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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
- 6 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2597 -



Notre septième jour de vacances

Il est un peu plus de huit heures, hier matin, samedi. Estelle à ma droite qui joue de ses pieds contre les miens. Qui pose sa tête contre mon épaule en gémissant tout doucement. Clémentine à ma gauche qui vient se serrer contre moi. Estelle saisit mon érection matinale et tout à fait naturelle. Clémentine qui passe une cuisse sous mes fesses, l'autre sur la main occupée d'Estelle. Elle imprime un mouvement masturbatoire contre ma jambe. Ses lèvres sur ma joue. Je suis entre mes deux anges, dans une volupté sublime. Nous partageons les mêmes émotions au réveil. Je glisse mes mains dans les culottes. Je démêle quelques poils. Je passe délicatement mes index entre les lèvres de leurs intimités. Celles de Clémentine charnues et chaudes. Celles d'Estelle, toutes fines.

Estelle qui se redresse, me lâche, se lève comme mue sur ressort. << Pipi du matin évite les gros pépins ! >> s'écrie t-elle en se précipitant vers la porte. Clémentine se couche sur. moi. J'adore. Elle fait ça tous les matins depuis le début de nos vacances. << Je vous aime monsieur ! >> murmure t-elle en recommençant à se frotter. Mon érection faiblit car elle n'est que physiologique. Aucunement la conséquence d'une excitation quelconque. Nous devons pisser. C'est à notre tour que nous allons aux toilettes. La météo est identique à celle de hier mais avec un ciel plus menaçant. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Les suaves parfums du café, du pain grillé et de la moitié de la brioche restante dans le four à micro ondes. Estelle termine de presser les grosses oranges à jus.

Mes mains d'abord sur ses hanches, mes lèvres dans sa nuque, je remonte juste sous ses seins minuscules pour les caresser délicatement. Clémentine serrée contre mon dos, ses mains dans mon slip. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la randonnée du château de vendredi après-midi. La soirée au restaurant à savourer des noix de Saint Jacques grillées à la crème d'asperge et aux légumes en gelées. << J'ai rarement mangé quelque chose d'aussi bon ! >> lance Estelle. << J'en ai encore les saveurs en bouche ! >> rajoute Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de l'après-midi. Ce sera la découverte des sentiers des chevreuils. Ainsi nommé car il y a là une réserve d'animaux sauvages. Entretenue par une association du patrimoine.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges évoquent leurs études. Impatientes de se retrouver devant le dernier gros défi de leurs vies universitaire. Le Doctorat de sciences. Je les écoute. Leurs stratégies suscitent mon admiration. Pour rien au monde je ne me mêlerais à cette conversation sérieuse. Nous avons tout notre temps et il est agréable d'en apprécier chaque instant. La vaisselle. En consultant son I-phone, Estelle précise : << Attention, on se tient à la bite de Julien, la température extérieure n'est que de 8° ! >>. Nous rions. Nous hésitons. Une fois encore nous ne sommes pas très courageux. Le jogging dans le froid humide est désagréable et ne nous motive pas. Ce sera aérobic et gymnastique dans la chaleur. 22°.

La vaisselle. Lavage de dents en nous adonnant à nos pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Estelle retire son pyjama. Elle reste comme nous, en T-shirt et slip de nuit. C'est le troisième jour de ses "ragnagnas". Je procède donc pour la seconde fois de la matinée aux soins du docteur. Ma bouche posée sur chacun de ses seins pour souffler de l'air chaud à travers le fin coton. Ma main dans son slip à masser délicatement son bas ventre. Par petits mouvements circulaires. Exerçant de légères pressions à chaque cycle. << Mmhh, docteur, comme c'est bon ! >> murmure t-elle lascivement en se laissant aller. Clémentine tenant ma bite toute molle en me regardant insuffler de l'air chaud sur la poitrine de ma patiente. Nous passons au salon. Nous poussons la table contre le mur.

Les sauts et flexions des mouvements aérobics. En faisant les clowns. Les exercices au sol sur les tapis de mousse. Des séries de pompes qui remplacent avantageusement les développés couchés à la barre. Clémentine tente de battre son record. Huit séries de vingt. À genoux, Estelle et moi l'encourageons en comptant à haute voix. Clémentine qui se couche sur le dos essoufflée. Je me place sur elle, en appui sur mes bras pour refaire une série de dix, un bisou sur sa bouche à chaque fois. Estelle tripotant ma bosse. Les étirements d'un bon stretching viennent conclure cette séance intense de quarante cinq minutes. Pas de douche pour Estelle qui préfère faire sa toilette au lavabo quand elle a ses "petits machins". Clémentine et moi sous l'eau à pousser des cris pour répondre à ceux d'Estelle. << Bienvenue à l'asile. Il reste des camisoles ! >> lance t-elle en nous essuyant avec la grande serviette de bain. Pleins de bisous sur nos lèvres.

Vêtus de nos Levis, de nos épaisses chemises à carreaux, nous passons au salon. Assises sur mes genoux, me tournant le dos, elles allument l'ordinateur. Quatre courriels ce matin. Le premier de ma famille d'Édimbourg. Les choses se compliquent encore pour oncle Alan. Tante Amy craint fort qu'il ne rentre plus à la maison. Le second mail émane de Juliette qui nous raconte ses journées au haras. Plus que quarante deux chevaux en pension. Comme chaque année il faut harceler les propriétaires qui "oublient" de les récupérer. Faire la chasse aux impayés. Juliette nous rappelle qu'un Gloryhole est prévu et qu'elle attend le "feu vert" de Clémentine. Le message de Danièle qui confirme nos commandes qu'elle viendra livrer mercredi et samedi prochains. Se réjouissant au passage.

Enfin le dernier courriel de Lise qui confirme sa visite lundi après-midi pour quatorze heures. Je caresse leurs seins en les écoutant lire à hautes voix les réponses. << Elle fait des fautes d'inattention Danièle ! >> dit Estelle. << Comme tout le monde ! >> précise Clémentine. Nous éteignons l'ordinateur pour mettre nos anoraks. Le ciel semble s'éclaircir un peu. Levant la menace qui pesait depuis ce matin. Nous sortons dans la fraîcheur humide. Les pluies de la nuit ont tout détrempé. Nous quittons la propriété par le portillon pour prendre le chemin qui mène au viaduc. Les filles reviennent sur le troisième trimestre qui les attend. Estelle s'arrête à plusieurs reprises pour glisser sa main froide dans ma braguette. Par attention elle palpe ma bosse à travers le coton de mon boxer.

<< Interdiction d'entrer dans la cuisine ! >> dit elle quand nous sommes de retour. Clémentine m'entraîne sur le lit. C'est une ambiance rassurante et élégiaque d'entendre chanter Estelle depuis la cuisine. D'entendre les ustensiles qu'elle manipule. Clémentine me couche sur le dos, extrait mon Zob, pose sa tête sur son ventre. Tout en jouant avec mon sexe, elle me confie ses ressentis. Ce qui s'est passé avec monsieur Guillaume semble la perturber. << Surtout le troisième jour quand il s'est montré odieux avec moi ! >> précise t-elle. J'écoute. Quand elle prend mon érection naissante en bouche, c'est à mon tour de partager mes impressions. Je la rassure. Je suggère d'oublier le troisième jour pour ne garder en mémoire que les deux premières fois. Je l'entends glousser de contentement. Fellation délicate. Juteuse.

C'est dans ces conditions idéales pour une super pipe qu'Estelle vient nous rejoindre : << C'est prêt ! On mange. Mais je ne voudrais pas déranger ! >> dit elle en sautant sur le lit pour enfoncer sa langue dans ma bouche. Je force Clémentine à cesser en la tirant par sa natte. Nous nous redressons tous les trois. Morts de faim nous courons à la cuisine. Une délicieuse odeur de patates rôties. Une belle surprise. Estelle à poêlé les pommes de terre précuites. Six gros nems au crabe. Accompagnés d'une salade de carottes. Nous couvrons son visage de bisous en la remerciant. Elle attrape ma bite en disant : << Mon nem pour cet après-midi ! >>. Nous en rions de bon cœur quand Clémentine rajoute : << Il sent le crabe mais il n'est pas au crabe. Au thon peut-être ! >>. Rires. Nous voilà installés.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine, organisatrice de nos séjours, nous apprend qu'elle a réservé cette dernière soirée du séjour à Bourg-Vignes au restaurant du "Lapin Chasseur". Nous y avons mangé le second soir de notre séjour. Un établissement gastronomique de tout premier ordre recommandé par le Gault & Millau. Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges reviennent sur la randonnée prévue cet après-midi. La réserve naturelle est à quelques kilomètres du village. Si nous avons de la chance nous pourrons y apercevoir les animaux de nos forêts. Sangliers, biches, chevreuils. Peut-être même quelques cervidés plus farouches. La vaisselle. Nous nous lavons les dents dans les déconnades habituelles. Rires.

Il va être treize heures trente. La température extérieure est de 18°. Le ciel reste couvert mais lumineux. C'est parti. Je roule doucement sur la dizaine de kilomètres. Clémentine joue avec ma queue qu'elle suce parfois. Estelle, assise à l'arrière, caresse mon cou, mes joues en évoquant la proposition de Juliette. Le Gloryhole de fin de vacances, vendredi prochain 3 mai. Cette fois elle tient à participer mais en précisant qu'elle ne s'occupera exclusivement que du "docteur Julien". Ce qui arrange bien Clémentine. Elle préfère me savoir entre les mains d'Estelle qu'à la merci de Juliette. Juliette étant la seule femme pouvant rendre Clémentine réellement jalouse. Je gare la voiture sur le parking. Ce sont deux grandes maisons toutes en bois. Une sorte d'office du tourisme et un restaurant.

C'est une association de protection de la nature qui gère le lieu. En coordination avec la municipalité et un restaurateur privé. L'endroit n'est pas sans évoquer un "ranch" façon "Far west" Hollywoodien. << Clint Estwood ou Clint Westwood ? >> lance Estelle facétieuse en voulant m'empêcher de reboutonner ma braguette. J'y parviens après une dure lutte. Il y a là d'autres véhicules. Du monde. Des groupes de randonneurs. De grands panneaux expliquent le pourquoi du comment depuis la création du site. Nous entrons dans le bureau d'accueil. Il y a pleins de gens. Assis autour des tables basses et rondes. Il y a quantité de brochures à la disposition des visiteurs. Deux ravissantes hôtesses derrière des comptoirs. Notre entrée ne passe pas inaperçue. Comme à chaque fois ou presque. Cet homme d'âge mûr, tenu aux bras par deux sublimes jeunes filles. Nos hautes tailles. La complicité qui émane sans cesse de notre trio insolite.

Il y a plusieurs itinéraires proposés. Notre choix se porte sur celui des cascades. Nous feuilletons une des brochures. Il y a de superbes photographies. << Ah oui, celui-là ! >> font Estelle et Clémentine en même temps. C'est parti. Je porte le petit sac à dos. Il contient des pommes, des barres de céréales, la minuscule paire de jumelles, la thermos de thé bouillant. Nous contournons les bâtiments. Il y a deux magnifiques chalets à l'arrière. Nous prenons le chemin de droite. Il longe la rivière. Nous ne sommes pas les seuls à profiter des enchantements du lieu. D'abord une forêt de résineux dont les aiguilles tombées au sol depuis des décennies forment un épais tapis. On y marche comme sur de la moquette. Il y a des ponts en bois qui traversent la rivière. Tous les cent mètres un autre.

Chacun porte le nom d'un héros de la table ronde. Le pont Lancelot. Le pont Merlin. Le pont Viviane. Nous nous prenons en photos sur chacun d'eux. Malgré les promeneurs, Estelle pose sa main sur ma braguette sur chacun des clichés. Je suis entre mes deux anges. Les I-phones posés sur la rambarde du pont qui nous fait face. Avec le principe du retardateur de 10 secondes. Ce qui nous permet de prendre les pauses. << Put-Hein sort ta bite ! Il n'y a personne ! >> lance Estelle sur le pont Arthur. Je regarde dans toutes les direction. Nos anoraks sont ouverts. Estelle n'attend ni ma réponse ni ma coopération. Elle m'extrait le Zob.
Entre Clémentine accroupie à ma droite, sa tête contre ma hanche et Estelle debout sur ma gauche qui tient mon chibre qui ne bande qu'à moitié. Prudence. Clic.

Je remballe in extremis car voilà des marcheurs. Je ferme mon anorak en catastrophe sans pouvoir ranger ma biroute. Les filles qui rient aux éclats de mon embarras. Voilà la première cascade. Tout le site est agencé à la manière d'un parc d'attractions. << On n'a pas encore vue d'animaux mais on a vu ta bite ! >> lance Estelle. C'est en rigolant comme des bossus que nous gravissons le large escalier à gauche de la cascade. Elle fait bien cinq mètres de haut. Avec les pluies du printemps c'est carrément les chutes du Niagara. Une passerelle donnant le vertige les surplombe. Trop de gens pour faire les photos "bite à l'air" qu'aimerait tant Estelle. Nous continuons ce périple en allant de découvertes en découvertes. Bien évidemment avec la fréquentation aucun animal sauvage ne se montre.

La seconde cascade. Plus haute encore que la précédente car le chemin monte. Il faut imaginer une profonde forêt qui nous entoure. Interdite d'accès car nous ne pouvons quitter le sentier balisé. C'est un peu frustrant. C'est un tour de force à chaque fois que de réaliser nos selfies "bite à l'air" devant les endroits les plus remarquables. Sur certaines photos je réussi le tour de force de bander comme le dernier des salauds entre mes deux anges qui me tiennent par la taille. Nous sourions à l'objectif avec le plus parfait naturel. Mais c'est toujours dans la précipitation car il faut faire vite. Entre deux passages. Combien de fois ne manquons-nous pas de nous faire "attraper". Pour le plus grand plaisir de mes deux coquines qui rient de leurs facéties. Troisième cascades. Magnifique.

C'est une boucle de huit kilomètres, d'une durée de trois heures. La descente étant évidemment plus rapide. Mais parsemée de panneaux explicatifs. Y sont décrits la faune et la flore qui existe en ce lieu préservé. Il y a un totem comprenant une dizaine de petits panneaux indicateurs. C'est là, maintenue par les poignets passés derrière moi, par Clémentine derrière le poteau, qu'Estelle me tient la queue qu'elle exhibe fièrement comme un trophée. Les deux I-phones réglés sur retardateur 10 secondes. Il y a deux couples qui surgissent soudain. Ils tombent évidemment sur la scène. Ils éclatent de rire après un instant de stupeur. Je dois être tout rouge, en sueur, tellement je suis terrorisé. Estelle, Clémentine et les quatre inconnus rient de concert dans la forêt qui résonne.

Je me tire en remballant. Comme un voleur. Cavalant dans la descente du sentier. << Attends-nous ! >> crie Estelle. Qui vient me rejoindre en courant. Clémentine arrive à son tour, pliée de rire, pour dire : << Ils se marrent encore là-haut ! >>. Estelle passe un mouchoir en papier sur mon visage trempé de sueur. << Ça va peut-être leurs donner des idées ! >> me dit elle avec un calme olympien. Elle palpe ma bosse en rajoutant : << Mon salaud ! >>. Il est dix sept heures quand nous revenons au "ranch". Le parking s'est un peu vidé. Installés à une table ronde à l'intérieur du restaurant, nous savourons nos coupes glacées. Très agréables accompagnées d'un bon chocolat chaud. Il y a du monde. L'endroit est très "cow-boy". Comme à l'intérieur d'un "Saloon". Hollywood.

Nous regardons la vingtaine de photos prises. Seize où je présente un chibre tantôt en érection, tantôt "tuyau d'arrosage". Clémentine a même fait un cliché où l'on voit Estelle me tenir la bite pour en diriger les jets. << Pourquoi tu n'as pas filmé ? >> demande Estelle. << Parce que en même temps je surveillais les alentours ! >> répond Clémentine. Une visite aux toilettes hommes. D'abord avec Estelle pour lui administrer les soins du docteur Julien. Souffle chaud sur les seins. Les "gouttes" qu'elle savoure en gémissant alors que je suis obligé de murmurer : << Chut ! >>. Puis avec Clémentine qui elle aussi se régale de mes épanchements de liquide séminal. Les chiottes ne sont pas très propres. Cela s'explique probablement par le passage. Il y a un monde fou dans ce grand parc.

Il est dix neuf heures quand nous garons la voiture devant la grande demeure du "Lapin Chasseur". Grande bâtisse du dix neuvième siècle entourée de son parc "à la Française". Attablés à une table qui donne sur les jardins, nappée de blanc et de dentelles, nous savourons des truffades accompagnées de légumes confis dans leurs crèmes persillées. De petites lamelles grillées, qui sont probablement des fonds d'artichauts, nous font tomber de nos chaises tellement c'est bon. Première visite dans les toilettes hommes avec Estelle. La thérapie du docteur. Avec cette fois suçage de clitoris. L'endroit est d'une propreté exemplaire. Seconde visite avec Clémentine. Cette fois moi aussi je suce son clitoris géant avant de nettoyer son intimité de ma bouche avide. Nous traînons à table.

Bonne nouille à toutes les coquines qui, une fois sous les draps, en dégustent le jus en se gargarisant de foutre. Se faisant sucer le clitoris avant de retourner à l'égouttage de la nouille. Puis de s'endormir dans les plus indicibles voluptés...

Julien (thérapeute spécialisé)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
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Le jour du retour

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par une Estelle considérablement exubérante. Tout son corps contre le mien, comme cherchant un refuge, ou à se réchauffer. Ses lèvres qui se posent sur ma joue. Elle se frotte contre ma cuisse. Attrapant ma tumescence d'une poigne ferme. C'est comme un choc d'être réveillé ainsi. Ce qui réveille également Clémentine qui vient se blottir. Je suis littéralement pris en sandwich entre mes deux anges qui se frottent contre mes cuisses en gémissant. Estelle a de quoi être euphorique, ces "petits machins", qui ont duré un peu plus longtemps, sont à présent terminés. Pour vingt huit jours. Nous nous étirons en modulant nos gémissements jusqu'à l'absurde. En riant aux éclats. C'est dimanche, pas de gymnastiques, pas d'entraînements sportifs.

Dans un dernier cri, Estelle se lève pour courir à toute vitesse vers la porte. << Pipi ! >> s'exclame t-elle. Nous percevons depuis les toilettes la puissance de son jet alors qu'elle chantonne. Clémentine, couchée sur moi, continue à frotter son sexe sur le mien en disant : << Tu sais que je n'éprouve aucune tristesse à partir. C'était une superbe semaine. Et il nous en reste une autre ! >>. C'est à notre tour d'aller pisser. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Modulant ses chants comme une diva. Les suaves odeurs du café, du pain grillé et des croissants dans le four à micro ondes. Mes mains sur ses hanches pendant qu'elle pèle les kiwis. Mes mains qui remontent sur ses petits seins que je peux à nouveau caresser sans craindre de provoquer une quelconque douleur. Clémentine contre mon dos, qui se frotte. Sa main dans mon slip.

Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan de cette semaine. << C'était à la fois étrange, insolite et plein de surprises ! >> précise Estelle. << La météo assez particulière n'y est pas étrangère ! >> précise Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la journée. Préparer les valises, réunir nos affaires, faire le ménage. Il y a un peu plus de trois heures trente de route. Un dimanche ça roule certainement moins bien. Nous comptons quitter Bourg-Vignes vers quatorze heures. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les différentes randonnées réalisées ici. Les attitudes grivoises du propriétaire des lieux. Tout est réglé, payé, aucune raison de revoir ce type. << S'il ne vient pas nous saluer, nous partons sans un au revoir ! >> dit Clémentine.

<< Mais oui, on ne doit rien à personne ! On fout le camps et puis basta ! >> rajoute Estelle. Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes anges inventorient dans l'ordre les tâches à effectuer. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous commençons pas préparer les valises. Celle d'Estelle et la nôtre grandes ouvertes posées sur le lit dont nous avons retiré les draps. Ils sont dans la machine à laver. Clémentine nous passe les vêtements que nous plions soigneusement avant de les ranger. Pareil pour les godasses dans les sacs de sport. Nous réunissons les affaires de toilettes dans la salle bain. Le ciel est gris, couvert et très menaçant. Les pluies de la nuit ont tout détrempé. La température n'est que de 14°. Il faut affronter la fraîcheur.

Nos bagages dans le coffre arrière de la voiture, nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Pour le ménage, distribution des rôles. Je suis délégué à l'aspirateur. Estelle déléguée à la salle de bain. Clémentine aux serpillères. Comme souvent Estelle invente les paroles loufoques d'une chanson. Sur un air de comptine d'école maternelle, elle lance la première phrase que nous répétons en cœur. En riant aux éclats quand les paroles de "la maison en carton" deviennent "le mec en caleçon". Plein d'interventions bisous de l'un ou de l'autre. L'intérieur du bungalow doit faire soixante mètres carrés. Le nettoyage et la mise en ordre n'excède pas une heure. Nous terminons par la cuisine. Estelle, mimant une masturbation masculine, s'exclame : << Maintenant, et jusqu'à ce soir, la bite à l'air ! >>

Nous sommes vêtus de nos 501, de nos sweats d'épais coton. Nous quittons la cuisine. La maison est aussi nickel que nous l'avons trouvé à notre arrivée samedi dernier. Clémentine, accroupie devant moi, fourre sa main dans ma braguette. Elle en extrait le locataire pour l'agiter sous le nez d'Estelle qui s'accroupit à ses côté. Odeurs de bite. Le dimanche à part un coup de gant de toilette après les "grosses commissions" pas de douche. Nous avons en commun d'apprécier nos odeurs corporelles, naturelles. Elles agissent sur nos sens à la manière de phéromones. C'est merveilleux de voir mes deux anges humer ma queue, en renifler des effluves qui montent jusqu'à mes narines. Elles rient en échangeant leurs impressions, leurs comparaisons. Ce matin par exemple ma bite sent le thon mayonnaise. Pliés de rires.

Elles se redressent avant l'ankylose. << Bonjour monsieur Schlinguo ! >> me fait Estelle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Mon érection est alors quasi instantanée. Clémentine qui déboutonne son Levis, attrape mon poignet pour fourrer ma main dans sa culotte en disant : << C'est mieux ! >>. Estelle fait de même. Elles tiennent mon Zob alors que je fouille les culottes. J'aimerais bien y aller fourrer mon nez. Parce que chez les filles aussi, les fonds de culottes des dimanches, méritent une attention particulière. Nous sommes serrés tous les trois à nous toucher, à nous faire des bises. De plus en plus souvent, et depuis quelques temps, Estelle et Clémentine se font des bises sur la bouche. Soudain, trois coups contre la porte fenêtre du salon. C'est madame Guillaume. C'est elle qui toque.

Depuis combien de temps est-elle là à nous mâter ? Mystère. Son sourire en dit long. Je me tourne pour cacher mon érection. Estelle la garde en main. Clémentine va ouvrir. Madame Guillaume, que nous n'avons fait qu'entrevoir durant notre séjour, s'avère une femme pleine d'humour. D'une élégance étonnante même pour un dimanche matin. Je remballe, je referme les boutons de ma braguette. Estelle me tient la main, nous rejoignons le duo. << Bonjour ! >> répète cette magnifique bourgeoise. Nous nous serrons les mains. Le regard qu'elle pose sur ma braguette confirme mes doutes. La dame a assisté à nos câlins du matin. << Vous avez passé un bon séjour ? Ça vous a plu ? >> s'empresse t-elle de demander. Nous la rassurons, l'endroit et l'hébergement sont magnifiques. Elle semble satisfaite.

À notre grand étonnement, madame Guillaume rajoute : << Vous excuserez le comportement parfois outrancier de mon mari. C'est un ours. Il m'a parlé de vous ! >>. En prononçant ces derniers mots, la dame s'adresse directement à Clémentine. Elle conclue : << Avec moi, c'est terminé depuis longtemps. Donc je tolère ses petits écarts de conduites ! >>. Nous restons abasourdis devant ces révélations. Madame Guillaume fixe ma braguette d'un air rêveur avant de dire : << Je suis très partageuse ! >>. Sans nous laisser le temps de trouver la répartie, madame Guillaume se dirige vers la porte. Elle se retourne pour nous souhaiter un bon retour. Après son départ, nous la regardons traverser la propriété pour retourner dans sa grande demeure. << Belle salope ! >> s'exclame alors Estelle.

<< Tu n'aurais pas remballé ton Zob qu'elle aurait été ravie ! >> rajoute t-elle. Nous avons réservé une table aux "Vignes", cet établissement recommandé par le guide Michelin, pour midi trente. Nous gardons le souvenir d'un somptueux repas lors de notre troisième soirée à Bourg-Vignes. À la sortie du village. J'ai à nouveau la bite à l'air. La température extérieure est à 18°. Nous faisons le tour du bungalow en restant sur la terrasse qui l'entoure. Clémentine et Estelle me tenant par les bras. C'est Clémentine qui s'accroupit. Saisissant mon chibre, elle l'agite vers Estelle qui s'accroupit à son tour. Elles se refilent ma bite qu'elles sucent à tour de rôle. Juste quelques instants avant de se redresser. Me laissant avec un début d'érection humide. La bite mouillée procure une sensation de froid.

Il va être l'heure de quitter la petite maison en bois. De quitter cet étrange havre de paix. Je roule doucement en traversant la propriété. Là-bas, madame Guillaume tenant un grand lévrier gris au bout d'une laisse. Chaussée de bottes en caoutchouc, d'une pantalon noir dont le bas y est enfilé, une veste de pluie, elle s'écarte pour nous laisser franchir le portail. Je m'arrête. Clémentine qui joue avec ma queue, se penche pour saluer la dame une dernière fois. Cette dernière se penche également. Par la vitre baissée, elle découvre le spectacle. Le regard qu'elle m'adresse en disant : << Bonne route ! >> en dit autant que tout un roman. J'accélère. << Arrête-toi ! >> lance soudain Clémentine. Assise à l'arrière, Estelle caresse mon cou en disant : << Sors et montre lui bien ta bite ! >>

Je me contente d'ouvrir la portière. Madame Guillaume a du mal à retenir son chien pressé d'aller en promenade. Aussi, c'est en tirant sur la laisse, dans une sorte de lutte, qu'elle nous observe en souriant. Clémentine agite ma bite. Penchée vers la portière ouverte, elle s'écrie : << Dommage qu'on ne savait pas ! >>. À notre plus grand étonnement, la dame répond : << Oui, vraiment dommage ! >>. Estelle descend la vitre arrière pour rajouter : << Vous avez nos coordonnées. Se priver c'est se faire du mal ! >>. C'est à présent madame Guillaume qui reste pantoise. Clémentine me branle, tend ma queue vers la dame en disant : << Et là où il y a de la gêne il n'y a pas de plaisir ! >>. Je conclue : << Nous avons nous aussi une maison d'amis. Nous pouvons recevoir ! >>

Je referme la portière. J'estime que cette belle bourgeoise en sait bien assez. Je roule doucement en direction du village. En me faisant tailler une pipe. Estelle, frustrée, à l'arrière, s'écrie : << Pour rentrer après le restaurant, c'est chacune son tour assises devant une demi heure ! >>. Nous en rions aux éclats. Le repas aux "Vignes" nous laisse une fois encore une de ces impressions de frôler le divin. Il n'y a pas trop de clients. Aussi les deux petites visites aux toilettes hommes d'abord avec Estelle puis avec Clémentine, se déroulent dans les meilleures conditions. J'adore les regards complices de ces jeunes serveuses qui semblent parfaitement comprendre ce que nous allons faire à deux dans les cabinets. Celle d'aujourd'hui paraît même envieuse. L'addition après le dessert et le café.

C'est parti. Je roule doucement. C'est Estelle qui joue avec ma queue. Qui alterne pipes et branles. Clémentine vérifie que cela ne dépasse pas la demi heure. J'arrête la voiture au bord de la route. C'est elle qui monte à l'avant. Il faut faire vite car la pluie est de la partie. Les arrêts pipis toutes les heures. Avant de permuter. La circulation est fluide. Nous roulons bien. Il est dix huit heures trente quand nous arrivons à la maison. C'est un autre plaisir que de retrouver son chez soi. Nous avons pour règle de défaire immédiatement les valises, de tout ranger. Clémentine prépare l'assaisonnement du concombre ramené de Bourg-Vignes. Estelle fait cuire les coquillettes, je poêle trois belles escalopes de dinde. Encore congelées elles partent d'abord en flotte. La fatigue se fait sentir.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui vont se faire nettoyer les minous. Avant de finir de vider les couilles de leur coquin, sous les draps. Puis une plongée dans les profondeurs insondable d'un sommeil heureux...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine , Julien et Estelle
Tuesday 30 April 2024 07:34

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
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L'agréable visite de Lise

Hier matin, lundi, il est huit heures trente. Je suis tiré de mon sommeil par les agissements d'Estelle. La coquine saisit ma tumescence d'une poigne ferme. C'est un réveil véritablement insolite. Serrée contre moi à me chuchoter les premières douceurs de la journée. Ce qui tire également Clémentine de sa nuit. Elle vient se blottir. Je suis entre mes deux anges. Tenu par les couilles et par la queue. Nous en rions. Clémentine tente de dire quelques mots mais elle trébuche sur chacun d'eux. C'est une succession d'éclats de rire. Estelle se lève d'un bond pour courir vers la porte. Urgence absolue si elle ne veut pas que cela se termine par le drame d'un pipi au lit. Clémentine s'allonge sur moi. Se frotte lascivement. Elle a retrouvé ses facultés pour me dire : << Je vous aime monsieur ! >>

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Il fait bien chaud partout dans la maison. Même à la salle de bain où nous revêtons nos tenues sports. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans les effluves odorantes du café, du pain grillé. Le rituel tactile que je lui inflige la fait roucouler de plaisir. Alors qu'elle presse les oranges, mes mains montent de ses hanches sur ses seins. Clémentine, ses mains autour de ma taille, ses lèvres dans ma nuque. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan de nos vacances à Bourg-Vignes. Quand Estelle aborde les "pipes au gros", Clémentine propose de ne plus en parler. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de la journée. Dehors le ciel est lumineux. La température extérieure est de 12°.

Toujours ce vrai plaisir que de pouvoir traîner à table. Les filles assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, parlant de leurs études. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant nos clowneries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Nous y laissons Estelle qui se change pour aller recouvrir le lit, fermer la porte fenêtre. Pressés d'aller courir, nous redescendons à toute vitesse en nous tenant les mains. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur humide. C'est parti pour un jogging d'une heure qui nous emmène le long de la rivière. Il est dix heures quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première pendant que nous réunissons nos vêtements. C'est à notre tour. Qu'il est plaisant de pouvoir prendre tout notre temps.

Nous dévalons les escaliers pour passer au salon. Assises sur mes cuisses, me tournant le dos, mes deux anges consultent nos boîtes mails. Je caresse délicatement leurs petits seins fermes. Estelle lit à haute voix la teneur du message de Juliette qui s'excuse de ne pouvoir venir manger mercredi soir. Par contre elle revient sur l'éventualité d'un Gloryhole vendredi en soirée. Précisant qu'il faut la réponse impérativement demain soir, mardi, au plus tard. Pour pouvoir réunir tout le monde et préparer les choses dans leurs moindres détails. << Qu'est-ce qu'on fait ? >> demande Estelle. << Je n'ai plus envie, le "gros" de Bourg-Vignes m'a un peu dégouté pour quelques temps ! >> répond Clémentine. Elles écrivent la réponse négative immédiatement. En se relisant à haute voix. En riant.

C'est quand elles surfent sur le site universitaire qu'elles découvrent enfin les informations tant attendues. Le programme du troisième et dernier trimestre. Les épreuves du Doctorat commencent le 16 mai. Réunions en bureau, examen des candidatures, présentation des thèses entre le 21 mai et 23 mai. Appréciation du jury jusqu'au 14 juin. Tirage au sort d'un sujet à développer le 17 juin. J'aime toujours les écouter. Mais là elles sont tellement contentes. Ces informations tant attendues sont enfin arrivées. S'en suit une exubérance agitée. Toutes les deux se lèvent. M'entraînent par les mains dans une farandole folle dans toute la grande pièce. Puis une danse tribale où elles poussent des cris gutturaux. Nous sommes pliés de rire. Elles me font tomber dans le canapé. Jetant les coussins au sol.

À genoux, elles déboutonnent mon 501. Estelle y fourre sa main pour en extraire le locataire. Elles hument mon chibre. << Dommage ça sent le gel douche ! >> s'écrie Estelle qui passe sa langue sur la peau fripée du prépuce. << Ça sent toujours meilleur en soirée ! >> s'exclame Clémentine. Je me fais sucer. C'est dans la continuité d'une certaine euphorie qu'elles se refilent mon Zob. Mon érection leurs offre bientôt la raideur du bois de chêne. Je caresse leurs nuques. Je les tiens toutes les deux par leurs nattes. Je tire sur l'une afin qu'elle laisse sa place à l'autre. Nous en rions. Il commence à faire faim. Elles se redressent toutes les deux. << J'aime prendre l'apéro avec de bonnes nouvelles ! >> lance Estelle. Rires. Elles me saisissent par les mains pour me tirer. Je me lève à mon tour.

Clémentine fait l'assaisonnement des tomates ramenées de Bourg-Vignes. Estelle fait gonfler du riz complet. Je fais rissoler trois filets de flétan encore congelés. Le poisson part en flotte dans la poêle. C'est rapide. Il est prévu d'aller faire des courses en fin d'après-midi car avec le jour férié du premier mai, il n'y aura pas de livraisons. Impossible de tenir jusqu'à samedi prochain. Surtout en fruits et en légumes. Nous mangeons de bon appétit en faisant mille projets pour cette seconde semaine de vacances. Clémentine suggère de nous laisser inspirer au jour le jour par l'improvisation la plus totale. Principe admis sous nos applaudissements. Nous traînons à table. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer des masturbations masculines avec toute la vulgarité dont elle est coutumière.

<< Tu montres ta bite à Lise tout à l'heure ? >> demande t-elle. Clémentine rajoute : << Elle vient aussi pour "elle" ! >>. Nous rigolons comme des bossus. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en déconnant un maximum. La température extérieure est montée à 20°. De nombreuses séquences d'ensoleillement. Nous descendons jusqu'à la rivière. << S'il fait beau comme ça demain, on se barre à vélos ! >> lance Clémentine. Nous applaudissons la suggestion. Bite à l'air, entre mes deux anges que je tiens par la taille, nous regardons les canards, les colverts et les poules d'eau virevolter à la surface de l'onde bien agitée. Il faut remonter. Je remballe au cas où notre voisin descendrait lui aussi pour aller nourrir nos amis à plumes. Il va être quatorze heures.

Le portail est ouvert. La petite Fiat 500 rouge descend lentement les pavés autobloquants. Lise se gare devant la porte du garage. C'est la première fois que nous la voyons en jupe. Baskets. sweat. Très relax. C'est la troisième fois que Lise rencontre Estelle. Elles se font la bise. Plus timide et réservée envers moi, Lise me tend la main. Nous rentrons en riant. Les filles entre elles ont toujours un tas de choses à se raconter. Aussi, pendant qu'elles s'installent au salon, je prépare le thé, les petits gâteaux. Me parviennent des rires, des éclats de voix. Je prends mon temps. J'attends un peu. Je déboutonne mon Levis. Je mets les tasses, la théière, le sucre et les petits gâteaux secs sur le grand plateau. Je vais jusque dans le hall d'entrée pour vérifier ma tenue devant le grand miroir.

J'entre dans le salon. Lise est assise dans le fauteuil. Clémentine et Estelle dans le canapé. Elles s'écartent. Estelle tapote la place qui m'est ainsi réservée. Je dispose le contenu du plateau sur la table basse avant de venir m'installer entre mes deux anges. Lise ne quitte pas ma braguette béante des yeux. Estelle y fourre sa main en riant. Elle demande à Lise : << Ce vieux cochon te la fait voir tous les samedis matins je parie ! >>. Lise éclate de rire en répondant : << Exact ! >>. Estelle rajoute : << Et bien on va faire comme un samedi matin ! >>. Tout en extrayant mon chibre mou qu'elle agite vers Lise en rajoutant : << Et tu apprécies ? >>. Il y a un moment de silence. Lise me fixe dans la yeux avec un étrange regard. Il y a de la sévérité ou du reproche mais aussi de l'amusement.

Je ne tarde pas à bander comme le dernier des salauds. Malgré moi je me retrouve être le centre d'intérêt. La conversation reprend. Lise est en première année de BTS commerce. Dix neuf ans depuis décembre. C'est avec passion qu'elle parle de ses études. Après l'obtention de son BTS, Lise à le souhait de faire deux années supplémentaires afin d'obtenir son diplôme d'ingénieur marketing. Estelle joue avec ma queue comme si c'était l'activité la plus naturelle au monde durant une discussion sérieuse. Estelle adore me ma tordre dans tous les sens. Je bande un peu plus mou. Heureusement. Ça fait moins mal. Clémentine raconte nos vacances récentes. Nos projets pour l'Écosse cet été. Son désir d'enseigner dans une grande université d'Édimbourg. Lise fixe la main tortionnaire d'Estelle.

Plonge son regard dans le mien. Je devine qu'elle aimerait me poser tout un tas de questions. Clémentine s'en doute également. Aussi, elle lui tend la perche. Alors qu'Estelle lui tend mon Zob. << Tu viens manger un de ces soirs ? >> demande Clémentine. << Oui, t'amuser un peu avec nous ! >> rajoute Estelle en agitant mon érection. Lise fixe la coulure. Le liquide séminal qui s'écoule sur les doigts d'Estelle. Estelle montre ses doigts gluants qu'elle porte à sa bouche. Lise ouvre soudain de grands yeux. Comme interloquée. Un long silence. Je sens des frissons dans la cuisse de Clémentine, contre la mienne. Lise finit par répondre : << Je peux venir manger jeudi soir si ça va pour vous ! >>. Clémentine s'écrie : << Excellent ! >>. Estelle rajoute : << On va t'introniser dans notre Club ! >>

<< Je vois ! >> répond Lise. Lise qui doit nous laisser pour quinze heures trente. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Installée au volant, la vitre baissée, elle nous dit : << J'ai passé un bon moment. À jeudi soir alors ! >>. Estelle agite ma queue. Nous regardons Lise faire sa manœuvre de demi tour. En remontant, elle nous fait un grand coucou. Nous restons au soleil, assis sur les rochers autour du bassin. << Si on se démerde bien, on en fera une membre du club ! >> lance Estelle sans cesser de jouer avec ma bite. Ça va faire deux heures sans la lâcher. Nous en rions de bon cœur. Il va être seize heures. Nous sortons l'auto du garage. Nous restons vêtus de nos Levis, de nos sweats. Nous changeons simplement les baskets contre des bottines. Il faut faire les courses.

Bonne fin d'après-midi à toutes les coquines qui vont continuer à s'amuser follement en hypermarché, en cafétéria avant une soirée "baise sur bureau" qui soldera la première journée de retour de vacances.

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine , Julien et Estelle
Wednesday 1 May 2024 07:58

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 9 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2600 -



Une magnifique journée

Il est aux environs de neuf heures, hier matin, mardi. Une bonne nuit d'un sommeil nécessaire. Comme le murmure Estelle en se serrant plus fort encore contre moi : << Tu n'as plus vingt ans. Il faut que je te ménage. À trois ! >>. Je ne suis même pas encore totalement conscient que me voilà à rire. Mon érection dans la poigne ferme de la coquine. Clémentine se réveille à son tour pour venir se blottir. << Pourquoi vous riez comme des petits fous ? >> murmure t-elle en s'y reprenant à trois fois. Nous rigolons comme des bossus en nous faisant plein de bisous. Je suis entre mes deux anges, mes bras autour de leurs épaules. << Ça précipite mon envie de faire pipi de rigoler comme ça ! >> s'écrie Estelle qui saute du lit comme si celui-ci était la proie des flammes. En courant vers la porte.

Clémentine, allongée sur moi, ses lèvres dans mon cou, frotte son sexe sur le mien en gémissant. Nous ne sommes pas du matin et l'envie de pisser devient intolérable. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Il fait bien chaud dans la maison. Les radiateurs fonctionnent encore à plein en ce 30 avril. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Dans la cuisine flottent les suaves odeurs du café, du pain grillé. Au milieu de la table trône la brioche au pudding achetée durant nos courses de fin d'après-midi, lundi. Estelle presse les oranges. Mes mains sur ses seins. Mes lèvres dans sa nuque. Clémentine serrée derrière moi, ses mains dans mon slip contre les fesses d'Estelle. << J'aime les débuts de nos journées ! >> murmure Clémentine. << Moi aussi ! >> rajoute Estelle. Je pèle les kiwis.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la visite de Lise. Ses attitudes, ses comportements. En prévision de sa visite de jeudi soir, Estelle propose une Flamiche Picarde. Cette délicieuse tourte aux poireaux qui fait nos délices et celui de nos invités. << Avec ta bite à l'air sous la table ! >> lance t-elle en se levant pour mimer une masturbation masculine. Dans son pyjama de soie mauve. Nous mangeons de bon appétit en envisageant la sortie vélos de cet après-midi. C'est qu'il fait tellement beau aujourd'hui encore. Le ciel est quasiment bleu. Le soleil y règne en maître absolu. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges évoquent les livres de leurs thèses qu'il faudra aller récupérer chez l'imprimeur. Jeudi.

La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en déconnant. Estelle, dans des pantomimes grotesques, danse lascivement en retirant son pyjama. Nous revêtons nos tenues de running. La température extérieure n'est toutefois encore que de 14°. Nous redescendons à toute vitesse pour enfiler les K-ways. Le ciel bleu, le soleil, ne sont que la parodie d'un matin d'été. Une fois sortis nous déchantons très vite. Il faut accélérer nos mouvements d'échauffement pour mettre nos corps en conditions. Nous courons le long de la rivière. Notre itinéraire préféré. Il est dix heures trente quand Estelle est sous la douche à chantonner. Nous recouvrons le vit et revenons avec les vêtements. C'est à notre tour. Habillés tous les trois à l'identique, Levis, sweats, baskets, nous redescendons au salon.

Assises sur mes genoux, me tournant le dos, mes deux anges allument l'ordinateur. Seule Estelle a deux mails. Celui de ses parents. Celui de Gauvain son "amoureux" transis. Pendant qu'elles lisent à hautes voix, cherchant l'inspiration des réponses, je caresse leurs seins minuscules. Mes mains sous les sweats. Clémentine et Estelle surfent longuement sur le site de l'université. Là c'est du sérieux. Ce changement d'attitude est toujours étonnant. Il est onze heures. Nous quittons le salon pour la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement d'une belle laitue. Elle en lave les feuilles également pour ce soir. Estelle fait gonfler du riz complet. Je fais rissoler trois belles escalopes de dinde avec des champignons. Estelle concocte une sauce au Roquefort dont les parfums envahissent la cuisine.

Nous mangeons de bon appétit alors qu'il n'est pas tout à fait midi. Pressés de nous enfuir à bicyclettes. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents, nous changer. La température extérieure étant à présent de 22°, Estelle et Clémentine porte jupettes, T-shirts. Je suis en short et T-shirt. Dans le petit sac à dos que je porte, pommes, barres de céréales, les K-ways pour le retour. Avec nos bouteilles d'eau à la main, nous traversons le jardin en courant. Je vérifie le gonflage des pneus. La tension des chaînes. Parfait. C'est parti. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois dont j'ouvre le cadenas à quatre chiffres. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Nous pédalons poussés par un léger vent de Nord Est. Nous l'aurons de face au retour.

Il y a nombre de cyclistes. Des groupes, des couples, des solitaires. Des filles en rollers. Des promeneurs. Nous pouvons rouler côte à côte en bavardant. Pas d'arrêt pipi au cabanon de l'écluse après dix kilomètres. Il y a là des gens. Les filles se gardent pour les quinze kilomètres restant. Ce qui laisse quelques possibilités exhibes une fois arrivé au port de plaisance. Il est à peine 14 h15 quand nous arrivons. Il y a toujours de l'animation sur les quais. L'endroit est si charmant. Nous fermons les bicyclettes à cadenas derrière le cabanon de la capitainerie aux volets clos. Rapidement, Estelle et Clémentine retirent leurs culottes pour les fourrer dans la pochette avant du sac que je porte sur le dos. Je glisse mes mains sous les jupettes. << Salaud ! >> lance Estelle. C'est tellement doux.

Nous flânons sur les quais. Dimanche prochain il y aura le premier vide grenier de la saison. Nous nous promettons d'y venir faire un tour. Pas toujours discrète, Estelle palpe ma bosse. Parfois même, elle glisse sa main dans mon short par une des cuisses. Penchée en avant à fouiller mon slip. << On va recommencer à nous donner des gages ! >> fait elle. En prévision de la fête du muguet, demain premier Mai, il y a des commerçants qui préparent leurs stands, leurs caravanes en guise de magasins. Il y a de l'activité. Des groupes de cyclistes poussant leurs vélos. Des familles. Les joueurs de pétanques à l'ombre des platanes. C'est que le soleil tape. Il y a près de 27° sous ses chauds rayons. Là, entre deux tréteaux et un petit chapiteau, Clémentine s'accroupit soudain. Nous faisons le guet.

Nous comprenons rapidement sa précipitation. Il y a un cycliste habillé façon "Tour de France" assis sur le muret. Il ne nous a pas vu. Par contre il regarde cette sublime jeune fille accroupie, dans une indécence folle, cuisses largement écartées. Lui faisant face, à une vingtaine de mètres, Clémentine nous tourne le dos. << Quelle salope. Je n'avais pas vu ce mec ! >> murmure Estelle. Il y deux hommes qui sortent du chapiteau en tenant des chaises. Heureusement qu'ils ne regardent par sur leur droite. Pour faire diversion, Estelle passe son bras autour de ma taille pour se serrer. Cet homme d'âge mûr, qu'enlace cette jeune fille, attirent immédiatement leurs attentions amusées. Là-bas, une longue coulée de pisse depuis l'entre jambes de Clémentine dégouline vers le cycliste voyeur.

Les deux hommes se dirigent vers la camionnette stationnée plus loin. << Ouf, ils n'ont rien vu ! >> chuchote Estelle soulagée en palpant la bosse qui déforme mon short. C'est que je bande comme le dernier des salauds. L'extraordinaire prestation de Clémentine nous enchante. C'est toujours très intense quand elle relève la tête pour fixer son voyeur, immobile, pour le faire profiter le plus longtemps possible du spectacle. Cette fois encore tout se passe bien. C'est un gentleman. Pas un de ces "morts de faim" pénibles et ennuyeux. Estelle et moi, pour donner le change, nous jouons aux amoureux en faisant semblant de nous douter de rien. À la limite de l'ankylose, voulant échapper à la crampe qui guette, Clémentine se redresse enfin. Le cycliste ne prononce pas un mot. Mutique.

Nous continuons notre balade. Une autre "victime potentielle" serait la bienvenue. Nous connaissons chaque recoin des quais. Des fourrés autour des bâtiments des sanitaires. Celui réservé aux plaisanciers est fermé. Celui réservé au public voit un défilé permanent de toutes sortes d'individus. Sa proximité immédiate est le lieu de rendez-vous des "D'jeunes" en scooters du bourg voisin. Nous descendons le long du canal. Un pêcheur tous les cinquante mètres. Les pêcheurs constituent le public idéal pour une exhibition féminine. Clémentine n'a qu'à choisir sa "proie". En la personne de ce sexagénaire jovial à grosses moustaches. Ce qui nous amuse toujours c'est cet équipement paramilitaire que possèdent certains pêcheurs vêtus de véritables tenues de camouflages. Façon tenues d'assauts. Pour attraper de petits poissons inoffensifs !

