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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 2 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 484 -



La récidive hollandaise après la récidive touristique

Hier matin, vendredi, je me réveille le premier. Clémentine dort encore. J'aime entendre son léger ronflement. C'est rassurant.
J'aime la voir ainsi, couchée sur le dos, la bouche légèrement ouverte. C'est merveilleux. Cela ne dure jamais bien longtemps.
Son sixième sens l'averti de la situation. Elle ouvre les yeux, m'observe un court instant comme étonnée puis se serre très fort.
< Bonjour Clémentine ! > ai-je le temps de murmurer avant qu'elle ne me chevauche en riant. < Bonjour Julien ! > me dit elle.
Les papouilles matinales. Clémentine m'entraîne rapidement par la main jusqu'aux toilettes. Il est 7 h15 et le ciel est lumineux.

Morts de faim, nous voilà la cuisine. Nous préparons notre petit déjeuner que nous prenons dans l'agréable odeur de pain grillé.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous évoquons la journée de hier, notre visite à Stirling. Et c'était superbe.
Nous faisons le programme très aléatoire de ce qui nous attend aujourd'hui. La vaisselle. Nous sommes déjà en tenue jogging.
Il est 7 h45 lorsque nous descendons par l'escalier de service. Il fait un peu le même temps que hier. A la fois doux et agréable.
Nous courons le long de notre parcours habituel. Avec l'arrêt obligatoire au sommet de la colline pour admirer Edimbourg. Joie.

Le voile nuageux se déchire pour faire place à un soleil généreux. Il est 9 h30 lorsque nous revenons. Mon oncle est au jardin.
Nous bavardons un peu. La douche. Nous nous habillons légèrement. Clémentine porte sa robe d'été et ses sandalettes. Belle.
Je porte mon short, une chemisette et mes sandales. Nous allumons l'ordinateur pour découvrir les messages. Estelle et Julie.
Estelle nous raconte ses journées de travail dans l'entreprise familiale et ses passages à la propriété pour arroser le potager.
Ses soirées à la piscine. Ses rencontre avec Juliette qui vient chercher des légumes dans le jardin. Nous répondons. Amusés.

Julie nous raconte ses journées, son travail de vacances comme serveuse dans le restaurant de sa tante. Nous répondons. Joie.
Il est 10 h30 lorsque nous descendons Morningside jusqu'au quartier commercial. Il faut faire des courses. Nos fruits, légumes.
Nous prenons un grand et beau pain complet, biologique et aux amandes grillées. Nous voilà dans la grande supérette. Super.
Il y a plein de monde. Et principalement des touristes. Nous choisissons nos oranges lorsque Clémentine attire mon attention.
< Le mec, là-bas, il n'arrête pas de nous mâter. Il tente de me fixer ! Regarde ! > me chuchote t-elle. Je regarde discrètement.

C'est un asiatique très élégant. Je devine son interrogation. Notre couple doit bien l'intriguer. Suis je le père ? Suis je l'amant ?
Je décide d'apporter une réponse à sa question et à satisfaire sa curiosité. Je regarde dans toutes les directions. Je pose le sac.
Je fixe l'inconnu tout en posant ma main sur le sexe à Clémentine au travers le tissus de sa robe d'été. Il ouvre de grands yeux.
Clémentine, surprise par mon geste, a un réflexe bien normal. Nous sommes tous deux télépathes. Elle comprend tout de suite.
L'homme, un peu gêné, détourne les yeux. Tout a été si rapide que personne d'autre n'a vu ce qui vient de se passer. Superbe.

Nous continuons nos courses. Nous passons à l'une des quatre caisses. Dans la file de celle d'en face, il y a notre ami asiatique.
Je fais mon geste obscène une nouvelle fois. Cette fois Clémentine reste immobile. L'inconnu regarde, comme consterné. Bien.
L'heureux privilégié esquisse un léger sourire. Il fait un signe de la tête. Nous quittons la supérette avec nos gros sacs si lourds.
Nous remontons en passant devant Christ Church entourée d'une foule de touristes. Il y a quatre autobus garés là juste devant.
Nos sacs sont lourds. Aussi nous sommes contents d'arriver à l'appartement. Il est midi. Nous rangeons nos courses. Superbe.

Clémentine, qui n'a pas de culotte lorsque le climat le permet et qu'elle est en robe, prend ma main qu'elle pose sur son sexe.
< Ton initiative était géniale au magasin, devant ce type. Ça m'a excité, si tu savais ! Et à refaire absolument ! > me fait elle.
Nous en rions de bon cœur. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare des filets de saumon que je pane et que je fais dorer.
Clémentine s'essuie souvent les mains pour venir derrière moi. Elle me palpe la braguette et me dit : < J'aime mon vicieux ! >
Je réponds : < J'aime ma vicieuse ! >. Nous sommes tous deux considérablement excités. Et pour tout le reste de la journée.

Nous mangeons de bon appétit. Je promets à Clémentine d'avoir les mêmes initiatives chaque fois que l'occasion de présentera.
< Touche moi quand un mec me regarde. Sois le plus vulgaire possible. C'est un "plan" discret et hyper excitant ! > me fait elle.
Nous rigolons comme des bossus en évoquant des situations farfelues, saugrenues que nous ne manquerons pas de provoquer.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est 13 h30 lorsque nous sommes dans la voiture. Il fait beau. Il y a quelques nuages.
La circulation est fluide. Je roule doucement. Clémentine se touche et joue avec mon sexe. Il y a 45 km jusqu'à Stirling. Super.

Je gare la voiture sur le parking devant Wallace Monument. C'est la grande tour de pierres construite au XIXème siècle. Belle.
Cette construction originale a été érigée en hommage à William Wallace, le héros national écossais qui est mort ici en 1297.
Ses faits d'armes, ses combats, ses victoires contre l'envahisseur Anglais sont entrés dans l'histoire et dans la légende. Bien.
L'entrée est de 10,40 £. Environs 11 euros. La visite est libre ou guidée. C'est au choix. Nous préférons la seconde formule.
Nos soifs de connaissances nous incitent à suivre le guide, une belle et jeune étudiante qui fait son job d'été. C'est si sympa.

Le premier étage est aménagée en salle d'armes. C'est étonnant. Il y a là des hallebardes, des épées, des armures, arbalètes.
Nous écoutons avec attention l'argumentaire appris par cœur de la jeune guide. Le second étage est des plus insolites. Super.
Il est entièrement consacré aux héroïnes de l'Ecosse. 14 femmes qui ont brillé à travers l'histoire par leurs talents, réalisations.
Il y a l'épée censée avoir appartenu à William Wallace lorsqu'il a été trahi ici même et emmené par les Anglais pour être occis.
Le troisième étage est réservée à la chambre royale. Nous guettons à présent l'opportunité de reproduire le geste de ce matin.

Le quatrième étage est la "Couronne". Cet espace carré et crénelé qui permet d'admirer toute la région aux environs. Sublime.
Il y a beaucoup trop de monde pour tenter quoi que ce soit. Il y a bien des touristes qui observent notre couple. C'est souvent.
Il est 15 h30 lorsque nous quittons cette tour haute de 67 mètres, d'environs dix mètres sur dix. Nous retournons à Stirling.
Dégustant nos cônes glacés nous flânons dans les rues moyenâgeuses du centre. Parfois, discrètement, je touche Clémentine.
Il est 16 h30 lorsque nous revenons à la voiture. Il faut retourner sur South Queensferry afin d'y honorer notre rendez-vous.

Nous arrivons à l'heure prévue. Il est presque 17 h45. Nous voilà près du bateau des Hollandais. Assis sur un des bancs. Bien.
Lennie ne tarde pas. La jeune fille est toute souriante, visiblement émue et si heureuse de nous retrouver. Nous nous saluons.
Nous la suivons. Elle nous invite à la suivre sur le bateau. Nous redescendons les quelques marches qui mènent au petit salon.
Je suis vautré dans le canapé. J'ai envie de pisser. Je me retiens depuis notre tour en ville, à Stirling. Clémentine le sait bien.
Lennie nous parle de ses vacances. Ses parents et son grand père qui insistent pour qu'elle vienne faire du tourisme avec eux.

Clémentine est assise dans le fauteuil de gauche, Lennie est assise dans le fauteuil de droite. J'ouvre ma braguette doucement.
Lennie m'observe en silence. Elle est en apnée. Clémentine, que tout cela excite considérablement, a sa main entre les cuisses.
Je sors mon sexe avec une certaine théâtralité. Le spectacle peut commencer. De l'index, j'invite Lennie à se rapprocher. Bien.
La jeune fille, comme hypnotisée, ne cesse de regarder mon sexe. Je bande mou. Je l'agite dans sa direction. Elle a un soupir !
Elle finit par se lever. Je me lève. Je la saisis par ses cheveux attachés en catogan. Elle est d'une incroyable docilité. Stupéfiant.

Je laisse tomber un des coussins au sol pour l'obliger à s'y mettre à genoux. Lennie porte un T-shirt, un short et des baskets.
Je la tiens fermement. Je frotte mon sexe sur son visage. Elle m'en présente chaque partie. Elle attendait ce moment. Super.
Je lui enfonce doucement la bite dans la bouche. Je regarde Clémentine qui se masturbe en gémissant. Je bande mou. Parfait.
Je ne suis pas obligé de me concentrer ou de faire des efforts. Je dois tellement pisser que je lâche un premier jet. Somptueux.
C'est un véritable soulagement. La surprise est telle que la jeune fille pousse un cri et détourne sa tête. Je lui pisse au visage.

Il m'est impossible de contrôler mon irrépressible besoin de me soulager. Je tiens la jeune fille fermement et par son catogan.
Lennie n'oppose pas de réelle résistance. Ce sont ses premières fois. Elle découvre. Et avec un homme en âge d'être son père.
Je cesse en faisant un effort. Je lui enfonce la bite dans la bouche. A mon plus grand étonnement, la jeune fille se met à sucer.
Je lui demande d'ouvrir les yeux. Tout en me pompant, elle me fixe un instant. Gênée mais souriante, elle refait plusieurs fois.
J'estime qu'il est très important qu'elle garde à tout jamais cette image dans sa mémoire. Elle sera source de plaisirs futurs.

Je regarde Clémentine. Elle me fait des clins d'œil. Elle sait ce que je suis entrain de faire. Elle connait très bien son vicelard.
Je caresse le visage trempé de Lennie qui gémit de plaisir. J'en suis tellement étonné. Cette seconde pipe semble tant la ravir.
Je termine enfin de pisser par un dernier jet. Lennie avale tout ce qu'elle peut. Il y a de la pisse parterre, et sur ses fringues.
J'éjacule. Lennie pousse un cri de ravissement avant de se retirer prestement pour dégueuler en toussant. Elle régurgite tout.
La jeune fille a des spasmes qui secouent tous son corps. Je m'accroupis. Je lui demande si tout va bien. Elle hoche la tête…

Elle me rassure en toussotant et en tentant de déglutir. < C'est trop ! > dit elle à plusieurs reprises en reprenant ses esprits.
Clémentine ne peut réfréner un orgasme qui semble la terrasser. Je tends un verre de jus de fruits à Lennie qui s'en empare.
Enfin, elle reprend sa respiration normale. Elle cesse d'avoir des hauts le cœur qui secouent son corps. Je l'aide à se relever.
< Merci ! > fait elle. Je l'aide à tout nettoyer. Seau, serpillère. Il faut tout remettre en état, faire disparaître toute trace. Bien.
Lennie nous apprend qu'elle sera là, à South Queensferry jusqu'à mardi prochain. Elle aimerait nous revoir encore une fois…

Nous restons à bavarder. Clémentine est assise tout contre moi. Lennie qui est allée se changer, revient et fait : < Super ! >
Je lui dis : < Tu vas avoir de bons souvenirs, et pour toute ta vie ! >. Elle répond : < Mais je dois d'abord m'en remettre ! >
Nous rions tous les trois de bon cœur. Lennie a son goût de vomis qui la dérange. Même avec du chocolat, ça ne passe pas.
Il est 20 h. Nous préférons filer. Lennie insiste pour avoir un numéro de téléphone. Nous donnons celui de Clémentine. Joie.
Lennie nous raccompagne un bout de chemin. Je lui dis : < Si tu viens en France, fais nous signe ! Tu viens à la maison ! >

Heureuse de notre invitation, heureuse d'avoir de nouveaux amis, Lennie nous serre la main avant de retourner au bateau.
Nous nous offrons un bon restaurant. Clémentine me confie les émotions vécues ce soir. < Tu as été génial ! Je t'aime ! >
Nous nous régalons de ravioles à la crevette, au crabe, au saumon. Deux énormes coupes glacées. Il est rapidement 22 h30.
Il faut rentrer. Il est 23 h lorsque nous sommes de retour à l'appartement. Totalement épuisés et fourbus. Le lit nous attend.
Nous nous serrons fort. Nous faisons encore un peu le bilan de cette journée. La soirée avec Lennie. Nous nous endormons.

Bonnes redécouvertes de vos endroits préférés à toutes les coquines qui aiment regarder leur mec se comporter en salaud…

Julien - (Qui est un véritable salopard, uniquement sur commande et sur rendez-vous, se réjouit de revoir Lennie) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 3 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 485 -



Déjà deux semaines en Ecosse

Hier matin, samedi, nous nous réveillons en même temps. Nous nous amusons à moduler longuement nos gémissements. Joie.
Nous rions de bon cœur car c'est à celui qui fera la plus drôle des modulations. Nous finissons par nous serrer dans un fou rire.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner jusqu'aux toilettes. Elle me tient la bite pour en diriger le jet bien droit.
Accroupie, elle en lèche et suce les derniers reliquats. Accroupi, je fais pareil. Ce sont nos rituels pisseux du matin. C'est rigolo.
Morts de faim, nous allons à la cuisine. Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Il est 7 h15. Il fait agréable.

Nous sommes déjà en tenue de jogging tout en prenant notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Un vrai régal.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous évoquons nos aventures de hier. La pipe pisseuse prodiguée par Lennie.
< Tu as fait fort. Elle ne comprenait pas vraiment ce qui lui arrivait. Excellente initiative. Grande première ! > fait Clémentine.
Nous en rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Ça fait longtemps que je n'y ai pas eu droit ! >. Je promets de m'en occuper.
La vaisselle. Nous descendons l'escalier de service pour nous retrouver dehors. Le ciel est principalement bleu. Il fait très doux.

Nous courons en croisant les joggeurs habituels. Des gens du quartier. Il y a l'arrêt obligatoire au sommet de la colline. Super.
La vue sur Edimbourg ne peut pas lasser. C'est prestigieux. Il est 9 h30 lorsque nous revenons à l'appartement. Notre douche.
Nous nous habillons léger. Clémentine porte une de ses jupettes sport, plissée, qui lui arrive à mi cuisses. Un T-shirt, baskets.
Je porte un de mes shorts de ville, un T-shirt et mes baskets. Nous allumons l'ordinateur. Nous découvrons les deux messages.
Celui d'Estelle qui nous raconte sa journée. Celui de mon oncle qui tient ma galerie. C'est le 14 juillet que la saison commence.

Nous répondons. Il est 10 h15. Je prépare notre petit sac à dos. J'y mets plusieurs fruits. Clémentine fait deux gros sandwichs.
Nous voilà prêt à affronter cette nouvelle journée d'aventures. Clémentine me confie à quel point elle est excitée. Et moi aussi.
Je roule doucement. Clémentine joue avec mon sexe qu'elle a sorti de ma braguette ouverte. Parfois je la touche sous la jupe.
La circulation est fluide. Il n'est encore que 10 h45. Nous prenons la direction de Linlithgow, petit village à 35 km d'Edimbourg.
Pour éviter d'utiliser la climatisation que nous détestons, il nous faut rouler avec les vitres ouvertes. C'est amusant et si drôle.

Nous arrivons à Linlithgow. Ce petit village a une renommée dans toute la région. Il est considéré comme étant un bourg Royal.
C'est surtout son château du Moyen-âge qui attire une foule de visiteurs. Il est monumental situé en haut de cette petite colline.
C'est dans ce château qu'est née Marie Stuart. Et tout près, au pied de la colline, il y a le lac. Ses eaux sombres reflètent le ciel.
Nous garons la voiture sur le parking à l'entrée du village. Linlithgow est un bourg médiéval. Evidemment très touristique. Bien.
L'affluence touristique, toute l'année, permet d'entretenir et de restaurer quantité de maisons anciennes, d'autres monuments.

Nous parcourons le bourg entièrement réservé aux piétons. Il y a un monde fou. Les boutiques de souvenirs et les commerces.
Nous flânons longuement, c'est tellement beau. Parfois, avec sa virtuosité habituelle, Clémentine palpe ma braguette bien dure.
Sur sa demande, et tout à fait discrètement, ma braguette est ouverte. C'est invisible à moins de voir la tirette en bas. Discret.
Parfois, en regardant bien autour de nous, je palpe le sexe de Clémentine au travers du tissus de sa jupette. Nous adorons ça.
Bien sûr, notre couple attire quelques regards interrogateurs. Le père ou l'amant ? Et cela nous amuse comme des petits fous.

Il est midi passé. La faim commence à se faire sentir. Nous avisons le petit parc à côté de St Michael's Parish Church. L'église.
C'est une construction du Gothique flamboyant. Une invraisemblable dentelle de pierres sculptées qui tient comme par miracle.
Assis sur un banc, nous savourons nos pommes, nos abricots puis nos sandwichs au Roquefort. Le fromage dont nous raffolons.
La culotte à Clémentine est dans le sac à dos. Il y a donc toute latitude pour s'offrir quelques bonnes frayeurs exhibes. Fameux.
Une occasion ne tarde pas à se présenter. Il y a un touriste, seul, là-bas, la quarantaine élégante, qui fait des photos de l'église.

Clémentine se lève, me donne son sandwich et chuchote : < Tu surveilles ! >. Je la rassure. Je la vois entrer dans les fourrés.
Entre deux bosquets, à une dizaine de mètres, je peux la distinguer accroupie, cuisses écartées, entrain de guetter. Superbe.
Le touriste se dirige par là. Je reste en retrait en faisant semblant de feuilleter une brochure tout en mangeant mon sandwich.
Le type découvre la jeune fille. Clémentine porte ses larges lunettes noires de soleil. Elle a défait ses cheveux. Anonyme. Bien.
J'ai le cœur qui bat la chamade. Cela m'excite toujours tellement. Je bande. Il s'exprime dans un anglais parfait. Accent danois.

Il regarde partout autour de lui. Il y a des promeneurs un peu partout. Impossible de voir Clémentine sans être juste devant.
Le type ne s'emmerde pas, il prend quelques clichés. Clémentine doit pisser. Elle se retient souvent pour une opportunité. Joie.
De se faire surprendre entrain de pisser par un inconnu est une de ses préférences. L'exhibition parfaite et idéale pour une fille.
Hélas, le plus souvent, malgré une forte envie, avec l'excitation, c'est difficilement possible. D'ici, je ne vois pas si elle y arrive.
Toujours est-il que l'effronté photographe s'offre plusieurs clichés. Et il bavarde. Clémentine garde sa position tout en discutant.

Il y a un groupe qui arrive. Deux familles. Clémentine se redresse juste à temps. L'inconnu invite la fille à faire d'autres photos.
Je vois Clémentine le suivre. Je termine mon sandwich. J'emballe celui de Clémentine. Je me lève pour les suivre discrètement.
Je contourne les fourrés. Je suis d'une prudence de Sioux. Là, je découvre Clémentine assise sur un socle sans statue. La pose.
Cuisses écartées, elle se fait photographier par le type. Son anonymat totalement préservé par ses cheveux, ses lunettes noires.
Des photos de Clémentine, dans cette situation, doivent circuler chez des collectionneurs privés un peu partout dans le monde.

Clémentine me confie souvent qu'avant de me rencontrer, en août 2016, elle envisageait sérieusement de vivre son fantasme.
Poser pour des photos pornos. Le fantasme de réaliser quelques petits films "amateurs" avec de vieux messieurs très cochons.
Je l'encourage toujours à réaliser ce fantasme. Nous gardons cette idée et la possibilité de la réaliser dans un coin de nos têtes.
Bien évidemment sous le couvert d'un anonymat total. Peut-être teinte en blonde, en rousse, visage dissimulé. Méconnaissable.
Elle se fait photographier souvent par des inconnus, des touristes, qui ont le réflexe d'immortaliser cette rencontre surréaliste.

Cette séance de pose improvisée prend fin. Le monsieur tend à Clémentine une carte de visite. Il lui serre la main. Gentleman.
Nous nous rejoignons à la sortie du parc. Clémentine, tout en terminant son sandwich, me confie la nature des propos échangés.
< C'est un Danois, qui travaille pour une agence de presse en Free lance et qui me propose de le contacter ! > fait Clémentine.
Nous en rions de bon cœur car ils se présentent tous comme étant des photographes plus ou moins professionnels. C'est risible.
Elle me montre la carte de visite. Copenhague. < Pour la "collection" ! > fait Clémentine en rangeant la carte dans le sac à dos.

< Ce vicelard m'a drôlement excitée ! > me confie Clémentine qui me raconte les émotions vécues en se faisant photographier.
Pour une belle jeune fille, au corps sculptural, et qui l'assume, quoi de plus naturel que des penchants exhibitionnistes. Naturel.
Nous retournons dans le centre du bourg pour nous y offrir des cônes glacés. Nous revenons pour visiter le monument gothique.
L'intérieur de St Michael's Parish Church est aussi étonnant que l'extérieur. Un véritable prodige de fines dentelles de pierres.
Il y a un monde fou. Beaucoup d'Asiatiques armés d'impressionnants appareils photos à téléobjectifs phalliques. Nous visitons.

Clémentine prend quelques clichés. Elle m'entraîne à nouveau dans le parc à la recherche d'une autre opportunité. Trop de gens.
Nous partons pour visiter Linlithgow Burg Hall. L'endroit tient à la fois du musée historique et de lieu de conférence perpétuelle.
La visite est guidée. Nous découvrons les richesses historiques conservées sous d'épaisses vitres. Des monnaies, des armoiries.
Il y a un type qui n'arrête pas de nous mâter. Clémentine me le fait remarquer. Cette jeune fille qui tient cet homme d'âge mûr.
Nous suscitons une fois encore la curiosité. Clémentine me demande de rester à l'écart. Je reste devant la vitrine. Elle s'éloigne.

Debout devant une table vitrée qui protège des objets précieux, Clémentine fait mine d'observer. Le type se met juste en face.
Parfaitement sans gêne, en véritable parasite, le type se met à draguer ouvertement. Clémentine semble vraiment importunée.
Ce genre de comportement, sans gêne, a le don d'agacer Clémentine au plus haut point. Et ce genre d'emmerdeur lui répugne.
J'arrive. Discrètement, je pose ma main sur le sexe de Clémentine que je palpe au travers le tissus de sa jupe. Le type est gêné.
Ma présence, ma haute taille sans doute, le dissuade de continuer. Il s'éloigne prestement pour rejoindre un groupe de gens.

Il est 16 h30. Nous nous offrons une seconde tournée de cônes glacés. C'est trop bon, c'est rafraîchissant. Il fait chaud. Super.
Nous montons le chemin qui mène à la colline pour visiter Linlithgow Palace et ses bâtiments architectoraux. De toute beauté.
Quelle n'est pas notre surprise de revoir l'emmerdeur accompagné de sa famille. < Regarde un peu l'enfoiré ! > fait Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus. La visite de cet endroit est un véritable plaisir. Un enchantement. Nous restons jusqu'à 18 h.
Nous retournons traîner dans le bourg. Je propose à Clémentine ne nous trouver un restaurant afin d'y réserver une table. Soir.

Nous réservons une table pour 20 h dans un établissement décoré avec goût, à l'ancienne, période victorienne. C'est superbe.
Nous nous promettons de revenir demain pour randonner autour du lac. Soudain il y a la musique du téléphone de Clémentine.
C'est Lennie, la jeune fille Hollandaise. J'entends la conversation. Clémentine me fait des signes, des clins d'œil et des gestes.
Je comprends. Lennie aimerait nous revoir. Clémentine lui propose de nous rencontrer lundi soir. Et c'est possible pour Lennie.
Clémentine me raconte la conversation. < Elle en veut ! Il va falloir te surpasser ! > dit ma compagne. Nous rions de bon cœur.

Nous serons donc à South Queensferry, lundi, en fin d'après-midi et pour 18 h. Rendez-vous avec Lennie. Ses parents absents.
Ils quittent South Queensferry mardi soir et nous ne reverrons peut-être plus jamais la jeune Hollandaise. Il faut donc se revoir.
Morts de faim, nous voilà attablés dans la grande salle du restaurant. Toutes les tables sont occupées. Plateau de fruits de mer.
C'est tellement délicieux que nous en avons des frissons. Les crustacés fumés et grillés, spécialités écossaises, sont sublimes.
Nous traînons à table. Les coupes glacées sont succulentes accompagnées de petites crêpes séchées. Pas d'opportunité. Gens.

Il est 22 h. Nous flânons dans les rues du bourg pour revenir à la voiture. Il y a encore plein de bagnoles sur le grand parking.
Je roule doucement. Clémentine me fait une pipe. J'aime sentir sa bouche, entendre ses gémissements. Je lui parle doucement.
Il est 22 h45 lorsque nous sommes de retour. Les toilettes, la salle de bain. Nous voilà au lit. Clémentine insiste pour me finir.
Nous sommes tous deux épuisés. Je la serre contre moi. Nous détestons l'un comme l'autre, les orgasmes bâclés et mal gérés.
Aussi je propose à Clémentine de nous garder pour demain. < Je t'aime mon amour ! > me murmure t-elle. Nous plongeons…

Bonnes découvertes d'endroits nouveaux qui permettent de vivre des aventures croustillantes à toutes les coquines excitées…

Julien - (Qui a contrôle total et absolu de sa bite dont il se sert avec une certaine virtuosité pour le plaisir de Clémentine) -

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Classe - 4 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 486 -



Une journée passionnante

Hier matin, dimanche, il est 7 h30 lorsque nous sortons tous deux de nos profonds sommeils. C'est un peu difficile. Il fait beau.
Clémentine se serre contre moi en murmurant : < Bonjour mon amour ! >. Je lui fais plein de bises. Douceurs et les papouilles.
< Bonjour mon amour ! > ai je le temps de lui dire avant qu'elle ne me chevauche en riant. Nous nous précipitons aux toilettes.
Morts de faim nous allons à la cuisine. Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Le dimanche, pas de jogging.
Le petit déjeuner est le rituel sacré auquel nous sacrifions dans l'agréable odeur de pain grillé. Et nous pouvons traîner à table.

Nous mangeons de bon appétit et en bavardant. Nous évoquons nos aventures de hier. Nous élaborons le programme du jour.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me confie son désir de vivre des trucs exceptionnels.
Revoir Taylor, l'homme à la moto, dans la friche industrielle abandonnée est une de ces choses. Je l'encourage à le faire bientôt.
Nous retournons voir Lennie demain soir. Je me suis déjà fait sucer. Je lui dis que c'est à son tour de s'offrir quelques frissons.
Je précise une fois encore : < Moi aussi j'aime te voir faire des saloperies avec un autre avec la différence que je suis caché ! >

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Pendant que je fais une machine de notre linge sale, Clémentine allume notre ordinateur.
Depuis la pièce de séjour, elle me lit le message d'Estelle et celui de Juliette. Je change les draps du lit et je rejoins Clémentine.
Estelle nous raconte quelques amusantes anecdotes concernant Gauvain, son collègue étudiant. La piscine en soirée. Le boulot.
Juliette nous remercie pour les légumes de notre potager qu'elle vient chercher tous les soirs, bavardant souvent avec Estelle.
Nous répondons aux deux messages en joignant deux photos redimensionnées et prises hier, dans le petit village de Linlithgow.

Nous nous habillons légèrement. Clémentine porte sa robe d'été, ses sandalettes. Je porte mon short, T-shirt et mes sandales.
Nous descendons avec le panier à linge pour l'étendre dehors, sur les fils. Nous bavardons un peu avec ma tante. C'est sympa.
Il est neuf heures trente. Nous allons marcher un peu sur les hauteurs. Le parcours que nous faisons lors de nos joggings. Joie.
Il fait doux. Le soleil est haut dans un ciel où persistent quelques nuages d'altitude. Nous voilà au sommet de la colline. Super.
Il y a du passage. Principalement des joggeurs. Là, en bas de la colline, s'étendent les toits des maisons d'Edimbourg. Sublime.

Discrètement, de ma braguette ouverte, Clémentine me tient la queue tout en me confiant son fantasme de retrouver Taylor.
Parfois, en regardant bien dans toutes les directions, je passe la main sous sa robe. J'écarte l'élastique de la culotte. Je touche.
Nous rions de bon cœur de nos extravagances. Nous mettons au point le scénario de notre prochaine rencontre avec ce Taylor.
Taylor, l'homme à la moto qui montre le Zob à Clémentine. Taylor, le mec à la moto qui surprend Clémentine entrain de pisser.
Clémentine, toujours un peu réticente devant la perspective de sucer un autre, me fait part de son appréhension bien légitime.

Nous irons bientôt manger au restaurant ou Taylor officie en tant que serveur. Ce afin de tenter d'en savoir davantage. Normal.
Nous continuons notre promenade. Nous découvrons les venelles. De somptueuses maisons cachées derrière de grands arbres.
Nous nous arrêtons souvent pour nous blottir l'un contre l'autre afin de nous tripoter discrètement. Nous adorons ces jeux là.
Il est presque midi lorsque nous revenons. Nous sommes attendus pour 12 h30 au repas, chez mon oncle. Il y aura les Smith.
Mr Smith et sa femme sont des collectionneurs. Des amis d'Edimbourg qui font l'acquisition d'une de mes toiles tous les ans.

Nous montons nous changer. Clémentine porte son tailleur stricte. Je porte mon costume de lin clair. C'est un peu protocolaire.
Nous descendons avec la toile emballée, un paysage de commande peint l'an dernier à la fin de septembre, tout spécialement.
Nous nous saluons. Nous voilà assis à la grande table dans le salon Victorien de mon oncle. Ma tante fait le service. Bavardage.
Le dessert. Nous prenons le thé confortablement installés dans de profonds fauteuils et canapés. Je déballe la toile commandée.
C'est le Port de Douarnenez, d'après une photo en noir et blanc des années 50. Mr Smith l'avait prise lorsqu'il était en France.

Il y a ce long silence qui accompagne toujours la découverte. Mr Smith ne peut dissimuler son immense joie devant le tableau.
C'est une huile sur toile de format F6, (41 x 33 cm) que j'affectionne tout particulièrement. Mr Smith se lève pour saisir l'objet.
< Il est à moi ! Magnifique ! Vous avez recréé des couleurs que vous avez sublimé ! Je ne vous remercie pas assez ! > me dit il.
Clémentine me pince la cuisse. Elle est aussi satisfaite que moi. Elle sait les efforts et les sacrifices qu'il me faut consentir. Joie.
L'affaire est donc rapidement et rondement menée. Au prix fort car un Ecossais ne négocie pas. Mr Smith évoque sa jeunesse.

Mme Smith sait déjà où le tableau prendra place chez eux, dans leur grande demeure près de Leith. Nous traînons jusqu'à 15 h.
Nous prenons congé. Nous remontons nous changer. Je prépare les fruits, les barres de céréales, l'eau dans le petit sac à dos.
Clémentine porte sa jupette sport, un T-shirt et ses baskets. Je suis en short, T-shirt et baskets. Nous voilà en route. Superbe.
Je roule doucement. La circulation est dense. C'est dimanche. Il est 16 h15 lorsque nous arrivons au bourg royal de Linlithgow.
Je gare la voiture sur le parking aux pieds du château. Il y a un monde fou. Nous allons randonner autour du lac. Réjouissances.

Il fait beau. Il fait doux. Pas de ces grosses chaleurs accablantes habituelles en Ecosse durant les deux mois d'été. C'est mieux.
Je porte notre petit sac à dos. Nous marchons sur l'étroit chemin en nous tenant par la main. Nous croisons quantité de gens.
C'est un lieu de randonnée et de promenade très prisé des gens de la région. Et des touristes en cette saison. C'est magnifique.
Clémentine a laissé sa culotte dans le vide poche de la voiture. J'ai donc un accès facile à son sexe. Je ne me prive pas. Super.
Comme souvent, j'ai ma braguette discrètement ouverte. Clémentine peut donc y glisser la main lorsqu'elle le souhaite. Sympa.

Nous évoluons à flanc de colline. Le spectacle est grandiose. En bas, il y a le château qui se reflète dans les eaux du lac. Beau.
Là-bas il y a le bourg royal de Linlithgow. Clémentine prend des photos. Nous arrivons à une aire de repos. il y en a beaucoup.
Les sentiers touristiques en Ecosse sont une priorité absolue. Ils sont donc soigneusement agencés, entretenus et bien balisés.
Il y a quatre tables entourées de bancs, distantes les unes des autres d'une dizaine de mètres, permettant l'intimité. Superbe.
Nous nous installons. Il y a juste trois couples de touristes assis plus loin. Nous dégustons nos pommes et nos bananes. Bien.

Toujours désireuse de saisir la moindre occasion, Clémentine me raconte ce qu'elle fait de ses jambes sous la table. Une exhibe.
Elle décrit un des messieurs, le grand avec la moustache, qui n'arrête pas de la mâter, ayant découvert son absence de culotte.
Clémentine est assise, les cuisses largement écartées sous la table à croquer sa pomme sous le regard de l'inconnu moustachu.
Il est le seul à regarder par ici. Sur l'écran du téléphone, posé, orienté de façon à me permettre de voir, je découvre son regard.
Il discute tout en louchant par ici. Evidemment, Clémentine donne dans la surenchère, une main sous la table, et à se toucher.

< Je vais lui donner le coup de grâce ! > me fait Clémentine en se levant pour se diriger vers les fourrés sur notre gauche. Bien.
Elle tient à la main un paquet de mouchoirs. Cela ne laisse donc aucune équivoque sur ses intentions. La jeune fille va faire pipi.
Je la regarde descendre en contre bas, à l'abri de l'épaisse végétation. Le moustachu ne tarde pas à se lever. Le bougre ! Bien.
Il contourne les fourrés par le panneau présentant le plan et les informations. Il descend dans les buissons. Le salopiot ! Super.
Clémentine a son portable. Au moindre souci, elle me bip. Il se passe une dizaine de minutes. Je ne vois rien de ce qui se trame.

Clémentine revient. < J'ai vu une belle bite ! Quel vicelard, il a pissé à côté de moi. Ce sont des Américains ! > me confie t-elle.
Nous rions de bon cœur de cette situation cocasse mais hautement vicieuse où le moustachu a fait quelques propositions. Bien.
Le type apparaît à son tour. < Il s'est certainement branlé ! > me fait Clémentine qui, tellement excitée, se touche sous la table.
Nous rigolons comme des bossus de cette éventualité probable. Clémentine me fait du coude. Un bon clin d'œil vicelard au mec.
Nous repartons. Juste avant de quitter l'endroit, Clémentine se retourne pour faire un autre clin d'œil en se touchant la chatte.

Nous faisons le tour du lac sans rencontrer d'autres opportunités vicelardes. Pourtant Clémentine scrute partout avec attention.
Il y a bien ce type un peu en retrait, au bas du sentier, qui observe une carte qu'il tient en main. Clémentine me fait du coude.
Il y a d'autres personnes un peu partout car c'est le début du grand chemin. Il faut être d'une prudence de Sioux pour un plan.
Le type regarde autour de lui. Il doit chercher sa route. Je suis à côté de Clémentine. Au moment où le type mâte, je la touche.
Je lui palpe vulgairement le sexe au travers le tissus de sa jupe en regardant ailleurs. Nous portons nos lunettes de soleil noires.

L'inconnu découvre la scène. Comme halluciné, il mâte avec insistance. Clémentine se cambre sur ses genoux fléchis. Je palpe.
Personne d'autre ne fait attention à nous. Il faut toutefois rester prudents. Nous sommes passés maîtres de ces situations. Vice.
Une femme vient rejoindre le type. Je cesse. Nous tournons les talons pour prendre la direction du bourg. Il est déjà 19 h45.
Nous flânons un peu dans les rues animées du village. Nous lisons les menus affichés devant les nombreux restaurants. Faim.
Il faut réserver une table car tous les établissements son pleins. Il nous faudra patienter jusqu'aux environs de 21 h. La balade.

L'heure arrive enfin. Nous voilà morts de faim. Nous sommes retournés manger des ravioles à la crevette, au crabe et saumon.
Accompagnées de nouilles chinoises fumées, c'est un véritable délice. Il y a du monde et la grande salle est pleine de touristes.
Nous traînons à table jusqu'à 22 h30. Pas d'opportunité pour Clémentine un peu agacée et frustrée. Nous voilà en voiture. Joie.
Je roule prudemment en me faisant tailler une pipe par Clémentine qui se touche. Il est 23 h15 lorsque nous sommes de retour.
Au lit, épuisés, nous tentons la baise. Nous détestons les orgasmes bâclés en état de fatigue. Nous nous serrons très fort. Dodo.

Bonnes petites exhibes discrètes, mais bien vicelardes, à toutes les coquines qui aiment à pratiquer ce genre d'activité ludique.

Julien - (Qui apprécie de plus en plus de palper le sexe de Clémentine, discrètement, devant des inconnus souvent sidérés) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 5 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 487 -



Une très agréable journée pleine de surprises

Hier matin, lundi, je suis tiré de mon sommeil par plein de bisous. Sur les joues, le front et même sur le bout du nez. Si doux.
J'ouvre les yeux pour découvrir le visage bienveillant de Clémentine au dessus du mien. < Bonjour Julien ! > murmure t-elle.
< Bonjour Clémentine ! > ai je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche en riant. C'est l'instant solennel des papouilles.
L'impérieux besoin naturel met un terme à nos effusions de tendresse. Nous nous précipitons aux toilettes. C'est le rituel pipi.
Morts de faim, nous voilà à la cuisine. Je presse nos oranges, Clémentine s'occupe du café. Il est 7 h15 et le ciel est couvert.

Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur mêlant café et pain grillé. Nous sommes vêtus de nos tenues jogging.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous faisons le bilan de la journée de hier et le programme de celle à venir.
La vaisselle. Nous descendons par l'escalier de service pour nous retrouver dans l'agréable fraîcheur matinale. Voile nuageux.
Il fait gris. Nous courons le long de notre parcours habituel. Arrêt au sommet de la colline pour admirer les toits d'Edimbourg.
Nous croisons quantité de joggers. Nous commençons à nous reconnaître, nous nous saluons d'un simple mouvement de tête.

Il est neuf heures trente lorsque nous revenons. La douche. Clémentine porte une de ses robes d'été, sandalettes. Attractive.
Je porte un short, T-shirt et sandales. Nous allumons l'ordi pour découvrir nos trois messages. Celui d'Estelle nous amuse bien.
Elle nous raconte sa journée et sa soirée. L'arrosage de notre potager où elle se sert en légumes, et la cueillette des abricots.
La rencontre presque quotidienne avec Juliette qui vient chercher sa salade et ses carottes. Les invitations à passer aux écuries.
Estelle décline à chaque fois les invitations répétées de Juliette. Elle ne désire pas se retrouver au haras sans nous. La trouille.

Le message de Julie qui nous raconte sa semaine dans le restaurant de sa tante. L'affluence, les touristes, quelques drôleries.
Il y a le message de mon oncle qui tient ma galerie. La saison commence vraiment le 14 juillet et pour s'achever au 15 août.
L'affluence touristique connaît alors son paroxysme. Il m'annonce une nouvelle vente et la première commande. Nature morte.
Dans un futur proche, j'ai l'intention de ne plus me consacrer qu'à la peinture des œuvres de commande. Je veux lever le pied.
Nous répondons aux trois courriels en joignant deux photos de nous, redimensionnées et prises hier. Un simple clic, c'est parti.

Il est 10 h30. Nous descendons Morningside jusqu'à Christ Church. Nous prenons la rue commerçante. Car il nous faut du pain.
Pas de doute, c'est une de ces journées où le ciel restera d'un gris lumineux et couvert. Aucune menace de pluie toutefois. Joie.
Nous prenons notre pain. Ce sont des miches d'un kilo, aux amandes, au noix et aux noisettes. Complètes et biologiques. Délice.
Nous en faisons grande consommation. Petit déjeuner et sandwichs. Pain à la fois nourrissant et surtout hautement nutritif. Bon.
Il y a toujours autant de touristes pour photographier les sculptures gothiques de Christ Church. Nous flânons un peu au jardin.

C'est le petit parc à côté de l'église. Probablement l'ancien cimetière réaménagé. Clémentine m'y entraîne. Peut-être un "plan".
Il y a beaucoup de monde. Et bien trop pour tenter une petite exhibe de qualité. Il faut se résigner. Je la touche discrètement.
Depuis que j'ai découvert le plaisir partagé de palper le sexe de Clémentine, au travers le tissus de sa robe, nous en abusons !
C'est Clémentine, lorsqu'il y a une opportunité rapide qui me fait : < Touche ! > ou qui se saisit de mon poignet pour m'attirer.
Nous adorons l'air de surprise consternée qu'ont les rares privilégiés qui assistent à ce curieux et surréaliste petit jeu vicieux.

Nous sommes d'une prudence de Sioux. Nous préférons la qualité à la quantité. Il n'est évidemment pas question de déconner.
Il y a juste une petite occasion de faire les larrons, là, avec un des touristes Asiatiques qui s'est éloigné du groupe. Il est seul.
Il prend des photographies de l'église lorsqu'il découvre notre manège. Il nous fait un sourire désarmant. Je touche. Je palpe.
Cela excite terriblement Clémentine qui se cambre toujours un peu sur ses genoux fléchis, pieds légèrement écartés. Superbe.
Cette belle et grande jeune fille, qui se fait tripoter ainsi, d'une manière aussi vulgaire par un homme d'âge mûr, cela intrigue.

Nous remontons Morningside. Nous arrivons à l'appartement pour 11 h45. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais des pâtes.
Une sauce au Roquefort. Nous n'avons pas envie de passer du temps à faire la cuisine. Et nous mangeons de très bon appétit.
La vaisselle. Je prépare des fruits, des barres de céréales que je mets dans notre petit sac à dos. Nous nous lavons les dents.
Nous nous changeons. Jupette sport, T-shirt et baskets pour Clémentine. Short, T-shirt et baskets pour moi. Nous voilà prêts.
Il est 13 h30 lorsque nous sommes en voiture pour prendre la direction de Roslin, petit village à une quinzaine de kilomètres.

Clémentine me propose d'aller prendre notre dessert dans le bar restaurant où travaille Taylor, l'homme à la moto. Un détour.
Je gare l'auto sur le parking de l'établissement. Nous entrons. C'est un endroit sans réelle personnalité. Décoration sommaire.
Taylor ne reconnait pas Clémentine. Elle a ses cheveux attachés en catogan, ne porte pas ses larges lunettes noires de soleil.
Il reste encore des clients. Nous demandons s'il est possible de prendre deux coupes glacées. Nous voilà attablés. Anonymes.
Taylor fait son service avec un certain détachement. Il est vêtu d'un pantalon noir, d'une chemise blanche, un nœud papillon.

Derrière le comptoir, il regarde quelquefois Clémentine. Il a certainement l'impression de l'avoir déjà vu. L'intrigue amusante.
Nous dégustons notre coupe glacée. Clémentine se lève et va au comptoir pour demander où sont les toilettes. Test des WC.
Le serveur ne la suit pourtant pas. Pas du tout le dragueur et très loin du mec qui montre sa queue dans la cour abandonnée.
Clémentine revient un peu dépitée. Nous payons. Nous repartons. Je roule doucement. Clémentine joue avec mon sexe mou.
Elle me fait part de ses impressions quand à Taylor. < Je lui téléphone tout à l'heure pour un rencard demain ! > me fait elle.

Nous arrivons à Roslin. C'est un village sans réel caractère. Une rue principale bordée de maison basses et de pierres grises.
Nous déambulons un peu pour regarder les vitrines. Pas grand chose de passionnant. Et nous flânons jusqu'à Rosslyn Chapel.
Le lieu avait enchanté Clémentine l'an dernier. C'est ici que Dan Brown situait la fin de l'énigme de son fameux Da Vinci Code.
La légende prétend qu'il y a ici la tête momifiée d'un Christ, la fameuse coupe du Graal et autres objets mystérieux. Sympa.
Il y a évidemment une affluence digne de l'endroit réputé dans tout le monde occidentale. La visite est toutefois passionnante.

Depuis le 12 juillet, il y a une effervescence supplémentaire. A Edimbourg et ses environs, il y a le Festival de Jazz. Un succès.
La chapelle de Rosslyn n'échappe pas à cet évènement. Il se prépare pour la soirée un concert. Les musiciens répètent. Bien.
Nous traînons dans les environs. Le parc est plein de touristes. Aucune opportunité d'exhibe de qualité. Clémentine frustrée !
Nous rions de bon cœur de ce manque de possibilités. Il est presque 17 h. Nous avons notre rendez-vous avec Lennie à 18 h.
Le temps de reprendre la voiture, de contourner Edimbourg pour aller sur South Queensferry et nous voilà un peu en avance.

Au téléphone, Clémentine a tout prévu avec la jeune Hollandaise. Nous irons manger au restaurant tous les trois après la pipe.
Lennie a parlé de Clémentine à ses parents en la présentant comme une touriste française. Et elles sont censées êtres seules.
Clémentine raccompagnera donc Lennie en fin de soirée jusqu'au bateau. Je resterais dans la voiture à une centaine de mètres.
Lorsque Clémentine organise un "plan", je peux être assuré de son parfait déroulement. Nous arrivons au bateau pour 17 h55.
Lennie, en short rouge, en T-shirt blanc et en espadrilles nous attend sur le pont. Elle est toute contente de nous revoir. Bises.

Nous montons à bord pour descendre dans le petit salon que nous connaissons à présent très bien. Nous voilà installés. Joie.
Les parents et le grand père sont partis à Edimbourg et ne reviendront pas avant 21 h. Nous avons donc de la marge. Super.
Nous bavardons. Lennie est un peu moins timide que les deux fois précédentes. Cette jeune fille de 19 ans est très réservée.
Une fois encore je lui dis : < Si tu fais un voyage en France, fais nous un signe. Tu es invitée pour le temps que tu veux ! >
Il arrive parfois, dans le cadre de ses études, qu'un voyage universitaire soit organisé. Cela semble en tous cas l'enchanter…

Je suis vautré dans le canapé. Lennie est assise dans le fauteuil de gauche, Clémentine dans le fauteuil de droite. Bavardages.
J'ouvre ma braguette. Lennie tout en bavardant observe la théâtralité avec laquelle je sors ma bite. Je l'agite dans sa direction.
Je lui dis : < Viens ! C'est ton cadeau de départ ! >. Quelle n'est pas ma surprise de la voir se lever et me rejoindre très vite.
Assise à ma gauche, elle se laisse rapidement glisser pour prendre mon sexe en bouche. Clémentine et moi en restons surpris.
Je suis entrain de me faire tailler une pipe des familles. J'ai vraiment l'impression d'avoir ma bite dans un bol de purée tiède !

Clémentine a posé chacune de ses jambes sur les accoudoirs du fauteuil. Elle ne porte pas de culotte. Elle se masturbe. Bien.
Rien n'excite davantage Clémentine que de me voir faire le salopard avec une autre. Pourvu que je ne la baise pas. Fellation.
Je caresse doucement la nuque de Lennie qui suce, immobile, concentrée sur ce qu'elle fait. Je sens les montées de sève. Bon.
Nous entendons des gargouillis. J'ai les couilles qui se mettent à bouillir. Clémentine lève le pouce, me fait un clin d'œil. Pipe.
Lennie a un potentiel évident. Elle a découvert la pipe durant son séjour écossais. Je sens bien qu'elle apprécie sa découverte.

Pour lui permettre de reposer sa mâchoire, je lui retire souvent la bite de la bouche. Il y a des filaments de foutre épais, gluant.
Je la tiens par ses cheveux pour la forcer à me regarder lorsque je lui pose des questions. Gênée, elle a du mal à me regarder.
Son menton, sa joue, sont maculés de foutre dans lequel collent quelques cheveux. Nul doute, Lennie se régale de sperme frais.
La situation perdure une bonne heure et demi. Clémentine ne peut réfréner l'orgasme qui la terrasse. Lennie se laisse guider.
Il est presque 20 h. Il vaut mieux filer. Lennie a la bouche pleine de liquide séminal. Je garde mon éjaculation comme surprise.

Nous prenons la voiture. Lennie est impressionnée par la grosse berline Allemande. Assise à l'arrière, elle reste silencieuse.
Clémentine, assise à ma droite, lui demande ses impressions. Lennie dit que c'est tellement dégoûtant que s'en est excitant.
< Une vraie pipe s'apprécie d'abord de manière cérébrale ! > précise Clémentine. Je gare la voiture sur le port. Un restaurant.
Nous voilà tous les trois assis devant un gigantesque plateau de fruits de mer. Les filles évoquent leurs études. Passionnant.
Nous traînons à table. Il est presque 22 h. Même si tout est prévu, nous préférons prendre le chemin du retour. Il fait doux.

Je gare la voiture à une centaine de mètres du bateau. Je sors de l'auto pour monter à l'arrière. J'ai la braguette bien ouverte.
Je m'assois à côté de Lennie. Clémentine à l'avant, s'est retournée pour nous observer. Je saisi Lennie par la nuque. Ferme.
Je la force à se pencher pour lui enfoncer la bite dans la bouche. Elle se laisse faire avec une incroyable docilité. C'est superbe.
Je la sens sucer avec avidité. J'éjacule. Elle déglutit en gémissant de bonheur. C'est sincère. Je la laisse me vider les couilles.
Clémentine la ramène. J'attends dans la voiture. Lennie me serre la main, me fait la bise en me remerciant. Reconnaissante.

J'attends une dizaine de minutes. Clémentine revient. Elle a été présentée à la famille de Lennie. Ils ont bavardé un peu. Super.
< Je suis certaine qu'il y avait quelqu'un dans les fourrés ! > me fait Clémentine lorsque je démarre. Elle me confie son ressenti.
< Tu as été génial ! Lennie est hyper heureuse d'avoir découvert la fellation avec un homme de ton âge ! > me fait Clémentine.
Il est 22 h45 lorsque nous arrivons à l'appartement. Nous sommes épuisés. Au lit, nous tentons bien une baise après le cunni.
Clémentine insiste pour me sucer un peu. il reste toujours un peu de jus. Nous finissons par nous serrer fort et nous endormir.

Bonne redécouverte de vos endroits préférés à toutes les coquines qui adorent les situations bien vicelardes…

Julien - (Qui s'est encore fait vider les couilles par une jeune passionnée de bite. Vidé jusqu'à la dernière goutte) -

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Clémentine et Julien en Ecosse - Coeur
Wednesday 18 July 2018 08:01

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - 6 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 488 -



De nouvelles expéditions, de nouvelles découvertes

Hier matin, mardi, nous nous réveillons en même temps. C'est notre concerto pour gémissements et en déconnade majeure.
< Bonjour mon amour ! > chuchote Clémentine en se serrant contre moi. Je lui fais des bisous : < Bonjour Clémentine ! >
Elle me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Morts de faim nous allons à la cuisine. 7 h15.
Je presse nos oranges. Clémentine s'occupe du café. Il fait sensiblement le même climat que hier. Un ciel voilé mais lumineux.
Nous sommes déjà en tenue de jogging. Nous prenons notre petit déjeuner dans une agréable odeur de pain grillé. Superbe.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous évoquons notre soirée avec Lennie. Notre astuce pour rester discrets.
Nous constatons une fois encore que notre couple suscite de curieuses réactions chez certaines jeunes filles que cela rassure.
< Lennie aurait fait une parfaite Estelle ! > conclue Clémentine avant de rajouter : < Un adorable petit animal de compagnie ! >
Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous descendons par l'escalier de service. Il fait doux. La journée s'annonce agréable.
Nous courons le long de notre parcours habituel. Arrêt obligatoire au sommet de la colline pour admirer Edimbourg à nos pieds.

Il est neuf heures trente lorsque nous revenons pour prendre notre douche. Nous nous habillons légèrement. Nous partons tôt.
Pendant que je prépare notre petit sac à dos, Clémentine allume l'ordinateur. Nous avons deux messages. Estelle, Juliette. Joie.
Estelle nous raconte sa journée. Elle compte les jours qui nous séparent. Juliette évoque le haras, les écuries, monsieur Gérard.
Nous répondons en joignant deux photos prises hier devant Rosslyn Chapel. Nous préparons deux sandwichs. Départ à 10 h15.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Il y a environ 70 km qui nous séparent de Glasgow. La circulation fluide.

Il est 11 h30 lorsque je gare la voiture dans une petite ruelle à vingt minutes du centre. Glasgow est une belle ville touristique.
Nous marchons en découvrant les nouveaux immeubles qui étaient encore en construction l'année dernière. C'est magnifique.
En quelques décennies, Glasgow s'est métamorphosé. De ville industrielle presque ruinée, elle est devenue un pôle d'attraction.
Les efforts consentis par les différentes municipalités successives ont été payants. Glasgow est devenu un centre touristique.
Musées, roseraies devenues célèbres dans le monde entier. Monuments divers et variés. Les aménagements du centre urbain.

La faim commence à se faire sentir. Nous poussons jusqu'à Kelvingrove Park, aux abords du Musée du même nom. Il est midi.
Clémentine porte une de ses jupettes sport, un T-shirt et ses baskets. Je suis en short, T-shirt et baskets. Il fait plutôt chaud.
Dans le petit sac à dos dont nous tirons nos sandwichs, il y a la petit culotte de Clémentine qui aime se promener sans. Super.
Nous sommes assis sur un banc dans un espace circulaire au centre duquel une majestueuse fontaine déverse son flot continu.
Il y a d'autres gens, principalement des couples qui font comme nous. Le soleil fait de timides mais chaudes apparitions. Joie.

Personne ne fait attention à nous. Nous faisons un très vague programme de l'après-midi. La priorité reste la Royal Academy.
C'est là que se trouve le fameux tableau de Salvador Dali "Le Christ de Saint Jean de la Croix" qui n'est pas une toile religieuse.
C'est une sorte d'auto portrait de Dali qui se représente ainsi dans sa gloire. Une vision toute personnelle de son égo immense.
Toujours est-il que ce Chef-d'œuvre est un des phares pictural du XXème siècle. Et c'est aussi le peintre préféré de Clémentine.
Pas précisément pour sa période surréaliste mais pour tout ce que Salvador Dali a peint à partir de 1949 jusqu'en 1965. Bien.

Il serait vain de tenter une exhibe de qualité dans ce parc. Il y a bien trop de monde et surtout beaucoup de familles. Risqué.
Malgré tout, lorsque nous quittons le parc après en avoir fait le tour, il se présente une opportunité. Il y a un sénior tout seul.
Sans doute un promeneur. C'est un sexagénaire alerte, élégant, qui fait des photos de Kelvingrove Museum. Bâtisse gothique.
Clémentine me pousse du coude et me chuchote : < Un "plan", reste à l'écart. Je m'offre un frisson ! >. Je la laisse s'avancer.
Je me glisse entre deux épais bosquets pour observer un de ces spectacles que nous offre Clémentine. J'ai la meilleure place.

L'inconnu ne s'aperçoit pas immédiatement de la présence de cette grande et belle jeune fille qui semble chercher un coin pipi.
Elle passe deux fois à proximité, se baissant à chaque fois pour ne pas être dans le champs de l'objectif. Le type paraît amusé.
Se tortillant sur ses jambes croisées l'une devant l'autre, penchée en avant, les mains entre ses cuisses, le jeu est parfait. Joie.
Clémentine doit vraiment pisser. Et pour de bon. Aussi, il lui suffit simplement d'exagérer la situation. Discrètement. L'actrice.
L'inconnu se rend enfin compte de la "danse" de la jeune fille, là, à une dizaine de mètres, le long des fourrés derrière le banc.

Il regarde partout autour de lui. Personne n'arrive dans ce coin du parc, en retrait et trop à l'ombre. Il observe avec attention.
Le show de Clémentine est parfait. C'est une virtuose. Je sais à quel point cette situation l'excite. Je bande comme un salaud.
De ma planque, je n'entends rien des propos qui s'échangent. Le sexagénaire semble prendre autant de plaisir que nous deux.
Clémentine a défait ses cheveux pour l'occasion. Elle porte ses larges lunettes noires. Son anonymat est préservé. C'est parfait.
Soudain, s'accroupissant, regardant rapidement dans toutes les direction, elle lâche un jet qui vient se briser loin devant elle.

J'entends le type s'écrier : < Waow ! It's perfect ! So nice ! >. Clémentine se soulage d'un besoin urgent dans un très long jet.
Le type reste sans bouger. Soudain, reprenant ses esprits, le voilà qui prend des photos. Le bougre s'offre quelques souvenirs.
Je pourrais me branler tellement la scène m'excite. Je redécouvre toujours Clémentine dans toute sa splendeur de jeune fille.
Le type a un self control parfait. Pas le genre à emmerder la pisseuse. Il reste à distance. A environ dix mètres. C'est sublime.
Le jet commence à raccourcir pour se tarir. Clémentine reste un instant dans cette position en écartant davantage les cuisses.

La touffe dense impressionne toujours les heureux privilégiés auxquels Clémentine la montre. Aussi, celui-ci sait en profiter.
Du mouchoir en papier qu'elle tient dans la main droite, Clémentine se torche en se redressant lentement. Show must go on !
Le mec prend des photos. Il doit mitrailler comme un forcené. Peut-être même a t-il son appareil en mode caméra. Superbe.
Clémentine lève enfin la tête pour faire un magnifique sourire au type. Elle s'avance pour jeter le mouchoir dans une poubelle.
Il était temps. Le timing parfait. Voilà un groupe de touristes. Clémentine s'éloigne en faisant un signe de la main à l'inconnu.

Nous quittons le parc. Nous marchons vers le centre. Clémentine, excitée, me raconte les sensations et les émotions vécues.
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'elle fait : < Je vais me retenir toute l'après-midi pour ma prochaine victime ! >. Joie.
Il est 14 h15 lorsque nous arrivons à la Royal Academy. Les musées ne sont pas fermés le mardi, ici, en Ecosse. 10£ l'entrée.
Environ 10€. Il y a du monde. Nous pénétrons dans un bâtiment dont l'intérieur sent encore la peinture et les boiseries cirées.
Le tableau de Salvador Dali est là, à environ deux mètres de hauteur. Il a déjà été vandalisé une fois au début des années 50.

Nous sommes assis sur la banquette confortable. Nous admirons ce prodigieux Chef-d'œuvre. Il y a beaucoup d'émotion. Beau.
Il serait vain de prendre de nouvelles photos. Et puis les cartes postales en vente à l'accueil sont tellement meilleures. Féérique.
C'est une œuvre majeure. Le peintre en a tiré une somme colossale en 1950 lorsque la municipalité de Glasgow l'a acquis. Fou.
L'équivalent d'un million d'euros de notre époque. C'est Gala, la compagne et muse du peintre qui a réalisé la transaction. Bien.
Nous restons ainsi, devant cette merveille, pendant une bonne demi heure. Nous visitons un peu les différentes salles. Superbe.

Il y a beaucoup d'œuvre contemporaines que nous aimons moins. Par contre il y a quelques toiles hollandaises du siècle d'Or.
Jan Steen et Frans van Mieris. Et que du beau monde. De quoi se remplir les yeux, nous qui adorons la peinture du XVIIème.
Nous traînons dans ce lieu jusqu'à 16 h. La visite est libre. Nous voilà dehors. Il y a le soleil. Il fait chaud. Nous allons en ville.
Nous flânons dans le centre de Glasgow en dégustant des cônes glacés géants. Princes square shopping center est obligatoire.
C'est le centre commercial par excellence. C'est un endroit décoré avec goût. De nombreuses galeries commerçantes. Super.

Il y a plein de boutiques. Tout est présenté pour flatter les sens. Nous y profitons de la fraîcheur et de l'ombre. Sympathique.
Il y a un monde fou. Il est 17 h. Clémentine me dit : < J'ai envie de faire pipi ! Vite, un "plan" ! >. Nous en rions de bon cœur.
Il serait vain de tenter quoi que ce soit. Aussi je lui propose de tenir jusqu'à notre balade dans le parc qui avoisine le centre.
Nous visitons quelques boutiques. Clémentine me dit souvent : < J'ai tout ce qu'il me faut ! > lorsque je lui propose de choisir.
C'est vrai que cette année, il sera difficile de ramener de nouvelles choses. Il est 18 h30. Nous sortons. Toujours aussi chaud.

Nous nous mettons en quête d'un restaurant afin d'y réserver une table pour vingt heures. Nous trouvons l'établissement idéal.
C'est un restaurant qui propose quantité de spécialités de la mer. Notamment ces fameux homards fumés que nous apprécions.
Il ne reste plus qu'à flâner dans le parc à côté du centre commercial. Si Clémentine ne trouve pas un coin, elle se pisse dessus.
Moi aussi d'ailleurs. Le square est très bien agencé. Il y a des reproductions de statues antiques. Deux belles fontaines. Super.
Il y a un "plan". Là, un jeune type qui lit une brochure touristique tout en marchant doucement. Il est grand, style "baba cool".

Lui, par contre, remarque rapidement cette grande et belle jeune fille qui se tortille derrière un banc entre les deux fourrés.
Il est discret. Il regarde partout autour de lui. Il s'avance. Je crains fort qu'il ne soit un emmerdeur du genre "boulet". Gagné.
Clémentine, accroupie, se soulage d'un jet généreux qui semble ne plus finir. Je suis planqué à une vingtaine de mètres. Bien.
Le jeune gars engage une conversation. Au lieu de profiter du spectacle, le bougre intervient trop tôt, gâchant un peu la fête.
Clémentine, qui n'en pouvait plus, pisse à s'en vider la vessie. Le type s'approche encore. Je reste prêt à intervenir. Danger.

Clémentine se redresse, se torche et tend le mouchoir en papier au jeune gars qui le prend. Clémentine s'éloigne sans parler.
Notre gaillard se met à la suivre, lui sautillant autour, insistant. L'emmerdeur patenté, diplômé, dans toute sa splendeur. Dur.
Le mec est tellement collant que je me décide à rejoindre Clémentine. Lorsqu'il me voit, le baba cool se détourne rapidement.
< Put-Hein ! Je déteste ces mecs chiants ! > me fait Clémentine un peu échaudée par l'attitude du mec qui disparaît très vite.
Nous nous baladons encore un peu. Glasgow n'offre pas l'élégance et la grâce intemporelles d'Edimbourg. C'est moins sympa.

Il est 20 h15. Nous voilà assis devant des plats de salicornes, de petits légumes et de homards fumés. C'est un vrai régal. Bon.
Nous bavardons. Nous évoquons nos deux aventures exhibitionnistes de la journée. Nous comparons les deux énergumènes.
Nous rions de bon cœur des différents comportements. Clémentine préfère les mateurs discrets, lointains, surtout gentlemen.
Nous traînons à table. Il est 22 h lorsque nous retournons à la voiture. Je roule doucement. Clémentine se touche, suce parfois.
Il est 23 h15 lorsque nous sommes de retour. Epuisés, nous tentons la baise. J'offre un cunni à Clémentine. Puis le plongeon.

Bonnes exhibes discrètes mais néanmoins bien vicelardes à toutes les coquines dont la passion est d'êtres vues…

Julien - (Qui assure son rôle de vigile, "Service Rapproché", et de garde du corps, avec toute la célérité requise) -

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Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 489 -



Une journée où menace l'orage

Hier matin, mercredi, nous nous réveillons en même temps. Nous nous étirons longuement en modulant nos gémissements.
Cela nous amuse toujours beaucoup. Cela se termine par un cri. < Bonjour ! >. Bisous. La tendresse, la douceur, papouilles.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Il est 7 h15. Dehors le ciel est gris.
Le voile nuageux préserve toutefois la luminosité du ciel. A la cuisine, je presse nos oranges et Clémentine s'occupe du café.
Nous prenons notre petit déjeuner en tenue de jogging dans l'agréable et habituelle odeur de pain grillé. Confitures et miel.

Nous mangeons de bon appétit et tout en bavardant. Clémentine me fait part de sa joie de passer de merveilleuses vacances.
Contrairement à l'été dernier où nous avions tout planifié, cette année nous laissons une large part à l'improvisation. Superbe.
La vaisselle. Nous descendons l'escalier de service pour nous retrouver dehors. Il fait très agréable. Il est à peine 7 h45. Doux.
Nous courons le long de notre parcours quotidien en croisant nombre de joggeurs et certains que nous croisons tous les jours.
L'arrêt ritualisé au sommet de la colline pour admirer les toits argentés d'Edimbourg. Là-bas, au loin, de lourds amas nuageux.

Nous sommes de retour pour 9 h30. La douche. Nous nous habillons légèrement. Clémentine porte une de ses jupettes sport.
Un T-shirt et des baskets. Je suis en short, T-shirt et baskets. Nous allumons l'ordinateur pour découvrir nos deux messages.
Celui d'Estelle qui nous apprend qu'elle fait des confitures avec les abricots qu'elle cueille chez nous où il fait vraiment chaud.
Elle en ramènera un flacon pour nous faire goûter. Il y a le courriel de mon oncle qui tient ma galerie. Encore une vente. Bien.
Nous répondons aux deux mails en joignant deux photos de nous prises hier à Glasgow. Un simple clic et c'est parti. Terminé.

Clémentine m'attire à la fenêtre. Là-bas, à l'Ouest, l'amas nuageux est devenu menaçant. Pas de virée à bicyclette aujourd'hui.
Nous avions en projet de faire la petite route qui parcourt les Lothians au départ de la ville. Prudence et parapluie sont de mise.
Dans le petit sac à dos je mets nos K-ways et nos deux petits parapluies. Prudence. Nous descendons Morningside en flânant.
Nous arrivons au carrefour de Christ Church pour prendre la rue commerçante. < On se fait un plan Taylor ? > fait Clémentine.
Je trouve l'idée excellente. Nous avisons deux cabines téléphoniques. L'une d'entre elles est occupée. Clémentine a une idée…

Elle me propose de rester à l'écart. Je suis debout entre une camionnette et le mur. Je vois Clémentine entrer dans la cabine.
C'est un type qui téléphone dans l'autre. Je suis à une dizaine de mètres, je mâte dans le rétroviseur de la camionnette. Bien.
Parfaitement invisible, je vois Clémentine prendre le combiné, faire le numéro et s'accroupir face au mec dans l'autre cabine.
Elle téléphone ainsi un petit moment. Peut-être fait elle semblant. Sans doute gagnée par l'ankylose, Clémentine se redresse.
Elle se touche. Sa main libre sous sa jupette, l'autre tenant le combiné. Je bande comme un salaud. Un bruit de portière. Clac.

Je n'ai pas vu arriver le chauffeur de la camionnette. Il démarre. Je suis soudain visible. Je me mets à marcher vers les cabines.
Je fais mine d'attendre que l'une des cabines se libère. C'est l'homme qui sort en premier. J'entre dans la cabine. C'est superbe.
Clémentine me fait son numéro comme si j'étais un parfait inconnu. Nous jouons à ce petit jeu lorsqu'une femme arrive. Stop.
Nous sortons tous deux en même temps tout en rigolant comme des bossus. < Génial le plan "téléphone" ! > fait Clémentine.
C'est vrai que c'est à refaire. Nous marchons vite pour nous rendre à la friche industrielle désaffectée. Le rendez-vous à 10 h30.

Nous entrons par la grille entrouverte du portail pour contourner le bâtiment en ruine. La cour déserte. Nous entrons aux WC.
L'odeur est immonde. Les détritus jonchent le sol. Rien n'a changé depuis notre dernière visite ici. Et il va bientôt être l'heure.
Du sac à dos, je sors la surprise que je réserve à Clémentine. Le collier canin que je lui passe autour du cou. Elle est étonnée.
< T'es fou ! > me fait elle. Je lui réponds : < Autant que toi ! Donnons libre cours à nos folies ! >. < Pas la laisse ! > fait elle.
Nous rions de bon cœur lorsqu'un moteur se fait entendre. C'est Taylor et sa moto. Clémentine me lance : < Tu surveilles ! >

Je la regarde descendre les marches de l'escalier et se diriger vers le vieux hangar entre les carcasses de bagnoles et les fûts.
Là-bas, Taylor met sa moto sur béquilles et enlève son casque. Il passe la main dans ses cheveux longs et retire son blouson.
Il n'a pas encore vu Clémentine accroupie entre une pile de caisses et la carcasse d'une vielle remorque éventrée. Glauque.
Je suis planquée. Par la porte entrebâillée des toilettes désaffectées, j'ai une vue parfaite. Taylor qui se dirige vers le hangar.
Il découvre Clémentine dans sa position préférée. Accroupie, cuisse écartées, cheveux défaits et portant ses lunettes de soleil.

Taylor reste à quelques mètres. Je l'entends faire "Hello" sans tenter de s'approcher. Je ne distingue pas si Clémentine pisse.
Le type me tourne le dos. Je le vois se tripoter. Sans doute ouvre t-il sa braguette. Clémentine relève la tête avec un sourire.
Elle se redresse pour se diriger vers le mec. Ils se serrent la main. A présent qu'ils sont de profil, je vois qu'il se tient le sexe.
Je suis muni de la petite paire de jumelles toujours dans notre sac à dos. J'observe avec attention. La bite à Taylor est molle.
Longue et fine, il l'a tient à sa base, entre le pouce et l'index, tout en invitant la fille à s'assoir sur un vieux pneu de camion.

Taylor, assis, les pieds à l'intérieur du pneu, est adossé contre le mur. Clémentine est assise à sa gauche. Taylor tient sa bite.
Ils discutent en riant. Plusieurs fois il saisit l'anneau du collier canin que porte Clémentine autour du cou. Il tire un peu dessus.
Quelle n'est pas ma surprise de voir Clémentine se saisir de son sexe qu'elle tient fermement. Elle l'agite quelquefois en riant.
Taylor tente de l'embrasser. Toujours au dernier moment, Clémentine détourne son visage. Elle retire ses lunettes. Superbe !
Taylor doit certainement la reconnaître lorsqu'elle attache ses cheveux. La fille qu'il a vu au restaurant, avec moi, avant hier.

Taylor tient Clémentine par la nuque. Elle semble opposer une résistance. Sans doute veut-il attirer sa tête vers sa bite molle.
Soudain, un coup de tonnerre déchire le silence. Il y a un éclair. Ils sont à l'abri de l'auvent du hangar. Moi, dans les chiottes.
Taylor a passé sa main entre les cuisses de Clémentine qui les écarte au maximum. Il est certainement entrain de la doigter.
Je la vois agiter le sexe de Taylor. Elle tente de le branler. Comme il ne bande pas, c'est certainement impossible ou difficile.
Il attrape Clémentine par la boucle de son collier canin. Cette fois il tente vraiment de l'attirer. Elle s'y oppose avec force. Dur.

Taylor se redresse soudain. Il montre l'heure à Clémentine qui se relève à toute vitesse. Taylor doit aller bosser. Restaurant.
Je le regarde se diriger vers sa moto en remballant sa bite. Clémentine se touche en le regardant partir. Un coucou de la main.
Je viens rejoindre Clémentine qui se blottit dans mes bras en me remerciant de lui offrir la garantie de ma présence discrète.
Sécurisée par ma proximité, me sachant prêt à intervenir, elle peut s'offrir ses frayeurs et ses frissons de jeune fille vicieuse.
< Il veut que je lui taille une pipe. Il m'a fait un doigt. C'est vraiment un petit salaud ! > me confie Clémentine. Nous partons.

Un nouveau coup de tonnerre suivi d'un éclair. Le ciel est sombre et menaçant. Clémentine me raconte ce que lui a dit Taylor.
Il est séparé depuis peu. Il a la garde de sa fille de 12 ans trois jours sur quatre. Il vit tout cela avec difficulté. C'est très dur.
Il avoue être totalement impuissant. Il fait le serveur en attendant de retrouver un job d'infographiste. Il adore se faire sucer.
Nous arrivons à l'appartement pour midi. Il ne pleut pas mais la menace perdure. Clémentine s'occupe de la salade. Carottes.
Je prépare une sauce au Roquefort. Des pâtes gratinées au Parmesan. Nous rions de bon cœur de nos aventures matinales.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. La conversation tourne évidemment autour du cas Taylor. "Mr Bite Molle".
C'est comme ça que l'a baptisé Clémentine qui me confie avoir le profond désir d'y goûter. C'est juste le courage qui manque.
Je l'encourage évidemment à le faire et dans les tous prochains jours. < T'es un salaud ! Je t'aime ! > me répond Clémentine.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous voilà en route pour le château d'Edimbourg que Clémentine veut visiter encore.
Dans la voiture, Clémentine joue avec ma queue. < C'est quand même mieux une bite qui bande ! > me fait elle en rigolant.

Je lui rappelle que les bites les plus juteuses sont souvent celles des impuissants. Pour cela j'évoque celle de monsieur Gérard.
Nous rigolons comme des bossus. Je gare l'auto sur le grand parking au pied de la colline. Nous montons l'esplanade à pieds.
Il y a un monde fou. Clémentine me confie à quel point elle est excitée. Je lui dis : < Demain, la pipe à Taylor ! Obligatoire ! >
Nous rigolons comme des bossus. Clémentine porte toujours encore le collier canin. Peu de gens y prêtent vraiment attention.
Il y a un léger fouloir de soie qui le cache en partie. Seuls les initiés et les connaisseurs savent tout ce que cela signifie. Super.

Nous prenons nos billets. Nous avons tous les deux un pincement au cœur. Nous étions là avec Estelle aux fêtes de fin d'année.
Nous nous rappelons de chaque mot échangé. Nous sommes tous deus pressés de la revoir. Et de nous retrouver tous les trois.
La visite est guidée. Il y a beaucoup trop de monde pour risquer une exhibe de qualité. Ce qui frustre un peu Clémentine. Rire.
Edimbourg Castle, situé sur une des sept collines de la ville, exerce son charme sur cette nouvelle visite. Toujours si magique.
Nous traînons longuement sur les chemins de ronde. Le ciel reste menaçant. Pourtant l'orage tant attendu, n'éclate pas. Bien.

Nous redescendons l'esplanade du château pour rejoindre Royal Mile par les petites rues pavées. Nous laissons notre voiture là.
Nous flânons dans les rues. Il y a le Festival de Jazz d'Edimbourg. Aussi, il y a des musiciens partout. Scènes abritées au dehors.
Il est difficile de trouver une table libre. Nous faisons quantité de restaurant. Il est 20 h30 lorsqu'enfin, une table s'offre à nous.
C'est devant un plateau de fruits de mer et en écoutant un trio de jazz, que nous faisons le bilan de cette surprenante journée.
Nous traînons à table jusqu'aux environs de 22 h. D'énormes coupes glacées achèvent de nous satisfaire d'une journée sublime.

Nous retournons à la voiture restée sur le parking. Il y a un spectacle au château. Il y a du monde. L'orage n'a pas éclaté. Bien.
Dans la voiture, Clémentine me suce avec cette avidité qui lui est coutumière. Elle se touche. Je roule avec l'extrême prudence.
Je lui chuchote : < Tu t'entraînes pour ta pipe à Taylor, monsieur Bite Molle ? >. Je l'entends glousser. Riant tout en me suçant.
Je lui appui sur la nuque. Arrivés, nous restons encore un peu dans la voiture. J'ai ce comportement de salaud qui lui plaît tant.
Nous montons. Au toilettes, je la fais sucer. Au lit, je la fais sucer. Je lui met quelques gifles. Elle est folle d'excitation. J'éjacule.

Bon rendez-vous avec une rencontre de vacances à toutes les coquines que cela enchante, excite et ravi, (au lit)…

Julien - ( Qui sait parfois ce comporter selon les désirs de Clémentine. Elle qui aime tant être traitée en "soumise". Jeux) -

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Classe - 8 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 490 -



De délicates attentions

Hier matin, je suis réveillé par un très léger mouvement régulier du matelas et de tout aussi légers froissements des draps.
Sans doute prévenue par le changement de respiration induit par mon réveil, Clémentine cesse de se masturber. La coquine.
Elle se serre contre moi comme pour s'excuser en me chuchotant : < Bonjour mon amour. J'ai fait un rêve érotique ! >. Joie.
< Bonjour ma belle masturbatrice ! > ai je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche en riant. Douceurs et papouilles.
Je rajoute : < Tu as de la chance ! Je me rappelle pas des miens. Et pour tout dire, je vis tous mes rêves avec toi le jour ! >

Nous nous précipitons aux toilettes. Il est 7 h15. Le ciel est lumineux. Morts de faim, nous allons à la cuisine en tenue jogging.
Je presse nos quatre oranges pendant que Clémentine fait le café. Elle me raconte son rêve érotique. J'écoute émerveillé. Bien.
Il y est question de Taylor, l'homme à la moto. Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine conclue : < Un Maurice écossais ! >
Nous prenons notre petit déjeuner dans cette douce odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit et tout en bavardant.
Nous faisons le bilan de nos aventures de hier. Nous élaborons un vague programme pour aujourd'hui. Envie de faire du vélo.

