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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 2 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 435 -



Une fin mai avec une chaleur digne d'une mi juillet. Avec du sexe...

Hier matin, samedi, nous nous étirons tous deux longuement en gémissant. Nous nous amusons à moduler nos gémissements.
Clémentine ponctue le sien par un < Je t'aime ! > sonore. Je conclue le mien en la prenant dans mes bras pour la serrer fort.
Il est 7 h30. Dehors il fait déjà beau. Clémentine me chevauche en riant avant de nous entraîner par la main jusqu'aux toilettes.
Nous nous mettons en tenues de jogging avant de descendre jusqu'à la cuisine à toute vitesse. Je presse nos quatre oranges.
Clémentine s'occupe du café. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé qui participe de nos plaisirs.

Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le programme de la journée qui nous attend. Nous faisons le bilan de la semaine.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est 8 h. Nous voilà à courir dans l'enchantement paradisiaque d'une vraie matinée d'été.
Une heure d'un running des plus agréables avant de revenir pour 9 h et de prendre notre douche. Nous nous habillons. Du léger.
Clémentine porte une robe d'été, cintrée à la taille, avec des sandalettes à légers talons. Et ses longs cheveux attachés en natte.
C'est une robe beige, de lin, qui affine encore sa silhouette filiforme. Je porte un pantalon en lin clair, une chemise blanche. Lin.

Nous voilà en route pour le bourg voisin afin d'y faire notre marché. Je roule doucement. Clémentine joue avec mon sexe dressé.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle me l'agite en disant : < Braguette ouverte toute la matinée, c'est obligatoire ! >. Le parking.
Je gare l'auto. Il y a du monde. Sur la demande de Clémentine, absolument nue sous sa robe, j'ai la braguette ouverte. Discret.
Nous faisons provision de fruits et de légumes chez nos petits agriculteurs locaux. Et nous bavardons toujours un peu avec eux.
Nous faisons provision de fromages, de beurre, de crème, de yaourts, d'œufs chez nos artisans locaux. Echanges de bons mots.

La braguette ouverte me procure toujours un sentiment d'insécurité. Cela amuse tant ma compagne qui peut y glisser sa main.
Toujours discrète, vigilante, sautillant autour de moi avant de me faire un rapide bisou, elle effleure la tirette de ma braguette.
Nous rangeons les produits qui l'exigent dans la glacière branchée sur l'allume cigare. Nous voilà en route pour le supermarché.
Une dizaine de kilomètres et nous garons la voiture sur le parking. Clémentine ne cesse de me faire bander avec ses histoires.
Je pousse le caddie. Clémentine marche devant moi pour nous entraîner dans les rayons. Elle tient la liste des courses. Super.

Nous faisons nos courses avec méthode. J'écris au fur et à mesure, tous les jours, ce qu'il ne faut pas oublier. Liste sur le frigo.
Nous croisons madame Walter et son mari. Nous nous saluons. Madame Walter est en robe légère. Très élégante. Bavardages.
Nous continuons nos courses. Clémentine me chuchote : < C'est la dame qui se fait attacher et tourmenter dans les écuries ! >
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < La chanceuse ! >. Je suggère : < Il suffit de demander au palefrenier ! >. Rires.
< Je vais sérieusement y penser ! > me dit elle en se mettant contre moi pour glisser discrètement sa main dans ma braguette.

Nous faisons la queue à la poissonnerie. Filets de cabillaud, de lieu noir, de haddock. Des pavés de saumon. Des steaks de thon.
Il y a du monde. Malgré tout Clémentine nous entraîne au rayon culturel pour y saisir une éventuelle opportunité. Petite exhibe.
Hélas, avec toute cette fréquentation, il serait vain de tenter une exhibition de réelle qualité. C'est frustrant. Et surtout en robe.
Nous faisons une rapide visite dans le rayon des vêtements homme. Là aussi, toute tentative comporterait des risques inutiles.
Il faut se faire une raison. Nous passons en caisse. Nous flânons un peu dans la galerie commerciale. L'exposition de bagnoles.

Nous rangeons nos achats dans le coffre de la voiture. Soudain, derrière nous, la voix familière de Julie, la serveuse du restau.
< Bonjour ! >. Nous nous retournons. La jeune fille est accompagnée de sa mère qui nous serre la main, souriante. Bavardages.
< Si cette météo perdure, je passe chez vous un soir de la semaine prochaine. J'emmène le dessert ! > nous fait la jeune fille.
Nous ne nous attardons pas. Nous nous saluons. Nous voilà en route. Dans la voiture, Clémentine joue avec ma bite bien dure.
Parfois, malgré que je tente de l'en empêcher pour me concentrer sur ma conduite vigilante et prudente, elle me taille une pipe.

< Ça te fait drôlement mouiller de croiser des filles ! > me fait Clémentine en arrivant à la maison et en me montrant sa bouche.
Nous rigolons comme des bossus. Il est 12 h30. Nous rangeons nos courses. Clémentine prépare la salade et l'assaisonnement.
Je fais dorer deux beaux filets de haddock fumé à la poêle avant d'y rajouter une lichée de crème fraîche avec des champignons.
Nous mangeons de bon appétit. Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine évoque ses examens.
Elle est pressée d'avoir les résultats. Même si elle sait avoir survolé tous les sujets en se déjouant de toutes les difficultés. Bien.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous enlevons nos tabliers pour monter nous changer. Il est 13 h30. Nous avons le temps.
Clémentine met une de ses jupettes sport. Un T-shirt blanc. Je mets un de mes shorts en coton, T-shirt. Nos tenues de bicyclette.
Nous faisons un peu les clowns devant le miroir. Nous nous chuchotons plein de douceurs. Nous redescendons. Il fait très chaud.
Estelle nous attends au début de la piste cyclable pour 14 h. Nous avons tout juste le temps d'y arriver à l'heure. Sur nos vélos.
Estelle est là, en short, son T-shirt, ses longs cheveux attachés en natte comme Clémentine. Radieuse, magnifique sous le soleil.

Des bisous et nous voilà à pédaler poussés par un léger vent de Nord-Est. Nous bavardons. Nous croisons quantité de cyclistes.
Il y a encore un monde fou sur la piste cyclable. Les filles évoquent leurs études. La préoccupation est identique pour les deux.
Pour sécuriser les 4 années à venir, et mettre Clémentine à l'abri de tout impondérable, j'ai pris rendez-vous avec notre notaire.
Ainsi, quoi qu'il arrive, elle pourra penser à ses études et préparer son Doctorat dans les toutes meilleures conditions. Superbe.
Nous arrivons au cabanon de l'écluse. Arrêt pipi pour les deux coquines qui attendent le bon moment pour s'accroupir en riant.

Je prépare deux mouchoirs en papier. Je fais le guet. Personne. La voix est libre. Elles se lâchent dans un long jet abondant.
Il faut se dépêcher, il y a deux jeunes filles en roller qui arrivent à vive allure. Je leur tends les mouchoirs dépliés. Se dépêcher.
Elles se torchent à toute vitesse. Les rollers arrivent et n'ont d'autres choix que de rouler dans les coulées de pisse. Surréaliste.
Les deux rolleuses doivent comprendre dans quoi elles roulent car elles ont un sourire interrogateur. Nous en rions de bon cœur.
Estelle fait une rapide photo et nous voilà en route pour le port de plaisance où nous arrivons pour 15 h30. Il y a de l'ambiance.

Le chapiteau pour l'orchestre est monté. Il y a un grand manège à l'ancienne et deux baraques à frites. Et tout ça pour demain.
Nous fermons nos bicyclettes à cadenas derrière la capitainerie. Pauline n'est pas là. Il y a son remplaçant, l'employé municipal.
Nous traversons la route pour aller à la supérette où nous y attendent nos cônes glacés que nous dégustons en flânant. Super.
Il y a les joueurs de pétanques qui s'entraînent certainement pour le concours de demain. Des couples de plaisanciers. Chaleur.
Il y a aussi les premiers touristes. Nous apprécions cet endroit pour la diversité des animations qu'il propose. Un endroit sympa.

< Regardez, là-bas, avec la vieille dame, c'est Chipolata ! > nous fait Estelle en nous montrant du doigt l'homme à la mobylette.
Nous regardons. Effectivement c'est bien Maurice, l'attraction atypique du port de plaisance. Et il ne nous voit absolument pas.
< Je suis certaine qu'il est myope Chipolata ! Impossible autrement ! > fait encore Estelle. Les filles n'ont pas les mêmes habits.
De plus elles ne sont pas coiffées de la même façon et ne portent pas leurs larges lunettes de soleil noires. L'anonymat préservé.
< Il faudrait être drôlement physionomiste pour nous reconnaître ! > rajoute Clémentine en nous entraînant vers les WC publics.

L'endroit est désert. Clémentine en profite pour retirer sa culotte. Je fais le guet à la porte entre bâillée. Là, des cris de gamins.
C'est une famille. Ils se dirigent vers les chiottes. Nous sortons. Clémentine nous entraîne au bâtiment des sanitaires privés.
La porte des toilettes réservées aux plaisanciers est fermée à clef. Chaque responsable y applique son propre fonctionnement.
Nous traînons sur le quai. Nous passons près du manège pour y admirer les chevaux de bois. Là-bas, entre les autos, un mec.
Clémentine nous fait : < Un "plan" ! Attendez moi là ! >. Nous la regardons marcher lentement, les bras croisés vers le parking.

Le quidam semble absorbé dans la contemplation de l'écran de son téléphone. En short kaki, chemisette et chapeau de paille.
Il ne voit pas immédiatement arriver cette grande jeune fille qui contourne doucement les bagnoles. Nous restons très discrets.
Estelle m'entraîne derrière une des baraques à frites encore bâchées. Nous mâtons. Le type aperçoit enfin Clémentine. Il mâte.
Clémentine regarde dans toutes les directions. Une main entre ses cuisses. Jouant la fille qui a le besoin urgent de faire un pipi.
Nous sommes dissimulés à une trentaine de mètres. Une fois encore ma compagne m'offre le plus excitant des spectacles. Joie.

Clémentine s'accroupit. Nous ne discernons plus que le haut de sa tête. Le mec se déplace un peu pour mieux voir. Très discret.
Il y a une femme qui arrive là-bas avec une grande carte routière dépliée. < Pas de doute, elle va casser le coup ! > fait Estelle.
Effectivement, la femme vient rejoindre l'homme. Clémentine a juste le temps de se redresser et de s'ajuster. Le couple s'en va.
Clémentine vient nous rejoindre. < Merde juste au moment où j'allais pisser ! > nous fait elle. Nous rigolons comme des bossus.
Nous retournons nous offrir la seconde tournée de cônes glacés. < Chipolata, là-bas, avec des vieux ! > nous lance Estelle. Rire.

< En désespoir de cause, il nous reste Chipolata ! Je l'attire dans un coin s'il daigne faire attention à nous ! > rajoute Clémentine.
Nous savourons nos cônes glacés assis sur le muret au bout de la jetée. Hélas, Chipolata est parti. Maurice et sa mobylette, fini.
Il est dix neuf heures lorsque nous prenons le chemin du retour. L'agréable fraîcheur du soir nous fait un bien fou. Plein de gens.
Nous pédalons contre un léger vent. Nous croisons encore quantité de cyclistes. Il est 20 h30 lorsque nous arrivons à la maison.
Nous décrochons le linge qui a séché. Estelle arrose le potager. Morts de faim, nous nous préparons le repas du soir. Au jardin.

Clémentine prépare les salades, carottes, les premiers radis et la première laitue du jardin. Estelle fait les assaisonnements. Joie.
Je fais griller des queues de langoustines sur le barbecue électrique dans la véranda. Nous mangeons de bon appétit dans la nuit.
J'ai allumé quatre bougies anti moustiques. Nous traînons à table. Il fait bon. Pas un bruit. La vaisselle. Nous sommes fatigués.
Nous rangeons la cuisine. Estelle me touche. Les couilles par derrière. La bite par devant. < Ça va ? > lui demande Clémentine.
Il est 23 h. Nous montons. WC, salle de bain. Le lit. Estelle s'endort la première. Clémentine et moi nous nous suçons. Puis dodo.

Bon après-midi au port de plaisance pour tenter d'y rencontrer quelques porcs plaisants à toutes les coquines en "expéditions"...

Julien - (Qui a parfaitement conscience de tous les privilèges que lui accorde sa vie de privilégié. Tout comme les deux filles) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 3 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 436 -



Estelle et Clémentine aiment les situations à risques

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par des murmures, des rires étouffés, on me tient fermement par mon érection matinale.
J'ouvre l'œil et le bon. C'est bien évidemment Estelle, ayant passé son bras par dessus Clémentine, qui me masturbe en riant.
Je l'attrape par ses cheveux noués en natte pour l'entraîner comme à la laisse jusqu'aux toilettes. Surprise, elle se laisse faire.
Clémentine, toute aussi étonnée par ma réaction, nous suit. Je tiens Estelle cambrée au dessus de la cuvette. La concentration.
Un silence. Estelle se lâche dans un long jet qui semble ne plus finir. J'arrache deux feuilles de papier du rouleau et je la torche.

Je ne la lâche pas. J'ordonne : < Tiens moi la bite ! > Bien évidemment, Estelle ne se fait pas prier. Elle s'empare de ma queue.
Penchées en avant, les deux filles observent mon sexe. Je bande mou. Je me lâche dans un long jet qui me soulage. Superbe.
Je force Estelle à s'accroupir. Elle lâche ma bite dont se saisit Clémentine qu'elle enfonce dans la bouche d'Estelle qui s'applique.
< Tu fais moins la maline, hein ! > lui fait Clémentine qui se cambre à son tour au dessus de la cuvette en faïence pour y pisser.
Je me fais sucer tout en torchant Clémentine. Je force Estelle à se redresser. Je la tiens fermement par sa natte. Nous sortons.

Morts de faim, nous descendons. Je tiens les deux filles par leur natte pour les lâcher une fois dans la cuisine. Le petit déjeuner.
Estelle fait griller le pain. Clémentine s'occupe du café. Je presse les oranges. < Tu as fait fort ce matin. J'aime ! > fait Estelle.
< C'est génial quand ça commence ainsi ! > fait Clémentine en mettant la table. Nous rions tous les trois de bon cœur. Superbe.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles évoquent les matinées de cours qui les attendent avant les vacances.
Ce ne sont plus réellement des cours mais des orientations, des conseils, des modes d'emploi et des façon de procéder. Doctorat.

Il est à peine 8 h. Nous traînons à table. C'est dimanche. Il fait beau. Le ciel est bleu. Estelle se propose de nous aider. Ménage.
Nous faisons la vaisselle en nous répartissant les tâches. Estelle s'occupe du salon, Clémentine de la chambre, moi de la cuisine.
Clémentine se serre contre moi. < Je t'aime Julien. Et j'aime quand la journée commence comme ça ! >. Elle m'embrasse. Bien.
Je range la cuisine. Estelle est au salon. Je l'entends passer l'aspirateur. Je nettoie les chiottes du bas lorsqu'elle rapplique. Rire.
Estelle se serre contre moi pour chuchoter : < Moi aussi je t'aime. C'est génial quand tu t'occupes de moi comme ce matin ! >

Comme toujours, lorsque Clémentine n'est pas avec nous, l'attitude d'Estelle me met légèrement mal à l'aise. C'est très gênant.
Estelle m'embrasse malgré mes tentatives de me soustraire à son étreinte. Je saisis sa natte pour l'entraîner au salon. Rigolade.
Je passe la serpillère sur les sols. Cuisine, toilettes et hall d'entrée. Je passe devant le salon où Estelle passe le plumeau. Rires.
Les portes fenêtres grandes ouvertes permettent d'apprécier la douceur et les parfums de cette matinée de printemps. Chaude.
Estelle, mimant une masturbation masculine avec toute la vulgarité qui lui est coutumière, fait : < Je te suce aux chiottes ? >

Je monte à toute vitesse pour fuir toute initiative coquine. Je rejoins Clémentine qui termine de changer les draps. Des bises.
Je lui raconte l'attitude d'Estelle et le baiser volé aux toilettes. < On va la punir ! > dit Clémentine tout en me palpant le sexe.
Nous sommes encore en slip. Je lui chuchote : < J'ai envie de toi ! > Clémentine se jette sur le lit en disant : < Prends moi ! >
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions après l'avoir léché. Nous restons immobiles, l'un dans l'autre. Merveille.
Nous ne sommes pas du matin. Estelle arrive pour nous surprendre. < Je veux aussi ! > s'écrie t-elle en venant s'asseoir. Joie.

Il n'en est évidemment pas question. Estelle me choppe les couilles. Elle rapproche son visage des nôtres. Nos respirations.
Nous nous chuchotons des douceurs et des cochonneries. Estelle se couche sur mon dos pour se frotter doucement. Sympa.
< Je vais jouir ! > me fait Estelle sa bouche contre mon oreille. < Moi aussi ! > dit Clémentine sous moi. Immobiles. Silence.
Nous évitons l'orgasme de justesse. Nous aimons nous garder pour la suite avec toute l'excitation ainsi créée. Et je me retire.
Nous reprenons nos esprits. Estelle nous fait : < Je m'occupe des chiottes ! >. Clémentine m'entraîne à la salle de bain. Bien.

Je nettoie le bac à douche. Clémentine fait les miroirs et le lavabo. Nous bavardons en nous faisant plein de bisous. Sublime.
< Je me planque, Estelle ne le sait pas et tu t'occupes d'elle mais sans la baiser, d'accord ? > me murmure t-elle discrètement.
Je lui demande : < Ce matin ? >. Clémentine me répond : < Non, non, on va se préparer ce "plan" pour les prochains jours ! >
Nous rions de bon cœur de cette éventualité. Estelle vient nous rejoindre avec le seau et la serpillère en disant : < C'est fait ! >
Clémentine descend avec le panier à linge plein à ras bord. Estelle en profite pour se serrer contre moi. Elle se frotte bien fort.

Je la saisis par sa natte pour la tirer comme par une laisse. Nous descendons pour rejoindre Clémentine au jardin. Il fait beau.
Elle nous voit arriver ainsi, Estelle marchant courbée derrière moi, tirée par sa natte. Je donne une impulsion pour la lâcher.
Estelle en se rattrapant juste à temps pour ne pas tomber, s'écrie : < Put-Hein, il est génial ce matin ! >. Clémentine se serre.
Nous découvrons la pousse des légumes dans le potager. Tout a poussé de façon extraordinaire. Nous récupérons une laitue.
Il est déjà onze heures trente. Les pavés de saumon ont décongelé. C'est Estelle qui les prépare en papillotes sur le barbecue.

Nous sommes déjà tous les trois en tenue vélo. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare les aubergines avec les tomates.
Estelle met la table dans le jardin. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table en évoquant notre matinée. Nos jeux.
< Je suis hyper excitée pour cet après-midi ! > nous fait Estelle à plusieurs reprises. < Et moi donc ! > lui répond Clémentine.
Nous rions de bon cœur. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Salle de bain. Lavage des dents. Clowns devant le miroir. Rires.
Nous voilà prêts. Estelle n'arrête pas de me palper le sexe à travers le tissus de mon short. Clémentine s'interpose en rigolant.

Il est 13 h50 lorsque nous arrivons sur la piste cyclable. Nous pédalons poussés par un léger vent de Nord-Est. Il y a du monde.
Nous croisons quantité de cyclistes, de rollers et de nombreuses familles en promenade. Il faut parfois louvoyer avec prudence.
Nous arrivons au cabanon de l'écluse. Hors de question de s'y livrer à nos jeux habituels. Il y a beaucoup trop de passages. Joie.
Nous arrivons au petit port de plaisance pour 15 h30. Comme tous les dimanches, il y a une forte animation, grosse ambiance.
Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie. Une fois encore, c'est un employé communal qui remplace Pauline.

Nous filons directement à la superette pour nous y offrir nos cônes glacés que nous savourons en flânant. Il y a du monde.
Nous percevons la musique de l'orchestre habituel qui joue les airs à la mode. C'est un peu pénible. Nous traînons sur le quai.
Il y a plusieurs groupes de joueurs de pétanque qui participent au concours. Il y a plein de pêcheurs qui se livrent au concours.
Il y a surtout toute cette marmaille bruyante des dimanches ensoleillés. Nous décidons de monter jusqu'au vieux cimetière.
< Chipolata ! > s'écrie Estelle en nous montrant Maurice, l'homme à la mobylette qui bavarde avec des joueurs de pétanque.

< Tu veux aller le branler ? > fait Clémentine à Estelle qui répond : < Si l'occasion se présente ! >. Nous en rions de bon cœur.
Je propose aux filles d'attirer l'attention du mec et d'aller traîner un peu vers les sanitaires réservés aux plaisanciers. Rigolade.
< Super plan ! > fait Estelle en nous entraînant vers le groupe où discute Maurice. L'homme est vêtu comme d'habitude. Clodo.
< Et il doit schlinguer avec cette chaleur ! > nous fait Estelle avant de nous laisser pour s'approcher du groupe de pétanqueurs.
Le type repère enfin la jeune fille qui le regarde avec insistance. Nous regardons comme hallucinés ce qu'elle fait discrètement.

Estelle, la main fermée devant son short, mime discrètement une masturbation masculine à chaque fois que Maurice la regarde.
C'est très rapide. Mesuré et d'une discrétion totale. De l'index de son autre main, à chaque fois elle indique les toilettes. Le jeu.
Estelle regarde avec insistance. Elle se dirige doucement vers le bâtiment. Elle s'arrête à plusieurs reprises pour se retourner.
L'hameçonnage a fonctionné au-delà de ses espérances. Nous voyons Maurice quitter le groupe de joueurs pour suivre la fille.
Clémentine m'entraîne vers le bâtiment. Nous marchons très vite pour aller nous planquer dans les fourrés. Estelle est déjà là.

< Regarde ! Il y a un autre type là-bas ! > me fait Clémentine en me montrant un jeune homme qui semble rôder près de l'eau.
Maurice arrive à son tour. Estelle est debout entre le mur et les épais fourrés. Elle lui tend la main pour le saluer. Bavardages.
Nous ne comprenons pas ce qu'ils se disent à voix basses. Nous voyons Estelle mimer une masturbation masculine, insistante.
Maurice regarde partout autour de lui. Il ouvre sa braguette. Il sort son sexe. < Voilà la chipolata ! > me murmure Clémentine.
Estelle regarde partout autour d'elle avant se saisir le sexe de Maurice. Elle s'accroupit. Elle a un mouvement de recul. Grimace.

Estelle tourne le sexe de l'homme dans tous les sens. Maurice, les bras ballants, observe cette étonnante jeune fille qui scrute.
Je bande comme le dernier des salauds. Clémentine, une main sous sa jupette de sport, se touche. Nous nous masturbons. Joie.
Estelle se redresse juste avant que le mec qui la tient par sa natte, lui mette sa bite dans la bouche. Estelle lui met une gifle.
Le type a une réaction amusée. Estelle se met à le masturber. Nous observons cette étonnante bite blanche, longue et si molle.
Clémentine me fait : < Regarde, l'autre mec qui mâte, là-bas ! >. Je constate qu'il y a un troisième voyeur planqué. L'esthète.

La situation ne dure pas. Certainement considérablement excité Maurice, son corps agités de spasme, doit éjaculer. Petits cris.
Estelle le tire par la queue pour le mettre en position pipi contre le mur. Nous sommes comme hallucinés. Il se met à pisser.
Estelle guide le jet en faisant un dessin contre le mur. Là-bas, l'autre type mâte. Il ne peut pas nous voir. Situation excitante.
Estelle secoue les dernières gouttes en agitant la bite de Maurice. Le type lui passe la main sur le visage. Tendrement. Bien.
Nous regardons Estelle s'éloigner. Elle se retourne pour faire des coucous à Maurice qui se réajuste. Il reprend vite ses esprits.

Nous rejoignons Estelle qui nous cherche du regard en se lavant les mains à la petite fontaine devant la capitainerie. Souriante.
Nous lui racontons qu'un autre mec mâtait dans les fourrés. < Génial ! Où ça ? > fait Estelle. Nous rigolons comme des bossus.
Nous allons chercher trois autres cônes que nous dégustons assis sur un muret au bout de la jetée. Il y a encore plus de monde.
Estelle nous confie ses ressentis quand à cette nouvelle expérience. < Tu le suces quand ? > lui demande Clémentine. Rigolade.
< Il pue la clope, il pue la bière et ça bite qui pue ! Beurk ! > fait Estelle en se touchant le ventre avec un air de dégoût. Silence.

Il est temps de reprendre le chemin du retour. Il est 19 h15 lorsque nous pédalons contre un léger vent de Nord Est. Difficile.
Il est 20 h30 lorsque nous sommes de retour à la maison. Morts de faim nous préparons immédiatement notre repas réchauffé.
Nous mangeons dehors. Nous traînons à table. Les filles évoquent leurs études. La vaisselle. Il est 22 h. Nous sommes épuisés.
Nous ramenons Estelle et sa bicyclette. La séparation est difficile. Estelle revient mardi. Nous rentrons, pressés de nous aimer.
Nous faisons l'amour. Fatigués. Clémentine me confie le "Plan" qu'elle veut appliquer avec Estelle et moi. Cunni. Pipe et dodo...

Bonne branlettes à des inconnus à toutes les coquines qui apprécient les situations vicelardes, excitantes et glauques...

Julien - (Qui va d'étonnement en étonnement devant les initiatives d'Estelle qui se lâche un peu plus dans le vice) -

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Classe - 4 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episodes 437 -



Clémentine fait une rencontre étonnante qui la ravie

Hier matin, lundi, c'est Nabucco, "Le Cœur des Esclaves" de Guiseppe Verdi qui nous tire de nos profonds sommeils. Difficile.
< Mais Put-Hein, c'est quoi ce bordel. Et le matin de bonne heure ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil. 5 h55.
Nous rions de bon cœur avant qu'elle ne me chevauche en riant. Papouilles. Nous nous précipitons jusqu'aux toilettes. Pipi.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse nos oranges. Clémentine s'occupe du café. Joie.
Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant...

Nous sommes déjà en tenues. Il est 6 h25 lorsque nous nous offrons notre jogging dans une étonnante douceur matinale.
Une heure d'un running des plus agréables avant de revenir prendre notre douche. Je descends sortir l'auto de Clémentine.
Elle est vêtue de son jean, d'un T-shirt et d'une veste légère. Il fait beau. Il fait doux. Le soleil est haut dans le ciel. 7 h45.
Des bises. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Clémentine reviendra à midi.
Je rentre. Je monte faire le lit. Je descends pour faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Me voilà assis devant mon tableau.

Il est 8 h15. Je peins dans l'enthousiasme délirant d'un début de semaine. C'est ma trentième toile. J'ai presque mon stock.
Pour ma saison d'été, j'aurais mes trente toiles accrochées aux cimaises de ma galerie. C'est rassurant et sécurisant. Bien.
La peinture de cette nature morte m'absorbe totalement. Je me livre à ma passion corps et âme. Hors du temps et distant.
Il est rapidement midi. Je nettoie mes pinceaux et ma palette. Je vais à la cuisine en même temps qu'arrive Clémentine. Joie.
Elle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tournoyer. Elle me couvre le visage de bisous pour me raconter sa matinée.

Nous préparons le repas. Clémentine s'occupe de la salade et de l'assaisonnement. Je prépare une ratatouille "maison". Faim.
Courgettes, tomates, oignons, ail, persil et ciboulette qui cuisent dans le Wok. Pendant que je fais les steaks de thon. Crème.
Clémentine me raconte quelques amusantes anecdotes concernant les cours de la matinée, l'attitude du professeur de math.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle me fait : < Je suis sûre que dans la vie privée, c'est un sacré coco ! Il se lâche parfois ! >
Nous mangeons dehors, dans le jardin. Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt, Clémentine évoque l'après-midi.

Avec cette météo, ce soleil, nous allons nous offrir une virée à vélo. Nous débarrassons. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine.
Nous montons nous laver les dents et nous mettre en tenue. Clémentine porte une de ses jupettes sport et son T-shirt blanc.
Je porte mon short et un T-Shirt. Nous faisons les clowns devant le miroir. Dans le petit sac à dos, pommes, barres de céréale.
Il est 13 h45 lorsque nous descendons le chemin pour rejoindre la piste cyclable. Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest.
Nous croisons peu de monde. Principalement des retraités, des séniors sportifs. Il fait un peu lourd. Un climat orageux. Super.

Nous nous arrêtons au cabanon de l'écluse. Clémentine qui se retient volontairement depuis au moins deux heures, doit pisser.
Elle traverse la passerelle métallique pour aller se mettre en situation entre les deux bosquets, de l'autre côté de l'écluse. Canal.
Je reste dissimulé derrière le cabanon derrière les fourrés. Nous nous faisons des grimaces, des signes obscènes. Nous rigolons.
L'attente est de courte durée. Il y a un cycliste qui se pointe. Un sénior athlétique aux cheveux blancs vêtu en tenue sport. Bien.
Clémentine retire sa culotte qu'elle pose à ses côtés. Accroupie, elle dénoue ses cheveux. Elle porte ses larges lunettes de soleil.

La tête penchée, observant son entre jambes, concentrée, Clémentine fait mine d'être absorbée dans un pissou qui n'arrive pas.
Le type arrive. Il tombe sur ce merveilleux spectacle. Il freine, s'arrête et regarde en silence. Son vélo entre ses cuisses. Il mâte.
Je n'entends pas distinctement les mots qu'il prononce à l'attention de la jeune fille. Clémentine relève la tête. Elle lâche un jet.
Cambrée, les deux mains posées sur ses cuisses, Clémentine contrôle parfaitement un jet qui vient se briser dans l'eau du canal.
J'ai sorti la petite paire de jumelles qui ne nous quitte jamais. Je scrute. Je vois de la cyprine gluante s'écouler derrière la pisse.

Clémentine est toujours très excitée dans ces situations. Aussi, les écoulements de cyprine sont rapidement abondants. Super.
Le type descend de son vélo qu'il pose contre le poteau. Il regarde partout autour de lui. Personne. Clémentine reste immobile.
Le cycliste descend carrément son short pour déballer un sexe fièrement dressé. Un bel engin qui agite vers la jeune fille. Joie.
La réaction des messieurs, toujours prévisible dans ces situations, reste toutefois passionnante pour une belle exhibitionniste.
Clémentine se met en appui sur ses mains posées derrière elle. Les cuisses écartées au maximum comme une vraie invitation.

J'entends distinctement le cycliste demander : < Je peux venir te baiser un peu ? >. Clémentine reste sans bouger. Super sexy.
Elle répond : < J'attends mon ami ! Il devrait déjà être là ! >. Le type fait : < Il en a de la chance celui-là ! Il te baise bien ? >.
< Oui ! Et tous les jours, comme je le mérite ! > répond Clémentine. Le type se réajuste. Il remonte son short. Prend son vélo.
C'est un gentleman. Et la formule de "l'ami" fonctionne toujours très bien. Effet dissuasif qui écarte toute velléités hasardeuses.
Le type remonte sur sa bicyclette pour continuer sa route. Clémentine vient me rejoindre. < Merci Julien ! > me chuchote t-elle.

Clémentine remet sa culotte. Je lui touche le sexe qui est trempé. Je la félicite pour son numéro à présent très bien rôdé. Super.
Nous arrivons au port de plaisance pour 15 h30. C'est souvent étrange de découvrir l'endroit sans les animations des dimanches.
Nous fermons nos bicyclettes à cadenas derrière la capitainerie. Nous allons saluer Pauline qui est toute heureuse de nous revoir.
Nous bavardons. Pauline nous raconte son Week-End. Récemment séparée, toute seule, elle s'est trouvée un petit studio en ville.
Son prochain emploi au haras qui commence vendredi lui permettra de faire beaucoup moins de kilomètres. Elle va avoir 28 ans.

Nous lui proposons d'aller chercher des cônes pour les déguster ensemble. Nous traversons la route pour aller à la supérette.
Quelle n'est pas notre surprise. Dans le magasin, il y a le cycliste de tout à l'heure. Il doit avoir ma taille. Il choisi des pommes.
Il nous voit. Il reconnaît Clémentine. Il est extrêmement discret et ne manifeste aucune réaction. Nous choisissons nos glaces.
A la caisse où il nous rejoint, Clémentine esquisse un sourire auquel il répond aimablement. Je fais semblant de rien. Lunettes.
Nous retournons à la capitainerie. Nous dégustons nos cônes assis tous les trois sur le banc entre la fontaine et la capitainerie.

Pauline nous raconte quelques amusantes anecdotes concernant les habitués du port. L'exhibitionniste qui vient parfois. Matin.
Maurice, l'homme à la mobylette, souvent légèrement bourré, qui vient traîner. < Il bossait là ! > nous fait la jeune femme.
Il y a un couple de plaisanciers qui arrive. Pauline est au boulot. Elle nous quitte pour s'occuper des arrivants. Les bavardages.
Nous la laissons pour aller flâner sur le quai. Les joueurs de pétanques ne sont pas très nombreux. Un groupe de plaisanciers.
< Regarde, là, le beau vieux ! > fait Clémentine en me montrant le cycliste qui marche doucement en poussant sa bicyclette.

Je propose à Clémentine de tenter d'attirer son attention pour entraîner le type dans un endroit retiré et discret. Les toilettes.
< Je peux ? > demande Clémentine en sautillant autour de moi toute contente de ma proposition. Je réponds : < Je veux ! >
Je la laisse seule près du grand panneau où il y a le plan du port. Je vais vers le bâtiment des sanitaires. De là, je peux mâter.
Clémentine marche doucement. Elle a gardé la petite paire de jumelles. Pour attirer l'attention du type elle joue à la voyeuse.
Le cycliste reste discret. Je le vois faire demi tour en poussant son vélo pour suivre cette épatante jeune fille. Il est si discret.

Je suis caché dans les fourrés. Clémentine arrive. Je la vois se retourner plusieurs fois. Le type est à une centaine de mètres.
Il a compris le jeu de la jeune fille qui s'arrête à plusieurs reprises pour le regarder avec la paire de jumelles. Super vicieuse.
Clémentine me cherche des yeux : T'es là ! > fait elle dans les bosquets. Je lui réponds : < Oui ! Pas de soucis ! Eclate toi ! >
Le type arrive. Il pose son vélo contre le mur qu'il longe entre les fourrés. Clémentine s'accroupit rapidement. Le type arrive.
< Il n'est pas là ton ami ? > lui demande l'inconnu. Clémentine répond simplement : < Non ! Il est allé chercher des fruits ! >

Clémentine se couche sur le dos. Elle a retiré sa culotte il y a un moment. Elle écarte les cuisses. Elle fixe le type, immobile.
< Tu veux baiser ? > lui demande l'homme. < Oui ! > répond Clémentine avant de rajouter : < Oui, mais pas aujourd'hui ! >
L'inconnu n'insiste pas. Il sort sa queue pour l'agiter en direction de la jeune fille couchée. Clémentine se met à pisser. Fou !
< T'es une fille géniale ! > fait l'homme en se masturbant doucement. Le bougre se met soudain à pisser à son tour. Super.
Le contrôle total de l'individu me laisse admiratif. Il dit : < Je veux absolument baiser avec toi ! >. Clémentine finit de pisser.

Clémentine reste immobile. C'est une véritable invitation à la baise. C'est la première fois que je la vois jouer à ce jeu. Super.
< Tu reviens quand ? > lui demande l'homme en secouant les dernières goutes qui gicle de sa queue dure et super nerveuse.
< Un de ces jours ! Laissez moi votre numéro de téléphone ! > répond Clémentine en se relevant. Le type donne son numéro.
< Tu sauras le retenir ? > demande l'inconnu. < Oui ! Bien sûr ! > répond Clémentine. Le type se présente. "Bernard". Le No.
Pour mettre un terme à cette situation, Clémentine fait : < Mon ami est d'accord, il ne va tarder à revenir ! >. Le type s'en va.

Clémentine vient me rejoindre. Comme si c'était la première fois, la tête penchée vers le bas, très gênée elle me regarde. Rire.
< Tu es fâché ? > me demande t-elle. Je la rassure. Je lui dis à quel point elle a été formidable. Elle prend le stylo dans le sac.
Elle note le numéro de téléphone de "Bernard". Je dis : < Cette fois, tu vas au bout du truc. Je l'exige ! S'il te plaît >. Silence.
< C'est la première fois que j'ai cette envie ! > me fait Clémentine. Je dis : < C'est merveilleux. Fais toi baiser par ce mec ! >
Clémentine se blottit dans mes bras comme soulagée. < J'ai vraiment envie avec ce type ! > me chuchote t-elle. Il est 18 h30.

Il est 20 h15 lorsque nous arrivons à la maison. Tout le long de la route, Clémentine m'a fait part de ses émotions. Très excitée.
Nous décrochons le linge qui a séché. Nous préparons immédiatement le repas du soir. Il suffit de réchauffer et avec une salade.
Nous traînons à table. Clémentine évoque cette étrange rencontre et les sensations que lui a procuré ce type. Le "beau vieux".
La vaisselle. Nous rangeons. Clémentine m'entraîne à l'étage. Toilettes. Salle de bain. Le lit. Elle m'attire directement sur elle.
Trempée par l'excitation, ça rentre facile. < Tu te rends compte, cuisses écartées devant ce mec qui va me baiser ! > dit elle.

Nous restons immobiles, l'un dans l'autre. J'écoute les étonnantes révélations que me chuchote Clémentine en gémissant. Bien.
Je l'encourage en induisant des images supplémentaires. Je chuchote : < Couchée sur le dos, tu l'attends, cuisses écartées ! >
< Tu surveilleras, hein ! > me fait souvent Clémentine. Je la rassure. Que pourrait-il lui arriver d'autre que de se faire sauter ?
Je continue : < Tu lui fixes un rencard là-bas, dans les fourrés, tu l'attends. Ce mec va te baiser comme jamais, tu vas voir ! >
Clémentine ne peut réfréner l'orgasme qui la terrasse. Je ne l'ai jamais entendu hurler autant . C'est inquiétant. La pipe. Dodo .

Bonne rencontre avec un beau vieux aux cheveux d'argent, athlétique et super bien membré à toutes les coquines intéressées...

Julien - (Qui va peut-être enfin passer du fantasme à la réalité. Au delà de ses espérances les plus folles. Espoir) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 5 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 438 -



Estelle et Clémentine dans une sublime découverte

Hier matin, mardi, c'est "La Valse de l'Empereur" de Johann Strauss qui nous tire avec violence de nos profonds sommeils. Dur.
< Put-Hein, mais fais pas chier Johann ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous en rigolons comme des bossus.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Nous accomplissons nos rituels pisseux.
Morts de faim nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse nos quatre oranges et Clémentine s'occupe du café.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. L'agréable odeur de pain grillé parfume notre copieux petit déjeuner. Délice.

Nous sommes déjà en tenue de jogging. Dès 6 h25, nous voilà à courir dans la douceur matinale de la fin de ce mois de mai.
Une heure trente d'un running des plus agréables et nous voilà de retour. La douche. Je descends sortir l'auto de Clémentine.
Elle porte un pantalon de coton fin et à plis. Une veste claire et légère sur un T-shirt. Sandalettes à légers talons. Super belle.
Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Clémentine reviendra pour midi.
Je rentre. Je monte faire le lit. Je redescends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Me voilà enfin assis devant mon chevalet.

Il est 8 h15. Je peins dans une volupté délicate qui me fait pousser les cris les plus surréalistes que je module très longuement.
La peinture de cette trentième toile destinée à ma saison d'été me procure les plus indicibles émotions. J'en oublie les réalités.
Il est dix heures lorsque la musique ridicule de mon téléphone me sort de mon abstraction. C'est mon Oncle Alan d'Edimbourg.
Nous gardons régulièrement le contact. Le plus souvent par courriels. Là, je suis informé de notre location sur l'île de Skye. Joie.
Nous aurons un tout petit cottage la première semaine d'août. Alan me fera un mail avec toutes les coordonnées. C'est superbe.

Nous bavardons encore un peu. Nous nous voyons à Edimbourg pour le 2 juillet. Nous nous réjouissons pour ce nouveau séjour.
Je travaille dans une euphorie délirante. Je veux faire découvrir la cote Ouest de l'Ecosse à Clémentine. Cela sera la perfection.
Il est presque midi lorsque je nettoie mes pinceaux et ma palette. Dehors il fait un peu moins chaud que hier. Il y a des nuages.
Je vais à la cuisine pour y préparer les coquillettes que je ferais gratiner. Il est 12 h15. Clémentine rentre. Elle me saute au cou.
Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Je lui annonce la bonne nouvelle. Nous aurons un petit cottage en Ecosse. Joie.

Ce sera une location d'une semaine. De quoi nous permettre de randonner et de parcourir l'île et ses cotes dans tous les sens.
Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je prépare une sauce au Roquefort avec des champignons blancs.
Tout va très vite. Les coquillettes sont au four. Nous descendons au jardin. Nous récupérons les dernières fraises dans la serre.
Clémentine me raconte sa matinée. Les cours axés sur les préparations au Doctorat qui commenceront à la mi septembre 2018.
Ma compagne me révèle les délicieux tourments qui la titillent depuis hier. Cette rencontre au port ne la laisse pas indifférente.

Je lui conseille de téléphoner à "Bernard", le beau vieux rencontré hier. Nous entendons la sonnerie du four. Nous avons faim.
Nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit et dans la véranda. La discussion s'articule sur la rencontre.
Assise sur mes genoux, Clémentine compose enfin, après une longue hésitation, le numéro reçu hier. Il y a une longue attente.
< Je peux avoir le rayon boulangerie s'il vous plaît ! > fait Clémentine avant de rajouter : < J'ai fait un faux numéro. Excuse ! >
Etonné puis amusé, j'écoute Clémentine m'expliquer qu'elle avait une femme au téléphone. C'était pour donner le change. Rire.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents et nous mettre en tenues vélo. Et il est déjà 13 h30.
Estelle nous attend à l'entrée de la piste cyclable pour 14 h. Clémentine porte une de ses jupettes sport, T-shirt. J'ai mon short.
Dans le petit sac à dos, je mets trois pommes, des barres de céréales, la bouteille d'eau et nos K-ways. Nous voilà prêts. Bien.
Clémentine, serrée contre moi, me confie sa déception suite au coup de fil. Je propose de rappeler plus tard dans l'après-midi.
Nous descendons le chemin pour rejoindre la piste cyclable. Estelle est toute contente de nous revoir. Vêtue de son short kaki.

Les filles se sont vus ce matin. Clémentine lui a raconté notre aventure de hier. La rencontre avec ce mec qui voulait la baiser.
Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest. Il y a parfois un nuage qui cache un beau soleil généreux. Il y a un climat orageux.
Nous croisons quelques cyclistes. Arrêt au cabanon de l'écluse. Nous attendons un peu. Personne. Les filles doivent pisser. Rire.
Clémentine propose de nous retenir jusqu'au port de plaisance. Excitées comme elle le sont, les filles veulent se garder. Pipi.
Je conseille à Clémentine de refaire le numéro. Nouvelle tentative. Nouvel échec. < Put-Hein mais c'est quoi ! > s'écrie t-elle.

Nous rions de bon cœur en continuant notre chemin. Nous arrivons au port pour 15 h30. Nous y fermons les vélo à cadenas.
Nous allons saluer Pauline dans le cabanon de la capitainerie. Boulot. Nous bavardons longuement en riant beaucoup. Sympa.
< Si vous voulez aller aux toilettes réservés aux plaisanciers, il faut récupérer la clef chez moi ! > nous apprend Pauline. Rire.
< Il y a des problèmes avec des gens qui n'ont rien à y faire ! Des plaisanciers ont signalé des trucs ! > rajoute t-elle encore.
Nous rions de bon cœur à l'idée que nous en faisons parfois partie. Nous laissons la capitaine à son travail. Les cônes glacés.

Il y a peu de monde sur le port. Il y a peu de monde dans la supérette. Nous bavardons un peu avec la gérante. Sympathique.
Nous savourons nos cônes glacés en flânant. < Là-bas, Chipolata ! > s'écrie Estelle en nous montrant l'homme à la mobylette.
Nous voyons Maurice, vêtu de son éternelle veste brune élimée, de son vieux pantalon bouffant et ridicule tenant son casque.
Il bavarde avec des joueurs de pétanque. < Put-Hein, on se fait un super "Plan" avec ce vieux salaud ! > s'écrie Clémentine.
Estelle rajoute : < A défaut de caviar, on mange du pâté ! >. Nous rigolons comme des bossus. Nous contournons le manège.

Estelle nous fait : < Attendez moi dans les fourrés, j'attire Chipolata vers les chiottes ! >. Nous nous dépêchons de nous cacher.
Dans les fourrés, nous pouvons voir Estelle marcher doucement, les bras croisés près du parking. Enfin, Maurice l'aperçoit. Dur.
Discrètement, comme elle sait très bien le faire, nous voyons Estelle imiter une masturbation masculine chaque fois qu'il mâte.
C'est toujours très rapide mais efficace. Maurice ne doit pas être très physionomiste et certainement très myope. Enfin il réagit.
Il pousse sa mobylette pour se diriger vers le bâtiment des sanitaires. Il met sa mobylette contre le mur. Il pénètre les fourrés.

Estelle qui est venue nous rejoindre observe Maurice qui se débraguette en regardant partout autour de lui. Il marche un peu.
< J'y vais ! > nous fait Estelle en sortant des fourrés pour marcher doucement le long du mur. Maurice tombe sur la fille. Joie.
Ils se serrent les mains. Maurice a la bite à l'air. Toujours aussi longue et molle, blanchâtre et évoquant une chipolata. Drôle.
Estelle s'accroupit pour la regarder. Maurice lui caresse la tête. Clémentine, terriblement excitée, se masturbe à côté de moi.
Le type agite sa bite devant le visage d'Estelle qui reste à l'écart, avec une grimace et ses mains sur les cuisses de Maurice.

< Put-Hein j'y vais aussi ! > me chuchote Clémentine entre deux apnées tout en se touchant, retenant sa respiration. Excitée.
Je lui murmure : < Attends un peu, laissons la situation évoluer encore un peu ! >. Nous voyons Maurice s'assoir là, parterre.
Le dos appuyé contre le mur, les jambes largement écartés, il se fait branler par Estelle qui s'est assise au sol, à côté de lui.
Estelle, sa tête posée sur la poitrine de Maurice joue avec la queue qu'elle fait tournoyer en riant. Maurice lui caresse la nuque.
Clémentine me laisse sans prévenir. Je comprends que s'en est trop. Estelle est toute surprise de la voir arriver en se touchant.

Maurice, tout étonné, lui montre le sol à sa droite pour dire : < Viens t'asseoir, il y en a pour deux ! Il n'est pas là ton mec ? >.
Clémentine s'installe à côté du mec qui la prend par les épaules. Il tente de lui faire une bise. Clémentine se détourne. Dégoût.
Estelle glisse son visage tout près du sexe de Maurice. Je bande comme jamais. Clémentine, une main sous sa jupe, observe.
Penchée en avant ma compagne regarde ce que fait Estelle. Elle hume la bite du vieux salaud. Estelle se redresse en grimaçant.
Maurice qui a anticipé, la maintient fermement par la nuque. Estelle tente de résister. Je la vois ouvrir la bouche pour le gober.

Comme halluciné, je regarde Estelle sucer ce mec. Elle suce avec avidité. Les traits se son visage enfin détendu. Elle se régale.
Clémentine est maintenue fermement par la nuque. Maurice tient les deux filles. Estelle suce. Je la vois savourer avec appétit.
Maurice tente d'embrasser Clémentine qui se détourne en luttant contre l'étreinte du mec. Il lui passe sa main entre les cuisses.
J'hallucine une nouvelle fois en voyant ma compagne qui écarte largement ses cuisses pour laisser le mec la tripoter. Il touche.
De voir ce vieux Clodo se comporter ainsi avec les deux filles me procure une érection presque douloureuse. Je me branle. Fou.

Je vois Estelle retirer la queue de sa bouche à plusieurs reprises. Je la vois, l'air dégoûté, tenter de déglutir et avec difficulté.
Maurice doit faire un doigt à Clémentine qui se pâme. Elle doit apprécier à tel point qu'elle se laisse à présent embrasser. Fou.
Je vois ma compagne, blottie contre ce mec qui l'embrasse et qui la doigte avec une vulgarité incroyable. Estelle taille sa pipe.
Je vois du jus s'écouler de la bouche d'Estelle sur les grosses couilles du vieux saligaud. Clémentine tient le poignet du mec.
Elle semble guider sa main. Estelle, la bouche ruisselante de foutre, cesse parfois pour contempler, étonnée, ce qui se passe.

Maurice se couche sur le dos. Les deux filles ont posé leur tête sur son ventre. Estelle se régale de cette bitte molle, baveuse.
Clémentine la regarde avec un air d'envie. Enfin ! Les filles sont maintenues par la nuque. Maurice tente de forcer Clémentine.
Il tire Estelle par ses cheveux pour la forcer à cesser sa pipe. Je n'ai jamais vu s'écouler autant de foutre d'une bite. C'est fou.
Estelle crache dans la bouche de Clémentine qui, tout en luttant pour ne pas se faire mettre la queue, reprend sa respiration.
Clémentine détourne le visage pour recracher avec un air de dégoût. Maurice la tient fermement. Il tente de la forcer. Insulte.

A chaque fois, Estelle s'empare de la bite molle pour en sucer les écoulements incessants. Je ne l'ai jamais vu tant se régaler.
Le type n'est plus obligé de la forcer. Estelle, la bite jusqu'au fond de la gorge, en tousse de plaisir. De la jute coule de partout.
Clémentine continue de lutter contre cette étreinte qu'exerce le type. Elle a un orgasme qui la terrasse. C'est soudain. Très fort.
Le type la rattrape quand elle veut se redresser. Il se redresse pour se mettre à genoux. Estelle fait pareil sans cesser la pipe.
Je la vois se retirer soudain en poussant un cri de dégoût. Le mec lui pisse à la gueule. Clémentine a réussi à se dégager. Ouf.

Estelle arrive à se dégager. A quatre pattes elle file à toute vitesse pour se redresser. Clémentine l'attrape par la main. Vite.
Les filles se sauvent à toute allure. Maurice retombe sur le dos comme pour s'endormir. Je remballe pour rejoindre les filles.
Elles sont à la fontaine à se rincer la bouche et à se laver les mains. Clémentine n'ose pas me regarder, comme gênée. Un rire.
Je la prends dans mes bras pour la rassurer en chuchotant : < Tu as été géniale, je t'aime. Merci ! >. Clémentine se serre fort.
Je caresse le visage d'Estelle en lui disant : < Toi, tu as été parfaite ! >. Elle est très gênée également. Je les entraîne. Glaces.

Nous savourons nos cônes en évitant d'évoquer ce qui s'est passé. Je respecte le silence gêné des filles. Elles me tiennent fort.
Nous prenons le chemin du retour pour arriver à la maison vers 20 h30. Nous réchauffons les coquillettes. L'ambiance revient.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine demande à Estelle : < Il t'a éjaculé dans la bouche ? Tu as bu de sa pisse, dis ? >.
Estelle répond : < Je ne sais pas ! Ça coulait tout le temps. Put-Hein je n'ai pas sucé beaucoup de bites, mais celle-là, beurk ! >
Nous rions de bon cœur lorsqu'Estelle fait à Clémentine : < Tu aurais du goûter, toi qui adore la pipe, tu aurais été contente ! >

Je dis à Clémentine : < C'est vrai ! Tu aurais pu goûter cette queue ! >. Clémentine répond : < Il m'a doigté tout le temps ! >
Elle rajoute : < J'en avais l'envie folle mais j'arrive pas à surmonter ! > Estelle lui fait : < Essaie, tu vas voir, c'est génial ! >
Nous traînons à table. La vaisselle. Il est 22 h15. Nous ramenons Estelle et son vélo. Au retour Clémentine me taille une pipe.
Nous nous dépêchons de monter. Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis. Sans bouger. Elle me confie enfin ses ressentis.
< Aide moi encore ! J'ai vraiment envie de franchir le pas ! > me dit elle. < Je répond : < On y retourne demain ! >. Orgasme.

Bonne après-midi au port de plaisance à toutes les coquines qui rêvent de faire de nouvelles expériences avec des inconnus...

Julien - (Sous l'enchantement de l'attitude de Clémentine qui, enfin, découvre les émotions et les sensations de l'inconnu) -

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Couple, 55 ans, Belgique
Le-Branleur, c'est le meilleur Mèche
Homme, 53 ans, France
Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 439 -



Clémentine me fait part de son ressenti quand à nos aventures

Hier matin, mercredi, nous nous étirons en même temps dans un long gémissement. J'éteins le cube réveil avant qu'il ne sonne.
Clémentine se serre contre moi. < Bonjour mon amour ! > me fait elle. Je lui chuchote : < Bonjour mon amour ! >. Papouilles.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Morts de faim nous descendons. Cuisine.
Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Il est à peine 6 h. La journée s'annonce ensoleillée. Il fait déjà beau.
Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Miam.

Nous sommes déjà en tenues de jogging. Il est 6 h25 lorsque nous nous mettons à courir dans une douceur étonnante. Super.
La campagne est enchanteresse. Une heure d'un running des plus agréables et nous voilà de retour pour prendre notre douche.
Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint vêtue d'un jean, d'un T-shirt, veste légère et sandales.
Des bises. Elle revient pour midi. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre.
Je monte faire le lit. Je descends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Il est 8 h15.

Je peins dans un enthousiasme frisant l'indécence. Je pousse les cris les plus surréalistes qui manifestent mon immense plaisir.
C'est la trentième et dernière toile destinée à ma saison d'été qui commence d'ici trois semaines. Je peins donc dans l'allégresse.
Il est dix heures lorsque trois coups de sonnette retentissent, me tirant de mon abstraction. Je me lève pour aller voir qui sonne.
Quelle n'est pas ma surprise. C'est Juliette en tenue d'équitation. Son cheval attaché au lampadaire du jardin. Elle est souriante.
Nous nous serrons la main. < Je passais. Je suis venue vous faire un coucou ! > me fait elle en déclinant mon invitation d'entrer.

Nous sommes invités en soirée pour un barbecue au haras. Solène fête son départ. Elle termine jeudi 31 mai. Marquer le coup.
J'informe Juliette que nous serons en tenues de vélo et que nous viendrons les mains vides. Cela ne pose aucun souci. Sympa.
Je regarde Juliette s'en aller, bien droite sur son cheval. Arrivée en bas, près de la rivière, elle se retourne. Je lui fais un coucou.
Elle lève son bras pour me faire signe. De son autre main, elle a le geste masturbatoire qu'elle fait toujours à cet endroit précis.
Amusé, je retourne à ma peinture. Il est presque midi. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je vais à la cuisine. Il fait chaud.

Il est 12 h15. Clémentine rentre. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Je lui raconte la visite.
Clémentine, toute contente de la proposition de Juliette prépare la salade en me racontant sa matinée. Je prépare le millet doré.
Clémentine se serre à plusieurs reprises contre moi. < Je pense sans arrêt à ce qui s'est passé hier avec Chipolata ! > fait elle.
< J'en ressens comme une sorte de culpabilité envers toi ! Je sais, c'est stupide, mais je ne peux m'empêcher ! > rajoute t-elle.
Je la rassure. Je dis : < Tu connais mon fantasme. Ça s'inscrit très exactement dans le cadre de ce fantasme ! >. Elle se blottit.

Nous mangeons de bon appétit. La conversation reste axée sur nos aventures vécues avec Estelle et l'homme à la mobylette.
Clémentine m'explique à quel point ces situations la troublent. C'est à la fois culpabilisateur et très excitant. J'écoute, amusé.
Je n'arrête pas de la rassurer. Nous ne sommes pas obligés de continuer dans cette voie. Remettre à plus tard nos expériences.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt, Clémentine reste souvent silencieuse. Je lui expose quelques possibilités.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous mettre en tenue vélo. Clémentine porte une jupette sport, T-shirt.

J'ai mon short et mon T-shirt. Il est 13 h45. Nous voilà en chemin pour rejoindre la piste cyclable. Il y a peu de monde. Sympa.
Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest qui nous poussera au retour. Nous nous arrêtons au cabanon de l'écluse. Le pissou.
Je tiens Clémentine par ses cheveux pour la faire pisser au milieu de la piste cyclable. Il n'y a personne. Je la torche doucement.
< Je t'aime Julien ! Je te promets de surmonter toutes mes inhibitions. J'en ai autant envie que toi ! > dit elle, serrée contre moi.
Nous attendons un peu. Pas d'opportunité exhibitionniste. Nous reprenons notre route pour arriver au port de plaisance. 15 h30.

Tout cela est un rituel. Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie. Nous allons saluer la capitaine. Pauline. Joie.
Nous bavardons un peu. Pauline nous invite demain à son pot de départ. Nous acceptons avec plaisir. La chaleur est très forte.
Nous la laissons pour aller nous offrir nos cônes glacés à la supérette. Peu de fréquentation. Nous y bavardons avec la gérante.
Nous flânons sur le quai en dégustant nos glaces. Il y a les joueurs de pétanques. Nous nous surprenons à observer avec soin.
Je dis : < Tu cherches Maurice des yeux ? >. Clémentine, baissant les yeux, avec un rire gêné, me répond : < Oui ! >. Silence.

Pourtant, nous avons beau regarder, l'homme à la mobylette n'est pas là. J'enlève le petit sac à dos que j'ai toujours avec nous.
J'en tire le collier canin et la laisse. Clémentine me fixe, consternée. < Maintenant, là ? > me fait elle. Je lui dis : < Oui, là ! >
Je le lui fixe autour du cou. J'y attache la laisse. Il n'est bien évidemment pas question de la trimballer à la laisse devant les gens.
Je l'entraîne au bâtiment des sanitaires. Nous passons derrière les fourrés. Nous nous arrêtons au lieu où nous étions hier. Rires.
Je saisi la laisse que je tiens au plus court. Je dis : < Si ce mec vient cet après-midi, je lui donne la laisse ! >. Il y a un silence.

Clémentine ne peut pas vraiment cacher sa joie à l'idée de se retrouver dans une telle situation. Offerte à un vieux saligaud.
Je lui chuchote : < Ça aussi, c'est une expérience qu'il faut vivre ! >. Clémentine s'accroupit, me fixe et me dit : < Tu es fou ! >
< Oui, de toi ! > ai-je le temps de dire avant de me retrouver avec ma bite dans sa bouche. Clémentine est à genoux au sol.
Je la tiens à la laisse et au plus court. Je me fais tailler une pipe bien dégueulasse. Je suis très vicelard. Clémentine en glousse.
Je lui mets une gifle. Je la force à cesser. Je l'entraîne en la tirant par la laisse. Nous faisons le tour du bâtiment. Doucement.

Nous traversons toutefois l'endroit hors des fourrés très rapidement. Je n'ai pas le réflexe. Derrière nous la voix de la capitaine.
Elle tient la clef des toilettes à la main. Elle découvre la scène. Nous nous sourions un peu bêtement. Pauline terriblement gênée.
Pauline ne dit rien. Elle nous laisse pour aller aux toilettes. Nous avons beau scruter, Maurice est aux abonnés absents. Tans pis.
Je détache la laisse et j'enlève le collier canin du cou de Clémentine. Nous détachons nos vélos. Nous nous apprêtons à repartir.
Nous passons devant la capitainerie. Pauline vient sur le pas de la porte. Elle nous fait un très étrange sourire. Nous bavardons.

Je me rends compte de ce que fixe avec insistance Pauline. Il y a des coulures foncées sur le T-shirt blanc de Clémentine. Jute.
La jeune femme semble avoir surmonté sa gêne. Elle regarde rapidement et à plusieurs reprises ma braguette. Même tâches.
Elle a quelques sourires équivoques qui ne laissent aucun doute. Elle a compris à quoi nous jouons dans les fourrés. C'est super.
Nous nous promettons de nous revoir demain pour le pot de départ et puis dans les prochains temps au haras. Nous repartons.
Nous pédalons poussés par le vent qui s'est renforcé. Nous arrivons au haras pour 19 h45. Il a de l'animation. Juliette est là...

Nous serrons les mains des gens présents. Madame Walter, monsieur Gérard, Solène et Juliette. Il y a un vieux monsieur noir.
<Monsieur Léon ! > fait Juliette avant de rajouter : < C'est mon ancien employé qui est retraité depuis trois ans ! >. Enchanté.
Nous l'avions déjà aperçu l'année dernière. Nous contournons l'écurie pour nous rendre près de la caravane de monsieur Gérard.
A notre intention, il y a des sardines et des filets de saule avec les saucisses qui grillent sur le barbecue. Il y a des chaises. Bien.
Nous sommes assis à bavarder. La soirée est animée. Nous rions beaucoup des histoires des uns et des autres. Anecdotes. Joie.

Nous sommes en tenues vélo. Avec la nuit, la fraîcheur se fait ressentir. Nous avons un peu froid. Juliette nous offre des draps.
Nous sommes "emballés" comme des fantômes, Clémentine et moi. Ce qui amuse tout le monde. Monsieur Gérard est dragueur.
Bien évidemment, Clémentine focalise les attentions de monsieur Léon, le vieux black très sympa et de monsieur Gérard. Vicieux.
Juliette s'amuse beaucoup de ces situations. Par ruse, le palefrenier arrive à entraîner Clémentine pour visiter sa caravane. Rire.
Juliette me fait un rapide et discret clin d'œil. De mon index, je lui montre ma braguette. Geste qui n'échappe pas à Mme Walter.

Solène ne se rend compte de rien. Monsieur Léon, par des plaisanteries grivoises la fait beaucoup rire. Nous nous amusons bien.
Cela fait bien dix minutes que Clémentine est dans la caravane avec monsieur Gérard. Que peut elle bien faire ? Cela m'excite !
Clémentine revient suivie du palefrenier. Elle me fait un sourire entendu. Il est 21 h30. Solène s'en va la première. Salutations.
Juliette la raccompagne. Clémentine me propose d'y aller. Nous serrons la main à tout le monde. Nous quittons nos draps. Rire.
J'ai le temps de voir le palefrenier se toucher sous le regard de Clémentine qui lui serre la main. Je bande. C'est vraiment génial.

Juliette nous raccompagne dans la cour. Nous la remercions et nous l'invitons à revenir passer la soirée de vendredi avec nous.
La jeune femme accepte avec plaisir. Ce sera pour le repas du soir. Nous pédalons à toute vitesse dans la fraîcheur de la nuit.
Les toilettes. La salle de bain. Clémentine, serrée dans mes bras, me raconte ce qui s'est passé dans la caravane avec Gérard.
< Il m'a montré sa bite. Elle était à gerber. Put-Hein ce mec ne se lave pas ! C'est pire que Maurice ! Puanteur ! > me fait elle.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < Il m'a évidemment proposé de passer un de ces soirs pour la goûter ! >

Une fois encore, je l'y encourage. Je dis : < C'est maintenant qu'il faut sucer ces mecs, pas dans dix ans, tu ne le feras plus ! >
Clémentine éclate de rire. < Je suis comme Estelle, je préfère les vieux messieurs sales et très cochons et nous en parlons ! >
Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine rajoute : < Avec Estelle on partage nos impressions et nos projets pipe ! >
Au lit, Clémentine, excitée, m'attire sur elle, sans préliminaires. C'est de plus en plus fréquent. Je m'introduis avec précaution.
Clémentine me confie les plus étonnantes révélations. Nous sommes immobiles comme nous aimons. J'écoute. C'est sublime.

< Tu as vu la façon dont il me mâtait monsieur Léon ? Il m'a même fait deux clins d'œil en douce ! > fait elle. Je n'ai rien vu.
Clémentine rajoute : < Dans la caravane, Gérard m'a décrit la bite du black. Il bande encore super fort et est hyper vicelard ! >
J'écoute. Je bande. < Monsieur Gérard me propose une "rencontre" à trois avec son copain black ! > me confie Clémentine.
Elle continue en me racontant la proposition de Mr Gérard : < Il te la met bien au fond pendant que je te fais sucer ma bite ! >
J'encourage vivement Clémentine à vivre cette expérience. < T'es fou ! > se contente t-elle de répondre. Orgasme fou. Dodo...

Bonne soirée en compagne de vieux mecs bien vicelards et exhibitionnistes à toutes les coquines que ces situations excitent.

Julien - (Qui écoute émerveillé les révélations de Clémentine qui commence enfin à vouloir vivre sa jeunesse) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 8 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 440 -



Clémentine et Estelle se retrouvent dans une étonnante situation

Hier matin, jeudi, c'est "La Danse Hongroise" de Johannes Brahms qui nous tire de nos profonds sommeils. Et c'est du sévère.
< Put-Hein, mais c'est quoi ton délire Johannes ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous en rions de bon cœur.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Nous nous livrons à nos rituels pisseux.
Morts de faim, nous nous précipitons dans l'escalier pour descendre à la cuisine. C'est Clémentine qui mène la danse en riant.
< C'est mon dernier jour ! Demain, vacances ! > s'écrie Clémentine en sautillant autour de moi tout en préparant le café. Rire.

Je presse nos quatre oranges. Il est 6 h. Nous sommes déjà en tenues de jogging. Nous prenons notre petit déjeuner en riant.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le programme de l'après-midi. Il y a cette agréable odeur de pain grillé. Super.
Il est 6 h25 lorsque nous sortons. Il fait doux. Nous voilà à courir sur un sol légèrement humide des pluies nocturnes. Sympa.
Il est 7 h30 lorsque nous revenons après un running enchanteur. La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine.
Elle me rejoint vêtue d'un jean, T-shirt, veste légère et ses sandalettes à légers talons. Des bisous. Clémentine revient à midi.

Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre. Je monte faire le lit. Il fait beau.
Je descends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. C'est fabuleux. Bien.
Je peins avec l'enthousiasme des jours de fête. Je travaille à la trentième et dernière toile destinée à la saison d'été. Bonheur.
C'est une nature morte emplie d'objets précieux, vermeille et argenterie diverses. Je dispose les tâches de lumière avec grâce.
Je suis absorbé dans ma concentration, ma loupe frontale fixée autour de la tête. Je pousse les cris les plus surréalistes. Super.

Il est presque midi. Je nettoie mes pinceaux et ma palette. Dehors, il y a des séquences d'ensoleillement et d'autres couvertes.
Je vais à la cuisine. J'épluche des patates pour notre gratin. Clémentine arrive et me saute au cou en s'écriant : < Vacances ! >
Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Clémentine me raconte sa matinée tout en préparant une laitue du jardin.
Le gratin est au four. Je fais revenir des filets de haddock dans la poêle sans cesser de les retourner. Nous voilà morts de faim.
Nous passons au salon. Nous découvrons les courriels. Un message de Juliette qui nous remercie de notre présence hier soir.

Nous répondons en promettant de revenir très vite passer un peu de bon temps aux écuries. Le courriel de Julie la serveuse.
Clémentine s'installe sur le bureau, je me rends compte qu'elle a retiré son pantalon. Je n'ai qu'à me pencher pour la lécher.
Il y a les odeurs de sa matinée de fille. Je discerne les lèvres luisantes de son sexe en écartant la touffe broussailleuse. Miam.
Je passe mon index dans la raie culière humide de sueur. Je le renifle. J'en ai des vertiges. Clémentine respire fortement. Joie.
Je passe le bout de ma langue sur les lèvres charnues de son sexe. J'adore ce goût légèrement vinaigré, piquant, très acidulé.

La sonnerie du four. Je me lève pour soulever Clémentine que j'emmène à la cuisine en la portant. Une belle feuille de Sopalin.
Je torche Clémentine. Ses épanchements de cyprine sont toujours abondants. L'excitation, les vacances, l'appétit et la mouille.
Nous mangeons de bon appétit. Nous évoquons notre soirée de hier, au haras. L'attitude de monsieur Gérard dans la caravane.
Les clins d'œil discrets de monsieur Léon, son copain Black. < Je veux en savoir davantage sur ce type ! > me fait Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus quand elle rajoute : < Monsieur Gérard m'a parlé d'une belle bite de Black. Je veux voir ! >

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents et pour nous mettre en tenues vélos. Il est 13 h40.
Clémentine porte une de ses jupettes sport, un T-shirt. Je porte mon short et mon T-shirt. K-ways dans le petit sac à dos. Bien.
Estelle nous attend à l'endroit habituel sur la piste cyclable. Il est presque 14 h lorsque nous la rejoignons. Plein de bises. Joie.
Les filles se sont vues en cours ce matin. Elles reprennent donc tout naturellement leur conversation concernant leurs études.
Il y a peu de monde. Le ciel alterne les séquences d'ensoleillement et celles plus nuageuses. Aucun risque toutefois. Superbe.

Arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Les filles pissent au milieu de la piste cyclable déserte à ce moment là. Je les torche. Rires.
Nous arrivons au port de plaisance pour 15 h30. De l'animation aux abords de la capitainerie. C'est le pot de départ de Pauline.
Nous fermons nos bicyclettes à cadenas derrière le cabanon. Pauline est toute contente de nous voir. Il y a quatre personnes.
Ce sont les employeurs et responsables du port. Madame la Maire du Bourg voisin. Nous nous serrons la main. C'est convivial.
Pauline termine son mois dans ce travail saisonnier qui devait durer jusqu'à la fin septembre. Elle commence au haras demain.

La remplaçante de Pauline sera une jeune étudiante de 25 ans. Nous ferons sa connaissance dans les prochains jours. Sympa.
Nous laissons les gens pour nous rendre à la supérette. Estelle me murmure : < Tu me touches un peu après ? >. Je la regarde.
Clémentine répond : < Mais tu ne t'emmerdes plus ! C'est mon mec ! >. Nous rigolons comme des bossus. La supérette. Joie.
Nous bavardons un peu avec la gérante. Nous apprenons que dimanche il y aura un concours. Le plus beau poney de la région.
Nous pensons immédiatement à Juliette. Le ciel semble se couvrir de nuages blancs, de plus en plus nombreux. Aucun risque...

Nous dégustons nos cônes glacés en flânant sur le quai. Il y a les joueurs de pétanques. Les filles observent autour de nous.
Je leurs dis : < Maurice, l'homme à la mobylette ? >. Estelle répond : < Oui, l'attraction "Chipolata" serait la bienvenue ! >
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < Toi, tu veux te bouffer de la vieille bite sale, hein ! Gourmande ! >
Nous avons beau scruter les environs, l'entrée du port, là-bas, à côté du bar où sont attablés quelques clients. Pas d'arrivée.
Le ciel reste à présent couvert. Il fait toutefois très doux. L'absence de vent est appréciable. Nous traînons longuement. Bien.

Il faut se faire une raison. Maurice ne vient pas tous les jours. Estelle nous fait : < Pas de chipolata cet après-midi ! >. Rires.
Il est 16 h30. Clémentine nous propose de rentrer et de faire une visite surprise au haras. Elle a une idée derrière la tête. Sûr.
Nous prenons le chemin du retour. Le ciel est couvert. Il n'y a aucun vent. Nous pédalons d'un bon rythme. Bavardages. Cours.
Nous quittons la piste cyclable à la hauteur de l'ancienne maison du garde barrière pour prendre le chemin qui mène au haras.
Nous arrivons sur la petite route. Deux kilomètres et nous arrivons. Il y a deux voitures dans la cour déserte. Il n'y a personne.

Nous posons nos bicyclettes contre le mur de l'écurie où nous entrons. La saison des pensions est terminée. Plus de chevaux.
Clémentine, que l'arrivée dans ces lieux excite toujours considérablement, passe une main sous sa jupette. Elle me tient fort.
Estelle nous fait : < Il y a peut-être un "plan" ! >. Nous avançons dans l'allée entre les box vides. < Bonjour ! > fait une voix.
Nous nous retournons. C'est madame Walter, la fidèle assistante de Juliette, en tenue d'équitation, avec un classeur en main.
Nous nous saluons. Nous évoquons la soirée de hier. < C'était sympa ! J'ai beaucoup apprécié ! > nous fait la jeune femme.

Clémentine demande : < Il a bossé ici longtemps monsieur Léon ? >. Madame Walter, un peu surprise, fait : < 18 années ! >
Elle nous raconte un peu de cette période. < Je suis arrivée ici il y a huit ans. J'ai travaillé avec lui cinq ans, un mec sympa ! >
Nous bavardons lorsque la voix de monsieur Gérard résonne dans l'écurie. < Bonsoir ! > fait il en venant nous serrer la main.
Madame Walter nous fait : < Je vous laisse, j'ai du boulot, monsieur Gérard vous parlera de Léon avec qui il a bossé 18 ans ! >
Je cherche un prétexte pour laisser les filles seules avec le palefrenier. Je propose à madame Walter de l'accompagner un peu.

Madame Walter, toute étonnée de ma proposition comprend très rapidement. Nous sommes dehors dans la cour. Debout là.
< Si vous passez par derrière, vous pourrez vous planquer. Montez l'échelle. Vous serez aux meilleurs loges ! > me fait elle.
Je suis étonné par l'aplomb avec lequel madame Walter me lance ces mots avant de rajouter : < Un vicieux comme vous ! >
Elle me fait : < Venez, je vous montre ! >. Nous passons derrière les écuries. Il y a une échelle posée contre le mur. Sympa.
Je lui dis : < C'est là que vous mâtez ? >. Madame Walter ne répond pas. Elle s'éloigne. Je monte quelques barreaux. Bien.

Par l'étroite fenêtre, j'ai une vue parfaite sur les écuries. Estelle, Clémentine et monsieur Gérard bavardent dans l'allée centrale.
J'entends parfaitement les propos qui s'échangent. Monsieur Gérard répond aux questions insistantes de Clémentine. Le "black".
Estelle, une main entre ses cuisses, les jambes croisées l'une devant l'autre, écoute sans se mêler de la conversation. Silence.
Le palefrenier raconte quelques anecdotes concernant les années passées en compagnie de son collègue Léon devenu son ami.
< Il vient parfois passer la soirée dans ma caravane ! Si ça vous tente. Il vous montrera volontiers sa bite ! > leur fait Gérard.

Le palefrenier rajoute encore en riant : < C'est un vrai pervers ! >. Estelle l'interrompt pour demander : < Pire que vous ? >
Monsieur Gérard sort sa petite bite. Il l'agite devant les filles en disant : < Lui, malgré ses 68 ans, il bande encore super ! >.
Clémentine, accroupie devant Gérard, se touche. Les cuisses largement écartées, elle demande : < Elle est juteuse ? >. Rire.
Monsieur Gérard répond : < Ça, je ne sais pas ! Je n'y ai jamais goûté mais je l'ai souvent vu pisser derrière la baraque ! >
Clémentine demande encore : < Il vient vous voir quand ? >. Le palefrenier éclate de rire en disant : < Quand tu veux ! >

Je suis en haut de l'échelle. Je suis excité par cette conversation. Je sors ma queue pour me branler doucement en écoutant.
Soudain, en bas, une voix qui murmure : < Alors, espèce de vicelard, c'est encore comme tu aimes ? > C'est madame Walter.
Je suis hyper gêné. Je remballe mon sexe. Elle murmure : < Mais ne sois pas gêné comme ça. Branle toi va ! Salopard ! >
Me faire tutoyer ainsi, dans cette situation, m'excite encore davantage. Je sors à nouveau ma bite. Je l'agite vers la dame.
Elle lève le pouce de la main droite comme pour me féliciter en murmurant : < Toi, tu sais ce qui est bon ! >. Et elle s'en va.

J'ai un peu perdu le fil de la conversation dans les écuries. Je vois le palefrenier, à quatre pattes au dessus d'un petit seau.
Estelle, à genoux, est certainement entrain de le branler. Clémentine se masturbe appuyée contre la cloison derrière elle.
Estelle lui fait : < C'est comme ça qu'il faut traire les bêtes ! > Les filles rient. Clémentine se met à quatre pattes pour voir.
Monsieur Gérard reste parfaitement immobile à se faire traire par Estelle qui se couche sur le côté. Et je distingue assez mal.
Elle passe sa tête sous le ventre du mec. Pas de doute, elle lui suce la bite. Clémentine se met sur le coude de l'autre côté.

Estelle se retire prestement à plusieurs reprises. J'entends le bruit d'un jet dans le petit seau en fer. Pas de doute, le mec pisse.
Estelle y retourne à chaque fois que le bruit cesse. Clémentine, couchée à même le sol, et sur le côté, s'est encore rapprochée.
Estelle se redresse pour se mettre à genoux derrière le mec qui reste à quatre pattes. Estelle le branle. Clémentine est couchée.
La main entre ses cuisses, elle se masturbe en gémissant. < Vient ! Goûte ! > lui fait Estelle. Clémentine pousse un petit cri.
Monsieur Gérard, bouge un peu. Il se met à pisser dans le seau. Estelle semble guider le jet. Clémentine glisse, passe sa tête...

Je ne vois pas ce qu'elle fait. Le jet cesse. Estelle prend le seau pour bien le montrer à Clémentine qui a un réflexe de dégoût.
< Regarde ce qui flotte à la surface, de la jute ! > lui fait Estelle. Clémentine observe avec attention, approchant son visage.
Les deux fille hument le contenu en silence. Le palefrenier se retourne pour se coucher sur le dos, sa tête en appui sur le mur.
Il reste silencieux à observer les deux filles qui reniflent le contenu du seau. Clémentine a soudain un orgasme. Je la connais.
Estelle se remet à sucer le palefrenier, sa tête posée sur son ventre. Je ne distingue pas la toute petite bite molle de Gérard.

Le palefrenier se fait pomper la bite en caressant la tête d'Estelle qui semble se régaler. Le palefrenier saisit la nuque de l'autre.
Clémentine n'oppose aucune résistance. Elle pose sa tête sur la cuisse de Gérard pour regarder la pipe que lui prodigue Estelle.
Je suis pris de vertige. Je me branle. C'est délirant. Estelle pousse un petit cri. Elle reste immobile le visage collé à la braguette.
Pas de doute, ce vieux salaud est entrain de lui balancer sa purée. Clémentine observe. < J'ai encore du boulot ! > fait Gérard.
Il tient fermement Estelle par ses cheveux pour la forcer à se retirer. Il doit lutter car la fille en veut. Je la connais également.

Monsieur Gérard parvient à se relever avec peine. Il tient les deux filles par leurs cheveux pour les entraîner jusqu'à la porte.
< Je vous organise une soirée avec Léon un de ces soirs. Vous serez informées ! > fait le palefrenier en repoussant les filles.
Clémentine en perd presque l'équilibre. Elles sont carrément jetées dehors sans ménagement. De quoi ravir Clémentine. Joie.
Je vois le palefrenier se réajuster avant de marcher vers la porte arrière. Je descends pour aller rejoindre les filles aux vélos.
Nous quittons rapidement les lieux. L'orage va éclater. Nous arrivons à la maison juste à temps. Il est déjà 19 h30. La soirée.