Celui-ci est vautré dans un fauteuil à surveiller les quatre cannes fixées sur des supports. Sous un large parasol évidemment kaki et de "camouflage". << Celui-là, il est pour moi ! >> murmure Clémentine en passant une main sous sa jupette. Estelle fait de même en disant : << J'emmène Julien là-bas, dans les bosquets. On n'est pas loin. Au moindre blême tu appelles ! >>. Clémentine s'exclame : << Vous allez baiser dans l'herbe ? >>. Estelle répond : << Non sur les K-ways dépliés ! >>. Elle m'entraîne par la main. Cinquante mètres jusqu'aux buissons. Il faut faire gaffe car il y déjà des ronces. Cachés, nous observons la manœuvre d'approche de Clémentine. Les bras croisés, marchant doucement, sans un regard pour le pêcheur à grosses moustaches, elle attire son attention.

<< Mais quelle salope ! >> lance Estelle en dépliant deux K-ways. Elle tire la minuscule paire de jumelles du sac à dos. Alors qu'elle observe Clémentine, je pose mes mains sur ses hanches. Comme je le fais le matin. Je remonte sur ses seins. Derrière elle, mes lèvres frôlant sa nuque. Je murmure : << J'ai envie de faire l'amour avec toi ! >>. Elle se retourne, laisse tomber la paire de jumelles dans l'herbe haute qui nous entoure. << C'est vrai ? Moi j'ai envie tout le temps avec toi ! >> dit elle dans un souffle. Là-bas, à une cinquantaine de mètres, Clémentine assise au bord de l'eau. Elle attend probablement le passage d'un cycliste solitaire sur la piste cyclable, de l'autre côté du canal. Estelle aménage soigneusement notre couche. Piétinant les herbes hautes pour pouvoir voir les environs.

Couchée sur le dos, les cuisses largement écartées, elle m'invite à venir. J'hésite. Je regarde partout autour de nous. L'endroit est à l'abri des regards éventuels. Je retire mon short, mon slip. En appui sur mes bras, pour ne pas peser de tout mon poids, je me positionne. Estelle saisit mon érection pour la frotter contre son sexe. Je sens la mouille qui va permettre une pénétration douce et langoureuse. Comme nous aimons. L'endroit est parfait. Je redresse simplement la tête et je vois Clémentine de dos. Estelle s'introduit mon érection. << Mmhhh, je t'aime Julien. C'est toi que j'aime ! >> murmure t-elle en s'accrochant à mon cou. Passant ses jambes autour de ma taille pour s'accrocher. Elle enfonce sa langue dans ma bouche pour un baiser passionné. Je bouge doucement. Je la berce.

Accrochée à moi, perdant toute notion de l'environnement, Estelle se laisse aller à son plaisir. Quand elle est suspendue ainsi à moi, elle ne peut pas toucher son clitoris, elle ne peut pas se masturber en même temps. Je découvre que la pénétration lui procure de délicates sensations malgré tout. Je n'ai qu'à lever les yeux pour surveiller ce qui se déroule au bord du canal. Clémentine, à présent accroupie, se tenant au tronc de l'acacia sur sa gauche. Elle guette. Je comprends. Il y a un cycliste qui l'a repéré. Il fait semblant de s'intéresser à la roue arrière de sa bicyclette. Alors qu'il mâte très probablement. Le pêcheur moustachu, que je vois de dos, semble s'être endormi. Le bougre. Il ne sait pas ce qu'il rate. C'est très excitant de faire l'amour en visionnant une scène exhibitionniste de qualité.

Impossible de voir si Clémentine pisse. Mais sa position est celle de la pisseuse de plein air. Il y a d'autres cyclistes. Clémentine doit donc ruser. Elle se tourne rapidement à droite ou à gauche pour se faire discrète. Une bonne dizaine de minutes où elle se redresse quelques instants avant de s'accroupir à nouveau. Je sais à quel point elle s'amuse. Authentique exhibitionniste s'adonnant à sa passion. À son Art. Estelle chuchote : << Raconte-moi, qu'est-ce qu'elle fait ? >>. tout en la berçant d'une lent mouvement régulier de mon bassin, je murmure : << Elle montre sa chatte ! >>. Quand je suis en elle et qu'Estelle rit, les sensations sont sublimes. Le cycliste a disparu. Il ne se passe pas grand chose. Clémentine est à nouveau assise dans l'herbe à chasser des insectes. Estelle m'embrasse.

Soudain, là, sur la droite, malgré que ce soit un vélo de course ou de compétition, arrive le cycliste. Le bougre est allé jusqu'au port pour faire une boucle et revenir jusqu'ici. Je reste vigilant. Estelle se décroche. Je me retire en lui expliquant ce qui se passe. Elle se met à plat ventre à côté de moi. Je remets mon slip et mon short. Prêt à intervenir si les choses devaient tourner au vinaigre. Clémentine a sans doute affaire à un de ces emmerdeurs, bien chiants, ne pouvant se contenter de regarder. Il pose son vélo au sol pour se rapprocher de la fille en se touchant. << Put-Hein l'enculé ! >> murmure Estelle. Je me redresse, sur les genoux, prêt à bondir. Le pêcheur semble dormir à poings fermés à une cinquantaine de mètres. Le cycliste se montre entreprenant. Le pénible. Le pot de colle.

Clémentine se redresse, l'évite en le contournant. C'est l'enfoiré dans toute sa médiocrité crasse. Clémentine nous cherche désespérément des yeux. Je bondis. Dès qu'il me voit, l'enculé se précipite vers son vélo. Il me jauge. Mon mètre quatre vingt huit de culturiste doit beaucoup l'impressionner. Je n'ai jamais vu un mec monter sur un vélo aussi vite. Il pédale comme un dément sur le chemin caillouteux. On dirait Louis de Funès dans une comédie burlesque. Estelle vient nous rejoindre. Nous échangeons nos impressions. Nous avons probablement réveillé le pêcheur qui nous contemple comme des apparitions. Nous récupérons nos affaires pour revenir sur le port. La supérette est ouverte. Nous les avons bien mérité nos crèmes glacées préférées Ben & Jerry's. Quelle plaisir de se régaler. Assis sur des bancs, à l'ombre des platanes, à regarder la partie de pétanque.

Bonne fin d'après-midi et bon retour à toutes les coquines qui ont eu, chacune, leurs émotions préférées. Avant de retrouver celles qui les attendent après le repas du soir, léchées, sucées et pénétrées par leur "garde du corps", à la bite raide comme un piquet...

Julien (garde du corps)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine , Julien et Estelle
Thursday 2 May 2024 07:37

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 10 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2601 -



La virée vélo du premier Mai

Hier matin, mercredi, notre grasse matinée nous emmène aux environs de neuf heures. Estelle, accrochée à moi toute la nuit comme une naufragée à son radeau. C'est elle mon réveil matin lorsque nous sommes ensemble. Quand elle saisit ma tumescence. Quand elle bouge ses pieds contre les miens. Qu'elle pose ses lèvres sous mon oreille. Qu'elle titille la peau de mon cou du bout de sa langue. Quel plus agréable retour à la réalité que ce moment là ? Tout cela tire Clémentine de son sommeil. Elle vient se blottir. Toutes les deux impriment alors un mouvement masturbatoire contre mes cuisses, mes hanches. Je suis entre mes deux anges. Qu'il est agréable de glisser mes mains dans les culottes. De démêler quelques poils. De passer mes doigts sur leurs intimités moites et douces.

Estelle se lève d'un bond. Comme tous les jours, dans l'urgence de son besoin naturel, elle se précipite vers la porte. Clémentine se couche sur moi. Mitraille mon visage de bisous en murmurant quantité de << Je t'aime ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Il fait tellement beau en regardant par les fenêtres de la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Dans la cuisine flottent les douces odeurs du café, du pain grillé, du reste de brioche dans le four à micro ondes. Je pèle les kiwis, Clémentine presse les oranges. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de mardi après-midi. << C'était génial ! >> lance Estelle. << Parce que tu as baisé avec Julien ! >> fait Clémentine.

Nous en rions de bon cœur. Surtout quand Estelle rajoute : << Oui, mais en admirant ton exhibe ! >>. Nous mangeons de bon appétit en envisageant la sortie vélo de ce mercredi férié. Nous partirons le plus tôt possible après le repas de midi. De traîner à table est une des composantes de nos journées de vacances. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges font le programme de demain, jeudi. En soirée viendra Lise. L'après-midi il faudra récupérer les livres chez l'imprimeur. << Pourvu qu'on ne rate pas un belle sortie à bicyclettes ! >> s'exclame Estelle. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Pendant qu'Estelle se change, nous recouvrons le lit. En nous tenant par les mains, nous redescendons à toute vitesse. Nous sortons. Surprise.

La température extérieure est de 16° alors qu'il n'est que 9 h45. Le ciel est Bleu. Le soleil y est haut. Quelques mouvements d'échauffement. Nous effectuons notre jogging le long de la rivière. Dix heures quarante cinq quand nous revenons. Estelle prend sa douche pendant que nous préparons nos vêtements. C'est à notre tour. Habillés de nos Levis, de nos sweats, nous dévalons les escalier pour aller au salon. Le rituel de l'ordinateur. Me tournant le dos, assises sur mes cuisses, mes deux anges consultent nos boîtes mails. Pas de courriels. Un rapide petit tour sur le site de l'université. Mes mains sous leurs sweats à caresser leurs seins. Aucune nouvelle information. Nous quittons le salon pour la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement des tomates. Estelle s'occupe des spaghettis.

Je poêle les six nems au crabe et à la crevette. C'est du "vite fait". Mais nous sommes tellement pressés de filer. Nous mangeons de bon appétit en parlant déjà de nos vacances d'été. Cette chère Écosse que les filles sont impatientes de retrouver. << Tous les jours un gage. Et avec preuve photographique ! >> lance Estelle. Nous en rions car ce sont autant de bon souvenirs à venir. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents dans la plus totale déconnade. Habituelle. Nous voilà en tenues. Estelle et Clémentine en jupettes sports. T-shirts. Je porte un de ces shorts en lycra noir qu'affectionnent mes deux anges. Shorts moulants, épousant bien les formes, permettant d'avoir un accès direct à la bosse. T-shirt. Nous descendons en nous tenant par les mains. Il faut préparer le sac à dos.

Pommes, barres de céréales, Jumelles, K-ways pour le soir. C'est parti. Enfin. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Comme mardi, un léger vent de Nord Est facilite notre avancée. La température est de 24°. Toute la région semble s'être donnée rendez-vous à bicyclettes sur cette petite route. Pas d'arrêt pipi au cabanon de l'écluse. C'est un endroit fort prisé par les groupes de cyclistes. Il y a l'ombre des acacias, de la maison en bois. C'est encore d'une seule traite que nous parcourons les vingt cinq kilomètres qui nous séparent du port de plaisance. Nous y arrivons pour 14 h30. C'est aujourd'hui la fête du muguet. Comme pour chaque animation organisée par la municipalité voisine c'est encore un franc succès.

Les vélos fermés à cadenas derrière la capitainerie, Estelle et Clémentine retirent rapidement leurs culottes pour les mettre dans la pochette avant du sac que je porte. Il faut très vite s'imposer un bain de foule. Entre les vendeurs à la sauvette qui propose des brins de muguets cueillis dans la matinée, les stands de jeux ou encore les caravanes aux ballons multicolores proposant même des merguez, nous louvoyons. Il faut parfois patienter pour se frayer un passage. Il n'est évidemment pas question pour Clémentine de se livrer à une de ses exhibes de haut vol dont elle est friande. Par contre, profitant des diverses attractions, pas toujours très discrète, Estelle pose sa main sur ma bosse. D'une série de poignes fermes elle s'amuse. Je parviens à passer ma main baladeuse sous sa jupette.

Juste devant la caravane d'un vendeur de barbe à papa et de pommes d'amour. Il règne là une authentique ambiance de kermesse. Il y a même un orchestre de bal dont la musique nous parvient depuis le chapiteau. C'est en nous glissant à l'arrière, entre le mur et la bâche, que nous pouvons nous adonner à nos attouchements. Je caresse l'intimité de mes deux anges en même temps. Elles me font des bises. La situation ne peut se prolonger. Il y a des gens partout. Et même dans les endroits que nous croyons isolés. Nous flânons jusqu'au bout de la jetée. Toutes les tables des deux terrasses du bar restaurant sont occupées. Il y a même des gens assis sur le muret qui attendent que des chaises se libèrent. Beaucoup de couples flânent. Brins de muguet à la main, ils se promènent nonchalamment.

Nous remontons le large escalier qui mène sur la route que nous traversons pour nous rendre à la supérette. C'est la "kermesse" à l'intérieur également. Ça décourage même le plus patient des amateurs de crèmes glacées. << Venez, on s'arrache. On ne va pas perdre une demi heure là dedans ! >> lance Clémentine. Nous n'avons jamais vu autant de clients dans ce magasin. Peut-être aurons-nous de la chance à une des caravanes proposant des glaces. Toujours est-il que cette légère frustration aiguise un autre appétit. Celui de nous toucher. Nous retournons sur le chemin qui longe le canal. Un pêcheur tous les trente mètres. La grosse artillerie. Tentes paramilitaires, gros véhicules, pêcheurs en tenues de combats. Les poissons n'ont qu'à bien se tenir. C'est assez surréaliste.

<< Ils partent peut-être faire la guerre en Ukraine ! >> lance Estelle. Nous voilà enfin au calme. Derrière les bosquets qui délimitent les champs à la terre fraîchement labourée. Installés sur les K-ways dépliés, nous savourons nos pommes. Estelle et Clémentine, assises en tailleur, le pan de la jupette dissimulant leurs intimités, proposent une partie de cul à l'ombre. Je trouve l'idée charmante. Baiser dans la nature reste une activité bucolique de tout premier ordre. En ce qui nous concerne toutefois. Elles s'allongent. En appui sur les coudes, me faisant face, elles écartent leurs cuisses. << Tu commences par la quelle ? >> me demande Estelle. << On tire au sort avant de "tirer" ! >> lance Clémentine. Elle commence à compter en nous désignant de son index : << Amstramgram ! >>

<< Pic et pic et collégram ! >> rajoute Estelle en caressant son clitoris. << Tu triches ! >> s'exclame Estelle quand Clémentine termine sa comptine en pointant son index sur son sexe. Nous rions aux éclats. Je me penche. Délicatement j'enfonce mes doigts. D'abord jusqu'à la première phalange que je fais tourner. Puis ensuite jusqu'à la seconde. En appui sur leurs coudes, elles m'observent toutes les deux avec cet air étonné. C'est adorable. Je dis : << La première qui mouille vraiment, sera pénétrée ! >>. Elle se mettent à rire en bougeant leurs bassins. C'est par Clémentine que je commence. J'enlève short et slip. En appui sur mes bras, pour ne pas peser de tout mon poids, je la pénètre avec d'infinies précautions. Estelle se redresse pour m'attraper les couilles. Elle me chuchote des trucs.

Je tente de la doigter. À genoux à côté de moi, me palpant les roubignoles, elle m'offre son intimité. J'y fais bouger doucement deux doigts. << J'adore quand tu me fouilles ! >> murmure t-elle. << J'adore quand tu es en moi ! >> chuchote Clémentine. Je ne sais plus où donner de la tête. Estelle reste toutefois vigilante à observer les environs. Nous ne sommes qu'à une centaine de mètres des premiers pêcheurs. Parfois l'un ou l'autre vient pisser dans les fourrés. Nous nous planquons en nous plaquant au sol. << Vous avez vu la grosse bite de ce mec ? >> demande Estelle une fois l'alerte passée. Nous en rions de bon cœur. << Et moi ? >> finit pas demander Estelle. Je me retire de Clémentine pour m'introduire dans Estelle. Clémentine qui ne cesse elle aussi de se masturber fait le guet.

Des papillons blancs virevoltent autour de nous. Mais il y a également des insectes plus intrusifs. Au bout d'une heure, nous n'arrêtons plus de les chasser, de nous gratter. << Put-Hein mais quelle merde ! >> s'écrie Estelle qui n'en peu plus de ses démangeaisons. Nous sommes tous les trois debout à nous gratter. Stop. Nous replions les K-ways pour repartir. C'est là, en longeant les bosquets que nous tombons sur un inconnu. Le bougre était planqué pour mâter. Il fait semblant de consulter son téléphone quand Estelle lui demande : << C'était Bien ? Ça vous a plu ? >>. Le jeune type, confus, se contente de ricaner stupidement. Nous voilà de retour sur les quais. Il est dix sept heures et il y a toujours autant de monde. Nous flânons encore un peu. Il va bientôt être l'heure.

C'est une fin d'après-midi d'été. Le vent a tourné. Il nous pousse. En regardant les cieux derrière nous, nous découvrons les nuages qui s'amoncellent. Nul doute qu'il y aura un changement climatique en soirée. Il est dix neuf heures quand nous sommes de retour. Avec les démangeaisons d'insectes, une douche s'impose. Tous les trois à déconner. Tous nus. Ça fait un bien fou en même temps que ça soulage. Clémentine fais l'assaisonnement du gros concombre. Estelle réchauffe les spaghettis à la poêle dans du beurre. Je concocte une sauce au Roquefort. Je râpe du Parmesan. Juste en slips et en T-shirts nous mangeons de bon appétit. Nous donnons une suite à l'épisode "baise" de l'après-midi. Sans les mouches. Malgré une fatigue récurrente qui tempère quelques peu nos Jeux OlymPipes.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aime vivre un épisode 2 dans la plus divine des voluptés. Avant de s'enlacer autour de leur coquin pour s'endormir serrées contre lui. Le goût de son sperme dans la bouche...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 11 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2602 -



Le programme du jeudi

Chaque jour de ces vacances, nous nous réveillons et nous nous levons un peu plus tard. C'est du moins notre impression. Hier matin, jeudi, par exemple, il est un peu plus de neuf heures quand Estelle me tire du sommeil. Son jeu de jambes. Sa poigne ferme tenant mon érection, ses lèvres telles des ventouses dans mon cou. Clémentine venant se blottir contre moi. Entre mes deux anges que j'entoure de mes bras je reviens doucement à la conscience. Distribution de bisous. Nous nous étirons en modulant nos gémissements. Estelle qui se lève d'un bond pour se précipiter dans son pyjama de soie mauve vers la porte. S'écriant << Pipi ! >>. Clémentine qui s'allonge sur moi, frottant son sexe sur le mien. Me chuchotant des douceurs. C'est ainsi que débute cette nouvelle histoire de nos vies.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Les radiateurs fonctionnent toujours encore pour un deux Mai. Nous revêtons nos tenues de jogging dans la salle de bain. En regardant par les fenêtres il faut faire un effort pour se convaincre que c'est le début du mois de mai. Le ciel est couvert. Des nuages bas présentent toutes les déclinaisons des gris les plus sinistres. Il ne pleut toutefois pas. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Les suaves odeurs du café, du pain grillé. Alors qu'elle presse les oranges, je viens me positionner derrière elle. Mes mains d'abord sur ses hanches, qui remontent sur ses seins. Il n'y a pas seulement le contact de la soie mais le plaisir des formes. Mes lèvres dans sa nuque. Titillant sa peau du bout de ma langue. Clémentine se blottit.

Délicieusement perturbée, Estelle pèle les kiwis en gémissant de bonheur. Clémentine, ses mains dans mon legging de lycra noir. Nous prenons tout de même un copieux petit déjeuner en revenant sur notre virée vélo jusqu'à la fête du muguet sur le port. Estelle me rappelle les douces sensations vécues malgré les mouches, lorsque nous faisions l'amour sur les K-ways. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme du jour. Cet après-midi il faudra aller récupérer les livres de leurs thèses chez l'imprimeur. Puis ce soir Lise viendra manger à la maison. << Tu es prié de nous offrir une prestation de qualité, à toutes les trois ! >> me lance Estelle en se levant pour mimer une masturbation masculine. Avec toute cette vulgarité dont elle est coutumière.

Nous traînons à table. La température extérieure n'est que de 9°. Il faut réunir notre courage si nous voulons aller courir dans le froid. C'est sous l'impulsion de Clémentine que nous décidons d'affronter les conditions météorologiques. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Déconnades. Pendant qu'Estelle se vêt de sa tenue sport, nous faisons le lit. Nous dévalons les escaliers pour enfiler les K-ways. C'est une gifle en sortant. De quoi décourager un esquimau. Des mouvements d'échauffement nécessaires avant de partir pour un jogging le long de la rivière. Il est onze heures quand nous revenons. Estelle sous la douche la première pendant que nous préparons nos vêtements. Tous les trois, habillés de nos 501, de nos épais sweats, au salon, assis devant l'ordinateur. Consultations.

Pas de nouveau courriel. Mes deux anges surfent sur le site universitaire. Me tournant le dos, assises sur mes cuisses, mes mains sous leurs sweats, je caresse leurs seins minuscules. Bien décidé à nous offrir un repas plus diététique que ces derniers jours, nous passons à la cuisine. Pour ce soir, ce sera une Flamiche Picarde. Cette tourte aux poireaux que nous voulons faire découvrir à notre invitée. Pour la préparation, chacun a son rôle. Rôles que distribue Clémentine. Pour le repas de midi ce sera des pommes de terre poêlées que j'épluche, lave et coupe en petits dés. Avec des escalopes de dindes émincées et crème de champignons. Je râpe le gruyère. Estelle égoutte les poireaux coupés. J'écoute les filles évoquer ce troisième et dernier trimestre qui achèvera leurs études.

La Flamiche Picarde est au four. Tout est prêt pour ce soir. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la personnalité de Lise. Depuis novembre qu'elle vient faire notre ménage tous les samedis matins, nous commençons à percevoir quelques traits de caractère spécifiques. Estelle veut absolument s'assurer si cette jeune fille de dix neuf ans est "membre du même "club". Nous en rions aux éclats. En se levant elle réitère sa demande en précisant : << Tu nous fais du spectacle ce soir. Je veux voir ses réactions ! >>. Clémentine rajoute : << Elle est déjà voyeuse, ça c'est certain, elle admire les exhibes de Julien depuis la fenêtre de la cuisine les samedis matins ! >>. Pliés de rire, nous évoquons quelques souvenirs précis. Surtout les plus cocasses. Quand je montre ma queue à notre chère Danièle durant ses livraisons.

Nous traînons à table avant de faire la vaisselle. À la salle de bain, dans nos pitreries, pendant que nous nous lavons les dents, Estelle ne cesse de palper ma braguette ouverte. Nous nous changeons. Levis, chemises blanches sous nos pulls bleus nuits aux cols en "V". Bottines noires. Écharpes de soie crème. Nos blousons de cuir noir. Dans le hall d'entrée, devant le grand miroir de la penderie, nous prenons des poses. Des poses alternant le ridicule avec le "glamour" des magazines de modes. Nous adorons l'élégance raffinée. Par mesure de précaution, il vaut mieux se munir du grand parapluie. C'est parti. Je roule doucement. Nous n'avons pas un timing précis. Nous avons prévenu de notre arrivée en début d'après-midi. Clémentine joue avec ma queue. Assise à l'arrière, Estelle caresse mes joues, mon cou, ma nuque.

L'entreprise est situé dans la zone commerciale. Quinze kilomètres de bagnole. À proximité de l'hypermarché. Je gare la voiture sur le parking de l'imprimerie. Deux grands bâtiments en "L". Je referme ma braguette avant de sortir de l'auto. Nous retrouvons avec joie l'ambiance des bureaux d'accueil. La jeune fille nous reçoit avec le sourire. Cet homme d'âge mûr, entre ces deux jeunes filles sublimes, tous les trois de hautes tailles, suscitent toujours un effet très particulier sur les gens que nous rencontrons. Il en va encore de même de l'employée qui nous invite à la suivre. Il y a deux cartons qui nous attendent sur une table. Ce sont nos commandes. Un cartons contenant vingt exemplaires de la thèse de Clémentine. Un carton contenant vingt exemplaires de la thèse d'Estelle. Un exemplaire de chaque posé dessus.

J'aime voir l'enchantement se dessiner sur les traits de leurs visages. Elles feuillettent leurs livres. À leurs insu j'ai demandé à l'imprimeur une couverture brochée avec le titre en relief. C'est du plus bel effet. Avec la soutenance de thèse, de présenter des ouvrages d'une telle qualité à un jury, impressionne forcément. Elles restent sans voix. Ce sont des livres d'une centaine de pages. J'ai voulu le meilleur papier, le meilleur grammage. Ce sont véritablement des ouvrages de grand luxe. Leurs prénoms et leurs noms en lettres d'or se détachant sur fond bleu nuit. Clémentine me saute au cou. << C'est magnifique ! >> s'écrie t-elle devant la dame médusée puis amusée par tant d'expressivité. C'est au tour d'Estelle qui s'exclame : << Tu nous avais pas dit que ce serait si beau ! >>. Les cartons sont assez lourds.

La jeune femme propose d'appeler un employé pour les emmener jusqu'à notre voiture. Tout est payé. Aucune autre formalité que de signer l'accusé de réception et le formulaire pour le dépôt légal. Un ouvrage part directement à la bibliothèque nationale. Le jeune garçon pose délicatement les cartons dans le coffre arrière. Nous repartons. Dans la voiture, mes deux anges mitraillent mon visages de bisous. J'ai la braguette à nouveau ouverte, la bite dans la main de Clémentine. Je roule doucement. Les filles feuillettent et regardent leurs créations littéraires. << Ce sera comme un talisman pour le reste de nos vies. Ce livre restera comme un souvenir pour le restant de mes jours ! >> lance Clémentine. << Pour moi aussi ! Et quand je vais le montrer à mes parents ! >> rajoute Estelle. Je gare l'auto sur le parking de l'hypermarché. Les premières gouttes de pluie. Pas besoin de chariot. Nous nous contenterons d'un panier à roulettes.

Nous n'avons pas réellement besoin de faire des achats. Avec cette météo pitoyable, c'est sympathique de flâner dans ce grand espace. Il y a peu de monde. Clémentine aimerait beaucoup s'offrir les doux frissons d'une exhibe de qualité. Aussi nous traînons longuement dans les rayons permettant de telles opportunités. Les bouquins, les magazines, l'informatique, les vêtements hommes. Hélas, il n'y a aucun solitaire à traîner dans les allées. Estelle, pas toujours très discrète, me palpe la bosse. Elle se place devant moi, un bras autour de mon cou, l'autre main tripotant ma braguette fermée. Elle enfonce même sa langue dans ma bouche pour provoquer l'érection qui déforme mon Levis. Ce qui attire et interpelle évidemment les clients qui tombent sur la scène. Nous en rions.

Le passage en caisse avec quelques articles. Sopalin, lessives pour les couleurs et autres crèmes de cirage. Bombes anti moustiques. Nous flânons longuement dans l'immense galerie commerciale. Un bon chocolat chaud dans l'un des deux salons de thé. Avec une tranche de tarte aux pommes. Il est dix huit heures quand nous sommes de retour. Le temps de ranger nos achats, de préparer la table, de réchauffer. Estelle, accroupie, qui sort mon Zob. Clémentine qui s'accroupit à ses côtés. Toutes les deux à rire des odeurs de ma queue toute molle. Je les tiens par leurs nattes comme par une laisse. Je tire un peu dessus. Quelques à coups, quand elle sucent à tour de rôle. Il n'est pas tout à fait dix neuf heures quant arrive Lise. C'est Estelle qui va l'accueillir dans le hall d'entrée.

La mise en scène est simple. Je suis au salon entrain de me branler. Clémentine à la cuisine à surveiller la cuisson. Estelle vient me rejoindre, suivie de Lise. Ce soir vêtue d'un pantalon de velours noir, très moulant, de baskets noirs, d'un pull noir. Ses cheveux courts, auburns, ses légères tâches de rousseur, sa peau a pris le soleil. Légèrement dorée. Elle est magnifique. Elle entre dans le salon sans se rendre immédiatement compte de ce qui s'y passe. Clémentine vient nous rejoindre. C'est une des rares fois où Lise veut me faire la bise, sa main tendue. Je me tourne lorsqu'elle dit : << Bonsoir Julien ! >>. Elle découvre mon érection. Elle la connait parfaitement mais il y a toujours ce petit réflexe de recul. Typiquement féminin. J'adore. << Décidément ! >> s'exclame t-elle en riant.

Elle se contente alors de me serrer la main. Nous quittons le salon pour la cuisine. Les effluves parfumées de la Flamiche Picarde ont envahi l'espace. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. J'écoute les filles parler de leurs études, de leurs désirs de réussites. << Tu ne nous fais pas ton numéro ? >> me demande soudain Estelle. Clémentine rajoute : << Oui, nous avons une invitée de classe ! >>. Lise me fixe. Elle devient toute rouge. Baisse les yeux comme terriblement gênée. Je me lève. Je fouille mon slip pour en extraire une queue semi molle. Ce fameux "tuyau d'arrosage" comme le surnomme Estelle. Je l'agite en direction de chacune des filles. Clémentine m'adresse un clin d'œil. Estelle également. J'adore leurs regards vicelards. Lise sourit timidement. En sueur.

<< Ce sont nos soirées du "Club" ! >> explique Estelle. << Tu aimes ? >> demande Clémentine. Lise retrouve le contrôle et répond : << Mais c'est tout le temps alors ? Ce n'est pas que les samedis matins quand je viens faire le ménage ? >>. Nous rions tous les quatre aux éclats. Lise devra nous laisser pour 21 h30. Demain matin elle va au marché avec sa maman. Elle reviendra samedi matin pour le ménage. << J'aime cette maison. J'aime ses occupants. J'y passe du bon temps et je n'ai pas l'impression de venir bosser ! >> rajoute encore la jeune fille. Alors que je me lève pour la troisième fois en faisant l'hélicoptère. Il y a une ambiance de fraîcheur. De nouveauté. Lise découvre notre relation à trois. Pose quelques questions sur les rapports amoureux que cela induit. Clémentine explique. Lise reste souvent bouché bée, ravie, enchantée. Découvrant les extravagances qu'induit le triolisme. Elle pose alors souvent son regard vif sur moi.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines ravies d'introniser "membre d'honneur" une nouvelle adhérente du "Club". Une nouvelle membre ravie elle aussi de faire partie de ce cercle très fermé. Une nouvelle membre qui promet de nous parler bientôt de ses penchants secrets...

Julien (membre et trésorier du "Club")



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Clémentine , Julien et Estelle
Saturday 4 May 2024 07:10

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 12 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2603 -



Une belle randonnée

Il n'est pas loin de huit heures trente, hier matin, vendredi. Estelle sait me surprendre avec d'amusantes variantes. Elle me réveille cette fois sans le moindre scrupule, en saisissant ma tumescence. Comme presque tous les jours pour me réveiller. Mais cette fois, encore dans mon sommeil, elle me masturbe. C'est une bien étrange sensation que de se faire branler en dormant encore. C'est probablement sa bouche qui se referme sur mon érection matinale et tout à fait naturelle. Tout cela réveille Clémentine qui, en venant se blottir contre moi, découvre la situation burlesque. Estelle revient à la surface en posant sa tête sur ma poitrine. Continuant à me masturber. Elle cesse aussi soudainement. Se redresse. Se lève pour courir vers la porte, me laissant totalement pantois. Consterné.

Clémentine s'allonge sur moi. Mitraillant mon visage de bisous. << Demain, c'est moi qui te réveille comme ça ! >> chuchote t-elle. C'est en riant que nous allons aux toilettes à notre tour. Dans la salle de bain, en revêtant nos tenues de gymnastique, Clémentine chantonne : << Pipe du matin ! >>. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Les suaves odeurs du café, du pain grillé flottent dans les airs. Sur la table les croissants au chocolat achetés à la boulangerie du centre commercial. J'aime caresser la soie du pyjama mauve d'Estelle quand elle est occupée à presser les oranges. De ses hanches monter sur ses seins. Mes lèvres dans sa nuque. Juste à la racine de ses cheveux. Pendant que Clémentine, derrière moi, ses mains dans mon legging, fouille mon slip.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre après-midi de jeudi. La récupération des bouquins chez l'imprimeur. Les flâneries à l'hypermarché. Nous mangeons de bon appétit en évoluant la possibilité de faire un jogging malgré un ciel menaçant présentant toutes les déclinaisons d'un gris sinistre. De plus le sol est humide des pluies de la nuit. Nous traînons à table en essayant de nous motiver. La température extérieure étant de 9°. Finalement le courage l'emporte. Ce sera un running mais en restant sur le bord de l'étroite route communale. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Dans la plus totale déconnade. Pendant qu'Estelle se change, nous faisons le lit. Nous redescendons pour enfiler les K-ways. Des mouvements d'échauffement dans la fraîcheur humide.

Nous montons à petites foulées jusqu'au portail. C'est parti. Accélérant le rythme pour suive Estelle qui mène la course. Il est un peu plus dix heures quand nous revenons. La douche. Vêtus de nos 501, de nos chemises à carreaux, de nos baskets, nous voilà au salon. Assises sur mes cuisses, allumant l'ordinateur, mes deux anges commencent par consulter le site de l'université. Mes mains caressant leurs petits seins. C'est devenu un autre de nos rituels matinaux. Pas de courriel aujourd'hui encore. Estelle se lève la première pour aller s'installer dans le canapé. Clémentine m'entraîne par la main pour la rejoindre. Je suis entre mes deux anges. Nous regardons les photos du séjour à Bourg-Vignes. De bons souvenirs. À son insu, Estelle a pris quelques photos de monsieur Guillaume.

<< Tu te rends compte, tu as sucé ce gros porc ! >> lance Estelle. << Arrête, je ne savais pas encore ! >> répond Clémentine. Nous rions des frasques de Clémentine qui conclue : << J'ai ma dose pour quelques temps ! >>. Tout en prononçant ces mots elle fourre sa main dans ma braguette. Celles d'Estelle étant occupées avec l'I-phone. << Copieuse ! >> dit elle à Clémentine qui m'extrait le Zob. << Je mâte ! >> s'exclame Estelle en se levant pour s'assoir dans le fauteuil qui fait face. Déboutonnant son Levis pour glisser sa main dans sa culotte. La cuisse droite sur l'accoudoir de droite, la gauche sur l'accoudoir de gauche. Je ne tarde pas à bander dans la bouche de Clémentine. Je caresse sa nuque. Parfois je saisis sa natte pour secouer sa tête. Parfois même j'appuie sur son cou.

Estelle, grande voyeuse, se délecte du spectacle. Pendant que je me fais tailler une pipe des familles, Estelle énumère en comptant sur ses doigts, le nombre de fois où nous étions cachés elle et moi, pour regarder Clémentine sucer des inconnus. Je suis impressionné quand elle attaque la dizaine suivante. Tout nous revient en mémoire. Tout en suçant Clémentine glousse en riant. Il va être onze heures quarante. La faim commence à se faire sentir. Je force Clémentine à cesser. Elle se redresse, me montre ce qu'elle va garder le plus longtemps possible en bouche avant d'avaler. Nous quittons le salon pour la cuisine. Clémentine, toujours silencieuse, remuant doucement la mâchoire, fait l'assaisonnement d'une salade de carottes. Estelle réchauffe la dernière part de tourte aux poireaux.

Je fais gonfler du riz complet. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la visite de Lise jeudi soir. Son "intronisation" au "Club". Estelle évoque les attitudes de la jeune fille. Sa façon de loucher sur ma queue. << Tu ne fais pas vraiment attention Julien, tu es trop occupé à te branler. Mais je peux te garantir qu'elle photographie chaque instant pour en faire un nouveau souvenir ! >> m'explique Estelle. Clémentine développe en décrivant des scènes précises. << C'est très fort, quand tu te lèves, pendant qu'on mange pour faire tourner ta queue ! >> dit elle. Estelle rajoute : << Au début, quand tu faisais ça devant moi, j'étais hyper gênée autant que troublée ! Tu t'en souviens ? >>. Nous avons tant de souvenirs de cette nature en commun. Nous aimons souvent en parler.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Dans le petit sac à dos, pommes, barres de céréales, thermos de thé bouillant. Nous montons nous laver les dents dans la plus parfaite déconnade. Nous restons habillés des mêmes vêtements. Pressés de filer nous redescendons à toute vitesse. Il y a quatre kilomètres jusqu'à la chapelle désacralisée où nous garons la voiture. Je remballe ma bite car d'autres randonneurs se préparent à côté de leurs autos. Nous changeons de chaussures. Clémentine propose de manger au restaurant du bourg. C'est paradoxal. Ce bourg n'est qu'à quelques trois kilomètres, et nous n'avons mangé dans son unique restaurant qu'une seule fois, il y a six ans. Nous en gardons un bon souvenir. C'est parti. Nous pouvons marcher avec les anoraks ouverts. 18°.

Avec la pente, rapidement en surchauffe, nous les retirons pour les nouer avec leur manches autour de nos tailles. Ce qui est parfait en ce qui me concerne, je peux garder la bite à l'air, dissimulée sous le nœud. Pour le plus grand plaisir de mes deux anges. Surtout celui d'Estelle qui peut ainsi s'amuser avec le Zob tout le long des chemins et des sentiers. Le ciel est moins menaçant et à même tendance à s'éclaircir. Nous arrivons aux anciennes tuileries. Il y a des promeneurs. La végétation est devenue exubérante. Il faut faire attention aux ronces pour entrer dans le seul bâtiment des fours. Estelle me tient la bite pour en diriger les jets contre un des murs de briques rouges. Clémentine téléphone au "Renard", le restaurant du bourg pour y réserver une table. << Parfait ! >> fait elle.

Dans la descente, second arrêt pipi pour les filles. Accroupi derrière elles, mes index enfoncés dans les trous du cul, mes deux anges pissent en riant. << Enculeur de filles ! >> lance Estelle. Le doigt dans le cul a pour effet de décupler la puissance des jets. Clémentine doit certainement s'approcher de ses records. Je les torche soigneusement. Nous rions de nos petits jeux. Je me fais même sucer au détour du sentier au-dessus de la falaise des anciennes carrières. Il est dix huit heures quarante cinq quand nous revenons à la voiture. Changement de godasses. Exactement dix neuf heures quand nous stationnons sur le parking du "Renard". D'autres bagnoles. Il n'y a toutefois pas trop de monde. Attablés à déguster du sangler aux gnocchis, nous revenons sur les moments forts de notre randonnées. Deux visites aux toilettes hommes. D'abord avec Estelle que je pénètre en levrette dans un des cabinets, puis avec Clémentine qui suce.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment revenir d'un bon restaurant pour se glisser sous les draps, se faire sucer et lécher le minou entre deux petites pénétrations de principes. Avant de s'endormir contre leur coquin, le gout de son jus de couilles dans la bouche...

Julien (le coquin au jus de couilles)



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Nos bonnes vieilles habitudes du samedi

Il est sept heures trente, hier matin, samedi. Je me programme avant de m'endormir. Parfois, ça fonctionne. D'autres fois, ça ne fonctionne pas. Conformément à ce qui est convenu le vendredi soir avant de nous endormir, j'ai pour mission de nous réveiller. Content d'être conscient le premier, c'est moi qui tire mes deux anges de leurs sommeils. Estelle à ma droite, serrée contre moi. Clémentine à ma gauche, couchée sur le dos. D'un geste précis, réfléchi, je glisse ma main entre les cuisses d'Estelle. Bien à plat sur son sexe, au travers de la soie de son pyjama mauve et de sa culotte de coton blanc. La réaction est immédiate. Ce merveilleux réflexe féminin d'auto protection. Elle serre ses cuisses sur ma main en émergeant. À son oreille je chuchote : << Je vous aime mademoiselle ! >>

Elle se serre encore plus fort en gémissant d'aise. Clémentine, réveillée par les mouvements de la couette, vient se blottir contre moi. J'applique la même formule. C'est formidable de réveiller les filles de cette manière. Je vais y penser plus souvent. À l'oreille de Clémentine je murmure la même phrase. Dans un même élan, voulant s'en emparer, elles se disputent mon érection matinale. En riant. Toutes les deux saisissent mes poignets. << Attention, je dois faire pipi fort ! >> lance Estelle. << Interdiction d'arrêter ! >> dit Clémentine. Je suis entre mes deux anges dans un enchantement paradisiaque. Il est impossible de s'y habituer. Impossible que cela ne devienne une routine. Même quand Estelle se lève d'un bon en s'écriant : << Urgence absolue ! >>. Elle se précipite vers la porte.

Clémentine passe sa tête sous les draps pour gober mon érection faiblissante. Cette étrange sensation lorsqu'il y n'a pas de réelle excitation me couvre de frissons. Comme si j'avais froid. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge à la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans le hall d'entrée. Clémentine ouvre le portail depuis l'interphone. De la cuisine nous parviennent les effluves parfumées du café, du pain grillé. Nous y rejoignons Estelle qui termine de presser les dernières oranges. Je passe derrière elle. Mes lèvres dans sa nuque, à caresser ses seins, lorsqu'elle me dit : << J'aime être réveillée comme aujourd'hui ! Tu refais demain ? >>. Clémentine, ses mains dans mon legging.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la randonnée de vendredi après-midi. Comme Estelle aime les récits "Gloryhole" que je publie sur ce même forum, dans la rubrique "Pratiques sexuelles, jeux érotiques et fétichisme", intitulés "Le trou", (https://www.bobvoyeur.com/forum/read/24/2785197/pratiques-sexuelles-jeux-erotiques-et-fetichisme/le-trou), elle demande : << Comment se fait-il qu'en une dizaine d'années il ne reste plus aucune trace de tes créations murales ? >>. Clémentine apporte une explication, parodiant la célèbre chanson de Léo Ferré, en riant la première : << Avec le temps, avec le temps va, tout s'en va ! >>. Nous rions aux éclats. << Waouh, tu connais les classiques de la chanson française. Je ne me souvenais plus de celle-là ! >> s'exclame Estelle. Nous mangeons de bon appétit avec la même interrogation : << Jogging ou pas jogging ? >>. Dehors le ciel connait des séquences ensoleillées. Seulement 12°

<< On prend nos courages à deux pieds et on le fait ! >> s'écrie Estelle. Nous ne traînons pas, il est huit heures. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Pendant qu'Estelle quitte son pyjama pour sa tenue de running, nous recouvrons le lit, fermons la porte fenêtre. En nous tenant par les mains, nous redescendons. Les K-ways. Quelques mouvements d'échauffement dans la désagréable fraîcheur humide. C'est le long de la rivière que nous courons une heure. En revenant nous découvrons la petite Fiat rouge de Lise garée devant la maison d'amis. Nous montons directement dans la salle de bain. Les bruits que fait l'aspirateur. Lise est déjà en plein ménage quelque part à l'étage. Estelle prend sa douche la première en chantonnant. Nous préparons nos vêtements du jour.

Après nous êtes douchés, les filles sont assises sur les deux tabourets. Les épaules recouvertes de larges serviettes. Devant le grand miroir. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite, je les coiffe. Nous adorons cette séance de bien-être. J'aime entendre mes deux anges raconter d'amusantes anecdotes concernant les professeurs, les étudiants de leur section. Sur leurs demandes, je divise leurs longs cheveux secs en trois parties égales. Pour les tresser en des nattes qui leurs tombent au-dessus des reins. << En Écosse, on va les réduire d'au moins dix centimètres ! >> précise Estelle. Comme je refuse de prendre ce risque, Estelle et Clémentine se couperont les pointes l'une après l'autre. Elles font ça depuis qu'elles ont douze ans. Elles programment la coupe.

C'est à mon tour de me faire sécher les cheveux et coiffer. C'est un jeu auquel mes deux anges s'amusent comme si elles jouaient à la poupée. Nous rions de bon cœur des grimaces que nous échangeons dans le miroir. En s'accroupissant entre mes jambes nues, Estelle attrape mon Zob tout mou en disant : << Ma poupée barbue ! Que je vais transformer en Kent viril ! >>. Nous enfilons nos Levis, nos sweats, nos baskets. En sortant de la salle de bain nous rencontrons Lise. Le tuyau dans une main, l'aspirateur dans l'autre. Son merveilleux sourire lorsqu'elle pose le tout au sol pour retirer ses écouteurs. La bise à Clémentine. La bise à Estelle. Une hésitation en fixant ma braguette béante. Largement ouverte sur mon boxer de coton blanc. Elle se met sur la pointe des pieds pour m'en faire une.

Lise revient rapidement sur notre première soirée ensemble, jeudi dernier. Nous remerciant pour la succulente Flamiche Picarde. Vêtue de son éternel survêtement gris, nous la laissons à ses travaux. Au salon, assis devant l'ordinateur, nous découvrons nos mails. Celui de ma famille d'Édimbourg. Il faudra se faire à l'idée qu'oncle Alan ne soit pas avec nous dans la grande demeure victorienne en juillet et en aout. Il restera hospitalisé dans son unité de soins gériatriques. Le message de Juliette qui nous raconte sa semaine. Qui nous apprend qu'elle ne viendra pas mercredi prochain. Sa sœur est montée de Corse pour passer le "pont" avec elle. Je caresse les seins minuscules de mes deux anges, mes mains sous leurs sweats. Assises sur mes genoux, me tournant le dos.

Nos livraisons ne vont pas tarder. ll est presque dix heures. Le ciel s'est à nouveau couvert mais reste lumineux. Nous quittons le salon. Nous retrouvons Lise entrain de passer la serpillère sur le carrelage du couloir. << Allez-y franchement, je repasse après vous ! >> lance t-elle alors que nous allons vers le hall d'entrée. Elle fixe ma braguette avec grand intérêt lorsque Estelle y fourre sa main en disant : << Il paraît que tu aimes bien mâter depuis les fenêtres de la cuisine ! >>. Lise confirme d'un timide : << Oui ! >>. Clémentine s'accroupit pour me sortir la queue. Molle et flasque qu'elle agite en se redressant. Elle rajoute : << Tu vas avoir du spectacle ! >>. Lise n'ose pas me regarder dans les yeux. Mais l'expression ravie et complice de son visage ne laisse pas le moindre doute.

La température extérieure n'est que de 14°. Il faut enfiler les anoraks. << Rappelons que nous sommes le 4 mai et que c'est l'hiver ! >> s'écrie Estelle en saisissant ma bite. Clémentine tend son bras et, à la façon d'un exorciste, déclame : << Décembre, sors de ce mois de mai ! >>. C'est en riant que nous dévalons les quatre marches du perron. Avec les anoraks ouverts ça reste supportable. Nous n'attendons pas longtemps. Voilà la camionnette blanche qui descend lentement pour venir se garer derrière la petite voiture rouge de Lise. Le merveilleux sourire de Danièle quand elle en saute pour se précipiter vers nous. Ce sont des bises qu'elle nous fait cette fois. Montant ainsi d'un cran la complicité qui s'est installée. << Vous m'avez beaucoup manqué ! >> lance t-elle.

Nous contournons le véhicule en la suivant. Avant d'en ouvrir les portes arrières, Danièle saisit ma bite en disant : << Elle aussi m'a manqué ! >> Nous éclatons de rire. << Nous on l'avais tous les jours ! >> lance Estelle. Danièle lâche mon Zob pour ouvrir les portes arrières. Je sais que là-bas, à une centaine de mètres, derrière une des deux fenêtres de la cuisine, Lise observe. Aussi, ne désirant pas la priver du spectacle, je me tourne vers la maison. Estelle vient passer son bras autour de ma taille. De sa main libre qu'elle agite, elle adresse un coucou à notre voyeuse. << Tu montes ! >> lance Danièle qui me fait signe de la rejoindre. Là, entre les piles de cageots, elle s'accroupit pour gober mon sexe. Je bande mou. Sous l'effet de l'indicible caresse je ne tarde pas à bander dur.