< Si nous vivions ici, à Edimbourg, en période d'été, nous ne ferions pas autre chose ! > me fait Clémentine. Le constat est vrai.
Elle dit encore : < Cela me donne un avant goût de ma vie future à Edimbourg ! >. Assise sur mes genoux, elle évoque ce futur.
La vaisselle. Nous descendons l'escalier de service pour nous retrouver dans l'agréable douceur matinale. Le ciel est lumineux.
Nous courons le long de notre circuit quotidien en croisant bon nombre de joggeurs habituels. Et nous nous saluons d'un signe.
Arrêt obligatoire au sommet de la colline pour admirer le fantastique spectacle. Les toits d'argent d'Edimbourg qui scintillent.

Il est 9 h30 lorsque nous revenons. La douche. Nous nous habillons pour la journée qui s'annonce belle. Je prépare le sac à dos.
Clémentine est à l'ordinateur à découvrir nos deux messages. Elle est vêtue d'une de ses jupettes sport, T-shirt et de baskets.
Je porte un short, un T-shirt, mes baskets. Il y a le courriel d'Estelle qui nous raconte sa journée. Son impatience douloureuse.
Plus que treize jours avant de nous rejoindre pour son troisième périple écossais. Chez nous, à la maison, il fait chaud et lourd.
Il y a le message de mon oncle qui tient ma galerie. Encore une vente. Comme tous les ans, les "affaires" se précipitent. Bien…

Nous répondons aux deux mails en joignant deux photos prises hier du haut de l'esplanade du château. Un simple clic et voilà.
Il est 10 h15. Nous quittons l'appartement. Il y a deux employés d'une entreprise qui taillent les haies et les bosquets du jardin.
Je contrôle la pression des pneus. Ce sont des VTC, les mêmes que les nôtres. 4,5 bars devant et derrière. Nous voilà en route.
Nous descendons Morningside avec prudence, les mains sur les freins. Nous voilà au bord de la rivière Leith que nous longeons.
Cette piste cyclable "Water of Leith Walkaway" longue d'une vingtaine de kilomètres et que nous connaissons à présent si bien.

Comme le fait remarquer ma compagne, si nous habitions déjà à Edimbourg, nous serions souvent ici sur cette piste cyclable.
La rivière Leith s'élargit. Nous croisons de très nombreux cyclistes. Des voyageurs, routards ou des gens de la région. Super.
Nous arrivons à la hauteur de la galerie d'Arts modernes. De l'autre côté il y a la route, le parking et les nombreuses voitures.
Il y a du monde. Trop pour s'offrir le petit frisson que souhaite Clémentine. Nous continuons. Là-bas, la silhouette du volcan.
Arthur's Seat qui culmine à quelques 250 mètres. Nous pédalons contre un léger vent d'Est. Le soleil fait son apparition. Joie.

Nous dépassons l'impressionnante architecture métallique de Forth Bridge. Au loin, les premiers toits de South Queensferry.
Nous sommes au paroxysme de la saison touristique. Il y a du monde partout. Nous circulons dans les rues à bicyclette. Bien.
Il est midi. Nous fermons nos vélos à cadenas. La faim se fait sentir. Nous déambulons sur le port. Une odeur de marée basse.
Nous nous installons sur un des bancs libres, au bout de la jetée. Il y a des gamins qui plongent dans l'eau de la mer en riant.
Nous dégustons nos pommes puis nos sandwich au fromage. Clémentine a retiré sa culotte pour la mettre dans le sac à dos.

< Il me faut un super "plan" cet après-midi, je suis hyper excitée. Mon rêve ! > me fait elle. Nous rigolons comme des bossus.
Nous restons là à regarder partir ou arriver des bateaux de pêche et de plaisance. Nous évoquons Lennie, la jeune hollandaise.
Nous n'avons pas encore de ses nouvelles. Elle a notre adresse mail et nos numéros de téléphone. Mais elle est en mer. Loin.
Nous flânons sur les quais pour rejoindre le centre du bourg. Nous nous offrons des cônes glacés. Il y a deux supérettes. Bien.
Il y a une sorte de petite plage au bas du quai. Il y a des touristes. Principalement des familles. Nous y descendons pour voir.

La plage fait une centaine de mètres. Etroite. Nous nous asseyons à l'ombre de grands platanes sur les roches à fleur de sable.
Les gens les plus proches sont deux couples de jeunes qui ne nous prêtent aucune attention. Nous regardons la mer. Superbe.
Clémentine me propose de reprendre notre périple. Je la touche parfois, discrètement, main sous sa jupette. Je palpe son sexe.
Ma compagne apprécie tant mes égards. Elle me chuchote: < J'ai envie que tu me fasses des trucs et devant tout le monde ! >
Nous rions de bon cœur. Nous sortons du bourg pour prendre le chemin de Near Abercorn en direction de Midhope Castle. Bien.

Nous avons déjà visité le château musée l'an dernier. Nous en gardons le souvenir d'une petite exhibe de grande qualité. Rire.
Clémentine m'entraîne en contre bas. Nous savons que c'est souvent aux abords des sites touristiques qu'il y a de bons plans.
Nous descendons un étroit sentier. Il y a de moins en moins de monde. Nous faisons environ un mile vers la forêt là-bas. Joie.
Il fait chaud. Nous arrivons dans un endroit où les amas rocheux évoquent les menhirs et les dolmens de notre Finistère. Super.
< C'est bien le diable si je ne peux pas m'offrir une petite "frayeur" ici ! > me fait Clémentine. Il y a bien quelques promeneurs.

Sans prévenir, je prends Clémentine contre moi. Je l'embrasse en lui palpant la chatte humide. Son clitoris géant en érection.
J'enfonce mon doigt. Clémentine, surprise par mon initiative se love de plaisir, se cambrant pour me permettre un bon accès.
Je bande comme le dernier des salauds. Je l'entraîne derrière des roches. Je la fais basculer sur une sorte de table naturelle.
Je me couche sur elle pour m'introduire avec d'infinies précautions. Clémentine se mordille la lèvre inférieur pour ne pas crier.
< Je t'aime Julien ! Te ne fais pas ça assez souvent ! > me fait elle en passant ses jambes autour de mes hanches. Serrées.

La possibilité de se faire surprendre participe de notre plaisir. Il faut toutefois être attentifs. Il y a nombre de familles. Prudents.
En effet, nous entendons des rires et des cris aigus pas très loin. Je me retire juste à temps. Des touristes en familles. Balade.
Nous restons assis l'un à côté de l'autre. C'est si bon. Clémentine me fait : < Regarde là-bas, un mec tout seul qui se balade ! >
En effet, il y a un homme qui marche sur le sentier qui monte. Clémentine me fait : < Un "plan" ! >. Je me lève pour disparaître.
Je passe derrière un des amas rocheux. Je suis à une trentaine de mètres. Je sors la paire de jumelles du sac à dos. Je regarde.

Clémentine, accroupie entre deux rochers, sur un promontoire pentu, se tient d'une main à la roche. Et de l'autre ses cheveux.
Elle porte ses lunettes noires de soleil. Méconnaissable et parfaitement anonyme, elle peut se livrer à son jeu favori. Superbe !
L'inconnu arrive. Grand et mince, il porte un petit sac à dos. Il prend quelques clichés des environs. Il monte doucement par là.
Clémentine, qui doit pisser depuis un moment, aime à se retenir le plus longtemps possible lorsque nous nous promenons. Plan.
Voilà une occasion rêvée de se faire surprendre. Je suis dissimulé. Je mâte avec les jumelles. Le type arrive. Il découvre la fille.

Clémentine se masturbe. Elle se fait surprendre ainsi. L'homme, quadragénaire, porte une casquette. Il s'arrête à dix mètres.
Clémentine fait mine de ne pas s'en être rendue compte. Je bande comme un priapique en phase terminale. C'est du spectacle.
Il doit se mettre à causer. De ma cachette je n'entends que le bruit de la voix sans comprendre. Clémentine cesse sa branle.
Elle redresse la tête pour se mettre à pisser, droit devant le mec. Le type ne perd pas son calme, se met à prendre des photos.
Je vois le jet doré briller sous le soleil. Clémentine, cambrée, se tenant aux rochers, pisse le plus loin possible. Epoustouflant.

A peine a t-elle terminé que des voix se font entendre. Elle a juste le temps de se tourner. Voilà toute une famille qui rapplique.
Le promeneur fait un signe de la main avant de s'éloigner. La famille s'arrête carrément là. Clémentine se redresse rapidement.
Elle me cherche du regard. Je sors de ma cachette. Nous nous rejoignons sur le sentier qui retourne vers Near Abercorn. Fini.
Nous rions de bon cœur en évoquant notre nouvelle aventure. Et je montre ma surprise à Clémentine. J'ai filmé toute la scène.
Là, sur l'écran de mon téléphone, Clémentine peut se voir dans son show. < Génial ! > fait elle en scrutant plusieurs fois. Pipi.

Nous retournons sur South Queensferry. A plusieurs reprises Clémentine se touche en marchant. Ou alors c'est moi qui le fait.
Nous traînons jusqu'en soirée. Il faut trouver un restaurant pour rentrer avant la nuit. Nous avons des lumières sur les vélos.
Hélas, pas une table de libre. Avec l'affluence, impossible de manger dans un des restaurants. Nous prenons des Fish and chips.
Nous tenons nos cornets. Nous savourons ce repas sommaire en flânant dans les rues animées du bourg. Il y a des musiciens.
Il est 21 h30. Il faut songer à rentrer. Il y a 20 km à faire jusqu'à Leith, puis encore 5 km jusqu'à Morningside. C'est l'aventure.

Nous ne sommes pas seuls à rentrer au crépuscule. En Ecosse, en été, il ne fait jamais vraiment nuit. La visibilité reste parfaite.
C'est très agréable. Nous pédalons sans efforts, poussés par un léger vent d'Est. Parfois nous sommes dépassés par des vélos.
Parfois c'est nous qui en dépassons. Il est 23 h lorsque nous arrivons à l'appartement. Nous sommes fourbus. Nous voilà au lit.
J'offre un cunnilingus à Clémentine qui connaît un superbe orgasme. Nous sommes épuisés. Clémentine me suce un peu. Plaisir.
Je la prends délicatement par le cou pour serrer sa tête contre mon épaule. Je déteste les orgasmes rapides et bâclés. Le dodo.

Bonne petite exhibe à toutes les coquines qui rêvent de se faire surprendre entrain de se masturber. Sécurisées par leur mec…

Julien - (Qui réserve quelques elles surprises à Clémentine pour les jours à venir. De la baiser à l'improviste, par exemple) -

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Nous profitons de cette belle journée

Hier matin, vendredi, nous nous étirons longuement en modulant nos gémissements. Cela se ponctue par le cri : < Bonjour ! >
Clémentine se serre contre moi. Nous nous offrons les papouilles nécessaires pour émerger complètement. Douceur. Tendresse.
Il est 7 h15. Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Le constat est sans appel.
Nous sommes le 20 du mois. Clémentine a ses "petits machins" de fille. Nous rions de bon cœur lorsqu'elle dit : < No fuck ! >
Morts de faim, nous allons à la cuisine. Je presse nos oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous sommes en tenue de jogging.

Nous prenons notre petit déjeuner dans la douce odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Super.
Nous faisons le bilan de nos aventures de hier et le programme de la journée d'aujourd'hui. Nous partons pour Saint Andrews.
La vaisselle. Nous descendons par l'escalier de service. Il est 7 h45 et le ciel est bleu. Il fait beau. Tout juste quelques nuages.
Nous courons d'un bon rythme. Nous croisons les joggeurs de tous les matins le long de notre parcours quotidien. C'est sympa.
Depuis le sommet de la colline, la vue sur Edimbourg est tout à fait prenable si nous voulions la prendre en photo. Simplement.

Il est 9 h30. La douche. Nous nous habillons légèrement. Clémentine porte une robe d'été, cintrée à la taille. à motifs floraux.
Ses sandalettes à légers talons. Je suis en short, chemisette et sandales. Je prépare le sac à dos. Clémentine est à l'ordinateur.
Il y a deux messages. Celui d'Estelle qui nous raconte sa journée de hier et enfin celui de Lennie la jeune Hollandaise. Superbe.
Lennie nous apprend qu'ils sont bien arrivés aux îles Shetlands et que leur bateau est amarré dans le port du bourg de Lerwick.
Nous répondons aux deux messages en joignant deux photos redimensionnées prises hier à South Queensferry. C'est très bien.

Il est 10 h h15 lorsque nous descendons Mornigside. Je roule avec prudence. Clémentine joue avec ma queue qu'elle a extrait.
Nous prenons la direction du Nord. Il faut longer l'estuaire de la Forth, passer Forth Bridge, puis prendre la direction de Largo.
La circulation est fluide. Il y a environ 80 km qui nous séparent de saint Andrews. Dans la voiture j'ai les deux toiles emballées.
Les deux œuvres de commande. L'une pour ma tante et mon oncle, l'autre pour un de mes collectionneurs écossais. Le même.
Ce sera une belle journée, principalement ensoleillée. Nous arrivons dans le bourg de Largo. C'est un petit village de pêcheurs.

Je gare la voiture le long des quais. Le port grouille d'animation. Clémentine prend des photos et nous ne nous attardons pas.
Puis c'est Elie, petite ville côtière. Nous nous arrêtons un petit instant. Nous avons déjà visité ces lieux l'an dernier. Souvenir.
Nous arrivons à Anstruther. Cette petite ville charmante et préservée. Elle est séparée par une étroite rivière. Plein de ponts.
Il est 11 h30. Nous voulons visiter Scotland's Secret Bunker, le musée insolite et réputé. Nous garons la voiture près du port.
Le musée est ouvert entre midi et deux. La visite est guidée. L'endroit est très fréquenté, c'est le rendez-vous des historiens.

Même si l'Ecosse est restée préservée durant le conflit mondial de la dernière guerre, les autorités on prévu les pires scénarios.
En prévision d'une éventuelle attaque de l'axe, les dirigeants de l'époque ont voulu protéger les hauts dignitaires réunis ici.
En effet, c'est en Ecosse que se réunissaient les chefs des armées. Ici que s'échafaudaient les stratégies d'attaques, de survies.
Ce qui explique quelques bunkers proposés à la visite tout le long des côtes. La visite est guidée. Des groupes de dix visiteurs.
Notre guide est une jeune étudiante qui fait ici son job d'été. L'argumentaire est bien rodé. Clair, instructif et précis. Superbe.

Discrètement, Clémentine me palpe la braguette. Lorsqu'elle a ses "petits machins" de fille, elle porte une culotte. Habitude.
Ce qui ne m'empêche nullement de la tripoter tout aussi discrètement au travers le tissus fin et léger de sa robe. C'est sympa.
Lorsque nous avons affaire à une jeune fille, belle de surcroit, Clémentine aime un jeu particulier. Me tripoter devant elle. Joie.
Discrètement, devant la guide, lorsque nous sommes à découvert, Clémentine me palpe la braguette. C'est troublant. Intense.
La guide ne tarde pas à remarquer notre petit manège vicelard. Au bout de la troisième fois, elle comprend la petite comédie.

Tout cela est toujours très simple. Clémentine a 21 ans. Probablement l'âge de la guide. Il y a ula complicité naturelle. Sympa.
Et cette jeune fille de 21 ans palpe la braguette d'un homme d'âge mûr. Quoi de plus troublant. Ce n'est possible qu'en couple.
La guide entre dans notre jeu. Tout en parlant, elle observe notre petit jeu avec une parfaite maîtrise de ses émotions. Sympa.
Parfois, elle esquisse un sourire en baissant la tête et en invitant le groupe de visiteurs à la suivre. Je bande comme un salaud.
Nous visitons le bunker souterrain. Grand dortoir. < Il y a les lits pour la baise ! > chuchote Clémentine. Nous rions de bunker.

Il est 12 h30 lorsque la visite se termine. La guide raccompagne le groupe jusque dans le hall d'accueil. Nous allons vers elle.
Discrètement, je lui laisse un billet de 10£ en lui serrant la main. Nous la remercions pour la visite et la qualité de son travail.
La jeune fille a un sourire désarmant. Elle me dit : < Je vous remercie pour le divertissement ! >. Elle fait allusion à nos jeux.
Nous voilà à l'extérieur. Morts de faim, nous nous offrons deux cornets de fish and chips que nous dégustons tout en flânant.
J'avoue à Clémentine à quel point elle a encore fait battre mon cœur durant la visite. J'en bande encore et rien qu'à y penser.

En Ecosse les fish and chips sont les meilleurs. Même si les anglo saxons ne sauront jamais faire de bonnes frites. C'est drôle.
Il est 13 h15 lorsque nous reprenons la route. Je roule avec une extrême prudence. Clémentine joue avec mon zob bandant.
Parfois, elle me suce. Je la fait cesser pour lui faire admirer le paysage. Je suis trop juteux lorsque je suis tellement excité.
Il est 14 h15 lorsque nous arrivons à Saint Andrews. Ma tante et mon oncle nous attendent pour le thé et les petits gâteaux.
La maison est située à East Sands, le quartier résidentiel de la ville. C'est une des plus belles villes d'Ecosse. Charme discret.

Clémentine reconnaît l'endroit. Nous y avons passé quelques semaines l'an dernier. Cette année nous y viendront trois jours.
Ce sera à notre retour des Shetlands le samedi 11 août. J'entre dans la propriété. Clémentine a refermé ma braguette. Ouf !
Elle s'essuie le foutre avec un mouchoir en papier. Je longe l'allée jusqu'au grand escalier. Ma tante et mon oncle sont là. Joie.
Ils descendent pour nous accueillir . Des bises. Ils sont heureux de nous voir. Ma tante ne cache sa joie de revoir Clémentine.
Nous montons l'escalier avec les paquets. Nous entrons dans le grand salon. Nous voilà vautrés dans les profonds fauteuils.

Je déballe la toile qui leur est réservée. C'est le portrait de Clémentine et moi en costume du XVIIIème. Capitaine de la garde.
Ils sont émerveillés. C'est visiblement au dessus de leurs attentes. Mon oncle se lève pour s'approcher du tableau. Subjugué.
Ma tante le rejoint. Ils admirent en silence. Clémentine me fait un clin d'œil. Le second tableau reste emballé. C'est un secret.
Il est réservé à nos amis collectionneurs qui viendront le récupérer lors de notre séjour à la mi août. Nous serons avec Estelle.
Tout est prévu. Ma tante insiste pour nous faire visiter l'appartement que nous connaissons et que nous occuperons en août.

Nous tentons de décliner l'offre du repas du soir qui nous est faites. Peine perdue. Un écossais sait se montrer persuasif. Rire.
Nous allons tous les quatre marcher dans le jardin. La propriété est grande. Il y a la roseraie à ma tante. Et c'est magnifique.
C'est cette roseraie qui a tant inspiré Clémentine l'an dernier et qui nous a convaincu d'en faire installer une semblable. Super.
Il fait doux. A saint Andrews il y a l'odeur de la mer apportée par la brise du large. Nous profitons de ces instants magiques.
Ici, en Ecosse, c'est la famille côté paternel. Chez nous, c'est le côté maternel. En Ecosse j'ai des cousins, des cousines. Bien.

Il est 15 h30. Nous laissons ma tante et mon oncle pour aller nous promener dans la ville. Nous reviendrons pour 19 h. Promis.
Saint Andrews propose nombre de monuments et de constructions gothiques. En Ecosse, le gothique a ses lettres de noblesse.
Il y a les ruines de la fameuse cathédrale dont la construction a commencé dès 1158. C'est un endroit magique. Un haut lieu.
Avec ce soleil et cette douceur, c'est un enchantement de se promener dans l'esplanade du vieux cimetière. C'est intense. Beau.
Clémentine est tellement heureuse de revoir tout ça qu'elle se serre souvent contre moi. Je suis pétri d'émotion. C'est immense.

< Une fois que j'ai goûté ta bite, j'ai envie de la sucer encore ! > me fait Clémentine. Il y a beaucoup de monde dans l'enceinte.
Il serait donc impossible d'offrir à Clémentine le fruit de sa passion. Nous en rigolons comme des bossus. Ce sera pour le retour.
Nous nous offrons des cônes glacés que nous dégustons en flânant dans les rues. Il est rapidement 19 h. Il faut penser au repas.
Nous sommes de retour pour l'heure prévue. Le repas est hautement gastronomique. Du homard fumé et des salades de la mer.
Nous traînons à table. Mon oncle insiste pour régler le tableau au prix fort. Je connais bien la mentalité des gens de mon pays...

Il est 22 h lorsque nous prenons congé. Nous promettons de nous revoir bientôt. Nous reviendrons à la date prévue. Le 11 août.
Sur le chemin du retour, Clémentine me pompe avec cette avidité qui lui est si coutumière. Je roule avec une prudence extrême.
Souvent je la tire délicatement par ses cheveux pour la forcer à cesser. Surtout lorsqu'il y a des monuments éclairés. Superbes.
Il est 23 h30 lorsque nous arrivons à l'appartement. Fourbus. Au lit, je veux absolument m'occuper du clitoris de Clémentine.
Nous nous offrons un "69". La petite ficelle me chatouille le nez et les joues. Trop fatigués, nous nous serrons fort pour dormir.

Bonnes pipes dans la bagnole à toutes les coquines qui aiment sucer leur mec pendant qu'il roule avec prudence...

Julien - (Qui se fait offrir le délicat tourment de la pipe en bagnole. Toujours vigilant. Toujours prudent. Toujours juteux) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 10 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 492 -



Une belle journée de randonnée

Hier matin, samedi, nous nous réveillons tous deux en même temps. Nous nous offrons notre concerto de gémissements divers.
C'est toujours si amusant que nous en rions de bon cœur en nous faisant plein de bisous. < Je t'aime ! > chuchote Clémentine.
< Moi aussi ! Je t'aime ! > ai je le temps de lui dire avant qu'elle ne me chevauche en riant. Douceurs, tendresse et papouilles.
Nous nous précipitons aux toilettes. Il est 7 h15 et dehors il fait beau. Morts de faim nous allons à la cuisine. En tenues jogging.
Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bises, de nous caresser. Joie.

Nous prenons notre petit déjeuner dans cette délicieuse odeur de pain grillé qui participe de notre premier plaisir de la journée.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous évoquons nos aventures de hier et le programme de la journée à venir.
Il faudra songer à faire des courses. Ce sera notre expédition de demain matin. Le dimanche étant ici un jour comme un autre.
La vaisselle. Nous descendons l'escalier de service pour nous retrouver dans l'agréable douceur de ce matin écossais. Superbe.
Nous courons d'un bon rythme le long de notre parcours habituel en croisant beaucoup de mêmes joggeurs que les autres jours.

Bien évidemment, la vue sur Edimbourg, depuis le sommet de la colline, est époustouflante. Les toits d'argent et qui scintillent.
Il est 9 h30 lorsque nous revenons pour prendre notre douche. Nous nous habillons en tenues de randonnée touristique. Sympa.
Clémentine porte une de ses jupettes sport, beige, plissée, qui lui arrive à mi cuisses. Un T-shirt beige et ses baskets. Superbe.
Je suis en short, kaki, en T-shirt beige et en baskets. Je prépare notre petit sac à dos. Pommes, barres de céréales, notre flotte.
Pendant ce temps, Clémentine qui est à l'ordinateur me lit à haute voix la teneur du message d'Estelle et du message de Lennie.

Estelle nous raconte sa journée de hier. Le boulot dans le bureau de l'entreprise familiale. Le départ de ses parents pour le Var.
Elle va gérer la fermeture de l'entreprise pour les congés. Lennie, la jeune hollandaise nous raconte la visite des iles Shetlands.
Nous répondons en joignant deux photos de nous prises hier. Nous voilà prêts à nous enfuir pour la journée. Il y a les sandwichs.
Je roule avec une extrême prudence. Clémentine a sorti ma queue pour jouer avec tout en bavardant. Nous quittons Edimbourg.
Je prends la direction de Perth, au Nord, par la nationale M90, distante d'environ 70 km. La circulation est fluide, très agréable.

< Je vais faire un moulage de ta bite pour l'envoyer à Lennie, chez elle, à Rotterdam ! Et dès notre retour !> me dit Clémentine.
Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine m'explique comment elle va s'y prendre avec un plâtre d'art et à prise rapide.
Je trouve ça si délicieusement saugrenue que je la mets au défi de le réaliser à notre retour en septembre. La campagne si belle.
Nous arrivons à Pitlochry par la route venant de Waveley. Pitlochry est un merveilleux petit bijou dans un écrin de verdure. Joie.
C'est là que nous allons randonner. Le sentier est répertorié comme un des plus beaux du Perthshire et fait partie du patrimoine.

Je gare la voiture à l'entrée du village. La circulation automobile y est interdite comme dans la plupart des burgs écossais. Bien.
Il y a évidemment un monde fou. Avant de prendre le sentier à la sortie du bourg, nous flânons dans les rues pavées du village.
C'est à couper le souffle. Tout y est d'une beauté surprenante. Des fleurs à toutes les fenêtres. Des bicyclettes en décorations.
D'anciens vélos qui servent de supports à des jardinières contenant mille et une sortes de fleurs différentes. Parfums, couleurs.
Il est 11 h30 lorsque nous prenons la direction du pont de pierres pour le traverser. Nous voilà à marcher sur un étroit chemin.

Sur la demande de Clémentine, ma braguette est discrètement ouverte. Braguette à boutons et qu'il faut savamment contrôler.
Les braguettes à boutons ont rapidement tendance à bâiller. Il faut donc surveiller tout cela fréquemment. Amusant tourment.
Surtout que Clémentine y glisse régulièrement la main pour me palper le zob. Nous croisons nombres de marcheurs. Du monde.
Cet itinéraire parcourt la région des Lothians. Parfois escarpé, souvent aisé, il est toutefois déconseillé aux plus jeunes. Sympa.
Nous croisons quelquefois des familles dont les membres marchent avec difficulté en tongs, sur de véritables pierriers. Dingues.

Nous parcourons ainsi cinq miles pour arriver aux chutes de Black Spout Wood. Le vacarme de l'eau en dévalant un vrai gouffre.
Il faut rester prudemment sur l'itinéraire balisé. Pourtant, là, en contre bas, il y a des irresponsables, en familles et en sandales.
Sur notre gauche, le long de la falaise du surplomb rocheux, il y a des passionnés de varappe. Et c'est vraiment impressionnant.
L'Ecosse est le pays des amateurs de ce sport. Il y a nombre d'endroits réputés dans le monde entier. Il faut admirer la grimpe.
Ce sont souvent d'étonnants virtuoses qui offrent de véritables ballets accrochés à des parois verticales qui procurent le frisson.

Nous contournons les chutes sans pouvoir échanger le moindre mot audible tant le vacarme de l'eau est assourdissant. Dingue.
Nous montons le sentier raide qui mène en haut de la colline rocheuse. Il commence à faire très chaud. Nous sommes en sueur.
La faim commence à se faire sentir. Nous avisons un endroit tranquille. Une sorte de promontoire rocheux et à l'écart du chemin.
De là, la vue sur les environs est majestueuse. Il faut faire un peu d'escalade pour y parvenir. Il n'y a personne. C'est superbe.
Nous sommes assis. De notre nid d'aigle, nous voyons les marcheurs se croiser. Ceux qui montent. Ceux qui descendent. Bien.

Nous mangeons nos pommes. J'ai préparé des sandwichs au thon et aux lamelles de gruyère de Comté. Olives noires et beurre.
Rondelles de tomates. C'est un repas absolument divin. Nous mangeons de bon appétit et en bavardant. L'endroit est à l'ombre.
Dans le ciel, au dessus de nous, il y a des amateurs de delta plane. C'est féérique. Ils semblent défier la pesanteur. Ballet aérien.
Clémentine et moi, nous sommes sujet au vertige. Nous admirons donc encore davantage ces "héros" du vide qui n'ont pas peur.
Je suis allongé sur le dos, Clémentine à mes côtés. Le petit sac à dos sert d'oreiller. Clémentine joue avec ma bite. C'est super.

Lorsqu'elle a ses "petits machins" de fille, Clémentine porte toujours une culotte. J'adore taquiner en tirant sur la petite ficelle.
Et cela ne m'empêche nullement de me sucer son clitoris géant. Je trouve même que ces orgasmes sont encore plus puissants.
Je bande mou. Nous regardons les delta planistes faire leur ballet aérien. Peuvent ils voir ce que nous faisons là ? Peut-être pas.
Je saisi Clémentine par la nuque pour la forcer à descendre la tête jusqu'à ma bite. Je l'entends glousser de plaisir. Elle renifle.
< J'adore quand tu as ce comportement ! > me fait elle avant de se mettre à me sucer avec gourmandise. Je dis : < Dessert ! >

De me faire tailler une pipe en cet endroit est tout à fait remarquable. Il y a le spectacle des ailes volantes et le bruit des voix.
Personne ne peut se douter de ce que nous bricolons là haut, sur notre promontoire rocheux. Du moins, le croyons nous. Bruit.
Je regarde sur ma gauche. Là, à une dizaine de mètres, j'aperçois, entre les fourrés, la tête d'un mec. Pas de doute, un voyeur.
Je saisi Clémentine par ses cheveux pour la forcer à cesser. < Mais je l'avais vu ! > me fait elle, la tête blottie contre mon cou.
Aussi, je la laisse retourner à sa pipe. Clémentine aime tant être vue dans les situations les plus suggestives. Ne pas la priver.

Nous portons tous deux nos larges lunettes de soleil noires. Je peux donc loucher dans la direction du voyeur. Et ils sont deux.
Un couple. Je ne vois que le haut de leurs têtes. Et ils se chuchotent des trucs. Sans doute quelques libertins de notre espèce.
Je suis un peu gêné. Pas par la jeune femme, mais par l'homme. Complètement hétéro, les mecs n'exercent rien sur ma libido.
Cela a même le don de me faire débander et d'éteindre mon excitation. Clémentine, hétéro comme moi, le comprend très bien.
Elle se redresse pour venir blottir sa tête sur ma poitrine, contre mon épaule. Elle me range la queue soigneusement. Tapotant.

Le couple disparaît très vite. Nous en profitons pour nous préparer. Je mets le sac à dos en ordre avant de le fixer sur mon dos.
Nous descendons en redoublant d'attention. Je tiens Clémentine par les hanches pour l'aider à surmonter les obstacles rocheux.
Nous voilà de retour sur l'étroit sentier escarpé. Nous reprenons notre marche. Il y a le site historique de Croft Moraig. Sublime.
Il est 16 h. Nous découvrons cet endroit magique. C'est un site occupé par l'homme depuis la préhistoire. Un haut lieu d'énergie.
Il y a des cairns de pierres dressées qui ne sont pas sans évoquer nos menhirs. Croft Moraig Stones Circle est impressionnant.

Il y a des panneaux informatifs qui racontent l'histoire connue du lieu. Là-bas, dans le lointain, les toits du village d'Aberfeldy.
Il y a du monde. Nous sentons que l'endroit a un pouvoir vivifiant. Clémentine est une vraie médium. Elle ressent fortement ça.
Nous allons nous assoir à l'écart au sommet d'un petit tertre rocheux. Je sors ma bite. Personne ne peut me voir, queue à l'air.
Nous admirons le paysage splendide qui nous entoure. De grands chênes centenaires, une herbe verte. Des vaches écossaises.
Je joue avec le clitoris géant de Clémentine. J'aimerais beaucoup le sucer, me le bouffer. Avec la sueur, ça doit être un régal.

Nous sommes tous deux considérablement excités. Tant par cette randonnée, ce paysage extraordinaire que par nos caresses.
Il est urgent de se trouver une planque. Et de préférence sans voyeur. Nous nous levons pour aller explorer les environs. Joie.
Il faut longer la clôture du pré où sont les vaches à longs poils et à cornes immenses qui nous regardent passer avec attention.
Clémentine avise un bel endroit légèrement en hauteur. C'est mieux. Ainsi nous pouvons surveiller les environs. Qui se pointe.
Clémentine, couchée sur la mousse sèche, la tête sur le sac à dos, jambes relevées, les cuisses écartées, m'invite à la toucher.

Elle a retiré sa culotte. De l'épaisse toison pubienne, pend la petite ficelle blanche. Mr Tampax. Je me met à genoux. "Prière".
J'enfonce mon visage dans l'épaisse fourrure de ma compagne pour me goinfrer de son clitoris géant que je décalotte. Délicat.
Du bout de mes lèvres, lorsque je décalotte cette impressionnante chose, Clémentine a des spasmes qui secouent son corps.
Il faut être vigilant. Pas d'orgasme prématuré. Clémentine veut rester excitée jusqu'au retour. Elle me repousse plusieurs fois.
Elle regarde souvent autour de nous. Il n'y a personne. Nous restons là à jouer avec les sens de Clémentine une bonne heure.

Tout comme moi, Clémentine aime et sait faire durer. Il est 17 h30 lorsque nous revenons au site de Croft Moraig Stone Circle.
Toujours autant de monde. Nous subissons encore les délicieux vertiges de nos plaisirs. C'est absolument divin. C'est superbe.
Nous reprenons le chemin du retour. Il y a encore 2 h30 de marche pour revenir sur Pitlochry. Nous y avons réservé une table.
Fourbus, épuisés, mais heureux, nous voilà assis dans un restaurant typique décoré de piolets, de sacs à dos et de godasses.
Partout aux murs, les objets anciens qui servent à la randonnée de montagne. C'est original et séduisant. Surréaliste peut-être.

Nous dégustons nos pommes de terre farcies à la purée d'anchois accompagnées de légumes finement dorés et rissolés. Miam.
Nous traînons longuement à table. La grande salle est pleine de gens qui font pareil. Principalement des marcheurs et fatigués.
Dans la voiture, Clémentine me suce. Il est 23 h lorsque nous arrivons à l'appartement. Je fini Clémentine avec un cunnilingus.
Nous sommes épuisés. Je lui propose de remettre la pipe qu'elle désire tant me prodiguer à demain. Je déteste la pipe rapide.
Nous nous serrons fort. Nous nous chuchotons encore quelques douceurs. Clémentine est blottie contre moi. Nous plongeons…

Bonne pipe à toutes les coquines qui aiment se faire bouffer le clitoris dans les endroits fréquentés et à risques…

Julien - (Qui adore sucer le clitoris géant de Clémentine après l'effort. Fromage dans les plis. Sueur dans les replis) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 11 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 493 -



Nous continuons nos périples touristiques

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon profond sommeil par des bisous d'une incroyable tendresse. Comme dans mon rêve.
J'ouvre les yeux. C'est toujours si merveilleux de voir le visage bienveillant de l'amour au dessus du mien. Clémentine me sourit.
Elle ne peut rester réveillée longtemps toute seule. Je la serre contre moi. < Bonjour mon amour ! > me chuchote t-elle. Bisous.
< Bonjour mon amour ! > ai je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche en riant. Douceurs, tendresse et nos papouilles.
Nous nous précipitons aux toilettes. C'est le dernier jour où je peux tirer sur la petite ficelle. Il est 7 h30. Il fait beau et si doux.

Animés d'une faim de loup, nous voilà à la cuisine à préparer le petit déjeuner que nous prenons dans cette odeur de pain grillé.
Le dimanche, pas d'entraînement, pas de jogging. Nous traînons en slibards. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.
Nous faisons le bilan de la journée écoulée et un vague programme de ce jour. Randonnée. Ce serait bête de s'en priver. Super.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine m'aide à faire la liste des courses qu'il nous faut faire.
Nous irons à la supérette en bas de Morningside. Il est 8 h. Nous passons à la salle de bain. Nous nous habillons léger. Chaleur.

Clémentine porte sa robe d'été. et ses sandalettes à légers talons. Elle tourne sur elle même en soulevant le tissus, en rigolant.
< Presque plus rien ! > dit elle en faisant allusion à ses "petits machins" de fille. Je porte un short, chemisette et sandales. Cool.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine imite une danseuse de flamenco tout en tournant sur elle même. < Olé ! > fait elle.
J'imite un joueur de guitare en m'écriant < Olé ! >. Clémentine se précipite contre moi. < Je t'aime comme une folle ! > dit elle.
Nous nous serrons longuement. Je la soulève pour la faire tournoyer dans les airs pendant qu'elle me couvre le visage de bisous.

Nous descendons l'escalier de service pour nos retrouver dans la douceur de cette matinée écossaise. Nous descendons la rue.
Au carrefour de Christ Church et de ses nombreux touristes, nous prenons à gauche dans la rue commerçante. Il y a du monde.
Nous faisons provision de fruits en grande quantité, de légumes de saison, de yaourt et de filets de poissons divers. Du saumon.
Nous passons à la boulangerie afin de récupérer une de ces grosses miches de pain complet Bio aux noisettes et aux amandes.
Nous remontons avec des sacs chargés et lourds. Malgré tout, cela nous amuse beaucoup. Nous sommes des gens du quartier.

En passant devant les jardins de Christ Church, Clémentine fait : < Il y a peut-être quelques VP, des victimes potentielles ! >
Nous en rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < J'ai envie de faire ma salope, si tu savais ! Prends garde à toi cet aprème ! >
Nous arrivons à l'appartement. Nous rangeons nos courses. Il faudra faire le plein de bacs de glace, mais avec la voiture. Bien.
Il est 10 h. Je prépare notre petit sac à dos. Sandwichs, pommes, barres de céréale, notre flotte. Clémentine est a l'ordinateur.
Elle me lit à haute voix les deux messages. Celui d'Estelle et celui de mon oncle qui tient ma galerie. Encore une vente. Super.

Nous répondons en joignant deux photos prises hier à Pitlochry. Il est 10 h30. Dans le jardin nous bavardons avec ma tante.
Demain soir, il y aura mon oncle et ma tante de Saint Andrews ainsi que mon cousin et sa femme, ma cousine et son mari.
C'est donc un repas de famille auquel nous sommes conviés. Impossible de refuser. Nécessités du protocole. Nous y serons.
Je roule doucement. Dans la voiture qui nous emmène vers Holyrood Park, Clémentine joue avec ma bite tout en bavardant.
Elle évoque le repas de famille, demain soir. Il nous faudra être de retour d'excursion pour 19 h30. Le temps de se changer.

Holyrood Park est un grand parc naturel préservé. D'une certaine manière, la ville d'Edimbourg en fait partie intégrante. Bien.
Il y a une dizaine de kilomètres jusqu'à Jupiter Artland. C'est un circuit de randonnée dans un cadre de verdure enchanteur.
Il y a différentes stations aménagées en expositions extérieures d'Art contemporains. Des artistes locaux, connus ou reconnus.
Je gare l'auto sur le parking de Glen. La première station. Il y a un monde fou. L'Ecosse est le pays des randonnées pédestres.
Clémentine porte sa jupette sport beige, plissée, lui arrivant à mi cuisse. Un T-shirt gris et ses baskets. Je suis en short, pareil.

Il est 11 h30. Nous marchons d'un bon pas sur l'étroit chemin. Il est à peine possible d'avancer côte à côte se tenant la main.
Nous croisons nombre de marcheurs. Principalement des couples. Le sentier est parfois escarpé. Ce qui est très sympathique.
A chaque fois que nous croisons un homme seul, Clémentine fait : < Ah ! Encore un VP, une victime potentielle ! >. Nos jeux.
Une "VP" ne tarde pas à se présenter à la convoitise exhibitionniste de ma compagne qui montre l'homme seul en contre bas.
Là, à environ une trentaine de mètres, il y a un randonneur. Une sorte de baroudeur. La quarantaine grisonnante. Vêtu kaki.

Clémentine m'entraîne sur le sentier pentu qui rejoint celui où se trouve Indiana Jones. Il porte un large chapeau, sac à dos.
Un large short kaki, un T-shirt de la même couleur, des chaussettes kakis et de grosses godasses de marche et de montagne.
Il regarde avec une paire de jumelles. Je reste derrière le grand panneau explicatif ou figure le plan du site, de la randonnée.
Clémentine descend encore. J'adore la regarder dans une de ses manœuvres d'approche. Elle marche doucement, bras croisés.
Elle est à une vingtaine de mètres en contre bas du type. Elle interprète parfaitement le rôle de la fille qui cherche le coin pipi.

Elle a défait ses cheveux. Elle porte ses larges lunettes noires de soleil. Derrière son anonymat, elle peut se livrer à ses jeux.
Il n'y a personne dans les environs immédiats. Par contre nous percevons parfaitement les voix des promeneurs qui passent.
Quelle n'est pas ma surprise. Notre Indiana Jones est un membre du "Club". A peine a t-il vu la fille qu'il ouvre sa braguette.
Il mâte bien partout autour de lui. Il ne me voit pas derrière le grand panneau. Le mec descend la pente. Il se tient la queue.
Là, debout à une dizaine de mètres de cette jeune fille, il secoue sa bite dans sa direction en engageant la conversation. Rire.

Pas le moindre doute. Clémentine a affaire à une sorte d'alter égo. Un exhibitionniste virtuose. Un "pratiquant" fidèle. Le Club.
Clémentine s'est arrêtée de marcher. Debout, les bras croisés, je la vois discuter avec le singulier personnage et avec sérieux.
Tous les deux, tout en jouant leur rôle, observent soigneusement partout autour d'eux. Quelquefois le type se tourne, discret.
C'est en fonction des passages, plus haut, sur le sentier. Notre Indiana Jones doit en arriver à la phase des propositions. Joie.
Je vois Clémentine décliner quelques offres d'un signe négatif de la tête à plusieurs reprises. Je ne vois pas la biroute du type.

Je bande comme le dernier des salauds en admirant l'aplomb avec lequel Clémentine fait face à la situation et à la bite du mec.
Notre gaillard, décidément plein d'entrain et d'initiative, se branle, cambré sur sur ses genoux fléchis. Un "Président" de Club !
Notre salopiot bavarde le plus tranquillement du monde avec cette magnifique jeune fille qui semble beaucoup apprécier. Jeux.
Je vois Clémentine agité son index de gauche à droite. Signe universelle de la négation. Ce qui semble exciter notre compère.
"Maître Branletto" se paluche comme le denier des vicelards. Clémentine, contrôlant parfaitement la situation, bavarde en riant.

Il y a un couple de séniors, dont la dame cherche certainement un coin pipi bien réel, qui arrive. Et ils découvrent le spectacle.
Notre prestidigitateur a juste le temps de remballer sa baguette magique que le couple déboule. Clémentine s'éloigne très vite.
Prétexte idéal pour mettre fin à cette situation délirante. Nous nous rejoignons en haut du sentier pour continuer notre équipée.
Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine me raconte la nature des propos échangés. Le type est un Allemand. Joie.
< Les Allemands sont souvent de vrais cochons dès qu'une occasion se présente ! > dit Clémentine. Nous en rions de bon cœur.

Nous arrivons à la première station. Notre aventure burlesque et bucolique a ouvert nos appétits. Il est 12 h15. Il y a du monde.
Nous visitons l'exposition. Un parcours en spirale qui permet de découvrir des sculptures d'individus dans des poses grotesques.
< Du lard contemporain ! Et avec sa couenne ! > fait Clémentine en palpant ma braguette discrètement ouverte. Sympathique.
Cette visite est l'occasion de beaucoup rire devant les personnages sans doute en matière synthétique indéfinissable. Drôleries.
Nous avisons un endroit en retrait, entre deux grand chênes il y a un banc de pierre libre. Nous nous y précipitons pour manger.

Là-bas, à cent mètres environ, il y a Indiana Jones qui arrive parmi les nombreux visiteurs. Il ne prête aucune attention par ici.
< Quel salaud ! Comme je les aime ! > me fait Clémentine en me racontant la bite de l'exhibitionniste chapeauté. Nous rigolons.
Nous savourons nos pommes et nos sandwich au Roquefort. J'y ai collé de fines tranches de saumon fumé. Un vrai régal. Miam.
Nous reprenons notre route. Sur le tracé du parcours, il y a quelques "VP" mais pas d'opportunité réelle d'en profiter. Du monde.
Nous nous isolons. Clémentine que ce truc devenu inutile commence à gêner, retire son Tampax. < Fini ! Plus rien ! > fait elle.

C'est dans une des nombreuses poubelles du parcours que finit le petit sachet. < Adieu ! > fait Clémentine en le laissant tomber.
< J'ai une méchante envie de baiser ! > me confie t-elle. Aussi, nous nous mettons en quête de l'endroit idéal. C'est un peu dur.
Il y a tant de visiteurs qu'il faut ruser et quitter le sentier balisé. En Ecosse, cela ne se fait pas. Et des brigades vertes y veillent.
Nous décidons malgré tout de nous comporter en franchouillards et de prendre le risque. Clémentine m'y entraîne par la queue.
Nous dévalons un sentier escarpé jusqu'aux ruines d'un cabanon de bois. Il y a des vaches écossaises qui nous observent. Bien.

Couchés dans l'herbe, Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinis précautions. Nous restons immobiles. C'est bon.
Nous adorons rester sans bouger, l'un dans l'autre. C'est toujours le moment des révélations les plus sublimes de ma compagne.
Des voix. Des bruits de sabots de chevaux. Nous avons tout juste le temps de dissimuler nos activités. Deux cavaliers. Uniformes.
C'est un couple. L'équivalent de nos "Brigades Vertes". Ils sont là en patrouille et nous prient de retourner sur le chemin autorisé.
Nous ne sommes pas verbalisés. Mais l'avertissement est sans appel. L'Ecosse préserve ses écosystèmes avec un soin maniaque.

Nous terminons la visite par un bon restaurant. Devant un grand plateau de fruits de mer, nous évoquons nos aventures épiques.
Il y a de quoi beaucoup rire. Indiana Jones, la baisouille, les Brigades Vertes, le rappel à l'ordre, les "VP". Ça ouvre nos appétits.
Il est 23 h lorsque nous sommes de retour. Fatigués, nous tentons une petite baise de principe. Chose que nous détestons tant.
Serrés l'un contre l'autre, nous nous promettons une méga partie de cul pour demain. J'ai envie de lui bouffer la chatte. Un régal.
Elle a envie de me bouffer la bite. Nous savons raison garder. Les orgasmes précipités nous répugnent. Nous plongeons. Le dodo.

Bonne virée à toutes les coquines que la rencontre avec des exhibitionnistes amusent beaucoup,, au point de les y encourager…

Julien - (Qui adore écouter les révélations de Clémentine, bien introduit en elle, parfaitement immobile et attentif) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 12 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 494 -



Petites exhibes sans conséquences dans les ruines

Hier matin, lundi, nous nous réveillons ensemble. C'est le concerto de gémissements que nous modulons longuement en riant.
Rien ne nous amuse davantage que de ponctuer le tout dans un cri : < Bonjour ! >. Nous rions de bon cœur en nous serrant.
Douceurs, tendresse et papouilles avant que Clémentine ne me chevauche en riant. Des bisous. Nous nous précipitons au WC.
Morts de faim, nous voilà rapidement à la cuisine. Je presse nos oranges alors que Clémentine s'occupe du café. Il est 7 h15.
Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Joie.

Dehors, il fait beau. Nous sommes déjà en tenue de jogging. Clémentine me fait part de ses émotions quand à notre séjour.
L'Ecosse, et cette région d'Edimbourg tout particulièrement, exerce sur sa psyché l'irrépressible envie de venir s'y installer.
Il faudra être patient. Je la raisonne. Il faut attendre encore quatre ans. Il est préférable de passer son Doctorat en France.
Nous faisons un rapide et très vague programme du jour. Avec cette météo, randonnée dans les Lothians, c'est un bonheur.
La vaisselle. Nous descendons l'escalier de service pour nous retrouver dans la douceur du matin écossais. Il n'est que 7 h45.

Nous courons le long de notre circuit habituel en saluant la plupart des joggeurs que nous croisons tous les matins. C'est bien.
L'arrêt au sommet de la colline nous permet d'admirer Edimbourg dans la lumière diaphane de l'été. Sublime. De toute beauté.
Il est 9 h30 lorsque nous sommes de retour. La douche. Nous nous habillons léger. Je prépare notre petit sac à dos. Les fruits.
Les barres de céréales, les sandwichs, la flotte. Pendant ce temps Clémentine devant l'ordi, depuis le séjour me lit les courriels.
Celui d'Estelle. Celui de Juliette. Nous répondons en joignant deux photos prises hier. Nous voilà prêts. Nous descendons. Bien.

Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite tout en bavardant. Nous descendons Morningside jusqu'à Leith. Du monde.
Je prends la direction de l'Est. Nous longeons l'estuaire de la Forth sur la dizaine de kilomètres qui nous sépare de notre virée.
La circulation est dense. Le lieu est touristique. Là-bas, au loin, la silhouette des ruines du château. Et c'est une vision féérique.
Je gare la voiture sur le grand parking au début du chemin de randonnée. C'est une boucle de 12 km qui nous attend. Superbe.
Nous adorons la marche. L'Ecosse est le pays de la randonnée. Clémentine porte sa jupette sport kaki, T-shirt et ses baskets.

Je suis en short, T-shirt et baskets. Je porte le petit sac à dos qui ne nous quitte jamais. Clémentine y a mis sa culotte. Bien.
Nous prenons la direction indiquée. Cette portion du sentier John Muir longe les falaises vertigineuses du Firth of Forth. Super.
Nous croisons beaucoup de randonneurs. Le cri des mouettes est assourdissant. Le ciel est légèrement voilé. Et c'est magique.
Sur la demande de Clémentine, j'ai la braguette discrètement ouverte. Cette fois c'est une braguette à tirette. Facile à cacher.
Clémentine peut y glisser la main sans la faire bâiller. Parfois, et en regardant bien partout, je glisse ma main sous sa jupette.

Nous arrivons aux ruines de l'impressionnant château. Tantallon Castle est une forteresse datant du XIIIème siècle. Pierre ocre.
Il y a des groupes de touristes. Des familles. Des couples. Quelques individus isolés. Clémentine prend des photos. Il y a de quoi.
Les ruines sont impressionnantes, entretenues. D'y évoluer reste sans danger. Il y a des barrières de sécurité en haut des murs.
Nous pouvons monter l'escalier circulaire du donjon. C'est vertigineux. Le vent du large est agréablement rafraîchissant. Sympa.
Au sommet, nous sommes bien une trentaine de personnes. Il y a un groupe d'Asiatiques armés de gros appareils photos. Bien.

Comme souvent, notre couple attire quelques regards interrogatifs. Nous nous en amusons beaucoup. Et c'est un bon prétexte.
Il y a cet asiatique charmant, élégant, souriant qui nous observe à plusieurs reprises. C'est Clémentine qui me le fait remarquer.
Il est plutôt simple, si on est adroit et rusé, de créé une situation. Je pose ma main sur le sexe de Clémentine. Je palpe le tissus.
L'inconnu semble émerveillé. Non pas par le paysage mais par le sourire que lui fait ma compagne en se faisant toucher. Super.
C'est à la fois si incongru, si vulgaire, si inattendu que l'asiatique en reste éberlué. Ça aussi c'est un plaisir intense. La palpation.

Il faut évidemment rester très prudent. Il faut être rapide, précis. Cela ne doit pas attirer d'autres regards que celle de la cible.
Nous y excellons. Et cela ne dure pas plus de quelques instants. Nous redescendons. Clémentine me fait part de son excitation.
Nous continuons la visite. Il est 12 h30. La faim commence à se faire sentir. Nous avisons un endroit prévu à cet effet. Manger.
Il y a une table qui permet de nous installer avec d'autres marcheurs. Promiscuité obligatoire, il est interdit de manger ailleurs.
Mais cela nous offre peut-être l'opportunité d'un bon "plan". Nous sommes assis en bout de table. Un groupe d'Allemands. Arrh !

Nous savourons nos pommes, nos sandwichs. De fines lamelles de gruyère de Comté entre de fines tranches de saumon fumé.
L'air du large ouvre l'appétit. Clémentine, assise en face de moi, me fait : < Il y a un mec qui mâte, regarde discrètement ! >
Je sors le téléphone que je dispose sur la table. Incliné contre l'étui de l'appareil photo, je peux regarder l'écran. Rétroviseur.
Je vois ce type qui regarde avec attention ce que fait Clémentine sous notre table. Elle me raconte ses cuisses écartées. Super.
Le type mâte à s'en déboîter les globes oculaires tout en bavardant avec le groupe dont il fait partie. Situation cocasse. Géniale.

< Il se touche discrètement sous la table. S'il pouvait, il sortirait sa bite ! > me fait Clémentine. Je ne peux pas bien distinguer.
Clémentine qui est passée maître de ce genre de plan en rajoute bien évidemment des tonnes. Croisant, décroisant ses jambes.
C'est super. Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine me fait : < Encore un mec qui ira brûler un cierge après ce miracle ! >
Il est impossible de donner une suite quelconque à cette situation. Le groupe s'en va. Les allemands à nos côtés discutent. Arrh !
Il est 13 h. Nous quittons l'endroit pour continuer notre périple. Nous voilà sur l'étroit chemin qui longe les falaises. Il fait chaud.

Nous marchons depuis une bonne heure lorsque se présente une de ces opportunités dont raffole Clémentine. Panneau indicatif.
C'est en contre bas du sentier. Nous avons quitté la mer pour marcher à flanc de colline. Là-bas, les ruines de Dirleton Castle.
C'est une aire de repos. Il y a des tables de pierres disposées en un large cercle. Il y a du monde. Il y a des cabanons. Touristes.
Un cabanon magasin de souvenir. Un cabanon buvette. Un cabanon toilettes. Le cabanon toilette, inutile d'y songer. Des familles.
Et dans les familles en virée on pisse à tour de rôle, longuement. A croire que le but de l'excursion est de pisser ! C'est le cas ici.

Quelle n'est pas notre surprise. Là, dans le groupe d'Asiatiques, il y a le monsieur élégant qui nous a mâté au donjon. Trop bien.
Clémentine m'entraîne vers le cabanon des souvenirs. Là, derrière un des tourniquets, elle s'accroupit pour regarder des cartes.
L'inconnu pressent comme une invitation à la luxure et à la débauche. Deux qualité où Clémentine et moi brillons de mille feux.
Ma compagne, accroupie, cuisses écartées, fait son show avec une aisance et un naturel qui déconcerte l'asiatique. Il reste zen.
Je suis à côté. Notre homme se rapproche pour bien regarder ce merveilleux spectacle. Clémentine sans culotte, la touffe dense.

C'es sympa lorsqu'il y a tant de monde. Personne ne fait véritablement attention à personne. Et il est simple de faire diversion.
Je m'accroupis. L'asiatique est de l'autre côté du tourniquet, et accroupit lui aussi. Je passe ma main sous le cul de Clémentine.
Par derrière, et j'enfonce délicatement un doigt. Je constate une fois encore à quel point Clémentine mouille, tellement excitée.
L'asiatique est incroyablement zen. Il observe entre les cartes avec un aplomb discret. Mon doigt dans la chatte de Clémentine.
< Put-Hein, comme c'est bon ! > me chuchote t-elle en prenant quelques cartes postales en main. Nous agissons en virtuoses.

Il y a une jeune femme qui vient rejoindre l'homme. Il se redresse prestement. Nous faisons de même. J'ai le doigt tout mouillé.
Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine me fait : < Un peu plus et tu m'offrais un orgasme ! C'est génial ! >. Joie.
Nous reprenons notre route. Il est 16 h lorsque nous pénétrons l'enceinte fortifiée de Dirleton Castle. La citadelle du XIII éme.
Avides de nous offrir une suite excitante, nous regardons autant les ruines magnifiquement entretenues que les recoins à plans.
Il y a beaucoup de visiteurs. Là-bas, le même groupe d'Asiatiques. Nous les reconnaissons à leurs T-shirt tous identiques. Bien.

Il y a une boutique souvenirs, et une boutique salon de thé avec terrasse. Nous nous offrons une énorme coupe glacée. Miam.
Le beau monsieur Asiatique, les cheveux noirs, brillants et lisses, nous a évidemment repéré. Il faut ruser. Clémentine y excelle.
< Put-Hein, je me goûterais bien un bon nem, chaud et juteux ! > me chuchote Clémentine en mimant discrètement une pipe.
Je lui montre le cabanon des chiottes. Hélas, les toilettes sont là aussi le rendez-vous des familles parties en randonnée pissous.
Pas d'opportunité d'enfoncer le clou. Pas de possibilité de sucer du Nem. Il faut se faire une raison. C'est un peu agaçant. Dur.

Nous regardons le groupe d'Asiatiques se diriger vers la sortie des ruines. L'homme se tourne plusieurs fois. Il doit être frustré.
Clémentine lui fait un coucou de la main. Moi aussi. Il fait pareil avant de disparaître avec ses compatriotes. Glaces délicieuses.
Nous prenons le chemin du retour. Il est 18 h45 lorsque nous revenons à la voiture. Je roule doucement. Clémentine se touche.
Nous arrivons à l'appartement pour 19 h30. Juste le temps de se préparer pour le repas en famille de la soirée. Sympa aussi.
Il y a mon oncle et ma tante de St Andrews, mon cousin et sa femme. Ma cousine et son mari. La joie de nous revoir. Superbe.

Nous sommes tous les dix attablés à bavarder, à rire, à échanger des anecdotes. Clémentine est rapidement l'attraction du soir.
Tout le monde admire son anglais parfait, sa prestance, sa classe naturelle mais personne ne se doute de la coquine qu'elle est.
C'est merveilleux. Cette simple idée me fait bander comme un priapique en phase terminale. Et on se fait du pied sous la table.
Le repas s'achève vers 22 h. Nous traînons encore à table jusqu'aux environs de 22 h30. Nous prétextons la fatigue pour filer.
Au lit, on s'offre une baise démentielle. Le cunnilingus terrasse Clémentine d'un orgasme tellurique. La pipe m'achève. Le dodo.

Bonnes petites exhibes discrètes à toutes les coquines qui apprécient la cuisine asiatique et les Nems…

Julien - (Qui insiste auprès de Clémentine afin qu'elle se goûte un bon Nem juteux. Et un de ces jours) -

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Clémentine et Julien en Ecosse - Coeur
Wednesday 25 July 2018 07:51

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - 13 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 495 -



Les belles surprises que réserve la région d'Edimbourg

Hier matin, mardi, je me réveille le premier. Je reste sans bouger. J'aime regarder Clémentine dormir. Il n'est que 7 h15. Joie.
Elle est couchée sur le dos, la bouche légèrement entrouverte. Un léger ronflement. Si belle dans son total relâchement. Bien.
Hélas, avertie par son infaillible sixième sens, elle ouvre les yeux. Je lui couvre le visage de bises. < Bonjour Julien ! > dit elle.
< Bonjour Clémentine ! > ai je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche en riant. Nous nous précipitons aux toilettes.
Morts de faim, nous allons à la cuisine. Je presse nos oranges. Clémentine s'occupe du café. Dehors il fait beau. C'est superbe.

Nous prenons notre petit déjeuner dans cette agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.
Clémentine me fait beaucoup rire en évoquant nos aventures épiques de hier. Nous faisons le vague programme de la journée.
Nous sommes en tenues de jogging dès le retour des toilettes. Ce qui est pratique pour filer immédiatement après la vaisselle.
Nous descendons l'escalier de service. Il fait doux. Nous courons le long de notre parcourt habituel. Et avec un rythme soutenu.
Nous croisons souvent les mêmes joggeurs que les autres jours. Depuis le sommet de la colline, la vue idyllique sur Edimbourg.

Il est 9 h30 lorsque nous revenons de notre agréable running. La douche. Nous nous habillons légèrement. Nous irons marcher.
Clémentine porte sa jupettes kaki, plissée, qui lui arrive à mi cuisses, un T-shirt gris et ses baskets. Je suis en short et baskets.
Je laisse souvent ma chemisette ouverte, débraillée, comme l'aime Clémentine. Je prépare notre petit sac à dos, les sandwichs.
Les pommes, les barres de céréales et la bouteille d'eau. Clémentine devant l'ordinateur. Elle me lit à haute voix nos messages.
Celui d'Estelle qui nous raconte sa journée. Celui de Lennie, la jeune Hollandaise, qui nous apprend son retour pour la fin août.

Nous répondons en joignant deux photos redimensionnées prises hier dans les ruines de Tantallon Castle. Un clic et c'est parti.
Il est 10 h30 lorsque nous descendons Mornigside pour prendre la direction de Bridge of Forth. Vers le Nord. Je roule peinard.
Dans la voiture, Clémentine, tout en jouant avec ma bite, me fait part de ses ressentis quand à notre premier mois en Ecosse.
Tout s'est passée comme elle le souhaitait. Nous avons passé tout notre temps dans la région d'Edimbourg. Il y a tant à y voir.
C'est avec l'arrivée d'Estelle, le premier août, que nous suivrons un programme bien plus établi. L'île de Skye. Les Shetlands.

Nous traversons l'impressionnante structure métallique de Bridge of Forth. Ce pont immense et qui traverse l'estuaire du Forth.
La circulation est fluide. Je roule doucement. Clémentine est toute contente, facétieuse, elle me raconte d'amusantes anecdotes.
Kinross est à environ 45 km au Nord d'Edimbourg. Ce magnifique petit village sera le début de notre périple pédestre du jour.
Je gare la voiture à l'entrée du bourg. Il y a évidemment un monde fou. Clémentine enlève sa culotte qu'elle met dans notre sac.
Sac que je porte sur le dos. Nous entrons dans l'adorable petit village de Kinross. C'est féérique. Un enchantement. Il fait beau.

< On se croirait dans le décors d'un film d'Harry Potter ! > me fait remarquer Clémentine. Et c'est vrai que tout respire les films.
Je propose à Clémentine de nous réserver une table dans un bon restaurant pour le repas de ce soir. Nous flânons dans les rues.
C'est The Boathouse qui propose les menus que nous apprécions. Nous y pénétrons. C'est un endroit charmant. Murs de pierres.
La salle n'est pas très grande. C'est parfait. Voilà notre table réservée pour 20 h. Nous continuons notre découverte de Kinross.
C'est un bourg tellement adorable que Clémentine prend quantité de clichés. Il est midi trente. La faim se fait sentir. La bouffe.

Il y a un petit square près de l'église néo gothique. Par chance, un banc libre nous y attend. L'animation touristique est intense.
Il y a des groupes qui suivent des guides. A nouveau, ce sont les asiatiques qui son majoritaires. L'Ecosse les enchante. Super.
Nous dégustons nos pommes. J'ai préparé des sandwichs au Roquefort avec de fines tranches de saumon fumé. C'est délicieux.
Il fait chaud. C'est toutefois très supportable. Rien de comparable avec la chaleur caniculaire de l'année dernière. C'est agréable.
Parfois, lorsqu'un touriste se retrouve seul, distancé par le groupe, qu'il regarde dans notre direction, Clémentine fait son show.

Assise à ma gauche, elle écarte rapidement les cuisses. Le touriste, enchanté, découvre alors l'invraisemblable toison pubienne.
Il y a de quoi mâter. Cela dure un instant. Fugace. Mais le souvenir de cette vision marquera le regardant pour toute la vie. Joie.
Nous en rions de bon cœur lorsque Clémentine fait : < Et un Chinois ! Un ! >. C'est vrai que c'est encore un Asiatique qui mâte.
Je lui dis : < Je serais le plus heureux des hommes à être planqué pour te regarder sucer un Nem ! >. Clémentine éclate de rire.
< Le plus heureux des vicelards, tu veux dire ! > me répond Clémentine avant de rajouter : < Et pour mon plus grand plaisir ! >

Nous rigolons comme des bossus en nous inventant quelques scénarios improbables où la situation serait possible. Surréaliste.
Il est 13 h15 lorsque nous sortons de Kinross pour suivre le sentier balisé. C'est une boucle de plus de 12 km qui est proposée.
Nous qui adorons marcher, nous sommes à nous réjouir en découvrant le spectacle magnifique qui se dévoile là, sous nos yeux.
Il y a Loch Leven, ce petit lac dont les eaux noires reflètent un ciel légèrement nuageux. Au milieu, sur l'île, c'est Kinross Castle.
Il y a un monde fou. Nous suivons toute la partie Est de Loch Leven. Nous croisons quantité de gens. Marcheurs, randonneurs.

Sur la demande de Clémentine, la tirette de ma braguette est discrètement ouverte. Elle y fourre souvent sa main pour palper.
Je passe souvent ma main sous sa jupe pour palper son sexe. Je suis prié d'être le plus vulgaire possible. C'est tellement bon.
Nous arrivons sur un promontoire. Au dessus des roches qui surplombent le lac. Il y a une longue barrière métallique. Prudent.
Il y a un homme à l'écart qui observe le château sur l'île. Notre couple attire pas mal de regards. Dont celui de ce touriste seul.
C'est lorsqu'il observe Clémentine en louchant, faisant semblant de regarder dans ses jumelles, que je place ma main. Je palpe.

Lorsque je la touche ainsi, d'un mouvement de palpation vulgaire devant un inconnu, Clémentine est pétrie excitation. Sublime.
Nous regardons bien partout autour de nous. Il n'y a que ce touriste solitaire qui remarque notre petit jeu. C'est vraiment super.
La situation ne peut pas durer. Il y a deux couples qui arrivent par là. Je cesse. Clémentine m'entraîne par la main. Continuer.
< Put-Hein, ça m'excite quand tu fais ça ! Et tu es prié de refaire chaque fois que l'occasion se présente ! > me fait Clémentine.
Je lui dis : < Il est assez simple de créer ce genre de situation. Un peu partout. Tu peux compter sur mon extrême diligence ! >

Nous marchons jusqu'à l'embarcadère. Il y a un bac qui relie les rives du lac à celles de l'île. Nous faisons la queue pour le billet.
C'est rapide. Dans la file, je reproduis la situation tant désirée. Là-bas, il y a un groupe de touristes dont un mec en retrait. Joie.
Le type découvre ce couple dans la file. Cet homme d'âge mur qui palpe discrètement le sexe d'une jeune fille. C'est stupéfiant.
Tout en bavardant, je garde la main sur le sexe de Clémentine. Les gens qui nous précèdent, ceux derrière nous, ne voient pas.
C'est délicieusement excitant de prendre de petits risques qui, si on est adroit, n'en sont pas réellement. Le mec nous observe.

Nous voilà debout parmi une cinquantaine de touristes sur le bac qui traverse cette partie du lac. Les moteurs plutôt bruyants.
Dix minutes. Nous débarquons. L'enchantement reprend. C'est tellement beau que s'en est irréel. Vrais décors de Walt Disney.
La visite est guidée. Je tente de reproduire la situation qu'aime tant ma compagne. Pas d'opportunité. Soudain, une occasion .
Dans le groupe, nous sommes tous deux debout. Nos hautes tailles se remarquent autant que notre différence d'âge. Sympa.
Le guide est certainement un jeune étudiant dont c'est le job d'été. Devant lui, là, je mets ma main sur le sexe de Clémentine.

Ce pauvre garçon doit faire des efforts. Là, devant lui, dans le groupe, cet homme d'âge mûr qui pelote une superbe jeune fille.
De quoi faire une syncope, un malaise ou encore avoir des vertiges. Le guide assure malgré tout. Et en professionnel. Je tripote.
Personne autour de nous ne peut se douter de ce qui se passe. Nous suivons la visite. Je reproduis le plan à plusieurs reprises.
Le jeune homme reste très concentré sur son argumentaire appris par cœur. La visite se termine. Clémentine se dirige vers lui.
Je les vois bavarder. Quelle n'est pas ma surprise lorsque je la vois se toucher tout en bavardant avec le jeune homme. Super.

Mon érection est aussi soudaine que douloureuse. Ma bite est de traviole au fond de mon slibard. Clémentine vient me rejoindre.
Elle me raconte avoir félicité le guide pour la visite et sa profonde érudition historique. Nous rigolons comme des bossus. Sympa.
Nous reprenons le bac. Nous voilà sur la rive à parcourir le sentier dans le sens inverse. Et quelques rares occasions de peloter.
Il est presque 19 h lorsque nous revenons à Kinross. L'animation bât son plein car il y a un concert philharmonique prévu ce soir.
Nous déambulons dans le village. Chaque fois que je touche le sexe de Clémentine, et je le touche souvent, il est plus humide.

Il y a même quelques opportunités d'exhibes rapides et discrètes. Clémentine accroupie, fouille dans notre petit sac à dos. Bien.
Cuisses écartées lorsqu'un quidam solitaire passe à proximité. Moi je reste à l'écart. Parfois, l'un ou l'autre, tente une approche.
Drague forcément maladroite puisque impromptue et dictée par une pulsion soudaine. Clémentine esquive avec élégance. Joie.
Il est 20 h lorsque nous prenons place dans le restaurant. L'unique salle de The Boathouse est pleine à craquer. De l'animation.
Nous dégustons du choux fleur panné, absolument délicieux en accompagnement de langoustes fumées. Un vrai régal. Sublime.

Pas d'opportunité d'exhibe dans le restaurant. Trop de monde. Nous traînons à table jusqu'aux environs de 22 h. Super dessert.
Nous déambulons dans les rue. Le concert philharmonique s'achève. Un orchestre de plus de vingt musiciens en smokings noirs.
Les musiciennes en robes noires. La fatigue se fait sentir. Nous retournons à la voiture. La route, Clémentine joue avec mon zob.
Il est 23 h lorsque nous revenons. Au lit, j'offre un sublime cunnilingus à Clémentine qui me confie ses émotions vécues ce jour.
Je lui propose de remettre la fellation qu'elle veut offrir à demain. Nous voilà épuisés. Serrés l'un contre l'autre, nous plongeons.

Bonnes visites à toutes les coquines qui découvrent les joies indicibles de se faire tripoter discrètement devant des inconnus…

Julien - (Qui va offrir le plaisir indicible de la palpation à Clémentine, à chaque fois que cela est possible. C'est si simple) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 14 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 496 -



La chance de pouvoir prendre la poudre d'escampette

Hier matin, mercredi, nous nous réveillons en même temps. C'est la stéréophonie modulée de nos gémissements loufoques.
Cela nous amuse tellement que tout cela s'achève dans un cri : < Good day my love ! >. Nous en rions de bon cœur. 7 h15.
Clémentine me chevauche en riant pour me couvrir le visage de bisous. Puis elle m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes.
Morts de faim, nous allons dans la cuisine pour y préparer notre petit déjeuner que nous prenons dans l'odeur de pain grillé.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous évoquons la randonnée de hier et le programme d'aujourd'hui. Joie.

Nous sommes tous deux vêtus de nos tenues de jogging, aussi, dès la vaisselle terminée, nous descendons pour aller courir.
Il fait beau. Il y a quelques nuages dans le ciel. Cela assure contre tout risque de canicule. Il est 7 h45 et nous courons bien.
Nous croisons les joggeurs habituels que nous saluons d'un signe de tête. Arrêt au sommet de la colline pour voir Edimbourg.
Il est 9 h30 lorsque nous prenons notre douche. Nous nous habillons légèrement. Clémentine est à l'ordinateur. Je téléphone.
Nos avons décidé de partir passer deux jours à Inverness, dans les Highlands. Je fais plusieurs hôtels. Et évidemment pleins.

Ce n'est qu'au bout du cinquième appel que la chance me sourit. Il y a une chambre. C'est un couple de touristes qui a annulé.
Clémentine saute de joie autour de moi. Nous réservons la chambre que je paie immédiatement en ligne. Deux nuits en ville.
Nous répondons à nos trois messages. Celui d'Estelle qui nous raconte sa journée. Sa soirée à la piscine, son impatience folle.
A la piscine il y a un sénior qui la drague effrontément. Il lui a même proposé de l'enculer ! C'est dire si le bougre est saligaud.
Tout comme Clémentine, Estelle déteste l'enculade et ne fréquente pas d'enculés. Nous rigolons comme des bossus de ce culot.

Il y a le message de mon oncle qui tient la galerie. Deux ventes et une commande. Les affaires se portent comme un charme.
Juliette qui nous raconte les travaux de réfection des écuries dans son haras. Nous répondons aux trois messages avec photos.
Clémentine porte une jupette sport, beige, un T-shirt blanc et ses sandalettes. Je suis en short, chemisette et sandales. Super.
Il est 10 h30. Je roule doucement. Nous quittons Edimbourg en direction de l'autoroute. C'est l'A9 qui mène à Inverness. Bien.
Clémentine joue avec ma queue. Nous évoquons Estelle. Sa venue prochaine. Estelle qui se fait proposer des sodomies séniors.

Nous rions de bon cœur en imaginant Estelle confrontée à des propositions d'enculades. Nous, que la sodomie dégoûte plutôt.
La circulation est fluide. Nous roulons très bien. Il y a environ 160 km jusqu'à la capitale culturelle des Highlands dans le Nord.
Nous arrivons à Fort William vers midi trente. Je connais l'itinéraire qui mène à la petite route qui longe le Loch Ness côté Est.
C'est l'étroite petite route qui évite de rester sur l'itinéraire touristique de la rive Ouest du lac. Le Loch Ness a 35 km de long.
Nous passons à Foyers devant Boleskine House, l'ancienne demeure du mage Aleister Crowley. Clémentine désire s'y arrêter.

Je gare la voiture sur l'étroit park place, juste devant le muret de l'ancien cimetière. Il y a là plein de vieilles dalles funéraires.
Anciennes tombes. Boleskine House a été construite sur l'emplacement où une église a brûlé avec tous les fidèles à l'intérieur.
Pour les gens du village voisin de Foyers, le lieu est maudit, hanté. Je propose à Clémentine de manger dans le restau du coin.
Nous y avons dégusté un délicieux repas l'an dernier. L'établissement est tenu par un Chef cuisinier Français. Et sympathique.
Clémentine reconnait immédiatement l'endroit. Nous mangeons des asperges confites avec du saumon poêlé. Vraiment divin.

Nous trainons à table avec l'assurance de savoir que notre séjour à Inverness est assuré. Il est 14 h lorsque nous repartons.
Dans cette région vivent nombre de célébrités de la musique, du cinéma ou encore de la littérature. Résidences secondaires.
C'est donc l'endroit au monde où l'on croise le nombre le plus impressionnant de Rolls Royce, de Bentley. Et avec chauffeurs.
Je roule doucement. Là-bas, sur sa presqu'île, les ruines entretenues de Castle Urqhart. Sur notre gauche il y a le Loch Ness.
Il y a plein de bateaux qui sillonnent les eaux sombres du lac. C'est l'endroit le plus visité et le plus touristique. Et c'est beau.

Tout autour de nous, il y a les sommets des Black Mount. Collines recouvertes de hauts sapins. C'est un spectacle grandiose.
Nous arrivons à Inverness en longeant la large rivière Ness. Il est 15 h. L'hôtel se trouve au centre. Et très simple à trouver.
Je gare la voiture dans le parking souterrain. Nous montons à la réception avec nos simples bagages. Accueil très chaleureux.
Nous prenons possession des clefs de notre chambre, au cinquième étage. Vue magnifique sur le château et sur toute la ville.
Clémentine se serre contre moi pour me dire : < Je t'aime Julien. C'est merveilleux d'être ici. Tout est si simple avec toi ! >

Nous descendons pour nous retrouver dans la rue. Il fait chaud mais cela reste très agréable. Pas la canicule de l'an dernier.
Nous marchons vers la cathédrale Saint André. Grande bâtisse gothique aux tours tronquées qui évoque plutôt un château.
Nous visitons. Il y a des groupes de touristes partout. Ils suivent des guides. Nous restons souvent à l'écart tout en écoutant.
Nous voilà à flâner. Parfois, dans sa joie, Clémentine se blottit rapidement contre moi, pour me chuchoter une douceur. Bises.
Elle en profite également pour palper ma braguette. Ce qui nous amuse toujours beaucoup. < J'ai envie de trucs ! > fait elle.

Nous pénétrons dans le marché Victorien couvert. C'est un grand espace de plus de 26 00 m². C'est immense. Plein de gens.
Nous nous offrons des cônes glacés que nous dégustons en nous promenant. Il y a les étals des vendeurs de fruits. Légumes.
Il y a là tous les commerces que l'on peut imaginer. Il fait très agréable de s'y promener sous les grandes verrière anciennes.
Il y a même une opportunité exhibe dans le salon de thé où nous prenons place devant des verres de limonade bien fraîche.
Clémentine ne porte pas de culotte sous sa jupette. Il est donc aisé de s'offrir quelques frissons, quelques délicates frayeurs.

Il y a deux couples de touristes. Des quinquagénaires assis à une table voisine. A leur accent, ils sont surement Américains.
Avec Clémentine, par jeu, nous passons souvent de longs moments à parler en Anglais. Cela permet à Clémentine de réviser.
Quelques jours en Angleterre et la pratique de la langue retrouve tous les reflexes. C'est ma langue natale et ça fait du bien.
Clémentine me demande de mâter. Je pose mon téléphone sur la table de façon à pouvoir regarder sur l'écran. Rétroviseur.
Je distingue donc parfaitement un des deux messieurs qui observe Clémentine tout en bavardant. Elle me raconte en détail.