Morts de faim, nous réchauffons le gratin. Clémentine s'occupe de la salade. Les filles encore très excitées parlent de la soirée.
J'écoute en silence les échanges des deux filles. Nous mangeons de bon appétit. La conversation s'articule sur les vacances.
Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle nous raconte sa pipe. < La plus géniale ! > confie t-elle.
Clémentine rajoute : < Je n'ai jamais vécu une situation aussi excitante ! J'adore les comportements de ce vieux salopard ! >
Nous ramenons Estelle pour 22 h15. Au retour, Clémentine me suce. Nous baisons. Elle me confie des secrets fous. Pipe. Dodo.

Bonne pipe bien dégueulasse dans vos écuries préférées, avec votre palefrenier vicelard préféré, à toutes les coquines...

Julien - (Qui écoute les étonnantes révélations de Clémentine que ces situations rendent totalement folle de plaisir) -

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Une agréable randonnée avant une soirée avec Juliette

Hier matin, vendredi, je suis réveillé par le léger frottement des draps, presque imperceptible mouvement qui fait bouger le lit.
J'ouvre l'œil. Clémentine, couchée sur le ventre, se masturbe. Hélas, mon voyeurisme ne dure pas. Son sixième sens l'avertit.
Elle se serre contre moi me chuchotant : < J'ai encore fait un rêve érotique ! >. Je dis : < Bonjour ma belle masturbatrice ! >
Clémentine me chevauche en riant. < Bonjour mon amour ! > me fait elle avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse nos oranges. Clémentine s'occupe du café. Bisous.

Il est 7 h30. Dehors il fait beau. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Les fenêtres ouvertes.
Le gazouillis des oiseaux est perpétuel. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous sommes en tenue de jogging.
Clémentine me raconte son rêve érotique. Il y était question du palefrenier, des écuries et de situations déjà vécues en ce lieu.
J'écoute amusé le récit détaillé de ma compagne qui conclue : < Tout de qui s'est passé ces derniers jours était si intense ! >
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Stop ! Il faut que je resitue les choses et que je nous retrouve un peu. Stop ! >

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est huit heures lorsque nous sortons pour aller courir. Il y a une fraicheur, des nuages.
Nous courons d'un rythme soutenu. Une heure d'un running régénérateur et des plus gratifiants. Il est 9 h. La douche. Superbe.
Clémentine m'accompagne dans l'atelier. Je dois terminer ce matin cette trentième toile destinée à ma saison d'été. Exposition.
Me voilà installé devant mon chevalet. Clémentine me laisse pour aller au jardin. S'occuper de ses fleurs dans la roseraie. Bien.
Je peins dans une allégresse glorieuse en poussant les cris de satisfaction les plus surréalistes que je module longuement. Joie.

Il est onze heures trente lorsque je donne le dernier coup du plus fin de mes pinceaux sur la surface d'une perle opalescente.
Je nettoie mon matériel. Je vais rejoindre Clémentine. Coiffée d'un chapeau de paille, portant son tablier de jardinier, ses gants.
Je la rejoins au potager. Il fait un peu plus frais que les journées précédentes. Et principalement à cause d'un fort vent d'Ouest.
Clémentine m'entraîne dans la roseraie. J'admire les roses absolument superbes. Les tulipes étonnantes de variétés différentes.
Il y a de la ciboulette en quantité, du persil et de la menthe. Les parfums dans la serre sont enivrants. Je félicite ma compagne.

Clémentine me déboutonne la braguette pour y fourrer sa main. < Je t'aime Julien, tu m'offres l'existence de rêve ! > dit elle.
Je la serre contre moi pour lui chuchoter : < Je te jure, je fais au mieux ! >. Nous rions de bon cœur en retournant au potager.
Clémentine me montre les carottes, les tomates, le choux, les oignons, les poireaux et même les patates. Ce sont nos légumes.
Plus besoin d'en acheter au marché du bourg le samedi matin. Nous voilà avec notre propre production. Nous en sommes fiers.
Je passe ma main sous le tablier de Clémentine pour découvrir qu'elle est sans culotte sous sa jupette. Elle a un réflexe. Super.

< Je n'arrête pas de penser à cette situation, aux écuries, l'autre soir, ce vieux salaud à quatre pattes ! > me fait Clémentine.
Elle dit encore : < De voir Estelle branler et sucer ce type, à quatre pattes son froc et son slip aux genoux, m'excite encore ! >
J'écoute toujours en silence les ressentis et les impressions de ma compagne. Ces hésitations et ses inhibitions de jeune fille.
Je la caresse. J'enfonce un doigt pendant qu'elle me raconte les moments précis qui provoquent encore de délicieux tourments.
Je lui dis : < D'être caché, de te voir participer à toute sorte de saloperies, exerce sur moi la même chose qu'un film porno ! >

< C'est pareil pour moi, quand je te regarde te comporter en vicelard avec Estelle où avec d'autres femmes ! > fait Clémentine.
Nous avons en commun ce plaisir trouble et intense d'observer l'autre dans ses égarements les plus déviants et les plus vicieux.
Nous nous promettons de nous y livrer aussi souvent que possible. < Attends un peu, tu vas avoir des surprises ! > me fait elle.
< Je dois encore surmonter des choses, mais bientôt je te réserve des situations extraordinaires ! Je t'aime tant ! > me dit elle.
Je la serre fort contre moi. Notre complicité est la chose la plus précieuse. Tout cela n'est possible qu'avec la différence d'âge.

La faim commence à se faire sentir. Il est 12 h15. Nous avons cueillis une grosse scarole et quatre grosses tomates bien rouges.
Nous rentrons. Clémentine s'occupe des salades et de leurs assaisonnements. J'évide deux grosses courgettes. Je fais du millet.
Pour ce soir, je prépare une Béchamel à laquelle je rajoute de petits morceaux de saumon. Je fais décongeler la pâte feuilletée.
Pour le repas de ce soir, en compagnie de Juliette, ce sera du feuilleté de saumon accompagné de haricots verts, de petits pois.
Clémentine, souvent derrière moi, me tripote. Je farci les courgettes d'un pâté de lentilles que je fais décongeler dans la poêle.

Le millet doré gonfle dans sa casserole, feu coupé. Les courgettes sont au four. La table est mise. Nous passons au salon. Mails.
Nous découvrons les courriels. Un coucou de Julie la jeune serveuse du restaurant qui attend le résultat de sa Licence de Lettres.
Un courriel du Notaire qui nous fixe un rendez vous pour mardi prochain, à onze heures. Un courriel d'Estelle qui est au bureau.
Nous répondons à Julie en joignant deux photos récentes prises au port de plaisance. Nous répondons à Estelle. Mêmes photos.
Je réponds au notaire pour lui confirmer notre rendez-vous. Je veux assurer la situation de Clémentine pour les années à venir.

La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit et tout en faisant le programme du jour.
Assise sur mes genoux, terminant son yaourt, Clémentine me fait : < Nous sommes tous deux de vrais débauchés ! Génial ! >
Nous en rigolons comme des bossus lorsqu'elle rajoute : < Nous allons encore faire des "victimes". Je t'aime Julien ! >. Bisous.
Cet après-midi, nous nous offrons notre randonnée au bord du lac, le sentier des collines et jusqu'aux ruines du vieux château.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Tout est prêt pour ce soir. Clémentine a décoré la table monastère au salon. Les bougies.

Nous montons nous laver les dents. Nous changer. Clémentine porte une de ses jupettes sport, un T-shirt, godasses de marche.
Je porte un short et un T-shirt. Godasses de marches. Dans le petit sac à dos, nos K-ways, nos pommes, nos barres de céréale.
Il y a la petite paire de jumelles qui ne nous quitte jamais. La bouteille d'eau. Dehors il y a des alternances de soleil, de nuages.
Il y a ce désagréable vent d'Ouest qui rafraîchit l'atmosphère. Nous emmenons des sweats. Nous voilà en route. 25 km. La joie.
Je roule doucement. Il est 13 h50. Clémentine joue avec mon sexe qu'elle suce parfois. Elle me confie d'étonnantes révélations.

Parfois, de ma main droite, je lui caresse la touffe, je titille son clitoris géant. Je fouille les lèvres béantes, charnues de son sexe.
Le sexe de ma compagne m'impressionne toujours beaucoup. Il est une véritable invitation à l'exploration. Un endroit étonnant.
Je gare la voiture sur le parking près du restaurant. Nous voilà en chemin. Je porte le sac à dos. Clémentine me tient la main.
Nous gravissons le chemin jusqu'au début du sentier. Il y a plein de voitures garées. Nous ne tardons pas à croiser du monde.
Les promeneurs et randonneurs sont nombreux à profiter de cette météo parfaite pour la marche. Nous évoluons d'un bon pas.

Nous contournons le lac. Nous montons aux ruines du château. Il n'y a pas de réelles opportunités d'exhibes pour Clémentine.
Nous nous arrêtons souvent pour nous embrasser, nous tripoter. Je marche souvent avec la bite à l'air en prenant des risques.
Clémentine adore lorsque je me trimballe ainsi, braguette ouverte et sexe qui pend mollement. Parfois je la saisi par la nuque.
Ce comportement autoritaire est une des préférences de ma compagne. Je la tiens par sa natte comme par une laisse. Super.
J'insiste, sur sa demande, lorsque nous croisons de très rares promeneurs solitaires. Je la tire alors fermement. Derrière moi.

Nous terminons notre randonnée en revenant à la voiture. 18 h30. Le ciel reste à présent couvert depuis deux bonnes heures.
Clémentine me taille une pipe des plus agréables. Je roule doucement sur la petite départementale peu fréquentée. Prudence.
Nous arrivons à la maison pour 19 h. Nous nous mettons à la préparation du repas. Clémentine me suce souvent tout en riant.
Je lui mets le doigt à plusieurs reprises. < Tu seras bien vicieux avec Juliette, ce soir, hein ! > me fait Clémentine. Je promets.
Le feuilleté de saumon est au four. Dehors, le ciel est devenu sinistre et menaçant. Nous montons nous changer. Il est 19 h45.

Clémentine porte une jupe kilt à carreaux rouges. Un chemisier blanc. Des souliers noirs, fermés et à légers talons. C'est sexy.
Sur sa demande je porte un pantalon clair, à plis et à pinces, une chemise blanche largement ouverte et mes mocassins bruns.
< Braguette ouverte ! Obligatoire ! > me fait Clémentine en glissant la tirette vers le bas. Ça bâille et cela se voit. C'est gênant.
< Tu as promis d'être vicieux ! > me rappelle Clémentine en m'entraînant par la main pour redescendre. Les coups de sonnette.
C'est Juliette. Elle est vêtue d'un ensemble très strict. Jupe droite clair , chemisier blanc, veste légère claire, souliers à talons.

Je félicite Juliette pour son élégance. Elle a laissé ses longs cheveux noirs en liberté. J'adore. Une magnifique bourgeoise. Luxe.
J'invite les filles à passer à table. Je fais le service. Juliette regarde avec insistance ma braguette ouverte. J'apporte les plats.
J'adore ces situations troublantes. Mais nous sommes trois à les apprécier à leurs très justes valeurs. Je ne tarde pas à bander.
Nous mangeons de bon appétit. J'aime voir Juliette se régaler. Elle nous confie : < Ni à table, ni au lit, on ne porte respect ! >
Nous rions de bon cœur. Juliette rajoute : < C'est un proverbe Corse ! Mes ancêtres de Sartène ! >. Elle nous raconte un peu.

La conversation s'articule rapidement sur les écuries. C'était la première journée de secrétariat pour Pauline au haras. Bureau.
Juliette évoque le palefrenier et son copain Black, ancien employé de Juliette. < Ils s'entendaient comme des larrons ! > dit elle.
Clémentine pose quelques question très ciblées. Juliette reste évasive, comme à son habitude. Suggérant plutôt que précisant.
Elle dit : < Moi, j'ai un truc bien précis pour savoir à quel genre d'homme j'ai affaire. Vous avez un tout petit verre doseur ? >
Je me lève pour aller à la cuisine. Je sors ma queue. Je bande mou. Je prends un des verres doseur du buffet. J'en ai un petit.

Je reviens avec l'objet que je pose devant Juliette sur la table. C'est un petit verre de 25 cl. En pyrex. Gradué de chiffres noirs.
Juliette s'en saisit et le fait longuement tourner doucement. Clémentine me fait du pied sous la table. Je me masturbe. Discret.
< Le contenu des couilles d'un mec bien excité m'intéresse toujours beaucoup ! > nous explique t-elle. Nous écoutons. Silence.
Juliette continue : < Clémentine, imaginez-vous sucer un mec, ne pas avaler et recracher son foutre dans le verre doseur ! >
Clémentine pousse un petit cri de surprise. Juliette rajoute : < Vous seriez étonnée par la quantité de foutre qui en sort ! >

Clémentine demande : < Et vous le faites à vos employés ? >. Juliette reste silencieuse un long moment en nous observant.
Elle voit le mouvement de mon bras sous la table. Clémentine se masturbe également en écoutant les explications de Juliette.
< J'ai vu quelques "records" impressionnants. Clémentine, je vous propose d'en faire l'expérience au plus vite ! Aux écuries ! >
< Monsieur Gérard ? > demande ma compagne. < Oui ! J'organise la séance. Julien et moi nous restons cachés ! > dit Juliette.
Elle nous explique : < Julien et moi, cachés, nous vous observons. Vous aurez une étonnante surprise. Essayez pour voir ! >

< D'accord si vous le faites à Julien. Moi aussi je suis très voyeuse ! >. Juliette me fixe et disant : < Mais quand vous voulez ! >
Elle rajoute : < C'est donnant, donnant. Vous sucez mon palefrenier, je suce votre compagnon. Et on compare les résultats ! >
Juliette dit encore : < Je nous organise tout ça pour la semaine prochaine. Sans Estelle, juste nous quatre ! Ça marche ? Ok ? >
Nous restons un peu éberlués. La perspective de vivre une telle situation nous excite considérablement. Nous restons silencieux.
< Je vous fais un courriel lundi soir ! > conclue Juliette. Nous ne savons quoi répondre. Et nous nous sentons un peu stupides.

La vaisselle. Juliette insiste pour faire la plonge. Nous essuyons. J'ai la queue hyper dure et fièrement dressée devant les filles.
< Vous ferez moins le malin lorsque je vais vous les vider ! > me fait Juliette. Il est 22 h30. Nous raccompagnons Juliette. Pluie.
Nous nous serrons la main. Clémentine, soudain, lui tend le petit verre doseur en disant : < C'est le vôtre ! Je vous l'offre ! >
Nous rigolons tous les trois comme des bossus lorsque Juliette fait : < Il faut exactement les deux mêmes. Je m'en occupe ! >
Nous regardons la voiture disparaître en haut du chemin. Un dernier coucou de la main. Nous sommes pressés de nous aimer.

Au lit, Clémentine m'attire directement sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Malgré qu'elle soit trempée. Excitée.
Nous restons immobiles. Clémentine me révèle ses impressions, ses émotions, le plaisir fou que tout cela lui procure. Bonheur.
Je lui chuchote : < Ce coup ci, tu ne peux plus te défiler ! Tu ne risques pas de te faire baiser, Gérard est impuissant ! > Rires.
Clémentine ne peut réfréner l'orgasme qui la terrasse. Je lui murmure : < Et tu ne vas même pas avaler puisqu'il y a le verre ! >
Clémentine repart pour un second tour. Elle me dit : < Je vais enfin te voir avec Juliette ! >. Second orgasme. Epuisés. Dodo...

Bonne découverte de quelques révélations nouvelles à toutes les coquines qui adorent les jeux glauques et vicelards...

Julien - (Qui sent qu'il va se faire vider les couilles pour un véritable challenge. Les Jeux Olym Pipes ! Super) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 10 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 442 -



Estelle et Clémentine s'offrent un porc au port. Chipolata...

Hier matin, samedi, il est à peine 7 h15 lorsque nous nous étions en même temps dans un long gémissement qui nous fait rire.
Nous le terminons par un : < Je t'aime ! > presque crié. Ensemble. Nous en rions de bon cœur avant de nous serrer très fort.
Douceur, tendresse et papouilles. Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Pipi.
Morts de faim, nous descendons à toute allure jusqu'à la cuisine déjà vêtus de nos tenues de jogging. Et je presse nos oranges.
Clémentine s'occupe du café. Nous prenons notre petit déjeuner dans cette douce odeur de pain grillé qui participe du plaisir...

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous faisons le programme du jour. Dehors il fait beau, le ciel est bleu. Doux.
La vaisselle. Il est 7 h45 lorsque nous commençons à courir dans l'agréable fraîcheur matinale. Nous maintenons un bon rythme.
Il est 9 h. Nous voilà de retour. La douche. Nous nous habillons. Clémentine porte une robe d'été, noire à motifs floraux discrets.
Cintrée à la taille et évasée jusqu'au dessus du genoux, ses cheveux en liberté, je lui fais remarquer à quel point elle est superbe.
Sur sa demande je porte un pantalon en lin clair, à pinces. Comme souvent Clémentine baisse la tirette. J'ai la chemise ouverte.

Nous voilà en route. La glacière branchée sur l'allume cigare. Je roule doucement. Clémentine joue avec mon sexe qu'elle a sorti.
Trois kilomètres et nous arrivons au bourg pour y faire notre marché. Je gare la voiture. Il y a du monde. Je porte les sacs. Bien.
Nous déambulons un peu dans l'allée principale. Les gens viennent de toute la région, et à longueur d'année, en ce lieu convivial.
Nous faisons provision de fruits. Nous faisons provision de fromages chez nos artisans habituels avec qui nous bavardons un peu.
Nous revenons à la voiture. Nous rangeons les fromages, le beurre, les yaourts, la crème fraîche, les œufs dans la glacière. Frais.

Dans la voiture qui nous mène jusqu'à la zone commerciale, à 10 km de la ville, Clémentine évoque la proposition de Juliette.
Tout en jouant avec mon sexe, elle me confie ce curieux mélange d'excitation et d'appréhension qui ne la quitte plus depuis hier.
Je lui fais part de mon sentiment qui est identique. Je précise : < Je suis même mort de trouille ! >. Nous en rions de bon cœur.
J'arrive sur le parking du supermarché. Je gare la voiture. Il y a beaucoup de monde. C'est le début du mois. Les salaires. Bien.
Je pousse le caddie. Clémentine nous entraîne dans les rayons qui nous concernent en priorité. Lessive, dentifrice, coton tiges.

Clémentine m'entraîne au rayon des ustensiles de cuisine. Je suis un peu surpris d'être là. Nous sommes bien équipés en matos.
Elle saisit un petit verre doseur. Un contenant de 25 cl. A peine l'équivalent d'un petit verre à moutarde. C'est un récipient droit.
La graduation est bleue. Le verre est un Pyrex d'une bonne épaisseur. < Je fantasme là dessus depuis hier ! > fait Clémentine.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Je vais en garder un en permanence dans mon sac à main ! On ne sait jamais ! >
Je saisi ce petit cylindre de verre que je fais tourner dans tous les sens. < Regarde, il y en a un plus petit ! > fait Clémentine.

Celui qu'elle tient ne fait que 20 cl. < Plus petit, plus pratique ! > fait encore ma compagne en me le mettant sous le nez. Rires.
< Tu te rends compte ce qu'il faut pomper pour remplir ça de foutre ! > rajoute t-elle encore. Nous rigolons comme des bossus.
< Celui-là, je me le prends pour moi ! > conclue Clémentine tout en le déposant au fond du caddie. Nous continuons nos achats.
Nous faisons la queue à la poissonnerie. Filets de lieu noir, de cabillaud et de haddock. Tranches de thon en steak. Fruits de mer.
Par acquis de conscience, même avec tout ce monde, Clémentine nous entraîne au rayon culturel. Pas de possibilités d'exhibes.

Nous faisons de même au rayon des vêtements homme. Il y a bien ce gaillard qui doit avoir ma taille, là-bas, et qui semble seul.
< Reste en tête de gondole ! > me fait Clémentine en s'emparant du chariot qu'elle pousse dans l'allée. Je reste à l'entrée. Bien.
Je mâte, le cœur déjà battant, l'improvisation de ma compagne qui dispose le caddie contre le rayon. Il fait ainsi l'écran parfait.
Clémentine s'accroupit à environ deux mètres du type qui scrute un pantalon qu'il regarde sous toutes ses coutures. Du monde.
Clémentine fait mine d'observer une paire de chaussettes. L'inconnu ne tarde pas à remarquer la jeune fille dont il voit la touffe.

La culotte de Clémentine est restée dans le vide poche de la voiture. Notre homme se penche discrètement avant de se baisser.
Clémentine, protégée des regards par le chariot, tournée de trois quart vers le mec, exagère chacun de ses mouvements. Super.
Elle décroche une paire de chaussettes, en raccroche une autre. Autant de prétextes pour écarter ses cuisses encore davantage.
Notre gaillard est un homme tout à fait normal. Il s'accroupit à son tour, pour mâter à s'en déboîter les globes oculaires. Discret.
Il est vêtu d'un jean et d'un simple T-shirt. Il a une "banane" autour de la taille. Contenant sans doute ses affaires personnelles.

Il doit avoir la trentaine, plutôt athlétique, il se meut avec souplesse. Je bande comme le dernier des salauds. C'est merveilleux.
Clémentine m'avoue souvent faire son numéro autant pour moi que pour elle. Notre complicité est aussi totale que notre plaisir.
La situation perdure un petit moment. Clémentine se redresse, les jambes probablement ankylosées. Le type fait pareil. Je mâte.
Il ouvre la banane qu'il fait glisser sur son ventre pour l'ouvrir. Il en tire une carte de visite. Je ne peux m'empêcher de rire. Joie.
C'est un parfait gentleman. Il ne tente rien. Il se présente certainement, glisse quelques mots à Clémentine que je vois rigoler.

Clémentine prend le petit rectangle de carton que lui tend l'inconnu avant de le saluer et de me rejoindre. Elle agite le papier.
< Pour la collection ! > me fait elle. Nous rions de bon cœur lorsqu'elle me dit : < Il m'a proposé de venir faire ça chez lui ! >
Nous passons en caisse. Nous flânons encore un peu dans la galerie commerciale. Clémentine me fait part de son excitation.
Pourtant, avec la fréquentation, il serait risqué de se livrer à un "plan". Nous retournons à la voiture. Poissons dans la glacière.
Nous prenons le chemin du retour. < Ah ça fait du bien, une petite exhibe matinale ! > me fait Clémentine en se touchant. Rire.

Il est midi trente lorsque nous revenons à la maison. Je décroche le linge. Nos tenues de jogging de ce matin déjà bien sèches.
Nous rangeons nos courses. Clémentine prépare la salade. Je fais cuire les haricots verts. Je pane deux filets de lieu noir. Miam.
Nous mangeons de bon appétit dans la véranda toutes fenêtres ouvertes. Il fait un temps splendide. Et pas encore trop chaud.
Nous bavardons. Nous évoquons l'expérience qui nous attend probablement la semaine prochaine. Juliette et le verre doseur.
Nous choisissons de ne pas en parler à Estelle mais de tout lui raconter lorsque ce sera réalisé. De quoi la passionner. Certain !

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents et nous mettre en tenues vélo. Il est à peine 13 h30.
Estelle nous attend à l'entrée de la piste cyclable pour 14 h. Clémentine porte sa jupette sport, T-shirt. Je suis en short, T-shirt.
Nous faisons les clowns devant le miroir. < Sans toi, je ne pourrais pas faire du vélo en jupette ! > fait Clémentine en dansant.
C'est vrai que nous n'en croisons pas beaucoup des jeunes filles en jupette sur la piste cyclable. Les rares sont accompagnées.
Nous descendons. Je vérifie la pression des pneus. 4,5 bars devant et derrière. Parfait. Nous voilà en chemin. Absence de vent.

Estelle nous attend à l'endroit habituel. Vêtue de son short kaki et d'un T-shirt crème. Elle est toute contente. Elle se précipite.
Nous sommes le plus souvent à nos rendez-vous avant l'heure. Ce qui est toujours appréciable pour celui qui attend. Du tact !
Nous voilà à pédaler contre une toute légère brise d'Ouest. Nous croisons beaucoup de monde. C'est samedi. C'est fréquenté.
Arrêt au cabanon de l'écluse pour la première pause pipi des filles. Il faut faire vite, ruser car les passages sont nombreux. Joie.
J'anticipe. Je tiens les mouchoirs en papier. Je torche les filles qui rient comme des folles de mon habileté. Et je les chatouille.

Nous arrivons au port de plaisance où règne l'activité habituelle des Week-End. Demain, il y a un concours du plus beau poney.
Tous les possesseurs de poneys de la région, et parfois de plus loin, viennent montrer leurs bêtes. Nous viendrons évidemment.
Des employés disposent des box sur le quai. Ils dressent des bâches. Il y a quantité de ballots de foin sous abri. C'est superbe.
Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie. Le capitaine du Week-End est l'employé municipal de la dernière fois.
Nous allons directement à la supérette. En traversant la route, Estelle s'écrie : < Là-bas, Chipolata sur sa mobylette qui vient ! >

En effet, s'arrêtant à la hauteur des joueurs de pétanques, Maurice bavarde. Vêtu comme d'habitude, en véritable clodo. Rires.
Sa vieille veste élimée, son pantalon bouffant et ses vieilles godasses. Il a son casque de mobylette ridicule accroché au guidon.
< Il a de la chance ce salaud que j'aime les vieux sales et très cochons ! > fait Estelle. < Et moi donc ! > lui répond Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus en traversant la route pour aller chercher nos cônes glacés. Il y a plein de monde. Des clients.
Nous traînons sur le quai en savourant nos glaces. Nous adorons flâner en cet endroit. Il s'y passe toujours quantité d'imprévus.

Estelle reste en permanence aux aguets. Elle se retourne constamment pour ne pas perdre de vue les agissement de Maurice.
Clémentine fait souvent de même. Je les devine pressées de se retrouver dans une de leurs situations préférées. Je mâte aussi.
Je propose aux filles d'aller rôder près du bâtiment des sanitaires réservés aux plaisanciers. Estelle nous y entraîne. Les fourrés.
< Je vais l'allumer où toi ? > demande Estelle à Clémentine. < Vas y toi, entraîne toi ! > lui répond Clémentine. Nous observons.
Tous les trois dissimulés entre les épais fourrés et le mur, penchés en avant, nous étudions la stratégie à appliquer. Il faut ruser.

Maurice discute avec ses copains pétanqueurs. Il ne prête aucune attention à Estelle qui marche doucement avec les bras croisés.
Nous observons la scène. Clémentine me tient la bite qu'elle m'a sorti du short. < Je suis hyper excitée ! > me chuchote t-elle.
Estelle fait plusieurs fois le tour du manège fermé, tout près des joueurs de pétanque. Environ une dizaine d'habitués qui jouent.
Enfin, l'homme à la mobylette remarque la présence de la fille. Elle se tient à présent légèrement en retrait. Entre les deux box.
Maurice, qui vient certainement de comprendre la raison de la présence de la fille, s'approche, contournant le groupe de joueurs.

Lui seul peut voir cette belle jeune fille en short et en T-shirt, mimer une masturbation masculine. Il y a deux employés pas loin.
< Elle commence à bien se débrouiller ! > me murmure Clémentine en passant son autre main sous sa jupe. Nous aimons mâter.
Là-bas, en faisant très attention à ce qui se passe autour d'elle, restant entre les deux box déjà montés, elle mime une branlette.
Du doigt de sa main libre, Estelle indique la direction de l'endroit où nous sommes. Maurice a parfaitement compris le message.
Nous le voyons se diriger vers les sanitaires. Il passe entre le mur et les fourrés. Nous nous planquons dans les buissons. Bien.

Le type regarde partout autour de lui avant de se débraguetter. Le voilà avec sa queue longue, molle et blême qui pend. Chipo !
< C'est vraiment la réplique exacte d'une chipolata ! > me chuchote Clémentine. < Je met mon index sur la bouche : < Chut ! >
Estelle arrive à son tour. Elle voit Maurice qui lui tend la main. Elle la lui serre. Nous les voyons se saluer et bavarder en rigolant.
Le type secoue son sexe devant la jeune fille en l'invitant à s'en saisir. Estelle ne se fait pas prier. Elle discute en tenant la bite.
C'est à la fois surréaliste et terriblement excitant. Je chuchote à Clémentine : < Tu veux y aller ? >. Clémentine hésite en silence.

Le type s'allonge à même le sol. Adossé contre le mur, ses jambes largement écartées. Estelle s'assoit à ses côtés en tailleur.
Sans lâcher sa bite qu'elle fait tournoyer comme un lasso, elle continue de bavarder avec Maurice qui lui caresse les cheveux.
La situation perdure ainsi un petit moment. Estelle finit pas s'allonger, sa tête sur la poitrine de Maurice qui lui tient la nuque.
Estelle décalotte la chipolata de Maurice. Elle fait une horrible grimace avant d'éclater de rire. < J'y vais ! > me fait Clémentine.
Je la regarde sortir du buisson, courbée en avant pour éviter les branches. Maurice la voit venir en poussant un < Hello toi ! >

Estelle lui montre la queue qu'elle recommence à agiter dans tous les sens en riant. Clémentine s'assoit de l'autre côté du type.
Elle se penche pour mâter. Je vois l'horrible grimace qu'elle fait avant de se pincer le nez. Maurice se marre comme un dingue.
Estelle se penche encore un peu. Maurice doit soudain appuyer sur sa nuque car je la vois gober la chipolata en poussant un cri.
Maurice saisit Clémentine par la nuque pour attirer sa tête contre son épaule. Je n'entends pas ce qui se chuchote. Dommage.
Maurice tente d'embrasser Clémentine qui se détourne pour l'éviter. Estelle suce avec appétit, les traits de son visage radieux.

Je me branle dans ma cachette. C'est cent mille fois mieux que n'importe quel film porno. Les actrices sont mes amies intimes.
Je mâte. J'ai le cœur qui bat la chamade. Je suis couvert de sueur. J'ai trop chaud. Clémentine a les cuisses écartées. Silence.
Maurice est probablement entrain de la doigter. A présent, terriblement excitée, Clémentine se laisse embrasser par ce salaud.
Je peux même constater qu'elle tient le poignet du mec pour le guider et maintenir sa main entre ses cuisses. J'ai des vertiges.
Estelle n'arrête pas de pomper. Souvent elle retire sa bouche pour tenter de déglutir avec peine. Souvent en grimaçant. Sale.

Un très long moment se déroule ainsi. Clémentine a un orgasme. Je vois son corps s'agiter de plusieurs spasmes. Elle se crispe.
Elle se retourne soudain, se frottant l'entre jambes contre la cuisse de Maurice qu'elle embrasse avec une fougue invraisemblable.
Le mec doit éjaculer car je vois Estelle enfoncer toute la queue dans sa bouche, les joues creusées par l'effort. De la jute coule.
Le type lui appui sur la nuque. Elle tente de se dégager. Il y a de la jute qui lui coule des narines. Elle tousse, semble vomir. Fou.
Je suis obligé de cesser de me branler sous peine d'éjaculer. Le mec tire violemment Estelle par ses cheveux, la forçant à cesser.

Maurice saisi également Clémentine par ses cheveux. Il se lève, faisant soudain preuve d'une grande vivacité et de souplesse.
Il est debout. Il prend la main de Clémentine pour y mettre sa queue. Il semble ordonner quelque chose. Il tient Estelle. Nuque.
Clémentine se penche en avant pour regarder la bite toujours aussi longue et molle. Maurice se cambre légèrement pour pisser.
Clémentine dirige le jet. Estelle s'accroupit. Il y a des coulures de foutre qui s'échappent avec le flot de pisse. Estelle s'approche.
Maurice cesse de pisser à plusieurs reprises pour fourrer sa bite dans la bouche d'Estelle qui pousse plusieurs petits cris. Ravie.

Clémentine qui a compris, dirige soigneusement les opérations. Elle fourre la bite dans la bouche d'Estelle à chaque arrêt du jet.
Estelle, à genoux dans la terre, tenant Maurice pas son bassin,, semble se régaler comme jamais. Clémentine dirige les choses.
Le type a sans doute terminé. Tout semble se calmer. Tous les trois sont immobiles. Estelle a repris sa pipe pour un second tour.
Clémentine se frotte contre la cuisse de Maurice qu'elle embrasse avec fougue. Pourtant le type saisit les filles pour faire cesser.
Il tombe à genoux et semble avoir du mal à reprendre son souffle. Il y a un long moment d'inquiétude. Les filles sont accroupies.

Le type se relève. Il semble avoir retrouvé ses esprits et son plein potentiel. Il parle encore un peu avant de s'éloigner. S'enfuir.
Estelle s'essuie la bouche avec un mouchoir en papier dont elle montre le contenu à Clémentine qui s'en empare pour le scruter.
Elles viennent me rejoindre pour m'entraîner, sans un mot, jusqu'à la petite fontaine de la capitainerie. Elles se lavent les mains.
Clémentine et Estelle se rincent longuement la bouche. Recrachant d'innombrables fois. Clémentine me regarde d'un drôle d'air.
Je devine qu'elle culpabilise certainement. Mes inquiétudes se révèlent exactes lorsqu'elle vient se blottir contre moi. Le silence.

Là-bas, Maurice, comme s'il ne s'était rien passé, a rejoint le groupe de pétanqueurs. Il bavarde joyeusement et se met à jouer.
< Put-Hein ! Qu'est-ce qu'il m'a mis, l'enfoiré ! > nous fait Estelle. < Moi, il m'a doigté comme un salaud ! > répond Clémentine.
Nous rions de bon cœur des descriptions que se font les filles. Estelle fait à Clémentine : < Tu devrais goûter de la chipolata ! >
Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine lui répond : < C'est bouffer du porc au port. Oui il faudra que je goûte ! >
Estelle veut manger une pomme afin d'enlever le goût persistant du type. Nous faisons tous les trois de même. Il est déjà 18 h.

Nous nous offrons trois autres cônes glacés que nous savourons assis sur le muret au bout de la jetée. Il y a de l'animation.
Nous nous promettons de revenir demain pour le concours du plus beau poney. Il est 19 h15 lorsque nous prenons le retour.
Il est 20 h45 lorsque nous arrivons à la maison. Morts de faim, nous nous mettons à la préparation de notre repas. Très vite.
Nous sommes tous les trois épuisés. Ce que nous avons vécu nous a vraiment fatigué. Nous mangeons de bon appétit en riant.
Nous traînons longuement à table à évoquer notre étonnante aventure. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons.

Il est 22 h30. Nous nous lavons les dents, tous les trois, devant le miroir de la salle de bain en faisant des singeries. Heureux.
Clémentine se serre contre moi. Estelle nous laisse. < Tu n'es pas fâché de me voir avec un vieux dégueulasse ! > me fait elle.
Je la soulève pour la faire tournoyer. Je lui chuchote : < Mais tu réalises tous mes fantasmes. Je t'aime. Je suis si heureux ! >
Rassurée une fois encore, Clémentine me couvre le visage de bises. Je conclue : < Tu dois vivre tes 21 ans. C'est obligatoire ! >
Nous rions de bon cœur. Estelle dort déjà à poings fermés. Clémentine veut absolument me sucer. Récupérer les jus. Le dodo...

Bonne pipe à un vieux porc dégoûtant, juteux et pisseux, au port, à toutes les coquines désireuses de s'offrir des frissons...

Julien - (Qui écoute souvent Clémentine lui confier à quel point elle a une vie intense et privilégiée) -

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Classe - 11 -Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 443 -



Une très agréable visite au port de plaisance sans porc plaisant

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par des murmures, des rires étouffés, on me tient fermement par mon érection matinale.
En ouvrant l'œil, et le bon, je découvre que c'est Estelle qui, ayant passé son bras par dessus Clémentine, me tient la biroute.
Je me redresse pour me mettre à quatre pattes entre les deux coquines. Je les chatouille en imitant des grognements d'ours.
J'adore les voir rire. Estelle s'enfuit en courant jusqu'aux toilettes. Clémentine me chevauche en riant. Tendresse et papouilles.
Estelle revient et nous dit : < Je descends préparer le petit déjeuner ! >. < On arrive ! > fait Clémentine en m'entraînant. WC.

Dès la fin de nos rituels pisseux, morts de faim, nous descendons rejoindre Estelle dans son pyjama de soie mauve. Des bises.
Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé et de café. Nous mangeons de bon appétit en bavardant.
Bien évidemment la conversation tourne sur un sujet qui nous passionne encore le lendemain, et tous les trois. Le porc du port.
Nous en rions de bon cœur. Il est 7 h30. Il fait beau. Nous traînons à table. C'est dimanche. Le rituel du ménage, du nettoyage.
Estelle se propose de faire le salon. Depuis quelques temps elle apprécie de nous aider, prétendant vouloir se rendre utile. Rire.

La vaisselle. Clémentine monte à l'étage pour faire la chambre. Estelle va au salon. Je nettoie la cuisine et les chiottes du bas.
Serpillère sur le carrelage des sols. J'entends l'aspirateur depuis le salon. Je m'apprête à monter rejoindre Clémentine. Sympa.
Estelle me tend un de ses pièges habituels. L'aspirateur en fonction, posé au sol, elle me fait un guet apens derrière la porte.
Me sautant au cou, elle me chuchote : < Je t'aime Julien ! Je veux profiter de chaque jour avant votre départ pour l'Ecosse ! >
Je lui dis : < Tu viens nous rejoindre pour trois semaines au début août ! >. Elle me répond : < Oh oui, pas de Var cet été ! >

Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Tant pis pour ma mamie, mais c'est au dessus de mes forces ! >. Elle se serre.
Passant sa main dans mon slip, me palpant le sexe, elle dit encore : < J'ai déjà prévenu mes parents. Pas de réel problème ! >
J'essaie de me soustraire à son étreinte. Lorsque Clémentine n'est pas avec nous, les effusions de tendresse me gênent un peu.
Impossible de m'enfuir. Je la saisi par ses cheveux pour l'entraîner à l'étage. Nous rejoignons Clémentine qui change les draps.
Je pousse Estelle qui tombe sur le lit. Je dis : < Raconte à Clémentine comment tu me touche la queue pendant son absence ! >

Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine fait : < On va te forcer à sucer le porc du port si tu continues, salope ! >
Estelle s'enfuit pour redescendre terminer son ménage en disant : < Oh oui ! De la bite, de la bite et encore de la bite. Sale ! >
Clémentine se serre dans mes bras. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. < Je t'aime Julien ! > me chuchote t-elle.
Je passe à la salle bain. Je nettoie le bac à douche. Clémentine fait les miroirs et le lavabo. Nous faisons le programme du jour.
Estelle remonte avec l'aspirateur. Clémentine descend avec le panier à linge plein à ras bord. Je nettoie les chiottes de l'étage.

Je suis à quatre pattes pour récurer la cuvette en faïence du WC lorsqu'Estelle me rejoint en me disant : < Je dois faire pipi ! >
Elle se cambre, debout au dessus de la cuvette, juste en T-shirt, pour pisser d'un long jet sonore et qu'elle dirige parfaitement.
Elle me tend deux feuilles de papier. Je la torche en restant à genoux. < Mmmh ! Comme c'est bon ! > me fait elle en rigolant.
Je tire la chasse pour chasser la pisse et pour rincer l'eau de Javel mélangée au produit à récurer. Estelle me fait : < Merci ! >
Elle m'attrape par les couilles par derrière et par la bite de son autre main, accroupie à côté de moi. < Et toi, tu pisses pas ! >

Clémentine est remontée. Elle nous découvre ainsi. Elle fait : < Décidément, il s'en passe de belles lorsque j'ai le dos tourné ! >
Nous rions de bon cœur. Estelle nous laisse pour aller s'habiller. Clémentine se serre contre moi. Je lui raconte le pipi d'Estelle.
< A mon tour ! > me fait ma compagne en se mettant en position. Je la torche. < Mmmh ! Comme c'est bon ! > me fait elle.
Nous allons dans la chambre pour nous mettre en tenue vélo. Jupette et T-shirt pour Clémentine. Le short et T-shirt pour moi.
Nous descendons pour rejoindre Estelle vêtue de son short kaki et de son T-shirt. Elle prépare les pavés de saumon décongelés.

Il est déjà 11 h45. Clémentine s'occupe des salades et de leurs assaisonnements. J'épluche les patates, carottes pour la potée.
Les filles évoquent les résultats de leur "Master" qui viendront la semaine prochaine. Elles font des plans sur la comète. Super.
Les papillotes de saumon sur le barbecue électrique, la potée est à cuire dans la cocotte, nous mettons la table dans le jardin.
Nous allons visiter la roseraie. Nous admirons les fleurs de Clémentine. Nous visitons le potager. Estelle me touche sans arrêt.
Je lui dis : < En juillet, tu viendras récupérer tous les légumes que tu pourras ! >. Estelle me fait : < Comme l'an dernier ! >

Je propose aux filles de s'installer à table, je vais faire le service. Je les entends rire depuis la cuisine. Je les vois par la fenêtre.
Je suis soudain submergé d'émotion. Je suis l'homme le plus heureux du monde. Quel privilège de vivre de tels bonheurs. Bien.
Je fais une photo. Je vais les rejoindre avec la salade. Je leur montre la photo. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.
Nous traînons à table. C'est dimanche. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents. Il est 13 h45.
Nous faisons les clowns devant le miroir en révisant le programme de l'après-midi. Nous voilà en vélo à pédaler contre la brise.

Nous croisons quantité de cyclistes, de jeunes filles en rollers et de couples se promenant, avec ou sans landau. C'est dimanche.
Il serait vain de tenter une exhibe au cabanon de l'écluse tant les passages sont fréquents. Même le pipi des filles est très discret.
Je les torche avec soin. J'aime. Nous arrivons au port de plaisance pour 15 h30. Il fait chaud. Il y a un monde fou. De l'ambiance.
Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie. Il y a le concours du plus beau poney. Nous voyons tous ces chevaux.
Nous allons au supermarché pour nous offrir nos cônes glacés habituels que nous savourons en flânant. Il y a plein de familles...

Estelle insiste pour nous entraîner dans les fourrés derrière le bâtiment des sanitaires réservés aux plaisanciers. Porte fermée.
< C'était là ! > fait Estelle en nous montrant l'endroit où elles étaient toutes les deux allongées à côté de Maurice. Le souvenir.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle nous fait : < Je m'offrirais bien une chipolata ! >. < Avec cette chaleur ? > fait Clémentine.
Il y a un couple, sans doute à la recherche d'un peu d'intimité, qui arrive. Deux D'jeunes. Nous les laissons pour nous en aller.
< Là-bas ! Chipolata ! > nous fait Estelle en nous montrant Maurice, l'homme à la mobylette qui bavarde avec les pétanqueurs.

Maurice est vêtu comme d'habitude, en clodo. Sexagénaire ventru, il porte sa vieille veste élimée, son vieux froc et godasses.
< Tu l'allumes ? > demande Clémentine à Estelle qui répond : < Ne me tente pas, j'en ai déjà envie. Mais il y a du peuple ! >
Je propose de ne pas prendre le moindre risque. Pas cet après-midi. Nous flânons en admirant les poney parqués dans le foin.
Chacun d'entre eux est dans un box grillagé qui lui est réservé. Nous les observons. C'est vrai qu'ils sont magnifiques. Beaux.
Clémentine me fait : < Regarde là-bas, il y a Pauline ! >. Nous regardons. Effectivement c'est Pauline avec un autre couple.

Elle nous voit à son tour. Nous nous saluons. Elle nous présente son frère et sa belle sœur. Nous faisons connaissance. Sympa.
Pauline nous raconte sa première journée au haras. Son nouveau travail de secrétaire qui semble déjà la passionner, la ravir.
Seule dans le bureau, avec une directrice très gentille, confiante et attentionnée. Juliette est une agréable patronne. On le sait.
< Elle est probablement là aussi ! > nous fait Pauline en évoquant Juliette. Nous reprenons notre promenade. Et très agréable.
Nous ne tardons pas à voir Juliette accompagnée de madame Walter et de son mari. Madame Walter qui nous voit en premier.

Nous nous saluons. Juliette est vêtue d'une robe d'été, légère. Sandalettes à légers talons. Elle est superbe. Toujours élégante.
Madame Walter est vêtue de la même façon. Son mari en pantalon clair et chemise largement ouverte. Nous nous saluons. Joie.
Nous bavardons. Juliette, dont les chevaux sont une passion, nous fait : < Les poneys, c'est un tout autre univers ! >. Certain.
Elle nous explique les particularités des différentes races de poneys. Madame Walter regarde souvent ma braguette. Discrète.
Clémentine, à qui rien n'échappe, sans rend compte. Elle me tient par la main. Tout aussi discret, je lui adresse un clin d'œil.

Le mari de madame Walter, très discret lui aussi, mâte Estelle et Clémentine, en bavardant avec les deux filles. C'est sympa.
Je fais un nouveau clin d'œil à madame Walter que cela ne laisse pas indifférente puisqu'elle m'en fait à son tour. Juliette rit.
Nous nous serrons la main. Madame Walter, comme elle le fait depuis quelques mois, agite son index dans ma main. Discrète.
Juliette nous dit : < Je vous fais un courriel pour demain soir ! >. Je fais un dernier clin d'œil à madame Walter qui se retourne.
Je raconte mes clins d'œil aux filles. Estelle me fait : < Le mari de Madame Walter nous bouffait des yeux ! Un coquin, sûr ! >

Nous retournons à la supérette pour notre seconde dégustation de cônes glacés. En parfaits gourmands. Nous nous promenons.
Il n'y a aucune opportunité d'exhibe. Il y a bien trop de monde. Il est 19 h. C'est la fin des festivités. Beaucoup moins de gens.
Les propriétaires de poneys font monter les bêtes dans les remorques. Il y a plein de véhicules 4 x 4 qui encombrent les quais.
Nous prenons la route du retour. Le ciel est orageux. Nous arrivons à la maison pour 20 h30. Morts de faim, nous préparons.
Je réchauffe la potée. Estelle fait une sauce au Roquefort. Clémentine prépare la salade. Il y a un coup de tonnerre et un éclair.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de notre après-midi. Prudents nous prenons notre repas dans la véranda.
Plusieurs coups de tonnerre impressionnants. Des éclairs qui zèbrent l'obscurité de la nuit. C'est magnifique. Peur ancestrale.
Nous faisons la vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Malgré l'orage qui menace, il ne pleut pas. Lourd.
Je suis debout devant les filles qui sont vautrées dans le canapé. Nous évoquons l'attitude des personnes rencontrées au port.
J'agite ma bite molle devant Estelle et Clémentine qui se touchent toutes les deux. Cette nouvelle visite au port nous a excité.

Estelle s'avance la première en ouvrant sa bouche. Je m'approche pour lui mettre le sexe dans la bouche. Je la regarde mâcher.
< Mmmh ! > ne cesse t-elle de faire en posant ses mains sur mes hanches pour me sucer avec avidité. Clémentine se masturbe.
Elle me fait des sourires et des clins d'œil. Je bouge doucement dans la bouche d'Estelle. L'indicible caresse me donne le tournis.
Je la tient sous le menton et par la nuque. Ces rencontres, cet après-midi, nous ont considérablement excité. C'est magnifique.
Il est déjà 22 h15. Il faut ramener Estelle qui bosse demain matin au bureau de l'entreprise familiale. Je la force à cesser la pipe.

La bouche pleine de foutre gluant, épais et visqueux qu'elle tente de déglutir avec peine, elle nous fait : < Vivement l'Ecosse ! >
Nous serons ensemble trois semaines, jours et nuit. Nous nous en réjouissons déjà beaucoup. Nous n'excluons pas de prolonger.
La séparation est difficile. Garé à 100 mètres de chez elle, je laisse Estelle sucer encore un peu. Elle revient mardi. Réjouissance.
Au retour, Clémentine me suce à son tour en se régalant de tout le foutre qui s'écoule de façon continue. Toilettes. Salle de bain.
Au lit, nous baisons comme nous aimons. Clémentine me chuchote d'étonnants projets. Cunnilingus, fellation. Orgasmes. Dodo.

Bon début de semaine à toutes les coquines qui font déjà des plans sur la comète en pensant aux cochonneries à venir...

Julien - (Qui rejoint Clémentine dans l'impatience des découvertes et des bonnes surprises à venir cette semaine) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 12 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 444 -



Un début de semaine des plus agréables

Hier matin, lundi, je me réveille le premier. En bougeant le moins possible je regarde Clémentine qui dort profondément. Belle.
Je constate qu'il est à peine 7 h15. Cela correspond à notre réveil biologique. Clémentine respire doucement. Apaisée. Délicate.
Hélas, mon plaisir est de courte durée. Prévenue par son infaillible sixième sens, ma compagne ne tarde pas à ouvrir les yeux.
< Bonjour Julien ! > me fait elle en se blottissant contre moi. Je lui chuchote : < Bonjour ma belle dormeuse ! > en la serrant.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Pisse. Morts de faim nous descendons.

Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'odeur de pain grillé. Joie.
Dehors, il fait beau. Le ciel est d'un bleu lapis lazulien. Nous sommes déjà vêtus de nos tenues de jogging. Il va faire très beau.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous faisons le bilan de la journée de hier, nos rencontres, nos discussions.
Nous prenons notre temps. Clémentine est en vacances. Nous faisons le programme de cette nouvelle journée ensoleillée. Eté.
La vaisselle. Nous descendons au jardin pour nous mettre à courir dans l'agréable fraîcheur matinale. Le sol est un peu humide.

Nous courons avec un rythme soutenu le long de notre parcourt habituel. Il y a eu de la pluie cette nuit. La végétation luisante.
Il est 9 h lorsque nous sommes de retour après un superbe running. C'est la douche. Clémentine se met en tenue de jardinage.
Je vais dans l'atelier. Elle m'y accompagne. J'ai encore deux petites toiles de commande à réaliser. Pour mon oncle, ma tante.
Ce seront deux portraits de Clémentine et de moi. Je serais habillé en Capitaine de la Garde et Clémentine d'une robe longue.
Ainsi, lorsque nous arriverons à Edimbourg, je pourrais remettre la commande. Je commence le dessin préparatoire. Bonheur.

Clémentine me laisse pour aller au jardin. Sa passion pour le potager et les fleurs de sa roseraie anime ce début de vacances.
Je suis au travail. A partir de deux de nos photographie je fais des calques soignés. Méticuleux, appliqué, je fais le transfert.
Rapidement nos deux visages sont parfaitement identifiables sur la surface de la toile. Je sors mon dictionnaire des costumes.
Il me suffit de nous vêtir à la façon du XVIIème siècle. Je me représente avec une veste rouge à brandebourgs dorés, brillants.
Je suis debout aux côtés de Clémentine coiffée d'un chignon, tenant un éventail de dentelles, assise en robe d'époque, moirée.

Rôdé à cette forme d'exercice, je termine le premier dessin vers 11 h. Je commence le second. Même principe du calque. Joie.
Je suis d'une précision chirurgicale. Peu de choses échappent à mon œil qui est un véritable objectif d'appareil photographique.
Pour ce second dessin, c'est moi qui suis assis, toujours vêtu en Capitaine de la Garde, Clémentine debout à mes côtés. Robe.
Il est midi. Voilà les dessins préparatoires des deux prochaines toiles qui sont terminés. Je commence la peinture dès demain.
Je rejoins Clémentine. Elle est en chapeau de paille, dans la serre, un sécateur à la main, occupée avec les roses et les tulipes.

Clémentine, radieuse, heureuse, m'entraîne dans le jardin pour me montrer son activité de la matinée. Désherbage et labeur.
La chasse aux limaces qui, avec l'humidité de la nuit, ont tendance à prendre nos légumes pour un Fast Food de qualité. Rire.
Morts de faim nous rentrons pour nous préparer à manger. Clémentine prépare la salade. Je m'occupe de paner les poissons.
Ce sera des filets de cabillaud que je pane délicatement. Des haricots vers que je fais cuire à feu doux dans le Wok. Méthode.
A plusieurs reprises Clémentine vient me déposer un bisou, me murmurer une douceur. Je découvre qu'elle n'a pas de culotte.

Nous rions de bon cœur lorsqu'elle me dit : < Jamais de culotte pour faire le jardin. Il fait rapidement beaucoup trop chaud ! >
Je mets la table dans la véranda. Les grandes baies vitrée sont ouvertes. Il y a un constat. Bien moins d'insectes cette année.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Il y a des nuages d'altitude dans le ciel. Il fait chaud.
La lourdeur du climat rend la peau moite. Aussi nous mangeons presque à poil. Même si nous détestons l'idée de naturisme.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents et nous mettre en tenues vélo. Il est à peine 13 h50.

Clémentine porte une de ses jupettes sport, beige, un T-shirt blanc. Je porte un short gris et un T-shirt blanc. Nous voilà prêts.
Une rapide vérification de la pression des pneus de nos bicyclettes et nous voilà en chemin pour rejoindre la piste cyclable. Joie.
Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest. Là-bas, les amoncellements nuageux prennent de l'importance. Il y aura de l'orage.
Nous croisons peu de monde. Nous faisons notre arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Clémentine s'accroupit au milieu de la route.
Sa culotte aux genoux, maintenue vers le haut par l'index, les cuisses écartées, elle se lâche dans un de ses jets spectaculaires.

Je la torche avec soin. Puis elle me tient la bite pour en diriger le jet. Nous rigolons comme des bossus en regardant le dessin.
Nous reprenons notre périple pour arriver au petit port de plaisance pour 15 h30. Il y a là aussi peu de monde. Peu de choses.
Le groupe de joueurs de pétanque, les plaisanciers qui bavardent vautrés sur leur bateau, les clients à la terrasse du bar tabac.
Nous fermons nos bicyclettes à cadenas derrière la capitainerie. Une jeune fille, grande, avec des lunettes qui vient nous saluer.
Pas de doute, nous avons affaire à la nouvelle capitaine du port. Une étudiante qui fait son job pour ses vacances d'été. Super.

Nous bavardons un peu avant de traverser la route pour nous rendre à la supérette. C'est le rituel de nos cônes glacés. Délices.
Nous bavardons un peu avec la gérante qui nous apprend que dimanche prochain, il y aura le marché aux artisans ici, au port.
< C'est très bon pour les affaires ! > nous fait elle en nous expliquant les incessantes visites des premiers touristes de partout.
Nous dégustons nos cônes en flânant sur le quai. C'est vrai, il y a les premiers touristes. Principalement des séniors, retraités.
Nous entendons parler anglais, hollandais, même allemand. Clémentine m'entraîne au bâtiment des sanitaires des plaisanciers.

< On ne sait jamais ! Peut-être une visite impromptue ! > me fait elle en me tenant par la main pour me conduire aux fourrés.
< C'était là ! > me fait Clémentine en me montrant l'endroit où était couché Chipolata, l'homme à la mobylette invisible ce jour.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < J'ai un faible pour les vieux messieurs très cochons et à l'hygiène douteuse ! >
Je lui dis : < Dans dix ans, si tu es encore avec moi, je rentre dans cette catégorie ! >. Et nous en rigolons comme des bossus.
Pourtant, malgré notre attente patiente, personne ne vient rôder ici, dans les recoins où nous restons plus ou moins dissimulés.

Le ciel se couvre doucement. L'amas nuageux a progressé. Il est 17 h30. Nous décidons d'êtres prudents, assis sur le muret.
Nous sommes au bout de la jetée à observer les manœuvres de deux bateaux qui arrivent tout en se suivant. Il y a la capitaine.
La jeune fille, un portable à l'oreille, guide les nouveaux arrivants en marchant le long du quai pour leur indiquer leurs places.
Elle doit être aussi grande que Clémentine. Cheveux auburn, attachés en catogan, T-shirt, short et baskets. Elle bosse super !
Nous retournons aux vélos. Nous voilà en route pour rentrer. Le vent est beaucoup plus fort. Il nous pousse. Pas d'effort. Bien.

Le ciel est menaçant. Nous tentons de gagner de vitesse l'orage qui gronde. Il y a un vrai bourdonnement sourd et permanent.
Il est 19 h15 lorsque nous arrivons à la maison. Juste avant que le tonnerre n'explose en zébrant le ciel obscure d'éclairs forts.
Nous restons sous le porche, en haut des escaliers pour admirer le spectacle grandiose qui s'annonce. Il fait sombre et sinistre.
Soudain, dans le fracas d'un nouveau coup de tonnerre, la pluie se met à tomber en trombes. Formidable. On l'a échappé belle !
Nous rentrons pour éviter que les bourrasques ne nous mouillent d'une pluie d'une violence inouïe. Nous sommes morts de faim.

Clémentine s'occupe de la salade. Deux beaux avocats. Crevettes et mayo. Je fais une belle omelette. Je réchauffe les haricots.
En remplaçant la moutarde par de la purée d'amande, la valeur calorique s'en voit considérablement réduite en étant meilleure.
Soudain, la musique ridicule de mon téléphone. Clémentine s'en saisit. Un texto de Juliette qui dit : < Vous avez un message ! >
Nous décidons de prendre notre repas d'abord. La découverte du courriel sera une délicatesse supplémentaire avec le dessert.
Nous mangeons de bon appétit. Nous partageons cette délicieuse appréhension à l'idée de découvrir le mail de Juliette. Après.

Nous traînons à table. Dehors, l'orage fait rage et ne semble plus devoir cesser. Il tombe de véritables hallebardes. Abondance.
Il sera une fois encore tout à fait inutile d'arroser le jardin. C'est presque tous les soirs où la nuit. Excellent pour les légumes.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Clémentine allume l'ordinateur en disant : < J'ai la trouille ! >
Je viens m'asseoir à ses côtés en disant : < Moi aussi ! Regarde, j'en ai la chair de poule ! >. Clémentine fait des gestes lents.
Nous découvrons enfin le courriel tant attendu et qui cause les tourments qui nous font délicieusement frissonner. Sympathique.

Clémentine lit à haute voix. < L'expérience du verre doseur, mercredi soir ou vendredi, chez vous ou chez moi ? Dites moi ! >
Nous lisons le reste du message auquel est joint deux photographies. Sur la première, Juliette tient un verre doseur en souriant.
Sur la seconde, c'est le même verre doseur photographié en gros plan sur la petite table que nous connaissons bien aux écuries.
C'est la table qui sert de bureau dans le petit local du palefrenier. Nous retenons nos respirations. Et une délicieuse impression.
Tout cela nous excite soudain au plus haut point. Clémentine écrit ces quelques mots qu'elle envoie d'un clic "Réponse ce soir".

Ç'en est trop ! Clémentine m'entraîne sur le canapé dans lequel elle me fait tomber en arrachant mon short. A genoux. Coussin.
Gémissant de plaisir, Clémentine me suce comme si sa vie en dépendait. Je suis pris de vertige sous l'indicible caresse. Délirant.
Je force Clémentine à cesser. Elle s'installe à mes côtés pour m'attirer sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Doux.
Nous restons immobiles. Clémentine me murmure d'étonnantes révélations. Le concentré de tous les secrets du jour. Fabuleux.
Je lui chuchote à l'oreille : < Le cœur d'une femme est un océan de secrets. Tu es la plus merveilleuse des cachotières ! >. Joie.

Nous restons ainsi, alternant de longs et doux bercements avec de longues périodes d'immobilité. Nous aimons tant baiser ainsi.
Nous jouons avec les extrêmes. Flirtant avec les limites, juste avant l'orgasme de Clémentine qui lutte en vraie virtuose. Super.
Nous devons décider de la soirée où nous ferons l'expérience du verre doseur. Juliette va me sucer pour recracher dans le verre.
Clémentine me fait : < Allons y pour mercredi soir, je suis morte de trouille mais tellement excitée ! >. Nous rions de bon cœur.
Je me retire avec précautions. J'entraîne Clémentine par ses cheveux attachés en catogan jusqu'au bureau, devant l'ordinateur.

Ma compagne, assise sur mes genoux, son sexe dégoulinant sur mes cuisses, écrit ces simples mots : < Ok pour mercredi ! >
Elle rajoute après une dernière concertation : < Chez nous ! Vous venez manger. 20 h ! >. Elle appuie d'un rapide clic. Voilà !
Clémentine, soudain comme soulagée, soupire en m'entourant de ses bras. < C'est fait ! Trop tard ! > me chuchote t-elle. Rire.
Il est 22 h. Nous montons. Toilettes, salle de bain. Au lit, nous nous offrons un "69" goûteux. Nous baisons à nouveau un peu.
Le cunnilingus que j'offre à Clémentine la terrasse d'un orgasme qui la fait hurler. La pipe me fait défaillir. Epuisés. Plongeons.

Bonne découverte de vos courriels les plus troublants, les plus émoustillants à toutes les coquines qui ont des projets cochons...

Julien - (Qui se prépare mentalement à l'expérience nouvelle du "Verre doseur") -

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Une journée bien remplie avec des activités diverses

Hier matin, mardi, une fois encore, je me réveille le premier. J'entends le doux ronflement de Clémentine sur ma gauche. Belle.
Il est 7 h15. Je la regarde dormir, sur le dos, la bouche légèrement ouverte, totalement relâchée. Comme elle est merveilleuse !
Je ne m'en lasse pas. Seulement voilà, son sixième sens, infaillible et imparable l'avertit de mon voyeurisme. C'est si dommage.
< Bonjour Julien ! > me fait elle en se serrant contre moi avant de me chevaucher en riant. Elle me couvre le visage de bisous.
Je lui murmure : < Bonjour ma belle au bois ronflant ! >. Nous rions de bon cœur en nous précipitant jusqu'aux toilettes. Pissou.

Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Nous sommes déjà vêtus de nos tenues de jogging. Superbe.
Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'odeur de pain grillé. Miam.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous faisons notre programme de la journée. Elle sera bien remplie. Sympa.
La vaisselle. Nous descendons au jardin dans la fraîcheur toute relative de cette véritable matinée d'été. Il fait beau. Le ciel bleu.
Nous courons d'un bon rythme dans une campagne enchanteresse. Les parfums du matin exhalés par l'humidité nocturne. Forts.

Il est neuf heures lorsque nous sommes de retour après un running des plus agréables. C'est la douche. Et nous nous habillons.
Ce matin, pour nous rendre à notre rendez-vous, à onze heures nous allons jouer l'élégance discrète sans souffrir de la chaleur.
Clémentine porte une robe sombre à motifs floraux, cintrée à la taille, qui lui arrive juste en dessous du genoux. Cheveux libres.
Des sandalettes à légers talons achèvent de lui donner cette silhouette longue et filiforme que je lui ai toujours connu. Si belle.
Sur sa demande, je porte un pantalon clair à pinces et à plis en lin, une chemises légère largement ouverte. Mocassins marrons.

Nous voilà dans la voiture. Je roule doucement. Douze kilomètres jusqu'à la ville. Avant de nous rendre chez le Notaire, garage.
Comme nous partirons en Ecosse avec la voiture, même si elle n'a que trois ans, je préfère anticiper le contrôle technique. Bien.
Clémentine joue avec mon sexe qu'elle a extrait de ma braguette avec sa virtuosité coutumière. Nous en rions de très bon cœur.
Nous arrivons au garage, chez le concessionnaire. Une belle jeune fille, dans un garage, provoque souvent le même phénomène.
Les employés regardent la fille. Nous devinons cette question récurrente. Est-elle accompagnée de son père ou de son amant ?

Le rendez-vous est pris pour demain matin. Il y a le créneau horaire idéal. La voiture sera bloquée de 9 h à 11 h30. C'est parfait.
Les grosses berlines allemandes sont certainement les voitures les plus fiables. Pourtant, je préfère en changer tous les 4 ans.
Les miennes ont toujours un faible kilométrage. Grâce à nos vacances en Ecosse, le véhicule peut donner tout son plein potentiel.
Il est 10 h30. Nous voilà en route pour le centre ville. La circulation est fluide. Le cabinet de Maître Robert est situé plein centre.
Je vérifie que ma braguette soit bien fermée. Clémentine n'arrête pas de me tripoter. Et souvent je passe ma main sous sa robe.

Nous arrivons un peu avant onze heures et Maître Robert peut nous recevoir de suite. Nous nous connaissons depuis longtemps.
Maître Robert s'occupe de la gestion de mon patrimoine depuis déjà 18 ans. J'ai le désir de le rencontrer pour une raison précise.
Nous voilà assis dans son bureau. Je développe la raison de notre présence. Assurer les années à venir de ma compagne. Etudes.
Tant qu'elle vivra avec moi, dans notre propriété, s'il devait m'arriver quelque chose, je ne veux pas qu'elle soit dans l'inconfort.
Je tends à Maître Robert une enveloppe. Un pli à ouvrir en cas de raison grave. Je suis rigoureux dans le domaine administratif.

Tout cela est consigné, les documents sont signés. Nous bavardons un peu. Maître Robert me félicite pour ma belle compagne.
Il possède déjà une de mes œuvres et sait la préciosité de ma peinture. Clémentine, un peu gênée, reste silencieuse. Discrète.
Tout est réglé. Il est 11 h30 lorsque nous prenons congé en nous promettant de nous revoir. Maitre Robert nous raccompagne.
Une fois dans la rue, Clémentine se précipite dans mes bras : < Merci Julien ! Tu m'aimes donc tellement ? > s'écrie t-elle. Joie.
Je dis : < Il n'est pas question de t'exposer au risque de ta vie d'avant ! Te voilà sécurisée pour les années à venir avec moi ! >

Je propose à Clémentine de nous offrir un bon restaurant pour sceller cette affaire enfin conclue. Elle préfère rentrer chez nous.
< On a tellement de bonnes choses à manger à la maison ! Viens on rentre ! > me fait elle en m'entraînant par la main. L'auto.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite. Je la rassure. Elle n'est redevable de rien. Tout cela est normal. Le notaire.
Je lui dis : < Je t'offre la sécurité et toi tu fais de moi l'homme le plus heureux. C'est une excellente affaire ! Il faut fêter ça ! >
Nous rions de bon cœur. Il est 12 h15 lorsque nous arrivons à la maison. Nous décrochons le linge déjà sec. Nous avons faim.

Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je prépare la pâte pour la tarte aux poireaux de ce soir. Béchamel.
Une Flamiche Picarde avec les premiers poireaux de notre potager. Pour midi, je fais du riz complet avec le reliquat de Béchamel.
J'y rajoute du Roquefort et des champignons. Nous mangeons de bon appétit dans la véranda, toutes les baies vitrées ouvertes.
La conversation tourne évidemment autour de notre visite chez le notaire ce matin. Nous sommes tous deux rassurés sur l'avenir.
Quoi qu'il arrive, Clémentine pourra se consacrer à ses études sans aucun soucis matériel. Ce qui est sécurisant, rassurant. Bien.

La vaisselle. La pâte pour la tarte dans son saladier, recouverte d'un linge et la Béchamel contenant le poireau, sont préparés.
Nous montons nous laver les dents et nous mettre en tenues vélo. Il y a quelques amas nuageux au loin. C'est le même temps.
Depuis plusieurs jours le climat reste lourd, orageux et rend les corps moites. Clémentine est en jupette sport et T-shirt blanc.
Je suis en short. Il est 13 h50. Nous descendons le chemin pour rejoindre la piste cyclable. Nous pédalons contre un léger vent.
Nous croisons peu de monde. Surtout des séniors sportifs. Nos 25 km habituels avant d'arriver au port de plaisance. Le silence.

Il y a peu de monde. Les joueurs de pétanque. Les clients du bar attablés à la terrasse. Nous fermons nos bicyclettes à cadenas.
La capitaine du port nous salue depuis le pas de la porte de sa capitainerie. Nous bavardons un peu avant d'aller à la supérette.
Il y a peu de clients aussi nous pouvons bavarder un peu avec la gérante. Nous prenons nos cônes glacés pour retourner au quai.
Nous savourons nos glaces en flânant. Les plaisanciers, vautrés sous les parasols, sur le pont de leur bateau, bavardent. La joie.
Clémentine regarde avec attention dans toutes les directions. Je lui chuchote : < Tu cherches Chipolata du regard, toi ! >. Rires.

C'est moi qui l'entraîne derrière le bâtiment des sanitaires. Lieu réservé aux plaisanciers dont la porte est toujours fermée à clef.
Nous rôdons un peu derrière les fourrés. Personne. Il faut se faire une raison. Chipolata, l'homme à la mobylette ne viendra pas.
Le ciel se couvre. La menace semble plus évidente que hier. Pas de doute un orage se prépare. Nous décidons de filer en vitesse.
Nous pédalons à toute allure, poussés par un vent qui devient de plus en plus fort et au-dessus de nos têtes, le ciel s'obscurcit.
Nous parcourons les 25 km du retour à vive allure. D'autres cyclistes font comme nous. Un grondement sourd et continu. Peur.

Il est 18 h30 lorsque nous arrivons à la maison. Le vélo d'Estelle est posé contre le mur du garage. Estelle est déjà à la maison.
Nous rentrons sous les premières gouttes de pluie. Dans un fracas impressionnant, voilà le premier coup de tonnerre. Un éclair.
Estelle est toute heureuse de nous voir. Elle est entrain de préparer la tarte aux poireaux. Je lui fais des bises en la remerciant.
Elle nous raconte sa journée de travail au bureau de l'entreprise familiale. Nous lui racontons notre expédition au port. Bateaux.
< Vous êtes tombés sur Chipolata ? > nous demande t-elle en mettant la Flamiche Picarde au four. < Hélas ! > dit Clémentine.

Tout est prêt. Estelle est d'une efficacité redoutable. Elle est arrivée à 18 h15 pour tout préparer. Nous la félicitons. Des bisous.
Nous passons au salon. Clémentine allume le chandelier. Il fait tellement sombre. Le roulement du tonnerre est impressionnant.
Les éclairs zèbrent le ciel obscur. Il pleut de véritables trombes d'eau. Excellent pour le potager, le jardin et les arbres fruitiers.
Estelle nous dit : < J'ai déjà tout prévu pour l'Ecosse cet été. Je viens vous rejoindre le premier août. Je reste avec vous après.
Estelle a passé un contrat avec ses parents. Ces derniers lui paient ses études. En contre partie elle les aide à l'entreprise. Deal.

Je suis assis entre les deux filles. Tout en nous expliquant les détails de sa stratégie de l'été, Estelle joue avec ma queue raide.
J'ouvre ma braguette car l'inconfort qui y règne, pour mon sexe turgescent, rend tout cela assez pénible. Presque douloureux.
J'écoute Estelle nous exposer le programme. Cette année, elle n'ira plus dans le Var pour voir sa mamie. Elle semble soulagée.
< Je me suis toujours tellement fait chier là-bas, déjà toute petite, tous les étés ! > nous confie t-elle. Nous rions de bon cœur.
Estelle insiste pour prendre en charge l'avion pour nous rejoindre à Edimbourg comme les autres fois. Je lui dis : < Interdit ! >

Estelle tout en bavardant, me tord la bite dans tous les sens, comme elle fait souvent. Elle me la tord surtout vers le bas. Bobo !
Je lui rappelle que nos vacances, les déplacements et tout le reste, me permettent de dépenser un peu de mon argent. Enfin.
Nous mettons au point les derniers détails. Je m'occupe de la réservation et du billet tout prochainement. Par Internet. Super.
La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Dehors, la météo semble se calmer un peu. Le ciel s'éclaircit enfin. Bien.
Nous mangeons de bon appétit. Nous félicitons Estelle pour la qualité de la Flamiche Picarde. < Vous avez tout fait ! > dit elle.

Nous traînons à table. Nous bavardons. Les filles évoquent les résultats du "Master" qui vont arriver demain ou après demain.
Il est 21 h. Nous faisons la vaisselle. Dehors, la nuit est tombée. Il ne pleut plus. Tout est calme. Des étoiles dans le ciel. Bien.
Nous passons au salon. Clémentine s'installe dans le fauteuil. Nous savons que c'est le signal. Ma compagne désir son spectacle.
Estelle pose l'épais coussin au sol pour s'y mettre à genoux entre mes jambes écartées. J'ai retiré mon short, mon slip. T-shirt.
Estelle hume longuement les odeurs de ma journée d'homme. Je fais tourner ma bite sous son nez en décalottant légèrement.

Clémentine, qui adore m'observer dans mes comportements les plus vicelards, se touche, les cuisses posées sur les accoudoirs.
Elle me fait des sourires et des clins d'œil en regardant Estelle me tailler une pipe des familles. Je la tiens par la nuque, ferme.
Je lui frotte la queue sur le visage. Je la macule de foutre gluant. J'aime l'entendre gémir de plaisir en se régalant de foutre. Jus.
La soirée se déroule ainsi. J'évite d'éjaculer car je garde mes liqueurs pour Clémentine. Nous ramenons Estelle si triste. 22 h15.
Au retour, après les toilettes et la salle de bain, nous faisons l'amour comme nous aimons. Cunnilingus, fellation, orgasme. Dodo.

Bonne journée bien remplie à toutes les coquines qui aiment jouer avec la bite de leur coquin, dans l'auto et partout ailleurs...

Julien - (Content et satisfait d'avoir fait le nécessaire pour sécuriser l'avenir de la fille qu'il aime. Bonne chose de réglée) -

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Classe - 14 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 446 -



Une extraordinaire expérience avec Juliette sous le regard de Clémentine

Hier matin, mercredi, à nouveau, je suis le premier à me réveiller. 7 h15. Et Clémentine semble dormir encore profondément.
Je me plaît de la regarder dans ce rare moment de relâchement et d'inconscience totale. Elle est si belle et si attractive. Joie.
Hélas, comme à chaque fois, son infaillible sixième sens la prévient et elle se réveille à son tour, ouvrant les yeux en souriant.
< Bonjour ma belle dormeuse ! > ai-je le temps de lui murmurer avant qu'elle ne me chevauche en riant. Tendresse. Douceur.
< Bonjour Julien ! > me dit elle avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. L'impérieux besoin naturel est le plus fort.

Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café.
Nous prenons notre petit déjeuner dans cette agréable odeur de pain grillé qui participe de nos premiers plaisirs matinaux. Bien.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous établissons notre programme du jour. Nous sommes en tenues jogging.
La vaisselle. Il est 7 h45 lorsque nous courons dans une campagne enchanteresse, sous un ciel bleu, sous un soleil déjà présent.
Le sol est humide. Comme toutes les nuits la pluie est tombée. Ce qui nous évite de devoir arroser notre potager. Sympathique.

Il est 9 h lorsque nous revenons après un running des plus agréables. La douche. Nous nous habillons. Notre autre rendez-vous.
Clémentine porte la même robe noire à discrets motifs floraux que hier. Cintrée à la taille qui arrive juste en dessous du genoux.
Ses sandalettes à légers talons. J'aime lorsqu'elle laisse ses cheveux pendre en liberté quand elle est vêtue ainsi. Et si élégante.
Sur sa demande, moi aussi, je porte mon même pantalon de lin clair, à plis, à pinces, une chemise claire, mes mocassins bruns.
Nous voilà en route. 12 km jusqu'à la zone commerciale. Je roule doucement. Clémentine joue avec mon sexe. Nous bavardons.

Nous arrivons au garage. 9 h45. Une fois encore, nous sommes tous deux les sujets de l'intérêt que nous portent des employés.
Suis je le père de cette belle et grande jeune fille ou suis je son amant ? Nous nous amusons toujours beaucoup de la situation.
Nous pourrons récupérer la voiture pour 11 h30. Il nous est prêté un véhicule de courtoisie. Et nous voilà en route pour la ville.
Il fait beau. Il fait chaud. Peut-être même déjà lourd. Nous nous promenons dans le centre. Clémentine nous entraîne à la FNAC.
Il y a très peu de monde. < On s'offre un "plan", tu veux bien ? > me fait elle en me prenant la main. Nous parcourons les allées.

Pourtant, malgré nos grandes attentions, il ne se présente pas de réelles opportunités exhibitionnistes. Clémentine s'en amuse.
Très rapidement, malgré tout, nous feuilletons quelques livres qui ont trait aux études de ma compagne. Toujours si passionnée.
Nous traînons un peu dans la galerie commerciale. Il est rapidement l'heure de retourner au garage. Nous y revenons à 11 h30.
Notre voiture est prête. Le responsable me fait remarquer le faible kilométrage et me conseille d'en faire un maximum cet été.
Ces grosses berlines allemandes réclament de rouler sous peine d'encrasser certaines pièces. Sinon tout est absolument parfait.

Il est midi lorsque nous revenons à la maison. La pâte feuilletée et le saumon ont décongelé dans le bas du réfrigérateur. Super.
Pour la venue de Juliette, ce soir, nous lui ferons sont plat préféré. Un bon feuilleté de saumon avec une poêlée de champignons.
Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare une belle omelette avec un brouillis de courgettes et de tomates du jardin. Superbe.
Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Comme les jours précédents, des nuages s'accumulent.
Nous montons nous mettre en tenues de bicyclette. Clémentine porte une de ses jupettes sport, T-shirt. J'ai un short, un T-shirt.

Il est 13 h45 lorsque nous descendons le chemin pour rejoindre la piste cyclable. Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest.
L'amas nuageux est encore lointain et très haut dans un ciel de lapi lazuli. Arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Il y a peu de gens.
Une fois encore ne se présente aucune réelle opportunité d'exhibe. Il faut faire contre mauvaise fortune bon cœur dit un adage.
Nous arrivons au port de plaisance pour 15 h30. Il y a là aussi très peu d'animation. Les joueurs de pétanques et clients du bar.
Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie. Nous saluons rapidement la capitaine pour traverser la route. Pressés.

Nous bavardons un peu avec la gérante de la supérette où nous achetons nos cônes glacés. Nous les dégustons en promenant.
A nouveau, le ciel se couvre doucement. Il nous faudra anticiper notre retour si nous voulons éviter l'orage qui va menacer. Dur.
< Pas de Chipolata, encore, aujourd'hui ! > me fait Clémentine en me faisant remarquer l'absence de Maurice, de sa mobylette.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Chipolata doit craindre la pluie car ça pourrait les laver, lui et ses vêtements ! >.
Il est 17 h15. Pas de doute, il nous faut préventivement prendre la route du retour si nous voulons arriver à la maison à temps.

Comme hier, c'est une amusante course contre la montre. Une course contre les éléments qui vont encore se déchaîner. Orage.
Le vent est devenu fort. Il nous pousse. Nous pédalons à toute vitesse, sans aucun autre effort que de maintenir nos équilibres.
Il est 18 h30. Nous voilà de retour. Nous nous mettons immédiatement à la préparation du repas. Le feuilleté de saumon. Bien.
Clémentine prépare une salade de salicorne et des avocats au jus de citron farcis aux crevettes. Je m'occupe de la Béchamel.
Tout est prêt. Le feuilleté est au four. Nous montons nous changer. Clémentine porte une robe légère. Dehors, un orage éclate.

