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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 734 -



Le mercredi soir à s'encanailler chez Juliette

Hier matin, mercredi, nous nous réveillons juste avant que ne résonne la musique. J'éteins immédiatement notre réveil.
< Ouf ! > fait Clémentine en se blottissant contre moi pour quelques rapides effusions de tendresse. Il faut se lever. 6 h.
Nous nous précipitons aux toilettes puis, revêtus de nos tenues de gym, nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. Faim.
Nous savourons notre copieux petit déjeuner tout en bavardant. Nous montons nous livrer à notre heure d'entraînement.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue dans la fraîcheur.

Le ciel est dégagé et lumineux. Un dernier bisou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre très vite.
Il est 7 h50. Je fais le lit, la vaisselle avant d'aller dans l'atelier pour y allumer un bon feu dans la cheminée. Impatient.
Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 8 h15. Me voilà enfin confortablement installé devant mon chevalet. Super.
Je peins dans une sorte d'euphorie qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. Cris que je module longuement. Joie.
Ce matin, pas de téléphone pour m'arracher à ma contemplation méditative. Livré corps et âme à ma passion. Sublime.

Il est rapidement midi. Je mets deux bûches dans la cheminée avant d'aller à la cuisine. Je fais gonfler du riz complet. Bio.
Pendant ce temps, je lave deux belles endives. Et l'assaisonnement de la salade. Je prépare une bonne sauce au Roquefort.
La pâte feuilletée et le saumon ont décongelé. Je concocte une Béchamel dans laquelle je rajoute le saumon poêlé. Parfait.
Il me reste à mettre le feuilleté de saumon au four. Je mange de bon appétit en tentant d'écouter les informations. Difficile.
La vaisselle. Je range la cuisine. Le four est réglé de telle façon que je ne suis plus obligé d'intervenir. Notre repas du soir.

Il est 12 h50 lorsque je suis à nouveau assis devant mon chevalet. Cette seconde séance est encore plus gratifiante. Bien.
Il est rapidement l'heure du retour de Clémentine. 16 h20. Elle entre dans l'atelier en se précipitant vers moi. Si contente.
Assise sur mes genoux, elle raconte sa journée. Les cours, les profs, le menu du restaurant universitaire. C'est intéressant.
Clémentine est installée devant l'ordinateur, entourée de ses fiches dont elle met les notes d'aujourd'hui au propre. Boulot.
Nous travaillons ainsi jusqu'aux environs de 18 h45. Nous rangeons nos affaires. Et nous restons assis devant la cheminée.

La nuit qui tombe. Quelques bruits étranges à l'étage. Nous profitons de ces instants de quiétude. C'est toujours si mérité.
Nous passons tout de même pas loin de 9 h tous les jours sur nos activités quotidiennes. Mais nous aimons le travail. Bien.
Il est 19 h. Nous montons nous changer. Avec cette météo, nous resterons tous deux vêtus de nos jeans, chemises, sweat.
Accroupie à ma droite, pour ce qui est devenu le nouveau rituel, Clémentine me tient la jambe et sa tête contre ma cuisse.
Nous nous observons ainsi dans le miroir de l'armoire. < Je vous aime "Maître" ! > me dit Clémentine. Ma main sur sa tête.

Je réponds : < Je vous aime délicieuse "Soumise" ! >. Nous rions de bon cœur. Ce jeu de rôle nous amuse tant. Charmant.
Je sors ma bite. Clémentine se place devant moi, ses mains sur mes hanches, pour y frotter son visage et me la téter. Joie.
Je la laisse se sustenter un peu avant de l'aider à se redresser. Je me penche. Je lui masse les genoux. Je suis attentionné.
Nous faisons encore un peu les clowns devant le miroir. Nous dévalons l'escalier. Nous enfilons nos anoraks. Nous sortons.
La fraîcheur désagréable et persistante de ce mois de mars n'incite pas à la flânerie. D'autant plus que j'ai la queue à l'air.

Nous prenons la voiture à Clémentine mais que je suis obligé de conduire. Clémentine tient le Tupperware sur ses genoux.
Il contient le feuilleté de saumon que nous apportons chez Juliette. Trois petits kilomètres et nous arrivons au haras. Nuit.
Il n' y a plus que la voiture de Juliette dans la cour. Par contre les lumières des bâtiments sont allumées. Invitation. Super.
Clémentine m'entraîne dans notre écurie habituelle. Nous tombons sur Kim Son, le palefrenier, portant des seaux en métal.
Il nous salue. Nous bavardons un peu. Le jeune garçon nous raconte les anecdotes du jour. Il se passe toujours des choses.

Nous le laissons vaquer à ses occupations. Nous caressons quelques chevaux dont les têtes dépassent de leur box. Sympa.
Je propose à Clémentine de s'offrir un petit embarras, seule en présence du jeune palefrenier. < Génial ! > chuchote t-elle.
Je reste en retrait, à l'angle du dernier box et du local bureau. Clémentine ramasse un outil. Prétexte pour rejoindre le gars.
Kim Son s'en saisit. Clémentine me tourne le dos. Elle se touche d'une main tout en bavardant avec le jeune homme. Bien.
Kim Son, comme l'immense majorité des asiatiques, semble garder son contrôle total. Même dans la circonstance. Super.

Clémentine, lorsqu'elle se met dans ces situations, aime à surmonter ses inhibitions pour très rapidement monter d'un cran.
Ce qu'elle fait encore ce soir. Elle est accroupit devant le palefrenier qui cette fois a cessé son occupation pour mieux voir.
Les bras ballants, il discute avec cette jeune fille, accroupie devant lui, cuisses écartées et qui se touche sans aucune gêne.
C'est la toute première fois qu'il réagit ainsi. Lui aussi a posé une main sur sa braguette. Enfin. Je reste dissimulé. Voyeur.
Soudain, on me frôle l'épaule. Je me retourne. C'est Juliette dans sa tenue d'écuyère, son anorak ouvert. Elle regarde aussi.

Penchée pour voir ce qui m'intéresse tant, elle se redresse pour me murmurer : < Vous délurez mon palefrenier, vicieux ! >
Je lui mets directement la main entre les cuisses. Juliette se cambre sur ses genoux fléchis en écartant davantage ses pieds.
Elle passe ses bras autour de mon cou. Je n'ai pas le temps de réagir. Elle m'embrasse avec fougue. Elle se blottit. Se serre.
Je bande déjà comme un salaud à cause du spectacle que m'offre Clémentine, là-bas, mais là je vais exploser ma braguette.
Juliette frotte son sexe contre le mien. Elle est d'une rare vulgarité. Elle chuchote : < Julien... > et sans continuer sa phrase.

Le goût de la bouche de Juliette est nouveau. Il y a comme un parfum de framboise. Peut-être le rouge à lèvre si discret.
En tous cas, l'émotion que suscite cette attitude me couvre de frissons. Et nous nous penchons pour observer Clémentine.
Cette fois, à genoux dans la paille, devant le palefrenier qui ne cesse plus de se toucher, elle bavarde tout naturellement.
< Tu vis avec la plus merveilleuse salope de la création, Julien. J'aurai du mal à rivaliser ! > chuchote Juliette qui se serre.
Curieusement, cette fois, je n'éprouve aucune culpabilité à me comporter ainsi derrière le dos de Clémentine. C'est génial.

Il n'est pourtant pas dans la nature de cette chef d'entreprise d'être ainsi, si lascive, d'une incroyable douceur. Tendresse.
Je comprends soudain. Tout ce que m'explique Clémentine depuis des mois prend ici tout son sens. Juliette. Amoureuse.
Elle m'embrasse à nouveau. Nous nous penchons pour observer ce qui se passe là-bas. Clémentine s'est redressée. Bien.
Kim Son a cessé de se tripoter la braguette. Clémentine lui serre la main qu'elle tient longuement dans la sienne. Parlant.
Je repousse délicatement Juliette qui me palpe rapidement la braguette. Clémentine vient vers nous. Et elle nous aperçoit.

Pas vraiment surprise de voir Juliette en ma compagnie. Juliette reste distante. Les deux femmes se serre la main. Polies.
Il est presque 20 h. Juliette nous invite à la suivre. Nous repassons devant Kim Son. Un étrange sourire pour Clémentine.
Nous récupérons le Tupperware contenant le feuilleté de saumon, dans la voiture. Nous montons aux appartements. Bien.
La table est mise. Juliette nous invite à nous débarrasser de nos anoraks et à prendre place dans le canapé. C'est agréable.
Assise dans le fauteuil, face à nous, Juliette nous raconte les dernières anecdotes concernant le haras. C'est si intéressant.

Ce soir, comme pour bien marquer son territoire, Clémentine reste serrée fort contre moi, un bras autour de mon épaule.
Je regarde avec insistance vers le sexe de Juliette tout en l'écoutant parler. Elle apprécie visiblement beaucoup. C'est bon.
La sonnerie du four. Nous prenons place. Clémentine ouvre ma braguette et me chuchote : < Fais lui ton numéro ! >. Rire.
Juliette revient avec les plats et me voit debout, derrière la table, les mains sur les hanches, ma bite qui pend devant moi.
Elle m'adresse un sourire vicelard, le regard par en dessous avant de dire à Clémentine : < Vous en avez de la chance ! >

Clémentine se colle contre moi pour répondre : < Oui, je sais. Et je sais aussi me la préserver ! >. Le message est clair.
Nous éclatons de rire avant de nous assoir. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nombreux fous rires. Joie.
< Vous allez corrompre mon brave palefrenier, Clémentine, je ne l'ai encore jamais vu se toucher ! > lance Juliette. Rire.
Je dis : < Clémentine a découvert la délicatesse des nems l'an dernier en Ecosse ! >. Elle répond : < Et je les adore ! >
Juliette rajoute : < Alors il faut goûter à celui-là ! Dès que possible. Mais je crois que préparez bien votre dégustation ! >

La conversation est axée sur ce genre de considérations. Durant tout le repas. Nous avons franchi un cap dans la luxure.
Juliette demande à Clémentine quelques détails bien salaces quand à ses désirs concernant Pierre. Et j'écoute en silence.
< Je suis un peu jalouse, je ne vous le cache pas. Pierre est mon amant ! > précise Juliette. Clémentine garde le silence.
Elle répond : < Et Julien est mon homme ! >. Le message est clair. Mise au point de femmes entre elles. Je la ferme. Ok.
Nous rions beaucoup. A plusieurs reprises je me lève pour agiter ma bite vers Juliette qui, enchantée, fait des clins d'œil.

A la fin de la vaisselle, je dis : < Je vais pisser, Juliette, si vous voulez venir me la tenir ! >. Juliette passe devant nous.
Je suis debout devant la cuvette. Sous l'œil amusé de Clémentine, Juliette dirige le jet et secoue les dernières gouttes.
Elle s'accroupit pour bien observer. Clémentine me remballe la queue. Le message est clair. Juliette nous raccompagne.
Nous laissons Juliette pour rentrer. Dans l'auto, Clémentine me fait part de ses ressentis. < Juliette t'aime ! > fait elle.
Elle développe ses arguments imparables. Ses déductions infaillibles. Ce soir, je lui confie en avoir eu la certitude aussi.

Il est 22 h30. Nous montons à toute vitesse. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns. Clémentine m'embrasse.
Elle m'entraîne au lit. Elle se serre contre moi. Je lui raconte en détails ce qui s'est passé avec Juliette dans les écuries.
Je la rassure. Elle me dit : < Je voudrai que tout cela reste purement sexuel. Je vais lui en parler. Sinon on y va plus ! >
Pourtant, Clémentine est rusée et stratège, elle rajoute : < Et après tout, si elle t'aime, ça offre d'autres possibilités ! >
Je comprends rapidement. Nous baisons. J'offre un cunnilingus délirant à Clémentine. Je propose la pipe demain. Dodo…

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment s'encanailler dans les écuries, avec les palefreniers et la patronne…

Julien - (Qui rassure Clémentine quand à ses sentiments. Rien qui ne soit parfaitement géré, ni maîtrisé) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 8 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 735 -



Les pizzas au foutre du jeudi soir

Hier matin, jeudi, c'est la Suite pour Clavecin de Haendel qui nous arrache de notre sommeil avec une certaine cruauté.
< Ta gueule Haendel ! > s'écrie Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé de mon côté sur la tablette.
Nous rions de bon cœur de ma double peine tous les matins. < Tu as comme un poids sur l'estomac ! > fait Clémentine.
Elle m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous descendons à la cuisine.
Nous préparons notre petit déjeuner que nous dégustons en bavardant. Nous montons pour notre heure d'entraînement.

La douche. Je descends le premier pour aller sortir l'auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il est 7 h45.
Le ciel est bleu. Il fait froid. Un dernier bisou et un dernier coucou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin.
Je rentre. Je fais le lit. Je fais la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Il est déjà 8 h15.
Je prépare ma palette et mes pinceaux. Me voilà installé devant mon chevalet. Je peins dans une douce euphorie. Joie.
Comme toujours, je travaille hors du temps, hors du monde, totalement livré à ma passion dévorante. C'est formidable.

Il est aux environs de dix heures. La musique absurde de mon smartphone. Je sais qui c'est. Je décroche. Gagné. Juliette.
Quelques civilités et la jeune femme en arrive rapidement à ce qui la préoccupe. En mode "haut parleur". Bien pour bosser.
Juliette me présente ses excuses pour son attitude de hier soir. Elle a conscience d'embarrasser Clémentine. Rédhibitoire.
Je la rassure. Mais les manifestations sentimentales n'ont pas lieu d'êtres. Et peut-être même déplacées dans le contexte.
Juliette me fait : < Je me sens sotte, comme une lycéenne ! >. Nous rions de bon cœur. Comme Clémentine je la rassure.

Pour conclure, à la fin de cette conversation qui dure une bonne demi heure, Juliette fait : < Je serai patiente Julien ! >
Cette phrase qu'elle a déjà prononcé deux fois, résonne d'une bien étrange façon. Nous nous saluons avant de raccrocher.
Je continue la peinture de mon paysage sans cesser de penser à cette étonnante jeune femme. Si séduisante. Si coquine.
Il est midi. Je file à la cuisine. Je fais gonfler du millet doré. Je lave une belle salade pour midi et pour ce soir. Une scarole.
Je fais une grosse pâte à pain à laquelle j'incorpore du Parmesan finement râpé. Je concocte une garniture. Pour la pizza.

Tomates, ail, oignon, ciboulette, champignons, des queues de crevettes en boîte. Je fais rissoler longuement en remuant.
Je récupère un peu de cette garniture en sauce pour accompagner le millet que je saupoudre de gruyère de Comté râpé.
Un assaisonnement pour la salade que je saupoudre de levure diététique en paillettes. Je mange de bon appétit. Un régal.
La pâte repose sous un linge dans un saladier. La garniture sous un couvercle. Les pizzas de ce soir sont déjà préparées.
La vaisselle. Je range la cuisine. Je vais faire quelques pas dehors. Il y a un léger vent frais mais il fait bien plus agréable.

Je rentre. J'ai du travail. Cette vingt deuxième toile destinée à ma saison d'été doit être terminée demain, vendredi, midi.
Me voilà assis devant mon chevalet. Seconde séance de la journée. Toute aussi gratifiante que la première. Un vrai plaisir.
Il est rapidement 16 h20. Clémentine qui rentre. Elle se précipite, me fait des bisous et m'entraîne par la main au dehors.
Il fait doux et le vent est tombé. Tout en flânant dans la propriété, Clémentine me raconte sa journée. C'est passionnant.
Je lui raconte l'appel de Juliette, les excuses qu'elle nous présente et notre invitation à venir faire un petit tour dimanche.

Clémentine, que tout cela rassure, fait : < Nous allons surtout là-bas, au haras, pour ce qui se passe dans les écuries ! >
Elle rajoute : < Ses sentiments pour toi, elle se les garde. Il faut éviter ses envolées lyriques et son sentimentalisme ! >
Nous sommes bien d'accords. Clémentine a encore du travail. Et moi aussi. A contre cœur nous retournons dans l'atelier.
Il est 18 h15. Estelle qui arrive à son tour. Toute contente elle se précipite pour me faire des bisous. C'est toujours doux.
Assise sur mes genoux, elle nous donne son avis sur les manifestations sentimentales de Juliette. < Déplacées ! > dit elle.

< Déplacées et inconvenantes ! > rajoute Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Estelle va rejoindre Clémentine. Boulot.
Nous cessons nos activités. Il est 18 h45. Nous rangeons nos affaires. Nous voilà assis devant la cheminée. La nuit tombe.
< Ça m'excite vos affaires de cœur ! > me fait Estelle en glissant sa main dans ma braguette. Virtuose, elle en sort le Zob.
Il est 19 h. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine qui fait l'assaisonnement de la salade déjà lavée.
Estelle travaille encore un peu la pâte à pain. Je réchauffe la garniture. Les filles évoquent ce second trimestre finissant.

Clémentine n'arrête pas de me faire des bisous. Estelle, les mains enfarinées, mime des masturbations masculines. Rires.
Les pizzas sont au four. Je saisis les filles par la nuque pour les entraîner au salon. Je les fais mettre à genoux sur le sol.
Je passe derrière le bureau. Du tiroir du bas, je sors les genouillères. J'ordonne : < On met ses genouillères les salopes ! >
Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. En gloussant les deux coquines enlèvent leurs jeans pour mettre les protections.
< Je vous aime "Maître" ! > me fait Estelle, première à genoux avec les mains sur la tête, bien droite. Clémentine pareille.

Je tourne autour des deux filles. Je m'approche de l'une puis de l'autre. Mon visage tout près du leurs, je les scrute. Bien.
C'est très excitant de scruter des visages de filles de tout près. Clémentine et Estelle en raffolent. Elles m'observent aussi.
Silencieuses, retenant leur souffle, curieuses de ce qui va se passer, elles restent parfaitement immobiles. Je les observe.
Je me place devant Clémentine. Je la fixe en sortant mon sexe que j'agite devant son visage. Je me penche pour un bisou.
Je lui frotte la bite sur la gueule. Estelle regarde tout ce que je fais avec une grande curiosité. Comme une première fois.

J'enfonce doucement ma bite dans la bouche de Clémentine en disant : < En Girondes, tu vas sucer toute la journée ! >
Clémentine en glousse de plaisir avec des petits cris affirmatifs. Estelle me fait : < Et moi "Maître" ? Je serais sans bite ! >
Je réponds : < Délicieuse "Soumise", ce ne sont pas les bites qui manquent dans votre tissus social. Allez aux écuries ! >
Je sors ma bite de la bouche de Clémentine qui tente de la garder encore un peu. Je l'offre à Estelle. Elle ouvre la bouche.
Je la lui passe d'abord sur les lèvres. Je secoue la goutte de liquide séminal qui perle à son extrémité. Et je la lui enfonce.

Clémentine, une main dans sa culotte, observe la façon de sucer d'Estelle. Immobile, les joues creusées. Et gémissante.
Je passe ma main sous le menton de Clémentine pour la forcer à redresser la tête. Je la fixe du regard. Nous adorons ça.
Je lui dis : < Durant nos vacances à Bordeaux, je vais me comporter comme le dernier des vicelards avec toi ! Sévère ! >
Le regard plein de reconnaissance, tout en se masturbant d'une main, elle me tend sa bouche grande ouverte. Invitation.
Je sors ma bite de la bouche d'Estelle pour la lui offrir. C'est Estelle que je tiens à présent sous le menton. Elle me fixe.

Dans ces situations intenses, Estelle me fixe toujours avec un air de défi, fière, droite, la tête haute. Elle est envoûtante.
Je lui mets une gifle. Ce n'est pas un acte de violence. Cela fait partie du jeu. Elle se redresse pour me cracher au visage.
J'adore ce comportement. Clémentine suce avec les yeux ouverts pour ne rien perdre du spectacle. La sonnerie du four.
Nous cessons. J'aide les filles à se relever en les tirant par la tignasse sans leurs faire le moindre mal. Morts de faim. Joie.
Nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent ce qui s'est passé au salon. Plaisir.

Je me lève. Je viens me placer sur la gauche d'Estelle, je lui passe la queue sur la joue pendant qu'elle mange, méfiante.
Je chuchote : < Cet été, en Ecosse, je te promène à la laisse des après-midi entières. Je vais te "dresser" ma grande ! >
< Tu promets ? > me fait elle en tournant la tête pour m'offrir sa bouche après avoir avalé. < Je dis : < C'est promis ! >
Je retourne m'assoir non sans avoir frotté ma queue contre le visage de Clémentine. < J'aime le pizzaiolo ! > dit Estelle.
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'elle rajoute : < Julio Bito, le pizzaiolo ! >. Nous traînons à table en bavardant.

Je me lève ainsi plusieurs fois en disant : < On vide sa bouche les filles, voilà Julio Bito, le pizzaiolo ! >. Nous en rigolons.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Les filles sont impatientes de retourner à la prière du soir, à genoux et à confesse.
Je les y entraîne par la nuque, sans ménagement. Je n'ai pas assez souvent ce comportement. Pourtant elles en raffolent.
Toutes les deux à genoux, protégées par leurs genouillères, les mains sur la tête, bien droites, elles se font vénérer. Bien.
Je n'arrête pas d'être vicelard. Je frotte ma bite sur leurs belles petites gueules. J'y enfonce ma bite. Chacune y a droit.

Elles ont toutes les deux une main dans la culotte. De plus en plus souvent, Estelle se masturbe également. C'est superbe.
Je leurs raconte des saloperies. Et je leurs promets d'invraisemblables cochonneries pour nos prochaines vacances à trois.
Elles en gloussent de bonheur. Elles se régalent. Elles en ont toutes les deux les yeux humides. Le visage trempé de foutre.
Plusieurs fois, je me retire. Je recule un peu. Je tiens ma bite vers l'une ou l'autre, je vise. Estelle détourne la tête. Sympa.
Je ne pisse pas mais je fais mine de le faire. Je bande trop fort. Ce soir, j'essaie d'être équitable dans la distribution de jus.

Je m'accroupis devant Clémentine tout en tenant le menton d'Estelle. Je murmure : < Je vous aime délicate "Soumise" ! >
Je fais la même chose à Estelle. Elles ont le visage trempé. Les yeux larmoyants, leurs cheveux qui collent dans le foutre.
Une petite gifle à Estelle. Du foutre qui gicle, un petit cri de ravissement. Une petite gifle à Clémentine. Petit cri de plaisir.
Cette ruse me permet de débander un peu. Je me concentre. Je m'imagine avec les pieds dans l'eau. Je me redresse vite.
Je vise en direction de Clémentine qui a anticipé. Elle me connaît. Elle sait le salopard avec qui elle partage sa vie. Je pisse.

Je la rince à la pisse. Je dis à Estelle : < T'inquiètes, on te filera des fringues sèches ! >. Je dis ça tout en la visant juste.
Pour l'empêcher de détourner la tête par réflexe, je la tiens par sa tignasse. Un jet pour Estelle. Un jet pour Clémentine.
Les filles déglutissent tout en poussant des râles où se mêlent dégoût et excitation folle. Estelle a un haut le cœur soudain.
Son corps est secoué de plusieurs spasmes. < Je vais vomir ! > s'écrie t-elle en se levant pour se précipiter aux chiottes.
< Pas moi "Maître" ! > me fait Clémentine en me présentant sa bouche ouverte. Elle a un orgasme, je la vois se branler.

Estelle revient. Elle se met à quatre pattes pour marcher jusqu'à nous. < J'ai pas vomis ! > dit elle en ouvrant sa bouche.
Je lui mets directement la bite dans la bouche pour y éjaculer en sournois. Elle me tient par les hanches en criant de joie.
Clémentine est couchée sur le côté, dans la flaque de pisse. Les mains entre ses cuisses entrain de reprendre ses esprits.
Estelle ne me lâche plus. Je la force à cesser. Je lui montre l'heure. 22 h15. Il faut encore se sécher, se changer. On cesse.
Nous montons pour nous donner apparence humaine. Nous avons tellement jouis. Nous nous regardons en riant. Bonheur.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se complaisent autant que nous dans les situations les plus vicelardes…

Julien - (Félicité par Estelle et par Clémentine pour les initiatives surprenantes dont elles sont gourmandes) -

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Classe - 9 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 736 -



Le début d'un Week-end ensoleillé

Hier matin, vendredi, nous nous réveillons juste avant que ne résonne la musique. J'éteins rapidement notre réveil. Ouf.
Quelques papouilles et Clémentine m'entraîne aux toilettes. C'est vendredi, elle termine à midi. Cela la rend fébrile. Joie.
Vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons l'escalier. Nous nous préparons un copieux petit déjeuner. Café et pain grillé.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant un vague programme de la journée. Nous remontons pour nous entraîner.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il fait beau, froid.

Les premières fleurs jaunes égaient la verdure naissante. Pas de doute, le printemps pointe. Dernier bisou. Petit coucou.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Il est 7 h45. Je me dépêche de rentrer. Je fais notre lit et la vaisselle.
Je vais dans l'atelier. J'allume un beau feu dans la cheminée. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 8 h15. Parfait.
Je peins dans un enthousiasme délirant. Je termine ce matin cette vingt deuxième toile destinée à ma saison d'été. Super.
Il est aux environs de 11 h lorsque je dépose la dernière goutte de peinture. Je nettoie mon matériel. Je contemple. Bien.

Je dépose le tableau sur le second chevalet. Je pose une toile vierge sur mon chevalet de travail. Je commence le dessin.
Le dessin préparatoire d'une nouvelle œuvre est toujours un grand moment d'extase permanente. Je le fais avec minutie.
Ce sera une nature morte printanière. Un riche bouquet dans un vase de lapis lazuli bleu et serti dans une monture d'or.
J'en ai quelques exemples déjà réalisés par le passé. Il me suffit d'en faire le calque. Il est midi. Et j'ai presque terminé.
Il reste à passer les deux couches d'impression acrylique "Terre de Sienne". Je laisse ce plaisir à Clémentine qui adore ça.

Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau pour le pilpil de blé. Je prépare un coulis de courgettes, d'aubergines, un poivron.
De l'ail, de l'oignon, de la ciboulette avec du persil. J'y rajoute du filet de saule finement émincé et préalablement rissolé.
Il est 12 h15. Clémentine arrive. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisou. < Week-End ! >
Clémentine s'occupe de la salade d'endive en me racontant sa matinée. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine m'entraîne au dehors. Il fait extraordinairement doux. C'est si agréable.

Pas l'ombre d'une hésitation, cet après-midi nous partons à bicyclette. Nous allons au garage. Je vérifie le gonflage pneus.
Nous nous dépêchons de rentrer pour nous préparer. Nous montons à toute vitesse pour nous laver les dents, se changer.
Nous enfilons nos leggings de lycra noir. Nos maillots de lycra noir sous nos sweats bleus. Baskets. Nous voilà prêts. Bien.
Dans le petit sac à dos, je mets des barres de céréales, deux pommes, nos K-ways, bouteille d'eau et la paire de jumelles.
Clémentine me prend la main pour la placer entre ses cuisses sur son sexe. < Tu sens comme c'est chaud ! > me dit elle.

< C'est mon dernier jour ! > rajoute t-elle en faisant allusion à ses règles. Nous dévalons l'escalier à toute vitesse en riant.
Il est à peine 13 h30. Nous descendons le chemin, nous traversons la rivière, les cinq cent mètres et voilà la piste cyclable.
Nous ne sommes pas les seuls à profiter de cette douceur. Nous croisons quantités de cyclistes, de rollers et de joggeurs.
Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest qui nous poussera au retour. Nous croisons deux voitures de la gendarmerie.
Ils verbalisent les gens qui laissent divaguer leurs chiens sans laisse au mépris du danger et les D'jeunes en scooters. Bien.

Nous arrivons à la hauteur du cabanon de l'écluse. Les arbres et les fourrés sont encore nus. Juste les bosquets de lauriers.
Clémentine me propose de rester à l'écart. Je me planque derrière le cabanon. Et je regarde Clémentine traverser l'écluse.
Entre deux bosquets toujours feuillus, elle se penche pour regarder à droite et à gauche. Elle me fait des signes de la main.
Elle mime une masturbation masculine. Je lui montre la bite. Là-bas, un cycliste solitaire. Je me dissimule derrière l'angle.
Clémentine descend son leggings et sa culotte, s'accroupit, se met en position pipi. Le quidam arrive. Il tombe sur le show.

J'ai assisté à ces scènes tant de fois et pourtant c'est comme une première. J'ai le cœur qui bat la chamade. Je transpire.
L'inconnu s'est arrêté. Clémentine, cheveux défait, portant ses lunettes noires, observe son sexe sans faire gaffe au mec.
Il regarde dans toutes les directions. Ce sont toujours les mêmes réflexes. Il sort sa bite. Je ne la vois pas, il est de dos.
Clémentine lève la tête. Le type se met à converser. Elle lui répond sans bouger. Je bande. Une splendide exhibition. Joie.
Cela manquait tant à Clémentine qu'elle profite enfin de celle-ci pour s'offrir tous les frissons possibles. Le type se branle.

Il regarde constamment dans toutes les directions. Il est en tenue "Tour de France" mode hiver. La quarantaine sportive.
Clémentine, bien trop excitée, n'arrive pas à pisser. Le type évalue la situation. Je le vois regarder la passerelle en métal.
Pas de doute, le bougre envisage de traverser. Clémentine anticipe, se redresse et remonte sa culotte et son legging. Vite.
Le gaillard est déjà sur la passerelle. Je décide d'intervenir. Il tourne la tête et me voit arriver en poussant ma bicyclette.
Il fait demi tour. Il a juste le temps de remballer son sexe, remonter sur son vélo, de filer sans un mot. Sans se retourner.

Nous reprenons notre route. Clémentine me fait part de son ressenti. < Une réussite malgré tout ! > me fait elle en riant.
Elle me raconte les propos tenus par le mec. Nous rions de bon cœur de la perversité de certains individus sans scrupules.
Il est 15 h30 lorsque nous arrivons au port de plaisance après 25 km d'un pur bonheur. Il y a du monde. Des promeneurs.
Les boulistes. Les bateaux sont encore pour la plupart bâchés. Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie.
Nous nous offrons deux cônes glacés à la superette. La gérante est toute contente de nous revoir. Nous bavardons un peu.

Nous savourons nos glaces en flânant sur le quai. Désireuse de s'offrir un autre petit frisson, Clémentine m'entraîne. WC.
Les toilettes publiques sont ouvertes. Par contre, celles réservées au plaisanciers, les meilleures, sont fermées. Dommage.
Nous longeons les murs entre les épais bosquets de lauriers, de cyprès et de tuyas. Il n'y a personne. Il faut être patient.
Je touche Clémentine. Elle me tient la queue. Nous ne l'avons pas vu. Il y a une autre jeune fille qui rôde. Elle nous a vu.
< Certainement une "collègue" du "Club" ! > me fait Clémentine. Je me tourne pour dissimuler le Zob. La jeune fille passe.

Elle nous adresse un timide sourire. Un peu comme si elle culpabilisait d'être surprise à rôder toute seule par là. Sympa.
Elle continue son chemin. < Elle va revenir ! Tu vas voir ! > me fait Clémentine. Je la saisis par ses cheveux. Fermement.
Dans ces moments, Clémentine pousse toujours un petit cri de surprise. Je lui frotte la bite sur le visage. Elle en glousse.
Je lui mets la queue dans la bouche en regardant partout autour de nous. La fille qui revient. Elle tombe sur le spectacle.
Je lui fais un large sourire tout en tenant Clémentine par la tignasse. La jeune inconnue voit Clémentine de dos qui suce.

Elle a un instant d'hésitation, marque un arrêt, me rend mon sourire. De ma main libre, je mime une pipe. Elle s'arrête.
Clémentine ne s'est pas trompée, la jeune fille fait partie du "Club". A ma grande surprise elle se touche le sexe. Vicieuse.
Pourtant, elle ne s'attarde pas. Elle me fait un coucou de la main avant de filer pour disparaître définitivement. Dommage.
Je force Clémentine à se redresser. Je lui raconte ce qui vient de se passer. Nous contournons le bâtiment. Elle est là-bas.
Elle monte sur un scooter, met son casque, démarre et s'en va. < Nous ne la reverrons peut-être plus ! > fait Clémentine.

Cela mérite bien un second cône glacé que nous savourons assis sur le muret à regarder les boulistes jouer à la pétanque.
Il est 16 h45. La fraîcheur se fait ressentir. Nous enfilons nos K-ways. Nous prenons le chemin du retour. C'est très sympa.
Nous croisons autant de monde qu'à l'aller. Le léger vent nous pousse un peu. Nous pédalons en bavardant. Les ressentis.
La rencontre avec cette petite vicieuse, me laisse un curieux sentiment d'exaltation. C'est très excitant ce genre de chose.
Par le passé, et plus jeune, je suis déjà tombé sur des "rôdeuses", ces filles qui traînent dans les endroits un peu ambigus.

Clémentine me fait remarquer que je partage ma vie, depuis plus de deux ans avec une de ces rôdeuses, une de ces filles.
J'en ai bien conscience et c'est un merveilleux privilège. J'en témoigne tous les jours ici, par mes récits. C'est merveilleux.
Nous passons près du pont qui enjambe la rivière. Là-bas, on distingue les bâtiments du haras. Clémentine veut y passer.
Nous entrons dans la cour. Il y a encore là plein de voitures. Des gens qui bavardent. Kim Son et Eveline, les palefreniers.
De jeunes cavalières, filles de propriétaires de chevaux, qui reviennent de promenades et que les parents récupèrent. 18 h.

Il y a Juliette qui tient un cheval par sa longe. Elle nous voit. Occupée avec un cavalier, elle nous fait un coucou de la main.
Nous faisons un tour dans notre écurie préférée. Il y a madame Walter avec deux couples de propriétaires. Un discret salut.
Nous voulons retourner à nos vélos. Il est quand même déjà 18 h30. Nous voulons êtres de retour avant la nuit, avant 19 h.
Monsieur Gérard nous a vu. < Oh merde ! Reste avec moi ! > me chuchote Clémentine qui ne veut pas être seule avec lui.
Il vient nous saluer. Il est plutôt élégant. Pantalon en velours brun, chemise blanche sous une épaisse veste façon "chasse".

Je décide de mettre Clémentine dans l'embarras. Nous bavardons tous les trois lorsque Kim Son arrive. Et je vais vers lui.
Je trouve un prétexte. Il se met à m'expliquer un truc. Je laisse Clémentine avec le vieux satyre. Je reste à l'écart à parler.
Kim Son est un garçon charmant. Cette petite conversation est récréative. Je regarde discrètement vers Clémentine. Bien.
Le vieux salaud doit lui faire des propositions. Je le vois même se toucher discrètement à deux ou trois reprises. Le vicieux.
Je vois Clémentine rire de façon gênée. Visiblement excédée par le comportement du vieux saligaud qu'elle laisse soudain.

Elle vient nous rejoindre. Nous saluons Kim Son avant de filer sur nos vélos. Clémentine me raconte les propos de Gérard.
Cette vieille canaille aimerait beaucoup se faire sucer un de ces jours par Clémentine. Pour le moment, elle ne le veut pas.
Il est 19 h lorsque nous arrivons à la maison. Nous sommes assez fatigués. Il n'y a qu'à réchauffer les restes de midi. Joie.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous faisons le bilan de nos aventures de la journée. De quoi être fiers.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine aimerait bien passer les deux couches d'impression dans l'atelier. Bien.

Je prépare la peinture dans un petit gobelet en terre cuite. J'observe Clémentine croiser les deux couches qui sèchent vite.
Je passe ma main entre ses cuisses. Elle adore lorsque je la touche. Surtout dans les situations où elle a les mains prises.
Nous traînons dans l'atelier. Tout est prêt pour lundi. Clémentine me fait tomber dans le vieux canapé. Elle me sort le Zob.
La voilà à genoux entre mes jambes pour me tailler une pipe des familles. Je lui murmure des cochonneries. Et Mr Gérard.
Epuisés, nous montons. Je propose à Clémentine de continuer la pipe demain. Nous pourrons baiser à nouveau. Le dodo…

Bonne ballade à vélo à toutes les coquines qui aiment s'exhiber, aller à la rencontre de choses étonnantes et sucer…

Julien - (Ravi de partager sa vie avec une de ces "rôdeuses" que l'on rencontre parfois aux abords de lieux glauques) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 10 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 737 -



Un samedi de printemps

Hier matin, samedi, je suis réveillé par le léger mouvement des draps et peut-être un peu du matelas. Une masturbation.
Lorsque je me réveille, ma respiration change. Ce qui alerte immédiatement Clémentine qui cesse alors de se masturber.
< J'ai fait un rêve érotique ! C'est encore à cause de Gérard ! > me fait elle en se blottissant contre moi. Je la serre fort.
Nous rions de bon cœur. Je dis : < Bonjour ma belle masturbatrice. Il a bon dos ce pauvre Gérard ! >. Elle m'embrasse.
Notre envie de pisser met rapidement un terme à nos effusions de tendresse. Clémentine m'entraîne aux toilettes. Pipi.

Vêtus de nos tenues de gym, nous descendons à toute allure jusqu'à la cuisine pour y préparer notre petit déjeuner. 7 h30.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte son rêve érotique. Ses règles sont terminées. Et c'est le Week-end.
Il fait beau. Malgré la fraîcheur, nous décidons de nous offrir un vrai jogging. La vaisselle. Nous enfilons nos K-ways. Super.
Nous courons d'un rythme soutenu. Déjà pour nous réchauffer mais surtout pour apprécier de pouvoir enfin courir dehors.
Bientôt, nous pourrons à nouveau le faire tous les matins. Nous revenons pour 9 h après une heure d'un running agréable.

La douche. Nous nous habillons. Clémentine porte une de ses jupes d'épais velours carmin évasées au-dessus du genoux.
Un chemisier blanc sous un pull noir. Des bas noirs fixés à son porte jarretelle noir. Elle est somptueuse. Cheveux attachés.
Sur sa demande, je porte un jean, une chemise blanche sous un pull noir au col en "V". Mes souliers noirs de ville. Elégant.
Accroupie sur ma droite, me tenant la jambe, sa tête contre ma cuisse, ses cuisses écartées, Clémentine me fixe. Sourire.
Nous sommes devant le miroir de l'armoire. < Est-ce à votre convenance, "Maître" ? > demande t-elle, le regard implorant.

Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Vous êtes merveilleuse, ma délicieuse "Soumise" ! >. Elle se serre très fort.
Je sors ma bite. Clémentine y frotte son visage avant de la sucer un peu. Je la force à cesser. Elle se relève. C'est notre jeu.
Nous dévalons l'escalier. Clémentine enfile sa veste de cuir noir. J'enfile ma veste bleue nuit. Et dehors il fait presque doux.
Nous voilà en route pour le bourg voisin. Trois petits kilomètres pour aller y faire notre marché. Je roule doucement. Super.
Clémentine, tout en jouant avec ma queue, me confie à quel point ce jeu du "Maître" et de la "Soumise" lui est nécessaire.

Je gare la voiture. Je porte les paniers contenant les sacs. Il y a du monde. Et il faut se frayer un passage entre les gens.
Nous attirons encore bien des regards. Nos hautes tailles. Cette superbe jeune fille au bras d'un homme d'âge mûr. Joie.
Nous nous en amusons avec espièglerie. Nous faisons provision de fruits et de légumes chez notre petit agriculteur local.
Nous faisons provision de fromages, de yaourts, de beurre, de crème fraîche et d'œufs chez notre petit artisan habituel.
Nous avons avec chacun quelques bons mots. Nous retournons à la voiture pour mettre les produits frais dans la glacière.

En route pour la ville, la zone commerciale et son hypermarché. Treize petits kilomètres. Clémentine joue avec ma queue.
Lorsqu'elle se penche pour la sucer, je la prends par ses cheveux pour appuyer sur sa tête et lui en enfoncer un maximum.
Je ne le fais durer qu'un instant. Cela la surprend à chaque fois. < Je vous aime, "Maître" ! > me fait elle en se redressant.
Ce n'est qu'un jeu mais il nous amuse beaucoup. Je réponds : < Je vous aime ma délicieuse "Soumise" ! >. Nous arrivons.
Je pousse le caddie. Clémentine, la liste des courses à la main me précède dans les rayons où elle nous entraîne. Méthode.

Par acquis de conscience, excitée, Clémentine me propose de tenter un "plan" exhibe. Jouer. Il n'y a pas trop de monde.
Elle m'entraîne au rayon culturel. < Regarde ! Un super plan ! > me fait elle en me montrant le quinquagénaire solitaire.
Le type est entrain de feuilleter un livre devant les "Pocket". Je reste aux bandes dessinées. Clémentine pousse le caddie.
Elle pousse le charriot contre les livres, à environ deux mètres du quidam. J'ai assisté tant de fois à la stratégie. Sympa.
Le caddie, derrière elle, fait écran. Clémentine peut donc s'accroupir et faire mine de chercher un livre au rayon du bas.

C'est un super plan car l'inconnu ne tarde pas à découvrir la superbe jeune fille accroupit à sa gauche, à courte distance.
L'homme a le même réflexe que tous les autres. Quelques minutes et il s'accroupit à son tour pour mâter sous les jupes.
De l'endroit où je me trouve, je distingue parfaitement l'entrejambes de Clémentine. Le mec doit en apprécier la vision.
Personne ne peut se rendre compte de ce qui se passe. Le caddie et le type faisant écran de chaque côté. Ça reste gonflé.
Clémentine me raconte souvent à quel point ces situations provoquent chez elle des montées d'adrénalines. Des frissons.

C'est souvent le même scénario. Il y a une femme qui arrive en poussant un chariot. C'est la compagne du type. Merdre.
Clémentine, adroite et stratège, a juste le temps de resserrer les cuisses et de se tourner vers le rayon. Moins une. Ouf !
Le type se redresse et montre le livre qu'il faisait semblant de feuilleter. Clémentine se redresse pour venir me rejoindre.
Elle me prend la main pour me faire sentir à quel point son cœur bat la chamade. Elle transpire. Nous rions de bon cœur.
< C'est à chaque fois plus fort ! Je suis victime d'une addiction intraitable ! Comme c'est bon ! > murmure t-elle. Rires.

Désireuse de s'en offrir une autre tranche, Clémentine m'entraîne au rayon des vêtements. Elle vient de gagner au loto.
Il y a le même mec. Il décroche des vestes pour les tourner dans tous les sens en les regardant. Il est tout seul. Superbe.
Je reste au début du rayon à faire mine de regarder les blousons en promotion. Clémentine pousse le chariot dans l'allée.
Elle reprend sa position. N'importe quel homme, normalement constitué, comprend immédiatement à qui il a affaire. Jeu.
Cette fois, il s'approche, accroupit, marchant en canard pour entrer en contact avec la merveilleuse exhibitionniste. Joie.

C'est la même configuration. D'un côté c'est le chariot qui protège de la vue, de l'autre c'est l'homme accroupit lui même.
Clémentine se tourne franchement devant l'inconnu, cuisses écartées et se met à bavarder avec lui. Et de façon naturelle.
Je bande. C'est absolument génial. L'aplomb avec lequel Clémentine s'exhibe ainsi, effrontément, donne le vertige. Super.
Je prends conscience, une fois encore, de l'immense privilège de partager ma vie avec une telle jeune fille. C'est sublime.
Le type drague. Je le comprends. Il y a de quoi passionner n'importe que possesseur de bite. Clémentine reste attentive.

Elle sait que l'inconnu n'est pas seul. Lui semble en avoir perdu l'évidence. Clémentine fait bien car voilà la femme du mec.
Elle se redresse. Le type est surpris. Clémentine se relève et s'en va poussant le chariot. La femme la reconnait. Etrange.
Clémentine contourne le rayon pour me rejoindre aux chaussures. Elle reprend ma main. Pulsation cardiaque d'un 100 m.
Nous rions de bon cœur de cette nouvelle farce. < Jamais deux sans trois ! > murmure Clémentine en m'entraînant. Joie.
Nous attendons notre tour devant la poissonnerie. Nous faisons provision de fruits de mer, de poisson frais, de crustacés.

Nous passons en caisse. Nous flânons un peu dans la galerie commerciale. Nous découvrons le menu de la cafétéria. Bien.
Clémentine préfère rentrer. Avec ce beau temps, nous partons à bicyclette dès la fin du repas. Nous voilà en route. Super.
A nouveau, lorsqu'elle me suce, j'appui sur la tête de Clémentine en tentant d'être le plus vicieux possible. Elle aime tant.
Il est 12 h30 lorsque nous revenons à la maison. Nous rangeons les courses. Nous montons nous changer. La tenue vélo.
Nous redescendons pour préparer le repas. Moules, haricots verts et salicorne en entrée. Nous mangeons de bon appétit.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous sommes pressés de filer sur nos bicyclettes. Il fait trop beau, il fait très agréable.
Il est à peine 13 h30 lorsque nous descendons le chemin qui rejoint la piste cyclable. Nous croisons quantité de cyclistes.
Avec cette météo, tout ce que la région compte d'amateurs de grand air, s'est donné rendez-vous ici. C'est assez amusant.
Nous arrivons à proximité du cabanon de l'écluse. Clémentine me fait remarquer la voiture de gendarmerie, l'attroupement.
Notre premier réflexe est de croire que quelqu'un est tombé à l'eau. C'est l'organisation de la marche populaire de demain.

< Pas d'exhibe ici, aujourd'hui ! > me fait Clémentine. Nous passons sans nous arrêter. C'est un peu dommage. Tant pis.
Nous arrivons au port de plaisance vers 15 h. En avance d'une bonne demi heure. Il y a plein de monde. Forte animation.
Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie. Nous traversons la petite route pour nous rendre à la superette.
Nous nous offrons nos deux cônes glacés. Nous bavardons un peu avec madame Marthe, la gérante. C'est toujours sympa.
Madame Marthe nous apprend que la première animation de l'année aura lieu demain. L'arrivée de la marche populaire.

Ce qui explique les employés qui montent des cabanons sur le quai. Nous flânons en dégustant nos cônes glacés. Pistache.
Il y a les boulistes qui jouent à la pétanque. Il y a des groupes de cyclistes et promeneurs. Même des familles de Simpson.
Clémentine, désireuse de s'offrir quelques frissons, excitée par la douceur du climat, les aventures de ce matin, m'entraîne.
Nous allons rôder du côté des sanitaires réservés aux plaisanciers mais encore fermés et les toilettes publiques ouvertes.
Là, entre les fourrés de lauriers et les murs nous pouvons faire le tour du bâtiment sans être vu. Ce n'est pas très propre.

C'est souvent fréquenté par des jeunes qui viennent là se mettre à l'abri des regards. Cet après-midi, c'est désert. Calme.
Je touche Clémentine. J'essaie d'être vulgaire. Excitée comme elle l'est, c'est même une exigence. J'ai la queue de sortie.
Clémentine me branle. Je la tiens par ses cheveux qu'elle a détaché. Je la force à se pencher en avant ou à s'accroupir.
La tenant fermement, je la fais sucer par petites séquences d'une à deux minutes. Nous restons vigilants. S'il y a "plan".
Quelle n'est pas notre surprise. Sur le scooter que nous distinguons de l'autre côté du chemin, il y a la jeune fille de hier.

Nous la reconnaissons immédiatement dès qu'elle retire son casque. < Elle vient rôder ! > murmure Clémentine. Silence.
Nous nous mettons à l'écart, entre le muret et les bosquets. La jeune fille traverse la rue. Elle est vêtue en jeans et sweat.
A peine engagée entre les fourrés et le mur, elle se penche pour mâter dans tous les sens. Elle semble guetter. L'attente.
Nous restons silencieux, à une vingtaine de mètres, accroupis en retenant nos souffles. Nous la distinguons difficilement.
< C'est moi, adolescente ! Je faisais pareil. J'avais mes endroits ! > me chuchote Clémentine. Nous regardons en silence.

Nous passons derrière le muret. A l'abri des regards, nous observons les agissements assez étranges de cette jeune fille.
Elle longe le mur, courbée en avant pour éviter les branchages. Elle vient se cacher à proximité de la porte des toilettes.
< Je faisais pareil ! > murmure Clémentine qui commente chaque situation. J'écoute et je regarde cet étonnant spectacle.
La jeune fille est d'une extrême prudence. Elle ne cesse de regarder dans tous les sens. Nous restons bien planqués. Dur.
Il y a un homme qui arrive. En jeans, sweat, il pose son vélo contre le mur et entre dans les toilettes. La jeune fille mâte.

Elle est accroupit derrière les fourrés. Elle se redresse. Regarde dans toutes les directions et entre à son tour dans les WC.
< Elle va "allumer" le mec ! Je peux exactement te décrire ce qu'elle recherche. Des émotions ! > chuchote Clémentine.
Nous sommes un peu frustrés de ne pas pouvoir assister à ce qui se passe dans les chiottes. La jeune fille en ressort vite.
Le type sort à son tour. La fille s'est planquée. Il regarde dans toutes les directions, remonte sur son vélo et s'en va. Fini.
< Tu sais quoi ! Tu vas dans les chiottes. Tu me racontes ! > me murmure Clémentine. Je contourne le muret. La route.

J'arrive par le chemin. Je fais le type tout à fait normal, ne se doutant de rien et qui a juste besoin de se soulager. Pisser.
J'entre dans les toilettes. Sur la gauche, trois urinoirs muraux. Sur la droite trois lavabos. Au fond quatre cabinets mixtes.
Je ne suis pas debout devant un des urinoirs plus d'une trentaine de secondes qu'un bruit derrière moi attire mon attention.
C'est la jeune fille. Elle est de petite taille. Furtive. Sans un mot elle entre dans un des cabinets du fond. Je bande un peu.
Je me concentre. J'ai une méchante envie de pisser. Mais je veux le faire en faisant semblant de me masturber. Le silence.

Je m'écarte un peu de l'urinoir. Je suis presque au milieu de la petite salle. Je lâche une première giclée comme un essai.
Concluant. Je suis prêt. Si la jeune fille sort, elle ne pourra pas faire autrement que de me voir à l'œuvre. Je me masturbe.
J'observe. Mes yeux se sont habitués à l'obscurité. Je découvre que la porte du cabinet est légèrement ouverte. Elle mâte.
Je me branle dans sa direction tout en pissant. Le jet est contrarié par l'érection. Il est si faible. Mais c'est impressionnant.
La jeune fille sort. Elle est obligée de me contourner pour sortir. Je lui lance : < Vous auriez l'heure vous êtes du coin ? >

La jeune fille s'arrête sur le pas de la porte. Elle me regarde sans répondre. Elle m'observe sans manifester aucun ressenti.
Elle comprend n'avoir strictement rien à craindre. Je termine de pisser. Je suis cambré sur mes genoux fléchis à me branler.
C'est une vicieuse. Une vraie. Une "rôdeuse" de WC publics. Elle me demande : < C'est vous que j'ai vu hier avec la fille ! >
Je confirme. < Elle est où ? > me demande t-elle encore. Je dis : < Quelque part sur le port à m'attendre ! >. Elle me fixe.
< Elle sait que vous faites ça devant d'autres filles ? > rajoute t-elle. Je lui dis : < Oui ! Elle sait toujours tout ! >. Silence.

La jeune fille semble enfin manifester un sentiment. Elle me fait : < Vous allez lui dire ? >. Je confirme : < Oui ! Et tout ! >
Je rajoute : < Tu veux goûter ? > en agitant ma bite. La jeune fille me fait un sourire. Sans répondre, doucement, elle sort.
Je me réajuste. Je sors à mon tour. Bien évidemment, il n'y a plus personne. Je m'éloigne par le chemin sans faire attention.
Je contourne le muret pour rejoindre Clémentine qui me fait : < Alors ? Raconte ! > Je confirme que c'est bien une rôdeuse.
< Je faisais pareil ! > me chuchote Clémentine en se touchant. Nous marchons un peu. Et là-bas, il y a toujours le scooter.

Clémentine m'entraîne dans les fourrés. Accroupie devant moi elle me sort la bite pour se mettre à la sucer. Je suis trempé.
Elle me prend la main afin que je me saisisse de ses cheveux. Je comprends la demande. Je la brusque un peu. Elle adore.
Nouvelle surprise. La jeune fille se pointe. Cette fois elle reste debout, là, à quelques mètres pour contempler ce spectacle.
Je lui fais un sourire. Je lève le pouce de ma main libre. Je lui adresse un clin d'œil. J'enfonce bien ma bite dans Clémentine.
Je la tiens par ses cheveux. Je la force à en bouffer le maximum. Je peux l'entendre gémir. La jeune fille est toute rouge.

C'est sans doute la toute première fois qu'elle assiste à ça. Elle semble à la fois hyper gênée, prête à fuir et hyper excitée.
Je sors ma bite de la bouche à Clémentine. Je fais : < Regarde qui est là ! >. Clémentine se retourne. La fille est surprise.
< Bonjour ! > lui fait Clémentine. S'en est trop. La jeune fille s'en va à toute vitesse. Nous la regardons traverser la route.
Elle met son casque. Regarde encore un petit moment vers les fourrés, hésitante. Elle fini par démarrer et par s'en aller.
Nous sommes tous deux certainement aussi excités que notre belle inconnue. Il est déjà 16 h30. Il faut penser à retourner.

Sur le chemin du retour, nous n'arrêtons pas de disserter sur notre étrange aventure. Clémentine fait des comparaisons.
Elle aussi a vécu quantité d'aventures, adolescente, dans ses recoins où elle avait ses "plans". Elle a vécu bien des trucs.
Il est 18 h30 lorsque nous arrivons à la maison. Il y a la voiture d'Estelle. Elle nous fait un coucou de la fenêtre. Cuisine.
Nous rentrons. Estelle nous fait la bise, me saute au cou. Je la soulève, la fais tourner. Elle me couvre le visage de bises.
Elle est entrain de laver la salade et préparer l'assaisonnement. Nous épluchons les légumes pour la potée. Tout va vite.

Nous racontons notre aventure à Estelle. < Toutes les filles ont fait ça au moins une fois dans leur vie, mâter ! > dit elle.
< Les yeux c'est fait pour regarder ! > rajoute t-elle. Nous rions de bon cœur. Je pane trois beaux filets de saule meunière.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Estelle nous raconte sa journée. Au bureau dans l'entreprise familiale.
Demain, dimanche, ses parents viendront manger à la maison. Puis nous partirons à bicyclette. Nous traînons à table. Joie.
Estelle se lève plusieurs fois pour mimer une masturbation masculine en disant : < C'est comme ça qu'elle ta vu la fille ! >

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Je propose aux filles de leurs bouffer la chatte. Je ne suis pas obligé de me répéter.
Estelle veut voir l'état de ma bite et du fond de mon slip. Elle sait que mes excitations sont sources de forts épanchements.
Elle n'est pas déçue. Elle en tombe à genoux pour me sucer en poussant des petits cris de ravissements. Clémentine mâte.
Je force Estelle à cesser. Les filles retirent leurs vêtements du bas pour se mettre à quatre pattes devant le canapé. Parfait.
Je me mets à quatre pattes derrière pour passer d'un cul à l'autre dans un concerto de gémissements et de gloussements.

Qui a déjà bouffé le cul et la chatte d'une jeune fille qui a 50 km de vélo dans les jambes, sait exactement ce qui se passe.
Le goût de la sueur, des épanchements de muqueuses et des mouillures d'excitation est le plus merveilleux festin du soir.
J'en ai des vertiges. Je crois que j'ai bien avalé un demi verre à moutarde de jus de fille. Je me branle en suçant sur le dos.
Les filles se frottent le croupion sur mon visage à tour de rôle. Estelle connaît un orgasme foudroyant avant de me pomper.
C'est au tour de Clémentine qui m'inonde de pisse chaude. Epuisés, nous montons. Il faut nettoyer. Salle de bain et le dodo.

Bonne expédition à toutes les coquines qui ont déjà joué à la "rôdeuse" et qui en gardent des souvenirs humides…

Julien - (Poussé au vice, au stupre et à la luxure par une existence d'hédoniste convaincu et par Clémentine) -

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Un dimanche plein de délicatesses

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par des bisous que l'on me dépose sur le nez, le front. On me taille même une pipe.
De me faire sucer l'érection matinale est une étrange sensation. Pas vraiment jouissive. C'est un peu comme une crampe.
J'ouvre les yeux. Le visage souriant et bienveillant de Clémentine au dessus du mien. Je force Estelle à revenir à l'air libre.
Je les serre toutes les deux contre moi. Nous restons tous les trois silencieux, immobiles, à savourer ce privilège. Merveille.
Estelle, n'en pouvant plus, se lève la première en s'écriant : < Pipi ! >. Clémentine me chevauche. De douces papouilles.

C'est à notre tour. Estelle descend pour préparer le petit déjeuner. Nous la rejoignons. Il est 8 h. Dehors il fait super beau.
L'odeur de café, de pain grillé et de brioche sont la seconde caresse de ce dimanche matin. Estelle me saute au cou. Bises.
Nous mangeons de bon appétit. Tel le patriarche, je beurre les tartines que me tendent les filles. La brioche est délicieuse.
Nous traînons à table. Le dimanche matin, c'est "ménage". Celui ci est particulier car les parents d'Estelle viennent manger.
Nous serons donc aux fourneaux le plus tôt possible. Estelle s'occupe de l'aspirateur qu'elle passe partout et du salon. Bien.

Clémentine monte faire la chambre. Je commence par nettoyer la cuisine. Dès la vaisselle terminée, nous voilà à la tâche.
J'entends Estelle passer l'aspirateur tout en chantant dans son pyjama de soie mauve. Je passe la serpillère. Nickel. Parfait.
Je m'apprête à monter rejoindre Clémentine lorsqu'Estelle, comme toujours, me tend son piège de l'escalier. Elle m'attrape.
Sa main dans mon slip, elle se serre contre moi en disant : < Tu te branles devant d'autres filles dans les chiottes ! >. Rire.
< Ça me rend jalouse ! T'es un salaud ! > rajoute t-elle. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Et je l'entraîne.

Nous rejoignons Clémentine qui termine de faire le lit. Je m'habille vite. Les fenêtres sont ouvertes et la fraîcheur est vive.
Je ramasse le tas de draps sales que j'emmène à la salle de bain où Clémentine vient me rejoindre. Je fais le bac à douche.
Clémentine fait le lavabo et les miroirs. Nous n'arrêtons pas de nous faire des câlins, bisous, à évoquer la fille au scooter.
< Je faisais comme elle, adolescente, mais avec ma mobylette bleue. Tu te souviens de ma mobylette ? > fait Clémentine.
Nous rions de bon cœur à l'évocation des gags que cette mobylette a inspiré. Les soirées Chippendale imaginaires. Poilade.

Clémentine descend avec le panier à linge plein à ras bord. Je nettoie les chiottes. Estelle arrive en silence pour la surprise.
J'ai les mains gantées, penché entrain de passer l'éponge dans la cuvette lorsqu'elle me choppe les couilles. Et par derrière.
< Tu te branles devant moi aussi, s'il te plaît, Julien, je t'aime ! > me chuchote t-elle. Je tire la chasse, je retire mes gants.
Je sors mon Zob. Je bande mou. Je me contente de le faire tournoyer en le tenant à sa base. < Zorro ! > fait elle en riant.
Elle est trop adorable. Je cesse pour la prendre dans mes bras, pour la serrer fort. < Comme c'est bon avec toi ! > dit elle.

Elle m'embrasse avec tant de passion que nous avons rapidement des épanchements du trop plein de salive. Goût brioche.
Je l'entraîne. Nous descendons rejoindre Clémentine à la cave, dans la buanderie pour aider à trier le linge. C'est si sympa.
Il est 10 h30. Je laisse les filles pour monter à la cuisine. La pâte feuilletée et le saumon ont décongelé. Je fais la Béchamel.
Estelle est la première à me rejoindre. Elle passe derrière moi. Elle met sa main dans ma braguette. Mes mains occupées.
< Tu n'oublies pas de fermer ta braguette lorsqu'il y aura mes parents. Ma mère est déjà assez suspicieuse ! > me fait elle.

Nous rions de bon cœur. Clémentine arrive à son tour. Elle s'interpose en disant : < On laisse mon mec travailler ! >. Rire.
Clémentine s'occupe des salades. Avocat, salicorne, tomates et le concombre. Estelle émince finement le pavé de saumon.
Je fais blondir de l'ail, de l'échalotte et de la ciboulette. Estelle y rajoute le saumon. A trois, tout est beaucoup plus rapide.
Le feuilleté de saumon est au four pour 11 h. Le timing parfait. Clémentine dresse la table monastère au salon. Je l'aide.
Nous montons nous changer. Nous mettons des jeans propres, des chemises blanches. Les filles se font des catogans. Joie.

< Regardez comme on est beaux tous les trois ! > fait Clémentine en nous entraînant devant le miroir. Habillés tout pareil.
Je suis au milieu des filles qui s'accroupissent en même temps pour poser leur tête contre mes cuisses. Elles se blottissent.
< Notre "Maître" devra se tenir à midi ! > fait Estelle. Je pose mes mains sur leurs têtes. Je dis : < Oui, ma "Soumise" ! >
< Mais avec moi, vous pouvez vous comporter en "Maître" ! > fait Clémentine. Je dis : < Discret, ma chère "Soumise" ! >
Je sors ma bite pour leur permettre de frotter leurs visages d'ange dessus, de la téter un peu. Et elles se prennent au jeu.

Je les force à cesser. Je dis : < Venez, on se lave les dents, vous sentez la queue pas fraîche ! >. Nous rions de bon cœur.
Nous faisons les clowns devant le miroir. Nous descendons à toute vitesse. Il est 11 h45. La sonnerie du four. C'est super.
Trois coups de sonnette. C'est Estelle qui va ouvrir. Elle revient avec ses parents. Et ils sont tous deux vêtus comme nous.
Jeans, chemises blanches. La maman d'Estelle laisse ses cheveux pendre sur ses épaules. C'est une superbe femme. Joie.
Clémentine leur fait faire le tour de la maison. La visite. Estelle, seule avec moi, me tripote la braguette en m'embrassant.

Je rejoins Clémentine et les parents d'Estelle dans l'atelier. Il n'y aucune toile en travaux. Ils peuvent donc visiter et voir.
Ma peinture a de quoi ravir n'importe quel amateur d'Art. Je précise qu'aucune n'est à vendre, je donne une idée des prix.
Il est donc hors de question d'en acquérir une. La maman d'Estelle me regarde plusieurs fois, discrètement. C'est étrange.
Comme me la déjà précisé Estelle, je suscite une certaine curiosité chez cette femme. Moi qui vis avec une fille de 21 ans !
Nous passons à table. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous sommes félicités pour la qualité du repas.

Je ne sais pas qui me fait du pied sous la table. Clémentine ou Estelle. Sans doute les deux coquines. C'est très amusant.
Au dessert, nous parlons de ma voiture. Nous nous rendons au garage. Je la sors. Le papa d'Estelle rêve d'une Mercedes.
C'est un modèle de Class E, avec toutes les options. Je lui propose de l'essayer. Nous y montons tous les cinq. Superbe.
Je ne roule qu'en mode "Vitesses automatiques". Je gère beaucoup mieux la puissance de cette voiture. Je roule pépère.
Complètement sous le charme, les parents d'Estelle proposent de conclure l'affaire dès la fin du mois de mars. Très bien.

Je change de voiture tous les trois ou quatre ans. J'ai donc le temps de commander une nouvelle chez le concessionnaire.
Depuis plus de 20 ans, je ne roule que dans cette marque et depuis dix ans en Class E. Nous réglons les quelques détails.
Ils pourront venir la chercher dès dimanche prochain. Clémentine et moi nous partons en Gironde. Pas besoin de voiture.
Il est 14 h. Les parents d'Estelle sont attendus. Nous nous saluons. La maman a plusieurs étranges regards à mon égard.
C'est un peu troublant. Pourtant, pas une seule fois, il n'y a eu le moindre geste équivoque. Nous savons nous tenir. Bien.

Nous montons nous changer. < Tu as été formidable Julien ! Un parfait "Maître" de maison ! > me fait Estelle en rigolant.
< Julien est le "Maître" le plus parfait ! > rajoute Clémentine en se serrant contre moi pour enlever la main d'Estelle. Rire.
Nous voilà en tenues vélo. Nous descendons le chemin jusqu'à la piste cyclable. Il y a du monde. Cyclistes et rollers. Joie.
Il y a cette nouvelle mode des gyropodes. Ces engins à deux roues, électriques. Il y a maintenant aussi des trottinettes.
Nous roulons contre un vent d'Ouest plus fort que hier. Nous arrivons au port de plaisance pour 16 h. Deux cônes glacés.

C'est l'arrivée de la marche populaire organisée par les Pompiers du bourg. Une réussite. Il y a un monde fou. Une foule.
Il serait vain de tenter un "plan" exhibe. Estelle veut aller voir l'endroit où nous avons rencontré la jeune fille au scooter.
Il y a du monde. Derrière les toilettes publiques, entre les fourrés et le mur, c'est le rendez vous des D'jeunes. Pétards.
Il y a bien une dizaine de scooters. Des jeunes filles, des garçons. Nous restons distants sans vouloir déranger. Ça rigole.
Estelle n'arrête pas de me tripoter. J'ai une bosse sous mon leggings. C'est très accessible. Et la coquine sait en profiter.

< Regarde ! C'est elle, là-bas ! > me fait soudain Clémentine. En effet, c'est la jeune fille au scooter. Et avec une copine.
Elles bavardent toutes les deux, assises sur le muret à côté de leurs scooters. Elle ne nous a pas vu. Nous flânons. Super.
Je propose d'éviter de nous faire repérer. < Au contraire ! Venez ! > fait Clémentine. Nous passons tout près des filles.
Notre "rôdeuse" nous reconnait certainement mais elle reste impassible et joue la parfaite inconnue. Nous n'insistons pas.
< C'est un truc purement entre nous ! Elle n'en parle visiblement à personne ! > dit Clémentine dont l'analyse est juste.

< C'est une vicieuse ! Et en plus elle est mignonne avec sa petite gueule d'innocente ! > fait Estelle en regardant, discrète.
Nous ne nous attardons pas. La fraîcheur est plus vive que hier. Nous enfilons nos K-ways. Le vent nous pousse au retour.
Nous quittons le port vers 17 h. Nous voilà en route. Toujours autant de monde. Nous arrivons au haras pour 18 h15. Bien.
Il y a là aussi encore plein de gens. De jeunes cavalières, les parents propriétaires de chevaux. L'animation des dimanches.
Juliette, toujours très accaparée, nous voit tout de même. Elle nous fait un coucou de la main. Il faut éviter le vieux salaud.

Monsieur Gérard aussi nous a vu. Il fait même mine de venir dans notre direction tout en bavardant avec une jeune dame.
Clémentine nous entraîne aux vélos. Nous filons pour arriver à la maison pour 19 h. A la nuit tombante. Et morts de faim.
Je fais des spaghettis, Clémentine fait une salade de carottes, Estelle prépare une belle omelette aux champignons. Bolets.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles évoquent leurs cours de demain, les vacances qui approchent.
Nous traînons à table. La fatigue se fait sentir. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine nous entraîne au salon.

Vautrés dans le canapé, nous faisons le bilan de cette journée. Je suis assis entre Clémentine et Estelle. C'est si agréable.
Estelle, tout en bavardant, joue avec ma queue qu'elle tord dans tous les sens. Heureusement, je bande mou. C'est rigolo.
J'ai mes mains entre leurs cuisses. Avec le petit doigt, je caresse leurs sexes. Nous sommes bien trop épuisés pour jouer.
Il est 22 h 15. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. La séparation est difficile. Je la serre, je la cajole et console.
Nous la regardons partir. Au lit, Clémentine me donne ses impressions. La fille au scooter, la maman d'Estelle. Puis dodo…

Bon dimanche à toutes les coquines qui apprécient de manger en famille en retenant leurs pulsions le mieux possible…

Julien - (Qui a vendu sa bagnole, qui a passé un excellent dimanche et qui s'est comporté en maître de maison) -

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Classe - 12 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 739 -



Et c'est reparti pour une semaine

Hier matin, lundi, c'est la symphonie fantastique de Berlioz qui nous arrache de nos sommeils avec une cruauté sans égale.
< T'es cinglé Berlioz ! > s'écrie Clémentine tout en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit. Dur.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers. Faim.
Nous préparons un solide petit déjeuner que nous mangeons de bon appétit. Et le lundi, il reste toujours un peu de brioche.
Nous faisons un rapide bilan du Week-end avant de remonter pour nous offrir notre heure d'entraînement. L'intensité maxi.

La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Le froid.
Il y a un fort vent de Nord qui est particulièrement désagréable. Il est 7 h45. Un dernier bisou. Ce matin c'est difficile. Dur.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais le lit et la vaisselle. Sympa.
Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Mélange des couleurs.
Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins immédiatement dans un enthousiasme rare et fantastique.

La peinture de cette vingt troisième toile destinée à ma saison d'été m'enchante. Un magnifique bouquet dans un vase bleu.
Il est aux environs de 10 h lorsque la musique imbécile de mon smartphone résonne au fond de la poche de ma blouse. Dur.
Je décroche. C'est Juliette. Sur mode "haut parleur", nous pouvons tous deux converser sans cesser de travailler. C'est bien.
Après quelques civilités d'usage, Juliette se met à me raconter son Week-end. Le succès de l'animation du dimanche. Super.
La visite de Gérard vendredi soir. Sa visite chez les Walter le samedi soir. La pipe du vendredi. La baise du dimanche. Rires.

J'ai compris depuis quelques temps que Juliette adore me raconter ses frasques sexuelles au téléphone. Un prolongement.
J'écoute beaucoup plus que je ne parle. Pour la relancer, je pose parfois des questions qui lui permettent une surenchère.
C'est un jeu auquel nous nous adonnons avec une complicité certaine. Comme toujours, elle en arrive vite à nos aventures.
Je comprends que tout le reste n'est un peu qu'un prétexte, le prélude au désir d'évoquer nos frasques communes, passées.
La jeune femme alterne le tutoiement et le vouvoiement avec la même aisance et en fonction des sujets scabreux abordés.

Cette fois, prenant tout mon courage, et un peu de culot je lui propose une pipe. Je précise que c'est mon seul vrai souhait.
Il y a un flottement. Un long silence. Je signifie que cela la changera de la bite molle d'un vieux salaud et de celle de Pierre.
< Je ne suce pas Pierre. Je ne fais que baiser avec lui ! > répond assez sèchement la jeune femme. J'écoute. C'est amusant.
La conversation tendancieuse et plutôt vicieuse, dure une bonne demi heure. Je promets que nous seront là ce mercredi soir.
Nous nous saluons avant de raccrocher. Je peins avec une érection démentielle sans cesser de penser à cet échange torride.

Il est midi. Je mets deux bûches dans la cheminée avant d'aller à la cuisine. J'épluche des patates que je fais bouillir à l'eau.
Je lave une salade verte. Il y en aura pour ce soir. Je concocte une sauce au Roquefort. J'y rajoute de la queue de langouste.
J'égoutte les morceaux de pommes de terre. Mon repas de midi est prêt. Il y aura de quoi réchauffer ce soir. C'est pratique.
Je mange de bon appétit. Dehors, le ciel est lourd, le vent reste fort. Je fais la vaisselle. Je descends au jardin. Il fait moche.
La fraîcheur est désagréable. C'est comme une journée d'hiver mais avec des fleurs aux arbres et dans l'herbe. C'est ignoble.

Je ne m'attarde pas. Il est 13 h lorsque je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Le calme. Le silence.
Je peins sans cesser de penser à la conversation de ce matin. Je me félicite d'avoir été assez gonflé pour proposer une pipe.
Je ferai un courriel très descriptif à Juliette pour revenir à la charge avec cette proposition. Elle semble apprécier l'embarras.
Je me lève pour rédiger ce courriel. Un langage ampoulé, imagé, délicatement salace, sans grossièreté. Que des métaphores.
Satisfait, fier de ma petite initiative graveleuse, je retourne à ma peinture. Il est rapidement 16 h20. Clémentine qui rentre.

Elle se précipite pour me faire plein de bises. < Tu m'as manqué toute la journée ! > murmure t-elle assise sur mes genoux.
Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Les cours, les profs, le menu du restaurant universitaire. J'écoute.
Clémentine a encore du travail. La voilà assise devant l'ordinateur, entourée de ses fiches. Je lui raconte l'appel de Juliette.
< Quelle salope ! > fait elle pour ponctuer chaque phase de mon récit. Je l'invite à ouvrir notre messagerie. Lire le courriel.
< Tu écris bien. Tu sais t'adresser aux dames ! > fait Clémentine, éclatant de rire. Elle lit à haute voix. Je suis un peu gêné.

Clémentine lit une seconde fois quelques passages bien sentis, mettant en relief quelques amusantes métaphores vicieuses.
Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine se propose d'appuyer ma demande en faisant un second courriel. Rire.
Cette fois, c'est elle qui le rédige. Clémentine insiste en précisant qu'elle aimerait beaucoup assister à un tel spectacle. Pipe.
Nous travaillons jusqu'aux environs de 18 h45. Nous rangeons nos affaires. Nous voilà assis devant la cheminée. C'est beau.
Nous sommes tous les deux considérablement excités par cette nouvelle initiative. Clémentine me confie sa branle au retour.

Clémentine aime rouler doucement, tout en se masturbant, sur la petite route du retour. En soirée. Parfois le matin à l'aller.
Elle me promet faire très attention. Je sais pouvoir lui faire confiance et cette petite route est souvent déserte sur les 10 km.
Elle passe devant le haras, ralenti encore, pour voir toutes les voitures garées dans la cour. J'aime l'entendre me raconter.
La faim se fait sentir. Nous quittons l'atelier. A l'étage, notre fantôme commence ses errances. Cela ne dure pas. Discrétion.
Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade déjà lavée. Je réchauffe les patates. Je panne deux filets de cabillaud.

Nous n'arrêtons pas de nous faire des câlins, des bises et de passer nos mains entre nos cuisses. Nous sommes très excités.
< J'apprécie ces trop rares moments où nous sommes tous les deux, juste toi et moi ! > murmure Clémentine. Et c'est vrai.
< En Girondes, huit jours, juste toi et moi. Si tu savais comme je me réjouie ! > me dit elle encore en me sortant la biroute.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine évoque ce second trimestre finissant. Le prochain sera cool.
< Tu seras comme j'aime, en Girondes. J'ai besoin d'être sévèrement prise en main ! Tu veux ? > me demande Clémentine.

Je lui promets des choses intenses dont elle se souviendra longtemps. Je lui dis : < Je veux que tu te surpasses, là-bas ! >
< Je te promets de t'étonner tous les jours ! > répond Clémentine en s'asseyant sur mes genoux pour prendre le dessert.
Nous traînons à table en faisant mille projets plus vicieux les uns que les autres. Clémentine m'avoue son besoin de chocs.
Je propose quelques scénarios possibles. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Elle m'entraîne par la queue au salon. Joie.
< Attends ! > me fait elle en passant derrière le bureau pour allumer l'ordinateur. < Viens voir, elle a répondu ! > dit elle.

Nous découvrons avec surprise l'étonnante réponse de Juliette. Elle y a joint une photo d'elle en gros plan. De son visage.
< Regarde un peu la gueule de pute qu'elle a sur cette photo ! Une gueule à sperme ! > fait Clémentine tout en zoomant.
Le visage de Juliette, en gros plan, dont nous pouvons apprécier chaque détail. C'est hallucinant. Sa moue vulgaire. Belle.
< Tu imagines un peu de quoi une salope dotée d'un tel physique est capable ! > rajoute Clémentine, montrant la bouche.
Je dis : < Madame "Bouche à Pipe" ! >. < C'est exactement ça ! Une ventouse à queue ! > fait Clémentine. Nous rigolons.

Nous relisons une seconde fois le message de Juliette. Explicite mais volontairement évasif et flou. Un message de femme.
Nous éteignons l'ordi. Clémentine m'entraîne vers le canapé. Nous retirons nos jeans et nos slibards. Je me mets à genoux.
Mon visage entre les cuisses de Clémentine, je hume longuement les odeurs de sa journée de fille. Les sécrétions sèches.
Je m'attarde dans les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe que je nettoie consciencieusement en m'appliquant.
Clémentine gémit en me chuchotant des cochonneries. Je décalotte son clitoris géant et turgescent en lui arrachant un cri.

Clémentine pourrait s'offrir un orgasme là, maintenant, tellement elle est excitée. Elle m'attire sur elle. Pour faire diversion.
Je m'introduis malgré tout avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Clémentine a besoin de se confier. Secrets.
Sa bouche près de mon oreille, elle me murmure les révélations les plus excitantes. Son imagination est débordante. Super.
Parfois, nous nous mettons à nous bercer doucement pour cesser. C'est divin. C'est notre façon de baiser. C'est merveilleux.
Nous faisons mille projets. Des plus fous au plus irréalisables. A mon tour, je lui chuchote des saloperies. La bite à Gérard.