Clémentine et Estelle, une main dans leurs Levis, regardent la scène au bas de la camionnette. Estelle assiste à cette scène pour la première fois. Le regard qu'elle m'adresse est lourd de sens. Presque sévère. Elle me scrute jusqu'au plus profond de mon être. Je me sens complètement à poil. C'est presque gênant. Danièle se redresse. << J'en avais oublié le gout ! >> dit elle en saisissant le cageot sur le haut de la pile de droite. Il est lourd. Je l'attrape pour descendre de la camionnette. Il contient les fruits, les légumes. << Goutez-moi ces asperges vertes et les autres, les blanches. Vous m'en direz des nouvelles ! >> lance Danièle. Clémentine monte à son tour pour récupérer le cageot contenant les yaourts, les pots de crème fraîche, de fromage blanc les œufs, les fromages.

<< Meilleures que cette asperge-ci ? >> demande Estelle en choppant ma queue qu'elle agite vers Danièle qui répond : << C'est une autre variété, mais toute aussi juteuse ! >>. Danièle saute du véhicule. Elle s'accroupit une nouvelle fois. Estelle ne lâche pas la bite que Danièle prend immédiatement en bouche. Cette fois, depuis sa fenêtre, Lise peut enfin comprendre ce qui se passe. C'est Clémentine qui lui adresse un grand signe du bras. Je devine sa silhouette, là-bas, derrière les vitres. Tout cela ne dure qu'un bref instant. Danièle a bien d'autres clients à livrer. En s'installant au volant elle dit : << On ne se voit pas mercredi. À samedi prochain alors ! >>. Elle démarre. Estelle, tout contre moi, me branle. Nous regardons Danièle faire sa manœuvre de demi tour. Je bande comme un vrai salaud.

En mimant une pipe, poing fermé qu'elle fait tourner devant la bouche, une bosse à l'intérieur de sa joue, la jeune femme nous adresse un dernier clin d'œil. Je dis : << Il faut remballer parce que madame Marthe ne va pas tarder. Estelle me lâche. Je peux ranger les "outils", mais avec difficulté. Une érection est un handicap pour tout remballer rapidement. Heureusement que j'y parviens sous les rires de mes deux coquines. Clémentine cesse de se toucher. Ouf. Car voilà le tube Citroën rénové de notre boulangère adorée. Hilare au volant, elle vient se garer au même endroit. Elle saute de son fourgon pour nous saluer. << J'ai livré vos parents il y a trois quart d'heure ! >> lance madame Marthe à Estelle. Tout en faisant coulisser la porte latérale dans un épouvantable bruit de tôles froissées.

La dame me tend le cageot contenant deux grosses miches. Deux grosses brioches au pudding, des croissants aux amandes. Deux pâtes feuilletées. Six énormes bouchées à la reine. << Dans le grand Est et en Belgique, ils appellent ça des "croutes" ! >> lance madame Marthe. J'attrape le tout pour le déposer avec les autres cageots sur le banc en pierre à côté de l'évier mural. Notre boulangère ne s'attarde pas. Elle aussi a bien d'autres livraisons. Nous saluons la dame. Chacun portant un cageot nous contournons la maison pour descendre à la cave par derrière. Dans le cellier, nous déposons les fruits et les légumes sur les étagères en bois. Estelle déboutonne mon 501 alors que je termine d'aligner les tomates. << Tu es un vrai salaud ! Même avec la livreuse ! >> lance t-elle.

Elle sait bien que depuis quelques semaines je me fais sucer par notre agricultrice. Le samedi et le mercredi. Nous le lui racontons. Mais là elle en a fait le constat. << Mais quel vieux pervers tu fais ! >> s'écrie t-elle en me sortant la tige. Nous ne l'avions pas vu. Lise, là, sur la dernière marche de l'escalier intérieur, qui nous observe. Quand elle se sait découverte, Lise prononce d'une voix à peine perceptible : << C'est génial ! >>. Lise agite mon chibre dans sa direction en disant : << Il faut que tu y goutes. Tu comprendras ! >>. Sans répondre, Lise remonte à toute vitesse. Nous nous regardons, un peu perplexe. Du congélateur où je place une des miches, une des pâtes feuilletées et les "croutes", Clémentine tire le gros paquet de moules, les sachets de petits pois et de haricots verts.

Nous remontons. C'est sur le rebord de la fenêtre que nous laissons les paquets à décongeler. Lise vient de terminer la poussière sur les étagères, sur le buffet. C'est quand Clémentine me tend les aliments à mettre au réfrigérateur, que Lise s'approche. Elle fait ça tous les samedis. Accroupie entre la porte du frigo et la desserte. Son visage à une cinquantaine de centimètres de mon sexe qui pend à présent mollement. Une goute de liquide séminal opalescent perlant au bout de la peau fripée du prépuce. Estelle, qui est entrain de laver les feuilles d'une belle laitue, ne cesse de regarder. Une fois encore elle m'adresse cet étrange regard. Elle sait pourtant mes penchants, mes déviances. Là, j'ai l'impression que c'est la toute première fois qu'elle en est la témoin. Elle s'essuie les mains pour venir voir de près. Lise lève les yeux pour observer le comportement d'Estelle. Clémentine reste avec un pot de yaourt dans chaque main. Nous restons silencieux.

Tout aussi soudainement, tous les quatre, nous éclatons de rire. Un œuf tombe de sa boîte pour se briser au sol, sur le carrelage. C'est à cet instant que notre sang ne fait qu'un tour. Que nous sommes saisit de stupeur. Lise, se mettant à quatre pattes, se met à sucer l'œuf. Le spectacle est aussi surréaliste qu'insolite. On l'entend bouffer. Il ne reste que les deux hémisphères de la coquille quand elle se redresse en essuyant sa bouche. << Je viens de laver parterre et je déteste gâcher la nourriture ! >> s'écrie t-elle le plus naturellement du monde. Elle s'éloigne en rajoutant : << J'ai encore la serpillère à passer dans le hall d'entrée ! >>. En refermant la porte du réfrigérateur, Estelle, Clémentine et moi, nous nous regardons. Silencieux. Que faut-il penser de ce qui vient de se passer ?

Nous quittons la cuisine pour le salon. Je suis assis au bureau. Dans la petite enveloppe jaune, je glisse un billet de 50 euros et un billet de 20 euros. Estelle à ma gauche, son bras autour de mon épaule. Clémentine à ma droite jouant avec ma queue. Je bande comme le dernier des salauds. << Comment interpréter ce qui s'est déroulé à la cuisine ? >> chuchote Clémentine. << Moi, ça me laisse assez secouée ! >> murmure Estelle. Je ne sais pas quoi dire. Les évènements sont bien trop récents pour pouvoir un tirer la moindre conclusion. Il est un peu plus de onze heures trente. Lise, à présent vêtue "ville", vient nous rejoindre au salon. Clémentine se redresse. << J'ai passé une superbe matinée ! >> lance Lise en s'approchant du bureau. Je me lève, la bite dans la main de Clémentine.

Je tends l'enveloppe à Lise qui s'en empare en disant : << Merci. C'était super avec la dame dehors ! >> dit elle se dirigeant vers la porte. << Tu veux venir manger un des deux jours fériés de la semaine prochaine ? >> demande Clémentine. Lise répond : << Ce serait avec plaisir. Mais on a prévu un tas de trucs en famille. J'aimerais vraiment ! >>. Nous la raccompagnons jusque dans le hall d'entrée. En mettant son anorak, Lise fixe mon sexe. Plonge son regard dans le mien. Esquisse un étrange sourire. Elle s'adresse à Clémentine : << Je pose ma candidature ! >>. Sans attendre une réponse, Lise ouvre la porte pour sauter les quatre marches et s'enfuir en courant vers sa voiture. En démarrant, elle nous fait un grand coucou. Manœuvre de demi tour. Estelle fait tournoyer ma bite.

En préparant le repas, j'écoute Estelle et Clémentine disserter sur les évènements de la matinée. << Le coup de l'œuf ? Ça veut dire quoi ? >> demande à plusieurs reprises Estelle. << Oui, ça laisse pantois ! >> fait à chaque fois Clémentine. << Et puis elle pose sa candidature à quoi ? >> rajoute Estelle. Autant de questions qui restent encore sans réponses. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Dehors c'est une alternances de séquences ensoleillées, de séquences nuageuses. Ce sera une randonnée mais à partir de la maison. Au départ de la rivière. En direction du haras. Un circuit que nous empruntons rarement et qui mène aux étangs des carpes. Ainsi nommés car il y a là une petite entreprise d'élevage. Des carpes qui sont ensuite dispatchées dans tous les lieux de pêches du département. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Lavage des dents dans la plus totale des déconnades.

Le petit sac à dos que je porte contient les pommes, les barres de céréales, la thermos de thé bouillant. La minuscule paire de jumelles. C'est parti. Nous descendons jusqu'à la rivière que nous longeons sur ses trois kilomètres. Jusqu'au vieux lavoir. Là-bas, de l'autre côté de l'étroite route communale les bâtiments du haras. Je propose d'aller faire une surprise à Juliette. << On verra sa frangine ! >> lance Estelle. Il y a plein de voitures garées sur le parking. Des attroupements. Les parents des jeunes cavalières s'apprêtant à partir sur leurs montures. Nous tombons sur madame Walter. Toute heureuse de nous revoir. << Juliette et Claudine sont parties en ville. Quel dommage, Juliette aurait été tellement contente. Je lui dirai ! >> dit elle un peu déçue. Nous repartons sur le circuit de notre randonnée. Voilà la clairière avec les bancs et les tables. Des promeneurs attablés. Je remballe toujours ma bite au bon moment. C'est parfait.

Cette boucle de quatre heures est un véritable plaisir. Peu de rencontres. Je peux donc évoluer bite à l'air en toute quiétude. Mais la température reste bloquée à 19°. Peu propice aux égarement qui égayent nos randonnées. Même si j'offre à mes deux anges, un délicieux cunnilingus, sur les K-ways dépliés posés sur l'herbe. Souvent humide hélas. Des arrêts pipis très sympathiques. Une excitation graduelle qui nous enthousiasme. Des câlins, des bisous, de petites pipes aux détours de chemins parfois boueux. Il est presque dix huit heures trente quand nous sommes de retour. Morts de faim. Une légère fatigue se fait sentir à la préparation du repas. On fait simple. Des pommes de terres sautées à la poêle. Des escalopes de poulet. Accompagnées d'une salade. Après la vaisselle, il est agréable de pratiquer la "baise sur bureau". En revenant sur les particularités qui ont encore émaillées cette journée. Le dernier samedi de nos vacances.

Bonne "nouille" à toutes les coquines qui aiment à en déguster le jus de cuisson. De ce partager ce "spaghetti" savoureux en échangeant leurs impressions. Avant de se blottir contre leur coquin. De plonger dans les profondeurs d'un océan onirique...

Julien (le mec du "spaghetti")



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
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Le premier vide grenier de l'année

Notre grasse matinée nous emmène aux environs de neuf heures. Hier matin, dimanche, entre Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche, je suis étonnamment le premier réveillé. Je savoure cet instant rare avec toute l'acuité de mon réveil solitaire. Estelle, qui est restée contre moi toute la nuit et qui dort encore en émettant un tout petit bruit de moteur. C'est adorable. Clémentine, couchée sur le dos qui respire profondément. Quel exquis moment qu'il m'est donné de vivre là. Moment qui ne dure peut-être même pas une minute. Le sixième sens féminin. Estelle, comme si elle étouffait, se serre soudain encore plus fort. J'assiste enfin à son retour à la réalité. Quand elle saisit mon érection matinale. Quand elle pose ses lèvres sous mon oreille dans un gémissement lascif.

Clémentine, avec un réflexe organique semblable, vient se blottir. Je reviens au monde entre mes deux anges, dans une félicité divine. Mes bras autour de leurs épaules, distribuant des bises à droite, des bises à gauche. Me faisant déjà tripoter les couilles, la bite. Estelle lutte avec l'énergie du désespoir contre son envie de pisser. Elle y succombe. Se lève pour se précipiter vers la porte. Clémentine s'allonge sur moi de tout son long, de tout son poids pour frotter son sexe contre le mien. Mitraillant mon visage de bisous. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, juste en slips et T-shirts de nuit, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Les suaves parfums du café, du pain grillé. L'énorme brioche au pudding au milieu de la table. J'aime caresser la soie mauve du pyjama d'Estelle.

Caresser ses seins alors qu'elle pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant notre randonnée de samedi après-midi. Aujourd'hui pas de randonnée. Le ciel est bien trop menaçant. Le sol est humide des pluies de la nuit. Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de ces deux semaines de vacances. Un bilan plutôt positif. Il ne reste plus qu'un peu moins de huit semaines avant notre prochain départ pour l'Écosse. Des réjouissances en perspective. Surtout qu'en cette année ce séjour Écossais de deux mois sera très spécial. Il clôturera les huit années universitaires d'Estelle et de Clémentine. Elle reviennent sur cette échéance qui sera soldée par les Doctorats. Je les écoute avec passion. Nous traînons à table. Estelle se lève pour mimer des masturbations masculines bien vulgosses.

Une main dans son pantalon de pyjama. Parfois en frottant son sexe contre un coin de la table. Nous l'encourageons. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges font mille projets pour l'Écosse. il y est question de ces gages que nous devons nous fixer, que nous devrons réaliser chaque jour. Nous rions de bon cœur de l'énormité de ceux que propose Estelle. Clémentine suggère de faire une photo de chacun d'entre ces gages. Tout cela est un enchantement et nous ne manquons pas d'expériences dans ce domaine. Nous avons au moins une centaine de clichés de ses "réalisations" faites les années passées. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous nous habillons en déconnant.

Pressés de nous dégourdir les jambes nous redescendons presque en courant. La température extérieure est de 16°. Il est un peu plus de dix heures. Les anoraks ouverts, nous tenant par les mains, nous allons jusqu'à la rivière. Malgré ce ciel gris, bas et sinistre, l'ambiance est plutôt bucolique. Estelle, fourrant sa main dans ma braguette, nous rappelle que sur les quais du port de plaisance, il y a ce dimanche, le premier vide grenier de l'année. C'est en voiture que nous décidons nous y rendre. J'ai rapidement la bite à l'air. << Avec les couilles aussi, aujourd'hui ! >> fait Estelle en s'accroupissant pour aller fouiller dans mon slip. Avec l'étroitesse de mon 501, il est impossible de m'extraire les roupettes. Elle se redresse après une longue lutte inutile. Nous en rigolons comme des bossus.

Pour lui faire plaisir, c'est moi qui les sort. Ma bite et mes couilles, comme garrottées entre les boutons de mon Levis, nous remontons doucement le chemin. C'est un risque considérable car monsieur Bertrand, notre plus proche voisin, vient très souvent nourrir les canards à la rivière. Estelle nous stoppe. Soupèse mes "outils". << Put-hein j'aime tes couilles quand elles sont bien dodues ! >> s'exclame t-elle à chaque fois. Clémentine empoigne ma bite en rajoutant : << Moi c'est ce truc que j'aime ! >>. C'est surréaliste de traverser la propriété en érection, couilles à l'air. Les filles n'arrêtent pas de jouer avec mes organes génitaux. << Tu es obligé de te balader comme ça au vide grenier cet après-midi ! >> lance Estelle alors que nous rentrons pour retirer nos anoraks. C'est une boutade.

Il est évidemment impossible de se promener ainsi dans la foule. Mais le fantasme est sympathique. Clémentine fait l'assaisonnement d'un gros concombre avec un avocat. Estelle s'occupe du poulet. Je suis délégué à la préparation des frites. Les préparations sont rapides car chacun observe scrupuleusement la tâche qui lui est allouée. Échange de bisous. Je ne garde que la bite à l'air. Avec l'étroitesse de la braguette le dessous de mes couilles s'irriterait trop vite. Estelle me l'attrape donc régulièrement. Parfois Clémentine. C'est très amusant car quand elles s'essuient les mains, je sais ce qui m'attend. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme des prochains jours. << Ce soir je dors à la maison. Je serai toute seule lundi soir. Ça va encore être un traumatisme ! >> lance Estelle.

<< Mais tu reviens mardi soir. Jusqu'au dimanche de la semaine prochaine ! >> précise Clémentine. << C'est vrai, c'est génial de faire le pont vendredi ! >> répond Estelle en se levant pour recommencer ses imitations de branlettes masculines. Avec sa vulgarité habituelle. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Lavage des dents. Nous restons vêtus de nos jeans, de nos sweats. Nous chaussons nos bottines de cuir noir. Nous dévalons les escaliers pour enfiler nos blouson de cuir noir. Cette fois les "Perfectos" de chez Schott. Nous prenons des poses devant le grand miroir de la penderie du hall d'entrée. Les filles accroupies, têtes contre mes hanches, me tenant les cuisses de leurs mains. << Tu sais qu'une bonne séance de "dressage" nous ferait le plus grand bien ? >> s'exclame Clémentine.

Je les tiens toutes les deux par leurs nattes. Je réponds : << C'est presque une semaine entière qui nous attend. On se fait une soirée "Bondage" rien qu'à nous vendredi ! Ça vous dit ? >>. Mes deux anges se redressent en même temps. Estelle pour s'écrier : << Oh oui. Un truc bien salace, comme on aime ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous traversons le jardin presque en courant. C'est parti. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue qu'elle suce parfois quelques instants. Estelle, assise à l'arrière, caresse mon cou. << Pour le retour, c'est moi qui suis devant ! >> dit elle. Clémentine se redresse pour répondre : << Ça va encore devenir une nouvelle habitude ! >>. Nous rions quand Estelle rajoute : << Oh oui, la bite rude ! >>. 35 km jusqu'au port de plaisance.

C'était prévisible. Le premier vide grenier de l'année, organisé par la municipalité voisine, est encore un franc succès. Il faut garer la voiture à plus d'une borne. La gendarmerie oriente les véhicules qui se garent le long de la route. Le ciel reste couvert mais a tendance à s'éclaircir. La température est de 20°. Pas un souffle de vent. Nous nous tenons par les mains pour arriver enfin sur les quais. Il y a un monde fou. Il faut se frayer un chemin entre les promeneurs. Nous adorons chiner chez les brocanteurs, chez les antiquaires. Nous retrouvons cette ambiance spéciale. Tous ces exposants privés qui proposent parfois d'incroyables vieilleries. Bien évidemment, les plus belles choses partent dès le matin. Les professionnels font leurs razzias dès l'ouverture. Souvent même bien avant.

Pas toujours très discrète, Estelle palpe ma bosse. Nos hautes tailles, notre élégance, nos vêtements identiques attirent encore bien des attentions. Cet homme d'âge mûr tenu aux bras par deux sublimes jeunes filles. Un trio qui a de quoi susciter quantité d'interrogations. Moi aussi, j'exerce la tactique de la main baladeuse à chaque occasion. Les vêtements suspendus à des cintres, permettent souvent de dissimuler nos activités tactiles. Combien de fois ne nous faisons nous pas surprendre dans un stand par une propriétaire amusée, par un propriétaire médusé. Nous nous amusons follement de ces situations cocasses. Nous faisons un petit tour à la supérette. Il y a bien trop de clients à se bousculer devant les deux caisses. Tant pis pour nos pots de crèmes glacées Ben & Jerry's.

Il est presque dix neuf heures quand nous revenons. << C'est encore plus crevant qu'une randonnée ! >> s'écrie Estelle en retirant son blouson. << On est hyper sexy dans ces blousons ! >> lance Clémentine. Devant le grand miroir, en même temps, nous mimons une masturbation masculine. Un réflexe totalement improvisé qui nous fait rire aux éclats. Morts de faim, nous courons à la cuisine. Estelle retire les restes de viande de la carcasse du poulet. Viande qu'elle réchauffe à la poêle. Clémentine fait l'assaisonnement des tomates. Je fais cuire des spaghettis. Je râpe une tonne de gruyère Suisse et de Parmesan. Préparations rapides. Estelle vient souvent se serrer dans mes bras. << Je suis triste. Je suis obligée de partir après. Je vais pleurer ! >> gémit elle contre moi.

Je la console. Elle ne s'en va que pour 22 h. Il reste deux heures et demi. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre après-midi de flâneries. Estelle a énormément apprécié d'être assise devant au retour. Ma bite souvent dans la bouche. Quand j'appuyais vicieusement sur sa nuque pour enfoncer davantage de queue. Nous ne traînons pas. À peine la vaisselle terminée, nous nous précipitons au salon. Mes deux anges, juste en chaussettes, en sweats, vautrées dans le canapé, m'offrant leurs cramouilles. À genoux sur les épais coussins, passant de l'une à l'autre, je savoure ma "fondue aux deux fromages" dans la plus enivrante des voluptés. Dans la stéréophonie envoûtante de gémissements, de petits cris de ravissement, dans les confidences que se font mes deux coquines.

Bonne "faim" de soirée à toutes les filles aimant se faire nettoyer le minou par un expert en cunnilingus. Aimant se faire sucer le clitoris jusqu'à en perdre toute notion du réel. Avant un orgasme dévastateur. Avant de devoir partir pour l'une, avant de tailler une pipe sous la couette pour l'autre...

Julien (bienheureux parmi les élus)



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Clémentine et Julien
Tuesday 7 May 2024 07:40

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
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Juste Clémentine et moi

Hier matin, lundi, il est presque six heures. Rien n'est plus difficile qu'un réveil aux aurores après deux semaines de vacances. Ce sont les gazouillis des oiseaux, l'écoulement d'une source qui nous tirent de nos profonds sommeils. L'illusion de revenir à la réalité au fond d'une mystérieuse forêt où tout bruit résonne d'une étrange manière. Clémentine, en gémissant, vient se blottir dans mes bras. Se serrant comme si elle cherchait à réunir toute l'énergie nécessaire. Je dépose des bises délicates sur le bout de son nez, sur ses joues. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Les radiateurs sont toujours encore en fonction car les températures nocturnes de ce début de mois de Mai ne dépassent guère les 10°. Nous revêtons nos tenues de sport dans la fraîcheur de la salle de bain.

Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Nous faisons tout comme des robots. Ce qui nous fait rire. Clémentine fait le café, Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Clémentine attrape les premières tranches éjectées par le grille pain. Le reste de la brioche au pudding dans le four à micro ondes. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos visites au vide grenier dimanche après-midi. La soirée de douces folies qui s'en est suivie. Nous mangeons de bon appétit en évoquant l'immense tristesse qui a encore envahi Estelle quand elle nous à quitté. << Je la vois ce matin en cours, elle me racontera ! >> précise Clémentine. Six heures vingt cinq. Nous remontons pour nous laver les dents. Aucun courage pour aller courir dans le froid. Ce sera l'entraînement dans notre salle.

Les échauffements aérobics. Le jogging sur les tapis roulants. Les exercices au sol. Nous retrouvons avec plaisir les charges additionnelles. Ce matin sur les machines. Le retour au calme avec les étirements d'un stretching un peu bâclé car trop hâtif. La douche. Je redescends le premier pour aller faire chauffer l'auto. Le ciel est gris. Le sol détrempé. La température de 11°. Un léger vent de Nord Est, responsable de ce climat détestable. Clémentine vient me rejoindre dans son blouson d'épais cuir brun. Un jeans, ses bottines brunes. << L'année dernière, à la même période, j'allais déjà en cours avec une jupe ! >> dit elle en passant ses bras autour de mon cou pour un dernier bisou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou.

C'est en courant que je retourne me mettre au chaud. Faire notre lit et notre vaisselle. Dans l'atelier j'allume une flambée dans le petit poêle Godin de fonte noire. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je commence ce matin la treizième toile hyper réaliste destinée à ma saison d'été. Cette année encore, je n'ouvre ma galerie que durant le mois d'août. Juliette, trop heureuse de pouvoir interpréter le rôle, tiendra la boutique durant les 31 jours. Je peins dans une sorte de volupté qui m'abstrait du monde extérieur. Juste le crépitement du bois dans le poêle. Ses délicates odeurs de flambée. Je ne vois pas les heures défiler. Je sais qu'il va être midi aux gargouillis qu'émet mon estomac. Morts de faim je quitte l'atelier pour la cuisine. Très exactement midi.

Je réchauffe le reste des spaghettis à la poêle. Avec deux nems au crabes. Accompagnés d'une salade de carottes. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Je retrouve André Bercoff avec joie. Dans son émission il aborde les sujets d'actualités qui nous avaient échappé durant ces deux semaines. J'apprends que la cérémonie de la flamme OlymPipes se fera cette année dans la Cage aux Folles puisque ce sera une drag queen qui la portera. Tout cela m'amuse au plus haut point. Rares sont celles et ceux qui ne se doutent pas encore des penchants du Méprisant de la République pour ce genre d'ambiance "strings à paillettes". Cette propension à apprécier de s'entourer d'individus portant des talons de vingt centimètres avec du poils aux pattes. Notre va t-en guerre qui fait tant rire.

Pour ce soir, ce sera un gratin Dauphinois à ma manière. J'épluche, je coupe en lamelles et je lave de grosses pommes de terre. Pendant qu'elles s'ébouillantent dans l'auto cuiseur, je prépare le liant. De l'œuf, de la crème fraîche, du fromage blanc que je dilue dans un lait de soja préalablement chauffé. J'égoutte les patates. Dans le plat en terre cuite j'étale le tout. Je verse le liant. Je recouvre le tout d'une copieuse couche de gruyère Suisse grossièrement râpé. De la chapelure. Des graines de sésame grillées. Des cerneaux de noix. Au four pour une lente et longue cuisson à 160°. Pilotée par le thermostat. La vaisselle. Je Monte me laver les dents. Il pleut. Pressé d'aller faire quelques pas malgré tout, je dévale les escaliers pour chausser mes bottes en caoutchouc. Mon anorak.

C'est sous le parapluie que je descends jusqu'à la rivière. J'y retrouve monsieur Bertrand. Notre plus proche voisin. Sous son ciré gris, entrain de donner du vieux pains aux canards. Nous bavardons un peu. Sa femme est en cure. Pas bien portante. Je le laisse pour remonter. Il est presque quatorze heures quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans la même volupté que ce matin. Ma toile représente l'intérieur de l'église gothique Old Saint Paul Church. Cette église est située dans le vieil Édimbourg. D'amusants souvenirs animent ma séance. En effet, dans cet édifice religieux nous nous sommes livrés à nos jeux habituels. Estelle qui jouait avec ma queue dans la pénombre entre une énorme armoire et une colonne dorique. Clémentine accroupie pour sucer un peu. Alors que des visiteurs, ne se doutant de rien, se baladaient pas loin.

L'après-midi se déroule ainsi. Le bruit que j'entends, Clémentine qui chantonne en revenant des toilettes. Elle vient de rentrer de cours. Il est déjà dix sept heures trente. Elle me rejoint en courant. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Je dois t'embrasser de la part d'Estelle. Mais aussi sur la queue ! >> rajoute t-elle. Nous en rions de bon cœur. Clémentine a ses notes du jour à mettre en archives. Assise devant son ordinateur elle développe le programme de ce troisième et dernier trimestre. Il y aura beaucoup de préparations, beaucoup de révisions. Le tout dans un travail collectif en matinée, individuel en après-midi. Nous allons procéder comme l'année dernière. Mettre Clémentine en situation. Devant la caméra. Filmée à présenter sa thèse. Nous alternerons. Un coup ce sera Estelle qui interprétera un professeur, l'autre coup ce sera Clémentine.

Ces trois petits quart d'heure à travailler ensemble me paraissent toujours les plus créatifs. J'adore entendre Clémentine se mettre à chanter. Parler toute seule. Se poser des questions. Y répondre. Me lancer des : << Tu sais que je t'aime toi ! >>. Jusqu'à ce moment fatidique où elle se lève, commence à ranger ses fiches en s'écriant : << Put-hein j'arrête ! >>. C'est le signal. Je nettoie la palette, les pinceaux. Mon sexe posé sur le rebord du petit lavabo de l'atelier, je me lave les mains. Clémentine vient me rejoindre pour s'en saisir. Elle me tient la bite pour en diriger les jets. Penchée en avant, secouant les dernières gouttes. Attendant la toute dernière pour se la prendre en bouche. Je la tiens par sa natte en murmurant : << Nous avons un projet sympathique vendredi prochain ! >>

Cessant de se régaler, Clémentine se redresse pour dire : << Oh mais je n'oublie pas. Nous en avons même parlé avec Estelle, à midi, au restaurant ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous voilà dans le vieux canapé de l'atelier. Clémentine couchée sur le dos, sa tête sur ma cuisse. Elle me confie ses impressions quand à notre séjour à Bourg-Vignes. Les pipes qu'elle a prodigué à monsieur Guillaume. J'écoute en caressant ses cheveux. Je passe délicatement l'extrémité de mes doigts sur ses sourcils. Mon sexe contre sa joue, je commence à bander. À mon tour je confie les émotions qui m'ont habité lorsqu'elle partait en "balade" avec ce pervers. Je restais seul avec Estelle. << Tu aimes faire l'amour avec elle ? >> me demande soudain Clémentine. J'avoue que oui, que c'est souvent sublime.

<< Elle aussi. Elle m'en parle parfois. Au début j'étais jalouse. Mais nous sommes plus proches encore que des sœurs jumelles. Depuis quinze ans ! >> précise une fois encore Clémentine. Je m'empresse toutefois de rajouter : << C'est presque aussi bien que de faire l'amour avec toi. Peut-être un peu plus "agité" ! >>. Nous rions aux éclats. Clémentine se tourne sur le côté pour prendre mon sexe à nouveau mou en bouche. J'aime la regarder. J'aime l'entendre gémir en suçant. Je caresse son cou. Je passe les doigts le long de son oreille. J'en saisis le lobe entre le pouce et l'index. Je chuchote des douceurs. Je murmure des souvenirs d'Édimbourg qui me sont revenus en peignant. Clémentine cesse de pomper, se couche à nouveau sur le dos pour dire : << Cet été je te suce partout ! >>

Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il règne une telle obscurité qu'il faut allumer les appliques muraux. Quand Clémentine découvre ce qu'il y a dans le four que j'allume, elle me saute au cou. Tenant ma bite, elle passe son autre bras autour de mon cou pour mitrailler mon visage de bisous. Je la soulève. Elle s'accroche. Ses jambes enserrant ma taille. Je la promène dans toute la grande pièce. Je murmure : << Ce soir, après le repas, au salon, je vais t'aimer comme un fou. Tu peux me demander tout ce que tu veux, je serai ton esclave ! >>. En s'écriant << Je t'aime ! >>, elle enfonce sa langue dans ma bouche. Nous préparons l'assaisonnement d'une salade de tomates. La sonnerie du four. J'enfile les maniques pour en extraire le gratin magnifiquement doré.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant les cours de ce troisième trimestre. La stratégie que nous allons mettre en chantier pour préparer Estelle et Clémentine à leurs oraux. << Ce qui me fait peur c'est le tirage au sort ! >> précise Clémentine. Ce principe consiste à faire tirer au sort un sujet au doctorant. Sujet qu'il lui faut développer devant un jury. Même si elle a tout préparé avec méthode, depuis huit ans, il reste une part de hasard dans cette épreuve. << Je connais tous les sujets mais c'est quelquefois sournois et vicieux ! >> rajoute Clémentine. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Je pose mes lèvres dans sa nuque alors qu'elle rince l'évier. Mes mains qui montent sur ses seins minuscules. Clémentine en roucoule. Ses mains sèches, je la soulève. Je la porte comme une jeune mariée.

C'est ainsi que je l'emmène au salon. Je la dépose dans le canapé. Je retire ses bottines. je déboutonne son Levis que je retire en même temps que sa culotte. << J'aime quand tu me déshabilles ! >> murmure t-elle en bougeant son corps afin de me permettre de mieux retirer ses vêtements. Ses cuisses largement écartées, se masturbant, elle me regarde me déshabiller. En appui sur mes bras, au-dessus d'elle, je scrute les expressions qui animent son visage. Comme elle est belle. C'est comme une première fois quand je la pénètre avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Longtemps. Juste les contractions de nos muscles fessiers. Ce qui fait bouger nos intimités l'une dans l'autre. Nous nous fixons. Longuement. Parfois elle ferme les yeux un instant, mordille sa lèvre inférieure.

Ce sont les moments d'extases où Clémentine aime me confier ses secrets de fille. J'écoute dans une totale passivité. Ce qu'elle me raconte est tellement excitant que cela entretient mon érection. Parfois, je me mets à bouger doucement. Je sens la main de Clémentine qui se masturbe. Quand elle cesse quelques instants, c'est pour s'accrocher à mes épaules. Je l'emmène alors dans une chevauchée d'une petite minute. Puis nous nous berçons. Les gémissements, les petits cris de Clémentine s'amplifient inexorablement. Je sais ce qui va se passer. Aussi, je me retire délicatement. je me redresse. J'attrape la cuvette en plastique sous le guéridon pour la poser au sol. Clémentine se lève, sans cesser de se masturber, elle s'accroupit pour se lâcher dans un orgasme pisseux. En hurlant de plaisir. Se tenant d'une main au canapé. Me tenant de l'autre alors que je la maintiens en équilibre, mes bras sous ses aisselles. Ça gicle partout.

Bonne nouille à toutes les coquines qui aiment à en savourer le jus sous les draps. Avant de s'endormir dans les bras de celui qui à inondé leur bouche d'un sperme abondant...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine, Julien et Estelle
Wednesday 8 May 2024 07:31

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 16 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2607 -



C'est reparti pour cinq jours à trois

Le gazouillis des oiseaux, l'écoulement d'une source. Cette illusion faisant partie d'une application "bruits de la nature", ne dure que quarante cinq secondes. C'est la façon la moins traumatisante que nous connaissons pour nous réveiller. Hier matin, mardi, à presque six heures, nous sommes tirés de nos sommeils par nos deux I-phones entrant en fonction en même temps. Clémentine, en gémissant, vient se blottir contre moi. Distribution de bisous. De papouilles. Il faut se lever. Nous nous précipitons aux toilettes comme des zombies. Nous revêtons nos tenues de gymnastique à la salle de bain. Les radiateurs viennent d'entrer en fonction. Ce maudit mois de décembre ne veut toujours par quitter Mai. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café.

Je presse les oranges. Je pèle les kiwis en l'écoutant me raconter ses rêves. Je beurre les tranches éjectées par le grille pain. Les croissants aux amandes dans le four à micro ondes. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre lundi soir en amoureux. Nous mangeons de bon appétit en évoquant celles qui nous attendent. Estelle vient nous rejoindre en soirée et restera avec nous jusqu'à dimanche prochain. Il va être six heures vingt cinq. Hors de question d'aller courir avec seulement 10° de température extérieure. Nous remontons pour nous offrir notre entraînement. Comme notre salle n'est pas chauffée, il faut se remuer la couenne. Échauffement aérobic. Jogging sur tapis roulants. Vélo ergométrique. Exercices au sol. Charges additionnelles. Les étirements d'un retour au calme.

La douche. Je redescends pour aller sortir la voiture du garage. Il pleut. Le ciel est bas, gris, sinistre. Presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre vêtue de son blouson d'épais cuir brun, d'un jeans, de ses bottines brunes. Sous son grand parapluie, un bras autour de mon cou pour me faire une dernière bise. Je la regarde s'en aller. Je me dépêche de rentrer au chaud, au sec pour faire la vaisselle, recouvrir le lit. Dans l'atelier j'allume la flambée du petit poêle rond. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans une sorte d'extase pas du tout mystique. Sans la moindre perception du temps qui passe. Il va être midi. Je mets une bûche dans le poêle avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à réchauffer les restes du gratin de pommes de terre. Rapide.

L'assaisonnement d'un concombre. Pour ce soir, ce sera la surprise de bouchées à la reine. Mes deux anges auront de quoi se réjouir. Je râpe une bonne quantité de gruyère Suisse. J'émince deux belles escalopes de dinde que je fais rissoler à la poêle avec des champignons. Pendant que cuisent les coquillettes, je concocte la Béchamel. J'y rajoute la viande, les champignons et du gruyère. Je remplis les bouchées à la reine avec cette garniture. J'égoutte les coquillettes que je verse dans le plat carré en terre cuite. Autour des bouchées à la reine. Je recouvre du reste de gruyère. Au four pour laisser mijoter à 160°. Je me souviens des paroles de madame Marthe, samedi matin : << Dans le Grand Est et en Belgique, les bouchées à la reine sont également appelées "croûtes" ou "vol au vent".

Notre repas du soir est assuré. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission, André Bercoff et son invité reviennent sur la guerre en Ukraine. Les observateurs internationaux, ces fameux "experts" de plateaux de télévisions, ne cachent pas que cette guerre est perdue. Que Poutine, en fin stratège mène la danse. Qu'il n'a aucun désir de s'en prendre à l'Europe. Que les Russes aiment la France. Ses Arts, sa Culture, sa littérature, sa cuisine et ses femmes. Mais que, hélas, la France est entre les mains des dirigeants les plus corrompus du monde occidental. Entre les mains des médias les plus dévoyés de la sphère occidentale. Une guerre arrangerait bien des dirigeants. Ils pourraient instaurer l'état d'urgence, imposer des mesures de restrictions des libertés, s'emparer de l'argent des épargnants en prétextant l'effort de guerre. Pour y arriver d'organiser un attentat aux J.O. en accusant la Russie. Ils sont prêts à tout.

Je fais la vaisselle en me disant qu'il nous faut de nouvelles théories du complot car toutes les anciennes sont devenues vraies. Je monte me laver les dents. Impatient d'aller me dégourdir les jambes, je dévale les escaliers. Mes bottes en caoutchouc, mon anorak, c'est sous le parapluie que je descends jusqu'à la rivière. Il est treize heures cinquante quand je suis installé devant mon chevalet. Je peins dans le même état d'esprit que ce matin. Sans voir passer le temps. C'est le bruit qui m'indique qu'il est déjà dix sept heures trente. Clémentine qui chantonne en sortant des toilettes. Elle entre dans l'atelier pour se précipiter vers moi. Impatiente et joyeuse. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire.

Clémentine a ses notes à archiver. Assise devant son ordinateur, tout en continuant à parler, à chantonner, elle achève cette servitude. Trois quart d'heure de travail en commun. << Stoppez tout ! Fini ! >> s'écrie t-elle en se levant. Je nettoie la palette, les pinceaux. Nous nous rejoignons devant le petit lavabo de l'atelier. Clémentine tient ma bite pour en diriger les jets. Elle secoue les dernières gouttes avant d'en savourer les reliquats. Je la soulève pour la promener dans toute la grande pièce. << Ensemble jusqu'à lundi matin prochain ! >> lance t-elle en mitraillant mon visage de bisous. Nous voilà installés dans le vieux canapé. Clémentine couchée sur le dos, sa tête sur mes cuisses, sa joue contre ma bite. J'aime l'entendre ma raconter plein de choses. C'est un sas de décompression.

Estelle arrive toujours silencieusement. Désireuse de nous surprendre. Aimant satisfaire ses penchants voyeurs en toutes circonstances. Je ne m'en rends pas compte, ni Clémentine. En levant la tête, je vois la tête et une épaule d'Estelle, la porte à peine ouverte, à nous observer. À peine est-elle découverte qu'elle se précipite pour nous rejoindre. Clémentine se redresse. Je me serre contre elle pour laisser une place à Estelle. Je suis entre mes deux anges. Estelle saisissant ma bite me dit : << Clémentine m'a tout raconté au restaurant à midi. Tu me fais pareil ce soir ? >>. Nous rions de bon cœur quand Clémentine répond : << Je ne devrais pas te raconter de telles choses ! >>. Estelle me tord la queue dans tous les sens en manifestant elle aussi sa joie. Nous sommes ensemble pour cinq jours. << Ça nous fait de l'entraînement pour les vacances d'été ! >> précise t-elle. Clémentine rajoute : << Et il y a aussi le lundi 20 mai qui sera férié ! >>

Autant de réjouissances à venir nous enthousiasment. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand les filles découvrent ce qui réchauffe au four, je suis assailli de bises. J'aide Clémentine à faire l'assaisonnement de deux belles endives. Estelle met les assiettes, les couverts. Nous mangeons de bon appétit en faisant mille projets pour les jours à venir. Se levant à quelques reprises, mimant une masturbation masculine, Estelle nous rappelle que vendredi prochain nous réalisons un film "Bondage". << S'il fait moche, parce que si nous pouvons partir à vélos l'après-midi, on sera crevés au retour ! >> lance Clémentine. Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de ma taille, de mes épaules, mes deux anges font déjà le programme d'après la vaisselle. En riant.

<< Baise sur bureau ? >> demande Clémentine. << Baise sur bureau ! >> répond Estelle. Je dis : << Vous ne me laissez pas le choix. Ce sera baise sur bureau ! >>. Nous rions aux éclats en débarrassant pour faire la vaisselle. Les filles m'entraînent par les mains jusqu'au salon. Pendant qu'elles retirent bottines, pantalons et culottes, j'installe deux confortables et épais coussins du canapé sur le bureau. Elles pourront y poser leurs têtes en se faisant tringler comme des malades. Toutes les deux s'y installent. J'aime me masturber en gardant du recul. Les regarder se toucher. Me faire des sourires, me tirer la langue, m'inviter à les rejoindre au bout de quelques minutes. Ce que je retarde le plus longtemps possible. Clémentine tient son clitoris géant entre son pouce et son index.

Estelle écarte les lèvres de son intimité, entre la broussaille dense de sa touffe. Je ne sais pas par laquelle commencer. Ce qui les amuse. Ce qui les passionne. J'aime faire durer ce suspens. Je bande comme le dernier des salauds. Je récupère la cuvette en plastique sous le guéridon. Je viens la poser à côté de Clémentine. C'est elle que je saisis par ses chevilles pour la faire basculer en arrière. En appui sur ses coudes, elle me défie du regard. Je frotte mon sexe contre le sien. Estelle se met à genoux pour m'attraper par les épaules, enfoncer sa langue dans ma bouche en même temps que je m'enfonce dans Clémentine. Elle se laisse aller en posant sa tête sur le coussin. Estelle cesse de m'embrasser pour s'allonger. Clémentine se masturbe. Je bouge doucement en elle. Ça coulisse.

Le regard suppliant d'Estelle qui se touche en attendant son tour. Je quitte l'intimité de Clémentine pour celle d'Estelle. Je passe de l'une à l'autre. J''aime leurs gémissements, leurs échanges d'impressions. Nous rions quand Estelle propose : << Deux minutes chacune ! >>. Je la bourre comme elle aime. Me comportant comme un véritable homme de Néandertal. Poussant des cris d'ours en rut. Je reviens dans Clémentine pour retrouver un peu de calme. << C'est votre septième passage monsieur ! >> me fait Estelle, toute rouge, en sueur; quand elle me repousse délicatement pour se terminer aux doigts. Dans un orgasme qui la fait crier de plaisir. L'orgasme pisseux de Clémentine, que je dois maintenir au-dessus de la cuvette, la fait hurler de jouissances non contenues. C'est sublime.

Bonne nouille à toutes les coquines, tellement contentes de se retrouver sous les draps, qu'elles se partagent le jus de cuisson du "nem" en gémissant de bonheur...

Julien (et son nem juteux)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine, Julien et Estelle
Thursday 9 May 2024 07:44

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 17 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2608 -



C'est agréable de passer du bon temps

Hier matin, mercredi, il est aux environs de huit heures trente. Je suis tiré du sommeil par Estelle qui saisit ma tumescence. Déjà d'une poigne ferme. Se calant contre moi, elle murmure à mon oreille : << J'ai fait un rêve avec ta bite ! >>. Clémentine que cela réveille, vient se blottir en gémissant. Je suis entre mes deux anges dans la plus parfaite de voluptés. Clémentine tente bien d'exprimer une demande mais elle trébuche sur chaque mot. Nous rions aux éclats. << Je vais faire pipi, je vous raconte en bas ! >> lance Estelle en se levant d'un bond dans l'urgence absolue. << Allume la sirène quant tu cours aussi vite ! >> lance Clémentine qui s'allonge sur moi. Frottant son sexe sur mon érection matinale, elle mitraille mon visage de bises. C'est à notre tour d'aller aux toilettes.

Nous revêtons nos tenues sports à la salle bain. Les radiateurs fonctionnent à plein rendement car la température extérieure n'est que de 11°. Un 8 Mai rappelons-le. Morts de faim nous dévalons l'escalier pour rejoindre Estelle que nous entendons chanter dans la cuisine. Cuisine où flottent déjà les doux parfums du café, du pain grillé. L'énorme brioche au pudding au milieu de la table. Estelle, entrain de peler les kiwis, me tourne le dos. Je m'approche. Mes mains d'abord sur ses hanches puis sur ses seins. J'aime le contact de la soie mauve de son pyjama mais également ce qu'il y a dessous. Clémentine derrière moi qui fouille mon legging de lycra noir. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de mardi, la "baise sur bureau" devenue un rituel et les plaisirs partagés.

Nous mangeons de bon appétit. Après nous avoir raconté son rêve, Estelle nous raconte un truc incroyable. << Aya Nakamura serait en réalité un mec ! J'ai entendu ça hier matin sur Sud Radio à la salle de bain. C'est un certain Djamil Danioko de Aulney, né en Mai 1995 à Bamako ! >>. Devant nos air ahuris, Estelle continue : <<En 2015 sort son premier disque qui s'appelle "Brisé" d'une certaine Aya Nakamura. De son vrai nom Aya Coco Danioko de Aulney 93 né en mai 1995 à Bamako. Puis en 2018 sort le disque "Djadja ! >>. Même si nous n'en avons strictement rien à foutre, nous restons pantois. Clémentine rajoute : << On comprend mieux le choix du Macron. Il semble raffoler des transgenres ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. << À vérifier quand même ! >> conclue Estelle.

Dehors, le ciel est clair et lumineux. Un léger voile de nuages laiteux. Une atmosphère trompeuse. Nous traînons à table en hésitant. Aller courir dans le froid n'est pas vraiment notre tasse de thé. Aussi, dès la vaisselle terminée nous remontons. Lavage des dents. Pendant qu'Estelle se change, nous refermons le lit. Nous nous rejoignons dans notre salle d'entraînement. Pas chauffée avec seulement 16°. Les exercices aérobics accélérés mettent rapidement nos corps en parfaites conditions. Jogging sur tapis roulants, vélo ergométrique. Les exercices au sol avant les barres et les haltères. Estelle préférant les machines. Le retour au calme d'un bon stretching consciencieux mais en déconnant tout de même un peu. Estelle prend sa douche la première pendant que nous préparons nos vêtements sur les tabourets.

C'est à notre tour. Tous les trois, vêtus de nos Levis, de nos sweats, nos baskets, nous dévalons les escaliers jusqu'au salon. À califourchon sur mes cuisses, mes deux anges allument l'ordinateur. Aucun courriel pour nous. Par contre celui d'Estelle nous informe que ses parents nous invitent à manger dimanche midi. Elles surfent sur le site de l'université. Font un petit tour sur les messageries privées des forums où nous publions nos aventures. C'est toujours Clémentine qui répond aux courriers de nos admirateurs ou simples lecteurs. C'est important de maintenir un lien avec de fidèles habitués. Ou des gens qui découvrent nos histoires en témoignant de leurs sympathies. Il va être onze heures. Nous revêtons nos anoraks pour affronter les 18° sous des séquences d'ensoleillement.

En nous tenant par les bras, nous descendons jusqu'à la rivière. Clémentine propose une randonnée pédestre plutôt qu'à bicyclettes pour cet après-midi. << Et si on allait jusqu'au cimetière au-dessus du port de plaisance ? On n'a jamais randonné vers les collines à l'arrière ! >> lance Estelle. Nous trouvons la suggestion parfaite. Pendant que nous déposons des bises sur ses joues, Estelle fourre sa main dans ma braguette béante. Elle rajoute : << Il fera quelques degrés de plus et monsieur "bite à l'air" pourra satisfaire à nos plaisirs ! >>. Nous rions aux éclats. Avant de remonter, je remballe par mesure de précaution. Notre voisin risque d'aller à la rivière à n'importe quel moment pour y nourrir ses amis canards. Clémentine fait l'assaisonnement d'une petite laitue dont elle lave chaque feuille.