Je porte un pantalon de toile légère et un simple T-shirt. Trois coups de sonnette. Nous nous précipitons. C'est Juliette. 19 h50.
Nous nous serrons la main. Juliette est vêtue d'une robe légère. Cintrée à la taille et qui lui arrive en dessous du genoux. Belle.
Elle pose son sac à main sur le bureau. J'invite les filles à prendre place. Je m'occupe du service. Nous mangeons au salon. Joie.
Clémentine a dressée la table monastère. Avec la pénombre provoquée par l'orage, deux simples bougies apportent de l'éclat.
Nous mangeons de bon appétit. La conversation tourne autour de Pauline, la nouvelle secrétaire qui fait déjà un super boulot.

Juliette insiste pour faire la vaisselle avec nous. Nous retournons au salon. Juliette se saisit de son sac à main qu'elle montre.
Elle l'ouvre pour en sortir un petit verre doseur en disant : < C'est le moment de faire notre expérience ! >. Nous regardons.
J'ai le cœur qui bat la chamade. Je perçois le trouble qui gagne Clémentine. < Et vous ne me touchez pas ! > me fait Juliette.
Elle s'installe sur la grande chaise du bout de table qu'elle écarte pour la disposer au milieu de la pièce. Je ne sais quoi faire.
Clémentine s'installe dans le fauteuil qu'elle a attiré à proximité. < Approchez ! > me fait Juliette. J'avance. Je me sens con.

Juliette tourne doucement le verre doseur pour bien nous le montrer. C'est un cylindre de verre gradué de chiffres bleus. 20 cl.
Je prends mon courage à deux mains, tout comme ma bite que je sors doucement de ma braguette dons j'ai rabaissé la tirette.
Juliette est bien la seule de nous trois à garder un calme olympien. Je vois Clémentine assez fébrile se vautrer dans le fauteuil.
Elle relève ses jambes pour les poser sur les accoudoirs, de chaque côté. Robe relevée. Absence de culotte. Elle est si sublime.
Juliette, droite sur la chaise, adossée, me fait : < Approchez. Il est interdit de poser vos mains sur moi ! Entendu ? >. Silence.

Cette situation m'excite au plus haut point. Je bande comme un priapique en phase terminale. Cambré. Mains sur les hanches.
Juliette avance son visage pour scruter avec l'attention d'une entomologiste cette queue qu'elle a déjà vu à plusieurs reprises.
Je la tiens à sa base, entre le pouce et l'index. De sa main, Juliette repousse la mienne pour s'en saisir à son tour. Bien ferme.
Sans hésiter plus longtemps, elle avance sa bouche pour y glisser mon sexe et sans le décalotter. J'entends gémir Clémentine.
Je la vois se masturber en nous observant avec une grande concentration. Juliette me suce. Je regarde la jeune femme. Belle.

Je suis excité et à l'extrême. Ce qui provoque rapidement des écoulements de liquide séminal. Les montées de jus de couilles.
Il ne se passe pas une minute. Juliette retire ma bite de sa bouche. Elle en laisse couler de la jute épaisse dans le verre doseur.
Je regarde comme halluciné cette coulée de foutre gluant et visqueux s'écouler de la bouche de la jeune femme dans le verre.
Clémentine pousse plusieurs gémissements. L'excitation est intense. Dehors, la pluie se met à tomber. Un bruit fort et régulier.
Juliette s'est remise à pomper. Elle tient le petit verre doseur dans le fond duquel il y a déjà les premières coulures de foutre.

Je reste immobile. Je sens la succion qu'exerce Juliette qui me pompe à fond. Ses joues creusées elle suce avec de l'intensité.
Je suis très juteux. Je secrète d'abondantes quantités de foutre. Juliette cesse donc souvent pour laisser s'écouler le jus gras.
Avant de reprendre sa pipe, elle me montre le contenu du verre doseur. Je suis impressionné. Clémentine glousse de bonheur.
Je bouge doucement dans la bouche de Juliette qui reste parfaitement immobile. Concentrée sur cette étonnante première pipe.
Ce rythme lent de ma bite dans la bouche de la jeune femme provoque évidemment d'abondantes montées de jus de couilles.

Il ne se passe guère plus d'une petite minute entre chaque rejet. Juliette, portant le verre à sa bouche, laisse couler le sperme.
Elle me montre à chaque fois l'intérieur de sa bouche. Elle a parfois du mal à recracher l'épaisse jute qui y colle avec insistance.
J'ai envie de lui caresser la tête. Je me contente de l'admirer dans cette sublime fellation. Elle a des coulures de jute. Superbe.
Juliette me montre le contenu du verre. Je suis réellement impressionné. Soudain j'entends Clémentine pousser un rugissement.
Ma compagne ne peut refréner l'orgasme qui la terrasse. Cela fait bien une heure que tout cela dure. J'ai mal aux lombaires. Dur.

J'éjacule comme un véritable bienheureux dans une sérénité qui calme toutes mes douleurs lombaires. Juliette suce avec soin.
Elle se laisse remplir la bouche en me fixant. J'ai des vertiges. Je dois me retenir au dossier de sa chaise. Je vacille. C'est dur.
Je regarde la jeune femme recracher la totalité de mon éjaculation. Elle vide sa bouche avec difficulté avant de recommencer.
Juliette me fait le fond de cuve en vidant consciencieusement mes couilles. Elle se redresse. Je dois reprendre mes esprits. Fou.
Clémentine se lève pour venir près de nous. Juliette fait tourner le verre doseur rempli au trois quart. Quantité impressionnante.

< Vous avez bon goût, Julien, mais qu'est-ce vos sécrétions sont épaisses ! > me fait Juliette en donnant le verre à Clémentine.
< Ne buvez pas. Froid c'est dégueulasse ! > lui fait Juliette. Clémentine le fait tourner dans la lueur de la bougie. Silencieuse.
Juliette me fait : < La prochaine fois, je vous fais une vraie pipe mais sans verre doseur. Si Clémentine le permet ! >. Silence.
Clémentine renifle le contenu du verre longuement avant de lui répondre : < Mais c'est quand vous voulez ! >. Juliette s'essuie.
Elle nous montre l'intérieur du mouchoir en disant : < Il y en a aussi là ! >. Nous rions de bon cœur. Je félicite Juliette. La pipe.

< Mais tout le plaisir est pour moi ! > fait Juliette avant de rajouter à l'attention de Clémentine : < Nous avons un "contrat" ! >
Clémentine regarde le contenu du verre avant de répondre : < Et je m'en acquitterais ! Je vous fais un courriel sous peu ! >
Sa part du contrat est de faire la même chose, aux écuries, au palefrenier, monsieur Gérard le vicelard comme l'appelle Estelle.
Il est 22 h30. Nous raccompagnons Juliette qui nous remercie pour cette sublime soirée. Il a cessé de pleuvoir. Juliette s'en va.
Une fois seuls, Clémentine m'entraîne à toute vitesse à l'étage. Nous sommes épuisés comme rarement. Un "69". Et puis dodo.

Bonne découverte de l'expérience du verre doseur à toutes les coquines qui apprécient les situations qui donnent le vertige...

Julien - (Qui s'est fait vider les couilles de la plus extraordinaire façon sous le regard de Clémentine qui en a jouie) -

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La journée des bonnes nouvelles

Hier matin, jeudi, je suis tiré de mon sommeil par des bisous. J'ouvre l'œil. Le visage bienveillant de Clémentine penché sur moi.
< Bonjour Julien ! > dit elle, se serrant contre moi. Clémentine qui ne supporte pas la solitude trop longtemps me réveille ainsi.
< Bonjour Clémentine ! > ai-je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche en riant. Des papouilles. La tendresse. Douceur.
L'impérieux besoin naturel met toutefois rapidement un terme à nos effusions de tendresse. Clémentine m'entraîne aux toilettes.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Il est 7 h30. Je presse les oranges. Clémentine fait notre café.

Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Bien.
Bien évidemment la conversation tourne autour de notre étonnante expérience de hier soir. Juliette et son verre doseur. La pipe.
Je reste avec une curieuse impression. Comme la sensation d'un acte non aboutit. Une chose inachevée. Je n'ai pas le bon mot.
Nous sommes en tenues de jogging. Dehors il fait beau. Du soleil. Un ciel bleu. Clémentine me fait part de la même impression.
La vaisselle. Il est 8 h lorsque nous courons dans l'agréable fraîcheur de cette matinée de début juin. Sur un sol humide. Sympa.

Il est 9 h. Nous voilà de retour. Nous prenons notre douche. Clémentine est habillée d'une vieille robe très légère. J'ai mon short.
Clémentine m'accompagne dans l'atelier. Je commence ce matin la peinture de mes deux toiles de commande. Je suis impatient.
Clémentine me laisse pour se rendre au jardin. Elle me fait plein de bisous. Sa passion pour le jardinage l'anime d'une joie. Bien.
Je peins dans un enthousiasme délirant. Je fais les fonds des deux toiles. Des fonds bruns. Du plus profond au plus clair. Super.
Il est onze heures lorsque Clémentine pénètre dans l'atelier en agitant une feuille de papier. Je la regarde sautiller autour de moi.

< Je l'ai ! > s'écrie t-elle. Clémentine fait évidemment allusion à son "Master" dont les résultats viennent d'arriver. Exubérance.
Je cesse de peindre pour me lever. Clémentine m'entraîne dans une ronde folle. Nous faisons le tour de la table, des chevalets.
Je la soulève pour la faire tournoyer. Elle me couvre le visage de bisous. < Merci Julien ! > me fait elle à plusieurs reprises. Joie.
Je lui dis : < Je n'y suis pour rien ! C'est le simple fruit de ton travail acharné ! >. Elle me répond : < Oui ! Mais ici, avec toi ! >
Nous restons ainsi un petit moment. Clémentine me fait lire la lettre. La sonnerie du téléphone depuis le salon. Nous allons voir.

Clémentine décroche. C'est Estelle. Je comprends immédiatement qu'elle aussi vient d'apprendre ses résultats. Des mots animés.
< Reçue ! > me fait Clémentine en raccrochant. Estelle viendra nous rejoindre en soirée après 18 h. Elle a obtenu son "Master".
Clémentine m'entraîne au jardin. Elle aime me montrer son travail. Elle a désherbé le potager. Les tomates sont rouges, grosses.
Je la félicite. Elle me montre toutes les limaces dans un grand tamis. Avec cette humidité, c'est la fête à la limace, aux escargots.
Clémentine m'entraîne dans la roseraie. Il y règne toujours une chaleur accablante. J'admire les tulipes, les roses. La ciboulette.

Clémentine est tellement heureuse. A plusieurs reprises elle me prend par la main pour m'entraîner en sautillant autour du jardin.
Elle monte sur le petit pont de pierre au dessus du bassin, remonte sa robe pour me dire : < Cul nu ! >. Nous rions de bon cœur.
Clémentine, à la maison, avec cette chaleur, ne porte pas de culotte. Je la félicite. Il est midi. La faim commence à se faire sentir.
Nous rentrons. Clémentine s'occupe des salades. Le concombre, les tomates et la laitue que nous avons ramené de notre potager.
Je prépare deux filets de lieu noir que je passe à la panure. Un brouillis de courgettes avec des champignons, ail, oignons, persil.

Nous mangeons de bon appétit. Dans la véranda toutes les baies vitrées sont ouvertes. Cette année, il y a bien moins d'insectes.
Nous évoquons la fellation de hier soir. La pipe que m'a fait Juliette. Nous rigolons comme des bossus en nous rappelant le truc.
Nous traînons à table. La météo se répète. Là-bas, au loin, les amas nuageux font leur apparition. Ce sera le même climat. Bien.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine m'entraîne au salon. Là, sur le tabouret, il y a le verre doseur encore rempli.
Recouvert d'une carte de visite. Celle de Juliette où la jeune femme a griffonné "à refaire". Nous en rigolons comme des bossus.

Clémentine s'empare du verre doseur plein du foutre jaunâtre de hier soir. Elle me fait : < Félicitations ! Tu as mis le paquet ! >
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle me fait renifler. Il n'y a pas de réelle odeur. Je prends le verre. Nous allons vers les toilettes.
Je vide le verre pour le laver au dessus du petit lavabo. Je l'essuie avec du papier cul puis avec la serviette. Je dis : < Nickel ! >
Clémentine me fait : < On va passer le plus rapidement pour le rendre à Juliette. Elle en a peut-être besoin prochainement ! >
Nous éclatons de rire en montant nous laver les dents. Nous nous mettons en tenues vélo en faisant les clowns devant le miroir.

Il est 13 h45 lorsque nous prenons le chemin qui nous mène à la piste cyclable. Il y a peu de monde. Il fait chaud. Il fait lourd.
Aujourd'hui il n'y a pas de vent. Nous pédalons d'un bon rythme. Clémentine me parle de la rentrée prochaine, septembre 2018.
Elle est tellement heureuse de pouvoir commencer enfin ce nouveau cycle d'étude qui la conduira jusqu'au Doctorat. C'est super.
Nous nous arrêtons au cabanon de l'écluse. La pause pipi. Comme souvent, je me dissimule pour regarder Clémentine qui épie.
De l'autre côté de l'écluse, cachée entre deux bosquets, ma compagne guette l'éventuelle arrivée d'un cycliste solitaire. Exhibe.

Depuis ma cachette, à l'angle du cabanon, nous nous faisons des grimaces, des signes obscènes tout en restant très vigilants.
L'attente n'est pas très longue. Il y a un cycliste qui se pointe, là-bas. Il pédale doucement. Pas un sportif mais un promeneur.
Clémentine le voit arriver aussi. Elle descend sa culotte aux genoux. Accroupie, elle la soulève de son index. Lunettes de soleil.
Elle se défait les cheveux. Le visage penché pour regarder son entre jambes, Clémentine préserve ainsi un anonymat parfait.
Le type arrive. Il doit avoir la trentaine. Vêtu d'un short kaki, d'une chemisette ouverte et flottante, il pédale nonchalamment.

Il découvre la jeune fille. Combien de fois n'ai je pas assisté à ce saisissant spectacle dont je ne me lasse jamais. Merveilleux.
Le type s'arrête. Il met un pied à terre. L'attitude des messieurs dans cette situation, est souvent la même. La surprise. La joie.
Le type ne dit rien. Il pose le vélo. Il regarde partout autour de lui. Clémentine louche certainement derrière ses lunettes noires.
Il n'y a personne. Le gaillard déboutonne tranquillement sa braguette, doucement, dans la maîtrise totale de lui-même. Super.
J'admire le cran de Clémentine qui se concentre probablement pour pisser. Le cycliste sort son sexe. Un bel engin bien droit...

Le type bande comme un salaud. Il tient son sexe à sa base dans la direction de la jeune fille qui relève enfin la tête. Superbe.
J'ai le cœur qui bat la chamade. Je suis sans doute le plus excité des trois. Je n'entends pas ce que dit l'individu. Il est trop loin.
Je le regarde se masturber doucement. Clémentine et lui échangent quelques mots. Elle se lâche soudain dans un jet intense.
Le jet, impressionnant, se jette au fond de l'écluse à plus de deux mètres devant la fille, mouillant le sol depuis l'entre jambes.
Je me branle doucement en observant la scène. Le type accélère le rythme de sa masturbation qui devient effrénée. Amusant.

Clémentine lâche trois jets d'une impressionnante puissance. Les dernières gouttes tombent sous ses fesses. Elle a le mouchoir.
Clémentine se torche en se redressant doucement. Le type doit certainement éjaculer car je le vois qui est agité de spasmes.
Pas de doute, notre gaillard connaît un orgasme. Il reste un instant comme pantelant. Il y a un groupe de cyclistes qui arrive.
Le type remballe, ramasse son vélo, monte dessus, fait un dernier signe de la main avant de s'éloigner. Clémentine me rejoint.
Nous rions de bon cœur de cette nouvelle farce. Nous reprenons notre route pour arriver au port de plaisance vers 15 h45. Joie.

Il y a de gros nuages qui couvrent doucement le ciel. Nous savourons nos cônes glacés en flânant sur le quai désert. Lourdeur.
Il y a le groupe des joueurs de pétanque. Il y a les clients du bar, là-bas, attablés à la terrasse. Quelques plaisanciers discutent.
Malgré notre grande vigilance, nos fréquentes visites dans les fourrés près des sanitaires, pas de nouvelle opportunité exhibe.
Nous saluons la capitaine du Port avec qui nous bavardons un peu. Il est 17 h. Le ciel redevient menaçant. Il vaut mieux filer.
Nous pédalons rapidement. Une fois encore, il faut arriver avant que l'orage n'éclate. Le vent s'est levé et nous pousse. Sympa.

Il est 18 h30 lorsque nous revenons à la maison. La bicyclette d'Estelle est dans le garage. Elle vient à notre rencontre. Joie.
Elle me saute au cou. Elle aussi est tellement contente d'avoir son "Master". Clémentine s'interpose. Nous rions de bon cœur.
Nous rentrons. Le ciel est couvert et menaçant. Nous l'avons sans doute encore une fois échappé belle. Le climat est si lourd.
L'atmosphère est humide. Estelle est entrain de préparer le repas du soir. Un gratin avec le reste de courgettes de midi. Bien.
Elle y a rajouté des aubergines. Nous nous mettons à l'aider. Les filles parlent de leurs résultats. Elles font le bilan des efforts.

Je les ai vu travailler. Je me souviens de toutes ces soirées de labeurs, de révisions et de concentrations. Le résultat est normal.
Je les félicite. Estelle porte un de ses shorts kaki, un T-shirt crème et ses baskets. Nous sommes encore en tenues de bicyclette.
Il est donc très facile de nous toucher quelquefois en riant. Le gratin est au four. La salade est préparée. La table est mise. Bien.
L'obscurité est digne d'un mois d'hiver. L'orage n'éclate pas. Dans le lointain nous entendons le roulement du tonnerre. Eclairs.
Je propose aux filles de leur faire la fête. Un bon léchage de minou pour les récompenser de l'obtention de leur diplôme. Rires.

Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. Voilà les coquines, culs nus, vautrées dans le canapé. Je suis à genoux sur le coussin.
Je hume les odeurs de leur journée de fille. Celle de Clémentine m'enivre. Celle d'Estelle me révulse un peu. Est-ce subjectif ?
Du bout de la langue, je fouille les plis et les replis des lèvres charnues du sexe de ma compagne. Mon doigt sur celui d'Estelle.
Le sexe d'Estelle est une simple fente d'où dépasse à peine de timides lèvres et souvent sèches. Alors que Clémentine mouille.
Je lèche le sexe d'Estelle. Le goût n'est pas le même. Autant celui de ma compagne est acidulé, autant celui d'Etelle est âcre…

Les filles gémissent. Le bonheur et le plaisir sont un cadeau que je leur offre avec joie. La sonnerie du four. Nous cessons vite.
Morts de faim, nous nous précipitons, culs nus, à la cuisine. Heureusement les coussins de siège permettent de rester culs nus.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles évoquent la prochaine rentrée, le Doctorat et tout ce qui les attend.
Nous racontons l'expérience du verre doseur avec Juliette, hier soir. < Vous déconnez ? > nous fait plusieurs fois Estelle. Rires.
< Put-Hein ! J'aurai voulu voir ça ! C'était bon, Julien ? > me demande Estelle. Je lui raconte l'étrange sentiment qui en résulte.

< Moi ! Je serai incapable de recracher. J'adore trop le bouffer ! > rajoute encore Estelle. Nous en rigolons comme des bossus.
Nous traînons à table. Il est 21 h lorsque nous attaquons la vaisselle. Clémentine me montre l'auréole sur le coussin de chaise.
Estelle me montre la sienne. Je les félicite pour leur mouille. Nous rions de bon cœur lorsque je dis : < Et on y retourne vite ! >
Nous rangeons la cuisine. Nous retournons au salon. Je suis à genoux à reprendre les choses où nous les avons laissé. Léchage.
Estelle ne peut refréner l'orgasme qui la terrasse rapidement. Trop heureuse des résultats de son "Master" et de ce cunnilingus.

Je lui enfonce le doigt. Je continue à lécher le clitoris géant de Clémentine. Estelle, mon doigt dans son sexe, reprend ses esprits.
Clémentine doit lutter contre l'orgasme. Elle préfère se garder pour le lit, tout à l'heure. Nous cessons. Estelle veut voir le verre.
Il est 22 h15 lorsque nous ramenons Estelle et sa bicyclette. Il ne pleut pas. L'orage semble s'être éloigné. La séparation difficile.
Nous rentrons. Toilettes. Salle de bain. Le lit. Clémentine m'attire sur elle. Nous restons immobiles. C'est l'instant des révélations.
J'aime entendre Clémentine chuchoter ses plus étonnants secrets. Nous nous offrons un merveilleux orgasme avant de plonger…

Bonne soirée à fêter vos victoires les plus diverses à toutes les coquines heureuses de se faire lécher le minou…

Julien - (Qui est aussi heureux que Clémentine et Estelle. Elles peuvent à présent passer à la suite. Tout en se faisant lécher) -

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Le début d'un très agréable Week-End

Hier matin, vendredi, nous nous étirons longuement. Nous concluons nos longs gémissements par le même cri : < Bonjour ! >
Nous nous serrons très fort en riant de bon cœur. Il est à peine 7 h15. Nos horloges biologiques fonctionnent sur l'heure d'été.
Clémentine me chevauche en riant. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. L'impérieux rituel pisseux. Bien.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse nos oranges. Clémentine s'occupe de notre café.
Nous prenons notre petit déjeuner dans la douce odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Joie.

Nous faisons un rapide bilan de cette semaine riche en surprises. La soirée avec Juliette, les résultats du "Master" et le notaire.
Nous faisons également le programme de cette nouvelle journée. Nous sommes déjà en tenue de jogging. Il fait beau et doux.
La vaisselle. Il est 7 h45 lorsque nous foulons le sol humide du chemin qui descend jusqu'à la rivière. Dans la fraîcheur matinale.
Il est 9 h lorsque nous revenons après un running des plus agréables. La douche. Clémentine est habillée en tenue de jardinage.
Je suis en short et en chemisette. Je vais dans l'atelier. Clémentine m'y accompagne quelques minutes avant de sortir jardiner.

Je peins dans un enthousiasme délirant. Je réalise ce matin la peinture des vêtements de nos portraits. C'est un grand moment.
A mes côtés, sur la petite table, j'ai posé le dictionnaire des costumes. Ce travail est passionnant et m'absorbe totalement. Joie.
Il est 11 h45. Je termine la peinture de nos costumes de la première toile. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Tout est bien.
Je rejoins Clémentine. Coiffée de son chapeau de paille, portant son tablier de jardinage bleu, ses gants, elle manie le sécateur.
Je lui fais un bisou. Elle m'explique tout ce qu'elle a encore fait ce matin. Avec les pluies nocturnes, c'est la chasse à la limace.

Je saisi la brouette à pleine main. Elle contient les mauvaises herbes tirées du potager pour aller la vider sur le tas de compost.
Clémentine m'entraîne dans les allées du potager. Nous cueillons des tomates, des courgettes, du persil, de l'oignon, du persil.
La faim se fait ressentir. Nous rentrons. Comme hier, doucement, un amas nuageux se dessine dans le ciel. Il fait lourd. Chaud.
Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je prépare le brouillis de tomates et de courgettes. Poisson pané.
Je passe les deux filets de lieu noir dans l'œuf puis dans la chapelure mélangée de gruyère finement râpé. Je passe à la poêle.

Tout va très vite. Nous sommes méthodiques. Lors de nos élans de tendresse, et durant les préparatifs, je caresse Clémentine.
Je découvre qu'elle ne porte pas de culotte sous sa vieille robe de jardin. J'aime passer mes doigts dans l'épaisse touffe fournie.
Nous prenons notre repas dans la véranda dont les baies vitrées sont largement ouvertes. Nous mangeons de très bon appétit.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me confie l'immense sérénité qui l'habite depuis hier.
Les résultats du "Master", même s'ils étaient parfaitement prévisibles, achèvent de mettre Clémentine dans une douce euphorie.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. La musique ridicule de mon téléphone. Clémentine décroche. C'est Estelle. J'entends rire.
Estelle nous attend à l'entrée habituelle de la piste cyclable pour 14 h. Nous montons nous laver les dents. Nous changer aussi.
Clémentine porte une de ses jupettes sport, un T-shirt blanc. Je porte un short gris et un T-shirt blanc. Nous voilà prêts. Super.
Il est presque l'heure lorsque nous rejoignons Estelle toute contente de nous revoir depuis hier soir. Des bisous. Elle est si belle.
Vêtue d'un de ses habituels shorts kaki et d'un T-shirt crème, Estelle est radieuse. Nous voilà à pédaler contre une légère brise.

Arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Nous avons croisé bon nombre de cyclistes. C'est vendredi. Plein de gens sont déjà en congé.
J'anticipe en tenant deux mouchoirs en papier. Je fais le guet. Les filles, accroupies au milieu de la route, y font leurs pissous.
Je les torche juste avant l'arrivée d'un couple de cyclistes qui ne se doute absolument de rien. C'est toujours amusant de jouer.
Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet sous le regard d'Estelle qui m'encourage en me tenant par les hanches. Rigolo.
Nous reprenons notre route pour arriver au port de plaisance vers 15 h30. Il y a l'animation du vendredi, début de Week-End.

Nous fermons nos bicyclettes à cadenas derrière la capitainerie. Nous saluons la capitaine. Nous bavardons un peu. Echanges.
Nous apprenons qu'elle est étudiante. Sa cinquième année de médecine terminée, faire a capitaine du port est son job d'été.
Clarisse va passer ici toute la belle saison jusqu'à la rentrée de septembre 2018. Nous la laissons car des plaisanciers arrivent.
Nous traversons la route pour nous rendre à la supérette. C'est la récompense. Nos cônes glacés. Il y a nombre de clients ici.
Nous dégustons nos glaces en traînant sur le quai. Le ciel se couvre doucement. Et c'est exactement le même climat que hier.

< Chipolata ! > s'écrie Estelle, nous montrant Maurice, l'homme à la mobylette, là-bas, avec les joueurs de pétanque. Rigolade.
Il est vêtu comme toutes les autres fois où nous l'avons vu. Vieille veste élimée, pantalon bouffant, vieilles godasses. Un clodo.
C'est surtout son casque rouge de motocycliste qu'il s'obstine à tenir à la main qui nous amuse le plus. Il bavarde avec fougue.
Nous restons à l'écart. Clémentine fait : < Tu vas l'allumer ? >. Estelle répond : < On s'amuse un peu ? >. Clémentine regarde.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle dit à Estelle : < Toi, tu veux de bouffer une chipolata ! >. Estelle lui dit : < Dans son jus ! >

Pourtant, la météo changeante va en décider tout autrement. Tout semble rapidement s'accélérer. De sombres amas nuageux.
Aurons-nous le temps de rentrer en évitant l'orage ? Je propose aux filles d'êtres prudents. Attendons que l'orage passe. Bien.
Pourquoi ne pas nous rendre au Bar, là-bas, pour nous mettre à l'abri en attendant que tout redevienne normal. La bonne idée.
Nous prenons place sous l'auvent de la terrasse couverte. Nous ne sommes pas seuls à prendre cette élémentaire précaution.
Rapidement presque toutes les tables sont occupées. Nous commandons une grande bouteille d'eau gazeuse et avec du citron.

L'orage éclate. De violents éclairs zèbrent le ciel obscurcit d'épais nuages lourds et bas. De violents coups de tonnerre. La folie.
Les éléments se déchaînent. La pluie tombe en véritables hallebardes. La fraîcheur nous oblige à enfiler nos K-ways. Agréable.
Clémentine attire notre attention sur les deux couples de touristes installés à une des tables voisines. < Ils étaient déjà là ! >
< Je me souviens du mec, l'années dernière, il m'avait montré sa queue aux toilettes ! Tu te souviens ? > me fait Clémentine.
Elle rajoute : < Rappelle toi, il voulait me photographier entrain de pisser ! >. Effectivement, le souvenir me revient. Rigolade.

Estelle lui fait : < Tant de mecs t'ont déjà vu pisser, tu arrives à te souvenir de chacun d'entre eux ? > Nous rions de bon cœur.
< Non, mais ceux avec qui c'était intense, je m'en souviens. Ils me font encore fantasmer quand j'y pense ! > fait Clémentine.
Nous regardons la pluie tomber. Le ciel est sombre et sinistre. Pourvu que cela ne dure pas tout le restant de l'après-midi. Bien.
Nous observons le type. Il n'a pas reconnu la jeune fille. Clémentine préserve toujours son anonymat. Lunettes noires de soleil.
La plupart du temps, lors de ses exhibitions, elle défait ses cheveux pour dissimuler les traits de son visage. Impossible de voir.

Il est extrêmement rare de tomber une seconde fois sur un des individus qui a assisté à un des "spectacles" de Clémentine.
Lorsque cela se produit, il est quasiment impossible qu'il reconnaisse la fille. < Je vais faire un tour aux chiottes ! > dit Estelle.
Nous connaissons un peu la configuration des toilettes du bar restaurant. Il faut traverser la cour. Entrer dans le vieux cabanon.
A droite ce sont les WC femme, à gauche ce sont ceux des hommes. La porte entrebâillée donne sur les deux urinoirs muraux.
Il est donc très simple de s'adonner à de discrètes exhibitions ou encore à quelques voyeurismes. Estelle se lève pour y aller.

Nous restons tous les deux, Clémentine et moi à regarder la pluie tomber en trombe. Spectacle magnifique sur les eaux du port.
Les bateaux sont luisant de pluie dégoulinante. Estelle revient : < Il y a du monde aux chiottes ! Pas d'intimité ! > nous fait elle.
Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine se lève en disant : < Je vais aller constater tout cela de visu ! >. Elle y va.
Estelle me raconte quelques anecdotes qui lui sont arrivées dans des chiottes publiques. Celles de la bibliothèque. Les exhibos.
Elle me confie ne pas avoir l'aplomb dont fait preuve Clémentine dans ces situations particulières avec des exhibitionnistes. Vice.

Clémentine revient. < En effet, tout le monde semble se donner rendez-vous aux chiottes ! > nous fait elle en s'asseyant. Rire.
La pluie cesse. Le ciel s'éclaircit. Tout est aussi rapide qu'en début d'orage. La vapeur monte du sol. Le soleil est revenu. Chaud.
Les gens commencent à se lever. Nous nous retrouvons à quelques clients, là. Il est presque 18 h30. Nous décidons de repartir.
Nous retournons à nos bicyclettes. Le macadam sèche déjà. Nous pédalons d'un bon rythme. Et le ciel est principalement bleu.
Il est 20 h15 lorsque nous revenons à la maison et après 25 km d'un parcourt des plus sympathiques. Il n'y a pas eu de pluie ici.

Morts de faim, nous nous mettons immédiatement à la préparation du repas du soir. Clémentine s'occupe de la salade. Laitue.
Estelle prépare une sauce au Roquefort. Je m'occupe des spaghettis. Nous bavardons. Les filles évoquent leurs études. Sympa.
Nous mangeons dans la véranda. Il fait chaud, lourd. Nous parlons de notre prochaine visite au haras. Ramener le verre doseur.
< Juliette en a peut-être besoin ! > fait Estelle. Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine rajoute : < Pratiquante ! >
< Le culte du verre doseur ! > fait encore Estelle en mimant une pipe, la main fermée devant la bouche, en faisant une bosse.

Nous nous promettons d'y faire un tour demain, au retour de notre éventuelle virée vélo. Nous traînons à table. Il est 21 h15.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Nous sommes vautrés dans le canapé. Je suis entre les filles.
Estelle me palpe la braguette. Clémentine pose sa tête sur mon épaule. La fatigue se fait un peu sentir. Nous écoutons Estelle.
Elle nous raconte ses journées, au bureau, dans l'entreprise familiale. Elle va y passer tout le mois de juillet. C'est un peu dur.
Je la console en lui rappelant qu'elle vient nous rejoindre le premier août à Edimbourg. Et pour tout le mois. Jusqu'au retour.

J'ai sorti mon sexe avec lequel joue Estelle tout en discutant. Comme toujours, elle me le tord dans tous les sens. Amusant.
La coquine sait bien que lorsque je bande, de me la tordre vers le bas, est presque douloureux. Elle en profite. La vicieuse !
Je la laisse me sucer un peu sous le regard de Clémentine qui me chuchote des douceurs, se touchant un peu. Masturbation.
Il est 22 h15. Nous ramenons Estelle et son vélo. Nous nous revoyons demain pour 14 h. Malgré tout la séparation est dure.
Au retour, épuisés, Clémentine et moi, nous tentons la baise. Un "69" qui ne se termine pas. Serrés l'un contre l'autre. Dodo.

Bonne virée à bicyclette et bon retour pour un délicieux repas à toutes les coquines qui aiment jouer avec une bite...

Julien - (Qui a souvent la bite un peu douloureuse lorsqu'Estelle, tout en bavardant, la lui tord dans tous les sens) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 17 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 449 -



Au retour, nous faisons une visite à Juliette, au haras

Hier matin, samedi, nous nous réveillons en même temps. Nous aimons à nous blottir l'un contre l'autre pour émerger. Sympa.
< Bonjour mon amour ! > me murmure Clémentine avant de me chevaucher en riant. Elle me couvre le visage de bisous. Joie.
Je lui chuchote : < Bonjour mon amour ! >. Douceur. Tendresse et papouilles. Nous nous précipitons rapidement aux toilettes.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Nous sommes déjà vêtus de nos tenues de jogging en lycra.
Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous prenons notre petit déjeuner dans cette odeur de pain grillé.

Il est à peine 7 h15. Dehors il fait beau. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous faisons le programme du jour.
La vaisselle. Nous sortons pour constater, une fois encore, que la pluie est tombée cette nuit. Nous courons sur la terre humide.
La fraîcheur matinale est revitalisante. Toutes les journées, depuis quelques semaines, sont chaudes, lourdes et rendent moite.
Une heure d'un running des plus agréables et nous voilà de retour pour prendre notre douche. Il est 9 h et nous nous habillons.
Clémentine porte une de ses robes d'été légère, sombre, à discrets motifs floraux. Des sandalettes à légers talons. Très classe.

Sur sa demande, je porte un pantalon clair, en toile, une chemise claire négligemment ouverte et mes mocassins marron clair.
Contrairement aux autres jours, il y a déjà quelques nuages d'altitudes. Nous voilà en route pour le bourg y faire notre marché.
Je roule doucement. Clémentine joue avec mon sexe. Nous évoquons notre prochain départ pour l'Ecosse. Deux mois de joies.
Je gare l'auto sur le parking. Il y a du monde. Je garde la tirette de ma braguette vers le bas. Elle est ouverte. C'est amusant.
Clémentine exige qu'il en soit ainsi. Elle peut y fourrer sa main quand elle veut et cela stimule toujours un peu sa libido de fille.

Nous faisons provision de fruits chez nos petits agriculteurs locaux. Puis nous faisons provision de fromages chez nos artisans.
Des œufs, du beurre, des fromages, des yaourts, de la crème fraîche et que nous nous empressons de mettre dans la glacière.
Nous partons pour la zone commerciale, en ville. Le parking du supermarché. Il y a un monde fou. Je pousse le caddie. Sympa.
La braguette toujours discrètement ouverte, je marche derrière Clémentine qui nous entraîne dans les rayons nous concernant.
Produits d'entretien, d'hygiène et de première nécessité. Puis ce sont les conserves. Le rayon poissonnerie. Debout dans la file.

Malgré le monde, Clémentine, un peu comme par routine, nous entraîne au rayon culturel. Aucune exhibe possible. Fréquenté.
C'est identique au rayon des vêtement homme. Il faut se faire une raison. Nous passons en caisse. Il faut attendre longtemps.
Nous flânons encore un peu dans la galerie commerciale. Aucune opportunité non plus dans le salon de thé. Il faut se résoudre.
Nous rangeons nos courses dans le coffre de la voiture. Le poisson et les fruits de mer rejoignent les fromages dans la glacière.
Je roule doucement. Clémentine, qui ne cesse de jouer avec ma queue, me confie ses impressions quand au verre doseur. Rire.

Il est midi trente lorsque nous revenons à la maison pour ranger nos courses. Clémentine s'occupe de la salade. Une belle laitue.
Avec cette météo, notre potager offre une abondance de légumes. Leurs tailles sont étonnantes. Des records pour un début juin.
Je prépare des filets de haddock à la poêle accompagnés d'un brouillis de tomates et de courgettes. Il y en a tant dans le jardin.
Nous prenons notre repas dans la véranda, toutes les baies vitrées grandes ouvertes. Nous mangeons de bon appétit. Délicieux.
Nous traînons à table. Clémentine, assise sur mes genoux, terminant son yaourt, me propose de passer au haras en soirée. Joie.

Le ciel reste principalement bleu. Les nuages d'altitude ne sont pas plus nombreux que ce matin. Il va encore faire très agréable.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents et nous mettre en tenue vélo. C'est très sympathique.
Clémentine porte une de ses jupettes sport noire et un T-shirt gris. Je porte un short noir et un T-shirt gris. Nous faisons exprès.
Estelle nous attend à l'endroit habituel pour 14 h. Aussi nous nous dépêchons d'aller la rejoindre sur nos bicyclettes. Il fait beau.
Nous arrivons un peu avant l'heure. Comme toujours. Estelle est toute contente de nous revoir. Elle porte son short kaki, T-shirt.

Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest. Les filles évoquent nos prochaines vacances. Estelle se réjouit pour revoir l'Ecosse.
Cet été elle nous rejoindra dès le début août et nous rentrerons ensemble le 10 septembre. Estelle a tout réglé avec ses parents.
Il n'y aura pas ces horribles moments de déchirures que nous avons connu l'an dernier. C'est trop pénible et si souvent inutile.
Nous faisons l'arrêt pipi habituel au cabanon de l'écluse. Nous croisons quantité de cyclistes, de jeunes filles en rollers. Samedi.
Il faut donc redoubler de prudence. Je me charge de faire le guet pendant que les filles, accroupies au milieu de la piste, pissent.

Il faut faire vite. Il y a des cyclistes qui se pointent. Je torche rapidement, mais proprement, les filles qui se réajustent très vite.
Nous admirons les vélos qui passent dans les longues coulées de pissous qui traversent la piste cyclable en laissant des traînées.
Estelle fait toujours une photo. Nous rions de bon cœur en reprenant notre route pour arriver au port de plaisance pour 15 h30.
Il y a l'animation des samedis. Des employés municipaux sont entrain de délimiter les emplacements pour le marché de demain.
Il y a le groupe de joueurs de pétanque. Des touristes qui se promènent et des plaisanciers qui bavardent devant leurs bateaux.

Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie. Nous passons saluer Clarisse, la capitaine pour bavarder un petit peu.
Clarisse est une jeune fille de 24 ans, plutôt réservée, presque timide mais qui s'acquitte bien de son job d'été. Et sympathique.
Nous la laissons pour nous rendre à la supérette. Il y a plein de clients. Impossible de bavarder avec la gérante. C'est dommage.
Nous prenons nos cônes glacés que nous dégustons en flânant sur le quai. Demain, ce sera le marché aux artisans. L'animation.
Estelle regarde constamment derrière nous, scrutant du regard les environs. Je lui fais : < Tu regardes si Chipolata est ici ? >

Estelle me regarde par en dessous, suçant son cône de la façon la plus suggestive possible, elle me répond : < Tu as deviné ! >
Nous rions de bon cœur. Clémentine me tient par la main. Elle nous propose d'aller rôder un peu dans les fourrés aux sanitaires.
Il n'y a personne. Par contre, et depuis le début de la saison, la porte est fermée. Il faut aller demander la clef à la capitainerie.
Il n'est donc plus possible d'aller y attendre quelques opportunités d'exhibe. Ce qui ne frustre pas trop Clémentine. Autres lieux.
Estelle me palpe la braguette. Clémentine s'interpose à chaque fois. Nous en rions de bon cœur. C'est devenu un jeu. Un code.

Nous restons dissimulés derrière les fourrés, entre le mur du bâtiment des sanitaires et l'épaisse végétation qui nous cache bien.
De là, nous avons une vue parfaite sur l'aire de jeu, une partie du parking et l'étroit chemin qu'empruntent les passants à pieds.
Chipolata n'arrive pas. Maurice, l'homme à la mobylette, une fois encore, est aux abonnés absents. Il faut s'en faire une raison.
< Pas trop frustrée ? > demande Clémentine à Etelle qui me tient la queue fermement dans les buissons. < Si ! > répond t-elle.
Nous rigolons comme des bossus. Je passe ma main dans le short d'Estelle pour lui enfoncer délicatement un doigt. Doucement.

Clémentine, qui a passé une main sous sa jupette nous fait : < Vous allez m'exciter tous les deux avec vos saloperies ! >. Rires.
Estelle, accroupie, lui dit : < T'as qu'à t'amuser avec nous ! >. Clémentine lui fait : < Je te rappelle que c'est mon mec ! >. Joie.
Je saisi Clémentine par la nuque pour la serrer contre moi. Je lui passe mon autre main sous la jupette. C'est déjà trempé. Bien.
Je tiens Estelle par ses cheveux. Elle me suce avec avidité. Elle tombe à genoux dans la terre, ses mains sur mes cuisses. Délice.
Je masturbe Clémentine qui m'embrasse avec volupté. Nous restons ainsi un bon moment. Je fais le guet partout autour de nous.

Il faut cesser. Il y a deux couples de D'jeunes qui arrivent. C'est un peu leur endroit secret. Estelle se redresse. Nous quittons.
Aujourd'hui, même si le ciel se charge un peu plus de nuages d'altitude, il n'y a pas d'orage qui menace. Il fait chaud et lourd.
Seconde tournée de cônes glacés. Nos gourmandises n'ont d'égales que nos désirs de vivre des situations excitantes. Et partout.
Il est 18 h30. Le ciel se couvre encore un peu plus. Il n'y a malgré tout aucun risque pluie. Nous décidons de rentrer doucement.
Nous pédalons, poussés par le léger vent d'Ouest. Nous croisons toujours autant de cyclistes, de promeneurs, de rollers. Super.

Nous quittons la piste cyclable à la hauteur de la dernière écluse pour prendre le chemin qui mène au haras. Trois kilomètres.
Il est presque 20 h lorsque nous arrivons dans la cour. Il y a un groupe de gens que nous ne connaissons pas. Et il y a Juliette.
Nous la voyons toute ravie de nous voir arriver à l'improviste. Nous la laissons bavarder avec les gens. Nous allons aux écuries.
L'endroit est désert. Il ne reste plus que quelques chevaux en pension. Estelle nous entraîne dans le dernier box. Trou du mur.
Elle s'accroupit immédiatement pour nous montrer les nouvelles coulures qui ont séché sur les anciennes. C'est assez écœurant.

Nous nous penchons pour regarder de plus près pendant qu'Estelle prend quelques photos. < Il y a eu de la pipe ! > fait elle.
Clémentine nous montre les taches qui maculent le ciment du sol, au bas de la cloison de bois. Estelle prend d'autres photos.
< Intéressant, non ? > fait la voix de Juliette, debout dans l'encadrement de la porte. Et nous ne l'avions pas entendu venir.
Nous nous redressons. Clémentine ouvre le petit sac à dos que je porte toujours en virée. Elle en sort le verre doseur. Silence.
< Comme c'est gentil d'y avoir pensé ! > fait Juliette. Clémentine sort son téléphone du sac à dos pour lui montrer les photos.

Nous avions pris quelques clichés du verre doseur contenant mon foutre frais et le lendemain lorsqu'il était devenu jaunâtre.
< Vous me les envoyez par courriel ? On peut aussi monter chez moi les télécharger après ! > nous propose Juliette. Sympa.
Estelle toujours accroupie près du trou dans le mur, se redresse à son tour pour nous montrer les 5 photos prises à l'instant.
< Collectionneuse aussi, je vois ! > lui fait Juliette avant de rajouter : < Un de ces jours, je vous montrerais ma collection ! >
Nous suivons Juliette. Nous quittons les écuries. Nous ne voulons pas nous attarder. Juliette attend une amie pour la soirée.

Nous montons chez la jeune femme. Le temps de télécharger les photos de mon téléphone sur son ordinateur. C'est très rapide.
Juliette s'accroupit à plusieurs reprises devant le bureau pour regarder le branchement. Clémentine me fait du coude. Discrète.
Je comprends immédiatement. Je sors ma queue. Juliette tourne la tête, sa bouche toute proche de mon sexe pour le regarder.
Elle lève la tête pour me fixer. Estelle vient de s'en rendre compte également. Juliette me fait : < C'était génial l'autre soir ! >
Juliette se redresse et dit à Clémentine : < N'oubliez pas votre part du "contrat". Avec le même verre doseur ! Mr Gérard ! >.

Clémentine ne répond pas. J'agite ma bite en direction de Juliette qui me fait un clin d'œil des plus vicelards. Coups de sonnette.
Je remballe vite mon sexe. Nous descendons. Nous croisons l'amie de Juliette que nous saluons avant de filer sur nos bicyclettes.
Nous arrivons à la maison pour 21 h. La nuit commence à tomber. Il fait doux. Morts de faim, nous préparons notre repas. Bien.
Clémentine s'occupe des salades. Estelle prépare le bouillons pour y plonger les moules. Je fais du millet doré. Tout va très vite.
Nous mangeons dans la véranda. Les filles évoquent les écuries, le trou dans le mur, les coulures de foutre, l'attitude de Juliette.

Nous traînons à table. Il fait nuit noire. Il est déjà 22 h. La fatigue commence à se faire cruellement ressentir. Et faire la vaisselle.
Nous rangeons la cuisine. Nous montons tous les trois un peu comme des zombis. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres.
Je torche Estelle après son pissou. Elle file se coucher. Je torche Clémentine après le sien. Elle me tient la bite pour mon pissou.
Nous allons nous coucher. Estelle s'est déjà endormie. Nous tentons quelques caresses. Même si l'envie est forte, plus de forces.
Serrés l'un contre l'autre, nous murmurant quelques dernières douceurs, nous sombrons rapidement dans un profond sommeil…

Bonne visite dans vos écuries préférées à toutes les coquines qui aiment s'y encanailler avec extases et délices…

Julien - (Qui apprécie de s'occuper de l'intimité de Clémentine autant que de celle d'Estelle qui apprécie plus que tout) -

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Un dimanche plein de surprenants rebondissements

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par des murmures et des rires étouffés. On me tient fermement par la bite.
J'ouvre l'œil, et le bon. < Bonjour Julien ! > me font les deux filles et en même temps. C'est Estelle qui me tient par la biroute.
Je me redresse pour me mettre à quatre pattes entre les deux coquines. Je les chatouille en poussant des grognements d'ours.
J'adore les voir rire. Rien ne me fait tant fondre que de les voir rire. Estelle arrive à s'enfuir jusqu'aux toilettes pour son pissou.
Clémentine me chevauche en riant. Douceur, tendresse, papouilles. Estelle revient. < Je descends faire le petit déj ! > dit elle.

< On arrive ! > lui fait Clémentine en m'entraînant par la main, à notre tour, jusqu'aux toilettes. Nous sommes morts de faim.
Nous descendons à toute vitesse pour rejoindre Estelle à la cuisine. Elle porte son pyjama de soie mauve. Odeur de pain grillé.
Nous sommes en T-shirt de nuit et en slip. Il est donc très simple, pour Estelle, lorsqu'elle se serre contre moi, de me palper.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine est obligée de s'interposer quelquefois pour calmer les élan de sensualité d'Estelle.
Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant. Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent leurs études. Le Doctorat.

Il est 7 h45. C'est dimanche. Pas d'entraînement, pas de jogging. Il fait beau. Nous traînons à table. Nous parlons des écuries.
La vaisselle. C'est le jour du ménage. Estelle, depuis quelques dimanches, se propose de nous y aider. Elle s'occupera du salon.
Je m'occupe de la cuisine en priorité. Clémentine monte à l'étage. Je peux entendre l'aspirateur au salon. Estelle, méthodique.
Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère sur le carrelage du sol de la cuisine, des toilettes et du hall d'entrée. Bien.
Je passe devant la porte du salon prudemment. Je me doute bien qu'Estelle me tend un piège. Je ne le suis pas assez. Rires…

La coquine me saute au cou en disant : < Tu croyais t'en tirer à bon compte ! Trop tard ! Tu es cuit ! >. Elle me saute au cou.
Lorsque Clémentine n'est pas avec nous, ces situations me gênent toujours un peu. Estelle se frotte contre moi. Se serrant fort.
Elle me tient par le cou en bougeant son bassin contre le mien, frottant son sexe contre le mien. < Je t'aime Julien ! > dit elle.
Estelle m'entraîne par la main dans le salon. < Regardez Maître, j'ai tout nettoyé ! >. Nous rions de bon cœur. Tout est propre.
< J'ai droit à ma récompense ? > me demande t-elle en s'accroupissant tout en descendant mon slip d'un coup et par surprise.

Je l'attrape par ses cheveux attachés en catogan. Je lui frotte le sexe sur le visage dont elle me présente chaque relief. Si belle.
Estelle tente de gober ma bite. Habilement je l'en empêche. Elle tombe à genoux, me saisit par les fesses pour tenter une pipe.
Ce jeu dure un petit moment. Nous y prenons rapidement goût. C'est une des situations préférées de la jeune fille qui se pâme.
Même si elle n'a pas le tempérament de la "soumise", Estelle apprécie d'en vivre les émotions. C'est un luxe supplémentaire.
Je lui en offre autant qu'elle le souhaite. Je lui passe la bite sur le visage sans jamais lui permettre de la gober. Gémissements.

Je la tiens fermement par sa tignasse pour la forcer à se redresser. Sans le moindre ménagement je l'entraîne. Nous montons.
Nous arrivons à l'étage, dans la chambre où Clémentine termine de changer les draps. Elle nous voit et me dit : < Trophée ! >
Nous rions de bon cœur lorsque je soulève Estelle pour la balancer sur le lit. Je dis : < On va se la manger toute crue ! Nue ! >
Estelle se propose de passer l'aspirateur à l'étage. < Accepté ! > fait Clémentine en terminant le lit. Je prends les draps sales.
Nous allons à la salle de bain. Je fais le bac à douche. Clémentine fait le lavabo et les miroirs. Nous entendons l'aspirateur. Joie.

Je nettoie les chiottes du haut. Clémentine descend avec le panier à linge plein à ras bord. Je suis à genoux devant la cuvette.
Je frotte avec l'éponge lorsque la porte s'ouvre. C'est Estelle qui m'attrape directement par les couilles. Elle s'accroupit à côté.
< J'en ai trop envie ! Je veux ta bite ! > me fait elle. Je ne peux pas me défendre, j'ai les mains trempées. Il y a l'eau de javel.
La coquine se couche sur le côté, sa tête entre la cuvette des toilettes et mon slip. Elle en a sorti mon sexe. C'est inconfortable.
Estelle se la prend en bouche pour me sucer comme si sa vie en dépendait. Je termine mon récurage sans me laisser distraire.

Je tire la chasse pour rincer. Je m'essuie les mains avec la serviette. Je saisi Estelle par ses cheveux pour la forcer à cesser.
La coquine tente bien de résister en poussant un mugissement. J'arrive à me dégager. Je la maintiens fermement avec force.
Je l'entraîne. Elle marche courbée en avant, derrière moi. Nous descendons rejoindre Clémentine qui est au jardin. Le potager.
Elle nous voit arriver ainsi. Je suis encore en slip. Estelle encore en pyjama. < Tu ramènes une proie ? > fait Clémentine. Rire.
Je lâche Estelle en lui disant : < Raconte ce que tu étais encore entrain de faire là haut ! > Nous rigolons comme des bossus.

Nous aidons Clémentine qui cueille une belle laitue. Je cueille de belles et grosses tomates. Estelle tire une courgette de terre.
Il est 11 h30. Nous décidons de manger dans le jardin. Je monte me mettre en tenue vélo comme Clémentine. Estelle monte.
Cette fois, je la préviens : < Si tu recommences, je te pisse dessus ! >. En riant Estelle me fait : < Oh oui ! Sois vicelard ! >
Incorrigible jeune fille d'à peine 21 ans, Estelle désireuse des plaisirs de l'existence, est toujours partante pour tous les excès.
Nous redescendons rejoindre Clémentine qui s'occupe des salades. Les pavés de saumon ont décongelé. Estelle s'en occupe.

Je fais cuire la courgette avec des champignons, de l'ail, de l'oignon, du persil et de la ciboulette dans le Wok. Et sans graisse.
Estelle prépare les pavés de saumon en papillotes. Nous bavardons. Soudain, la musique ridicule de mon téléphone sur le frigo.
Clémentine s'en empare. < C'est Juliette ! > nous fait elle. Nous entendons la conversation. Clémentine qui dit : < D'accord ! >
Elle termine la rapide conversation pour nous en révéler la teneur. < Juliette nous propose de passer ce soir pour des glaces ! >
Ma compagne fait encore : < Juliette nous propose de passer. Il y aura monsieur Gérard et son copain Black, monsieur Léon ! >

< Ça sent le piège à bites ! > s'écrie Estelle, sautillant autour de la table avant de rajouter : < On y va ! On y va ! On y va ! >
< On se calme la nympho ! > fait Clémentine, se serrant contre moi pour demander : < Ça te dit ? > Je dis : < Bien sûr ! >
Nous mangeons de bon appétit en bavardant. J'écoute les filles faire les plus amusantes spéculations sur ce qui nous attend.
< Juliette qui nous invite à passer la soirée au haras, il y a forcément une odeur de bite ! Un truc bien sale ! > conclue Estelle.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < Et question odeur de bite à Gérard, tu en connais même le goût ! >.

Nous traînons un peu à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous sommes déjà tous les trois en tenues de bicyclette.
Il est 14 h lorsque nous pédalons sous un ciel principalement bleu contre un très léger vent d'Ouest. Il y a beaucoup de monde.
Nous arrivons au port de plaisance pour 15 h30. Il y a l'animation habituelle du dimanche. Aujourd'hui le marché aux artisans.
Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie. Le capitaine, en ce dimanche, est l'employé municipal habituel. Bien.
Nous allons chercher nos cônes glacés que nous dégustons en déambulant dans les allées du marché. Il y a un monde fou. Joie.

Il serait vain de tenter la moindre exhibe. < Je me sens salope, si vous saviez ! > nous fait Estelle. < Et moi ! > dit Clémentine.
Nous bavardons avec l'artisan fromager chez qui nous achetons nos laitages, le samedi matin, au marché du bourg. C'est sympa.
Nous goûtons une de ses nouvelles spécialités. Un "Bleu" avec éclats d'amandes grillées. Un délice. Nous en prendrons samedi.
Nous traînons. Nous ne voyons pas Maurice et sa mobylette. Il est 18 h. Clémentine nous propose de prendre la route du retour.
Nous pédalons à toute vitesse, poussés par le vent qui est devenu plus fort. Quelques nuages d'altitude. La chaleur est intense.

Nous arrivons au haras. Juliette est entrain de bavarder avec un couple que nous ne connaissons pas. Nous lui faisons coucou.
Nous la laissons bavarder pour entrer dans l'écurie habituelle. Estelle nous entraîne dans le dernier box. Le trou dans la cloison.
Accroupie, scrutant les coulures sèches qui se superposent, elle nous dit : < Pas de nouvelles coulures ! >. Nous regardons bien.
La voix de Juliette, debout dans l'encadrement de la porte. < Passionnant, n'est-ce pas ! >. Nous rions de bon cœur. C'est vrai.
Juliette nous invite à la suivre. Nous sortons des écuries pour contourner le bâtiment. < C'est l'anniversaire de Léon ! > dit elle.

Nous saluons monsieur Gérard et monsieur Léon. Juliette qui nous fait : < Installez-vous, je vais chercher les coupes glacées ! >
Je lui propose de l'aider. < Volontiers ! > me fait elle. Clémentine et Estelle s'assoient dans des fauteuils de jardin. Nous partons.
Au lieu de monter, Juliette m'entraîne pour retourner dans l'écurie. Là, elle me prend par le bras pour me faire entrer dans le box.
De là, par le soupirail, nous pouvons distinguer monsieur Léon, monsieur Gérard et les deux filles qui bavardent. Nous regardons.
Juliette, vêtue d'une robe d'été, accroupie à mes côtés, me fait : < C'est passionnant, non ? >. Je ne sais quoi répondre. Super.

Gérard et Léon trop heureux de se retrouver seuls avec ces deux jeunes filles de 21 ans, se montrent plutôt entreprenant. Joie.
< Léon est un sacré vicelard. Il était mon employé avant de prendre sa retraite, il y a trois ans ! Un vrai pervers ! > fait Juliette.
Je lui demande : < Vous lui avez fait le test du verre doseur, à lui aussi ? >. Juliette, comme à son habitude, ne me répond pas.
Nous mâtons en silence. < Position stratégique, n'est-ce pas ! > me fait Juliette. Là-bas, Monsieur Gérard est debout, bite à l'air.
Monsieur Gérard, petit homme trapu, de 65 ans, cheveux blancs et longs attachés en catogan, a une toute petite bite. Minuscule.

Nous regardons en silence. Monsieur Léon se lève à son tour. Il ouvre sa braguette devant les deux filles. Lui aussi sort sa bite.
C'est une bite noire, longue, molle, qu'il agite comme un lasso devant les deux filles qui ne cessent de rires, penchées en avant.
Nous ne comprenons pas ce qui se dit, mais nous voyons Estelle montrer du doigt les deux sexes à Clémentine en expliquant.
< On les laisse s'amuser encore un peu, où on y retourne ? > me demande Juliette. Je dis : < Attendons encore, c'est super ! >
< Un connaisseur, je vois ! > me fait Juliette en posant sa main sur mon bras pour rajouter : < Chut ! >. Nous mâtons. Silence.

Monsieur Léon et monsieur Gérard on descendu leur pantalon sur les genoux. Ils présentent leurs queues flasques aux filles.
Je regarde Clémentine, assise, penchée en avant, à environ un mètre des mecs, qui scrute avec attention leurs bites si molles.
Ils sont tous deux ventrus. La bite à monsieur Gérard est à peine visible dans ses poils et sous les plis de son ventre. Etrange.
La bite à monsieur Léon, toute aussi molle, pend aussi. Les deux salauds ont les mains posées sur les hanches et s'exhibent.
Estelle et Clémentine, penchées en avant, les coudes sur leurs cuisses, observent. Elles semblent comparer. C'est si excitant.

< Je ne vous dis pas l'odeur ! > me chuchote Juliette en se pinçant le nez. Je lui dis : < Et vous semblez bien connaître ! >
Juliette ne répond pas. Là-bas, monsieur Gérard s'avance devant Estelle qui a un mouvement de recul en se pinçant le nez.
Monsieur Léon fait de même devant Clémentine qui a le même réflexe en faisant une horrible grimace. Elle regarde partout.
Je comprends que ma compagne me cherche du regard, attendant mon retour. Juliette me dit : < Il faut y aller, vite ! >. Bien.
< Je connais bien Léon, c'est un vrai salopard, il va la forcer ! > me fait Juliette en m'entraînant à toute vitesse. Nous arrivons.

Les deux mecs nous voient arriver. Ils sont un peu comme deux cons. Ils se tournent, remontent leurs pantalons. Tout va vite.
< Pardon ! > s'écrie monsieur Léon. Juliette leur fait : < Alors messieurs, on fait les présentations ? >. Nous rions de bon cœur.
Juliette me conseille de rester là. Elle va s'occuper des coupes glacées. Bien évidemment, avec ma présence, tout est terminé.
La conversation tourne autour des travaux d'été. Monsieur Gérard est occupé à refaire les peintures, la lasure sur les boiseries.
Monsieur Léon, retraité, est passionné de pêche à la ligne. Juliette revient avec un grand plateau. Six coupes glacées posées.

Nous dégustons nos glaces après avoir souhaité un bon anniversaire à monsieur Léon, vieux Black qui fête ses 69 ans. Jovial.
La soirée se passe dans la douceur d'un climat d'été. Il est 22 h. Nous prenons congé. Juliette nous raccompagne à nos vélos.
Nous la remercions pour cette agréable soirée. Il est 22 h20 lorsque nous revenons. Et il est temps de ramener Etelle. Triste.
Les filles sont hyper excitées de ce qu'elles on vécu ce soir avec ces deux véritables vicieux. Estelle revient mardi pour 18 h15.
Nous rentrons vite. Au lit, Clémentine m'attire sur elle. Elle me révèle les émotions vécues. Son orgasme est délirant. Dodo…

Bonne soirée dans vos écuries préférées, en compagnie de deux véritables salopards, à toutes les coquines qui aiment…

Julien - (Qui a assisté à un grand moment de vice en compagnie de Juliette qui semble bien connaître ces deux salauds) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 19 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 451 -



Un début de semaine des plus agréables

Hier matin, lundi, je suis réveillé par un léger mouvement des draps. Parfois le lit bouge presque imperceptiblement. C'est curieux.
Je fais semblant de dormir. Je me rends rapidement compte que Clémentine se masturbe. Discrètement, pour ne pas me réveiller.
Son sixième sens est infaillible. Elle me sait réveillé. Tout cesse. < J'ai fait un rêve érotique ! > me fait elle, se serrant contre moi.
Je lui fais plein de bisous en lui chuchotant : < Bonjour ma belle masturbatrice ! >. Clémentine me chevauche en riant. Papouilles.
L'impérieux besoin de pisser met rapidement un terme à nos effusions de tendresse. Nous nous précipitons aux toilettes. Les pipis.

Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse nos quatre oranges et Clémentine s'occupe du café.
Il est 7 h30. Dehors le ciel est couvert. Un ciel gris et lourd. Plein de menace. Nous sommes déjà vêtus de nos tenues de jogging.
Nous prenons notre petit déjeuner dans cette agréable odeur de pain grillé qui participe du plaisir. Nous mangeons de bon appétit.
Nous bavardons. Clémentine me raconte son rêve érotique. Il y était évidemment question de monsieur Gérard, de monsieur Léon.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle me confie la teneur de ce qui se passait au fond des écuries. < C'était presque réel ! > dit elle.

La vaisselle. Nous décidons de prendre le risque d'aller courir malgré la probable pluie qui guette. Il est 8 h lorsque nous sortons.
Nous courons sur un sol humide. Une partie de la nuit a été pluvieuse. Nous revenons pour 9 h après un running sans pluie. Ouf.
La douche. Nous nous habillons. Nous allons dans l'atelier. Je commence ce matin la peinture de nos costumes de la seconde toile.
Clémentine, vêtue de sa vieille robe légère sous son tablier de jardin me propose : < Je viens poser quand tu feras mon visage ! >
Je la remercie. Elle me laisse pour aller au jardin. Je peins avec le secours de la lampe à halogène tellement la pénombre règne.

La peinture de ma toile m'absorbe complètement. Sur les deux tableaux, dès onze heures, il n'y aura plus qu'à réaliser nos visages.
Ces deux œuvres de commande sont destinées à mon oncle d'Edimbourg et mon oncle de St Andrews. Je m'applique de mon mieux.
Ma famille a beaucoup apprécié Clémentine. Le couple étonnant que nous formons a exercé une séduction. Ils veulent un souvenir.
La pluie s'est mise à tomber. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Il est 11 h45. Je m'empare du grand parapluie dans le placard.
Je sors rejoindre Clémentine, à l'abri de la pluie battante, dans la roseraie. < Tu es un amour ! > me fait elle en me voyant arriver.

Chaussée de ses bottes en caoutchouc, elle me propose de l'attendre là, sous la serre. Elle s'empare du parapluie, du grand panier.
Je la regarde cueillir de belles tomates, une grosse laitue et des carottes. Je coupe du persil, de la ciboulette d'une des jardinières.
Nous rentrons à l'abri du parapluie sans quitter les dalles qui sillonnent jusqu'à l'escalier du porche d'entrée. La pluie tombe drue.
Clémentine s'occupe des salades et de leurs assaisonnements. Je fais gonfler du riz complet. Je prépare des steaks de thon blanc.
Nous nous faisons plein de bisous. Je passe ma main sous la robe de Clémentine pour constater qu'elle jardine sans culotte. Rires.

Il est 12 h30. Nous dressons la table dans la véranda. La pluie tombe. La végétation est luisante et dégoulinante d'eau ruisselante.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous évoquons l'Ecosse et le vernissage que je vais préparer dans ma galerie.
Comme tous les ans j'organise le vernissage et les invitations qui marquent l'ouverture de ma galerie d'Art. Pour le 26 juin. Mardi.
Nous partons pour l'Ecosse vendredi 29 juin, au matin, avec la voiture. Près de 1 200 kilomètres qui nous mèneront à Edimbourg.
Clémentine est à se réjouir de retrouver notre chère Ecosse. Ma famille, Edimbourg, tout ce qui nous attend là-bas, cet été encore.

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me raconte les détails de son rêve érotique. C'est super.
Ce que nous avons vécu hier, au haras, a beaucoup amusé ma compagne. Je lui raconte le comportement de Juliette. Voyeurisme.
Clémentine me décrit la vision des deux sexes. Celui de Gérard et celui de Léon. Leurs odeurs infectes de vieux impuissants. Rire.
Je dis : < Au moins, tu ne risques pas de te faire baiser par l'un ou par l'autre ! Tu peux t'amuser ! >. Nous en rions de bon cœur.
< Détrompe toi, monsieur Léon m'a appris qu'il lui arrive encore de bander lorsqu'il est très excité. Tu as vu sa bite ! > me dit elle.

Je propose de retourner au haras dès que possible. Par Juliette nous pourrons savoir quand monsieur Léon vient visiter les écuries.
< Ce serait génial, une queue d'un vieux black ! > me fait Clémentine qui me confie avoir un faible pour la bite de monsieur Léon.
Nous rigolons comme des bossus lorsque je suggère de faire l'expérience du verre doseur avec monsieur Léon plutôt que Gérard.
La vaisselle. La pluie a cessé de tomber. Le ciel s'illumine rapidement. Les premiers rayons de soleil font leurs apparitions. Super.
Nous rangeons la cuisine. Nous montons à l'étage pour nous laver les dents. Par la fenêtre nous constatons que le ciel est bleu.

Pas d'hésitations. Nous nous mettons en tenues de vélos. Il est 13 h45 lorsque nous montons le chemin jusqu'à la petite route.
Pas question de rejoindre la piste cyclable par le chemin détrempé et boueux. C'est un peu plus long. Il y a très peu de voitures.
Nous voilà à pédaler dans une totale absence de vent. Il fait chaud. C'est un curieux contraste avec la matinée pluvieuse. Super.
Arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Nous croisons peu de cyclistes. Nous attendons un peu. Une opportunité d'exhibe sympathique.
Hélas, il n'y a pas de passage. Nous ne désirons pas nous attarder. Nous arrivons au port de plaisance pour 15 h30. Peu de gens.

Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie. Nous saluons Clarisse la capitaine qui semble très occupée. Téléphone.
Nous allons à la supérette. Il y a très peu de clients. Nous bavardons avec la gérante. Nous flânons en savourant nos cônes glacés.
Il y a l'habituel groupe de joueurs de pétanque. Quelques plaisanciers vautrés sous des parasols sur le pont de leurs bateaux. Joie.
Clémentine observe soigneusement et partout. L'arrivée de Maurice serait la bienvenue. Clémentine est encore excitée de son rêve.
Elle m'entraîne rôder dans les fourrés autour du petit bâtiment des sanitaires réservés aux plaisanciers. La terre est encore humide.

Clémentine a retiré sa culotte qu'elle a coincé dans l'élastique de sa jupette. Je la touche. Je suis impressionné par les coulures.
Clémentine mouille vite et beaucoup. C'est toujours impressionnant de sentir la cyprine couler le long de mes doigts, mon poignet.
Tout en marchant, penché pour regarder sous les branches, je garde mon doigt enfoncé dans son sexe. Clémentine adore tant ça.
Souvent nous restons immobiles. Clémentine, les jambes écartées, et cambrée sur ses genoux fléchis, aime à se faire masturber.
Il faut se faire une raison. Une fois encore, Maurice et sa mobylette sont aux abonnés absents. Cela frustre beaucoup Clémentine.

< Je me serais bien amusée avec ce vieux salaud ! > me confie Clémentine. De nouveaux nuages envahissent le ciel. La prudence.
Il est 17 h. Je propose de ne pas traîner plus longtemps et de ne pas prendre de risque. Nous prenons la route du retour. Du vent.
Nous pédalons d'un bon rythme. Au fur et à mesure les nuages semblent nous suivre. Le soleil a disparu. Une météo changeante.
Il est 18 h30 lorsque nous arrivons à la maison. Le ciel est uniformément gris. Nous montons prendre notre douche. Temps moite.
Je propose à Clémentine de nous rendre au haras après le repas. < Génial ! > s'écrie t-elle en sautillant autour de moi. Contente.

Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe le riz. Je fais une grande omelette aux champignons. J'y rajoute plein de fromages.
Un mélange de Roquefort, de Bleu d'Auvergne et Parmesan, comme nous aimons. Nous mangeons de bon appétit. Il est 19 h45.
La vaisselle. Clémentine porte une de ses robes d'été, cintrée à la taille et qui lui arrive juste en dessous du genoux. Sandalettes.
Je reste en short de ville, chemisette et sandales. Nous voilà en voiture, direction le haras. Le ciel est couvert d'un gris uniforme.
Trois petits kilomètres. Nous garons la voiture dans la cour. Il n'y a personne. Nous allons directement dans l'écurie habituelle.

L'endroit est vide. Nous allons directement dans le dernier box. Clémentine s'accroupie pour scruter le trou dans la cloison de bois.
Aucune nouvelle coulure. Elle me montre les couches de foutre sec qui se superposent là certainement depuis des années. Dégueu.
Il y en a sur toute la longueur, environ 80 cm, depuis l'orifice jusqu'au sol où il y a des taches sèches qui maculent le ciment gris.
Nous ressortons. Nous allons jusqu'à la porte arrière. Là-bas, à environ une trentaine de mètres, la caravane de monsieur Gérard.
< Bonsoir ! > fait la vox du palefrenier derrière nous. Nous nous retournons pour découvrir monsieur Gérard portant de gros pots.

Il n'est pas vraiment étonné de nous trouver là, il sait que nous venons souvent à l'improviste. Il pose ses pots de peintures au sol.
< Je ne vous serre pas les mains, elles sont pleines de lasure. Je suis entrain de faire les portes des box ! > nous dit le palefrenier.
Je lui dis : < Je peux visiter un peu et voir comment c'est, refait à neuf ? >. Il me répond : < Bien sûr. Commencez par là-bas ! >
Je m'éloigne en laissant Clémentine seule avec monsieur Gérard. Je vais directement me planquer dans le box où se trouve le trou.
Je monte quelques marches sur l'échelle. Depuis l'ouverture, j'ai une vue parfaite sur l'espace. Clémentine revient avec Mr Gérard.

Il ne sait pas que je mâte. Du moins, même s'il connaît nos petits jeux, il fait semblant de ne pas s'en douter. Il explique des trucs.
Il parle des travaux inhérents à l'entretien des écuries à la belle saison lorsqu'il n'y a pas de chevaux en pension. Clémentine écoute.
Je la vois s'accroupir devant monsieur Gérard qui ouvre sa braguette. Il se saisit d'un seau en fer. Il sort sa bite tout en bavardant.
Là, tout en discutant peinture, lasure, le bougre se met à pisser dans le seau. Clémentine, accroupie à un mètre, observe en silence.
Du haut de mon échelle, je bande comme le dernier des salauds. J'ai déjà assisté à la scène plusieurs fois. C'est toujours excitant.

Monsieur Gérard, les mains sur les hanches, pisse longuement dans le seau tout en expliquant les travaux qui l'attendent cet été.
Cette situation totalement surréaliste s'est déjà reproduite souvent. Pourtant, à chaque fois, l'émotion de Clémentine est intense.
Les cuisses largement écartées, accroupie devant monsieur Gérard, elle regarde sa bite comme hypnotisée. Je sors ma queue. Fou.
< Tu sais que tu plais beaucoup à mon pote ? Léon te la mettrais bien. Dans tous les trous ! > fait soudain le palefrenier en riant.
Il laisse s'écouler les dernières gouttes avant de se cambrer face à cette étonnante jeune fille qui lui permet de belles saloperies.

Il se rapproche : < T'as déjà goûté du black ? > dit il. Clémentine se redresse pour ne pas se retrouver avec la bite sur la gueule.
< Non, mais j'aimerais bien ! > lui répond t-elle. < Tu veux que je t'organise une rencontre prochainement ? > lui demande Gérard.
< Volontiers ! > fait Clémentine. Le palefrenier, tout en agitant sa bite vers Clémentine, lui fait : < Je m'occupe de tout tu veux ? >
Clémentine tourne les talons en faisant : < Ok ! >. Monsieur Gérard ramasse ses pots. Il lui crie : < Et ramène toi avec Estelle ! >
J'attends que Gérard sorte de l'écurie pour rejoindre Clémentine qui se touche devant la porte. < Tu as entendu ? > me fait elle.

Je lui dis : < Oui ! J'ai vu aussi ! Tu es toujours aussi merveilleuse ! >. Clémentine n'arrête pas de se toucher. Je roule doucement.
Il est 21 h30 lorsque nous arrivons à la maison. Clémentine, excitée comme une puce, m'entraîne à l'étage. Toilettes puis plumard.
Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis doucement. Nous restons immobiles. Elle me chuchote les plus étonnantes révélations.
J'écoute enchanté. Je lui raconte où je serais dissimulé pour la voir sucer le vieux Black. J'en rajoute. Clémentine en rajoute aussi.
L'orgasme de Clémentine est terrifiant. La pipe qu'elle exige de me faire est délirante. Je lui chuchote les pires saloperies. Le dodo.

Bonne visite impromptue dans vos écuries préférées à toutes les coquines qui aiment se retrouver avec un palefrenier vicieux…

Julien - (Qui travaille Clémentine au corps depuis de longs mois afin qu'elle découvre enfin le plaisir de sucer un autre mec) -

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Une agréable journée malgré une météo lamentable

Hier matin, mardi, nous nous réveillons en même temps. Il est 7 h15. Nous nous étirons en gémissant longuement. En modulant.
Cela nous amuse et nous ponctuons par le même cri : < Bonjour ! >. Clémentine me chevauche en riant. Douceurs et papouilles.
L'impérieux besoin naturel nous impose une visite urgente aux toilettes. Clémentine m'y entraîne à toute vitesse par la main. Pipi.
Morts de faim, nous descendons à toute allure jusqu'à la cuisine. Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe de notre café.
Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Un ciel gris.

Nous évoquons les journées passées et ce Week-End qui fut riche en surprises parfois mouvementées. Il y a le programme du jour.
Nous sommes déjà en tenues jogging. La vaisselle. Nous sortons. Le sol est humide des pluies nocturnes. Une fraîcheur étonnante.
Nous courons d'un rythme soutenu. Il faut se réchauffer. Nous sommes de retour à 9 h après un running des plus plaisants. Super.
Nous prenons notre douche. Clémentine se met en tenue de jardinage. Elle m'accompagne jusqu'à l'atelier. Nous bavardons un peu.
Quelques bisous et elle m'abandonne pour sortir. Il est 9 h20 et me voilà assis devant mon chevalet. Je peins dans l'enthousiasme.

Je travaille à la peinture de mon visage sur le premier portrait. Comme toujours, abstrait dans ma passion, le temps passe si vite.
Il est 11 h45 lorsque je termine mon passionnant labeur. Je nettoie mes pinceaux et ma palette. Le ciel est resté couvert ce matin.
Je rejoins Clémentine au jardin. Accroupie dans le potager, elle cueille des radis, une belle scarole, des tomates. Panier à ses côtés.
Elle me montre son travail de la matinée. Le nombre de limaces récupérées est impressionnant. C'est à cause de l'humidité la nuit.
Je prends la brouette pour aller verser les mauvaises herbes sur le tas de compost. Clémentine m'entraîne dans la roseraie. Fleurs…

Je félicite Clémentine pour ses réalisations. Les roses, les tulipes et les autres fleurs sont magnifiques. Toutes de très belles tailles.
Dans les jardinières, je récupère de la ciboulette et du persil. Clémentine m'ouvre la braguette pour y glisser sa main. Des bisous.
Me tenant de sa main libre, le panier contenant les légumes de l'autre, elle m'entraîne à la cuisine. Nous y préparons notre repas.
Clémentine s'occupe des salades et de leurs assaisonnements. Je prépare des filets de lieu noir que je pane avant leurs cuissons.
Accompagné de millet doré, que je fais gonfler à l'eau, ce repas est attendu car nous avons bien faim. La table dans la véranda.

Tout en préparant le repas, nous nous câlinons beaucoup. J'ai la bite à l'air car Clémentine dont c'est le doudou, me la sort souvent.
Lorsque je passe ma main sous sa robe, je découvre une fois encore qu'elle ne porte pas de culotte. De fouiller la touffe est sympa.
J'adore passer mes doigts dans la raie culière. C'est toujours humide et la touffe y est toute aussi dense. C'est absolument superbe.
Il est 12 h30. Nous mangeons de bon appétit dans la véranda. Le ciel est d'un gris lumineux. Aucun risque de pluie dans l'immédiat.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, en terminant son yaourt, Clémentine me propose une randonnée pour l'après-midi.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents et nous mettre en tenues de randonnée. Tenues légères.
Clémentine porte une de ses jupettes sport, un T-shirt. Je suis en short et en T-shirt. Nos baskets de balade. Nous voilà prêts. Joie.
Dans le petit sac à dos, je mets deux pommes, des barres de céréales, une bouteille d'eau, nos K-ways. Il y a la paire de jumelles.
Nous descendons le chemin jusqu'à la rivière pour la suivre en amont. Nous prenons la direction des ruines du vieux moulin. Sympa.
Clémentine me parle de ses projets. Les sujets de la thèse de son Doctorat qu'elle va préparer dès la rentrée en septembre. Super.

Par endroit, le sol est détrempé. Il faut donc éviter les flaques, les boues. Le ciel reste gris. Nous aurions préféré partir à bicyclette.
A plusieurs reprises Clémentine me serre dans ses bras. Elle me confie son bonheur de pouvoir vivre ainsi, dans la sérénité. Calme.
Cela fait quinze mois que nous vivons ensemble. Nous n'avons qu'à nous féliciter de cette "association" de bonheur et joies intenses.
Souvent, prenant mon sexe en main, Clémentine me confie d'agréables secrets. Souvent, ma main sous sa jupe, je tripote sa chatte.
C'est humide. Les lèvres charnues de son sexe exercent toujours sur moi une curiosité amoureuse qui attise ma libido et mes désirs.