Cuisses largement écartées sous la table, se touchant parfois, Clémentine offre à l'inconnu un show bien rôdé et bien "huilé".
L'homme ne perd pas le Nord. Tout en mâtant à s'en déboîter les globes oculaires, il discute avec ses amis. C'est du grand art.
Il faut être vigilant. Clémentine s'assure toujours de n'être vue que de la "cible", de la VP, la "Victime Potentielle" de notre jeu.
Elle est passée maître de cet exercice périlleux. Clémentine me fait part de son excitation grandissante. Là, le type se touche.
Discrètement, sous sa table, le touriste se palpe la braguette d'un geste rapide. Pas de doute, il apprécie ça autant que la fille.

Pourtant, hélas, la situation est de courte durée. Ses amis se lèvent. Ils partent. L'homme se retourne pour faire un clin d'œil.
Clin d'œil auquel Clémentine répond par le sien. Je bande comme le dernier des salauds. Je félicite ma compagne pour le show.
A notre tour, nous partons pour continuer nos flâneries. A présent, bien excités, nous sommes également à l'affut d'un "plan".
Il est rapidement dix neuf heures. Nous nous baladons sur les bords de la Ness. La rivière est large. Et les bords sont un parc.
Il y a des bancs sur les pelouses en pentes. Des bosquets, des fourrés, tout ce qu'affectionne Clémentine pour s'offrir un plan.

Il y a quelques superbes opportunités. Accroupie entre des arbustes, ou derrière des bancs, Clémentine fouille notre sac à dos.
Ce ne sont évidemment qu'autant de prétextes pour s'exhiber devant des messieurs solitaires qui semblent enchantés du truc.
Je reste toujours à l'écart. Où je fais semblant de lire une brochure, de faire des photos ou d'être intéressé par quelques fleurs.
Parfois, lorsque Clémentine se fait une frayeur un peu plus conséquente, je filme discrètement. Là, par exemple, elle fait pipi.
Accroupie entre deux fourrés, cuisses largement écartées, elle est entrain de pisser devant un jeune homme qui regarde. Bien.

Comme souvent, sur la demande de Clémentine, j'interviens lorsque la "VP" devient un peu trop entreprenante. Trop collante.
Elle déteste les mecs chiants, dragueurs incapables de rester de simple spectateurs privilégiés. J'assure donc le service d'ordre.
Nous en rions souvent de bon cœur. Et ce sont autant d'amusantes anecdotes à nous raconter en baisant. Nourriture de l'esprit.
Nous retournons à l'hôtel où nous attend la table que nous avons réservée au restaurant panoramique. Fruits de mer. Délicieux.
Epuisés, vers 23 h, nous voilà au lit. Nous tentons bien des trucs. J'offre un cunnilingus à Clémentine. Et nous nous endormons.

Bonnes petites exhibes sympas, discrètes, mais hautement jouissives, à toutes les coquines qui aiment êtres sans culotte…

Julien - (Qui assure son rôle de garde du corps avec vigilance, célérité et diligence. Tout en bandant comme un salaud) -

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Nous pouvons rester à Inverness deux jours de plus

Hier matin, jeudi, je suis tiré de mon sommeil par le léger frottement des draps et l'imperceptible mouvement du matelas.
Je me doute immédiatement de ce qui se passe. J'ouvre les yeux. Mon réveil a pour conséquence de faire cesser tout bruit.
Clémentine, couchée sur le ventre se retourne pour se blottir contre moi. < J'ai fait un rêve érotique ! > me murmure t-elle.
< Bonjour ma belle masturbatrice ! > ai je le temps de chuchoter avant qu'elle ne me chevauche en riant. Papouilles. Bises.
Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim nous nous habillons rapidement pour descendre prendre le petit déjeuner.

Prévoyants, nous avons apporté notre pain complet et bio. Cela nous évite l'insipide pain blanc qui est servi dans les hôtels.
Tant pis pour la confiture de qualité médiocre et le beurre. Il y a plein de monde dans la salle. Nous sommes en tenues sport.
Nous mangeons toutefois de bon appétit tout en bavardant. Nous élaborons notre programme de la journée. Une randonnée.
Le jus d'orange est des plus médiocres. Et sans doute issu d'une production industrielle. Nous le saurons pour demain matin.
Nous sortons de l'hôtel. Il est 7 h45. Avec prudence nous courons jusqu'aux berges de la Ness qui coule à environ 300 mètres.

Il fait beau. Dans le ciel, pas un nuage. Il fait très agréable. Nous courons d'un bon rythme. Nous croisons plein de joggeurs.
Tous le parcours se fait au bord de la large rivière Ness dont les eaux scintillent de mille feux sous un soleil déjà bien ardent.
Il est neuf heures trente lorsque nous revenons à l'hôtel. La douche. Je prépare notre sac à dos. Clémentine à l'ordinateur .
La Wifi fonctionne à merveille. La connexion est rapide. Il y a nos deux messages. Celui d'Estelle qui nous raconte sa journée.
Celui de Lennie qui nous annonce qu'ils sont arrivés près de Dublin, dans un petit port charmant. Leur périple continue. bien.

Nous répondons en joignant deux photos. Clémentine porte sa jupette kaki, un T-shirt gris et ses baskets. Je porte un short.
Nous remettons la clef à la réception. A tout hasard, je demande s'il était possible de rester deux nuits supplémentaires. Joie.
C'est tout à fait possible. C'est magnifique car nous voulons découvrir des endroits que nous n'avons pas vu l'année dernière.
Nous voilà en route. Je roule avec prudence. La circulation est assez dense. La région est hautement touristique. Fréquentée.
Clémentine joue avec ma queue tout en me faisant part de sa joie immense. Pouvoir profiter de la région et un jour de plus.

Nous voilà sur la rive Est du Loch Ness. Cette fameuse route militaire inconnue des touristes. Il fait très chaud et le ciel bleu.
Pas de doute, la journée risque fort d'être caniculaire. Sur le lac, il y a déjà tous ces grands bateaux blanc plein de touristes.
Les ruines du château Urqhart sur sa presqu'île. Château que nous avons visité l'an dernier. Nous arrivons au village. Foyers.
Je gare la voiture à l'ombre. Nous réservons une table dans un charmant petit restaurant. Ce sera pour 13 h. Et il est 11 h15.
C'est un chalet en bois. "Camerons tea room". Nous voilà rassurés pour le repas. Nous prenons le sentier balisé qui monte là.

Nous suivons le parcours fléché en direction des chutes. Falls of Foyers offre un spectacle magnifique. A environ 20 minutes.
Nous croisons évidement quantité de promeneurs. Principalement des petits groupes ou des couples. Notre marche est facile.
A plusieurs reprises, comme elle fait lorsqu'elle déborde de joie, Clémentine me palpe la braguette. Et discrètement. Superbe.
M'assurant qu'il n'y a sur l'instant personne à proximité, je passe ma main sous sa jupette. Et sa culotte est dans le sac à dos.
Tout cela est du domaine de l'affectif, davantage que du registre de la sexualité. Mais ça commence souvent de cette façon.

Le vacarme de l'eau tombant d'une bonne trentaine de mètres, nous averti. Nous arrivons là dans une sorte de vaste crique.
Le spectacle est majestueux. A couper le souffle. Ces eaux tumultueuses iront se jeter de chutes en chutes dans le loch Ness.
Il faut rester prudent. Nous longeons les rambardes de sécurité en croisant plein de visiteurs. Clémentine fait quelques photos.
En général, nous ne faisons pas de tourisme lambda, nous fuyons la foule, mais devant tant de splendeurs, nous supportons.
Nous gravissons un étroit escalier taillé dans le roc pour monter au-dessus des chutes. Nous sommes sujets au vertige. Peur.

Il n'y a aucune opportunité d'exhibes avec tant de gens. Clémentine m'en fait part en se touchant discrètement. C'est rapide.
C'est autant pour conjurer sa peur du vide que pour entretenir une excitation qui fait son apparition dans nos libidos. Coquins.
Nous admirons ce spectacle grandiose. Il y a des giclées d'eau qui montent parfois jusqu'à nous. Le vacarme est infernal. Fou.
La faim commence à se faire sentir. Nous redescendons l'escalier. Il faut suivre ceux devant nous et éviter ceux qui montent.
Nous prenons le sentier qui contourne le tout petit lac aux pieds des chutes. Il y a un cabanon avec de grandes cartes du lieu.

Nous étudions l'itinéraire de cet après-midi. Il faudra repasser par les chutes. Partout autour de nous il y a des randonneurs.
Nous reprenons le sentier qui rejoint Foyers. Il est presque 13 h lorsque nous arrivons à "Camerons tea room". Plein de gens.
Notre table nous attend. Près de la petite fenêtre. Vue sur un bout de Loch Ness. Sublime. Les eaux scintillent sous le soleil.
Nous dégustons de délicieuses tartelettes au saumon du Loch. Accompagnées de petits légumes rissolés. C'est un vrai régal.
Il y a beaucoup de monde. Heureusement que nous avons réservé. Et nous faisons de même pour le repas du soir. Même lieu.

Il est 14 h. Nous voilà sur le même sentier que ce matin. L'affluence est telle qu'il faut sans cesse éviter des marcheurs lents.
Nous arrivons aux chutes. Il y a là une véritable foule. Nous continuons. Au cabanon, nous prenons le sentier pour Great Glen.
Le sentier est balisé sur toute sa longueur. Il est plutôt difficile. Les marcheurs se raréfient. Il fait une chaleur caniculaire. Dur.
Heureusement, nous évoluons à l'ombre de grands arbres, chênes, boulots, et surtout sapins. C'est très supportable. Très bien.
Dans les trouées, la vue sur le Loch Ness est féérique. Ses eaux noires et mystérieuses reflètent un ciel sans nuage. Magnifique.

Nous quittons le sentier, malgré les conseils de prudence affichés à intervalles réguliers, pour monter sur un haut promontoire.
De là haut la vue est phénoménale. Nous voyons quelques rares marcheurs, là, en bas, sur le sentier. Clémentine se déshabille.
Je n'ai pas le temps de comprendre. Elle est nue. En baskets. Elle défait ses cheveux. Et elle porte ses larges lunettes de soleil.
< Regarde ! > me fait elle en s'approchant du vide. Je fais : < Attention ! >. Elle me répond : < Pas d'inquiétude, un "plan" ! >
Il y a un type en bas. Il regarde vers le haut. A contre jour, la silhouette d'une jeune fille nue qui se détache sur le ciel. Super.

Je reste en retrait pour voir l'inconnu prendre quelques photos de cette vision enchanteresse. Je bande comme un vrai salaud.
< Mais tu es un salaud ! > me fait Clémentine en prenant des poses sexy. Nous rigolons comme des bossus. C'est phénoménal.
Décidément, Clémentine sait me réserver les plus divines surprises. Cette improvisation me laisse pantois, admiratif également.
La situation ne dure pas. Clémentine se rhabille à toute vitesse. Il n'y a pas grand chose à mettre. Nous redescendons. Rapides.
Nous croisons le type qui reste tête levée, prêt à prendre de nouveaux clichés, sans se douter que cette fille passe à ses côtés.

Nous rions de bon cœur à cette nouvelle farce. Nous arrivons sur un chemin plus large. Nous y croisons des cyclistes en VTT.
C'est vrai que le lieu se prête agréablement aux découvertes en vélo tous chemins. Ou en vélo tous terrains. Il y en a pas mal.
Nous marchons à présent à découvert. L'ombre des grand sapins nous protège du soleil ardent. En bas, le Loch Ness. Superbe.
Nous croisons des cavaliers. Ils sont également en grand nombre. Par groupe de quatre, par deux et parfois seuls. C'est beau.
Nous sommes là sur le Loch Ness Trail South. Le chemin qui fait le tour du lac sur environ 90 kilomètres. Cela reste un projet.

< Quand nous vivrons en Ecosse, on se fera tout l'itinéraire sur une semaine ! > me fait Clémentine. Nous nous en réjouissons.
Nous contournons le massif rocheux. Il y a une cavalière seule, là, en contre bas, qui monte vers le chemin. Il n'y a personne.
Clémentine me met la main dans la braguette. < On se fait surprendre ainsi ! > me fait elle. Je suis soudain terriblement gêné.
Clémentine n'en n'est pas à son coup d'essai. Elle n'a pas sa pareille pour me mettre dans des situations embarrassantes. Rire.
La cavalière arrive. Nous faisons semblant de ne pas la voir. Nous regardons le canal Calédonien, en bas, au fond de la vallée.

Elle arrive à notre hauteur. Impossible de pas voir la main de Clémentine dans mon short. L'écuyère s'arrête pour nous saluer.
Nous bavardons un peu. C'est une jeune femme d'une trentaine d'années, plutôt belle, svelte, les cheveux attachés en natte.
Je suis terriblement gêné de bavarder ainsi. Surtout que Clémentine me tripote franchement. Cela semble amuser la cavalière.
La jeune femme reprend sa promenade en nous souhaitant un bon séjour. Nous la regardons s'éloigner doucement. Superbe.
Elle se retourne pour nous faire un coucou de la main avant de disparaître au virage. Je fais part de mon émotion à Clémentine.

Nous rigolons comme des bossus lorsqu'elle me fait : < Tu sais, devant l'enthousiasme de la cavalière, j'ai failli te la sortir ! >.
Je l'ai échappé belle. Nous terminons la boucle de cette partie du sentier. Il est 19 h45 lorsque nous revenons enfin au village.
Morts de faim, nous allons directement à "Camerons tea room" où nous attend notre table réservée pour 20 h. Plein de clients.
Nous savourons le saumon fumé accompagné de pommes de terre finement grillées en lamelles. Et les délicieux haricots verts.
Nous traînons à table. Le dessert est tout aussi fameux. Des coupes glacées à la crème de pistache. Un vrai régal. Il est 22 h15.

Nous prenons la route du retour. La lune est presque pleine. Elle se reflète dans les eaux sombres du Loch Ness. Fantomatique.
Il est 23 lorsque nous revenons à l'hôtel. Fourbus mais tellement heureux de notre journée. Et on s'en est mis plein les yeux.
Au lit, j'offre un cunnilingus à Clémentine qui m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Nous voilà immobiles.
C'est le moment des révélations. J'écoute Clémentine me faire part de ses émotions vécues aujourd'hui. Et c'est très excitant.
Trop fatigués et détestant les orgasmes bâclés, nous ne tardons pas à nous endormir. Serrés l'un contre l'autre, le plongeon…

Bonne randonnée à toutes les coquines qui aiment à réaliser leurs fantasmes les plus délirants. A poil par exemple…

Julien - (Qui est toujours agréablement surpris par les initiatives étonnantes de Clémentine. C'est le bonheur absolu) -

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Exhibes champêtres dans un endroit idyllique et préservé

Hier matin, vendredi, nous nous réveillons en même temps. Nous observons un petit moment notre chambre d'hôtel. Sympa.
< Bonjour Julien ! > me fait Clémentine en me faisant plein de bisous. < Bonjour Clémentine ! > ai je le temps de murmurer.
Elle me chevauche en riant avant de m'entraîner par la queue jusqu'aux toilettes pour notre rituel pisseux quotidien. Matinal.
Il est à peine 7 h15. Nous revêtons nos tenues de jogging avant de nous munir de notre pain et descendre par l'escalier. Joie.
Il y a du monde dans la grande salle. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le programme du jour. Dehors, il fait beau.

Nous mangeons de bon appétit même si la confiote est insipide, que le miel ne doit être que du glucose chinois. Pas très grave.
Nous courons avec prudence jusque sur les bords de la Ness ou d'autres joggeurs courent déjà. Il fait chaud. Il est 7 h45. Bien.
Nous revenons pour 9 h15 après un running des plus agréables. La douche. Nous nous habillons comme hier, tenue de marche.
Je prépare le sac à dos. Clémentine est devant l'ordinateur. Elle me lit le message d'Estelle et celui de mon oncle. C'est sympa.
Estelle est de plus en plus impatiente. Elle ne compte plus les jours mais les heures qui nous séparent. Elle nous raconte tout.

Le message de mon oncle qui tient ma galerie m'apprend une nouvelle vente. Il conclue qu'à se train là, plus rien à la mi août.
Nous répondons aux deux messages en joignant deux photos prises hier sur Great Glen. Nous voilà prêts. Vêtues léger. Super.
Il est 10 h15 lorsque nous sortons d'Inverness pour prendre la route touristique qui longe le Loch Ness sur tout son côté Ouest.
Je roule doucement. La circulation est dense. Clémentine joue avec ma bite tout en me confiant son impatience de randonner.
Nous arrivons à Drumnadrochit, petit village typique où nous achetons des fruits. Pommes, bananes et oranges. La supérette.

Comme souvent, notre couple attire quelques regards interrogatifs. Cet homme d'âge mûr et cette jeune fille. Amant ou père ?
Cela nous amuse toujours beaucoup et nous en jouons. Cette fois, c'est l'employé du magasin qui semble perplexe. Et il mâte.
Le jeune homme, vêtu d'une blouse grise, tout en remplissant les rayons confitures, n'a de yeux que pour Clémentine. Super.
Je le comprends. Cette grande jeune fille brune, en jupette sport, en T-shirt et en baskets est plutôt attractive. Et il est discret.
Pour bien marquer le coup, Clémentine s'accroupit tout prêt du gaillard pour choisir un pot de confiture tout au bas du rayon.

Cuisses largement écartées, sa culotte dans le sac à dos que je porte, Clémentine lui offre la vue de sa touffe si dense, noire.
Le jeune homme mâte à s'en déboîter les globes oculaires. Il y a des clients qui passent. Personne ne se doute de la situation.
Clémentine se redresse. Je suis en retrait. Je fais semblant de lire l'étiquette d'un paquet de biscottes. C'est absolument divin.
Clémentine, se touchant discrètement demande quelque chose à l'employé qui l'invite à la suivre. Un peu plus loin, rayon miel.
Elle s'accroupit à nouveau. Le jeune homme fait de même et pour lui recommander un produit en particulier. C'est un prétexte.

La journée commence donc très fort. Cela dure un petit moment. Le jeune homme tente sa chance. Il se met à draguer. Bien.
Clémentine se redresse. Elle tient le pot de miel d'une main et se touche discrètement de l'autre. Elle remercie l'employé ravi.
Ma compagne vient me rejoindre. Nous avons de la bonne confiture et du bon miel dans deux tous petits pots. Et pour l'hôtel.
A la caisse, nous suivons la file de clients. Le jeune homme vient ranger des paniers. C'est un prétexte pour mâter Clémentine.
Clémentine me fait du coude. J'ai bien remarqué le jeu du magasinier. Personne ne nous voit. Je mets ma main sur son sexe.

Nous fixons tous deux le jeune homme avec un sourire vicelard. A travers le tissus de la jupette je palpe le sexe de Clémentine.
Nous nous amusons de le voir comme affolé, tentant de garder son calme en empilant des paniers. Nous payons. Nous quittons.
Dans la voiture, nous rigolons comme des bossus de notre farce. < Pauvre gars ! Il doit être au chiottes ! > fait Clémentine.
Elle rajoute, tout en mimant une masturbation masculine : < Et il doit y aller ! >. Nous rions de bon cœur de cette probabilité.
Je contourne le petit lac. Nous suivons la petite route jusqu'au bourg de Canmore où nous garons la voiture sur le parking. Bien.

Il est 11 h30. Avant de prendre le sentier qui part à gauche de l'église, nous allons réserver une table dans le petit restaurant.
C'est l'unique établissement hôtelier du village. Notre repas du soir est assuré. Nous reviendrons pour 20 h30. C'est rassurant.
Il y a moins de monde sur cette partie de l'itinéraire. Nous contournons le petit lac. Là-bas le magnifique manoir Kilmartin Hall.
Le sentier monte rapidement. Nous arrivons au début de Glen Affric. C'est une vallée très fréquentée et une réserve naturelle.
Effectivement, dès que nous arrivons sur le chemin à flanc de colline, nous croisons plein de randonneurs. La vue est superbe.

C'est un itinéraire jalonné de panonceaux explicatifs. Les espèces rares de la flore. Les "hôtels à insectes". La faune de l'endroit.
Biches, chevreuils, sangliers, lynx, tout ce que nous risquons de croiser sur notre parcours. Le gazouillis incessant des oiseaux.
C'est un enchantement pour tous les amoureux de la nature dont nous faisons partie. Et nous y croisons de nombreux cavaliers.
Nous évoquons Juliette et ses chevaux par association d'idée. Il est presque treize heures et la faim se fait cruellement sentir.
Nous avisons des bancs et des tables en contrebas, à l'ombre d'un cabanon et de grands sapins. Il y a un panneau indicateur.

Nous voilà assis à une longue table au bout de laquelle il y a deux couples. Nous y dégustons nos pommes et nos sandwichs.
Nous apprécions le peu de fraîcheur. Même si la journée est moins caniculaire que celle d'hier, il fait chaud. C'est sympathique.
Autour de nous, ça parle hollandais, chinois sans doute et allemand. Il y a un grand nombre d'Asiatiques qui découvrent le lieu.
Là-bas, le cabanon des sanitaires. Trop fréquenté. Inutile d'envisager de nous y amuser. Y envisager une exhibe serait ridicule.
Nous traînons à table jusqu'à ce qu'un groupe vienne s'y installer. Nous terminons notre repas par deux grosses oranges. Jus.

Le chemin de randonné reste à flanc de colline des deux côtés de la vallée. La randonnée de Glen Affric est ainsi conçue. Super.
Cela permet de préserver la faune et la flore. Nous marchons sur un étroit sentier recommandé aux marcheurs "expérimentés".
Bien évidemment, il y a moins de monde. Nous y croisons des marcheurs plus aguerris. Là, en contre bas, un solitaire. Une VP.
< Une "Victime Potentielle ! > fait Clémentine en me demandant de rester en retrait. Je quitte le sentier pour monter plus haut.
De là, couché à plat ventre sur un promontoire rocheux, je vois Clémentine accroupie, les cheveux défaits et lunettes de soleil.

C'est un quinquagénaire, grand, maigre, de style baroudeur, coiffé d'un large chapeau, short et chemise kaki. Son sac à dos.
L'inconnu tombe sur ce sublime spectacle. Je suis à une vingtaine de mètres. Je l'entends saluer la fille. En allemand. Arrhhh !
Clémentine me tourne le dos. Je vois la scène en contre bas. Voyeur privilégié. Le type est à quelques mètres de la jeune fille.
Clémentine doit pisser depuis un bon moment. Comme souvent, elle se retient pour un "plan" exhibe éventuel. Voilà l'occasion.
J'aperçois le filet de pisse qui s'écoule sur les pierres claires du sentier et jusqu'aux pieds de notre baroudeur très observateur.

L'inconnu est même obligé de se déplacer pour ne pas se faire mouiller ses grosses godasses de montagnard. C'est surréaliste.
Il regarde à gauche. Il regarde à droite. Personne. Rapidement, d'un geste calme, il ouvre sa braguette et en sort un gros zob.
C'est une bite molle, longue, qui n'est pas sans évoquer une grosse chipolata. Le type l'agite en la faisant tournoyer. Un lasso.
Il se met à bavarder. Clémentine relève la tête pour discuter avec lui. Elle reste dans cette position, trop heureuse de l'aubaine.
Les bonnes occasions sont rares. Ma présence dans les environs, soigneusement planqué, assure une sécurité dont elle profite.

Ces situations sont les préférées de ma compagne. Elle peut donner libre cour à ces tendances exhibitionnistes. Discrètement.
Je la vois, cuisses écartées au maximum, bavarder avec ce mec qui se branle à présent comme le bienheureux qu'il est. Joie.
Je suis couché sur le ventre. Je bande comme le dernier des salaud en bougeant du bassin pour me masturber contre la roche.
Voilà notre type qui en arrive à la phase des propositions salaces, graveleuses et somme toute bien normales en telle situation.
Alors lui, dans un anglais parfais, propose à la jeune fille de se trouver un endroit en retrait pour baiser et sans être dérangé.

Pour appuyer son propos, de la poche de sa chemisette, le bougre sort même un sachet contenant une capote qu'il agite. Rire.
Heureusement, mettant un terme à cette situation cocasse, arrive un groupe de marcheurs dont on entend les voix. Tout cesse.
Le type remballe sa chipolata, Clémentine se redresse. Il reste la longue coulée de pisse dans laquelle marche les randonneurs.
Clémentine s'éloigne rapidement. L'arrivée d'autres gens est toujours la chose parfaite pour mettre fin à ce gente de situation.
Pour éviter toute velléité non souhaitée, je redescends rejoindre Clémentine. Le baroudeurs comprend. Il continue son chemin.

Tout en marchant, je félicite Clémentine pour son show de qualité. < Je suis rôdée ! > me fait elle. Nous en rions de bon cœur.
Il est 19 h45 lorsque nous revenons à la voiture. Fourbus. Epuisés. Mais tellement ravis de notre randonnée. C'était si superbe.
Nous flânons un peu dans Canmore. La petite église est encore ouverte. L'endroit est charmant. Désuet à souhait. C'est beau.
Clémentine prend quelques clichés de l'intérieur de ce lieu d'un autre temps. Rien d'ostentatoire. Du mobilier ancien, sans âme.
L'intérieur fait penser à la petite église de Renne-le-Château. Et il y a la statue d'un diable grandeur nature à droite, à l'entrée.

Il est 20 h30 lorsque nous sommes attablés devant du saumon poêlé à la crème accompagné de champignons rissolés. Miam.
La salle est pleine de monde. Inutile d'imaginer s'offrir un autre "plan" ici. Trop risqué. Et notre couple fait l'objet de curiosité.
Nous traînons à table. Il est 22 h15 lorsque nous retournons à la voiture. Je roule doucement. Clémentine se touche, me suce.
Arrivés à l'hôtel, j'insiste pour bouffer la chatte à Clémentine afin de profiter de tous ses sucs de sa journée de fille. Un délice.
Nous baisons. Clémentine me confie ses émotions. Nos orgasmes sont dithyrambiques malgré l'épuisement. Bisous et dodo…

Bonnes petites exhibes charmantes et grâcieuses à toutes les coquines que la randonnée excite…

Julien - (Qui assure son rôle de vigile avec célérité. Les show de Clémentine sont de véritables merveilles) -

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Une remarquable journée de découvertes en tous genres

Hier matin, samedi, nous nous réveillons en même temps. C'est toujours un peu déstabilisant de se réveiller dans un hôtel.
Nous nous étirons en modulant longuement nos gémissements. < Bonjour Julien ! > me fait Clémentine en me chevauchant.
< Bonjour Clémentine ! > ai je le temps de dire avant qu'elle ne m'entraîne par la queue jusqu'aux toilettes. Le rituel pisseux.
Nous nous habillons de nos tenues de jogging, nous prenons notre pain et nous descendons. Il est à peine 7 h15. Il fait beau.
Il y a déjà plein de monde dans le réfectoire. Nous prenons notre petit déjeuner avec notre pain, notre confiture et notre miel.

Nous mangeons de bon appétit tout en élaborant le programme du jour. Il est 7 h45. Nous voilà à courir jusqu'à la rivière Ness.
Il y a de plus en plus du nuages. Rien de menaçant toutefois. Nous courons d'un bon rythme sur les bords de la Ness. Superbe.
Il est 9 h15 lorsque nous revenons à l'hôtel. La douche. Le ciel est voilé mais lumineux. La chaleur reste présente. Supportable.
Je prépare nos sandwichs au fromage. C'est la fin du gruyère de Comté que nos avons emmené. Clémentine est à l'ordinateur.
Il y a le message d'Estelle qui nous raconte sa journée. Le message de Juliette qui nous raconte l'avancée des travaux au haras.

Je prépare notre petit sac à dos et nous répondons aux deux courriels. Il est 10 h. Nous voilà en route pour Fort William. 65 km.
Je roule doucement sur la petite route qui longe le lac sur son côté Est. Sur notre droite, les eaux noires et calmes du Loch Ness.
Clémentine qui joue avec ma bite me confie son enchantement quand à notre séjour à Inverness. Nous repartons demain matin.
Nous arrivons à Fort William pour 11 h. Je gare la voiture à l'entrée de la ville. Il y a du monde. Fort William est une petite ville.
C'est un lieu incontournable. La silhouette de l'énorme Ben Nevis et des montagnes environnantes lui confère une allure alpestre.

Clémentine retire sa culotte qu'elle met dans le petit sac à dos que je porte. Elle porte sa jupette de sport kaki, T-shirt, baskets.
Je suis en short, T-shirt et baskets. Fort William n'est pas une cité de caractère. Seul son centre offre son côté typique écossais.
Nous flânons sur High Street dont le charme rappelle un peu Edimbourg. Il y a quantité de boutiques, d'échoppes, de magasins.
Fort William est réputé pour ses possibilités exceptionnelles d'escalades et de varappes, plein de magasins d'articles de grimpes.
C'est le rendez-vous incontournable de tous les amateurs de ce sport. On y vient du monde entier pour pratiquer les escalades.

Le ciel est devenu d'un gris lumineux. Couvert. Il fait doux. Pour ne prendre aucun risque, nous décidons d'éviter de randonner.
Je propose à Clémentine de nous faire le fameux circuit "Harry Potter" et en train. Le nom de ce circuit depuis le succès du film.
La gare est toute proche. Heureusement nous pouvons prendre nos billets à l'office de tourisme. Et c'est totalement improvisé.
Nous voilà munis de nos précieux tickets pour Poudlard, l'école des sorciers, bien évidemment fictive mais mentionnée partout.
Il faut se mettre dans la file. La brochure indique un circuit touristique de 90 km. Une boucle qui permet de découvrir Glen Coe.

Même si nous détestons la promiscuité, l'enchantement est tel que nous faisons abstraction de la présence touristique. Faculté.
Le quai de la gare est celui du premier épisode de la saga Harry Potter. Clémentine est sur un nuage. C'est féérique. Ambiance.
C'est un train à l'ancienne. Une grosse locomotive noire à vapeur tractant d'anciens wagons à la mode Victorienne. C'est super.
< On est vraiment dans le film ! > me fait Clémentine. Les places son numérotées à cause de l'affluence touristique. C'est fou.
Nous montons dans un des wagons. Des haut parleurs diffusent des messages de bienvenue dans plusieurs langues. Organisé.

Le départ à lieu à midi. Dans un signal assourdissant, grave et modulé, le train s'ébranle doucement dans un nuage de vapeur.
Pour être plus conforme avec l'image folklorique du film, l'abondance de vapeur est sans doute artificielle. Et c'est très exagéré.
C'est dans cette ambiance de parc d'attraction géant qu'est l'Ecosse à la belle saison que nous quittons la gare de Fort William.
Immédiatement nous découvrons l'immensité des paysages qui nous entourent. C'est proprement époustouflant. Une merveille.
Une voix féminine, douce et quelque peu lénifiante, accompagne nos découvertes pour nous indiquer les lieux et leurs histoires.

Nous sommes confortablement installés sur des banquettes. Clémentine est tout contre la fenêtre. Je suis à sa gauche. Super.
Nous sommes dans un compartiment de dix personnes. Fort heureusement nous échappons aux familles bruyantes et pénibles.
Ce sont principalement des couples. Et une majorité de séniors. En face de nous un couple de quinquagénaires. Des Américains.
Ils sont reconnaissables à leur accent traînant. Contrairement aux Anglais, aux Ecossais, les Américains avalent plein de mots…
Le type mâte parfois Clémentine. Elle m'en fait part en murmurant. Le regard insistant dans le reflet de la vitre. Un dragueur !

Bien évidemment, même si l'enchantement est présent, Clémentine ne perd pas son Nord. Elle est en jupette. Un mec devant.
La femme ne se doute certainement pas du jeu de son mari. Elle porte des lunettes, des cheveux en chignon et pas très sexy.
Clémentine me fait du coude avec insistance. Je regarde. Je comprends qu'elle a commencé son si discret show exhibitionniste.
Les cuisses légèrement écartées, elle offre à la vue de l'inconnu la vision de son invraisemblable touffe, noire, fournie et dense.
Je vois le type loucher en direction de l'entre jambes de la fille. Sa femme à ses côtés observe le paysage fantastique. Sublime.

Je bande comme le dernier des salauds. C'est douloureux car ma bite est tordue au fond de mon slibard. Et j'aimerais l'ajuster.
Nous arrivons au viaduc "Gentleman". Ce viaduc de pierre que l'on voit dans le premier film de la saga de l'école des sorciers.
C'est époustouflant. C'est un spectacle à couper le souffle. Le ciel est gris. Exactement l'ambiance magique qu'il faut. Sublime.
Le train ralenti. Le signal sonore. Un jet de vapeur. C'est du Walt Disney de qualité. La faim commence à se faire sentir. Cruelle.
Tout le monde dans le compartiment semble être animé de la même fringale. Je sors nos sandwichs. D'autres font pareil. Joie.

Il y a des Hollandais dans le compartiments. Trois couples d'amis. Ils chuchotent et viennent faire des photos à tour de rôle.
Nous laissons le viaduc derrière nous. Le train accélère légèrement. Là-bas, les fabuleuses cascades de Steall Falls. Superbes.
Ce sont des chutes qui font plus de 100 mètres de hauteur. Là-bas, le Ben Nevis et son sommet dans les nuages. Magnifique.
La voix dans le haut parleur évoque l'historique des lieux. Les batailles homériques contre l'envahisseur Romain puis Anglais.
La région occupée par les pictes depuis la plus haute antiquité connue. Notre Américain mâte entre les cuisses de Clémentine.

Le salopiot peut en profiter confortablement à chaque fois qu'un de nos voisins se lève pour venir faire quelques photos. Joie.
Bien évidemment, Clémentine en rajoute discrètement une louche. Et le spectacle est tout aussi fantastique sous sa jupette.
L'Américain ne s'y trompe pas car il semble apprécier plus que de raison. Sa femme ne remarque absolument rien. Tant mieux.
Comme hypnotisée par la féérie du paysage, elle ne porte aucune attention à Clémentine qui s'expose là en discrète virtuose.
J'aimerais ajuster ma bite tordue au fond de mon slibard. C'est désagréable. Je le murmure à Clémentine. C'est désobligeant.

Là-bas, le village de Acharacle au bord du Loch Shiel. Bourg dont les toits d'argent se mêlent à la couleur du ciel. Gris de plomb.
Clémentine me chuchote ses impressions, ses sensations, ses émotions et sa considérable excitation. Je la comprends très bien.
Là-bas, approche le massif montagneux de Glen Nevis. Nous revenons vers Fort William. La durée du voyage n'excède pas 3 h.
Nous arrivons en gare. Gros nuages de vapeur. Multiple signaux sonores. Sur le quai, d'autres touristes attendent leur tour. Joie.
Nous descendons. Le quai est noir de monde. Des barrières partagent le flot des arrivées et celui des départs. C'était si sublime.

Nous quittons la gare. Discrètement, entre un fourgon des postes et une camionnette de livraison, Clémentine me prend la main.
Elle me la glisse sous la jupette. Sa chatte est suintante. J'y enfonce un doigt avec facilité. Je le retire pour le porter à la bouche.
C'est succulent. Je recommence pour en avoir encore. Je regarde. C'est de la cyprine bien laiteuse, visqueuse, gluante. Superbe.
Je dis : < J'ai envie de te bouffer la chatte ! Si tu savais ! >. Nous rions de bon cœur quand Clémentine répond : < Moi aussi ! >
Nous nous offrons deux cônes glacés que nous dégustons en déambulant sur High Street. Nous évoquons notre voyage en train.

Il est 18 h30. Nous lisons les menus proposés par les nombreux restaurants. Nous jetons notre dévolu sur Grannog Seafood.
Nous y entrons pour réserver une table. Ce ne sera possible que pour 20 h30. Pas de problème. Nous réservons. Tranquillisés.
Nous traînons dans les rues adjacentes à High Street. Là, le couple d'Américains du train. Et c'est Clémentine qui les aperçoit.
Ils regardent la vitrine d'un grand magasin d'antiquités. Clémentine me fait : < J'aimerais bien lui donner l'absolution ! >. Rire.
Il est toutefois impossible d'en rajouter une couche. Pas d'exhibitions pour enfoncer le clou. Clémentine, frustrée nous entraîne.

Il est rapidement 20 h15. Clémentine s'offre une petite frayeur en pissant entre deux voitures sous les yeux d'un passant seul.
Le type s'arrête pour mâter le merveilleux show. Il ne tente rien. Il se contente d'admirer. Je suis en retrait, planqué plus loin.
< J'ai la chatte en feu ! > me confie Clémentine en revenant me rejoindre. Nous entrons dans le restaurant. C'est plein de gens.
Notre table nous attend près de la fenêtre. Vue sur le Ben Nevis. Il serait délirant de tenter une exhibe avec le monde autour.
Il faut se consoler avec du homard grillé, des roulés de saumon fumé et accompagnés de salicornes assaisonnées différemment.

Il y a des gouttes de pluie. Les nuages cachent le sommet des montagnes. Nous traînons à table jusqu'aux environs de 22 h30.
Pas de parapluie. Par contre nous avons nos K-ways dans le petit sac à dos. Il faut les mettre. La pluie est fine. Et c'est sympa.
Un peu de fraîcheur est la bienvenue. Nous arrivons à la voiture. Je roule doucement. Il y a 60 bornes jusqu'à Inverness. Bien.
Clémentine se touche, joue avec ma bite et me suce parfois. Nous arrivons à l'hôtel. Il est 23 h45. Epuisés. Nous voilà couchés.
Nous tentons bien un truc. Je suce un peu Clémentine afin de me régaler de ses sucs. Nous préférons remettre à demain. Dodo.

Bonne découverte du circuit "Harry Ploteur" à toutes les coquines qui aiment voir remuer des braguettes magiques…

Julien - (Qui déteste avoir la bite tordue et confinée au fond de son slibard lorsqu'il bande comme un vrai salaud) -

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Classe - 18 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 500 -



Fin du périple dans la région d'Inverness

Hier matin, dimanche, nous nous réveillons en même temps. Dans l'amusant concerto de nos gémissements modulés. Joie.
Nous ponctuons par le cri : < Good Morning darling ! >. Nous en rigolons comme des bossus avant de nous serrer très fort.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la queue jusqu'aux toilettes. C'est notre rituel pisseux matinal.
Nous nous habillons. Le dimanche, pas d'entraînement, pas de jogging. Nous descendons en short, T-shirt et baskets. Bien.
Nous descendons avec nos pots de confiture et de miel. Par contre il faudra se contenter de l'insipide pain blanc de l'hôtel.

Nous prenons notre petit déjeuner parmi une trentaine de clients déjà debouts. Il est à peine 7 h15. Le ciel est très lumineux.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le programme de la journée. Nous repartons sur Edimbourg en fin de matinée.
< J'ai l'impression de rentrer à la maison ! > me fait Clémentine qui disserte longuement sur son désir de devenir écossaise.
< C'est là que je veux faire ma vie. Tu veux bien m'y aider ? > fait elle. Je promets de l'aider, de lui mettre le pied à l'étrier.
De toutes manières, c'est mon désir depuis quelques années. Avec l'arrivée de Clémentine dans ma vie, cela devient évident.

Il faudra résoudre quelques détails d'ordre sociaux, logistiques. Il y a encore quatre ans d'études en France pour Clémentine.
Nous remontons à la chambre afin de préparer nos affaires. C'est la douche. Nous nous habillons. Clémentine porte sa jupette.
Elle me montre la tache de cyprine à l'arrière, qui a séché. C'est la jupette kaki qu'elle portait hier, dans le train, sans culotte.
Avec l'excitation, il y a du jus de fille qui a coulé et qui a séché cette nuit. Nous en rions de bon cœur car ça n'a pas traversé.
Je suis en short. Nous portons tous deux le même T-shirt et nos baskets. Nous découvrons les deux messages sur l'ordinateur.

Il y a celui d'Estelle qui nous raconte sa journée. Il n'y a plus que trois jours avant son arrivée en Ecosse pour nous rejoindre.
Il y a le message de Lennie, la jeune Hollandaise qui nous apprend qu'elle sera de retour à South Queensferry à la fin d'août.
Elle a baratiné ses parents et son grand-père afin qu'ils reviennent ici deux jours avant de rentrer en Hollande avec le bateau.
Cela nous amuse beaucoup. Nous répondons en joignant deux photos prises hier à Fort William. Il est temps de quitter l'hôtel.
Il est à peine neuf heures lorsque nous nous retrouvons en voiture. Je propose à Clémentine de nous balader un peu au Loch.

Le ciel est voilé. Il fait doux et agréable. Je roule doucement. La circulation est dense. Clémentine joue avec ma queue. Rires.
Nous arrivons sur la rive Est du Loch Ness. Nous roulons jusqu'à Foyers où nous garons la voiture sur le parking du restaurant.
Nous y réservons une table pour midi. Nous n'avons plus rien à manger. Clémentine retire sa culotte qu'elle laisse dans l'auto.
Nous contournons Boleskine House pour monter le chemin qui passe à l'arrière. Il longe une rivière torrentueuse et bruyante.
Il y a bien quelques promeneurs mais très peu de monde. Certainement des gens du villages car l'endroit n'est pas touristique.

Comme souvent, sur la demande de ma compagne, ma braguette reste discrètement ouverte. Elle peut y glisser sa main. Joie.
Parfois, je glisse ma main sous sa jupette pour lui palper la vulve avec toute la vulgarité qu'elle exige de cet acte bien vicelard.
J'y enfonce quelquefois le doigt. < Hmmm ! C'est bon ça ! > me fait alors Clémentine en cessant de marcher pour m'embrasser.
Nous montons un étroit sentier qui nous mène jusqu'aux ruines d'une maison de pierres grises. L'endroit est propre. Très isolé.
Le sol est pavé de larges dalles de grès. Clémentine m'y entraîne et me dit : < Prends moi, là, j'ai trop envie. Je t'aime tant ! >

Je sors les K-ways du petit sac à dos. Je les ouvre pour les poser au sol. Clémentine s'y allonge dessus en écartant ses jambes.
Je suis à genoux. Je mets mon visage entre ses cuisses. Je me régale de ce jus de fille si abondant chez ma compagne. Délice.
Je suce son clitoris géant ce qui a pour effet de procurer les plus indicibles douceurs à ma compagne qui se pâme en gémissant.
Je reste toutefois vigilant. Pas un bruit. Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Bon.
Je déteste peser de tout mon poids sur Clémentine. Je reste en appuis sur mes bras. Nous restons immobiles à nous observer.

C'est toujours le prélude aux révélations les plus secrètes de ma compagne qui me chuchote alors les choses les plus intimes.
Elle évoque ses exhibes écossaises. Son fantasme de goûter à la bite d'un Asiatique avant la fin de notre séjour. C'est faisable.
Je lui propose de tenter un "plan". Ce n'est jamais simple. Les Asiatiques sont le plus souvent en groupes. Il faut savoir ruser.
Nous n'en n'avons jamais croisé de solitaires à Edimbourg. Parfois, nous nous mettons à bouger doucement pour nous bercer.
Il n'est pas question d'aller jusqu'à l'orgasme. Nous préférons rester excités pour le restant de la journée. C'est notre habitude.

Le moment est intense, semble durer longtemps. Il doit être pas loin de 11 h30. Et le temps de redescendre jusqu'au village.
Je me retire avec autant de précaution. Clémentine est tellement étroite que même excitée il faut redoubler de prudence. Bien.
Je lui lèche un peu la chatte car je ne veux pas gâcher. Il coule de délicieuses substances. Clémentine me suce la queue. Jus.
Nous descendons rapidement le sentier. Il y a des vaches écossaises dans le pré. Avec leurs longs poils, leurs grandes cornes.
Elles nous regardent passer tout en mâchant. Clémentine lève sa jupette et leur montre ses fesses. Nous en rions de bon cœur.

Plus bas, les eaux noires du Loch Ness reflètent le ciel uniformément gris et lumineux. Et il y a plein de bateaux touristiques.
Il est midi tapante lorsque nous arrivons au restaurant où nous attend notre table. La petite salle est pleine de gens. Clients.
Nous nous régalons de boulettes de saumon finement haché accompagnées de petits légumes de saison finement poêlés. Bon.
Nous mangeons tout en bavardant. La baise matinale nous a ouvert l'appétit. Et nous faisons très rarement l'amour le matin.
Pas d'opportunité d'exhibe pour Clémentine qui, excitée, aimerait beaucoup s'y adonner. Il y a bien trop de monde. Discret.

Il est 13 h45 lorsque nous quittons le village de Foyers. Je roule doucement en direction de Fort Augustus afin d'y prendre l'A9.
Il y a 130 km jusqu'à Edimbourg. Clémentine joue avec ma bite, se touche parfois, me suce de temps en temps. Sympathique.
Nous nous arrêtons quelquefois pour prendre des photos. Sur l'autoroute, il y a de la circulation. C'est dimanche. Les vacances.
C'est une sorte de chassé croisé entre les touristes qui arrivent dans cette région de l'Ecosse et ceux qui en repartent. Superbe.
Il est 16 h30 lorsque nous arrivons à Edimbourg. < Enfin à la maison ! J'ai l'impression de rentrer chez nous ! > dit Clémentine.

J'ai également cette curieuse impression. Nous arrivons à l'appartement. Il y plein de voitures garées dans la cour. Visiteurs.
Mon oncle et ma tante reçoivent souvent du monde. Nous ne nous changeons pas. Nous prenons les bicyclettes pour repartir.
Nous descendons Morningside avec prudence, les mains sur les freins. Nous voilà à Leith. Nous prenons la piste cyclable. Joie.
< C'est vraiment comme à la maison ! > me confie Clémentine en pédalant à mes côtés. Nous croisons quantité de cyclistes.
Clémentine déteste faire du vélo sans culotte. Elle me montre celle qu'elle porte. < Dommage ! > fait elle. Et cela nous amuse.

20 km des plus agréables dans une absence totale de vent. Nous arrivons à South Queensferry. Il y a toujours plein de monde.
Nous fermons nos vélos à cadenas. Il est 19 H. Nous réservons une table dans le restaurant de la dernière fois, et sur les quais.
Il y a une boulangerie qui propose ses pains artisanaux. Nous en prenons un des derniers juste avant la fermeture. Une miche.
Pour demain matin. Un pain complet bio, aux noix. Il nous faudra faire les courses. Acheter des fruits. Nous faisons abondance.
Voilà le pain dans le petit sac à dos que je porte. Clémentine a discrètement retiré sa culotte qui rejoint le pain. Nous flânons.

Il y a une animation considérable sur le quai. Plein de touristes. Dans une rue adjacente, il y a un attroupement. Plein de gens.
C'est un couple qui fait de la musique. La jeune fille en robe longue qui joue du violoncelle, le jeune homme qui joue de la harpe.
C'est de la musique folklorique écossaise de toute beauté. Clémentine m'entraîne par la main. Et nous avançons dans le groupe.
Accroupie devant moi, prenant quelques photos, Clémentine cherche un plan exhibe rapide, improvisé, mais parfaitement mené.
Virtuose, elle parvient à trouver une victime potentielle en la personne même du jeune musicien. La jeune fille s'en rend compte.

Vision fugace, qui ne dure qu'un instant, mais qui permet aux privilégiés de découvrir la plus magnifique touffe de tout le port.
Il y a même un type, là, juste en face, qui découvre le manège de Clémentine. Elle se redresse rapidement. Trop tard, il a vu.
Nous continuons notre promenade. Clémentine qui se retient depuis longtemps, éprouve une méchante envie de se soulager.
Là, entre deux voitures, alors que je reste à l'écart pour faire le guet, Clémentine attend une victime potentielle. Accroupie. Pipi.
La victime potentielle se pointe en la personne d'un jeune homme qui marche en regardant l'écran de son téléphone. Ecouteurs.

Le jeune inconnu tombe sur le merveilleux spectacle. Il s'arrête. Cette jeune fille qui pisse là, tout près, semble l'hypnotiser.
Il mâte. Clémentine bien droite, cuisses largement écartées, pisse d'un jet continu. Et il y a une flaque qui s'agrandit sous elle.
Le jeune homme continue son chemin, s'arrête, revient sur ses pas. Il veut être certain de ne pas rêver. Et c'est si fantastique.
Clémentine reste dans cette position. Les mains posées sur ses genoux, fixant le jeune homme avec un sourire. C'est fabuleux.
Ce sont des situations qui n'arrivent souvent qu'une fois dans une vie. Le jeune homme n'en n'est certainement pas conscient.

Clémentine se redresse doucement en se torchant avec le mouchoir en papier qu'elle tient à la main. Elle le tend au jeune type.
Il ne prend pas l'exacte mesure de la signification de ce "cadeau". Cela lui ferait un souvenir. Non ! Il s'éloigne pour disparaître.
Clémentine jette le mouchoir en papier dans une poubelle en venant me rejoindre. < Touche ! > me fait elle, prenant ma main.
Je la passe sous sa jupette. C'est trempée de foutrine. J'ai la forte envie de bouffer cette chatte trempée. J'en lèche mes doigts.
Il est temps de se diriger vers le restaurant. Nous avons notre réservation pour 20 h30. Nous sommes morts de faim. Des bises.

Nous sommes attablés dans la salle emplie de monde. Nous dégustons un gigantesque plateau de fruits de mer. C'est délicieux.
Nous mangeons de bon appétit. Nous faisons le bilan de ce premier mois passé en Ecosse. Bilan hautement positif, déterminant.
Clémentine évoque une fois encore sa détermination de passer le restant de sa vie ici, dans cette région d'Edimbourg, "sa ville".
Nous traînons à table. Il est 22 h. Il faut rentrer à bicyclette. 20 bornes. Les vélos sont équipés. Et nous ne sommes pas seuls.
Nombre de touristes et de pratiquants apprécient de rouler de nuit. Il est presque minuit. Epuisés. Le lit. Plus rien. Le plongeon.

Bonnes petites baises et bonnes petites exhibes à toutes les coquines qui passent de merveilleuses vacances à se faire lécher…

Julien - (Qui adore bouffer la cramouille de Clémentine. Car jamais une chatte n'a tant mérité le nom de "Cramouille") -

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L'Ecosse sous toutes ses coutures, sous toutes ses formes

Hier matin, lundi, je me réveille le premier. J'aime tellement observer Clémentine dans le total relâchement de son sommeil.
Seulement voilà, cela ne dure jamais très longtemps. Avertie par son infaillible sixième sens, elle sait déjà que je l'observe.
Elle ouvre les yeux à son tour. < Bonjour mon amour ! > me chuchote t-elle, se serrant contre moi. Je lui fais plein de bisous.
< Bonjour ma belle dormeuse ! > ai je le temps de lui murmurer à l'oreille avant qu'elle ne me chevauche en riant. Papouilles.
L'impérieux besoin naturel ne nous permet pas de continuer nos effusions de tendresse. Clémentine m'entraîne aux toilettes.

Nous mettons nos tenues de jogging avant d'aller à la cuisine. Je presse nos quatre dernières oranges. Clémentine fait le café.
Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable reste de pain grillé que nous avons ramené d'Inverness. Pain aux noix. Bon.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous faisons un rapide et vague programme de la journée. Faire des achats.
Il faudra faire les courses. Dehors il y a la même météo. Un ciel voilé et lumineux. Il fait très agréable. Et il est à peine 7 h30.
La vaisselle. Nous descendons par l'escalier de service. Il fait doux. Nous courons, contents de retrouver notre circuit habituel.

Nous croisons la plupart des joggeurs que nous rencontrons depuis le début de notre séjour à Edimbourg. Nous nous saluons.
Depuis le haut de la colline, la vue sur la ville est magnifique. Il est 9 H30 lorsque nous revenons pour prendre notre douche.
Nous nous habillons légèrement. Clémentine porte sa robe d'été, sombre, cintrée à la taille et ses sandalettes à légers talons.
Je porte mon short de ville, une chemisette, mes sandales. Nous descendons Morningside jusqu'au carrefour de Christ Church.
Il y a toujours autant de visiteurs et de toutes nationalité. On y entend parler Hollandais, Allemand et principalement Japonais.

Nous prenons la rue commerçante jusqu'à la supérette. Il y a du monde. Nous achetons des fruits en grande quantité. Oranges.
< Regarde ! > me chuchote Clémentine devant le rayon poissonnerie. Je mâte discrètement dans la direction indiquée. Sympa.
Il y a un asiatique seul. Il est plutôt élégant, soigné et jeune. Il porte le même T-shirt blanc que ses compatriotes dehors. Bien.
Ils voyagent le plus souvent en groupe. Celui là fait certainement une rapide course. Il a plein de tablettes de chocolat en main.
Il doit arriver à l'épaule de cette belle jeune fille à qui il sourit. Clémentine lui rend son sourire. Je reste discrètement à l'écart.

Il y a des gens partout dans les rayons. Cela peut quelquefois s'avérer pratique. Et Clémentine sait en tirer tous les avantages.
L'inconnu louche en direction de Clémentine qui se touche discrètement. La main appuyée sur le tissus de sa robe. Excellent !
Elle reproduit cet acte plusieurs fois. Toujours rapide, fugace, mais terriblement évocateur. Un geste précis. Une main experte.
L'asiatique entre dans le jeu tout aussi discrètement. Il ne tente absolument aucune approche. Un vrai must pour Clémentine.
Il y a une femme qui rejoint l'inconnu avec des paquets de gâteaux. Nous n'avions pas vu qu'ils étaient deux. Et même T-shirt.

Nous passons en caisse. Dehors, nous regardons le groupe d'asiatiques partir vers Christ Church. L'inconnu se retourne. Discret.
Il nous voit. Clémentine lui fait un petit signe de la main. Nous passons à la boulangerie. Nous prenons une grosse miche "Bio".
Nos sacs sont lourd. Nous remontons Morningside. Clémentine me fait : < C'est comme si j'avais toujours vécu ici ! Curieux ! >
Elle rajoute : < Et nous sommes déjà des habitants du quartier ! On ferait la même choses si nous vivions ici ! >. C'est exact.
Nous arrivons à l'appartement pour 11 h45. Le temps de ranger nos courses. La faim commence à se faire sentir. C'est sympa.

Nous préparons un brouilli de courgette, d'aubergine et de tomate en accompagnement de filets de saumon que je fais sauter.
Clémentine s'occupe de la salade. Une belle laitue frisée. Tout va vite. Ma compagne évoque son fantasme. Sucer un asiatique.
J'écoute en silence et amusé les différentes stratégies imaginaires que propose Clémentine pour en rencontrer un et le pomper.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle lance : < Il faudrait en attirer un hors de son groupe mais pas que les autres le perdent ! >
Nous mangeons de bon appétit tout en continuant à extrapoler sur une fellation à un asiatique. Je propose différents "plans".

La vaisselle. Nous répondons aux deux messages. Celui d'Estelle. Elle est seule chez elle. Ses parents sont parties pour le Var.
Estelle s'occupe de la fermeture de l'entreprise familiale. C'est Gauvain qui l'emmènera à l'aéroport mercredi matin. C'est bien.
Elle arrivera avec l'avion de 11 h45 à l'aéroport d'Edimbourg où nous l'attendrons. Il y a le message assez long de Juliette. Joie.
Juliette part en Corse, dans son village de Sartène pour deux semaines. Tout cela achève de nous enchanter. Tout est superbe.
Nous sommes vêtus en tenues de balade. Clémentine porte une jupette sport grise et un T-shirt noir. Baskets. Je suis pareil...

Il est 13 h45 lorsque nous roulons en direction de Dunbar, à l'extrême Est d'Edimbourg. Il y a environs 45 km de route. Sympa.
Je roule doucement dans une circulation dense. Clémentine joue avec ma bite. Sucer un asiatique devient une vraie obsession.
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'elle me fait : < Goûter un Nem. Nature. Dans son jus. Et avec des petites nouilles ! >
Je lui fais : < L'occasion se présentera forcément un jour ! >. Elle me répond : < Mais comme d'habitude, le fruit du hasard ! >
Il n'est évidemment pas question d'organiser une rencontre ou de planifier un rendez-vous. Toutes ces choses si détestables.

Nous arrivons à Dunbar, dernière petite ville côtière de la région des Lothians. Le ciel restera lumineux et voilé toute la journée.
Je gare la voiture sur le parking aux pieds des ruines du château. Clémentine retire sa culotte qu'elle met dans notre sac à dos.
Le cri des mouettes est assourdissant. Une légère brise de mer apporte une heureuse fraîcheur. Il est 14 h30. Il y a du monde.
Nous flânons le long de cette partie des quais pour monter l'escalier large qui mène à la citadelle perchée sur la falaise. Sympa.
Les ruines ne sont pas aussi grandes qu'elle ne le paraissent vues d'en bas. Le regard porte sur l'horizon. C'est si majestueux.

Là, un groupe d'asiatiques. Une bonne trentaine. Tous vêtus des mêmes T-shirt jaunes, d'un short bleu et de baskets blanches.
Clémentine me fait : < On mâte, s'il y en a un qui s'écarte du groupe, je lui fais sa fête ! >. Nous rigolons comme des bossus.
Ce n'est qu'une plaisanterie. Mais nous ne pouvons nous empêcher de les observer. Nous descendons pour longer le long quai.
Le port est allongé. Les grands bateaux de pêches sont nombreux. Les maisons colorées sont pour la plupart belles et fleuries.
Nous sommes prévoyants. Nous avisons un des restaurants sympas pour y réserver une table en soirée. Le "Victoria Harbour".

Le soleil fait son apparition à plusieurs reprises. Nous prenons le sentier côtier. Du haut des falaises vertigineuses c'est superbe.
Nous croisons quantité de promeneurs, de randonneurs, principalement des petits groupes de marcheurs. Des couples séniors.
Nous gravissons un escalier de pierres qui rejoint un promontoire. Il y a une grande table d'orientation. Une longue vue fixée.
Il y a plus loin une petite maison de pierre. Un ancien poste douanier du XIXème siècle. Nous nous y dirigeons. Personne. Bien.
Nous restons assis sur les marches de l'escalier, à l'ombre de la petite maisonnette. Nous savourons nos pommes en bavardant.

Il y a un touriste qui marche sur le sentier. Seul, il semble se diriger vers ici. Clémentine me fait : < Un "plan" d'enfer ! >. Joie.
Je me lève pour la laisser assise seule sur le haut de l'escalier. Je passe derrière la maisonnette. Je suis caché. Il y a la falaise.
Je suis prudent. J'évite de regarder par delà la rambarde. Il y a un à pic d'au moins cent mètres. Le bruit des flots tout en bas.
Le type arrive au bas de l'escalier. Il remarque la jeune fille assise là, les cuisses légèrement écartées et qui mange sa pomme.
C'est un trentenaire. Mince, grand, il porte des lunettes. Il est vêtu d'une chemisette, d'un short et de baskets. Il mâte discret.

Il regarde partout autour. Il n'y a que lui et cette jeune fille dont les cheveux flottent dans la brise, avec ses lunettes de soleil.
L'inconnu semble hésiter. Il prend quelques photos des environs. Il regarde plusieurs fois en haut de l'escalier. Est-il timide ?
Clémentine, prudente, regarde elle aussi dans toutes les directions. L'endroit est propice à une exhibe de très grande qualité.
Je suis planqué. Je vois Clémentine de dos. J'admire l'aplomb avec lequel elle reste ainsi, cuisses écartées devant cet inconnu.
Je bande comme le dernier des salauds. Le type engage enfin la conversation. Je ne comprends pas. Et je suis à plus de 20 m.

Il est certainement question de photos. Je vois le type poser un genoux à terre, chercher le bon angle et prendre des clichés.
Clémentine écarte ses cuisses au maximum. Je la vois s'installer tout au bord de la marche sur laquelle elle est assise. Super.
Notre photographe garde un self contrôle qui rassure Clémentine. Je ne distingue pas bien. Soudain, un jet brille sous le soleil.
Pas de doute, elle pisse. Le jet est impressionnant. Clémentine, en appui sur ses mains, derrière elle, se cambre. C'est super.
Cette position lui permet de pisser d'un jet incroyablement puissant qui vient se briser en bas de l'escalier. Tout près du type.

Clémentine, son anonymat préservé sous ses larges lunettes noires, ses cheveux défaits, peut donner libre cours à sa passion.
Le type fait une grande quantité de photos. Clémentine se retourne pour se mettre à quatre pattes, pour montrer son super cul.
L'impressionnante touffe de poils ne doit pas laisser notre artiste indifférent. Et je le vois lever le pouce à chaque nouvelle pose.
Il doit faire quelques propositions car je vois Clémentine opposer plusieurs mouvements de négations. De la tête et de la main.
C'est un gentleman. Il a un stock de photos pour la vie entière. Il ne demande pas son reste et s'en va avec un dernier coucou.

Clémentine, au comble de sa joie, me fait part de son excitation délirante, de l'immense plaisir qu'elle a vécu dans cette impro.
Je lui propose un léchage de minou là ou j'était planqué. Je ne suis pas obligé de le proposer deux fois. C'est un vrai délice. Joie.
Clémentine, malgré sa grande "technique", ne peut réfréner l'orgasme qui la terrasse. Je mets ma main sur sa bouche. Elle crie.
Après avoir repris nos esprits, nous continuons notre découverte. Il est 19 h45 lorsque nous revenons au port. Et morts de faim.
Nous avons réservé pour 20 h. Nous dégustons nos filets de queues de langoustes fumées accompagnées de salicornes. Miam…

Nous traînons à table. Nous évoquons notre aventure de cet après-midi. Clémentine me fait part de l'excitation encore intense.
Nous rions de bon cœur à l'idée de toutes ces photos d'elle qui doivent nourrir les fantasmes de quelques touristes plus malins.
Il est 22 h lorsque nous flânons encore un peu dans la douceur de ce crépuscule de bord de mer. Il y a de l'animation. Superbe.
Sur le chemin du retour, je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue, me suce parfois et se touche en gémissant. Joie.
Il est 23 h30. Nous détestons tous les deux les orgasmes bâclés. Je lui propose de remettre tout ça à demain. Nous plongeons.

Bonne séance de pose totalement improvisée à toutes les coquines exhibitionnistes qui savent profiter du moment idéal…

Julien - (Qui s'amuse de savoir que des photos d'une Clémentine parfaitement anonyme se baladent un peu partout) -

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Clémentine et Julien en Ecosse - Coeur
Wednesday 1 August 2018 08:00

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - 20 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 502 -



Une nouvelle escapade à bicyclettes en bord de mer

Hier matin, mardi, je suis réveillé par un souffle chaud sur mon visage. J'ouvre l'œil. Au dessus de moi celui de Clémentine.
< Bonjour Julien ! > me fait elle en me couvrant les joues, le nez et le front de bisous. Je la serre fort contre moi. Je l'aime.
< Bonjour Clémentine ! > ai je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche en riant. Douceur, tendresse, les papouilles.
L'impérieux besoin, naturel et prosaïque, met un terme aux effusions. Clémentine m'entraîne par la bite jusqu'aux toilettes.
Morts de faim nous allons dans la cuisine. Il est 7 h15. Nous sommes déjà vêtus de nos tenues de jogging. Dehors, le soleil.

Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Et l'agréable odeur de pain grillé achève de flatter notre odorat.
Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de ce jour.
Clémentine exprime le souhait de faire une virée vélo. C'est une bonne idée. Nous adorons ça et c'est une des dernières fois.
Après demain ce sera le départ pour l'île de Skye et pour une semaine. Puis nous monterons dans le Nord pour les Shetlands.
Deux jours en mer puis nous reviendrons par la côté Est afin de nous rendre chez ma tante à saint Andrews pour trois jours.

La vaisselle. Nous descendons l'escalier de service pour nous retrouver dans la douceur de cette nouvelle matinée écossaise.
Nous courons d'un bon rythme. Nous croisons nombre de joggeurs que nous rencontrons presque tous les jours. C'est sympa.
Il y a une alternance de séquences ensoleillées et de séquences nuageuses. C'est vraiment le climat qui nous convient. L'idéal.
La vue sur Edimbourg depuis le sommet de la colline est un enchantement. Il est 9 h30 quand nous revenons à l'appartement.
La douche. Nous nous habillons légèrement. Nous découvrons les deux messages. Celui d'Estelle qui arrive demain à 11 h45.

Il y a celui de mon oncle qui tient ma galerie. Encore deux ventes. A ce train là il n'y aura plus rien à vendre pour la mi août.
La saison est excellente. J'ai également trois autres commandes pour cet automne. Cela en fait quatre. C'est ma préférence.
D'ici deux ou trois ans, je ne veux plus me consacrer qu'aux œuvres de commandes. J'ai l'intime conviction de peindre mieux.
Nous répondons aux deux courriels en y joignant deux photos redimensionnées prises hier. Et d'un simple clic de Clémentine.
Il est 10 h. Nous descendons Morningside jusqu'au carrefour de Christ Church. Nous prenons à gauche, la rue commerçante.

En prévision de l'arrivée d'Estelle, demain matin, nous voulons lui préparer un succulent repas de midi. Poissonnerie ouverte.
Il y a du monde. Nous sommes au milieu de la saison touristique. Et il y a les autochtones qui font leurs courses quotidiennes.
Nous commençons d'ailleurs même à croiser quelques visages devenus familiers. Et nous faisons la queue dans la poissonnerie.
Nous avions déjà repéré ces grosses ravioles de crevettes, de crabe, de saumon. Et surtout ces feuilletés de crustacés fumés.
Nous en prenons à profusion. Nous prenons différentes préparations de salicornes en accompagnement. Et nous voilà rassurés.

Nous remontons Morningside en flânant. Il y a toujours autant de visiteurs et d'autocars garés devant l'église de Christ Church.
Clémentine m'entraîne dans le petit parc adjacent. < On ne sait jamais ! Un asiatique tout seul ! Un Nem > me fait Clémentine.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Un bon Nem, "nature" et présenté dans son jus me fait de plus en plus envie ! >
Il y a beaucoup trop de touristes dans le parc pour tenter une exhibe de qualité. < Miam ! Tous ces Nems ! > lance Clémentine.
Effectivement il y a quelques groupes d'Asiatiques armés d'appareils photos qui mitraillent à tour de clic. C'est un vrai spectacle.

Je rappelle à ma compagne qu'il y a Taylor, l'homme à la moto, en "réserve" pour s'offrir une petite frayeur bien vicelarde. Joie.
< J'y pensais l'autre jour à celui-là ! C'est vrai ! On se le "fait" demain matin avant d'aller à l'aéroport. Tu veux ? > me fait elle.
Nous en rigolons comme des bossus lorsque Clémentine rajoute : < Ce n'est pas un Nem, mais c'est appétissant également ! >
Il est 11 h30 lorsque nous arrivons à l'appartement. Nous mettons les courses au réfrigérateur. Clémentine se serre contre moi.
< Merci Julien ! Avant toi, les vacances ça signifiait la fin des cours et un boulot de caissière pendant deux mois ! > me fait elle.

< Merci Julien de m'offrir cette vie ! > rajoute t-elle avant de m'embrasser pour m'empêcher de répondre. Je la caresse. Doux.
J'arrive enfin à lui chuchoter entre deux baisers fougueux : < Nous y trouvons tous les deux notre compte ! Merci d'exister ! >
Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare du riz complet. Je concocte une omelette au gruyère et aux crevettes. Bien épicée.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant nos souvenirs récents. Notre premier mois en Ecosse qui doucement s'achève.
< De quoi nourrir notre libido pour tout l'hiver ! > me fait Clémentine en s'asseyant sur mes genoux pour terminer son yaourt.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir. Clémentine porte une jupette , T-shirt et baskets.
Je porte un short, T-shirt et baskets. Je prépare notre petit sac à dos. Pommes, barres de céréales, K-ways et la bouteille d'eau.
Il est 13 h30 lorsque nous descendons à nouveau Morningside, les mains sur les freins, en redoublant de prudence. Circulation.
Nous prenons la piste cyclable à partir de Leith pour la quitter à la hauteur de Craigmillar, village dans la banlieue d'Edimbourg.
Nous marchons le long du quai en poussant nos bicyclettes. Il y a le château médiéval éponyme et extrêmement bien conservé.

C'est dans cette forteresse que Marie Stuart vint se réfugier après l'assassinat déterminant de son secrétaire. Epoque troublée.
Bien évidemment, toujours désireux de nourrir notre soif de culture et de connaissance, nous décidons de nous offrir la visite.
Nous fermons nos vélos à cadenas dans la cour du château pleine de monde. Il y a plein d'autres bicyclettes garées là. Super.
Discrètement, virtuose, très rapidement, Clémentine retire sa culotte qu'elle met dans le petit sac à dos que je porte. Amusant.
< Elle aura l'odeur de la pomme ! > me fait Clémentine. Nous rions de bon cœur en nous dirigeant vers la file devant le guichet.

La visite est guidée. Notre guide est une jeune étudiante qui fait là son job d'été. Argumentaire précis qui nous enchante. Bien.
Nous sommes dans un groupe d'une dizaine de visiteurs. Nous croisons quantité d'autres groupes guidés. C'est très intéressant.
< Regarde un peu tous ces Nems ! > me dit Clémentine lorsque nous croisons un groupe d'Asiatiques. Nous rions de bon cœur.
Soudain, là, devant la guide, Clémentine, avec discrétion, pose sa main sur ma braguette. Je suis très gêné. Elle le fait souvent.
C'est un geste fugace, qui ne dure qu'un instant, mais que Clémentine reproduit à plusieurs reprises. Cela éveille les curiosités.

Notre guide, une jeune fille ravissante d'environ 20 ans, tout en parlant, remarque certainement le petit jeu de Clémentine. Joie.
Elle mâte. Nous sommes devant. Personne ne pourrait se douter de ce qui se passe. Clémentine fait ça durant toute notre visite.
A la fin, comme toujours dans ces cas là, nous allons trouver la guide pour la féliciter. Je lui serre la main avec un billet de 10£.
Cette attention charmante ravie toujours les jeunes étudiantes. Personne ne se doute de cet acte de reconnaissance. Complice.
Je trouve que c'est bien la moindre des convenances. La jeune fille nous remercie. Elle nous dit : < Et j'ai beaucoup apprécié ! >

Les petits jeux d'exhibes discrètes sont souvent appréciés à leur juste valeur. Surtout lorsque cela se passe au sein d'un couple.
Cela n'est d'ailleurs possible qu'en couple. Pour un mec seul, tout cela serait bien trop dangereux. Clémentine à l'âge du guide.
En couple, tout cela reste rassurant, ludique et certainement excitant pour la personne à qui cela s'adresse. Il faut être prudent.
Nous retournons à l'extérieur. Il fait chaud. Nous voilà à pédaler sur la petite route côtière. Nous arrivons à Musselburgh. Bien.
C'est une petite ville dont les faubourgs ont fini par toucher ceux d'Edimbourg. Le centre mérite une petite visite. C'est sympa.

Nous fermons nos vélos à cadenas près de l'office de tourisme où nous prenons quelques brochures. Nous flânons dans les rues.
Musselburgh est la ville des fruits de mer. Aussi, en prévision du repas de ce soir, nous réservons une table dans un restaurant.
Rassurés, nous continuons notre périple. Les alternances de soleil et de nuages nous sont des plus agréables. Nous en profitons.
Nous nous offrons des cônes glacés que nous dégustons en flânant. Là, devant, les bâtiments de la Queen Margaret University.
Clémentine me propose d'y faire une visite puisque les grandes portes de la bâtisse néo gothique sont ouvertes. Il y a des gens.

Le bâtiment ne se visite pas. Seul le hall d'accueil propose un service de renseignements. Une dame derrière un large bureau.
Clémentine s'approche de l'employée pour lui poser toute une série de questions concernant une éventuelle inscription à la fac.
Les "Frenchies" sont très appréciés en Ecosse. Cela remonte au temps de l'alliance contre l'envahisseur Anglais. J'écoute. Bien.
Clémentine se fait remettre des brochures expliquant les pièces administratives à fournir, fiche d'inscription et les conditions.
Nous ressortons. Clémentine me fait : < Tu vois, il suffit de m'inscrire ! >. Je l'écoute amusé m'expliquer la marche à suivre.

Nous allons lire les documents dans un parc. Assis sur un banc, nous parcourons les brochures. Clémentine reste aux aguets.
Nous sommes dans un parc. Il y a donc des opportunités d'exhibes sympas. Là, par exemple, ce touristes assis en face. Seul.
Il est à environ une quinzaine de mètres. Clémentine, derrière ses lunettes de soleil, évalue bien la situation et en chuchotant.
Clémentine écarte d'abord imperceptiblement ses cuisses. Toujours davantage dans un acte mesuré et parfaitement maîtrisé.
Rien ne serait plus stupide que de gâcher cette opportunité par une attitude précipitée. Clémentine est une véritable virtuose.

Chaque fois que le type, la quarantaine, relève la tête, il découvre la belle jeune fille assise à mes côtés, qui écarte ses cuisses.
Je fais semblant d'être absorbé dans la lecture du livret que Clémentine feuillette. Elle me chuchote ce qui se passe. Le voyeur.
Clémentine, parfaite virtuose de l'improvisation, lève une jambe pour poser son pied sur le bord du banc. La vue est splendide.
L'inconnu sait en profiter en connaisseur. Impossible de ne pas voir la touffe de Clémentine lorsqu'elle exagère le mouvement.
Ce jeu dure un petit moment. Une femme vient rejoindre le touriste. Et ils s'en vont. Nous quittons le parc pour le centre ville.

Nous flânons jusqu'au soir. C'est sur le port que nous nous rendons. La table réservée nous y attend dans le petit restaurant.
La salle est pleine. Impossible de "jouer". Le plateau de fruits de mer est succulent. Nous nous goinfrons. Les coupes glacés.
Il est 22 h. Nous flânons encore un peu. Il y a de l'animation. Nous voilà à pédaler sur le chemin du retour. Les vélos équipés.
Il est 23 h lorsque nous revenons à l'appartement. Epuisés mais tellement ravis de notre journée. Au lit, je lèche Clémentine.
Nous détestons les orgasmes bâclés, rapides et de convenances. Il est tellement meilleur de se "garder". Bises et puis dodo…

Bonnes découvertes à toutes les coquines qui aiment montrer leurs chattes discrètement, assises sur un banc, dans un parc…

Julien - (Qui aime à se régaler des sucs intimes de Clémentine après sa journée de fille. Sueur, liqueurs et saveurs) -

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Classe - 21 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 503 -



Nous sommes tous les trois si heureux de nous retrouver

Hier matin, mercredi, nous nous réveillons en même temps. Une sorte d'euphorie nous anime. Nous savons très bien pourquoi.
Nous nous étirons longuement en modulant nos gémissements. Le même cri ponctue cette amusante habitude. < Bonjour ! >
Nous nous serrons très fort en nous couvrant de bisous. Clémentine me chevauche en riant. Douceur, tendresse et papouilles.
Le besoin de pisser met rapidement un terme à nos effusions de joie. Nous nous précipitons aux toilettes et sans cesser de rire.
Puis, morts de faim, nous allons à la cuisine. Nous préparons notre petit déjeuner dans une certaine fébrilité. Cela se comprend.

Nous mangeons de bon appétit tout en dissertant sur l'arrivée d'Estelle en fin de matinée. Il y a l'agréable odeur de pain grillé.
Dehors, le ciel est gris, lourd et menaçant. C'est la toute première fois depuis un mois que nous sommes en Ecosse. Il fait bon.
Nous sommes déjà en tenue de jogging. La vaisselle. Il est à peine 7 h30. Nous descendons l'escalier de service. Pas de pluie.
Nous courons d'un bon rythme le long de notre circuit habituel en croisant nombre de joggeurs devenus familiers. C'est sympa.
La vue sur Edimbourg, depuis le haut de la colline, est magique. Les toits d'ardoises qui se confondent avec le gris des nuages.

Il est 9 h15 lorsque nous revenons à l'appartement. La douche. Nous nous habillons légèrement. Clémentine porte sa robe d'été.
Je suis en short, chemisette. Nous allumons l'ordinateur. Il y a juste un message. celui d'Estelle. Court. Un mot. < J'arrive ! >
Inutile de répondre. Clémentine, ne pouvant contenir sa joie et son exubérance me propose mille et une chose à faire ce matin.
Je lui propose de donner libre cours à son penchant pour les situation "sextraordinaires". < Je t'aime ! > fait elle en se serrant.
Nous décidons de nous rendre au bas de Morningside, dans le bâtiment industriel abandonné. D'organiser un "plan" avec Taylor.

Nous prenons la voiture. Je descends doucement la rue. Clémentine retire sa culotte qu'elle met dans le vide poche. Circulation.
Nous passons devant Christ Church, ses autocars à l'arrêt et ses groupes de touristes. Clémentine a un nouveau fantasme. Rire.
Elle est attirée par les beaux messieurs Asiatiques. Elle appelle affectueusement leurs attributs sexuels, des "Nems". C'est drôle.
Nous en rions de bon cœur. Je gare la voiture à quelques dizaine de mètres des deux cabines téléphoniques rouge. Une occupée.
Il y a un quidam qui téléphone. Parfaitement immobile, sa silhouette claire se détache sur le fond sombre des briques derrière.

< Déjà un "plan" ! > me fait Clémentine en me montrant le type qui téléphone. Je reste à l'écart. Clémentine entre dans l'autre.
Elle compose le numéro de Taylor. Je la vois rapidement bavarder et rire. Elle se touche. Le type de la cabine voisine l'observe.
La conversation est sans doute terminée. Clémentine fait probablement semblant de téléphoner car je la vois soudain attentive.
Le type de la cabine voisine mâte à s'en déboîter les globes oculaires et tout en parlant. Clémentine, discrète, se touche. Bien.
Sa main droite posée sur son sexe et par dessus le tissus de sa robe, fait un léger mouvement de palpation. Insolite en ce lieu.