Je réchauffe les trois grosses bouchées à la reine et leurs coquillettes. Estelle met les assiettes, les couverts. Il n'est pas tout à fait midi. Nous mangeons de bon appétit. En mettant au point le timing de l'après-midi. Il y a trente cinq kilomètres par la route jusqu'au port de plaisance. Il est préférable de partir dès la vaisselle terminée. Je dis : << Et ce soir on s'offre un bon restaurant. Par exemple celui du port de plaisance. Qu'en dites-vous ? >. Estelle et Clémentine se serrent contre moi. Clémentine fait : << C'est sympathique mais ça nous prive d'une soirée cul ! >>. Nous rigolons comme des bossus quand Estelle rajoute : << Parce que les cabinets des toilettes hommes sont souvent étroites ! >>. Je propose d'y réfléchir en roulant. La vaisselle. Nous montons. Lavages des dents.

Dans le petit sac à dos, pommes, barres de céréales, la thermos de thé bouillant. La minuscule paire de jumelles. << Pour le retour c'est moi devant ! >> s'écrie Estelle quand nous traversons le jardin en courant. La température est de 20°. C'est le soleil qui remporte les victoires contre les nuages d'altitude. Il n'est même pas treize heures. C'est parti. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Assise à l'arrière, Estelle caresse mon cou, mes joues en revenant sur le chanteur qui interprètera Piaf à l'ouverture des Jeux Olympiques. << Nous n'en avons strictement rien à cirer de ces Jeux Olympiques que les médias s'obstinent à rendre obligatoires. Qu'est-ce qu'il nous font chier avec cette daube ! >> s'écrie t-elle. << Piège à cons et opium du peuple. Comme le foot ! >> rajoute Clémentine qui se redresse, jute aux lèvres.

Il est treize heures vingt quand nous garons la voiture sur le parking de la supérette. Nous hésitons. Nous avons apporté le short et les jupettes. Estelle et Clémentine se changent entre la portière avant et la portière arrière ouvertes. << Si ça caille arrivé là-haut on revient se changer ! >> propose Clémentine. Nous voilà à monter le chemin qui mène au sommet de la première colline. Trois cent mètres jusqu'au cimetière touristique. Il y a beaucoup de promeneurs, des couples, des groupes, des familles. Et c'est parfaitement jouable en short, T-shirts et jupettes avec une température de 21°. Nous ne connaissons pas les différents circuits de randonnées qui sont indiqués sur le totem. Estelle consulte Google Map. Elle nous montre les différentes photos des parcours assez variés.

Nous choisissons le circuit des chevreuils. Il nous mènera au-dessus du village voisin. Nous admirons la vue sur les environs. En bas, le port de plaisance et sa constante animation. Clémentine tire son I-phone du sac que je porte. Elle téléphone au restaurant que nous voyons là-bas, au bout de la jetée. Estelle déboutonne ma braguette. Elle y fourre sa main. Comme il y a du passage, pour dissimuler ses activités, elle se serre contre moi, un bras autour de mon cou. << Ça marche pour ce soir 19 h ! >> lance Clémentine en venant nous rejoindre. Nous prenons le sentier de droite. Il restera à flanc de collines. Il y a là des hêtres et des chênes centenaires. L'endroit évoque ces chaumes alpestres des clichés de cartes postales. Un léger souffle de vent. Probablement un vent d'Est.

Nous croisons de nombreux promeneurs. C'est un circuit familial, facile et aménagé. Peut-être pas le meilleur choix pour nos jeux libidineux. Mais comme nous ne connaissons pas, découvrons. Il y a des prés en pentes, des vaches qui broutent. Nous longeons les clôtures. Quand il y a des groupes d'arbres, nous y trouvons un abri pour les arrêts pipis, les explorations de slips et de culottes. De plus, nous sommes protégés du vent. Quand je tripote des cramouilles, j'ai toujours envie d'y gouter. Nous sommes passés maîtres dans l'art subtil de nous sucer, de nous lécher dans les endroits et les situations les plus insolites. Surtout que la mousse qui recouvre certains endroits rocheux, permet à mes deux anges de s'allonger quelques minutes. Mon visage entre leurs cuisses à me régaler. Maudis insectes qui nous tourment parfois.

C'est malgré tout un délice. Dans les efforts qu'il faut parfois fournir pour monter les pentes, nous suons assez rapidement. Et les "connaisseurs" le savent bien, c'est l'idéal pour savourer du jus de filles. Il y a plusieurs endroits retirés près des sentiers qui nous permettent ces collations intimes. Je me fais sucer dans des situations parfois à risques. C'est amusant de devoir remballer à toute vitesse. Et lorsque ce n'est pas possible, Estelle ou Clémentine se serrent contre moi. Les promeneurs ne voient pas mon chibre raide comme un des piquets des clôtures. Nous nous félicitons d'avoir choisi cet itinéraire bucolique. Pourtant, même s'il n'y a pas l'ombre d'un chevreuil, ce sentier est magnifique. Pierreux, sillonnant le plus souvent entre des rochers moussus, des bosquets, des prés aux herbes "moquettes".

Là, en bas, dans la vallée, le bourg. Son clocher d'ardoises qui scintillent sous le soleil. Il y a une table d'orientation. Plein de gens. << Ton gage. Renouons avec la tradition ! >> me fait Estelle en tirant son I-phone du sac. Je comprends immédiatement. Je regarde autour de nous. Je refuse de prendre de tels risques. << As-tu vraiment le choix ? >> lance Clémentine qui m'entraîne par la main. Nous descendons entre les rochers de la "Pointe du corbeau". C'est assez dangereux. C'est là, en équilibre instable qu'Estelle me tient une bite toute molle mais dégoulinante devant l'objectif. Clémentine prend plusieurs photos. Au-dessus, nous entendons parler et rire. C'est véritablement une situation à gros risques. << Bravo, tu as mérité ton prochain arrêt pipe ! >> me fait Estelle en secouant mon Zob. Déposant une bise sur mes lèvres.

Nous continuons. C'est une boucle magnifique. Nous nous promettons de refaire plus souvent. Même si la distance oblige à prendre la voiture. Arrêt pipi pour les filles. Accroupis derrière elles, une fois encore, j'enfonce mes index dans les trous des culs. Ce qui a pour effet de décupler la puissance les jets. De me faire traiter "d'enculeur de filles" par Estelle. Je les nettoie avec soin. Ce sont des endroits à l'abri des regards. Elles peuvent s'allonger sur la mousse ou sur l'herbe pour se faire lécher, sucer, dans des voluptés champêtres. Nous trouvons même un endroit accueillant où je peux les pénétrer à tour de rôle. Pendant que l'une fait le guet, l'autre se fait troncher. C'est encore une de ces randonnées "sextraordinaires" dont nous raffolons. Un excellent prélude à celles qui nous attendent en Écosse d'ici même plus deux mois.

Il est dix huit heures quarante cinq quand nous revenons à la voiture. Presque en courant, impatient de nous changer car la fraîcheur de fin d'après-midi est une véritable punition. C'est en Levis, sweats et baskets que nous descendons sur les quais encore plein de monde. Notre table nous attend là-bas, au bout de la jetée. Nous connaissons bien ce bar restaurant. Nullement un établissement gastronomique. On y mange toutefois très bien. Ce soir des pizzas "Al Forno" absolument délicieuses. C'est populaire, donc bruyant. Tant pis. Une première expédition aux toilettes hommes nous dissuade de toute récidive. De toutes folies. L'endroit n'est pas très propre et très odorant. Avec tout ce monde toute la journée. Au retour, c'est Estelle qui est devant, jouant avec ma queue alors que je roule doucement. Clémentine à l'arrière qui caresse mon cou. Qui se penche parfois pour regarder Estelle sucer. Il est 21 h30 quand nous revenons. Fourbus.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui, malgré la fatigue d'une escapade merveilleuse, trouvent encore la force de se faire offrir un orgasme sous les draps...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine, Julien et Estelle
Friday 10 May 2024 07:37

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 18 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2609 -



Randonnée à bicyclettes

Il en va des jours fériés comme des dimanches. Nous prenons tout notre temps. Hier matin, jeudi, nous n'avons pas dérogé à ce principe. Il va être huit heures trente. Estelle reste accrochée à moi toute la nuit. Épousant chacun de mes mouvements. Ou est-ce le contraire ? C'est quand elle saisit ma tumescence qu'elle me tire du sommeil. M'avouant qu'elle ne supporte pas d'être réveillée toute seule. Ses lèvres sous mon oreille. Sa langue que je sens bouger contre ma peau. Clémentine aussi se réveille pour venir se serrer contre moi. Entre mes deux anges, je reviens aux réalités dans une sorte d'enchantement. Nous restons un moment à nous faite des papouilles. Mes mains dans les culottes à démêler quelques touffes rebelles. Estelle se lève alors d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>

C'est un spectacle que de la voir se précipiter vers la porte. Dans son pyjama de soie mauve. Clémentine s'allonge sur moi pour me faire des bises en frottant son sexe sur le mien. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Si nous ne savions pas où se trouve la cuisine, nous n'aurions qu'à nous laisser guider par les effluves parfumées du café, du pain grillé. De la brioche dans le four à micro ondes. Estelle pressant les oranges. Je me colle dans son dos, mes mains sur ses hanches, mes lèvres dans sa nuque. Je remonte sur ses seins. Clémentine contre moi, fouillant mon slip. Encore un de nos rituels matinaux qui nous procurent bonheur. Les odeurs affolent rapidement nos sens.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la randonnée de mercredi après-midi. De superbes découvertes. << Beaucoup de coins à baises ! >> lance Estelle en se levant pour mimer une masturbation masculine. << Déjà le matin ? >> s'exclame Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon apprétit en faisant le vague programme de la journée. Dehors c'est le soleil dans un ciel d'azur. Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, les filles envisagent une virée vélos. Pour le moment la température extérieure n'est que de 14°. << De l'amélioration ! >> fait Estelle en me mitraillant la joue de bises. Vaisselle. Nous faisons appel à notre courage pour enfiler les K-ways. Estelle monte se changer en vitesse. Legging et sweat.

Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur. C'est le long de la rivière que nous pratiquons notre jogging. La journée s'annonce belle. Dix heures quinze quand nous revenons. Estelle prend sa douche. Nous recouvrons le lit avant d'y aller à notre tour. C'est en déconnant que nous revêtons nos Levis, nos chemises à carreaux. Baskets. Nous redescendons à toute vitesse pour aller au salon. Consulter nos boîtes mails. Les filles impatientes de visiter le site universitaire. Pas de courriels. Pas de nouvelles informations. Nous surfons un peu sur les forums où nous publions nos aventures. Il y a toujours un ou deux messages privés. Ce matin c'est un couple qui témoigne son plaisir de nous lire chaque jour. Affirmant que nos aventures stimulent leurs libidos. Celle de la dame surtout.

Il va être onze heures quinze. Partir le plus tôt possible reste notre priorité quand il fait si beau. Estelle contrôle souvent la température. << On est à 19° ! >> s'écrie t-elle alors que nous quittons le salon pour la cuisine. Ce sera un gratin de choux fleurs. C'est hyper rapide et tellement bon. Clémentine en coupe les branches pour les laisser tremper dans l'eau vinaigrée. J'allume le four sur 300°. Préchauffage. Estelle prépare une sauce au Roquefort à partir d'une Béchamel. Je râpe de ce succulent Appenzeller, le gruyère Suisse qui donne à tout aliment une saveur si particulière. Surtout aux gratins. Le choux fleurs ébouillanté quelque minutes à l'autocuiseur avant d'être égoutté dans le plat carré en terre cuite. Estelle y verse la sauce. Je recouvre de gruyère. Graines de sésame grillées.

Chapelure, cerneaux de noix et au four déjà hyper chaud. Pendant la cuisson j'aide Clémentine à faire l'assaisonnement de la salade de carottes. Estelle dispose les assiettes, les couverts. En nous faisant des bises à chaque fois que nous nous croisons. Les filles parlant de leurs études. La sonnerie du four à midi tapante. Nous avons préparé en quantité afin de pouvoir réchauffer en soirée. Nous mangeons de bon appétit. Quand elle ne se lève pas pour mimer des masturbations masculines, quand elle ne consulte pas la station météo sur son I-phone, Estelle évoque les vacances qui nous attendent cet été, en Écosse. << Même plus deux mois ! >> précise t-elle. << Je compte déjà les jours ! >> rajoute Clémentine. Nous ne traînons pas. Dès la vaisselle terminée, nous remontons précipitamment.

Après nous être lavé les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain, nous nous mettons en tenue vélo. Il n'est pas treize heures et la température extérieure est de 22°. Trop heureuses de pouvoir porter jupettes et T-shirts, mes deux anges sautillent autour de moi. Je suis en short lycra beige. Cette matière est moulante. Ce qui pousse Estelle et Clémentine à de suaves tentations. Elles me touchent, me massent, me palpent. Nous en rions alors que je glisse mes mains entre leurs cuisses, palpant moi aussi leurs intimités. Le doux contact du coton blanc de leurs culottes. Dans le petit sac à dos, pommes, barres de céréales, K-ways et leggins pour affronter d'éventuelles fraîcheurs de fin d'après-midi. C'est avec les gourdes d'eau à la main que nous traversons la propriété en courant jusqu'au garage. Impatients.

Je vérifie le gonflage des pneus. La tension des chaînes. C'est parti. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Nous ne sommes pas les seuls à vouloir profiter de ce magnifique après-midi qui s'annonce. Nous pédalons souvent côte à côte en bavardant. Contre un léger vent de Nord Est qui nous poussera au retour. Sans lui, il ferait très certainement encore meilleur. Pas d'arrêt pipi au bout de dix kilomètres car il y a un groupe de cyclistes au cabanon de l'écluse. Il n'y a pas encore de bateaux sur les eaux du canal. Par contre des Agents VNF, malgré ce jour férié, vérifient le bon fonctionnement des machineries. Vingt cinq kilomètres jusqu'au port de plaisance où nous arrivons pour quatorze heures trente. Comme toujours, plein de gens.

Les joueurs de pétanques, des groupes de cyclistes, des familles, des promeneurs. Et même tout un autocar de touristes. Les premiers de l'année. Nous fermons les bicyclettes à cadenas derrière la capitainerie du port aux volets baissés. La saison de la plaisance n'a pas encore commencé. Rapidement, Estelle et Clémentine retirent leurs culottes pour les fourrer dans la pochette avant du petit sac à dos que je porte. Estelle palpe ma bosse en disant : << Tu es sexy dans ton lycra beige ! >>. Je passe ma main sous sa jupette pour caresser son intimité. Je réponds : << J'ai envie de te manger le minou ! >>. Clémentine se rapproche en faisant : << Et moi ? Et le mien ? >>. Je glisse mon autre main sous sa jupette en disant : << Jamais l'une sans l'autre quand nous sommes tous les trois ! >>

C'est en nous tenant par la main que nous flânons sur les quais. Nos hautes tailles, nos dégaines, ces deux sublimes jeunes filles sexys tenant les mains de cet homme d'âge mûr. Nous attirons encore évidemment bien des regards. Des convoitises peut-être même. Nous allons jusqu'au bout de la jetée. Le bar restaurant où nous avons dégusté des pizzas la veille au soir. << Elles étaient fameuses ! >> précise Clémentine qui nous montre les grosses motos garées là. Leurs propriétaires sont attablés à la terrasse. De grosses Harley Davidson. Splendides, toutes de chromes ou au contraire noires, mates, faisant penser à de gros scarabées prêts à bondir. Nous revenons sur nos pas en direction des bâtiments sanitaires. Celui réservé aux plaisanciers est encore fermé. Les toilettes publiques ouvertes.

<< Ça pue et il y a tout le temps du passage ! >> lance Clémentine. Nous avons envie de faire pipi. Nous continuons pour descendre le chemin qui longe le canal. Un pêcheur tous les cinquante mètres. Tenues et matériels militaires. Il y en a qui ont sorti l'artillerie lourde avec jusqu'à huit cannes à pêches posées sur des supports. Les poissons du canal, parfois gigantesques, n'ont qu'à bien se tenir. << C'est la guerre, dirait Bernard Henri Levis Strauss ! >> lance Estelle. Il fait chaud avec 25°. C'est là, derrière les bosquets que les filles peuvent se soulager. C'était devenu urgentissime. Accroupi derrière les coquines, j'enfonce mes index dans les trous des culs. J'aime quand ça décuple la puissance des jets. Surtout chez Clémentine. Je me couche sur le dos. Clémentine s'installe au dessus de mon visage. Je peux me régaler. Vingt cinq kilomètres à bicyclette, sous le soleil, le pipi, je laisse aux lecteurs d'imaginer la saveur de mon second dessert.

Estelle aide Clémentine à maintenir un équilibre précaire. Il faut éviter de peser de tout son poids sur mon visage. Tout un art. C'est au tour d'Estelle qui me balance une petite giclée. Sans le faire vraiment exprès. C'est en s'accroupissant au-dessus de moi que s'échappe le reliquat. J'ai la gueule trempée. J'adore comparer les saveurs différentes. Quand je me redresse enfin, Clémentine m'essuie avec un mouchoir en papier. << Put-Hein ! >> lance soudain Estelle. Nous comprenons immédiatement en voyant un type, en tenue "Tour de France", sortir des fourrés pour s'enfuir, vélo à la main. << Ce petit salopiot a tout vu ! >> rajoute Clémentine. Estelle me tient la bite pour en diriger les jets. Clémentine, accroupie, attend les dernières gouttes. Peut-être mélangées au premier jus.

Revenus de nos émotions, considérablement excités, nous retournons sur les quais. Deux autocars immatriculés en Allemagne déversent le flux de leurs touristes. Nous traversons la route pour nous rendre à la supérette. Nous avons bien mérité nos crèmes glacées. Ben & Jerry's que nous savourons assis sur le muret. Bienheureux touristes s'éloignant de leurs groupes. Ils ont droit à la vision sublime des intimités d'Estelle et de Clémentine. Quand l'un passe à proximité, en restant toutefois discrètes, elles écartent leurs cuisses. Effet garanti ! Le petit sac à dos entre les miennes cache mon sexe avec lequel joue Estelle entre deux coups de petite cuillère. Pas un souffle de vent perceptible. Clémentine compte ses petites exhibitions. << Trois superbes, une moins classe ! >> lance t-elle.

Nous rions de ce touriste, là-bas, qui fait semblant de photographier les bateaux alors que c'est nous qu'il prend en photo. << Petit salaud. Tiens ! Rien que pour toi ! >> s'exclame Estelle en écartant ses cuisses dans une indécence folle. Juste une seconde. Le temps que le photographe immortalise l'instant. Clémentine fait de même. Mais elle se fait surprendre par ce cycliste qui pousse son vélo. Lui aussi repasse une seconde fois dans l'espoir d'un rapide aperçu. Altruiste et pleine d'empathie pour les voyeurs, Clémentine le gratifie d'une seconde prestation. << On va se faire repérer. Venez on s'arrache ! >> lance Estelle qui se lève. Nous jetons nos pots vides dans une des poubelles. Clémentine s'accroupit une nouvelle fois. Nous comprenons. Il y a un mec qui mâte, assis sur un des bancs.

Nous retournons au bord du canal. Il y a là les endroits parfaits pour de petites baises champêtres et bucoliques. Les K-ways dépliés, posés dans l'herbe. Mes deux anges se relaient. Quand je fais l'amour à l'une, l'autre fait le guet. C'est magique. Hélas, les insectes ne nous laissent que peu de répit. Il faut donc tout le temps les chasser. Ce qui limite considérablement le plaisir. Mais nous en rions. Un dernier pipi et nous retournons aux vélos. Estelle et Clémentine remettent leurs culottes. << Il y a que dans les films pornos que les filles font du vélo sans culottes ! >> lance Estelle. C'est parti. Plus le moindre souffle vent. Le retour est agréable mais au cabanon de l'écluse il faut mettre les K-ways, enfiler les leggings. Plus que 19°. Il est dix huit heures quarante cinq quand nous revenons.

Bonne faim de soirée à toutes les coquines qui aiment se faire nettoyer le minou après un bon gratin de choux fleurs réchauffé. Vautrées dans le canapé, gagnées par la fatigue, jouissant une dernière fois dans une torpeur grandissante. Avant de s'endormir contre leur "nettoyeur". épuisées avec le gout de son sperme dans la bouche...

Julien (Léon le "nettoyeur")



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine, Julien et Estelle
Saturday 11 May 2024 07:11

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 19 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2610 -



Virée vélo sous le soleil

Hier matin, vendredi, il est un peu plus de huit heures trente. Estelle à ma droite, blottie contre moi, Clémentine à ma gauche qui se tourne pour venir se serrer. Estelle saisissant ma turgescence naturelle d'une poigne de fer. Précédant d'une fraction de seconde celle de Clémentine qui empoigne mes couilles. Nous en rions alors que nous émergeons à peine. Des bisous, des papouilles. Je les tiens par leurs épaules quand elle Estelle se redresse, se lève pour courir vers la porte. << Pipi ! Vite ! Au secours ! >> s'écrie t-elle dans son pyjama de soie mauve. Clémentine s'allonge sur moi. Frottant son sexe sur le mien. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous revêtons nos tenues de jogging dans la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle en bas.

Dans la cuisine où flottent les suaves odeurs de café, de pain grillé. Des croissants dans le four à micro ondes. Je presse les oranges. Clémentine pèle les Kiwis. Je me fais tripoter par Estelle qui adore l'accessibilité que permet le lycra. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre randonnée vélo de jeudi. En évoquant celle qui nous attend cet après-midi. Nous mangeons de bon appétit. Les souvenirs que nous construisons à chacune de nos sorties nous laissent d'agréables sensations. Nous traînons à table. Estelle consulte la station météo. La température extérieure est de 12°. Il va être 9 h10. Ce sera un running en réunissant nos courages. La vaisselle. Nous enfilons les K-ways. << Regardez les taches suspectes ! >> lance Estelle en nous montrant celles qui macule le sien.

Nous rions de bon cœur. Nos K-ways servent également à baiser dessus. En général un coup d'éponge et tout disparaît. Quelques mouvements d'échauffement dans la très désagréable fraîcheur matinale. Nous courons sur notre circuit préféré, le long de la rivière. Une heure plus tard nous sommes de retour pour la douche. Vêtus de nos jeans, de nos sweats, nous voilà au salon. Assises sur mes cuisses, me tournant le dos, mes deux anges consultent nos boîtes mails. Trois courriels. Celui de ma famille d'Édimbourg. Nouvelles peu rassurantes concernant mon oncle. Un message de Lise qui nous confirme sa reprise demain matin. Elle sera là pour huit heures trente. Assurer son ménage. Le mail de Juliette qui confirme sa venue mercredi soir prochain. Impatiente de nous revoir. Le repas.

J'aime caresser leurs seins minuscules, mes mains baladeuses sous leurs sweats. Il n'est pas loin de onze heures quand nous quittons le salon pour la cuisine. C'est bien de manger tôt, cela permet de partir tôt également. Profiter de ces belles journées enfin revenues. Nous épluchons les pommes de terre pour les laver, les couper avec le coupe frites. Dans la friteuse électrique sans huile. Clémentine fait l'assaisonnement d'un concombre et d'un avocat. Estelle met les assiettes, les couverts. Je poêle trois magnifiques filets de dinde que j'ai préalablement piqué d'ail. Je rajoute des champignons qu'Estelle a finement émincé. Un déglaçage permet de créer une sauce. Il est onze heures cinquante quand nous mangeons de bon appétit. Nous réjouissant des nouvelle aventures à venir.

Nous ne traînons pas. À peine la vaisselle faite que nous montons en courant. Nous laver les dents en déconnant, nous mettre en tenues vélos. Jupettes et T-shirts pour les filles. Short et T-shirt pour moi. Nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos que je porte, pommes, barres de céréales, K-ways pour le retour dans la fraîcheur de fin d'après-midi. La température extérieure est de 23°. Je vérifie la pression des pneus, la tension des chaînes. C'est parti. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois, cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Nous croisons déjà plein de cyclistes. Il y a des filles en roller. Entre mes deux anges, contre un très léger vent d'Est, nous pédalons en bavardant. Pas d'arrêt pipi au cabanon de l'écluse. C'est un endroit trop fréquenté.

<< Depuis qu'ils ont fait un aménagement avec des bacs à fleurs et des bancs, il y a tout le temps du monde ici ! >> lance Estelle. Nous parcourons les vingt cinq kilomètres d'une traite. Il est 14 h15 quand nous arrivons au port de plaisance. Sous le soleil. Les joueurs de pétanques, les promeneurs, des groupes de cyclistes. Des employés communaux affairés pour préparer la fête de la Sainte Jeanne d'Arc dimanche. Il y a déjà deux manèges rétros qui prennent formes. Nous fermons les vélos à cadenas derrière le cabanon de la capitainerie. Rapidement, Estelle et Clémentine retirent leurs culottes pour les fourrer dans le sac à dos. Estelle palpe ma bosse. Enfonce sa langue dans ma bouche. La réaction est presque immédiate. Je bande comme le dernier des salauds. Et ça se voit bien.

Mes anges rient de cette effroyable bosse qui déforme le lycra beige de mon short moulant. << Put-Hein comme tu es sexy dans ce truc ! >> s'exclame Estelle en passant ses mains sur mes fesses, pour les empoigner. Nous rions de bon cœur. Nous tenant par les mains nous flânons sur les quais. Nous adorons cet endroit. Il est impossible de s'en lasser. Il s'y passe toujours autre chose. Nous viendrons très certainement à la fête dimanche. Avec les préparatifs, les installations du chapiteau, des manèges, ce sont autant de possibilités pour Clémentine. Rien ne viendrait autant apporter un supplément de plaisir qu'une petite exhibe de bonne qualité. Aussi, nous errons à la recherche d'une opportunité. Là, ce cycliste solitaire, une sorte de "routard" au vélo plein de bagages lourds.

Il consulte son smartphone, sa bicyclette sur béquille. Avec les beaux jours apparaissent ces voyageurs à bicyclettes. << Il est parfait celui-là ! >> dit Estelle. Clémentine, les bras croisés, marchant lentement, contourne l'arrière du camion sur lequel il y a des échafaudages démontés. Estelle et moi restons dissimulés derrière une camionnette. C'est par les vitres que nous observons. Clémentine passe devant le routard une première fois. Ce dernier lève les yeux pour découvrir cette superbe jeune fille qui se penche un peu plus loin. Comme si elle cherchait quelques chose. Elle doit pisser depuis plus de deux heures. Estelle me tripote. Nous ne cessons de surveiller les environs. Il y a des voix et de l'animation pas très loin. Les préparatifs et les installations vont bon train. Ça bosse.

Là-bas, Clémentine repasse une seconde fois devant le type. Il est de haute taille, maigre dans son bermuda kaki, sa chemisette bleue, son chapeau façon "Indiana Jones". Il regarde une nouvelle fois. Clémentine le contourne pour aller s'accroupir de toute urgence à une dizaine de mètres. Cachée par le camion. Nous la distinguons de face, maudissant les vitres de cette camionnette. Par très propres. Le "voyageur nous tourne le dos, trop occupé à admirer la sublime pisseuse qui se lâche de plusieurs jets d'une puissance incroyable. Le bougre prend même des photos avec son téléphone. Sans s'emmerder le moins du monde. Peinard, consciencieusement. Prenant tout son temps. Clémentine, tête baissée, portant ses larges lunettes de soleil aux verres noirs fumés reste anonyme.

L'inconnu ne tente absolument rien. Clémentine se redresse, se torche longuement, faisant durer le plaisir. Le sien d'abord. Le seul qui importe dans ces situations qu'elle adore créer. Les bras croisés, elle repasse tout près du mec. Il reste mutique, se contentant de la regarder s'éloigner. Comme si tout ce qui venait de se dérouler était parfaitement normal. Clémentine vient nous rejoindre. Elle nous donne ses impressions. << Génial ! >>. Par les vitres, nous découvrons le routard qui récupère le mouchoir en papier pour le déplier et l'admirer à la lumière du soleil. Le humant à pleines narines. Nous en rigolons comme des bossus. C'est l'heure de la crème glacée. Nous traversons la route pour aller à la supérette. Pas trop de monde. Nos spécialités Ben & Jerry's.

Nous les savourons installés sur le même muret. Regardant l'animation parfois fébrile des préparatifs et de leurs travaux. << J'ai envie de baiser ! >> lance Estelle en se touchant discrètement. Pour lui permettre de le faire sans trop d'inconfort, je place le petit sac à dos entre ses cuisses. << Moi aussi ! >> rajoute Clémentine. Dès nos pots vides et jetés dans une des poubelles, nous nous dirigeons vers les bâtiments des sanitaires. Nous les contournons pour descendre le chemin qui longe le canal. Avec le "pont" du week-end, il y a encore davantage de pêcheurs que jeudi. C'est dans les fourrés, à une cinquante de mètres de l'un d'entre eux que nous étalons les K-ways dans l'herbe. Cette fois nous avons apporté un spray répulsif dont nous enduisons nos bras, nos culs en riant aux éclats.

Qu'il est agréable de se pénétrer à l'ombre des acacias. Quand nous faisons l'amour avec Estelle, c'est Clémentine qui fait le guet. En se masturbant. En empoignant mes couilles. Quand nous faisons l'amour c'est Estelle qui surveille. Le répulsif "Marie-Rose" s'avère plutôt efficace. Il faut simplement en remettre car nos sueurs dissipe son principe actif. Nos jeux OlymPipes sont perturbés par ces deux familles qui arrivent par là. Avec armes et bagages. Même un landau. Nous avons juste le temps de nous réajuster, de plier les K-ways avant de déguerpir. Frustrés mais contents. Une seconde crème glacée s'impose. Que nous dégustons au même endroit avant de retourner doucement aux bicyclettes. Les filles, prenant tous les risques, s'offrent un méga pipi. Je les encule un peu du bout de mes doigts. Je les torche. C'est parti.

Bonne faim de soirée une fois rentrées à la maison, à toutes les coquines impatientes de conclure cette journée dans une ivresse de plaisirs. Malgré la fatigue qui les gagne...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine, Julien et Estelle
Monday 13 May 2024 07:38

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 20 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2611 -



La fête sur le port de plaisance

Hier matin, dimanche, notre grasse matinée nous emmène aux environs de neuf heures. Estelle à ma gauche, qui tiens déjà mon érection naturelle. Clémentine à ma droite qui vient se blottir. Mes mains glissent dans les culottes. Nous savourons l'instant. Estelle se lève d'un bond, nous habituant tous les matins à un amusant rituel. Quand elle cavale vers la porte des toilettes en criant : << Pipi ! >>. Clémentine se livre au sien. Elle s'allonge de tout son long sur moi. Elle frotte son sexe sur le mien en mitraillant mon visage de bises. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. C'est en T-shirts et slips de nuit que nous dévalons les escaliers. Nous retrouvons les suaves parfums du café, du pain grillé. Je caresse les seins d'Estelle. Clémentine garde ses mains dans mon slip. Échanges de bon procédés.

L'énorme brioche qui trône au milieu de la table nous fait terriblement envie. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre virée vélo de samedi après-midi. Nous mangeons de bon appétit en évoquant celle d'aujourd'hui. Nous débattons rapidement du programme de la matinée. Nous sommes invités au repas de midi chez les parents d'Estelle. Nous nous réjouissons. Nous traînons à table. Le dimanche pas d'entraînement. Assises sur mes genoux, mes deux anges parlent de leurs études. De la rentrée de lundi. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents, nous changer. Jeans et sweat. Baskets. Impatients d'aller nous dégourdir les jambes. La température extérieure est de 17°. Il faut enfiler les anoraks. Nous descendons jusqu'à la rivière. Le ciel est d'un bleu d'azur. Le soleil.

Nous longeons la rivière jusqu'au vieux lavoir. J'ai la bite à l'air. Tantôt dans la poigne ferme d'Estelle. Parfois dans la main de Clémentine. Nous partirons à bicyclette jusqu'au bourg. Ainsi, nous pourrons filer à partir de là dès le repas terminé. Il est onze heures quand nous sommes de retours. Les chaleurs de la journée s'annoncent car il fait déjà 20°. Au salon, assises sur mes genoux, les filles allument l'ordinateur. Nous avons deux messages. Celui de ma famille d'Édimbourg. Nous sommes attendus bras ouvert à partir du premier juillet. Un courriel de Juliette qui nous raconte en quelques mots les journées au haras. C'est Clémentine qui répond alors que mes mains caressent les seins minuscules de mes deux anges. Il va être temps de nous mettre en tenues. Short et T-shirts.

Jupettes et T-shirt pour mes deux anges. Nous dévalons les escaliers pour traverser le jardin en courant. Rapide vérification des pneus, de la chaîne, des freins. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois, cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Mais c'est à droite, vers le bourg que nous l'empruntons cette fois. Poussés par un léger vent d'Ouest. Là-bas, au loin, au-dessus de l'horizon de grands nuages blancs. Ils seront sur nous en soirée. Trois kilomètres plus tard nous traversons le bourg. Il y a un vide grenier. Le premier de l'année. << J'avais oublié ! >> lance Estelle. << Nous viendrons à celui de septembre ! >> dit Clémentine. Nous arrivons chez les parents d'Estelle à midi tapante. C'est Yvan, en bermuda, chemisette qui nous accueille. Nous sommes morts de faim.

Michèle, dans une robe d'été. Nous sommes tellement contents de nous revoir. << Ça faisait plus de trois mois ! >> lance Michèle. Je surprends son regard qui s'attarde longuement sur la bosse dans mon short de lycra noir. Estelle n'est jamais très loin, à me surveiller. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Yvan nous propose deux séries de dates pour le séjour à Inverness. Ce sera une semaine dans leur maison entièrement rénovée à North Kessock. Pendant le repas, il y a ce discret jeu de regards avec la maman d'Estelle. Cette femme me fascine. Magnifique bourgeoise quinquagénaire et terriblement sexy. J'ai bien évidemment droit à quelques coups de pieds sous la table. J'aide Michèle à débarrasser. Prétexte pour passer quelques minutes en sa compagnie. À la cuisine.

<< J'aime beaucoup ta tenue cycliste. Et les formes qu'elle laisse deviner ! >> chuchote Michèle. Elle est penchée devant le lave vaisselle. Elle tourne sa tête pour braquer ses yeux sur ma bosse. Je bande. Et toujours de traviole, la bite enroulée dans le slip. Tordue. J'y glisse la main rapidement. On entend rire et parler depuis le salon. Je sors mon chibre. Je bande comme le dernier des salauds en disant : << J'en ai trop envie quand je ne te vois pas deux mois ! >>. Michèle, comme pour échapper à une tentation évidente, se redresse. << J'ai envie de te la sucer, si tu savais ! >> murmure t-elle. Je remballe illico. Juste à temps car Estelle vient voir ce que je "bricole". Son regard, d'une grave sévérité, fixe l'énorme bosse qui déforme le lycra noir de mon short. Elle a compris.

Je quitte la cuisine en laissant Estelle et sa mère. Depuis quelques mois, il se créé une sorte de complicité "autre" entre Yvan et Clémentine. Vient-il de faire comme moi devant Clémentine ? Elle m'adresse un de ses sourires énigmatiques en me faisant un clin d'œil. Yvan et Michel vont rejoindre leurs amis au vide grenier. Nous les saluons en les invitant le dimanche 26 mai pour la Fête des Mères. J'adresse un discret clin d'œil à Michèle. Je la laisse probablement bien "allumée". À sa manière de se serrer contre son mari. C'est parti. Depuis le bourg cette fois. Nous pédalons contre le léger vent d'Ouest. Annonciateur d'un probable changement de climat. Vingt huit kilomètres plus tard, nous arrivons au port pour 15 h30. Il fait chaud. C'est presque une véritable journée d'été.

Même si là-bas, de grandes masses de nuages envahissent le bleu du ciel. Nous fermons les bicyclettes à cadenas derrière le cabanon de la capitainerie. Estelle et Clémentine retirent rapidement leurs culottes pour les fourrer dans le petit sac à dos que je porte. Entre les manèges rétros, il y a des marchands de glaces, de barbes à papa et autres pommes d'amour au bout de leurs longues tiges. Nous arrivons à la fin du spectacle. Là, sur la scène se joue la passion de Jeanne d'Arc. Les acteurs d'une troupe de théâtre amateur surjouent des rôles Historiques, leurs donnant un côté surréaliste. Il y a un monde fou. Sur les quais il y a des promeneurs partout. Des propriétaires de bateaux s'affairent sur les ponts de leurs navires. La saison de la plaisance est officiellement ouverte en ce jour.

Clémentine aimerait beaucoup s'offrir une bonne petite exhibe. Avec la foule qui nous entoure cela tiendrait de la folie que de tenter un "plan". Certes, il y a quelques possibilités de s'accroupir de courts instants devant le stand d'un vendeur de ballons et de jouets. Car le papa du jeune garçon qui tente d'attraper une grenouille flottante, semble hypnotisé par les discrètes prestations de Clémentine. Estelle, que je dois carrément gronder pour son manque de discrétion, n'arrête pas de palper ma bosse. Même si elle se serre contre moi pour le faire, ça ne passe pas toujours inaperçu. Pour moi c'est un peu plus difficile. Mais je n'égare pas mes mains ailleurs que sous sa jupette. J'arrive même à la doigter entre l'arrière du chapiteau et la camionnette du gars du manège à chevaux.

Nous traversons la route pour aller à la supérette. C'est plein de clients. Nous n'avons nulle envie de perdre du temps à attendre en caisse. Tant pis pour nos pots de glaces. Nous flânons longuement. Les deux terrasses du bar restaurant sont noires de monde. Il est dix sept heures trente. Soudain, le ciel se couvre. La lumière du soleil disparaît. Il n'y a rien de menaçant au-dessus de nos têtes. Mais la prudence et l'horaire nous mettent en garde. Le vent d'Ouest est plus fort. Il nous pousse. C'est extraordinaire d'avancer sans le moindre effort. Nous pouvons rouler souvent côte à côte. Derrière nous, de lourds nuages sombres semblent nous suivre. Et probablement à une vitesse supérieure à la notre. Il y a même de grosses gouttes qui tombent parfois. Un roulement de tambour dans les cieux.

Nous arrivons sous une sorte de tempête. Cela devient violent. Un éclair zèbre les nuées. Puis un second. Un coup de tonnerre. À peine sommes-nous à la maison que l'orage éclate. Des paquets d'eau jetés contre les vitres. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de tomates. Estelle nous concocte une belle omelette aux quatre fromages, je m'occupe de la cuisson des spaghettis. Préparations rapides. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Aussi, un peu triste, elle vient souvent se serrer dans mes bras. Nous mangeons de bon appétit. Quand je propose aux filles le léchage de minous des dimanches soirs, elles se lèvent toutes les deux pour entourer ma chaise, me couvrir le visage de bises. Nous ne traînons évidemment pas. Dès la vaisselle terminée nous nous précipitons au salon.

En jupettes, rien à retirer que les culottes. Je suis à genoux sur les épais coussins. Estelle et Clémentine, vautrées dans le canapé, commençant à ressentir la fatigue, m'offrent leurs intimités. Je passe de l'une à l'autre. Il y a là toutes les saveurs d'une journée sans douche matinale. Je laisse aux lecteurs, et surtout aux lectrices, d'imaginer mon dessert du soir. Je m'enivre des plus folles coulées de cyprines, des plus fines spécialités fromagères, de plus folles odeurs. J'ai le bas du visage trempé de mouille. Je suce les clitoris pour laisser reposer ma mâchoire. Les muscles de ma langue fouilleuse. L'orgasme d'Estelle la fait hurler. Celui de Clémentine, pisseux et "nucléaire", la fait crier. Tout son corps agité de spasmes quand je maintiens son équilibre au-dessus de la cuvette en plastique.

Bonne nouille à toutes les coquines qui elles aussi aiment le spaghetti aux Parmezob, sous les draps, avant de s'endormir, épuisées, dans les bras de leur coquin...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Tuesday 14 May 2024 07:32

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 21 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2612 -



Juste Clémentine et moi

Hier matin, lundi, l'illusion bluffante de nous réveiller en pleine forêt. Il va être six heures dans quelques minutes. Clémentine, en gémissant, se tourne pour se serrer contre moi. Quelques bisous, quelques papouilles. C'est dur le lundi de se lever aux aurores. Comme des robots nous allons aux toilettes. Nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café. Je mets le reste de la brioche dans le four à micro ondes. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Se rajoutent les parfums du gain grillé. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les moments forts de cette semaine de farniente et de repos. Nous mangeons de bon appétit en envisageant une suite dès ce soir. S'il fait beau, un tour à vélo.

Il va être six heures vingt cinq. La température extérieure est de 12°. Le ciel est voilé. Nous enfilons les K-ways avant de sortir. Quelques mouvements d'échauffement dans la désagréable fraîcheur. C'est le long de la rivière que nous courons. Presque une heure d'un excellent running. La douche. Je redescends en vitesse, pour aller préparer l'auto. 7 h45. Clémentine vient me rejoindre dans une veste de cuir noir cintrée à la taille, ses bottines noires, son Levis. Une écharpe crème. Ses bras autour de mon cou pour un dernier bisou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Dernier coucou. Je me dépêche de rentrer pour faire la vaisselle et recouvrir notre lit. Dans l'atelier, installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette.

La peinture de cette treizième toile destinée à ma saison d'été, m'accapare complètement. Je retrouve mon autre passion. Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser des cris surréalistes à chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent. Il va être midi. Les gargouillis de mon estomac ne trompent pas. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je fais gonfler du riz complet. L'assaisonnement d'une endive. Une escalope de dinde poêlée. Pour ce soir ce sera un gratin de brocolis. Je les laves avant de les ébouillanter quelques minutes. Je mijote une sauce au Roquefort dans laquelle je rajoute de l'œuf. Les brocolis dans le plat, je verse la garniture. Je recouvre de gruyère râpé. Je saupoudre de chapelure. Je dispose des cerneaux de noix. Au four. Longue cuisson à 160°.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff et ses invités abordent les actualités. Cette farce supplémentaire d'annoncer publiquement le vol d'un troisième ordinateur contenant les mesures de sécurités et les stratégies mises en place durant les Jeux OlymPipes. C'est comme préparer l'opinion publique à une sorte de programmation du pire. Si ces ordinateurs avaient réellement disparu il est évident que personne n'en saurait rien. Ce serait un "secret d'État". La guerre perdue qu'endure l'Ukraine alors que les médias continuent la propagande gouvernementale. Il faut absolument que cette guerre continue, même par le mensonge, ce qui permet de blanchir des milliards de Dollars et d'Euros. Quitte à sacrifier des milliers de gens pour que ça dure.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Impatient de me dégourdir les jambes, je redescends en courant. La température extérieure est de 22°. Des séquences ensoleillées alternent avec d'autres plus nuageuses. Je vais jusqu'à la rivière. Il est treize heures quarante cinq quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans le même enthousiasme débridé. Le bruit que j'entends, m'indique qu'il est déjà dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours. J'aime l'entendre chantonner en revenant des toilettes. Elle entre dans l'atelier pour courir vers moi. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Je dois te branler de la part d'Estelle ! >> conclue t-elle en riant. En me touchant.

Assise devant son ordinateur, Clémentine prépare son argumentaire. D'abord par l'écrit. Un texte qu'elle va apprendre par cœur. Les présentations de thèses ont lieu la semaine prochaine, du mardi 21 mai au mercredi 23 mai. Chaque postulant devra faire une présentation publique de cinq minutes. Ils sont dix huit étudiants dans le groupe de Clémentine et d'Estelle. Tout en écrivant, elle me confie à quel point cet aspect "théâtral" la ravit. << J'espère passer au milieu pour piquer des "plans" à mes prédécesseurs et m'amuser de ceux qui suivent ! >> m'explique t-elle. Ces quarante cinq minutes de travail en commun, sont, pour moi, les plus gratifiants. << Écoute. Tu me donnes ton avis ! >> lance Clémentine en venant tourner autour de moi pour déclamer son texte comme le ferait une actrice. Apprenant son rôle, une feuille de papier à la main.

Clémentine écrit bien. Son élocution permet de s'immerger presque instantanément dans le sujet. Sa diction claire, respectant des pauses, afin de laisser à son interlocuteur la possibilité de tout assimiler. Même si la physique quantique reste pour moi une sorte de dialecte slovène de la fin du quatorzième siècle récité en patois chinois du début de l'époque Ming, c'est la musique des mots qui m'enchante. Elle le sait bien. Aussi à la fin de ce discours de présentation, elle vient me faire plein de bisous. Pleine de compassion pour mon hermétisme face aux mathématiques, elle me dit : << Mon pauvre chéri. Je vais lui donner des cours ! >>

Clémentine range ses fiches. Je nettoie la palette, les pinceaux. Nous nous rejoignons au petit lavabo de l'atelier. Je me lave les mains alors que Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets. Secouant les dernières gouttes, penchée en avant, guettant l'ultime pour la sucer, elle me dit : << J'ai bavardé un peu avec Léo à l'interclasse de quinze heures. J'avance doucement mes pions. Il serait d'accord pour faire un tour dans ma voiture un soir, après les cours. Avec Estelle on va bien préparer le "plan". Il faut simplement qu'il fasse beau et sec ! >>. Je suis ravi de découvrir que Clémentine n'a pas abandonné l'idée de dépuceler ce jeune étudiant de vingt ans. << Il est timide, il est choux, il est mignon. Je vais me le faire. Et la totale ! >> précise t-elle entre deux pompages appuyés.

J'aime me faire tailler une pipe en écoutant Clémentine me confier des secrets de fille. Je l'aide à se redresser. Je m'accroupis à mon tour pour masser ses genoux. Elle se serre contre moi en rajoutant : << Merci de me comprendre. Sans toi tout cela serait impossible. C'est vraiment superbe tu sais ! >>. Elle murmure ces mots sur le ton de la confession. Nous en rions de bon cœur. Quand Clémentine conclue : << Tu me pardonnes toujours tout ! >>. Je la rassure : << Je n'ai rien à pardonner puisque tu ne fais rien qui nécessite un pardon quelconque. Par contre je t'inflige des punitions par anticipation ! >>. Elle mitraille mon visage de bisous. Je saisis sa natte pour l'entraîner vers le vieux canapé de l'atelier. Je la fais s'assoir. Ma main sous son menton, la tenant fermement par la nuque.

J'enfonce lentement ma queue dans sa bouche en disant : << C'est ainsi que vous serez punie mademoiselle ! >>. En riant, Clémentine lance : << Et vous pensez que cela sera suffisant pour que je devienne une épouse fidèle ? >>. Je murmure : << Je ne vous désire pas en épouse fidèle mais en compagne libre qu'il me faut seconder dans ses penchants ! >>. J'aime entendre rire Clémentine quand elle me pompe. La sensation est autre. Je la tiens par ses oreilles. D'un mouvement lent et régulier, je me masturbe lascivement. En revenant sur le souvenir d'instants précis. Ce qui la passionne car par association d'idée Clémentine peut s'y plonger elle aussi. Je pose des questions quand aux différences de gout en suçant des bites différentes. En gloussant, Clémentine cesse pour raconter.

Je sais qu'une de ses préférées est celle de notre plus proche voisin, monsieur Bertrand. Retraité salace, incontinent et impuissant, sexe minuscule mais abondamment juteux. Je me penche pour dire : << Celui-là aussi, tu le négliges depuis quelques mois ! Je vais te préparer un "plan" un de ces jours ! >>. Sa curiosité aiguisée, Clémentine cesse de sucer pour demander : << Quels "plans" ? Baise ou pipe ? >>. Je me contente de répondre : << Surprise ! >>. Il commence à faire faim. Presque dix neuf heures. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand Clémentine découvre ce qui réchauffe au four, j'ai droit à de nouvelles effusions de tendresses. Je l'aide à préparer l'assaisonnement des carottes. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur l'argumentaire de la thèse.