Je l'encourage à baiser avec Pierre. Je lui dis à quel point j'aurai du plaisir à être caché pas loin pour la voir livrée à ce mec.
Clémentine l'a déjà sucé. Elle m'a raconté le goût salé de son liquide séminal. Trop salé de son sperme abondant et juteux.
Je sens bien qu'à sa façon de bouger son bassin, pour trouver le meilleur angle, Clémentine se met en situation. Si excitée.
Même si son appréhension bien légitime la fait encore beaucoup hésiter, je sens bien que l'idée de se faire baiser la gagne.
Je dis : < Pourquoi as tu peur. Je serai tout près. Et que peut-il t'arriver d'autre que de te faire baiser par ce queutard ? >

Je me retire avec précautions. Je retourne fourrer mon visage entre ses cuisses. La quantité de cyprine est hallucinante.
Je me déguste du jus de fille avec un bonheur indicible. Les petits cris de Clémentine deviennent de véritables râles. Joie.
< Attention ! > me fait elle. Lorsque l'excitation est aussi forte, Clémentine se met à pisser. Je me retire. Juste à temps.
Clémentine se redresse rapidement pour ne pas pisser n'importe où comme elle le fait habituellement. La femme fontaine.
Je retourne lui offrir un orgasme cataclysmique. Elle tombe sur le côté, hurlant, mains entre ses cuisses. Nettoyage. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment à préparer leur semaine de vacances avec des projets bien vicelards…

Julien - (Qui propose le plus souvent à Clémentine de remettre la pipe qu'elle adore faire, à demain. Elle doit dormir) -

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Estelle, toute contente d'être avec nous

Hier matin, mardi, c'est le concerto pour flûte piccolo de Vivaldi qui nous arrache du sommeil. Avec une certaine violence.
< Flûte piccolo. Et quoi encore ! > s'écrie Clémentine qui me chevauche pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Quelques papouilles et elle m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Vêtus de nos tenues de gym nous descendons. 6 h.
Le petit déjeuner est succulent. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous remontons pour nous entraîner.
La douche. Je descends. J'affronte la fraîcheur et le vent désagréables. Je sors la petite auto de Clémentine. Il est 7 h45.

Clémentine vêtue de ses jeans, un gros pull, sa veste en cuir noir et ses bottines, est toute contente, elle revient à midi.
Un dernier bisou. Un dernier coucou. Je regarde la voiture s'en aller. Je rentre. Je fais le lit, la vaisselle. Je vais à l'atelier.
Il faut allumer un bon feu dans la cheminée. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Me voilà assis devant mon chevalet.
Il est 8 h15. Je peins dans la sérénité du vainqueur en poussant les cris les plus surréalistes. Dehors, le ciel est lumineux.
Il est rapidement midi. Mon second bouquet au vase bleu, vingt troisième toile destinée à ma saison d'été, a fière allure.

Je mets deux bûches dans la cheminée avant d'aller à la cuisine. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je fais la pâte à pain.
Il est 12 h15. Clémentine qui arrive toute radieuse. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous.
Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. Sa petite masturbation du retour, dans la voiture. Prudente.
Je glisse ma main dans sa culotte. Effectivement, c'est humide. Nous coupons le poireaux en petits morceaux. La cuisson.
Je concocte une Béchamel dans laquelle je verse les morceaux de poireaux cuits. La tarte aux poireaux de ce soir est prête.

Je récupère un peu de Béchamel comme sauce pour accompagner les coquillettes. Je râpe du Parmesan. La table est mise.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine évoque nos vacances prochaines. Et enfin un peu de repos.
Nous traînons à table. Dehors le ciel est bleu. Il y a du soleil. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine m'entraîne.
Nous sortons. Le vent est frais. Même si nous en avions le temps, il serait désagréable de partir à vélo. Et il fait trop froid.
Nous faisons le tour de la propriété. Il y a plein de branchages qui jonchent le sol. L'entreprise paysagiste vient début avril.

Il est 13 h30. Nous rentrons nous mettre au chaud. < Dis moi si c'est encore humide ! > fait Clémentine, prenant ma main.
Elle la fourre dans sa culotte, jeans déboutonné. Nous rions de bon cœur lorsque je réponds : < Nous devons sécher ça ! >
Nous sommes dans l'atelier. Je retire les jeans et la culotte de Clémentine. Je la fais tomber sur le canapé. Elle m'embrasse.
Je suis rapidement à genoux, le visage entre ses cuisses écartées, à humer les parfums de sa matinée de fille. De sa branle.
Je lèche les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe. Sa vulve en palpite. C'est toujours très impressionnant. Belle.

Je décalotte son clitoris turgescent du bout de mes lèvres. Clémentine a comme une convulsion tout en poussant un cri. Joie.
Elle se contorsionne un peu, cherchant le meilleur angle à son plaisir. Elle me tient par les oreilles en gémissant. Le bonheur.
Clémentine me repousse doucement pour m'attirer sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Nous voilà immobiles.
Rapprochant sa bouche de mon oreille, Clémentine me fait ses premières révélations de la journée. Quelle imagination. Bien.
Elle envisage déjà les situations les plus insolites. Notre séjour dans la région de Bordeaux s'annonce terriblement excitant.

Bien décidée à se surpasser dans ses petites aventures expérimentales, Clémentine me confie déjà quelques scénarios. Rire.
Je lui promets d'assurer la "sécurité" et d'être le plus parfait garde du corps. Elle pourra se surpasser. S'adonner à ses jeux.
Nous bougeons un peu en parfaite symbiose pour cesser, reprendre nos échanges, recommencer. On aime baiser comme ça.
Nous cessons pour de bon. Nous essorons les derniers épanchements de nos sexes avec un délicieux "69". < Sex cleaner ! >
Il est un peu plus de 14 h lorsque nous sommes tous deux installés à nos postes de travail. Un autre plaisir commun. Super.

Parfois, l'un va rejoindre l'autre pour lui faire des bisous, lui chuchoter des douceurs ou des cochonneries. Il est déjà 17 h.
L'heure du thé au jasmin et des deux petits gâteaux secs. Clémentine m'explique ce que je vois sur l'écran de l'ordinateur.
C'est le site universitaire. Et j'écoute. La semaine prochaine sera consacrée au mémoire de ce second trimestre. Un rapport.
Il est 18 h15 lorsqu'Estelle arrive. Si contente. Elle se précipite pour me faire des bises. Elle a déjà vu Clémentine ce matin.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle nous raconte son après-midi. Sa maman qui évoque ce dimanche.

Les filles travaillent encore un peu, comparant l'avancée de leurs travaux respectifs. Nous cessons vers 18 h45. On range.
Clémentine nous propose d'aller faire quelques pas au dehors. Il fait encore bien jour, clair et lumineux. Super suggestion.
Les filles me tiennent par le bras. < Si vous allez vous amuser au haras, vendredi soir, je viens avec ! > nous fait Estelle.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine lui demande : < C'est pour sucer ou pour baiser ? >. < Sucer ! > lui dit Estelle.
< Et sucer qui ? > demande encore Clémentine en éclatant de rire. < Julien ! > répond Estelle en se blottissant contre moi.

< Si tu baises avec Pierre, il faut bien que quelqu'un s'occupe de ce pauvre Julien ! > fait Estelle. Nous rions de bon cœur.
La nuit tombe vers 19 h30. Morts de faim nous rentrons nous mettre au chaud. Clémentine s'occupe de la salade. Endives.
Estelle travaille l'onctueuse pâte à pain qu'elle étale dans l'immense plat rond. Je réchauffe la Béchamel. Tout va très vite.
La Flamiche Picarde est au four. Estelle n'arrête pas d'enfiler sa main dans ma braguette ouverte. La table est mise. Bien.
Je saisis les filles par la nuque pour les entraîner sans ménagement au salon. Je fais tomber Estelle dans le canapé. Rires.

Je saisis Clémentine par ses cheveux attachés pour la forcer à se mettre à genoux sur l'épais coussin au milieu de la pièce.
Je sors ma bite. Je maintiens Clémentine. Je lui frotte la bite sur le visage. < Et moi, "Maître" ? > lance Estelle, implorante.
Je réponds : < Vous, délicieuse "Soumise", vous vous contentez de regarder en vous masturbant. C'est un ordre ! >. Joie.
J'entends Clémentine glousser de plaisir, toute contente d'être l'objet de toute mon attention, de mes attitudes vicelardes.
Je lui ai promis durant notre baise de début d'après-midi de commencer le conditionnement de "Soumise" de nos vacances.

J'explique la raison de ce comportement à Estelle qui a glissé une main dans sa culotte, jeans déboutonné. Elle se branle.
Je maintiens Clémentine fermement. Je suis enfoncé dans sa bouche au maximum. Elle tousse. Je la tiens sous le menton.
Estelle me pose tout un tas de questions, souvent obscènes auxquelles je réponds tout en maintenant fermement l'étreinte.
Ma "Soumise" est entrain de vivre les instants qu'elle apprécie tant. J'ai promis d'avoir ce comportement en Girondes. Joie.
Je me retire. Je me penche. Je lui couvre le visage de bisous, je lui mets une gifle, je me mets dans sa bouche à nouveau.

Ce ne sont jamais des actes de violences. Cela fait partie du rôle qui m'est demandé. Celui du "Maître". C'est un peu dur.
Il m'est difficile d'avoir ce comportement avec la fille que j'aime. La sonnerie du four. Je me retire. Un long filament. Jus.
Je choppe Estelle qui s'est levée pour la forcer à me sucer un peu. Clémentine est en sueur et le visage maculé de foutre.
J'éjacule dans la bouche d'Estelle. Un petit cri de surprise. J'essuie le visage de Clémentine avec un mouchoir en papier.
J'entraîne les deux filles en les tenant fermement par la tignasse. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Joie.

Les filles me confient à quel point elles sont passionnées par mes initiatives. Elles adorent êtres surprises. Je fais au mieux.
Nous traînons à table. < C'est une drôle de surprise de me faire éjaculer dans la bouche avant le repas ! > me fait Estelle.
Je réponds : < Et là, tout en bouffant, je suis entrain de recharger mes couilles ! >. Nous rigolons comme des bossus. Joie.
La vaisselle. Estelle ne cesse pas de me toucher. Avec toute la vulgarité qu'elle adore mettre dans ses gestes. Une coquine.
Nous rangeons la cuisine. C'était excellent. Clémentine se blottit contre moi, chuchotant : < Merci de t'occuper de moi ! >

Elle rajoute : < Il faut me conditionner tous les jours s'il te plaît. J'ai besoin de l'être pour les vacances ! >. Je lui promets.
< Et moi ? > fait Estelle qui vient se blottir derrière moi en passant ses mains sur ma braguette. Je les entraîne au salon.
Je reprends exactement la même attitude. Clémentine maintenue par les cheveux, à genoux sur le coussin. Suçage de bite.
Estelle a repris sa masturbation. Cette fois elle tourne autour de nous, se penche pour regarder ce que je fais à Clémentine.
Elle se redresse pour observer les expressions de mon visage. Tout en se touchant. Et avec l'attention d'une entomologiste.

Je tiens fermement Clémentine par sa tignasse, guidant sa tête pour bien enfoncer ma bite dans sa bouche. Un vrai salaud.
De mon autre main, je caresse le visage d'Estelle avec une douceur infinie. Elle en gémit de contentement tout en mâtant.
Je murmure : < C'est Clémentine qui me taille une pipe, mais c'est dans ta bouche que je vais éjaculer encore une fois ! >
S'en est trop pour Estelle qui soudain se raidit, se crispe, serre ses cuisses sur ses mains. Son orgasme est cataclysmique.
Je découvre que tout en me taillant une superbe pipe, Clémentine est également entrain de se masturber. Et elle me suce.

A plusieurs reprises, et pour lui permettre de reposer sa mâchoire, reprendre son souffle, je lui retire la bouche de ma bite.
Il y a des éclaboussures qui viennent gicler sur le visage d'Estelle qui s'est mise à genoux à côté de Clémentine. Implorante.
Je lui offre ma queue qu'elle se met à pomper comme une désespérée. Je tiens Clémentine qui regarde Estelle me pomper.
Comme promis, j'éjacule une seconde fois dans la bouche d'Estelle qui en crie de bonheur. Je la laisse me faire la vidange.
Il est 22 h15. Il faut cesser. Nous raccompagnons Estelle à son auto. La séparation est difficile. Je la console. Elle s'en va.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment à sucer, à se branler et à se faire éjaculer dans la bouche…

Julien - (Faux "Maître", mais véritable salopard. Ce qui passionne Clémentine autant qu'Estelle. Cunni à Clémentine) -

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Nous nous amusons bien chez Juliette

Hier matin, mercredi, c'est la Sonate pour piano de Franz Liszt qui nous arrache brutalement de nos profonds sommeils.
< Mais t'es cinglé Franz ! > s'écrie Clémentine qui me chevauche pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit. Rire.
Quelques bisous et elle m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Vêtus de nos tenues de gym nous descendons. Faim.
Nous préparons un copieux petit déjeuner que nous savourons en bavardant. Nous remontons pour nous entraîner. Joie.
La douche. J'affronte la fraîcheur extérieure pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Le ciel est bleu, très lumineux.

Clémentine, chaudement vêtue, me fait quelques derniers bisous avant de s'en aller. Je me dépêche de rentrer au chaud.
Je fais le lit et la vaisselle. A l'atelier, j'allume un bon feu dans la cheminée. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Bien.
Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans une euphorie qui me fait pousser des cris surréalistes.
La matinée passe ainsi à une vitesse vertigineuse ou toute notion de temps et d'espace m'échappe. La faim se fait sentir.
Il est midi. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. Je décongèle une tarte aux pommes. Pour ce soir.

Je me prépare une salade de tomate pendant que rissolent les haricots verts. Je pane un beau filet de cabillaud bien blanc.
Je le trempe d'abord dans l'œuf, puis dans la chapelure mélangée à du gruyère finement râpé. Je le fais revenir à la poêle.
Je mange de bon appétit tout en tentant d'écouter la bouillie indigeste des informations mensongères, calibrées. La gerbe.
J'éteins rapidement la radio car tout ceci est au-dessus des possibilité d'assimilation de tout homme sensé et doté d'esprit.
La vaisselle. Je range la cuisine. Il est 12 h45 lorsque je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Joie.

La peinture de ce second bouquet au vase bleu, me permet de donner toute ma mesure dans la réalisation des détails. Bien.
Je peins les plus infimes parties des fleurs armé de ma loupe frontale. Chacune est un défi que j'aime à relever. C'est super.
Il est rapidement 16 h20. Voilà Clémentine qui rentre. Elle jette son sac sur le canapé, s'écriant : < Bonsoir mon amour ! >
J'anticipe. Je pose ma palette et mes pinceaux. Elle se précipite pour me faire plein de bisous. Je lui ai manqué. Nous rions.
Assise sur mes genoux Clémentine me raconte sa journée. Les cours, les profs, le menu du restaurant universitaire. Estelle.

Clémentine a encore bien du travail. Assise devant l'ordinateur, entourée de toutes ses fiches, elle met ses notes au propre.
Nous aimons par dessus tout ses moments de partage studieux. < Stop ! > s'écrie soudain Clémentine. Il est 18 h45. Stop.
Nous rangeons nos affaires, je nettoie ma palette et mes pinceaux. Clémentine m'entraîne au dehors. Il y fait encore clair.
Vêtus de nos anorak, nous affrontons la fraîcheur d'un vent désagréable. Nous faisons le tour de la propriété. C'est sympa.
Clémentine me tient par le bras, serrée contre moi. Il y a là-bas monsieur Bertrand, notre plus proche voisin. Salutations.

Il est 19 h15. Nous rentrons pour nous changer. Clémentine porte un pantalon noir à pinces et à plis. Un chemisier blanc.
Un pull noir de coton fin et au col en "V". Des souliers noirs à légers talons. Elle laisse ses cheveux flotter sur ses épaules.
Sur sa demande, je porte un jeans, une chemise blanche sous un pull noir au col en "V". Mes souliers noirs de ville. Super.
Accroupie sur ma droite, tenant ma jambe, sa tête contre ma cuisse, Clémentine nous regarde dans le miroir de l'armoire.
< Je vous aime "Maître". J'ai beaucoup apprécié votre comportement de hier soir ! > me susurre t-elle, regard implorant.

Je pose ma main sur sa tête en répondant : < Ma délicieuse "Soumise", je fais tout pour me comporter selon vos ordres ! >
Car dans le jeu du "Maître" et de la "Soumise", la vraie dominatrice n'est personne d'autre que la "Soumise". Le paradoxe.
Je sors ma bite toute molle afin que Clémentine puisse y frotter son visage. Je dis : < Vous allez sentir la bite ma chère ! >
< Il vous faut marquer votre propriété de vos odeurs, "Maître" ! > dit elle avant de sucer avec une tendresse infinie. Douce.
Je la laisse s'offrir sa friandise du soir en lui chuchotant des douceurs et des cochonneries. J'entends gémir affirmativement.

Je la saisis par ses cheveux que je réuni en queue pour la forcer à se redresser. Je me penche pour lui masser les genoux.
Nous rions de bon cœur. < Regarde comme on est beaux tous les deux ! > me fait elle serrée contre moi devant le miroir.
Il est temps d'y aller. Nous descendons. Il est presque 19 h 45. La nuit est tombée. Nous prenons la voiture à Clémentine.
Clémentine porte le tupperware contenant la tarte aux pommes, posé sur ses cuisses. Je roule doucement, la queue à l'air.
Trois petits kilomètres et nous voilà dans la cour du haras. Il y a juste encore la voiture de Juliette. Nos manteaux chauds.

Il y a de la lumière dans tous les bâtiments. Nous traversons la cour pour aller faire une visite dans notre écurie préférée.
Kim Son, assis sur le chariot élévateur, est entrain de déposer une énorme meule de foin tout au milieu de l'allée centrale.
Il nous fait un signe de la main et un rapide sourire tout en manipulant son engin en véritable virtuose. Si impressionnant.
Avec Clémentine, nous n'avons pas besoin d'échanger à demi mot. Nous avons développé de vraies qualités de télépathes.
Aussi, je m'éloigne pour aller caresser quelques chevaux qui, la tête dépassant de leurs box, nous observent avec curiosité.

J'observe tout de même du coin de l'œil Clémentine qui reste à proximité du palefrenier à présent descendu de sa machine.
Clémentine, son manteau ouvert, me tourne le dos tout en bavardant avec Kim Son. Je la sais entrain de se toucher. Bien.
Je le vois d'autant mieux que le regard du jeune homme ne laisse aucun doute. Puis surtout qu'il se met à se toucher aussi.
Un bruit de pas sur ma gauche. C'est Juliette. La jeune femme est en tenue d'écuyère, sous son anorak molletonné. Belle.
Elle n'a d'ailleurs aucune attention pour le couple qui discute là-bas, au fond de l'écurie, elle vient immédiatement vers moi.

Juliette fait bouger son index dans ma paume en serrant ma main qu'elle garde longuement dans la sienne. Les salutations.
Nous avons le même réflexe. Nous regardons le couple qui ne prête aucune attention à nous. Juliette me fait son clin d'œil.
Je glisse ma main entre ses cuisses. Elle se cambre discrètement. Elle chuchote : < Vos initiatives me comblent d'aise ! >
Je tourne le dos à Clémentine et à Kim Son, qui continuent de bavarder. Ils ne peuvent pas voir ce que je fais. C'est bien.
Je murmure : < J'ai envie de t'enfoncer le doigt, salope ! >. Juliette chuchote : < Je vous en prie, restez courtois ! >. Rire.

Je cesse. Nous rejoignons Clémentine et Kim Son. Clémentine est toute rouge. Je comprends à quel jeu elle a encore joué.
Juliette donne quelques dernières directives à son employé. Kim Son prend note consciencieusement. Travail de palefrenier.
Nous le laissons à sa tâche pour quitter les écuries. Nous récupérons le Tupperware contenant la tarte aux pommes à l'auto.
Nous suivons Juliette jusqu'à ses appartements. Nous quittons nos manteaux pour nous vautrer dans le canapé. C'est bien.
Juliette, installée dans le fauteuil, nous raconte les dernières anecdotes. La visite du vétérinaire. Et le bilan de cette saison.

Clémentine a son pied contre le mien, sa main dans la mienne. Comme toujours, je fixe l'entrejambes de Juliette qui parle.
Tout en écoutant, d'un geste lent, calculé, je déboutonne ma braguette. Clémentine a un petit frisson. Je la sens qui bouge.
Ce que je suis entrain de faire l'excite sans doute beaucoup plus que Juliette qui, tout en bavardant, observe ma main. Joie.
La sonnerie du four. Juliette nous invite à passer à table pendant qu'elle cherche les tartelettes aux fruits de mer. Crustacés.
Clémentine me chuchote : < Tu es génial. J'aime quand t'es bien vicieux ! >. Je la saisis par ses cheveux. Elle m'embrasse.

Je la force à s'accroupir, là, au milieu du salon de Juliette. Je frotte ma bite sur son visage avant de la lui mettre en bouche.
Juliette arrive avec les plats et tombe sur ce spectacle. < Génial ! > fait elle dans un souffle. Elle reste là, debout, à mâter.
Un peu stupide, ses plats dans les mains, elle observe cette scène surréaliste. Je tiens fermement Clémentine. Bien salaud.
Juliette nous contourne pour aller poser les plats fumants sur la table. Je force Clémentine à se redresser. Je la tiens. Fort.
Je l'entraîne par la nuque jusqu'à la table. Rien n'excite davantage Clémentine que d'être exhibée ainsi, soumise en public.

Nous mangeons de bon appétit. La conversation ne s'articule plus que sur nos aventures vicelardes déjà vécues ici. Haras.
Nous rions de quelques situations épiques. Juliette revient à la charge avec sa proposition. Insistante, elle évoque Pierre.
Depuis le temps qu'elle recommande son amant à Clémentine, celle-ci a fini par accepter de baiser avec lui. Et depuis peu !
< J'organise un "plan" vendredi soir, dans le salon de la nouvelle écurie. Gérard, Pierre et Mme Walter ! > précise Juliette.
< Si nous venons, nous emmenons Estelle. Elle veut être avec nous ! > rajoute Clémentine. < Superbe ! > lance Juliette.

Nous aidons Juliette à la vaisselle. Nous prenons le dessert. Je demande : < Juliette, vous m'accompagnez aux toilettes ? >
< Mais bien volontiers ! > s'empresse t-elle de répondre en m'invitant à la suivre. Elle me tient la bite pour en diriger le jet.
Clémentine ne cesse de m'embrasser comme pour bien signifier ce qui lui appartient. Je la rassure par des gestes tendres.
Juliette, une main autour de mes hanches, penchée en avant, me tenant la bite de l'autre main, observe mes jets de pisse.
Cette fois, rapidement, je la choppe par la nuque, ma main sous ses cheveux. Elle se redresse < Pas de ça ! > s'écrie t-elle.

Décidément, cette bourgeoise vicieuse, mérite que je m'occupe de son cas. Je lui promets un vendredi soir tout particulier.
Clémentine assiste à tout cela avec une main dans sa culotte. Juliette secoue les dernières gouttes. Nous quittons les WC.
Juliette nous raccompagne jusqu'à la voiture. Nous confirmons notre présence vendredi soir. Nous serons là pour 19 h45.
Dans la voiture, Clémentine me suce avec passion. Je lui appui sur la nuque en vrai salaud. Je l'entends gémir de bonheur.
Au lit, je lui offre un merveilleux cunnilingus. Nous baisons. Elle me confie son impatience. Vendredi. Orgasme fou. Dodo…

Bonne soirée à toutes les coquines qui se réjouissent de baiser avec l'amant quadragénaire d'une amie intime...

Julien - (Qui s'attend à un vendredi soir exceptionnel. Il lui faudra ruser pour entraîner Juliette dans ses petits plans) -

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Classe - 15 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 742 -



Le coup de téléphone de Juliette

Hier matin, jeudi, c'est le Canon de Pachelbel qui nous arrache de nos profonds sommeils avec une grande brutalité. Dur.
< Je déteste ! > s'écrie Clémentine tout en me chevauchant pour éteindre le réveil posé de mon côté sur ma table de nuit.
De rapides bisous et nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues de gym nous descendons jusqu'à la cuisine.
Nous nous offrons un copieux petit déjeuner que nous dégustons en bavardant. Nous remontons pour notre entraînement.
La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Le vent est froid mais le ciel est lumineux.

Clémentine me rejoint chaudement vêtue. Deux derniers bisous. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. 7 h45.
Je rentre. Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Cet hiver qui n'en fini plus.
Je prépare ma palette, mes pinceaux. Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet à faire le mélange de couleurs.
Je peins dans l'enthousiasme fou. Armé de ma loupe frontale, je réalise chaque détail des fleurs du bouquet au vase bleu.
Il est aux environs de 10 h lorsque la stupide musique de mon smartphone brise le silence monacal de l'atelier. Je déteste.

Je décroche. C'est Juliette. Après quelques lieux communs où elle évoque la soirée de hier, elle en vient à l'essentiel. Sexe.
La soirée de vendredi est remise à samedi. Les festivités auront lieu dans le salon de réception des nouvelles écuries. Bien.
Je précise que cela arrangera tout à fait Estelle. Par diplomatie, Elle préfère passer le vendredi soir avec ses chers parents.
Juliette me donne ses impressions quand à nos petits jeux, hier soir, dans le salon et dans ses toilettes. Cela l'amuse bien.
Je lui confirme que cela nous amuse également beaucoup. Nous parlons en mode "haut parleur". Nous pouvons travailler.

Juliette est seule dans son bureau. Elle prépare quelques documents inhérents aux départs imminents de quelques bêtes.
C'est la fin de la saison. Des propriétaires commencent dès la semaine prochaine à récupérer leurs chevaux. Le début avril.
Nous conversons ainsi 30 minutes. Nous nous saluons. Je promets de confirmer notre venue samedi soir. Demain par mail.
Je continue la peinture de ma toile avec une érection et animé d'une certaine excitation. Ce qui rend mon travail agréable.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je lave une belle salade. Je fais gonfler du riz complet. Je fais une pâte à pain.

Je prépare la garniture des pizzas du jeudi soir. Tomates, ail, oignons, ciboulette et champignons. J'en récupère en sauce.
Je mange de bon appétit. Pour le repas de ce soir, tout est prêt. La vaisselle. Je range la cuisine. Je fais un tour au dehors.
Toujours ce vent à la fraîcheur désagréable. Un ciel bleu et un soleil royal. L'entreprise paysagiste intervient dès mercredi.
Il y aura du boulot. Il faut tout nettoyer. Les branchages épars au sol, les haies à tailler. Notre jardin potager à labourer.
Je rentre. Il est 13 h lorsque je suis confortablement installé devant mon chevalet. Cette toile sera finie dès demain. Joie.

Il est 16 h20 lorsque Clémentine rentre. Elle se précipite pour me faire des bises. < Encore demain matin ! > s'écrie t-elle.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée harassante. Les cours, les profs et le menu du restaurant universitaire.
La semaine prochaine, dernière de ce second trimestre, sera plus calme. Un travail personnel. Etablir le rapport des cours.
Les vacances qui s'en suivront seront amplement méritées. Joie. Clémentine a encore à faire. Mettre ses notes au propre.
Assise devant l'ordinateur, entourée de ses fiches, la voilà au travail. J'admire cette pugnacité et cette volonté de réussite.

Il est 18 h15 lorsqu'Estelle arrive à son tour. Elle se précipite pour me faire des bisous. Assise sur mes genoux, à raconter.
Au restaurant universitaire, à midi, Clémentine et Estelle ont minutieusement préparé la soirée du vendredi au haras. Joie.
Je raconte le coup de téléphone de Juliette. Tout est remis à samedi. Ce qui soulage Estelle qui pourra rester à la maison.
Même si c'est souvent un sacrifice de rester chez elle avec ses parents, Estelle se réjouie de ne rien chambouler. C'est bien.
Les filles travaillent encore un peu. < Ras le cul ! > s'écrie Estelle à 18 h45. < Jamais dans le cul ! > répond Clémentine.

Nous rions de bon cœur avant de ranger nos affaires. Clémentine nous propose d'aller marcher un peu au grand air. Super.
La fraîcheur du soir est plutôt désagréable. Elle contraste tant avec ce ciel lumineux printanier, ce soleil couchant. Pénible.
Les filles sont serrées contre moi, nous faisons le tour de la propriété. Nous voyons les dégâts des nombreux coups de vent.
La faim commence à se faire sentir. Nous rentrons nous mettre au chaud. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement salade.
Estelle travaille encore un peu la pâte à pain. Je réchauffe la garniture. Je fais griller des tranches de queues de langouste.

Estelle étale la pâte sur les trois grands plateaux. Je verse la garniture. Nous recouvrons de gruyère et de Parmesan râpés.
Je rajoute quelques petits cubes de Roquefort. Estelle met au four. Clémentine met la table. Nous passons au salon. Sympa.
Nous voilà vautrés dans le canapé. Je suis entre Clémentine et Estelle qui a fourré sa main dans ma braguette en discutant.
Les filles évoquent leurs cours. Le rapport du second trimestre qu'il faut remettre fin dès la semaine prochaine. Et dix pages.
Estelle m'a sorti la bite qu'elle tient fermement tout en nous disant à quel point samedi au haras c'est mieux que vendredi.

C'est très excitant de savoir que nous allons une nouvelle fois vivre des choses et des situations intenses dans cet endroit.
Nous prenons conscience, une fois encore, de ce privilège. Ce tissus social très particulier de gens partageant nos goûts.
< Le Club des hédonistes ! > fait Clémentine qui se penche pour mieux humer l'odeur de ma queue qui lui monte au nez.
Je bande mou. Heureusement. Car Estelle recommence à me la tordre dans tous les sens. Elle se penche également. Joie.
Les deux filles me reniflent la bite en se donnant leurs impressions. < Ton Parmezob schlingue ce soir ! > me fait Estelle.

Je me redresse. Je suis debout devant le canapé. Les filles s'installent tout au bord. Estelle tente de m'extraire les couilles.
Clémentine les soupèse avant de mettre son pouce et son index en anneau pour me les tenir. Estelle qui tire sur ma queue.
J'ai les mains sur les hanches. Je regarde les deux coquines scruter ma bite en racontant des cochonneries. C'est amusant.
La sonnerie du four. Elles se redressent en même temps. Sans me lâcher les parties génitales, les filles m'entraînent. Rire.
Nous mangeons de bon appétit et tout en bavardant. A plusieurs reprises Estelle se lève pour mimer une branle masculine.

Clémentine mime à chaque fois une pipe, faisant une bosse à l'intérieur de sa joue et tournant son poing devant sa bouche.
Nous traînons à table. Je me lève à quelques reprises pour aller frotter ma bite sur le visage de Clémentine. Estelle regarde.
< Et moi ? Je sens le pâté ? > me demande t-elle à chaque fois. Volontairement je ne le fais qu'à Clémentine. Elle apprécie.
Je dis : < Tu permets, je conditionne la fille que j'aime pour lui offrir les vacances qu'elle souhaite. Je dois être salopard ! >
< Vous allez de nouveau partir sans moi ! J'en ai marre. > fait Estelle. Elle se lève pour se mettre à quatre pattes parterre.

Elle passe sous la table. Je sens ses coudes se poser sur mes cuisses. Je tord ma bite vers le bas pour qu'elle puisse sucer.
Clémentine se lève, penchée, elle m'embrasse avant de s'accroupir pour regarder ce que fait Estelle sous la table. Fellation.
Je caresse la tête d'Estelle de ma main gauche, celle de Clémentine de ma main droite. Je propose la vaisselle avant le jeu.
Nous rangeons la cuisine. Estelle ne cesse de s'accroupir pour me pomper. Clémentine m'embrasse. Nous observons Estelle.
< Notre petit animal de compagnie nous manquera aussi durant huit jours ! > fait Clémentine en se penchant vers Estelle.

Je dis : < C'est pour ça que notre petit animal de compagnie aura un nonos tous les jours ! >. Nous en rions de bon cœur.
J'entraîne Estelle, à quatre pattes, en la tenant par sa natte, jusqu'au salon. Clémentine me tient fermement par les couilles.
Au salon, je jette le coussin au sol devant le canapé. Je saisis Clémentine qui ne s'y attendait pas, par sa tignasse. Ferme.
C'est elle que je force à se mettre à genoux. Je lui frotte la bite et les couilles sur la gueule sous le regard étonné d'Estelle.
Elle aussi s'attendait à faire l'objet de toutes mes attentions. J'enfonce ma bite dans la bouche de Clémentine. Je la tiens.

Estelle, à genoux sur l'autre coussin, observe avec soin ce que fait Clémentine. Je dis : < Je la conditionne pour Bègles ! >
< Tu me conditionneras pour l'Ecosse cet été, moi aussi et dès votre retour ? > me fait Estelle d'une voix suppliante. Rire.
Bien évidemment, même si tout cela n'est qu'un jeu, nous avons tous les trois énormément de joie à y jouer. C'est si bon.
La situation debout, n'est pas très favorable à mes lombaires. Je suis obligé de fléchir mes genoux. Je bouge un peu. Bien.
Je me masturbe dans la bouche de Clémentine en bougeant le bassin. Je la tiens par la nuque et je caresse celle d'Estelle.

Estelle pointe son doigt. Je me penche pour regarder. Elle me montre la main de Clémentine dans sa culotte qui se touche.
Elle me fait un clin d'œil en glissant la sienne dans ses jeans. Je lui caresse la tête. Je me penche pour lui faire des bisous.
Elle m'embrasse. Je ne lâche pas Clémentine dont j'appuie le visage contre ma braguette. Je la laisse reprendre son souffle.
Sans prévenir, je sors ma queue de la bouche de Clémentine pour l'enfoncer dans celle d'Estelle qui n'attendait que ça. Joie.
Je lui éjacule au fond de la bouche. Elle tousse, manque de s'étouffer. C'est elle que je maintiens fermement. Elle en gémit.

Je tombe dans le canapé. Pris de vertige tant mon orgasme m'a achevé. Clémentine tombe sur le côté en poussant un râle.
Elle aussi connaît un orgasme fabuleux. Elle a encore vécu une situation de "conditionnement" qui la ravie. Estelle s'essuie.
Les filles sont assises à mes côtés. Leurs têtes sur mes épaules. Je les tiens affectueusement. Nous reprenons nos esprits.
Il est 22 h15. Il faut raccompagner Estelle jusqu'à sa voiture. La séparation est difficile. Nous la consolons. Je la serre fort.
Nous la regardons partir. Nous rentrons. Au lit, épuisés, Clémentine me confie le plaisir que lui procure mon comportement.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment êtres "conditionnées" en perspectives de vacances vicelardes…

Julien - (Qui se comporte très exactement selon les exigences de Clémentine. La "conditionner" au stupre) -

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Le début d'un Week-end sextraordinaire

Hier matin, vendredi, nous nous réveillons tous deux juste avant que ne résonne la musique. J'éteins rapidement le réveil.
Clémentine se serre contre moi, je lui couvre le visage de bisous. Elle revient à midi. Elle est toute contente. Debout et pipi.
Vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. Nous préparons notre copieux petit déjeuner. Faim.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. C'est déjà l'ambiance de fête. Clémentine propose de tenter un jogging.
En effet, il est 6 h25, le joue s'est levé. Malgré la fraîcheur encore assez vive, nous enfilons bonnets, gants et K-way. Bien.

Quelle bonne idée. Nous courons d'un bon rythme. Dès le début, afin de bien nous réchauffer. Et c'est absolument superbe.
Nous faisons notre circuit habituel pour revenir après un running des plus agréables de près d'une heure. La douche. Bien.
Je descends le premier pour aller sortir l'auto de Clémentine qui me rejoint vêtue de ses jeans, sa veste noire, ses bottines.
Un dernier bisou. Elle est si heureuse, le Week-end commence dès midi. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin.
Je rentre pour faire notre lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Le ciel est lumineux.

Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 8 h15. Me voilà assis devant mon chevalet. Je peins dans une forte euphorie.
Je n'ai que quelques coups de pinceaux à distribuer sur la surface de mon bouquet au vase bleu. Il sera fini d'ici une heure.
Je suis dans le timing parfait. Je nettoie mon matériel et je peux m'attaquer au dessin préparatoire d'un nouveau tableau.
Ce sera un paysage. Le pont en pierre, la rivière, le moulin, la roue à aube et un personnage au second plan. Romantisme.
Cette vingt quatrième toile destinée à ma saison d'été pourra être commencée dès lundi matin. Il est rapidement midi. Joie.

Je prépare la peinture acrylique "Terre de Sienne". Clémentine adore passer les deux couches d'impression. Un petit plaisir.
Je vais à la cuisine. Je fais gonfler du millet. Je pane deux filets de saule. Je concocte une sauce au Roquefort. Endive lavée.
Il est 12 h15. Clémentine arrive. Elle se précipite dans mes bras. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Bonheur.
Tout en préparant l'assaisonnement de la salade, Clémentine me raconte sa matinée. Les cours, les profs, les rires d'Estelle.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine propose de profiter de ce temps magnifique pour une virée à bicyclette. Super.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous allons dans l'atelier pour passer les couches d'impression.
Je regarde Clémentine prendre tant de plaisir à croiser les deux couches de peinture largement diluées. C'est bien et rapide.
Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir et mettre nos tenues vélo. La tenue en lycra noir.
Nous dévalons l'escalier à toute vitesse. Il fait presque doux. Je vérifie le gonflage des pneus. Nous voilà en chemin. 13 h30.
Le ciel est bleu. Nous croisons quantités de cyclistes sur la piste cyclable. Des filles en rollers, des promeneurs, des joggeurs.

C'est un léger vent de Nord Est qui nous pousse. Nous savons qu'il faudra lutter contre lui au retour. Il sera plutôt très frais.
Un petit arrêt pipi au cabanon de l'écluse après 15 km d'une facilité déconcertante. Nous nous mettons en situation. Parfait.
Je reste planqué derrière le cabanon. Clémentine traverse l'écluse pour se mettre en place. Entre deux bosquets de lauriers.
Elle a défait ses cheveux et porte ses larges lunettes de soleil noires. Il y a des cyclistes qui passent. Aucun solitaire encore.
Là ! En voilà un. Un papy cycliste. Il pédale, débonnaire et d'un bon rythme. Vêtu en tenue "Tour de France" hiver. Elégant.

Clémentine, après avoir bien regardé dans toutes les directions, descend son legging et sa culotte. Elle s'accroupit. Pose pipi.
Notre alerte sénior sportif tombe sur ce fabuleux spectacle, met pieds à terre, mâte en silence. Le bougre sort son téléphone.
Il s'apprête à prendre des photos. Clémentine, parfaitement dissimulée derrière l'anonymat de son apparence, prend la pose.
Bien trop excitée pour pouvoir pisser, elle se contente d'écarter les cuisses au maximum, legging et culotte aux genoux. Joie.
Le type se met à parler. De ma planque, je ne comprends pas les propos qui s'échangent. Je le vois agiter son smartphone.

Il propose à la fille de lui montrer les photos. Clémentine, après être restée dans cette position, se redresse. Il y a des gens.
Elle traverse la passerelle métallique pour rejoindre notre papy photographe. Ils regardent l'écran en bavardant. Je bande.
Ce vieux coquin est entrain de montrer les photos qu'il vient de prendre. Je vois Clémentine hocher la tête affirmativement.
Elle donne probablement son accord. Le vieux photographe est un parfait gentleman car il remonte sur son vélo et s'en va.
Je rejoins Clémentine écroulée de rire. Nous repartons. Elle raconte. Le vieux a plein de photos pornos dans son téléphone.

Nous rions de bon cœur. Les photos de Clémentine font à présent partie de la collection de notre sénior. Photos anonymes.
25 km d'un parcours facile et nous arrivons au petit port de plaisance. Il est à peine 15 h15. Il y a plein de gens. Ambiance.
Les habituels boulistes. Des groupes de cyclistes. Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie. Il y en a plein.
Nous traversons la petite route pour aller chercher nos cônes glacés à la superette. Nous bavardons avec la gérante. Bien.
Madame Marthe nous apprend que dimanche il y aura une course au trésor organisée par la municipalité. Et ici, sur le port.

Nous flânons sur le quai en dégustant nos glaces. Clémentine, excitée par la séance photos, nous entraîne dans les recoins.
Nous traînons aux abords des sanitaires réservés aux plaisanciers mais fermés à clef. Nous rôdons vers les toilettes publics.
C'est vendredi après-midi. Les D'jeunes sont en cours. Il n'y a donc personne dans les bosquets, dans les fourrés. Superbe.
De temps en temps, c'est un promeneur ou un cycliste qui vient aux toilettes. Parfois une femme. Parfois un homme. Bien.
Clémentine attend la bonne occasion. Elle se touche afin de bien stimuler sa libido. Nous guettons en silence. C'est excitant.

Il y a une camionnette qui se gare en haut, sur le chemin. Il y a un gros type moustachu qui en sort en se déboutonnant.
Il ne nous a pas vu. Il descend quelques mètres. Et là, devant nous, à une vingtaine de mètres, il se met à pisser peinard.
< Reste là, s'il y a un blème, tu viens ! > me murmure Clémentine en s'avançant à découvert. Elle marche les bras croisés.
Le type repère immédiatement cette grande jeune fille hyper sexy dans sa tenue cycliste. Il n'a pas le réflexe de se tourner.
Au contraire, ostensiblement, tout en pissant il agite sa queue en engageant la conversation. Clémentine s'arrête et mâte.

Elle le dépasse d'une demi tête. Le type secoue les dernières gouttes avec insistance devant cette jeune fille qui l'observe.
J'entends bien la conversation qui s'engage. C'est surtout notre vicelard qui s'exprime. Clémentine reste mutique et mâte.
Notre homme se met à se branler. < Vous aimez mâter, vous, hein ? > fait il à la jeune fille qui répond : < Oui, parfois ! >
Je sors ma bite. Ça m'excite trop. Clémentine, debout, bien droite, les bras croisés qui répond aux questions du salopard.
Il ne tarde pas à faire des propositions salaces. Promenades en camionnette. "Tiré un coup" dans un coin. Lui faire goûter.

Je n'ai jamais vu un type aller aussi vite droit au but et faire des propositions sans perdre un seul instant de son assurance.
Clémentine, un bras le long du corps, passe une main entre ses cuisses tout en refusant une à une toutes les propositions.
Le type ne se démonte pas. Le voilà qui la tutoie. < Tu permets au moins que je me branle ? > lui fait il en se masturbant.
L'immonde salaud se pignole avec une incroyable vulgarité. Clémentine qui reste à distance à quelques mètres, l'encourage.
Elle se touche. C'est un tableau surréaliste. Voilà deux parfaits inconnus, l'un pour l'autre, qui se masturbent en s'observant.

Je fais pareil caché derrière les fourrés. Le type éjacule en poussant un râle de plaisir et en s'écriant : < Tiens ! Salope ! >
Il se réajuste. Il semble quand même un peu gêné maintenant. Il remballe sa bite sans rien dire. Il monte à la camionnette.
Clémentine, une main dans son legging, lui fait un coucou de l'autre. Il démarre. Il semble très emmerdé. Le voilà qui part.
J'ai soudain comme un sixième sens qui me fait me retourner. Là, à une trentaine de mètres, la jeune fille au scooter. Zut.
Elle a un curieux regard. Clémentine revient juste à temps pour la voir filer. Elle m'entraîne par la main. Nous contournons.

Nous n'avions ni vu ni entendu le scooter arriver. La jeune fille porte un petit sac à dos, elle met son casque, démarre. File.
< Cette petite salope vient rôder dans le coin en revenant de cours ! > fait Clémentine. C'est certainement probable. Rires.
Toujours est-il que la coquine a eu de quoi se rincer l'œil. Il est 17 h15. Nous mettons nos K-way pour affronter la fraîcheur.
Nous pédalons contre un léger mais désagréable vent de Nord Est. Nous évoquons nos aventures de l'après-midi. Superbes.
Il est 18 h45 lorsque nous revenons à la maison. Une douche bien chaude pour se réchauffer. Nous sommes morts de faim.

Je propose un restaurant. Il n'est que 19 h15. Nous mettons des jeans propres. Chemises blanches, pull et nos manteaux.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue qu'elle compare à celle du moustachu vicieux de cet après-midi. Rire.
Nous arrivons au restaurant de l'Etang. Surprise pour Julie qui ne s'attendait pas à nous voir. Il y a pas mal de monde. Joie.
Julie ne peux dissimuler la joie qui l'étreint. Elle nous emmène à la table où nous mangeons souvent. Là, ça fait longtemps.
Nous bavardons entre deux services. Lorsqu'elle vient débarrasser nos plateaux de fruits de mer vide, je demande les WC.

Julie, qui comprend parfaitement le message m'explique. C'est au sous sol, au bas de l'escalier. Je le sais bien. Un jeu.
A peine suis je debout devant l'un des deux urinoirs, la bite à la main, que j'entends le pas rapide de Julie dans l'escalier.
Elle entre dans les toilettes. Je me tourne pour agiter ma bite dans sa direction. < Ça me manque, Julien ! > me fait elle.
Je dis : < J'attends toujours encore votre message ! >. Julie me raconte sa relation difficile avec son copain jaloux et triste.
< C'est l'amoureux transit typique qui me lâche pas d'une semelle. Et il vient me chercher après le boulot ! > me fait-elle.

C'est surréaliste de l'écouter me raconter un peu de sa vie tout en lâchant des jets de pisse dans sa direction. Je m'en fout.
< Je vous ennuie avec mes petites histoires, hein ! > rajoute t-elle en fixant ma branlette pisseuse, avant d'éclater de rire.
Hypocrite, je dis : < Non, pas vraiment ! >. Nous rions de bon cœur. Julie a du boulot, il faut qu'elle remonte. Je remballe.
Je remonte pour tout raconter à Clémentine. Nous payons. Il est 22 h15. Julie promet de donner bientôt de ses nouvelles.
Nous arrivons à la maison pour 22 h40. Nous sommes épuisés. Un cunnilingus à Clémentine qui jouit tout de même. Dodo.

Bonnes aventures à toutes les coquines désireuses de s'encanailler un maximum dans tous les endroits qui le permettent…

Julien - (Qui se comporte en parfait garde du corps, en parfait salaud et qui offre à Clémentine de superbes cunnilingus) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 17 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 744 -



Soirée graveleuse aux écuries

Hier matin, samedi, nous nous réveillons tous deux vers 7 h30. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux chiottes.
Vêtus de nos tenues de jogging, morts de faim, nous dévalons l'escalier à toute vitesse jusqu'à la cuisine. C'est dynamique.
Nous préparons notre copieux petit déjeuner que nous dégustons dans la joie, la bonne humeur et en bavardant. Superbe.
Dehors, il fait beau. Evidemment avec cette fraîcheur il faudra enfiler les K-ways, les bonnets et les gants pour aller courir.
La vaisselle. Nous sortons. Une heure d'un running, sur notre circuit habituel, procure un immense plaisir. Retour pour 9 h.

La douche. Nous nous habillons. Clémentine porte sa jupe en velours carmin et légèrement évasée au dessus du genoux.
Un chemisier blanc. Des bas noirs fixés à son porte jarretelle noir. Souliers à légers talons. Ses cheveux en liberté. Belle.
Sur sa demande je porte un jeans, une chemise blanche, des souliers de ville noirs. Nous mettons nos vestes noires. Bien.
Nous voilà prêts. Nous ressortons. Il fait presque doux. Le vent désagréable des jours passés à cessé. Je sors la voiture.
Je roule doucement. Clémentine a glissé sa main dans ma braguette. Trois petits kilomètres et nous voilà au bourg voisin.

Il y a toujours du monde lorsque nous y faisons notre marché. Nous faisons provision de fruits, de légumes. A profusion.
Nous faisons provision de fromages, de beurre, de crème fraîche, d'œufs et de yaourts. Nous ne traînons pas. On à tout.
Nous revenons à la voiture. Nous rangeons les produits frais dans la glacière branchée sur l'allume cigare. Et je démarre.
En route pour la zone commerciale et son hyper marché. Treize petits kilomètres. Il fait doux. Clémentine retire ses bas.
Comme elle a retiré sa culotte, l'accès à sa touffe est très facile. Tout en conduisant, de la main droite, je peux recoiffer.

Je gare la voiture sur la parking. Il y a encore plus de monde que d'habitude. Je pousse le caddie. Clémentine nous guide.
Elle tient la liste des courses et nous entraîne dans les rayons qui nous concernent. Papier cul, produits d'entretien, etc...
Il faut louvoyer entre les gens. C'est l'embouteillage des chariots. Nous détestons. Clémentine nous entraîne aux bouquins.
Avec cette affluence, il serait vain de tenter un "plan" exhibe. Il faut se rabattre sur le rayon des vêtements homme. Dur.
C'est pareil ici. Inutile même d'espérer s'y amuser un peu. Il faut se résigner. Ce qui frustre Clémentine nue sous sa jupe.

Le rayon poissonnerie. Nous attendons notre tour pour y faire provision de produits de la mer. Des crustacés, des moules.
Nous passons en caisse. Nous flânons un peu dans la galerie commerciale. Nous passons devant le salon de thé. Des gens.
< Tu m'as bien coiffé la chatte et je ne peux même pas la montrer ! > murmure Clémentine. Nous en rions de bon cœur.
Nous retournons à la voiture. Nous rangeons les produits de la mer dans la glacière. En route pour la maison. Il fait beau.
Il est un peu plus de midi lorsque nous arrivons. Nous rangeons les courses. Nous montons nous changer. Les tenues vélo.

Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare le bouillon pour y plonger les moules pendant que rissolent les haricots verts.
Nous rions beaucoup de notre déconvenue à l'hypermarché. Clémentine est fermement décidé à une revanche cet aprème.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est à peine 13 h30. Il fait doux.
Nous voilà sur nos bicyclettes à descendre le chemin, traverser la rivière, pour arriver à la piste cyclable. C'est super bien.
Nous croisons quantité de cyclistes, de jeunes filles en roller, de promeneurs et de joggeurs. Il n'y a presque pas de vent.

Arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Déjà 15 km dans les jambes. Il y a du passage incessant. Il est impossible de s'amuser.
Il serait trop risqué de nous livrer à nos petits jeux. Ce sont le plus souvent des groupes de cyclistes ou des couples. Dur.
Il est 15 h15 lorsque nous arrivons au port de plaisance. L'ambiance habituelle. Par un si un bel après-midi, plein de gens.
Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie. Il fait si doux que Clémentine pourrait être en jupe. Frustrant.
Nous traversons la petite route pour aller acheter nos cônes glacés à la superette. Il faut attendre aux caisses. Affluence.

Nous dégustons nos glaces en flânant sur le quai. Clémentine nous entraîne près des toilettes publiques, dans les fourrés.
C'est samedi. Il y a quelques D'jeunes qui sont assis sur le muret. Nous rôdons discrètement entre les murs et les fourrés.
Il y a trop de passage aux toilettes pour tenter un "plan". < Décidément ! > lance Clémentine dépitée et tout en soupirant.
Il reste la possibilité d'aller traîner au vieux cimetière, en haut de la colline qui surplombe le port et le bourg. La belle vue.
Il faut se faire une raison. C'est une journée sans. Et malgré notre pugnacité, il ne se présente aucune réelle opportunité.

Il est 17 h lorsque nous prenons le chemin du retour. Il fait encore assez doux pour pédaler sans k-way. Il y a du monde.
Il est presque 18 h45 lorsque nous revenons à la maison. Nous avons roulé en mode promenade et contre un léger vent.
Il y a la voiture d'Estelle. Elle vient d'arriver car elle est encore devant la porte sur le haut de l'escalier. Super contente.
Elle se précipite pour nous faire la bise. Elle est vêtue d'un jeans, chemise à carreaux, baskets, ses cheveux en liberté.
< Moi, je reste comme ça ce soir ! > lance t-elle. Elle rajoute en riant : < Tenue de protection ! >. Nous rions beaucoup.

La douche. Il y a une certaine fébrilité. Pas une seule fois l'un de nous n'a abordé le sujet des écuries et du rendez-vous.
Clémentine remet ses vêtements de ce matin. Jupe en velours, chemisier blanc, veste en cuir noir cintrée à la taille. Belle.
Cette fois elle porte ses escarpins noirs, fermés, à talons hauts avec la petite sangle autour des chevilles. C'est si élégant.
< Mes souliers de baise ! > me fait Clémentine en s'accroupissant pour me montrer l'absence de culotte. Porte jarretelle.
Sur sa demande, je porte mes mêmes vêtements que ce matin. < Je t'aime en jeans et chemise blanche ! > me fait elle.

Nous réchauffons les haricots verts. Clémentine fait une salade de tomates. Je fais rissoler trois filets de cabillaud blanc.
Nous portons nos tabliers. Clémentine est de plus en plus fébrile, considérablement excitée. Pas un mot sur les écuries.
Je passe ma main sous sa jupe. Les lèvres charnues de son sexe sont bouillantes, humides. Pas de doute, ça gamberge.
Estelle glisse tout le temps sa main dans ma braguette. Elle nous raconte sa journée. Le bureau de l'entreprise familiale.
Elle n'arrête pas de se serrer contre moi, de se frotter. A tel point que Clémentine, par jeu, s'interpose. C'est amusant.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Toujours pas un mot à propos de la soirée qui nous attend. C'est bien.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous remontons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Rires.
< C'est nerveux ce soir, parce que je suis morte de trouille ! > me fait Clémentine en se blottissant dans mes bras. Fort.
Je la rassure. Tout se passera bien. Je suis là. Et il n'y a aucune obligation à rien. Nous allons à cette soirée en touristes.
Nous redescendons. Nous enfilons nos vestes. Je roule doucement. Il est 19 h45 lorsque je gare la voiture dans la cour.

Il y a quelques voitures. Celle de Juliette, celle de monsieur Gérard, celle des Walter et une autre. Inconnue. Le mystère.
Nous traversons la cour pour nous rendre dans le nouveaux bâtiment. Nous entendons des rires, quelques éclats de voix.
Clémentine ne me lâche pas la main. Estelle me tient par le bras. Je sens les filles trembloter. Des frissons. C'est drôle.
Nous entrons dans les locaux aménagés au fond des écuries. C'est un appartement de fonction. Bureau, salon, toilettes.
Les convives sont entrain de rire en regardant un écran de télévision. Coluche. Nous nous saluons. Une bonne ambiance.

< C'est super gentil d'êtres venus ! > nous fait Juliette. Il y a monsieur Gérard, très élégant, madame Walter, élégante.
Pierre, en jeans et chemise blanche comme moi. Il y a Léon, le black, ancien palefrenier à la retraite. Nous sommes huit.
Nous nous serrons la main. L'atmosphère est très détendue. Nous voilà assis dans le canapé, dans les fauteuils, chaises.
Juliette, en maîtresse de cérémonie va de l'un à l'autre. Elle est vêtue d'un tailleur noir, strict, comme madame Walter.
Nous bavardons. Evidemment Gérard se met très rapidement à bavarder exclusivement avec Clémentine. C'est amusant.

Estelle est sollicitée par Léon qui n'arrête pas de la faire rire. Madame Walter me lance de furtifs regards fuyants. Secrets.
Comme à son habitude. C'est une femme discrète. Je la sais vicieuse et très attirée par les situations ambiguës. Sympa.
Nous en avons déjà vécu quelques unes. Je décide de lui apporter un peu d'attention en allant m'assoir à ses côtés. Bien.
Elle me parle de ses vacances qui approchent. La fin de la saison. Tout en bavardant je regarde Clémentine suivre Pierre.
Ils sortent de la pièce. Estelle qui rit des plaisanteries de Léon. Et Juliette qui rit avec Gérard. J'attaque avec Mme Walter.

Les couples se sont formés. Il n'est absolument pas question de partouze. Ce n'est pas le genre de la maison. C'est bien.
Je regarde Estelle sortir de la pièce avec Léon. < Juliette a mis des matelas un peu partout ! > me fait madame Walter.
Je lui dis : < Où a t-elle mis le nôtre ! >. Nous rions aux éclats. < Venez voir ! > me fait elle en m'entraînant par la main.
C'est la toute première fois que j'ai droit à une telle familiarité, à une telle proximité avec Isabelle Walter. C'est excitant.
Nous sortons. < Chut ! > me fait elle en posant son index sur sa bouche. Elle me tient par la main pour m'emmener. Joie.

Nous arrivons dans le couloir arrière qui longe les box. < Regardez ! > me fait Isabelle Walter en montrant un portillon.
Je me penche. Quel choc. Clémentine, assise sur Pierre qu'elle chevauche entièrement nue. Juste chaussée de ses souliers.
Ses "souliers de baise" qu'elle ne peut perdre à cause de la sangle qui enserre ses chevilles. Mon sang ne fait qu'un tour.
De voir ma compagne, prendre un réel plaisir à baiser ainsi, à cheval sur un mec, m'envahit d'un très étrange sentiment.
C'est un mélange de tristesse, de joie, d'excitation. C'est indéfinissable. Mais ce n'est pas réellement agréable. Pas bien.

C'est un véritable choc émotionnel. Pierre caresse les tous petits seins de Clémentine qui visiblement prend un plaisir fou.
Elle chevauche ce type, la tête rejetée en arrière, les yeux fermés, comme une amazone. Isabelle Walter prend ma main.
< Mal ? > me chuchote t-elle. Je la rassure. A présent mon excitation est redevenue prépondérante. Je trouve ça exquis.
C'est la première vraie baise de Clémentine avec un autre mec. Un quadragénaire vigoureux sur lequel elle fait du dada.
Je sors ma queue. < Je vous laisse ! > me fait Isabelle. Je réponds : < Non ! Restez ! >. Elle se penche. Nous observons.

Le box est vide. Il y a un simple matelas au sol. A présent Pierre se redresse. Il se couche sur Clémentine qu'il pénètre.
Il est d'une grande douceur. Il s'introduis avec précaution. Elle passe ses jambes autour de lui. Il se met à la baiser fort.
Je vois le corps de ma compagne, secoué comme un jouet, s'agiter sous le corps vigoureux de cet homme qui la baise.
Il tente de l'embrasser. Elle détourne à chaque fois son visage pour l'éviter. Il lui attrape la tête pour la maintenir. Fort.
Il arrive à lui enfoncer sa langue dans la bouche. Clémentine accélère. C'est la première fois que je la vois baiser ainsi.

< Il peut baiser comme ça longtemps ! Moi, je n'aime pas ! > me chuchote Isabelle Walter. Je commence à comprendre.
C'est pour ça que madame Walter est contente que son mari s'épanche de longues heures avec Juliette. Sacrée baiseuse.
< Non ! Détrompez vous ! Juliette n'est pas la baiseuse que vous imaginez. C'est une cérébrale ! > me murmure Isabelle.
< Venez ! > me fait Isabelle. Nous passons au box suivant. Je vois Estelle entrain de tailler une pipe au vieux black. Léon.
Elle est couchée sur le côté, sa tête posée sur le ventre du mec, immobile, entrain de déguster le chibre luisant du black.

Il y a un étrange silence. A peine si l'on perçoit les gémissements lointains de Clémentine. Je saisis Isabelle par le bras.
J'ai déjà remarqué à quel point cette belle jeune femme de 42 ans est lascive. Elle se laisse couler dans mes bras. Douce.
< Il ne vous reste que moi, c'est ça ? > chuchote t-elle, une certaine fatalité dans la voix. < Je réponds : < Oui. Toi ! >
< Viens ! > me fait elle. Nous allons plus loin. Il y a un autre box vide. Un matelas au sol. Je comprends. J'hésite un peu.
< Tu veux d'abord voir ce que fait Juliette ? > me demande Isabelle. Je dis : < Oh oui ! >. Elle m'entraîne par la main.

Nous retournons dans salon. Quelle surprise. Juliette, assise sur une chaise, jupe retroussée, le dossier entre les jambes.
Elle est entrain de tailler une pipe à monsieur Gérard qui, tout sourire, est entrain de lui raconter des saloperies. Etrange.
Juliette cesse, tourne la tête dans ma direction, me fait un clin d'œil avant de se remettre à sucer cette bite dégoulinante.
< C'est ça qu'elle aime la patronne ! > me fait Isabelle Walter en m'entraînant pour quitter la pièce. Je bande. C'est fou !
Nous repassons devant le box. Clémentine est à nouveau à cheval sur Pierre. Elle semble prendre un tel plaisir. Troublant.

Il a sa main posé sur sa bouche pour tenter d'étouffer ses gémissements. Nous passons devant le box d'Estelle. Elle suce.
Estelle n'a pas bougé. Je l'admire, couchée sur le côté, immobile, entrain de savourer la petite bite nerveuse et luisante.
Léon la fait bouger dans la bouche d'Estelle qui, les yeux fermés, un intense sentiment de bonheur sur ses traits, déglutit.
Je prends Isabelle contre moi. Je demande : < Et toi ? Qu'est-ce que tu préfères ? >. Elle dit : < Qu'on s'occupe de moi ! >
Juliette nous a dit que madame Walter est une véritable "soumise". Elle aime être livrée, offerte, mais à un seul Maître ! >

Et ce "Maître" n'a toujours été que ce vieux salaud impuissant et incontinent de Gérard. Isabelle Walter se serre contre moi.
J'ai comme une espèce de compassion pour cette femme. J'aimerai tant être à la hauteur. Mais je ne suis pas un vrai Maître.
Je l'entraîne dans le box vide. Je la fais tomber sur le matelas. Elle écarte immédiatement ses cuisses, retroussant sa jupe.
Je suis décontenancé. Elle ne porte pas de culotte. Sa touffe est noire. Elle m'observe d'un regard implorant. Je me penche.
Cette femme n'attend que mon initiative avec un regard implorant. Je me couche sur elle pour la pénétrer. Elle m'aide. Joie.

< Tu es mon premier mec depuis mon mari ! > me chuchote Isabelle Walter en se mettant à bouger de plus en plus vite.
J'ai affaire à une baiseuse de première. Une baiseuse de grande qualité. J'entends des cris de plaisir. Clémentine qui jouit.
Je baise Isabelle Walter comme si c'était le dernier des vides couilles. C'est ainsi qu'elle s'est toujours fait baiser. Elle aime.
Je lui murmure : < Tu suces aussi ? >. Elle me chuchote : < Je fais tout ce qu'on exige de moi. Et avec plaisir. Je te jure ! >
Je lui crache au visage. J'accélère. Je n'ai pas du tout l'habitude de me comporter ainsi. < Vas-y ! > me fait Isabelle Walter.

Je me retire. Je saisis Isabelle par sa tignasse. Je lui enfonce la bite dégoulinante dans la bouche. Elle suce ! C'est délirant.
Cette femme suce comme elle baise, avec une passion sans limite. En poussant des grognements. Je suis si impressionné.
Je me retire juste avant l'éjaculation. Je la saisis par la nuque. Je l'entraîne dans le couloir. Je veux regarder dans les box.
Clémentine, habillée, est entrain de s'essuyer la bouche. Pierre est assis sur le matelas à se coiffer de la main. Silencieux.
Estelle est à genoux devant le black. Il vient probablement d'éjaculer car elle crache en toussotant. Il la tient fermement.

Isabelle me tient par la main. Je viens de m'en rendre compte. Je la lâche. Cette femme a un grand besoin d'affection. Sûr.
Juliette a le visage ruisselant de foutre et certainement de pisse. Il en coule sur le haut de sa veste blaser et sur sa chemise.
Gérard est vautré dans le canapé à se masser la queue. Madame Walter va le rejoindre pour se mettre à genoux à ses côtés.
Pas de doute, il est son "Maître". Elle est sa "Soumise". Voilà Clémentine. Elle a le regard fuyant et n'ose me regarder. Rire.
Je vais vers elle. Je la prends dans mes bras. Je demande : < C'était bien ? >. Elle reste silencieuse et se serre contre moi.

Estelle arrive. Elle vient immédiatement se blottir contre Clémentine et moi. Je comprends qu'il est temps de partir. Minuit.
Dans la voiture, nous sommes étrangement silencieux. Nous voilà à la maison. Je sens la culpabilité qui envahi Clémentine.
Je désamorce : < Et ne vient pas éclater en sanglot après ce que tu viens de faire car je te félicite. Et tu as été divine ! >
< Ce salaud m'a baisé, si tu savais ! > me chuchote t-elle. Au lit, Estelle nous raconte sa "super pipe" avec Léon, le black
< Du 67 ans d'âge, ça se déguste ! > fait elle. Je lui éjacule dans la bouche. Clémentine raconte sa baise. Moi la mienne…

Bonne soirée à toutes les coquines qui se sont fait baiser avec truculence par de véritables saligauds dans les écuries…

Julien - ( Qui a découvert la véritable personnalité de la mystérieuse Isabelle Walter. La "Soumise" à Gérard) -

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Un dimanche où il faut s'en remettre

Hier matin, dimanche, je suis réveillé pas des chuchotements puis par plein de bises qu'on me dépose partout sur le visage.
C'est la troisième fois que je passe la nuit entre Clémentine et Estelle. C'est tout naturellement que je les serre contre moi.
Elles se blottissent. Nous nous chuchotons des douceurs. Estelle se saisit de mon érection naturelle de sa poigne habituelle.
< Comment va mon Doudou ? > fait elle en me branlant. Nous rions de bon cœur. Clémentine dit : < C'est aussi le mien ! >
Estelle, n'en pouvant plus, la vessie pleine, se précipite aux toilettes en disant : < Pipi ! > dans son pyjama de soie mauve.

Clémentine me chevauche tout en me murmurant des douceurs, des < Je t'aime ! > des < Merci pour hier soir ! >. Bisous.
Estelle revient en disant : < Je descends préparer le petit déjeuner ! Me laissez pas seule ! >. Puis elle dévale les escaliers.
Clémentine m'entraîne aux toilettes. Pissous. Morts de faim nous descendons à toute vitesse rejoindre Estelle à la cuisine.
Les succulentes odeurs de café et de pain grillé se mêlent à celles de la brioche. Estelle me saute au cou. Serrée très fort.
Clémentine s'interpose par jeu. Nous prenons notre petit déjeuner tout en bavardant. Nous traînons à table. C'est agréable.

Estelle est la première à évoquer ce qui s'est passé hier soir. < Ça faisait longtemps que j'avais pas sucé Léon ! > dit elle.
Elle rajoute : < Au début je n'en avais pas du tout envie ! Mais il me l'a demandé si gentiment. Et il m'a fait tant rigoler ! >
< Il suffit de te faire rire pour te mette la bite dans la bouche ? > lance Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus.
Estelle se propose de passer l'aspirateur partout et de faire le salon. Clémentine monte faire la chambre, changer les draps.
Moi, je m'occupe de la serpillère. Nous faisons la vaisselle. Clémentine m'embrasse avant de monter. Le goût de la brioche.

Tout en nettoyant la cuisine et les chiottes du bas, j'entends Estelle passer l'aspirateur au salon en chantant. C'est si bien.
C'est un de mes moments d'émotion préféré. Je passe la serpillère sur les carrelages. Je m'apprête à rejoindre Clémentine.
Le piège d'Estelle au bas de l'escalier qui guette l'instant de mon passage pour m'attraper par le bras, main dans mon slip.
Je la soulève. Elle passe ses jambes autour de mes hanches. Elle m'embrasse avec fougue. Le goût de la brioche. Bonheur.
< Je préfère le goût de ta bite à celle que j'ai goûté hier soir ! Tu me fais comparer pour voir ? > me chuchote Estelle. Rire.

Je la fais monter sur mon dos. Nous montons l'escalier. J'entre dans la chambre et je fais tomber Estelle sur le lit. Paquet.
Je dis à Clémentine : < Cette jeune fille, tellement effrontée, veut comparer le goût de ma bite avec celle de Léon ! > Rire.
Je ramasse les draps sales. Estelle se saisis de l'aspirateur. Clémentine me rejoint à la salle de bain. Nous nous serrons fort.
< Tu n'es pas fâché pour hier soir ? > fait Clémentine. Je la rassure. < Tu vas avoir 22 ans demain ! Tu dois en profiter ! >
< Tu me comprends si bien Julien. Je me sens tellement libre. Je t'aime comme une folle. Je suis heureuse ! > rajoute t-elle.

Enveloppée dans un mouchoir en papier posé sur le coin de la baignoire, Clémentine extrait la capote portée par Pierre hier.
Je suis éberlué. < Souvenir ! > fait elle en me montrant la capote fermée par un nœud. Elle est pleine d'un foutre jaunâtre.
C'est très liquide. Je dis : < Je n'ai pas gardé celle que j'ai utilisé pour baiser Isabelle Walter ! >. Nous rions de bon cœur.
< C'était bon ? > me demande Clémentine. Je réponds : < Un vrai plaisir ! >. Clémentine me dit : < Je suis très jalouse ! >
Devant l'énormité de ce qu'elle vient de dire après m'avoir montré la capote de hier soir, nous rigolons comme des bossus.

Elle m'avoue avoir l'intérieur du sexe comme congestionné. La bite de Pierre y a beaucoup travaillé hier soir. Super baise.
Je nettoie le bac à douche. Clémentine fait le lavabo et le miroir avant de descendre avec le panier à linge plein à ras bord.
Je nettoie les chiottes de l'étage. Estelle chantonne en passant l'aspirateur. Elle vient me rejoindre en silence. Derrière moi.
Passant ses mains autour de mes hanches pour m'attraper la braguette. J'ai les mains gantées plongées dans la cuvette.
< Tu me fais comparer ? > me demande t-elle à nouveau. Je dis : < Tu vas passer ta vie à comparer le goût des bites ! >

Je retire mes gants, je tire la chasse. Je fais monter Estelle sur mon dos. Nous descendons rejoindre Clémentine à la cave.
Nous trions le linge de couleurs. Une machine tourne déjà avec les draps. Les filles évoquent leurs cours de cette semaine.
Elles ont un rapport de trimestre à faire. Dix pages qui conteront pour la soutenance de thèse d'ici quatre ans. Du sérieux.
Je les laisse pour monter à la cuisine. Les pavés de saumon ont décongelé. J'épluche les patates, les navets, les carottes.
Estelle vient me rejoindre. Elle prépare le saumon en papillotes. Et Clémentine arrive à son tour. Elle s'occupe de la salade.

Je coupe les légumes en petits morceaux. Je les verse dans la cocotte en fonte avec de l'ail, de l'oignon et de la ciboulette.
Je touille la potée. Dehors, il fait super beau. Il est 11 h45. Estelle prépare les papillotes sur le barbecue électrique. Bien.
Tout est rapidement prêt. Il est 12 h15. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant et en riant beaucoup. Ambiance.
Nous parlons de nos impressions, chacun. Les choses que nous avons vécu hier soir. Ce fut une surprise. Des découvertes.
Nous savons maintenant que Mme Walter est la "Soumise" du vieux Gérard dont la bite est la mascotte sexuelle de Juliette.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous nous dépêchons de monter nous laver les dents et nous mettre en tenue vélo.
Nous faisons les clowns devant le miroir, vêtus de nos leggings et de nos maillots en lycra noirs. Je suis entre les deux filles.
Accroupies, chacune d'un côté, elles me tiennent la jambe, leurs têtes posées contre mes cuisses. < "Maître" ! > fait Estelle.
Je pose ma main sur sa tête en répondant : < "Soumise" ! >. Clémentine dit pareil. Nous rions de bon cœur. C'est notre jeu.
Nous dévalons l'escalier, pressés de nous retrouver sur nos bicyclettes. Il fait presque chaud dehors. Journée de printemps.

Nous croisons quantité de cyclistes, de jeunes filles en rollers, de promeneurs, de familles sur la piste cyclable. Monde fou.
Il est à peine 13 h30. C'est l'affluence des grands jours de juin alors que nous sommes le 31 mars. Et c'est impressionnant.
Arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Je fais le guet. Clémentine et Estelle, accroupies, fringues au genoux, font leurs pissous.
Comme toujours, en riant, bien au milieu de la piste cyclable. Et évitant en sautillant les coulures de pisse sur le macadam.
Il faut faire vite. Il y a du passage. C'est amusant de voir les vélos rouler dans les coulées de pisse qui barre toute la route.

Nous arrivons au petit port de plaisance pour 15 h15. Nous fermons les vélos à cadenas derrière la capitainerie. Il fait beau.
Nous traversons la route pour nous rendre à la supérette. Il y a du monde partout. Car il y a la fameuse "Chasse au trésor".
Des familles entières participent dans une ambiance festive. Nous dégustons nos cônes glacés en flânant sur le quai. Sympa.
Clémentine nous entraîne rôder dans nos recoins habituels. Dans les fourrés à proximité des toilettes publiques. Du monde.
Il serait vain, parfaitement insensé, de tenter le moindre plan exhibe. Il y a un flot incessant de familles qui vont aux WC.

Du côté de la route, il y a une dizaine de D'jeunes. C'est leur lieu de retrouvaille. Du côté du port, il y a les boulistes. Jeux.
Clémentine, qui n'en a jamais assez, aimerait bien s'offrir quelques petites frayeurs. Je l'en dissuade. Et Estelle également.
Clémentine, la main entre ses cuisses, se palpe le sexe en disant : < J'ai encore la chatte congestionnée à cause de hier ! >
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'Estelle répond : < Tu n'avais qu'à te contenter de sucer. Comme moi ! >. Rigolade.
Seconde tournée de cônes glacés. Nous aimons le plaisir sous toutes ses formes. Et nous les savourons assis sur le muret.

Avec le changement d'horaire de la nuit, nous avons une heure supplémentaire avant de devoir prendre la route du retour.
C'est appréciable. Nous assistons au final de la "Chasse au trésor". Ce sont deux sœurs qui ont trouvé les "pièces d'or". Joie.
En fait, c'est un petit coffre de "pirate", contenant des pièces en chocolats, des billets d'entrées pour un parc d'attractions.
Tous les participants, une bonne centaine, sont devant la scène à applaudir. Il est 17 h45. La fête se termine. Nous partons.
Nous pédalons contre un léger vent frais de Nord Est. K-way, bonnets, gants pour affronter la fraîcheur de fin d'après-midi.

Il est 19 h lorsque nous arrivons à la maison. 25 km à l'allée, 25 au retour, et la soirée de hier, de quoi être bien fatigués.
Clémentine s'occupe de la salade. Estelle prépare une belle omelette aux champignons et crevettes. Je réchauffe la potée.
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Nous sommes assez vaseux. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine.
Estelle n'arrête pas de mimer des pipes en faisant une bosse avec sa langue à l'intérieur de sa joue. Main devant la bouche.
< Je peux comparer ? > me demande t-elle plusieurs fois pendant que Clémentine tente de s'interposer. Ce n'est qu'un jeu.

Nous passons au salon. Il est 21 h. Vautrés, épuisés, dans le canapé, nous bavardons un peu. Estelle joue avec ma queue.
Je me lève. Je me couche sur le dos. Je m'allonge sur le tapis. La tête sur un coussin. J'agite ma bite en direction d'Estelle.
Clémentine lui fait : < Va comparer, va ! >. Estelle ne se fait pas prier. Et dans la même situation que hier soir avec Léon.
Couchée à ma droite, sa tête posée sur mon ventre, ma bite molle en bouche, elle savoure tout en poussant des < Miam ! >
Clémentine vient s'assoir en tailleur près de nous. Elle tient ma queue pour la faire bouger dans la bouche d'Estelle. Jeu.

Je bande comme le dernier des salauds. < Alors, c'est comment ? > demande Clémentine à Estelle qui répond : < Miam ! >
Je dis : < On fait tout pareil que hier soir ! >. Je me lève. Estelle à genoux me suce avec passion. Comme je l'ai vu faire.
Clémentine m'a sorti les couilles qu'elle tient d'une main ferme. J'éjacule dans la bouche d'Estelle. Elle bouffe en gémissant.
Nous tombons sur le sol. Epuisés. Clémentine qui a commencé à se masturber en regardant, cesse. Nous sommes fatigués.
22 h15. Nous raccompagnons Estelle à sa voiture. Séparation difficile. Nous rentrons. Au lit, j'offre un cunni à Clémentine.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment à comparer le goût des bites avant de se faire bouffer la chatte...

Julien - (Qui éjacule tous les jours. Le plus souvent dans la bouche d'Estelle qui en raffole. Merveilleuse suceuse) -

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Classe - 19 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 746 -



C'est l'anniversaire de Clémentine

Hier matin, lundi, nous nous réveillons tous deux juste avant que ne résonne la musique. Mais j'éteins toutefois le réveil.
Clémentine se blottit contre moi. Je lui chuchote : < Bon anniversaire ! >. Quelques effusions de tendresse. Avant le WC.
Morts de faim nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. Nous y préparons le petit déjeuner. Il reste de la brioche. Miam.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine fête aujourd'hui ses 22 ans. Et deux ans de vie commune.
< Je t'aime Julien. C'est la plus belle partie de ma vie ! Tu es mon chéri ! > dit elle en s'asseyant sur mes genoux. Bisous.

Nous ne pouvons pas traîner. Il est déjà 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Et la douche.
Je descends le premier pour aller sortir a petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il fait déjà très beau.
Un dernier bisou. Un dernier coucou. Je regarde la voiture s'en aller. 7 h45. Je rentre au chaud. Je fais le lit et la vaisselle.
Je vais dans l'atelier. J'y allume un bon feu dans la cheminée. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Je suis si impatient.
Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet à me livrer corps et âme à ma passion. Je peins dans une euphorie.