Clémentine regarde partout autour de la cabine. Les rares passants n'accordent aucune attention à ce qui se passe à l'intérieur.
Clémentine s'accroupit tout en tenant le combiné de sa main gauche. Dans l'endroit exigu la voilà avec les cuisses bien écartées.
Le type converse mais n'en perd pas une miette. La situation dure un moment. Clémentine se redresse et s'accroupit à nouveau.
Elle reproduit cet enchaînement à plusieurs reprises. Il y a une femme qui s'approche. Elle attend son tour pour téléphoner. Fin.
Clémentine sort de la cabine pour me rejoindre. < Je suis hyper "allumée" ! > me fait elle en précisant le rendez-vous. A 10 h15

Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine me confie les émotions vécues dans cette cabine. Et les sensations qui en résultent.
Nous garons la voiture tout près de la grille entrouverte du bâtiment abandonné. Il est 10 h05. Nous avons tout juste le temps.
Nous pénétrons dans la cour abandonnée pour contourner le bâtiment désaffecté. Nous entrons dans l'espace vétuste des WC.
Personne. Et toujours cette odeur pestilentielle, méphitique. Je me planque dans un des cabinets de toilette. J'entrebâille l'huis.
La vision est parfaite. Je regarde Clémentine descendre les trois marches de l'escalier pour aller rôder dans la cour. Il fait gris.

Clémentine se touche, dissimulée derrière la carcasse d'une vieille camionnette. Elle me fait des signes, des coucous, des bises.
Soudain le bruit d'une moto. Clémentine s'accroupit immédiatement pour prendre sa position préférée. Quelques instants. Rien.
Taylor retire son casque qu'il accroche au guidon. Il ouvre sa braguette pour en sortir son sexe blanc, long et mou. Il s'avance.
Il découvre rapidement la jeune fille accroupit qui lui fait un magnifique sourire. Je bande comme le dernier des salauds. Super.
Taylor s'avance. Il agite son sexe dans la direction de Clémentine. Elle se redresse. Elle s'avance pour serrer la main de Taylor.

Je les vois bavarder en riant. Tous deux se touchent tout en discutant. Taylor invite Clémentine à se saisir de sa queue molle.
Clémentine s'en saisit. Taylor passe sa main sous la jupe de la fille. Elle se cambre. Ecarte ses jambes. Taylor lui fait un doigt.
Je vois Clémentine mimer une pipe tout en se faisant masturber. Sa main fermée devant sa bouche, une bosse avec la langue.
Taylor se détourne. Pour ne pas pisser sur la fille. Il se lâche dans un jet que dirige Clémentine. Taylor la saisit par la nuque.
Pas du tout disposée à se laisser faire, Clémentine lui retire le bras d'un geste ferme avant de se détourner sans lâcher la bite.

Clémentine s'accroupit aux côtés de Taylor pour lui secouer les dernières gouttes. Taylor tente encore une fois de l'attirer. Fort.
Cette fois Clémentine se redresse, tire sur la queue molle du mec pour l'entraîner vers sa moto. Il indique sa montre. L'heure.
Je le regarde enfiler son casque, monter sur sa moto. Clémentine lui fait un dernier signe. Il disparaît. Il doit aller à son boulot.
Je rejoins Clémentine qui me raconte ses émotions. Sa "dure lutte" pour ne pas céder à la tentation de sucer ce mec. Le culot.
< Il connaît un asiatique qui tient un petit Fast Food au bas de la rue. Je lui ai confié mon fantasme "Nem" ! > fait Clémentine.

Nous rigolons comme des bossus. C'était donc ça dont elle parlait lorsque je la voyais mimer une pipe devant Taylor. Culottée.
Je roule doucement. Nous prenons la direction de l'aéroport. Clémentine me fait part de l'intense excitation qui l'habite. Rires.
Il y a une dizaine de bornes. Nous arrivons. Il est 11 h. Je gare l'auto. Nous pénétrons dans le hall. C'est plein de gens. Sympa.
La voix féminine dans les hauts parleurs. L'avion en provenance de France arrive dans quelques minutes. A l'heure. Ambiance.
Nous sommes tous deux fébriles. Nous regardons le grand avion blanc se poser. Nous nous approchons des immenses vitres.

Les passagers commencent à descendre la passerelle. Là-bas, à une centaine de mètres, nous reconnaissons la silhouette. Joie.
Estelle, sa haute taille filiforme, vêtue d'un jean, d'un T-shirt, de baskets. Elle marche très vite. Nous nous faisons remarquer.
Estelle nous a remarqué. Nous nous précipitons pour l'accueillir. Nous avons de la peine à contenir nos larmes. La joie. Bonheur.
Nous nous serrons tous les trois très fort. C'est intense. Nous ne pouvons pas prononcer la moindre parole. Moment inoubliable.
Enfin, nous parvenons à exprimer notre joie. Estelle, malgré sa peur bleue de l'avion, a fait un excellent voyage. Elle raconte…

Nous allons à la bagagerie afin de récupérer son grand sac à dos. < Et j'avais mon Doudou ! > fait elle en agitant une peluche.
C'est un petit lapin de couleur sale. < Je vous présente Bunny Boy ! Il est avec moi depuis petite ! >. Nous rions de bon cœur.
Je prends le sac à dos. Il est lourd. Nous nous tenons par le bras. Nous allons à la voiture. Et nous sommes tellement heureux.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte son mois de juillet. Son travail dans l'entreprise familiale.
Les soirées à la piscine ou Gauvain, son collègue étudiant, faisait son job d'été. Maître nageur. Tout cela nous amuse. Super.

Il y a quelques gouttes de pluie. Nous arrivons à l'appartement. Morts de faim, nous nous dépêchons de monter. L'impatience.
Il y a déjà la valise d'Estelle dans l'armoire. Elle défait son sac à dos sur le grand lit pendant que nous préparons le repas. Bien.
Nous bavardons. Estelle vient nous rejoindre à la cuisine avec deux bocaux de confitures. < Les abricots du jardin ! > fait elle.
Elle nous raconte notre potager dévalisé. Nos arbres fruitiers qui portent à profusion. Cet été, il y aura du gâchis. Il y en a trop.
Nos voisins, les Bertrand, viendront en cueillir un maximum. Poires, pommes, mirabelles et abricots. Estelle a fait des photos.

Elle a également ramené deux bocaux. Un pour mon oncle d'Edimbourg. Un pour ma tante de Saint Andrews. Belle attention.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine a préparé les salades de salicornes, j'ai préparé les ravioles de crevettes et crabe.
C'est absolument délicieux. Nous bavardons. Nous racontons nos aventures du mois de juillet. Dehors il fait gris. Plus de pluie.
Nous traînons à table. La vaisselle. Nous décidons d'aller traîner en ville. Estelle se réjouie tant de revoir Edimbourg. Superbe.
Il est 15 h lorsque nous descendons Morningside pour prendre la direction du centre. Je roule doucement. Le bonheur, la joie.

Clémentine joue avec ma bite qu'elle agite en disant : < Ce soir, tu as droit à ton autre "Doudou" ! >. < Oh oui ! > fait Estelle.
Je gare la voiture dans la ruelle habituelle à dix minutes de High Street. < Comme c'est bon d'être de retour ! > lance Estelle.
Elle aussi nourrit le désir de venir s'installer à Edimbourg. Le charme et l'attrait qu'exercent cette ville font une autre victime.
Nous nous offrons des cônes glacés que nous dégustons en flânant. Pas de programme cet après-midi. Que de l'improvisation.
Je propose quand même de nous réserver une table dans le restaurant typique où le personnel officie vêtu en kilt. Le folklore.

Tout l'après-midi se passe à déambuler dans la vieille ville. Ce labyrinthe de ruelles et de venelles piétonnes. C'est magnifique.
Nous bavardons. Nous nous racontons mille et une choses qui se sont passées durant ce mois de juillet. Il y a de quoi s'amuser.
Estelle à ma droite, me tient par la main. Clémentine à ma gauche, me tient la main. Notre trio attire l'attention. C'est marrant.
Cet homme d'âge mûr, entouré de ces deux jeunes filles qui lui font quantité de bises. De quoi susciter bien des curiosités. Joie.
Il est 20 h lorsque nous pénétrons dans le restaurant. La salle est bondée. Notre table nous attend près de la fenêtre du fond…

Nous mangeons de bon appétit tout en nous racontant tout ce que nous avons vécu durant ce mois de juillet. C'est intéressant.
Clémentine confie son nouveau fantasme. Sucer un Asiatique. < Un des employés de l'entreprise est Japonais ! > lance Estelle.
< Et tu ne l'as jamais sucé ? > lance Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Demain matin, nous partons pour Skye.
Il y a plus de 180 km. Il est déjà 22 h. Nous sommes fatigués. Toutes ces émotions ont achevé de nous épuiser. Nous rentrons.
Nous nous couchons tous les trois. Clémentine entre Estelle et moi. Trop fatigués pour les folies, nous bavardons encore un peu.

Bonne découverte des jours à venir à toutes les coquines qui suivent nos aventures écossaises avec passion...

Julien - (Qui a beaucoup de difficulté à surmonter ses émotions. Nous nous sommes manqués, tous les trois) -

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Classe - 22 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 504 -



En route pour le séjour à l'île de Skye

Hier matin, jeudi, Je suis réveillé par le souffle chaud de Clémentine dans mon cou. J'ouvre les yeux. Elle me fait des bises.
< Bonjour mon amour ! > me chuchote t-elle. Je la serre contre moi pour me rendre compte qu'Estelle dort encore. Bisous.
< Bonjour mon amour ! > ai je le temps de murmurer que Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Le pissou.
Nous nous mettons en tenue de jogging sans faire le moindre bruit. Afin de ne pas réveiller Estelle qui dort à poings fermés.
Elle est belle comme le jour. Pas encore bronzée. Nous allons à la cuisine pour préparer le petit déjeuner. Il fait beau. 7 h15.

Je presse nos six oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous sommes discrets, nous chuchotons sans faire le moindre bruit.
Soudain nous entendons un long gémissement. Estelle arrive en sautillant dans la cuisine. Elle découvre les lieux. Des bises.
< Bonjour ! Vous m'auriez abandonné ? > nous fait elle en nous aidant à mettre la table. Estelle se serre contre moi. Douce.
Clémentine s'interpose en disant : < C'est mon Mec ! On n'oublie pas les règles ! >. Nous rigolons comme des bossus. Bien.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le programme du jour est des plus réjouissants. Planning serré. Sympa.

La vaisselle. Nous descendons l'escalier de service pour nous retrouver dans l'agréable douceur matinale. La journée sera belle.
Nous courons d'un bon rythme le long de notre parcours quotidien. Nous croisons le visage familier d'autres joggeurs habitués.
La vue sur Edimbourg, dont les toits d'ardoise scintillent sous le soleil, du sommet de la colline est un véritable enchantement.
Il est 9 h30 lorsque nous sommes de retour. Nous présentons Estelle à mon oncle et à ma tante qui sont occupées au jardin.
Les présentations sont sympathiques. Mon oncle me lance un étrange regard. Ma tante plus discrète. La situation est entendue.

Clémentine et moi prenons notre douche en premier pendant qu'Estelle ouvre sa valise qui est venue avec nous début juillet.
Puis c'est à son tour. Nous allumons l'ordinateur. Un message de Lennie, la jeune Hollandaise qui nous raconte son périple.
Avec ses parents et son grand-père ils contournent le sud de l'Angleterre. Ils reviendront à South Queensferry à la fin du mois .
Nous répondons. Estelle vient nous rejoindre. Nous lui avons promis de lui montrer une photo de la jeune fille hollandaise. Joie.
Nous lui avons raconté nos trois soirées "pipe". < T'es le dernier des salauds Julien ! C'est pour ça que je t'aime ! > fait Estelle.

Nous rions de bon cœur en nous habillant. Clémentine porte sa jupette sport kaki, T-shirt et baskets. Estelle, short et T-shirt.
Je suis en short et en T-shirt également. Il est 10 h30. Nous mettons la grande valise, nos affaires dans le coffre de la voiture.
Nous voilà en route pour rejoindre l'A9 jusqu'à Fort Augustus. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite. Il fait chaud.
Assise à l'arrière, entourant parfois mon cou de ses bras, Estelle nous raconte mille et une anecdotes amusantes sur Gauvain.
Gauvain qui est un garçon charmant de 24 ans. Incapable de faire une omelette, de faire son linge. C'est sa mère qui fait tout.

La circulation est dense. Le flot touristique est à son paroxysme. Cela va durer jusqu'aux environs du 15 août. Une constante.
Nous quittons l'autoroute à Fort Augustus pour prendre la nationale en direction de Fort William. Il est 13 h. Et voilà Foyers.
Nous sommes morts de faim. Aucune table libre dans notre restaurant préféré. Nous nous préparons de bons gros sandwichs.
Nous mangeons de bon appétit, assis sur une dalle funéraire du cimetière devant Boleskine House. Vue imprenable sur le lac.
Là, plus bas, la vaste étendue des eaux noires du Loch Ness. < Et on va peut-être voir le monstre ! > fait Estelle en mangeant.

Je me lève. Je regarde autour de nous. Personne. Je sors ma bite en disant : < Et voilà ! Tu as vu le monstre du Loch Ness ! >
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'Estelle répond : < Mais ce n'est pas le monstre du Loch Ness, ça, c'est mon dessert ! >
< Si t'es sage ! > lui fait Clémentine. Nous rions de bon cœur quand Estelle rajoute : < C'est mon "Doudou" que j'emmène ! >
Nous voilà repus. Il faut reprendre la route. Nous rejoignons la voiture sur le parking du restaurant à 300 mètres. Du monde.
Il y a une Rolls Royce grise et noire garée à côté de mon auto qui semble toute petite. Et il y a plein de Rolls Royce en Ecosse.

Mon auto, une des plus grosses berlines Allemandes, qu'Estelle appelle le "Porte Avion", paraît petite à côté de la Phantom 5.
Nous quittons Foyers pour Inverness. Il est 14 h30 lorsque nous arrivons dans la capitale des Highlands. La circulation difficile.
Nous décidons de nous y offrir des cônes glacés et de flâner un peu dans la galerie commerciale. Nous avons tout notre temps.
Nous sommes attendus à Harrapool, sur l'île de Skye, par le propriétaire du cottage vers 18 h30. Cela nous laisse de la marge.
Estelle reconnaît les endroits que nous avons visité l'an dernier. Clémentine, qui a retiré sa culotte, aimerait s'offrir une frayeur.

< Sur l'île de Skye, pas de culotte sous le kilt ! > fait Clémentine à Estelle qui répond : < Je ferais selon la coutume, bien ! >
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine fait encore : < Randonnées et balades avec la chatte à l'air vivifiant de l'océan ! >
Nous revenons lentement à la voiture. Nous prenons la direction de Kyle of Lochalch distant d'environ 80 km. Ça roule bien.
Nous roulons sur une de ces petites routes typiques des Highlands. Les paysages qui nous entourent sont époustouflants. Joie.
L'Ecosse propose les plus grandes étendues sauvages d'Europe. La beauté est à couper le souffle. Nous admirons. Silencieux.

Je roule avec la bite à l'air. Parfois, c'est Estelle qui, passant son bras entre les sièges avant, joue avec mon Zob mollasson.
Je bande mou. Il y a du foutre qui suinte quelquefois au bout. Clémentine me suce alors un instant pour éviter toute perte.
Nous arrivons à Kyle of Lochalch au détour d'une haute colline. C'est magnifique. La vue sur la mer et l'air du large si soudain.
C'est un des plus beaux spectacles qu'il est donné de voir. Les toits d'ardoises du village qui scintillent de mille feux. Féérique.
Il est 17 h. Nous garons la voiture pour nous dégourdir les jambes. Des cônes glacés que nous savourons sur le port. Superbe.

Sur la côte Ouest de l'Ecosse, il faut redouter l'offensive des "Midges". Ces tous petits moustiques redoutables et gourmands.
Nous avons prévu. Nous nous enduisons de Marie-Rose, produit préventif d'une durée indiquée de 7 heures. Pub mensongère.
Il faut en mettre toute les demi heures. Nous avions bien remarqué toutes ces voitures garées et ces gens qui se grattaient.
Les "Midges" ne se contentent pas de piquer, ils mangent aussi. Avec un bon produit, on est épargné. Il faut être prévoyant.
Nous retournons à la voiture. Nous nous promettons de revenir traîner ici. Ce n'est qu'à une vingtaine de km de notre cottage.

Nous traversons Skye Bridge pour rejoindre Kyleakin, le premier village sur l'île de Skye. La circulation est réglementée. Bien.
Les routes sont étroites, souvent à sens unique. Il y a des park place tous les 100 mètres pour permettre de se croiser. Super.
Kyleakin donne envie d'être visité. Là aussi, nous nous promettons de venir nous balader. Nous voilà dans un Eden de verdure.

Nous roulons en direction de Broadford. Il y a peu de voitures. Il est 18 h15 lorsque nous arrivons au petit village de Harrapool.
C'est une bourgade en bord de mer. C'est absolument divin. Je trouve facilement notre location. Un petit cottage blanc. Super.
C'est un de ces penty, une petite maison de pêcheur située en hauteur et entourée d'un muret de pierres qui en clôt le jardinet.
C'est magnifique. Nous allons passer ici 7 jours, 7 nuits. Jusqu'au jeudi 9 août au matin. Monsieur Glower arrive dans une jeep.
C'est le propriétaire du cottage. Un grand gaillard à la moustache tombante. Nous autres Ecossais, sommes tous de haute taille.

Nous nous saluons. Monsieur Glower nous fait visiter tout l'intérieur de la maison. C'est ultra moderne. Il y a la connexion Wifi.
Cuisine équipée, murs blancs. Salle de bain luxueuse. Salon confortable avec canapé, fauteuils, téléviseur, mobilier en pin clair.
Chambres à coucher aux lits larges, armoires en pin. Tout le confort le plus moderne dans un lieu sauvage et intemporel. Super.
Je règle le solde du prix de la location. Monsieur Glower nous souhaite un agréable séjour. la météo s'annonce des plus douces.
Clémentine m'entraîne par la main. Nous faisons une nouvelle fois le tour de notre propriété d'une semaine. C'est divin. Sublime.

Par les grandes baies vitrées du salon et de la chambre que nous allons occuper, la vue sur le village et l'océan est un bonheur.
< Je sais déjà que ce seront les plus belles vacances de ma vie ! > me fait Estelle en se blottissant derrière moi contre mon dos.
Nous déballons nos affaires. De la glacière je sors les fromages, les yaourts. Il y a un supermarché au village de Crofting. 2 km.
Clémentine range les vêtements qui lui tend Estelle. Nous avons emmené de quoi nous changer tous les jours. Il y a la machine.
Il est 19 h30. Nous avons tout disposé pour rendre notre vie ici la plus agréable possible. Estelle me palpe souvent la braguette.

Nous descendons au village. Harrapool propose deux restaurants. Spécialités en fruits de mer directement pêchés sur le rivage.
Il y a des tables libres. Nous voilà à déguster un gigantesque plateau de fruits de mer. Morts de faim, nous savourons tout ça.
La vue sur l'océan est magique. Nous traînons à table. 22 h. Nous flânons sur le port. Sous cette latitude il ne fait jamais nuit.
Durant six mois de l'année, la nuit reste claire. Le soleil disparaît sous la ligne d'horizon mais semble rester à fleur d'eau. Beau.
Nous remontons. La fraîcheur du soir est plus vive au bord de l'océan. Et nous n'avons pas prévu de sweats à manches longues.

Comme chez nous, nous ne fermons jamais les volets. La chambre que nous avons choisi donne sur la mer. C'est somptueux.
La salle de bain. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns. Il est 23 h. Nous voilà au lit. Je suis couché entre les filles.
Clémentine agite ma bite sous le nez d'Estelle en lui disant : < Tu as été sage. Tu as bien mérité ton dessert ! >. Estelle mâte.
< Enfin ! Elle m'a manqué depuis un mois ! > fait elle avant de la gober. L'indicible caresse m'enivre immédiatement. Divine !
Clémentine m'embrasse. Elle se masturbe. Nous sommes tous les trois épuisés. Je propose de continuer demain. Le plongeon.

Bonne découverte de votre lieu de vacances à toutes les coquines qui vont pouvoir s'offrir le stupre et la luxure des vacances…

Julien - (Toute comme Clémentine et Estelle, déteste les orgasmes bâclés, à la "va vite". C'est mieux de prendre son temps) -

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Classe - 23 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 505 -



Nous visitons les environs immédiats de notre cottage

Hier matin, vendredi, je suis tiré de mon sommeil par des bises dont on me couvre tout le visage. J'ouvre les yeux. Difficile.
Au dessus de moi, Clémentine qui, de son index, fait : < Chut ! >. Je regarde par dessus son épaule. Estelle dort encore.
Il est 7 h 15. Notre horloge biologique fonctionne même en étant de provisoires insulaires. Nous murmurons des douceurs.
Nous nous faisons des câlins. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Morts de faim nous allons à la cuisine.
Je presse nos six oranges. Il faudra faire des courses. Clémentine s'occupe du café. Nous entendons Estelle gémir. Le réveil.

Estelle arrive en sautillant. Elle nous fait la bise : < Bonjour les gens ! > Nous sommes tous les trois en tenues de jogging.
Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit et tout en bavardant.
Dehors, le ciel est voilé mais lumineux. La vue sur le village et la mer depuis la grande baie vitrée du salon est majestueuse.
Nous faisons le programme du jour. Pour ce séjour sur l'île de Skye, nous privilégions les découvertes avant les randonnées.
Estelle a besoin de repos. Nous traînons un peu à table. La vaisselle. Estelle fait la plonge, nous essuyons. Il fait très doux.

Il est 7 h45 lorsque nous sortons. Nous faisons le tour du jardinet. Nous évaluons les lieux. C'est notre premier jogging ici.
Nous montons la petite route. Nous prenons le chemin de droite. Nous courons d'une bonne foulée. Estelle qui est devant.
Nous improvisons un parcours qui semble être idéal. Nous restons à flanc de colline qu'il nous faut contourner. C'est super.
Il y a un léger vent du large. C'est une boucle d'un peu plus d'une heure. Et elle sera certainement notre parcours quotidien.
Il est 9 h lorsque nous sommes de retour au cottage. Notre douche. C'est insolite. Tout ce confort dans un endroit sauvage.

Comme nous avons de conséquents achats en prévisions, nous prenons la voiture. Il faut descendre jusqu'au bourg voisin.
Crofting est à seulement deux kilomètres. Clémentine porte sa jupette sport kaki, T-shirt et ses sandalettes. Je suis en short.
Estelle a accepté de se mettre en jupette également. Par contre, elle garde une culotte. Contrairement à Clémentine. Sympa.
Nous arrivons à Crofting. C'est un bourg minuscule et constitué de maisons basses en pierres dont les fenêtres sont fleuries.
Il y a effectivement un supermarché. Dans la seule et unique rue, il y a des boutiques d'artisanat, deux galeries d'Arts. Bien.

L'endroit est touristique. L'affluence y est toutefois moindre. Je gare l'auto sur le petit parking. Clémentine me palpe le Zob.
< Peut-être un "plan" insulaire ! > me fait elle. < Déjà ! > fait Estelle. Nous rions de bon cœur. Je pousse le caddie. Sympa.
Le supermarché n'est pas grand. Les rayons sont agencés avec soin et méthode. Clémentine marche devant. Elle nous guide.
Choisissant ce dont nous avons besoin, elle nous montre les articles avant de les déposer au fond du charriot qui se remplit.
Nous avons encore quantité de fromages ramenés de France. La priorité sera donc les légumes, les fruits, quelques conserves.

< C'est moi qui fait à manger. A midi et ce soir ! Ce sera deux surprises ! > nous fait Estelle. Nous la regardons avec surprise.
< Depuis que Julien m'a appris à faire la cuisine, je me suis entraînée à la maison ! > rajoute encore Estelle. Nous l'écoutons.
Elle dit encore : < A la maison, c'est moi qui régale mes parents ! >. Nous savons pouvoir lui faire confiance. Nous continuons.
Nous visitons le supermarché. Nous trouverons ici tout ce qu'il nous faut. Le rayon poissonnerie est abondamment pourvu. Bien.
Nous choisissons des crustacés. Crevettes, crabe et langoustines. Du filet de saumon en grande quantité. Il y en a partout ici.

Nous mettons nos achats dans l'auto. Dans la glacière branchée sur l'allume cigare, les produits devant rester au frais. Poisson.
Nous flânons dans la seule et unique rue qui descend au port. Il y a plein de touristes. Nous visitons les boutiques d'artisanats.
Il y a des choses étonnantes. Estelle choisit trois cartes postales. Une pour sa mamie, une pour ses parents, une pour Gauvain.
< Il s'est passé des trucs avec Gauvain ? > demande Clémentine. < Absolument rien. Il est gentil, c'est tout ! > répond Estelle.
Elle fait : < C'est un garçon charmant. Je crois que c'est un romantique. La pire espèce ! >. Nous rigolons comme des bossus.

Nous visitons les deux galeries d'Art. Ce sont des œuvres d'artistes locaux. Il y a des choses étonnantes. Un style particulier.
L'un d'entre eux, utilise des couleurs éteintes pour représenter les bords de mer. Seuls les phares sont de couleurs éclatantes.
Le contraste est saisissant. Et très plaisant. Pas d'œuvres contemporaines toutefois. Ce qui nous réjouis. Nous détestons cela.
Clémentine me fait du coude. Là, dans l'encadrement de la porte, il y a un touriste qui la mâte discrètement. Et il y a de quoi.
Clémentine et Estelle, toutes les deux de hautes tailles, filiformes, sont très attractives. Surtout dans leurs jupettes. La classe.

Estelle reste au près de moi. Nous regardons Clémentine s'éloigner pour aller dans la pièce voisine. Et le type y est également.
< Put-Hein, mâte ! > me fait Estelle. Nous voyons Clémentine se toucher discrètement, juste à quelques mètres de l'inconnu.
< Quel culot ! J'aimerais bien en avoir autant ! > chuchote Estelle. D'autres visiteurs parcourent les trois pièces de la galerie.
Je lui murmure : < Tu as de quoi t'entraîner et une monitrice hors pair ! >. Estelle prend ma main et dit : < Je t'aime Julien ! >
Lorsque Clémentine n'est pas avec nous, ces attitudes et ces révélations, me gênent toujours un peu. Je culpabilise tout autant.

Pourtant je m'entends répondre : < Moi aussi Estelle. Et tu nous as beaucoup manqué. On parlait souvent de toi. Et en bien ! >
Estelle se serre contre moi. La dame qui tient la galerie me jette un étrange regard. Et dans l'autre pièce Clémentine s'amuse.
Le type a entamé la conversation. Avec la ruse et la grande prudence qui lui sont coutumières, Clémentine se touche. Discrète.
Bien évidemment, le type vit un moment d'une intensité folle. Une chose qui ne se reproduira certainement jamais dans sa vie.
Il fait probablement partie de ceux qui savent apprécier sans se comporter en "boulet", en casse pied ou encore en emmerdeur.

C'est un touriste. Une femme et une toute jeune fille viennent le rejoindre. Sa famille. Ce qui explique certainement sa réserve.
Clémentine vient nous rejoindre. Nous ressortons. Nous flânons sur le port. Le cri assourdissant des mouettes. Oiseaux de mer.
Il est 11 h45 lorsque nous revenons à la voiture. Nous remontons au cottage. Clémentine nous raconte ses émotions vécues.
Nous rangeons nos courses. Nous prenons rapidement les reflexes d'adaptation à ce nouveau lieu de vie. Tout y est bien conçu.
Estelle insiste pour tout préparer seule. Nous la laissons à la cuisine dont elle ferme la porte derrière elle. Nous nous regardons.

Clémentine m'entraîne dans la chambre. Elle me fait toucher son minou tout mouillé. < C'est à cause du mec ! > me fait elle.
Je la félicite tout en la faisant basculer sur le lit. Je me mets à genoux au sol. Le visage entre ses cuisses, je me mets à lécher.
Clémentine me guide en me tenant par les oreilles. Je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe trempé. Joie.
Je me mets à sucer son clitoris géant que je décalotte du bout de mes lèvres. Clémentine se met à gémir. Son corps est agité.
J'aime sentir ses spasmes. L'intérieur de ses cuisses est parcouru de frissons. Divin. Et je bande comme le dernier des salauds.

Pas question d'aller jusqu'à l'orgasme. Clémentine qui aime rester excitée le plus longtemps possible me repousse doucement.
Je suis vigilant. < Ecoute ! > me fait elle en se redressant sur les coudes. < Elle parle toute seule. Et elle chante ! >. Silence.
En effet, depuis la cuisine, nous entendons Estelle qui s'affaire à la préparation du repas. Nous rions de bon cœur de ces bruits.
< Notre petit animal de compagnie s'affaire ! > me fait Clémentine avant de m'attirer sur elle. Je m'introduis avec précautions.
Nous restons immobiles, l'un dans l'autre, comme nous aimons, lorsqu'Estelle vient nous rejoindre en disant : < C'est prêt ! >

Je me retire avec précautions. Estelle vient s'assoir sur le lit. < Tu me niques aussi pendant ces vacances ? > me lance t-elle.
< Pas question ! > répond Clémentine en nous entraînant par la main jusqu'à la cuisine. Nous sommes morts de faim. Odeurs.
Estelle a concocté de délicieux chaussons au saumon. De la crème. Des petits pois rissolés. Il y en aura pour ce soir. Superbe.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Dehors, le ciel est devenu plus gris. Nous sommes exposés à l'océan. Bien.
Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons et mettons tout en ordre. Je balaie. Il est 15 h15 lorsque nous ressortons.

Nous descendons à Harrapool. Le village en bas de notre cottage. Il y a environ 500 mètres par l'étroite petite route. Super.
Il y a un troupeau de moutons qui encombre tout le chemin. Le berger nous salue. Ses deux gros chiens également. Sympa.
Nous bavardons un peu. Le Gaëlique est la langue la plus parlée sur l'île. Aussi, l'accent anglais est à couper au couteau. Dur.
Nous arrivons au village. Harrapool est plus grand que Crofting. La visite est des plus agréables. Beaucoup de touristes aussi.
Estelle poste ses trois cartes postales. Nous déambulons sur le port. Nous prenons le sentier côtier jusqu'au phare. C''est beau.

Lorsque nous marchons seuls, entre deux groupes de touristes, Estelle me palpe la braguette en disant : < Et mon Doudou ? >
Clémentine lui retire chaque fois la main en répondant : < Il va très bien, merci ! >. Nous rigolons comme des bossus. Super.
Je mets ma main sous la jupette d'Estelle. Je passe mon doigt entre l'élastique de la culotte pour caresser son sexe bien touffu.
< Ça pousse ! Félicitations ! > que je lui dis. < J'en veux une comme Clémentine ! > répond Estelle en me touchant à nouveau.
C'est dans cette bonne ambiance de franche camaraderie que nous remontons au cottage pour 20 h30. Animés par la faim. Dur.

A nouveau Estelle s'enferme seule à la cuisine pour tout préparer. Clémentine m'entraîne dans la chambre. Elle m'embrasse.
Je lui caresse le sexe. Elle me sort la bite. Discrètement j'avais ma braguette ouverte tout l'après midi. Clémentine s'accroupit.
Je sens sa bouche se refermer sur l'extrémité de mon sexe trempé de foutre. Je me fais tailler une superbe pipe des familles.
Je lui caresse la tête en lui murmurant des douceurs que j'agrémente de cochonneries. Je l'entends glousser de bonheur. Joie.
Estelle arrive. < Put-Hein ! Pas sans moi, je veux aussi ! > s'écrie t-elle avant de rajouter : < A table les vicieux, c'est prêt ! >

Je saisis Clémentine par la tignasse pour la forcer à se relever. Je l'entraîne en la tenant par les cheveux jusqu'à la cuisine.
Estelle a réchauffé la seconde fournée de chaussons au saumon. Accompagnés cette fois de haricots verts poêlés. Délicieux.
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Estelle bâille à s'en décrocher la mâchoire. Il est 22 h. C'est la fatigue.
Je propose à Estelle d'aller nous attendre au lit pendant que nous faisons la vaisselle et rangeons la cuisine. Elle s'y précipite.
Une vingtaine de minutes plus tard, lorsque nous la rejoignons, Estelle dort à poings fermés en ronflant. Nous faisons pareil.

Bonnes visites de vos villages proches à toutes les coquines qui peuvent s'y livrer au stupre et à la luxure…

Julien - (Qui aime lécher la cramouille de Clémentine avant de s'y introduire avec d'infinies précautions. Même en Ecosse) -

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Découvertes et randonnée, Estelle tenue à la laisse

Hier matin, samedi, on me couvre le visages de bisous. J'ouvre les yeux. C'est Clémentine qui me murmure < Chut ! >. Douce.
Je regarde par dessus son épaule. Estelle dort encore à poings fermés. Nous nous levons tous deux sans faire le moindre bruit.
Clémentine m'entraîne aux toilettes. Morts de faim, nous allons à la cuisine. Je presse nos oranges. Clémentine prépare le café.
Nous mettons la table. Estelle entre dans la cuisine. Déjà vêtue en tenue de jogging comme nous. Elle se précipite contre moi.
< Ah ! Vous vouliez manger et partir courir sans moi ! > nous fait elle. Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine s'interpose.

Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Joie.
Par la baie vitrée du salon, la vue sur le village et la mer, en contrebas, est superbe. Même météo que hier. Ciel voilé, lumineux.
Nous faisons le programme du jour. La vaisselle. Estelle plonge, nous essuyons. Il est 7 h45 lorsque nous sortons dans le jardin.
Il fait doux. Une légère brise du large et le cri des mouettes. C'est un enchantement. Estelle impose le rythme de notre running.
Nous courons d'une bonne foulée sur le circuit que nous avons établi hier. Le tour de la colline et par le chemin qui la contourne.

Il faut éviter les moutons. Il y en a en grande quantité. Il est 9 h lorsque nous revenons au cottage. Le soleil est resté caché.
Nous prenons notre douche en premier pendant qu'Estelle est à l'ordinateur. Puis c'est à son tour. Nous n'avons pas de mails.
Nous nous retrouvons tous les trois dans le salon. Clémentine et Estelle sont toutes deux en jupettes sport, T-shirt et baskets.
Je suis en short. Je prépare notre petit sac à dos. Estelle fait les sandwichs. Clémentine, près de moi, me passe les pommes.
Barres de céréale et la grande bouteille d'eau. Elle me palpe la braguette à plusieurs reprises, me chuchote : < Sois salaud ! >

Estelle qui a entendu me fait : < Avec moi aussi, s'il te plaît ! >. Nous rions de bon cœur. Il est 10 h15. Nous voilà prêts. Bien.
Nous voilà en voiture. Je roule doucement sur l'étroite route qui nous emmène vers le Nord de l'île. Direction Old Man of Storr.
Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière, ses bras souvent autour de mon cou, évoque notre séjour sur Skye.
Il y a une quarantaine de kilomètres jusqu'à Grenbrittle, le village d'où nous commençons notre périple. La météo est clémente.
L'île de Skye est aux premières loges des variations et des caprices d'un climat océanique changeant. Le ciel voilé et lumineux.

Je gare la voiture sur le parking à l'entrée du bourg. Il y a du monde. C'est la randonnée la plus populaire sur l'ile. Une célébrité.
Il y a une petite supérette, deux boutiques de souvenirs et un bar. La rue principale descend vers le port. Affluence touristique.
Clémentine retire sa culotte qu'elle met dans le petit sac à dos que je porte. Estelle hésite un moment. Elle finit par faire pareil.
Nous flânons un peu dans le bourg. Les maisons de pierres. Granit. Les toits gris. Ardoise. Les fenêtres fleuries. Enchantement.
Nous suivons l'étroit chemin balisé en direction de Old Man of Storr. C'est cette cathédrale de roche que l'on distingue d'ici. Joie.

Le chemin est escarpé. Il faut marcher une bonne trentaine de minutes dans un paysage lunaire, sans arbres et d'un vert franc.
Nous croisons quantité de marcheurs. Quelques rares familles. Ce sont principalement des groupes ou des couples. C'est sympa.
Sur la demande de Clémentine, j'ai la braguette discrètement ouverte. Les rares instants où nous sommes seuls, elle me palpe.
Estelle passe alors sa main pour me palper les couilles par derrière. Clémentine a sa main dans ma braguette. C'est très rigolo.
Moi, en regardant bien partout autour de nous, je passe ma main sous leurs jupettes pour palper leurs chattes poilues, chaudes.

Nous arrivons aux pieds du gigantesque monolithe. C'est une sorte de menhir géant, naturel, fièrement dressé vers le ciel. Fou.
La vue sur le paysage est époustouflante. A perte de vue ce ne sont que collines verdoyantes, amas rocheux vertigineux. Super.
Il est presque 13 h. Cette promenade nous a ouvert l'appétit. Nous avisons une sorte de plateau rocheux, là-bas, à 200 mètres.
Il faut se dépêcher pour ne pas se faire piquer la place. Ouf ! Nous y arrivons les premiers. L'endroit est en surplomb. Et parfait.
Nous voilà assis en tailleur, le sac à dos au milieu. Je déballe nos sandwichs, nos fruits et la bouteille d'eau. Morts de faim. Joie.

Assis dans cette position, j'ai une vue parfaite sur les chattes des deux filles qui me les montre ostensiblement. Et c'est superbe.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Notre programme de l'après-midi sera de faire la grande boucle du sentier A.
C'est le sentier de grande randonnée si prisé des touristes qui visitent cette partie de Skye. Je passe ma main sous les jupettes.
Nous traînons ici un bon moment. La vue est parfaite. Nous voyons les marcheurs passer juste à dix mètres en contrebas. Joie.
J'ai un doigt enfoncé dans chaque chatte. Celle de Clémentine est rapidement dégoulinante. Celle d'Estelle reste sèche, étroite.

Estelle nous dit : < Ce soir, c'est moi qui prépare la bouffe. Ce sera une surprise ! J'insiste ! J'adore ça ! >. Nous écoutons bien.
< Mais nous aussi ! > lui répond Clémentine. Il faut se faire une raison. Estelle est décidée à faire la bouffe durant notre séjour.
Clémentine s'empare du sac à dos pour en tirer le collier canin et la laisse. Estelle fait : < T'es folle ! Il y a du monde partout ! >
< Raison de plus pour promener notre petit animal de compagnie ! Notre cuisinière ! > lui fait Clémentine en agitant le collier.
Elle le passe autour du cou d'Estelle. Elle y fixe la laisse à l'aide du mousqueton. Elle tire sur l'anneau et avec quelques à coups.

J'ai mon doigt toujours enfoncé dans les chattes. Nous rions de bon cœur quand Clémentine dit : < Et notre "Maître" est là ! >
Je n'ai évidemment pas du tout l'âme d'un "Maître". J'arrive à donner le change. Et je tourne mon doigt dans la chatte d'Estelle.
Je le sors pour caresser son imperceptible petit clitoris. Ce qui a pour effet de faire soupirer d'aise Estelle qui se pâme de plaisir.
< On va te dresser un peu cet après-midi ! > fait Clémentine à Estelle qui ouvre de grands yeux. Rouge de bonheur. Honteuse.
De faire l'objet de tant de soins, de tant d'intérêts et de tant d'attentions ne peut que noyer Estelle dans un indicible bonheur.

Clémentine sort ma biroute qu'elle agite en direction d'Estelle. Elle se saisit de ses cheveux pour la forcer à me tailler une pipe.
Estelle, par jeu, oppose une résistance de principe. Tenue par la nuque sur laquelle appuie Clémentine, Estelle se met à sucer.
< Bon appétit ! > lui fait Clémentine en tenant sa tête des deux mains comme pour la guider et pour la forcer à pomper. Super.
Clémentine me fait des clins d'œil. < T'aime ça, hein, petite salope ! > fait Clémentine en se penchant vers Estelle qui en gémit.
Clémentine m'embrasse longuement. Tout en maintenant fermement Estelle. Nous sommes si avides de nos bouches. Délicieux.

Nous restons ainsi un long moment. Nous regardons souvent partout autour de nous. Situation stratégique. Personne ne voit.
Clémentine tire sur la tignasse d'Estelle pour lui retirer la bite de la bouche. Estelle me montre l'intérieur de sa bouche gluante.
Elle tente difficilement de déglutir en reprenant son souffle. Clémentine se met à me sucer à son tour. Estelle m'embrasse. Jus.
Je mets mon doigt dans la chatte d'Estelle. Cette fois, c'est mouillé et ça rentre comme dans du beurre. Elle pousse un petit cri.
Je force Clémentine à se redresser. Elle a du foutre plein le menton. Elle attrape Estelle pour lui cracher dans la bouche. Dégueu.

Il est 14 h30. Nous nous essuyons la bouche en nous refilant un mouchoir en papier. Nous nous levons avec peine, engourdis.
Nous reprenons notre route. Je fais passer la laisse sous le T-shirt d'Estelle. Seuls les connaisseurs pourront identifier le collier.
Nous croisons nombre de marcheurs. Nous sommes tous les trois considérablement excités. Il y a quelques apparitions du soleil.
Parfois, Clémentine ou moi, nous nous saisissons de la laisse pour tirer Estelle. Là, sur l'herbe grasse, elle est à quatre pattes.
Elle lève une jambe comme pour imiter un pissou. Elle le fait plusieurs fois. Il faut faire vite car nous sommes rarement seuls.

Là, contre le poteau d'une clôture, à quatre pattes une fois encore, Estelle lève la jambe pour pisser. C'est un spectacle sublime.
Il est rare qu'Estelle puisse se soulager avec autant de facilité. Clémentine se penche pour lui dire : < Belle petite salope va ! >
Je sors un mouchoir en papier. Dès la fin du jet, je torche le croupion d'Estelle et la cuisse qu'elle a mouillé. J'insiste sur le sexe.
Clémentine s'accroupit pour se soulager. Il n'y a personne. Je sors mon Zob. Estelle, à quatre pattes, se précipite pour le sucer.
Je dois pisser. Je lui retire la bouche pour lâcher un jet vers le poteau. Clémentine me saisit la queue pour en guider le jet. Bien.

Je me concentre avec difficulté pour cesser de pisser. A chaque fois Clémentine me suce avant de l'offrir à Estelle. Je repisse.
C'est chaque fois un petit jet contrôlé que j'offre à la dégustation d'Estelle qui en glousse de plaisir. Des gens. Et il faut cesser.
C'est un groupe d'asiatiques. Nous nous sommes relevés à temps. Ils nous croisent avec de grands sourires et en nous saluant.
< Regarde ! Les mecs sont si mignons ! T'as pas envie de les sucer tous, les uns après les autres ? > fait Clémentine à Estelle.
Estelle répond : < Et bien ! Je vois que ton fantasme est bien réel. Bouffer du Nem ! >. Nous en rigolons comme des bossus.

Nous reprenons notre marche. Nous suivons le groupe de loin. < Avant la fin des vacances, je m'en suce un ! > fait Clémentine.
< Tu me donnes envie ! > répond Estelle en m'attrapant les couilles par derrière comme elle le fait le plus souvent. C'est drôle.
Nous n'avons plus l'occasion de nous livrer au stupre et à la luxure car il y a tant de marcheurs. Cet itinéraire connaît le succès.
Souvent Clémentine se touche rapidement. Estelle qui le fait plus rarement ne se prive pas de l'imiter. Et je les palpe souvent.
Il est 18 h lorsque nous revenons à la voiture. Estelle insiste pour faire à manger et malgré ma proposition d'un bon restaurant.

La circulation est plutôt difficile. Les routes sont souvent à voies uniques ponctuées par des park place tous les 100 mètres. Dur.
Je me fais tripoter par Clémentine. Estelle est passée devant, assise parterre, entre les jambes de Clémentine. Pas confortable.
Elles me sucent à tour de rôle. Je reste concentré. Souvent je leur retire la tête. Il serait con d'avoir un accident. Et à 30 km/h.
Il est presque 20 h lorsque nous arrivons enfin au cottage. Estelle se dirige directement vers la cuisine. Nous la laissons faire.
< Vous n'avez qu'à baiser en attendant que ce soit prêt ! Je viens vous chercher ! > nous fait elle en refermant la porte. Rires.

Clémentine m'entraîne dans la chambre. Elle se couche sur le lit pour m'offrir sa superbe chatte. Je suis à genoux. Je me régale.
Clémentine est trempée. Le jus n'arrête pas de suinter. C'est absolument divin. Elle m'attire sur elle. Je m'introduis doucement.
Nous restons immobiles. Clémentine me murmure plein de douceurs, de cochonneries. Elle me confie ses ressentis de la journée.
Parfois, nous nous berçons doucement pour revenir très vite à l'immobilité la plus complète. Nous adorons baiser de cette façon.
< Je veux goûter un Nem. Tu veux bien m'aider à élaborer la meilleure stratégie ? > chuchote Clémentine tout en se tortillant…

Je lui promets de mettre toute mon imagination au service de ce désir qui la passionne. Estelle arrive. Et elle s'assoit sur le lit.
< C'est prêt les vicieux ! > nous fait elle en me palpant les couilles. Je suis enfoncé jusqu'à la garde dans Clémentine. Si doux.
Estelle se met à me lécher le cul en écartant mes fesses. Avec la sueur de la journée et de la baise, elle a de quoi se sustenter.
Je me retire doucement pour mettre ma queue dans la bouche d'Estelle qui se met à pomper avec passion. Clémentine se lève.
Elle saisit Estelle par ses cheveux pour la forcer à cesser. Elle nous entraîne à la cuisine. Estelle a préparé des nouilles chinoises.

Accompagnées de saumon poêlé et finement émincé, baigné de crème fraîche, c'est un véritable délice. Nous la félicitons. Joie.
Nous mangeons de bon appétit. Il est 21 h30. La fatigue commence à se faire sentir. Nous sommes épuisés. Le ciel est sombre.
Je propose à Estelle de nous attendre au lit pendant que nous nous occupons de la vaisselle et de ranger la cuisine. C'est super.
Estelle se précipite à la salle de bain. Je lui dis : < Ne te lave pas la chatte, je m'en occupe au lit ! >. < Ok ! > me lance t-elle.
Nous faisons la vaisselle. Clémentine m'embrasse tout le temps. < Je t'aime Julien ! Je suis folle de toi, de nous ! > me fait elle.

Nous passons aux toilettes. Clémentine me suce avec avidité. Reliquat de sperme et de pisse. Ce mélange qui a sa préférence.
Je la laisse se régaler. Moi aussi j'aime bouffer sa chatte baveuse. surtout lorsqu'elle pisse. C'est notre véritable petit bonheur.
La salle de bain. Lorsque nous arrivons dans la chambre, Estelle dort déjà en ronflant légèrement. Nous la regardons, amusés.
Malgré la fatigue, Clémentine veut absolument me sucer. sa dose de foutre. Moi je voudrais bien lui bouffer la chatte. Difficile.
Je me fais sucer. Clémentine s'endort. La succion cesse. Je l'attire contre moi lorsque soudain Estelle me suce. J'éjacule. Dodo.

Bonne randonnée à toutes les coquines qui savent profiter de chaque opportunité pour se livrer au stupre et à la luxure.

Julien - (Qui offre son foutre avec générosité, altruisme et amour. Surtout lorsqu'en échange il reçoit de la foutrine de fille) -

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Classe - 25 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 507 -



Palpage de braguette en château médiéval

Hier matin, dimanche, comme les jours précédents, c'est Clémentine qui est réveillée la première. Elle me fait plein de bises.
Lorsque j'ouvre les yeux, son index sur sa bouche signifie : < Chut ! >. Je regarde par dessus son épaule. Estelle dort encore.
Nous nous nous faisons quelques papouilles silencieuses avant de nous lever pour aller aux toilettes. Nous allons à la cuisine.
Je presse nos oranges pendant que Clémentine fait le café. Nous chuchotons. Malgré ces précautions, Estelle se réveille. Joie.
Nous l'entendons gémir, se précipiter au WC en s'écriant : < Pipi ! > puis elle vient nous rejoindre pour nous faire des bisous.

Serrée contre moi, elle me murmure des choses incompréhensibles. En me touchant. Clémentine ne tarde pas à s'interposer.
Nous rions de bon cœur. Estelle met la table. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Délicieux.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le dimanche, pas de jogging. Nous traînons à table en faisant le programme.
Il est à peine 7 h30. Dehors le ciel est gris mais très lumineux. Par la baie vitrée la vue sur Harrapool et la mer est magnifique.
Le cri des mouettes est sonore et parvient jusque là. Il est 8 h. Je débarrasse. Estelle fait notre lit. Clémentine passe le balaie.

Je fais une machine avec notre linge sale. Clémentine vient me rejoindre dans la salle de bain. Estelle est devant l'ordinateur.
Nous nous faisons plein de câlins. < Je t'aime Julien ! J'aimerais que tout ça dure toujours ! > me murmure t-elle. Je la serre.
Je ne sais quoi dire lorsque qu'elle me livre le résultat de ses introspections existentielles. J'écoute en silence, avec attention.
Je manifeste mon intérêt par des gestes de douceur, de tendres caresses. Je me veux rassurant autant que présent. Ecoute.
Nous sommes assis sur la banquette à regarder tourner le linge derrière le hublot. Clémentine me tient par la taille. Des bises.

Nous sortons dans le jardinet pour marcher lentement tout autour de la maison. Clémentine me fait part de ses introspections.
J'écoute en lui serrant la main plus fort selon ses mots. Il fait doux. Une légère brise vient de la mer. Et c'est un autre univers.
Ces instants resteront à tous jamais gravés dans nos mémoires. Rien n'est insignifiant dans le tourment des sentiments. Joie.
Le signal vient jusqu'au dehors. Nous retournons vider la machine pour suspendre le linge tout humide sous l'auvent extérieur.
Nous rejoignons Estelle assise devant l'ordinateur. Elle vient de rédiger un courriel pour Gauvain. Elle veut nous faire lire. Rire.

Bien évidemment nous refusons. Clémentine ouvre notre boîte mail. Juste un courriel de mon oncle qui tient ma galerie d'art.
Deux commandes. Cela en fait sept. Je ne désire pas en avoir plus de huit chaque automne. La galerie qui se vide doucement.
Il y a les huit toiles déjà acquises que leurs propriétaires me laissent jusqu'au début septembre. Et encore 5 toiles disponibles.
Une fois encore, les "affaires" sont plus que positives. Je réponds. Estelle va prendre sa douche la première. Pas d'autres mails.
Assise sur mes genoux, Clémentine visite le site de l'université. Il n'y a pas encore d'informations concernant la rentrée. Bien.

Estelle revient. Elle est vêtue de sa jupette sport, d'un T-shirt et de ses baskets. Elle lève sa jupette et s'écrie : < Culotte ! >
< Interdit d'en porter aujourd'hui ! > lui fait Clémentine qui m'entraîne à la salle de bain. Nous prenons notre douche. Sympa.
Clémentine est vêtue de sa jupette sport, d'un T-shirt et de ses baskets. Je suis en short, T-shirt et baskets. Il est déjà 10 h.
< Pas de culotte ! > fait Clémentine en montrant sa touffe à Estelle. Nous rions de bon cœur lorsqu'elle répond : < Enlevée ! >
En effet, Estelle nous fait voir. Elle a retiré la sienne. Je la félicite pour la pousse de sa touffe qui devient dense et très fournie.

Je prépare notre petit sac à dos pendant qu'Estelle confectionne nos sandwichs. Clémentine reste près de moi. Des douceurs.
Le ciel devient plus menaçant. Nous partons ce matin pour Eilean Donan Castle. Il faut retourner sur Kyleakin. Il est 10 h15.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite. Estelle, à l'arrière, ses bras autour de mon cou, se penche pour bien voir.
< J'ai envie de la sucer tout le temps ! > me fait elle. Clémentine lui répond : < Aujourd'hui, juste un peu. Et si tu es sage ! >
Nous en rions de bon cœur. Nous traversons Skye Bridge pour entrer dans le village de Kyle of Lochalch. La circulation dense.

Je prends la direction de Plockton. Le village voisin du site où se trouve la plus belle image d'Epinal de l'Ecosse la plus typique.
Nous prenons l'A87 sur une dizaine de kilomètres pour arriver dans un lieu féérique. Le ciel est bas, tourmenté de nuages gris.
Là, sur son île, Eilean Donan Castle. Tel qu'on peu le voir dans le film "Highlander". C'est une véritable carte postale. Grandiose.
C'est à couper le souffle. Nous suivons l'obligatoire et unique petite route touristique qui contourne le lac. Il y a un monde fou.
C'est certainement un des lieux les plus visité d'Ecosse. Nous garons la voiture sur le parking. Il y a un léger vent de la mer.

Nous prenons la file pour prendre nos billets. La visite est guidée. Notre guide est une jeune étudiante faisant son job d'été.
Ses explications sont claires, nettes et précises. Un argumentaire appris par cœur et répété des dizaine de fois par jour. Dur.
Le château est plus petit à l'intérieur qu'il n'y paraît à l'extérieur. Les escaliers, le labyrinthe des venelles, évoque St Michel.
Nous sommes un groupe d'une quinzaine de touristes. Nous croisons d'autres groupes. Et notamment ce groupe d'Asiatiques.
Clémentine nous chuchote : < Les mecs ! Comme ils sont mignons. Tous ces Nems à goûter ! > Nous en rions de bon cœur.

Debout dans le groupe, grâce à nos hautes tailles, nous pouvons rester à l'arrière pour écouter et voir ce qu'indique la guide.
Soudain, Estelle, avec ce culot extraordinaire qu'elle emprunte à Clémentine, met sa main sur mon sexe devant la jeune fille.
La guide mâte rapidement, faisant mine de ne se rendre compte de rien. Discrète, mais efficace, Estelle continue. Vicelarde.
Clémentine me chuchote : < Tu bandes ? >. Je regarde partout autour de nous. Personne ne se rend compte de rien. Discret.
Nous continuons la visite. Cette fois, c'est Clémentine qui me touche la braguette. La guide a un rapide reflexe. Elle "assure".

Sans perdre le fil de son argumentaire, la guide regarde rapidement et une nouvelle fois pour être certaine de ce qu'elle voit.
Nous gravissons un escalier étroit qui mène aux étages. Les appartements des seigneurs du château. Nous écoutons. Super.
Cette fois, c'est Estelle qui me palpe la braguette. Ce petit jeu intrigue certainement la guide. Clémentine me tient par la taille.
Nous continuons la visite pour nous retrouver sur la terrasse. La vue sur le lac, les bâtiments en contrebas, est époustouflante.
Il y a quantité de gens sur le pont de pierres qui relie la terre à l'île. Et cette fois, c'est Clémentine qui me palpe la braguette.

Ce petit jeu n'amuse pas que nous. Visiblement intriguée, la guide semble y prêter une attention grandissante. Tout en parlant.
< C'est une "pro" ! Elle ne perd pas le fil de son répertoire ! > me chuchote Clémentine. Nous nous amusons comme des fous.
< Tu bandes comme un salaud, je le sens bien ! > me chuchote Estelle qui me touche à son tour dans la salle d'armes. Super.
Et c'est vrai que mon érection presque douloureuse et contrariée par mon slibard est forte. Puissante. Je bande. Un vrai salaud.
< J'ai envie de te sucer ! > me fait Clémentine qui me touche à son tour au dessus de l'escalier. La guide explique l'historique.

Il est 13 h45. La visite s'achève. Nous nous avançons vers la jeune guide. Dans ma main un billet de 10 £ soigneusement plié.
Nous la félicitons pour la qualité de son argumentaire. Je lui serre la main. Mon attention ne la laisse pas insensible. Le sourire.
Les étudiants sont toujours un peu dans le besoin. J'aime à remercier ainsi les complicités de certaines d'entre elles. Normal.
La jeune fille doit s'occuper du nouveau groupe qui se forme là-bas. Nous la laissons pour aller vers la boutique souvenir. Bien.
Estelle choisit des cartes postales. Une pour sa mamie, une pour ses parents et une pour Gauvain. Il y a plein de touristes ici.

Clémentine me fait du coude. < Regarde ! > me fait elle. Je mâte dans la direction indiquée. La jeune guide qui lève son pouce.
Juste avant de s'éloigner avec la meute de touristes à ses trousses, la jeune fille nous adresse ce signe complice et un clin d'œil.
Je trouve cette attention divine. Je bande comme un priapique en phase terminale. Rencontrer une complice est toujours génial.
Cela n'est évidemment possible que dans le cadre d'un couple ou encore dans cette configuration de "triolisme" exhibitionniste.
Nous sommes morts de faim. Nous prenons le sentier très fréquenté qui fait le tour du lac. Enfin une aire de repos. Des tables.

Assis aux côtés d'un groupe d'Allemands, des séniors en voyage, nous dégustons notre frugal repas. Nos pommes. Sandwichs.
Les Allemands sont très bavards. Nous ne comprenons rien. Arrrhhhh ! Estelle me fait du pied et des clins d'œil. Nous parlons.
Nous évoquons l'attitude de la jeune guide. Tout cela nous a considérablement excité. < A refaire ! > conclue Clémentine. Rire.
L'endroit est tellement merveilleux que nous nous promettons d'y revenir demain. Seconde visite du château et une randonnée.
Il est 15 h lorsque nous reprenons notre balade. Nous marchons deux bonnes heures avant de retourner au village de Plockton.

C'est un petit village de carte postale. Comme souvent en Ecosse, tout semble irréel ou le décors d'une production d'Hollywood.
Nous nous offrons des cônes glacés. Parfois, discrètement, je passe ma main sous les jupettes des filles pour palper les chattes.
Je suis prié d'être le plus vulgaire possible. Surtout Clémentine qui aime les attitudes choquantes, bien vicelardes. Je m'applique.
J'enfonce souvent un doigt dans la chatte d'Estelle. A chaque fois elle a le même réflexe. A chaque fois elle dit : < C'est bon ! >
Nous nous promenons dans la rue principale du bourg. Il y a quantité de boutiques. Artisanat local, souvenirs et une brocante !

Estelle insiste pour préparer et prendre le repas au cottage. Clémentine trouve que c'est une excellente idée. Je n'insiste pas.
Ma proposition de manger au restaurant est rejetée à la majorité. Il est 21 h30 lorsque nous revenons à Harrapool. Fatigués.
Estelle s'enferme dans la cuisine pour préparer notre surprise. Clémentine m'entraîne dans la chambre et me pousse sur le lit.
Je suis couché sur le dos, le short aux genoux, entrain de ma faire tailler une pipe des familles. Une bonne demi heure. Super.
Estelle vient nous rejoindre. Clémentine lui présente ma queue dégoulinante. Estelle se précipite pour la sucer à son tour. Joie.

L'odeur de la bouffe est si agréable que nous cessons pour nous précipiter à la cuisine. Estelle nous a préparé une belle surprise.
Des petites pommes de terre rissolées et accompagnées de filet de saumon poêlé. Avec une salade de tomates. Délicieux. Miam.
Nous traînons à table. Nous évoquons notre aventure dans le château en espérant que demain ce soit la même guide. Superbe.
Il est 23 h. Je propose à Estelle de nous attendre au lit. Clémentine et moi nous faisons la vaisselle. Puis nous rejoignons Estelle.
Evidemment, elle dort à poings fermés. Clémentine me suce. Je lui fais un doigt. Sans arriver à quoi que ce soit, nous plongeons.

Bonne visite du château à toutes les coquines qui aiment à créer des situations vicelardes et discrètes devant des inconnus…

Julien - (Qui se fait palper la braguette devant de belles inconnues pour le plus grand plaisir de Clémentine et d'Estelle) -

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Classe - 26 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 508 -



Palpage de braguette en citadelle médiévale

Hier matin, lundi, une fois encore, c'est le souffle chaud de Clémentine dans mon cou qui me tire de mon profond sommeil.
J'ouvre les yeux. Le doigt sur ses lèvres, elle me murmure : < Chut ! >. Je regarde par dessus son épaule. Estelle qui dort.
Nous nous faisons de discrètes papouilles avant de nous lever le plus silencieusement possible. Puis nous filons aux toilettes.
A la cuisine, je presse nos oranges pendant que Clémentine s'occupe du café. Nous bavardons en chuchotant. Il est 7 h15.
Dehors il fait beau. Il y a l'alternance de séquences ensoleillées et nuageuses. Nous entendons Estelle gémir en se réveillant.

Après son pissou, Estelle vient nous rejoindre pour nous faire des bises. < Bonjour les gens ! Comment ça va bien ? > dit elle.
Elle se blottit contre moi avant que Clémentine s'interpose en disant : < Les gens vont très bien ! >. Nous rions de bon cœur.
Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Joie.
Nous évoquons nos aventures de hier. Le programme du jour. Le retour au château d'Eilean Donan que nous désirons revoir.
< C'était tellement beau ! > fait encore Estelle. Nous préparons notre randonnée autour du lac. Ce sera quand même différent.

La vaisselle. Nous sommes en tenue de jogging. Dehors il fait doux. Le ciel semble se couvrir de plus en plus. Il est déjà 7 h45.
Nous courons d'un bon rythme sur le chemin qui fait le tour de la colline. La vue sur la mer et le village est magnifique. Super.
Il est 9 h lorsque nous revenons après un running des plus agréables. Nous prenons notre douche en premier. Estelle fait le lit.
C'est au tour d'Estelle. Nous allumons l'ordinateur. Un courriel de Juliette qui est à Sartène, en Corse. Tout se passe très bien.
Un courriel de Lennie, la jeune fille Hollandaise qui nous raconte un peu de son périple en mer. Nous répondons et avec photos.

Estelle revient de sa douche. Elle est vêtue d'une jupette sport identique à celle de Clémentine. T-shirt et baskets. Très belle.
Je suis en short, T-shirt et baskets. Je prépare le petit sac à dos. Estelle prépare nos sandwichs. Clémentine reste près de moi.
Il est à peine 10 h lorsque nous roulons doucement sur la route qui longe le littoral jusqu'à Kyleakin. Voilà Skye Bridge. Super.
Clémentine joue avec ma bite. Estelle, assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, nous raconte notre visite guidée de hier.
La jeune étudiante que nous avons diverti lorsqu'elle faisait visiter le château au groupe de touristes dont nous faisions partie.

Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine fait : < Avec un peu de chance, elle sera à nouveau là ! On rajoute une louche ! >
Nous traversons Kyle of Lochalch pour prendre l'A87 jusqu'au village de Plockton. La circulation est encore plus dense que hier.
Une dizaine de kilomètres dans un paysage à couper le souffle. Estelle nous fait remarquer l'absence d'arbres. Tout est si vert.
C'est comme sur Skye, le Nord Ouest de l'Ecosse est peu forestier. Voilà Eilean Donan Caslte, posé sur son île, relié par le pont .
C'est féérique. La lumière est différente. Cette fois l'amas des nuages gris, et les rayons du soleil, offrent un cadre fantastique.

Je gare la voiture sur le parking. Il y a un monde fou. Je suis prié de garder ma braguette discrètement ouverte. C'est difficile.
Seul un œil avisé pourrait voir la tirette en bas. Clémentine a retiré sa culotte. Estelle préfère la garder. Nous voilà dans la file.
Munis de nos billets nous attendons notre guide. Cette fois c'est un jeune homme à lunettes, aux cheveux en brosses, sérieux.
< Il a le charisme et le charme d'une huitre anorexique celui-là, ma parole ! > fait Estelle. Nous en rigolons comme des bossus.
Nous avons beau regarder les autres groupes que nous croisons, la jeune guide de hier reste invisible. C'est un peu dommage.

L'argumentaire de la visite ainsi que son déroulement sont sensiblement les mêmes que hier. C'est très intéressant. C'est beau.
Nous croisons deux groupes d'Asiatiques. < Put-Hein, j'en enlève un et je le suce aux chiottes ! > nous chuchote Estelle. Rires.
< Toi aussi ? > lui murmure Clémentine qui pose une main discrète sur ma braguette. Je lui glisse une main discrète au sexe.
Clémentine ne porte pas de culotte et l'accès à sa chatte est d'une aisance qui nous ravit. Je touche Estelle. Contact du coton.
L'intérieur du château a été restauré comme l'extérieur. Cela remonte aux années 30. Mobilier d'époque, décoration médiévale.

Visiter ce château et son cadre c'est un peu comme entrer dans un conte de fée. Et nous en savourons la joie une seconde fois.
Pas d'opportunité d'exhibe pour Clémentine. Notre guide n'éveille aucune envie libidineuse aux deux coquines que cela frustre.
La visite du château se termine. Nous voilà de retour à Plockton, le village juste à côté. Nous prenons quelques photographies.
Il est 13 h30. Morts de faim nous décidons de prendre notre repas sur un des bancs disposés le long du chemin au bord du lac.
Nous mangeons avec appétit. Nous observons le paysage et tout ces gens qui grouillent là-bas, pour monter sur le pont. Foule.

Nous prenons le sentier qui fait le tour du petit lac. Nous croisons quantité de marcheurs. Souvent de petits groupes. Et guidés.
La vue reste inégalable quel que soit l'angle de vue. C'est probablement l'un des plus beaux spectacles qu'il est donné de voir.
Souvent, sur les rares parties du sentier où nous sommes seuls, Clémentine me touche le sexe. Estelle les couilles par derrière.
Je leur passe les mains sous les jupettes. Nous apprécions tous les trois la vulgarité. Aussi, nous nous en donnons à cœur joie.
Je sors mon Zob pour l'agiter vers Estelle ou vers Clémentine qui s'accroupit pour me montrer sa chatte. Nous nous amusons.

Nous arrivons sur une sorte de grande esplanade au sommet d'un promontoire aménagé. Des tables d'orientation. WC public.
Une boutique souvenir qui fait également office de renseignements touristiques. Et il y a un groupe d'Asiatiques. Une trentaine.
Clémentine s'approche du tourniquet pour s'accroupir. Elle fait semblant de choisir une carte postale. Estelle s'approche de moi.
Il faut être rusé, discret, virtuose et avoir un certain culot. Quatre qualités dont Clémentine est amplement pourvue. Superbe.
Elle attend qu'un des Asiatiques quitte le groupe pour venir par là. Estelle scrute le bâtiment des toilettes publiques. Au cas où.

Je lui fais remarquer qu'il serait vain et terriblement risqué de tenter quoi que ce soit aux chiottes. Il y a trop de monde partout.
Enfin, un des Asiatiques, plus téméraire que ses congénères, se dirige vers la boutique à souvenirs. Nous observons Clémentine.
Cuisses largement écartées, accroupie au bas du tourniquet qui masque sa chatte aux regards éventuels et non souhaités. Bien.
Le monsieur Asiatique, très élégant dans son pantalon et sa chemise d'un blanc immaculé, approche du tourniquet. C'est génial.
Il a remarqué cette grande jeune fille brune, aux longs cheveux, qui regarde les cartes postales dans cette attitude suggestive.

Il s'accroupit à son tour. Il tente de voir entre les cartes postales. Estelle me chuchote : < Put-Hein ! Quelle salope ! Génial ! >
Nous approchons. Estelle à gauche, moi à droite. Nous faisons un écran parfait. Cela permet à Clémentine d'en rajouter encore.
Une main entre ses cuisses, tenant une carte postale de l'autre, Clémentine peut ainsi se toucher en toute quiétude. Protégée.
Je bande comme le dernier des salauds. Estelle me fait des clins d'œil appuyés. Nos complicités trouvent ici de quoi s'épanouir.
Clémentine en rajoute une louche. Sa position ne laisse aucun doute quand à ses agissements masturbatoires. Le type admire.

Estelle et moi restons vigilants. Nous faisons très attention de bien encadrer Clémentine. Personne ne pourrait se douter de rien.
C'est la toute première fois que la situation peut aller aussi loin, aussi longtemps. L'Asiatique, très mignon, ne se doute de rien.
Il se contente de mâter, de jouir de ce merveilleux moment de grâce divine qui lui est accordé. Il sait en profiter en gentleman.
La situation perdure un bon moment. Un couple de séniors s'approche pour choisir des cartes postales. Il faut cesser de jouer.
En même temps, il y a une femme qui vient rejoindre l'heureux privilégié. Clémentine se relève. Elle me tient, prise de vertige.

Bien évidemment, cette situation nous a tous les trois considérablement excités. Très. Clémentine prend discrètement ma main.
Regardant partout autour de nous, elle me la glisse sous sa jupette pour me faire découvrir sa chatte trempée. Et c'est mouillé.
< L'effet Nem ! > me chuchote t-elle. Estelle la félicite en disant : < Put-Hein, tu as fait fort ce coup ci ! >. Et je la félicite aussi.
Nous nous offrons des cônes glacés que nous savourons en flânant longuement. Clémentine ne perd pas de vue les Asiatiques.
Le beau monsieur aux cheveux noirs et lissés, nous a remarqué. Il a sans doute capté le style de jeu auquel nous nous livrons.

Nous sommes tous les trois tellement vicelards que nous en tirons les conclusions qui s'imposent. Refaire à tous prix. Encore.
Hélas, le flot de touristes est si nombreux qu'il nous faut fuir. Nous ne supportons plus cette affluence. Et c'est une vraie foule.
Nous continuons notre randonnée. Je touche souvent les deux filles. Clémentine s'arrête et me fait : < J'ai envie de baiser ! >
Estelle met sa main dans ma braguette et dit : < Moi aussi ! Baise moi, là, parterre ! >. Nous en rigolons comme des bossus.
Avec tous ces promeneurs, il est bien évidemment impossible de faire autre chose que de se tripoter discrètement. Bien aussi.

Il est presque 19 h30 lorsque nous revenons à Plockton. Impossible d'y trouver un restaurant avec une table libre. Et tant pis.
Nous roulons jusqu'à Kyle of Lochalch. Enfin, vers 21 h nous trouvons notre bonheur. Une table libre dans un petit restaurant.
Depuis la fenêtre, la vue sur le port est magnifique. Le ciel s'est obscurcit. Il fait très sombre. Nous dégustons nos fruits de mer.
Nous évoquons notre aventure. Nous dissertons sur les éventualités de créer des situations similaires en "sécurisant" à deux.
Si Estelle et moi faisons "écran", il sera beaucoup facile pour Clémentine de se livrer à des exhibes de qualité. Nous en parlons.

Nous nous promettons d'appliquer ce principe dès demain. Après tout, il est simple de créer des situations de ce genre. Super.
Il est 22 h30. Nous flânons dans la rue principale et encore animée de Kyle of Lochalch. La fraîcheur du soir devient plus vive.
Nous portons nos K-ways. Quelques gouttes. Nous retournons à la voiture. Je roule doucement. Estelle s'est endormie derrière.
Il est 23 h30 lorsque nous arrivons au cottage. Je soulève Estelle que j'emmène ainsi pour la déposer sur le lit. Nous rions bien.
Au lit, trop épuisés pour tenter un orgasme forcément bâclé, nous ne tardons pas à nous endormir, Clémentine serrée fort. Dodo.

Bonne exhibe discrète et de très grande qualité à toutes les coquines qui savent se comporter en virtuoses vicelardes…

Julien - (Qui va élaborer de nouvelle stratégies de "sécurité" avec la complicité active d'Estelle que cela excite beaucoup) -

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Classe - 27 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 509 -



Le séjour sur Skye est enchanteur et très excitant

Hier matin, mardi, comme tous les jours, Clémentine me réveille doucement. Nous observons Estelle qui dort encore. Douceur.
Nous nous offrons quelques papouilles silencieuses. Nous filons aux toilettes en faisant le moins de bruit possible. Nos pissous.
A la cuisine, je presse nos oranges et Clémentine s'occupe du café. Il est à peine 7 h15. Dehors, le ciel est d'un gris de plomb.
Il fait pourtant très doux. Nous entendons Estelle gémir en s'étirant avant de se lever en s'écriant : < Pipi ! >. C'est amusant.
Elle vient nous rejoindre à la cuisine pour nous faire des bisous et se blottir contre moi avant que Clémentine ne s'y interpose.

Nous sommes tous les trois vêtus de nos tenues de jogging en prenant notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Il nous faut faire courses en matinée car nous n'avons presque plus de fruits.
Nous faisons un rapide et vague programme du jour. La vaisselle. Nous sortons. Il est 7 h45. Le ciel est étrangement menaçant.
C'est Estelle qui impulse le rythme soutenu. Nous courons sur le circuit devenu habituel. C'est magique. La vue est somptueuse.
Au dessus de la mer, du village, le ciel est d'un gris de plomb, alors qu'au dessus de la colline, le soleil offre une lumière dorée.

Il est 9 h lorsque nous revenons au cottage. Nous prenons notre douche en premier pendant qu'Estelle est assise à l'ordinateur.
Clémentine me confie ses ressentis, à quel point ce troisième séjour en Ecosse la convainc que c'est ici qu'elle passera sa vie.
J'écoute en lui savonnant le dos. Il y a encore quatre années d'études et un Doctorat à obtenir avant de pouvoir venir vivre ici.
Nous nous habillons légèrement. Nous rejoignons Estelle dans le séjour. Elle surfe sur le site de l'université. Et enfin des infos.
Estelle va prendre sa douche à son tour. Nous découvrons le mail de Julie, la jeune étudiante qui bosse au restau de sa tante.

Enfin quelques nouvelles auxquelles nous nous empressons de répondre. Estelle vient nous rejoindre. Il est à peine dix heures.
Les filles sont vêtues de leurs jupettes sport très semblables, kaki pour Clémentine, beige pour Estelle. T-shirt blanc, baskets.
Je suis en short, chemisette et baskets. Nous décidons d'aller à la supérette de Crofting à pieds. C'est à peine à deux bornes.
Nous descendons l'étroite petite route. Il y a le troupeau de moutons, le chien et le berger. Nous bavardons un peu. Superbe.
Il y a du monde. Je pousse le mini chariot. Estelle me tient le poignet et Clémentine marche devant nous pour nous entraîner.

Nous faisons provision de pommes, d'oranges, de barres de céréales et de pain. Deux belles grosses miches de pain complet.
Il faut prévoir car jeudi matin pour prenons la route du Nord pour rejoindre l'embarcadère. Le bateau pour les îles Shetlands.
Nous serons deux jours et deux nuits en mer pour faire le tour des îles et y débarquer. Bien des réjouissances en perspective.
< Nous sommes abonnés aux pays du soleil levant ! > fait Clémentine. Là, à la caisse, devant nous, deux couples d'Asiatiques.
Il y a bien trop de monde pour un plan exhibe mais cette rencontre nous amuse beaucoup. < Ils portent chance ! > dit Estelle.

Je porte le gros sac à dos d'Estelle et les filles ont chacune des sachets. Nous remontons. Patience. Le passage des moutons.
Il est onze heures trente. Estelle insiste pour préparer le repas de midi. Et ce sera une surprise. Nous avons acheté de la pâte.
La déduction est simple et logique. Il y a de la tarte dans l'air. Nous rangeons nos courses. Et Estelle s'enferme dans la cuisine.
Clémentine m'entraîne dans la chambre. Elle me fait basculer sur le lit en disant : < Notre apéro ! >. Elle me descend le short.
Je me fais tailler une pipe des familles. Nous ne tardons pas à nous mettre en position de "69". Puis c'est moi qui me régale.

< Ecoute ! Elle chante ! > me chuchote Clémentine entre deux gémissements de plaisir. Elle m'attire sur elle. Nous écoutons.
Je m'introduis avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles à nous observer, silencieux. Nous entendons Estelle chanter.
Clémentine me confie les secrets. Nous adorons ça. Parfois, nous nous berçons pour cesser. Rester sans bouger. Se raconter.
Clémentine développe son fantasme devenu récurrent. Sucer un bel Asiatique. Je l'encourage en proposant quelques scénarios.
C'est une stimulation permanente. Je lui avoue que mon fantasme de la voir sucer un Asiatique est tout aussi fort que le sien !

Estelle vient nous rejoindre : < C'est prêt ! > fait elle en s'asseyant sur le lit pour me choper les couilles par derrière en riant.
Nous sommes morts de faim. Je me retire avec précautions. Clémentine agite ma bite dégoulinante vers Estelle qui me la suce.
Cela ne dure qu'un instant car Clémentine nous entraîne à la cuisine. Miam. Estelle a concocté une tarte au saumon. Superbe.
Accompagnée d'une salade de tomates, c'est un vrai régal. Nous mangeons de bon appétit tout en félicitant Estelle. Délicieux.
Dehors, le ciel est devenu uniformément gris. Nous ne prendrons pas le risque de randonner sur l'île. Nous changeons de plan.

Clémentine et moi nous faisons la vaisselle et nous rangeons la cuisine pendant qu'Estelle prépare notre petit sac à dos. Bien.
Il est 13 h45 lorsque nous quittons le cottage en direction de Kyle of Lochalsh où nous arrivons pour 14 h30. Il y a du monde.
Nous adorons cette petite bourgade typique. Nous flânons sur le port. Il y a de l'animation. Des pêcheurs proposent leur pêche.
< Zen attitude ! > s'écrie Estelle en nous montrant un autre groupe d'Asiatiques. < Décidemment ! > fait Clémentine. Fatalité.
Nous rions de bon cœur de ce destin qui place ces gens sur nos passages, quel que soit le lieu. < C'est un signe ! > fait Estelle.