Clémentine se réjouit pour ce nouveau challenge. << Et si je me plante ! >> s'exclame t-elle. Sans être véritablement saisit par le doute, elle pose une nouvelle fois la question. Je réponds : << Tu prends toutes les années que voudras pour y arriver ! >>. En riant Clémentine vient s'installer sur mes genoux. Son assiette à côté de la mienne. Je la fais manger en tenant sa fourchette. << J'aime quand tu t'occupes de moi ! >> dit elle dans un murmure. Nous savons bien que Clémentine ne connaît pas l'échec. Je suis témoin du travail qu'elle fournit pour ses études. Avec un Doctorat de sciences, bien des entreprises étrangères sollicitent des diplômés. L'embarras du choix aux États-unis, au Royaume Unis. Les universités américaines cherchent des professeurs et maîtres de conférence.

Nous faisons la vaisselle. C'est en portant Clémentine comme une jeune mariée que je l'emmène au salon. Je déboutonne son 501. Je retire ses bottines. Juste en sweat et en chaussettes, elle m'offre son intimité que je lèche, que je suce, que je savoure. Elle m'entraîne sur elle. Je la pénètre avec précaution, restant en appui sur mes bras. Nous restons immobiles. Ce sont les moments privilégiés ou Clémentine me confie ses pensées les plus confidentielles. Revenant sur le jeune étudiant. C'est hyper excitant de l'entendre me confier le stratagème qu'elle compte appliquer avec Estelle. Je connais bien l'endroit qu'elle décrit. Le mirador au haut duquel Estelle et moi seront cachés pour mâter. Clémentine déteste baiser dans une bagnole. Ce sera dans l'herbe, sur un plaid, avec Léo.

Nous alternons les mouvements de berceuse. C'est très excitant de se poser des questions et d'y répondre. Clémentine se masturbe. Parfois elle cesse pour s'accrocher à mon cou. Passer ses jambes autour de ma taille. Je la garde ainsi pour l'emmener dans quelques chevauchées fantastiques. Elle me repousse délicatement. Je me retire pour saisir la cuvette en plastique bleu sous le guéridon. Accroupie au-dessus, tenue sous les aisselles, c'est en poussant de petits cris de ravissement que Clémentine s'offre un orgasme pisseux. Dès qu'elle a terminé, elle se laisse retomber dans le canapé en reprenant ses esprits. Je suis à genoux, visage entre ses cuisses à récupérer le reliquats. L'onctueuse cyprine qui s'écoule encore après son éjaculation spectaculaire. Un second orgasme.

Bonne nouille à toutes les coquines qui vont en savourer le jus de cuisson sous les draps. Avant de s'endormir dans les bras de leurs complice...

Julien (propriétaire de la nouille)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine, Julien et Estelle
Wednesday 15 May 2024 07:15

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 22 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2613 -



Quand Estelle vient nous rejoindre en soirée

Le gazouillis des oiseaux. Le doux bruit que fait la source en s'écoulant. Dans l'étrange résonance d'une profonde forêts. Nos I-phones se mettent à fonctionner exactement en même temps. Quarante cinq secondes d'une illusion qui nous réveille ainsi. On a l'impression que tout cela se passe dans notre chambre. Clémentine vient se serrer contre moi. Nous nous étirons en gémissant. Il faut se lever. Il va être six heures. Quelques bisous, des papouilles avant de nous précipiter aux toilettes. Dans la salle de bain nous revêtons nos tenues sports. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine prépare le café. Je presse les oranges, pèle les kiwis. Les croissants aux amandes dans le four à micro ondes. Je beurre les premières tranches éjectées par le grille pain. Miel. Confitures.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de la veille. Le lundi soir en amoureux. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les différentes options du repas de ce soir. Je suggère des bouchées à la reine. Clémentine s'en réjouit déjà. Presque six heures vingt cinq. Nous enfilons les K-ways pour affronter la fraîcheur matinale. À peine 13°. Le ciel est nuageux. Quelques mouvements d'échauffement et nous courons le long de la rivière. Une heure d'un jogging des plus agréables. La douche. Je redescends pour aller sortir la voiture du garage. À presque 7 h45, le climat annonce un changement de temps. Clémentine vient me rejoindre, vêtue de sa veste en cuir noir, de ses bottines noires, de son Levis "brut". Ses bras autour de mon cou pour un dernier bisou.

Je la regarde s'en aller avant de rentrer, faire la vaisselle, recouvrir le lit. Dans l'atelier, installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette treizième toile hyper réaliste m'accapare rapidement et entièrement. Je peins dans l'allégresse en chantonnant. Sans la moindre perception du temps qui m'emmène aux environs de midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à réchauffer le reste du gratin de brocolis. Avec l'assaisonnement d'une belle endive. Pour ce soir je prépare une Béchamel. J'y rajoute de l'émincé de dinde avec des champignons. Du gruyère. Je remplis les bouchées que je cale parmi les coquillettes. Je recouvre le tout d'une copieuse couche de gruyère. Graines de sésame. Chapelure. Cerneaux de noix. Au four pour une cuisson à 160°

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission quotidienne, André Bercoff aborde le sujet de la duperie des vaccins. De leurs effets secondaires. Des conséquences de ces évènements déjà vieux de quatre ans. Ces plaintes en groupes qui se préparent. Que le gouvernement ne veut surtout pas prendre en considération avant les élections européennes. Plaintes recevables et qui se pratiquent déjà en Allemagne, aux Pays Bas et en Italie. Les responsables politiques de l'époque commençant à se faire du soucis quand à leurs acceptations de lécher les culs des laboratoires pharmaceutiques américains. Nul doute que, comme pour Laurent Fabius et le scandale du sang contaminé, les dirigeants s'en tireront à bon compte. Les salauds s'en tirent toujours très bien.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Le ciel s'obscurcit. La menace pluvieuse semble imminente. Pressé d'en profiter avant que la pluie ne tombe, je dévale les escaliers. La température extérieure est de 20°. Un vent tempétueux se lève. Je descends jusqu'à la rivière. Il y a une ambiance romantique. Les nuages offrent toutes les nuances des gris les plus clairs aux plus sombres. Il est treize heures cinquante quand je suis à nouveaux confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans la continuité de mon humeur de ce matin. Sans voir tourner les aiguilles de la pendule. Le bruit que j'entends m'avertit de l'arrivée de Clémentine. Elle chantonne toujours en revenant des toilettes. Avant d'entrer dans l'atelier pour se précipiter vers moi. Se mettre à Califourchon.

Ses bras autour de mon cou, installée sur mes cuisses, Clémentine me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. mitraillant mon visage de bisous, elle évoque Léo, le jeune étudiant avec qui elle bavarde quelques instant à la fin des cours, dans les couloirs de l'université. << Si je rentre avec un peu de retard un de ces soirs c'est parce que je l'emmène faire un tour dans ma voiture ! >> dit elle. Je l'encourage en la rassurant : << Étant prévenu, je ne m'inquiète pas ! >>. Clémentine précise : << C'est dans le cadre de la stratégie. Du "plan" ! >>. J'avoue me réjouir pour la suite de ce qu'elle désire entreprendre. Elle se lève pour aller s'assoir devant son ordinateur. Continuer la rédaction de son texte de présentation. L'argumentaire écrit de sa thèse.

<< Écoute ! >> lance Clémentine en se levant. La feuille de papier à la main, elle tourne autour de moi pour me faire la lecture. Je trouve l'ensemble clair et surtout cohérent. C'est une entrée en matière adroite et stylée. Je nettoie la palette, les pinceaux, il va être dix huit heures trente. << Demain, je passe la matinée sur ce projet, pour le finaliser et l'après midi c'est en vidéo conférence que j'en présente la première mouture ! >> m'explique Clémentine. Elle me tient la bite pour en diriger les jets alors que nous sommes devant le petit lavabo de l'atelier. En secouant les dernières gouttes, elle rajoute : << Tu n'as pas fini d'entendre les différentes versions ! >>. Nous en rions de bon cœur. Je signifie que le plus important est de passer le mercredi ensemble. Même en télé travail.

Accroupie, me tenant par les passants de ma ceinture, Clémentine me suce quelques instants. Elle se redresse pour se serrer dans mes bras. Me serrer dans les siens. Un coup de tonnerre. Un éclair éclaire la pénombre tel le flash d'un appareil photo. Il se met à pleuvoir. De véritables hallebardes. Estelle arrive sans faire le moindre bruit. Je vois la porte s'entrouvrir, sa tête apparaître. Elle se précipite vers nous. Estelle et Clémentine passent leurs journées ensemble sur les bancs de la faculté des Sciences. Mais quand elles se revoient le soir c'est comme une première fois. Serrés tous les trois à nous faire des bises. Estelle empoigne mon Zob à demi mou. D'une poigne ferme. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Je bande presque immédiatement. Et comme le tout dernier des vrais salauds.

En m'embrassant elle me branle. Clémentine derrière moi, essayant d'attraper ma queue. Estelle n'étant pas très partageuse, c'est un jeu de mains auxquels elles se livrent. Nous en rions de bon cœur. Je les saisis toutes les deux par leurs nattes pour les promener dans l'atelier. Les tenant au plus court afin de donner quelques à coups. Entre mes deux anges, vautrés tous les trois dans le vieux canapé, Estelle propose de réaliser enfin notre projet de soirée "Bondage". << Il ont prévu un climat morose pour la semaine ! Alors peut-être samedi soir. Qu'en dites-vous ? >>. Clémentine s'écrie : << Ce serait même obligatoire en ce qui me concerne. J'ai besoin d'être sérieusement reprise en mains ! >>. Nous rions. Estelle rajoute : << Et on filme en automatique ! >>. Le thème du "dressage".

Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. En découvrant les bouchée à la reine que je réchauffe, les filles se frottent contre moi. Cambrées sur leurs genoux fléchis, se frottant contre mes cuisses enserrées entre les leurs. << Put-Hein c'est bon comme ça ! >> s'exclame Estelle. Je les tiens par la taille en disant : << Après la bouffe, au salon, je m'occupe très sérieusement de vos cas à toutes les deux ! >>. Nous rions. J'aide Clémentine à faire l'assaisonnement d'un gros concombre. Estelle met les assiettes, les couverts. Nous ne cessons de nous faire des bises. Je me fais branler par Estelle. Elle agite ma queue en direction de Clémentine. Elle nous fait le plus adorable des sourires. Nous mangeons de bon appétit en dissertant sur ce que nous réserve la soirée.

<< Baise sur bureau ou sur canapé ? >> demande Estelle qui se lève pour mimer une masturbation masculine. Il est rare que Clémentine fasse pareil. Toutes les deux, debout, se mettent à imiter une branlette de mec. Je me lève pour faire "l'hélicoptère". Nous ne traînons pas. Nous débarrassons pour mettre les couverts, les assiettes, dans le lave vaisselle. C'est par les mains que mes deux anges m'entraînent au salon. Je suis prié de me masturber, de me mettre en condition. En faisant les clowns, imitant des danseuses de bars, Estelle et Clémentine retirent bottines, Levis, pour se retrouver en chaussettes et sweats. Assises sur le haut du bureau. Se touchant alors que je viens déposer deux épais coussins derrière elles. Estelle devra nous laisser pour vingt deux heures.

Estelle se montre impatiente. En appui sur leurs coudes, me fixant d'un air implorant, elles écartent leurs cuisses, pieds relevés et posés sur le bord du meuble. Je m'approche. Je me penche. Le visage entre les cuisses d'Estelle je m'enivre des odeurs de sa journée de fille. Les parfums de leurs intimités n'a pas d'équivalent. L'odeur de musc entre les poils que j'écarte pour y fourrer d'abord mon nez. Je passe à Clémentine. Comparaison n'est pas raison. Mais c'est dans une soudaine confusion d'esprit que je suce son clitoris géant. Le goût de ses muqueuses. Je pénètre d'abord Clémentine. Couchée sur le dos, se masturbant, je bouge doucement. Sa tête posée sur le coussin. Je passe à Estelle. Ce soir je mitraille tout azimut. Pas plus de quelques minutes dans chacune. Elles échangent leurs impressions entre deux gémissements. Je me comporte en homme des bois, en ours en rut, poussant des cris d'animal. Leurs orgasmes arrivent.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui apprécient la "baise sur bureau". Qui aiment s'offrir des jouissances répétées, vautrées et offertes...

Julien (homme des bois)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 23 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2614 -



Deux visiteuses

Presque sept heures trente. Conformément à ce qui est convenu, je réveille Clémentine. Ma paupière que je fais bouger contre sa pommette. Les cils la chatouillent. En même temps je murmure : << Papillon ! >>. Quand elle se tourne en gémissant, se serrant contre moi, je passe mon nez sur le sien en chuchotant : << Esquimau ! >>. Dans un souffle elle me dit : << Je t'aime ! >>. Quelques bisous, quelques papouilles. Même si le mercredi nous disposons de davantage de souplesse dans les horaires, il faut tout de même se lever. Nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain nous revêtons nos tenues de jogging. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans le hall d'entrée. Clémentine ouvre le portail depuis l'interphone. Mes bras autour de sa taille. Mes lèvres dans sa nuque.

De retour à la cuisine Clémentine prépare le café, je presse les oranges, je pèle les kiwis. Elle attrape au vol les quatre tranches éjectées du grille pain. Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur nos folies à trois avec Estelle. Nos mardis soirs "baise sur le bureau" qui nécessitent une bonne nuit de repos. Et comme le mercredi Clémentine est à l'université depuis son ordinateur, en télé travail, nous pouvons disposer d'une heure trente de sommeil supplémentaire. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la connexion défaillante de dimanche matin. Panne qui rendu impossible la publication de l'épisode relatant samedi. Nous en rions car ce fut une matinée de samedi identique aux précédentes. Sept heures cinquante. La vaisselle. Nous enfilons les K-ways. Température de 10°.

Nous réunissons tout notre courage en sortant. Des mouvements d'échauffement dans la désagréable fraîcheur humide. Les pluies de cette nuit ont détrempé le sol. Nul doute que celles d'aujourd'hui ne vont pas arranger l'état des chemins et des sentiers. Aussi, c'est au bord de l'étroite route communale que nous pratiquons notre heure de running. La douche. Vêtus de nos jeans, de nos sweats, baskets, nous redescendons pour passer dans l'atelier. Les cours commencent à neuf heures. Là il va être neuf heures quinze. Un quart d'heure de retard. << Comme tous les mercredis ! >> lance Clémentine s'asseyant devant son ordinateur. Elle ajuste ses écouteurs, son micro, et la voilà plongée dans sa vidéo conférence. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette.

Je peins dans cette ambiance de fête. La fille que j'aime prêt de moi. Dix heures quand mon I-phone se met vibrer. Avant la sonnerie "à l'ancienne". Je m'en saisis entre les tubes de peintures. C'est Danièle. Notre livraison du mercredi matin. Je me lève. Clémentine ne peut m'accompagner puisqu'elle est intervenante dans son groupe de dix huit étudiants. Dont Estelle. Je quitte l'atelier pour aller accueillir notre livreuse. Elle gare sa camionnette devant la porte du garage. Vêtue d'un épais gilet de camionneur, chaussée de bottes en caoutchouc, Danièle se met à courir pour traverser le jardin. Avec un petit cageot qu'elle porte contre elle. C'est un plaisir de la revoir. << Et Clémentine ? >> demande la dame en regardant ma braguette béante. Je réponds : << En cours, viens, on va lui dire bonjour ! >>

Je dépose le cageot sur la table de la cuisine. Danièle m'aide à en sortir un beau poulet prêt à rôtir, des escalopes de dindes. Elle fourre une main dans ma braguette. Je propose d'aller faire un petit coucou à Clémentine. Danièle retire sa main pour prendre la mienne un instant. Nous entrons dans l'atelier. Clémentine lève les yeux. Fait le plus adorable des sourires à Danièle. Je sors ma bite pour la faire tournoyer. Je l'agite vers Clémentine qui fronce les sourcils, dans l'impossibilité de nous rejoindre. Ses écouteurs sur les oreilles. Je raccompagne Danièle qui a encore d'autres clients à livrer. J'assiste une nouvelle fois à ce curieux phénomène. Quand Clémentine n'est pas avec nous, Danièle reste sur une attitude de réserve. Elle saisit mon chibre dans le hall d'entrée. Me branle.

<< On se voit samedi matin ! >> lance t-elle avant de dévaler les quatre marches de l'escalier du perron. Je rejoins Clémentine avec une tasse de thé au jasmin. Je la pose sur la table, à sa droite. Elle me remercie d'un sourire. Elle est en Webcam. Je fais le nécessaire pour ne pas entrer dans le champs de la caméra. Je reprends ma peinture dans la joie. La faim se fait sentir. Clémentine, en se levant après avoir retiré ses écouteurs, lance : << Raconte-moi tout ! >>. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer les trois bouchées à la reine et les coquillettes. J'aide Clémentine à faire l'assaisonnement d'une laitue. Dont nous lavons les feuilles également pour le repas de ce soir. Ce sera un gratin Dauphinois revu et corrigé façon "nous". Je mets les assiettes. Les couverts.

Nous mangeons de bon appétit. Je raconte ce qui s'est passé avec Danièle. Son étonnante réserve en se retrouvant seule avec moi. << C'est mon côté aphrodisiaque, mes phéromones qui agissent sur les autres femmes ! >> lance Clémentine. Nous en rions mais c'est fort possible. Ce n'est pas la première fois que j'assiste à cette étrange réaction de nos amies quand Clémentine est momentanément absente. Nous traînons à table. Les cours ne reprennent qu'à treize heures trente. Nous épluchons et lavons les pommes de terre. Pendant que Clémentine les coupe en tranches régulières avant de les ébouillanter, je fais rissoler deux escalopes de poulets émincées. J'y rajoute des champignons finement tranchés. Je concocte un liant à base d'œuf, de crème fraîche et de lait de soja.

Les pommes de terre égouttées, Clémentine en dépose une première couche dans le plat. Je verse le liant en étalant. Seconde couche de patates, seconde couche de garnitures. Pour un total de cinq superpositions. Nous recouvrons d'une épaisse couche de gruyère râpé. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillées, quelques cerneaux de noix. Pendant que Clémentine commence la vaisselle, je mets le plat au four. Le gratin Dauphinois façon "nous", va mijoter longuement à 160°. j'essuie les assiettes, les couverts alors que Clémentine, imitant l'accent Corse de Juliette, me dit : << Ce soir, bite à l'air. Ça fait plus de trois semaines qu'on n'a pas vu Juliette. Il faut donc en rajouter une couche ! >>. Nous rions aux éclats en montant nous laver les dents. Dehors il pleut.

Il est treize heures trente. Nous voilà assis à nos postes de travail. J'entends l'argumentaire de Clémentine pour présenter sa thèse. Je le reconnais car il est celui dont elle me fait la lecture depuis deux soirs. Quand elle cesse c'est pour converser avec un professeur. Ou alors avec un étudiant de sa section. Elle reprend le fil de son discours avant de s'arrêter à nouveau. Les périodes de silence alternent avec les échanges. C'est passionnant d'assister à cette vidéo conférence. Les interactions des uns et des autres m'échappent mais je tente de recomposer mentalement les scènes que je devine. Il va être dix sept heures quand Clémentine se lève en s'exclament : << Je suis épuisée ! >>. Elle retire ses écouteurs, range ses fiches, avant de me rejoindre en sautillant. Joyeuse.

Assise sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, en observant ma peinture, Clémentine me raconte son après-midi. Demain matin, à l'université, trois étudiants sélectionnés vont procéder à une simulation de présentation de thèse. Clémentine en fera partie. Elle partage son ressenti à cette idée. Je la sais prête à affronter toutes les épreuves universitaires. Elle se lève pour aller au petit lavabo de l'atelier. Je nettoie la palette, les pinceaux avant de l'y rejoindre. Pendant que je me lave les mains, Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets. Je les contrôle, les lâchant brièvement, créant ainsi de la puissance. << C'est toujours génial ! Je sens quand ça monte, quand ça passe avant de jaillir ! J'aimerais être un mec pour savoir comment ça fait ! >> s'exclame t-elle en secouant.

Penchée en avant, se régalant des dernières gouttes, Clémentine roucoule de plaisir. Elle se redresse. M'entraîne par le Zob jusqu'au vieux canapé de velours carmin. Elle m'y fait tomber. Jette un des épais coussins au sol. Il fait aussi sombre qu'un soir de novembre. Un coup de tonnerre. Suivi du flash d'un éclair. À genoux sur le coussin, les mains à plat sur mes cuisses, Clémentine hume les odeurs d'homme de ma journée. Je frotte ma bite sur son visage en revenant sur la visite de Danièle en matinée. Clémentine me donne ses impressions. Parfois elle suçote du bout des lèvres. Parfois elle gobe la forme du gland sous la peau tendue de mon prépuce. Puis elle se met à évoquer quelques situations vécues en compagnie de notre livreuse. Danièle. Agricultrice mariée et mère d'une petite fille.

Je me fais tailler une pipe des familles. Toutes les deux trois minutes, je pose une question précise. Ce qui permet à Clémentine de reposer sa mâchoire en y répondant. Je reviens sur Léo, ce jeune étudiant de vingt ans que Clémentine veut dépuceler et déniaiser. Je conseille de l'inviter à faire un tour dans sa voiture. Demain jeudi par exemple, après les cours. Sans qu'il ne se passe nécessairement quelque chose. Juste pour créer une situation émotive et sensuelle. Clémentine écoute attentivement. Quand elle cesse de sucer c'est pour préciser un détail, donner une idée de la situation "Léo" qu'elle prépare avec Estelle. J'écoute. C'est passionnant autant qu'excitant. Il est hors de question d'aller jusqu'à l'éjaculation. Malgré mon excitation conséquente, je contrôle parfaitement ce qui se passe. C'est un orgasme permanent.

Il va être dix huit heures. Clémentine se redresse. Me montre l'intérieur gluant de sa bouche. Elle adore laisser le foutre se mélanger longuement à sa salive avant de déglutir. Assise à côté de moi, tenant mon sexe qui a tendance à ramollir, Clémentine conclue : << J'aurai une demi heure de retard demain soir alors ! >>. Nous en rions de bon cœur. Quand je débande après une pipe, surtout sans aller jusqu'à l'éjaculation, mon sexe dégorge de liquide séminal. Il en coule sur les doigts de Clémentine qui se les lèche. Qui se penche pour récupérer les épanchements. Savourant tout ce qu'elle suce en gloussant de plaisir. Nos amies intimes ont pour consigne d'entrer comme elles le souhaitent dans notre demeure. La porte de l'atelier s'ouvre. Dans l'obscurité, la silhouette de Juliette. Élancée.

Ce soir vêtue de sa tenue de cavalière. Sa tenue de travail. Ses bottes de cuir noir, son pantalon d'équitation beige et hyper moulant, un gilet à manches courtes sur une chemise à carreaux. Elle se précipite, trop heureuse de nous retrouver. Nous nous levons pour lui serrer la main, nous faire des bises. Juliette porte ses longs cheveux noirs, aux mèches argentées en une longue natte. Comme celle de Clémentine. Ce soir, Juliette fixe effrontément mon sexe. Elle le saisit en disant : << Vous m'avez manqué tous les trois ! >>. Nous rions. J'attrape la natte de Juliette. Elle a ce réflexe des femmes fières et offensives. Après un instant d'hésitation devant mon initiative, elle redevient docile. Je glisse mon autre main entre ses cuisses. C'est bouillant. Je palpe son intimité en la fixant. Juliette est une magnifique bourgeoise de cinquante ans. Ce n'est pas ce genre d'attitude qui va la déstabiliser. Aussi, elle me fait : << J'aime quand tu es bien salaud ! >>

Juliette saisit mon poignet afin que je retire ma main. Elle s'assoit devant mon chevalet pour contempler ma toile. << On dirait une photo, c'est impressionnant ! >> lance t-elle dans un souffle. Clémentine tient ma queue alors que nous sommes debout à sa droite. Clémentine agite ma bite molle tout prêt du visage de Juliette. Elle tourne la tête pour bien observer. Elle lève les yeux pour nous faire de magnifiques sourires. Je m'approche. Juliette a un mouvement de recul. Hors de question de frotter mon sexe sur son visage ce soir. Morts de faim, nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand Juliette découvre nos préparations elle se met à chanter : << Je vais me régaler ! Ça va être un délice ! >>. Juliette devra nous laisser pour 22 h. Nous mangeons de bon appétit. Une fois au salon, nous nous offrons une soirée masturbation comme nous en raffolons. Juliette dans le fauteuil, cuisses écartées, une tache à l'endroit de son intimité. Nous dans le canapé.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines que les soirées branles ravissent. Avant de retrouver leur coquin sous les draps, pour se faire lécher et sucer un peu avant de le finir par une vidange de couilles..

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine, Julien et Estelle
Friday 17 May 2024 07:40

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 24 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2615 -



Jeudi avec soirée "contrôle" de minous

Hier matin, jeudi, à presque six heures, ce sont les bruits d'une forêt mystérieuse qui nous réveillent. Le chants des oiseaux ainsi que l'écoulement d'une source résonnent d'une étrange façon. Cette illusion bucolique ne dure que quarante cinq secondes. Clémentine se tourne pour se blottir contre moi. En gémissant. Quelques bisous, quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Nous revêtons nos tenues de gymnastique à la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Imitant l'accent Corse de Juliette, Clémentine me raconte ses rêves en préparant le café. Je pèle les kiwis, je presse les oranges. Les suaves odeurs du pain grillé viennent enchanter notre levé. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de mercredi avec Juliette.

Une soirée masturbation comme nous nous en offrons de plus en plus souvent. << J'adore ! Et à trois c'est drôlement excitant ! >> précise Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les propositions de Juliette. Ce fameux gloryhole qui est sans cesse repoussé. << Je n'ai plus tellement envie. Je préfère les situations pas convenues ! >> rajoute Clémentine. Dehors il pleut. La température extérieure est de 11°. Pas vraiment motivante pour aller courir. Aussi, à six heures vingt cinq nous remontons pour nous entraîner dans notre salle. Échauffements aérobic. Jogging sur tapis roulants. Exercices au sol. Charges additionnelles. Les étirements d'un stretching. Retour au calme nécessaire avant la douche. Même si par manque de temps, ces étirements sont un peu bâclés.

Je redescends le premier pour préparer le voiture. Presque 7 h45. Clémentine, sous son parapluie, vient me rejoindre. Habillée de son blouson d'épais cuir brun, ses jeans, ses bottines brunes. Un béret et une écharpe carmins. Un dernier bisou. << Je serai peut-être un peu en retard ce soir. Tu sais pourquoi ! >> me fait Clémentine en s'installant au volant. En effet, je sais pourquoi. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer au chaud, au sec pour faire la vaisselle, recouvrir notre lit. Dans l'atelier, installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Cette treizième toile hyper réaliste, destinée à ma saison d'été, me plonge dans les plus folles introspections. Je peins en pensant à Clémentine. Ce soir, après les cours, elle fera un tour avec Léo. Sympa.

Un petit tour en voiture. Question de prendre la température en étant seule avec le jeune étudiant timide et réservé. Ces pensées m'emmènent aux environs de midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à réchauffer le reste du Gratin Dauphinois. De faire l'assaisonnement d'une belle endive jaune. Pour ce soir, je prévois des pizzas. Dans un saladier je prépare la pâte à pain. J'y incorpore du Parmesan que je râpe finement, en poudre. Je coupe quelques tomates pour les poêler avec des champignons, ail, oignons. Je laisse reposer la pâte dans un saladier, sous un linge. Je mets un couvercle sur la garniture. Poêle hors feu. Je râpe une grosse quantité de ce succulent gruyère Suisse Appenzeller. Ce sera une bien agréable surprise, en soirée, pour Estelle et Clémentine. Elles adorent la pizza.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission quotidienne, André Bercoff et ses invités abordent quelques épineux sujets d'actualités. L'opération de blanchiment d'argent à l'échelle planétaire en Ukraine. Les vingt cinq milliards que verse la France chaque année à l'Europe pour n'en récupérer que quinze milliards. L'invention d'une pandémie pour pouvoir vacciner de la populace en l'effrayant. Le fait de diriger une nation par la peur. Peur des attentats, peur des maladies, peur du papillomavirus, peur de la canicule, peur des intempéries, peur du voisin. Peur de la Russie. C'est à la mode. Recettes qui semblent parfaitement fonctionner puisque une immense majorité s'empresse de se précipiter dans tous les pièges, dans tous les sales coups qui leurs sont réservés.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Malgré la pluie, je suis impatient d'aller me dégourdir les jambes. Chaussé de mes bottes en caoutchouc, dans mon anorak, sous le parapluie, je descends jusqu'à la rivière. Toute cette pluie rend la végétation luxuriante sinon exubérante. Il est treize heures quarante cinq. Je travaille la pâte à pain pour la rendre plus onctueuse. Elle a bien reposé. Je l'étale pour verser dessus la garniture. Déposer les couches de gruyère sur les quatre belles pizzas. Trois au four pour une cuisson lente à 150°. Pas la peine de "saisir" avec une cuisson à 300°. Elles seront bien meilleures en ayant mijoté. La quatrième passera au four ce soir. Ce sera notre repas de demain, vendredi, à midi. Il est 14 h20. Je suis installé devant mon chevalet. Je peins dans la sérénité.

Il est dix huit heures. J'entends du bruit. Clémentine rentre de cours. Ou plutôt de sa petite promenade automobile avec le jeune étudiant. Le "plan" a donc parfaitement fonctionné. J'aime quand elle chantonne en revenant des toilettes, juste avant de me rejoindre. Je peux anticiper. Poser ma palette, mes pinceaux. Clémentine entre dans l'atelier. Elle se précipite pour s'assoir à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Sa promenade en auto avec Léo. << Il est tout timide quand il est seul avec moi. Je joue au même jeu. Je l'ai emmené à l'endroit choisi. Tu sais, là où il y a le mirador. Vous y serez bien, cachés, Estelle et toi ! >> me confie t-elle. En mitraillant mon visage de bises, elle m'explique en détail.

<< Je lui ai proposé de faire l'amour en extérieur, dans les prés, dès qu'il fait beau. Avant les épreuves du Doctorat il y aura des après-midi libres ! >> rajoute t-elle. J'écoute. Clémentine répond à toutes les questions bien avant que je ne les pose. Elle conclue : << Ce soir, il ne s'est rien passé. J'ai juste amorcé la pompe. Avant de le pomper un de ces soirs. Questions de le préparer à ce qui l'attend ! >>. Nous en rions de bon cœur. Par acquis de conscience, Clémentine révise encore un de ses écrits. Finalise l'argumentaire de présentation de sa thèse. Elle m'en fait une rapide lecture. Estelle arrive toujours dans le plus grand silence. Voyeuse, elle adore assister à des trucs en restant dissimulée. Nous n'entendons pas la porte de l'atelier s'ouvrir. Pas plus que nous la voyons s'ouvrir.

Clémentine tourne autour de moi en lisant son texte. Soudain la voix d'Estelle qui répète mots pour mots. Elle est là, dans l'obscurité, entre les deux grandes étagères. << Moi aussi j'ai de la lecture ! >> lance t-elle en sortant de sa cachette. Je nettoie la palette, les pinceaux en écoutant Estelle déclamer son argumentaire. Très similaire dans sa présentation à celui de Clémentine. Clémentine, assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, nous écoutons la seconde lecture d'Estelle. C'est aussi parfait, aussi précis. << Rien à redire. Si j'étais membre du jury je m'écrierais "reçue" ! >> s'exclame Clémentine. Elle se lève, me saisit la main pour m'entraîner devant le petit lavabo de l'atelier. Je me lave les mains. Clémentine me tient la bite pour en diriger les multiples jets.

Estelle vient nous rejoindre. Clémentine lui refile la queue entre deux giclées. << Raconte-moi ce qui s'est passé avec Léo ! >> demande Estelle. Clémentine raconte une seconde fois. << Put-hein, c'est génial quand les choses fonctionnent dans le sens souhaité ! >> s'écrie Estelle en secouant les dernières gouttes. << La semaine prochaine, je le suce dans la bagnole. Il ne le sait pas encore mais il est impatient de refaire un tour avec moi ! >> dit Clémentine qui se penche en avant. Pour recevoir mon sexe mou que lui tend Estelle. Clémentine suçote en gloussant. Estelle qui propose de filmer la pipe en cachette. << Comment veux-tu que je fasse ? C'est impossible ! >> lance Clémentine en se redressant. Estelle s'accroupit pour prendre le relai après avoir précisé : << Tu fixes ton téléphone sur le tableau de bord avec le support. Comme si tu te filmais en roulant. Tu sais quand tu te filmes en te branlant ! >>. Nous en rions de bon cœur.

En effet, il arrive parfois que Clémentine se filme en roulant, une main sous sa jupe à la belle saison. Nous apprécions de regarder ces images en faisant l'amour. Tout cela est donc parfaitement réalisable. Estelle se relève pour conclure : << Tu m'emmènes en cachette. Je reste dissimulée à l'arrière, sous une couverture ! >>. Nous rions aux éclats. Morts de faim, nous quittons l'atelier pour la cuisine. Mes deux anges découvrent les pizzas. Je les réchauffe. << Ça aussi c'est meilleur quand c'est réchauffé ! >> s'exclame Estelle en jouant avec ma bite, serrée contre moi. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade de carottes. Estelle me roule des pelles successives jusqu'à me faire bander comme le dernier des salauds. Il faut surveiller le four. Estelle s'en charge. Je vais aider Clémentine.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur l'aventure de Clémentine. Sur le projet de "fellation automobile" qu'elle compte bien mettre en pratique lundi ou mardi prochain. Elle me fait un clin d'œil en précisant : << J'aurai du retard. Il ne faudra pas t'inquiéter ! >>. Estelle se lève. En mimant une masturbation masculine, elle propose : << Je reste avec Julien si c'est mardi soir. Je viens le rejoindre immédiatement après les cours ! >>. Nous nous regardons en silence avant qu'elle ne rajoute : << J'aime quand il me fait l'amour pendant que tu tailles des pipes en bagnole ! >>. Nous rions quand Clémentine lance : << Salope ! >>. Je m'adresse à Estelle pour demander : << Et toi, raconte-moi donc ton mercredi soir. Tu t'es faites sauter par ton parrain ? >>. Elle vient s'assoir sur mes cuisses. Elle répond : << Oui, et c'était fameux. Dans ma chambre, sur mon lit. Il était encore tout chaud quand je me suis glissée sous les draps. Super ! >>

Nous n'arrêtons pas de rire de nos extravagances. Je demande : << Et Jean-Marc, il t'a enculé ? >>. Estelle s'empresse de répondre : << Oui, c'est devenu l'habitude d'une fin de baise. Il m'éjacule dans le cul le salaud. Après ça coule sans arrêt ! >>. Pliés de rire nous écoutons le détail de son récit. Je conclue : << Donc, ce soir, je vais être obligé de procéder au "contrôle" ? >>. Estelle s'écrie : << Exactement ! >>. Dès la vaisselle terminé, les filles m'entraînent au salon. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Aussi, elle est la première à retirer ses bottines, ses jeans et sa culotte. La première à se vautrer dans le canapé. La première à m'offrir les senteurs et les saveurs de ses intimités. À genoux sur les épais coussins, mon visage entre ses cuisses, je m'enivre de sa journée de fille.

C'est étourdissant. Les odeurs si particulières me donnent le vertige. Les goûts me procurent d'étranges sensations buccales. Quand je fouille les lèvres de sa vulve, que ma langue y pénètre, Estelle se masturbe. Quand je suce son clitoris, elle se met à frissonner, à pousser de petits cris d'animal blessé. Je passe à Clémentine qui interprète la même partition. Ce que j'apprécie par-dessus tout dans ces moments, c'est de les entendre bavarder le plus naturellement du monde. Échangeant leurs impressions. Caressant ma tête. Estelle aime bien appuyer sur ma nuque pour me faire suffoquer. << C'est qu'il aime ça ! Regarde-le bouffer ! >> lance t-elle à Clémentine qui se penche pour approcher son visage du mien. Elle murmure : << Bon appétit monsieur. C'est à moi maintenant ! >>

Je passe de l'une à l'autre. Toutes les deux, à genoux, les coudes en appui sur le dossier du canapé, me présentent leurs culs. J'aime lécher les raies où se sont écoulés des épanchements de cyprine. Ça sent hyper fort. Les muqueuses suintent. Leurs raies culières sont aussi touffues que leurs minous. Je n'arrête pas de retirer ou de cracher des poils. C'est très spécial de lécher le cul des filles. Surtout après une journée qui les sépare de la douche matinale. Elles discutent en remuant les fesses. J'ai des crampes à la mâchoire. Le visage trempé de mouille. Quand elle se retourne la première, pour découvrir l'état de mon visage, Estelle m'attire sur elle. Je la pénètre. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Clémentine se masturbe en découvrant ce qui se passe. Elle jouit la première, en pissant.

Bonne nouille à toutes les coquines qui aiment s'en régaler sous les draps. Évoquant leurs projets de pipe en bagnole. Suçant la bite de leurs coquins en lui promettant de tout raconter dans le plus infime détail. Peut-être même de filmer la "fellation automobile"...

Julien (cocu bienheureux)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Saturday 18 May 2024 07:09

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 25 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2616 -



Le vendredi Clémentine termine à midi

Hier matin, vendredi, pour la dernière fois de cette semaine, ce sont les illusions sylvestres qui nous arrachent du sommeil. Le gazouillis des oiseaux, l'écoulement de la source. À chaque fois différents. Clémentine, en gémissant, se tourne pour se blottir dans mes bras. Quelques bisous, quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Toutes choses comme des robots. En riant de nos maladresses matinales. Nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge à la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Sans perdre le moindre instant nous répartissons nos tâches. Clémentine fait le café, je presse les oranges. Elle pèle les kiwis. Je beurre les premières tranches expulsées par le grille pain. Miel, confitures d'églantines, de papayes. Mangue.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée "léchages de minous" de jeudi. En compagnie d'Estelle. << Je la vois ce matin en cours. Elle va me raconter ! >> lance Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Avec cette météo nous ne serons pas trop frustrés d'aller en ville. Clémentine a son rendez-vous gynécologique. En revenant nous ferons quelques achats à l'hypermarché. Six heures vingt cinq. Nous remontons nous offrir notre entraînement. Il pleut. Il fait froid avec seulement 9°. Les échauffements aérobics. Le jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol avant les charges additionnelles. Quand elle termine à midi, Clémentine est facétieuse. Je suis plié de rire en la voyant déconner pour le retour au calme du stretching.

La douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer l'auto. Presque 7 h45. Sous son parapluie, dans son blouson d'épais cuir brun, ses jeans, ses bottines brunes, Clémentine vient me rejoindre. Un dernier bisou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Je rentre en courant me mettre au chaud et au sec. Faire la vaisselle, recouvrir notre lit avant de passer dans l'atelier. Il faut faire une flambée dans le petit poêle Godin rond de fonte noire. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je termine ce matin ma treizième toile hyper réaliste. Cette certitude, ainsi que beaucoup d'autres, me plongent dans une sorte de béatitude. Je peins en pensant au projet ce Clémentine. Faire une pipe dans l'auto à son collègue étudiant.

Il est très exactement onze heures quand je dépose la dernière touche de peinture sur la surface du tableau. Je nettoie la palette, les pinceaux. J'aime faire un peu de ménage le vendredi matin avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe la dernière pizza préparée la veille. L'assaisonnement d'un gros concombre et d'un bel avocat bien mûr. Il est midi trente. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille, me couvrant le visage de bisous, je l'emmène aux toilettes. Rituels pipis, lavages des mains. Morts de faim nous revenons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Les vendredis, elle passe à la station pour faire le plein. Elle se fait parfois draguer. Aujourd'hui par un ramoneur.

Nous rions aux éclats de cette anecdote. << Se faire draguer par un ramoneur ! Peut-on rêver meilleure fatalité ! >> lance Clémentine. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, mon ange me confie s'être masturbée sur les quinze kilomètres du retour. << À cause de Léo. J'ai encore discuté quelques minutes avec lui à la sortie des cours. Il se libère mardi prochain. Sa maman viendra le récupérer sur le parking à 18 h plutôt qu'à dix sept heures ! >> m'explique t-elle. J'écoute absolument ravi par cette perspective, par ce premier aboutissement. << Tu n'es pas fâché ? >> conclue t-elle. Je la rassure : << Bien au contraire. C'est juste frustrant de ne pas pouvoir me cacher pour observer ! >>. Clémentine rajoute : << On peu s'arranger tu sais ! >>

Devant la complexité d'une organisation foireuse, je préfère qu'elle me raconte au retour. << Si je peux, je filme discrètement comme le préconise Estelle ! >> dit encore Clémentine. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Clémentine prend une rapide douche intime, chevauchant le bidet. Elle reste habillée comme pour aller à l'université. Je me change pour me vêtir à l'identique, comme elle. La pluie a provisoirement cessé. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. C'est avec la Golf de Clémentine que nous repartons. Je suis prié de conduire. Je roule doucement. Le rendez-vous est à quatorze heures trente. Clémentine joue avec ma queue en revenant sur le projet "Léo". Ce jeune garçon de vingt ans va connaître les indicibles plaisirs d'une vraie fellation.

Clémentine l'a déjà sucé il y a presque deux mois. Lorsqu'il est venu avec son copain Maël pour fêter l'anniversaire d'Estelle et de Clémentine. J'étais planqué dans le placard de la maison d'amis. Excitée par ce projet, Clémentine me suce un peu alors que je gare l'auto sur le parking du pôle médical. Je remballe difficilement avant de sortir de la voiture. Nous prenons les escaliers pour monter au second étage, au-dessus de la pharmacie. Dans la salle d'attente, il y a d'autres femmes. Elles me regardent d'un air amusé lorsque nous y entrons. Je n'attends pas plus de quinze minutes quand Clémentine vient me rejoindre. << Tout est OK, j'étais un peu gênée car je mouille toujours un peu quand je te suce. Même deux minutes ! >> me confie t-elle dans l'escalier. Nous en rions aux éclats.

Il y a cinq kilomètres jusqu'à l'endroit stratégique où nous nous garons en arrivant en ville. Le ciel s'est dégagé de ses épais nuages menaçants. Laissant quelques traînées. Mais la température ne dépasse guère 18°. Dix minutes pour arriver dans les rues piétonnes du centre. C'est étrange, un 17 mai, de voir les gens autour de nous, dans leurs vêtements d'hiver. << Cette fraîcheur est la résultante du réchauffement de la planète. Pas d'inquiétude ! >> lance Clémentine. Nous rions. Cette vaste fumisterie fait elle encore recette ailleurs que dans les médias aux ordres ? Espérons que tout le monde ne soit pas dupe et que les gens se réveillent. Un petit tour à la FNAC. Peu de clients. Clémentine s'offrirait volontiers un petit frisson exhibitionniste. Aussi, nous cherchons une "victime potentielle

Elle est là. Ce type entrain de feuilleter un gros album photos. Je reste en retrait. J'adore la voir faire son numéro d'approche. Debout, à droite du quidam qu'elle dépasse d'une demi tête, Clémentine ne tarde pas à se toucher. C'est extrêmement discret. Devant le rayon. Impossible de voir ce qu'elle fait. Sauf à ses côtés. Privilège dont prend rapidement conscience notre bonhomme. Il n'ose pas regarder franchement. Un timide sans doute. Mais il louche à s'en déboîter les globes oculaires. Je suis de l'autre côté de la large table où sont présentés divers ouvrages. Je feuillette machinalement en faisant semblant d'être intéressé. Mais ce qui m'intéresse réellement c'est la prestation encore remarquable de Clémentine. Je sais qu'elle ne triche jamais. Elle aime tant se masturber, se faire du bien.

La situation dure une bonne dizaine de minutes. Notre homme ne tente même pas d'entrer en communication verbale avec la fille à sa droite. Pourtant il ne cesse de la regarder se toucher. Il sait que cela ne s'adresse qu'à lui. Le bougre reste d'un stoïcisme exemplaire. Je fini par comprendre. C'est probablement sa compagne qui vient le rejoindre. C'est toujours étonnant le regard qu'ont les filles entre elles quand leurs mecs est à côté d'une inconnue. Clémentine vient me rejoindre à son tour. Nous quittons ce rayon. << Put-Hein, ça m'éclate de faire ma salope. Il m'en faut un autre. Je crois que c'est le stress accumulé en cours. Il faut que ça sorte ! >> me dit elle en riant. Nous cherchons une autre opportunité car quand la fille que j'aime commence, elle pourrait faire ça jusqu'au soir.

Il n'y a pas d'autres solitaires. Nous flânons dans les rues aux pavés encore mouillés. Le ciel est lumineux mais voilé. Un bon chocolat chaud à l'étage de notre salon de thé préféré. Peu de monde. Une première visite aux toilettes hommes que nous connaissons bien. Enfermés dans un des cabinets, faisant le contorsionniste, je lèche et je suce le minou de mon ange après son pipi. Elle tient ma bite pour en diriger les jets. Entre chacun d'eux, accroupie, Clémentine suce un peu. En sournois, je lâche alors une giclée. Elle lève les yeux, pour me fixer d'un air amusé. Faisant attention qu'il n'en coule pas sur le haut de son sweat. Deuxième visite avant l'addition. Mais cette fois sans pisse. Juste pour la cyprine et pour le liquide séminal. Dix minutes à nous faire beaucoup de bien.

Nous retournons à la voiture. Direction la zone commerciale, l'hypermarché. Cinq bornes à me faire sucer jusqu'au vertige. Je roule avec une extrême prudence. Je pousse le chariot. Tenant la liste des courses, Clémentine me précède parfois pour comparer des prix, voir les promos. Sur le toit de tôle du magasin nous entendons la pluie qui s'est remise à tomber. Nous avons beau chercher un "plan" pour Clémentine. Pas de réelle opportunité qualitative en vue. Nous passons en caisse. Nous lisons les menus proposés devant la cafétéria. Je propose de manger là ce soir. Il va être dix neuf heures. Clémentine hésite un peu. Mais devant l'alléchante photo de tomates farcies et de macaronis gratinés, elle cède à la tentation. En rentrant, nous ferons l'amour. Une soirée en amoureux. Juste nous deux.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment faire l'amour dans le lit, sous les draps, avant de sombrer, telle la P'tite Annick, au fond de l'Atlantique Nord, dans les abysses, par plus de 3 600 mètres...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine, Julien et Estelle
Monday 20 May 2024 07:43

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 26 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2617 -



Un dimanche de repos et de farniente

Hier matin, dimanche, il est un peu plus de neuf heures. Estelle à ma droite, passe une cuisse sous les miennes, l'autre sur ma tumescence. Accrochée à moi toute la nuit, elle se serre encore plus fort pour se masturber contre ma hanche. Ce qui réveille Clémentine. Elle vient se blottir. Je suis entre mes deux anges qui se frottent contre mes hanches, contre mes cuisses. Nous ne sommes pas du matin. Mais cette situation est magique. Estelle cesse assez rapidement pour se lever d'un bond. Pour se précipiter vers la porte. Clémentine s'allonge sur moi. Elle continue à se frotter en chuchotant des douceurs. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, en slips et T-shirts de nuit, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans les parfums du café, du pain grillé.

