sera consacré à la fellation qu'elle veut absolument m'offrir pour "service rendu". Quelques doux câlins et dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire nettoyer la chatte après des heures de marche et sans douche…

Julien - (Qui s'endort souvent avec le goût de fromage de chattes dans la bouche. Tout contre Clémentine) -

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Un lundi soir à deux.

Hier matin, lundi, c'est le prélude Te Deum de Marc Antoine Charpentier qui nous tire de nos sommeils. C'est hyper violent.
< T'es fou, Antoine ! > s'écrie Clémentine tout en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit. Rires.
Quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes. 5 h55. Vêtus de nos tenues sport, nous dévalons les escaliers. Faim.
Nous nous préparons un copieux petit déjeuner que nous savourons tout en bavardant. Le lundi matin, il reste de la brioche.
Nous mangeons de bon appétit. 6 h25. Nous enfilons les K-ways. Fraîcheur. Quelques mouvements d'échauffement. Jogging.

Nous courons d'un rythme soutenu. Retour pour 7 h25 après un running vivifiant et gratifiant. Nous prenons notre douche.
Je descends le premier pour aller sortir l'auto de Clémentine qui me rejoint vêtue de jeans, sweat, veste en cuir et bottines.
Un dernier bisou. Je regarde la voiture s'en aller. 7 h45. Je me dépêche de rentrer. Le ciel est tout bleu. Il y a un beau soleil.
Je fais le lit, la vaisselle et je vais dans l'atelier. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Je suis assis devant mon chevalet.
Il est 8 h15. Je peins dans une espèce de sérénité biblique, crétinisé par tant de grâce qui m'envahit totalement. C'est beau.

Cette vingt huitième toile destinée à ma saison d'été en est la cause. J'ai un mois d'avance sur le timing des autres années.
Je pousse les cris les plus surréalistes. Je me lève pour faire la danse du guerrier Sioux autour du chevalet. C'est grandiose.
< "Glandiose" car ça évite la folie des Glandeurs ! > précise souvent Clémentine pour nous faire rire. Et je pense fort à elle.
La matinée passe ainsi, dans une apothéose de plaisir, de satisfaction et félicité. Je ne vois pas le temps passer. Magnifique.
Il est midi. Je vais à la cuisine. J'épluche les patates, les navets et les carottes que je fais revenir dans la cocotte en fonte.

Pendant la cuisson, je lave les feuilles d'une belle laitue. Je pane un beau filet de saule que je trempe dans l'œuf, chapelure.
Je fais revenir à la poêle. Je remue souvent la potée car dans les vieilles cocottes en fonte noire, ça attache. Ce qui est bien.
Cela participe du goût de cette préparation traditionnelle et tellement délicieuse. J'en ai fait pour midi et pour ce soir. Super.
Je mange en tentant d'écouter les informations mensongères, honteuses, lénifiantes. C'est si pitoyable. Mais j'éteins la radio.
La vaisselle. Je range la cuisine. Je sors au jardin. Il y a toujours ce vent désagréable de Nord Est qui persiste à tout gâcher.

Je fais le tour de la propriété. Ce n'est pas la peine d'arroser le potager cette année. Ce qui pousse paraît assez lamentable.
L'excès d'humidité, les pluies fréquentes et abondantes, l'absence de chaleurs, tout cela ne permet pas les beaux légumes.
Il y a du soleil mais des nuages commencent à violer le bleu du ciel. C'est devenu le grand classique de ce printemps pourri.
Il est 13 h15 lorsque je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Cette seconde séance est prodigieuse.
Je peins animé de la même sérénité "Glandiose" que ce matin. Et je redouble de cris surréalistes que je module longuement.

Je travaille à cette nature morte avec mon acharnement habituel lorsque résonne la musique imbécile de mon smartphone.
Je le cherche au fond de la poche de ma blouse en lin écru. C'est Julie. Quelle surprise. Il est 15 h. Elle a terminé ses cours.
Nous bavardons un peu en mode "haut parleur". Ce qui me permet de continuer ma peinture. Je suis un peu étonné. Bien.
Julie me parle un peu d'elle, de son actualité, de la progression de ses études, de son boulot de serveuse le soir, sa tante.
Elle sera libre mercredi soir. Elle propose de venir passer la soirée avec nous. Je trouve l'idée excellente. Parfaite. Superbe.

La conversation ne dure pas. Tout au plus une dizaine de minutes. Mais dix minutes d'une intensité rare. C'est très agréable.
Son besoin de parler, tempéré par sa réserve naturelle. J'invite Julie à partager notre repas mercredi soir. Rendez-vous ok.
Nous nous saluons. Je poursuis mon travail sans cesser de penser à cette curieuse jeune fille. A la fois si timide, si délurée.
Du bruit. Il est 16 h20. Clémentine entre dans l'atelier à toute vitesse. Pressée d'être avec moi. Elle jette son cartable. Rire.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les cours, les profs, le menu du restaurant universitaire. Si intéressant.

Clémentine a encore du travail. Dehors, le ciel s'est lentement tapissé d'épais nuages gris. La voilà installée devant l'ordi.
Il lui faut se documenter pour son prochain écrit et pour son prochain oral vendredi prochain. Parfois, elle chantonne. Joie.
Je lui raconte le coup de téléphone de Julie. < Super ! Je fais immédiatement un courriel à Juliette ! > s'écrie Clémentine.
Les mercredis soirs sont généralement réservés à un repas commun avec Juliette. Mais c'est bien aussi de quitter ce rituel.
Clémentine me lit à haute voix le message qu'elle vient d'envoyer à Juliette. C'est parfait. Et cela va un peu nous changer.

Il est 18 h45. < Put-Hein je pète un câble ! > s'écrie Clémentine qui termine de ranger ses affaires. Elle vient me rejoindre.
Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Ma nature morte sera terminée pour vendredi matin, au plus tard. Le timing parfait.
Avant de quitter l'atelier, Clémentine consulte les mails. Il y a déjà un retour de Juliette. Pas de soucis. On remet "à plus" !
Nous enfilons nos anoraks pour marcher un peu. Le ciel est devenu gris et menaçant. C'est détestable. Et même éprouvant.
Nous descendons jusqu'à la rivière. Clémentine m'a sorti le Zob qu'elle agite et fait tournoyer en riant. Ça rafraîchi la bite.

< Tu seras bien salaud, mercredi soir, avec la venue de Julie ! Tu veux bien ? J'ai besoin d'un show ! > me fait Clémentine.
Je promets de faire au mieux. < Elle vient aussi pour "ça" ! > me précise Clémentine en qui je peux faire entière confiance.
Morts de faim, nous remontons. Il y a juste à réchauffer la potée. Et juste à faire l'assaisonnement de la salade déjà lavée.
Je fais rissoler des queues de langoustines avec du basilic, du persil, de la ciboulette, de l'ail et de l'oignon. Supers odeurs.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me donne ses impressions quand à Juliette que nous ne verrons pas mercredi.

< Après ce qui s'est passé aux écuries mercredi dernier, c'est parfait de ne pas la voir cette semaine ! > précise Clémentine.
Je ne peux qu'approuver. Même si les repas des mercredis soirs sont des plus agréables, il est bon de déroger à l'habitude.
Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine m'entraîne au salon. Elle me pousse sur le canapé.
A genoux sur l'épais coussin posé au sol entre mes jambes, elle me sort la queue en disant : < Ce soir, c'est à mon tour ! >
Je lui ai promis hier soir, avant de nous endormir, de lui offrir ma queue et d'en faire ce qu'elle veux. Pipe, branle ou baise.

Clémentine décalotte très légèrement ma queue. Il y a juste mon méat, au bout du gland, qui dépasse du "pull à col roulé".
Elle hume longuement les effluves parfumées "Parmezob" de ma journée d'homme. < J'adore ! Mmhhh ! > chuchote t-elle.
Je lui caresse le visage. Elle a gardé ses lunettes d'étudiante et ses longs cheveux sont détachés. Elle me fixe en reniflant.
Je lui dis : < Cet été, en Ecosse, je t'éjacules sur les lunettes et je t'emmène promener dans les rue d'Edimbourg ! >. Rires.
< T'es pas chiche ! > me fait elle avant de rajouter : < Ce serait génial. Ma gueule pleine de foutre dans les magasins ! >

Nous en rions de bon cœur. Cela est déjà arrivé à quelques trop rares occasions. Cette fois, le projet est à l'étude. Superbe.
J'aime voir sa langue qui fouille entre la peau de mon prépuce et mon gland violacé ou collent des filaments de vieux frome.
L'odeur est répugnante. Je ne sais pas comment fait Clémentine pour supporter. Mais je sais qu'elle adore ce qui est crade.
Sa langue fait une petite bosse sous la peau. Cela évoque un petit animal. Ou encore la tête d'Estelle sous les draps. Sympa.
Clémentine ouvre la bouche, me montre le bout de sa langue pour me faire voir tout qu'elle a récupéré dans mon intimité.

Elle approche sa bouche de mon nez pour me faire sentir. La même odeur de sandwich au thon périmé que mon Zob puant.
Je lui couvre le visage de bisous. < Je t'aime comme une folle Julien ! > murmure t-elle, se penchant pour se mettre à téter.
J'ai juste le bout de ma bite dans sa bouche. Elle suçote. Elle ouvre parfois les yeux pour me fixer d'un regard amusé. Belle.
Elles sont toujours si belles, si émouvantes et si adorables lorsqu'elles font "ça". Le dénominateur commun d'une passion.
Les joues creusées par l'effort, les yeux fermés, concentrée sur sa pipe, Clémentine pompe en poussant des gémissements.

C'est toujours vertigineux de vivre ces moments d'une indicible proximité, d'une indescriptible complicité amoureuse. Miam.
J'ouvre parfois les yeux pour surprendre les siens ouverts. Elle adore voir l'effet qu'elle produit sur moi. Un effet fantastique.
Je me fais pomper comme un bienheureux. Je lui retire ses lunettes tout doucement. Elle en pousse un râle de ravissement.
Je les pose loin de nous sur le canapé, bien en vue sur le coussin. Je lui caresse le visage. Je chuchote des douceurs. Super.
J'y mêle quelques cochonneries bien senties qui la font rire tout en tétant passionnément. J'évoque une pipe à un inconnu.

Je reviens à la charge avec mon vieux fantasme. Depuis quelques mois, Clémentine partage ce fantasme. Et cela l'amuse.
L'idée de tailler une pipe à un inconnu, dans un endroit insolite, glauque, participe de ses délires comme des miens. Rires.
Nous passerons à l'acte sans doute cet été, en Ecosse. J'attire souvent la tête à Clémentine en sortant Zobi de sa bouche.
Cela lui permet de reposer sa mâchoire et de pouvoir me donner ses impressions. Clémentine adore inventer un scénario.
Elle donne dans la surenchère en imaginant des situations invraisemblables et sans doute irréalisables. C'est très amusant.

Avant de retourner à son pompier juteux, elle dit : < De toutes façons, la réalité est plus surprenante que le fantasme ! >
Nous saurons tirer parti d'une situation que se présentera forcément à nous. Un jour. Un matin. Un après-midi. Une soirée.
A chaque fois que je lui retire la queue de la bouche, il y a d'épais filaments de foutre qui restent en suspend ou qui coulent.
Clémentine tente de laper d'un coup de langue, d'un mouvement de tête, toujours désolée à l'idée d'en perdre une goutte.
Elle en a plein le menton. Avec l'ongle de l'index, je récupère ce que je peux pour lui remettre en bouche. Elle suce le doigt.

Il est 22 h15. Je lui propose de nous terminer en haut, dans la chambre, au lit. Et pourquoi ne pas faire l'amour un peu ?
< J'aime te sucer. J'aime quand tu es en moi. J'aime quand tu me lèches ! Je ne sais jamais quoi choisir ! > s'écrie t-elle.
Nous en rions de bon cœur lorsque je dis : < Il faut donc toujours pratiquer les trois choses et dans un ordre différent ! >
Je l'aide à se relever. Elle a du foutre sur tout le bas du visage. Je le lui montre dans le miroir de la salle de bain. Poilade.
Au lit, je lui bouffe la chatte. Nous faisons l'amour. Je lui offre un cunnilingus d'enfer. Je lui éjacule dans la bouche. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui adorent ces moments d'intimités juteuses avec un homme qui sait les comprendre…

Julien - (Qui adore autant se faire pomper le Zob que de brouter son minou ou encore de pénétrer Clémentine) -

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Un mardi des plus charmants

Hier matin, mardi, c'est l'Allegro Vivace "Mezzanotte" de Haendel qui nous arrache violemment de nos profonds sommeils.
< Il est fou Haendel ! > s'écrie Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur la table de nuit de mon côté.
Il est 5 h55. Quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues sport, on descend.
Nous préparons un solide petit déjeuner que nous apprécions en bavardant. En faisant un vague programme de la journée.
Le mardi après-midi, Clémentine n'a pas cours et s'il fait beau, nous irons randonner. Cela remplace la bicyclette. Sympa.

Il est 6 h25. Nous enfilons nos K-ways. Quelques mouvements d'échauffement et nous voilà a courir d'un rythme rapide.
Un jogging sous un ciel bleu, limpide mais dans une fraîcheur désagréable. Une heure d'un running des plus agréables. Joie.
La douche. je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine qui me rejoint vêtue de son jeans, sweat, veste cuir, bottines.
Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture partir. Je rentre. Je fais notre lit, la vaisselle avant d'aller dans l'atelier.
Je prépare la palette et les pinceaux. Il est 8 h15. Me voilà installé devant mon chevalet. Je peins dans une douce quiétude.

Cette vingt huitième toile destinée à ma saison d'été m'accapare d'une façon étrange. Je peins, pensant à d'autres choses.
La matinée passe à une vitesse vertigineuse. Il est presque midi. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Une belle séance.
Je vais à la cuisine. Dehors il fait beau. Je fais bouillir l'eau pour les coquillettes. Je prépare la pâte à pain. Une Béchamel.
Je coupe le poireau en petits morceaux lorsque Clémentine arrive. Il est 12 h20. Elle me saute au cou, contente de rentrer.
Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Je verse les morceaux de poireaux dans l'eau bouillante. Tout est rapide.

Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement tout en me racontant sa matinée. Et j'égoutte les coquillettes.
Je verse les morceaux de poireaux égouttés dans la Béchamel. J'y rajoute du gruyère de Comté. Je mélange à la cuisson.
J'en récupère un peu comme sauce pour accompagner les coquillettes. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.
Clémentine évoque notre prochain séjour en Vendée. Moins de deux semaines. Nous partons le lundi 27 mai et au matin.
Cinq jours de détente bien méritée. Nous avons tous deux considérablement travaillé. Et cette fois Estelle vient avec nous.

Je promets à Clémentine d'être bien salaud, de me comporter en parfait vicelard et de ne pas baisser la garde. C'est super.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, elle me dit : < Je saurai maintenir tes ardeurs au combat ! >
Nous rions de bon cœur. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns.
Nous nous déshabillons pour nous changer. Clémentine me fait tomber sur le lit. < Je fais un rapide contrôle ! > lance t-elle.
Couchée sur le côté, sa tête posée sur mon ventre, elle hume mon Zob avant de se mettre à me le téter avec gourmandise.

Je chuchote : < Vengeance ! > en retirant ma bite de sa bouche, en la faisant basculer sur le dos, de me mettre à la lécher.
Cela ne dure pas. Nous sommes pressés de filer. Nous mettons nos vieux jeans et nos vieux sweats de randonnée. Parfait.
Accroupie à ma gauche, sa tête contre ma cuisse, tenant ma jambe, Clémentine me fait : < Je vous aime mon"Maître" ! >
Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Je vous aime ma "Soumise" ! >. Nous nous observons dans le miroir. Rituel.
Je sors ma bite afin qu'elle puisse y frotter son visage et sucer à nouveau. Je la force à se redresser. Je masse ses genoux.

Nous dévalons l'escalier en riant. Dans le petit sac à dos, nos K-ways, nos pommes, nos barres de céréale, la bouteille d'eau.
Il faut déplorer ce vent de Nord Est, qui souffle en permanence et qui refroidi tout. Impossible d'apprécier la bicyclette. Dur.
Nous descendons le chemin jusqu'à la rivière. Là, Clémentine me sort la bite en disant : < Tu la gardes dehors. Obligé ! >
Elle s'accroupit une nouvelle fois pour me la sucer. Juste un instant. C'est bien agréable avec ce vent. J'apprécie l'attention.
Nous longeons la rivière. Trois petits kilomètres où je me fais pomper régulièrement. De petits arrêts de quelques secondes.

Nous traversons le pont de pierres, la petite route pour longer le ruisseau. A trois cent mètres des écuries. Il n'y a personne.
Nous nous arrêtons. Dissimulés derrière la cabane en ruine, nous mâtons avec les jumelles. La caravane et l'auto de Gérard.
Pourtant, nous avons beau scruter, l'endroit est désert. < Il est entrain de se faire sucer par Juliette ! > dit Clémentine. Rire.
Je rajoute : < Ou par madame Walter qui le fait si bien ! >. Nous rions de bon cœur. Nous continuons notre balade au soleil.
Dans les endroits bien abrités du vent, il fait presque chaud. Nous nous arrêtons à la maison abandonnée du garde barrière.

Clémentine m'entraîne dans l'enclos. Dans la cabane à outils toujours ouverte et où nous avons baisé il n'y a pas longtemps.
Elle me tient par la bite. Je lui propose de la lui mettre. < J'apprécie de plus en plus de baiser ! > me confie t-elle. C'est bien.
Même si la pipe et le cunnilingus restent ses préférences, Clémentine apprécie de plus en plus de se faire pénétrer. Superbe.
Je pose mon K-ways sur le vieil établi. Clémentine retire son jeans et sa culotte. Je la dépose sur la table de travail. Je lèche.
Les coulées de cyprine sont toujours abondantes chez Clémentine. Je m'introduis avec d'infinies précautions tout de même.

Nous restons immobiles. Clémentine me chuchote des douceurs, parfois incompréhensibles, qu'elle mêle à des cochonneries.
Je donne dans la réplique et dans une surenchère. Je rapplique avec mon vieux fantasme de la voir sucer un parfait inconnu.
Clémentine m'avoue son désir de sucer monsieur Gérard et de baiser avec Pierre encore une fois avant de partir en Ecosse.
Nous bougeons. Nous nous berçons. Nous revenons à l'immobilité. Je l'encourage à le faire deux fois plutôt qu'une. Contente.
< Je t'aime Julien ! Tu me comprends. Tu sais qui je suis. Je t'aime comme une folle ! > s'écrie t-elle. Elle se masturbe. Joie.

N'étant pas vaginale, Clémentine se masturbe tout le temps en baisant. Elle se masturbe d'ailleurs tout le temps sans baiser.
Elle me raconte ses retours de cours, quand elle rentre. Elle n'arrête pas de se branler en roulant doucement avec prudence.

Il faut cesser avant son orgasme. Clémentine apprécie plus que tout de rester excitée pour le reste de la journée. Moi aussi.
Nous reprenons notre promenade. Nous faisons la grande boucle qui passe par le vieux moulin, la chapelle, l'amas rocheux.
Il est 18 h45 lorsque nous revenons à la maison. Nous n'avons croisé personne. La voiture d'Estelle est là, devant le garage.
Elle nous voit arriver depuis la fenêtre de la cuisine. Elle se précipite pour nous faire la bise, se blottir dans mes bras. Bises.
Clémentine s'interpose. Jeu. La Flamiche Picarde, cette délicieuse tarte au poireau qui fait la joie de nos mardis est au four.

Estelle a déjà tout préparé. Nous la remercions pour ses attentions répétées. Elle met sa main dans ma braguette en riant.
Elle me sort la bite. Nous lui racontons notre promenade épique, la baise dans le cabanon, les innombrables petites pipes.
< Salauds que vous êtes tous les deux ! C'est toujours quand je ne suis pas avec ! > fait elle en m'entraînant par la queue.
Elle me fait faire le tour de la table de la cuisine avant de me tirer jusqu'au toilettes. < Il va faire son pipi ! > lance t-elle.
Debout derrière moi, penchée en avant, elle me tient la bite pour en diriger le jet. Clémentine debout devant nous à droite.

Avec l'excitation et la baise, il s'écoule du liquide séminal avec la pisse. Le foutre reste en suspend sous le prépuce. Epais.
< C'est génial ! > fait Estelle en me contournant pour s'accroupir. Clémentine se penche pour observer de plus près. Jute.
Je pisse par petits jets. < C'est super, je peux sentir le flot de pisse. Et à chaque fois ! > s'écrie Estelle comme émerveillée.
Elle ne tarde pas à me pomper après chaque petits jets. < Donne ! > fait Clémentine qui en veut sa part. Elles me sucent.
La sonnerie du four. < Miam ! > fait Estelle qui se redresse la première pour me montrer l'intérieur de sa bouche. Foutre.

Je force Clémentine à se redresser. Nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit. C'est un repas divin.
Estelle nous raconte son après-midi de boulot dans l'entreprise familiale. Et elle mime souvent une masturbation masculine.
Debout, entre deux bouchées, une fourchette à la main, elle imite une branlette vicieuse avec toute la vulgarité coutumière.
Je me lève à chaque fois pour agiter ma bite dégoulinante dans sa direction. Clémentine mime une pipe avec vulgarité aussi.
Je dis : < Je vous lèche et je vous baise toutes les deux après la vaisselle ! >. Estelle vient s'assoir sur mes genoux. Bisous.

Je ne suis pas obligé de le proposer deux fois. Nous faisons notre vaisselle, nous rangeons la cuisine et nous voilà au salon.
Les filles retirent leurs jeans, leurs culottes, se mettent à genoux sur l'épais tapis, les bras en appui sur le bord du canapé.
Elles me présentent leurs culs somptueux. Je me précipite, à quatre pattes pour les bouffer avec un appétit dévoyé. Super.
Celui d'Estelle est évidemment dégoûtant. Je commence toujours par le sien. Je dois surmonter ma répulsion. Ça schlingue.
Je passe à celui de Clémentine. Les filles se touchent, se masturbent en gémissant. C'est si intense. Je bande. Vrai salaud.

< Tu as promis ! > me fait Estelle sans cesser de se masturber et en se couchant sur le dos, relevant ses jambes écartées.
Clémentine s'allonge de la même manière à ses côtés. < Moi d'abord ! J'ai préparé à manger ! > s'écrie Estelle, suppliante.
Je me positionne sur elle, en gardant appui sur mes bras afin de ne pas peser de tout mon poids. Elle s'introduit ma queue.
C'est la toute première fois qu'elle a ce reflexe. Elle n'y met que le bout. Trop étroite. Je fais très attention. Bien immobile.
Clémentine se met à quatre pattes, sans cesser de se masturber pour observer ma queue dans la chatte d'Estelle. Superbe.

Clémentine m'attrape les couilles, passe derrière moi pour me faire le cul. Je sens sa bouche pomper, sa langue me lécher.
Estelle se met à bouger doucement. Je m'introduis davantage. Avec précaution. Elle se suspend à moi et se met à bouger.
Je la baise comme le dernier des salopards. < Aïe ! > ne tarde t-elle pourtant pas à faire en se posant au sol. Je me retire.
Clémentine se couche à nouveau sur le dos pour m'attirer sur elle. Je m'introduis. Et ça rentre presque tout seul. On baise.
Estelle s'offre un orgasme en se contorsionnant de plaisir tout en poussant des gémissements de bonheur. Elle est si belle.

Je baise Clémentine comme l'a fait Pierre mercredi dernier. Je me secoue dans son corps. Une parfaite machine à coudre.
Elle se masturbe en même temps. Elle se met à hurler. Son orgasme est cataclysmique. Et elle me repousse délicatement.
Je suis à peine sorti qu'Estelle se précipite pour me sucer en râlant de plaisir. Je lui éjacule dans la gueule en vrai sournois.
Nous restons ainsi un long moment à reprendre nos esprits. Serrés tous les trois, les filles de chaque côté. C'est le paradis.
Nous raccompagnons Estelle jusqu'à son auto. Séparation difficile. Nous rentrons. Au lit, Clémentine me confie des secrets.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire baiser sur un épais tapis, devant le canapé. Et avec fougue…

Julien - (Baiseur fou, qui offre à Estelle et à Clémentine, les moments les plus délirants de leurs 22 ans) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 14 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 790 -



La visite de Julie en soirée

Hier matin, mercredi, c'est le concerto pour violoncelle de Schumann qui nous arrache du sommeil. C'est cruel et violent.
< Schumann taré ! > s'écrie Clémentine qui me chevauche pour éteindre le réveil posé de mon côté sur la table de nuit.
Quelques bises et nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues de sport, nous descendons jusqu'à la cuisine.
Nous y préparons ce copieux petit déjeuner qui fait la joie de nos matins. Nous mangeons de bon appétit et en bavardant.
6 h25. Nous enfilons nos K-ways pour affronter la fraîcheur et notre heure de jogging. Il nous faut courir d'un bon rythme.

Après ce running des plus agréables nous prenons notre douche. C'est un autre moment exquis. Je redescends le premier.
Je sors la petite auto de Clémentine. Elle est vêtue de ses jeans, d'un sweat, avec sa veste de cuir noir et de ses bottines.
Il est 7 h45. Un dernier bisou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Il fait beau. Il fait frais. Je rentre vite.
Je fais le lit, la vaisselle, puis je vais dans l'atelier. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Je suis assis devant le chevalet.
Il est 8 h15. Je peins animé d'un enthousiasme délirant qui me fait pousser les cris les plus délirants, les plus surréalistes.

La peinture de ce paysage bucolique à deux personnages, des moutons, baigné d'une extraordinaire lumière, m'enchante.
Je situe la scène dans une fin de journée d'été, juste avant un orage. Ce qui me permet des nuages savamment distribués.
Il est aux environs de 10 h lorsque la stupide musique de mon smartphone résonne au fond de la poche de ma blouse. Lin.
C'est Juliette. Après quelques civilités d'usage, elle en arrive à ce qui motive son appel. Notre absence ce soir pour le repas.
Le sexe aussi. Juliette prend toujours un malin plaisir à m'allumer avec d'invraisemblables et improbables histoires salaces.

Pourtant je sais que tout cela est bien réel. Juliette évoque la pipe qu'elle a encore taillé à monsieur Gérard vendredi dernier.
Elle raconte sa baise de samedi soir avec Pierre sous les yeux de sa compagne, madame Walter. Et avec un luxe de détails.
Nous bavardons sur mode "haut parleur", ce qui me permet de peindre en même temps. J'écoute davantage que je ne parle.
J'en arrive au fameux trou dans la cloison qui sépare le dernier box du local bureau, dans l'écurie. Nous rions de bon cœur.
< Ce trou aura suscité bien des fantasmes ! > fait Juliette. Celui de Clémentine. Je propose d'envisager un "plan" pour elle.

En effet, Clémentine aimerait sucer Gérard et baiser avec Pierre avant notre départ pour l'Ecosse, le samedi 29 juin. Super.
< J'ai très largement le temps de goupiller un truc ! J'en parle aux intéressés ! > me lance Juliette. Nous rions de bon cœur.
La conversation dure une bonne demi heure. Nous nous saluons. Nous raccrochons. Je bande comme le dernier des salauds.
J'aime peindre en érection. Surtout en pensant à Juliette, cette belle coquine intrigante, bourgeoise vicieuse et imaginative.
Pour un homme, quoi de plus sublime que d'être entouré de femmes pleines d'imagination, capables d'initiatives. Fabuleux.

Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je fais une pâte à pain, je fais cuire de la courgette, de l'aubergine, des carottes.
Ce sera pour la tarte de ce soir. Je lave les feuilles d'une belle scarole. Il y en aura également pour ce soir. Je fais du riz bio.
Avec le riz complet, je récupère un peu de garniture dans laquelle je rajoute de l'émincé de cabillaud. Et je râpe du gruyère.
Tout est rapide. Je mange de bon appétit. La vaisselle. Je range la cuisine. Je sors faire quelques pas. Il fait beau. Le soleil.
Il y a toujours ce vent de Nord Est qui aura participé à pourrir ce printemps. Je fais le tour de la propriété. J'apprécie. Bien.

Il est 13 h15 lorsque je suis à nouveau installé devant mon chevalet. Rapidement absorbé par ma passion dévorante. Joie.
Du bruit. Il est déjà 16 h20. Clémentine entre dans l'atelier. Elle se précipite vers moi tout en jetant son sac dans le canapé.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les profs, les cours, le menu du restaurant universitaire. C'est superbe.
Clémentine a encore du travail. Il lui faut mettre la dernière touche à l'écrit pour vendredi matin. C'est le support à son oral.
Nous sommes tous les deux investis dans nos passions. Des séquences de silence. Parfois Clémentine imite un de mes cris.

Je lui raconte le coup de téléphone de Juliette. Les sujets de conversation. Le trou dans le mur. La bite à Gérard et à Pierre.
Clémentine écoute en silence. Tout cela l'enchante et l'excite. Juliette s'est engagée à préparer un plan pipe, un plan baise.
Il est 18 h45 lorsque nous cessons de travailler. Je nettoie mon matériel. Clémentine lit son écrit à haute voix. C'est super.
Debout au milieu de la grande pièce, sa feuille à la main, un peu à la façon d'une actrice de théâtre, elle déclame son texte.
J'applaudis. Son développement est parfait, intelligible. L'énoncé est clair et compréhensible. Et elle devra peaufiner demain.

Nous quittons l'atelier. Clémentine se serre contre moi. < Tu seras le roi des salauds ce soir avec Julie ! > me fait elle. Rire.
Je promets de faire de mon mieux. Je prépare la tarte aux légumes. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade.
Nous bavardons. Clémentine me raconte sa masturbation dans la voiture, en rentrant de cours. Mais elle roule prudemment.
Je glisse ma main dans son jeans, dans sa culotte. C'est humide. Je renifle mes doigts. Elle veut sentir aussi. Odeurs de fille.
La tarte est au four. Nous mettons la table au salon. Il est 19 h15. Nous sortons. Nous faisons quelques pas au dehors. Joie.

Le ciel est couvert mais lumineux. Il fait presque doux. J'ai la bite à l'air. Clémentine me la tient pour m'entraîner en riant.
Je bande comme un affreux saligaud. Dans la serre, Clémentine, penchée en avant, me suce avec délice. Du jus de couilles.
Avec mon excitation de ce matin, ma bite a macéré au fond de son slip tout la journée. De quoi régaler une vraie pipeuse.
Nous rentrons. Nous montons nous changer. Clémentine porte une de ses jupes carmin. Je porte un pantalon à pinces. Lin.
Nous avons tous deux une chemise blanche. < Fais voir l'effet ! > me fait Clémentine en sortant ma queue devant le miroir.

Nous descendons juste à temps. Trois coups de sonnette. Clémentine va ouvrir. Elle revient avec Julie souriante et contente.
Julie me serre la main. Elle a un regard sur ma braguette, sur l'énorme bosse. J'ai la bite coincée entre l'élastique du slibard.
Je fais bouger mon doigt dans la paume de sa main. Elle la retire prestement. Je laisse les filles car il y a la sonnerie du four.
A la cuisine, je ne sors pas seulement la tarte du four, mais je sors également Le Zob. J'entretiens l'érection en me branlant.
Je regarde. Un sixième sens. Clémentine et Julie sont dans l'encadrement de la porte à m'observer silencieusement. Super.

Toutes les deux, les bras croisés, me regarde. Julie est souriante. Clémentine me fait un clin d'œil. J'agite ma bite. Vulgaire.
Je la secoue en la tenant à sa base, entre le pouce et l'index, dans la direction de Julie. Elle a une attitude très gênée. Bien.
Je sais que c'est une "joueuse". Comme le précise souvent Clémentine, ces situations ont tout pour lui plaire. Elle les désire.
Je propose aux filles de passer à table. Je fais le service. J'arrive au salon avec la tarte et avec ma queue fièrement dressée.
Julie ne cesse de se contorsionner sur sa chaise pour observer. Je cherche le grand saladier. Nous voilà installés à bavarder.

Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent leurs études. Julie passe sa Licence de Lettres. Et cela se déroule en juin.
Une appréhension. Cet été, en plus du service en soirée dans le restaurant de sa tante, elle fera la caissière à l'hypermarché.
Je me branle de la main gauche sous la table tout en manipulant ma fourchette de la main droite. La jeune fille mâte. Super.
Parfois, elle se penche pour regarder sous la table. Elle se redresse avec un regard en coin et me fixe vicieusement. Sublime.
Clémentine me fait à chaque fois un clin d'œil. Je débarrasse. Je bande mou. Je reviens avec les coupes glacées. Le dessert.

Je suis debout devant Julie, de l'autre côté de la table. Je me branle doucement en demandant : < Tu veux sucer quand ? >
La jeune fille, estomaquée par ma question pertinente ne répond pas. Je propose une pipe dans la bagnole, un de ces soirs.
Je dis : < Je suis au volant. Clémentine est assise à l'arrière. Tu es installée à mes côtés. Tu suces quand bon te semble ! >
Cette proposition suscite un grand intérêt chez la jeune fille. Elle mâte ma branlette. Puis elle essaie de soutenir mon regard.
< Intéressant ! > lâche t-elle au bout d'un long moment. Sa réponse soulage un peu l'ambiance. Nous respirons à nouveau.

Nous savourons nos coupes glacées. Clémentine parle de sa première année de Doctorat qui s'achève. Encore trois années.
Je bande mou. Je me lève. Je saisis la coupe vide. Large et profonde, pouvant contenir jusqu'à six énormes boules de glace.
Je pose ma bite sur le bord. Les filles regardent en silence, retenant leurs respirations et concentrées sur ce que je prépare.
Je lâche un tout petit jet de pisse que je contrôle parfaitement. Je fixe Julie qui évite de croiser mon regard. Elle est gênée.
J'agite ma bite pour faire tomber les gouttes. Je lâche un nouveau jet. Je dis à Julie : < Tu vois ça dans les WC parfois ! >

Julie nous a déjà raconté les vicelards qu'elle surprend quelquefois dans les toilettes du restaurant. Dont moi à chaque fois.
< Jamais aussi franchement. Et ça, c'est la première fois ! > me répond t-elle. Je me branle en pissant. Je contraint le Zob.
Pas question d'en mettre à côté. Les respirations des filles sont entrecoupées d'apnées nombreuses. Je les entends souffler.
Je rajoute : < Julie. Tu réfléchis à ma proposition. Je crois qu'une première pipe, ce serait bien en voiture, tous les trois ! >
Bien évidemment, avec la présence de Clémentine, les choses sont beaucoup plus simples. Entre filles du même âge. Bien.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est déjà 22 h. Julie a cours demain matin, travaille demain soir et 13 km à faire.
Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Nous promettons de venir manger au restaurant vendredi soir. Réjouissances.
Je rajoute : < Et on vient chercher ta réponse ! >. Julie baisse les yeux en disant : < Je vais voir. Et je vais y réfléchir ! >
Nous rentrons. Au lit, nous faisons l'amour. Clémentine me confie ses ressentis. < Ta proposition l'a enchanté ! Certain ! >
Je lui offre un cunnilingus qui la propulse dans un orgasme fantastique. Je propose de remettre la pipe à demain. Le dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment être invitées chez un couple dont le mec est un véritable paillard vicieux…

Julien - (Qui fait confiance à Clémentine. Il est certain que Julie va y penser tout le temps. En se masturbant sans doute) -

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Nous racontons mes "exploits" à Estelle

Hier matin, jeudi, c'est la Symphonie Pastorale d'André Gide qui nous tire du sommeil. Et non sans une certaine violence.
< Ta gueule Dédé ! > s'écrie Clémentine, me chevauchant pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit.
De rapides papouilles et nous filons aux toilettes. Vêtus de nos tenues sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.
Nous préparons notre copieux petit déjeuner que nous savourons tout en évoquant la soirée de hier, avec la visite de Julie.
Nous rions de bon cœur de certaines séquences et de l'attitude de la jeune fille qui s'est beaucoup amusé aussi. La coquine.

6 h25. Nous mettons nos K-ways pour affronter la fraîcheur et notre jogging matinal, quotidien. Quelques échauffements.
Nous voilà à courir d'un bon rythme. C'est très rapidement agréable. Une heure d'un running gratifiant. Le retour. Douche.
Je descends le premier. Je sors la petite auto de Clémentine. Elle me rejoint. Il fait beau. Le ciel est bleu. Mais il fait frais.
Un dernier bisou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer. Je fais le lit et la vaisselle.
Je vais dans l'atelier. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 8 h15. Me voilà installé devant mon chevalet. Superbe.

Je peins dans une sorte d'euphorie qui me fait moduler longuement les cris les plus surréalistes et borborygmes délirants.
Il faut me voir me lever, faire la danse du guerrier Sioux autour du chevalet à chaque coup de pinceau plus sublime. Joie.
Il est aux environs de 10 h lorsque la stupide musique de mon smartphone résonne au fond de la poche de ma blouse. Lin.
Je décroche. Quelle surprise. C'est Julie. La jeune fille me remercie pour la soirée de hier. < C'était génial ! > précise t-elle.
Je lui confirme que nous viendrons manger vendredi. J'en profite pour réserver une table. 19 h45. < C'est noté ! > dit telle.

Julie n'entre dans aucun détail et se contente de donner ses impressions. Repas délicieux, compagnie conviviale et sympa.
Je respecte sa pudeur sans évoquer mon attitude et mon comportement. Nous bavardons en mode "haut-parleur". Parfait.
Julie est en pose entre un cours et la salle de documentation où elle va se rendre. Je lui propose de nous quitter. Le travail.
Rendez-vous est pris pour demain soir vendredi au restaurant de l'étang. Je continue ma peinture en pensant à Julie. Bien.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je lave les feuilles d'une belle salade. Je fais bouillir l'eau de mes spaghettis.

Je prépare la pâte à pain des pizzas de ce soir. Autre rituel de nos jeudis soirs. Je concocte la garniture. Tomates fraîches.
De l'ail, de l'oignon, de la ciboulette, du persil et des champignons finement coupés. Je touille longuement avec la spatule.
J'égoutte les spaghettis. Je récupère un peu de garniture comme sauce. Je râpe du Parmesan. Et je mange de bon appétit.
La pâte à pain repose sous un linge. La garniture repose sous un couvercle. La salade est lavée. Pour ce soir tout est prêt.
Je fais la vaisselle. Je range la cuisine. Je sors. Je fais le tour de la propriété. L'entreprise paysagiste intervient début juin.

Ce vent souvent à décorner les bœufs qui a soufflé tous ces derniers jours, a achevé de casser toutes les branches mortes.
Il y en a plein qui jonchent le sol. Il faut sans cesse les éviter en marchant. Au potager, les premières tomates et poireaux.
Ils sont encore au stade de la pousse. Il faudrait de la chaleur et du soleil. Je rentre. Il est 13 h15. Je retourne à l'atelier.
Confortablement assis devant mon chevalet, j'attaque la seconde séance de la journée. Dans le même état d'esprit fécond.
Ce paysage sera sans doute terminé en début de matinée, demain. C'est animé de cette certitude que je travaille, joyeux.

Du bruit. Il est déjà 16 h20. Clémentine entre dans l'atelier pour se précipiter vers moi en s'écriant : < Tu m'as manqué ! >
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les profs, les cours, le menu du restaurant universitaire. C'est si bien.
Assise devant l'ordinateur, Clémentine met la dernière main à son écrit. Elle m'en lit souvent les passages remaniés. Super.
Debout au milieu de la pièce, tournant autour de moi, tenant sa feuille, telle une actrice de théâtre, elle déclame. Fameux.
J'écoute tout en peignant. C'est vraiment très agréable. C'est un entrainement pour son oral de demain matin. Bon boulot.

Il est 18 h15 lorsqu'Estelle arrive à son tour. Assise sur mes genoux elle me pose des questions quand à la visite de Julie.
< Clémentine m'a raconté. Tu t'es encore surpassé, espèce de vieux salaud ! > me fait Estelle. Nous en rions de bon cœur.
La coquine me demande de tout reproduire ce soir. Faire comme si elle était Julie. Clémentine propose un autre scénario.
< Et si tu étais une parfaite inconnue, en visite chez un pervers ? > dit Clémentine à Estelle qui s'écrie : < Oui, génial ! >
Les filles comparent leurs écrits. Toutes les deux, à tour de rôle, exposent et développent leurs textes à haute voix. Super.

Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Il est déjà 18 h45. Les filles rangent leurs affaires. Nous quittons l'atelier. On sort.
Nous faisons quelques pas à l'extérieur. Comme tous les jours à la même heure, le ciel est couvert de nuages gris. Lourds.
Les filles évoquent l'oral qui les attend demain matin devant un jury de cinq étudiants. Tout va bien se passer. Rassurées.
Nous rentrons. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade. Estelle travaille la pâte. Je réchauffe la garniture. Organisés.
Estelle s'amuse beaucoup à me toucher la bite avec ses mains enfarinées. C'est son nouveau petit jeu. J'en ai plein. Rires.

< Un bon maître cuisinier se doit de l'avoir pleine de farine pour en faire profiter son marmiton ! > fait Estelle en rigolant.
Les pizzas sont au four. < Tu interprètes un inconnu pervers à qui je viens rendre visite , > me demande Estelle, sérieuse.
Je ne sais pas trop comment jouer ce rôle. C'est l'imagination fertile de Clémentine qui propose une histoire passionnante.
Estelle est une visiteuse qui vient sonner pour une tombola étudiante. Voilà le début d'un scénario épique, fort réjouissant.
Estelle se précipite à l'extérieur. Clémentine se cache dans le salon, entre la bibliothèque et l'horloge Westminster. Super.

Trois coups de sonnette. Je vais ouvrir. < Bonsoir monsieur, je fais une quête pour une tombola ! > me fait la jeune fille.
Je dis : < Mais entrez donc charmante demoiselle ! >. Estelle fixe ma braguette avant de me suivre au salon. La politesse.
Je l'invite à prendre place sur le canapé. Je suis dans le fauteuil. Les capacités d'improvisation d'Estelle sont remarquables.
Je ne tarde pas à me toucher discrètement tout en écoutant l'improvisation assez réaliste d'Estelle qui joue à la perfection.
Je sors ma bite. Il y a encore de la farine. Ce jeu m'excite. Je bande d'une belle et élégante manière. Un vrai chibre. Dur.

< Mais vous êtes fou ! Que faites vous là, espèce de vicieux ! > s'écrie soudain Estelle en se levant, jouant la fille outrée.
Elle se précipite vers la porte. Je dis : < Attendez, c'était pour rire ! >. Estelle fait : < Pour rire ? Espèce de vieux sale ! >
Et elle s'enfuit à toute vitesse. Clémentine, une main dans son jeans vient me rejoindre en disant : < C'était parfait ! >
Estelle revient en riant. < Ça, c'est le sujet de notre prochain film porno ! > fait elle. Et Clémentine rajoute : < Génial ! >
La sonnerie du four. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit. Pizzas sublimes.

Cette petite scène d'anticipation a tellement passionné les filles qu'elles sont déjà à mettre au point un vrai scénario. Joie.
Il est décidé de tourner ce film de fiction dès samedi soir. Estelle interprète le rôle de la jeune innocente, moi, le pervers.
Clémentine filme l'histoire sans s'y mêler. < C'est tout simplement divin ! > lance Estelle en mimant une branle masculine.
< Tu seras très bien dans le rôle du vieux satyre ! > me fait Estelle en venant s'assoir sur mes genoux. Et elle argumente.
Clémentine lui dit : < Toi, tu seras parfaite dans le rôle de la petite ingénue innocente. Tu l'as tellement joué au début ! >

Les filles, pleines d'une imagination étonnante lorsqu'il est question de déviances sexuelles, mettent le scénario au point.
J'écoute avec enchantement les développements successifs, les mises en scènes et les différentes déclinaisons possibles.
Elles redoublent toutes les deux d'une imagination débordante. Surtout Clémentine qui est une grande spécialiste du vice.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Tout ça nous a considérablement excités. Je propose un léchage de minou. Salon.
Je ne suis pas obligé de le suggérer deux fois. Les filles m'entraînent au salon, retirent leurs jeans, leurs culottes. Rapides.

Les voilà à quatre pattes sur l'épais tapis, les coudes en appui sur le canapé à me présenter leurs culs merveilleux. Super.
Je me mets à quatre pattes derrière Estelle. Je commence par elle. J'écarte ses fesses pour aller renifler sa journée de fille.
Je lui fais : < Bonsoir Mlle Schlinguette ! >. J'apprécie le côté "fille négligée" d'Estelle dont l'hygiène intime est redoutable.
Là, ce soir, c'est carrément "Beurk". J'en ai la nausée. Pourtant, cela m'excite de plus en plus. Je lui bouffe le cul. Gerbeux.
Je passe à celui de Clémentine. Pendant que je m'applique à leurs nettoyer le cul, les filles se masturbent. Et en gémissant.

Comme à chaque fois, je me couche sur le dos pour passer ma tête entre leurs cuisses afin qu'elles puissent bien se frotter.
Rien ne les excite davantage dans ces moments d'égarement divin que de frotter leurs sexes sur mon visage. C'est génial.
Même si elles m'écrasent le pif à tour de rôle, cela reste un acceptable moment de "grâce". Je bande de façon effroyable.
Estelle est la première à connaître un orgasme fou. Elle m'a bien juté sur la gueule avant. Et je bouffe tout ce que je peux.
Estelle tombe sur le côté, les cuisses serrées sur ses mains en poussant un long râle de plaisir, le corps secoué de spasmes.

C'est au tour de Clémentine. Je prends mes précautions, prêt à m'écarter immédiatement. Car elle va certainement pisser.
Je fais bien. Son orgasme est un véritable cataclysme. Une catastrophe écologique. Elle mouille partout. Un tsunami. Pluie.
Estelle observe ce curieux phénomène climatique avec la même attention que moi. Heureusement j'ai replié le tapis. Ouf !
C'est l'inondation. Clémentine reprend ses esprits, se redresse péniblement. < On se fait vieille ! > lui lance Estelle. Rires.
Clémentine se précipite aux toilettes pour en ramener le seau, la serpillère et le balai brosse. Nous la regardons essuyer.

Estelle me renifle la bouche avant de me dire : < Pauvre Julien plein de foutrine. Sans parler de l'odeur de cramouilles ! >
Nous rigolons comme des bossus. Je suis debout, entre les jambes d'Estelle assise sur le canapé. Je frotte mon Zob. Joie.
Elle me présente toute la surface de son visage d'ange afin que je puisse bien le maculer de liquide séminal épais, juteux.
A chaque fois qu'elle ouvre la bouche pour tenter de le gober, je l'en empêche en détournant ma bite. < Salaud ! > dit elle.
Nous nous amusons ainsi un long moment. Clémentine est assise à côté d'Estelle pour regarder ce que je fais. C'est super.

Sans prévenir, je saisis Clémentine par la tignasse, fermement, pour lui frotter la bite sur la gueule. Surprise, elle en gémit.
Je leurs chuchote de véritables saloperies. Des cochonneries qui les font glousser. Je tiens Estelle de la même façon. Et fort.
Je laisse Clémentine gober mon sexe. Je bouge doucement pour me masturber dans sa bouche. Estelle me regarde. Joie.
Elle me fixe. Elle adore voir mes expressions dans les moments les plus vicieux. Et j'éjacule dans la bouche de Clémentine.
Il est 22 h15. Nous raccompagnons Estelle à son auto. La séparation difficile. Au lit, Clémentine me confie quelques secrets.

Bonne soirée à toutes les coquines qui adorent se faire lécher le minou et mettre au point le scénario d'un film privé…

Julien - (Qui se promet d'être dans le rôle du pervers avec tout le soin nécessaire pour être l'acteur parfait du film) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 16 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 792 -



Un vendredi riche d'aventures

Hier matin, vendredi, nous nous réveillons tous deux en même temps juste avant que ne résonne la musique. C'est mieux.
Quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes. Clémentine termine à midi. Et cette idée la rend d'humeur joyeuse.
Vêtus de nos tenues sport, nous descendons à la cuisine pour y préparer notre petit déjeuner que nous savourons. Superbe.
6 h25. Nous enfilons nos K-ways. Ce matin, il fait beaucoup plus doux. Quelques mouvement d'échauffement. Le jogging.
Nous courons d'un bon rythme. Une heure. Retour pour 7 h25. La douche. Je descends sortir la petite auto de Clémentine.

Il fait beau et il y a du soleil. Un dernier coucou. Je regarde la voiture s'en aller. Je rentre. Je fais notre lit et notre vaisselle.
Je vais dans l'atelier. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 8 h15. Je suis confortablement assis devant le chevalet.
Je termine ce matin la peinture de la vingt huitième toile destinée à ma saison d'été. Je peins dans une euphorie délirante.
Il est 9 h30 lorsque je dépose la dernière touche du plus fin de mes pinceaux en poils de martre. Beau paysage bucolique.
Je pose la toile sur le second chevalet. Dehors un bruit. Je vais à la fenêtre. C'est la livraison du bois de chauffage. Parfait.

Douze stères coupées en 33 cm qu'empilent deux employés de l'entreprise paysagiste. Sous l'auvent et côté Est du garage.
Je pose une toile vierge sur le chevalet afin de commencer le dessin préparatoire de la vingt neuvième toile. Nature morte.
Je travaille ainsi jusqu'aux environs de 11 h45. Le dessin est terminé. Parfait comme d'habitude. Et déjà une œuvre en soi.
Je prépare l'acrylique "Terre de Sienne" pour les deux couches d'impression qu'aime à appliquer Clémentine. Tout est prêt.
Je sors pour aller voir comment le bois a été rangé. C'est parfait. Empilé sur 1,50m sur toute la longueur et derrière l'autre.

Par précaution, j'anticipe toujours. Il y a là du bois pour trois hivers. Je fais un tour au potager. Les légumes qui poussent.
Le ciel est d'un bleu limpide. Il n'y a plus de vent. Le climat est étrangement doux. Nous avions oublié le printemps. Super.
Je rentre. Je fais gonfler du riz complet. Je lave les tomates pour la salade. Je concocte une sauce au Roquefort. Un coulis.
Aubergine et courgette que je coupe en fines tranches que je fais rissoler avec des champignons. Ail, oignon et ciboulette.
Il est 12 h20. Clémentine rentre. Elle me saute au cou en s'écriant : < Week-end ! >. Je la soulève pour la faire tournoyer.
Elle me couvre le visage de bises. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade en me racontant sa matinée. Joie.

Son oral s'est bien passé. Avec félicitations des professeurs. Puis elle a fait partie du jury pour écouter d'autres étudiants.
Ces simulations de présentation de thèses sont notées pour le Doctorat d'ici trois ans. C'est à la fois ludique mais sérieux.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Plus qu'une semaine de cours avant une semaine de vacances. Sympa.
Clémentine propose une randonnée pour cet après-midi. Le petit lac et les ruines du vieux château. Une super suggestion.
Il y a quelques nuages qui commencent à s'accumuler. Partir à bicyclette ne serait peut-être pas prudent. Il faut être sage.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Ambiance.
Comme chaque début de Week-end, c'est la fête. Nous nous changeons. Jeans et sweats de randonnée. Pressés de partir.
Accroupie à ma gauche, sa tête en appui sur ma cuisse, me tenant la jambe, Clémentine fait : < Je vous aime "Maître" ! >
Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Je vous aime, ma délicieuse "Soumise" ! >. Je sors ma bite. Elle s'y frotte.
Elle suce un peu en s'observant dans le miroir de l'armoire. Je la force à cesser en la relevant par les cheveux noués. Natte.

Nous rions de bon cœur de ce rituel qui nous amuse tant. Dans un grand sachet, nous mettons des vêtements de change.
Jeans propres. Sweats noirs de coton fin. Soigneusement pliés. Baskets. Comme nous allons au restaurant, il faut prévoir.
Dans le petit sac à dos, K-ways, pommes, barres de céréale, bouteille d'eau, la minuscule paire de jumelles qui grossi 8 x.
Il est 13 h30. Nous voilà en route pour la région des collines. 25 petits kilomètres. Je roule doucement. Et le ciel se couvre.
Ce sont des nuages cotonneux mais nullement menaçants. Clémentine joue avec ma queue tout en évoquant les vacances.

Nous arrivons sur le parking. Il y a quelques voitures. Il y a encore du monde au restaurant, là-bas, de l'autre côté. 13 h50.
Nous changeons de godasses. Je porte le petit sac à dos. Il fait très doux. Pas de vent. Nous traversons le parking. Parfait.
Nous montons l'étroit sentier. Clémentine marche devant. Nous croisons quelques marcheurs. Des couples ou des séniors.
Je suis prié de garder ma queue accessible pour les caprices de Clémentine qui exige de l'avoir le plus souvent à disposition.
Il me faut donc ruser et anticiper. Dès qu'il y a quelqu'un, je me tourne pour faire semblant de consulter la carte. Stratège.

Le sentier qui monte à flanc de colline permet une vue majestueuse sur la région. Les petites vallées. Sur le lac tout en bas.
Ses eaux noires reflètent les nuages qui s'amoncellent dans un ciel moiré de gris. C'est une vision fantastique. Magnifique.
Souvent je tiens la natte à Clémentine lorsque le chemin permet de marcher côte à côte. Nous croisons ainsi quelques gens.
Ce jeu nous amuse. De ma main libre, je place la carte devant mon sexe que je n'ai pas toujours le temps de bien remballer.
Nous arrivons aux ruines du château. Nous avons déjà vécu là de sulfureuses situations. Nous espérons une belle surprise.

Les marcheurs du vendredi ne sont pas les mêmes que ceux du Week-end. C'est donc un plaisir d'être ici, au calme. Silence.
Nous faisons le tour de l'enceinte intérieure. Il n'y a pas d'opportunité. Nous montons sur la partie accessible des remparts.
< Regarde ! > me fait Clémentine en montrant la jeune femme blonde qui semble monter seule le long du sentier. Grande.
< Viens ! > dit Clémentine en m'entraînant par la main. Nous descendons vers les escaliers du donjon. Nous les gravissons.
Là, dans l'anfractuosité d'une des portes condamnées, Clémentine sort ma bite, s'accroupit et se met à me tailler une pipe.

Je suis terriblement gêné. Profondément troublé. La jeune femme blonde passe sous l'arche de la poterne. Et elle nous voit.
Impossible de ne pas tomber sur ce spectacle. Clémentine lui tourne le dos. Elle lève les yeux, s'arrête et me fait un sourire.
Une dizaine de mètres nous séparent de la marcheuse. Elle est vêtue d'un leggings noir, d'un sweat, porte un petit sac à dos.
Elle ne paraît pas du tout gênée. Après un temps d'arrêt, elle continue sa promenade en entrant dans l'enceinte du château.
Elle fait des photos. < Alors ? C'était comment ? > me demande Clémentine en cessant sa pipe pour se redresser. C'est fou.

Je lui raconte mes émotions, la sensation, l'impossibilité de me concentrer. Nous rigolons comme des bossus. Elle se penche.
Clémentine récupère la perle opalescente de liquide séminale qui luit au bout de mon méat légèrement décalotté. Je bande.
Nous continuons notre balade. Nous quittons la cour du château pour reprendre le sentier qui descend vers le lac. Superbe.
Nous nous retournons à plusieurs reprises pour regarder les ruines. Avec cette luminosité et ce ciel gris, c'est fantomatique.
Nous tentons d'apercevoir la jeune femme. Quelle émotion de croiser son regard, la bite à l'air, en me faisant sucer. Génial !

Nous faisons le tour du lac. Cette randonnée que nous connaissons bien, est tellement belle. Toujours source de surprises.
Je dis à Clémentine que j'aimerai bien vivre une situation identique. Hélas, aucune opportunité ne se présente. Dommage.
< On va se préparer ce genre de "plan" pour l'Ecosse. Comme ça, toi aussi tu as des opportunités d'exhibes ! > me dit elle.
Clémentine rajoute : < Pour une promeneuse, de tomber sur ce genre de situation, donne l'illusion d'être plus légitime ! >
A bien y penser, c'est vrai. Cette forme d'exhibition est beaucoup plus raffinée et ne met pas la voyeuse dans l'inconfort.

Nous arrivons à la voiture. Il est 19 h. Nous nous changeons rapidement. Nous voilà plus élégants. Je roule prudemment.
Clémentine joue avec ma bite tout en imaginant quelques situations de la nature de celle que nous avons vécu au château.
< On va en faire une "spécialité" ! Afin que tu puisses avoir quelques plaisirs de cette nature ! > me fait Clémentine. Bien.
Nous arrivons au restaurant de l'étang pour 19 h45. Pile à l'heure. Je bande comme le dernier des salauds. Et je remballe.
Julie vient nous accueillir dès notre entrée dans l'établissement. Elle est toutes souriante et visiblement très contente. Joie.

Elle nous invite à la suivre. Elle nous a réservé la table habituelle. Légèrement à l'écart, près du comptoir et des escaliers.
Il n'y a pas trop de monde. Quelques couples attablés. Il fait encore jour mais les bougies sur les tables qui sont allumées.
Cela participe de cette ambiance particulière à ce lieu réputé et très bien fréquenté. Julie bavarde un peu avec nous. Bien.
Sa tante, derrière le comptoir, fait de fréquentes allées et venues entre les cuisines et la salle. Nous choisissons le menu.
Ce seront deux plateaux de fruits de mer. Nous mangeons avec un appétit féroce. La randonnée affame le brave marcheur.

< Allume ton smartphone aux chiottes, je veux entendre la nature de votre conversation ! Et voir ! > me fait Clémentine.
Je profite du passage de Julie portant deux assiettes pour me lever, lui faire un clin d'œil et descendre les escaliers. WC.
Je n'y suis pas deux minutes, la bite à la main, entrain de me masturber doucement, que la jeune fille me rejoint très vite.
J'ai posé mon smartphone sur la tablette sous le miroir, au dessus du lavabo. Ainsi Clémentine peut tout voir sur le sien.
Julie entre dans les toilettes homme. Elle me fait un grand sourire. J'agite ma queue dans sa direction. Elle me regarde.

Quelle surprise. Elle mime une fellation. La main fermée qui tourne devant sa bouche. Et elle fait une bosse dans sa joue.
Julie me lance soudain : < Dimanche après-midi, je ferai volontiers un tour en voiture ! >. Je comprends immédiatement.
Le geste, l'invitation, pas de doute. Ce que nous attendons depuis quelques mois, va peut-être se concrétiser ce dimanche.
Julie n'attend pas ma réponse. Elle file à toute vitesse pour rejoindre son service. Et je l'entends courir dans les escaliers.
Je regarde le smartphone, je fais un clin d'œil. Je me branle avec vulgarité. Je sais que Clémentine, là-haut, me regarde.

< Les choses sont claires ! > fait Clémentine lorsque je la rejoins. Il suffit de régler quelques modalités. Fixer le rencard.
Julie vient débarrasser la table. Je lui dis : < Dimanche, dans la petite église du bourg, 14 h30 ! >. < 15 h ! > me dit Julie.
< Ok ! > fait Clémentine. L'addition. Julie nous raccompagne jusqu'à la porte. Nous sommes dehors, en haut de l'escalier.
< Enfin ! > fait Clémentine. < Enfin ! > répond Julie en regardant ma biroute que j'agite sous la lumière discrète du porche.
Nous rentrons. Au lit, on baise un peu. Clémentine me donne ses impressions. Je lui offre un sublime cunnilingus. Le dodo.

Bonne après-midi d'exhibe à toutes les coquines qui aiment sucer leur mec, en se faisant surprendre par une inconnue…

Julien - ( Qui, sur la demande de Clémentine, ne va plus se laver la bite jusqu'à dimanche pour offrir le meilleur à Julie) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 17 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 793 -



Un samedi ensoleillé et plutôt agréable

Hier matin, il est 7 h30 lorsque nous nous réveillons en même temps. Nous nous blottissons fort, l'un contre l'autre. Bises.
C'est si bien d'être tous les deux. Nos effusions de tendresse sont hélas de courte durée. L'envie de pisser y met un terme.
Nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues sport nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. Et morts de faim.
Nous nous préparons un de ces petits déjeuner qui font la joie de nos matinées. Nous mangeons de bon appétit. Délicieux.
Nous faisons un vague programme de la journée. Dehors il fait beau. Le soleil est maître absolu d'un ciel totalement bleu.

La vaisselle. Nous enfilons nos K-ways pour nous offrir notre jogging quotidien. Il fait bien plus doux que les autres jours.
Quelques mouvements d'échauffement et nous voilà à courir sur des chemins à peine humides et pour la plupart déjà secs.
Une heure d'un running des plus agréables, nous voilà de retour pour 9 h. La douche. Nous prenons notre temps. Samedi.
Clémentine peut enfin mettre une de ses jupes carmin, légèrement évasée au dessus du genoux. Un fin pull de coton noir.
Ses souliers de villes à légers talons. Sur sa demande, je porte un pantalon de lin clair, chemise crème et mocassins bruns.

< Regarde comme on est beaux ! > me fait Clémentine en m'entraînant devant le miroir de l'armoire. Serrée contre moi.
Elle rajoute : < Je t'aime, mais je suis aussi amoureuse de toi. Méfie toi ! >. Nous rions de bon cœur. Je dis : < Idem ! >
Nous dévalons l'escalier. Nous mettons nos vestes légères. Nous prenons nos sacs et la glacière. Et nous voilà en voiture.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite. Trois petits kilomètres jusqu'au bourg pour y faire notre marché. Joie.
Il y a du monde. Je gare la voiture sur le parking. Clémentine branche la glacière sur l'allume cigare. Je prends nos sacs.

Nous faisons provisions de fruits et de légumes chez nos artisans et agriculteurs locaux. Nous avons un bon mot avec eux.
Clémentine attire mon attention sur le nombre de jeunes femmes en jupes. Pas de doute. Le printemps est enfin de retour.
Nous faisons provisions de yaourts, d'œufs, de beurre, de crème fraîche et de nos fromages chez notre revendeur habituel.
De retour à la voiture, nous mettons les produits frais dans la glacière. Direction la zone commerciale. 13 petits kilomètres.
A nouveau, je roule avec la bite à l'air. Clémentine me donne ses impressions sur la conduite de Julie, hier soir, au restau.

Je gare la voiture sur la parking de l'hypermarché. Du monde. Je pousse le caddie. Clémentine tient notre liste des courses.
Je n'ai qu'à suivre. Elle m'entraîne dans les rayons qui nous concerne. Là aussi, des jeunes femmes en jupes. Le printemps.
Il nous faut du shampoing. Head & Shoulders aux feuilles de menthe. Clémentine nous entraîne au rayon des livres. Bien.
Avec l'arrière pensée de s'offrir une petite frayeur exhibe, elle nous en fait faire le tour à trois reprises. Aucune opportunité.
Pas d'homme seul. Dommage. Nous allons aux rayons informatique. Il y a parfois là des possibilités insoupçonnées. Super.

Oui. Un type seul, qui flâne devant les ordinateurs. Il est plutôt grand, élégant, en pantalon à plis, souliers noirs, chemise.
Je reste en retrait. Clémentine se dirige en bout de rayon. Accroupie devant les cartes SD et les clefs USB, elle les observe.
L'inconnu arrive. Clémentine est à l'abri des regards grâce à notre chariot qu'elle a calé contre le rayon. Stratège et rusée.
Il est impossible de ne pas remarquer cette belle jeune fille, dont la culotte est restée dans la voiture, accroupie à regarder.
Le type s'arrête à quelques mètres. Bien évidemment, il veut en voir davantage. Il s'accroupit à son tour pour loucher. Bien.

Le bougre mâte à s'en déboîter les globes oculaires. Il y a de quoi voir. Clémentine, les cuisses légèrement écartées, mâte.
Elle fait mine de comparer des emballages. Derrière elle le chariot. Devant elle le type accroupit. Situation parfaite. Super.
Clémentine dont les cheveux en liberté et les lunettes noires protègent l'anonymat, excelle dans ce nouveau numéro. Belle.
Je contourne le rayon pour voir les expressions de l'inconnu. Comment va t-il encore s'y prendre pour tenter une drague ?
Comme tous les autres. Il se redresse, se rapproche, s'accroupit à nouveau et adresse la parole à la jeune fille. Classique.

Je le vois conseiller un produit plutôt qu'un autre. Il insiste. Dragueur vendeur conseilleur. Cela m'amuse considérablement.
Que n'inventent ils pas tous ces messieurs soudain victimes d'une tension artérielle à la vision de cette belle exhibitionniste.
Sans doute gagnée par l'ankylose, Clémentine se redresse. Le type aussi. Il continue son baratin. Insistant. Le vrai "boulet".
Sûr ! Il ne compte pas lâcher l'affaire. Il devient même collant, suivant la fille qui a repris son chariot. L'emmerdeur. Chiant.
J'interviens. Clémentine me rejoint. Le type, avec un sourire un peu contrit, s'en va. Nous en rigolons comme des bossus.

< Il se prétend "informaticien". Je suis sûre qu'au rayon charcuterie, il est charcutier ! > fait Clémentine, éclatant de rire.
Nous faisons un petit tour aux rayons vêtements homme. Clémentine tout de même un peu excitée, cherche une récidive.
Hélas, il n'y a là aucune autre occasion de s'offrir quelques frissons. Nous allons au rayon poissonnerie. Nous voilà en file.
C'est notre tour. Moules, langoustines, filets de saule, de cabillaud et salicornes bien fraîches. Nous en faisons provisions.
Nous passons en caisse. < Regarde, l'informaticien ! > me fait Clémentine. Notre bonhomme est à deux caisses plus loin.

Nous flânons un peu dans la galerie commerciale. Nous lisons les menus proposés par la cafétéria. Il y bien trop de monde.
Nous retournons à la voiture. Les produits de la mer vont rejoindre les produits frais dans la glacière. Avec les bacs à glace.
Avec les beaux jours qui arrivent peut-être enfin, nos consommations de glaces vont reprendre de plus belle. Gourmandise.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite. J'ai la main droite entre ses cuisses. C'est délicieusement humide. Joie.
Il est midi trente lorsque nous revenons à la maison. Nous rangeons les courses. Nous préparons le repas. Salades, moules.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine propose une téméraire virée à bicyclette pour l'après-midi. Superbe suggestion.
La vaisselle. Nous mettons la cuisine en ordre. Nous montons nous laver les dents et nous mettre en tenues vélo. Superbe.
Pas question de rester en jupette. Le fond de l'air effraie encore un peu. Nos leggings noirs en lycra, maillots noirs en lycra.
Dans le petit sac à dos, nos K-ways, pommes, barres de céréale, bouteille d'eau. C'est toujours moi qui le porte sur le dos.
Accroupie à ma gauche, sa tête contre ma cuisse, tenant ma jambe, Clémentine fait : < "Maitre", soyez sévère avec moi ! >

Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Soyez en rassurée, ma douce "Soumise", je serai le dernier des salauds ! >
Je sors mon chibre afin qu'elle puisse y frotter son visage et me sucer un peu. Je la force à se redresser. Elle m'embrasse.
Nous rions de bon cœur de ce jeu en dévalant les escaliers. Il est à peine 13 h30 et nous sommes pressés de filer en vélo.
Je vérifie le gonflage des pneus. 4,5 bars. Clémentine ne cesse de palper mes couilles, sa main glissée dans mon leggings.
Nous voilà sur le chemin qui descend vers la rivière que nous traversons pour rejoindre la piste cyclable à cinq cent mètres.

Même s'il ne fait pas réellement chaud, le climat est des plus agréables. L'absence de vent rend la promenade très facile.
Nous croisons quantié de cyclistes, de jeunes filles en rollers et de joggeurs. Il y a même des individus sur des gyroroues.
Cette nouvelle tendance imbécile d'être debout à rouler à toute allure sur une roue unique. C'est électrique et silencieux.
La législation ne va pas tarder à interdire ces engins sur les pistes cyclables. Après tout, ce sont des véhicules motorisés.
Arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Nous prenons nos positions respectives. Comme muent par un reflexe et une habitude.

Je fais le guet, planqué derrière les fourrés à l'angle du cabanon. Clémentine a traversé l'écluse et reste entre les buissons.
Elle guette. Nous nous faisons des grimaces, des gestes obscènes. Voilà un cycliste solitaire. Et en tenue "Tour de France".
Clémentine descend son leggings et sa culotte. Elle se met en position pipi. Cuisses écartées au maximum. Elle en veut !
Le type arrive à bonne vitesse. Il voit la fille. Il freine comme un malade et en faisant riper son pneu arrière sur l'asphalte.
Il met pieds à terre. Son vélo entre ses jambes, les mains sur le guidon. Il doit remercier le ciel pour cette vision sublime.

Clémentine, gênée par son leggings et sa culotte aux genoux ne peut pas donner son show dans les meilleures conditions.
Pourtant, c'est hyper excitant et très érotique quand même. Le type semble beaucoup apprécier. Silencieux et très voyeur.
Clémentine, sans doute très excitée, n'arrive pas à pisser. Elle reste dans la position. L'attente silencieuse et très excitante.
Il y a un groupe de cyclistes qui se pointent. C'est le voyeur qui siffle pour avertir Clémentine. Elle a le temps de se relever.
Elle reprend sa position en parfaite vicieuse chevronnée. Le mec n'en croit pas ses yeux. Il sort enfin une queue bandante.

Comme il est resté à califourchon sur son vélo, je peux bien voir le magnifique chibre qu'il expose à la vue de la jeune fille.
Clémentine, les cheveux détachés, portant ses lunettes noires, a relevé la tête pour bien fixer notre voyeur exhibitionniste.
Quand deux exhibitionnistes se font face, la situation est souvent torride et extraordinaire. C'est moi qui fait le vrai voyeur.
Un autre groupe de cyclistes. A nouveau notre homme siffle pour avertir la fille. Un complice de débauche parfait. Superbe.
J'ai envie d'applaudir. Merdre ! Le groupe s'arrête. Le type a juste le temps de remballer son braquemard. Des potes à lui.

Ils discutent. Ils repartent ensemble. Clémentine vient me rejoindre. < Les cons ! > fait elle. Nous en rions de bon cœur.
Nous reprenons notre route. Nous arrivons au port de plaisance vers 15 h30. Il y a du monde. De l'animation. Il fait doux.
Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie du port. Nous traversons la route pour aller à la supérette. Joie.
Nous prenons des cônes glacés que nous dégustons en flânant sur le quai. Tous les bateaux sont débâchés. Prêts à partir.
Les plaisanciers bavardent. Les boulistes jouent à la pétanque. Nous allons rôder derrière les toilettes publiques, sanitaire.

< Le scooter de Maëlys ! > fait Clémentine en me montrant l'engin garé près de la barrière. Pas de doute, il y a la rôdeuse.
< Elle est certainement cachée dans un coin à nous observer ! > rajoute Clémentine. J'en suis convaincu aussi. La coquine.
Lorsqu'elle n'a pas cours, c'est ici qu'elle vient s'adonner à sa passion pour le voyeurisme. Pourtant elle reste invisible. Dur.
Nous sommes absolument seuls et juste à côté des sanitaires réservés aux plaisanciers. La porte fermée à clef. Dommage.
Je sors ma bite par le haut de mon leggings. Je fais : < Si elle est dans les environs, ça la fera venir pour nous saluer ! >

Clémentine se penche en avant pour la prendre en bouche. Je bande mou. Clémentine s'accroupit, me tenant les hanches.
Elle me taille à présent une véritable pipe des familles. Je la tiens sous le menton et par la nuque. J'essaie d'être vulgaire.
Nous savons que ce genre de spectacle ne tarde pas à attirer Maëlys. La situation perdure jusqu'à l'ankylose. Il faut cesser.
Je masse les jambes à Clémentine. La sensation des fourmis ne tarde pas à disparaître. Maëlys n'arrive toujours pas. Dur.
Je me branle en tournant sur moi-même. Où qu'elle soit planquée elle peut voir. Et peut comprendre l'appel à la débauche.

Je propose un second cône glacé lorsque soudain, là, enfin, Maëlys apparaît. Une main dans son jeans. < Super ! > dit elle.
< J'ai tout vu, c'était génial ! Merci ! > fait la jeune fille sans cesser de se toucher. Nous nous saluons tout de même, riant.
Je propose à Maëlys de déguster une glace avec nous. < Je dois rentrer, nous avons de la visite. J'aide ma mère ! > dit elle.
Nous la raccompagnons jusqu'à son scooter. Maëlys était contente de nous revoir. Autant que nous. Et nous nous reverrons.
Elle met son casque. Nous la regardons filer sur son engin bleu. Clémentine me fait : < Quelle délicieuse petite salope ! >

Nous nous offrons un second cône glacé que nous savourons assis sur le muret. Il est 16 h45. Il va falloir songer à rentrer.
Le ciel est légèrement voilé. Quelques nébulosités lointaines dans le ciel. Pas inquiétant. Nous prenons le chemin du retour.
Il est 18 h45 lorsque nous sommes de retour. La voiture d'Estelle. Elle est là. Et elle nous fait un coucou depuis le fenêtre.
Nous rentrons. Elle nous fait la bise et se précipite dans mes bras. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Douce.
Clémentine s'interpose par jeu. Estelle est entrain de préparer le repas du soir. Des coquillettes avec des filets de cabillaud.