Nous quittons Kyle of Lochalsh par le sentier de randonnée en direction de Falls of Glomach, les fameuses chutes d'eau. Super.
Nous croisons quantité de marcheurs. Clémentine a retiré sa culotte. Estelle préfère garder la sienne. J'ai la braguette ouverte.
Parfois, lorsqu'il n'y a personne et que la configuration du sentier le permet, nous nous touchons. Nous y mettons la vulgarité.
< Les trois mousquetaires du vice ! > fait Estelle en me tenant la bite pour en diriger le jet contre un gros rocher. C'est sympa.
Elle s'accroupit pour me la sucer afin d'en récupérer les reliquats. Clémentine m'embrasse en se touchant. Nous nous amusons.

Je m'apprête à torcher Estelle, accroupie sur le bord du sentier, lorsque, sans prévenir, je lui enfonce un doigt. Et par derrière.
Bien évidemment, l'effet de surprise et le jet soudain contrarié par la pression, Estelle cesse de pisser. Je recommence encore.
Il faut être prudents. Tout cela se passe toujours assez rapidement. Le passage est fréquent. Quelquefois intense. Les touristes.
Nous arrivons à Falls of Glomach. C'est magnifique. Les chutes tombent dans la mer d'une bonne vingtaine de mètres. Super.
Dans le bruit assourdissant du cri des mouettes et des vagues au bas de la falaise. Il faut rester derrière les barrières. Prudent.

Il y a là quantité de touristes qui filment, qui photographient. Il y a de quoi se remplir les yeux d'un spectacle grandiose. Joie.
Nous sommes tous les trois considérablement excités par nos petits jeux. Nous quittons le sentier côtier du haut des falaises.
Il faut monter un chemin sinueux. C'est souvent de la rocaille. Le ciel est gris. Pas une goutte de pluie pourtant. C'est sympa.
Soudain, là, au détour du sentier, Loch Alsh. C'est une des petits lacs comme il y en a plein en Ecosse. Et avec son château.
Nous contournons cette partie du lac pour nous diriger vers les ruines. C'est le château Maol et le fantôme de la dame blanche.

La visite des ruines est passionnante. Au loin nous apercevons Skye Bridge et le village de Kyleakin. C'est majestueux. Super.
Je passe souvent ma main sous la jupette des filles. C'est dans la chatte d'Estelle que j'enfonce mon doigt. Bien vulgairement.
Estelle adore la vulgarité. Peut-être encore davantage que Clémentine à qui je me contente de palper la cramouille si humide.
Clémentine est très étroite. J'ai toujours peur de lui faire mal. Alors qu'Estelle adore les comportements vicelards et dépravés.
Nous ne nous privons pas. Combien de fois, à l'abri d'un mur, je me retrouve avec la queue dans la main d'une des coquines.

Clémentine prend des photos. < Zen attitude ! > fait Estelle en nous montrant deux couples d'Asiatiques qui font des clichés.
< Pas de doute ! C'est un signe du destin ! > répond Clémentine en mimant une pipe, poing fermé devant la bouche. Superbe.
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'Estelle rajoute : < Moi, je veux un Nem dans son jus et avant la fin des vacances ! >.
Nous prenons le chemin du retour. Il est aux environs de 19 h30 lorsque nous revenons à Kyle of Lochalsh. Et plutôt fatigués.
Il y a quelques gouttes. Nous passons nos K-ways. Je propose un bon restaurant sur le port. Hélas, pas une table n'est libre.

< Pourquoi on s'emmerde ! On a tout ce qu'il faut au cottage ! > fait Clémentine. Estelle qui s'écrie : < Et je fais la bouffe ! >
Nous reprenons la route pour arriver au cottage vers 21 h. Des images merveilleuses plein les yeux et les sexes bien humides.
Estelle s'enferme dans la cuisine. Clémentine m'entraîne sur le lit. Je lui bouffe la chatte avec appétit. Elle en crie de bonheur.
Estelle vient parfois voir ce qui se passe. < Bande de vicieux ! > fait elle à chaque fois avant de retourner préparer la bouffe.
Clémentine déteste les orgasmes précipités. Elle préfère se garder le plus longtemps possible. Pourtant, cette fois, impossible.

Malgré mes précautions. J'ai fait gaffe. Je m'arrêtais juste au moment critique. Elle m'attire contre elle et dit : < Je t'aime ! >
Nous restons ainsi un petit moment, le temps que Clémentine retrouve ses esprits. Estelle arrive : < C'est prêt ! > fait elle.
Nous la suivons. Miam. Ce soir c'est un gratin de courgettes, d'aubergines avec des crevettes et du fromage de Mull. Ecossais.
Accompagné d'une salade de tomates. Nous mangeons de bon appétit tout en félicitant Estelle pour ce délicieux repas. Régal.
Nous traînons à table. Estelle est assise sur mes genoux. Clémentine debout derrière moi. Nous évoquons nos aventures. Joie.

Nous faisons la vaisselle pendant qu'Estelle prépare le linge qu'il faut laver demain matin afin qu'il soit bien sec pour le départ.
Nous la rejoignons au séjour où elle est plongée dans la lecture d'une brochure touristique. < Je veux de la bite ! > me dit elle.
Clémentine lui répond : < Mais à sucer ! >. Je viens me mettre debout devant le canapé. Clémentine me sort la queue en riant.
Elle l'agite devant le visage d'Estelle qui hume les odeurs de ma journée d'homme. < Mmh ! J'adore quand ça sent ! > dit elle.
Clémentine la lui passe sur le visage. Estelle en présente tous les angles, gloussant de plaisir. Je me fais tailler une super pipe.

Je tiens Estelle par les oreilles. Je reste immobile. Parfois je la lui enfonce un peu plus profondément. Clémentine m'embrasse.
Nous restons ainsi un long moment. Mes lombaires commencent à me faire souffrir. Je m'assois à côté d'Estelle que je tiens.
Je la tiens par la nuque pour bien lui enfoncer la bite dans la bouche. Clémentine se masturbe en me regardant être salaud.
Elle me fait des clins d'œil, lève son pouce et m'encourage à me comporter comme le dernier des vicelards. Je suis spécialiste.
Il est 23 h. Je tire Estelle par ses cheveux pour l'entraîner aux toilettes. < Non ! > s'écrie t-elle en sachant ce qui l'attend là.

Clémentine me tient la queue. Je tiens Estelle fermement par ses cheveux. J'ai une forte envie de pisser. Je lui arrose le visage.
Clémentine lui enfonce le sexe dans la bouche entre les jets. Salle de bain. Sèche cheveux. Nous rigolons comme des bossus.
Au lit, j'attrape Estelle par ses cheveux, je lui mets une gifle avant de lui éjaculer dans la bouche. Son plaisir semble immense.
Ce ne sont jamais des actes de violence mais des jeux dont elles raffolent toutes les deux. Clémentine se met entre nous deux.
Estelle s'endort la première. Clémentine se serre contre moi pour me chuchoter : < J'aime quant t'es vicelard ! >. Plongeon.

Bonne pipe bien vicelarde à toutes les coquines qui en raffolent. Que ce soit en extérieurs ou en intérieurs. Même au WC…

Julien - (Qui, de temps en temps, offre son petit plaisir juteux et bien dégueulasse à Estelle. Surtout dans les chiottes) -

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Le dernier jour sur Skye

Hier matin, mercredi, une fois encore c'est Clémentine qui est la première réveillée. J'ouvre les yeux sous ses douceurs. Bises.
< Chut ! > fait elle avec son index posé sur les lèvres. Je regarde par dessus son épaule pour constater qu'Estelle dort encore.
Nous échangeons quelques papouilles avant de nous rendre aux toilettes. Il est 7 h15. Dehors il fait le même temps maussade.
Pas de pluie mais un ciel gris, chargé et lourd. Il fait très doux. A la cuisine je presse les oranges. Clémentine s'occupe du café.
Nous entendons Estelle se lever en s'écriant : < Pipi ! >. Elle vient nous rejoindre pour nous faire des bisous, serrée contre moi.

Clémentine l'écarte doucement en disant : < On se calme. La journée ne fait que commencer ! >. Nous en rions de bon cœur.
Nous prenons notre petit déjeuner en appréciant l'odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Joie.
Nous faisons le bilan de cette semaine sur l'île de Skye. L'avis est unanime, nous préférons tous les trois la côte Est de l'Ecosse.
Le climat y est plus régulier, il y fait beau sur de plus longues durées, pas trop de fluctuations météo, et surtout pas de midges.
Nous sommes déjà en tenues de jogging. Nous faisons la vaisselle. Il est 7 h45. Le ciel devient lumineux mais reste voilé. Bien.

Nous voilà à courir sur ce circuit que nous connaissons à présent fort bien. C'est Estelle qui impulse un rythme soutenu. Super.
Il est neuf heures lorsque nous sommes de retour. Nous prenons notre douche en premier pendant qu'Estelle fait une machine.
Puis c'est à son tour pendant que nous sommes à l'ordinateur pour répondre à nos deux messages. Celui de mon oncle. Galerie.
Encore une vente et deux commandes fermes avec acomptes. Cela m'en fait 9 à réaliser cet automne et en priorité. Je préfère.
Il y a le courriel de Juliette qui nous envoie deux photos de son séjour à Sartène, dans sa famille en Corse. Chaleur. Farniente.

Nous allons tous les trois suspendre le linge sous l'auvent extérieur. Il sera probablement sec en soirée. Surtout avec la brise.
Il est dix heures. Clémentine et Estelle porte leur jupette sport, un T-shirt, leurs baskets. Je suis en short, chemisette, baskets.
Nous descendons jusqu'à Harrapool pour y flâner une dernière fois. Il y a de l'animation. Le village est touristique. Supportable.
Nous apprécions tout particulièrement l'ambiance des petits ports qu'il y a dans tous les bourgs côtiers. C'est vraiment sympa.
Les pêcheurs sont occupés à décharger leurs paniers. Fruits de leurs retour de mer où ils sont souvent partis très tôt, de nuit.

Je comprends un peu de Gaëlique. Je traduis les bribes de phrases qui s'échangent et les mots qui reviennent le plus souvent.
C'est la langue parlée sur les îles Hébrides comme sur l'île de Skye. Nous flânons. Le ciel devient de plus en plus clair. Super.
Discrètement, m'étant assuré que personne ne prêtait attention à nous, dans quelques coins à l'écart, je passe sous les jupes.
Clémentine ne porte pas de culotte. Estelle porte du coton très doux. Et c'est Estelle qui me palpe le plus souvent la braguette.
Ces petites activités ludiques nous excitent tout en nous amusant. Surtout qu'il faut être prudents. Ce qui procure du suspens.

Estelle choisi trois cartes postales. Une pour sa mamie, une pour ses parents et une pour Gauvin. Assise sur un muret, elle écrit.
Clémentine et moi nous marchons un peu le long du quai. < Cet été, ce sont de vraies vacances reposantes ! > me confie t-elle.
Nous ne nous sommes pas mis la pression pour découvrir un maximum de choses en un minimum de temps. Ce qui est plaisant.
Clémentine et Estelle connaissent à présent bien ce pays. Elles en sont tombées amoureuses au point de venir s'y installer. Joie.
Nous rejoignons Estelle qui achève de coller les timbres sur les cartes postales. Nous nous dirigeons vers la poste. Petite maison.

Il est presque midi lorsque nous remontons au cottage. A peine à 500 mètres au dessus du village dont nous percevons le bruit.
< C'est moi qui prépare la bouffe ! Je vous appelle quand c'est prêt ! > nous fait Estelle. Clémentine m'entraîne dans le jardinet.
Par la fenêtre, nous observons Estelle qui s'affaire en nous faisant des grimaces et des gestes obscènes. Nous faisons de même.
Clémentine me sort la bite qu'elle agite derrière les carreaux en direction d'Estelle qui tire le fin rideau pour cacher ses activités.
Nous allons nous asseoir sur le banc qui donne sur la mer. Il y a une légère brise. Clémentine pose sa tête sur mon épaule. Joie.

Nous bavardons. Nous évoquons nos aventures écossaises. De la fenêtre de la cuisine nous entendons Estelle qui chantonne.
Le bruit des ustensiles de cuisine et bientôt une délicieuse odeur de poisson à la poêle. Cela aiguise nos appétits. C'est super.
Clémentine me sort le Zob une nouvelle fois pour se mettre à me masturber doucement. Je lui fais la même chose. Agréable.
< Tu seras bien salaud cet après-midi ? J'ai besoin d'être prise en main. Et fermement ! > me chuchote ma compagne. Bisous.
Je lui promets de faire de mon mieux. Je la saisi par la nuque. Je me lève. Je lui enfonce la bite dans la bouche. Elle me sourit.

Je reste immobile. Je la maintiens par la nuque. J'ai la bite à peine introduite. Clémentine biberonne et sans cesser de me fixer.
Parfois, elle me fait un clin d'œil avant d'enfoncer plus de longueur dans la bouche. Les joues creusées, elle me fixe avec intérêt.
Je lui caresse les cheveux en lui murmurant des douceurs que je mêle à quelques cochonneries biens senties. Comme elle aime.
Estelle arrive et nous voit ainsi : < C'est prêt, les vicieux ! > fait elle en s'asseyant à côté de Clémentine et pour bien regarder.
C'est comme si elle attendait son tour. Je l'attrape par la nuque pour lui enfoncer la queue gluante que je viens de retirer. Bien.

Je la laisse se régaler quelques instants avant de la forcer à cesser. Clémentine nous entraîne par la main. Nous avons faim.
Estelle a préparé de l'émincé de saumon poêlé qu'elle a fait mijoter dans une crème fraîche et du fromage de Roquefort. Miam.
Accompagné d'une salade de tomates et d'un coulis d'aubergines, c'est tout simplement divin. Nous la félicitons pour ce repas.
Clémentine et moi nous faisons la vaisselle pendant qu'Estelle prépare notre petit sac à dos. Nous rangeons la cuisine. Propre.
Il est 13 h30 lorsque roulons sur la petite route qui va vers Broadford à une dizaine de kilomètres. Je conduis doucement. Joie.

Clémentine joue avec ma queue. Parfois c'est Estelle qui, assise à l'arrière, glisse sa main entre les sièges pour me la choper.
La circulation est dense. Broadford est le plus grand bourg de l'île. Nous y arrivons pour 14 h. Je gare la voiture à l'extérieur.
Je garde la braguette discrètement ouverte. Estelle a retiré sa culotte sur la demande de Clémentine. Et c'est toujours difficile.
< J'ai un sentiment d'insécurité sans culotte ! > est le prétexte le plus souvent avancé par Estelle pour justifier de sa réticence.
Entre deux voitures, là sur le port, je passe mes mains sous les jupettes. J'enfonce mon doigt dans Estelle. < Mmh ! > fait elle.

Il y a du monde. Cela nous incite à la retenue, à une grande prudence. < Nos amis ! > fait Estelle en désignant des Asiatiques.
En effet, là, à quelques mètres, il y a un groupe d'une dizaine d'Asiatiques. Ils sont toujours souriants, plein de vie, observent.
Il y a l'un d'entre eux qui reste en retrait. Tout en scrutant son appareil photo, il se laisse distancer. Estelle lance : < Nem ! >
< Je le lui boufferais bien ! > fait Clémentine que je saisi par la nuque pour l'entraîner sans ménagement vers le type. Silence.
< Dis bonjour au monsieur ! > que je lui fais tout en la tenant par la nuque. L'homme lève la tête pour regarder. Consterné.

Estelle reste en retrait. Sa silhouette fait écran. Tout se passe très vite. Je pose ma main sur la jupette à Clémentine. Le sexe.
Je palpe. L'Asiatique, autant charmé qu'étonné nous regarde en souriant. < Bonjour monsieur ! > fait Clémentine très gênée.
Ces situations ont toutes la préférence de Clémentine que les moments de hontes excitent au plus haut point. Je suis prudent.
L'inconnu garde un sourire éloquent et apprécie maintenant l'instant à sa très juste valeur. Des gens de son groupe l'appellent.
Il nous quitte en s'excusant de ne pouvoir prolonger la rencontre. Confus il s'éloigne en se retournant plusieurs fois. Sourires.

Clémentine prend ma main pour la poser sur sa poitrine. Son cœur bat la chamade. < Tu me refais ça encore ! > me dit elle.
< A moi aussi ! > fait Estelle venue nous rejoindre. Nous remontons jusqu'à la place. Il y a un marché aux puces de rue. Bien.
Des gens sont assis derrière l'étal de ce qu'ils proposent à la vente. D'autres regardent, choisissent. C'est vraiment superbe.
Clémentine, considérablement excitée, aimerait s'offrir un petit plan exhibe. Un frisson en appelant un autre. C'est un besoin.
Là, accroupie devant un des stands, offrant à la vue du vendeur ses cuisses écartées, Clémentine fouille dans un bac à disques.

Personne d'autre ne peut voir cette magnifique jeune fille accroupie là, cuisses bien écartées qui observe les pochettes vinyles.
Estelle vient se positionner de la même façon à ses côtés. Le mec, un quinquagénaire, style vieux "baba cool", mâte à la folie.
Je suis à l'écart. J'observe la scène. C'est du grand art et une opportunité géniale. Les deux filles jouent à la perfection. Super.
Le mec est malin. Il ne dit rien. S'assurant ainsi de ne pas mettre un terme à cette féérie. Il regarde à s'en déboîter les yeux.
Les coquines font durer. C'est Estelle qui pose les premières questions. Le type répond en restant assis. Trop heureux du truc.

Toutes les deux se mettent à bavarder avec le type. Elles gardent cette position vicelarde. C'est un défi qu'elles se lancent. Fou.
C'est absolument divin. Le mec tire sur sa bouffarde tout en expliquant les pochettes de disques que lui montrent les deux filles.
Je les vois de dos. Je fais semblant de regarder de vieilles cartes postales. Je bande comme le dernier des salauds. C'est génial.
C'est sans doute la femme de l'heureux privilégié qui se pointe. Les deux coquines se redressent en même temps. Rapidement.
Nous continuons nos découvertes. Nous visitons Alan Campbell Gallery. Il y a des artistes locaux qui y expose. C'est magnifique.

Nous traînons jusqu'au soir. Même si le village n'est pas grand, il y a tant d'animation et de choses à voir. C'est un bel endroit.
Nous retournons plusieurs fois chez le mec des disques. Les filles veulent reproduire leur numéro. Hélas, il n'est jamais seul.
Il a bien compris à quel genre de filles il avait affaire. Nous le voyons bien embarrassé d'être tout le temps accompagné. Dur.
Il est 21 h lorsque nous revenons au cottage. Estelle insiste pour faire le dernier repas de la semaine ici. C'est une de ses joies.
Clémentine m'entraîne sur le lit. Je lui broute la chatte. C'est tellement divin de récupérer le suc de ces excitations de ce jour !

Elle m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Et nous entendons Estelle à la cuisine.
Clémentine me confie ses ressentis les plus secrets. Ses émois lorsque je la tenais devant l'inconnu Asiatique pour la tripoter.
Ses attitudes devant le vendeur de disques d'occasions. Tout cela participe d'un plaisir immense qui l'envahi doucement. Bien.
Nous évitons l'orgasme de justesse à deux reprises. Estelle vient nous rejoindre : < C'est prêt ! >. Je la fais sucer un peu. Joie.
Nous mangeons de bon appétit en traînant à table. Il est 23 h lorsque nous rejoignons Estelle qui dort déjà. Baisouille et dodo.

Bonnes petites exhibes sympas à toutes les coquines qui savent profiter de l'aubaine, en vacances, loin de tout, sur une île…

Julien - (Emerveillé par les attitudes de Clémentine qui sait s'offrir les émois les plus raffinés. En compagnie d'Estelle) -

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Nous quittons l'île de Skye et Harrapool Cottage

Hier matin, jeudi, c'est moi qui suis réveillé le premier. A ma gauche, Clémentine et à ses côtés Estelle. Elles dorment encore.
C'est une des rares fois où il m'est donné de pouvoir les observer ainsi, dans le détachement et l'abandon le plus total. Belles.
Je prends une fois encore conscience de l'immense privilège d'être là, en compagnie de ces deux jeunes filles de 21 ans. Joie.
Mon émoi est toutefois de courte durée. Le sixième sens de Clémentine est infaillible. Elle ouvre les yeux. Elle me sourit. Bises.
< Bonjour mon amour ! > me chuchote t-elle. Nous nous offrons quelques papouilles avant de nous lever en silence. Toilettes.

Il est 7 h15. A la cuisine je presse nos oranges. Clémentine s'occupe du café. Estelle se lève en s'écriant : < Pipi ! >. Bonheur.
Elle vient nous rejoindre pour nous faire des bises. Nous sommes déjà vêtus tous les trois de nos tenues de jogging. Il fait doux.
Le ciel est couvert. Durant tout notre séjour sur l'île, nous avons échappé aux grosses chaleurs. Le climat que nous apprécions.
Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Bien.
Il est 7 h45 lorsque nous sortons. C'est Estelle qui impulse le rythme de notre running. Le circuit devenu habituel. C'est sympa.

Nous revenons vers 9 h. Nous prenons notre douche en premier pendant qu'Estelle commence à préparer les valises. Les sacs.
Puis nous la rejoignons pour prendre le relai pendant qu'elle se douche à son tour. Tout va vite. Nous sommes si méthodiques.
Estelle revient avec le linge sec qu'elle a décroché sous l'auvent extérieur. Il est 10 h. Tout est prêt. Nous allumons l'ordinateur.
Il y a le message de Lennie, la jeune fille Hollandaise. Ses parents, son grand-père et elle seront de retour pour le 30 août. Joie.
Nous nous reverrons à South Queensferry à la fin du mois. Nous répondons. Nous écrivons la première partie de ce récit. Bien.

Je connais bien la magie. Je sais des rituels secrets. Clémentine insiste souvent pour que je l'initie à des pratiques que je refuse.
Mais je lui ai promis une chose simple. Dans un flacon, nous mettons tous les deux de nos cheveux. Mots sur un bout de papier.
Dans ma trousse de toilette il y a de la cire à cacheter. Vieille habitude de l'époque où les courriers se faisait sur du papier. Loin.
Je scelle le bouchon de liège avec de la cire à cacheter. Nous sortons tous les trois pour aller enterrer ce flacon. Le lien éternel.
Estelle nous accompagne en silence. Ici, sur cette île, à 100 mètres du cottage, à flanc de colline, nous disposons là une pierre.

C'est un acte de haute magie qui paraît insignifiant pour le profane. Mais il fait partie des rituels du "destin" les plus puissants.
Il est 10 h30. Nous chargeons la voiture. Nous faisons le tour des chambres pour voir si nous n'avons rien oublié. Une émotion.
Nous avons vécu ici une semaine d'un bonheur intense. Nous n'en prenons toute la mesure que maintenant. Comme toujours.
Nous roulons doucement jusqu'au village pour remettre la clef à monsieur Glower, le propriétaire. Et il y aura d'autre touristes.
Nous nous retournons une dernière fois pour regarder la petite maison blanche, là-haut, sur la colline. Il nous faut partir. Dur.

Il est 11 h lorsque nous arrivons à Kyleakin. Nous traversons Skye Bridge. Nous quittons Kyle of Lochalsh en direction du Nord.
Notre prochaine destination sera le village côtier de Gairloch. Une circulation fluide. Je roule doucement sur la petite nationale.
Clémentine joue avec ma bite. Estelle fait le bilan de ses dix premières journées de vacances. Elle nous en parle enthousiaste.
Autour de nous le paysage est à couper le souffle. Le ciel s'est éclaircit. 40 km d'un enchantement total. Ici, tout est sauvage.
La nature est restée ainsi, immuable depuis des temps immémoriaux. Elle le restera sans doute pour des siècles. Magnifique..

Gairloch est une de ces petites villes ne compant pas plus de mille habitants. Comme il y en a beaucoup sur les côtes. Typique.
Il est 12 h30. La faim se fair sentir. Nous avons préparé des sandwichs que nous dégustons assis sur le port. Un banc sympa.
Il y a du monde. Il y a le cri strident des mouettes . Et des chalutiers comme il en existe encore quelques uns dans le Finistère.
Tout cela est intemporel. Nous savourons ces instants avant de repartir. Nous arrivons sur Ullapool vers 13 h45. Ça roule bien.
Nous longeons le port et sa plage de galets en roulant lentement. Les maisons basses, colorées, fleuries, sont de toute beauté.

Assise à l'arrière, Estelle a souvent ses bras autour de mon cou ou sa main entre les sièges pour me palper la queue mollasse.
Nous montons sur Durness, une autre petite ville côtière. Je propose à Estelle de prendre le volant. < T'es fou ! > me fait elle.
< Comment tu fais pour rouler à gauche avec tant de sang froid ! J'aurais la trouille ! > rajoute t-elle. J'ai l'habitude. Si simple.
Nous arrivons à Durness. Le vent de l'océan est plus vif. Il faut mettre un sweat pour aller faire pipi à la sortie du port. Sympa.
Nous longeons la route côtière jusqu'à Thurso, petite ville du Nord. Port pour les Orcades et Shetlands. Notre bateau à 16 h30.

Il y a un monde fou. Cette excursion en mer connaît un énorme succès. Nous garons la voiture sur le grand parking sécurisé.
C'est un des parkings de la compagnie maritime qui assure la liaison entre les îles et le Nord de l'Ecosse. Il y a un léger vent.
Nous montons sur le bateau. Dans le prix du billet sont compris le voyage et les nuits d'hôtel. Nous voilà partis. C'est superbe.
Le guide nous montre les colonies de phoques qui vivent sur les petits îlots. Nous sommes tous les trois bien serrés à observer.
Autour de nous il y a plein de gens. < Regarde ! Le pays du soleil levant nous accompagne ! > fait Estelle. Là, des Asiatiques.

Nous rentrons pour nous installer sur une confortable banquette dont les places numérotées et réservées nous attendent. Joie.
Par la baie vitrée nous pouvons voir la terre s'éloigner dans les vibrations et le bruit des puissants moteurs du navire. Sympa.
Clémentine et Estelle sont en jupette. Je suis en short. Nous portons tous les trois nos sweats. La température est très limite !
Devant nous, sur la banquette d'en face, il y a deux couples de séniors. A l'accent nous comprenons que ce sont des Canadiens.
Ils parlent un anglais traînant, comme en se pinçant le nez et souvent incompréhensible. Cela nous amuse beaucoup. Des rires.

Clémentine, discrètement, fait son numéro "Exhibe" juste lorsque le vieux monsieur assis en face mâte. Il comprend très vite.
Nous le voyons loucher l'entre jambes de la fille jusqu'à s'en déboîter les globes oculaires. Estelle me fait du coude en rigolant.
Clémentine, en parfaite virtuose, offre un show discret, fort attractif, par séquences précises et juste lorsque le Canadien mâte.
Elle me fait du coude à chaque fois afin que je n'en rate rien. Clémentine à ma gauche, Estelle à ma droite à côté d'une dame.
Ce sont des banquette de moleskine à quatre places. Sans doute des années 70 vu l'état d'usure du revêtement. L'air de la mer.

Le soleil fait quelques timides apparitions. Un peu comme pour saluer notre arrivée. La traversée dure trois heures. C'est super.
Nous arrivons à Kirkwall pour 19 h45. La vision du port, en venant de la mer, est un enchantement supplémentaire. Formidable.
Ici, tout semble surgir du passé. Même si ce passé est indéfinissable. D'anciens chalutiers, de vieux gréments, bien entretenus.
Nous débarquons juste derrière le groupe d'Asiatiques. < Miam ! > fait Estelle. < Put-Hein, je m'en fais un ! > fait Clémentine.
Nous rions de bon cœur en les regardant s'éloigner comme sous les ordres d'un guide. La compagnie nous oriente vers l'hôtel.

Il n'y a quasiment pas de voitures. L'équilibre écologique est un souci majeure en Ecosse et spécialement dans les îles du pays.
Même si la circulation n'est pas interdite, elle est découragée par tout un tas de mesures drastiques. Et cela créé une sélection.
L'Hôtel est à la sortie du port. Kirkwall est une toute petite ville faite de maisons basses, uniformément de pierres grises. Granit.
Cela évoque un peu Le Guilvinec ou encore Saint Guénolé dans notre Finistère. L'air marin, les odeurs de l'océan. C'est superbe.
Nous avons parcouru près de 270 km en voiture et 50 km de bateau. Il est 20 h lorsque nous entrons à notre hôtel. Et fatigués.

Notre chambre est minuscule. Au second étage et mansardée. C'est absolument exquis. Tout est d'une autre époque. Laquelle ?
< Il faudra se serrer fort ! > fait Estelle en nous montrant le lit. C'est vrai qu'il n'est pas très large. Normalement deux places.
Morts de faim, nous nous dépêchons de déballer les affaires du grand sac à dos d'Estelle que je porte. Tout va vite. Il est 21 h.
Nous descendons. Nous prenons place à la table qui nous est réservée dans le grand restaurant. Plateaux de fruits de mer. Bon.
Jamais des fruits de mer ne nous ont paru aussi délicieux. La pêche du jour sans doute. La salle est pleine. Pourtant c'est calme.

Nous traînons à table. Sous ces latitudes, la nuit ne tombe jamais vraiment du début avril à fin octobre. Un curieux phénomène.
Il est 22 h. Nous allons flâner un peu afin de découvrir ce petit havre insulaire loin du monde et de ses tourments. Apparences.
Estelle me palpe la braguette à chaque fois que nous nous retrouvons seul un court instant. Il y a du monde partout. Ça grouille.
Clémentine y plonge sa main. Je passe mes mains sous les jupettes des filles qui portent toutes les deux une culotte. Fraîcheur.
Malgré la fatigue, nous traînons longuement dans la rue principale. Des boutiques sont encore ouvertes. Pour faire du chiffre.

Ici, la manne touristique ne dure que deux mois. Il faut donc profiter de chaque opportunité. Il y a donc beaucoup d'ambiance.
Estelle achète trois cartes postales qu'elle rédige assise sur un muret. Trois timbres et elle les met dans la grosse boîte. Poste.
Il est 23 h lorsque nous retournons à l'hôtel. Nous nous promettons de profiter au maximum de la journée de demain. Toilettes.
Clémentine, entre Estelle et moi, est blottie contre mon corps. Nous les mecs nous avons toujours de la chaleur à partager. Joie.
Nous chuchotons encore un peu. Clémentine me tient la bite. Je lui tiens la chatte. Estelle s'endort la première. Puis c'est nous.

Bonnes petites aventures délicieusement extravagantes et bien vicieuses à toutes les coquines qui aiment prendre la mer…

Julien - (Qui apprécie de s'endormir avec la queue molle et flasque dans la main de Clémentine) -

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Estelle est sujette au mal de mer

Hier matin, vendredi, je suis réveillé par des murmures, des chuchotements et des rires étouffés. On me tient par la queue.
J'ouvre l'œil. Et le bon. C'est Estelle qui a passé son bras par dessus Clémentine et qui me tient par mon érection matinale.
< Bonjour monsieur Bandeur ! > me font les deux coquines. Je me redresse. Je suis à genoux entre elles. Je les chatouille.
J'aime tant les voir rire. Il est 7 h15. Estelle s'enfuit pour aller aux toilettes. Clémentine me chevauche en riant. Papouilles.
Estelle revient. Clémentine m'y entraîne par la main. Nous nous mettons en tenues de jogging. Dehors il y un ciel lumineux.

Nous avons tout prévu. Nous prenons notre pain, notre confiture et notre miel. Nous descendons l'escalier jusqu'au restaurant.
Il y a déjà du monde. Nous prenons notre petit déjeuner. Comme dans la plupart des hôtels, c'est un insipide pain blanc. Beurk.
Heureusement que nous avons le notre. Nous prenons le café et du beurre. Nous goûtons les crêpes roulées, spécialités locales.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Estelle évoque son malaise hier, lors de la traversée. Le pénible mal de mer.
Elle nous avoue redouter les 12 h de bateau jusqu'aux Shetlands. Ni une, ni deux, nous prenons la décisions d'annuler. Sympa.

Je me lève. Je vais à l'accueil. On me précise que cela ne pose aucun problème de rester à l'hôtel deux nuits supplémentaires.
C'est un cas de figure très courant. Les personnes sujettes au mal de mer sont nombreuses à ne pas avoir anticipé le malaise.
Je reviens pour annoncer la bonne nouvelle. < Allez y tous les deux, je ne veux pas gâcher votre visite aux îles ! > fait Estelle.
Je réponds : < Pas question qu'on te laisse toute seule ici ! >. Clémentine rajoute ! < Mais ça va pas ! On reste ensemble ! >
Je me lève, je passe derrière elle, je dis : < Nous n'abandonnons pas notre petit animal de compagnie avant les vacances ! >

Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < Nous on veut pas d'ennuis avec la Société Protectrice des Animaux ! >
Il est 7 h45 lorsque nous nous retrouvons dans la rue devant l'hôtel. Il y a une agréable fraîcheur. Nous avons repéré les lieux.
C'est Estelle qui donne le rythme. Nous contournons le petit parc pour prendre le large chemin à côté du cimetière. C'est super.
Nous faisons une boucle en découvrant un nouveau circuit. Quelques hésitations quand aux directions à prendre. De la logique.
Il est 9 h lorsque nous revenons à l'hôtel. La douche. C'est une étroite cabine avec un tout petit lavabo aménagée en sanitaires.

La Wifi fonctionne parfaitement et la connexion est immédiate. Aucun message. Nous nous habillons plutôt légèrement. Doux.
Clémentine porte sa jupette sport, un sweat fin et ses baskets. Estelle pareil. Depuis quelques temps elle apprécie les jupettes.
Je suis en short, en sweat et en baskets. Estelle se blottie contre moi en disant : < Merci de ne pas m'abandonner sur l'ile ! >
Nous rigolons comme des bossus. Clémentine fait : < Nous n'avons pas de corde pour t'abandonner et attachée à un arbre ! >
Il est presque 10 h lorsque nous découvrons Kirkwall sous un timide soleil. Il y a de l'animation. Estelle n'arrête pas de palper.

A tel point que Clémentine s'interpose souvent. < Après le mal de mer, tu risques d'attraper le mal de bite ! > fait elle à Estelle.
< Je préfère le mal de bite, ça se gère plus facilement. Le médicament est inclus dans le tube ! > répond Estelle se serrant fort.
Nous rions de bon cœur. Kirkwall remplit son rôle de capitale insulaire à merveille. C'est un bourg d'une beauté sublime. Super.
C'est une cité de caractère. Aussi, nous remercions Estelle et son mal de mer de nous offrir l'opportunité de découvrir cette ville.

Nous flânons dans les ruelles pittoresques. Tout est d'un autre temps. Pas une seule auto. Il y a le cri permanent des mouettes.
C'est un réel enchantement. La météo est favorable et paraît-il qu'elle va le rester pour les jours à venir. La mer est toute bleue.
La cathédrale semble immense. C'est une des rares architectures romane. Il y en a très peu en Ecosse. Il y a plein de boutiques.
Je propose de nous réserver une table dans un des nombreux restaurants. Il y a du monde. Il faut anticiper. Bonne suggestion.
Nous trouvons l'établissement idéal sur le port. Nous réservons pour 13 h. Il est à peine 11 h et nous continuons la découverte.

< J'y crois pas ! Regardez ! > fait Estelle en nous montrant un groupe de touristes Asiatiques qui prend des photos des bateaux.
Il y a une intense activité maritime. C'est la principale source économique de l'île. Les Orcades exportent leurs poissons partout.
C'est un flot continu de bateaux de toutes natures qui circule dans le port. Il y a des amoncellement de corbeilles à crustacés.
Il y a même des chevaux qui tirent des charrettes. Nous sommes subjugués par cet environnement. Une plongée dans le passé.

Il y a ce grand type blond, style viking, qui prend des photos avec un gros appareil à téléobjectif. Il est debout entre les paniers.
< Un plan ! > nous fait Clémentine. < Je viens avec toi ! > lui fait Estelle. Je reste en retrait pour regarder. Les filles me laissent.
Elles s'avancent entre les amoncellements de paniers aussi hauts que les maisons. C'est effectivement un endroit idéal. Exhibes.
Toutes les deux restent penchées en avant à mâter le type qui scrute l'écran de son appareil. Il est à une vingtaine de mètres.
Clémentine s'accroupie la première. Estelle reste debout et fait le guet. Il y a d'autres gens. Elles doivent êtres prudentes. Joie.

Je suis dissimulé derrière un amoncellement de paniers. Je regarde partout autour de moi. Je fais mine de photographier. Rusé.
Le type s'avance. Il voit cette belle jeune fille, cheveux défaits, portant ses lunettes de soleil, tête baissée, entrain de pisser là.
C'est à la fois incongru et excitant. Le mec reste un instant perplexe. Quelle attitude adopter. Il voit Estelle, debout, lui sourire.
Je ne sais pas si Clémentine arrive à pisser. Estelle lui tend un mouchoir en papier. Je comprends que c'est une mise en scène.
Le type continue son chemin. Il fait une dizaine de mètres et revient. Estelle s'est accroupie à côté de clémentine. Le mec mâte.

Je les vois de dos. Accroupies l'une à côté de l'autre, cuisses largement écartées, têtes relevées. Elles discutent avec l'inconnu.
Je bande comme un priapique en phase terminale. J'admire cet aplomb. Tant celui des filles immobiles que celui du mec stoïque.
Je ne comprends rien des propos qui s'échangent. Mais je vois notre viking prendre quelques photos des filles. C'est formidable.
Bien évidemment, avec leurs cheveux défaits et leurs larges lunettes de soleil noires, leur anonymat reste totalement préservé.
Le type met un genoux au sol. Il cadre. Change d'angle de prise de vue. Visiblement il connaît et sait mettre à profit la situation.

Il s'approche. Il s'accroupit. Il montre l'écran de son appareil aux deux filles qui se penchent pour mâter. Estelle lève le pouce.
Clémentine fait pareil. Le type se relève, s'éloigne. Les deux filles restent encore dans cette position, leurs quatre pouces levés.
Elles se redressent en même temps. Je les vois éclater de rire. Le type leur tend une carte de visite. Je les vois bavarder un peu.
Pas de doute, c'est un gentleman. Il a de la classe. Il salue les filles et s'en retourne continuer à photographier les bateaux. Joie.
Clémentine et Estelle viennent me rejoindre en sautillant. < Génial ! > fait Estelle. < Et un mec sympa ! > rajoute Clémentine.

C'est un Scandinave, en visite sur l'île avec sa famille et qui s'apprête à quitter l'île pour midi. Dernières photos avant de partir.
Nous regardons la carte de visite. < Pour la collection ! > s'écrie Clémentine avant d'éclater de rire. Nous continuons la balade.
< Je dois pisser pour de vrai maintenant ! > fait Estelle. < Moi aussi ! > répond Clémentine. Nous retournons près des paniers.
Cette fois nous sommes tous les trois à pisser de concert. Je suis debout entre les filles accroupies. Estelle guide mon jet. Rire.
Il est rapidement 13 h. Nous voilà attablés au restaurant, dans une salle comble, devant des plateaux de fruits de mer. Régal.

Nous traînons à table. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Il est 14 h30 lorsque nous nous retrouvons dans la ruelle.
Nous nous dirigeons vers St Magnus Cathédral. Le bâtiment est moins grand à l'intérieur qu'il n'y paraît à l'extérieur. Commun.
Nous entendons les explications du guide. Nous ne nous joignons pas réellement au groupe de touristes. Histoire passionnante.
Ce magnifique édifice aux pierres rouges est chargé d'histoire. Vieux de 800 ans. Préservé. Nous visitons les étages supérieurs.
Il y a un vaste balcon qui fait tout le tour de l'édifice. Plus de 10 mètres de haut. Nous sommes tous les trois sujets au vertige.

< Mâtez ! > nous fait Estelle. En bas, il y a un groupe d'Asiatiques qui vient de pénétrer dans la cathédrale. Un trentaine. Bien.
Clémentine se bride les yeux de ses deux index, prend un accent orientale et nous fait : < Je veux goûter du Nem ! Miam ! >
< Miam ! > répond Estelle en faisant pareil. Nous en rions de bon cœur. Nous descendons pour nous retrouver dans une foule.
Il serait vain de tenter un "plan" et certainement pas dans un lieu de culte quel qu'il soit. Nous ressortons en riant beaucoup.
< Tous ces beaux petits Japonais élégants, aux cheveux noirs, font envie ! > fait Estelle. < Et moi donc ! > fait Clémentine.

Nous nous dirigeons vers la promenade circulaire où nous avons fait notre jogging ce matin. C'est plein de touristes à présent.
C'est une randonnée qui fait découvrir les petits hameaux tout autour de Kirkwall et dont la cathédrale reste un repère au loin.
Parfois, les rares fois où cela est possible, je sors ma bite pour l'agiter en direction des filles. Estelle se précipite pour l'attraper.
Lorsqu'une des deux me suce rapidement, nous faisons le guet. Il y a peu d'arbres sur l'île. Les recoins sont des amas pierreux.
Je passe ma main sous les jupettes. C'est toujours à Estelle que j'enfonce le doigt. < Mmmhh ! > fait elle toute contente. Joie.

Nous avons eu la prudence de réserver une table dans un autre petit restaurant. Ainsi, pour la soirée, nous sommes rassurés.
Nous sommes parfois tellement agiles, rusés, que j'arrive à brouter la chatte à Clémentine pendant qu'Estelle fait le guet. Bien.
Il est 19 h lorsque nous revenons en ville. Le grand air, les effluves marines, tout cela ouvre de féroces appétits. C'est difficile.
Il faut encore attendre jusqu'à 20 h30. Nous nous offrons une crêpe salée. Apéritif. < J'ai le goût de ta bite ! > me fait Estelle.
< Ce soir, je te suce ! > rajoute t-elle. < Ce soir, tu seras la première à dormir ! > lui fait Clémentine. Nous rions de bon cœur.

L'heure arrive enfin. Ouf. Nous voilà installés dans une salle typique. Les petites fenêtres à croisillons. C'est un ancien prieuré.
Des queues de homard fumées, accompagnées de salicornes préparées en crudités, grillées ou encore rissolées. C'est un régal.
Nous traînons à table. La salle est pleine de monde. Nous ne regrettons pas d'être restés. Tant pis pour les Shetlands. Superbe.
Il est 22 h. Nous flânons encore un peu. La fraîcheur du soir est vive. Il ne fait pas nuit. Juste un crépuscule de quelques heures.
Epuisés, nous revenons à l'hôtel pour 23 h. Nous voilà au lit. Estelle s'endort la première. Clémentine me suce un peu. Le dodo.

Bonne découverte des Orcades à toutes les coquines qui trouvent là de multiples occasions de se faire surprendre à pisser…

Julien - (Qui se fait tripoter, sucer, palper tout en randonnant dans un paysage magnifique. Et qui fait des doigts aux filles) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 31 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 513 -



Notre séjour aux Orcades est un enchantement

Hier matin, samedi, nous nous réveillons quasiment en même temps, tous les trois. L'exiguïté du lit est des plus conséquente.
Clémentine se serre contre moi. < Bonjour mon amour ! > me chuchote t-elle alors qu'Estelle me caresse la joue avec douceur.
Nous regardons la petite chambre. < Pipi ! > s'écrie Estelle en se levant à toute vitesse et pressée par l'urgence. C'est amusant.
< Bonjour mon amour ! > ai je le temps de murmurer à l'oreille de Clémentine qu'elle me chevauche en riant. C'est notre tour.
Nous nous précipitons aux toilettes. Dès nos rituels pisseux terminés, nous revenons pour nous revêtir de nos tenues jogging.

Il est à peine 7 h30. Nous prenons le sachet contenant le pain, la confiture et le miel. Nous descendons les deux étages. Faim.
Il y a déjà plein de monde dans la salle du réfectoire de l'hôtel. Nous nous servons en jus d'orange et en café. Nous voilà assis.
Nous faisons un très vague programme de cette journée consacrée dans ses grandes lignes à une totale improvisation. Sympa.
La dame de la réception, qui est sans doute également la patronne de l'établissement, est assise à la table voisine. Elle me fixe.
Elle me regarde avec insistance. Nul doute que notre trio doit l'interroger. Cet homme d'âge mûr. Et avec ces deux jeunes filles.

Clémentine, à qui rien n'échappe me le fait remarquer également. La dame m'adresse plusieurs discrets sourires. En mangeant.
Elle est plutôt élégante, rousse, aux longs cheveux noués en catogan et la quarantaine rayonnante. Clémentine me fait du pied.
< T'as un ticket gagnant ! > me fait Clémentine. Estelle se retourne pour regarder de quoi nous parlons. La dame baisse la tête.
< Fais lui le test des chiottes ! > me suggère Clémentine. < Oui ! Va te faire sucer ! > me chuchote Estelle. Je me lève. Les WC.
Juste avant de descendre l'escalier, je regarde vers notre table. Estelle qui mime une pipe. La dame qui la regarde en souriant.

Pourtant, même si j'attends cinq minutes en me tenant la queue derrière la porte entrebâillée, personne ne vient aux toilettes.
Je remonte. La dame est partie. Nous nous nous levons. Il est presque huit heures. Nous passons devant l'accueil. Un sourire.
La dame garde la tête baissée. Elle lève juste son regard pour me fixer tout le long du couloir. Et un dernier sourire équivoque.
Nous voilà dehors. Il fait doux, le ciel est couvert mais lumineux. C'est Estelle qui donne le rythme. Le même parcours que hier.
Nous sommes de retour pour 9 h15. Nous passons devant l'accueil. C'est une jeune employée qui s'y tient. Sans doute la fille.

Estelle prend sa douche la première. Nous allumons l'ordinateur. Un message de Juliette qui passe ses vacances Corses. Soleil.
Elle nous donne des nouvelles du haras. Madame Walter qui tient l'entreprise après son retour de vacances dans les Cévennes.
Monsieur Gérard qui est toujours aussi occupé par la réfection des écuries. Nous répondons en contant un peu les îles Orcades.
Estelle qui revient. C'est à notre tour. Sous la douche, Clémentine me confie à quel point notre "drague" de ce matin l'a excité.
< S'il y a un "plan", profites en ! > me fait elle. Je réponds : < Tu sais, je me ferais bien tailler une pipe par cette femme ! >

Nous rejoignons Estelle qui surfe sur le site de l'université. Il y a de nouvelles informations. Les filles lisent consciencieusement.
Il est 10 h15. Nous redescendons. Le soleil fait de timides apparitions. Cette météo a toute nos préférences. C'est un bonheur.
Nous flânons dans les rues de Kirkwall. Sur la place, avant le port, c'est jour de marché. L'affluence est à son comble. Monde.
Clémentine et Estelle portent leur jupette sport, un sweat fin et leurs baskets. Je suis en short, chemisette et baskets. A l'aise.
En prévision du retour en bateau demain, trois heures de mer, je propose à Estelle d'aller dans une pharmacie. Un médicament.

Nous entrons dans la pharmacie à l'angle de la rue qui descend sur le port. Quelle surprise. La dame de l'hôtel. Grand sourire.
Nous bavardons un peu pendant qu'Estelle choisit un produit préventif. La dame vit sur l'île depuis toujours. C'est toute sa vie.
Son mari tient le restaurant et est chef cuisinier. Sa fille l'aide à tenir l'hôtel pendant ses vacances. C'est très intéressant. Bien.
Estelle revient avec un bracelet anti mal de mer et une boîte de pilules homéopathiques. Nous laissons la femme à ses achats.
J'insiste pour payer. Il est hors de question que le séjour en Ecosse ait le moindre coût pour les filles. Estelle est fière. Difficile.

Nous flânons dans les allées du marché. Je porte notre petit sac à dos. Il est 11 h. Je propose de nous réserver un restaurant.
Clémentine suggère plutôt un repas sur le pouce. Du style Fish and Chips. Et c'est vrai qu'ils ont l'ait plutôt appétissants. Miam.
< Tu as vu les prix ! > fait Estelle. < Le prix du transport en bateau se répercute sur tout ! > explique Clémentine. Et c'est vrai.
Nous prenons des fruits. De belles grosses pommes juteuses, des abricots et des brugnons. L'odeur des grillades donne faim.
Il y a là des étals où il est proposé des sortes de pizzas ou encore des beignets aux fruits de mer. D'un aspect succulent. Bon.

Je suis entrain de choisir des pommes lorsque la main d'Estelle, discrète, se pose sur ma braguette. Clémentine est seule à voir.
< Je t'aime Julien ! > me fait elle. < On se calme ! > lui fait Clémentine. Tout aussi discrètement, je lui palpe la chatte. Jupette.
Estelle a ce reflexe amusant qui ne laisse aucun doute. Elle adore. Je lui dis : < J'ai envie de te toucher jusqu'à te faire crier ! >
Clémentine me pince le bras avec force. < Salaud ! > me fait elle avant de retirer ma main de la jupette d'Estelle. Fermement.
Nous continuons notre errance en savourant cette fin de matinée si douce et agréable. C'est un vrai bonheur. Et il y a du soleil.

Il est midi passé. Nous nous arrêtons devant la boucherie. Il y a là un stand qui propose d'énormes Fish and chips. Et on a faim.
Dans la file, Estelle n'arrête pas de me toucher. Clémentine qui n'arrête pas de lui retirer la main de ma braguette. Amusement.
Nous rions de bon cœur lorsqu'Estelle fait : < J'aimerais autant me bouffer de la bite que du Fish and Chips ! >. Il y a du monde.
C'est une jeune femme sans doute française, derrière nous, qui fait : < Bon appétit ! Moi j'en ai eu ce matin ! Et de la bonne >
Nous rigolons comme des bossus. Je regarde. C'est une jeune femme d'environ 30 ans, avec des lunettes, cheveux en chignon.

Nous voilà assis sur un des nombreux bancs devant la chapelle qui donne sur le port. En tenant nos énormes cornets de papier.
< Décidément ! C'est notre journée "rencontre" avec des membres du même "Club" ! > fait Estelle. Nous en rions de bon cœur.
< Nous ne sommes tous de même pas les seules vicelardes sur cette île des Orcades ! Il y en a d'autres ! > répond Clémentine.
Nous dégustons nos Fish and Chips. C'est un vrai régal. Nous regardons l'animation sur cette partie du port. C'est merveilleux.
< J'aimerais passer ma vie dans un tel endroit ! > lance encore Estelle. < Avec une bonne bite ! > fait Clémentine. Eclat de rire.

< Plusieurs ! > répond Estelle. Je demande : < Toutes celles qui passent à ta portée ? >. < Asiatiques ! > me fait Estelle. Rire.
Et, par une de ces nombreuses synchronicités qui parsèment nos existences, il y a un groupe d'Asiatiques qui déboule là-bas !
< En voilà une fournée pour toi ! > fait Clémentine à Estelle qui s'écrie : < Miam ! J'en veux ! Un Nem dans son jus et vite ! >
Nous rigolons comme des bossus. Nous décidons de nous offrir des bons cônes glacés. C'est la journée des gourmandises faciles.
Nous traînons sur le port jusqu'aux environs de 14 h. Nous rentrons à l'hôtel pour déposer nos achats dans la chambre. Sympa.

Nous redescendons. La dame est là, derrière le comptoir de l'accueil affairée avec deux couples qui viennent d'arriver. Sourire.
Nous restons un petit moment devant le tourniquet des cartes postales. Clémentine me fait remarquer les regards de la dame.
Je constate qu'en effet elle regarde souvent dans notre direction. < Toi, tu te fais sucer avant ce soir ! > me fait Estelle. Rires.
< Fais une nouvelle tentative aux chiottes ! > me suggère Clémentine en me touchant discrètement la braguette. La dame voit.
Tout en bavardant avec les touristes, la dame regarde avec insistance la main de Clémentine sur ma braguette. Celle d'Estelle.

Lorsque son regard croise le mien, je lui fais un clin d'œil. Elle reste très professionnelle. Elle assure son travail de réception.
Je bande comme un véritable salopard. Estelle me tient la bosse. Ce spectacle suscite évidemment l'intérêt de la jeune femme.
De l'index, je lui montre l'escalier qui descend au sous sol. Les toilettes. Nous y descendons tous les trois. Les toilettes clean.
Clémentine et Estelle s'accroupissent pour m'ouvrir le short. Elles me sortent le Zob. Je bande comme le dernier des vicieux.
Estelle se met à me sucer pendant que Clémentine m'ouvre le bouton pour le faire tomber avec mon slip sur les chevilles. Pipe.

La porte des toilettes homme reste entrebâillée. Clémentine se penche plusieurs fois, tous ses sens aux guets pour surveiller.
Nous écoutons chaque bruit. L'attente est d'une excitation folle. Je force Clémentine à se redresser pour l'embrasser. Passion.
Estelle me taille une pipe des familles. J'ai la main sous la jupette de Clémentine. Je palpe sa chatte. Elle se frotte contre moi.
Malgré notre attente, nos espoirs restent déçus. La dame ne descend pas. Nous restons là un bon quart d'heure. Très excités.
Clémentine est à la limite d'un orgasme qu'elle ne pourra plus réfréner longtemps. Je force Estelle à cesser sa pipe. C'est dur.

Je lui passe la bite sur le visage pour le maculer de liquide séminal. Elle a de la jute gluante partout sur la gueule. C'est parfait.
Je la tiens par la tignasse pour lui montrer à quoi elle ressemble dans le miroir. < On monte comme ça ! > nous fait Clémentine.
Je remonte mes vêtements. Nous gravissons l'escalier à toute vitesse. Il y a d'autres touristes. Ce qui explique sans doute tout.
Je tiens Estelle par sa tignasse. Nous passons derrière les gens. Nous saluons la dame. Elle remarque le visage d'Estelle. Foutre.
Je lui fais un nouveau clin d'œil et nous la laissons travailler avant de sortir. Estelle sort un mouchoir en papier du sac à dos.

Je l'en empêche. Clémentine lui fait : < Tu restes avec la gueule comme ça ! >. Estelle veut absolument s'essuyer le visage.
Je lui dis : < Pas question de t'essuyer ! Si on croise un Asiatique, il faut qu'il comprenne à quel genre de meuf il a affaire ! >
Estelle comprend et glousse avant de dire : < Mais ça chatouille, ça gratte, ça va sécher et coller ! >. Nous rions de bon cœur.
Nous croisons un touriste solitaire. Clémentine saisit Estelle par la nuque et l'entraîne près du type. Je reste en retrait. Super.
J'ai le cœur qui bat la chamade. C'est fabuleux. Clémentine maintient Estelle, le visage plein de jute, devant ce parfait inconnu.

Je vois le type montrer une direction tout en répondant aux questions de Clémentine qui se touche de sa main libre. Fantastique.
J'ai mal à la bite, tellement elle est tordue au fond de mon slip, contrariant mon érection jusqu'à la douleur. C'est fabuleux. Fou.
Le type s'en va. Je le vois se retourner plusieurs fois, avec un sourire amusé. Il y a deux femmes qui mâtent le visage d'Estelle.
Nous préférons filer. Il est presque seize heures. Cette journée qui a commencé dans le vice, s'achèvera dans le vice. Superbe !
Nous faisons le tour de St Magnus Cathedral. Il y a un monde fou. Le sperme sur le visage d'Estelle a séché. Et devenu invisible.

< Ça gratte ! > me fait Estelle. Clémentine sort un mouchoir en papier. Elle crache au visage d'Estelle avant de l'essuyer. Bien.
J'en rajoute avec un mollard "maison". Il y a deux messieurs, là-bas, qui observent notre manège en souriant. Estelle est gênée.
De se faire cracher à la gueule devant des inconnus, n'est pas une chose courante. Je lui dis : < Profites, tu es divine. Belle ! >
Devant le regard des deux types consternés, je palpe le sexe d'Estelle à travers le tissus de sa jupette. Je l'entends glousser.
Je lui chuchote : < Si je pouvais, là, maintenant, j'te ferais sucer devant ces mecs ! >. Estelle repousse ma main. S'en est trop.

La plus excitée de nous trois est Clémentine qui me dit : < J'exige que tu me fasses la même chose ! Je suis hyper jalouse ! >
Nous rions de bon cœur. Les deux types sont des touristes dont les familles les rejoignent. Cela met un terme à nos petits jeux.
Nous flânons sur les quais. Excités, nous cherchons quelques "plans" bien vicelards à mettre en applications. C'est le lieu idéal.
Loin de tout, entourés de gens que nous ne reverrons jamais, il y a certainement quelques opportunités pour trois vicelards.
Pourtant, c'est loin d'être simple. Il y a tant de monde. Il y a un orchestre de jeunes qui joue des chansons avec des guitares.

Nous avons réservé une table au restaurant de notre hôtel. < C'est bien le diable s'il n'y a pas un "plan" ! > me fait Clémentine.
Elle fait évidemment allusion à la dame de l'hôtel. Cette jeune femme qui sait maintenant parfaitement à qui elle a affaire. Bien.
Il est 20 h30. Nous voilà assis devant des plateaux de fruits de mer. Il y a du monde. Clémentine me suggère de sortir mon Zob.
Il y a la nappe. Personne ne peut se douter. Je bande tout le long du repas. Et lorsque je ne bande pas, ça dégouline. Excitant.
C'est la dame qui fait les factures et les additions derrière le comptoir. C'est sa fille qui fait le service. Elle nous regarde parfois.

Discrètement, je fais un mouvement de branlette. Et à chaque fois qu'elle me fixe avec insistance. Clémentine soulève la nappe.
Personne ne peut distinguer. Je ne sais même pas si de là-bas la dame peut apercevoir quoi que ce soit. < Génial ! > dit Estelle.
< Put-Hein, c'est génial tous les trois ! > rajoute Estelle en prenant ma main. Clémentine la lui retire en disant : < Calmos ! >
Je me lève. Sur la suggestion de Clémentine, je fais une nouvelle tentative. Le fameux test des chiottes. Je vais au comptoir.
Je demande où sont les toilettes. La dame me demande de la suivre. Elle est en jupe, bas noirs, veste cintrée. Elle marche vite.

Nous descendons l'escalier. Je la suis en sortant ma queue. C'est lorsqu'elle se tourne en ouvrant la porte qu'elle la découvre.
< Oh my God ! > s'écrie t-elle en joignant ses mains comme devant un miracle. Je la lui agite en la lui proposant. Elle me fixe.
Elle m'explique qu'elle ne peut pas le faire maintenant. Il y a trop de travail. Elle mime une pipe en me disant : < C'est ça ? >
Je confirme. < J'adore ! > me fait elle avant de tourner les talons pour remonter à toute vitesse. Clémentine qui descend. Joie.
Elle s'accroupit immédiatement pour me sucer avec une avidité folle. J'éjacule dans sa bouche. Elle pousse un vrai cri. Ravie.

< Je veux consacrer ma vie à ton jus de vicelard ! > me fait elle lorsque je l'entraîne par les cheveux pour remonter l'escalier.
Je lui dis : < J'aimerais que tu en gardes un peu pour sucer d'autres bites ! >. Elle me fait : < Et tu peux compter sur moi ! >
Nous rejoignons Estelle pour lui raconter. Elle se lève. < Je vais me toucher, j'en peux plus, bande de salauds ! >. Toilettes.
Nous rions de bon cœur lorsque je murmure : < J'en ai encore plein les couilles pour cette salope tout à l'heure ! >. Ambiance.
Nous traînons à table. Le dessert est succulent. Des coupes glacées accompagnées de crème au caramel et au malt. Délicieux.

Nous demandons l'addition. Je me lève pour aller apporter la petite assiette. La dame me fait un large sourire. Et un clin d'œil.
Je lui murmure : < Tu peux te libérer pour faire une pipe ? Nous quittons l'île demain après le repas ! J'aimerais beaucoup ! >
Etonnée par un tel sang froid et par mon culot, elle me fixe, presque sévère avant de me répondre : < Ce n'est pas possible ! >
Avant de la quitter, je lui fais : < Dommage ! Tu te serais régalée ! >. Elle me dit : < Je n'en doute pas une seconde, salaud ! >
Je retourne m'assoir. Je raconte les propos échangés à Clémentine et à Estelle qui dit : < Attends, elle va trouver un "plan" ! >

La dame continue à me fixer. Son regard est si libidineux que Clémentine fait : < Elle en veut. Elle va se débrouiller, sûre ! >
Nous montons. Malgré la fatigue, je saisis Estelle par ses cheveux. Couché sur le côté, je la fais mettre de même. Queue à l'air.
Je la fais sucer. Je tiens sa tête pour bien lui enfoncer la bite. Elle en gémit de plaisir. Clémentine se touche devant le plumard.
Je bouge en imprimant à mon bassin un mouvement masturbatoire continu. Clémentine est penchée pour regarder cette pipe.
J'éjacule dans la bouche d'Estelle. Clémentine a un orgasme délirant. Epuisés, crevés, nous nous endormons rapidement. Dodo.

Bonne journée insulaire dans un relâchement des mœurs délirant à toutes les coquines qui aiment se vautrer dans le vice…

Julien - (Epaté et émerveillé devant tant de privilèges rares. La loi des séries s'applique parfois avec enchantement) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 32 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 514 -

Départ de Kirkwall pour Thurso. Trois heures de mer.

Hier matin, dimanche, je me réveille en premier. L'exiguïté du lit est telle qu'il est impossible de bouger sans toucher l'autre.
Surtout à trois. Je regarde les filles dormir. Clémentine se réveille pour se serrer contre moi. < Bonjour Julien ! > me dit elle.
< Bonjour Clémentine ! > ai je le temps de chuchoter avant qu'Estelle ouvre les yeux à son tour. < Bonjour Julien ! > dit elle.
< Bonjour Estelle ! > ai je le temps de dire avant que Clémentine ne me chevauche en riant et qu'Estelle n'empoigne ma bite.
Nous rions tous les trois de bon cœur lorsque je dis : < Ça commence fort ! >. Estelle se lève pour aller aux toilettes. Pissous.

Elle revient pour se vêtit de sa jupette sport, de son sweat et de ses baskets. Clémentine m'entraîne jusqu'aux toilettes. Pipi.
Nous sommes morts de faim. Il est 7 h30. Nous nous habillons à notre tour pendant qu'Estelle prépare le pain et la confiture.
Nous descendons. Le réfectoire de l'hôtel est déjà plein de monde. Il fait doux, un ciel de plomb. Pas menaçant mais couvert.
La patronne de l'hôtel est assise avec quatre autres personnes. Certainement du personnel ou des clients amis proches. Bien.
Nous nous sourions poliment. Nous mangeons de bon appétit et tout en bavardant. Clémentine me fait du pied sous la table.

Elle me chuchote : < Regarde ! Elle n'arrête pas de mâter par là ! >. Estelle se retourne souvent pour constater elle également.
La dame discute. Ils sont assis à deux tables plus loin. La jeune femme nous fait face. A plusieurs reprises elle me fixe. Sourire.
Je lui montre la direction des toilettes avec insistance. Estelle me fait : < Vas y maintenant ! >. Je me lève. Je regarde la dame.
Je me dirige vers l'escalier presque sans cesser de lui faire comprendre mon invitation à me rejoindre. Je descends aux toilettes.
La bite dans la main, derrière la porte entrebâillée, j'attends. J'écoute les moindres bruits. Il y a quelques minutes qui passent.

Enfin un bruit de pas. Rapide. C'est la patronne. Elle est vêtue d'un jean bleu, de souliers noirs à légers talons et d'un pull noir.
Ses cheveux dénouée. Une magnifique rousse, grande et filiforme. Une cambrure de rein à damner un saint. Je suis en apnée.
je manifeste ma présence. Elle pousse la porte pour entrer dans les WC. Elle me voit debout devant l'urinoir mural. Et de dos.
< Bonjour ! > me fait elle. L'accent Ecossais des îles est différent. Les syllabes plus prononcées. Presque martelées par instant.
Je tourne la tête pour lui répondre. Je lui dis : < Enfin ! Tu te décides ! >. Elle me contourne pour venir se placer à côté de moi.

< Les deux filles qui vous accompagnent ont l'âge de la mienne et ça me bloque un peu ! > me fait elle. Et comme contrariée.
Je ne sais quoi répondre. Je bande comme un priapique en phase terminale. Elle me fixe dans les yeux. Provocante. Insistante.
Je demande : < Et c'est ce genre de considération un peu ridicule qui t'empêche de goûter ma bite ? >. < Oui ! > me fait elle.
Je me tourne légèrement pour lui présenter mon sexe. Je dis : < Allez, viens ! Ce n'est pas la première bite que tu suces ici ! >
Je la sens hésitante. Elle me tire la langue, me fait une grimace avant d'éclater de rire.< Salaud va ! > fait elle encore. Rires.

Je n'insiste pas. Je remballe. < Sans pisser ? > me fait elle en me suivant. Je lui dis < Tu aimes les trucs vicelards toi, hein ! >
Nous montons l'escalier. Je rejoins Clémentine et Estelle qui sont entrain de se faire draguer par des jeunes mecs d'un groupe.
Je leurs raconte ce qui s'est passé aux chiottes. Nous en rions de bon cœur. Le dimanche, pas de jogging, pas d'entraînement.
Nous remontons. < Drôle de femme ! > me fait Clémentine. < Une cérébrale qui préfère les situations à l'action ! > fait Estelle.
Nous en arrivons à cette conclusion. < Sors ta bite ! > me fait encore Estelle en s'accroupissant. < Tu coules ! > me fait elle…

Clémentine se penche pour mâter. < Les belles salopes ont leur petit effet sur toi ! > me fait elle. Estelle s'en empare. Ferme.
Elle me la tord comme elle le fait souvent. < Belle bête ! Bite de vicelard ! > me fait elle avant de la prendre en bouche. Pipe.
Je la laisse sucer un peu avant de la forcer à se redresser. Je la tiens par les cheveux en disant : < Ouvre ta bouche ! >. Jute.
Nous rangeons nos affaire. Il est 9 h30. Nous avons notre bateau à 14 h. C'est prêt. Nous descendons nos sacs à la réception.
C'est la jeune fille qui est au poste. Nous laissons nos affaires. Nous réservons une table pour midi. Nous voilà au dehors. Joie.

Le ciel reste couvert mais lumineux. Depuis une dizaine de jour c'est la météo qui s'est installée au dessus de l'Ecosse. Super.
Nous flânons dans les rues animées de Kirkwall. A plusieurs reprises Estelle me touche discrètement et rapidement. La coquine.
A chaque fois Clémentine lui retire la main. Nous en rions de bon cœur. Et j'en profite pour glisser ma main sous leurs jupettes.
Estelle porte une culotte. Clémentine n'en porte pas. Nous nous baladons sur le port. Il y a des ventes à la criée. Des pêcheurs.
Les bateaux vont et viennent sans interruption. Kirkwall est le centre économique des Orcades. Nous apprécions tout ce bruit.

Il est midi lorsque nous revenons à l'hôtel. Cette fois c'est la dame qui est à l'accueil. Elle me fait un sourire, regard par dessous.
J'adore ces expressions vicelardes qu'offrent certaines femmes dans certaines situations précises. Clémentine me fait du coude.
< Put-Hein le regard de salope ! > chuchote Estelle. < Et tu t'y connais ! > murmure Clémentine. Nous allons dans le restaurant.
Il y a du monde. Notre table nous attend. Près de l'escalier qui descend aux toilettes. < C'est fait exprès ! > me fait Clémentine.
Nous nous installons. Nous dégustons nos fruits de mer. C'est succulent. Là-bas, dans l'encadrement de la porte, il y a la dame.

Elle vient à plusieurs reprises pour me lancer un regard lourd de sens. Clémentine me fait du pied sous la table. C'est excitant.
< Vas y ! Essaie encore une fois les chiottes ! > me dit Estelle. Je me lève. Je descends. J'entre dans les toilettes porte ouverte.
J'attends. Cette fois l'attente est de courte durée. La dame descend à toute vitesse. Je suis devant l'urinoir mural. Je pisse fort.
Elle entre, me contourne à nouveau et me regarde pisser. Je la fixe. Je demande : < Et tu viens mâter beaucoup de clients ? >
Elle ne répond pas. Je lui précise : < J'ai laissé mes coordonnées à ta fille ! Contacte-moi en France ! On garde une relation ! >

Je termine de pisser. Je me secoue longuement la bite. Je bande comme un salaud. Et j'en fais gicler partout. Elle éclate de rire.
Cette fois c'est moi qui sort le premier en remballant avec peine ma queue. Elle me suit : < Merci de me comprendre ! > dit elle.
Et c'est vrai. J'ai bien compris ce qu'elle apprécie par dessus tout. Les situations vicelardes qui nourrissent sa libido pour l'hiver.
A la fin de la saison touristique, cette femme s'est constituée un stock de souvenirs bien vicelards avec différents touristes. Joie.
Je lui dis, en montant l'escalier : < Je suis heureux d'avoir contribué ! >. Elle éclate de rire et répond simplement : < Merci ! >

Il est 13 h30. Nous payons. Nous récupérons nos affaires. Nous saluons la dame qui est occupée avec de nouveaux arrivants.
Il y a cinq minutes jusqu'à l'embarcadère. Nous prenons la file pour monter dans le grand bateau noir. C'est notre ferry. Bien.
Estelle nous montre son bracelet anti mal de mer. Elle prend trois pilules et nous fait : < Me voilà prête à affronter l'océan ! >
Nous rions de bon cœur. Nous prenons place sur la banquette qui nous est réservée. 109, 110 et 111 pour moi. Toujours le 11.
Le bateau quitte le port. Nous voyons les maisons de Kirkwall rapetisser doucement. La terre s'éloigne. La traversée commence.

Il y a un groupe d'Asiatiques à quelques banquettes. < Miam ! > fait Estelle, mimant discrètement une pipe, bosse dans la joue.
< Put-Hein, c'est devenu mon fantasme ultime ! > répond Clémentine. Je dis : < Il ne faut pas tarder à le réaliser. Très vite ! >
La traversée se déroule dans les meilleures conditions. Il y a une légère houle. Cette fois Estelle n'a pas le mal de mer. Médocs.
Nous arrivons au port de Thurso vers 17 h30. Nous récupérons la voiture qui nous attend fidèlement. Le ciel s'obscurcit un peu.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite. Nous évoquons la dame de l'hôtel et son curieux comportement de vicieuse.

Estelle, qui passe quelquefois sa main entre les sièges pour me branler nous confie : < Elle est déjà à mâter une autre bite ! >
< Probablement ! Elle se constitue son stock de fantasmes pour la fin de la saison touristique dans un mois ! > fait Clémentine.
Il y a 180 km jusqu'à Inverness où nous passons la nuit dans le même hôtel que la dernière fois. La chambre est réservée. Joie.
Deux heures trente de route dans un paysage époustouflant. Là-bas, se profile le sommet du Ben Nevis et son massif. Superbe.
Nous arrivons à Inverness vers 20 h30. Morts de faim et plutôt fatigués. Il y a quelques gouttes de pluie sur le pare brise. Bien.

Nous prenons possession de la chambre que nous reconnaissons bien. La vue sur Inverness est magnifique. Illuminée. Fameux.
La pluie a cessé. Le ciel se dégage un peu. Nous descendons au restaurant où nous attend notre table. Plateaux de fruits de mer.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous évoquons notre séjour aux Orcades, le port de Kirkwall et la dame. Rire.
< Cette salope est entrain de se mâter de la bite dans les chiottes de son hôtel ! > fait Estelle. Nous rigolons comme des bossus.
< Une sorte d''allumeuse à sa façon ! > rajoute Clémentine. Je précise : < En tous cas, elle a raison de s'éclater comme ça ! >

Nous allons encore marcher un peu dans les rues du centre. Il y a de l'animation. Demain nous partons pour la ville d'Aberdeen.
Nous y avons réservé trois nuits d'hôtel afin de visiter la région. Nous préférons la côte Est de l'Ecosse. Et moins de moustiques.
Il est 22 h45 lorsque nous revenons à l'hôtel. Un rapide passage à la salle de bain. Nous faisons les clowns devant le miroir. Joie.
Estelle me tient la bite pour en diriger le jet au fond de la cuvette. Je pisse par petits jets. Et entre chacun Clémentine me suce.
Avec l'excitation des souvenirs évoqués, le mélange doit être succulent. Nous pouvons l'entendre gémir de plaisir en savourant.

Nous allons nous coucher. Je lèche les cramouilles des deux filles en me régalant. Estelle ne tarde pas à s'endormir. Nous rions.
Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Nous sommes tous deux épuisés. C'est juste une parodie.
Nous restons sans bouger. Clémentine me chuchote ses secrets. Ce qu'elle a vécu à Kirkwall lui laisse une délicieuse impression.
Je l'encourage à sucer de la bite Asiatique. Je la rassure une fois encore. Ce serait un plaisir partagé d'être planqué pour mâter.
Nous nous endormons l'un dans l'autre. Nous avons juste le temps de glisser l'un contre l'autre. < Je t'aime ! >. Et voilà le dodo.

Bon séjour dans les îles du Royaume Unis à toutes les coquines en recherche d'émotions rares et inoubliables…

Julien - (Qui a visité les Orcades pour la première fois, qui en garde une érection émouvante, délicate et douloureuse) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 33 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 515 -



Notre périple entre Inverness et Aberdeen

Hier matin, lundi, c'est le souffle chaud de Clémentine dans mon cou qui me sort de mon sommeil. Elle se serre contre moi.
< Bonjour Julien ! > me chuchote t-elle pour ne pas réveiller Estelle qui dort encore. Il est 7 h15. Le ciel est gris et lumineux.
< Bonjour Clémentine ! > ai je le temps de murmurer qu'Estelle se réveille à son tour en gémissant. Nous l'imitons en riant.
Estelle se précipite la première aux toilettes. Nous nous levons pour nous mettre en tenues de jogging. Et c'est à notre tour.
Dès la fin de nos rituels pisseux, nous rejoignons Estelle qui a préparé le sac avec le pain, la confiture et le miel. On descend.

Le réfectoire de l'hôtel est déjà plein de touristes. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le programme de la journée.
Il est 7 h45. Nous voilà dehors. Il fait doux. Cette fois c'est nous qui impulsons la course pour entraîner Estelle sur le parcours.
Nous sommes rapidement sur le bord de la rivière Ness. Nous croisons quantité de joggeurs. C'est un circuit très bien aménagé.
Nous sommes de retour à l'hôtel pour 9 h. Nous remontons prendre la douche. Nous nous habillons léger. Il fait presque chaud.
Clémentine et Estelle en jupette, T-shirt et baskets. Je suis en short, chemisette et baskets. Nous consultons nos boîtes mails.

Pas de message. Nous redescendons pour aller flâner un peu dans le centre commercial. Le fameux Eastgate shopping Center.
Il nous faut du pain, des fruits et des barres de céréales. < Miam ! > fait Estelle lorsque nous sommes devant l'étal d'un épicier.
Nous regardons dans la direction qu'elle indique. C'est un groupe d'Asiatiques qui suit un guide en uniforme. Nous écoutons.
C'est une jeune fille, sans doute étudiante, qui fait son job d'été. Nous en profitons pour écouter l'histoire de Eastgate Center.
< Je m'en goûterais bien un ! > rajoute Estelle en montrant l'un des jeunes hommes très élégant. < Miam ! > fait Clémentine.

Je dis : < Moi, quand j'ai envie de goûter un truc, je goûte ! >. Nous rions de bon cœur quand Estelle dit : < Fais moi goûter ! >
Elle appuie son propos en me palpant discrètement la braguette. Clémentine lui retire la main en disant : < Tu es gourmande ! >
Nous trouvons de gros pains complets et biologiques. Nous en choisissons un grand. Il faut qu'il dure au moins deux journées.
Pour les petits déjeuners et les éventuels sandwichs. Nous choisissons de belles pommes, des brugnons et des oranges. Super.
Estelle nous montre le jeune Asiatique qui regarde les cartes postales sur le tourniquet. Il se tient à l'écart de son groupe. Bien.

< Il est pour moi ! > fait Clémentine en nous entraînant vers la librairie. Estelle et moi nous restons à feuilleter un gros album.
Tout en regardant les photos, nous observons le petit jeu d'approche de Clémentine. Elle tourne deux fois autour du tourniquet.
Attirant ainsi l'attention du jeune homme. Il découvre cette belle jeune fille qui le dépasse d'une bonne tête. Il semble charmé.
C'est surtout lorsque Clémentine appuie sur le tissus de sa jupette, entre ses cuisses pour se toucher le sexe que le type mâte.
Pour un homme, quelle que soit son origine, ce spectacle bien trop rare est toujours un véritable enchantement. Source de joie.

Clémentine est fort discrète mais ô combien attractive pour notre jeune gaillard. Les Asiatiques sont réservés, discrets, secrets.
Pour une belle exhibitionniste ce sont donc les "VP", victimes potentielles idéales. Celui là ne déroge pas à la règle. C'est super.
Estelle me chuchote : < J'ai envie de baiser avec toi ! >. Je la regarde avec une certaine sévérité. Clémentine n'entend pas ça.
Lorsque ma compagne n'est pas à proximité, je fais le sourd où je dis : < Il faudra convaincre Clémentine. C'est pas gagné ! >
< Je sais ! > se contente de répondre Estelle. Nous regardons Clémentine qui est accroupie entre le tourniquet et le présentoir.