Mes mains sur ses hanches, alors qu'elle est occupée à presser les oranges, mes lèvres dans sa nuque, je remonte sur ses seins. Le contact de la soie de son pyjama mauve rajoute à nos plaisirs. Clémentine me prend en sandwich pour glisser ses mains dans mon slip. Ses lèvres dans ma nuque. << Comme c'est férié demain lundi, on refait la même chose. Autant d'entraînements pour nos deux mois en Écosse ! >> lance Estelle. Je coupe la brioche au pudding. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les aventures de samedi. Aventures que je ne relate plus car je prends mon dimanche de congé. Il n'y aura donc plus de parution le dimanche. Que mes lecteurs en conviennent. Je ne peux plus, même sous le couvert de l'anonymat d'un pseudo, mettre trop d'amies en scène.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la journée. Le dimanche pas d'entraînement. Pas de sport. La température extérieure n'est encore que de 16°. Le ciel est lumineux. Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, les filles parlent de leurs études. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents, nous changer. Jeans, sweats et baskets. Pressés de sortir nous redescendons à toute vitesse. Juste les K-ways pour descendre jusqu'à la rivière. Nul doute que la journée s'annonce belle et ensoleillée. Le soleil vient de faire une entrée majestueuse dans un ciel principalement bleu. Estelle s'accroupissant fourre sa main dans ma braguette ouverte. Elle m'en extrait le locataire qu'elle agite en direction de Clémentine.

Toutes les deux hument mon sexe avec une curiosité amusée. Le dimanche pas de douche. Aussi, l'odeur caractéristique de "sandwich au thon", comme l'appelle Estelle, monte jusqu'à mes narines. C'est toujours assez gênant de se faire renifler la queue. J'admire toutefois le spectacle. Mon sexe qui durcit, que frottent mes deux anges contre leurs joues. << J'aime trop la bite ! >> s'exclame Estelle. << J'en raffole ! >> rajoute Clémentine en se redressant à son tour. Nous longeons la rivière jusqu'au vieux lavoir. L'endroit est colonisé par des batraciens. L'ancienne cuve s'est emplie d'eau de pluie. Ce qui semble l'idéal pour des grenouilles qui sautent dans tous les sens. Nous revenons pour onze heures. Estelle s'occupe de la préparation du poulet à rôtir. Clémentine fait une salade de carottes.

Je m'occupe des frites. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Dans le petit sac à dos, pommes, barres de céréales. K-ways. Nous montons nous laver les dents. Nous mettre en tenues. Jupettes pour les filles, short pour moi. T-shirts pour tous les trois. Nous dévalons les escaliers. C'est en courant, nos bouteilles d'eau à la main, que nous traversons le jardin. La température est de 21°. Je vérifie le gonflage des pneus, la tension des chaînes. En me faisant toucher par Estelle. C'est parti. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Il y a du monde. Filles en rollers, cyclistes, des familles venant du bourg. Nous pédalons contre un vent d'Ouest. Souvent côte à côte et en bavardant.

Vingt cinq kilomètres jusqu'au port de plaisance. Il y a une animation organisée par la municipalité voisine. Des stands, des manèges. Les joueurs de pétanques. Nous fermons les vélos à cadenas derrière le cabanon de la capitainerie. Discrètement, rapidement, Estelle et Clémentine retirent leurs culottes. Elles les mettent dans la petite poche avant du sac que je porte. Je les touche en même temps. Mes mains entre leurs cuisses, sous leurs jupettes. C'est sublime. J'aimerais y fourrer mon visage. Je hume mes mains en les retirant. Un frisson parcourt mon échine. Ça sent fort. J'adore. Estelle palpe la bosse qui déforme l'avant de mon short beige. Nous flânons sur les quais. Il y a les décors d'une chapelle. Ce matin c'était la bénédiction des bateaux. Début de saison officielle pour la plaisance.

Clémentine qui s'offrirait bien volontiers une petite exhibe de qualité. Quand il y a tant de gens il est très difficile de trouver un bon "plan". Cela implique une plus grande vigilance. C'est bien plus excitant mais proportionnel aux risques. La terrasse du bar restaurant est noire de monde. Des promeneurs assis sur les murets attendant qu'une table se libère. Nous traversons la route pour prendre le chemin qui monte au cimetière touristique. L'endroit est très fréquenté. Situé au sommet de la colline qui surplombe le port, la vue sur les environs est magnifique. Il y a quantité d'arbres qui offrent leurs ombres bénéfiques. C'est un plaisir que de se balader entre les tombes dont certaines ont 800 ans. Il y a quelques caveaux de familles. Certains ouverts. Nous avons aussi notre préféré.

<< Tu me prends un peu ? >> me dit Estelle en poussant l'une des deux portes du caveau de famille habituel. Deux gros sarcophages de pierres taillées. Ils forment une table idéal pour baiser dessus. Clémentine, une main sous sa jupette, l'autre tenant la porte, qui fait le guet. Nous nous habituons rapidement à l'obscurité toute relative. En appui sur ses coudes, assise sur le sarcophage, Estelle écarte ses cuisses. Debout entre ses jambes, je frotte mon sexe sur le sien. Longuement. Sur son clitoris. Clémentine commente à voix basse ce qu'elle aperçoit entre le vide des deux portes. << Attention. C'est bon ! >> murmure t-elle. Nous devons êtres prêts à jouer la normalité à chaque avertissement de Clémentine. Je suis debout. À la bonne hauteur. Je pénètre Estelle doucement.

Elle en gémit de plaisir. << J'aime de plus en plus baiser dans des endroits à risques ! >> nous précise t-elle. Se laissant choir, sa tête sur le sac à dos faisant office de coussin, Estelle murmure des propos incompréhensibles. Ou sont-ce des gémissements ? Je la baise comme elle aime. Avec la délicatesse d'un lutteur Ukrainien, avec les attentions d'un ours en rut. << Faites doucement, je suis certaine qu'on vous entend dehors ! >> lance Clémentine qui se tortille de plaisir. Elle se masturbe, penchée en avant pour regarder à l'extérieur. Il n'est pas question d'aller jusqu'à l'orgasme. Nous préférons nous garder pour la soirée. Surtout qu'Estelle passe la nuit avec nous. << Attention ! Des Simpsons ! >> s'exclame Clémentine. Je me retire. Je remonte mon short. Estelle se redresse très vite.

C'est une famille entière, de cinq personnes, deux adultes et leurs trois progénitures bruyantes. Ils nous saluent et se mettent à prendre des photos. Bien décidés à investir les lieux comme un chalet de vacances. Nous les laissons pour flâner un peu entre les tombes. Nous guettons le caveau de famille, impatients de pouvoir y retourner. Enfin, les visiteurs en ressortent. C'est presque en courant que nous y retournons. Estelle saute sur le sarcophage pour se remettre en position. Je la pénètre immédiatement. Cette fois, je suis allongé au-dessus d'elle. Je reste en appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids. Elle s'accroche à mon cou, passe ses jambes autour de ma taille. Je l'emmène pour une chevauchée mouvementée. Clémentine, qui fait le guet, se masturbe en gémissant.

J'adore baiser avec Estelle. Elle adore baiser avec moi. Après Jean-Marc, son parrain et baiseur fou, je suis son meilleur "coup" me dit elle souvent. Et là, nous baisons comme des déments. Je jette parfois un coup d'œil vers la porte. Vers Clémentine à contre jour que je regarde se branler. Elle m'adresse un rapide clin d'œil sans cesser de surveiller. Il y a trois autres alertes. C'est à la fois amusant et terriblement excitant de baiser dans ces conditions risquées. Une nouvelle heure se passe. Je propose à Clémentine de remplacer Estelle. << Non, je guette ! >> répond t-elle. Estelle qui ne peut réfréner l'orgasme qui la surprend. Ce sont de véritables cris qu'elle lance en se tournant sur le côté, les mains entre ses cuisses serrées, à se tortiller comme en proie à une intense douleur. Sa jouissance m'impressionne.

Je me masturbe un peu. Plutôt pour calmer mon excitation folle que pour la prolonger. Estelle se redresse, se lève, saute à mon cou. Je la soulève. Nous rejoignons Clémentine. En sueur, son visage trempé. Elle me montre ses doigts gluants, mouillés, luisant à la lumière. Je les prends en bouche. Je passe ma main entre ses cuisses. C'est trempé. J'ai envie de bouffer ce minou suintant de cyprine. << Allez-y, je guette ! >> propose Estelle. J'entraîne Clémentine par sa natte. Elle se met en appui sur ses coudes en disant : << La pierre est toute chaude de votre baise ! >>. Elle m'offre son intimité qui dégorge de jus de fille. Je me régale. Elle ne cesse de se masturber quand je fouille sa vulve, que je lèche, avant de sucer son clitoris géant. Ses gémissements son soudain haletants.

Clémentine sait en général résister à l'orgasme qui semble vouloir fondre sur elle. Mais là, dans ces situations dont elle raffole, elle ne peut pas non plus le réfréner. Son plaisir l'assaille. J'ai juste le temps de me retirer quand elle se lâche dans un jet d'une incroyable puissance. Contre les portes en bois à quelques trois mètres. Avec un bruit sourd. Estelle qui a recommencé à se toucher, oublie de faire le guet pour regarder, hallucinée, les grandes eaux de Versailles. Des voix, Clémentine saute du sarcophage. Juste à temps. Cette fois ce sont deux couples qui entrent. Il y a de la pisse partout. Nous les saluons avant de filer à toute vitesse. << Avec les véritables flaques de pisse que Clémentine a lâché, ces gens devront faire attention où ils mettes les pieds ! >> lance Estelle. Cette pensée nous fait rigoler comme des bossus. C'est l'heure des glaces.

Bonne fin d'après-midi, à toutes les coquines qui en rentrant à bicyclettes font mille projets pour le lundi férié. Après des spaghettis et une bonne omelette, ces mêmes coquines se feront brouter les minous avant de retrouver la délicate douceur des draps sous lesquels elles vont se partager une bite bien juteuse...

Julien (juteux)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine, Julien et Estelle
Tuesday 21 May 2024 07:41

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 27 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2618 -



Lundi 20 mai, jour férié

Notre grasse matinée nous emmène pas loin de neuf heures. Estelle me réveille comme elle en a l'habitude. Me saisissant l'érection naturelle d'une poigne ferme. Posant ses lèvres dans mon cou, juste sous l'oreille. Ses lèvres telles des ventouses. Le bout de sa langue titillant ma peau. Tout en se frottant contre ma cuisse. Tout cela tire Clémentine de son sommeil. Elle se tourne en gémissant. Se rendant compte de ce qui se passe elle aussi vient se serrer, se frotter. Je suis entre mes deux anges. Dans une félicité divine. Je veux glisser ma main dans la culotte de Clémentine quand elle s'écrie : << Attention ficelle. Mes "petits machins" ! >>. Je constate effectivement la petite ficelle avec laquelle je joue un peu. << Je me suis levée à cinq heures pour mon médoc ! >> rajoute t-elle.

Je pose mes lèvres sur son T-shirt de nuit. Délicatement je souffle de l'air chaud sur chacun de ses seins minuscules. Je masse doucement, en petits cercles, son bas ventre. << Mmhh docteur. Mais ça va, pas de bobo. Juste une sorte de congestion ! >> dit elle. Estelle se lève, me lâche le sexe pour se précipiter vers la porte. Clémentine s'allonge sur moi. Elle reste immobile, son sexe contre le mien. Mitraillant mon visage de bisous, me remerciant pour les plaisirs de la veille. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous revêtons nos tenues de jogging à la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Il y flotte les effluves parfumées du café, du reste de brioche au four à micro ondes, du pain grillé. Estelle qui me tourne le dos dans son pyjama de soie mauve.

Mes mains d'abord sur ses hanches, qui remontent sur ses seins. Mes lèvres dans sa nuque. Ma langue titillant les petites racines de ses cheveux. Clémentine serrée contre mon dos, ses mains dans mon legging, palpant la bosse de mon slip. Je presse les oranges. Clémentine pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre dimanche après-midi au port de plaisance. << C'est génial de baiser dans les endroits à risques. Ça commence à drôlement me plaire ! >> lance Estelle. Clémentine dit : << J'en suis privée trois jours mais je prendrais plaisir à vous voir faire cet après-midi ! >>. Nous en rions. Nous mangeons de bon appétit en envisageant la randonnée vélo de l'après repas de midi. Je propose d'emmener un léger draps pour le déplier dans l'herbe.

À peine la vaisselle terminée, nous remontons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Pendant qu'Estelle se met en tenue, nous recouvrons le lit. C'est en courant dans les escaliers que nous nous tenons par la main en riant. Nous enfilons les K-ways avant de sortir. Avec seulement 17° il faut faire durer les mouvements d'échauffement. Nous courons le long de la rivière. Le ciel est principalement bleu. C'est un réel plaisir. Une heure de running avant la douche qu'Estelle prend la première. C'est à notre tour. Vêtus de nos Levis, de nos sweats, de nos baskets, nous descendons au salon. Assises sur mes genoux, mes deux anges allument l'ordinateur. J'évite de toucher l'extrémité hyper sensible et douloureuse des seins de Clémentine. Mais ceux d'Estelle nous ravissent.

Nous avons deux courriels. Celui de ma famille d'Édimbourg. Nous sommes attendus à partir de début juillet. "Quoi qu'il arrive" précise tante Amy. Oncle Alan restera probablement au pôle gérontologique de l'hôpital. Un message de Juliette qui nous confirme sa venue mercredi soir. Clémentine se lève la première après avoir répondu. Alors qu'Estelle surfe encore un peu sur le site de l'université. Juste à la bonne hauteur, je peux souffler de l'air chaud à travers le coton du sweat. Soulageant ainsi les désagréables sensations dont est victime Clémentine quand elle a ses règles. Pour le repas de midi, on va faire simple. Des spaghettis à la carbonara. Remplaçant les lardons par de l'émincé de poulet. Nous quittons le salon pour la cuisine alors qu'il n'est que onze heures quinze. Une légère faim.

<< De parler bouffe, ça donne envie de bouffer ! >> lance Estelle en fourrant sa main dans ma braguette ouverte. Par mesure de sécurité, elle n'en extrait pas le locataire pour préparer le repas. Clémentine fait l'assaisonnement d'un gros concombre et d'un avocat bien mûr. Je monte les asperges en ébullition. Estelle s'occupe des spaghettis. Je poêle les deux escalopes de poulets que j'ai coupé en fines tranches. J'ouvre un pot de crème fraîche. Clémentine monte la mayonnaise à la main. Estelle râpe de ce délicieux Appenzeller, gruyère Suisse à tomber tellement il est bon. Surtout qu'elle nous en fait gouter de fins morceaux. Nous mangeons de bon appétit. Il restera des spaghettis pour ce soir. << À la poêle avec une omelette aux champignons ! >> précise Estelle. Nous ne traînons pas.

La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents avec nos pitreries habituelles. Nous nous mettons en tenues vélos. Jupettes et T-shirts pour les filles. Short et T-shirt pour moi. Nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos, pommes, barres de céréales, k-ways pour le retour. Et un vieux draps violet roulé pour entrer dans le sac. Nous traversons le jardin en courant. Impatients de filer. Je vérifie le gonflage des pneus. La tensions des chaînes. C'est parti. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Sous 24° d'ensoleillement. Il y a du monde. Nous croisons quantité de cyclistes, de filles en rollers, de familles se promenant. Parfois un con qui balade son chien sans le tenir en laisse. Ces cons à chiens pullulent à la belle saison.

Les vingt cinq kilomètres qui nous séparent du port de plaisance en une heure vingt. Contre un léger vent d'Ouest qui nous poussera au retour. Sur les quais du port aussi c'est l'affluence. Dans la parfaite continuité de celle de dimanche. Nous fermons les bicyclettes à cadenas derrière le cabanon de la capitainerie du port. Les filles retirent leurs culottes discrètement et rapidement. Pour les glisser dans la poche avant du sac que je porte. Il y a un spectacle sur l'eau avec des nageurs, des plongeurs de faux animaux marins gonflés à l'hélium pour pouvoir s'envoler après les festivités. Ces fêtes familiales attirent bien évidemment de nombreuses familles. Nous flânons un peu sur les quais. C'est vite insupportable. L'agitation et les cris de la marmaille deviennent un enfer qu'il faut fuir à tous prix.

Clémentine aimerait beaucoup s'offrir une exhibe de qualité. Mais avec tous ces gens partout, cela relève de l'impossible. Sauf peut-être là, entre la dizaine de grosses bécanes et l'arrière de la roulotte devant un des manèges rétros. Clémentine nous y entraîne. Si elle reste tout près du mur, impossible de la voir depuis la route, au-dessus. Les motos rutilantes et pleines de chromes la protègent de la vue de des promeneurs. L'arrière de la roulotte participe de la discrétion nécessaire. Encore faut-il qu'un quidam solitaire passe à proximité. Nous attendons quelques minutes. Je peux souffler de l'air chaude à travers le T-shirt de Clémentine. Elle ne porte de soutien gorge que durant les trois jours de ses "petits machins". Il permet de soulager. Je masse doucement son bas ventre.

Estelle, derrière moi, passe sa main entre mes cuisses. C'est hyper excitant quand elle palpe mes roustons par l'arrière. Délicatement d'abord, avant de les empoigner plus fermement. Il y a un mec qui se pointe. Un jeune type qui met sa trottinette électrique sur béquille. Estelle et moi en retrait derrière la roulotte. À faire le guet. Il y a foule à quelques mètres. La musique oblige à une plus grande vigilance encore. Là-bas, à une quinzaine de mètres, Clémentine, accroupie derrière les motos, se fait surprendre par notre arrivant. À peine a t-il fermé sa trottinette à cadenas qu'il découvre la fille accroupie. Il reste discret. À l'écart. Il ne veut surtout pas dévoiler sa présence. Il regarde partout au tour de lui. Estelle serrée contre moi, qui me touche. Je bande comme le dernier des salauds.

Impossible de voir si Clémentine pisse. Les motos cachent la scène et nous ne voyons que son buste. La tête penchée en avant, pour bien regarder entre ses cuisses probablement largement écartées. Le type reste immobile. Peut-être un "connaisseur". Un gars qui sait qu'à la moindre approche, il mettrait fin au miracle. Il se touche à deux reprises. Lui aussi bande certainement dans son bermuda kaki. Des voix. Un groupe de motards vêtus cuirs façon "Hell's Angels ". Ce sont les propriétaires des machines. Clémentine n'a pas le temps de se redresser. C'est d'abord une des femmes qui la remarque en criant : << Une pisseuse ! >>. Les mecs viennent voir en se marrant. Clémentine se redresse précipitamment pour fuir. << Elle a pissé cette salope ! >> lance une autre femme du groupe.

Clémentine vient nous rejoindre en disant : << À cause de ces connes je me suis pissé dessus ! >> Penchée en avant, s'essuyant avec les mouchoirs en papier que lui tend Estelle, Clémentine nous raconte le "désastre". Nous en rions de bon cœur. Le propriétaire de la trottinette a disparu. Pour nous remettre de ces émotions, nous traversons la route en direction de la supérette. Pendant qu'Estelle attend dans une des deux files aux caisses, nous allons chercher nos pots de crèmes glacées. Il ne reste que deux parfums chez Ben & Jerry's. Vanille pécan, et praliné amandes. Nous savourons ces délices assis sur la haut du mur, nos jambes balançant dans le vide. << Regardez, le mec à la trottinette ! >> lance Estelle. Il regarde par là. Clémentine relève ses jambes, écarte ses cuisses.

Elle gratifie ainsi notre "victime" d'un spectacle de tout premier ordre. C'est rapide. C'est fugace. Il ne faudrait pas que d'autres s'en aperçoivent. Le jeune homme découvre que la pisseuse de tout à l'heure est accompagnée. Il détourne le regard pour retourner vers sa machine. La terrasse du bar restaurant est noire de monde. << On va baiser ? >> propose Estelle. << On va là où on était dimanche après-midi ! >> suggère Clémentine. Nous contournons les bâtiments des sanitaires pour descendre sur le chemin qui longe le canal. Un pêcheur tous les cinquante mètres. Des bagnoles garées partout. Il faut traverser le chemin, le pré pour se dissimuler derrière les fourrés. C'est là que Clémentine étale le draps. Posé sur les K-ways en guise de première protection. Estelle s'y allonge.

Clémentine reste debout. Dans la partie ajourée des bosquets, elle peut guetter, surveiller. Estelle retire mon short, mon slip, sans même que je n'ai le temps d'enlever mes baskets. << Garde-les, tu pourras courir plus vite si on se fait toper ! >> lance t-elle avant de m'attirer sur elle, couchée sur le dos. Ses jambes se refermant sur ma taille. Ses bras autour de mon cou. Il règne une certaine fraîcheur à l'ombre des feuillages. Clémentine se touche. Elle commente ce qui se passe à une centaine de mètres, au bord du canal. Les allées et venues. Je pénètre Estelle doucement. Accrochée à moi, c'est par un coup de reins qu'elle s'enfile tout le machin. Je suis à quatre pattes, Estelle suspendue à moi. Je la baise comme elle aime. Alternant le mouvement pendulaire avec celui de la berceuse.

Il y a des insectes. Nous avons prévu le coup. Clémentine se penche pour récupérer le flacon Marie-Rose. Le spray préventif dont elle nous asperge en riant. C'est efficace car nous pouvons baiser sans nous gratter. Appréciable en pleine cambrousse. Clémentine surveille sans cesser de se toucher. Elle m'adresse quelquefois un sourire, un clin d'œil alors qu'Estelle gémit de plaisir. Poussant parfois un petit cri qui lui échappe. Elle se laisse retomber, épuisée, reprenant son souffle, se masturbant. La tête posée sur le sac à dos. Les yeux fermés, à jouir. Je recommence. Nous sommes en sueur. C'est assez désagréable. Il est dix sept heures. Estelle me suce comme une assoiffée. Elle devra nous laisser ce soir à 22 h. Cette simple pensée la dynamise pour recommencer. Nous baisons comme des fous.

Estelle n'a pas échappé à l'orgasme qui vient de l'assaillir en traître. Sans qu'elle ne puisse l'éviter. J'ai envie d'éjaculer mais je veux me garder pour ce soir. Il faut affronter les vingt cinq kilomètres du retour, dans une sorte de torpeur. Heureusement le vent nous pousse. Aucun effort à fournir. Il est dix neuf heures quand nous arrivons à la maison. Je mets immédiatement la bicyclette à Estelle dans son Kangoo. Clémentine fait l'assaisonnement de deux endives. Estelle concocte son omelette. Je réchauffe les spaghettis dans la poêle, avec du beurre et du gruyère. Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. Épuisés, vautrés dans le canapé du salon, nous restons serrés. Je suis entre mes deux anges. Estelle joue avec ma queue molle. Je caresse le bas ventre de Clémentine.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont prendre leurs "gouttes" sous les draps afin de suivre les prescriptions du docteur. Avant de s'endormir dans ses bras, après avoir vidé le "flacon" de toutes ses gouttes...

Docteur Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine, Julien et Estelle
Wednesday 22 May 2024 07:10

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 27 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2618 -



Mardi matin. Hier, il est presque six heures. Difficile de se réveiller après un autre week-end prolongé. Le gazouillis des oiseaux, le bruit que fait la source en s'écoulant. Tout cela ne dure que quarante cinq secondes. Clémentine se tourne pour se blottir contre moi. Murmurant des propos amphigouriques qui nous font rire. Quelques bisous, quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Nous revêtons nos tenues de gym à la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café. Je mets les deux gros croissants aux amandes dans le four à micro ondes. Je pèle les kiwis. Je presse les oranges. Clémentine attrape les tranches éjectées par le grille pain pour les beurrer. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les bons moments du weekend.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant le repas de ce soir. Je préfère réserver la surprise. Six heures vingt cinq. Nous hésitons. Un jogging dans le froid est une épreuve quand il n'y a que 12°. Nous enfilons nos K-ways. Nous réunissons notre courage pour sortir. Quelques mouvements d'échauffement. C'est le long de l'étroite route communale et déserte que nous courons. Presque une heure d'un running sympathique. La douche. Je redescends pour préparer l'auto. Presque 7 h45. Clémentine me rejoint dans sa veste trois quart de cuir noir, cintrée à la taille. Un pantalon noir. Ses bottines. D'une élégance raffinée. Ses bras autour de mon cou pour quelques derniers bisous, elle me rappelle qu'elle aura environ du demi heure de retard en fin d'après-midi. << La pipe ! >> dit elle.

Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer pour faire la vaisselle, recouvrir le lit. Dans l'atelier, installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque ce mardi matin la quatorzième toile hyper réaliste destinée à ma saison d'été. Je peins dans un enthousiasme délirant. Je pense à Clémentine. À son retard. C'est qu'après les cours elle emmène Léo, le jeune étudiant, faire un tour dans sa voiture. Lui annoncer qu'elle veut faire l'amour avec lui, après lui avoir taillé une pipe dans un chemin. Elle pourra peut-être même filmer la scène. Peut-être même à l'insu du jeune puceau. Ces introspections plutôt excitantes m'emmènent aux proximités de midi. Il commence à faire faim.

Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je fais gonfler du riz complet. Deux gros nems aux crabes dans la poêle. Pour ce soir ce sera un gratin de choux fleurs. Je le cherche à la cave, dans le cellier. J'en coupe les branches pour les laisser tremper dans l'eau vinaigrée. Je râpe une grosse quantité de gruyère. Je prépare un liant à base d'œuf, de lait de soja, de crème fraîche et de fromage blanc. J'ébouillante le choux fleurs quelques minutes dans l'autocuiseur. Je l'égoutte, le verse dans le plat carré en terre cuite. Je verse le liant dessus. Je recouvre du gruyère, de chapelure, de graines de sésame grillées. Des cerneaux de noix. Au four pour une lente cuisson à 160°. Je fais l'assaisonnement de deux grosses endives. Pour ce soit tout est prêt. C'est rassurant et me procure une profonde sérénité.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission, André Bercoff et son invité reviennent sur les actualités. Cette plainte déposée par quelques dirigeant européens contre Pustula Von Der Leyen a enfin abouti à une instruction malgré toutes les magouilles de la mafieuse. Seront également enfin pris en compte les effets secondaires et parfois désastreux des fameux produits d'expérimentations appelés de façon mensongère "vaccins". Tous ces salauds qui venaient sur les plateaux de télévision, la main sur le cœur, en affirmant que les laboratoires pharmaceutiques proposaient des produits sans risques. Après juste quelques mois d'essais sur des souris et des singes ! Lumière va être faite sur ce mensonge presque planétaire. De grands menteurs comme Olivier Véreux. Ancien ministre de la santé aujourd'hui recyclé dans le ravalement de façades pour bourgeoises désœuvrées en tant que chirurgien esthétique. On ne rit pas là-bas, au fond, car c'est dramatique !

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Dehors le ciel est souvent bleu avant que d'épais nuages ne cachent le soleil quelques minutes. La température extérieure de 21°. Je descends jusqu'à la rivière. Qu'il est agréable de flâner. Il est treize heures quarante cinq quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Cette toile représentera l'aéroport d'Édimbourg. Je peins avec la technique hyper réaliste. Ce sera plus précis encore qu'une photographie. Absorbé dans mes réflexions je ne vois pas défiler les heures. Mais un réflexe me fait consulter l'horloge. Il est dix sept heures trente. Normalement, Clémentine devrait arriver. J'ai une soudaine sensation d'étouffement dans la poitrine. Je prends conscience de cette réalité. Clémentine taille certainement une pipe. Ailleurs.

Ce sont toujours de très étranges émotions qui m'étreignent dans ces moments de complicité distante. C'est la seconde fois, en quelques semaines, et depuis sept ans que Clémentine suce un mec en étant loin de moi. Je cesse de peindre. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je veux me consacrer tout entier à mes ressentis. En me masturbant par exemple. Je ne suis pas vautré dans le vieux canapé de velours carmin de l'atelier depuis deux minutes que mon I-phone se met d'abord à vibrer avant d'émettre sa sonnerie à l'ancienne. Je l'attrape de ma main libre. Tenant mon érection de l'autre. Quelle surprise, c'est Estelle. Juste cette courte révélation : << J'arrive. Je suis en route ! >> Je n'ai pas le temps de répondre qu'elle a coupé la communication. Je me masturbe. Je n'attends pas longtemps.

Estelle entre dans l'atelier en se précipitant vers moi. Elle s'assoit à côté de moi, dépose une bise sur ma joue en disant : << Cette salope t'a encore abandonné ! >>. Elle s'empare de mon sexe pour le tordre dans tous les sens. << Viens, fais-moi l'amour ! >> murmure t-elle en me lâchant pour retirer ses bottines. Son Levis, sa culotte. C'est un plaisir immense d'avoir sa compagnie en ces instants. Couchée sur le dos, elle m'attire sur elle. Je frotte mon sexe sur le sien. << Je t'aime. Moi je n'irais jamais avec un autre ! >> murmure t-elle. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Nous ne baisons pas. Nous faisons véritablement l'amour en amoureux. C'est de plus en plus souvent. Ça me fait toujours étrange de le faire quand Clémentine n'est pas présente. Estelle devine mes pensées.

<< Cette salope est entrain de sucer, de se faire toucher et toi tu culpabilises ! >> lance Estelle en s'accrochant à mon cou, en passant ses jambes autour de ma taille. Ainsi accrochée je l'emmène dans une douce chevauchée. Sa langue fouillant ma bouche. De la salive, telle de l'écume, macule le bas de nos visages. Je chuchote : << J'aime vraiment faire l'amour avec toi. Tu es captivante ! >>. Estelle gémit de plaisir. De bonheur aussi. Elle si souvent dynamique, parfois "brusque", se révèle dans ses moments d'amour la fille la plus douce, la plus aimante. Nous échangeons nos docilités dans de véritables instants d'extases. C'est merveilleux. Soudain la porte de l'atelier s'ouvre. Clémentine se précipite pour nous rejoindre. S'assoir sur le bord du canapé. Nous faire des bises sur les joues.

<< Raconte ! >> lance Estelle qui reprend ses esprits. Je veux me retirer mais elle me maintient fermement. << Tout s'est passé comme prévu. J'ai emmené Léo dans le pré au mirador. Il y avait des vaches. Je lui ai taillé deux superbes pipes dans la bagnole. Deux de suite. Je lui ai proposé de faire l'amour la semaine prochaine. J'ai bien peur que ce pauvre garçon ne tombe amoureux. S'il ne l'est pas déjà. Auquel cas, j'arrête tout. Immédiatement. Je n'ai pas envie de faire du mal à qui que ce soit ! >> précise Clémentine. Elle m'attrape les couilles par derrière. Estelle approche son nez du visage de Clémentine avant de dire : << Tu ne sens pas le foutre ! >>. Clémentine répond : << Non, formule habituelle, une pomme après la pipe ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Je me retire.

<< C'est bien ce que vous faites quand je ne suis pas là ! >> rajoute encore Clémentine avant de gober ma queue dégoulinante et ramollie. << Put-hein mais tu n'en as jamais assez toi ! >> s'écrie Estelle en regardant Clémentine s'agenouiller entre mes jambes pour une nouvelle pipe. << J'aime pouvoir comparer quand tout est encore "frais" ! >> dit elle en cessant un instant. Je caresse ses joues creusées par l'effort de succion. Estelle enfonce sa langue dans ma bouche. Elle se penche vers Clémentine pour chuchoter : << Salope ! >>. Il commence à faire faim. Je suis terriblement excité aussi je force Clémentine à cesser. Je me lève. Je l'aide à se redresser. Je propose : << Tu nous racontes tout dans le détail devant un bon gratin de choux fleurs ! >>. Les filles se mettent à sautiller.

<< Un gratin de choux fleurs ! >> s'écrie Estelle qui me saute au cou. << Génial ! >> lance Clémentine qui m'attrape le Zob. C'est ainsi que nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il n'y a qu'à allumer le four, à mettre les assiettes et les couverts. Estelle se montre extrêmement câline. << Tu me fais encore après la bouffe ? >> me demande t-elle à quelques reprises. En se levant pour mimer une masturbation masculine. Clémentine nous raconte, dans le détail, comment se sont déroulés les évènements dans sa voiture. << J'ai une petite surprise ! >> précise t-elle. Nous sommes impatients d'en connaître la teneur. À peine la vaisselle faite, mes deux anges m'entraînent par les mains jusqu'au salon. Estelle, toujours encore en sweat et en chaussettes, s'assoit sur le dessus du bureau.

<< Viens ! >> me fait elle, implorante, alors que Clémentine, accroupie, est retournée à sa préférence. Je l'attrape par sa natte pour la forcer à se redresser. Je veux rejoindre Estelle. Debout, à la bonne hauteur, je m'introduis avec une étonnante facilité. En appui sur ses coudes, Estelle me fixe alors que je la bourre jusqu'aux couilles. Je reste immobile. << La surprise ! >> dit Clémentine en montrant son I-phone. Elle l'allume pour nous montrer les images réalisées dans sa voiture. << C'était avec son accord mais ça déconnait souvent ! >> précise Clémentine. On la voit avec la bite de Léo dans la bouche. Faisant des clins d'œil à l'objectif. Elle nous explique le procédé. Le téléphone coincé entre les branches du volant. << Il tombait sans arrêt ! >> rajoute t-elle. Nous rions de bon cœur. On devine les chutes en découvrant les minis films.

Nous reconnaissons bien la bite de Léo. Ce cylindre de chair claire évoquant une saucisse blanche. Bien droit. D'un diamètre fin. C'est moi qui demande les descriptions les plus justes au sujet du gout. << J'adore tout ce qui vient avant. Mais son sperme est amer. C'est dommage ! >> précise Clémentine. << Et tu as essayé ce qui vient après ? >> demande Estelle qui se redresse pour entourer mon cou de ses bras. Je la soulève pour la promener dans toute la grande pièce. Clémentine, la main droite glissée dans son pantalon noir ouvert, se masturbe en nous donnant tous les détails demandés. Nous la devinons impatiente de baiser avec le jeune étudiant. Quand Estelle lui en fait part, Clémentine rajoute : << Et comment. Mais ce sera mieux en vous sachant cachés à regarder ! >>

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui adorent bouffer de la queue, sous les draps, avant de s'endormir contre l'homme qui les encourage aux expériences les plus diverses...

Julien (cocu magnifique)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine, Julien et Juliette
Thursday 23 May 2024 07:38

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 28 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2619 -



Soirée branle avec Juliette

Il est aux environs de sept heures. Hier matin, mercredi. Comme convenu si je suis réveillé, je dois réveiller Clémentine. J'hésite. J'ai des scrupules. Elle est si apaisée, si belle en dormant. J'utilise le même "truc". Infaillible et pas traumatisant. J'approche mon visage du sien. Je fais bouger ma paupière. Mes cils chatouillent alors sa pommette. Je murmure : << Papillon ! >>. Elle sort du sommeil. Pousse un gémissement pour venir se blottir contre moi. Quelques bisous, quelques papouilles avant de courir aux toilettes. Dans la salle de bain nous mettons nos habits de jogging. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine, dans une certaine euphorie, prépare le café. Le mercredi, c'est depuis la maison qu'elle prend ses cours. La formule du télétravail. Ce qui la rend facétieuse.

Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous avons davantage de marge horaire. Mais il faut rester soucieux du timing. Les cours sont censés commencer à neuf heures. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée avec Estelle. Clémentine, rougissante, aborde la pipe qu'elle a fait à Léo dans la voiture. Je n'en parle pas. Je connais trop bien ses réactions dans les jours qui suivent. Je préfère que ce soit elle qui aborde le sujet. Ce matin, elle en parle avec une certaine excitation. << J'ai honte. Mais c'était bon. Tu me pardonnes mais je crois que j'aime bien le faire quand tu n'es pas caché pour voir. C'est très excitant ! >> m'explique t-elle en venant terminer sa tartine au miel assise sur mes genoux. Je la rassure. Je l'encourage à le faire quand elle en a l'envie. Sans craintes.

<< Je t'aime. Tu me comprends tellement bien ! >> lance t-elle. Nous faisons la vaisselle. La température extérieure est de 15°. Il est sept heures trente. Nous enfilons les K-ways pour sortir. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale. Le ciel est voilé mais lumineux. C'est parti pour un running d'une heure. Nous longeons la rivière dans les deux sens. Il est 8 h40 quand nous revenons. La douche. C'est le troisième jour de ses règles et cette fois encore ça se passe bien. Vêtus de nos Levis, de nos sweats, baskets, nous redescendons pour passer directement dans l'atelier. Aujourd'hui Clémentine est à l'heure. Assise devant son ordinateur, elle ajuste ses écouteurs, positionne le micro. Je lui fais un dernier bisou dans le cou. Un dernier bisou dans la nuque. Elle allume.

Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Quel bonheur que de m'adonner à ma passion alors que la fille que j'aime est à quelques mètres. Je peins dans une sorte d'enchantement féérique. Sur un petit nuage. Je peux entendre Clémentine dialoguer. Que ce soit avec un professeur ou avec un étudiant de son groupe. C'est intéressant, amusant parfois. Il est dix heures quand mon I-phone se met à vibrer parmi les tubes de peintures. Je m'en saisis. C'est la livraison du mercredi matin. Je quitte l'atelier pour aller accueillir Danièle. Elle me remet le colis sans s'attarder. Ce changement d'attitude s'explique très simplement. Danièle, femme mariée, maman d'une fillette, ne désire plus s'égarer dans une aventure extra conjugale devenue éprouvante et source de tracas.

Je vide le carton. Un petit poulet à rôtir, des escalopes de dindes et deux bottes de belles asperges blanches. Le tout au réfrigérateur. Je rejoins Clémentine dans l'atelier. Elle me fait un merveilleux sourire. Je reprends ma peinture. Il est presque midi. << Stop ! Ils vont me rendre folle ! >> lance Clémentine en se levant pour venir me chercher. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer les restes du gratin de choux fleurs. Clémentine fait l'assaisonnement d'une laitue dont elle lave les feuilles également pour ce soir. Je fais rissoler deux escalopes de poulet. Nous mangeons de bon appétit. Je raconte l'ambiance distante avec Danièle. << Il a fallu qu'elle en parle à une copine et voilà que c'est arrivé aux oreilles de son mari. Navrant ! Il faut rester secret ! >> conclue Clémentine. Je rajoute : << Oui, navrant ! >>. Nous envisageons les différentes options du repas de ce soir. Clémentine prend l'accent Corse de Juliette.

<< Une tarte aux brocolis. Elle adore. Nous aussi ! >> suggère Clémentine. Dès le repas terminé, nous nous mettons à la préparation du repas de la soirée. Clémentine revient sur ce qui s'est passé, mardi, après les cours, dans sa voiture. Elle rit du film totalement raté qu'elle a tenté de réalisé en taillant une pipe à Léo. Je dis : << Tu ne m'as pas encore raconté ses impressions à lui ! >>. Clémentine continue à rire en répondant : << Quelle égoïste je fais. Je ne parle que de moi ! >>. Nous en rions aux éclats. Clémentine me donne ses impressions : << Il était au paradis, tu penses bien. Il n'arrêtait pas de gémir, de se tortiller pour éjaculer au bout de cinq minutes. Mais tu me connais, je ne cède pas si facilement. Il voulait me repousser mais je suis partie pour un second tour ! >>

En effet, je connais bien l'attrait de Clémentine pour les "doubles pipes". Elle conclue : << La seconde fois il a duré dix minutes. Avec l'entraînement que je vais lui offrir, il va rapidement s'adapter à mes exigences, à mon rythme ! >>. Nous sommes pliés de rire. Je demande : << Tu remets ça quand ? >>. Clémentine répond : << Dès qu'il peut se libérer. C'est sa maman qui vient le chercher à dix sept heures trente après les cours. Il faut qu'il invente à chaque fois un truc pour qu'elle vienne une demi heure plus tard ! >>. Je suggère d'organiser des rendez-vous moins contraignants. << Une impossibilité notoire. Les emplois du temps ! >> s'exclame Clémentine en venant s'assoir sur mes genoux. << Merci Julien. Sans toi tout cela serait impossible. Tu m'autorises tout et moi qui suis jalouse ! >> dit elle.

Je la rassure. Je n'en souffre nullement. Après tout je fais même l'amour avec Estelle. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Clémentine, de la mousse autour des lèvres, mimant une fellation avec sa brosse à dents, me fait un clin d'œil dans le miroir. Nous nous rinçons la bouche au-dessus du lavabo, tête contre tête, en riant de nos facéties complices. Pressés d'aller nous dégourdir les jambes, nous redescendons à toute vitesse. Quelle joie de pouvoir rester en sweat. La température extérieure est de 20°. Pas le moindre souffle de vent. Nous allons jusqu'à la rivière. Clémentine, ses bras autour de ma taille, sa tête contre mon épaule, revient sur son attirance pour la fellation. C'est une passion qu'elle aime à assouvir depuis la fin de son adolescence. Il y a juste dix ans.

Je l'écoute. J'aime quand elle tente d'expliquer ses émotions lorsqu'elle suce un inconnu. << En même temps que ça me dégoute, ça m'excite ! Je n'arrive pas à me l'expliquer ! >> précise t-elle. Je ne dis rien. Nous ne l'avons pas entendu venir. Monsieur Bertrand, notre plus proche voisin, poussant une brouette pleine de branches mortes. Il vient les brûler au bord de l'eau. Nous bavardons un peu. Je surprends quelquefois le regard du vieux libidineux retraité sur ma compagne. Le vieux salaud ne s'imagine pas un seul instant que je sais "tout". Nous le laissons à ses écobuages avant de remonter le chemin. << Celui-là aussi il faut que je me le suce à nouveau un de ces jours. J'adore son foutre à cette vieille ordure ! >> me confie Clémentine. Il va être treize heures cinquante.

Dans l'atelier, assise devant son ordinateur, Clémentine ajuste ses écouteurs, son micro. Installé devant mon chevalet, je reprends ma peinture. J'entends Clémentine faire son exposé. Répéter à plusieurs reprises une phrase qu'elle corrige ou rectifie. C'est passionnant. Je n'entends qu'elle mais je peux aisément recomposer les dialogues. Comme elle est en vidéo conférence, impossible d'aller lui faire des câlins et des bisous. C'est frustrant. Aussi, je me lève parfois pour agiter ma bite dans sa direction. On ne peut pas me voir depuis la Webcam. Elle ne s'en rend pas compte immédiatement. Alors je me déplace en faisant le satyre. Je bande mou. Sa préférence. Le "tuyau d'arrosage" que je fais tournoyer telles les pâles d'un hélicoptère. Malgré mes efforts elle reste impassible.

Du moins en apparence car elle est regardée autant qu'elle regarde. Ils sont dix huit étudiants dans son groupe. C'est excitant de me masturber ainsi, en restant invisible et juste vu par la fille que j'aime. Parfois elle agite discrètement un index menaçant. M'adresse une horrible grimace. Me tire la langue. L'après-midi passe ainsi. Il est dix sept heures quand Clémentine se lève en s'écriant : << Put-Hein ras le bol ! >>. J'ai anticipé, j'ai préparé un thé au jasmin et des petits gâteaux secs juste à côté de l'ordinateur. Elle se précipite vers moi pour s'assoir sur mes genoux, ses bras autour de mon cou. << Je vous aime mon perturbateur de cours ! >> lance t-elle en mitraillant mon visage de bisous. Nous savourons la collation de dix sept heures. Ils sont si bons ces gâteaux secs.

Je nettoie la palette, les pinceaux. Il fait beau. Il y a du soleil. Nous quittons l'atelier pour sortir. Les sweats sont à peine supportables. Clémentine retire le sien la première quand nous sommes assis sur les rochers qui bordent le bassin. Elle ne porte de soutien gorge que durant ses règles. C'est préventif, permet de soutenir et d'amortir. Ses seins minuscules sont hyper sensibles durant deux à trois jours. Je retire mon sweat. Je passe mes doigts entre les bretelles et l'arrière du soutien gorge. Malgré la crème apaisante que j'applique sur sa peau, il y a de légères irritations. << Mmhh, docteur, comme vous êtes attentionné avec moi ! >> murmure t-elle en s'installant tout contre moi. Qu'il est agréable de passer du bon temps dans la douceur d'une journée de printemps. Nous en profitons.

Il va être dix huit heures trente. Nous faisons le tour de la propriété, main dans la main, ayant remis nos sweats. La grosse berline Allemande descend lentement les pavés autobloquants du chemin, depuis le portail. La voiture s'arrête devant la porte du garage. Juliette nous a vu. Elle se précipite à notre rencontre. Elle porte sa tenue de travail. Un pantalon d'équitation beige aussi moulant qu'un legging. Ses bottes de cuir noir. Un chemisier crème sous une veste de fin coton noir. Ses longs cheveux attachés en une natte qui descend sur ses reins. Les mèches argentées qui parsèment sa chevelure offrent de merveilleux reflets sous le soleil. J'ai la bite à l'air. J'adore ce comportement typiquement féminin de faire mine de ne pas s'en rendre compte. Une spécialité de Juliette.

Elle prend le bras de Clémentine pour marcher un peu avec nous. En faisant le tour du bassin aux eaux claires et limpides, Juliette s'accroupit. Je suis debout à sa droite. Clémentine contre moi qui saisit mon sexe pour l'agiter à quelques cinquante centimètres du visage de Juliette. Elle tourne la tête, lève les yeux pour nous faire un merveilleux sourire. << On se branle après le dessert ? >> lance t-elle en se redressant. Nos mercredis soirs en compagnie de Juliette sont devenues d'authentiques "soirées branles". Nos préférences. Il commence à faire faim. Nous rentrons. À peine dans la cuisine, Juliette m'attrape la bite en disant : << Espèce de salaud. Tout le temps à provoquer les femmes avec ton "machin" à l'air ! >>. Nous en rions aux éclats. Je réchauffe la tarte aux brocolis. 250°.

J'aide Clémentine à faire l'assaisonnement du reste de laitue. Juliette met les assiettes, les couverts en nous racontant le quotidien de son entreprise. Il ne reste plus que vingt chevaux en pension. Ce qui soulage les tensions et les charges de travail. Tant pour elle que pour son personnel. Nous mangeons de bon appétit. Juliette revient sur son projet de Gloryhole. Légèrement insistante. Clémentine avoue ne plus avoir trop envie. << Je connais, c'est superbe, mais je veux passer à autre chose ! >> précise t-elle. Elle raconte la pipe qu'elle a fait au jeune étudiant. Son désir d'en faire son amant. Juliette me regarde, me jauge avant de me demander : << Tu n'es pas jaloux ? Tu acceptes ? Tu tolères ou tu subis ? >>. Je la rassure. C'est dans la plus totale complicité que tout se passe entre nous.

Après le repas, nous débarrassons pour tout mettre dans le lave vaisselle. Juliette a ramené une petite tarte aux pommes faites "maison". C'est au salon que nous la dégustons. Juliette devra nous laisser pour 22 h. Il nous reste une heure trente de raffinements divins et masturbatoires. Juliette, vautrée dans le canapé qui nous fait face, les cuisses écartées, posées sur les accoudoirs, joue de son index sur la couture qui partage sa vulve en deux bosses. Et toujours cette tâche légèrement plus sombre qui devient auréole au fur et à mesure que la soirée s'écoule. Clémentine, une main dans son Levis déboutonné se touche de la main gauche alors qu'elle me branle de la main droite. J'annonce à Juliette que j'exploite ma galerie d'Art au mois d'aout. Elle se réjouit. Elle veut s'en occuper.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui raffolent de "soirées branles" avec les intimes. Avant de se faire sucer le clitoris une fois sous les draps. De s'endormir avec le gout du sperme dans la bouche, tout contre leur coquin...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine, Julien et Estelle
Friday 24 May 2024 07:38

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 29 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2620 -



Jeudi soir avec Estelle

Hier matin, jeudi, il va être six heures. Le gazouillis optimiste et joyeux des oiseaux. L'écoulement d'une source mystérieuse. Tout cela semble soudain exister dans notre chambre. Durant quarante cinq secondes. L'illusion parfaite de nous réveiller dans une profonde forêt à l'étrange résonance. Clémentine, en gémissant, vient se serrer contre moi. Quelques bisous, des papouilles et il nous faut nous lever. Pipi. Nous revêtons nos habits de sports à la salle de bain. Comme des robots maladroits. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine me raconte ses rêves en préparant le café. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Je beurre les quatre premières tranches éjectées par le grille pain. Miel, confitures. Dans les parfums enchanteurs de nos matins.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée branle en compagnie de Juliette. Ce sont toujours de grands moments. Intenses et jouissifs. Nous mangeons de bon appétit en envisageant la soirée qui nous attend avec Estelle. << Je la vois ce matin en cours, elle va me raconter son mercredi soir avec son parrain ! >> dit Clémentine. Je rajoute : << Ce sera une soirée "contrôles de minous" ! >>. Nous en rions de bon cœur. Il va être six heures vingt cinq. Dehors le ciel est gris et bas. Pourtant rien de menaçant avec une température de 14°. Nous enfilons les K-ways pour sortir. Quelques mouvements d'échauffement. C'est le long de la rivière que nous pratiquons notre jogging. Dans d'agréables conditions. La douche au retour. Je descends le premier pour sortir la voiture.