La salade de carottes est déjà prête. Nous la remercions car nous sommes morts de faim. Même la table qui est déjà mise.
Nous mangeons de bon appétit. Estelle nous raconte sa journée dans l'entreprise familiale. Nous racontons nos aventures.
Nous traînons à table. Ce soir, nous allons réaliser un autre film. Bien plus soft que les précédents. Mais ô combien vicieux.
Estelle nous explique très exactement ce qu'elle veut. C'est le développement de l'histoire de l'étudiante qui fait une quête.
J'interprète le rôle du vieux pervers qui la fait entrer. Nous en rions de bon cœur. Clémentine sera chargée de filmer. Joie.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents et nous mettre en tenues. Estelle porte une jupe kilt à carreaux rouges.
Un chemisier blanc sous un pull fin, bleu nuit. Des socquettes blanches et souliers noirs à légers talons. Elle a tout prévu.
Cette tenue est le plus parfait stéréotype que portent les jeunes actrices dans les films pornographiques genre "teenager".
Sur les conseils éclairés de Clémentine, je porte un vieux pantalon de velours côtelé marron, un vieux T-shirt trop grand.
Estelle m'affuble de fausses moustaches, comme sur la photo de mon avatar. Nous sommes devant le miroir. La déconne.

Clémentine et Estelle me font un look de vieux satyre. C'est caricatural et très exagéré mais tellement drôle. Incroyable.
Des lunettes de soleil et un béret. J'ai l'air du parfait abruti. Très "vieille France" caricaturale. Et je ne me reconnais pas.
Nous sommes pliés de rire. Littéralement écroulés. Surtout que Clémentine m'a fixé de larges bretelles. C'est d'un ridicule.
Estelle me prend par le bras pour m'entraîner devant le miroir. Nous sommes complètement hilares. Ecroulés de rires. Fou.
Clémentine se tord de rire sur le lit. J'ai l'air d'un vrai con. Bourvil dans son rôle le plus absurde. Je n'y crois pas. Dingue.

Nous descendons. Je fais gaffe parce que les filles me font porter de vieilles charentaises à carreaux. Vieilles pantoufles.
Clémentine fixe la caméra sur le trépieds. Estelle lui donne la clef USB 8Go. De quoi tourner soixante minutes d'images.
Tout est en place. La caméra est reliée au téléviseur qui fera office de moniteur. Il est 21 h. Il n'y a plus qu'à commencer.
Estelle sort. Clémentine tient la caméra sur le trépieds. Je reste en retrait. < Moteur ! On tourne ! > lance Clémentine.
Trois coups de sonnette. Je m'avance. J'entre dans le champs de la caméra. J'ouvre la porte. Estelle debout sur le palier.

< Bonsoir monsieur. Je fais une collecte pour l'amicale des étudiantes délurées et vicieuses ! > dit Estelle, sérieusement.
Je suis obligé de me détourner car je dois lutter contre le fou rire. Elle a bien préparé ses dialogues. Pas moi. J'improvise.
Je dis : < Bonsoir mademoiselle. Venez, ne restez pas dehors, entrez ! >. Je fais passer Estelle devant moi. Elle est belle.
Dur de rester sérieux. Dans mon accoutrement je me sens tellement ridicule. Et je me vois sur l'écran du téléviseur. Fou.
J'invite Estelle à s'installer dans le fauteuil. Je m'assois sur le bord du canapé. Clémentine est derrière la caméra à filmer.

Estelle développe un argumentaire très soigneusement préparé. La coquine. Moi, je suis obligé de rester dans une impro.
Je m'en tire plutôt bien. Il me suffit d'habiter le personnage. Estelle m'explique cette "Amicale des étudiantes". J'écoute.
C'est tellement surréaliste. Il me faut éviter de regarder Clémentine qui ne cesse de rire. Et je nous vois sur le téléviseur.
Estelle, les cuisses légèrement écartées, mime des attitudes en expliquant "L'amicale des étudiantes délurées vicieuses".
Elle a des gestes obscènes. C'est absolument génial. Elle joue la comédie avec un art consommé. Et je n'en reviens pas.

Les propos sont tellement vicelards. J'écoute en me palpant la braguette. Mon pantalon est trop grand, je dois fouiller.
A un moment, durant son explication surréaliste, Estelle me demande : < Et vous monsieur, vous voulez contribuer ? >
Je réponds : < Bien sûr mademoiselle. Et que faut il faire très exactement. Combien faut-il donner pour cette cause ? >
Clémentine, écroulée de rire, me fait des grimaces. J'ai un mal fou à garder mon sérieux. Il faut réussir la prise. Dur !
< Oh, un simple don de sperme. C'est en général ce que font les généreux donateurs ! > explique Estelle. Et sérieuse.

Nous découvrons une nouvelle facette des talents d'Estelle. Elle ne cesse de m'étonner depuis plus de deux ans. Sublime.
Estelle, de son petit sac de médecine en cuir brun, sort un flacon cylindrique dont elle dévisse le bouchon. Geste mesuré.
< Voilà, il suffit d'éjaculer la dedans et votre don ira directement à "L'amicale des étudiantes délurées" ! > me fait Estelle.
Sous mon épaisse fausse moustache, je dois me pincer les lèvres pour ne pas éclater de rire. Estelle mime une branlette.
Je me lève. Clémentine est à genoux sur l'épais coussin derrière la caméra. Estelle me regarde avec une innocence feinte.

Elle me tend le flacon en disant : < Vous préférez peut-être que je le tienne ? > me fait elle en se levant pour s'accroupir.
Je sors ma bite. Je bande mou. J'ai plutôt envie de rire que de me masturber. Estelle tient le flacon de ses deux mains.
Je me masturbe doucement. < C'est gentil d'être aussi généreux, cher monsieur ! > dit Estelle. Le regard reconnaissant.
< Vous voulez être sucé un peu pour stimuler votre donation ? > fait encore Estelle. Je réponds : < C'est très gentil ! >
Là, devant la caméra, une fois encore, je me fais tailler une superbe pipe des familles par Estelle d'une gourmandise rare.

Estelle évoque souvent son fantasme de faire l'actrice dans des films pornos. Nous en avons déjà réalisé sept. Des bons.
Mais là, ce soir, sa capacité à jouer la "comédie" surpasse tout ce que nous devinions déjà. Une grande actrice du genre !
Estelle cesse plusieurs fois pour recracher le liquide séminal dans le flacon. Il est assez rapidement plein à moitié. Foutre.
Je suis très juteux. Estelle, à présent à genoux entre mes jambes, me suce avec une préciosité toute "Hollywoodienne".
Je suis vautré sur le canapé. Je regarde l'écran. Même si j'ai un accoutrement ridicule, la scène est hautement suggestive.

La jeune fille que je vois à l'écran est là, pour de vrai, à me faire ce que je vois à l'image. C'est d'une excitation délirante.
J'éjacule. Estelle recrache le tout dans le flacon qui est quasiment plein. Elle revisse le bouchon avec soin et regarde bien.
Elle se redresse. < Merci monsieur pour votre générosité ! L'amicale des étudiantes délurées vous remercie ! > fait elle.
Je la raccompagne jusqu'à la porte. Nous sommes suivis par Clémentine qui filme. Dehors, il fait nuit. Il est presque 22 h.
< Coupez ! > s'écrie Clémentine qui me tombe dans les bras, pouffant de rire. Estelle revient. Elle sautille autour de nous.

Nous sommes devant le miroir à côté du porte manteaux dans le hall d'entrée. Nous rigolons comme des bossus. Délirant.
Jamais nous avons tant ri. Il faut dire que mon accoutrement est le plus ridicule que je n'ai jamais porté. C'est consternant.
Estelle nous entraîne au salon. < Je n'ai même pas besoin de faire de montage. Tout et parfait. Merci Julien ! > me dit elle.
Clémentine en a encore les larmes à l'œil d'avoir tant rigolé. Nous nous mâtons ce film samedi prochain avant les vacances.
Epuisés, nous montons. Nous félicitons Estelle pour ses qualités d'actrice et pour la surprise qu'elle nous a offerte. Le dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment filmer leurs fantasmes, leurs extravagances et leurs passions…

Julien - (Qui se réjouit pour découvrir sa prestation, samedi prochain lors de la "soirée cinéma". Un Fesse Tival) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 18 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 794 -



Un dimanche doux, agréable et ensoleillé

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par des bisous, des murmures dans chacune de mes oreilles, de chaque côté. Exquis.
A ma droite il y a Estelle qui me tient fermement par mon érection matinale. A droite il y a Clémentine qui se blottit si fort.
Je passe mes bras autour de leur cou. Nous savourons cet intense bonheur. Se privilège rare et totalement insensé. Joie.
Estelle se lève la première en s'écriant : < Pipi ! >. Clémentine me chevauche en riant. Elle évoque le personnage de hier.
Lorsque j'étais déguisé pour le film. Nous rigolons comme des bossus. Estelle revient et dit : < Je descends. Venez vite ! >

Nous filons aux toilettes avant de rejoindre Estelle à la cuisine. Odeur de café, de brioche et de pain grillé. C'est délicieux.
Nous mangeons de bon appétit. Tel un patriarche, je beurre les tranches de pain que me tendent les filles. De la confiote.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Dehors il fait beau. Il y a du soleil. Enfin plusieurs jours de suite. Bien.
Il est 8 h. Nous traînons à table. Le dimanche c'est cool. Pas de gym, pas de jogging. Il faut un jour de récupération. Joie.
Par contre, le dimanche matin, c'est le rituel du ménage. Et en ce qui nous concerne ce jour, c'est un ménage à trois. Rire.

Estelle s'occupe du salon et passe l'aspirateur. Clémentine s'occupe de notre chambre. Je m'occupe de tout le reste. Super.
Avant que Clémentine ne vienne vivre avec moi, en 2017, j'avais une femme de ménage qui venait deux fois par semaine.
Mais Clémentine a très rapidement préféré que nous nous en occupions nous-même. C'est mieux fait et le tout reste privé.
La vaisselle. Estelle file au salon. Clémentine monte à l'étage. Je commence par nettoyer la cuisine, faire la poussière. Bien.
J'entends Estelle chanter tout en passant l'aspirateur. C'est la musique de nos dimanches matins. C'est tellement sublime.

Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère sur les carrelages. Partout. Je m'apprête à monter rejoindre Clémentine.
C'est oublier le piège rituel que me tend Estelle et au bas de l'escalier. Aujourd'hui elle est toute nue, couchée sur le bureau.
< Venez me niquer monsieur le satyre ! > me fait elle en pliant son index dans un signe d'invitation. Je suis en slip, T-shirt.
Une fois encore, lorsque Clémentine n'est pas là, j'éprouve une profonde inhibition. Je sais que c'est devenu inutile. Stupide.
Je m'approche d'Estelle qui a posé ses pieds sur le bureau, écarté ses cuisses et s'est mise en appui sur ses coudes. A poil.

Je me positionne entre ses jambes. Je sors mon sexe pour le frotter contre celui d'Estelle. < Mmmhhh, c'est bon ! > dit elle.
C'est une agréable sensation. C'est chaud. C'est doux. Je bande. J'introduis délicatement l'extrémité du Zob, et sans forcer.
J'écarte juste les lèvres fines de son sexe. Estelle, étroite et sensible, sait que je ne vais pas plus loin. Elle me sourit. Belle.
< Mais que faites vous là monsieur le satyre, et à une innocente jeune fille ? > fait Estelle avec son air ingénue si habituel.
< Tu as été génial hier soir, Julien ! On se fait une soirée cinéma samedi prochain ! > rajoute t-elle encore et en bougeant.

Je me retire. Je la fais monter sur mon dos. Je ramasse le pyjama de soie mauve sur la chaise. Nous gravissons l'escalier.
Je jette Estelle sur le lit comme un vulgaire paquet. Il fait froid dans la chambre. Toutes les fenêtres sont grandes ouvertes.
Je dis : < Cette jeune fille de "L'amicale des étudiantes délurées" a exigé de se faire niquer ! >. Clémentine éclate de rire.
Nous nous habillons en vitesse. Jeans, chemises à carreaux. Tous les trois pareils. Je ramasse les draps sales. Salle de bain.
Clémentine vient me rejoindre. Je lave le bac à douche. Clémentine nettoie le lavabo, les miroirs. Estelle passe l'aspirateur.

Nous n'arrêtons pas de nous faire des câlins, de nous faire des bisous, de nous murmurer des douceurs, des cochonneries.
Clémentine descend avec le panier à linge. Je nettoie les chiottes de l'étage. Moment préféré d'Estelle et de son autre piège.
Je suis à genoux, les mains gantées, plongées dans la cuvette. L'odeur de javel donne la nausée. Voilà Estelle. Silencieuse.
Elle s'accroupit derrière moi, ses jambes écartées et calées contre mes reins, tenant son équilibre, ses mains sur mon sexe.
Elle me saisit par la braguette et y glisse une main pour en extraire le Zob tout mou. J'ai les mains occupées. Sans défense.

< Je vous aime monsieur le satyre ! > me chuchote t-elle avant de me contourner pour me couvrir tout le visage de bisous.
Je retire mes gans. Je la laisse sucer un peu. Je saisis Estelle par ses cheveux. Nous nous redressons en nous tenant. Joie.
Je la fais monter sur mon dos. Prudemment nous descendons les escaliers pour rejoindre Clémentine à la cave. Buanderie.
Je garde la bite à l'air. Clémentine s'en saisit et me fait. Je vais beaucoup m'en servir en Vendée, dès la semaine prochaine.
Nous trions le linge en évoquant nos vacances en Vendée. Cinq jours, tous les trois dans cette merveilleuse région. Super.

Je laisse les filles pour remonter à la cuisine. Les pavés de saumon ont décongelé. J'épluche les patates, navets et carottes.
Je découvre la photo fixée sur le frigo. C'est Estelle qui l'a tiré sur l'imprimante. C'est moi, dans mon déguisement de hier.
Je suis éclaté de rire. Elle a fait ça en cachette ce matin. Je suis vêtu en vrai péquenot. Les fausses moustaches et le béret.
Estelle monte me rejoindre. Nous rions de bon cœur à la vue de la photo. Elle s'occupe du saumon en papillotes. Méthode.
Clémentine vient nous rejoindre. Elle découvre la photo à son tour. Nous rigolons comme des bossus de mon accoutrement.

< Un jour, on t'emmène promener comme ça, avec nous ! > lance Estelle. C'est qu'elles en seraient bien capables. Rires.
Clémentine s'occupe de la salade. Je fais rissoler la potée dans la cocotte en fonte. Estelle prépare la table. Le téléphone.
Clémentine s'en saisit. < C'est Julie ! > lance t-elle. J'entends la conversation. Julie ne sera pas disponible cet après-midi.
Nous avions rendez-vous à 15 h dans la petite église du bourg. Julie a un impondérable familiale. Sa vieille tante. Priorité.
Clémentine me fait : < Soit c'est un prétexte fallacieux pour se défiler, ce que je crois, soit c'est la vérité ! >. Je réfléchis.

Estelle rajoute : < Ce n'est pas la première fois qu'elle vous fait ce coup là, il me semble ! >. Et force est de le constater.
Cela n'est pas bien grave. Cela nous permettra de rester tous les trois. Nous avons déjà fort à faire en trio bien vicelard.
La bouffe est prête. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le programme de cet après-midi ensoleillé. Vélo.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents et nous changer. Leggings et maillots en lycra.
Ces tenues affinent encore nos silhouettes. Surtout celles des filles qui ressemblent à des mannequins anorexiques. Dur !

Il fait beau. Nous sommes pressés de filer. Nous dévalons l'escalier. Nous voilà sur nos vélos à rejoindre la piste cyclable.
Nous ne sommes pas les seuls à vouloir profiter de cette belle journée. Il n'y a pas de vent. Nous croisons plein de monde.
Arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Je fais le guet. Les filles font leurs pissous en plein milieu de la route. C'est très rigolo.
Les coulures de pisse traversent toute la piste cyclable. C'est amusant d'y voir passer d'autres cyclistes qui ne savent pas.
Par contre, c'est rapide. Les passages sont fréquents. Pas de plans exhibes. Trop risqué. Et nous continuons notre chemin.

Nous arrivons au petit port de plaisance pour 15 h30. Joie. Il y a beaucoup d'animation. D'autres cyclistes, des plaisanciers.
Il y a les premiers touristes. Quelques familles de Simpson. Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie. Bien.
Nous allons direct à la supérette pour nous offrir nos cônes glacés. Il y a beaucoup de clients. Il faut attendre en caisse. Dur.
Stratège, lorsque c'est à notre tour, Estelle se précipite pour aller chercher les cônes. Ainsi ils n'auront pas fondu. Parfait.
Nous dégustons nos glaces en flânant sur le quai. Nous allons traîner du côté des sanitaires et des toilettes publiques. Vice.

Comme toujours, les jours fériés chauds, derrière les WC publics, c'est le lieu de rendez-vous des jeunes du bourg voisin.
Il n'y a donc là aucune opportunité d'exhibe. < Le scooter de Maëlys ! > lance Clémentine en nous montrant l'engin bleu.
Il est garé parmi d'autres. La jeune fille est donc là avec ses copains et ses copines. Nous explorons les environs. Nothing.
Les filles n'arrêtent pas de me tripoter. La grosse bosse, dans un leggings, ça ne passe pas inaperçu. C'est même gênant.
< Monsieur le satyre n'a que ce qu'il mérite ! > me lance Estelle. Je réponds : < Vous allez voir ce que vous allez voir ! >

Je les touche également. C'est tellement accessible. Passer sa main entre les cuisses chaudes des filles est une vraie joie.
Je leurs dis : < Ce soir, ma vengeance sera terrible. Léchage de minou, pénétrations et orgasmes obligatoires ! Et toc ! >
< Oh oui ! On mérite une punition ! > rajoute Estelle alors que Clémentine glisse sa main dans mon slibard. Discrètement.
Nous prenons la route du retour. Il fait toujours aussi doux. Il est 19 h lorsque nous arrivons à la maison. Superbe journée.
Morts de faim, nous préparons notre repas. Clémentine fait la salade. Estelle fait une omelette. Je réchauffe la potée. Bien.

Nous mangeons de bon appétit. La fatigue commence à se faire sentir. Les filles évoquent leurs études. J'écoute en silence.
Nous parlons de la "soirée cinéma" de samedi prochain. Nous resterons ensemble toute la semaine suivante. Les vacances.
De beaux projets qui nous ravissent et qui nous émoustillent. Nous nous promettons d'êtres de grands vicieux en Vendée.
Les filles envisagent déjà leurs tenues, leurs désirs de se surpasser dans l'outrance. Exhibition, voyeurisme et fornications.
J'écoute en riant. C'est fou ce que les jeunes filles peuvent avoir comme imagination. Surtout "l'amicale des étudiantes" !

Nous traînons à table. Il est 21 h. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. < Tu as promis de sévir ! > dit Estelle. Des bises.
Elle m'entraîne au salon. Nous retirons tous les trois nos leggings. Les filles sont vautrées dans le canapé. Je suis à genoux.
Je commence par bouffer le fion d'Estelle. Les filles se masturbent en échangeant leurs impressions. Je savoure. Un délice.
Des jeunes filles de 22 ans, qui ont sué, transpiré, qui ne se sont pas lavées de la journée, c'est un véritable festin de roi !
Je passe de l'une à l'autre. Estelle m'attire sur elle. Je n'introduis que l'extrémité du Zob. Il faut être prudent. C'est étroit.

Clémentine se masturbe en observant mes expressions. Estelle se masturbe de plus en plus vite, s'agite et me repousse.
Elle connaît un orgasme tellurique. Elle se recroqueville sur elle même, cuisses resserrées sur ses mains. C'est magnifique.
Je m'introduis dans Clémentine. Là, je peux m'introduire plus profondément tout en restant prudent. Si étroite également.
Elle se masturbe, les yeux fermés et la tête rejetée en arrière. Je lui caresse le visage. Elle connaît un orgasme nucléaire.
Je me retire. Curieusement, ce soir, ni l'une ni l'autre n'ont pissé. Estelle a repris ses esprits. Elle se met à genoux. Pipe.

Il est déjà 22 h15. Je la force à cesser et à se relever. Je lui propose de remettre la pipe à mardi soir. Et rien que pour elle.
< Tu promets ? > me demande t-elle en se blottissant contre moi. Clémentine a repris ses esprits. Et elle me suce un peu.
Nous montons nous changer. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. Je lui promets d'être très salaud mardi soir.
La séparation est difficile. Nous regardons la voiture disparaître dans la nuit. Et nous nous dépêchons de rentrer au chaud.
Au lit, Clémentine me confie ses ressentis du Week-end. La film de hier soir, l'annulation de Julie. Et serrés contre l'autre.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment êtres vautrées dans le canapé à se faire lécher, à se faire niquer…

Julien - (Qui se réjouit pour toutes ces merveilleuses journées qui s'annoncent) -

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Romantisme bucolique et bite à l'air

Hier matin, lundi, c'est "Caruso" interprété par Pavarotti qui nous tire du sommeil. Avec grandiloquence et plein de fatuité.
< Ta gueule patate rôtie ! > s'écrie Clémentine qui me chevauche pour éteindre le réveil posé de mon côté, sur la tablette.
Quelques papouilles en riant et nous nous précipitons aux toilettes. Il est 6 h. Vêtus de nos tenues sport, nous descendons.
Nous préparons un de ces petits déjeuners qui fait la joie de nos matinées. Le lundi, il reste de la brioche. C'est si goûteux.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. 6 h25. Nous enfilons nos K-ways pour affronter notre jogging quotidien.

Une heure d'un running des plus agréables et nous voilà de retour pour prendre notre douche. Puis je descends le premier.
Je sors la petite auto de Clémentine. Elle est vêtue de ses jeans, d'une chemise claire sous sa veste en cuir, de ses bottines.
Un dernier bisou. Je regarde la voiture qui s'en va. Je rentre. Le ciel est bleu, il y a du soleil et il fait plutôt doux. C'est bien.
Je fais le lit, la vaisselle avant d'aller dans l'atelier où m'attend mon autre passion. Je prépare ma palette et mes pinceaux.
Il est 8 h15. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je peins rapidement dans une extraordinaire euphorie.

Je commence ce matin la peinture de la vingt neuvième toile destinée à ma saison d'été. Une nature morte. C'est un plaisir.
Je travaille en poussant les plus invraisemblables cris surréalistes que je module longuement. Et dignes d'un yodler tyrolien.
C'est fantastique. Je fais la danse du guerrier Sioux autour de mon chevalet à chaque coup de pinceau plus sublime encore.
C'est dans cette atmosphère de victoire que soudain résonne la musique imbécile de mon smartphone du fond de ma poche.
Il est 10 h. C'est Julie. Nous bavardons en mode "haut parleur afin que je puisse continuer mon exaltant travail. C'est mieux.

Julie est entre deux cours. Elle tient à s'excuser encore une fois au près de moi, pour le rendez-vous manqué de hier. Souci.
Un problème familial qui l'a empêché de pouvoir venir à l'heure et à notre endroit convenu. Elle développe son argumentaire.
J'écoute, compatissant, sans l'interrompre. Julie n'a que quelques minutes et entre deux cours. Elle me propose de remettre.
Je la rassure. Cela ne m'a pas bouleversé. Qu'elle me rappelle pour fixer un nouveau rendez-vous. Ce n'est pas plus simple.
Nous nous saluons. Je continue mon aventure picturale en chantant. J'imite le "Caruso" de Pavarotti entendu ce matin. Mal.

Il est midi. Je vais à la cuisine. Je lave les feuilles d'une belle scarole tout en faisant bouillir de l'eau pour mes coquillettes.
Je concocte une sauce au Roquefort dans laquelle je mets des champignons. J'écoute Stéphane Bern à la radio. Eloquence.
Je préchauffe le four car je veux faire un gratin de coquillettes. En quantité. Afin de pouvoir réchauffer pour le repas du soir.
Je râpe du gruyère de Comté, j'égoutte les coquillettes avant de les verser dans un plat de terre cuite. Je le dispose au four.
Pendant la cuisson, je sors. Il fait beau. Il y a quelques voiles nuageux qui masquent le soleil. Il fait très doux. Si agréable.

Je fais le tour de la propriété. Il est grand temps que l'entreprise paysagiste viennent faire un peu de nettoyage. L'urgence.
Le vent qui a soufflé presque en continu toutes ses dernières semaines a cassé toutes les branches morts des arbres. Dur !
Ces branches jonchent le sol. C'est bon pour la canopée mais parfois dangereux parterre. Je ne m'attarde pas. Une fringale.
Je reviens à la cuisine juste au moment où résonne la sonnerie du four. Le gratin de coquillettes est une véritable merveille.
Panné, doré par la cuisson, la croute sur le dessus est délicieusement croustillante. Avec la sauce, c'est un régal. Je bouffe.

Je fais la vaisselle. Je range la cuisine. Je comble le trou dans le plat avec le reste de coquillettes. Je recouvre de la sauce.
Je mets au four. Ce sera pour ce soir. Il est 13 h15 lorsque je suis à nouveau assis devant mon chevalet. Seconde séance.
Absorbé dans mon travail, je ne vois jamais le temps passer. Il est rapidement 16 h20. Clémentine entre dans l'atelier. Joie.
Elle jette son sac sur le canapé et se précipite vers moi. J'anticipe toujours en posant ma palette et mes pinceaux. A temps.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les cours, les profs, le menu du restaurant universitaire. Cette passion.

Clémentine a du travail. La voilà installée devant l'ordinateur entourée de ses fiches. Il faut préparer le texte pour vendredi.
L'ultime simulation de thèse qu'il faudra présenter à l'oral de vendredi matin. C'est un travail ludique et passionnant. Bien.
Dehors, le ciel s'est entièrement recouvert d'un voile gris et diaphane. Je raconte le coup de téléphone de Julie en matinée.
< Était-elle bien convaincante ? > me demande Clémentine. Je ne sais trop quoi répondre puisque je ne suis pas en attente.
Clémentine livre une théorie fort plausible. Julie fait preuve d'une succession d'hésitations bien compréhensibles. Normales.

C'est une jeune fille de 20 ans, sans réelle expérience, désireuse de s'encanailler et ne sachant par quel bout commencer.
C'est l'explication de Clémentine qui précise : < Elle a envie de commencer par ton "bout", mais reste pétrie de trouille ! >
La théorie de Clémentine me semble la plus probable. Les filles ressentent avec beaucoup plus d'acuité toutes ces choses.
Nous travaillons jusqu'aux environs de 18 h45. Je nettoie mon matériel pendant que Clémentine lit son texte à haute voix.
Je ne peux qu'applaudir à cette première mouture déjà remarquable. J'aime l'observer déclamer en tournant autour de moi.

Nous quittons l'atelier. Clémentine découvre le repas de ce soir. < Miam ! > fait elle en préparant l'assaisonnement salade.
Le gratin de coquillettes réchauffe au four. Je prépare deux filets de cabillaud à la poêle avant de les paner à la chapelure.
Recouvert de ce mélange d'œuf, de chapelure et de Parmesan finement râpé, il suffit de les repasser à la poêle un instant.
Ce repas est évidemment délicieux. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine m'apprend qu'elle a ses "machins de fille".
Elle est réglée comme une horloge. Et tous les 20 du mois. Une horloge biologique qui reste un étonnant mystère naturel.

Ce qui ne m'empêche nullement de lui sucer le clitoris que je trouve encore plus géant durant ces trois ou quatre journées.
Et nous en rions de bon cœur. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux Clémentine évoque nos prochaines vacances.
Cinq jours en Vendée. Les trois dernières semaines de cours jusqu'au 21 juin. Puis le départ pour l'Ecosse, samedi 29 juin.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous sortons marcher un peu au dehors. Le ciel s'est encore assombri. Si lugubre.
Nous descendons jusqu'à la rivière. Clémentine reste blottit contre moi. Ses petits seins sont douloureux le premier jour.

Je me retrouve assez rapidement avec la bite à l'air. C'est fort plaisant car il fait doux. Clémentine me la tient à sa base.
Juste entre le pouce et l'index. Elle adore l'agiter, la faire tournoyer tout en bavardant. Je lui caresse la tête. Des bisous.
Nous sommes tous deux assis sur un tronc d'arbre renversé. Et avec ce ciel étrange, le crépuscule est plein de mystère.
Je bande mou. Clémentine tient mon sexe dans sa main, d'une poigne ferme. Je l'écoute me parler de ses préoccupations.
Terminer cette première année de Doctorat dans les toutes meilleures conditions. Préoccupation légitime de tout étudiant.

Je bande à présent comme le premier des salauds. < Waouh ! En vacances je vais m'occuper de toi avec soin ! > fait elle.
Je dis : < Mais tu ne le fais pas seulement en vacances ! >. Nous rions de bon cœur. Elle lance : < Je peux mieux faire ! >
Tout en disant cela, Clémentine se redresse, s'accroupit devant le tronc et se met à me pomper comme une bienheureuse.
Il y a quelques gouttes de pluie. Je le lui fais remarquer. Elle cesse, se redresse et m'entraîne par la main. Nous remontons.
Ce ne sont que quelques gouttes qui n'ont pas le temps de nous mouiller. Mais nous arrivons juste à temps. C'est superbe.

Clémentine m'entraîne au salon. Elle me fait tomber dans le canapé. A genoux sur l'épais coussin entre mes jambes. Belle.
Elle reprend sa pipe animée d'une passion émouvante. J'aime l'observer. Les joues creusées par l'effort. Elle ouvre les yeux.
Le regard amusé, elle me fixe. Elle cesse pour me dire : < Je vais passer les vacances à "ça" ! >. Nous rions de bon cœur.
Je lui caresse les joues, la tête, je la tiens par les oreilles, sous le menton, par la nuque. Je lui murmure des douceurs. Joie.
Je reviens sur mon vieux fantasme. Être planqué pour la regarder sucer un inconnu, quelque part, un parc, ou des chiottes.

Clémentine sait m'étonner. Elle cesse une nouvelle fois pour chuchoter : < Je peux sucer monsieur Gérard avant l'Ecosse ? >
Je réponds : < Mais plutôt deux fois qu'une mon amour ! >. Clémentine tente de déglutir avant de dire : < Tu es génial ! >
Je lui raconte plein de cochonneries. Clémentine suce en gloussant, ponctuant chacune de mes suggestions d'un "Mmhh".
Je lui promets de mettre au point un "plan" super vicelard aux écuries, avec la complicité de Juliette et de son palefrenier.
Elle ouvre les yeux, me fait un clin d'œil, cesse de sucer pour me donner ses impressions. Je l'encourage à sucer Mr Gérard.

Clémentine se redresse. Elle s'installe à côté de moi dans le canapé. Elle se couche pour appuyer sa tête contre mon ventre.
Je lui caresse la nuque, ma main sous ses cheveux. Elle recommence à me sucer. C'est meilleur encore dans cette position.
J'ai l'impression d'avoir la bite dans un bol de purée tiède. Je l'entends tenter d'avaler. Je sors souvent la bite de sa bouche.
Cela lui permet de reposer sa mâchoire, de pouvoir déglutir mon foutre épais, visqueux et gluant. Nous bavardons un peu.
Il est rapidement 22 h. Je propose de terminer tout cela dans la chambre, au lit. Clémentine arrive enfin à vider sa bouche.

Elle se redresse. Elle tient queue dans la main. < J'adore ça ! Je crois n'être qu'au tout début de cette passion ! > fait elle
Clémentine me confie qu'elle partage totalement mon fantasme. Tailler une pipe à un parfait inconnu. Elle y pense souvent.
Je lui promets de l'aider à faire le cheminement mental nécessaire. Elle se lève et m'entraîne par la main. Nous montons.
Au lit, je lui suce le clitoris. J'adore sentir les frissons qui anime son corps. Son orgasme est total et si curieusement rapide.
Je me fais vider les couilles dans un orgasme délirant. Je suis obligé de la faire cesser. Nous nous serrons fort. Le plongeon.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment tailler des pipes en écoutant des cochonneries et en faisant des projets…

Julien - (Qui se fait vider les couilles comme un bienheureux en suggérant des situations hyper vicelardes à sa suceuse) -

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Classe - 20 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 796 -



Un mardi avec une météo exécrable

Hier matin, mardi, c'est la Sonate du Diable de Guiseppe Tartini qui nous arrache du sommeil avec une violence diabolique.
< Ta gueule Tartine ! > fait Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit.
Quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues sport, nous descendons à la cuisine. Il est 6 h.
Nous prenons un copieux petit déjeuner, rageant contre cette météo exécrable. Il pleut. Impossible de faire notre jogging.
Nous remontons pour nous livrer à notre entraînement d'hiver. Aérobic, abdos, charges additionnelles avec intensité maxi.

La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine qui me rejoint sous son parapluie. Elle revient pour midi. Joie.
Un dernier bisou. Je la regarde partir. Je rentre en vitesse pour me mettre à l'abri de la pluie battante. C'est épouvantable.
Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Les mélanges des couleurs. 8 h15.
Je suis assis devant mon chevalet. Je peins avec la sérénité du vainqueur. Il faut travailler avec la lumière artificielle. Dur !
Il est aux environs de 10 h lorsque la musique nulle de mon smartphone résonne au fond de la poche de ma blouse en lin.

C'est Juliette. Nous bavardons en mode "haut parleur". Ce qui permet de continuer mon travail. Déjà plus d'une semaine.
Nous ne nous sommes pas vus depuis une bonne dizaine de jours. Juliette nous rappelle que nous sommes invités. Repas.
Je promets que nous serons là demain soir, mercredi, pour 19 h45 au plus tard. Et à ce propos je lui expose une requête.
Ne serait-il pas possible d'organiser une "surprise" à Clémentine. Je lui fais part de son profond désir de sucer Mr Gérard.
Juliette, ravie, me confirme : < Mais aucun problème. J'organise le "plan". Seulement il faut venir plus tôt, vers 19 h ! >

Je ne pense pas que cela pose le moindre problème. Je promets d'en parler à Clémentine qui sera enchantée de l'occasion.
Nous bavardons ainsi une bonne demi heure. J'évoque le trou dans la cloison qui sépare le box du local bureau, au haras.
Ce trou qui a déjà considérablement servi et qui a fait fantasmer quelques jeunes filles depuis huit ans. Il y a de quoi faire.
Je dis : < Pourquoi ne pas organiser un "plan" surprise là, demain soir ? >. Juliette éclate de rire en disant : < Parfait ! >
Nous nous saluons. Rendez-vous aux écuries demain en fin d'après-midi. Je peins en pensant à Juliette, délicieuse salope.

Il est midi. Je vais à la cuisine. Je fais gonfler du riz complet. Je prépare une pâte à pain. Je coupe finement des poireaux.
Je les jette dans l'eau bouillante. Clémentine arrive. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre de bisous. Super.
Clémentine s'occupe de la salade. Je concocte une Béchamel dans laquelle je verse le poireau cuit. Du gruyère de Comté.
Je récupère un peu de Béchamel comme sauce avec le riz. Je panne deux gros filets de saule que je fais revenir à la poêle.
Nous mangeons de bon appétit. Je relate le coup de téléphone de Juliette. < C'est génial ! > dit Clémentine plusieurs fois.

Je dis : < Tu vas pouvoir t'amuser car, en plus, Juliette organise une "surprise" dans le box au trou ! Rien que pour toi ! >
< C'est trop bien ! J'ai ma libido qui me rend folle ! Tu es génial ! > fait Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus.
Nous traînons à table. Dehors, il pleut par alternances régulières. C'est le mois de mai le plus merdique depuis longtemps.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me raconte sa matinée. Préparation des oraux.
Vendredi matin, ce sera le dernier de la série. Les trois semaines restantes seront consacrées à la rédaction d'un mémoire.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. La perspective de vivre un nouveau moment très "chaud" demain soir, est excitante.
Clémentine en est toute contente. Ravie. Elle n'arrête pas de me toucher la braguette. Nous montons nous laver les dents.
Même si elle a ses "petits machins" de fille, je lui rappelle que son clitoris géant reste parfaitement accessible et disponible.
Je ne suis pas obligé de le suggérer deux fois. Elle retire ses jeans et sa culotte. Je la fais basculer sur le lit en riant. Super.
A genoux sur un des oreillers, la tête entre ses cuisses écartées, je stimule son gros bouton de plaisir du bout de la langue.

Tout en se faisant lécher, Clémentine me chuchote des douceurs qu'elle mêle à d'étonnantes cochonneries. C'est formidable.
C'est lorsque je décalotte son clitoris du bout de mes lèvres que les choses deviennent plus "charnues". Elle en gémit. Bien.
J'adore les petits frissons de l'intérieur de ses cuisses contre mes joues. C'est tellement émouvant. Son plaisir est immense.
Parfois, Clémentine tente de se contrôler. Elle se remet à parler. A faire des "plans" totalement délirants, irréalisables. Fous.
Cela m'amuse considérablement. Lorsque je la suce ainsi tout en l'écoutant divaguer, j'éprouve les plus indicibles émotions.

Il faut cesser. Pas question d'aller jusqu'à l'orgasme. Clémentine veut rester excitée pour le restant de la journée. C'est bon.
Elle remet sa culotte, ses jeans. Elle m'entraîne par la main. Nous dévalons l'escalier. Nous voilà dans l'atelier. Il est 13 h45.
Que faire avec une telle météo sinon s'abstraire dans le travail. Ce que nous faisons avec autant de plaisir qu'avec le sexe.
Clémentine est assise devant son ordinateur entourée de ses fiches. Je suis assis devant mon chevalet. Et nous adorons cela.
L'après-midi se déroule ainsi. Parfois l'un se lève pour rejoindre l'autre. Voir ce qu'il fait. Chuchoter des trucs. Bisous. Câlins.

Clémentine termine son écrit. La base qui servira à développer l'argumentation de son oral de vendredi matin. C'est super.
A quelques reprises elle lit à haute voix, tournant autour de moi, me demandant un avis. Je me contente d'écouter. Silence.
Que pourrais je bien dire ou rajouter. Je suis admiratif. Il est déjà 18 h15, voilà Estelle qui arrive dans l'atelier. En courant.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle nous raconte son après-midi au bureau dans l'entreprise familiale.
Ce qui ne l'empêche pas, elle aussi, de peaufiner son écrit pour vendredi. Les filles comparent leurs travaux. C'est superbe.

Elles déclament leurs textes à tour de rôle. Estelle aussi brillante et loquace que Clémentine. Je me contente d'applaudir.
< Tu es bon public, Julien ! Espérons que le jury et les profs le soient également ! > lance Estelle en mimant une fellation.
Nous en rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < Ce serait simple. Une pipe aux profs et voilà une bonne note ! >
Il est 18 h45. Il ne pleut plus. Le ciel s'est partiellement dégagé. Nous rangeons nos affaires. La faim se fait sentir. Super.
Estelle passe sa main dans ma braguette toujours ouverte et me dit : < Tu as promis d'être un salaud avec moi ce soir ! >

Je la saisis par sa natte. Comme par une laisse, je l'entraîne jusqu'à la cuisine. Clémentine rajoute : < La santé d'abord ! >
Estelle travaille la pâte à pain. Je réchauffe la Béchamel contenant le poireau. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade.
Elles ont toutes les deux leurs lunettes sur le nez. Mes chères étudiantes à qui je dépose, et à chacune, une bise sur le nez.
Comme à chaque fois, les mains pleines de farine, Estelle me sort la bite pour l'enduire d'humidité pâteuse. C'est très drôle.
< De toute façon je vais bien te la nettoyer pour mon dessert ! > me dit elle en me tournant la queue d'un mouvement sec.

< Tâchez d'être hyper vicelards tous les deux, j'ai ma libido qui me taraude ! > fait Clémentine. < Feu vert ! > dit Estelle.
La Flamiche Picarde, cette délicieuse tarte au poireau qui fait le bonheur de nos mardis soirs est au four. La table est mise.
Estelle m'entraîne par la queue jusqu'aux toilettes en disant : < Il va faire son pissou le monsieur. Il a surement envie ! >
Me voilà debout, un peu comme un vrai con, devant la cuvette des toilettes, entre Estelle qui me tient la bite et Clémentine.
Clémentine, une main dans ses jeans, se touche. Elle s'est mise entre la cuvette et le lavabo, à distance, pour me regarder.

Je retire délicatement les lunettes d'Estelle pour les tendre à Clémentine qui les pose sur la tablette du lavabo. C'est mieux.
Estelle me tient la bite enfarinée pour en diriger un premier jet, court, net, bien précis. Je bande mou. C'est donc très facile.
Je cesse. Je contrôle parfaitement. Estelle s'accroupit. Elle vise toujours avec justesse le second jet. Pas une goutte à côté.
Elle avance son visage pour bien scruter. Un troisième jet. Dès qu'il cesse, elle s'avance encore pour me téter le prépuce.
< Mmmhh ! > gémit elle à chaque fois qu'elle recommence, entre chaque jet. Je commence à bander style "bois de chêne".

Il ne m'est donc plus possible de pisser franchement, allégrement. Je dois me concentrer. La pipe est tellement agréable.
Estelle me pompe comme si sa vie en dépendait. Clémentine se masturbe. Elle se tient en appui sur le lavabo. C'est bien.
Je frotte ma bite sur le visage d'Estelle qui m'en offre toutes les parties en gémissant de bonheur. Je la tiens par sa natte.
Le visage trempé de jute et probablement de pisse, c'est elle qui frotte sa gueule contre ma queue qui dégorge de foutre.
Ce spectacle rend Clémentine complètement dingue. Elle se branle. Il lui faut rester prudente. Et à la limite de l'orgasme.

La sonnerie du four. Je force Estelle à se redresser. Clémentine, toute rouge et en sueur, reprend difficilement ses esprits.
Nous nous précipitons à la cuisine. Cette Flamiche Picarde est une merveille. Accompagnée d'une laitue. Un véritable régal.
Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent leurs cours puis nous parlons de notre programme des prochains jours.
Samedi soir , "séance cinéma". Nous allons admirer le film que nous avons réalisé samedi dernier. Et cinq jours en Vendée.
Nous traînons à table. Clémentine évoque notre rendez-vous de demain soir chez Juliette. La fameuse "surprise" vicieuse.

< Merdre ! C'est toujours quand je ne suis pas avec ! > lance Estelle en se levant pour mimer une masturbation masculine.
< T'as qu'à venir ! > fait Clémentine qui mime une fellation. Nous rions de bon cœur. Estelle ne pourra pas être présente.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle m'entraîne par la queue aux toilettes pour y récupérer ses lunettes. En riant.
Je me remets en position. Clémentine reprend la sienne. Cette fois Estelle s'assoit carrément sur la cuvette, et devant moi.
Ses jeans et sa culotte sur les genoux. Je l'entends pisser tout en me suçant. Elle lance de tous petits jets. C'est sublime.

< Je fais parfois ça dans les chiottes, lorsqu'il y a un mec ! Il peut m'entendre ! > fait Estelle entre deux pompages. Rires.
< Toi aussi ! > rajoute Clémentine dont c'est une grande spécialité à chaque fois que de trop rares occasions se présentent.
< Tu seras le dernier des salauds en Vendée, promis ? > me fait Estelle. < Non, le premier ! > corrige Clémentine en riant.
Je prends du papier cul pour torcher Estelle qui se masturbe en me taillant une vraie pipe des familles. En gémissant d'aise.
Clémentine aussi ne cesse de gémir. Estelle, assise sur les chiottes, connaît un orgasme délirant. Elle en a des spasmes.

Clémentine ne tarde pas à avoir le sien. Estelle ne cesse pourtant pas de pomper comme une affamée. Je caresse sa tête.
Clémentine reprend ses esprit pour venir se blottir derrière moi. Sa tête penchée pour observer la pipe d'Estelle qui gémit.
Je lui éjacule dans la bouche, bien au fond de la gorge. Elle tousse, comme prise d'une nausée. Il en coule de ses narines.
Je la tiens fermement par la natte, au plus près, en appuyant bien sa tête contre ma queue. Les couilles contre le menton.
Nous reprenons nos esprits. Il est déjà 22 h15. Nous raccompagnons Estelle à sa voiture. Séparation difficile. A bientôt…

Bonne soirée passée aux chiottes à toutes les coquines qui aiment s'y masturber, se faire torcher et tailler des pipes…

Julien - (Qui caresse la tête de Clémentine au lit, en l'écoutant lui murmurer les choses les plus folles) -

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Classe - 21 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 797 -



Un sacré mercredi soir aux écuries

Hier matin, mercredi, nous nous réveillons tous deux en même temps. J'éteins immédiatement le réveil. Et par précaution.
Quelques douces papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues sport, nous descendons à la cuisine.
Nous préparons un de ces copieux petits déjeuners qui fais la gourmandise de nos matinées. Nous mangeons en bavardant.
Il est question des écuries ce soir. Cette simple évocation rend Clémentine toute fébrile. Nous enfilons nos K-ways. Jogging.
Nous courons d'un rythme soutenu. Il fait nettement meilleur. Peut-être enfin un vrai matin de printemps. Retour à 7 h25.

La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint toute souriante et heureuse.
Un dernier bisou, je regarde la voiture s'éloigner. Il est 7 h45. Je rentre. Je fais notre lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier.
Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Dehors il fait beau. Le soleil.
Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser les cris les plus invraisemblables. Cette matinée est fantastique.
Livré corps et âme à ma passion, je ne vois pas le temps passer. Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Il y a du soleil.

Je me prépare une salade de carottes pendant que gonfle le riz. Je concocte une sauce au Roquefort. Un filet de sole pané.
Je mange de bon appétit. Je décongèle une tarte aux pommes pour le dessert de ce soir, chez Juliette. La vaisselle. Parfait.
Je vais faire quelques pas dans le jardin. Il fait presque chaud sous le soleil. Mais il y a tout de même quelques nuages gris.
Il est 13 h15 lorsque je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Cette seconde séance m'enchante.
Du bruit. Il est déjà 16 h20. Clémentine entre dans l'atelier à toute vitesse. Elle m'embrasse. Toute contente de me revoir.

Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les cours, les profs, le menu du restaurant universitaire. C'est très bien.
Rapidement assise devant l'ordinateur, entourée de ses fiches, Clémentine met ses notes au propre. Peaufine son écrit. Joie.
Il est 18 h30 lorsque nous cessons. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Clémentine me lit une fois encore son texte. Bon.
Je la félicite pour la qualité de son travail. Nous quittons l'atelier pour monter nous préparer. Clémentine paraît impatiente.
Pour éviter d'être importunée alors qu'elle au dernier jour de ses "petits machins" de fille, Clémentine préfère un pantalon.

Elle porte son pantalon de cuir noir. Très moulant. Clémentine le porte rarement. Un simple pull de coton fin. Noir, moulant.
Des bottines à talons hauts. Elle se regarde dans le miroir. < Je fais hyper pute ! > fait elle, se tournant dans tous les sens.
Je dis : < C'est génial ! On bande rien qu'à te voir ! >. Nous rions de bon cœur lorsqu'elle me dit : < Je suis ta pute à toi ! >
Sur sa demande, je porte un jeans, une chemise blanche élégamment débraillée, sous une veste légère. Des souliers ville.
Clémentine, accroupit à ma gauche, sa tête en appui sur ma cuisse, me tenant la jambe, fait : < Soyez vigilant "Maître" ! >

Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Soyez rassurée délicieuse "Soumise", je saurai vous protéger aux écuries ! >
Je sors mon Zob afin que Clémentine puisse y frotter son visage et sucer un peu. Elle pompe en s'observant dans le miroir.
Je lui fais remarquer à quel point elle est belle, sexy et attractive. < Tu l'aimes ta pute ? > demande t-elle en se redressant.
Je réponds : < Oh oui que je l'aime. Et comme un fou ! >. Nous nous embrassons longuement avec passion. Avec la fougue.
Nous dévalons l'escalier. Clémentine a attaché ses cheveux en queue, assez haute sur la tête. Elle met sa veste en cuir noir.

Nous prenons sa voiture. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue en me confiant à quel point elle a la trouille.
C'est ce mélange de crainte, d'excitation qui constitue le plus souvent ce moteur qui la pousse aux témérités les plus folles.
Ce soir encore, elle sait pouvoir me faire confiance. Je serai là. Elle pourra s'abandonner au vice et dans une totale sérénité.
Trois petits kilomètres. Nous arrivons au haras. Le ciel s'est couvert. Il y une atmosphère sinistre. Les fringues de rechange.
Dans un sac, posé à côté du Tupperware contenant la tarte aux pommes, il y a un sweat et un jeans. Il faut anticiper. Jeux.

Clémentine ne me lâche pas la main. Nous traversons la cour. Il y a juste la voiture à Juliette. Personne. Le profond silence.
Nous entrons dans l'écurie habituelle. Monsieur Gérard est là, bavardant avec Juliette. Ils nous font un grand sourire. Super.
Ils viennent vers nous pour nous serrer la main. Juliette fait bouger son index dans ma paume. C'est toujours très vicelard.
Mr Gérard porte ses habituels vêtements. Pantalon de velours brun, une veste "Nature et Pêche" et ses cheveux en catogan.
Juliette est vêtue de sa tenue d'écuyère. Nous bavardons un peu. Gérard n'a plus d'attention que pour Clémentine. Sympa.

Juliette m'entraîne à part. Pendant que nous discutons, je vois Mr Gérard qui entraîne Clémentine vers le fond des écuries.
Ils entrent dans le dernier box. Là où il y a le trou dans la cloison. Cela m'excite. Juliette me dit : < Je suis si contente ! >
Je passe ma main entre ses cuisses. Elle a le réflexe habituel. Elle se cambre sur ses genoux fléchis pour m'offrir sa chatte.
Je touche vulgairement son entrejambes à travers le tissu de son pantalon moulant. Elle me tient par les épaules. Soupir.
< J'adore vos initiatives, Julien ! Venez, on va mâter. C'est ce qui nous réussi si bien ! > fait elle en m'entraînant au fond.

Là, par la porte supérieure du box entrouverte, nous pouvons voir. Gérard est derrière Clémentine. Il l'a touche, se frotte.
Clémentine, pieds largement écartés, cambrée sur ses genoux fléchis qui se laisse tripoter. Gérard lui palpe l'entrejambes.
Gérard, une main sur ses seins, une main entre ses cuisses, la touche avec une vulgarité rare. Nous observons en silence.
Lorsque Gérard cesse, qu'il cesse de se frotter contre la fille, nous découvrons qu'il a sa braguette ouverte, sa bite à l'air.
Cette bite minuscule qui reste toujours molle comme posée sur ses couilles énormes. C'est une vision surréaliste. Vicieuse.

Clémentine se laisse faire. Gérard, de petite taille, lui arrive aux épaules. Il se met sur la pointe des pieds pour l'embrasser.
Ils se roulent une pelle incroyable. Juliette me chuchote : < Des amoureux ! >. J'ai un léger pincement au cœur. Excitant.
Je regarde s'il n'y a personne d'autre que Juliette. Je sors ma queue. Je me branle doucement. Juliette me l'attrape. Ferme.
Je passe ma main sur son épaule pour la serrer contre moi. Juliette a un soupir de satisfaction. Elle m'embrasse en bavant.
Tout en me faisant rouler une pelle, je regarde ce qui se passe dans le box. Clémentine est accroupit. Gérard la tient bien.

Ce vieux vicelard est entrain de se faire sucer. Clémentine le tient par les hanches pour maintenir son équilibre. Elle pompe.
Il y a une épaisse couverture posée au sol. Gérard, avec un pied, la glisse devant lui. Clémentine y tombe à genoux. Super.
Elle est terriblement excitante dans ses vêtements de cuir noir, bourgeoise élégante entrain de tailler une pipe bien vicieuse.
Gérard la tient par ses cheveux. Ils sont noués de façon à permettre de bien guider la tête de la jeune fille. Gérard connaît.
Juliette me branle doucement. Je glisse ma main dans son pantalon. Je lui chuchote : < J'ai une envie de baiser avec toi ! >

Juliette m'embrasse avec plus de passion encore. Je l'invite à regarder dans le box. Nous sommes là des voyeurs privilégiés.
Gérard retire plusieurs fois sa queue de la bouche de Clémentine. Il y a à chaque fois d'épais filaments de jute. Dégueulasse.
Il lui met une gifle en la traitant de grande salope. De pompe à foutre. Clémentine tousse en tentant de déglutir le trop plein.
Soudain, là, du trou parfaitement rond dans la cloison, il y a une autre bite. Longue, molle, humide et luisante. Consternant.
< La "surprise" ! > murmure Juliette. Gérard, sans doute dans la combine, met Clémentine devant le trou pour lui montrer.

Clémentine résiste. Un mouvement de recul. Elle tente de se soustraire à l'étreinte de Gérard qui la maintient là avec force.
Il lui frotte la gueule sur cette nouvelle queue. Je chuchote : < C'est qui ? >. Juliette me fait un clin d'œil : < "Surprise" ! >
Clémentine ne veut absolument pas être obligée à sucer. Cette contrainte la révulse. Elle tente de se relever. Se débattant.
Rien à faire. Gérard la tient fermement. < Tu vas sucer ! > lui ordonne t-il. Clémentine, un air de dégoût détourne sa tête.
Elle fait preuve d'une force étonnante. Elle pousse de petits cris. Gérard lui frotte sa bite sur la gueule en l'insultant. Salaud.

Parfois la bite qui pend du trou disparaît pour revenir. Dégoulinante. C'est hyper dégueulasse. Gérard se fait sucer. Vicelard.
Il sort à nouveau sa queue et cette fois, par surprise, fourre le visage de Clémentine sur cette queue inconnue et suintante.
Juliette me branle et me chuchote : < N'interviens pas Julien ! Laisse là ! C'est ce qu'elle désire le plus au monde. Salope ! >
J'ai le cœur qui bat la chamade. Clémentine est entrain de sucer cette bite. Les mains posés sur la tête, tenues par Gérard.
Il est penché à côté d'elle pour lui murmurer des choses inaudibles. La bite est devenue dure. C'est celle de Pierre, certain !

Gérard appui sur la nuque à Clémentine pour lui enfoncer de la bite plus profondément. Il y imprime même un mouvement.
Les traits du visage de Clémentine sont à présent sereins. Elle suce avec passion. Elle vit enfin son fantasme. Mon fantasme.
Gérard lui chuchote des trucs que j'aimerai beaucoup entendre. Juliette a son visage contre le mien. Nous regardons. Bien.
Il commence à faire plus sombre. Gérard tient toujours Clémentine par la nuque et sous le menton. Elle suce en gémissant.
Nous entendons distinctement Gérard lui dire : < C'est bien ma grande. Tu obéis à Maître Gérard et tout se passe bien ! >

Il y a une explosion de foutre dans la bouche de Clémentine. Tellement abondante qu'il en gicle. Gérard s'éloigne à temps.
Le mec de l'autre côté doit éjaculer. Clémentine tousse, pousse de petits cris, des râles et tente une dernière fois de cesser.
Gérard lui dit : < C'est bien ma grande. Avale ! >. Clémentine recrache en toussant, les larmes aux yeux et l'air dégoûtée.
Elle peut enfin se redresser. Sur notre droite, la porte du local s'ouvre. C'est effectivement Pierre. Et il me fait un clin d'œil.
Il s'éloigne en vitesse pour disparaître par l'entrée. Clémentine s'essuie la bouche. Gérard la tient par la chatte. Vulgaire.

< Viens ma grande, c'est fini ! > fait il en la saisissant par les cheveux. Juliette m'entraîne très rapidement un peu plus loin.
Clémentine, toujours tenue par Gérard, me fait un sourire. Elle baisse les yeux et n'ose pas affronter mon regard. Honteuse.
Gérard me la ramène en disant : < Et tu me la confies quand tu veux. Cette jeune salope a besoin d'être bien dressée ! >
Il s'en va. Clémentine essuie ses larmes. Elle se retourne pour lancer à Gérard : < Merci Maître ! >. J'en reste consterné !
Juliette nous invite à la suivre. Clémentine se blottit contre moi. < Merci Julien ! > murmure t-elle. Nous rejoignons Juliette.

Nous mangeons de bon appétit. Comme par pudeur nous évitons d'évoquer ce qui vient de se passer. Peut-être à demi mot.
C'est Clémentine qui en parle la première. < C'était qui derrière le mur ? > demande t-elle à Juliette qui fait : < Pierre ! >
< Je m'en doutais ! > dit Clémentine. Nous quittons Juliette vers 22 h. Dans la voiture, Clémentine reste serrée contre moi.
Elle ne cesse de me remercier pour cette soirée. Je lui promets de refaire. Elle me confie son ressenti. De sucer un inconnu.
Au lit, je lui suce le clito. Son orgasme est cataclysmique. Elle se serre dans mes bras, ivre de reconnaissance. Un bon début.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment les "surprises" au fond de leurs écuries préférées, avec un "Maître"...

Julien - (Qui écoute Clémentine lui raconter à quel point cette expérience nouvelle lui donne envie de recommencer) -

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Un jeudi des plus agréables

Hier matin, jeudi, c'est la symphonie Pastorale de Ludwig Van Beethoven qui nous tire du sommeil avec une certaine grâce.
< Et silence Ludwig ! > s'écrie Clémentine qui me chevauche pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit.
Quelques bisous et papouilles, nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues sport, nous dévalons les escaliers.
Nous nous préparons un de ces copieux petits déjeuners qui font la joie de nos matinées. Et nous mangeons de bon appétit.
Clémentine évoque la soirée de hier, aux écuries, ce vieux vicieux de Gérard. Cette vicieuse de Juliette. J'écoute avec soin.

En général, les lendemains qui suivent nos excès, Clémentine est plutôt réservée et évite d'aborder le sujet. Une contrition.
Alors que là, aujourd'hui, elle semble vouloir en partager les impressions. Je la félicite. C'est grandiose. Et une fois encore.
Nous en reparlerons ce soir. 6 h25. Nous enfilons nos K-ways. Il fait plutôt bien agréable pour aller courir. Ça nous change.
Une heure d'un jogging des plus gratifiants et nous voilà de retour pour prendre notre douche. Puis je descends le premier.
Je sors la petite auto de Clémentine qui me rejoint toute souriante. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Il y a le soleil.

Je rentre. Je fais notre lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Mélange des couleurs.
Il est 8 h15. Me voilà installé devant mon chevalet. Je peins dans une euphorie stimulante. Les confidences de Clémentine.
Il est aux environs de 10 h lorsque l'absurde musique de mon smartphone résonne au fond de la poche de ma blouse en lin.
C'est Juliette. Décidément. Et la jeune femme paraît toute contente elle aussi. Très rapidement elle en vient à parler de hier.
< Merci Julien pour votre proximité complice, toujours aussi rassurante ! > me confie Juliette en racontant ses impressions.

Je la rassure. Il en va de même pour moi. Nous ne nous sommes pas vus durant une dizaine de jours, cela nous manquait.
J'en ai parlé à Clémentine. Cette fois cela ne l'a pas du tout dérangé. Ce qui conforte également Juliette. C'est la confiance.
Je lui donne les impressions de Clémentine qui, ce matin, était toute radieuse en évoquant cette soirée "pipe". C'est super.
Nous bavardons ainsi durant une bonne demi-heure. Nous n'allons plus nous revoir durant une dizaine de jours au moins.
Mais il n'est pas exclu que nous fassions, Clémentine, Estelle et moi, une visite éclair au haras dimanche en fin de journée.

Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau pour y faire gonfler le millet doré dont je raffole. Si fameux.
Je lave les feuilles d'une belle frisée. Je prépare la pâte à pain pour les pizzas du jeudi soir. Je concocte une belle garniture.
Tomates fraîches, ail, oignon, ciboulette, persil et de petits morceaux d'un avocat pas trop mûr. Des champignons émincés.
Je récupère un peu de cette garniture comme sauce en accompagnement de mon millet qui a déjà gonflé. Du gruyère râpé.
Je mange de bon appétit en tentant d'écouter les informations grossièrement outrancières et mensongères. Quelle épreuve.

C'est au-dessus de mes forces. J'éteins rapidement la radio. Je fais la vaisselle. Je range la cuisine. Dehors il fait beau. Joie.
Je sors faire quelques pas. La pâte à pain repose sous un linge. La garniture repose sous un couvercle. Et tout est déjà prêt.
Il est 13 h15 lorsque je suis à nouveau confortablement assis devant mon chevalet. Et une seconde séance dans l'euphorie.
Du bruit. Il est déjà 16 h20. Clémentine entre dans l'atelier à toute vitesse pour se précipiter vers moi. Plein de bises, câlins.
< Je t'aime Julien ! Merci pour hier soir. Je n'ai pas arrêté d'y penser. Mes "petits machins" de fille sont finis ! > me dit elle.

Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les cours, les profs, le menu du restaurant universitaire. C'est très bien.
Clémentine a encore du travail. Là, assise devant l'ordinateur, entourée de ses fiches, elle met ses notes du jour au propre.
Je lui raconte le coup de téléphone de Juliette. Ses aveux quand au plaisir que lui procure nos visites et nos petites séances.
< Elle est surtout amoureuse de toi et est surtout contente de ta présence ! > corrige Clémentine. Nous rions de bon cœur.
Je sais que Clémentine est dans le vrai et qu'elle a parfaitement raison. Cela fait partie de nos complicités. Et rien de grave.

Il est 18 h15 lorsqu'Estelle arrive à son tour. Toute contente d'être de retour avec nous. Elle se précipite pour m'embrasser.
Assise sur mes genoux, ses bras à mon cou, elle dit : < Clémentine m'a tout raconté. Tu as été sage avec Juliette ? >. Rire.
Je lui dis : < J'avais soudain une méchante envie de baiser avec elle ! >. Estelle répond : < Interdiction absolue, tu sais ! >
Clémentine rajoute : < Sauf dérogation, document signé et mon autorisation ! >. Nous rigolons comme des bossus. Sympa.
Les filles mettent la dernière main à leurs écrits pour l'oral de demain matin. A tour de rôle elles lisent à haute voix. Super.

J'aime travailler dans cette ambiance d'émulation. C'est tellement intéressant de les entendre s'exercer ainsi. Passionnant.
Il est 18 h45. Nous rangeons nos affaires. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Et morts de faim, nous filons à la cuisine.
Estelle travaille la pâte à pain. Elle adore cette activité de pétrissage. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade lavée.
Je réchauffe la garniture. Je râpe du gruyère de Comté et du Parmesan en quantité égale. Des petits cubes de Roquefort.
Estelle, les mains enfarinées, prend un malin plaisir à me tripoter la queue pour l'enfariner également. C'est une habitude.

Les pizzas sont au four. Clémentine nous propose de profiter de cette soirée ensoleillée. Il fait si extraordinairement doux.
J'ai l'obligation de garder la bite à l'air. Nous sommes à l'abri des regards. Il n'y a personne à proximité. Pas de voisinage.
Les filles me tiennent par le bras. Nous parcourons la propriété. A découvert, je reste prudent. Il y a parfois les Bertrand.
Ce sont nos plus proches voisins. A plus de 350 mètres toutefois. D'épais fourrés et les bosquets protègent nos propriétés.
J'ai de la farine sur le Zob. < Miam ! Je me la garde pour le dessert ! > me fait Estelle accroupie pour me sortir les couilles.

Estelle dit à Clémentine : < Tu as encore vidé les énormes couilles de monsieur Gérard, hier soir ! Elles étaient pleines ? >
Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine répond : < On ne sait jamais quand ce vieux salaud éjacule ! >. Rire.
Clémentine et Estelle évoquent les saveurs des différents spermes qu'elles ont déjà goûté au haras. Pierre, Léon et Gérard.
Celui de pierre est très salé. < Comme de l'eau de mer ! > précise Clémentine. < Oui, je sais, un peu pénible ! > dit Estelle.
Alors que celui de Gérard est plus liquoreux, plus "épicé". Il laisse un arrière goût âcre. Celui de Léon laisse un goût acide.

C'est sur ces considération séminales que nous faisons le tour de la propriété dans une douceur enfin printanière. Superbe.
J'ai entrebâillé une des fenêtres de la cuisine. Ainsi, nous pouvons entendre la sonnerie du four. Nous bavardons en riant.
Cette conversation épique est des plus intéressantes. < Regarde ! Julien qui bande à nos histoires ! > fait Estelle. Rigolade.
Clémentine me saisit les couilles qu'elle masse, soupèse en disant : < Ce sont mes préférées ! >. Nous rions de bon cœur.
< A moi aussi ! > s'écrie Estelle qui s'accroupit pour y déposer plein de bisous. La sonnerie du four. Nous nous précipitons.

Nous mangeons de bon appétit. Les pizzas sont un véritable délice. Elles font la joie de nos jeudis soirs depuis deux années.
Nous trainons à table. Souvent, tout en parlant, Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine. Vulgaire, vicieuse.
Clémentine reste assise et mime à chaque fois une fellation. Je me lève à mon tour pour agiter le Zob dans leur direction.
La farine qui colle sur ma bite, bien sèche, commence à s'effriter. On dirait un saucisson sec du genre "Justin Bridou". Rire.
< Je vais me le bouffer en dessert ton "Justin Bridou", tu vas voir ! > lance Estelle. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine.

Je propose aux filles un léchage de chattes dans les règles de l'art aux filles qui m'entraînent au salon par les couilles. Bite.
Elles me font tomber dans le canapé. < Ce soir, c'est la pipe "Maître Julien ! > fait Estelle en se mettant à genoux. Coussin.
Clémentine s'installe à côté de moi, sa main dans son jeans. < Je me suis déjà branlée en rentrant. En bagnole ! > dit elle.
< Toi aussi ! > fait Estelle. Nous rigolons comme des bossus. Estelle me renifle la bite en faisant : < Pouah, Mr Schlingo ! >
< Fais moi sentir ! > dit Clémentine en se penchant pour humer les odeurs de ma journée d'homme. Odeur de Parmezob.

Estelle lèche consciencieusement les reliquats de farine encore agglutinée. Le long de la fameuse veine bleue. Elle en gémit.
Je me retrouve rapidement avec une queue toute propre et luisante. < Maintenant je fais l'intérieur ! > rajoute Estelle. Rire.
Je regarde sa langue fouiller la peau du prépuce en tournant autour du gland. Comme un petit animal sous une couverture.
Je lui caresse la tête pour lui chuchoter : < My lovely dick cleaner ! I like it ! >. Estelle me fait un clin d'œil. Se met à sucer.
Clémentine se masturbe. Penchée sur le côté pour scruter la pipe que me prodigue Estelle. Son mouvement qui s'accélère.

Je sors souvent la bite de la bouche d'Estelle. Cela lui permet de reposer sa mâchoire. Nous évoquons les vacances à venir.
Nous partons lundi matin pour la Vendée. Cinq jours. Et nous resterons tous les trois ensemble toute la semaine prochaine.
Cette simple idée nous dynamise, nous exalte et achève de nous exciter. Nous nous promettons un séjour vendéen vicieux.
Les filles donnent dans la surenchère. C'est à celle qui aura la proposition la plus farfelue, la plus délirante ou la plus folle.
Nous éclatons de rire. < Et samedi, c'est "Soirée cinéma" ! > nous rappelle Estelle. Elle a fait un montage du film. Superbe.

Nous passons la soirée ainsi. J'éjacule dans la bouche d'Estelle. En sournois, sans prévenir et tout en parlant des vacances.
Elle tente de déglutir la quantité de foutre, sans en perdre la moindre goutte. C'est une difficulté dont elle s'acquitte bien.
Clémentine cesse sa masturbation juste avant le grand final habituel. Je m'occuperai d'elle au lit, après. Estelle me sourit.
< Je vais te pomper comme une vraie salope toute la semaine prochaine ! > fait elle. Nous la raccompagnons à sa voiture.
La séparation est difficile. Nous montons. Au lit, j'offre un cunnilingus d'enfer à Clémentine qui en hurle de plaisir. Le dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment à savourer un bon "Justin Bridou" tout en évoquant les vacances à venir…

Julien - (Qui ne compte plus les litres de foutre qu'il a déjà déversé dans la bouche gourmande et assoiffée d'Estelle) -

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Classe - 23 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 799 -



Un début de vacances assez sulfureux

Hier matin, vendredi, c'est l'Adagio pour cordes de Samuel Barber qui nous tire du sommeil. Et avec une certaine violence.
< T'es barbant Barber ! > fait Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé de mon côté sur la table de nuit.
Nous rions de bon cœur avant de nous précipiter, la tête dans le cul, jusqu'aux chiottes pour y pratiquer nos rituels pisseux.
Vêtus de nos tenues sport, nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine pour y préparer un copieux petit déjeuner. C'est bon.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine termine à midi et c'est le début d'une semaine de vacances.

C'est dans cet état fébrile que nous enfilons nos K-ways pour affronter notre jogging matinal. Le K-Ways que nous retirons.
Quelques mouvements d'échauffement suffisent à nous conditionner pour une heure de running dans un climat printanier.
Il est 7 h25 lorsque nous revenons pour prendre notre douche. Je descends le premier pour aller sortir l'auto de Clémentine.
Il fait beau. Il fait enfin doux dès 7 h45. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou depuis le haut du chemin.
Je rentre. Je fais notre lit, notre vaisselle. Je vais dans l'atelier. Je prépare ma palette et mes pinceaux. J'étale les couleurs.

Je peins animé de la sérénité du vainqueur. Je termine ce matin la vingt neuvième toile destinée à ma saison d'été. Super.
Cette nature morte d'un format F6, (41 x33 cm) ira rejoindre le stock réservé à ma galerie d'art dès la fin du mois de juin.
C'est vers 10 h que j'applique la dernière touche. Jaune de cadmium de la pointe de mon plus fin pinceau, poils de martre.
Je pose la toile achevée sur le second chevalet afin qu'elle y sèche. Puis je dépose une toile vierge sur le premier chevalet.
Je commence immédiatement le dessin préparatoire de la trentième et dernière toile. Ce sera une scène de genre typique.

Trois personnages dans un intérieur Hollandais. Je situe l'anecdote dans la seconde moitié du XVIIème siècle. C'est super.
Comme toujours, les personnages féminins auront les traits de Clémentine et d'Estelle. Le personnage masculin les miens.
Je réalise toujours un dessin préparatoire qui est déjà une œuvre en soi. D'une rigueur et d'une finesse absolues. Parfaites.
Il est presque midi. J'ai terminé cet agréable travail. Je prépare la peinture acrylique "Terre de Sienne". Bien diluée. Fluide.
Clémentine adore passer les deux couches d'impression qui recevront les couches supérieures de peinture à l'huile. Super.

Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau pour les coquillettes. Je concocte une sauce au Roquefort. Je pane des filets de sole.
Il est 12 h20. Clémentine qui arrive à toute vitesse. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous.
Clémentine s'occupe de la salade de tomates et de l'assaisonnement. Elle y rajoute des champignons très finement coupés.
Elle me raconte sa matinée. Son dernier oral s'est parfaitement passé. Félicitations des profs, satisfecit du jury d'étudiants.
A présent, Clémentine peut se consacrer entièrement aux vacances qui pointent le bout de leurs huit jours de récupération.

Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant le vague programme de cet après-midi. Nous partons à bicyclettes. Enfin.
Nous ne trainons pas. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns. Joie.
Nous nous changeons. Clémentine porte une jupette sport de coton brun. Un T-shirt blanc. Je porte mon short noir en lycra.
Accroupie à ma gauche, sa tête contre ma cuisse, tenant ma jambe, devant le miroir de l'armoire, Clémentine nous regarde.
< Vous m'offrez huit jours de bonheur, mon doux "Maître" ! Et je vous suis redevable de mon plaisir ! > me chuchote t-elle.