Il n'y a que le jeune homme pour voir et comprendre. Il comprend que tout cela ne s'adresse qu'à lui. Il s'accroupit à son tour.
Il regarde les magasines. Clémentine se tourne franchement vers lui. Elle ne porte pas de culotte, à un mètre à peine du type.
Je bande comme le dernier des salauds. Estelle me touche la bosse et me dit : < Comme c'est gentil. Et rien que pour moi ! >
Nous rions de bon cœur. Il y a un autre Asiatique qui s'est détaché du groupe pour rejoindre celui qui mâte Clémentine. Super.
Notre exhibitionniste préférée a juste de le temps de se redresser. Les deux jeunes hommes choisissent un magasine. Sympa.

Clémentine vient nous rejoindre pour nous raconter les émotions vécues. Comme toujours elle pose ma main sur sa poitrine.
Je peux sentir son cœur battre la chamade. Elle vient de s'offrir un merveilleux frisson. Une merveilleuse frayeur. C'est génial.
Nous regardons les deux gaillards rejoindre le groupe. Le jeune homme se retourne pour lancer un dernier regard vers la fille.
Clémentine mime rapidement une pipe, faisant tourner son poing devant sa bouche et en faisant une bosse dans sa joue. Joie.
L'inconnu n'a plus d'autre choix que de suivre son groupe. Nous nous baladons encore un peu. Je propose un bon restaurant.

Clémentine suggère de nous prendre un repas sur le pouce avant de retourner à l'hôtel pour récupérer la voiture. Bonne idée.
Estelle propose des Fish and Chips dont l'odeur achève d'ouvrir nos appétits. Et il y a plusieurs échoppes qui en font des beaux.
Nous voilà assis sur un banc dans un des nombreux squares autour de Eastgate Shopping Center. Nous savourons nos cornets.
Il est midi trente lorsque nous revenons à l'hôtel. Et nos affaires sont déjà dans la voiture. Nous quittons le parking souterrain.
Je roule doucement. Nous quittons Inverness par la route qui longe le littoral. Clémentine joue avec ma bite. Il fait beau. Doux.

Sur notre gauche la mer reflète le bleu du ciel et les quelques nuages d'altitude. Sur notre droite ce sont les monts Grampians.
< Si Julien ne me baise pas avant la fin du séjour, je me jette du haut des remparts du château d'Edimbourg ! > lance Estelle.
< Pas recevable ! > répond Clémentine. < Pourquoi ? > demande Estelle. < Pas assez haut ! > rajoute Clémentine. Le silence.
Nous éclatons de rire. Je suis obligé de ralentir encore tellement nous rigolons comme des bossus. La route devient plus étroite.
Nous la quittons à la sortie d'Elgin. Je gare la voiture. Nous avons largement le temps de visiter un peu cette charmante ville…

Il y a 170 km d'Inverness à Aberdeen. Nous y sommes attendus à notre hôtel pour 19 h30. Nous avons donc de la marge. Joie.
Nous flânons sur le port. Il y a toujours une intense animation dans les ports de pêche écossais. L'économie locale en dépend.
Nous nous offrons des cônes glacés. Estelle me tripote souvent la braguette que je garde discrètement ouverte. C'est très bien.
Parfois, je passe mes mains sous les jupettes. C'est toujours à Estelle que j'enfonce un doigt. Elle garde sa culotte. Un coton fin.
Il faut donc écarter l'élastique, risquer de se tordre le poignet pour introduire un index explorateur que je fais tourner. Vulgaire.

Comme souvent, je dis : < Si toi tu es pucelle, moi je suis archevêque ! >. Clémentine rajoute : < Et moi none de couvent ! >
Nous rions de bon cœur des rôles que nous nous prêtons. Il y a un monde fou sur les quais. C'est une toute petite ville. Belle.
Nous nous y promenons jusqu'aux environs de 17 h. Il faut y aller. Dans la voiture, assise à l'arrière, Estelle me tient par le cou.
Clémentine joue avec ma bite. Cette année, durant ce séjour d'été, nous aurons fait le tour de L'Ecosse. Un séjour passionnant.
Parfois, Estelle, passant sa main entre les deux sièges, se saisit de ma queue pour faire semblant de passer des vitesses. Rires.

Il est presque 19 h lorsque nous arrivons à Aberdeen. La cité de granit. Appelée ainsi à cause de l'uniformité de ses maisons.
Nous trouvons rapidement l'hôtel où j'ai réservé une chambre pour trois nuits. L'accueil est chaleureux. Hôtel restaurant. Bien.
Nous prenons possession de notre chambre au dernier étage d'une grande bâtisse. La vue donne sur les toits. On voit le port.
C'est une chambre spacieuse. Il y a un petit balcon. Salle de bain et toilettes. Chasse d'eau à manette et typiquement anglaise.
Estelle vient m'y rejoindre la première pour me tenir la bite afin d'en diriger le jet. Clémentine arrive à son tour. Je pisse cool.

Clémentine me suce entre chaque jet. Il y a ce mélange savoureux causé par mon excitation de l'après-midi. Pipe dans l'auto.
Estelle me la tient. < Je vais la garder en main toute la soirée ! > me dit elle tout en la secouant dans la bouche de Clémentine.
Je force Clémentine à se relever. Je tiens les filles par leurs cheveux en queues pour les entraîner sur le balcon. Vue magnifique.
Il est 19 h30. Nous descendons. La faim commence à se faire sentir. Nous avons une table de réservée dans le restau de l'hôtel.
Nous allons flâner un peu dans les rues voisines pour nous diriger vers le centre. Aberdeen est la troisième ville d'Ecosse. Bien.

Nous passerons la journée de demain à visiter la région proche. Surtout le château "Dunnottar Castle" sur sa presqu'île en mer.
Nous l'avons déjà visité l'an dernier. Nous voulons le faire découvrir à Estelle qui ne cesse de mettre sa main dans ma braguette.
Elle est discrète. Je bande mou. J'ai la bite dégoulinante. A tel point que Clémentine me fait remarquer la tache sombre. Foutre.
Je dis à Estelle : < J'ai l'air fin avec cette tache maintenant ! >. Nous rions de bon cœur. Il est 20 h30. Nous retournons à l'hôtel.
Notre table nous y attend. Il y a beaucoup de monde. < Regarde un peu ! Notre dessert ! > fait Estelle. Il y a quatre Asiatiques.

Ce sont deux couples. Ils sont attablés près de la nôtre. Il n'est évidemment pas question de commencer un "plan". Dommage.
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table en bavardant. Nous élaborons le vague programme de demain. Réjouis.
Il est 22 h. La fatigue commence à se faire sentir. Pourtant nous allons marcher encore un peu dans les rues. Il y a du monde.
Nous admirons les vitrines. Antiquaires, brocantes, bazars. Nous nous promettons d'y faire un tour. Aberdeen, ville attrayante.
Je n'arrête pas d'enfoncer mon doigt dans la chatte d'Estelle à chaque fois que c'est possible. < Salaud ! C'est bon ! > fait elle.

Sous le porche d'une grande porte voûtée, je la serre contre moi d'une main. Clémentine la pousse contre moi. Nous la tenons.
Je lui enfonce deux doigts que je fais bouger. Debout, jambes écartées, elle se cambre, fléchie sur ses genoux. Je la tripote fort.
< Mmmhh ! Comme c'est bon. Vous êtes salauds tous les deux ! > me murmure t-elle à l'oreille. Clémentine m'embrasse. Bon.
< Et tu n'as encore rien vu ! > lui répond Clémentine. Il faut cesser car il y a du passage. Il est 23 h15 lorsque nous rentrons.
Estelle, couchée la première, dort déjà lorsque nous la rejoignons au lit. Trop fatigués, nous nous serrons fort. Douceur et dodo.

Bonne découverte de lieux touristiques à toutes les coquines qui aiment se faire tripoter. Se faire mettre un doigt…

Julien - (Qui adore enfoncer ses doigts dans la chatte d'Estelle. Elle ne fait plus du tout sa "coincée". Bientôt la bite ?) -

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De bien agréables sensations écossaises à Aberdeen

Hier matin, mardi, je suis tiré de mon sommeil par des murmures, des chuchotements, des rires étouffés. On me tient la bite.
A peine ai je ouvert les yeux que l'on me couvre le visage de bisous. Estelle accroupie au bord du lit. Clémentine à mes côtés.
< Bonjour Julien ! > font les deux coquines en même temps. J'attrape Estelle pour la forcer à nous rejoindre sur le lit. Si facile.
A quatre pattes entre les deux filles, je les chatouille. J'adore les voir rire. Estelle parvient à s'enfuir pour se précipiter au WC.
Clémentine me chevauche en riant. Nous regardons la chambre d'hôtel. Le lit spacieux, l'armoire, la table, les chaises, le frigo.

Estelle revient pour préparer le sac contenant le pain, la confiture et le miel. Clémentine m'entraîne par la main aux toilettes.
Dès nos amusants rituels pisseux terminés nous rejoignons Estelle déjà vêtue de sa tenue de jogging. Nous faisons tout pareil.
Il est 7 h30. Il fait beau. Nous descendons. Le réfectoire de l'hôtel est déjà fréquenté. Nous nous installons près de la fenêtre.
En regardant l'insipide pain blanc dans les paniers, nous nous félicitons, une fois encore, d'avoir apporté le nôtre. Nourrissant.
Par contre nous goûtons aux morceaux de cakes. Un arrière goût d'orange amère. < Beurk ! > fait Estelle. C'est vrai. Mauvais.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous élaborons un vague programme de ce jour. Déjà, la visite de la ville.
Je me lève pour aller à la réception. Je me renseigne. Le meilleur parcours pour faire notre jogging. Il y a Seaton Park. Bien.
C'est à cinq minutes de l'hôtel. Je reviens annoncer la bonne nouvelle aux filles qui regardent les brochures touristiques. Joie.
Nous sortons. Il fait si doux. Le ciel s'est légèrement voilé. Notre météo préférée. Nous nous mettons à courir derrière l'hôtel.
Nous suivons la rue. Là, à quelques minutes, l'entrée du parc. Il y a d'autres joggeurs. Il nous reste à suivre les allées. Bien.

Estelle coure devant nous. Clémentine me fait voir des endroits précis de son index pointé. Je comprends. Des coins à "plan".
Il est neuf heures trente lorsque nous revenons à l'hôtel. Nous prenons notre douche en premier. Estelle devant l'ordinateur.
Nous revenons. Estelle fait découvrir les informations sur le site de l'université à Clémentine. Rentrée le lundi 24 septembre.
Estelle prend sa douche. Nous découvrons nos deux messages. Celui de mon oncle qui tient ma galerie. Une nouvelle vente.
Le message de Juliette qui nous annonce son retour de Corse pour dimanche 19 août. Nous répondons, joignant deux photos.

Clémentine et Estelle portent leur jupette sport, leur T-shirt et leurs baskets. Je suis en short, chemisette et baskets. A l'aise.
Estelle prépare nos sandwich, beurre, tranches de fromage et rondelles de tomate. Je prépare les fruits dans notre sac à dos.
Il est 10 h15. Nous descendons la grande rue qui mène au centre ville. Les maisons rarement à plus d'un étage, sont grises.
Ce sont ces pierres grises qui on donné à la ville le nom de "Cité de granit". Les toits d'ardoises. Les fenêtres fleuries. Belles.
Nous arrivons dans les rues pavées du centre. Estelle, discrète, me palpe la braguette à chaque occasion. Nous flânons. Super.

Nous déambulons sur Union Street. Il y a là de ravissantes petites boutiques. Ici, le granit est presque blanc sous la lumière.
Nous pénétrons dans Union Square, une sorte de centre commercial dont chaque boutique est entourée de petits jardinets.
Ce qui nous passionne tous les trois, ce sont toujours d'abord les antiquaires et les brocanteurs. Et il y a là de quoi chiner.
Je suis toujours à l'affut de petites reproductions de toiles du XVIIème. Des œuvres de peintres anonymes du XIXème siècle.
Dans la grande boutique, sous les verrières, nous découvrons une véritable caverne d'Ali Baba. Il y a quelques touristes. Bien.

Dans la boutique, Clémentine retire plusieurs fois la main à Estelle de ma braguette. < Et s'il y a des caméras ! > lance t-elle.
Même si Estelle est d'une extrême prudence, il faut bien admettre qu'il y a toujours une part de danger. Que risquons nous ?
Rien ! Si ce n'est le sourire amusé de la personne qui, juste à ce moment là, observerait un hypothétique écran de contrôle.
C'est sur ce constat qu'Estelle répond : < M'en fout ! >. Nous rions de bon cœur. J'ai la braguette discrètement ouverte. Joie.
Nous continuons la visite de cet endroit exceptionnel. Union Square est grand. Nous traversons la rue. Voilà "Trinity Center".

C'est un centre commercial plus conventionnel. < Oh ! Regardez, là, nos amis ! > fait Estelle en nous montrant des Asiatiques.
C'est un groupe d'une dizaine de personnes, des couples, qui se promènent. Ils ont souvent un guide rien que pour eux. Sympa.
Nous en profitons toujours pour écouter un peu. Nous suivons les galeries. Il y a quelques belles boutiques. Les filles regardent.
La mode féminine est partout la même en Europe. Seules quelques différences de styles et de tissus en fonction des folklores.
C'est dans une des boutiques de vêtements typiques que je propose aux filles de nous prendre de véritables pulls "Shetlands".

Finalement, nous n'en choisissons qu'un seul que nous ramènerons à Juliette. Magnifique. Bleu marine, et laine des Shetlands.
Ces pulls sont garantis dix ans. Ils paraissent d'une robustesse à toute épreuve tout en étant d'une finesse et d'une élégance.
Nous faisons faire un emballage cadeau. Les filles me disent : < On a déjà tout ce qu'il nous faut ! >. Je n'insiste pas. Tant pis.
Il est déjà midi. La faim commence à se faire sentir. Nous marchons vers Duthie Park. C'est un des poumons de la ville. Vert.
Il y a du monde. Aberdeen se mérite. Malgré sa réputation de "ville triste", les découvertes sont passionnantes. Enchantement.

Nous voilà assis sur un des nombreux bancs face à la rivière Dee. Il y a là des promeneurs, des joggeurs et plein de touristes.
Clémentine, dont la culotte est dans le petit sac à dos que je porte, offre quelques fois la vue de sa touffe à quelques solitaires.
C'est toujours très discret. Un mouvement de jambes à peine exagéré ou alors les cuisses subitement écartées. C'est superbe.
Estelle qui garde sa culotte, malgré les recommandations de Clémentine, s'amuse à faire pareil. Et beaucoup plus timidement.
D'une certaine manière, même si elle n'est plus réellement une novice, Estelle garde une certaine réserve. Bien plus voyeuse.

Nous mangeons de bon appétit. Nous félicitons Estelle pour la qualité de ses sandwichs. L'eau minérale gazeuse et écossaise.
Nous traînons un peu dans Duthie Park. Il y a une harmonie des teintes. C'est un endroit qui fait la fierté de la ville. Entretenu.
Bien évidemment, si nous parcourons les petites allées, c'est pour permettre à Clémentine de s'offrir un "plan". Petite exhibe.
Il n'y a pas de réelle opportunité. Trop de gens. Par contre Estelle glisse souvent sa main dans ma braguette. C'est très sympa.
Je passe souvent ma main sous sa jupette, et discrètement. Pour lui palper la culotte ou carrément pour lui enfoncer un doigt.

Nous retournons vers la ville. Cette fois, nous explorons les galeries marchandes du labyrinthe "Bon Accord". C'est fréquenté.
A nouveau un groupe de touriste Asiatiques. < Regarde les mecs comme ils sont mignons ! > fait Estelle à Clémentine. Rires.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < On est abonné aux Asiatiques ! >. < J'en prends deux ! > lance encore Estelle.
Nous nous offrons des cônes glacés que nous dégustons en flânant. Nous descendons jusqu'au port. Il y a deux ports en fait.
Aberdeen est une ville qui s'est enrichie avec l'exploitation du pétrole découvert dans les années 70. Il y a un port industriel.

Mais il y a le port de pêche, typique des villes côtières écossaises. C'est là que nous traînons. Nous adorons l'ambiance du lieu.
Il y a la terrasse d'un bar. Trois couples d'Asiatiques. Un jeune homme seul. Plutôt jeunes, beaux et très élégants. Opportunité.
Nous nous installons à une table. Clémentine, face à moi. Estelle sur ma gauche. Situation parfaite pour un super "plan" exhibe.
Je pose mon téléphone de façon à voir sur l'écran comme dans un rétroviseur. Et derrière nous le groupe d'Asiatiques attablés.
Nous savourons nos limonades et nos coupes glacées. Le jeune homme seul a remarqué le jeu de jambes de Clémentine. Bien.

Clémentine nous raconte ce qu'elle fait sous la table. Je fais tomber ma serviette en papier. Je me baisse pour constater. Super.
La vue sur la touffe est absolument parfaite. Les cuisses largement écartées permettent une vision spectaculaire. L'inconnu voit.
Estelle nous fait : < Il va se déboîter les globes oculaires ! >. Nous en rigolons comme des bossus. Nous sommes très prudents.
Nous regardons sans cesse partout autour de nous. Personne ne peut se douter de notre petit jeu. C'est réellement passionnant.
< Fais lui le test des chiottes ! > fait Estelle à Clémentine qui se lève en disant : < J'allais justement y procéder ! >. Toilettes.

Le message est passé. Il se passe à peine une minute et voilà notre bel Asiatique qui se lève à son tour. Direction les toilettes.
Langage universel que celui des corps. Il se passe une bonne dizaine de minutes. < Elle le suce où quoi ! > fait Estelle. Rires.
< Je vais voir ! > fait elle subitement en se levant pour aller vers les toilettes au moment même où revient Clémentine. Super.
Elle nous raconte. < Un vrai vicieux. Put-Hein, il m'a montré sa super queue. Longue, fine, toute lisse ! Il bandait superbe ! >
Notre touriste Asiatique revient. Je le vois sur l'écran de mon téléphone faire plusieurs clins d'œil à Clémentine. C'est sublime.

Estelle, toujours debout, se dirige à son tour vers les toilettes. Elle regarde avec insistance dans la direction du jeune homme.
< Put-hein ! Il y retourne ! > fait Clémentine. En effet, nous voyons notre éminent salaud se lever pour se diriger vers les WC.
Les autres membres du groupe dont il fait partie ne font aucune attention à son attitude. Il fait le geste de se laver les mains.
Je dis à Clémentine : < Pourquoi tu ne l'as pas sucé un peu dans les chiottes >. Elle me fait : < Tout le temps du passage ! >
Elle m'explique qu'il y a les cuisines à proximité et qu'il y a un va et vient constant car c'est le passage pour aller à la réserve.

Estelle revient à son tour. Elle secoue sa main gauche en mettant sa main droite sur sa bouche. < Le vicelard ! > nous fait elle.
Le gaillard revient. Personne ne pourrait imaginer que ce jeune homme, très bien de sa personne, soit le dernier des vicelards.
Je dis : < Et toi, tu l'as sucé un peu ? >. Estelle me fait : < Non, il y a tout le temps des gens qui passent dans le couloir ! >
Le groupe d'Asiatiques se lève. Ils paient au comptoir extérieur avant de partir. Le jeune homme se tourne. Un clin d'œil. Joie.
< Put-hein, celui là, je me le serais sucé avec plaisir, le salaud ! > fait Clémentine. Estelle répond : < C'est décidé, je le fais ! >

Nous traînons en ville jusqu'en soirée. Il y a tant de choses à voir. Nous visitons le Musée historique. Nous réservons une table.
C'est devant un gigantesque plateau de fruits de mer que nous évoquons nos aventures de la journée. Et les filles sont excitées.
J'aime les voir et les entendre faire mille et un plans sur la comète. Ce qui est sûr, c'est que le fantasme Asiatique a pris corps.
Nous flânons encore un peu dans les rues. Retour à l'hôtel pour 22 h45. Estelle s'endort la première pendant notre toilette. Rire.
Au lit, en silence, Clémentine et moi nous nous pénétrons. Sans bouger, elle me confie ses émotions. Ses désirs. Fatigue. Dodo.

Bonne découverte de quelques toilettes de bar bien pourvues en exhibitionnistes à toutes les coquines qui apprécient.

Julien - (Qui écoute les confidences les plus intimes de Clémentine. Surtout lorsqu'elles concernent la pipe "Asiatique") -

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Classe - 35 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 517 -



Palpages de sexes en ruines de citadelle médiévale

Hier matin, mercredi, c'est le souffle chaud de Clémentine dans mon cou qui me tire de mon sommeil. < Chut ! > me fait elle.
Je regarde par dessus son épaule tout en la serrant contre moi. Estelle dort encore à poings fermés. < Bonjour ! >. Murmures.
Nous nous faisons quelques papouilles avant qu'elle ne m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Il est à peine 7 h15. Pissous.
Dehors il fait beau. Nous nous mettons en tenues de jogging. Estelle se réveille en gémissant. Elle me tend les bras. Des bises.
Elle se précipite aux toilettes pendant que nous préparons le sachet contenant le pain, la confiture et le miel. Estelle s'habille…

Nous descendons. Dans le réfectoire de l'hôtel, il y a déjà quantité de touristes. Nous nous installons à une table libre. Sympa.
Aujourd'hui, nous goûtons à des petits cakes marbrés. < Mais pourquoi tout gâcher avec ces fruits confits ! > fait Estelle. Rires.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant un très vague programme de la journée. Nous sortons. Douceur. Il y a le soleil.
Nous prenons le même itinéraire que hier. C'est Estelle qui donne le rythme de la course. Nous arrivons à Seaton Park. Super.
Il y a déjà du monde et de nombreux joggeurs qui profitent de la douceur et des parfums de la matinée. Les odeurs de fleurs.

Il est neuf heures quinze lorsque nous revenons à l'hôtel. Nous prenons notre douche en premier. Estelle allume l'ordinateur.
Puis c'est au tour d'Estelle pendant que nous découvrons notre message. C'est Lennie, la jeune fille Hollandaise. Impatiente.
Elle confirme son retour avec ses parents et son grand-père à South Queensferry pour le 30 août. Elle pense à nous. Sympa.
Estelle revient. Elles sont toutes les deux vêtues de leur jupette sport, T-shirt, baskets. Je suis en short, chemisette, baskets.
Je prépare notre petit sac à dos pendant qu'Estelle prépare nos sandwichs aux fines tranches de saumon fumé. Du fromage.

Nous descendons au parking souterrain pour récupérer notre voiture. La circulation reste fluide. Tant à Aberdeen qu'au dehors.
C'est une autre façon de voir défiler les maisons et les monuments. Je roule lentement et avec une extrême prudence. Photos.
A peine sortie de la ville, Clémentine extrait ma queue de ma braguette ouverte. Estelle, assise à l'arrière, me tient par le cou.
Parfois, se penchant pour passer son bras droit entre les sièges, elle prend le relai de Clémentine en disant : < Les couilles ! >
Nous rions de bon cœur. Estelle murmure : < Julien, ce sont les plus belles vacances de ma vie. C'est si intense. Je t'aime ! >

< Oh ! On se calme ! > fait Clémentine en prenant ma bite de la main d'Estelle qui continue : < C'est extraordinaire. Merci ! >
Il y a 30 km par la petite route côtière jusqu'aux ruines de Dunnottar Castle, ce magnifique château médiéval sur sa presqu'île.
Il est à peine 11 h15 lorsque nous nous arrêtons dans le charmant petit village de Portlethen. Je me gare à l'entrée du bourg.
La rue principale, bordée de ses maisons basses en pierres de granit qui brillent sous le soleil. Nous y marchons jusqu'au port.
Sur la demande de Clémentine, j'ai la braguette discrètement ouverte. Personne ne peut s'en rendre compte. C'est très sympa.

< Aujourd'hui, ce sont tes couilles qui m'intéressent ! > me fait Estelle en me les saisissant fermement par derrière. Discrète.
< Moi c'est ta bite ! > me fait Clémentine en plongeant sa main dans ma braguette. Nous sommes entre deux camionnettes.
Je regarde partout autour de nous. Il faut être d'une extrême discrétion. Il y a beaucoup de touristes. Nous arrivons au port.
Le cri strident des mouettes. L'animation fébrile des marins pêcheurs. Les ventes à la criée de homards vivants, gigantesques.
Nous flânons sur les quais. Je porte notre petit sac à dos. Il y a la culotte à Clémentine. Estelle préférant garder la sienne. Joie.

Ce sont principalement des familles. Nous sommes le 15 août. Et pour beaucoup de touristes, c'est le dernier jour de vacances.
< Regardez, là-bas, des ressortissants du pays du soleil levant ! > fait Estelle en désignant un groupe d'Asiatiques. Nombreux.
Il y a deux groupes qui suivent des guides. Nous nous rapprochons pour écouter. C'est probablement des Japonais. Sympas.
Les guides sont Japonais également. Nous ne comprenons évidemment rien. Mais cette langue chante et nous enchante. Bien.
Pas d'opportunité exhibe pour Clémentine qui nous dit : < Ils me foutent la chatte en feu ! >. Nous rigolons comme des bossus.

La faim commence à se faire sentir. Je propose de prendre nos sandwichs sur le port. Il fait beau. Le ciel est d'un bleu d'azur.
Cette luminosité si typique du nord de l'Europe septentrionale. Nous avisons la terrasse d'un bar qui autorise les repas persos.
Nous voilà attablés à savourer nos pommes en regardant l'animation fébrile du port. L'arrivée et le départ des chalutiers. Bien.
Toutes les tables de la terrasse sont rapidement occupées. Clémentine me chuchote : < Je suis hyper excitée. Si tu savais ! >
Je lui murmure : < Je sais ! >. Estelle nous fait : < Moi aussi. C'est le soleil, la douceur et très probablement les Asiatiques ! >

Nous traînons à table. Il serait vain de ne pas profiter de cet enchantement paradisiaque. Il est 13 h. Nous retournons à l'auto.
Je roule doucement. Clémentine fait des photos de la mer sur notre gauche. Le ciel bleu s'y reflète en scintillant de mille feux.
Là-bas, se dessine la silhouette de Dunnottar Castle sur son promontoire rocheux. Ce sont d'imposantes ruines. Un vrai village.
Je gare la voiture sur le parking. < Comme c'est beau ! > fait Estelle en me prenant la main. Clémentine redécouvre l'endroit.
Je marche entre les filles qui me tiennent toutes les deux par la main. Nous attirons bien évidemment les regards. Trio de choc.

Cet homme d'âge mûr tenu par ces deux magnifiques jeunes filles, grandes et filiformes. Nous attirons bien des convoitises.
Les regards libidineux de certains messieurs, même accompagnés de leurs famille, nous amusent beaucoup. Nous en jouons.
Il faut descendre l'étroit sentier vertigineux sur la falaise qui sépare la presqu'île de la terre. C'est une image impressionnante.
Clémentine fait des photos. Nous sommes tous les trois sujets au vertige. Aussi, nous ne nous attardons pas. Il y a du monde.
Nous remontons le sentier. La falaise sur laquelle est construite la citadelle est truffée de souterrains. L'ouverture sur la mer.

Depuis le début de notre séjour nous sommes gâtés par une météo exceptionnelle comme nous l'aimons. Pas de canicule. Joie.
Cette journée sous un chaud soleil reste toutefois des plus appréciables. Nous visitons l'intérieur du château. Village médiéval.
Il y a la maison du boulanger, la maison du tanneur, la maison du maréchal ferrant. Tout est reconstitué. L'historique est écrit.
Le cri strident des mouettes, le bruit impressionnant des vagues qui se brisent au bas des falaises. C'est un saut dans le temps.
Il y a bien trop de monde pour nous livrer à nos petits jeux habituels. Pourtant, parfois, vite, je glisse la main sous les jupettes.

Regardant partout autour d'elle, à l'angle d'un mur, Estelle me choppe les couilles par derrière en disant : < Je te les vide ! >
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine lui demande : < Sur la gueule ? >. < Oh oui ! Une superbe pipe ! > répond Estelle.
C'est dans cette ambiance de franche camaraderie que nous parcourons le vaste intérieur des remparts de Dunnottar Castle.
Il y a de quoi se remplir la tête de souvenirs pour toute la vie. Ces ruines sont certainement les plus enchanteresses d'Ecosse.
Il ne faut pas quitter l'étroit sentier. Les pelouses sont entretenues. C'est une moquette. Nous lisons les panneaux d'histoires.

Malgré l'affluence touristique, nous arrivons à nous toucher en secret et sans jamais nous faire surprendre. De vrais virtuoses.
C'est Estelle qui remporte la palme. J'en ai presque mal aux couilles tellement elle me les choppe fermement et par derrière.
Je lui palpe la chatte au travers le coton de sa culotte. Il faut être prudent, agile et quelques peu téméraire. Nous y excellons.
Nous traînons dans l'enceinte du château jusqu'aux environs de 17 h30. C'est tellement superbe. Nous retournons à la voiture.
Je roule doucement. Nous avons tous les trois une méchante envie de pisser. Il y a 3 km jusqu'au village de Stonehaven. Joie.

Stonehaven est un de ces merveilleux villages côtiers comme il y en a tant en Ecosse. Je laisse la voiture à l'extérieur du bourg.
C'est un nouvel enchantement. C'est sous un porche, et dans l'arrière cour d'une sorte de parc, que nous pissons tous les trois.
Estelle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle fait un dessin rigolo. Avec la petite tache : < Pour faire joli ! >
Nous rions de bon cœur en regardant nos trois créations. Les coulées des filles sur le sol pierreux. La mienne sur le mur gris.
Enfin soulagés, nous allons jusqu'au port. C'est magnifique. C'est un enchantement supplémentaire. Il y a beaucoup de monde.

Il est 18 h. Je propose de nous réserver une table dans un des restaurants sur le port. Nous faisons le choix d'après la carte.
Il y a là des spécialités locales de fruits de mer plus attractives les unes que les autres. Voilà notre table réservée pour 20 h30.
Nous nous offrons des cônes glacés que nous savourons sur les quais du port. C'est une large crique dont nous faisons le tour.
Il y a quelques opportunités de nous toucher sans faire trop attention. Clémentine peut même s'offrir un petit frisson exhibe.
Un mec seul qui flâne sur le port. Clémentine entre deux piles de paniers en osier. Accroupie, chatte largement exhibée. Super.

Estelle et moi, nous restons discrètement à l'écart derrière un cabanon pour mâter. Estelle glisse sa main dans ma braguette.
Nous regardons la manœuvre d'approche du jeune type qui découvre l'enivrant spectacle d'une superbe jeune fille accroupie.
Je bande comme le dernier des salauds. Estelle, comme à son habitude, la tord dans tous les sens. C'est presque douloureux.
Nous regardons le jeune homme se toucher effrontément devant la jeune fille qui écarte ses cuisses au maximum. C'est super.
Je passe ma main sous la jupette d'Estelle pour écarter sa culotte et enfoncer mon index, au risque de me tordre le poignet.

Il y a des gens. Des touristes. Clémentine se relève juste à temps. Le jeune type appartient à un des groupes de promeneurs.
Nous avons failli être surpris par les deux dames qui arrivent derrière nous. Estelle a juste le temps de retirer sa dextre. Ouf.
Nous nous rejoignons pour nous raconter nos émotions tout en nous baladant. Nous revenons sur nos pas. C'est magnifique.
Il est presque 20 h30 lorsque nous entrons dans la salle bondée du restaurant où nous attend notre table. Il y a de l'ambiance.
Sur une petite scène il y a un groupe folklorique Celte. Une jeune fille joue de la harpe, une autre du violon, une autre chante.

Nous dégustons nos spécialités. Des fruits de mer finement grillés. Les fumaisons de queues de langoustes sont un ravissement.
< Je n'ai jamais rien mangé d'aussi bon ! > nous fait Estelle. Nous nous régalons comme rarement en évoquant nos aventures.
Nous traînons à table. Il est 22 h lorsque nous allons encore flâner un peu sur le port. Il faut songer à rentrer. 23 h. La fatigue.
Il est 23 h 45 lorsque nous revenons à l'hôtel. Epuisés. Estelle s'est endormie pendant que nous étions à la salle de bain. Rires.
Nous sommes beaucoup trop fatigués, nous détestons les trucs bâclés. Nous nous serrons fort pour rapidement nous endormir.

Bonne visite de citadelles médiévales en vous faisant toucher et en palpant des bites à toutes les coquines passionnées…

Julien - (Qui va d'enchantement en ravissement sans cesser de palper des chattes et de se faire toucher la bite et les couilles) -

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Départ d'Aberdeen pour St Andrews

Hier matin, jeudi, nous nous réveillons tous les trois en même temps. C'est un concerto de gémissements que nous modulons.
Nous rions de bon cœur en exagérant nos étirements. Bien sûr, c'est un prétexte qui permet à Estelle de m'attraper la queue.
Mon érection matinale est donc quelque peu malmenée par la coquine qui prend toujours un malin plaisir à me la tordre. Ouille.
Elle se précipite aux toilettes en s'écriant : < Pipi ! > avant que je ne l'attrape pour lui infliger le châtiment des chatouilles. Rire.
Clémentine me chevauche en me chuchotant des douceurs. Estelle revient pour se vêtir de sa tenue de jogging. Il est 7 h15.

C'est à notre tour. Dès la fin de nos rituels pisseux, nous nous habillons également en tenues de jogging. Estelle prend le sac.
Nous descendons avec notre pain, notre confiture et notre miel. Il y a déjà du monde dans le réfectoire de l'hôtel. Il fait beau.
Nous voilà attablés en faisant le vague programme de la journée. Ce matin, nous goûtons les cakes à la marmelade d'orange.
< Mais pourquoi se sentent ils obligés de tout gâcher avec des mélanges aussi douteux que les oranges amères ? > dit Estelle.
Et c'est vrai qu'il y a souvent un truc qui déconne. Les recettes Anglaises ont envahi l'Ecosse depuis longtemps. De la daube !

Il est 7 h45. Nous voilà à courir en direction de Seaton Park où nous croisons déjà quantité de joggeurs. La douceur matinale.
Il est neuf heures lorsque nous revenons à l'hôtel. Nous prenons notre douche les premiers. Et Estelle est assise à l'ordinateur.
Nous revenons pour regarder les informations sur le site de l'Université. C'est au tour d'Estelle d'aller prendre sa douche. Bise.
Nous découvrons nos deux messages. Celui de Juliette qui nous raconte ses dernières journées Corses, son retour dimanche.
Le message de mon oncle qui tient ma galerie. La fin de la saison touristique donne ses tous premiers effets. Après le 15 août.

Nous répondons. Clémentine et Estelle sont vêtues de leurs jupettes sport, T-shirt et baskets. Je suis en short, T-shirt, baskets.
Nos affaires sont rapidement prêtes. Le grand sac à dos d'Estelle et une valise. Le tout dans le coffre de la voiture. Il est 10 h.
Nous quittons Aberdeen sous un ciel voilé et très lumineux. Je roule doucement. Clémentine me sort la bite. Braguette ouverte.
Nous prenons la direction de St Andrews où nous sommes attendus chez ma tante et son mari en soirée, après 19 h. Planning.
La circulation est fluide. Ici aussi, après le 15 août, il y a une baisse de la densité touristique. Nous quittons Aberdeen. Terminé.

Il y a environ 130 km qui séparent les deux villes. Nous ne tardons pas à quitter la Nationale pour prendre la route de la mer.
Cette petite route côtière qui longe le littoral jusqu'à St Andrews permet d'admirer la côte parfois tourmentée. De belles plages.
Estelle, assise à l'arrière, passe souvent sa main entre les sièges pour me tenir fermement les couilles. Elle aime me les serrer.
Clémentine me tient la queue. Je bande fort. Je roule avec prudence. Doucement. Nous arrivons dans la petite ville d'Arbroath.
Il est à peine 11 h15. Je gare la voiture sur un des parkings à l'entrée de la ville. C'est une agglomération côtière et si typique.

Arbroath est une ville portuaire. Nous avons toute la journée pour nous y promener et en découvrir les endroits représentatifs.
Sur la demande de Clémentine qui a retiré sa culotte dans l'auto, je garde ma braguette discrètement ouverte. C'est excitant.
Nous flânons dans les rues du centre. Les maisons ont rarement plus d'un étage, sont souvent en pierres de taille et de granit.
Il y a de l'animation car il se prépare la fête pour les prochains jours. En Ecosse, il y a des fêtes partout et toute l'année. Joie.
Je propose une des attractions proposées. Découvrir la ville et ses environs immédiats avec le train miniature de Kerr. Sympa.

Pour le coût modeste d'un billet qu'il faut prendre à l'office de tourisme, c'est l'assurance d'une visite guidée, d'un bon moment.
Nous en profitons pour prendre quelques brochures touristiques. Nous en ramenons toujours de grandes quantités de partout.
Estelle, avec sa virtuosité discrète n'arrête pas de me palper la braguette. Clémentine ne cesse de lui retirer la main. Je bande.
Nous prenons la direction du quai de la toute petite gare. C'est comme dans un parc d'attraction. Et un train de conte de Fée.
Il y a du monde. Là, un groupe d'Asiatiques. Ils sont une vingtaine. Tous habillés de blanc. Shorts, jupes, T-shirt avec un logo.

Nous montons dans l'avant dernier wagon de style Victorien. C'est un train à vapeur qui imite les anciennes locomotives. Bien.
La vapeur est certainement décorative car la motrice semble fonctionner à l'électricité. Nous ne voulons pas percer le mystère.
Nous voilà assis sur une banquette recouverte de moleskine brune. Clémentine près de la fenêtre, moi au milieu, Estelle à côté.
En face de nous il y a deux couples de séniors. Je constate rapidement que Clémentine a commencé son "show". Le mec mâte.
Cuisses légèrement écartées, regardant tour à tour à l'extérieur ou la brochure touristique, Clémentine s'offre un petit "frisson".

Elle me fait du coude pour m'indiquer les meilleurs moments. C'est un sexagénaire, assis devant la jeune fille. Heureux homme.
Le privilégié a droit à une exhibe de qualité. Personne ne peut s'imaginer un seul instant ce qui se passe dans ce compartiment.
Je fais du coude à Estelle qui découvre les agissements de Clémentine. Elle me chuchote : < Toujours au bon endroit. Super ! >
Et c'est vrai que ma compagne n'a pas sa pareille pour saisir les bonnes opportunités. Toujours au bon moment, au bon endroit.
Notre privilégié sait mâter dans la plus totale discrétion. Sa femme, à ses côtés, chuchote avec l'autre dame. C'est parfait. Bien.

Nous faisons le tour de la ville, passant devant les monuments les plus emblématiques. Une voix féminine dans le haut parleur.
Les explications en Anglais, en Allemand, même en Japonais. Il faut préciser que les Japonais représentent un fort pourcentage.
Il est donc parfaitement normal qu'ils soient traités en hôtes de marque. Ce sont des touristes prisés des commerçants. Super.
Un fort pouvoir d'achat, un respect des us et coutumes, une discrétion exemplaire, une politesse parfois obséquieuse. Parfaits.
Estelle ne cesse d'ailleurs pas de se contorsionner pour mâter quelques beaux et élégants Asiatiques dans notre compartiment.

La visite dure environ une heure. Elle nous a ouvert un appétit d'ogre. Clémentine propose un repas sur le pouce. Fish & chips.
La suggestion est accueillie avec des applaudissements et des bises dont nous couvrons, Estelle et moi, son visage. Contents !
Nous traînons dans le centre. Nous avisons un fast food qui propose tout un choix de spécialités. Beignets de poissons. Crabes.
Nous voilà munis de nos cornets en papier géants contenant nos Fish and chips. Assis sur un banc en pierre, nous les savourons.
Nous ne mangeons que très rarement des fritures. Aussi, cette fois encore, nous en savourons les saveurs hautement caloriques.

Il y a des petites fontaines métalliques à tous les coins de rue. Il est simple de se laver les mains grasses, les doigts poisseux.
"Sticky Fingers" est d'ailleurs le nom de cette boutique qui propose des spécialités culinaires et pâtissières à emporter. Super.
Nous nous offrons des cônes glacés avant de nous diriger vers les ruines de l'abbaye. C'est un endroit magique. Si magnifique.
Il y a de vieilles pierres tombales qui jonchent le gazon. Clémentine nous fait : < Eh, mâtez un peu, là-bas ! >. Nous regardons.
Un groupe d'Asiatiques. Il y a un jeune homme qui fait des photos un peu à l'écart. Clémentine se précipite, disant :< Plan ! >

Accroupie devant la dalle de pierre sculptée, Clémentine offre son super show au jeune homme qui découvre le spectacle. Bien.
Les cuisses largement écartées, Clémentine caresse la pierre tombale. Derrière ses larges lunettes de soleil, elle peut observer.
Le jeune homme ne se démonte pas et ne perd pas le Nord. Il prend discrètement des photos. Estelle me fait du coude. Rires.
La situation est furtive, fugace. Elle ne peut pas durer. Il y a des visiteurs. Mais quel sublime moment d'exhibe de haute qualité.
Nous félicitons Clémentine lorsqu'elle revient nous rejoindre. C'était encore du grand Art. Le jeune type mâte souvent vers nous.

Nous traînons ici un long moment. La douceur du climat, la magie des lieux, tout cela participe d'un réel enchantement. Super.
Nous terminons par la visite de la galerie d'Art. Principalement des artistes locaux du XVIIème siècle à nos jours. Vraiment bien.
Il est dix huit heures lorsque nous revenons à la voiture. Estelle insiste pour s'assoir devant. Elle a envie de me tailler une pipe.
Clémentine refuse. Nous rigolons comme des bossus de cette proposition saugrenue, farfelue, mais néanmoins si sympathique.
Il reste 50 km à parcourir. Nous sommes dans les temps. Je roule prudemment. Clémentine joue avec ma queue. Nous rigolons.

Nous arrivons à St Andrews pour 19 h15. Clémentine se rappelle bien de notre séjour ici. La belle maison de Maître de ma tante.
Nous entrons dans la propriété. Ma tante et son mari nous attendent en haut du large escalier. Nous nous faisons la bise. Super.
Cette fois, je suis accompagné de deux superbes jeunes filles. Clémentine qu'ils connaissent bien et Estelle que je leur présente.
Le mari de ma tante a un étrange regard. Ma tante me fait un curieux sourire. Nous allons passer ici quatre jours, quatre nuits.
J'offre le paquet contenant la toile qu'ils m'ont commandé l'an dernier. Je nous y représente en tenues du XVIIIème. Costumes.

Nous suivons ma tante jusqu'à l'étage. Nous prenons possession de notre appartement. Clémentine reconnaît les lieux. Superbe.
Ma tante nous laisse nous installer. Nous sommes attendus pour le repas du soir à 20 h30. Nous déballons nos affaires. La joie.
Estelle se frotte contre moi : < Je veux ma pipe ! > me fait elle. Clémentine lui dit : < Mais quand c'est l'heure, tu dors déjà ! >
Nous rions de bon cœur. Nous nous changeons. Pas question de manquer de la plus élémentaire des convenances. Tout prévu.
Nous portons des vêtements blancs, un peu fripés par les incessants voyages. Nous faisons illusion. Il est 20 h30. Il faut y aller.

Le mari de ma tante observe la toile déballée. Il admire en silence. On nous y voit, Clémentine et moi, en costumes d'époque.
Je suis en tenue d'officier de la garde, debout derrière Clémentine vêtue d'une ample robe longue, tenant un éventail de soie.
La ressemblance est si frappante. C'est comme une photographie. Ma tante aussi est complètement sous le charme. Superbe.
Evidemment, ils ne veulent pas négocier. Le prix fort. Nous prenons notre repas dans le grand salon. Nous bavardons. Sympa.
Estelle parle d'elle. Elle suscite autant d'intérêt que Clémentine. Leurs études, leurs âges leurs bonheur de découvrir l'Ecosse.

Il est presque 23 h15. Nous prenons congé. Nous nous sommes tant régalés d'un repas et d'un dessert absolument succulents.
Nous montons. Lorsque nous revenons de la salle de bain, nous découvrons Estelle déjà couchée et qui dort à poings fermés.
< La pipe ! C'est moi qui vais te la tailler ! > me fait Clémentine. Nous nous couchons le plus silencieusement possible. Difficile.
Clémentine pose sa tête sur mon ventre. Je la tiens par la nuque. Elle me suce doucement. Nous sommes tellement fatigués !
Je la force à cesser. < Je t'aime Julien ! > chuchote t-elle en posant sa tête sur mon épaule. < Moi aussi ! > murmure Estelle.

Bonne découverte de lieux magiques qui permettent à toutes les coquines de donner libre cours à leurs penchants exhibes…

Julien - (Toujours inquiet du sommeil de Clémentine. Et qui s'endort en bandant mou parfois dans la bouche de Clémentine) -

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Nous prenons nos quartiers à St Andrews

Hier matin, vendredi, c'est le souffle chaud de Clémentine qui me tire de mon sommeil. < Chut ! >. Doigt sur la bouche. Bises.
Je regarde par dessus son épaule. Estelle dort encore à poings fermés. Nous nous faisons des papouilles et tout en chuchotant.
< Bonjour mon amour ! > me fait elle en se serrant fort contre moi. < Bonjour mon amour ! > ai je le temps de lui murmurer.
Elle m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Il est à peine 7 h15. Depuis les cabinets, nous entendons Estelle qui se réveille.
Ses gémissements lorsqu'elle s'étire nous amusent toujours beaucoup. Nous la rejoignons. Elle se lève, me fait plein de bises.

Clémentine s'interpose. Nous sommes attendus pour le petit déjeuner. Nous retrouvons notre appartement de l'année dernière.
Situé à l'étage de la grande maison de ma tante. La vue sur St Andrews est magnifique. Surtout que le ciel est lumineux. Bien.
Estelle revient pour admirer avec nous. Nous nous mettons en tenue de jogging. Nous descendons rejoindre ma famille. Faim.
Ma tante et son mari sont déjà attablés. Il y a du pain complet, de la brioche, un délicieux café, du beurre de la confiture, miel.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. La conversation s'articule autour de notre séjour en Ecosse. Nos ressentis.

Les filles expriment une fois encore leurs souhaits de venir s'installer à Edimbourg dès l'obtention de leurs Doctorats. Le projet.
St Andrew possède la troisième Université la plus réputée du monde après Harward et Oxford. Et qualitativement la première.
D'y enseigner un jour, en tant que Maître de conférence, est le rêve de Clémentine que je dois souvent raisonner à ce propos.
Nous traînons à table. Il est 8 h45 lorsque nous sortons. Il fait très agréable. L'air du large parvient jusqu'ici. Un vrai bonheur.
Nous retrouvons le circuit que nous pratiquions l'année dernière. Estelle le découvre. Nous courons d'un bon rythme soutenu.

Nous sommes de retour pour 10 h après un running des plus gratifiants. Nous prenons la douche. Estelle allume l'ordinateur.
La Wifi fonctionne à la perfection. Pas un seul jour, depuis notre arrivée en Ecosse, nous n'avons connu de souci de connexion.
Nous revenons rejoindre Estelle qui part à la douche à son tour. Nous avons un message de Juliette qui quitte la Corse demain.
Clémentine et Estelle portent leurs jupettes sport. T-shirt et baskets. Je suis en short, chemisette et baskets. Il est 10 h30.
Je vide la machine de notre linge que nous suspendons sous l'auvent prévu à cet usage derrière le cabanon de jardin. C'est fait.

La maison de ma tante est située en périphérie à environ trois kilomètres du centre ville. Nous avons des courses à faire. Pain.
Nous prenons la voiture. Je roule doucement. Clémentine me sort la bite. Estelle passe son bras entre les sièges pour la saisir.
Nous rions de bon cœur lorsqu'Estelle me fait : < Monsieur est prié d'être le dernier des vicelards aujourd'hui ! Un salopard ! >
< Et c'est un ordre ! > rajoute Clémentine qui nous montre les ruines de la cathédrale là-bas, au loin. Estelle me la tord. Ouille.
Je prends la direction du centre commercial Shopping Market Center. Son parking, son supermarché, ses galeries marchandes.

Avant de sortir de la voiture, Clémentine retire sa culotte qu'elle met dans le vide poche. J'invite Estelle à faire de même. Rires.
A notre grand étonnement, malgré que cela l'embarrasse toujours terriblement, Estelle retire également la sienne. Je la félicite.
Je pousse le caddie. Clémentine marche devant nous. Estelle reste à mes côtés. Nous errons dans les rayons. C'est très sympa.
Il y a du monde. Certainement davantage d'autochtones que de touristes. Nous faisons provision de fruits en grande quantité.
Pommes, brugnons, abricots, oranges et bananes. Des tranches de saumon fumé. Un énorme pain complet, bio, aux noisettes.

Clémentine retrouve ses réflexes dans tous les supermarchés du monde. Elle nous entraîne dans le rayon culturel. Découverte.
Des livres, des albums, magasines ayant pour sujet l'Ecosse. Nous choisissons deux beaux albums de photos. Cadeau à faire.
Il y a du monde. < Put-Hein, j'y crois pas, regarde ! > me fait Estelle pendant que Clémentine déplie une carte des itinéraires.
Je regarde dans la direction indiquée. Un groupe d'Asiatiques. Je compte. Six couples. Ce sont de jeunes couples très élégants.
Estelle me fait encore : < Tu te ferais bien laquelle ? >. Nous rions de bon cœur lorsque je la serre en disant : < Celle -là ! >

< Oh oui ! J'aimerais bien niquer avec toi ! S'il te plaît ! Demande à Clémentine. Je suis sûre qu'elle sera d'accord ! > fait elle.
Clémentine vient nous rejoindre et découvre à son tour le groupe de touristes Asiatiques. Elle s'interpose entre Estelle et moi.
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'elle dit : < J'ai le dos tourné deux minutes et voilà ce qui se passe. Deux profiteurs ! >
Comme pour bien marquer son territoire, Clémentine se serre contre moi avant de nous entraîner vers le rayon des fringues.
Il y a deux Asiatiques. Sans doute le père et son fils qui regardent des vestes. Je saisi Clémentine par la nuque. Fermement.

Je la force à marcher devant moi. Je veux que les deux mecs voient cette jeune fille maintenue ainsi. Clémentine en glousse.
C'est un autre type qui s'aperçoit de la scène. Pas un Asiatique. Un moustachu, ventru et de petite taille. Il me fait un sourire.
Je force Clémentine à s'accroupir devant les slips homme. Le type mâte comme halluciné. Estelle vient nous rejoindre. Super.
Quelle n'est pas mon étonnement de la voir s'accroupir aux côtés de Clémentine pour montrer sa chatte. Et comme rarement.
Je les tiens toutes les deux par la nuque. Le type ne sait quoi faire. Il doit avaler de travers. Il fait quelques pas. Et il revient.

Je suis debout entre les deux filles. Nous avons tous les trois le cœur qui bat la chamade. Une femme vient rejoindre le mec.
Elles n'ont que le temps de se redresser. Le couple disparaît. Clémentine se serre contre moi. Je sens battre son cœur. Super.
Estelle prend ma main pour la poser sur sa poitrine. Ses tous petits seins pointus dont les tétons bandent. Son cœur qui bat.
< Tu nous refais ça le plus souvent possible ! > chuchote Clémentine. Je dis : < Vous m'en avez donné l'ordre dans l'auto ! >
Nous rions de bon cœur. La direction des caisses. Nous rangeons nos courses. La glacière branchée sur l'allume cigare. Bien.

Il est 12 h30. Nous décidons d'aller dans le centre. Nous laissons la voiture dans une rue à dix minutes de la vieille ville. Joie.
La faim commence à se faire sentir. < Fish & Chips, ça vous tente ? > nous propose Clémentine. Nous applaudissons. Super !
Discrètement, dans le Fast Food, et dans la file, je pose ma main sur le sexe de Clémentine. < Je suis excitée ! > me fait elle.
Je lui dis : < J'ai envie de te bouffer la chatte ! >. Elle me palpe la braguette pour me chuchoter : < Je veux bouffer ta bite ! >
Estelle nous murmure : < Et moi ? >. Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine lui répond : < Toi, tu regardes ! Branle ! >

Nous voilà avec nos cornets géants en papier, assis sur un des bancs de la petite place St Julius. Nous savourons nos beignets.
Ce sont des beignets de crevettes, de crabe et de moules. Les frites sont onctueuses et pas trop grasses. C'est un vrai délice.
< J'ai envie que tu me touches ! > me fait Clémentine. < Moi aussi ! > rajoute Estelle. Je leurs promet de faire au mieux après.
Nous flânons dans les rues pavées du centre. Il y a cet aspect médiéval que l'on retrouve si souvent dans les villes écossaises.
Je propose d'aller à Fraser Gallery, cette galerie d'Art que nous avions visité l'an dernier. Il n'y a pas trop de touristes. 14 h45.

La grande maison de pierre est également une sorte de musée. Les artiste locaux contemporains y exposent. C'est magique.
Dans le hall d'accueil, nous feuilletons quelques brochures. Personne ne fait attention à nous. Il y a de grandes vitrines d'expo.
Je regarde partout. Discrètement je mets ma main sous les jupettes des filles. Clémentine est trempée. J'ai envie de la goûter.
Estelle est à peine humide. Je lui enfonce le doigt. J'essaie d'être très vulgaire. Ce sont leurs préférence. Nous regardons bien.
Je chuchote à l'oreille d'Estelle : < Comment pourrais je t'enfoncer la bite, t'es tellement étroite ! >. Elle dit : < T'inquiète ! >

Nous visitons les différentes salles. A chaque fois que c'est possible, certain qu'il n'y a pas de caméras, je leur tripote les sexes.
Estelle revient à la charge en disant à Clémentine : < Je voudrais baiser avec Julien. S'il te plaît. Juste un peu, un bon coup ! >
Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine lui répond : < Une fois et puis après ce sera tout le temps ! C'est non ! >
Je caresse la tête d'Estelle pour la consoler. Je lui enfonce le doigt en lui disant : < Il faudra te contenter de ça ! >. Vulgaire.
Nous traînons en ville jusqu'en soirée. Il y a tant de choses à voir. Nous avons réservé une table dans un restaurant typique.

Il est 20 h30. Nous sommes attablés devant nos plateaux de fruits de mer. La salle est bondée. Nous mangeons en bavardant.
Estelle pose quelques questions concernant Taylor, l'homme à la moto rencontré au début juillet à Edimbourg. L'exhibitionniste.
< Je suis pressée de faire sa connaissance à ce vicelard ! > fait plusieurs fois Estelle lorsque Clémentine lui raconte en détails.
< Il a un copain Japonais qui tient un petit Fast Food. Il me l'a présenté juste une fois. Un beau gosse ! > explique Clémentine.
< Tu crois qu'on va s'éclater ? Sucer de la bite ? > fait Estelle avec son air faussement ingénue et en me faisant un clin d'œil.

Nous traînons à table. Il est 22 h lorsque nous flânons encore un peu dans les rues animées du centre. Ville étudiante. Jeune.
Je me fais tripoter la queue sans arrêt. Chaque fois que c'est possible, je tripote les deux chattes. Nous sommes hyper excités.
Nous rentrons. Dans la voiture, Clémentine se touche. Estelle, son bras entre les sièges me masturbe. Je roule doucement. Joie.
Nous arrivons à l'appartement. Les filles n'ont pas remis leurs culottes. Je les fais tomber sur le lit. Je les broute à tour de rôle.
Estelle connaît un orgasme rapide. Clémentine sait faire durer. Estelle me taille une pipe. Nous nous endormons ainsi. Super.

Bonnes découvertes d'endroits typiques et qui permettent à toutes les coquines de se faire enfoncer des doigts…

Julien - (Qui risque de se tordre le poignet en tournant son doigt dans les deux chattes accueillantes et attractives) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 38 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 520 -



Le séjour à St Andrews est des plus agréables

Hier matin, samedi, je suis réveillé par un lent mouvement contre ma cuisse gauche. Il y a cette chaleur intense. L'humidité.
Je prends rapidement conscience de ce qui se passe. Le sexe de Clémentine agit quelquefois comme une ventouse. Superbe.
Nul doute, elle se masturbe le plus discrètement possible pour ne pas réveiller Estelle. Je la serre tendrement tout contre moi.
Je lui chuchote : < Bonjour ma belle masturbatrice ! >. Elle murmure : < J'ai fait un rêve érotique ! >. Je la félicite et en riant.
Estelle s'étire en gémissant. Je chuchote à l'oreille de Clémentine : < Réveille moi comme ça tous les matins ! >. Des bisous.

Estelle se lève la première pour se précipiter aux toilettes. Clémentine me chevauche en riant. Douceur, tendresse, papouilles.
Estelle revient. Clémentine m'entraîne par la main. Pendant qu'elle me tient la bite pour en diriger le jet, je montre ma cuisse.
La peau est trempée de jus de fille bien luisant. Je dis : < Ah ! Et si je pouvais me lécher la cuisse ! >. Nous rions de bon cœur.
Accroupi, je me régale de ses mélanges. Mon premier frisson de la journée. Nous rejoignons Estelle qui prépare le jus d'orange.
Clémentine s'occupe du café. Je fais griller les tranches de pain. Dehors, le ciel est gris, sombre, menaçant. Il fait doux. Super.

Il est 7 h15. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit. Bavardage.
Nous élaborons un vague programme pour la journée. Clémentine feuillette les brochures touristiques. Ce sera selon la météo.
La vaisselle. Nous sommes en tenues de jogging. Nous descendons. Il y a une légère brise du large. Nous courons d'un bon pas.
C'est Estelle qui impulse le rythme soutenu. Nous sommes de retour pour 9 h30. Il y a ma tante dans le jardin. Avec une dame.
Nous apprenons que nous sommes invité demain, dimanche. Il y aura le couple de collectionneurs. J'ai leur toile de commande.

Nous prenons notre douche les premiers pendant qu'Estelle prépare les sandwichs. Nous nous habillons légèrement. Il fait bon.
C'est au tour d'Estelle qui file à la douche. Nous allumons l'ordinateur. Aucun message. Je prépare notre petit sac à dos. Fruits.
Estelle revient. Les filles sont vêtues de leurs jupettes sport, T-shirt et baskets. Je suis en short, chemisette, baskets. Bien.
Je fais remarquer à Estelle que je ne l'ai jamais vu porter une jupette tous les jours. Aurait elle enfin abandonné les shorts ?
Nous rigolons comme des bossus quand elle lève sa jupette pour me montrer sa culotte en disant : < Mais je garde culotte ! >

Il est 10 h30. Le ciel s'éclaircit doucement. Nous descendons. Je roule doucement sur la petite route qui serpente jusqu'à la mer.
Nous contournons St Andrews que nous laissons sur notre gauche. Clémentine joue avec ma queue. Estelle me tient par le cou.
Nous arrivons à St Andrews Castle. Ce sont les ruines d'un château situé sur un bas promontoire rocheux qui surplombe la plage.
C'est le Littoral Royal Burgh et la plage de Castle Sand. Il y a des baigneurs. Je gare la voiture sur le parking. Et voilà le soleil.
Nous descendons le chemin escarpé en nous tenant la main. Estelle à ma gauche, Clémentine à ma droite. Il faut être prudent.

Le sable blanc scintille sous le soleil. Nous retirons nos baskets pour marcher dans l'eau étrangement tiède. Agréable sensation.
Il y a des familles. Des châteaux de sables, des serviettes au sol et même quelques parasols colorés. Cris strident des mouettes.
Nous marchons dans l'eau. Les marées de la mer du Nord sont à peine perceptibles. Sur notre gauche les hautes falaises. Beau.
Nous voyons les murs du château juste au dessus de nos têtes. C'est impressionnant. J'ai ma braguette discrètement ouverte.
Estelle y fourre souvent sa main. Je passe ma main sous sa jupe pour lui caresser le coton de sa culotte. Clémentine n'en a pas.

L'air vivifiant du large, le vol des oiseaux de mer et l'arrivée d'un soleil radieux participent d'un moment exceptionnel. Sublime.
Nous tenons nos baskets à la main. Nous n'avons chacun qu'une main de libre. Une main que nous utilisons à nous "explorer".
Nous voilà assis sur un banc de rochers qui part des falaises pour aller mourir sous les flots bleus de la mer. Nous bavardons.
Estelle doit faire pipi. < Chaque fois que j'ai les pieds dans l'eau ! > nous dit elle. L'endroit permet de pisser discrètement. Bien.
Accroupie entre deux rochers, sur le sable fin, la culotte aux genoux, Estelle fait son pissou tout en faisant des gestes obscènes.

Elle se torche, se redresse pour faire le tour de l'amas rocheux. < Il y a des moules ! > fait elle. Je dis : < Oui, on a bien vu ! >
Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine rajoute : < Une moule poilue et mouillée ! >. Estelle hausse les épaules.
Clémentine se serre contre moi. Je la tiens par l'épaule. Nous regardons Estelle, là-bas, qui explore l'amas rocheux. Douceurs.
< Occupes toi d'elle. Je veux te voir être le dernier des salopards avec elle ! > me chuchote Clémentine. Je comprends bien.
Clémentine adore me voir me comporter en vicelard avec Estelle. Elle aime se masturber en m'observant. Un fantasme préféré.

Il est 12 h30. Là-bas, Estelle nous montre des étoiles de mer géantes qu'elle ramasse au sol. Et nous lui faisons des coucous.
La faim commence à se faire sentir. Pour éviter d'être incommodé par le sable, je propose d'aller manger en haut des falaises.
Nous remettons nos baskets pour monter l'étroit sentier escarpé. Nous sommes seuls. Nous croisons peu de monde en ce lieu.
Certain de n'être vu que par Clémentine et Estelle, je sors ma bite que j'agite en leur direction. Elles applaudissent en rigolant.
< Le dessert ! > s'écrie Estelle en s'accroupissant au détour du sentier. Nous rions de bon cœur. Nous arrivons en haut. Roche.

Il y a du monde. Il faut remballer ma queue. Nous avisons une aire aménagée. Des bancs, des tables. Et certaines sont libres.
Nous voilà installés. Clémentine en face de moi, Estelle à ma droite. Nous savourons nos pommes puis nos sandwichs. Délices.
Estelle me tripote la braguette sous la table. Je sors discrètement ma queue. Nous racontons à Clémentine ce que nous faisons.
< Deux vicieux qui font des trucs vicieux ! > fait Clémentine. Estelle lui répond : < Sous les yeux d'une vicieuse ! >. Rigolade.
< Mâtez un peu ! > lance Clémentine en nous montrant deux couples d'Asiatiques. < Pas un jour sans ! Super ! > fait Estelle.

De ma main droite, je n'arrête pas de lui palper le sexe au travers du coton de sa culotte. Estelle me tord la bite. Fermement.
Elle adore me la contraindre vers le bas lorsque je bande. Clémentine se baisse parfois pour regarder sous la table. Clin d'œil.
Nous traînons à table. Nous sommes à l'ombre d'un cabanon sur lequel un grand plan représente la région et les randonnées.
Nous évaluons les durées et les distances. La perspective d'une randonnée est toujours pour nous une grande source de joie.
Nous décidons de prendre le circuit moyen. D'une durée de 2 h30, ce sentier nous mène du littoral aux collines avoisinantes.

Je saisi Estelle par ses cheveux. Je la force à se lever. Cela n'échappe pas au couple de touristes séniors, assis à l'autre table.
Je l'entraîne fermement vers l'arrière du cabanon. Il y a une barrière. Je la soulève pour l'assoir dessus. Je ma maintiens bien.
Entre ses jambes écartées, je me positionne. Je bande comme le dernier des salauds. Estelle le sent bien et se serre fortement.
Je l'embrasse. Surprise par tant d'égards, je l'entends glousser de plaisir en fouillant ma bouche de sa langue avide. Bonheur.
Je regarde dans toutes les directions. Personne. Estelle se met à bouger son bassin pour frotter son sexe contre le mien. Plaisir.

Je lui saisi la nuque de la main gauche tout en maintenant son équilibre de la main droite. Estelle a ses bras autour de mon cou.
Je lui caresse la tête, les cheveux. Nous avons rarement de tels élans de tendresse entre nous. C'est plus souvent sexuel. Vices.
Estelle m'embrasse. Nous avons les mentons trempés de salive. J'ouvre les yeux pour voir Clémentine, là, au coin du cabanon.
Elle lève son pouce et me fait un clin d'œil. Elle se touche rapidement en me souriant. Estelle se masturbe carrément contre moi.
Je bande comme un priapique en phase terminale. Nous mimons l'acte d'amour avec le consentement de Clémentine. C'est rare.

Je soulève Estelle qui reste blottie contre moi, ses jambes serrant ma taille, ses bras autour de mon cou. Je bouche mon bassin.
Il s'en faudrait de peu que je me retrouve avec mon sexe dans le sien. Sa culotte et mon short. Il y a une famille. Il faut cesser.
Je redépose Estelle au sol. Elle reprend ses esprits. Elle vient de vivre un moment passionnant. Clémentine vient nous rejoindre.
Discrètement, je passe ma main sous la jupette d'Estelle en disant : < Tu retires ta culotte s'il te plaît, tu la mets dans le sac ! >
Elle regarde partout autour d'elle. Très vite, d'un mouvement rapide, elle retire sa culotte pour la mettre dans le sac que je porte.

Nous entrons dans les ruines du château. Tout y est d'une propreté remarquable. Soigneusement entretenu. Pelouse moquette.
Il y a quantité de visiteurs dont les couples d'Asiatiques de tout à l'heure. Clémentine mime un pipe, disant : < Miam, miam ! >
Estelle rajoute : < Toi aussi t'en boufferais bien, hein ! >. Clémentine lui fait : < On va s'organiser un festin, un de ces jours ! >
A chaque fois que c'est possible, je palpe le sexe d'Estelle. Je lui enfonce le doigt. Et pour une fois que c'est légèrement humide.
Estelle se blottie souvent contre moi. Elle m'embrasse avec fougue. Curieusement, Clémentine ne s'interpose pas. Elle regarde.

Nous entrons dans une sorte de cave voûtée. Probablement un ancien cellier. Nous y sommes seuls. Je sors ma bite. Téméraire.
Je me branle devant les deux filles qui m'observent à la fois étonnées et amusées. < T'es fou ! > me fait Estelle en s'approchant.
Elle me l'attrape. Clémentine me fait un sourire en levant son pouce. Je me détourne juste à temps. Un couple de touristes. Ouf.
Je remballe. Il faut cesser de prendre des risques inutiles. Même si cela nous excite considérablement. Nous quittons les ruines.
Nous prenons la direction du sentier de randonnée. Il y a du monde. Clémentine se touche souvent, d'un geste précis et rapide.

< J'ai envie de me branler avec vos saloperies ! > nous fait elle. Estelle lui dit : < On va se trouver un coin ! J'ai envie aussi ! >
Nous avons beau chercher l'endroit idéal il ne se présente pas. Et puis nous croisons tout le temps des promeneurs. Frustrant.
Il faut se faire une raison. Nous sommes passés maîtres dans l'art consommé de nous restreindre, de nous contrôler. Superbe.
C'est tellement excitant de rester avec les sens enflammés. C'est un plaisir que nous savons apprécier et à sa très juste valeur.
Il est 17 h30 lorsque nous terminons la boucle qui nous ramène à la voiture. Nous roulons doucement en direction du port. Joie.

Clémentine me masturbe doucement. Estelle assise à l'arrière me tient par le cou. Je masturbe le sexe à Clémentine. Trempée.
Je gare la voiture dans la ruelle parallèle aux quais. Nous nous offrons des cônes glacés que nous savourons en flânant. Super.
Il y a de l'animation. Je propose de réserver une table dans un restaurant pour la soirée. La suggestion appréciée et applaudie.
Il y a les pêcheurs qui reviennent de mer. Ils proposent de magnifiques crustacés vivants à la vente. Les touristes choisissent.
Les corbeilles sont grouillantes de crabes, de homards, de langoustes et d'araignées de mer. Nous adorons regarder les ventes.

< Je peux baiser avec Julien, s'il te plaît, je te promets de ne pas abuser ! > lance Estelle à Clémentine qui reste sans répondre.
Cette question saugrenue, ici, en cet instant, est si surprenante que nous nous regardons tous les trois en éclatant de rire. Joie.
< Décidément, c'est une idée fixe. Je te rappelle tout de même que Julien c'est mon mec ! > fait Clémentine, serrée contre moi.
< Tu regardes et tu te branles. Tu te masturbes comme tu fais d'habitude quand je lui fais des pipes ! > rajoute encore Estelle.
Clémentine me fixe d'une étrange manière. Elle ne répond pas et change de conversation en nous entraînant aux attroupements.

Estelle me tient par la taille, et continuellement serrée contre moi. Clémentine commence à s'interposer à de multiples reprises.
Je prends Clémentine contre moi. Je la serre fort. Je lui dis : < Ne t'inquiète pour rien. Je t'aime comme un fou. Rien que toi ! >
Rassurée, Clémentine me chuchote : < J'ai besoin que tu me le dise. Et je n'ai pas d'inquiétude. Tu voudrais baiser avec elle ? >
Je suis franc, direct, toujours "cash". Je réponds : < Oui ! Mais si tu es là, avec nous ! >. Clémentine m'embrasse avec passion.
Estelle se rapproche et nous demande : < Qu'est-ce que vous complotez tous les deux ? >. Nous rions de bon cœur. < Rien ! >

Il est 20 h30. Nous voilà attablés devant de gigantesques plats de fruits de mer. Crustacés grillés, fumés accompagnés d'algues.
Dans le fil de la conversation, je demande à Estelle : < Dis moi la vérité. Tu as déjà baisé ? >. Estelle ne répond pas. Le silence.
< Tu es une salope ! Depuis le début tu te fais passer pour une pucelle ! Menteuse ! > lui fait Clémentine. Estelle éclate de rire.
La salle est pleine de gens. Tout cela est évidemment discret. Estelle garde les yeux baissés et refuse de répondre aux questions.
< T'as baisé avec Gauvain ? > insiste Clémentine. < Non ! Il est circoncis et je déteste ça ! > lance soudain Estelle. Elle rigole…

Nous traînons à table. Les coupes glacées sont un délice supplémentaire. Nous évoquons nos vacances. Les plus belles d'Estelle.
< Les autres années je me faisais chier dans le Var. C'est la première fois que je bouge. Enfin de vraies vacances ! > dit Estelle.
Nous flânons un peu sur les quais. La soirée est un peu plus fraîche. La fin du mois d'août se rapproche. Inéluctable. Insensible.
Je saisi Estelle. Elle est étonnée. Je l'entraîne derrière une camionnette et un muret. On entend le clapotis de l'eau en contrebas.
Clémentine reste à l'écart et nous observe. Je sors ma bite. Je force Estelle à s'accroupir. Clémentine met sa main sous sa jupe.

Je retire le petit sac à dos que je pose au sol. Estelle s'y met à genoux. Je lui frotte mon sexe sur le visage. Elle veut le gober.
Je l'en empêche, la tenant par ses cheveux. Je l'entends glousser. Ravissement. Mes initiatives l'enchantent comme Clémentine.
Je la laisse enfin la prendre en bouche. Elle me tient par les hanches. Clémentine passe derrière elle pour se pencher. Pour voir.
< Je veux te voir te faire baiser comme une salope ! > lui fait Clémentine. Estelle ne peur réprimer sa joie en gémissant si fort.
Clémentine tient Estelle par l'arrière de la tête. Elle imprime un mouvement de va et vient. Elle m'embrasse tout en continuant.

Soudain Clémentine cesse pour tirer sur la tignasse à Estelle, lui retirant ma bite de la bouche. Il y a des bruits de voix. Anglais.
J'éjacule. Je me vide les couilles sur le visage d'Estelle. Mon sperme est gluant, épais et collant. Et il ne coule pratiquement pas.
Clémentine force Estelle à se redresser. Estelle veut s'essuyer le visage. Clémentine l'en empêche. Je comprends. Estelle aussi.
Nous marchons le long du quai. Dans le crépuscule écossais, qui reste clair, le visage d'Estelle maculé de foutre. Il y en a plein.
Il y a des couples qui nous croisent. Ils n'en reviennent pas. Notre trio surréaliste. Je suis terriblement gêné. Estelle également.

Il y a un homme seul qui range des grands paniers sur la remorque d'un tracteur. Clémentine y entraîne Estelle qui résiste fort.
< Dis bonsoir au monsieur ! > fait Clémentine en tenant Estelle par ses cheveux et sous le menton. Je lui tiens les mains. Fort.
Le type regarde comme halluciné. Il se met à bavarder. Mon foutre colle sur le visage d'Estelle qui tente de se dégager. Difficile.
Nous la maintenons ainsi devant cet inconnu qui ne sait pour quelle attitude opter. Nous ne faisons pas durer. Nous repartons.
< Vous êtes salauds avec moi ! J'ai envie de me cacher de honte ! > nous fait Estelle. Nous en rions de bon cœur. La voiture.

Je roule doucement. Estelle s'essuie consciencieusement le visage en récupérant le sperme avec son doigt. Et elle se le goinfre.
Je la regarde déguster ses doigts dans le rétroviseur. Je dis : < Toi, le jour où je te baise, tu vas en prendre pour ton grade ! >
< Mais pas ce soir ! > réplique Clémentine avant de se pencher pour me sucer. Je bande mou et j'ai de la jute qui en dégouline.
Il est 23 h15 lorsque nous arrivons à l'appartement. Nous sommes épuisés. Estelle est la première couchée. Nous voilà au WC.
Clémentine se régale du mélange de mes épanchements. Je lui éjacule dans la bouche après y avoir pissé. Et Estelle dort déjà.

Bonne virée au bord de la mer à toutes les coquines qui sont excitées à la simple idée de se faire baiser un de ces jours…

Julien - (Qui va d'enchantements en émerveillements tout au long de ce séjour écossais. Les couilles pleines de jute) -

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Un dimanche à St Andrews, saint patron de l'Ecosse

Hier matin, dimanche, je me réveille en premier. Je reste sans bouger. J'observe Clémentine et Estelle qui dorment encore.
Comme elles sont belles toutes les deux dans cet abandon total. Je sais déjà que cet instant privilégié sera de courte durée.
Clémentine, avertie par son infaillible sixième sens ne tarde pas à ouvrir l'œil. Elle me fait un sourire avant de se blottir fort.
Nous nous chuchotons des douceurs tout en nous faisant des papouilles. Il est 7 h30. Dehors il fait gris et sombre. Menace.
Nous faisons le moins de mouvements possible afin de ne pas réveiller Estelle. Nous nous levons. L'impérieux besoin naturel.

Nous voilà à la cuisine. Je presse nos oranges pendant que Clémentine s'occupe du café. Estelle qui se réveille en gémissant.
Nous l'entendons se précipiter aux toilettes avant de nous rejoindre pour me sauter au cou, me faire quantité de bisous. Joie.
Clémentine s'interpose. Nous rions de bon cœur. Estelle prépare la table pendant que je récupère les tranches de pain grillé.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le dimanche, pas d'entraînement. Pas de jogging. Et nous traînons à table.
Le temps est maussade. C'est le premier jour depuis le début juillet qu'une journée se montre aussi menaçante. Pas de pluie.

Assise sur mes genoux, en terminant son yaourt au miel, Clémentine évoque nos vacances qu'elle décrit comme excellentes.
< Moi, ce sont les meilleures vacances de toute ma vie. Merci Julien ! > dit Estelle en se levant pour me faire une nouvelle bise.
C'est leur troisième séjour en Ecosse à toutes les deux. Cette année nous en avons vraiment fait le tour dans ses grands axes.
< Je préfère la côte Est. De me rapprocher d'Edimbourg, c'est comme de me rapprocher de la maison ! > dit encore Clémentine.
< J'ai la même impression ! > rajoute Estelle qui a écrit, envoyé des cartes postales à sa mamie, sa famille, tous les trois jours.

La vaisselle. Estelle plonge, nous essuyons. Nous rions de bon cœur avec notre comportement qui reproduit celui de la maison.
Nous rangeons. Je fais une machine avec notre linge sale. Clémentine et Estelle portent leurs jupettes sport, T-shirt et baskets.
Je suis en short, chemisette et baskets. Nous descendons pour aller marcher un peu au dehors. le ciel est couvert et il fait doux.
L'obscurité, au-dessus de la mer, semble venir vers ici. Nous marchons sur le chemin qui contourne le grand étang. Eaux noires.
Estelle, à ma droite, me tient par la main. Clémentine à gauche, me tient par le bras. Nous conversons. Le programme du jour.

A midi, c'est le repas d'affaire avec ma famille et le couple de collectionneurs. Cet après-midi, visite des ruines de la cathédrale.
Sur la demande de Clémentine, j'ai la braguette ouverte. Elle y fourre souvent la main pour me palper la queue. Je bande mou.
Estelle passe quelquefois sa main dans mon short, soit par la cuisse, soit par le haut pour me choper les couilles qu'elle malaxe.
Je leurs passe la main sous la jupette. Je caresse le coton duveteux de la culotte d'Estelle et la touffe sauvage de Clémentine.
Nous ne croisons personne. Ce comportement est devenu le nôtre. Il s'est insidieusement installé depuis plusieurs mois. Sympa.