Nous marchons sur le chemin au-dessus de la colline. Nous nous arrêtons souvent pour nous toucher. Nous ne croisons personne.
Nous nous arrêtons pour déguster nos pommes. Eau. Nous sommes assis sur le muret de l'enclos de la veille chapelle désacralisée.
Clémentine écarte largement ses cuisses. J'aime lorsqu'elle me présente ainsi son invraisemblable toison pubienne. La broussaille.
Je distingue à peine les lèvres charnues, fripées de son sexe. < Mon dindon ! > me fait elle souvent, tirant dessus pour les écarter.
Je me lève pour m'accroupir dans l'herbe. Je mets mon visage entre ses cuisses. Je hume longuement les parfums de sa journée.

Je ne peux m'empêcher de passer le bout de ma langue pour fouiller les plis et les replis des lèvres de son sexe. J'en ai des vertiges.
Clémentine me tient par les oreilles comme pour me guider. Elle est adossée contre le mur derrière elle. Je l'entends gémir. Plaisir.
Il faut éviter tout orgasme prématuré. Clémentine déteste jouir trop tôt. Elle préfère se garder excitée pour le restant de la journée.
Je cesse à plusieurs reprises de sucer son clitoris géant et turgescent. Je récupère le flot de cyprine laiteuse et gluante. Un vrai régal.
Il en coule jusque dans la raie culière. Mélangé à la sueur, ce nectar achève de m'enivrer. Clémentine me force à me redresser. Joie.

Me tenant par les hanches, assise, penchée en avant, Clémentine me taille une pipe des familles. Je suis hyper juteux car si excité.
Je reste immobile. Bien droit. Sans me cambrer. J'évite ainsi l'inconfort qui me cause les douleurs lombaires. Je me fais sucer. Joie.
Clémentine qui a une préférence pour les rapports génitaux buccaux se régale un long moment. Je la force à cesser pour me garder.
Ainsi, tous les deux, ce soir, avant de dormir, nous pourrons nous "achever" dans la plus parfaite sérénité. J'ai la bite qui dégouline.
Je bande comme le dernier des salauds. Nous rangeons nos affaires. Nous reprenons notre chemin. Le ciel s'illumine quelque peu.

Nous prenons le sentier rocailleux qui longe le ruisseau. Nous arrivons à la hauteur du haras. Là-bas, à 300 mètres, les écuries.
Il y a la caravane de monsieur Gérard. L'endroit est désert. Clémentine, avec la paire de jumelles, scrute avec grande attention.
< Là ! Il y a le palefrenier ! > me fait elle en me passant les jumelles. Je regarde. Gérard passe un jet d'eau dans une remorque.
< Viens ! > me fait Clémentine en m'entraînant par la main. Nous approchons de la première clôture pour nous y faire remarquer.
Monsieur Gérard ne nous voit pas immédiatement, occupé à nettoyer le plateau d'une remorque attachée au 4 x 4 de l'entreprise.

Je reste dissimulé derrière le petit cabanon en ruine. Monsieur Gérard voit enfin Clémentine qui lui fait un coucou de sa main levée.
Mettant le tuyau d'arrosage à hauteur de son sexe, il lui fait un signe amical de la main. Clémentine lève le pouce de sa main droite.
Le palefrenier cesse son nettoyage pour s'approcher de la clôture. Je n'entends pas ce qui se dit là. Mais je peux les voir bavarder.
Clémentine éclate de rire à plusieurs reprises. Elle est accroupit les cuisses largement écartées devant le palefrenier qui la félicite.
Lui aussi a le pouce levé. Il y a une dizaine de mètres qui les sépare. Il y a deux clôtures. Ce qui est rassurant pour ma compagne.

La situation perdure un petit moment. Monsieur Gérard retourne à son travail. Clémentine vient me rejoindre et nous repartons.
Nous arrivons à la maison pour 18 h30. Estelle est déjà là à préparer le repas. Elle me saute au cou. Heureuse de nous voir. Bises.
Nous lui racontons notre balade. Elle nous raconte sa journée de bureau dans l'entreprise familiale. Nous l'aidons à préparer. Bien.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Estelle, intéressée par notre récit au haras, nous propose d'y retourner après.
Nous faisons la vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il y a de timides éclaircies. Il est 19 h45. Nous reprenons le chemin des écuries.

Dans le petit sac à dos qui ne nous quitte jamais en virée, j'ai mis deux lampes de poches. Nous arrivons aux écuries pour 20 h05.
Il n'y a personne. Nous entrons dans le bâtiment habituel. < Planque toi là ! > me fait Clémentine en me montrant le dernier box.
J'y entre. Estelle et Clémentine se mettent à parler très fort et à rire. De quoi attirer l'attention du palefrenier près de sa caravane.
Il se passe quelques minutes avant que monsieur Gérard ne rejoigne les filles pour les inviter à prendre un café dans sa caravane.
Les filles déclinent son offre mais proposent de le prendre dans le petit local qui lui sert de bureau. Gérard trouve l'idée excellente.

De ma planque, par le trou dans la cloison, je peux mâter. Les filles viennent vite me rejoindre avant le retour du palefrenier. Rire.
< S'il y a un blême, tu rappliques, hein ! > me fait Clémentine. Les filles ressortent du box. Gérard revient avec une thermos. Café.
Je regarde par le trou. Les filles sont assises sur la banquette face à la table derrière laquelle le palefrenier s'affaire aux petits bols.
J'entends la conversation mais je ne vois que les filles. Une conversation rapidement vicelarde. Il y est question de monsieur Léon.
< Vous venez toutes les deux, un de ces soirs, et vous vous amusez avec nos bites. Ça vous tente ? > demande monsieur Gérard.

< Intéressant. Mais on vous prévient, on baise pas ! > lui fait Estelle. < Il est question de nous faire des pipes ! > répond Gérard.
Clémentine, assise, les cuisses largement écartées, exhibe son sexe ostensiblement, un pied levé et posé sur la banquette. Super.
Estelle, en short, reste très sobre tout en évoquant les situations les plus vicieuses. Je bande comme un priapique en phase finale.
Je vois Gérard, à présent debout devant les filles. Il me tourne le dos. Il a certainement la queue à l'air. Je vois les filles l'observer.
< Vous allez vous régaler les filles. Léon est encore plus vicelard que moi ! > fait Gérard. < Oui, on a eu un aperçu ! > dit Estelle.

Monsieur Gérard se rapproche des filles. Elles sont méfiantes en se repoussant contre le mur. Clémentine a resserrée ses cuisses.
Le palefrenier aime à jouer ainsi avec les craintes des filles qui savent qu'il ne tente toutefois jamais rien contre leur gré. Correct.
Estelle se lève la première. Elle quitte le local en saluant Gérard. Elle vient me rejoindre. Clémentine est seule avec le palefrenier.
Je mâte. Estelle me branle doucement en chuchotant : < Fais voir ! >. Je la laisse regarder. Elle se retire pour me montrer le trou.
Je mâte. Gérard tient Clémentine par ses cheveux. Elle est debout devant lui, le dépassant d'une bonne tête. Il la mâte en silence.

Clémentine, droite, fière, le port de tête altier, reste silencieuse aussi. < Le jour où tu vas me goûter, je te fais ta fête ! > lui dit il.
Il donne un à coup. Il tourne autour de Clémentine. Soudain, il lui met la main sur le sexe au travers du tissus de sa jupette. Fou.
Clémentine a un réflexe mais le laisse faire. Le palefrenier joue de sa poigne en palpant vulgairement le croupion de la jeune fille.
< T'es une superbe salope toi ! Je vais te dresser un de ces jours ! > lui fait encore Gérard en la maintenant fermement. Silence.
Clémentine saisit le poignet du palefrenier en disant : < Stop ! Ça suffit. On verra ça plus tard ! >. Le type lâche. Clémentine sort.

Nous rejoignons Clémentine qui marche vite dans l'allée centrale. Nous entendons le palefrenier s'affairer avec les tasses de café.
Nous filons à toute vitesse. La nuit est entrain de tomber. Sur le chemin du retour, les filles échangent leurs impressions. Excitées.
Nous arrivons à la maison. Il fait nuit. Nous restons au salon pour nous raconter nos émotions, nos sensations. Il est déjà bien tard.
Il serait dommage de gâcher notre plaisir sans pouvoir nous offrir de longues heures de stupre et de luxure. C'est un peu frustrant.
Il est 22 h15. Nous ramenons Estelle et sa bicyclette. Séparation difficile. Elle revient jeudi soir. Nous nous promettons les plaisirs.

Au retour, Clémentine ne cesse de se toucher en me racontant à quel point cette soirée aux écuries l'a encore excitée. C'est super.
Les toilettes. La salle de bain. Au lit, Clémentine m'attire sur elle. Trempée. Je m'introduis dans la fille malgré tout avec précaution.
Immobiles. Clémentine me confie à quel point ces situations lourdes de vices, presque suffocantes, lui procurent d'indicibles joies.
Elle me confie être tellement excitée dans ces moments là qu'elle pourrait se pisser dessus. Elle veut vivre un truc avec ces mecs.
Estelle, Clémentine, Gérard et Léon. Un plan pipe à quatre. Je l'encourage. Nous mettrons un truc au point avec Juliette. Orgasmes.

Bonne soirée dans vos écuries préférées avec votre palefrenier vicieux préféré à toutes les coquines qui rêvent d'un plan pipe…

Julien - (Qui écoute les fantasmes de Clémentine en l'encourageant à les vivre au plus tôt. Sucer une vieille bite molle) -

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Classe - 21 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 453 -



Juliette nous réserve une surprise des plus étonnantes

Hier matin, mercredi, je suis réveillé par ce léger froissement des draps et cet imperceptible mouvement du matelas. Discrets.
Je fais semblant de dormir pour me rendre compte qu'une fois encore Clémentine est entrain de se masturber discrètement.
Son imparable et infaillible sixième sens ne tarde pas à la prévenir que je suis réveillé. < J'ai fait un rêve érotique ! > dit elle.
En fait, elle m'avoue que c'est ma respiration qui change et qui la prévient. Je la serre contre moi. Douceur, papouilles. Bises.
< Bonjour ma belle masturbatrice ! > ai je le temps de chuchoter avant qu'elle ne me chevauche en riant. Tendresse. Bisous.

Nous nous précipitons aux toilettes avant de descendre à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Il est à peine 7 h15 et il fait moche.
Morts de faim nous préparons notre petit déjeuner. Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Tout est rapide.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant et dans cette délicieuse odeur de pain grillé qui participe de l'enchantement.
Clémentine me raconte son rêve érotique. Il y est à nouveau question de monsieur Gérard, le palefrenier vicelard. Les écuries.
J'écoute, à la fois silencieux et amusé. < Ce lieu, ce type me perturbent. J'y pense souvent le jour, la nuit ! > fait Clémentine.

Je lui dis : < Il n'y a que deux solutions. Passer aux actes ou ne plus y aller ! >. Clémentine me confie : < Trop tard ! >. Rires.
Nous sommes déjà en tenues jogging. La vaisselle. Nous voilà à courir dans la fraîcheur étonnante de cette mi juin très humide.
Il est neuf heures lorsque nous revenons après un running des plus régénérateurs. La douche. Nous nous habillons. La fraîcheur.
Clémentine, vêtue en tenue de jardinage, m'accompagne quelques instants à l'atelier avant de me laisser pour aller au dehors.
Il est 9 h20. Je suis assis devant mon chevalet. Je peins dans un enthousiasme délirant. Mon visage. Portrait de la seconde toile.

Comme toujours, la peinture m'absorbe totalement. Autour de moi, tout cesse d'exister. Je pense à tout sauf à ce que je fais.
Je termine pour 11 h45. Je nettoie mes pinceaux et ma palette pour aller rejoindre Clémentine que je découvre là avec Juliette.
Nous nous saluons. Le cheval de Juliette est accroché au tronc du cerisier. Nous bavardons. Juliette porte sa tenue d'équitation.
Le ciel est couvert mais lumineux. Juliette passait dans les environs. Les filles parlaient de notre projet. Le "plan pipe" à quatre.
Je découvre, une fois encore, qu'avec la complicité de Juliette, les évènements tant souhaités vont pouvoir se réaliser au mieux.

Si la météo reste médiocre, Juliette nous propose de passer en fin d'après-midi au haras. Elle tient à nous faire découvrir le truc.
Clémentine lui fait : < Quel que soit les conditions météorologiques, on passe pour 19 h. Ça marche ? > Le rendez-vous est pris.
Juliette nous propose de manger avec elle ce soir. L'affaire est entendue. Et nous ramènerons le dessert. Une tarte aux pommes.
Juliette décline notre offre de rester avec nous à midi. Nous la regardons s'en aller, droite sur son cheval. Un coucou de la main.
Clémentine me saute au cou. Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bisous. < Je t'aime ! > s'écrie t-elle.

Je vais benner les mauvaises herbes du potager sur le tas de compost pendant que Clémentine cueille les radis, tomates, laitue.
Nous sommes morts de faim. Nous rentrons. Clémentine s'occupe des salades. Je prépare un brouillis de courgettes et tomates.
Accompagné d'une belle omelette aux champignons, aux fromages, le repas s'annonce un véritable délice. Table dans la véranda.
Nous ne cessons d'évoquer la visite de Juliette. Clémentine me révèle la teneur de la conversation. Description des vices à Léon.
< C'est une véritable vicieuse perverse, une vraie voyeuse ! > me confie Clémentine, me décrivant ce que Juliette nous réserve.

Nous mangeons de bon appétit tout en parlant de ce qui nous attend en soirée. Nos sentiments oscillent entre la joie et la peur.
Une sensation délicieuse d'où d'écoulent d'indicibles excitations. Ce haras nous réserve surprises après surprises depuis un an.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt, Clémentine me propose d'aller nous promener au lac. Mise en condition.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Prenons le grand air, l'oxygénation permet de prévenir le stress de l'anxiété ! >.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents et nous mettre en tenue de balade. Il fait doux. Gris.

Clémentine porte une de ses jupettes sport, noire, un T-shirt gris. Je porte un short noir et un T-shirt gris. Baskets de balade.
Dans le petit sac à dos, nos pommes, nos barres de céréales, nos K-ways et la bouteille d'eau. La paire de jumelles y est déjà.
Avant de partir je sors une tarte aux pommes du congélateur. Le dessert pour ce soir. Nous voilà en route. Il est déjà 13 h45.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite qu'elle suce parfois. 25 petits kilomètres et nous voilà au bord du lac. Bien.
Il y a du monde. Nous prenons le sentier qui contourne le lac en montant vers les ruines du vieux château. Il fait gris, couvert.

Ce climat, idéal pour toute randonnée, nous permet d'évoluer sans souffrir de la chaleur et sans transpirer. Le sol reste humide.
Nous croisons nombre de promeneurs, de randonneurs qui, comme nous, profitent de cette journée idéale. Beaucoup de séniors.
Clémentine me tient par la main à chaque fois que la largeur du sentier le permet. Elle me confie son appréhension si excitante.
< Je suis morte d'une délicieuse trouille. Sans toi, rien de tout cela ne serait possible. Je t'aime Julien ! > me fait elle souvent.
Notre complicité est comparable à celle que j'ai entretenu plus de 20 ans avec mon ancienne compagne disparue. Cela m'émeut.

Le lecteur qui a visité mon Blog, en découvrant les récits concernant "Christine", sait parfaitement de quoi il en retourne. Bien.
Clémentine a retiré sa culotte. Elle est dans le sac à dos que je porte. Excitée, ma compagne veut absolument s'offrir un frisson.
L'occasion rêvée ne tarde pas à s'offrir à nous. C'est un jeune homme qui semble seul. Il étudie le panneau indicateur. Sentiers.
Il ne nous a pas vu. Clémentine me propose de rester derrière l'abri. Je sécurise le lieu où il n'y a que nous. Tout est parfait. Joie.
Clémentine, les bras croisés, marche doucement, contournant les fourrés. Le randonneur voit la fille qui marche là, à 20 mètres.

Quelle n'est pas ma surprise. Il regarde partout autour de lui. Il porte un sac à dos. Un large chapeau, une tenue de marcheur.
Il ouvre la braguette de son short. Pas de doute. Nous avons affaire à un exhibitionniste. Un vrai. Il sort rapidement sa queue.
Il a un sacré machin. Clémentine fait semblant de consulter l'écran de son téléphone quand le type l'interpelle d'une voix forte.
< Vous auriez l'heure, mademoiselle, s'il vous plaît ? > lance t-il. Clémentine lève la tête pour découvrir l'exhibitionniste. Queue.
Avec un sourire, elle répond : < Il est 16 h40 ! >. Le type se masturbe en disant : < Vous connaissez le coin ? >. Il se branle.

< Pas du tout. J'attends mon ami. Il pourra vous renseigner ! > fait Clémentine. Cette formule permet de tempérer les ardeurs.
Cette formule évite tous débordements. Le type a soudain le réflexe naturel de cesser sa branlette. Il regarde partout. Personne.
< Merci ! Je vais tenter de me débrouiller tout seul ! Bonne balade ! > fait le type, remballant. Je le regarde s'éloigner très vite.
Clémentine vient me rejoindre. Nous nous embrassons. < Merci Julien ! > me chuchote t-elle. Je passe ma main sous sa jupette.
< Je suis trempée. Le rendez-vous de ce soir, cet exhibitionniste, tout cela me rend folle d'excitation ! > me fait ma compagne.

Nous faisons le tour du lac sans autre opportunité. Nous sommes de retour au parking pour 18 h15. Le temps de rentrer. Haras.
Je roule doucement. Clémentine se touche. Elle me montre souvent ses doigts qu'elle me fait goûter. J'adore le goût de ses jus.
Nous arrivons à la maison. Nous restons vêtus ainsi. Je récupère la tarte aux pommes que je dispose dans le grand tupperware.
Clémentine me confie l'envie de pisser qui la taraude. Elle veut se garder pour une éventuelle opportunité d'exhibe aux écuries.
Nous arrivons au haras pour 19 h très précises. Juliette discute avec monsieur Gérard devant le véhicule 4 x4 de l'entreprise.

Nous nous saluons. Monsieur Gérard revient de la déchetterie. Il est occupé aux travaux d'entretien. Il faut refaire les lasures.
Il nous laisse pour aller ranger la Range Rover. Juliette, toujours vêtue en écuyère nous invite à la suivre. Elle paraît espiègle.
Nous nous rendons dans le nouveau bâtiment. Il y règne une odeur de lasure et de peintures neuves. Nous y suivons Juliette.
Elle nous entraîne au fond. Il y a un local bureau tout à fait comparable à l'ancienne écurie et que nous connaissons très bien.
Il y a un canapé. Un bureau, une table basse une chaise, un fauteuil et une grande étagère. C'est le nouveau local de Gérard.

Juliette ouvre une petite armoire EDF. Il y a de gros câbles. Elle laisse la petite porte ouverte. Elle nous invite à la suivre. Joie.
Nous passons dans un local technique adjacent au bureau. Des étagères. Elle ouvre la porte d'une armoire EDF identique. Bien.
Il y a deux trous, parfaitement ronds, de quelques centimètres de diamètre. Juliette nous invite à y regarder. ON voit le local.
La vue est parfaite. Juliette nous montre le long soupirail à environ deux mètres. Il y a deux escabeaux. Nous y montons. Rire.
C'est une étroite fenêtre par laquelle la vue sur le local est parfaite. < C'est un verre fumé du côté bureau ! > explique Juliette.

Je redescends. Je regarde Juliette. Un long silence. Elle hausse les épaules en me disant : < Je suis une incorrigible voyeuse ! >
Clémentine redescend en disant : < C'est vraiment un endroit de voyeurisme idéal ! >. Juliette l'invite à retourner au bureau.
Je l'entends expliquer : < Regardez le soupirail. Il y a Julien qui observe et d'ici nous ne pouvons pas nous en douter ! >. Rire.
Je félicite Juliette pour cette installation. < J'ai rusé avec les ouvriers car je ne voulais pas dévoiler mes intentions ! > dit elle.
Clémentine lui fait : < Je deviens de plus en plus voyeuse ! > Juliette répond : < J'aimerais être exhibitionniste comme vous ! >

Juliette nous invite à nous rendre dans ses appartements. Le repas est prêt. Nous ressortons. Je trouve ces locaux oppressants.
J'en fais part à Clémentine qui a la même impression. < Glauque ! > rajoute t-elle. < L'idéal pour mes passions ! > fait Juliette.
Là-bas, il y a monsieur Gérard qui range la remorque. Clémentine me fait : < Attend ! >. Juliette et moi nous restons à l'écart.
Clémentine se glisse entre la voiture et le mur. Juliette et moi nous sommes à l'entrée de l'écurie. On mâte par les planches.
Clémentine, accroupie, les cuisses largement écartées est entrain de pisser devant monsieur Gérard qui est immobile à mâter.

< Quel culot ! J'aimerais avoir le même ! > me chuchote Juliette. Je lui murmure : < Et vous n'avez rien vu ! >. Nous mâtons.
Gérard lui fait un coucou de la main. Il est à environ une vingtaine de mètres. Il dit : < Tu refais ça devant mon pote Léon ? >
Clémentine, qui se soulage enfin de cette envie qui l'oppresse depuis notre balade au lac, ne dit rien. Elle fait juste un coucou.
Elle se redresse. Le palefrenier continue son boulot. Clémentine se dirige vers la porte de la maison de Juliette. Nous y allons.
L'odeur du feuilleté de saumon, encore au four, achève de nous ouvrir un appétit démentiel. Nous mangeons tout en bavardant.

Juliette nous parle de ses vacances. Quinze jours en août dans sa famille, en Corse. Les vacances d'été de madame Walter.
Monsieur Gérard, lui, passe ses vacances dans sa caravane. Il reste au haras. C'est sa raison de vivre depuis plus de 30 ans.
Le dessert est un délice. Nous prenons congé pour 22 h30. Juliette nous informera par courriel. Nous sommes invités samedi.
Ce "plan pipe", à quatre, Estelle, Clémentine, monsieur Gérard er monsieur Léon, risque fort de prendre forme samedi soir. 20 h.
Au retour, Clémentine, excitée comme une puce, m'entraîne à l'étage. Toilettes. Salle de bain. Baise. Confession. Et puis dodo.

Bonne découverte de locaux "spécialement agencés" dans vos écuries préférées à toutes les coquines qui se réjouissent…

Julien - (Qui s'apprête à vivre une soirée exceptionnelle, à faire le voyeur en compagnie de Juliette) -

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Clémentine vit une superbe expérience au port de plaisance

Hier matin, jeudi, nous nous réveillons en même temps. Nous nous étirons en modulant longuement nos gémissements. 7 h15.
< Bonjour mon amour ! > murmure Clémentine avant de me chevaucher en riant. Je lui chuchote : < Bonjour mon amour ! >
Douceur, tendresse et papouilles avant de nous précipiter jusqu'aux toilettes. Morts de faim, nous descendons jusqu'à la cuisine.
Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Au dehors, il y a du soleil. Nous sommes déjà en tenue de jogging.
Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Bien.

Nous évoquons le haras, Juliette et ce qui se prépare pour samedi soir. Clémentine me confie à quel point cela la rend nerveuse.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle dit : < Nerveuse, fébrile et constamment excitée ! >. Je dis : < Il faut vivre tes fantasmes ! >
La vaisselle. Il est 7 h45 lorsque nous nous mettons à courir dans l'étonnante fraîcheur humide de cette mi juin. C'est superbe.
Il est 9 h lorsque nous revenons après un peu plus d'une heure d'un running des plus agréables. La douche. Nous nous habillons.
Clémentine en robe légère. Moi en short et chemisette. Nous allons dans l'atelier. Ce matin Clémentine va poser pour le portrait.

Clémentine est toute heureuse de participer à cette création. Je l'installe dans le vieux fauteuil à côté du chevalet. Confortable.
A ses côtés, je mets la petite table sur laquelle je dispose l'ordinateur. Ainsi, tout en gardant la pose, elle peut s'occuper. Bien.
Je peins dans une véritable euphorie. Il est tellement agréable d'observer ma compagne sous un angle artistique. C'est excitant.
Elle est si belle. Les traits de son visage, entourés de ces cheveux noirs qu'elle a fixé en chignon, raie au milieu, sont sublimés.
Clémentine surfe sur le site de l''université. Elle commente à haute voix les programmes de la rentrée de septembre. C'est bien.

Je porte toujours sur moi l'appareil photographique le plus sophistiqué qui soit. C'est mon œil. Il est infaillible et surtout précis.
J'ai ma loupe frontale et, à l'aide des plus fins de mes pinceaux, je peins les plus infimes détails avec une précision diabolique.
Il est onze heures lorsque je termine le visage majestueux de ma compagne. Assise sur mes genoux elle contemple mon travail.
< C'est encore plus net qu'une photo ! Tu m'as fait encore plus belle qu'en vrai. C'est troublant ! > me fait elle, impressionnée.
Il faudra refaire la même chose demain et mes deux toiles de commande seront terminées. Nous les emmenons en Ecosse. Joie.

Je nettoie mes pinceaux et ma palette. Clémentine, qui a ouvert notre boîte mail, m'informe d'un courriel venant d'Edimbourg.
Je découvre le petit mot de mon oncle Alan. Alan me confirme le virement bancaire concernant la réservation de notre cottage.
Nous serons une semaine dans une location sur l'île de Skye. Je veux faire découvrir la côte Ouest de l'Ecosse à Clémentine.
Je réponds rapidement en envoyant la photo réduite que Clémentine vient de faire de la toile qui est réservée à mon oncle. Joie.
Nous quittons l'atelier pour descendre au jardin. Nous cueillons nos tomates, nos radis, une aubergine, le persil et la ciboulette.

Nous mangeons quelques cerises. Des bigarreaux juteux et d'un rouge profond. Succulentes. Beaucoup de vers. L'humidité.

Clémentine me confie à quel point elle est excitée par la perspective de l'expérience qui nous attend samedi soir. Cela la hante.
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'elle me fait : < C'est comme un plat épicé. Je suis morte de trouille et hyper excitée ! >
Nous rentrons pour nous préparer à manger. Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je prépare la pâte.
Une belle pâte à pain à laquelle j'incorpore de l'ail pressé, du Parmesan finement râpé. Ce sera pour les pizzas de ce soir. Bien.
Je prépare la garniture. Tomates fraîches, ail, oignons, aubergines et miettes de thon. J'en récupère un peu pour notre sauce.

Une sauce pour accompagner le riz complet que je fais gonfler à l'eau. Tout est rapide. Nous sommes méthodiques, rigoureux.
Nous mangeons de bon appétit dans la véranda. Nous bavardons. La conversation s'articule autour de notre projet de samedi.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents et nous mettre en tenues vélo. Et il est déjà 13 h45.
Clémentine porte une de ses jupettes sport, un T-shirt. Je porte un short et un T-shirt. Je vérifie la pression des pneus. Bien.
Nous descendons le chemin pour rejoindre la piste cyclable. Il fait très agréable. Pas de grosses chaleurs et quelques nuages.

Nous croisons très peu de cyclistes. Principalement des séniors, des retraités sportifs en virée. Nous pédalons contre le vent.
Arrêt pipi au cabanon de l'écluse où nous restons une bonne dizaine de minutes à guetter une éventuelle opportunité d'exhibe.
Personne. Nous sommes impatients de reprendre notre route. Nous arrivons au port de plaisance pour 15 h30. Peu de monde.
Nous fermons nos bicyclettes à cadenas derrière la capitainerie. Nous saluons Clarisse la capitaine qui tond la pelouse devant.
Nous traversons la route pour aller chercher nos cônes glacés à la supérette. Nous bavardons un peu avec la gérante. Sympa.

Nous apprenons que dimanche, il y aura le marché aux antiquaires sur le port. Réjouissances organisées par la municipalité.
Le port de plaisance est un endroit prisé pour ces animations dominicales qui attirent toujours du monde. Et de toute la région.
Nous dégustons nos glaces en flânant sur le quai. Là-bas, près du groupe de joueurs de pétanque, il y a un groupe de cyclistes.
Nous n'en avons jamais vu autant ici. Certainement un club. < Chipolata ! > s'écrie soudain Clémentine en me montrant là-bas.
Effectivement, voilà Maurice et sa mobylette qui rappliquent. Il roule tout doucement. Toujours vêtu comme un clodo. Rigolo.

< Viens ! Tu vas te planquer derrière le bâtiment des sanitaires ! J'ai trop envie de m'amuser un peu ! > me fait Clémentine.
Je la laisse pour me rendre dans les fourrés derrière le bâtiment. Je sors la paire de jumelles de mon petit sac à dos. Je mâte.
Maurice, tenant sa mobylette et son casque, discute avec quelques joueurs de pétanque. Je vois Clémentine marcher là-bas.
Elle avance tout doucement, les bras croisés. Elle porte ses lunettes noires et vient de défaire ses cheveux. Elle est magnifique.
Maurice remarque enfin cette belle jeune fille qu'il commence à bien connaître. Clémentine s'arrête plusieurs fois. Elle mâte.

Avec les jumelles, je peux parfaitement voir sa façon d'allumer le mec. Discrètement, elle lui montre les fourrés où elle se rend.
Maurice ne tarde pas à comprendre. Il pousse sa mobylette en marchant doucement. Il se dirige à son tour vers les sanitaires.
Clémentine arrive dans les fourrés. < T'es où ? > fait elle à haute voix. Je sors de mon bosquet. Elle se serre contre moi. Bises.
< Je dois pisser, si tu savais ! > me fait elle. Je lui dis : < Offre nous le plus magnifique des spectacles. Fais gaffe, le voilà ! >.
Je retourne dans ma planque. Maurice pose sa mobylette contre le mur. Il avance entre le mur et les fourrés. Braguette ouverte.

Debout contre le mur, il s'apprête certainement à pisser lorsque Clémentine arrive en marchant doucement, les bras croisés.
< Bonjour monsieur ! > lui fait elle. De ma cachette j'entends à peine. Le type, se retourne pour saluer la jeune fille qui arrive.
Il se tient la bite. Ils se serrent la main. Je découvre que Clémentine tient sa culotte dans sa main. Elle est nue sous sa jupette.
Clémentine dépasse Maurice d'une bonne tête. Son mètre quatre vingt impressionne souvent les messieurs qui ont affaire à elle.
J'hallucine. Maurice glisse directement sa main sous la jupette de Clémentine qui a un réflexe. Il discute. Je vois bouger le bras.

Clémentine, cambrée sur ses genoux fléchis, les jambes écartées, se laisse toucher. Je suis certain que Maurice lui fait un doigt.
Elle reste cambrée en arrière et semble refuser de se laisser embrasser. Le type n'insiste pas et la tire en la tenant par le sexe.
Je vois Clémentine, les jambes agitées de frissons, sur la pointe des pieds, se tenant au mur derrière elle, qui se laisse doigter.
Le type lui touche les seins. Passe son autre main sous son T-shirt. Clémentine, la tête en arrière semble prendre un plaisir fou.
Le type bouge la main sous la jupe de la fille. Il accélère. Clémentine pousse de petits cris avant de pisser sans aucun contrôle.

< Put-Hein ! Mais espèce de grande salope, t'es entrain de me pisser dessus ! > s'écrie Maurice en retirant prestement sa main.
Clémentine, les jambes écartées, cambrée sur ses genoux fléchis se lâche dans une série de jets qu'elle ne contrôle plus du tout.
Maurice tombe à genoux, tenant la jupette de la fille relevée. Il semble admirer ce spectacle comme un bienheureux visionnaire.
Clémentine n'est certainement pas loin d'un orgasme. Le type lui montre son gros pouce avant de le lui enfoncer d'un coup sec.
S'en est trop. Clémentine se met à bouger de plus en plus vite. Elle ne peut refréner l'orgasme qui la terrasse soudain. Le délire.

Clémentine retire la main de Maurice d'un coup sec. Le type se suce le pouce. < T'es la plus merveilleuse des salopes ! > dit il.
Je bande comme un salaud depuis un moment. Je me branle en observant l'étonnant spectacle. Clémentine branlée par un mec.
Maurice lui montre sa bite. Molle, longue, blanchâtre qui évoque véritablement une chipolata. C'est un impuissant. Il bande mou.
< Tu me branles un peu ? > demande Maurice à la jeune fille qui reprend ses esprits. Clémentine se saisit de sa queue. Poigne.
Debout à droite de Maurice, le tenant par la taille, elle le masturbe de sa main droite, penchée en avant pour bien regarder. Joie.

Le type se fait branler. Il a passé sa main sous la jupette de Clémentine pour lui faire la raie culière. Certainement un doigt.
< Pas le cul ! > fait Clémentine en se tordant pour empêcher le mec de l'enculer de son gros doigt. < T'aime pas ? > fait il.
< Non ! Je déteste le cul, c'est à chier ! > répond Clémentine en s'accroupissant pour échapper au doigt fouilleur. Elle branle.
Le visage tout près de la queue longue et molle, Clémentine masturbe le type qui ne tarde pas à jouir. Du foutre qui dégouline.
Ce sont de longues coulures jaunâtres et gluantes qui pendent avant de tomber au sol. Des coulures qui semblent ne plus finir.

Clémentine, qui connaît à présent très bien le fonctionnement biologique d'un sexe masculin, tient la bite, immobile. Attente.
Elle dirige la bite de Maurice vers le haut. Le type se lâche dans un long jet. Des écoulements de foutre s'en échappe encore.
Maurice se saisit des cheveux de Clémentine pour tenter de la faire sucer. Elle se relève rapidement. Le mec ne la lâche pas.
Elle tente de se soustraire à son étreinte. Maurice ne veut rien savoir. Il la maintient fermement. Clémentine se débat. Danger.
Je sors de ma planque. Maurice me voit arriver. Ma haute taille, mon air déterminé. Il lâche immédiatement la fille. Il remballe.

Clémentine vient me rejoindre. Elle m'entraîne par la main. Nous quittons l'endroit. Nous retournons nous chercher des glaces.
Nous les savourons assis sur le muret de la jetée. Nous regardons Maurice s'éloigner en poussant sa mobylette. Il parle seul.
Clémentine me confie l'immense plaisir d'avoir eu un orgasme aussi fou. < Il m'a fait un doigt. Il en a des gros ! > me fait elle.
Je la félicite. < Tu as vu comme il m'a fait pisser, ce salaud ? > me fait Clémentine en me montrant le filet de pisse qui s'écoule.
Assise, les cuisses légèrement écartées, là, discrètement, Clémentine pisse encore un peu. Je lui dis : < Tu es merveilleuse ! >

Nous prenons le chemin du retour. Le ciel s'est couvert. Nous sommes poussés par le vent. Nous arrivons à la maison. 18 h45.
Estelle est déjà là. Les pizzas sont au four. La salade déjà prête. Elle me saute au cou. Nous la remercions pour la préparation.
Même la table est déjà mise. Nous passons au salon. Clémentine raconte notre aventure au port avec Maurice. Son orgasme.
< C'est génial ! C'est vraiment un vieux salopard ! > fait Estelle à plusieurs reprises. < Il schlingue, dégueu ! > fait Clémentine.
< Et toi, tu t'es branlé en mâtant, depuis ta cachette ? > me fait Estelle. Je confirme en sortant ma bite encore trempée de jus.

La sonnerie du four. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Miam.
La conversation s'articule sur ce qui nous attend au haras samedi soir. Les filles sont très excitées de cette expérience prochaine.
< Tu te rends compte, deux vieux vicelards pervers, rien que pour nous. White and Black ! > dit Estelle. Clémentine en glousse.
Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle veut absolument me sucer un peu. Récupérer un peu de jus.
Nous passons au salon. Clémentine, vautrée dans le fauteuil, se masturbe en regardant Estelle à genoux qui me taille une pipe.

Je maîtrise parfaitement mon sexe. Malgré tout, avec l'accumulation de toutes ces excitations, je dois lutter pour ne pas éjaculer.
Il est 22 h15. Nous ramenons Estelle et sa bicyclette. Je la laisse encore sucer un peu dans la voiture devant chez elle. La nuit.
La séparation est difficile. Elle revient samedi. Au retour, Clémentine qui ne cesse de se toucher me suce avec gourmandise. Bon.
Les toilettes. La salle de bain. Au lit, Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis. Nous restons immobiles. Elle me confie ses joies.
J'écoute émerveillé ses révélations. L'idée de sucer d'autres mecs prendra forme samedi soir. Elle s'en réjouie enfin. Orgasmes.

Bonne virée dans vos endroits préférés à toutes les coquines qui aiment se faire doigter par de vieux dégueulasses libidineux…

Julien - (Qui assure son rôle de vigile, de garde du corps et de voyeur avec tout le sérieux nécessaire au bon déroulement) -

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Clémentine me confie de nouveaux fantasme exhibes

Hier matin, vendredi, je suis tiré de mon sommeil par de légers souffles sur mon visage. J'ouvre les yeux. C'est très étonnant.
Clémentine, penchée au dessus de moi me fait un délicieux sourire avant de me couvrir le visage de bisous. Je l'enlace. Douce.
< Bonjour Julien ! > me fait elle avant de me chevaucher en riant. Il est 7 h15. Je lui chuchote : < Bonjour Clémentine ! >
Nous nous précipitons rapidement aux toilettes. Puis, morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Rires.
Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Dehors il fait beau. Le ciel est bleu. Il y a un soleil très généreux.

Nous prenons notre petit déjeuner dans cette agréable odeur de pain grillé qui participe de ce premier réel plaisir de la journée.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine évoque Maurice, l'homme à la mobylette, sa bite chipolata. Rires.
Je lui dis : < Un jour, il faut que tu la goûte ! Comme Estelle ! >. Elle fait : < Attends, laisse moi un peu de temps, j'ai envie ! >
Nous sommes déjà en tenue de jogging. La vaisselle. Il est 7 h45 lorsque nous sortons pour nous offrir un super running. Joie.
Nous courons d'un bon rythme dans cette étonnante fraîcheur matinale. Il est 9 h lorsque nous revenons. C'est la douche. Bien.

Nous nous habillons. Nous allons dans l'atelier. Clémentine va poser encore une fois pour la seconde toile de commande. Portrait.
Comme hier, je l'installe confortablement dans le fauteuil. A ses côtés, sur la petite table basse, l'ordinateur. Il est à peine 9 h30.
Je peins dans une allégresse glorieuse. Une fois encore je peux savourer ce merveilleux instant. Scruter le visage de Clémentine.
Elle surfe sur le site de l'université. Elle commente nos récits sur ce forum. Elle reprend la pose entre chaque éclat de rire. Belle.
Je réalise cette peinture avec les plus fins de mes pinceaux, ma loupe frontale fixée autour de la tête. D'une précision diabolique.

Je nettoie mes pinceaux et ma palette. Assise sur mes genoux, Clémentine contemple mon travail. Nos portraits sont terminés.
Ce sont les deux dernières œuvres de cette saison qui s'achève aujourd'hui. Je suis satisfait de ce travail. De ces 32 toiles finies.
Nous irons ouvrir et préparer ma galerie lundi 25 juin. Accrocher les tableaux à leurs cimaises. Mardi 26 juin, c'est le vernissage.
Clémentine est à se réjouir. C'est elle qui va disposer et choisir les emplacements de chaque œuvre. Elle a des goûts certains.
Nous sortons au jardin. Il fait chaud. Une légère brise tempère l'atmosphère. Nous mangeons quelques cerises. Elles sont mûres.

Nous cueillons des radis, des tomates, une belle laitue lorsque nous voyons arriver Juliette sur son cheval. Elle monte le sentier.
Juliette descend de cheval qu'elle attache au tronc du cerisier. Vêtue de sa tenue d'écuyère elle s'approche en souriant. Superbe.
< Bonjour ! Je passais. Je suis venue vous faire un coucou ! > nous fait elle en tendant une enveloppe à Clémentine. Surprise !
< Bonjour ! Vous mangez avec nous à midi ? > demande Clémentine. Juliette me serre la main en déclinant l'invitation. Sourire.
< J'ai du travail cet après-midi. Pauline termine à midi, c'est vendredi ! > nous fait Juliette en admirant le potager et la roseraie.

Clémentine ouvre l'enveloppe. Je dis à Juliette : < Durant notre absence, venez récupérer tous les légumes que vous voulez ! >
< Comme l'année dernière ! Je vous suis redevable ! > me répond t-elle. Nous rions de bon cœur. Clémentine s'approche, riant.
Elle me montre les deux feuilles de papier. Je n'en crois pas mes yeux. Ce sont deux certificats médicaux. Complètement dingue.
Ce sont ceux de monsieur Gérard et de monsieur Léon. < J'ai exigé ! > nous fait Juliette. Nous en rigolons comme des bossus.
< Gérard n'a aucune liaison nulle part, je le saurais. Il est toujours au haras, jamais de visite ! Léon c'est pareil ! > fait Juliette.

Clémentine plie les feuilles de papier et les remet dans l'enveloppe. < Super ! > dit elle. Juliette remonte sur son cheval. Bien.
< On est jamais trop prudent. Et même s'il n'est pas question de souscrire à la paranoïa ambiante, c'est mieux ! > fait Juliette.
Nous la regardons descendre le chemin. Arrivées à la rivière, bien droite sur sa monture, elle se retourne pour faire un coucou.
Clémentine me fait : < Tu te rends compte la perversité de cette femme ! Elle veut vraiment arriver à ses fins ! Vraie salope ! >
Nous rions de bon cœur. Je prends le panier contenant nos légumes. Clémentine prend ma main pour m'entraîner à l'intérieur.

Il est midi. Clémentine s'occupe des salades et de leurs assaisonnements. Je prépare des filets de cabillaud que je panne. Bien.
Accompagné d'un brouillis de tomates, de courgette, de champignons, d'ail, d'oignon et de ciboulette, ce sera un repas de roi.
Nous mangeons de bon appétit dans la véranda, toutes les baies vitrées largement ouvertes. Nous traînons à table. Superbe.
Nous évoquons la visite de Juliette. L'initiative insolite de nous remettre l'enveloppe contenant les certificats médicaux. Rires.
Ce sont tout de même des certitudes non négligeables. Je précise: < Tu vas pouvoir t'éclater sans aucune crainte. Et à fond ! >

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine est étrangement silencieuse. Je respecte toujours ses instants de mutisme.
Nous montons nous laver les dents, mettre nos tenues vélo. Clémentine se serre soudain contre moi. < J'ai peur ! > dit -elle.
Je la rassure. < Tout se passera bien, je serais planqué à côté ! >. Clémentine me fait : < Tu fais rien avec Juliette, hein ! >
Je dis : < Promis ! Je suis même convaincu que ce n'est pas du tout au programme ! >. Clémentine, rassurée, m'embrasse.
Il est 13 h45 lorsque nous descendons le chemin sur nos bicyclettes pour rejoindre la piste cyclable. Il y a beaucoup de gens.

C'est vendredi. Nous croisons quantité de cyclistes, de jeunes filles en rollers, de joggeurs ou encore de simples promeneurs.
Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest. Il y a quelques rares nuages d'altitude. C'est un début d'après-midi très agréable.
Clémentine porte une de ses jupettes sport, un T-shirt. Je suis en short, T-shirt. Le petits sac à dos qui ne nous quitte jamais.
Nous bavardons. La conversation reste axée sur ce qui nous attend au haras, samedi soir. Juliette nous y attend pour 19 h30.
< Cette salope attend cette soirée avec une impatience folle ! Tout ça me fout un peu la trouille ! > me confie ma compagne.

Plusieurs fois je précise : < Ce sont deux vieux impuissants, ni toi ni Estelle vous ne risquez de vous faire baiser ! Peinard ! >
< Je sais, mais c'est quand même fort ! Le mélange d'excitation et d'appréhension ! J'y pense tous les jours ! > dit Clémentine.
Nous arrivons au port de plaisance pour 15 h30. Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie. Il y a de l'animation.
C'est l'employé communal habituel du Week-End qui assure le rôle de capitaine. Nous le saluons avant d'aller à la supérette.
Il y a des clients. Des touristes et des plaisanciers. Nous bavardons un peu avec la gérante avant d'aller déguster nos glaces.

Clémentine scrute presque tout le temps dans la direction du groupe de joueurs de pétanques. L'éventuelle arrivée de Maurice.
C'est toujours là qu'il bavarde lorsqu'il arrive au port. < J'ai envie de pisser, tu n'imagines pas ! > me confie Clémentine. Bien.
Elle se garde pour un éventuel "plan" exhibe. Pisser devant un inconnu, et dans un coin, reste sa principale source d'émotions.
Clémentine m'entraîne derrière le bâtiment des sanitaires. Nous rôdons un peu entre le mur et les fourrés. Il n'y a personne là.
Sautillant d'une jambe sur l'autre, les mains se touchant le sexe, Clémentine me fait : < Je vais finir par me pisser dessus ! >

Nous sommes planqués dans les fourrés. Penchés en avant sous les branchages, nous avons une vue parfaite sur le parking.
< Là, un mec, regarde ! J'y vais ! > me fait Clémentine. En effet, il y a un homme qui semble attendre entre les voitures.
Son comportement me paraît curieux. Je comprends immédiatement lorsque le type voit Clémentine marcher, les bras croisés.
Elle fait semblant de chercher quelqu'un en évitant de regarder dans la direction du type. Elle porte ses larges lunettes noires.
Elle a défait ses cheveux. Ces précautions assurent son total anonymat. Le type ouvre sa braguette. C'est un exhibitionniste.

J'ai sorti la petite paire de jumelles du sac à dos. En effet, je vois le mec chercher le meilleur angle afin de se faire voir. Discret.
Clémentine joue la promeneuse avec son talent habituel. Le type est juste entre une camionnette et une caravane. Bite à l'air.
Il regarde partout autour de lui. Clémentine qui arrive. Elle se touche au travers de sa jupette. La fille qui cherche un coin pipi.
Elle s'accroupie entre deux voitures. Elle n'est pas obligée de se concentrer longtemps. Son envie est telle qu'elle se lâche vite.
Le type me tourne le dos. Il s'est rapproché à quelques mètres de la fille. Il se cambre sur ses genoux fléchis. Il se masturbe.

Clémentine relève la tête en se soulageant d'un long jet. Je suis caché à une cinquantaine de mètres. Je n'entends rien. Je vois.
Le mec a engagé la conversation. Il se branle tout en bavardant. Clémentine parle avec le branleur et sans changer de position.
Je bande comme le dernier des salauds. J'assiste à ce spectacle merveilleux depuis longtemps. Mais c'est chaque fois superbe.
L'homme, mince et plutôt grand, en short et chemisette, se branle de plus en plus vite. Clémentine écarte ses cuisses. Un max.
Je ne vois pas la flaque au sol mais j'imagine. Je connais la quantité que lâche ma compagne lorsqu'elle a besoin d'uriner. Joie.

La situation perdure. L'homme, prudent, sans doute un grand pratiquant, virtuose, regarde partout autour de lui. C'est parfait.
Il se branle en ralentissant son mouvement. Il me tourne le dos. Je vois Clémentine rire à plusieurs reprises. Ils bavardent.
Le type se rapproche. Clémentine se redresse. Sa culotte dans la main gauche, elle se torche de la main droite. Un mouchoir.
Clémentine tend le mouchoir en papier à l'inconnu qui s'approche pour s'en emparer. Ils discutent tous deux encore un peu.
Le mec éjacule probablement dans le mouchoir. Clémentine, penchée en avant, observe avec attention l'éjaculation. C'est fou.

Clémentine laisse l'homme terminer de remballer. Elle lui fait un signe de la main. Le type la regarde partir en faisant pareil.
Clémentine vient me rejoindre. Nous retournons chercher des cônes glacés à la supérette. Nous y croisons l'exhibitionniste.
Il semble très gêné de me voir. Il nous évite du regard. Clémentine me raconte la nature des propos échangés avec ce type.
< Un branleur ! Pas dangereux. Rigolo et plein d'humour. Comme la plupart des mecs qui montrent leur bite > me fait elle.
Il faut se faire une raison. Maurice et sa mobylette ne viendront plus cet après-midi. Il est 19 h30. Nous prenons nos vélos.

Il est 21 h lorsque nous revenons à la maison. Morts de faim, nous préparons notre repas. Une omelette aux champignons.
Clémentine s'occupe de la salade. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table en évoquant l'exhibitionniste. Rires.
La vaisselle. La salle de bain. Au lit, Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Bises.
Immobiles, comme nous aimons, Clémentine me confie à quel point elle aime être vue dans cette position. Cuisses écartées.
Être couchées, en appuis sur ses coudes, jambes écartées et relevées. Ce seront ses prochaines réalisations. Orgasme. Dodo.

Bonne balade dans vos endroits préférés à toutes les coquines qui adorent s'exhiber devant des exhibitionnistes…

Julien - (Qui apprend cette nouvelle déclinaison des fantasmes exhibitionnistes de Clémentine, avec ravissement) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 24 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 456 -



Un samedi soir au haras - Partie 1 -

Hier matin, samedi, nous nous réveillons en même temps. Il est 7 h15. Nous nous étirons en modulant nos gémissements.
Cela s'achève dans un cri commun : < Bonjour ! >. Nous en rions de bon cœur avant de nous serrer fort l'un contre l'autre.
< Je t'aime ! > me fait Clémentine avant de me chevaucher en riant. Le besoin naturel nous oblige à nous précipiter au WC.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse nos oranges. Clémentine s'occupe du café. Joie.
Nous prenons notre petit déjeuner en appréciant l'odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit et tout en bavardant.

Nous sommes descendus en tenue de jogging. Il fait tellement beau. Dès la vaisselle terminée, nous voilà au dehors. 7 h45.
Nous courons avec un rythme soutenu. Retour pour 9 h après un running de très grande qualité. Nous prenons notre douche.
Nous nous habillons. Clémentine porte une de ses robes d'été, sombre à discrets motifs floraux. Sandalettes à légers talons.
Sur sa demande, je porte un pantalon clair en lin, une chemise claire négligemment déboutonnée. Mes mocassins marrons.
Nous voilà en route pour le bourg voisin. Je roule doucement. Clémentine joue avec mon sexe en parlant de la soirée à venir.

Je porte les sacs. Nous flânons un peu dans l'allée centrale du marché. Il y a beaucoup de monde. J'ai la braguette ouverte.
Toujours sur la demande de Clémentine qui aime à savoir ma tirette descendue discrètement vers le bas. Elle touche parfois.
Nous faisons provision de fruits. Chez notre artisan fromager, nous prenons nos œufs, le beurre, les yaourts, la crème fraîche.
Nous revenons à la voiture. Nous rangeons les produits laitiers dans la glacière branchée sur l'allume cigare. Une précaution.
Nous voilà en route pour la zone commerciale de la ville voisine. Clémentine ne cesse de jouer avec mon sexe qui bande mou.

Je gare la voiture. Ii y a un monde fou. Je pousse le caddie. Clémentine, qui marche devant moi, m'entraîne dans les rayons.
Nous faisons provision de nos besoins de la semaine. La queue à la poissonnerie. Puis Clémentine m'entraîne au rayon livres.
Il serait vain, voire dangereux de se livrer à nos petits jeux. Nous faisons le tour en scrutant bien malgré tout. Pas d'exhibes.
Nous rencontrons Pauline. Nous nous serrons la main. La jeune femme est vêtue d'un jean et d'une veste légère. Des baskets.
Elle nous parle du haras et de son travail de secrétaire. Elle nous confie n'avoir jamais occupé un emploi aussi agréable. Bien.

Nous voilà sur la route du retour. Douze petits kilomètres et nous arrivons à la maison pour 12 h30. Nous rangeons les courses.
Nous allons au jardin cueillir une belle scarole, des tomates et des radis. Clémentine s'occupe des salades, de l'assaisonnement.
Je fais revenir deux steaks de thon à la poêle. Je fais chauffer les haricots verts dans le Wok. Tout va très vite. De la méthode.
Nous mangeons de bon appétit dans la véranda dont toutes les baies vitrées sont largement ouvertes. Il fait tellement agréable.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt, Clémentine me propose le programme de l'après-midi et de notre soirée.

Estelle nous attend à l'endroit habituel, devant l'ancienne maison du garde barrière, sur la piste cyclable pour 14 h. La vaisselle.
Nous montons nous laver les dents et nous mettre en tenue vélo. Clémentine porte une de ses jupettes sport, T-shirt et baskets.
Je suis en short, T-shirt et baskets. Il est 13 h45 lorsque nous descendons le chemin pour rejoindre la piste cyclable. Du monde.
Estelle est là. Toute heureuse de nous revoir. Des bises. Elle nous parle de sa soirée de hier en compagnie de Gauvin, l'étudiant.
Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest. Il y a très peu de nuages. Il fait chaud. Arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Faire vite.

Aimant jouer avec le risque de se faire surprendre, les filles font pipi au milieu de la route. Moi, je suis prêt avec les mouchoirs.
Je les torche juste avant le passage de deux jeunes filles qui foncent à toute allure sur leurs rollers. Nous l'avons échappé belle.
Rien n'amuse davantage Estelle que de voir passer les gens dans les coulées de pisse qui traversent la piste cyclable. Une photo.
Nous reprenons notre route pour arriver au petit port de plaisance pour 15 h30. L'animation du samedi. Ambiance du Week-End.
Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie. Des employés communaux sont entrain de tracer des traits parterre.

Ils sont entrain de délimiter les emplacements pour le marché aux antiquaires, demain. Nous traversons la route. La supérette.
Il y a des clients. Il est impossible de bavarder avec la gérante. Nous prenons nos cônes glacés que nous savourons en flânant.
Estelle scrute avec beaucoup d'attention vers le groupe de joueurs de pétanque. Et c'est toujours par là-bas qu'arrive Maurice.
< Je me boufferais bien une chipolata pour me mettre en appétit ! > nous fait elle. Nous rigolons comme des bossus. Vicieuse.
Clémentine nous entraîne dans les fourrés derrière le bâtiment des sanitaires réservés aux plaisanciers. Il y a plein de D'jeunes.

C'est là qu'ils se retrouvent entre copains et copines. Il nous est impossible de nous y livrer à nos petites passions habituelles.
Nous avons beau scruter en nous baladant, Maurice et sa mobylette n'arrivent toujours pas. Nous montons au vieux cimetière.
De là-haut, la vue sur le port est saisissante, magnifique. Assis à l'ombre du mur de la chapelle, nous dégustons nos pommes.
Les filles évoquent ce qui nous attend ce soir au haras. Juliette nous y attend pour 19 h30. Et il faut passer à la maison d'abord.
Il est 17 h30 lorsque nous prenons le chemin du retour. Un peu à contre cœur tellement l'endroit nous charme par l'ambiance.

Nous pédalons à toute vitesse, poussés par le vent et sans aucun effort. Nous sommes de retour pour 18 h45. Dans les temps.
Nous nous changeons. Clémentine porte une jupe légère, noire, qui lui arrive au dessus du genoux. Un T-shirt blanc. Baskets.
Estelle, pour l'occasion, accepte une robe similaire que lui prête ma compagne. Les filles se regardent dans le miroir. Si belles.
Clémentine, accroupie, les cuisses largement écartées, montrant son invraisemblable touffe noire, fait : < Et pas de culotte ! >
Estelle s'accroupit à son tour, prenant la même pose, elle dit : < Moi, c'est avec culotte ! >. Estelle garde toujours une culotte.

Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine lui fait : < Tu sais, en compagnie de deux vieux impuissants, tu ne risques rien ! >
< Je préfère ! > répond Estelle. Les filles attachent leurs cheveux en queue en hauteur. Elles secouent leurs têtes en rigolant.
< Deux superbes salopes, non ? > me demande Clémentine. Je confirme. Nous descendons à la cuisine. Nos trois sandwichs.
Nous remontons nous laver les dents. Il va falloir y aller. Dans la voiture, les filles me confient à quel point elles ont la trouille.
Nous arrivons au haras pour 19 h30. Juliette nous attend dans la cour déserte. Nous montons dans son appartement. Super.

Juliette est vêtue d'une jupe légère, d'un T-shirt. < Vous êtes superbes toutes les deux ! > fait elle aux deux filles. C'est vrai.
< Vous aussi ! > lui répond Clémentine. Juliette, 42 ans, magnifique bourgeoise, pourrait être la mère de Clémentine, d'Estelle.
Nous mangeons rapidement une salade de fruits préparée par Juliette. C'est un délice. Juliette explique aux filles des détails.
Les comportements vicieux de Gérard, le palefrenier, nous sont bien connus. C'est un véritable salopard, très exhibitionniste.
Celui de monsieur Léon, ancien employé de Juliette, aujourd'hui à la retraite, est beaucoup plus imprévisible. Un peu pervers.

< Venez à la salle de bain ! > fait Juliette en proposant aux filles de la suivre. Assises toutes les deux devant le grand miroir.
Juliette leur fixe à toute deux une pince sur laquelle il y a une fleur en plastique. Blanche pour Estelle, jaune pour Clémentine.
< Il faut toujours créer une particularité. Les messieurs aiment beaucoup les particularités ! > fait Juliette avec un clin d'œil.
Une touche de mascara pour souligner les regards, alors que ni Clémentine, ni Estelle ne se maquillent jamais. Sublimes. Joie.
Tout en les bichonnant, Juliette explique le scénario de la soirée. Les filles vont aller à la nouvelle écurie, dans le local bureau.

Juliette et moi, nous passerons par derrière pour aller nous cacher dans le local technique voisin. Nous avons visité avant hier.
Clémentine et Estelle son prêtes. Debout devant le miroir à admirer le travail de maquilleuse effectué par Juliette. Superbes !
< On y va les filles ? > fait Juliette. Clémentine et Estelle descendent. Par la fenêtre, nous les regardons traverser la cour. Bien.
< On va s'offrir un film inoubliable ! > me fait Juliette avant de rajouter : < Si vous étiez seul, je vous ferais mon grand jeu ! >
Je lui répond que si je l'étais, nous ne serions sans doute pas là. Juliette m'invite à descendre. Je suis en short. C'est agréable.

Soirée au haras - Partie 2 -

Juliette m'entraîne pour traverser la cour. Nous sommes tous deux discrets et silencieux. Elle me fait passer derrière le haras.
Nous longeons l'étroit corridor pour arriver dans le local technique que nous avions visité il y a quelques jour. Odeur de lasure.
Nous montons tous deux sur les escabeaux. Par l'étroit soupirail, la vue est parfaite. Je vois Estelle et Clémentine assises là.
Elle sont sur le canapé. Monsieur Léon assis sur la chaise et monsieur Gérard assis sur le bord du bureau. Les quatre discutent.
Clémentine est vautrée dans le canapé. Ses cuisses écartées. La vue sur son sexe est parfaite. Estelle reste sagement assise.

Juliette descend de son escabeau pour ouvrir la porte de la petite armoire EDF. Soudain nous percevons ce qui se dit à côté.
Clémentine reste ostensiblement dans cette position pendant la conversation. Il est question de baise, de pipe, de saloperies.
Juliette remonte sur l'escabeau et me chuchote : < Super, non ? >. Je ne dis rien. Je lui fais un sourire entendu. Je regarde.
Monsieur Léon se lève pour enlever son pantalon, son maillot, son slip. C'est un vieux Black de 69 ans, encore bien conservé.
Je vois sa bite molle, longue et fine qui pend. Monsieur Gérard, vieux salaud de 65 ans, se déshabille à son tour. Petite bite.

Léon se lève. Il vient saisir Estelle par son catogan. Elle oppose une résistance farouche. Le Black la tire fermement. Debout.
Estelle n'a d'autre choix que de se lever à son tour courbée en avant, maintenue fermement par ses cheveux pour suivre Léon.
Il la fait mettre à genoux. Estelle, les deux mains posées sur les cuisses du Black, oppose une nouvelle résistance. Il la force.
Monsieur Gérard vient s'asseoir aux côtés de Clémentine. Je le vois lui chuchoter à l'oreille. Je vois Clémentine rire. Si belle.
Gérard lui met la main entre les cuisses. Clémentine les écarte encore davantage. Léon frotte sa bite sur le visage d'Estelle.

Juliette, à ma droite, reste silencieuse, parfaitement immobile. J'entends sa respiration, ses apnées, ses reprises de souffle.

Clémentine se fait doigter. Estelle se retrouve avec la bite molle de Léon dans la bouche. Je la vois tenter de se débattre. Fort.
Je sais à quel point Estelle est passée maître dans l'art de jouer les vierges effarouchées. Pourtant, elle ne peut cacher sa joie.
Soudain immobile, à genoux à côté de la chaise où s'est rassit Léon, elle suce comme une bienheureuse. Les traits souriants.
Clémentine se couche sur le côté. Elle tient la bite minuscule de Gérard qu'elle scrute avec attention. Sa bouche toute proche.
Gérard lui murmure des trucs car à plusieurs reprises Clémentine redresse la tête pour le fixer en souriant tout en reniflant.

Je bande comme le dernier des salauds. Enfin je vois Clémentine dans cette situation dont j'ai tant rêvé. Elle aussi sûrement.
Je sors ma queue pour me masturber doucement. Juliette, à mes côtés, immobile, me chuchote : < Ah bon ! Quand même ! >
Je lui murmure : < Et vous ? >. Elle chuchote : < Non, je ne peux pas mâter et me toucher en même temps ! C'est un film ! >
Clémentine prend le sexe de Gérard en bouche. C'est un grand moment. Je vois le sursaut qu'elle a en faisant une grimace.
Elle ne suce pas, elle tête comme un biberon. Je vois ses joues se creuser. Une succession de succions régulières. Une pipe.

Estelle suce. J'aperçois de nombreux hauts le cœur qui l'agitent. Elle est maintenue par la nuque par le Black super salaud.
Il y a le silence. Je distingue les gémissements passionnés de Clémentine et ceux plus oppressés d'Estelle qui doit en baver.
Monsieur Gérard, vautré dans le canapé, reste silencieux et parfaitement immobile. Il se fait sucer avec les yeux fermés. Joie.
Les traits du visage de Clémentine reflètent le bonheur et le plaisir. Je la vois se régaler comme rarement. Elle suce immobile.
Du côté de Léon, c'est un peu plus agité. Estelle arrive parfois à se soustraire de l'étreinte de Léon pour tenter de déglutir. Jus.

Clémentine cesse de pomper pour reprendre son souffle. Elle ferme et ouvre la bouche en passant sa langue sur ses lèvres. Jus.
A chaque fois que sa bouche quitte la queue de Gérard, il s'en écoule de la jute épaisse, visqueuse presque jaunâtre. De la jute.
Lorsqu'elle cesse de pomper, Gérard lui chuchote toujours un truc. Clémentine retourne à sa pipe avec bonheur. Une vraie pipe.
Monsieur Gérard lui caresse la tête, la nuque et semble très affectueux. Clémentine en gémit de plaisir. Je me branle doucement.
Je regarde sur ma droite. Juliette est concentrée sur ce qui se passe. Cette jeune femme me paraît décidément très étrange.

La situation perdure ainsi un bon moment. Gérard et Léon se sont mis à bavarder. Ils échangent leurs impressions. Vicelards.
< Elle est comment la tienne ? > demande Léon à Gérard qui répond : < Je ne me suis jamais fait sucer aussi délicatement ! >
En disant cela il saisit les cheveux de Clémentine pour la forcer à se redresser : < Dis à Léon comme c'est bon ! > fait il alors.
< Je te passe la mienne ! Tu me passe la tienne ! > lui fait le Black. Clémentine se contente de sourire, du foutre sur le menton.
Léon a relâché Estelle qui s'est redressée rapidement, comme soulagée. Gérard tient Clémentine par ses cheveux. Bien droite.

< Tu veux goûter du Black ? > demande Gérard à Clémentine qui ne sait quoi répondre. Elle a du foutre jaune qui lui dégouline.
Léon se lève. Il agite sa bite molle et dégoulinante de jute. < Si j'avais 20 ans de moins je te baiserais toi ! > fait il à Clémentine.
< Encore faudrait-il bander ! > lui fait Estelle en s'essuyant le foutre qui macule son visage. Léon se rapproche de Clémentine.
Elle a le réflexe de se repousser en arrière. Gérard la maintient fermement pour l'empêcher de se lever. Léon lui pisse au visage.
< Tu dois aimer ça aussi, non ? > lui fait Gérard en la tenant à présent des deux mains pour orienter son visage. Elle se débat.

Léon lance plusieurs petits jets au visage de Clémentine. Il le fait en secouant à chaque fois sa queue molle et ruisselante. Jus.
Léon enfonce sa bite dans la bouche de Clémentine qui pousse un cri de surprise. Un cri qui se transforme en râle de bonheur.
Gérard secoue son sexe vers Estelle qui reste debout, à l'écart. Il se lève pour attraper la fille par ses cheveux. Elle se débat.
< Je vais t'apprendre à jouer les effarouchées, toi ! > lui fait Gérard en lui administrant une gifle. Il la fait mettre à genoux.
Je n'ai jamais été tant enivré par la vision de tant de saloperies. Fou. < Ils font fort les deux ordures ! > me chuchote Juliette.

Estelle, maintenue par ses cheveux, se fait pisser au visage. Plusieurs jets de pisse d'un jaune foncé. Absolument répugnant.
Elle tente d'éviter la bite qu'il lui enfonce dans la bouche à chaque fois qu'elle tente de reprendre son souffle. Vieux salopard.
Clémentine, assise bien droite sur le canapé, suce Léon avec passion. Deux bites différentes pour sa toute première expérience.
Je suis admiratif. Je suis à la limite d'éjaculer. Chaque fois j'arrive à maîtriser. A mes côtés, Juliette, immobile, mâte en silence.
Estelle s'est mise à pomper sans restriction. Sa véritable nature reprenant le dessus. Une si merveilleuse expérience. C'est fou.

Léon, saisissant Clémentine par ses cheveux, l'oblige à cesser. Il se tourne vers Gérard en montrant la fille comme un trophée.
< C'est une vraie merveille cette fille ! Un aspirateur ! > lance t-il à Gérard qui lui répond : < Ce sont deux merveilles, non ! >
Les deux filles, maintenues par leurs tignasses, le visage ruisselant, se regardent en souriant. Estelle fait même un clin d'œil.
Je sais à quel point Estelle est sournoise dans le vice. A quel point elle sait faire semblant d'être choquée, étonnée ou gênée.
Avec l'âge, il est certain que cette jeune fille vicieuse deviendra une redoutable mais secrète perverse. Elle me le dit parfois.

Clémentine, tenue par ses cheveux, sourit à Gérard en lui faisant un clin d'œil. Gérard demande à Léon : < On permute ? >
< Volontiers ! > répond le Black en tirant Clémentine par les cheveux pour la forcer à se mettre à genoux devant Mr Gérard.
Tous les deux, parfaitement immobiles, se font tailler une pipe en échangeant leurs impressions. Les filles sucent immobiles.
< Ça fait une année que cette grande salope m'allume ici ! > fait Gérard à Léon qui dit . < Tu me la refile après salaud va ! >
Tenant Clémentine par ses cheveux, montrant son visage maculé de foutre et de pisse comme un trophée, il fait : < Ouai ! >

Les deux salauds tiennent les filles par leurs cheveux pour se les montrer. Estelle semble assez écœurée. Est-ce encore un jeu ?
Clémentine ne peut cacher son ravissement. Son mascara coule sur ses joues, mêlé à la pisse, au foutre, à ses larmes de joie.
Je dois me retenir pour ne pas vaciller. < Ne perdez pas vos moyens ! > me fait Juliette toujours parfaitement stoïque. Délirant.
< Attendez moi, je reviens ! > me fait elle en descendant de l'escabeau. Elle sort de la pièce. Je la vois arriver chez les autres.
< Alors, messieurs, c'est à votre convenance ? > fait Juliette, les mains sur les hanches, en regardant les mecs dans les yeux.

< Oui patronne ! > font les deux types en même temps. Je comprends soudain. Elle avait tout organisé depuis le début. Prévu.
En mère maquerelle, en maîtresse de cérémonie, Juliette, avec la patience infinie d'une réelle perverse, avait tout manigancé.
Clémentine et Estelle s'en rendent certainement compte au même instant. Elles ont le réflexe de se lever en même temps. Rire.
Elles sont toutes les deux ruisselantes de foutre, de pisse où se mélangent les coulées de mascara. < Félicitations ! > dit Juliette.
Léon se met à pisser. < Toi, tu n'as pas changé, je vois ! > lui fait Juliette. < Allez, venez, on s'en va ! > fait Juliette aux filles.

Les deux vieux saligauds, comme des potaches, se tapent les mains en rigolant. Je rejoins les trois filles dans l'allée de l'écurie.
< Vous allez prendre une bonne douche ! > leur fait Juliette. Nous montons dans son appartement. Je m'installe dans le canapé.
Juliette, assise à côté de moi, me fait : < Bravo ! Vous êtes un grand maître en la matière. 3 h de voyeurisme sans éjaculer ! >
Je lui explique que je maîtrise toujours parfaitement mon sexe mais que là, cette fois, c'était "limite". Nous rions de bon cœur.
Estelle et Clémentine reviennent de la douche. Nous avions prévu les vêtements de change. < Alors ? > leur demande Juliette.

< C'est encore trop tôt pour en penser quoi que ce soit ! > répond Clémentine. < Mais à refaire ! > fait Estelle en me souriant.
Il est 23 h30. Nous sommes tous les quatre profondément épuisés. Nous laissons Juliette qui nous invite à passer demain soir.
Dans la voiture, Clémentine garde sa tête sur mon épaule. Nous sommes tous les trois silencieux. Nous voilà enfin à la maison.
Toilettes. Salle de bain. Estelle se couche la première. Clémentine éclate en sanglots dans la salle de bain. Je comprends bien.
< Tu ne m'en veux pas ? > me fait elle. Je la rassure. < Tu m'as ébloui ! >. A ces mots elle m'embrasse. Epuisés. Au lit. Dodo.

Bonne soirée de stupre et de luxure avec deux vieux salopards à toutes les coquines qui préfèrent de la vieille queue molle…

Julien - (Qui, comme Clémentine, aura besoin de quelques jours pour se remettre de ses émotions) -

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Un dimanche pour se remettre des émotions du samedi

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par quantité de bisous. J'ouvre l'œil. Le visage bienveillant de Clémentine.
< Bonjour mon amour ! > me fait elle. Je la serre contre moi. Estelle se blottit contre nous deux. Les filles sont silencieuses.
Je leur murmure : < Bonjour mes deux coquines ! >. Nous restons un petit moment comme ça. Estelle s'écrie : < Pipi ! >
Elle se précipite aux toilettes. Clémentine me chuchote : < J'ai honte ! Je me sens sale à l'intérieur ! >. Je la serre très fort.
Estelle revient et nous fait : < Je descends préparer le petit déjeuner ! >. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux WC.

Morts de faim, nous descendons rejoindre Estelle à la cuisine. Il est 7 h30. Il fait beau. Il y a du soleil. Un dimanche magnifique.
Estelle, dans son pyjama de soie mauve, se précipite dans mes bras. Elle aussi semble avoir besoin de réconfort, d'être consolée.
Il y a une curieuse ambiance. Je comprends que c'est un peu la conséquence de ce qui s'est passé hier soir. Odeur de pain grillé.
Nous prenons notre petit déjeuner en chuchotant. Nous mangeons toutefois de bon appétit tout en bavardant. J'écoute les filles.
Elles évoquent effectivement ce que nous avons vécu hier soir au haras. Gérard, Léon, Juliette. Et les premières constatations.

J'écoute en silence les filles qui échangent leurs premières déductions. C'est dimanche. Pas de jogging. Nous traînons à table.
La vaisselle. C'est la jour du ménage. Estelle se propose de faire le salon. Clémentine monte faire la chambre. Tout est réglé.
Je m'occupe de la cuisine. Je nettoie les chiottes du bas. Je suis entrain de frotter la cuvette lorsqu'Estelle vient me rejoindre.
Elle m'attrape les couilles par derrière et me fait : < Moi, j'ai beaucoup apprécié ce que j'ai fait hier soir. J'étais comment ? >
Nous rions de bon cœur. Je la félicite pour ses compétences. < J'aime de plus en plus les trucs glauques ! > me murmure t-elle.

Estelle me confie le plaisir intense qui subsiste de cette expérience. < J'aime les vieux messieurs sales et vicieux ! > me dit elle.
Je lui dis : < On y retourne quand tu veux ! >. Estelle me répond : < Je ne sais pas si Clémentine est dans le même esprit ! >
Estelle joue avec ma queue. Je la laisse faire en écoutant ses étonnantes révélations. Elle retourne terminer le ménage au salon.
Je passe la serpillère sur les sols de la cuisine, du hall d'entrée et des chiottes. Je monte rejoindre Clémentine. Estelle m'attend.
Elle me choppe à la porte pour me dire : < J'ai encore envie de sucer. Tu me laisses faire un peu ? >. Je la repousse doucement.

Je la prends par la main pour l'entraîner dans l'escalier. Nous rejoignons Clémentine qui achève de changer les draps. Elle sourit.
Estelle propose de passer l'aspirateur ici, dans la chambre. Je ramasse les draps sales. Clémentine m'entraîne à la salle de bain.
Clémentine, l'air un peu tristounet, se serre une fois encore contre moi pour me demander : < Tu n'est vraiment pas fâché ? >
Je lui dis : < Mais pourquoi serais-je fâché et de quoi. Nous avons vécu quelque chose d'exceptionnel. Ça va passer tu verras ! >
Je félicite Clémentine pour son comportement de hier soir. < J'ai encore le goût dans la bouche. C'est dégoûtant ! > me dit elle.

Je nettoie le bac à douche et le bidet. Clémentine s'occupe des miroirs et du lavabo. Elle descend avec le panier à linge remplit.
Je nettoie les chiottes de l'étage. Une fois encore Estelle vient le rejoindre. < Je dois faire un pipi ! > me fait elle en s'installant.
Cambrée sur ses genoux fléchis, se tenant au mur, Estelle se met à pisser. Elle arrache deux feuilles de papier qu'elle me tend.
J'attends la fin des dernières goutes avant de la torcher. Nous rions de bon cœur lorsqu'elle me dit : < Tu essuies super bien ! >
Elle sort ma bite et me dit : < Et toi ? >. Je ne dois pas pisser mais je me mets en position. Estelle s'accroupit pour me sucer.

Je la laisse faire. Je lui caresse la tête. Je lui murmure : < Tu aimes ça, hein ! >. Estelle répond par un gémissement affirmatif.
Je bouge un peu. Je bande mou. Je saisi Estelle pas ses cheveux attachés en queue pour la forcer à cesser puis à se redresser.
< J'adore bouffer de la bite ! C'est un peu à cause de toi ! > me fait Estelle en se blottissant contre moi. Je lui caresse la tête.
Je lui propose de descendre pour rejoindre Clémentine qui semble un peu tristounette. < C'est une grande fille ! > me fait elle.
Je la repousse doucement en disant : < Laisse moi terminer, je vous rejoins après ! >. Estelle me fait un bisou avant de partir.

Je passe la serpillère sur les carrelages. Je descends rejoindre les filles. Je les entends rires à la cuisine. Ouf. Me voilà rassuré.
Estelle s'occupe des pavés de saumon qu'elle prépare en papillotes. Clémentine a cherché des salades au jardin qu'elle prépare.
Je m'occupe du brouillis de tomates, de courgettes et de champignons. Clémentine a retrouvé le sourire et sa bonne humeur.
Je passe derrière elle. Je la tiens par la taille. Elle me fait : < Je t'aime Julien. Et sans toi tout cela serait impossible. Merci ! >.
Je lui dis : < Oh, je crois que tu te débrouillerais d'une autre façon ! >. Nous rigolons comme des bossus. La joie est revenue.

Il est presque midi. Le ciel s'est couvert. Aucune menace. Ce sont d'épais nuages qui encombrent un ciel gris mais lumineux.
Nous mangeons dans la véranda. La bonne humeur est revenue. Les filles évoquent à présent la soirée de hier en plaisantant.
< Il a éjaculé Léon ? > demande Clémentine à Estelle qui répond : < Honnêtement, je ne sais pas, ça coulait tout le temps ! >
< Moi c'est pareil ! Je ne sais pas si Gérard a éjaculé, ça coulait sans arrêt, j'avais beau pomper ! > nous explique Clémentine.
< En tous cas, j'ai jamais vécu un truc aussi intense. Deux vieux vicieux ! Impuissants et incontinents ! Beurk ! > fait Estelle.

Nous traînons à table. Nous faisons le programme de l'après-midi. Avec ce temps couvert, plutôt frais, nous irons randonner.
Clémentine nous demande : < Vous avez envie de retourner au haras ce soir, comme nous le propose Juliette ? >. Un silence.
Estelle me consulte du regard. Clémentine rajoute : < Je propose de ne pas y aller. Laissons passer quelques jours ! >. Bien.
Je trouve que c'est une sage décision. Estelle aussi. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents.
Nous nous mettons en tenues de sport. Jupette sport pour Clémentine, shorts pour Estelle et moi. T-shirt pour tout le monde.

Dans le petit sac à dos je mets des pommes, des barres de céréales, la bouteille d'eau et nos K-ways. Il est 13 h45. Il fait gris.
Nous faisons un rapide courriel à Juliette pour l'informer que nous ne viendrons pas ce soir. Peut-être mardi ou mercredi soir.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, parle de l'Ecosse.
< Je veux venir passer toutes les soirées avant votre départ avec vous. Après je ne vous vois plus tout un mois ! > fait elle.
< Tu seras avec Gauvin ! > lui dit Clémentine. < Je préfère la compagnie des vieux messieurs très cochons ! > lui fait Estelle.

Nous arrivons au parking. Nous allons faire le circuit du lac. Il y a beaucoup de monde. Estelle et Clémentine sont contentes.
Elles me font plein de bisous et ont plein de mots gentils. Je prends le sac à dos. Nous chaussons nos souliers de randonnée.
Estelle ouvre la marche de son pas rapide. Clémentine me tient par la main. Nous marchons derrière. Nous croisons des gens.
< C'est à croire que tout le monde s'est donné rendez-vous ici ! > fait Estelle en se retournant sans cesser de marcher. Bien.
La vue sur le lac aux eaux noires, est magnifique. Nous marchons sur le tronçon de sentier qui évoque un pierrier des Alpes.