Je pose ma main sur sa tête pour lui répondre : < Mais c'est vous qui me comblez de bonheur ma délicieuse "Soumise" ! >
Je tire ma bite par le haut de mon short noir afin qu'elle puisse y frotter son visage et sucer un peu en gloussant de plaisir.
Je la force à se redresser. Nous rions de bon cœur de ce rituel qui n'est évidemment qu'un jeu. Nous dévalons les escaliers.
Dans le petit sac à dos que je porte, il y a deux pommes, des barres de céréale, nos K-ways, et nos leggings. Et au cas où.
Je vérifie le gonflage des pneus. 4,5 bars devant et derrière. Nous voilà en chemin pour rejoindre la piste cyclable. Le soleil.

Nous croisons nombre de cyclistes qui profitent de cette magnifique seconde partie de journée. Il fait presque chaud. Bien.
Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest. Il nous poussera au retour. Un peu d'exercice n'est jamais pour nous déplaire.
Arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Nous prenons nos positions stratégiques respectives. Je suis planqué derrière les fourrés.
Clémentine, de l'autre côté de l'écluse, entre deux bosquets, penchée en avant, guette l'éventuel passage d'un quidam. Bon.
Nous nous faisons des grimaces, gestes obscènes. Et voilà la V.P. "victime potentielle" vêtue "Tour de France" qui se pointe.

Clémentine, qui a retiré sa culotte qu'elle tient dans sa main, s'accroupit. Se met en position "pisseuse", cuisses écartées.
Notre coureur cycliste tombe sur le merveilleux spectacle. Le bougre freine à en déchirer le pneu arrière sur l'asphalte. Joie.
Les pieds à terre, son vélo entre ses jambes, il regarde le show de cette magnifique jeune fille qui semble ne pas l'avoir vu.
Clémentine, pour la circonstance, a dénoué ses cheveux. Elle porte ses larges lunettes de soleil noires. Derrière l'anonymat.
Le type reste silencieux, appréciant ce moment si rare. Je fais le guet ainsi que notre voyeur qui regarde dans tous les sens.

Bien trop excitée, bien qu'elle se retient depuis la maison, Clémentine n'arrive pas à pisser. Ce serait l'absolu si recherché.
Clémentine lève enfin la tête pour fixer l'inconnu. Droite, altière, les mains posées sur ses genoux, les cuisses bien écartées.
Je bande toujours comme un salaud lorsqu'elle se comporte ainsi. Le type reste d'un calme stupéfiant. Très bon spectateur.
Un homme ayant parfaitement compris qu'en restant distant, silencieux, sans initiative, il profitera longtemps du spectacle.
Hélas, trois fois hélas, là-bas, sur la droite, arrivent quatre cyclistes. Deux couples. Le mec fait un signe à Clémentine. Ouf !

Il pointe son doigt dans la direction des arrivants. Clémentine comprend immédiatement. Elle se redresse rapidement. Vite.
Pour éviter des pertes de temps inutiles, je sors de ma cachette. Le cycliste remonte sur son vélo et suit les deux couples.
Nous arrivons au petit port de plaisance pour 15 h30. Il y a du monde. Sur le canal nous avons croisé nombre de bateaux.
Nous fermons nos bicyclettes à cadenas derrière la capitainerie. Nous traversons la route pour nous rendre à la supérette.
Nous bavardons un peu avec madame Marthe, la gérante. Nous achetons nos cônes glacés que nous dégustons en flânant.

Clémentine nous entraîne dans les fourrées à proximité des sanitaires réservés aux plaisanciers et derrière les WC publics.
Personne. Clémentine a retiré sa culotte. Elle est dans le petit sac à dos. Elle se touche en scrutant les environs. Avec soin.
Le petit moment d'exhibitionnisme devant le cycliste de l'écluse a considérablement ouvert son appétit d'en refaire encore.
Je descends mon short à mi cuisse. Je bande très mou. J'agite ma bite dans sa direction. Nous restons toutefois prudents.
Nous avons beau attendre, personne n'arrive. C'est un peu frustrant. Clémentine se touche, je me branle. Elle me pompe.

Je tire un des K-ways du sac à dos, je le mets sur le muret. Je saisis Clémentine par la nuque pour la forcer à s'y assoir.
Les cuisses largement écartées, je tiens ses chevilles. Elle est en appui sur ses coudes. Et avec précaution, je la pénètre.
Je frotte mon sexe sur le sien. Nous sommes tous deux trempés. Il ne serait pas déplaisant de se faire surprendre ainsi.
Dans ces situations il importe peu d'être surpris par un homme ou par une femme. Et cela nous excite considérablement.
Nous baisons doucement sans cesser de regarder partout autour de nous. Il n'y a personne. Une journée sans. Dommage.

Clémentine ne cesse de se masturber en même temps que je la baise avec ardeur, avec fougue et avec passion. Sublime.
Cette fois, Clémentine ne peut réfréner l'orgasme qui la terrasse. J'évite le mien de justesse. Elle me repousse doucement.
J'ai la bite dégoulinante de nos jus. Clémentine reprend ses esprits lorsqu'un bruit, là, sur la gauche attire notre attention.
Quelle n'est pas notre surprise. C'est un jeune mec qui s'en va rapidement. Nous n'avons que le temps de l'entrevoir. Vite.
Le voyeur disparaît rapidement en haut du chemin qui monte vers la route. < Le salaud, il nous mâtait ! > fait Clémentine.

Nous rions de bon cœur d'avoir été les acteurs de ce petit film. Le type s'est probablement bien rincé l'œil. Même les deux.
Clémentine m'entraîne dans les fourrés où était planqué le mec. < Regarde ! > fait elle en me montrant le foutre parterre.
L'inconnu s'est branlé en nous observant. Cela mérite bien deux nouveaux cônes glacés que nous nous offrons avec plaisir.
Il est 17 h30. Nous prenons la route du retour. Je propose à Clémentine un bon restaurant ce soir. Elle hésite un moment.
Nous pédalons sans difficulté. Le vent nous pousse allégrement. Heureusement parce que cette baise nous a un peu vanné.

Il est 19 h lorsque nous arrivons. La soirée s'annonce printanière. Nous sommes épuisés. Clémentine préfère manger là.
Elle prépare une belle salade de carottes pendant que je fais gonfler du riz complet. Deux filets de cabillaud bien rissolés.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant notre aventure de l'après-midi. Nous traînons longuement à table. Bien.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous retournons flâner au dehors pour profiter de ce doux crépuscule. Si agréable.
Il y a les premières chauves souris qui virevoltent dans la nuit naissante. Elles vivent dans le souterrain et sortent la nuit.

Nous faisons le tour de la propriété serrés l'un contre l'autre. Le silence est total. Une première vraie soirée de printemps.
Clémentine me propose de reproduire ce qu'elle fait à l'écluse. Je joue à l'inconnu. Je la surprends entrain de pisser. Joie.
Il fait nuit. Peu importe que je ne vois pas grand chose car c'est la situation qui nous excite. Par contre je l'entends pisser.
Je m'approche, la bite dans la main. Debout entre ses jambes. Elle se tient en équilibre à mes hanches. Elle fait une pipe.
Nous ne restons pas longtemps. Nous rentrons. 22 h30. Au lit. Je me fais tailler une pipe des familles. Confidences. Dodo.

Bonne après-midi à toutes les coquines qui découvrent avec une joie immense qu'un voyeur les regardait baiser…

Julien - (Qui écoute les révélations de Clémentine, après la pipe et juste avant de s'endormir, serré dans ses bras) -

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Une "soirée cinéma" d'art et d'essai

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par des bisous dont Clémentine me couvre le visage. Incroyable douceur.
Machinalement, pas encore réellement réveillé, je la serre contre moi. Elle me murmure des tendresses. Un éveil magistral.
Nous nous offrons quelques papouilles avant que Clémentine ne m'entraîne par la queue jusqu'aux toilettes. Rituel pissous.
Morts de faim nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. Il est 7 h30. Nous sommes déjà vêtus de nos tenues sport. Super.
Dehors il fait beau. Le ciel est bleu. Il y a du soleil. Nous nous préparons le petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit.

Ce n'est pas seulement samedi mais c'est aussi le début d'une semaine de vacances. Le petit déjeuner est doublement bon.
Nous faisons un rapide programme de la journée avant de faire la vaisselle. Nous sortons. Il fait plutôt agréable. Bien doux.
Quelques mouvements d'échauffement et nous voilà à courir dans un paysage à l'ambiance enfin printanière. C'est parfait.
Une heure d'un jogging des plus gratifiants et nous voilà de retour pour prendre notre douche. Nous rions beaucoup. Super.
Nous nous habillons. Clémentine porte une de ses jupes légères en coton carmin. Un pull fin de coton noir. Cheveux noués.

Chaussée de ses souliers de ville à légers talons elle m'invite à mettre un pantalon de toile en lin claire, une chemise crème.
Mes mocassins. < Regarde comme on est beaux au printemps ! > me fait elle en m'entraînant devant le miroir de l'armoire.
Nous prenons la pose. Clémentine, accroupie sur ma gauche, les cuisses largement écartées, appui sa tête contre ma cuisse.
Elle me tient la jambe pour me dire : < Je vous aime "Maître". Soyez d'une douce sévérité avec moi durant ces vacances ! >
Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Je vous aime, douce "Soumise". Je vous promets de faire de mon mieux ! >

Je sors mon Zob afin qu'elle puisse y frotter son visage et le sucer un peu. Je la force à cesser. Nous dévalons les escaliers.
Nous rions de bon cœur de ce jeu devenu presque quotidien. Nous voilà en route pour le bourg voisin. Je roule doucement.
Clémentine joue avec ma bite. Trois petits kilomètres et je gare la voiture sur le parking. Il y a du monde. C'est le marché.
Je porte les sacs. Nous faisons provisions de fruits et de légumes chez nos agriculteurs locaux. Des gens charmants. Bien.
Nous faisons provisions de yaourts, de fromages, d'œufs, de crème fraîche et de beurre chez notre artisan local et habituel.

Nous avons oublié la glacière à cause de nos effusions passionnées. Nous ramenons le tout à la maison. C'est sympa aussi.
Direction la zone commerciale près de la ville. Treize petits kilomètres. Je roule toujours doucement. Une conduite pépère.
C'est rassurant car je me fais toucher, branler et sucer tout le long de la petite départementale. Nous en rions de bon cœur.
J'ai également souvent ma main droite entre les cuisses de Clémentine. Je gare la voiture sur le parking. Il y a du monde.
Clémentine retire sa culotte. Je pousse le caddie. Clémentine m'entraîne avec la liste des courses en main. Ne rien oublier.

Comme nous partons lundi matin, c'est le strict minimum. Nous ferons d'autres courses une fois arrivés en Vendée. Parfait.
Produits d'entretiens ménager. Il faut deux nouvelles serpillères. Du liquide vaisselle. Des éponges. De la poudre à récurer.
Comme j'ai ma braguette discrètement ouverte, Clémentine se serre parfois dans mes bras pour y glisser sa main. Sympa.
Moi, je lui palpe le sexe à travers le coton de sa jupe. Nos hautes tailles, notre différence d'âge, attirent quelques regards.
Des regards concupiscents. Des regards libidineux. Des regards envieux. Nous nous en amusons toujours beaucoup. Rires.

Aujourd'hui, les courses sont rapides. Clémentine m'entraîne donc tout naturellement vers le rayon des magazines. Livres.
Vêtue de sa jupe, ne portant pas de culotte, une opportunité exhibitionniste serait la bienvenue. Nous faisons le tour. Bien.
Il y a un homme seul, là-bas, qui feuillette des bouquins. Je reste en retrait. Clémentine s'empare du chariot. Je "sécurise".
Clémentine met le caddie contre le rayon. C'est un écran parfait. Elle s'accroupit à environ un mètre du type. Une stratégie.
L'inconnu doit avoir la trentaine. En jeans, T-shirt blanc, il porte une casquette et des baskets. Il doit avoir ma taille. Facile.

Il ne tarde pas à découvrir cette belle jeune fille accroupie. Clémentine a défait ses cheveux. Elle porte ses lunettes noires.
Réfugiée derrière cet anonymat parfait, elle peut commencer, dans la plus totale discrétion, son numéro. Le mec regarde.
Comme tous les messieurs avant lui, il a le même réflexe. Celui de s'accroupir pour loucher sous la jupe de la fille. Normal.
El là, il y a de quoi se rincer l'œil. Et même les deux. De là où je suis, je ne peux pas distinguer mais je devine ce qu'il voit.
C'est un solide gaillard plutôt entreprenant puisqu'il ne tarde pas à engager la conversation. Je vois Clémentine qui discute.

Ça doit également être un marrant parce que je vois Clémentine sourire à plusieurs reprises mais sans changer de position.
Je bande. Je l'ai vu faire tant de fois. C'est comme si c'était une première. Clémentine a perfectionné ses prestations. Bien.
En face d'elle c'est le mec qui masque ses agissements de vicieuse. Derrière elle c'est le caddie. Stratégie parfaite. Super.
Je circule un peu. J'aime voir sous différents angles. Clémentine, tournée de trois quart vers le rayon a les cuisses écartées.
Cela reste très raisonnable mais permet certainement à notre heureux veinard de bien constater l'absence de culotte. Poils.

La situation perdure jusqu'aux extrêmes limites de l'ankylose. Les fourmis doivent lui monter dans les jambes. Elle se lève.
Le type fait pareil. Clémentine le salue d'un signe de la main, d'un sourire et s'en va en poussant le chariot. Quelques pas.
Merdre ! C'est un "boulet". Le voilà qui emboîte le pas à la jeune fille. Il devient collant. Les individus les plus redoutables.
Rien n'indispose davantage Clémentine que les emmerdeurs. En voilà un splendide spécimen. Elle ne peut plus s'en défaire.
Le mec est un chiant de la pire espèce. Clémentine, rapidement excédée, me cherche du regard. A dessin je reste planqué.

L'individu marche à ses côtés, tenant même le caddie, ne cessant de parler. Je décide d'intervenir. Clémentine est soulagée.
Lorsqu'il me voit débouler, le sinistre con se détourne soudain avec un sourire de crétin pour s'éloigner. Il disparaît. Rapide.
Clémentine me raconte la nature des propos du triste sire. Invitations multiples à boire un verre, à se revoir, bref, la totale.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < Je m'en fout de ce con. Mais je lui ai bien fait voir ma chagatte ! >
Nous faisons un tour dans le rayon des vêtements hommes. Pourquoi s'arrêter sur notre lancée. Il y a peut-être un "plan".

Surprise. Il y a l'emmerdeur à casquette qui est là, à mâter des fringues. Lorsqu'il nous voit, il s'éclipse comme un voleur.
Pas d'opportunité. Nous passons en caisse. Troisième édition. Le même individu deux caisses plus loin. Hyper gêné. Drôle.
Nous flânons un peu dans la galerie commerciale. Nous regardons les menus proposés par la cafétéria. C'est très attractif.
Clémentine préfère rentrer. Nous arrivons à la maison pour 12 h30. Nous rangeons les courses. Nous préparons le repas.
Clémentine s'occupe de la salade verte, de son assaisonnement. Je fais bouillir l'eau pour le bouillon. Cuisson des moules.

Je verse les haricots verts encore congelés directement dans le Wok. C'est une préparation rapide. Nous mangeons à 13 h.
Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents et nous changer. Tenues vélo. Il fait tellement beau.
Clémentine porte une jupette sport, un T-shirt. Ses baskets. Je suis en short de coton, T-shirt et baskets. Nous voilà prêts.
Dans le petit sac à dos, nos K-ways, deux pommes, barres de céréale et bouteille d'eau. En route. Nous voilà partis. Super.
Nous rejoignons la piste cyclable. Il y a pas mal de gens. C'est grosso merdo la même météo que hier. Léger vent d'Ouest.

Arrêt pipi avec tentative d'exhibe au cabanon de l'écluse. Une dizaine de minutes à rester planqués. Attendre. Pas de plan.
Il ne passe aucun cycliste solitaire. Nous ne nous attardons pas. Nous arrivons au petit port de plaisance vers 15 h15. Bien.
Il y a déjà pas mal de touristes. Les joueurs de boules. De nombreux cyclistes qui bavardent. Des plaisanciers. L'ambiance.
Nous fermons nos bicyclettes à cadenas derrière la capitainerie pour aller nous offrir des cônes glacés à la superette. Miam.
Il y a des clients. Nous savourons nos cônes en flânant sur les quais. L'animation est telle que c'est une véritable curiosité.

Comme hier, nous allons rôder derrière les sanitaires réservés aux plaisanciers. Fermés à clef. Puis les toilettes publiques.
C'est le rendez-vous des D'jeunes du bourg voisin. Impossible de faire comme hier. De baiser un peu sur le muret. Rires.
Pas de réelles opportunités de s'offrir quelques frayeurs exhibes. Ce qui frustre un peu Clémentine. Sa culotte dans le sac.
C'est entre deux voitures, sur le petit parking réservé aux plaisanciers, que Clémentine peut s'offrir un petit frisson. Joie.
Accroupie entre deux bagnoles, elle se fait enfin surprendre entrain de pisser par un sénior athlétique, rieur et très sympa.

Je reste évidemment planqué un peu plus loin, entre une camionnette et le tronc d'un maronier centenaire. Superbe show.
Clémentine, qui se retient depuis notre départ, sautillant souvent en disant < pipi ! > peut enfin se soulager avec bonheur.
Dans la situation qu'elle préfère en extérieur. Être vue. Être regardée. Elle redouble donc de son talent avec virtuosité. Bon.
Le type reste assis dans sa voiture, la portière ouverte, une jambe dehors. Il voit ce merveilleux spectacle sans dire un mot.
Cette fois, nous avons affaire à un gentleman. Un de ces hommes qui sait faire durer le plaisir en évitant toutes tentatives.

Je me déplace. Je fais le tour de la camionnette. Clémentine est dans une flaque de pisse qui coule sous une des bagnoles.
Le mec mâte derrière le pare-brise de sa jaguar rouge bordeaux. Il porte des Ray-Ban "aviateur". Le voyeur patenté. Super.
Clémentine se torche longuement. Le type sort de son auto. Il lève le pouce de la main droite en signe de félicitations. Joie.
Il contourne son véhicule pour ouvrir le coffre arrière. Clémentine se redresse. Elle jette un dernier regard. Il a un sourire.
Elle tend le bras afin de laisser tomber le mouchoir en papier dans la flaque de pisse. Elle s'en va. Clémentine me rejoint.

Nous regardons le type, accroupit devant la flaque, qui se saisit du mouchoir avec deux doigts pour le tourner et le mâter.
C'est proprement délirant. < Un fétichiste ! > murmure Clémentine qui palpe ma braguette pour constater mon érection.
Nous observons cet individu qui tourne le mouchoir avec précaution dans tous les sens pour le scruter avec attention. Fou.
Nous rigolons comme des bossus lorsque nous le voyons l'emporter avec lui et le glisser dans un petit sachet en plastique.
Pour nous récompenser, nous nous offrons deux autres cônes glacés. Clémentine me confie ses troublantes impressions.

Il est 17 h30 lorsque nous reprenons le chemin du retour. Poussés par un vent favorable qui rend les 25 km très faciles.
Nous arrivons pour 18 h45. Estelle est déjà là. Comme toujours, elle a préparé le repas. Ce soir, spaghettis, sauce pistou.
Elle nous fait la bise. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Clémentine s'interpose. Jeu.
Nous mangeons de bon appétit. Dehors, le ciel se couvre assez rapidement. Nous avions bien vu l'accumulation nuageuse.
Nous traînons à table. Nous faisons mille projets pour cette semaine que nous allons passer ensemble tous les trois. Joie.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle nous montre la clef USB qu'elle agite en disant : < Notre soirée cinéma ! >
Clémentine nous entraîne au salon. Elle introduit la clef USB dans l'ordinateur bien relié au téléviseur avec le câble HDMI.
Nous voilà vautrés dans le canapé, devant le grand écran. Nous retenons notre souffle. C'est le film réalisé samedi dernier.
Le générique. Estelle adore faire des montages. Là, pour ce film, elle n'a pas coupé beaucoup de scènes. Tout était bien.
A l'écran, Estelle apparaît vêtue comme elle l'était lors du tournage. Jupe kilt, chemisier blanc sous son pull de coton noir.

Ce sont des photos qu'elle a prise chez elle pour les rajouter en début de film. Debout, accroupie, cuisses écartées. Belle.
Le générique défile. Le film s'intitule "L'étudiante". Il y a des noms fantaisistes. Nous rigolons comme des bossus. Super.
Nous sommes tous les trois en short. J'ai la bite à l'air. Clémentine a une main dans sa culotte et tient la zappe de l'autre.
Elle peut donc faire des arrêts sur images. Faire revenir en arrière. Nous adorons voir et revoir les scènes les plus sympas.
Estelle tient ma bite qui suinte un peu au bout. Je bande mou. J'invite le lecteur à relire le récit de samedi dernier. Le film.

Le film commence. On me voit habillé comme un péquenot, béret, fausses moustaches et lunettes de soleil. Les bretelles.
Je porte un pantalon en velours brun trop large, un vieux maillot et des pantoufles à carreaux. C'est d'un ridicule absolu.
Je viens ouvrir la porte d'entrée. Sur le palier, Estelle. Vêtue en jeune étudiante Anglaise comme dans les supers pornos.
Je la fais entrer. Je l'invite à me suivre au salon. C'est Clémentine qui a filmé tout cela. Et c'est superbement bien filmé.
Estelle assise sur le bord du canapé qui fait son argumentaire. Une quête pour "L'amicale des étudiantes délurée". Rires.

J'interprète le rôle du vieux pervers dépravé qui se touche et se tripote la braguette devant la jeune fille "innocente". Hum.
Je commence à bander. La fille que je vois à l'écran, jouant à la perfection, est assise là, à côté de moi, en chair et en os.
L'excitation que cela procure est indescriptible. Il n'y a pas de mots. Le film continu. On voit la jeune fille sortir un flacon.
Tout en dévissant le bouchon, elle fait au pervers : < Vous ferez bien un don de sperme pour cette noble cause ! >. Rires.
Clémentine fait un arrêt sur image. Un zoom sur le visage de l'étudiante, un zoom sur le visage du pervers. Peu de pixels.

Estelle, à ma droite, me tord la bite dans tous les sens. Elle dit : < Je n'ai pas regardé le film. Je le découvre avec vous ! >
Elle se masturbe de sa main libre. Le film continu. A l'écran, nous voyons le pervers se branler au dessus du flacon. Super.
L'étudiante, accroupie devant le vicelard, tient consciencieusement le flacon. La scène est filmée avec soin par Clémentine.
C'est en haute définition. Très peu de pixélisations lors des zooms sur les visages des deux protagonistes et sur la queue.
La jeune fille qui tient les couilles du pervers, qui les soupèse et tout en évoquant "L'amicale des étudiantes dépravées ! >

Le pervers éjacule dans le flacon. Pas une goutte à côté. Longuement. C'est filmé en gros plan. La jeune fille tient le flacon.
Elle le tourne consciencieusement devant ses yeux pour en contempler le contenu. Du sperme frais, onctueux et bien épais.
La pipe qui s'en suit est un très grand moment du film. La jeune fille ne cesse de recracher ce qu'elle pompe dans le flacon.
Il y a la seconde éjaculation dans la bouche de l'étudiante. Elle fait couler le foutre dans le flacon qui est presque plein. Dur.
Le film s'arrête sur cette image fantastique. Le sourire de la jeune fille, du foutre qui coule de sa bouche, devant la caméra.

Nous restons hébétés, admiratifs et consternés. Nous applaudissons tous les trois. Nous nous masturbons ensemble. Joie.
Estelle se lève. Quitte le salon. Clémentine se penche pour me sucer sans cesser de se masturber. Estelle revient très vite.
< Surprise ! > s'écrie t-elle en montrant le flacon du film qu'elle tient dans la main. La coquine a gardé le flacon de sperme.
Elle nous le montre. Le contenu est un liquide visqueux et jaunâtre. < Je le garde ! C'est mon talisman ! > nous fait Estelle.
< Sans déconner ! > s'écrie Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Je rajoute : < Ne débouche pas s'il te plaît ! >

Estelle le dépose sur la table basse comme si c'était une relique sacrée. Un objet précieux. Et c'est carrément surréaliste.
Estelle se met à genoux sur l'épais coussin et me dit : < J'en veux du frais ! >. Clémentine qui se masturbe de plus belle.
Je me lève pour venir présenter ma bite devant le visage d'Estelle qui se masturbe aussi. Je me fais tailler une super pipe.
Clémentine est venue se mettre à genoux sur l'autre coussin, à ma droite, pour regarder la fellation d'Estelle. C'est super.
Malgré la fatigue, 23 h, nous restons ainsi longuement. Clémentine jouit la première. Et Estelle jouit à son tour. J'éjacule.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment visionner le film cochon qu'elles ont réalisé la semaine précédente…

Julien - (Qui ne peut décrire l'indicible sensation d'avoir l'actrice du film qu'il voit à l'écran à côté de lui et en "vraie") -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 25 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 801 -



Je supplie Estelle de rester "négligée"

Hier matin, dimanche, je suis réveillé d'une merveilleuse manière. C'est tout simplement divin. L'enchantement. C'est beau.
Je suis entre Clémentine à ma gauche et Estelle à droite. Toutes les deux se frottent contre mes hanches qu'elles enserrent.
Je passe mes bras autour de leur cou. Elles me font plein de bisous. Elles me chuchotent des douceurs. Elles se masturbent.
Nous restons tous les trois ainsi jusqu'aux extrêmes limites. Estelle se lève la première en s'écriant : < Pipi ! >. Elle courre.
Clémentine continue à se frotter contre moi. < Mmmhh ! Comme c'est bon de t'aimer ! > murmure t-elle en se masturbant.

Estelle, qui a ses "petits machins" de fille depuis hier, revient se coucher dans son pyjama de soie mauve. Ce qui est si rare.
< C'est trop bon ! > fait elle. Clémentine m'entraine par la main jusqu'aux toilettes. Lorsque nous revenons, plus personne.
Nous rejoignons Estelle à la cuisine. L'odeur de la brioche, du pain grillé et du café sont une merveille supplémentaire. Miam.
Estelle se serre contre moi. Clémentine s'interpose par jeu. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. C'est goûteux.
< On ne se quitte plus jusqu'à dimanche prochain ! > lance Estelle à qui je beurre la tranche de pain grillé qu'elle me tend.

Nous faisons un vague programme de la journée. Si ce beau temps se maintient nous partons bien évidemment à bicyclette.
La dernière virée avant notre départ pour la Vendée demain matin. < Départ à 9 h ! > rappelle Clémentine pleine de brioche.
C'est dimanche. Pas d'entraînement. Le seul exercice étant le ménage. Estelle passe l'aspirateur. Clémentine fait la chambre.
Moi, je m'occupe du reste. Nous traînons à table. Les filles sont assises sur mes genoux à faire mille plans pour les vacances.
J'écoute amusé. C'est toujours impressionnant. Elles sont pleines de vie et ne manquent pas d'imagination. C'est stupéfiant.

La vaisselle. Chacun vaque à ses occupations. Clémentine monte. Estelle passe l'aspirateur au salon. Je nettoie la cuisine.
J'aime ce cadeau des dieux. Entendre Estelle chanter tout en passant l'aspirateur. Parfois je cesse pour écouter, apprécier.
Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère sur les carrelages. La cuisine, toilettes et hall d'entrée. Tout est propre.
Je m'apprête à monter lorsqu'Estelle, qui me tend son piège habituel, me choppe par derrière. Elle m'attrape par la taille.
Elle passe une main dans mon slip. < Comme je suis contente. On ne va plus se quitter toute une semaine ! > me fait elle.

Même si l'absence de Clémentine dans ces instants me perturbe toujours un peu, je suis saisi d'une telle émotion. C'est fort.
Je me retourne pour la serrer contre moi. Nous nous embrassons avec une passion folle. Nous en avons des frissons. Plaisir.
Estelle fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Il y a le goût de la brioche. Nous bavons. De la salive sur nos mentons.
Je bande. Estelle frotte son sexe contre le mien. Estelle se masturbe. Je la fais monter sur mon dos. Nous prenons l'escaler.
Nous rejoignons Clémentine. Je jette Estelle sur le lit comme un paquet de linge en disant : < Cette jeune fille se branle ! >

< Elle mérite une bonne correction ! > répond Clémentine en terminant de tirer les couvertures. Les fenêtres sont ouvertes.
Nous nous habillons à cause de la fraîcheur. Je ramasse les draps sales. Je vais à la salle de bain. Estelle passe l'aspirateur.
Clémentine vient me rejoindre. C'est à elle de se blottir contre moi. Et je lui raconte ce qui s'est passé au bas des escaliers.
Nous pouvons entendre chanter Estelle. Je nettoie le bac à douche et le bidet. Clémentine s'occupe des miroirs et du lavabo.
Nous n'arrêtons pas de nous toucher, de nous faire des bisous et de nous chuchoter des douceurs. Quelques cochonneries.

Clémentine descend avec le panier à linge plein à ras bord. Je nettoie les chiottes de l'étage. Mains gantées dans la cuvette.
C'est toujours ce moment que choisi Estelle pour venir silencieusement derrière moi. Elle choppe ma braguette fermement.
Je ne peux pas me défendre. Je tire la chasse. Je me tourne. Nous nous embrassons à nouveau. Sa main dans la braguette.
< Tu t'occuperas de moi en Vendée ? > me demande t-elle, innocente et ingénue. Je fais : < Et plutôt deux fois qu'une ! >
Je glisse ma main dans son jeans. < Attention Julien, j'ai ma serviette ! > me fait elle. Estelle porte sa serviette hygiénique.

Je la fais monter sur mon dos. Nous descendons prudemment pour rejoindre Clémentine à la buanderie. Elle me tient fort.
Nous trions le linge de couleurs. Je laisse les filles évoquer leurs études pour remonter à la cuisine. Le saumon a décongelé.
J'épluche les patates, les navets et les carottes pour la potée. Estelle est la première à me rejoindre. Elle se serre très fort.
Clémentine arrive à son tour pour s'interposer par jeu. Estelle s'occupe des pavés de saumon qu'elle prépare en papillotes.
Clémentine s'occupe de la salade verte. Je fais rissoler les légumes dans la vieille cocotte en fonte noire. De l'ail et l'oignon.

Nous mangeons de bon appétit. Nous parlons de nos vacances à venir. De la Vendée demain mais aussi de l'Ecosse bientôt.
Estelle viendra nous rejoindre à Edimbourg, comme tous les ans pour le premier août. Nous resterons tous les trois un mois.
Retour pour le début septembre, en voiture. Toutes les réjouissances à venir sont source de souvenirs déjà vécu en Ecosse.
Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns et nous mettre en tenues vélo.
Accroupies de chaque côté, Estelle à droite, Clémentine à gauche, les filles me tiennent par la jambe. Tête contre ma cuisse.

< Notre bon "Maître" a t-il requête particulière pour ma présence avec lui cette semaine ? > demande Estelle, implorante.
Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Ma douce "Soumise", je n'ai qu'une demande. Restez négligée ! J'aime ! >
< Vous aurez la même attitude avec moi, "Maître" ? > fait à son tour Clémentine. Je pose ma main sur sa tête. Caressant.
Je dis : < Rassurez vous, délicieuse "Soumise", j'aurai autant de considération pour vous ! >. Je tire la bite de mon short.
Elles y frottent leur visage avant de se la refiler pour sucer à tour de rôle. Je les force à cesser, se redresser. Déjà 13 h30.

Nous dévalons l'escalier tout en riant de ce jeu du "Maître" et de ses "Soumises". Nous voilà au dehors. La météo si douce.
Il y a bien quelques nuages mais le soleil est présent. Chaud. Nous voilà sur nos vélos pour rejoindre la piste cyclable. Bien.
Estelle est en short kaki, T-shirt beige et baskets. Clémentine est en jupette brune, T-shirt blanc, baskets. Je suis en short.
Dans le petit sac à dos que je porte, nos K-ways, nos pommes, nos barres de céréale, la bouteille d'eau. Super après-midi.
Nous croisons plein de monde. Des cyclistes, des jeunes filles en rollers, des couples en balade, des joggeurs, des familles.

Il faut être prudent le dimanche. Il y a pas mal d'abrutis qui laissent leur chien divaguer sans les attacher à la laisse. Cons.
Pas d'arrêt pipi au cabanon de l'écluse car il y a plein de gens assis dans l'herbe ou au bord du canal, les pieds dans l'eau.
Nous pédalons contre ce léger vent d'Ouest qui nous poussera au retour. Nous arrivons au port de plaisance pour 15 h30.
Les joueurs de boules. Plein de touristes qui regardent les mouvements des bateaux. Des groupes de cyclistes qui causent.
Là-bas, la terrasse du café bar restaurant est noire de monde attablé. C'est là l'effervescence des dimanches de printemps.

Nous fermons nos vélos à cadenas pour aller nous offrir des cônes glacés à la superette. Plein de clients. Et qui font pareil.
Nous dégustons nos glaces en flânant sur les quais. Ce soir, il faudra ramener la voiture d'entreprise d'Estelle à ses parents.
Ils en ont besoin pour le boulot. C'est sur des considérations très secondaires de cet ordre que nous nous promenons. Cool.
Inutile d'espérer trouver un plan exhibe. Il y a des gens partout. Il serait vain de prendre des risques inutiles. Sans intérêt.
Par contre nous attirons les regards. Nos hautes tailles. Cet homme d'âge mûr tenu au bras par deux superbes jeunes filles.

Nous en jouons. C'est tellement amusant. Surtout que lorsque ce sont des regards insistants, Clémentine en rajoute encore.
J'ai souvent ma main sous sa jupe. Sa culotte dans le sac à dos. Nous sommes devenus virtuoses dans l'art de la discrétion.
Estelle prend quelques risques en me palpant la grosse bosse sous le lycra noir de mon short. Il faut parfois l'en empêcher.
Il est 17 h45 lorsque nous prenons le chemin du retour. Poussés par le vent qui rend le parcours facile. Toujours du monde.
Nous arrivons à la maison après les 25 km de pur bonheur pour 19 h. Morts de faim. Je propose de ramener l'auto d'abord.

Nous restons en tenues vélo. Je sors la bagnole. Nous suivons Estelle au volant de la sienne. Trois petits kilomètres. Voilà.
Nous saluons ses parents qui sont encore au jardin. Il y a un couple d'amis qui s'en vont. La maman d'Estelle nous invite.
Nous nous sentons un peu ridicules en tenues vélo. < Et nous, en shorts, débraillés, que devrions nous dire ! > lance t-elle.
Nous acceptons. Tant pis pour la potée qui nous attend à la maison. Au retour, je la mets au congélateur. Rien ne se perd.
C'est un repas simple. Estelle est toute contente. Avec ses parents, avec nous. Et c'est très bien avant de partir sept jours.

Nous bavardons. Le papa d'Estelle ne tarit pas d'éloge sur sa nouvelle auto. La maman d'Estelle parle de l'entreprise. Bien.
Estelle et Clémentine n'arrêtent pas de me faire du pied sous la table. C'est une agréable soirée. Inattendue et improvisée.
Estelle trouve un prétexte pour nous faire monter dans sa chambre après la vaisselle. < Je veux te sucer un peu ! > dit elle.
Je bande mou. Je reste sur mes gardes. Les sens aux aguets. Je me fais tailler une pipe dans la chambre d'une jeune fille.
Clémentine et Estelle sont toutes les deux assises sur le lit. Je passe de l'une à l'autre, la bite rapidement dégoulinante. Jus.

Il faut cesser. Je suis mal à l'aise. Estelle me confie à quel point cet acte et dans sa chambre lui permet de relativiser. Rire.
Nous avons même déjà baisé sur son lit de jeune fille. Sur sa demande et toujours avec ce besoin de "relativiser". Coquine.
Je remballe. J'ai une énorme bosse sous le lycra de mon short. Je n'arrive pas à débander. Il faut y aller. Nous descendons.
Nous saluons les parents d'Estelle en les remerciant pour cette agréable soirée improvisée. La maman d'Estelle me regarde.
Elle a un étrange regard insistant. Estelle m'a déjà dit : < Ma mère n'est pas folle. C'est une femme. Elle se doute bien ! >

Cette hypothèse se confirme encore lorsque son regard se pose sur ma bosse. Put-Hein comme ça me gêne! Oh la vache !
Je me sens comme un con. Adolescent. A bander devant une dame. Son regard ne s'attarde pas sur la bosse. Ouf. Super.
Je suis certain, à l'instant, qu'Estelle a raison. Sa maman "sait". Dans la voiture, j'en fais part aux filles. Estelle me rassure.
< Et alors ! Je suis majeure. Je fais des trucs avec qui je veux. Même avec un homme très salaud de 52 ans ! > fait elle.
Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine rajoute : < Telle mère, telle fille ! >. Estelle conclue : < Certaine ! >

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment à sucer des mecs dans leur chambre de jeune fille, (majeure)…

Julien - (Qui s'endort entre Clémentine et Estelle après quelques caresses sans convictions car bien trop épuisé) -

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Classe - 26 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 802 -



Le départ

Hier matin, lundi, c'est le smartphone d'Estelle qui nous tire de nos profonds sommeils. Il est sept heures. Il fait déjà beau.
Je suis entre Clémentine à ma gauche et Estelle à ma droite. Nous nous étirons dans un concours de gémissements rigolos.
Toute la nuit, Estelle reste lovée contre moi. Elle se lève la première en criant : < Pipi ! >. Clémentine se serre contre moi.
Estelle descend la première. Nous nous précipitons aux toilettes. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Il reste de la brioche.
C'est dans cette délicieuse odeur de café et de pain grillé que nous prenons un solide petit déjeuner. Et tout en bavardant.

Nous faisons un très vague programme de cette matinée. Nous avons décidé de laisser une grande place à l'improvisation.
Nous ne traînons pas. Ce matin, exceptionnellement, pas d'entraînement, pas de gym, pas de jogging. Début des vacances.
La vaisselle. Nous remontons pour nous laver les dents et préparer nos valises. Pour cinq jours, il en faut peu. C'est sympa.
Une seule valise. La plus grosse. Clémentine choisi les vêtements que nous emmenons. Estelle a déjà préparé ses bagages.
Pour Clémentine, deux jeans, deux jupes. Deux T-shirt. Deux Sweats. Cinq culottes. Deux paires de chaussettes et baskets.

Pour moi, un jeans, un pantalon en lin, une chemise claire, deux T-shirts, un sweat. Cinq slips, deux paires de chaussettes.
C'est dans un grand sachet que nous emmenons une paire de chaussures de ville et une autre paire de baskets. C'est bon.
Le petit sac à dos, nos K-ways et nos tenues de sport. C'est Estelle qui plie les vêtements. Clémentine les dépose sur le lit.
Tout est très rapidement plié et rangé. Inutile de s'assoir sur la valise pour la refermer. Clémentine a été raisonnable. Joie.
Nous prenons une douche. Pour la route, nous serons vêtus légers. Clémentine en jupe, Estelle et moi en shorts. T-shirts.

Nous sortons. Nous laissons derrière nous une maison propre et bien rangée. J'enclanche l'alarme générale. Tout fonctionne.
La propriété ainsi que la maison sont équipées d'une domotique de pointe. Toute intrusion est immédiatement signalée. Bon.
Il fait très doux. Il y a le soleil. Il y a bien quelques nuages mais rien d'inquiétant. Ce sera sans doute une très belle journée.
Il est à peine 8 h45. Nous mettons les affaires dans le coffre. Estelle sautille autour de l'auto toute contente. Elle est si belle.

< Bite à l'air ! > ordonne Clémentine en ouvrant la braguette de mon short et en y glissant sa main pour en sortir la queue.
< Wouah ! Ça commence fort ! > s'écrie Estelle. Nous rions de bon cœur. Dans le vide poche, des pommes. Bouteille d'eau.
Le GPS fonctionne à la perfection. C'est le premier voyage de la nouvelle auto. Un bon test avant l'Ecosse le samedi 29 juin.
Je propose à Clémentine de prendre le volant. Elle déteste les vitesses automatiques. Je propose à Estelle. Mêmes ressentis.
Je prends donc place sur le siège conducteur. Clémentine sur le siège passager. Estelle confortablement installée à l'arrière.

Il est 9 h. C'est parti. < Vous n'imaginez pas comme c'est bon de partir avec vous. De ne pas être triste ! > nous dit Estelle.
Je fais : < Et tu n'imagines pas combien nous sommes contents d'emmener notre "petit animal de compagnie" avec nous ! >
Clémentine rajoute : < On a toujours du mal à te laisser ! Et c'est difficile ! >. Cet aveux rend Estelle encore plus contente.
Elle agite "Bunny Boy" son petit lapin en peluche tout dégoûtant entre nous. < Lui aussi est content ! Regardez ! > dit elle.
Ses bras autour de mon cou, Estelle évoque l'attitude de ses parents hier soir. Je raconte le regard de sa mère sur ma bosse.

Nous rigolons comme des bossus lorsqu'Estelle dit : < Tu ne commences rien avec ma mère s'il te plait ! Pas ma mère ! >
Clémentine joue avec ma queue. Je roule doucement. Nous rejoignons la Nationale par le Bourg. 350 km jusqu'en Vendée.
Je roule doucement. Parfois, la voix de la dame du GPS nous averti. J'ai la fonction en Anglais, ma langue maternelle. Bien.
< Ça nous entraîne pour l'Ecosse ! > précise Clémentine. < Je vais pouvoir réviser mon Anglais en août ! > rajoute Estelle.
Je m'arrête tous les 100 km. C'est une règle que nous nous sommes fixées. Le paysage est magnifique. Le ciel bien dégagé.

Nous sommes souvent sur la route côtière. On découvre l'océan à plusieurs reprises. Le soleil s'y reflète de mille feux. Joie.
Premier arrêt. Je quitte la route pour prendre un chemin qui descend vers le littoral. Pose pipi. Je pisse entre les deux filles.
Je les torche délicatement. Les "petits machins" de fille d'Estelle sont terminés. Elle regarde la feuille de papier cul. Parfait.
< On peut baiser ! > fait elle en remontant sa culotte et son short. Clémentine me secoue les dernières gouttes. Bien net.
Nous faisons quelques pas. L'herbe fais place au sable de la dune. Nous respirons un peu l'air du large avant de retourner.

Je roule avec prudence. Quelquefois je me fais klaxonner avec rage par un automobiliste pressé. Les limitations de vitesse.
Je les respecte toujours. J'ai même tendance à être à 80 sur les routes à 90 km/h. Conduite pépère en grosse berline. joie.
Il est midi. Nous ne sommes plus qu'à une dizaine de kilomètres. Nous voilà à Bellevigny. Je propose un super restaurant.
< Place des affamés ! > s'écrie Estelle en nous montrant l'établissement qui propose des plats à emporter. Superbe idée !
< On prend ce qu'il nous faut. On mange dehors quelque part dans l'herbe ! > propose Clémentine. Magnifique suggestion.

Nous prenons des sandwichs au thon, mayonnaise, tomates, cornichons et champignons frais. Et dans de grands cornets.
Il reste à sortir du bourg. C'est tout à la sortie de Belleville-sur-Vie que nous trouvons l'emplacement idéal. Morts de faim.
Là, en retrait, près d'un petit bois, il y a une sorte de clairière. C'est un endroit magique. C'est là que nous allons manger.
C'est un repas simple mais ô combien roboratif. Nous le savourons avec plaisir. Les filles évoquent leurs cours. Les études.
J'écoute en silence. C'est toujours si intéressant. Quelque soit le domaine, les filles sont toujours de judicieuses stratèges.

Il est 13 h30. Nous sommes couchés sur le grand plaid. Cette large couverture de 2 m sur 2, toujours dans le coffre. Bien.
Quelques nuages masquent parfois le soleil. J'ai la bite à l'air. C'est Estelle qui joue avec en bavardant. Clémentine mâte.
Elles se mettent à sucer un peu, se refilant mon chibre comme un cône glacé. Je leurs caresse les cheveux, le cou, la tête.
Je ne bande pas vraiment. La digestion est lourde. Nous faisons même un concours de rots. C'est Estelle qui gagne. Rires.
14 h45. Il est temps de partir. < En route, mauvaise troupe, c'est l'heure de la soupe et du pâté en croûte ! > dit Estelle.

Nous arrivons à notre location pour 15 h. C'est entre Belleville-sur-Vie et la Roche-sur-Yon. Sur la départementale 937.
Il n'y a qu'une quinzaine de kilomètres qui séparent les deux agglomérations. Pas loin des Lucs-Sur-Boulogne. Superbe.
C'est ce village qui a payé un si lourd tribut à l'histoire. En mars 1794, il y a eu là deux jours de massacres. 564 morts.
Dont une centaine de petits. Les Colonnes Républicaines, (déjà), se sont livrées ici au premier génocide de l'histoire. Dur.
J'engage la voiture dans le chemin. Au bout il y a la maison. A l'étage notre location. Un bel appartement de deux pièces.

Monsieur Jacques, le propriétaire nous attend probablement. Il se lève du banc sur lequel il est assis pour nous accueillir.
C'est un sénoir. Grand, sec, presque ma taille. Affable il paraît très sympathique. Il regarde Clémentine et Estelle. Ravi.
< Ce sont vos filles ? Elles sont belles ! > fait-il. Immédiatement Clémentine me prend la main. Le message est clair. Net.
Monsieur Jacques, tout souriant, comprend de suite. < Venez, je vous fais visiter ! >. Nous le suivons à l'étage. Super.
Il y a un escalier extérieur derrière la maison. Nous visitons un appartement grand et lumineux. Et mieux que les photos.

Monsieur Jacques n'arrête pas d'avoir de bons mots. Un humour fin. Ancien proviseur de lycée, il en a gardé une attitude.
Nous bavardons un peu. < Je vous laisse vous installer. Et si vous avez besoin de quelque chose, sonnez en bas ! > dit il.
Je propose de régler d'abord le solde de la réservation. C'est rapide. Je fais le chèque. Et nous voilà chez nous cinq jours.
Nous redescendons chercher nos affaires. Nous faisons connaissance avec madame Jacques toute aussi étonnée. Les filles.
Monsieur Jacques a un sourire entendu. Alors que madame Jacques doit probablement se dire : < Quel vieux saligaud ! >

Nous rangeons nos affaires. Clémentine, Estelle m'entraînent dans une farandole. C'est ainsi que nous découvrons le lieu.
Elles me sautent au cou. < Merci Julien ! C'est si merveilleux ! > me lance Estelle. < Merci Julien ! > rajoute Clémentine.
Elles me couvrent chaque côté du visage de bisous. Je dis : < Merci d'exister toutes les deux ! C'est si bon ! Magique ! >
Nous essayons le lit à la manière des filles. D'abord c'est Estelle qui saute dessus à pieds nus. En faisant le pitre. Rires.
Ensuite c'est Clémentine qui plonge dessus en m'entraînant. Nous faisons les clowns tous les trois sur ce pauvre plumard.

Le ciel se couvre. Pas de doute, le restant de la journée sera du gris habituel de cet étrange moi de mai. C'est pas grave.
Il est 16 h30. Nous descendons sur La Roche-Sur-Yon. Quelle surprise. C'est une ville géométrique. C'est très étonnant.
Je ne me souvenais plus très bien. Le style rectiligne déconcerte par son manque de poésie. Peut-être même de fantaisie.
C'est Napoléon qui en fit la préfecture. C'est carrément quadrillé en damier. Son charme demande un certain effort. Bon.
Nous déambulons, savourant nos cônes glacés. La Place Napoléon avec, au centre, la statue de l'Empereur. Mégalomane.

Nous découvrons l'amusant bestiaire mécanique. C'est presque insolite. L'église Saint-Louis de style néoclassique. Belle.
Nous la visitons. Je défends aux filles de me tripoter dans un lieu de culte. En plus il y a d'autres visiteurs. Des touristes.
On s'en contrefout du culte, quel qu'il soit, c'est juste par respect pour celles et ceux qui y sacrifient. Nous on est "laïcs".
< Ce sont des rues sans âmes ! > constate Estelle. < C'est une étrange sensation. C'est "vide" ! > rajoute Clémentine.
Nous nous promettons de ne plus y revenir. Mais que le lecteur se rassure, La Roche-Sur-Yon mérite d'être découverte.

Il est 18 h. La faim commence à se faire sentir. Ce ne sont pas les restaurants qui manquent. Le supermarché d'abord.
Nous réservons une table au Kashmir. Pourquoi ne pas s'offrir un repas Indien. C'est végétarien mais souvent délicieux.
Nous voilà rassurés. Nous reprenons la voiture pour aller au Leclerc des Oudairies. Nous arrivons à temps. C'est parfait.
Nous faisons provisions de fruits, de légumes. Des fromages. Quelques conserves, des pâtes, du riz. Pas trop de choses.
Le supermarché ferme à 19 h30. Nous retournons en ville. Le Kashmir est un restaurant accueillant. Personnel sympa.

Nous nous lançons dans la découverte d'un plat Pakistanais. C'est délicieux. Le riz est un des meilleurs que j'ai goûté.
Les légumes sont préparés d'une étonnante manière. Les sauces sont liquoreuses, onctueuses et rajoutent au plaisir.
La fatigue commence à se faire sentir. 22 h. L'addition. Dehors, quelques gouttes de pluie. Nous reprenons notre route.
Arrivés à l'appartement, nous nous lavons les dents. Nous voilà tous les trois au lit. Je propose un léchage de chattes.
Hélas, après passé de l'une à l'autre, au bout de quelques minutes, sans réelle conviction, nous nous serrons. Le dodo.

Bonne découverte Vendéenne à toutes les coquines bien trop fatiguées pour se livrer à quelques agapes sexuelles…

Julien - (Qui s'endort entre Clémentine à gauche, Estelle à droite, comme à la maison, dans le sommeil du juste) -

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Visite vendéenne avec bosse en braguette

Hier matin, mardi, il est 8 h lorsque nous ouvrons l'œil, tous les trois, presque en même temps. Nous nous serrons fort.
Clémentine est à ma gauche. Estelle est à ma droite. Nous regardons cette nouvelle chambre qui sera nôtre cinq jours.
Dehors, il fait gris et il pleut. < On s'en fout, on est ensemble ! > fait Estelle en saisissant mon érection matinale. Dure.
Nous profitons de cet instant magique. Ce privilège de vivre notre existence. Estelle se lève la première en criant "Pipi".
< Je t'aime Julien ! Si tu savais comme je suis heureuse ! > chuchote Clémentine qui se blottit contre moi. Des bisous.

Estelle revient en disant : < La place est chaude. Je commence à préparer le petit déj ! >. Nous nous précipitons au WC.
Nous rejoignons Estelle. Nous avons déjà pris nos repères hier. La cuisine est équipée. L'odeur de café et de pain grillé.
Nous sommes en slips et en T-shirts de nuit. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Evocation de la Vendée.
C'est une magnifique région. Ce matin nous partons pour le nord. La fameuse "Suisse Vendéenne". Et ce nom surprend.
J'explique aux filles que c'est à cause du paysage vallonné, les collines boisées, les sentiers de randonnées, l'ambiance.

Nous traînons à table. Avec cette météo, inutile d'aller se mouiller avec un jogging. Nous nous entraînerons à l'intérieur.
La vaisselle. Une heure de gymnastique. Aérobic, abdos, stretching, cardio funk. A trois, c'est très motivant et amusant.
Estelle prend sa douche la première. Nous vérifions la qualité de la connexion de l'ordinateur. La Wifi fonctionne. Super.
Il y a déjà un courriel de Juliette qui nous souhaite un bon séjour vendéen. Nous répondons. C'est à notre tour. Douche.
Nous voilà secs. Dehors, la pluie semble se faire plus parcimonieuse. Le ciel se dégage un peu. Et nous nous habillons.

Il est presque 10 h. Le thermomètre extérieur indique à peine 15°. Il faudra rester en jeans, sweats et mettre l'anorak.
Nous faisons les clowns devant le miroir. < Bite à l'air, monsieur Julien ! Obligation absolue ! > fait Estelle en la sortant.
< Avec cette fraîcheur, faites attention à ne pas vous enrhumer ! > fait elle encore en s'accroupissant pour me la sucer.
Clémentine s'accroupit à son tour. Elles se refilent ma queue pour la pomper. Je prends leurs cheveux. Pour les relever.
Nous rions de bon cœur lorsque je glisse ma main entre leurs cuisses pour palper vulgairement leurs sexes. C'est chaud.

Nous descendons l'escalier extérieur en faisant très attention. Les marches en bois sont glissantes. Il faut être prudent.
Nous voilà en route. La pluie a cessé. Même si le ciel reste couvert, il est lumineux. Je roule doucement pour admirer.
Clémentine joue avec ma bite. Une demi heure de route et apparaissent les collines de Gâtine. Le ciel s'éclairci encore.
Estelle, assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, commente le paysage. Un paysage vallonné et de toute beauté.
Au cœur de ce bocage, il y a un riche patrimoine. Des moulins, des églises romanes, des églises néogothiques. Super.

Je m'arrête parfois. Nous sortons de la voiture. Clémentine fait quelques photos. Il y a des points de vue remarquables.
A tel point que j'en oublie la queue qui pend de ma braguette. Estelle ne l'oublie pas. Elle s'accroupit pour me la sucer.
Nous en rions de bon cœur. D'autant plus qu'il faut être vigilant. Il y a parfois une voiture qui passe. On se débrouille.
Les forteresses médiévales se succèdent. La France est un pays aux découvertes permanentes. Un grand pays. Super.
Les collines succèdent aux champs de céréales, aux troupeaux de vaches blanches. Clémentine me branle délicatement.

Nous arrivons à Luçon. La capitale spirituelle du Bas-Poitou. Je gare la voiture à l'entrée de la ville. Il y a peu de monde.
Nous flânons un peu dans les rues de l'Evêché dont le cardinal de Richelieu fut titulaire. Tout respire la grandeur passée.
La richesse architecturale est remarquable. Estelle n'arrête pas de me toucher la braguette et à chaque fois que possible.
Je dois constamment vérifier qu'elle n'est pas ouverte. La coquine. Nous visitons la superbe basilique de Luçon. Merveille.
Cette visite commence à titiller nos appétits. Nous déambulons dans les rues du centre à lire les menus des restaurants.

C'est "L'ardoise Gourmande" qui propose des spécialités de la mer. De quoi faire saliver n'importe quel touriste. Superbe.
Il est 12 h30. Nous voilà attablés devant des fruits de mer préparés avec originalité par un Chef talentueux. C'est un régal.
Cet après-midi sera consacré à quelques nouvelles découvertes. Cet enchantement permanent participe de l'étonnement.
Nous traînons à table. D'énormes coupes glacées achèvent de nous alourdir. Estelle me rejoint aux toilettes. La coquine.
Il faut faire gaffe quand même. Je n'aimerai pas me faire surprendre dans les toilettes homme avec une jeune fille. Dur !

L'addition. Nous retournons vers la voiture. Direction Le Puy Du Fou. 1,7 millions de visiteurs chaque année. En moyenne.
Situé sur la commune de Epesses, c'est le second parc de loisirs par la fréquentation. Et arriver là, reste un sentiment fort.
Il y a là les fameuses représentations de la Cinéscénie depuis 1978. Nous prenons une brochure touristique à un guichet.
Le parc d'attraction a 50 hectares. Je dois sans cesse rappeler Estelle à la prudence. Il y a des familles. Ne pas déconner.
Clémentine reste serrée contre moi ou me tient par la main sans me lâcher. Nous flânons. C'est un enchantement. Soleil.

Tout en marchant, Clémentine lit à haute voix ce qui est écrit sur la brochure. Le Parc d'attraction est une formule unique.
Ce qui lui a valu de recevoir, en 2012, le prestigieux "Thea Classic Awards", l'équivalent du meilleur Parc d'attraction. Bon.
En cette saison, les files d'attentes ne sont pas décourageantes. Il est évidemment impossible de tout voir en une journée.
Nous commençons par les villages reconstitués. Tout autour, il y a une forêt centenaire. Tout est encore sauvage. Superbe.
Les traces du passé médiéval sont partout présentes. Mais il subsiste juste le pont-levis de la vieille forteresse des Epesses.

A chaque fois que nous sommes tous les trois seuls, à l'abri des regards, Estelle me touche avec sa vulgarité coutumière.
Clémentine me couvre le visage de bises. Nous n'arrêtons pas de nous offrir des gestes de tendresse. C'est tellement bien.
Voilà le château du Puy Du Fou et son plan d'eau. Le "Bourg 1900", un village reconstitué. C'est à la fois insolite et super.
Les arènes du "Bal des oiseaux fantômes". Ici, les animaux ont la vedette. Ils sont les véritables stars du parc. Magnifique.
Une "Académie équestre" possède près de 160 chevaux. Ils sont les principaux acteurs des spectacles. Nous pouvons voir.

Cascade, voltige, attelage et dressage. Tout est présenté avec une maîtrise époustouflante. Estelle recommence à toucher.
Je dois sans cesse lui retirer la main en disant : < Il y a des gens nom d'une pipe ! >. Elle répond : < Oh oui, une pipe ! >
Nous découvrons l'Académie de fauconnerie. Il y a là des hiboux, des condors, des aigles, des buses et même des pélicans.
Plus de 500 rapaces habitent le parc. Tout est clairement détaillé dans la brochure que tient Clémentine qui nous lit le tout.
Nous déambulons dans cet espace fantastique jusqu'aux environs de 19 h30. La faim commence à se faire sentir. Difficile.

Il y a des restaurants dans le parc. Mais Clémentine aimerait retourner à Luçon. Excellente idée de revoir la ville en soirée.
Je gare la voiture au même endroit. Cette fois, c'est "La Mirabelle" qui nous accueille dans son cadre intimiste, très classe.
Des fruits de mer qui mériteraient de figurer dans le Gault et Millot. Ce restaurant mérite trois étoiles. On y mange super.
Nous traînons à table. La fatigue commence à se faire sentir après les coupes glacées. Il est déjà 22 h. L'addition. Dehors.
Il y a une fraîcheur surprenante pour une fin de mois de mai. Il faut garder nos anoraks. Nous prenons la route du retour.

Je roule doucement. La trentaine de kilomètres est facile. Estelle s'est endormie à l'arrière. Clémentine me tient la queue.
Nous faisons tous deux le bilan de cette journée de découverte. Il est 22 h45 lorsque nous arrivons à l'appartement. Joie.
Je prends Estelle dans mes bras pour la soulever et l'emmener ainsi dans les escaliers. Elle a de la peine à rester réveillée.
Nous faisons toutefois les clowns devant le miroir de la salle de bain en nous lavant les dents. Au lit, j'exerce un léchage.
Je passe d'un croupion à l'autre dans un concerto de gémissements. Estelle jouit rapidement avant de replonger. Dodo…

Bonne visite du Parc d'attraction à toutes les coquines que cela ne gêne pas du tout de tripoter une bosse de braguette…

Julien - (Qui s'endort entre Clémentine et Estelle. Envahis tous les trois d'une sérénité et d'une quiétude divine) -

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Un séjour vendéen riche de découvertes

Hier matin, mercredi, je suis réveillé par les mouvements d'Estelle qui dort. Toutes les nuits elle reste serrée contre moi.
A ma gauche Clémentine dort encore. Je les regarde. Je suis entouré d'anges. Elles sont belles toutes les deux. Relâchées.
Détendues dans leur sommeil. Le sixième sens de Clémentine ne tarde pas à l'avertir. Elle se réveille à son tour et s'étire.
Nous nous faisons plein de bisous. Ce qui réveille Estelle qui se blottit encore plus fort. Il est 8 h. Dehors, il fait tout gris.
Probablement le même temps que hier. Ce qui est parfait. Nous aurons encore la certitude de ne pas souffrir des chaleurs.

Estelle se lève la première pour se précipiter aux toilettes en s'écriant : < Pipi ! >. Clémentine me chuchote des douceurs.
C'est à notre tour. Morts de faim, nous rejoignons Estelle à la cuisine. Odeur de café, de pain grillé. Tout cela est superbe.
Nous traînons à table. Nous évoquons la journée de hier. Les découvertes. Nous apprécions l'absence de chaleurs. Parfait.
Par contre, et par prudence, ce matin encore, même s'il ne pleut pas, nous préférons ne pas prendre le risque du jogging.
Comme hier, nous nous entraînons à l'intérieur. Nous bavardons. Nous faisons un vague programme de la journée à venir.

La vaisselle. Nous restons en slips et en T-shirt pour pratiquer notre gymnastique. Aérobic, abdos avec intensité maximale.
A trois, l'émulation pousse à la performance. Ce qui est très bien. Estelle prend sa douche la première. Et puis c'est à nous.
Estelle est déjà habillée. Nous remettons les mêmes vêtements que hier. Il est presque 10 h. Je prépare le petit sac à dos.
< Bite à l'air monsieur le Tour Opérateur ! > me fait Estelle en ouvrant la braguette de mon jeans. Je sors ma queue molle.
Clémentine s'en empare immédiatement en disant à Estelle : < Aujourd'hui, il y a un péage. Et il y a un droit de suçage ! >

Nous rions de bon cœur lorsqu'Estelle répond : < Oh ! Je m'en acquitte volontiers et je paie même d'avance. Combien ? >
Les deux adorables coquines s'accroupissent en même temps pour se refiler mon chibre qui ne tarde pas à durcir. Enfler.
Je les saisis par leurs cheveux pour les forcer à cesser et à se redresser. Je fais : < Venez, on file ! >. Nos anoraks. Bien.
Dans le petit sac à dos que je porte toujours partout en virée, il y a nos pommes, nos barres de céréales, la bouteille d'eau.
Nous descendons l'escalier de bois prudemment. Nous voilà en route. Je roule doucement. Le ciel qui s'éclairci doucement.

Nous repartons pour le Nord. Direction Pouzauge. La circulation est fluide. Nous sommes en pleine semaine. C'est super.
Clémentine joue avec ma bite. Estelle, sur le siège arrière, ses bras autour de mon cou, me chuchote des cochonneries.
Il est aux environs de 11 h15 lorsque nous arrivons à Pouzauge. Construite au XIIème siècle la forteresse domine la ville.
Dotée d'un système défensif impressionnant la citadelle garde malgré les siècles une majesté étonnante. Pleine de mystère.
Clémentine compte les tours. Il y en a 12. Je gare la voiture à l'entrée du bourg. L'endroit mérite la visite. Et voilà le soleil.

Nous montons au château en sweat. Il fait agréable. L'absence de vent permet de rester détendue et serein. C'est sympa.
Nous prenons une brochure. La visite est un grand moment de découverte. Il me faut sans cesse recadrer Estelle. Poilade.
Estelle n'arrête pas de me tripoter la braguette. Il n'y a pas trop de monde mais nos hautes tailles attirent déjà l'attention.
Il y a nos différences d'âge flagrantes. Alors si en plus on voit une de ses coquines me tripoter la braguette. Pas question.
La courtine mesure 355 mètres de long. C'est réellement impressionnant. Tout à l'intérieur il y a de splendides cheminées.

Clémentine prend des photos. Estelle ne me lâche pas la taille. Comme si sans moi, elle était perdue dans ce beau château.
Les fenêtres sculptées du XVème sont splendides. Il faut les admirer de près. Nous en profitons pour nous faire des bisous.
Il y a deux dames qui nous observent en chuchotant. < Regardez les deux vieilles pies là-bas, elles mâtent ! > fait Estelle.
< Elle vont en attraper une crampe du globe oculaire ! > rajoute Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. C'est bien.
Bien évidemment, il n'en faut pas davantage pour que les deux coquines ne jouent d'un peu de provocation. Bonne poilade.

Catherine Thouars, épouse de Gilles de Rais, avait fait de ce château sa résidence principale. Tout respire encore l'époque.
Il y a un visiteur solitaire. Il doit avoir ma taille et mon âge. Il fait des photos tout en s'appliquant. Un gros objectif. Super.
< Attendez moi là. Les photographes, c'est ma spécialité ! > fait Clémentine en s'éloignant, bras croisés. Estelle me serre.
Nous regardons Clémentine s'approcher du photographe. Il est en jeans, veste de treillis, grosses godasses style Rangers.
Il ne tarde pas à voir la jeune fille à proximité. Elle est devant une armure à côté d'une vitrine. Elle se touche discrètement.

< Put-Hein ! Elle est gonflée ! > me chuchote Estelle. Nous observons le jeu de Clémentine à quelques mètres du type.
Il mâte entre deux photos. Il se rend compte que cela s'adresse à lui. Il tente évidemment sa chance. Il s'approche. Cool.
Clémentine, nous tourne le dos. Mais nous devinons sa main droite entre ses cuisses. Il y a une dizaine de personnes. Dur.
Pourtant, à part la "cible" choisie, personne ne se rend compte de rien. Chacun admire, prend des photos, découvre. Bien.
Nous voyons le type adresser la parole à Clémentine. Nous savons de quoi elle est capable. Elle cause tout en se touchant.

Je murmure à l'oreille d'Estelle : < Elle me fait bander quand elle joue à ça ! >. Estelle me chuchote : < Je peux voir ? >
Sans me laisser le temps de répondre, elle me palpe la braguette. Je me tourne car les deux femmes sont à nouveau là.
Le photographe est probablement un "lourd". Un de ces "morts de faim" qui attaque sans état d'âme. Et pas de scrupule.
Nous voyons Clémentine prise à son propre piège. Je décide de ne pas intervenir. De la laisser se dépatouiller. C'est drôle.
Le type la colle. Il l'a suit dans toute la grande salle. Partout où elle va. < Et elle l'a bien cherché ! > me murmure Estelle.

Je corrige en précisant : < Elle a cherché un frisson mais elle n'a pas cherché un emmerdeur ! >. Le mec devient insistant.
Je propose à Estelle de rejoindre Clémentine afin de la tirer de ce guêpier. Estelle rejoint Clémentine. Elle lui prend le bras.
L'individu, pas du tout gêné, se met à suivre les deux filles. Gonflé. Un redoutable dragueur de château. Et chauffé à blanc.
Je décide qu'il est un temps de mettre fin à cette situation qui frise le harcèlement. Je reviens dans la salle. Il y a des gens.
Les filles se précipitent vers moi pour me saisir le bras. Le mec, croyant certainement que je suis le papa, se détourne vite.

Nous rions de bon cœur de cette aventure épique. < C'est pas marqué sur leur front "CON" ! > lance Clémentine. Rigolade.
< Ça devrait être obligatoire. Les cons devraient porter un T-shirt sur lequel c'est marqué "CON" ! > rajoute encore Estelle.
Il est 13 h. La faim commence à se faire sentir. Nous sortons du château pour retourner dans le bourg. Il fait presque beau.
Nous nous offrons un restaurant. Un menu goûteux à base de petits légumes et des fritures de poisson. C'est un vrai régal.
Nous décidons de découvrir les environs de Pouzauge. C'est un endroit de toute beauté. Ce sera une randonnée improvisée.

Nous retournons à la voiture pour changer de godasses. Baskets de marche. Nous voilà partis sur un des sentiers balisés.
Le "Bois de la folie", surnommé le "Phate de la Vendée". Ce lieu culmine à 232 mètres d'altitude et permet une belle vue.
Il y a nombres de marcheurs. Principalement des séniors. A chaque fois que nous sommes seuls sur le sentier, j'anticipe.
J'ai la bite à l'air. Toujours prêt à me tourner pour dissimuler nos activités. Je me branle devant les filles. Cela les amuse.
Estelle me demande de jouer au satyre. Je prends un peu d'avance. Je me cache derrière un obstacle. Je jaillis du fourré.

Combien de fois nous risquons de nous faire surprendre ! Nous ne les comptons plus. Mais nous sommes passés virtuoses.
Nous gravissons le Mont des Alouettes. Huit moulins à vent ont été bâtis là-haut. Clémentine nous lit la brochure. Super.
Nous apprenons l'historique. Les ailes de ses moulins agissaient comme un code, un signal. Une manière de communiquer.
La position des ailes des moulins aidait à préciser les avancées des troupes républicaines meurtrières et dévastatrice. Dur.
L'un de ces moulins est encore en activité. Il se visite. Quelle surprise. Il y a le photographe du château. Il nous voit. Rire.

Hyper gêné, il évite de croiser nos regards. Il baisse les yeux, la tête et nous croise comme un voleur pris en flagrant délit.
Il a certainement compris la nature de notre relation. Surtout que les filles me tiennent par le bras, me font plein de bises.
Nous continuons la visite. Plus loin, il y a une chapelle du XIXème. Nous sommes sur la commune des Herbiers. C'est beau.
Notre randonnée dure presque 5 h. Nous revenons fourbus à Pouzauge. Le même restaurant. C'est le seul avec de la place.
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Il est 21 h lorsque nous prenons la route du retour. Ça roule facile.

Nous sommes à une dizaine de kilomètres de l'appartement lorsqu'Estelle qui regarde Clémentine sucer dit : < On baise! >
Je gare la voiture en contrebas de la route. Estelle rajoute. < Là, sur le siège arrière, pour inaugurer ta nouvelle auto ! >
Clémentine lui répond : < Tu ne manques pas de culot ! Je te rappelle que c'est mon mec ! >. Nous en rions de bon cœur.
Je sors de la bagnole pour passer à l'arrière. Je découvre qu'Estelle a retiré son jeans et sa culotte. Sweat et chaussettes.
Je bande comme un salaud. Je déteste baiser en voiture. Il faut être un excellent contorsionniste. Et ça refile des crampes.

Je pénètre Estelle avec une facilité déconcertante. Elle n'a pas cessé de se branler tout en regardant Clémentine me sucer.
Bien évidemment, je n'introduis que le bout de ma biroute. Mon prépuce joue son rôle à merveille. Il permet de coulisser.
Estelle se masturbe. Nous sommes à l'étroit. Même une grosse berline Allemande, n'est pas conçue comme une chambre.
Clémentine, à genoux sur le siège avant, nous regarde. Elle se masturbe d'une main, me caresse la tête de l'autre. Bien.
Estelle connaît un orgasme qui nous laisse perplexe. Tant de cris. Tout son corps est agité de soubresauts. C'est délirant.

Je dis à Clémentine : < Viens ! A toi ! >. Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. Estelle passe à l'avant. Siège passager.
Clémentine retire ses baskets, son jeans et sa culotte devant la porte ouverte. Nous rions de bon cœur. C'est un peu fou.
Voilà Clémentine à la place d'Estelle qui a recommencé à se branler, à genoux sur le siège pour nous regarder. On baise.
Estelle me chope les couilles par derrière. Elle est une spécialiste du serrage de couilles par derrière. Et elle manipule fort.
Clémentine se masturbe en même temps. Je suis enfoncé à fond. Son orgasme n'a rien à envier à celui d'Estelle. Dément.

Estelle me tient sous le menton, me relève la tête, avance la sienne, lâche mes couilles pour me dire : < Je te termine ! >
Elle rajoute : < Je te termine à la bouche ! >. Clémentine reprend ses esprits. C'est notre première baise à trois en voiture.
Je propose de rentrer. Les filles se rhabillent. Je roule. Estelle est assise parterre entre les jambes de Clémentine. Prudence.
Estelle me tient la queue. < Je vais te la bouffer mon salaud ! > me fait elle lorsque nous arrivons dans la cour. Je bande.
Nous nous lavons les dents en faisant les clowns. Au lit, loin des promesses, Estelle s'endort presque immédiatement. Rire.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment baiser à l'arrière de la voiture. Même si c'est inconfortable et frustrant…

Julien - (Qui se fait un peu sucer par Clémentine en lui proposant de continuer demain. Elle se blottit pour dormir) -

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Notre périple vendéen est une cascade de petites surprises

Hier matin, jeudi, je suis tiré de mon sommeil par l'insistance que met Estelle à rester blottie fort contre moi toute la nuit.
Clémentine se réveille à son tour. Nous faisons tous les trois un concerto en gémissements majeures du contre Ut aux Fa.
Nous en rions de bon cœur. Estelle se saisit de mon érection matinale en disant : < J'ai mon "Doudou" ! >. Elle se blottit.
Nous tenons ainsi le plus longtemps possible. C'est Estelle qui se lève la première pour se précipiter aux toilettes. Le pissou.
Clémentine me chuchote : < Parfois je me demande si tu ne sors pas avec elle plutôt qu'avec moi ! >. Je la rassure. Rires.

C'est à notre tour. Morts de faim nous rejoignons Estelle à la cuisine. L'odeur de pain grillé et de café est un pousse au vice.
Il est 8 h. Dehors, il fait gris mais il ne pleut pas. < On tente le jogging ce matin ? > lance Estelle. La suggestion est reçue.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant la journée de hier et tout en faisant le programme de celle d'aujourd'hui.
La vaisselle. Nous mettons nos tenues sport. Shorts et maillots en lycra. Il fait relativement doux. Pas besoin de nos K-way.
Nous partons à l'aventure. C'est notre premier running vendéen. Nous avons plus ou moins cerné les lieux et les environs.