La peinture de cette vingt quatrième toile, destinée à ma saison d'été, un paysage bucolique, romantique, m'absorbe déjà.
Il est aux environs de 10 h lorsque la stupide musique de mon smartphone résonne au fond de la poche de ma blouse. Dur.
Je sais qui c'est. Gagné. C'est Juliette. Nous conversons en mode "haut parleur" afin de pouvoir discuter tout en travaillant.
Après les banalités d'usage, Juliette en arrive à ce qui la préoccupe. Le sexe. Tout en venant sur les évènements de samedi.
La jeune femme aime à confier ses impressions, s'étaler sur les détails les plus grivois, les plus salaces. J'écoute en silence.

Elle m'avoue son sentiment de jalousie diffuse quand à Clémentine qui lui a un peu volé sa place. Ce n'est pas très sérieux.
Juliette me demande les impressions de Clémentine. Je lui propose d'en parler avec elle mercredi soir. Ce sera bien mieux.
Par contre je peux donner mes impressions personnelles. Avec madame Walter, c'était agréable. J'ai bien apprécié la soirée.
< A refaire, n'est-ce pas ? > me fait Juliette. J'abonde dans ce sens. C'est à moi de lui demander si c'était bien avec Gérard.
< Entre lui et moi, c'est une vieille histoire ! > répond Juliette en éclatant de rire. Je rajoute : < Et du vieux foutre aussi ! >

Nous rions de bon cœur. La conversation dure une bonne demi-heure. Nous nous saluons. Je peins avec une érection forte.
Je pense à cette étonnante jeune femme que le destin a mis sur ma route. Les aventures extraordinaires vécues avec elle.
Il est rapidement midi. Avant d'aller à la cuisine, je vais au salon pour téléphoner au traiteur du bourg que je connais bien.
Pour le repas d'anniversaire de Clémentine, je commande deux énormes plateaux de fruits de mer, un beau vacherin glacé.
Avec nos parfums préférés. Nougat, pistache et pralin. Le tout sera livré pour 19 h30. Nous nous connaissons, c'est un ami.

Je prépare le chèque et un peu d'argent en espèces. Voilà. Tout est prêt. Satisfait de la surprise que je prépare, la cuisine.
Je fais gonfler du millet. Je me concocte une sauce au Roquefort. Je me prépare une grosse endive en salade. C'est rapide.
Je mange de bon appétit. La vaisselle. Il est à peine 12 h45. Je descends au jardin pour faire le tour de la propriété. Beau.
L'entreprise paysagiste intervient mercredi matin. Il est temps. Lorsque je regarde les ravages de tous ces coups de vents.
Il fait moins agréable que hier. Il faut mettre un bon sweat. Je rentre. Il est 13 h lorsque je suis assis devant mon chevalet.

Je peins sans cesser de penser à nos aventures chez Juliette. Toutes ces belles histoires vécues au haras, depuis deux ans.
Et nous ne sommes peut-être pas au bout de nos surprises. C'est un réel privilège de fréquenter des gens du même "Club".
Le "Club" du stupre et de la luxure. Il est déjà 16 h20 car Clémentine entre dans l'atelier à toute vitesse. Elle se précipite.
< Je t'aime mon amour ! > s'écrie t-elle en s'asseyant sur mes genoux pour couvrir mon visage de bisous. Elle se serre fort.
J'adore ses élans de tendresse. C'est tellement émouvant. Clémentine a encore du travail. Le rapport du second trimestre.

Assise devant l'ordinateur elle écrit directement sur son clavier. Les profs ont donné les bonnes directions. C'est très simple.
Clémentine n'aura qu'à tirer les pages sur l'imprimante dont elle a préventivement changé la cartouche d'encre noir. Super.
Je lui raconte le coup de téléphone de Juliette. La nature de la conversation. < Cette salope ! > fait Clémentine en rigolant.
Nous sommes tous deux reconnaissants à cette femme de nous avoir offert tant de bons moments au fond de ses écuries.
Nous ne pouvons pas trop en parler car le rapport accapare Clémentine que j'entends taper sur son clavier à toute vitesse.

Il est 19 h lorsque nous cessons. Clémentine me fait lire les deux premières pages déjà réalisées. C'est absolument super.
Même si je n'y comprends pas grand chose, j'admire le style, l'expression écrite et la grande clarté du propos. Je la félicite.
< Je ne fais qu'appliquer le plan d'organisation donné par les profs ! > fait elle en développant telle ou telle phase précise.
J'écoute en silence, admiratif et concentré. Nus quittons l'atelier. Avec le changement d'heure, il fait encore très lumineux.
Clémentine m'entraîne au dehors. Il faut mettre l'anorak. Serrée contre moi, Clémentine fait un bilan de ce trimestre passé.

< Grâce à toi, à ma vie ici, je peux me concentrer sur mes études sans soucis. Je te suis redevable ! > me chuchote t-elle.
Je ne veux pas en entendre parler. Aussi pour ne pas en rester à ces considérations, je dis : C'est moi qui suis redevable ! >
Je rajoute : < Je te suis redevable de l'immense bonheur que tu m'offres. Tu es ma seconde existence. Un vrai privilège ! >
Je fais évidemment allusion à mes 18 ans de vie commune avec ma compagne disparue dont le fantôme rôde dans le lieu.
Nous rentrons nous mettre au chaud. Clémentine me dit : < Je monte pour te préparer une surprise ! >. Je la regarde filer.

Trois coups de sonnette. C'est le traiteur. Nous sommes contents de nous voir. Il dépose les plateaux sur la table. Cuisine.
Il retourne chercher le vacherin glacé. Il y en a pour quatre ! C'est énorme. Je lui donne son chèque et un super pourboire.
Clémentine descend l'escalier. Elle est vêtue de sa jupe kilt à carreaux rouges. D'un chemisier blanc. Un fin pull bleu nuit.
Ses escarpins noirs à talons hauts avec la petite sangle autour des chevilles. Le traiteur a un mouvement d'émerveillement.
Il découvre ma compagne. Il ne s'attendait certainement pas à voir une jeune fille de 22 ans. Il reste pantois. Il me regarde.

Je le raccompagne. < Excellente soirée à vous ! > fait il avant de filer à sa voiture. Clémentine découvre la surprise. Joie.
Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle passe ses jambes autour de ma taille. Elle me couvre le visage de bisous. Bonheur.
J'ai mis la table au salon. Il est 7 h50. Les bougies sont encore inutiles car il fait encore jour. Je dépose Clémentine au sol.
< Je t'aime Julien ! C'est magnifique ! > me fait elle en se mettant à genoux sur l'épais coussin, les mains sur la tête. Belle.
Je prépare les plateaux de fruits de mer sur la table. Je rejoins Clémentine toujours bien droite, à genoux, mains sur la tête.

Je sors ma bite. Je la lui frotte sur le visage. Je dis : < Bon anniversaire mon ange. Tu m'offres le paradis chaque jour ! >
Clémentine gobe l'extrémité de mon sexe. Je bande mou. Je la laisse sucer un petit instant avant de la forcer à se relever.
Par sa natte, comme par une laisse, je l'entraîne à table. Je la fais s'assoir. Elle reste bien droite avec les mains sur la tête.
Je passe derrière elle pour poser mes mains sur ses tous petits seins pointus dont je sens les tétons turgescents. Emotion.
Nous savourons ce repas comme il se doit. Clémentine me confie son ressenti quand à sa baise avec Pierre samedi dernier.

Je lui conseille de récidiver à chaque fois qu'elle en aura le désir. Pierre lui laisse une excellente impression. Bon baiseur.
C'est d'ailleurs la toute première fois qu'elle se fait baiser avec tant de joie par un autre homme. Il n'y a eu que Mr Wong.
En fait, c'est sa seconde expérience avec un autre. Je lui conseille d'en faire d'autres. Il faut des éléments de comparaison.
Clémentine reste dubitative. Je la rassure : < Tu as 22 ans aujourd'hui. Tu dois profiter de ta vie de jeune fille. Un max ! >
Durant le repas, je me lève à quelques reprises pour aller frotter ma bite contre ses joues. Elle suce un peu à chaque fois.

Je débarrasse. Nous avons bien mangé. C'était délicieux. Je reviens. Clémentine est couchée sur la table. Une surprise.
En appui sur ses coudes, ses cuisses largement écartées, les jambes relevées, elle me porte un regard implorant. Si belle.
Je frotte mon sexe contre le sien. Je bande comme un priapique en phase terminale. Je m'introduis avec douceur. Délicat.
Clémentine donne un dernier coup de reins afin que je la pénètre complètement. Elle se met à bouger comme samedi soir.
< Baise moi comme lui ! > me fait elle dans un souffle avant de se coucher sur le dos. Je me mets à la baiser avec énergie.

< Fais de moi ta chose, ta salope, offre moi, prends moi ! > s'écrie t-elle à plusieurs reprises. C'est passionnant d'écouter.
Il est très rare que nous baisions ainsi. C'est sa baise d'anniversaire. Elle se touche le clitoris. Et on dirait une petite bite.
Son orgasme, aussi foudroyant qu'inattendu, me prend de court. Je ne m'y attendais pas si vite. Car ça aussi c'est très rare.
Je me retire. Elle se met à pisser. J'ai juste le temps de me pousser sur la droite. Le jet fait bien deux mètres. Elle en hurle.
Je vais chercher le seau, le balai et la serpillère. Clémentine est debout entrain de se torcher avec une serviettes de table.

Elle insiste pour nettoyer. Nous rigolons comme des bossus. Je vais chercher le vacherin glacé. Tout est rapidement propre.
Le dessert est succulent. La glace au nougat est prestigieuse. Le pralin est divin. La pistache relève le goût des deux autres.
Clémentine se lève, passe sous la table à quatre pattes. Je bande mou. Elle a facilité pour prendre ma bite molle en bouche.
L'indicible caresse me fait vaciller. Je me tiens à la table. Je lui caresse la tête. Je la laisse se régaler un petit moment. Joie.
Je la force à revenir. Je la tiens fermement par sa natte. Je dis : < En Girondes, je vais t'offrir tout ce que tu souhaites ! >

En se mettant à genoux sur le coussin, les mains sur la tête, bien droite, elle me fait : < Viens me raconter en détails ! >
Je lui frotte la queue sur la gueule en exposant le programme. Promenade à la laisse. Dressage. Prise en main quotidiennes.
Clémentine me suce avec une telle passion, en poussant de petits cris de ravissement à chacune de mes descriptions. Bien.
J'exagère. Il va me falloir être à la hauteur de mes promesses. Car Clémentine en veut, et du sévère. De quoi me surpasser.
Je me fais tailler une pipe des familles. Je propose de nous terminer au lit, après la vaisselle. On baise un peu, pipe et dodo.

Bonne soirée d'anniversaire à toutes les coquines qui peuvent se laisser aller à leurs penchants sans complexes…

Julien - (Qui va devoir endosser le rôle du "Maître" durant ces vacances Girondines. Car il y a une vraie "Soumise") -

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Un mardi après-midi en ville

Hier matin, mardi, c'est la suite pour piano de Schoenberg qui nous arrache de nos profonds sommeils. Et avec cruauté.
< Et ta gueule Iceberg ! > s'écrie Clémentine tout en me chevauchant afin d'éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux WC. Pissou. Vêtus de nos tenues de gym, nous descendons à la cuisine.
Nous nous préparons un bon et copieux petit déjeuner que nous savourons en riant beaucoup. Clémentine termine à midi.
Nous remontons pour nous livrer à notre entraînement. La douche. Puis je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine.

Clémentine me rejoint chaudement vêtue dans la fraîcheur matinal. Il est 7 h45. Un rapide bisou et je la regarde s'en aller.
Je me dépêche de rentrer. Je fais notre lit et notre vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un beau feu dans la cheminée.
Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 8 h15. Me voilà assis devant mon chevalet. Je fais le mélange des couleurs.
Je peins dans un enthousiasme délirant. Il est 9 h lorsque la musique stupide de mon smartphone résonne dans ma poche.
Je décroche. C'est le concessionnaire Mercedes. Je suis informé que ma prochaine voiture est visible. Rendez-vous. Bien.

Un second coup de téléphone vers 10 h. C'est Juliette. En mode "haut parleur" nous bavardons tout en travaillant. Sympa.
Juliette me rappelle que nous sommes attendus demain soir pour notre repas rituel du mercredi. Je confirme. C'est super.
La conversation s'axe rapidement sur nos petites aventures grivoises. La jeune femme me propose un autre samedi soir.
Comme le précise Clémentine, ce genre de choses ne doit pas devenir une habitude. Mais il faut que ça reste exceptionnel.
< Dommage ! > fait Juliette qui rajoute : < Madame Walter aurait apprécié la visite ! > Nous rigolons comme des bossus.

J'esquive toutefois en disant : < J'en parle à Clémentine ! >. Nous conversons une bonne demi heure avant de raccrocher.
La peinture de ma vingt quatrième toile m'accapare totalement jusqu'aux environs de midi. Je nettoie palette et pinceaux.
Ce paysage sera terminé pour jeudi soir, au plus tard. Je vais à la cuisine. Dehors, il fait beau. Quelques nuages d'altitude.
Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je prépare la pâte à pain. Je coupe le poireaux en petits morceaux. Clémentine arrive.
Il est 12 h15. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous avant de s'occuper de notre salade.

Clémentine me raconte sa matinée. Je lui raconte les deux coups de téléphone de la matinée. Le concessionnaire, Juliette.
Je concocte une Béchamel dans laquelle je rajoute les morceaux de poireaux ébouillantés. J'en récupère un peu en sauce.
L'accompagnement de nos coquillettes et de nos filets de lieu noir rissolés avec des champignons. C'est un vrai régal. Miam.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le programme de l'après-midi. Nous partons pour la ville. Le concessionnaire.
Nous avons rendez-vous à 14 h30. Clémentine est à se réjouir. Elle a besoin de sortir de son rapport de second trimestre.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. La pâte à pain repose sous un linge, la garniture sous un couvercle. Le repas du soir.
Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Clémentine est contente de se changer les idées.
Dehors, il fait doux. Le ciel est légèrement voilé mais le soleil reste maître du jeu. Nous nous changeons. Il faut en profiter.
Clémentine porte une de ses jupes de velours plat, carmin, légèrement évasée au-dessus du genoux et un chemisier blanc.
Une ceinture noire. Des souliers de ville à légers talons. Sa veste de cuir noir cintrée à la taille. Je la félicite. Simple, classe.

Sur sa demande, je porte un jeans, une chemise blanche, ceinture noire, veste en velours noir, mes souliers noirs de ville.
Devant le miroir, accroupie à ma gauche, cuisses écartées, tenant ma jambe, sa tête contre ma cuisse, Clémentine sourit.
< C'est à votre goût, "Maître" ? > fait elle. Je pose ma main sur sa joue. Je dis : < Je vous aime délicieuse "Soumise" ! >
Nous rions de bon cœur de ce jeu devenu un véritable rituel. Je sors ma queue et Clémentine y frotte son visage d'ange.
Je la laisse sucer un peu avant de la forcer à se redresser. Je dis : < Vous allez sentir la bite, ma délicieuse "Soumise" ! >

< Il m'importe peu que le monde entier sache que j'aime sucer de la queue, mon bon "Maître" ! > chuchote Clémentine.
Nous rions de bon cœur en dévalant les escaliers. Dehors il fait très doux. Il est 13 h45. Nous sortons la voiture. Chaleur.
Je roule doucement. Clémentine, qui joue avec mon sexe, me parle de son rapport de second trimestre terminé jeudi soir.
Elle y travaille en cours avec les professeurs. Le troisième trimestre sera beaucoup moins exigeant. D'abord les vacances.
Clémentine se penche sur la gauche pour sucer un peu. Nous arrivons dans la zone commerciale. Nous avons de la marge.

Je tourne plusieurs fois autour du grand rond point en appuyant sur la nuque de Clémentine qui en gémit d'aise en suçant.
Je m'engage vers le concessionnaire dont on voit le garage plus loin, à côté de Norauto. Je m'arrête à l'éléphant bleu. Joie.
Il y a une jeune femme qui lave sa voiture. Elle me croit seul dans mon auto. J'ouvre la portière. Elle voit ce qui se passe.
Elle me fait un grand sourire et détourne pudiquement la tête pour continuer de passer le jet sur sa bagnole. C'est super.
Nous repartons. J'explique ce qui s'est passé à Clémentine que je force à se redresser. Nous arrivons au garage. Parking.

Je suis client ici depuis près de 20 ans. Depuis que je roule en Mercedes. Je connais le personnel. Et le gérant est un ami.
Nous sommes donc accueillis avec cordialité. Et monsieur Ferdinand n'a de yeux que pour la jeune fille qui m'accompagne.
Nous voilà dans son bureau vitrée. Dans le grand hall il y a quantité de voitures. Et plus rutilantes les unes que les autres.
Monsieur Ferdinand nous invite à le suivre pour découvrir les modèles susceptibles de me convenir. Il y a d'autres clients.
Quelques vendeurs dont une ravissante jeune femme vêtue d'un tailleur strict avec une élégance folle. Et la super classe.

Nous arrivons devant les modèles que je souhaite. Les modèles de Classe E sont toujours d'une esthétique majestueuse.
Comme toujours, je la veux noire. Je m'y installe. Il y a plein de nouvelles options depuis quatre ans. C'est sympathique.
Ce qui m'importe c'est le confort, la climatisation. Clémentine est admirative. Monsieur Ferdinand me propose d'essayer.
Il monte à l'arrière en invitant Clémentine à prendre place côté passager. Galant homme. Et sacrément dragueur aussi !
Je démarre. Nous sortons du grand hall. La voiture est encore plus silencieuse que la mienne. Et aucun bruit de moteur.

L'écran vidéo est plus grand. Cette fois le GPS est connecté sur Google Earth. Ce qui permet une vue panoramique. Fou.
De plus, on peut se connecter à Internet et le passager peut regarder le programme de son choix. C'est plutôt amusant.
Monsieur Ferdinand nous apprend qu'il y a un second écran à l'arrière pour les passagers. Nous pensons à Estelle. Rires.
Le tour de la zone commerciale. Nous revenons. Je prends. Ce ne sera pas ce modèle d'exposition. Il faut la commander.
La nouvelle sera disponible d'ici mardi 16 avril. Timing parfait puisque nous rentrons de vacances ce jour là. C'est bien.

Nous passons au bureau pour régler les modalités. Un chèque d'acompte et de principe. Le reste en virement bancaire.
Nous prenons congé. Monsieur Ferdinand, qui drague à présent ouvertement Clémentine nous raccompagne à la voiture.
Nous bavardons encore un peu, vantant les qualités de l'ancien modèle. C'est de la bonne bagnole. Jamais de problèmes.
Nous partons. < Quel baratineur ! > me fait Clémentine. Je dis : < C'est monsieur Ferdinand Baratino ! >. Nous rigolons.
Je propose de faire un tour à la hall aux chaussures voisine. Clémentine, en jupe, comprend immédiatement. Un "plan".

Je gare l'auto sur le parking. C'est mardi après-midi, peu de monde. Nous flânons entre les différentes sortes de souliers.
Il y a un jeune homme. Il semble solitaire. Il regarde des chaussures. Clémentine me propose de rester en retrait. Super.
Je fais semblant de regarder les godasses. Clémentine, assise sur une banquette, face au jeune homme, essaie une paire.
De l'endroit où je me trouve, je distingue parfaitement le magnifique spectacle. Le jeune homme aussi. Je le vois de dos.
Clémentine exagère bien évidemment chacun de ses mouvements de jambes. C'est un show fantastique. Absolument fou.

Notre V.P., (Victime Potentiel), assiste là à un grand numéro d'exhibitionnisme féminin qui restera tout à fait inoubliable.
Une de ces trop rares fois dans l'existence où les choses basculent dans l'irréel fantasmagorique le plus fascinant. Super.
Je le sens décontenancé notre gaillard. Surtout que Clémentine se comporte comme la plus vicelarde des salopes. Exhibe.
Les cuisses largement écartées, on voit cette touffe dense et fournie. De plus, derrière ses lunettes noires elle fixe le mec.
Elle reste immobile pour bien faire comprendre au type que c'est fait exprès, rien que pour lui. Le jeune gars doit vaciller.

C'est un timide. Un introverti. Il reluque par épisodes, totalement déstabilisé, il prends plusieurs godasses qu'il observe.
Finalement, sans rien oser, il part assez rapidement. Le bougre semble en proie à un trouble profond. Le voilà qui s'en va.
Je rejoins Clémentine. Nous rions de bon cœur de cette farce extraordinaire. Nous quittons le magasin. Sans chaussures.
Nous prenons la route du retour. Clémentine a encore du travail. Il est 17 h30 lorsque nous sommes de retour à la maison.
Nous travaillons encore un peu jusqu'à l'arrivée d'Estelle vers 18 h15. Et nous lui racontons nos aventures de l'après-midi.

Nous bossons jusqu'aux environs de 19 h. Morts de faim, nous allons à la cuisine pour y préparer notre Flamiche Picarde.
Cette délicieuse tarte aux poireaux qui fait nos délices des mardis soirs. Estelle est très caressante. Je la touche. Vulgaire.
La tarte est au four. Je propose aux filles de leurs bouffer la chatte. Celle de Clémentine doit être parfaitement à "point".
Je passe d'un cul à l'autre en savourant le jus de filles. Le manque d'hygiène d'Estelle est devenue un luxe supplémentaire.
La sonnerie du four. Morts de faim, nous nous précipitons. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Miam.

Il est 21 h lorsque nous reprenons les choses où nous les avons laissé. Juste après la vaisselle. Je suis à bouffer le dessert.
Estelle se fait lécher avec un bonheur immense. Elle nous raconte son rêve érotique. Son orgasme est tellurique. Elle suce.
Je me bouffe la moule à Clémentine dont l'abondance des coulées de cyprine est étonnante. Et son orgasme est nucléaire.
J'éjacule dans la bouche d'Estelle pendant que Clémentine nettoie la flaque de pisse. Elle s'est encore lâchée en jouissant.
Il est 22 h15. Nous raccompagnons Estelle à son auto. Séparation difficile. Au lit, nous nous serrons fort. Un dernier câlin.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire brouter le minou après une séance d'exhibitionnisme sauvage…

Julien - (Qui adore passer d'un cul à l'autre, d'une chatte à l'autre, pour en comparer les saveurs, les goûts, les odeurs) -

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Quelques révélations de Juliette

Hier matin, mercredi, c'est le concerto pour violoncelle de Haydn qui nous tire de nos profonds sommeils. Et avec violence.
< Pas de violoncelle pour nous ! > s'écrie Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues de gym, nous descendons jusqu'à la cuisine.
Nous préparons un solide petit déjeuner que nous dégustons en bavardant. Nous remontons. Notre heure d'entraînement.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Sous son parapluie.

Une dernier bisou. Un dernier coucou. Je regarde la voiture s'en aller. Je me dépêche de rentrer au chaud. Il fait si moche.
Je fais notre lit, notre vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je prépare palette et pinceaux.
Il est 8 h15. Me voilà enfin confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans une véritable euphorie joyeuse.
Et comme toujours, lorsque je suis ainsi livré corps et âme, sans défense à ma passion, je n'ai plus la perception du temps.
Il est rapidement midi. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je quitte l'atelier pour aller à la cuisine. Une faim de loup.

Dehors, il pleut avec constance et régularité. Une pluie forte. Je prépare une salade d'endive et son assaisonnement. Bien.
La pâte feuilletée et le saumon ont décongelé. Je fais gonfler du riz. Je prépare une Béchamel. Je râpe gruyère, Parmesan.
J'émince finement le saumon que je saisis à la poêle avant de le rajouter à la Béchamel. Puis j'étale la pâte dans un moule.
J'y verse la Béchamel, j'enroule pour fermer et je mets au four. Je prends le reste de garniture comme sauce avec mon riz.
Je mange de bon appétit tout en tentant d'écouter le florilèges formaté, calibré, des informations lénifiantes, mensongères.

La vaisselle. Je range la cuisine. Le four est réglé de telle façon que je ne suis plus obligé d'intervenir. Le repas de ce soir.
Il est 13 h lorsque je suis à nouveau assis devant mon chevalet. Cette seconde séance est aussi gratifiante que la première.
Je suis obligé de travailler avec la lampe halogène. Il fait tellement sombre. Il est 15 h lorsque résonne mon smartphone.
C'est un texto qui vient d'arriver. Quelle surprise. C'est Julie, la jeune serveuse du restaurant de l'étang. Elle est en cours.
Le message est simple : " Je peux passer vendredi soir ? ". Je m'empresse de répondre "Ok". Je peins en pensant à Julie.

Du bruit. Il est déjà 16 h20. Clémentine entre à toute vitesse dans l'atelier. Elle jette son sac sur le canapé et se précipite.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les cours, les profs, le restaurant universitaire. J'écoute avec intérêt.
Clémentine a encore du travail. Installée devant l'ordinateur, elle tape directement les pages de son rapport du trimestre.
Je lui montre le texto envoyé par Julie. < Ah ! Elle se décide enfin ! > fait Clémentine absorbée par sa rédaction. Silence.
Nous travaillons jusqu'aux environs de 18 h45. Clémentine me montre les huit feuilles. < Et plus que deux ! > me dit-elle.

Ce sera son labeur de demain. Encore un effort. Et dès vendredi matin Clémentine pourra remettre son rapport trimestriel.
Après, ce seront des vacances bien méritées. Moi, j'ai déjà vingt quatre toiles pour ma saison d'été. Plus que six à peindre.
C'est sur ce constat que nous quittons l'atelier pour monter nous changer. Il pleut toujours. Nous regardons par la fenêtre.
L'entreprise paysagiste a débarrassé la propriété de tous les branchages épars au sol. Malgré cette météo, silencieusement.
Je n'ai pas entendu la moindre machine. A peine quelques sons de voix depuis l'extérieur. Clémentine se serre contre moi.

Glissant une main dans ma braguette ouverte, elle me chuchote : < Tu seras mon vicieux adoré ce soir, chez Juliette ? >
Nous rions de bon cœur lorsque je lui murmure : < Avec toi ou avec Juliette ? >. Clémentine me fait : < Avec les deux ! >
Je lui glisse une main entre les cuisses. C'est chaud. Nous nous embrassons longuement avec passion. C'est tellement bon.
Nous nous déshabillons pour changer de vêtements. Je fais tomber Clémentine sur le lit. Je lui enlève sa culotte. Des cris.
Mais des cris de joie. A genoux, le visage entre ses cuisses écartées, je hume les effluves parfumées de sa journée de fille.

Je fouille les plis et les replis des lèvres charnues et humides de son sexe du bout de ma langue. Le goût vinaigré m'enivre.
Je savoure les miasmes, les résidus de sécrétions diverses. Je décalotte son clitoris turgescent avec le bout de mes lèvres.
Clémentine gémit de plaisir. Elle me guide en me tenant les oreilles. Il faut être particulièrement prudent. Pas d'orgasme.
Surtout que Clémentine s'est masturbée au volant de sa voiture en rentrant. Je cesse juste à temps. Clémentine se relève.
Nous mettons d'autres vêtements. Avec cette météo, des jeans, des sweats et pas de chichis. Il est à peine 19 h20. Super.

Nous faisons les clowns devant le miroir. Clémentine, accroupit, sa tête contre ma cuisse, dit : < Je vous aime "Maître" ! >
Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Je vous aime, délicieuse "Soumise" ! >. Nous en rions de bon cœur. Sympa.
Je sors ma bite afin que Clémentine puisse y frotter son visage et sucer un peu. Je la force à se redresser. Elle se serre fort.
Nous dévalons l'escalier. Nous mettons nos anoraks. Nous prenons l'auto de Clémentine. Il est 19 h40. Je roule doucement.
Clémentine joue avec ma bite. Trois petits kilomètres où elle me suce avec passion. Je gare la voiture dans la cour du haras.

Comme toujours, il y a de la lumière dans tous les bâtiments. Nous allons dans notre écurie préférée. Les chevaux mâtent.
Il n'y a personne. Par contre il y a des voix dans le local bureau, au fond. Une raie de lumière sous la porte. C'est Juliette.
Nous reconnaissons la voix de monsieur Gérard. Que fait-il là un mercredi soir ? Nous caressons quelques chevaux. Super.
Juliette qui arrive. Elle est toute contente. Elle nous salue. Gérard arrive à son tour. Il nous serre la main. La visite surprise.
En fait, il est venu apporter des photos d'anciens concours hippiques. Juliette en aura besoin pour préparer une exposition.

Nous bavardons un peu. Juliette propose à Gérard de manger avec nous. Il hésite un instant et accepte. C'est une surprise.
Nous suivons Juliette. Nous récupérons le Tupperware contenant le feuilleté de saumon dans la voiture. Nous montons vite.
Assis dans le canapé, nous causons tous les quatre pendant que réchauffe le feuilleté au four. Gérard commence la drague.
La proximité de Clémentine lui donne du dynamisme. Juliette s'adresse plus directement à moi. Deux couples se forment.
La sonnerie du four. J'accompagne Juliette à la cuisine pour l'aider à tout apporter au salon. Nous revenons avec les plats.

< Mais ? Où ils sont ? > fait Juliette. En effet, le salon est vide. < Aux chiottes ! > fait Juliette en m'entraînant par la main.
Effectivement. Quelle n'est pas ma surprise. Gérard, debout devant la cuvette. Et Clémentine penchée qui lui tient la queue.
Elle est entrain de guider le jet du vieux salopard. Il a encore réussi à l'entraîner dans un de ses plans vicelards. Le bougre !
Nous restons sur le pas de la porte. Clémentine secoue les dernières gouttes du vieux pisseur, se redresse, se lave les mains.
Gérard se tourne carrément vers nous en tenant son tout petit sexe à sa base. Il dit à Juliette : < Un apéritif ? >. Rigolade.

Nous passons à table. Nous mangeons de bon appétit. La conversation tourne autour de la prochaine exposition, le 21 avril.
Une des animations que propose Juliette. Je surprends Gérard qui fait des clins d'œil à Clémentine. Le vieux saligaud drague.
J'aide Juliette à débarrasser. Lorsque nous revons au salon avec le dessert, nouvelle surprise. Clémentine se fait masturber.
Elle est debout devant la chaise où est assis Gérard. Ce dernier a une main dans son jeans déboutonné et la branle peinard.
Clémentine me lance son regard de défi habituel lorsqu'elle est dans une situation ambiguë avec un autre mec. Un clin d'œil.

Nous savourons la tarte aux pommes. Je dis : < On se fait une soirée pipe, ça vous tente ? >. Il y a un moment de silence.
Juliette répond la première : < Qui suce qui ? >. Nous rigolons comme des bossus lorsque Gérard fait : < Que les filles ! >
Nous débarrassons. Juliette fait : < Les messieurs s'assoient dans le canapé. En silence ! >. Nous la regardons. Proposition.
Nous voilà installés, Gérard et moi, à chaque bout du canapé. Juliette dépose des coussins au sol. Et la première à genoux.
Elle est en tenue d'écuyère. Devant Gérard qui descend son pantalon et son slip sur les chevilles. Clémentine m'embrasse.

Nous regardons Juliette tailler un pipe à Gérard qui fait à Clémentine : < Changement de partenaire ? > Clémentine me fixe.
Je fais un signe affirmatif de la tête. Juliette ouvre les yeux pour me fixer. Clémentine se met à genoux devant moi. Silence.
Je sors ma bite. Je bande comme un salaud. Gérard me fait : < Lorsque j'étais jeune je bandais comme toi ! >. Nous rions.
Clémentine se met à me sucer avec passion. Je regarde Juliette avec toute la bite minuscule de Gérard en bouche. Superbe.
Elle me fixe à plusieurs reprises. Me fait quelques clins d'œil. < Tu veux sucer le monsieur ? > lui demande le vieux salopard.

Sans cesser sa pipe, Juliette a un mouvement de tête affirmatif. Je force Clémentine à cesser pour lui montrer l'autre queue.
Les filles se redressent en même temps, à quatre pattes, elles changent de mec. C'est la première fois que Juliette est ainsi.
Je regarde cette belle bourgeoise de 42 ans se livrer à sa passion. Je lui pose la main sur la tête pour l'enfoncer un peu plus.
Elle repousse mon bras. Fière jusque dans la fellation. Je regarde Clémentine, les yeux fermés, entrain de se régaler. Gérard.
Le vieux salaud lui caresse la tête. Je vois du jus qui suinte aux coins des lèvres de Clémentine. Sperme épais. Le trop plein.

Il y a tant de jute que Clémentine doit cesser de sucer, retirer sa bouche pour déglutir. Elle se régale avec passion. Sublime.
Même Juliette cesse sa pipe pour admirer la fellation de Clémentine. Elle tient les couilles de Gérard d'une main ferme. Bien.
Le vieux salaud a une main sous son menton. Il me regarde pour me dire : < C'est une vraie ventouse ta petite salope ! >
Il lui prend les cheveux pour lui retirer la bite de la bouche. Il nous présente ainsi le visage de Clémentine maculé de foutre.
Il en ruisselle jusque sur le sweat de Clémentine qui, embarrassée, ne sait quoi dire. Elle se contente de déglutir avec peine.

C'est très excitant. Juliette se régale de l'abondance de mon foutre. Je lui éjacule en pleine bouche sans bouger, en sournois.
Juliette a un réflexe. Je la saisis fermement par les oreilles pour l'empêcher de se retirer. Elle saisit mes poignets avec force.
Je ne me laisse pas faire. Elle avale en râlant de dégoût. Il en gicle de chaque coin de sa bouche. Elle se laisse soudain faire.
Je la regarde se régaler. Elle ouvre les yeux pour me fixer avec un air de reproche, sévère tout en recommençant à pomper.
Je regarde Clémentine, totalement lascive, entièrement livrée à sa pipe gourmande. Gérard me regarde en levant son pouce.

< Tu veux finir le vieux Gérard aux chiottes ? > demande t-il à Clémentine sans lui laisser le temps de répondre. Il se retire.
Il entraîne Clémentine par sa tignasse presque en la traînant derrière lui. Je repousse Juliette. Je veux aller voir ce qu'il fait.
Juliette s'essuie la bouche en me chuchotant : < C'était sublime Julien ! > Elle me montre l'intérieur de sa bouche. Gluante.
Nous rejoignons Clémentine et Gérard aux toilettes. Le vieux salaud pisse par petits jets. Clémentine suce entre chaque jet.
Elle est à genoux, à même le carrelage. Juliette se saisit de ma bite. Je bande dur. Elle me branle doucement. Nous mâtons.

Soudain, Clémentine se redresse. Elle a ce comportement lorsqu'elle suce d'autres mecs. Elle arrive au point de saturation.
Elle se met à vomir dans la cuvette. Gérard tend sa bite vers Juliette qui s'accroupit pour la sucer. Je vais vers Clémentine.
Je l'aide à se relever. Sans un mot elle m'entraîne hors des cabinets. Nous mettons nos anoraks. Nous filons à toute vitesse.
Dans la voiture, Clémentine, silencieuse, s'essuie la bouche et termine de cracher dans un mouchoir en papier. Dégoûtée.
Au lit, nous baisons un peu. Elle me confie à quel point elle était à la fois excitée et dégoûtée. Un cunni. Orgasme. Et dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment sucer de la bite juteuse et dégueulasse en changeant de partenaire…

Julien - (Qui a éjaculé dans la bouche de Juliette avec une certaine satisfaction "vengeresse". En mâtant Clémentine) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 22 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 749 -



Nous racontons nos frasques à Estelle

Hier matin, jeudi c'est la symphonie fantastique de Berlioz qui nous arrache de nos profonds sommeils. Et avec cruauté.
< Stop Berlioz, stop ! > s'écrie Clémentine tout en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit. Dur.
Quelques douceurs. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux chiottes. Vêtus de nos tenues de gym, nous descendons.
Nous nous préparons un copieux petit déjeuner que nous savourons tout en bavardant. Nous remontons. L'entraînement.
Une heure avec intensité maximale avant de prendre notre douche. Je descends pour sortir la petite auto de Clémentine.

Il pleut. Il y a même quelques flocons de neige. Il fait froid. Du vent. C'est une météo épouvantable. Et c'est désespérant.
Clémentine me rejoint chaudement vêtue sous son parapluie. Bonnet, gants et écharpe. Quelques derniers bisous. Coucou.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Il est 7 h45. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais le lit, vaisselle.
Je vais dans l'atelier. Il faut encore allumer du feu dans la cheminée. Nous en sommes à treize stères de bois cet hiver. Dur.
Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins avec enthousiasme.

Je termine ce paysage bucolique, romantique, qui n'est pas sans rappeler Jacob Van Ruisdael, peintre flamand du XVIIème.
J'adore y mettre des détails invraisemblables de précisions. Tout cela me procure émotion et sensation. Je pousse des cris.
Il est aux environs de 10 h lorsque résonne la stupide musique de mon smartphone au fond de la poche de ma blouse. Lin.
Je décroche. C'est Juliette. Sur mode "haut parleur" nous causons sans cesser de travailler. J'écoute plutôt que je ne parle.
Après les civilités d'usage, Juliette en arrive rapidement à nos frasques de hier soir. Elle m'avoue y avoir pris un plaisir fou.

J'écoute plutôt amusé les ressentis de la jeune femme. Elle évoque la soirée pipe et ses impressions quand à mon attitude.
A présent que nous savons véritablement à quoi nous attendre de la part de l'autre, nous nous proposons la récidive. Joie.
Je précise toutefois que rien ne se fait sans la présence et l'assentiment de Clémentine. Juliette, ravie, en convient. Parfait.
Je décline son invitation de passer vendredi soir. Nous ferons sans doute un saut au haras dimanche. Et en fin d'après-midi.
Ensuite, nous serons absents une dizaine de jours pour cause de vacances. Girondes. Je promets de donner des nouvelles.

Nous bavardons ainsi une bonne demi heure. Nous nous saluons. Nous raccrochons. Je peins en pensant à Juliette. Amusé.
Il est rapidement midi. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. Je lave une salade. Et pour deux repas.
Je fais gonfler du pilpil de blé. Je prépare une belle pâte à pain à laquelle je rajoute du Parmesan finement râpé. Onctueux.
Je concocte une garniture. Tomates, oignon, ail, ciboulette, champignons, de l'émincé de filet de saule. Je fais bien rissoler.
Je récupère un peu de cette préparation comme sauce en accompagnement de mon pilpil. J'y rajoute du gruyère de Comté.

Je mange de bon appétit. La vaisselle. Je range la cuisine. La pâte repose sous son linge et la garniture sous son couvercle.
Le nécessaire à pizza, pour le repas de ce soir, est prêt. Je retourne dans l'atelier. Dehors, le temps reste médiocre. Moche.
Je peins en poussant de véritables cris surréalistes que je module longuement. Je me livre corps et âme à ma passion. Joie.
Du bruit. Il est 16 h20. Clémentine rentre de cours. Elle se précipite pour me couvrir de bises en s'écriant : < I love you ! >
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les profs, le restaurant universitaire. La fin de son rapport trimestriel.

Il y a juste encore deux feuilles à remplir ce soir et, dès demain matin, elle pourra remettre ce travail. Elle ne traîne pas.
La voilà assise devant l'ordinateur, entourée de ses fiches, à taper à toute vitesse sur le clavier. C'est très impressionnant.
Les filles tapent le plus souvent avec tous les doigts et sans jamais se tromper. Nous travaillons avec concentration. Bien.
Il est déjà 18 h15. Estelle arrive à sont tour. Elle se précipite. Assise sur mes genoux elle raconte l'avancée de son rapport.
Rapidement les filles sont assises l'une à côté de l'autre pour comparer leurs travaux. Estelle a apporté ses affaires. Bien.

L'émulation est bénéfique pour leurs études. Clémentine et Estelle travaillent de concert. Moi je termine mon petit paysage.
Il est presque 19 h lorsque les filles s'écrient en même temps : < Fini ! >. Je nettoie la palette et les pinceaux. J'ai terminé.
Demain matin, je peux faire le dessin préparatoire de la vingt cinquième toile destinée à ma saison d'été. Un mois d'avance.
Jamais, un début avril, je n'ai possédé un tel stock. Nous aurons beaucoup de temps libre durant tout le mois de juin. Bien.
Nous quittons l'atelier. Nous allons à la cuisine. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade déjà lavée. Superbe.

Estelle travaille consciencieusement la pâte à pain. Je réchauffe la garniture sans cesser de remuer avec la spatule en bois.
Nous racontons notre soirée pipe, hier soir chez Juliette. Clémentine et Estelle en ont déjà parlé au restaurant universitaire.
< Tu me fais voir comment tu t'es encore comporté hier soir ? > me dit Estelle tout en mimant une masturbation masculine.
Je sors mon Zob pour faire tournoyer ma bite toute molle en disant : < Tout à l'heure, au salon, si tu es sage ! >. Rigolade.
Clémentine rajoute : < Et à genoux, comme Juliette ! >. Estelle s'écrie : < Oh oui ! Oh oui ! >. Nous en rions de bon cœur.

Estelle étale la pâte sur les trois grands plateaux. J'y verse la garniture qu'Estelle disperse sur toute la surface, avec soin.
Je saupoudre de Parmesan finement râpé. Estelle y dispose de petits cubes de Roquefort. Voilà les pizzas au four. Cuisson.
Estelle n'arrête pas de jouer avec ma queue dès qu'elle a les mains libres. Elle m'entraîne au salon en me tirant par le Zob.
Clémentine nous suit en me tenant par la chemise. Estelle pose l'épais coussin de velours au sol pour s'y mettre à genoux.
Je suis vautré dans le canapé. Clémentine à ma gauche. Nous observons les agissements d'Estelle qui renifle mes senteurs.

Elle me décalotte légèrement pour bien humer l'odeur de ma journée d'homme. < Monsieur Schlingo ! > marmonne t-elle.
< Regarde ! Le Parmezob ! > fait elle à Clémentine pour lui montrer du doigt le frome qui colle à la peau de mon prépuce.
L'aspect grumeleux, conjugué à la puanteur, ravissent tant Estelle que Clémentine. Estelle fait mine de se boucher le nez.
< T'es un porc ! > fait elle. < De plaisance ! > dit Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Estelle sort mes couilles.
De son index agile, d'un geste virtuose, elle extrait mes roubignoles qu'elle tient fermement d'une poigne puissante. Rire.

Estelle renifle de tout près en faisant : < Beurk ! >. Clémentine se penche pour humer aussi. La puanteur me monte au pif.
C'est dégueu. C'est pourtant ce dont raffole les deux coquines. Je caresse délicatement la tête d'Estelle qui se met à téter.
Juste le prépuce qu'elle tire du bout de ses lèvres. < Miam ! > lui murmure Clémentine avant de se redresser, m'embrasser.
J'admire l'agilité de la langue d'Estelle qui se balade sous la peau. Cela fait une bosse mouvante qui évoque un petit animal.
Elle me montre ce qu'elle récupère sur le bout de la langue. Parmezob qu'elle déguste, qu'elle fait fondre en bouche. Belle.

La sonnerie du four. Nous cessons pour nous précipiter à la cuisine. Nous savourons nos pizzas avec délectation en causant.
Estelle me demande des précisions quand à la pipe de Juliette hier soir. Si la jeune femme apprécie mon fromage de queue.
J'avoue ne pas savoir car Juliette, en me taillant une pipe, ne m'a pas décalotté une seule fois. Car c'est une "connaisseuse".
Nous rions de bon cœur. Je rappelle à Estelle que ses parents sont attendus dimanche pour le repas et récupérer la voiture.
< Oh, ils m'en parlent tous les jours. Papa se réjouit. La voiture de ses rêves. Maman se réjouie ! > s'écrie Estelle. Rires.

Nous traînons à table. Les filles sont assises sur mes genoux. Elles évoquent leurs rapports trimestriels. Contentes. Super.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle n'arrête pas de me tripoter le Zob avant de le tirer pour m'attirer au salon.
Elle reprend sa place. Je suis vautré dans le canapé. Clémentine à côté de moi, a passé une main dans sa culotte. Branle.
Nous observons ce merveilleux spectacle. Estelle qui prend son second dessert. La pipe qu'elle me prodigue avec passion.
Elles sont si belles lorsqu'elles pratiquent la fellation. Si elles savaient à quel point elles nous enchantent. Jusqu'à la folie.

En quelques deux ans de pratique, Estelle a développé une véritable addiction à la fellation. C'est ce qui la fait fantasmer.
Elle nous confie souvent à quel point elle en raffole. Jusqu'à en rêver. Être à genoux, entourée de bites d'inconnus à sucer.
A tel point qu'elle souhaite se retrouver un jour dans cette situation. Elle en parle encore ce soir en me taillant cette pipe.
Pour lui permettre de reposer sa mâchoire, je lui retire souvent la bite gluante et filamenteuse de la bouche. Elle raconte.
Les deux filles échangent alors leurs impressions, leurs désirs. Clémentine partage les mêmes fantasmes délirants. Super.

Je leurs propose de nous organiser un plan pipe, dès les beaux jours, au port de plaisance. Un de ces joueurs de pétanque.
Un de ces mecs quelconques, qui ont une vie paisible, d'âge mûr, qui n'espèrent même plus un jour avoir affaire à une fille.
Nous regardons Estelle, les joues creusées, entrain de sucer, de déglutir, excitée par ce qu'elle fait et ce que je lui raconte.
Je décris des situations fictives où je serai caché à "sécuriser". Clémentine et Estelle qui suceraient de véritables inconnus.
Clémentine commence à se tortiller. Elle ne cesse pas de se masturber. Nous observons Estelle. Nous écoutons ses délires.

Sans bouger, en parfait sournois, en véritable vicelard, j'éjacule dans la bouche d'Estelle qui, surprise, manque d'étouffer.
Elle tousse. Elle a des hoquets. Elle tente de déglutir sans en perdre la moindre goutte. Clémentine a soudain un orgasme.
Le spectacle est divin. C'est excitant pour un couple de s'embrasser en regardant une autre fille sucer le mec. C'est génial.
Je tiens Estelle par la tignasse pour bien lui enfoncer la queue jusqu'à la gorge. Elle me fixe. Il y a une larme à l'œil gauche.
Je la lui essuie du doigt. Elle repart pour un second tour. Je lui montre le cadran de l'horloge. Il est déjà 22 h15. Il est tard.

Nous reprenons tous les trois nos esprits. Dur. Je ne cesse de caresser le visage d'Estelle qui a posé sa tête sur mes cuisses.
Clémentine a posé la sienne sur mon épaule. < Notre petit animal de compagnie a eu son nonos ! > fait elle à Estelle. Miam.
Nous aimons ces instants où se mêlent réconfort, plaisir, bonheur, retour au calme. Nous savourons nos privilèges intenses.
Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture, sous l'immense parapluie. La séparation est très difficile. Nous la consolons.
Au lit, Clémentine me fait part de son ressenti. Bientôt les vacances. Julie qui passe demain soir. Suspens. Nous plongeons.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment à déguster du Parmezob et qui rêvent de goûter du fromage d'inconnus...

Julien - (Qui sur la demande de Clémentine, ne se décalotte jamais sous la douche, pour laisser se former le Parmezob) -

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La visite de Julie, en soirée

Hier matin, vendredi, je suis réveillé par plein de bises. Il est à peine 5 h55. Clémentine éteint le réveil sur ma table de nuit.
Fébrile, toute contente, elle m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Elle m'entraîne dans l'escalier jusqu'à la cuisine. Joie.
< A midi les vacances ! > s'écrie t-elle en sautillant. Nous préparons notre petit déjeuner que nous savourons en bavardant.
Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine.
Il fait froid, il ne pleut plus mais le sol est détrempé. Clémentine me rejoint chaudement vêtue. Bise. Je la regarde s'en aller.

Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais notre lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Je fais un bon feu dans la cheminée.
Ce matin, je réalise le dessin préparatoire de la vingt cinquième toile destinée à ma saison d'été. Ce sera une scène de genre.
Une interaction psychologique entre trois personnages dans un intérieur hollandais du XVIIème. Avec un décors Vermeerien.
J'excelle dans cet exercice de style et ces tableaux ont toujours beaucoup de succès. Je travaille avec une patiente minutie.
J'aime que le dessin soit parfait. Qu'il soit déjà une œuvre d'at en soi. Il faut qu'il soit la trame sublime des couches peintes.

Je termine aux environs de 11 h30. Je suis satisfait de mon travail. Je prépare la peinture acrylique dans un récipient de terre.
Ce sera pour Clémentine. Elle adore passer les deux couches d'impression "Terre de Sienne" transparentes sur le dessin. Bien.
Cette impression recevra les couches supérieures à l'huile en harmonisant parfaitement les teintes entre elles. Aspect vintage.
Il est presque midi. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine pour y laver les endives. Je fais bouillir l'eau.
Je pane deux filets de cabillaud. Je les passe d'abord dans l'œuf, puis dans la chapelure mélangée à du gruyère finement râpé.

Je jette les spaghettis dans l'eau bouillante. Il est 12 h15. Clémentine rentre. Elle me saute au cou. Je la soulève. Des bisous.
Clémentine, tout en faisant l'assaisonnement de la salade, me raconte sa matinée. Et sa satisfaction d'être enfin en vacances.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous faisons un très vague programmes du Week-end, des jours à venir.
Nous trainons à table. Nous avons tout notre temps. Dehors, le ciel est gris mais lumineux. Il ne pleut plus. C'est plus sympa.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous mettons nos anoraks pour aller faire un tour à l'extérieur. Fraîcheur désagréable.

Nous faisons le tour de la propriété. L'entreprise paysagiste a tout nettoyé. La terre du potager a été labourée. Bien retournée.
Nous faisons la visite de la serre. Les mauvaises herbes ont envahit les jardinières. Clémentine se réjouie pour tout arranger.
Nous rentrons. Nous allons dans l'atelier. Clémentine, toute contente, peut appliquer au spalter les deux couches d'impression.
Je la regarde croiser les couches avec soin. L'acrylique sèche rapidement. Je maintiens l'atelier à un taux d'humidité de 45 %.
Ce travail réalisé, nous restons assis dans le canapé à regarder cette grande pièce où nous passons pas mal de notre temps.

< Tu seras bien salaud, ce soir avec la venue de Julie ! J'ai besoin de m'amuser un peu ! > me fait Clémentine en me touchant.
Je sors mon Zob tout mou pour répondre : < Fais nous un scénario bien graveleux ! >. Elle se lève pour se mettre à genoux.
Son visage tout près de ma bite, reniflant les odeurs de ma matinée d'homme, Clémentine me dit : < Nous allons improviser ! >
Je lui passe ma queue sur le visage. Je l'entends gémir d'aise entre deux éventualités. < Elle vient pour ça ! > dit Clémentine.
< Qu'elle ne vienne pas nous raconter ses histoires de cœur, on n'en a rien à foutre ! > fait encore Clémentine avant de sucer.

Je bande mou. C'est juteux. Clémentine ne tarde pas à se régaler de mes montées de liquide séminal. Et je la laisse déguster.
Nous avons tout notre temps. Je ne tarde pas à me prendre au jeu. Je bande comme le premier des salauds. C'est si délicieux.
Je caresse la tête de Clémentine qui s'arrête régulièrement pour me donner ses impressions. Laisser reposer sa mâchoire. Joie.
Je lui chuchote des douceurs, des cochonneries. Je suggère des scénarios bien vicelards durant notre séjour Girondin. Superbe.
< Je veux vraiment être traitée en véritable "Soumise" au moins deux heures chaque jour ! > me demande Clémentine. Bien.

Je promets de faire au mieux. De me comporter selon ses attentes. Je la regarde sucer comme si sa vie en dépendait. Belle.
Je lui caresse la tête, les joues. Je la tiens sous le menton. Je sors ma bite gluante pour la lui frotter sur le visage. Doucement.
Je lui chuchote : < C'est un entraînement pour ce soir. Je la fais sucer cette petite salope, ce soir ! >. Clémentine en glousse.
< Génial ! > fait elle alors que je retire ma queue de sa bouche pour la forcer à cesser. Je dis : < Gardons le jus pour ce soir ! >
Nous quittons l'atelier pour monter nous changer. Nous partons pour la ville. Peut-être quelques achats pour les vacances. Joie.

Avec cette météo, point de jupe. Nous sommes en jeans, chemises blanches sous nos pulls aux cols en "V". Habillés tout pareil.
Comme des jumeaux, nous faisons les clowns devant le miroir en nous lavant les dents. Puis devant le miroir de l'armoire. Rire.
Accroupie sur ma gauche, sa tête contre ma cuisse, Clémentine me fait : < "Maître", dressez moi durant ces vacances ! >. Joie.
Je glisse ma main sous son menton pour lui faire lever la tête en disant : < Je vous promets de grand moments "Soumise" ! >
Nous en rions de bon cœur. Nous descendons à toute vitesse. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue toute molle.

Parfois elle suce car je dégorge longuement mon trop plein de couilles. Treize petits kilomètres. Je gare la voiture dans la ruelle.
C'est à dix minutes du centre. L'endroit habituel. Nous marchons vite. Nous avons nos épaisses vestes d'hiver. Il fait très frais.
Nous faisons quelques boutiques. Nous n'avons besoin de rien. C'est notre premier après-midi de vacances. Changement d'idée.
Malgré ses attentions, ses désirs de s'offrir un plan "exhibe", Clémentine ne trouve pas l'opportunité souhaitée. Trop de monde.
Je l'aide. Je reste vigilant. Nous prenons tout de même beaucoup de bon temps. Il est 19 h lorsque nous revenons à la maison.

Je prépare des haricots verts que je fais décongeler directement dans le Wok. Clémentine s'occupe de la salade de tomates.
Je fais une belle omelette aux champignons. Nous mettons la table au salon. Tout est prêt. 19 h50. Trois coups de sonnette.
Clémentine se précipite. J'ai la braguette ouverte. Je la fais bâiller. Clémentine revient avec Julie toute souriante. Contente.
Elle me fait trois bises tout en me serrant la main. Ce soir, vendredi, exceptionnellement, elle ne travaille pas. Restau fermé.
Julie est vêtue d'un jeans, un sweat et porte de simples baskets. Elle a ses longs cheveux tout en liberté et porte ses lunettes.

Elle regarde ostensiblement ma braguette béante et avec beaucoup d'insistance. Comme pour me faire passer un message.
Clémentine me fait un clin d'œil. Nous passons à table. Je fais le service. Les filles évoquent leurs études, le début des congés.
A la cuisine, je sors ma queue. Je me branle un peu. Je bande comme un priapique en phase terminale. Super démonte pneu.
Je porte la poêle contenant l'omelette. Julie découvre ma bite fièrement dressée vers le plafond. Et elle semble embarrassée.
Je la connais bien depuis plus d'un an. Je sais que c'est une joueuse. Une authentique vicieuse. Ces situations lui ont manqué.

Nous mangeons de bon appétit. Julie survole rapidement l'épineux sujet de sa relation sans s'attarder. Fort heureusement.
Comme le dit Clémentine, on s'en fout de ses affaires de cœur. Je me lève à plusieurs reprise pour agiter ma bite, branlette.
A chaque fois Julie me fait un délicieux sourire. J'en viens au sujet qui nous intéresse en lui proposant de me tailler une pipe.
< J'en ai vraiment envie. Depuis tout ce temps. Mais je manque de courage ! > nous fait elle avec un air dépité. Implorante.
Je la rassure. Julie rajoute : < Je suis libre demain après-midi et vous ? >. Nous comprenons qu'elle tente de se défiler. Rire.

Clémentine n'insiste pas non plus. Demain après-midi nous n'avons strictement rien de prévu. Nous l'invitons à nous rejoindre.
< Je vous promets, je me serai conditionnée ! > rajoute t-elle comme pour excuser sa réserve. Nous la rassurons. Pipe demain.
Nous traînons à table. Nous évoquons notre rencontre au restaurant. Les toilettes du sous-sol où je lui montre ma queue dure.
Julie me rappelle certains détails épiques. Nos visites le vendredi soir lui manquent beaucoup. Voir mes masturbations surtout.
Elle l'avoue franchement, sans détour. Clémentine évoque ses petites exhibitions discrètes sous la table au restaurant. Poilade.

Julie écoute attentivement. Elle n'est absolument pas exhibitionniste mais terriblement voyeuse. Elle raconte des anecdotes.
Elle a pour habitude de descendre aux chiottes lorsqu'un mec la drague du regard pendant son service. Surprendre l'individu.
Faire semblant de se tromper de toilettes ou encore d'y emmener un seau, un balai. Autant de prétextes pour aller regarder.
< Je fais ça depuis l'adolescence ! > fait elle plusieurs fois comme pour expliquer l'origine de sa déviance. Nous la félicitons.
Il est presque 22 h30. Nous faisons tous les trois la vaisselle. Nous traînons un peu avant de raccompagner Julie à son auto.

Nous convenons d'une heure. Julie revient demain pour 14 h. Cette fois avec tout le courage nécessaire nous assure t-elle.
Nous en rions de bon cœur. Tout en bavardant devant sa voiture, dans la fraîcheur de la nuit, je pisse juste à côté de l'auto.
Julie ne peut s'empêcher d'observer, en silence et admirative. < Attractif ! N'est-ce pas ? > lui fait Clémentine qui s'accroupit.
Elle me saisit la bite pour la présenter à Julie en disant : < Demain, elle est pour toi ! >. Julie répond en riant : < Super ! >
Nous la regardons partir. Au lit, nous baisons. Cunnilingus fou. Fellation délirante. Nous plongeons totalement épuisés. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui apprécient de voir l'embarras troublant qui gagne la visiteuse à la vue d'une queue…

Julien - (Qui sait ne pas insister avec les jeunes filles vicieuses mais légitimement timides et réservées) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 24 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 751 -



Julie. Un nouveau rebondissement

Hier matin, samedi, nous nous réveillons presque en même temps. Il est 7 h30. Clémentine a sa cuisse entre les miennes.
Je frotte mon érection. C'est une douce et agréable masturbation qui ne dure pas. L'envie de pisser est bien trop puissante.
Nous nous précipitons aux toilettes en riant. Et vêtus de nos tenues de gym, nous descendons à la cuisine. Morts de faim.
Nous préparons un bon petit déjeuner que nous savourons en bavardant. Le programme du jour. Il fait plutôt beau dehors.
Clémentine me propose un jogging. Je trouve la suggestion excellente. La vaisselle. Nous enfilons les K-Way. Sous sortons.

Il fait moins froid que les jours précédents. Nous courons avec un rythme soutenu. Notre parcours habituel. Le sol humide.
Nous sommes de retour pour 9 h après une heure d'un running des plus agréables. La douche. Nous nous habillons. Bien.
Clémentine porte sa jupe carmin, un chemisier sous un pull noir. Des bas noirs fixés à son porte-jarretelle. Cheveux noués.
Sur sa demande, je porte des jeans, chemise blanche, pull bleu nuit. Nous avons tous deux nos chaussures de ville. Super.
Accroupie à ma droite, sa tête sur ma cuisse, les cuisses écartées, Clémentine me fait : < Je vous aime "Maître" ! >. Rire.

Je lui caresse la tête en répondant : < Je vous aime, ma "Soumise" ! >. Nous rions de bon cœur en faisant les clowns. Joie.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Comme nous partons en vacances lundi, il nous faut peu de choses.
Nous allons directement vers la zone commerciale. Treize petits kilomètres et je gare la voiture sur le parking. Du monde.
Pas besoin de caddie. Je porte le grand panier. Clémentine m'entraîne dans les rayons qui nous concernent, liste à la main.
Nous aurons tout le loisir de faire nos courses à Bègles, il y là-bas des supermarchés. Pas d'inquiétude. Nous restons cool.

Il nous faut de quoi assurer les repas de midi, de ce soir, demain car les parents d'Estelle reviennent manger. C'est sympa.
Ils viennent récupérer la voiture. Clémentine m'entraîne au rayon culturel. Il y a peut-être là un "plan" exhibe et de qualité.
Nous faisons le tour plusieurs fois pour repérer une "V.P.", la victime potentielle éventuelle. Le solitaire qui traînerait par là.
Il y a un type seul. Il est vêtu d'un jeans et d'un blouson de cuir noir. Des bottes de motard. Cheveux en catogan. Costaud.
Le quadragénaire est plongé dans la lecture d'un magazine. Je reste en retrait. Clémentine avance en marchant doucement.

Elle saisit un des magazines à deux mètres du type. Elle le repose, s'accroupit pour en saisir un autre sur l'étagère du bas.
Cette fois, pas de caddie pour faire écran derrière elle. Il faut redoubler de prudence. Clémentine est devenue une virtuose.
Sa culotte étant restée dans la voiture, Clémentine peut donc s'offrir les émotions tant souhaitées. Et sans se priver. Bien.
Notre homme remarque très vite le manège de la superbe jeune fille accroupit à sa gauche. Et il ne tarde pas à s'accroupir.
Dans cette position, il peut loucher sous la jupe de la fille. Il me tourne le dos. Clémentine reste d'une discrétion extrême.

Même si j'ai assisté à cette scène des dizaine et des dizaine de fois, c'est toujours une première. Je bande en vrai salaud.
Je pourrai me branler tellement c'est bon d'assister à l'exhibition de ma si délicieuse compagne. Et c'est tellement sublime.
Le type, accroupit, avance en canard, pour se rapprocher de la fille. Elle a ses lunettes noires, ses cheveux défaits. Belle.
Derrière cet anonymat, elle relève la tête. Le type lui adresse la parole. Une situation banale, habituelle et sans originalité.
Comme souvent, le quidam doit faire preuve d'humour car je vois Clémentine sourire à plusieurs reprises. Et sans bouger.

Tournée de trois quart vers le mec, elle garde ses cuisses écartées. Le type, pas du tout déstabilisé montre son magazine.
Je me rapproche en jouant le parfait inconnu. Même si Clémentine n'en a rien à foutre de Johnny, elle regarde les photos.
Notre homme commente chaque page qu'il tourne. Clémentine se relève. Le type est un inconditionnel du chanteur mort.
Elle le plante là et s'en va. Elle me rejoint au rayon informatique. Et elle me raconte. Nous en rigolons comme des bossus.
< Il n'en n'avait rien à battre de ma chatte, non. Il me parlait de son idole décédée ! >. En exhibe, elle rencontre de tout.

Nous faisons un tour au rayon des vêtements homme. Il n'y a quasiment que des couples. Pas d'homme seul. Ni de "V.P."
C'est frustrant pour Clémentine qui s'est mise en tenue tout spécialement. Mais soudain la musique de mon smartphone.
Clémentine le sort de la poche de ma veste. < C'est Julie ! > me fait elle en se mettant à discuter. J'écoute distraitement.
La conversation ne dure pas. Clémentine met le téléphone dans ma poche. < Elle ne vient pas cet aprème ! > me dit elle.
Elle rajoute : < Elle a une vie difficile en ce moment. Elle est en pleine rupture avec son copain ! Qu'elle se démerde ! >

Nous attendons notre tour à la poissonnerie. < C'est moi alors qui vais te sucer cet après-midi ! > chuchote Clémentine.
Nous rions de bon cœur. Discrètement, je mets ma main sur son sexe, j'appui entre ses cuisses. Elle a ce délicat réflexe.
Personne ne nous voit jamais quand nous faisons nos petits trucs coquins. Nous sommes passés maître dans la pratique.
Nous faisons nos achats. Nous passons en caisse. Nous flânons un peu dans la galerie commerciale. Devant les vitrines.
Nous lisons les menus proposés à la cafétéria. Je propose à Clémentine de manger là à midi. Moules marinières et frites.

< Nous avons tout ce qu'il faut, viens, on rentre ! > me répond Clémentine en m'entraînant par le bras. Je tiens le sac.
Sur le chemin du retour, Clémentine me suce un peu. J'ai ma main droite sous sa jupe. Accès direct à sa chagatte. Joie.
Il est midi tapante lorsque nous arrivons à la maison. Nous rangeons nos courses. Nous montons nous changer. Super.
Clémentine s'occupe de notre salade. Je fais bouillir l'eau des moules. Je réchauffe les petits pois surgelés dans la poêle.
Tout est rapide. Dehors il fait beau. Le climat est très agréable. Quelques nuées d'altitude. C'est une invitation à sortir.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant Julie. < Elle voulait revivre une soirée avec nous ! > en déduit Clémentine.
Elle rajoute : < Être en notre compagnie, insouciante, loin de ses soucis et près de ta bite qui semble lui manquer ! >
Nous rions de bon cœur. Clémentine me propose une randonnée. Super suggestion. La vaisselle. Nous rangeons tout.
Nous remontons nous laver les dents et nous mettre en tenue. Vieux jeans, vieux sweats, les godasses de randonnée.
Dans le petit sac à dos, je mets des barres de céréales, deux pommes, bouteilles d'eau, nos K-ways, paire de jumelles.

Il est 13 h15 lorsque nous quittons la maison. Direction le petit lac, les collines et le circuit des ruines du vieux château.
25 km où Clémentine ne cesse de jouer avec ma bite en évoquant les vacances qui nous attendent. Et l'Ecosse cet été.
Je gare la voiture sur le parking. Il y a d'autres autos. Avec cette météo, les amoureux de la nature son légions. Super.
Nous changeons de chaussures. Il fait doux. Je porte le petit sac sur le dos. Nous voilà en chemin. Sur le sentier GR 5.
Nous marchons d'un bon pas. Ça grimpe rapidement pour être à flanc de colline. La vue est magnifique. Les eaux du lac.

Nous croisons nombre de randonneurs. Principalement de petits groupes, des couples et quelques solitaires. Des séniors.
Clémentine, par surprise, et par derrière, m'attrape souvent par la braguette. Elle y glisse sa main et dit : < Je t'aime ! >
Je lui fais pareil. Nous adorons nous embrasser n'importe où. < Je t'aime et je suis amoureuse de toi ! > chuchote t-elle.
Je lui glisse la main sous le sweat pour caresser ses tous petits seins. Elle ne porte de soutien gorge qu'à ses règles. Joie.
Il n'y a personne. Nous regardons partout autour de nous. C'est la croisée de deux sentiers. Il y a le totem des panneaux.

Je sors ma bite. Elle est molle mais suintante d'excitations répétées. Clémentine s'accroupit. Elle frotte son visage dessus.
Elle adore ça. Je la saisis par la nuque pour bien lui enfoncer la queue. Merdre ! Il y a un randonneur qui se pointe là-bas.
Trop tard. Il nous a vu. Je n'ai pas pris la juste mesure des risques. Un quinquagénaire. Il me fait un étrange sourire. Bien.
Je décide de rester ainsi. Clémentine ne le sait pas. Je lève le pouce en signe d'appréciation. Le randonneur fait pareil. Rire.
Je me fais bouffer la bite. Le type nous contourne. Je tiens Clémentine par ses cheveux pour lui sortir la bite de la bouche.

Je fais : < Dis bonjour au monsieur ! >. Confuse, toute rouge, Clémentine, surprise, détourne pudiquement la tête. Honte.
Clémentine, reprenant rapidement conscience de ce qu'elle apprécie, répond : < Bonjour monsieur ! > à notre randonneur.
< Bonjour mademoiselle. Et bon appétit ! > fait ce dernier en continuant son chemin et en se retournant une dernière fois.
Je tiens fermement Clémentine. Elle a évidemment repris sa pipe. Le type fait un dernier signe amical avant de disparaître.
Je la félicite pour son aplomb. Je la force à cesser. Je bande. Et comme un véritable salopard. Clémentine essuie sa bouche.

< Tu me refais ça quand tu veux ! > me dit elle tout en me tenant par la main. Nous marchons sur un chemin plus large.
Nous prenons quelques photos des eaux du lac qui reflètent le ciel légèrement nuageux. Nous voilà aux ruines du château.
Il y a quelques marcheurs qui visitent ou qui font des photos. Nous nous asseyons sur les marches qui mènent au donjon.
Nous dégustons nos pommes. < Là-bas ! Le mec de la pipe ! > s'écrie Clémentine tout en me montrant notre randonneur.
Il est en haut des murailles. Il prend des clichés. Je dis : < Tu veux refaire ? On lui tend un piège bien vicelard ? >. Rires.

Pourtant, malgré toutes les ruses que nous pouvons y mettre, le type ne repasse pas par le même chemin. C'est dommage.
Reproduire la situation aurait été un petit plaisir supplémentaire. Clémentine aime tant être vue, regardée, scrutée. Super.
Nous prenons le chemin du retour. Cinq heures de marche avec arrêts tendresse, arrêts caresse, arrêts fellation. Sublime.
Il est 19 h 30 lorsque nous sommes de retour. La voiture d'Estelle à côté du garage. Elle nous a vu. Elle se précipite. Bises.
< Vous étiez où ! Je m'inquiétais ! > lance t-elle en se serrant contre moi. Clémentine lui raconte. Estelle me tient la queue.

Nous rentrons. Le repas est près. La table est mise. Nous remercions Estelle pour cette gentille attention. Superbe surprise.
Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Nous montons nous changer. Estelle reste avec nous. Tellement contente.
Elle me tient même la bite pour en diriger le jet au fond de la cuvette sous l'œil attentif de Clémentine qui dit : < Salope ! >
Nous rions de bon cœur. Nous dévalons l'escalier jusqu'au salon où Estelle a mis la table des fêtes. Nous la remercions. Joie.
C'est une potée aux légumes accompagnée de filets de cabillaud panés. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.

Clémentine raconte notre soirée de hier, la visite de Julie. Sa curieuse attitude puis l'annulation de sa visite cet après-midi.
Estelle en fait un peu la même déduction : < Paumée. Nous sommes en quelque sorte un repère ! Elle va vouloir revenir ! >
Nous racontons nos aventures de la journée. Le fan de Johnny ce matin, le randonneur voyeur de cet après-midi. Rigolades.
< Et moi qui bossait au bureau ! Salauds ! > s'écrie Estelle. Nous traînons à table. Estelle se lève pour mimer des branlettes.
Nous traînons à table. Les filles sont assises sur mes genoux. Nous rions beaucoup. Je les tiens par le cou ou par la nuque.

Nous débarrassons. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle n'arrête pas de me tenir la queue, me la tirer, la tordre.
Nous dressons la table une seconde fois pour le repas de demain. Les parents d'Estelle seront là pour midi. Repas de fête.
Clémentine reste souvent collée contre moi. Nous regardons Estelle accroupie qui me suce toutes les deux minutes en riant.
Nous nous embrassons. Je suis amoureux fou de ma compagne. Nous allons passer deux semaines ensemble. 24 h sur 24.
Elle me chuchote : < Tu me refais le coup de cet après-midi. Le voyeur involontaire. C'est obligatoire. C'est trop génial ! >

Je promets de le faire, en vacances ou ailleurs, dès que l'occasion se présente. Estelle me fait : < A moi aussi sel te pli ! >
Nous rions de bon cœur. Je propose de partir en randonnée après le repas de midi, demain, si la météo le permet. Super.
< Je peux baiser avec Julien avant que vous ne partiez ? > demande Estelle à Clémentine qui répond : < Accordé ! > Joie.
Estelle se redresse, ouvre sa bouche pour nous montrer tout le foutre qu'elle vient encore de prélever. Nous la félicitons.
Je l'entraîne sur le canapé. Il est 21 h30. Clémentine propose de monter, de se mettre au lit, nous sommes fatigués. Bien.

Nous voilà couchés, tous les trois. Clémentine m'embrasse avec passion. Estelle me suce avec passion. C'est passionnant.
< Viens ! > me fait Estelle en m'attirant sur elle. Clémentine se met à quatre pattes. Elle me tient les couilles par derrière.
Je m'introduis dans Estelle avec d'infinies précautions. Je n'y met que l'extrémité de mon sexe. Elle est si étroite. Prudent.
Je reste ainsi. Sans bouger. Elle se mordille la lèvre inférieur. Clémentine rapproche son visage pour scruter celui d'Estelle.
Elle lui demande : < Ça te fait toujours autant mal ? >. Estelle répond : < C'est juste au début ! >. Elle se met à bouger.

Je reste en appui sur mes bras. Hors de question de peser de tout mon poids sur la fille. Elle bouge doucement. C'est bon.
Libre de ses mouvements, elle s'enfonce doucement sur mon sexe. Je ne fais strictement rien. C'est à elle de gérer. Super.
Ça rentre un peu plus. Estelle gémit. Elle se masturbe en même temps. Clémentine me fait le cul. Je la sens me bouffer.
Elle écarte mes fesses de ses deux mains pour avoir accès. Et avec la sueur de cet après-midi, elle a de quoi se sustenter.
Estelle s'accroche soudain fort. Dans un mouvement lent de balancier, elle se donne du plaisir. Ce n'est pas une vaginale.

< Attention ! > fait elle en se retirant prestement. < Ça me fait mal ! > rajoute t-elle. Clémentine se saisit de ma queue.
Avec une contorsion de son corps elle se met à me tailler une pipe. C'est très juteux puisque j'étais entrain de baiser. Joie.
Je force Clémentine à cesser. Elle se masturbe en gémissant. Je la fais mettre sur le dos. Je m'introduis avec précaution.
C'est Estelle qui est à quatre pattes derrière moi à me bouffer le cul et à me tenir les couilles de sa poigne de fer. Chaud.
Nous baisons comme nous aimons. Estelle se rapproche de nous. Son visage près du notre. Elle écoute nos confessions.

Nous voilà tous les trois à nous murmurer des douceurs, des cochonneries. A faire des plans délirants sur des trucs fous.
Estelle se masturbe sans arrêt. Son orgasme est tellurique. Nous la regardons se mordre la lèvre en se tordant de plaisir.
Elle reprend ses esprits, file aux toilettes. Clémentine me repousse doucement. Je lui offre un superbe cunnilingus. Folie.
Estelle qui est revenue s'est déjà endormie lorsque Clémentine connaît un orgasme nucléaire. Je propose la pipe demain.
Je ne suis jamais frustrée. J'aime rester à la limite. Nous nous serrons. Nous nous murmurons des douceurs. Puis le dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se retrouver au lit avec un couple pour de voluptueuses caresses…

Julien - (Qui n'a pas forcément besoin d'éjaculer pour connaître l'orgasme. Il a ses petites secrets) -

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Le dimanche, veille du départ

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par des bisous qu'on me dépose délicatement sur les joues, le front, le bout du nez.
On tient fermement ma bite. Je suis entre Clémentine et Estelle. Au dessus du mien le visage bienveillant de Clémentine.
Estelle blottie contre moi, sa tête dans mon cou. Je les serre contre moi. Nous savourons ce privilège fou et insensé. Joie.
Nos effusions de tendresse sont de courtes durées. Estelle se précipite la première pour aller Pisser. Clémentine se serre.
Estelle revient dans son pyjama de soie mauve. < Je descends tout préparer ! > fait elle en se précipitant dans l'escalier.

C'est à notre tour d'aller aux chiottes. Nous nous dépêchons de rejoindre Estelle en bas, à la cuisine. Et en slip et T-shirt.
L'odeur du café, du pain grillé et de la brioche nous enivre. Estelle me saute au cou. < Merci pour hier soir ! > me dit elle.
Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bisous. Clémentine, par jeu, s'interpose. Je la pose parterre.
Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant. Il est 8 h. Dehors, le ciel est gris mais lumineux. Climat plutôt agréable.
Nous mangeons de bon appétit en nous amusant beaucoup. Nous traînons à table en évoquant ce qui s'est passé hier soir.

J'ai pénétré Estelle. J'ai pénétré Clémentine. < Et tu n'as même pas eu d'orgasme ! > conclue Clémentine. Je la rassure.
Elle sait que je jouis tout le long du processus. Nous rions beaucoup de cette particularité. Mais j'aime également éjaculer.
Estelle se propose de s'occuper du salon et de l'aspirateur. Clémentine fera la chambre. Moi, je m'occupe de faire les WC.
La vaisselle. Je commence par faire la cuisine. Clémentine est montée. Et j'entends Estelle chanter en passant l'aspirateur.
Mon émotion du dimanche matin. Je fais les chiottes d'en bas. Je passe la serpillère sur les carrelages. Je termine les sols.

Je m'apprête à monter rejoindre Clémentine lorsqu'Estelle me tend son piège habituelle au bas des escaliers. Elle est là.
Elle m'attrape par le bras, se frotte contre moi, met sa main dans mon slip et m'embrasse avec une fougue passionnée.
Je la soulève. Elle passe ses jambes autour de mes hanches pour frotter son sexe contre le mien, murmurant des choses.
< Je t'aime Julien. Je vais passer dix jours toute seule. Occupe toi de moi aujourd'hui, s'il te plaît ! > me chuchote t-elle.
Je la dépose au sol. Je la fais monter sur mon dos et nous gravissons l'escalier pour rejoindre Clémentine. Elle fait le lit.

Je jette Estelle sur le lit comme un paquet en disant : < Cette jeune fille veut plein de câlins aujourd'hui ! Si pas plus ! >
<Accordé à titre exceptionnel ! > fait Clémentine en se précipitant dans mes bras. Il fait frais avec les fenêtres ouvertes.
Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Tous les trois pareils. J'emmène les draps sales à la salle de bain. Bien.
Clémentine me rejoint. Je nettoie le bidet et le bac à douche. Clémentine fait les miroirs et le lavabo. Estelle l'aspirateur.
Nous l'entendons chantonner. Nous n'arrêtons pas de nous faire des câlins, des bisous, de nous toucher, de nous ploter.