Il va être sept heures quarante cinq. Clémentine vient me rejoindre. J'aime ses élégances et sa classe matinales. Sa veste trois quart de cuir noir, cintrée à la taille. Un pantalon beige. Ses bottines noires. L'écharpe légère de soie beige. Ses bras autour de mon cou, elle précise : << Si j'ai une demi heure de retard, tu sais pourquoi. Ne t'inquiète pas ! >>. Elle ne me laisse pas répondre en posant ses lèvres sur les miennes. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je rentre pour faire la vaisselle, recouvrir le lit. Dans l'atelier, installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je peins en pensant à la précision de Clémentine. Elle va peut-être tailler une pipe à Léo si ce dernier est parvenu à se libérer d'une demi heure en fin d'après-midi. Cet étrange sensation qui vient soudain m'habiter. Une oppression légère dans la poitrine. Elle va sucer un autre sans ma présence. D'étranges émotions qui m'étreignent...

La matinée passe très vite. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe le reste de la tarte aux brocolis. L'assaisonnement d'un concombre. Pour ce soir je renoue avec la tradition des bouchées à la reine. Je fais bouillir les coquillettes. Je concocte une Béchamel. Je coupe de fines lamelles d'une grosse escalope de dinde. Des champignons. Je fais rissoler à la poêle pendant que je râpe de ce succulent gruyère Suisse. Je rajoute le contenu de la poêle à la Béchamel. Je remplis les bouchées à la reine que je cale dans le grand plat carré en terre cuite avec les coquillettes égouttées. Je recouvre l'ensemble de gruyère, de chapelure, de graines de sésame grillées. Je dispose des cerneaux de noix. Je place au four pour une longue et lente cuisson à 160°. Le thermostat contrôle.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission, André Bercoff et ses invités abordent les sujets qui font l'actualité. La guerre en Ukraine, l'inéluctable victoire des troupes Russes. Comment les états occidentaux vont-ils bien pouvoir continuer à détourner, blanchir et dissimuler des dizaines de milliards d'euros si tout devait s'arrêter demain ? Cette crapule de Zélensky vient d'annuler les élections présidentielles, prétextant la loi martiale pour se maintenir au pouvoir. Soutenu par l'immonde Joe Biden, par l'ignoble Pustula Von Der Leyen, et ce suiveur opportuniste de Macron. Au plus grand mépris de l'immense majorité du peuple ukrainien qui voudrait voir ce sinistre salopard quitter sa fonction de président. Retrouver enfin la paix. En riant, André Bercoff souligne le fait qu'en précisant cela les gens conscients de la situation véritable seront accusés d'être pro Poutine ! Et bien évidemment de sales complotistes.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Impatients d'aller me dégourdir les jambes je redescends à toute vitesse. La température extérieure est de 20°. Un léger vent d'Est est responsable de cette sensation de fraîcheur. Je vais jusqu'à la rivière. Les canards, les poules d'eau et les colverts m'accueillent en cancanant, en virevoltant à la surface de l'onde. C'est toujours un spectacle attractif. Il est treize heures cinquante quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. La peinture de l'aéroport d'Édimbourg m'accapare complètement. Si tout se passe bien j'aurai terminé cette quatorzième toile hyper réaliste demain matin, vendredi. Je peins dans la plus parfaite sérénité. Le repas de ce soir sera la surprise pour mes deux anges. Le rituel des bouchées à la reine des jeudis.

Du bruit. Il est déjà dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours. J'aime l'entendre chantonner quand elle revient des toilettes. Elle entre dans l'atelier pour se précipiter vers moi. J'anticipe toujours aux premières manifestations sonores. Je pose la palette, les pinceaux sur la desserte à ma droite. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Impossible pour Léo de se libérer du joug de sa mère ! >> dit elle. Nous en rions de bon cœur. Je fais : << Pas de pipe dans la bagnole pour conclure cette journée universitaire ! >>. Clémentine rit aux éclats avant de répondre : << Viens, emmène-moi faire un tour en voiture alors ! >>. C'est évidemment une boutade, Clémentine a encore un peu de travail

Ces trois quart d'heure que nous passons ensemble, nous consacrant chacun à notre labeur, reste le moment le plus gratifiant de ma journée. << Put-Hein là, j'arrête ! >> lance soudain Clémentine en se levant pour ranger ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Nous nous rejoignons devant le petit lavabo de l'atelier. Pendant que je me lave les mains, Clémentine tient ma bite pour en diriger les jets. Penchée en avant, regardant les dernières giclées, secouant les dernières gouttes, Clémentine s'accroupit pour savourer le reliquat. Je caresse sa tête avant de saisir sa natte pour l'aider à se redresser. Elle reste serrée dans mes bras pour me confier ses appréhensions quand à demain matin. Le vendredi elle termine à midi. Mais il y aura une réunion des postulants au doctorat avec la direction de l'université.

Je la rassure. Tout se passera très bien. Clémentine n'a jamais connu l'échec depuis l'école primaire. Il n'y a aucune raison que cela commence à une semaine des premières épreuves de son Doctorat. Estelle arrive sans faire le moindre bruit. Voyeuse, elle est toujours aux aguets. À vouloir nous surprendre dans quelques effusions particulières. << Comme c'est romantique ! >> lance t-elle alors qu'elle est déjà là. Elle se précipite pour me sauter au cou. Clémentine n'est pas très partageuse dans ces moments de doutes. Estelle fourre sa main dans ma braguette ouverte en enfonçant sa langue dans ma bouche. Clémentine se place derrière moi, ses lèvres dans ma nuque, ses bras autour de ma taille. Estelle me sortant la bite pour jouer avec. << Tu me la mets ce soir ? >> dit elle.

Je demande : << Tu n'as pas baisé avec ton parrain mercredi soir ? >>. Elle éclate de rire avant de répondre : << Si, mais ça n'empêche pas ! >>. Nous rions avec elle. Estelle s'accroupit pour humer les odeurs de ma journée d'homme. << Ça sent fort. J'adore ! >> lance t-elle dans un souffle avant de la prendre en bouche. Clémentine nous contourne pour m'embrasser. Je bande comme le dernier des salauds dans la bouche d'Estelle qui suce comme une affamée. Je l'aide à se redresser. Je me penche pour masser ses genoux. Nous restons tous les trois serrés. Estelle partage les mêmes craintes pour l'épreuve de demain matin. Je les écoute en parler avec ce sérieux qui les caractérise. Ces interrogations participent à les rendre plus combatives encore. Je connais bien la force qui les anime.

La bite toute molle, au bout de laquelle perle une goutte de liquide séminal, je reste un peu distant pour ne pas faire de taches sur leurs pantalons. Ce qui les fait rire. Elles s'accroupissent toutes les deux pour observer l'opalescence de la goutte. Comme si c'était un objet précieux. Estelle saisit délicatement le Zob pour le faire tourner. Afin d'admirer la perle laiteuse sous tous ses effets de lumière. C'est Clémentine qui sort le bout de sa langue. Estelle frotte la peau fripée du prépuce dessus. Nous voyons la goutte se défaire, se liquéfier, pour s'étaler sur la langue de Clémentine. << Mmhh ! >> glousse t-elle en refermant la bouche pour savourer longuement. Elles se redressent toutes les deux. << Ça m'excite ! >> lance Estelle qui me tord la queue dans tous les sens. Fortement.

Il commence à faire faim. Les filles m'entraînent par les bras. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Elles découvrent la surprise lorsque j'allume le four pour réchauffer les bouchées à la reine. Je croule sous les bisous. J'en ai rapidement les joues brûlantes. Clémentine fait l'assaisonnement des endives. Estelle met les assiettes, les couverts. Je vais de l'une à l'autre. Mes bras autour de leurs tailles, mitraillant leurs nuques de bisous. Nous mangeons de bon appétit. Les filles ne cessent de parler de cette réunion qui semble tant les préoccuper. Parfois, pour dédramatiser quelques séquences d'inquiétudes, je me lève en agitant ma bite. "L'hélicoptère" les amuse. Nous ne traînons pas. Mes deux anges sont trop impatientes de la suite. La vaisselle. Elles m'entraînent au salon me tenant les mains.

<< Branle-toi ! On se prépare ! >> lance Estelle qui prend ce soir la direction des opérations. En riant, toutes les deux retirent bottines, pantalons et culottes. Se vautrant dans le canapé, me présentant leurs intimités, elles me fixent toutes les deux. Je me masturbe en les regardant, restant à quelques mètres. Ce sont toujours des instants magiques. Estelle dépose un des épais coussins au sol. Clémentine fait de même. Je viens m'y mettre à genoux. D'abord entre les cuisses largement écartées et relevées d'Estelle. Elle tient ses jambes en l'air, sous ses genoux. Je hume les odeurs enivrantes de sa journée de fille. Avant d'en gouter les saveurs. Je suce son clitoris. J'adore l'apnée soudaine. Suivie de gémissements à peine audibles. Je fouille son sexe de ma langue alors qu'elle se masturbe.

Je passe à Clémentine. Ses règles ne sont plus qu'un souvenir. Aussi elle profite pleinement des possibilités à nouveau offertes. Son clitoris géant que je décalotte en le suçant. Il y a là des choses exquises qui fondent dans la bouche. Entre les peaux. Je fouille son sexe de ma langue exploratrice. Quelques minutes de dégustations pour chacune. J'adore les entendre partager leurs impressions. Quand je suce l'une, elle me tient par les oreilles. Quand je suce l'autre, elle me tient par la nuque. Quand je reviens bouffer le minou d'Estelle dont la cyprine abondante me coule dans la bouche, elle m'attire sur elle. Je la pénètre avec précaution en disant : << Raconte-moi ta baise avec ton parrain mercredi soir ! >>. En bougeant doucement, Estelle se met à me décrire les performances de Jean-Marc. Le "baiseur fou" qui termine toujours sa prestation par une enculade. Clémentine, son visage tout prêt des nôtres, nous fait des bises en se touchant.

Ce soir encore, nous ne baisons pas avec Estelle. Nous faisons l'amour. Dans la douceur, dans la tendresse. Elle a probablement sa dose de "brutalités" et a besoin d'une thérapie d'affection. Ces moments d'intimités à trois sont merveilleux. Nos visages tous prêts, nous échangeons des bises. Clémentine qui demande : << C'est comment ? >>. Estelle qui répond : << C'est délicieux ! >>. Estelle n'est pas partageuse ce soir. Aussi, lorsque je veux me retirer pour honorer Clémentine, elle m'en empêche. Nous en rions. Depuis quelques temps Estelle est d'une tendresse étonnante. Elle toujours si dynamique, si fougueuse, se montre de plus en plus affectueuse. Je mets cela sur le compte de ses doutes quand à la réunion de demain matin. Elles auront l'avis des professeurs. Le bilan.

Estelle devra nous laisser pour vingt deux heures. Ce qu'elle vit à l'instant présent est un tel soulagement qu'elle nous dit : << Je ne rentre pas ce soir, je dors ici. Je téléphone à mes parents ! >>. Clémentine la raisonne. Estelle revient à la raison en se mettant à bouger en accélérant. Elle ne pourra pas réfréner l'orgasme qui la fait hurler de plaisir. J'éjacule en elle. C'est certainement la toute première fois mais ce soir elle ne m'a pas repoussé. Pour être certaine de sentir mon sperme l'envahir, elle m'a retenu comme une naufragée à sa branche. C'est magique. Clémentine qui vient de comprendre accélère elle aussi sa masturbation. Elle se lève pour saisir la cuvette en plastique bleu. Accroupie, se tenant au canapé, elle s'offre un orgasme pisseux, dans des cris de plaisir.

Bonne nouille à toutes les coquines qui se font encore lécher et sucer un peu sous les draps, avant de s'endormir dans les bras de leur coquin...

Julien (lécheur et suceur de filles)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Saturday 25 May 2024 07:08

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 30 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2621 -



Le vendredi, Clémentine termine à midi

Hier matin, vendredi, les gazouillis des oiseaux, le bruit régulier que fait la source en s'écoulant, nous réveillent en douceur. Il est presque six heures. Clémentine vient se blottir contre moi. Murmurant d'inintelligibles paroles. Étant obligée de s'y reprendre à trois fois pour prononcer deux mots. Nous en rions. Quelques bisous, quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Quand elle termine à midi, Clémentine est déconneuse dès le levé. J'assiste à toutes ses facéties en étant amusé. Nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge à la salle de bain. Morts de faim nous descendons les escaliers. Clémentine s'occupe du café en retrouvant enfin toutes ses facultés pour me raconter ses rêves. En imitant l'accent Corse de Juliette. Je presse les oranges. Plié de rire.

Je pèle les kiwis. Je beurre les tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre jeudi soir avec Estelle. << Elle m'en parle au restaurant universitaire, elle m'en parlera ce matin en cours. Elle adore faire l'amour avec toi. Bien davantage que de baiser ! >> explique Clémentine. Je suis un peu confus quand je réponds : << Mais c'est avec toi que je préfère. C'est toi que j'aime du fond du cœur ! >>. Nous rions quand Clémentine rajoute : << Ça, je ne vais pas lui dire ! >>. Nous mangeons de bon appétit en envisageant l'après-midi. S'il fait moche, nous irons en ville. C'est bien de pouvoir profiter d'une météo médiocre pour aller faire des courses. Clémentine a un urgent besoin de sortir du contexte universitaire et de ses préparatifs au Doctorat.

La température extérieure est de 14°. Le ciel est gris et bas. Aucune menace de pluie toutefois. Il va être six heures vingt cinq. Nous enfilons les K-ways avant de sortir. La fraîcheur humide et désagréable impose des mouvement d'échauffement. Nous courons le long de la rivière. Une heure d'un running gratifiant avant de prendre la douche. C'est en courant que je redescends pour aller sortir l'auto du garage. Il va être sept heures quarante cinq. Clémentine vient me rejoindre. Vêtue d'une veste de velours noir, cintrée à la taille, d'un chemisier gris, une écharpe beige autour du cou. Un pantalon beige, ses bottines noires. Je la félicite pour son élégance discrète. Ses bras autour de mon cou pour une dernière bise, elle dit : << Juste toi et moi aujourd'hui. Je t'aime. Tu me manques déjà ! >>

Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. Je rentre faire la vaisselle, recouvrir le lit. Dans l'atelier, installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je termine ce matin cette quatorzième toile hyper réaliste représentant le tarmac de l'aéroport d'Édimbourg. Je n'ai aucune idée du profil du futur acquéreur de cette peinture mais je sais qu'il y a toujours des amateurs pour toutes sortes de représentations picturales. Je peins dans une sorte d'euphorie laissée par Clémentine. Il est exactement onze heures quand je dépose la dernière touche de pigment sur la surface du tableau. Je nettoie la palette, les pinceaux. C'est agréable de faire un peu de ménage et de rangement. Même si mon atelier n'a strictement rien d'un merdier "bohème".

Il va être midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe les deux grosses bouchées à la reine restantes ainsi que les coquillettes. L'assaisonnement d'un gros concombre. Je mets les assiettes, les couverts. Dehors il y a quelques timides apparitions d'un soleil qui joue à cache cache avec de gros nuages. Il est un peu plus de midi trente quand Clémentine rentre de cours. Quand elle me saute au cou, je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambe. C'est comme ça que je l'emmène aux toilettes. Rituel pisseux et lavage de mains. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Cette réunion qu'elle redoutait. Étaient présents les dix huit étudiants de son groupe, les professeurs, Alban, son maître de thèse et la direction de l'université. Les ultimes oraux et recommandations pour affronter la toute dernière épreuve sanctionnant huit années d'études. << Je suis toujours satisfaisante à l'oral ! >> précise Clémentine.

Nous en rions aux éclats quand elle mime une fellation. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur la pipe qu'elle a prodigué à Léo, dans la voiture, mardi dernier, en revenant de cours. << Il a préparé une seconde possibilité lundi en fin d'après-midi. Au lieu de perdre du temps en bagnole, on va se garer derrière l'hypermarché ! >> précise Clémentine. Je l'encourage. Je la rassure. Même si j'éprouve d'étranges impressions, c'est également très excitant pour moi de rester dans l'imaginaire. << De toutes façons, je te raconte tout en rentrant. Il faut que je trouve un système pour filmer correctement ! >> rajoute t-elle. Nous faisons la vaisselle avant de monter nous laver les dents. Clémentine reste vêtue à l'identique.

Je me change. Pantalon beige à pinces et à plis. Une veste de velours noir. Une chemise beige. Mes mocassins noirs. Nous prenons des poses farfelues devant le grand miroir de l'armoire. Clémentine palpe ma braguette en disant : << Cet après-midi, j'y fais des taches ! Parce que je vais te sucer partout où c'est possible ! >>. Nous rions. Nous dévalons les escaliers. Par mesure de précaution, nous nous munissons du grand parapluie. C'est avec la voiture de Clémentine que nous parcourons les vingt kilomètres qui nous séparent du centre ville. Je suis prié de conduire. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Quelquefois penchée sur sa gauche pour me sucer. Quand elle se redresse c'est pour évoquer la pipe qu'elle va offrir au jeune étudiant lundi prochain. Un entraînement.

Je gare l'auto dans la petite ruelle déserte habituelle. Il y a quelques séquences ensoleillées. Je me fais encore sucer quelques minutes. Appuyant sur sa nuque en murmurant : << Salope ! Je vous aime ! >>. Je la force à cesser en la tirant par sa natte. Je la tiens sous le menton et par le cou devant le miroir de courtoisie du pare soleil. Je dis : << Regarde un peu la gueule de salope que tu te trimballes. Comment veux-tu susciter des pensées saines et honnêtes aux hommes qui te croisent ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Je rajoute : << J'aime tellement les salopes. Je m'ennuie tant avec celles qui ne le sont pas ! >>. Clémentine enfonce sa langue au gout de foutre dans ma bouche. Maintenant ainsi mon érection qu'elle tient fermement dans sa poigne soudain très puissante.

Je remballe difficilement. << Première tache et sur le beige ça se voit bien ! >> lance Clémentine quand elle contourne la voiture pour me rejoindre. Penchée en avant, posant son index sur la minuscule auréole de liquide séminal qui macule le tissu de ma braguette. Me prenant par le bras, elle m'entraîne alors que nous rions de la situation burlesque. Dix minutes jusqu'aux premières rues piétonnes. Il n'y a pas trop de monde pour un vendredi après-midi. Cette sublime jeune fille au bras d'un homme d'âge mûr attirent encore bien des regards. Nous nous en amusons beaucoup. Pour bien situer la nature de nos relations, Clémentine n'hésite pas à me faire des bises lascives, à me sauter au cou, parfois à enfoncer sa langue dans ma bouche. Non messieurs dames, je ne suis pas le papa !

Sur l'escalator qui mène au quatrième étage du grand magasin où nous aimons flâner, Clémentine, peu discrète, palpe ma braguette. << Je te suce dans une cabine d'essayage. Tu filmes ! >> me dit elle. Je trouve l'idée à la fois excitante et farfelue. Il n'y a pas trop de gens dans les rayons. Là, dans ceux des vêtements hommes, il y a les cabines d'essayages. Un couloir d'environs dix mètres. À gauche comme à droite une série de portes qui donnent sur de petits espaces d'un mètre sur deux. En passant devant les pantalons, Clémentine en attrape un au hasard. Nous l'emmenons avec nous. Une fois la porte bloquée, elle déboutonne mon pantalon qui tombe tout seul sur mes chevilles. Elle descend mon slip. Assise sur la banquette, se regardant dans le miroir, elle me pompe.

Je tiens son I-phone à la main. Je filme la situation. Dans le miroir et en tournant le téléphone autour de sa tête. Je murmure : << Tu es belle. Je t'aime. Tu me rends complètement cinglé ! >>. Sans cesser de sucer Clémentine glousse en riant. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. Nous entendons des gens parler dans le couloir. Une dame qui demande à son mari : << Alors, il te va ? >>. L'homme qui répond : << Viens, entre ! >>. Nous percevons les rires de deux mecs qui essaient des fringues. Nous restons là une bonne vingtaine de minutes. Toutes les deux trois minutes Clémentine cesse. Elle me montre l'intérieur de sa cavité buccale. Pleine de jute qu'elle laisse se mélanger à sa salive. Avant d'avaler en faisant une horrible grimace. Mon excellente comédienne qui se régale.

Nous flânons longuement dans les rues. Nous connaissons une venelle qui permet la récidive buccale. C'est entre un opticien et un restaurant. Une impasse où nous nous sommes déjà fait surprendre il y a deux ans. Un mec depuis une des fenêtres aux étages. Cette fois elles sont toutes fermées. C'est là, entre deux grosses poubelles grises sur roues, que je me fais tailler une pipe. Clémentine se redresse toutes les minutes pour éviter l'ankylose. Pour s'accroupir à toute vitesse, impatiente de retourner à sa dégustation. Je filme tout en restant vigilant. Il faut cesser. Il y a des voix. Un groupe de promeneurs, là-bas, qui s'arrête à l'entrée de la venelle. Ce sont des endroits très recherchés pour des pipis urgents. Je remballe. << Trois taches ! >> lance Clémentine en me les montrant.

En passant devant le restaurant, nous découvrons les menus. Tartes flambées. Je propose de réserver une table pour ce soir. Clémentine hésite toujours un peu. Nous sommes tellement bien à la maison. Surtout que j'ai promis à la fille que j'aime de lui faire l'amour en amoureux. << Je te suce aux toilettes. Deux fois ! >> lance t-elle après avoir réfléchi. Elle me saute au cou. Je la soulève. Les passants nous regardent, amusés. Non, je ne suis pas le papa de la jeune fille qui fouille ma bouche de sa langue. C'est à l'étage de notre salon de thé préféré que nous savourons nos chocolats chauds, une tartelette aux myrtilles. Deux visites aux toilettes hommes. Enfermés dans un des cabinets. Je fais le contorsionniste pour lécher Clémentine après son pissou. Elle me suce. Une dizaine de minutes.

Bonne "faim" de soirée au restaurant. Non pas seulement pour y déguster un délicieux repas, mais pour visiter à deux reprises les toilettes de l'établissement...

Julien (qui filme)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine, Julien et Estelle
Monday 27 May 2024 07:37

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 31 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2622 -



Estelle prend ses "gouttes"

La grasse matinée de dimanche nous emmène aux environs de neuf heures. Estelle, à ma droite, reste toujours tout contre moi la nuit entière. Hier matin ce sont les mouvements réguliers de ses pieds qui me tirent du sommeil. Elle saisit mon érection naturelle et matinale d'une poigne ferme. Ses lèvres qui se collent dans mon cou, juste sous l'oreille. Clémentine, à ma gauche, est réveillée par les mouvements des draps. Estelle qui se frotte contre ma hanche. En gémissant Clémentine vient se blottir. Je glisse mes mains dans les culottes. Je joue un peu avec la petite ficelle blanche. Le tampon d'Estelle qui a ses "petits machins" depuis samedi. Nous restons ainsi dans une distribution de bisous, de câlins. Jusqu'aux limites de l'insupportable pour Estelle qui se lève d'un bond. << Pipi ! >>

Elle se précipite vers la porte. Clémentine s'allonge sur moi. Frottant son sexe contre le mien. << C'était encore un samedi soir génial ! >> me chuchote t-elle. Nous avons fait l'amour sous le regard voyeur d'Estelle. Estelle que nous allons rejoindre à la cuisine dans cinq minutes. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous restons en slips et T-shirts de nuit. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Les suaves odeurs du café et du pain grillé flottent dans les airs. Clémentine presse les oranges. Je pose mes mains sur les hanches d'Estelle. Je les glisse sur la soie mauve de son pyjama jusque sous ses seins minuscules. Lorsqu'elle a ses règles, l'extrémité est hyper sensible. J'applique la thérapie du docteur Julien. Je souffle de l'air chaud sur chacun d'eux. À travers la soie. Avec délicatesse.

La brioche au pudding trône au milieu de la table entre les bols, les pots de miel et de confitures. << Mmhh, docteur, vos soins soulagent. Merci ! >> lance Estelle qui empoigne ma bosse en rajoutant : << Et après je prends mes "gouttes" ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de samedi. Elles restent à présent privées. Clémentine qui voudrait même quelquefois que nous arrêtions de publier. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges parlent du programme universitaire qui les attend la semaine prochaine. << C'est parti ! On sera dans le feu de l'action dès lundi ! >> précise Clémentine. Je masse délicatement le bas ventre d'Estelle. C'est la thérapie.

La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Vêtus de nos Levis, de nos sweats, de nos baskets nous recouvrons le lit avant de dévaler les escaliers. La température extérieure est de 19°. Le ciel est bas et sinistre. Les pluies de la nuit ont détrempé les sols. Nous descendons jusqu'à la rivière. Les filles accrochées à mes bras qui ne cessent de parler de leurs études. << Le dernier virage avant la dernière ligne droite ! >> fait Clémentine. J'ai la bite à l'air. Estelle accroupie, sa tête contre ma cuisse, ses bras autour de ma jambe. Clémentine contre moi. Nous regardons danser les poules d'eau, les colverts et les canards. C'est la saison des petits. Ils sont nombreux en ce printemps. De belles familles d'emplumés qui virevoltent.

Nous longeons la rivière sur quelques centaines de mètres. Estelle ouvre la marche. Elle s'arrête souvent, se retourne, me fait une bise, saisit ma queue toute molle. Je me retourne à mon tour pour faire une bise à Clémentine qui me la choppe également. << Il ne faut plus qu'on pense à l'université ! Détendons-nous, tout se passera bien ! >> dit encore Clémentine. Estelle s'accroupit, maintient son équilibre en me tenant les cuisses. Elle hume mon sexe. Clémentine, derrière-moi, s'en saisit pour le décalotter légèrement. Le dimanche, pas de douche. Je peux sentir l'odeur de "sandwich au thon" me monter aux narines. << Beurk ! >> lance Estelle en détournant son visage. Elle se pince le nez. << Prend tes gouttes. C'est bon pour ce que tu as ! >> lui fait Clémentine en la lui présentant.

Les lèvres d'Estelle se referment juste sur l'extrémité du gland décalotté. Clémentine décalotte au fur et à mesure qu'Estelle s'engouffre le chibre. Les joues creusées par l'effort de succion, en gémissant de gourmandise, Estelle me taille une pipe. Il y a du Parmezob aux commissures de ses lèvres. De petites particules de fromage de bite. Clémentine me contourne pour enfoncer sa langue dans ma bouche. Je bande comme le dernier des salauds dans la bouche d'Estelle. Elle cesse pour se relever difficilement. << Une crampe ! >> s'exclame t-elle. Je me penche pour masser ses genoux, ses cuisses. Clémentine s'est accroupie à son tour pour savourer mon chibre au gland bien nettoyé. C'est rare que Clémentine suce une queue décalottée. En maintenant la peau entre les doigts. Elle achève le "nettoyage" en léchant la base du gland. Insistant bien aux endroits plus difficilement accessibles.

Estelle se fait un selfie avant d'essuyer les coins de sa bouche avec l'index qu'elle suce. Clémentine se redresse avant de subir le sort de la crampe. Nous prenons le sens du retour. Je remballe par mesure de précaution. Monsieur Bertrand, notre plus proche voisin descend régulièrement à la rivière pour nourrir nos amis à plumes. Il est décidé de rôtir le poulet, accompagné de frites et d'une bonne laitue. Estelle s'occupe du poulet. Clémentine de la salade et moi des frites. Je suis chargé de mission. À chaque fois que les filles reviennent sur leurs études, je suis prié de changer de sujet de conversation. De tout ramener au cul ! Je m'en acquitte avec célérité. Nous en rions souvent aux éclats. Distributions de bises. J'adore coller mes lèvres dans leurs nuques, en les tenant par la taille.

Nous mangeons de bon appétit. Je reste vigilant. Dès que la conversation revient sur les études, je réplique en me levant. Je fais tournoyer le Zob en disant : << Sujet interdit ! >>. Estelle se lève alors pour mimer une masturbation masculine. Nous ne traînons pas. Nous avons programmé une randonnée. Le circuit des collines. Dès la vaisselle terminée, nous remontons à la salle de bain. Lavage des dents. Estelle insiste pour prendre ses "gouttes". Assise sur un des deux tabourets, penchée, me tenant par les fesses, elle se bouffe de la queue en gloussant. Clémentine qui m'embrasse passionnément. On perçoit le bruit bulleux et les gargouillis d'une pipe de haute qualité. Quand je tire sur sa natte pour retirer ma bite de sa bouche, Estelle pousse un soupir de déception. Elle me regarde.

Je me penche pour préciser : << Cet après-midi tu vas prendre tes "gouttes" tous les quart d'heure ! >>. Il y a un long filament de liquide séminal, épais, gluant et bulleux qui relie ses lèvres à mon sexe. Il penche vers le bas en son milieu. Vingt bons centimètres de jute visqueuse qui refuse de se détacher. Clémentine s'accroupit. Avec l'index elle récupère la coulure pour se la bouffer. Nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos, les pommes, les barres de céréales, la minuscule paire de jumelle. La thermos de thé bouillant. Nous traversons le jardin en courant, nos grosses godasses à la main. La température est de 20°. Il y a un léger vent de Nord Est qui rafraîchit l'atmosphère. Vingt cinq kilomètres sans problème. Estelle est assise sur le siège passager. Pratique pour prendre ses "gouttes".

Clémentine, installée à l'arrière, caresse mon cou. Se lève, se penche, pour regarder les pipes que me prodiguent Estelle. Je gare la voiture sur le parking du restaurant. Malgré la météo affligeante de ce dimanche après-midi, il y a du monde. Des petits groupes qui s'apprêtent à partir, d'autres qui arrivent. Nous changeons de chaussures. Nous avons nos K-ways et nos minis parapluies. C'est parti. J'ai toujours la mission de changer la conversation dès qu'elle s'axe sur les études. Il y a une heure trente de marche jusqu'au château. Nous croisons nombre de promeneurs, de randonneurs équipés et de baroudeurs du dimanche. À chaque détour de chemin, nous étant assurés d'êtres seuls, Estelle s'accroupit pour prendre ses gouttes. << Quand je commence, surtout le matin, je pourrais passer la journée à "ça" ! >> fait Estelle en se redressant. Me montrant sa bouche pleine de jus de couilles gluant, bulleux et visqueux. Une grimace, elle avale.

En pénétrant dans le château médiévale, magnifiquement rénové, c'est un véritable bain de foule. Le restaurant, le salon de thé, le musée, la boutique souvenirs ainsi que le bureau d'accueil sont ouverts. La saison touristique semble avoir commencé. Nous pouvons enfin gravir les marches qui montent aux chemins de rondes au sommet des murailles. C'est impressionnant. << Cent dix sept marches ! >> lance Estelle qui les a compté. Nos hautes tailles, ces deux sublimes jeunes filles aux bras d'un homme d'âge mûr, attirent encore bien des regards, des curiosités et des interrogations que nous devinons. Non, messieurs dames, je ne suis pas le papa des anges qui me font des bisous sur la joue ou sur la bouche ! Nous nous amusons une fois encore des questionnements que nous suscitons très certainement.

Il est possible de faire le tour des remparts. Même de monter au sommet du donjon par l'escalier circulaire en colimaçon. Au sommet, le vent nous gifle mais la vue sur toute la région est superbe. Les nuages des cieux offrent toutes les déclinaisons des gris. Des plus clairs aux plus sombres. Pas la moindre goutte de pluie. Estelle, pour pouvoir palper ma bosse, se place devant moi. Je la serre dans mes bras. Ce qui permet d'êtres discrets. Cet après-midi, Clémentine se montre aussi tripoteuse qu'Estelle. Nous rions de nos audaces. On se fait parfois attraper par une promeneuse plus perspicace, par un promeneur plus observateur. Délicieux instants de gênes, de hontes et d'excitations. Avoir une place assise à l'une des deux terrasses, relève de la chimère tant il y a de gens.

Aussi, c'est à la boutique souvenirs que nous achetons des glaces en cônes. Vanille pistache. J'adore voir Clémentine lécher son cône en fixant des mecs qu'elle croise. Vision hautement suggestive pour tout mâle à la libido "normale". Surtout ce type là-bas, déguisé en "Indiana Jones", qui prend des photos du pont levis. Nous sommes certains qu'il a photographié Clémentine suçant son cône comme elle le ferait d'une queue. << Salope ! >> murmure Estelle qui vient de s'en rendre compte également. Nous prenons le sentier qui descend vers le lac. Dans notre état d'excitation nous sommes constamment à l'affut d'endroits où nous pouvons donner libre cours à nos déviances. Je doigte même Clémentine calée contre un arbre. Estelle suçant ma bite. Je regarde partout autour de nous. Vigilance.

Il est dix huit huit heures trente quand nous revenons à la voiture. C'est exceptionnel. Estelle à l'accord de Clémentine pour s'assoir devant. << C'est pour mes gouttes ! >> dit elle alors que nous changeons de godasses. Je me fais sucer quasiment durant tout le retour. Jusqu'à la maison. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de laitue. Estelle et moi décortiquons les restes du poulet pour les poêler. Avec des spaghettis, voilà un excellent repas. Estelle devra nous laisser pour vingt deux heures. La fatigue commence à se faire sentir. Après la vaisselle, au salon, j'offre ses "gouttes" à Estelle. Je doigte Clémentine qui attend parfois longuement qu'Estelle veuille bien partager. << J'ai la mâchoire toute ankylosée ! >> fait Estelle en s'accordant une pause. Clémentine prend alors le relai. J'ai la bite complètement congestionnée. Je me suis tant fais sucer dans tous les coins. Elles se partagent la dégustation d'une éjaculation folle.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se font encore un peu lécher et sucer sous les draps. Avant de plonger au fond d'un océan de sommeil. Dans les bras de celui qui les aime...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Tuesday 28 May 2024 07:33

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 32 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2623 -



Juste Clémentine et moi

Hier matin, lundi, les illusions bluffantes de l'application nous réveillent quelques minutes avant six heures. Des oiseaux qu'on entend gazouiller. Une source que l'on entend s'écouler. Dans l'étrange résonance d'une profonde forêt. Clémentine se tourne. En gémissant tout contre moi, elle cherche la volonté nécessaire pour s'extraire des douceurs de la couette. Des bisous, des papouilles, ça aide. Nous nous précipitons aux toilettes. À la salle de bain nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra jaune. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. En préparant le café, Clémentine me raconte ses rêves. Enchanté, j'écoute en pelant les kiwis, en pressant les oranges. Le lundi, je place le reste de la brioche au pudding dans le four à micro ondes. Deux minutes.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre randonnée de dimanche après-midi. Je ne me suis jamais fait sucer autant que cette-fois là. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en évoquant cette soirée de lundi. Nous serons seuls tous les deux. Une grande réjouissance pour Clémentine. << Juste toi et moi ! >> précise t-elle. Elle verra Estelle ce matin en cours. Je demande de lui transmettre toute ma gratitude. << Un peu de bite et de couilles avec ? Non ? >> lance Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus quand je réponds : << Aussi ! >>. Six heures vingt cinq. Nous enfilons les K-ways. La température extérieure est de 13°. De vigoureux mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale sous un ciel parfois chargé. Jogging, au bord de l'eau.

La douche au retour. Je redescends le premier pour sortir l'auto du garage. Presque sept heures quarante cinq. Il y a de belles séquences ensoleillées. Clémentine vient me rejoindre dans son Perfecto noir, son Levis, ses bottines noires. Ses bras autour de mon cou, elle me dit : << Si je suis en retard, ne t'inquiète pas. Tu sais pourquoi ! >> Sans me laisser répondre elle pose ses lèvres sur les miennes. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. Je rentre faire la vaisselle, recouvrir le lit avant de passer dans l'atelier. Installé devant mon chevalet, j'attaque aujourd'hui la quinzième toile hyper réaliste destinée à ma saison d'été. La représentation, d'après photos, des quais de la gare d'Édimbourg. Avec des gens.

Je peins en pensant aux mots de Clémentine << Si je suis en retard ne t'inquiète pas. Tu sais pourquoi ! >>. Ces paroles résonnent dans ma tête d'une bien étrange façon. Je ne cesse d'imaginer la scène. De me faire des films. De savoir que la fille que j'aime va peut-être tailler une pipe à un mec dans sa bagnole, me procure de curieux sentiments. La faim, les gargouillis de mon estomac, m'avertissent. Il n'est pas loin de midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je fais gonfler du riz complet. L'assaisonnement d'une endive. Deux nems aux crabes dans la poêle. Pour le repas de ce soir, ce sera des tomates farcies. Je coupe finement des escalopes de poulet. Champignons. Je poêle. J'évide de grosses tomates. Je remplis de la farce. Au four avec de petites pommes de terre. Fromage.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission, André Bercoff et ses invités abordent les actualités. Bien évidemment la guerre en Ukraine. Les évènements dramatiques en Palestine. Les élections Européennes qui s'annoncent d'ici même plus deux semaines. Ces individus qui seront élus "députés". Sortant ainsi de leurs conditions par une ambition carriériste qui les placera sous les dorures des assemblées parlementaires. À 7600 euros mensuels, sans les primes, pour pouvoir faire la sieste dans un hémicycle, répondre à des SMS privés et poignarder leurs électeurs dans le dos. Car évidemment, pour d'évidentes raisons de carrière, ces nouveaux "députés", soucieux du placard doré qui les attend, n'ont aucune raison de respecter leurs promesses. "Députés Européens".

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller faire quelque pas au dehors, je dévale les escaliers. La température extérieure est de 20°. Par contre le ciel s'est à nouveau couvert. Je vais jusqu'à la rivière. La pensée pour Clémentine et ce qu'elle risque de faire après les cours revient me hanter l'esprit. C'est à la fois très excitant et très perturbant. Une étrange sensation dans la poitrine. D'étranges émotions. Il est presque quatorze heures quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins en restant la victime des mêmes tourments. L'après-midi passe ainsi, m'offrant toutes sortes de ressentis. Du bruit. Il est dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours. Je l'entends chantonner en revenant des toilettes. Elle ouvre la porte de l'atelier pour courir vers moi.

À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Les premières épreuves du Doctorat. << Je dois te sucer de la part d'Estelle qui ne pourra pas le faire avant demain soir ! >> m'apprend Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Je demande : << Et toi, avec Léo ? Rien ? >>. Clémentine s'empresse de me raconter : << Il n'était pas disponible. Comme c'est sa mère qui l'emmène le matin et le cherche le soir, il est obligé d'inventer des trucs foireux. Il n'est pas très imaginatif ! >>. Nous en rions de bon cœur. Clémentine a encore un peu de travail. Assise devant son ordinateur, elle chantonne. J'adore ces moments ensemble. << Bon, là, j'arrête parce que ça m'emmerde ! >> s'exclame t-elle soudainement.

Je nettoie la palette, les pinceaux. Nous nous rejoignons devant le petit lavabo de l'atelier. Je me lave les mains. Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets. Secouant les dernières gouttes avant de se pencher pour suçoter, Clémentine me propose de sortir un peu. Nous quittons l'atelier pour le jardin. Le ciel est couvert mais aucune menace. Nous faisons le tour de la propriété. Me tenant la main, Clémentine me confie ses doutes, ses appréhensions quand à certaines matières qui seront abordées durant les épreuves. Ce fameux tirage au sort l'inquiète également. En jouant avec ma bite elle évoque la lourdeur administrative de toutes ces contraintes universitaires. Je bande à demi mou dans sa main. Avec mes pensées de la journée, c'est tellement agréable. Peut-être même un soulagement qu'il ne se soit rien passé. Quand je l'avoue, elle me rassure : << C'est toi que j'aime. Tout le reste c'est juste pour m'amuser. Pour le fun ! >>

La faim se fait sentir. Nous rentrons. Quand Clémentine découvre les tomates farcies, elle me saute au cou. Je l'aide à faire l'assaisonnement d'une scarole pendant que le repas réchauffe au four. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur Léo. Le jeune étudiant que Clémentine veut déniaiser. << Il m'avertit le matin des possibilités. Alors je fonctionne en conséquence. Tu veux que je te téléphone pour te prévenir. Vers midi ? >> m'explique t-elle. Je préfère qu'elle me raconte en revenant. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine envisage différents "plans" pipes avec ce jeune garçon. J'écoute amusé en l'encourageant à réaliser telle ou telle possibilité. La vaisselle. Nous passons au salon. Nous sommes vautrés dans le canapé.

Clémentine joue avec ma queue en racontant des anecdotes quand à son groupe d'étudiants, quand à ses professeurs. Alban, son maître de thèse qu'elle ne répugnerait pas à rajouter à son tableau de chasse. Trente cinq ans, célibataire, beau gosse, athlétique et hyper sportif. Je l'encourage à se le faire avant les vacances d'été. Posant un des épais coussins sur le tapis, entre mes pieds, Clémentine, sans lâcher mon sexe, s'y met à genoux. Elle hume longuement les odeurs de ma journée d'homme. << Mmhh, ça me donne de ces idées l'odeur d'une queue ! >> murmure t-elle en examinant mon chibre sous tous les angles. Décalottant juste l'extrémité du gland. Pour en titiller le méat du bout de la langue. Mon merveilleux spectacle du soir. Je caresse délicatement ses joues.

Quand Clémentine gobe la forme du gland sous la peau tendue du prépuce, elle ouvre les yeux pour me fixer. Comme une décharge électrique dans ma colonne vertébrale. Il est parfois difficile de soutenir son regard tant elle me fait chavirer. Je m'installe mieux. Ses mains à plats sur mes cuisses, entre mes jambes écartées, Clémentine s'offre sa préférence. En gémissant de plaisir. Toutes les deux trois minutes elle cesse pour me confier un ressenti. Me demander le mien. Je caresse sa tête, sa nuque. Je demande : << Tu n'as pas envie de te faire pénétrer entre deux cunnilingus ? >>. Clémentine arrête de sucer. Elle répond : << Tu aimerais ? >>. J'explique que je culpabilise toujours un peu quand je me fais tailler une pipe. << Alors tu me fais "ça" au lit après, tu veux bien ? >> dit elle.

Je ferme les yeux. Ma tête en arrière contre le dossier du canapé. L'indicible caresse me procure de profonds vertiges. Quand j'ouvre les yeux je surprends quelquefois Clémentine à observer mes réactions. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. C'est elle qui me pose des questions. Toujours la même qui finit par revenir : << Tu n'es pas jaloux ? Tu ne m'en veux pas parfois ? >>. Je passe l'extrémité de mes doigts sur ses sourcils en la rassurant. << Si tu n'étais pas aussi salope, que la vie serait ennuyeuse ! >>. Elle glousse en riant, reprenant sa fellation juteuse. Je lui raconte les situations qui me reviennent en mémoire. Je n'ai jamais compté le nombre de mecs qu'elle a sucé depuis sept ans que nous vivons ensemble. << Je fais en faire la comptabilité ! >> dit elle en riant.

Ses gémissements, ses petits cris de ravissements se mêlent au gargouillis bulleux de sa pipe. Quand elle s'arrête c'est pour donner un chiffre : << Vingt ? >>. << Trente ? >>. Elle fait l'énumération de ses souvenirs. De savoir qu'elle procède mentalement à cet inventaire, pendant qu'elle me taille une pipe, me projette dans une sphère de jouissance encore plus élevée. C'est formidable. << Ah ! Et le mec du camping il y a cinq ans. Tu te rappelles ? >> lance t-elle en cessant de sucer quelques instants. J'admire le filament gluant, épais, visqueux et bulleux qui relie sa bouche à mon Zob. Moi non plus je n'ai plus en mémoire le nombre exacte mais je dis : << Approximativement vingt ! >>. Elle cesse à nouveau en lançant : << Tu as compté les queues du Gloryhole chez Juliette ? >>

Nous rions. Je me penche pour déposer des bises sur son front. Lui murmurer des << Je t'aime ! >>. Des << Divine salope ! >>. Amusée, Clémentine retourne à son pompage de Zob. Mon liquide séminal est abondant. Aussi j'admire les efforts qu'elle fait quelquefois pour déglutir. Essayant de ne pas laisser s'échapper la moindre goutte de foutre. Même celles qui perlent aux commissures de ses lèvres. Quand je demande : << Quel est ton fantasme le plus récurrent en ce moment ? >>. Clémentine cesse de pomper pour répondre immédiatement. << Deux mecs. Un que je suce, l'autre qui me baise ! >>. Je propose de tenter cela au plus vite. << Mais pas avec toi. Avec deux types que je connais à peine ! >> précise t-elle. Je dis : << Rien de plus simple. Cet été on chasse dans des campings ! >>. Reconnaissante, amoureuse, Clémentine pose ses lèvres sur les miennes avant d'enfoncer sa langue au gout "sandwich au thon" dans ma bouche.

Notre soirée se déroule ainsi. Une fellation composée de bavardages, de questions, de réponses et de gémissements lascifs. Il est presque vingt et une heures quinze. Je propose de monter. D'abord la salle de bain, la toilette avant de nous retrouver sous les draps. Clémentine reprend sa pipe. Je la force à cesser pour me positionner au-dessus d'elle. Restant en appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Quelques minutes d'immobilité totale avant de me retirer, de descendre ma bouche sur son intimité. La taille étonnante de son clitoris géant qu'elle fait bouger dans ma bouche par petites contractions des muscles fessiers. Je me bouffe des quantités de cyprine. Dans une ivresse des sens, je la pénètre à nouveau. Cette fois en la berçant.

Bonne nuit à toutes les coquines qui aiment êtres seules avec leur coquin pour redécouvrir un peu le bonheur suprême d'être à deux...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine, Julien et Estelle
Wednesday 29 May 2024 07:09

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 33 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2624 -



Quand Estelle vient passer la soirée

Il est presque six heures, hier matin, mardi. Les bruits bucoliques d'une profonde forêt. Nous sommes réveillés dans la douce illusion d'une application "Apple store". Clémentine se tourne pour se blottir contre moi. Gémissante. Quelques bisous, quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. À la salle de bain nous revêtons nos tenues joggings. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine s'occupe du café, du pain grillé. Je pèle les kiwis, je presse les oranges. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre lundi soir en amoureux. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la venue d'Estelle en soirée. Clémentine la verra ce matin en cours. Presque six heures vingt cinq. Nous enfilons les K-ways pour sortir dans la fraîcheur matinale. Dure !

La température extérieure est de 13°. Motivant pour procéder aux nécessaires mouvements d'échauffement. Nous courons le long de la rivière. Quarante cinq minutes de pur plaisir avant la douche. Je redescends le premier pour préparer l'auto. Presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre sous un ciel bleu. Sa veste de velours noir cintrée à la taille. Un Levis, ses bottines noires. Ses bras autour de mon cou pour un dernier bisou. << Si j'ai une demi heure de retard, tu sais pourquoi ! >> murmure t-elle. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je rentre en courant faire la vaisselle, recouvrir le lit. Dans l'atelier, installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ce quai de gare d'Édimbourg m'accapare complètement. Même si je pense aux paroles de Clémentine.