Il faut courir une grande partie le long de la petite route. Comme nous ne connaissons pas très bien, ce circuit fait l'affaire.
Une heure de pur plaisir. Nous voilà de retour. Estelle prend sa douche la première. Clémentine et moi devant l'ordinateur.
Un courriel de Juliette auquel nous répondons en joignant deux photos de nous trois prises hier dans le château Pouzauge.
Estelle revient. Elle s'habille immédiatement. C'est à notre tour. Nous nous habillons. Jeans, sweats et baskets. C'est bien.
Il est presque dix heures. Nous préparons le petit sac à dos. Les pommes, barres de céréales, bouteille d'eau et les K-ways.

Le ciel devient de plus en plus lumineux. Le voile gris qui cache le soleil ne pas tarder à se disloquer. Il fait presque chaud.
Je roule doucement. Bien évidemment, il est exigé du chauffeur qu'il ait la queue à l'air. Je m'acquitte de cette tâche. Zob.
Estelle, assise à l'arrière, les bras autour de mon cou, évoque la baise de hier soir dans la voiture que nous avons inauguré.
Clémentine joue avec ma queue. Nous reprenons la direction du Nord. En route pour Tiffauges. Le paysage est celui de hier.
Trois quart d'heure de circulation fluide et nous arrivons au village de Tiffauges. C'est de toute beauté. Et il y a le château.

Je gare la voiture à l'entrée du bourg. Je bande et je remballe avec peine. La braguette bouton de mon 501 est bien étroite.
Nous flânons un peu. Je suis entre Estelle et Clémentine qui ne me lâchent pas le bras. Nous découvrons l'endroit magique.
Le village de Tiffauges a largement bénéficié de l'attrait touristique de la proximité du Puy-du-Fou. Il y a pas mal de monde.
Il y a là-bas l'inquiétant château de Gilles de Rais, sinistre personnage qui a laissé plané son ombre maléfique sur la région.
Gilles de Rais, Maréchal de France, compagnon d'armes de Jeanne d'Arc a laissé ici une bien sombre mémoire. Qui perdure.

Lorsque j'ai préparé notre séjour, je me suis fais envoyer les billets d'entrée pour visiter le château. Ils sont dans notre sac.
Il est à peine 11 h. Cette visite va aiguiser nos appétits naissants. La visite du château fascine par ses imposants vestiges.
Il y a le conservatoire des machines de guerres médiévale. C'est unique en Europe. Le château regorge de terribles secrets.
Gilles de Rais pratiquait la magie noire et est responsable de la mort de plus de 300 gamins enlevés dans la région. Dingue.
Avec son serviteur occulte, l'ignoble Prélati , ils organisaient les pires atrocités pour tenter d'attirer les démons et le diable.

Toutes ses joyeusetés n'empêche pas Estelle de me tripoter discrètement la braguette à chaque fois qu'elle a la possibilité.
S'il n'y a pas de possibilités, Estelle les créés. Nous écoutons l'explication d'un guide. Au sein d'un groupe de dix personnes.
Il y a des animations où le visiteur peut découvrir le fonctionnement des 16 machines de guerre proposées et conservées.
Ce sera cet après-midi. Gilles de Rais, seigneur de Tiffauges a inspiré la légende de "Barbe Bleue". Une ombre si présente.
En effet, il règne une curieuse atmosphère dans la forteresse. Il s'est passé ici des choses tellement monstrueuses. Folles.

Gilles de Rais, seigneur de Tiffauges a inspiré la légende de "Barbe Bleue". Tout ici respire le mystère, le secret et l'occulte.
Les murs transpirent encore les pires atrocités. Les terriblement monstruosités qui se sont déroulées là dans le haut donjon.
Les villageois se plaignaient des odeurs méphitiques qui flottaient au dessus du bourg en s'échappant des cheminées du fief.
Ils étaient encore loin d'imaginer leur terrifiantes origines. Ce qui n'empêche pas du tout Estelle de me tripoter la braguette.
Elle est rusée. Lorsqu'il n'y a pas de possibilité, elle en invente, la bougresse. Il commence à faire faim. Il est presque 13 h.

Il est difficile de quitter la visite tellement elle est captivante. Clémentine, qui ressent les choses, nous fait part de son état.
< Il s'est passé les choses les plus atroces ici ! Je peux en ressentir les vibrations maléfiques ! > nous explique Clémentine.
Au pied de la sinistre forteresse confluent la Sèvre Nantaise et la Crume, les deux rivières qui alimentaient les douves. Bien.
Il fait bon se promener dans les rues de cette charmante petite cité médiévale. Il y a des places au restaurant "Les Archers".
Nous y prenons table. C'est une vieille demeure en pierres du XVIIIème sur les hauteurs du bourg. Et il y a plein de monde.

Nous portons notre choix sur des noix de St Jacques accompagnées de légumes de saison rissolés. L'attente est très longue.
Le résultat en vaut la peine. Nous ne mangeons plus, nous nous goinfrons. Trois véritable gorets. Nous évoquons le château.
De la fenêtre, nous pouvons l'apercevoir. Tout ici est fait de granit. Perché sur son éperon rocheux, le château de Tiffauges.
La citadelle a été édifiée au XIIème siècle. Elle a été réaménagée pour le Maréchal de France en 1420. De laborieux travaux.
C'est la dot de Catherine de Thouars, femme de Gilles de Rais, et qu'il épouse en 1420, qui lui permet d'acquérir le château.

Nous traînons à table. Il est 14 h30 lorsque nous demandons l'addition. Nous retournons aux abords du château. C'est bon.
Les billets restent valables. Nous nous consultons. Gilles de Rais et son château exercent peut-être leurs influences. Rires.
Gilles de Rais est le seigneur le plus influent de cette époque. Une véritable "Star". Rendu si célèbre par ses faits d'armes.
Les victoires de Jeanne d'Arc sur les Anglais ont fait de lui l'homme le plus respecté de cette époque. Nous écoutons bien.
Nous parcourons les salles restaurées. Estelle me tripote la braguette qu'elle tente de déboutonner. Je suis obligé de lutter.

Je bande mou mais c'est quand même contraignant dans mon jeans moulant. Gilles de Rais dilapide son immense fortune.
Il s'endette. Il sombre dans la débauche. Il fini par se livrer à d'obscurs rites sataniques avant de devenir un vrai criminel.
Tout cela se passe dans un des donjons que nous visitons. Meurtres rituels, sacrifices humains. Tout cela dure des années.
Le diable semble pourtant rester sourd à l'appel de Gilles, de Prélati, le mage démoniaque. Gilles refuse de signer le pacte.
Gilles est finalement dénoncé. Il fait l'objet d'une enquête. Il est arrêté et condamné pour meurtres. 300 gamins sacrifiés.

D'innocentes victimes, souvent très jeunes, sacrifiées, torturées pour satisfaire les avidités de Gilles lors de messes noires.
Lourd de ce passé plutôt macabre, le lieu a de quoi donner la chair de poule. Nous visitons le donjon roman et sa crypte.
Estelle me choppe les couilles par derrière. Nous sommes avec les visiteurs. Clémentine me confie être mal à l'aise. Ondes.
Il y a là des pièces de guerre datant du moyen-âge. Nous découvrons les étonnants "chemins creux". Typiques du bocage.
Cette visite est probablement la plus intense qu'il nous ai été donné de faire. Elle ne peut laisser indifférent. Même Estelle.

Nous suivons les sentiers bordés de talus. Ce sont d'étroits chemins bordés d'arbres. De quoi permettre à Estelle de jouer.
Les filles m'embrassent avec fougue. Je passe d'une bouche à l'autre. Cela permet d'exorciser les impressions persistantes.
Car la visite d'un tel lieu ne laisse pas indifférent. Les haies formées par ces arbres s'entremêlent en hauteur. C'est super.
Lors des fortes chaleurs, il doit faire bon de se promener ici. Le lieu de balade idéal pour fuir les canicules. Rafraîchissant.
Nous découvrons les environs de Tiffauges en restant souvent sur les hauteurs. Sous l'immense et sinistre forteresse. Joie.

Je me retrouve même avec la bite à l'air. Evidemment extraite de ma braguette par la main experte d'Estelle qui en raffole.
A tel point que même Clémentine doit souvent la rappeler à la prudence. Je n'arrête pas de remballer ma bite. Souvent vite.
Nous croisons nombre de visiteurs, de touristes et de promeneurs. Cette coquine d'Estelle aime me mettre dans l'embarras.
Il est rapidement 19 h. Cette journée a été la plus intense. Il faut dire que la visite de ce château reste inoubliable. Super.
Les filles proposent de rentrer. De faire à manger à l'appartement. Elles ont une idée derrière la tête. Nous prenons la route.

Je roule doucement. La circulation est plus dense. Clémentine me tient la queue. J'ai le sexe d'une raideur métallique. Dur.
Estelle, à l'arrière me menace des plus adorables sévices une fois arrivés. Nous en rigolons comme des bossus. Il est 20 h.
Il y a monsieur Jacques dans la cour. Nous bavardons un peu. Il nous conseille de découvrir Noirmoutier pour notre retour.
Nous repartons demain. Nous prendrons le temps d'y faire une visite. L'île de Noirmoutier étant une vraie merveille à voir.
Nous montons. Morts de faim nous préparons notre repas du soir. Il faut vider le frigo. Des moules congelées en bouillon.

Clémentine s'occupe de la salade de tomates avec de l'avocat. Estelle fait cuire les coquillettes. Je fais bouillir les moules.
Nous n'arrêtons pas de nous toucher, de nous faire des bises. Estelle me descend le pantalon et le slip. Et sur les genoux.
Je me déplace donc comme un con, marchant avec les jambes resserrées, faisant le tour de la table sous le rire des filles.
Je dis à Estelle : < Toi, tu ne perds rien pour attendre ! >. Nous passons à table. C'est un repas simple mais si délicieux.
Nous traînons. Nous prenons notre temps. Nous faisons le programme du retour, demain. Nous ne sommes pas pressés.

Clémentine nous fait remarquer qu'avec la présence d'Estelle, ces quelques jours sont passés à une vitesse folle. Intenses.
C'est vrai que nous avons profité de chaque instant. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Tout est propre. C'est superbe.
Estelle m'entraîne par la queue dans la chambre à coucher. Elle me fait tomber sur le lit. Elle se met à me tailler une pipe.
Clémentine retire son jeans et sa culotte pour se masturber en nous regardant. Estelle me tient les couilles qu'elle malaxe.
Je la force à cesser pour m'introduire délicatement. Juste le bout du Zob. Elle me tient comme une naufragée en soufflant.

Depuis quelques temps, Estelle et moi, nous baisons assez souvent. Sous le regard de Clémentine qui se masturbe. Joie.
Cette fois encore, nous faisons l'amour comme des amoureux. Je suis presque complètement dedans. C'est hyper étroit.
Je bouge doucement et avec régularité. Estelle se masturbe. Elle ne tarde pas à être la victime d'un orgasme nucléaire.
C'est au tour de Clémentine. Nous allons tous les trois faire nos derniers pissous du soir. Je me fais sucer à tour de rôle.
J'éjacule dans la bouche d'Estelle. Nous sommes épuisés. Nous filons au lit. Estelle s'endort la première. Le bilan du jour.

Bonne visite d'un château magique à toutes les coquines qui pour conjurer leurs frayeurs tripotent de la bite…

Julien - (Qui écoute les confidences de Clémentine avant de s'endormir entre les deux coquines) -

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Classe - 30 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 806 -



Le retour

Hier matin, vendredi, je suis tiré de mon sommeil d'une des plus agréables façons. Estelle me tient le chibre, fermement.
Clémentine me couvre le visage de bisous. Les filles se sont encore concertées pour m'offrir ce merveilleux et divin réveil.
Je passe mes bras sous leur nuque pour les serrer affectueusement contre moi. Nous savourons cet instant avec bonheur.
Estelle se lève la première pour se précipiter aux toilettes en s'écriant : < Pipi ! >. Clémentine prend le relai, tient le Zob.
Puis c'est à nous. Nous courons aux chiottes en riant. J'ai débandé. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Et ça sent si bon.

Cette odeur de café et de pain grillé est un tel enchantement. Nous dégustons notre dernier petit déjeuner vendéen. Miam.
Il est 8 h. Dehors le ciel est voilé mais lumineux. Nous faisons le bilan de la journée de hier et le programme d'aujourd'hui.
C'est le jour du départ. La vaisselle. Tout est propre. Nickel. Nous mettons nos tenues de sport. Nous descendons l'escalier.
Nous voilà à l'extérieur. Il y a enfin la douceur d'un vrai printemps. Quelques mouvements d'échauffement et nous courons.
Le jogging quotidien est une addiction à laquelle nous sacrifions avec tant de plaisir. Un heure d'un running très gratifiant.

Nous revenons pour 9 h. Estelle prend sa douche la première. Clémentine et moi nous préparons les deux valises. Rapide.
Le grand sachet avec les godasses. Nous avons mis les mêmes fringues et quasiment tous les jours. La douche. Notre tour.
Nous nous habillons. Estelle et moi en short, T-shirt. Clémentine en jupette, T-shirt. Nous descendons nos bagages. Super.
Nous les mettons dans le coffre de la voiture. Le couple Jacques est absent. Un mot avec les clefs dans la boîte aux lettres.
Nous voilà en route. Je roule doucement. Clémentine joue avec mon chibre. Estelle, à l'arrière ses bras autour de mon cou.

Il n'est même pas 10 h. Nous prenons la direction de l'océan pour rejoindre la route qui longe le littoral atlantique. Parfait.
Ce passage obligé par l'île de Noirmoutier nous réjouit. Ça roule bien. La circulation est fluide. C'est vendredi matin. Cool.
L'île est reliée au continent par un pont. Plus de 500 mètres. Il enjambe le goulet de Fromentine. La mer est calme. Super.
Le soleil fait son apparition en même temps qu'apparaît "l'île aux mimosas". C'est un haut lieu touristique. On le comprend.
Même si cette saison touristique n'a pas encore vraiment commencée, la circulation est plus dense. Il est presque 11 h30.

C'est sur l'île que nous ferons nos derniers achats. Pain pour demain matin. Il n'y en pas à la maison. Il faut donc prévoir.
Je gare la voiture à Noirmoutier-en-l'île. Il fait beau. Pas de vent. Clémentine propose de louer des bicyclettes. Riche idée.
Nous en trouvons facilement par l'office de tourisme. Nous en prenons trois. C'est absolument génial. Une piste cyclable.
En quittant la ville de Noirmoutier-en- l'île, il y a une succession de petits hameaux plus charmants les uns que les autres.
Toutes les maisons sont fleuries. C'est un spectacle magnifique. Nous pédalons avec un enthousiasme délirant. Chantant.

Ce 31 mai est la première véritable journée estivale de l'année. Nous voilà dans les forêts de pins maritimes. Chênes verts.
L'odeur enivrante, où se mêlent celles des résineux et des fleurs, est un plaisir divin. Nous faisons la petite boucle balisée.
Il est 13 h. Morts de faim, nous ramenons les vélos. Nous n'avons aucune peine à trouver un restaurant. Menus alléchants.
C'est "La Marine" qui propose les plateaux de fruits de mer qui ont toutes nos préférences. Miracle. Il y encore des places.
Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de ce trop court séjour vendéen. Il y a encore tant de chose à découvrir.

Ce repas est succulent. Le service et les plats sont de qualité. Encore un établissement qui mériterait d'avoir trois étoiles.
Nous traînons un peu à table. L'addition. Estelle me rejoint discrètement aux toilettes. Nous rions de bon cœur. Insolite.
Estelle me tient la bite pour en diriger le jet. Elle s'accroupit pour en sucer les dernières gouttes. Et il faut rester vigilants.
Je la force à cesser et à se redresser. < Cet après-midi, je vais être salope, tu n'imagines pas ! Je t'aime Julien ! > dit elle.
Lorsque Clémentine n'est pas avec nous, dans ces moments d'intimités là, je suis toujours un peu gêné. Elle me manque.

Noirmoutier-en-l'île est la commune la plus importante de l'île. Nous y découvrons des rues, des venelles extraordinaires.
Ce qui impressionne, ce sont les belles maisons chaulées couvertes de tuiles roses. Tous ces balcons et ces jardins fleuris.
Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche, nous marchons en nous tenant par la main. Ce qui attire quelques regards.
Nos hautes tailles. Notre différence d'âge. De quoi susciter bien des interrogations. Et sur la nature des relations de ce trio.
Nous nous en amusons toujours beaucoup. Les filles en rajoutent en me faisant des bisous. Il fait tellement beau et doux.

Bien évidemment, Estelle trouve tout un tas de prétextes pour toucher et palper la braguette de mon short. Souvent dure.
Je dois souvent retirer sa main ou encore repousser son bras juste à temps. Parfois trop tard hélas. Ce qui est le cas ici.
Il y a deux employés de la ville qui soulèvent un couvercle de fonte. L'un d'entre eux vient de nous surprendre. Il mâte.
C'est Clémentine qui nous en informe. Et le type a sans doute prévenu son collègue qui nous observe à son tour. Gênant.
Pour bien enfoncer le clou, Clémentine s'accroupit. Elle relace sa basket. Certainement un spectacle de choix pour les mecs.

Les choses ne durent qu'un court instant. C'est probablement le chef qui arrive. Les deux employés retournent à leur job.
Je tance vertement Estelle en lui demandant d'être plus prudente. < Nom d'une pipe ! Comme tu es vilain ! > me fait elle.
< Une pipe ? > rajoute Clémentine. Nous rions de bon cœur lorsqu'Estelle me dit : < T'es pas chiche pour une pipe ici ? >
Je demande : < Ici, où ? >. Elle m'entraîne dans l'entrée d'une cour, dans le renfoncement d'une porte cochère étroite.
Clémentine nous dit : < Allez y tranquillement, je fais le guet ! >. J'hallucine. Estelle ouvre ma braguette. En sort la bite.

Je regarde dans tous les sens, médusé par son initiative. Contrairement à Clémentine, Estelle est moins prudente. Dingue.
Penchée en avant, là, dans une venelle déserte, dans le renfoncement de l'étroite porte cochère, je me fais tailler une pipe.
C'est délirant. Clémentine, qui regarde partout, même en l'air, se touche discrètement en nous observant. Je ne bande pas.
Je suis trop mal à l'aise, trop anxieux. Je force Estelle à se redresser. < On fait son parano ? > me fait Estelle en rigolant.
C'est moi qui les entraîne toutes les deux par le bras pour continuer notre promenade. J'ai tout remballé et tout refermé.

Nous nous offrons des cônes glacés que nous dégustons sur le petit port. Il est relié à la mer par un petit chenal. Superbe.
C'est une sorte de canal d'environ un kilomètre que nous longeons. Au bout de l'écluse, un étrange cimetière à bateaux.
La jetée Jacobsen et sa digue. Clémentine prend quelques photos. Estelle me tripote la braguette. Et elle y glisse sa main.
Il faut à chaque fois ruser pour ne pas être vu. Cette coquine n'a aucun scrupule à me mettre dans l'embarras. C'est fort.
Elle redouble encore d'audace sur le retour. Nous passons sous le château de Noirmoutier. Un château aux murs blancs.

Il est 17 h. Il faut songer à reprendre la route. Nous avons encore plus de 250 km à parcourir. Nous retournons à l'auto.
Je roule prudemment. Nous rejoignons la même nationale qu'à l'aller. Estelle, assise à l'arrière, commence à s'endormir.
Clémentine me confie ses impressions. < C'est bien aussi de rentrer. C'est bien aussi à la maison ! > me fait elle souvent.
Il est 21 h30 lorsque nous arrivons. Rien n'a changé en quelques jours. Si ce n'est les fleurs qui ont éclos partout. Belles.
Estelle se réveille. Toute "pâteuse" elle se serre dans mes bras. Nous sortons les bagages du coffre. Il fait nuit et si doux.

Clémentine, encore pleine de vie, déballe immédiatement les valises. Estelle est assise sur le lit. J'aide à tout ranger. Bien.
Nous bavardons. Nous évoquons ces cinq journées de découvertes vendéennes. C'était intense, un peu irréel et magique.
< C'est bien de tenter de voir un maximum de choses en un minimum de temps ! > fait Clémentine. < Vrai ! > dit Estelle.
Les filles appartiennent à cette génération où tout doit être réalisé très vite. Je suis d'une génération qui prend son temps.
Je monte la valise vide sur l'armoire. Il fait faim. Il reste de la potée congelée de dimanche dernier. Nous redescendons.

Je verse le contenu du Tupperware dans le Wok. Ça décongèle rapidement. Estelle fait une omelette. Gruyère râpé. Vite.
Malgré l'heure tardive, nous mangeons de bon appétit. La fatigue se fait toutefois sentir. Nous ne traînons pas. Vaisselle.
Nous remontons. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir. Estelle file au lit la première. Crevée.
Lorsque nous la rejoignons, elle dort déjà en ronflant légèrement. Clémentine qui se blottit contre moi pour me raconter.
< Je t'aime Julien. Merci pour ces vacances. Je découvre tant de choses avec toi ! >. Je la caresse. Elle s'endort. Le dodo.

Bonne rentrée de vacances à toutes les coquines qui ont tripoté et sucé la bite du mec de leur copine toutes les vacances…

Julien - (Qui s'endort du sommeil du juste entre Estelle et Clémentine) -

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Classe - 31 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 807 -



Nous voilà revenus à nos petites habitudes

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par Estelle qui se frotte contre ma hanche en me faisant plein de bisous.
Ce qui ne tarde pas à réveiller Clémentine qui fait pareil. Je passe mes bras sous leur tête pour les serrer fort contre moi.
Nous restons ainsi à nous chuchoter des douceurs, des cochonneries et à faire un rapide bilan de notre retour à la maison.
Estelle se lève la première pour se précipiter aux toilettes en s'écriant : < Pipi ! >. Ce qui nous amuse toujours beaucoup.
Elle revient dans son pyjama de soie mauve pour nous dire : < La place est chaude. Je descends préparer le petit déj ! >

Clémentine m'entraîne par la main jusqu'au WC. Morts de faim, nous mettons nos tenues de sport pour rejoindre Estelle.
Elle me saute au cou. < Merci pour ces vacances. Cette fois j'ai tout vécu avec vous et pas par l'imaginaire ! > me dit elle.
Nous prenons un solide petit déjeuner. Il est à peine 7 h30. Dehors il fait beau, c'est comme en été. Enfin. Un vrai soleil.
Le pain complet aux noix, aux graines, ramené de Noirmoutier est un vrai régal. < C'est de la brioche ! > dit Clémentine.
La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Estelle se met en tenue. Nous sommes pressés d'en découvre. Jogging.

Nous pouvons enfin courir en short et en T-shirt. Ça aussi c'est un plaisir supplémentaire. Il fait juste le climat idéal. Joie.
Une heure d'un running des plus agréables et nous voilà de retour. Estelle prend sa douche la première. C'est très rapide.
C'est à notre tour. Nous en avons profité pour répondre au courriel de Juliette qui nous invite mercredi soir pour le repas.
Nous nous habillons. Clémentine porte une jupe légère de coton brun clair, un T-shirt crème et ses souliers à légers talons.
Sur sa demande, je porte un pantalon de lin clair et une chemise légère à manches courtes. Mes mocassins bruns et clairs.

Estelle porte sa robe d'été, bleue à discrets motifs floraux, des baskets. Je suis entre les filles devant le miroir de l'armoire.
Nous prenons des poses en faisant les pitres. Estelle a fait le lit pendant notre douche. Elle recommence à me palper. Rire.
Clémentine s'interpose, par jeu, en disant : < C'est mon mec, je te rappelle ! >. Nous en rions de bon cœur. Il faut y aller.
Nous descendons. Le frigo est vide. La logistique impose des courses. C'est impératif. Cette fois Estelle nous accompagne.
Je branche la glacière sur l'allume cigare. Nous voilà en route pour le bourg voisin. Y faire notre marché. Je roule très cool.

Trois petits kilomètres où Clémentine peut jouer avec ma bite. J'ai ma main droite entre ses cuisses. Elle n'a pas de culotte.
Estelle, assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, nous confie sa joie de vivre tout ça avec nous. Et dans notre intimité.
Je suis prié de garder ma braguette discrètement ouverte. Je propose à Estelle de réfréner ses impérieux besoin de tripoter.
Il y a un monde fou ce matin au marché. Nous faisons provisions de fruits, de légumes. Estelle veut m'aider à porter le sac.
Il y en a deux et pleins à ras bord. Nous faisons provisions de yaourts, de beurre, d'œufs, de fromages et de crème fraîche.

De retour à l'auto, nous mettons les produits à conserver au frais dans la glacière. Estelle veut absolument tout faire. Bien.
< Que je serve à quelque chose si déjà je fais "chaperon". Que je tiens la bougie ! > fait elle, palpant ma braguette. Rires.
Treize petits kilomètres jusqu'à la zone commerciale. Estelle qui pousse le caddie. Clémentine qui tient la liste des courses.
A trois, c'est tout aussi rapide et Estelle est une excellente "conductrice" de chariot de supermarché. Elle louvoie, manipule.
Clémentine exprime son souhait de s'offrir un "plan". A cet effet elle nous entraîne au rayon des bouquins. Et avec célérité.

< Sans déconner, tu n'y penses pas ! Regarde un peu ce monde ! Tu vas te faire repérer ! > lance Estelle. Je suis d'accord.
Ce serait pure folie que de tenter une exhibe. Même discrète. Et même pour une virtuose comme Clémentine. C'est parfait.
Pas du tout découragée, Clémentine nous entraîne au rayon des vêtements homme. Pareil. Beaucoup trop de monde. Rien.
Nous allons rejoindre la file devant le rayon poissonnerie. < Je viens avec ma mère ici le mercredi en soirée ! > fait Estelle.
C'est enfin à nous. Filets de cabillaud, filets de soles, des crevettes, des langoustines, des pavés de saumon et des moules.

Nous passons en caisse. Nous attirons quelques regards. Surtout libidineux des messieurs, interrogateurs des femmes. Joie.
A chaque fois, lorsque Clémentine ou Estelle surprennent un de ces regards, elles me font des bises, se serrent contre moi.
Cela nous amuse toujours beaucoup. Nous n'y faisons d'ailleurs plus très attention. Les yeux, c'est fait pour regarder. Rires.
Nous déambulons un peu dans la galerie commerciale. Nous lisons les menus proposés par la cafétéria. Des trucs alléchants.
< On a tout ce qu'il faut ! > me font les filles en même temps lorsque je suggère de prendre des moules frites. Il faut partir.

C'est une journée magnifique. Je roule doucement, bite à l'air. Nous chantons tous les trois des bêtises sur des airs connus.
Il est midi trente lorsque nous revenons. Comme nous sommes pressés de filer en bicyclette, les choses s'enchaînent vite.
Nous rangeons les courses. Clémentine s'occupe des salades. Estelle s'occupe des haricots verts. Je m'occupe des moules.
Méthode, efficacité et célérité permettent de manger dès 13 h. Et avec appétit. Nous faisons le bilan de ce séjour vendéen.
Bilan positif. Le prochain départ est fixé au samedi 29 juin. Direction l'Ecosse. Estelle nous y rejoint le premier août. Joie.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents et nous mettre en tenues vélo. La perspective vélo nous rend euphoriques.
Accroupie à ma gauche, Estelle pose sa tête contre ma cuisse. Elle me tient la jambe. Clémentine fait pareil mais à droite.
Nous sommes devant le miroir de l'armoire. < Merci pour vos douceurs "Maître" ! > me dit Estelle. J'ai ma main sur sa tête.
< Merci pour vos attentions "Maître" ! > rajoute Clémentine. Je leurs dis : < Merci d'exister mes délicieuses "Soumises" ! >
Je tire ma bite par le haut du short afin qu'elles puissent y frotter leur visage et se la sucer à tour de rôle. Je les laisse faire.

Je les force à se redresser. Ce jeu nous amuse tant. Nous dévalons l'escalier en rigolant comme des bossus. C'est trop drôle.
Dans le petit sac à dos que je porte, trois pommes, des barres de céréales et la bouteille d'eau. Je vérifie le gonflage pneus.
Tout est parfait. Il est presque 13 h30 lorsque nous enfourchons nos vélos pour rejoindre notre piste cyclable à 500 mètres.
Il fait chaud. Pas un souffle de vent. Nous pédalons avec enthousiasme. Nous croisons nombre de cyclistes, de rollers. Bien.
Il y a même des gens en trottinettes électriques, des jeunes en gyropode et de ce ces étranges gyroroues. C'est étonnant.

L'arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Il faut faire vite. Il y a du passage. Les filles aiment prendre quelques risques mesurés.
Je suis là. Elles peuvent s'adonner à ce jeu qui consiste à s'accroupir au milieu de la route, à pisser comme des cochonnes.
Clémentine est en short, sa culotte à mi cuisse. Estelle a son short et sa culotte à mi cuisses. Je fais le guet. Nous rigolons.
Je les torche toutes les deux soigneusement. Juste à temps. Nous repartons. Nous arrivons au port de plaisance à 15 h30.
Là aussi c'est l'animation des Week-end de belles saison. Nombre de bateaux louvoient dans le port. Les joueurs de boules.

Les touristes de plus en plus nombreux. Des groupes de cyclistes. Là-bas, la terrasse du café restaurant, bondée de gens.
Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie enfin ouverte. C'est un employé communal qui fait le capitaine.
Clémentine retire discrètement et rapidement sa culotte qu'elle plie dans la poche avant du petit sac à dos. Avec les sous.
Nous allons à la supérette pour nous offrir nos cônes glacés. Là aussi, il y a plein de clients. Il faut ruser. Estelle en caisse.
Nous sortons les cônes du congélateur au dernier moment quand c'est au tour d'Estelle. Cela évite que les glaces fondent.

Nous flânons sur les quais en dégustant nos cônes. Demain, c'est la fête des bateaux. Les employés du bourg s'affairent.
Nous nous promettons de venir y faire un tour. Les animations sur le port sont toujours de franches réussites. C'est sympa.
Clémentine nous entraîne vers les bâtiments entourés d'épais fourrés. Les sanitaires réservés aux plaisanciers sont fermés.
Les toilettes publiques voient un défilé permanent de touristes. Inutile d'espérer s'offrir un plan exhibe. Ce serait un risque.
Il faut se faire une raison. D'autant plus que cet endroit est le lieu de rendez-vous des jeunes désœuvrés du bourg voisin.

Il reste la possibilité de monter la colline jusqu'au vieux cimetière. Clémentine tire les jumelles du sac pour bien observer.
< Trop de monde là-haut également, regarde ! > fait elle en me passant les jumelles. Je les donne à Estelle. Promeneurs.
Souvent, pour tempérer ses frustrations, Clémentine se met à se toucher discrètement, à glisser sa main dans mon short.
Ce qui amuse beaucoup Estelle qui fait : < J'en veux aussi ! >. Nous rions de bon cœur. De nous toucher est un langage.
C'est devenu le nôtre. Une sorte de code. Je touche Estelle par derrière pour tenter de mettre mes doigts entre ses fesses.

Nous sommes près des bâtiments. Là, entre les bosquets et les fourrés, nous pouvons nous livrer à nos attouchements.
Estelle déboutonne même son short pour me permettre d'avoir un meilleur accès. Je lui tripote le croupion par derrière.
Clémentine s'accroupit pour me sortir le Zob. Je bande mou. Nous sommes sur nos gardes. Chacun mâte autour de lui.
Cette stratégie permet de nous offrir quelques instants de plaisir volé à la fatalité. Clémentine me taille même une pipe.
Estelle me roule une pelle en me palpant les couilles. J'ai enfoncé mon doigt dans sa chatte. Concert de gémissements.

Il faut toutefois redoubler de prudence. Il y a souvent des voix pas loin. De ces familles de Simpson bruyantes, sonores.
Ne pas se faire surprendre reste l'impératif majeur. Nous décidons de ne pas jouer avec le feu et même si c'est excitant.
De toute façon, il est déjà 17 h30. Nous avons les mentons trempés de salive à force de nous embrasser avec la fougue.
Les filles sont hétérosexuelles. Parfois, je tente bien de les pousser au saphisme mais rien à faire, elles se bloquent. Dur.
Ça me plairait bien de les voir se gouiner. Vieux fantasme masculin un peu ridicule qui les révulsent toutes les deux. Dur.

Clémentine, qui déteste faire du vélo sans culotte, la remet. Je bande comme le dernier des salauds. Estelle se touche.
Il faut se raisonner. Nous prenons la route du retour. Il y a encore plus de gens sur la piste cyclable. Beaucoup de gens.
De ces irresponsables qui laissent divaguer leurs chiens sur la piste cyclable sans les tenir en laisse. Et c'est obligatoire.
Mais si on dit quelque chose on se fait insulter ou agresser par ces crétins. Il faut donc redoubler de prudence. Vigilant.
Il est 19 h30 lorsque nous arrivons à la maison. Il fait une faim de loup. Chacun s'affaire rapidement à préparer. Repas.

Nous sommes bien fatigués. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle s'occupe des coquillettes. Je fais des filets de sole.
Je les prépare à la poêle. J'y rajoute un petit pot de crème fraîche et du gruyère râpé. Tout va vite. Je râpe du Parmesan.
Nous mangeons dans la véranda pour la première fois de l'année alors que c'est déjà le premier juin. Une année perdue.
Nous traînons à table. J'exprime mon souhait de lécher les croupions des coquines après le repas. Je n'ai pas à le répéter.
Surtout qu'après un après-midi de vélo, de sueur et d'excitations diverses, il doit y avoir là "matière" à se régaler. Miam.

Soudain, animés d'une dernière poussée de vitalité, nous faisons la vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Direct au salon.
Les filles retirent leur culotte. Les voilà vautrées dans le canapé. Je suis à genoux sur l'épais coussin. Un spectacle divin.
J'écarte les poils de chacune pour scruter les sexes. Clémentine me fait : < Tu commences par moi s'il te plaît ! >. Joie.
< Non ! Par moi ! > lance Estelle. Je titille doucement leur clitoris du bout de l'index. Celui de Clémentine est turgescent.
Il est aussi gros que la première phalange de mon pouce. Légèrement décalotté. Il semble encore plus énorme. Sublime.

Je lui lèche la moule. Il y a des filaments visqueux. C'est un vrai régal. J'aspire. Je lui vide la chatte et il y en a encore !
Je passe au croupion d'Estelle. Pareil. Sa cyprine est plus fluide mais il y a le frome de l'après-midi. Un menu de "Chef".
J'adore récupérer les coulures qui suintent dans la raie des fesses. Avec la sueur, c'est proprement divin et bien crade.
Je bascule chacune en les tenant par les chevilles pour avoir le meilleur accès à la raie culière. Je me prends mon dessert.
C'est goûteux. C'est fameux. Ça devrait figurer dans tous les bons manuels de cuisine. Au guide Michelin. Gault et Millot.

Estelle connaît un orgasme délirant. Elle a même une petite éjaculation. Une de ces giclées de plus en plus fréquentes.
Je me fais donc cracher un jet de foutrine au visage. Elle se recroqueville sur elle même en gémissant de plaisir. Bien.
Clémentine connaît à son tour une extase qui la fait hurler de bonheur. J'ai juste le temps de me retirer. Elle en pisse !
Elle reprends ses esprits péniblement. Elle se précipite pour aller chercher le seau, la serpillère et le balai brosse. Rire.
Estelle me suce. Je lui caresse la tête. J'ai le goût des filles dans la bouche. C'est persistant. Et j'adore. Une délicatesse.

Je suggère de monter nous coucher. Je propose de refaire demain soir après le vélo. Pas de douche le dimanche. Super.
Les moules seront encore plus alléchantes. J'adore le "négligé". Et Estelle sait m'en offrir de copieuses portions dégueu.
Nous sommes réellement épuisés. Je suggère de remettre cette pipe à demain. J'entraîne les filles par la nuque. Ferme.
Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir. Estelle me fait remarquer que ma bite dégouline. Jus.
Je l'entraîne aux toilettes. Pissous du soir. Je les torche toutes les deux. Au lit, Estelle s'endort la première. Plongeon.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire lécher la moule après un après-midi vélo. Sueur et chaleur...

Julien - (Qui s'endort entre Clémentine et Julien. Avec de doux ronflements stéréophoniques) -

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Le dernier jour de ces courtes vacances

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par des murmures, des rires étouffés. Et on me tient fermement par mon érection.
A ma droite, Estelle qui tient ma bite. A ma gauche Clémentine qui se met à me couvrir le visage de bisous. C'est si bon.
Je passe mes bras sous leur nuque pour les serrer contre moi. Nous nous chuchotons des douceurs. Je prends mes esprits.
Estelle se lève la première pour filer aux toilettes. Clémentine me chevauche en riant. Puis c'est à notre tour. Les pissous.
Nous descendons rejoindre Estelle à la cuisine. Il est 8 h. Elle me saute au cou en disant : < Déjà une semaine de finie ! >

Dehors il fait beau. Le ciel est tout bleu et il y a du soleil. Clémentine ouvre une des deux fenêtres en grand. La surprise.
Il fait doux. Pas de doute, cette dernière journée de vacances va être chaude. Nous prenons le petit déjeuner en véranda.
Nous mangeons de bon appétit en savourant notre brioche. C'est un "chinois" au pudding vanille. Et ça descend tout seul.
Nous faisons le bilan de notre séjour vendéen. Cela nous paraît déjà loin. Pourtant nous sommes revenus avant hier soir.
< Demain, il y a école. Juste encore trois semaines ! > précise Estelle. Les filles évoquent cette dernière ligne droite. Bien.

Ces trois dernières semaines seront consacrées à la rédaction d'un mémoire résumant cette première année de Doctorat.
Elles se réjouissent. C'est un labeur principalement personnel. Il comptera pour l'épreuve finale d'ici trois ans. Du sérieux.
J'écoute avec beaucoup d'intérêt. C'est tellement intéressant. Clémentine et Estelle sont prêtes à en découdre. Le combat.
Nous traînons à table. Ce dimanche matin est spécial. Nous sommes partis en Vendée en laissant une maison bien propre.
Nous sommes revenus dans une maison propre. Il n'y aura donc pas le rituel du ménage ce matin. C'est carrément festif.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Il est à peine 8 h45. C'est superbe.
Nous faisons le lit. Nous nous habillons. Tous les trois en short et T-shirt. Kaki pour Estelle, rouge pour Clémentine et moi.
Accroupie de chaque côté, leur tête posée contre ma cuisse, me tenant par la jambe, les filles nous mâtent dans le miroir.
J'ai les mains posées sur leur tête. < Notre bon "Maître" va t-il bien s'occuper de nous aujourd'hui ? > me demande Estelle.
< Notre bon "Maître" aura t-il des faveurs à nous demander ? > rajoute Clémentine. Je sors la bite de la braguette ouverte.

Elles y frottent leur visage avant de la sucer et à tour de rôle. Je réponds : < Je vous aime mes délicieuses "Soumises" ! >
Je les saisis par leurs cheveux pour les forcer à se redresser. Nous rions de bon cœur de ce jeu qui nous amuse beaucoup.
Nous descendons à toute vitesse pour sortir au jardin. Il fait presque déjà chaud. Nous faisons le tour de la propriété. Joie.
Il y a plein de petites branches cassées qui jonchent le sol un peu partout. Les conséquences d'un pénible vent permanent.
En effet, presque tout le mois de mai, un désagréable vent de Nord Est n'a pas cessé de souffler. En voilà le triste résultat.

L'entreprise paysagiste intervient demain. La dernière fois avant l'été. Puis ce sera à la fin septembre. Le temps passe vite.
Nous visitons la serre. Les tulipes et les roses y sont superbes. Clémentine les arrose. Estelle arrose le persil, la ciboulette.
Je retire quelques mauvaises herbes. Il n'est que 9 h30 et il fait rapidement insupportable sous les verrières de la roseraie.
J'ai la bite à l'air. Estelle me sort également les couilles. < Il faut aérer le matos ! > fait elle en riant, serrant mes couilles.
Clémentine s'accroupit pour renifler de près. < Ça schlingue ? > demande Estelle qui s'accroupit à son tour. Elle hume fort.

Clémentine me décalotte légèrement pour montrer le bout du gland. < Regarde. Du Parmezob ! > fait elle à Estelle. Rires.
< C'est du frome que tu as ramené de Vendée ? > me dit Estelle en faisant une horrible grimace. Nous rions de bon cœur.
Je réponds : < Oui, un reliquat de fondue vendéenne ! >. Estelle ouvre grand la bouche en disant : < Fais moi goûter ! >
Clémentine fait un anneau de ses doigts autour de mes couilles en regardant Estelle suçoter le bout de ma queue. Super.
Elle me fait un clin d'œil en disant : < La fondue du Maître ! >. Je leur caresse la tête. Clémentine se relève, m'embrasse.

Je force Estelle à se relever. < Miam ! C'est bien épicé ce matin. La fondue du dimanche ! > lance Estelle, bouche ouverte.
Elle me fait sentir l'intérieur de sa bouche. L'odeur caractéristique de bite dégoutante, pas lavée et qui macère dans le jus.
Clémentine s'approche pour sentir aussi. < Mmhh ! > fait elle. Nous visitons le potager. Les tomates sont petites et vertes.
Le choux fait son apparition. Les poireaux pointent le bout de leurs feuilles. Les salades sont encore minuscules. Superbes.
Nous retirons quelques mauvaises herbes. Cette année, nous ne ferons pas de zèle en jardin potager. Un strict minimum.

Si le soleil et la chaleur se maintiennent, nous aurons les premières tomates et les premières salades vers la mi juin. Bien.
Nous descendons le chemin jusqu'à la rivière. Les filles me tiennent par le bras. J'ai toujours ma bite et mes couilles à l'air.
Nous longeons le cour d'eau. Il est rare qu'à cette date, la rivière soit aussi haute. On en distingue les nombreux poissons.
C'est de la truite, du goujon et de l'ablette. Tout ce petit monde fraie dans la joie. Il y a déjà les nuages de petits poissons.
Nous remontons jusqu'au petit pont de pierres. Là-bas, de l'autre côté de la route nous distinguons les toits noirs du haras.

Nous revenons par le même chemin. Il y a deux cavalières qui longent la rivière de l'autre côté. Elles nous font un coucou.
Nous répondons d'un signe de la main. Je reste tourné pour dissimuler mes organes génitaux qui continuent de rafraîchir.
Il est 11 h lorsque nous revenons à la maison. Nous sortons les meubles blancs de jardin. Nous sortons la balancelle. Joie.
Estelle propose de manger dehors. C'est la première fois de l'année. Cela aiguise nos appétits. Nous rentrons rapidement.
Clémentine s'occupe de la salade. J'épluche les patates, les carottes, les navets, l'ail. Estelle émince les pavés de saumon.

C'est rapide. Je coupe les légumes en tous petits morceaux. Ils rissolent d'autant plus vite dans la vieille cocotte en fonte.
Estelle fait revenir les morceaux de saumon à la poêle tout en préparant un "roux". Comme une Béchamel mais sans lait.
Je vais mettre la table dans le jardin. La nappe. Il fait de plus en plus chaud. Et nous sommes juste à l'ombre des futaies.
Ces hauts arbustes qui poussent autour du bassin offrent leurs ombres généreuses. Il y a très peu d'insectes. C'est parfait.
Clémentine vient me rejoindre avec le saladier et une bouteille de jus de fruits. Nous nous serrons fort. C'est merveilleux.

Nous cherchons le reste. Il est 12 h15. Nous mangeons de bon appétit. C'est si sublime de prendre ce repas à l'extérieur.
Nous faisons un vague programme de l'après-midi. Nous partons à bicyclette sans jamais nous lasser de la piste cyclable.
Ce soir, il faudra ramener Estelle comme il y a un an, lorsqu'elle n'avait pas encore son permis de conduire. C'est sympa.
Nous ne traînons pas. Nous sommes pressés de filer. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents, mettre nos tenues.
Il est à peine 13 h30 lorsque nous descendons jusqu'à la rivière sur nos bicyclettes. Pour rejoindre la piste cyclable. Bien.

Il y a un monde fou. C'est une véritable autoroute à vélos. Nous arrivons au port de plaisance pour 15 h. Un monde fou.
C'est la fête des bateaux. Ce matin il y avait même une messe en plein air. La fameuse bénédiction des bateaux. Sympa.
Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie. Il faut ruser car il y en a tellement. Une bonne centaine. Fou !
Nous allons à la supérette pour nous offrir nos cônes glacés. Il faut attendre en caisse un bon quart d'heure. Jamais vu ça.
On entend l'orchestre interpréter les airs à la mode. Il y a un bruit de foule permanent. Tout cela nous indispose. Tant pis.

Nous dégustons nos glaces, chèrement méritées en flânant sur les quais. C'est assez pénible. Nous montons sur la colline.
Là, à l'ombre des platanes, nous restons assis sur le muret du cimetière à nous passer les jumelles pour regarder en bas.
La vue sur le port est parfaite. La musique monte jusqu'ici. Il y a plein de gens là aussi. Pas de plan exhibe possible. Rien.
Ce qui ne nous empêche pas de nous tripoter discrètement. Nous faisons même des paris imbéciles en prenant des risques.
J'évite plusieurs fois, et de justesse, de me faire surprendre bite à l'air, dans la main d'une des deux coquines qui rigolent.

Nous profitons longuement de cette extraordinaire et tant attendue douceur. Nous sommes au printemps et c'est déjà l'été.
Il est 18 h lorsque nous reprenons la route du retour. Il y a autant de monde qu'à l'aller. Et la plupart dans le même sens.
Nous sommes à la maison pour 19 h30. Morts de faim. Je réchauffe la potée. Clémentine s'occupe de la salade de tomates.
Estelle nous prépare une belle omelette aux champignons. Il reste de la sauce de midi. Nous mangeons à nouveau dehors.
C'est fantastique. Cette journée fut un véritable cadeau. Nous traînons là jusqu'au crépuscule. C'est trop bien. Bavardages.

Il est 21 h30. La nuit tombe. Nous débarrassons. La vaisselle. Nous passons au salon. Nous évoquons ces vacances. Super.
Estelle est gagnée par une certaine tristesse mélancolique. Clémentine et moi, nous avons toujours les mots de réconfort.
Nous nous revoyons mardi soir. Et demain il y a cours. De quoi rester optimiste. Estelle joue avec ma bite. Son "doudou".
Il est 22 h15. Il faut y aller. Nous ramenons Estelle que nous déposons avec son sac de sport devant chez elle. C'est dur !
Séparation difficile. A la maison, au lit, épuisés, nous tentons un "69" sans réelle conviction. Clémentine me parle. Dodo…

Bonne fin de vacances à toutes les coquines qui se sont payées beaucoup de bon temps, de bon repas, de bonnes baises…

Julien - (Qui écoute les révélations, les secrets et les confidences de Clémentine avant de s'endormir serré contre elle) -

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J’adore vos récits !! Je ne m’en lasse pas !!
Merci !
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Classe - 34 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 809 -



Reprise des cours

Hier matin, lundi, je suis tiré de mon sommeil par des bisous avec un murmure lancinant : < Je t'aime ! > répété à l'infini.
J'ouvre les yeux. Le visage bienveillant de Clémentine qui rajoute : < Ça va être l'heure ! > Je regarde le réveil il est 5 h54.
Clémentine, tellement contente de retrouver l'université, est déjà toute fébrile. Je la serre contre moi. J'éteins notre réveil.
Elle m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Nous mettons nos tenues sport avant de dévaler l'escalier. Un ciel lumineux.
Nous nous préparons un copieux petit déjeuner. Il reste de la brioche. Tranches de pain grillé, beurrées, la confiote le miel.

Nous mangeons de bon appétit. < C'est bien aussi d'êtres tous seuls tous les deux, ça me manque ! > me fait Clémentine.
Je comprends. Mais une fois encore, je lui réponds que c'est bien, à 22 ans, de ne pas être isolée avec un mec de 52 ans.
Nous rigolons comme des bossus. Clémentine se marre de ma théorie mais au fond d'elle, elle sait que c'est vrai. Sincère.
Il est 6 h25. Plus la peine d'enfiler un K-way. Nous pouvons aller courir avec nos shorts et nos maillots en lycra. Agréables.
Les odeurs matinales d'une campagne verdoyante, fleurie qu'il fait bon parcourir, émerveillent par leurs si douces senteurs.

Une heure d'un running enchanteur et nous voilà de retour. Une bonne douche. Je redescends le premier. Un doux soleil.
Je sors la petite auto de Clémentine qui me rejoint vêtue d'un jeans, d'un T-shirt, simples baskets. Ses cheveux en natte.
Un dernier bisou. Un dernier coucou. Je regarde la voiture s'en aller. Il est 7 h45. Je rentre. Je fais notre lit et la vaisselle.
Je vais dans l'atelier. Je prépare ma palette et mes pinceaux. C'est un moment magique qui m'a tant manqué. C'est beau.
Je récupère religieusement un peu de peinture de mes tubes à l'aide de la pointe d'un couteau à peindre. Grand moment.

Il est 8 h15. Me voilà confortablement assis devant mon chevalet. J'entame ce matin la vingt neuvième toile de ma saison
Il en faut trente et ma galerie d'Art sera pourvue. Ma saison d'été commence le samedi 29 juin. Le vernissage le jeudi 27.
C'est animé de cette sérénité que je m'attelle à cette scène de genre à trois personnages et que je situe en plein XVIIème.
Je peins dans un enthousiasme délirant. Rapidement je me mets à pousser les cris les plus surréalistes. Si extraordinaires.
Je les module longuement. Un peu à la manière d'un yodler tyrolien. C'est tellement extravagant que j'en ris de bon cœur.

Il est aux environs de 10 h lorsque l'absurde musique de mon smartphone résonne au fond de la poche de ma blouse en lin.
Je rage. J'éructe. Qui peut donc m'emmerder dans mon enchantement paradisiaque. Je m'en saisis. C'est Juliette. Le calme.
Je suis content d'avoir de ses nouvelles. La jeune femme me raconte sa semaine. L'ambiance qui règne dans son entreprise.
Il ne reste que dix chevaux en pension en plus des deux lui appartenant. Tout le monde souffle un peu. Jusqu'en septembre.
Bien évidemment Juliette en vient rapidement à ce qui la préoccupe. Le sexe. Cette femme de 42 ans en est friande. Super.

< Je vais pouvoir jouer à la bourgeoise désœuvrées pendant les mois d'été. Et je ne vais pas me priver ! > me lance t-elle.
Gérard, son ancien palefrenier à la retraite s'est installé dans sa caravane derrière les écuries. Il y passera la belle saison.
Kim Son et Eveline, les deux jeunes palefreniers actuels vont pouvoir s'occuper de l'entretien. Tout cela respire les congés.
Pauline, la jeune secrétaire, est la seule à se retrouver débordée de travail. Paperasserie administrative. Juliette la seconde.
Juliette évoque notre dernière aventure, il y a déjà quelques semaines. Elle nous invite, Clémentine et moi, à une récidive.

Je promets d'en parler à Clémentine qui sera probablement ravie. < Gérard a très bon goût en ce moment ! > fait Juliette.
Nous rigolons comme des bossus quand elle rajoute : < Les saveurs de l'été ! >. Elle me raconte sa dernière pipe avec lui.
< Pas plus tard que vendredi dernier. Dans les écuries. Je me suis régalée ! > précise t-elle avec un luxe de détails. Super.
< Samedi soir la baise avec Pierre sous les yeux de madame Walter m'a laissé sur une impression estivale ! > dit elle. Rire.
Nous bavardons ainsi en mode "haut parleur" ce qui me permet de travailler tout en m'amusant beaucoup. C'est si sympa.

Nous nous saluons vers 10 h30. Nous raccrochons. Je peins avec une érection démentielle. Excité par la conversation. Joie.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je lave les feuilles d'une salade verte pour midi et pour ce soir. L'eau qui bout.
J'y plonge les macaronis. J'en fais beaucoup. Pour ce soir également. Je me fais rissoler un filet de cabillaud que j'ai pané.
Je mange de bon appétit en tentant d'écouter les information mensongères, formatées et calibrées spécialement pour moi.
C'est au-dessus de mes forces. J'éteins la radio. La vaisselle. Je sors dans le jardin faire quelques pas. Une journée d'été.

Le ciel est légèrement voilé. Il fait chaud. Je fais le tour de la propriété. Il y a les deux employés de l'entreprise paysagiste.
Ils me saluent. Nous bavardons un peu. Les deux hommes ont ramassé toutes les branches éparses au sol. C'est du boulot.
Cet après-midi ils vont tailler les haies et tondre les pelouses. Ils s'excusent du bruit qu'ils vont faire. Ce n'est pas un souci.
Mon atelier, orienté Nord-Est, donne sur la partie de la propriété la plus forestière. Je n'entendrai pas grand chose. Parfait.
Je rentre. Il est 13 h15 lorsque je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Seconde séance. Magique.

L'après-midi passe ainsi, dans une sérénité absolue. Il est rapidement 16 h20. Voilà Clémentine qui rentre de cours. Super.
Elle jette son sac dans le canapé avant de se précipiter vers moi. J'anticipe toujours. Je pose ma palette et mes pinceaux.
Assise sur mes genoux elle me raconte sa journée. Les profs, les cours, le menu du restaurant universitaire. C'est superbe.
Ces trois dernières semaines restantes sont consacrées à la rédaction d'un mémoire. C'est un peu le socle de son Doctorat.
Passionnée, Clémentine m'explique comment les choses vont se passer. Des groupes d'étudiants, dix, avec un professeur.

Ce professeur sera le "Maître de thèse" pour les trois années restantes. C'est lui qui va chapeauter le groupe. Et l'orienter.
Ce mémoire comptera donc pour l'épreuve finale puisqu'il en sera la base intangible. Cette base doit être solide. Splendide.
J'écoute tout cela avec un grand intérêt. Clémentine a encore du travail. La voilà assise devant l'ordinateur avec ses notes.
Je lui raconte le coup de téléphone de Juliette. En imitant mes cris surréalistes, Clémentine chante : < Juliette salope ! >
Nous en rions de bon cœur. Clémentine est évidemment ravie de l'invitation. < Me sucer du Gérard d'été ! > rajoute t-elle.

Nous travaillons tous deux jusqu'à 18 h45. < Stop ! Plein les bottes ! > s'écrie Clémentine. Je nettoie palette et pinceaux.
Nous quittons l'atelier pour aller faire quelques pas au dehors. Le ciel est resté voilé. La chaleur est constante. La douceur.
Nous découvrons une propriété rangée, propre et méconnaissable. L'entreprise paysagiste fait toujours du très bon boulot.
Cela fait plus de dix ans que je fais appel à la même entreprise. Clémentine m'entraîne au potager. Ça pousse. C'est bien.
Dans la serre, les tulipes et les roses sont magnifiques. Nous aurons nos premières cerises d'ici une semaine. C'est super.

Nous descendons jusqu'à la rivière. Clémentine m'a sorti la bite et les couilles. Je me balade donc en prenant l'air. Sympa.
Je suis assis sur une souche d'arbre. Clémentine, accroupit entre mes jambes, hume les odeurs de ma journée d'homme.
Je lui caresse les cheveux. J'écoute ses appréciations. Les effluves parfumées du Parmezob me monte au nez. Ça "fouette".
Clémentine me décalotte très légèrement en chassant une mouche un peu trop entreprenante et qui en veut sa part aussi.
Je la regarde passer sa langue sous mon prépuce pour tourner autour du gland. C'est émouvant. Je bande mou. C'est bon.

Le bruit de la rivière, le gazouillis des oiseux et les papillons qui virevoltent rajoutent encore à cette scène bucolique. Joie.
Je saisi Clémentine par sa natte pour la faire s'assoir à côté de moi. Elle me montre l'intérieur de sa bouche. Le Parmezob.
C'est grumeleux. Et il y a des filaments. Je prends une photo pour lui montrer le résultat de ses "récupérations" buccales.
Nous rions de bon cœur. La faim commence à se faire sentir. Clémentine me tend sa natte. Je comprends. Je m'en saisis.
Je l'entraîne ainsi sur les 300 mètres du chemin qui monte vers la maison. Il n'y a jamais personne. C'est privé. Superbe.

Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade déjà prête. Je pane deux filets de sole. Je réchauffe les macaronis.
Je les fais revenir à la poêle avec de l'ail, de l'oignon, du persil et de la ciboulette. Nous mangeons de bon appétit. 20 h.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine évoque ce vieux Gérard.
La perspective de sucer ce vieux salaud, incontinent et impuissant, la comble de joie. < Je suis une vicieuse ! > fait elle.
Je m'empresse de répondre : < Oui ! Je sais. Heureusement. La vie serait bien triste si tu ne l'étais pas ! >?. Nous rions.

Nous sommes invités à manger chez Juliette mercredi soir. Nous emmenons le dessert. Nous mettrons tout cela au point.
Juliette, bien vicelarde aussi, aura probablement quelques propositions de scénarios à nous soumettre. C'est à se réjouir.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. < Je peux m'entraîner un peu ? > lance Clémentine en mimant une pipe. Poilade.
Je l'entraîne en la tenant par sa natte jusqu'au salon. J'ordonne : < A genoux ! >. Clémentine se met à genoux. Coussin.
Les mains posées sur la tête, bien droite, la bouche ouverte, Clémentine attend que j'y enfonce ma queue encore molle.

Je lui frotte la bite sur le visage. J'entends sa respiration changer. Les premiers soupirs de contentement. Gémissements.
Je me penche pour murmurer : < Je vous aime délicieuse "Soumise". Vous n'imaginez pas à quel point je vous aime ! >
< Et moi donc, mon délicat "Maître" ! > chuchote Clémentine. Ce jeu de rôle, qui n'est qu'un jeu, nous émeut. La passion.
< Je veux vivre de telles situations tous les jours jusqu'à l'automne, s'il vous plaît, mon bon "Maître" ! > fait Clémentine.
Je promets de faire de mon mieux. Je lui enfonce délicatement la bite dans la bouche. Et mes couilles contre son menton.

Je la tiens par sa natte et au plus court pour l'encourager. Ses joues creusées par l'effort de succion, Clémentine pompe.
La position est inconfortable, ainsi cambré, ma région lombaire ne tarde pas à être douloureuse. Je la force à se relever.
Je lui retire ses jeans et sa culotte. Son sexe est trempé. Je la soulève pour la déposer délicatement dans le canapé. Joie.
A genoux, je lui nettoie la chatte dans un concert de gémissements de bonheur et de plaisir. J'ai de quoi me régaler. Bon.
Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis avec précautions. Nous restons immobiles à nous regarder. Et c'est si intense.

Ce moment de communion nous est devenu aussi nécessaire que l'air que nous respirons. Toute la dimension de l'amour.
Clémentine approche sa bouche de mon oreille. Elle sent le "Parmezob". Elle me chuchote des douceurs, des cochonneries.
Il est question de Gérard, de sa bite au goût dégueulasse et qui n'arrête jamais de couler dans sa bouche durant la pipe.
J'écoute avec intérêt. Clémentine y met tant de passion. Nous bougeons parfois. Elle se masturbe en même temps. Super.
Je propose de monter nous terminer au lit. Trop tard. Son orgasme la terrasse. Un cri. Un spasme. Et c'est si merveilleux.

Bonne soirée à toutes les coquines qui raffolent de tendresse, de douceur et qui aiment à avouer leurs tourments…

Julien - (Qui écoute les dernières confidences de Clémentine, serrée contre lui, au fond du lit) -

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Classe - 35 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 810 -



Le fonctionnement normal a repris

Hier matin, mardi, c'est le concerto pour la main gauche de Maurice Ravel qui nous tire violemment de nos profonds dodos.
< Ta gueule Maurice ! > s'écrie Clémentine tout en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit. 6 h.
Quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes. Nous revêtons nos tenues de sport avant de descendre à la cuisine.
Nous préparons un copieux petit déjeuner que nous savourons en bavardant. Clémentine contente de reprendre ses cours.
Il est 6 h25. Nous sortons pour affronter la douceur matinale d'un jogging tant attendu. Une heure d'un si agréable running.

La douche au retour. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint en jeans, T-shirt, ses baskets.
Clémentine termine à midi. Ce qui la rend doublement contente. Les derniers bisous. Je regarde la voiture s'en aller. 7 h45.
Il fait beau. Je rentre. Je fais notre lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier pour y préparer ma palette et mes pinceaux. Joie.
Il est 8 h15 lorsque je suis enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans une euphorie particulière. C'est encore si parfait.
Comme toujours, lorsque je suis livré ainsi, sans merci, corps et âme à ma passion dévorante, le temps n'a plus d'emprise.

Il faut me voir faire la danse du guerrier Sioux autour de mon chevalet à chaque coup de pinceau plus sublime que l'autre.
C'est proprement divin. Il est rapidement midi. Je nettoie mon matériel. Avec ce soleil et cette chaleur, cet après-midi loin.
Je vais à la cuisine. Je fais gonfler du riz complet et bio. Je fais rissoler des crevettes à la poêle. Clémentine arrive. 12 h20.
Elle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tournoyer. Elle me couvre le visage de bisous. < Je t'aime ! > s'écrie t-elle.
Rapidement Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je coupe le poireau en petits morceaux dans l'eau.

Je fais bouillir pendant que je fais une pâte à pain. Je concocte une Béchamel. J'y rajoute le poireau bouilli et gruyère râpé.
Je récupère un peu de Béchamel dans laquelle je verse les crevettes rissolées. Ce sera la sauce en accompagnement du riz.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Nous ne traînons pas. Nous sommes si pressés de filer.
La vaisselle. Nous montons nous laver les dents et nous mettre en tenues vélo. Clémentine en jupette sport et ses baskets.
Je suis en short. Le lycra noir et le même T-shirt crème que Clémentine. Nous voilà prêts. Nous dévalons l'escalier. 13 h30.

La Béchamel repose sous un couvercle. La pâte à pain repose sous un linge. Notre Flamiche Picarde du mardi soir est prête.
Cette délicieuse tarte au poireau qui fait le bonheur des mardis soirs. Nous voilà sur nos bicyclettes à descendre le sentier.
Cinq cent mètres et nous voilà sur la piste cyclable. Nous croisons peu de monde. Principalement des séniors, des retraités.
Il fait chaud. C'est comme une journée d'août. Un léger vent d'Ouest qui nous poussera probablement au retour. C'est bien.

Arrêt pipi au cabanon de l'écluse où Clémentine aime se faire surprendre entrain de faire pipi. Nous prenons position. Parfait.
Je reste planqué derrière les fourrés à l'angle du cabanon. Clémentine a traversé l'écluse et guette entre les deux bosquets.
Nous ne restons guère plus d'une dizaine de minutes. S'il n'y a personne, nous repartons. Il n'y a personne. Nous repartons.
Nous arrivons au port de plaisance pour 15 h30. Le petit groupe de joueurs de pétanque. Quelques plaisanciers qui causent.
Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie. C'est un inconnu qui assure le rôle de capitaine cette année. Dur.

C'est un quinquagénaire barbu et ventru. Il porte une casquette noires sur laquelle est brodé "New-York" en lettres dorées.
Il nous salue. Nous traversons la route pour aller chercher nos cônes glacés à la supérette. Il n'y a pas l'ombre d'un client.
Nous bavardons un peu avec madame Marthe, la gérante qui nous raconte les festivités qui se préparent pour ce dimanche.
Ce sera la course des "caisses à savon" annuelle. Ces engins sans moteur et tout en bois confectionnés pas les participants.
Le départ aura lieu du sommet de la colline, depuis la chapelle et l'arrivée aura lieu au bout du quai. Deux épreuves chacun.

Cette manifestation attire chaque année un monde fou. Chacun vient y encourager son coureur. C'est ludique et amusant.
Nous dégustons nos cônes glacés en flânant sur les quais. Clémentine nous entraîne derrière les bâtiments. Les sanitaires.
Ceux réservés aux plaisanciers sont fermés à clef. Les toilettes publiques sont ouvertes. Nous y entrons pour mâter un peu.
Personne. Odeur de chlore. Tout est propre. Nous restons aux aguets. Clémentine aimerait bien s'offrir un petit plan exhibe.
C'est le barbu à casquette, le "capitaine" saisonnier du port qui arrive. Je me planque dans un des cabinets. Porte fermée.

Clémentine est entrain de se laver les mains quand le "capitaine" entre dans la petite salle carrelée à l'étrange résonnance.
J'entends la conversation qui s'en suit. Le quidam parle rapidement de lui. Au chômage, il a trouvé ce job pour cette saison.
Un contrat de quatre mois. Il semble ravi de cette aubaine. C'est un boulot plutôt peinard. Il est loquace et parle beaucoup.
Clémentine écoute. J'entends le type pisser tout en bavardant. Je suis debout sur le couvercle rabattu de la cuvette du WC.
En effet, notre "capitaine" est entrain de pisser tout en discutant avec Clémentine qui reste ostensiblement contre le lavabo.

Les bras croisés, elle se contente d'écouter. La situation d'équivoque devient ambigüe lorsque le mec secoue sa bite, riant.
Il est tourné de trois quart vers la jeune fille avec qui il continue de causer comme si tout cela était parfaitement "normal".
Un rusé petit salopiot qui sait profiter de l'aubaine. De se retrouver seul avec une jeune fille aux chiottes et qui mâte. Joie.
Clémentine le dépasse d'une demi tête. Le voilà franchement tourné vers la jeune fille en secouant sa queue. Bon vicelard.
Il vient au lavabo. Là, toujours aussi détendu, il se lave la queue au savon. Clémentine écoute tout en regardant, sourire.

Prenant son temps, il s'essuie la bite avec un mouchoir en papier. < Je retourne bosser, bonne après-midi ! > dit le bougre.
Clémentine est éclatée de rire lorsque je viens la rejoindre. Nous n'avons encore jamais vécu une telle situation et si épique.
< Tu as entendu ? > me demande Clémentine. Je réponds : < Oui, et j'ai vu ! >. Nous rigolons comme des bossus. Sympa.
Nous retournons à la supérette pour une seconde "cône partie". Cette fois au parfum pistache. Il fait chaud. Si belle météo.
Nous savourons nos gourmandises en déambulant sur les quais. Il est 16 h45. Il est temps de repartir. Il y a 25 km à faire.

Nous retournons à nos vélos derrière la capitainerie. "Haddock" est là. C'est ainsi que Clémentine surnomme le "capitaine".
Il nous voit tous les deux. Il est tout sourire, tout jovial. Nous bavardons un peu. Ce type est un véritable amuseur public.
Un déconneur, un peu vicelard et dont les propos graveleux nous font rire. Clémentine s'accroupit pour fouiller le sac à dos.
Je comprends rapidement que c'est un prétexte. Le "Capitaine Haddock" peut ainsi voir son entrejambes. Il ne se prive pas.
Clémentine sort sa culotte du petit sac à dos qu'elle enfile devant le capitaine qui regarde en silence. Il sait à qui il a affaire.

Nous le saluons. Clémentine lui fait : < A un de ces jours, alors, capitaine ! >. Le type lui fait un clin d'œil et lève le pouce.
Nous pédalons sans effort, poussés par le vent d'Ouest qui souffle un peu plus fort. Il y a quelques nuages d'orage. Menace.
Il est 18 h45 lorsque nous revenons à la maison. Estelle est déjà là. Elle se précipite dans mes bras. Je la soulève. Bisous.
La Flamiche Picarde est déjà au four. Nous la félicitons. Estelle est tellement contente d'être de retour avec nous. Superbe.
Je prépare la table. Le ciel s'obscurci rapidement. Il y a même quelques éclairs qui zèbrent l'horizon. Pas de doute, ça pète.

Nous faisons quelques pas. Nous parcourons la propriété pour profiter de ce peu de fraîcheur. Le tonnerre gronde au loin.
Clémentine raconte notre rencontre au port de plaisance. Le "Capitaine Haddock" et sa petite bite toute molle. Le vicieux.
< Alors celui-là, je veux faire sa connaissance aussi ! > lance Estelle en pouffant de rire. < Dimanche ! > fait Clémentine.
Toutes les fenêtres sont ouvertes pour aérer la maison. La sonnerie du four. Morts de faim nous nous précipitons. Cuisine.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles évoquent leurs cours. Les stratégies à mettre en œuvre. Bien.

Nous traînons à table. Clémentine et Estelle sont assises sur mes genoux à terminer leur yaourt au miel. Tout en discutant.
Je les tiens par la taille. Je fais une bise à l'une. Je fais une bise à l'autre. < Après, je te suce ! > me chuchote Estelle. Rire.
Je dis : < Tu ne préfères pas un bon léchage de minou ? >. Estelle me fait : < Mais tu nous le fais si souvent ! >. Rigolade.
Clémentine nous propose de lui faire du spectacle. < Avec ce que j'ai vécu au port, je suis bien "allumée" ! > nous fait elle.
Nous rions de bon cœur. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. L'orage semble s'être éloigné sans éclater. C'est dommage.

Estelle m'entraîne au salon par la queue, sa main dans mon short. < Tu as transpiré et ça doit être miam ! > s'écrie t-elle.
Clémentine s'installe dans le fauteuil, cuisses écartées, posées sur chaque accoudoir. Estelle à genoux sur l'épais coussin.
Je n'ai plus ni short ni slibard. Clémentine se touche en me souriant. Elle me fait un clin d'œil bien vicelard. On peut y aller.
Je regarde Estelle entrain de humer les senteurs fromagères de ma journée d'homme. Les sécrétions et la sueur. Son miam.
Elle me décalotte juste un peu. Il y a des grumeaux de Parmezob qui collent tout autour du prépuce et ça schlingue un max.

< Ça pue jusqu'ici ! > fait Clémentine alors qu'Estelle se met à téter le bout du gland qui dépasse. Juste le méat qui coule.
< Méat coule pas ? > fait encore Clémentine. < Méat coule ! > répond Estelle. Nous en rigolons comme des bossus. Super.
Je me fais rapidement tailler une véritable pipe des familles. Je reste immobile. Je tiens Estelle sous le menton ou la nuque.
Je lui chuchote des cochonneries. Elle ouvre parfois les yeux pour me fixer en gloussant à chacune de mes saloperies. Joie.
Clémentine se masturbe. Elle nous regarde. Elle m'observe. Rien ne la passionne et ne l'excite davantage que de me voir .

Plus je suis salaud, plus je suis vicieux avec Estelle et plus Clémentine est excitée. J'éjacule en sournois. Estelle surprise.
Je la regarde. Elle a toujours tant de mal à déglutir sans vouloir en perdre la moindre goutte. Clémentine a son orgasme.
Je la regarde se recroqueviller sur elle-même, cuisses resserrées sur ses mains. Elle est en sueur, tête rejetée en arrière.
Je laisse Estelle me faire le fond de cuve. Je la force à se redresser. Il est 22 h15. Il faut songer à y aller. Demain école.
Nous la raccompagnons à sa voiture. Séparation difficile. Au lit, Clémentine me confie ses impressions. "Haddock". Dodo.

Bonne virée à bicyclette à toutes les coquines qui aiment retirer leur culotte pour s'offrir en spectacle…

Julien - (Qui aime écouter les dernières confidences de Clémentine, serrée contre lui après avoir un bon orgasme) -

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Classe - 36 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 811 -



Une soirée chez Juliette

Hier matin, mercredi, c'est la valse en La mineur de Frédéric Chopin qui nous arrache d'un profond sommeil. C'est violent.
< Put-Hein Fredo ! > s'écrie Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit de mon côté.
Quelques rapides papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Puis vêtus de nos tenues sport nous dévalons l'escalier.
Nous préparons un copieux petit déjeuner que nous savourons en évoquant le "Capitaine Haddock" rencontré hier au port.
Morts de rire nous mangeons de bon appétit. 6 h25. Nous sortons pour affronter notre jogging matinal. Il fait très agréable.

Une heure d'un running des plus gratifiants, nous voilà de retour pour prendre notre douche. Et je redescends le premier.
Je sors la petite auto de Clémentine qui me rejoint vêtue d'un pantalon de toile légère, un T-shirt, chaussée de sandalettes.
Pour ne pas être emmerdée par de véritables @#$%& à la fac, Clémentine préfère éviter de mettre une jupe ou une robe.
Un dernier bisou. 7 h45. Je regarde la voiture s'éloigner. Je rentre. Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. 8 h15.
Je prépare ma palette et mes pinceaux. Me voilà confortablement assis devant mon chevalet. Dehors il fait beau, du soleil.