Clémentine descend avec le panier de linge plein à ras bord. Je nettoie les chiottes du haut et je passe la serpillère. Bien.
Estelle vient me rejoindre pour me palper la braguette, se frotter à nouveau, me rouler une pelle. Le goût de la brioche.
Je la fais monter sur mon dos. Nous rejoignons Clémentine à la cave, dans la buanderie. Nous aidons à trier le linge. Joie.
Je laisse les filles évoquer les cours du troisième trimestre pour remonter à la cuisine. La pâte feuilletée a bien décongelé.
Le gros pavé de saumon également. J'épluche quelques patates. Estelle vient me rejoindre la première. Elle m'embrasse.

Clémentine arrive à son tour. Elle s'interpose pour prendre la place d'Estelle. Il faut préparer le repas car il est déjà 11 h.
Estelle veut s'occuper du feuilleté. Elle émince le saumon avant d'en saisir les petits morceaux à la poêle avec ail, oignon.
Clémentine s'occupe des salades. Tomates et avocats. Je coupe les patates en fines lamelles que je fais rissoler à la poêle.
Nous sommes méthodiques. Tout est pensé. Tout va vite. Le feuilleté de saumon est au four. Et nos salades sont prêtes.
Comme la table au salon est déjà mise, c'est un gain de temps supplémentaire. Nous montons pour nous changer. Bien.

Jeans propres, chemises blanches et baskets. Nous sommes vêtus pareils. Nous faisons les pitres devant le miroir. Rires.
Accroupies de chaque côté, leurs têtes posées sur mes cuisses, elles me disent : < "Maître" ! >. Nous rions de bon cœur.
Je pose mes mains sur leurs cheveux pour dire : < "Soumises" ! >. Ce rituel charmant nous amuse beaucoup. Plaisanterie.
Je sors ma bite afin qu'elles puissent toutes les deux y frotter leurs visages et la sucer un peu. Il n'y a que peu de temps.
Nous descendons en rigolant comme des fous. Il est 11 h50. Les parents d'Estelle arrivent pour midi. Derniers contrôles.

Les braguettes sont fermées. La table au salon est mise. L'assaisonnement des salades est savoureux. La sonnerie du four.
Presque en même temps que les trois coups de sonnette. Clémentine se précipite pour aller accueillir les parents d'Estelle.
Le papa est vêtu comme nous. Et une veste de ville noire. La maman est vêtue d'un élégant tailleur noir, souliers à talons.
Nous nous serrons la main. La maman d'Estelle est magnifique. Cette fois je le lui dis. Elle me remercie d'un grand sourire.
Estelle me chuchote : < Tu vas pas draguer ma mère quand même, espèce de salaud ! >. Nous rions de bon cœur. Super.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Pour la voiture il est convenu d'un virement bancaire en une seule fois.
C'est parfait. Elle est prête. Hier soir, en rentrant de randonnée, nous nous sommes arrêtés à l'éléphant bleu. Nettoyage.
Le papa d'Estelle évoque la ville de Bordeaux qu'il connait bien. C'était la destinée de leur voyage de noce, il y a 23 ans.
Nous rions beaucoup. La maman d'Estelle a quelquefois à mon encontre un curieux regard. De l'interrogation, de l'intérêt.
Cela me gêne un peu. Sous la table, je ne sais pas si c'est Estelle ou Clémentine qui me fait du pied. Sûrement les deux.

Les parents d'Estelle sont attendus pour 14 h30. Ils ne s'attardent pas. Le dessert et nous sortons. Il fait plutôt doux. Bon.
Je tends les clefs de la voiture au papa d'Estelle qui s'en saisit tout heureux. Sa première Mercedes. 19 850 km. C'est rien.
La voiture a trois ans. Comme neuve. De quoi satisfaire n'importe quel amateur de grosse berline Allemande avec un V8.
Nous les regardons partir. La maman d'Estelle nous fait un coucou de la main. J'ai l'impression que cela s'adresse à moi.
Nous rentrons. Clémentine propose une petite randonnée dans la campagne. La suggestion est applaudit. La superbe idée.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Le rituel.
Nous remettons nos vieux jeans, nos chemises à carreaux. Le même rituel du "Maître" et des "Soumises" devant le miroir.
Je prépare le petit sac à dos. Pommes, barres de céréales, bouteille d'eau. Et je suis prié de garder ma braguette ouverte.
Nous voilà à descendre le chemin jusqu'à la rivière. Il fait doux. Nous retirons rapidement nos K-way. Il fait trop agréable.
Les filles restent serrées contre moi, me tiennent par le bras. Je leurs fais plein de bisous. Nous marchons en bavardant.

Nous longeons la rivière. J'ai rapidement la bite à l'air. C'est Estelle qui la tient pour m'entraîner dans des rondes en riant.
Je suis prié de jouer à l'exhibitionniste, de me dissimuler derrière des troncs d'arbres et de jaillir à l'improviste bite à l'air.
Nous nous amusons toujours beaucoup de ces jeux. Je me fais sucer par l'une, par l'autre. Nous repartons. Nous rigolons.
Nous faisons notre circuit habituel. Nous passons derrière le haras. Il y a du monde car Juliette a organisé une animation.
Nous marchons durant presque quatre heures. La grande boucle par les ruines du vieux moulin et de l'ancienne chapelle.

Nous croisons quelques marcheurs, quelques familles. A chaque fois il faut fermer la braguette et interpréter la normalité.
Cela nous amuse beaucoup. 18 h45 lorsque nous sommes de retour. Morts de faim. Clémentine s'occupe de notre salade.
Je fais des spaghettis. Estelle prépare une belle omelette. Nous mangeons de bon appétit tout en riant. C'est très sympa.
A plusieurs reprises, je dis à Estelle : < Défense d'être triste jusqu'à notre retour ! >. < Promis ! > fait elle l'air tristounet.
Ce qui ne l'empêche pas de se lever pour mimer des masturbations masculines, des fellations. Le tout avec vulgarité. Joie.

Nous traînons à table. La vaisselle. Estelle veut nous aider à préparer nos bagages. C'est elle qui nous emmène demain.
A cet effet, et à titre exceptionnel, elle passe cette seconde nuit avec nous. Nous montons. Valises ouvertes sur notre lit.
Clémentine sort les vêtements qu'Estelle range soigneusement. Il faut être rationnel. Nous ne partons que dix journées.
Mais qui vit avec une femme sait qu'elle n'emmène jamais trop de vêtements qu'elle ne mettra évidemment jamais. Rire.
< Tout ça ! > fait Estelle à plusieurs reprises. Trois jeans, trois sweats, des chaussettes, des culottes, deux jupes, veste.

Les deux grosses valises à roulettes sont pleines à craquer. Dans la mienne il y a encore des habits à Clémentine. Rires.
Nous descendons les valises bien lourdes pour les mettre dans le hall d'entrée. Tout est prêt. Estelle me tient la queue.
Elle m'entraîne au salon. < Je veux un bon souvenir pour tenir le coup jusqu'à votre retour ! > me fait elle tout en riant.
Je lui réponds : < Tu vas en avoir pour ton grade ! >. Je passe derrière le bureau pour en sortir les menottes, le collier.
Je lui tends les genouillères, disant : < Tu as deux minutes pour être à genoux au milieu du salon, mains sur la tête ! >

Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. En gloussant Estelle fixe ses genouillères. Clémentine déboutonne son pantalon.
Estelle est à genoux, mains sur la tête. Je lui fixe les menottes. Je passe le collier canin autour de son cou. J'y fixe la laisse.
Je la promène ainsi. Elle avance avec peine, sur les genoux. C'est presque ridicule. Nous faisons le tour du salon. C'est dur.
A genoux, tenue à la laisse, les mains menottées derrière le dos, la marche est laborieuse. De nombreux arrêts. Bite à l'air.
A chaque fois, je lui frotte la queue sur la gueule. Clémentine nous suit en se masturbant. Parfois elle m'embrasse. Pipe.

Je précise à Clémentine : < Regarde bien. C'est un avant goût de ce qui t'attend en Gironde. Puissance 10 ! >. Elle sourit.
Je frotte ma bite sur le visage d'Estelle qui pousse de petits cris de ravissement à chaque fois que je l'enfonce en bouche.
Clémentine me tient par la taille d'une main, penchée en avant pour voir tout en se masturbant de son autre main. Super.
Estelle me suce avec tant de passion, poussant des gémissements lascifs et tortillant des fesses, excitée comme une puce.
Je la fais se relever. Je lui retire le jeans et la culotte pour la soulever et l'installer sur la table. Assis, je lui broute le minou.

Il est loin le temps où Estelle restait sèche. A présent, et depuis quelques mois, elle mouille considérablement. Un délice.
Le dimanche, nous restons sans nous laver. Je me régale donc d'une chatte odorante, pleine de miasmes et de jus de fille.
Clémentine, à genoux, tout en se masturbant, me taille une pipe des familles. Estelle connaît rapidement un orgasme fou.
Je la détache. Elle prend ses vêtements sous le bras. Nous montons nous coucher. Au lit, j'offre à Estelle une éjaculation.
Elle s'endort la première. J'offre à Clémentine un cunnilingus qui la fait hurler de plaisir. Sans déranger Estelle. Réveil à 7 h.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment à jouer à la "Soumise", offertes à un "Maître" pour sucer, se faire brouter…

Julien - (Qui chuchote à Clémentine, avant de dormir, quantité de promesses. Elle sera "dressée" comme elle aime) -

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Estelle nous emmène à l'aéroport

Hier matin, lundi, il est 6 h45 lorsque la musique de notre réveil nous tire de nos profonds sommeils. Têtes dans le cul.
Je suis entre Clémentine qui s'étire et Estelle qui se blottie contre moi. Des papouilles, de la douceur et plein de bisous.
Estelle se précipite aux toilettes en s'écriant : < Pipi ! >. Clémentine me chevauche tout en chuchotant : < Je t'aime ! >
C'est à notre tour de nous rendre aux toilettes. Estelle, dans son pyjama mauve, qui est déjà descendue à toute vitesse.
Nous la rejoignons. Le lundi il reste toujours de la brioche. Nous nous régalons d'un copieux petit déjeuner. En bavardant.

Dehors, le ciel est lumineux. Clémentine propose un petit jogging. De quoi se réveiller complètement. Une demi heure.
Suggestion applaudit. Nous remontons pour nous mettre en tenue. Il faut enfiler nos K-ways. Estelle donne le rythme.
Nous faisons la petite boucle. Nous revenons pour 7 h45. La douche. Nous ne traînons pas. Nous nous habillons. Rapide.
Nous faisons les clowns devant le miroir. Le rituel du "Maître" et des "Soumises". Ce matin, cela nous fait beaucoup rire.
Il est 8 h15. Nos valises son prêtes. Posées dans le hall d'entrée. Estelle qui cache sa légère tristesse se serre contre moi.

< Comme vous allez encore me manquer jusqu'à mardi prochain ! > fait elle. Je dis : < Pas de tristesse. Tu as promis ! >
Je la soulève pour la faire tournoyer. Elle me couvre le visage de bisous. Clémentine lui dit : < On t'écris tous les jours ! >
Je rajoute : < On t'envoie des photos, des selfies et un courriel chaque matin ! >. Je dépose Estelle au sol. Il faut y aller.
Nous sortons. Nous sommes tous les trois vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux, de nos baskets, de nos anoraks.
Nous mettons les valises dans l'arrière de la voiture d'entreprise d'Estelle. Nous voilà en route. 45 km. Il est à peine 8 h30.

Nous arrivons à l'aéroport pour 9 h. Estelle roule prudemment. Nous avons un peu de temps. Il faut enregistrer les bagages.
Je regarde Estelle. Elle a du mal à ne pas éclater en sanglot. Je la prends contre moi. Je dis : < Tu as promis ! >. Des bises.
Elle reste sur la terrasse pour nous regarder rejoindre le flot des passagers. Un dernier coucou en montant dans l'appareil.
Clémentine, dont l'appréhension est grande, ne me lâche pas la main. Nous voilà assis dans l'avion. Je suis à côté du hublot.
L'avion décolle. Clémentine, la tête renversée en arrière, les yeux fermés, me tient la main, crispée. Cela m'amuse. Bisous.

Le vol se passe évidemment sans encombre. Ce qui est normal, nous ne l'avons pas emmené avec nous. Voyage agréable.
Il est 10 h25 lorsque l'avion se pose sur le tarmac de l'aéroport de Mérignac. Nous voilà sur la terre ferme. Pluie battante.
Nos parapluies sont dans nos bagages que nous récupérons dans l'immense hall. Il y a là plein de policiers et de militaires.
Nous filons directement à l'agence de location pour récupérer notre voiture. C'est une golf bleue nuit. Dernier modèle. Bien.
Il y a 25 km de Mérignac à Bègles par l'A 630. Ça roule bien, même sous une pluie battante. Puis la pluie ça nous change.

Nous trouvons très facilement le lieu de notre location. Le GPS dernière génération est d'une efficacité imparable. Superbe.
C'est une maison un peu en retrait de la route. Clémentine fait le numéro pour prévenir de notre arrivée pour 11 h15. Joie.
La dame nous attend sur le perron, sous un grand parapluie. Je gare la voiture dans la propriété. Juste à côté d'un garage.
La dame vient nous accueillir. Elle est plutôt grande. La quarantaine rayonnante. Très souriante. Nous nous serrons la main.
Nous sortons nos valises du coffre pour la suivre. Nous contournons la maison pour monter un escalier de service en métal.

Nous découvrons l'appartement. Il est lumineux, spacieux. Deux pièces, une cuisine, une salle de bain et un grand balcon.
C'est comme sur les photos mais en vrai et en mieux. Je propose de régler immédiatement le solde afin d'êtres tranquilles.
Clémentine se propose de défaire nos valises. Je descends avec madame Catherine. Dans son bureau. Je rédige le chèque.
J'avais bien vu le regard étonné de madame Catherine. Elle ose la question : < C'est votre fille ? Votre compagne ? >. Rire.
Je réponds : < Ma compagne ! >. Elle me fait : < Excusez moi ! >. Je lui dis : < Mais il n'y a aucun mal. Que du plaisir ! >

Madame Catherine nous souhaite un bon séjour en précisant que si nous avons besoin de quoi que ce soit, ne pas hésiter.
Je rejoins Clémentine qui range soigneusement nos vêtements dans l'armoire. Je lui raconte. Nous en rions de bon cœur.
< Curieuse la dame ! > fait Clémentine. Je réponds : < Et je serai fier d'avoir une fille aussi belle et attractive que toi ! >
Il est midi. Tout est rangé. Nous avons pris possession des lieux. Il commence à faire méchamment faim. Nos parapluies.
Nous repartons. Le centre de la ville est à dix minutes en voiture. Nous nous garons à proximité du centre. Grâce au GPS.

Il pleut un peu moins fort. Nous marchons d'un bon pas. Nous découvrons le Passage Sarget. Et c'est de toute beauté.
Nous sommes sous une verrière. Le passage relie la cour de l'Intendance à la Place du Châtelet. Il y a commerces, cafés.
Sous une belle charpente métallique, le décors honore Mercure, le dieu du commerce. Nous lisons les menus des restaus.
Il y a un salon de thé "Any Teas". Ils servent là des menus du jour très alléchants. Nous y entrons. Le cadre est convivial.
Assis à une table en retrait, près d'un bel escalier en colimaçon. Ce sont des repas légers. Des tartelettes aux crustacés.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine est radieuse. Je lui avoue être amoureux fou de cette fille tellement belle.
Elle me prend la main. < Je t'aime Julien. Je suis si heureuse depuis toi. Plus de deux ans ! > me murmure t-elle. Bises.
Nous traînons à table. Il y a du monde. < Il faudra revenir pour un "plan" ! C'est super ici ! > me fait Clémentine. Rires.
Je lui propose d'aller découvrir les toilettes. Après le dessert, l'addition, nous y allons ensemble. Excellente configuration.
Il est 14 h. Nous voilà dehors. Il ne pleut plus. Quatre rangées d'arbres longent l'Allée de Touray. De superbes demeures.

De grandes bâtisses probablement du XVIIIème. Clémentine, dont la capacité d'adaptation est rapide, est assez excitée.
Elle me confie quelques envies qui montent doucement en elle. Discrètement, je la touche. Nous nous embrassons fort.
Nous attirons l'attention de quelques passants. Cette jeune fille dans les bras d'un homme d'âge mûr, et qui l'embrasse.
Cela nous amuse beaucoup et nous en jouons avec malice. Nous arrivons sur l'Esplanade des Quinconces face au fleuve.
Il y a là deux insolites colonnes rostrales de style néo classique. Là-bas on voit le monument aux Girondins. C'est super.

Clémentine fait quantité de photos. Surtout de la fontaine dont la statuaire de la IIIème République est impressionnante.
Nous n'arrêtons plus de nous toucher discrètement. Sous mon anorak fermé, j'ai même déjà ma braguette ouverte. Joie.
Clémentine, souvent effrontée, y glisse la main. Je l'invite tout de même à la prudence. Nous rions de bon cœur. Bisous.
Nous flânons sous nos parapluies car il se remet à pleuvoir. Pluie fine mais continue. Voilà l'église Notre-Dame. Superbe.
Une magnifique église baroque qui nous impressionne par les grilles en fer forgé de chaque côté du cœur et de la chaire.

Clémentine, entre deux photos, me touche. Je dis : < Pas dans l'église, voyons ! >. Nous en rigolons comme des bossus.
Même si pour nous tout dogme religieux relève de la fantaisie, j'estime que les lieux de culte méritent un certain respect.
Ce qui fait beaucoup rire Clémentine qui me dit souvent : < Un jour, je te viole dans un monastère, déguisé en moine ! >
Il est presque 17 h30. Je propose de faire nos courses. Nous retournons à la voiture. J'interroge notre fidèle petit GPS.
Nous décidons de découvrir le centre commercial des "Rives d'Arcins". Vaste complexe où l'on trouve de tout. Superbe.

Nous n'avons pas de glacière dans la voiture. Il faut donc ruser et pratiquer nos courses avec logique. Le frais en dernier.
Carrefour ferme à 21 h30. Pas de quoi s'affoler. Nous découvrons les galeries commerciales. Quelques restaus sympas.
Nous lisons les menus. Clémentine propose de faire nos courses, de manger à l'appartement. < J'ai un "plan" ! > dit elle.
En me chuchotant ces mots à l'oreille, elle se serre contre moi pour me toucher discrètement la braguette. Nous rigolons.
Je pousse le caddie. Clémentine nous entraîne dans les rayons. Découverte des lieux. Evaluation des configurations. Plans.

< Demain, je suis en jupe, quel que soit le temps ! Je veux m'offrir un premier frisson Girondin ! > me lance t-elle. Rires.
Nous flânons longuement dans cet hypermarché. Clémentine fait ses repérages habituels. Il y a là de quoi s'amuser. Joie.
Il est 21 h15 lorsque nous sommes de retour à l'appartement. Morts de faim. Clémentine s'occupe de la salade de tomate.
Je fais décongeler les haricots verts directement dans une casserole emplie d'eau bouillante. Je fais revenir des crevettes.
C'est un repas simple mais délicieux. Il est d'autant meilleur que c'est le premier dans notre appartement. C'est superbe.

La fatigue se fait ressentir. Nous traînons à table. La vaisselle. Tout est très fonctionnel dans cette cuisine. C'est moderne.
Clémentine m'entraîne sur le grand lit. Nous retirons nos vêtements. Je suis à genoux, mon visage entre ses cuisses. Bon.
A côté du lit, sur le coussin, je hume les parfums de sa journée de fille. Et c'est succulent de m'en régaler à pleine bouche.
Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Immobiles nous nous fixons longuement. Sublime.
Nous baisons. J'offre à Clémentine un cunnilingus d'enfer. Son orgasme est fou. Je propose de remettre la pipe à demain.

Bon début de vacances à toutes les coquines qui se font bouffer la chatte avant et après la baise dès le premier soir…

Julien - (A qui Clémentine demande de se comporter en "Maître", dès demain) -

Classe



Classe
Clémentine et Julien en vacances - Coeur
Wednesday 10 April 2019 07:50

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - 27 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 754 -



Seconde journée de découvertes Bordelaises

Hier matin, mardi, il est 7 h30 lorsque nous nous réveillons ensemble. Nous observons notre nouvel environnement. Bien.
C'est le second matin où Clémentine positionne bien sa cuisse entre les miennes et contre mes couilles. C'est si agréable.
Quelques bisous, quelques papouilles et Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Nos rituels pisseux. Super.
Dehors, il fait beau. Le ciel est clair, dégagé et d'un bleu lumineux. Nous mettons nos tenues de gym. Et nous avons faim.
Nous avons un pain aux noix dont je beurre les tranches que Clémentine a fait griller. Le café est excellent. C'est fameux.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de la journée de hier. Positif. Malgré la météo plutôt pluvieuse. Souvenir.
La vaisselle. Nous descendons. Bonne idée d'avoir revêtu nos K-Way. La fraîcheur matinale est vive. Nous nous échauffons.
Quelques exercices et nous voilà à courir sur le chemin qui s'en va entre les maisons, là-bas. Nous devons improviser. Joie.
En fait, nous découvrons un circuit plutôt sympathique. Les environs sont peu boisés. Nous sommes à découvert. Paysage.
Une heure d'un running des plus agréables. Nous revenons pour 9 h15. Madame Catherine est occupée devant sa voiture.

Nous nous saluons. Elle s'apprête à partir à son travail. Elle tient un commerce en ville. Nous ne nous attardons pas. Super.
La douche. Nous nous savonnons en riant. Nous sommes tellement contents d'êtres là. Le second trimestre semblait si long.
Clémentine porte une de ses jupes évasées au dessus du genoux. Un velours plat et carmin. Un léger sweat noir. Enfin léger.
Sur sa demande je porte des jeans, un sweat bleu nuit. Nous avons tous deux des souliers de villes, confortables. C'est bien.
De la double poche du fond, je tire de la valise le collier canin que je passe autour du cou de Clémentine toute surprise. Joie.

Elle me regarde avec de grands yeux. Je dis : < J'ai promis, je fais ! >. Clémentine s'accroupit. Je fixe la laisse à l'anneau.
Je donne un à coup. Clémentine tient ma jambe, pose sa tête contre ma cuisse. Elle murmure : < Je vous aime "Maître" ! >
Je lui caresse la joue en répondant : < Je vous aime, mon adorable "Soumise" ! >. Je sors ma bite. Elle y frotte son visage.
Je la laisse sucer un peu. Je la force à se redresser. Je me penche pour lui masser les genoux. Nous descendons l'escalier.
Il fait presque doux. Nous quittons la propriété pour rejoindre la rue à une centaine de mètres. J'ai retiré la laisse. Prudent.

Nous découvrons Bègles en parcourant la rue principale. C'est très loin d'être une petite bourgade. La banlieue de Bordeaux.
Il y a là quantité de commerces de proximité mais aussi des enseignes plus importantes. Nous y admirons quelques vitrines.
A plusieurs reprises, je passe mon doigt dans l'anneau métallique du collier de cuir que porte Clémentine. Et je tire dessus.
Clémentine a ses cheveux en liberté et porte ses larges lunettes de soleil noires. Il faut être attentif pour découvrir le collier.
Il est en cuir brun, d'une largeur de 4 centimètres. Un anneau de métal d'un diamètre de 6 cm fixé avec quatre petits rivets.

Nous marchons jusqu'au parc de Mussonville. Nous nous promettons de venir faire nos joggings ici dès demain matin. Joie.
L'endroit est fréquenté. Les arbres commencent à fleurir et certains ont leurs premières feuilles. Nous préférons les sentiers.
Je fixe la laisse au collier. Clémentine, quand même un peu anxieuse, regarde partout autour de nous. Je lui touche le sexe.
Ma main entre ses cuisses, sous sa jupe retroussée sur le devant, je palpe sa chatte avec vulgarité. Elle a un spasme. Bien.
Nous marchons ainsi en évitant les grandes allées. Le parc propose des recoins sauvages où la nature est préservée. Parfait.

Il y a une joggeuse. Elle me voit tenir Clémentine à la laisse. C'est une jeune femme élancée et athlétique. Elle a un sourire.
Elle nous dépasse. Je me retourne. Elle s'est arrêtée pour voir notre couple. Cet homme d'âge mûr qui tient cette jeune fille.
Nous ne nous attardons pas. Un peu plus loin, c'est un joggeur. Un quadragénaire. Lui aussi nous dépasse interloqué. Rire.
Il s'est arrêté. Il tourne autour de nous en gardant ses distances, sur les sentiers à l'entour. Il veut en voir davantage. Super.
Pour bien enfoncer le clou, Clémentine s'accroupit, cuisses écartées. Je la tiens. Elle se met à pisser. Et d'un jet très puissant.

Le type n'est pas discret. Un manque total de convenance. Mais il en a pour sa peine. Rien ne sera plus pareil pour lui. Rire.
Je me penche avec un mouchoir en papier à la main pour torcher Clémentine. Elle regarde bien le mec, fière et tête relevée.
Je force Clémentine à se redresser. Le joggeur, sans doute soudain conscient de son toupet, s'éloigne en cavalant très vite.
Nous continuons notre "expédition". Il faut être d'une grande prudence. Il y a le plus souvent des couples. Il y a des familles.
Il est midi lorsque nous revenons à l'appartement. Eperdue de reconnaissance, Clémentine se serre contre moi. Je la caresse.

< Que d'émotions. Vous avez été parfait "Maître" ! > me fait Elle. Je réponds : < Vous avez été parfaite ma "Soumise" ! >
Clémentine s'occupe de la salade de tomates. Je fais bouillir l'eau de nos coquillettes. Je prépare une sauce au Roquefort.
Je n'arrête pas de toucher la vulve trempée de Clémentine. Il lui en coule sur les cuisses. C'est merveilleux. Elle est ravie.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le bilan de notre aventure matinale dans le parc. Le collier posé sur le frigo.
Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Je fais tomber Clémentine sur le lit pour lui bouffer le sexe.

Il faut être vigilant. Pas d'orgasme prématuré. Clémentine est tellement excitée. Nous nous réajustons. Je bande hyper dur.
Nous restons vêtus ainsi. Le thermomètre extérieur indique 21°. Nous mettons des T-shirt. Et les sweats dans le sac à dos.
Nous partons pour Bordeaux. Six petits kilomètres. Je gare la voiture à dix minutes du centre. Une petite rue non payante.
Clémentine me montre son cou un peu irrité par le cuir du collier. Fini jusqu'à demain. Un peu de crème au Karité. Superbe.
Nous voilà sur la Place Pey-Berland. Clémentine fait des photos. Il y a là deux joyaux architecturaux. C'est de toute beauté.

La cathédrale Saint André et la Tour Pey-Berland. La cathédrale est une merveille gothique. Ancienne basilique Romane.
Elle fut consacrée en 1090. Nous la visitons. Il y fait trop frais. Aliénor d'Aquitaine s'est mariée ici avec Louis VII. Sympa.
Louis XIII s'est marié ici avec Anne d'Autriche en 1615. Tout est écrit sur de grands panneaux. Un superbe portrait royal.
Une hauteur de près de 30 mètres donne un gigantisme étonnant à l'ensemble. Des vitraux absolument sublimes. Beaux.
La Tour Pey-Berland offre le plus beau point de vue sur Bordeaux. Discrètement, dans les escaliers, je tripote Clémentine.

Les rares fois où nous croisons un homme seul, je la tiens par la nuque pour la faire avancer plus rapidement. Ça l'excite.
La montée est ardue. C'est un escalier à vis de 231 marches. Un peu d'exercice n'est jamais pour nous déplaire. C'est bien.
En cette période de l'année, il n'y a pas encore trop de touristes et il n'y a pas de grosses chaleurs. C'est que du bonheur.
Nous allons dans le quartier Saint Pierre. Le cœur touristique de la ville. Une configuration faite de places reliées de ruelles.
C'est pittoresque. La grande dalle de granit bleu, appelée "le miroir d'eau" est une splendide réussite. Il faut la découvrir.

Dans mon Blog, je raconte une histoire que j'ai vécu à Bordeaux il y a quelques années avec une étudiante "BTS tourisme".
J'invite le lecteur à la découvrir. Clémentine qui connaît bien cette aventure me pose des questions quand à cette histoire.
Nous traînons sous les chauds rayons du soleil entre la Place de la Bourse et le fleuve. Clémentine est enchantée. Si beau.
Nous nous offrons une coupe glacées dans un salon de thé. Une spécialité, la glace à l'amande. C'est succulent. Un délice.
Nous traînons. Nous parcourons la Place de la Bourse et ses environs. Les façades sont un modèle de style classique. Bien.

Un répertoire d'ornementation typique du XVIIIème. Les fameux "Mascarons" qu'on découvre presque à toutes les façades.
Des "Rocailles" et des balcons aux fers forgés. C'est étonnant d'originalité et de finesse. De véritables dentelles de fer forgé.
Au centre, la Place de la Fontaine des Trois Grâces. Nous nous faisons prendre en photos devant par une jeune fille asiatique.
Elle est magnifique et sexy dans ses vêtements moulants noirs. Sans prévenir, je mets ma main sur le sexe de Clémentine.
La jeune asiatique éclate de rire. Je lui propose de faire d'autres clichés. Elle accepte en riant. Et elle s'exprime en Anglais.

Nous sommes malgré tout très discrets mais sur chacun des clichés suivants, ma main sur, ou sous la jupe de Clémentine.
La jeune fille semble se complaire à ce jeu vicieux avec un couple d'inconnus. Je lui propose même d'aller boire un chocolat.
Hélas, elle doit rejoindre son compagnon et un groupe d'amis. Nous nous saluons. Elle me fait un beau sourire bien vicelard.
Il est rapidement 19 h30. Nous parcourons les ruelles du quartier Saint Pierre. Nous lisons les menus devant les restaurants.
Plateaux de fruits de mer où les huitres du bassin d'Arcachon occupent la place centrale. Un établissement typique. Bonheur.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de cette journée riche en évènements insolites et en rencontres coquines.
Il n'y a pas de réelles opportunité d'exhibe dans ce restaurant. La configuration ne s'y prête pas. Aux toilettes non plus. Dur.
Clémentine aimerait beaucoup un final grandiose. Une sorte d'apothéose dans le stupre et la luxure qui font notre quotidien.
Nous flânons encore un peu sur les quais Louis XVIII. Nous avons revêtus nos Sweats et nos K-Ways. La fraîcheur du soir.
Nous découvrons les quais du Chartons. Il est 23 h lorsque nous revenons à l'appartement. Fatigués, excités et si heureux.

Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir. Clémentine m'avoue à quel point elle apprécie Bordeaux.
Au lit, je la gratifie d'un cunnilingus. Le jus de fille est d'une telle abondance. Comme de petites éjaculations. C'est sublime.
Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis toutefois avec précaution. Nous restons immobiles. Le rituel de nos révélations.
Clémentine me chuchote à quel point elle m'a trouvé parfait dans mon rôle de "Maître". Je promets de refaire et dès demain.
Je la félicite pour son comportement de "Soumise". Nous sommes épuisés. Nous nous endormons ainsi. Merveilleux. Dodo.

Bonnes découvertes à toutes les coquines qui aiment êtres promenées à la laisse et touchées devant des photographes…

Julien - (Qui s'endort dans le sommeil du juste avec le sentiment du devoir accompli) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 28 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 755 -



Troisième journée de découvertes Bordelaises

Hier matin, mercredi, je suis tiré de mon sommeil par quantité de bisous que l'on me dépose sur le visage en rafales.
J'ouvre les yeux. < Je t'aime Julien ! > me fait Clémentine qui met sa cuisse entre les miennes et contre mes couilles.
C'est absolument divin. Mon érection matinale et naturelle se transforme rapidement en érection d'excitation. Super !
Je me frotte un peu dessus. Nous effusions de tendresse sont de courte durée à cause de l'envie de pisser. Naturelle.
Il est 7 h45. Nous nous précipitons à toute vitesse aux toilettes. Morts de faim, nous allons à la cuisine. Café, brioche.

Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant nos aventures de hier. Je promets à Clémentine une vraie surenchère.
Assise sur mes genoux, tout en terminant sa tartine de pain grillé au miel, elle me dit : < Mon divin "Maître" ! >. Rires.
Dehors il fait beau. Le ciel est bleu, lumineux. La vaisselle. Nous mettons nos tenues de sport. La tentation du jogging.
Cette fois, nous allons courir au parc de Mussonville. C'est très sympathique. Nous croisons quantité de joggeurs. Bien.
Il faut rester avec nos K-ways. La fraîcheur matinale est vive. Retour pour 9 h30 après un running des plus agréables.

La douche. Nous nous habillons. Clémentine porte les mêmes vêtements que hier. Sa jupe de velours plat, carmin. Pull.
Sur sa demande je fais pareil. Accroupie devant le miroir et sa tête contre ma cuisse, Clémentine à le regard implorant.
< Je vous aime mon "Maître" ! > fait-elle. Je pose ma main sur sa tête. Je réponds : < Je vous aime ma "Soumise" ! >
Nous rions de bon cœur de cet amusant rituel. Je sors mon zob afin qu'elle puisse y frotter son visage, me sucer un peu.
Il est 10 h. Nous descendons l'escalier de service. Dehors il fait presque doux. Cent petits mètres. Nous voilà dans la rue.

Nous allons flâner le long de la rue principale de Bègles. Nous aimons bien l'animation qui y règne. Il y a déjà du monde.
Avant de partir, nous avons fait notre courriel quotidien pour Estelle. Je fais un copié/collé de mes textes. C'est superbe.
Je fais pareil pour Juliette. Le gain de temps. Comme elles refusent de perdre du temps sur le forum, c'est plus pratique.
La musique imbécile de mon smartphone. Clémentine s'en empare. C'est Estelle qui nous fait un rapide texto. Bien reçu.
Nous traînons un peu dans les ruelles adjacentes. Il n'y a pas grand chose à voir. Il est rapidement 11 h30. Il fait faim.

A cause de l'irritation de la peau de son cou, Clémentine ne peut pas porter le collier canin. Cela l'attriste quelque peu.
Il est midi lorsque nous sommes de retour à l'appartement. Clémentine s'occupe des salades. Tomates avec un avocat.
Je fais un gratin de patates précuites. C'est rapide. Deux filets de saule. Nous mangeons de bon appétit en bavardant.
Je n'arrête pas de toucher Clémentine. Elle ne porte pas de culotte. Trop heureuse de pouvoir enfin se promener ainsi.
C'est humide. Après la vaisselle. Je la soulève pour l'assoir sur sa table. J'écarte ses cuisses. Je m'assois sur une chaise.

Je lui bouffe la chatte avec bonheur. En appui sur ses coudes, Clémentine se laisse brouter en gémissant de plaisir. Joie.
Pas question d'aller jusqu'à l'orgasme. Je cesse. Et je l'entraîne par la nuque pour le pissou. Je la torche soigneusement.
Je lui montre ce qu'il y a dans le papier cul. De la foutrine avec la dernière goutte de pisse. Nous en rions de bon cœur.
Nous partons. Six petits kilomètres jusqu'à Bordeaux où je gare la voiture dans la même ruelle que hier. C'est pratique.
Dix minutes de marche jusqu'au centre de la ville. Clémentine me tient par la main. Discrètement je lui touche le sexe.

Il y a toujours une possibilité de passer ma main sous sa jupe pour la glisser entre ses cuisses bouillantes. Délicatesse.
Depuis la Place de la Comédie et son magnifique grand théâtre nous prenons la rue Sainte Catherine. Longue d'un km.
La rue Sainte Catherine est une artère commerçante. C'était l'une des principales voies romaines de cette cité antique.
La Galerie Bordelaise est un beau passage couvert datant de 1830. C'est une superbe découverte. De quoi être ébloui.
Il y a là de véritables ruelles secrètes. Cachées. Il y a du monde. Nous faisons quelques magasins. Les antiquaires. Joie.

Je suis toujours à la recherche de petites reproductions du XIXème. Il y avait des peintres qui copiaient le Siècle d'Or.
Il est sympathique de découvrir une petite copie d'un Pieter de Hook qui ne fait que 20 x 15 cm. C'est rare mais beau.
Nous admirons quelques vieilleries lorsque Clémentine me fait du coude. Il y a un monsieur très stylé de genre British.
Presque de ma taille, grand, portant une fine moustache, il évoque quelque colonel anglais d'un autre temps. Elégant.
Clémentine n'est pas insensible au charme de ces messieurs. Elle me propose de rester en retrait. Je reste à distance.

Il n'y a pas meilleure configuration pour une petite exhibe réussie qu'un magasin d'antiquité. Et plein de trucs partout.
Accroupie, devant une de ces vieilles machines à coudre Singer, cuisses largement écartées, Clémentine reste stoïque.
Elle guette le passage du monsieur distingué. Moi je fais semblant de scruter une vitrine contenant de vieilles pendules.
Clémentine me tourne le dos. Dans la vitre, je peux regarder ce qui se passe derrière et moi sans avoir à me retourner.
Je vois l'inconnu arriver derrière la machine à coudre. Il a aperçu la jeune fille et surtout l'absence de sous vêtements.

En règle générale, ces messieurs très stylés sont de parfaits gentlemen. Ce qui est encore le cas avec celui-ci. Superbe.
Il trouve rapidement un prétexte pour s'accroupir à son tour. La vue doit être parfaite. La situation perdure un moment.
C'est magique. Aucun des deux protagonistes ne peut voir le visage de l'autre. Masqué par le meuble. Situation parfaite.
Clémentine se touche. Je ne vois pas ce qu'elle fait mais je le devine. Je me déplace pour donner le change et bien voir.
Cela fait bien cinq minutes que rien ne se passe. C'est fameux. Grandiose. Le type se redresse. Il se touche. Et discret.

Je crois rêver. Notre gentleman, colonel des Indes, sort discrètement sa bite. Là, en plein magasin. Il l'agite doucement.
Clémentine reluque. La vue est parfaite. Il y a une jeune femme qui entre dans la boutique. Elle s'avance vers l'homme.
Il a juste le temps de remballer. Averti par le bonjour que lance l'antiquaire au téléphone assis derrière son bureau. Bon.
La jeune femme rejoint son compagnon. Il semble tout rouge. Clémentine s'est redressée. Le couple s'apprête à quitter.
Clémentine, en sueur, est près de moi. Le type se retourne pour nous observer. Il comprend certainement et à l'instant.

Je pose ma main sur le sexe à Clémentine. Je le palpe vulgairement à travers le tissus. Il n'a jamais vécu ça, le bougre.
Sa compagne l'entraîne. Ils sortent de la boutique. Nous ne tardons pas à faire de même. Et l'antiquaire nous interpelle.
Le pouce de la main levé, tout en téléphonant, il nous montre l'écran de son ordinateur. Le petit salaud a tout vu. Rire.
Clémentine et moi, nous portons le plus souvent nos larges lunettes de soleil noires pour nous livrer à nos petits jeux.
Nous le saluons d'un signe et nous quittons le magasin. Dehors, nous rigolons comme des bossus. Encore un souvenir.

La rue du Pont de la Mousque, la Place Georges de Porto Riche puis à nouveau la Place de la bourse. C'est magnifique.
Tout comme la Place du Parlement, c'est l'environnement d'une architecture XVIIIème. Nous flânons dans les venelles.
Clémentine a une forte envie de pisser. Dans le magasin d'antiquité, elle est passé très près d'un orgasme. Envie pipi.
Nous avisons un salon de thé. Il y a peu de gens. Nous voilà à une table du fond à déguster d'énormes coupes glacées.
< Il y a le type là-bas qui n'arrête pas de mâter ! > chuchote Clémentine qui me raconte ce qu'elle fait sous la table.

C'est un jeune type qui porte une ridicule casquette de marin, un débardeur rayé, un pantalon flottant clair, espadrilles.
Je l'observe dans le reflet de l'écran de mon smartphone. Clémentine se lève et me dit : < Je fais le test des chiottes ! >
A peine y est elle entrée que notre marin d'eau douce se lève pour entrer dans les chiottes. Clémentine a son téléphone.
Sur l'écran du mien, je vois ce qui se passe. Clémentine accroupie entre les deux urinoirs des toilettes homme. Sublime.
Notre capitaine haddock arrive et découvre ce merveilleux spectacle. Ni une, ni deux, il ouvre sa braguette. Bite à l'air.

Clémentine qui fait semblant de fouiller dans son sac, cuisses largement écartées, tient le téléphone pour filmer la scène.
Notre salopiot se rapproche dangereusement. Et je suis prêt à intervenir. J'entends la conversation dans mes écouteurs.
C'est un vicelard de toute première catégorie. Il propose direct une fellation à la jeune fille en agitant son sexe. Salopard.
Clémentine se redresse car le "marin" lui colle presque la queue sur la gueule. Je me lève. Prêt à entrer dans les toilettes.
Elle file à toute vitesse avant que le mec ne la choppe par le bras. Clémentine vient me rejoindre. Elle me raconte. J'ai vu.

Nous attendons le retour du misérable. Certainement trouillard il reste aux chiottes. Nous payons et nous quittons. Bien.
< Tu te rends compte ! Toute seule avec ce genre de saligaud ! Ce genre de sale mec ! > me fait Clémentine en rigolant.
Nous voilà Place Saint Pierre par la rue des Faussets. La rue des Bahutiers, les fabricants de coffres. Et de belles choses.
Les ruelles du quartier Saint Paul offrent quantité de boutiques de luxe. Nous en admirons quelques vitrines. C'est super.
La rue Teulère, la rue Remière puis la jolie rue du Puit des Gazeaux. Ensuite la Place Raymond Colom, l'hôtel particulier.

Il commence à faire faim. Il est déjà 19 h. Beaucoup de commerces qui ferment. Nous lisons les menus des restaurants.
Il y a des choses étonnantes. Nous jetons notre dévolu sur un établissement si attirant. Des rideaux vichy aux carreaux.
A l'intérieur c'est très bien conçu. C'est un peu comme on pourrait l'imaginer dans la maison de Bécassine, en Bretagne.
Un gigantesque plateau de fruits de mer. La salle est presque pleine. Et impossible de se livrer à une quelconque exhibe.
Nous traînons à table. C'est tellement charmant. C'est tellement délicieux. Déjà 22 h. Nous voilà dans la fraîcheur du soir.

Nous nous faisons piéger dans l'impasse de la Rue Neuve. Il y a des travaux au fond. Un petit cabanon de chantier. Bois.
Clémentine m'entraîne derrière les planches. Je la tiens par la nuque. Elle y fait son pissou bien à la vue. Exhibitionniste.
Je n'avais pas vu le type qui fume sa cigarette devant la porte. Il mâte la jeune fille entrain de pisser, tenue à la nuque.
Je me sens un peu stupide dans ce rôle. Il fait nuit. Il n'est pas possible de tout voir. Mais on devine ce qui se passe. Joie.
Nous passons devant l'homme qui nous fait un < Bonsoir ! >. Clémentine répond par un < Bonsoir ! > plutôt coquin. Bon.

Il y a là les plus vieilles demeures de la ville. Nous rejoignons la cour Victor Hugo. Nous y croisons plein de jeunes gens.
Il est 22 h45 lorsque nous sommes de retour à l'appartement. Je suis pressé de bouffer la chatte à Clémentine. Mouillée.
Tant d'aventures, tant d'excitations cumulées, de quoi régaler un honnête homme. Au lit, je lui offre un cunnilingus fou.
Nous faisons l'amour. C'est l'instant des révélations. Clémentine me confie à quel point cette journée l'a encore comblé.
Je la termine par un cunnilingus. Orgasme délirant. Elle me fait une pipe. Nous sommes épuisés. Nous nous endormons…

Bonne visite de la ville à toutes les coquines exhibitionnistes qui aiment à rôder dans les coins et les recoins…

Julien - (Qui assiste en acteur actif aux expériences ludiques de Clémentine qui s'en donne à cœur joie) -

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Classe - 29 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 756 -



Quatrième journée de découvertes Bordelaises

Hier matin, jeudi, il est 7 h30 lorsque je suis réveillé par un léger mouvement du matelas. Le léger froissement des draps.
Lorsque je me réveille, ma respiration change, ce qui alerte immédiatement ma belle masturbatrice qui cesse sa branlette.
Elle se blottit contre moi en murmurant : < J'ai fait un rêve érotique ! >. Elle glisse sa cuisse entre les miennes. Bien fort.
Sa cuisse contre mes couilles, je chuchote : < Viens, on va faire pipi et tu me racontes à la cuisine ! >. Nous nous levons.
Dès la fin du rituel pisseux, nous préparons un copieux petit déjeuner. Brioche, pain grillé, miel, beurre et confiture. Miam.

Dehors il fait beau. Nous avons de la chance. Les beaux jours se succèdent et nous vivons un superbe printemps Bordelais.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine me raconte son rêve. Et il y est question d'exhibitionnisme.
Une situation loufoque où elle se retrouve dans une cabine toute nue sans pouvoir fuir car entourée d'une foule de voyeurs.
Nous rigolons comme des bossus de cette histoire grotesque. La vaisselle. Nous nous mettons en tenues sport. Le jogging.
Nous descendons. Nous prenons le chemin en accélérant. La fraîcheur est vive. Nous avons nos K-ways. Il faut s'échauffer.

Nous courons le long de notre premier parcours. Celui découvert mardi. Le sol est à présent bien sec. Les arbres fleurissent.
Une heure d'un running des plus agréables et nous voilà de retour. Une douche. Nous nous habillons. Il fait très doux. Bien.
Clémentine porte la même jupe que hier. Un fin pull de coton. Ses souliers de ville. Je porte un jeans, sweat, souliers ville.
Accroupie, sa tête contre ma jambe, ses cuisses écartées, devant le miroir, Clémentine me dit : < Je vous aime "Maître" ! >
Je pose ma main sur ses cheveux pour répondre : < Je vous aime, ma délicieuse "Soumise" ! >. Ce rituel nous amuse tant.

Je sors ma bite afin qu'elle puisse y frotter son visage et la sucer un peu. Je la force à se redresser. Je masse ses genoux.
Je la tiens fermement par ses cheveux pour lui passer le collier canin autour du cou. Il n'y a plus de trace d'irritation. Joie.
Je fixe la laisse. Je donne un à coup. Nous descendons ainsi. Une centaine de mètres et nous voilà dans la rue. Promenade.
Il est 9 h45. Je retire la laisse afin de ne pas trop attirer l'attention. Le collier de cuir est déjà suffisamment visible. Super.
Cette ballade dans Bègles est un vrai petit plaisir. Le panneau lumineux devant la pharmacie affiche déjà 21°. C'est bien.

A chaque occasion, que ce soit entre deux voitures, derrière une camionnette, ou l'entrée d'une cour, je touche Clémentine.
Ma main droite sous sa jupe entre ses cuisses, l'index de ma main gauche dans l'anneau de son collier de cuir. Elle glousse.
Quelquefois, nous sommes à une seconde de nous faire surprendre. Et il suffit de se serrer l'un contre l'autre pour esquiver.
Nous adorons ces comportements à risques. Clémentine en est ravie. Nous entrons dans le bar tabac journaux. Du monde.
Là, derrière le présentoir des cartes postales, à l'abri des regards, je touche vulgairement Clémentine. Elle aime tellement.

Il y a un couple qui nous a repéré. C'est la dame qui nous montre à son homme. Avec un sourire qui ne laisse pas de doute.
La dame touche un collier imaginaire à son cou pour bien signifier qu'ils ont tout compris. Ils achètent leurs journaux. Bien.
Nous attendons notre tour pour payer nos deux cartes postales. Ils sortent les premiers sans un autre regard. C'est parfait.
Nous continuons nos flâneries tout en nous offrant d'agréables petits frissons. Il est midi lorsque nous revenons à l'appart.
Clémentine s'occupe de la salade de carottes. Je réchauffe les beignets achetés dans un restaurant asiatique. Avec du riz.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant nos délires matinaux. Clémentine me fait toucher sa chatte humide. Superbe.
La vaisselle. Comme hier, je la soulève pour l'installer sur la table. Je suis assis sur la chaise, mon visage entre ses cuisses.
Je lui bouffe la chatte. J'adore sentir trembler l'intérieur de ses cuisses. Des frissons fréquents. Ne pas arriver à l'orgasme.
Je cesse. Nous nous réajustons. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir. Le rituel Maître Soumise.
Nous voilà en route pour Bordeaux. Je roule doucement avec la bite dans la main de Clémentine. Parfois elle suce un peu.

Je gare la voiture dans la ruelle habituelle à dix minutes du centre. Je fixe une nouvelle fois le collier cuir autour de son cou.
Cette fois, préventivement, Clémentine passé de la crème au karité afin d'éviter l'irritation. Je referme ma braguette. Parfait.
Nous marchons d'un bon pas. Il fait presque chaud. C'est très agréable. Direction le Musée des Beaux-Arts. C'est au centre.
Une bâtisse rénovée. Et en cette saison la visite n'est pas guidée. Nous prenons nos tickets d'entrée. C'est spacieux, vaste.
La galerie de l'école Vénitienne. Il y à là quelques chefs-d'œuvre remarquables. Nous regardons chaque tableaux avec soin.

Je rappelle à Clémentine qui est tout de même considérablement excitée, qu'il y a probablement des caméras dans les coins.
Si elle se touche devant un visiteur solitaire, une "V.P.", (Victime Potentielle), il faut le faire avec prudence, totale discrétion.
Car il y a un homme qui prend quelques photos avec son smartphone. La situation est trop risquée. Il faut évaluer la chose.
Nous changeons de salle. Ce qui nous intéresse dans les Musées d'Art, c'est la galerie des peintres Flamands et Hollandais.
Celle-ci est richement fournie. Le XVIIème, le fameux "siècle d'or" y est bien représenté. C'est ici qu'il y a le plus de gens.

Dans la salle suivante nous avons la surprise de découvrir des toiles de Corot, de Delacroix. Même une toile d'Odile Redon.
Dans l'aile consacrée à l'Art Moderne, il y a des œuvres de Georges Braque, de Zadquine, un ensemble de toiles de Matisse.
Dans une autre salle encore il y a l'exposition temporaire d'un artiste contemporain. Il n'y a pas d'opportunité d'exhibe. Dur.
Il faut jouer la prudence. Clémentine en est bien consciente. Pourtant, sa silhouette attire l'attention de quelques messieurs.
De plus, il y a même des gens, le plus souvent des couples, qui remarquent le collier de cuir brun, discret sous ses cheveux.

Nous voilà au dehors. Une légère brise apporte un délicat rafraîchissement. Il est 16 h. l'heure de la glace. Cornet ou coupe.
Nous passons devant le Palais Rohan. Le siège de l'hôtel de ville depuis 1837. Son escalier monumental est impressionnant.
On peut visiter. C'est de toute beauté. Les salons de style Louis XVI méritent une grande attention. Là aussi, il y a des gens.
Ce qui nous interpelle, ce sont les incroyables trompes l'œil de la salle à manger. Aucune réelle opportunité d'exhibe. Lourd.
Clémentine aimerait tant s'offrir quelques frissons. Malgré la crème, le collier de cuir commence à être dur à supporter. Rire.

Il est 17 h lorsque nous flânons à nouveau. Nous avisons un salon de thé. Nous nous offrons de grandioses coupes glacées.
La glace à l'amande semble être une spécialité locale. C'est une agréable découverte qui ravie le palais. Un vrai délice. Bon.
Enfin une opportunité. Il y a trois personnes assises à une table voisine. Un couple et un homme seul. Il mâte Clémentine.
Nous savourons nos glaces. Clémentine me raconte ce qu'elle fait sous la table. Ses cuisses bien écartées. Le mec qui mâte.
Parfois, l'espace d'un instant, Clémentine passe sa main sous la table pour se toucher. J'observe sur l'écran du téléphone.

Je peux bien voir les attitudes de l'inconnu à qui je tourne le dos. Comme dans un rétroviseur. Il regarde sous notre table.
Et, d'après ce que me raconte Clémentine, il y a de quoi regarder. Elle se touche depuis une bonne minute. C'est superbe.
< Je fais le test des chiottes ! Allume ton smartphone ! > me dit Clémentine avant de se lever pour se rendre aux toilettes.
Sur l'écran, je vois l'intérieur des toilettes. J'ai mis les écouteurs. Sur l'écran je vois Clémentine qui me fait des grimaces.
Elle me décrit les toilettes homme en filmant rapidement la petite pièce. Deux urinoirs, deux cabinets et un grand lavabo.

Le type se lève. Il se rend aux toilettes. C'est évident. J'observe ce qui se passe. Clémentine, accroupie entre les urinoirs.
Un grand classique. Elle fait mine de fouiller dans son sac posé sur un mouchoir en papier déplié. Minimum de précaution.
Le mec qui entre. Il tombe sur le spectacle. Un instant de stupeur. < Je me suis trompée de toilettes ! > fait Clémentine.
< Aucun mal ! > répond notre homme avec un fort accent allemand. Il se déboutonne devant l'urinoir et il sort sa queue.
Il se met à pisser. Il ne dit rien. Clémentine tourne la tête pour bien observer le sexe du type. C'est assez surréaliste. Fou.

L'inconnu ne prononce aucune parole. C'est un mutique. Il pisse par petits jets. Clémentine observe effrontément. Super.
Je ne vois pas toujours ce qui se passe. Clémentine tient son téléphone dans sa main gauche. Elle bouge. C'est frustrant.
Le type secoue les dernières gouttes. Je vois enfin son sexe. Long, fin, comme radis blanc. Et c'est assez impressionnant.
Il le tient à sa base, il est tourné franchement vers Clémentine. Une véritable invitation à la fellation. Je bande en mâtant.
Là, à l'image, l'actrice de ce film étonnant n'est autre que ma compagne. De quoi être hyper excité. Que va t-elle faire ?

Sucer un inconnu est un des fantasmes récurrents de Clémentine. A cause de moi. Depuis le temps que je le lui suggère.
On imagine pourtant facilement que c'est une chose difficilement réalisable. Il faut surmonter quantité d'inhibitions. Dur.
Clémentine n'est pas encore prête pour ce genre de plaisir. Il y a bien du chemin à parcourir avant d'y parvenir. Initiation.
Elle se redresse. Le type ne tente strictement rien. Il se contente de rester immobile, tenant son sexe et en fixant la fille.
Il ne s'échange aucune parole. C'est très étrange. Quoi dire ? Clémentine, embarrassée, sort des WC pour me rejoindre.

Elle me donne ses impressions. Le type revient à son tour. Discret. < Il a sa bite à l'air sous sa table ! > murmure t-elle.
J'oriente l'écran éteint de mon smartphone pour tenter de voir. Impossible. L'angle de la table. Le mec parle avec les gens.
< Il la tient comme aux chiottes ! > rajoute Clémentine. C'est assez incroyable parce que l'homme discute avec le couple.
Ils finissent par payer et s'en aller. Nous faisons de même. Nous flânons jusqu'aux environs de 20 h. Il fait encore doux.
Nous aimons les nombreuses rues commerçantes de la Place Gambetta. Nous découvrons un bon restaurant. Et fameux.

Il y a bien trop de monde pour tenter un autre "plan". Le repas est succulent. Filets de saule meunière aux champignons.
Il est 22 h. Nous marchons encore un peu jusqu'aux quai du Lyautey avant de rentrer. 23 h. Clémentine est très excitée.
Au lit, après m'être régalé du jus de fille de l'après-midi, je la pénètre doucement. Elle me confie ses secrètes révélations.
Nous parlons de l'inconnu des chiottes. Elle était à deux doigts de lui faire une pipe. Je l'encourage à le faire. Elle hésite.
Je lui offre un cunnilingus. Orgasme nucléaire. Je lui propose de remettre la pipe à demain. < Je t'aime ! > dit elle. Dodo.

Bonne petite exhibe aux chiottes du salon de thé à toutes les coquines qui aiment s'y donner des frissons…

Julien - (Qui propose souvent à Clémentine de faire une pipe à un inconnu. Il y a toutefois des conditions) -

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Classe - 30 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 757 -



Cinquième journée de Découvertes Bordelaises

Hier matin, vendredi, nous nous réveillons certainement en même temps. Clémentine passe sa cuisse entre les miennes.
Douceurs tendresse et douceurs. Je me frotte un peu sur sa cuisse qu'elle serre contre mes couilles. Et c'est très jouissif.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Morts de faim, nous allons à la cuisine. Un copieux petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le bilan des jours passés. Il est à peine 7 h30 et il fait toujours aussi beau.
La vaisselle. Nous mettons nos tenues de sport. Nous voilà dans la fraîcheur matinale, vêtus de nos K-ways. C'est super.

Quelques exercices d'échauffement. Nous courons d'un bon rythme. C'est le même circuit que hier. Le paysage printanier.
Une heure d'un running des plus agréables et nous voilà de retour. Nous tombons sur madame Catherine prête à s'en aller.
Nous nous saluons. Elle a un grand sourire. La dame nous invite à venir boire un café ce Week-end. Samedi ou Dimanche.
Nous ne promettons rien. Nous montons. La douche. Nous nous habillons. Clémentine porte une jupe légère. En pull coton.
Sur sa demande, je reste en jeans et sweat léger. Nos souliers de ville. Il est 9 h45. Je prépare notre petit sac à dos. Bien.

Accroupie à ma droite, tête contre ma jambe, les cuisses écartées, Clémentine dit : < Je suis à vous mon bon "Maître" ! >
Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Je m'occupe de vous ma délicieuse "Soumise" ! >. Nous rions de bon cœur.
Cet amusant rituel est devenu quotidien. Je sors ma bite afin qu'elle puisse y frotter son visage, sucer un peu. C'est sympa.
Je la tire par ses cheveux pour la forcer à se relever. Je dis : < Vous allez sentir la bite, ma délicieuse "Soumise" ! >. Rire.
Elle me montre la peau de son cou encore un peu irritée. Elle ne portera donc pas le collier de cuir aujourd'hui. Dommage.

Nous descendons. Je roule doucement. Nous partons ce matin pour le Cap Feret. Le Cap qui enserre le bassin d'Arcachon.
Une centaine de kilomètres par la départementale 106. Nous ne sommes pas pressés. Nous apprécions les petites routes.
Clémentine qui joue avec ma bite, la suce parfois, me propose souvent de m'arrêter pour prendre des photos. Magnifique.
Nous faisons une rapide visite d'Ares. Prétexte idéal pour se dégourdir un peu les jambes. C'est une belle petite commune.
Nous flânons un peu dans la rue principale. Dimanche 14 avril, il y aura un vide grenier. Clémentine me touche. Discrète.

Entre deux voitures, garées à moitié sur le trottoir, je passe ma main sous sa jupe de velours carmin. Absence de culotte.
C'est humide, chaud et j'aime passer mes doigts dans la touffe dense et fournie. Nous retournons à la voiture. Déjà 11 h.
En route Clémentine me confie à quel point tous ces séjours que nous faisons dans différents coins de France, l'enchantent.
Nous arrivons en vue d'Arcachon. Cette ville est un lieu de villégiature bourgeoise. L'endroit est immédiatement fort sympa.
La ville d'été est un peu le cœur de l'animation urbaine. Ses allées commerçantes. Ses jetées et ses plages. C'est superbe.

Je gare la voiture dans une ruelle à quelques minutes du centre. Il y a une légère brise de mer. Il fait assez doux. Agréable.
Clémentine me prend la main. Nous commençons à ressentir la faim. Nous lisons les menus affichés devant des restaurants.
Nous nous touchons à chaque occasion comme de véritables galopins ravis de faire des coups pendables. Et on s'embrasse.
Il est 12 h15. Nous trouvons un établissement typique. Le restaurant propose des produits de la mer, même une exposition.
Aux murs sont accrochés des toiles de peintres locaux. Il y a quelques belles pièces. Les tables recouvertes de nappes vichy.

Il y a du monde. Nous choisissons des tomates et des pommes de terre farcies de pâté de crabe, aux langoustes. Légumes.
Le repas est succulent. Il n'y a pas de réelle opportunité de s'offrir un "plan" exhibe. Nous jouons la prudence. C'est mieux.
Clémentine me propose de l'accompagner aux toilettes. Nous entrons tous deux dans les toilettes homme. Un des cabinets.
Elle fait son pissou sans s'assoir. Je l'aide à garder son équilibre. Accroupi, je lèche le reliquat, cette dernière petite goutte.
Je la torche. Accroupie, Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Nous faisons ce rituel tous les matins. Même ici.

Clémentine suce mes derniers épanchements. Il y a du bruit. Quelqu'un vient d'entrer aux WC. Nous tirons la chasse. Bien.
Nous sortons du cabinet. Il y a un monsieur entrain de pisser. Il est surpris de voir un couple. Nous nous lavons les mains.
Nous retournons prendre notre dessert. D'énormes coupes glacées que nous dégustons en regardant l'animation de la rue.
Nous payons. Nous parcourons les rues commerçantes. Les magasins de souvenirs sont légions. Les terrasses de café aussi.
Nous montons vers les villas "Belle époque", là-haut, sur la ville d'hiver. Il y a des endroits où je peux tripoter Clémentine.

Il y a un ouvrier communal qui est dans un trou de voirie. Seule sa tête dépasse. Sa camionnette est garée à côté. Un plan.
C'est Clémentine qui me fait comprendre la superbe opportunité qui se présente. Je reste à l'écart, discret, planqué. Super.
Clémentine marche doucement en consultant une des brochures touristiques que nous avons récupéré dans un bar tabac.
Elle passe entre la camionnette et l'employé qui, la tête au ras du trottoir, a une vue prestigieuse. Il lève les yeux. Silence.
Clémentine fait mine de s'en apercevoir. Elle s'arrête. Elle reste debout, campée sur ses jambes légèrement écartées. Bien.

De ma cachette, entre deux voitures, je la vois parler en montrant une des pages de la brochure. Elle demande son chemin.
Le type, la trentaine, vit sans doute là le moment le plus émouvant de sa vie. Il indique une direction sans cesser de mâter.
Clémentine enfonce le clou. Elle s'accroupit, bien devant le mec. Cuisses écartées pour montrer la brochure. Le type la prend.
Il semble donner des indications. Son visage est à peine à un mètre de l'entrejambes de Clémentine qui en rajoute encore.
L'heureux privilégié a ainsi une vue magnifique sur le sexe de cette jeune fille qui n'arrête plus de bavarder avec lui. Super.

Je bande comme un salaud. Même si j'ai assisté tant de fois aux show de Clémentine, cette fois elle se surpasse. Fabuleux.
L'employé a bien compris à quelle genre de fille il a affaire. Il joue le jeu. Trop heureux d'avoir été "choisi". Et il en profite.
Il serait bien con de ne pas le faire. Aussi, il ne cesse de regarder cet étonnant spectacle. Clémentine en rajoute une louche.
Les fesses abaissées au sol, elle a encore écarté davantage ses cuisses. La jupe remonte. C'est divin. Va t-elle pisser ? Rire.
La situation perdure ainsi un moment. Une véritable conversation s'engage. Clémentine s'assoit sur le bord du trottoir. Joie.

Je la vois éclater de rire à plusieurs reprises. Elle est assise, ses cuisses largement écartées, face au mec qui raconte. Bien.
Avoir le bonheur et la chance de faire une telle rencontre, sur le lieu de son travail, sur son chantier, est une vraie aubaine.
C'est amusant et excitant. Il y a juste la tête de notre gaillard au ras du sol. Il doit en arriver aux propositions. C'est normal.
Chacun comprendra qu'un tel moment, dans une vie, reste magique, unique, extraordinaire. Le type sort son bras du trou.
Il avance sa main. Il veut probablement toucher. Clémentine se relève juste à temps pour s'éloigner et se dépêcher de filer.

Elle me cherche du regard. Je me montre. Le type au fond de son trou comprend certainement le jeu dont il a été l'objet.
Nous rigolons comme des bossus. Nous descendons au port de plaisance. C'est la ville d'automne. Il y a là de l'animation.
Clémentine me confie à quel point cette aventure l'a excité. < Rien n'a jamais été aussi fort en exhibe ! C'était dingue ! >
Nous flânons jusqu'à la ville de printemps et ses quartiers résidentiels. Le quartier très animé du Moulleau. Et prestigieux.
L'église Notre-Dame des Passes à l'étonnant style byzantin. Nous visitons. Je dois calmer la fougue de Clémentine. Rires.

Pas de sexe dans une église. J'insiste. Clémentine me fait : < Même une pipe dans le confessionnal ? >. La coquine délurée.
Nous en rions de bon cœur. je lui fais tout de même remarquer que nous ne sommes pas les seuls à visiter ce lieu de culte.
Nous retournons à la ville d'automne, son port de plaisance. Le temps est magnifique. Nous nous offrons des cônes glacés.
Nous flânons. En fin d'après-midi, nous marchons sur la dune du Pilat. Clémentine prend des photos. Et il y a de quoi faire.
Un escalier de 160 marches permet l'ascension de ce monument naturel. A l'Ouest, le bassin d'Arcachon. Là-bas Cap Feret.

A l'Est nous apercevons la forêt de la Teste-de-Buch. Nous marchons pieds nus sur le sable, nos chaussures à la main. Joie.
Il est 20 h30. La faim se fait sentir. Je propose à Clémentine un bon restaurant. Elle préfère un truc sur le pouce. Sandwich.
Nous prenons des cornets de frites avec des sandwich au thon que nous dégustons assis sur un banc, devant l'océan. Beau.
Il faut enfiler les K-Ways. La fraîcheur du soir devient vive. Clémentine a froid aux jambes. Nous revenons à la voiture. 21 h.
Je roule doucement. J'ai la main droite entre les cuisses de Clémentine. Elle a retroussé sa jupe, assise sur un mouchoir.

Je la caresse. Elle peut mouiller sans risquer de tacher l'intérieur de sa jupe ou les sièges de la voiture. Précautions. Super.
Clémentine joue avec ma bite. Il est 22 h30 lorsque nous arrivons à l'appartement. Je me suis fais sucer et branler. Sympa.
Au lit, je continue Clémentine avec un cunnilingus réellement juteux. Je la pénètre doucement. Et nous restons immobiles.
C'est le moment des révélations. Clémentine me décrit les émotions et les sensations vécues devant l'employé communal.
Je la termine par un cunnilingus. Orgasme tellurique. Je lui propose de remettre la pipe à demain. Je dois insister. Le dodo.

Bonne promenade à toutes les coquines qui savent saisir la bonne occasion de s'offrir une exhibe de grande qualité…

Julien - (Qui est toujours aux premières loges pour assister aux représentations de Clémentine. Actrice de talent) -

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Sixième jour de découvertes Bordelaises

Hier matin, samedi, je suis à nouveau réveillé par un léger mouvement du matelas, un léger froissement des draps. Sympa.
Ma respiration change. Ce qui averti immédiatement ma délicieuse masturbatrice qui cesse de se branler pour se serrer fort.
< J'ai fait un rêve cochon ! Si tu savais ! > me fait Clémentine en passant sa cuisse entre les miennes, contre mes couilles.
Je dis : < Viens on va manger tu me racontes tout ça ! > Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Rituel pipi.
Nous nous précipitons à la cuisine pour y prendre notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit et tout en bavardant.

Il est 7 h30. Dehors il fait beau. Clémentine me raconte son rêve. Une situation ubuesque où elle est nue dans un magasin.
Enfermée dans une cabine d'essayage, à l'heure de la fermeture et sans vêtement. Il y a plein de gens. Impossible de sortir.
Nous rigolons comme des bossus. Il y a du bruit à l'extérieur. Nous nous levons pour regarder par la fenêtre. Camionnette.
C'est un homme en bleu de chauffe qui met des cartons dans sa camionnette. Il y a madame Catherine qui l'aide. Il est 8 h.
La vaisselle. Nous mettons nos tenues de sport. Nous enfilons nos K-ways afin d'affronter cette probable fraîcheur matinale.

Nous saluons madame Catherine. Quelques mouvements d'échauffement et nous voilà à courir vers le circuit quotidien. Joie.
C'est notre boucle habituelle. Chaque jour nous voyons la nature se transformer. Les feuilles emplir les arbres. Les couleurs.
Une heure d'un running des plus agréables et nous voilà de retour. Plus de camionnette. Juste la voiture de Mme Catherine.
Notre douche. Nous nous habillons comme hier. Nous rions de bon cœur à cause de tous ces vêtements emmenés pour rien.
Clémentine porte une de ses deux jupes préférées. Velours carmin ou brun. Légèrement évasée au-dessus du genoux. Belle.

Je suis en jeans et sweat. Je prépare notre petit sac à dos. Pommes, barres de céréales, bouteille d'eau, K-ways et jumelles.
Accroupie à ma gauche, devant le miroir, les cuisses écartées, Clémentine fait : < Un peu de sévérité mon bon "Maître ! >
Je lui pose la main sur la tête pour dire : < Je vais bien m'occuper de vous, ma délicieuse "Soumise" ! >. Nous en rigolons.
Ce rituel, devenu quotidien, nous amuse beaucoup. Je sors mon Zob afin qu'elle puisse y frotter son visage et sucer un peu.
Je la force à se redresser. Nous nous embrassons comme des fous. < Je t'aime Julien ! > me murmure Clémentine. Bonheur.

Nous sortons. Clémentine s'accroupit à nouveau en haut de l'escalier de service. Elle me sort la queue pour la sucer encore.
Je la tiens par l'arrière de la tête pour lui en enfoncer un maximum dans la bouche. Et je la force à cesser. Une petite gifle.
Ce ne sont jamais des actes de violences. Cela fait partie du rôle qu'il m'est demandé d'interpréter. C'est la fille que j'aime.
Nous descendons l'escalier. Cela se reproduit au bas des marches. Clémentine a une méchante envie de sucer. Je la laisse.
Je lui tiens l'arrière de la tête pour bien lui enfoncer la bite au fond de la bouche. Soudain, là, sur la gauche, Mme Catherine.

Elle se dirige vers sa voiture. Elle tombe sur cette scène. Elle reste debout, comme figée. Elle me fait un immense sourire.
Je ne dis rien. Je lui souri. Elle regarde cet homme d'âge mûr entrain de se faire tailler une pipe par une jeune fille. Délire.
Je force Clémentine à cesser. Je la tiens par ses cheveux pour lui faire tourner la tête. Je dis : < Dis bonjour à la dame ! >
Clémentine se redresse en disant : < Bonjour ! >. Mme Catherine éclate de rire et répond : < Vous en avez de la chance ! >
Nous nous saluons. Je remballe ma bite assez gêné. Madame Catherine ne l'a pas vu et entre dans sa voiture. Un coucou.

Avant de démarrer, elle nous lance, vitre ouverte : < N'oubliez pas. Je vous invite à boire un café. Et quand vous voulez ! >
Nous la regardons partir. Nous entrons dans notre auto. Je raconte à Clémentine ce qui s'est passé pendant qu'elle suçait.
< Je suis certaine qu'elle fait partie du "Club" ! Une telle réaction. L'insistance pour le café ! > me fait Clémentine. Rigolade.
Je roule doucement. J'ai la bite à l'air. Je bande comme un véritable enfoiré. Clémentine me la tient d'une main ferme. Dur.
Nous partons ce matin pour Libourne. Près des côteaux de Saint Emilion. 80 km et par la nationale 89. Pas d'autres routes.

Clémentine n'arrête pas de me sucer. Elle entretient soigneusement une érection contraignante. Parfois nous nous arrêtons.
Nous sortons de la voiture pour prendre quelques photos. Le paysage est de toute beauté. Il y a de légers vallonnements.
Le libournais est une région étonnante. Les vignobles s'y étalent dans une géométrie fascinante. C'est surprenant. Superbe.
Saint Emilion est un bourg médiéval. Nous y flânons avec le plaisir de la découverte. J'ai la braguette fermée. Grosse bosse.
Clémentine ne se gêne absolument pas de poser sa main sur mon sexe. Elle le fait surtout quand nous croisons des couples.

Elle s'amuse aussi beaucoup de le faire lorsque nous croisons des gens seuls. Je la prie de cesser. < On ne sait jamais ! >
Nous reprenons notre route. Nous arrivons à Libourne. Clémentine est rarement aussi excitée. C'est le rêve et la fellation.
Cette sorte d'hystérie que provoque le bonheur le plus intense. Le soleil, un endroit inconnu de toute beauté, les vacances.
Libourne offre un centre historique bien préservé. Il y a d'ailleurs là quelques restaurants fort sympathiques. Très typiques.
La faim se faisant cruellement sentir, nous jetons notre dévolu sur l'un d'entre eux. Près de la Place Abel Surchamp. Bien.

C'est un espace quadrangulaire d'où part la rue Gambetta. C'est une rue piétonne qui donne sur les quais de la Dordogne.
C'est une magnifique promenade. Nous voilà confortablement installés devant des tartelettes aux champignons et crème.
Accompagnées de patates délicatement rissolées et de crudités. Des petits radis au sel de Guérande grillé. Un délice. Miam.
Il y a plein de gens. La décoration est magnifique. Des extrémités de tonneaux et de fûts sur des murs de briques rouges.
Cela évoque une cave à vin. Il y a des visites et des dégustations qui sont proposées aux touristes déjà nombreux. Sympa.

Même si nous ne buvons pas d'alcool, nous ferons honneur à une cave que nous nous promettons de visiter. C'est superbe.
Il y a des groupes d'asiatiques. Ils sont les plus nombreux. Il y en a plein autour de nous. Des couples de Japonais. Sympa.
Nous mangeons de bon appétit. Ce délicieux repas permet de tempérer un peu nos excitations. La frénésie de Clémentine.
Nous en rions de bon cœur. Elle dit : < Je me goûterai volontiers un nem. Ce n'est pas ce qui manque autour de nous ! >
En effet, il y a plein de jeunes hommes asiatiques, plutôt élégants. Et accompagnés de femmes magnifiques. De quoi rêver.

Nous faisons un tour aux toilettes. Nous nous enfermons dans un des cabinets des toilettes homme pour nos rituels pisseux.
Comme hier, nous entendons du bruit. Lorsque nous ressortons du cabinet, il y a un asiatique qui fait pipi devant un urinoir.
Il est tout aussi surpris que l'homme de hier en voyant un couple sortir du cabinet. Nous nous lavons les mains. C'est drôle.
Il pisse toutefois très peinard. Nous revenons pour prendre notre dessert. Deux énormes coupes glacées. C'est un vrai régal.
Une fois dehors, il fait presque chaud. Nous pourrions nous mettre en T-shirt. Nous flânons un peu dans les rues adjacentes.

Il est 14 h15. Le Musée des Beaux-Arts. Il y a nombre de visiteurs. Principalement asiatiques. Cela nous rappelle l'Ecosse.
Il faut dire que l'Europe, et spécialement la France, attire les visiteurs du monde entier. Et surtout cette région de prestige.
C'est tout de même une des régions les plus connus dans le monde entier pour ses grands vins. Ses crus prestigieux. Bien.
Nous visitons le Musée. Quelques toiles Flamandes du XVIIème nous enchantent par leurs qualités. C'est toujours sublime.
Il y a la magnifique collection René Princeteau, peintre paysagiste, natif de Libourne. Il faut absolument découvrir son art.

Nous ne nous attardons pas. Il y a bien trop de monde pour risquer là un "plan" exhibe. Nous quittons un peu à regret. 15 h.
Nous retournons à la voiture. Direction Pomerol et son château de Sâles. Il y a un monde fou. Je gare l'auto sur le parking.
Le château ne se visite pas. Il est privé. Par contre nous visitons ses caves. Nous sommes avec un groupe d'asiatiques. Joie.
La fraîcheur est tout à fait supportable. Certainement un réconfort lors des grosses chaleurs de l'été. C'est grand et vaste.
Tous ces tonneaux, ces fûts, c'est réellement impressionnant. Il y a un monsieur qui explique le processus de vieillissement.

Les visiteurs sont invités à goûter. Nous circulons entre les tonneaux. Le long des allées qui permettent de tout découvrir.
Tout est étiqueté avec soin. Les explications sont claires et précises. C'est très intéressant. Même si on ne boit pas de vin.
Nous ne sommes pas sectaire. C'est appréciable d'apprendre de nouvelles choses. Tant sur les terres que sur les processus.
Il faut des terrains particuliers avec des paramètres d'ensoleillement précis. Tout cela est passionnant. Nous écoutons. Joie.
Là aussi, il serait vain de tenter un "plan" exhibe. Ridicule même. En plus, nous sommes concentrés sur tant d'explications.

Nous remontons au soleil. Les environs du château sont magnifiques. Nous découvrons la partie du parc ouverte au public.
Le gazouillis des oiseaux. il y a les premiers insectes virevoltants. Pas de doute, le printemps est déjà bien là en Gironde.
Nous prenons la voiture pour prendre la direction de Fronsac. Merveilleux petit village si typique. Il y a là des restaurants.
Nous flânons un peu dans les rues. Moins de touristes. Il y a un bus. Un groupe d'asiatiques. Ils prennent plein de photos.
Clémentine me montre celui qui s'éloigne là-bas, seul, vers les bosquets. < Viens ! Je veux m'amuser ! > chuchote t-elle.

Nous contournons la table d'orientation. Nous montons les quelques marches. Clémentine m'entraîne par la main. Fourrés.
Penchée en avant, me tenant par la main, Clémentine mâte ce que fait le jeune type. Il s'est tout simplement isolé. Pissou.
< Attends moi là. S'il y a un blême tu rappliques ! > me murmure Clémentine en se redressant pour s'approcher du type.
Je reste planqué à une trentaine de mètres. Clémentine fait mine de chercher son chemin. Le mec en pissant la voit arriver.
On peut être asiatique et aimer montrer sa queue. Ce qui est le cas de notre homme qui se tourne franchement vers la fille.