Nous arrivons aux ruines du vieux château. Il serait vain de tenter une exhibe tant il y a de visiteurs. Nous nous asseyons.
Le ciel restera couvert tout le reste de l'après-midi. Estelle est assise à ma gauche. Clémentine à ma droite. Nous grignotons.
Assis sur les ruines d'un escalier, en hauteur, nous avons une vue magnifique sur le lac. Nous savourons nos belles pommes.
< Montre moi ta queue ! > me fait Estelle. Clémentine m'ouvre la braguette. Je sors mon sexe. Estelle se penche pour voir.
< Ma préférence va à la bite de Mr Gérard, et toi Clémentine ? > demande Estelle. < Moi c'est celle de Julien ! > lui fait elle.

< Tu es vexé ? > me demande Estelle. Je la rassure : < Chacune sa préférence ! >. Clémentine lui fait : < Et chipolata ? >
< Miam, miam ! > répond Estelle. Nous rigolons comme des bossus lorsque je demande à Estelle : < Et la bite de Gauvin ? >
< Arrête ! Avec lui je ne commence rien ! Il ne s'imagine pas un seul instant ce que je suis capable de faire ! > fait Estelle.
< Les mecs de notre âge n'imaginent pas un seul instant ! > fait Clémentine. Estelle se penche pour humer ma queue molle.
Je la tiens par la nuque. Clémentine regarde partout autour de nous. Personne ne peut voir ce qui se passe. Discrétion totale.

Nous restons ainsi à disserter longuement sur le goût des bites déjà goûtées par les deux filles. J'étais le premier d'Estelle.
Clémentine avait vaguement sucé son petit copain de l'époque. Un D'jeune, éjaculateur précoce et pas réellement branché.
Estelle prend ma bite en main pour dire : < Aujourd'hui, il y a des mecs, lorsque je parle avec eux, j'imagine leurs queues ! >
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < Moi, c'est tout le temps. Et j'adore lorsqu'ils me la montrent ! >. Joie.
Nous reprenons notre randonnée. La conversation reste axée sur le sexe, l'expérience des filles et leurs amusants fantasmes.

Nous faisons le grand tour du lac. Clémentine ne me lâche quasiment jamais la main. Nous marchons souvent derrière Estelle.
< Je t'aime ! Tu m'aides tant ! Je te remercie pour tout mon bonheur ! > me chuchote plusieurs fois Clémentine. Je la rassure.
Nous sommes de retour à la voiture vers 19 h30. Nous avons fait la grande boucle. La faim se fait cruellement sentir. Super.
Je roule doucement. 25 km. Nous croisons quelques voitures sur la petite route qui nous ramène à la maison. Nous discutons.
Jamais nous n'avons été aussi bavards tous les trois. La conversation reste sexuelle. Les filles échangent leurs impressions.

Elles ont toutes deux une préférence marquée pour les hommes d'âge mûr. Je leur conseille d'essayer de jeunes types. Rires.
Nous arrivons à la maison. Il est 20 h30. Clémentine prépare la salade. Je m'occupe des spaghettis. Estelle prépare une sauce.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Estelle insiste pour passer toutes les soirées avec nous avant notre départ.
Elle est obligée de travailler au bureau de l'entreprise familiale la journée. C'est un peu dur. Je lui propose de dormir ici. Joie.
Estelle préfère rentrer. Ainsi, le matin, après son jogging et sa douche, elle est immédiatement au boulot. Gain de temps. Bien.

Nous mettons au point le programme de la semaine. < Grosso merdo ! > précise Clémentine. L'envie de retourner aux écuries.
Nous nous réservons la possibilité de réagir en fonction de nos désirs et de nos pulsions en ce qui concerne le haras. C'est bien.
Nous traînons à table. Clémentine, assise sur mes genoux, Estelle assise sur le bord de la table, nous faisons des "plans vices".
< C'est génial d'avoir cette complicité, tous les trois ! > fait Estelle à plusieurs reprises. Je dis : < C'est assez exceptionnel ! >.
Clémentine confirme en précisant : < C'est quand même la résultante de plus d'une année de "pratiques" et d'expériences ! >

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Nous sommes vautrés dans le canapé. Je suis entre les filles.
Estelle joue avec ma queue tout en bavardant. Comme elle le fait toujours. Clémentine a posé sa tête sur mon épaule. Joie.
Nous sommes fatigués et il y a de longues séquences de silence. C'est principalement Estelle qui nous raconte des histoires.
Elle se penche parfois pour sucer mon sexe. Je bande mou. Clémentine a tendance à s'endormir. Toutes ces émotions folles.
Il est 22 h15 lorsque nous ramenons Estelle et sa bicyclette. La séparation est difficile. Elle revient demain soir. Je la rassure.

Au retour, Clémentine me confie l'immense satisfaction qui commence à la gagner. Les conséquences de l'expérience de hier.
Nous montons aux toilettes. La salle de bain. Nous allons nous coucher. J'offre à Clémentine un délicieux et juteux cunnilingus.
Elle ne tarde pas à m'attirer sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons tout à fait immobiles.
Clémentine me murmure les plus étonnantes révélations. Elle est partante pour refaire une pipe à Gérard. Mais pas à Mr Léon.
< Il a un goût dégueulasse, vraiment à gerber ! > m'avoue Clémentine. Elle ne peut réfréner son orgasme. Une pipe et dodo.

Bonne randonnée à toutes les coquines qui ont besoin de donner leurs impressions à leurs coquins. D'avouer leurs penchants…

Julien - (Qui s'endort contre Clémentine qui a retrouvé tout son optimisme naturel et sa soif d'expérience habituelle) -

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Clémentine monte d'un cran en s'offrant des frayeurs nouvelles

Hier matin, lundi, je suis réveillé par ce léger froissement des draps. Un frottement régulier, à peine perceptible. Je comprends.
Même si je fais encore semblant de dormir, tout cesse. Clémentine se serre contre moi. Elle sait que je suis réveillé. Des bisous.
< J'ai fait un rêve érotique ! > me chuchote t-elle. < Bonjour ma belle masturbatrice ! > ai je le temps de lui murmurer. Bises.
Clémentine me chevauche en riant. < Bonjour mon amour ! > me fait elle avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Il est 7 h15. Je presse les oranges. Clémentine fait notre café.

Nous prenons notre petit déjeuner dans la plaisante odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Bon.
Clémentine me raconte son rêve érotique. J'écoute, étonné et amusé, ce qui a encore délicieusement troublé son sommeil. Rires.
Il y est question de ce qu'elle a vécu samedi soir. Avec quelques déclinaisons supplémentaires. Cette fois, seule avec Mr Gérard.
< Il est aussi salaud dans mes rêves que dans la réalité ! > me fait ma compagne. Nous rions de bon cœur de cette affirmation.
Nous sommes déjà en tenue de jogging. Il fait beau. La vaisselle. Nous voilà dehors. Il fait déjà doux. Nous courons en rythme.

Il est 9 h lorsque nous revenons après un running des plus agréables. La douche. Nous nous habillons. Vêtements légers. Bien.
Ce matin, je vais nettoyer mon atelier. Clémentine m'y accompagne avant d'aller s'occuper du jardin. Elle me parle de son rêve.
Je lui propose de réaliser dans la réalité son rêve. De se retrouver avec le palefrenier, toute seule et toute nue. Elle me regarde.
< J'oserais jamais si je ne te sais pas caché à proximité. Je la rassure. Je serais toujours planqué. Il ne pourra rien arriver. Joie.
Nous rigolons comme des bossus lorsque je rajoute : < Que pourrait-il d'ailleurs arriver de pire que ce qui t'es arrivé samedi ! >

Clémentine me laisse pour aller au jardin. Je range l'atelier avec soin. Cet endroit est toujours soigneusement entretenu. Boulot.
Je chasse la poussière tous les jours. Rien n'est plus rédhibitoire que de retrouver des particules collées sur la surface de la toile.
Le pire, ce sont les poils de cul ou les cheveux. Ils peuvent ruiner un effort de plusieurs heures. Je fais l'inventaire des tableaux.
Les trente toiles sont alignées, face contre le mur, recouvertes de draps fins qui les protègent. Je passe l'aspirateur. Et avec soin.
Il est 11 h lorsque je rejoins Clémentine au sommet de l'échelle. Elle cueille des cerises. < Tu regardes sous ma robe ! > dit elle.

Nous rions de bon cœur lorsqu'elle écarte les jambes pour me montrer qu'elle ne porte jamais de culotte au jardin. C'est pratique.
Nous bavardons un peu avant que ma compagne ne redescende prudemment pour me montrer le panier presque plein. Superbe.
< On se fait une tarte et des coulis. On a encore plein de confitures de l'an dernier ! > me fait Clémentine en me faisant goûter.
Ce sont de gros bigarreaux presque noirs. Certain contiennent des vers. Et à cause de toute l'humidité de cette fin de printemps.
Nous allons au potager pour y cueillir de belles tomates, des carottes, des radis, un beau poireau. Je prends une belle courgette.

Après une visite de la roseraie, où Clémentine me fait admirer ses fleurs magnifiques, nous rentrons. La faim se fait bien sentir.
Il est midi passé. Clémentine s'occupe des salades. Je prépare le brouillis de tomates, de courgette, champignons, ail, oignon.
Je pane deux filets de cabillaud que je fais revenir à la poêle. Clémentine vient souvent se blottir contre moi. Et je la serre fort.
Je passe souvent ma main, lorsqu'elle est sèche, sous sa robe légère. A chaque fois elle se cambre pour m'en permettre l'accès.
Nous mangeons de bon appétit dans la véranda. Nous évoquons notre prochain séjour en Ecosse. Clémentine en est impatiente.

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt aux cerises écrasées, Clémentine me confie son fantasme le plus récent.
Se faire surprendre, couchée sur le dos, en appui sur les coudes, cuisses largement écartées comme une invitation à la baise.
Avec ma présence secrète dans les environs, pour sécuriser, la réalisation de ce fantasme est d'une grande simplicité. J'écoute.
< Me faire baiser par un mec, un inconnu qui me découvre ainsi ! C'est souvent dans mes rêves, la nuit ! > m'explique t-elle.
Je dis : < Il faut que tu vives ta jeunesse sans restriction. Tu ne dois rien négliger. Si tu ressens le besoin de le faire, fais le ! >

< Je t'aime Julien. Tu me comprends tellement ! Je suis si heureuse ! > me fait ma compagne en se serrant fort dans mes bras.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents et nous mettre en tenue vélo. Il est à peine 13 h45.
Nous voilà en chemin pour rejoindre la piste cyclable. Nous pédalons contre un fort vent d'Ouest. Nous croisons peu de monde.
Arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Clémentine, accroupie au milieu de la route, pisse. Je lui passe la bite sur le visage en mâtant.
Personne n'arrive. Je la laisse sucer un peu. < Je pourrais faire ça tout le temps ! > me dit elle pendant que je la torche. Rires.

Nous arrivons au port de plaisance pour 15 h30. Il y a peu de monde. Le groupe de joueurs de pétanque. Quelques plaisanciers.
Nous fermons les vélos à cadenas derrière la capitainerie. Nous saluons Clarisse, la capitaine occupée au téléphone. Un coucou.
Nous allons à la supérette pour nous offrir nos cônes glacés. Nous bavardons avec la gérante. Il y a peu de clients. C'est sympa.
Nous flânons sur le quai en dégustant nos cônes glacés. Clémentine regarde sans arrêt en direction des joueurs de pétanques.
C'est bien évidemment l'arrivée de Maurice qui suscite son attention. Nous faisons notre tour habituel. Tous les coins et recoins.

< Là-bas ! Chipolata ! > s'écrie Clémentine en montrant l'arrivée de Maurice sur sa mobylette. Elle m'entraîne dans les fourrés.
< Reste là, je vais aller l'allumer un peu pour l'entraîner par ici ! Tu surveilles, hein ! > me fait ma compagne en me laissant là.
Je la regarde s'éloigner. Arrivée près des bagnoles du parking, elle marche doucement, les bras croisés en regardant les joueurs.
Maurice ne tarde pas à apercevoir cette jeune fille avec qui il passe parfois du bon temps. Elle fait de discrets signes. Obscènes.
Clémentine, debout entre deux voitures, à environs cinquante mètres des joueurs de boules, mime une masturbation masculine.

Maurice, tout aussi discret, regarde la jeune fille qui lui montre les fourrés de son index pointé vers le bâtiment des sanitaires.
Elle s'y dirige doucement en se retournant plusieurs fois. Maurice ne tarde pas à la suivre tout en poussant sa mobylette. Bien.
< T'es où ! > fait Clémentine en revenant dans les fourrés. Je sors de ma planque pour la rassurer. Elle m'embrasse très vite.
Je retourne me cacher. Maurice arrive. Il pose sa mobylette contre le mur. Clémentine s'installe sur le petit carré de béton au sol.
En appui sur ses coudes, les cuisses largement écartées, culotte à la main, elle attend. Maurice arrive. Il découvre la jeune fille.

Je n'entends pas très bien les propos qui s'échangent. Il tend la main à Clémentine qui la lui serre. Il ouvre sa braguette. Zob.
Il sort sa queue tout en bavardant. Clémentine reste dans sa position hautement suggestive, sans bouger. Le type agite sa bite.
Je ne la vois pas car il me tourne le dos. Il s'approche de la fille pour la lui tendre, cambré sur ses genoux fléchis. Il se branle.
Maurice ne bande pas non plus. Encore un impuissant de plus de 60 ans. Cela rassure toujours Clémentine qui adore les vieux.
Elle sait ne pas risquer de se faire baiser par certains de ces mecs impuissants et d'âge mûr. Clémentine lui montre sa chatte.

De son index elle montre son sexe en invitant Maurice à se coucher sur elle. Le type ne se fait pas prier. Il se couche sur la fille.
Clémentine enroule ses jambes autour des hanches du mec et ses bras autour de son cou. Le type se met à bouger rapidement.
Même s'il ne peut pas la pénétrer, il peut se masturber sur la fille. Il tente d'embrasser Clémentine qui détourne son visage. Jeu.
J'ai une drôle d'impression en observant le couple. Clémentine se met à bouger en rythme sous le type qui l'accompagne. Super.
Je me branle en découvrant à quel point la situation excite ma compagne qui se laisse aller totalement. Elle se masturbe. Plaisir.

Le type se redresse. Il s'assoit sur la poitrine de la fille. Il tente de lui enfoncer la bite dans la bouche. Clémentine se détourne.
Elle se touche d'une main tout en tentant de se soustraire à l'étreinte du mec qui cherche absolument à lui enfoncer sa queue.
Clémentine cesse. Elle tente à présent de se dégager car le type lui frotte la bite sur le visage. Il va y arriver, elle doit respirer.
Clémentine donne des coups de genoux dans le dos de Maurice qui la tient fermement par la nuque. La situation devient critique.
Je n'interviens pas. Je laisse encore un peu Clémentine vivre une frayeur. Pourtant, les cris de Clémentine deviennent sincères.

Le type lui a enfoncé des doigts. Clémentine tente de les retirer en tenant le poignet de Maurice. Je décide d'intervenir, et vite.
Maurice, surpris de me voir débouler, se retire rapidement. Clémentine se redresse à toute vitesse. Maurice remballe sa queue.
Il file à toute allure. Clémentine me demande un mouchoir en papier. Elle a du foutre qui lui macule tout le bas de son visage.
Elle me montre les taches de foutre sur le haut de son T-shirt. < Et je n'ai même rien pour me changer ! > me fait elle dépitée.
Nous rions de bon cœur de cette situation burlesque. < Ce salaud dégouline de la bite sans arrêt ! > me fait Clémentine. Rires.

Nous prenons le chemin du retour. Nous pédalons vite et sans effort car le vent nous pousse. Il est 19 h lorsque nous revenons.
Estelle est déjà là. Elle a préparé le repas du soir. Réchauffé le brouillis de tomates accompagné d'une grosse et belle omelette.
Elle me saute au cou. Clémentine monte changer de T-shirt. < Elle a sucé ? > me fait Estelle. Je dis : < Non, mais presque ! >
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table dans la véranda. Clémentine raconte notre aventure.
Estelle écoute très excitée. < Put-Hein, ne fais jamais ça avec un mec qui bande ! > fait elle. < Aucun risque ! > dit Clémentine.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Estelle demande si elle peut vivre la même expérience avec moi.
Clémentine n'aime pas me voir couché sur une autre fille. Même si c'est pour faire semblant. Elle autorise pourtant l'imitation.
Estelle ne se le fait pas autoriser deux fois. Elle se couche directement au sol. M'invite à venir me coucher sur elle, trop heureuse.
Je me couche sur la fille. Clémentine est vautrée dans le fauteuil. Elle se masturbe en profitant du spectacle. Je bande très fort.
Estelle sent ma bite dure sur son sexe. Je me met à me masturber à toute vitesse. < J'aimerais que tu viennes ! > fait Estelle.

< Pas question ! > répond Clémentine. Nous nous contentons de mimer l'acte d'amour en nous embrassant comme des fous.
Estelle bouge en rythme sous moi, ses jambes enlacées atour de mon bassin, accrochée à mon cou de ses bras. Nous imitons.
J'entends les gémissements de Clémentine qui ne peut refréner l'orgasme qui la terrasse. Et Estelle connaît un orgasme aussi.
Je la regarde, les yeux fermés, se terminer en poussant des râles de plaisir. C'est comme si nous avions baisé vraiment. Fou !
Clémentine se lève pour m'obliger à me redresser. Estelle, à genoux, nous regarde. Elle dit : < C'est génial ! >. Je l'embrasse.

Clémentine me maintient à l'écart. J'ai sorti ma bite qui dégouline de liquide séminal. < Tu me la donne ? > demande Estelle.
Clémentine me tient par la bite pour m'entraîner devant Estelle. Je lui enfonce le sexe en bouche. Je reste immobile. Elle suce.
Clémentine se frotte contre ma hanche en m'embrassant. J'éjacule dans la bouche d'Estelle qui pousse un cri de ravissement.
Nous restons encore un peu ainsi. Il est 22 h15. Nous ramenons Estelle et son vélo. Séparation difficile. Elle revient demain soir.
De retour, au lit, épuisés, l'un contre l'autre, nous tentons la baise. Clémentine se frotte encore un peu avant de s'endormir…

Bonne virée à bicyclette à toutes les coquines qui aiment vivre des situations "limites" sous la protection de leur mec…

Julien - (Garde du corps, vigile, qui assure le service sécurité avec toute la diligence nécessaire à la sécurité de Clémentine) -

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Clémentine éprouve le besoin de resituer les choses

Hier matin, mardi, nous nous réveillons tous les deux en même temps. Il est 7 h15. Notre horloge biologique fonctionne bien.
< Bonjour Julien ! > me fait Clémentine. < Bonjour Clémentine ! > ai je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche. Rire.
Douceur et papouilles avant que l'impérieux besoin naturel ne mette un terme à nos effusions de tendresse. Il faut aller pisser.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine après avoir revêtu nos tenues de jogging. Et il fait déjà beau.
Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous prenons le petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé.

Nous mangeons de bon appétit tout en conversant. Clémentine me confie vivre dans une sorte d'étrange confusion intérieure.
Ma compagne en déduit que ce sont probablement les conséquences de tout ce que nous avons vécu depuis samedi dernier.
J'écoute en silence. < Il faut que je range un peu les étagères dans ma tête avant notre départ pour l'Ecosse ! > me fait elle.
Elle rajoute : < L'hiver m'a semblé long. J'ai accumulé tant de frustrations. Avec les beaux jours, j'ai vécu dans l'exubérance ! >
Clémentine fait allusion à ses fantasmes et à ses penchants exhibitionnistes. C'est vrai que l'hiver n'est pas propice à ces jeux.

La vaisselle. Il est 7 h45. Nous voilà à courir. Il fait doux. L'absence de vent renforce encore cette sensation. C'est très agréable.
Nous courons d'un bon rythme. La campagne est magnifique. Il y a cette lumière diaphane propre aux matins de la belle saison.
Nous faisons notre circuit habituel avant de revenir pour 9 h. La douche. Nous nous habillons légèrement. Robe pour Clémentine.
Je suis en short. Nous allons dans l'atelier. Ce matin je vais disposer les toiles dans leurs cartons. Six cartons et cinq par carton.
Demain matin, nous ferons les 45 km qui nous séparent de la petite cité de caractère pour y déposer les cartons dans la galerie.

Clémentine me laisse à ma tâche pour sortir au jardin. Demain matin nous faisons intervenir l'entreprise paysagiste dès 8 h30.
Ainsi la propriété est entretenue durant notre absence du 29 juin jusqu'au début septembre. Il y a les haies et l'herbe à tailler.
Je dispose chacune de mes toiles dans un papier kraft avant de la mettre dans le carton verticalement. Carton prévu à cet effet.
Les deux dernières toiles, nos portraits en tenues du XVIIème sont secs. Ils viendrons avec nous en Ecosse. Je les laisse à l'air.
Tout est prêt. Je vide les cendres dans la cheminée avant de la nettoyer. Je passe l'aspirateur. Voilà mon atelier propre, rangé.

Je rejoins Clémentine dans le jardin. Coiffée de son chapeau de paille, son tablier de jardinage, ses gants de protection. Belle.
Elle est occupée à retirer les mauvaises herbes dans une des deux allées du potager. Elle me voit venir. Elle écarte ses cuisses.
J'aime. C'est toujours si émouvant de la voir m'offrir ces invitations au stupre et à la luxure. Je m'accroupis à ses côtés. Bisous.
Je l'aide pendant qu'elle pense à haute voix, partageant ses préoccupations comme elle le fait souvent. Les études et la rentrée.
J'écoute en silence. Je sais que nous sommes à la veille de ses règles. Clémentine est alors toujours un peu tourmentée. Cycle.

Nous parlons de nos vacances en Ecosse. De mon projet de faire une virée en mer, au Nord du pays, en bateau autour des îles.
Quarante huit heures en mer pour faire le tour des Shetlands. Cabine individuelle, repas. Clémentine se réjouie tant pour cela.
< J'aimerais profiter d'Edimbourg et y traîner une bonne partie du début Juillet. Bel endroit pour se resituer ! > me confie t-elle.
Je trouve la suggestion excellente. < Pas besoin d'organiser des trucs tous les jours, laissons nous aller ! > rajoute Clémentine.
Je suis absolument d'accord. Nous cueillons une belle laitue, de belles tomates, des radis, une des dernières courgettes de l'été.

Je vais benner la brouette contenant les mauvaises herbes sur le tas de compost. Je rejoins Clémentine dans la serre. Les fleurs.
Il fait toujours une chaleur accablante dans la roseraie. Malgré le courant d'air provoqué par les deux carreaux ouverts. Difficile.
Le spectacle de toutes ces fleurs est magnifique. Il n'y a pas besoin de s'en occuper beaucoup. Clémentine se serre contre moi.
< Je t'aime Julien. Je t'aime si fort ! > me murmure t-elle en frottant son sexe contre le mien. Je passe ma main sous sa robe.
Comme toujours, au jardin, ma compagne ne porte pas de culotte. J'aime l'humidité de la raie culière. La sueur, la transpiration.

Nous restons jusqu'à la limite du supportable. Les verrières ont un effet loupe qui rajoute encore à la chaleur du double vitrage.
Ouf ! Nous voilà au dehors. Cette année, ce sera encore un été à fruits. Les deux noyers promettent un cru exceptionnel. Super.
Il est onze heures quarante cinq. La faim se fait sentir. Clémentine s'occupe des salades. Je prépare la pâte à pain pour ce soir.
Je prépare la garniture pour les pizzas. Tomates du jardin, courgette, ail, oignon, persil, ciboulettes et champignons coupés fins.
Pour midi, je récupère un peu de garniture comme sauce pour accompagner les steaks de thon que je fais dorer à la poêle. Bon.

Nous mangeons de bon appétit dans la véranda dont toutes les baies vitrées sont largement ouvertes. Nous bavardons en riant.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au coulis de cerises, Clémentine me parle de nos étonnantes aventures.
La soirée de samedi, en compagnie d'Estelle, de Gérard et de Léon. La situation avec Maurice au port de plaisance. Très excitant.
< Mais ça brouille un peu la psyché et ça rend certaines perceptions confuses. Par contre c'est bien pour la libido ! > me fait elle.
Nous rigolons comme des bossus. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents. Et faire les clowns.

Nous redescendons en tenues vélo. Il fait chaud, beau, le ciel est bleu. Peu de nuages. Je vérifie la pression des pneus. 4,5 bars.
Nous voilà en chemin pour rejoindre la piste cyclable. Il est à peine 13 h50 lorsque nous pédalons contre un léger vent d'Ouest.
Nous croisons peu de monde. Principalement des séniors, retraités sportifs, qui font leurs exercices quotidiens. C'est très sympa.
Arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Je tiens Clémentine accroupie au milieu de la piste par ses cheveux attachés en queue. Pissou.
Je surveille. Personne ne vient. Je sors ma bite pour la lui passer sur le visage. Clémentine adore mes comportements vicelards.

Je lui promets des journées écossaises où je me comporterais en dernier des salopards. Le jeu du "Maître" et la "Soumise". Joie.
Je la torche en insistant bien. Clémentine adore. Il faut se relever car il y a des cyclistes qui se pointent. Nous nous réajustons.
Nous reprenons notre route pour arriver au port de plaisance vers 15 h45. Et pas d'opportunité exhibitionniste pour Clémentine.
Il y a peu de monde. Le groupe de joueurs de boules, quelques touristes, des plaisanciers vautrés sur le pont de leurs bateaux.
Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie. Nous bavardons un peu avec Clarisse la capitaine. Il fait très chaud.

Nous nous rendons à la supérette pour nous y offrir nos cônes glacés. Nous bavardons avec la gérante. Il y a très peu de clients.
Nous apprenons qu'il y aura dimanche une exposition extérieure de quelques artistes de la région. Des sculpteurs et plasticiens.
Nous dégustons nos glaces en flânant sur le quai. Clémentine a beau scruter partout, faire tous les recoins, pas de "plan" exhibe.
Maurice et sa mobylette sont encore aux abonnés absents. Je la touche souvent en passant ma main sous sa jupette de sport.
Clémentine a mis sa culotte dans le petit sac à dos qui ne nous quitte jamais. Discrètement, je la caresse à plusieurs reprises.

Il est 17 h30 lorsque nous prenons le chemin du retour, poussés par un vent qui évite tout effort. Nous arrivons pour 18 h45.
Estelle est déjà là. Elle nous voit arriver depuis la fenêtre de la cuisine. Elle est toute contente et nous fait de grands coucous.
Elle me saute au cou. < Les pizzas sont au four. Les salades sont prêtes et la table est mise dans la véranda ! > nous fait elle.
Nous la remercions. Nous ressortons au jardin nous asseoir sur le petit pont au dessus du bassin. Je suis assis entre les filles.
Elles évoquent nos aventures. Estelle ressent un peu les mêmes choses que Clémentine. Une sorte de confusion. C'est le sexe.

La sonnerie du four se fait entendre depuis la cuisine. Morts de faim nous nous précipitons. Les pizzas sont un véritable délice.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le sujet reste bien évidemment l'expérience de samedi soir. La soirée pipe.
Estelle propose de faire un petit tour au haras demain soir. < Juste pour bien situer les choses et faire le bilan ! > nous dit elle.
< Et accessoirement se retrouver en situation vicelarde aux écuries ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur. C'est super.
Nous traînons à table jusqu'au crépuscule. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon, les fenêtres ouvertes.

Clémentine reste tout près de moi. < J'ai envie de baiser ! > me murmure t-elle plusieurs fois. Estelle joue avec mon Zob. Joie.
Nous sommes vautrés dans le canapé. Il est rare que Clémentine manifeste ce souhait. Sa préférence va au cunni et à la pipe.
Je me redresse. Je suis debout devant les filles. Estelle me tient fermement la queue. Je bande comme le dernier des salauds.
Je saisi Clémentine par ses cheveux attachés en catogan. Je la fais se lever pour l'entraîner jusqu'au bureau. Estelle nous suit.
Je soulève Clémentine. Je l'installe sur le bureau. J'écarte ses jambes que je tiens. Estelle guide ma queue pour bien la placer.

Le sexe à Clémentine est trempée. Il perle de la cyprine laiteuse au bas des lèvres charnues de son sexe. Son clito turgescent.
Estelle introduit mon sexe dans celui de Clémentine qui pousse un râle de plaisir. Nous restons immobiles. Un profond silence.
En appui sur ses coudes, Clémentine me fixe avec insistance. Estelle, assise sur la chaise, à ma droite, me tient par les couilles.
Estelle, penchée en avant, regarde mon sexe presque totalement enfoncé dans celui de Clémentine. Elle me descend le short.
Clémentine m'attrape par le cou pour se redresser. Elle se met à me murmurer les plus étonnantes révélations. Estelle écoute.

Parfois, je sors mon sexe de celui de Clémentine pour l'offrir à Estelle qui le suce. Et comme si sa vie en dépendait. Le bonheur.
Je suis obligé de l'empêcher de continuer pour revenir dans Clémentine qui me chuchote des cochonneries amusantes. Superbe.
Une grande partie de la soirée se déroule ainsi. Comme toujours, tous les trois, nous vivons le plaisir dans une osmose parfaite.
Depuis plus d'une année, tous les trois, nous avons appris à partager une complicité merveilleuse. Nous sommes des privilégiés.
Nous en parlons souvent. Il sera dur de vivre l'inévitable fatalité qui nous mènera, un jour, à la fin de cette magnifique histoire.

Nous nous promettons de vivre tout cela avec plus d'intensité encore, en Ecosse, au mois d'août, lorsqu'Estelle nous rejoindra.
Il est 22 h15. Il faut ramener Estelle et sa bicyclette. Demain elle travaille dans l'entreprise familiale. La séparation est cruelle.
Estelle revient demain soir. Nous irons traîner au haras. Au retour, Clémentine me suce avec avidité. Elle me confie son bonheur.
Les toilettes. La salle de bain. Nous voilà au lit. Clémentine m'attire sur elle. Nous reprenons notre baise en nous berçant. Bien.
Clémentine chuchote toutes ces choses qui me font fondre. Son orgasme est fou. Elle veut me sucer. Bouffer mon foutre. Dodo.

Bonne soirée dans la merveilleuse intimité d'une sublime complicité à trois à toutes les coquines que cela passionne…

Julien - (Très conscient, comme Estelle et Clémentine, que cette période de notre vie est un enchantement paradisiaque) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 28 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 460 -



Une journée qui sort un peu de l'ordinaire

Hier matin, mercredi, je suis tiré de mon sommeil par plein de bisous. Sur les joues, sur le front et même sur le bout du nez.
J'ouvre les yeux. Le visage bienveillant de Clémentine au dessus du mien. < Bonjour Julien ! > me fait elle sans cesser. Bises.
Je la serre contre moi. < Bonjour Clémentine ! > ai je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche en riant. Les papouilles.
Nous nous précipitons aux toilettes. < J'ai mes "trucs" de filles ! > s'écrie ma compagne. Nous descendons jusqu'à la cuisine.
Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous sommes déjà en tenue de jogging. Il fait beau. Il est 7 h15.

Nous prenons notre petit déjeuner dans cette sublime odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.
Nous évoquons les petits "trucs" de fille de Clémentine. Je précise : < C'est pour ça que tu étais un peu tristounette hier ! >
La vaisselle. Il est 7 h45. Nous voilà à courir dans une douceur d'été sous un ciel d'un bleu pur et limpide. Le soleil est maître.
C'est le circuit habituel. Nous sommes de retour pour 9 h. Il y a le petit camion de l'entreprise paysagiste. Ils sont déjà là.
Nous saluons les deux employés dont l'un est en haut d'une échelle à tailler les haies de lauriers. Ils vont faire propre et net.

La douche. Nous nous habillons en tenue de cycliste. Clémentine prépare une salade de carotte. Je prends deux gros avocats.
Une boîte de crevettes. Du pain complet, deux grandes bouteilles d'eau. Pommes, barres de céréale. Il est 9 h30. Tout est ok.
Nous mettons les six cartons contenant mes toiles sur le siège arrière. La bouffe dans la glacière branchée sur l'allume cigare.
Dans le coffre, je mets nos deux bicyclettes dont j'ai démonté les roues avant. Il y a l'incessant bruit de machine des ouvriers.
Nous nous dépêchons de filer. Il y a 45 km qui nous sépare de la petite cité de caractère où j'exploite ma galerie d'art en été.

Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Comme l'an dernier, c'est elle qui va s'occuper du vernissage. Festivité.
Cette année encore, j'ai envoyé les invitations dès le début du mois de juin. Il y aura mes collectionneurs et mes acquéreurs.
Clémentine a insisté pour que j'invite Juliette. Certains de mes acquéreurs habituels viendront avec de nouveaux curieux. Joie.
Nous arrivons dans le bourg médiéval. Il y a déjà plein de touristes qui sillonnent la place en tous sens. Maisons du XVIIème.
Je gare la voiture devant la maison. Nous sortons immédiatement toutes nos affaires pour les mettre dans la galerie fermée.

Je me dépêche d'aller mettre la voiture sur le parking à trois cent mètres. Je reviens. Clémentine a ouvert les volets. Superbe.
Il y a cette odeur de beurre rance, caractéristique des lieux fermés. Les murs de pierres. L'énorme cheminée médiévale. Bien.
Tout est resté tel que nous l'avons laissé l'an dernier à la fin septembre. Il faudra faire les carreaux, passer la cireuse au sol.
Clémentine ouvre le buffet au fond. Il y a tout le nécessaire. Les gobelets en plastique, la cafetière, la plaque électrique. Papier.
La nappe, le jeu d'échec, les assiettes en carton, les serviettes en papier. Dans le coin il y a la petite table ronde, les chaises.

Derrière la grande table monastère du fond, il y a les deux tréteaux et les planches pour le vernissage. L'inventaire concluant.
Clémentine se serre contre moi. < Nous n'avons encore jamais fait l'amour dans ta galerie ! > me chuchote t-elle. Des bisous.
Nous rions de bon cœur lorsque je lui murmure : < Aujourd'hui, impossible. Tu as tes "petits machins" ! >. Elle m'embrasse.
< Mais je peux sucer ! > me fait elle, espiègle et mutine. Je réponds : < Ça, on la déjà fait ! >. Je mets ma main sous sa jupe.
Je caresse le tissus de coton doux de sa culotte. < Miam, comme c'est bon ! Ne t'arrête plus aujourd'hui ! > me fait elle. Rire.

Nous reviendrons lundi pour tout mettre en place, ranger et nettoyer. Le vernissage aura lieu mardi soir. Plus de 25 personnes.
Nous reviendrons mardi en fin d'après-midi pour disposer le nécessaire. Cacahuètes, chips, petits salés, jus de fruits et eaux.
C'est Clémentine qui veut s'en occuper. Et je sais qu'elle sait merveilleusement bien agencer un intérieur. Avec un goût certain.
Il est presque midi. Je vais chercher la glacière à la voiture. Lorsque je reviens Clémentine a préparé deux assiettes en carton.
Les couverts en plastique, les serviettes en papier sont disposés sur la table. Nous mangeons de bon appétit et en bavardant.

Nous élaborons la stratégie pour le vernissage. Cette année nous emmenons Estelle avec nous. Elle veut découvrir ma galerie.
Nous mangeons de bon appétit. Et par la vitrine, nous voyons quantité de touristes se pencher pour tenter de voir à l'intérieur.
C'est mon oncle qui va encore tenir la galerie en juillet et en août. Au téléphone, par mail il me confie à quel point il se réjouit.
Depuis toutes ces années, je sais pouvoir compter sur lui. Grand gaillard de presque deux mètres, longs cheveux en catogan.
Malgré son âge avancé, c'est un type très bien conservé, portant beau et qui sait jouer sur les confusions. On le croit l'artiste.

Nous lavons le tupperware qui a contenu la salade au petit lavabo des toilettes. Nous ramenons les déchets dans un sac papier.
Clémentine ferme les volets de la vitrine et de la fenêtre arrière. Nous voilà à déambuler sur la place. Il y a déjà un monde fou.
Je jette le sac papier dans une poubelle. Nous allons à la supérette. Nous voilà avec le dessert. Nos cônes glacés. Une addiction.
Nous flânons longuement pour découvrir les commerces de cette saison. Boutiques souvenirs, spécialités régionales, animation.
Ce sont les mêmes commerçants depuis des années. J'en connais beaucoup. Nous allons les saluer. Il est déjà 13 h30. Chaleur.

Nous retournons à la voiture que j'ai judicieusement garé à l'ombre du mur de l'école. Je sors les vélos du coffre. Tout est bien.
Il suffit de remonter les roues avant et nous voilà à pédaler sur la petite route peu fréquentée qui parcours les villages du coin.
Pour Clémentine, c'est une découverte. La région a entretenu son caractère bucolique et campagnard. Et c'est de toute beauté.
Nous bavardons tout en roulant contre un léger vent d'Ouest. Nous nous arrêtons parfois dans des endroits remarquables. Bien.
Clémentine fait à chaque fois quelques photos. Nous passons sur le sentier côtier, en haut des falaises. Clémentine a la trouille.

Il est 17 h30 lorsque nous revenons à la voiture. Elle est restée à l'ombre. Malgré tout il faut rouler avec les fenêtres ouvertes.
Il y a la climatisation, mais ni Clémentine ni moi, ne la supportons longtemps. C'est plus amusant de rouler avec le vent. Rires.
Il est 18 h30 lorsque nous arrivons. L'entreprise paysagiste a fait du super bon boulot. La propriété est méconnaissable. Fameux.
Estelle est déjà là. Elle est entrain de préparer la salade lorsque nous entrons. Elle me saute au cou, mains mouillées. Des bises.
Nous l'aidons immédiatement. Je prépare une grosse omelette. Clémentine lave et coupe les champignons. Méthode. Efficacité.

Nous racontons notre journée à Estelle qui se réjouit pour découvrir bientôt ma galerie. Mon tonton et quelques collectionneurs.
< Il faudra être habillée de manière élégante. Et tu verras, il n'y a que des gens d'âge mûr. Tu vas aimer ! > lui fait Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'Estelle rajoute : < Et le tonton à Julien ? >. < C'est le plus vieux ! > lui fait Clémentine.
Nous mangeons de bon appétit dans la véranda dont toutes les baies vitrées sont ouvertes. C'est une véritable journée d'été.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est 19 h45. Nous voilà à bicyclette pour nous rendre au haras. Visite impromptue. Bien.

La cour est déserte. Il n'y a personne. Nous posons les vélos contre le mur du portillon d'entrée. Je propose aux filles de rester là.
J'attends qu'elles entrent dans l'écurie habituelle. Je suis certain que personne ne nous a vu arriver. Je traverse très vite la cour.
Les filles m'attendent. Nous nous rendons au dernier box, là où il y a le trou dans la cloison. Je reste planqué. Pas un bruit. Bien.
Clémentine et Estelle, comme elles le font à chaque fois, se mettent à parler fort et à rire bruyamment. Quelques minutes passent.
< Bonsoir ! > fait la voix de monsieur Gérard. Et évidemment, lorsque le palefrenier entend les filles, il se dépêche de rappliquer.

J'entends la conversation. Gérard invite les filles à prendre un jus de fruits dans son local juste à côté du box où je suis planqué.
Par le trou, je peux voir Estelle et Clémentine assises sur la banquette. J'entends distinctement la nature de la conversation. Joie.
Il est rapidement question de ce que nous avons vécu samedi soir. < Tu as aimé ? > demande le palefrenier à Clémentine. Rires.
Clémentine, la tête baissée, regarde vicieusement Gérard par en dessous en faisant un signe positif. Estelle a la même attitude.
Je vois Gérard de dos, debout devant les filles à qui il tend deux gobelets contenant du jus d'orange. Gérard s'assoit à son tour.

Assis à côté de Clémentine. Il l'a saisi par ses cheveux. < Et tu voudrais refaire avant de partir en vacances ? > lui demande t-il.
Clémentine reste silencieuse. Il rajoute : < Et tu as préféré laquelle ? La mienne ou celle de Léon ? >. Clémentine ne répond pas.
Elle se contente de fixer le palefrenier, le regard par en dessous, terriblement vicelarde. Estelle répond : < Moi c'est la votre ! >.
Clémentine, soudain loquace, répond à son tour : < Moi aussi ! >. Gérard tient fermement Clémentine par ses cheveux. Silence.
< A ton retour, en septembre, je te propose une séance de dressage, ici, dans les écuries, ça te tente ? > demande t-il à la fille.

Clémentine reste évasive. Elle finit par dire : < Pourquoi pas ! J'ai jamais fait et ça m'intéresse ! >. < Moi aussi ! > lui fait Estelle.
Gérard se lève pour tirer Clémentine par ses cheveux. Il l'entraîne pour sortir du local. Elle le suit courbée en avant, bien tenue.
Estelle se lève pour les suivre. Le palefrenier s'arrête. Tout en maintenant fermement Clémentine par sa tignasse, il lui explique.
Attachée aux poutres, il lui fera subir quelques tourments. < Humiliations en tous genre et sans violence ! > explique Mr Gérard.
Il tire Clémentine à travers toute l'écurie suivit par Estelle qui se touche discrètement. Je la vois rarement aussi excitée. Super.

Clémentine se laisse faire, lascive et obéissante. Elle est à genoux à même le ciment, tenue par ses cheveux. Gérard lui explique.
Estelle mâte en disant : < Et moi ? Vous me faites quoi ? >. Gérard la prend par la nuque et dit : < Ne t'inquiète pas toi ! Va ! >
Il tient à présent les deux filles par leurs cheveux. Il se penche vers Clémentine pour lui dire : < C'est surtout toi qui mérite ! >
Il rajoute : < Depuis plus d'un an, j'ai appris à te connaître. Je soupçonne un potentiel hors norme ! >. Clémentine baisse la tête.
Soudain, la voix de Juliette. < Bonsoir ! >. Nous la regardons arriver avec surprise. Cela met un terme à la situation. 21 h30.

Monsieur Gérard lâche immédiatement les deux filles. Il les salue avant de partir assez rapidement. La présence de la maîtresse.
Je sors de ma cachette pour aller les rejoindre. < Evidemment ! > me fait Juliette en mimant une masturbation masculine. Rires.
Je lui fais : < Evidemment ! > en lui montrant la bite que j'agite dans sa direction. Je lui dis : < Vous étiez cachée où, vous ? >
Juliette ne répond pas. Elle nous propose de monter chez elle prendre un jus de fruit ou une glace. Clémentine décline son offre.
La nuit tombe. Il est préférable de rentrer. Juliette nous raccompagne. < Venez manger avant l'Ecosse ! > nous propose t-elle.

Juliette promet de venir au vernissage mardi prochain. Nous venons manger chez elle mercredi soir. Nous nous serrons la main.
Nous arrivons à la maison avec la tombée de la nuit. Il faut ramener Estelle et son vélo. Séparation difficile. Elle revient demain.
Au retour, une fois couchés, Clémentine, sa tête posée sur mon ventre, entre deux pipes, me confie les émotions vécues ce soir.
Je lui propose de retourner aux écuries un de ses prochains soirs pour tailler une pipe à Gérard avant de partir en Ecosse. Rires.
Je m'occupe du clitoris géant de Clémentine pour lui offrir un orgasme . Elle me taille une pipe. Je parle de la bite à Gérard. Jute.

Bonne journée bien remplie à toutes les coquines qui aiment se retrouver, le soir, dans des situations vicelardes avec un mec…

Julien - (Qui s'occupe de Clémentine et de ses sources d'intérêts avec attention et diligence) -

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Une visite impromptue en entraîne une autre

Hier matin, jeudi, je suis à nouveau réveillé par ce presque imperceptible froissement des draps. C'est un mouvement régulier.
Je fais semblant de dormir encore. Pourtant je sais maintenant que le changement de respiration va me trahir. C'est inévitable.
< J'ai fait un rêve érotique ! > me fait Clémentine en se blottissant contre moi. Je fais : < Bonjour ma belle masturbatrice ! >
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < C'est à cause de Gérard ! >. Clémentine me chevauche en riant. Les papouilles.
Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Il est 7 h15. Il fait beau.

Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous prenons notre petit déjeuner dans cette odeur de pain grillé.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous sommes déjà en tenue de jogging. Et Clémentine me raconte son rêve.
J'écoute en silence et plutôt amusé. Clémentine s'est vue dans des situations très coquines aux écuries. Cela l'excite beaucoup.
Je lui dis : < Tu as 21 ans. C'est maintenant que tu dois vivre tout cela. Dans quelques années tu passeras à autre chose ! >
Clémentine écoute cette affirmation sans réellement en saisir toute la portée. Il lui est impossible de se projeter dans l'avenir.

< Comme j'ai de la chance avec toi. Dans tous les domaines. Je t'aime Julien. C'est bon d'être comprise ! > me dit Clémentine.
Je lui répète : < Et moi donc ! Comme j'ai de la chance d'être avec toi ! Je t'aime Clémentine ! >. Elle s'assoit sur mes genoux.
La vaisselle. Il est 7 h45 lorsque nous courons d'un rythme soutenue sous un ciel légèrement nuageux, dans une belle douceur.
Nous faisons notre circuit habituel pour revenir à 9 h. La douche. Nous nous habillons. Clémentine porte sa vieille robe de jardin.
Je porte un de mes ridicules shorts hawaïen et une chemisette ouverte. Clémentine veut voir comment j'ai rangé l'atelier. Bien.

Nous allons au jardin. Nous faisons le tour de la propriété pour constater les travaux. L'entreprise paysagiste est intervenue hier.
Tout est parfait. Clémentine se serre contre moi. Lascive. < Tu ne m'as encore jamais fait l'amour dans le jardin ! > me dit elle.
Nous rions de bon cœur lorsque je lui rappelle que la place est occupée. Je passe ma main sous sa robe pour tirer sur la ficelle.
< Arrête ! > me fait elle toujours lorsque je fais ça. Elle m'entraîne dans le potager lorsqu'une cavalière arrive depuis le chemin.
C'est Juliette dans le contre jour de la lumière du soleil. Elle descend de cheval pour l'attacher au tronc du cerisier. Belle image.

< Bonjour ! Je passais dans les environs. Je suis venue vous faire un petit coucou ! > nous fait elle en nous serrant la main. Joie.
Presque frêle dans sa tenue d'écuyère, Juliette nous accompagne pour découvrir la roseraie. L'œuvre et les fleurs de Clémentine.
Je demande à Juliette de venir se servir en légumes, dès le début juillet, afin que rien ne se gâche. Tant qu'elle le désire. Super.
Juliette qui n'a pas la fibre jardinière et sans doute pas le temps de s'y adonner est ravie de la proposition. Nous voilà au potager.
Il y a les arbres fruitiers également. La grande échelle double est au fond du garage. Juliette est toute contente de cette aubaine.

Nous bavardons. < Pendant des années, je passais à proximité. Et j'étais intriguée par cette demeure à tourelle ! > fait Juliette.
Je l'invite à visiter la maison. En fait, cette tourelle n'est autre que l'escalier en colimaçon qui monte de la cave jusqu'au grenier.
Nous passons par le garage inférieur, là où est garée la voiture de Clémentine. De là, il y a un souterrain qui mène à la maison.
J'explique que la demeure a été construite à la fin du XIXème sur les dépendances d'une très ancienne commanderie Templière.
Il y a donc des souterrains partout. Trente mètres sous les pierres. Juliette est impressionnée. Et nous arrivons dans notre cave.

C'est Clémentine qui fait le guide. Sous la dalle de béton dans le cellier, il y a un puit profond de 10 mètres. Condamné. Danger.
Juliette admire en posant toutes sortes de questions. Nous montons l'escalier de pierre. Juliette semble vivre un grand moment.
Nous arrivons au ré de chaussée qu'elle connaît bien. Nous montons. Elle s'arrête à la fenêtre pour regarder au dehors. Silence.
< C'est dons ça cette tourelle qui m'intriguait tant. C'est toujours mystérieux ! > fait Juliette. Nous montons à l'étage. La visite.
Le grenier. Clémentine précise qu'en hiver, la tourelle n'étant pas chauffée, nous battons des records de vitesse en descendant.

Nous raccompagnons Juliette jusqu'à son cheval. < Vous passez au haras quand l'envie vous en prend ! > nous précise Juliette.
Clémentine répond : < Il y a de fortes probabilités que nous y passions encore quelquefois avant notre départ ! >. Un clin d'œil.
< Vous y êtes les bienvenues. N'oubliez pas, mercredi soir vous êtes invités. Le dernier repas avant septembre ! > fait Juliette.
Nous la regardons s'éloigner, bien droite sur sa monture. Arrivée à la rivière elle se retourne pour un dernier coucou de la main.
Il est onze heures trente. Nous cueillions une belle laitue, des tomates, des radis, du persil, de la ciboulette et un gros oignon.

Nous préparons notre repas en évoquant Juliette et sa visite. Clémentine me fait part de son ressenti. Intuition de femme. Joie.
< Juliette n'a certainement pas fini de nous surprendre ! > me confie Clémentine en ouvrant ma braguette. Je touche son sexe.
Clémentine s'occupe des salades. Je prépare les filets de cabillaud que je panne. Accompagnés de millet doré, ce sera un régal.
Nous mangeons de bon appétit dans la véranda. Il y a davantage de nuages que ce matin. Nous traînons à table en bavardant.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents et nous mettre en tenue vélo. Il est à peine 13 h45.

Nous voilà sur nos bicyclettes à descendre le chemin pour rejoindre la piste cyclable. Il y a peu gens. C'est d'ailleurs étrange.
Clémentine trouve la clef de l'énigme. < Ils sont tous chez eux, devant la téloche pour regarder le foot. La Coupe du Monde ! >
Nous rigolons comme des bossus à cette idée. Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest. Il fait moins chaud que hier. Bien.
Nous arrivons au port de plaisance pour 15 h30. Il y a de l'animation. Ce soir, c'est la Fête de la musique. Il y a des employés.
Ils montent une scène au milieu du quai. Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie. Nous saluons la capitaine.

Nous bavardons un peu avec Clarisse qui nous parle de son job d'été. Accueillir les plaisanciers, leur indiquer les emplacements.
Guider les bateaux. Donner les informations. Nous la laissons pour nous rendre à la supérette chercher nos cônes glacés. Miam.
Il y a du monde. Nous dégustons nos glaces en flânant sur le quai. Le ciel s'est couvert d'un très léger voile lumineux. Nuages.
Clémentine m'entraîne dans les fourrés, derrière le bâtiment des sanitaires. < J'ai envie de sucer ! > fait elle. Je sors mon Zob.
< Toi, tu surveilles bien. S'il y a une opportunité, tu me le dis, viens ! > me fait elle en se mettant à genoux sur la terre meuble.

Tout en observant le quai, depuis les fourrés, je regarde Clémentine me tailler une pipe des familles en gémissant de bonheur.
Je lui chuchote des cochonneries. J'évoque Gérard, sa toute petite bite molle et juteuse. Je lui propose de passer aux écuries.
Clémentine pousse des gémissements affirmatifs à chacune de mes suggestions vicelardes. Et je l'entends glousser de plaisir.
Il y a des plaisanciers qui arrivent. Ils demandent la clef des sanitaires à Clarisse. Je préviens Clémentine qu'il y a de la visite.
Nous cessons. Elle me montre l'intérieur de sa bouche. < Comme c'es bon encore aujourd'hui ! > fait elle en éclatant de rire.

Nous retournons chercher des cônes glacés. Nous aimons tous deux alterner les séquences de sexe. Cela nous maintien excités.
Il est 17 h30 lorsque nous prenons le chemin du retour. Et il ne s'est présenté aucune opportunité d'exhibe pour ma compagne.
Nous pédalons à toute vitesse, sans aucun réel effort, poussés par le vent. Le ciel se couvre davantage. De lourds nuages noirs.
Il est 18 h45 lorsque nous revenons à la maison. Estelle est déjà là. Elle a préparé les salades et réchauffé le millet doré. Super.
Elle me saute au cou. Nous la remercions pour toutes ses attentions délicates. Estelle évoque son boulot, l'entreprise familiale.

Je propose de prendre la voiture et de retourner au port de plaisance pour aller assister à la fête de la musique après le repas.
Suggestion rejetée. Estelle se lève tôt. Petit déjeuner et jogging avant de se rendre au bureau pour 8 h. Elle aime bien dormir.
< Je vais jouer un peu de flûte ce soir ! > me fait elle en me palpant la braguette. Clémentine s'interpose en riant. Ambiance.
Nous aidons Estelle à la préparation du repas. Nous mangeons de bon appétit dans la véranda. Il fait sombre mais pas de pluie.
Nous traînons à table en évoquant le haras, la visite de Juliette en matinée, ses invitations à venir aux écuries, la bite à Gérard.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Clémentine est installée dans le fauteuil, cuisses relevées. Belle.
Une jambe sur chaque accoudoir, nous savons que c'est le signal. Elle fait à Estelle : < Tu nous fais un concerto pour flûte ? >
Nous rions de bon cœur lorsqu'Estelle rajoute : < Un concerto pour flûte solo dont le final sera grandiose ! >. J'ai la bite à l'air.
Je suis vautré dans le canapé. Estelle est à genoux sur l'épais coussin. Clémentine se touche. Nous nous sourions. Complices.
Je regarde Estelle humer longuement les odeurs de ma journée d'homme. < J'aime quand ça sent si fort ! > me fait elle. Rires.

Clémentine me fait des sourires appuyés de clin d'œil. < Notre petit animal de compagnie a son nonos ? > fait elle à Estelle.
Estelle cesse de sucer pour répondre : < Un os au frome ! >. Je suis rapidement pris de vertige sous l'indicible caresse. Bien.
Considérablement excité par les pompages que m'a prodigué Clémentine au port, je sécrète un très abondant liquide séminal.
Estelle se régale. Je la saisi souvent par ses cheveux pour lui retirer la bite de la bouche. Cela permet de reposer sa mâchoire.
J'évoque la queue à monsieur Gérard. Les filles écoutent en gémissant. Je leur propose d'aller lui bouffer la bite demain soir.

La soirée se déroule ainsi. < Superbe fête de la musique ! > me fait Estelle en tentant de déglutir tout le foutre visqueux. Jute.
Il est 22 h15. Nous ramenons Estelle et sa bicyclette. Séparation difficile. Je la laisse encore sucer un peu. Clémentine se touche.
Nous rentrons. Toilettes. Salle de bain. Le lit. Clémentine m'attire sur elle. Nous restons immobiles. Elle me confie des secrets.
J'écoute avec étonnement. Il est question de Gérard. Elle me confie se réjouir pour goûter sa bite une seconde fois, demain soir.
Son orgasme est impressionnant. Clémentine déteste que j'éjacule en elle. Elle exige de me sucer. Mon orgasme est fou. Dodo…

Bonne fête de la musique à toutes les flûtistes qui aiment interpréter des concertos pour flûte en Zob majeur au final grandiose…

Julien - ( Qui se fait tailler une pipe en chuchotant à Clémentine un scénario plausible, demain soir, au haras. La bite à Gérard) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 30 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 462 -



De belles surprises font toujours plaisirs

Hier matin, vendredi, nous nous réveillons en même temps. Nous modulons longuement nos gémissements en faisant le pitre.
Il est 7 h15. < Bonjour Julien ! > me fait Clémentine en me faisant plein de bisous. Je la serre fort contre moi. Les papouilles.
< Bonjour Clémentine ! > ai je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche en riant. Nous nous précipitons aux toilettes.
Je ramasse la serviette que nous avons utilisé hier soir, pour baiser sans tacher les draps. Les petits machins de Clémentine.
Nous sommes en tenue de jogging. Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Il fait beau mais frais.

Je presse nos quatre oranges pendant que Clémentine s'occupe du café. Nous évoquons notre baise de hier soir tout en riant.
Il est rare que nous le faisions lorsque Clémentine à ses "trucs" de filles. Je me lève pour aller me laver la bite avant la pipe.
Cela nous amuse toujours beaucoup après coup. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Bon.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine parle de la visite de Juliette hier matin. De son invitation. Bien.
La vaisselle. Il est 7 h45 lorsque nous sommes à courir le long de notre circuit habituel. Il fait très frais pour un matin de juin.

Nous revenons pour 9 h après une running des plus agréables. La douche. Nous nous habillons. Vieux vêtements d'intérieur.
Nous allons dans l'atelier. J'aide Clémentine à classer les tous derniers documents concernant ses études, reçus par la poste.
Nous avons tous deux le même souci de ranger et de régler nos affaires immédiatement. Et particulièrement l'administratif.
Nous détestons laisser la moindre chose en attente. L'atelier est parfaitement rangé. Il restera ainsi tout l'été. Propre et clair.
Nous sortons au jardin. Il y a un désagréable vent de Nord Est qui donne l'impression de se retrouver à la fin du mois d'avril.

Nous faisons le tour de la propriété pour constater, une fois encore, le remarquable travail de l'entreprise paysagiste. Superbe.
Nous descendons le chemin jusqu'à la propriété de nos plus proches voisins à un peu plus de trois cent mètres. Les "Bertrand".
Ce sont de charmants et dynamiques retraités que nous croisons et saluons quelquefois. Nous bavardons. Nous les informons.
Notre départ. Notre absence pour plus de deux mois. Comme tous les ans, madame et monsieur Bertrand feront leurs visites.
Notre maison est équipée d'une domotique de pointe. Pourtant une présence humaine régulière est tranquillisante. C'est mieux.

Nous revenons par la rivière en nous tenant par la main. Nous aimons chanter des comptines pour faire les clowns. Chansons.
Là-bas, de l'autre côté de la rivière, une cavalière. < Certainement Juliette ! > fait Clémentine. Nous ne discernons pas du tout.
La cavalière ne semble pas venir dans notre direction. Nous revenons chez nous. Clémentine m'entraîne dans la roseraie. Bien.
Il y règne une chaleur très agréable aujourd'hui. Sans le vent. Nous admirons les fleurs. Les roses, les tulipes, les lys. Superbe.
Pour le vernissage, mardi prochain, Clémentine me montre les fleurs qu'elle coupera pour décorer la galerie. Idée géniale. Bien.

Nous allons cueillir nos légumes. Une belle scarole, des tomates, des radis, persil, oignon et ciboulette. Il y en a en quantité.
Nous enlevons quelques mauvaises herbes en bavardant. Clémentine me fait part de son désir de retourner au haras samedi.
Je propose de faire un courriel à Juliette pour l'informer de notre passage afin qu'elle organise un "plan" comme samedi dernier.
Nous rentrons avec nos légumes dans le panier. Nous le déposons sur la table de la cuisine avant d'aller au salon allumer l'ordi.
C'est Clémentine qui rédige le courriel. Nous joignons une photo de nous deux prise au port de plaisance il y a quelques jours.

Clémentine surfe un peu sur le site de l'université. La page d'accueil a changé. Un beau paysage. Sans doute l'Ecosse. Superbe.
Nous restons un petit moment. Clémentine m'explique les quelques informations concernant la rentrée de septembre. Etudes.
Elle revient sur notre boîte mail pour découvrir la réponse de Juliette. Le message est clair. Nous sommes attendus pour 19 h45.
Clémentine, toute contente, sautille autour du bureau en s'écriant : < J'ai une délicieuse trouille. Je suis folle. C'est génial ! >
Je me lève. J'ouvre ma braguette. Je sors ma bite pour l'agiter vers Clémentine qui s'en saisit pour m'entraîner autour du salon.

Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine fait : < Soirée saucisse chez Juliette ! >. Cela nous rappelle mes petites histoires.
Ces récits un peu stupides que Clémentine m'a conseillé de cesser de publier lorsqu'elle est venue s'installer ici. Nous rigolons.
Nous retournons à la cuisine. Clémentine s'occupe des salades. Je prépare des queues de langoustines que je fais griller. Bien.
Accompagnées de petites pommes de terre du jardin que je fais rissoler à la poêle. Nous mettons la table dans la véranda. Joie.
La musique ridicule de mon téléphone. Clémentine s'en empare. < C'est Julie, la serveuse du restaurant de l'étang ! > fait elle.

J'entends vaguement le sujet de la conversation. Et cela fait au moins deux semaines que nous n'avons plus aucune nouvelle.
Clémentine me tend le téléphone. J'entends la voix de la jeune fille. Elle va travailler tout l'été dans le restaurant de sa tante.
Elle reprendra ses études en septembre. Elle a obtenu sa Licence de Lettres. Je la félicite. Je l'invite à passer avant le départ.
Julie viendra partager notre repas lundi, à midi. Je rends l'appareil à Clémentine après avoir salué la jeune fille. Il est 12 h15.
Clémentine bavarde encore un peu. Tout est prêt. Nous mangeons de bon appétit en évoquant Julie, la jeune serveuse. Bien.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au coulis de cerises, Clémentine fait le programme.
Cet après-midi, plutôt que de pédaler contre un vent froid de Nord Est, nous irons randonner au lac. Une excellente suggestion.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns. Nous nous mettons en tenue.
Clémentine porte une de ses jupettes sport plissée, noire, un T-shirt noir. Je porte un short noir et un T-shirt noir. Des jumeaux.
Dans le petit sac à dos, deux pommes, des barres de céréales, la bouteille d'eau, la petite paire de jumelles toujours avec nous.

Comme toujours, avant de partir, nous laissons un petit mot sur la table de la cuisine à l'attention d'Estelle qui vient en soirée.
Il est 13 h45. Nous voilà en route. Je roule doucement. Clémentine joue avec mon sexe. Je roule doucement. Peu de voitures.
Parfois, Clémentine se laisse glisser pour me sucer. J'ai la bite molle. Souvent, pour nous amuser, je la saisi par ses cheveux.
Je lui parle de ce qui nous attend probablement demain soir au haras. < Miam ! > me fait elle et en me faisant plein de bisous.
Nous arrivons au parking, début de notre randonnée. Il y a du monde. Nous chaussons nos godasses de marche. Le sac à dos.

Nous marchons d'un bon pas. Chaque fois que le sentier le permet, nous sommes côte à côte. Nous croisons des promeneurs.
Clémentine me fait part de ses ressentis quand à notre projet de demain soir. Un délicieux mélange de trouille et d'excitation.
Une fois encore je l'encourage à vivre ses 21 ans sans restrictions. Profiter de toutes les opportunités qui se présentent. Sexe.
Sur la demande de ma compagne qui aime y fourrer sa main au chaud, je marche avec la braguette ouverte. Cela nous amuse.
Parfois, étant certain qu'il n'y a personne, je sors ma bite pour l'agiter devant Clémentine. Souvent elle s'accroupit pour sucer.

Je lui promets qu'en Ecosse j'aurais souvent le comportement souhaité. Je serais un vrai salaud, vicieux et très entreprenant.
Lorsque nous marchons, je tiens souvent Clémentine par ses cheveux attachés en queue. Surtout en croisant des mecs seuls.
Je donne même quelques à coups. Elle en glousse de plaisir. Elle s'arrête parfois pour me dire à quel point tout cela l'excite.
Je lui confie : < En Ecosse, je te promène à la laisse, je te fais sucer dans tous les coins et je te baise comme tu le mérite ! >
< J'aime de plus en plus baiser ! > me fait elle souvent depuis quelques jours. C'est un peu nouveau. La vue est magnifique.

Il n'y a aucune réelle opportunité d'exhibe pour Clémentine que cela frustre toujours un peu. Nous faisons le grand tour du lac.
Il est 18 h lorsque nous revenons à la voiture. Nous sommes considérablement excités. Je roule doucement. Clémentine suce.
Nous arrivons à la maison pour 18 h45. Estelle est déjà là. Il y a une délicieuse odeur de gratin. Elle me saute au cou. Bisous.
< Tu sens le sperme ! > fait elle à clémentine lorsqu'elle lui fait deux bises. < Oui, j'arrête pas de sucer ! > répond Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'Estelle demande : < Je pourrais en avoir un peu après, pour mon dessert ? >. Sympa.

Estelle a préparé le reste des pommes de terre en gratin avec une sauce au Roquefort. Accompagnés de la salade. La scarole.
Nous mangeons de bon appétit dans la véranda. Nous apprenons à Estelle que la soirée de samedi se déroulera aux écuries !
< Génial ! Une soirée pipe ! Tu te fais lequel en premier ? > demande Estelle. Clémentine répond : < Je te laisse le black ! >
Monsieur Léon, d'origine malgache, a une longue bite toute molle. Monsieur Gérard, lui, a une toute petite bite. Toujours molle.
Nous rigolons comme des bossus en évoquant les sexes de ces deux vieux impuissants vicelards et incontinents. Cela promet !

Nous traînons à table. La conversation reste axée sur la soirée pipe qui nous attend. Les filles font différents projets vicelards.
Clémentine aimerait rester à s'occuper exclusivement de la bite à Gérard dont raffole également Estelle. Il faudra se mettre ok.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Clémentine s'installe dans le fauteuil. C'est notre signal habituel.
Une jambe posée sur chaque accoudoir, la main dans sa culotte, Clémentine observe Estelle se mettre à genoux sur le coussin.
Je suis vautré dans le canapé. Estelle hume longuement les odeurs de ma journée d'homme. Et je lui tiens la bite sous le nez.

Je lui passe mon sexe sur le visage. Estelle m'en présente chaque relief en gloussant de bonheur. Clémentine me fait un sourire.
Nous échangeons un clin d'œil. Je lève le pouce de la main droite pour signifier que tout baigne. Surtout ma bite dans la bouche.
Estelle me taille une pipe des familles en suçant comme si sa vie en dépendait. J'entends les gémissements des deux filles. Bien.
Estelle, ses mains posées sur mes cuisses, me pompe avec une avidité folle. Je demande : < Tu t'entraînes pour demain soir ? >
Je la saisi souvent par ses cheveux pour lui sortir la bite de la bouche. Je me penche pour murmurer des choses bien vicelardes.

Clémentine adore me voir dans ces comportements. C'est son film porno préféré. Elle se masturbe en gémissant de bonheur.
Je couvre le visage d'Estelle de bisous à chaque fois que je sors ma bite de sa bouche. Cela lui permet de reposer la mâchoire.
Il y a des filaments de foutre visqueux qui dégoulinent partout sur son menton. Il y a même des tâches sur le haut du T-shirt.
Je la préviens toutefois qu'il n'y aura pas d'éjaculation. Je la garde pour Clémentine, tout à l'heure, au retour, une fois couché.
Il est 22 h15. Il faut ramener Estelle et sa bicyclette. La séparation est difficile. Je la laisse sucer encore un peu dans l'auto.

Au retour, Clémentine se régale de mes épanchements continus de foutre. Les toilettes. Elle me la tient pour en diriger le jet.
Accroupie, elle en déguste les reliquats de pisse où se mélangent mes coulures de jute épaisses. Je l'oblige à cesser. Trop bon.
Après son pissou, je l'entraîne par ses cheveux. Je la soulève pour la balancer sur le lit. Elle m'embrasse de bonheur. Le plaisir.
Je me fais sucer en ayant un comportement vicelard. Couché sur le côté, tenant Clémentine à la nuque, je l'étouffe de ma bite.
Elle se touche en criant de ravissement. Nous avons un orgasme commun. < Je t'aime ! > fait elle, blottie dans mes bras. Dodo.

Bonne randonnée au lac à toutes les coquines qui aiment préparer longuement leur prochaine soirée pipe…

Julien - ( Qui se fait vider les couilles comme un véritable salopard. Pour le plus grand plaisir d'Estelle et de Clémentine) -

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Un autre samedi soir au haras, dans les écuries - Partie 1

Hier matin, samedi, nous nous réveillons en même temps. Notre horloge biologique semble réglée sur 7 h15. C'est pratique.
< Bonjour mon amour ! > me fait Clémentine en se serrant contre moi. Je lui chuchote : < Bonjour Clémentine ! >. Douceur.
L'impérieux besoin naturel met rapidement un terme à nos papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Le rituel du pissou.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Il fait beau. Pourtant il y a cette étrange fraîcheur. Curieux.
Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'odeur de pain grillé. Bon.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous faisons notre programme du jour. Nous avons nos tenues de jogging.
La vaisselle. Il est 7 h45. Nous descendons au jardin. La température est vraiment déplaisante. On se croirait au mois d'avril.
Nous courons d'un bon rythme. Nous nous réchauffons rapidement. Nous sommes de retour après un agréable running. 9 h.
La douche. Nous nous habillons. Il fait meilleur. Clémentine porte une de ses robes d'été, des sandalettes à légers talons. Bien.
Je porte un pantalon de lin clair, une chemise largement ouverte et mes mocassins. Je sors la voiture. Et nous voilà en route.

Je roule doucement. Clémentine joue avec mon sexe. Nous rions beaucoup. Nous arrivons au bourg pour y faire notre marché.
Il y a du monde. Je garde la braguette discrètement ouverte. Je porte les sacs. Nous faisons provisions de nos fruits, fromages.
Au retour à l'auto, nous mettons les œufs, les fromages et les yaourts dans la glacière branchée sur l'allume cigare. En route !
Nous arrivons à la zone commerciale. Je gare la voiture sur le parking du supermarché. Il y a du monde. Je pousse notre caddie.
Clémentine, qui tient la liste des courses, m'entraîne dans les rayons qui nous concernent. Les produits d'entretien nécessaires.

Notre départ pour l'Ecosse, vendredi prochain, impose une logistique réfléchie. Nous détestons gâcher la nourriture. Méthode.
Nous faisons la queue au rayon poissonnerie. < Bonjour ! > nous fait une voix devenue familière. Pauline. Nous nous saluons.
Nous bavardons un peu dans la file. Pauline nous parle de son travail de secrétaire au haras. Elle va travailler tout l'été. Super.
< J'ai besoin d'argent et ce nouveau job me convient parfaitement. La patronne est vraiment sympathique ! > raconte Pauline.
Bien évidemment, nous ne faisons aucune allusion à ce que nous faisons dans les écuries. Et Pauline ne semble pas informée.

Nous continuons nos courses. Il y a tant de monde qu'il serait vain de tenter un "plan" exhibe. Ce qui frustre Clémentine. Rire.
Nous sommes de retour à la maison pour 12 h30. Avec le vent, le linge de ce matin est déjà sec. Nous rangeons nos courses.
Nous allons au jardin chercher des tomates, une laitue, des carottes, des patates, du persil, ciboulette, un gros oignon. Super.
Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare des filets de cabillaud que je pane au préalable avant de les faire dorer à la poêle.
Accompagné des toutes petites patates du jardin dont on peut laisser la fine peau après les avoir lavé que je fais rissoler. Bien.

Nous mangeons de bon appétit dans la véranda. Nous bavardons beaucoup en évoquant notre départ prochain pour l'Ecosse.
Clémentine est à se réjouir pour ce nouveau séjour. Elle exprime le désir de traîner à Edimbourg et sa région, tous les jours.
< On se fait des vacances peinardes. Matin jogging. Après-midi virée. On retourne visiter ce qu'on connaît déjà ! > me dit elle.
Clémentine est tombée amoureuse de cette ville. Les deux mois de l'an dernier et les dix jours des fêtes de fin d'année 2017.
Je trouve que c'est une excellente initiative. Je dis : < Ce sont tes vacances, c'est toi qui décidera de nos emplois du temps ! >

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au coulis de cerises, Clémentine m'avoue avoir besoin de repos. Peinarde.
Toute cette année, pour l'obtention de son "Master", elle a travaillé très dur, sans relâche. Décompresser est une vraie nécessité.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents et nous mettre en tenue vélo. Nous faisons les clowns.
Estelle nous attend pour 14 h à l'endroit habituel sur la piste cyclable. Il est 13 45 lorsque nous descendons le chemin en vélos.
Nous arrivons un peu avant l'heure, conformément à nos habitudes. Estelle est déjà là. Belle et radieuse. Il fait beau. Du soleil.

Nous pédalons poussés par ce désagréable vent de Nord Est. Nous croisons quantité de cyclistes, de rollers, de joggeurs. Bien.
Arrêt pipi au cabanon de l'écluse. C'est un de nos amusants rituels. Je fais le guet en tenant les mouchoirs en papier. C'est OK.
Les filles font leurs pissous au milieu de la piste. Les coulures vont dans tous les sens. Il faut se dépêcher. Là-bas des cyclistes.
Je les torche à toute vitesse mais soigneusement. Avant de filer, Estelle prend une photo. Nous en rigolons comme des bossus.
Nous arrivons au port de plaisance pour 15 h30. Il y a de l'animation. Des employés s'affairent à délimiter des emplacements.

Nous fermons nos bicyclettes à cadenas derrière la capitainerie. Nous traversons la route pour aller à la supérette. Du monde.
Nous prenons nos cônes glacés que nous dégustons en flânant sur le quai. Les joueurs de pétanques, les plaisanciers. Sympa.
Les touristes arrivent plus nombreux à l'approche des vacances d'été. Demain, sur le port, il y a une exposition d'Art. Superbe.
Estelle regarde obstinément partout. Surtout dans la direction des joueurs de pétanque. Maurice et sa mobylette n'arrivent pas.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine lui fait : < Toi, tu as envie de te bouffer une chipolata, hein ? >. Estelle se marre.

Clémentine nous entraîne dans les fourrés, derrière le bâtiment des sanitaires réservés aux plaisanciers. La porte fermée à clef.
Nous rôdons un peu là, à l'abri de tous regards, à guetter l'arrivée de quelques quidams ou de Maurice. Peu de monde ici. Rire.
J'ai la main entre les cuisses des deux filles dont je caresse les sexes au travers de leurs culottes. Elles adorent mes initiatives.
C'est le dernier jour des "petits machins" de Clémentine. Ceux d'Estelle commencent très bientôt. Je connais bien leurs cycles.
Il faut se faire une raison. Il n'y a pas d'homme seul. Il y a bien quelques couples de plaisanciers séniors qui vont aux toilettes.

Nous retournons nous offrir notre seconde tournée de cônes glacés. La gourmandise. Nous les savourons en nous promenant.
Avec les préparatifs, il y a des choses à voir. Nous sommes assis sur le muret de la jetée à regarder l'arrivée d'un gros bateau.
Discrètement, j'ai la bite qui pend de ma braguette ouverte. J'ai notre petit sac à dos sur les genoux, cela ne se voit donc pas.
Estelle à ma gauche qui me la tient entre le pouce et l'index. Clémentine à ma gauche qui nous parle de la soirée aux écuries.
Il est 17 h30 lorsque nous prenons le chemin du retour. Nous pédalons contre ce maudit vent frais. Il faut mettre nos K-ways.

Nous arrivons à la maison pour 19 h. Je décroche le linge pendant qu'Estelle et Clémentine rangent les vélos au garage. Bien.
Il n'y a qu'à réchauffer les pommes de terre que je prépare au gratin. Clémentine s'occupe des salades. Estelle de l'omelette.
Tout va très vite. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous sommes tous les trois assez fébriles. C'est le haras.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents. Nous restons en tenue vélo. Et c'est plus pratique.
Clémentine porte une de ses jupettes sport, sweat et baskets. Estelle et moi nous sommes en short. Sweats et baskets. Cool.

Un autre samedi soir au haras, dans les écuries - Partie 2

Il est 19 h45 lorsque je gare la voiture dans la cour du haras. Il n'y a personne. Je m'apprête à filer le premier dans les écuries.
La voix de Juliette depuis sa fenêtre, au premier étage : < Montez vite, on se prépare ! > fait elle. Nous montons rapidement.
Nous nous serrons la main. Juliette porte une simple robe d'été, des sandalettes à légers talons. Cheveux en liberté. Elégante.
Clémentine et Estelle déclinent son offre de mettre du mascara ou un maquillage quelconque. Juliette nous expose la stratégie.
Les choses se passeront dans le même local que samedi dernier, dans le nouveau bâtiment. Nous écoutons le bon déroulement.

Juliette me propose de nous y rendre en premier. Nous serons dans le local technique dont elle possède seule la clef. Sympa.
< J'y ai des affaires personnelles, c'est ma cave à vin et mon cellier ! Nous ne serons pas dérangés ! > nous explique Juliette.
Je la suis en laissant Clémentine et Juliette qui me font des clins d'œil. Juliette m'entraîne dans le nouveau bâtiment. L'écurie.
Nous nous enfermons dans le local technique. Comme la dernière fois, elle ouvre la porte de la petite armoire EDF. Deux trous.
Le local est encore vide. Juliette me montre ce qui ressemble à une prise de courant. Elle ouvre le couvercle. Un trou tout rond.

Un trou d'un diamètre d'environ 5 cm. 80 cm du sol. Juliette m'invite à regarder. Je me penche. La vue donne sur des toilettes.
Là, à quelque 50 cm, il y a un urinoir mural. < Ce sont les toilettes et les douches du personnel ! > me fait Juliette. Je regarde.
Soudain, des voix d'hommes. Ce sont monsieur Gérard et monsieur Léon qui viennent d'arriver. Nous montons sur l'escabeau.
Par le petit soupirail, dont la vitre est fumée, nous avons une vue parfaite sur le local bureau du palefrenier. Il prépare du café.
Clémentine et Estelle arrivent quelques minutes plus tard. J'ai le cœur qui palpite. Juliette et moi nous observons en silence…

< Bonjour les filles ! > fait Gérard. Léon leur tend la main. Les échanges sont très courtois. Les filles s'installent sur le canapé.
Gérard leur propose : < Café, thé ou jus de fruits ! >. Léon ouvre sa braguette. Il fait : < Jus de bite ? >. C'est consternant.
J'ai l'impression d'halluciner lorsqu'Estelle dit : < Jus de bite pour moi ! >. Juliette me fait du coude. Aussi étonnée que moi.
Nous restons parfaitement silencieux. Gérard se doute t-il que nous sommes cachés, Juliette et moi ? Je n'ose pas demander.
Gérard tend deux gobelets aux filles. Il verse du jus de fruit. Clémentine met le gobelet à la hauteur de la braguette à Gérard.

Le palefrenier saisit la fille par ses cheveux. Il la force à se lever pour l'entraîner vers la porte. Juliette chuchote : < WC ! >
Nous descendons de l'escabeau. Elle me montre la fausse prise de courant. Je m'accroupis pour mâter. La lumière s'allume.
Je vois Gérard, maintenant fermement la fille par ses cheveux, la forcer à s'assoir sur un tabouret à côté de l'urinoir. Silence.
Juliette me murmure : < Je monte sur l'escabeau pour voir les deux autres ! >. Moi, c'est surtout Clémentine qui m'intéresse.
Je regarde, sidéré. Gérard ouvre sa braguette. Il fouille pour sortir son sexe minuscule. Il le laisse pendre. Il sort ses couilles.

Ses couilles paraissent énormes. Sa queue est à peine plus grosse que le clitoris géant de Clémentine. Et cette idée m'amuse.
Il pisse. Juste un jet court, net et précis. Il force Clémentine à rapprocher son visage. Elle ne tente pas de s'y soustraire. Fou.
Au contraire, elle ouvre la bouche. Gérard y lâche un nouveau jet. Je vois Clémentine déglutir juste avant de gober la queue.
Juliette redescend pour chuchoter : < L'autre, elle semble refuser de sucer ! >. Je monte sur l'escabeau pour voir en vitesse.
Estelle, maintenue par sa tignasse, couchée sous monsieur Léon, semble lutter pour éviter qu'il ne lui mette la bite en bouche.