Je peins animé d'un enthousiasme délirant. Je ponctue les coups de pinceaux les plus sublimes de cris surréalistes. Super.
La peinture de cette scène de genre me procure les plus indicibles émotions. Je travaille dans une profonde introspection.
C'est fabuleux. La matinée passe à une vitesse vertigineuse. Tout en étant concentré, je pense à tout sauf à ce que je fais.
Il est rapidement midi. Je quitte l'atelier pour aller à la cuisine. Je fais gonfler du millet doré. Je prépare une salade verte.
Je descends à la cave pour sortir une tarte aux pommes du congélateur. Ce sera le dessert de ce soir, chez Juliette. Bien.

Je remonte. Je fais rissoler un filet de saule avec des champignons noirs émincés. Je rajoute un petit pot, crème fraîche.
Je râpe un peu de gruyère de Comté. Je rajoute. Je mange au jardin. Il fait tellement beau. Une véritable chaleur d'août.
Il n'y a pas d'insectes pour m'ennuyer. Le gazouillis des oiseaux, une légère brise, tout cela participe d'un enchantement.
Je fais le tour de la propriété avant de rentrer pour faire la vaisselle. Je retourne dans l'atelier. Il est à peine 13 h. Parfait.
Assis devant mon chevalet, je m'offre ma seconde séance de peinture. Pur bonheur ponctué de modulations tyroliennes.

Il est rapidement 16 h20. Clémentine entre à toute vitesse dans l'atelier pour se précipiter vers moi. Je pose mon matériel.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les cours, les profs, le menu du restaurant universitaire. Passionnant.
Clémentine a encore un peu de travail. Le mémoire qu'il lui faut réaliser demande quelques travaux d'écriture. C'est super.
Assise à la la table, devant l'ordinateur, entourée de ses notes, Clémentine se plonge dans son labeur en chantonnant. Joie.
Il est 18 h30 lorsque nous cessons. Nous sortons pour profiter de la grande douceur de cette fin d'après-midi. Fantastique.

Nous flânons jusqu'à la rivière. Les eaux baissent enfin un peu. Elles sont claires et limpides. Les poissons très nombreux.
L'endroit ferait le bonheur de tout pêcheur qui m'en demanderait l'autorisation. Nous sommes assis sur une souche. Bien.
J'ai la bite à l'air. Nous évoquons la soirée qui nous attend chez Juliette. C'est devenu un rituel fort sympathique. Fameux.
Par association d'idées nous en arrivons aux souvenirs de toutes ces aventures vécues là, dans le haras et dans les écuries.
Elles restent profondément ancrées dans nos mémoires. De quoi alimenter nos fantasmes jusqu'à la fin de nos existences.

19 h15. Nous remontons. Il faut se changer. Nous décidons de faire simple. Clémentine peut enfin mettre une robe d'été.
Sur sa demande, je porte un pantalon de toile fine et claire. Une simple chemisette crème à manches courtes, sandalettes.
Accroupie à ma gauche, sa tête en appui contre ma cuisse, tenant ma jambe, Clémentine dit : < Je vous aime "Maître" ! >
Je sors ma bite, je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Je vous aime, délicieuse "Soumise" ! >. Devant le miroir.
Clémentine y frotte son visage, suce un peu en s'observant dans la glace de l'armoire. Je la force à se redresser. Fourmis.

Nous rions de bon cœur de ce jeu qui nous amuse tant. Le rôle du "Maître" et de la "Soumise" est des plus fantaisiste. Joie.
Même si Clémentine est une véritable soumise en devenir, je reste un maître d'opérette. Car je n'en ai pas le tempérament.
Il est presque 19 h30 lorsque nous prenons la petite auto de Clémentine. Trois petits kilomètres et nous voilà aux écuries.
Il y a quelques voitures dans la cour. Il y a deux jeunes cavalières qui reviennent de promenade. Il y a là madame Walter.
Nous la saluons. Lorsqu'elle me serre la main, nous faisons bouger nos index à l'intérieur de la paume. C'est très excitant.

Il y a Kim Son et Eveline, les deux jeunes palefreniers qui viennent nous saluer. Cela fait deux semaines sans les avoir vu.
Nous bavardons un peu. Je surprends les regards insistants de Kim Son à l'égard de Clémentine. Comment être indifférent.
Je découvre que, discrètement, Clémentine se touche en discutant avec le jeune homme. Ses mains croisées sur son sexe.
Kim Son s'en est évidemment rendu compte. Et personne à part moi. Voilà Juliette. Elle est vêtue d'une robe d'été, légère.
Madame Walter, en tenue d'écuyère nous laisse. Elle a fini sa journée. < A un de ces jours ! > nous lance t-elle. Le sourire.

Elle me serre la main en dernier en insistant sur son mouvement d'index. Je lui fais un clin d'œil. Elle fait de même. Sympa.
Deux voitures arrivent dans la cour. Ce sont les parents des deux jeunes cavalières qui viennent les récupérer. Fin de soirée.
Kim Son et Eveline vont s'occuper des chevaux. Nous suivons Juliette qui nous invite. Je récupère notre tarte aux pommes.
L'appartement de Juliette est agréablement ventilé. Les fenêtres ouvertes permettent un courant d'air. C'est si rafraîchissant.
La table est mise. Juliette a fait simple. Des salades, des gambas grillés, quelques légumes. Nous voilà installés. Il fait faim.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine raconte notre séjour en Vendée. Juliette pose quelques questions bien orientées.
Nous sommes entre vicieux, préoccupés de sexe, aussi, tout cela nous est devenu naturel. J'écoute les filles parler. Superbe.
Très rapidement il est question d'une dernière soirée ici, avant notre départ pour l'Ecosse. Une soirée avec les habitués. Joie.
Juliette propose une "surprise" dont elle a le secret. Clémentine en glousse de plaisir. Je sors ma bite sous la table. Je bande.
Juliette sait parfaitement ce que je suis entrain de faire de ma main droite. J'adore son air courroucé qui n'est que simulacre.

Je lui dis : < A notre prochaine soirée, je veux m'occuper de votre cas, Juliette. Mais avec l'autorisation de Clémentine ! >
Clémentine confirme d'un hochement de tête. Juliette qui me répond : < Et si c'était moi qui m'occupais du votre, Julien ? >
Je me lève. Je bande comme un salaud. J'agite ma bite dans sa direction. Je fais : < Je vais me branler dans vos chiottes ! >
< On t'accompagne ! > lance Clémentine. Elles se lèvent toutes les deux. Nous voilà aux toilettes. Je suis devant la cuvette.
Clémentine est à droite, entre le mur et la cuvette. Juliette est à ma gauche entre le lavabo et la cuvette. Et en face de moi.

Je me branle en évoquant les pipes vécues aux écuries. Je félicite Juliette pour ses attitudes et ses nombreuses initiatives.
Elles me regardent toutes les deux, silencieuses, écoutant mes descriptions, mes impressions et mes ressentis. J'y vais sec.
J'agite mon poignet. Cette situation hyper vicelarde est très excitante. Juliette me regarde avec un sérieux presque sévère.
< Il fait "ça" à la maison aussi ? > demande Juliette. Clémentine lui répond : < Oui, souvent, parfois en pensant à vous ! >
Je me masturbe frénétiquement mais avec une régularité constante. Je maîtrise et je contrôle parfaitement ce qui se passe.

< Nous avons encore un dessert à prendre ! > fait Juliette. Je dis : < Et celui là, il ne vous convient pas ? >. Juliette mâte.
Clémentine la regarde en mimant une pipe bien vulgaire. < Je me suis sucé Gérard hier soir ! > répond Juliette. Rigolade.
Elle rajoute : < Comme il s'est installé dans sa caravane derrière les écuries, j'ai de quoi me régaler. Et quand je veux ! >
< Je peux venir aussi ? > demande Clémentine. < Venez quand vous voulez. Vendredi soir par exemple ! > répond Juliette.
Rendez-vous est pris. < Faites moi plaisir Julien ! > fait Juliette en s'accroupissant et me présentant son visage. C'est beau.

< Sur la gueule ! > rajoute t-elle en rapprochant son visage. Je lui éjacule au visage. Clémentine se masturbe, toute rouge.
Je macule soigneusement la gueule de Juliette de mon foutre épais et visqueux qui ne coule pas. Elle me fixe. Un air sévère.
Elle se redresse. Clémentine s'accroupit pour sucer le reliquat. Juliette, debout devant moi, me fixe d'un regard très étrange.
Je regarde sa belle gueule maculée de foutre gluant. Je chuchote : < Vous êtes la reine des salopes ! Je vous en félicite ! >
< C'est moi qui vous remercie pour votre attention charmante ! > me fait elle. Je force Clémentine à se redresser. Bisous.

Juliette nous propose de retourner au salon, y prendre notre dessert. Elle reste ainsi, le visage maculé de jute. La vicelarde.
Je n'en reviens pas. Clémentine non plus. Juliette lui dit : < Vous avez votre smartphone ? Faites donc une photo ! >. Fou.
Clémentine fait une photo, la montre à Juliette qui dit : < On ne sait pas ce que c'est. Faites moi un double, par courriel ! >
Je promets de le faire dès demain. Bien évidemment avec l'engagement solennel que personne ne verra jamais cette photo.
Nous sommes des gens d'honneur et de parole. Je suis encore plus excité qu'avant les chiottes. J'en fais part aux coquines.

< Vous voulez passer la seconde couche sans que la première ne soit sèche ? > demande Juliette. Nous rions de bon cœur.
< La seconde couche est pour moi, ce soir, au lit ! > lance Clémentine d'un ton assez autoritaire. Nous aidons à la vaisselle.
Juliette nous raccompagne à la voiture. < Ça me pique ! > fait elle en montrant sa gueule encore pleine de foutre qui sèche.
Je lui passe la main entre les cuisses qu'elle écarte dans un réflexe pour me permettre de bien palper son sexe. C'est chaud.
Clémentine retire ma main et m'entraîne. Nous saluons Juliette. < A vendredi soir ! >. Il est 22 h30. Au lit. Je me fais sucer.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire juter à la gueule et rester couvertes de sperme pour le dessert…

Julien ( Qui doit rassurer Clémentine avant de dormir. Il n'est pas question d'en aimer une autre. La pipe remise à demain)

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Un jeudi au climat automnale

Hier matin, c'est le Prélude en Mi mineur de Frédéric Chopin qui nous tire du sommeil. Et avec une certaine violence. Dur.
< Encore toi Fredo ! > lance Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit.
Il est 5 h55. Quelques bisous avant de nous précipiter aux toilettes. Vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons l'escalier.
Morts de faim, nous nous préparons un petit déjeuner royal. Dehors, il pleut. C'est rageant. Nous mangeons de bon appétit.
Nous évoquons mon attitude de hier soir, chez Juliette et les réactions de la jeune femme. < Elle t'aime ! > dit Clémentine.

Je m'empresse de bien préciser : < Oui peut-être mais moi c'est toi que j'aime ! >. Clémentine, rassurée en soupire d'aise.
6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre entraînement d'hiver. Aérobic, abdos, charges additionnelles et le stretching.
C'est un peu frustrant car nous courons sur nos tapis roulants. C'est moins drôle. Une heure. Et intensité maximale. Super.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Elle me rejoint vêtue de son jeans, sweat, ses baskets.
Sous son parapluie. Un dernier bisou. Je lui glisse à l'oreille : < Ce soir, je te fais sucer et comme une vraie petite salope ! >

Elle m'embrasse en disant : < Arrête ! Sinon je ne vais pas en cours et je reste là ! >. Nous rions de bon cœur. Il est 7 h45.
Je regarde la voiture s'en aller. Je rentre. Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Je prépare la palette et pinceaux.
Il est 8 h15 lorsque je suis assis devant mon chevalet. Je peins dans une sérénité extrême. L'assurance du vainqueur. Bien.
Il est aux environs de 10 h quand la stupide musique de mon smartphone résonne au fond de la poche de ma blouse en lin.
Je m'en saisis en pestant. Je me calme très vite. C'est Juliette. Je mets en mode "haut parleur" afin de continuer à peindre.

Après les civilités d'usages, les politesses protocolaires, Juliette arrive rapidement au sujet réel de son appel. La sexualité.
Ce qui s'est encore passé hier soir, ne laisse évidemment pas la jeune femme indifférente. Elle m'en fait part. Sincèrement.
< J'adore voir ça ! Je serai prête à venir sous la pluie pour m'en amuser encore ! > me confie Juliette. Elle semble insister.
Je lui propose de remettre les couverts vendredi soir pendant que Clémentine s'occupe avec monsieur Gérard. Branlette.

< Génial ! > fait elle. Je rajoute : < Préparez nous un de vos scénarios ! >. Juliette me promet de m'étonner. Nous en rions.
Je sais pouvoir lui faire confiance. La conversation dure une bonne demi heure. Je bande comme un salaud, la queue à l'air.
Nous nous saluons. J'aime peindre en érection. Cela m'oblige à peindre dans un esprit inquisitorial. Je dois rester concentré.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Pendant que cuisent les coquillettes, je prépare une pâte à pain. Et la garniture.
C'est pour les pizzas du jeudi soir. Je récupère un peu de garniture comme sauce en accompagnement de mes coquillettes.

J'y rajoute du cabillaud émincé que j'ai fait rissoler dans la poêle avec de l'ail et de l'oignon. J'y rajoute du Parmesan râpé.
Je mange de bon appétit en écoutant les informations mensongères sans cesser de penser à Juliette et à sa "surprise". Joie.
C'est demain soir. Tous les trois, avec Clémentine, nous allons encore pouvoir nous livrer au stupre et à la luxure. Au vice.
Dehors, il pleut toujours. La fraîcheur est à nouveau automnale. C'est rageant. Je fais la vaisselle. Je range la cuisine. Bien.
La pâte à pain repose sous un linge. La garniture repose sous un couvercle. Je peux retourner serein et détendu au travail.

Il est 13 h15. Je peins dans un état d'exubérance qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. Je module longuement.
Soudain, une nouvelle fois, l'idiote musique de mon smartphone. Je m'en saisis. Merveille des merveilles. C'est Clémentine.
< Tu m'as promis quelque chose ce soir. Tu n'oublies pas, hein ? Je file en cours. Je t'aime ! > me murmure t-elle très vite.
Amusé, je continue à ponctuer mes coups de pinceaux de modulations tyroliennes dignes des paysages Alpestres Suisses.
Pour qu'elle m'appelle ainsi, pour me rappeler sa préférence, Clémentine doit être impatiente. Je me promets d'être salaud.

Il est presque 16 h15. Clémentine ne va pas tarder. Je pose ma palette, mes pinceaux. J'écarte bien les pans de ma blouse.
J'ai la bite à l'air. Pas besoin de la stimuler pour bander comme un priapique en phase terminale. Je reprends mes pinceaux.
Du bruit. L'idée de la surprise que je réserve maintient mon érection. Clémentine entre dans l'atelier. Elle ne fait pas gaffe.
Ce n'est qu'en se précipitant vers moi en s'écriant : < Je t'aime ! > qu'elle découvre mon stratagème. Un vrai petit farceur.
< Tu ne me fais jamais cette surprise, Julien. Tu devrais me la faire tous les jours ! > me lance Clémentine qui s'accroupit.

Je la force à s'assoir sur mes genoux en lui disant : < Tu as probablement encore du travail. Moi aussi. Restons sérieux ! >
Elle me tient la queue. < Comme elle est dure. Comme elle me fait envie ! Je me suis branlée dans la voiture ! > fait elle.
J'exige qu'elle soit toujours prudente au volant tout en se masturbant. < Je te le jure. Je fais hyper attention ! > me dit elle.
Je sais pouvoir lui faire confiance. Sur cette petite départementale, on peut faire les 10 km sans croiser la moindre voiture.
Nous remettons nos agapes fellatrices à ce soir. Clémentine est assise devant l'ordinateur, entourée de ses fiches. Parfait.

Du bruit. Il est 18 h15. Voilà Estelle. Elle se précipite. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, pour raconter.
< Hier soir, j'étais au supermarché avec maman ! On a croisé madame Walter et son mari ! Ils ne m'ont pas vu ! > dit elle.
Rapidement, Estelle rejoint Clémentine. Elles comparent leurs travaux pour le mémoire. Ce dernier doit faire 20 pages. Dur.
< Put-Hein ! Ras le bol ! > s'écrie Clémentine. Il est 18 h45. Je nettoie mon matériel. Les filles rangent le leur. C'est rapide.
Dehors, la pluie a cessé. Nous sortons sur le haut des marches du perron du salon, la porte fenêtre grande ouverte. Super.

Le contraste entre la fraîcheur de cette fin d'après-midi et la chaleur presque caniculaire de hier est étonnant. C'est étrange.
Nous descendons les cinq marches de l'escalier arrondi pour faire quelques pas sur les gravillons. La végétation est trempée.
< Mais, tu as la bite à l'air, mon salaud ! > s'écrie Estelle en découvrant ce que je viens de sortir de ma braguette. Humide.
< Clémentine m'a raconté ce que tu as encore fait chez Juliette hier soir. J'aurai voulu être là ! > dit Estelle, s'accroupissant.
< Regarde, ce salaud est gluant de jute ! > fait elle encore à l'attention de Clémentine qui s'accroupit à son tour pour voir.

J'ai les mains posées sur leur tête. Elles scrutent mon sexe qu'Estelle décalotte légèrement. Une goutte qui vient y perler.
Même si nous sommes à l'extérieur, l'odeur de frome me monte jusqu'au nez. J'imagine ce qu'il en est pour les deux filles.
Je les vois humer à tour de rôle. Estelle me la tient juste entre le pouce et l'index en la dirigeant sous le nez de Clémentine.
Je dis : < Et si nous allions d'abord préparer nos délicieuses pizzas du jeudi soir ? >. Estelle répond : < Et l'apéro ? >. Rire.
Clémentine se redresse la première en disant : < Ce soir, elle est pour moi ! >. Estelle répond : < Et moi je me branle ? >

< Oui ! > lui dit Clémentine. Je force Estelle à se redresser. Nous allons à la cuisine. Estelle ne me lâche pas la queue. Dur.
Clémentine lui retire la main. Nous nous mettons à l'ouvrage. Estelle travaille l'onctueuse pâte à pain. Farine et Parmesan.
Clémentine s'occupe de la salade. Une belle scarole. Je réchauffe la garniture dans laquelle je rajoute du cabillaud émincé.
Tout est rapide. Les pizzas sont au four. Clémentine ne cesse de se serrer ou de se frotter contre moi. Estelle nous regarde.
Clémentine m'entraîne par la queue jusqu'au salon. Elle me fait tomber dans le canapé. < J'ai attendu ça ! > s'écrie t-elle.

Estelle regarde Clémentine se mettre à genoux sur l'épais coussin entre mes jambes écartées. < Et moi ? > nous fait elle.
Je dis : < Toi, ce soir, tu es au spectacle. Tu t'installes dans le fauteuil et tu regardes en te branlant ! >. Elle éclate de rire.
Elle me fait : < J'imite Clémentine, alors ? >. Je réponds : < Exactement ! Et je veux te voir jouir comme une salope ! >
Estelle déboutonne son jeans, le retire tout en gardant sa culotte. Et elle place chacune de ses jambes sur les accoudoirs.
Ainsi vautrée dans le fauteuil, cuisses largement écartées, elle glisse une main dans sa culotte, regardant ce qui se passe.

Clémentine, ivre de plaisir, me suçote doucement. Elle tête en gémissant. Parfois elle ouvre les yeux pour me fixer. Joie.
Je lui caresse la tête. De temps en temps, je passe ma main droite sous son menton. La main gauche sur sa nuque. Bien.
C'est la première fois que nous inversons les rôles. Cette fois c'est Estelle qui se masturbe en nous observant. Bien aussi.
Estelle se touche. Elle a plusieurs soubresauts. Prostrée en avant, la main droite dans sa culotte, sa main gauche dessus.
Clémentine alterne la pipe gloutonne à la la pipe mesurée. Nous restons immobiles. Estelle retient son souffle. En apnée.

Lorsqu'elle cesse de respirer, c'est pour se concentrer sur le spectacle. Tout comme le fait Clémentine la plupart du temps.
Parfois, lorsque je retire ma queue de sa bouche pour qu'elle repose sa mâchoire, Clémentine montre sa bouche à Estelle.
A chaque fois, Estelle pousse un gémissement où je devine l'envie, le désir et le plaisir. Estelle est une véritable voyeuse.
Ce qui se déroule là, sous ses yeux, semble la fasciner. Elle a le visage en sueur. Toute rouge. La sonnerie du four. Enfin.
Nous cessons en même temps. J'aide Clémentine à se relever. Estelle pousse un profond soupir. < J'allais jouir ! > dit elle.

Nous nous précipitons à la cuisine. Bien évidemment, ce repas est succulent. Les pizzas sont un délice. Nous les savourons.
Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent l'inversement des rôles. Elles se proposent de le faire plus souvent. Joie.
Estelle aimerait jouer à l'inconnu. Que j'interprète le rôle d'un exhibitionniste. Elle aime tant jouer à ça. Elle propose un film.
< Encore ! Mais tu en as déjà huit ! > lance Clémentine. < Mais aucun consacré a Julien qu'on voit se branler ! > dit Estelle.
< On fait samedi soir ? > rajoute encore Estelle en débarrassant la table. Nous en rions de bon cœur. Je vais faire "l'acteur".

Vaisselle. Nous rangeons la cuisine. < On y retourne ! > s'écrie Estelle qui glisse sa main dans sa culotte, mimant une pipe.
Clémentine m'entraîne par la queue. Nous reprenons nos positions. Estelle dans le fauteuil, Clémentine à genoux. Superbe.
Je suis vautrée dans le canapé. Je frotte ma bite sur le visage de Clémentine. J'insiste sur ses lèvres. Elle se met à pomper.
Estelle a repris sa position. Elle se masturbe en gémissant. Elle redécouvre les joies du voyeurisme. Et elle est hyper belle.
Parfois, nous nous fixons. Dans cette situation particulière, Estelle baisse souvent les yeux. Comme honteuse. Je lui souri.

Nous restons ainsi à nous observer, Estelle et moi, pendant que Clémentine s'offre cette pipe qu'elle attend depuis le matin.
Lorsque je lui retire la queue de la bouche, afin qu'elle repose sa mâchoire, je la pointe dégoulinante de foutre vers Estelle.
L'orgasme soudain d'Estelle est étonnant. Elle se penche en avant, comme une contorsionniste. Elle est secoué de spasmes.
Elle pousse un cri, se met à râler, le souffle court. Je lui dis : < Félicitation Estelle, tu es remarquable ! >. Elle se lève vite.
Nous la regardons se précipiter aux toilettes. < Je t'aime ! > me chuchote Clémentine, la bouche ruisselante de foutre. Jus.

Nous nous fixons. Nous sommes amoureux fous l'un de l'autre. Notre complicité de chaque instant est un enchantement.
J'éjacule dans la bouche de Clémentine en sournois, comme toujours, sans prévenir en la tenant sous le menton. Pur jus.
Estelle revient. Elle s'assoit à mes côtés, se penche pour regarder Clémentine déglutir avec peine. Je lui montre l'heure.
Il est 22 h15. < Toujours à l'heure ! > me fait Estelle avant de me rouler un patin d'enfer. Clémentine continue sa pipe.
Il faut cesser. Nous raccompagnons Estelle à sa voiture. Séparation difficile. Au lit, Clémentine en veut encore. Mais dodo !

Bonne soirée pipe à toutes les coquines qui aiment alterner la fellation et la masturbation. Exhibition et voyeurisme…

Julien - (Qui propose à Clémentine de bien dormir plutôt que de sucer encore. Elle aura de la bite demain soir) -

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Le Week-end commence vendredi à midi

Hier matin, c'est la Symphonie des Jouets de Mozart qui nous arrache de nos profonds sommeils. C'est plutôt violent. Dur.
< Momo salaud ! > s'écrie Clémentine qui me chevauche pour éteindre le réveil posé de mon côté sur la table de nouilles.
Il est 5 h55. Nous en rions de bon cœur avant de nous précipiter au WC. Vêtus de nos tenues de sport, nous descendons.
Nous nous préparons un petit déjeuner que nous savourons tout en bavardant. Clémentine termine à midi les vendredis.
Ce qui la rend joyeuse et fébrile. 6 h25. Nous affrontons la fraîcheur matinale avec un jogging des plus agréables. Super.

Une heure d'un running gratifiant et nous voilà de retour pour prendre notre douche. Puis je descends et je sors le premier.
Je sors la petite auto de Clémentine. Elle est vêtue de son jeans, d'un sweat léger et de ses baskets. Elle est toute contente.
Un dernier bisou. Un dernier coucou. Je regarde la voiture s'en aller. Le ciel est couvert mais lumineux. Il y a un léger vent.
Je rentre. Je fais le lit, la vaisselle avant d'aller dans l'atelier. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 8 h15. Superbe.
Je termine ce matin la vingt neuvième toile destinée à ma saison d'été. Encore une. J'aurai de quoi remplir ma galerie. Joie.

C'est animé de cette certitude que je peins dans un enthousiasme délirant en poussant les cris les plus surréalistes. Fameux.
Il faut me voir entamer la danse du guerrier Sioux autour de mon chevalet tout en imitant un yodler tyrolien. Extraordinaire.
Je termine cette scène de genre à trois personnages pour 10 h45. Je pose la toile sur le second chevalet. Elle pourra sécher.
Je pose une toile vierge sur le premier chevalet. Je commence immédiatement le dessin préparatoire de la trentième. Super.
Ce sera le dernier paysage de la saison. D'après une photographie que j'ai prise durant une de nos randonnées. C'est extra.

Il est si rapidement midi. Mon travail est terminé. Je vais à la cuisine. Dehors, il fait toujours aussi gris mais très lumineux.
Je fais gonfler du riz complet, bio. Je pane deux filets de sole. Je les fais revenir à la poêle avec des champignons émincés.
Il est 12 h20. Clémentine arrive. Elle me saute dans les bras. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Si heureuse.
Elle prépare l'assaisonnement d'une salade de tomates tout en me racontant sa matinée. Les profs, les cours et le mémoire.
Ce mémoire qu'il faudra rendre pour le jeudi 20 juin. Plus que deux semaines. Clémentine est confiante. Elle a tant bossé.

Nous mangeons de bon appétit. Avec cette météo, l'idée même de faire de la bicyclette serait hérétique. Menace de pluie.
Même si c'est quelque peu frustrant, Clémentine suggère une randonnée. Je trouve la proposition splendide. Météo idéale.
Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents tout en faisant les clowns.
Nous nous changeons. Nos vieux jeans, nos vieux sweats, nos vieilles baskets. Dans le petit sac à dos, pommes et flotte.
Nous voilà prêts. Il est 13 h15. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Vingt cinq petits kilomètres. Parfait.

Il y a plein de voitures garées là, sur le parking, au bas des collines. Du monde au restaurant, là-bas. Le ciel reste couvert.
Nous changeons de godasses. Je porte le petit sac à dos. Nous voilà en chemin. Nous croisons d'autres marcheurs. Super.
Principalement des séniors, des couples, des groupes. Nous restons sur le sentier à flanc de collines. C'est un climat idéal.
En bas, les eaux noires du petits lac reflètent le tumulte nuageux du ciel. J'ai souvent la bite à l'air. Une exigence. Obligé.
A chaque fois que nous croisons des randonneurs, je dissimule mon sexe sous la carte de la région que je garde à la main.

Nous en rions de bon cœur. A chaque risque évité. Clémentine se blottit contre moi aux détours des sentiers pour se frotter.
Nous avons nos mentons mouillés de salive à force de nous embrasser avec tant d'avidité. Nous arrivons aux vieilles ruines.
Il y a du monde dans l'enceinte du château. Il faut ruser. Ma braguette ouverte m'embarrasse terriblement. C'est excitant.
Bien évidemment, rien n'amuse davantage Clémentine que mon embarras. Je bande mou à force de m'être fait sucer. Rire.
Clémentine scrute les alentours avec attention. Elle s'offrirait volontiers un petit "plan" exhibe ou une situation vicelarde.

Pourtant, avec tous ces gens, il serait vain de tenter un truc. Nous comprenons enfin cette affluence inhabituelle. Ces gens.
C'est un Club de randonnée, en partenariat avec une association, qui ont organisé une sortir découverte. Voilà l'explication.
Nous ne nous attardons pas. Nous descendons pour rejoindre le sentier qui longe ce côté ci du lac. Nous revenons à l'auto.
Il est 18 h. Nous changeons de godasses. Les premières gouttes de pluie. Je roule doucement. Clémentine joue avec le Zob.
Parfois, elle se penche pour sucer un peu. < Il me faut une mise en condition pour les éventualités de ce soir ! > me dit elle.

Il est 18 h45 lorsque nous sommes de retour. Il suffit de réchauffer le riz. Je fais rissoler des crevettes à la poêle. Rapide.
J'y verse un petit pot de crème fraîche. Clémentine a concocté une salade de carottes. Puis nous mangeons de bon appétit.
Nous ne traînons pas. La vaisselle. Clémentine est pressée de filer au haras, retrouver les écuries, Juliette, le vieux Gérard.
Nous montons nous lavers les dents en faisant les clowns devant le miroir. Nous nous changeons. Il est 19 h15. C'est bien.
Clémentine porte une de ses jupes kilt, un simple pull noir de coton fin, des souliers à léger talons. Les cheveux en natte.

Sur sa demande, je porte un pantalon de lin clair, une chemise négligemment déboutonnée sous une veste de toile claire.
Accroupie à ma droite, devant le miroir de l'armoire, sa tête contre ma cuisse, elle dit : < Je vous aime mon "Maître" ! >
Les cuisses largement écartées, elle se serre. Je pose ma main sur sa tête. Je dis : < Moi aussi délicieuse "Soumise" ! >
Je sors ma bite afin qu'elle puisse y frotter son visage avant de sucer encore un peu. Je la force à cesser, à se redresser.
Nous dévalons l'escalier en rigolant comme des bossus. Ce jeu du "Maître" et de la "Soumise" nous amuse toujours tant.

Trois petits kilomètres et nous arrivons au haras. Il y a quelques gouttes de pluie. Rien de conséquent. Pas de parapluie.
Juliette est dans la cour avec Kim Son, le jeune palefrenier. Nous les saluons. Il y a un couple de propriétaires de chevaux.
Nous les laissons pour entrer dans notre écurie préférée. Il n'y a personne. Je passe ma main sous la jupe de Clémentine.
Je chuchote : < Prête à sucer ? >. Elle écarte ses jambes pour me permettre le meilleur accès en répondant : < Prête ! >
< Bonsoir les gens ! >. C'est la voix de monsieur Gérard qui nous surprend ainsi. Il vient nous serrer la main. Tout sourir.

Juliette arrive à son tour. Nous bavardons un peu. Je découvre, consterné, que Gérard maintient Clémentine par sa natte.
Il l'a tient au plus court, comme à la laisse, secouant légèrement la tête à Clémentine tout en posant quelques questions.
< Je vous l'empreinte un petit moment. Elle a certainement des choses à me raconter ! > fait il en l'entraînant fermement.
Je regarde, halluciné, Clémentine, courbée en avant, marchant avec peine, tirée par la natte. Monsieur Gérard en "Maître".
Juliette me chuchote : < Et si on s'occupait de nous ? >. Elle me met la main sur la braguette. Il y a là une sacrée bosse !

Juliette m'entraîne dans le dernier box. Celui où il y a le petit trou parfaitement rond dans la cloison qui sépare du bureau.
Immédiatement nous nous accroupissons pour regarder. Clémentine est assise sur la chaise, le dossier entre ses jambes.
Toujours tenue par sa natte comme par une laisse. Monsieur Gérard frotte sa bite minuscule sur son visage. C'est dégueu.
Ses énormes couilles évoquent de ses courgettes rondes, tout contre le menton de Clémentine, mains posées sur sa tête.
Elle se laisse faire sans opposer la moindre résistance. Juliette et moi, nous regardons à tour de rôle par le trou. Excitant.

Juliette est en jupe. Il est facile de lui passer la main entre les cuisses. < Salaud ! > me chuchote t-elle. Je suis vulgaire.
Je lui palpe la vulve. Je tire sur les lèvres charnues de son sexe. J'y enfonce même un doigt. Je peux l'entendre souffler.
Il est rare qu'elle se laisse ainsi faire. D'un tempérament de "Maîtresse", Juliette n'est pas du genre à se laisser tripoter.
Pourtant, ce soir, elle semble prendre beaucoup de plaisir à mon initiative. Nous regardons par le trou, à chacun son tour.
A présent, Clémentine suce la bite de Gérard avec avidité. Le vieux salaud la tient sous le menton et par la nuque. Ferme.

Il y a de la jute qui coule. Il en goutte sur le pull à Clémentine qui tient à présent le vieux dégueulasse par ses hanches.
Les yeux fermés, dans une expression d'extase, Clémentine suce cette bite minuscule, juteuse et ruisselant de vieux jus.
Je doigte Juliette en lui chuchotant : < J'ai une méchante envie de baiser avec toi, là, sur la vieille couverture, salope ! >
< Mais baise moi, espèce de salopard, nous attendons ça depuis si longtemps ! > murmure t-elle. Elle se met à bouger.
Je bande comme un priapique en phase terminale. Je me rappelle soudain la consigne de Clémentine. < Pas de baise ! >

Juliette se couche sur la vieille couverture, les cuisses largement écartées, en appui sur ses coudes, elle me fixe. Sévère.
Son visage, dans la semi obscurité, encadré de ses longs cheveux noirs, a une expression étrange. Elle est tellement belle.
Pourtant, je ne suis pas homme à trahir ma parole. Je me contente de lui enfoncer le doigt tout en regardant par le trou.
Parfois, j'observe Juliette. Elle se masturbe. Je la pénètre de mon doigt. Je regarde Clémentine bouffer la bite de Gérard.
< Julien ! Je serai patiente. Ce sera toi ! > murmure soudain Juliette qui se redresse pour se blottir contre moi. Bizarre.

Nous regardons à nouveau à tour de rôle. < Si ce soir tu n'as pas compris, tu ne comprendras jamais ! > me fait Juliette.
En effet, ce soir j'ai la confirmation de ce que suppose Clémentine. Juliette m'aime. Je comprends aussi que c'est sincère.
Cette situation est soudain embarrassante. Je regarde par le trou à mon tour. Clémentine a le visage maculé de foutre.
Le vieux salaud retire sa toute petite bite qui ne bande plus depuis des années pour la frotter sur le visage de Clémentine.
Par contre, sa bite ne cesse de couler. Du foutre jaunâtre, gluant qui reste bien collé partout ou il en dépose. Vieux sale.

< Regarde ! > chuchote soudain Juliette qui me laisse mâter à mon tour. Ce vieux salopard lâche de petits jets de pisse.
Il maintient fermement la tête de Clémentine d'une main puissante, par sa natte. Elle essaie en vain de détourner la tête.
Il lui fourre sa bite toute ruisselante d'un mélange répugnant dans la bouche en lui pinçant le nez pour la forcer à l'ouvrir.
Pour reprendre sa respiration tout en suffoquant, Clémentine n'a d'autre choix que de se retrouver avec le Zob en bouche.
Elle parvient à se défaire de l'emprise du vieux salaud pour s'enfuir. Nous l'entendons courir jusqu'à la porte des écuries.

Je quitte Juliette et sa chatte ruisselante pour rejoindre Clémentine. Elle est dehors, sous une pluie fine, à tenter de vomir.
Je la tiens par ses épaules. Je sors un mouchoir en papier. Elle arrive enfin à dégueuler en toussant. C'est du foutre épais.
Je suis impressionné par la quantité de sperme et de liquide séminal qu'elle dégurgite avec le reste du riz. C'est écœurant.
Juliette vient nous rejoindre. Clémentine se redresse en larmes. < Viens, on s'arrache ! > me fait elle sans un au revoir.
Nous rentrons. Elle reste silencieuse à s'essuyer, à cracher dans le mouchoir. A la maison, elle mange un peu. Puis dodo.

Bonne pipe dégueu à toutes les coquines qui apprécient les trucs répugnants avec de vieux salopards incontinents…

Julien - (Qui écoute les secrets que lui confie Clémentine, serrée contre lui, au lit, avant de dormir : < C'était bien ! >) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 39 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 814 -



Un samedi très "conventionnel"

Hier matin, samedi, il est 7 h30 quand je suis réveillé par des froissements de draps, un mouvement du matelas. Régulier.
Clémentine sait lorsque je me réveille. Ma respiration change. Aussi, cette fois encore, elle cesse sa masturbation. Sympa.
< J'ai fait un rêve érotique ! > me chuchote t-elle en se blottissant contre moi. Je fais : < Bonjour belle masturbatrice ! >
Nous nous faisons plein de câlins. Je lui propose de me raconter son rêve en bas, à la cuisine, durant notre petit déjeuner.
Nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues sport et morts de faim, nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine.

Jus d'orange, café, pain grillé, tartines beurrées nappées de confiture et de miel constituent notre superbe petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine me raconte le rêve. Il y est évidemment question de Gérard.
Ce qu'elle a encore vécu hier soir, l'a suivi dans son sommeil. < C'est le dégoût que cela suscite qui m'excite ! > fait elle.
Je comprends parfaitement le processus. Elle rajoute : < C'est beaucoup plus cérébral que physique ! >. Et je le sais bien.
La vaisselle. Il est 8 h. Nous affrontons notre jogging dans une très agréable fraîcheur matinale. C'est un autre vrai plaisir.

Nous revenons après une heure d'un merveilleux running à travers la campagne. La douche. Nous faisons notre lit. Parfait.
Nous nous habillons. Clémentine porte une jupe claire, légère en coton fin. Un T-shirt sous une veste légère en coton clair.
Sur sa demande je porte un pantalon de toile claire, une chemise sous une veste légère de coton. Et nos sandales de ville.
< Regarde comme on est beaux ! > fait Clémentine en m'entraînant devant le miroir de l'armoire. C'est vrai. Beau couple.
Nous dévalons l'escalier. Je prends la glacière que je branche sur l'allume cigare de la voiture. Nous voilà prêts. C'est bien.

Je roule doucement sur les trois petits kilomètres qui nous séparent du bourg voisin où nous faisons notre marché. Samedi.
Il y a du monde. Je garde ma braguette discrètement ouverte. Clémentine a laissé sa culotte dans la voiture. C'est parfait.
Nous attirons bien évidemment quelques inévitables regards. Cette jeune fille au bras d'un homme d'âge mûr. C'est insolite.
Nos hautes tailles, notre élégance, toutes ces choses qui attirent inexorablement quelques attentions. On ne fait plus gaffe.
Nous nous en amusons beaucoup. Nous faisons provisions de bons fruits, de beaux légumes chez notre maraîcher habituel.

Nous faisons provisions de fromages, de beurre, de yaourts, de crème fraîche, d'œufs chez notre artisan fromager habituel.
De retour à la voiture, je mets les produits frais dans la glacière. Direction la zone commerciale. Quelques treize kilomètres.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue tout en me donnant les impressions de ce qu'elle a vécu hier au haras.
Le goût dégoûtant de la bite à Gérard qu'elle a pourtant sucé avec appétit. Et c'est le dégoût induit par cet acte qui l'excite.
Je l'encourage à une récidive avant l'Ecosse. Il nous reste presque trois semaines avant le départ avancé au 28 juin. Super.

Je lui suggère même de baiser avec Pierre, le mari de madame Walter avant de partir. Clémentine en est enchantée. Bien.
Je gare la voiture sur le parking. Il y a un monde fou. Je pousse le caddie. Clémentine tient la liste des courses. Organisée.
Elle m'entraîne dans les rayons. Il nous faut des boules de bois de cèdre. Ce sont des boules anti mites. Armoires, valises.
Clémentine me montre bien chaque article avant de le déposer au fond du caddie. Là aussi, nous attirons quelques regards.
Malgré l'affluence, Clémentine m'entraîne aux rayons des bouquins. C'est là qu'il y a les meilleures opportunités d'exhibes.

< J'ai une envie folle de m'amuser ! > me fait elle alors que nous faisons le tour de ces rayons pour la troisième fois. Rires.
Il serait vain de tenter une exhibe de réelle qualité, de prendre un risque même calculé avec toute cette fréquentation. Dur.
Clémentine m'entraîne aux rayons des vêtements homme. Là aussi, c'est plein de clients choisissant leurs fringues de l'été.
Il reste le secteur des cabines d'essayage. Outre les familles de Simpson, pas d'homme seul, de "V.P." (victime potentielle).
C'est frustrant pour Clémentine qui ne porte pas de culotte et aimerait en faire profiter un bon voyeur soigneusement choisi.

Nous sommes dans la file à attendre notre tour devant le rayon poissonnerie. Il faut faire preuve de patience. Bavardages.
Nous faisons provisions de nos produits de la mer préférés. Filets de sole, de cabillaud, pavés de saumon, les langoustines.
Nous passons en caisse. Là aussi, il faut prendre son mal en patience. Nous flânons dans la galerie commerciale. Des gens.
C'est fou ce qu'un hypermarché suscite les visites lorsque commence la belle saison. Ces beaux jours se sont fait attendre.
< Rien à se mettre entre les cuisses ! > murmure Clémentine lorsque nous passons devant le salon de thé plein à craquer.

Nous en rions de bon cœur. Je lui dis : < Il reste l'éléphant bleu et la station essence ! >. Il faut faire le plein. Bonne idée.
C'est à la sortie du parking. Il y a enfin une opportunité. Je suis debout à côté de la bagnole en tenant le pistolet. Essence.
Clémentine est assise, portière ouverte, une jambe dehors, bien en face d'un mec qui fait également son plein. Il regarde.
Il y a de quoi mâter et l'heureux privilégié ne s'en prive pas. Derrière mes lunettes de soleil je peux loucher discrètement.
Le type mâte. A s'en déboîter les globes oculaires. Je le comprends. Surtout que Clémentine en rajoute dans la démesure.

Je raccroche le pistolet. Je paie. Carte bleue. Je roule doucement jusqu'à l'un des espaces à laver la bagnole. Peu de gens.
Je prends cette fois le pistolet à eau pour passer le jet sur la carrosserie. Surprise, le même individu arrive. Le box à côté.
Clémentine est sortie de l'auto. Protégée de la vue, la voilà accroupie juste au-dessus de la grille d'évacuation des flottes.
Seuls moi et le type pouvons la voir. Moi, je fais semblant d'être absorbé par mon nettoyage. J'observe le mec en douce.
Clémentine, accroupit, bien droite, protégée par l'anonymat de ses lunettes et de ses cheveux défaits, pisse dans la grille.

Ma présence empêche évidemment l'individu de tenter un contact. Tant mieux. C'est ce que déteste Clémentine. C'est bien.
A chaque fois que je fais le tour de la bagnole, je vois que Clémentine reste dans sa position. Le mec qui mâte discrètement.
Il se souviendra longtemps de cette superbe belle salope qui lui offre le plus gratifiant spectacle qu'il lui sera donné de voir.
Il ne peut rien faire. Il ne peut rien engager. Clémentine a trouvé là sa victime idéale. Sa victime du jour. Et elle en profite.
Je m'amuse à voir le type devenir de plus en plus fébrile. Ses gestes de plus en plus maladroits. Et il guette mes attitudes.

Je lui permets de se détendre un peu. Je fais semblant d'être absorbé par le rinçage du pare-brise. Il peut enfin s'exprimer.
Il se palpe vulgairement la braguette devant la jeune fille qui n'est qu'à une dizaine de mètres, toujours accroupie, salope.
Les cuisses largement écartées, elle offre un de ses plus beaux show. C'est du grand art. Une autre voiture arrive. Danger.
Clémentine se redresse. Elle ouvre la portière avant et la portière arrière. Là, entre les deux, protégée, elle se torche. Joie.
Le type doit certainement être à la limite de l'apoplexie. Pour lui éviter des complications cardiaques, il est temps de partir.

Nous en rigolons comme des bossus dans la bagnole. Clémentine, hyper excitée par ce qu'elle vient de vivre, se masturbe.
Je me branle de la main droite. < Tu as vu comme il mâtait, le salaud ! > me dit Clémentine, mimant une branle masculine.
Elle rajoute : < C'est certainement ce qu'il est entrain de faire, le bougre ! >. Nous en rions de bon cœur. Il est midi trente.
Nous arrivons à la maison. Nous rangeons nos courses. Nous montons nous changer. Nos tenues vélo. Nous redescendons.
Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare le bouillon pour cuire les moules. Haricots verts congelés direct dans le wok.

Nous mangeons de bon appétit. Nous ne traînons pas. Vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les pitres.
Il est 13 h30. Nous voilà sur nos bicyclettes pour rejoindre la piste cyclable. Il faut pédaler contre un vent frais et d'Ouest.
Il est assez fort. C'est désagréable. Cela gâche un peu le plaisir. Aussi, pas d'arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Dommage.
Nous croisons tout de même pas mal de monde. Nous arrivons au petit port de plaisance pour 15 h30. Ambiance habituelle.
Nous fermons les vélos à cadenas derrière la capitainerie. Le responsable est là. Il nous reconnaît. Le "capitaine Haddock".

Sa casquette noire sur laquelle sont brodées en lettres dorées "New-York" vissée sur la tête il bavarde en lissant sa barbe.
C'est un drolâtre. Il tente d'avoir des bons mots. Ce sont hélas des plaisanteries lourdes et stupides. Nous n'en rions pas.
Nous le laissons à la porte de son cabanon pour aller nous offrir des cônes glacés à la supérette. Il y a pas mal de monde.
Madame Marthe, la gérante, nous rappelle que demain, ce sont les épreuves de la course des "caisses à savon". Un succès.
Nous serons là. Nous flânons sur les quais en dégustant nos glaces. Clémentine propose de faire son show à la capitainerie.

Elle porte sa jupette sport. Avec la fraîcheur, en vélo, c'est un peu limite. J'ai nos leggings dans le sac. Pour le retour. Bien.
Je reste en retrait. Clémentine passe seule devant la capitainerie. Le "Capitaine Haddock" la voit, sort sur le pas de la porte.
Il interpelle la fille qui s'arrête pour discuter. De ma planque, dans les fourrés derrière les toilettes, je n'entends rien. 16 h.
Je vois Clémentine pointer son doigt dans la direction des toilettes. Le type se touche la braguette. Très vulgaire. Grossier.
Je comprends qu'il se propose d'accompagner Clémentine car il ferme la porte à clef. Et il marche aux côté de la jeune fille.

J'ai juste le temps d'entrer dans les toilettes, de m'enfermer dans un des cabinets avant qu'ils n'entrent tous les deux. WC.
Je suis debout sur le couvercle rabattu de la cuvette des chiottes. Je peux mâter par dessus le mur carrelé. Entendre aussi.
Le "Capitaine Haddock" sort sa bite. Il me tourne le dos. Il agite probablement son sexe en direction de la jeune fille. Vice.
Je l'entends proposer une pipe à Clémentine qui mâte en souriant. < Tu n'as pas envie de goûter ? > lui demande le salaud.
Clémentine répond : < Je n'ai jamais fais ça ! >. C'est évidemment le plus beau mensonge de l'année. Et j'en ris tout seul.

Si ce mec savait à qui il a affaire ! Clémentine joue à l'innocente. Hyper vicieuse tout de même. Debout à mâter en silence.
Dans le miroir, je vois enfin la toute petite bite molle et flasque de notre exhibitionniste barbu. On dirait celle de Mr Gérard.
J'entends Clémentine dire : < Je connais un vieux monsieur à la retraite qui a la même ! >. Notre salopiot se met à rigoler.
< Et tu aimes la regarder ? Tu ne joues jamais avec ? > demande t-il encore. < Si ! J'aime bien la voir ! > fait Clémentine.
Notre capitaine d'opérette agite sa toute petite queue en disant : < Regarde ! >. Il fouille dans son slip et sort ses couilles.

Je suis plié de rire dans ma cachette. Clémentine joue à la perfection. Mélangeant l'espièglerie à la curiosité de l'innocence.
< Ça te plaît ? > demande le salopard. < Vous ne bandez jamais ? > demande la jeune fille. < Non ! > répond le capitaine.
Il rajoute : < La dernière fois, c'était quand ma femme s'est tiré avec le camionneur ! >. Je me marre. Le mec qui raconte.
C'est une histoire de péquenot. Un truc de Simpson. Le "Capitaine Haddock", d'abord cocu, s'est fait plaquer il y a cinq ans.
< Depuis je ne bande plus. Mais je ne bandais déjà pas beaucoup avant. Et ç'est pour ça qu'elle s'est barrée ! > lance t-il.

Je vois bien que Clémentine se pince les lèvres. Elle a envie d'éclater de rire. Ce médiocre est une véritable caricature. Con.
Le bougre revient à la charge. < Alors ce serait sympa que tu me fasses une pipe. Ça fait presque dix ans ! > fait il encore.
< Vous êtes un pauvre type, non ? > lance Clémentine. < Oui, on peut dire ça comme ça ! > répond le bougre qui en rigole.
Cette fois, Clémentine éclate de rire. Ils rient tous les deux comme des bossus. Je ris en silence. C'est beaucoup trop drôle.
Clémentine lui dit : < Je reviens un de ces jours. Mais ça me tente. Je veux bien essayer. Si vous êtes d'accord ! >. Silence.

Le mec répond : < Si je suis d'accord ? Mais bien sûr que je suis d'accord ! Put-Hein, je n'attends que ça depuis dix ans ! >
Notre frustré de la pointe se tourne vers un des urinoirs. Il se met à pisser tout en continuant à causer. C'est délirant. Fou.
Clémentine se penche pour regarder le jet fumant. Je bande. J'admire sa capacité à improviser dans toutes les situations.
Elle se redresse. Elle mime une fellation avant de sortir en disant : < A un de ces jours, alors ! >. Le bougre dit : < Oui ! >
Il sort des toilettes à son tour. J'attends quelques instants. Je sors également. Clémentine m'attend dans les fourrés. Rire.

Nous retournons aux vélos. Il est temps de rentrer. Nous n'arrêtons pas de rire tout le long de la route, poussés par le vent.
Je demande : < Tu vas vraiment sucer cet homme de Cromagnon ? >. Clémentine qui me répond : < Si tu es d'accord ! >
Bien évidemment que je suis d'accord. Encore un grand moment en perspective. Il est 19 h lorsque nous arrivons. Fraîcheur.
Estelle est déjà là. Elle nous fait la bise. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Si heureuse.
Estelle a préparé notre repas du soir. Nous la remercions. Nous montons nous changer. Nous lui racontons notre aventure.

< Je veux faire la connaissance de cet olibrius ! Je veux voir ! > lance Estelle écroulée de rire. Clémentine donne des détails.
< Mardi après-midi, s'il fait beau, on y va tous les trois ! > rajoute Clémentine. < Oh oui ! Super ! > répond Estelle. Poilade.
Morts de faim, nous redescendons. Juste en même temps que la sonnerie du four. Estelle a préparé un gratin de coquillettes.
Accompagné d'une sauce au Roquefort et de crevettes rissolées. Un véritable délice. Nous la félicitions. Nous la remercions.
Nous traînons à table. Clémentine raconte sa pipe à Gérard, hier soir, aux écuries. Estelle écoute et demande des précisions.

J'écoute les filles raconter leurs expériences avec ce vieux salaud. Elles l'ont déjà sucé toutes les deux. De quoi s'écœurer.
Elles fonctionnent toutes les deux un peu de la même manière. Clémentine, Estelle, comme moi, sont de vraies cérébrales.
La sexualité doit forcément avoir une approche "intellectuelle", être vicieuse, tendancieuse, glauque, peut-être dégoutante.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle me rappelle qu'elle veut réaliser un petit film où l'on me voit me masturber.
< C'est si facile à réaliser ! > précise Clémentine. Elle rajoute : < Je filme ! Toi, tu joues à ton personnage de voyeuse ! >

Estelle sort la carte SD de sa poche qu'elle tend à Clémentine qui l'introduit dans la caméra. Estelle a préparé un scénario.
Je porte des lunettes noires et de fausses moustaches comme sur la photo de mes différents avatars. Déguisé en satyre.
La première scène se déroule dans les toilettes. Clémentine est avec moi. Elle reste entre le lavabo et la cuvette des WC.
Elle m'embrasse en disant : < Notre vie est géniale ! Je t'aime Julien ! >. Elle se met en position. Je sors ma queue molle.
< Moteur ! > s'écrie Clémentine. Estelle entre dans les toilettes. Elle me voit tenir ma queue. Je pisse avec quelques jets.

C'est exactement ce que nous avons vécu aux toilettes du port de plaisance. Estelle, penchée en avant, qui regarde bien.
Sur ma gauche, elle mâte avec une attention décuplée pour les besoins du film. Elle joue toujours si bien l'ingénue. Joie.
Je cesse de pisser pour remonter la bite vers son visage qui n'est qu'à une dizaine de centimètres. Je bande mou. Sympa.
Clémentine filme. Silencieuse, elle reste immobile. Je bande de plus en plus fort. Je me masturbe. Le mouvement régulier.
Estelle observe avec l'attention d'une entomologiste. Elle n'est pas obligée de "jouer" puisque c'est ce qu'elle adore faire.

Nous réalisons plusieurs déclinaisons de ces scènes. Clémentine dit à Estelle : < Au port, tu pourra voir un vrai porc ! >
Je précise que ce que nous filmons là sera réel avec le "Capitaine" qui sera probablement ravi de faire sa connaissance.
< Je fais un super montage et on se mâte le film samedi prochain ! > fait Estelle. < Soirée branlette ! > dit Clémentine.
Nous réalisons quatre déclinaisons différentes de l'exhibitionniste et de la voyeuse. Il est presque 23 h. La fatigue gagne.
Nous voilà au lit. Je suis entre Estelle qui s'endort la première et Clémentine qui me confie son envie de sucer au port…

Bonne soirée "cinématographique" à toutes les coquines qui aiment mettre en scène leurs fantasmes les plus secrets…

Julien - (Qui a proposé aux filles de passer un dimanche hyper vicelard. Cunnilingus, pipes, exhibes et voyeurisme) -

Classe



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Homme, 53 ans, France
Classe - 40 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 815 -



Un 9 juin avec une météo automnale

Hier, dimanche, je suis réveillé par de délicats bisous déposés en rafale sur mes joues, mon front et le bout de mon nez.
On me tient fermement par mon érection matinale, physiologique et naturelle. On me chuchote des douceurs aux oreilles.
Estelle à ma droite, qui me tient le Zob, Clémentine à gauche qui me fait des bisous. Je passe mes bras sous leurs nuques.
Sans ouvrir les yeux, je les serre affectueusement contre moi. Nous restons ainsi le plus longtemps possible. Un privilège.
< Pipi ! > s'écrie Estelle en se levant pour se précipiter aux toilettes. Clémentine me chevauche, murmurant des douceurs.

Il est à peine huit heures. Dehors, il fait un temps désastreux. C'est gris, couvert, pluvieux. De quoi rester sous les draps.
Estelle revient dans son pyjama de soie mauve. Elle s'assoit sur le bord du lit. < Vous avez vu, dehors ? > demande t-elle.
Elle rajoute : < Je descends préparer notre petit déjeuner ! >. Un dernier bisou et elle dévale les escaliers à toute vitesse.
Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, nous rejoignons Estelle à la cuisine. Odeur de brioche et de pain grillé.
Nous restons un instant, comme hébétés, devant la fenêtre à regarder cette météo pourrie. Un démoralisateur commun.

Ce qui ne nous empêche nullement de prendre un copieux petit déjeuner. Nous savourons l'excellente brioche. "Chinois".
C'est au pudding à la vanille avec des amandes, des raisins secs et du sucre de canne. Trempée dans le café. C'est miam.
Nous traînons longuement à table. C'est le dimanche. Pas d'autres activités matinales que de faire le ménage et la bouffe.
Nous bavardons. Les filles évoquent les deux dernières semaines de cours qui leur restent. Le mémoire qu'il faut terminer.
Je beurre les tartines de pain grillé qu'elles me tendent. Tel un patriarche pas très biblique, j'y étale la confiture ou le miel.

La vaisselle. Nous restons plantés devant une des portes fenêtres du salon pour bien considérer cette épouvantable météo.
C'est désolant. Estelle se propose de faire le salon, de passer l'aspirateur partout. Clémentine monte faire la chambre, le lit.
Je m'occupe de la cuisine et des toilettes du bas. Tout en récurant la cuisine j'écoute Estelle passer l'aspirateur en chantant.
C'est mon rayon de soleil en cette matinée d'automne. Je nettoie les chiottes du bas. Je m'apprête à monter. Il y a le piège.
Je l'oublie tous les dimanches matins. Cette fois Estelle est debout dans l'encadrement de la porte. Et son pyjama descendu.

Je suis encore en slip et en T-shirt de nuit. Elle me choppe par la bite en glissant sa main dans mon slibard. Et fermement.
< Droit de passage, monsieur ! > fait elle en se blottissant contre moi pour frotter son sexe nu contre mien. Je bande mou.
Estelle fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Il y a encore le goût de la brioche. C'est un plaisir supplémentaire. Bon.
Cette étreinte est un vrai bonheur dans cette ambiance démoralisante d'automne en début juin. Estelle serrée avec force.
Même si je suis toujours légèrement embarrassé dans ces moments là par l'absence de Clémentine, je sais les apprécier.

Estelle me sort le sexe pour le caler entre ses cuisses serrées. Elle se masturbe doucement, bougeant sur le Zob coulissant.
Je lui propose de rejoindre Clémentine à l'étage. Elle remonte son pantalon de pyjama. Je la fais monter sur mon dos. Bien.
Nous montons l'escalier ainsi. < Je t'aime Julien ! > chuchote t-elle dans ma nuque. Je la jette sur le lit comme un paquet.
Je dis : < Cette jeune fille vicieuse se frotte sur ma queue ! >. Clémentine lance : < Il va falloir lui infliger une punition ! >
Je ramasse les draps sales pour les emmener à la salle de bain où je commence à nettoyer le bac à douche. Eponge, javel.

Clémentine vient me rejoindre. Elle fait les miroirs, le lavabo. Nous entendons Estelle passer l'aspirateur en chantant. Joie.
Nous n'arrêtons pas de nous faire des bises, les mains occupées, nous nous murmurons des douceurs et des cochonneries.
Nous faisons un vague programme de cette journée qui s'annonce bien maussade. Nous sommes optimistes. Et plus forts.
Il y a l'éventualité d'aller à la course de "caisses à savon" au port, si cette dernière n'est pas annulée, sinon visite au haras.
Il reste le musée de l'hôtel de ville ouvert le dimanche, le cinéma ou la promenade sous parapluie. Il y a quelques options.

< Si on y insuffle la dose de sexe habituelle, tout cela devrait se transformer un dimanche sympa ! > rajoute Clémentine.
Elle descend avec le panier à linge plein à ras bord. Je nettoie les chiottes de l'étage. C'est l'instant "piège" d'Estelle. Sûr.
J'ai les mains gantées, plongées dans la cuvette lorsqu'elle arrive en silence derrière moi, pour me chopper les roupettes.
< Je vous aime "Maître" ! > me chuchote t-elle, accroupie derrière moi, en ayant passé son autre main dans mon slibard.
Je réponds : < Je vous aime délicieuse "Soumise" ! >. Elle me contourne et à genoux pour me couvrir le visage de bisous.

Je tire la chasse. L'odeur de javel est insupportable. Je la prends sur mon dos. Nous descendons les escaliers prudemment.
Nous rejoignons Clémentine à la cave. Et là, dans la buanderie, nous aidons à trier le linge. Une machine tourne. Les draps.
Les filles évoquent leurs cours. Les stratégies à appliquer pour le mémoire. 20 pages dont presque la moitié sont rédigées.
Je les laisse pour monter à la cuisine. Dehors, il ne pleut plus mais le ciel reste bas, gris, obscur et terriblement menaçant.
Les pavés de saumon ainsi que la pâte feuilletée ont décongelés. Je commence à couper l'ail, l'oignon, persil et ciboulette.

Estelle est la première à venir me rejoindre. Elle se serre derrière moi pour se frotter. < J'ai envie de "trucs" ! > me dit elle.
Clémentine arrive à son tour. Elle s'interpose, par jeu, pour prendre la place d'Estelle tout en disant : < C'est mon mec ! >
Nous en rions de bon cœur. Estelle émince finement les pavés de saumon. Je fais de même avec les champignons de Paris.
Clémentine s'occupe de la salade verte et de son assaisonnement. Je concocte une Béchamel. Estelle fait rissoler le saumon.
J'y rajoute les champignons, l'ail, l'oignon, le persil et la ciboulette. Estelle verse le tout dans la Béchamel. Du gruyère râpé.

Je verse le tout sur la pâte feuilletée déroulée dans le moule à cake. Estelle replie soigneusement la pâte. C'est prêt. Le four.
La table est mise. Avec le feuilleté de saumon, nous faisons rissoler quelques petites pommes de terre "Bintje" sans éplucher.
Nous passons au salon. A nouveau debouts devant une des portes fenêtres, nous regardons cette météo catastrophique. Dur.
Je suis entre les filles que je tiens par la taille. Nous avons passé nos jeans, braguettes ouvertes et nos chemises à carreaux.
Les filles sont serrées contre moi. Nous nous chuchotons plein de cochonneries. Il faut souhaiter que cette météo s'améliore.

Nous n'avons encore rien décidé pour l'après-midi. Ce serait trop moche de rester à la maison. Les filles me tripotent la bite.
Elle pend lamentablement de ma braguette. Estelle s'accroupit pour la renifler. < Mmhh ! Odeur du dimanche ! > lance t-elle.
C'est vrai que le dimanche reste une journée sans douche. Nous macérons tous les trois dans nos jus. Et ce qui est le cas ici.
J'ai passé ma main dans le jeans de Clémentine, pour lui caresser la raie des fesses. Elle m'embrasse. Estelle se met à sucer.
Nous restons ainsi un long moment. Nous avons nos mentons trempés de salive. Je me fais tailler une pipe des familles. Bon.

La sonnerie du four. Estelle se redresse. Je lui masse les genoux ankylosés. Clémentine se penche pour sucer un peu. Jute.
Nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit. Ce repas est un véritable délice. Et nous nous régalons.
Nous traînons à table en bavardant. Nous essayons de trouver une solution pour cet après-midi. Dehors, il pleut à nouveau.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle n'arrête pas d'avoir des imitations vulgaires. Masturbations masculines, pipe.
Je la saisis par la nuque pour l'entraîner au salon. Je la fais mettre à genoux sur l'épais coussin, mains croisées sur la tête.

Clémentine, qui comprend, qui apprécie mon initiative, glisse une main dans son jeans. Je passe derrière le bureau. Rapide.
Du tiroir du bas, je tire le collier canin, la laisse et les deux paires de menottes. Je fixe le collier autour du cou d'Estelle. Joie.
Je lui fixe les poignets à l'aide de la première paire de menottes. Je fixe ses chevilles avec la seconde. Elle glousse de plaisir.
Je lui frotte la bite sur la gueule. A présent, tous les trois, nous n'en avons que faire du temps qu'il fait dehors. C'est parfait.
Je fais sucer Estelle qui en gémit de bonheur. Je la tiens sous le menton. Appuyée contre le bureau, Clémentine se masturbe.

Je retire ma bite de la bouche ruisselante d'Estelle pour aller me saisir de Clémentine que je fais mettre à genoux également.
Je récupère les cordelettes de coton blanc pour fixer les poignets et les chevilles de Clémentine. Elle est en glousse de plaisir.
Quelle meilleure occupation, un jour de pluie, que de faire ce genre de choses. Je frotte ma bite gluante sur son visage. Bien.
Je passe de l'une à l'autre. Elles sont d'une incroyable docilité. Tellement contentes que je m'occupe d'elles avec tant de soin.
Nous restons ainsi un long moment. Je me fais pomper le Zob par l'une, puis par l'autre. Parfois je distribue de petites gifles.

Ce ne sont jamais des actes de violence. J'en serai bien incapable. Cela fait tout simplement partie du rôle qui m'est imparti.
Je m'en acquitte plutôt bien à les entendre pousser de petits cris de ravissement. Je fais se relever Clémentine. Bien droite.
Je l'entraîne sur la chaise. Je la fais s'assoir, le dossier entre les cuisses, après lui avoir retiré son jeans. Je l'attache correcte.
Je lui palpe vulgairement le sexe. Je retourne vers Estelle que je détache pour la déshabiller. Elle me fixe, implorante. Douce.
Je la soulève pour la coucher sur le bureau. Je me mets à genoux sur le coussin pour lui bouffer la chatte. Goût du dimanche.

Je me redresse. Je frotte mon sexe contre le sien avant de m'introduire doucement. Juste le bout. Elle retient sa respiration.
Je dis : < Tu n'a pas lavé ton fion depuis quand petite cochonne ! >. Elle, reprenant son souffle, répond : < Depuis jeudi ! >
Je m'enfonce davantage en disant : < Tu es une vraie truie. Une authentique petite salope ! >. Elle se mordille la lèvre. Bon.
Je reste immobile. Estelle, en appui sur ses coudes me fixe effrontément. Je lui mets une gifle. Je regarde Clémentine. Joie.
En sueur, elle se frotte sur sa chaise, cherchant la possibilité de se faire un peu de bien. Je baise Estelle comme un salopard.

J'arrive à m'enfoncer presque complètement. Elle n'a pas mal. Elle est tellement excitée. Je caresse le clito en même temps.
Ainsi stimulée, son plaisir est intense. Je sais qu'elle jouit toujours rapidement. Elle n'a pas le contrôle de Clémentine. Super.
Je me retire juste à temps. Son orgasme est foudroyant. Elle tombe sur le dos en resserrant les cuisses sur ses mains. Cris.
Je rejoint Clémentine à qui je fourre ma bite juteuse dans la bouche. Elle se met à pomper avec une avidité folle. Petits cris.
Je regarde Estelle reprendre ses esprits. Je lui dis : < Prépare toi, je reviens te la fourrer bien au fond ! >. Elle me regarde.

Je quitte la bouche de Clémentine pour revenir saisir Estelle par ses chevilles. Je la fais basculer en arrière, sur le bureau.
Je la pénètre. Cette fois elle a un mouvement de recul. Je m'introduis doucement malgré tout. Respect pour sa sensibilité.
Cette fois elle me tient par la nuque pour s'accrocher à moi. Je la soulève. Je suis en elle. Nous faisons le tour de la pièce.
Clémentine, attachée sur sa chaise, nous observe, les yeux brûlants de désir. Estelle se fait baiser ainsi en m'embrassant.
Je m'arrête dans tous les coins pour la secouer sur ma bite qu'elle chevauche en se contorsionnant. De la baise "équestre".

Je la dépose sur le bureau. Elle se masturbe tout en étant pénétrée jusqu'à la garde. Mes couilles qui lui battent les fesses.
Elle me repousse soudain. Son deuxième orgasme est dithyrambique. Un véritable concerto de hurlements de jouissances.
Je me pousse juste à temps. Un jet de pisse qui doit bien faire trois mètres vient se briser à faible distance de Clémentine.
Il en coule sur la façade du bureau. Des coulures où se mêlent cyprine, jus de fille et pisse. Je revient lui bouffer la chatte.
J'entends la respiration de Clémentine. Je sais qu'elle pourrait jouir sans se toucher rien que par le spectacle. Je me régale.

Estelle, émerveillée, me caresse la nuque. Elle me dit : < Tu vas m'avoir une troisième fois, espèce de salaud ! >. Super.
La troisième fois est effectivement la conséquence de mon acharnement. Dehors, il pourrait neiger qu'on s'en moquerait.
Elle me repousse dans un rugissement. Totalement dévastée par ce qu'elle vient de vivre, Estelle se couche sur le bureau.
Je reviens vers Clémentine pour lui éjaculer dans la bouche. Je lui tiens la tête, sous le menton et par la nuque. Je jute.
Je reste avec la queue bien enfoncée. Nous repartons pour un second tour. Estelle est allée chercher le seau, la serpillère.

La position debout a raison de mes lombaires mises à rude épreuve. Estelle est à présent vautrée dans le canapé. Epuisée.
Quelle n'est pas notre surprise de l'entendre ronfler. Elle vient de s'endormir, une serviette entre les cuisses pour se sécher.
J'éjacule une seconde fois. Clémentine déglutit avec peine. Je la laisse se régaler. Je me retire. Je la détache. Elle me sourit.
< Pipi ! > s'écrie t-elle en m'entraînant aux toilettes. Je la tiens par les cheveux. Je me mets à genoux pour la lécher. Bon.
Son orgasme est fulgurant. < Je t'aime Julien ! Je t'aime comme une folle ! > s'écrie t-elle en se tenant au mur de gauche.

Il est 18 h. L'après-midi s'est passé ainsi, à nous offrir du plaisir. A vivre ces situations que les filles apprécient tellement.
J'ai été à la hauteur. Au prix de douleurs dans le bas du dos et de couilles congestionnées. Nous rejoignons Estelle qui dort.
Je lui caresse les cheveux, assis au sol, à côté du canapé. Clémentine me caresse délicatement les couilles et la bite chaude.
Estelle ouvre les yeux, le regard plein de reconnaissance, pour chuchoter : < Merci Julien ! >. Il fait faim. Presque 19 h15.
Il suffit de réchauffer. Nous traînons à table. L'atelier. Nous bossons un peu. 22 h15. Nous montons. Nous sommes crevés.

Bon dimanche après-midi pluvieux à toutes les coquines qui aiment à vivre des orgasmes extrêmes et inoubliables…

Julien - (Qui s'endort avec Clémentine et Estelle serrées contre lui. Elles ronflent déjà. Même Clémentine) -

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Lundi 10 juin, put-hein de jour férié pourri

Hier matin, lundi, jour férié, je suis réveillé de la même délicieuse manière qu'un dimanche. C'est tout simplement divin.
Clémentine à ma gauche qui se blottit contre moi en me couvrant le visages de bisous, Estelle à ma droite qui tient le Zob.
Je passe mes bras sous leurs nuques pour les serrer contre moi. Elles me chuchotent des douceurs. Je murmure des trucs.
Mon érection matinale, qui n'a strictement rien à voir avec une quelconque excitation, délicatement dans la main d'Estelle.
Nous savourons ce privilège. Cette exaltante combinaison à trois qui nous propulse aux confins des expériences sexuelles.

Il est 8 h. Dehors, il fait le même temps épouvantable que hier. Il pleut. Il fait sombre. C'est moche. C'est démoralisant.
Estelle se lève la première en s'écriant : < Pipi ! >. Nous la regardons filer à toute allure dans son pyjama de soie mauve.
Elle revient en faisant une sorte de danse du ventre et disant : < Je descends préparer le petit déjeuner ! Venez vite ! >
Nous nous précipitons à notre tour aux toilettes. Nous revêtons nos tenues de gym avant de descendre rejoindre Estelle.
L'odeur de pain grillé et de café achève de nous mettre en appétit. D'autant plus que le lundi il reste de la brioche. Miam.

Estelle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous en disant : < Tu as été génial hier. Sublime ! >
Clémentine s'interpose par jeu en précisant : < C'est mon mec, et je n'ai fait que le prêter ! >. Nous rions de bon cœur.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant notre partie de cul de hier. J'ai baisé Estelle comme rarement. Coquine.
< C'est à mon tour aujourd'hui ? > me demande Clémentine, espiègle et mutine. Nous en rigolons comme des bossus.
Je ne sais quoi dire en beurrant les tranches de pain grillé que me tendent les filles. Je les nappe de confiture ou de miel.

Nous traînons à table. De toute façon, avec cette météo, il n'y a aucun plan sur la comète. Et certainement pas de jogging.
La vaisselle. Nous remontons. Estelle revêt sa tenue de gym. Il n'y a que deux tapis roulants. Il faut donc s'organiser. Joie.
Nous faisons nos exercices en faisant les clowns. Comme c'est souvent le cas à trois. Puis nous nous relayons sur les tapis.
Une heure d'entraînement intense malgré tout. Estelle prend sa douche la première. C'est à nous. Il fait frais à l'intérieur.
Il faut dire qu'il y a 16° à l'extérieur depuis deux jours. En plein mois de juin. C'est ça de gagné sur les grosses chaleurs.

Nous rejoignons Estelle au salon. Elle est assise derrière le bureau devant l'ordinateur. Elle consulte sa boîte mail en riant.
< Gauvain m'a encore envoyé un de ces messages loufoques ! > fait Estelle à propos de son collègue étudiant et dragueur.
< Quand est-ce que tu baises avec lui ? > demande Clémentine. < Jamais ! > lance Estelle. < La pipe ? > fait Clémentine.
< Peut-être, un soir d'hiver, dans la bagnole ! > précise Estelle. Nous rigolons comme des bossus. Estelle préfère être ici.
Elle rajoute : < Qui pourrait bien remplir autant ma vie que vous deux ! >. Que pourrait-on rajouter à une telle évidence.