Tout en riant de toutes ses dents, il continue de pisser carrément vers Clémentine qui, à quelques mètres, s'est arrêtée.
Je regarde cette scène surréaliste. Je l'ai tant vu. Mais elle reste si passionnante dans ses multiples déclinaisons. Je bande.
Notre gaillard, qui arrive péniblement à l'épaule de Clémentine secoue les dernières gouttes en agitant son sexe. Vulgaire.
Pas de doute, en Asie, ils ont aussi de beaux spécimens d'exhibitionnistes de toute première bourre. Il faut féliciter celui là.
Je ne comprends rien de ce qu'il dit. Trop loin. Clémentine certainement non plus. Clémentine s'accroupit devant l'inconnu.

Deux exhibitionnistes, se faisant face, reste un grand moment de vice. Je sors ma queue. Je me masturbe tout en admirant.
Le type ne tente aucune approche. Il s'accroupit, sans cesser de sourire de toutes ses dents, pour observer avec admiration.
Clémentine se met à pisser. Un de ces jets incroyables dont elle a le secret. Se cambrant pour le diriger le plus loin possible.
Le mec, pourtant à trois mètres, évite juste à temps de se faire copieusement arroser. C'est fantastique. Et un vrai prodige.
Je me branle, caché derrière le tronc de mon arbre lorsqu'un bruit derrière moi me fait cesser. C'est une jeune asiatique...

Pas de doute. C'est certainement son mari qu'elle aperçoit là-bas, accroupit, entrain de regarder Clémentine pisser. Sympa.
Elle s'exprime en Anglais. Elle ne semble pas du tout déstabilisée. Bien au contraire. Elle est souriante et regarde ma queue.
< Expression française ? > demande t-elle. Nous éclatons de rire en même temps. Je dis : < Pays des expressions libres ! >
La jeune femme, toute souriante, rajoute : < Je dois chercher mon homme, le bus attend pour partir ! >. Elle s'accroupit.
Elle sort un smartphone de son sac. < Vous permettez ? > me demande t-elle en prenant une photo de ma bite bandante.

Je n'ai pas le temps de répondre que le cliché est pris. Elle se redresse, s'approche presque contre moi, pour me montrer.
On voit ma queue en gros plan. Juste mon buste. Pas mon visage. < Merci ! > fait elle avant de s'éloigner. Elle est belle.
Elle appelle son bonhomme qui se dépêche d'accourir. Ils s'en vont à toute vitesse. Clémentine vient me rejoindre. Rires.
< Put-Hein, comme c'était génial. Ce vicieux a pris une photo ! > me fait elle. Je dis : < Moi pareil, photo de ma bite ! >
Nous en rigolons comme des bossus en revenant sur le parking. Juste à temps pour voir s'éloigner le bus des asiatiques.

Il est presque 19 h. Et tout cela nous a ouvert l'appétit. Nous prenons la direction du village à quelque cinq cent mètres.
Le restaurant est typique. Sa décoration axée sur les vignobles et les productions vinicoles. Un accueil chaleureux. Super.
Nous dévorons un délicieux repas composés d'endives confites et de galettes de pommes de terre en forme de macarons.
C'est succulent. C'est préparé aux fromages du terroir Girondin. Le fameux beurre Bordier est un délice supplémentaire.
En dessert, des macarons glacés. Les amandes entrent dans la compositions de nombre de spécialités girondines. Régal.

Là aussi, bien trop de touristes pour s'offrir un nouveau "plan" exhibe. Ce qui frustre Clémentine qui aimerait un frisson.
C'est la journée des délicieux frissons. Il est 21 h. Nous prenons la route du retour. Quelle magnifique journée. Superbe.
Je roule prudemment. J'ai la main droite entre les cuisses de Clémentine assise sur deux mouchoirs en papier. Préventifs.
Il est 22 h30 lorsque nous arrivons à l'appartement. Au lit, j'offre un superbe cunnilingus à Clémentine. Orgasme fabuleux.
Elle me taille une pipe en faisant savamment durer afin de se régaler de toutes les sécrétions possibles. J'éjacule. Dodo…

Bonnes découvertes à toutes les coquines exhibitionnistes qui aiment pisser devant d'autres exhibitionnistes pisseurs…

Julien - (Toujours aux petits soins, qui affectionne de bien s'occuper de Clémentine. De sécuriser ses plans exhibes) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 32 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 759 -



Septième jour de découvertes Bordelaises

Hier matin, dimanche, je me réveille le premier. Je regarde Clémentine qui dort encore. C'est tellement rare. Un bonheur.
Elle est belle. Les traits fins de son visage d'ange respirent tant de sérénité. Hélas, ce merveilleux spectacle ne dure pas.
Clémentine possède un sixième sens infaillible. Elle sait. Elle s'étire en gémissant. Je lui couvre le visage de bisous. Doux.
< Mon amour ! > murmure t-elle en se blottissant contre moi. Elle passe sa cuisse entre les miennes. Contre mes couilles.
C'est génial. Cela fait très peu de temps qu'elle fait ça. Je me frotte un peu dessus en lui chuchotant des douceurs. Branle.

L'impérieux besoin de pisser met un terme momentané à nos effusions de tendresse. Nous nous précipitons aux chiottes.
Puis, morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Brioche, pain grillé, confiture et miel. Notre petit déjeuner. Super.
Dehors, il fait toujours aussi beau. Nous mangeons de bon appétit. C'est dimanche, pas de jogging. Nous traînons à table.
< Et si on allait boire un café chez la propriétaire, en bas ? > propose Clémentine. Nous le ferons après le repas de midi.
Je prends mon smartphone pour faire le texto proposant notre venue. Il est 8 h30. Une réponse presque immédiate. Ok.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Puis nous nous habillons.
Clémentine porte la jupe kilt à carreaux rouges. Un chemisier blanc. Un fin pull de coton bleu nuit, souliers à légers talons.
Sur sa demande je porte un pantalon à pinces et à plis en toile de lin clair. Une chemise blanche. Mon pull fin au col en "V".
< Regarde comme on est beaux tous les deux ! > fait Clémentine qui m'entraîne devant le miroir de l'armoire. Et c'est vrai.
L'amour rend n'importe qui beau. Clémentine s'accroupit, écarte ses cuisses pour me montrer sa superbe toison pubienne.

Sa tête contre ma cuisse, me saisissant la jambe, elle dit : < Je vous aime "Maître". Vous vous occuperez bien de moi ? >
Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Je vous aime ma délicate "Soumise". Et je vais bien m'occuper de vous ! >
Nous en rions de bon cœur. Cet amusant rituel est source de joie. Je sors ma queue afin qu'elle puisse y frotter son visage.
Je la laisse se régaler un peu de ma bite jamais lavée le dimanche avant de la forcer à se redresser. Nous allons au balcon.
La fraîcheur matinale fait doucement place à la douceur. Le ciel est bleu. Quelques nuages d'altitude. Le soleil en majesté.

Nous descendons l'escalier de service. Nous contournons le garage. Il y a madame Catherine. Nous nous saluons. Sympa.
Nous sommes attendus pour le café à 13 h30. Nous bavardons un peu. Depuis l'aventure de hier, son regard est étrange.
Madame Catherine nous a surpris en pleine pipe. Ce qui a participé à une "proximité" nouvelle. Une certaine intimité. Joie.
Nous sortons de la propriété pour nous diriger vers la rue. Nous flânons dans Bègles dont nous avons cerné la topographie.
Il est 9 h30. Clémentine nous entraîne vers le parc de Moussonville. c'est à l'extérieur de la commune. 15 petites minutes.

Il y a quantité de joggeurs. Principalement des jeunes femmes. Il y a des promeneurs. Des couples. C'est très sympathique.
Clémentine me tient par la main. Parfois par le bras. Se serre contre moi pour toucher discrètement ma braguette ouverte.
Avec le pull, ça ne se voit pas. Clémentine y glisse la main. Je bande comme un salaud. Chaque fois je réajuste le pull. Rire.
< Restes là ! Il y a un "plan" ! > fait elle soudain en me montrant le jeune homme, là-bas, qui marche seul en téléphonant.
Je reste en retrait. Clémentine contourne les fourrés. Elle marche doucement, les bras croisés. L'inconnu la remarque vite.

Elles ne sont pas nombreuses les jeune filles vêtues d'une jupe kilt, solitaires, à se promener dans ce grand parc. Sublime.
Tout en téléphonant le jeune homme se tourne pour regarder la grande jeune fille brune qui semble se promener solitaire.
Clémentine contourne un terre plein pour se faire voir un peu plus loin. Marchant toujours doucement avec les bras croisés.
L'inconnu s'arrête. Tout en parlant au téléphone il regarde Clémentine qui disparaît derrière des bosquets. Et d'autres gens.
Je m'avance sur le sentier pour me rapprocher. Clémentine est accroupit, pose pipi. Stratège, elle attend l'arrivée du gars.

Il arrive. Toujours en parlant au téléphone. Il tombe sur le spectacle. Clémentine porte ses larges lunettes noires de soleil.
Elle peut donc loucher tout à loisir. Le type s'est arrêté. Il est à une dizaine de mètres. Il observe la fille qui semble pisser.
Je bande. Et j'ai envie de me masturber tellement c'est bon. Le jeune homme aussi car il regarde dans toutes les directions.
Il se touche la braguette de sa main libre. Il doit avoir la trentaine sportive. Clémentine exagère sa position. C'est excitant.
Tomber sur une vraie exhibitionniste un dimanche matin dans un parc, le rêve de tout voyeur. Peut-être même des autres.

La situation ne dure pas. Il y a une jeune femme qui arrive depuis le sentier. C'est la compagne du gars. Ils se téléphonent.
Clémentine, toujours aux aguets et très attentive l'a vu arriver. Elle se redresse rapidement. Le couple se rejoint. C'est fini.
Nous continuons notre balade. Clémentine, considérablement excitée par cette aventure, cherche un autre "plan". Avec soin.
Hélas, il n'y a pas d'autre opportunité. Nous retournons vers la ville. Nous sommes de retour pour 11 h30. Et morts de faim.
Clémentine s'occupe de la salade. Je m'occupe du gratin de coquillettes. Une sauce au pistou. Parmesan râpé en abondance.

Je n'arrête pas de passer ma main sous la jupe de Clémentine. Entre ses cuisses bouillantes. C'est trempé. C'est splendide.
Deux nems aux crabes. Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de nos vacances. Bilan hautement positif. Super.
La vaisselle. Déjà 13 h. Nous nous lavons les dents. Je fais tomber Clémentine sur le lit. Je suis à genoux sur l'oreiller du lit.
Mon visage entre ses cuisses, je m'enivre de l'odeur de sa matinée de fille. Chatte qui macère dans son jus. Pas lavée. Bon.
Je me régale de tous ce qui suinte, de tout ce qui colle. C'est mon dessert préféré. Clément en gémit. Elle me tient la tête.

Nous cessons juste avant la situation critique. Surtout pas d'orgasme. Restés excités. J'aide Clémentine à se redresser. Dur.
Il est presque 13 h30. Nous descendons par le couloir et l'escalier intérieur. Nous toquons à la porte de madame Catherine.
Elle vient nous ouvrir. Elle est vêtue d'une jupe et d'un chemisier. Des souliers à légers talons. Très élégante. Presque sexy.
Nous la suivons dans son salon. C'est très bourgeois. Cossu. Nous voilà vautrés dans le canapé. Catherine dans le fauteuil.
Nous bavardons. Catherine nous raconte la nature du commerce qu'elle tient à Bordeaux. Deux boutiques. C'est intéressant.

Je fixe souvent ses jambes qu'elle ne croise jamais. J'ai le regard insistant. Et c'est un peu ma façon de tester les femmes.
Soit, elles sont dans l'embarras. Ce qui est sympa. Soit elles entrent dans le jeu. Ce qui est doublement sympa. Une joie.
Madame Catherine fait partie de la seconde catégorie. Pas de doute, elle fait partie du "Club" comme le suppose Clémentine.
Pourtant madame Catherine reste discrète. Pas une seule fois elle n'écarte les cuisses. Même le plus légèrement. Dommage.
Par contre, à quelques reprises, je la surprends à mâter ma braguette. C'est furtif. Je bande. Je fais bouger la grosse bosse.

Il est 13 h50. Nous prenons congé. Nous laissons madame Catherine. Nous voilà en route pour Bordeaux. Je roule peinard.
Clémentine me donne ses ressentis. < Tu as vu comme elle mâtait ta braguette ? Je suis certaine qu'elle est du "Club" ! >
Je gare la voiture dans la ruelle habituelle, à dix minutes du centre. 14 h10. Et nous avons encore quantité de choses à voir.
Le quartier Lescure. C'est le quartier "Art Déco". Nous parcourons l'avenue Vercingétorix. Il fait presque chaud. C'est super.
Il y a là des rues paisibles bordées d'élégantes demeures. Un ensemble d'une belle harmonie. Le Musée des Arts décoratifs.

Nous adorons tous deux les musées. Pour plusieurs raisons. Ce qu'ils présentent et les opportunités qu'ils proposent. Bien.
C'est une magnifique bâtisse édifiée en 1179. Il y a là des collections de meubles, de céramiques. Verreries et orfèvreries.
Il y a du monde. Bien évidemment des caméras partout. Et pas question de laisser Clémentine se livrer à quelques facéties.
Les décors sont raffinés. Les pièces d'orfèvreries datent pour la plupart du XVIIIème et du XIXème. Elles sont magnifiques.
La visite est plaisante et instructive. Il y a la fameuse pendule astronomique et le buste de Montesquieu. Nous traînons ici.

Nous voilà à nouveau à l'extérieur. Nous avisons une superette. Nous y flânons un peu. Nous nous offrons nos cônes glacés.
A la caisse, il y a un sénior qui n'arrête pas de mâter Clémentine. Comme je le comprends. Il est à la caisse voisine. Attente.
Il regarde avec insistance pour tenter de croiser le regard de la fille. Je pose discrètement ma main sur le sexe à Clémentine.
Je regarde le type. Je lui adresse un clin d'œil. Il n'a probablement jamais vécu une telle situation. J'insiste et je palpe. Bien.
Mon geste, même s'il échappe aux autres clients dans la file, est vulgaire. Clémentine en glousse de plaisir. Elle fixe le type.

Nous dégustons nos glaces en flânant dans le pittoresque quartier Saint Pierre. Trop tard pour visiter le musée d'Aquitaine.
Le quartier Saint Pierre est commerçant. Ses nombreuses ruelles proposent toutes sortes d'attractions. Et des restaurants.
Nous lisons quelques menus, question de se mettre en appétit. Nous réservons deux places dans l'un d'eux pour 20 h. Joie.
Nous admirons à nouveau le "miroir d'eau". En fait, il n'y a que 2 cm de profondeur. Et pourtant cela paraît insondable. Fou.
La fraîcheur du soir nous oblige à remettre les pulls que nous avions simplement posé sur nos épaules. Il est déjà 19 h45.

Le restaurant choisi est beaucoup plus touristique que nous le pensions. La salle est pleine. Beaucoup d'asiatiques. Sympa.
Nous savourons nos tartelettes aux champignons, nos crustacés et nos crudités. Ce repas est d'une délicatesse incroyable.
C'est un établissement étoilé. Réputé à Bordeaux. Bien évidemment, il serait vain d'y tenter le moindre "plan" vicelard. Rire.
Nous traînons à table. Il est 22 h lorsque nous remontons jusqu'aux quais Louis XVIII. C'était bon. On se sent lourd. Miam.
Il est 23 h lorsque nous sommes de retour. Au lit. Un sublime cunnilingus. Un orgasme démentiel. Une fellation folle. Dodo.

Bonne promenade dans le parc à toutes les coquines qui aiment se faire surprendre derrière les fourrés en mode pipi...

Julien - (Qui adore se bouffer la moule parfumée du dimanche car Clémentine reste "nature". Moule à la mayonnaise) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 33 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 760 -



Huitième journée de découvertes Bordelaises

Hier matin, lundi, à nouveau je me réveille le premier. Quel bonheur de voir la fille que j'aime qui dort encore. Magnifique.
Elle est si belle dans ce total relâchement. Couchée sur le dos, la bouche entrouverte, émettant un léger ronflement. Joie.
Mon plaisir est de courte durée car le sixième sens de Clémentine vient de l'avertir. Elle s'étire longuement en gémissant.
Elle se serre contre moi, marmonnant des choses incompréhensibles, sa cuisse entre les miennes tout contre mes couilles.
Je me frotte un peu car cela flatte agréablement mon érection matinale et toute naturelle. Douceur et envie d'aller pisser.

Morts de faim, nous préparons notre petit déjeuner que nous dégustons en faisant un très vague programme de la journée.
< C'est déjà notre dernier jour ! > me fait Clémentine. Elle s'empresse de rajouter : < Mais à la maison c'est bien aussi ! >
Il est 7 h30. Dehors, c'est le même beau temps qui a duré toute la semaine. Nous sommes en tenues de sport. La vaisselle.
Nous descendons. Il faut encore garder nos K-ways. La fraîcheur matinale est vive. Quelques mouvements d'échauffement.
C'est parti. Nous courons d'un bon rythme le long de notre circuit habituel. La campagne change. Et à présent tout est vert.

Il est 9 h lorsque nous sommes de retour après un running des plus agréables. Nous tombons sur madame Catherine. Bien.
Nous bavardons un peu. Nous la remercions pour la qualité de son accueil et pour le confort de notre location. Magnifiques.
Madame Catherine ne travaille pas le lundi. Elle nous recommande les promenades en bateau sur la Garonne. Bonne idée.
Nous montons prendre notre douche. Nous nous habillons. Clémentine porte sa jupe de velours carmin, un simple sweat fin.
Sur sa demande, je porte mes jeans, un simple sweat fin. Nous voilà prêts. Clémentine me montre la peau lisse de son cou.

Je comprends immédiatement le message. De l'armoire, je tire le collier canin que je lui fixe autour du cou. Je passe l'index.
Plus d'irritation. Je passe mon doigt dans l'anneau de métal. J'entraîne Clémentine sur le balcon. Je la tiens par les cheveux.
Je la fais s'accroupir. Je sors mon Zob. Je le lui frotte sur le visage. Je le lui enfonce dans la bouche. Et j'appui sur sa nuque.
Je me fais rapidement tailler une véritable pipe des familles. Soudain, en bas, un bruit de pas. C'est Catherine. Elle regarde.
Elle me fait un sourire. C'est la seconde fois qu'elle assiste à la même scène. Je lève le pouce de ma main gauche. Superbe.

Elle fait la même chose. Je force Clémentine à cesser. Je la fais se redresser. Je dis : < Regarde qui est en bas à mâter ! >
Je tiens Clémentine par l'anneau de son collier de cuir brun. Clémentine lui fait un coucou de la main. Catherine fait pareil.
Je dis à l'adresse de la propriétaire : < Si ça vous tente ! >. Elle éclate de rire en répondant : < Mais comme c'est gentil ! >
< Mais on m'attend, j'ai un rendez en ville ! > rajoute t-elle. Le ton de sa voix est sincère. Elle ne cherche pas à se défiler.
Nous nous souhaitons < Bonne journée ! >. Nous rentrons. < Tu vois, je te l'avais dis, le même "Club" ! > fait Clémentine.

Nous voilà en route pour Bordeaux. Je roule doucement. Six petits kilomètres où Clémentine n'arrête pas de me sucer. Bon.
Je gare la voiture dans la ruelle habituelle. Nous retournons dans le quartier Saint Pierre pour visiter le Musée d'Aquitaine.
Ce Musée regroupe quantité de documents et d'objets relatifs à l'histoire de la ville. Depuis la préhistoire à nos jours. Super.
Il y a bien évidement des choses remontant à l'antiquité, au moyen-âge jusqu'à la période contemporaine. C'est intéressant.
L'aspect culturel des lieux que nous visitons a toujours pour nous une grande importance. Dans les musées il y a les "plans".

La culotte de Clémentine est au fond de son sac à main qui fait aussi office de tout petit sac à dos. Et c'est très pratique.
Nous visitons le Musée. Il y a un extraordinaire foisonnement d'objets et de documents relatant l'historique de Bordeaux.
Il est évidemment hors de question de se livrer à un "plan". Il y a bien trop de monde. Probablement des caméras partout.
Nous restons jusqu'à midi. La faim se fait sentir. Il fait tellement doux, que nous retirons nos sweats pour rester en T-shirt.
Je propose d'aller au bord de la Garonne. Nous remontons l'avenue jusqu'aux quais des Chartrons. Il y a plein de touristes.

Nous avisons le bateau restaurant Sicambre. Sa carte propose des menus forts plaisants. Et notamment des fruits de mer.
Par chance, il y a une table libre. Elle donne sur le fleuve. Larges, brillantes de mille feux, ses eaux reflètent le soleil. Super.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine, sous ses cheveux qui le dissimule en grande partie, porte le collier de cuir brun.
Les démangeaisons commencent. Nous allons aux toilettes. Je le lui retire. Je lui applique de la crème au karité. C'est doux.
Nous revenons savourer nos coupes glacées. Nous traînons à table. Il y a bien trop de monde pour s'offrir un petit "plan".

Nous flânons jusqu'à l'embarcadère Montesquieu. Il y a la péniche royale. Elle propose un itinéraire le long des quais. Joie.
Nous arrivons juste au bon moment. C'est tellement beau que nous restons debout pour assister à la manœuvre de départ.
Il y a deux bateliers d'une gentillesse incroyable qui commentent ce que nous apercevons. La vue sur Bordeaux est sublime.
Voir les quais, les monuments de la ville depuis le fleuve est réellement phénoménal. Et avec cette météo, c'est inoubliable.
Clémentine me montre le petit groupe d'asiatiques. Ils prennent tous des photos. Ils sont une bonne vingtaine à mitrailler.

La promenade dure un peu plus d'une heure. Nous revenons à l'embarcadère, quai des Queyries. Il y a plein de touristes.
Tout le monde descend. D'autres montent à bord. Nous flânons sur les quais pour rejoindre ceux des Chartrons. Superbe.
Clémentine, discrètement, me touche à chaque fois qu'une occasion se présente. Je fais la même chose. Couple de coquins.
Nous restons assis sur un banc à regarder passer les bateaux. Des barques avec des touristes à bord. Il y a de l'ambiance.
Nous reprenons notre promenade. Nous quittons les quais pour retourner dans le quartier commerçant Saint Pierre. 16 h.

Nous avisons un salon de thé. Nous voilà devant nos secondes coupes glacées. En véritable gourmands. C'est un vrai régal.
< Regarde ! > me fait Clémentine en me montrant la rue. C'est la jeune asiatique qui nous a photographié le premier jour.
Elle est avec deux couples. Ils entrent dans le salon de thé. Quel heureux hasard. La jeune fille nous reconnaît. Un sourire.
Ils s'installent devant la terrasse. La jeune fille regarde souvent dans notre direction. Et à chaque fois nous nous sourions.
< Elle fait partie du "Club" ! > fait Clémentine. Je peux lui faire confiance, elle les repère. Nous décidons de nous amuser.

< Fais lui le test des chiottes ! > fait Clémentine. De l'index, à chaque fois que la jeune fille regarde, je montre les toilettes.
Je me lève. Je me dirige vers la porte des WC. Je lui lance un dernier regard. J'entre dans les chiottes. La lumière tamisée.
Je n'y suis pas une minute que j'entends la porte s'ouvrir. J'ai laissé celle des WC homme bien ouverte. C'est la jeune fille.
Clémentine avait raison. C'est une membre du "Club". Je suis debout devant un des deux urinoirs. Elle a super beau sourire.
Pas de doute. C'est une vicieuse. Je lui montre la porte d'un des deux cabinets. Elle entre sans hésiter dans les WC homme.

Elle s'y enferme. Je me branle. Je ne tarde pas à bander comme un priapique en phase terminale. Quelques minutes. Rien.
J'entends la jeune fille pisser. Par petits jets. Pas l'ombre d'un doute, c'est fait exprès. C'est absolument génial. Et j'écoute.
La chasse d'eau. Elle sort. Je lui présente une superbe belle queue, bien raide, que je tiens à sa base pour l'agiter en riant.
< Wouah ! French Dick ! > fait elle admirative et pas du tout étonnée. C'est tout simplement divin. Elle sort son téléphone.
Accroupie, elle prend ma bite en photo sous tous ses angles. Je la lui présente de toutes les façons. Je bande en vrai salaud.

Hélas, notre petite séance est interrompue par le bruit de la porte. C'est un type qui arrive. Je me retourne juste à temps.
Il semble étonné de voir cette jeune fille dans les toilettes homme avec un mâle d'âge mûr. Nous sortons en même temps.
Je rejoins Clémentine. La jeune fille rejoint son groupe d'amis. Je raconte à Clémentine. Le groupe d'asiatique s'en va. Dur.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine me fait : < Ta bite va connaître la célébrité au pays du soleil levant ! >. Rires.
Nous flânons dans le dédale des rues. Il est 19 h30. La faim nous tenaille. Nous avisons un restaurant gastronomique. Joie.

Nous mangeons de bon appétit. Je déplore de ne pas avoir laissé un numéro ou une adresse à la jeune vicieuse asiatique.
Nous savourons nos plateaux de fruits de mer en évoquant notre départ demain. Notre avion à 17 h à Mérignac. C'est dur.
C'est Estelle qui viendra nous chercher. Elle passera la nuit avec nous pour nous emmener au garage mercredi matin. Bien.
Nous traînons à table. Il est 22 h lorsque nous retournons flâner sur le quai Louis XVIII. Il faut mettre les sweats, K-Ways.
Il est 23 h lorsque nous sommes de retour. Au lit, la baise est divine. Un cunnilingus fou. Une fellation divine. Puis le dodo.

Bonnes photos de bite à toutes les coquines qui aiment suivre des inconnus jusque dans les toilettes des salons de thé...

Julien - (Dont les photos de sa bite iront enchanter quelques nippones vicelardes, là-bas, dans la lointaine Asie) -

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Classe - 34 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 761 -



Le dernier jour de découvertes Bordelaises

Hier matin, mardi, je suis réveillé par plein de bisous. Sur le nez, sur le front, sur les joues. On se saisit par mon érection.
J'ouvre les yeux. Au dessus du mien le bienveillant visage de Clémentine qui me chuchote des douceurs. Elle m'embrasse.
J'aime me frotter sur sa cuisse lorsqu'elle la coince entre les miennes, tout contre mes couilles. C'est une super sensation.
Nous nous précipitons aux toilettes avant de nous rendre à la cuisine. Ce jour il est 8 h. Dehors il fait toujours aussi beau.
Nous avons dormi tard. Nous nous préparons un copieux petit déjeuner que nous savourons avec appétit et en bavardant.

La vaisselle. Nous mettons nos tenues de sport. Nous descendons. Il faut encore rester en K-Ways. La fraîcheur matinale.
Quelques exercices d'échauffement et nous voilà à courir le long de notre circuit habituel. Le printemps est bien là. Super.
Il est 9 h30 lorsque nous sommes de retour après une heure d'un running des plus agréables. Nous prenons notre douche.
Nous nous habillons. Clémentine porte sa jupe kilt à carreaux rouges, son pull de coton fin et bleu nuit. Cheveux détachés.
Sur sa demande, je porte mon pantalon de lin clair et mon pull de golf clair au col en "V". Nous sommes en souliers "ville".

C'est notre toute dernière journée Bordelaise. Nous préparons nos valises, résignés mais très contents de nos découvertes.
Nous avons passé un agréable séjour dans cette ville remarquable sous une météo toujours clémente, sans canicule. Bien.
Il est 10 h15. Nos valises sont prêtes, les draps sont retirés, pliés et posés sur la chaise. Je passe l'aspirateur. C'est nickel.
Les valises dans le coffre de l'auto. Nous descendons. Comme convenu, je mets les clefs dans la boîte aux lettres. Terminé.
Nous prenons la direction Bordeaux. Je roule avec prudence. Et j'ai ma bite dans la main de Clémentine. Elle est heureuse.

Nous avons laissé un appartement propre, bien rangé. Je gare l'auto dans la petite ruelle habituelle. Dix minutes du centre.
Clémentine aimerait refaire la ville. Avec ce séjour trop court, nous avons manqué le marché du dimanche et celui de jeudi.
Le fameux marché des Chartrons. Le marché Bio du jeudi matin. Nous allons vers le centre commercial St Christoly. 5 mn.
Faire les marchés est une de nos occupations favorites lorsque nous sommes dans une autre région, une autre ville. Bien.
C'est toujours de grands moments de découvertes. Les gens, les odeurs, les parfums, les fruits, les légumes et l'ambiance.

C'est un quartier piétonnier qui permet d'apprécier une architecture variée. Ce très curieux immeuble aux balcons arrondis.
Il fait presque chaud. Nous retirons nos pulls que nous posons sur nos épaules pour rester en T-shirt. Nous flânons. Super.
Parfois, Clémentine m'entraîne à l'écart, entre deux voitures, sous l'entrée d'un immeuble. Elle me touche puis m'embrasse.
Je sais que cette attitude lui permet de gérer la légère tristesse du départ. Je la console comme elle aime. En étant salaud.
Je passe ma main sous sa jupe. Je palpe son sexe. J'essaie d'être le plus vulgaire possible. D'être discrètement vu. Vicieux.

La faim commence à se faire sentir. Il est midi passé. Nous lisons les menus affichés devant les restaurants. C'est sympa.
Nous portons notre choix sur un établissement gastronomique qui propose des spécialités Bordelaises. Il reste des tables.
L'intérieur est cossu. Le personnel est souriant. La décoration est rétro. Très "Art Déco". Et notre table près de la fenêtre.
La lamproie à la Bordelaise. Même si ce poisson ne paie pas de mine, découpé en fine lamelles, c'est exquis. Délicatesse.
Le notre est accompagné de poireaux, de tomates confites finement rissolées et de toutes petites pommes de terre. Miam.

Clémentine me fait remarquer les deux couples de quinquagénaires qui mangent deux tables plus loin. Le mec qui mâte.
Clémentine propose son show habituel sous notre table. Croisant et décroisant ses jambes avec exagération. C'est super.
Sur l'écran noir de mon smartphone que j'utilise comme un rétroviseur, je peux constater le regard insistant de l'inconnu.
Clémentine, quelquefois, passe sa main sous la table pour se toucher où se gratter. Toujours avec une certaine vulgarité.
< Je lui fais le test des chiottes ! > fait Clémentine en se levant. J'allume mon smartphone. Clémentine emmène le sien.

Elle n'est pas une minute aux toilettes que notre homme se lève pour s'y rendre à son tour. Attitude des plus classiques.
Je regarde l'écran de mon téléphone. Je fais le signal. Clémentine cambrée au dessus d'un urinoir, jupe retroussée. Pisse.
Son téléphone posé contre son sac à main sur le coin du lavabo me permet d'avoir une vue d'ensemble. L'inconnu arrive.
Il tombe sur cet étonnant spectacle. Cette jeune fille cambrée au dessus d'un urinoir, dans les toilettes homme. Sublime.
Je ne comprends par la nature des propos échangés. C'est sans doute à cause de la réverbération. J'ai mis les écouteurs.

Le type ouvre sa braguette, sort sa queue et se met probablement à pisser en discutant. Je les vois de dos. C'est étonnant.
C'est un parfait gentleman. Il sait visiblement profiter de l'aubaine. Il se sait privilégié. Il ne tente rien. Un mec intelligent.
Cette attitude permet de faire durer la situation sans effrayer la jeune fille qui le dépasse d'une demi tête. Même cambrée.
Clémentine se dresse. Avec un mouchoir en papier, elle se torche. Le type secoue les dernières gouttes tout en bavardant.
Clémentine se lave les mains. Je vois le mec récupérer le mouchoir posé sur le bord de l'urinoir. Le mettre en poche. Fou.

Clémentine quitte les lieux pour venir me rejoindre. Elle me confie son ressenti. L'intense excitation vécue à la perfection.
Le type est revenue s'assoir. Clémentine évite à présent de croiser ses regards insistants. Tout en continuant son numéro.
Nous terminons nos coupes glacées. Nous voilà dehors. Nous prenons les rues en direction du quai de la Douane. Sympa.
Nous flânons là jusqu'au quai Richelieu. Il y a des bancs. Un petit parc. La Garonne est large et magnifique. Eaux claires.
Il n'y a pas de réelle opportunité d'exhibe car il y a bien trop de promeneurs. Beaucoup d'étudiants. Beaucoup de jeunes.

Nous revenons pour visiter la Galerie Bordelaise. Une des deux galeries commerçantes couvertes avec le passage Sarget.
Nous découvrons les magasins, les boutiques et l'animation particulière de ce lieu fort convivial. Il y a quelques bistrots.
De vrais cafés à l'ancienne qui ne sont pas sans évoquer ceux de Paris. Beaucoup de touristes asiatiques. Photographies.
Nous découvrons l'architecture du Grand Théâtre. Clémentine prend quantité de clichés. On se fait photographier. Sympa.
Nous prenons la pose devant des monuments, comme des touristes lambdas pour des promeneurs. Cela nous amuse bien.

Il est 15 h30. Un dernier cône glacé. Nous retournons à la voiture. Il y a une vingtaine de kilomètres jusqu'à l'aéroport.
22 km jusqu'à Mérignac. Nous avons notre avion à 17 h15. J'aime anticiper. Nous apprécions d'avoir de la marge. Mieux.
Je roule doucement. Clémentine est si joyeuse. < C'était bien. Mais je suis contente aussi de rentrer ! > me confie t-elle.
Je suis animé du même sentiment. Et nous sommes même impatients de nous retrouver chez nous. Curieuse impression.
Je ramène la voiture à l'agence de location. Je récupère la caution. Argent liquide comme cela se pratique de plus en plus.

Le hall de l'aéroport est bondé de monde. Différentes destinations. Nous enregistrons nos bagages. Munis de nos billets.
L'avion est à l'heure. Compagnie nationale. Clémentine surmonte son appréhension en restant serrée contre moi. Rires.
Le vol du retour se passe sans encombre. Ce qui est normal. Nous ne l'emmenons jamais avec nous. Une heure de ciel.
Nous arrivons à l'heure prévue. Estelle nous attend dans le hall. Elle se précipite. Les yeux humides. Tellement contente.
Elle nous fait plein de bisous. Je la soulève pour la faire tournoyer. < Vous m'avez manqué. Plus jamais ! > s'écrie t-elle.

Estelle est venue nous chercher avec la voiture d'entreprise. Il n'y a que des places à l'avant. Tous les trois assis devant.
Il y a 45 km jusqu'à la maison. Nous racontons notre séjour Bordelais. Nos aventures qu'il faudra développer. Rigolades.
Il est 19 h lorsque nous arrivons. La végétation a changé. Tout est en fleurs et devient vert par ici aussi. Vrai printemps.
Estelle nous a préparé une surprise. Elle a fait une Flamiche Picarde. La tarte aux poireaux. Notre délice du mardi soir.
Nous n'avons qu'à mettre les pieds sous la table pendant qu'elle sort la Flamiche du four encore chaud. Quel merveille !

Nous félicitons Estelle pour cette divine surprise et pour ce délicieux repas. Elle nous raconte sa semaine. Boulot. Bureau.
Samedi soir à l'anniversaire de Gauvain, le collègue étudiant qui fête ses 24 ans. Le dimanche, anniversaire de la mamie.
Nous traînons à table. Un soudain coup de fatigue. Estelle passe la nuit avec nous. Elle nous emmène au garage demain.
Elle a tout prévu. La vaisselle. Rapidement reviennent nos réflexes. Estelle qui plonge sa main dans ma braguette. Rires.
Nous passons au salon pour nous vautrer tous les trois dans le canapé. Je suis entre Clémentine et Estelle. Bavardages.

Il reste encore cinq jours de vacances avant la rentrée de lundi prochain. Estelle viendra tous les soirs. Planning arrêté.
Je me retrouve rapidement avec la bite dans la main d'Estelle qui, tout en discutant, me la tord dans tous les sens. Joie.
< Je me la bouffe tous les jours ! > me fait elle. < Avec ma permission ! > rajoute Clémentine. Nous rions de bon cœur.
Clémentine met la carte SD de l'appareil photo dans l'ordinateur. Nous montrons les photos prises à Bordeaux. Souvenir.
Clémentine commente. Estelle pose des questions. Je bande mou. J'écoute. Nous sommes tous les trois assez fatigués.

< Une soirée photos comme de vrais blaireaux ! > fait Estelle en se mettant à genoux entre mes jambes. Nous rigolons.
Clémentine passe sa main dans sa culotte. Elle s'apprête à assister à un de nos spectacles préférés. Le pompier d'Estelle.
Je la regarde humer l'odeur de ma journée d'homme. Elle me décalotte légèrement pour en renifler les effluves de frome.
Nous la regardons sucer avec passion. Notre "petit animal de compagnie" est à nouveau avec nous. Le bonheur sans nom.
Clémentine propose de monter, nous finir au lit. Estelle s'endort la première sans finir sa pipe. Clémentine se serre. Dodo.

Bon retour à toutes les coquines qui vont pouvoir reprendre leurs petits rituels vicelards, routiniers et si excitants…

Julien - (Qui écoute les dernières révélations de Clémentine serrée contre lui tout en s'endormant) -

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Nous récupérons la nouvelle auto

Hier matin, je suis réveillé par des chuchotements, des murmures. On me couvre le visage de bisous. On me tient la bite.
Je suis entre Clémentine et Estelle. Tel un bienheureux. J'ouvre les yeux. Je les serre toutes les deux fort tout contre moi.
Nous restons ainsi à savourer notre privilège. Estelle se lève la première pour se précipiter aux chiottes, criant : < Pipi ! >
Elle revient dans son pyjama de soie mauve pour nous dire : < Je descends préparer le petit déj ! >. Elle dévale l'escalier.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Morts de faim, nous rejoignons Estelle à la cuisine. Il est déjà 8 h.

Il est plutôt rare que nous dormions si longtemps. Mais nos sommeils étaient si profonds. Estelle a fait d'autres surprises.
Il y a de la brioche. Nous avons ramené un gros pain aux noix de Bordeaux. Il y a des oranges pour faire un jus. Superbe.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Curieusement, nos vacances paraissent déjà loin. Et ce n'était que hier.
Nous traînons à table. Dehors, il y a du soleil. Une belle journée s'annonce. La vaisselle. Pas de jogging ce matin. Peinard.
Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. J'ai les mains dans les culottes des filles. Miam.

Nous nous habillons. Estelle reste en jeans, chemise à carreaux et baskets. Clémentine met une de ses jupes de velours.
Le carmin lui va si bien. Un chemisier sous un fin pull de coton noir. Sur sa demande, je porte mon pantalon de lin clair.
Nos souliers de ville. Nous voilà tous les trois devant le miroir de l'armoire. Je suis entre Clémentine et Estelle. Des bises.
Elles s'accroupissent pour poser leurs têtes contre mes cuisses. < Est-ce à votre goût "Maître" ? > fait Estelle la première.
< Est-ce à votre convenance, "Maître" ? > rajoute Clémentine. Je réponds : < Vous êtes d'adorables "Soumises" ! > Rire.

Ce jeu, qui est devenu un véritable rituel depuis quelques semaines, nous amuse beaucoup. Je sors ma bite. Toute molle.
Les filles y frottent leurs visages en gémissant. A tour de rôle elles sucent un peu. D'abord Estelle, bien évidement. Bien.
Je les laisse se sustenter un peu avant de les forcer à se redresser. Je leur masse les genoux. < Pauvres "Soumises" ! >
Nous dévalons l'escalier. Il est presque 9 h. Il faut mettre une veste. La fraîcheur est encore celle d'avril. Et assez sévère.
Nous voilà tous les trois installés dans la voiture d'entreprise d'Estelle. Clémentine et moi sur le siège passager. Et serrés.

Treize petits kilomètres jusqu'à la zone commerciale. Le concessionnaire Mercedes où nous attend notre nouvelle voiture.
Je suis prêt à sauter à l'arrière s'il y avait des gendarmes. Nous passons devant le haras où il y a plein d'autos de garées.
C'est la petite route. Nous y croisons peu de véhicules. La campagne a bien changé. Des feuilles aux arbres, des couleurs.
Nous arrivons. Estelle doit s'en aller. Elle travaille au bureau de l'entreprise familiale. Elle revient nous rejoindre en soirée.
Nous entrons dans le grand hall lumineux du garage. Monsieur Ferdinand, le gérant, vient à notre rencontre. Costard noir.

Nous nous serrons la main. < Elle vous attend ! > nous fait le directeur en nous invitant à le suivre. Il y a d'autres clients.
Monsieur Ferdinand est un dragueur invétéré. Bien sûr, il ne peut s'empêcher de draguer Clémentine malgré ma présence.
Ferdinand Baratino comme l'appelle Clémentine. La nouvelle voiture nous attend derrière le hall. Rutilante. Noire. Brillante.
Même si elle ressemble beaucoup à l'ancienne, il y a quelques changements. La calendre, les phares, lignes plus allongées.
C'est surtout à l'intérieur qu'il y a quelques nouveautés. Les sièges en cuir beige. Il y du beau bois de rose dans l'habitacle.

Monsieur Ferdinand ouvre le capot. Moteur en métal clair. Il nous explique la conception. On s'en fout quand même un peu.
C'est un "V 8", 360 chevaux. Pour moi, ça ne veut pas dire grand chose. C'est juste pareil que l'autre mais plus sophistiqué.
Tout cela n'a que peu d'intérêt. Je roule pépère sans jamais dépasser les vitesses autorisées. Et souvent même en dessous.
Combien de fois je me fais klaxonner sur des routes limitées à 90 km/h alors que je circule à 80 km/h. Et cela nous amuse.
Monsieur Ferdinand tend les clefs à Clémentine qui s'en empare avant de me les donner. Nous en rions de bon cœur. Bien.

Le plein est fait. Un réservoir de 65 litres. Une autonomie d'environ 700 km. Surtout avec mon mode de conduite. Super.
Nous laissons monsieur Ferdinand qui nous propose un café après notre tour d'essai. Clémentine s'installe. Côté passager.
Je démarre. Pas le moindre bruit de moteur. Pourtant l'affichage lumineux le confirme. Je roule doucement. C'est sympa.
La voiture est docile et répond immédiatement à la moindre sollicitation. Vitesses automatiques. C'est simple, c'est facile.
Je propose à Clémentine d'essayer le "porte avion" comme elle appelle mes voitures. A ma grande surprise, elle accepte.

< On se dirait devant la console d'un jeu vidéo ! > me fait elle en prenant place au volant. Elle regarde toutes les fonctions.
Les vitesses automatiques déconcertent le conducteur qui n'en n'a pas l'habitude. Clémentine cherche à passer les vitesses.
< Je m'y ferai jamais ! > fait elle en roulant pourtant à la perfection. La voiture est une "bombe". Il faut maîtriser la pédale.
Quelques instants d'adaptation et c'est assimilé. Nous revenons au garage. Nos cafés sont fumants. Mr Ferdinand lui aussi.
Sans le moindre scrupule monsieur Baratino baratine Clémentine. Nous lui donnons nos impressions. Superbe bagnole. Joie.

Il est presque 11 h lorsque nous quittons le garage. Je roule prudent. < Inauguration ! > fait Clémentine, ma bite en main.
Nous rions de bon cœur. Nous allons jusqu'à l'hypermarché pour y faire nos courses. D'une pierre deux coups. C'est super.
Je pousse le caddie. C'est mercredi matin, il y a peu de monde. Clémentine s'offrirait volontiers une petite exhibe pour rire.
Nous avons beau parcourir les rayons ou cela est discrètement possible, mais il n'y a pas de "V.P.", de victimes potentielles.
Nous faisons nos courses. Vendredi est un jour férié. Tout comme lundi prochain. Vendredi Saint et lundi de Pâques. Parfait.

Nous faisons provision de fruits, de légumes et surtout de poissons. Quelques fromages que nous apprécions. Riz et pâtes.
Je propose à Clémentine de manger à la cafétéria car le menu est des plus alléchants. De plus, il n'y a pas trop de monde.
< Non, viens, on rentre. Je suis pressée d'être chez nous. Ça m'a manqué toute la semaine ! > répond Clémentine. Super.
Dans la voiture, Clémentine joue avec ma bite tout en riant des plaisanteries de Ferdinand Baratino. < Quel âne ! > dit elle.
Il est midi trente lorsque nous sommes à la maison. Nous rangeons les courses. Clémentine s'occupe de la salade. Tomate.

Je prépare le bouillon pour les moules. Je décongèle les haricots verts direct dans le Wok. Et nous montons nous changer.
Tenues vélo. Avec ce beau temps et cette douceur, nous sommes pressés d'aller faire de la bicyclette. Nous redescendons.
Tout est prêt. Nous mangeons de bon appétit. Et curieusement, nous n'évoquons pas une seule fois notre séjour Bordelais.
C'est déjà loin. Déjà de l'histoire ancienne. Nous sommes tournés vers l'avenir. Pas du tout nostalgiques du passé. Positifs.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous découvrons les fleurs qu'Estelle a disposé un peu partout. Cueillies au jardin.

Il fait doux. Clémentine porte une jupette plissée, façon tennis. Un T-shirt. Je suis en short et en T-shirt. Nos baskets vélo.
Toutefois, dans le petit sac à dos, nos leggings, nos K-ways. Il faut anticiper la fraîcheur de fin d'après-midi. C'est parfait.
Je vérifie le gonflage des pneus. Ça n'a pas bougé. 4,5 bars, devant et derrière. Nous voilà en route pour la piste cyclable.
Nous croisons quelques cyclistes. Nous sommes en pleine semaine. La fréquentation est moindre. C'est très sympathique.
Arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Je reste planqué. Clémentine de l'autre côté de l'écluse guette l'arrivée d'un "solitaire".

Dix minutes se passent. C'est juste un groupe. Jeunes femmes en vélos de courses qui passent. Et pas de cyclistes mâles.
Il faut se faire une raison. Clémentine décide de se retenir jusqu'au port de plaisance où nous arrivons vers 15 h30. Super.
Il y a les boulistes, occupés à leur pétanque. C'est les vacances. Quelques touristes. des premiers bateaux son débâchés.
Nous en avons déjà croisé deux sur le canal. C'est le début de la saison pour la navigation de plaisance. Il fait même chaud.
Nous nous offrons nos cônes glacés à la supérette. Madame Marthe la gérante nous annonce les festivités de ce dimanche.

Il y aura la course à l'œuf animé par John Deuf, le clown. C'est destiné aux familles. Fêtes organisées par la municipalité.
Nous flânons en dégustant nos glaces. Clémentine a retiré sa culotte pour la mettre dans le sac que je porte. C'est bien.
Je peux la toucher. Elle m'entraîne dans les fourrés à proximités des sanitaires des plaisanciers et des toilettes publiques.
La capitainerie du port est encore fermée. Ce sont les vacances, l'endroit est le lieu de rendez-vous des jeunes du bourg.
Impossible de s'offrir un plan exhibe. Clémentine aimerait beaucoup s'offrir une petite frayeur. Il faut se faire une raison.

Dix sept heures. Nous prenons le chemin du retour. Nous pédalons contre un léger vent de Nord Est. Et très désagréable.
Il faut enfiler les leggings et les K-ways. Il est 19 h lorsque nous sommes de retour. Estelle est déjà là. Elle nous aperçoit.
Elle se précipite dans le jardin pour nous faire plein de bises. Nous lui racontons notre équipée vélo. Et elle nous entraîne.
Estelle a préparé le repas. Un gratin de coquillettes accompagné d'une sauce au Roquefort et de trois filets de cabillaud.
Nous sommes morts de faim. Ce repas est une divine surprise. Nous nous changeons. Et nous mangeons de bon appétit.

Nous traînons à table. Estelle nous raconte sa journée de bureau dans l'entreprise familiale. C'est un peu ardue et pénible.
La comptabilité, les fiches de salaires et les nouvelles mesures de "retenues à la source". Bref, de quoi se prendre la tête.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous félicitons Estelle pour ce délicieux repas. < J'ai mon dessert ? > me fait elle.
Elle a passé sa main dans ma braguette. Clémentine nous entraîne au salon. Nous voilà vautrés dans le canapé. Fatigués.
Je me retrouve très rapidement avec la bite dans la main d'Estelle qui, tout en bavardant, me la tord dans tous les sens.

Nous restons ainsi. J'écoute les filles discuter de la rentrée du troisième trimestre, mardi prochain. Et elles se réjouissent.
Estelle, à genoux sur l'épais coussin, me taille une véritable pipe des familles. Elle prend ce "dessert" tant attendu. Super.
Clémentine se masturbe doucement. Nous observons tous deux la fellation passionnée d'Estelle à qui ma bite a manqué.
Il est 22 h lorsque je lui éjacule au fond de la gorge. Elle tente de déglutir en toussant. Clémentine a un orgasme dingue.
Nous raccompagnons Estelle à sa voiture. Séparation difficile. Au lit, Clémentine me confie ses ressentis. Bonheur. Dodo.

Bon retour dans le train train habituel à toutes les coquines qui retrouvent leurs petites habitudes...

Julien - (Qui prend un grand plaisir à "nourrir" Estelle de sa crème chaude, visqueuse, épaisse et gluante. Le salaud) -

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C'est très sympa le train-train quotidien

Hier matin, jeudi, nous nous réveillons quasiment en même temps. Il est 8 h. Clémentine se serre contre moi. Des bisous.
J'adore quand elle glisse sa cuisse entre les miennes pour appuyer sur mes couilles. Je peux me frotter. Me branler aussi.
Nos papouilles sont brèves car nos envies de pisser sont si fortes. Clémentine m'entraîne par la queue jusqu'aux toilettes.
Morts de faim nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. Dehors le ciel est bleu. Nous préparons un copieux petit déjeuner.
Il reste de la brioche qu'Estelle nous a apporté. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant Estelle qui nous manque.

La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents et nous mettre en tenues sport. Cette météo invite à pratiquer le jogging.
Il faut toutefois enfiler un K-ways car la fraîcheur matinale de ce 18 avril reste de saison. Quelques séries d'échauffements.
Nous voilà à courir dans un paysage à nouveau vert, coloré et où les arbres se couvrent de feuilles. Et il était grand temps.
Nous courons le long de notre circuit habituel. La grande boucle. Une heure d'un running des plus agréables. Un vrai plaisir.
Il est 9 h45 lorsque nous sommes de retour pour prendre une douche salvatrice et bien méritée. Nous traînons. Vacances.

Nous nous habillons. Nous mettons nos jeans et nos chemises à carreaux. Nous faisons les clowns devant le miroir. Armoire.
Clémentine, accroupie à ma gauche, tient ma jambe, sa tête en appui contre ma cuisse. < Je vous aime "Maître" ! > dit elle.
Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Je vous aime, ma délicieuse "Soumise" ! >. C'est devenu un amusant rituel.
Nous en rions de bon cœur. Je sors ma bite. Clémentine peut y frotter son visage avant de me sucer un peu, si délicatement.
Je la laisse pomper un peu. C'est tellement bon. Je lui chuchote des douceurs mêlées à quelques cochonneries bien senties.

Je la force à cesser en la relevant par les oreilles. Nous nous embrassons en bavant avant de descendre à toute vitesse. Joie.
Nous sortons. Il fait doux et il n'est que 10 h30. Nous faisons le tour de la propriété. Dans le potager, des mauvaises herbes.
Machinalement en parlant nous désherbons un peu. Je demande : < Tu as envie de t'emmerder avec un potager cet été ? >
< Non ! Pas vraiment ! > répond Clémentine. Je propose de conserver uniquement les tomates, les poireaux et les carottes.
Du choux, du persil et la ciboulette dont nous faisons grand usage. De toute manière nous n'en profitons pas juillet et août.

Nous désherbons une demi heure. Tout est nickel. La terre a été retournée par l'entreprise paysagère il y a deux semaines.
Nous plantons dès demain. Nous allons dans la serre. La roseraie sent bon les premières fleurs odorantes du printemps. Joie.
Il y fait déjà chaud à cause du double vitrage. Il faudra désherber les jardinières. La végétation envahi tout. Nous le faisons.
Clémentine me parle de notre prochain séjour en Ecosse. C'est dans deux mois et deux semaines. Elle s'en réjouie déjà tant.
< Cet été, on fait comme si on vivait déjà à Edimbourg. Improvisation totale au jour le jour ! > fait elle. Superbe suggestion.

Ce qui n'empêche pas de refaire nos virées préférées. Cet été nous passerons une semaine en Irlande. Je m'occupe de tout.
Louer un petit cottage où nous pourrons passer sept jours pour randonner, visiter, découvrir. L'Irlande c'est comme l'Ecosse.
Tout y est vert, grandiose et les paysages époustouflants. Il faut sortir de la roseraie à plusieurs reprises car il y fait chaud.
Nous sommes rapidement en sueur mais cette activité de jardinage nous comble d'aise. 11 h30. Nous cessons tout. La faim.
Il fait presque chaud. Nous rentrons. Clémentine se serre contre moi. Elle suggère de manger dans la véranda. Bonne idée.

Clémentine s'occupe de la salade de tomates. Je fais bouillir l'eau des spaghettis. Je prépare la pâte à pain pour les pizzas.
Le jeudi soir, c'est le rituel des pizzas. Je fais la garniture. Tomate, ail, oignon, persil et ciboulette. C'est très rapide. Super.
Nous mangeons de bon appétit. Cet après-midi nous partons à bicyclette. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous montons.
Lavage de dents et puis nous mettons nos tenues vélo. Clémentine porte sa jupette plissée façon tennis. Un simple T-shirt.
Je porte mon short en lycra noir, un T-shirt. Nos baskets. Dans le petit sac à dos, nos leggings et nos K-ways. Pour le soir.

Il n'est même pas 13 h30 lorsque nous descendons le chemin jusqu'à la piste cyclable à quelques cinq cent mètres. Parfait.
Il n'y a pas trop de monde. Principalement des séniors sportifs, des jeunes en vacances, des filles en rollers, des joggeurs.
Des pêcheurs aussi sur le bord du canal. Il fait vraiment très agréable. Nous avons tant attendu ça. C'est un vrai bonheur.
Arrêt pipi et exhibe au cabanon de l'écluse. Hélas, aucun cycliste solitaire. Que des groupes ou des couples qui circulent là.
Clémentine se retient pour plus tard. Nous arrivons au petit port de plaisance vers 15 h15. L'animation habituelle. Superbe.

Nous avons croisé trois bateaux de plaisance sur le canal. Et les premiers plaisanciers bavardent sur le pont de leur navire.
Nous fermons nos bicyclettes à cadenas. Clémentine retire sa culotte pour la glisser dans le petit sac à dos que je trimballe.
Nous allons chercher nos cônes glacés à la supérette. Nous bavardons un peu avec madame Marthe, la gérante. C'est bien.
La dame a toujours plein de choses à raconter et nous tient informés des actualités sur le port. Bientôt le vide grenier. Mai.
Nous savourons nos glaces en flânant sur le quai. Les joueurs de pétanques, les plaisanciers, les premiers touristes. Super.

Inutile d'aller rôder dans les fourrés près des toilettes publiques. C'est les vacances. C'est le lieu de rendez-vous des jeunes.
Par contre, sur le parking, entre la dernière rangée de voitures et le muret, il y a là une opportunité que saisit Clémentine.
Il y a un homme seul, assis, qui regarde une carte routière dépliée. Je reste en retrait. Clémentine s'avance entre les autos.
Je ne la vois plus car elle vient de s'accroupir. Elle est entre deux voitures. Bien en face du mec, à une vingtaine de mètres.
Le type doit l'avoir vu. Il regarde avec une grande attention. Je devine le spectacle que lui offre Clémentine. Je bande dur.

Si je me déplace, je me fais repérer. C'est frustrant parce que moi aussi j'aimerai bien assister au show. Je regarde le mec.
Il regarde dans toutes les directions, saute du muret où il était assis, ouvre la braguette de son short et agite un gros Zob.
Une véritable saucisse de Morteau. Il la tient à sa base. Il bande mou. Il l'agite en direction de la fille. Il dit quelque chose.
Je ne comprends pas. Je suis trop loin. Il regarde partout autour de lui. Prudent. Il se met à se branler doucement. Sympa.
Je ne vois toujours pas ce que fait Clémentine. Le branleur s'avance tout en se massant la turbe. Et il n'est plus qu'à 10 m.

Clémentine se redresse d'un bond. Elle réajuste ses larges lunettes noires, tourne les talons pour filer à toute vitesse. Bien.
Le type se met à accélérer. Il suit carrément la jeune fille tout en remballant son sexe. Il est temps d'intervenir. Le danger.
Le gars me voit jaillir comme un diable de sa boîte. Il comprend soudain. Il tourne des talons pour détaler comme un lapin.
Clémentine vient me rejoindre. < Un con ! > me dit elle en m'entraînant là où elle était accroupit. Une large flaque de pisse.
Elle me raconte. Le type qui propose de baiser. Direct. Carrément. < Et ceux-là ce sont les pires ! > me précise Clémentine.

Elle me confie ce qui ressort de ses nombreuses expériences depuis cinq ans. Ceux qui proposent la pipe, sont les plus cool.
Par contre il faut se méfier de ceux qui proposent la baise. Ils veulent souvent arriver à leur fin. Parfois par la violence. Dur.
Ce n'est pas une règle absolue mais c'est ce qui ressort des multiples expériences de Clémentine dans le domaine d'exhibe.
Nous nous offrons un second cône glacé avant de prendre le chemin du retour. Clémentine remet sa culotte. Nous rigolons.
Elle déteste faire de la bicyclette sans culotte. La selle est beaucoup trop irritante. Et un léger vent de Nord Est contre nous.

Il est 19 h lorsque nous revenons à la maison. La voiture d'entreprise garée devant le garage. Estelle est là. C'est superbe.
Elle nous voit depuis la fenêtre de la cuisine. Nous nous dépêchons de rentrer. Si pressés de nous retrouver tous les trois.
Estelle nous fait la bise, me saute au cou. Je la soulève. < Les pizzas sont au four ! > s'écrie t-elle en me faisant des bisous.
Clémentine s'interpose pour se blottir contre moi. C'est un jeu qui nous amuse beaucoup. Nous montons pour nous changer.
Estelle, assise sur le lit regarde la bosse dans mon slip en disant : < J'aime beaucoup voir mon dessert qui se prépare ! >

Nous en rions de bon cœur. Clémentine glisse sa main dans mon slip et dit : < Toi aussi tu raffoles de crème fouettée ! >
< J'en ferai volontiers mon quotidien ! > répond Estelle qui se met à genoux, les mains sur la tête, bouche grande ouverte.
Clémentine sort ma queue, m'entraîne devant Estelle. Elle l'agite sous son nez en lui disant : < Sens comme ça remugle ! >
Depuis la douche de ce matin, la sueur et les épanchements au port de plaisance, il y a en effet de quoi humer les parfums.
L'odeur de zob nous monte d'ailleurs aux nez à tous les trois. < Mmmhhh ! > fait Estelle. Clémentine l'empêche de sucer.

< C'est pour après ! > fait elle en même temps que résonne la sonnerie du four qu'on entend à peine depuis la chambre.
Je saisis Estelle par sa natte pour l'entraîner comme par une laisse. Elle manque de trébucher en se redressant. Je tire fort.
< Tu gardes cette attitude sel te pli, c'est trop bien. Et je mérite, j'ai tout préparé ! > fait Estelle dans l'escalier. Je promets.
Les pizzas sont un chef-d'œuvre culinaire. Accompagnées d'une délicieuse laitue. Nous félicitons Estelle. C'est un réel délice.
Nous mangeons de bon appétit. Estelle nous apprend que nous sommes invités lundi de Pâques chez ses parents. Surprise.

< C'est maman qui a insisté ! Et moi je suis avec les gens que j'aime le plus au monde. Mes parents et vous ! > fait Estelle.
La coquine a arrangé le coup. Elle est adorable. Nous acceptons avec plaisir. On sera ensemble tous les trois. C'est superbe.
Nous traînons à table. La fatigue se fait sentir. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. < Mon dessert ! > fait Estelle. Rires.
Elle passe sa main sous mon tablier pour se saisir de ma bite toute molle. < Je veux sucer tous les jours ! > s'écrie t-elle.
< Si tu es sage ! > lui fait Clémentine qui s'interpose par jeu, s'accroupissant pour passer sa tête sous mon tablier et sucer.

Je retire mon tablier tout en me faisant tailler une pipe par Clémentine. Estelle m'embrasse. Nous avons la salive qui coule.
Nous cessons pour regarder Clémentine pomper avec passion. < Et moi ! > fait Estelle. Clémentine cesse et lui tend le Zob.
Estelle ne se fait pas prier. Clémentine se met à genoux sur le carrelage pour observer la pipe d'Estelle. Et cela l'excite tant.
J'éjacule dans la bouche d'Estelle qui ne s'y attendait pas aussi vite. Je jute en sournois. Sans bouger. Estelle tousse, avale.
Il est 22 h30. Nous raccompagnons Estelle à son auto. Elle revient demain. Au lit, j'offre un cunnilingus à Clémentine. Dodo.

Bonne pipe à toutes les coquines qui aiment sucer à la cuisine, devant l'évier, après de délicieuses pizzas "natures"...

Julien - (Qui a promis à Estelle de lui offrir le Week-end de Pâques le plus vicelard, le plus salace de toute sa vie) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 37 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 764 -



C'est enfin un vrai printemps

Hier matin, vendredi, je suis réveillé par un léger mouvement du matelas. Un presque imperceptible froissement de draps.
Lorsque je sors du sommeil, ma respiration change. C'est ce qui averti immédiatement Clémentine qui cesse sa branlette.
< J'ai fait un rêve érotique ! > me fait elle en se blottissant contre moi, sa cuisse entre les miennes et contre mes couilles.
Je chuchote : < Bonjour ma délicieuse masturbatrice ! >. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Pipi.
Morts de faim, nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine où nous préparons un copieux petit déjeuner. Dehors il fait beau.

Nous mangeons de bon appétit. Nous sommes déjà vêtus de nos tenues de sport. Et Clémentine raconte son rêve érotique.
Il y est question d'un inconnu dans une sorte de nacelle. Il lui montre sa queue en lui faisant des propositions malhonnêtes.
Nous rions de bon cœur. Cette une situation très proche des réalités déjà vécue. Il est déjà 8 h05. Nous faisons la vaisselle.
Il faut encore enfiler un K-way et s'échauffer avant de courir d'un bon rythme. Nous faisons notre circuit habituel. Superbe.
Il est 9 h lorsque nous sommes de retour après un running des plus agréables. Nous prenons notre douche. C'est un plaisir.

Nous nous habillons. Nos jeans, nos chemises à carreaux et de vieilles baskets. Nous allons au jardin. Il fait presque chaud.
Dans le cabanon, accolé à l'arrière du garage, il y a tout l'outillage, brouette, pelles, bêches, râteau, échelle et des graines.
Je prends les sachets contenant les graines de tomates, de carottes, de poireaux, de persil, de ciboulette et de choux. Bien.
Nous voilà occupés au potager. Je fais un trou profond avec le plantoir, Clémentine y verse quelques graines. C'est amusant.
Nous bavardons. Nous nous faisons des bisous. Cette occupation ludique est fort plaisante. Il y a déjà des limaces, lombrics.

Une bonne partie de la matinée passe ainsi. Nous terminons en plantant des tuteurs pour les futurs plans de tomates. Joie.
Dans la roseraie, nous plantons du persil et de la ciboulette dans les jardinières. Il y fait rapidement insupportable. Chaleur.
Il est 11 h30 lorsque tout est terminé. Il reste à arroser le potager et les jardinières. Clémentine tient le jet en déconnant.
Tenant l'extrémité du tuyau contre la braguette de son jeans, elle mime un pissou masculin. Elle règle de débit en tournant.
Cambrée sur ses jambes écartées, les genoux fléchis, avec une grande vulgarité, Clémentine imite le pisseur à la perfection.

La faim se fait sentir. Nous rentrons. Nous montons nous changer. Et nous rincer un peu sous les aisselles à la salle de bain.
Nous revêtons nos tenues vélo. Accroupie à ma droite, devant le miroir de l'armoire, Clémentine a sa tête contre ma cuisse.
Les cuisses largement écartées pour montrer l'absence de culotte, elle fait : < Vous serez salaud cet aprème "Maître " ? >
Ma main sur sa tête. Je dis : < Je serai comme vous le souhaitez, ma délicieuse "Soumise" ! >. Nous en rions de bon cœur.
Ce jeu devenu quotidien est un rituel qui nous amuse tant. Je sors ma bite afin qu'elle puisse y frotter son visage. Le plaisir.

Je la laisse sucer quelques instants avant de la forcer à se redresser. Nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine en rigolant.
Clémentine s'occupe de la salade. Une belle laitue. Je prépare du riz complet. Deux filets de lieu noir soigneusement panés.
Nous mangeons de bon appétit dans la véranda exposée plein sud. Une des grandes baies vitrées ouverte. Il fait si doux.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Et poilade.
A nouveau, juste avant de descendre, le rituel du "Maître" et de la "Soumise". Il est à peine 13 h15. Nous sommes pressés.

Nous voilà sur nos bicyclettes pour rejoindre la piste cyclable. Il y a du monde. C'est comme un dimanche. Et 24° au soleil.
Nous croisons quantité de cyclistes, de jeunes filles en rollers, de joggeurs, des promeneurs et même des trottinettes. Fou.
Il faut faire attention aux irresponsables qui laissent leur chien déambuler sans les attacher. Inconscients du grand danger.
Arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Nous n'avons pas le temps de nous mettre en place. Il y a un jeune cycliste qui se pointe.
Il ne fait pas attention à nous. Il a probablement un appel. A l'arrêt, il répond au téléphone. Je saisis Clémentine à la nuque.

Nous sommes sur le bas côté, entre le cabanon et les buissons. Je la force à s'accroupir. Je sors ma bite. Personne ne vient.
Je frotte mon Zob sur le visage de Clémentine. Elle pousse des gloussements, surprise par mon initiative soudaine. Elle suce.
Le type se tourne. Il nous voit tout en téléphonant. Clémentine lui tourne le dos. Je lève mon pouce en signe de satisfaction.
Il a un sourire. Je murmure ce qui se passe à Clémentine. Elle s'étouffe de rire avec ma queue dans la bouche, maintenue.
Le type s'en va, levant son pouce en signe de félicitation. Je force Clémentine à se redresser. Nous repartons et très excités.

Il est 15 h15 quand nous arrivons au petit port de plaisance. Nous fermons nos vélos à cadenas. Il y a beaucoup de monde.
Nous traversons la rue pour aller chercher nos cônes glacés à la supérette. Nous bavardons un peu avec la gérante. Sympa.
Dans un des rayons, il y a un touriste qui choisi des boîtes de conserves. Il mâte Clémentine avec appétit. Regard insistant.
Je me rends compte qu'elle se touche, main sous sa jupette et tout près de lui. Il y a du passage. Clémentine est virtuose.
Une femme vient rejoindre le type. Ce qui met fin à la situation. Aux caisses, le couple est en face. Le type mâte en douce.

Personne ne fait attention à nous. Je mets ma main sur le sexe de Clémentine tout en fixant le mec. C'est rapide et discret.
Je refais une seconde fois en faisant un clin d'œil au type. Nous payons. Nous sortons. Nous flânons en savourant nos cônes.
< Je t'aime Julien ! Tu fais tout exactement comme j'aime. Regarde ! > me murmure Clémentine en saisissant mon poignet.
Nous sommes à l'abri des regards entre le kiosque et le tronc d'un platane. Elle met ma main entre ses cuisses, sous la jupe.
Son sexe est mouillé. J'ai immédiatement envie de lui bouffer la chatte. Je le lui suggère. < Mmmmhhh ! > gémit elle. Rire.

Il y a bien trop de gens pour tenter un plan exhibe de qualité. L'ambiance et l'affluence du port ne s'y prêtent pas. Risqué.
Il y a bien quelques opportunités. Clémentine s'accroupit entre deux voitures lorsqu'un quidam entre dans la sienne. Bien.
Rien de vraiment "croustillant". C'est une journée "sans". A chaque fois que c'est possible, je touche Clémentine. Vulgaire.
De préférence lorsque nous croisons le regard de quelques inconnus solitaires. Femmes, hommes. Les deux ont un sourire.
Nous portons tous les deux nos larges lunettes de soleil noires. Clémentine à les cheveux défaits. Anonymat parfait. Super.

Un second cône glacé que nous dégustons assis sur le muret en bout de quai. Il fait chaud au soleil. La journée magnifique.
Il est 17 h30 lorsque nous prenons le chemin du retour. Il y a autant de monde au retour qu'à l'allé. Nous arrivons à 19 h.
Estelle est déjà là. Sa voiture garée devant le garage. Elle nous voit depuis la fenêtre de la cuisine. Nous nous dépêchons.
Estelle nous fait la bise, ma saute au cou. Elle est entrain de préparer des petites patates rissolées et une omelette. Miam.
Nous n'avons plus qu'à nous assoir. Nous mangeons de bon appétit. Estelle nous raconte sa journée au bureau. Un peu dur.

Nous traînons à table. La fraîcheur du soir impose de fermer la grande baie vitrée de la véranda. La nuit suit le crépuscule.
Il y a même déjà quelques insectes qui virevoltent sous la lumière du plafonnier. Notre vaisselle. Nous rangeons la cuisine.
Estelle se montre très caressante. Elle n'arrête pas de chopper mes couilles par derrière. Je porte mon short lycra. Facile.
Clémentine lui retire la main en disant : < C'est pas encore les œufs de Pâques ! Il faut attendre lundi et le lapin ! >. Rires.
Je saisi Clémentine par ses cheveux attachés. Je chuchote : < J'ai envie d'être vicelard avec toi ! Si tu savais ! Salope ! >

Clémentine en glousse d'aise. Estelle fait : < Et pourquoi pas avec moi ? >. Nous rigolons comme des bossus. Je la saisis.
J'entraîne les filles par leur tignasse, d'une poigne ferme, jusqu'au salon. Je dis : < A genoux sur les coussins ! >. Ordre.
Estelle dépose les deux coussins au sol. Elle s'y mettent toutes les deux à genoux. J'ordonne : < Et mains sur la tête ! >
Estelle porte ses jeans, sa chemise à carreaux. Clémentine est encore en tenue vélo, jupette et T-shirt. J'enlève mon short.
Je frotte ma bite sur le visage de Clémentine. Je caresse la tête à Estelle. Je passe à elle en caressant celle de Clémentine.

Je les fais sucer à tour de rôle. J'insiste dans la bouche de Clémentine. Ma compagne a été tellement coquine aujourd'hui.
J'ai l'envie folle de lui bouffer la chatte. Je propose aux filles de changer de position. Clémentine vautrée dans le canapé.
Je suis à genoux, mon visage entre ses cuisses. Estelle à quatre pattes derrière moi qui me fait le cul et les couilles. Joie.
Avec la sueur, Estelle a de quoi se régaler. Elle se couche sur le dos, son visage entre mes jambes pour me sucer la bite.
Je me régale des jus de Clémentine. Une jeune fille de 22 ans, qui a fait du vélo, qui a sué, excitée, est un met succulent.

Clémentine qui a passé plusieurs phases d'excitations intenses dans la journée, fait des efforts pour repousser l'orgasme.
Je la sens lutter. L'intérieur de ses cuisses qui tremble de frissons. Estelle se touche, un main dans sa braguette ouverte.
De son autre main, elle dirige ma bite pour la maintenir vers le bas afin de pouvoir la sucer, couchée sur le dos. Superbe.
C'est presque douloureux d'avoir la bite contrariée vers le bas. Mais c'est compensé par l'indicible sensation de la fellation.
Soudain Clémentine se cambre. Elle me repousse. Elle jouit en hurlant. J'ai juste le temps de m'écarter. Elle pisse. Et fort.

Dans ma précipitation je bouscule Estelle qui pousse un cri de dépit puisque j'ai retiré ma queue dégoulinante de sa bouche.
Nous évitons de justesse le jet de pisse qui va se briser à au moins deux mètres, éclaboussant le bureau. Clémentine jouit.
Je me retourne pour me coucher sur le côté. Estelle fait pareil en poussant un nouveau cri. Elle se cambre. Elle jouit aussi.
Clémentine qui a retrouvé ses esprits est entrain de passer la serpillère. Je me fais sucer en lui faisant des sourires. Je jute.
Il est 22 h15. Estelle a du foutre plein la bouche. Elle déglutit avec peine. Je lui essuie le visage avec le mouchoir en papier.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire bouffer la chatte après un après-midi de vélo et de sueur…

Julien - (Qui raccompagne Estelle jusqu'à son auto avec Clémentine. Estelle revient demain soir. Séparation difficile) -

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Classe - 38 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 765 -



Les marques repères du samedi

Hier matin, samedi, nous nous réveillons quasiment en même temps. Clémentine passe sa cuisse entre les miennes. Bises.
Serrée contre mes couilles, sa cuisse chaude est un cadeau des Dieux. Je peux y frotter mon érection matinale et naturelle.
Les papouilles ne durent pas longtemps. Nous nous précipitons aux chiottes pour aller pisser. Il est 7 h30. Il fait déjà beau.
Morts de faim, vêtus de nos tenues sport, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine préparer notre petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de la journée. Ce matin les courses. Cet après-midi le vélo.

La vaisselle. Il faut enfiler un K-way pour aller courir. Les matinées sont encore fraîches. Pratiquer quelques échauffements.
Nous courons d'un rythme soutenu tout le long de notre circuit habituel. Une heure d'un running des plus agréables. Super.
La douche. Nous nous habillons. Clémentine porte une de ses jupes de velours carmin qu'elle affectionne tant et un pull fin.
Coton noir. Ses souliers de ville à légers talons. Sur sa demande je suis en pantalon de lin clair, T-shirt sous la veste claire.
Accroupie devant le miroir de l'armoire, sa tête contre ma jambe et ses cuisses largement écartées, Clémentine me sourit.

< Mon bon "Maître" est il satisfait de mon comportement ? > me demande t-elle avec le regard implorant en se serrant fort.
Je pose ma main sur sa tête en répondant : < Ma délicieuse "Soumise" est-elle satisfaite de mon comportement ? >. Rires.
Ce jeu nous amuse tant. Je sors ma bite pour lui permettre d'y frotter son visage avant de la laisser sucer quelques instants.
Je l'aide à se redresser. Je lui masse les genoux. Nous dévalons l'escalier tout en riant de bon cœur de notre rituel quotidien.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Trois petits kilomètres jusqu'au bourg pour y faire notre marché. Joie.

C'est toujours excitant de garder la braguette discrètement ouverte. Clémentine ne porte pas de culotte. Jeu excitant aussi.
Nous faisons provision de fruits, de légumes, de fromages, de beurre, d'œufs, de crème fraîche chez nos artisans habituels.
Il y a toujours plein de monde. Nous ne nous attardons pas. Les produits fragiles dans la glacière. Direction l'hypermarché.
Treize petits kilomètres. Je roule avec la main droite entre les cuisses de Clémentine. Il y a la petite ficelle et je joue avec
Je bande comme un vrai saligaud. Nous voilà arrivés. Je pousse le caddie. Clémentine tient la liste des courses et me guide.

Nous n'oublions rien. Conserves, papier cul, Sopalin, dentifrice, Tampax mini. C'est le premier jour du cycle de Clémentine.
Par acquis de conscience, même s'il y a du monde, Clémentine m'entraîne au rayon culturel. Le souhait d'une petite exhibe.
Il y a ce jeune gars, là-bas, tout seul, qui feuillette un magasine. Un "plan" comme les aime Clémentine. Je reste en retrait.
Elle pousse le caddie pour le mettre tout contre le rayon. C'est un écran qui la met hors de vue des clients et des caméras.
Accroupie à un mètre de l'inconnu, Clémentine peut faire son show en faisant semblant de regarder "Maris Patch". Sympa.

Le jeune homme est en jogging et en baskets. 25 ans. Pas d'avantage. Il remarque très rapidement la fille accroupie. Bien.
Il mâte un peu. Je suis à une vingtaine de mètres. Au rayon des bandes dessinées. J'ai une vue parfaite sur ce qui se passe.
Comme tous les autres avant lui, il s'accroupit à son tour pour mieux loucher sous la jupe de la fille qui s'offre à sa vue.
Même si j'ai assisté à ce merveilleux spectacle d'innombrable fois, c'est toujours aussi palpitant. Je n'arrête pas de bander.
C'est un timide. Il reste mutique. Mais tout en faisant semblant de feuilleter "Transe Dimanche", il louche comme un salaud.

La situation perdure. Clémentine, à la limite de la crampe et proche de l'ankylose, se redresse. Fourmis dans les jambes.
Elle reste encore un peu. Le jeune gars se redresse lui aussi. Il s'en va sans même un mot. Clémentine vient me rejoindre.
< Il aurait au moins pu dire merci ! > fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Nous allons aux rayons vêtements.
Que des couples. Il y a bien ce vieil homme très élégant et seul. Mais est-ce bien nécessaire de lui faire risquer l'infarctus ?
Nous en rions de bon cœur en allant au rayon poissonnerie. Nous y faisons provision de saule, de cabillaud et de crustacés.