Nous permutons. Juliette remonte sur l'escabeau. Je m'accroupis devant le trou. Clémentine suce la petite bite du palefrenier.
Je l'observe. Elle semble biberonner en tétant. Je regarde ma compagne, comme halluciné, se livrer à cette pipe dégueulasse.
Gérard est totalement impuissant. Il reste sans bouger. Il chuchote de véritables saloperies à Clémentine qui glousse de joie.
Les traits de son visage sont radieux, souriants. Pas le moindre doute, Clémentine prend un plaisir sans restriction à pomper.
Soudain, elle se retire. Gérard est entrain de pisser. Elle n'a pas le temps de se retirer et s'en prend une lampée en gloussant.

Il y a du foutre épais, visqueux, en longs filaments jaunâtres qui dégoulinent en même temps que le jet d'urine. C'est dégueu.
Il en coule sur le menton à Clémentine, dans son cou et sur le haut de son sweat. Gérard contrôle parfaitement la pisse, le jus.
Clémentine pompe. Et je l'entends pousser des gémissements affirmatifs aux questions vicelardes que lui pose le palefrenier.
< Tu viendras me tailler des pipes en revenant de vacances ? Tu passes après tes cours, avant de rentrer ! > demande Gérard.
J'entends Clémentine pousser des petits cris de ravissements affirmatifs. Gérard lâche quantité de toutes petites giclées. Pisse.

Juliette redescend de son escabeau pour me chuchoter : < Ça y est, elle suce, l'autre petite salope ! >. Je sors mon sexe dur.
Je m'en fout de ce que fait Estelle. Mon bonheur et mon plaisir sont de voir Clémentine. Elle réalise notre fantasme commun.
J'ai tellement rêvé de la voir sucer un autre. Je lui en ai tellement parlé que c'est devenu son fantasme également. Merveille.
Je me branle doucement en admirant ce fantastique spectacle. Gérard raconte des choses invraisemblables. Clémentine suce.
Elle a le visage trempé. Du foutre collé jusque dans les cheveux, mélangé aux urines jaunes foncées de ce vieux salopard. Fou.

Il cesse. Je comprends. Les lombaires deviennent rapidement douloureuses dans cette inconfortable situation. Il retire sa bite.
Tenant Clémentine fermement par ses cheveux, Gérard l'entraîne vers la porte. Je remonte rejoindre Juliette qui mâte. Silence.
Je vois Estelle, couchée au sol, sur le côté, entrain de sucer Léon. Le Black semble bander un peu. Il a ses fringues aux genoux.
Gérard et Clémentine reviennent. Le palefrenier tient Clémentine par sa tignasse et fait : < Hé ! Tu veux permuter, Léon ? >
Léon dit : < Volontiers ! Put-Hein ! C'est une vraie ventouse celle-là ! >. Gérard fait : < Une vraie pompe à foutre celle-là ! >

Estelle s'est certainement fait pisser au visage car elle aussi est trempée. Des mèches de cheveux mouillés lui colle partout.
Clémentine a tout le haut du sweat trempé et maculé. Coulures visqueuses. Gérard la jette sans ménagement sur le canapé.
Léon se redresse. Il tire Estelle par sa tignasse pour la forcer à se mettre à genoux. Il y a des flaques de pisse parterre. Fou.
Juliette me chuchote : < C'est génial d'être aux premières loges, non ? >. Mon index sur la bouche. Je lui fais : < Chut ! >
Je suis déstabilisé par le comportement de Clémentine. Je lui devinais un potentiel que je ne soupçonnais pas aussi évident.

Léon se couche sur Clémentine. Il ne peut pas la baiser même s'il bande vaguement. Sa bite est longue. Fine. Bande molle.
Clémentine écarte les cuisses pour permettre au vieux black de s'installer sur elle. Il se met à bouger comme s'il l'a baisait.
Je regarde, comme halluciné, ce spectacle encore impensable il y a peu. Clémentine se met à bouger sous le mec. Imitation.
Le vieux black tente de l'embrasser. Elle l'en empêche en détournant son visage. Estelle, à genoux se fait pisser au visage.
< Ces deux petites salopes en prennent pour leur grade ce soir ! > me chuchote Juliette qui reste absolument stoïque. Fou !

Le vieux black est à présent assis sur la poitrine de Clémentine. Il lui arrose le visage de pisse. L'odeur arrive jusqu'ici. Beurk.
Estelle, à genoux, suce le palefrenier comme si sa vie en dépendait. Je vois Clémentine avoir des grimaces de dégoût. Dégueu.
Avec un effort violent, Clémentine arrive à se soustraire de l'étreinte de Léon qui tente de la rattraper. Clémentine se sauve.
Nous l'entendons courir dans l'allée centrale de l'écurie. Léon tente de la poursuivre. Elle a 21 ans. Lui 69 ans. Peu de chances.
Estelle se redresse soudain pour filer à toute vitesse, échappant de justesse à Léon qui revient. Juliette dit : < On se casse ! >

Nous rejoignons Clémentine et Estelle grelottant dans le hall. Elles sont trempées. Il fait froid. Juliette nous entraîne à l'étage.
Les filles vont prendre une douche. Nous avons prévu des vêtements de change. Clémentine me tombe dans les bras. Sanglots.
Je la serre fort pour la consoler. Estelle semble très perturbée également. Juliette la rassure. Il ne pouvait rien arriver de grave.
Nous étions là, Juliette et moi, cachés dans le local voisin, prêts à intervenir. Nous ne tardons pas. Les filles veulent rentrer.
Dans la voiture, nous sommes tous les trois étrangement silencieux. Trois petits kilomètres. Nous voilà enfin à la maison. 23 h.

Estelle éclate en sanglots à son tour. Je la serre contre moi. Clémentine me tient par le cou, debout derrière moi. Le silence.
Nous restons ainsi un long moment. Il faut revenir à la normale. Nous montons. Les toilettes. La salle de bain. Et la fatigue.
Nous voilà enfin couchés. Je suis entre Estelle et Clémentine. Je caresse leurs têtes doucement. Estelle s'endort la première.
Clémentine me révèle les émotions qui l'envahissent après l'intensité nouvelle de cette expérience. < J'ai eu peur ! > dit elle.
Je la rassure. J'étais là. Il ne pouvait rien arriver. < J'ai adoré la bite à Gérard. Tu m'as vu au chiottes ! > me dit elle. Dodo…

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Classe - 32 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode - 464 -



Estelle et Clémentine se remettent difficilement du "plan" pipe

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par des murmures. Toute la nuit j'ai senti Estelle se blottir contre moi. J'ouvre les yeux.
< Bonjour Julien ! > chuchote Clémentine la première en me couvrant le visage de bisous. < Bonjour Julien ! > me dit Estelle.
Je les serre contre moi en murmurant : < Bonjour mes deux délicieuses coquines ! >. Et nous nous faisons plein de papouilles.
Il est très rare qu'Estelle s'endorme contre moi. Le plus souvent Clémentine nous sépare. Une vieille habitude qui nous amuse.
Estelle se lève la première pour se précipiter aux toilettes. Clémentine reste contre moi. Silencieuse et à la recherche de câlins.

Il est 7 h30. Il fait beau. Estelle revient, s'assoit sur le lit et nous fait : < Je descends préparer le petit déjeuner ! >. Des bises.
C'est moi qui entraîne Clémentine aux toilettes. < Ne pars pas ! > me fait elle en me tenant par la main tout le temps. Bisous.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine pour rejoindre Estelle dans son pyjama de soie mauve. Belle.
Elle vient se blottir contre nous. Visiblement les filles sont en recherche de réconfort. Je comprends parfaitement. Je ses serre.
Nous prenons notre petit déjeuner dans l'odeur de pain grillé qui participe de ce premier plaisir dominical. Il fait frais. Juste 16°

Nous mangeons de bon appétit. Il y a un étrange silence. Enfin Estelle arrive sur le sujet. Notre soirée au haras, Gérard, Léon.
< Put-Hein, monsieur Léon est un vrai pervers. J'ai eu affaire à lui toute la soirée ! > fait Estelle en décrivant le comportement.
< Oui ! J'imagine ! J'en ai eu un aperçu ! Il a pesé de tout son poids sur moi. Et le goût âcre de sa bite ! > répond Clémentine.
J'écoute en silence. La conversation est animée. Les filles échangent leurs impressions, confient leurs ressentis, les conclusions.
Je rassure Clémentine. Il ne s'est strictement rien passé, hier, avec Juliette. Je raconte aux filles la curieuse attitude de Juliette.

< Je suis plutôt voyeuse, mais à ce point là, ça frise la pathologie, c'est une perverse ! > fait Estelle, écoutant mes descriptions.
Clémentine rajoute : < Bon, il faut dire qu'il y parfois de quoi se rincer l'œil ! >. Nous rions de bon cœur de cette évidence. Joie.
Nous traînons à table. Les filles évoquent les deux bites auxquelles elles ont à nouveau goûté hier soir. Leur préférence. Sympa.
C'est bien évidemment monsieur Gérard, le palefrenier, qui remporte la palme. < Il est vicelard, génial ! > fait Clémentine. Rire.
< La prochaine fois, c'est moi qui l'accompagne aux chiottes ! > rajoute Estelle lorsque Clémentine lui raconte ce qui s'est passé.

Avec cette conversation et ce copieux petit déjeuner les émotions ont disparu. Il ne reste que le souvenir d'un moment excitant.
Le dimanche matin, pas d'entraînement, pas de jogging, c'est "ménage". Estelle se propose de faire le salon. Passer l'aspirateur.
La vaisselle. Clémentine monte faire la chambre. Je nettoie la cuisine. J'entends Estelle s'affairer au salon. J'aime ces ambiances.
Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère sur le carrelage des sols. Puis je m'apprête à monter rejoindre ma compagne.
Estelle m'intercepte à la porte en se serrant très fort. < J'aime dormir contre toi. En Ecosse, je le veux tout le temps ! > fait elle.

Je la câline un peu. Je suis toujours très embarrassé lorsqu'Estelle a se comportement en l'absence de Clémentine. Culpabilité.
Je sais que c'est ridicule et que Clémentine est parfaitement rassurée. Elle sait pouvoir me faire une confiance absolue. Mais...
Estelle me montre le salon en disant : < Regarde ! J'ai tout fait propre ! J'aurais ma récompense ? >. Nous rions de bon cœur.
Je lui demande : < Tu n'as pas assez sucé hier soir ! Il t'en faut encore ! >. Estelle m'entraîne par la main pour monter. Rires.
Nous rejoignons Clémentine qui achève de changer les draps. Elle se précipite pour s'interposer entre Estelle et moi. Des bises.

Estelle propose de terminer la chambre à l'aspirateur. Clémentine m'entraîne à la salle bain. Je porte le gros tas de draps sales.
Je nettoie le bac à douche. Clémentine s'occupe du lavabo et des miroirs. Nous bavardons. La conversation reste axée sur hier.
< J'ai encore le goût de la bite à Léon ! C'est dégueu. Je ne veux plus sucer ce type ! > me confie Clémentine. Elle se serre fort.
Je la console un peu en précisant une évidence : < Au moins, tu auras essayé. Au moins, tu auras goûté. Ce sont des essais ! >
Clémentine me chuchote : < Merci Julien. Tu m'a permis d'essayer de nouvelles expériences ! Je t'aime ! >. Elle m'embrasse...

Avant de descendre avec le panier à linge plein à ras bord, elle dit : < Ça ne te dégoûte pas de m'embrasser après hier soir ? >
Je la rassure. Nous rigolons comme des bossus lorsque je lui réponds : < Ben non, puisque tu te laves les dents après ! >. Joie.
Je nettoie les chiottes du haut. Je suis à quatre pattes à récurer la cuvette lorsqu'Estelle vient me rejoindre. Et silencieusement.
Elle s'est habillée de son short et d'un sweat. Elle s'accroupit pour me chopper par les couilles. < Merci pour hier soir ! > dit elle.
Estelle également m'est reconnaissante. Ma présence à proximité, planqué pour sécuriser, lui permet de se dépasser, elle aussi.

< Tu m'en veux si je te dis que je préfère le goût de la bite à monsieur Gérard ? > me demande t-elle, espiègle et mutine. Rire.
Je la rassure en disant : < Mais chacune à ses préférences. Clémentine apprécie également. Elle ose pas trop me dire ! >. Bise.
Nous rions de bon cœur lorsqu'Estelle rajoute : < Je vais lui demander entre filles. Je te raconterais ! >. Je termine de nettoyer.
Estelle ne me lâche pas le sexe. Je vais m'habiller à mon tour. Nous descendons rejoindre Clémentine à la buanderie. A la cave.
Je l'aide à vider la machine à laver. Nous voilà tous les trois dans le jardin à suspendre le linge. Il y a cette curieuse fraîcheur...

Nous allons chercher les légumes au potager. Laitue, tomates, les carottes. Nous rentrons. Les pavés de saumon ont décongelé.
C'est Estelle qui s'occupe. Elle va les préparer en papillotes. Clémentine s'occupe des salades. Je prépare la ratatouille "maison".
Tout va très vite. Nous mangeons dans la véranda. Nous bavardons beaucoup. A présent les filles s'amusent de leur expérience.
Elles comparent le goût des bites. Clémentine confie : < La bite à Julien reste ma passion. Celle de Gérard reste mon plaisir ! >
Je dis à Estelle : < Voilà ! Nous avons notre réponse ! Mais pour avoir tout le recul nécessaire, il faudra en goûter d'autres ! >.

Nous traînons à table. La conversation reste axée sur l'aventure extraordinaire de hier soir. La vaisselle. Nous rangeons tout.
Nous montons nous laver les dents. Nous faisons les pitres devant le miroir. Les filles miment des pipes avec vulgarité. Rires.
Nous nous mettons en tenue vélo. Il est 13 h50 lorsque nous prenons le chemin de la piste cyclable. Il y a beaucoup de gens.
C'est dimanche. Il fait beau. La piste cyclable est très fréquentée. Arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Il fait être prudent. Pipi.
Nous arrivons au port de plaisance pour 15 h30. Il y a un monde fou. Une fois de plus l'animation proposée connait le succès.

Nous fermons nos bicyclettes à cadenas derrière la capitainerie. Nous traversons la route. La supérette. Il y a plein de clients.
Nous prenons nos cônes glacés que nous savourons en nous frayant un passage dans la foule. C'est l'exposition d'Arts. Super.
Nous découvrons le travail des artistes amateurs de la région et d'ailleurs. Il y a tout un tas d'originalités. Sculptures. Design.
Il y a très peu de peintres. Principalement des plasticiens. Les éternels émaux, les inévitables poteries, les bijoux fait maison.
Quelle n'est pas notre surprise. Madame Walter et son mari sont parmi les exposants. Ils ne nous voient pas de suite. Super.

Monsieur Walter présente ses créations. Ce sont des objets assez hétéroclites qu'il confectionne avec des objets trouvés. Bien.
Nous nous saluons. Madame Walter semble très heureuse de nous voir. Nous bavardons en évoquant le haras et les écuries.
Clémentine, rusée et perspicace, pose quelques questions adroites. Cela permet de savoir que madame Walter ne sait rien.
Elle n'est visiblement pas informée de ce qui se déroule aux écuries entre Juliette, Gérard, Léon, Clémentine, Estelle et moi.
Monsieur Walter discute avec un autre couple. Madame Walter prend plaisir à bavarder avec nous. En robe d'été très élégante.

Lorsqu'elle m'adresse la parole, il y a toujours ce curieux regard par en dessous. Elle regarde aussi quelquefois ma braguette.
Clémentine exige toujours qu'elle soit discrètement ouverte. Madame Walter remarque donc la tirette en bas. C'est si discret.
Je lui fais un clin d'œil en pointant mon index vers ma braguette et tout en évoquant notre départ prochain pour les vacances.
Madame Walter partira tout le mois de juillet. Ils possèdent un petit penty en bord de mer. Ces maison de pêcheur restaurées.
Nous les saluons pour continuer nos découvertes. Il serait vain, avec tout ce monde, de tenter le moindre plan exhibe. Risqué.

< Là-bas ! Chipolata ! > s'écrie Estelle en nous montrant Maurice qui discute avec des gens du groupe de joueurs de pétanque.
Nous nous rapprochons. Je reste discrètement en retrait en faisant semblant d'admirer des sculptures. Les filles se rapprochent.
Estelle, qui devient aussi virtuose que Clémentine, a de discrets gestes obscènes que remarque rapidement Maurice. Branlette.
Je comprends que les filles tentent d'entraîner le type vers le bâtiment des sanitaires. Je m'y rends le premier. Dans les fourrés.
Hélas, il y a là plein de D'jeunes. Des garçons, des filles. C'est leur lieu de rendez-vous. Il y a l'odeur caractéristique. Fumette.

Il est donc tout à fait impossible d'entreprendre quoi que ce soit ici. Clémentine et Estelle, qui me rejoignent le constatent.
Frustrées, toutes les deux, enragent un peu. Il faut se faire une raison. Il reste les toilettes publiques du port et ses environs.
Maurice a disparu. Avec tout ce monde il est fort probable qu'il est très sollicité par ses copains boulistes. Nous nous baladons.
Il est 19 h. Le quai se vide doucement de ses visiteurs. Nous prenons le chemin du retour contre un vent de Nord Est. Froid.
Il est 20 h30 lorsque nous revenons à la maison. Fatigués. Fourbus. Epuisés. Nous réchauffons la ratatouille avec des moules.

Nous mangeons de bon appétit dans la véranda. Nous bavardons en riant bien. Les filles évoquent les vacances. Juillet et août.
Estelle va bosser tout le mois de juillet dans l'entreprise familiale. Elle nous confie à quel point nous allons lui manquer. Difficile.
A la limite des larmes elle nous fait : < On se fait des courriels tous les jours, hein ? >. Nous lui promettons de le faire. Certain.
< Tu n'as qu'à aller aux écuries en soirée ! > lui fait Clémentine. < T'es folle ! Pas toute seule ! Je viendrais ici ! > nous fait elle.
< Je viendrais arroser le jardin, prendre des légumes, dormir dans votre lit le plus souvent possible ! > dit Estelle, tristounette.

Je lui dis : < Tu verras, juillet passera vite ! On viendra te chercher à l'aéroport ! >. Je me lève pour aller rapidement au salon.
Je reviens avec le billet d'avion que je tends à Estelle en disant : < Tiens, c'est la certitude que nous passerons août à trois ! >
Estelle, folle de joie, se lève pour venir se blottir dans mes bras. Pour cette fois, Clémentine ne s'interpose pas. Elle me sourit.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est 22 h30. Il est temps de ramener Estelle et son vélo. Séparation difficile. Sanglots.
Il est 23 h. Nous voilà de retour. Au lit, nous baisons comme nous aimons. Clémentine me confie d'étonnants secrets. Et dodo.

Bonne balade au port de plaisance, à toutes les coquines, après une soirée bien arrosée. Arrosée au sperme et à la pisse…

Julien - (Qui doit également faire preuve de pédagogie lorsque Clémentine et Estelle ont besoin de retrouver leurs marques) -

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Une journée bien remplie

Hier matin, lundi, nous nous réveillons en même temps en poussant de longs gémissements que nous modulons en rigolant.
< Bonjour mon amour ! > me fait Clémentine en me couvrant le visage de bisous. Je lui réponds : < Bonjour mon amour ! >
Elle me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Morts de faim, nous descendons à la cuisine.
Nous sommes déjà en tenue de jogging. Il est 7 h15. Il fait beau, il règne malgré tout cette fraîcheur digne d'un mois d'avril.
Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous prenons notre petit déjeuner dans cette odeur de pain grillé.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous faisons le programme de la journée. Nous avons un planning chargé.
Clémentine, bien plus pragmatique que moi encore, définit les évènements à venir dans leur chronologie la plus rigoureuse.
La vaisselle. Il est 7 h45. Nous voilà à courir à vive allure pour nous réchauffer. C'est rapidement le cas et très gérable. Bien.
Il est neuf heures lorsque nous revenons après un running des plus agréables. La douche. Nous nous habillons. Tout va vite.
Nous sommes tous deux animés d'une sorte de fébrilité. Une impatience de nous retrouver dans l'action. Un besoin vital. Joie.

Nous descendons au jardin. J'aide Clémentine à désherber. Nous mettons au point les derniers détails de l'emploi du temps.
Nous partons vendredi matin à sept heures. Il faut donc faire preuve de logique et être méthodique. Deux qualités présentes.
A midi, Julie, la jeune serveuse du restaurant vient manger. Pour 13 h30 nous partons pour la petite cité de caractère. 45 km.
Nous revenons pour 19 h. De quoi s'occuper et faire preuve d'efficacité. Je benne la brouette contenant les mauvaises herbes.
Nous allons dans la roseraie. Avec ce vent de Nord Est qui a tendance à rafraîchir le climat, il y fait très doux. C'est très beau.

Quelle n'est pas notre surprise de voir arriver Juliette, droite sur son cheval qu'elle fixe au tronc du cerisier pour nous rejoindre.
Nous nous serrons la main. Juliette est vêtue de sa tenue d'écuyère. < Je passais tout près ! > nous dit elle. C'est sympathique.
Nous bavardons un peu. Juliette nous rappelle que nous sommes invités mercredi soir pour un feuilleté de saumon. C'est super.
Nous n'évoquons pas tout ce qui s'est passé samedi soir. Comme par une espèce de pudeur hypocrite qui nous amuse un peu.
Tout juste une allusion lorsque Juliette nous dit : < Si vous voulez venir vous amuser aux écuries soyez gentils de m'avertir ! >

< Pour utiliser le local technique, demandez moi la clef. Vous avez toute ma confiance ! > rajoute la jeune femme. Formidable.
En bavardant, Juliette regarde ma braguette à la dérobée et à plusieurs reprises. Ce qui n'échappe pas à Clémentine. Superbe.
Je porte un de mes ridicules shorts Hawaïen qui fait beaucoup rire Clémentine. Une chemisette largement ouverte. Sandalettes.
Ma braguette est ouverte sur la demande de Clémentine qui exige que ce soit ainsi le plus souvent possible. Ce qui est pratique.
Discrètement mais d'un geste sûr, rapide, je sors ma bite longue et molle. Juliette s'en rend compte. Elle me fixe étrangement.

La jeune femme ne fait aucune allusion. Elle continue la conversation. J'agite ma bite en la faisant tournoyer comme un lasso.
Je regarde à l'endroit de son sexe. Juliette porte son pantalon d'équitation beige clair, terriblement moulant. C'est hyper sexy.
Elle s'accroupit avec Clémentine qui lui montre des lys qui poussent dans la jardinière posée au sol, le long de la verrière. Bien.
Juliette, juste un instant, me fixant, écarte ses cuisses. Je découvre la tache légèrement plus foncée sur le tissus, sur son sexe.
C'est rapide. Vision fugace. Je trouve cette attention à mon égard des plus chaleureuses. La jeune femme est toujours discrète.

Il est onze heures. Juliette décline l'offre de partager notre repas de midi avec notre invitée. Elle a du travail au haras. Boulot.
Elle remonte sur son cheval. Tout en parlant elle se cambre sur la selle d'un mouvement suggestif. Nous la regardons partir.
Là-bas, arrivée à la rivière, la jeune femme, toujours bien droite sur sa monture, nous fait un dernier coucou de la main. Bien.
Je raconte à Clémentine la tache que j'ai entraperçu entre ses cuisses. Ma compagne me fait : < Elle se frotte sur la selle ! >
C'est une évidence. Clémentine rajoute : < Le jour où nous pourrons cerner cette femme, nous aurons des surprises ! >. Rire.

Nous cueillons des tomates, une belle laitue, des carottes, deux gros poireaux. Et nous rentrons pour préparer notre repas.
Je panne trois belles escalopes de thon. Chapelure, œuf, gruyère de Comté finement râpé, accompagnées de légumes rissolés.
Tout va vite. Clémentine s'occupe des salades. Je mets la table dans la véranda. Je prépare une belle pâte à tarte pour ce soir.
Je fais cuire le poireau finement coupé. Je fais une Béchamel. Clémentine m'aide. Pour ce soir ce sera de la tarte aux poireaux.
Tout est prêt. Il est presque midi. Nous voyons arriver une auto. C'est Julie. Clémentine sort sur l'escalier du perron. Accueil…

Julie est vêtue d'un simple jean, d'un sweat noir, chaussée de baskets. Je vais l'accueillir. Elle est toute contente de nous voir.
< Vous avez trouvé facilement ? > lui demande Clémentine. < Oui ! Je suis déjà passé là. Cette maison à tourelle ! > dit Julie.
L'odeur met en appétit. Nous passons directement à table. Les filles évoquent leurs études. J'écoute en silence. Passionnant !
Julie parle de ses cours, de l'obtention de sa Licence de Lettres et des projets qui l'attendent. Un "Master" lettres modernes.
La jeune fille a le même âge que Clémentine mais pas les 2 années d'avance que ma compagne qui a passé son bac à 16 ans.

Julie a noué ses longs cheveux dans une longue natte qui lui arrive au milieu du dos. Elle porte ses lunettes. Look d'étudiante.
Il y a une sorte de classe naturelle qui se dégage de la personnalité de la jeune fille. Et je l'avais déjà remarqué au restaurant.
Je fais le service. Nous lui promettons de lui envoyer des nouvelles de notre séjour en Ecosse. Nous avons nos adresses mails.
Julie va passer l'été à travailler au restaurant de l'étang, chez sa tante. La saison touristique exige une présence continue. Dur.
Clémentine, adroite et rusée, oriente la conversation sur nos attitudes particulières lorsque nous venons manger au restaurant.

Julie, gênée, nous avoue beaucoup apprécier ce qui se passe dans les toilettes, au sous-sol, lorsqu'elle vient me rejoindre. WC.
Le lecteur qui suit nos aventures sait très bien de quoi il en retourne. Julie qui vient me mâter lorsque je lui montre ma queue.
Sous la table, tout en écoutant les filles évoquer ces instants de vice intense, je sors ma bite. Je me fais bander légèrement.
Je me lève. Clémentine est aussi surprise que Julie. Je bande mou. Ma queue pend mollement. Debout, mains sur les hanches.
Julie ne sait quoi dire. Son regard va de mon sexe à mes yeux. Je la fixe en contractant mes muscles fessiers. Ma bite bouge.

< Arrêtez s'il vous plaît, ça me gêne ! > fait Julie en s'essuyant la bouche avec la serviette. Je la secoue avant de la remballer.
Clémentine me fait un discret clin d'œil. Je dis : < Cet automne, lorsque nous viendrons manger, je serais souvent au WC ! >
Julie ne dit rien. Les yeux baissés, elle évite de me regarder. Je rajoute : < Vous aurez beaucoup de plaisir à m'y rejoindre ! >
Il est 13 h20. Julie doit s'en aller. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Elle nous serre la main. Nous la saluons. Super.
Julie nous souhaite bonne vacances. Je me touche la braguette en lui souhaitant bon courage. Elle me fait un délicieux sourire.

Un dernier coucou de la main. Nous regardons la voiture disparaître en haut du chemin. Nous rentrons faire la vaisselle. 13 h30.
Nous rangeons la cuisine. Clémentine griffonne un petit mot à l'attention d'Estelle. Nous montons pour nous préparer. Superbe.
Je roule doucement. Clémentine joue avec mon sexe en évoquant l'attitude de Julie. < Excellente comédienne ! > me fait elle.
Je me fie toujours aux conclusions de ma compagne. Son sixième sens et sa perceptions des gens, sont le plus souvent justes.
Nous arrivons dans la petite cité de caractère. Il fait beau. Les touristes sont déjà nombreux à déambuler sur la place. Photos.

Nous voilà dans la galerie. Clémentine nettoie les carreaux. La vitrine. Je passe la soufflette de l'aspirateur sur les pierres. Murs.
Je passe la serpillère sur le parquet ciré qu'il faut humidifier légèrement. Nous bavardons en travaillant. Nous rions beaucoup.
Clémentine me tripote souvent les couilles par derrière en me chuchotant : < En Ecosse, je vais être une hypra salope ! >. Rire.
Je lui réponds : < En Ecosse, je vais être hypra salaud ! >. Nous en rions de bon cœur. Il est rapidement 16 h30. Tout est prêt.
Clémentine déballe les toiles pour les accrocher aux cimaises. C'est un premier regard avant de les classer par thèmes. Superbe.

Les trente toiles sont accrochées. Clémentine en décroche l'une pour la remplacer par une autre. Et avec sens précis de la déco.
Je trouve que ses choix de présenter les toiles par thèmes sont parfaits. Natures mortes, Scènes de genre, bouquets, Superbe !
< Demain, en arrivant, on aura du recul. Je ferais sans doute quelques changements ! > précise Clémentine. Je sors la cireuse.
Je passe la cireuse sur le parquet. Nous procédons méthodiquement. Avançant jusqu'à la porte. Le sol est magnifique. Ancien.
L'alarme est enclanchée. Reliée directement à la gendarmerie. Il y a les voisins et la crêperie en face. Nous sommes rassurés.

Il est 18 h15 lorsque nous prenons la route du retour. Nous sommes contents d'avoir fait la mise en place et les préparations.
Nous reviendrons demain, 17 h, afin de régler les derniers détails. La décoration. Le domaine de prédilection de Clémentine.
Il est presque 19 h lorsque nous arrivons à la maison. Estelle est en haut de l'échelle, dans le cerisier. < Hello ! > crie t-elle.
Nous allons la rejoindre. Elle descend pour me sauter au cou, ses jambes autour de mes hanches. Je la fais tourner. Des bises.
Clémentine ne s'interpose pas. Nous rions de bon cœur lorsqu'elle dit : < C'est exceptionnel ! Nous partons bientôt ! >. Bien.

Nous traînons au jardin en mangeant quelques cerises. La sonnerie du four se fait entendre depuis la cuisine. Fenêtre ouverte.
Morts de faim, nous nous précipitons à l'intérieur. L'odeur est enivrante. Tout est prêt. Nous remercions Estelle. La table mise.
Nous dégustons la Flamiche Picarde, cette délicieuse tarte aux poireaux qui enchante nos papilles. Nous racontons la journée.
Estelle, qui passe ses journées dans le bureau de l'entreprise familiale, écoute nos aventures de la journée avec attention. Joie.
Nous traînons à table. Demain, nous passerons récupérer Estelle à 16 h. Elle vient avec nous pour assister au vernissage. Bien.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Je suis assis entre les filles sur le canapé. Nous bavardons. Rires.
Nous mettons au point le programme de demain. Estelle se réjouit pour assister au vernissage. Il y aura du monde. 25 invités.
Estelle, tout en bavardant, joue avec ma queue qu'elle tord dans tous les sens. Il est 22 h15. Nous la ramenons avec son vélo.
La séparation est plus facile à l'idée de ce qui nous attend demain. Nous rentrons. Toilettes. Salle de bain. Nous voilà couchés.
Un "69". Nous baisons. Clémentine me révèle son nouveau fantasme. Baiser avec un inconnu. Cunni. Pipe. Orgasmes. Et dodo.

Bonne préparation de votre prochaine soirée festive à toutes les coquines qui aiment faire de nouvelles rencontres…

Julien - (Qui est à se réjouir autant qu'Estelle et Clémentine pour cette soirée de vernissage) -

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Une soirée riche en agréables surprises

Hier matin, mardi, je suis tiré de mon profond sommeil par un souffle chaud sur mon visage et puis plein de bisous. Douceurs.
< Bonjour Julien ! > murmure Clémentine lorsque j'ouvre les yeux. Je la serre contre moi. Elle ne peut rester seule longtemps.
< Bonjour Clémentine ! > ai je le temps de répondre avant qu'elle me chevauche en riant. De la tendresse et des papouilles.
L'impérieux besoin naturel ne tarde pas à s'imposer. Clémentine m'entraîne par la main aux toilettes. Il est 7 h15. Il fait beau.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café.

Nous prenons notre petit déjeuner dans la délicieuse odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit et tout en bavardant.
Nous sommes déjà en tenue jogging. Nous faisons le programme du jour. Une journée qui s'annonce chargée et mouvementée.
La vaisselle. Il est 7 h45 lorsque nous descendons au jardin. Il y a toujours ce léger vent frais. Nous courons d'un rythme lent.
L'accélération est rapide et nous voilà à parcourir notre circuit habituel. Il est 9 h lorsque nous revenons d'un agréable running.
La douche. Nous nous habillons de nos vêtements de maison. Nous retournons au jardin. Clémentine m'a fait une suggestion.

Nous voilà tous les deux au sommet de l'échelle double à cueillir de belles grosses cerises presque noires. De beaux bigarreaux.
Nous les emmènerons à la galerie pour les disposer sur la table parmi les en cas. Une idée de décoration à Clémentine. Superbe.
Au bout d'une trentaine de minutes où nous avons mis au point les derniers détails de notre planning, le panier est bien remplit.
Nous montons nous changer. Tenue ville. Nous les disposons les cerises à la cave, et sur la table du cellier afin de les protéger.
Clémentine porte une de ses robes d'été, sombre aux discrets motifs floraux, cintrée à la taille et ses sandalettes à légers talons.

Sur sa demande, je porte mon pantalon clair en lin, une chemise claire négligemment ouverte. Mes mocassins. Nous voilà prêts.
Je roule doucement. Clémentine tout en bavardant, joue avec mon sexe. 12 petits kilomètres et nous arrivons au supermarché.
Je pousse le caddie. Clémentine m'entraîne dans les rayons qui nous concernent. Elle choisit les petits salés, chips, cacahuètes.
Le rayon des jus de fruits. Il est impossible d'oublier quoi que ce soit car Clémentine a tout consigné sur la liste qu'elle tient fort.
Au rayon fromagerie nous faisons ample provision de fromages. Tout ce qu'il est difficile de trouver en Ecosse. Surtout les bleus.

Le Roquefort, le Bleu d'Auvergne, le Bleu des Causses et le morbier. Nous en aurons pour plusieurs semaines. Et de quoi tenir !
Des cônes glacés pour la route. Il y a près de 1 200 km qui nous séparent d'Edimbourg. Voyage sur deux jours. Il faut prévoir.
La glacière, branchée sur l'allume cigare, sera pleine à ras bord. Nous en rions de bon cœur. Nous voilà rassurés. Nous flânons.
Clémentine, qui a laissé sa culotte dans le vide poche, m'entraîne au rayon culturel. Il y a peu de monde à feuilleter des livres.
Peut-être une opportunité exhibe pour Clémentine qui aimerait beaucoup profiter de sa tenue pour s'offrir une légère frayeur.

Il y a bien ce mec, là-bas, en short, en godasses de ville et en chemisette qui bouquine. Il doit avoir la quarantaine bedonnante.
Clémentine me fait remarquer le détail qui tue. Les chaussettes noires qui montent à mi mollet, les mocassins à glands. Poilade.
< Attends moi là, je vais l'achever ! > me fait Clémentine en prenant le caddie pour s'approcher du "tyrolien". Je reste planqué.
Disposant le chariot derrière elle, contre le rayonnage, Clémentine peut s'accroupir à deux mètres du type pour faire son show.
Je fais semblant de lire une bande dessinée. Je mâte. Le mec vient de découvrir la jeune fille accroupit à proximité. Il est calme.

De découvrir l'épaisse touffe de Clémentine, sous sa robe, les cuisses écartées, ne laisse jamais un quidam indifférent. Superbe.
Celui là ne fait pas dérogation à la règle. Il ne tarde pas à s'accroupir pour mieux regarder. Clémentine en rajoute évidemment.
A chaque fois qu'elle prend un livre pour en ranger un autre, elle exagère son mouvement, dévoilant son intimité un peu plus.
C'est magnifique. Le type est discret. La situation perdure jusqu'aux limites de la crampe. Il est resté silencieux. Un gentleman.
Clémentine se redresse. C'est la que l'inconnu lui adresse la parole. Je la vois rire. Elle secoue la tête d'un signe négatif en riant.

Le type n'est pas du genre "boulet". Il n'insiste pas et salue la jeune fille qu'il regarde partir avec des yeux écarquillés. Amusant.
Clémentine vient me rejoindre. Nous nous dirigeons aux caisses. Elle me raconte la proposition de l'homme. Aller boire un café.
Nous voilà sur le chemin du retour. Nous arrivons à la maison pour midi. Nous rangeons immédiatement nos courses. Le repas.
Nous descendons au jardin pour aller chercher nos légumes dans le potager. Laitue, carottes, tomates, persil, ciboulette, oignon.
Clémentine s'occupe des salades. Je prépare les deux derniers filets de lieu noir que je panne. Je fais rissoler les petites patates.

Nous mangeons de bon appétit dans la véranda. Nous faisons un rapide inventaire de la situation, les prévisions, les stratégies.
Pragmatiques et méthodiques, nous passons en revue tous les détails concernant le vernissage de ce soir et le départ imminent.
Nous traînons un peu à table. Nous bavardons en riant beaucoup. Clémentine évoque les fantasmes exhibes qu'elle veut réaliser.
J'écoute plutôt amusé ses souhaits les plus charmants, les plus excitants. < Je suis de plus en plus vicieuse ! > me confie t-elle.
Nous rigolons comme des bossus lorsque je confirme. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous allons nous installer au jardin.

Assise sur la balancelle, Clémentine me parle de monsieur Gérard, le palefrenier vicelard que nous verrons demain chez Juliette.
< Je veux le saluer avant notre départ ! > me fait elle avec un clin d'œil. Je demande : < A ta manière ? >< Oui ! > me fait elle.
Elle rajoute : < Si l'occasion se présente je me le suce ! >. Nous rions de bon cœur. Nous nous caressons les sexes. Il fait chaud.
Il est 15 h30. Nous montons préparer nos tenues pour ce soir. Le tout dans une valise. Nous avons les sacs contenant la bouffe.
Il est 16 h lorsque nous passons récupérer Estelle. Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, elle nous raconte sa journée.

Il y a 45 km pour arriver à la petite Cité de caractère. Je me gare devant la galerie. Les filles prennent les sacs et la valise. Bien.
Je vais garer la voiture sur le parking à l'entrée du bourg. Il y a un monde fou. La saison touristique commence très fort. Super.
Je reviens à la galerie. L'odeur de cire est forte, Clémentine a ouvert la fenêtre et la porte en grand pour faire courant d'air. Joie.
Les filles sont entrain de disposer les en cas sur la table. Elles y ont déroulé la grande nappe en papier. Gobelets en plastique.
J'aide. Clémentine indique tout ce qu'il faut faire. J'ouvre les paquets. Chips, petits gâteaux salés et sucrés, noix de cajou. Noix.

Tout est en place. Clémentine termine en disposant des cerises partout. C'est du plus bel effet. Nous avons ramené des fleurs.
Dans trois grands vases, Clémentine place des roses et des tulipes qu'elle a cueilli dans la roseraie. C'est absolument superbe.
Estelle regarde mes toiles suspendues aux cimaises. Clémentine en décroche l'une pour la remplacer par une autre. Et permute.
Dans la glacière nous avons emmené nos sandwich. Il est rapidement 19 h15. Nous mangeons en bavardant. Pommes, cerises.
Nous passons au local lavabo toilettes pour nous laver les dents. Nous faisons les clowns devant le miroir. Les filles se changent.

Clémentine porte le tailleur noir que je lui ai offert l'an dernier. Jupe droite, chemise blanche, veste noire. Les souliers à talons.
Elle réunit ses longs cheveux pour les laisser pendre sur l'épaule droite. Elle est monstrueusement belle et sexy. Et magnifique.
Estelle porte une jupe plissée, noire avec un chemisier crème sous un gilet à manches courtes, noir, qu'elle laisse bien ouvert.
Ses cheveux disposés comme Clémentine mais sur l'épaule gauche. Elle est splendide. Souliers à talons hauts. C'est formidable.
Avec leurs talons de 6 cm, les deux filles culminent à 1,86m. Ce qui a toujours un gros effet sur la gente masculine. Amusant.

Sur la demande de Clémentine, je porte mon costume de lin clair et une chemise déboutonnée. Mocassins brun. Plutôt sympa.
J'ai l'air faussement débraillé, avec élégance. Je passe ma main sous les jupes des filles. Je leur mets un doigt délicatement.
Se pâmant d'aise, Clémentine qui mouille toujours à une vitesse vertigineuse, me fait : < Ne fais pas ça, malheureux ! >. Rire.
Estelle me fait : < En Ecosse, tu me fais ça tout le temps ! >. Nous rigolons comme des bossus. Il est presque 20 h. Prudence.
Les premiers invités arrivent. Des touristes veulent entrer. Il faut les en dissuader. Voilà Maître Robert, le notaire et son épouse.

Mon oncle arrive. Voilà mes amis hôteliers, collectionneurs assidus. Voilà Juliette et son élégance discrète. Elle est magnifique.
Tout le monde est là, son gobelet de jus de fruits à la main, le bras automatique sur les fruits secs, les chips et les cacahuètes.
Tout le monde bavarde. Clémentine, avec une aisance naturelle, va de l'un à l'autre, présentant ma peinture comme une "pro".
Estelle, plus timide, vient souvent me chuchoter ses impressions. < c'est comme si elle avait toujours fait ça ! > me dit Estelle.
Nous observons discrètement Clémentine qui est la plus parfaite des maîtresses de maison. Et un agent artistique de qualité !

Des gens se connaissent. Le monde est petit. Juliette bavarde avec un couple de mes collectionneurs, propriétaires de chevaux.
Je regarde tout ce beau monde bavarder, s'extasier devant mes toiles. Mon oncle vient me confier à quel point il se réjouit déjà.
Il va tenir la galerie durant toute la saison. J'aime voir certains messieurs faire leur numéro de drague à Clémentine et à Estelle.
Ces deux jeunes filles, plus grandes que la plupart d'entre eux, semblent exercer une attraction supplémentaire. C'est superbe.
Mon oncle me chuchote à l'oreille : < Et ben mon salaud, tu ne dois pas t'emmerder toi ! Tu en trimballes deux maintenant ? >

La soirée se déroule ainsi. Je parle beaucoup de ma peinture. Il est 21 h45. Voilà les premiers départs. Nous serrons des mains.
Il est 22 h lorsque nous retrouvons tous les trois seuls à ranger. 14 toiles ont trouvées acquéreurs. C'est à la fois bien et moche.
Huit d'entre les acquéreurs, de la région, ont la gentillesse de me laisser leurs toiles jusqu'à la fin de la saison. C'est préférable.
Rien n'est plus rédhibitoire que de se retrouver, en début de saison, avec peu de matériel à exposer. C'est donc un grand succès.
Clémentine me fait : < Les toiles où tu nous as représenté, Estelle et moi, sont parties les premières. Tu sais pourquoi hein ! >

C'est un couple de docteurs en médecine, qui me prend tous les ans une toile, qui cette année à pris les deux portraits des filles.
Il est 22 h30 lorsque nous fermons la galerie. Je suis absolument ravi de mes "affaires". Nous roulons dans la nuit. Il fait frais.
Estelle, assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, nous raconte comme elle s'est fait draguer par monsieur Jean, l'hôtelier.
Clémentine nous raconte avoir eu affaire à Maître Félicien, l'avocat qui, malgré la présence de sa femme, a "attaqué dur". Rires.
Nous ramenons Estelle. Séparation difficile. Elle revient demain. Nous sommes tous les trois épuisés. Nous rentrons en "zombis".

Les toilettes. La salle de bain. Au lit, nous tentons bien quelques approches sensuelles. Je lèche le sexe humide de Clémentine.
Elle me chuchote des douceurs. Elle me confie son immense bonheur de vivre toutes ces choses. Elle m'attire sur elle. Douce.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Clémentine évoque ses fantasmes et son Ecosse.
Elle me confie sa joie de retrouver Edimbourg, mon oncle Alan, ma tante, notre appartement dans la grande maison Victorienne.
Je me retire avec autant de précaution. Nous sommes tellement épuisés qu'il serait stupide de tout gâcher par un demi orgasme.

Bonne soirée en compagnie de tout un tas de gens du monde à toutes les coquines que leur présence excite et stimule…

Julien - (Très satisfait de savoir qu'une fois encore, la saison s'avère une totale réussite à tous les niveaux) -

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Classe - 35 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 468 -



Les choses s'accélèrent avant notre départ proche

Hier matin, mercredi, je suis réveillé le premier. Je regarde Clémentine qui dort encore, sur le dos, la bouche entrouverte.
J'aime ces instants privilégiés avant que son sixième sens ne l'informe de la situation. Elle est si belle, si émouvante ainsi.
Hélas, comme je le supposais, mon voyeurisme amoureux est de courte durée. Elle ouvre les yeux, immédiatement lucide.
Elle s'accroche à mon cou pour me chuchoter : < Bonjour Julien ! >. Je lui couvre le visage de bisous. Elle en gémit d'aise.
< Bonjour Clémentine ! > ai je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche en riant. Il est 7 h15. Dehors il y a le soleil.

Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Joie.
Nous sommes déjà vêtus de nos tenues jogging. Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café en chantonnant.
Nous prenons notre petit déjeuner dans cette odeur de pain grillé que nous apprécions tant. Nous mangeons de bon appétit.
Nous élaborons le programme du jour. Clémentine hésite entre une randonnée pédestre ou une virée bicyclette cet après-midi.
Nous nous proposons de laisser cogiter ces deux possibilités dans nos têtes toute la matinée. La vaisselle. Et il est déjà 7 h45.

Nous voilà à courir d'un bon rythme le long de notre parcours habituel. Il fait un peu moins frais que les matins précédents.
Il est neuf heures lorsque nous revenons après un superbe running. La douche. Nous nous habillons de nos vieilles fringues.
Comme nous sommes invités chez Juliette ce soir, nous cueillons des cerises. Tous les deux au sommet de l'échelle double.
Je vais faire une tarte aux cerises pour le dessert. Clémentine me fait part de ses impressions quand au vernissage de hier.
Nous rions de bon cœur à l'évocation de l'attitude de certains messieurs. Clémentine me raconte quelques propos échangés.

Nous redescendons de l'échelle avec un panier plein. C'est rageant de savoir toutes ces cerises encore dans les trois cerisiers.
Elles vont pourrir sans êtres cueillies. Ce sera pareil avec les mirabelles et les pêches et aussi les prunes durant notre absence.
Même si Juliette et Estelle viendront en récupérer un maximum. Quelle n'est pas notre surprise de voir arriver une cavalière.
Cette fois c'est madame Walter. Elle tient son cheval à sa longe, reste sur le sentier et nous lance : < Bonjour ! Je passais ! >
Nous allons la saluer. La jeune femme est vêtue de sa tenue d'écuyère. Un pantalon moulant qui ne cache rien de ces formes.

Nous bavardons un peu. Elle prend ses vacances à partir de dimanche et pour tous le mois de juillet. Dans leur petite maison.
Nous échangeons nos adresses mails. Nous lui promettons de lui envoyer quelques photographies d'Ecosse. Et de lui raconter.
< C'est un pays que j'aimerais découvrir ! Mais mon mari est assez casanier et préfère tellement notre penty ! > nous fait elle.
Nous la regardons partir, droite sur sa monture. Contrairement à Juliette, madame Walter porte une bombe, casque protecteur.
Un dernier coucou de la main en bas du chemin, près de la rivière. Nous rentrons. Je prépare une pâte à tarte. J'adore le faire.

Clémentine lave les cerises. Nous évoquons la visite de madame Walter. Par association d'idée, nous en venons aux écuries.
Le haras, le palefrenier, ce que nous y avons déjà vécu. Clémentine me montre son bras en disant : < Regarde, des frissons ! >
Nous rions de bon cœur de ce que tous ces souvenirs communs au haras procurent de sensations à ma compagne. Normal !
La musique ridicule de mon téléphone sur le frigo. Clémentine s'en saisit. < C'est Estelle ! > me fait elle en se mettant à parler.
Je dénoyaute les cerises pendant que la pâte repose un peu. J'entends la conversation. Estelle vient nous rejoindre pour 14 h.

Je dispose les cerises sur la pâte étalée. J'y verse un mélange d'œuf, de crème fraîche de sucre roux et de graines de sésame.
Quelques amandes et quelques noisettes posées sur le tout. Je mets au four. Clémentine tient le téléphone à mon oreille. Rire.
Je peux ainsi dire quelques mots à Estelle. Elle veut passer ces derniers jours avec nous. Notre départ la bouleverse à nouveau.
C'est elle qui nous propose une randonnée au lac plutôt qu'une virée vélo. Ainsi nous serons plus proches pour bavarder. Câlins.
La tarte est au four. Nous redescendons au jardin pour aller cueillir nos légumes. Tomates, un gros radis blanc, une belle laitue.

Nous traînons en faisant le tour de la propriété. Cette année il y a beaucoup moins d'insectes. Clémentine me le fait remarquer.
Accroupie, les cuisses largement écartées, ma compagne me chuchote : < En Ecosse, je vais être salope ! Tu n'imagines pas ! >
Nous rigolons comme des bossus lorsque je réponds : < Oh si, si, j'imagine très bien et je suis à m'en réjouir autant que toi ! >
Nous rentrons pour préparer notre repas. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais griller les queues de homards. Haricots verts.
Tout va très vite. Nous mangeons de bon appétit dans la véranda. Nous traînons à table. Clémentine évoque ses fantasmes fous.

< Samedi soir, de me retrouver sous Léon et de me retrouver sous un autre que toi, ça m'a excité ! > m'explique t-elle, gênée.
Je la rassure. Je comprends parfaitement. Je l'encourage. Je dis : < Tu dois profiter de tes 21 ans. Ne rater aucune occasion ! >
< Je culpabilise toujours après mes frasques avec un autre ! > me fait elle, assise sur mes genoux. Je lui caresse le sexe. Joie.
Je comprends parfaitement cette attitude mentale mais je l'encourage encore une fois à vivre ses pulsions de jeune fille. Super.
Je rajoute : < Et cela ne met absolument pas en danger notre amour. En ce qui me concerne, ce serait même le contraire ! >

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents et nous mettre en tenue de randonnée. Il fait beau.
Il y a toutefois un vent de Nord Est plutôt très fort. Dans notre petit sac à dos, pommes, barres de céréale, eau et nos K-Ways.
Il est 13 h45. Estelle vient nous rejoindre dans la salle de bain. Elle nous fait la bise avant de me sauter au cou. Contente. Joie.
Clémentine ne s'interpose pas. C'est exceptionnel puisque nous partons bientôt. Estelle porte le même short kaki et son sweat.
Clémentine porte une de ses jupettes sport. Sweat. Je suis en short et sweat. Nous descendons à toute vitesse. Pressés de filer.

Dans la voiture, Clémentine joue avec mon sexe. Estelle, assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, nous raconte son boulot.
Tout le mois de juillet elle va travailler dans l'entreprise familiale. Elle nous confie que ce sera dur sans nous. Nous la rassurons.
Il y a des gens. Plein de voitures sont garées sur le parking. Sur le sentier qui monte aux ruines du châteaux, plein de marcheurs.
Il n'y a donc pas de réelles opportunités d'exhibes pour Clémentine que cela frustre un peu. Malgré le vent frais, il fait très beau.
Chaque fois que nous le pouvons, je marche entre les filles. Nous nous tenons par la main. Les gens qui nous croisent regardent.

Cela suscite bien des interrogations chez les randonneurs qui nous croisent. Cet homme d'âge mûr avec deux jeunes filles. Joie.
Cela nous amuse beaucoup et nous aimons en jouer. Surtout qu'elles me font plein de bisous exprès pour attirer des convoitises.
Nous faisons le tour du lac. Lorsque nous sommes seuls je caresse les sexes des deux coquines qui se passent ma bite en riant.
Il est 18 h30 lorsque nous revenons à la voiture. Nous sommes tous les trois considérablement excités. J'ai enfoncé des doigts.
Les filles m'ont sucé à tour de rôle. Estelle a chassé sa tristesse en redoublant d'initiatives qui nous ont enchanté. Belle balade.

Nous nous changeons devant la voiture. Jupe légère pour Clémentine. Jeans pour Estelle et pour moi. Sweat pour tous les trois.
Il est 19 h45 lorsque nous arrivons au haras. Juliette est dans la cour. Il y a des gens. Mr et Mme Walter. Trois autres personnes.
Nous restons à l'écart. Nous entrons dans notre écurie préférée. Il y a monsieur Gérard, le palefrenier qui trimballe une échelle.
Il nous salue. Aucune attitude ambigüe avec les filles puisque je suis là. Nous bavardons un peu. Monsieur Gérard a du travail.
Juliette vient nous rejoindre avec madame Walter. Monsieur Walter arrive à son tour. Nous bavardons un petit peu. Les écuries.

Monsieur Walter n'est pas indifférent au charme des deux jeunes filles et tout spécialement à l'attrait qu'exerce ma compagne.
J'entraîne madame Walter et Juliette à part prétextant quelques questions concernant le haras. Il ne reste que peu de chevaux.
Juliette m'apprend qu'en été il n'y a que vingt chevaux, pensionnaires à l'année, et que viennent monter leurs propriétaires ici.
Là-bas, je vois monsieur Walter et les deux filles qui rient. Estelle vient nous rejoindre. Clémentine reste seule avec Mr Walter.
Nous bavardons encore un peu en écoutant les explications de Juliette. Si passionnant. Clémentine vient enfin nous rejoindre.

Madame Walter attrape son mari par le bras. Ils nous saluent. Nous nous souhaitons bonnes vacances. Nous suivons Juliette.
Dans son appartement, l'odeur du feuilleté de saumon achève d'ouvrir nos appétits d'ogres. Nous nous lavons les mains. Faim.
Nous voilà assis à déguster ce repas. Juliette évoque le vernissage de la veille. Son désir d'acquérir une de mes toiles. Super.
< Je n'ai pas trop les moyens avec les travaux de cet hiver, mais l'an prochain ! > dit elle. Je lui promets un tableau réservé.
< On peut échelonner le paiement ! > lui fait Clémentine. Juliette souhaite un portrait équestre d'elle avec les écuries en fond.

L'affaire est conclue. Ce sera une œuvre de commande livrable dès le mois de juin 2019. La conversation s'oriente sur le sexe.
Ce que nous avons vécu deux samedis soirs, avec Léon, Gérard, les filles, Juliette et moi. Juliette est une vraie voyeuse. Rire.
Nous le savons. Clémentine me fait du pied sous la table. Juliette revient sur la soirée de hier, le vernissage. Ses impressions.
< C'est fou à quel point certains messieurs peuvent êtres crétinisés par la proximité de deux jeunes filles ! > nous fait elle.
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'elle rajoute à mon intention : < C'est excellent pour le business ! Une attraction ! >

Je confirme. Estelle raconte les dragues dont elle a été l'objet de la part de messieurs d'âges mûrs et pourtant accompagnés.
< Il faut dire que vous étiez toutes les deux les seules jeunes filles présentent ! Terriblement sexy et superbes ! > fait Juliette.
Nous rions de bon cœur de toutes ces anecdotes. La tarte aux cerises est un délice. Il est 22 h15. Nous prenons congé. Merci.
Juliette nous souhaite bonne vacances. Nous lui rappelons qu'il faut récupérer les légumes du potager et les fruits du jardin.
Nous discutons encore un peu devant l'auto. Je me touche la braguette d'une main en serrant l'autre à Juliette qui me sourit.

Estelle me fait : < Montre la à la dame avant les vacances ! >. Il y a un silence. Clémentine me fait du coude. Je comprends.
J'ouvre ma braguette pour sortir mon Zob que j'agite devant les trois filles. Juliette me fait : < J'y goûterais bien à nouveau ! >
< Au retour ! Promis ! > lui fait Clémentine. Estelle, accroupie, sa tête contre ma cuisse fait : < Moi d'abord, et en Ecosse ! >.
Nous rions de bon cœur. Je remballe. Nous partons. Juliette, debout dans la cour, nous fait un dernier coucou de la main. Nuit.
Nous ramenons Estelle. Elle vient nous rejoindre demain, en début d'après-midi pour nous aider à préparer nos valises. Super.

La séparation est difficile. Je propose à Estelle de passer la dernière nuit, demain, avant notre départ, avec nous. Elle est ravie.
Nous rentrons. Les toilettes. La salle de bain. Clémentine, fébrile, m'entraîne par la main jusqu'à la chambre. Elle est excitée !
Je lui lèche le minou, toujours si bon après le dernier pissou du soir. Elle m'attire rapidement sur elle. Je m'introdui doucement.
Immobiles, comme nous aimons, Clémentine me confie ses secrets du jour. La proposition que lui a fait Mr Walter aux écuries.
< Il me propose de baiser avec lui ! > me chuchote Clémentine. Je l'encourage à accepter. Elle se met à bouger. Orgasme. Dodo.

Bonne virée au lac, bonne visite aux écuries et bon repas du soir à toutes les coquines qui apprécient les propositions salaces…

Julien - (Qui encourage toujours Clémentine à vivre tous ses désirs. Sans restrictions. Sans hésitations. Elle n'a que 21 ans) -

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La journée des préparatifs

Hier matin, jeudi, nous nous réveillons en même temps. Nous poussons le même gémissement que nous modulons en riant.
Il est 7 h15. < Bonjour Julien ! > me lance Clémentine déjà toute consciente, fébrile et impatiente d'affronter cette journée.
< Bonjour Clémentine ! > ai je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche en riant. Quelques douceurs et des papouilles.
L'impérieux besoin naturel met un terme à nos effusions. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. L'instant pipi.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Il fait beau, le ciel est bleu et le soleil est haut dans le ciel.

Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous avons déjà nos tenues de jogging. Confitures, miel, beurre.
Nous prenons notre petit déjeuner dans cette agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.
Nous élaborons le programme de la journée. Tout ce qu'il ne faudra surtout pas oublier. Tout ce à quoi il faudra penser. Bien.
La vaisselle. Il est déjà 7 h45 lorsque nous prenons la température dans le jardin. Il fait moins frais que les matins précédents.
Nous voilà à courir dans l'enchantement d'une journée qui s'annonce exceptionnelle. C'est notre circuit habituel. C'est superbe.

Il est neuf heures lorsque nous sommes de retour après un running fort plaisant. La douche. Nous mettons de vieux vêtements.
Nous allons dans l'atelier pour y jeter un dernier coup d'œil. Clémentine se serre contre moi. Elle me murmure : < Je t'aime ! >
Elle est si contente. Je la soulève pour la faire tourner dans les airs. Je dis : < Moi aussi ! >. Elle me couvre le visage de bises.
Je la prends sur le dos. En imitant le hennissement d'un cheval je me mets à galoper dans la grande pièce. J'aime la voir rire.
Elle m'entraîne au jardin. Nous flânons un peu au dehors. Nous faisons le tour de la propriété, main dans la main. Le bonheur.

Nous rentrons. Il est à peine dix heures. La musique ridicule de mon téléphone. Clémentine s'en saisit. < Estelle ! > me dit elle.
J'ai allumé l'ordinateur devant lequel je suis assis, Clémentine sur mes genoux entrain de bavarder avec Estelle. C'est amusant.
Estelle a le désir de venir nous rejoindre ce matin déjà, prenant un jour de congé qu'elle va rattrapera vendredi et samedi matin.
Nous lui proposons de venir la chercher de suite. Nous voilà dans l'auto. Trois petits kilomètres et nous arrivons au lotissement.
Estelle, toute contente, radieuse, en short et en T-shirt, portant son petit sac de sport, nous attend dans l'arrêt de bus habituel.

Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous fait : < Je pars avec vous ! >. Nous rions de bon cœur. Impossible.
Nous sommes de retour pour 10 H30. Il fait plutôt doux malgré ce léger vent de Nord Est qui souffle depuis plus d'une semaine.
Nous sommes tous les trois assis dans la balancelle sous le toit de toile. Estelle à ma gauche. Clémentine à ma droite. Le bilan.
Ce sera une épreuve pour tous les trois d'être séparés un mois entier. Estelle me palpe la braguette, nous confiant la difficulté.
< Une épreuve de plus après toutes les autres ! > nous fait elle en éclatant de rire. Elle sera forte. Autant que nous le serons…

Clémentine a sorti mon sexe qu'elle tend à Estelle en lui disant : < Profite ! >. Nous rigolons comme des bossus. C'est amusant.
Je dis à Estelle : < Pendant notre absence, tu vas sucer le palefrenier. Et puis tu alternes avec la bite de ton copain Gauvain ! >
< T'es fou ! Jamais je n'irais toute seule au haras. Quand à Gauvain, il ne se passe strictement rien ! > fait elle très sérieuse.
Nous bavardons en profitant de cette matinée d'insouciance. Estelle, tout en parlant, me tord la bite dans tous les sens. Sympa.
Il est 11 H30. Nous décidons du repas de midi. Ce sera un gratin de petites pommes de terre du jardin avec du cabillaud pané.

De parler bouffe ouvre évidemment nos appétits. Nous nous précipitons à la cuisine. Estelle me suit aux toilettes tout en riant.
< Je veux la tenir et jusqu'à votre départ ! > me fait elle. Clémentine vient se placer sur ma gauche pour regarder le spectacle.
Estelle me tient la bite pour en diriger le jet au fond de la cuvette. Je la tiens par la taille. Ce jeu nous amuse toujours beaucoup.
Accroupie pour en savourer les derniers reliquats, Estelle me suce en gémissant de plaisir. Clémentine, serrée contre moi, mâte.
Je laisse Estelle se régaler un petit moment. Je bande. Je sens le liquide séminal monter. Les gargouillis caractéristiques. Pipe…

Je saisi Estelle par ses cheveux en catogan pour la forcer à se redresser. Elle me montre l'intérieur de sa bouche. Foutre gluant.
Clémentine nous entraîne à la cuisine. Nous préparons notre repas en bavardant et en riant beaucoup. Exutoire à la tristesse.
Il faut absolument empêcher Estelle d'être gagnée par le chagrin à l'idée de notre séparation prochaine. Je la fais beaucoup rire.
Les derniers filets de cabillaud pané sont à la poêle. Le gratin est au four et Clémentine termine l'assaisonnement de la salade.
Nous montons à l'étage. Clémentine monte sur la chaise pour descendre les valises du haut de l'armoire. Il faut dépoussiérer.

Estelle nous apprend qu'elle a déjà préparé sa valise pour nous rejoindre en Ecosse le premier août. Nous en rions de bon cœur.
Je lui propose de nous la confier, demain matin, lorsque nous la ramènerons. < Excellent ! > s'écrie t-elle. Nous nous organisons.
Les trois grosses valises à roulettes sont ouvertes, posées sur le lit. Les portes de l'armoire et du placard mural grandes ouvertes.
Lorsqu'on vit en couple, l'homme, en général, a droit à un quart de l'armoire et a un tiers du placard mural. Phénomène connu.
Nous n'échappons pas à cette règle immuable. La sonnerie du four. Nous descendons à toute allure. Morts de faim. Les odeurs.

Nous mangeons dans la véranda. Le repas est excellent. Il y a de quoi réchauffer ce soir. Nous bavardons en rigolant beaucoup.
Les filles évoquent la rentrée de septembre, l'université, les quatre années qui les séparent de leur Doctorat. Les efforts à faire.
Nous traînons à table. Clémentine, assise sur mes genoux, terminant son yaourt, nous confie ses impressions quand aux écuries.
Nous faisons un bilan de ce que nous y avons vécu. Ma compagne raconte à Estelle la proposition de monsieur Walter. De baiser.
< Tu vas le faire ? > lui demande Estelle. < Je ne sais pas encore, mais ça me tente vraiment. Pour le fun ! > lui fait Clémentine.

La vaisselle. Dehors, le ciel se couvre légèrement. Il y a de gros nuages. Nous rangeons la cuisine. Nous montons à l'étage. Joie.
Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir. Nous retournons dans la chambre pour préparer nos valises.
Estelle conseille Clémentine qui nous montre différentes jupes, robes, chemisiers, pulls, sweats et autres pantalons. C'est super.
Clémentine remplit doucement chacune de ses deux valises en pliant avec un soin extrême chacun de ses vêtements. J'apprécie.
Je fais de même après avoir montré les vêtements que j'emmène aux deux filles qui me disent : < Oh oui, ça ! Non, pas ça ! >

Il en va des chaussures comme des habits. J'ai droit à un tout petit bout de fond de placard. Tout le reste, c'est à Clémentine.
Nous remplissons deux grands sacs en plastique rigide des godasses que nous emmenons. Comme toujours, très peu serviront.
Le coffre de la voiture est immense. L'avantage des grosses berlines Allemandes. Nous nous occupons ainsi jusqu'à 16 h. Bien.
Nos affaires sont prêtes. Estelle essuie une petite larme. Je lui fais plein de bisous en la serrant dans mes bras. Elle se blottie.
Clémentine ne s'interpose pas vu la situation particulière. Nous décidons d'aller marcher un peu dans la campagne. Il fait doux.

Nous descendons les valises et les sacs que nous disposons dans le coffre de la voiture. Je suis méthodique pour le rangement.
Je dis à Estelle : < Tu vois, il y a encore de la place pour ta valise, même pour toi ! >. Elle se serre contre moi une nouvelle fois.
Le ciel s'est couvert de gros nuages qui ne sont toutefois pas menaçants. Nous descendons le long du chemin en nous baladant.
Nous longeons la rivière. Estelle à ma gauche, Clémentine à ma droite, nous nous tenons par la main tout en bavardant. Ecosse.

Nous viendrons chercher Estelle à l'aéroport d'Edimbourg le 1er août. Nous reviendrons ensemble tous les trois en septembre.
Notre retour est prévu pour le 10 septembre mais nous réservons un ou deux jours de vacation. C'est mieux et il faut prévoir.
Nous passons près du haras, derrière notre écurie préférée que nous voyons à 300 mètres. La caravane de Mr Gérard. Sympa.
Estelle joue avec ma bite que je laisse pendre de la braguette de mon short. A tour de rôle les filles y goûtent. Souvent Estelle.
C'est son petit réconfort avant la séparation imminente. Il est 19 h lorsque nous revenons sous un ciel qui s'est obscurcit. Bien.

Il suffit de réchauffer le gratin de patates. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare une belle omelette. Estelle nous aide.
Nous prenons notre repas dans la véranda. Nous traînons longuement à table. La gorge d'Estelle se noue à plusieurs reprises.
Je l'invite à venir s'asseoir sur mes genoux pendant que Clémentine débarrasse la table. Je dois la consoler. Premiers sanglots.
Je suis toujours un peu perdu dans ces moments d'intenses émotions. Clémentine vient essuyer les larmes d'Estelle. Difficile.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle nous fait : < On se fait pas chier, je viendrais faire le ménage dès dimanche ! >

Il est 21 h45. Nous passons au salon. Je déboutonne le short d'Estelle qui me regarde faire avec un étonnement qui m'amuse.
Je la fais basculer dans le canapé. Je me mets à genoux sur l'épais coussin. Je lui écarte les cuisses en tenant ses chevilles.
Clémentine s'est installé dans le fauteuil. Chacune de ses jambes posée sur les accoudoirs. Je passe mon doigt. Et doucement.
Je hume longuement le sexe d'Estelle qui me regarde faire avec un air étonné qui me ravi. Clémentine se masturbe, soufflant.
Je lèche la fente étroite du sexe sec d'Estelle. Il y a ce goût âcre que je surmonte facilement dans mon désir de lui faire oublier.

Estelle me tient par les oreilles. Comme pour me guider. Il y a enfin un peu de cyprine. J'écarte la fente. Les lèvres de son sexe.
Elles sont petites et apparaissent à peine. Je suce son petit bouton. Je l'entends gémir de plaisir et de bonheur. C'est rassurant.
Estelle ne peut réfréner l'orgasme qui la terrasse soudain. Elle n'a pas les capacités de résistance de Clémentine qui se branle.
Il est 22 h30. Je propose de monter. Toilettes. Nos pissous. Salle de bain. Exceptionnellement, Estelle pourra dormir contre moi.
Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Même trempée, Clémentine reste étroite.

Nous restons immobiles, comme nous aimons à le faire. Estelle rapproche son visage du notre pour écouter nos confidences.
Clémentine me révèle d'étonnantes choses. La bite du palefrenier qui va peut-être lui manquer. La proposition de Mr Walter.
Estelle lui murmure des questions de filles auxquelles je n'avais pas penser. C'est merveilleux autant qu'excitant. Des bisous.
< Je pourrais baiser avec Julien en Ecosse ? > demande Estelle à Clémentine qui ne répond pas. Nous nous berçons. La baise.
L'orgasme de Clémentine est grandiose. Comme toujours, elle me termine par une pipe en partageant avec Estelle. Puis dodo.

Bons préparatifs de départ à toutes les coquines qui se réjouissent de partir en vacances. Après une superbe partie de cul…

Julien - (Qui caresse la tête d'Estelle pour la consoler, murmurant des douceurs pendant que Clémentine suce à s'en étouffer) -

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Classe - 37 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 470 -



Le grand jour est arrivé

Hier matin, vendredi, je suis réveillé par quantité de bisous dont on recouvre mon visage de tous les côtés. De la stéréophonie.
J'ouvre les yeux. Au dessus de moi, Clémentine et Estelle, souriantes et radieuses. < Bonjour Julien ! > me font elles en cœur.
< Bonjour les coquines ! > ai je le temps de dire avant qu'elles ne me chatouillent en riant. Douceurs, tendresse, et papouilles.
Il est à peine 6 h. Estelle, qui s'est souvent blottie contre moi durant la nuit, se précipite la première aux toilettes en chantant.
Elle en ressort pour se précipiter dans l'escalier en disant : < Je descends préparer le petit déjeuner ! >. C'est notre tour. WC.

Il fait plus doux que les matins précédents. le ciel est d'un bleu limpide. Le soleil termine de se lever. Ce sera une belle journée.
Nous faisons le lit. Morts de faim, nous descendons à toute vitesse rejoindre Estelle. Il y a cette délicieuse odeur de pain grillé.
Tout est prêt. Nous mangeons de bon appétit. Estelle lutte certainement en secret pour nous présenter son plus beau visage.
On ne peut y lire aucune tristesse. Je mets les fromages dans la glacière. Des cônes glacés. Elle est pleine à ras bord. Vaisselle.
< Je viendrais faire tout le ménage dimanche ! > précise une fois encore Estelle qui insiste, et depuis quelque jours, pour cela.

Nous remontons nous habiller, nous laver les dents et faire un dernier inventaire des choses que nous aurions pu oublier. Bien.
Tout est parfait. Estelle se serre plusieurs fois contre moi, me fait un rapide bisou. Il est presque 7 h. Et la voiture est chargée.
J'ai enclanché la domotique. Tout fonctionne. Je donne à Estelle les dernières consignes pour éviter de faire sonner les alarmes.
Nous quittons la propriété. Nous voilà en route. 3 kilomètres et nous arrivons au lotissement. La maison des parents d'Estelle.
La gorge serrée, retenant ses larmes, se pinçant les lèvres, elle nous regarde en souriant. Je lui couvre le visages de bisous.

Nous lui promettons de lui écrire tous les jours, de lui envoyer des photos et de penser très fort à elle. De lui téléphoner même.
Elle sort de l'auto avec son petit sac de sport. Debout devant l'arrêt de bus habituel, elle nous fait un dernier coucou de la main.
Nous voilà en route, un peu remués par l'émotion. Cette séparation ne nous laisse pas indifférent. C'est difficile pour nous trois.
Il y a presque 400 kilomètres jusqu'à Boulogne où nous prenons le ferry pour l'Angleterre dès 14 h30. Nous avons de la marge.
Je ne dépasse jamais les limitations de vitesse. Je suis d'une prudence extrême au volant. Et j'ai une excellente co-pilote. Bien.

Très rapidement, l'optimisme et la bonne humeur naturels de Clémentine reprennent le dessus. Elle commente le paysage. Joie.
Il fait beau. Le ciel est bleu. Il y a bien quelques rares nuages d'altitude. Rien d'inquiétant. Clémentine porte une jupette légère.
Un simple T-shirt. Des sandalettes. Je suis en short, T-shirt et sandales. Une centaine de kilomètres. Nous nous arrêtons. Bien.
J'observe toujours cette règle immuable. Une dizaine de minutes d'arrêt tous les cent kilomètres. C'est beaucoup plus agréable
Notre choix se porte toujours sur les nationales. On peut y admirer les paysages, bavarder, d'apprécier ce départ tant attendu.

Je ne tarde pas à rouler avec la braguette ouverte dont Clémentine me sort le sexe pour jouer avec en discutant. Douce coquine.
Je roule calmement. Il y a trois arrêts jusqu'à Boulogne où nous arrivons vers 12 h30. Nous trouvons un restaurant près du port.
L'embarcadère est à proximité. Nous y garons la voiture. Depuis la fenêtre de l'établissement, nous pouvons l'apercevoir. Bien.
Un repas constitué de fruits de mer. De grosses coupes glacées en dessert. Tout cela nous enchante et nous permet la détente.
Nous bavardons. Nous pouvons traîner à table avant de faire une promenade digestive le long des quais. Nous voilà sustentés.

La glacière contenant nos précieux fromages, branchée sur l'allume cigare, est posée au sol, devant la banquette arrière. Bien.
Accrochés au crochet, sous leur housse, l'ensemble de Clémentine et mon costume qu'il faut changer de côté. Je m'en occupe.
En Angleterre, on roule à gauche. Et pour éviter le danger d'un angle mort, il vaut mieux suspendre les affaires de l'autre côté.
Nous voilà dans l'auto. Nous sommes dans la file. Nous avançons au pas, sur les signes de l'employé pour entrer sur le pont.
C'est un des gros bateaux qui assure la liaison Boulogne Douvres. Nous voilà dans le navire. Un employé fixe les sangles. Bien.

Nous allons assister au départ le long de la rambarde. Il y a plein d'autres gens qui font comme nous. Le bateau quitte le port.
La mer est calme. Il y a quelques nuages qui masquent quelquefois le soleil. Le vent du large est rafraîchissant. C'est sympa.
Là-bas, Douvres. La traversée a duré un peu plus d'une heure. Il faut remonter dans la voiture. Mêmes manœuvres inverses.
Nous voilà en Angleterre. < J'ai pensé à ce moment tous les jours ! > me fait Clémentine toute contente, me faisant des bises.
< Comment tu fais pour rouler à gauche aussi naturellement, je serais morte d'angoisse si je devais rouler ! > fait Clémentine.

Je réponds : < C'est un peu comme un réflexe. Quand on la déjà fait tant de fois, c'est comme le vélo, ça ne s'oublie plus ! >.
Il faut rouler en direction de Londres puis prendre la direction "Nord Speedway". Il y a presque 44 km jusqu'à Grimsby. Super.
Grimsby est une petite station balnéaire typique de l'Angleterre, au sud de Kingston-upon-Hull. Le paysage n'est pas très génial.
La côte Est de l'Angleterre est plate, sans relief et n'offre aucune attraction visuelle. Nous avons quitté la portion d'autoroute.
La circulation est fluide. Clémentine, dont les légères craintes ont disparu peut à nouveau jouer avec mon sexe en bavardant.

Du petit sac à dos qui ne nous quitte jamais, Clémentine sort le collier canin et la laisse. < Regarde, tu as oublié ! > me dit elle.
Nous rigolons comme des bossus. C'est vrai, j'avais totalement oublié cet ustensile. Elle me passe une grosse pomme. Sympa.
Je m'arrête tous les cent bornes. Nous regardons la mer, parfois près de la route, parfois au loin. Il y a de gros bateaux là-bas.
La manche est une route maritime de première importance. Nombreux sont les gros porteurs ou encore les pétroliers géants.
Nous arrivons à Grimsby pour 21 h. J'y ai réservé une chambre à l'hôtel. "The Yarborough Hotel". Très facile à trouver. Super.

Je gare la voiture. Je referme ma braguette. Nous entrons dans l'établissement où nous sommes accueillis chaleureusement.
C'est une ancienne bâtisse. Je suis étonné par le luxe. On nous fait visiter la chambre. C'est surprenant. Super luxe pour 44 €.
Salle de bain, WC. Nous apprenons que c'est une promotion. Nous retournons à la voiture pour la garer sur le parking réservé.
Nous récupérons juste le nécessaire préparé dans un grand sachet plastique. Nous remontons mettre le tout dans la chambre.
Le voyage n'a pas été fatiguant. Comme je roule sans stress, en m'arrêtant régulièrement, aucune séquelle pour l'organisme.

Clémentine, impatiente de se dégourdir les jambes et assoiffée de découvertes, m'entraîne à la découverte de la petite ville.
Grimsby est un gros bourg attrayant. Très touristique, la petite ville offre quantité de pubs, de restaurants et de commerces.
Clémentine me propose de nous prendre des Fish and chips et manger sur le pouce tout en nous promenant. Excellente idée.
Nous prenons le ponton qui enjambe quelques centaines de mètre la mer pour conduire au casino. Attraction british typique.
Il y a un monde fou. La nuit est entrain de tomber. Il y a des lumières partout. Je sens Clémentine tellement heureuse. Bien.

La fraîcheur du crépuscule nous oblige à enfiler les sweats que nous portions sur les épaules. Un peu froid aux jambes. Rires.
Nous nous offrons un ice cream en pot que nous dégustons à la petite cuillère en plastique offerte avec. C'est un vrai plaisir.
Nous flânons. L'air du large apporte l'odeur de la mer. Il fait de plus en plus frais. Clémentine, discrètement, me palpe le Zob.
Parfois, en regardant bien partout autour de nous, je passe ma main sous sa jupe. Je sens son clitoris géant sous sa culotte.
Il est tellement gros que ça fait toujours une petite bosse. Ce qui a complexé Clémentine jusqu'à la fin de son adolescence.

Elle me raconte parfois à quel point ce truc restait visible, comme une petite bite, dans ses slips de bain où dans ses leggings.
Jusqu'à ce qu'elle découvre le privilège de posséder un merveilleux instrument de plaisir qui ne la quittera jamais. C'est super.
Aujourd'hui, nul complexe ne subsiste. Il faut juste rester discrète à la plage. Mais nous ne sommes pas très plage et baignade.
Il est 22 h30 lorsque nous revenons à l'hôtel. La fatigue se fait sentir. Plus moyen d'y échapper. Toilettes, salle de bain. Douche.
Nous voilà au lit. Un grand lit double, au matelas bien dur comme nous aimons. Nous nous offrons un "69". C'est très excitant.

Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons parfaitement immobiles. Joie.
Nous aimons tellement rester ainsi l'un dans l'autre sans bouger. Nous contractons juste nos muscles fessiers pour la sensation.
Je déteste peser de tout mon poids sur le corps de ma compagne. Je reste en appui sur mes bras ou mes coudes. C'est mieux.
Clémentine, qui passe ses jambes autour de mes hanches, se pend à mon cou pour approcher son visage de mon oreille. Joie.
J'aime l'entendre me murmurer les plus délicats secrets. C'est toujours tellement excitant. Je bande jusqu'à la douleur. Super.

< J'ai envie de baisser. De plus en plus, Julien ! Parfois ça me prend alors que je fais tout à fait autre chose ! > fait Clémentine.
J'écoute en silence. Elle continue : < De me retrouver sous le vieux Black, samedi dernier, m'a excité, si tu savais. La folie ! >
Je l'encourage à récidiver le plus tôt possible. Je lui dis : < Pourquoi pas avec un D'jeune ? >. Elle reste un moment silencieuse.
< Non ! Pas avec un "lapin" ou avec un éjaculateur précoce. Je déteste qu'on éjacule en moi ! > me confie t-elle en bougeant.
Elle rajoute : < Je préfère les hommes d'âge mûrs ! Tu m'as rendu addict aux quinquagénaires cochons et vicieux ! >. Rigolade !

Nous nous berçons lentement. Clémentine me repousse doucement. Je lui offre le cunnilingus dont elle raffole. Sa préférence.
J'aime l'entendre crier de plaisir. Mais là, à l'hôtel, il faut réfréner son envie de hurler de jouissance. C'est une fille de 21 ans !
Sa tête posée sur mon ventre, Clémentine se met à téter ma bite sans bouger. Cette indicible caresse achève de nous épuiser.
Doucement, je tire Clémentine par ses cheveux pour poser sa tête contre mon épaule. Nous sommes tellement fatigués. Dur.
Je déteste les orgasmes moyens. Je préfère me garder pour demain où après-demain. < Je t'aime ! > est notre dernier mot.

Bonne route sur le chemin de vos vacances à toutes les coquines qui aiment tripoter la bite de leur conducteur prudent…

Julien - (Qui dicte ce récit à Clémentine qui le tape sur la tablette, par intermittence, tout en observant le paysage) -

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La seconde partie du voyage

Hier matin, samedi, il est presque sept heures lorsque nous nous réveillons tous les deux en même temps. La chambre d'hôtel.
Il y a un instant d'adaptation. Nous nous réveillons dans un endroit inconnu. Nous avons très bien dormi. Il fait déjà très beau.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Une chasse d'eau Anglaise. Ce qui déstabilise toujours quelque peu.
Nous nous habillons pour descendre. La salle du petit déjeuner est pittoresque. Il y a déjà quelques clients de l'hôtel. Du bruit.
Nous nous servons en marmelade, en pain de mie, en beurre et en café. La bouffe Anglaise. Pas de réelle saveur et bourrative.

Nos ne nous attardons pas. Nous remontons nous laver les dents et nous mettre en tenue de jogging. Pas question de le rater.
Comme le fait remarquer très justement Clémentine, un deuxième jour sans jogging serait trop frustrant. Nous aimons tant ça.
Nous quittons l'hôtel pour 7 h30. Nous descendons jusqu'à la plage. Les plages de la mer du Nord ne sont pas très attractives.
Nous courrons d'une bonne foulée. Nous croisons quantité d'autres joggeurs. Le soleil est haut dans un ciel parfaitement bleu.
Nous sommes de retour pour 9 h. La douche. Mêmes habits que hier. Jupette pour Clémentine. Short pour moi. Les T-shirts.

Il est 9 h30 lorsque nous sommes à rouler. La circulation est fluide. Il y a bien quelques poids lourds. Je roule avec prudence.
Clémentine joue avec mon sexe qu'elle a extrait de ma braguette qui bâille. Elle me confie quelques anecdotes de ses études.
Nous rions de bon cœur à l'évocation de certains professeurs d'université. Profession à laquelle se destine ma compagne. Joie.
Le paysage change à présent. Le Nord Est de l'Angleterre devient plus vallonné. Le bord de mer devient bien plus pittoresque.
Il est 13 h05 lorsque nous nous arrêtons à Durham. Une petite ville très touristique ayant conservé son caractère, son charme.

Plutôt que de manger dans un restaurant, Clémentine me propose de nous faire des sandwichs, de nous installer sur un banc.
Je trouve la suggestion plutôt sympathique. Il fait chaud. Il n'y a pas le moindre nuage dans un ciel d'un bleu d'azur. Très clair.
Nous avons ramené notre pain préféré qui nous permettra de tenir quelques jours. Du pain complet, biologique et aux graines.
De fines lamelles de Morbier tirés de la glacière. Nous voilà à savourer un repas sur le pouce en admirant la grande place. Joie.
Nous ne nous attardons pas. Nous n'avons plus que 170 km à faire. Une petite promenade digestive dans le centre de la ville.

Nous roulons le long de la mer. Le paysage devient maintenant de toute beauté. Il faut garder les fenêtres de l'auto ouvertes.
Clémentine devient de plus en plus fébrile au fur et à mesure que nous nous rapprochons de la frontière. Là, enfin, le panneau.
"Welcome to Scotland". Clémentine entoure mon cou de ses bras. Je me gare sur le bord de la route et nous sortons de l'auto.
Ma compagne a une larme au coin de l'œil. Elle a tant attendu ce moment. Depuis six mois, Clémentine y pensait tous les jours.
< Je t'aime Julien ! Tu m'as fais découvrir l'endroit le plus beau du monde ! > me fait elle en me serrant dans ses bras. Bisous.

Nous faisons quelques selfies devant le panneau. Des photos que nous enverrons à nos proches amies, Estelle, Juliette. Super.
Nous reprenons la route dans une circulation un peu plus dense. Nous arrivons à proximité de la capitale écossaise. Il fait beau.
Nous entrons dans Edimbourg en passant devant le château, là haut, sur la colline. Clémentine est folle de joie. Je gare l'auto.
< Pince moi, je crois rêver ! > me fait Clémentine. Elle prend quelques photos. Le bruit de la circulation nous oblige à repartir.
Nous arrivons sur Princess Street, l'artère principale de la ville. Juste avant de m'y engager, je prends à droite sur Morningside.

Il est 16 h30. C'est à peu près le timing que nous avions prévu. Les rues qui mènent sur Morningside sont moins fréquentées.
C'est un des quartiers résidentiels de la ville. Les maisons Victoriennes ne tardent pas à se succéder dans des parcs verdoyants.
Nous arrivons. Le portail est grand ouvert. J'engage la voiture. Je roule au pas dans l'allée entre les platanes centenaires. Bien.
Clémentine prend ma main pour la poser sur sa poitrine. Je sens son cœur qui bat la chamade. La grande maison de mon oncle.
Je gare la voiture devant le grand escalier. Nous sortons. Mon oncle et ma tante descendent du perron en dévalant les marches.

Nous sommes tous les quatre tellement contents de nous revoir. Ce sont des effusions malgré une réserve toute Anglo-Saxonne.
Clémentine est radieuse. Si débordante de joie qu'elle ne peut contenir. Nous suivons mon oncle et ma tante jusqu'à l'intérieur.
Nous voilà assis dans le grand salon, devant des cookies et des tasses de thé fumant. Nous bavardons. Nous évoquons nos vies.
Depuis six mois, rien n'a véritablement changé mais c'est toujours un plaisir d'échanger des banalités, des lieux communs. Joie.
Nous traînons longuement. Nous retournons à la voiture pour récupérer nos affaires et nos bagages. Il y a soudain une fatigue.

Comme l'an dernier, nous prenons possession du petit appartement à l'étage de la grande maison Victorienne. Il y fait si bon.
Clémentine défait les valises. < Comme je suis heureuse ! C'est merveilleux ! > me lance t-elle plusieurs fois en m'embrassant.
Nous rangeons soigneusement toutes nos affaires dans l'armoire. La valise d'Estelle restera dans le bas, avec les chaussures.
Nous avons une émotion lorsque nous la regardons. Nous partons du même constat. Estelle nous manque déjà. C'est étrange.
Je branche l'ordinateur. La Wifi fonctionne parfaitement. La 4G est une pure merveille qui permet une connexion immédiate.

Par jeu, Clémentine et moi, nous décidons de nous exprimer en Anglais à partir de ce jour. Clémentine le parle parfaitement.
Dans le cadre de ses études, la maîtrise de l'Anglais est une obligation. D'être en situation, dans le pays, est donc la panacée.
Il est 18 h. Tout est rangé. J'ouvre en grand les fenêtres pour humer l'air du parc. La propriété est vaste. Tout est magnifique.
Nous ne pouvons nous soustraire à l'invitation qui nous est faite de partager le repas de ce soir en famille. Mais c'est sympa.
Nous descendons pour nous promener un peu dans le parc. Je range la voiture dans la dépendance qui sert de garage. Super.

Nous quittons la propriété pour aller flâner dans la rue déserte et silencieuse que nous connaissons bien. Les grilles des parcs.
Certaines demeures sont fantastiques avec leurs tourelles. D'anciennes demeures souvent occupées par quelques célébrités.
Il est agréable de se promener ici. Parfois, discrètement, Clémentine me prend la main pour la placer sur son sexe. Le tissus.
Je palpe doucement, affectueusement, lorsqu'elle me chuchote : < J'ai envie, si tu savais ! C'est l'excitation d'être de retour ! >
Elle rajoute : < C'est fou, mais c'est comme si j'étais de retour chez moi ! >. Je comprends bien cette impression, j'ai la même.

Nous sommes attendus pour vingt heures. Nous revenons à la propriété. Pas de chichis. Nous restons vêtus de la même façon.
Mn oncle et ma tante sont d'ailleurs dans la même attitude mentale. Et pas de manières inutiles. J'offre les cadeaux rapportés.
Deux gros Kouign Amann, une bouteille d'hydromel artisanal, et le tableau que j'ai peins tout spécialement. C'est le bonheur.
Mon oncle admire le portrait que j'ai réalisé au début juin. Celui où Clémentine et moi, sommes représentés en tenues XVIIème.
Mon oncle et ma tante ne tarissent pas d'éloges. Ils veulent me payer immédiatement. C'est un réflexe typiquement écossais.

Rien ne presse et, comme convenu, ce sera au prix normal. Nous voilà assis dans le grand salon. Le repas est délicieux. Super.
Ma tante est une excellente cuisinière. Mon oncle nous raconte ses amusantes histoires. Son commerce d'antiquaire. Sa retraite.
La soirée se déroule ainsi dans le bonheur de se retrouver et les anecdotes des uns et des autres. La fatigue se fait sentir. Forte.
Il est presque 23 h lorsque nous nous retrouvons enfin dans nos appartements. Toilettes. Salle de bain. Il fait un peu lourd. Joie.
Au lit, nous nous offrons un "69" qui nous met toujours en "appétit". Nous oublions rapidement la fatigue. C'est tellement bon.

Clémentine m'entraîne sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Et nous restons parfaitement immobiles.
Clémentine me confie quelques secrets du jour, l'intense excitation qui se joint à son plaisir d'être de retour au pays. Bonheur.
Nous alternons nos légers bercements avec des séquences sans bouger. Clémentine me donne quelques ressentis particuliers.
Il y est question de ce qu'elle a vécu au haras, avec Estelle, deux samedis soirs de suite. J'écoute, étonné et excité. Merveilleux.
Je la termine par un cunnilingus. Elle veut faire de même avec une fellation. Trop fatigués, je lui propose de remettre à demain…

Bon retour sur le lieu de vos vacances préférées à toutes les coquines qui se réjouissent de ce qu'elles vont y vivre…

Julien - (Qui est aussi heureux que Clémentine de se retrouver enfin chez lui, dans son pays natal, pour plus de deux mois) -

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Nous nous installons dans confort de notre nouvelle vie

Hier matin, dimanche, il est huit heures lorsque nous entendons frapper à la porte. < Hi ! Breakfast ! > fait la voix de ma tante.
Nous devions être réellement très fatigués pour dormir aussi tard. Cela ne nous ressemble guère et reste fort rare. Des bisous.
< Bonjour Julien ! > fait Clémentine en m'entraînant par la main jusqu'aux toilettes. Je lui dis < Bonjour Clémentine ! >. Rires.
Nous mettons nos vêtements légers de maison. Dehors il fait beau. Un ciel bleu. Il fait déjà chaud. Nous descendons rapidement.
Nous avion promis de prendre notre premier petit déjeuner à Edimbourg tous les quatre. Alan, ma tante, Clémentine et myself.

Nous mangeons de bon appétit en bavardant beaucoup. Mon oncle, qui a tenu un commerce d'Antiquaire, a plein d'anecdotes.
D'amusantes histoires qui l'ont emmené à rencontrer toutes sortes de gens. Notamment des célébrités. Il a gardés des relations.
Il n'est donc pas avare de choses qui nous font rigoler comme des bossus. Des gens de la politique, du spectacle ou du cinéma.
Nous traînons à table. C'est dimanche. Aujourd'hui pas d'entraînement, pas de jogging, rien que du farniente et de la quiétude.
Nous accompagnons mon oncle qui nous fait faire le tour de la propriété. Depuis qu'il est à la retraite, il s'occupe d'un potager.

Il insiste pour que nous prenions le repas de midi en leur compagnie. Ce que nous promettons de faire. Si seuls tous les deux.
Aussi, notre présence dans cette grande maison silencieuse les ravi. Il y aura mon cousin Steve et sa femme. Les retrouvailles.
Clémentine est à se réjouir. Ma famille est aussi devenu la sienne, elle qui n'en a plus depuis longtemps. Nous flânons au jardin.
Notre crainte est que la chaleur devienne caniculaire. L'absence de vent, la chaleur accablante alors qu'il n'est que onze heures.
Nous rentrons. Nous prenons congé pour remonter dans nos appartements. C'est la douche. Le repas est fixé pour midi quinze.

Clémentine porte une de ses robes d'été, sombre, à discrets motifs floraux. Je porte un short clair et un T-shirt. Nos sandales.
Assis devant l'ordinateur, nous découvrons les messages de Juliette, d'Estelle et de Julie. Estelle nous fait part de sa tristesse.
Elle est venue à la maison après le repas, samedi, vers 19 h45. Il a fait chaud. Elle a arrosé le potager. Elle a dormi chez nous.
Elle nous raconte les bruits étranges que fait le fantôme de mon ancienne compagne disparue. Christine n'aime pas être seule.
Nous répondons en envoyant les photos réduites que nous avons prise devant le panneau "Welcome to Scotland". Un message.

Nous envoyons les mêmes photos à Juliette qui nous souhaite une fois encore de belles et bonnes vacances, évoquant le haras.
Nous envoyons les mêmes photos à Julie qui va passer ses vacances à faire la serveuse dans le restaurant de sa tante. Super.
Il est 11 h45. Nous rédigeons quelques lignes du récit que découvre le lecteur aujourd'hui. Clémentine assise sur mes genoux.
Je passe souvent ma main sous sa robe. Elle ne porte pas de culotte. Je joue avec sa touffe et son clitoris géant. Elle apprécie.
Il est midi passé. Il faut songer à descendre, nous sommes invités au repas. Clémentine s'assoit sur la table, cuisses écartées.

Je reste assis sur la chaise, mon visage entre ses jambes, je suce cet étonnant bouton de plaisir. Il est énorme et turgescent.
J'adore le décalotter du bout de mes lèvres en suçotant. J'adore le spasme qui anime le corps de Clémentine à ce moment là !
Hélas, tout cela ne peut durer. Il est presque midi quinze. Je me lève. Je la soulève pour la faire tourner dans les airs. Bisous.
Je l'entraîne jusqu'à la porte pour la déposer au sol. < Je t'aime Julien ! > me chuchote t-elle en m'entraînant dans l'escalier.
Nous nous arrêtons plusieurs fois sur les marches pour nous tripoter les sexes. C'est rapide, discret, silencieux et si intense...

Nous arrivons au grand salon. Nous saluons mon cousin Steve et sa ravissante femme. Nous sommes tellement contents. Joie.
De nous revoir, après six mois, est un réel plaisir. Nous étions à Edimbourg entre Noël et Nouvel an de l'an dernier. Déjà loin.
Nous sommes assis à la grande table à bavarder. Nous avons tant de choses à nous raconter. Le repas est un vrai festin de Roi.
Clémentine est rapidement le centre d'intérêt. Cette belle et grande jeune fille de 21 ans exerce un attrait certain. Un charisme.
Clémentine parle se ses études et de son profond désir de venir s'installer à Edimbourg après son Doctorat, d'ici quatre années.

Nous traînons à table jusqu'aux environs de 15 h30. Nous retournons marcher un peu dans la propriété. La chaleur est intense.
Nous restons à l'ombre des grands arbres centenaires pour aller nous assoir dans le petit kiosque rond. La fraîcheur de la pierre.
Clémentine est radieuse. Je la sens si heureuse d'être de retour. Son Anglais est parfait. Presque comme une première langue.
Il est dix sept heures lorsque mon cousin et sa femme prennent congé. Nous promettons de venir au repas de ce soir pour 20 h.
Cette première journée est décidément consacrée au farniente et à la bouffe. Conformément au souhait de Clémentine. Super.

Nous prenons les bicyclettes que nous propose mon oncle. Ils ne s'en servent quasiment jamais. Des VTC presque neufs. Bien.
Nous descendons la rue sans pédaler. Nous nous dirigeons vers le quartier de Leith. C'est l'autre quartier résidentiel de la ville.
C'est un charmant petit port aux abords d'Edimbourg. Cette partie de la ville est appelée "Old Town". C'est absolument divin.
Les commerces sont fermés. Nous sommes dimanche soir. Nous flânons en pédalant doucement. Clémentine a remis sa culotte.
Ma compagne déteste faire de la bicyclette sans culotte. Nous en rions de bon cœur. Il y a de l'animation dans les rues. Sympa.

Clémentine prend quelques photographies. Elle a un talent certain pour trouver les meilleurs angles et ses clichés sont parfaits.
Parfois, en m'étant assuré que personne ne pouvait nous voir, je passe ma main sous sa robe pour palper son sexe. Son clito.
Clémentine exige que ce soit toujours de la façon la plus vulgaire, sans ménagement. J'ai du mal à être vulgaire avec son sexe.
Cambrée sur ses genoux fléchis, jambes écartées, elle me permet toujours d'accéder à son sexe, avide d'être tripotée. Coquine.
Nous traînons dans "Old Town". Nous poussons nos vélos en admirant les chef d'œuvres architecturaux des siècles passés. Joie.

Nous sommes assis sur un muret, le long du quai. Clémentine dit : < J'ai envie de passer nos vacances comme ça ! Tu veux ? >
Je la rassure. Elle rajoute : < C'est la première fois de ma vie que j'ai envie de ne rien foutre, de me laisser porter. Être cool ! >
Même si je sais très bien que le désir d'action nous gagnera très vite, j'abonde dans son sens. Et Clémentine doit décompresser.
Elle a tant bossé durant toute l'année scolaire que son besoin de repos est quasiment vital. Elle me palpe discrètement le Zob.
Nous nous enivrons de l'instant. C'est féérique. Edimbourg est une ville principalement médiévale. Une ville qui respire la magie.

Clémentine, tout comme moi, constate à quel point il se dégage de ce lieu une source de régénérescence, de sérénité, de calme.
Il n'y a pas d'autres lieux au monde pour mieux se ressourcer d'énergie provenant de la nuit des temps. Et j'écoute Clémentine.
Elle me parle de tout ça avec des mots à elle. Des mots justes et précis. Son ressenti est d'une telle pertinence. Je suis admiratif.
Il est temps de rentrer. Nous voilà à pédaler dans la direction inverse. Il faut remonter sur Morningside. Et la côte est plutôt dure.
Nous sommes de retour pour 19 h45. Le temps de nous faire un brin de toilette. Nous restons vêtus de la même manière. Bien.

Ma tante excelle dans la confection de plats. Elle connaît nos goûts et la teneur de notre diététique. Ce soir, queue de homard.
Ce sont des queues de homard fumées accompagnés de légumes du jardin. Un véritable délice. Nous bavardons. L'animation.
Mon oncle ne tarit pas d'amusantes anecdotes sur telles ou telles célébrités qui, jadis, lui achetaient des antiquités de prestiges.
Nous en apprenons de belles sur des gens très connus. Nous ne sommes pas très "pipoles", mais nous rions de bon cœur. Bien.
La soirée se prolonge ainsi. Nous traînons à table. Nous faisons mille projets pour ces vacances. Et nous resterons à Edimbourg.

Bien sûr, nous irons passer quelques jours chez ma tante et mon oncle à St Andrew. Entre le 9 et le 14 août, après l'île de Skye.
Nous serons alors à trois, avec Estelle. Puis nous reviendrons à Edimbourg, ici, jusqu'à notre départ vers le 10 septembre. Bien.
Il est 22 h30. Nous bâillons tous les quatre de concert. Clémentine me fait du pied sous la table. Nous prenons congé. Fatigués.
La salle de bain. Les toilettes. J'ai l'envie folle de lécher le sexe de ma compagne qui est ravie de mon désir et de ma suggestion.
A genoux, la tête entre ses cuisses écartées, cambrée sur ses genoux fléchis, je récupère ses dernières gouttes. C'est un délice.

Il y a toujours de rapides coulées de cyprine qui perlent au bas des lèvres charnues de son sexe que je peux me régaler. Divin.
Clémentine me force à me redresser et m'entraîne par la bite jusqu'au lit. Là, à genoux devant le lit, je peux continuer à lécher.
Je suce ce clitoris géant qui m'impressionne toujours tant avec une avidité qui fait gémir Clémentine. Elle sait se contrôler. Joie.
Clémentine est une grande jouisseuse. Elle me tient par les oreilles, me chuchote d'étonnantes révélations. Elle m'attire sur elle.
Je m'introduis avec d'infinies précautions. Immobiles, nous nous murmurons les plus excitantes cochonneries. Cunni et le dodo.

Bonne première journée de farniente à toutes les coquines qui aiment se faire brouter la chatte et se faire sucer le clitoris…

Julien - (Expert en langue vivante sur clitoris géant. Expert en dégustations baveuses de cramouilles humides et suintantes) -

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Classe - 40 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 473 -



Un début de séjour écossais dans le calme et la quiétude

Hier matin, lundi, il est 7 h15 lorsque nous ouvrons tous deux les yeux en même temps. La chambre est lumineuse. Le soleil.
< Bonjour ! > nous faisons nous en même temps. Clémentine me chevauche en riant. Douceur, tendresse et nos papouilles.
Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, nous préparons notre petit déjeuner. Je fais un rapide inventaire du frigo.
Nous avons ramené des tomates, des carottes, des yaourts, des œufs, du pain et du fromage en abondance. Pour deux mois.
Confiture, miel et beurre. Des fruits. De quoi tenir quelques jours sans être obligé de faire des courses. C'est rassurant. Bien.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Dehors il fait beau. Il va certainement encore faire très chaud. C'est sympa.
La vue sur le parc, depuis la fenêtre de la cuisine, est magnifique. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'odeur de pain grillé.
La vaisselle. Nous nous mettons en tenue de jogging. Nous descendons par l'escalier de service. Entrée et sortie séparées. Bien.
L'appartement que nous occupons est celui des anciens gens de maison qui vivaient là jusqu'à la fin des années soixante. Super.
Nous courons d'un rythme régulier. Nous reprenons le même parcours que l'an dernier. C'est super. Il fait presque déjà chaud.

C'est depuis le sommet de la colline que la vue sur Edimbourg est somptueuse. Dans la lumière diaphane d'un matin ensoleillé.
Comme le dit Clémentine, la ville évoque une sorte de gigantesque Roquefort "Gothique". Il faut s'arrêter tellement c'est beau.
C'est d'une beauté à couper le souffle. Clémentine se serre contre moi. Nous restons un petit moment à contempler Edimbourg.
Il faut reprendre notre running pour ne pas perdre notre précieux échauffement. Nous revenons pour 9 h15 et 1 h30 de jogging.
La douche. Nous nous habillons. Clémentine porte une de ses jupettes légèrement plissée, un T-shirt et ses sandales. Il fait bon.

Je porte un de mes shorts à plis, à pinces, un T-shirt et mes sandales. Nous allumons l'ordinateur pour découvrir nos messages.
Estelle nous écrit longuement. Elle nous donne des nouvelles. Elle a passé une partie de son Week-End chez nous. A tout ranger.
Elle joint deux photos d'elle. Une dans le salon et une autre dans le jardin. Nous répondons en joignant deux photos prises hier.
Il y a un message de Julie qui nous parle de son job d'été au restaurant de l'étang. Nous répondons, joignant les mêmes photos.
Nous rédigeons quelques paragraphes de ce récit. Clémentine me propose de retourner sur la colline pour admirer la ville. Super.

Nous marchons dans la rue silencieuse à l'ombre des platanes centenaires, entre leurs troncs et les hautes grilles des propriétés.
Nous prenons la venelle qui commence à monter. En marchant nous voyons quantité de détails que nous négligeons en courant.
Clémentine me tient par la main. Elle me confie ses impressions. Son immense bonheur d'être de retour en Ecosse. Un paradis.
Nous voilà au sommet de la colline. Nous sommes assis sur un des bancs de pierre. Il y a une légère brise et la chaleur est forte.
Nous restons ainsi à regarder, à bavarder. Nous faisons le programme du jour, le menu du repas de midi. Spectacle magnifique.

Il est 11 h30 lorsque nous prenons le chemin du retour. Clémentine exprime son souhait de nous faire à manger à l'appartement.
< On va au restaurant par flemme où s'il n'y a plus rien dans le frigo ! Tu veux bien ? J'ai envie d'être seule avec toi ! > fait elle.
Elle rajoute : < J'ai vraiment envie de me reposer, d'en faire le minimum ! On se fait à manger à l'appartement, midi et soir ! >
Je comprends son état d'esprit. J'abonde dans son sens. Nous décidons que cette première semaine sera sous le signe du repos.
< Après tout toi aussi tu as bossé comme un malade. Tu peins parfois jusqu'à 10 h par jour ! > rajoute Clémentine. Et c'est vrai.

Il est midi lorsque nous revenons à l'appartement. Clémentine s'occupe de la salade et de l'assaisonnement. Je prépare du riz.
Une belle omelette à laquelle je rajoute du gruyère de Comté finement râpé. Tout va vite. Nous mangeons de bon appétit. Bien.
Il reste quatre cônes glacés. Deux pour le dessert de midi, deux pour ce soir. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. La chaleur.
Clémentine m'entraîne dans la chambre. Il y a un léger courant d'air. Assise sur le lit, cuisses écartées, elle me montre son sexe.
Je comprends immédiatement. Je me mets à genoux pour fourrer mon visage dans l'épaisse touffe qui me chatouille le nez. Joie.

Je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe qui ne tarde pas à suinter de cyprine. J'adore le goût de son jus.
Je peux l'entendre gémir de plaisir lorsqu'elle se renverse sur le dos. Je suçote son clitoris géant que je décalotte délicatement.
Il faut être prudent. Clémentine déteste les orgasmes prématurés. Il est question de rester excitée pour le restant de la journée.
Elle me repousse plusieurs fois doucement en murmurant < Attention ! >. Je suis d'une vigilance extrême. Nous cessons enfin.
Il n'est pas loin de 14 h. Nous allons à la salle de bain pour nous laver les dents. Nous faisons les pitres devant le miroir. Rires.

Dans le petit sac à dos, je mets deux pommes, des barres de céréales et une bouteille d'eau. Nous voilà prêt à partir. La virée.
Nous descendons sur Edimbourg avec les bicyclettes de mon oncle et de ma tante qui les mettent à notre disposition tout l'été.
Nous allons à la gare. Il s'y trouve des consignes où nous pouvons laisser les vélos en toute sécurité et pour quelques pennies.
Nous marchons en flânant vers le centre de la vieille ville médiévale. L'émotion est grande. Clémentine retrouve sa chère cité.
Entre deux voitures, dans une rue peu fréquentée, Clémentine retire sa culotte qu'elle met dans le petit sac à dos que je porte.

Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine fait : < Edimbourg nous voilà ! Prends garde à toi ! >. Elle m'entraîne par la main.
Elle qui évoque le calme, le repos, la quiétude, ne voilà t-il pas que son formidable dynamisme ne revienne à la charge ? Rires.
Nous parcourons les ruelles et les venelles sous une chaleur accablante qui ne gâche toutefois pas notre plaisir. Redécouverte.
Nous nous attardons dans quelques boutiques d'antiquaires. Il y a tant de choses magnifiques. Et puis il s'y trouve la fraîcheur.
Il y a tant de choses à voir que tout le séjour n'y suffirait pas. Nous flânons sur High street, sur Market place. Il y a du monde.

Autour de nous, on parle allemand, hollandais, sans doute chinois aussi. La saison touristique commence à peine. Ça promet !
Nous avisons une terrasse de café. Il y a l'ombre d'une grande pergolas recouverte de lierre. Nous y prenons place. Des glaces.
Nous bavardons devant deux énormes coupes glacées. Presque toutes les tables sont occupées. Murmures et chuchotements.
En Ecosse, il est interdit de fumer dans tous lieux publics intérieurs ou extérieurs. Et il n'y a donc personne pour incommoder.
C'est appréciable. Clémentine me fait du pied. Je comprends qu'elle envisage un "plan" exhibe. Il y a deux couples tout près.

Un des deux messieurs, à une table voisine, est assis face à Clémentine. Je sors mon téléphone dont l'écran sert de rétroviseur.
Je le pose sur la table. Je le dispose de manière à bien regarder l'attitude du quidam derrière moi. Clémentine commente. Joie.
Je découvre rapidement que le quadragénaire grisonnant a remarqué l'absence de culotte de ma compagne. C'est très discret.
Clémentine étant une virtuose de l'exhibe dans ces situations publiques, elle me raconte ce qu'elle fait sous la table. Superbe.
Croisant et décroisant ses jambes tout en exagérant les mouvements, elle reste cuisses largement écartées de petits moments.

Dans ces situations, lorsque Clémentine me chuchote ce qu'elle fait devant un inconnu, au restau ou ailleurs, je bande très fort.
C'est le cas aujourd'hui, ici, à la terrasse de ce café. Je scrute avec attention l'attitude de l'inconnu. C'est vraiment passionnant.
Pour un homme, il serait compliqué, voire impossible de s'offrir de si merveilleux moments avec une inconnue. Exhibe risquée.
Alors que pour une femme, en jupe, c'est d'une grande simplicité. Et puis rare serait le quidam à aller s'en plaindre. A dénoncer.
Nous rions de bon cœur de ce constat lorsque Clémentine me fait : < Ce serait du dernier des ridicules. Mais il y a des cons ! >

Clémentine tente le test des toilettes. Pourtant, l'inconnu, en bavardant avec ses amis, ne se lève pas pour suivre la jeune fille.
C'est une attitude rare car la plupart des "cibles" de Clémentine ne tardent pas à suivre aux toilettes après de telles situations.
Cinq petites minutes. Clémentine revient. < Put-Hein ! Je me suis fait repérer par le type là-bas ! > me fait elle en me montrant.
C'est un asiatique. L'individu est en groupe. Il a certainement vu le petit jeu de Clémentine. C'est lui qui a eu le réflexe toilettes.
< J'ai vu une bite d'asiatique ! > me fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus lorsqu'elle me raconte ce qui s'est passé.

< Ça commence fort ! > me fait elle en se tournant de trois quart vers le groupe d'asiatiques. Le mec regarde très discrètement.
Clémentine lui adresse son petit jeu en redoublant de prudence. Des gens se lèvent, d'autres arrivent. Personne ne fait attention.
< Je me sucerais bien du Chinois ! J'aime les nems ! > me fait encore Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Ambiance.
Le petit groupe d'une dizaine de touristes asiatiques qui s'en va. Un dernier regard discret du type qui prend une rapide photos.
Clémentine a dénoué ses cheveux et porte ses larges lunettes noires. Anonymat préservé. Comme toujours. Il est presque 19 h.

Nous flânons dans les rues. Avec le soir, enfin, un peu de fraîcheur. < Il m'a excité le chinois ! > me fait Clémentine en rigolant.
Elle m'entraîne sous un porche. Elle me prend la main pour la passer sous sa jupe. Il y a de la mouille. La touffe toute suintante.
Il y a de la mouille jusque sur le haut de l'intérieur des cuisses. Je renifle mes doigts avant de les goûter. Pas d'odeur, du goût.
Nous prenons le chemin de la gare pour récupérer nos bicyclettes. Nous prenons la direction de Leith, le quartier du port. Super.
Morts de faim, nous nous offrons deux cornets géants de fish and chips absolument délicieux que nous dégustons tout en flânant.

Il y a une autre opportunité d'exhibe qui se présente dans une petite venelle qui descend à la mer. Il y a un pêcheur qui range.
Il remballe ses affaires. Clémentine me fait : < Reste là, derrière la camionnette garée, s'il y a un blême tu rappliques ! >. Joie.
Clémentine s'approche du type. Il doit avoir la cinquantaine. Clémentine, se touche le sexe, se tortille comme l'envie de pisser.
Je n'entends pas ce qui se dit mais je comprends qu'elle demande s'il y a des toilettes. Elle se tortille en se touchant. Vulgaire.
Le type lui montre une petite bâtisse, là-bas, au bout de la jetée. Clémentine regarde dans toutes les directions. Envie de pisser.

Quelle n'est pas ma surprise et celle du mec de la voir s'accroupir soudain et se lâcher d'un jet qui s'écoule en suivant la pente.
C'est impressionnant. L'homme, les bras ballants, regarde ce spectacle comme consterné. Clémentine n'en pouvait plus. Super.
La fille s'adresse au type qui reste à distance, comme halluciné. Je le vois sortir un paquet de mouchoirs d'un vieux sac en cuir.
Il en donne un à Clémentine qui se torche en prenant tout son temps. La nuit qui commence à tomber. Clémentine se redresse.
Elle jette le mouchoir en papier dans une poubelle fixée à un poteau, s'éloigne. Le type reprend ses esprit et continue à ranger.

Il est presque 23 h lorsque nous sommes de retour. Les toilettes. La salle de bain. Clémentine me raconte ses impressions. Joie.
Au lit, elle m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles comme nous aimons.
Clémentine me chuchote à l'oreille. Elle me confie à quel point les émotions sont puissantes pendant ses exhibes. La sensation.
J'écoute en silence. Parfois, lorsque nous nous berçons, je lui confie mes ressentis, à quel point mon plaisir de mâter est grand.
< Je fais ça autant pour toi que pour moi ! > me fait elle. Je le sais bien. Je la termine par un cunnilingus. Elle me suce. Dodo…

Bonne redécouverte de vos lieux de prédilections préférés à toutes les coquines qui aiment à s'y exhiber discrètement…

Julien - (Heureux privilégié, qui sécurise les situations dans lesquelles Clémentine aime à se retrouver) -

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Le début d'un séjour écossais enchanteur

Hier matin, mardi, je suis tiré de mon profond sommeil par quantité de bisous. Sur le nez, les joues, le front. J'ouvre les yeux.
Au dessus du mien, le visage bienveillant de Clémentine qui ne supporte pas d'être réveillée, de rester toute seule la première.
< Bonjour mon amour ! > me chuchote t-elle. Je lui murmure : < Bonjour mon amour ! > en la serrant contre moi. L'émotion.
Elle me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. 7 h15 et notre horloge biologique fonctionne.
Morts de faim nous allons à la cuisine. Je presse nos dernières oranges. Je coupe nos dernières tranches de pain. Je fais griller.

Clémentine s'occupe du café. Nous prenons notre petit déjeuner en savourant ce premier plaisir. Nous mangeons de bon appétit.
Nous faisons l'inventaire de ce qu'il faut acheter aujourd'hui et le programme de notre journée. Il fait un temps magnifique. Joie.
Nous sommes déjà en tenue de jogging. Aussi, dès la vaisselle faite, nous descendons par l'escalier de service. Il fait déjà chaud.
Nous courons d'un bon rythme sur ce parcours qui reste immuable pour la seconde année consécutive. Il est tellement agréable.
Arrivés au sommet de la colline il est impossible de ne pas s'arrêter un instant pour admirer Edimbourg qui brille de mille feux.

Nous sommes de retour pour 9 h15 après un agréable running d'une heure trente. La douche. Nous nous habillons très léger.
Il fait chaud. La seule crainte de Clémentine est le risque de canicule. Elle porte sa robe d'été et ses sandalettes à légers talons.
Je porte mon short de ville, une chemisette et mes sandales. Nous redescendons. Nous avons décidé d'aller faire nos courses.
Nous voilà dans la voiture, fenêtres ouvertes. Je roule doucement. Clémentine joue avec mon sexe. Elle a ouvert ma braguette.
Nous contournons Edimbourg pour nous rendre au centre commercial St James. Clémentine reconnait l'endroit. Il y a du monde.

Je pousse le caddie. Clémentine nous entraîne. C'est comme chez nous. Cela nous amuse. Même réflexe. Même comportement.
Nous flânons un peu. Nous n'avons pas de liste. Il faut dons chercher l'inspiration en circulant doucement dans les allées. Bien.
Des fruits. Il nous faut des pommes et beaucoup d'oranges. Du pain. Des yaourts. Des tomates, des carottes, d'autres crudités.
Le rayon poissonnerie propose quantité de crustacés. Nous en faisons provision. Des bacs de glaces évidemment et des cônes.
Nous passons en caisse. A la voiture, nous disposons les produits frais dans la glacière branchée sur l'allume cigare. Pratique.

Nous retournons dans la galerie commerciale. Clémentine a retiré sa culotte qu'elle a mis dans la boîte à gants. C'est amusant.
Il serait stupide de passer à côté d'une opportunité exhibitionniste. Elle a défait ses cheveux et porte ses larges lunettes noires.
Nous scrutons les environs avec une grande attention. Je suis prié de participer activement à la recherche. Il y a des boutiques.
La librairie. Cet endroit permet souvent d'étonnantes improvisations aux virtuoses. Il faut être prudents à cause des caméras.
Clémentine est une virtuose de haute volée. Nous nous séparons. Je ne reste jamais très loin et toujours dans un rayon voisin.

Là, un asiatique tout seul. Il est jeune, élégant et feuillette un guide du routard dans le rayon touristique. Clémentine l'a repéré.
Je reste à distance, au bout du rayon des livres culinaires. Clémentine s'approche tout près du quidam. Elle est presque à côté.
Elle feuillette un livre. Je la regarde engager la conversation avec l'inconnu. C'est rapide. Quelques mots. Elle s'éloigne. Je mâte.
Clémentine s'accroupit à faible distance de l'homme que je vois loucher discrètement pour continuer à la regarder. Super "plan".
Clémentine, de sa haute taille, dépasse le type d'une bonne tête. La voilà à chercher quelque chose sur le rayonnage le plus bas.

Ce n'est évidemment qu'un prétexte pour faire son show. Ecartant les cuisses plus que de raison en prenant ou mettant un livre.
C'est toujours une émotion. J'admire ce courage. L'inconnu a le même réflexe que la plupart des hommes dans cette situation.
Il s'accroupit à son tour pour mieux regarder tout en faisant semblant, lui aussi, de feuilleter un livre. C'est absolument génial.
Clémentine, derrière ses lunettes noires, peut loucher dans toutes les directions. Surveiller les environs et mâter le voyeur. Joie.
Je bande comme un vrai salaud. C'est hyper excitant. Hélas, la situation ne dure pas. Il y a une femme qui arrive avec un livre.

C'est une asiatique. Je comprends immédiatement. C'est la compagne de l'heureux élu qui se redresse promptement. Très vite.
Le couple s'en va en regardant le livre que vient de choisir la jeune femme. Clémentine se redresse. Nous nous rejoignons. Rire.
Nous échangeons nos émotions et les sensations perçues par chacun. Nous rions de bon cœur de cette exhibition réussie. Joie.
Nous retournons à la voiture. Clémentine prend ma main pour la passer sous sa robe. Je constate l'humidité de son sexe. Bien.
Il est presque midi lorsque nous revenons à l'appartement. Mon oncle est dans le jardin à bavarder avec un vieux monsieur.

Nous nous saluons. Les présentations. C'est un voisin. Nous les laissons pour monter avec nos grands sacs et qui sont lourds.
Nous rangeons nos courses. Dans la partie congélateur je dispose les bacs de glace et les cônes. Il n'y a presque plus de place.
Clémentine s'occupe de la salade. Je fais frire les queues de langoustines et je prépare les haricots verts dans l'eau bouillante.
Tout va très vite. Pendant la cuisson, nous nous changeons rapidement pour mettre nos tenues vélo. Il fait moins chaud. Joie.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. <Je suis abonnée aux chinois ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous allumons l'ordinateur pour découvrir le courriel d'Estelle. Un long message. Sympa.
Estelle nous apprend qu'elle est à la piscine tous les soirs après 19 h. Le job d'été de Gauvain étant "Maître Nageur". C'est bien.
Estelle fait donc des longueurs avec des vieilles et des vieux lorsque la piscine ferme au public pour laisser les gens des clubs.
Nous répondons en envoyant deux photos redimensionnées de nous deux, prises hier, au centre ville. Il est déjà 13 h45. Bien.
Nous descendons à bicyclette et avec prudence depuis Morningside pour prendre la direction de la rivière Leith. Piste cyclable.

Nous voilà à pédaler sur "Water of Leith Walkaway", cette magnifique piste cyclable bien entretenue qui longe la rivière Leith.
Nous croisons beaucoup de cyclistes, de rollers. Cette piste cyclable se déroule sur une boucle d'une vingtaine de kilomètres.
Ce circuit relie Edimbourg au quartier de Leith par une grande boucle qui permet d'évoluer dans un paysage de toute beauté.
Il fait un temps lourd, prémisse d'un possible orage. Nous avons nos K-ways dans le petit sac à dos que je porte. La sécurité.
Sur la route, il y a la Galerie d'Art Moderne. Nous nous y arrêtons. Une quantité impressionnante de vélos qui sont garés là.

Nous fermons les nôtres à cadenas. Clémentine retire rapidement sa culotte. Nous faisons la queue pour prendre nos billets.
Nous pénétrons dans les lieux. Vastes salles, lumineuses et blanches. Il y a du monde. Nous flânons longuement pour voir.
L'Art moderne nous laisse tous deux d'une indifférence abyssale. Nous savons tout de même différencier le beau du moche.
Et dans l'Art moderne, le laid a une prépondérance marquée pour l'ultra moche. Nous en rigolons comme des bossus. Sympa.
Nous traînons en ces lieux surtout pour y profiter de la fraîcheur. Il serait vain de tenter ici une exhibe de qualité. Du monde.

Par contre, c'est dans les jardins couverts que se présente une superbe opportunité qui n'échappe pas à Clémentine. Je mâte.
Il y a un solitaire. < Put-Hein, mâte, c'est encore un chinois ! > me fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Super.
< Décidément, ils se sont donnés le mot ! > rajoute Clémentine tout en me laissant derrière cette grande sculpture informe.
Je la regarde s'approcher. Elle est vêtue de sa jupette sport, T-shirt et ses baskets. L'homme est effectivement un asiatique.
Il prend des photos avec un gros appareil muni d'un énorme téléobjectif. Il ne fait pas immédiatement attention à la fille.

Clémentine est accroupit pour lire ce qui est écrit au bat d'une gigantesque sculpture en fonte. L'inconnu la remarque enfin.
Je le vois loucher discrètement en direction de la fille accroupie à environ un mètre de lui, sur sa gauche. Elle fait son show.
C'est magnifique. Il y a des petits bosquets de plantes qui masquent la vue. Seul l'inconnu peut voir depuis cet endroit précis.
Il adresse la parole à Clémentine qui lève la tête pour écouter, sourire, puis répondre. Sans changer de position. C'est super.
Je vois le type sortir son téléphone pour prendre quelques clichés de la jeune fille. Clémentine à ses larges lunettes noires.

Il y a un petit groupe d'asiatiques qui arrive. Notre photographe en fait certainement partie car il s'éloigne en saluant la fille.
Clémentine se redresse. Nous nous rejoignons à la grande fontaine. Elle me raconte les propos échangés. Touriste japonais.
Nous reprenons notre route. < Tu vas voir, toute la saison, je vais montrer mon cul à des asiatiques ! > me fait Clémentine.
Nous en rions de bon cœur. Nous nous arrêtons à la Dean Gallery. Un autre lieu d'expositions. Et entrée gratuite aujourd'hui.
Gratuité signifie évidemment qu'il y a un monde fou. Impossible pour Clémentine de s'offrir le moindre frisson exhibe. Risqué.

Nous traînons toutefois longuement dans la galerie. Il y a de belles choses. Parfois remarquables. Des œuvres d'artistes locaux.
Il y a notamment les toiles d'une femme qui est debout là pour présenter sa peinture. Une peinture aérienne, fine, très légère.
C'est de toute beauté. Que l'on aime ou pas, il faut reconnaître un talent, une inspiration originale. Défense de faire des photos.
Nous sommes assis sur un banc à savourer nos pommes et en regardant passer le grand nombre de cyclistes. Il fait très doux.
Nous apprécions ce début de séjour écossais à sa très jute valeur. Clémentine me fait toucher discrètement son sexe humide.

Il est 21 h lorsque nous revenons à l'appartement. Morts de faim, nous préparons notre repas du soir. Salade, omelette et riz.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant nos aventures de la journée. Les "Chinois". C'est trop drôle et nous en rions.
Nous traînons à table. La fatigue se fait sentir. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous décidons d'aller flâner au dehors.
Nous profitons de ce crépuscule magnifique pour déguster nos cônes glacés. Le quartier est calme et d'un silence majestueux.
Il et 22 h45 lorsque nous revenons. Les toilettes. Le rituel pisseux auquel nous aimons nous livrer. La salle de bain. Epuisés.

Au lit, nous nous caressons longuement. Clémentine me chuchote des douceurs. Son immense bonheur d'être là. Les vacances.
Elle m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons sans bouger. Nous aimons tellement.
Clémentine me confie les plus secrètes émotions vécues aujourd'hui. Deux superbes exhibes. Des sensations fortes et sublimes.
< Des photos de moi et de ma chatte qui partiront même au Japon ! > me chuchote t-elle en se mettant à bouger doucement.
Je lui offre le cunnilingus qui la gratifie d'un orgasme fabuleux. Je lui mets la main sur la bouche. Cris. Elle me suce. Puis dodo.

Bonne virée à bicyclette à toutes les coquines qui aiment pédaler en jupette et s'arrêter pour des opportunités d'exhibes…

Julien - (Qui par sa présence discrète, secrète, peut assister aux exhibes de Clémentine tout en sécurisant ses show) -

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Une expédition à bicyclette pleine de charme et d'imprévus

Hier matin, mercredi, nous nous réveillons en même temps. Nous aimons nous étirer en poussant des gémissements modulés.
Nous en rions de bon cœur avant de nous faire plein de bisous. Nous nous murmurons des douceurs en faisant des papouilles.
Clémentine me chevauche en riant. Cela ne dure pas longtemps car l'envie de pisser nous oblige à nous précipiter aux toilettes.
Dès la fin de nos rituels pisseux, morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Dehors il fait beau. Un léger voile nuageux.
Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous nous mettons en tenue de jogging. Il est à peine 7 h15. Bien.

Nous prenons notre copieux petit déjeuner dans l'odeur de pain grillé que nous affectionnons tant, que nous recréons partout.
Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de ces premiers jours à Edimbourg. Clémentine apprécie le côté improvisation.
C'était d'ailleurs son souhait le plus cher. Nous faisons un vague programme de la journée qui nous attend. C'est sympathique.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est 7 h45 lorsque nous descendons par l'escalier de service pour nous rendre dehors.
Il fait moins chaud que les quelques jours précédents. Nous voilà à courir le long de notre circuit habituel. Il y a de la fraîcheur.

Nous croisons souvent d'autres joggeurs. Une fois encore nous admirons Edimbourg depuis le haut de la colline. C'est superbe.
Les toits gris, dont les tuiles sont souvent d'ardoise, étincellent sous la lumière diaphane de ce matin écossais typique. Si beau.
Il est presque 9 h30 lorsque nous revenons d'un running enchanteur. La douche. Nous nous habillons de vêtements très légers.
Nous voilà assis devant l'ordinateur à rédiger les premiers paragraphes de ce récits. Les autres se font sur la tablette. L'impro.
Nous découvrons le message d'Estelle qui se languit de nous. Elle nous confie une fois encore à quel point la situation est dure.

Elle passe en soirée, rapidement, avec la voiture de l'entreprise pour arroser le potager et prendre quelques légumes du jardin.
Elle y a croisé Juliette qui vient également faire ses prélèvements. Estelle nous confie la nature des échanges. C'est très sympa.
Juliette invite Estelle à venir au haras, un soir, pour venir passer la soirée ou simplement pour s'y "amuser". Elle décline l'offre.
Nous savons qu'Estelle ne désire pas du tout se retrouver seule, en "situation" et avec un palefrenier vicelard. Nous répondons.
Il y a un courriel de mon oncle qui tient la galerie. Il y a une vente. Il nous décrit comment l'affaire s'est déroulée. Très cocasse.

Il est dix heures trente lorsque nous sortons marcher un peu. Nous croisons ma tante qui s'occupe de ses hortensias immenses.
Nous bavardons un peu. Nous la laissons. Clémentine me propose de remonter à la colline. En marchant c'est un peu plus long.
De là haut, assis sur un des bancs en pierre, nous admirons une fois encore l'étonnante beauté de cette ville majestueuse. Joie.
< On se croirait dans un film d'Harry Potter ! > me fait Clémentine. Je lui rappelle qu'il y a un circuit touristique "Harry Potter".
Nous nous réservons la possibilité de le découvrir. Et même si les circuits touristiques, trop convenus, nous rebutent un peu.

Il y a parfois des joggeurs, des promeneurs, il faut être prudent. Je dissimule ma braguette ouverte sous ma pochette en cuir.
Clémentine aime tant jouer avec son "doudou", qu'elle me le sort un peu partout. Nous rigolons comme des bossus. C'est drôle.
Comme elle ne porte pas de culotte sous sa robe d'été, moi aussi je peux aller m'amuser. Nous adorons jouer à nous tripoter.
Même si c'est devenu une douce habitude, cela nous excite toujours autant. Surtout que nous parlons de bien d'autres choses.
Il est onze heures trente. La faim commence à se faire sentir. Nous prenons le sentier du retour. Le climat est très supportable.

Pas de grosses chaleurs comme les jours précédents. Il y a ce constant voile nuageux. Il est presque midi. Nous voilà arrivés.
Clémentine s'occupe de la salade. Je fais griller des steaks de thon dans la poêle. Je fais un mélange de courgettes et tomates.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine me propose de reprendre la piste cyclable et d'improviser. Joie.
Nous traînons à table. Nous nous offrons deux énormes coupes glacées, vanille, pistache et pralin. Nos gourmandises à nous.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir avant de nous changer.

Nous voilà en tenue vélo. Clémentine porte une de ses jupettes sport, un T-shirt, ses baskets. Je suis en short, T-shirt, baskets.
Nous descendons Morningside avec prudence. Même si les rues sont souvent peu utilisées jusqu'au carrefour de Christ Church.
De là nous prenons Saly's street pour rejoindre le début de "Water of Leith Walkaway", notre chère piste cyclable. Il fait beau.
Nous voilà à pédaler doucement sur l'asphalte lisse comme une toile cirée de cette agréable petite route. Il y a plein de monde.
Principalement des touristes. La location de bicyclette, en Ecosse, doit battre tous les records Européens. L'excellente formule.

Nous longeons la rivière Leith. Elle est souvent large. Ses eaux tranquilles et profondes attirent nombre de pêcheurs. Superbe.
Nous redécouvrons avec plaisir les mêmes endroits que hier. Comme nous aimons ritualiser nos vies, cela nous plaît beaucoup.
Nous arrivons aux pieds de Arthur's Seat, ce volcan vieux de plus de 300 millions d'années, évidemment éteint, qui surplombe.
Nous fermons nos vélos à cadenas près du kiosque touristique où nous découvrons des cartes postales sur un des tourniquets.
Dans le petit sac à dos que je porte et qui ne nous quitte jamais en virée, il y a deux pommes, nos barres de céréales, K-ways.

Derrière d'épais fourrés, Clémentine retire sa culotte qu'elle met dans le sac. Nous attaquons l'ascension du volcan. C'est bien.
Le sentier est abrupte par endroit. Nous sommes en baskets. Il eut été préférable d'avoir des godasses de randonnée. Sympa.
Nous croisons quantité de promeneurs. Nous constatons le nombre étonnant d'asiatiques, souvent en groupes, qui circulent là.
< Tu vas voir, s'il y a un "plan", ce sera encore forcément avec un chinois ! > me fait Clémentine. Nous en rions de bon cœur.
Il est impossible de marcher avec la bite à l'air. Trop de monde. Par contre, discrets, il est tout à fait possible de nous tripoter.

Clémentine me fait part de son excitation grandissante. < J'ai envie de faire ma salope ! > fait elle souvent tout en marchant.
Il y a environ une heure trente de marche parfois difficile pour atteindre le sommet de Arthur's Seat. Mais ça en vaut la peine.
Depuis le haut du volcan, la vue sur toute la région est fantastique. Là-bas, Edimbourg sous un angle encore différent. Beau.
Il serait vain de tenter une exhibe ici tellement il y a de monde. Nous discutons avec un couple de touristes venus de Londres.
Ils montent en Ecosse, dans leurs familles, tous les ans. Un couple de professeurs. Nous les laissons pour continuer le sentier.

Là, en contre bas, il y a un randonneur seul. Il est assis et observe à la jumelle. Son gros sac à dos posé à côté de lui au sol.
Il nous tourne le dos. Il y a un sentier abrupte plus bas. Des fourrés qui masquent la vue depuis en haut. Peut-être un "plan".
Clémentine me fait : < Reste là, tu descends en second en faisant la boucle ! Je me fais une frayeur ! >. Je la regarde partir.
Elle descend par la gauche à une trentaine de mètres. Je descends par la droite un peu plus loin. Il n'a personne d'autre. Bien.
J'arrive derrière les épais fourrés. Je me planque. Je vois Clémentine arriver sur le sentier. Plus haut, il y a le promeneur assis.

Clémentine a défait ses cheveux et porte ses larges lunettes noires de soleil. Anonyme et parfaitement méconnaissable. Joie.
Elle fait mine de ne pas avoir remarqué la présence du randonneur à une trentaine de mètres, plus haut. Elle se touche. Pipi.
J'aime la voir ainsi, se tortiller en se frottant les jambes, penchée en avant en se touchant le sexe des deux mains. Un besoin.
Clémentine joue parfaitement ce rôle de la fille qui cherche de toute urgence un coin discret pour pisser. Et cela dure un peu.
Je vois l'homme regarder la jeune fille avec attention. Le bougre, méticuleusement, se saisit même d'un petit appareil photo.

Le salopiot doit filmer la scène. Je le comprends. C'est trop merveilleux d'assister à un tel spectacle que la fille fait bien durer.
Soudain Clémentine s'accroupit. Bien droite, tête baissée, visage caché par ses longs cheveux, cuisses écartées, elle se lâche.
Le type, parfaitement maître de ses émotions, filme discrètement ce qui se passe. Clémentine fait évidemment durer. Coquine.
De ma cachette, je ne vois pas si elle pisse ou non. Par contre je bande comme le dernier des salauds. Merde ! Il y a des gens.
Clémentine se redresse à toute vitesse. Là-haut, un groupe de touristes qui arrive par le chemin. Ont-ils vu quelque chose ?

Ce genre de "plan" comporte toujours une part de risque dans les endroits un peu trop fréquentés. Même pour une virtuose.
Clémentine s'en va en marchant vite. Je la rejoins en haut. Nous regardons le randonneur toujours assis qui n'a pas bougé.
< Regarde ! Il mâte son appareil photo ! > me fait Clémentine. Je lui confirme ce qu'elle a entrevu. Le type a filmé la scène.
Peu importe, il serait tout à fait impossible de l'identifier. Même avec un logiciel de reconnaissance faciale. De la ruse. Bien.
Nous prenons le sentier qui contourne le volcan pour redescendre. Le parcours est plutôt "sportif". Et il faut être très prudent.

Il est vingt heures lorsque nous revenons aux bicyclettes. Il y en a encore une bonne centaine fermées à cadenas. C'est fou.
Clémentine remet sa culotte discrètement après m'avoir fait toucher son sexe humide. De quoi me régaler une fois de retour.
Nous voilà à pédaler. Nous revenons dans le quartier de Leith. Morts de faim nous remontons sur Morningside. Il est déjà 21 h.
Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe le brouillis de courgette et de tomates avec une omelette géante. Tout va vite.
Il est 21 h30 lorsque nous savourons enfin ce repas bien mérité. Coupes de glace en dessert. Pourquoi se priver ? Jouisseurs.

Nous traînons à table en évoquant notre après-midi très agréable. Le volcan, l'exhibe à Clémentine, les spectacles grandioses.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous allons encore marcher un peu pour profiter de ce magnifique crépuscule. Douceur.
Il est 22 h45. Les toilettes. La salle de bain. Le lit. Clémentine, excitée, m'attire rapidement sur elle. Je m'introduis doucement.
Sans bouger, nous échangeons les secrets des émotions vécues cet après-midi. Le type qui a filmé et le risque hyper excitant.
Je termine Clémentine avec un cunnilingus des familles. Elle me suce un peu. Nous sommes épuisés. Je l'attire à moi et dodo.

Bonne virée à bicyclette à toutes coquines dont le désir de s'exhiber discrètement les pousse à d'étonnantes aventures…

Julien - (Qui s'est encore éclaté comme le dernier des salauds en regardant le merveilleux spectacle offert par Clémentine) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 43 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 476 -



Nous passons du bon temps

Hier matin, jeudi, je me réveille le premier. J'ouvre l'œil pour regarder Clémentine qui dort encore en ronflant très légèrement.
J'aime la voir ainsi, couchée sur le dos, la bouche entrouverte. Le spectacle ne dure qu'un instant. Elle ouvre les yeux. Sourire.
Son infaillible sixième sens vient de l'avertir de la situation. < Bonjour Julien ! > me fait elle en se serrant contre moi. Bisous.
< Bonjour Clémentine ! > ai je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche en riant. Il est 7 h15. Douces papouilles. Bises.
Nous nous précipitons aux toilettes avant de nous rendre, morts de faim, à la cuisine où nous préparons notre petit déjeuner.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Et l'agréable odeur de pain grillé qui définit le début de toutes nos journées.
Nous sommes déjà en tenue de jogging. Clémentine évoque nos aventures récentes. Nous rions de bon cœur à ces révélations.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous voilà dehors. Il fait très agréable. Le même temps que hier. Ciel légèrement voilé.
Nous courons d'un bon rythme le long de notre parcours habituel. L'arrêt devenu obligatoire au sommet de la colline. Sublime.
La vue magnifique sur Edimbourg ne peut pas lasser. Nous nous accordons un petit moment. Nous sautillons sur place. Super.

Il est 9 h30 lorsque nous revenons. Nous bavardons un peu dans le jardin avec mon oncle et ma tante qui s'apprêtent à partir.
La douche. Nous nous habillons léger. Assis devant l'ordinateur nous écrivons quelques premiers paragraphes de cette histoire.
Nous découvrons nos messages. Surprise, il y a un courriel de Pauline, la secrétaire du haras qui nous fait un petit mot. Bien.
Il y a le message d'Estelle qui nous raconte ses soirées à la piscine. Elle s'y rend avec la voiture de l'entreprise familiale. Joie.
Maintenant qu'elle a obtenu son permis de conduire, c'est beaucoup plus pratique. Cela lui permettra enfin une indépendance.

Nous répondons aux deux messages en y joignant deux photos redimensionnées et réduites prises hier, au sommet du volcan.
Nous sortons pour aller nous promener un peu dans le quartier. Nous descendons jusqu'à Christ Church et ses petits jardins.
Clémentine porte sa robe d'été, ses sandalettes. Je porte mon short de ville, une chemisette et mes sandales. Agréable climat.
Nous avisons les quelques commerces présents. Il y a la boulangerie. Nous allons à la découverte des pains qui sont proposés.
< Génial ! Regarde, plus besoin d'aller jusqu'en ville ! > me fait Clémentine en me montrant toutes les variétés. Pain artisanal.

Il y a là des pains aux graines, aux céréales, aux fruits secs et même différentes sortes de brioches salées ou sucrées. Superbe.
Ceux qui attirent notre attention sont les gros pavés biologiques complets aux graines, aux céréales. Nous en prenons un beau.
Il y a un magasin de journaux, une supérette, une épicerie et même un salon de thé typique. Nous flânons longuement. Sympa.
Clémentine m'entraîne dans les jardins près de l'église gothique. Nous en faisons le tour. C'est un espace botanique entretenu.
Il y a quelques rares promeneurs. Il y a quelques bancs dans les allées ombragées. Clémentine me tripote la braguette en riant.

< Petit endroit sympa pour une discrète exhibe ! > fait ma compagne en regardant partout autour d'elle en retirant sa culotte.
Nous rions de bon cœur de cette initiative. Pourtant, à cette heure, il n'y a pas encore de visiteurs. Il y a deux vieilles femmes.
< Bon à savoir ! On reviendra ! > fait Clémentine. Je passe ma main sous sa robe pour palper son sexe. Touffe chaude. Dense.
Clémentine me rappelle souvent que lorsque je fais ça, je dois y mettre de la vulgarité. Je m'efforce donc d'être bien vicelard.
Je n'hésite pas à y enfoncer un doigt. Je le fais tourner tout en palpant le tout de la main. < Comme c'est bon ! > dit elle alors.

Je porte le sac en papier qui contient notre pain. Nous l'ouvrons souvent pour en renifler la délicieuse odeur de céréales grillées.
Tout cela aiguise évidemment nos appétits. Nous remontons vers la maison. Il n'est pas loin de midi lorsque nous arrivons. Bien.
Clémentine prépare la salade de tomates et de carottes. Je fais griller les queues de langoustines dont nous raffolons à la poêle.
Accompagnées de haricots verts que je mets dans une autre poêle sans même les faire décongeler. Avec de l'ail, de l'échalotte.
Tout va très vite. Nous mangeons de bon appétit. Nous élaborons un vague programme pour l'après-midi. Le ciel s'est couvert.

De gros nuages sombres, annonciateurs de pluie, ont fait leur apparition. Par prudence, nous n'irons pas faire de la bicyclette.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous décidons de rester vêtus comme ce matin. Je prépare notre petit sac à dos. Super.
Pommes, barres de céréales, K-ways. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir. Il est à peine 13 h45.
Dans la voiture, Clémentine joue avec mon sexe. Je roule doucement en parcourant les rues avec une grande prudence. Joie.
Un petit quart d'heure et je gare l'auto dans la ruelle habituelle à vingt minutes de Royal Mile. Il fait gris, peut-être menaçant.

Nous prenons le risque de ne pas nous munir du grand parapluie. Il y a quelques séquences de soleil. Nous avons nos K-ways.
Royal Mile est la plus longue avenue d'Edimbourg. Elle fait presque deux kilomètres. Du château jusqu'à Hollyrood. C'est vaste.
Nous restons sur la portion médiévale, là où il y a toutes ces petites ruelles moyenâgeuses rappelant des films de Harry Potter.
Il y a du monde, ça grouille de touriste. Clémentine m'entraîne vers un de ses lieux préférés. "The real Mary King's Close". Joie.
Nous y avons visité des souterrains entre Noël et Nouvel An, l'année dernière. En été il y a d'autres portions qui sont ouvertes.

Toutefois, nous décidons de remettre la visite du sous sol mystérieux pour une fois prochaine. Nous nous dirigeons vers Sand.
Nous flânons en regardant les vitrines. Nous arrivons sur Lawnmarket. Il y a là d'innombrables boutiques de souvenir. Superbe.
Clémentine me propose la visite de Gladstone's Land, cette maison du XVIème siècle rénovée pour les visites. Plein de touristes.
Clémentine ne porte pas de culotte. C'est moi qui l'ai dans le petit sac à dos que je porte. < Peut-être un "plan" ! > me fait elle.
La visite est guidée. Ce sont des petits groupes d'une dizaine de personnes. Les guides sont des étudiants et c'est leur job d'été.

L'intérieur de la grande demeure a été aménagée comme elle l'était sans doute au XVIème. C'est magnifique. Une odeur de cire.
Nous suivons le jeune homme qui développe son argumentaire appris par cœur. C'est très intéressant. Les meubles sont beaux.
Nous nous laissons distancer un peu. Clémentine me chuchote quelques cochonneries bien senties. Elle me propose de sécuriser.
Je me mets à l'écart derrière une vitrine. Clémentine a pris le petit sac à dos. Elle s'accroupit pour faire mine d'y fouiller. "Plan".
Accroupie entre deux grandes armoires vitrées présentant divers objets anciens, Clémentine attend le moment idoine. L'exhibe.

Seul le jeune homme fait face à la fille. A chaque fois qu'il regarde dans sa direction, tout en parlant, le guide découvre le show.
Clémentine, cuisses écartées, fait semblant de chercher quelque chose dans le sac. Le jeune homme ne perd pas le fil. Superbe.
J'admire son professionnalisme car moi, qui bande déjà comme le dernier des salauds, je ne pourrais pas garder mon sang froid.
Clémentine, en parfaite virtuose, sait parfaitement ce qu'elle fait. Aucun touriste ne se retourne. Elle peut tranquillement y aller.
La visite continue. Nous trainons en queue de cortège. Nous écoutons toutefois les explications avec attention. C'est intéressant.

Nous parcourons les différentes salles. La visite se termine après une bonne heure de découvertes passionnantes. Instructives.
Clémentine a récidivé trois fois, mettant à profit les endroits les plus appropriés et discrets. Et le jeune homme a bien compris.
Clémentine, qui aime enfoncer les clous, s'approche du guide pour le remercier. Je reste en retrait. Je mâte des cartes postales.
Elle lui demande quelques précisions. Je vois le guide lui expliquer en montrant du doigt le plafond aux magnifiques moulures.
Clémentine, à travers le tissus de sa robe, se touche discrètement tout en bavardant. J'admire le self contrôle de notre gaillard.

Le guide lui montre la direction des toilettes. Clémentine, pointant son index vers la porte au fond de la salle, insiste lourdement.
Le jeune homme comprend maintenant parfaitement à quel genre de fille il a affaire. De quoi être séduit pour tout l'après-midi.
Accaparé par son travail d'accueil, il doit laisser Clémentine qui me fait un discret clin d'œil avant de se diriger vers les toilettes.
Je la rejoins lorsqu'elle revient. Nous voilà au dehors. Il fait lourd, gris. Le ciel est bien encombré. Pourtant il n'y a aucune goutte.
Nous déambulons sur High Street jusqu'à la cathédrale Saint Gilles que nous visitons. Nous y sommes déjà venus l'hiver dernier.

Même si la religion nous laisse d'une indifférence abyssale, par respect, nous évitons toujours les folies dans les lieux de cultes.
Par contre, nous aimons y respirer cette atmosphère particulière. Il y a du monde. Des guides précèdent quantité de groupes.
Clémentine, bien excitée par ses petites exhibes discrètes durant la précédente visite, n'a qu'une hâte. Pouvoir reprendre. Joie.
Nous terminons la visite. Nous flânons jusqu'à Canongate. La réputation du lieu est un peu sulfureuse depuis le XIXème siècle.
Il y avait là des maisons closes et des prostituées. Et il vaut toujours encore mieux s'y promener en journée plutôt qu'à la nuit.

Nous remontons jusqu'à Jeffrey Street. Nous prenons un thé dans le pub "The World's End". Un endroit typiquement écossais.
Il n'y a là aucune opportunité d'exhibe car trop de monde. On y parle toutes les langues. C'est plein de touristes. De l'ambiance.
Nous traînons sur White Horse Close jusqu'à la fermeture des boutiques. Une des plus belles ruelles de cette partie de la ville.
Je propose un restaurant à Clémentine qui préfère rentrer. Nous reprenons la route du retour pour arriver chez nous vers 21 h.
Morts de faim, nous préparons notre repas du soir. Clémentine prépare la salade. Je fais des pâtes et une sauce au Roquefort.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous évoquons les émotions et les sensations vécues cet après-midi. Bien.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous allons encore faire notre petit tour à l'extérieur pour profiter de ce doux crépuscule.
Il est 22 h30. Epuisés. Toilettes. Salle de bain. Le lit. Enfin. Nous nous offrons les préliminaires d'un "69" très juteux et gouteux.
Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis avec douceur. Nous restons immobiles. Clémentine me révèle les secrets de ce jour.
J'aime l'entendre me murmurer des cochonneries. Nous sommes fatigués. Nous pourrions nous endormir ainsi. Ce qui se passe.

Bonne balade et agréables visites à toutes les coquines qui savent mettre à profit toutes les opportunités qui se présentent…

Julien - (Qui s'endort toujours comme un bienheureux dans les bras de Clémentine qui se met rapidement à ronfler) -

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Classe - 44 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 477 -



Nous allons de découverte en découverte en nous amusant

Hier matin, vendredi, nous nous réveillons en même temps. Nous nous serrons fort en nous murmurant quantité de douceurs.
Des bises. De la tendresse et des papouilles interrompues par l'impérieux besoin de pisser. Clémentine m'entraîne aux toilettes.
Dès le rituel pisseux terminé, morts de faim, nous allons à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine s'occupe du café. Joie.
Il est à peine 7 h15. Il fait le même temps que hier. Un léger voile nuageux. Nous sommes déjà vêtus de nos tenues de jogging.
Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Bien.

Nous évoquons notre journée de hier. Nous faisons un vague programme de la journée qui nous attend. Il n'y a rien de certain.
Comme l'a souhaité ma compagne, nous laissons beaucoup de place à l'improvisation. Nous faisons le bilan des premiers jours.
C'est plutôt concluant. La formule est idéale. Le constat nous amuse beaucoup. Nous sommes tout aussi actifs dans le farniente.
La vaisselle. Nous voilà au dehors. Il y a une agréable fraîcheur. Il faut courir de bonne allure pour se réchauffer. Sympathique.
Comme tous les matins nous croisons de nombreux joggeurs. Au sommet de la colline c'est notre arrêt pour admirer Edimbourg.

Il est 9 h30 lorsque nous revenons après un running des plus agréables. La douche. Nous nous habillons légèrement. Douceur.
Assis devant l'ordinateur, nous découvrons le message d'Estelle qui nous raconte ses soirées à la piscine. C'est agréable à lire.
Gauvain, son collègue étudiant exerce en tant que maître nageur. Son job d'été. La piscine ferme à 19 h. Ouverture aux clubs.
Estelle fait donc des longueurs en compagnie de séniors. Nous rions de bon cœur en répondant à ses anecdotes. Des blagues.
Nous rédigeons quelques paragraphes de ce récit. Il est rapidement 10 h30. Clémentine m'entraîne au dehors pour aller flâner.

Le ciel est principalement bleu. Quelques rares nuages d'altitude voilent quelquefois un soleil qui n'est pas trop chaud. Super.
Nous descendons la rue pour retourner plus bas, vers l'animation du quartier commerçant de Morningside. Et il y a du monde.
Nous passons devant la magnifique église gothique de Christ Church. Nous percevons la musique. Et Clémentine m'y entraîne.
C'est l'orgue. Il y a quelques touristes qui prennent des photos. L'intérieur est remarquable. C'est vraiment de toute beauté.
La fraîcheur est appréciable. Une odeur discrète d'encens et d'effluves florales flattent nos sens olfactifs. Excellent moment.

Nous voilà au dehors à déambuler dans la rue. Le bas de Morningside était jadis industriel. Il en subsiste bien des vestiges.
Clémentine, que les lieux un peu "glauque" attirent toujours beaucoup, m'entraîne par la main vers un grand bâtiment gris.
Tout est à l'abandon. Les fenêtres sont condamnées par des panneaux de bois vermoulus. Une grande grille est entrouverte.
Bien évidemment, ma compagne, poussée par cet impérieux besoin de découverte, m'y entraîne par la main. C'est une cour.
Nous contournons le bâtiment. L'espace est entouré de garages fermés, de hangars et d'entrepôts . Le tout est à l'abandon.

Il y a une porte métallique, rongée de rouille, entrouverte. Nous y pénétrons. Il n'y a aucun panneau qui interdit les visites.
Nous voilà dans une grande salle carrelée, éclairée par des verrières encrassées. Ce sont les vestiaires et les anciens WC.
Au fond, une rangée de lavabos défoncés, arrachés. Sur la gauche, une vingtaine d'armoire en métal grisâtre et cabossées.
Sur la droite une rangée de cabinets de toilette. WC dont la plupart des portes sont entrouvertes ou arrachées. C'est vétustes.
Au fond des douches à la faïence jaunie. Des débris de toutes sortes jonchent les sols. Clémentine m'entraîne pour tout voir.

< J'ai envie de faire des trucs ici, ça m'excite ! Pas toi ? > me demande t-elle en m'ouvrant la braguette pour me sortir le Zob.
Penchée en avant, ma compagne se met à me sucer. Je lui caresse les cheveux, la tête. Elle s'accroupit. Je bande mou. Super.
Je la laisse sucer en la regardant. Elle cesse pour me dire : < Être attachée, ici, livrée au vice ! Tu imagines un peu ! Génial ! >
Je regarde partout autour de nous. On est debout au milieu de cette grande salle qui doit bien mesurer vingt mètres sur vingt.
Je la saisis par ses cheveux, sans ménagement, je la force à se redresser pour l'entraîner. Je marche doucement en la tirant.

Nous faisons le tour de la salle. Je tiens fermement Clémentine par ses cheveux. Elle marche à mes côtés, penchée en avant.
Je lui fais visiter chaque cabinet où nous pouvons entrer. < Traite moi comme je le mérite. Je suis tellement salope ! > dit elle.
Je lui fais : < Mais je vous traite comme vous le méritez chaque jour mademoiselle ! >. Clémentine en glousse de plaisir. Joie.
< Vous me traitez comme une princesse, "Maître", et je ne suis qu'une salope, une souillon qui suce d'autres bites ! > fait elle.
Je réponds : < Pour notre plus grand plaisir, ma douce "esclave" ! >. Il nous est difficile de rester sérieux. Ce n'est qu'un jeu.

La faim commence à se faire sentir. Nous cessons notre jeu pour nous diriger vers la porte. Soudain, il y a un bruit de moteur.
Nous voyons un type garer sa moto dans la cour. Il ne nous a pas vu. Il se met face au mur en déboutonnant sa braguette.
Clémentine me fait : < Reste planqué là ! Je vais m'amuser un peu ! >. Je la regarde sortir, marcher doucement, bras croisés.
Le type, entrain de pisser, certainement averti d'un sixième sens, tourne la tête. Il voit cette grande jeune fille en robe. Bien.
Clémentine lui adresse un sourire. Le type la salue, pas du tout gêné, il se tourne tout en pissant pour bien lui montrer sa bite.

C'est un homme d'âge mûr. Il est vêtu d'un pantalon gris et d'un sweat bleu. Des cheveux un peu longs. Il a l'air jovial. Rieur.
De ma cachette, à une cinquantaine de mètres, je ne comprends pas tout des propos échangés. Clémentine bavarde en riant.
Le type termine tranquillement de pisser. Tout en discutant, il agite sa queue pour en faire tomber les dernières gouttes. Bien.
Le quidam est doté d'un sexe qui n'est pas sans évoquer une saucisse molle et flasque. Il l'agite devant la jeune fille. Je mâte.
Clémentine, debout, immobile, les bras croisés, portant ses lunettes noires de soleil, les cheveux défaits, bavarde en rigolant.

La situation perdure un petit moment. Le type doit faire des propositions car je vois Clémentine secouer la tête négativement.
Elle appui sa négation d'un signe de l'index. Le bonhomme reste à distance sans tenter de s'approcher. Il fait tourner sa bite.
C'est totalement surréaliste. Finalement Clémentine s'éloigne avec un dernier signe de la main avec un signe positif de la tête.
Le type remballe, remonte sur sa petite moto pour disparaître à son tour. Je peux enfin sortir de ma cachette. Je file très vite.
Clémentine sort de la planque où elle s'est dissimulée pour voir partir l'homme à la moto. Nous remontons vers Morningside.

En chemin, ma compagne me raconte la nature des propos échangés. Le type propose de la retrouver demain, même endroit.
< J'ai envie d'en savoir davantage ! > fait elle. Je l'encourage. Nous reviendrons demain matin. Même endroit. Même heure.
Il est midi lorsque nous sommes de retour. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare des steaks de thon et des légumes.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant notre aventure matinale. Tout cela nous a considérablement excité. Superbe.
Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous passons à la salle de bain avant de nous changer. Sympa.

Nous voilà sur nos bicyclettes, descendant prudemment, en freinant bien, jusqu'à la rivière Leith pour prendre la piste cyclable.
Il fait beau. Il fait très agréable. Depuis deux jours, ce ne sont plus des chaleurs caniculaires. Nous pédalons en bavardant.
Il y a un monde fou. Des cyclistes dans tous les sens. 20 km de pur plaisir pour revenir à Leith où nous cadenassons nos vélos.
Nous flânons sur les quais en dégustant deux pots de glace avec des petites cuillères en plastique. Et nous savourons l'instant.
Il y a de l'animation. L'endroit est touristique car réputé. C'est l'ancienne ville d'Edimbourg et le début de la partie médiévale.

Avec le monde qu'il y a, il serait vain et risqué de tenter un plan exhibe. Pourtant, excitée, Clémentine cherche une opportunité.
< Je me ferais bien une petite "frayeur" ! > me dit elle en m'entraînant vers les toilettes publiques, au fond d'une petite venelle.
C'est un bâtiment ancien, vétuste, dont l'intérieur est entièrement remis à neuf. Modernisme et confort de toilettes accueillantes.
L'incessant va et vient ainsi que la fréquentation souvent familiale, empêche toute velléité exhibitionniste. Il faut être prudents.
Il est 19 h30. La faim se fait sentir. Je propose à Clémentine de nous offrir un petit restaurant dans le port. Un endroit typique.

< On a tout ce qu'il faut à l'appartement. Tu veux vraiment ? > me demande t-elle. Je lui dis : < J'insiste? Peut-être un plan ! >
C'est l'argument imparable qui finit par convaincre ma compagne. Nous flânons en regardant les différents menus proposés ici.
Il y a plusieurs établissements. Nous portons notre choix sur ce petit restaurant charmant et aux fenêtres décorés de croisillons.
Des rideaux à carreaux vichy rouges. Des jardinières de fleurs sur les rebords. Nous entrons. Il y a du monde. Il reste une table.
C'est une véritable chance. Nous la saisissons. La salle est pleine de monde. Pourtant, tout le monde parle doucement. Le Nord.