Notre merveilleuse complicité trouve dans ces élans de passion, de douceur, de tendresse, une expression devenue nécessaire.
Nous en débattons souvent. Nous marchons jusqu'au terrain de golf. Il y en a plusieurs à St Andrews. C'est la capitale du golf.
Il y a du monde qui parcourt le green. Principalement des séniors. Nous contournons l'accueil et la buvette pour nous assoir.
Il y a des bancs. Estelle nous montre la magnifique Rolls Royce métallisée qui est garée entre une Jaguar et une grosse BMW.
On croise un grand nombre de Rolls Royce en Ecosse. Souvent d'anciennes voitures des années soixante. Là, une Phantom V.

Celle-ci doit bien mesurer 6 mètres de long sur 2 mètres de large. < Une vraie camionnette ! > fait Estelle qui se lève pour voir.
Clémentine pose sa tête sur mon épaule et me murmure : < Je t'aime Julien ! Je suis tellement bien ici, avec toi. Et partout ! >
Je lui caresse les cheveux. Là-bas, Estelle prend des photos de la Rolls. Il y a un sénior, en costume de golfeur qui se rapproche.
Il engage la conversation avec la jeune fille. Il ouvre le coffre de sa voiture, une Mercedes semblable à la mienne. Ils bavardent.
< Regarde ! Il drague, le vieux coquin ! > me fait Clémentine. En effet, nous le voyons entreprendre une manœuvre de charme.

Il invite Estelle à le suivre en lui tendant une canne de golf. Ils vont sur le green. Il se met en position. Le petit chariot à côté.
Il exécute un swing avec toute la virtuosité d'un vieux connaisseur. Certainement un pratiquant de haut niveau. Estelle imite.
Voilà notre bougre qui lui tient le poignet pour guider son mouvement. Estelle se laisse prendre en main. Et c'est du spectacle.
La voilà accroupie devant le petit drapeau à regarder au fond du trou. Le bougre s'accroupit. Lui, ne regarde pas dans le trou.
Evidemment, Estelle, sait très bien ce qu'elle fait. Cuisses écartées, coudes sur les genoux, son menton en appui sur ses mains.

Elle reste ainsi à écouter les explications du golfeur. < Et elle a bien appris ! > me fait Clémentine. Nous en rions de bon cœur.
Je dis : < Avec toi comme professeur et tes cours de qualité, comment pourrait-elle ne pas avoir son Doctorat en exhibition ! >
Le type, là-bas, devient entreprenant. Il glisse sa main dans le trou pour y récupérer la balle. Juste entre les cuisses d'Estelle.
Celle ci ne bouge pas lorsque la main du type, tenant la balle à faible distance de sa culotte, la fait tourner pour bien la montrer.
< Un bon vicelard ! > fait Clémentine. Le spectacle est passionnant. Tout cela se passe à une soixantaine de mètres. Superbe.

Il y a un autre type qui arrive. Il montre le ciel qui devient de plus en plus menaçant. Il engage lui aussi la conversation. Bien.
Voilà Estelle entourée de ces deux élégants sexagénaires aux tempes grisonnantes et aux allures de vieux acteurs d'Hollywood.
Ils doivent l'inviter car l'un d'entre eux lui montre le bâtiment blanc des buvettes. Il y a d'autres joueurs attablés sous l'auvent.
L'autre passe son bras sous celui d'Estelle. Ils insistent. Estelle regarde dans notre direction. Nous sommes derrière le bosquet.
Elle ne voit que nos têtes. Les deux golfeurs ne se sont pas aperçus de notre présence. Estelle décline l'invitation. Ils discutent.

Quelques minutes et Estelle vient nous rejoindre. Nous la félicitons pour son exhibe de qualité. < Et j'ai bien appris ! > fait elle.
Il est temps de prendre le chemin du retour. Nous sommes attendus pour midi et il est déjà 11 h30. Le temps de nous préparer.
Nous voilà de retour. Les premières gouttes de pluie. Nous nous habillons. Robes d'été un peu fripées pour les filles. Vacances.
Pantalon de lin claire et chemise claire un peu fripés pour moi. Nous faisons illusions. Et nous descendons rejoindre ma famille.
Mrs et Mr James sont un couple de septuagénaires qui, chaque été, insistent pour acquérir une de mes œuvres. Collectionneurs.

Ils découvrent donc la nature morte que j'ai réalisé spécialement pour eux. Des objets de cuivres qui brillent dans la pénombre.
Peinte selon les préceptes du XVIIème Hollandais, c'est toile de format 6F, (41 x 33 cm), semble les combler d'aise. Les ravir.
Nous mangeons de bon appétit dans le grand salon. Le tableau posé sur la grande cheminée. Et ils n'ont de yeux que pour lui.
Evidemment, pas de négociation. L'affaire se conclue au prix fort. Il y a la commande pour l'année prochaine. Une nature morte.
J'écoute leurs doléances. Madame et monsieur James ont le souhait d'un tableau avec des ustensiles de cuisine en argenteries.

Nous traînons à table en bavardant. Dehors, il ne pleut pas vraiment. Le ciel reste sombre, lourd et d'un gris de plomb. Sinistre.
Il est 16 h lorsque nous prenons la voiture. La direction de la ville. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite. Douceur.
Je gare l'auto près de l'université. Clémentine et Estelle veulent voir les bâtiments de l'université la plus éloquente du monde.
Ce sont des bâtiments Victoriens de briques rouges. Les parties les plus anciennes sont gothiques. Les filles se mettent à rêver.
Je les écoute envisager de continuer leurs études ici. Nous flânons longuement dans les jardins de l'université ouverts au public.

Il est rapidement 19 h. Je propose de réserver une table. Un restaurant pour ce soir. Tant pis pour les ruines de la cathédrale.
Malgré ce ciel qui est resté menaçant toute la journée, il n'y a que de très rares gouttes de pluie. Puis nous avons nos K-ways.
Nous traînons un peu dans les rues animées de la ville. St Andrews est le saint patron de l'Ecosse. Et il est fêté tous les jours.
C'est une cité universitaire. Une ville jeune et dynamique. Il y a partout des petits groupes de musiciens qui jouent. Le folklore.
Le restaurant dans lequel nous avons réservé, propose une animation musicale en soirée. Un trio de musiciens. Musique Celte.

Les filles portent encore leurs robes d'été. Je félicite Estelle. Je l'ai vu tous les jours en jupette ou en robe. Finis les shorts. Bien.
< Je suis à l'aise avec vous ! Je vais en porter plus souvent ! > me répond t-elle. < Et tu es plus féminine ! > lui fait Clémentine.
Je passe ma main sous sa robe pour lui palper le sexe au travers le coton de sa culotte en disant : < C'est aussi plus pratique ! >
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'Estelle me fait : < Et j'aime le côté pratique des choses ! >. Elle me choppe les couilles.
Lorsque nous avons nos élans et nos gestes "explorateurs", nous sommes toujours d'une grande prudence. Personne ne regarde.

Nous aimons tous les trois une certaine vulgarité. Nous sommes tous les trois très vicieux. Notre complicité est de tout instant.
Nous nous offrons les prolongements physiques de nos penchants cérébraux à chaque fois que l'occasion se présente. Superbe.
Il est 20 h30. Nous voilà attablés dans le restaurant. Sur la scène, il y a deux filles et un garçon. Smoking, robes longues. Bien.
Nous dégustons nos crustacés avec délice. La musique est des plus agréables. Violoncelle, guitare et violon. Le folklore écossais.
C'est une musique riche en couleur. A la fois émouvante, sautillante et pleine d''optimisme. Nous savourons ce grand moment.

Il est 22 h30 lorsque nous flânons un peu dans la fraîcheur du crépuscule. Nous croisons plein de gens. Touristes en goguette.
Nous n'arrêtons pas de nous tripoter. J'ai le doigt enfoncé dans la chatte d'Estelle presque tout le temps. Elle me palpe la bite.
Je l'entraîne par la nuque dans un recoin, derrière une camionnette. Je la force à s'accroupir. Je lui passe la bite sur la gueule.
Clémentine la tient par les oreilles pour assurer son immobilité. Je la lui enfonce dans la bouche. Clémentine surveille partout.
Des voix. Du monde. Je la force à se redresser. Nous croisons un groupe d'Asiatiques. < Les premiers du jour ! > fait Estelle.

Dans la voiture, Estelle, assise au sol, devant, entre les jambes de Clémentine qui lui tient la tête, me suce avec gourmandise.
Nous la laissons quelquefois s'installer ainsi, lorsque son envie de sucer est forte. Notre "petit animal de compagnie" apprécie.
Clémentine lui pousse souvent sur la nuque pour l'obliger à prendre plus de longueur de bite. Parfois elle en tousse. C'est bien.
Il est 23 h30 lorsque nous arrivons à l'appartement. J'emmène directement Estelle aux chiottes. Jeux de pisse et de sperme.
Nous sommes épuisés. J'éjacule assez vite. Clémentine me vide les derniers épanchements. Nous voilà couchés. Crevés. Dodo.

Bonne exhibition sur terrain de golf à toutes les coquines qui aiment montrer leur culotte aux vieux messieurs très stylés…

Julien - (Qui se fait vider les couilles comme le dernier des salauds. La bouche d'Estelle étant une vraie pompe à foutre) -

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Classe - 40 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 522 -



Nous quittons St Andrews pour revenir à Edimbourg

Hier matin, lundi, je suis tiré de mon sommeil par le souffle chaud de Clémentine dans mon cou. J'ouvre les yeux. Le bonheur.
Le visage bienveillant de ma compagne, souriant et rayonnant, m'envahit immédiatement d'un profond sentiment de quiétude.
Je la serre contre moi. Par dessus son épaule, je constate qu'Estelle dort encore. Nous nous chuchotons quantité de douceurs.
Doucement, sans faire de bruit, nous nous levons pour aller aux toilettes. < J'ai mes machins de filles ! > murmure Clémentine.
Je lui dis : < Nous sommes le 20 ! Réglée comme une horloge ! >. Nous rions de bon cœur avant de nous rendre à la cuisine.

Je presse nos oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous entendons Estelle s'étirer en modulant ses gémissements. Amusant.
Elle file aux toilettes avant de nous rejoindre pour se précipiter dans mes bras. Clémentine s'interpose. C'est devenu un rituel.
Il est 7 h30. Dehors le ciel est lumineux mais légèrement voilé. Nous mangeons de bon appétit dans l'odeur de pain grillé. Joie.
Nous faisons un rapide et vague programme de la journée. Nous quittons St Andrews ce matin pour retourner sur Edimbourg.
Nous sommes déjà en tenue de jogging. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous faisons propre. Balaie, éponge et aération.

Nous descendons dans l'agréable douceur matinale. Une légère brise venue de la mer. Nous courons d'un bon rythme. Soutenu.
Il est 9 h30 lorsque nous revenons après plus d'une heure quinze d'un running des plus agréables. Nous prenons notre douche.
Estelle reste devant l'ordinateur puis c'est à son tour. Nous découvrons nos deux courriels. Celui de Juliette qui est bien rentrée.
Celui de mon oncle qui tient ma galerie. Tout est vendu. Il ne reste que les huit toiles déjà acquises et laissées gracieusement.
Mon oncle tient à garder la galerie ouverte jusqu'à la fin du mois d'août. Il ne veut pas s'ennuyer chez lui. Il y a les commandes.

Nous répondons en joignant des photos récentes. Estelle revient de la douche. Nous préparons nos affaires. Un peu de ménage.
Le grand sac à dos d'Estelle, la valise, notre petit sac à dos, tout est dans le coffre de la voiture. Nous allons dire au revoir. Joie.
Nous reverrons ma tante et son mari à Edimbourg au début septembre car un autre repas de famille est déjà prévu. C'est bien.
Je laisse discrètement une enveloppe sur la petite table de l'entrée. Il est 11 h. Après un dernier coucou, nous quittons les lieux.
Je roule doucement pour prendre la direction d'Edimbourg. L'A92. Il y a environ 80 km. La route longe la mer sur notre gauche.

Clémentine joue avec ma bite qu'elle a sorti de mon short. Estelle, assise à l'arrière, passe sa main entre les sièges. Les couilles.
Nous évoquons notre séjour et nos visites dans cette magnifique Ecosse. Nous avons été gâté par notre météo préférée. Super.
Pas de trop grosses chaleurs, pas de canicule. < Déjà 20 jours que je suis là, comme ça passe vite ! > fait Estelle en soupirant.
Clémentine précise : < Il y a encore vingt autres journées qui nous attendent ici ! Et il est prévu de rentrer le 10 septembre ! >
C'est sur ce constat réjouissant que nous arrivons à Kirkcaldy. Ravissante petite ville dont le centre médiéval est fort prisé ici.

Nous n'avons pas d'heure pour rentrer à notre appartement d'Edimbourg. Nous avons la clef. Nous nous arrêtons pour visiter.
Je gare l'auto à l'entrée de la ville. Le port en contrebas. Clémentine et Estelle portent leurs jupettes sport, T-shirt et baskets.
Je suis en short, chemisette et baskets. Et bien sûr, sur la demande de Clémentine, ma braguette reste discrètement ouverte.
Il est 12 h30. La faim se fait ressentir. Clémentine propose un repas sur le pouce pour nous permettre de visiter un maximum.
Ce seront donc des Fish & Chips. Nous descendons déguster nos beignets de crevettes, de crabe et nos frites sur le port. Joie.

L'ambiance des ports écossais reste un grand moment d'intemporalité. Une effervescence de chaque instant. Un grand plaisir.
Il y a des touristes. Le pic de fréquentation baisse inexorablement. Il y a un tourisme de qualité qui fait place à l'exubérance.
Les marins pêcheurs qui reviennent de mer, proposent le fruit de leur pêches à la criée. Et c'est toujours très impressionnant.
De grosses araignées de mer, des crabes souvent géants, des homards, des langoustes. Et tout ça trouve rapidement clients.
Nous dégustons nos Fish & Chips assis sur un muret. Estelle attire notre attention sur le groupe d'Asiatiques. Une vingtaine.

< Ils sont toujours si classe et si élégants ! > nous fait Estelle. < Et toujours si disciplinés et discrets ! > renchérit Clémentine.
< Regarde le gars du milieu. Miam ! > fait Estelle à Clémentine qui lance : < Un dessert potentiel ! >. Nous rions de bon cœur.
Le groupe se scinde en deux. Il y a deux couples et deux garçons. Ils font des signes en montrant le haut de la ville. Le château.
Les autres continuent leur visite du port. Nous irons visiter le château de Ravenscraig tout à l'heure. Ruines attirantes là haut.
Nous flânons à la recherche d'une petite fontaine à eau afin de rincer nos doigts poisseux. Il y en a un peu partout. Métalliques.

Clémentine, lorsqu'elle a ses "petits machins" de fille, porte une culotte. J'aime passer ma main sous les jupettes. Discrètement.
Le contact duveteux du coton me comble d'aise. Les filles adorent. Estelle fourre sa main dans ma braguette très souvent. Joie.
Je bande mou. Parfois, lorsque c'est possible, derrière une pile de paniers en osier, derrière une camionnette, je sors mon Zob.
Je l'agite en direction des deux coquines. Le plus souvent, Estelle, regardant partout autour de nous, s'accroupit. Bisous dessus.
Cela nous amuse beaucoup. < T'es pas chiche ! > fait souvent Clémentine, me saisissant la queue pour l'agiter devant Estelle.

Nous quittons le port. Nos jeux ne sont possibles que dans ces lieux aux multiples opportunités rapides et fugaces. C'est rigolo.
Nous remontons en ville. Le centre historique est pavé. Les maisons à deux étages sont faites de briques rouges et de granit.
Nous nous offrons des cônes glacés que nous dégustons en flânant. Nous entrons dans quelques boutiques, quelques échoppes.
Ce sont principalement les brocantes ou les magasins d'antiquités qui nous attirent. La grande librairie également. Passionnant.
Discrètement, en virtuoses que nous sommes devenus, nous nous palpons furtivement les sexes au travers de nos vêtements.

Il est 15 h lorsque nous prenons la direction des ruines. Le château de Ravenscraig est à un quart d'heure du centre. La balade.
Nous parcourons le sentier qui mène aux ruines. En contre bas, les toits d'ardoises de la ville qui scintillent sous un timide soleil.
Nous croisons quantité de touristes. Il y a du monde. Nous entrons dans l'enceinte. Le gazon évoque une moquette. Magnifique.
Il y a des recoins où je peux passer mes mains sous les jupettes. Et j'enfonce plusieurs fois mon doigt dans la chatte d'Estelle.
Elle se pâme. Parfois elle murmure : < Mmmhhh ! C'est bon comme ça ! > lorsque j'articule mon doigt. Elle apprécie beaucoup.

Au risque de me tordre le poignet pour enfiler mon index sous l'élastique de la culotte, je la pénètre chaque fois que possible.
Dans les murs du château, il y a des endroits où s'assoir. Les rochers ou encore sur de grosses pierres tombées des remparts.
< Mâtez un peu ! > fait soudain Estelle. Là bas, il y a les deux garçons Asiatiques que nous avions vu au port. Super occasion.
Je me lève. Je propose aux filles d'attirer les deux touristes pendant que je monte au dessus pour me planquer. Superbe plan.
Clémentine, accroupie entre deux grosses pierres, offre son show habituel. Cuisses largement écartées. Estelle surveille. Bien.

Les deux garçons, environ 20 ans sans doute, observent les deux filles. Estelle a pris la même position. Personne ne fait gaffe.
Les deux mecs se rapprochent. La drague est universelle. Je suis un peu plus haut, une vingtaine de mètres. Je fais des photos.
Une conversation s'engage. Je vois Clémentine mimer une masturbation masculine tout en restant accroupie. C'est prodigieux.
Estelle mime une pipe, le poing fermé qu'elle fait tourner devant sa bouche. Elle fait une bosse avec sa langue contre sa joue.
Je n'entends rien des propos qui s'échangent. La situation dure un petit moment. A chaque fois que passe un visiteur, ça cesse.

Pas l'ombre d'un doute, les filles proposent une pipe aux deux touristes. Ils regardent dans toutes les directions. Il y a des gens.
Il serait vain de trouver un coin propice à cause des touristes qui fouillent tous les recoins. Mais le jeu en vaut vraiment la peine.
Je bande comme le dernier des salauds. Estelle est carrément à genoux dans l'herbe, mains entre ses cuisses, bouche ouverte.
J'admire le sang froid des deux gaillards. Mais ? Ont ils réellement un autre choix ? Les deux couples viennent dans la direction.
Estelle et Clémentine se redressent pour s'assoir sur les pierres. Les deux garçons rejoignent leurs amis. Un dernier signe. Bien.

Je rejoins les deux coquines qui me racontent la nature des propos échangés. Je n'avais pas rêvé. Proposition de pipes. Sympa.
< J'aurais bien taillé une pipe à chacun ! > fait Estelle. < On se serait fait passer leurs bites ! Tournante ! > rajoute Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus en redescendant à la voiture. Il est 17 h30 lorsque nous reprenons la route. Circulation fluide.
Les filles n'arrêtent pas de faire des plans sur la comète. Elles évoquent leurs désirs de se "partouzer" deux Asiatiques mignons.
< Ces deux là auraient été des menus parfaits ! > fait Estelle. < Je les préfère plus vieux, et bien mûrs ! > rajoute Clémentine.

Il est 19 h lorsque nous arrivons à l'appartement. La grande maison Victorienne semble déserte. La propriété paraît silencieuse.
Ma famille est certainement de sortie. Nous retrouvons l'endroit avec joie. < De retour à la maison ! Superbe ! > s'écrie Estelle.
Nous avons tous les trois le sentiment de revenir chez nous. < On ne bouge plus jusqu'au 10 septembre ! > rajoute Clémentine.
Il est rapidement décidé de nous offrir des virées dans les environs d'Edimbourg et de rayonner qu'à partir d'ici. Excellente idée.
Nous déballons nos affaires. Nous sommes morts de faim. Nous reprenons la voiture pour descendre en ville. Par Morningside.

Je gare la voiture à dix minutes du centre. Princess street et ses nombreux restaurants. Royal Mile et ses spécialités culinaires.
Nous voilà attablés dans notre restaurant favori. Le personnel y est vêtus de costumes folkloriques écossais. Les repas exquis.
La fatigue commence à nous gagner. Il est 22 h. nous flânons dans les rues. Il y a des groupes de musiciens un peu partout.
L'Ecosse est festive. Edimbourg l'est tout particulièrement. Ville jeune et dynamique, étudiante et entreprenante, c'est superbe.
Il est 23 h30 lorsque nous rentrons pour nous effondrer dans le lit. Estelle s'endort la première. Clémentine veut sucer un peu.

Bonnes petites exhibes discrètes à toutes les coquines qui aiment "allumer" de beaux Asiatiques dans les ruines de châteaux…

Julien - (Qui va se décarcasser pour trouver un plan "Asiatique", et en Ecosse, à Clémentine et à Estelle. Bouffer des Nems)-

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Nous reprenons nos petites habitudes à Edimbourg

Hier matin, mardi, je me réveille en premier. Et c'est ce moment privilégié où je peux admirer le sommeil des deux coquines.
Clémentine dort sur le dos, la bouche légèrement entrouverte. Estelle dort sur le côté avec une jambe relevée hors les draps.
C'est un instant bénit des Dieux et qui ne dure jamais très longtemps. Avertie par son sixième sens, Clémentine se réveille.
Toujours ce mouvement spontané de se blottir contre moi en me chuchotant des choses incompréhensibles. C'est merveilleux.
Je la serre contre moi. Nous nous murmurons des douceurs. En faisant le moins de bruit possible, nous allons aux toilettes.

J'adore tirer sur la petite ficelle blanche qui pend de l'épaisse toison pubienne. < Arrête ! > me tance Clémentine. J'en profite.
Nous rions de bon cœur de mes espiègleries avant d'aller à la cuisine. Dans la partie congélateur du frigo, il reste du Roquefort.
Nous faisons un rapide inventaire de tout ce qui reste. De tout ce que nous avons laissé là au début août. De quoi tenir. Super.
Je presse nos oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous entendons Estelle s'étirer en modulant ses gémissements. Amusant.
Elle se précipite aux toilettes. Nous l'entendons chanter à la salle de bain. Tous ces bruits sont un peu devenus notre quotidien.

Il fait beau. Il fait doux. D'être tous les trois est devenu un réel besoin. Estelle me saute au cou. Clémentine s'interpose. Rires.
Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit. Le programme du jour.
Il faut aller faire les courses. Du pain, des fruits, des barres de céréales, du poisson fumé et quelques légumes. Nous élaborons.
La vaisselle. Il est 7 h45 lorsque nous descendons l'escalier de service pour nous retrouver au dehors en tenues de jogging. Joie.
C'est Estelle qui impulse un rythme soutenu. C'est notre circuit habituel. Et depuis la colline, la vue merveilleuse sur Edimbourg.

Nous croisons quantité de joggeurs. Certains que nous reconnaissons. Nous nous saluons d'un sourire. Ou d'un signe de tête.
Il fait doux. La journée s'annonce des plus agréables. Il est 9 h15 lorsque nous revenons. Nous saluons mon oncle au jardin.
Sa femme vient nous rejoindre. Nous bavardons. Nous leur racontons notre périple. L'ile de Skye, les iles Orcades et Aberdeen.
Clémentine et moi prenons notre douche en premier. Estelle est à l'ordinateur. Nous nous habillons pour la rejoindre. Superbe.
C'est à son tour. Pendant ce temps nous découvrons nos deux courriels. Celui de Lennie la jeune Hollandaise. Celui de Juliette.

Nous répondons en joignant deux photos prises hier dans les ruines du château. Nous entendons Estelle chantonner. Bonheur.
Clémentine, lorsqu'elle a ses "petits machins" de fille porte un soutien gorge. Elle déteste ça. Ses tous petits seins enflent alors.
En plus, elle se plaint souvent. C'est parfois douloureux après le jogging. < Encore demain ! > me fait elle, résignée. La fatalité.
Clémentine porte sa robe d'été et ses sandalettes à légers talons. Estelle s'habille de la même façon. Et c'est extrêmement rare.
Je suis en short, chemisette et sandales. Nous faisons tous les trois les clowns devant le grand miroir de l'armoire. Il est 10 h15.

Nous descendons Morningside. Quinze minutes de marche jusqu'au carrefour de Christ Church. Estelle qui découvre le quartier.
Il y a toujours au moins deux cars de touristes garés à proximité de l'église gothique. < Mâtez ! > nous fait Estelle en rigolant.
Il y a un groupe d'Asiatiques. < Et tout un bataillon ! On peut y faire notre marché ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur.
Nous prenons à gauche, la rue commerçante. Estelle découvre le supermarché. Il y a du monde. Estelle me tripote. Profiteuse.
Avec sa virtuosité coutumière, Estelle me palpe la braguette. C'est simple lorsque nous sommes au milieu d'un attroupement.

< Demain, tu me présentes à Taylor, l'homme à la moto ? Je voudrais rencontrer du vicelard ! > demande Estelle à Clémentine.
Nous mettons au point la stratégie. Toujours appeler d'une cabine. Les Anglais sont moins cons, ils n'ont pas supprimé les leurs.
Ainsi, avec quelques shillings, il est possible d'appeler n'importe qui et tout en préservant l'anonymat de son numéro personnel.
Nous faisons provisions de fruits, de légumes et de saumon fumé. Nos sacs sont si lourds. Nous nous arrêtons à la boulangerie.
Il y a un garage au bout de la rue. C'est également un magasin de cycles. Nous y entrons en posant nos sacs. Ouf. C'est lourd.

Je demande au monsieur s'il est possible de louer un vélo pour deux semaines. Il m'invite à la suivre dans le fond du magasin.
< Je ne fais pas de location. Il reste ici des vélos que les clients abandonnent parfois. Vous me laissez une caution ! > me dit il.
C'est un VTC, vélo tous chemin, presque neuf. Je laisse 50 £ de caution que je récupère en le ramenant. C'est un bon deal. Joie.
J'accroche les sacs au guidon. Clémentine tient un autre en équilibre sur le porte bagage, Estelle tient le pain. Nous remontons.
Nous voilà nantis d'un troisième vélo pour pouvoir partir en randonnée et nous balader à Edimbourg en bicyclette. C'est mieux.

Il est presque midi lorsque nous arrivons à l'appartement. Estelle insiste pour s'occuper du repas toute seule. C'est son plaisir.
< Tu m'offres les plus belles vacances de ma vie, je ne paie rien. Laisse moi participer de cette façon ! > me fait elle. Insistant.
Je comprends. Nous rangeons nos courses. Nous quittons la cuisine pour y laisser Estelle qui nous dit : < Surprise, surprise ! >
J'entraîne Clémentine dans la chambre. Je la fais basculer sur le lit. Je lui retire sa culotte avant même qu'elle ne dise un mot.
Même lorsqu'elle a ses "petits machins", ça n'empêche pas de solliciter son clitoris géant. Un vrai cadeau d'avoir un truc pareil.

A genoux devant le lit, le visage entre les cuisses de Clémentine, je décalotte son bouton du bout des lèvres. Elle résiste un peu.
Comme pour me guider, pour retenir encore un peu nos excitations grandissantes, elle me tient par les oreilles. J'adore tout ça.
Je lèche doucement avant de me mettre à sucer goulument. Clémentine me repousse pour contrôler le plaisir qui monte. Super.
Parfois, pour la faire prendre ses esprits plus vite, je donne un à coup sur la petite ficelle blanche qui pend sur la raie des fesses.
Cela nous amuse et permet à la fille de mieux contrôler son plaisir. Nous entendons Estelle chanter à la cuisine. C'est divin. Joie.

Estelle vient nous rejoindre. < Tu bouffes déjà ? > fait elle en se penchant pour me regarder brouter la chatte de Clémentine.
Elle me fait des bises sur le front en rajoutant : < Tu n'auras plus faim ! >. Je me redresse. Estelle se serre contre moi et fort.
Clémentine se lève pour s'interposer en se réajustant. < Voilà ma robe un peu fripée ! > fait elle. Nous filons à la cuisine. Faim.
Estelle a préparé des filets de saumon à la crème accompagnés de nouilles Chinoises toutes fines qu'elle a fait rissoler un peu.
Avec une salade de tomates, c'est un véritable festin. Surtout lorsqu'on a qu'à se mettre à table. Nous la félicitons. Un délice !

Nous traînons à table en bavardant. < C'est bien aussi d'être à la maison ! > fait Clémentine. < Vraies vacances ! > dit Estelle.
Clémentine et moi faisons la vaisselle pendant qu'Estelle prépare notre petit sac à dos. Nous nous changeons. Tenues de vélo.
Clémentine et Estelle portent une de leurs jupettes sport, T-shirt et baskets. Je suis en short, T-shirt et baskets. C'est parfait.
Nous descendons Morningside avec prudence, les mains sur les freins jusqu'à Leith. Une circulation fluide. Beaucoup de vélos.
Nous traversons le bourg pour prendre la piste cyclable Water of Leith Walkway. Il y a 25 km jusqu'à South Queensferry. Joie.

Estelle découvre tout cela avec enchantement. Nous croisons quantité de cyclistes. L'Ecosse est aussi le pays de la bicyclette.
Quel plus agréable moyen de déplacement pour pouvoir admirer et découvrir les paysages en toute sécurité avec convivialité ?
Nous suivons le cour de la rivière Leith dont les eaux étincellent sous le soleil. Il fait une grande douceur. C'est si magnifique.
Là-bas, se profile la silhouette de Arthur's Seat, le volcan éteint. Nous nous arrêtons à la galerie d'Art moderne. Cela s'impose.
Il y a une salle consacrée aux expositions temporaires. Des artistes locaux y présentent leurs œuvres. Vélos fermés à cadenas.

La visite est un prétexte pour se toucher discrètement. Nous palper les sexes au travers le tissus de nos vêtements. Superbe.
Estelle ne s'en prive pas. < Regardez ! Nos amis ! > fait Clémentine en nous montrant un groupe d'Asiatiques sur le parking.
En effet, de l'autre côté du grand bâtiment, il y a la route. C'est un groupe d'une vingtaine. Sans doute des Japonais. Elégants.
Il serait vain de tenter quoi que ce soit. Le groupe reste compact et il y a d'autres visiteurs. Nous passons là un bon moment.
Nous reprenons notre route. Nous arrivons à South Queensferry vers 17 h. Il fait bon rouler dans le village à bicyclette. Bien.

Nous fermons nos vélos à cadenas sur le port. Nous nous offrons de bons cônes glacés. Nous flânons en appréciant l'animation.
Nous avançons vers la fin du mois d'août. Il y a un tourisme de qualité qui vient remplacer l'exubérance des semaines passées.
Clémentine se plaint de son soutien gorge qui gêne ses mouvements. Nous rions de bon cœur de ses contorsions pour l'ajuster.
Je propose de nous réserver une table dans le restaurant sur le port où nous avons nos habitudes. Les filles préfèrent rentrer.
< Il n'y a qu'à réchauffer les restes de midi. Je m'en occupe ! > fait Estelle. Nos vélos sont équipés. Et nous avons nos K-ways.

Nous ne sommes pas les seuls à rentrer à la nuit tombante. Nous nous faisons dépasser ou nous dépassons d'autres cyclistes.
Il est 22 h lorsque nous revenons à l'appartement. Fourbus mais heureux. Nous récidivons demain pour monter sur le volcan.
Estelle prépare la bouffe. Clémentine m'entraîne sur le lit. Elle sort ma bite pour l'inspecter et la renifler longuement. Attentive.
< Mmmhhh ! J'aime quand ça sent fort ! > me fait elle avant de se mettre à sucer avec sa douceur enivrante. Indicible caresse.
Estelle arrive : < C'est prêt les vicieux ! > nous fait elle en s'asseyant à ma droite pour saisir mes couilles. Clémentine se lève.

Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Estelle m'entraîne en me tenant par la bite comme par une laisse. En tordant.
Les nouilles Chinoises rissolées, accompagnées d'une omelette aux crevettes grillées est le nec plus ultra après une rando vélo.
Nous traînons à table en faisant notre programme de demain. Estelle veut absolument faire la connaissance de Taylor. Prévision.
Clémentine fera le nécessaire pour la matinée. L'après-midi sera consacré à la visite de Arthur's Seat où nous irons à bicyclette.
Il est 23 h. Clémentine et moi faisons la vaisselle et nous rangeons la cuisine. Estelle dort déjà. Nous nous couchons. Fatigués.

Bonne balade à bicyclette à toutes les coquines qui aiment se faire toucher et tripoter des braguettes bien dures…

Julien - (Qui suppute des matinées hautement vicelardes à venir. La rencontre avec Taylor, l'homme à la moto) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 42 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 524 -



Estelle fait enfin la connaissance de Taylor

Hier matin, mercredi, une nouvelle fois, je suis réveillé le premier. Une nouvelle fois, je regarde les filles dormir. Admirables.
Je ne m'en lasse pas. Mon plaisir est de bien courte durée. Avertie par son infaillible sixième sens, Clémentine ouvre les yeux.
< Bonjour mon amour ! > chuchote t-elle en se serrant dans mes bras. Estelle dort encore. Nous nous faisons des papouilles.
Sur la pointe des pieds, sans faire le moindre bruit, nous allons aux toilettes. Il est 7 h15. Dehors, le ciel est lumineux. Clair.
A la cuisine, je presse nos oranges pendant que Clémentine prépare notre café. Nous entendons Estelle s'étirer en gémissant.

Dès son retour des WC, Estelle se précipite dans mes bras. Je n'ai d'autre alternative que de la serrer. Clémentine s'interpose.
C'est devenu un jeu qui nous amuse beaucoup. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Délice.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le programme du jour. Nous sommes déjà vêtus de nos tenues de jogging.
La vaisselle. Il est 7 h45 lorsque nous descendons dans l'agréable douceur matinale. C'est Estelle qui donne le rythme. Course.
Nous croisons quelques joggeurs que nous reconnaissons. La vue depuis le sommet de la colline sur Edimbourg impose l'arrêt.

Il est 9 h15 lorsque nous revenons. Clémentine et moi prenons notre douche en premier. Estelle s'installe devant l'ordinateur.
Puis c'est à son tour. Nous découvrons le message de Juliette qui nous raconte son retour et la fin des travaux de rénovation.
Le haras a retrouvé sa fraîcheur pour une nouvelle saison. Nous répondons en joignant deux photos prises hier et à bicyclette.
Estelle revient. < Je veux rencontrer ce Taylor ! > fait elle insistante. Nous rigolons comme des bossus. Amusante impatience.
Clémentine et Estelle sont vêtues de leur robe d'été. Sandalettes à légers talons. Des sœurs jumelles. Je suis en short, T-shirt.

Il est 10 h lorsque nous descendons Morningside. Nous nous arrêtons à la cabine téléphonique. Clémentine fouille le sac à dos.
Elle en sort le calepin. Elle entre dans l'étroit habitacle. Estelle reste avec moi. Elle me tient par la taille. Me chuchote des trucs.
La conversation ne dure pas. Clémentine sort pour nous rejoindre. < C'est bon ! On y va ! il sera là ! >. Nous accélérons le pas.
Nous passons devant Christ Church et son flot habituel de touristes. Nous traversons le carrefour. Quelques minutes de marche.
Là-bas, il y a la grille entrebâillé du bâtiment industriel désaffecté. Nous y entrons. L'endroit est désert. Estelle découvre le lieu.

Nous contournons le bâtiment pour nous retrouver dans la cour arrière que nous connaissons bien, Clémentine et moi. Surprise.
Estelle découvre les carcasses de bagnoles, les fûts en métal, les vieux pneus de camion, les montagnes de caisses en bois gris.
Nous entraînons Estelle dans la salle des anciens sanitaires vestiaires. L'odeur méphitique et la grande saleté sont répugnantes.
Sur la gauche la dizaine de cabinets dont certaines portes sont défoncées. Au fond les lavabos en partie arrachés. Les douches.
Sur la droite une rangée de placards de métal à la peinture grise écaillée. Le plafond de verrières sales et un carrelage éventré.

Estelle, tout comme Clémentine, apprécie les endroits glauques. Ces lieux sont parfois le cadre de fantasmes inavouables. Joie.
Dehors, soudain, un bruit de moteur. Clémentine saisit Estelle par le bras. < C'est lui ! > fait elle en l'entraînant vers la sortie.
Je reste planqué dans le premier cabinet. Et de là j'ai une vue parfaite sur la cour. Je vois les filles descendre les trois marches.
Elles s'avancent vers le hangar. Je vois arriver l'homme à la moto. Estelle passe derrière la carcasse de la camionnette. Cachée.
Taylor met sa moto contre le mur, retire son casque. Il est souriant. Heureux de revoir cette grande et belle jeune fille coquine.

Je suis à environ une cinquantaine de mètres. De ma planque, je ne comprends rien des propos qui s'échangent. Juste les voix.
Taylor et Clémentine se serrent la main. Ils marchent un peu en parlant. Je vois Clémentine mimer une masturbation masculine.
Taylor se touche la braguette en s'arrêtant. Eclat de rire. Comme les autres fois, il indique plusieurs fois son poignet, la montre.
Clémentine se fait insistante en continuant son imitation. Un bref instant d'hésitation, Taylor déboutonne son pantalon de cuir.
Je vois parfaitement ce sexe dont je reconnais l'étrange pâleur, la mollesse et la longueur. Soudain, de sa cachette sort Estelle.

Taylor a le réflexe de se tourner afin de cacher son sexe. Clémentine tout en riant semble le rassurer. Ce sont les présentations.
Estelle vient en souriant. Taylor la salue. Je bande comme le dernier des salauds. Voyeur privilégié, je suis aux premières loges.
Taylor cache son sexe d'une main tout en serrant celle d'Estelle de l'autre. Clémentine mime à nouveau une branlette vulgaire.
Taylor, sa surprise passée, prend rapidement conscience de sa situation. Du piège qui lui a été tendu. Heureux homme qu'il est.
Il tient son sexe à sa base pour le faire tournoyer devant les filles. Clémentine se touche avant de passer sa main sous sa robe.

Estelle, les deux mains sur sa bouche, joue son personnage préféré, la vierge effarouchée. Je connais bien ses interprétations.
Une excellente actrice. Je perçois les voix et les éclats de rire des trois protagonistes mais sans comprendre. Le spectacle suffit.
Estelle qui aime jouer d'un peu de provocation, s'accroupie pour scruter avec un soin d'entomologiste le sexe mollasson. Bien.
L'examen de la queue se fait dans le silence. Et à peine perçoit-on le bruit de la circulation au delà des bâtiments abandonnés.
Taylor, à nouveau, indique l'heure sur sa montre. Clémentine lui saisit la bite pour l'agiter devant le visage d'Estelle qui mâte.

Taylor se détourne. Il tente de se réajuster. Il est pressé par le temps. Il commence son boulot dans très peu de temps. Restau.
Clémentine le tient fermement comme elle fait avec moi pour l'accompagner jusqu'à sa moto. Estelle trottine à côté, sautillante.
C'est à la fois surréaliste, décalé et étonnant. Dans ma planque, je sors ma bite pour me branler d'un geste lent et très régulier.
Taylor met son casque. Clémentine lui tient la bite. Il arrive à la récupérer pour la remballer. Estelle lui tend la main. Souriante.
Je regarde l'homme à la moto disparaître après un dernier signe de la main. Nous nous rejoignons dans la cour. Un éclat de rire.

< Il est vachement sympa ce type ! > fait Estelle. < Et on ne risque rien, il bande mou ! Un impuissant ! > rajoute Clémentine.
< Mes préférés. De la bonne bite à jus ! > lance Estelle. Il est 11 h. Nous sortons de l'enceinte désaffecté. Nous voilà au dehors.
Nous remontons vers Christ Church. J'écoute les filles échanger leurs impressions. Clémentine me raconte les propos échangés.
Estelle propose de passer devant le restaurant où Taylor officie en qualité de serveur. Pas loin, il y a le Fast Food asiatique. Joie.
Nous arrivons près de l'établissement. Taylor est entrain de faire la mise en place des tables. Assiettes, couverts, nappes. Bien.

Nous passons devant le Fast Food Asiatique. C'est certainement son ami Vietnamien qui est derrière le comptoir. Un jeune gars.
< Alors, vous le trouvez comment ? > fait une voix derrière nous avec cet accent écossais à couper à la tronçonneuse. Taylor !
Il vient de constater ma présence. Embarrassé il me fait un signe amical. Il me reconnaît. Nous nous sommes déjà vu. Sympa.
Le bougre a parfaitement compris à quel jeu nous aimons nous livrer. Il a parlé de Wong aux filles. Le patron du Fast Food. Joie.
Il n'a pas le temps de s'attarder. < Venez manger ! > propose t-il. Estelle nous incite à décliner l'offre. C'est mieux de patienter.

Il est midi lorsque nous revenons à l'appartement. Estelle insiste pour préparer le repas. Nous la laissons à la cuisine. Une bise.
Clémentine m'entraîne dans la chambre. Je veux lui brouter le minou. Elle préfère me raconter son aventure en me suçant. Joie.
Je me laisse tailler une de ces pipes pleines de belles histoires. Clémentine s'arrête souvent pour me donner ses ressentis. Bien.
< Taylor va nous organiser un plan pipe à quatre. Estelle, Wong, lui et moi ! > me confie t-elle. Mon excitation est prodigieuse.
J'écoute dans un silence monacale. Nous entendons Estelle chantonner à la cuisine. Le bruit des ustensiles, casseroles et poêles.

Clémentine suce avec passion tout en me confiant ses émotions. Je la comprends. Depuis le temps que je l'encourage à tout ça.
Elle va tout mettre au point. La mise en scène. Le cadre où tout cela se passera dans la cour des bâtiments désaffectés. Super.
Estelle vient nous rejoindre. < C'est prêt les vicieux ! > nous fait elle en saisissant mes couilles. Morts de faim, nous la suivons.
De petites pommes de terre cuites à la vapeur, de délicieuses gambas revenues à la poêle. Le tout avec une salade de tomates.
Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent notre aventure de ce matin. Clémentine téléphonera à Taylor demain matin.

Clémentine et moi nous faisons la vaisselle et rangeons la cuisine. Estelle prépare notre petit sac à dos. Expédition à bicyclette.
Il est 13 h45 lorsque nous descendons Morningside, les mains sur les freins, pour rejoindre Leith, la rivière et la piste cyclable.
Il fait beau. Un ciel légèrement voilé. Une douceur agréable. Nous croisons quantité de cyclistes. Là-bas, Arthur's Seat. Volcan.
Nous fermons nos vélos à cadenas derrière les cabanons. Ceux de la buvette, de la boutique souvenirs et des toilettes publiques.
Nous rôdons un peu autour des petites maisons de bois. Les filles sont très excitées. Et un petit "plan" exhibe serait le bienvenu.

Il y a bien trop de monde. De l'autre côté des cabanons il y a le parking de la route parallèle à la piste cyclable. Des touristes.
Il serait stupide de bâcler un truc sans intérêt réel et forcément trop rapide. Nous prenons l'étroit sentier qui mène au sommet.
La vue sur Edimbourg est splendide. Même si les filles évoquent ce qui se prépare avec les deux mecs, elles apprécient l'instant.
Je leurs passe souvent la main sous les jupettes lorsque nous sommes seuls au détour du sentier parfois abrupte et dangereux.
J'ai la braguette discrètement ouverte. Aussi, l'une ou l'autre peut y glisser la main pour palper mon érection molle et humide.

Il est 19 h. Nous revenons à Leith. Les filles proposent d'aller manger Asiatique au Fast Food. Voir à quoi ressemble Wong. Joie.
Nous remontons Morningside jusqu'à la rue commerçante au carrefour de Christ Church. Il y a du monde. Et plein de touristes.
Nous fermons les vélos à cadenas juste devant la grande vitrine du Fast Food. Nous entrons dans un espace propre et parfumé.
Nous choisissons une table près de la baie vitrée afin de garder un œil sur nos bicyclettes. Nous choisissons le menu. C'est bon.
Le soir, c'est à la carte. C'est une belle Asiatique aux longs cheveux noirs qui s'occupe de nous. Elle est souriante, très amicale.

Lorsque la jeune serveuse nous ramène nos plats, Estelle lui demande : < C'est monsieur Wong, là-bas, derrière le comptoir ? >
< Oui ! C'est le patron. C'est mon cousin. Je suis étudiante et je travaille avec lui le soir et aux vacances ! > nous explique t-elle.
Enfin, nous voyons à quoi ressemble le jeune ami de Taylor. C'est un bel Asiatique, la trentaine, plutôt mince et très souriant.
Nous l'observons servir les nombreux clients. Il a un bon mot avec chacun. Et il se meut avec souplesse derrière son comptoir.
De quoi attiser les convoitises d'Estelle qui fantasme de plus en plus fort sur ces beaux messieurs venus d'Asie. On comprend.

Nous traînons à table. C'est une de nos rares expériences Fast Food. < A refaire ! C'est même plutôt Classe ! > fait Clémentine.
Et c'est vrai que l'endroit tient davantage de restaurant que du Fast Food. Nous serons amenés à revoir monsieur Wong bientôt.
Nous flânons encore un peu dans les rues animées du petit quartier. Nous poussons nos vélos pour rentrer. Bien trop fatigués.
Il est 22 h45. Après la salle de bain nous rejoignons Estelle qui dort déjà à poings fermés. Nous nous serrons fort. La douceur.
Clémentine me confie son impatience de vivre une nouvelle expérience. C'est une jeune fille de 21 ans. Je veux l'y aider. Dodo.

Bonne découverte d'un Fast Food Asiatique à toutes les coquines qui fantasment sur les beaux messieurs aux yeux bridés…

Julien - (Qui est à se réjouir pour les jours à venir. Il va pouvoir s'astiquer le chibre à mâter de la bonne vicieuse) -

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Une journée sous un climat des plus agréables

Hier matin, jeudi, je suis tiré de mon sommeil par un chatouillis très léger sur ma joue gauche. Un chatouillis qui est insistant.
Je crois avoir affaire à une mouche. J'ouvre les yeux. C'est le cil de Clémentine qu'elle fait bouger sur ma peau. C'est si doux.
< Papillon ! > me murmure t-elle avant de frotter doucement son nez contre le mien en chuchotant : < Esquimau ! >. Douce.
Je regarde par dessus son épaule. Estelle dort encore. Nous nous levons sans faire de bruit pour nous précipiter aux toilettes.
Il est à peine 7 h15. Le ciel est moins lumineux que les jours précédents. Il fait très agréable. Nous nous faisons plein de bises.

A la cuisine, je presse nos oranges pendant que Clémentine fait le café. Elle a de gros besoins. Câlin. Elle se saisit de ma main.
< Finis mes "petits machins" ! > fait elle en maintenant ma main entre ses cuisses. Je la serre très fort pour la bercer un peu.
< Je t'aime. Mais je suis aussi amoureuse ! > murmure t-elle. Nous entendons Estelle se réveiller en gémissant. Elle file au WC.
Elle vient nous rejoindre pour se blottir contre moi. Clémentine s'interpose. C'est devenu notre rituel. Nous rions de bon cœur.
Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Joie.

Le programme du jour. Les filles évoquent monsieur Wong et Taylor. J'écoute en silence. Estelle en garde une forte impression.
Je propose d'aller manger Asiatique. Clémentine fait : < On va attraper des yeux bridés ! >. Nous rigolons comme des bossus.
< Ne précipitons pas les choses. Laissons retomber le soufflet. Ce sera d'autant meilleur ! > conclue Estelle. La vaisselle. Bien.
Nous sommes tous les trois en tenues de jogging. Il est 7 h45 lorsque nous descendons par l'escalier de service. Il fait si doux.
Estelle donne le rythme. Nous courons le long de notre circuit habituel. La vue sur Edimbourg depuis la colline est un spectacle.

Il est 9 h15 lorsque nous revenons. Nous bavardons avec Oncle Steve qui est dans le jardin. Nous sommes invités ce dimanche.
Il y aura mes cousins et cousines, ma tante et son mari de St Andrews. C'est la famille. Et puis ce sont des repas sympathiques.
Nous prenons notre douche en premier pendant qu'Estelle est devant l'ordinateur. Puis c'est à son tour. Nous avons deux mails.
Un message de Juliette qui nous donne des nouvelles de Gérard, le palefrenier, de Pauline et de madame Walter. Ses employés.
Un courriel de mon oncle qui m'annonce deux nouvelles commandes. Des copies des toiles encore exposées mais déjà vendues.

Je déteste les commandes. Pour cet automne j'en ai dix. Stop. Je demande un prix hautement dissuasif pour les éviter. Inutile.
Je pourrais me contenter de quelques commandes à l'année. Mais ma passion est dévorante. La peinture me manque déjà fort.
Estelle vient nous rejoindre. Elle découvre le mail de Juliette et y rajoute son petit mot. Nous joignons deux photos prises hier.
Un simple clic et voilà la réponse envoyée. Clémentine et Juliette porte leur robe d'été. Je suis en short, chemisette, sandales.
Il est 10 h15. Nous allons flâner un peu dans la douceur matinale. Le soleil apparaît par séquences dans un ciel peu nuageux.

Nous descendons Morningside jusqu'au carrefour de Christ Church. Cette balade fait de nous des habitants d'Edimbourg. Super.
Estelle suggère de téléphoner à Taylor afin d'organier un plan dans les tous prochains jours. Clémentine me consulte du regard.
Je lui fais un sourire complice. Nous traversons la rue pour aller vers les trois cabines rouges. Clémentine s'empare du calepin.
Elle entre dans la cabine de gauche. Estelle reste au près de moi. Elle me montre deux couples d'Asiatiques qui se promènent.
Discrètement je passe ma main sous sa robe. Il y a le mur derrière nous. Personne ne peut voir. Je lui palpe la culotte. Chaude.

C'est à ce moment que nous voyons un type entrer dans la cabine voisine. Il décroche le combiné. Clémentine discute. Sympa.
< Regarde ! > me fait Estelle. Nous voyons Clémentine se toucher de sa main libre. Franchement tourner vers le mec. Superbe.
Clémentine, les yeux baissés, semble être concentrée sur sa conversation. Est-elle encore en ligne ou fait elle semblant ? Mime.
En tous cas, le mec dans la cabine à côté, tout en bavardant, observe discrètement le spectacle. La situation dure un moment.
< Je n'ai encore jamais tenté l'exhibe en cabine téléphonique ! Je vais essayer ! > me fait Estelle. Je caresse sa chagatte. Joie.

Un couple d'Asiatiques arrive près des cabines. La jeune femme entre dans celle qui est libre. Le jeune homme attend devant.
Il attend probablement son tour et qu'une des deux autres se libère. Clémentine en sort la première pour venir nous rejoindre.
Elle prend ma main pour la poser sur sa poitrine. Je peux sentir son cœur battre la chamade. Ces situations l'excitent beaucoup.
Nous continuons notre promenade dans les rues commerçantes. Il nous faut juste des yaourts et du chocolat. Le supermarché.
Il y a du monde. Quelle n'est pas notre surprise. Monsieur Wong. Il est accompagné d'une ravissante jeune femme. Asiatique.

Taylor avait raconté aux filles que monsieur Wong était marié. Et père de famille. Cela refroidi un peu l'enthousiaste des filles.
Estelle fait : < Merde ! Elle est hyper belle. Ça me la coupe ! >. Clémentine lance : < On ne va pas tenter un père de famille ! >
Nous rigolons comme des bossus de cette rencontre édifiante. Un peu comme si c'était un signe. < Pas touche ! > fait Estelle.
Nous remontons en passant par le square voisin de l'église gothique. Deux cars déversent le flot de leurs touristes. Asiatiques.
Il est 12 h15 lorsque nous remontons. Clémentine nous raconte les propos échangés avec Taylor dans la cabine téléphonique.

Taylor a la garde de sa fille de 12 ans. Son emploi de serveur et ses devoirs paternels lui laissent peu de temps pour le reste.
Il propose toutefois un rendez-vous à l'endroit habituel lundi prochain. Il aura toute la matinée. Il ne bosse qu'en soirée. Bien.
Il sera avec monsieur Wong que nous avons vu accompagné de sa ravissante épouse. Clémentine et Estelle restent dubitatives.
Je les comprends. < Sucer, c'est tromper ? > demande Estelle avant d'éclater de rire. < Ce sont des adultes ! > dit Clémentine.
Et c'est vrai qu'ils sont assez grands pour savoir ce qu'ils font. Estelle nous demande de la laisser seule pour préparer le repas.

Clémentine m'entraîne dans la chambre. Elle me fait tomber sur le lit, sort mon Zob de ma braguette ouverte et se met à sucer.
Je lui caresse la tête. Parfois elle s'arrête pour me confier des ressentis, des suggestions ou encore des impressions. C'est super.
Non seulement cela lui permet de laisser reposer sa mâchoire, mais cela nous diverti d'une dimension supplémentaire. C'est bon.
Je me fais tailler une pipe des familles. Je tiens Clémentine par la nuque pour lui enfoncer quelquefois un peu plus de bite. Miam.
Estelle vient nous rejoindre. < C'est prêt ! > fait elle en se penchant pour regarder la pipe de Clémentine qui lui tend ma queue.

Je suis hyper juteux. Estelle suce un peu en gémissant de bonheur. < Mmhh, c'est bon ! > fait elle lorsque je la force à cesser.
Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Estelle a préparé un gratin de nouilles chinoises avec du filet de saumon. Bon.
C'est un régal. Surtout avec la délicieuse sauce au Roquefort finement poivrée. Nous mangeons de bon appétit en bavardant.
Nous élaborons le vague programme de l'après-midi. Randonnée vélo jusqu'au village de Portobello à dix bornes d'Edimbourg.
Clémentine et moi, nous faisons la vaisselle pendant qu'Estelle prépare notre petit sac à dos. Pommes, barres de céréale, etc...

Il est 13 h45 lorsque nous descendons Morningside prudemment avec les mains sur les freins. Estelle est contente de son vélo.
Nous arrivons à Leith. Nous longeons la rivière sur la piste cyclable que nous quittons au bout de 5 km, direction de Portobello.
Portobello est un village portuaire. C'est un peu devenu la station balnéaire d'Edimbourg. Il y a une belle plage de sable blanc.
Nous ne sommes pas très plage. Et Estelle nous raconte à quel point c'était pénible, petite, de passer ses journées sur la plage.
Des après-midi entiers avec ses parents à s'ennuyer au bord de la mer. Nous fermons nos bicyclettes à cadenas près du port.

Nous nous offrons des cônes glacés que nous dégustons en flânant dans les rues animées du centre. Il y a beaucoup de monde.
Portobello n'a rien d'une ville typique et attachante. Par contre les environs sont des plus charmants. Des collines et des dunes.
Nous allons jusqu'à la plage. Elle déroule son immensité sur trois bons kilomètres. Nous marchons pieds nus dans l'eau. Sympa.
Les filles portent leurs jupettes sport. Pas de culotte pour Clémentine. Estelle refuse de l'ôter. Nous tenons nos baskets en main.
Il y a le cri des mouettes, le cri des gamins, les jeux de ballons, les parasols et l'animation habituelle de toutes les plages. Bof.

Nous revenons en sens contraire. Le ciel s'est légèrement voilé. Nous arrivons à Portobello village pour 16 h30. D'autres glaces.
Cette fois nous dégustons trois coupes glacées à la terrasse d'un salon de thé qui donne sur le port. C'est un port de plaisance.
Il n'y a donc pas l'animation d'un port de pêche. C'est un endroit que le touriste peut parfaitement éviter s'il vient en Ecosse.
Depuis un moment Clémentine me fait du pied sous la table. Je comprends enfin. Il y a deux vieux messieurs à la table à côté.
Ils sont très élégants. Il nous semble les avoir croisé avec leurs femmes tout à l'heure dans un magasin de souvenirs. Certains.

Je fais tomber mon portefeuille. Un prétexte pour me baisser et constater les cuisses largement écartées de Clémentine. Exhibe.
J'invite Estelle à faire de même. Elle fait tomber sa serviette en papier. Elle se redresse pour me faire un clin d'œil. Le spectacle.
Clémentine offre son show à un des messieurs qui n'en perd pas une miette. Je dis à ma compagne : < Le test des chiottes ! >
Elle se lève, regarde avec insistance le type avant d'entrer dans le salon de thé. Le type se lève très peu de temps après. Bien.
C'est toujours un plan infaillible. Le "Test des chiottes" permet de bien situer les choses. C'est l'excellente manière d'en rajouter.

Estelle me prend la main. Elle me dit : < Je passe les plus belles vacances de ma vie, Julien, merci ! >. Je la regarde en souriant.
Je lui répond : < Mais moi aussi et je te promets que les prochaines seront encore plus belles ! >. Estelle me serre la main. Bise.
Il y a un long moment avant que Clémentine ne revienne la première. Elle raconte son "Test des chiottes". < Génial ! > dit elle.
Surprise cambrée, genoux fléchis au dessus d'un des deux urinoirs par le mec qui entre dans les toilettes. < J'ai filmé ! > dit elle.
Son téléphone posé sur le rebord du lavabo, sous sa pochette, Clémentine filme quelquefois les situations exhibes qu'elle créée.

< Mais tu pisses vraiment ! > fait Estelle en scrutant l'écran sa tête sur mon épaule. < J'avais un gros besoin ! > dit Clémentine.
Le type revient à son tour. Nous sommes très discrets. Et dans le film on voit le mec sortir sa queue et engager la conversation.
Clémentine a visiblement recommencé son jeu de jambes sous la table. Le mec ne se doute pas qu'Estelle et moi mâtons le film.
Le type se branle à côté de la fille qui pisse en écartant les lèvres de son sexe. < Et je m'en suis mis partout ! > fait Clémentine.
Effectivement, dans le film, on la voit s'essuyer les cuisses tout en bavardant avec le mec qui se branle à côté du lavabo. Super.

Deux femmes viennent rejoindre les mecs. Elles portent de grands sacs. Certainement le fruit de leur shopping dans le magasin.
Ils ne s'attardent pas. Le mec fait un clin d'œil incroyablement salace à Clémentine. Il s'en fout visiblement d'être vu par nous.
Clémentine me fait : < Je me suis payé un merveilleux frisson, ça faisait longtemps ! > < Au moins un jour ! > lui lance Estelle.
Nous en rigolons comme des bossus. Il est 19 h. Nous reprenons la route du retour. Les filles veulent manger à la maison. Bien.
Il est 20 h30 lorsque nous arrivons. Estelle s'occupe du repas du soir. Clémentine m'entraîne dans la chambre. Très excitée. Joie.

Elle me fait tomber sur le lit. Cette fois c'est moi qui la déguste . Avec ses excitations il y a de quoi me régaler. Du jus de fille.
Il y a des écoulements de cyprine absolument goûteux. Abondants, liquoreux, si savoureux. Et elle m'attire doucement sur elle.
Je m'introduis avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Clémentine me confie ses secrets. C'est l'instant merveilleux.
Nous adorons baiser sans bouger. Estelle arrive. Assise sur le lit, elle dit : < J'aimerais en avoir un peu ! >. Nous cessons. Faim.
Nous voilà à la cuisine. Estelle a réchauffé le gratin avec des crevettes poêlées. Salade de tomates. Nous traînons à table. Bon.

Il est 22 h. Nous faisons la vaisselle et nous rangeons la cuisine. Estelle n'arrête pas de me masser les couilles, derrière moi.
Elle les malaxe en me chuchotant des cochonneries. Clémentine lui retire plusieurs fois la main. < J'en veux ! > lui dit Estelle.
< Tu auras du foutre après, si tu es sage ! > lui fait Clémentine. Nous éclatons de rire. Nous allons à la salle de bain. Sympa.
Estelle, à genoux entre moi et le lavabo, à même le carrelage, me taille une pipe. Clémentine lui tient la tête en la secouant.
Au lit, couché sur le dos, je laisse Estelle se régaler un peu avant de pénétrer Clémentine. Estelle se touche. Baise puis dodo.

Bonnes exhibes dans les toilettes d'un salon de thé à toutes les coquines qui aiment pratiquer le "Test des chiottes"...

Julien - (Qui est toujours enchanté des initiatives de Clémentine. Surtout lorsqu'Estelle en partage les saveurs)-

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Estelle, en grandes demandes affective et sexuelle

Hier matin, vendredi, je suis tiré de mon sommeil par le souffle chaud de Clémentine dans mon cou. Et c'est toujours si doux.
Lorsque j'ouvre les yeux, le visage bienveillant et aimant de ma compagne m'envahi d'une grande sérénité. C'est un bonheur.
Je la serre fort contre moi. Nous nous faisons des papouilles en faisant le moins de bruit possible pour ne pas réveiller Estelle.
Tout aussi silencieusement, nous nous levons pour aller faire nos pissous. A la cuisine, je presse nos oranges. Plein de bisous.
Clémentine s'occupe du café. Il est 7 h15. Dehors un ciel gris. Nous entendons Estelle s'étirer en modulant ses gémissements.

Estelle nous rejoint en sautillant et se précipite dans mes bras. Clémentine s'interpose. Et c'est notre nouveau rituel du matin.
Nous rions de bon cœur. Nous prenons notre petit déjeuner dans la douce odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit.
Nous bavardons. Il faudra aller faire nos courses. Il n'y a plus de fruits. Et nous faisons un vague programme de cette journée.
Notre vaisselle. Nous sommes déjà en tenues de jogging. Nous descendons l'escalier de service. Il y a une certaine fraîcheur.
Nous courons le long de notre circuit quotidien, entraîner pas le rythme qu'impulse Estelle. Arrêt sur la colline pour voir la ville.

Il est 9 h15 lorsque nous revenons. Nous prenons notre douche les premiers pendant qu'Estelle est assise devant l'ordinateur.
Puis c'est à son tour. Le ciel s'est couvert de lourds nuages d'un gris de plomb. Pourtant, il ne semble pas y avoir de menace.
Nous découvrons le message de Lennie, la jeune Hollandaise. Elle confirme leur retour pour le 30 août à South Queensferry.
Avec ses parents et son grand-père, ils resterons trois jours au port avant de repartir pour Amsterdam avec leur gros bateau.
Nous répondons en joignant deux photos prises hier. Ainsi elle peut déjà voir à quoi ressemble Estelle qu'elle ne connaît pas.

Clémentine et Estelle portent la robe d'été, leurs sandalettes à légers talons. Je suis en short, en chemisette et en sandalettes.
Nous voilà en chemin pour descendre morningside. Il fait plus agréable que ce matin. Une absence totale de vent. Ciel couvert.
Quinze minutes et nous voilà au carrefour de Christ Chuch. Comme toujours, des cars de touristes et du monde dans le square.
Nous prenons à gauche, la rue commerçante. Estelle me tient par le bras, clémentine me tient la main. Nous attirons le regard.
Cet homme d'âge mûr, entouré de ces deux belles jeunes filles qui le tiennent, nos hautes tailles. Nous nous en amusons bien.

Je tire la grosse corbeille rouge sur roulettes. Nous déambulons dans le supermarché. Nous faisons tous les différents rayons.
< Mâtez ! > nous fait Estelle en nous montrant un petit groupe d'Asiatiques. Ils sont une dizaine. De jeunes touristes. Super.
Nous prenons de beaux fruits. Nous faisons une grande consommation d'oranges pour nos jus et de pommes en randonnées.
Il y a un des jeunes Asiatiques qui choisi des sachets d'amandes. Il a remarqué Clémentine accroupie à choisir des bananes.
Clémentine aussi a remarqué le regard posé sur elle. Elle profite de cette belle opportunité pour s'offrir un frisson. Le show.

Estelle s'accroupie à côté de Clémentine. Le jeune homme fait semblant de lire les emballages de fruits secs. Il mâte en douce.
Personne ne peut se douter de ce qui se passe. Surtout que je fais écran juste à côté les filles. C'est évidemment très excitant.
Une jeune fille vient rejoindre le voyeur. Elle lui montre des sachets de soupes. Clémentine et Estelle se redressent. Fin du jeu.
Le couple s'éloigne. Nous choisissons de belles tomates. Nous allons au rayon poissonnerie. Dans la file. Le couple qui revient.
La jeune fille s'éloigne. Le jeune homme louche discrètement en direction des filles tout en faisant semblant de faire son choix.

Il est devant le rayon des conserves. Je suis entre les deux filles. Nous le regardons franchement. Personne ne fait attention.
Je pose ma main sur le sexe des deux filles. Au travers le tissus de leurs robes. Le jeune homme ne peut détacher son regard.
Je palpe. J'y mets la vulgarité qu'apprécient les deux coquines. La jeune fille vient rejoindre le voyeur. Cette fois ils s'en vont.
< Refais ça tout le temps ! > me fait Clémentine. < A moi aussi, put-hein c'est génial comme sensation ! > murmure Estelle.
Nous faisons provision de ce saumon fumé artisanalement dont nous apprécions les saveurs délicates en sandwichs ou poêlé.

Estelle nous propose de passer devant le restaurant où officie Taylor. Nous trimballons nos sacs lourds et encombrants. Dur.
Taylor est entrain de faire la mise en place. Vêtu d'un pantalon noir strict, d'une chemise blanche, il est très élégant. Peigné.
< Wouah ! A sucer dès que possible ! > lâche Estelle. Il nous fait un coucou de la main. Nous posons les sacs pour répondre.
Estelle nous propose de faire un petit arrêt au Fast Food Vietnamien, question de voir monsieur Wong, le beau patron. Rires.
Je propose d'entrer et d'y acheter quelques beignets de crevettes. Je ne suis pas obligé de le proposer deux fois. Nous y voilà.

C'est monsieur Wong qui nous sert. Il reconnaît les filles. Il me fait un curieux sourire. Je pose ma main sur le sexe d'Estelle.
Wong doit s'en apercevoir à travers la vitre du présentoir. Je fais pareil sur le sexe de Clémentine qui lui montre les beignets.
Monsieur Wong ne peut que voir mes deux mains puisque Clémentine, de son doigt pointé, lui montre les différents beignets.
Il lève parfois son regard en me fixant d'un air étrange. En tous cas, il reste d'un calme olympien et d'une sérénité toute Zen.
Nous payons. Estelle, avant que nous partions, lui fait : < A bientôt j'espère ! >. Il répond : < J'espère aussi ! >. Très sympa.

< Si là, il n'a pas compris ! > nous fait Estelle une fois dehors. < C'est à désespérer de tout ! > fait Clémentine du tac au tac.
Nous remontons Morningside avec nos grands sacs lourds. Il est midi lorsque nous revenons à l'appartement. Il fait très doux.
Estelle insiste pour préparer la surprise du repas de midi. Clémentine m'entraîne dans la chambre et me fait tomber sur le lit.
Elle me sort le Zob pour jouer avec en me racontant ses impressions. Je la touche doucement. Elle m'attire sur elle. Douceur.
Je m'introduis avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Clémentine chuchote ses secrets. J'écoute et j'encourage.

Estelle vient nous rejoindre. < C'est prêt les baiseurs fous ! > nous fait elle en s'asseyant sur le lit pour m'attraper les couilles.
Morts de faim, nous cessons. Estelle se précipite pour me sucer un peu. Je la laisse récupérer les épanchements si abondants.
Nous mangeons de bon appétit. Estelle a préparé un coulis de courgettes avec du riz et des filets de saumon poêlés. Un délice.
Accompagnés d'une salade de tomates c'est un vrai festin. Nous la félicitons. La conversation tourne autour de Wong et Taylor.
Les filles évoquent leur passion commune pour la fellation. Je les encourage et une fois encore, à goûter ces deux types. Joie.

Clémentine et moi faisons la vaisselle et rangeons la cuisine pendant qu'Estelle prépare notre petit sac à dos. Pommes et flotte.
Nous nous changeons. Les filles portent leurs jupettes sport, leurs T-shirt et leurs baskets. Je suis en short. Et nous voilà prêts.
Nous prenons la voiture. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue encore suintante qu'elle suce parfois en vitesse.
Estelle, assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, nous parle de Taylor et de Wong. Nous prenons la direction de Gullane.
Nous suivons l'estuaire sur notre gauche. La circulation est fluide. Il y a environ trente kilomètres dans un paysage enchanteur.

Nous arrivons à Gullane. Je gare la voiture sur le parking devant Gullane Beach. Il y a du monde. Même des baigneurs. Sympa.
Malgré le temps gris, le ciel bas, il y a des courageux qui nagent. Je porte notre petit sac à dos. Nous prenons le sentier côtier.
Nous croisons quantité de marcheurs et de promeneurs. Il y a moins de familles. La proximité de la rentrée. Fin des vacances.
J'ai la braguette ouverte. Estelle n'arrête plus d'y fourrer la main. Nous faisons le circuit de Dirleton Castle à Tantallon Castle.
Deux belles ruines de châteaux soigneusement entretenues. A chaque fois que c'est possible, je sors ma bite pour me branler.

Clémentine tente d'être la première. C'est amusant de les voir s'accroupir ou se pencher à toute vitesse pour sucer ma queue.
Il faut toujours faire vite, être prudent. Nous ne sommes pas seuls. Mêmes les recoins des ruines sont visitées. Des touristes.
Je tripote les filles, mains sous leurs jupettes. Elles ont retiré leurs culottes. L'accès aux cramouilles est aisé. Elles apprécient.
J'ai tout le temps le doigt fourré dans la chatte d'Estelle. Je le tourne, je l'articule. < Mmhh ! C'est bon comme ça ! > fait elle.
Nous revenons sur Gullane. C'est un petit bourg sans grand intérêt. Il y a un port de plaisance. Quelques goémoniers anciens.

Seule la vieille église du neuvième siècle offre la curiosité de son style indéfinissable. Roman primitif. Il y a du monde. Photos.
Il est 18 h30. Nous voilà en route. J'ai la bite en feu et les couilles pleines à craquer. Clémentine n'arrête plus de me pomper.
Estelle, assise au sol, entre les jambes de ma compagne, me tient les couilles. Parfois elle a droit à sa part de jus, de pomper.
Je m'arrête dans le petit bourg de Port Seton. Un petit port de pêche absolument ravissant et si typique. Nous avons la dalle.
Nous nous promenons un peu sur les quais. Il y a l'animation des retour de pêches. Tous les chalutiers qui reviennent chargés.

Il y a des restaurants qui donnent sur le port. Nous lisons les menus proposés. C'est évidemment des produits de la mer. Joie.
Il est 20 h lorsque nous sommes attablés devant de gigantesques plateaux de fruits de mer. La salle est bondée. Les touristes.
Aucune opportunité d'exhibe. Les filles sont hyper excitées par nos jeux incessants. J'ai le slip trempé. Souvenirs en prévision.
Les filles évoquent les différents scénarios qu'elles pourraient appliquer pour se "partouser" monsieur Wong et Taylor. Superbe.
J'écoute en silence. Lorsque l'une d'elles me demande ce que je pense de tel ou tel "plan", je les encourage à tout essayer. Joie.

Je conclue souvent mes avis par la même formule lapidaire : < Vous avez toutes les deux 21 ans, put-hein profitez en bien ! >
Nous rions de bon cœur des différentes possibilités. Je dis : < Vous concluez cette "partouze" avant notre départ ! Merde ! >
Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine fait : < Bon, alors si c'est un ordre, on suivra les directives du "Maître ! >
Il est 22 h. La fraîcheur du soir ne permet pas de flâner longuement en jupettes et en short. Nous retournons à notre voiture.
Je roule doucement. A nouveau les filles sont devant. Elles se passent ma bite en gémissant de plaisir. Nous rigolons beaucoup.

Il est 23 h lorsque nous arrivons, fourbus, repus, si heureux. Nous évoluons tous les trois dans un bonheur qui nous submerge.
Nous sommes conscients du privilège de cette relation à trois si particulière. Nous vivons cela pour la première fois de nos vies.
Il n'y aura certainement pas d'autres aventures de ce genre. Nous aimerions que cela dure toujours. Nous en parlons souvent.
Lorsque nous revenons de la salle de bain, Estelle dort déjà à poings fermés. Je broute un peu Clémentine qui me suce aussi.
Trop fatigués, détestant les orgasmes bâclés, nous cessons en nous serrant fort. L'excitation fait place aux sentiments. Dodo…

Bonne virée en bord de mer et sur les sentiers côtiers à toutes les coquines qui aiment toucher et êtres touchées…

Julien - (La bite en feu, les couilles bouillantes, aime à conduire prudemment tout en se faisant pomper le Zob) -

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Classe - 45 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 527 -



Clémentine me demande de la traiter en "soumise"

Hier, samedi, Clémentine et moi, nous nous réveillons en même temps. Le plus silencieusement possible nous nous levons.
L'impérieux besoin de pisser est si fort que nous d'avons d'autres choix que de nous y soumettre. On se fait des bises WC.
Nous filons à la cuisine. Je presse nos oranges et Clémentine fait le café. Nous n'arrêtons pas de nous faire des papouilles.
< Tu me prends sérieusement en main, aujourd'hui, j'en ai besoin ! > chuchote t-elle en mettant sa main dans mon short.
Nous entendons Estelle s'étirer en gémissant avant de filer jusqu'aux toilettes. Je dis : < Je vais faire tout le nécessaire ! >

Estelle arrive à la cuisine pour me sauter au cou. Clémentine s'interpose. Nous en rions de bon cœur. C'est devenu un jeu.
Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.
Il est 7 h30. Dehors il fait comme hier, un ciel bas, gris mais pas menaçant. Nous sommes tous les trois en tenues jogging.
La vaisselle. Nous descendons l'escalier de service pour nous retrouver dehors. Il y a une certaine fraîcheur. Il faut courir.
Estelle ouvre la course. Notre circuit habituel. L'arrêt au sommet de la colline pour admirer Edimbourg. Et c'est magnifique.

Il est 9 h30 lorsque nous revenons. Nous prenons la douche en premier pendant qu'Estelle surfe sur le site de l'université.
Puis c'est à son tour. Nous découvrons le message de Juliette qui nous raconte un peu du quotidien de son haras. Chevaux.
Nous répondons en joignant deux photos prises hier. Estelle vient nous rejoindre. Elles sont vêtues de leur jupettes sport.
Je suis en short, chemisette. Nous sommes tous les trois chaussés de nos baskets. Je prépare notre petit sac à dos. Bien.
Clémentine va à l'armoire. Estelle prépare les sandwichs. Nous partons ce matin pour Stirling. Estelle aimerait découvrir.

Clémentine vient vers moi, me tend le collier canin et la laisse. < Tu as promis ! > murmure t-elle en présentant son cou.
Délicatement, je le lui passe autour du cou. Elle garde ses cheveux relevés. Estelle nous rejoint. C'est elle qui fixe la laisse.
Je donne deux à coup pour bien vérifier la bonne tenue de l'ensemble. Clémentine en sweat, le collier reste discret. Bien.
Nous voilà prêt. Nous descendons à la voiture. Mon oncle et sa femme reviennent de course. Nous bavardons un peu. Joie.
Nous sommes invités demain, dimanche, à un autre repas familiale. Nous acceptons volontiers. C'est toujours si agréable.

Nous descendons Morningside. < Arrête toi là, je téléphone ! > fait Clémentine. Je me gare à proximité des trois cabines.
Nous nous dirigeons vers l'une d'entre elles. Estelle et moi nous attendons à l'extérieur. Elle me prend la main. Des bisous.
Clémentine revient. < C'est ok pour lundi matin. Taylor et Wong seront au rendez vous. Au lieu habituel. Pour 10 h30 ! >
Estelle propose d'en profiter pour aller acheter trois cartes postales. Elle écrit tous les trois jours. Nous traversons la rue.
C'est un grand magasin de souvenirs qui fait également débit de tabac. Estelle, debout devant le tourniquet, fait son choix.

Il y a des centaines de cartes postales plus belles les unes que les autres. Pendant ce temps Clémentine et moi, visitons.
Elle me fait soudain du coude. Je regarde par là. C'est monsieur Wong et sa ravissante femme. Ils achètent des journaux.
Ils sont tous les deux très élégants. < Viens ! > fait Clémentine qui m'entraîne aux magazines. Le couple nous reconnait.
Nous nous saluons. La jeune femme, de petite taille, est vêtue d'un tailleur strict et noir, des souliers noirs à hauts talons.
Monsieur Wong est en costume clair. En bavardant, il ne cesse de regarder le collier canin qui apparaît légèrement. Cuir.

Monsieur Wong nous présente sa femme, Li-Yang, Vietnamienne comme lui. Elle me serre la main. Une main lascive. Molle.
Elle me regarde souvent par en dessous et d'une étrange façon. Ce regard au fil de la conversation me semble bien vicieux.
Estelle vient nous rejoindre avec ses cartes postales. Elle serre la main de nos nouveaux amis qui nous invite à passer. Joie.
Nous sommes invités à manger dans leur restaurant demain soir. Nous sommes enchantés. Li-Yang me fixe avec insistance.
Nous promettons d'être là pour 20 h. Nous serons tous les cinq à une table. Nous nous serrons les mains avant de quitter.