Nous passons en caisse. Nous flânons un peu dans la galerie commerciale. Je pousse le caddie. Clémentine me tient le bras.
Nous lisons les menus proposés à la cafétéria. Je suggère des moules frites. < Viens ! On en a aussi ! > me fait Clémentine.
Nous voilà sur la route du retour. Clémentine me fait part de son ressenti quand à sa petite exhibe de ce matin. Le mutique.
Nous passons devant le haras. Il y a plein d'autos dans la cour. Nous avons échangé par courriel avec Juliette tous les jours.
Elle nous invite mercredi prochain, 20 h, pour reprendre nos rituels gastronomiques. Accessoirement lubriques et vicelards.

Il est 12 h20 lorsque nous revenons à la maison. Nous rangeons les courses. Et nous montons pour revêtir nos tenues vélo.
Clémentine s'occupe de la salade verte. Je fais bouillir l'eau pour les moules. Les haricots verts congelés direct dans le Wok.
Nous nous touchons les sexes. Clémentine porte sa jupette sport. Je joue avec la ficelle. < Arrête ! > fait elle en riant. Joie.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous évoquons le repas de Pâques chez Estelle, lundi. Des réjouissances.
C'est un peu étrange mais ces gens vont probablement devenir des amis. Pour la plus grande joie d'Estelle. Et c'est parfait.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Le bonheur.
Il est 13 h30 lorsque nous descendons à bicyclette jusqu'à la rivière pour rejoindre la piste cyclable. Il y a plein de cyclistes.
C'est samedi. Un Week-end prolongé. Il fait beau. C'est donc une ambiance festive. Nous y croisons toutes sortes de gens.
Arrêt pissou au cabanon de l'écluse. Nous prenons nos positions habituelles. Je reste planqué derrière le cabanon. Attention.
Clémentine, de l'autre côté de l'écluse, guette le passage d'un cycliste solitaire. Elle porte ses larges lunettes noires. Super.

Nous ne restons jamais plus de dix minutes. S'il n'y a pas de "V.P.", (de Victime Potentielle), nous continuons notre périple.
Ce qui est le cas car ce ne sont que des groupes ou des couples de cyclistes qui passent. Nous voilà en route. Il fait chaud.
Nous arrivons au petit port de plaisance pour 15 h15. Il y a du monde. Des bénévoles sont entrain de préparer les festivités.
Demain, c'est la "Course aux œufs", attraction familiale organisée par la municipalité. Par quelques associations caritatives.
Nous fermons nos vélos à cadenas pour nous rendre à la supérette. Le rituel de nos cônes glacés en récompense méritée.

Nous flânons sur le quai en dégustant nos glaces. Il y a de nombreux plaisanciers affairés sur le pont de leurs bateaux. Joie.
Et ça discute, et ça rit. Il y a les joueurs de pétanques. Il y a les touristes et les promeneurs. Le ciel est immensément bleu.
Clémentine nous entraîne vers les sanitaires réservés aux plaisanciers. Super. C'est ouvert. Ce qui est rare. Nous y entrons.
Personne. Le silence. < Sors ta bite ! > me chuchote Clémentine qui me la saisit pour l'agiter vers la porte. Je bande mou.
Nous restons ainsi à mâter par la porte entrebâillée. Peut-être une opportunité d'exhibe. Clémentine a déjà retiré sa culotte.

L'endroit est propre. Il y a une odeur permanente de chlore et de javel. Il y a là des machines à laver, des douches et WC.
C'est exclusivement réservé aux plaisanciers. Il est étonnant que le lieu soit ouvert et accessible. Nous avons l'explication.
Il y a un bruit dans un des quatre cabinets du fond. Un second bruit. Je remballe précipitamment ma queue bien bandante.
La porte s'ouvre. Quelle n'est pas notre surprise. C'est la jeune fille au scooter. La "rôdeuse" que nous avions déjà aperçu.
Elle nous salue, presque gênée. Elle nous reconnaît également. Elle lave ses mains aux lavabos. Clémentine sort mon Zob.

< C'était ouvert, alors on est rentré ! > lance Clémentine pour briser la glace et faire enfin connaissance. Aucune réponse.
La jeune fille voit ma queue. Clémentine me la tient. Elle rajoute : < On est un peu du même "Club" tous les trois, non ? >
Toujours pas de réponse. La jeune fille fait visiblement durer le moment car elle ne cesse de se frotter les mains sous l'eau.
Je bande comme le pire des salauds. Clémentine continue en donnant nos prénoms, en nous présentant. En pure politesse.
La jeune fille lance : < Moi c'est Maëlys ! >. Elle fait enfin un sourire. Elle sait n'avoir strictement rien à craindre. Superbe.

Il y a un bruit de pas dehors et un échange de paroles. Je remballe à toute vitesse. Ce sont deux couples de plaisanciers.
Des séniors. Ils semblent étonnés de nous voir ici. Nous les saluons poliment en les croisant pour quitter l'endroit. Rapide.
Dehors, nous faisons quelques pas. Clémentine propose à Maëlys de faire plus amplement connaissance. La fille est ravie.
Nous sommes tous les trois assis sur le muret, à côté du scooter de Maëlys. Il y a de longs moments de silence. Normal.
Maëlys nous parle un peu d'elle. Etudiante en première année infirmière et 18 ans depuis le mois de mars. C'est tout frais.

C'est principalement Clémentine qui parle. Je reste silencieux, j'écoute. Clémentine évoque les première fois où on l'a vu.
"La jeune fille au scooter". Maëlys est en confiance. Elle nous apprend qu'elle croyait que j'étais le père à Clémentine. Rire.
Lorsque Clémentine lui apprend que nous vivons ensemble depuis plus de deux ans, la jeune fille nous fait : < Génial ! >
Clémentine lui raconte que nous aimons beaucoup "rôder" par là nous aussi. Nous sommes un couple de vicieux. Exhibe.
< J'avais remarqué ! > fait Maëlys avant de rajouter : < Moi je suis une vicieuse toute seule ! Et mon mec s'est barré ! >

Maëlys est seule depuis le mois de février. Elle a toujours aimé "rôder" dans les coins un peu glauques. Et là c'est parfait.
Un peu par dépit amoureux et aussi par ses tendances naturelles, elle se livre ici à son passe temps favori. Voyeurisme.
Nous la félicitons pour ses goûts. Clémentine raconte quelques anecdotes nous concernant. Maëlys écoute passionnément.
De se retrouver ainsi avec un couple partageant ses attraits pour le vice, comble d'aise cette jeune fille belle et si menue.
< On se tutoie ? Tu veux bien ? > lui demande Clémentine. < Oh oui, je préfère ! > répond Maëlys. La glace est rompue.

Nous bavardons ainsi longuement, échangeant quelques anecdotes. Beaucoup de points communs et d'aventures similaires.
Maëlys connaît d'autres coins très sympas dans la région. Elle nous propose de nous les faire découvrir quand nous voulons.
C'est vrai que nous nous limitons au port de plaisance. Mais il y a aussi les anciennes tuileries, la conserverie abandonnée.
< Il y a parfois des trucs étonnants qui se passent là-bas ! > nous fait la jeune fille en nous proposant de les faire découvrir.
Nous échangeons nos numéros de téléphone et nos adresses mails. Clémentine propose de bien organiser ces futurs visites.

Il est déjà 17 h30. Il nous faut rentrer. Maëlys semble étonnement ravie de s'être faite de nouveaux amis. Elle paraît émue.
Nous promettons de donner de nos nouvelles bientôt. Nous lui souhaitons joyeuse fêtes. Nous revenons sans doute demain.
Nous nous quittons. Cette fois, il fait tellement doux, que nous pouvons rester en T-shirt contre le léger vent d'Est. Superbe.
Il est 19 h lorsque nous arrivons à la maison. Assez fatigués. Estelle est déjà là. Comme à son habitude elle prépare le repas.
Elle nous fait la bise. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Elle est en short et chemisette.

Nous montons nous changer. Estelle assise sur le lit, n'arrête pas de me toucher le sexe en nous racontant sa journée. Dur.
Nous lui racontons notre rencontre. < La "rôdeuse" ? > s'exclame Estelle. < Oui ! On t'en a déjà parlé ! > lui dit Clémentine.
< Je suis hyper jalouse, faites gaffe tous les deux ! > lance Estelle. Nous rigolons comme des bossus. Nous avons très faim.
< De toute façon, demain, nous retournons avec toi ! > fait Clémentine pour rassurer Estelle qui ne me lâche pas la biroute.
Ce sont des spaghettis avec une sauce au Roquefort, accompagnés d'une salade et de beignets de crevettes. Merci Estelle.

Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent la rentrée de mardi. Nous traînons à table. Vaisselle et ranger la cuisine.
Clémentine nous entraîne au salon. Elle s'installe dans le fauteuil. Le message est clair. Elle veut du spectacle. Queue à l'air.
Estelle se met à me sucer, couchée sur le côté, à ma gauche. Nous sommes vautrés sur le canapé. Clémentine se masturbe.
Je chuchote : < Demain, je te fais sucer devant Maëlys ! >. Estelle en glousse de plaisir. < T'es pas chiche ! > me fait elle.
Je réponds : < Et je te fout la honte devant tous les gens qui pourraient nous surprendre dans les fourrés ! Petite salope ! >

< Pourquoi "petite" ? > fait encore Estelle avant de retourner à sa fellation gourmande. Je lui caresse la tête. Les cheveux.
Je fais des clins d'œil à Clémentine qui se masturbe en nous regardant. C'est son spectacle préféré. Me voir salaud, vicieux.
Je retire souvent ma bite dégoulinante de la bouche pour lui permettre de reposer sa mâchoire. Je lui fais des bises. Doux.
Il y a de la jute partout. Estelle en bave. Elle suce avec tant d'avidité. Clémentine me fait des clins d'œil avec le pouce levé.
Parfois, j'appuie sur la nuque d'Estelle pour lui enfoncer un peu plus de queue juteuse. Oh, pas longtemps, juste un instant.

Souvent, je la tire délicatement par les cheveux pour qu'elle pose sa tête contre mon épaule. Et elle me bave sur le T-shirt.
Clémentine a soudain un orgasme cataclysmique. Nous la regardons. Elle est secouée de spasmes. Ses mains sur son sexe.
< Elle va pisser cette salope ! > fait Estelle. Clémentine se mord la lèvre inférieure. Elle semble souffrir. Elle reprend sens.
Elle se lève pour se précipiter aux toilettes. Malgré sa prudence, en courant il y a de la pisse qui gicle. C'est assez dingue.
La soirée se termine ainsi. J'invite Estelle a me terminer aux chiottes parce que moi aussi j'ai envie de pisser. Je bande dur.

Estelle se lève, m'entraîne fermement par la queue et nous rejoignons Clémentine aux toilettes. Elle est entrain de se laver.
Accroupie à ma gauche, Estelle me tord la bite vers le bas. Je tente de pisser. Je bande dur. C'est difficile. Je me concentre.
Clémentine vient s'accroupir pour regarder de près. Je débande légèrement. De quoi pouvoir lâcher un jet sans puissance.
Je cesse. Immédiatement Estelle se remet à pomper. < Salope ! > lui murmure Clémentine. Estelle cesse. Je pisse un peu.
Le jeu dure un petit moment. J'attrape Clémentine par surprise, je lui enfonce la queue. Je lui éjacule au fond de la gorge.

En toussant, manquant de s'étouffer, Clémentine tente de déglutir. < Salope ! > lui murmure Estelle qui me tient la bite.
Elle serre mes couilles avec fermeté. Je lui caresse la tête tout en maintenant fermement celle de Clémentine qui pompe.
Estelle se redresse. Je la serre fort contre moi. Elle me montre l'intérieur de sa bouche. Il y a encore plein de foutre gluant.
Je tiens Clémentine par les cheveux pour appuyer sa tête. J'enfonce ma queue molle dans sa bouche. Une giclée de pisse.
Estelle m'embrasse avec avidité, passionnée. Clémentine me suce. Je lâche Clémentine étourdie par tout ce qui lui arrive.

Bonne soirée bien vicieuse, juteuse et pisseuse à toutes les coquines qui aiment se vautrer dans le stupre et la luxure…

Julien - (Qui serre les filles contre lui, au lit, chacune d'un côté pour leur murmurer des douceurs. Avant un bon dodo) -

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Classe - 39 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 766 -



Le plaisir joue les prolongations

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par des bisous. On suce mon érection matinale et naturelle. Une étrange sensation.
J'ouvre les yeux. Au dessus du mien, le visage bienveillant de Clémentine. C'est donc Estelle qui suce déjà de bon matin.
Je suis entre les deux filles. Depuis quelques temps, lorsque nous dormons ensemble, tous les trois, c'est la configuration.
Je saisis Estelle par ses cheveux pour qu'elle émerge de sous les draps. Avec une grande douceur. Je les serre contre moi.
Conscients de nos indicibles privilèges, nous restons ainsi, blottis, nous offrant des papouilles, de la tendresse, douceurs.

< Pipi ! > s'écrie Estelle qui se lève d'un bond pour se précipiter aux toilettes. Clémentine me chevauche pour se frotter.
Estelle, dans son pyjama mauve, revient : < Je descends préparer le petit déj ! > fait elle avant de dévaler les escaliers.
Clémentine m'entraine par la main jusqu'aux toilettes. Puis morts de faim, nous descendons rejoindre Estelle à la cuisine.
Elle me saute au cou : < Merci pour hier soir ! Tu as été divin ! > me fait elle alors que je la soulève pour la faire tourner.
Clémentine s'interpose, par jeu et pour prendre sa place. Nous rions de bon cœur. Odeur de brioche, de pain grillé, café.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Estelle nous rappelle que nous sommes invités, demain lundi de Pâques.
Nous partageons le repas avec les parents d'Estelle. < Papa et maman sont si contents de leur nouvelle voiture ! > fait elle.
Nous traînons à table. Le dimanche, pas de jogging, pas d'entraînement. Et juste du vélo lorsqu'il fait beau à la belle saison.
Par contre, le dimanche matin, c'est le rituel du ménage. Estelle se propose pour faire le salon, passer l'aspirateur. Habituel.
Avant que Clémentine ne vienne vivre à la maison, il y avait une femme de ménage qui venait ici et deux fois par semaine.

La vaisselle. Il est 8 h30. Dehors il fait beau. Clémentine monte faire la chambre. Je nettoie la cuisine et les chiottes du bas.
J'entends Estelle chanter en passant l'aspirateur. C'est toujours une grande émotion qui fait battre mon cœur. Fantastique.
Je passe la serpillère sur les carrelages. Cuisine, hall d'entrée et toilettes. Je m'apprête à monter rejoindre Clémentine. Joie.
C'est sans compter avec le piège que me tend Estelle. Cachée derrière le chambranle de la porte du salon, bas de l'escalier.
Je suis encore en slip et en T-shirt. Elle a donc toute facilité pour passer sa main et me chopper la bite et même les couilles.

< Je t'aime Julien ! > me fait elle en serrant contre moi. Elle rajoute : < Demain, dans ma chambre, baise moi sel te pli ! >
Je la soulève. Je la regarde consterné. < Oui c'est tout un symbole. Je t'expliquerai ! > chuchote t-elle encore. Je la regarde.
Je dis : < Il faut en parler à Clémentine. Viens, on monte la rejoindre ! >. Je la fais monter sur mon dos. Elle me tient fort.
Je la jette sur le lit comme un paquet de linge sale en disant à Clémentine : < Cette jeune fille me fait des propositions ! >
Clémentine, entrain de secouer le tapis à la fenêtre, se retourne pour demander : < Cette jeune fille va me raconter ça ! >

Je ramasse le tas de draps sales. Estelle réitère sa proposition. < Accordé ! > dit elle. Nous en rigolons comme des bossus.
Moi, plutôt embarrassé, je dis : < Et si tes parents montent dans ta chambre ? >. Estelle fait : < Mais, et pourquoi donc ? >
Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. J'emmène les draps à la salle bain. Estelle s'empare de l'aspirateur. Bien.
Clémentine vient me rejoindre. Elle fait les miroirs et le lavabo. Je fais le bac à douche et le bidet. Nous bavardons en riant.
Nous n'arrêtons pas de nous faire des bisous, de nous embrasser, de nous chuchoter des < Je t'aime ! > C'est merveilleux.

< Demain, dans sa chambre, tu la baises comme un salaud. Fais moi du spectacle ! Je veux la voir jouir ! > fait Clémentine.
Je promets de faire de mon mieux. Nous serons tout de même dans la chambre d'une jeune fille, chez ses parents. Délicat.
Nous rions de bon cœur lorsque je rajoute : < Et un lundi de Pâques ! >. Clémentine répond : < Elle aura des œufs frais ! >
Clémentine descend avec le panier à linge plein à ras bord. Je nettoie les chiottes du haut. Les mains gantés dans la cuvette.
C'est toujours ce moment que choisi Estelle pour venir silencieusement me chopper les couilles et la bite par derrière. Rire.

< Clémentine est d'accord ! > me chuchote t-elle en sortant ma queue de ma braguette ouverte. Elle se met à genoux. WC.
Je n'ai pas fini de laver les chiottes que la coquine est déjà entrain de me tailler une pipe. Je tire la chasse, retire mes gants.
Je la saisis par ses cheveux, délicatement, pour la forcer à se redresser. < C'est si bon, Julien ! Je t'aime ! > rajoute t-elle.
Elle se blottit contre moi. Nous nous embrassons. C'est tellement passionné, nous en avons le bas du visage trempé. Salive.
Je fais monter Estelle sur mon dos. Nous descendons prudemment pour rejoindre Clémentine à la buanderie, à la cave. Bien.

Nous aidons à trier le linge. Les filles évoquent la rentrée de mardi. Ce troisième trimestre qui s'annonce bien plus tranquille.
Je laisse les filles pour monter à la cuisine. Les pavés de saumon ont décongelé. J'épluche les patates, les navets et carottes.
Estelle est la première à me rejoindre pour glisser sa main dans ma braguette. Elle se frotte derrière moi, faisant < Mmh ! >
Clémentine arrive à son tour pour découvrir le spectacle. Elle s'interpose. Par jeu. Estelle s'occupe des papillotes de saumon.
Clémentine s'occupe de la salade. Je m'affaire à couper les légumes en petits morceaux pour la potée. Ail, oignon, ciboulette.

J'ai la bite à l'air. Même si je ne bande pas, cela fait une bosse sous le tablier. < Prends garde à toi ! > me fait Estelle. Rire.
< Et plutôt deux fois qu'une ! > rajoute Clémentine. Estelle fait le saumon en papillotes sur le barbecue électrique. Véranda.
Il est 12 h 15. Tout est prêt. Nous voilà assis devant un succulent repas. Nous mangeons de bon appétit. Fenêtres ouvertes.
Nous ne traînons pas. Nous sommes pressés de partir à bicyclette. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Et nous montons.
Nous nous lavons les dents en faisant les clowns. Puis, devant le miroir, le rituel du "Maître" et de ses "Soumises". Rigolade.

< Tu nous fais ça pour de vrai un de ces samedis soirs. On se fait un film ! > me propose Estelle que j'empêche de pomper.
Nous mettons nos tenues vélo. Je bande mou. Ce qui fait une superbe bosse dans mon short en lycra. Estelle me la tripote.
Il est 13 h30 lorsque nous descendons jusqu'à la rivière pour rejoindre la piste cyclable. Il y du monde. Dimanche ensoleillé.
Nous croisons quantité de cyclistes, de jeunes filles en rollers, de promeneurs, de familles en balade. Il faut faire attention.
Estelle et moi, nous sommes en short noir et T-shirt blancs. Clémentine porte sa jupette sport beige, T-shirt crème. A l'aise.

Pas d'arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Nous sommes pressés d'arriver au port de plaisance. Il est 15 h quand nous arrivons.
Il y a un monde fou. Avec cette météo, la "Course aux œufs" est un succès. Bien évidemment, que des familles. L'ambiance.
Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie. Nous traversons la route pour nous rendre à la supérette. Glaces.
Il faut attendre aux caisses tellement il y a de clients. Nous dégustons nos cônes glacés en flânant sur le quai. Des manèges.
Des cris, de la musique, le clown John Deuf qui commente ce qui se passe. Bref, c'est à la limite du supportable. Bien chiant.

Estelle, à chaque fois que c'est possible, discrètement, passe sa main entre mes cuisses, par derrière. Et elle le fait souvent.
Nous attirons quelques regards. Cet homme d'âge mûr, tenu par le bras par deux jeunes filles. Le père ? L'ami ? L'amant ?
Nous en jouons beaucoup. Cela nous amuse beaucoup. Nous montons la colline jusqu'au vieux cimetière. La vue sur le port.
Depuis là haut, assis sur un muret devant la chapelle, la vue est magnifique. On voit le bourg, le port, la campagne au loin.
Il y a peu de monde ici. Aussi, nous pouvons nous livrer à nos jeux de mains. J'ai la bite à l'air depuis mon short par le haut.

J'ai souvent ma main dans le short d'Estelle. Clémentine qui adore nous observer, se touche discrètement. C'est le bonheur.
D'êtres tous les trois à nous livrer à nos petits jeux nous est devenu aussi nécessaire que l'air que nous respirons. Si intense.
Nous évoquons l'Ecosse, cet été. Estelle viendra nous rejoindre dès la fin juillet. Nous nous promettons un mois bien vicieux.
< Nous, on se sera déjà méchamment entraînés ! > fait Clémentine. Nous en rions de bon cœur. C'est dans trois mois. Joie.
Estelle est obligée d'aider au bureau dans l'entreprise familiale en juillet. Dommage. Nous partirions tous les trois deux mois.

J'entraîne Estelle par la nuque entre les vieilles tombes. A l'abris de tous regards, je la fais se mettre à genoux dans l'herbe.
Je lui frotte la bite sur le visage. Estelle en gémit de plaisir en tentant de me l'attraper avec la bouche ouverte. Je l'empêche.
Clémentine, en appui contre une croix celte, se masturbe en nous observant. Je bande mou. Je dois pisser depuis le départ.
Je lâche un jet par dessus l'épaule d'Estelle qui a juste le temps d'éviter de le prendre dans la tronche. Elle m'attrape le Zob.
Elle en dirige le jet contre les vieilles pierres. < C'est génial ! > dit elle. Je me vide la vessie sans pouvoir contrôler. Trop bon.

< Moi ! > s'écrie Clémentine en tombant à genoux, bouche grande ouverte pour recevoir les dernières gouttes et me sucer.
Estelle me sort les couilles. Nous entendons des voix. Il y a des emmerdeurs jusque là. Estelle qui se redresse pour regarder.
Elle commente ce qui se passe. Ce sont au moins deux familles, environs huit personnes. Clémentine ne lâche plus la queue.
Je la force à cesser. On ne sait jamais. Les emmerdeurs ça se faufilent partout. J'ai le temps de remballer ma bite. Très vite.
Ce sont des chiards qui jouent entre les tombes sous le rire des parents crétinisés par leurs petits "génies". Et nous quittons.

Il serait vain de prendre le moindre risque parce qu'il y a d'autres groupes qui montent. Nous comprenons. Il y a un curé.
Il se prépare certainement un office religieux dans la chapelle ou dans le cimetière. Nous redescendons sous le chaud soleil.
A nouveau les commentaires de John Deuf, le clown qui anime les festivités. Il est presque 17 h. Nous décidons de rentrer.
Nous roulons doucement. Il y a léger vent d'Est. Mais la douceur est telle que nous pouvons rester en tenue estivale. Super.
Il est presque 19 h lorsque nous arrivons à la maison. Nous nous sommes arrêtés quelquefois pour des pipis. Nous toucher.

A trois, il est quasiment impossible de se lasser de sexe. Déjà à deux, lorsqu'on est un couple libidineux, vicelards, c'est dur.
Nous sommes morts de faim. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle qui concocte une grosse omelette aux champignons.
Je réchauffe la potée. Nous n'arrêtons pas de nous toucher, de nous palper, pressés de nous offrir une soirée bien vicelarde.
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Ce copieux repas et la fatigue ont calmé un peu nos ardeurs de fous.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous nous précipitons au salon. Clémentine s'installe dans le fauteuil. C'est le signal.

Clémentine veut du spectacle. Elle adore tant se masturber en me regardant faire des saloperies avec Estelle. C'est fabuleux.
Estelle, à genoux sur l'épais coussin, entre me jambes écartées, hume les odeurs de ma journée d'homme. Puanteur. Frome.
Elle me décalotte pour regarder l'épaisse crème jaunâtre sous le prépuce. L'odeur nous monte au nez. Estelle s'en pourlèche.
Je la regarde fouiller de sa langue entre la peau fripée et le gland. Elle en gémit de bonheur. Clémentine se masturbe. Branle.
Je me fais tailler une pipe des familles. Estelle passe la nuit avec nous. Nous avons donc tout notre temps. En profiter. Super.

Je murmure des saloperies à Estelle. Comme elle est belle, ses joues creusées par l'effort de succion. Je caresse son visage.
Elle me tient par les poignets pour que je la guide. Elle cesse soudain, se lève et se précipite aux toilettes. Que se passe t-il.
Je me lève pour aller frotter ma bite sur le visage de Clémentine. Estelle revient avec une cuvette en plastique. Elle la pose.
< C'est pour la pisseuse ! > fait elle en la mettant devant le fauteuil. Elle reprend sa pipe. Clémentine a un orgasme délirant.
Elle n'a qu'à se saisir de la cuvette pour pisser en jouissant. J'éjacule. Estelle râle de plaisir. Nous sommes épuisés. Le dodo.

Bon dimanche à toutes les coquines qui raffolent de sexe. N'importe où. N'importe quand. Pourvu que ce soit excitant…

Julien - (Qui s'endort entre Clémentine et Estelle en leur chuchotant que demain, le lapin sera hyper vicieux) -

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Un lundi de Pâques inoubliable

Hier matin, lundi, je suis réveillé comme un dimanche. Je suis entre Clémentine et Estelle. Clémentine me fait des bisous.
Estelle a ma bite en bouche. C'est une bien étrange sensation de se faire sucer l'érection matinale qui n'est que naturelle.
Je caresse la nuque d'Estelle et le visage de Clémentine. Estelle sort de sous les draps pour se lever à toute vitesse. Pissou.
Nous la regardons filer dans son pyjama de soie mauve. Il est 8 h05. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes.
< La place est chaude je descends préparer le petit déj ! > dit Estelle en me déposant une bise avant de dévaler l'escalier.

Morts de faim, nous descendons la rejoindre à la cuisine. Il y a l'odeur du café, du pain grillé. Le lundi il reste de la brioche.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Dehors il fait beau. Ce Week-end de Pâques a été ensoleillé. Magnifique.
Nous traînons à table. Les filles évoquent leur rentrée de demain. Elles se réjouissent. Se retrouver dans l'action. Gagnantes.
< En finir avec cette première année de préparation au Doctorat ! > comme le précise Clémentine. Estelle surenchérit. Bien.
Assises sur mes genoux, les filles élaborent quelques stratégies. Et elles sont prêtes au combat pour ce troisième trimestre.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents et nous mettre en tenues sport. Nous faisons un peu les clowns en rigolant.
Nous enfilons nos K-way afin d'affronter la fraîcheur matinale. Il est 9 h. Quelques exercices d'échauffement et c'est parfait.
Estelle impulse le rythme. Nous courons d'une bonne foulée. La campagne est à présent bien verte, des feuilles aux arbres.
Le circuit habituel. Une heure d'un running des plus agréables. Et il est un peu plus de 10 h lorsque nous sommes de retour.
Estelle prend sa douche la première pendant que Clémentine et moi allumons l'ordinateur pour découvrir d'éventuels mails.

Il y a juste celui de Juliette qui nous souhaite une joyeuse Pâques. Qui nous rappelle que nous sommes attendus mercredi.
Nous répondons. Nous montons. Nous prenons notre douche. Nous entendons Estelle chanter depuis la chambre. Emotion.
Nous mettons nos jeans et nos T-shirt. Estelle est déjà habillée pareille. Elle a fait le lit. Elle se serre contre moi. Des bises.
Nous descendons. Nous avons trop envie d'aller au soleil. Profiter de cette belle matinée. Il fait presque chaud. Très doux.
Nous parcourons la propriété. Les filles me tiennent par le bras. Là-bas, il y a monsieur Bertrand, notre plus proche voisin.

Il nous fait un signe de la main. Max, sont énorme Doberman qui se précipite pour venir nous saluer. Il est impressionnant.
Il nous fait la fête. Debout sur ses pattes arrières, il est presque aussi grand que nous. Il part aussi vite qu'il est venu. Joie.
Nous arrosons le potager. Nous y avons déjà planté des graines. Tomates, poireaux, carottes, scarole, laitue et de la frisée.
Estelle me touche. Clémentine s'interpose par jeu. Derrière la roseraie, je sors ma queue pour l'agiter en direction des filles.
D'instinct, toutes les deux se cambrent sur leurs genoux fléchis pour imiter une masturbation masculine. Superbe vulgarité.

Nous rions de bon cœur lorsque je dis : < Pas de ça entre nous, voyons ! >. Estelle se précipite pour s'accroupir et la saisir.
Elle l'agite dans la direction de Clémentine en lui disant : < Nous avons le plus salaud de la terre. Et rien que pour nous ! >
< C'est mon salaud à moi, je te rappelle ! > lui fait Clémentine en venant s'accroupir à ses côtés. Les coquines devant moi.
Je leurs caresse la tête. Elle se refile ma bite à tour de rôle. Je précise : < Il faudrait aller se préparer. Il est déjà 11 h20 ! >
Je les force à se redresser. Je les tiens par les cheveux, fermement, pour les entraîner vers la maison. Elles en gloussent.

Nous montons nous préparer. Clémentine met une jupe claire, un chemisier crème. Estelle porte une jupe jeans. Superbe.
Elle met un chemisier blanc. Toutes les deux sont chaussées de souliers de villes à légers talons. Leurs cheveux dénoués.
Sur la demande de Clémentine, je porte un pantalon de toile claire, une chemise blanche et des mocassins clairs. Elégants.
Clémentine nous entraîne devant le miroir de l'armoire. < Comme on est beaux tous les trois ! > lancent les filles en cœur.
Elles me tiennent par les hanches. Je les tiens par les épaules. Elles s'accroupissent en même temps. Et je sors ma queue.

Leurs têtes en appui contre mes jambes, elles écartent leurs cuisses. Estelle doit retrousser sa jupe jeans si peu pratique.
< J'en mets une autre ! > fait elle. < Le spectacle vous plaît "Maître" ? > demande Clémentine. < Excitant ? > dit Estelle.
Je pose mes mains sur leurs têtes pour répondre : < Je vous aime mes deux merveilleuses "Soumises" ! >. Je bande mou.
Elles frottent leur visage à tour de rôle sur mon sexe. Je précise : < Vous allez sentir la bite sale toutes les deux ! >. Rire.
Estelle se redresse la première. Je renifle son visage. Aucune autre odeur que son discret parfum lavande. Elle se change.

Clémentine, à genoux sur l'épais tapis, me suce en se regardant pomper dans le miroir. Elle me fixe. Me fait un clin d'œil.
Estelle a revêtu une jupe claire, plus ample et qui permet un mouvement plus confortable. Elle se couche sur le lit. Rires.
Ses jambes relevées, ses cuisses largement écartées elle me fait : < Tu me prends comme ça, après, dans ma chambre ! >
Je réponds : < Tu veux vraiment faire une chose pareille, un lundi de Pâques, et dans la maison de tes parents ? >. Rires.
< Oui que je veux ! C'est un symbole ! >. Je force Clémentine à se redresser. Il est temps d'y aller. Et il est déjà 11 h45.

Dans un grand sachet, nous emmenons des vêtements de change. Jeans, T-shirt et baskets. Nous dévalons les escaliers.
Je roule doucement. Clémentine a glissé sa main dans ma braguette. Je bande encore très fort. Estelle est assise derrière.
Ses bras autour de mon cou elle nous donne ses impressions. Toute contente et à se réjouir. Elle me rassure également.
< Ne sois pas gêné. Mes parents t'aiment bien. Et ils n'ont aucun à priori sur votre couple et notre complicité "amicale".
Je dis : < Si tes parents savaient ce qui se passe entre nous ! >. Estelle qui rajoute : < Tu crois que ma mère est folle ? >

Je gare la voiture devant la descente de la cave. Je ferme soigneusement ma braguette. Nous montons les marches. Bien.
Estelle nous entraîne. Nous entrons dans la maison. C'est le papa d'Estelle qui vient nous saluer et heureux de nous revoir.
Nous nous serrons la main. Il est vêtu d'un pantalon clair, semblable au mien. Voilà la maman d'Estelle. Elégance simple.
Elle a ses longs cheveux qui flottent sur ses épaules. Elle n'est pas sans évoquer Juliette. Nous nous serrons la main. Bien.
Nous sommes invités à passer au salon où la table est mise. Clémentine est à mes côtés. Estelle à côté de son papa. Joie.

Le repas est délicieux. Ce ne sont pas des gens à faire d'inutiles manières. Nous bavardons et nous rions beaucoup. Sympa.
Le père d'Estelle me confie à quel point il est content de sa nouvelle auto. La mère me lance parfois de bien curieux regards.
Comme le dit Estelle se douterait elle de quelque chose ? Des gens larges d'esprits, Estelle a 22 ans, mais bon quand même.
Lorsque de telles pensées m'effleurent, je suis saisi d'un embarras que je dissimule au mieux. Je suis le plus vieux à table.
On me fait du pied. C'est soit Clémentine, soit Estelle. Et durant toute la durée du repas qui s'éternise jusqu'à environ 14 h.

Nous proposons d'aider à la vaisselle. Les parents insistent, ils veulent s'occuper de tout. Estelle qui nous entraîne à l'étage.
Je découvre pour la seconde fois sa chambre spacieuse et lumineuse. Tout est bien rangée. Il y a Bunny Boy contre l'oreiller.
Le lapin en peluche, le "doudou" qu'Estelle emmène le plus souvent partout avec elle. Depuis petite. Il est tout sale et gris.
Estelle retire soudain sa culotte, se jette sur le lit, remonte ses jambes qu'elle tient à ses chevilles et écarte les cuisses. Fou.
Clémentine m'ouvre la braguette, me sort la queue dont le bout est encore humide. Elle m'entraîne vers le lit et s'y assoit.

Estelle se masturbe. < J'ai fais ça des millier de fois devant la glace ! > me dit elle. Je me retourne. Je la vois dans le miroir.
Clémentine se met à me sucer. Je suis mort de trouille. Je dis : < Et si quelqu'un monte ? Tu es folle Estelle ! Vraiment ! >
< Mais qui pourrait bien venir. Ici, tout le monde respecte l'intimité des autres ! > me fait Estelle sans cesser de se toucher.
< Baise là ! > me chuchote Clémentine en ouvrant mon pantalon pour le descendre avec le slip. Je me sens ridicule et con.
Je me mets à genoux sur le lit. Je prends Estelle par ses cuisses. Je frotte mon sexe contre le sien. Je bande dur. Perfection.

Je pénètre Estelle avec d'infinies précautions. Juste le bout de la queue. Elle se mordille la lèvre inférieur. C'est douloureux.
Estelle est encore moins vaginale que Clémentine. La pénétration n'est donc pas sa préférence. Je reste immobile. Prudent.
Clémentine, assise sur le lit, se touche en nous mâtant. Estelle me rappelle que c'est ici que son parrain montait la niquer.
Son parrain n'a aucun lien de parenté avec Estelle. C'est lui qui l'a initié. Elle ne l'a jamais sucé. Mais il l'a baisé ici souvent.
< Sa petite bite dans ma chatte d'adolescente ! C'est moi qui le suppliait parfois de monter me rejoindre ! > lance Estelle.

Je suis en elle, en appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids. Elle se masturbe en même tant qu'elle bouge.
< Aujourd'hui, c'est toi Julien ! Et c'est le nettoyage de printemps dans ma tête avec ce que tu me fais. Merci ! > fait elle.
Je commence à comprendre. Estelle se met à bouger. D'un coup de reins, elle s'enfile davantage de bite. Je fais hyper gaffe.
Nous restons ainsi une bonne demi-heure. Clémentine écoute, silencieuse, les nombreuses confidences d'Estelle. C'est beau.
Estelle nous avait déjà révélé une grande partie de son histoire, l'an dernier, en Ecosse. < Un secret de famille ! > fait elle

Nous rions de bon cœur. Estelle rajoute encore : < Et, tu vois, je reste convaincue que ma mère s'en doute ! >. Le silence.
Estelle me repousse doucement. Je me retire. Elle accélère le mouvement de ses doigts. Elle se propulse dans un orgasme.
Je l'ai rarement vu jouir avec une telle intensité. Elle reste un moment prostrée. Les cuisses serrées sur ses mains. Si belle.
Je remballe ma bite ruisselante de liquide séminal. Estelle reprend ses esprits, se lève, se réajuste et remet sa culotte. Joie.
< Merci Julien ! Grâce à toi, j'ai définitivement tourné une page. Le "ménage" est fait ! > me dit elle en se serrant très fort.

Clémentine a cessé sa branlette. Nous descendons. Les parents d'Estelle sont au salon avec un couple d'amis. A bavarder.
Les présentations. Ce sont des voisins. Nous déclinons l'offre qui nous est faite de nous joindre à eux. Estelle veut partir.
Nous saluons tout le monde. Je roule doucement. Nous rentrons pour nous changer. Tenues vélo. Petite randonnée. 16 h.
Nous n'arrêtons pas d'évoquer ce qui s'est passé cet après-midi. Estelle semble ravie de s'être débarrassée du passé. Joie.
Il est 19 h lorsque nous revenons à la maison. Morts de faim, nous préparons notre repas du soir. Le gratin de coquillettes.

Nous mangeons de bon appétit. Je révèle à Estelle que souvent, durant le repas, je surprenais l'étrange regard à sa maman.
< Ils n'arrêtent pas tous les deux. Je soupçonne papa et maman de baiser tout le temps ! > fait Estelle en éclatant de rire.
Nous traînons à table. La vaisselle. Nous sommes étrangement très fatigués tous les trois. Nous allons au salon. Le canapé.
J'ai la bite dans la main d'Estelle qui nous donne son ressenti. Ravie de sa baise. Clémentine a recommencé à se masturber.
Il est 22 h15. Nous ramenons Estelle à son auto. La séparation est dure. Au lit, j'offre un cunnilingus à Clémentine. Et dodo.

Bonne baise à toutes les coquines qui aiment à se souvenir de leur "première fois", même si c'était pas le must…

Julien ( Qui a permis à Estelle de pratiquer une véritable catharsis et de tourner une page. Dans un orgasme glorieux) -

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Premier jour du troisième trimestre

Hier matin, mardi, c'est le concerto Brandebourgeois de Jean-Sébastien Bach qui nous arrache de nos profonds sommeils.
< Put-Hein va branler les bourgeois ! > s'écrie Clémentine qui me chevauche pour éteindre le réveil sur ma table de nuit.
Il est 5 h55. Quelque papouilles et nous nous précipitons aux toilettes avant de descendre à toute allure jusqu'à la cuisine.
Nous sommes déjà vêtus de nos tenues de gym. Nous prenons un copieux petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit.
Le jour se lève. Il est maintenant possible de faire notre jogging dès le matin. Nous enfilons nos K-ways. Il est déjà 6 h25.

C'est un moment fort plaisant d'assister au lever du jour tout en courant dans une campagne printanière. Un vrai bonheur.
Une heure d'un running des plus agréables et nous prenons notre douche. Je descends le premier. La fraîcheur reste vive.
Je sors la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. 7 h45. Elle revient pour midi. Juste cours ce matin.
Un dernier bisou et un dernier coucou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer. Joie.
Je fais notre lit et la vaisselle. Je passe dans l'atelier. C'est une réelle émotion que de me retrouver ici après quinze jours.

Je commence ce matin la peinture de la vingt cinquième toile destinée à ma saison d'été. Je prépare ma palette. Couleurs.
C'est une scène de genre à trois personnages dans un intérieur hollandais du XVIIème. Ces toiles remportent un vif succès.
Je peins dans une sorte d'euphorie caractérielle. Je pousse les cris les plus surréalistes et dans une effervescence délirante.
Il est aux environs de 10 h lorsque la musique imbécile de mon téléphone résonne au fond de la poche de ma blouse. Dur.
Je m'en saisis. Et quelle surprise. C'est madame Catherine, la propriétaire de notre location à Bègles il y déjà une semaine.

Mon téléphone sur mode "haut parleur", je peux bavarder tout en travaillant. Catherine me donne quelques nouvelles. Bien.
Je lui raconte notre retour. Tous s'est parfaitement passé. Catherine évoque la météo à Bordeaux. Les derniers petits potins.
La conversation dure une bonne vingtaine de minutes. Nous nous saluons. Peut-être reviendrons nous un jour à Bordeaux.
Je peins en pensant à cette femme très sympathique et probablement du même "Club" de vicelards que Clémentine et moi.
Il est rapidement midi. Dehors il fait beau. Le ciel est légèrement plus voilé d'un bleu laiteux. Je nettoie palette et pinceaux.

Je vais à la cuisine. Je fais gonfler du riz et je prépare une pâte à pain. Clémentine arrive. Elle me saute au cou, heureuse.
Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Tout en préparant la salade, Clémentine me raconte sa matinée de cours.
Elle aura une semaine de libre, du samedi 25 mai au lundi 3 juin. Je fais une pâte à pain. Je coupe le poireau en tout petit.
Je le jette dans l'eau bouillante. Je concocte une béchamel dans laquelle je verse le poireau ébouillanté et cuit. C'est parfait.
Je récupère un peu de cette garniture comme sauce avec le riz. Les filets de cabillaud rissolés à la poêle. Le repas est prêt.

Nous mangeons de bon appétit. Je raconte le coup de téléphone de Catherine. < J'en étais certaine ! > me fait Clémentine.
Nous évoquons les deux fois où la jeune femme nous a surpris en pleine fellation dans sa propriété. C'était divin. Excitant.
< Et c'est bien de se retrouver entre membres du même "Club" ! > lance Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus.
J'évoque la possibilité d'aller passer cette semaine de congé, à cheval sur fin mai et début juin, en Vendée. Ce n'est pas loin.
< Génial ! > fait Clémentine. Je m'occupe de tout. De la réservation et du programme. Nous prendrons la voiture. 350 km.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents et nous changer. Nos tenues vélo. Il fait si beau.
Accroupie à ma gauche, sa tête contre ma cuisse, Clémentine nous observe devant le miroir de l'armoire dans la chambre.
< Vous êtes le plus gentil des "Maîtres" ! > me fait elle. Le réponds : < Vous êtes la plus adorable des "Soumises" ! > Rire.
Je sors mon Zob par le bas de mon short en lycra. Clémentine est un jupette sport, cuisses largement écartées. En culotte.
Je la laisse frotter son visage sur ma queue. Elle suce un peu. Je la force à se redresser. Nous rions de bon cœur. Le rituel.

Il est 13 h30. Nous voilà sur nos bicyclettes pour rejoindre la piste cyclable. Il y a peu de monde. C'est même très étonnant.
Le peu de pratiquants que nous croisons sont des séniors sportifs ou des retraités en virée. Ici, les vacances sont terminées.
Arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Nous prenons nos positions habituelles. Clémentine est de l'autre côté de l'écluse. Attente.
Je suis planqué entre le cabanon et les fourrés à présent denses et feuillus. Nous restons ainsi à nous faire des signes. Rire.
Il ne se passe jamais plus de dix minutes. Lorsqu'il n'y a aucun passage, nous reprenons notre route. Ce qui est le cas. Dur.

Clémentine, bien excitée, aimerait beaucoup s'offrir une petite exhibition. Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest. Bien.
Nous voilà au port de plaisance. Il est 15 h30. Il y a peu de monde. Les boulistes qui jouent à la pétanque. Des promeneurs.
Là-bas, quelques clients attablés à la terrasse du bar restaurant. Des plaisanciers sur le pont de leur bateau. Deux éclusiers.
Nos vélos fermés à cadenas derrière la capitainerie, nous allons à la supérette pour acheter nos cônes glacés. Récompense.
Nous bavardons un peu avec madame Marthe, la gérante. Elle nous apprend que le premier vide grenier aura lieu le 5 mai.

Nous dégustons nos cônes en flânant sur les quais. Clémentine a retiré sa culotte qui est rangée au fond du petit sac à dos.
Ainsi, à la moindre occasion, elle n'a qu'à s'accroupir, à l'abri des regards et faire son pissou. Elle se retient pour un "plan".
Nous faisons nos coins et nos recoins habituels. Là, entre le mur des toilettes publiques et les bosquets, il y a un mec seul.
Nous l'observons depuis les fourrés des sanitaires réservés aux plaisanciers. < Un branleur ! > fait Clémentine. Le silence.
< Attends moi là. S'il y a un blême, tu rappliques ! > chuchote Clémentine en s'éloignant, bras croisés, vers les bosquets.

Je regarde avec la paire de jumelles toujours dans le petit sac à dos que je trimballe partout en virée. Je vois parfaitement.
Le type a repéré cette belle et grande jeune fille qui semble se promener en marchant doucement. Il descend son pantalon.
Il évalue cette situation. Il a une stratégie. Le pantalon et le slip sur les chevilles, il se masturbe en attendant la jeune fille.
Clémentine contourne le muret et tombe sur l'exhibitionniste. Entre exhibitionnistes, c'est toujours sympa de se rencontrer.
Le type joue la surprise. Je ne peux rien comprendre des propos qui s'échangent. Je suis trop loin. Clémentine reste droite.

Elle a défait ses cheveux et porte ses larges lunettes de soleil noires. Dissimulée dans un anonymat qui permet de s'amuser.
C'est toujours très excitant de la voir ainsi, bras croisés, fière et droite, regarder un mec qui se branle et bavarder avec lui.
Combien de fois ai-je déjà assisté à ces scènes. Et pourtant ça m'excite toujours autant que Clémentine. Je regarde. Scrute.
Notre masturbateur est tellement surpris par l'attitude de la jeune fille qu'il redouble d'obscénités. Il en rajoute. Un salaud.
Clémentine s'accroupit. Elle est à quelques mètres devant le type. Il me tourne le dos. Je vois Clémentine se mettre à pisser.

S'en est probablement trop pour le mec qui éjacule. Je le vois se courber en avant, manquer de tomber. Il se ressaisit vite.
Il remonte son slip, son pantalon. Sans demander son reste, il s'en va d'un pas rapide. Incompréhensible. Branleur timide ?
Je le vois contourner le bâtiment, monter sur un vieux vélo et filer à toute vitesse. Il aurait pu faire connaissance, au moins.
Clémentine vient me rejoindre. Elle me raconte les propos échangés. Un timide, introverti et masturbateur solitaire. Rires.
Nous nous offrons deux autres cônes glacés avant de prendre le chemin du retour. Il est 18 h45 lorsque nous arrivons. Joie.

Estelle est déjà là. Elle se précipite pour nous faire la bise, me sauter au cou. Elle a mis la tarte aux poireaux dans le four.
La Flamiche Picarde qui fait le régal de nos mardis soirs. Nous montons nous changer. Clémentine raconte notre aventure.
Le branleur timide. Estelle, assise sur le lit, écoute en riant. J'agite ma bite dans sa direction. Je dis : < Une comme ça ! >
Estelle se lève pour me faire tomber sur le lit. Elle s'empare de ma queue en s'écriant : < Donne moi ton machin puant ! >
Clémentine lui lance : < Tu ne t'emmerdes plus toi ! C'est mon mec, je te rappelle ! >. Nous rigolons comme des bossus.

La sonnerie du four. Nous la percevons à peine depuis la chambre, à l'étage. Nous nous précipitons dans l'escalier. La faim.
Estelle a préparé une salade de tomates. L'accompagnement parfait de cette délicieuse tarte aux poireaux. C'est un régal !
Nous mangeons de bon appétit. Estelle nous donne ses impressions quand au repas chez ses parents, hier, la baise après.
< La prochaine fois, je veux te tailler une pipe dans ma chambre ! > me lance Estelle en mimant une fellation bien vulgaire.
Nous traînons à table. Les filles évoquent ce troisième trimestre de cours qui s'annonce beaucoup plus cool. C'est tranquille.

Je propose à Estelle de nous accompagner lors de notre semaine en Vendée. Estelle me saute au cou. Elle doit s'organiser.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est 21 h. Nous allons au salon. Je propose aux filles de leurs brouter la chatte. Joie.
Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. Elles sont toutes les deux vautrées dans le canapé. Je suis à genoux devant elles.
Je passe d'une chatte à l'autre. Clémentine a encore la petite ficelle. Je me contente de son clitoris ardent. C'est très sympa.
Je me bouffe la chatte négligée d'Estelle. Un vrai délice. Je la supplie de la garder crade jusqu'à ce Week-end. Rires. Bisous.

Bonne soirée à vous faire brouter la chatte à toutes les coquines que la perspective de vacances en Vendée stimule...

Julien - (Qui raccompagne Estelle jusqu'à sa voiture. Elle a joui. Séparation difficile. Il termine Clémentine au lit) -

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Nous retrouvons Juliette

Hier matin, mercredi, c'est la 5ème de Beethoven qui nous arrache de nos profonds sommeils avec une certaine cruauté.
< Mais ta gueule Ludwig ! > s'écrie Clémentine tout en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes. Il est 5 h55. Nous revêtons nos tenues sport et nous descendons.
Nous nous préparons un copieux petit déjeuner que nous savourons en bavardant. Le jour commence à se lever. Fameux.
Il est 6 h25 lorsque nous enfilons nos K-ways pour aller courir. Ce jogging tellement gratifiant que nous avons tant désiré.

Une heure d'un running des plus agréables et nous voilà de retour pour prendre notre douche. Je redescends le premier.
Je sors la petite auto de Clémentine qui me rejoint vêtue d'un jeans, d'un sweat, de sa veste en cuir noire et ses bottines.
Un dernier bisou. Il est 7 h45. Je regarde la voiture s'en aller. Je rentre. Je fais notre lit, la vaisselle. Je vais dans l'atelier.
Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Dehors, il fait beau. Soleil.
Je peins dans une effervescence dithyrambique qui me fait pousser le cris les plus surréalistes à chaque victoire picturale.

Il est rapidement midi. Lorsque je me livre corps et âme à ma passion dévorante, je suis hors du temps. Dans mon univers.
Je vais à la cuisine. Je fais gonfler du millet pendant que je prépare une salade de carottes. Je pane un filet de saule. Miam.
Je descends à la cave pour sortir une tarte aux pommes du congélateur. Ce sera le dessert de ce soir. Je remonte très vite.
Je mange de bon appétit. La vaisselle. Je vais faire un tour dans le jardin. Il fait doux. Je suis en T-shirt. Quelques nuages.
Il est 13 h lorsque je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Seconde séance de plaisir intense. Bien.

Du bruit. Déjà 16 h20. Clémentine entre dans l'atelier. < Je t'aime ! > s'écrie t-elle en se précipitant vers moi. Des bisous.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les cours, les profs, le restaurant universitaire. J'écoute avec passion.
Ce troisième trimestre est consacré à des simulations de présentations de mini thèses tournant autour de sujets personnels.
Il faut donc composer un écrit, le développer par l'oral devant un jury composé d'autres étudiants. C'est passionnant. Joie.
Clémentine est assise à la table, entourée de ses fiches, devant l'ordinateur. Le premier "examen" aura lieu vendredi matin.

Parfois l'un se lève pour aller rejoindre l'autre. Lui faire des bises. Lui chuchoter des douceurs. Murmurer des cochonneries.
Clémentine m'explique ce que je vois sur l'écran. Depuis octobre, je suis ainsi initié à la géomorphologie. C'est intéressant.
Nous travaillons ainsi tous deux jusqu'aux environs de 18 h45. Nous rangeons nos affaires. Je nettoie palette et pinceaux.
Nous quittons l'atelier pour monter nous changer. Clémentine porte une jupe plissée, noire, légèrement évasée. Magnifique.
Un chemisier crème. Ses souliers noires à légers talons. Sa veste en cuir noir cintrée à la taille. Les cheveux noués en natte.

Sur sa demande, je suis en jeans, chemise blanche au col négligemment déboutonné sous une veste noire. Mes mocassins.
Nous prenons la pose devant le miroir avant que Clémentine ne s'accroupisse, sa tête en appui sur ma jambe, elle me fixe.
Ses cuisses largement écartées, elle me fait : < J'aimerai que mon "Maître" soit un vrai salaud, ce soir ! >. Et un clin d'œil.
Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Je vous promets de faire au mieux, délicieuse "Soumise" ! >. Je sors le Zob.
Clémentine y frotte son visage avant de sucer un peu. Il est 19 h 15. Je la tire par sa natte comme par une laisse. Sympa.

Nous descendons ainsi. Je l'entraîne au salon en la tenant fort. Du tiroir du bas du bureau, je sors le collier canin, la laisse.
Je passe le collier de cuir autour de son cou. J'y fixe la laisse. Le mousqueton dans l'anneau. Je donne un à coup. Des bises.
Clémentine m'embrasse avec fougue. Je l'entraîne. Nous prenons sa voiture. Je roule doucement. Les trois petits kilomètres.
Clémentine me taille une pipe. Je la tiens au plus court par la laisse. Parfois j'appuie sur sa nuque. Elle en glousse de plaisir.
Nous arrivons au haras. Il est 19 h35. Il y a encore deux voitures dans la cour. Celle de Juliette et celle de monsieur Gérard.

J'entraîne Clémentine par la laisse jusque dans notre écurie préférée. Il y a Kim Son, le jeune palefrenier. Il est tout sourire.
Il découvre ce spectacle. Cette grande jeune fille élégante tenue à la laisse. Cette fois il semble assez sidéré. Peut-être gêné.
Je dis : < Serre la main au monsieur ! >. Kim Son a compris le fonctionnement des choses. Et il commence à nous connaître.
Je dis : < Accroupie ! > Clémentine tout en serrant la main du jeune homme s'accroupit. Cuisses bien écartées. Toute rouge.
C'est à ce moment qu'arrive monsieur Gérard, palefrenier à la retraite qui aime à venir donner des conseils et coups de main.

Kim Son a du travail. Probablement très gêné par ce qui lui arrive il se détourne pour reprendre sa brouette à pleines mains.
Gérard serre la main de Clémentine qui s'est redressée. Je lui tends la laisse en disant : < Une petite promenade ? >. Rires.
Gérard ne se fait pas prier, trop heureux de l'aubaine. Clémentine me lance un regard implorant. Gérard l'entraîne avec lui.
< Me laisse pas avec ce vieux dégueulasse ! > s'écrie t-elle. < Je vais t'apprendre à être polie, petite salope ! > fait Gérard.
Juliette arrive au même instant. Elle croise Gérard tirant Clémentine à la laisse. Elle me fait un clin d'œil, regarde le couple.

Juliette est vraiment contente de nous revoir. Deux semaines d'absence. Elle me serre la main en faisant bouger son index.
C'est très vicieux. Juliette est en tenue d'écuyère. Gérard a entraîné Clémentine dans le local bureau. Nous entendons crier.
Juliette m'entraîne par la main. Nous allons dans le box voisin. Il est vide. Beaucoup de chevaux sont déjà partis. C'est bien.
Je m'accroupis devant la cloison pour regarder par le trou parfaitement rond. Juliette s'accroupit à côté de moi. Elle se serre.
J'hallucine. Clémentine est à genoux sur une grosse couverture pliée. Gérard la tient fermement au plus court. La bite à l'air.

Ce vieux salaud a descendu son pantalon et son slip. Il tente de mettre son Zob minuscule dans la bouche de la fille qui crie.
Clémentine se débat. Gérard lui frotte la bite sur le visage, lui met de petites gifles. Elle garde les mains croisées sur la tête.
< Elle aime ça ! Regarde, elle joue ! Elle n'attend que ça ! > me chuchote Juliette qui commente ce qu'elle observe. Salope.
Je lui passe la main entre les cuisses. Elle est a genoux. Je lui palpe le sexe à travers du tissus de son pantalon d'équitation.
Elle se tourne soudain pour m'embrasser avec fougue. Elle fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Ça me fait bander.

Je n'arrête pas de la toucher. J'essaie d'être le plus vulgaire possible. Je suis obligé de m'arracher à son étreinte pour voir.
Ce qui m'intéresse c'est de regarder ce qui se passe de l'autre côté. Clémentine, tenue par ses oreilles suce en grimaçant.
A présent elle tient Gérard par ses hanches pour garder son équilibre. Le vieux salaud la maintient fermement. Le vicelard.
Son sexe est tellement petit, il ne bande plus depuis longtemps, qu'il est tout entier dans la bouche de Clémentine. La pipe.
Il y a de la bave. Mélange de salive et de ce liquide séminal qui semble intarissable chez cet homme de 66 ans. La fellation.

Juliette et moi, nous nous battons presque pour regarder à tour de rôle. Juliette. Une authentique voyeuse. Vraie vicieuse.
C'est génial de lui tripoter la chatte. Elle se laisse bien faire. Ce qui est assez récent. J'ai glissé ma main dans son pantalon.
Elle mouille. J'enfonce un doigt. Elle se frotte sur ma main. Je suis obligé de la pousser pour pouvoir regarder à mon tour.
Gérard est entrain de secouer sa queue. Le trop plein de jute qui dégouline. Et il y en a plein sur le bas du visage de la fille.
Elle se redresse soudain pour s'enfuir à toute vitesse. Je laisse Juliette qui tente de retenir mon bras. Je rejoins Clémentine.

Elle est dehors, à côté de la voiture entrain de s'essuyer avec un mouchoir en papier. Elle se précipite dans mes bras. Dur.
J'évite d'approcher mon visage du sien. Ça pue carrément la bite sale, le fromage, le sandwich au thon. C'est dégueulasse.
Juliette nous invite à la suivre. Je récupère la tarte aux pommes dans son tupperware. Nous montons dans l'appartement.
J'accompagne Clémentine à la salle de bain. Elle se rince la bouche longuement. J'ai ma main entre ses cuisses. Trempée.
Je murmure : < Tu as bien mouillé pour une jeune fille dégoûtée ! >. Elle s'essuie et me fait : < Ça m'excite tellement ! >

Je connais bien le fonctionnement de Clémentine. Plus c'est dégueulasse, plus elle s'y complait. Même si c'est dégoûtant.
< Il m'a demandé si j'étais prête pour une séance de dressage. C'est le printemps ! J'ai promis > murmure Clémentine.
Je l'encourage à tenir sa parole. < Tu dois le faire. Tu as tant envie de vivre cette expérience. Fais le ! Je serai présent ! >
Clémentine se blottit dans mes bras. Il subsiste encore l'odeur répugnante de la vieille bite dégueulasse du vieux salaud.
Je le lui fais remarquer. Nous rejoignons Juliette au salon. Ce sont des tartelettes aux fruits de mer et légumes de saison.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Je retire le collier de cuir. Je masse la peau du cou de Clémentine. Joie.
Juliette évoque la fin de la saison. Les propriétaires qui reviennent chercher leurs chevaux. L'entreprise retrouve le calme.
Nous lui avons manqué. Même si nous avons échangé par courriels. Et presque tous les jours de nos vacances à Bordeaux.
Juliette revient sur l'épineux sujet de cette séance de "dressage". < Nous pourrions y jouer au début mai ! > propose t-elle.
Clémentine me consulte du regard. Je réponds : < C'est à Clémentine d'en décider ! >. Clémentine fait : < Moi c'est ok ! >

Je me lève. Je sors ma bite. Je l'agite devant Juliette. Je bande mou. Je fais : < Juliette, au dressage, j'exige de la pipe ! >
< Pas de baise ! > s'écrie Clémentine. Juliette me fixe d'un air sévère avant de lancer : < C'est à vous de m'y amener ! >
Clémentine répond : < Vous pouvez compter sur les aptitudes à Julien ! Il saura lui aussi vous "dresser" à la fellation ! >
Je me branle. Je fais : < Je vais te la faire bouffer toute la durée de la séance, tu peux être certaine. Je vais te dresser ! >
Juliette répond : < Celui qui me "dressera" n'est pas né ! >. Nous rigolons tous les trois comme des bossus. Puis dessert.

Nous traînons à table. Juliette nous confie quelques anecdotes. Gérard est un vrai "Maître". Il a déjà dressé des filles ici.
< J'ai assisté à des choses étonnantes ! > rajoute Juliette en évoquant quelques jeunes filles étant passée entre ses mains.
Juliette a toujours été présente ainsi que madame Walter qui est une authentique "soumise". Un véritable vide couilles.
< Elle sert à stimuler les ardeurs de Gérard lors des séances. Son mari la met à disposition ! > précise Juliette. Fameux !
Nous quittons Juliette vers 22 h15. Au lit, nous faisons l'amour. Clémentine me confie à quel point elle se réjouie. Super.

Bonne surprise à toutes les coquines qui aiment êtres promenées à la laisse pour êtres livrées à de vieux saligauds…

Julien - (Qui offre un délicieux cunnilingus à Clémentine après l'amour. Sa récompense. Un orgasme fabuleux) -

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Une soirée des plus agréables

Hier matin, jeudi, nous nous réveillons juste avant que ne résonne la musique. J'éteins toutefois aussitôt notre réveil. 5 h55.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes avant de dévaler l'escalier à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Faim.
Nous prenons notre copieux petit déjeuner déjà vêtus de nos tenues de sport. Nous mangeons de bon appétit en bavardant.
Clémentine me fait part d'un ressenti qui m'interpelle. Hier soir, au haras, Juliette nous a "piégé". Elle avait prévenu Gérard.
J'écoute interloqué le développement logique de Clémentine. Décidément les ruses féminines m'étonneront toujours. Pièges.

Comme Juliette pouvait-elle deviner que j'emmènerai Clémentine à la laisse ? Peu importe la laisse. C'était le fait de venir.
Elle a donc prévenu son ancien palefrenier de notre visite. Et je commence à comprendre la stratégie imparable de Juliette.
Il est 6 h25 lorsque nous enfilons nos K-ways pour aller courir dans le jour naissant. La fraîcheur est légèrement plus vive.
Une heure d'un running des plus agréables. Nous prenons notre douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine.
Elle me rejoint vêtue de son jeans, de son sweat, de sa veste de cuir noir et de ses bottines. Il est 7 h45. Un dernier bisou.

Le ciel s'encombre de nuages. Je rentre. Je fais le lit, la vaisselle avant d'aller dans l'atelier. > Je prépare palette, pinceaux.
Il est 8 h15 lorsque je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans une grande sérénité. C'est magique.
C'est aux environs de dix heures que la musique stupide de mon téléphone résonne au fond de la poche de ma blouse. Dur.
Je m'en saisis. C'est Juliette. Nous bavardons sur mode "haut parleur". Ce qui me permet de peindre tout en discutant. Bien.
Juliette m'avoue être à l'origine de la présence de Gérard. Il vient rarement le mercredi soir. Il parle souvent de Clémentine.

Ce vieux vicieux libidineux en est plus ou moins amoureux. C'est surtout qu'avec Clémentine il peut se comporter en salaud.
Et elle lui a manqué depuis près de trois semaines. J'écoute. Tout cela va dans le sens de la réflexion de Clémentine. Juste.
Juliette avance une série de dates pour cette expérience de "dressage" dès les vraies beaux jours. Pourquoi pas le huit mai ?
C'est un mercredi férié. Il y aurait le samedi 11 mai. Je ne peux m'engager à la place de Clémentine. Je promets d'en parler.
Nous lui ferons un courriel ou nous passerons dimanche en fin d'après-midi. Cette discussion dure une vingtaine de minutes.

Je ne cesse de travailler en pensant à cette étrange jeune femme. Une sacrée vicelarde entremetteuse. Une rusée stratège.
Comme le souligne de plus en plus souvent Clémentine avec cette femme il faut anticiper. Elle a souvent un coup d'avance.
Il est midi lorsque je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je lave une belle scarole. Je fais une pâte à pain.
C'est pour les pizzas du jeudi soir. Je prépare la garniture. Tomates, ail, oignon, persil, ciboulette, petits champignons noirs.
J'en récupère un peu comme sauce pour accompagner mes coquillettes. Je ne cesse de penser à Juliette et à ses stratégies.

Je mange de bon appétit en tentant de supporter les informations mensongères, formatées et calibrées diffusées à la radio.
Les plus grands pourvoyeurs de ces fameuses "fake news" ne sont autres que les dirigeants et les médias aux ordres. Dur.
C'est au dessus de mes forces, j'éteins le poste. Je fais la vaisselle. Je vais faire quelques pas dehors. Il fait doux. Le soleil.
Même si le ciel a tendance à se couvrir, c'est très agréable. Je mange ma pomme avant de retourner dans l'atelier. 13 h 10.
Cette seconde séance de peinture est toute aussi gratifiante que la première. Cette toile sera terminée demain, pour midi.

Du bruit. Il est déjà 16 h20. Clémentine entre dans l'atelier. Elle balance son sac dans le canapé pour se précipiter vers moi.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les cours, les profs, le menu du restaurant universitaire. C'est amusant.
Clémentine a encore du travail. Il y aura une stimulation de présentation de thèse vendredi matin. Faites par un professeur.
Il lui faut terminer un écrit. Assise devant l'ordinateur, entourée de ses fiches, Clémentine s'abstrait dans sa rédaction. Joie.
Je lui raconte le coup de téléphone de Juliette. L'aveux de la combine. Les dates proposées pour cette séance de "dressage".

Clémentine reste évasive. Elle préfère que nous en débattions ensemble et que nous en définissions les modalités. Superbe.
Et les solutions les plus efficaces, nous les trouvons en faisant l'amour, immobiles, à envisager toutes les possibilités. Mieux.
Il est 18 h15 lorsqu'Estelle arrive à son tour. Elle se précipite vers moi. Assise sur mes genoux, elle raconte sa soirée, hier.
Clémentine lui a déjà raconté la notre au restaurant universitaire, à midi. < Une vraie salope, la Juliette ! > conclue Estelle.
< Et ce n'est pas peu dire ! > surenchérit Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Estelle rejoint Clémentine pour travailler.

Les filles comparent l'avancée de leurs écrits pour demain matin. Il est 18 h45 lorsque nous rangeons nos affaires. Terminé.
Nous sortons tous les trois pour aller marcher un peu. Le ciel s'est entièrement couvert. Annonciateur de pluie pour la nuit.
< Si vous faites cette expérience, je veux venir avec vous ! > dit Estelle en faisant allusion au "dressage" et à Maître Gérard.
Elle rajoute : < Je veux vraiment participer. D'une manière ou d'une autre ! >. Clémentine lui propose de faire le jeu à deux.
< Pourquoi ne pas êtres "dressées" toutes les deux ? > propose Clémentine. Estelle se met à sautiller autour de nous. Rires.

Il suffit d'arrêter une des deux dates et ce tour sera joué. Nous nous proposons d'en parler durant un de nos jeux vicelards.
Nous rentrons. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade déjà lavée. Estelle travaille la pâte à pain. J'y rajoute du frome.
Je réchauffe la garniture. Estelle est super vicieuse ce soir. Elle ne cesse de me toucher la braguette. Les pizzas sont au four.
Je l'entraîne par la nuque jusqu'au salon. Clémentine me tient la bite. Je bande. Je force Estelle à se mettre à genoux. Joie.
A genoux sur le coussin, au milieu de la pièce, les mains sur la tête, Estelle me fixe d'un regard implorant. Attitude récente.

Clémentine, blottie contre moi, me tient la queue qu'elle agite devant Estelle. Nous la regardons. Elle ouvre grand la bouche.
< Tu seras parfaite dans le rôle ! > lui fait Clémentine. < J'ai de l'entraînement et beaucoup de pratique ! > répond Estelle.
Clémentine m'entraîne tout près d'Estelle. Elle lui frotte ma bite sur le visage en évitant qu'Estelle ne puisse la gober. Super.
Nous observons le comportement d'Estelle. Clémentine se penche vers elle pour murmurer : < Il y aura d'autres queues ! >
Estelle en glousse de plaisir. Je rajoute : < La bite dégueulasse de ce dégueulasse de Gérard ! >. Estelle me dit : < Miam ! >

Clémentine suggère une séance "pour de semblant" samedi soir. J'endosse le rôle de "Maître Julien" et ses deux "Soumises".
< Oh oui ! Et on filme ! > s'écrie Estelle. < Excellente idée ! > fait Clémentine en lui mettant mon Zob en bouche. Elle suce.
Clémentine s'accroupit pour m'extraire les couilles. Et elle me les tient en regardant Estelle me pomper comme une assoiffée.
Je leurs caresse la tête en leur chuchotant des cochonneries. J'évoque la bite minuscule de Gérard. La bite précise de Pierre.
Je dis : < Connaissant Juliette et ses perversions, le mari de madame Walter sera probablement de la partie. Le pervers ! >

La sonnerie du four. J'aide les deux filles à se relever. Nous nous précipitons à la cuisine. Et nous mangeons de bon appétit.
La conversation s'articule autour de la simulation de thèse demain matin. J'écoute en silence. C'est passionnant. Intéressant.
Nous trainons à table. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. Clémentine mime la pipe.
Je suis debout, allant de l'une à l'autre, pour leur offrir ma bite à sucer. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Puis au salon.
< J'ai mes petits machins de fille ! > me fait Estelle lorsque je lui descend le jeans et la culotte. Je n'insiste pas. Nous rions.

Je peux parfaitement m'occuper que de son clitoris. Estelle est hésitante. Elle n'utilise pas de tampons. Juste des serviettes.
Je n'insiste pas non plus. Clémentine saisit ma bite et la présente à Estelle en disant : < Il te reste à pomper une queue ! >
Estelle se précipite. Elle retombe à genoux sur le coussin. Clémentine me tient les couilles à pleine main pour m'embrasser.
La pipe d'Estelle est tellement douce. J'ai l'impression d'avoir la bite dans un bol de purée tiède. Je lui caresse la tête. Doux.
Clémentine a passé une main dans son jeans, dans sa culotte. Nous nous embrassons avec tant de passion. C'est délicieux.

Nous en avons de la salive qui coule. Nous sommes amoureux fou l'un de l'autre. A tel point que nous en oublions Estelle.
Je la sens pourtant bien pomper. Mes montées de liquide séminal sont importante. Nous entendons le bruit bulleux. Le jus.
Nous pouvons même entendre Estelle tousser en tentant de déglutir avec difficulté. Ma jute est épaisse, gluante, visqueuse.
Je déboutonne le jeans à Clémentine. Je le lui descends. Elle m'aide en retirant également sa culotte. Je la touche. Mouillée.
Je la fais tomber dans le canapé. Je retire mon Zob de la bouche avide d'Estelle qui pousse un cri de surprise. Dégoulinante.

Je me couche sur Clémentine. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Estelle rapproche son visage des nôtres. Elle aime.
Nous restons immobiles, l'un dans l'autre, comme nous apprécions. Nous nous mettons à répondre aux questions d'Estelle.
Nous nous murmurons quantité de petits secrets émouvants, excitants et enchanteurs. Parfois nous bougeons. Bercement.
Nous sommes tous les trois dans une intimité folle. Nous évoquons la séance de "dressage" proposée par Juliette. Superbe.
Les filles envisagent les situations. L'imaginaire fait le reste. Elles se promettent de franchir un nouveau cap dans leurs vies.

Je m'engage solennellement, sur la demande de Clémentine, à ne pas baiser avec Juliette. Je pourrai le faire avec Estelle.
Estelle me murmure : < Tu me baises en "soumise", tu veux bien ? Sans le moindre égard pour ma personne ! Sel te pli ! >
Je promets. Estelle nous laisse à nos confessions pour se mettre à quatre pattes derrière moi pour me bouffer les couilles.
Elle me fait le cul. Je peux sentir sa langue fouiller toutes les parties de mon anatomie sur cette partie de mon corps. Bien.
Clémentine se touche. Je reste en appui sur mes bras afin de ne pas peser de tout mon poids. Elle se masturbe. Je la baise.

Clémentine me repousse délicatement. < Attention ! > fait elle en se levant pour se précipiter aux toilettes. Estelle me suce.
Nous entendons Clémentine hurler de plaisir aux chiottes. Elle pisse en même temps que son orgasme. Comme elle apprécie.
J'éjacule dans la bouche d'Estelle. Elle veux repartir pour un second tour. Elle m'empêche de retirer ma queue de sa bouche.
C'est tellement émouvant de la voir me fixer de ses yeux implorant une suite. Une continuité. Encore et encore. Du foutre.
Estelle en quelques deux années est devenue une folle de la fellation. Elle que cela écœurait au début, est à présent "accro".

Clémentine revient, les yeux cernés, une main entre ses cuisses. Elle vient de jouir. Elle se cambre et me montre sa chatte.
Il s'en écoule un peu de ma jute épaisse. C'est impressionnant. Il est 22 h15. Je fais remarquer aux filles que demain école.
Je force Estelle à cesser. Clémentine se torche avec un mouchoir en papier. Elle se rhabille. Nous sommes tous trois épuisés.
Nous raccompagnons Estelle à sa voiture. Elle revient samedi. Nous tournons un nouveau film. "Dressage". Tout est prévu.
Au lit, Clémentine me révèle son impatience de vivre cette expérience. Maître Gérard, "dresseur" de jeunes filles vicieuses.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment participer à une baise. Impatientes d'êtres "livrées" à un "Maître"...

Julien - (Qui est prié d'interpréter le rôle du "Maître" pour le film prévu samedi soir. Caméra sur mode automatique) -

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Classe - 44 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 771 -



Un début de Week-end excitant

Hier matin, vendredi, c'est la Valse No 2 de Chopin qui nous arrache de nos profonds sommeils avec une certaine cruauté.
< Ta gueule Frédéric ! > s'écrie Clémentine. Et tout en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Le vendredi, Clémentine termine à midi. Ce qui la rend fébrile.
Nous descendons à vive allure jusqu'à la cuisine pour y préparer un petit déjeuner que nous savourons avec appétit. Bon.
Dehors, il pleut. Pas de jogging. Il est 6 h25 lorsque nous remontons pour nous entraîner. Notre heure de gym. Intensité.

La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Sous le parapluie.
Un dernier bisou puis un dernier coucou. Je regarde la voiture s'en aller. Je me dépêche de rentrer pour me mettre au sec.
Je fais le lit, la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Je n'allume plus que le radiateur. Il me faut bosser avec la lampe halogène.
Je prépare la palette et les pinceaux. Il est 8 h15 lorsque je suis enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans le plaisir.
Je termine la vingt cinquième toile destinée à ma saison d'été ce matin. Le temps passe vite. Je travail dans l'allégresse.

Il est aux environs de 11 h quand je dépose la toute dernière pointe de peinture sur la surface de la toile. Voilà. Terminée.
Je nettoie la palette et les pinceaux. Je commence immédiatement le dessin préparatoire de ma vingt sixième création.
Une autre scène de genre à deux personnages dans un intérieur Hollandais. Façon Pieter de Hook. C'est un vrai bonheur.
Il est midi. Je cesse. Je vais à la cuisine. Je lave les tomates de la salade. Je fais gonfler du pilpil de blé. Voilà Clémentine.
Il est 12 h20. Elle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bisous. On s'embrasse.

Clémentine, tout en préparant l'assaisonnement de la salade, me raconte sa matinée. La simulation présentée par le prof.
En rentrant, elle a pris de l'essence à la pompe. Il y avait un exhibitionniste à la pompe voisine qui lui a montré sa queue.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle me raconte la scène en détail. La caricature du pervers. Imperméable, fine moustache.
L'imperméable ouvert, la bite discrètement à l'air, la moustache frémissante, tenant sa queue d'une main, il faisait de l'œil.
Il n'est pas entré en contact. C'était juste un flash. Je prépare une sauce au Roquefort. J'y rajoute des crevettes rissolées.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Assise sur mes genoux, terminant son yaourt, Clémentine me raconte.
Cette rencontre à la station à essence, l'a considérablement excitée. < Je me suis touchée en rentrant ! > me confie t-elle.
Je contrôle. Je passe ma main dans son jeans et dans sa culotte. C'est humide. Je la félicite. La vaisselle. Ranger la cuisine.
Nous avons tous deux encore un peu de travail. Nous retournons dans l'atelier. Dehors la pluie a cessé, le ciel est sombre.
J'entraîne Clémentine sur le vieux canapé. Elle m'aide à retirer ses jeans et sa culotte. Je suis à genoux sur l'épais coussin.

Mon visage entre ses cuisses, je hume les odeurs de sa matinée de fille. Je fouille les plis des lèvres charnues de son sexe.
Ce goût légèrement acidulé, vinaigré, qui me donne le vertige. La cyprine qui suinte. Il y a de quoi se régaler. Ce que je fais.
Clémentine me tient par les oreilles pour me guider. Les premières contorsions du bassin, les premiers gémissements. Bien.
Je décalotte son clitoris géant avec mes lèvres serrées. Clémentine a un spasme. Je me mets à lui sucer cette turgescence.
Il faut être prudent. Surtout rester à la limite. Juste avant les premiers signes de l'orgasme. Clémentine aime rester excitée.