Nous interrogeons notre boîte mail. Un courriel de Juliette qui nous raconte son Week-end. Un autre provenant d'Irlande.
Enfin une réponse de notre contact. En juillet, nous irons passer une semaine en Irlande où nous louons un petit cottage.
Nous quitterons l'Ecosse avec le ferry. Je veux faire découvrir un peu de ce magnifique pays à Clémentine. Réjouissances.
Comme le moteur de recherche que j'utilise est TOR, la connexion est souvent assez lente les jours de grandes affluences.
Ce qui est le cas durant les jours fériés. Mais l'anonymat total est à ce prix. Aucune traçabilité. Nous aimons la discrétion.

Nous répondons à Juliette qui nous rappelle que nous sommes invités mercredi soir. Et que nous pouvons passer ce lundi.
Nous nous regardons. Nous nous consultons. Avec cette météo, faire un petit tour au haras ne se refuse pas. C'est parti.
Nous décidons d'y faire une visite cet après-midi. Il est 10 h. Estelle est assise sur ma cuisse droite. Clémentine à gauche.
Je les tiens par la taille. Parfois je leurs caresse la nuque. Je leurs frotte le dos. Nous évoquons nos vacances de cet été.
Nous partons pour l'Ecosse le vendredi 28 juin, au matin, avec la nouvelle voiture. Et Estelle nous rejoint le premier août.

La rentrée universitaire est fixée au lundi 16 septembre. Nous pensons revenir pour le lundi 9 septembre. C'est superbe.
De quoi se réjouir. < Espérons quand même une autre météo en Ecosse ! > fait Clémentine. < Manteaux ! > dit Estelle.
Nous rions de bon cœur. Après tout, Clémentine voulant aller vivre à Edimbourg après son Doctorat, autant tout essayer.
Estelle se lève. Elle passe sous le bureau, dans l'étroit réduit entre les tiroirs. Là où on a les jambes. Elle se met à genoux.
Elle fourre sa main dans ma braguette ouverte. < Insatiable Estelle qui n'en a jamais assez ! > fait Clémentine. Rigolade.

J'ai rapidement le Zob à l'air. Clémentine s'est levée pour se mettre derrière moi. Elle me tient par le cou pour regarder.
Estelle me sort les couilles. Me voilà avec mon appareil génital à l'air libre. Estelle le renifle longuement. Nous l'observons.
< Odeur de savon, Rogé Cavaillès, dommage ! > fait Estelle en me décalottant légèrement. L'odeur nous monte aux nez.
< Ah ! Voilà ce que j'aime ! > s'écrie t-elle en humant. Nous rions de bon cœur des commentaires que fait Estelle. Super.
La voilà entrain de nettoyer le Parmezob du bout de sa langue consciencieuse. Je lui murmure : < Lovely Dick cleaner ! >

Clémentine, penchée par dessus mon épaule commente à son tour. Elle me chuchote des douceurs. Estelle suce à nouveau.
Je lui murmure des cochonneries, suggérant de sucer le premier venu, cet après-midi, au haras. Elle s'étouffe de rire. Pipe.
Il est 10 h30. Je propose de nous réserver pour l'après-midi et d'aller dans l'atelier. J'aide Estelle à s'extraire de son cagibi.
Elle me montre l'intérieur de sa bouche. Les filaments gluants et laiteux qu'elle a des difficultés à déglutir. Mes substances.
Nous passons dans l'atelier. Je prépare la peinture acrylique "Terre de Sienne". C'est la sous couche pour les huiles. Bien.

Clémentine adore passer les deux couches d'impression croisées à l'aide d'un large spalter. Et sous le regard vif d'Estelle.
Je regarde. < C'est ma façon de participer aux créations du "Maître" ! > dit Clémentine. < Doux "Maître" ! > fait Estelle.
Les filles sont assises devant l'ordinateur. Celui de l'atelier est connecté avec le moteur de recherche "normal". Et rapide.
Elles sont sur le site de l'université à consulter les programmes. Je suis assis devant mon chevalet à contempler ma toile.
C'est la trentième et dernière création de la saison. Le vernissage de l'expo dans ma galerie aura lieu le mercredi 26 juin.

Comme tous les ans, durant l'été et notre absence, c'est mon tonton qui tiendra la galerie. 88 ans et encore bien "vert".
Nous restons ainsi dans l'atelier jusqu'à 11 h30. La faim commence à se faire sentir. Nous composons notre menu. Midi.
Clémentine suggère une salade d'avocats. Estelle propose des tomates farcies aux crevettes. Potée en accompagnement.
Nous nous précipitons à la cuisine. Chacun s'affaire rapidement à sa tâche. Tout va très vite. Organisation militaire. Joie.
Il est 12 h45 lorsque nous savourons un délicieux repas. Nous traînons à table. Coupes glacées géantes en dessert. Bon.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle n'arrête pas de me tripoter le Zob que je garde à l'air et sous mon tablier.
Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Dehors, des alternances de pluie et de calme.
Nous mettons des jeans propres. Des chemises à carreaux. Des baskets. Nous sommes habillés exactement semblables.
Je suis entre les filles devant le miroir de l'armoire. La bite et les couilles bien en évidence et serrées par ma braguette.
Clémentine soupèse mes couilles. Estelle tient ma bite à sa base pour l'agiter devant le miroir. Nous rions de bon cœur.

Nous voilà en route pour le haras. Trois petits kilomètres sous une pluie incessante. Je roule prudemment. Essuies glaces.
Clémentine joue avec ma queue. Estelle est assise devant, entre ses jambes, à me tripoter les roubignoles. Nous arrivons.
Je remballe. Il y a quelques voitures garées dans la cour. Personne. Sous le parapluie nous nous rendons dans l'écurie A.
C'est notre préférée. Pas seulement à cause du petit trou dans le mur mais aussi par son caractère et son ambiance rétro.
Il n'y a plus aucun cheval. L'odeur est pourtant forte. Agréable. C'est toujours très excitant, les odeurs de chevaux. Super.

Nous allons dans le dernier box. Celui où le trou dans la cloison permet la communication avec le local bureau d'à côté.
Estelle, accroupit, scrute avec attention les coulures de foutre collées depuis des années sans doute sous le petit orifice.
< Regardez ! Il y en a du frais. A peine sec, là ! > fait Estelle en pointant son doigt sur la coulée. Nous nous penchons.
Les filles évoquent ce qu'elles ont déjà vécu là. Un bruit de pas. Des voix. C'est Juliette. Elle est avec madame Walter.
La porte du box étant ouverte, les deux femmes nous aperçoivent. Elles ont vu notre voiture garée dans la cour. Bien.

Nous nous saluons. Juliette et madame Walter sont aussi contentes que nous de nous revoir. Elles ont à faire au bureau.
Nous les suivons. Juliette et madame Walter consultent un des dossiers tiré d'un gros classeur gris. Nous les laissons là.
Nous aimons flâner dans ce lieu toujours plein d'agréables surprises. Nous nous tripotons sans arrêt. Hyper excités. Joie.
J'ai à nouveau rapidement la bite à l'air dans le box près de la porte. Estelle accroupit qui me suce. Clémentine qui mâte.
Serrée contre moi, elle se frotte contre ma hanche. Il y a juste le bruit de la pluie sur les tuiles du toit au-dessus de nous.

Nous distinguons les voix de Juliette et de madame Walter. < Sois salaud avec ces deux salopes ! > chuchote Clémentine.
< Ouai, soit le parfait vicelard, ces deux salopes aiment ça ! > rajoute Estelle en se relevant. Je lui essuie la bouche. Jus.
Je reste entre les deux filles. Nous nous touchons vulgairement. Juliette et madame Walter sortent du local bureau. Bruits.
Elles marchent vers la sortie. Là, sur leur droite, dans l'entrée du box, notre trio de vicieux. Moi, la bite bien dressée. Dure.
Je bande comme l'empereur des salauds. Les filles me tiennent par les hanches, serrées contre moi. Un spectacle de choix.

Il y a soudain des voix masculines. J'ai le temps de me tourner. Madame Walter lance : < Voilà les proprios ! >. Des gens.
Ce sont deux couples de propriétaires de chevaux venus visiter les lieux en prévision d'y mettre leurs chevaux cet automne.
Ils ne nous ont pas vu. C'est hyper excitant. Ils bavardent longuement sous l'auvent de la porte de l'écurie. Estelle me suce.
Les deux coquines se refilent ma bite en étouffant leurs rires. Je les tiens par la tignasse pour guider au mieux leurs folies.
Le groupe s'en va enfin. Nous décidons de partir à notre tour. Là-bas, Juliette et madame Walter nous font un dernier signe.

Nous rentrons en faisant un détour par la ville. Une trentaine de kilomètres où je m'arrête à plusieurs reprises. La fellation.
Je n'arrête pas de tripoter du croupion humide. Il est 18 h45 lorsque nous revenons à la maison. Il pleut toujours. Saloperie.
Il suffit de réchauffer la potée. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle fait une omelette. Nous mangeons de bon appétit.
Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Je propose un léchage de minous au salon. Nous y filons vite.
Je passe d'un croupion à l'autre pour y déguster les plus merveilleux épanchements. Orgasmes. 22 h15. Estelle s'en va. Dur.

Bonne soirée à toutes les coquines qui apprécient de se faire bouffer la chatte après une journée maussade et fraîche…

Julien - (Qui s'applique à bien nettoyer les croupions des deux coquines. Il y a là de quoi régaler un honnête homme) -

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La semaine se poursuit sous la pluie

Hier matin, c'est la 5ème de Beethoven interprétée par un groupe folklorique Belge qui nous titre de nos sommeils. Dur.
< Histoire Belge ! > s'écrie Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé de mon côté sur la table de nuit.
Quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes en riant. Il n'est que 6 h. Nous dévalons l'escalier. Morts de faim.
A la cuisine, nous nous préparons un copieux petit déjeuner que nous savourons en bavardant. Clémentine est contente.
Le mardi, elle termine à midi. Malgré cette météo pourrie qui s'obstine à tout arroser d'une pluie persistante, c'est bien.

Nous remontons mettre nos tenues de gym afin de nous offrir notre jogging sur les tapis roulants devant un beau film.
Des images tournées l'année dernière, sur Portobello Beach près d'Edimbourg. On y voit l'immensité de la mer, dunes.
Une heure d'un entraînement intensif où se mêlent aérobic, abdos et charges additionnelles. Puis c'est la douche. Joie.
Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint sous son parapluie. Jeans et sweat.
Elle porte sa veste de cuir noir, cintrée à la taille et ses bottines. La fraîcheur est désagréable. Un printemps pourri. Dur.

Un dernier bisou. Je regarde la voiture s'éloigner. Je me dépêche de rentrer pour aller me mettre au sec. Il est déjà 7 h45.
Je fais notre lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Je suis assis devant ma toile.
Confortablement installé devant mon chevalet, je me mets à travailler dans l'allégresse. Il est 8 h15. C'est un vrai plaisir.
Cette trentième toile destinée à ma galerie me procure les plus vives émotions. J'en pousse des cris surréalistes. Superbe.
Il faut peindre avec la lampe à halogène tellement il fait sombre. J'ai l'impression d'être en hiver. Et c'est surréaliste aussi.

La matinée se déroule ainsi, dans un "acharnement thérapeutique" pictural qui me permet d'occulter cette maudite météo.
Je suis totalement absorbé dans mon labeur lorsque trois coups de sonnettes retentissent. 11 h. Mais qui affronte la pluie ?
Je me lève, un peu contrarié par cette visite impromptue. Quelle surprise, c'est Juliette. Elle est sous son parapluie. Imper.
< Bonjour Julien. Je passais dans les environ, je suis venue vous faire un coucou. Je vous dérange ? > me demande t-elle.
Je l'invite à entrer. La jeune femme n'a que peu de temps. Nous restons dans le hall. Juliette nous rappelle son invitation.

Comme tous les mercredis soirs, nous mangeons ensemble. Cette fois, je lui propose de venir partager le repas chez nous.
J'insiste. Comme son entreprise fonctionne à présent au ralenti, il y a la possibilité de s'offrir du bon temps loin des écuries.
Juliette réfléchi un instant. Je la prends par les épaules pour insister encore. Elle a un sourire désarmant. Elle me regarde.
< Oui ! Je suis beaucoup plus disponible. C'est une riche idée ! > finit-elle par répondre. Je prends une initiative. Un risque.
Je glisse ma main sous l'imper. Je la passe entre ses cuisses. Juliette a un réflexe. Surprise par ce que je fais elle observe.

C'est la toute première fois qu'une telle chose se passe en l'absence de Clémentine. Je retire toutefois rapidement ma main.
Juliette me fait : < Vous savez être convaincant dans vos invitations Julien ! > chuchote t-elle et en approchant son visage.
Nous prenons certainement conscience en même temps qu'il serait inapproprié de nous embrasser là. Un risque trop grand.
Juliette, avec cette maîtrise de l'acte et de l'instant toute féminine se dépêche d'aller vers la porte. Je la raccompagne. Joie.
< A demain soir ! Je serai là pour 19 h45 ! > fait Juliette en sortant, en ouvrant son parapluie et en filant vite sous la pluie.

Je retourne dans l'atelier tout remué. Les mots de Clémentine me reviennent à l'esprit : < Juliette t'aime ! Elle t'attend ! >
Je préfère cesser d'y penser. J'aime Clémentine. Hors de question d'être bouleversé par la perspective absurde d'un truc.
Il est midi. Je vais à la cuisine. Je fais gonfler du riz complet et bio. Je prépare la pâte à pain. Je coupe le poireau en petit.
Je fais bouillir. 12 h20. Clémentine rentre. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Si contente d'être de retour.
Elle s'occupe de la salade verte et de son assaisonnement tout en me racontant sa matinée. Je fais une superbe Béchamel.

J'y rajoute les petits morceaux de poireau cuit. Du gruyère râpé en abondance. De la noix de muscade. Ce sera pour le soir.
La tarte aux poireaux. Cette Flamiche Picarde qui fait la joie de nos mardis soirs. Je récupère un peu de Béchamel. La sauce.
C'est parfait pour accompagner le riz. Je fais revenir des langoustines à la poêle. Nous mangeons de bon appétit. Un régal.
Je raconte la visite surprise de Juliette. Son attitude qui confirme les suppositions de Clémentine. Ma main entre ses cuisses.
< Tu vois ! J'en suis certaine ! Elle te "cherche" sur un autre plan que le sexe ! >. Je la rassure : < C'est toi que j'aime ! >

Nous traînons à table. Dehors, la pluie a cessé et le ciel s'est légèrement éclairci. Il est toutefois exclu d'aller nous balader.
Marcher sur des chemins détrempés, sous un parapluie, vêtus de nos anoraks, n'est pas vraiment ce dont nous avons envie.
Ce sera un après-midi studieux, dans l'atelier, tous les deux, comme nous aimons tant. La vaisselle. Nous rangeons le tout.
La Béchamel repose sous un couvercle. La pâte à pain repose sous un linge. Nous montons nous laver les dents. C'est bien.
Cette visite de Juliette, ce que j'ai entrepris, ma propension à rester dans l'univers du sexe avec Juliette, excite Clémentine.

Elle m'entraîne dans la chambre, me fait tomber sur le lit et sort ma queue de ma braguette éternellement ouverte. Super.
< La visite de Juliette t'a fait mouillé ! > me fait Clémentine qui, couchée à mes côtés scrute attentivement mon sexe mou.
< Regarde ! Salaud va ! > me dit elle en me montrant le sgueg légèrement décalotté. C'est vrai. Et ça a un peu dégouliné.
Clémentine suçote le bout. Je lui murmure : < Viens, mets toi sur le dos, je vais te goûter un peu ! >. Elle retire son jeans.
Elle retire sa culotte pendant que je pose l'oreiller au sol pour me mettre à genoux dessus. Clémentine reste couchée. Joie.

Elle me présente sa chatte que je hume avec un plaisir divin. Les effluves parfumées de sa matinée de fille m'enivrent. Bon.
Je dis : < Toi aussi tu as mouillé ! >. Clémentine se redresse sur ses coudes et fait : < Je me suis touchée en rentrant ! >
Elle rajoute encore en se laissant retomber sur le dos : < En ce moment, je n'arrête plus ! >. Je fourre mon visage. Délice.
De la pointe de ma langue, je fouille les plis et les replis humides des lèvres charnues de son sexe mouillé. Le goût vinaigré.
Je récupère la cyprine qui commence à perler. Je l'aspire avec délice. Clémentine pousse un long gémissement. C'est si bon.

Je décalotte son clitoris turgescent du bout de mes lèvres. Je le titille du bout de la langue. Opération nettoyage. Un délice.
Clémentine, le corps agité de spasme, se saisis de mes oreilles. Comme pour me guider. Elle pousse de petits râles. Miam.
Son clitoris est à présent si dur que j'ai l'impression de sucer la dernière phalange de mon pouce. Même taille. C'est dingue.
Je cesse plusieurs fois. Hors de question d'aller à l'orgasme. J'adore sentir l'intérieur de ses cuisses frissonner, trembloter.
Je me retire juste à temps. < Attention ! > crie Clémentine qui me repousse délicatement pour resserrer ses cuisses. Ouf.

Je me redresse pour venir m'allonger à ses côtés. Elle se tourne pour poser sa tête sur mon épaule et me confier un secret.
J'aime lorsqu'elle se confie ainsi. Même si ce sont souvent les mêmes tourments. Cela lui permet de reprendre ses esprits.
Nous restons ainsi un long moment. Il est 14 h45 lorsque nous descendons pour aller dans l'atelier. De nouvelles sensations.
Assise devant l'ordinateur, entourée de ses fiches, Clémentine me dit : < C'est bien cette météo, ça permet de bosser ! >
Nous avons tous deux encore du travail à terminer. Et s'il faisait beau, nous serions en virée. Alors que là, c'est du sérieux.

Je suis assis devant mon chevalet. Je peins animé d'une profonde satisfaction. < By the Rolling Stones ! > fait Clémentine.
Nous en rions de bon cœur. Parfois, l'un se lève pour rejoindre l'autre. Lui chuchoter des douceurs, lui faire plein de bisous.
Clémentine me lit à haute voix les douze pages déjà rédigées. C'est son mémoire. Elle déclame debout au milieu de l'atelier.
Telle une actrice de théâtre elle appui sur les mots et les phrases les plus pertinentes. J'adore l'entendre. Une actrice lyrique.
Je la félicite. Je pose ma palette et mes pinceaux. Je me lève pour applaudir. < Vous êtes bon public "Maître ! > me fait elle.

Il est rapidement 18 h15. Voilà Estelle. Elle se précipite vers moi. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou. Joie.
Elle nous raconte son après-midi au bureau. La rédaction de son mémoire entre deux factures. C'est une sacrée bosseuse !
Estelle a ramené son texte. A son tour elle se met à déclamer comme une vraie actrice, ponctuant ses phrases de gestes.
C'est un véritable spectacle. Tenant ses feuilles à la main, Estelle parcoure la grande pièce en développant sa thèse. Super.
A notre tour, nous applaudissons comme au théâtre. Nous rigolons comme des bossus. Il commence à faire faim. Déjà 19 h.

Nous rangeons nos affaires pour nous précipiter à la cuisine. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade lavée.
Estelle travaille la pâte à pain. Elle qui adore avoir les mains dans la farine. Je réchauffe la Béchamel contenant le poireau.
Bien évidemment, avec ses mains enfarinées elle m'enduit la queue d'un peu de farine qui colle. Cela la fait tellement rire.
< Autant de prétexte pour venir te bouffer la bite au dessert ! > me fait elle. Clémentine lui dit : < Pipeuse gourmande ! >
Nous en rions de bon cœur. Je verse la Béchamel sur la pâte étalée. Estelle recouvre d'un fin couvercle de pâte. C'est bien.

Elle badigeonne le dessus avec un pinceau large. Le mélange d'œuf, de crème fraîche, de sel, de poivre, grains de sésame.
Au four. La table est mise. Je propose aux filles de les mettre en appétit au salon. Léchage de minou dans les règle du lard.
Estelle et Clémentine ne se le font pas dire deux fois. Elles m'entraînent par le bras. Elles me font tomber dans le canapé.
Estelle, à genoux sur l'épais coussin posé au sol entre mes jambes, montre ma bite et mes couilles pleines de farine. Rire.
< Maître queue, notre Bocuse vicieux qui revient des fourneaux ! > lance Estelle à Clémentine qui éclate de rire. Très drôle.

La farine qui craquelle autour de mon Zob et de mes couilles n'est pas sans évoquer un de ces masques d'argile. Identique.
Estelle se met à lécher consciencieusement. < Mmmhhh ! > fait elle, me fixant, vicelarde. Clémentine se touche en mâtant.
Je dis : < Et le nettoyage de vos chattes ? >? Elle cesse de lécher mes couilles pour me répondre : < Après la Flamiche ! >
Je me fais rapidement tailler une pipe des familles. Clémentine, assise à ma gauche, penchée pour regarder, se masturbe.
La sonnerie du four. Nous cessons comme sur un signal pour nous précipiter à la cuisine. Ma bite ouvre l'appétit des filles.

Nous mangeons en bavardant. Les filles évoquent leurs études, ce mémoire qu'elles préparent passionnément. Le Doctorat.
Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Cette fois c'est moi qui entraîne les filles au salon. A genoux.
Vautrées dans le canapé, elles me présentent toutes les deux leur somptueux croupions poilus, humides. C'est mon dessert.
Je me bouffe de la chatte gluante. Celle d'Estelle est particulièrement odorante. Orgasmes de filles, délirants, sonores. Bon.
22 h15. Nous raccompagnons Estelle à son auto. Séparation difficile. Nous nous dépêchons de rentrer. Le lit. La pipe. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire brouter la chagatte après avoir sucé de la bite enfarinée. Nem…

Julien - (Qui apprécie beaucoup d'avoir Clémentine serrée contre lui. Elle s'endort en confiant ses émotions) -

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Enfin. Un peu de soleil

Hier matin, mercredi, nous nous réveillons juste un peu avant que ne résonne la musique. Et c'est ce que nous préférons.
J'éteins le réveil. Quelques câlins du matin, il est 5 h55 et nous nous précipitons aux toilettes. Le rituel pisseux. Important.
Morts de faim, nous dévalons l'escalier vêtus de nos tenues de gym. Nous préparons un copieux petit déjeuner. Pain grillé.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous évoquons la venue de Juliette ce soir. Je suis prié d'être vicelard.
Tâche dont je saurai m'acquitter avec toute la probité habituelle. Dehors, le ciel est lumineux. Un léger voile. Nuages gris.

Nous remontons. Par mesure de précaution car nous détestons courir dans la boue, nous pratiquons sur nos tapis roulants.
C'est agréable aussi. Il suffit de mettre un des films que nous avons tourné dans les environs ou durant nos vacances. Bien.
Aérobic, abdos, charges additionnelles viennent agrémenter un entraînement d'une intensité maximale. Puis c'est la douche.
Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint vêtue de jeans, sweat, veste et bottines.
Un dernier bisou. Il est 7 h45. Je regarde la voiture s'en aller. Je rentre. Je fais notre lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier.

Je prépare ma palette, mes pinceaux. Je sors quelques crottes de peinture des tubes avec la pointe du couteau à peindre.
C'est toujours un instant solennel. Il est 8 h15. Je suis assis devant mon chevalet. Je peins dans un enthousiasme délirant.
Même si je suis extrêmement concentré sur mon travail, je pense à tout sauf à ce que je fais. Je module mes cris tyroliens.
Tout en poussant des beuglements surréalistes à chaque nouvelle victoire, je fais la danse du guerrier Sioux dans la pièce.
Il faut me voir tomber à genoux et en extase à chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent. Je bise mes mains.

Livré ainsi, corps et âme, à ma passion dévorante, je ne vois pas les heures. Il est rapidement midi. L'horloge biologique.
Je me précipite à la cuisine animé d'une faim de loup. Le pavé de saumon et la pâte feuilletée ont décongelé. C'est parfait.
Je lave les feuilles d'une belle laitue. Je fais bouillir l'eau pour mes coquillettes. Je concocte une Béchamel. Tout est rapide.
Je fais rissoler un filet de sole à la poêle. J'émince le pavé de saumon que je fais revenir dans la même poêle. Ail, oignon.
Je râpe du Parmesan, de la noix de muscade. J'étale la pâte feuilletée dans un moule à cake. J'y verse la Béchamel. Bien.

Je tourne une dernière fois, à l'aide d'une cuillère, la Béchamel contenant l'émincé de saumon avant de rabattre la pâte.
Je badigeonne le dessus d'un mélange d'œuf, de crème fraîche, de graines de sésame grillé. Je mets au four. C'est bien.
Ce sera notre repas du soir. J'ai récupéré un peu de la Béchamel comme sauce avec mes coquillettes et mon filet de sole.
Je mange de bon appétit en tentant d'écouter les informations mensongères et calibrées. J'éteins la radio. Trop indigeste.
La vaisselle. Je range la cuisine. Je vérifie la cuisson au four qui est réglé de manière à ne plus intervenir jusqu'à ce soir.

Il est 13 h. Je vais faire quelques pas au dehors. Il y a des séquences ensoleillées et chaudes qui succèdent aux nuages.
Je vais au potager. Les tomates, encore bien vertes, commencent à grossir. Par contre les salades prennent fière allure.
Les poireaux font une timide apparition. Je rentre. 13 h15. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Joie.
Cette seconde séance est aussi gratifiante que la première. Ma loupe frontale fixée sur la tête, je peins d'infimes détails.
Des reflets sur des perles. Des éclats de lumière sur les dorures. Cette nature morte sera terminée pour vendredi matin.

Du bruit. Il est 16 h20. Clémentine arrive dans l'atelier. Et à toute vitesse, jette son sac dans le canapé pour se précipiter.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les cours, les profs, le menu du restaurant universitaire. C'est super.
Nous ne nous attardons pas. Clémentine a encore du travail. Moi aussi. La voilà assise devant son ordinateur, concentrée.
Entourée de ses fiches, de ses notes, parfois elle se lève pour venir tourner autour de moi en lisant son écrit à haute voix.
Tout cela prend forme. Son mémoire sera prêt et rédigé bien avant la fin de la semaine prochaine. J'écoute. Passionnant.

Nous travaillons encore jusqu'aux environs de 18 h30. Nous rangeons nos affaires. Dehors, il y a du soleil. C'est superbe.
Nous descendons au jardin. Nous faisons le tour de la propriété en évitant les zones détrempées. Il fait doux. Si agréable.
Dans la roseraie, Clémentine me sort la queue. < Tu seras bien vicelard avec cette salope, ce soir ! > me demande t-elle.
Je promets de faire de mon mieux. < Attends, je vais te mettre dans les toutes meilleures dispositions ! > rajoute t-elle.
Accroupie, Clémentine me suçote le bout de la tige. Je lui caresse la tête en chuchotant des douceurs. Des cochonneries.

Il ne faut que quelques instants pour que je sois doté d'un véritable démonte pneu de camion. Je bande en vrai salaud.
Je me fais tailler une pipe des familles dans le parfum des roses et des tulipes. J'aide Clémentine à se redresser. Fourmis.
Je lui masse les jambes. Accroupie jusqu'à l'ankylose, Clémentine sautille sur place. < Wouah ! > fait elle devant le Zob.
Elle rajoute : < Te voilà prêt à affronter la soirée ! >. Nous rigolons comme des bossus. Je débande en ruisselant de jus.
Clémentine se penche en avant pour récupérer ce qui dégouline. Il est 19 h. Nous avons tout notre temps. Il fait si beau.

Nous rentrons. J'ouvre le four pour montrer le feuilleté de saumon. Il est admirablement doré sur le dessus. Magnifique.
Sa simple vue met en appétit. En accompagnement, je fais rissoler de petites patates "Bintje". Et inutile de les éplucher.
Clémentine concocte l'assaisonnement de la salade déjà lavée. Nous n'arrêtons pas de nous toucher, de nous embrasser.
Nous préparons la table monastère dans le salon. Les assiettes en grès, les couverts en laiton, le chemin de table en lin.
Tout est prêt. Il suffit de monter nous changer. Clémentine porte une de ses jupes kilt à carreaux rouges. Son chemisier.

Ses escarpins fermés, noirs, à talons hauts avec la délicate petite sangle de cuir autour de la cheville. Elle est hyper sexy.
< Mes souliers de baise ! > fait elle. En effet, grâce à la petite sangle autour de la cheville, impossible de perdre le soulier.
Quelque soit la position. Nous en rions toujours de bon cœur. Sur sa demande, je porte mon pantalon à pinces en lin clair.
Une chemise blanche savamment déboutonnée. Mes mocassins marron clair. Elle coince ma bite entre l'élastique du slip.
Ainsi, à la moindre érection, comprimée par cet élastique, il y aura là une grosse bosse du plus bel effet. Judicieux. Super.

< Regarde comme on est beaux tous les deux ! > me fait Clémentine tout en m'entraînant devant le miroir de l'armoire.
Elle s'accroupit pour me faire profiter de la vue magnifique sur sa vulve poilue. < Je vous aime "Maître" ! > me fait elle.
Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Je vous aime, délicieuse "Soumise" ! >. Elle frotte son visage sur la bite.
Je la laisse sucer un peu avant de la forcer à se redresser. Il est 19 h35. Juliette ne va pas tarder. Et souvent en avance.
Nous descendons en rigolant de notre jeu du "Maître" et de sa "Soumise". Cela fait quelques mois que nous y sacrifions.

J'allume le four pour tout réchauffer. Clémentine emmène la salade au salon. Les patates sont à point sous leur couvercle.
Trois coups de sonnette. Clémentine va ouvrir. Elle revient avec Juliette vêtue d'une robe légère et sous une veste de toile.
Nous nous saluons. Juliette est toute contente d'être là. En nous serrant la main, nous faisons bouger nos index. Vicelards.
Elle me fait un délicieux sourire. Clémentine l'invite à la suivre au salon. Je me propose de faire le service. En gentleman.
Depuis la cuisine, où je me branle légèrement, je les entends bavarder et rire sans vraiment comprendre ce qu'elles disent.

Je vais les rejoindre. J'ai la grosse bosse bien rebondie sur le haut de la cuisse. On discerne parfaitement la belle saucisse.
Juliette s'en rend compte immédiatement. Je suis debout devant elle. Elles sont assises dans le canapé. Je suis un peu gêné.
C'est une émotion et une sensation extraordinaire de présenter ainsi cette superbe bosse. Et surtout devant deux coquines.
Juliette n'a de yeux que pour elle. J'ai les mains sur les hanches pour demander : < Qui a faim ? >. Il y a l'odeur. Feuilleté.
< Nous ! > font elles en cœur sans même se concerter. Je dis : < Alors à table, je m'occupe de tout ! >. Je file à la cuisine.

Je reviens avec le feuilleté de saumon que j'ai démoulé. Présenté sur un plateau rectangulaire, entouré des patates dorées.
Juliette est assise en face de Clémentine. J'ai la place en bout de table. Nous mangeons de bon appétit. C'est un vrai délice.
On me fait du pied sous la table. Est-ce Clémentine ? Est-ce Juliette ? Mystère et gros Zob dans le pantalon. C'est excitant !
Nous bavardons. Juliette nous parle de ses vacances à Sartène, en Corse, dans sa famille. Cet été elle y passe 3 semaines.
Nous nous promettons de communiquer par courriels le plus souvent possible. De nous envoyer des photos. C'est si sympa.

C'est Clémentine qui évoque la première, la possibilité de nous offrir un dernier "plan" cul aux écuries avant notre départ.
Juliette, surprise autant que ravie, promet de nous organiser un "plan" d'enfer. Juste Pierre, Mme Walter, Gérard et nous.
< J'ai envie de baiser avec Pierre avant l'Ecosse ! > précise Clémentine. < Vous êtes plutôt "cash" ce soir ! > fait Juliette.
Je sais les désirs secrets de Clémentine. J'admire sa franchise. Elle exprime sans hypocrisie ce qu'elle souhaite. Superbe.
< Et Julien ? > fait Juliette. < Il est à vous comme la sardine est à l'huile ! > fait Clémentine. Nous en rions de bon cœur.

Discrètement, sous la table, je sors ma bite. Je bande comme un priapique en phase terminale. Je me lève en me branlant.
< Ouah ! Ce truc ! > lance Juliette en me faisant un clin d'œil. Elle rajoute : < Je vais goûter à l'huile de cette sardine ? >
Nous en rigolons comme des bossus. Juliette rajoute : < Que diriez vous d'un "plan" pour le samedi 15 et le samedi 20 ? >
< Deux fois ? > s'écrie Clémentine. < Deux fois ! > répond Juliette. J'agite ma bite en direction de Juliette. Je me branle.
Je dis : < Il n'y aura pas seulement l'huile de la sardine mais toute la sardine ! >. Clémentine précise : < Pas de baise ! >

Clémentine met une interdiction totale et son véto sur toute possibilité de baise entre Juliette et moi. Elle a trop de craintes.
Attitude féminine toute compréhensible sachant les sentiments que nourrit Juliette pour moi. Et ce n'est plus de la jalousie.
Juliette le sait si bien, n'insiste jamais et n'en dévoile aucune frustration. < Tout le reste est permis ! > rajoute Clémentine.
La soirée se déroule ainsi, à parler sexe, à évoquer nos aventures passées, la bite molle à Mr Gérard, le "calibre" de Pierre.
J'évoque la bouche fort accueillante de madame Walter. Et la bouche non moins accueillante de Juliette. Discussion animée.

Je débarrasse. Juliette insiste pour nous aider à la vaisselle. Nous sommes tous les trois considérablement excités. Génial !
Ma grosse bosse sous le tablier. Clémentine plonge, Juliette et moi nous essuyons. Nous réglons les détails des deux soirs.
Deux samedis de suite à nous livrer aux turpitudes habituelles, au stupre, à la luxure. Il y aura Estelle aussi. Réjouissances.
Il est 22 h30. Nous raccompagnons Juliette à sa voiture. Nous trouvons génial d'avoir mis les choses au point. Deux soirs !
Au lit, j'offre un merveilleux cunnilingus à Clémentine. Un peu de baise. Son orgasme est tout aussi merveilleux. Le dodo…

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment prévoir de futures soirées "cul" en compagnie de quelques intimes…

Julien - (Qui promet à Clémentine de ne pas dépasser les limites fixées avec Juliette. Ce sera facile. Par contre, la pipe…) -

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C'est agréable, une journée ensoleillée

Hier matin, jeudi, c'est le concerto pour violon de Jean Sibelius qui nous arrache de nos profonds sommeils. Brusquerie.
< Ta gueule Sibelius ! > fait Clémentine qui me chevauche pour éteindre le réveil posé sur la table de nuit de mon côté.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes pour y pisser allègrement et tout en riant. Il n'est que 6 h05.
Nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine pour nous y préparer un copieux petit déjeuner. Vêtus de nos tenues sport.
Nous mangeons de bon appétit. C'est la deuxième matinée ou le ciel est bleu, dégagé et où le soleil va poindre. Super !

Nous évoquons notre soirée, hier, avec Juliette. Sa proposition d'organiser deux soirées "cul" avant nos vacances. Bien.
6 h25. Nous pouvons enfin aller courir à l'extérieur. Ce que nous faisons avec joie. Le sol est quasiment sec. C'est bien.
Une heure d'un jogging des plus agréables et nous voilà de retour pour prendre notre douche. Je redescends le premier.
Je sors la petite auto de Clémentine qui me rejoint vêtue d'un jeans, d'un sweat et de baskets. Quelques derniers bisous.
Il est 7 h45. Je regarde la voiture partir. Je rentre pour aller faire notre lit et notre vaisselle. Je vais dans l'atelier. Super.

Je prépare ma palette et mes pinceaux. Je fixe ma loupe frontale autour de la tête. Et me voilà assis devant mon chevalet.
Je peins dans une euphorie grandissante au fur et à mesure que j'avance dans la foultitude de petits détails que je réalise.
Bien évidemment, à chaque coup de pinceaux plus remarquable que les autres, je pousse le cris le plus surréaliste. Super.
C'est aux environs de 10 h que résonne la stupide musique de mon smartphone depuis le fond de la poche de ma blouse.
Je rage. Je peste. Mais je retrouve rapidement mon calme. C'est Juliette. Sur mode "haut parleur", nous bavardons. Bien.

Juliette me remercie pour la soirée, hier, le délicieux feuilleté de saumon, les petites patates "Bintje" et les coupes glacées.
J'écoute beaucoup plus que je ne parle. Je continue mon travail. Juliette en arrive rapidement à sa proposition de hier soir.
Deux samedis de suite où nous serions invités à des situations hautement excitantes au haras. Quelques "surprises". Joie.
Il y aura madame Walter et son mari, Pierre, Léon le black retraité, Gérard, Juliette, Estelle, Clémentine et moi. 8 individus.
Il faudra redoubler d'imagination car nous nous sommes déjà retrouvés plusieurs fois dans des conditions de baises folles.

Juliette me suggère de lui faire entièrement confiance. Elle va nous mitonner un truc aux petits oignons dont elle a le secret.
Je ne doute pas un seul instant de ces capacités à nous étonner. Et surtout qu'il y a chaque fois une très agréable "surprise".
Nous bavardons ainsi une bonne demi heure. Nous nous saluons. Je remercie Juliette de me faire bander comme un salaud.
C'est donc avec une érection démentielle que je continue la peinture minutieuse de ma dernière nature morte de la saison.
Je m'applique doublement. Peindre en érection est un des tous meilleurs stimulants intellectuels et créatifs que je connaisse.

Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je lave les feuilles d'une belle laitue tout en faisant bouillir l'eau des coquillettes.
Je fais une pâte à pain. Je concocte une garniture. Tomates fraîches, ail, oignon, thon blanc. Ce sera pour les pizzas du soir.
Je récupère un peu de garniture comme sauce d'accompagnement de mes coquillettes. Je fais revenir un filet de cabillaud.
Je me régale d'un repas simple mais délicieux en essayant vainement d'écouter les informations fallacieuses, mensongères.
J'éteins la radio bien avant de terminer de manger de bon appétit quand même. La vaisselle. Je vais marcher un peu dehors.

Il fait beau. La chaleur est douce. Je fais quelques pas sur les dalles jusqu'au chemin qui descend vers la rivière. C'est bien.
La garniture repose sous un couvercle. La pâte à pain repose sous un linge. Notre rituel des pizzas du jeudi soir est assuré.
Je retourne dans l'atelier. Il est 13 h15 lorsque je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Splendide.
Cette seconde séance est aussi productive et gratifiante que la première. J'ai même ouvert la grande baie vitrée. C'est bien.
Il est rapidement 16 h20. Clémentine rentre. Elle se précipite vers moi. J'ai juste le temps de poser ma palette et pinceaux.

Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les cours, les profs, le menu du restaurant universitaire. J'aime écouter.
C'est mon lien avec le monde extérieur. Même si j'apprécie d'être enfermé dans ma forteresse spirituelle. Loin. Inaccessible.
Clémentine a du travail. La voilà installée devant l'ordinateur, entourée de ses notes qu'elle me lit parfois à haute voix. Joie.
Je raconte le coup de téléphone de Juliette. < Cette salope va encore nous entraîner dans la débauche ! > lance Clémentine.
Nous en rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Tu as encore vu hier comme elle mâtait ta bite. Elle la bouffe des yeux ! >

Il est 18 h15 lorsqu'Estelle arrive à son tour. Elle se précipite. Une fois encore j'anticipe. Je pose ma palette, mes pinceaux.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle nous donne ses impressions quand aux soirées cul à venir. Rires.
< Je me réjouie ! Je vais me goûter quelques queues. Même si je les connais bien, c'est toujours si réjouissant ! > fait elle.
Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine rajoute : < Tu vas encore sucer jusqu'au dégoût. Et la bite à Léon ! >
C'est vrai qu'Estelle a un faible pour la queue du vieux black. Léon bande encore parfois avec un certain panache. Et juteux.

Estelle et Clémentine en sont toutes les deux à la seizième page de leur mémoire. Elles comparent l'avancée de leurs écrits.
Elles termineront encore cette première année de préparation au Doctorat avec le sentiment d'avoir remporté une victoire.
Je les félicite. L'émulation dont elles font preuve dans leurs études est certainement le meilleur stimulant. Belle complicité.
Les aventures que nous vivons tous les trois participe d'un enchantement global de tout instant. Et depuis plus de deux ans.
Il est 18 h45 lorsque Clémentine se lève en s'écriant : < Put-Hein, et ras le bol ! >. Je nettoie ma palette et mes pinceaux.

Nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade déjà lavée. Dehors, il y a le soleil.
Estelle travaille encore un peu la pâte à pain, les mains enfarinées qu'elle agite avec un sourire. Je réchauffe la garniture.
< Sors ta bite monsieur le peintre ! > me fait Estelle en s'accroupissant devant ma braguette ouverte. Clémentine observe.
Je présente ma queue molle, légèrement visqueuse au bout. Sans doute le résultat de l'excitante conversation de ce matin.
Estelle adore me masser le Zob et les couilles avec ses mains pleines de farine. C'est son nouveau dada. Cela nous fait rire.

Me voilà avec la bite copieusement enduite de farine complète et biologique certifiée AB. Je dis : < Et tu es fière de toi ? >
< Oui monsieur grosse bite, je viens de réaliser mon œuvre d'art ! > fait Estelle en rajoutant : < Je consomme après ! >
Nous en rigolons comme des bossus. Le verse la garniture sur la pâte soigneusement étalée en trois grandes galettes. Bon.
Estelle l'étale avec une spatule en bois. Nous y rajoutons du gruyère de Comté et du Parmesan grossièrement râpé. Parfait.
J'y dépose des petits cubes de Roquefort, quelque rondelles d'un avocat bien mûr. Estelle saupoudre de graines de sésame.

Les pizzas sont au four. La table est mise. La farine sur ma queue a bien séché. Il y a les craquelures qui évoque l'argile.
Nous sortons. Les filles me tiennent par le bras. Nous faisons le tour de la propriété. Ma bite emprisonnée dans la farine.
< Monsieur grosse bite aurait-il une doléance particulière ? > me lance Estelle. < Un truc cochon ? > rajoute Clémentine.
Je leurs propose un bon léchage de minou après le repas. Je ne suis pas obligé de le répéter. Les voilà à sautiller en riant.
< D'abord je te nettoie le Zob en dessert ! > me fait Estelle. Nous rigolons comme des bossus. Nous vivons le bonheur.

Nous profitons de l'extraordinaire douceur de cette soirée enfin agréable. Les fenêtres de la cuisine sont grandes ouvertes.
Nous entendons la sonnerie du four. Morts de faim nous nous précipitons. Je suggère aux filles de manger culs nus. Super.
Les pizzas sont succulentes. Nous les apprécions d'autant plus en sachant ce qui nous attend après ce délicieux repas. Joie.
Les filles ont retiré leurs jeans. Elles sont en culottes, assises sur les coussins de chaises. Nous traînons à table. Yaourts.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Je vais renifler le coussin de chaise où était assise Estelle. Son "parfum" habituelle.

< Tu as promis quelque chose monsieur grosse bite ! > me fait Estelle en m'entraînant par le bras. Je retire mon tablier.
Clémentine me tient par les hanches. Nous voilà au salon. Estelle se met à genoux sur l'épais coussin. Nettoyage de bite.
Je la regarde lécher avec soin toute la farine qui enveloppe ma queue et qui a bien séché. < Mmhhh ! > fait elle parfois.
Clémentine a déjà retiré sa culotte. Elle est vautrée dans le canapé. Elle se masturbe en regardant Estelle pomper le Zob.
Me voilà avec la bite aussi propre qu'un nouveau né. Un nouveau né priapique bien évidemment car je bande hyper fort.

Je force Estelle à se redresser et à prendre place dans le canapé aux côtés de Clémentine. Elle retire sa culotte en vitesse.
Je suis à mon tour à genoux sur l'épais coussin. Je suis couvert de frissons à l'idée de ce qui m'attend encore là. C'est fou.
J'inspecte d'abord le croupion d'Estelle. Son odeur de fille négligée me procure toujours un vertige. Je dois surmonter. Dur.
C'est une odeur âcre ou prédomine les urines de la journée. J'y fourre le nez avant de goûter du bout de la langue. Beurk.
Pourtant, comme à chaque fois, mon écœurement se transforme en plaisir de la découverte puis en une terrible excitation.

Bouffer la chatte d'une jeune fille volontairement négligée de 22 ans est un enchantement paradisiaque de chaque instant.
Il y a là de quoi sustenter un honnête homme. Et même un malhonnête. Je passe au croupion de Clémentine. Moins aigre.
Je suis étourdi de plaisir. Je passe de l'une à l'autre. Les filles se masturbent en poussant de petits gémissement, des râles.
C'est merveilleux. De savoir que je suis en partie responsable de cette symphonie stéréophonique m'émeut. La perfection.
Les substances visqueuses, mêlées à la cyprine légèrement âcre d'Estelle, contrastent avec celles plus fines de Clémentine.

C'est Estelle qui connaît un orgasme fabuleux la première. Et c'est tellement merveilleux. Je m'écarte pour éviter la pisse.
Pourtant, cette fois encore, Estelle se maîtrise juste à temps. C'est bouleversant de la voir se recroqueviller sur elle même.
Je passe à Clémentine dont les sécrétions incessantes dégoulinent dans la raie culière. Je me régale d'aller les récupérer.
Estelle se précipite aux toilettes. On peut l'entendre pisser. Elle revient avec la cuvette en plastique qu'elle dépose au sol.
Clémentine peut se laisser aller à son tour. J'ai juste le temps de m'écarter. Je prends la cuvette. Elle y pisse. Abondance.

< Et toi ? > me demande Estelle en saisissant ma queue molle et flasque. Je la rassure. Tout va bien. Elle me la secoue.
Je rajoute : < J'ai eu plein d'orgasmes dans ma tête ! >. Estelle me couvre le visage de bisous. Clémentine se reprend.
La cuvette est remplie au tiers d'une belle pisse chaude et jaune. Je félicite Clémentine qui me demande la même chose.
Je propose de remettre la pipe à samedi soir, au haras, lors de notre soirée "cul". Nous rions de bon cœur. Il est 22 h15.
Nous raccompagnons Estelle à sa voiture. Séparation difficile. Au lit, Clémentine insiste pour me sucer un peu. Le dodo…

Bonne soirée à vous faire nettoyer la chatte à coups de langue à toutes les coquines qui aiment se faire lécher…

Julien - (Une vraie entreprise de nettoyage à lui tout seul. Sans Kärcher mais par méthode naturelle et écologique) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 45 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 820 -



Un début de Week-end plutôt réjouissant

Hier matin, vendredi, c'est le concerto pour mandolines d'Antonio Vivaldi qui nous arrache avec violence de nos sommeils.
< Tonio, va fan culo ! > lance Clémentine, me chevauchant pour éteindre le réveil posé de mon côté, sur ma table de nuit.
Il est 5 h55. Nous rions déjà de bon cœur. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes pour y pisser peinard.
Vêtus de nos tenues de jogging et morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Un copieux petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine termine à midi. Cette simple idée la met en joie et la rend toute fébrile. Super.

Il est 6 h25. Nous voilà dans la fraîcheur matinale mais très agréable. Nous courons d'un bon rythme. Une heure de plaisir.
Retour pour 7 h25. Nous prenons notre douche. Je redescends le premier. Je sors la petite auto de Clémentine. Il est 7 h45.
Elle est vêtue d'un jeans, d'un T-shirt sous sa veste de coton noire. Un dernier bisou, un dernier coucou. Je la regarde partir.
Je rentre. Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Je termine ce matin la trentième toile destinée à ma saison d'été.
Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 8 h15. Je suis assis devant mon chevalet. Je peins dans un enthousiasme fou.

Il est presque 11 h lorsque je mets la touche finale sur ma nature morte aux bijoux d'or. Une pointe de jaune de cadmium.
Je pose le tableau achevé sur le second chevalet. La toile pourra sécher. Je nettoie mon matériel. Une saison qui s'achève.
Je range mon matériel. Je ne toucherai plus à rien avant la mi septembre. Comme tous les ans, je me promets de ralentir.
Je pourrai très bien me contenter d'œuvres de commandes. J'en aurai suffisamment. Et m'offrir davantage de bon temps.
Seulement voilà, mon bon temps je le passe en grande partie à peindre. Ce dilemme m'exaspère chaque fois que j'y pense.

Tout est soigneusement rangé. Mon atelier n'a strictement rien de "bohême". Tout y est méticuleusement agencé. Rigueur.
Voilà mes boîtes de peintures rangées sur un des étagères. Mes pinceaux dans le tiroir avec des centaines d'autres. Super.
Ma palette préférée suspendue avec les autres aux crochets qui parsèment la porte droite de la grande armoire. C'est bon.
Les tomettes terre de Sienne auront besoin d'un coup de serpillère. Je laisse donc un atelier propre. Il restera vide. Parfait.
Il est presque midi. Je fais gonfler du riz. Je lave des tomates. Je pane deux filets de cabillaud que je fais revenir à la poêle.

Dehors, même si le ciel est voilé, il reste lumineux. Il est 12 h20 lorsque Clémentine revient de cours. Elle me saute au cou.
Je la soulève. Elle me couvre le visage de bises. Nous voilà ensemble jusqu'à lundi matin. Bien décidés à en profiter un max.
Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade tout en me racontant sa matinée. Il reste encore une semaine de cours.
Nous mangeons de bon appétit. Nous évoquons le programme de l'après-midi. Pas de vélo avec ce temps menaçant. Bien.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me raconte sa branlette.

Souvent, en rentrant, tout en conduisant prudemment, sur la petite route déserte du retour, Clémentine aime se masturber.
Surtout le mardi car elle n'a pas cours l'après-midi. Le vendredi car c'est le début du Week-end. J'aime découvrir ses récits.
Je l'encourage à ne jamais cesser. Peut-être même encore à augmenter la fréquence. Nous en rions de bon cœur. Amusant.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous descendons au jardin pour y prendre la température, trouver l'inspiration. Bien.
Il fait doux. Le ciel se couvre un peu plus. Quelques nuages gris. Il va certainement pleuvoir un peu. Notre printemps 2019.

Nous faisons le tour de la propriété. Clémentine me tient la main. Elle me confie ses ressentis. La situation de notre couple.
< Je suis impatiente de me retrouver seule avec toi. Juste toi et moi. Parfois, ça me manque. Vivement l'Ecosse ! > fait elle.
J'écoute. Elle rajoute : < Quelquefois c'est pénible de te partager avec Estelle. Cela devient même difficile. Tu comprends ? >
Je la rassure, je comprends parfaitement. Je lui suggère de faire le nécessaire pour organiser notre vie comme elle l'entend.
Je lui explique à quel point, parfois, j'ai l'impression d'être le jouet des évènements. De me laisser porter par nos existences.

Clémentine se serre contre moi. Nous nous embrassons avec sensualité. Nous sommes amoureux fou l'un de l'autre. Bien.
Tout ce bonheur est quelquefois lourd à gérer. Nous sommes des passionnés. Clémentine m'avoue se réjouir pour demain.
Nous avons rendez-vous à 20 h au haras. Juliette va probablement nous réserver une de ses surprises bien épicées. Sexe.
Je dois rassurer Clémentine. Je ne suis absolument pas jaloux. De la voir faire des trucs avec un autre m'excite. C'est bon.
Elle me dit : < Entre la bite de Gérard et celle de Pierre, ma bouche balance ! >. Je conseille de profiter des deux. Super.

Nous rentrons. Cette conversation, tout en nous amusant follement, nous a également beaucoup excité. Je bande balaise.
Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir. J'ai la bite à l'air. < Miam, miam ! > s'écrie Clémentine.
< On fait des trucs ? > rajoute t-elle en m'entraînant par la queue dans la chambre. Elle me fait tomber sur le lit. Coquine.
Nous nous embrassons. Je lui retire son jeans et sa culotte. Son sexe est humide. Elle me retire mon jeans et mon slibard.
Elle m'attire sur elle. Nous nous frottons longuement. Saisis d'une sorte d'extase. Je m'introduis avec d'infinies précautions.

Nous restons immobiles. Clémentine passe ses jambes autour de moi. Je reste en appui sur mes bras pour ne pas peser.
< Je t'aime ! Tu comprends tout de moi ! Je t'aime Julien ! > me chuchote t-elle à plusieurs reprises en se cambrant. Joie.
De son bassin, Clémentine cherche le meilleur angle de sensations. Même si elle n'est pas vaginale, il y a des possibilités.
Lorsqu'elle est considérablement excitée, le clitoris est sensible par l'intérieur. Elle se masturbe toujours pendant la baise.
Elle me confie plein de secrets. Les secrets d'une fille de 22 ans sont d'une richesse infinie. Il s'en passe des choses. Joie.

En Ecosse, seuls tout le mois de juillet, nous nous promettons de nous aimer comme des cinglés. De baiser tout le temps.
< Je commence à aimer ça ! > me fait encore Clémentine avant de rajouter : < Je te promets de réaliser ton fantasme ! >
Elle fait évidemment allusion à ma ténébreuse envie de la voir sucer un inconnu, soigneusement choisi. Un endroit glauque.
En parlant, Clémentine se met parfois à bouger du bassin. Je bouge en rythme. Elle cesse pour se remettre à me raconter.
Nous baisons ainsi longuement. C'est tellement merveilleux. C'est tellement intense. Il faut rester vigilant. Pas d'orgasme.

Nous aimons tous deux flirter avec les extrêmes, mimer la folie mais sans jamais y pénétrer vraiment. C'est hyper excitant.
Nous adorons rester excités des après-midi entiers et stimuler nos libidos jusqu'au soir. Une communion de chaque instant.
Nous cessons juste à temps. Je me retire de justesse. Nous nous blottissons très fort pour reprendre nos esprits. Frottant.
Je propose d'aller en ville. Tenter de s'offrir un "plan" exhibe puis d'aller manger au restaurant en soirée. Superbes projets.
Clémentine m'entraîne par la main aux toilettes. Je lui lèche la chatte pour récupérer la dernière goutte. Elle me fait pareil.

Nous nous régalons encore un peu de nos derniers épanchements. Et il y a l'abondance. Le retour d'une excitation dingue.
Il faut cesser en nous faisant violence. Nous en rions de bon cœur. Nous nous habillons. Il est déjà 15 h30. Timing parfait.
Clémentine porte une de ses jupes kilt. Un chemisier blanc sous un fin pull de coton bleu marine. Souliers à légers talons.
Sur sa demande, je porte un ensemble de lin clair. Pantalons à pinces et à plis. Chemise crème, veste de lin clair. Parfait.
< Regarde un peu comme on est beaux tous les deux ! > me fait elle tout en m'entraînant devant le miroir de l'armoire.

Accroupie sur ma gauche, sa tête contre ma cuisse, Clémentine écarte ses cuisses pour dire : < Je vous aime "Maître" ! >
Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Je vous aime, délicieuse "Soumise" ! >. Elle frotte son visage sur le Zob.
Je la laisse sucer à nouveau. Après la séance de baise, je n'arrête pas de secréter du jus de couilles. De quoi se régaler.
Je force Clémentine à se redresser. Elle me montre l'intérieur de sa bouche. < Demain c'est celui de Gérard ! > dit elle.
Nous rigolons comme des bossus lorsque je rajoute : < Et celui de Pierre ! >. Nous dévalons l'escalier jusqu'à la voiture.

Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite qu'elle suce parfois. Treize petits kilomètres jusqu'à la ville. Superbe.
Je gare l'auto dans la petite ruelle habituelle, à dix minutes du centre. Je garde la braguette discrètement ouverte. Bien.
La culotte de Clémentine est restée dans le vide poche. Il y a beaucoup de monde. Nous parcourons les rues piétonnes.
Nous avisons quelques salons de thé susceptibles de permettre quelques jeux vicieux dont nous raffolons. Petite exhibe.
Prudents comme des guerriers Sioux, nous évaluons longuement les possibilités. Nous étudions la configuration des lieux.

Il y a nombre d'endroits que nous n'avons pas encore "fait". Mais tout ce monde partout tempère légèrement nos ardeurs.
Pas questions de faire les cons. Nous aimons les choses méthodiques, peu improvisées et toujours "pensées" et réfléchies.
Il n'y a pas de réelles possibilités. Je suggère le musée des Beaux-Arts, la bibliothèque municipale ou encore un des parcs.
Le ciel est couvert. C'est le climat idéal pour un truc bien vicelard et de préférence en extérieur. Nous flânons. Réflexion.
< Là ! Viens ! > me fait soudain Clémentine en m'entraînant dans la descente d'un parking sans doute privé. Faire gaffe.

Il y a probablement des caméras de surveillance. Dans notre monde fliqué, il y en a partout. Mais pour surveiller quoi ?
Clémentine, fine observatrice, n'en voit nulle part. < C'est parfait ! > me fait elle en se plaçant dans l'entrée d'un local.
C'est un passage fermé par une porte de fer gris. En renfoncement qui permet de se dissimuler du haut de la rue. Bien.
Je passe derrière de grandes poubelles grises et une benne. La planque idéale. Nous attendons. Clémentine se touche.
Nous nous faisons des grimaces, des geste obscènes quand soudain descend un type seul. Petit, surpoids, moustache.

Il semble parfaitement connaître les lieux. Il sifflote en agitant un trousseau de clefs. C'est probablement un concierge.
Clémentine s'est accroupit. Cuisses largement écartées, le visage caché par ses cheveux, la tête penchée en avant. Pipi.
Notre homme tombe sur le spectacle. Je l'entends dire : < Mais il fallait me demander, il y a des toilettes chez moi ! >
Clémentine relève la tête, jouant la surprise avec ce talent habituel qui fait mon admiration. Et celle de l'inconnu aussi.
Le type est à quelques deux mètres et regarde la fille. Il y a de la pisse qui s'écoule vers la grille d'égout. Le mec mâte.

C'est un vrai vicelard car il s'accroupit pour bien regarder. < Hier, c'était une blonde qui est venue pisser là ! > lance t-il.
< Vous préférez les blondes ? > demande Clémentine, ingénue, parfaitement anonyme derrière ses lunettes. Verres noirs.
Pas du tout déstabilisé par l'aplomb dont fait preuve la pisseuse, notre concierge qui continue : < Vous avez du papier ? >
J'ai du mal à garder mon sérieux. Clémentine probablement aussi. C'est tellement surréaliste. En tous cas un super "plan".
Le bonhomme, regarde partout autour de lui. Il extrait une superbe bite bien raide de sa braguette qu'il ouvre rapidement.

< Tu veux te la bouffer ? > lance t-il à la jeune fille qui se redresse prestement. Un peu inquiète tout de même. Le silence.
Elle se torche en prenant son temps. Exprès. < Je peux l'avoir ? > demande le quidam en tendant la main. Un fétichiste !
Clémentine le lui donne. Il s'en empare pour l'observer comme si c'était la relique de quelques saints. Il semble comblé.
Le type lui dit encore : < Tu reviens pisser un de ces jours ? Il suffit de sonner à la porte "Conciergerie" ! >. C'est dingue.
Clémentine remonte la pente en répondant : < J'y penserai ! >. Le type ouvre la porte en métal et disparaît dans le local.

Je monte à mon tour pour rejoindre Clémentine. < C'était génial ! > me fait elle en m'entraînant par le bras vers la FNAC.
Il n'y a pas d'autres opportunités. < Celui-là, je me le garde en réserve. Tu as vu sa super queue ? > me fait Clémentine.
Nous notons l'endroit. Encore un bon salopard dans notre calepin de vices. Nous rigolons comme des bossus. Il est 19 h.
Nous faisons les restaurants pour y lire les menus. Nous voulons du neuf. Comme si nous étions déjà en vacances. Super.
C'est un établissent très chic où nous avons déjà mangé il y a longtemps, au début de notre merveilleuse histoire. Parfait.

Nous nous régalons d'un gigantesque plateau de fruits de mer. D'énormes coupes glacées. Pas d'opportunités d'exhibes.
Nous passons une très agréable soirée dans un endroit charmant. Nous allons ensemble aux toilettes. Ce qui surprend !
Nous nous embrassons comme des fous. Nous nous touchons comme des dingues. Nous sommes pressés de retourner.
Sur le chemin du retour, je me fais sucer. J'ai souvent ma main droite entre ses cuisses. Il est 22 h 30. La salle de bain.
Au lit, nous reproduisons notre baise de l'après-midi. Je suggère à Clémentine de revoir le concierge. Orgasme. Le dodo.

Bon après-midi à toutes les coquines qui aiment partir en "expéditions vicelardes" après une bonne baise…

Julien - (Qui ne désespère plus de voir Clémentine sucer de la bite inconnue. Les choses se précises doucement) -

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Classe - 45 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 821 -



Un samedi qui restera dans les anales

Hier matin, samedi, je suis réveillé par un froissement léger et régulier des draps. Il y a un léger mouvement du matelas.
Clémentine sait lorsque je sors du sommeil. Ma respiration change. Elle cesse aussitôt de se masturber. Elle se blotti fort.
< J'ai fais un rêve érotique ! > me chuchote t-elle. Je dis : < Bonjour ma belle masturbatrice ! >. Elle me fait des bisous.
Quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Nous revêtons nos tenues de gym. Dehors il fait moche. 7 h30.
Morts de faim nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine où nous préparons un solide petit déjeuner. Pain grillé et miel.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte son rêve. Il y était question du concierge rencontré hier. Parking.
Cette descente de parking où Clémentine s'est fait surprendre par le mec entrain de pisser dans l'encadrement d'une porte.
Nous en rions de bon cœur. Je propose d'entrer en contact avec ce type, comme il le lui a proposé. Clémentine, dubitative.
Il est 7 h50. La vaisselle. Avec ce temps pourri, nous ferons notre jogging sur les tapis roulants à l'étage. Pas d'autre choix.
Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Intensité maximale. Running, abdos, charges additionnelles.

La douche. Nous nous habillons. Clémentine porte un de ses jupes évasées au-dessus du genoux, velours carmin et léger.
Un simple T-shirt sous une veste légère. Ses souliers de ville à légers talons. Sur sa demande, je mets mon pantalon. Lin.
Une simple chemise clair que Clémentine fait blouser et déboutonne savamment. Nous prenons notre pose devant le miroir.
< Regarde comme on est beaux ! > me fait Clémentine en s'accroupissant sur ma gauche, tête en appui contre ma cuisse.
< Je vous aime mon "Maître" ! > me dit elle en écartant ses cuisses. Je dis : < Je vous aime, ma délicieuse "Soumise" ! >

Je sors mon Zob afin qu'elle puisse y frotter son visage et sucer un peu. Je la laisse faire un court instant. Je la fais cesser.
Nous dévalons les escaliers en riant de ce jeu du "Maître" et de sa "Soumise". Dehors, il pleut légèrement. Temps merdique.
Je branche la glacière sur l'allume cigare. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite en parlant de ce soir. Le haras.
Je lui dis : < Montre moi cette bouche dans laquelle il va encore y avoir différentes bites ! >. Je regarde dans le rétroviseur.
< Plein avec la tienne ! > dit Clémentine. Je réponds : < La mienne ça compte pas ! >. Nous en rigolons comme des bossus.

Nous arrivons au bourg. Malgré la météo, il y a du monde. Je dis : < Et ta préférée ? >. Clémentine répond : < Gérard ! >
< Un jour je lui fais le test du verre doseur pour savoir les quantités ! > rajoute encore Clémentine. Nous rions de bon cœur.
Je porte les sacs. Clémentine nous abrite sous le parapluie. Nous faisons provisions de fruits et de légumes. Bonne quantité.
Nous faisons provisions de fromages, de yaourts, de crème fraîche, d'œufs et de beurre. Le tout, dans la glacière. C'est bien.
En route pour la ville. La zone commerciale distantes de quelques treize kilomètres. Je roule doucement. Clémentine pompe.

Je lui caresse la tête. Je lui murmure des douceurs, plein de cochonneries. Je la félicite pour son exhibition pisseuse de hier.
< Je suis prête à passer à la phase suivante, "Maitre", sucer un parfait inconnu. Vous m'avez bien dressé ! > fait Clémentine.
Nous en rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute en riant : < Et je crois que c'est l'unique expérience qui me manque encore ! >
Je gare la bagnole sur le parking. Clémentine retire sa culotte. Je pousse le caddie. Il y a du monde à l'hypermarché. Dingue.
Clémentine tient la liste des courses. Elle nous entraîne dans les rayons qui nous concernent. La pâte dentifrice et papier cul.

Par acquis de conscience et très excitée par la pipe et la conversation, Clémentine aimerait bien s'offrir une petite frayeur.
Elle nous entraîne dans le rayon des bouquins, des magazines. Il y a bien trop de gens pour réaliser un super "plan". Dur.
Nous en parcourons pourtant les allées à trois reprises. Aucune réelle opportunité. Nous allons au rayon vêtements homme.
Pas plus d'occasions de s'offrir une petite exhibe de qualité. Clémentine en est doublement frustrée. On retourne aux livres.
Même situation. < Put-Hein, mais où sont les vicelards solitaires ce matin ! > me chuchote Clémentine légèrement dépitée.

Nous allons faire provisions de crustacés et de poissons au rayon des produits de la mer. Il faut attendre dans la file. Long.
Nous faisons provisions de sole, de cabillaud, de saumon, de thon, de moules pour ce midi, de crevettes et de langoustines.
Nous passons en caisse. Nous flânons un peu dans la galerie commerciale. Trop de monde. Le salon de thé plein à craquer.
Nous revenons à la voiture. Nous mettons les produits de la mer dans la glacière. Clémentine me fait part de sa frustration.
Je propose de retourner en ville, de nous garer près de la descente du parking et de tenter d'entrer en contact avec le mec.

< Ah oui ! Super ! En plus j'ai envie de faire pipi ! > lance Clémentine en se touchant. Direction le centre. Trois kilomètres.
Je gare la voiture à environ cinq cent mètres. Mesure de précaution et souci d'anonymat. Nous marchons vite. Et personne.
A une centaine de mètres de la descente du parking, nous nous séparons. J'y vais le premier et je descends les 30 mètres.
Je me planque derrière les grandes poubelles grises et la benne métallique. Je n'attends pas longtemps. L'inconnu de hier.
Il sort du local en poussant un diable. Merdre ! Le bougre s'apprête certainement à rentrer les poubelles. Je suis découvert.

Heureusement Clémentine arrive. Elle descend doucement. Notre homme l'aperçoit. Je le vois sourire de tous ses chicots.
< Alors la petite demoiselle, on vient faire son besoin chez Marcel ? > fait il. Nous savons à présent qu'il s'appelle Marcel.
Il retire un de ses gants de protection pour tendre sa main à Clémentine qui décline l'invitation. Cela amuse le concierge.
< Je peux ? > fait Clémentine en montrant l'encadrement de la porte et la grille d'évacuation parterre. Le type la regarde.
< Mais bien sûr, je vous en prie. C'est une excellente idée d'être revenue pisser ici ! Vous avez tout ce qu'il faut ? > dit il.

Clémentine se met en position. Accroupie devant le type, elle tente de pisser. L'excitation rend cela impossible. Dommage.
Par contre notre coquin ouvre sa braguette, sort sa bite. Elle est raide et dure. Une quinzaine de centimètres et bien droite.
Peu épaisse, pas circoncis, tout ce que préfère Clémentine. J'ai le souffle coupé. Je regarde en silence. J'ai envie d'en rire.
Clémentine observe la branlette du mec. Il est là, debout, à regarder la fille, en se paluchant lentement d'un geste régulier.
< Tu n'as pas envie de me vider les couilles ? Parce qui si tu es revenues, ce n'est pas seulement pour pisser ! > lance t-il.

Clémentine ne répond pas. Elle arrive enfin à se lâcher. < Génial ! > s'écrie le concierge qui se rapproche et qui s'accroupit.
Il est à peine à deux mètres de la fille. Il ne tente strictement rien. Situation parfaite. Clémentine se soulage. Plusieurs jets.
C'est magnifique. Elle porte ses lunettes noires, ses cheveux défaits. L'anonymat parfait. Elle lève la tête pour fixer le type.
Elle déplie le mouchoir en papier qu'elle tient à la main. < Je peux le faire ? > demande notre quidam. Clémentine hésite.
Elle lui tend le mouchoir. Le mec vient s'accroupir tout prêt. Il torche la fille délicatement, avec soin. Je trouve ça charmant.

Le type dit : < Merci mademoiselle. Vous venez de m'offrir un des plus merveilleux moments de ma vie ! >. Il se redresse.
Il mâte le mouchoir en papier, le hume et fait encore : < Merci ! Je vais le garder en souvenir ! >. Clémentine se redresse.
< Vous avez un numéro de téléphone où je peux vous contacter ? > demande Clémentine, effrontée et vicieuse. Stupeur.
Le concierge la regarde étonné pour demander : < Sans blague ? Vous déconnez ou c'est sérieux ? >. Clémentine lui souri.
< Sérieux ! > répond t-elle. Le type sort un calepin et un stylo de la poche de sa chemise. Il griffonne et arrache la feuille.

J'entends Clémentine épeler les numéros 06 87 .. .. .. Elle remonte la pente accompagnée du concierge qui range son Zob.
Ils marchent et font quelques pas. J'en profite pour sortir de ma cachette et remonter. J'attends derrière une camionnette.
Le type revient en sifflotant. Il vient de "pêcher" une superbe proie. De quoi être le plus satisfait des concierges. Heureux.
Je file rejoindre Clémentine. Nous marchons à toute vitesse jusqu'à la voiture. Nous sommes morts de faim. Nous rentrons.
Dans la voiture, Clémentine me confie : < Celui-là va être ma toute première expérience de pipe à un inconnu, c'est sûr ! >

Il est presque 13 h lorsque nous arrivons à la maison. Nous rangeons les courses. Clémentine prépare la salade de carottes.
Je fais cuire les moules dans l'eau. J'y ai rajouté de l'ail, de l'oignon, du persil, de la ciboulette. Nous évoquons la rencontre.
Clémentine me promet de se faire ce mec. < Et avant l'Ecosse ! > précise t-elle. Je reste silencieux et admiratif. J'écoute.
Elle est visiblement décidée à passer à la vitesse supérieure. Et depuis le temps que je lui tanne le cuir avec mon fantasme.
La voir sucer un inconnu. Ce fantasme est également devenu le sien. Je verse les haricots verts congelés direct dans le Wok.

Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons longuement à table. Nous faisons le programme des prochains jours. Super.
Clémentine veut absolument organiser le vernissage qui précède l'ouverture de ma galerie. Vernissage le mercredi 26 juin.
La galerie ouvre le samedi 29 juin. C'est mon tonton qui s'en occupe. Il insiste tant. Je peux compter sur lui depuis 15 ans.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Les pitres.
Clémentine m'entraîne dans la chambre, me fait tomber sur le lit et me sort la bite. Elle se couche à côté de moi. Elle mâte.

< Il me faut de l'entraînement pour ce soir ! > me fait elle en posant sa tête sur mon ventre pour me sucer. Grosse envie.
Je ne tarde pas à la faire basculer sur le côté. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Délicieux.
Clémentine aime me confier les choses les plus secrètes dans ces intenses moments de communion totale. C'est un plaisir.
J'écoute. Je suis étonné par son imagination. Sa capacité à se projeter dans des aventures invraisemblables. C'est superbe.
Je l'encourage à sucer ce concierge avant notre départ pour l'Ecosse, le vendredi 28 juin. Elle se met à bouger. Jouissance.

Le type lui a donné son numéro de téléphone. Pour rester anonyme, il suffit à Clémentine d'appeler depuis une des cabines.
Il y en a encore une au bourg, à côté de la mairie et une autre dans le lotissement près de chez Estelle. C'est le bon "plan".
Nous baisons comme nous aimons. Il faut éviter l'orgasme car nous avons le profond désir de rester excités pour la soirée.
Il est 16 h30 lorsque nous reprenons nos esprits. Nous descendons pour nous rendre dans l'atelier. Dehors, il ne pleut plus.
Clémentine met de l'ordre dans ses notes, dans ses fiches et dans ses documents. De nombreux classeurs sur les étagères.