Nous nous régalons de deux gigantesques plateaux de fruits de mer. C'est notre première véritable soirée au restaurant. Super.
Depuis six jours en Ecosse, c'est amplement mérité. Il est évidemment impossible à Clémentine de s'offrir sa "frayeur". Difficile.
Nous rigolons comme des bossus à l'idée de tenter un plan qui serait foireux. Nous traînons à table. Il est rapidement 22 h. Joie.
Repus, bourrés par les coupes glacées du dessert, la fraîcheur du soir nous oblige à nous revêtir des K-ways tirés du sac à dos.
Nous flânons encore un peu. La nuit est magnifique. Les fenêtres éclairées, permettent de voir à l'intérieur. La tradition du Nord.

Nous remontons péniblement la rue en pédalant sur nos bicyclettes pour arriver à l'appartement à 23 h. Toilettes. Salle de bain.
Au lit, nous nous offrons ce "69" rituel qui nous enivre rapidement. Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis avec précaution.
Nous sommes tous deux fatigués, immobiles. Nous savons que nous n'arriverons pas à grand chose. C'est juste pour le plaisir.
Clémentine me murmure le secret de ses émotions de la journée. Son désir de se rendre au rendez-vous vicieux demain matin.
Comme souvent, lorsque nous sommes épuisés, nous nous tournons en nous déboîtant, serrés l'un contre l'autre pour plonger…

Bonnes découvertes d'endroits glauques à toutes les coquines qui se savent en sécurité avec leur mec planqué pas loin.

Julien - (Qui sait déjà que demain matin, il va endosser le rôle de vigile, de garde du corps, "Service Sécurité", avec bonheur) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 45 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 478 -



Errances estivales sous le soleil d'Edimbourg

Hier matin, samedi, nous nous réveillons en même temps. Nous aimons nous étirer en modulant nos gémissements. Il est 7 h15.
< Bonjour ! > nous faisons nous en même temps entre deux bisous avant de nous serrer fort l'un contre l'autre. Les papouilles.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. C'est notre rituel pisseux du matin. Joie.
Morts de faim nous allons à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous sommes déjà en tenue jogging.
Nous prenons notre petit déjeuner en appréciant l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit en bavardant.

Nous faisons le bilan de cette première semaine en Ecosse. Clémentine a complètement décompressé. Apaisée de l'effort fourni.
Cette dernière année de faculté et l'obtention de son "Master" font à présent parties du passé et le travail consenti est derrière.
Nous faisons l'inventaire des courses que nous ferons tout à l'heure. Des oranges et des légumes. Un pain aux céréales, graines.
La vaisselle. Nous descendons l'escalier de service. Il fait beau. Le ciel est principalement bleu avec quelques nuages d'altitude.
Nous courons d'un bon rythme le long du parcours habituel. L'arrêt devenu obligatoire au sommet de la colline pour voir la ville.

Nous croisons quantité de joggeurs qui comme nous savourent l'endroit comme il le mérite. Dans la lumière diaphane du matin.
Il est 9 h15 lorsque nous revenons. Nous bavardons un peu avec mon oncle et ma tante qui s'apprêtent à partir pour la journée.
Ils me confirment que dimanche de la semaine prochaine, pour le repas, nous sommes invités avec le couple de collectionneurs.
Tous les ans, j'apporte deux toiles destinées à mes collectionneurs écossais. Ces toiles que je peins dès octobre pour être quitte.
La douche. Nous nous habillons légèrement. Clémentine est de plus en plus fébrile à l'idée de retourner au bâtiment abandonné.

Il est dix heures lorsque nous descendons Morningside pour nous rendre à l'ancienne friche industrielle. Il y a la douce chaleur.
Clémentine porte sa robe d'été sombre, cintrée à la taille et ses sandalettes. Je porte mon short, mon T-shirt et mes sandales.
Nous arrivons devant le bâtiment désaffecté. La grande grille est entrouverte et tout est très exactement comme hier matin.
Nous pénétrons dans l'enceinte pour contourner le bâtiment gris aux fenêtres condamnées par des planches de bois vermoulu.
Il n'y a personne. Il y a des carcasses de bagnoles, des fûts en métal rouillé. Tout respire un abandon de plusieurs décennies.

Nous entrons dans la grande salle des vestiaires, toilettes et douches. Il y a toujours cette odeur nauséeuse. L'endroit est laid.
Clémentine se serre contre moi et me chuchote : < Merci Julien ! Sans toi, tout cela serait impossible. Je t'aime mon amour ! >
Elle me propose de rester planqué là, de faire le guet. Je la regarde s'éloigner. Je suis caché dans le premier des cabinets. WC.
De là je vois toute la cour. Clémentine évolue à une trentaine de mètres. Elle me fait des grimaces avec des gestes obscènes.
Soudain, le bruit d'un moteur. C'est l'homme à la moto. Clémentine, debout devant le mur, sa robe relevée, fait mine de pisser.

Le type gare sa moto. Il reste un moment devant cet étonnant spectacle. Cette fille, cambrée sur ses jambes, genoux fléchis.
Je bande comme le dernier des salauds. Le mec reste à une dizaine de mètres et se met à bavarder. Clémentine tourne la tête.
Elle reste ostensiblement dans cette position équivoque et terriblement vulgaire. L'homme reste cool et pas du tout inquiétant.
Je n'entends pas ce qui se dit mais je vois Clémentine rire à plusieurs reprises en laissant retomber sa robe pour se réajuster.
Debout, les mains entre ses cuisses, frottant ses jambes l'une contre l'autre, elle fait comprendre son impérieux besoin naturel.

Elle se tortille ainsi devant l'inconnu qui lui montre un endroit entre deux énormes caisses éventrées. Un lieu pour se soulager.
Tout en parlant il ouvre sa braguette pour en extraire son sexe. Il est d'une taille très "normale". Plutôt mince et d'aspect lisse.
Il le tient à sa base pour le faire tournoyer devant la jeune fille qui continue à se tortiller. A la fois vulgaire et vicieuse. Super.
Le type s'engage le premier entre les deux caisses. Il s'assoit sur un cageot et invite de la main la fille à le rejoindre. Je mâte.
Clémentine vient s'accroupir tout près du type qui ne tente rien. Il se contente de tenir son sexe qui curieusement reste mou.

Clémentine, qui doit pisser depuis un long moment, malgré ses efforts et sans doute excitée par la situation, n'y parvient pas.
Le type lui montre sa bite. Il l'invite certainement à s'amuser avec. Accroupie à environ un mètre du mec, elle se met à rigoler.
Elle a plusieurs signes négatifs de la tête. Elle porte ses larges lunettes de soleil noires, ses cheveux qu'elle tient de la main.
Le type se lève. Les pieds légèrement écartées, bien campé sur ses jambes, sans se rapprocher, il agite son sexe devant la fille.
Clémentine, toujours accroupie, observe notre vicelard. Elle semble répondre aux questions du type qui n'arrête pas de causer.

La situation perdure ainsi un moment. Sans doute gagnée par l'ankylose, des fourmis dans les jambes, Clémentine se redresse.
Debout devant le type qu'elle dépasse d'une demi tête, elle s'empare d'un bout de papier sur lequel le type a griffonné un truc.
Il indique la montre à son poignet. Visiblement il doit se sauver. Il tend la main à Clémentine qui refuse de la lui serrer. Rires.
Le type monte sur sa moto. Un dernier signe de la main et il s'éloigne sur son engin. Clémentine me fait signe de la rejoindre.
Elle se serre contre moi pour me raconter la nature des propos échangés. Nous rions de bon cœur de cette nouvelle aventure.

Sur le bout de papier l'homme à la moto a laissé son numéro de portable. Il a précisé à Clémentine : < Si tu veux me sucer ! >
Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine fait : < Il m'a fait rire avec ses histoires de cul. Vraie misère sexuelle ! >
Le type est serveur dans un bar plus bas sur Sand Street. Il s'arrête toujours ici car son père travaillait jadis dans cette usine.
Clémentine arrive enfin à se lâcher. Elle me confie à quel point elle était excitée de se retrouver devant un inconnu, accroupie.
Je la regarde pisser. Elle me fixe avec un sourire en tenant ses lunettes dans la main gauche, tirant son sexe de la main droite.

Nous sortons de l'enceinte de cette usine désaffectée pour nous diriger vers la rue commerçante. Clémentine me tient la main.
Nous nous dirigeons vers la supérette. Un klaxon. C'est le mec à la moto qui passe tout près de nous. Il fait un signe de la main.
Il vient certainement de comprendre à qui il avait réellement affaire. Un couple de vicelards dont la femme s'exhibe en cachette.
Nous en rions de bon cœur lorsque Clémentine fait : < Tant mieux ! A présent il sait à quoi s'en tenir ! >. Il y a du monde. 11 h.
Nous achetons des fruits et des légumes. La fraîcheur, la beauté des produits frais sont épatantes. Nous voilà avec de gros sacs.

Nous remontons la rue. Environ un kilomètre et en portant chacun deux gros sacs contenant nos achats. Des fruits en quantité.
Nous faisons grande consommation d'oranges au petit déjeuner. Il faut donc prévoir. Il est midi lorsque nous arrivons. Fourbus.
< Put-Hein de sacs ! > fait Clémentine en posant les siens devant le frigo. Nous rangeons nos courses en évoquant l'aventure.
Clémentine me serre contre elle pour répéter une fois encore à quel point ma présence cachée lui permet des émotions folles.
Je comprends. Nous savons tous les deux les privilèges qu'offrent notre totale complicité. Je lui fais part de mes sensations.

Nous préparons notre repas. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais frire des filets de haddock avec un brouillis de tomates.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine évoque notre aventure de la matinée. J'écoute en silence. Et c'est si merveilleux.
Je lui dis : < Si tu as envie de faire une pipe à ce mec, un matin, on va dans une cabine et tu fais son numéro, pas de trace ! >
C'est la meilleure façon pour préserver l'anonymat et éviter de pouvoir remonter au numéro de téléphone privé de Clémentine.
Clémentine me regarde par en dessous de son regard vicelard avec un énigmatique sourire. Elle me dit : < Ok, ça marche ! >

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir. Plein de bisous. Joie.
Nous restons vêtus ainsi. Dans le petit sac à dos je mets deux pommes, deux bananes, les barres de céréale, la bouteille d'eau.
Cet après-midi, nous allons traîner sur Princess Street, flâner dans les parcs magnifiques et peut-être visiter la National Gallery.
Il fait chaud mais pas du tout caniculaire. Le climat idéal pour vagabonder. Nous descendons à bicyclettes. Quelques kilomètres.
Nous allons jusqu'à la gare pour y laisser les vélos fermés à la consigne. Nous voilà libres et tranquilles. Il y a plein de touristes.

C'est très agréable de parcourir Princess Street sous le soleil. C'est la rue principale. Comme une avenue dans un grand jardin.
Nous montons dans le grand parc à côté de la National Gallery. Il y a un monde fou. C'est samedi. Donc pas d'exhibe possible.
Ce qui frustre un peu Clémentine dont la culotte est dans le petit sac à dos que je porte. Nous en rions de bon cœur. La balade.
Il est 16 h. Nous sommes assis sur un banc, à l'ombre d'un grand chêne séculaire. Là-bas, il y a un groupe de gens attroupés.
Il y a un jeune couple de musiciens qui jouent et qui chantent. C'est très agréable. Nous écoutons en appréciant les chansons.

Nous nous levons pour nous approcher. C'est un garçon et une fille, maximum 25 ans, sans doute des étudiants, qui chantent.
Ils s'accompagnent tous les deux de leur guitare. C'est vraiment harmonieux et très au point. Professionnel. C'est appréciable.
Nous sommes debout parmi les badauds. Clémentine prend l'appareil photo dans le sac à dos. Elle s'accroupit devant le couple.
Je comprends immédiatement. Quand le garçon regarde dans notre direction, Clémentine écarte les cuisses discrètement. Bien.
Elle prend certainement quelques photos mais fait surtout semblant de se concentrer. Personne ne s'en rend vraiment compte.

Le jeune gars fait preuve d'un admirable professionnalisme. Il est parfaitement clean devant les agissements de Clémentine.
La chanteuse doit s'être rendue compte de ce qui se passe car elle aussi regarde à présent vers ici. Je bande et j'ai la "bosse".
J'adore ces situations. En contractant mes muscles fessiers, je fais bouger ma grosse bosse dans mon short. Ça se remarque.
Il faut cesser car de plus en plus de monde vient s'attrouper. C'est le succès. Clémentine se redresse. Nous restons un peu.
Je fouille le fond de mes poches pour en retirer de la monnaie. Je m'approche pour la jeter dans le chapeau. Nous repartons.

Clémentine adore ces petites exhibes rapides, discrètes. Je les apprécie également. Une exhibe donne envie d'une prochaine.
Aussi, animés par le désir d'en revivre une nouvelle, nous parcourons les allées du parc en scrutant avec attention et partout.
Il faut bien évidemment toujours agir avec prudence. Rester vigilants. Garder la parfaite maîtrise de nos émotions stimulantes.
Il n'est pas question de faire n'importe quoi. Une exhibe réussie et de qualité, ne s'improvise pas comme une envie de pisse.
Il faut ruser. Il faut tout prendre en considération. La configuration des lieux. Le potentiel voyeuriste de la "cible". Les endroits.

Malgré nos recherches, avec le monde, il est quasiment impossible pour Clémentine de s'offrir une nouvelle frayeur. Dommage.
Nous nous consolons en dégustant des cônes glacés. Nous flânons jusqu'à High Street pour nous engager dans le centre ville.
Nous faisons de nombreuses brocantes. Ce sont nos lieux préférés. Nous aimons les choses anciennes. Et il y a de la fraîcheur.
Pas de nouvelles opportunités. Le centre commercial propose tout un tas de boutiques que l'on retrouve partout dans le monde.
Malgré tout, en vacances, il est plaisant de les redécouvrir en traînant. Il est rapidement 20 h. Je propose un restaurant sympa.

< Tu sais, tu te rappelles le restaurant où le personnel est en tenues folkloriques écossaises ? > me fait Clémentine. Superbe !
Nous nous y précipitons. Pas de tables libres avant une bonne heure. Nous prenons notre mal en patience en nous promenant.
Nous grignotons nos dernières barres de céréale en écoutant un musicien des rues. Il joue de la cornemuse en tenue. Super.
Clémentine, discrètement, offre au musicien son show habituel. Accroupie, prenant des photos. Il semble beaucoup apprécier.
J'admire ce self contrôle qui permet aux musiciens de garder la parfaite maîtrise de leur Art malgré les agissements de la fille.

Il est 21 h. Nous retournons au restaurant. Une table nous y attend. Nous prenons place. Salle décorée façon médiévale. Bien.
Le personnel, hommes et femmes, vêtus de Kilt, font le service. Pas d'opportunité d'exhibe. La salle est pleine à craquer. Rien.
Nous dégustons deux plateaux de fruits de mer en bavardant. Nous prenons deux coupes glacées. Nous traînons à table. Joie.
Il est 22 h30 lorsque nous nous dirigeons vers la gare. Trois bornes. Nous récupérons nos bicyclettes à la consigne. Du monde.
Des touristes arrivent même encore à cette heure avancée. Edimbourg est un lieu de destination prisé. Le succès. A ce point !

Lumières allumées et clignotantes, nous voilà à pédaler dans la fraîcheur du soir. Nous mettons nos K-ways. Soirée magnifique.
Quel plaisir d'être à bicyclette dans les rues d'Edimbourg à 23 h30. Il est presque minuit lorsque nous revenons à Morningside.
Les toilettes. La salle de bain. Le lit. Nous nous offrons un "69" juteux. Malgré l'excitation, nous savons déjà que ce sera court.
Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Elle me chuchote.
Sans réelle conviction, épuisés, nous ne tardons pas à perdre de l'entrain. Inutile de gâcher un orgasme. Nous plongeons. Dodo.

Bonne virée en bicyclette, en jupette et en goguette à toutes les coquines désireuses de s'offrir quelques "frayeurs" exhibes…

Julien - (Toujours prêt à rendre service, à tenir le sac et les affaires, pour permettre à Clémentine de s'offrir des "frayeurs") -

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Baise en plein air au retour de virée vélo

Hier matin, dimanche, il est 7 h15 lorsque je suis réveillé par un léger frottement des draps. Le matelas bouge. Imperceptible.
Je comprends immédiatement ce qui se passe. Je reste parfaitement immobile. C'est ma respiration qui me trahi. Je suis fais !
< J'ai fait un rêve érotique ! > me dit Clémentine qui cesse de se masturber, couchée sur le ventre, pour se serrer contre moi.
< Bonjour mon adorable masturbatrice ! > ai je le temps de lui murmurer avant qu'elle ne me chevauche en riant. Papouilles.
L'impérieux besoin naturel met toutefois rapidement un terme à nos effusions de tendresse, nous nous précipitons aux toilettes.

Morts de faim nous allons à la cuisine. Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous traînons en slibards.
Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé qui achève d'ouvrir nos appétits d'ogres. Un vrai délice.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine me raconte son rêve érotique. Nous en rions de bon cœur. Joie.
Son rêve qui l'a emmené à la friche industrielle où nous étions hier matin. Taylor, l'homme à la mobylette qui montre son Zob.
J'écoute en silence, amusé et intrigué. Mais comme elle se réveille en se touchant Clémentine ne connaît jamais la fin du rêve.

< De ne jamais connaître la fin de mes rêves érotiques est un cauchemar ! > fait elle. Nous en rigolons comme des bossus.
C'est dimanche. Pas de jogging. Nous traînons à table en faisant le bilan de cette première semaine écossaise qui fut un "sas".
Clémentine, totalement remise de la fatigue nerveuse causée par son année universitaire intense, éprouve un besoin d'action.
Aussi, dès demain, nous recommençons nos expéditions consacrées aux découvertes des environs d'Edimbourg. C'est une joie.
La vaisselle. Clémentine s'occupe du ménage. Je fais une machine avec notre linge sale. Petites culottes, slips, T-shirts. Sympa.

Clémentine me rejoint à la salle de bain avec les draps sales. Elle se serre dans mes bras. Nous nous berçons doucement ainsi.
< Sans toi, je serais obligée d'avoir un job d'été et je vivrais dans une chambre d'étudiante ! Je t'aime Julien ! > me fait elle.
Je lui réponds : < J'y trouve mon compte. N'en parlons plus. Nous l'avons déjà tant fait. Tu veux bien ? Je t'aime Clémentine ! >
Je comprends parfaitement l'état d'esprit bien légitime d'une jeune fille honnête et sincère. Elle m'embrasse longuement. Bien.
Rapidement cet intermède d'une gravité compréhensible mais inutile s'estompe pour faire place à la bonne humeur naturelle.

Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir. Nous faisons un brin de toilette. Lavage des fringues terminé.
Nous mettons les draps dans la machine avant de nous rendre dans la pièce de séjour. Clémentine allume l'ordinateur. Super.
Nous sommes assis côte à côte pour découvrir nos deux messages. Le message d'Estelle qui nous raconte ses journées. Boulot.
Les soirées où elle vient arroser le potager avant d'aller rejoindre Gauvain à la piscine. Nous répondons en joignant deux photos.
Il y a le message de Juliette qui nous donne des nouvelles du haras où il ne se passe pas grand chose. Les travaux de réfection.

Clémentine fait une rapide visite du site de l'université. Nous écrivons les premiers paragraphes de ce récit. Dehors, il fait beau.
La machine nous averti que le lavage des draps est terminé. C'est l'essorage. Clémentine s'assoit sur le rebord de la table. Joie.
Les cuisses écartées, sans culotte sous sa robe d'été, elle me montre son sexe. Je comprends immédiatement. Et je m'approche.
Assis sur la chaise, mes mains posées sur les cuisses de Clémentine, j'avance mon visage pour le fourrer dans la touffe dense.
Ça me chatouille. J'adore sentir les poils drus me chatouiller. Je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe. Bon.

C'est encore sec et il y a l'odeur du savon. Je décalotte son clitoris géant du bout de mes lèvres. Il y a cet adorable sursaut.
J'adore ce petit spasme qui agite tout le corps de ma compagne lorsque je m'occupe de son gros bouton de plaisir. Sympa.
Il faut être prudent. Pas d'orgasme prématuré. Clémentine déteste ça. Il est question de rester excitée toute la journée. Joie.
Couchée sur la table, en appui sur ses coudes, la tête souvent rejetée en arrière, Clémentine se laisse sucer en gémissant fort.
Ce plaisir est partagé parce que j'adore m'occuper d'elle. Et c'est gratifiant de la savoir excitée probablement pour la journée.

L'essorage est terminé. Nous percevons le petit signal sonore émis par la machine. C'est un prétexte pour cesser nos activités.
Clémentine se redresse. Elle a profond un soupir et reprend rapidement ses esprits. Elle m'entraîne jusqu'à la salle de bain.
Nous sommes vêtus légers. Nous descendons avec le linge que nous suspendons dans le jardin. Il y a mon oncle et ma tante.
Nous parlons un peu. Ils reçoivent des amis retraités à dîner. Nous les laissons pour aller nous promener un peu. Déjà 10 h30.
Nous prenons l'itinéraire de nos joggings pour monter au sommet de la colline. La vue sur Edimbourg est fantastique. Irréelle.

Assis sur un des bancs en pierre, nous admirons en faisant un vague programme de l'après-midi. Beaucoup d'improvisation.
C'est le dernier jour consacré au farniente. Dès demain, nous partons à la redécouverte des lieux que nous aimons. Superbe.
Il est midi lorsque nous rentrons. Il y a les deux grosses limousines garées l'une à côté de l'autre. Deux jaguars rouges sang.
Celle de mon oncle et probablement celle de leurs amis. Nous ne sommes pas très "voiture" mais nous tournons tout autour.
Nous remontons. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare du filet de lieu noir que j'ai d'abord pané. Du riz bio complet.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le programme de demain nous passionne. Et nous partirons dès le matin.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, tout en terminant sa coupe glacée, Clémentine évoque notre virée de ce jour.
Nous repartons à bicyclette. Nous voulons tous deux refaire encore une fois les 20 km de cette superbe piste cyclable. Sympa.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Je mets des pommes, des barres de céréale, la bouteille d'eau dans le petit sac à dos.
Il est 14 h lorsque nous descendons, mains sur les freins, Morningside jusqu'au début de l'itinéraire. Il y a du monde. Dingue.

Nous pédalons contre un léger vent. Nous croisons quantité de cyclistes. Cet itinéraire connaît un succès phénoménal. Normal.
C'est la piste cyclable obligée pour tous les amoureux de la découverte à bicyclette. Il fait beau. Le soleil. Pas trop chaud. Bien.
Nous passons devant la galerie d'art moderne sans nous arrêter. Il y a tant de visiteurs et de gens assis sur les pelouses. Fou.
Nous arrivons à la Dean Gallery. Là, Clémentine me propose de retourner voir le travail des artistes locaux. L'excellente idée.
Nous poussons nos vélos en marchant dans le parc. Il y a des gens partout et principalement des familles. Pas d'opportunités.

Nous traînons longuement dans ce lieu accueillant, verdoyant pour y admirer quelques sculptures contemporaines étranges.
Tout n'est pas forcément laid dans l'Art moderne. Nous fermons nos vélos à cadenas. Nous entrons dans le bâtiment. Bien.
Rien n'a changé depuis notre première visite au début de la semaine. Il y a la femme peintre qui dédicace son livre. Superbe.
Nous faisons un rapide tour des trois grandes salles. Il y a des gens partout. Nous ressentons l'impérieux besoin de fuir. Vite.
Nous voilà à pédaler jusqu'aux pieds du volcan. Arthur's Seat est très fréquenté. Les amoureux de la marche et de la grimpe.

Nous continuons notre chemin jusqu'aux abords de Leith dont nous voyons les premières maisons là-bas, derrière les arbres.
Clémentine m'entraîne à sa suite. Nous quittons la piste cyclable pour prendre un étroit chemin sur la gauche. Nous marchons.
Il est interdit d'y circuler à bicyclette. En Ecosse, il vaut toujours mieux se plier aux injonctions et aux directives obligatoires.
Nous marchons en poussant les bicyclettes jusqu'à une sorte de ruine. Nous contournons les restes d'une grande construction.
Clémentine pose son vélo contre le mur, monte sur les plus hautes pierres et me fait : < Nous sommes absolument seuls ! >

Elle relève sa jupette de sport, retire sa culotte, redescend et me fait : < Prends moi ! >. Surpris, je dis ! < Ici ? Tu es sûre ? >
< Oui, j'ai trop envie ! > me répond t-elle en m'entraînant entre deux murets. Il y a une sorte de table en pierre. Bien plane.
Clémentine s'y allonge, en appui sur ses coudes, cuisses largement écartées, jambes relevées. Je me mets à genoux. Je lèche.
Clémentine me laisses faire tout en surveillant les alentours. Je me redresse. Je m'introduis dans la fille avec précautions. Bon.
Nous restons immobiles. < J'ai de plus en plus envie de baiser. Et tout le temps ! > me fait Clémentine. Je l'écoute me parler.

Nous restons ainsi un long moment. Les étonnantes révélations de Clémentine quand à nos aventures récentes, nous excitent.
Nous alternons les séquences d'immobilismes avec de doux et lents bercements. C'est une baise absolument délicieuse. Fameux.
Je regarde constamment à gauche et à droite. Clémentine fait de même en se penchant pour regarder derrière moi. Personne.
C'est très rare de nous retrouver dans cette situation. Aussi, excités et enchantés, nous nous promettons de multiples récidives.
Clémentine évoque les deux derniers samedis soirs, au haras, dans les écuries, avec le palefrenier et son vieux copain black.

Ces souvenirs précis, les instants particuliers qu'elle décrit, nous excitent au plus haut point. Il faut éviter l'orgasme. Virtuoses.
Nous préférons nous garder pour le lit. Je me retire avec précaution. Clémentine se redresse, s'ajuste et dit : < C'était bon ! >
Nous rions de bon cœur de cette expérience lorsqu'il y a un bruit furtif dans les buissons plus loin. Un type se barre en courant.
< Il y avait un voyeur ! > s'écrie Clémentine en mimant une masturbation masculine. Nous rigolons comme des bossus. Super.
Nous arrivons à Leith vers 21 h. Morts de faim, nous dévorons nos dernières barres de céréales, nous mettons nos K-ways…

Clémentine préfère rentrer et manger à l'appartement. Nos derniers efforts, nos dernières forces pour monter sur Morningside.
Il est 22 h. Nous réchauffons le riz. Clémentine fait une rapide salade de tomates pendant que je prépare une omelette. Faim.
Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre baise dans les ruines. < A refaire ! Et sans modération ! > fait Clémentine.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Toilettes. Salle de bain. Nous voilà au lit à reprendre les choses où nous les avons laissé.
Clémentine me murmure des secrets. Nous sommes l'un dans l'autre. Je lui offre un cunni. Elle insiste pour me sucer. Le dodo.

Bonne baise en extérieur à toutes les coquines qui aiment découvrir, après coup, qu'il y avait un petit salaud de voyeur…

Julien - (Qui s'applique à offrir des orgasmes de grande qualité à Clémentine qui préfère le cunni et sucer de la bite) -

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Nous nous éloignons un peu d'Edimbourg

Hier matin, lundi, nous nous réveillons en même temps. Nous nous étirons longuement tout en modulant nos gémissements.
Nous nous amusons beaucoup à ce jeu avant de nous serrer fort l'un contre l'autre en nous offrant plein de papouilles. Bises.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Tout cela participe de notre bonheur.
Morts de faim, nous allons à la cuisine. Notre vie est ritualisée. Je presse nos quatre oranges et Clémentine s'occupe du café.
Il est 7 h15. Dehors il fait déjà beau sous un ciel parfaitement bleu. Nous sommes déjà vêtus de nos tenues de jogging. Prêts.

Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur habituelle de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit en discutant.
Nous élaborons les grandes lignes du programme de cette journée. Depuis quelques jours nous envisageons de nous éloigner.
Quitter Edimbourg pour redécouvrir la région que nous connaissons bien. Clémentine garde des souvenirs de l'année dernière.
Aussi, elle aimerait beaucoup revoir tous ces endroits qui l'ont enchanté. La vaisselle. Nous descendons par l'escalier de service.
Dehors, il fait doux. Il est 7 h45 lorsque nous nous mettons à courir le long de notre circuit quotidien. Avec arrêt sur la colline.

Nous admirons ce magnifique spectacle. La tuile d'ardoise des toits reflète la lumière diaphane avec un éclat d'argent. Superbe.
Il est 9 h 30 lorsque nous revenons. La douche. Nous nous mettons en tenue vélo. Nous préparons des fruits en quantité. Bien.
Dans le petit sac à dos, je mets des pommes et des bananes, des barres de céréale, la bouteille d'eau. Nous partons vers 10 h.
Nous descendons Morningside avec prudence car la côte est pentue. Il y a de la circulation. Il faut bien redoubler de vigilance.
Arrivés au bord de la rivière, nous prenons la direction du petit village de South Queensferry distant d'une quinzaine de bornes.

Nous roulons sur le large chemin parfaitement praticable à vélo le long du Forth. Il y a là-bas Forth Bridge, ce pont magnifique.
Clémentine a déjà pris des photos de cet ouvrage classé au patrimoine mondial. C'est un peu la Tour Effel mais à l'horizontale.
Il y a plein de touristes qui marchent sur les galets des berges. Et des dizaine d'autocars sont garés plus haut. Impressionnant.
Cet endroit fait partie des circuits touristiques écossais. Il est préférable de découvrir tout cela à bicyclette. De façon sauvage.
Nous continuons jusqu'au petit village de South Queensferry où nous arrivons vers 11 h30. C'est jour de marché sur la place.

South Queensferry est un petit village paisible qui déroule principalement ses maisons basses et colorées le long de son quai.
Il y a là quantité de petits cafés typiques et de boutiques de toutes sortes. Sur le parking, un nombre impressionnant de bus.
Nous fermons nos vélos à cadenas parmi une bonne centaine d'autres derrière l'hôtel de ville néo gothique. Il fait très chaud.
Une légère brise venue de la mer évite une chaleur caniculaire. Nous flânons. Clémentine retrouve ses plaisirs de l'an dernier.
< Tu te rappelles le vieux pêcheur sur sa barque ? > me demande ma compagne faisant allusion à une de ses petites exhibes.

Nous rions de bon cœur à l'évocation de ce souvenir. Il y a plusieurs groupe de touristes qui jalonnent toute la longueur du port.
Beaucoup d'Asiatiques pour qui l'Ecosse est un pays de légendes, de rêve et de magie médiévale. Ils sont une grande majorité.
Clémentine porte une de ses jupettes sport, un simple T-shirt et ses baskets. Sa culotte est dans le petit sac à dos que je porte.
Je suis en short, en T-shirt et en baskets. Nous allons au marché. Nous faisons provisions de pêches, de brugnons et d'abricots.
Nous savourons ces fruits de saison assis sur un des nombreux bancs le long du quai. Deux sandwichs au thon un peu chauds…

Parfois, lorsqu'il y a un rare touriste isolé, Clémentine, tout en mangeant et tout en bavardant, écarte légèrement ses cuisses.
Les yeux dissimulés derrière ses larges lunettes de soleil noires et les cheveux défaits, ma compagne préserve son anonymat.
Elle aime à commenter les réactions que ses agissements suscitent chez la gente masculine. Nous rigolons comme des bossus.
Avec ce monde partout, il est évidemment hors de question de se livrer à une bonne exhibe de qualité. Il faut savoir patienter.
Nous reprenons nos errances à l'ombre des maisons basses dont toutes les fenêtres sont fleuries. C'est de toute beauté. Super.

Nous allons faire la queue dans la file à l'embarcadère. Tout va très vite. Nous prenons les billets pour une excursion en bateau.
C'est le tour de la petite île Inchcolm que nous avions déjà visité l'année dernière. Ses falaises sont le sanctuaire des macareux.
Le départ est fixé pour 14 h. Nous avons encore une bonne demi heure devant nous. Notre balade nous entraîne vers le port.
C'est l'estuaire de la Forth. Il y a quantité de bateaux de plaisance rangés là, le long des quais. Il y a de l'animation. C'est bien.
Nous nous promettons de revenir ici au retour de notre excursion en mer, vers 16 h. Il faut retourner à l'embarcadère. Super.

Nous sommes installés sur les banquettes extérieures à l'avant du navire. La vue est magnifique. L'agréable fraîcheur du large.
Nous faisons le tour de l'île dont nous percevons le vacarme assourdissant des oiseaux de mer et principalement des macareux.
Nous débarquons sur l'île. Il faut obligatoirement suivre un guide et ne pas quitter le sentier fait de rondins de bois. C'est beau.
Nous arrivons rapidement à l'abbaye au milieu de l'île. Tout est soigneusement restauré et entretenu. Il n'y a plus de moines !
Avec la promiscuité touristique, impossible pour Clémentine de s'offrir le "frisson" d'une petite exhibe bien sentie et de qualité.

Nous revenons au débarcadère. Il est 16 h. Il y a bien une dizaine de bateaux qui font la navette entre l'île et le village. Succès.
Nous nous offrons deux cônes glacés que nous dégustons en retournant au port de plaisance que nous remontons jusqu'au bois.
Là, à l'ombre des grands arbres, entre des bosquets de genêts, nous nous installons sur un banc en pierre. L'heure de manger.
Tout en dégustant nos barres de céréales, nous découvrons l'endroit. Là, à une quinzaine de mètres, il y a une sorte de péniche.
C'est un bateau de plaisance. Il y a une jeune fille couchée sur une chaise longue entrain de lire et sans prêter attention à nous.

Parfois, il y a un vieux monsieur qui vient sur le pont du bateau pour dire quelques mots à la liseuse plongée dans son bouquin.
La fille doit avoir 20 ans au maximum. En T-shirt et en short. Quelquefois elle lève la tête pour regarder dans notre direction.
Son regard devient de plus en plus insistant. C'est Clémentine qui me le fait remarquer. Et en me palpant la braguette. Discrète.
La situation semble beaucoup intéresser la jeune fille qui mâte de plus en plus souvent sous son grand parasol. C'est exquis !
Clémentine me murmure : < Attends, on va lui faire un film ! Laisse toi faire ! >. Elle m'ouvre la braguette. Je me laisse faire…

Clémentine se lève pour poser le sac à dos au sol et s'y mettre à genoux. J'ai la bite à l'air, dissimulée par la tête de Clémentine.
La jeune fille nous observe discrètement, louchant, tout en faisant semblant de lire. Je bande rapidement comme un vrai salaud.
Clémentine se met à me sucer. La jeune fille, là-bas, à tout juste une quinzaine de mètres, comprend bien évidemment. Super.
Je suis considérablement excité par cette situation. C'est divin. J'entends Clémentine déglutir l'abondant liquide séminal. La jute.
Avec l'excitation, les sécrétions semblent continues. C'est divin. Clémentine cesse parfois pour me demander "comment ça va".

Je fais un sourire à la jeune fille. Chaque fois que le vieux monsieur se pointe, rusée, elle détourne son attention par un signe.
Elle montre la direction opposée. Le vieux monsieur repart sans nous avoir vu. La fille me sourit. Pas de doute, il y a complicité.
Je lève le pouce de la main droite. Elle fait de même. Je pourrais éjaculer tellement la situation est merveilleusement excitante.
Clémentine glousse de plaisir en se régalant de l'abondance de mes montées de foutre. Je lui commente les attitudes de la fille.
< Eclate toi ! Profite ! C'est à ton tour ! > me chuchote Clémentine entre deux pompage. Je la tiens par la nuque pour appuyer.

La jeune fille, sur le pont du bateau, a posé son livre et ne cesse plus de nous observer. Nous échangeons des sourires. Super.
Nous échangeons des signes, pouces levés. Clémentine cesse. Je tire sur ses cheveux pour écarter sa tête et montrer ma bite.
Je bande comme un priapique en phase terminale. La jeune fille mâte à s'en déboîter les globes oculaires. C'est fantastique.
Je me branle en la fixant. Elle s'est à présent tournée franchement vers nous. Clémentine tourne la tête pour la regarder aussi.
Elle lui fait signe de l'index. Ce signe universelle qui signifie "viens", "rejoins nous". La jeune fille fait un signe des deux mains.

Nous comprenons qu'il lui est impossible de quitter le bateau. Je me masturbe doucement en lui souriant. Elle nous sourit. Joie.
Clémentine se remet à me tailler cette pipe des familles tout à fait exceptionnelle. J'ai des vertiges. C'est totalement délirant.
J'ai déjà vécu de telles situations mais c'était le plus souvent des actes délibérés après entente et connivence. Là, c'est l'impro.
Je dois lutter contre un orgasme qui se pointe. Je suis toujours maître de mes émotions. Mais là, je dois admettre que c'est dur.
Dur comme mon sexe que Clémentine suce en gloussant de plaisir, me sachant si exposé. La jeune fille se lève et disparait vite.

Je le dis à Clémentine qui me fait : < Attends ! Tout se passe bien. Si elle ne revient pas dans deux minutes, on se casse ! >
La jeune fille revient. Sur une grande feuille de papier jaune, en grand, il y a un numéro de téléphone. C'est absolument génial.
Je fais mine de téléphoner de la main gauche tout en levant le pouce de la main droite. Je dis le numéro à Clémentine. Super.
Le vieux monsieur rejoint la fille qui a juste le temps de cacher la feuille de papier. Ils disparaissent ensemble dans la cabine.
Je force Clémentine à cesser. La bouche pleine de foutre, s'essuyant le menton gluant, elle me tient par la main. Je l'entraîne.

Il est presque 19 h et tout cela a duré près d'une heure. J'ai les couilles bouillantes. Je sens les épanchements au fond du slip.
La faim commence fort heureusement à se faire sentir. Nous retournons jusqu'au village à un kilomètre. Je reprends la raison.
Clémentine prend ma main pour la passer sous sa jupette. C'est aussi trempé que dans mon slip. Nous en rions de bon cœur.
Nous traînons encore longuement pour savourer la soirée qui s'annonce. Beaucoup moins de monde. Et une fraîcheur agréable.
Clémentine préfère rentrer. Nous mangerons à l'appartement. Nous prenons le chemin John Muir. Un peu périlleux à bicyclette.

Nous pédalons le long des berges du fleuve sur les 13 km qui nous séparent d'Edimbourg. C'est absolument divin. Crépuscule.
Il est 22 h lorsque nous sommes de retour. Morts de faim, nous préparons immédiatement notre repas. Salade, pâtes, sauce.
Tout va vite. Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. Les toilettes. La salle de bain. Plumard. Clémentine m'attire sur elle.
Immobiles, nous évoquons nos aventures du jour. Clémentine fait : < Nous avons tous les deux un numéro de téléphone ! >
Nous baisons comme nous aimons. J'offre un cunni à Clémentine. Son orgasme est délirant. Elle me fait une pipe. Puis dodo.

Bonnes improvisations vicelardes à toutes les coquines qui savent profiter des opportunités qui se présentent…

Julien - (Qui a vécu là une expérience exceptionnelle. Se faire tailler une pipe devant une belle et jeune inconnue) -

Classe



Classe
Clémentine et Julien en Ecosse - Coeur
Wednesday 11 July 2018 07:56

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - 48 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 481 -



Une journée où chacun y trouve son compte

Hier matin, mardi, à nouveau nous sommes réveillés en même temps. C'est notre amusant concerto de gémissements. Rires.
< Bonjour Julien ! > me fait Clémentine en me couvrant le visage de bisous. Je la serre contre moi : < Bonjour Clémentine ! >
Elle me chevauche rapidement en riant. Douceurs, tendresse et papouilles matinales avant de nous précipiter aux toilettes.
Morts de faim nous voilà à la cuisine pour y préparer notre petit déjeuner. Je presse les oranges. Clémentine s'occupe du café.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous évoquons notre aventure de hier. Cette jeune fille qui nous observait.

Le numéro de téléphone que nous avons retenu et immédiatement noté sur le bout de papier fixé sur la vitre du buffet blanc.
< On téléphone ce matin. D'une cabine. On lui propose de se revoir en fin d'après-midi, et comme hier ! > me fait Clémentine.
J'écoute le développement possible lorsqu'elle rajoute : < J'aimerais beaucoup que tu me fasses du "spectacle ". Me toucher ! >
Nous rions de bon cœur de cette éventualité. Clémentine adore se masturber en me regardant être bien vicelard avec une autre.
Je lui dis : < Et si on téléphonait à Taylor, l'homme à la moto, pour un rencard ce matin ? Moi aussi j'aime te mâter tu sais ! >

L'affaire est entendue. Nous téléphonerons depuis la cabine en haut de la rue au retour de notre running. La vaisselle. 7 h45.
Nous sommes déjà en tenue de jogging. Nous descendons par l'escalier de service. Dehors, il y a quelques nuages, soleil voilé.
La fraîcheur est étonnante. Presque froid. Il faut immédiatement courir et accélérer rapidement si nous voulons nous échauffer.
Nous courons le long de notre parcours habituel. Nous croisons nombre de joggeurs qui, comme nous, courent assez vite. Bien.
Nous nous arrêtons quelques instants pour contempler Edimbourg depuis la colline. Le ciel est gris, en harmonie avec la ville.

Au retour, comme prévu, nous nous arrêtons dans la typique cabine téléphonique rouge et à croisillons. Le temps s'est couvert.
De la banane qu'elle a toujours autour de la taille pour courir, Clémentine sort deux bouts de papier qu'elle déplie, qu'elle tend.
Je tiens le premier afin qu'elle puisse bien voir. Elle met une pièce et compose le numéro donné hier par la jeune fille du bateau.
J'entends la conversation. A plusieurs reprises Clémentine lève son pouce ou me fait un clin d'œil. Le rendez vous est arrangé.
Nous serons cet après-midi, à 17 h, au même endroit que hier. Par contre Lennie nous demande de rester planqués. Discrets.

Second coup de fil mais à Taylor, l'homme à la moto de la friche industrielle abandonnée. Je tiens le papier devant Clémentine.
Elle compose le numéro. J'entends la conversation. Taylor sera ce matin, pour 10 h45 au même endroit dans la cour. Superbe.
Nous parcourons les 300 mètres qui nous séparent de la maison à toute vitesse pour nous réchauffer. Il fait un peu moins frais.
La douche. Nous nous habillons. Clémentine porte une de ses jupes sport, un sweat et ses baskets. Je suis en short et baskets.
Nous repartons. Nous descendons Morningside. Nous marchons vite. Clémentine est pressée de se retrouver en situation. Joie.

Nous arrivons au vieux bâtiment abandonné. Le soleil a fait une timide apparition. Ces chauds rayons sont appréciables. Super.
Il est 10 h30. Nous pénétrons dans la cour. Nous contournons la bâtisse abandonnée par derrière pour entrer dans les toilettes.
L'odeur de cette salle, à la fois vestiaire, toilettes et douche, est absolument infecte. L'endroit est abandonné depuis vingt ans.
Je me mets dans le dernier cabinet, près de la porte entrebâillée. Clémentine me sort la queue et me fait : < Tu surveilles ! >
Je la regarde descendre les trois marches pour traverser la cour. Elle m'a confié sa culotte que je porte dans le petit sac à dos.

Clémentine reste discrètement derrière la carcasse d'une vieille camionnette. Soudain, le bruit d'un moteur. Taylor qui arrive.
Il met sa moto sur béquilles, retire son casque et cherche Clémentine du regard. Elle se place au dessus d'une vielle bassine.
Les jambes écartées, légèrement fléchies sur ses genoux, elle semble chercher à pisser. Taylor l'a surprend ainsi. La surprise.
Comme les fois précédentes, l'homme reste à distance et se contente d'observer après un "hello". Clémentine redresse la tête.
De ma planque, je ne comprends rien des propos qui s'échangent à voix basses. Je bande comme le dernier des salauds. Bien.

Clémentine s''accroupit au dessus de la bassine, cuisses largement écartées. Je la voir rire. Elle tient ses cheveux d'une main.
Elle a ses larges lunettes de soleil noires. Elle est superbement belle et excitante dans cette situation. Taylor ouvre sa braguette.
Il me tourne le dos. Il doit avoir sorti sa queue. Il est cambré sur ses jambes fléchies. Il se branle. Et j'entends quelques mots.
Je n'arrive pas à voir si Clémentine pisse ou pas. Il y a une cinquantaine de mètres qui me séparent des protagonistes. Planque.
Clémentine se redresse. Tout en bavardant, ses mains entre ses cuisses, se touchant le sexe, Clémentine avance vers le type.

Pour me permettre de bien voir ce qui se passe, elle contourne la bassine pour se mettre sur le côté. Taylor se retourne donc.
Effectivement, il se tient la bite. Il bande mou. < Encore un impuissant et tant mieux ! > m'a confié Clémentine plusieurs fois.
Clémentine reste à environ deux mètres de Taylor qui ne tente absolument pas de s'approcher de la fille. C'est un gentleman.
Je la vois mimer une pipe à plusieurs reprises tout en bavardant. Sa main fermée devant la bouche et une bosse dans sa joue.
Le type indique la montre qu'il tient à son poignet. Il y a certainement une contrainte horaire. La scène dure un long moment.

Le mec se dirige vers sa moto. Il se tourne contre le mur. C'est certainement pour pisser. Clémentine s'approche et s'accroupit.
A environ un mètre du type, elle observe en se tenant contre le mur. Je vois la tache sombre s'agrandir contre le vieux crépis.
Taylor présente sa queue à la jeune fille qui se redresse pour s'en saisir. J'hallucine. Clémentine en secoue les dernières gouttes.
Taylor lui passe la main entre les cuisses. Clémentine se cambre pour lui permettre de bien la peloter. Elle lui secoue la queue.
Je suis pris de vertige. Le type doit vraiment partir. Il remonte sur sa moto, sa bite encore à l'air. Il la remballe et il démarre.

Clémentine lui fait un signe de la main droite tout en se touchant de la main gauche. Je sors pour la rejoindre. Elle se serre fort.
< C'était génial ! Il bosse à 11 h30. C'est un bar restaurant et il est chargé de la mise en place des tables ! > fait Clémentine.
Elle rajoute : < Quel vicelard. Il m'excite ce salaud ! On va laisser passer quelques jours et je lui fixe un autre rendez-vous ! >
Nous remontons Morningside pour arriver à l'appartement un peu avant midi. Nous nous préparons un rapide repas. Très vite.
Nous avons décidé de retourner à South Queensferry à pied. Une randonnée de 2 h30 par le chemin qui longe l'estuaire Forth.

Il est 13 h15 lorsque nous quittons l'appartement sur nos bicyclettes que nous fermons à cadenas dans la cour d'un restaurant.
Nous nous sommes entendu avec le propriétaire qui n'y voit aucun inconvénient. Nous y réservons une table pour 21 h ce soir.
Nous voilà à marcher d'un bon pas le long de la large rivière qui devient rapidement un véritable fleuve. Là-bas Forth Bridge !
Nous croisons quantité de marcheurs. Il y a de magnifiques séquences d'ensoleillement. C'est une météo parfaite pour marcher.
Nous arrivons à South Queensferry vers 15 h45. Nous avons parcouru les 15 kilomètres en deux heures et demi. Bon rythme…

Nous nous offrons des cônes glacés que nous dégustons en flânant sur le quai. Il y a toujours autant de monde. Un vrai succès.
Il est 16 h30 lorsque nous prenons la direction du petit port de plaisance. Nous suivons l'ancien chemin de hallage. Du monde.
Nous arrivons à proximité de l'endroit où nous étions hier. Nos cœurs battent la chamade. Nous sommes tous deux très excités.
Nous voillà assis sur le même banc de pierres que hier. Par contre le pont du bateau est désert. Ce n'est pas une vraie péniche.
Soudain, là, sur notre droite, jaillissant du bosquet par l'étroit sentier, Lennie. C'est la jeune fille de hier. Elle semble contente.

Elle est petite et menue. Ce n'était pas perceptible, hier, lorsqu'elle était sur le pont du bateau. Nous nous serrons la main. Joie.
Lennie nous entraîne vers le sentier que nous suivons sur une centaine de mètres. Il y a là une clairière avec des tables, bancs.
Il y a deux couples attablés qui ne font pas attention à nous. Nous nous asseyons à l'écart. Nous faisons vraiment connaissance.
Lennie est Hollandaise, de Rotterdam. Avec ses parents et son grand père, ils traversent la mer du Nord pour venir en Ecosse.
Ils font ça tous les ans. Ils restent ici encore une semaine avant de monter vers le Nord, faire le tour des Shetlands. Superbe !

Lennie a 19 ans et est étudiante. Elle veut devenir professeur de gymnastique. Effectivement son corps est plutôt sculptural.
On devine la grande sportive et les entraînements. Nous la félicitons car nous sommes nous aussi de fervents pratiquants. Joie.
Lennie, comme presque tous les Hollandais parle un Anglais parfait. Nous bavardons longuement de choses et d'autres. Banales.
C'est Clémentine qui oriente subrepticement la conversation sur ce qui s'est passé hier, ici. Lennie, un peu gênée, reste évasive.
Elle finit par reprendre le contrôle de ses émotions. Après tout, c'est elle qui nous a donné son numéro de téléphone. Initiative.

Lennie a un petit copain, là-bas, à Rotterdam. Elle nous raconte un peu de sa vie de jeune étudiante. C'est intéressant. Super.
Au fil de la discussion, la jeune fille semble avoir retrouvé tout son aplomb. Après tout, c'est elle qui a initié cette rencontre.
Nous apprenons qu'elle est vierge. Qu'elle n'a jamais pratiqué de fellation. Ce qu'elle nous a vu faire hier, suscite son intérêt.
Son petit copain aimerait bien. Lennie nous apprend qu'elle est maladroite dans les gestes d'amour. Une sorte de maladresse.
Ce qu'elle nous a vu faire hier soir, cette superbe pipe que m'a faite Clémentine l'a empêché de dormir et la tourmente encore.

Nous en rigolons tous les trois comme des bossus. Clémentine lui propose d'essayer. Nous pouvons lui apprendre si elle veut.
Lennie reste longuement silencieuse. Elle nous fixe à tour de rôle, comme pour lire en nous. Scrutation. Un couple de pervers ?
Clémentine, la main fermée devant sa bouche, faisant une bosse avec sa langue à l'intérieur de sa bouche, dit : < Essaye ! >
Lennie baisse les yeux. Elle a un sourire contrit. Elle ne joue certainement pas. Ce que nous proposons la trouble évidemment.
< Ok ! Mais pas ce soir. Je dois me préparer mentalement ! > lance t-elle soudain. Clémentine lui propose une autre rencontre.

Il est convenu de nous revoir demain, en fin d'après-midi, et à 17 h30. Lennie nous fait savoir qu'elle sera seule sur le bateau.
Ses parents et son grand père reviennent pour 20 h. Nous aurons donc tout le temps pour faire son éducation. Lennie sourit.
Elle ne peut dissimuler sa joie. Elle semble vraiment ravie. Clémentine lui dit : < Je serais là, tu verras, c'est super génial ! >
Nous reprenons le sentier. Clémentine s'arrête et me fait : < Montre lui donc l'objet de sa convoitise ! >. J'ouvre ma braguette.
Je sors ma queue. Je bande mou. J'ai les mains sur les hanches. Lennie se penche et dit : < Je n'ai jamais vu une comme ça ! >

Je la fais tournoyer et je réponds : < Et demain soir elle est pour toi ! >. Nous rions de bon cœur. Nous avons fait connaissance.
Nous laissons Lennie pour reprendre le sentier John Muir. La balade du retour est des plus agréables. Nous parlons du scénario.
Nous arrivons à Leith pour 20 h45. Notre table au restaurant nous attend. C'est plein de monde. Un plateau de fruits de mer.
Il est 22 h45 lorsque nous arrivons fourbus à l'appartement. Les toilettes. La salle de bain. Le plumard. Le rituel de notre "69".
Nous sommes tellement fatigués que nous préférons nous serrer très fort pour nous endormir. Pas d'orgasme merdique. Dodo.

Bonne journée emplie de situations bien vicelardes, parfaitement organisées à toutes les coquines que ça émeut et passionne…

Julien - (Qui s'apprête à initier une ravissante Hollandaise de 19 ans. Tout en sachant que cela n'est possible qu'en couple) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 49 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 482 -



Des journées qui se répètent, mais pas tout à fait

Hier matin, mercredi, je suis réveillé par plein de bisous. J'ouvre les yeux pour découvrir le visage bienveillant de Clémentine.
< Bonjour mon amour ! > me chuchote t-elle. < Bonjour mon amour ! > ai je temps de dire avant qu'elle ne me chevauche.
Douceurs, tendresse et papouilles avant de nous précipiter aux toilettes en riant. Morts de faim, nous allons dans la cuisine.
Je presse nos quatre oranges à jus. Clémentine s'occupe du café. Dehors, le ciel est lumineux et légèrement voilé. Il fait doux.
Nous prenons notre petit déjeuner dans cette agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.

Nous sommes déjà en tenue de jogging. Nous évoquons notre journée de hier et nos aventures extraordinaires. C'est superbe.
Nous parlons de Lennie, la jeune Hollandaise. < Tout cela serait impossible si nous n'étions pas un couple ! > fait Clémentine.
Elle rajoute : < Ma présence met en confiance. Elle et moi nous avons le même âge ! Tu serais seul, ce serait impossible ! >
J'ai bien conscience de notre privilège. J'imagine ben qu'il serait bien improbable de faire la connaissance d'une fille de 19 ans.
Nous faisons le programme du jour. La vaisselle. Nous descendons par l'escalier de service. Il fait bien moins frais que hier.

Nous voilà à courir le long de notre parcours habituel en croisant toujours autant de joggeurs. L'arrêt au sommet de la colline.
Nous admirons Edimbourg dans la lumière diaphane de ce matin de juillet. Nous ne sommes pas les seuls à le faire. C'est beau.
Il est 9 h30 lorsque nous revenons. La douche. Nous nous habillons de nos vêtements légers. Jupette sport pour Clémentine.
Short pour moi. Nos T-shirts et nos baskets. Je prépare notre petit sac à dos pendant que Clémentine allume l'ordinateur. Joie.
< Un message d'Estelle et un message de Juliette ! > me lance t-elle depuis la chambre de séjour. Je termine de tout préparer.

Je découvre les deux courriels. Estelle n'a qu'une hâte, celle de nous rejoindre. Elle passe parfois la nuit chez nous, à la maison.
Elle évoque le fantôme de mon ancienne compagne disparue qui se plaint de notre absence. Nous répondons avec humour. Rire.
Nous joignons deux photos. Juliette nous parle du haras et des travaux de réfection que réalise monsieur Gérard, le palefrenier.
Elle joint une photo d'elle en tenue d'écuyère et tenant un cheval par sa longe. Nous répondons en y joignant les mêmes photos.
Il est 10 h30 lorsque nous descendons à bicyclette depuis Morningside jusqu'à Leith. Nous y laissons les vélos au même endroit.

Cadenassés au fond de la cour du restaurant où nous reviendrons manger en soirée. Nous prenons le chemin qui longe le Forth.
Il y a toujours autant de promeneurs, de marcheurs, pour la plupart touristes. Là-bas, Forth Bridge, Toujours aussi majestueux.
Nous passons près de la route au dessus du chemin. Il y à là une bonne vingtaine d'autocars en file, déversant leurs passagers.
Nous arrivons à South Queensferry vers treize heures. Nous voilà assis sur un banc à savourer nos pêches, nos pommes. Bien.
Le ciel est lumineux mais voilé. C'est notre météo préférée. Il fait très agréable mais pas de ces chaleurs accablantes. Superbe.

Nous traînons là à faire le programme des journées à venir. Clémentine a le désir de revoir tous les endroits qu'elle a bien aimé.
La vieille ville de Stirling, son château et le Wallace Monument sont de magnifiques sites de visite pour une journée. Dès demain.
Il faudra recommencer à circuler avec la voiture. Mais la région en vaut la peine. Nous partirons de suite après la douche. 9 h45.
Nous nous baladons un peu dans le village. South Queensferry est un lieu tellement enchanteur qu'il est impossible de se lasser.
Nous contournons le port pour monter le long du sentier escarpé qui mène sur les collines qui surplombent le bourg. C'est beau.

Clémentine, que tout cela excite considérablement, me propose de nous offrir un "plan". Elle se met à scruter les environs. Joie.
Armée de la petite paire de jumelles qui ne nous quitte jamais, elle regarde avec attention. Il y a là de nombreux promeneurs.
Pourtant, rares sont les hommes seuls. Ce sont principalement des petits groupes ou encore des couples. Nous gardons espoir.
C'est là, au détour d'un chemin, à proximité de ruines indéfinissables, que l'occasion se présente. Il y a un randonneur solitaire.
Coiffé d'un large chapeau, d'un short et d'une chemise kaki, chaussé de grosses godasses, portant un sac à dos, il marche seul.

Notre Indiana Jones prend des photos. Il ne voit pas immédiatement la jeune fille qui marche en contrebas. Cherchant un coin.
Je suis caché derrière un pan de mur des ruines. Je vois Clémentine. Elle a défait ses cheveux, porte ses larges lunettes noires.
Le randonneur la voit enfin. Elle est accroupit entre deux troncs d'arbres. C'est monstrueusement excitant de la voir ainsi. Belle.
Le type, à environ vingt mètres mâte avec intérêt. Le salopiot prend même quelques rapides photos. On le comprend. Superbe.
La situation ne dure pas longtemps. Il y a un groupe de marcheurs. Clémentine se redresse à toute vitesse. Et c'est de justesse.

Ces gens s'arrêtent en ce lieu pour se photographier mutuellement. Des emmerdeurs partout. Clémentine me rejoint en rage.
Nous regardons Indiana Jones s'éloigner. Tant pis. Il y a des jours avec et des jours sans. Nous rions de bon cœur. Il est 16 h.
Nous redescendons. Nous avons notre rendez-vous avec Lennie à 17 h. Nous arrivons à l'endroit prévu quinze minutes avant.
C'est bien. Nous préférons toujours arriver en avance. Cela permet une parfaite mise en condition. Le ciel se dégage. Le soleil.
Nous sommes assis à la même table que hier, lorsque nous faisions connaissance avec la jeune Hollandaise. Il y a du monde…

Nous n'attendons pas longtemps. Voilà Lennie qui arrive. Nous nous serrons la main. La jeune fille semble toute timide. Rires.
Elle nous invite à la suivre. Nous parcourons le sentier sur les 300 mètres qui nous séparent du bateau. Il n'y a personne. Bien.
Lennie nous invite à monter à bord. Ses parents et son grand père ne reviendront qu'après 20 h. Il est 17 h. Il y a de la marge.
Nous descendons les marches d'un petit escalier pour nous retrouver dans un agréable petit salon. Le bateau n'est pas grand.
Je prends place dans le canapé en cuir. Clémentine s'installe dans un des deux fauteuils. Lennie s'assoit dans l'autre. Silence.

Lennie nous propose des jus de fruits, du thé ou encore du café. Nous avons quelques barres de céréales à partager. Sympa.
Lennie est certainement une jeune fille très introvertie. Nous nous en rendons mieux compte aujourd'hui. Troisième rencontre.
Elle n'ose pas me fixer plus de quelques instants, baissant toujours rapidement les yeux. J'ai l'âge de son père. Peut-être plus.
Clémentine, adroite et rusée, brise la glace en racontant un peu de nos vacances. Discrètement, j'ouvre ma braguette. Salaud.
Lennie ne semble pas faire attention à moi, bavardant avec Clémentine. Je sors mon sexe. Je bande mou. Il pend. Lamentable.

Lennie commence à loucher vers moi. Elle vient de se rendre compte. Je lui dis : < Tu as vu ! C'est pour toi et tes 19 ans ! >
Lennie, terriblement gênée, regarde, baisse les yeux, regarde à nouveau, me fait un sourire, baisse les yeux à nouveau. Joie.
Clémentine que cette situation excite considérablement regarde en silence. La situation dure un petit moment. C'est excitant.
Je bande. Clémentine vient s'assoir à côté de moi, se saisit de mon sexe à sa base pour l'agiter en direction de la jeune fille.
Lennie comprend. Elle doit lutter contre de très fortes inhibitions. Nous n'insistons pas. Clémentine lui fait signe avec l'index.

Comme pétrifiée, incapable de se lever, Lennie nous observe en se pinçant la lèvre inférieur. Elle porte un appareil dentaire.
C'est un bridge métallique qui brille de ses mille feux. Je me lève. Je m'approche de la jeune fille. Un mouvement de recul.
Clémentine ne lâche pas mon sexe, à genoux sur le tapis elle continue à agiter doucement mon sexe sous le nez de Lennie.
Clémentine pose son autre main sur la nuque de la jeune fille qui a soudain un frisson qui secoue tout son corps. C'est géant.
Elle se laisse faire, docile et obéissante. Clémentine lui passe mon sexe sur le visage. Lennie est en apnée et les yeux fermés.

Clémentine lui frotte mon sexe sur la bouche qu'elle ouvre sans opposer la moindre résistance. Je m'y enfonce doucement.
Lennie pousse un râle de surprise. C'est sa première fois. Je reste immobile. Clémentine retourne s'assoir dans son fauteuil.
Je pose ma main sur la tête à Lennie qui est parfaitement droite et immobile dans son fauteuil. Lennie ne pompe pas. Rien.
Avec l'excitation, avec mon érection presque douloureuse, mes épanchements de liquide séminal sont très vite conséquents.
Je vois Lennie se retirer. Elle fait une horrible grimace de dégoût en secouant la tête négativement. < Dirty ! > s'écrie t-elle.

Clémentine, une jambe sur chacun des accoudoirs du fauteuil, se masturbe doucement. Je lui offre son spectacle préféré. Bien.
Je saisis doucement Lennie par la nuque. Je lui enfonce à nouveau le bout de ma bite dans la bouche. Pas de résistance. Docile.
Lennie se laisse faire. Je lui passe la main sous le menton. Je peux ainsi la tenir. Je ne suis pas obligé de la guider. C'est bien.
Soudain, en poussant un soupir, Lennie se met enfin à sucer. Les joues creusées par l'effort, elle garde les yeux grands ouverts.
Je reste parfaitement immobile. J'invite la jeune fille à se mettre à genoux devant le canapé. Je m'y installe confortablement…

A genoux entre mes jambes écartées, Lennie se remet à me sucer. Cette fois, le cœur y est. Clémentine me fait un clin d'œil.
A plusieurs reprises, à cause des montées de jus, Lennie retire sa bouche pour faire cette horrible grimace et secouer la tête.
Clémentine se lève pour venir s'accroupir à côté de Lennie à qui elle demande : < C'est si mauvais que ça ? C'est dégueu ? >
Lennie lui répond qu'elle ne s'attendait pas du tout à un tel goût. Je lui caresse le visage qu'elle approche pour recommencer.
J'éjacule sans bouger. Je maintiens fermement sa tête. Elle n'a d'autre choix que de déglutir sans vraiment comprendre. Bien.

Il lui en dégouline de partout, ruisselant autour de sa bouche. Des taches jusque sur le haut de son T-shirt bleu ciel. Superbe.
Pourtant, elle pompe et avale tout ce qu'elle peut. Je la tiens fermement. Nous repartons pour un second tour. C'est sublime.
Lennie qui a sans doute compris ce qui s'est passé, semble à présent beaucoup plus à l'aise. Elle se remet à me pomper. Bon.
Cette fois, je peux même lâcher sa tête. Lennie reste immobile. Cette fois elle suce fort avec avidité. Sa curiosité est satisfaite.
Clémentine se masturbe. Je la sais lutter contre l'orgasme. La situation perdure. Il est déjà 19 h35. J'éjacule une seconde fois.

Clémentine ne peut réfréner l'orgasme qui la terrasse à l'instant. Lennie déglutit en silence. Elle a de la jute partout. C'est fou.
Pour sa première pipe, elle s'en est mise partout. Des mèches de ses cheveux auburn collent sur ses joues. Je caresse sa tête.
Je la force à se redresser en la tenant sous les aisselles. Elle est docile et se laisse faire quoi que j'entreprenne. Sa découverte.
Je la félicite pour ses aptitudes. Clémentine qui a repris ses esprits vient nous rejoindre. Elle félicite Lennie à son tour. Bisous.
Même s'il reste une vingtaine de minutes avant le retour de sa famille, nous préférons filer. Clémentine lui conseille la toilette.

Nous promettons de donner de nos nouvelles dès demain. Nous partons rapidement. Nous rentrons par le chemin John Muir.
Nous arrivons au restaurant pour 21 h30. Nous dégustons un immense plateau de fruits de mer. Nous faisons le bilan. Super.
Nous reprenons nos vélos. Il est 23 h lorsque nous sommes de retour. Toilettes. Salle de bain. Le plumard. Notre bon "69".
Clémentine m'attire sur elle. Je bande mou. Plus de batterie. Nous sommes fatigués. < Elle a apprécié ! > me fait Clémentine.
Elle me confie ses ressenties de fille et sa certitude que Lennie a le profond désir de recommencer. Des bises. Nous plongeons.

Bonnes découvertes bien vicelardes à toutes les coquines que les situations exceptionnelles excitent au plus haut point…

Julien - (Qui s'est fait vider les couilles pendant près de deux heures par une jeune fille de 19 ans, ravie de son expérience) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe



Nous voilà à la fin de cette dixième page.

Clémentine et moi remercions toutes nos lectrices et tous nos lecteurs pour leur fidélité.
Même si "Clémentine", "Julien", "Estelle", "Juliette" ne sont qu'autant de pseudonymes.

Les contributions de "Clémentine" se limitent à ce que nous raconte la jeune femme au bas de nos récits.
Nous aimons à soigner nos lecteurs afin de les captiver, de les amuser et surtout de leur proposer du rêve.

Il est important de respecter l'anonymat des personnes. Tout particulièrement sur les forums "Sexe".
Même si tout cela est beaucoup plus réel encore que ne l'imagine le lecteur toujours étonné et amusé.

Nos récits ne demandent aucun commentaire. Aussi nous remercions toutes celles et tous ceux qui n'en mettent pas.
C'est une grande preuve de tact et de bon goût. "Classe". Toute la place reste disponible pour les épisodes qui se suivent.
Ainsi chaque épisode suit le précédent dans l'ordre chronologique du déroulement des évènements sans aucune rupture.

Par contre nous remercions toutes celles et tous ceux qui nous contactent en messagerie privée pour témoigner leurs ressentis. Joies.
C'est vraiment beaucoup mieux. Cela reste privé et ne regarde personne. Les intéressés savent à quel point nous répondons toujours.

Continuons cette saga dans la magnifique onzième page qui nous attend déjà...

Cordialement.

Clémentine et Julien

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 1 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode - 483 -



Nous repartons à la découverte de nouvelles aventures

Hier matin, jeudi, je suis réveillé par le léger frottement des draps et un imperceptible mouvement du matelas. Je comprends.
Clémentine, avertie par son sixième sens, et par mon changement de respiration, cesse de se masturber. Couchée sur le dos.
< J'ai fait un rêve érotique ! > me fait elle en se blottissant contre moi. Je lui murmure : < Bonjour ma belle masturbatrice ! >
Elle me chevauche en riant en me chuchotant : < Bonjour mon amour ! >. Des bisous avant de nous précipiter aux toilettes.
Morts de faim, nous allons à la cuisine. Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Il est 7 h15. Ciel couvert.

Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé que nous apprécions tant. Nous sommes vêtus jogging.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous évoquons bien évidemment ce qui s'est passé hier en fin d'après-midi.
La fellation sur le bateau. Lennie, la jeune Hollandaise que nous avons initié à la pipe. Nous nous promettons de lui téléphoner.
Nous téléphonons toujours depuis une cabine. Ainsi, il est impossible de remonter jusqu'à nos numéros privés. Bonne astuce.
Nous élaborons les grandes lignes du programme d'aujourd'hui en laissant une grande part à l'improvisation. C'est bien mieux.

La vaisselle. Nous descendons l'escalier de service. Dehors le ciel est couvert. Il fait pourtant une météo agréable. Il est 7 h45.
Nous voilà à courir le long de notre parcours habituel et quotidien. Nous croisons souvent les mêmes joggeurs. Gens du coin.
L'arrêt au sommet de la colline pour admirer Edimbourg est une obligation et un véritable enchantement. C'est impressionnant.
Il est presque 9 h30 lorsque nous revenons d'un running des plus agréables. La douche. Le ciel semble s'assombrir davantage.
Je prépare notre petit sac à dos. Pommes, barres de céréales. Nous préparons des sandwichs au fromage. Gruyère de Comté.

Nous allumons l'ordinateur pour découvrir nos deux messages. Estelle nous raconte son quotidien et son impatience de venir.
Mon oncle qui tient ma galerie m'annonce une nouvelle vente. Une "nature morte". Nous répondons en joignant des photos.
Il est dix heures lorsque nous prenons la voiture. Nous descendons Morningside jusqu'à Edimbourg. La circulation est fluide.
Je prends la direction de Stirling, cité de caractère distante d'environ 45 km d'Edimbourg. Clémentine joue avec ma biroute.
Je roule prudemment. Pas plus que les Anglais, les Ecossais n'ont de culte pour l'accélérateur, pour la vitesse. C'est rassurant.

Nous roulons à présent dans un paysage de hautes collines. La campagne verdoyante et si caractéristique de l'Ecosse. Super.
Nous arrivons aux abords de Stirling et de son splendide château au sommet de la colline qui surplombe la cité de caractère.
C'est une cité médiévale qui a conservé tout son charme au travers des siècles sans changements notables. C'est magnifique.
Je gare l'auto à l'entrée de la ville. Il y a un monde fou. Le ciel est devenu gris et très menaçant. Nous avons nos parapluies.
Dans le petit sac à dos que je porte il y a nos K-ways. Clémentine porte une de ses jupettes sport, sweat shirt et ses baskets.

Je suis en short, sweat et basket. Nous voilà dans la cité. C'est toujours un moment d'émotion de retrouver un endroit aimé.
Clémentine en est toute émue. Elle a tant aimé Stirling l'année dernière. Aussi, de s'y retrouver, est une joie immense. Super.
Elle me tient par le bras et ne cesse d'être émerveillée. Comme souvent, nous attirons quelques regards interrogateurs. Bien.
Cette jeune fille au bras d'un homme d'âge mûr suscitent bien des questions. Est-ce son père ? Est-ce son amant ? Mystère !
Nous en rions de bon cœur en appuyant encore sur l'ambigüité lorsque Clémentine se blottit contre moi à me faire des bises.

Nous admirons les vitrines des boutiques si nombreuses dans les rues animées du centre. Clémentine prend quelques photos.
Un couple nous propose de les prendre en photo devant la statue de William Wallace, grand héros Ecossais du XIIIème siècle.
Nous leur demandons de faire pareil. Nous prenons la pose. Nous faisons quelques magasins. Et il y a une librairie ésotérique.
Nous y feuilletons des reproductions de grimoires anciens et de traités de magie. Abramelin le mage ou encore d'Eliphas Levi.
Je connais bien la magie. Clémentine me demande souvent de l'initier à des choses très particulières auxquelles je me refuse.

Il est presque 13 h lorsque nous prenons place à la terrasse extérieure mais protégée d'un salon de thé. Il reste deux tables.
L'endroit autorise les repas tirés du sac à condition de prendre une consommation. Ce sera deux chocolats chauds et géants.
Nous mangeons nos fruits et nos sandwichs. La plupart des clients présents font d'ailleurs la même chose. Le ciel s'éclaircit.
Il n'y a pas de réelle opportunité d'exhibe pour Clémentine que cela frustre un peu. Elle tente bien quelques regards vicieux.
Elle me confie qu'il n'y a pas d'accroche véritable. Les gens sont en couple ou en famille. L'animation discrète autour de nous.

Nous traînons à table jusqu'aux environs de 14 h. Les coupes glacées ont terminé de nous enchanter de ce repas sur le pouce.
Nous décidons de monter au château par le chemin touristique qui monte la colline. Le château est monumentale. Grandiose.
C'est un des plus bels édifices médiévaux d'Ecosse. Stirling est le site écossais le plus chargé en histoires, surtout en légendes.
Il s'est passé ici des hauts faits. Des batailles homériques mettant en jeu l'indépendance de l'Ecosse. Des conspirations. Bien.
Nous montons jusqu'au château. Pas de doute, le ciel restera couvert toute la journée. C'est rare en Ecosse au mois de juillet.

Nous arrivons. Nous passons la grande porte entre les deux tours massives. C'est impressionnant. Les hauts murs de pierres.
Clémentine, discrètement, me palpe la braguette et me fait : < J'ai envie de faire ma salope, et tu n'imagines même pas ! >
Nous en rions de bon cœur lorsque je réponds : < J'imagine très bien et je suis animé du même désir. Faire mon salaud ! >
Je palpe tout aussi discrètement le sexe à ma compagne au travers le tissus de sa jupette. Nous sommes devenus virtuoses.
Nous faisons la file pour prendre nos billets. Ça va vite. Nous voilà dans l'enceinte du château. Il y a une cabine téléphonique.

Ce sont ces cabines téléphoniques rouges à l'ancienne typiques et que l'on retrouve partout en Grande Bretagne. C'est sympa.
Clémentine compose le numéro de Lennie, la jeune Hollandaise. La communication est presque immédiate. Une conversation.
Clémentine me fait des clins d'œil ou lève son pouce. Je comprends rapidement que Lennie a le profond désir de nous revoir.
Nous suivons la visite guidée qui n'est nullement obligatoire. Clémentine me raconte la nature des propos échangés. Lennie.
< Nous passons demain en soirée. Ses parents seront absents jusqu'à 21 h ! Lennie est impatiente ! > fait Clémentine. Ok !

Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine rajoute : < Elle veut certainement un bon cours de perfectionnement ! >
Nous découvrons pour la seconde année consécutive l'intérieur du château. Plein de souvenirs nous reviennent. C'est superbe.
Nous avons souvent un pincement au cœur lorsque nous évoquons les endroits que nous avons visité avec Estelle. Emotions.
Estelle nous manque. Autant que nous lui manquons. Nous en parlons souvent. Nous nous sommes attachés depuis ce temps.
Autour de nous, il y a un monde fou. Il est difficile de s'isoler pour nous tripoter comme nous aimons à le faire. C'est amusant.

Il serait vain de tenter une exhibe de qualité. Il y a beaucoup trop de gens. Nous parcourons le chemin de ronde. C'est super.
La vue sur la région environnante est spectaculaire. Nous sommes entourés de hautes collines. C'est vert à l'infini. Majestueux.
Là-bas, la tour de Wallace Monument. Elle semble d'argent sur un fond de vert et de ciel gris. Fantastique et de toute beauté.
Nous nous promettons d'y revenir demain après-midi. Le matin, il faudra faire les courses. Assurer la logistique des vacances.
Nous passons tout l'après-midi à visiter ce haut lieu d'histoire et d'énergies positives. L'endroit régénère. C'est très perceptible.

Il est dix huit heures lorsque nous quittons le château. Nous redescendons le chemin en compagnie d'une myriade de touristes.
Clémentine me confie à quel point elle est excitée. La perspective de revoir Lennie demain y participe. Mes pelotages surtout !
Nous décidons de nous perdre un peu au bas de la colline. Cesser le comportement de mouton pour quitter le troupeau. Rires.
Nous marchons le long d'un ruisseau qui longe un pâturage où broutent ces vaches typiquement écossaises à longs poils roux.
Clémentine me montre une sorte de cairn de grosses pierres. a côté il y a comme des pierres tombales couchées dans l'herbe.

L'endroit est totalement désert. Nous nous asseyons sur une des dalles. Je sors les deux K-ways que j'étale sur la pierre plate.
Je fais basculer Clémentine qui se retrouve sur le dos. Je descend pour mettre mon visage entre ses cuisses. J'en ai trop envie.
< T'es fou : S'il y a quelqu'un ! > me fait elle. Je lui réponds : < Tant pis pour lui ! Il n'avait qu'à pas venir traîner par ici ! >
Clémentine ne porte pas sa culotte qui est dans le sac à dos. D'humide par son excitation, Clémentine est rapidement trempée.
Je sors ma queue. Elle m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions tout en regardant autour de nous.

Il serait difficile de nous surprendre. L'endroit est entouré de végétations sauvages. Il y a les grosses pierres comme des murs.
Nous restons parfaitement immobiles. Clémentine me confie d'étonnantes révélations. Il est question de Lennie, de demain soir.
Parfois, par l'excitation qu'induisent nos confessions, nous nous mettons à nous bercer. C'est si excitant de baiser à l'extérieur.
Soudain, un bruit de voix. Nous n'avons pas le temps de dissimuler nos activités. C'est un jeune couple qui éclate de rire. Joie.
< Nous cherchons un coin pour faire la même chose ! > fait la fille blonde dans un mauvais Anglais, et avec un accent slave.

Nous les saluons. Nous nous sentons quelque peu ridicules. J'ai débandé. Le couple disparaît rapidement pour trouver un coin.
Nous nous relevons pour nous réajuster. < Ces petits coquins vont nous imiter ! > me fait Clémentine. Nous rions de bon cœur.
Il est 19 h30. Tout cela nous a mis en appétit. Il faut retourner à Stirling. Et il y a une vingtaine de minutes de marche. Sympa.
Il y a toujours autant de monde en ville. Nous nous mettons en recherche d'un restaurant qui offre des plats de fruits de mer.
Il y a nombre d'établissements qui proposent des produits de la mer. Il suffit de lire les menus affichés. Et de trouver une table.

Il est 20 h30. Nous finissons par trouver un endroit qui réuni les deux paramètres. C'est un établissement superbement décoré.
Il y a des armures dans les coins, des tentures médiévales aux murs. Nous avons l'impression d'être en plein moyen-âge. Bien.
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Pas d'opportunité exhibe pour Clémentine. Nous reviendrons ici demain.
Il est plus de 23 h lorsque nous revenons à l'appartement. Les toilettes. La salle de bain. Le lit. Nous reprenons notre baisouille.
J'offre à Clémentine ce dont elle raffole, un cunnilingus juteux. Elle me suce. Nous sommes épuisés. Je la fais cesser. Le dodo…

Bonnes découvertes des lieux les plus enchanteurs de vos vacances à toutes les coquines qui aiment baiser en cachette…

Julien - (Qui aime beaucoup baiser en pleine cambrousse, au risque de se faire surprendre. Autant que Clémentine) -

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