Je l'aide à se redresser. Nous voilà tous deux à nos postes de travail. Clémentine entourée de ses fiches devant l'ordinateur.
Je continue mon dessin préparatoire. Il est 16 h lorsque Clémentine passe les deux couches d'impression sur la toile. Bien.
Je la regarde étaler la peinture acrylique "Terre de Sienne" destinée à recevoir les couches à l'huile. Elle adore faire ça. Joie.
Tout est prêt pour lundi. Nous voilà confortés dans nos certitudes. Nous pouvons nous laisser aller à un Week-end libidineux.
Je propose d'aller en ville avant de nous offrir un bon restaurant ce soir. Clémentine laisse éclater sa joie tout en sautillant.

Nous montons nous changer. Clémentine porte une de ses jupes kilt à carreaux rouges, le chemisier blanc, le pull bleu nuit.
Des souliers noirs, fermés, à légers talons. Sur sa demande, je porte mon costume de velours noir. Chemise, pull col en "V".
< Regarde comme on est beaux tous les deux ! > me fait Clémentine en m'entraînant devant le miroir de l'armoire. Bisous.
Accroupie à ma gauche, sa tête en appui sur ma jambe, elle fait : < Vous serez sévère avec moi "Maître", ce Week-end ? >
Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Je tâcherai d'être à la hauteur de vos attentes, ma délicieuse "Soumise" ! >

Clémentine écarte ses cuisses au maximum. Nous rions de bon cœur de cette nouvelle habitude qui est devenu un rituel.
Je sors ma bite afin qu'elle puisse y frotter son visage. Je la laisse sucer un peu. Je l'aide à se redresser. Goutte à la bite.
Nous dévalons l'escalier. Nous prenons ma voiture. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Me suce un peu.
Treize petits kilomètres et nous voilà en ville. Je gare l'auto dans la rue habituelle. A dix minutes du centre. Une fraîcheur.
Nous marchons vite en direction de la grande librairie. Il y a du monde. C'est vendredi. Il est 17 h. Le rayon des bouquins.

Clémentine a laissé sa culotte dans la voiture. Elle m'entraîne, désireuse de trouver une "V.P., (victime potentielle). Super.
Il y a bien quelques mecs seuls. Encore faut-il qu'une opportunité de s'exhiber permette un de nos petits jeux. Observation.
Malgré nos recherches minutieuses, il n'y a pas de réelles possibilités. Il faut être prudent, discret et stratège. Il faut scruter.
Nous descendons au rayon de l'audio visuel, des disques, des ordinateurs. Rien non plus. Il faut se faire une raison. Difficile.
Je téléphone au restaurant de l'étang. Nous allons faire une petite surprise à Julie qui ne donne plus aucune nouvelle. Bien.

C'est Julie au téléphone. J'exagère mon accent anglais. Elle ne me reconnait pas. Je réserve une table pour 19 h45. Parfait.
< Tu seras le dernier des salauds avec cette petite salope ! > me fait Clémentine que je tiens par la nuque à côté d'un type.
L'inconnu semble étonné de notre attitude. Nous sommes devant les platines disques vinyles. Il louche discrètement. Sympa.
Impossible d'en rajouter. Il y a un vendeur qui vient. Il s'occupe des requêtes de l'inconnu que nous laissons là. Nous filons.
Nous traînons dans la galerie commerciale du ré de chaussée. Aucune opportunité d'exhibe. Il faut se faire une raison. Rire.

Il est 19 h15 lorsque nous revenons à l'auto. Trois petits kilomètres pour sortir de la ville. Direction le restaurant de l'étang.
Je promets à Clémentine de me comporter comme elle aime. Être vicelard avec une autre fille. Je vais tâcher de la satisfaire.
Je gare la voiture sur le parking. Il y a déjà quelques bagnoles. Nous marchons un peu sur les dalles du sentier. C'est bien.
Le sentier dallé fait le tour du petit étang. La fraîcheur est vive. Clémentine ne porte pas de bas. Une sensation désagréable.
Nous entrons dans le restaurant. Julie fait l'accueil. Elle est drôlement surprise de nous voir. Hyper gênée aussi. C'est drôle.

Je lui avoue la supercherie. J'exagère à nouveau mon accent anglais : < Monsieur Davis c'est moi. J'ai réservé la table ! >
Cette révélation soulage un peu de la tension affichée par la jeune fille. Elle nous propose de la suivre. La table habituelle.
Nous bavardons un peu. Julie semble distante. Un peu comme si notre présence la mettait mal à l'aise. Nous la rassurons.
Quelques bons mots. Quelques nouvelles. Julie semble soulagée. Elle s'excuse de son silence depuis plus de trois semaines.
< Chacun sa vie ! Vous n'avez pas à vous excuser ! > lui fait Clémentine. Nous commandons nos plateaux de fruits de mer.

Nous mangeons de bon appétit. D'autres clients sont arrivés. L'endroit jouit d'une très bonne réputation. C'est le Week-end.
Je n'arrive pas à croiser le regard de Julie. < Fais lui le test des chiottes ! > me propose Clémentine. Ma braguette ouverte.
Je remballe ma bite que j'ai toujours à l'air discrètement sous la table. Je me lève. Je me dirige vers les escalier. Toilettes.
Je ne suis pas deux minutes au sous-sol, dans les chiottes dont je laisse la porte entrebâillée, que j'entends des pas. Bruit.
J'en étais sûr. Julie entre dans les toilettes mec. Elle me fait un sourire timide. J'agite ma bite dans sa direction. Je bande.

< Excusez moi. Je pense souvent à vous. Ma vie est très compliquée en ce moment. Ça me manque ! > lance la jeune fille.
Je réponds : < Mais ne vous inquiétez pas Julie. Nous restons à votre entière disposition dès que ça va pour vous ! >. Joie.
Julie me regarde me branler tout en parlant. Je rajoute : < Et j'aimerai beaucoup vivre une fellation avec vous ! >. Silence.
< Moi aussi ! > dit elle avant de rajouter : < Il faut que je remonte ! >. Je fais : < Viens sucer un de ces soirs !>. Regard.
< J'en meure d'envie ! > lance t-elle en tournant les talons pour s'enfuir. Je tente de pisser. Je bande trop fort. Impossible.

Je remonte. Je raconte ce qui s'est passé à Clémentine. < J'en étais certaine. Elle te rejoindrait aux chiottes ! > me fait elle.
A présent, je peux à nouveau croiser les regards de Julie qui m'adresse même de rapides et merveilleux sourires. C'est bien.
La glace est rompue. Cela doit la soulager considérablement. Je lui fais quelques clins d'œil. Elle m'en adresse un en retour.
Il est 22 h. La fatigue commence à nous gagner. L'addition. Nous saluons Julie qui nous raccompagne jusqu'à la sortie. Joie.
Nous bavardons encore un peu sur le haut des marches. Il n'y a personne. Il fait nuit. Je sors ma bite. Je bande mou. Super.

Je dis : < Julie. Elle est pour toi. Elle t'attend. Elle meure d'envie de passer du bon temps dans ta bouche ! >. Elle regarde.
Clémentine s'en saisit et rajoute : < Ce serait un vrai plaisir de vous voir y goûter. Vraiment ! >. Julie est confuse. Et ravie.
Nul doute. Cette invitation ne la laisse pas indifférente. Elle murmure : < Il faut que je trouve un moyen de me libérer ! >.
Nous la laissons. Elle nous regarde nous éloigner. Un dernier coucou de la main. Nous voilà dans la voiture. Et je démarre.
< Regarde ! > me fait Clémentine. Là, dans l'obscurité, à côté de l'escalier, Julie, une main sous sa jupe, nous fait coucou.

Je roule doucement. Clémentine n'arrête pas de me sucer. Je lui donne mes impressions. J'évoque l'attitude de Julie. WC.
Clémentine cesse de sucer pour me dire : < Le jour où tu auras ta bite dans sa bouche, fais lui la totale. Fais lui sa fête ! >
Je promets d'être à la hauteur de cet évènement. Nous arrivons à la maison. Au lit, nous faisons l'amour comme on aime.
Sans bouger, à échanger nos confidences. Clémentine me demande d'être hyper vicelard demain soir pour le film Estelle.
Elle veut me sucer encore. Je lui propose de nous garder pour demain soir. Je la finis avec un cunnilingus. Orgasme fou !

Bonne soirée au restaurant à toutes les coquines qui aiment se tromper et surprendre un mec dans les toilettes homme…

Julien - (Qui se prépare mentalement à interpréter une nouvelle fois le rôle du "Maître" pour la soirée filmée de samedi) -

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Un samedi soir épique

Hier matin, samedi, il est 7 h30 lorsque nous nous réveillons quasiment en même temps. Quelques papouilles. Tendresse.
Nous nous précipitons aux toilettes avant de descendre, vêtus de nos tenues sport, à la cuisine. Dehors il pleut. C'est gris.
Nous prenons notre petit déjeuner tout en bavardant. Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. Nous remontons. 8 h.
Il faut se résoudre à faire notre gym à l'étage. Une heure d'entraînement. Intensité maximale. La douche. Il est 9 h. Fini.
Nous nous habillons. Avec cette météo épouvantable, nous portons tous deux des jeans, des sweats, de simples baskets.

Accroupie à ma gauche, sa tête contre ma cuisse, Clémentine me fait : < Vous me donnez votre bite à sucer "Maître" ? >
Je sors ma queue en disant : < Que ne ferai-je pas pour vous être agréable délicieuse "Soumise" ! >. Je caresse sa tête.
Clémentine y frotte son visage avant de la sucer. Je la laisse s'amuser un peu. Elle s'observe dans le miroir de l'armoire.
Je la tire délicatement par sa natte pour l'aider à se redresser. < Votre bite a bon goût "Maître" ! > murmure Clémentine.
Je chuchote : < Je vous aime ma délicate "Soumise" ! >. Nous rions de bon cœur de cet amusant rituel presque quotidien.

Il faut se munir du parapluie jusqu'au garage. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Direction le marché.
Trois petits kilomètres et nous arrivons au bourg. Nous faisons provision de fruits et de légumes en grande quantité. Bien.
Nous faisons provision de yaourts, de fromages, de crème fraîche, d'œufs et de beurre chez nos artisans locaux. Quantité.
De retour à l'auto, les produits frais sont placés dans la glacière branchée sur l'allume cigare. Direction zone commerciale.
Quinze petits kilomètres où Clémentine me branle, me suce et me donne ses impressions quand à notre projet de ce soir.

Je gare la voiture sur le parking de l'hypermarché. Il pleut à verse. Je pousse le caddie. Clémentine tient la liste des courses.
Elle nous entraîne dans les rayons qui nous concernent. Il y a du monde. Avec cette pluie, il y a encore davantage de clients.
Le sweat de Clémentine est moulant. Elle me fait remarquer ses tétons en érection qui pointent sous le tissus. C'est superbe.
Je ne suis pas le seul à remarquer cette particularité lorsque Clémentine est excitée. Et ce qui est le cas depuis notre départ.
Discrètement, je lui passe la main entre les cuisses pour lui palper le sexe. Elle me fait pareil. Nous faisons les courses ainsi.

Clémentine m'entraîne au rayon culturel. Il y a bien trop de monde pour tenter un plan exhibe aux magazines. C'est risqué.
De plus, vêtue de son jeans, c'est toujours beaucoup plus difficile d'attirer le regard sur une partie précise de son anatomie.
Il reste les cabines d'essayage. Hélas, une famille de Simpson monopolise tout le secteur. Avec cris, jeux et tout le merdier.
Nous terminons par la poissonnerie pour y prendre poissons, crustacés et moules en promotion. Il faut attendre dans la file.
Nous passons en caisse. La caissière doit être une jeune stagiaire, ou peut-être une étudiante. Elle est très belle, souriante.

Discrètement, Clémentine me palpe le sexe. Geste rapide qu'elle reproduit trois fois. La caissière s'en rend compte. Bien.
Il faut être gonflé, et plutôt virtuose, pour oser faire ça. Pourtant, à part la jeune caissière, personne ne s'en aperçoit. Joie.
< Cela va agrémenter votre journée de travail ! > fait Clémentine à la jeune fille qui répond : < C'est très gentil. Merci ! >
La caissière me fait un curieux sourire. Je fais un clin d'œil. Nous quittons la caisse pour flâner dans la galerie commerciale.
Ces situations sont toujours beaucoup plus excitantes pour Clémentine que pour moi. Nous en rigolons comme des bossus.

Comme tous les samedi, je propose à Clémentine de mettre nos courses à la voiture et de manger à la Cafétéria. Le menu.
Moules frites. Comme la plupart des samedis, Clémentine décline mon offre, prétextant que nous avons pareil à la maison.
Je roule doucement. Le balai des essuis glaces sur le pare brise. La nouvelle voiture se comporte encore mieux que l'autre.
Clémentine, excitée, avide de sexe, me pompe comme une assoiffée tout le long de la route. Nous passons devant le haras.
Il y a des voitures garées dans la cour. < Arrête-toi ! > me fait Clémentine. Je rentre dans la cour. Je gare l'auto. Personne.

< Viens ! > me fait Clémentine en m'entraînant par la main. Je remballe le Zob mais je garde la braguette ouverte. Discret.
Nous entrons dans le hall d'accueil. Juliette est en pleine conversation avec des propriétaires de chevaux. Elle est étonnée.
Nous la laissons discuter. Juliette nous fait : < Je m'occupe de vous dans un instant ! >. Clémentine dit : < Mercredi 8 ! >
Après ces simples mots, elle m'entraîne à nouveau. Sous la pluie, je la regarde un peu étonné. Elle a choisi. Mercredi 8 mai.
< Les dés sont jetés. Je me fais "dresser" le mercredi 8 mai ! > me dit elle dans la voiture. Je fais : < C'est une victoire ! >

Nous arrivons à la maison pour 12 h30. Nous rangeons les courses. Clémentine s'occupe de la salade, de l'assaisonnement.
Je fais bouillir l'eau pour préparer le bouillon pour les moules. Je verse les haricots verts congelés directement dans le Wok.
Nous n'arrêtons pas de nous toucher, de nous palper et de nous embrasser. Nous en avons les mentons trempés de salive.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant un vague programme de l'après-midi. Dehors il pleut. Il y a des bourrasques.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine évoque la date du 8 mai. C'est un jour férié. La fête de la Victoire.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Je propose à Clémentine de ne pas nous offrir de douceurs. Nous garder pour ce soir.
C'est difficile. Excités comme nous le sommes, il faut faire un énorme effort. Elle m'entraîne à l'atelier. L'idéal est de bosser.
Clémentine, assise devant l'ordinateur, prépare l'écrit pour le contrôle de vendredi prochain. Simulation d'un oral de thèse.
Je prépare ma palette et mes pinceaux. Nous sommes rapidement gagnés par nos autres passions. Nous adorons travailler.
Nous alternons les longues séquences de concentration et celles où nous nous rejoignons pour nous câliner. C'est sublime.

L'après-midi se passe ainsi. Il est 18 h15. Estelle entre dans l'atelier. Elle fait la bise à Clémentine et se précipite vers moi.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle nous raconte sa journée au bureau de l'entreprise familiale. Bien.
< Je me suis constitué un petit pactole. Mes parents me paient bien. Et je viens avec vous en Vendée ! > nous lance t-elle.
Cette nouvelle nous enchante. Nous passons cinq jours en Vendée du lundi 27 au vendredi 31 mai. Cinq jours de détente.
Nous rangeons nos affaires. Il est 18 h30. < On prépare tout ce qu'il faut pour notre film ? > propose Clémentine. Super !

Nous passons au salon. Sur le trépieds, Clémentine fixe la caméra numérique. Elle fait un essai. Parfait. Estelle vient voir.
Branchée sur l'écran géant du téléviseur, l'image est claire, nette et précise. Nous nous regardons faire les clowns. Super.
Estelle, de la poche de sa chemise, sort la boîte en plastique transparent qui contient la carte SD. 8 GB. Elle l'agite. Rires.
< Une heure de saloperies et en haute définition ! > s'écrie t-elle en la tendant à Clémentine qui l'introduit dans la caméra.
Nous rions de bon cœur. < D'abord il faut faire le plein ! > lance Clémentine en nous entraînant à la cuisine. Il "fait faim".

C'est un repas rapide. Clémentine s'occupe de la salade de carottes. Estelle fait une sauce au Roquefort. Je fais les pâtes.
De simples coquillettes complètes et biologiques. Je râpe le Parmesan. Nous voilà à table. Nous mangeons de bon appétit.
Nous évitons de parler de ce qui nous attend. Comme pour nous réserver un effet de surprise. Un peu comme avant Noël.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Rigolade.
Nous nous changeons. Les filles sont vêtues de leurs jupes kilt identiques. Un simple pull de coton fin. Très moulant. Bien.

Les souliers de baise. Ces escarpins noirs à talons avec la fine sangle de cuir autour de la cheville. Et elles y restent fixées.
Quelle que soit la situation, grâce à cette sangle, il est impossible de perdre ses souliers. D'où ce terme "souliers de baise".
Sur la demande des filles, je porte mon pantalon de cuir noir et moulant. Ma chemise blanche à manches bouffante. Super.
< Notre "Mousquetaire" ! > fait Estelle en palpant la bosse bien apparente de ma braguette. Je suis chaussé de mes bottes.
< Regardez ça ! Comme on est beaux tous les trois ! > s'écrie Clémentine en nous entraînant devant le miroir de l'armoire.

Je suis entre les filles que je tiens par la taille. Elles se blottissent contre moi. < Notre bon "Maître" ! > lance Clémentine.
Je dis : < Mes douces "Soumises" ! >. Nous rions de bon cœur. Depuis quelques temps, Estelle se complaît dans ce rôle.
Elle, plutôt de tempérament directif et dominant, se plaît dans ce jeu de la "soumise". < C'est une expérience ! > dit elle.
< Pour dominer et devenir une parfaite "Maîtresse", il faut se mettre dans la peau d'une parfaite "soumise" ! > fait elle.
Nous descendons. Nous voilà au salon. Les accessoires sont disposés sur le bureau. Les cordes de coton blanc, menottes.

Il y a le collier canin et la laisse. Clémentine a préparé deux bassines en plastique. Deux serpillères, un balai et le seau.
Elle fait un dernier essai de la caméra. Tout fonctionne. Elle cherche le meilleur angle. Il faut filmer en plan large. Parfait.
Sur l'écran, on distingue bien toute cette partie du salon. < Moteur ! > fait Clémentine en appuyant sur le bouton start.
Je la saisis immédiatement par sa natte. J'attrape celle d'Estelle. Je les fais mettre à genoux, mains croisées sur la tête.
Je mets une gifle à Clémentine. Ce n'est jamais un acte de violence. Cela fait partie du rôle. Je mets une gifle à Estelle.

Je leurs bloque les mains derrière le dos avec les menottes. Je passe le collier canin en cuir autour du cou de Clémentine.
J'y fixe la laisse. Pourtant c'est par leurs nattes que je les force à se relever pour les promener dans le salon. C'est bien.
Je contrôle que rien n'échappe à la caméra. Nous restons dans le champs. Tout se voit à l'écran. C'est parfait. C'est beau.
Je saisis Clémentine par le menton pour lui faire lever la tête. Je dis : < Je vais te donner un avant goût, belle salope ! >
Je rajoute : < Ainsi tu sais ce qui t'attend mercredi 8 mai ! >. Clémentine me fixe, arrogante, fière, la tête haute. Droite.

Je prends les genouillères. Je les fixe à leurs genoux avec soin. Je les entends respirer fortement. Je mâte sous les jupes.
Ces deux salopes ne portent pas de culotte. Il y a la petite ficelle blanche qui pend de la touffe d'Estelle. Elle a ses règles.
Je les touche. J'essaie d'être le plus vulgaire possible. Je me redresse. J'ordonne : < A genoux ! >. Elles obéissent. Bien.
Elles sont contre le bureau. Je leur bande les yeux. Elles en gloussent de joie. Je sors ma bite. Je vise et je me concentre.
Je mets une petite gifle à Clémentine. Je leus pisse copieusement à la gueule. Elles ne s'y attendaient pas. Une surprise.

Je sasis Clémentine par le menton pour la forcer à relever la tête. Elles sont toutes les deux dégoulinantes de pisse chaude.
Je lui frotte la bite sur la gueule. Je la lui enfonce dans la bouche. Je lui dis : < Je veux te voir sucer des mecs cet été ! >
Je rajoute : < C'est un ordre. Je veux que tu t'étouffes de foutre et de pisse d'inconnus ! Tu entends, salope ! >. Elle suce.
Estelle, excitée par ce qu'elle entend, rapproche sa bouche ouverte pour en avoir aussi. Je l'ignore en lui mettant une gifle.
Ce qui éclabousse une partie du bureau. Tout se voit parfaitement à l'écran. J'enlève les bandeaux. Les filles peuvent voir.

Elles se regardent. Clémentine suce avec les yeux fixés sur l'écran. Je tiens Estelle par sa natte pour lui montrer son image.
Je dis : < Vous n'avez pas honte toutes les deux d'êtres traitées ainsi ? Petites salopes ! >. Estelle ouvre la bouche grande.
Je sors ma bite de la bouche de Clémentine pour lui mettre une gifle avant de l'introduire dans la bouche d'Estelle. Foutre.
Il dégouline du foutre épais de la bouche de Clémentine qui a du mal à déglutir. Je la tiens par sa natte pour qu'elle se voit.
Elle fixe la caméra, fière, altière, avec cet air de défi qu'elle a dans ces situations. Et je sors ma bite de la bouche d'Estelle.

Je soulève Clémentine. Je la fais s'assoir sur le bureau. Je lui écarte les cuisses sans ménagement. Je détache ses poignets.
Je la pousse en arrière. En appui sur ses coudes, elle est maintenue par ses chevilles. Je la pénètre comme un vrai salopard.
C'est la toute première fois que je m'introduis ainsi en elle sans égard. Elle se mord les lèvres en criant. Elle est étroite. Dur.
Je dis à Estelle : < Toi, tu me bouffes les couilles et le cul ! > Je descend mon froc. Estelle, à genoux, s'avance derrière moi.
Je baise Clémentine comme un salaud. La machine à coudre. Je dis : < C'est comme ça que tu vas être traitée au haras ! >

J'entends Estelle gémir de bonheur. Je sens sa langue et sa bouche fouiller mon anatomie. J'accélère la baise. C'est dingue.
Clémentine, étourdie de plaisir, est couchée sur le bureau. Elle se fait baiser comme avec Pierre. Elle me regarde étonnée.
Elle est incapable de dire quoi que ce soit. Elle se contente de gémir, de crier, les yeux fermés et sa tête rejetée en arrière.
Je dis : < Tu aimes ça, hein, tu vas te faire baiser comme ça au haras. Il y aura cette ordure de Pierre, sa grosse queue ! >
Je me retire. Clémentine pousse un hurlement. Elle se continue en se masturbant frénétiquement. Assoiffée de jouissance.

Je me retourne pour enfoncer ma queue dans la bouche d'Estelle. Elle pousse un râle qui se transforme en grognement.
C'est un comportement bestial qui nous est assez étranger. Clémentine s'est redressée pour nous observer, se masturbant.
Elle adore voir mes comportements de vicelards. Je la saisis par sa natte pour l'attirer. Elle m'embrasse goulument. Salive.
Je sors ma bite de la bouche d'Estelle. Je me penche. Je lui dis : < Si tu n'avais pas tes règles, tu subirais le même sort ! >
< Tu me le feras subir le mercredi 8 mai, au haras ! Espèce de salopard ! > me répond t-elle et en me crachant au visage.

Je la tiens par la nuque et le menton. Je la force à fixer la caméra. Ainsi elle pourra se voir en gros plan dans le film. Jutée.
Je lui pisse à la gueule avant de me retourner pour fourrer Clémentine une nouvelle fois. Estelle me fait les couilles, le cul.
A nouveau, je baise Clémentine comme un vrai pervers. Je la secoue sur le bureau. Elle en hurle de plaisir. Estelle gémit.
Je sens que mes couilles sont remplies à en exploser. Je me retire. Je me tourne. Et je m'enfonce dans la bouche d'Estelle.
Elle me suce. Je dis : < Regarde bien la caméra ! >. Je contrôle sur l'écran si elle le fait. Clémentine se redresse. Se branle.

Je pisse dans la bouche d'Estelle que j'empêche de bouger. Elle en tousse. Manque de s'étouffer. A des hauts le cœur. Joie.
Je saisis Clémentine par la nuque pour la forcer à quitter le bureau. Je la fais se mettre à genoux. Je lui pisse à la gueule.
Je dis : < Regarde la caméra ! >. Estelle manque de vomir. Je la mâte, toute rouge, trempée de pisse, à la limite du vomis.
J'éjacule dans la bouche de Clémentine. Elle tousse. Manque de s'étouffer. Je sors ma bite pour lui mettre une bonne gifle.
Je les tiens toutes les deux en les forçant à fixer l'objectif de la caméra. Je dis : < Souriez les salopes, vous êtes filmées ! >

C'est un vrai miracle. Quelques secondes après résonne le petit clic qui annonce la fin de la carte SD. Et tout est en boîte.
Je tombe à genoux entre les deux filles. Elles se blottissent contre moi. < Merci mon amour ! > me chuchote Clémentine.
Estelle me murmure la même chose. Nous sommes tous les trois à genoux dans la pisse. Estelle avoue avoir pissé aussi.
A genoux derrière moi pendant que je baissais Clémentine, elle se masturbait. Nous verrons ça dans le film. C'est super.
Nous nettoyons notre porcherie en riant de bon cœur. Jamais nous n'avons jouis autant. On dit ça à chaque fois. Poilade.

Nous montons pour nous donner apparence humaine. Je passe le sèche cheveux sur la tête des filles qui font les clowns.
Estelle va faire le montage de ce film. Nous nous offrons une soirée cinéma samedi prochain. Nous avons hâte de voir ça.
< Il n'y aura pas grand chose à éliminer cette fois ! > précise Estelle. < J'ai la chatte en feu ! > fait Clémentine. Douleurs.
Nous voilà au lit. Totalement épuisés. Je suis entre les filles. Elles ont leurs têtes sur mes épaules. Nous faisons le bilan.
Estelle s'endort la première contre moi. Clémentine me révèle à quel point elle a jouit. < Tu as été merveilleux ! > dit elle.

Bonne soirée de folie démentielle et jouissive à toutes les coquines qui rêvent de se faire prendre devant la caméra…

Julien - (Qui sait que ce film restera privé, propriété d'Estelle. Que personne à part nous, ne le verra jamais) -

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Classe - 46 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 773 -



Il nous faut retrouver nos esprits

Hier matin, dimanche, nous nous réveillons quasiment en même temps. Je suis entre les filles qui se serrent contre moi.
Leurs têtes sur mes épaules. Nous nous chuchotons des douceurs. Clémentine à ma gauche. Estelle à ma droite. Douces.
Nous évoquons nos folies de hier soir. Il est déjà 8 h. Il est rare que nous dormions aussi tard. Estelle me saisit la queue.
< C'était génial hier soir ! > murmure t-elle. < A refaire ! > rajoute Clémentine. Je lui dis : < Et pour toi c'est bientôt ! >
< Pas sans toi ! > me fait Clémentine. < Ni sans moi ! > surenchérit Estelle. Nous en rions de bon cœur. En nous serrant.

Estelle se lève la première pour se précipiter aux toilettes en s'écriant : < Pipi ! >. Clémentine se blottit encore plus fort.
Estelle revient. < Je vais préparer le petit déj ! > lance t-elle avant de descendre dans son pyjama de soie mauve. Belle.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Morts de faim nous descendons rejoindre Estelle à la cuisine. Joie.
Il y a déjà l'odeur du café, du pain grillé et de la brioche. Estelle me saute au cou. Je la soulève. Je la fais tourner en l'air.
Estelle me couvre le visage de bisous. Par jeu, Clémentine s'interpose. Je la soulève à son tour. Plein de bisous. Douceurs.

Nous mangeons de bon appétit tout en faisant un très vague programme du jour. Le dimanche matin c'est jour de ménage.
Estelle passe l'aspirateur partout et s'occupe tout particulièrement du salon. Ce matin elle aura de quoi faire. Et des traces.
Nous traînons à table. Les filles évoquent leurs études. Je débarrasse. Nous faisons la vaisselle. Clémentine monte à l'étage.
Elle s'occupe du lit et de la chambre. Estelle file au salon. Je l'entends chanter en passant l'aspirateur. Je nettoie la cuisine.
Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère partout sur les carrelages. Je m'apprête à monter rejoindre Clémentine.

J'oublie le piège que me tend Estelle au bas de l'escalier. Elle est à genoux, mains croisées sur la tête et entièrement nue.
Je lance : < Mais qu'est-ce que tu fais ? Tu vas prendre froid ! >. Elle me sourit. < Je vous attends "Maître ! > me fait elle.
Je saisis son pyjama. Je le lui tends en disant : < Habille toi ! >. Estelle se redresse et enfile son pyjama. Elle se serre fort.
Je la fais monter sur mon dos et nous montons rejoindre Clémentine déjà vêtue de son jeans et de sa chemise à carreaux.
Les fenêtres de la chambre sont grandes ouvertes. Il fait froid. Je balance Estelle sur le lit en lui disant : < Raconte tout ! >

Nous nous habillons rapidement. Je ramasse le tas de draps sales pour les emporter à la salle de bain. Clémentine arrive.
Nous entendons Estelle passer l'aspirateur en chantant. Clémentine se blottit fort. < J'ai la trouille tu sais ! > me fait elle.
C'est une allusion à cette fameuse séance de "dressage" qui l'attend au haras d'ici exactement dix jours. Mercredi 8 mai.
Je la rassure. C'est une expérience qu'elle désire tant vivre. Et je serai présent. Que pourrait-il bien arriver à part du sexe ?
Je lave le bac à douche et le bidet. Clémentine fait le lavabo et les miroirs. Nous n'arrêtons pas de nous câliner. Les bisous.

< J'ai la chatte comme congestionnée à cause de hier soir. Tu ne m'as encore jamais baisé comme ça ! > fait Clémentine.
Elle me confie avoir beaucoup apprécié. Mais exclusivement dans ce contexte. Elle préfère notre façon habituelle de faire.
Nous en rions de bon cœur. Elle descend avec le panier à linge plein à ras bord. Je nettoie les chiottes du haut. C'est bien.
C'est lorsque j'ai les mains gantées, plongées dans la cuvette des toilettes pour frotter avec l'éponge qu'Estelle en profite.
Elle arrive derrière moi en silence pour passer ses mains autour de mes hanches avant de me palper la braguette. Coquine.

Elle me chuchote des cochonneries. < En Vendée tu seras avec moi tous les jours comme hier soir ? > dit elle à mon oreille.
Elle glisse sa main dans ma braguette pour rajouter : < Parce que moi, je serai tout le temps comme ça ! >. Elle me palpe.
Je tire la chasse. Je retire mes gants en caoutchouc. Estelle ne me lâche pas la biroute. Elle fouille ma bouche de sa langue.
Je suis en sueur. C'est toujours tellement doux, tellement bon. Je lui caresse la nuque, le dos. Je descends sur son petit cul.
< Je t'aime Julien ! Comme je me sens privilégiée de vous connaître, Clémentine et toi ! C'est merveilleux ! > susurre t-elle.

Je lui fais part de la parfaite réciprocité. Je la fais monter sur mon dos. Et nous descendons rejoindre Clémentine à la cave.
A la buanderie, une machine tourne déjà. Nous trions le linge. Les deux pulls, les jupes portés hier soir. Trempés de pisse.
Les souvenirs de ces moments intenses resteront imprégnés en nous pour toujours. Et il y a le film réalisé dans nos folies.
Estelle en fera le montage cette semaine. Dans le secret de sa chambre. Puis nous le visionnerons samedi prochain. Soirée.
Je monte le premier. Les pavés de saumon ont décongelé. Ainsi que la pâte feuilleté. Je prépare la Béchamel. Champignon.

Dehors, il fait moche, frais. Le ciel est menaçant. Le sol détrempé. Une météo épouvantable. Estelle qui vient me rejoindre.
Elle déplie la pâte feuilletée pour la disposer dans un moule à cake. Mais sans cesser d'enfiler sa main dans ma braguette.
Clémentine arrive à son tour. Elle s'occupe de la salade de concombre et de son assaisonnement. Je fais les champignons.
Estelle émince finement les deux pavés de saumon qu'elle rajoute aux morceaux de champignons que je fais rissoler. Bien.
Je verse la poêlée dans la Béchamel. Je verse le tout dans le moule à cake. Estelle replie soigneusement la pâte. Et au four.

Clémentine nous propose de mettre nos anoraks pour aller prendre la température. Les filles me tiennent par le bras. Froid.
Nous restons sur les dalles du sentier qui fait le tour de la propriété. Le ciel est bas et gris. Un vent de Nord Est désagréable.
< J'ai envie de refaire cet après-midi ! > nous fait Estelle. < J'ai encore la chatte en feu ! > répond Clémentine. Nous rions.
< On lui taille des pipes à notre "Maître" jusqu'à ce qu'il en défaille ! > propose Estelle. Nous en rigolons comme des bossus.
Je dis : < Laissez ma bite se reposer un peu, adorables "Soumises" ! >. Nous nous serrons fort dans la roseraie plus tiède.

Nous avons conscience de nos immenses privilèges. Elles ont 22 ans. Un jour, dans l'avenir, elles passeront à autre chose.
Pour le moment, à leur âge, le sexe a encore une importance prioritaire. Et toutes les deux sont entre de si bonnes mains.
Elles me le confient souvent. C'est notre différence d'âge qui rend tout cela possible. Trente années. Nous en sommes sûrs.
Nous rentrons nous mettre au chaud. La sonnerie du four. Il est midi dix. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine.
Le repas est succulent. Nous mangeons de bon appétit. Estelle se lève pour mimer des masturbations masculines. Vulgaire.

Clémentine mime des pipes avec la même vulgarité. A chaque fois je me lève. J'agite ma bite dans leur direction. Vulgaire.
Les filles me supplie de leur offrir un comportement de satyre et de vrai salopard durant tout le séjour Vendéen. Cinq jours.
Je promets de faire au mieux. Sur l'ordinateur j'ai déjà consulté quelques propositions de location. Il y a un petit bungalow .
J'ai fait un courriel pour contacter le propriétaire. Pas encore de nouvelles. Soyons patients. Nous traînons à table. Superbe.
Nous nous offrons de grosses coupes glacées. Les coquines sont assises sur mes genoux. Nous discutons en riant beaucoup.

Elles me promettent d'êtres les plus vicelardes et de me faire ma fête tous les jours en Vendée. J'écoute plutôt amusé. Joie.
Je me contente de dire à chaque nouvelle surenchère de suggestions vicieuses : < Promesses ! Toujours des promesses ! >
< Ça rime avec fesses ! > fait Estelle qui me tient la queue. < Avec ivresse ! > rajoute Clémentine qui me tient les couilles.
Nous faisons enfin la vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle veut sa pipe. Elle exige de me sucer. Nous rions beaucoup.
< Tu veux faire ça où, dans quelle condition ? > demande Clémentine. < M'en fout, je veux bouffer de la queue ! > dit elle.

Je propose une situation à risque. Et si nous allions au haras en milieu d'après-midi ? Les filles se consultent du regard. Joie.
< Super ! > fait Estelle. Je propose d'aller un peu dans l'atelier avant. Avec cette météo merdique, un peu de boulot sympa.
Les filles sont assises devant l'ordinateur. Elles consultent le site de l'université. Je fais une esquisse de dessin préparatoire.
Nous aimons beaucoup ces séances d'échauffement intellectuel. C'est un excellent aphrodisiaque. Il est rapidement 16 h30.
Nous quittons l'atelier. Nous enfilons nos anoraks. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite. Je bande assez mou.

Estelle, assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, nous raconte comment elle va procéder pour le montage de son film.
Nous arrivons au haras. Il y a des voitures dans la cour. Quelques attroupements. Des caravanes pour charger les chevaux.
Des remorques. Les propriétaires viennent récupérer leurs bêtes. Il y a madame Walter. Elle est très heureuse de nous voir.
Nous apprenons que Juliette n'est pas là. Il y juste Evelyne et Kim Son, les deux palefreniers. Mme Walter s'occupe de tout.
Nous la laissons travailler. Clémentine nous entraîne dans notre écurie préférée. Il n'y a personne. Je sors ma queue molle.

Le local bureau est ouvert. Clémentine propose à Estelle d'aller dans le box vide à côté. Nous sommes tous deux seuls ici.
Je glisse ma bite dans le trou parfaitement rond d'environ cinq centimètres de diamètre. Immédiatement je me sens sucé.
Je suis collé contre la cloison. La position est des plus inconfortables. Clémentine est derrière moi, ses bras autour de moi.
Elle me chuchote quelques révélations. Je peux sentir l'indicible caresse que me prodigue Estelle de l'autre côté. Sublime.
Je dis : < Tu vois, j'aimerai te voir entrain de tailler des pipes à des inconnus. Et de cette manière. Un trou dans le mur ! >

< J'y pense quelquefois. Ça devient même un nouveau fantasme ! > chuchote Clémentine. Je lui propose de passer à l'acte.
Pourquoi ne pas le faire ici, en mettant Juliette dans la confidence. Elle n'a pas sa pareille pour organiser des plans vicieux.
Estelle cesse de pomper. Nous l'entendons demander : < Qu'est-ce que racontez tous les deux ? >. Clémentine se penche.
< On prépare de nouvelles folies ! > lui répond Clémentine. J'ai la bite ruisselante de foutre. Un bruit de pas. Il faut cesser.
C'est madame Walter. Elle entre dans le local bureau. J'ai eu le temps de remballer ma bite. Il y a de la jute sur mon jeans.

Estelle vient nous rejoindre. Elle a du foutre gluant sur tout le bas du visage et dans les cheveux. Madame Walter comprend.
Je me suis amusée là vendredi avec la patronne, Mr Gérard et Pierre, mon mari. Nous lance t-elle en rangeant des classeurs.
< C'était bien ? > demande Clémentine. < C'était juteux ? > rajoute Estelle. < Tout comme vous dites ! > répond la femme.
Madame Walter est au travail. Elle n'a pas trop de temps à nous consacrer. C'est bien dommage. Il est presque 18 h30. Bien.
Nous quittons le haras. Je roule doucement. Estelle est assise à côté de Clémentine sur le siège passager. Elle tient ma bite.

La faim se fait cruellement sentir. Clémentine s'occupe de l'avocat et de son assaisonnement. Estelle prépare une omelette.
Je fais rissoler des tous petits dés de pommes de terre. Ail, oignon et persil. C'est un repas rapide mais délicieux. Superbe.
Nous traînons à table. Nous mangeons de bon appétit. Nous évoquons ce trou dans le mur. Et nous en parlerons à Juliette.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. J'entraîne les filles au salon. Je me fais sucer par Estelle. Je broute Clémentine. Joie.
J'éjacule en parfais sournois vicelard. Estelle manque de s'étouffer. Clémentine a un orgasme fou. Il est 22 h30. Un terme.

Bonne petite visite dans vos écuries préférées à toutes les coquines qui aiment y faire leurs saloperies…

Julien - (Qui raccompagne Estelle jusqu'à sa voiture avec Clémentine. Séparation difficile. Estelle revient mardi) -

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Un lundi soir festif. Prélude au "dressage"

Hier matin, lundi, c'est la suite en Si mineur de Jean-Sébastien Bach qui nous tire de nos profonds sommeils avec brutalité.
< Ta gueule Patrick Sébastien ! > s'écrie Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Nous rions de bon cœur tout en nous précipitant aux toilettes. Morts de faim, nous descendons jusqu'à la cuisine. Il est 6 h.
Nous préparons un petit déjeuner que nous savourons en bavardant. Nous évoquons le film de samedi soir. C'était superbe.
Nous nous réjouissons pour le découvrir samedi prochain. Ce sera une soirée cinéma. < Lard et d'essai ! > dit Clémentine.

Nous sommes vêtus de nos tenues sport. Nous enfilons nos K-way pour affronter la fraîcheur matinale. Et elle est très vive.
Le sol est encore humide. Pourtant ce jogging est sympathique. Une heure d'un running bien agréable dans le jour naissant.
La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Bonnet.
Un dernier bisou. Un dernier coucou. Je regarde la voiture s'en aller. Je me dépêche de rentrer. Je fais le lit, notre vaisselle.
Je vais dans l'atelier. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 8 h15. Je suis confortablement assis devant le chevalet.

Cette vingt sixième toile destinée à ma saison d'été est déjà en chantier. J'en ai commencé la peinture ce Week-end. Rare.
Je peins donc dans une sorte d'euphorie triomphante qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. Les plus démentiels.
Il est aux environs de dix heures lorsque la stupide musique de mon smartphone m'arrache de ma séance méditative. Dur.
C'est Juliette. Nous bavardons sur mode "haut parleur" afin de pouvoir travailler en même temps. Juliette dans son bureau.
Après les banalités d'usage, la jeune femme en arrive rapidement à la motivation de son appel. Le sexe. C'est passionnant.

Nous évoquons cette fameuse séance de "dressage" qui est dans nos projets depuis plus d'une année. Cette fois c'est prêt.
J'expose les doléances de Clémentine. Pas de sodomie, pas de violence et pas de mauvais "plans". Juliette se met à rigoler.
< Rassurez la ! Je serai là, autant que vous le serez pour supervisez les opérations. Tout se passera bien ! > lance Juliette.
Je parle du trou dans la cloison. Ce fameux trou qui sert un peu à tout le monde au haras. Trou qui sépare le box du local.
J'expose le souhait de Clémentine. < Pas de soucis ! Ce trou fait fantasmer presque toutes les femmes ! > rajoute Juliette.

Nous ajustons les dernières modalités. Bien évidemment, s'il faisait trop froid, la séance de ce 8 mai serait repoussée. Bien.
Juliette suggère que le fantasme du trou fasse l'objet d'une prochaine étape dans le "dressage" de Clémentine. Autre plan.
Je préfère en parler avec Clémentine. Je ne peux pas m'engager pour elle. La conversation dure trente minutes. Excitante.
Je précise : < Si lors de cette séance je vous choppe je m'occuperai tout spécialement de votre cas, Juliette ! >. Un silence.
< De mon cas seulement ? > lance Juliette, espiègle et mutine. Nous en rions de bon cœur. Nous venons mercredi. Repas.

Il est 10 h20 lorsque nous nous saluons avant de raccrocher. Je suis terriblement excité par cet échange téléphonique. Joie.
Je peins en bandant comme un priapique en phase terminale. Une dizaine de minutes. La musique retentit une nouvelle fois.
Cette fois, c'est Julie. La jeune serveuse du restaurant de l'étang. Elle s'excuse une fois encore pour ses longs silences. Rire.
Je la rassure. Total respect pour ses silences, ses attitudes et son comportement. Après tout c'est une jeune fille de 20 ans.
Julie m'annonce la rupture définitive et sans appel avec son "ex" petit copain pour cause d'incompatibilités totales. J'écoute.

La conversation dure une bonne demi heure. Je sais tout. Julie est en salle de documentation. Et dans sa faculté de lettres.
Elle a encore cours de 11 h à midi. Il est temps de raccrocher. Je l'invite à venir manger à la maison et dès qu'elle le pourra.
Elle promets que ce sera pour bientôt. Tous ces lundis soirs passés ensemble, à trois, cet hiver, restent des bons souvenirs.
Nous nous saluons avant de raccrocher. Je peins en pensant à cette étonnante jeune fille. Etudiante et serveuse en soirée.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Dehors le ciel alterne les séquences ensoleillées et les gros nuages menaçants.

Je lave les tomates pour la salade. J'épluche les patates, les navets, les carottes, l'ail, l'oignon. La ciboulette pour la potée.
J'en fais beaucoup afin de n'avoir qu'à réchauffer ce soir, avec une omelette. Je pane un beau filet de saule. Je fais rissoler.
Je tente d'écouter les informations mensongères qui succèdent à l'émission de Stéphane Bern. Au dessus de ma patience.
J'éteins la radio pour pouvoir manger en paix. De préserver mon appétit. La vaisselle. Je range la cuisine. Il est déjà 13 h.
Me voilà à nouveau assis devant mon chevalet. Je ne cesse de penser à Juliette. Cette séance de "dressage" qui s'annonce.

Avec Clémentine, et probablement Estelle, nous allons franchir un nouveau cap dans leurs désirs d'expériences sexuelles.
Cette fois, j'ai bien l'intention de ne pas rester passif. Je vais livrer Clémentine à un vrai "Maître". Ce salaud de Mr Gérard.
Et, comme me l'a confirmé Juliette, avec la contribution de Pierre, le mari de madame Walter. Grand baiseur et salopard.
Il y aura la présence de madame Walter. Authentique "Soumise", tatouée du mot "slave" à l'intérieur de son bras gauche.
Juliette me recommande d'en profiter, d'en abuser même. Cette magnifique femme de 42 ans adore ça. Un jouet sexuel.

Je pense également à Julie. Jeune fille extrêmement timide, réservée, inhibée et terriblement vicieuse. Attirée par le sexe.
Je caresse l'idée de l'emmener un jour découvrir le "Club" très fermé des "pratiquants" du haras et de ses écuries. Super.
Il est 16 h20. Clémentine entre dans l'atelier à toute vitesse. < Je t'aime ! > fait elle en se précipitant pour m'embrasser.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les cours, les profs, le menu du restaurant universitaire. J'écoute bien.
Ses anecdotes sont un peu mon lien avec le monde extérieur. Cette semaine s'annonce très cool. Mercredi, jour férié. Joie.

Estelle viendra mardi soir et restera jusqu'à mercredi soir. C'est comme pour un Week-end. Clémentine a encore du travail.
Nous apprécions ces séances studieuses. Je raconte les appels téléphoniques. Celui de Juliette. Celui de Julie. Bien détaillés.
La perspective de cette nouvelle expérience qui s'annonce dans sa vie de jeune fille, excite et inquiète Clémentine. Trouille.
Elle sait pourtant que je serai là. Que j'assure sa sécurité. C'est une appréhension bien légitime pour une jeune fille. 22 ans.
En ce qui concerne mon idée d'entraîner Julie dans l'univers très particulier du haras, Clémentine avoue y avoir déjà pensé.

< Entre les mains expertes de "Maître" Gérard ! > fait Clémentine en rangeant ses affaires pour venir me rejoindre. 18 h45.
Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Clémentine est avide de douceurs et de tendresse. Elle reste tout près de moi. Bises.
Nous quittons l'atelier. Je la tiens par la nuque. Fermement. Dur. Je l'entraîne à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade.
Je prépare l'omelette en réchauffant la potée. < Je vous aime "Maître" ! > me chuchote t-elle en sortant ma queue. Virtuose.
Elle m'entraîne au salon en me tirant par la bite. < Fais moi délirer ce soir ! Toutes ces histoires m'excitent ! > me fait elle.

Je lui propose de l'attacher sur la chaise, le dossier entre ses jambes, de la faire manger, ses mains menottées dans le dos.
< Oh oui, "Maître" ! > s'écrie t-elle en se précipitant derrière le bureau pour récupérer les cordes et les menottes. Pressée.
Je place la chaise à côté du bureau. Clémentine retire son jeans et sa culotte. Elle s'assoit, le dossier entre ses cuisses. Joie.
Je fixe ses pieds contre ceux de la chaise. Je menotte ses poignets derrière son dos. Je lui frotte la bite sur le visage. Vice.
Je lui mets une gifle. Je précise toujours que c'est un acte dépourvu de toute intention violente. Ça fait partie de notre jeu.

Je vais à la cuisine. Je prépare les couverts sur un plateau. J'entends Clémentine depuis le salon m'appeler : < Maître ! >
Je retourne la rejoindre. Je m'assois sur une chaise en face de la sienne. Je lui donne à manger avec la cuillère. Elle gémit.
C'est sublime de voir cette merveilleuse jeune fille qui mange, les membres attachés. Je lui donne la becquée. Doucement.
Je tourne bien la cuillère dans sa bouche afin qu'elle puisse tout récupérer. Elle me fixe, regard implorant. Reconnaissante.
Parfois, je pose l'assiette et la cuillère. Je me lève. Je lui frotte la bite sur la gueule. Je la lui enfonce dans la bouche. Pipe.

A mon tour, je mange. Je la contemple. Je l'admire. J'en suis amoureux fou. Je le lui murmure entre deux bouchées. Joie.
Je touche son sexe. C'est trempé. Je me mets à genoux avec une lampe de poche pour bien scruter ce qui dégouline. Jus.
Clémentine a des épanchements de cyprine souvent impressionnants. Là elle est carrément assise dans une flaque de jus.
Je la laisse pour aller faire notre vaisselle. Je l'entends me supplier de revenir. Je crie : < Cela fait partie de ta punition ! >
Je reviens. Elle est entrain de se frotter sur le bois de la chaise. Elle a pissé. Il y a la flaque parterre. Je lui mets une gifle.

Je la détache. Elle a des coulures et de petites giclées de cyprine. Je me mets à genoux pour lécher la chaise. Trop bon.
Je ne veux pas en perdre la moindre goutte. J'aime trop cette fille et tout ce que son corps secrète. De quoi me régaler.
Clémentine tombe à genoux pour me regarder faire. < Tu m'aimes tellement ? > me chuchote t-elle. Je dis : < Oui ! >
Nous nous embrassons presque en pleurs tellement l'émotion est grande. Elle choppe ma bite. Je bande comme un fou.
Je la force à se relever en la tirant par ses cheveux. Je la fais se coucher sur le bureau. Et je me saisis de ses chevilles.

Je m'introduis doucement. Clémentine est tellement trempée que ça rentre presque comme dans du beurre. Je la baise.
Je reproduis le comportement de primate que j'avais samedi soir. Clémentine hurle : < Je t'aime Julien ! Je t'aime ! >.
Je la secoue comme un sauvage. Pourtant, nous détestons tous deux nous comporter ainsi. Curieusement, c'est nouveau.
Clémentine, la tête renversée, donne des coups de reins pour être baisée encore plus violemment. Je fais de mon mieux.
Je dis : < Ça te fais une répétition pour ta séance de "dressage" ! >. Clémentine prend appui sur ses coudes et me fixe.

< Je pourrai ma faire baiser par Pierre ? > me demande t-elle en s'efforçant de retrouver ses esprits. Je la regarde. Belle.
Je réponds : < C'est même obligatoire ! >. Clémentine se laisse à nouveau retomber sur le dos en criant : < Je t'aime ! >
Je n'arrête pas de lui suggérer les situations les plus vicelardes. Clémentine en gémit d'aise. J'évoque le trou dans le mur.
Je dis : < Imagine quelques inconnus que tu sucerais les uns après les autres, sans savoir qui ils sont ! Tu vas adorer ! >
Clémentine se masturbe en même temps que je la baise. Ce que je raconte achève de l'emmener au pinacle. Elle en crie.

Son orgasme est cataclysmique. Elle semble souffrir mille morts. Elle me repousse doucement. Je me penche pour bouffer.
Je me régale de tout ce qu'elle dégorge. C'est incroyable. Elle a de nouveau trempé tout le bureau sous ses fesses. Dingue.
Je ne sais pas si elle en pleure où si elle gémit en cherchant à revenir à la réalité. Je l'aide à se redresser. Elle se blottit fort.
Nous restons ainsi un long moment, silencieux. Doucement elle se met à me confier ses secrets. Son impatience. Dressage.
Elle insiste pour nettoyer nos cochonneries. Une vraie porcherie sur et devant le bureau. Je l'aide. Nous rions de bon cœur.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire baiser de la façon la plus vulgaire mais en se sachant aimées…

Julien - (Qui se fait tailler une pipe au lit. Clémentine en gémit de bonheur. C'est un entraînement pour la "séance") -

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Clémentine n'a pas cours le mardi après-midi

Hier matin, mardi, c'est le Concert Champêtre de Francis Poulenc qui nous arrache violemment de nos profonds sommeils.
< Francis, t'es cinglé ! > s'écrie Clémentine tout en me chevauchant pour éteindre le réveil posé de mon côté sur la table.
Quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim nous descendons jusqu'à la cuisine. Il est déjà 6 h.
Vêtus de nos tenues sport, nous préparons un copieux petit déjeuner que nous savourons en bavardant. C'est très sympa.
Nous enfilons nos K-ways. Nous voilà à courir d'un bon rythme pour notre jogging. Une heure d'un running bien agréable.

La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine. Elle revient pour midi. Ce qui la rend joyeuse, plutôt fébrile.
Un dernier bisou. Je regarde la voiture s'en aller. Je rentre. Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Il y a du soleil.
Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 8 h15. Je suis assis devant mon chevalet. Je peins avec une joie fantastique.
Livré corps et âme à ma passion dévorante, je suis hors du temps, hors de toute réalité tangible. C'est une sensation folle.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je lave une belle salade verte pendant que je fais cuire les coquillettes. Rapide.

Je prépare la pâte à pain. Je coupe le poireaux en petits morceaux. Je concocte une Béchamel. Pour notre repas de ce soir.
Il est 12 h15. Clémentine arrive. Elle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bises.
Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade tout en me racontant sa matinée et j'écoute avec beaucoup d'intérêt.
La Flamiche Picarde, cette tarte aux poireaux qui fait le régal de nos mardis soirs. Je récupère de la Béchamel. De la sauce.
Nous mangeons nos coquillettes accompagnées de sauce Béchamel dans laquelle j'ai rajouté des crevettes rissolées. Miam.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. La pâte repose sous un linge. La Béchamel repose sous un couvercle. Tout est prêt.
Il y a le soleil. Le ciel est bleu. Il y a un désagréable vent frais et de Nord Est. C'est le dernier jour d'avril, c'est excusable.
Nous faisons le tour de la propriété. Clémentine me propose une randonnée. Je trouve la suggestion excellente. Superbe.
Il est à peine 13 h15. Nous rentrons pour nous changer. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir.
Nous mettons nos jeans, nos sweats, nos baskets. Dans le petit sac à dos, nos K-ways, deux pommes, barres de céréales.

Dans un sachet, nos grosses godasses de marche. Accroupie à ma gauche, sa tête contre ma cuisse, Clémentine me fixe.
Nous sommes devant le miroir de l'armoire. < Vous me traiterez comme il se doit, "Maître" ? > me demande t-elle. Rires.
Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Je ferai au mieux ma délicieuse "Soumise" ! >. Nous en rions de bon cœur.
Ce jeu nous amuse tant. Je sors mon Zob afin qu'elle puisse y frotter son visage, sucer. Elle s'observe dans le miroir. Bien.
Nous dévalons l'escalier. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite. 25 km par la petite route jusqu'aux collines.

Il est presque 14 h lorsque je gare la voiture sur le parking près du restaurant. Il y a quelques autres véhicules garés là.
Nous changeons de chaussures. Je porte le petit sac à dos. Ma braguette discrètement ouverte. Nous voilà en route. Joie.
Nous prenons le sentier qui monte à flanc de coteaux. Nous sommes rapidement au dessus du lac. C'est de toute beauté.
Nous marchons d'un bon pas. Nous croisons quelques marcheurs. Des couples, des groupes, principalement des séniors.
Clémentine a souvent sa main dans ma braguette. < J'ai envie d'être salope ! Si tu savais ! > me dit elle, s'accroupissant.

C'est peu rassurant d'avoir la queue à l'air au détour d'un sentier. Surtout avec une jeune fille qui la suce. Mais c'est bon.
C'est un mélange d'excitation et d'inquiétude. Il faut être vigilant et regarder partout, sans arrêt, pour pouvoir anticiper.
Nous arrivons aux ruines du château. Il y a d'autres randonneurs. Nous faisons quelques photos de nous deux en selfies.
J'ai la bite dans la main de Clémentine sur la plupart des clichés. Clémentine accroupie, debout, ou tenue par sa tignasse.
< Je suis votre "Soumise", "Maître" ! > me fait elle parfois en me tirant par la bite pour m'entraîner derrière des fourrés.

Je suis assis sur l'escalier qui mène aux remparts inaccessibles. Il y a des ronces. Clémentine est à genoux dans l'herbe.
Je suis entrain de me faire tailler une pipe des familles. Je suis vigilant. Je regarde dans toutes les directions. La prudence.
Je bande plutôt mou. Je tiens Clémentine par ses cheveux. Une main sous son menton. J'essaie d'être vicieux et vulgaire.
Mon sixième sens. Je lève la tête. Là-haut, sur la partie accessible des machicoulis, un couple nous observe. Jeunes gens.
J'ai un moment de panique. Je me rends rapidement compte que la jeune femme est souriante. Main sur le sexe du type.

L'homme lève le pouce de sa main avec un signe d'approbation. Ils sont à une trentaine de mètres. Je le dis à Clémentine.
Elle cesse pour regarder à son tour. < Wouah ! > fait la jeune femme admirative. Notre différence d'âge surprend souvent.
Un homme d'âge mûr entrain de se faire tailler une pipe par une jeune fille. De quoi troubler n'importe quel voyeur. Super.
Le couple nous adresse un sourire avant de disparaître derrière les ronces. Clémentine retourne à sa pipe. Je bande et dur.
Cette fois, je n'omets pas de regarder en l'air. Il n'y a plus personne. Je tire doucement les cheveux de Clémentine. 16 h15.

Si nous voulons redescendre pour longer le lac, il est préférable d'y aller. Clémentine me montre l'intérieur de sa bouche.
Mon liquide séminal et du foutre gluant qu'elle a du mal à déglutir. Je lui essuie les coins de la bouche avec un mouchoir.
Nous quittons les ruines pour prendre le sentier assez abrupte qui descend vers le lac dont les eaux noirs reflètent le ciel.
Quelques nuages d'altitude. Je marche souvent avec la bite à l'air. Clémentine me confie à quel point cela l'excite. Super.
Nous sommes de retour à la voiture pour 18 h30. Je roule avec prudence. Clémentine me suce presque jusqu'à la maison.

Il est 19 h. La voiture d'Estelle est garée à côté du garage. Elle nous voit arriver depuis la fenêtre de la cuisine. Un coucou.
Elle se précipite au dehors pour me sauter au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Clémentine s'interpose.
C'est un jeu qui nous amuse tout autant que tous les autres. J'ai la bite à l'air. Estelle s'accroupit pour la regarder de près.
< Je n'ai pas arrêté de la sucer ! > lui fait Clémentine. < Miam ! > s'écrie Estelle avant de se mettre à téter. Elle est belle.
Je la force à cesser. Nous rentrons tous les trois en riant. Je bande comme un salaud entre les deux filles. Dur de marcher.

La tarte aux poireaux est au four. L'odeur achève de nous mettre en appétit. Tout est prêt, la table est mise. Merci Estelle.
Nous montons nous changer. Estelle, assise sur notre lit nous raconte son après-midi au bureau dans l'entreprise familiale.
Clémentine et moi, en slip devant le miroir, faisons des mouvements de danses, prenons des poses, faisons les pitres. Joie.
Estelle me choppe par le slip et me serre les couilles avec force. < Je te les vide après la bouffe mon salaud ! > me fait elle.
< Avec mon autorisation ! > rajoute Clémentine qui frotte son sexe contre ma cuisse. Je la touche. C'est mouillé au fond.

La sonnerie du four que nous entendons à peine. Nous enfilons nos jeans et nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.
Nous mangeons de bon appétit. Estelle reste avec nous jusqu'à demain soir. Nous sommes invités chez Juliette pour 20 h.
Nous traînons à table. Comme à son habitude, Estelle se lève souvent pour mimer une masturbation masculine. Vulgaire.
A chaque fois Clémentine mime une pipe, faisant tourner sa main devant sa bouche avec une bosse à l'intérieur de la joue.
Je me lève pour agiter ma bite vers les filles. Cela nous amuse d'autant plus que nous parlons de toute autre chose. Rires.

< Nous sommes trois obsédés ! > fait Estelle qui fait la plonge. Clémentine et moi nous essuyons. Je dis : < Le bonheur ! >
< Le paradis ! > surenchérit Clémentine en saisissant ma queue à pleine main. Elle rajoute : < Et ce soir, elle est à moi ! >
Mise en appétit depuis notre randonnée de l'après-midi, Clémentine qui n'a pas cessé de la sucer, veut continuer. Et encore.
Je sais comment faire pour départager l'envie des deux coquines. Je leurs propose un broutage de minous. C'est imparable.
Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. La cuisine à peine rangée, elles m'entraînent toutes les deux au salon. C'est bien.

Estelle et Clémentine, à quatre pattes sur l'épais tapis, les coudes en appui sur le canapé, me tendent leurs superbes culs.
< Je te préviens, je ne me suis pas lavée depuis hier ! > me lance Estelle. Et c'est moi qui le lui ai demandé dimanche soir.
Je suis à quatre pattes derrière Estelle. Je fourre mon visage entre ses fesses. Je crois vaciller. Vertige. Ça pue. C'est fou.
Le goût me dégoutte. Pourtant, et rapidement, une main entre les cuisses de Clémentine, je me mets à savourer Estelle.
J'ai pris goût à son manque d'hygiène intime. Elle le fait de toutes façons exprès. Je lui bouffe le cul. J'ai le visage trempé.

Je passe à celui de Clémentine. Je déguste les saveurs de sa randonnée, de sa journée de fille, de sa sueur, des muqueuses.
C'est autre chose. C'est épicé. Lorsque je bouffe le cul de l'une, je caresse le sexe de l'autre. Les doigts ruisselants de jute.
Je me couche sur le dos afin de pouvoir passer mon visage entre leurs cuisses. Elles n'ont plus qu'à s'assoir sur ma gueule.
Le jus de fille me donne le tournis. Elles échangent leurs impressions en riant. Elles frottent leurs sexe sur mon visage. Bon.
Je me régale. A tel point que je ne sais plus toujours quel jute me coule au fond de la gorge. Et je bande comme un salaud.

Estelle est la première à jouir. Elle se lâche. Je suis certain qu'il y a un petit jet de pisse. J'ai le visage mouillé. La cyprine.
Je passe à nouveau ma tête entre les cuisses de Clémentine qui se tourne. Nous voilà en position "69". J'entends sucer.
Le gargouillis bulleux résonne. Estelle est couchée sur le côté, ses mains entre ses cuisses, à me regarder lécher le minou.
< Tu m'as fais comme ça à moi aussi ? > me chuchote t-elle. J'ouvre les yeux. Son visage tout près du mien. Un clin d'œil.
Clémentine cesse la pipe pour se redresser, assise sur mon visage. Elle se frotte un peu avant de se retirer. Je comprends.

Elle se lève pour se précipiter aux chiottes. En courant elle pisse déjà. C'est toujours hallucinant. De la pisse partout au sol.
Une traînée de pisse qui la suit jusqu'aux chiottes où nous l'entendons hurler de plaisir. Nous nous précipitons. Un orgasme.
Elle est couchée sur le côté, presque contre la cuvette en faïence, le corps secoué de spasmes. Elle jouit comme une dingue.
Estelle me tient par la queue. Elle dit : < Cette salope ! Je suis certaine qu'en cours elle va aux chiottes pour se branler ! >
Nous rions de bon cœur puisque Clémentine m'a déjà confié se toucher aux toilettes de la faculté, entre deux cours. Rires.

Clémentine reprend doucement ses esprits. Elle éclate de rire. Elle se trouve ridicule. Nous la félicitons. C'était grandiose.
Elle passe la serpillère partout où elle a pissé. Estelle me suce, couchée à ma gauche. Et tous deux vautrés dans le canapé.
Il est 22 h30. Nous sommes épuisés. Je demande à Estelle si elle préfère se faire éjaculer dans la bouche au lit ou au salon.
C'est Clémentine qui répond : < Ici ! Au lit il est à moi ! >. J'éjacule dans la bouche d'Estelle qui pousse de petits cris. Ravie.
Nous montons nous coucher. Estelle s'endort la première contre moi. Clémentine raconte son orgasme. Câlin, bises et dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui adorent se faire bouffer la chatte jusqu'à la folie avant de se faire juter en bouche…

Julien - (Qui s'est encore fait vider les couilles et qui s'endort avec le goût du minou des filles dans la bouche) -

Classe



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Homme, 53 ans, France
Classe - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 776 -



Mercredi premier mai, jour férié

Hier matin, mercredi, nous nous réveillons quasiment en même temps, tous les trois. Je suis entre Clémentine et Estelle.
Ce sont les mouvements que nous faisons qui ont raison de nos sommeils. Estelle reste serrée fort contre moi toute la nuit.
Il est 8 h. Nous nous racontons nos rêves. Estelle tient mon érection matinale à pleine main. Elle se lève la première. Pissou.
Elle revient en disant : < La place est chaude ! Je vais faire le petit déj ! >. Elle dévale les escaliers dans son pyjama mauve.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Morts de faim nous rejoignons Estelle à la cuisine. Le parfum du café.

Nous savourons ce délicieux petit déjeuner tout en bavardant. Dehors, il fait beau. Le ciel est immensément bleu. Du soleil.
Nous traînons à table. Nous faisons un vague programme de la journée. Il y a la fête du muguet au port de plaisance. Bien.
Ce soir nous sommes invités chez Juliette. Pas seulement pour le repas du soir mais pour les derniers détails de notre projet.
La séance de "dressage" prévue mercredi prochain, 8 mai, qui est un jour férié également. Les filles sont mortes de trouille.
L'échéance approche. Même si elles sont toutes les deux très excitées, c'est l'inquiétude bien légitime pour une "première".

Je les rassure. Je serai là. Il ne peut rien arriver. A part le plaisir extrême et la jouissance. Elles s'assoient sur mes genoux.
Nous rions de bon cœur en envisageant les choses les plus insolites. La vaisselle. Nous remontons pour nous changer. Joie.
Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir avant de revêtir nos tenues sport. Il faut enfiler les K-way.
La fraîcheur matinale est vive, contrastant avec le ciel bleu et le soleil. C'est Estelle qui donne le rythme. Nous voilà partis.
Nous courrons d'une bonne foulée. Un jogging le long de notre parcours habituel. Une heure. Un running des plus agréables.

Nous revenons pour 9 h45. Estelle prend sa douche la première. Clémentine et moi découvrons nos mails sur l'ordinateur.
Il y a enfin une réponse à ma tentative de contact concernant la location d'un petit bungalow en Vendée. Avec des photos.
C'est monsieur Jacques. La location se situe entre Belleville-sur-Vie et la Roche-sur-Yon. Une toute petite maison. Et jolie.
C'est à notre tour. Estelle est vêtue de son jeans, sa chemise à carreaux et ses baskets. Nous montons prendre la douche.
Nous nous habillons de la même façon. Nous descendons rejoindre Estelle qui surfe sur le site de l'université. Information.

Je laisse les filles consulter les programmes de la faculté pour aller à la cuisine. Je prépare le repas du soir, chez Juliette.
Un feuilleté de saumon. Le poisson et la pâte ont décongelé. Et il me reste à préparer la Béchamel. J'entends les fille rire.
J'émince le saumon pour le faire revenir avec des champignons dans le wok. Je rajoute le tout à la Béchamel. Je remue.
Je verse sur la pâte feuilletée déposée dans le moule à cake. Je roule la pâte comme pour une bûche. Je scelle les bords.
Je mets au four. Je vais rejoindre les filles au salon. Elles m'expliquent ce que je vois sur l'écran. Graphiques et courbes.

J'ai réglé le four de manière à ne plus avoir à intervenir. Nous voilà libres. Il est 10 h45. Et je propose de partir ce matin.
Je suggère le restaurant, au port de plaisance, afin de pouvoir assister à la fête du muguet organisée par la municipalité.
Avec ce vent désagréable et cette fraîcheur, pas question d'y aller à bicyclette. Les filles sautent de joie. Elles sont ravies.
Nous décidons de rester vêtus comme nous le sommes. Idéal pour passer une journée de découvertes et de promenade.
< Je serai hyper salope aujourd'hui ! > fait Estelle en glissant la main dans ma braguette. < Moi aussi ! > dit Clémentine.

Je les tiens par la taille. Elles se blottissent toutes les deux contre moi. Estelle garde sa main dans ma braguette. Le slip.
Nous mettons des T-shirts dans un sachet. Dans le petit sac à dos, pommes, eau, barres de céréales, paire de jumelles.
Clémentine monte en vitesse récupérer une de ses jupettes plissées. < Au cas où ! > dit elle. Nous en rions de bon cœur.
Je téléphone au restaurant du port de plaisance pour y réserver une table. C'est parfait. Il n'en reste qu'une. C'est super.
Comme tout le monde réserve en terrasse, il reste de la place à l'intérieur. A l'intérieur, pas de fumeurs pour faire chier.

Je roule doucement. Clémentine m'a sorti la queue. Estelle, assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, nous raconte.
Par la route, c'est plus long que par la piste cyclable. 30 km. Nous nous amusons beaucoup. Nous évoquons les vacances.
Cinq jours en Vendée, tous les trois. Cet été Estelle viendra nous rejoindre à Edimbourg du 1er août au début septembre.
Nous arrivons aux abords du port de plaisance. Il est plus facile d'y accéder en vélo qu'en voiture un jour de fête. Difficile.
Je gare la bagnole à la sortie du bourg à dix minutes de marche par le sentier. C'est parfait. Il fait très agréable. T-shirt.

Dans le petit sac à dos, il y a la jupette de Clémentine. < Garde ta braguette ouverte ! > me fait Estelle qui me la tripote.
Nous croisons quelques promeneurs. Nous voilà au port. Il y a évidemment un monde fou. Cette fête est encore un succès.
Nous arrivons au restaurant. Sur la terrasse, toutes les tables sont occupées. C'est pareil sous la grande pergola extérieure.
Ce n'est qu'à l'intérieur qu'il y a des tables libres. Nous prenons place à la nôtre. Trois plateaux de fruits de mer. Délicieux.
Nous savourons ce repas en prenant tout notre temps. Les filles évoquent leurs études. Le troisième trimestre qui est cool.

D'énormes coupes glacées que nous dégustons. Le restaurant n'est pas très classe. C'est très populaire, sans personnalité.
L'endroit fait office de Bar Tabac, magasin de journaux, de souvenirs et même de point relai pour les achats par Internet.
Mais le repas restera un bon souvenir. Simple et sympathique. Il est 14 h. Nous flânons entre les stands et manèges. Bien.
Toutes les familles de Simpson semblent s'êtres données rendez-vous sur le port. Et c'est très rapidement insupportable.
Nous montons jusqu'au vieux cimetière sur la colline. De là la vue est magnifique. Peu de promeneurs là-haut. C'est super.

Il faut s'assoir sur un muret à l'abri du vent. Clémentine préfère garder son jeans. Je la comprends. Mais ça reste sympa.
Estelle, la main dans ma braguette, propose de jouer à l'exhibitionniste et aux voyeuses. Et Clémentine insiste en rigolant.
Me voilà dissimulé entre les caveaux de familles, les statues et les tombes, bite à l'air, entrain de me branler pour bander.
C'est Estelle qui interprète la première voyeuse. Elle se promène entre les allées. Je lui montre la bite au dernier moment.
Nous jouons aux parfaits inconnus. Mais où donc est Clémentine ? Estelle se touche tout en bavardant, jouant la touriste.

C'est très excitant. Nous y jouons parfois avec Clémentine, mais c'est la première fois avec Estelle. Je me masturbe. Vice.
Je dois pisser depuis la maison. Je me concentre. C'est difficile de pisser en érection, même si j'y arrive assez facilement.
Il me suffit de n'être pas trop excité. Je ne le suis pas encore trop. Un petit jet fin, contrarié en direction d'Estelle. Super.
Je me branle en pissant. Des petits jets, cambré sur mes genoux fléchis. Et toujours pas de Clémentine. Mais où est elle ?
Estelle s'approche. Elle regarde dans toutes les directions. Elle s'accroupit pour sucer mes derniers épanchements. Pompe.

Mon attention est attirée par un bruit derrière moi. Je reste aux aguets et vigilant. C'est Clémentine, main dans son jeans.
Elle était tout simplement cachée à nous observer. En se masturbant comme elle apprécie tant de le faire. Je me fais sucer.
Estelle se régale. Elle s'est assise sur une pierre tombale. A l'aise, elle peut tailler une pipe dans les meilleures conditions.
Clémentine reste entre deux tombes pour nous observer. Comme si nous étions deux inconnus qu'elle surprenait. Superbe.
La situation dure ainsi un long moment. Parfois des bruits de voix. Nous sommes à l'abri des regards. Soudain, des rires !

Ce sont deux familles de Simpson. Leurs progénitures qui jouent entre les tombes. Il faut cesser. Je remballe en vitesse.
Clémentine, plutôt frustrée, nous entraîne à travers le cimetière pour trouver un endroit tranquille où pouvoir continuer.
Hélas, d'autres familles montent. C'est un lieu de promenade prisé les jours fériés. La vue y est imprenable. Magnifique.
Nous descendons le chemin en croisant quantité de gens. Il était temps. Nous nous offrons des cônes glacés. Délicieux.
Nous flânons encore un peu. Il est 18 h lorsque nous quittons. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Joie.

Nous arrivons à la maison. Je sors le feuilleté de saumon du four pour le mettre dans un Tupperware. Tout est très rapide.
Nous décidons de rester vêtus ainsi. Jeans, chemises à carreaux et baskets. Clémentine se touche. Estelle me suce. 19 h.
Nous restons ainsi un petit moment. < Il faut que j'arrête. C'est trop bon ! > lance Clémentine. Je lui fais : < Moi aussi ! >
Je sors ma bite gluante de la bouche d'Estelle qui pousse un petit cri de dépit. Nous étions dans le canapé. Il est l'heure.
Nous voilà en route pour le haras. Trois petits kilomètres. Je roule doucement. Estelle assise au sol. Et devant Clémentine.

Il est 19 h45. Je gare la voiture dans la cour. Il n'y a personne. Juliette, au balcon de son appartement, nous fait coucou.
< C'est ouvert ! Montez vite ! > nous lance t-elle. Juliette vient à notre rencontre dans l'escalier. Elle est toute contente.
Au fil du temps, de nos complicités, s'est installée entre nous une véritable amitié. Chaleureuse, authentique et plaisante.
Comme le précise Clémentine : < Ceux qui veulent des amis parfaits, n'en n'ont tout simplement pas ! >. C'est si juste.
Juliette met le feuilleté dans le four pour le réchauffer. Elle a préparé des salades. La table est mise. Nous voilà assis là.

Juliette nous raconte sa journée. Il ne reste plus qu'une dizaine de chevaux en pension. La saison se termine. C'est parfait.
La sonnerie du four. Nous sommes morts de faim et invités à prendre place à la grande table. Estelle me touche discrète.
< Oh tu peux faire ta salope, nous sommes entre membres du "Club" ! > lui fait Clémentine. Juliette revient avec les plats.
Nous mangeons de bon appétit. La conversation s'articule rapidement sur notre projet commun. Le "dressage" des filles.
Juliette nous confie que Maître Gérard a déjà "dressé" quatre jeunes filles, (majeures) et déjà plus de cinq jeunes femmes.

Juliette, en maîtresse de cérémonie, participe toujours. Assistante de Maître Gérard. Avec la collaboration de Mme Walter.
Sans entrer dans les détails car elle veut préserver les surprises, Juliette nous raconte quelques anecdotes. C'est excitant.
Je sens Clémentine fébrile sur sa chaise. Elle pose quelques questions rusées. Juliette n'est pas dupe. Estelle écoute bien.
La séance de "dressage" commence à 14 h30. C'est un scénario immuable. Je dois emmener Clémentine à la laisse. Bien.
Pour la circonstance, elle sera vêtue de noir. Jupe, sweat ou T-shirt, escarpins noirs à talons hauts. Les cheveux attachés.

Clémentine sera livrée à Maître Gérard qui s'occupera de l'emmener au nirvana des plaisirs raffinés de la soumission. Joie.
Estelle sera la seconde "Soumise". Il y aura Pierre, le mari de Mme Walter. Il y aura une autre "surprise". C'est un secret.
< Pas de sodomie, pas de violence et pas de douleurs infligées ! > lance Clémentine. < Jamais chez moi ! > lance Juliette.
Elle rajoute : < Ce ne sont qu'humiliations, soumissions, situations honteuses et des plaisirs à vous en couper le souffle ! >
Les filles sont très excitées. Malgré leurs questions, leurs désirs d'en savoir davantage, Juliette reste muette. < Secret ! >

Nous prenons notre dessert. Nous traînons à table. Il est déjà 22 h15. Il faut songer à partir. Demain les filles ont cours.
Nous quittons le haras. Dans la voiture, Estelle assise entre les pieds de Clémentine, ne cesse de me tenir la queue. Fort.
Clémentine me suce. Je leur donne mes impressions. Nous arrivons à la maison. Je conseille à Estelle de filer tout de suite.
La séparation est difficile. Elle revient demain soir. Nous la regardons partir dans la fraîcheur désagréable de la nuit. 23 h.
Au lit, j'offre un cunnilingus à Clémentine. Son orgasme est fabuleux. Je propose de remettre la pipe à demain. Puis dodo.

Bonne journée de balade, de vice, de tripotage de queue et de suçage de bite à toutes les coquines qui aiment...

Julien - (Qui écoute Clémentine lui confier sa profonde impatience d'être soumise à Maître Gérard) -

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Chères amies lectrices
Chers amis lecteurs

Nous voilà à la fin de cette seizième page.