Je passe l'aspirateur sur le carrelage du sol. Les tomettes "Terre de Sienne" permettent un bon nettoyage. Et c'est parfait.
J'ai choisi cette couleur au sol car elle est neutre et ne reflète aucune lumière. Obligatoire dans un atelier de peintre. Bien.
Je passe la serpillère. Je fais la poussière. Tout est propre. Clémentine lit à haute voix quelques passages de son mémoire.
Il est 18 h30 lorsqu'Estelle arrive. Elle nous fait la bise. Me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous.
Il fait faim. Nous préparons un gratin de spaghettis. En accompagnement une sauce. Champignons, crevettes, ciboulette.

Nous mangeons de bon appétit. Les filles sont de plus en plus excitées à l'idée de la soirée qui nous attend. Elle en parlent.
J'écoute. C'est passionnant. Chacune se promet d'être plus vicieuses que l'autre. De vider toutes les couilles à disposition.
Nous rigolons comme des bossus. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous racontons à Estelle le concierge et sa bite.
< Je veux venir aussi ! > s'écrie t-elle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns. Et nous nous changeons.
Devant le miroir de l'armoire, nous pratiquons notre rituel du "Maître" et de ses "Soumises". Il est 19 h35. Il faut y aller.

La soirée cul

Nous arrivons au haras pour 19 h45. Dans la cour, il y a les voitures de Gérard, de Léon, de madame Walter. De son mari.
Par contre, il n'y a personne à l'extérieur. La pluie tombe, fine et régulière. Nous entrons dans l'écurie A, notre lieu préféré.
Estelle me tient la main. Clémentine me tient le bras. Nous faisons quelques pas dans l'allée centrale. Très étrange silence.
Derrière nous, un bruit de pas. C'est Juliette qui vient nous rejoindre, son parapluie dégoulinant à la main. Toute souriante.
Nous nous saluons. Lorsqu'elle me serre la main, elle y fait bouger son index avec insistance, sans me lâcher. C'est le code.

Juliette nous invite à la suivre. Nous ouvrons nos parapluies pour traverser la cour d'un pas rapide. Vers l'écurie C, neuve.
Nous traversons le bâtiment dans toute sa longueur pour rejoindre la porte qui donne sur la petite salle des "fêtes". Gens.
Tout le monde est là, assis autour d'une table. Nous saluons les invités. Madame Walter serre ma main de la même façon.
Elle fait bouger son index avec insistance. C'est un code terriblement vicieux. Juliette et madame Walter sont vêtues noirs.
Des tailleurs stricts, des vestes blaser sur des chemisiers blancs. Des escarpins à talons hauts. Elles sont sexy. Très belles.

Léon est vêtu d'un costume de velours noir qui semble élimé, usé. Gérard est élégant dans ses jeans et son T-shirt blanc.
Pierre, lui, est en pantalon clair, à plis et à pinces. Une simple chemise clair. Tout le monde se congratule. Les salutations.
Je suis invité à m'assoir aux côté de madame Walter. Estelle semble déjà accaparée par Léon car je la vois rire aux éclats.
Pierre invite Clémentine à prendre place entre lui et Gérard. Juliette s'installe avec madame Walter et moi. Ambiance cool.
Nous nous servons de jus de fruits ou d'eau. Gérard est le seul à siroter une bière. Il amuse d'ailleurs la galerie. Blagues.

Ce n'est pas très fin. Plutôt grivois, parfois lourd, à l'image du personnage. Il a posé sa main sur la cuisse de Clémentine.
Je le vois se pencher vers elle pour lui glisser quelques mots à l'oreille. Clémentine le regarde très étonnée mais souriante.
Estelle s'est assise sur les genoux de Léon. Le vieux black lui chuchote probablement des saloperies à l'oreille. Spécialiste.
Gérard se lève avec Clémentine. Il l'entraîne par la main. Ils sortent de la salle. J'aimerai bien les suivre car cela m'excite.
Léon fait pareil avec Estelle. Elle se tourne vers moi et me fait un clin d'œil. Juliette me murmure : < Elles vont sucer ! >

Pierre se lève pour venir saisir Juliette par le bras. Il se touche la braguette. Juliette se lève, dit : < Moi, je vais baiser ! >
Il ne reste plus que madame Walter, assise là, à ma gauche. Elle me fait : < Et vous faites de moi ce que vous voulez ! >
Je la regarde. Son agréable visage encadré de ses longs cheveux presque noirs. Elle me fixe. Cette femme est excitante.
Elle fixe ma braguette en me disant : < Vous savez ce que j'aime ! >. Je suis à la fois gêné et excité. Je ne sais quoi faire.
< Vous voulez qu'on aille voir ce qu'ils font, et où ? > me demande t-elle en prenant ma main. Je trouve l'idée excellente.

Elle m'entraîne dans la pièce voisine. C'est la pièce de réception. Ill y a là le canapé, les fauteuils, un bureau, une armoire.
Madame Walter me tient par la main. De sa main libre, elle ouvre la porte. Juliette entrain de se faire baiser sur le bureau.
Pierre, debout entre ses jambes écartées qu'il tient par les chevilles ne fait pas attention à nous. Juliette me fait un sourire.
Sur le canapé ouvert, en lit large, Estelle et Clémentine sont couchées sur le côté, entrain de sucer Gérard et Léon. Silence.
Clémentine, les yeux fermés, se régale probablement des substances du vieux salaud incontinent et impuissant. Dégueu !

L'extase qui se lit sur les traits de son visage, ne laisse aucun doute. Clémentine déguste avec bonheur. Elle ne me voit pas.
Estelle fait de même avec la bite à Léon. Ce dernier bande mou. Madame Walter m'entraîne près du canapé lit. Pour mâter.
Je sors ma bite. Madame Walter se met immédiatement à genoux sur un des coussins. Elle ouvre la bouche et en me fixant.
Madame Walter n'est pas seulement une véritable soumise mais également l'esclave sexuelle de son mari, Pierre. Un salaud.
Madame Walter est aussi la mascotte sexuelle de Gérard qu'elle suce autant que Juliette. Et depuis plusieurs années. Super.

Je me fais tailler une pipe d'une incroyable douceur par cette femme magnifique, d'une docilité absolue. Toujours "prête".
Je la regarde s'appliquer. Je la tiens sous le menton. Je reste immobile. Clémentine ouvre les yeux et me voit ainsi. Belle.
Elle me fait un clin d'œil et tapote le lit pour m'inviter à m'assoir. Je me laisse tomber. Madame Walter ne cesse pas. Pipe.
Clémentine ne cesse pas non plus. Elle a toute la minuscule bite de Gérard en bouche. Elle pompe. Joues creusées. Belle.
Elle me fixe avec son air de défi habituel. Elle me prend la main qu'elle serre pour me signifier sa joie. Elle suce le salaud.

Là-bas, sur le bureau, Juliette commence pousser quelques cris. C'est la première fois que je la vois dans cet état. Excitée.
Pierre est un baiseur fou. Pierre peut tenir très longtemps. Je regarde Estelle de l'autre côté du lit. Léon qui lui fait un doigt.
Elle aussi pompe les traits de son visage exprimant une extase quasi divine. Elle tapote sur l'épaule de Clémentine. Douce.
Je comprends. Les filles permutent. Elles se refilent les bites des deux vicelards. Clémentine suce Léon. Estelle suce Gérard.
La bite à Gérard est ruisselante de foutre. Il en a plein sur ses énormes couilles. Estelle les lui lèche avec soin. En soufflant.

Mon excitation est démentielle. J'entends les efforts que fait madame Walter pour déglutir. Je la tiens par ses oreilles. Fort.
Je lui enfonce la bite. Je chuchote : < Viens donc à la maison un de ces jours que je te fasse voir de quoi je suis capable ! >
Madame Walter cesse pour me répondre : < Volontiers. J'attends ça depuis longtemps. Merci pour l'invitation ! >. Elle suce.
Pierre s'est retirée. Il se fait pomper par Juliette. Elle est accroupie devant le bureau. Très digne et droite comme toujours.
Même dans les situations les plus vicelardes, cette femme garde toujours de sa splendeur, de sa noblesse et de sa superbe.

Je l'observe. Elle repousse les mains de Pierre chaque fois qu'il tente de lui saisir la tête. Elle qui déteste être "manipulée".
Elle ouvre les yeux pour me fixer. Elle me fait un clin d'œil. Je lève le pouce en signe de félicitation. Elle pointe son doigt.
Elle se relève. Elle se couche à nouveau sur le bureau pour se faire planter la bite de Pierre dans la chatte, me regardant.
Je la trouve passionnante. Je sais qu'à présent c'est pour moi qu'elle fait son "numéro". Je mime une pipe en la regardant.
Elle secoue la tête d'un mouvement affirmatif. Pierre la tient par les chevilles et la fait basculer. Il la baise en vrai hussard.

Clémentine s'est couchée sur le dos. Léon, qui bande plus où moins, se couche sur elle pour tenter de s'introduire. Capote.
Le bougre y arrive probablement. Je ne peux pas le voir. Par contre l'attitude de Clémentine semble le confirmer. Elle baise.
Estelle ne cesse plus de pousser des < Mmhh ! > en suçant Gérard qui, parfaitement immobile, couché sur le dos, apprécie.
Il tient la nuque d'Estelle. Il lui murmure des saloperies. Je l'entends râler. Madame Walter avale ma substance en silence.
Là-bas, sur le bureau, les yeux fermés, couchée sur le dos, Juliette se fait baiser comme une vraie salope? Secouée. Et fort.

Je regarde Léon qui baise Clémentine de la même manière. Comme il est beaucoup petit qu'elle, l'image paraît surréaliste.
Il fait penser à un crabe sur une poupée Barbie brune. C'est hallucinant. Clémentine le tient par le cou, comme amoureuse.
Elle qui rêvait de se faire baiser par Pierre, c'est le vieux black vicelard qui la monte. Et il la monte plutôt bien. Elle en crie.
Estelle ouvre enfin les yeux. Elle a une quantité incroyable de foutre qui lui dégouline de la bouche. Il y en a beaucoup trop.
Elle a le regard floue des filles excitées. Elle tente bien de se concentrer sur ce que fait madame Walter. Et referme les yeux.

Madame Walter me prodigue une pipe d'un indicible douceur. Je la sens frissonner de plaisir en déglutissant. C'est sublime.
Il y a là quatre suceuses de toute première catégorie dont l'une se fait baiser avec un plaisir qu'elle ne cache même plus.
Pierre est une machine à coudre. Il ne cesse pas. Et lorsqu'il arrête, c'est juste pour reprendre son souffle. C'est fabuleux.
Clémentine qui se masturbe toujours en étant pénétrée connaît probablement un de ses plus merveilleux orgasmes. Super.
Je la vois, cambrée sous le vieux black qui ne cesse de la baiser avec le même acharnement remarquable. La sacrée santé !

Il se retire soudain en beuglant. Il retire sa capote. Il tient sa bite à la base. Il fait sand doute un garrot de ses doigts noirs.
Clémentine se redresse, se couche sur le côté pour prendre sa bite en bouche. Le vieux saligaud lui balance toute sa purée.
Il en a des spasmes. Il se secoue. Clémentine le tient par les couilles afin qu'il ne puisse se retirer. Elle lui vide les couilles.
Je la vois avoir des hauts le cœur, tenter de déglutir sans en perdre une goutte. Elle s'applique passionnément. C'est super.
Estelle tout en suçant Gérard, observe cet étonnant spectacle. Elle bouffe avec appétit. C'est majestueux. Gérard immobile.

Comme le précise Juliette : < Personne ne souvient avoir vu ou senti Gérard éjaculer. Il y a un épanchement permanent ! >
Clémentine et Estelle m'ont confirmé la chose. Par contre c'est un constant mélange. Le vieux est incontinent, ne bande pas.
Léon arrive à s'arracher à l'étreinte de Clémentine. Je l'ai rarement vu aussi passionnée. Elle regarde partout autour d'elle.
Pas de doute, il lui faut une autre bite. Je veux lui tendre la mienne. Elle se lève pour rejoindre Pierre. elle s'accroupit à côté.
Elle présente sa bouche ouverte à Pierre. Il se retire immédiatement du sexe de Juliette. Il retire sa capote qu'il jette au loin.

Le salopard enfonce sa bite dans la bouche de Clémentine qui tombe à genoux en le tenant par les hanches. La pipe goulue.
Elle suce tellement fort que les veines de son cou sont bien visibles. Les joues creusées par l'effort. Le saligaud qui éjacule.
J'entends le râle de Clémentine. Gérard et Estelle ont cessé pour regarder. Juliette s'est redressée pour observer également.
Gérard se lève. Il va rejoindre le couple. Pierre retire sa queue de la bouche de Clémentine, saisi sa tête et la tend à Gérard.
Ce dernier lui enfonce sa bite minuscule, ses énormes couilles en appui sur le menton de Clémentine qui le suce à nouveau.

Estelle va les rejoindre. Pierre lui fait sucer sa queue encore trempée mais molle. Juliette nous rejoint pour s'assoir sur le lit.
Nous regardons ces deux jeunes filles de 22 ans, à genoux, devant ces trois mecs qui leurs mettent la queue dans la bouche.
Je demande à Juliette : < C'était bon ta baise ? >. Elle me fait un sourire et fait : < C'est toujours bon ! Tu veux essayer ? >
Je sais l'interdit qu'a fixé Clémentine. Juliette le sait aussi. Il n'est pas question de transgresser cet interdit. Nous le savons.
Gérard revient, visiblement essoufflé. Léon aussi. Les deux vieux salopards on tous deux 66 ans. Cette gymnastique épuise.

Gérard présente sa bite à Juliette qui me fait : < Excuse moi, un autre plaisir m'attend ! >. Elle se prend la bite en bouche.
Il en dégouline partout. Madame Walter reprend sa pipe. Là-bas, Clémentine et Estelle se bouffe la bite de Pierre. C'est fou.
Ce salaud doit probablement éjaculer une seconde fois. Mais dans la bouche d'Estelle. Je me lève. Je vais vers Clémentine.
Je la saisi fermement par la tignasse. Je lui enfonce la bite dans le bouche pour y éjaculer comme jamais. Je m'y déverse.
Elle m'observe en déglutissant, étonnée par mon initiative. Elle a le visage trempé de foutre. De ses cheveux qui y collent.

Pierre vient se jeter sur le lit en s'écriant : < Je suis vidé ! >. Juliette lui dit : < Tu as été un merveilleux amant ce soir ! >
Madame Walter est blottit contre son mari. Elle aussi le félicite pour sa performance. Deux éjaculations. 2 heures de baise.
Juliette a des cernes sous les yeux. Elle a pris cinq ans de plus. Elle a l'air épuisé. Clémentine et Estelle viennent s'assoir.
Nous sommes tous assis sur le lit. Estelle et Clémentine ont les yeux cernés comme je n'ai jamais vu. Je les félicite aussi.
Il est 23 h. < Vous dormez là ? > demande Juliette. < Non, on va y aller ! > répond Clémentine en s'essuyant la bouche.

Nous nous réajustons. < N'oubliez pas, samedi prochain, on remet ça ! > nous lance Pierre. Juliette nous raccompagne.
Je la regarde marcher. Je lui dis : < Tu t'es fait mettre comme rarement ce soir ! >. Elle dit : < Tous les samedis soirs ! >
Nous en rions de bon cœur. J'invite Juliette à venir manger mercredi soir. Rendez-vous est pris. Nous nous saluons. Doigt.
Dans la voiture, les filles échangent leurs impressions. Je dis : < Pas envie de vomir ce soir ? >. Estelle dit : < Limite ! >
A la maison, nous prenons tous les trois une douche. Pour changer d'univers. Au lit, nous partageons nos ressentis. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment sucer plusieurs bites, se faire baiser par plusieurs mecs et jouir en folles…

Julien - (Qui rassure Clémentine. Elle a été merveilleuse. Et cette fois, elle n'a pas vomis) -

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Classe - 46 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 822 -



Un dimanche à s'en remettre

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par des chuchotements, des rires étouffés et on me tient bien fermement par la bite.
Clémentine, sur ma gauche, pose délicatement sa tête sur ma poitrine. Estelle passe sous les draps pour sucer ma queue.
Je la force à remonter à la surface. Je les serre toutes les deux contre moi. Elles me couvrent le visage de bisous. Douces.
Il est 8 h. Dehors le ciel est couvert mais lumineux. J'émerge enfin. Nous restons ainsi un petit moment. Un vrai privilège.
Estelle se lève la première dans son pyjama de soie mauve pour se précipiter aux toilettes. Clémentine se serre très fort.

< Merci pour hier soir ! > me chuchote t-elle. Je fais : < Mais il faut remercier Juliette et toute la bande de débauchés ! >
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < J'ai encore l'impression d'avoir le goût de tout ce foutre ! >. Rires.
Estelle revient : < Je descends. Je vais préparer notre petit déjeuner ! >. Clémentine m'entraîne par la main aux toilettes.
Morts de faim, nous dévalons l'escalier pour rejoindre Estelle à la cuisine. Elle me saute au cou et dit : < Merci Julien ! >
Je lui réponds : < Mais toi aussi tu me remercies alors que je n'y suis pour rien ! >. Estelle réplique : < Détrompe toi ! >

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles évoquent ce qui s'est passé hier soir. Elles en rient beaucoup.
< Regarde ! > me fait Estelle en me montrant les boutons autour de sa bouche. < Des pustules de vice ! > rajoute t-elle.
En effet, il y a de petites "capsules" à peine visibles. < C'est les pipes ! > fait encore Estelle. Clémentine fait : < Et moi ? >
Je regarde. Estelle se lève pour regarder de près. < Toi aussi ! > dit Estelle. Je confirme. Nous rigolons comme des bossus.
< Comme des ados ! > fait Clémentine. Je dis : < Pourvu que ce ne soit pas de l'herpès ! > La brioche est délicieuse. Café.

Le dimanche matin, pas de gymnastique, pas d'entraînement, pas de jogging. Par contre c'est la matinée du ménage. Bien.
Estelle passe l'aspirateur et fait le salon. Clémentine s'occupe de la chambre, moi je fais les chiottes et la serpillère. Parfait.
La vaisselle. Je félicite les filles : < Hier soir, chapeau, aucune n'a vomi après la fête ! >. Estelle dit : < Moi j'avais envie ! >
< Moi aussi, à un moment, en sortant ! > rajoute Clémentine. Je conclue : < Vous prenez doucement l'habitude ! >. Rires.
Estelle prend l'aspirateur. Clémentine monte à l'étage. Je commence par nettoyer la cuisine. J'entends Estelle qui chante.

Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère sur les carrelages du hall d'entrée, des toilettes et de la cuisine. Parfait.
Je m'apprête à monter rejoindre Clémentine. C'est oublier le piège dominicale d'Estelle qui cette fois m'attend sur l'escalier.
Elle a son pantalon de pyjama et sa culotte sur les chevilles, assise sur la troisième marche, barrant le passage. La coquine.
Les cuisses largement écartées, elle me fait : < Personne ne m'a baisé hier soir. Tu veux bien y remédier avant ce midi ? >
Je me penche pour lui déposer des bisous sur le front. Elle m'attrape par le cou. < Baise moi Julien ! > me murmure t-elle.

Lorsque Clémentine n'est pas présente, ce genre de choses m'est difficilement possible. Je soulève Estelle pour l'entraîner.
Je la mets sur mon épaule comme un paquet. Je monte l'escalier. J'entre dans la chambre, je la jette sur le lit. Elle rigole.
Je dis à Clémentine : < Cette jeune fille me propose de la baisser ! >. Clémentine qui ferme les fenêtres dit : < Allez-y ! >
Je propose de terminer le ménage d'abord. Je ramasse le tas de draps sales. Je vais à la salle bain. Clémentine me rejoint.
Je lave le bac à douche et le bidet. Clémentine s'occupe du lavabo, des miroirs. Nous entendons Estelle chanter. Aspirateur.

< Put-Hein, regarde, j'en ai plein la gueule ! > me fait Clémentine qui tire les peaux autour de sa bouche devant le miroir.
Je me penche pour constater. C'est difficilement visible sans tirer la peau mais c'est vrai qu'il y en a plein. Et si minuscules.
< Boutons de pipe. Il faut que je me calme ! > fait Clémentine en prenant un gant de toilette savonné pour se frotter avec.
< Demain, ils vont se voir ! > rajoute Clémentine. Je dis : < Et tout le monde se doutera ! >. Nous en rions de bon cœur.
Clémentine descend avec le panier à linge plein à ras bord. Je nettoie les chiottes de l'étage. Je passe la serpillère partout.

J'entre dans la chambre pour m'habiller. Estelle, complètement nue, couchée sur le dos, les cuisses écartées, se masturbe.
Elle m'attendait. < Viens ! On a le droit. Clémentine l'a dit ! >. Je retire mon slip. Je viens frotter mon sexe contre le sien.
< Doucement ! > chuchote t-elle alors que je la pénètre avec d'infinies précautions. Je vois tous ses boutons de très près.
Je lui dis : < Ouvre ta bouche ! Je veux voir dans quoi ces mecs ont trempé leurs bites hier soir ! >. Estelle l'ouvre grand.
< Tu vas y mettre la tienne aujourd'hui ? > me demande t-elle. Et l'air innocent. Je ne peux m'empêcher de l'embrasser.

Estelle se masturbe en même temps que je la baise doucement. Elle me fixe. L'air espiègle. Mutine. Toute contente d'elle.
Je dis : < Tu es adorable Estelle. Tu le sais hein ? >. Elle m'attrape par le cou pour se suspendre à moi. < Oui ! > dit elle.
Ses jambes autour de mes hanches, elle se met à bouger à toute vitesse. Elle ne se masturbe plus. Je l'entends respirer.
Elle se laisse retomber sur le dos en disant : < Put-Hein mais comme c'est bon le matin ! J'y prends goût, si tu savais ! >
Je murmure en me retirant : < Je sais ! >. Je me relève. Estelle se lève en se masturbant. Elle aussi aime rester excitée.

Juste avant que je ne ferme mon pantalon, Estelle me prend par les hanches en disant : < Donne moi un peu à bouffer ! >
Je lui sors la queue qu'elle se met à me sucer comme si sa vie en dépendait. Je lui fais : < Et tu en as eu trois hier soir ! >
Elle cesse. Elle se serre contre moi. Je la prends sur le dos. Nous descendons rejoindre Clémentine à la cave, la buanderie.
Nous trions le linge. Les filles évoquent la dernière semaine de cours qui se profile. Les stratégies à appliquer. Le mémoire.
Je les laisse pour monter à la cuisine. Les pavés de saumon ont décongelé. J'épluche les patates, les carottes et le navet.

Estelle est la première à me rejoindre. Elle prépare les pavés de saumon en papillotes. Clémentine arrive à son tour. Salade.
Dehors, il fait beau. Le soleil est enfin radieux dans un ciel presque sans nuages. < Cet après-midi, vélo ! > fait Clémentine.
Je coupe les légumes en petits morceaux que je fais revenir dans la vieille cocotte en fonte noire. Tout est rapide. Méthode.
Clémentine termine l'assaisonnement de la salade de tomate. Estelle fait cuire les papillotes sur le barbecue dans la véranda.
Je mets la table. Il est midi pile. Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent leurs cours. J'écoute. C'est passionnant.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents. Pressés de filer en vélos.
Nous voilà en tenues. Clémentine porte une jupette sport, Estelle et moi en short. Tous les trois en T-shirts blancs. Parfait.
Nous dévalons l'escaler. Je vérifie le gonflages des pneus. 4,5 bars devant et derrière. C'est bon. Nous voilà sur le chemin.
Cinq cent mètres après avoir traversé la rivière et nous voilà sur la piste cyclable. Il y a du monde. Tout le monde profite.
Il fait tellement agréable. Presque la chaleur d'un 16 juin "normal". Pas d'arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Trop de monde.

Il est à peine 15 h lorsque nous arrivons au port de plaisance. La course des "caisses à savon" a été reportée à aujourd'hui.
Ces petites bagnoles en bois, sans moteur, bricolées par les participants, dévalent la pente depuis le haut de la colline. Bien.
Il y a un monde fou tout le long des cinq cent mètres du parcours. Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie.
Le "Capitaine Haddock" est là, sa casquette vissée sur la tête. Il bavarde avec des gens. Il nous salue d'un signe de la main.
Nous allons à la supérette pour nous offrir nos cônes glacés. C'est plein de clients. Il ne reste plus de nos parfums préférés.

Nous savourons donc quand même d'ignobles cônes à la fraise en allant au stand d'arrivée de la course. Plein de spectateurs.
Nous n'avons jamais vu autant de monde ici. Une fois encore cette manifestation organisée par la municipalité est un succès.
Il est évidemment hors de propos de tenter un plan exhibe. Ce serait folie. Pourtant Clémentine aimerait bien s'y livrer. Dur.
Elle a retiré sa culotte qui est dans le petit sac à dos que je porte. Estelle me touche discrètement la braguette. Faire gaffe.
Nous assistons aux épreuves. Ce sont souvent des hommes d'âges mûrs, des gamins aussi, qui conduisent ces vrais bolides.

Chacun à droit à deux descentes. Le port du casque est obligatoire. Il fait chaud sous le soleil. Le ciel est parfaitement bleu.
Il y a un des "pilotes" qui tire sa "caisse à savon" avec une cordelette. Il a terminé. Il se dirige vers le petite route en haut.
Il va passer entre les barrières où nous sommes. Clémentine s'accroupit rapidement. Personne ne regarde. Cuisses écartées.
Seul le "pilote" découvre le spectacle. Il s'arrête un instant. Il s'accroupit en faisant mine de contrôler une roue. Et il mâte.
L'heureux privilégié à droit à un show de tout premier ordre. Clémentine se redresse. Il y a la famille du type qui rapplique.

Il y a quelques autres occasion, rapides et fugaces, de s'exposer. Clémentine sait les saisir avec un culot inouï. La virtuose.
A tel point que nous la félicitons à chaque fois. Nous en rigolons comme des bossus. Nous traînons là jusqu'à 17 h30. Super.
Plus de cônes, plus de bâtonnets glacés, à la supérette tout à été dévalisé. Trop de monde à la terrasse du café. Frustration.
Nous prenons le chemin du retour. Pas de vent. Il fait presque chaud. Nous croisons un monde fou. Des cyclistes et rollers.
Il est 19 h lorsque nous arrivons à la maison. Je réchauffe la potée. Clémentine s'occupe de la salade de carottes. Rapidos.

Estelle concocte une belle omelette aux crevettes, champignons et ciboulette. Nous mangeons de bon appétit. C'est un régal.
Nous traînons longuement à table. Pour compenser la frustration des cônes, nous nous dégustons d'énormes coupes glacées.
La vaisselle. Je propose aux filles de nous offrir un bon léchage de minou. Après le vélo, la sueur, les chattes sont délicieuses.
Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. Les voilà toutes les deux, à poil, vautrées dans le canapé à me montrer leur moule.
Je suis à genoux sur l'épais coussin. Elles se masturbent toutes les deux tout en m'observant. Je commence par Estelle. Bon.

Le dimanche, c'est jour sans toilettes, sans douche. Avec la bicyclette et la sueur, il y a de quoi déguster et savourer. Miam.
L'odeur du croupion d'Estelle, le goût de sa chatte, m'enivrent. Le dégoût devient rapidement plaisir. C'est un vrai bonheur.
Surtout qu'elle se masturbe en gémissant. J'aspire le jus de chatte en alternant avec le suçage de clitoris. J'en ai plein. Bon.
Je passe au croupion de Clémentine. Ses épanchements, les jus de ses muqueuses, tout cela achève là de me faire vaciller.
Il y a tant à bouffer. J'ai le bas du visage trempé de jus de fille. Estelle connaît un orgasme cataclysmique. Un vrai tsunami.

Elle me repousse délicatement avant de se recroqueviller sur elle-même, main entre les cuisses et comme si elle en souffrait.
C'est au tour de Clémentine. Son orgasme est nucléaire. Je fais gaffe. Elles ont toutes les deux pissé avant. Je reste prudent.
Clémentine hurle de plaisir. Elle aussi se recroqueville. Je me redresse. Estelle qui a repris ses esprits me prend les hanches.
Elle se met à me pomper le dard comme si sa vie en dépendait. Je bande mou. Clémentine ouvre les yeux. Elle est hébétée.
J'éjacule. Il est 22 h15. Il faut s'habiller. Raccompagner Estelle à son auto. Séparation difficile. Au lit, confessions. Puis dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui adorent se faire nettoyer la chatte après une journée sans toilettes, sueur et vélo…

Julien - (Qui malgré s'être lavé les dents, s'endort avec le goût de fille. Clémentine écroulée de fatigue contre lui) -

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On sent les vacances qui approchent

Hier matin, lundi, nous nous réveillons tous deux juste avant que ne résonnent les premières notes de France-Musique.
J'éteins le réveil avant. Il est 5 h55. Quelques papouilles et nous nous levons à toute vitesse pour aller pisser. Les WC.
Le mardi, Clémentine termine à midi. Ce qui la rend euphorique ce matin. C'est amusant. Nous descendons à la cuisine.
Nous nous préparons un délicieux petit déjeuner. Le lundi matin il reste de la brioche. Nous sommes en tenues de gym.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Si ce beau temps ce maintient, cet après-midi nous partirons à vélo.

Il est 6 h25. Nous voilà à courir d'un bon rythme. Ce jogging qui nous manque cruellement avec cette météo capricieuse.
Une heure d'un running des plus agréables et nous prenons notre douche. Je descends le premier. Il fait déjà bien chaud.
Je sors la petite auto de Clémentine qui me rejoint vêtue de son jeans, d'un T-shirt et de ses baskets. Un dernier coucou.
Je regarde la voiture s'en aller. Je rentre. Je fais notre lit, notre vaisselle. Je ressors pour faire le tour de notre propriété.
Il y a monsieur Bertrand, notre plus proche voisin, là-bas, qui pousse une brouette pleine de terre. Un signe de la main.

Je vais au potager. Les tomates grossissent. Elles ne vont pas tarder à devenir rouges. Avec un retard considérable. Météo.
Les cerisiers sont plein de fruits que nous pourrons cueillir dès la semaine prochaine et si ce temps chaud sait se maintenir.
Je profite de la douceur de cette matinée. Moi qui travaille comme une bête à longueur de journée, je peux enfin savourer.
Il est 9 h lorsque je rentre. Je vais dans l'atelier. A l'aide d'un calque d'une ancienne œuvre, je fais un dessin préparatoire.
C'est toujours ça de fait pour la rentrée de septembre. Une nonchalance. Pour ne pas me copier, je change certains détails.

Il est 10 h. Je termine le crayonnage définitif. C'est très rapide. C'est un paysage d'après une photo prise dans les environs.
Je retourne dans le jardin. Là-bas, montant de la rivière, une cavalière. Je me rends rapidement compte que c'est Juliette.
Elle m'aperçoit. Elle se rapproche en souriant. La jeune femme descend du cheval qu'elle attache au tronc d'un des arbres.
Elle est belle dans ce matin ensoleillé. Ses très longs cheveux presque noirs en liberté, sa tenue légère d'écuyère. Radieuse.
Nous nous serrons la main. Nous faisons bouger nos index à l'intérieur de nos paumes. Et c'est un véritable aphrodisiaque.

Nous avons le même réflexe. Nous nous faisons la bise. Nous faisons quelques pas sur les dalles qui serpentent. Il fait beau.
Après quelques lieux communs, quelques civilités d'usage, Juliette en arrive rapidement à ce qui la passionne. La sexualité.
Elle évoque notre soirée de samedi. Passant en revue certaines situations telles qu'elle les a perçu. Chacun ayant sa vision.
Elle me donne ses impressions. Nous allons refaire samedi prochain. Juliette promet quelques variantes. De quoi se réjouir.
< Il est dommage que Clémentine reste ferme dans sa position. Nous aurions plein de choses à nous dire ! > lance Juliette.

Je ne désire pas revenir sur le principe "Tout mais pas de baise" établi par Clémentine. Et surtout lorsqu'elle est absente.
Je préfère rester dans le floue. Juliette rajoute : < Tout finira par arriver. Je remplacerai volontiers Pierre par toi, Julien ! >
Je le sais bien. Clémentine aussi le sait. Mais c'est Clémentine ma compagne. C'est Clémentine que j'aime. Il faut s'y faire.
Juliette cesse de marcher, se tourne vers moi, me regarde longuement en silence avant de ponctuer : < Je suis patiente ! >
Je suis embarrassé. Terriblement embarrassé. Tant de détermination m'impressionne. C'est typiquement féminin. Si beau.

Juliette n'a encore jamais visité mon atelier. C'est un endroit secret et interdit durant ma saison de peinture. Une forteresse.
Je l'invite à le découvrir. Je dis : < Mercredi prochain c'est le vernissage de mon exposition dans ma galerie. Vous venez ? >
Juliette en est ravie. Elle se réjouie déjà. < Je serai là. Je pourrai enfin découvrir un peu plus de vos œuvres ! > me fait elle.
Je la raccompagne jusqu'à son cheval. J'avance mon bras pour lui toucher l'entrejambes. Et je le fais toujours avec vulgarité.
Juliette se cambre sur ses jambes, les pieds légèrement écartés, pour me permettre de bien palper son sexe. C'est bouillant.

< J'aime vos initiatives, Julien ! > me fait encore la jeune femme en se libérant pour monter sur son cheval. Elle me souri.
J'ouvre ma braguette d'un geste lent et calculé. J'en extrait une bite bien dure que je présente à la jeune femme. Je bande.
Je fais bouger mon sexe par une série de contractions des muscles fessiers. Juliette observe, silencieuse, souriante. Belle.
Je dis : < On se voit mercredi soir. Vous venez manger à la maison ! >. Juliette me répond : < Je suis déjà à me réjouir ! >
Je la regarde s'éloigner. Elle arrête sa monture pour se retourner une première fois en mimant une masturbation masculine.

Je me branle pour de bon. Juliette me fait un coucou de la main et continue de descendre vers la rivière et s'arrête encore.
Juste avant de disparaître derrière les bosquets, elle se retourne une dernière fois pour faire le même geste obscène. Joie.
Malgré les quelques trois cent mètres qui nous séparent, je distingue sa fine silhouette parfaite redressée entrain de mimer.
Cette femme est la plus délicieuse salope que je connaisse. Je me sens le plus privilégié des hommes. Je rentre en sifflotant.
Il est 11 h. Le temps de réaliser un second calque sans cesser de penser à la délicieuse cavalière que je revois mercredi soir.

Il est presque midi. Voilà un second dessin préparatoire de terminé. Un autre paysage des environs. Prêt pour septembre.
Je vais à la cuisine. Je fais gonfler du millet doré. Je lave quatre belles tomates. Et je fais rissoler les filets de sole pannés.
Il est 12 h20 lorsque Clémentine rentre. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Heureuse.
Elle s'occupe de l'assaisonnement de la salade tout en racontant sa matinée. L'élaboration de son mémoire qui s'achève.
Il reste trois pages à terminer. Le futur maître de thèse va suivre dix étudiants. C'est un professeur exigeant. Performant.

Il fait tellement beau que nous prenons notre repas au jardin. Nous mangeons de bon appétit tout en continuant à parler.
Je raconte la visite de Juliette, son attitude, ses propos. Mon invitation à la voir au vernissage. < Super ! > dit Clémentine.
Nous traînons à table. Nous évoquons la soirée de samedi à venir. < Je serai dans mon cycle, pas de baise ! > me fait elle.
Nous en rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Encore une soirée pipe en prévision. Miam ! >. Elle est sur mes genoux.
< Je t'aime Julien. La vie est tellement belle avec toi ! > me chuchote t-elle en me couvrant les joues de bisous. Sublime.

La vaisselle. Nous rangeons. Nous montons nous laver les dents, nous mettre en tenues vélo. Jupette sport, short, T-shirt.
Le rituel du "Maître" et de sa "Soumise" devant le miroir de l'armoire qui nous amuse toujours tant. Nous dévalons l'escalier.
Pressés de filer, nous voilà sur nos bicyclettes pour rejoindre la piste cyclable. Il fait beau. Il fait chaud et quelques nuages.
Nous croisons peu de gens. Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest. Nous longeons le canal. Des bateaux de plaisance.
Arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Nous attendons une "V.P.", (victime potentielle), une dizaine de minutes. Mais personne.

Nous arrivons au port de plaisance vers 15 h30. Ces 25 km sont toujours un réel enchantement dans un paysage bucolique.
Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie. Le cabanon est fermé et pas de "Capitaine Haddock" aujourd'hui.
Nous traversons la route étroite pour nous rendre à la supérette. La culotte à Clémentine est dans le petit sac à dos. Super.
Nous bavardons un peu avec madame Marthe, la gérante. La dame nous apprend que dimanche il y a une marche populaire.
Des festivités en prévision puisque l'arrivée est sur le port. Il y aura même un orchestre folklorique de Pont-Aven. Fameux.

Dans la supérette, il y a un touriste solitaire. Chemise hawaïenne, short rouge, sandalettes, large chapeau de paille. Grand.
< Reste en retrait, je vais m'amuser un peu ! > me murmure Clémentine. Je reste devant les conserves. Clémentine avance.
De là où je suis, dans la vitre du congélateur, je la vois avancer doucement dans le rayon des pâtes. Le type la voit arriver.
Clémentine est accroupit. Comme toujours, elle pratique son show en virtuose, faisant mine de scruter le rayonnage du bas.
Cuisses légèrement écartées, tournée de trois quart en direction du touriste. C'est évidement spectaculaire. Mais très discret.

Je m'avance un peu pour mieux voir. Je mâte dans le reflet des hautes portes vitrées des congélateurs. Je vois parfaitement.
Le mec ne sait pas trop quoi faire. L'occasion est trop belle. Je comprends rapidement son hésitation. Une femme le rejoint.
Clémentine se détourne sans changer de position. Le couple s'éloigne. Je rejoins Clémentine pour dire qu'ils sont en caisse.
Ce petit jeu nous a émoustillé. Nous prenons nos cônes glacés. En caisse, le type revoit Clémentine accompagnée. Il mâte.
Rapidement, discrètement, je mets ma main sur le sexe de Clémentine. Je le palpe à travers le tissu de la jupe. Et vulgaire.

Le touriste est le seul à s'en rendre compte. C'est tellement fugace. Je cesse. Nous quittons avec nos cônes. Ils sont gelés.
Nous les savourons en flânant sur les quais. Clémentine m'entraîne dans les fourrés derrière les sanitaires et les toilettes.
Les sanitaires réservés aux plaisanciers sont fermés. Chacun d'entre eux reçoit sa clef. Seules les toilettes sont accessibles.
Il n'y a personne. Clémentine aimerait bien s'y livrer à quelques jeux de rencontres, à quelques situations exhibitionnistes.
Il faut se faire une raison. Ce ne sont pas encore les vacances. Il y a peu de monde. Je sors ma bite pour l'agiter, branlette.

< Au moins il y a toujours la tienne ! > me fait elle en s'accroupissant pour la humer longuement. Se mettre à la suçoter.
Je lui caresse la tête. Je chuchote des douceurs, des cochonneries. J'entends les < Mmhh ! > quand je dis des saloperies.
Nous sommes tous deux au milieu de la petite salle carrelée, propre, à l'odeur de chlore. Clémentine suce. Moi je surveille.
Pourtant, malgré nos attentes, personne n'arrive. Nous cessons. Nous retournons flâner sur les quais. A mâter les bateaux.
Il est 17 h30 lorsque nous prenons le chemin du retour. C'est facile, le vent nous pousse. Nous croisons peu de gens. Bien.

Il est 19 h lorsque nous arrivons à la maison. Morts de faim, nous nous préparons un rapide repas. Des spaghettis complets.
Clémentine fait une rapide salade de carottes. Je fais rissoler des crevettes à la poêle. Avec de l'ail, de l'oignon et du curry.
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Clémentine me répète à quel point elle a besoin d'être seule avec moi.
La vaisselle. Nous allons profiter de la douceur au dehors. Je propose un bon léchage de minou avant le dodo. Bonne idée.
Pourtant, au lit, après nous êtres copieusement sucés, nous faisons l'amour. Je termine Clémentine au cunni. La pipe. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment être seules avec leur compagnon pour une baise en amoureux…

Julien - (Qui n'apprécie rien autant que de savoir Clémentine heureuse, épanouie et contentée par un bel orgasme) -

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Classe - 48 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 824 -



Un mardi semblable au jour précédent

Hier matin, mardi, c'est le prélude en Do Majeur de Jean-Sébastien Bach, qui nous tire de nos profonds sommeils. Violent.
< <Il passe son Bach ! > fait Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé de mon côté sur la table de nuit.
Quelques papouilles et Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Vêtus de nos tenues sport, nous descendons.
Nous nous préparons un copieux petit déjeuner. Tout comme hier, Clémentine n'a pas cours cet après-midi. C'est superbe.
Nous mangeons de bon appétit tout en élaborant le programme de l'après-midi. S'il fait beau, virée à bicyclette. C'est bien.

Il est 6 h25 lorsque nous affrontons notre jogging matinal dans la douceur. Il fait tellement agréable depuis quelques jours.
Une heure d'un running gratifiant et nous voilà de retour pour prendre notre douche. Je redescends le premier. Il fait chaud.
Je sors la petite auto de Clémentine qui me rejoint vêtue d'une robe d'été. < Tant pis pour les cons de la fac ! > me dit elle.
De ces crétins toujours à faire des remarques désobligeantes ou graveleuses lorsqu'une fille vient en cours en jupe ou robe.
Un dernier bisou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre faire le lit et la vaisselle. Je retourne dehors.

Je fais le tour de la propriété. D'ici quelques jours, les cerises seront mûres. Les tomates aussi. Nous en profiterons très peu.
Cette année, avec cette météo, tout a pris du retard. Nous partons le 28 juin pour l'écosse. Les fruits seront pour les autres.
Je rentre. Je vais dans l'atelier. Je mets à profit ces quelques jours sans peinture pour de nouveaux dessins préparatoires.
Je prends les calques d'anciennes œuvres pour reproduire leurs contours sur la toile. J'y change des choses. D'autres détails.
J'en réalise deux. Il est déjà presque midi. Me voilà satisfait. C'est ça de fait pour septembre. Quatre nouveaux projets. Joie.

Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau des coquillettes pendant que je prépare une pâte à pain et que je coupe le poireau.
Il est 12 h20. Clémentine arrive à toute vitesse, toute contente. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Heureuse.
Je concocte une Béchamel dans laquelle je rajoute les petits morceaux de poireaux cuit. Clémentine s'occupe de la salade.
La Flamiche Picarde, cette tarte aux poireaux qui fait les délices de nos mardis soirs est prête. Je récupère de la Béchamel.
Ce sera la sauce en accompagnement de nos coquillettes. Je fais rissoler deux filets de sole préalablement panés. L'oignon.

Nous mangeons dans le jardin comme hier et de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Il reste une page à écrire.
Son mémoire sera terminé. C'est à présent un travail d'équipe que réalisent des groupes de dix étudiants. C'est intéressant.
Nous ne traînons pas. Nous sommes pressés de filer. Nous débarrassons et la vaisselle. Nous montons nous laver les dents.
Nous nous mettons en tenues. Jupette sport pour Clémentine. Short en coton pour moi. Nous portons le même T-shirt bleu.
Nos baskets. Nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos que je porte, pommes, barres de céréale et bouteille d'eau.

Il est 13 h30 lorsque nous prenons le chemin qui mène à la piste cyclable. Il fait très chaud. Il serait bête de s'en plaindre.
Nous pédalons contre un vent d'Ouest. Nous croisons quelques rares cyclistes. Arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Personne.
Nous attendons une dizaine de minutes mais la piste reste déserte. Clémentine aimerait bien s'exhiber un peu. Un pissou.
Tant pis. Elle se garde pour la prochaine étape. Nous arrivons au port de plaisance pour 15 h15. Il n'y a pas grand monde.
Les joueurs de pétanque. Quelques plaisanciers sur le pont de leur bateaux et des touristes en goguette. La chaleur forte.

Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie du port. Aujourd'hui, elle est ouverte. Le capitaine à l'intérieur.
Je propose à Clémentine d'aller le saluer alors que je fais le tour du cabanon. Nous entendons parler. Il y a un plaisancier.
Le capitaine, tout en parlant avec le propriétaire d'un bateau, aperçoit Clémentine. Il lui fait un signe de la main. Coucou.
Nous traversons la rue pour nous rendre à la supérette. Nous bavardons avec madame Marthe, la gérante. Peu de clients.
Nous prenons les cônes glacés que nous savourons en flânant sur le quai. Il y a du monde, là-bas, sur la terrasse du café.

Nous revenons rôder du côté des bâtiments des sanitaires réservés aux plaisanciers et des toilettes publiques. Personne.
Clémentine retire sa culotte qu'elle glisse dans le petit sac à dos que je porte. Elle m'entraîne dans les fourrés. Planque.
Je la touche. Nous nous embrassons. Nous sommes rapidement excités. Je suggère à Clémentine d'allumer le capitaine.
Nous l'apercevons là-bas, sur le pas de la porte de son cabanon à fumer une cigarette. Il regarde un bateau manœuvrer.
Un nouvel arrivant. < S'il y a un blême, tu rappliques ! > me fait Clémentine en sortant de notre cachette. C'est parfait.

Le capitaine voit arriver la jeune fille. Clémentine marche doucement, les bras croisés. Elle s'arrête à la hauteur du cabanon.
Ils sont à une cinquantaine de mètres. Je ne peux rien comprendre de la conversation qui s'engage. Je vois Clémentine rire.
Elle entre dans le cabanon. C'est frustrant. Je ne les vois plus. Impossible de sortir de ma cachette pour aller regarder. Dur.
Quelques minutes. Clémentine sort la première suivie du capitaine qui ferme la porte à clef. Il invite la jeune fille à le suivre.
Ils viennent par ici. Je comprends immédiatement. J'ai juste le temps d'entrer dans les toilettes, dans un des trois cabinets.

Je ne m'étais pas trompé. Le capitaine a invité Clémentine. Certainement une proposition salace. Je suis debout sur le WC.
J'ai toujours peur que le couvercle cède sous mon poids. Je reste totalement silencieux. Je regarde et j'écoute. Fantastique.
Le capitaine ouvre sa braguette. Il en sort sa bite. Une vraie saucisse viennoise. Toute blanche, molle, assez longue et fine.
Je ne l'avais jamais vu aussi bien. Le capitaine l'agite en la tenant à sa base. < Tu la veux vraiment ? > demande le bougre.
Clémentine, près de la porte, regarde à l'extérieur. < Viens, on s'enferme dans un des chiottes ! > fait encore le capitaine.

Clémentine reste étrangement silencieuse. Elle me semble plutôt intimidée, presque gênée de se retrouver dans cet endroit.
Pourtant elle entre dans le cabinet voisin. Je suis obligé de me mettre sur la pointe des pieds pour regarder de l'autre côté.
Le type referme la porte à clef. La voilà seule avec lui. C'est la première fois que je la vois si timide. Elle ne joue pas. Sûr !
Le capitaine referme le couvercle sur la cuvette et invite Clémentine à s'y assoir. Elle hésite. Elle est presque contre le mec.
Elle le contourne en prenant soin de garder toute la distance possible dans l'étroit réduit. J'ai mon cœur qui bat la chamade.

Il toque dans ma poitrine. A tel point que j'ai peur qu'on puisse l'entendre. C'est certainement pareil pour Clémentine. Dur.
Elle est assise sur le couvercle rabattu. Le capitaine reste appuyé contre le mur carrelé derrière lui. Il agite sa queue molle.
La situation perdure un long moment. Pas un mot. J'entends les respirations. Je suis en apnée. Et je me sens presque mal.
Le capitaine se rapproche. Il est devant la fille. Le voilà qui passe délicatement sa bite sur le visage de Clémentine. Silence.
Elle a un mouvement de recul. Le capitaine n'est pas du genre à brusquer les choses. Il attend qu'elles se passent. Parfait.

C'est un brave type. Je suis soulagé. Clémentine pose ses mains sur les hanches du capitaine. Elle a un mouvement de tête.
Elle gobe la bite du capitaine qui pousse un < Oh ! >. L'angle de vue, depuis là haut, n'est pas super. J'aimerais voir mieux.
Je peux tout de même constater que Clémentine a les joues creusées par l'effort de succion. Et le capitaine reste immobile.
Il a posé ses mains sur celles de Clémentine. Je l'entends souffler et respirer fort. Clémentine qui le suce silencieusement.
< Tu aimes ça ma belle ? > lui chuchote t-il. Clémentine se contente de pousser un gémissement affirmatif. Il gémit aussi.

Je bande comme un salaud. J'ai une méchante envie de me branler. Le type ne bouge absolument pas. Une pipe immobile.
A présent je vois Clémentine qui déglutit. Elle se retire à chaque fois pour pouvoir le faire. Le capitaine l'observe en silence.
< Tu reviens me faire ça quand tu veux ! > murmure t-il avant de rajouter en enfonçant sa bite : < Je suis là tout l'été ! >
Clémentine cesse de pomper. Elle lève la tête pour fixer le mec. Elle répond : < Je pars bientôt et jusqu'en septembre ! >
Elle rajoute : < Mais je peux encore revenir une ou deux fois ! >. Le capitaine fait : < Je bosse jusqu'au 30 septembre ! >

La pipe continue. Clémentine cesse de pomper par intermittences régulières. Afin d'avaler et reposer sa mâchoire. Parfait.
Ce type est entrain de se faire tailler une pipe pendant une bonne demi-heure. Il doit probablement éjaculer. Il se secoue.
Son gros ventre contre le visage de Clémentine qui s'est enfoncée toute la bite pour déguster en gémissant de plaisir. Joie.
Lorsque le mec ressort enfin sa queue, il pose délicatement sa main sur la tête de Clémentine pour dire : < Merveille ! >
Il rajoute : < Tu sais que ça fait plus de dix ans que je n'ai plus eu aucun rapport avec une femme ! Et je te remercie ! >

Clémentine s'est redressée. Elle n'a qu'une envie. Sortir. Le capitaine est un véritable gentleman. Il ouvre la porte et sort.
< Merci mademoiselle. Vraiment, c'était merveilleux ! > n'arrête t-il pas de dire. Clémentine sort des toilettes sans parler.
Le capitaine se réajuste et sort à son tour. Moi aussi je peux enfin quitter ma cachette. Là-bas, le capitaine à son cabanon.
Il ouvre la porte. Clémentine lui serre la main. Il touche sa braguette en levant son pouce. Clémentine vient me rejoindre.
Je suis dans les fourrés. Je la félicite. < C'était génial ! > me fait elle en tirant une pomme du sac à dos. Changer de goût.

Nous prenons la route du retour. Clémentine me fait : < J'ai réalisé ton fantasme. J'ai réalisé le mien ! >. Le vent pousse.
Nous faisons toute la route en évoquant ce qui s'est passé. C'est le premier inconnu que Clémentine a sucé. C'est superbe.
Elle me donne ses impressions. Ce sont des sensations uniques, jamais ressenties. Elle veut évidemment refaire. C'est bon.
Il est 19 h lorsque nous sommes de retour. Estelle est déjà là. Elle nous accueille avec plein de bises. Elle me saute au cou.
La tarte aux poireaux est au four. La salade est prête, la table est mise. Nous la félicitons. Nous mangeons de bon appétit.

Nous traînons à table. Clémentine raconte son expérience. Estelle écoute et pose des questions précises. C'est passionnant.
Clémentine évoque le goût de cette nouvelle bite. Une bite qui reste semi molle tout le temps. Délicieuse, légèrement salée.
Nous traînons à table. La vaisselle. Je propose aux filles un léchage de chatte. Au salon. Je passe de l'une à l'autre. Génial.
Le sexe de Clémentine est un véritable délice. Une fontaine à cyprine. L'excitation de la pipe, le vélo, la sueur. Festin de roi.
L'orgasme d'Estelle est nucléaire. Celui de Clémentine est cataclysmique. Il est 22 h15. Estelle s'en va. Au lit, confidences.

Bonne pipe dans les toilettes à toutes les coquines qui aiment se retrouver avec la bite d'un inconnu en bouche…

Julien - (Qui écoute Clémentine lui confier à quel point cette nouvelle expérience la passionne. Vivement le port) -

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Juliette sait se montrer exhibitionniste

Hier matin, mercredi, c'est le Concerto pour deux voix de Clémence Saint Preux qui nous tire de nos profonds sommeils.
< Voix de garage ! > fait Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit.
Quelques bisous. Nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues sport, nous descendons à la cuisine. Une faim.
Nous nous préparons un superbe petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit et en évoquant Juliette qui vient ce soir.
Il est 6 h25 lorsque nous affrontons notre jogging dans la joie. Une heure d'un running des plus agréables. Notre douche.

Je descends le premier pour aller sortir la petite auto à Clémentine qui me rejoint vêtue d'une robe d'été et sandalettes.
Un dernier bisou. Je la regarde partir. Il est 7 h45. Je fais le tour de la propriété. Il y a là une puissante odeur d'humus.
C'est rare en début d'été. C'est une odeur d'automne. J'en déduis que ce sont les pluies incessantes des derniers jours.
Je salue monsieur Bertrand, notre plus proche voisin, là-bas qui est déjà affairé. C'est un matinal. Un homme de la terre.
Il y a son énorme Doberman, "Max" qui arrive à toute vitesse pour me saluer lui aussi. Et tellement heureux de me voir.

Je rentre pour monter faire notre lit. Je redescends faire notre vaisselle. Je sors une pâte feuilletée du congélateur. Bien.
Un gros pavé de saumon également. Ce sera pour notre repas de ce soir. C'est le plat préféré à Juliette. Et un des nôtres.
Il est 8 h30. Je vais dans l'atelier. C'est machinal. C'est un peu un réflexe. Je m'apprête à réaliser un dessin préparatoire.
Je dispose le calque d'une ancienne œuvre sur une toile vierge. Une nature morte. Je change quelques détails. Disposition.
Il me faut une heure trente pour faire le crayonnage définitif. Je procède de même pour un autre. C'est un travail ludique.

Il est presque midi. Me voilà avec quatre toiles prêtes à êtres peintes. C'est ça en avance pour le mois de septembre. Bien.
Je vais à la cuisine. Dehors il fait si beau. Le soleil est majestueux dans un ciel légèrement voilé mais principalement bleu.
Je lave les feuilles d'une laitue. Je fais gonfler du pilpil de blé. J'émince finement le saumon. J'étale la pâte feuilletée. Joie.
Je concocte une Béchamel. J'y verse le saumon que j'ai fait revenir à la poêle avec de l'ail, de l'oignon et de la ciboulette.
Je dispose la pâte feuilletée dans un moule à cake. J'y verse la Béchamel et après en avoir récupéré un peu comme sauce.

J'y rajoute du gruyère de Comté finement râpé, du gingembre en poudre, de la noix de muscade, une pincée de poivre noir.
J'enroule la pâte pour bien fermer le tout. Je scelle les bords de la pâte avec les doigts. Je badigeonne d'œuf, crème fraîche.
Voilà notre feuilleté de saumon au four. Je le règle de manière à ne plus avoir à intervenir. Il y restera jusqu'à ce soir. Bien.
Avec le pilpil de blé et la sauce je me fais un beau filet de cabillaud préalablement pané que je fais rissoler à la poêle. Miam.
Je mange de bon appétit. J'ai pris mon temps. Je traîne à table. Il y un couple d'oiseaux qui jouent sur le rebord de fenêtre.

Je fais la vaisselle. Je range la cuisine. Je vais au salon pour y préparer la grande table monastère. Ce sera pour la soirée.
Je déplie le chemin de table en lin écru. Je dispose les assiettes en grès, les couverts en cuivre, les verres et les serviettes.
Tout est prêt. Je sors par une des portes fenêtres ouvertes. Je descends les quatre marches de l'escalier. Il fait très chaud.
Je fais le tour de la maison. Je vais m'assoir sur la balancelle. Quel plaisir de ne rien foutre. C'est tellement rare. Bonheur.
Je fini par m'assoupir malgré le gazouillis incessant des oiseaux. Il y a peu d'insectes. Je ne suis pas importuné. C'est bien.

Il est 14 h30 lorsque j'émerge. Le soleil tourne doucement. C'est son reflet doré dans les eaux du bassin qui m'a réveillé.
Je rentre. Je vais dans l'atelier. Je pose six toiles vierges au sol. Toutes de format F6, (41 x 33 cm). Je prépare du gesso.
Le gesso est constitué de particules de blanc de titane en suspension dans une résine acrylate. C'est pour la sous couche.
Je passe quatre couches sur chacune des toiles. Je les passe l'une après l'autre sur chacune des surfaces. Ça sèche si vite.
Je ponce soigneusement chacune d'entre elles afin d'avoir une surface parfaite, lisse et au poli ivoirin. Un travail physique.

Voilà six toiles déjà prêtes pour la saison prochaine. Je regarde le tout. Je me félicite. Il est 16 h20. Clémentine qui rentre.
Elle se précipite pour me sauter au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Elle est si heureuse. Le bonheur.
Clémentine m'entraîne par la main. Nous montons à toute vitesse. Nous nous mettons en shorts, T-shirts et nos baskets.
Avec ce temps magnifique, elle me propose une balade. Nous descendons le chemin jusqu'à la rivière. Il fait chaud. Super.
Il y a monsieur Bertrand occupé à ses ruches. Il nous salue. Il est à 50 mètres, le bourdonnement incessant des abeilles.

Nous longeons la rivière. Clémentine me tient par la main. Elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire.
Les cours, les profs. L'achèvement de son mémoire. La journée de demain sera consacrée aux ultimes corrections. Terminé.
Vendredi matin il faudra passer un oral de dix minutes afin de développer l'écrit par la parole. La dernière épreuve. Super.
Clémentine, tout en parlant, sautille souvent autour de moi. J'écoute avec admiration. C'est tellement passionnant. Parfait.
Là-bas, il y a les toits du haras. Nous restons assis à l'ombre des saules. En cet endroit la rivière s'élargit et forme un étang.

Clémentine ouvre ma braguette pour m'en extraire le Zob. Avec cette chaleur, la bite colle un peu au fond du slip. Normal.
Ce n'est pas très agréable. Clémentine se lève pour s'accroupir devant moi, entre mes jambes. Elle hume l'odeur de queue.
< Mmhhh ! Ça fouette ! > me fait elle en éclatant de rire. Je dis : < Ça va attirer les mouches ! >. Nous rions de bon cœur.
Clémentine me décalotte malgré tout très légèrement. Immédiatement l'odeur monte aux narines. Fromage de saison. Eté.
On discerne bien l'aspect grumeleux du Parmezob qui colle tout autour du gland, sur le bord des plis fripés de mon prépuce.

Je regarde Clémentine s'enivrer des effluves parfumées de ma journée d'homme. Ça me gêne toujours un petit peu. Sale.
Je caresse la tête de Clémentine qui me donne ses impressions. Elle me raconte sa fellation au capitaine, hier, dans les WC.
J'écoute en l'encourageant à récidiver encore une fois avant notre départ pour l'Ecosse. < Tu n'es pas joux ? > lance t-elle.
Je la rassure encore une fois. J'aime la voir faire des saloperies avec un autre et rester dissimulé pour admirer le spectacle.
< On s'est bien trouvés tous les deux ! Nous sommes aussi vicieux l'un que l'autre ! > me fait Clémentine tout en humant.

< La bite du capitaine sentait le savon. Très propre ! Bien juteuse. Et d'un jus légèrement salé. > m'apprend t-elle encore.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Ça change de la bite puante de Gérard ! >. Je rappelle qu'on le voit samedi.
Clémentine lèche consciencieusement les petites particules de fromage. Je regarde. Ses traits respirent une extase divine.
J'aime la voir téter. Juste l'extrémité du Zob. Parfois on entend un petit bruit bulleux. Je secrète du liquide séminal. Super.
Clémentine cesse souvent, pour avaler et pour continuer à me raconter. Je suis pétri d'émotion. C'est un tel enchantement.

Il faut retourner. Il est 18 h40. Le temps d'arriver. Il y a trois petits kilomètres. Même si tout est déjà prêt, il faut y aller.
Je marche avec la bite à l'air. Parfois, il y a bien quelques insectes qui virevoltent mais Clémentine les chasse de la main.
Nous arrivons à la maison pour 19 h15. Il fait tellement agréable que nous envisageons même de manger dehors. Super.
< Prenons des précautions ! > fait Clémentine. Nous rentrons. Nous montons nous changer. Clémentine porte une robe.
C'est une robe d'été, légère, claire à motifs floraux pastels. Sur sa demande je porte un bermuda clair et une chemisette.

Nous redescendons. Il suffit de réchauffer à feu doux le feuilleté de saumon, de préparer l'assaisonnement de notre salade.
Je fais rissoler quelques petites pommes de terre "Bintje" qu'il est tout à fait inutile d'éplucher. Elles se flétrissent. Un régal.
Il est 19 h45. Trois coups de sonnette. Clémentine se précipite. Elle revient suivie de Juliette vêtue d'une robe légère d'été.
Nous nous serrons la main tout en nous faisant trois bises bretonnes. Les bises, c'est tout nouveau. Nous bougeons le doigt.
Je prends Juliette par ses épaules, je la fais tourner sur elle même pour lui dire : < Vous êtes magnifique Juliette ! >. Belle.

C'est beau l'été. Les filles sont habillées de robes légères, chaussées de sandalettes et sont animées d'un dynamisme neuf.
Nous devrions vivre en été toute l'année. Nous sommes tous les trois morts de faim. J'invite les filles à prendre place. Joie.
C'est moi qui fait le service. < "Mario le serveur" ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur. Je vais à la cuisine. Parfait.
J'entends Clémentine et Juliette bavarder et tire sans comprendre ce qu'elles disent. Cela importe peu, c'est tellement bien.
J'apporte la salade. Mais quelle surprise. Elles sont toutes les deux accroupies, l'une à côté de l'autre, les cuisses écartées.

Ce n'est pas un comportement habituel de Juliette. Je vois rarement son sexe. Sa toison pubienne est remarquable. Noire.
Contrairement à celle de Clémentine qui présente un aspect "sauvage", celle de Juliette est bien taillée. Un parfait triangle.
Je les félicite pour cette attention charmante. Je retourne à la cuisine pour chercher le feuilleté. Je sors ma bite. Je bande.
Je reviens. Cette fois elles sont toutes les deux assises sur le bureau, cuisses largement écartées, jambes relevées. Dingue.
Je les félicite une fois de plus. Je pose le plat. Je m'approche. Je me penche. Je scrute avec attention la chatte de Juliette.

C'est la première fois que je peux tout voir avec tant d'acuité. Ses poils sont effectivement bien taillés. C'est du grand art.
C'est pour ça que j'entendais les deux coquines rigoler depuis le salon. Elles préparaient cette délicate surprise. Merveille.
Elle explique. Ses origines méditerranéennes, (Juliette est Corse), sont probablement à l'origine d'une telle pelouse noire.
Nous passons à table. Nous mangeons de bon appétit. La conversation tourne autour de nos prochaines vacances. Super.
Ce n'est qu'au dessert, devant nos coupes glacées géantes que Juliette évoque la soirée qui nous attend samedi au haras.

La jeune femme nous réserve quelques surprises. Tout cela est hyper excitant. Le mystère. Mais Juliette est mystérieuse.
Je me lève parfois pour agiter ma queue molle dans sa direction. Et ça gicle un peu. Nous en rigolons comme des bossus.
Nous débarrassons. Juliette insiste pour faire la vaisselle avec nous. Il est 22 h. Nous sortons profiter du crépuscule. Joie.
Debout à côté de la balancelle où s'est assise Clémentine, Juliette reste droite, les pieds écartés. Et légèrement cambrée.
J'avance la main pour la lui passer sous la robe. Je palpe sa vulve humide avec vulgarité mais avec douceur. Elle me fixe.

Juliette nous raconte la pipe qu'elle a faite à Gérard hier soir. Clémentine évoque celle faite au capitaine du port. Porc.
Juliette n'a pas le fantasme de sucer des inconnus. Gérard pour la pipe, Pierre pour la baise. Et nous pour tout partager.
Elle me retire doucement la main. J'ai le doigt gluant car je l'ai enfoncé profondément. < Samedi ! > me fait elle. Rires.
Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Trois bises. Nous la regardons partir. Clémentine m'entraîne par la bite dure.
Au lit, je lui offre un cunni d'enfer avant de la baiser un peu. Je la termine au léchage de minou. Nous plongeons. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment montrer leur chatte poilue, accroupies ou assises sur un bureau…

Julien - (Qui se réjouis pour cette soirée à thème. Ce samedi soir promet encore quelques belles émotions) -

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Classe - 1 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 826 -



Il y a déjà comme une parfum de vacances

Hier matin, jeudi, c'est le concerto pour flute de Vivaldi qui nous arrache brusquement de nos profonds sommeils. Violent.
< Oh oui de la flute ! > lance Clémentine qui me chevauche pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit.
Nous en rions de bon cœur. Il est 5 h55. Quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes. C'est le rituel des pissous.
Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. Nous y préparons le petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant la soirée de hier en compagnie de Juliette. Déjà 6 h25. Nous voilà dehors.

Nous affrontons notre jogging matinal avec un bel enthousiasme. C'est tellement bon de courir le matin dans la campagne.
Une heure d'un running des plus agréables et nous voilà de retour pour prendre notre douche. Puis je descends le premier.
Je sors la petite auto de Clémentine qui me rejoint vêtue d'une de ses légères robes d'été. Et chaussée de ses sandalettes.
Un dernier bisou. Un dernier coucou. Je regarde la voiture s'en aller. Je profite de cette belle matinée. Un ciel voilé et clair.
Il est 7 h45. Je fais le tour de la propriété. Les cerisiers portes. Plus que quelques jours puis la cueillette portera ses fruits.

Je flâne ainsi jusqu'aux environs de 8 h15. Je rentre. Je monte faire le lit. Je redescends faire la vaisselle. Je vais à l'atelier.
Dans l'armoire, je récupère un des calques de la série "natures mortes". J'y conserve en archives tous mes dessins passés.
Je pose ce calque sur une toile vierge, enduite et poncée hier. Je reproduis le dessin en changeant quelques détails. Super.
Cela évite de me parodier. Je peux réaliser une œuvre originale sans trop me fouler. J'en fais encore deux dans la matinée.
Il est presque midi. Je vais à la cuisine. Je fais gonfler du riz complet et Bio. Je lave les feuilles d'une belle et grasse scarole.

Je fais une pâte à pain. Je prépare une garniture. Tomates, ciboulette, persil, ail, oignon, champignons finement émincés.
Ce sera pour les pizzas de ce soir. Un autre de nos rituels. Je récupère un peu de garniture comme sauce avec le riz. Bien.
Je me fais frire un filet de cabillaud préalablement pané. Je râpe du gruyère. Puis un rapide assaisonnement pour la salade.
Je mange de bon appétit dans le jardin. La pâte à pain repose sous un linge. La garniture repose sous un couvercle. Parfait.
Je traîne longuement à table. Le ciel est bleu avec quelques voiles blancs. Il fait chaud. Je suis à l'ombre du vieux pommier.

Le gazouillis des oiseaux. Quelques bourdonnements d'insectes. Une légère brise des plus rafraîchissante dans le feuillage.
J'apprécie vraiment de ne rien foutre. C'est tellement rare. En temps normal je déteste l'oisiveté. Je suis d'un naturel actif.
Je débarrasse. Je fais la vaisselle. Je range la cuisine. Il est 13 h45. Je retourne dans l'atelier. Je vais y préparer des toiles.
Comme hier, j'en dispose six au sol sur des feuilles de papier. Je les passe au blanc de titane dans une émulsion d'acrylate.
Ce fameux "Gesso" que j'applique en quatre couches successives, toile après toile. La météo parfaite. Le tout sèche si vite.

Je ponce les surfaces avec soin. Il faut que ce soit aussi lisse qu'une surface d'ivoire. Le dessin du pinceau en est agréable.
Poncer est un travail physique. Je suis juste en slip, rapidement couvert de sueur. Il est 16 h. Je monte me doucher. Enfin.
Je redescends juste au moment où arrive Clémentine qui me découvre en slip. Elle me saute au cou. Me fait plein de bises.
Nous retournons à l'extérieur. Et, assise sur mes genoux, sur une des chaises du jardin, Clémentine me raconte sa journée.
Les profs, les cours, le menu du restaurant universitaire. Son mémoire qui est terminé. 20 pages d'un travail remarquable.

Comme je suis en slibard, tout en conversant, Clémentine joue avec la biroute qu'elle m'a sorti. Je bande mou en écoutant.
Nous montons nous changer. Clémentine met une jupette légère. Je mets un short léger. Nous enfilons des T-shirts blancs.
Nous chaussons nos baskets pour aller marcher un peu. Comme hier, nous descendons à la rivière. Main dans la main. Bon.
Nous faisons un premier bilan de cette fin de printemps. Demain, 21 juin, c'est le premier jour de l'été. Des réjouissances.
Nous longeons la rivière. Nous flânons plutôt que nous ne marchons. J'ai la bite à l'air. Clémentine a ses "machins de fille".

Réglée comme une horloge, tous les 20 du mois, cela dure trois jours. Légères douleurs aux seins qui grossissent un peu.
Ce sont les seuls jours où Clémentine est obligée de porter un soutien gorge. Elle déteste ça. Nous en rions quand même.
< Pas de baise samedi soir ! > fait elle avec un air de dépit et en soupirant. Nous rigolons comme des bossus. Pas grave.
< Il y aura de la bite quand même ! > rajoute t-elle. Je précise : < Et du choix ! >. Nous n'arrêtons pas d'éclater de rires.
Nous faisons le programme de la semaine prochaine. Il faut préparer ma galerie, préparer le vernissage et les invitations.

C'est la troisième exposition que connaît Clémentine depuis que nous sommes ensemble. Elle veut s'occuper du maximum.
Ses capacités d'organisation m'enchantent toujours. Elle sait prévoir. Elle sait anticiper. Se comporter en femme d'affaires.
Clémentine s'occupe donc des invitations dès demain. Je sais pouvoir lui faire confiance. Nous irons à la galerie dès lundi.
Il faut nettoyer, aérer, passer la cireuse, laver les carreaux. Encadrer les toiles. Les accrocher aux cimaises. De quoi faire.
Nous nous réjouissons pour cette occupation. Le vernissage aura lieu mercredi soir et il y aura une vingtaine de personnes.

Il reste des assiettes et des gobelets en carton ciré. Des serviettes papier. Le rouleau de nappe en papier. Tout est prévu.
De quoi nous amuser dès le début de la semaine prochaine. Clémentine, derrière moi, penchée à ma droite, me masturbe.
Je n'ai qu'à me laisser bercer par le flot de ses paroles. Et elle énumère chacune des tâches à accomplir pour ce vernissage.
< Je t'aime Julien ! > fait elle souvent entre chacune des phrases. Je dis : < Moi, en plus de t'aimer, je suis amoureux ! >
Nous nous embrassons comme des fous. Nous prenons le chemin du retour. Il est 18 h45 lorsque nous sommes de retour.

Estelle est déjà là. Il y a son auto garée à côté du garage. Elle nous voit monter depuis la rivière par la fenêtre de la cuisine.
Elle se précipite pour venir à notre rencontre. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Joie.
< On se calme ! > fait Clémentine qui s'interpose par jeu. < Les pizzas sont au four ! > fait Estelle en découvrant ma bite.
Sous le T-shirt elle n'est pas immédiatement visible. Il faut bien regarder pour voir qu'elle dépasse. Mais là je bande un peu.
C'est la bosse qui trahi sa présence. < Génial ! > s'écrie Estelle en me la saisissant. < Et ç'est tout chaud ! > rajoute t-elle.

Je dois pisser. Je me place contre le tronc du vieux chêne après la barrière. Estelle me tient la bite pour en diriger le jet.
Les filles sont penchée en avant, le visage tout près de mon sexe pour guetter le premier jet. Et c'est d'abord une giclée.
< On sent quand ça passe, comme un tuyau d'arrosage ! > s'écrie Estelle, comme émerveillée alors qu'elle connaît bien.
Je pisse par petits jets réguliers. Comme je bande mou, il est très facile pour Estelle de diriger. Elle me la tient bien fort.
Je commence à bander davantage. Estelle est donc obligée de contraindre mon sexe vers le bas. Et le jet devient plus fin.