Juste avant de partir, monsieur Wong montre le collier canin autour du cou de Clémentine et lui dit ! < Mettez ça demain ! >
Li-Yang me regarde à nouveau. Je lui serre la main. Elle est lascive et molle. Je bouge mon index replié dans sa paume. Joie.
A ma grande surprise, elle se laisse faire et ne retire pas sa main pour me faire la même chose. Mon sang ne fait qu'un tour.
Nous retournons à la voiture. Je roule doucement. Clémentine sort ma queue avec difficulté car je bande comme un salaud.
Je raconte mon expérience avec le doigt dans la paume de la main de Li-Yang. < Une vicelarde, c'est sûr ! > fait Clémentine.

< C'est génial de bouffer avec eux demain soir. Ça prépare bien le rendez-vous de lundi matin ! > rajoute ma compagne.
< Je suis certaine que c'est un couple échangiste ! > lance Estelle. < Pas nous ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur.
La route suit le littoral sur environ 60 km jusqu'à Sterling. Le ciel reste gris et bas. Je m'arrête à Linlithgow. La découverte.
Je propose de nous y réserver une table dans un restaurant pour ce soir, à notre retour. Linlithgow est un bourg charmant.
Ce n'est pas la première fois que nous y venons Clémentine et moi, mais c'est une première pour Estelle. Un bon restaurant.

Il y a l'embarras du choix. Nous choisissons un établissent de qualité qui donne sur le port. Nous réservons pour 20 h. Bien.
Nous ne flânons pas. Nous nous promettons de revenir à Linlithgow mardi ou mercredi prochain. Estelle est enchantée. Joie.
Nous sommes assis sur un banc à savourer nos sandwichs. Nous félicitons Estelle pour ses préparations. Saumon fumé. Bon.
Il y a plein de choses à voir dans cette petite ville. Estelle me touche souvent la braguette discrètement ouverte. Je bande.
Je reste encore sous l'effet de l'émotion érotique que j'ai vécu dans le magasin de souvenirs avec Li-Yang. Epanchements.

Nous retournons à la voiture. Discrètement, je tiens Clémentine par la laisse. Nous croisons un jeune couple de touristes.
Ils nous lancent un regard amusé. Ils n'ont certainement jamais rien vu de tel, en "vrai" et dans un endroit public. Excitant.
Surtout qu'Estelle, bien "allumée" me touche la braguette sans arrêt. Pas toujours discrète lorsque nous croyons êtres seuls.
Je roule doucement. Clémentine me tient la bite. Fermement. Je bande sans arrêt. Nous arrivons déjà à Stirling. Il est 15 h.
Je gare la voiture sur le parking devant le grand château. Il y a un monde fou. La fraîcheur a fait place à la douceur. Bien.

Plutôt que d'aller visiter le château qu'Estelle ne connaît pas encore, Clémentine propose de se promener un peu en ville.
Le centre est à une quinzaine de minutes. Excellent idée qui nous permet de bouger un peu nos couennes. Sympathique.
Stirling est une ville qui a préservé son héritage médiéval. De s'y promener c'est faire un voyage dans le passé. Superbe.
Les rues du centre sont pavées, interdites à la circulations et proposent de nombreuses activités artisanales. C'est fameux.
Nous nous offrons des cônes glacés que nous dégustons en flânant dans l'extraordinaire vieille ville. C'est d'un charme fou.

Il y a beaucoup trop de monde pour nous tripoter comme nous aimons à le faire. Pourtant nous sommes très excités. Joie.
Nous n'arrêtons pas de faire des plans sur la comète en évoquant l'invitation de Wong et de Li-Yang dans leur restaurant.
Le monument à la mémoire de William Wallace, héros de l'Ecosse, est à l'entrée d'un petit square. Un endroit de verdure.
Clémentine, désireuse de vivre un frisson, nous y entraîne. Il y a des promeneurs. Nous passons entre les haies, les bancs.
Clémentine me tend la laisse qu'elle tire par le haut de son sweat. La poignée pend sur sa cuisse. Sans attirer l'attention.

C'est lorsque nous croisons de rares messieurs seuls que je donne un à coup et que je nous mets en scène. Ostentatoire.
Estelle, que cela excite considérablement, me fait parfois : < Tu me fais vivre ça aussi un de ses jours ! Obligée ! >. Joie.
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'elle rajoute : < Tu m'emmènes faire des pissous dans les coins ! >. Je promets.
< Là ! > fait soudain Clémentine en nous entraînant entre deux bosquets et une grande statue. Elle s'accroupit. Coquine.
Il y a un mec qui passe. Il regarde. Clémentine accroupie à mes côtés, cuisses écartées, Estelle qui me tient la braguette.

Il ralentit, hésite, s'arrête, repart. Que peut-il bien faire ? Notre étonnant trio ne lui permet pas d'initiatives. C'est frustrant.
Il s'en va en se retournant à plusieurs reprises. Nous portons nos lunettes noires. Cela rajoute encore à l'insolite. Dingue.
Nous quittons le square en remerciant William Wallace pour son accueil. Clémentine me fait sentir ses battements de cœur.
Estelle nous fait : < Put-Hein, j'ai envie de me toucher ! J'ai mes petits machins de fille depuis ce matin ! Merde ! >. Rire.
Estelle, c'est le 25 de chaque mois. Depuis plus d'une année, nous le savons bien. Nous rigolons comme des bossus. Bien.

Il y a tant de choses à voir. Nous visitons la magnifique église gothique de Saint Croix de Stirling et son étonnant cimetière.
Pas question de nous livrer à nos petites extravagances dans un lieu de culte. Respect pour les dogmes et quels qu'ils soient.
Par contre, dans le cimetière dont la pelouse est une vraie moquette, il y a quelques opportunités qui peuvent se présenter.
Et il y en a une. Là-bas, entre le mur d'enceinte et une rangée de hautes pierres tombales, il est tout à fait possible de jouer.
Clémentine nous y entraîne. Elle retire la laisse par le haut de son sweat pour me la tendre. J'invite Estelle à s'en saisir. Joie.

Je reste en retrait. Je regarde les deux filles avancer avec prudence le long du mur. Il y a un homme qui semble travailler.
C'est certainement un employé communal. Il est en bleu de chauffe. A ses côtés il y a une brouette et des outils. Il bosse.
Je suis planqué à une cinquantaine de mètres. Le type relève la tête pour voir les deux filles debout devant lui. A 2 mètres.
Estelle tient Clémentine par la laisse. Elle engage une conversation. Le type montre différentes directions avec son index.
Pas de doute, les deux filles s'offrent un frisson commun. Je bande comme un salaud. Je n'arrête d'ailleurs plus de bander.

Clémentine s'accroupit. Cuisses écartées, à côté d'Estelle qui montre avec insistance deux directions opposées. Grand art.
J'admire ce flegme et cette grande maîtrise d'elle-même dont fait preuve cette pauvre "victime". Le type mérite la médaille.
Enfin, sa nature masculine semble surgir des tréfonds de sa libido. Il se touche la braguette tout en discutant avec les filles.
C'est sublime. Il semble même faire des propositions. Cambré sur ses genoux fléchis, il montre sa braguette. Une invitation.
Hélas, il y a un groupe de touristes qui se pointe. Des Asiatiques. Clémentine se redresse. Et Estelle l'entraîne par la laisse.

Juste avant de quitter l'endroit, Clémentine se retourne pour mimer une masturbation masculine devant le mec. Il mâte.
Accaparé par le groupe de touristes, le pauvre homme n'a d'autre choix que de les renseigner. Et de reprendre ses esprits.
Nous rions de bon cœur de notre nouvelle farce. Nous retournons en ville. Il faut songer à retourner à la voiture. 18 h30.
Je roule doucement. Clémentine n'arrête pas de se toucher. Estelle glisse une main entre les sièges pour me tenir la bite.
Nous arrivons à Linlithgow vers 19 h45. Juste le temps de garer l'auto dans une ruelle et de marcher jusqu'au port. Faim.

La salle du restaurant est bondée. Clémentine a retiré le collier canin, la peau de son cou légèrement irritée. Des rougeurs.
< Manque d'habitude ! > fait elle avec un air de dépit. Nous savourons notre repas. Queue de homard grillées et salicorne.
Nous évoquons nos aventures du jour. Notre trio de vicelards patentés. Nos désirs de vivre les choses les plus folles. Joie.
< L'hiver sera bien assez long et frustrant. Profitons en pour nous faire des souvenirs excitants ! > nous confie Clémentine.
< Put-hein, m'en parle pas ! > rajoute Estelle. Il est 22 h. Nous prenons la route du retour. La fraîcheur du soir. Fin août.

Clémentine est tellement excitée que je propose de nous arrêter dans un des chemins qu'il y a parfois sur notre gauche.
Ce sont des chemins qui descendent à la mer. Je m'y engage sans attendre de réponse. J'arrête l'auto. Estelle se penche.
Je prends Clémentine par les épaules. Siège couchette. Elle m'attire sur elle. Je m'introduis avec précaution. Le silence.
Estelle approche sa tête près des nôtres. Nous restons immobiles, comme nous aimons. Estelle est en sueur. Très excitée.
Clémentine commence à me chuchoter des cochonneries à l'oreille. Estelle se rapproche encore pour mieux écouter. Joie.

Parfois, nous nous mettons à nous bercer, faisant attention de ne pas accélérer. < Je veux comme ça ! > chuchote Estelle.
Je lui caresse le visage de ma main droite. Elle me fait des bises. < Si tu es sage ! > fait Clémentine. C'est la première fois.
Jamais Clémentine n'abonde dans le sens des demandes de plus en plus fréquentes d'Estelle. Et je ne dis absolument rien.
Estelle fourre sa langue dans ma bouche pour m'embrasser avec avidité. Clémentine bouge doucement son bassin. Super.
Nous restons ainsi un long moment. Je me retire avec précaution. Il est temps de prendre le chemin du retour. Déjà 23 h.

Malgré l'heure tardive, nous croisons encore quantité d'automobiles sur la route. Nous arrivons à Leith vers 23 h15. Bien.
Arrivés. Derrière, Estelle s'est endormie. Nous l'observons. < Notre petit animal de compagnie ! > chuchote Clémentine.
J'ouvre la portière arrière pour la lever et la prendre sous ses genoux et ses épaules. Elle ouvre les yeux. Un sourire. Dodo.
Nous montons l'escalier. Je dépose Estelle sur le lit. Nous avons déjà fait nos pissous à côté de l'auto juste après la baise.
Nous nous endormons tous les trois comme des bienheureux. Clémentine serrée comme contre une bouée de sauvetage.

Bonne visite de villes médiévales à toutes les coquines qui aiment êtres promenées à la laisse.

Julien - (Qui n'a absolument pas l'âme d'un "Maître" mais qui se démerde plutôt bien avec sa "soumise" joueuse) -

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Repas de famille, petite baise et exhibe de qualité

Hier matin, dimanche, Clémentine et moi, nous nous réveillons en même temps. Estelle dort encore à poings fermés. Silence.
Après quelques papouilles, en faisant très attention de ne pas faire trop bouger le lit, nous nous levons pour aller aux toilettes.
Il est 7 h30. Dehors il semble qu'il fait un temps maussade. Il y a même eu de la pluie dans la nuit. Nous allons à la cuisine.
Je presse nos oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous cessons souvent toute activité pour nous serrer l'un contre l'autre.
Nous entendons Estelle s'étirer en modulant longuement ses gémissements. Après les toilettes elle se précipite nous rejoindre.

Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit et tout en bavardant.
Le temps est moche. C'est une des rares journées aussi sinistre. C'est dimanche. Pas de jogging. Nous traînons à table. Sympa.
Les filles évoquent la rentrée, le lundi 24 septembre. C'est la première fois qu'elles en parlent depuis le début des vacances.
Rapidement toutefois, la conversation prend une tournure ludique. Elles reviennent à des sujets beaucoup plus amusants. Joie.
Il est 8 h15. La vaisselle. Je récupère le linge sale de tout le monde pour faire une machine. Clémentine nettoie la salle de bain.

Nous entendons Estelle chantonner en faisant le lit. < C'est presque comme un dimanche matin à la maison ! > dit Clémentine.
Nous voilà devant l'ordinateur. Aucun message. Les filles surfent un peu sur le site de l'université. Quelques informations. Bien.
Clémentine propose d'aller marcher un peu. Excellente suggestion. Nous nous habillons. Il faudra mettre des jeans, des sweats.
Je prépare notre petit sac à dos. Nous voilà prêts. Nos parapluies à la main. Nous descendons l'escalier de service. La fraîcheur.
Il ne pleut pas. Par contre le ciel est sombre et d'un gris de plomb. Nous descendons Morningside jusqu'au carrefour de l'église.

Quelle que soit la météo, Christ Church attire toujours plein de touristes. Estelle nous montre le groupe d'Asiatiques. Nombreux.
Nous prenons la rue commerçante. Il y a encore des ruelles que nous n'avons pas exploré. C'est une excellente occasion. Super.
Nous prendrons du pain au retour. Par mesure de précaution, nous le faisons mettre de côté pour tout à l'heure à la boulangerie.
Sur la demande de Clémentine, j'ai ma braguette discrètement ouverte. Tirette vers le bas. Estelle me la palpe souvent. Coquine.
< Et si on allait chercher des beignets chez Wong ? > propose Clémentine. La suggestion est applaudi. D'abord le supermarché.

Il n'y a pas trop de monde. C'est un peu stupide mais avec cette météo, il est agréable de flâner dans les rayons du magasin.
Le rayon culturel n'est pas très grand. Nous feuilletons quelques bels albums de photos. Estelle me palpe souvent la braguette.
Clémentine reste contre moi. Notre trio attire les regards de certains clients. Nous n'y faisons même plus vraiment attention.
Comme le précise parfois Clémentine, de nous observer doit être, d'une certaine manière, plutôt passionnant. C'est le cas ici.
Il est 10 h. Nous passons en caisse avec nos barres de céréales. Nous voilà dans la rue. Il y a cent mètres jusqu'au Fast Food.

Monsieur Wong est derrière le comptoir à servir des clients. Il nous voit. Il nous fait un grand sourire. Nous sommes dans la file.
Il s'absente un court instant. Il revient accompagné de Li-Yang, sa ravissante épouse. Elle contourne le buffet pour nous saluer.
Elle est toujours d'une grande élégance. Cette fois dans un pantalon noir à plis, un pull moulant, des souliers noirs. Talons hauts.
Ses longs cheveux, d'un noir de jais, brillants, lui arrivent presque au bas du dos. Petite, menue, adorable, et terriblement sexy.
Nous nous serrons la main. Je découvre une fois encore une main molle, lascive. C'est une curieuse impression. Nous bavardons.

Li-Yang nous fait voir les produits du jour derrière la vitrine devant le comptoir. Nous faisons notre choix. Différents beignets.
Elle nous propose de prendre un café à la table du fond, réservée aux connaissances. Nous acceptons volontiers. C'est sympa.
Attablés tous les quatre nous parlons de notre séjour. Li-Yang nous parle de leurs activités et de leur amour pour Edimbourg.
Clémentine me fait souvent du pied sous la table. Li-Yang est une jeune dame pleine d'humour. Elle dégage de la joie de vivre.
Elle se lève quelquefois pour rejoindre son mari, serrer quelques mains de clients réguliers. Clémentine me fait : < Les WC ! >

Estelle rajoute : < Fais lui le test des chiottes ! Tu nous racontes ! >. Je trouve l'idée saugrenue. Je me lève pour aller au WC.
Je sors ma bite. Je suis debout devant l'unique urinoir. La configuration des toilettes est un peu particulière. C'est peu lumineux.
L'urinoir est fixé sur un muret qui fait face à la porte d'entrée. Juste assez haut pour dissimuler l'activité du pisseur. Bien conçu.
Sur la gauche deux cabinets de toilette. Sur la droite un lavabo et un sèche main électrique. Deux petites lampes murales. Bien.
Je suis debout, la bite à la main. Je me sens un peu con. Je me regarde dans le miroir. Situation un peu stupide et sans intérêt.

Soudain, la porte s'ouvre. Là, en face de moi, Li-Yang avec des rouleaux de papier cul à la main me fait un sourire si délicieux.
Ainsi c'est le prétexte qu'elle a trouvé pour me rejoindre aux chiottes. Je trouve cette simplicité absolument géniale. Je bande.
La jeune femme reste devant moi. Le muret empêche qu'elle ne voit mes parties intimes. Mais la situation est troublante. Joie.
Li-Yang se met à parler en me fixant. Nos achats sont préparés dans des cornets en papier. Je suis terriblement gêné. Exquis.
La situation m'excite. Je me concentre. Je lâche un jet de pisse. Un second. Il y a le bruit. Li-Yang me fixe. Un regard vicelard.

Impossible de pisser encore. Mon érection est trop forte. Je bouge doucement mon poignet tout en bavardant avec la femme.
Elle semble prendre autant de plaisir que moi de cette situation équivoque. Je me branle en parlant. C'est absolument divin.
Li-Yang ne paraît pas du tout incommodée. Ce serait même le contraire. Je me branle à présent sans tenter de le dissimuler.
C'est génial. Un enchantement. Une véritable ivresse des sens. Et cette superbe jeune femme qui reste immobile à m'observer.
Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. Et elle ne bouge toujours pas, parlant de choses aussi anodines que la mer, la pêche.

La porte s'ouvre. C'est Clémentine. Elle tombe sur le spectacle. Li-Yang s'écarte pour laisser passer ma compagne. Le silence.
< Super ! Non ? > fait Clémentine. < Génial ! > répond Li-Yang en levant le pouce de sa main droite. Clémentine me rejoint.
Elle passe derrière le muret pour se saisir de ma queue. Je bande comme le dernier des salauds. Et c'est presque douloureux.
Li-Yang, pas du tout déstabilisée reste à nous observer tout en discutant. < Ça vous tente ? > demande Clémentine à Li-Yang.
Nous savons à qui nous avons affaire. Li-Yang fait partie du "club". Entre vicelards pourquoi faire des manières. C'est sublime.

< On se voit ce soir. N'oubliez pas que vous êtes nos invités ! > fait Li-Yang avant de sortir. Je lui fais un clin d'œil. Elle aussi.
Clémentine s'accroupit pour me sucer. Je suis tellement excité que je peux entendre les gargouillis. Epanchements abondants.
Je la force à se redresser. Je lui essuie le coin de la bouche avec l'index qu'elle lèche avec avidité. Je remballe. Nous sortons.
Nous rejoignons Estelle. Et nous lui racontons notre aventure. < Put-Hein ! Je suis excitée ! C'est trop génial ! > nous fait elle.
Il est temps de récupérer nos achats, de payer et de rentrer. Le repas de famille. Il est midi lorsque nous sommes de retour.

Il y a ma tante et son mari de St Andrews, mon cousin et sa femme, ma cousine et son mari, l'oncle d'Edimbourg, sa femme.
Nous prenons notre repas dans le grand salon Victorien. Une fois encore ce sont les filles qui sont le centre d'intérêt principal.
Mon cousin me lance d'ailleurs de curieux regards. Je sais ce qu'il peut penser. Ce que pensent sans doute les autres convives.
Nous traînons à table. Dehors, la pluie tombe par intermittences. Nous ne perdons rien à rester là et à bavarder. Sympathique.
Il est 16 h lorsque nous prenons congé. Mon oncle nous a montré sa collection d'armes anciennes. De vraies œuvres d'art.

Dans l'appartement, Clémentine est si excitée qu'elle ouvre mon jean, le fait tomber sur mes chevilles, me bascule sur le lit.
Estelle s'assoit à côté. Elle s'empare de ma queue ruisselante de liquide séminal. Clémentine me suce immédiatement. Délice.
Estelle me tient les couilles tout en m'embrassant. Pour ne pas risquer d'éjaculer, je propose à Clémentine de baiser un peu.
Elle a retiré son jean. Elle m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Je suis toujours maître de mes émotions.
Nous restons sans bouger. Estelle est couchée à côté de nous, son visage tout près des nôtres. Nous évoquons le Fast Food.

Comme toujours dans ces situations, je caresse la tête d'Estelle qui participe à nos chuchotements. Nous parlons de Li-Yang.
Parfois, excités comme des puces, Clémentine et moi, nous nous berçons pour cesser dès que cela devient critique. Dangereux.
Estelle m'embrasse pendant que Clémentine me murmure de délicieuses cochonneries. Nous vivons un moment extraordinaire.
Il faut cesser sous peine d'orgasme. Je me retire doucement. Estelle se précipite pour me sucer. < Nettoyer ! > comme elle dit.
Il est 18 h30. Nous passons à la salle de bain. Nous devons nous rendre des visages humains. Nous faisons les clowns. Rires.

Il est 19 h15. Il pleut. Nous prenons donc la voiture que je gare le plus près possible du Fast Food. Nous avons nos parapluies.
Il fait sombre. Sinistre. Nous marchons rapidement. Il est presque 20 h lorsque nous entrons dans le restaurant. Plein de gens.
C'est une affaire qui tourne. La jeune serveuse de l'autre fois vient nous accueillir pour nous conduire au fond. Une belle table.
Il y a un paravent qui nous dissimule de la salle. Nous nous installons. Li-Yang est la première à nous rejoindre. Superbe. Belle.
Monsieur Wong arrive à son tour. D'avance il s'excuse. Il sera obligé de nous laisser souvent. Il doit s'occuper des clients. Bien.

Li-Yang est vêtue d'un chemisier blanc, d'un pantalon en cuir noir aussi serré qu'un collant et chaussée de bottes noirs. Talons.
< Super pute ! > me chuchote Estelle. Le repas est délicieux. Nous rions beaucoup. Le couple est souvent hilare. Bonne humeur.
Nous parlons de notre rendez-vous demain matin. Monsieur Wong propose qu'il se fasse ici. Le restaurant fermé le lundi matin.
C'est une excellente idée. Nous découvrons que Li-Yang sera de la "partie". < De la partouze ! > me chuchote Estelle. Rigolade.
Il y a bien trop de monde, bien trop d'allées et venues aux toilettes pour nous offrir une nouvelle aventure. Ce sera pour demain.

Durant tout le repas Li-Yang ne cesse de me regarder par en dessous. Un regard qui transpire le vice, le désir, la concupiscence.
Je bande toute la soirée. Clémentine me fait du pied sous la table. Je vais aux toilettes trois fois. A chaque fois il y a du monde.
J'enrage. Frustration divine. Li-Yang me regarde amusée à chacun de mes retours dépités. Nous rions de bon cœur tous les cinq.
Il est 23 h lorsque nous revenons à l'appartement. Epuisés. Excités. Lorsque nous revenons de la salle de bain, Estelle dort déjà.
Nous tentons bien quelques trucs. Fatigués, détestant les choses bâclées, nous nous serrons fortement pour nous endormir. Joie.

Bonnes situations troublantes à toutes les coquines qui aiment à les vivre dans les endroits les plus divers…

Julien - (Qui se retrouve dans les situations les plus affolantes avec la complicité de Clémentine. En couple c'est plus facile) -

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Classe - 47 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 529 -



Un rendez-vous et une surprise très particulière

Hier matin, lundi, je suis réveillé par de délicats bisous que l'on me dépose sur la joue, le front et même sur le bout du nez.
J'ouvre les yeux. Le visage bienveillant de Clémentine tout près du mien. Je regarde par dessus son épaule. Estelle qui dort.
Nous nous chuchotons des douceurs. Nous nous levons le plus silencieusement possible pour filer aux toilettes. Le rituel pipi.
A la cuisine, je presse nos oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous entendons Estelle s'étirer en gémissant. C'est si drôle.
Après les toilettes elle se précipite pour nous rejoindre en me sautant au cou. Des bisous. Clémentine s'interpose. Notre jeu.

Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit et tout en bavardant.
Il n'est que 7 h15. Dehors il fait aussi moche que hier. Nous sommes déjà en tenues de jogging. Les filles sont assez fébriles.
Elles sont considérablement excitées par la perspective de notre rendez-vous de de matin. 10 h30 dans le Fast Food de Wong.
La vaisselle. Nous descendons l'escalier de service pour nous retrouver dans la fraîcheur du matin. Estelle démarre très vite.
C'est elle qui donne le rythme. Nous courons le long de notre circuit habituel. Arrêt sur la colline pour admirer la ville. Si belle.

Il est 9 h15 lorsque nous sommes de retour. Nous prenons notre douche les premiers pendant qu'Estelle allume l'ordinateur.
Puis c'est à son tour. Nous découvrons nos deux messages. Celui de Juliette qui nous invite à un repas à notre retour. Sympa.
Le message de Lennie la jeune Hollandaise qui nous confie être pressée de nous revoir et de passer une soirée avec nous. Joie.
Nous répondons en joignant deux photos prises hier. Estelle vient nous rejoindre. Les filles portent leurs jupettes sport. T-shirt.
Je suis en jean, T-shirt. Nous portons nos baskets. Ce matin, exceptionnellement, pour faire nos 3 km, nous prenons la voiture.

Je roule doucement. La circulation est fluide. Clémentine joue avec ma bite. Estelle, assise à l'arrière, me tient par le cou. Bien.
Je gare la voiture dans une ruelle à cinq minutes de la rue commerçante. Sur le trottoir, Clémentine se serre contre moi. Fort.
< J'ai une trouille bleue ! Si tu savais ! > me fait elle. Estelle qui se serre contre nous, dit : < Moi aussi ! Venez, on s'enfuit ! >
Nous rions de notre appréhension légitime et ridicule à laquelle se mêle une excitation intense. Il est 10 h15. Il y a de la marge.
< Tu baises pas avec la pute ! Hein ! Tu promets ! > me fait Clémentine en me tenant le bras. < Mais avec moi ! > fait Estelle.

Nous arrivons devant le Fast-Food dont les vitrines sont occultées par des persiennes métalliques, grises et totalement opaques.
Nous allons jusqu'à la porte voisine. Nous donnons les trois coups de sonnettes convenus. C'est Li-Yang qui vient nous recevoir.
Elle nous serre la main. Elle est en jupe noire, un chemisier blanc aux manches bouffantes, des souliers noirs et à hauts talons.
Nous la suivons dans l'étroit couloir. Nous passons la porte pour nous retrouver dans les cuisines du restaurant. Hyper propres.
Nous saluons monsieur Wonng, très élégant dans un pantalon noir, une chemise blanche. Nous sommes un peu gênés. Clean.

Je dis : < Si nous avions su, nous ne serions pas venus en tenues de touristes ! >. Li-Yang répond : < Mais c'est très bien ! >
Il y a deux grands matelas au sol, devant le comptoir. C'est tellement étrange de les voir là, en plein restaurant. Surréaliste !
Clémentine ne me lâche pas la main. Trois coups de sonnettes, c'est Taylor. Lui aussi est très élégant. Pantalon et la chemise.
Monsieur Wong passe derrière le bar et demande : < Café ? >. Tout le monde accepte. Il s'affaire devant la machine expresso.
Nous sommes silencieux. Peut-être gênés de nous retrouver tous les six ici, dans ce restaurant fermé jusqu'à 13 h30. Bien.

Wong est un beau Vietnamien , la trentaine, fin et d'une classe naturelle. Li-Yang est une splendide bourgeoise Vietnamienne.
Taylor est un homme posé, serein, paraissant souvent accablé par son sort. Séparé depuis peu, une fille de 12 ans à charge.
Wong pose les petites tasses sur un plateau. Li-Yang fait le service en nous proposant de nous assoir à la table des "amis".
Wong contourne le bar. C'est là que nous apercevons son sexe qui dépasse de sa braguette ouverte. Un sexe fin, blanc, net.
< Les festivités sont ouvertes ! > fait Li-Yang, me faisant un clin d'œil. Clémentine me prend la main. Taylor se lève de table.

Lui aussi a sorti son sexe. Les deux hommes sont debout à environ un mètre de la table. Mains sur les hanches. En attente.
Estelle ne cesse de me regarder. Comme si elle me consultait du regard. Li-Yang se lève. Elle se penche devant les queues.
Et d'un geste elle invite les filles à prendre place au sol. < Des coussins ? > demande t-elle le plus naturellement du monde.
Je dis : < Nous voilà tous les trois devant le fantasme que nous évoquons si souvent ! >. Puis c'est un long silence. Lourd.
Wong se tient la queue à la base. Taylor ne tarde pas à faire pareil. Taylor est un impuissant. Wong commence à bander dur.

La bite à Wong est plutôt courte, pointée vers le haut, recouverte d'un prépuce lisse. Elle est d'une blancheur étonnante. Nette.
Fine, elle paraît nerveuse. Il semble s'adresser plus particulièrement à Clémentine en l'agitant dans sa direction. C'est étonnant.
Je dis à Clémentine : < Il y a ton Nem qui t'attend ! >. Ma compagne hésite. Elle reste assise à mes côtés. Me tient par la main.
< Et vous ? > me demande Li-Yang. Je me sens un peu con. Je n'ai pas trop envie de me mettre debout à côté des deux types.
Je me lève enfin. Je saisis Clémentine par ses cheveux. Fermement. Penchée en avant, étonnée par mon initiative, elle me suit.

Wong se dirige vers un des matelas sur lequel il s'allonge en enlevant son pantalon. Je force Clémentine à s'assoir à ses côtés.
Je me penche pour lui murmurer : < Bon appétit ! >. Je retourne vers Estelle toujours assise à table. Elle me regarde effrayée.
Taylor est allé s'allonger sur le second matelas. Je la saisis par ses cheveux. < Non ! > me fait elle en opposant une résistance.
Je la tire fermement, sans aucun ménagement. Je l'emmène, penchée en avant, jusqu'au matelas, pour la forcer à s'y assoir.
Je regarde Clémentine, couchée sur le côté, sa tête sur le ventre de Wong. Elle lui tient la queue et me regarde. Un air de défi.

Taylor saisit Estelle par la tignasse. Il la force a se rapprocher. La voilà dans la même position. Je regarde, consterné et excité.
Li-Yang vient me rejoindre en disant : < Joli tableau ! >. Clémentine s'est mise à sucer. Estelle lui dit : < Tu me fais goûter ! >
Clémentine suce, les yeux fermés. Sur ses traits je peux deviner l'immense plaisir qui l'envahit. Comme elle est belle, excitante.
Estelle, tenue par la nuque, jouant son rôle de vierge effarouchée, s'est mise à sucer. Je regarde ce prodigieux spectacle. Super.
Li-Yang me fait : < Tu vas aux toilettes ? >. Je la regarde. Elle m'invite à la suivre. < Je veux jouer comme hier ! > me dit elle.

Elle ouvre la porte en rajoutant : < Je te rejoins ! >. Je jette un dernier regard aux deux suceuses. Elles semblent concentrées.
Estelle, toujours maintenue par la nuque semble dégoûtée par la pipe que lui impose Taylor et sa bite désespérément mollasse.
Li-Yang insiste : < Prépare toi ! >. J'entre dans les chiottes. Je me déboutonne. Je sors mon Zob. Je suis debout devant le mur.
Je bande comme un priapique en phase terminale. Li-Yang entre dans les toilettes. C'est la même scène que l'autre fois. Super.
Il m'est évidemment impossible de pisser. Même si je me retiens depuis le retour du jogging. Dur. Li-Yang reste devant la porte.

< Je viens toujours regarder les mecs qui me plaisent, lorsqu'ils quittent le restaurant pour venir aux toilettes ! > me fait elle.
Je la regarde, étonné et épaté. C'est tellement excitant de voir cette jeune Asiatique, merveilleusement belle, qui m'observe là.
Je me branle. Elle me regarde en souriant. Elle agite le bras en mimant une masturbation masculine. < J'adore ! > me fait elle.
< Il y a souvent des branleurs ! Je les repère déjà dans la salle ! > rajoute t-elle. Je lui fais : < Et tu te contente de mâter ? >
< Le plus souvent, oui, ça me convient et ça me suffit ! >. Nous restons ainsi un moment. < Venez ! > fait elle en m'invitant.

Je viens près de la porte que Li-Yang tient ouverte. Je vois les deux couples. Clémentine et Etelle ont échangé les partenaires.
Clémentine suce Taylor avec cet air de ravissement qui m'enchante. Estelle semble se régaler avec la bite très classe de Wong.
< Venez ! > me fait Li-Yang en me prenant par la main. Nous nous nous approchons des couples. Clémentine me fixe avec défi.
Taylor la tient par la nuque. C'est un vrai salaud. Même s'il ne bande pas, il semble prendre un plaisir fou, à forcer la jeune fille.
Estelle suce en poussant des gloussements. Je me branle. Li-Yang me chuchote : < Wong va baiser ta copine ! A fond et fort ! >

Je n'ai pas le temps de répondre qu'elle m'entraîne par la main. Elle se couche sur une des tables. Lascive et cuisses écartées.
< Prends moi ! > m'ordonne t-elle. Je me souviens de ce que m'a demandé Clémentine. Je reste distant. Je bande. C'est dur.
Li-Yang se masturbe. < Viens ! > me demande t-elle une nouvelle fois. Et je ne réponds pas. Derrière moi j'entends les filles.
Je me retourne. Clémentine, couchée sur le dos, les jambes repliées, les cuisses écartées, est entrain de se faire baiser. Wong.
Je la vois pour la première fois faire ça avec un autre. J'ai un pincement au cœur. Cela m'excite et m'attriste en même temps.

Estelle s'est remise à sucer Taylor. Elle ne risque pas de se faire baiser. Je n'ai de yeux que pour Clémentine qui prend son pied.
Wong est visiblement un baiseur fou. Un véritable étalon. Il se secoue dans la fille qui le tient par les épaules en l'encourageant.
Elle ouvre les yeux. Je n'oublierais jamais ce regard. Noyée de plaisir, son air de me défier, son plaisir qu'elle exhibe pour moi.
J'ai mon cœur qui flanche. Li-Yang me rappelle à la réalité. Elle se relevée. Elle se met à genoux devant moi. Je lui tend le Zob.
Je m'assois sur une des chaises. Elles sont confortables. Li-Yang à genoux sur une couverture pliée, me taille une superbe pipe.

Clémentine, toujours couchée sous Wong, ouvre quelquefois les yeux pour me fixer. Difficile de les garder ouvert en jouissant.
Je l'entends pousser de véritables cris de plaisir. Elle est secouée comme une poupée par ce Wong pourtant frêle et plus petit.
La bouche de Li-Yang est une émanation divine. C'est paradisiaque. Clémentine repousse soudain Wong. Elle le sent "venir".
Wong, étonné par sa réaction, n'insiste pas et se couche sur le côté. Clémentine s'approche d'Estelle. < Tu veux ? > fait elle.
Estelle, sans cesser de pomper, maintenue par Taylor, se contente de faire non de la tête. Estelle ne baise pas. Pucelle dit elle.

Même si nous n'y croyons plus, l'affirmation d'Estelle est claire. Wong n'est pas du genre à abuser. Clémentine se redresse.
Elle vient vers moi. elle tire sur les cheveux de Li-Yang afin de la forcer à se relever. Elle prend sa place. Je me fais pomper.
Je lui caresse la tête. Elle me fixe avec un regard plein de reconnaissance. Comme elle est belle, les yeux cernés, larmoyant.
Taylor, là-bas, doit éjaculer. Je le vois se cambrer en appuyant de toutes ses forces sur la tête d'Estelle qui déglutit en criant.
Li-Yang, soudain, se cambre. Elle n'a pas cessé de se masturber discrètement. Elle connaît probablement un orgasme fou !

Estelle parvient à se soustraire de l'étreinte de Taylor. Elle se lève à toute vitesse en s'essuyant la bouche. Elle nous rejoint.
Je force Clémentine à cesser. Nous nous levons tous deux en même temps. < On se casse ! > nous fait Estelle. Il est 13 h.
Wong agite sa bite devant Clémentine en lui disant : < C'est quand tu veux ! >. Elle ne répond pas. Et nous nous éloignons.
Il est temps de nous en aller. Nous ne cherchons même pas un prétexte. Nous saluons tout le monde et nous filons très vite.
Dans la rue, nous restons silencieux. Nous venons de vivre un des moments les plus forts de nos existences. Il faut le réaliser.

Je propose aux filles d'aller dans un restaurant. Nous devons nous changer les idées. Pas question de nous retrouver seuls.
Il faut fuir toute forme d'introspection. Elle risque d'être négative. Les filles me paraissent assez choquées. Je tente la blague.
Le cœur n'y est pas vraiment mais elles sont plutôt coopératives. Nous voilà assis dans un restaurant devant des fruits de mer.
< Tu m'en veux Julien ? > me demande plusieurs fois Clémentine en posant sa main sur la mienne. Je la rassure en souriant.
Je dis : < Bien sûr que non ! Par contre je t'en voudrais si tu avais réagi autrement avec Wong ! >. Nous rions de bon cœur.

< Taylor a un goût dégueulasse, poisseux, amer ! Beurk ! > fait Estelle. Elle rajoute : < Par contre Wong, c'est un délice ! >
< C'est vrai ! > dit Clémentine. Je dis : < Et en plus, il baise comme un dieu ! >. Clémentine ne dit rien, terriblement gênée.
Je lui passe l'index sous le menton pour relever sa tête et pour lui dire : < Il t'a invitée à revenir pour te faire baiser encore ! >
Clémentine ne me répond pas. Elle me fait un sourire. J'insiste : < C'est un ordre de ton "Maître" ! >. Enfin elle éclate de rire.
Il s'est mis à pleuvoir. Nous passons l'après-midi sous nos parapluies à flâner dans Royal Mile, le centre urbain d'Edimbourg.

Bonne baise à toutes les coquines qui ne s'attendaient pas à bouffer de la bite et à s'en prendre une dans le fion…

Julien - (Qui a connu une émotion rare. Une émotion qu'il n'a plus vécu depuis très longtemps. Nouvelle pour Clémentine) -

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Je dois rassurer et consoler Clémentine

Hier matin, mardi, je suis tiré de mon sommeil par de douces caresses sur ma tête. J'ouvre les yeux. Le visage de Clémentine.
Les yeux rougis, encore humides elle se serre contre moi en étouffant un sanglot. Je suis soudain pris de panique. Je la serre.
Je ne dis rien. Estelle dort encore. Nous nous levons doucement pour aller aux toilettes. Clémentine me raconte sa dure nuit .
Ma compagne a fait une série de rêves assez pénibles consécutifs à ce que nous avons vécu hier matin au Fast Food. Silence.
J'écoute. Nous allons à la cuisine. Je presse nos oranges, Clémentine, qui culpabilise, s'occupe du café. Je la rassure. Bisous.

< Je ne veux pas te perdre. J'ai peur ! > me confie ma compagne blottie contre moi. Je la console. Je la rassure plein de fois.
Je lui dis : < Mais où est le problème ? Parce que tu as baisé avec un autre ? Mais je suis ravi ! Je t'aime encore davantage ! >
Nous entendons Estelle s'étirer en gémissant. Je rajoute : < Tu as 21 ans, il faut que tu profites des opportunités ! Un max ! >
Estelle vient nous rejoindre. Elle se serre contre moi. Clémentine s'interpose. < Tu as pleuré ? > lui demande Estelle. Silence.
Nous lui expliquons. < Moi aussi je veux un Julien ! C'est trop génial un mec qui t'aide à te réaliser ! Profite donc !> fait Estelle.

Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit et tout en bavardant.
< Excusez moi, je plombe l'ambiance ! > fait Clémentine. Je lui dis : < Pour te punir, on retourne au Fast Food aujourd'hui ! >
Nous rions de bon cœur lorsqu'Estelle s'écrie : < Oh oui ! Un Nem ! >. Enfin Clémentine retrouve son optimisme naturel. Joie.
Nous sommes déjà en tenue de jogging. Il est à peine 7 h30. La vaisselle. Nous descendons dans la fraîcheur matinale. Gris.
La météo n'est pas menaçante. Le ciel reste lumineux. C'est Estelle qui impulse le rythme. Notre circuit habituel et quotidien.

Nous croisons les joggeurs habituels que nous saluons. Nous admirons Edimbourg depuis le sommet de la colline. Magnifique.
Il est 9 h15 lorsque nous revenons. Nous bavardons un instant avec la femme de mon oncle dans le jardin. C'est sympathique.
Nous prenons notre douche pendant qu'Estelle est à l'ordinateur. Puis c'est à elle. Clémentine est totalement rassurée. Super.
Nous découvrons le message de Juliette. Elle vient en soirée dans notre propriété pour cueillir les fruits. Prunes et mirabelles.
Elle nous raconte les conversations avec les Bertrand, nos voisins qui viennent arroser le potager. Les légumes en abondance.

Nous répondons en joignant deux photos prises hier dans le centre d'Edimbourg. Estelle revient. Nous évoquons le programme.
Les filles ont le désir de retourner sur Stirling. La ville médiévale est tellement charmante et nous voulons revisiter le château.
Clémentine et Estelle portent une de leurs jupettes sport, un T-shirt et des baskets. Je suis en short, chemisette et en baskets.
Estelle prépare les sandwichs et le petit sac à dos. Clémentine est assise sur mes genoux. Et elle a retrouvé sa bonne humeur.
Le réconfort est tel qu'elle me chuchote à présent des trucs coquins. Je l'encourage à récidiver. Je rajoute : < C'est un ordre ! >

Nous en rions de bon cœur. Je murmure : < J'ai tellement adoré te voir sous ce mec hier ! >. Clémentine me couvre de bisous.
< Moi aussi j'ai adoré ! C'est tellement étrange de me faire pénétrer par un autre. Mon plaisir est purement cérébral ! > dit elle.
Je sais que Clémentine est une vraie clitoridienne. La pénétration vaginale n'est qu'un stimuli. Un parfait support à l'imaginaire.
Estelle vient nous rejoindre. < Sandwichs au saumon fumé avec rondelles d'œuf dur ! > fait elle en nous montrant le sac à dos.
Il est 10 h30. Nous voilà en route. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite. Et Estelle, à l'arrière, me tient par le cou.

Il y a 60 km jusqu'à Stirling. Nous y arrivons vers 11 h30. Je gare la voiture sur le grand parking sous le château. Plein d'autos.
Nous marchons vers la ville. Clémentine me tient par le bras et sans jamais me lâcher. Comme pour se rassurer encore un peu.
Estelle me tient par la main. Sur la demande de Clémentine, j'ai la braguette discrètement ouverte. Estelle la palpe parfois. Bon.
Nous flânons un peu dans le centre. Les rues pavées, les murs de pierres, et nous voilà une fois encore dans une autre époque.
La faim commence à se faire sentir. Il fait doux. Nous entrons dans le square gardé par la statue de William Wallace. Le héros.

Clémentine a laissé sa culotte dans le vide poche de la voiture. Estelle a préféré garder la sienne. Nous voilà assis sur un banc.
Nous dégustons nos pommes en regardant les promeneurs. Les filles évoquent à présent notre aventure de hier matin en riant.
Il est question du "Nem" de monsieur Wong et de cette "pute" de Li-Yang. C'est ainsi que l'appelle Estelle. Quelque peu jalouse.
Clémentine me fait : < Je t'interdis de baiser avec une autre alors que moi je baise avec un autre ! >. Nous rions de bon cœur.
< Julien aura le droit de baiser avec moi, alors ? > fait Estelle qui ne perd pas le Nord. < J'y pense ! > lui répond Clémentine.

Nous félicitons Estelle pour la qualité de ses sandwichs. Il y a ce type qui semble rôder entre les bancs, les statues, les fourrés.
C'est Clémentine qui le repère. < Un exhibo tu crois ? > demande Estelle. < Attendez moi, je vais aller voir ! > fait Clémentine.
Nous la regardons s'éloigner. Estelle me fait : < Tu te rends compte, on va peut-être enfin pouvoir baiser ensemble ! >. Rires.
Clémentine marche doucement, les bras croisés. L'individu, vêtu d'un pantalon noir, d'un sweat bleu et de baskets, l'a vu. Bien.
Clémentine, qui regarde attentivement partout autour d'elle, se baisse, s'engage dans les fourrés, une main entre ses cuisses.

Le mec fait pareil. Il contourne la fontaine pour se diriger vers les fourrés. Estelle m'entraîne par la main. Nous voulons regarder.
Nous passons derrière les bosquets en longeant difficilement les hautes grilles du parc. Là, accroupie, Clémentine offre son show.
Le mec, debout à quelques mètres, se branle en discutant. De notre planque, nous ne comprenons rien. Il a un mauvais anglais.
En tous cas il a une superbe bite qu'il agite devant la pisseuse. Il s'approche. Estelle me serre la main très fort. Il faut surveiller.
Le type est à environ deux mètres de la fille. Il ne cesse de s'approcher. Clémentine se relève prestement. Il faut intervenir. Vite.

Penché en avant pour éviter les branches basses, j'écarte les feuillages pour me précipiter. Juste à temps. Le type tient la fille.
L'inconnu me voit arriver. Je le dépasse d'une demi tête. Il me jauge du regard. Il lâche le bras de Clémentine, cache son sexe.
Il s'enfuit littéralement et comme un voleur. Estelle vient nous rejoindre. < Décidément, c'est la série des émotions ! > fait elle.
< Put-Hein ! Tu te rends compte ça existe encore des mecs comme ça. Si t'es toute seule t'es mal. L'enfoiré ! > fait Clémentine.
Je dis : < On avait bien vu qu'il rôdait et qu'il n'était pas "clair" ! >. Nous sortons du parc pour nous diriger vers le centre. Joie.

Nous nous offrons des cônes glacés que nous dégustons en admirant quelques vitrines d'artisans. Il y a des choses superbes.
Nous traînons longuement. Il est 15 h, je propose de remonter vers le château. La visite termine à 18 h. Suggestion applaudit.
Dans la file, devant la billetterie, Estelle n'arrête pas de ma palper discrètement la braguette. Clémentine s'en amuse en riant.
La visite est guidée. Et c'est certainement une étudiante qui guide le groupe d'une dizaine de touristes qui nous accompagnent.
L'intérieur du château a été entièrement aménagé pour faire revivre le passé tumultueux de l'époque de Marie Stuart. Superbe.

Parfois, très discrètement, je passe ma main sous les jupettes des filles. Paradoxalement, c'est plus simple au sein d'un groupe.
Clémentine n'a pas de culotte. Je peux sentir l'humidité de sa touffe. Je palpe la culotte d'Estelle. Elles m'encouragent à le faire.
C'est à chaque fois que la jeune fille brune, portant des lunettes, les cheveux attachés en queue regarde, qu'Estelle me touche.
La guide fini par s'en apercevoir très vite. Clémentine fait pareil. Nous pratiquons souvent ce genre de jeu. C'est si intriguant.
La jeune fille ne perd pourtant pas le fil de ses commentaires. C'est intéressant. Nous écoutons. Je bande comme un vrai salaud.

Comme toujours, à la fin de la visite, un billet de 10 £ dans la main, je vais féliciter la guide pour la qualité de la visite. Super.
Lui glissant discrètement le billet dans la main, je dis à quel point son argumentaire est passionnant. Elle mâte ma braguette.
C'est un réflexe bien normal. elle doit être émoustillée car elle me fait un sourire par en dessous. Nous la saluons en partant.
Il est 18 h. Je propose de nous mettre en quête d'un bon restaurant afin d'y réserver une table pour ce soir. Excellente idée !
Nous revenons au centre. Sterling est une ville pleine de charme. Son ambiance est source de quiétude. C'est un vrai bonheur.

Nous trouvons le restaurant qui nous convient. Il y en a tant. Nous réservons pour 20 h. Nous déambulons dans les rues. Bien.
Il y a un trio de musiciens, vêtus du costume folklorique écossais. Un garçon et deux filles. Cornemuse, guitare et violoncelle.
C'est de toute beauté. Je dépose un billet de 5 £ dans le chapeau. Nous écoutons un petit moment. Estelle tente le "palpage".
Elle veut récidiver. Quoi de plus troublant pour une jeune femme que de voir deux filles tripoter un mec d'âge mûr ? Sympa.
Ce n'est pas simple car l'attroupement fait cercle autour des musiciens. Il faut jouer la prudence. Elles sont parfaites virtuoses.

Nous continuons nos pérégrinations dans les ruelles piétonnes. Il est rapidement l'heure de nous rendre au restaurant. La faim.
C'est devant des plateaux de fruits de mer que nous faisons le bilan de cette nouvelle journée. Les filles parlent de hier matin.
Décidément, monsieur Wong leur a laissé un agréable souvenir. Je propose d'y retourner acheter des choses dès demain. Joie.
Nous retournerons donc au Fast Food pour y faire provisions de beignets de crevettes. Je bande à l'idée d'y retourner demain.
Nous traînons à table jusqu'aux environs de 22 h. Il est temps de rentrer. Nous commençons à ressentir la fatigue. L'émotion.

Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle passe une main entre les sièges. Elle me tient les couilles. Fort.
Nous évoquons notre expérience de hier. Au point que l'idée d'y retourner demain tourne à l'obsession. Et c'est très excitant.
Il est 23 h15 lorsque nous sommes de retour à l'appartement. Epuisés. Lorsque nous revenons de la salle de bain Estelle dort.
Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Elle ouvre le tiroir de la table de nuit. La pénombre.
Elle en sort ce que je crois être un tissus. C'est une capote. < Souvenir ! C'est celle que portait Wong, hier ! > me fait elle.

Bonnes aventures burlesques et vicelardes dans les squares et dans les visites de châteaux à toutes les coquines "allumées"...

Julien - (Qui découvre le côté fétichiste de Clémentine. Elle garde la capote qu'a porté le mec qui l'a baisé hier matin) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 531 -



Nous retournons faire des achats au Fast Food

Hier matin, mercredi, je suis tiré de mon sommeil par le souffle chaud de Clémentine dans mon cou. Une sensation "animale".
J'ouvre les yeux pour découvrir l'expression amoureuse de son visage angélique. Tellement belle que j'en suis noyé d'émotion.
Je la serre contre moi. Nous nous murmurons les premières douceurs de la journée. Estelle dort encore à poings fermés. Bien.
Nous nous levons silencieusement pour nous rendre aux toilettes. A la cuisine je presse nos oranges. Il faudra aller en acheter.
Clémentine s'occupe du café. Nous entendons Estelle qui s'étire en gémissant. Elle revient des toilettes pour me sauter au cou.

Clémentine s'interpose. C'est devenu un jeu autant qu'un rituel. Cela nous amuse tant. Il est à peine 7 h15. Dehors il fait beau.
Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Joie.
Nous faisons un très vague programme de la journée. Il faudra retourner faire des courses. Nous n'avons presque plus de fruits.
Nous sommes en tenues de jogging. Après la vaisselle, nous descendons l'escalier de service pour nous retrouver dans le jardin.
La fraîcheur est très supportable. C'est Estelle qui impulse un rythme soutenu. Le circuit habituel. Et nous revenons pour 9 h15.

Nous prenons notre douche en premier pendant qu'Estelle est à l'ordinateur. Puis c'est à son tour. Nous découvrons notre mail.
C'est mon oncle qui tient ma galerie. Les propriétaires des tableaux encore accrochés commencent à venir les chercher. Super.
Mon oncle ferme la galerie demain. Nous répondons. Estelle vient nous rejoindre. Les filles sont en robe, sandales. Il fait doux.
Je suis en short, chemisettes et sandales. Nous descendons Morningside jusqu'au carrefour de Christ Church. Il y a du monde.
Nous prenons à gauche, la rue commerçante. Et sans même nous consulter, nous allons directement au Fast Food, chez Wong.

Il y a quelques clients. C'est monsieur Wong qui les sert. Li-Yang emplit des plats de crudités dans une des vitrines inclinées.
Elle nous fait un merveilleux sourire avant de contourner le comptoir pour venir nous saluer. Toujours sa main lascive, molle.
Elle nous invite à prendre un expresso. Monsieur Wong, occupé avec des clients, nous adresse un grand sourire et un coucou.
Li-Yang discute un peu avec nous. Elle nous propose de nous revoir dans le calme, lundi matin prochain. Juste Wong et nous.
Clémentine me fait du pied sous la table. Nous ne répondons pas. Je comprends que les filles préfèrent se concerter d'abord.

Li-Yang retourne derrière le comptoir. Elle chuchote à l'oreille de son mari. Ce dernier regarde dans notre direction en souriant.
Li-Yang prend le relai. Wong vient nous rejoindre. Debout à côté de notre table, il bavarde un peu. Et il s'adresse à Clémentine.
Il dit : < Vous savez où sont les toilettes ! Ne vous gênez pas ! >. Il se touche rapidement avant de diriger vers la porte du WC.
Clémentine me regarde, dubitative. < Vas-y ! > lui fait Estelle. Estelle me consulte du regard. Je lui dis : < Et tu es invitée ! >
Clémentine hésite un instant. Elle se lève. Elle se dirige rapidement vers les toilettes pour y entrer après un dernier regard.

Estelle me fait : < La pipe ou la baise ? >. Nous rions de bon cœur lorsque je réponds : < Peut-être les deux ! >. Porte fermée.
Li-Yang me fait un sourire. Rapidement, après s'être assurée que le couple de clients regarde ailleurs, Li-Yang mime une pipe.
J'ai le cœur qui bat la chamade. Estelle me fait : < Viens, on va aux chiottes ! >. Je lui propose d'attendre encore un petit peu.

Estelle m'entraîne par la main. Plus pressée que moi encore. Nous entrons dans les toilettes homme. Il n'y a personne. Bruits.
La porte du cabinet est fermée. Estelle y appui la tête pour demander : < Tout va bien ? >. Un court instant la porte s'ouvre.
Monsieur Wong, hilare, tient Clémentine par ses cheveux. Elle est à genoux à même le carrelage entrain de lui tailler une pipe.
Elle nous fixe, la bouche pleine. Il y a du foutre qui lui coule sur le menton. Des mèches de cheveux qui lui collent sur la joue.
Je comprends immédiatement. < Une vraie ventouse, ta copine ! > me fait Wong, cambré sur ses genoux fléchis tout en riant.

Le cabinet n'est pas grand. Wong nous invite à y entrer. Nous le contournons par derrière. Nous voilà debout au côté de Wong.
Estelle s'accroupit pour m'ouvrir la braguette. Wong et moi, un peu cons, nous nous faisons sucer. C'est rapidement formidable.
Clémentine me fixe avec un air de défi. Je la vois se régaler. Elle me montre l'intérieur de sa bouche plein de foutre vietnamien.
Je lui fais un clin d'œil. Wong la tient fermement pour agiter sa tête sur sa bite. Estelle me suce comme si sa vie en dépendait.
Les filles gémissent de plaisir. Un concert de petits cris de ravissement. Wong retire sa bite pour mettre une gifle à Clémentine.

Il la tient par la tignasse pour me montrer son visage. Les yeux cernés de vice, Clémentine me regarde avec gravité. Une gifle.
Je me penche pour lui en mettre une moi aussi. Wong lui enfonce sa bite dans la bouche en disant : < Toi, lundi je te baise ! >
Clémentine suce avec avidité. Je peux admirer son enchantement sur les traits de son visage. Yeux fermés, souriant de plaisir.
Estelle lui montre ma queue avant de la lui tendre. Wong la repousse d'un geste vif pour attraper la tignasse d'Estelle. Surprise.
Les filles lâchent un cri en même temps. Je chope Clémentine fermement pour lui enfoncer la bite dans la bouche. Super pipe.

Wong, le pouce de sa main libre levé me fait : < De la bonne salope ! Tu vis avec ça ? Tu as de la chance mon vieux ! >. Joie.
Je ne dis rien. Il frotte sa bite sur le visage d'Estelle qui est tombée à genoux, comme en extase. Et Wong me repasse Estelle.
< Je préfère celle-là ! > me fait il en saisissant fermement Clémentine pour lui éjaculer dans la bouche en hurlant des insanités.
Clémentine déglutit en gémissant de plaisir, à genoux, tenant Wong par ses hanches. Il se retire pour lui administrer une gifle.
Je retire ma bite de la bouche d'Estelle. J'attrape Clémentine par ses cheveux. Je lui enfonce la bite en bouche pour y éjaculer.

Nous frottons tous les deux nos queues sur le visage de Clémentine qui en pleure de bonheur. Estelle lui tient la tête. Ferme.
Wong remballe en disant : < Il faut que j'aille bosser ! Il se penche pour dire à Clémentine : < Je te bourre la chatte lundi ! >
Nous restons tous les trois seuls dans le cabinet. Clémentine se relève péniblement en se massant les genoux. < Aïe, aïe ! >
Déroulant quelques feuilles de papier cul, elle s'essuie la bouche. Et, devant le miroir, elle me montre l'intérieur de sa bouche.
Estelle me montre l'intérieur de la sienne. Nous faisons les clowns un instant. Il est temps de partir pour aller faire nos achats.

Li-Yang, le pouce levé, nous fait un grand sourire. Monsieur Wong sert des clients. Nous les saluons d'un dernier coucou. Joie.
Dans la rue, Clémentine qui s'est rincée la bouche et essuyé le visage, me fait : < Tu ne m'en veux pas ? >. Et j'éclate de rire.
Je lui dis : < Si ! Je t'en veux d'avoir attendu si longtemps avant d'avoir ce comportement ! >. Nous rions de bon cœur. Joie.
< Chassez le naturel et il revient au galop ! > rajoute Estelle. Je dis à Clémentine : < Lundi il va te baiser comme une pute ! >
Clémentine s'arrête de marcher pour se serrer dans mes bras sans répondre. Nous entrons dans le supermarché. Les courses.

Il est un peu plus de midi lorsque nous revenons à l'appartement. Estelle insiste pour préparer notre repas. Seule à la cuisine.
Clémentine m'entraîne dans la chambre. Elle me fait tomber sur le lit en m'arrachant mon short. Elle me suce à nouveau. Fort.
Elle m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions dans une chatte qui me semble n'avoir jamais été aussi humide.
Nous restons sans bouger. Clémentine me chuchote rapidement ses ressentis. < Merci Julien, c'est tellement génial ! > dit elle.
Je l'écoute me confier ses émotions. C'est prodigieux. Elle a vécu dans ce cabinet un des plus "prestigieux" moments de sa vie.

Je lui dis : < J'espère que ce ne sont que les premières fois et qu'il y en aura beaucoup d'autres ! >. Elle se met à bouger vite.
Elle s'arrête. Nous restons maîtres de nos pulsions. < Mais toujours quand tu es là ! Tu veux bien ? > me fait elle suppliante.
Je promets. Mais je précise qu'il serait bon qu'elle s'offre de petits "écarts de conduite" et sans que je sois forcément présent.
< T'es fou ! C'est justement ta présence qui me stimule ! Je t'aime Julien ! Merci, merci, merci ! > s'écrie t'elle en se serrant.
Estelle arrive. < C'est prêt ! Si ces vicieux veulent bien cesser de baiser, nous pouvons passer à table ! > nous fait elle. Rires.

Nous mangeons de bon appétit. Nous évoquons l'éventualité d'une virée à vélo cet après-midi. Il fait si beau. Et il fait si doux.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine pendant qu'Estelle prépare notre petit sac à dos. Clémentine m'embrasse tout le temps.
Il est 14 h lorsque nous descendons Morningside, les mains sur les freins pour rejoindre Leith et Water of Leith Walkway. Joie.
Nous voilà à pédaler contre un léger vent d'Est sur la piste cyclable. Nous croisons quantité de cyclistes. Il fait chaud. Superbe.
Il y a un peu plus de vingt kilomètres jusqu'à South Queensferry où nous arrivons vers 15 h30. Il y a plein de touristes. Bien.

Nous nous offrons des cônes glacés que nous dégustons sur le port. Estelle fait l'inventaire des groupes de touristes Asiatiques.
Clémentine me montre sa joue gauche un peu rouge en disant : < Les raclées ça brûle ! >. Nous rigolons comme des bossus.
Je lui dis : < Il va certainement t'en remettre quelques unes lundi prochain ! >. Clémentine répond : < Je mets de la crème ! >
Nous prenons un plaisir fou à nous promener dans le village en nous touchant discrètement les sexes. Estelle me palpe la bite.
Elle n'arrête plus. < Je peux baiser avec Julien, lundi, pendant que tu baises avec Wong ? > demande Estelle à Clémentine.

J'entraîne les filles derrière une remorque de camion, entre le mur et des caisses. Estelle me sort la bite. Elle demande encore.
Clémentine ne répond pas. Je caresse la nuque d'Estelle qui s'accroupit pour me sucer. Clémentine m'embrasse en se touchant.
Il faut être prudent. Nous entendons des voix. Nous cessons juste à temps. Il y a quatre pêcheurs qui arrivent avec des caisses.
Je propose de nous réserver une bonne table dans un restaurant pour la soirée. Estelle préfère faire à manger à l'appartement.
Clémentine trouve que c'est une excellente suggestion. < Nous avons les beignets de crevettes achetés chez Wong ! > dit elle.

Il est 19 h30 lorsque nous reprenons la piste cyclable. Le crépuscule arrive de plus en plus tôt. C'est déjà la fin du mois d'août.
Nous croisons ou nous dépassons plein de cyclistes qui font comme nous. Il est presque 21 h lorsque nous revenons chez nous.
Estelle veut rester seule à la cuisine. Clémentine m'entraîne sur le lit. Nous recommençons à nous sucer, à nous lécher. Super.
A nouveau, l'un dans l'autre, nous échangeons nos impressions. Nous nous faisons le serment d'être le couple le plus vicelard.
Estelle arrive. < C'est prêt les baiseurs fous ! > nous fait elle en me chopant les couilles d'une poigne de fer. C'est douloureux.

Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant les aventures extraordinaires de nos sublimes vacances. Nous rions beaucoup.
Estelle nous dit plusieurs fois : < Comment va t-on pouvoir reprendre notre vie normale au retour ! C'est impossible ! >. Rires.
Je lui dis : < Tu viens t'installer avec nous. Tu fais le contraire. Tu ne rentres plus chez tes parents que le mardi et le jeudi ! >
< Arrête ! C'est impossible ! >. Nous rions de bon cœur. Nous traînons à table en bâillant de plus en plus souvent et très fort.
Clémentine et moi faisons la vaisselle. Lorsque nous allons à la chambre, Estelle dort déjà. Nous sommes épuisés. Il est 23 h.

Bonnes pipes bien vicelardes dans les chiottes d'un Fast Food "Nem" à toutes les coquines qui veulent goûter de l'Asiatique….

Julien - (Qui vit enfin les choses les plus inattendues et les plus étonnantes avec Clémentine désireuse de s'éclater enfin) -

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Nous voilà à la fin de cette onzième page.

Clémentine et moi remercions toutes nos lectrices et tous nos lecteurs pour leur fidélité.
Même si "Clémentine", "Julien", "Estelle", "Juliette" ne sont qu'autant de pseudonymes.

Les contributions de "Clémentine" se limitent à ce que nous raconte la jeune femme au bas de nos récits.
Nous aimons à soigner nos lecteurs afin de les captiver, de les amuser et surtout de leur proposer du rêve.

Il est important de respecter l'anonymat des personnes. Tout particulièrement sur les forums "Sexe".
Même si tout cela est beaucoup plus réel encore que ne l'imagine le lecteur toujours étonné et amusé.

Nos récits ne demandent aucun commentaire. Aussi nous remercions toutes celles et tous ceux qui n'en mettent pas.
C'est une grande preuve de tact et de bon goût. "Classe". Toute la place reste disponible pour les épisodes qui se suivent.
Ainsi chaque épisode suit le précédent dans l'ordre chronologique du déroulement des évènements sans aucune rupture.

Par contre nous remercions toutes celles et tous ceux qui nous contactent en messagerie privée pour témoigner leurs ressentis. Joies.
C'est vraiment beaucoup mieux. Cela reste privé et ne regarde personne. Les intéressés savent à quel point nous répondons toujours.

Continuons cette saga dans la magnifique douzième page qui nous attend déjà...

Cordialement.

Clémentine et Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 1 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 532 -



Nous retournons à South Queensferry pour revoir Lennie

Hier matin, jeudi, je suis réveillé de la même façon. Le souffle chaud de Clémentine dans mon cou. Impression extraordinaire.
Je la serre contre moi. C'est sa manière de me réveiller car elle déteste rester seule. Et cela permet de ne pas réveiller Estelle.
Nous nous chuchotons des douceurs puis nous nous levons le plus silencieusement possible pour nous précipiter aux toilettes.
La cuisine. Je presse nos oranges. Clémentine fait le café. Estelle que nous n'avons pas entendu, arrive sur le pointe des pieds.
Elle me saute au cou. Je suis surpris. Clémentine s'interpose. Nous rions de bon cœur de cette nouvelle improvisation. 7 h15.

Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Joie.
Nous élaborons un vague programme pour la journée. Nous sommes déjà en tenues de jogging. Et dehors le ciel est lumineux.
Il est 7 h45 lorsque nous descendons l'escalier de service pour nous nous retrouver dans la douce fraîcheur matinale. Superbe.
C'est Estelle qui donne le rythme. Elle court devant. Notre circuit habituel. Avec l'arrêt sur la colline pour admirer Edimbourg.
Il est 9 h15 lorsque nous revenons à l'appartement. Nous prenons notre douche. Estelle est devant l'ordinateur. Puis c'est à elle.

Sur l'ordinateur, nous découvrons nos trois messages. Celui de Juliette et celui de mon oncle qui ferme ma galerie aujourd'hui.
Nous répondons en joignant deux photos prises hier. Il y a le message de Lennie, la jeune fille Hollandaise. C'est une surprise.
Ils sont arrivés à South Queensferry hier soir, comme prévu. Ses parents, son grand-père et elle. Le bateau déjà dans le port.
Lennie est pressée de nous revoir. Elle nous propose de nous rencontrer cet après-midi après 15 h. Nous répondons avec joie.
Estelle revient de la douche. Nous l'informons du programme de cet après-midi. Nous retournons à South Queensferry. Super.

Les filles sont habillées de leurs robes d'été, de leurs sandalettes à légers talons. Je suis en short, chemisette et sandales aussi.
Je propose de descendre à Edimbourg ce matin, avec la voiture. Estelle aimerait bien faire à manger à l'appartement. Promis.
Il est 10h. Je roule doucement en direction du centre de la ville. Clémentine me sort le Zob pour l'agiter. Estelle mâte en riant.
Assise à l'arrière, elle passe sa main entre les sièges pour me la tripoter. Je bande mou. Nous arrivons près de Royal Mile. Bien.
Je gare l'auto dans la ruelle habituelle. Il y a du monde. Nous sommes si heureux de retrouver l'ambiance matinale de la ville.

Il y a du monde. La douceur du climat est estivale. Nous déambulons dans le labyrinthe des ruelles pavées. C'est magnifique.
< Regardez, nos chers amis ! > fait Estelle en nous montrant le groupe d'Asiatiques qui se promène en prenant toute la rue.
< De quoi se nourrir plusieurs jours ! > rajoute Estelle en mimant discrètement une pipe. Nous en rigolons comme des bossus.
Clémentine me tient par le bras, ne s'éloignant jamais. Estelle me tient souvent par la main. Elle me palpe la braguette. Bien.
C'est toujours discret et au meilleurs moment. Je lui touche le sexe au travers le tissus de sa robe à chaque fois que possible.

Nous faisons les rayons de la grande librairie. Les filles regardent un peu les livres concernant leurs études. Livres en Anglais.
Je les laisse feuilleter pour aller aux albums de photos. Je vais en ramener un à Julie. Je regarde Clémentine et Estelle là-bas.
Elles sont belles toutes les deux. Ces grandes jeunes filles de 21 ans. Je prends conscience de mon privilège. C'est merveilleux.
Clémentine vient me rejoindre : < T'es loin ! > me fait elle en prenant mon bras. Estelle arrive à son tour. Je montre l'album.
Nous reviendrons faire le choix des cadeaux à ramener, un des tous derniers jours avant le départ. Nous nous faisons une idée.

Nous flânons encore un peu avant de retourner à la voiture. Il est un peu plus de midi lorsque nous revenons à l'appartement.
Estelle insiste pour nous faire une surprise. Nous la laissons seule à la cuisine. < Et allez donc baiser un peu ! > nous fait elle.
Clémentine m'entraîne par la main pour me faire tomber sur le lit. Et je me retrouve rapidement avec ma bite dans sa bouche.
Nous nous offrons un "69" avant que Clémentine ne m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Immobile. Joie.
J'aime entendre les révélations de ma compagne, lorsqu'elle chuchote à mon oreille les plus intimes secrets. Il s'agit de Wong.

Nous parlons de la capote qu'a utilisé Wong pour la baiser. Capote que Clémentine à lavé aux toilettes et qu'elle veut conserver.
Je lui dis : < Tu vas commencer une collection ? C'est génial ! Tu vas garder toutes les capotes des mecs qui vont te baiser ? >
Clémentine se blottit contre moi pour me souffler à l'oreille : < C'est une bonne idée, non ? >. Nous nous berçons tendrement.
Je chuchote : < J'aimerais que tu ne te prives pas. Baise à chaque fois qu'une occasion se présente et que tu en as l'envie ! >
< Je t'aime Julien ! Merci pour cette vie de rêve ! > me murmure t-elle. Je la saisi par la nuque. Elle se cabre et m'embrasse.

Estelle arrive : C'est prêt les baiseurs fous ! > nous fait elle en chopant fermement mes couilles d'une poigne de fer. Douloureux.
Je me retire doucement. Estelle saisit ma bite trempée pour se la sucer. Clémentine ouvre la table de nuit. Elle en sort la capote.
Avec un marqueur noir elle a écrit "Wong 27 août 2018". Je la tiens par la nuque. Elle agite la capote sous mon nez. Des bisous.
< Tu m'aideras à constituer une belle collection ? > me chuchote t-elle en appuyant sur la tête d'Estelle au risque de l'étouffer.
Clémentine tire sur les cheveux d'Estelle pour la forcer à se relever. Elle a de la jute qui dégouline sur le menton. Le trop plein.

Nous mangeons de bon appétit. Estelle a préparé des nouilles Chinoises avec des beignets de crabe et sauce au champignons.
Il ne nous reste presque plus de Roquefort ni de Parmesan. La réserve est presque épuisée. Et il faudra trouver les équivalents.
Clémentine et moi, nous faisons la vaisselle pendant qu'Estelle prépare notre petit sac à dos. Clémentine m'embrasse souvent.
Je sors ma queue. Je saisi Clémentine par ses cheveux. Je la force à se pencher pour me sucer. Elle ne tarde pas à s'accroupir.
Je lui chuchote : < Je veux que tu baises avec des mecs, mais je veux surtout te voir les sucer ! >. Elle me répond : < Oui ! >

Estelle revient à la cuisine et nous surprend. < Mais vous n'arrêtez plus ! > nous fait-elle en s'approchant pour en avoir aussi
Je force Clémentine à cesser. Je lui mets une gifle. Je la tire par les cheveux pour la forcer à se relever. Estelle prend la place.
Je la laisse sucer un peu pendant que Clémentine m'embrasse avec avidité. Il est 14 h. Je propose aux filles de ne pas traîner.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue et me suce parfois. Estelle assise à l'arrière me tient fort par les couilles.
Il est 14 h45 lorsque nous arrivons à South Queensferry. Je gare la voiture à 300 mètres du port de plaisance. Et je remballe.

Nous mettons notre stratégie au point. Lennie est une jeune fille de 19 ans, parfaitement majeure. C'est mieux d'êtres secrets.
Clémentine ira donc seule au bateau afin d'aller chercher Lennie que ses parents et son grand-père ont déjà vu au début juillet.
Ainsi, sans éveiller d'inutiles suspicions, l'honneur est sauf, notre rencontre restera secrète et il n'y aura aucune interrogation.
Clémentine fait le numéro de Lennie. Elle est rapidement en ligne. Pendant qu'elle bavarde, nous sortons de la voiture. Sympa.
Estelle met sa main dans ma braguette, se blottie contre moi pour me murmurer : < Tu me baises lundi matin, chez Wong ? >

Je n'ai pas le temps de répondre. Clémentine sort de la voiture, s'interpose et dit : < Je vais la chercher. N'en profitez pas ! >
Nous rions de bon cœur. Estelle se serre contre moi. Nous nous embrassons. Je la sens frotter son sexe contre le miens. Chaud.
Elle me chuchote : < Je veux que te me baises avant la fin des vacances. S'il te plaît, Julien ! >. Je ne sais trop quoi répondre.
Je dis : < Il faut l'accord de Clémentine ! >. Estelle le sait bien. Nous sommes seuls ici, dans les fourré. Elle me sort la queue.
Me tenant par les hanches de la main gauche, debout à ma droite, Estelle penchée en avant se met à me branler à toute vitesse.

C'est dans cette situation que Clémentine et Lennie nous surprennent. Je tiens Estelle par sa tignasse pour la forcer à s'écarter.
Lennie a un sourire merveilleux. Elle est si contente de me revoir qu'elle se précipite pour me serrer la main et me faire la bise.
A tel point qu'elle ne fait pas attention à ma bite turgescente bien pointée vers la cime des arbres qui nous cachent des regards.
Clémentine fait les présentations. Estelle serre la main à Lennie. Je remballe ma queue. Et discret. Clémentine fait un clin d'œil.
Nous entrons dans la voiture. Estelle et Lennie sont assises à l'arrière. Les filles bavardent pendant que je roule vers Edimbourg.

Dans le rétroviseur, je croise souvent le regard de Lennie qui cherche à me fixer. La conduite prudente ne permet pas de jouer.
Je gare la voiture dans la même ruelle que ce matin. Le ciel s'est légèrement voilé. Je propose de belles coupes glacées. Bien.
Nous flânons à la recherche d'un salon de thé sympa. Lennie découvre rapidement la nature de notre relation à trois. Vicelarde.
Elle semble ravie d'être en compagnie de trois individus de notre espèce. Elle regarde la main d'Estelle virevolter discrètement.
Elle regarde mes mains passer sous les robes des filles. Nous nous amusons beaucoup. Voilà un salon de thé des plus agréables.

Nous bavardons, assis devant d'énormes coupes glacées. Lennie nous raconte son périple en mer, son profond ennui parfois.
Plus de deux mois en mer avec des arrêts dans les mêmes ports que tous les ans et qu'elle connait trop bien. Nous écoutons.
Clémentine lui demande si elle a sucé un autre mec depuis moi. Lennie a un moment d'hésitation avant de répondre : < Oui ! >
C'était un pêcheur, dans un port du pays de Galles. Un vrai vicelard de 40 ans, exhibitionniste, tout heureux de cette rencontre.
Lennie n'en garde pas un très bon souvenir. < C'était sale ! > nous fait elle. < C'est toujours sale, les inconnus ! > dit Estelle.

Nous racontons nos aventures et nos frasques durant ce séjour de deux mois en Ecosse. Lennie écoute, amusée et consternée.
Elle avoue que tout cela lui plairait beaucoup. Ses parents, son grand-père et elle repartent dimanche après-midi. Amsterdam.
Nous lui proposons de nous voir chaque jour, l'après-midi et le soir jusqu'à son départ. Folle de joie, Lennie accepte avec plaisir.
Ce soir, nous irons manger au restaurant. Nous la ramènerons pour 22 h. Cela fait quelques allées et venues, mais c'est sympa.
Le programme est rapidement établi. Estelle me semble un peu jalouse de la complicité qui se créée. Nous sommes à quatre !

Avant de quitter le salon de thé où nous avons passé plus d'une heure, Clémentine m'invite à la suivre aux toilettes. Je la suis.
A peine enfermés dans un des cabinets, elle se blottie contre moi pour m'embrasser. Je suis surpris par tant de fougue. Amour.
< Tu seras bien salaud, hein ! Je te veux vicieux comme jamais ! > me chuchote t-elle. Je lui promets de faire de mon mieux.
Accroupie à côté de la cuvette des WC, Clémentine me sort le Zob pour le sucer avec avidité. Je la laisse se régaler. Je la tiens.
Nous restons ainsi une dizaine de minutes avant de rejoindre nous Estelle qui nous dit : < A mon tour ! >. Elle prend ma main.

Lennie observe ce curieux manège avant de comprendre. Estelle m'entraîne dans le même cabinet. Accroupie, elle me pompe.
Je la laisse sucer un peu. A nouveau il doit se passer une bonne dizaine de minutes. Nous revenons. Lennie nous regarde. Joie.
Je dis à la jeune Hollandaise : < Tu veux venir aussi ? >. Elle regarde tour à tour Clémentine et Estelle qui lui mime une pipe.
Lennie reste hésitante. Elle me fixe. Je regarde partout autour de nous. Et ce curieux manège ne semble pas attirer l'attention.
Je me lève. Je fais signe à Lennie de me suivre. Elle hésite encore. Je n'insiste pas. Elle a compris à quoi nous jouons. Vicelards.

Nous flânons dans les rues du centre. Il y a nombre de musiciens à tous les coins. Nous nous arrêtons souvent pour écouter.
Lennie est tellement heureuse de se retrouver avec nous. Deux filles de son âge après beaucoup de solitude en mer. Superbe.
Nous réservons une table dans notre restaurant favori. Le personnel en costumes folkloriques traditionnels. Nous déambulons.
La soirée est agréable. Malgré les invitations d'Estelle et de Clémentine de m'accompagner aux toilettes, Lennie décline l'offre.
Nous n'insistons pas. Nous ramenons Lennie pour 22 h. Retour sur Edimbourg. Je m'arrête pour me faire sucer à tour de rôle.

Bonnes visites aux toilettes de salons de thé ou de restaurants à toutes les coquines qui aiment y tailler de superbes pipes…

Julien - (Parfait gentleman, toujours à l'écoute du désir de l'une ou de l'autre. Prêt à rendre serre vice) -

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