Clémentine et moi remercions toutes nos lectrices et tous nos lecteurs pour leur fidélité.
Même si "Clémentine", "Julien", "Estelle", "Juliette", Gérard et tous les autres, ne sont qu'autant de pseudonymes.

Les contributions de "Clémentine" se limitent à ce que nous raconte la jeune femme au bas de nos récits.
Nous aimons à soigner nos lecteurs afin de les captiver, de les amuser et surtout de leur proposer du rêve.

Il est important de respecter l'anonymat des personnes. Tout particulièrement sur les forums "Sexe".
Même si tout cela est beaucoup plus réel encore que ne l'imagine le lecteur toujours étonné et amusé.

Nos récits ne demandent aucun commentaire. Aussi nous remercions toutes celles et tous ceux qui n'en mettent pas.
C'est une grande preuve de tact et de bon goût. La "Classe". Toute la place reste disponible pour les épisodes qui se suivent.
Ainsi chaque épisode suit le précédent dans l'ordre chronologique du déroulement des évènements sans aucune rupture.

Par contre nous remercions toutes celles et tous ceux qui nous contactent en messagerie privée pour témoigner leurs ressentis. Joies.
C'est vraiment beaucoup mieux. Cela reste privé et ne regarde personne. Les intéressés savent à quel point nous répondons toujours.

Continuons cette saga dans la magnifique dix septième page qui nous attend déjà...

Cordialement.

Clémentine et Julien

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Un jeudi soir plutôt sensuel

Hier matin, jeudi, nous nous réveillons tous deux juste avant que ne résonne la musique. J'éteins le réveil quand même.
Il est 5 h55. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Nous revêtons nos tenues sport pour descendre.
Nous préparons un copieux petit déjeuner que nous dégustons en faisant le bilan de ce jour férié passé. C'est très bien.
Nous ne traînons pas. Il est 6 h25. Nous enfilons nos K-ways pour affronter la fraîcheur matinal et notre jogging. Super.
Une heure d'un running des plus agréables sur notre circuit habituel. Il fait beau. Quelques nuages. Retour. La douche.

Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Un dernier bisou.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre. Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Superbe.
Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 8 h15. Me voilà enfin installé devant mon chevalet et dans le recueillement.
Je peins dans la sérénité du vainqueur. Cette vingt sixième toile destinée à ma saison d'été sera terminée demain, midi.
Comme j'y ai travaillé ce Week-end, j'ai pris une confortable avance. Pour cette saison je suis en avance d'un bon mois.

Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je lave la salade. Je fais bouillir l'eau des spaghettis. Je fais une pâte à pain.
Je prépare la garniture des pizzas du jeudi sor. J'en récupère un peu comme sauce en accompagnement des spaghettis.
Je mange de bon appétit. La pâte à pain repose sous un linge. La garniture repose sous un couvercle. Tout est déjà prêt.
La vaisselle. Je range la cuisine. Je descends au jardin pour prendre la température. Il fait beau mais il y a un vent frais.
Curieux début mai. Je fais un rapide tour de la propriété. Je retourne dans l'atelier. Il est 13 h. Assis devant le chevalet.

Cette seconde séance est aussi gratifiante que la première. Encore une journée productive. Surtout éminemment positive.
L'après-midi passe ainsi. Je suis concentré sur mon travail, livré corps et âme à ma passion dévorante. Je peins heureux.
Du bruit. Il est 16 h20. Clémentine entre dans l'atelier, elle jette son sac dans le canapé, se précipite vers moi, contente.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les cours, les profs, le menu du restaurant universitaire. C'est super.
J'écoute toujours avec beaucoup d'intérêt. Toutes ces anecdotes permettent de rester en contact avec le monde extérieur.

Demain matin, Clémentine a un test d'oral. Il lui faut préparer un petit texte concis. Une dizaine de lignes. La voilà affairée.
Assise devant l'ordinateur, entourée de ses fiches, elle rédige le texte qu'il lui faudra développer devant un jury d'étudiants.
Nous apprécions ces séances communes. Parfois l'un rejoint l'autre pour voir ce qu'il fait. Bisous et murmure de douceurs.
Il est 18 h15. Estelle arrive à son tour. Elle se précipite vers moi. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou. Joie.
Les filles évoquent l'examen blanc qui les attend. Elles comparent le développement qu'elles ont préparé. Il faudra parler.

Chaque étudiant aura cinq minutes pour développer un concept imposé. Devant un jury de cinq étudiants tirés au hasard.
J'écoute. C'est amusant car ce test est à la fois ludique et très instructif. On sent toutefois tout le travail qu'il y a derrière.
Il est 18 h45. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Les filles rangent leurs affaires. Et nous quittons l'atelier pour sortir.
La fraîcheur de cette fin d'après-midi reste étrange pour un début de mois de mai. Nous faisons le tour de la propriété. Joie.
Les filles me tiennent par le bras. J'ai sorti ma bite sur la demande d'Estelle. Elle me la fait souvent tournoyer en rigolant.

Je bande mou. Estelle me la tient à sa base, entre le pouce et l'index pour la faire tourner. < Regarde ce truc ! > dit elle.
Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine rajoute : < Heureusement qu'il n'y a pas encore de moustiques ! >
La faim se fait cruellement ressentir. Nous rentrons. Comme tout est déjà prêt, il n'y a plus qu'à préparer. Et c'est rapide.
La salade est déjà lavée. Clémentine prépare l'assaisonnement. Estelle travaille la pâte à pain. Je réchauffe la garniture.
Je râpe une quantité industrielle de Parmesan. Estelle, les mains pleines de farine, m'enduit le Zob en riant. C'est amusant.

Les pizzas sont au four. La table est mise. Clémentine nous entraîne au salon. Estelle s'accroupit pour regarder son œuvre.
Ma bite enduite de farine. Nous rions de bon cœur lorsqu'elle dit : < Il n'y a plus qu'à la mettre au four ! >. Elle me la saisi.
Clémentine me montre sa braguette en disant : < Tu veux la mettre au four ? >. Nous rigolons comme des bossus. Super.
Estelle me pousse dans le canapé. Je tombe à côté de Clémentine. Elle pose l'épais coussin au sol entre mes jambes. Bien.
A genoux, Estelle observe ma queue enfarinée et en renifle les effluves parfumées "Parmezob" de ma journée d'homme.

Elle me décalotte un peu. Elle fait : < Pouah ! C'est pas des grumeaux de farine ça ! >. L'odeur est épouvantable. Schlingue.
Estelle du bout de sa langue tente de décoller le frome qui colle entre le prépuce et le gland. Je suis importuné par l'odeur.
< C'est gerbeux ! > dit encore Estelle avant de passer sa langue sous le prépuce. Ça fait une bosse, comme un petit animal.
Clémentine se penche pour regarder de tout près. Je lui tiens la nuque. Je caresse la tête d'Estelle qui se met à téter le Zob.
Juste l'extrémité en bouche, les joues creusées, les yeux fermés, elle savoure en poussant un long gémissement. Elle suce.

Clémentine a glissé une main dans sa culotte. Elle m'embrasse avec avidité. Nous fouillons nos bouches de nos langues.
Je sens la passion que met Estelle dans la fellation qu'elle prodigue. L'indicible caresse et le baiser me donnent le tournis.
La sonnerie du four. Je dois carrément arracher ma bite de la bouche de ma suceuse. Je la tiens par ses cheveux. Stop !
Nous nous précipitons à la cuisine. Estelle a un mélange de farine et de Parmezob aux coins de ses lèvres. Je le lui essuie.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles reviennent sur l'épreuve de demain matin. Et plutôt pressées.

Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer avec sa vulgarité coutumière, une masturbation masculine. Elle s'applique.
A chaque fois Clémentine mime une pipe. Je me lève pour agiter ma queue dans leur direction. Je viens à côté d'Estelle.
Prudente, elle repousse son assiette. Elle sait de quoi je suis capable. Je lui ai déjà pissé sur la bouffe. Une vraie ordure.
Je lui frotte la bite sur la joue. Je la tiens sous le menton et par la nuque. Je peux sentir sa mâchoire entrain de mâcher.
Clémentine se lève pour regarder de près. A peine a t-elle avalé et je tente de fourrer ma queue dans la bouche d'Estelle.

Les lèvres serrées, tentant de détourner le visage en faisant la grimace, Estelle m'empêche de lui enfoncer la queue dure.
Je lui dis : < Tu ne perds rien pour attendre ! >. Je la lâche. Je retourne m'assoir. Clémentine m'attrape par les hanches.
Elle prend mon Zob en bouche pour se mettre à sucer comme une assoiffée. Elle cesse. J'ai la bite rouge de sauce tomate.
< Le trio infernal ! > lance Estelle. Nous rions de bon cœur. Nous terminons le repas en riant beaucoup. Histoires de pipe.
Nous traînons à table. Estelle passe sous la table, à quatre pattes, pour venir frotter son visage sur ma queue. Me pomper.

Clémentine se penche parfois pour regarder ce que fait Estelle. Elle me tient la main. < Je t'aime Julien ! > murmure t-elle.
Nous entendons Estelle sous la table qui fait : < Moi aussi ! >. Nous en rions de bon cœur. Nous l'entendons surtout sucer.
Je dis à Clémentine : < Cet été, en Ecosse, tu veux bien réaliser mon fantasme ? Sucer un parfait inconnu dans un coin ? >
Clémentine soupire. Elle connaît bien mon désir de la voir pratiquer une fellation à un inconnu. Je comprends que c'est dur.
Il n'y a pas que l'aspect "risque", il y a un tas d'inhibitions légitimes chez une jeune fille de 22 ans. Même exhibitionniste.

Sous la table, Estelle se mêle à la conversation. < Moi je serai capable de le faire ! Je l'ai fait avec Mr Gérard ! > fait elle.
Et c'est vrai qu'Estelle a été la première à tailler une pipe à ce vieux salaud. Par le trou dans la cloison du box aux écuries.
Clémentine me confie une fois de plus son intense envie de tenter cette expérience. Il lui faut juste surmonter des trucs.
< C'est un conflit permanent entre mon fantasme de le faire et mon courage de passer à l'acte ! > précise t-elle souvent.
Je comprends. Elle me supplie de l'emmener à cet acte un jour mais en respectant son approche. Et elle doit s'y préparer.

Sans développer de paranoïa inutile, et ridicule, il faut tout de même faire le bon choix. Et on ne suce pas n'importe qui.
La vaisselle. Estelle plonge. Clémentine et moi, nous essuyons. Estelle me montre l'intérieur de sa bouche. Il y a du jus.
Nous rangeons la cuisine. J'entraîne les filles par la nuque au salon. Clémentine s'installe dans le fauteuil. C'est le signal.
Je suis vautré dans le canapé. Estelle est à genoux sur l'épais coussin. Elle reprend sa pipe en me fixant dans les yeux.
Clémentine se masturbe en nous observant. Elle scrute chacune de mes réactions. Je suis son "acteur" préféré. Vicelard.

Je sors ma queue de la bouche d'Estelle pour la tendre vers Clémentine. Il y a des filaments de foutre épais et visqueux.
Ils restent gluants jusqu'à la bouche d'Estelle qui les aspire comme des spaghettis avec un bruit de succions si amusant.
Je lui frotte la bite sur la gueule jusqu'à la maculer de foutre. Nous entendons Clémentine souffler de plus en plus fort.
Elle se masturbe, cesse, nous observe, recommence. Elle en gémit de plaisir. La masturbation étant sa préférence ultime.
Je distille mon foutre par montées permanentes de jute dans la bouche gourmande d'Estelle qui en pousse de petits cris.

Je chuchote des cochonneries. J'évoque la séance de "dressage" qui attend les filles mercredi prochain aux écuries. Vice.
Estelle a passé une main dans sa culotte. Les filles gémissent en écoutant mes saloperies. C'est si terriblement excitant.
Je me fais vider les couilles. Mélange de mon liquide séminal, jus de prostate. Je tente de pisser. Je bande trop fort. Dur.
Je tiens Estelle sous le menton pour bien répandre du foutre sur toute sa petite gueule d'ange. Elle apprécie follement ça.
Elle me présente toutes les parties de son visage afin que je puisse consciencieusement le maculer de jute bien gluante.

Les orgasmes d'Estelle sont étonnants. Elle a souvent un petit cri. Tout son corps est secoué d'un spasme et elle frissonne.
Cette fois encore, sans cesser de pomper, elle est terrassée par un orgasme nucléaire. Je lui caresse la tête. La tendresse.
J'éjacule en sournois, sans prévenir, comme le dernier des salopards. Clémentine cesse de se branler pour regarder. Bien.
Estelle se met à tousser, elle manque de s'étouffer sous la quantité de sperme. Elle tente d'avaler tout ce flot de jute. Joie.
Clémentine s'offre un orgasme tellurique. Elle pousse des cris. La tête rejetée en arrière, mains entre ses cuisses serrées.

Estelle me montre l'intérieur de sa bouche en faisant un mouvement de la main. Elle a souvent un mal fou à tout déglutir.
Je la regarde faire des efforts, se masser le cou, faire des mouvements de tête. Enfin, elle réussi à tout avaler. C'est dur.
Pourtant, elle se remet rapidement à sucer. Elle adore ce qui vient après. Parfois la surprise que je réserve aux suceuses.
Il est 22 h15. Demain, les filles ont cours. Je propose de reprendre nos esprits. Nous raccompagnons Estelle à son auto.
Elle revient samedi. Nous visionnons le film. Soirée branlette. La séparation est difficile. Tous les trois épuisés. Des bisous.

Bonne soirée pipe à toutes les coquines qui aiment sucer en se masturbant, bercées par des histoires vicieuses…

Julien - (Qui serre Clémentine contre lui, au lit, pour lui signifier à quel point le bonheur est contagieux) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 2 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 778 -



Clémentine termine à midi le vendredi

Hier matin, vendredi, c'est le concerto pour clavecin de Vivaldi qui nous arrache de nos profonds sommeils. C'est du brutal.
< Viva ta gueule ! > s'écrie Clémentine tout en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit. Lourde.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues sport, nous descendons à la cuisine. Faim.
Nous savourons un copieux petit déjeuner. Clémentine termine à midi. Ce qui la rend fébrile. Elle se réjouie pour son oral.
Il est 6 h25. Nous enfilons nos K-ways pour affronter la fraîcheur et notre heure de jogging. Il faut courir d'un bon rythme.

Soixante minutes d'un running des plus agréables. La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine. Ciel bleu.
Vêtue de son jeans, d'un pull de coton noir, de sa veste en cuir noir, de ses bottines, Clémentine me fait un dernier bisou.
Il est 7 h45. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre. Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier.
Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 8 h15. Me voilà assis devant mon chevalet. Je vais finir cette toile ce matin.
Je peins dans une sorte d'euphorie qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. Livré, corps et âme à ma passion. Joie.

Il est onze heures lorsque je dépose la dernière goutte de peinture de la pointe de mon plus fin pinceau aux poils de martre.
Je dépose la toile achevée sur le second chevalet. Je m'empare de la nouvelle toile. Le dessin préparatoire est déjà réalisé.
Une nature morte. La vingt septième toile destinée à ma saison d'été. De quoi être rassuré par un timing parfait. Fabuleux.
Il est midi. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je vais à la cuisine. Au dehors, des séquences ensoleillées puis couvertes.
Décidément, ce début mai n'est pas annonciateur de l'été. Je fais gonfler du millet. Je pane deux filets de cabillaud. Rapide.

Il est 12 h15. Clémentine arrive. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Je la fais tourner.
Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Elle me raconte sa matinée. L'examen blanc est une réussite.
Son exposé devant un jury de cinq étudiants a été un franc succès. Un développement parfait. Elle a beaucoup aimé le rôle.
Et, cerise sur le gâteau, les professeurs ont révélé que cette prestation comptera pour le Doctorat d'ici trois ans. Une note.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Le Week-end a commencé. Dehors, ça se couvre.

Assise sur mes genoux, terminant son yaourt au miel, Clémentine propose de mettre à profit cette météo pour une balade.
Je trouve la suggestion fort plaisante. Nous faisons la vaisselle et rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents.
Il est à peine 13 h15. Nous mettons nos jeans de randonnée, nos sweats. Il faut prévoir les K-ways dans le petit sac à dos.
Accroupie à ma gauche, sa tête contre ma cuisse, Clémentine dit : < Je vous aime, "Maître". J'ai besoin de vos sévices ! >
Ma main sur sa tête, je réponds : < Chère "Soumise", je suis entièrement à votre sévice ! >. Nous en rions de bon cœur.

Je sors ma bite afin que Clémentine puisse y frotter son visage et la sucer un peu. Elle s'observe dans le miroir de l'armoire.
Nous nous faisons des clins d'œil. Je ne tarde pas à bander comme le dernier des salauds. Un vrai démonte pneu de camion.
Je la tiens par sa natte comme par une laisse, au plus court, pour la faire cesser. Elle se redresse. Puis je masse ses genoux.
< Ta bite est à l'Emmental Suisse aujourd'hui ! > me fait Clémentine. Nous descendons en rigolant comme des bossus. Joie.
Dans le petit sac à dos, deux pommes, des barres de céréales, une bouteille d'eau, la paire de jumelles et nos K-ways. Bien.

Je dis : < Pourquoi ne pas nous offrir le restaurant, ce soir ? >. Clémentine trouve la proposition excellente. Pourquoi pas !
Je téléphone au restaurant de l'étang en exagérant mon accent Anglais. J'ai Julie en ligne. Cette fois elle me reconnaît. Rire.
Elle est toute contente et nous réserve notre table habituelle. Un grand plateau de fruits de mer. Je ne m'attarde pas. Bien.
Nous descendons le chemin jusqu'à la rivière. Le ciel est d'un gris diaphane et lumineux. Aucun risque de pluie. Tant mieux.
Nous nous tenons par la main. < Tu seras le Prince des salauds, ce soir, avec Julie ? > me fait Clémentine en se blottissant.

Je promets de faire au mieux. Julie faisant le service en salle, avec les clients, il est délicat d'avoir le comportement idoine.
Il faut ruser. Discrètement. Il reste les toilettes du sous-sol. C'est toujours un peu frustrant car trop court. Aussi pour Julie.
Nous longeons la rivière jusqu'au petit pont de pierres. Nous traversons la route. Nous voilà tout près du haras. Du monde.
Nous longeons le ruisseau. Là-bas, à environ 300 mètres, la caravane de monsieur Gérard. Et il est là car il y a sa voiture.
Nous en venons tout naturellement à évoquer ce qui nous attend au haras, mercredi prochain. Cette séance de "dressage".

Nous ne croisons personne. Je marche avec la bite à l'air. Je bande mou. Clémentine me la saisit souvent. Sa main chaude.
Parfois, accroupie, elle y frotte son visage, suce un peu. Nous faisons de fréquents arrêts pour lui permettre de s'amuser.
Je glisse souvent ma main dans son jeans, dans sa culotte. Ce n'est pas pratique. Si elle ouvre son jeans, il tombe. Rires.
Nous arrivons près de l'ancienne voie ferrée transformée en piste cyclable. Elle est très peu utilisée. Car trop de dénivelés.
Il y a la maison abandonnée du garde barrière. Vestige d'une époque révolue. Il y a le cabanon de jardin. Tout est vétuste.

Clémentine m'y entraîne. Elle descend son jeans et sa culotte. Je sors mon K-way que je pose sur l'établi. Une protection.
Clémentine peut s'assoir dessus. Je m'installe sur un tabouret bancale dont j'ai secoué la poussière puis souffler dessus.
Mon visage entre les cuisses écartées de Clémentine, je hume les parfums de sa journée de fille. Je goutte délicatement.
Je passe le bout de ma langue dans les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe. Un goût vinaigré, acidulé. Doux.
Clémentine, en appui sur ses coudes, se laisse lécher en me racontant des cochonneries. Je me mets à sucer son clitoris.

Son bouton de plaisir me semble encore plus gros que d'habitude. Un véritable phénomène de la nature. Turgescent. Bon.
C'est si bon. Je décalotte la peau du bout de mes lèvres serrées. Clémentine gémit de plaisir. Son corps agité de spasmes.
Je cesse juste à temps. Je me lève. Je pousse le tabouret. Je frotte mon sexe contre celui de Clémentine. Et c'est trempé.
Je m'introduis malgré tout avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Clémentine a ses bras autour de mon cou.
Nous nous murmurons des douceurs. Parfois, nous nous berçons en rythme. J'ai la bite complètement dedans. C'est bien.

Je lui chuchote : < Mercredi, pour ton "dressage", il y aura Pierre. Il va te baiser comme une salope ! >. Clémentine crie.
Cette simple idée la fait bouger. Elle me dit : < Il va surtout me baiser comme un salaud ! >. Nous en rions de bon cœur.
Clémentine me repousse doucement pour pouvoir se masturber. J'ai la bite qui dégouline du mélange de nos jus gluants.
Clémentine saute de l'établi pour s'accroupir. Tout en se masturbant elle me taille une pipe des familles. Elle me "rince".
Je la force à se relever. Je me penche pour lui masser les genoux endoloris. Elle remonte sa culotte et son jeans. 17 h15.

Nous reprenons notre marche. Le ciel semble s'assombrir. Nous préférons accélérer le pas. Et quelques pauses sucettes.
Il est 19 h lorsque nous sommes de retour à la maison. Fourbus mais heureux. Nous montons nous changer. C'est super.
Clémentine porte une jupe kilt à carreaux rouges, un chemisier blanc, un pull de coton fin et ses escarpins à talons hauts.
Sur sa demande, je porte mon costume de velours noir. Chemise blanche négligemment déboutonnée. Souliers de ville.
Le rituel du "Maître" et de la "Soumise" devant le miroir et nous redescendons. Je roule doucement. Le ciel est menaçant.

Clémentine joue avec ma bite. Treize petits kilomètres jusqu'au restaurant de l'étang où nous arrivons pour 19 h45. Bien.
Je me suis fais sucer dans la bagnole. Je bande à mort. La bosse est énorme. Nous rentrons dans le restaurant. Des gens.
Julie vient nous accueillir. Elle ne peut dissimuler sa joie de nous voir. Nous la suivons jusqu'à notre table. Morts de faim.
Nous bavardons un peu car n'y a pas trop de monde. La tante à Julie, propriétaire de l'établissement, vient nous saluer.
Nous dégustons nos fruits de mer avec appétit. Notre après-midi nous a affamé. Nous échangeons des sourires avec Julie.

Je descends aux toilettes. Je n'y suis pas deux minutes que j'entends le pas de Julie dans l'escalier. C'est bien elle. Super.
J'agite ma bite dans sa direction. Je dis : < Alors ? Tu viens manger quand à la maison ? >. Elle me regarde en souriant.
J'insiste : < Et il y a ce que tu vois dans ma main qui t'attend avec impatience ! >. Julie répond : < J'en meure d'envie ! >
Elle s'approche, me saisit la queue, et s'accroupit pour l'observer. < Il faut que je remonte ! > me dit elle en se redressant.
Elle me fait un clin d'œil avant de filer à toute vitesse. Je remonte. Je raconte à Clémentine qui s'exhibe discrètement. Joie.

Il y a deux couples de quinquagénaires installés à une table. L'un des messieurs a repéré le jeu de jambes de Clémentine.
Sa culotte est restée dans la voiture. De quoi s'offrir une discrète exhibe de qualité devant ce voyeur. Il mâte en bavardant.
< Je fais le test des chiottes ! > fait Clémentine en se levant pour descendre aux toilettes à son tour. Le mec se lève aussi.
C'est imparable. Julie, tout en faisant son service a certainement compris. Je lève le pouce de la main droite. Un clin d'œil.
Cinq minutes, Clémentine revient. < Un beau salaud avec une belle queue ! > chuchote t-elle. J'écoute. C'est passionnant.

Une fois encore Clémentine prétextant s'être trompée de WC s'est fait surprendre dans les toilettes homme. Une habitude.
Scénario bien rôdé. Le type la surprend accroupie. Il a déjà la bite à l'air, se branle et commence à bavarder. Propositions.
Les deux couples s'en vont les premiers. Il est 22 h. L'addition. Julie nous raccompagne jusqu'au perron. Nous bavardons.
Je sors discrètement ma bite. Il fait nuit. Il n'y a personne. Je dis : < Tu viens quand tu veux ! >. < Bientôt ! > me dit elle.
Clémentine rajoute : < Prendre votre petite collation juteuse ! >. Nous rions de bon cœur. Nous partons. Je me fais sucer.

Bonne soirée au restaurant à toutes les coquines qui aiment s'y exhiber discrètement et se faire surprendre au WC…

Julien - (Qui offre un merveilleux cunnilingus à Clémentine une fois de retour à la maison, au lit, avant le dodo) -

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Un samedi avec une soirée cinéma

Hier matin, samedi, il est 7 h30, je suis réveillé par un presque imperceptible froissement continu des draps. C'est régulier.
Lorsque je sors du sommeil ma respiration change. Et ce qui averti immédiatement Clémentine qui cesse de se masturber.
< J'ai fait un rêve érotique ! > me chuchote t-elle en se blottissant contre moi. Je fais : < Bonjour ma belle branleuse ! >
Nous rions de bon cœur en nous précipitant aux toilettes. Nous mettons nos tenues de gym avant de descendre à la cuisine.
Nous prenons notre petit déjeuner. Clémentine me raconte son rêve. Monsieur Gérard, nu, dans les toilettes du restaurant.

Nous rigolons comme des bossus en imaginant ce vieux retraité, tout nu, juste chaussé de ses bottes en caoutchouc. Fou.
Nous mangeons de bon appétit. Dehors, il pleut. C'est ignoble. Nous sommes le 4 mai et on se croirait au début novembre.
La vaisselle. Nous montons nous livrer à notre entraînement. Une heure avec intensité maximale. Comme pour se venger.
La douche. Nous nous habillons. Il faut remettre jeans et sweats. C'est rageant. C'est même frustrant. Il faut faire avec !
Accroupie, sa tête contre ma cuisse, devant le miroir, Clémentine demande : < Faites moi oublier cette météo "Maître" ! >

Je pose ma main sur sa tête pour dire : < Faites moi oublier cette météo ma chère "Soumise" ! > Nous rions de bon cœur.
Je sors ma bite afin qu'elle puisse y frotter son visage et sucer un peu. Ce rituel, qui n'est qu'un jeu, nous amuse tellement.
Nous descendons. Nous enfilons nos anoraks. Nous prenons l'immense parapluie. Nous affrontons la fraîcheur et cette pluie.
Je roule doucement en direction du bourg. Trois petits kilomètres. Nous allons y faire notre marché. Sous la pluie battante.
Clémentine joue avec ma queue. Je gare la voiture. Sous mon anorak fermé, on ne voit pas ma braguette qui baille. Super.

Nous faisons provision de fruits, de légumes, de fromages, de beurre, d'œufs, de yaourt, de crème fraîche, chez nos artisans.
Nous échangeons avec chacun d'eux quelques bons mots. Nous revenons à la voiture sous le parapluie. Les sacs sont lourds.
Les produits frais dans la glacière branchée sur l'allume cigare, nous partons pour la ville. Zone commerciale. L'hypermarché.
Treize petit kilomètres où Clémentine joue avec ma queue, me la suce, me raconte les détails de son rêve érotique. Superbe.
Il pleut. Je gare la voiture sur le parking. Il y a un monde fou. Je pousse le caddie et nous piquons un sprint jusqu'à l'entrée.

Nous circulons dans les rayons qui nous interpellent. Clémentine nous guide. Elle tient la liste des courses à la main. Parfait.
Tout comme nous, les clients sont habillés de leurs vêtements d'hiver. C'est un curieux contraste avec la date du calendrier.
< Mais où donc est ce put-hein de réchauffement climatique avec lequel on nous emmerde ? > demande Clémentine. Rires.
Elle rajoute : < Il a probablement changé de planète ! >. C'est vrai que c'est rageant d'être manipulé ainsi par des médias.
Nous faisons provision de papier cul, de Sopalin, de pâte dentifrice, de pains dermatologiques et de notre crème Nivea. Joie.

Par acquis de conscience, mais par habitude aussi, Clémentine nous entraîne au rayon culturel. Il serait vain de se risquer.
Même savamment orchestrées, toutes tentatives d'exhibes seraient vouées à l'échec. Et il n'y a aucune réelle opportunité.
C'est un peu un autre rituel. Clémentine et moi fonctionnons de la même manière. Nous avons besoin de ritualiser nos vies.
Nous continuons au rayon des vêtements homme. Là, ce sont carrément des familles de Simpson, bien bruyantes. Trop dur.
Sans trop nous raisonner, il ne nous reste plus qu'à terminer nos courses au rayon poissonnerie. Et nous voilà dans la file.

Une voix derrière nous. < Bonjour ! >. C'est Julie. Elle fait ses courses avec sa mère. Elle est toute contente de nous voir.
Nous nous serrons la main. Elle nous fait même la bise. Elle nous raconte la fin de sa soirée de serveuse, hier. Nous rions.
Elle a toujours d'amusantes anecdotes de fermeture. Les derniers clients. Les plaisanteries. Le pourboire. C'est très drôle.
Elle parle évidemment de ses études. Lettres modernes. Elle passe sa Licence en juin. Elle nourrit quelques appréhensions.
Je lui dis : < Tu sais que sous mon anorak, j'ai la braguette discrètement ouverte ? >. Julie s'écrie : < Non ! Même ici ! >

Clémentine répond : < Même ici ! Parfois même la bite à l'air sous le manteau. Je dirige les opérations ! >. Et Julie rigole.
Je dis : < Tu veux voir ? > en faisant mine d'ouvrir mon anorak. Nous en rigolons comme des bossus. Et c'est à notre tour.
Julie nous laisse en promettant de donner de ses nouvelles bientôt. Nous la regardons filer. Elle se retourne. Dernier signe.
Nous faisons provision de filets de saule, de cabillaud, de saumon, de moules, de crevettes et de langoustines. C'est super.
Nous passons en caisse. Là-bas, madame Walter et Pierre son mari. Ils ne nous ont pas vu. Nous restons discrets. Sympa.

Nous flânons dans la galerie commerciale. Il y a autant de monde qu'en période de fêtes. C'est assez délirant. Et étrange.
Avec cette météo, faire les magasins, reste le seul prétexte pour sortir de chez soi. Et tout le monde s'est donné le mot.
Je propose le menu de la cafétaria. Moules à l'escabèche avec frites et petits légumes. Clémentine reste silencieuse. Bien.
Elle hésite. Nous venons d'acheter des moules et nous savons les préparer à notre façon. Il y a aussi plein de gens. Trop.
< Viens, on rentre ! Ce bruit et cette promiscuité vont me couper l'appétit ! > me fait elle en m'entraînant. Nous sortons.

Il faut courir jusqu'à la voiture sous de véritables hallebardes. Il pleut à torrent. Le parking en est inondé. Impressionnant.
Le ballet des essuies glace rythme la route. Je roule doucement. Clémentine n'arrête pas de sucer. S'abstraire dans le vice.
C'est sa façon à elle d'occulter cette météo pourrie. Nous voilà enfin à la maison. Il est 12 h30. Nous rangeons les courses.
Clémentine s'occupe de la salade de concombre et de son assaisonnement. Je fais bouillir l'eau pour le bouillon des moules.
J'y rajoute l'ail, l'oignon, du persil, de la ciboulette. J'y jette les moules. Je verse les haricots verts congelés dans la poêle.

Les bourrasques de vent jettent de véritables paquets d'eau contre les vitres. Il fait sombre. C'est vraiment lamentable.
J'égoutte les moules. Je prépare de la crème fraîche dans deux petits bols. J'y rajoute de l'ail, du persil finement émincés.
Du sel de Guérande, de la levure diététique en paillettes et des graines de sésame grillé. Nous mangeons de bon appétit.
Nous traînons à table en évoquant la séance cinéma de ce soir. Les montages d'Estelle sont toujours pleins de surprises.
Assise sur mes genoux et tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine parle de nos prochaines vacances en Vendée.

Cinq jours de farniente à découvrir cette merveilleuse Vendée. Je la connais bien et je veux la faire découvrir à Clémentine.
Certes, cinq jours seront bien courts. Mais j'organise le programme de façon à se faire un résumé. C'est toujours très bien.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. En riant.
Le rituel du "Maître" et de la "Soumise" devant le miroir de l'armoire et nous descendons. Nous allons dans l'atelier. Super.
Que reste t-il d'autres à faire sinon travailler un peu. Prendre de l'avance. Clémentine me fait tomber dans le vieux canapé.

A genoux sur un des coussins, entre mes jambes, elle me sort le Zob. Il est trempé par le nombre de fois qu'elle l'a sucé.
Clémentine se met à me sucer avec avidité. Le bruit bulleux si caractéristique d'une pipe bien juteuse. Une pipe "maison".
Je lui caresse la tête, le visage en lui racontant des douceurs et des cochonneries. Elle me fixe d'un œil attentif et amusé.
Evidemment, j'évoque mon fantasme. Être planqué. La voir sucer un parfait étranger. Je lui propose de le faire en Ecosse.
Elle s'arrête de pomper, en tentant d'avaler, en disant : < Tu es un salaud ! Tu feras moins le fier si je le fais vraiment ! >

Je lui propose de lui bouffer un peu la chatte avant de nous mettre au boulot. Je ne suis pas obligé de le suggérer deux fois.
Me voilà à mon tour à genoux sur le coussin à lui lécher la moule. Elle est trempée. Il y a un filet de cyprine qui dégouline.
J'adore aller le récupérer jusque dans la raie des fesses. Avec la sueur cela offre un mélange et un goût étonnants. Superbe.
C'est lorsque je décalotte son clitoris du bout de mes lèvres que la situation devient critique. Clémentine, tellement excitée.
Elle me repousse délicatement pour m'attirer sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Et nous restons immobiles.

Ce sont toujours ces moments d'intense intimité que choisit Clémentine pour me faire les plus secrètes révélations de fille.
< Je vais en sucer un ! Un inconnu. Je te le promets. Mais laisse moi du temps. J'en meure d'envie ! > me chuchote t-elle.
Nous bougeons en rythme. Nous cessons. Clémentine se confesse. Nous recommençons. Et je suggère d'autres saloperies.
Nous nous sommes bien trouvés tous les deux. Cette différence d'âge rend toutes ces choses possibles. Elle veut découvrir.
Clémentine se masturbe. Je reste immobile. C'est si bon qu'elle me repousse doucement en murmurant : < Attention ! >

Nous cessons. Nous voilà prêts pour la soirée cinéma. Bien excités. Nous reprenons nos esprits. Nous nous serrons si fort.
Clémentine est assise devant l'ordinateur entourée de ses fiches. Elle prépare déjà son texte pour vendredi prochain. Bien.
Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il fait tellement sombre qu'il faut de la lumière.
Nous adorons ces longues séances de travail commun. Parfois l'un se lève pour aller rejoindre l'autre. Des bisous et câlins.
Il est rapidement 18 h15. Estelle arrive. Elle fait la bise à Clémentine avant de se précipiter vers moi. Tellement heureuse.

Assise sur mes genoux, elle nous raconte sa journée. Le bureau dans l'entreprise familiale. J'admire sa puissance de travail.
Allier ses études à un boulot, c'est sans doute la chose la plus difficile. Les filles comparent leurs avancées. Assises à deux.
Je nettoie mon matériel. Il est 18 h45. Nous quittons l'atelier. Nous allons dans la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade.
Estelle s'occupe du pilpil de blé. Je prépare les langoustines. Tout est rapide. Nous mangeons de bon appétit. Sans traîner.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous filons à toute vitesse au salon. Estelle sort la petite boîte. La clef USB. Superbe.

Nous avons tant attendu ce moment. Clémentine introduit la clef dans l'ordinateur relié au téléviseur avec le câble HDMI.
Nous sommes tous les trois vautrés dans le canapé. Clémentine à ma gauche tenant la télécommande. Estelle à ma droite.
Tout fonctionne. Il y a une image qui apparaît doucement. D'abord floue. Puis de plus en plus nette. Une ancienne photo.
Le visage en gros plan d'Estelle. Maculé de foutre gluant. De véritables coulures de sperme épais et visqueux. Elle sourit.
Je passe mon bras autour de son épaule. C'est impressionnant d'avoir la même fille, en "vraie", assise à côté de moi. Bien.

Le film commence. On me voit attacher les deux coquines. Elles sont vêtues de leurs jupes kilt et de leurs pulls coton noir.
Elles portent leurs genouillères. Nous avons réalisé ce film samedi dernier. J'invite les lecteurs à relire le récit qui le narre.
C'est hyper excitant de voir ce que nous avons fait. Je me suis comporté comme elles me l'ont demandé. En parfait salaud.
Clémentine, sa main droite dans sa culotte, manipule la télécommande de sa main libre. Et elle fait des arrêts sur images.
Les scènes les plus vicelardes. Estelle qui fixe l'objectif de la caméra avec ma bite dans la bouche, le visage maculé de jus.

Estelle, la main droite dans sa culotte, tient ma bite d'une poigne de fer. Je bande comme un priapique en phase terminale.
A l'écran, on me voit soulever Clémentine pour la déposer sur le bureau. On me voit frotter mon sexe contre le sien. Super.
Je me découvre entrain de la pénétrer comme une brute. Moi qui déteste ça. Mais c'était le rôle qui m'était demandé. Acteur.
Ces images nous excitent. Clémentine qui fait des arrêts sur images, revient en arrière, repasse la scène. Encore et encore.
< Tu me baises super bien ! > me fait elle en se trémoussant d'excitation. Elle se masturbe de la main gauche. Fabuleux !

Des sept films que nous avons réalisé, il se dégage de celui-ci une ambiance particulière. C'est plus axé sur l'action "baise".
L'atmosphère de vice y est peut-être moins directement perceptible car les choses sont plus axées sur les rapports sexuels.
Estelle se branle de plus en plus vite. On la voit à l'image. Elle me pompe à chaque fois que je sors ma bite de Clémentine.
Là, à l'écran, on me voit me concentrer pour tenter de lui pisser à la gueule pendant que Clémentine mâte en se branlant.
C'est du grand Art. Je félicite Estelle pour ce montage extraordinaire. < En fait, j'ai tout gardé ! Tout est super ! > dit elle.

C'est inimaginable de se retrouver ensemble, les trois protagonistes que l'on voit dans le film, assis là dans la réalité. Fou.
Ce n'est peut-être même pas exprimable par des mots. D'êtres assis là, tous les trois, à nous regarder faire des saloperies.
Je recommande cette expérience car elle relativise tout ce que l'on croit connaître des émotions et des sensations sexuelles.
Les deux filles que je vois se livrer au vice dans le film sont assises là, pour de vrai, à côté de moi. Et à se masturber. Fou.
Clémentine et Etelle me font part de la même émotion. Le salaud du film est assis là, entre elles, bite à l'air. C'est génial !

Estelle connaît un orgasme cataclysmique. < Mais je me suis déjà branlée chez moi en faisant le montage ! > s'écrit t-elle.
Elle est recroquevillée sur elle même, en boule, les mains entre ses cuisses, reprenant son souffle. Clémentine stoppe tout.
A l'image on voit le jet de pisse bien jaune que je balance au visage d'Estelle, bouche ouverte, les yeux fermés, en extase.
< Regarde toi un peu ! > fait Clémentine. < J'adore me voir faire la salope. Mon fantasme de faire l'actrice ! > dit Estelle.
C'est la toute première fois que Clémentine joue à visage découvert. Je suis ému par ses expressions. J'en suis amoureux.

Bien évidemment, à part nous, personne ne verra jamais ces images. Estelle nous en a fait une copie. C'est la première fois.
En règle générale elle conserve tout cela dans un endroit secret. Mais comme on y voit le visage de Clémentine, dérogation.
C'est un peu comme un gage de confiance entre les filles. Moi, personnellement, je n'en ai rien à foutre de jouer à l'acteur.
Ce n'est pas mon fantasme mais c'est toujours très amusant de se voir dans des situations excitantes, délirantes et sympas.
Clémentine connaît à son tour un orgasme nucléaire. Hiroshima puissance 10. Elle se recroqueville tout en hurlant de plaisir.

Le film dure exactement 45 minutes. Nous l'avons regardé deux fois. Nous avons scruté les arrêts sur images. Prodigieux.
Je me branle. Le générique de fin. Les filles ont repris leurs esprits. Elles sont blotties contre moi et me regarde me branler.
Il est 23 h. Nous sommes totalement épuisés. J'aime cesser ma masturbation sans éjaculer. Je connais d'autres orgasmes.
Nous montons assez pitoyables. Nous nous regardons dans le miroir de la salle de bain. Yeux cernés, dix ans de plus. Rire.
Nous voilà au lit. Je suis entre les filles. Estelle s'endort la première serrée contre moi. Clémentine me raconte. Bises. Dodo.

Bonne soirée cinéma à toutes les coquines qui aiment se regarder faire des saloperies dans des films totalement privés…

Julien - (Qui serre Clémentine contre lui pour écouter les ressentis qu'elle lui chuchote à l'oreille. Elle a aimé se voir) -

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Classe - 4 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 780 -



Promenade du dimanche et vide grenier

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par Estelle qui se blottit contre moi. Gémissante. Cela réveille également Clémentine.
Je suis entre les deux filles. Elles ont leurs têtes posées sur mes épaules. Nous nous murmurons des douceurs. Des bisous.
Jusqu'au point ultime où l'envie de pisser devient intolérable. C'est Estelle qui se précipite la première en s'écriant < Pipi >
Clémentine me chevauche en riant. < Superbe soirée cinéma hier soir ! > me chuchote t-elle. Elle se frotte sur mon sexe.
C'est à notre tour. Les toilettes. Estelle est descendue pour préparer le petit déjeuner. Nous descendons la rejoindre. Joie.

Nos dimanches matins sentent la brioche, le café, le pain grillé. Estelle me saute au cou. Elle me couvre le visage de bisous.
Clémentine s'interpose par jeu. Nous prenons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Bien.
La conversation s'articule sur le programme du jour, le visionnage du film hier soir, sur cette météo hivernale du début mai.
Je félicite une fois encore Estelle pour la qualité du montage de son film. Même si elle prétend n'avoir pas fait grand chose.
Nous nous sommes masturbés toute la soirée à voir et à revoir cet étonnant moment de vice et immortalisé samedi dernier.

Nous traînons à table. Dehors, le ciel est principalement bleu et il y a des séquences ensoleillées. Par contre il fait très frais.
Le dimanche matin, c'est le rituel du ménage. Estelle fait le salon et passe l'aspirateur partout. Clémentine fait la chambre.
Je m'occupe de la cuisine et des chiottes. La vaisselle. Il est à peine 8 h30. Clémentine monte à l'étage. Estelle va au salon.
Je commence par la cuisine. J'aime tant entendre Estelle chanter en passant l'aspirateur. C'est une si merveilleuse émotion.
Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère sur les carrelages. Je m'apprête à monter rejoindre Clémentine. Piège.

Estelle attend toujours ce moment pour me tendre un nouveau piège. Cette fois elle est couchée sur le bureau. Toute nue.
< Pour le prochain film, c'est à moi ! > me fait elle en m'invitant à la rejoindre, pliant plusieurs fois son index. Un clin d'œil.
Je suis encore en slip et en T-shirt de nuit. Je la rejoins. Je frotte mon sexe contre le sien. Elle m'attrape pour m'attirer fort.
Ses bras autour de mon cou, elle s'est accrochée à moi. Je la promène ainsi dans tout le salon. Pas question de la pénétrer.
Lorsque Clémentine n'est pas là, j'ai comme un sentiment de culpabilité. Même si cela ne pose plus vraiment de problèmes.

< Tu es un chic type, Julien, tu n'essaies jamais de t'introduire sans autorisation ! > chuchote t-elle avant de m'embrasser.
Je murmure : < C'est toujours tellement meilleur avec la permission ! >. Nous en rions de bon cœur. Estelle se frotte fort.
Je la dépose sur le bureau. < Viens ! > me fait elle. J'y introduis juste le bout. Avec d'infinies précautions. Elle est si étroite.
Nous restons sans bouger. Nous nous fixons dans les yeux en nous scrutant. < Je t'aime Julien ! > dit elle. Un coup de rein.
C'est pour me faire entrer davantage. Estelle se mord la lèvre inférieure. Y aller plus profond serait lui faire mal. Pas de ça.

Je me retire. Cela la soulage. < Merci Julien. Merci pour toutes ces émotions ! > me fait elle. Je l'invite à se vêtir. Fraîcheur.
Estelle remet son pyjama. Je la fais monter sur mon dos et nous rejoignons Clémentine à l'étage. Elle termine de faire le lit.
Je jette Estelle sur la couette en disant : < Cette jeune fille vient de se faire pénétrer ! >. Clémentine fait : < La salope ! >
Elle rajoute encore : < Et derrière mon dos, en plus ! >. Nous rions de bon cœur. Je ramasse les draps sales. Salle de bain.
Clémentine vient me rejoindre. Je lui raconte ce qui s'est passé en bas. Le souhait d'Estelle de faire un film où je la baise.

< Je me ferai un plaisir de filmer ça tu sais ! > fait Clémentine avant de m'embrasser. Je nettoie le bac à douche et le bidet.
Clémentine fait les miroirs, le lavabo. Nous n'arrêtons plus de nous toucher, de nous embrasser. Nous sommes très excités.
Nous entendons Estelle chanter en passant l'aspirateur. Clémentine descend avec le panier à linge plein à ras bord. Lourd.
Je nettoie les chiottes de l'étage. Les mains gantées. Le moment que guette Estelle pour venir me rejoindre en silence. Rire.
Je suis en jeans et chemises à carreaux. Estelle, derrière moi, qui glisse sa main dans ma braguette. Je reste sans défense.

< Tu me touches aujourd'hui. Tout le temps. Et partout. Tu veux ? > chuchote t-elle. Je promets de faire de mon mieux.
Je tire la chasse. Je retire mes gants. Estelle me sort la bite pour l'agiter en disant : < J'ai envie de sucer tout le temps ! >
Je lui propose de descendre à la cave pour rejoindre Clémentine. Elle monte sur mon dos. Nous descendons prudemment.
Nous aidons à trier le linge. Les filles évoquent leurs cours. Le jour férié du 8 mai. L'oral qu'il faut préparer pour vendredi.
Je les laisse pour monter à la cuisine. Les pavés de saumon, la pâte feuilletée ont décongelé. Je lave la salade. Une laitue.

Estelle me rejoint la première. Elle émince le saumon. Je prépare la Béchamel. Clémentine arrive à son tour. C'est efficace.
Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade. Estelle étale la pâte dans le moule. Je verse l'émincé dans la sauce.
Le feuilleté de saumon est au four. Le riz est égoutté et rissole délicatement à feu doux. Nous mettons nos anoraks. Frais.
Il y a un désagréable vent de Nord Est. Le soleil joue à cache-cache avec les nuages. Nous faisons le tour de la propriété.
Les filles me tiennent par le bras. Là-bas, plus bas, il y a monsieur Bertrand, le voisin. Nous nous faisons un signe cordial.

Nous allons examiner le potager. Le manque de soleil et l'humidité n'annoncent pas vraiment de beaux légumes. Moches.
Nous allons dans la serre. Là, le persil, la ciboulette et l'ail sont dans des conditions parfaites. Il fait meilleur sous la serre.
Les filles scrutent les bourgeons de tulipes et de roses qui sont encore tous petits. Je sors ma bite en douce. Et en silence.
Je l'agite dans leur direction dès qu'elle se retournent. < Génial ! > font elle quasiment en même temps. Une bite molle.
< J'adore tes initiatives ! > fait Clémentine en s'accroupissant devant moi. < Et tu ne le fais pas assez ! > rajoute Estelle.

Les filles se refilent ma bite qu'elles sucent à tour de rôle. Je propose de ne pas trop tarder. D'ici, on n'entend pas le four.
Je saisis les coquines par leurs cheveux pour les forcer à se redresser. < Je vous aime "Maître" ! > me lance Clémentine.
< Moi aussi ! > rajoute Estelle. Elles me reprennent le bras et nous rentrons. Juste à temps. La sonnerie. Il fait très faim.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le programme de l'après-midi. Cet après-midi, visite au port de plaisance.
Il s'y déroule le premier vide grenier de l'année. Et c'est une météo idéale. Par contre, nous irons évidemment en voiture.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, en terminant leurs yaourts au miel, les filles évoquent mercredi prochain.
Non seulement Estelle restera avec nous depuis mardi soir, mais il y aura la séance de "dressage". Nous nous réjouissons.
Un grand moment de vice en perspective. Cela nous excite considérablement. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Bien.
Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Nous resterons en jeans et chemises à carreaux.
Accroupies de chaque côté, leurs têtes contre mes cuisses, devant le miroir de l'armoire, les filles me fixent. Implorantes.

< Vous aurez le comportement que nous aimons, "Maître" ? > demande Estelle. < S'il vous plaît ! > rajoute Clémentine.
Je pose mes mains sur leurs tête en répondant : < Je vous promets de faire de mon mieux mes adorables "Soumises" ! >
Nous en rions de bon cœur. Je sors ma queue afin qu'elles puissent y frotter leurs visages et se régaler d'un peu de jute.
Je les saisis par leurs cheveux pour les forcer à se redresser. Elles me couvrent le visage de bisous. Je les entraîne. 14 h.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite. Estelle, assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou nous raconte.

Par la route, le port de plaisance est à plus de 30 km. Nous y arrivons vers 14 h30. Il y a un monde fou. Encore un succès.
Il faut garer la bagnole le long de la route à un bon kilomètre. Il faut marcher contre le vent détestable. Anoraks fermés.
Nous voilà sur les quais. Grâce à la colline, nous sommes à l'abri du vent. C'est bien plus agréable et il fait bien meilleur.
Nous flânons. Il faut louvoyer entre les nombreux promeneurs. Le pire, ce sont ces landaus que trimballent des Simpson.
Ces gens qui s'obstinent à emmerder les autres avec des poussettes. Alors qu'il existe des sièges à porter sur le dos. Bon.

Ce qui nous intéresse ce sont les vieux livres. Les vieilles reproductions de peintures au petit format. Il y en a quelquefois.
Mais il est évident que les antiquaires et les brocanteurs, qui viennent de bonne heure le matin, raflent les bonnes choses.
Clémentine découvre deux livres anciens mais en bon état qui traitent de minéralogie et de géomorphologie. Ses études.
Estelle me tripote discrètement. Nos hautes tailles et nos différences d'âge, attirent quelques regards interrogateurs. Bien.
Cela nous amuse tant que nous en jouons beaucoup. Les filles se serrent contre moi, me font plein de bisous sur les joues.

Suis je le père, l'ami ou l'amant ? Autant de questions qui resteront sans réponse pour les curieux. Les curieuses surtout.
Car ce sont le plus souvent les femmes qui nous observent avant de faire du coude à leurs maris afin qu'ils regardent aussi.
Les filles en rajoutent donc à volonté. Tout cela nous amuse tellement. Nous traînons entre les stands. Il y a tant de choses.
< Je dois pisser ! > fait Clémentine. < Moi aussi ! > dit Estelle. Il serait vain de tenter les toilettes publiques. Du monde.
Clémentine propose d'aller trouver un coin retiré entre deux bagnoles. < On sait jamais ! Un petit "plan" ! > rajoute-elle.

Il faut pousser jusqu'au parking de la supérette pour trouver un endroit plus ou moins retiré. Nous passons même derrière.
Il y a un jeune gars qui fume une clope à côté de son scooter. C'est un livreur de pizza. Il y a la grosse boîte fixée derrière.
Il ne nous voit pas. < Reste là ! S'il y a un blême, tu rappliques ! > me lance Clémentine. Je reste à l'arrière d'un fourgon.
De ma planque, je vois à travers des deux vitres du véhicule. Estelle et Clémentine ont attiré l'attention du jeune homme.
Elles sont entre une camionnette et des grosses poubelles grises de la supérette. Je ne vois que Clémentine. Je fais gaffe.

Le jeans et la culotte descendus, Clémentine est accroupit. Position pipi. Je suppose qu'Estelle est dans la même position.
Le jeune type mâte en tirant sur sa clope. Il se déplace même légèrement pour mieux regarder. Sans gêne. Le vrai salaud.
Les filles font bien évidemment durer bien au-delà du nécessaire. Je vois la flaque de pisse assez impressionnante. Urines.
A tel point que ça coule sous la camionnette jusque dans la grille d'égout. Clémentine se redresse. Elle se torche avec soin.
Là aussi, elle fait bien durer en fixant le jeune mec qui reste stoïque. Une belle maîtrise de lui. Elles sont deux. C'est facile.

Le jeune gars démarre son scooter, monte dessus et, avant de partir, il mets ses doigts en "V" de la victoire. Délirant.
Les filles viennent me rejoindre. Je les félicite pour leur superbe numéro. Nous allons nous acheter des cônes glacés. Joie.
Nous flânons encore un peu. Il est rapidement 18 h. Nous retournons à la voiture. Je roule doucement. Un embouteillage.
Il y a tant de voitures que c'est la gendarmerie qui régule la circulation. Il faut donc attendre de longues minutes. Chiant.
Je roule doucement. Clémentine me branle. Estelle passe sa main pour prendre le relai. Elles évoquent leurs exhibitions.

Il est 19 h15 lorsque nous sommes enfin de retour à la maison. Morts de faim, nous préparons immédiatement notre repas.
Clémentine s'occupe de la salade de carottes. Estelle s'occupe des spaghettis. Je fais une sauce au Roquefort. C'est rapide.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. C'est fini.
Estelle m'entraîne par la queue jusqu'au salon. Je suis vautré dans le canapé. Les filles se refilent ma bite. J'éjacule. Super.
Une fois encore dans la bouche d'Estelle. Il est 22 h15. Nous la raccompagnons à sa voiture. Nous rentons vite au chaud.

Bon dimanche à toutes les coquines qui aiment pisser devant des inconnus, manger des glaces et sucer des bites…

Julien - (Qui offre un cunnilingus à Clémentine avant de dormir. Un orgasme subtil, émouvant et jouissif) -

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Le début d'une nouvelle semaine

Hier matin, lundi, c'est le prélude en Si mineur de Jean-Sébastien Bach qui nous tire du sommeil. Et une certaine brutalité.
< Bach, tu gonfles ! > s'écrie Clémentine tout en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit. Rires.
Quelques papouilles et elle m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Et morts de faim nous descendons jusqu'à la cuisine.
Nous sommes vêtus de nos tenues sport. Nous savourons un copieux petit déjeuner. Nous mangeons de très bon appétit.
Tout en dégustant le reste de brioche, nous faisons le bilan du Week-end. Le film de samedi, le vide grenier de dimanche.

Nous enfilons nos K-ways pour affronter la fraîcheur matinal et notre jogging quotidien. Une heure d'un agréable running.
Retour pour 7 h25. La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue.
Un dernier bisou. Un dernier coucou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Il fait beau mais aussi très frais.
Je me dépêche de rentrer. Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Super.
La peinture de la vingt septième toile destinée à ma saison d'été m'inspire déjà. Une nature morte au dessin déjà réalisé.

Il est 8 h15. Me voilà confortablement assis devant mon chevalet. Je peins dans un enthousiasme délirant. C'est immédiat.
Il est aux environs de 10 h lorsque la stupide musique de mon smartphone résonne au fond de la poche de ma blouse. Dur.
Je m'en saisis. C'est Juliette. Après les banalités d'usage, la jeune femme en arrive rapidement au sujet de mercredi 8 mai.
Grâce à la fonction "haut parleur", nous pouvons bavarder tout en travaillant. Juliette me raconte son Week-end très cool.
Il ne reste plus que douze chevaux en pension. Ce qui réduit considérablement la charge de travail des employés. Sympa.

Le personnel va pouvoir souffler. Madame Walter en a grand besoin. Eveline et Kim Son les deux palefreniers également.
Par contre, il y a toute la paperasse. Juliette passe donc le plus clair de son temps dans son bureau à régler l'administratif.
Heureusement qu'il y a Pauline, la secrétaire, que nous ne voyons que très rarement. Pauline ne travaille qu'en semaine.
Juliette en vient rapidement au sujet qui nous préoccupe. La séance de "dressage" de Clémentine. Ce sera mercredi 14 h.
La séance aura lieu dans l'ancienne écurie inaccessible pour l'occasion. Il y aura Gérard, Pierre, madame Walter, Juliette.

Maître Gérard prendra livraison de Clémentine qu'il me faudra emmener à la laisse. Et elle sera vêtue d'élégante manière.
Estelle sera l'accompagnatrice. La seconde "soumise" qui sera disponible pour les moments récréatifs. Elle sera très docile.
Nous nous amusons beaucoup à l'énumération des conditions requises. C'est du sérieux. Juliette supervise en dominante.
Juliette est toujours la collaboratrice de Maître Gérard lors des séances de "dressages". Madame Walter est le vide couilles.
Pierre, son mari, masqué d'une cagoule officie le plus souvent nu et va de l'une à l'autre pour les tourmenter et les baiser.

Le tout dans la bonne vieille tradition de l'éducation anglaise fort prisée dans la bourgeoisie dont nous faisons partie. Joie.
Maître Gérard, en huit années d'exercice, a dressé cinq jeunes filles majeures et six femmes d'âge mûr. C'est un Maître.
Juliette sait donc parfaitement ce qui se déroule là. Estelle m'a demandé de filmer. Juliette interdit les films et les photos.
Elle a déjà été contactée par une société de production de films pornographiques bien connue en France. C'est à l'étude.
Ils ont leurs actrices, leurs "performers" et viennent pour trois jours avec une équipe de six personnes. Et logées à l'hôtel.

Nous rions de bon cœur. Juliette en judicieuse chef d'entreprise, en parfaite femme d'affaire demande un prix très élevé.
La location des écuries n'est pas gratuite. Tout cela est en pour parler depuis six mois fait Juliette sans donner de détails.
Je précise à Juliette que j'informerai Clémentine des conditions demandées. J'avoue qu'elle se réjouie. Et avec impatience.
La conversation dure ainsi une bonne demi heure. Nous nous saluons avant d'y mettre fin. Je peins en pensant à Juliette.
Cette étonnante jeune femme de 42 ans est d'une compagnie fort agréable. Comment va t-elle se comporter mercredi ?

Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je lave la salade. J'épluche les patates, les navets, les carottes, l'ail et l'oignon.
Une potée qu'il suffira de réchauffer ce soir avec une omelette ou panures. J'écoute les informations mensongères. Dur.
C'est au-dessus de mes forces. J'éteins la radio pour manger tranquillement. Dehors, le ciel est gris mais lumineux. Super.
La vaisselle. Je range la cuisine. Je mets l'anorak pour aller prendre la température. Le fond de l'air est frais. Plus de vent.
Je fais le tour de la propriété. Nous sommes le 6 mai et il y a un climat de début novembre. Tous ces beaux jours perdus.

Il est 13 h15 lorsque je suis à nouveau installé devant mon chevalet. Je peins avec le même enthousiasme délirant. Super.
Il est aux environs de 15 h lorsque la stupide musique de mon smartphone résonne une nouvelle fois. Je m'en saisis. Vite.
C'est monsieur Jacques, le propriétaire du bungalow que nous louons 5 jours, entre Belleville-sur-Vie et La-Roche-sur-Yon.
Il m'informe avoir bien reçu le chèque. Ce premier contact téléphonique permet de nous présenter et de faire connaissance.
Monsieur Jacques est un jeune retraité vendéen. Nous bavardons en mode "haut parleur". Je peux peindre en même temps.

Nous nous saluons avant de raccrocher. Nous serons attendus le lundi 27 mai aux environs de 14 h30. La remise des clefs.
Il est rapidement 16 h20. Clémentine rentre. Elle jette son sac sur le canapé et se précipite pour me faire plein de bisous.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les cours, les profs, le menu du restaurant universitaire. C'est superbe.
Clémentine a encore ses notes à mettre aux propre. Elle prépare un texte de vingt lignes sur un sujet imposé pour vendredi.
Elle est installé devant l'ordinateur. Nous travaillons jusqu'à 18 h30. < Ras les bottes ! > s'écrie Clémentine, me rejoignant.

Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Clémentine, debout devant moi, sa feuille à la main, lit son écrit à haute voix. Bien.
Elle revient sur certaines formulations afin d'en développer le sens, d'en définir les mots. J'écoute avec beaucoup d'intérêt.
Elle s'entraîne ainsi, avec la première mouture de son écrit, pour son oral de vendredi matin. Développer un texte en 10 mn.
Elle s'en tire plutôt bien. Nous quittons l'atelier pour aller marcher un peu dehors. Nous descendons jusqu'à la rivière. Joie.
Le ciel s'est entièrement couvert. Je raconte l'appel téléphonique de Juliette. J'ai attendu ce moment pour ne pas perturber.

Clémentine se serre contre moi. < Je suis morte de trouille ! > fait elle. Même si elle va enfin réaliser son fantasme. Joie.
Être livrée à un vrai "Maître" durant trois heures, n'est pas sans provoquer une décharge d'adrénaline rien que d'y penser.
Je la tiens fort. Je la rassure. Je serai là. A part des choses à caractère sexuel souhaitées, il ne peut rien arriver de grave.
Cette évidence semble calmer un peu les tremblements de Clémentine qui m'avoue être excitée comme rarement. Superbe.
Nous rions de bon cœur de ce mélange d'appréhension et d'excitation. < Tu ne baises pas avec Juliette. Promis ! > dit elle.

Nous prenons le chemin du retour. Clémentine me tient par le bras. < Je suis gonflée de te demander la retenue, hein ? >
Elle rajoute : < Moi, je vais me faire baiser et je t'interdis de faire pareil ! Tu m'en veux ? >. Je la rassure. C'est ridicule.
Je n'ai pas envie de baiser ou de profiter de la situation. Au contraire, j'ai le désir de participer au plaisir de ma compagne.
< Tu peux le faire avec Estelle qui ne demande que ça. Mais pas avec une autre ! > fait encore Clémentine. Je l'embrasse.
Nous rigolons comme des bossus de ses angoisses inutiles. Et pour Clémentine c'est aussi un rire nerveux. Une catharsis.

La salade est lavée. Clémentine n'a que l'assaisonnement à faire. Je réchauffe la potée. Je propose omelette ou poisson.
Clémentine préfère du poisson pané. C'est rapide. Deux filets de cabillaud que je trempe dans l'œuf puis dans la panure.
Chapelure à laquelle je mélange toujours un peu de Parmesan finement râpé. Nous mangeons de bon appétit en causant.
La conversation s'articule tout naturellement sur ce qui nous attend au haras mercredi après-midi. Choisir les vêtements.
Nous nous promettons de faire de l'essayage demain après-midi puisque Clémentine n'a pas cours les mardis après-midi.

De ce combat que se livrent la peur et l'excitation dans la psyché de Clémentine, c'est l'excitation qui en gagne la partie.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me fait : < J'espère être à la hauteur ! >. Rires.
Je dis : < Tu seras entre deux bonnes mains. Tu vas vivre quelque chose d'exceptionnel. Tu ne pourras pas décevoir ! >
< Je t'aime Julien ! Je suis tellement heureuse avec toi. Je peux tenter toutes les expériences tu es toujours là ! > dit elle.
Depuis plus de deux ans que nous vivons ensemble, j'ai toujours insisté sur un point crucial. Clémentine doit tout vivre.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. < Viens ! > me fait Clémentine en m'entraînant au salon. Elle retire jeans, culotte.
Je suis vautré dans le canapé. Je la regarde évoluer en chaussettes et en chemise à carreaux en récitant son écrit. Rires !
Elle s'empare d'un des deux épais coussins pour le poser au sol, devant moi, entre mes jambes. Je sort ma queue flasque.
Clémentine, à genoux, hume les parfums de ma journée d'homme. Elle décalotte légèrement le gland pour mieux renifler.
< Je vous aime monsieur Schlingo et j'adore la puanteur de votre queue ! > me fait elle. Nous éclatons d'un rire sonore.

Je la regarde glisser le bout de sa langue sous le prépuce. La bosse sous la peau évoque un petit animal qui bouge. Super.
Je chuchote des douceurs que je mêle à des cochonneries. Je dis : < Tu vas encore avoir droit à deux bites mercredi ! >
< Trois avec la tienne ! > corrige Clémentine avant de se mettre à téter avec appétit. Parfois, elle ouvre les yeux, me fixe.
Nous avons vécu ces situations des centaines de fois pourtant chacune est la première. Je lui caresse la tête, les cheveux.
Je propose à Clémentine d'inverser les rôles. Je la lèche, je la suce avant de la pénétrer un peu. < Oh oui ! > s'écrie t-elle.

Me voilà à genoux entre ses cuisses à humer les parfums de sa journée de fille. La cyprine est gluante. Il y en a qui colle.
J'adore lui nettoyer le sexe avec ma bouche. Elle s'est encore masturbée en rentrant, dans la voiture. Une sorte de pâte.
Je décalotte son clitoris géant pour savourer le frome qui se dépose là. Je sens les frissons et les spasmes de Clémentine.
Elle m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Clémentine me révèle ses secrets.
Son impatience d'être livrée à un vrai "Maître". Son impatience de vivre enfin son fantasme de "Soumise". Elle bouge. Joie.

Nous accélérons le rythme en cadence pour cesser. Recommencer et rester à nouveau immobiles. Clémentine me raconte.
Nous baisons comme nous aimons tant le faire. En parfaits cérébraux. Nos corps ne sont que la continuité de nos pulsions.
Nous nous sommes bien trouvés tous les deux. Tous les trois avec Estelle. Nous sommes profondément paillards et vicieux.
Ces deux jeunes filles de 22 ans, assoiffées de sexe, peuvent se livrer au stupre avec un homme d'âge mûr. Nec plus ultra.
Il est 22 h15. Je propose à Clémentine de nous terminer au lit. Je lui offre un cunnilingus. Son orgasme est fabuleux. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui ont la chance d'avoir reçu une bonne "éducation" avec un professeur plus âgé…

Julien - (Qui aime l'idée d'être l'accompagnateur, parfois l'initiateur, de deux jeunes filles majeures assoiffées de sexe) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 6 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 782 -



Enfin une météo plus clémente

Hier matin, mardi, c'est la Traviata de Verdi, chantée par Natalie Dessay, qui nous tire et avec brutalité de notre sommeil.
< Put-Hein, Natalie arrête ! > s'écrie Clémentine tout en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Il est 5 h55. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues sport, nous dévalons l'escalier.
Nous préparons un solide petit déjeuner que nous dégustons en bavardant. Clémentine termine à midi, le mardi. Superbe.
Nous enfilons nos K-ways. Quelques mouvements d'échauffement. Nous voilà partis. Une heure d'un jogging très agréable.

Il est 7 h25. La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Bises.
Je regarde la voiture s'éloigner. Je rentre faire le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Je prépare la palette, les pinceaux.
Il est 8 h15. Je suis assis devant mon chevalet. Je peins dans une sorte d'euphorie qui me fait pousser des cris surréalistes.
La peinture de cette vingt septième toile destinée à ma saison d'été, une nature morte dépouillée, m'accapare totalement.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je prépare une pâte à pain. Avec méthode.

Je suis entrain de couper du poireau en petits morceaux lorsque Clémentine rentre. Elle me saute au cou. Toute heureuse.
Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Elle s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. C'est intéressant.
Je concocte une Béchamel. J'y rajoute les morceaux de poireau ébouillantés et cuits. La tarte au poireau des mardis soirs.
Pour midi, je rajoute au reliquat de Béchamel que j'ai récupéré comme sauce avec les coquillettes des crevettes rissolées.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant un vague programme de l'après-midi. Il fait beau. Il fait enfin plus agréable.

Nous hésitons entre une randonnée au lac ou une expédition à vélo jusqu'au port de plaisance. Clémentine propose le vélo.
Nous ne traînons pas, pressés d'avoir enfin une activité extérieure. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons.
Nous lavons nos dents en faisant les clowns devant le miroir. Clémentine qui porte ses lunettes, fait d'horribles grimaces.
Il faut se changer. Nous portons nos leggings de lycra noir, des maillots à manches longues en lycra noir également. Bien.
Il suffit de passer nos sweat rouges par dessus, de chausser nos baskets et nous voilà prêts. Je prépare le petit sac à dos.

J'y fourre nos K-ways, deux pommes, des barres de céréales et une bouteille d'eau. Nous descendons à toute allure. Joie.
Je contrôle la pression des pneus. 4,5 bars devant et derrière. Nous descendons le chemin pour rejoindre la piste cyclable.
Il faut pédaler contre un léger vent de Nord Ouest qui apporte cette désagréable fraîcheur. Mais ce n'est pas très pénible.
Nous croisons quelques cyclistes aussi téméraires que nous. Par contre quelques joggeurs, des couples qui se promènent.
Arrêt au cabanon de l'écluse. Pause pipi de Clémentine. Nous prenons position. Au cas où se présenterait un plan exhibe.

Dix minutes s'écoulent. Juste une jeune femme, en tenue "Tour de France" qui déboule à toute vitesse. Personne d'autre.
Il faut se faire une raison. Clémentine se retient pour un plan plus loin. Il est 13 h15. Nous arrivons au port de plaisance.
Les boulistes qui jouent à la pétanque. Quelques plaisanciers qui bavardent sur le pont de leurs bateaux. Des promeneurs.
Nous fermons nos bicyclettes à cadenas derrière la capitainerie toujours encore fermée. Ce qui est curieux pour un 7 mai.
Nous traversons la petite route pour aller chercher nos cônes glacés à la supérette. Il y a là aussi très peu de clients. Bien.

Nous bavardons un peu avec madame Marthe, la gérante. Elle nous informe toujours des festivités organisées sur le port.
Dimanche, ce sera le départ et l'arrivée de la première marche populaire de la saison. Organisée par les pompiers. Super.
Nous flânons sur les quais en dégustant nos glaces. A l'arrêt, il fait trop chaud pour garder nos sweats. Direct dans le sac.
Clémentine nous entraîne vers le bâtiment des sanitaires réservés aux plaisanciers. Surprise. Il est ouvert. Nous y entrons.
Odeur de chlore. Tout est propre et aseptisé. Il y a une machine à laver qui tourne. Il n'y a personne. Nous regardons bien.

Devant un des miroirs, au dessus des lavabos, Clémentine me sort le Zob et l'agite dans notre direction. < Bite ! > dit elle.
Nous faisons les pitres en nous observant dans le miroir. Clémentine se penche pour me sucer. Elle nous fixe dans la glace.
Je ne tarde pas à bander comme un véritable salaud. Dans la bouche de Clémentine qui continue de s'observer. Elle aime.
Je la tiens par le menton et par la nuque. J'enfonce ma bite davantage. Elle tousse. Je retire ma biroute. Un long filament.
Je dis : < Tu t'entraînes pour demain ? >? Clémentine se redresse pour dire : < On n'en parle pas ! J'ai trop la trouille ! >

Dehors, sur le gravillon, un bruit. C'est furtif. Cela cesse. C'est un bruit de pas. Je remballe ma bite. Je me réajuste. Rapide.
J'essuie le foutre sous la lèvre de Clémentine avec un mouchoir en papier. Nous sortons. Il n'y a pourtant personne. Curieux.
< Viens ! On fait le tour et on va voir aux chiottes publiques ! > propose Clémentine qui aimerait bien vivre un plan vicelard.
Elle m'entraîne par la main. Nous restons entre les fourrés et le mur des bâtiments. < Regarde ! Là !> me lance Clémentine.
< C'est le scooter de Maëlys ! > rajoute t-elle. Je dis : < Mais normalement elle est en cours à cette heure ci, il est 16 h ! >

Nous faisons le tour des toilettes publiques avant d'y entrer. Même odeur de chlore. C'est plus vétuste et bien moins propre.
Il n'y a personne. Les portes des quatre cabinets sont ouvertes. Clémentine fait le guet derrière la porte entrebâillée. Super.
Je sors ma bite. Je me branle à côté de Clémentine pour regarder avec elle. < Elle se pointe ! > s'écrie soudain Clémentine.
Je la saisis par ses cheveux sans ménagement pour la forcer à s'accroupir. Je lui frotte la bite sur le visage. Je bande. Et dur.
Nous nous faisons surprendre ainsi par Maëlys qui ne paraît pas du tout surprise. C'est certain. Elle nous épie depuis avant.

Elle reste dans l'encadrement de la porte. Elle est vêtue d'un jeans troué aux genoux, c'est la mode, d'un sweat et baskets.
< Bonjour ! > fait elle la première sans cesser de regarder ma queue que je frotte sur la gueule de Clémentine. Je la tiens.
Je dis : < Tu veux bien guetter afin de voir si personne ne vient, je vais me faire tailler une pipe ! >. < Ok ! > lance t-elle.
J'enfonce ma bite dans la bouche de Clémentine. Je dis : < Tu n'a pas cours cet après-midi ? >. < Finie à 15 h ! > fait elle.
Je rajoute : < Et tu viens rôder dans les chiottes pour te livrer à ton petit plaisir secret ? >. Elle répond : < Oui, c'est ça ! >

Nous bavardons ainsi pendant que Clémentine me taille une pipe des familles. Maëlys n'en perd pas une miette. Elle mâte.
Régulièrement, elle regarde dehors. Personne n'arrive. Je sors ma bite de la bouche de Clémentine. Je l'agite vers Maëlys.
Je dis : < Tu as envie ? >. La jeune fille observe ma queue. Clémentine s'en saisit pour lui dire : < Je te la prête un peu ! >
Maëlys semble hésitante. Elle regarde au dehors, observe ma bite. Nous restons tous les trois ainsi. L'attente silencieuse.
La jeune fille fini par lancer : < Pas ici ! Pas maintenant. Mais j'aimerai bien ! >. Clémentine se redresse, elle tient ma bite.

Nous entendons des voix. Je remballe. Nous sortons. C'est un couple qui vient vers les toilettes. Ils nous croisent amusés.
Ces deux jeunes filles qui sortent des toilettes en compagnie d'un homme d'âge mûr. De quoi susciter des interrogations.
Maëlys est de petite taille. 19 ans et toute menue. Nous la raccompagnons jusqu'à son scooter. Elle met son casque. Rires.
Clémentine lui propose de formaliser un rendez-vous. S'il fait beau, samedi après-midi, pour 15 h30, ici, sur le port. Bien.
Maëlys s'écrie : < D'accord, c'est super ! >. Nous nous serrons la main. Nous la regardons filer sur son engin. C'est sympa.

Nous prenons le chemin du retour. Cette fois, le vent nous pousse. C'est beaucoup plus agréable et surtout bien plus facile.
Il est 18 h45 lorsque nous sommes de retour. Estelle est déjà là à préparer la Flamiche Picarde, tarte au poireau délicieuse.
Elle se précipite dans mes bras. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Clémentine s'interpose par jeu. Amusant.
La tarte est au four. La table est mise. Nous remercions Estelle pour cette attention. Elle le fait tellement souvent. Superbe.
Nous montons nous changer. Estelle assise sur le lit me choppe les couilles à travers mon slip. Elle les tient fermement. Dur.

Nous lui racontons notre aventure avec Maëlys, la fille au scooter. Estelle écoute et en posant quelques questions précises.
< Tu vas encore te faire sucer par une autre, espèce de vieux salaud ! > me dit elle en gardant sa main dans ma braguette.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Je suis jalouse ! >. Clémentine lui répond : < Tu la suces tout le temps ! >
La sonnerie du four. Nous dévalons l'escalier à toute allure. Morts de faim. < Et je fais le service ! > fait Estelle. On s'assoit.
Nous mangeons de bon appétit. A chaque fois qu'Estelle évoque ce qui nous attend demain, Clémentine fait : < Silence ! >

Nous traînons à table. Estelle passe la nuit avec nous. Elle adore ces "Week-End" en pleine semaine. Les mercredis fériés.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Nous voilà vautrés dans le canapé. Je suis entre les filles.
Clémentine et moi, nous sommes passablement épuisés. Estelle joue avec ma queue qu'elle tord dans tous les sens. Dur.
Tout en parlant de l'épreuve qui attend les filles vendredi matin. Un nouvel oral et devant un jury de cinq autres étudiants.
J'ai des épanchements de liquide séminal assez conséquents. Ils dégoulinent sur les doigts d'Estelle qui se les lèche. Miam.

Clémentine, couchée à ma droite, sur le côté, sa tête sur ma cuisse, regarde Estelle sucer. Estelle en gémit de plaisir. Bon.
Je lui chuchote des cochonneries. Clémentine rit. Estelle ponctue chacune de mes phrases d'un : < Mmmhh ! > en suçant.
Je caresse le visage de Clémentine ainsi que celui d'Estelle. J'ai l'impression d'avoir la bite dans un gros bol de purée tiède.
La soirée se déroule ainsi. Clémentine va s'endormir. Je force Estelle à cesser. Nous montons. Il est 22 h30. Trop fatigués.
Au lit, Estelle s'endort la première lovée contre moi. Clémentine me donne ses impressions. Nous ne tardons pas à plonger.

Bonne virée à bicyclette à toutes les coquines qui apprécient les petites visites dans les toilettes publiques pour y sucer…

Julien - (Qui a proposé un dernier cunnilingus avant de dormir à Clémentine qui, serrée contre lui, s'endort en gémissant) -

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