A peine ai-je terminé que Clémentine me la suce afin de récupérer les derniers épanchements. < Et moi ! > s'écrie Estelle.
Les filles se refilent mon chibre. Estelle secoue. Il n'y a plus la moindre goutte. Elles ont tout récupéré consciencieusement.
Nous retournons vers la maison. L'odeur des pizzas qui provient du four est une véritable caresse. Ça met en appétit. Bon.
La table est mise. Estelle est vêtue d'un short kaki, d'une chemisette crème. Ses sandalettes. Elle montre un pan du col.
< C'est toi ! > me fait elle en rajoutant : < Tu en mets partout ! >. Nous rigolons comme des bossus. La sonnerie du four.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles évoquent le dernier oral qui les attend demain matin en cours.
L'année scolaire termine demain à midi. De quoi se réjouir. Finir sur une bonne séance de travail commun entre étudiants.
Nous traînons à table. Les fenêtres sont ouvertes. Un léger vent se lève. Cela rafraîchit agréablement. Enfin la soirée d'été.
Il est 20 h30. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Je propose aux filles de m'occuper de leur clitoris. Léchage de chattes.
Clémentine ayant ses règles, cela ne m'empêche nullement de sucer son "bouton" géant. Encore plus gros en cette période.

Je ne suis pas obligé de le proposer deux fois. Estelle m'entraîne au salon. Elle retire son short et sa culotte à toute vitesse.
Elle se vautre dans le canapé, cuisses écartées, jambes relevées. Je suis à genoux sur l'épais coussins. Clémentine à côté.
Clémentine se met sur le dos, passe sa tête entre mes cuisses. Elle se saisi de mon sexe mou pour se le mettre en bouche.
Je dois surmonter ma répulsion. Les odeurs de la journée d'Estelle, négligée exprès, conjuguées à la sueur, ont un "goût".
Le jus des muqueuses, des substances "pâteuses". Il faut en vouloir. J'en veux ! Je ne tarde pas à me régaler. C'est miam.

Je suis doublement excitée. Clémentine me suce. Elle s'est déplacée pour glisser sa tête entre le canapé et mes hanches.
Je bande comme un priapique en phase terminale. Les épanchements de cyprine d'Estelle sont abondants depuis des mois.
Elle a mis du temps à se laisser aller vraiment. Mais à présent, depuis cet hiver, elle sait devenir égoïste. Bien en profiter.
Son orgasme est terrifiant. Tout son corps secoué de spasmes. Des frissons. De petits cris qui se changent en râles. Divin.
J'éjacule dans la bouche de Clémentine qui s'offre elle aussi un orgasme des familles. Nous reprenons nos esprits. 22 h15.

Nous passons aux toilettes. A genoux sur le carrelage, je lèche les minous des filles pour bien nettoyer. Puis je les torche.
Estelle veut absolument me tenir la bite pour en guider le jet. Il y a des reliquats de foutres qui dégoulinent en stalactites.
Elles restent en suspend à l'extrémité du méat, juste sous le jet de pisse. Bien évidemment elles se partagent ce dessert.
Je les force à cesser en les tirant délicatement par leurs tignasses. Il faut raccompagner Estelle à sa voiture. Déjà 22 h30.
Demain, il y a école. La séparation est difficile. Elle revient samedi. Nous montons nous coucher. Derniers secrets et dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire nettoyer la chatte à coup de langue après une journée de chaleur…

Julien - (Qui, même après s'être lavé les dents, s'endort avec le goût de fille dans la bouche. Le goût fort d'Estelle) -

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NOTE

Chères amies lectrices
Chers amis lecteurs

Clémentine et moi remercions toutes nos lectrices et tous nos lecteurs pour leur fidélité.
Même si "Clémentine", "Julien", "Estelle", "Juliette", Gérard et tous les autres, ne sont qu'autant de pseudonymes.

Les contributions de "Clémentine" se limitent à ce que nous raconte la jeune femme au bas de nos récits.
Nous aimons à soigner nos lecteurs afin de les captiver, de les amuser et surtout de leur proposer du rêve.

Il est important de respecter l'anonymat des personnes. Tout particulièrement sur les forums "Sexe".
Même si tout cela est beaucoup plus réel encore que ne l'imagine le lecteur toujours étonné et amusé.

Nos récits ne demandent aucun commentaire. Aussi nous remercions toutes celles et tous ceux qui n'en mettent pas.
C'est une grande preuve de tact et de bon goût. La "Classe". Toute la place reste disponible pour les épisodes qui se suivent.
Ainsi chaque épisode suit le précédent dans l'ordre chronologique du déroulement des évènements sans aucune rupture.

Par contre nous remercions toutes celles et tous ceux qui nous contactent en messagerie privée pour témoigner leurs ressentis. Joies.
C'est vraiment beaucoup mieux. Cela reste privé et ne regarde personne. Les intéressés savent à quel point nous répondons toujours.

Continuons cette saga dans la magnifique dix huitième page qui nous attend déjà...

Cordialement.

Clémentine et Julien


Homme, 53 ans, France
Classe - 2 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 827 -



Et voilà. Le début des vacances…

Hier matin, vendredi, Clémentine, me réveille avec sa douceur habituelle. Et juste avant que ne résonne France Musique.
Je la prends contre moi. Quelques câlins amoureux et nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim nous descendons.
Vêtus de nos tenus sport, nous préparons notre petit déjeuner. Clémentine sautille déjà partout dans la cuisine. Fébrile.
Les vacances commencent aujourd'hui, à midi. Cette année universitaire se termine. Et sur une note éminemment positive.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant un vague programme de l'après-midi et de la soirée. 6 h25, c'est le jogging.

Il fait si agréable de courir dans la campagne en ce matin. Une heure d'un running merveilleusement gratifiant. La douche.
Je descends le premier pour sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint vêtue de sa robe d'été et de ses sandalettes.
Un dernier bisou. Je la regarde partir. Je flâne un peu dans la propriété. Il fait beau. Il y a du soleil. Il est 7 h50. Superbe.
Je traîne au potager. Les tomates commencent à rougir. Certaines sont déjà bien grosses. Les salades sont consommables.
J'en cueille une. Cette année aura connu un printemps particulier. Tout à pris du retard. Les cerises vont arriver. Imminent.

Je rentre. J'aère. Je monte faire le lit. Je descends faire la vaisselle. Je lave les feuilles de la laitue que je viens de ramener.
Ce sera pour midi. Je vais dans l'atelier. De l'armoire, je sors deux autres calques d'œuvres anciennes. Je garde en archive.
Je les pose sur deux toiles vierges enduites et poncées hier. Une nature morte et une scène de genre à deux personnages.
Je change nombre de détails pour éviter de me copier. Je termine le crayonnage définitif vers 11 h30. Prêt pour septembre.
Je range soigneusement les deux calques dans un des grands cartons à dessin contenant les archives de plus de vingt ans.

Dehors il fait beau. Je sors à nouveau. Il y a monsieur Bertrand, là-bas, notre plus proche voisin, dans son potager. Bien.
Je descends pour aller le saluer et bavarder un peu. Un peu plus de 300 mètres séparent nos propriétés. Depuis toujours.
Comme tous les ans, durant mon absence, je lui recommande de se servir en fruits et au potager. Et ils en ont plein aussi.
L'énorme Doberman, "Max", après m'avoir fait la fête semble comprendre tout ce que nous disons, silencieusement assis.
Nous nous saluons et je remonte. Il est midi. Je prépare le choux fleur. J'en fais cuire les morceaux dans l'eau bouillante.

Deux belles queues de langoustes décongelées. Dans une poêle je fais revenir l'ail et de l'oignon. J'y rajoute les langoustes.
Il est 12 h20. Clémentine arrive. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. C'est les vacances.
Dehors, le ciel se couvre quelquefois de nuages. Rien de très menaçant. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade.
Elle me raconte sa matinée. Les oraux qu'ont passé son groupe de dix étudiants. Les félicitations de ses professeurs. Joie.
Il y aura les résultats vers le 5 juillet. Nous serons en Ecosse. Il suffira d'aller sur le site de l'université pour les découvrir.

J'égoutte le choux fleur. Je rajoute un petit pot de crème fraîche dans la poêle juste avant la fin de la cuisson. Du gruyère.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine évoque cette dernière matinée de cours. Encore un succès.
La date de la rentrée est fixée au lundi 16 septembre. De belles et longues vacances en perspective. Et de quoi se réjouir.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine suggère une petite virée.
Il est sans doute plus prudent de ne pas partir à bicyclette. Par contre nous pouvons très bien aller promener l'après-midi.

Je propose qu'en fin d'après-midi nous allions manger au restaurant avant d'aller découvrir la fête de la musique en ville.
Ma suggestion est applaudi. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents à la salle de bain.
Nous faisons les clowns devant le miroir. Nous allons dans la chambre pour nous changer. Tous les deux en slip. Rigolade.
Clémentine me fait tomber sur le lit. < Je t'aime Julien ! Je suis si heureuse avec toi ! > me chuchote t-elle. Elle se blotti.
J'aime lorsqu'elle se frotte contre moi. Mes hanches coincées entre ses cuisses. Elle se masturbe contre moi, doucement.

Même si elle a ses petits "machins de fille", rien ne m'empêche de m'occuper de son clitoris géant. Et j'y glisse ma main.
Je lui retire la culotte. Je la tire au bord du lit afin que ses jambes reposent au sol. Je suis à genoux sur un des oreillers.
Clémentine me tiens la tête. Et comme pour me guider. Je décalotte son clitoris du bout de mes lèvres. Il est turgescent.
J'aime le spasme qui secoue tout son corps. Elle ne tarde pas à gémir. A tortiller du bassin. A contrôler son plaisir. Belle.
Clémentine me repousse plusieurs fois, juste à temps, en murmurant < Attention ! >. Nous évitons l'orgasme. Superbe.

Il est déjà 15 h. Nous nous habillons. Clémentine reprend ses esprits en soupirant. Elle porte une de ses jupettes sports.
Je suis en short. Nous mettons le même T-shirt blanc. Nos vieilles baskets. Nous faisons les pitres devant le miroir. Rires.
Nous voilà prêts. Nous descendons jusqu'à la rivière que nous longeons en marchant doucement. Une simple promenade.
J'ai la bite à l'air. Clémentine s'accroupit souvent pour la sucer un peu. Ou alors elle se penche devant moi pour la téter.
Nous évoquons notre départ pour l'écosse. Notre séjour d'une semaine en Irlande où nous avons loué un cottage. Super.

Nous marchons jusqu'aux environs de 18 h où nous revenons à la maison. Je réserve une table au restaurant des chants.
Ça fait longtemps que nous n'y avons plus mangé. Nous reverrons Bruno le Chef étoilé et sa fille Valentine. Réjouissance.
Clémentine porte une robe légère. Claire et à motifs floraux pastels. Ses sandalettes. Sur sa demande je suis en bermuda.
Une simple chemisette à manche courte. En route. Une quinzaine de kilomètres. Je roule doucement. Le ciel s'est couvert.
Par prudence nous avons notre grand parapluie et des K-ways. Nous arrivons au restaurant des chants pour 19 h15. Bien.

Il y a du monde. Bruno en personne vient nous saluer. Valentine est toute contente de nous revoir. Nous bavardons peu.
Il y a le service à assurer et Bruno est capitaine de cuisine. Nous choisissons des fruits de mer. Il y a un orchestre. Joie.
Quatre musiciens qui jouent du Dixieland et du Charleston. Ces styles enjoués et très en vogue dans les années trente.
C'est un repas très agréable. Nous traînons à table. Après tout, la fête de la musique, c'est déjà ici, sur cette petite scène.
D'énormes coupes glacées ponctuent un moment d'extraordinaire douceur. L'addition. Nous saluons Bruno et Valentine.

Il faut reprendre la voiture pour faire les 5 km qui nous séparent de la ville. Je gare la voiture dans la petite rue habituelle.
Il y a du monde. A dix minutes du centre. Nous croisons déjà des formations musicales. C'est souvent bruyant et sonore.
Comme le précise Clémentine qui palpe discrètement ma braguette : < Tous les ans c'est moins bien et plus merdique ! >
Et c'est vrai que la qualité musicale est le reflet de cette époque. Beaucoup de "DJ" et de musiques "Technos". Médiocres.
Il est très simple, dans un bain de foule, de se tripoter. Personne ne fait attention. Clémentine me palpe sans arrêt. Rires.

Je marche donc en bandant comme un vrai salaud, tiré par Clémentine qui m'entraîne par la main. Et ce bruit est infernal.
Comme tous les ans nous nous promettons de ne plus mettre les pieds à la fête de la musique car il y a si peu de musique.
Nous retournons à la voiture. Je me fais sucer tout le long de la route du retour. Nous arrivons à la maison pour 23 h. Ouf.
< Put-Hein ! Mais quelles merdes ! > fait Clémentine en évoquant la fête de la musique. Nous nous lavons les dents. Bien.
Clémentine rajoute : < Demain soir, c'est la fête de la bite ! >. Nous rigolons comme des bossus en nous précipitant au lit.

Au lit, j'offre à Clémentine un cunnilingus des plus soignés. Nous sommes tous les deux épuisés. Nous faisons durer. Joie.
Clémentine exprime le désir de me sucer aussi. Je lui propose de mettre ce plaisir à demain. Je préfère m'occuper d'elle.
Je dis : < Demain soir, à la fête de la bite, tu auras de quoi danser au rythme de couilles endiablées ! >. Elle éclate de rire.
Ces divertissements permettent de retarder un orgasme qui tétanise Clémentine comme rarement. Elle en hurle de plaisir.
J'aime lorsqu'elle resserre ses cuisses sur ma tête comme un étau. Je sens toute son intimité vibrer à l'unisson de sa joie.
Serrée contre moi, reprenant son souffle, Clémentine me confie ses derniers secrets. J'aime la sentir s'endormir heureuse.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire sucer le clitoris en luttant contre un orgasme trop rapide…

Julien - (Qui écoute toujours avec enchantement les dernières confidences de Clémentine) -

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Kim Son, je jeune palefrenier vietnamien

Hier matin, samedi, je suis réveillé par ce léger froissement de draps, ce léger mouvement de matelas si caractéristiques.
Clémentine sait quand je me réveille. Ma respiration change. Serrée contre moi, elle fait : < J'ai fait un rêve érotique ! >
Je chuchote : < Bonjour ma belle masturbatrice ! Je vous aime, savez vous ? >. Clémentine me fait plein de bisous. Rire.
Quelques papouilles. Il est 7 h30. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim nous dévalons l'escalier. La cuisine.
Vêtus de nos tenues de sport, nous prenons un bon petit déjeuner et que nous savourons avec appétit tout en bavardant.

Clémentine me raconte son rêve érotique. Il y est question du capitaine du port. Ce qu'elle a fait dans les toilettes du port.
< C'était tellement intense, j'y pense souvent ! > me confie t-elle une fois encore. Je l'encourage à le faire encore une fois.
Nous partons pour l'Ecosse vendredi prochain. Même si notre emploi du temps est chargé, il y aura encore une opportunité.
< Je t'aime Julien. Si tu savais comme je suis heureuse d'être comprise et de t'avoir pour complice ! > me chuchote t-elle.
La vaisselle. Nous sortons pour affronter notre jogging matinal. Il fait doux et le soleil est déjà haut dans un ciel bleu pâle.

Nous courons d'un rythme soutenu, plutôt rapide. Une heure d'un running des plus agréables et nous voilà de retour. Joie.
Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Clémentine porte une de ses robes d'été. Bleue clair motifs pastel. Bien.
Je porte un bermuda clair, une chemisette manches courtes. Nous avons nos sandales. Nous prenons la pause en rigolant.
< Regarde comme on est beaux ! > fait Clémentine en m'entraînant devant le miroir de l'armoire. Nous faisons les clowns.
Accroupie, sa tête contre ma jambe, ses cuisses écartées, elle me fait : < Soyez sévère avec moi, "Maître", en Ecosse ! >

Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Soyez une vraie salope durant ces vacances, ma délicieuse "Soumise" ! >
Je sors mon Zob afin qu'elle puisse y frotter son visage, sucer un peu avant de me dire : < Je serai performante ! >. Pipe.
Je la force à se relever en la tirant par ses cheveux noués. Nous dévalons l'escalier en riant de ce rituel presque quotidien.
Je branche la glacière sur l'allume cigare. 3 km jusqu'au bourg. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Joie.
Nous arrivons. Il y a un monde fou. C'est un tel plaisir de faire son marché ici le samedi matin. Les odeurs et les parfums.

J'ai la braguette discrètement ouverte. Les pans de ma chemisette flottante dissimulent parfaitement l'ouverture béante.
Je porte les sacs. Nous faisons provisions de fruits. De quelques légumes qui ne poussent pas encore dans notre potager.
Nous faisons provisions de fromages, de crème fraîche, d'œufs, de beurre et de yaourts chez notre fournisseur habituel.
Retour à la voiture. Je mets les produits fragiles dans la glacière. Direction la zone commerciale. 15 km. L'hyper marché.
Clémentine joue avec ma queue en évoquant à nouveau son rêve érotique. La pipe au capitaine dans les chiottes du port.

Sa main et ses mots me procurent une délicieuse érection. Je gare la voiture sur le parking. Là aussi il y a plein de monde.
Clémentine laisse sa culotte dans le vide poche. Ses petits "machins de fille" sont terminés. Plus de petite ficelle blanche.
Je pousse le chariot. Clémentine, la liste des courses en main, nous entraîne dans les rayons qui nous concernent. Parfait.
C'est un peu particulier car nous partons vendredi matin de très bonne heure. Il faut penser à la logistique. Tout prévoir.
Des lingettes, du papier cul, des petits sachets poubelle, des mouchoirs en papier, des mini Tampax et des protèges slips.

Même si nous trouvons tout cela à Edinbourg, c'est toujours mieux d'avoir ses propres repères. Sa marque repère aussi.
Clémentine dont les capacités organisationnelles sont admirables nous guide. Je n'ai qu'à la suivre. Quelle plaisir. Super.
Personne ne la devine nue sous sa robe légère. Pas transparente, serrée à la taille qui rallonge encore sa silhouette fine.
Parfois, je lui glisse à l'oreille : < Tu es mon anorexique préférée ! >. Même si Clémentine n'en a pas le comportement.
Cela nous amuse toujours beaucoup. Elle qui en complexait à l'adolescence en a fait une qualité supplémentaire. Parfait.

Nos hautes tailles et notre différence d'âge attirent quelques regards dans lesquels nous devinons bien des interrogations.
Suis-je le père, suis-je l'ami, suis-je l'amant ? Tout cela nous amuse beaucoup. Nous raffolons d'en jouer à toute occasion.
Clémentine nous entraîne au rayon des livres et des magazines. Sont désir de s'amuser un peu la rend impatiente. Fébrile.
Hélas, il n'y a pas de réelle opportunité d'exhibe. Nous faisons le tour du rayon culturel à trois reprises. Doucement. Rien.
Il n'y a que des couples, des femmes seules et ce vieux monsieur plongé dans la lecture de Paris Catch, Transe Dimanche.

Pas vraiment de quoi titiller la libido d'une jeune fille de 22 ans, même considérablement excitée, exhibitionniste nympho.
Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine n'est pas du genre à s'avouer vaincue. Et elle m'entraîne aux vêtements.
Enfin un "plan". C'est un jeune gaillard, plutôt athlétique, presque ma taille, qui compare des chemisettes sur des cintres.
Je reste en retrait, en tête de gondole. Clémentine s'empare du caddie pour s'approcher de jeune type qui reste à mâter.
Il compare ses chemisettes fleuries sans prêter la moindre attention à la superbe jeune fille qui s'est arrêtée à proximité.

Le caddie contre le rayon, qui fait écran derrière elle, le gaillard faisant écran devant elle, Clémentine peut faire son show.
Accroupie, elle fait mine de comparer des paires de chaussettes. Voilà enfin notre gaillard qui découvre le spectacle. Bien.
Tournée de trois quart vers le mec, Clémentine exagère l'écartement de ses cuisses à chaque fois qu'elle prend une paire.
Notre heureux veinard continue pourtant à hésiter entre l'observation attentive de ses chemisettes hawaïennes et la fille.
Je reste à scruter les vestes en tête du rayon. Je peux loucher peinard tout en bandant comme le premier des saligauds.

Et il y a de quoi se régaler. De l'endroit où je me trouve j'ai une vue parfaite sur l'entrejambes de Clémentine. Sublime.
En parfaite virtuose, Clémentine suscite un intérêt de plus en plus grand chez le gaillard. Il se rend compte de l'aubaine.
Il a mis le temps le bougre. Et comme presque tous les autres heureuses "victimes potentielles" avant lui, il s'accroupit.
Là, en privilégié soigneusement choisi, il a une vue parfaite sur un paysage de rêve. Une forêt touffue, noire, immense.
Il doit être à peine à deux mètres de la fille qui ne prête strictement aucune attention à lui. Du moins en apparence. Jeu.

Je pourrai me branler en me mettant à la place de ce brave "innocent" en présence d'une telle salope. Une salope de rêve.
Nous jouons parfois à ces rôles avec Clémentine. Nous nous sommes promis de le faire davantage en Ecosse, cette année.
Je me mets à la place du pauvre garçon. Que faire ? Comment engager la conversation ? Et comment entrer en contact ?
C'est là que tout ce joue. Si le mec est un con, il se comportera en "boulet". Si le type est un lourdingue, il va la draguer.
Deux choses que déteste Clémentine qui préfère les individus passifs, pleins de classe et qui n'entreprennent rien. Parfait.

Ce qui semble être le cas ici. Ouf. Notre gaillard se comporte en civilisé, en gentleman. Il ne tente rien. Il regarde. Simple.
La préférence de Clémentine qui s'en contre fiche des émotions de ses "victimes". C'est un plaisir égoïste, tout à elle. Joie.
Certains mecs s'imaginent que c'est pour les "allumer". D'autres encore qu'elle pourrait être en "manque". Rien de tout ça.
Clémentine veut tout juste s'offrir de délicieux frissons. Quand la "victime" joue ce jeu là, c'est un moment immense. Bien.
Voilà le parfait spécimen. Il se contente de profiter de sa chance. Je bande comme le dernier des salauds. C'est fabuleux.

Il y a des gens qui passent. Personne ne se doute un seul instant de ce qui se déroule ici. C'est hyper excitant. Fantastique.
Clémentine reste accroupit jusqu'aux limite de l'ankylose. Cette impressions de fourmis qui montent dans les jambes. Fort.
Elle se redresse enfin. Notre privilégié reste encore accroupit. Il se redresse à son tour. Clémentine se touche discrètement.
Je trouve ça tellement gonflé. Notre gentleman ne semble pas interpréter cela comme une provocation. Et il a tout compris.
J'ai envie d'aller le féliciter. Clémentine vient me rejoindre. Des perles de sueur sur le bout du nez. < Mec génial ! > dit elle.

Nous terminons nos courses par le rayon poissonnerie. Nous passons en caisse. Notre jeune type est à une caisse plus loin.
Il me voit en compagnie de cette adorable salope qui lui montrait sa chatte tout à l'heure. Il lève son pouce. "Félicitations".
Notre gaillard a tout compris. La plus parfaite des "victimes" depuis longtemps. Nous en rions de bon cœur. Tellement cool.
Nous flânons un peu dans la galerie commerciale. Nous croisons une nouvelle fois le jeune homme. Il a un sourire complice.
< Des mecs comme ça, c'est absolument génial ! Un exemple ! > chuchote Clémentine. Nous rigolons comme des bossus.

Il est midi trente lorsque nous revenons à la maison. Il fait chaud. Il y a du soleil. Nous rangeons les courses. Morts de faim.
Clémentine s'occupe de la salade. Je fais le bouillon pour y cuire les moules. Les haricots verts congelés direct dans la poêle.
Nous mangeons dans la véranda dont les baies vitrées sont ouvertes. Clémentine me fait part de ses impressions du matin.
< Cette exhibe est une des meilleures de ces derniers jours ! A refaire ! > me fait elle à plusieurs reprises et en conclusion.
Nous traînons à table. Le programme de l'après-midi est simple. Nous partons en bicyclette. Il fait tellement doux, agréable.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Sur la table, je mets un paquet de spaghettis. Pâtes complètes, bio. Deux tomates.
C'est à l'intention d'Estelle. Elle comprendra. Nous montons nous laver les dents et nous mettre en tenues vélo. C'est bien.
Nous dévalons l'escalier à toute vitesse, pressés de filer. Il est 14 h. Nous voilà sur nos bicyclettes. Direction piste cyclable.
Nous croisons quantité de cyclistes, de filles en rollers, de joggeurs et de promeneurs. Il y a un léger voile dans le ciel clair.
Arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Clémentine, particulièrement excitée, aimerait beaucoup vivre une seconde opportunité.

Je reste planqué derrière les fourrés, à l'angle du cabanon. Clémentine est de l'autre côté de l'écluse, planquée également.
Elle guette entre les bosquets. L'opportunité se pointe rapidement sous la forme d'un cycliste. Clémentine s'accroupit vite.
Cuisses écartées, ses cheveux défaits, ses lunettes de soleil, sa culotte à la main, elle tente de pisser. Le type la découvre.
Il s'arrête en faisant crisser son pneu arrière. C'est un quadragénaire. Il est habillé d'un short et d'un T-shirt trop grands.
Il regarde dans toutes les directions. Il sort probablement son sexe. Il me tourne le dos. Il s'apprête à traverser. Danger.

Il pose son vélo et monte sur la passerelle métallique. Là, nous avons affaire à l'enfoiré. L'emmerdeur dangereux. Le con.
Clémentine se redresse rapidement. Je sors de ma cachette. Je fais à haute voix : < Tout va bien ? >. L'enculé m'aperçoit.
Il a soudain l'air de ce qu'il est, le con dans toute sa splendeur. Il planque sa bite comme un minable, monte sur son vélo.
J'ai rarement vu un cycliste filer aussi vite. Ce crétin est certainement entrain de battre un record de vitesse. L'abruti fini.
< Tu te rends compte ! Tu tombes sur un mec comme ça quand t'es toute seule ! Il y a de quoi flipper ! > fait Clémentine.

Nous arrivons au port de plaisance vers 16 h. Il y a du monde. Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie.
Elle est fermée le samedi. Notre "capitaine Haddock" est donc en congé. Dommage pour lui et sa bite. Clémentine regrette.
Nous allons à la superette pour nous offrir nos cônes glacés. Madame Marthe, la gérante nous parle de la marche populaire.
C'est demain. L'arrivée est sur le port. C'est la seconde manifestation de ce genre. Succès. Nous viendrons probablement.
Nous dégustons nos glaces en flânant sur le port. Inutile d'aller rôder près des toilettes. C'est le rendez-vous des D'jeunes.

Il n'y a aucune autre opportunité d'exhibe de qualité. Trop de gens. Les joueurs de boules, les plaisanciers et les touristes.
Il est 17 h30 lorsque nous prenons le chemin du retour pour arriver à la maison à 19 h. Estelle est déjà là. Le repas prêt.
Elle nous fait la bise. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Clémentine s'interpose. Jeu.
Un gratin de spaghettis, une sauce, tomate au persil, à la ciboulette avec des champignons. Trois filets de sole pané. Miam.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine raconte nos aventures de la journée. De quoi se mettre en condition. Sympa.

Nous sommes attendus au haras pour 20 h. Nous avons un peu de temps. Les filles sont considérablement excitées. Joie.
La perspective d'une nouvelle soirée cul bien vicelarde n'est pas pour nous déplaire. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine.
Nous montons nous laver les dents. Les filles miment des pipes devant le miroir. Brosses à dents et dentifrice. La parodie.
Clémentine remet sa robe. Estelle préfère rester en short. Une vieille inhibition tenace qu'elle trouve un peu ridicule. Rire.
Je suis en short, en chemisette hawaïenne délicieusement kitch. Sur la demande des filles qui rigolent comme des bossues.

La soirée cul

Nous arrivons au haras pour 20 h. Estelle se précipite hors de la voiture. Et visiblement animée d'une certaine impatience.
Il y a les voitures de Léon, de Gérard, de madame Walter et de son mari Pierre. Il fait plutôt agréable sous un ciel couvert.
Clémentine reste près de moi. Elle me tient la main. Nous suivons Estelle qui marche très vite. Elle pénètre dans l'écurie A.
Clémentine pose ma main sur sa poitrine. Je sens battre son cœur. Elle me fait un délicieux sourire. Elle avance sa bouche.
< Je suis excitée, si tu savais. Merci Julien ! > chuchote t-elle à mon oreille. Estelle nous fait signe de la rejoindre au fond.

Nous la suivons dans le dernier box. Estelle nous montre le trou parfaitement rond dans la cloison qui sépare du local voisin.
Soudain, c'est une bite qui en sort lentement. Une bite semi molle. C'est certainement Pierre qui fait une surprise aux filles.
Il est impossible de reconnaître un mec à sa bite. Même si c'est celle de son mec. Sauf particularités précises évidemment.
Il y a un silence total. Je sors du box. Je tente d'ouvrir la porte du local bureau. Celle-ci est fermée à clef. Je toque. Et fort.
Rien. Je colle mon oreille à la porte. Clémentine vient me rejoindre pour écouter aussi. Nous ne percevons rien. Aucun bruit.

Impossible de regarder par le trou de la serrure. Le noir. C'est insolite. Nous retournons rejoindre Estelle qui est accroupi.
Son visage à quelques centimètres de la bite qui a ramolli. Elle renifle. Elle fait signe à Clémentine de venir renifler aussi.
Je regarde les deux coquines qui hument la bite, nez presque collés dessus. C'est Estelle qui la saisi entre les deux doigts.
Je m'accroupi pour observer à mon tour. Je reste toutefois en retrait. Je suis hétérosexuel. La pratique ne m'intéresse pas.
C'est surtout pour mâter les filles de plus près. Estelle décalotte légèrement le prépuce qui se déroule tout en se plissant.

< Une odeur de bite propre ! > chuchote Estelle. Elle y passe le bout de la langue. C'est émouvant de la voir goûter ainsi.
Estelle la tend à Clémentine qui se met à genoux sur la vieille couverture posée sur le ciment du sol. Elle se met à lécher.
Mon sang ne fait qu'un tour. Celui de l'inconnu certainement aussi car la bite se redresse imperceptiblement pour se lever.
C'est impressionnant. C'est une bite bien droite. Environ 15 cm sur 3 cm en épaisseur. Elle pourrait être la queue de Pierre.
Je bande en même temps que le mec. Il doit être plaqué tout contre la cloison. L'épaisse touffe de poils à la base du trou.

Estelle pose sa main sur la nuque à Clémentine pour appuyer. C'est sournois et bien vicelard. Clémentine ouvre la bouche.
Je me penche pour mieux regarder Clémentine qui gobe le sexe jusqu'à sa moitié. Elle se met à sucer, yeux fermés. Belle.
Il y a comme une extase divine qui vient trahir son plaisir sur les traits de son visage. Estelle me fait un clin d'œil. Je mâte.
Clémentine, les joues creusées par l'effort de succion se met à pousser de petits gémissements à peine perceptibles. Pipe.
Estelle veut m'embrasser. Je me retire. Pas question. Elle vient de lécher une bite. Je ne suis pas le genre. Merci. Ça ira !

Elle met sa main sur sa bouche comme si elle venait de se rendre compte de sa bévue. Je caresse sa joue affectueusement.
Elle passe sa main autour de mon épaule et m'enlace. Nous regardons tous les deux Clémentine entrain de tailler une pipe.
A genoux, les mains posées sur la cloison, cambrée en avant, Clémentine suce délicatement. Elle tète. Elle pompe. Du jus.
On perçoit distinctement le bruit bulleux caractéristique. Il y a même une goutte de foutre qui perle aux coins de ses lèvres.
Cette goutte qui ne tarde pas à s'écouler langoureusement le long du menton pour y former une coulure gluante et laiteuse.

Estelle glisse une main sous sa jupe. Elle chuchote : < T'as pas envie toi ? >. Je sors ma bite. Je bande comme un salaud.
Je me branle doucement. Ce spectacle est des plus excitants. Surtout que c'est la fille que j'aime qui est entrain de sucer.
Et elle ne suce pas ma bite. C'est fantastique. Cela fait bien une demi heure que nous sommes là tous les trois. Superbe.
Le type éjacule. Certain. Clémentine, parfaitement immobile, est entrain de tenter de tout déglutir. On perçoit la difficulté.
Le mouvement de sa gorge. Les joues qui se gonflent puis se creusent. C'est impressionnant. Clémentine vide les couilles.

On entend toujours rien de l'autre côté. Clémentine a tout avalé. Elle repart même pour un second tour. Une suite probable.
Estelle se masturbe en se mordillant la lèvre inférieure. Je caresse sa joue, sa nuque. Je caresse la nuque de Clémentine.
Je chuchote : < Félicitations mademoiselle. Vous êtes reçue à l'oral ! >. La bite se retire soudain. Clémentine se met à rire.
Elle regarde immédiatement par le trou pour voir qui est derrière la cloison. Elle fait un signe de dépit. On ne voit personne.
Estelle regarde à son tour. Les filles se regardent, dubitatives. La voix de Juliette derrière nous. Et nous ne l'avions pas vu.

Il y a Kim Son à ses côtés. Il semble épuisé. Il sourit maladroitement. Il paraît très gêné. Nous comprenons soudain. Fou !
C'était donc la surprise que nous réservait Juliette. Clémentine se redresse, s'essuie la bouche et fait : < Bonsoir les gens ! >
Elle tend la main à Kim Son. Ils se serre tous deux la main. < On suce d'abord et on a les civilités après ! > lance Juliette.
C'est nerveux plutôt qu'amusant mais nous éclatons tous les cinq d'un rire sonore. Un rire pas drôle. Kim Son mal à l'aise.
Même s'il est probablement très heureux de s'être fait sucer par cette magnifique jeune fille qui l'a déjà tant "allumé". Joie.

< C'est bon, vous pouvez aller. Vous avez fini votre journée. Merci pour tout. A lundi ! > lui lance Juliette. Kim son s'en va.
C'est totalement surréaliste. Nous nous regardons en nous mordillant la lèvre inférieure. Cette fois nous rions de bon cœur.
< Alors ? Vos impressions ? > demande Juliette à Clémentine. < Adorable ! Un goût légèrement "marin" ! > dit Clémentine.
< Je le goutte avant les vacances ! > s'écrie Estelle. Nous rigolons comme des bossus. Je demande à Juliette de raconter.
< Oh, c'était simple. Je lui ai demandé, tout simplement, de me rendre un service ! Il a accepté de suite ! > me dit Juliette.

< Il fait partie du "Club" maintenant ! > lance Estelle. < Pas encore ! Il faut que je me le goûte aussi ! > répond Juliette.
Nous rigolons comme des bossus. Juliette nous invite à la suivre. Rejoindre Pierre, madame Walter, Léon et Gérard. Rire.
Clémentine s'arrête net sur le pas de la grande porte de l'écurie. < Je préfère rentrer ! Et c'était vraiment bien ! > fait elle.
Nous la regardons. Nous ne savons quoi dire. La déception se lit sur le visage de Juliette. Et peut-être sur celui d'Estelle.
Je n'insiste jamais. Quand Clémentine décide une chose, je respecte totalement cette décision. C'est toujours un bénéfice.

Nous saluons Juliette qui reste un peu stupide à nous regarder monter dans la voiture. Nous lui faisons un dernier coucou.
Sur les trois petits kilomètres du retour, Clémentine nous donne ses impressions. < C'était une surprise géniale ! > dit elle.
< C'est bien dans le fonctionnement mental de cette salope perverse ! > rajoute encore Clémentine, s'essuyant la bouche.
Estelle nous avoue ne pas être vraiment frustrée. Surtout si elle peut s'occuper de ma bite et pour le restant de la soirée.
< Accordé ! Faites moi du spectacle tous les deux, d'accord ? > dit Clémentine lorsque nous rangeons la voiture au garage.

Nous nous précipitons au salon. Il est déjà 21 h45. Clémentine retire sa jupe et sa culotte pour s'installer dans le fauteuil.
Une jambe sur chaque accoudoir, elle touche son clitoris turgescent. C'est le signal. J'offre ma bite à Estelle déjà à genoux.
Clémentine se masturbe. Souvent les yeux fermés. Probablement à revivre ce qu'elle a vécu au haras. Fellation inconnue.
Cette nouvelle expérience l'excite tellement. Elle m'en parlera au lit, avant de nous endormir. Je me fais sucer par Estelle.
Je lui caresse la tête, les joues, la nuque, sous le menton. Elle ouvre souvent les yeux, pleine de reconnaissance. C'est bon.

Estelle suce avec cette indicible douceur dont elle est coutumière. Parfaitement immobile, consciencieuse et concentrée.
Elle se régale. Je lui murmure des cochonneries. elle en glousse de plaisir entre deux tentatives d'avaler le liquide séminal.
Mon jus de couilles est abondant. Surtout après ce que j'ai vécu au haras. Voir ma compagne pomper une queue inconnue.
Clémentine ne peut réfréner l'orgasme qui l'a surprend soudain. Elle en hurle de plaisir. C'est presque inquiétant. Insolite.
Estelle qui se masturbe a également son orgasme. C'est tout aussi délirant. J'éjacule en sournois. Sans prévenir. 23 h30.

Bonne soirée à toutes les coquines qui viennent de s'offrir un frisson nouveau. Sucer la bite d'un inconnu par un trou…

Julien - (Qui écoute les dernières confidences de Clémentine. Serrée contre lui au lit. Estelle s'est déjà endormie) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 4 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 829 -



Le dimanche de toutes les passions

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par des bisous délicats dont on me recouvre le visage. Et on me tient par mon érection.
C'est Estelle à ma droite. Elle reste blottit contre moi toute la nuit. Les bisous c'est Clémentine à ma gauche. C'est merveilleux.
Nous nous chuchotons des douceurs en nous donnant nos impressions quand à la soirée de hier. Nous restons ainsi longtemps.
Estelle se lève la première en s'écriant : < Pipi ! >. Nous la regardons filer dans son pyjama de soie mauve. Elle est toute fine.
Clémentine me fait : < Je t'aime Julien. Merci pour hier soir ! >. Je réponds : < Mais il faut remercier Kim Son et Juliette ! >

Nous en rions de bon cœur. Estelle revient et nous lance : < Je descends préparer le petit déj ! Me laissez pas toute seule ! >
Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim nous dévalons l'escalier pour rejoindre Estelle à la cuisine. Odeur de brioche.
Estelle me saute au cou pour me dire : < Vendredi vous partez. Je veux rester tout le temps avec vous jusqu'à votre départ ! >
Clémentine fait : < Tu viens mardi au vernissage. J'ai invité tes parents ! >. Estelle sautille autour de la table toute contente.
Nous prenons un délicieux petit déjeuner où il n'y a pas que de la brioche mais du pain grillé, de la confiture, du miel, du café.

Nous mangeons tout en bavardant. Je demande à Estelle de nous promettre de ne pas être triste durant tout le mois de juillet.
< Tu nous rejoins le premier août. Nous restons en contact. On s'écrit tous les jours ! Ça passera très vite ! > fait Clémentine.
Estelle se lève pour venir s'assoir sur mes genoux. Je la rassure. Je la console. Le dimanche pas de jogging mais du "ménage".
Nous traînons à table. Nous mettons au point le programme de la semaine. Demain lundi, nous allons préparer notre galerie.
Il faut nettoyer les carreaux, passer la serpillère avant de cirer, passer la cireuse. Encadrer 30 toiles. Estelle veut nous aider.

C'est vrai qu'à trois ce sera plus rapide. Nous pourrons peut-être déjà accrocher les tableaux aux cimaises. Bonne proposition.
La vaisselle. Estelle s'occupe du salon et de l'aspirateur. Clémentine monte faire la chambre. Je nettoie la cuisine, WC du bas.
J'entends Estelle chanter tout en passant l'aspirateur. Je suis pétri d'émotion car c'est un des plus beaux moments de ma vie.
Je passe la serpillière sur les carrelages. Cuisine, hall d'entrée et chiottes. Je m'apprête à monter rejoindre Clémentine. Bien.
C'est compter sans le piège dominical que me tend Estelle tous les dimanches matins. Cette fois encore c'est du lourd. Sévère.

Couchée toute nue sur le tapis, les cuisses largement écartées, elle me fait : < Tu dois me baiser d'abord monsieur Julien ! >
Je suis si ému que je tombe à genoux entre ses cuisses pour y fourrer mon visage. Odeur de fille. Et ça fouette "grave". Joie.
< Je t'aime Julien ! > me chuchote t-elle en écartant davantage pour me saisir par la tête. Je lui suce le clitoris. Goût de fille.
Les saveurs d'une jeune fille de 22 ans, volontairement négligée pour surprendre, sont un des tous meilleurs aphrodisiaques.
Même si je surmonte une répulsion légitime je me prends rapidement au jeu. Elle m'attire sur elle. Je n'introduis que le bout.

En appui sur mes bras pour ne pas peser, Estelle s'accroche à moi pour en introduire davantage. Prudence. Elle est si étroite.
Estelle se met à bouger. Je suis attentif. J'essaie d'être en parfaite symbiose avec ses mouvements. Elle m'embrasse. Brioche.
Nous en avons encore le gout de la vanille, des amandes grillées et du sucre caramélisé. C'est un baiser "pâtissier". Délicieux.
< On ne s'emmerde plus ! On fornique derrière mon dos ! > lance Clémentine qui est descendue avec le panier à linge rempli.
Nous cessons. Je me retire doucement. < Comme c'est bon le matin ! > soupire Estelle. Et Clémentine m'embrasse à son tour.

Je monte. < Je te rejoins ! > me fait Clémentine. Estelle monte avec moi. Toute nue, son pyjama à la main. Nous nous vêtons.
Je fais la salle de bain. Estelle passe l'aspirateur en chantant. Clémentine monte me rejoindre. Elle fait les miroirs et le lavabo.
Nous n'arrêtons pas de nous toucher, de nous embrasser de nous murmurer des douceurs et des cochonneries. C'est sublime.
Nous sommes tous les trois vêtus de shorts, de T-shirt et de sandalettes. Dehors il fait si beau. Nous descendons. Nous sortons.
Nous parcourons la propriété en nous tenant par le bras. Je suis entre les filles qui évoquent le programme de la semaine. Joie.

Là-bas, dans son patager, monsieur Bertrand. Nous nous faisons un signe amical. Se doute t-il de la nature de nos relations ?
< Probablement ! Les gens ne sont pas cons ! > précise Estelle. < Certainement ! > rajoute encore Clémentine. Je crois aussi.
Il est 11 h30. La faim commence à se faire sentir. Nous cueillons une laitue au potager, du persil et de la ciboulette. C'est bien.
Nous rentrons. Estelle s'occupe des pavés de saumon en papillotes. Clémentine fait la salade. Je prépare la potée de légumes.
Nous rions beaucoup. Il faut empêcher Estelle de revenir à la tristesse qui recommence à la gagner quand à notre départ. Dur.

< Je peux baiser avec Julien encore un peu avant vendredi ? > demande Estelle. Clémentine lui répond : < Si tu es sage ! >
Nous en rions de bon cœur. Le repas est rapidement préparé. Nous mangeons dehors, dans le jardin. A l'ombre du pommier.
Nous traînons à table, alternant les plaisanteries et les choses plus sérieuses concernant la galerie, le vernissage, l'exposition.
La vaisselle. Nous débarrassons. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir. Il faut se changer.
Nous voilà en tenues cyclistes. Clémentine porte une jupette sport. Estelle et moi sommes shorts kakis. Trois T-shirt blancs.

Le rapide rituel du "Maître" et de ses "Soumises" devant le miroir de l'armoire et nous dévalons les escaliers à toute vitesse.
Pressés de partir. Je contrôle la pression des pneus. Tout est parfait. Je porte le petit sac à dos. Pommes, céréales, la flotte.
Cinq cent mètres et nous voilà sur la pise cyclable qui rejoint les bords du canal à un petit kilomètre. Il y a plein de monde.
Arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Il faut faire vite car il y a du passage. Les filles sont accroupies au milieu de la petite route.
Les pieds écartés pour permettre à la pisse de s'écouler sans mouiller les baskets. Je les torche rapidement et proprement.

Juste à temps car voilà un groupe de cyclistes. De les voir rouler dans les coulées de pisse qui traverse la piste nous amuse.
Nous repartons. Nous arrivons au port de plaisance après 25 km de véritable plaisir. Pas de vent. De la chaleur. C'est super.
Il y a du monde. L'arrivée des premiers marcheurs. La marche populaire est organisée par l'amicale des sapeurs pompiers.
Buvette, orchestre folklorique, manège rétro, tout ce qui fait une fête populaire. Nous fermons nos vélos à cadenas. 15 h 30.
La capitainerie est fermée. Pas de capitaine le Week-end. Nous traversons la route pour aller à la supérette. Il y a des clients.

Tout a été dévalisé. Il ne reste plus de cônes glacés. Juste encore des bâtonnets au parfum chocolat que nous détestons. Dur.
Il reste des pots de crème glacée Häagen-Dazs. Nous n'avons pas de petites cuillères. Clémentine propose une superbe idée.
Nous dégusterons ces pots d'un demi litre avec les démontes pneus des vélos. Ils feront office de petites cuillères. C'est bien.
Nous retournons aux bicyclettes. De la petite sacoche je retire les trois démontes pneu. Nous les lavons à la fontaine. Parfait.
Nous savourons nos glaces assis sur le muret près des joueurs de pétanque. Et il y en a un qui nous regarde avec insistance.

Nous comprenons rapidement pourquoi. Clémentine dont la culotte est dans le petit sac à dos que je porte, fait son "numéro".
Assise, cuisses écartées, exactement face au mec. Il y a juste une vingtaine de mètres. Même s'il ne voit pas bien, il regarde.
Pour lui offrir son petit cadeau du dimanche, Clémentine se lève pour s'accroupir et faire semblant de scruter son smartphone.
Aucun des autres joueurs de boules n'a conscience de ce qui se passe. Estelle est certaine que ce type a déjà assisté au show.
< Il reconnaît la fille ! > suppose Estelle. Elle a probablement raison. Avec ce monde, il est impossible d'attirer le mec au WC.

C'est frustrant. Nous savons qu'avec les animations portuaires du dimanche les possibilités d'exhibes sont forcément réduites.
Les glaces sont évidemment délicieuses. A tel point que nous décidons d'arrêter les cônes au profit des pots. Avec des cuillères.
Nous flânons encore un peu. Autant à la recherche d'un "plan" que pour apprécier l'animation. Il y a de plus en plus d'arrivants.
Il est 17 h. Les festivités touchent bientôt à leur fin. Les derniers marcheurs viennent pointer au poste d'arrivée. Les médailles.
Ce sont des parcours familiaux de 5 km, 10 km et de 20 km. Il est temps de repartir. Le vent d'Ouest s'est levé. Il nous pousse.

Il est 19 h30 lorsque nous sommes de retour. Morts de faim. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle concocte une omelette.
Je réchauffe la potée. Estelle me touche la braguette ou me touche les couilles par derrière, entre les cuisses. Petite vicelarde.
Nous mangeons de bon appétit. Nous trainons à table. Je propose aux filles un bon léchage de chattes après la vaisselle. Miam.
Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. La vaisselle. Je propose à Estelle de téléphoner à ses parents et de dormir avec nous.
Elle se précipite sur le téléphone. < C'est ok ! Vous êtes invités mardi soir. Nous mangeons chez moi ! > fait Estelle qui revient.

La proposition est carrément géniale. Nous aurons fait la mise en place à la galerie et le soir nous irons manger chez Estelle.
Cette nouvelle nous fait un peu oublier que nous sommes fatigués. Les filles m'attirent au salon. Elles retirent leurs fringues.
Toutes les deux, en T-shirt, sont vautrées dans le canapé, cuisses écartées, jambe relevées. Je suis à genoux sur le coussin.
Elles se touchent. Je commence par humer le croupion d'Estelle. Avec cette chaleur, la sueur, la bicyclette. Je laisse imaginer.
Il y a là de quoi être saisi de vertige. Ça "fouette" à blinde. Je scrute ce qui colle dans les poils. Les coulées de la raie culière.

Je passe de l'une à l'autre. J'écarte délicatement les lèvres de leurs sexes gluants. C'est un véritable plat de résistance. Super.
De la crème, des miasmes indéfinissables, des filaments de fromage de fille. Estelle schlingue à mort. Et surtout la raie du cul.
Je ne suis sans doute pas véritablement objectif. La foufoune de Clémentine dégage une odeur qui semble plus "accueillante".
Je commence par goûter le sexe d'Estelle. Il faut surmonter une répulsion somme toute assez excitante. Le goût est âcre. Fort.
Il y a rapidement des coulées de cyprine laiteuse. Je la récupère avant qu'elle ne coule dans la raie ou dégouline sur le canapé.

Je n'arrête pas de me retirer des poils de la bouche. Je passe au sexe de Clémentine. La cyprine est plus épaisse, coule moins.
En virtuose, j'arrive à la récupérer à chaque fois juste avant qu'elle ne dégouline. Je suce les clitoris entre chaque coulure. Dur.
Les filles se masturbent. Estelle connaît un orgasme fabuleux qui la fait crier de plaisir. Il y a même une éjaculation de foutrine.
L'orgasme de Clémentine est du même acabit. Elle en crie. J'ai juste le temps de me retirer. Elle en pisse. C'est impressionnant.
Elles reprennent leurs esprits. J'ai du goût de fille plein la bouche. Clémentine lave. Estelle me suce un peu. Nous voilà crevés.

Bonne soirée léchage de minou à toutes les coquines qui aiment se faire nettoyer la chatte après une journée de sueur…

Julien - ( Entre Clémentine qui chuchote ses dernières confidences et Estelle qui roupille déjà, plonge doucement) -

Classe



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Les choses sérieuses

Hier matin, lundi, quelque peu déboussolé par la présence d'Estelle à ma droite qui me tient l'érection matinale je me réveille.
Il est 7 h30. Clémentine se réveille à son tour. Les filles se blottissent contre moi. Je passe mes bras sous leurs têtes. Bisous.
Je les serre tendrement. Cela nous fait tout drôle d'être ensemble, tous les trois, un lundi matin. C'est les vacances. Superbe.
Estelle se lève la première pour se précipiter aux toilettes. Elle en revient en disant : < Je descends tout préparer ! >. Parfait.
Elle met sa tenue de gym, me fait un bisou et dévale l'escalier. C'est à notre tour. WC. Nous mettons nos tenues sport. Bien.

Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Le lundi il reste toujours de la brioche. Nous prenons un solide et copieux petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le programme du jour. Cet après-midi nous partons pour la Cité de caractère.
Distante de 45 km, c'est là que j'exploite ma galerie d'Art en juillet et en août. Mon oncle viendra nous faire une petite visite.
C'est lui qui va s'en occuper durant les deux mois d'été. La vaisselle. Nous sortons. Il fait déjà chaud alors qu'il n'est que 8 h.
Quelques mouvements d'échauffement et nous voilà à suivre Estelle qui donne un rythme soutenu dès le départ. C'est super.

Courir dans la campagne, sous le soleil, le matin, est un plaisir rare. Le second plaisir de cette journée qui commence si bien.
Notre jogging se déroule dans la joie. Nous revenons après une heure d'un running des plus gratifiants. Estelle sous la douche.
Clémentine et moi, nous consultons nos courriels. Il y a un message de Juliette qui confirme sa présence au vernissage. Bien.
Il y a la confirmation du billet d'avion pour Estelle. Normalement il doit arriver par courrier papier aujourd'hui. Bonne nouvelle.
Estelle vient nous rejoindre, en short, T-shirt et sandalettes. Nous montons à notre tour. Nous nous amusons sous la douche.

Clémentine met une jupe fine et légère, un T-shirt. Je mets un short léger, un T-shirt. Nos sandalettes. Et nous redescendons.
Estelle surfe sur le site de l'université. Pas encore d'information sur les oraux passés vendredi matin. Rentrée le 16 septembre.
D'ici là, de très belles vacances nous attendent. Un peu plus de deux mois en Ecosse. Dont une semaine en Irlande. Le plaisir.
Nous ressortons pour marcher un peu. Nous faisons le tour de la propriété. Voilà, ça y est, les premières cerises bien rouges.
Nous en cueillons pour les goûter. Certaines sont déjà noires, éclatent de leur jus sucré dans nos bouches ravies. Délicieuses.

J'ai la braguette de mon short ouverte. Parfois Estelle y glisse sa main, disant : < J'ai le droit. Bientôt vous m'abandonnez ! >
Il y a "Max", l'énorme Doberman des Bertrand qui vient nous saluer, nous faire la fête. < Remballe la saucisse ! > fait Estelle.
Nous en rigolons comme des bossus lorsqu'elle rajoute : < Surtout qu'elle est parfumée "fromage" ! >. Là-bas, Mr Bertrand.
Nous nous saluons d'un signe amicale. Durant notre absence, comme chaque année, Mr Bertrand jettera un regard quotidien.
Nous nous gavons de cerises. Il faudra inviter nos connaissances à venir les cueillir. Juliette qui n'a pas de jardin, ni de verger.

Nous descendons jusqu'à la rivière toujours accompagnés de "Max". Il semble comprendre tout ce nous disons. Brave chien.
Il va avoir un an et il a atteint sa taille adulte. Une taille réellement impressionnante. Un fauve. Agile et silencieux. A l'écoute.
Nous le caressons une dernière fois avant de le voir remonter à toute vitesse. Nous longeons la rivière. Ses eaux sont calmes.
Son niveau est à nouveau normal. On voit les poissons qui semblent accompagner notre promenade. Estelle me sort la queue.
Ce premier jour de vacances est bucolique. Clémentine prend quelques photos. Et il y a là source d'inspiration pour un tableau.

Je touche le sexe d'Estelle en passant ma main dans son short. Je joue de mes doigts en démêlant l'épaisse touffe de poils drus.
< Qui va me faire ça durant le mois de juillet ? > demande Estelle prenant son air tristounet. < Gauvain ! > répond Clémentine.
< T'es folle c'est juste mon meilleur copain de la fac, rien de plus, il ne m'attire pas vraiment ! Pas de ça avec lui ! > dit Estelle.
Nous rions de bon cœur lorsque je dis : < Tu le prends comme sex-toys pendant notre absence ! >. Et Estelle répond < Non ! >
Nous n'insistons pas. Mais nous en rions beaucoup. Nous voilà assis sur les bords du pont en pierres qui traverse la petite route.

De l'autre côté, là-bas, à quelques trois cent mètres, les bâtiments du haras. Il y a un tracteur qui livre des ballots de fourrage.
Il y en a au moins déjà une cinquantaine empilés derrière l'écurie A. La nourriture des chevaux pour la saison prochaine. Super.
Il y a parfois une auto qui passe sur la départementale déserte. Estelle retire sa main de ma braguette, je retire la mienne. Rire.
La matinée se passe ainsi. Il est aux environs de 11 h lorsque nous revenons à la maison. Il fait chaud. Il va bientôt faire lourd.
Nous récupérons une belle laitue au potager. Les deux premières grosses tomates bien rouges. Enfin. Nous mangerons dehors.

Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Estelle fait la pâte à crêpe. Je fais rissoler les crevettes à la poêle.
Accompagnés de riz complet, les beignets de crevettes seront un excellent repas. Tout va vite. Je mets la table au jardin. Bien.
Estelle se montre très entreprenante. Clémentine s'interpose souvent. Par jeu plutôt que par contrariété. Cela est si amusant.
C'est Estelle qui met les crevettes dans la pâte avant de les tremper dans l'huile bouillante. Un bain rapide avec plein de bulles.
Il y en a rapidement une bonne quantité. Le riz a gonflé. Je râpe du gruyère de Comté. Nous sortons avec les plats. Il fait bon.

Toutes les fenêtres de la maison sont ouvertes. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Il y a peu d'insectes. Bien.
Nous traînons à table en faisant mille projets pour l'Ecosse. Clémentine revient de la boîte aux lettres en agitant un pli papier.
< C'est pour Estelle ! > fait elle en montrant le logo de la compagnie d'aviation figurant sur l'enveloppe de papier kraft. Joie.
Estelle prend un couteau, ouvre soigneusement. Folle de joie elle se lève pour venir s'assoir sur mes genoux. Le billet d'avion.
Elle me couvre le visage de bisous. < Je vais le garder sur ma table de nuit, le regarder tous les soirs avant le lit ! > fait elle.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents. Nous mettons de vieux vêtements dans un sachet.
Nous restons vêtus de nos habits légers. Nous chargeons les cartons contenant mes toiles dans la bagnole. Il y a de la place.
Nous voilà en route. Je roule doucement. Avec la climatisation, la conduite est très agréable. Clémentine joue avec ma queue.
Estelle, assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, nous raconte ce qui l'attend au mois de juillet. Son entreprise familiale.
Elle passera ses journées au bureau. Souvent avec sa maman. 45 km et nous arrivons à la petite cité de caractère. Du monde.

Il y a déjà plein de touristes à déambuler sur la place pavée. Je gare la voiture sur le parking obligatoire à l'entrée du bourg.
Je montre ma carte de résident à la jeune fille du guichet. Trois cent mètres et nous voilà devant notre galerie. Une émotion.
C'est Clémentine qui ouvre à l'aide des deux clefs. L'odeur de beurre rance si caractéristique des vieilles demeures fermées.
C'est une vieille maison de pierre du XVème, appartenant à la famille depuis plus d'un siècle. C'est là que tout se passe l'été.
Tout le nécessaire est là, dans les placards de la réserve. Il faut d'abord aérer. Seau, balais, serpillères, brosse, les produits.

Clémentine se propose pour laver la grande vitrine. Estelle veut laver le plancher. Les lames de chêne. Je retourne à l'auto.
Je reviens me garer devant la galerie pour y décharger les cartons contenant mes toiles et leurs cadres. C'est léger, rapide.
Je retourne garer l'auto au parking. Les filles ont fait du courant d'air. C'est agréable et la fraîcheur est vivifiante. C'est bien.
Estelle veut s'occuper de l'encadrement des toiles. Elles ont toutes le même format et les cadres sont identiques. C'est facile.
Clémentine fait les carreaux de la porte d'entrée. Il y a déjà plein de badauds qui regardent à l'intérieur. Qui veulent entrer.

Je passe l'aspirateur sur les murs, dans la grande cheminée. Tout est en pierres de granit. Entre les jointures de la poussière.
L'endroit est fermé depuis septembre de l'an passé. L'après-midi se déroule ainsi. Tout est terminé vers 18 h30. Mon tonton.
Il est content de nous revoir. Malgré ses 88 ans, c'est un homme alerte. Plus grand que moi, ses cheveux blancs en catogan.
Il affiche toujours son mètre quatre vingt douze athlétique. Il a quelques clins d'œil quand aux deux filles qui m'accompagnent.
Il ne connaît que ma compagne, Clémentine. Il fait la connaissance d'Estelle. < Mon salaud ! > me chuchote t-il plusieurs fois.

Nous nous saluons. Il sera là mercredi soir pour le vernissage. Nous fermons boutique. Nous reviendrons demain après-midi.
Estelle a encadré les trente toiles avec soin. J'ai ciré le plancher. Demain il suffit d'accrocher les toiles et de passer la cireuse.
Il est 19 h. Je propose un bon restaurant pour nous récompenser. Les filles se sentent un peu sales. Elles préfèrent rentrer.
Nous arrivons à la maison pour 20 h. Estelle prend sa douche la première. Nous commençons à préparer le repas. La salade.
Il suffit de réchauffer le riz avec une bonne omelette. Estelle revient. C'est à notre tour de monter prendre une bonne douche.

Nous sommes tous les trois en slip et en T-shirt. Nous mangeons de bon appétit. Un peu fatigués tout de même. C'était bien.
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Je propose aux filles de leurs offrir un bon cunnilingus à toutes les deux.
Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons pour nous laver les dents. Joie.
Plutôt que de redescendre au salon, comme il est déjà 21 h30, nous nous installons sur le lit. Je me bouffe du croupion de fille.
Estelle connaît un orgasme qui la projette dans un profond sommeil. Celui de Clémentine est tout aussi fameux. Puis le dodo…

Bonne soirée à toutes les coquines qui se sont amusées toute l'après-midi à bricoler avant de se faire lécher en douceur…

Julien - (Docteur Honoris Causa en léchage de minous, plusieurs fois diplômé en cunnilingus) -

Classe



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Homme, 53 ans, France
Classe - 6 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 831 -



La mise en place dans la galerie

Hier matin, mardi, une fois encore, Clémentine à ma gauche, Estelle à ma droite, je suis tiré de mon sommeil tout en douceur.
Estelle qui, malgré les grosses chaleurs nocturnes reste serrée contre moi comme un naufragé à son radeau, me tient la queue.
Clémentine qui me couvre le visage de bisous. Il est 8 h. Nous dormons rarement aussi tard. Estelle se précipite aux toilettes.
Elle revient pour enfiler sa tenue de sport, me faire un bisou et descendre pour aller préparer notre petit déjeuner. C'est à nous.
Nous pratiquons nos rituels pisseux en riant. Nous enfilons nos tenues de sport, nous dévalons l'escalier pour rejoindre Estelle.

Malgré que les deux fenêtres de la cuisine soient ouvertes pour faire courant d'air, l'odeur du café et du pain grillé nous enivre.
Estelle me saute au cou. < Je compte les jours. Je veux partir avec vous ! > s'écrie t-elle faisant allusion à notre départ proche.
Même si c'est impossible, l'idée est plaisante. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le programme du jour. C'est bien.
Nous traînons à table. La vaisselle. Il est 8 h30 lorsque nous sortons. La journée s'annonce lourde. Il fait même déjà très chaud.
Quelques mouvements d'échauffement et nous voilà à suivre Estelle qui démarre avec un rythme soutenu. Bonheur du jogging.

Une heure d'un running des plus extraordinaires et nous voilà de retour pour 9 h30. Estelle monte prendre sa douche. Première.
Clémentine et moi nous ouvrons notre boîte mail. Deux courriels. Celui de Juliette et celui de Julie qui donne enfin des nouvelles.
En fait, Julie nous souhaite bonne vacances. Elle va passer l'été à faire la serveuse dans le restaurant de sa tante. Faut des sous.
Juliette nous envoie une photo d'elle où on la voit à cheval avec un groupe de gens inconnus. Nous répondons aux deux courriels.
Estelle revient vêtue de son short kaki, de son T-shirt et de ses sandalettes. < J'ai mes trucs de filles, ragnagna ! > lance t-elle.

C'est à notre tour de monter prendre notre douche. Nous nous habillons. La jupe légère, T-shirt et sandalettes pour Clémentine.
Un short léger, un T-shirt et des sandalettes pour moi. Nous faisons les pitres devant le miroir. A nous chuchoter des douceurs.
Nous rejoignons Estelle qui surfe sur le site de l'université. Rien de neuf, aucune informations sinon des travaux de réfections.
Nous sortons. Le ciel est d'un bleu de lapis lazuli. Pas un souffle de vent. La journée s'annonce rude. Nous cueillons des cerises.
Elles sont à présent toutes mûres, bien noires, grosses et juteuses. Pas une seule ne contient le moindre vers. Et si délicieuses.

Nous faisons le tour de la propriété avant de descendre jusqu'à la rivière accompagnés de "Max" le Doberman de nos voisins.
Estelle glisse sa main dans ma braguette ouverte. Je vois bien à son attitude qu'elle cherche à endiguer la tristesse qui gagne.
Je le sens bien. Notre départ imminent, ce vendredi, la rend tristounette. Je lui dis des mots de réconfort. J'essaie d'être drôle.
Clémentine évoque déjà le mois d'août, lorsqu'Estelle viendra nous rejoindre. Et nous la chercherons à l'aéroport d'Edinbourg.
Nous lui promettons d'écrire tous les jours, d'accompagner chacun de nos courriels de quelques photos. Tout ce qui la rassure.

Ce n'est pas simple car, en plus, le premier jour de ses règles, Estelle est d'un naturel mélancolique. Il faut donc ruser. Rires.
Nous sommes assis sur une souche d'arbre, à l'ombre, au bord de la rivière. Les pieds dans l'eau. Nous faisons mille projets.
Cet été, en Ecosse, nous nous laisserons porter par les évènements. Clémentine ne veut pas d'un planning établi par avance.
Je trouve la formule parfaite. Nous apprécions l'improvisation. Estelle en raffole. Et nous nous promettons de nous surpasser.
Clémentine exige d'être en présence de son "Maître" au moins une fois par jour. Je vais tâcher de remplir ce rôle avec soins.

< N'oubliez pas les accessoires, j'en veux ma part aussi ! Je serai une "Soumise" docile ! > rajoute Estelle en sortant ma bite.
Nous en rions de bon cœur lorsque Clémentine fait : < C'est la seule chose établie d'avance ! N'est-ce pas, doux "Maître" ? >
Je promets de faire de mon mieux. Estelle secoue mon Zob dans tous les sens, le tenant à sa base. < Mon Doudou ! > dit elle.
Nous faisons l'inventaire de tout ce qu'il ne faudra pas oublier. Ce soir, nous sommes invités chez les parents d'Estelle. Repas.
Estelle en profitera pour préparer sa valise. Ainsi, dès vendredi nous emmènerons ses bagages avec nous. Elle voyagera léger.

Nous restons là à profiter de ces moments magiques. Il est 11 h30 lorsque nous remontons. Morts de faim. Préparer la bouffe.
Nous cueillons une belle laitue, du persil, de la ciboulette et un gros oignon. Clémentine s'occupe de la salade. Assaisonnement.
Estelle fait bouillir l'eau des coquillettes. Je fais rissoler trois filets de saule avec ail, oignons, champignons, persil et ciboulette.
Juste avant la fin de la cuisson, j'y rajoute un petit pot de crème fraîche. Des épices. Estelle râpe du Parmesan et du gruyère.
Clémentine a mis la table au jardin. Nous mangeons de bon appétit, dehors, à l'ombre du pommier tout en bavardant. Super.

Cet après-midi, nous retournons à la galerie. Nous ne regrettons pas la bicyclette. Et avec cette chaleur ce serait assez pénible.
Nous traînons à table. Il faut rattraper le moral chancelant d'Estelle à plusieurs repises. Elle est assise sur mes genoux. Super.
Nous débarrassons. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous restons vêtus légers. Il est 13 h45. Nous voilà en route. Bien.
La climatisation permet une conduite sereine. Je roule doucement. Clémentine joue avec mon sexe sur les 45 petits kilomètres.
Estelle, assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, nous raconte. < Nous serons dans la même configuration en Ecosse ! >

Il est 14 h30 lorsque je gare la voiture sur le parking obligatoire à l'entrée de la petite cité de caractère. Il y plein de touristes.
Même si la saison connaît son pic d'affluence entre le 14 juillet et le 15 août, il y a certainement déjà quelques records en vue.
Trois cent mètres jusqu'à la galerie. Les vieilles demeures de granit ont la particularité de rester fraîches. Ce qui est appréciable.
Il faut fermer la porte de la galerie à clef car les touristes, ça entre partout, et même dans la cuisine des autochtones. Fréquent.
Estelle et Clémentine accrochent les toiles encadrées aux cimaises. Je reste assis au milieu de la galerie pour observer. Super.

Clémentine suggère de classer les tableaux par genres. Les natures mortes, les paysages, les scènes avec personnages. Bien.
Les filles accrochent, décrochent, accrochent à nouveau. J'ai des goûts de chiottes en matière de décoration. Je les laisse faire.
Estelle suggère au contraire de diversifier l'ordre des genres. Elles tentent donc les deux principes. Elles demandent mon avis.
Que dire ? Je n'ai aucun avis puisque les deux formules m'enchantent. Elles s'assoient sur mes genoux pour regarder l'ordre.
L'une se lève pour changer deux toiles. L'autre se lève à son tour pour faire pareil avec deux tableaux différents. C'est parfait.

Il est presque 17 h quand l'ordre définitif est établi. Mais cela peut encore changer demain. Clémentine prend quelques photos.
Je recouvre la petite table ronde de sa nappe verte. J'y installe le jeu d'échec. Clémentine prépare la bouilloire et les gobelets.
Estelle recouvre la grande table en déroulant le papier nappe. Elle dispose les assiettes et les gobelets en carton ciré. Superbe.
Demain, pour le vernissage, il suffira d'emmener les jus de fruits, les eaux gazeuses, les cacahuètes et les noix de cajou, etc...
Nous cueillerons des cerises pour en disposer partout sur la table. Tout est prêt. Nous reviendrons demain à 18 h. Pour l'ultime.

Nous repartons. Je roule doucement. Clémentine joue avec mon sexe. Estelle assise à l'arrière me chuchote des cochonneries.
Il est 19 h lorsque nous arrivons à la maison. Nous reprenons une bonne douche. Estelle d'abord. Clémentine et moi ensuite.
Nous nous changeons. Robe d'été légère pour Clémentine. Short clair et chemisette blanche pour Estelle. Moi, short et T-shirt.
Nous faisons les clowns devant le miroir. Notre jeu rituel du "Maître" et de ses "Soumises". Cela nous amuse tant. C'est bien.
Nous dévalons l'escalier. Je dis à Estelle qui ne cesse de me tripoter la bite : < Chez tes parents, cool et braguette fermée ! >

Nous en rigolons comme des bossus. Trois petits kilomètres et nous arrivons chez Estelle. Je gare la voiture devant le garage.
C'est le papa d'Estelle, en short et en chemisette, comme moi, qui vient nous accueillir. Il nous invite à le suivre. C'est sympa.
Nous contournons la maison. La maman d'Estelle, toute contente de nous voir, nous serre la main. Et elle est est hyper belle.
Vêtue d'une robe d'été, sa silhouette qui n'a rien à envier à celle d'Estelle, sublime encore ce côté terriblement sexy. Wouah !
Je la félicite. Elle a un charmant sourire. Le papa d'Estelle bavarde avec Clémentine. Nous sommes invités à nous assoir. Bien.

Nous mangeons dehors. Estelle, qui aide sa mère à chercher les plats me chuchote en revenant : < Et rien avec maman ! >
Nous en rions de bon cœur. Le repas est si délicieux. Ce sont des fruits de mer. Nous bavardons. Je réponds aux questions.
J'évoque l'Ecosse. Ma famille à Edinbourg et à Saint Andrew. Les parents d'Estelle se sont promis d'y aller. Et d'ici deux ans.
Nous traînons à table. Les parents d'Estelle évoque l'aspect financier de la présence d'Estelle avec nous. Je dois les rassurer.
Il faut bien que je dépense mon argent. Depuis dix ans je pourrai rester à ne rien foutre. Je peins uniquement par passion.

C'est Clémentine qui me stimule, qui me pousse à garder le rythme. En parfaite "manager" et en parfaite femme d'affaire.
Cela va encore se vérifier demain soir car elle a fixé les prix et les conditions de ventes. Toutes ces choses qui m'ennuient.
Estelle nous laisse pour aller préparer sa valise. Nous parlons Ecosse, peinture. Les parents d'Estelle invités au vernissage.
Une demi heure se passe. Estelle revient. < Tout est prêt. Il suffit de mettre la valise dans le coffre ! > fait Estelle. Parfait.
Je me propose de monter chercher son bagage. Elle se précipite. Déjà dans l'escalier elle me touche la braguette. Ça gêne.

Je suis seul dans sa chambre de jeune fille qui sent bon le jasmin. Tout y est lumineux aux couleurs délavées et pastelles.
Elle se serre contre moi. < C'est là que je vais pleurer tous les soirs en attendant de vous rejoindre ! > me murmure t-elle.
Je dis : < Si tu pleures une seule fois, je te cause plus ! >. Nous rions de bon cœur. Elle me sort la bite, se met à genoux.
Je tente bien de la repousser délicatement en chuchotant : < T'es folle ! Arrête ! >. Trop tard, la coquine me suce. La pipe.
Heureusement que cela ne dure pas. Elle se redresse promptement. Je soulève la grosse valise à roulettes. Plutôt lourde.

Il est 22 h30. Nous prenons congé. Tout le long du repas, la maman d'Estelle n'a cessé de m'observer d'une étrange façon.
< Elle se doute bien ! Elle n'est pas folle. Je passe mes Week-end et mes vacances avec vous ! > précise souvent Estelle.
Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir. Fatigués nous nous précipitons au lit. Juste en slibards.
Estelle insiste pour me sucer encore un peu. J'offre un délicat cunnilingus à Clémentine. Nous sommes tellement épuisés.
Cela n'abouti à rien. Estelle s'endort même avec ma bite molasse dans la bouche. Clémentine me confie des secrets. Dodo.

Bonne journée à toutes les coquines qui préparent leurs vacances et qui ont le privilège de partir à trois coquins...

Julien - (Qui s'endort entre Estelle et Clémentine pour un sommeil réparateur, la bite molle collée au fond du slip) -

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