Je peins dans cette excitation particulière. À m'imaginer la fille que j'aime, arrêtée dans un chemin, entrain de sucer une autre bite. Il y a un sentiment très spécial qui naît de ces pensées. Je n'ai aucune perception du temps qui passe. La faim se fait ressentir. Il va être midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à réchauffer la dernière tomate farcie avec ses pommes de terre. L'assaisonnement d'un petit concombre avec un avocat. Pour ce soir, ce sera une Flamiche Picarde. Cette tourte aux poireaux qui fait les délices de nos repas à trois. Je concocte une Béchamel. J'étale les deux tiers d'une pâte feuilletée dans le plat. Je lave et je coupe deux beaux poireaux. Ébouillantés avant d'être rajoutés à la Béchamel. Je verse sur la pâte avec du gruyère. Je recouvre du dernier tiers de pâte feuilletée. Je joint consciencieusement les bords. Je badigeonne le dessus d'œuf. Au four pour une longue et lente cuisson à 160°. Il faut que ça mijote.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff revient sur les Jeux Olympiques. L'argent dingue que cela va coûter. Les mesures de sécurité que cela implique. La vie bouleversée de milliers de parisiens. L'indécence de la flamme olympique. "L'autre" qui promet de se baigner dans la Seine. Je fais la vaisselle. Je monte me laver les dents. Impatient de me dégourdir les jambes, je dévale les escaliers pour sortir. La température extérieure ne dépasse guère 20°. Pourtant il y a du soleil. Quelques nuages d'altitude dans un ciel généreusement bleu. Je descends jusqu'à la rivière où je bavarde un peu avec monsieur Bertrand notre plus proche voisin. Il va être treize heures cinquante quand je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet.

Je peins habité des mêmes pensées. Si Clémentine a un retard je sais pourquoi. Ces mots résonnent dans mon esprit. Du bruit. Il est dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours. Mais ce n'est pas Clémentine qui entre dans l'atelier. C'est Estelle. Quelle surprise ! Elle se précipite pour s'assoir sur mes genoux. << Ta salope est certainement entrain de sucer ! >> m'annonce t-elle toute heureuse de me retrouver. Elle ne me laisse pas répondre. Sa langue fouille l'intérieur de ma bouche. Causant une érection immédiate. Elle change de position pour s'installer à califourchon. << Je t'ai rien que pour moi ! >> lance t-elle en se frottant. << Viens on baise tous les deux. On s'en fout ! >> rajoute t-elle en se levant pour m'entraîner par la main. Elle me fait tomber dans le canapé.

J'enlève ma blouse alors qu'Estelle retire ses bottines, son jeans et sa culotte. Elle s'allonge sur le dos, une jambe relevée sur le dossier. Je m'allonge sur elle. Je reste en appui sur mes bras. Elle s'empare de mon chibre pour se l'enfoncer doucement. Se mordillant la lèvre inférieure, contrôlant la pénétration. Elle termine par le dernier coup de reins qui m'enfonce totalement dans son intimité. Elle s'accroche à mon cou. Passe ses jambes autour de ma taille. Enfonce sa langue dans ma bouche. En fait, nous ne baisons absolument pas, nous faisons l'amour. En nous berçant. En bougeant à peine. Nos mentons trempés du mélange de nos salives. << Je t'aime ! C'est monstrueusement bon d'êtres juste nous deux ! >> murmure t-elle. Je chuchote : << Je te fais ça toutes les vacances ! >>

Du bruit. << C'est ta salope qui rentre ! >> fait Estelle à mon oreille. C'est la situation sur laquelle tombe Clémentine en entrant dans l'atelier. << Bonsoir les profiteurs ! >> lance t-elle en se précipitant. Elle s'assoit sur le bord du canapé pour me faire des bises. J'esquive sa bouche lorsqu'elle veut m'embrasser. Elle sait que ça me dégoute quand elle a sucé une autre bite. Ce qui l'amuse. Elle en joue en essayant de m'embrasser quand même. << Salope ! C'était comment ? >> demande Estelle en continuant de bouger doucement. Clémentine nous raconte : << Même endroit, derrière l'hypermarché, dans la bagnole. Et je me suis vraiment régalée ! >>. C'est Estelle qui pose toutes les questions que je voudrais poser. Clémentine, amusée, d'un ton espiègle et enjoué, répond à toutes.

Je me retire. Clémentine change de position, se lève, s'accroupit entre mes jambes écartées. Elle s'apprête à prendre ma queue en bouche quand Estelle l'en empêche, s'écriant : << Ah non, c'est pour moi ! >>. Nous rions de bon cœur. Estelle, à quatre pattes, sur le canapé, me bouffe la queue. Clémentine se redresse, déboutonne son Levis pour glisser sa main dans sa culotte. Il commence à faire faim. Estelle pompe comme une affamée. Je la saisis par sa natte pour la forcer à cesser. Quand Clémentine voit le long filament de foutre qui relie ma bite à la bouche d'Estelle, elle se précipite pour l'attraper du doigt qu'elle porte à sa bouche. << Tu n'en as jamais assez toi ! >> s'exclame Estelle en remettant sa culotte, son jeans. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Pressés par la faim.

Quand elles découvrent ce qui réchauffe au four, mes deux anges m'assaillent de bisous. J'aide Clémentine à faire l'assaisonnement des tomates. Estelle met les assiettes, les couverts. En me touchant le plus souvent possible. << On baise sur bureau après ! Vous êtes d'accord ? >> lance t-elle. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Elle est toujours impatiente de passer aux actes. Nous mangeons de bon appétit en posant un tas de questions à Clémentine. Elle adore y répondre dans les moindres détails. Les plus cocasses comme les plus éloquents. Nous répétant une nouvelle fois que la bite à Léo est la meilleure dégustée à ce jour. << Meilleure que celle de monsieur Bertrand ? Où que celle de Julien ? > demande Estelle. En me fixant d'un étrange regard, Clémentine dit : << Oui ! Meilleure ! >>

Nous ne traînons pas. À peine la vaisselle terminée que les filles m'entraînent par les mains jusqu'au salon. Je suis prié de me "préparer" pendant qu'elles retirent leurs vêtements. Je place deux des épais coussins du canapé sur le bureau. Les coquines s'y installent en se touchant. Je reste à distance. Ce spectacle n'est pas seulement excitant mais également émouvant. Assises toutes les deux, jambes relevées et écartées, pieds posés sur le bord du bureau, à se masturber en m'observant. Estelle, de son index, m'invite à la rejoindre la première. En appui sur ses coudes, elle me regarde la pénétrer doucement. Instant magique. Instant merveilleux. Ça coulisse. Ça rentre comme dans du beurre. Estelle se laisse tomber en arrière, la tête sur le coussin, en se masturbant. Je reste immobile. Enfoncé jusqu'à la garde.

Clémentine nous observe en se touchant. Je reste ostensiblement dans Estelle. Nous ne baisons pas. Ce ne sont pas les agitations démentes de la plupart de nos folies à trois. Je l'attrape par le cou alors qu'elle se redresse. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille, accrochée à mon cou, je la promène dans toute la grande pièce. Elle m'embrasse, fougueuse, parfois comme affolée. Alors que Clémentine, là-bas, depuis le bureau nous observe comme enchantée. Je reviens déposer Estelle. Je me retire alors qu'elle tente de me maintenir en elle. Je fais mine de passer devant Clémentine qui s'installe pour me recevoir. Mais au dernier moment, je me détourne pour revenir dans Estelle. Cette dernière, ravie, pousse un petit cri d'extase. Elle reste accrochée à mon cou pour m'embrasser follement reconnaissante.

Bonne nuit à toutes les coquines qui ont enfin leur coquin pour elle. Sous la couette. Amusées d'êtres éconduites toute la soirée. Comme pour une amusante punition. Avec la bite dans la bouche. Pour se faire baiser la gueule. Puis de s'endormir avec le gout d'un second foutre...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
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- 34 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2625 -



Quand Juliette vient passer la soirée

Hier matin, mercredi, comme convenu, le premier réveillé, réveille l'autre. Mais impérativement à sept heures. Je suis réveillé juste un peu avant. Je regarde Clémentine dormir à poings fermés. J'ai de soudains scrupules. J'attends. J'approche mon visage du sien. Je fais bouger ma paupière contre sa pommette. Ce sont mes cils qui la chatouille. Je murmure : << C'est un papillon ! >>. En gémissant, en s'étirant, Clémentine sort de son sommeil pour se serrer contre moi. Quelques bisous. Quelques papouilles. Le mercredi c'est depuis la maison qu'elle suit ses cours. Au mois de mai encore car dès la semaine prochaine cette formule prend fin. Chaque jour sera crucial pour la soutenance de sa thèse et les épreuves de son Doctorat. Nous nous précipitons aux toilettes en nous tenant les mains.

À la salle de bain nous revêtons nos tenues sports. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans le hall d'entrée. Clémentine ouvre le portail depuis l'interphone. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je suis plié de rire en l'écoutant imiter l'accent Corse de Juliette. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Clémentine beurre les quatre premières tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre mardi soir en compagnie d'Estelle. << J'aime bien les "punitions" que tu m'infliges. J'ai adoré te voir faire l'amour avec Estelle. Ça me rend délicieusement jalouse ! >> dit Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en envisageant la soirée qui nous attend avec Juliette. Je propose de faire un gratin de choux fleurs. Suggestion applaudie.

Il pleut. La température extérieure n'excède pas 13°. << Il fait meilleur en octobre ! >> lance Clémentine lorsque nous faisons la vaisselle. Avec cette météo nous privilégions l'entraînement en salle. Nous remontons à toute vitesse pour sept heures vingt cinq. Les échauffements aérobics, le jogging sur tapis roulants, les exercices au sol. Excellents préludes aux manipulations des charges additionnelles. Le retour au calme d'un bon stretching avant la douche. << Comme tous les mercredis matins, je serai encore en retard d'un quart d'heure ! >> dit Clémentine quand nous redescendons habillés de nos Levis, de nos sweats, de nos baskets. Dans l'atelier, assise devant son ordinateur, Clémentine ajuste ses écouteurs, le micro. La voilà immédiatement à son poste de travail. Universitaire.

Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette toile représentant les quais de la gare d'Édimbourg est un véritable petit plaisir. Je peins en écoutant Clémentine parler. Répondre à des questions, en poser à son tour. C'est captivant car je tente de recomposer les dialogues. Il est dix heures. Parmi les tubes de peintures, sur la desserte à ma droite, mon I-phone se met à vibrer avant sa sonnerie à l'ancienne. Je me lève pour aller accueillir Danièle et ses livraisons. Clémentine reste assise, bien trop occupée à suivre une vidéo conférence. Elle me fait un clin d'œil en mimant une rapide masturbation masculine. Je vérifie, ma braguette est ouverte. Mais depuis trois semaines il n'est plus question de montrer ma bite à cette jeune femme mariée et mère d'une fillette de huit ans.

La camionnette blanche est garée devant la porte du garage. Sous le grand parapluie, dans la désagréable fraîcheur humide, je vais à la rencontre de Danièle. Elle me tend le grand sachet en papier kraft. Il contient un poulet à rôtir, des escalopes de dindes et de ces savoureuse asperges blanches. Danièle a un furtif regard sur ma braguette béante. Le blanc du coton de mon slip. Elle détourne aussitôt les yeux comme pour s'empêcher de céder à une tentation. Je ne lui inflige pas plus longuement cette épreuve. Elle a bien d'autres clients à livrer. Nous nous saluons. Dans la cuisine, alors que je déballe les victuailles pour les placer dans le réfrigérateur, Clémentine, revenant des toilettes, vient me rejoindre. Glissant sa main dans ma braguette en demandant : << Raconte-moi ! >>

Je lui avoue respecter la demande de la jeune femme. << C'est mieux, tout le monde est content ! >> conclue Clémentine qui me sort le Zob. Elle me tire par la bite pour retourner dans l'atelier. Nous reprenons nos activités jusqu'à midi. Nous quittons l'atelier pour descendre à la cave, dans le cellier, pour récupérer le gros choux fleurs. Les carottes, les endives. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade d'endives. Je réchauffe le reste de la tourte aux poireaux. Je mets les assiettes, les couverts. J'écoute Clémentine me raconter sa matinée, la conférence. Le choux fleurs, lavé, coupé, ébouillanté dans l'auto cuiseur. Je le verse dans le plat carré. Je verse le liant à base d'œuf, de crème fraîche et de lait de soja. Je recouvre d'une copieuse couche de gruyère que Clémentine à râpé.

Au four. Nous laissons mijoter longuement à 160°. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la soirée branle qui nous attend en compagnie de Juliette. C'est devenu une douce habitude. Nous traînons à table. Assise sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, la fille que j'aime revient sur la pipe qu'elle a prodigué à Léo, mardi, en fin d'après-midi, après les cours. Elle commence toujours par ces mots qui m'amusent : << Tu n'es pas fâché, tu n'es pas jaloux ? >>. Je réponds : << Oh, c'est bien pire que ça ! Et puis je vais t'infliger la même "punition" à chaque récidive ! >>. Nous en rions de bon cœur. La "punition" consiste à l'ignorer et à ne m'occuper que d'Estelle. Estelle évidement bien contente de l'aubaine. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Dehors la pluie tombe.

Nous dévalons les escaliers pour retourner dans l'atelier. Il reste une demi heure avant le début des cours. Clémentine me fait tomber dans le canapé. À genoux sur l'un des épais coussins, elle hume mon sexe sous tous les angles en le faisant tourner sous son nez. << J'ai complètement oublié de filmer dans la bagnole ! >> dit elle. Je caresse sa tête en faisant : << Je comprends. Dans l'impatience de te livrer à tes préférences, tu avais déjà la tête à autre chose ! >>. Elle rit avant de rajouter : << Ne m'en veut pas, j'aime trop ça ! Mon nez dans une braguette ! >>. Nous en rions de bon cœur avant qu'elle ne gobe mon sexe. C'est comme si j'introduisais ma bite dans un bol de purée tiède. Sous l'effet de l'indicible caresse, je trouve cette métaphore culinaire parfaitement adaptée. Je pose des questions précises.

Quand à cette fellation. La comparaison entre les goûts. La prochaine pipe prévue. Autant de prétextes pour Clémentine. Elle cesse de sucer pour répondre avec le plus de détails possibles. Laissant ainsi reposer sa mâchoire. Cette complicité nous propulse à des niveaux d'excitations d'une intensité folle. Alors qu'il va être l'heure pour Clémentine de rejoindre son ordinateur. Elle se lève. M'attrape par les mains. Me tire. Je me lève à mon tour. << C'est frustrant ! >> lance t-elle. Je l'accompagne à son poste de travail. Mes lèvres dans sa nuque alors qu'elle ajuste ses écouteurs. Juste avant qu'elle n'allume je murmure : << Je t'aime. J'adore te savoir salope quand je ne suis pas près de toi ! >>. Je file en vitesse pour ne pas être dans le champs de la webcam. Je la laisse à ses travaux.

Confortablement installé devant mon chevalet, je peins dans l'enchantement le plus total. Essayant comme ce matin de recomposer les dialogues. Parfois, je me lève. Dans sa direction, alors qu'elle quitte l'écran des yeux quelques instants, j'agite mon chibre. Je bande mou. Elle m'adresse un rapide clin d'œil où me tire la langue. Avant dix sept heures, je nettoie la palette, les pinceaux. Je prépare un thé au jasmin et de petits gâteaux secs. Je dépose le tout à droite de l'ordinateur. Clémentine ouvre de grands yeux. Une expression de ravissement illumine son visage. Impatiente de terminer elle achève sa conversation avec Alban, son maître de thèse. Quand elle éteint, avant de se précipiter sur cette collation, elle me saute au cou. Mitraille mon visage de bisous. Je la soulève.

Ses jambes autour de ma taille, ses bras autour de mon cou, je la promène dans toute la grande pièce. Pour la déposer dans le canapé. Je vais chercher le plateau avec le thé, les gâteaux. En dégustant Clémentine me raconte son après-midi, éclairant ma lanterne sur ces dialogues que je tentais de recomposer. Entre deux gâteaux, elle joue avec ma queue. Elle me décalotte. Il y a encore du jus autour de la base du gland. Reliquat de la fellation d'après repas. Elle y passe un petit gâteau sec en forme de lune. Forme parfaite pour récupérer la crème de couilles. Elle s'applique avant de porter le gâteau à sa bouche. Les yeux fermés en murmurant : << Mmmhhh ! Miam ! >>. Je pose mes lèvres dans son cou. Je chuchote : << Je t'aime comme un fou ! >>. Elle gémit de plaisir.

À nouveau à genoux sur un des épais coussins, Clémentine retourne à une autre dégustation. Je la regarde. Je l'admire. Lorsqu'elle ouvre les yeux humides c'est avec une expression de bonheur intense. Elle aime bien me surprendre à l'observer. Mais elle ne surjoue jamais. Cela reste les expressions les plus naturelles. Dehors il pleut. Il y a une obscurité de novembre dans l'atelier. Du bruit. Il est déjà dix huit heures trente. Nos intimes ont pour consignes de ne pas prévenir de leur arrivée. Aussi, c'est Juliette qui entre dans la grande pièce. Nous découvrant en plein "pompier". Elle marche vite pour venir nous rejoindre. Ce soir vêtue d'un jeans, d'un sweat brun et de bottines brunes. Ses longs cheveux noirs aux reflets d'argent par endroits, attachés en une longue natte. Elle est magnifique.

Clémentine cesse de sucer, se redresse, fait mine de se lever. Juliette lui fait une bise sur le front en disant : << N'arrête surtout pas, regarde notre vicelard comme il est aux anges ! >>. Nous rions. Juliette me fait une bise sur le front, une bise sur chaque joue, une bise sur la bouche en répétant : << Vicelard ! >>. Clémentine se redresse pour s'assoir entre Juliette et moi. Nous bavardons. Juliette est heureuse à l'idée de tenir ma galerie d'Art au mois d'aout. Sa pension pour chevaux n'abrite plus que onze bêtes. Ce qui limite considérablement la somme de travail pour ses employés. Juliette se penche à plusieurs reprises pour regarder ma bite que tripote Clémentine. Quand elle tend le bras pour la toucher du bout des doigts, Clémentine la lui refile en disant : << Elle est à point ! >>

Quelle n'est pas notre surprise quand Juliette se lève pour venir s'accroupir devant moi. << Vraiment à point ? >> demande t-elle avant de la prendre en bouche. << Tu n'as pas eu ta dose de foutre cette semaine ? >> demande Clémentine. << Non, mon vétérinaire est en formation et mon homme d'entretien en congés ! >> répond Juliette en cessant pour se redresser. Je me lève en même temps que Clémentine. Nous nous apprêtons à quitter l'atelier pour la cuisine quand je saisis fermement Juliette par sa natte. Elle se dégage d'un geste brusque en disant : << Pas de ça sans mon autorisation mon bonhomme ! >>. Je la lâche. Clémentine me tend la sienne en rajoutant : << Tu as l'autorisation mon bonhomme ! >>. Nous rions de bon cœur jusque dans la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer le gratin de choux fleurs. J'aide Clémentine à faire l'assaisonnement de la salade de carottes. Juliette met les assiettes et les couverts en racontant.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine raconte les pipes qu'elle fait dans sa bagnole. << Il est beau gosse ce gamin ? >> demande Juliette. Clémentine allume son I-phone pour montrer les photos. << Wouah ! Tu ne te prives de rien je vois ! Et ça bite ? >>. Clémentine s'exclame : << J'en raffole. Je baise avec lui la semaine prochaine. Je pourrai te dire la manière dont il s'en sert ! >>. Je me lève pour agiter ma queue en direction de Juliette. Nous ne traînons pas. Tout est dans le lave vaisselle. Nous prenons le dessert au salon. Juliette vautrée dans le fauteuil qui nous fait face. Une main dans son jeans déboutonné. Clémentine et moi dans le canapé à faire pareil. Juliette devra nous laisser pour 22 h. Il reste une heure trente pour une soirée branle de toute première qualité. À trois.

Bonne nouille à toutes les coquines qui, une fois sous les draps, vident les couilles de leur branleur avant de se serrer contre lui, pour plonger dans un profond sommeil réparateur. Le goût de son sperme dans la bouche...

Julien (branleur pour dames)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
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Petites surprises du jeudi soir

Il va être six heures. Le gazouillis des oiseaux de la forêt. Le bruit de cette source qui s'écoule entre des rocher. Tout cela ne dure que quarante cinq secondes. Suffisamment pour nous tirer du sommeil avec douceur. Clémentine vient se lover dans mes bras. Tentant de réunir toute la volonté nécessaire pour revenir au réel. Quelques bisous, quelques papouilles. Il faut fournir un gros effort aujourd'hui. Tels des robots nous nous précipitons aux toilettes. Nous revêtons nos tenues de jogging à la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine prépare le café en me racontant ses rêves. La chanceuse se souvient de chacun d'entre eux. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Clémentine beurre les quatre premières tranches éjectées par le grille pain. Elle se serre contre moi.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée branle en compagnie de Juliette. C'est devenu une douce habitude le mercredi soir. Nous mangeons de bon appétit en évoquant celle de ce soir avec Estelle. Une autre habitude qui sera très certainement réservée au "contrôle minou". Nous en rions de bon cœur. Clémentine précise : << C'est bien quand tu procèdes aux contrôles je peux profiter de l'aubaine pour faire contrôler le mien ! >>. Elle vient terminer sa tartine à la confiture d'églantines, assise sur mes genoux. Vidant mon bol de café. Mes lèvres collantes après qu'elle ait déposé les siennes sur les miennes. Six heures vingt cinq. La température extérieures est de 13°. Il faut prendre son courage à deux mains. Nous enfilons les K-ways. Le ciel est bas, gris, menaçant.

Trois quart d'heure d'un excellent running, nous prenons notre douche. C'est en courant que je descends le premier pour sortir l'auto du garage. Je regarde l'intérieur en ayant soudain à l'esprit que c'est là que Clémentine taille des pipes au jeune étudiant après ses cours, avant de rentrer avec une demi heure de retard. Ces pensées me font sourire. Aussi, quand elle me rejoint vêtue de son Perfecto de cuir noir, de son Levis "brut", de ses bottines noires, je lui explique la raison de mon hilarité. Ses bras autour de mon cou pour quelques dernières bises, ravie, elle me dit : << Je t'aime. Tu me comprends tellement bien. Parfois, je culpabilise d'être aussi salope ! >>. Je la rassure. Elle palpe ma braguette en rajoutant : << Je serai peut-être en retard ce soir alors ! >>. Nous rions aux éclats.

Je la regarde partir. Un dernier coucou avant de rentrer faire notre vaisselle, recouvrir notre lit. Dans l'atelier, installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette quinzième toile hyper réaliste destinée à ma saison d'été m'accapare immédiatement. Je peins dans une sorte de volupté. Je n'arrête pas de penser à la fille que j'aime. L'idée qu'il se passe peut-être quelque chose en fin d'après-midi avec Léo, me procure de délicieuses érections. La matinée passe ainsi. Il va être midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à réchauffer le reste du gratin de choux fleurs. De laver une endive, d'en faire l'assaisonnement. Pour ce soir, ce seront les bouchées à la reine que je prépare consciencieusement. Béchamel, escalopes de poulets, champignons.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission quotidienne, André Bercoff et ses invités développent les sujets d'actualités. Il est bien évidemment question de l'élection des députés européens. De notre va t-en guerre de président qui est acculé dans ses dernières manœuvres d'esbroufes. Sa seule issue, sa seule fuite en avant pour échapper à son bilan désastreux est d'espérer une guerre. Noyer ses méfaits, ses turpitudes dans l'apothéose d'un chaos dont il rêve. Il s'acharne à convaincre quelques partenaires européens à le suivre. Se prenant pour un Napoléon, futur empereur de l'Europe, aux ordres d'une Amérique dont l'économie elle aussi nécessite un chaos nucléaire. Seule façon de remettre tout à plat. De pouvoir repartir à zéro en ayant effacé toutes dettes. Sans compter les enquêtes qui s'ouvrent quand à la gestion du Covid par notre fou dangereux.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. La pluie s'est remise à tomber. Malgré tout je veux absolument me dégourdir un peu les jambes. Je redescends pour chausser mes bottes en caoutchouc. C'est sous le parapluie que je vais jusqu'à la rivière. Le niveau des eaux a rarement été aussi haut. Heureusement que la digue montée par monsieur Bertrand, évite de transformer le bas du chemin en marécage. Il est treize heures cinquante quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins habité des mêmes pensées excitantes. Je cesse même de peindre pour allumer mon I-phone. Admirer quelques photos de Clémentine au visage maculé de sperme épais et gluant. Souriante et comme fière de poser ainsi. Photos d'il y a trois et quatre ans. Je me masturbe dans une véritable béatitude. Elle est belle. Avec ou sans sperme sur la gueule. Je suis soudain impatient de la retrouver. C'est dans ces conditions que passe l'après-midi.

Du bruit. Il est dix sept heures trente. J'entends chantonner Clémentine qui revient des toilettes. Elle entre dans l'atelier en se précipitant vers moi. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, se frottant en rythme, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Les confidences d'Estelle qui a baisé avec son parrain mercredi soir. << Elle te racontera ! C'est pas triste ! Et moi, je n'ai pas eu ma pipe avec Léo. Il n'a pas réussi à échapper à sa maman ! >> lance t-elle en mitraillant mon visage de bisous. Nous rions. Je dis : << Mais tu peux avoir une pipe quand même ! >>. Elle se lève, saisit mes mains pour m'entraîner vers le vieux canapé de velours carmin. Elle m'y fait tomber. Posant un des coussins au sol pour s'y mettre à genoux.

Je raconte mes masturbations de l'après-midi car elle constate l'état de mon slip humide. La bite ruisselant qu'elle en extrait. Elle lèche en humant. << Tu devrais m'offrir une pipe toutes les fins d'après-midi quand je rentre ! >> fait elle avant de gober mon sexe. J'allume mon I-phone. Je fais défiler les photos admirées il n'y a pas une heure. Tout en suçant, Clémentine s'admire à son tour. << C'était quand celle-là ? >> demande t-elle. Je réponds : << Je ne m'en souviens plus ! >>. Il y a onze photos. Plus suggestives les unes que les autres. Clémentine arrête de sucer à chacune des images pour la commenter. Sur certaines son visage est couvert de coulures de foutre. Très "bukkake japonais". Estelle arrive toujours dans le plus grand silence. Voyeuse, stratège et rusée.

Il pleut dehors. Dans l'atelier il fait aussi sombre qu'une fin octobre. J'ouvre les yeux pour admirer le spectacle que m'offre Clémentine. C'est elle qui tient l'I-phone. Elle se regarde. Soudain elle prend un cliché. Là-bas, la tête et l'épaule d'Estelle qui nous observe. Étant découverte, elle se précipite. Elle me couvre le visage de bisous. Clémentine cesse de pomper pour se relever. << Regarde ce que Julien admire lors de ses séances de peintures ! >> dit elle. << Oh, mais c'est un homme de bon goût. Au propre comme au figuré ! >> répond Estelle. Nous rions. La plupart de ces photos ont été prises par Estelle. Vautrés tous les trois dans le canapé, Estelle à ma gauche, Clémentine à ma droite, nous faisons défiler les photos sur l'écran du téléphone. Estelle saisit ma queue pour la tordre dans tous les sens.

Heureusement que je bande mou. Mais avec les multiples excitations de cette journée, mon sexe dégorge de liquide séminal. Il en coule sur les doigts d'Estelle qui les porte à sa bouche. << J'ai baisé avec Jean-Marc mercredi soir. Dans ma chambre. Il n'a pas cessé de parler de Clémentine ! Il faut que tu contrôles mon minou ! >> me dit elle. << Il veut m'enculer surtout ! >> s'exclame Clémentine. Nous rions. Je rajoute : << Accepte donc ! Fais-toi sauter par ce mec. Ça fait bien quatre ans que tu n'as plus baisé avec lui ! >>. Estelle et Clémentine, soudain sérieuses, s'observent silencieusement. << On se fait un "plan" avec mon parrain avant les vacances ? >> suggère Estelle. << On se fait un "plan" Jean-Marc ! >> lance Clémentine. Estelle et moi, surpris, nous la regardons plutôt amusés.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Pendant que réchauffent les bouchées à la reine, j'aide Clémentine à préparer l'assaisonnement de la salade de tomates. Estelle met les assiettes, les couverts. Accroupie devant la porte vitrée du four, elle surveille la cuisson. Elle sait à quel point la vision d'une fille accroupie, vue de dos, affecte ma libido. Je me branle. Elle me voit faire dans le reflet de la vitre. Clémentine me fait un clin d'œil. Un merveilleux sourire. Je m'approche. Je saisis la natte d'Estelle. Je passe ma queue dans sa nuque. Y laissant une traînée de foutre. Elle tourne la tête. Je me déplace sans lâcher sa natte. Je passe mon chibre sur son visage. Elle tente de se soustraire à mon étreinte mais je maintiens fermement sa natte. C'est un jeu qu'elle apprécie énormément. La sonnerie du four. Elle enfile les maniques. Ouvre la porte du four pour en tirer un plat magnifiquement doré et parfumé. Je me masturbe encore un peu. Vers Clémentine.

Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Clémentine, ce matin en cours, a raconté notre soirée branle avec Juliette. Estelle a raconté sa soirée baise avec Jean-Marc. C'est à présent à moi qu'elle raconte, en détails, ce qui s'est passé sur son lit, parmi les peluches et les coussins. J'aime entendre ses narrations car elles décrivent parfaitement les situations. << Il termine par une enculade. À force, je n'éprouve plus grand chose. Par contre son foutre qui coule dans ma culotte longtemps après qu'il soit parti me dégoûte ! >> explique t-elle alors que nous rions aux éclats. << Tu nous fais un film avant les vacances. Qu'on puisse te voir dans tes péripéties ! >> s'exclame Clémentine. << Je vais planquer une caméra. On se regardera ça à Édimbourg. Une soirée cinéma ! >> dit Estelle.

La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Dans une ambiance fofolle, elles retirent bottines, Levis et culottes pour rester en sweats et chaussettes. Je me branle. J'adore les voir déconner. Faire tourner leurs culottes en l'air avant de viser un endroit de la grande pièce. Toutes les deux, vautrées dans le canapé, tenant leurs jambes relevées sous les genoux, m'offrent leurs intimités. À genoux sur les épais coussins posés au sol, je commence par le minou d'Estelle. Je hume les odeurs de leur journée de filles. C'est à vous donner le vertige chers lecteurs. J'en vacille en devant me tenir à leurs cuisses. Je fouille leurs intimités du bout de ma langue, jusqu'aux crampes de mâchoire qui me forcent à sucer. Elles se masturbent en échangeant leurs impressions. Entre des gémissements lascifs.

C'est absolument divin de bouffer de la chatte en écoutant leurs propriétaires faire mille projets pour les vacances. Je me branle tout en suçant, tout en léchant, tout en avalant ce que je pompe. Toutes les deux, à genoux, les coudes sur le dossier du canapé, se font bouffer le cul. Ah mes amis ! Qui n'a jamais bouffé du cul après avoir bouffé du fion, ne peut comprendre la volupté des sens qui gagne le "bouffeur". Je me lève. Je tiens Estelle par ses hanches. Je m'introduis par derrière. Non, je ne l'encule pas. Je déteste. Mais le cri de ravissement qu'elle lâche soudain dans un souffle animal ne laisse aucun doute. Elle ne s'y attendait pas. J'enfonce deux doigts dans la vulve de Clémentine toute aussi surprise. Je baise Estelle comme un dément, mes mains posées sur ses seins minuscules.

Quelques minutes. Elle se masturbe en même temps. Je me retire pour m'enfoncer dans Clémentine. Même traitement. Mêmes petits cris d'animal blessé. C'est divin. Je passe de l'une à l'autre en poussant des mugissements d'ours en rut. Nos cris se mêlent en une symphonie pastorale digne d'un Mozart. Parfois mâtinée d'un Beethoven inspiré. Clémentine, soudain en proie à l'orgasme qui va l'assaillir, se cambre. Je me retire pour saisir la cuvette de plastique bleu. Juste à temps. Accroupie au-dessus, se masturbant de la main droite, se tenant au bord du canapé, elle est la victime d'une jouissance qui nous subjugue. Je veux pénétrer Estelle quand cette dernière est agitée des mêmes spasmes. Debout, se touchant des deux mains entre ses cuisses resserrées, elle se lâche en criant.

Nous reprenons nos esprits serrés tous les trois dans le canapé. << Put-hein je vais devenir folle tellement c'est bon ! >> murmure Estelle comme en proie à une vive douleur. << Moi je le suis déjà ! >> dit Clémentine. Estelle joue avec ma queue ruisselante de foutre. << Tout ce gâchis ! Il faudrait mettre un petit tuyau relié à une gourde pour récupérer tout ce que tu lâches ! >> lance t-elle en se levant pour s'agenouiller entre mes jambes. Elle devra nous laisser pour 22 h. Il reste une quinzaine de minutes. Clémentine se rhabille la première. Pendant qu'elle va vider la cuvette aux toilettes du bas, j'éjacule dans la bouche d'Estelle. Je caresse sa tête. Je la regarde tenter de tout déglutir. Elle en tousse. Les larmes coulent de ses yeux. Je dis : << En vacances je te fais l'amour tous les jours ! >>. Elle ouvre les yeux, fait une horrible grimace pour avaler avec un mouvement de tête. Clémentine vient nous rejoindre. Estelle se rhabille aussi.

Bonne nuit à toutes les coquines qui apprécient les soirées léchage de minou. Surtout lorsque ces soirées sont agrémentées de "pénétrations surprises". En confiant leurs émotions dans les bras de leur coquin, sous les draps. Avant de plonger dans les profondeurs d'un océan de sommeil...

Julien (Pénétrator)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Le vendredi, Clémentine termine à midi

Les oiseaux gazouillent joyeusement dans cette mystérieuse forêt. La source s'écoule entre les rochers. Cette illusion que tout se passe dans notre chambre. Ou alors que nous nous réveillons, à presque six heures, dans cet environnement sylvestre et champêtre. Quarante cinq secondes de doutes puis de retour au réel. En gémissant, Clémentine se love contre moi. Elle chuchote d'inintelligibles paroles. Ce qui nous fait rire. Quelques bises, quelques papouilles, il faut se lever. Dur. Les toilettes puis la salle de bain où nous nous habillons de nos leggings de lycra noir, de nos sweats de lycra rouge. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Toujours en tenant des propos amphigouriques Clémentine prépare le café. Nous sommes pliés de rire devant ses incapacités.

Quand elle termine à midi, Clémentine est facétieuse. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre jeudi soir en compagnie d'Estelle. Nous ne la verrons à nouveau que samedi, en début d'après-midi. Nous mangeons de bon appétit en commentant cette maudite météo de fin octobre alors que demain, nous sommes le premier juin. << Ils nous ont inventé "l'effet oméga", conséquence du réchauffement climatique. Bande d'enculés ! >> s'exclame Clémentine sur sa lancée déconnante. Elle vient terminer sa tartine au miel assise sur mes genoux. Dehors il pleut. La température extérieure est de 12°. Pas de running ce matin. Il est six heures vingt cinq quand nous remontons. Entraînement en salle. Ce temps pourri n'est vraiment pas motivant pour les activités sportives en extérieurs.

Les échauffements aérobics en prélude au jogging sur tapis roulant. Clémentine me fait rire en courant à l'envers, à l'endroit, sautant en crabe sans jamais perdre son équilibre. Les exercices au sol avant les barres et les haltères. Le retour au calme d'un stretching bâclé par manque de temps. La douche. Je redescends le premier pour faire chauffer la voiture. Il va être 7 h45. Clémentine me rejoint dans sa veste trois quart de cuir noir, cintrée à la taille. Un pantalon noir, ses bottines noires. Sous son parapluie. Ses bras autour de mon cou pour quelques derniers bisous. << Juste nous deux jusqu'à demain ! >> dit elle avant de s'installer au volant. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou des deux bras levés.

Je m'empresse de rentrer faire notre vaisselle, recouvrir notre lit. Nous sommes le 31 mai et les radiateurs, pilotés par thermostat, fonctionnent toujours. Dans l'atelier, confortablement installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je termine ce matin cette toile hyper réaliste représentant les quais de la gare d'Édimbourg. Je peins en pensant au programme de l'après-midi. Clémentine a émis le souhait d'aller en ville, de faire les magasins. Elle s'est même réjouie à ma proposition de passer une partie de la soirée dans notre restaurant gastronomique préféré. J'y réserve une table dès l'ouverture à dix heures trente. Par téléphone. Il est onze heures trente quand je dépose la dernière touche de peinture sur mon œuvre achevée. Un peu de ménage dans l'atelier.

Je quitte pour me rendre à la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer les deux dernières grosses bouchées à la reine dans leurs coquillettes. L'assaisonnement du dernier concombre avec un avocat. Midi trente cinq. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille elle se fait emmener aux toilettes. Rituel pisseux, lavage des mains. Nous courons jusqu'à la cuisine où flottent les odeurs les plus affolantes. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Le vendredi elle fait toujours le plein à la station. C'est un chauffeur livreur qui l'a un peu dragué, à côté de sa camionnette noire. << Je crois bien que ce coquin se touchait discrètement. Je n'ai pas vraiment regardé. Un gros moustachu trapu !>> lance Clémentine.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me propose des endroits où flâner cet après-midi. << Ça fait longtemps que nous n'avons pas été au musée des Beaux-Arts. Ça te dit ? >>. Je trouve l'idée parfaite. Il y a parfois en ces lieux des opportunités pour de discrètes exhibes. Ou tout au moins pour des comportements équivoques et ambigus. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Clémentine garde ses vêtements de la matinée. Elle est tellement élégante. Toute de noir vêtue. Comme ses cheveux. La seule note de couleur est le bleu si clair de ses yeux. C'est toujours étonnant et surprenant. Même après plus de sept ans de vie commune. Sur sa demande je porte du noir moi aussi. Pantalons à pinces, blouson et bottines.

Pressés de filer vers de nouvelles aventures nous dévalons les escaliers. C'est avec la Golf de Clémentine que nous prenons la direction de la ville. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Elle adore le contraste. La couleur chair qui se détache sur le noir du tissu. << Tu me la sorts parfois dans les endroits les plus fous ? >> demande t-elle avant de se pencher sur sa gauche pour s'en régaler. Je gare l'auto dans la petite ruelle habituelle. À dix minutes des premières rues piétonnes. La pluie a cessé. De petits coins de ciel bleu pour des durées limitées. Accrochée à mon bras, Clémentine nous entraîne d'un bon pas. Le musée des Beaux-Arts est une grande bâtisse de style haussmannien. L'entrée y est gratuite. C'est toujours la même jeune femme à l'accueil. Du monde.

Nous gravissons le grand escalier pour notre salle préférée. La galerie des maîtres hollandais et flamands du dix septième siècle. Nous attirons les regards des visiteurs. Nos hautes tailles, notre élégance discrète. La sublime jeune fille qui tient par le bras cet homme d'âge mûr. Qui lui fait des bises sur la joue, sur la bouche entre deux tableaux anciens. Non, je ne suis évidemment pas le papa. Nous nous amusons de ces situations, des expressions et parfois des regards hallucinés. << Je joue à Estelle cet après-midi ! >> me fait Clémentine. Elle se met devant moi pour dissimuler sa main baladeuse. Ce n'est pas toujours réussi. Il n'y a pas de solitaire, victime idéale des petits jeux de Clémentine. Ce qui la frustre un peu. Nous quittons le musée pour le centre ville. La pluie est revenue.

Les quatre étages du grand magasin nous permettent de flâner au sec. C'est dans une des cabines d'essayages du rayon des vêtements hommes que nous nous offrons des jeux de bouches et de doigts. Il est agréable de doigter Clémentine qui se retrouve comme moi avec la culotte et le pantalon sur les chevilles. Assise sur la banquette, elle s'observe dans le grand miroir, accroupie, ma bite dans la bouche. Je prends quelques photos avec son I-phone. Puis c'est à moi d'être à genoux sur la moquette violette. Contorsions. Pratique pour lécher son intimité. Nous passons là un bon quart d'heure. Il faut être prudent. Le loquet de la porte est tiré. Mais il y a un espace d'environs trente centimètres entre la porte bleue et le sol. Et il y a du monde dans le couloir à attendre qu'une cabine se libère.

C'est excitant. Excellent prélude au chocolat chaud et aux "torches aux marrons" qui nous attendent au premier étage de notre salon de thé préféré. Enfermés dans un des cabinets des toilettes hommes, nous reprenons du service. Je suis devenu un véritable contorsionniste de WC étroit au fil des années. Je n'ai pas mon semblable pour brouter un minou en espace confiné. Je lui montre comment je prends Estelle en levrette, debout dans un cabinet. Ses mains en appui contre le carrelage du mur, cambrée, me présentant son superbe cul, Clémentine se fait pénétrer le sexe alors que je la tiens par la taille, que je remonte sur ses seins minuscules. Ce qui est surréaliste c'est d'entendre des messieurs venir pisser. Sans se douter de ce qui se passe à proximité. Nous y restons bien dix minutes.

Nous aimons faire les magasins d'antiquités. Ce n'est pas ce qui manque dans notre bonne ville. Il y a là quelques possibilités de s'amuser. Nous avons une préférence pour ce vieil antiquaire un peu vicieux qui nous reçoit toujours avec un étrange sourire. Clémentine l'appelle le "père Noël". Il faut préciser qu'avec ses longs cheveux blancs, sa barbe blanche il évoque le personnage à la hotte. Sa boutique propose de belles antiquités. Surtout ces vieux livres reliés cuir et frappés au balancier. Je laisse Clémentine s'amuser à allumer le "père Noël" pendant que je reste dans la grande pièce du fond. Je fais semblant de lire. Exprès je fais du bruit en feuilletant. Notre antiquaire me croit absorbé dans mes découvertes. Alors que je mâte en douce. L'affreux drague Clémentine à voix basse.

Le vieux salaud lui a proposé un jour de la photographier à poil. J'aime la voir faire sembler d'entrer dans le jeux du vieux pervers. Elle rit de chacune de ses plaisanteries très certainement graveleuses. Le bougre ira t-il jusqu'à sortir sa bite ? Je vois Clémentine se pencher à plusieurs reprises. Pour regarder derrière le comptoir où est assis notre esthète. C'est toujours un peu frustrant de ne pas voir ce qui se montre. Nous passons là un agréable moment. Une fois dans la rue, Clémentine me raconte : << Il revient à la charge pour me photographier. Tu sais, avec son foutre sur ma gueule. Il me l'a déjà proposé il y a trois ans, tu te souviens ? >>. Nous en rigolons comme des bossus. J'encourage Clémentine à réaliser le fantasme du vieux dégueulasse. << Beurk ! >> s'exclame t-elle.

Notre restaurant préféré est étoilé au guide Michelin et recommandé par le Gault et Millau. Notre table nous y attend au premier étage. Une ambiance "cosy" dans un intérieur très classe. Nous y savourons ce soir du marcassin aux pommes de terre fricassées dans leurs sauces à la crème d'asperge. Un délice. Il y a du monde. Première visite aux toilettes hommes avant le dessert. Pompage de Zob et cunnilingus enfermés dans un des cabinets. Seconde visite après l'addition où Clémentine me demande de la reprendre contre le carrelage. Je lui chuchote des cochonneries à l'oreille. Du genre : << J'aimerais te voir sucer le "père Noël" ! >>. Il est vingt deux heures quand nous sommes de retour à la maison. Sous les draps, j'honore la fille que j'aime. Léchage de minou, pénétrations. Douceurs.

Bonne nouille à toutes les coquines qui, sous les draps, aiment en savourer le jus de cuisson. Avant de s'évanouir de sommeil dans les bras de leur coquin...

Julien (producteur de jus de nouille)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 37 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2628 -



La météo pitoyable de ce premier week-end de juin

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par la douceur de la main d'Estelle sur ma poitrine. Ses pieds, toujours en quête d'un peu de chaleur, qui bougent en rythme contre les miens. Je la serre contre moi. Ses lèvres qui se posent dans mon cou. Tout cela tire Clémentine de son sommeil. Il est un peu plus de neuf heures. Nous restons à nous câliner jusqu'aux extrêmes limites. Estelle se lève d'un bond. << Urgence absolue ! >> lance t-elle en courant vers la porte. Clémentine, à cheval sur moi, frotte son sexe sur ma turgescence. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. À la salle de bain nous revêtons nos Levis délavés, nos sweats, nos baskets. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Il y flotte les odeurs du café, du pain grillé. De la brioche.

Clémentine pèle les kiwis, presse les oranges. Mes mains d'abord sur les hanches d'Estelle, montent sur ses seins minuscules. J'adore le contact de la soie de son pyjama. Derrière elle, mes lèvres dans son cou. << Tu me donnes de délicieux frissons ! >> s'écrie t-elle en tremblant. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos exploits du samedi précédent. Les livraisons se font à présent sans exhibitions. Tout comme le ménage que vient faire Lise. Notre après-midi à randonner sous quelques séquences pluvieuses et fort désagréables. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les occupations de ce dimanche pluvieux. Le ciel est celui d'un début de mois d'octobre. La pluie tombe en permanence. Nous traînons à table en évoquant la possibilité d'aller visiter une expo itinérante.

Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges abordent le sujet des épreuves du Doctorat qui commencent dès demain, lundi. Après avoir présenté leurs thèses depuis le 23 mai, il y aura l'appréciation du jury jusqu'au 14 juin. Le tirage au sort d'un sujet supplémentaire le 17 juin. Du seize mai dernier, lors de l'examen des candidatures, Estelle et Clémentine gardent un souvenir amusant. Le recteur de l'université avait fait une conférence sans cesser de trébucher sur les mots les plus ardu. Mettant des "f" partout où il y avait des "r". Nous rions de cette anecdote. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Pendant qu'Estelle s'habille, nous recouvrons le lit, refermons la porte fenêtre.

Nous dévalons les escaliers jusqu'au salon. Assises sur mes cuisses, les filles allument l'ordinateur. Le courriel de Juliette qui nous invite à passer au haras en fin d'après-midi. Elle organise la dernière animation de la saison. Le message de tante Amy nous explique la situation. Oncle Alan restera en soin durant l'été. Notre appartement à l'étage de leurs grande maison victorienne nous attend dès le début juillet. Mes deux anges surfent sur le site universitaire. Il y a des informations précises quand au programme du mois de juin. Elles se réjouissent. C'est la toute dernière ligne droite avant ce diplôme qui sanctionnera huit années d'études. Estelle et Clémentine évoquent "l'après". Clémentine se voit proposer un poste d'enseignante en troisième cycle universitaire. Un poste de recherches et des conférences.

Estelle préfère quitter l'enseignement. Avec un Doctorat en sciences, nombreuses sont les entreprises de pointe à embaucher. Elle se voit proposer des postes en Californie, en Angleterre et même France où elle ne désire surtout pas rester. C'est le principale sujet de conversation qui les tourmentent. Clémentine hésite également. Travailler en tant que chercheur pour une grosse entreprise internationale avec un salaire jusqu'à trois fois celui d'un professeur d'université. Quand elle m'en parle, je reste évasif. Je ne sais pas quoi conseiller. Bien évidemment, il est préférable de commencer avec huit mille dollars tous les mois que trois milles Euros en tant que professeur. << Mais adieu les quatre mois de vacances par an ! >> lance Estelle. << Et nous qui aimons passer du bon temps ! >> dit Clémentine.

C'est sous le parapluie que nous descendons jusqu'à la rivière. Les filles accrochées à moi. à l'abri, nous contemplons le jeux des canards, des colverts et des poules d'eau. Il commence à faire faim. Nous remontons les trois cent mètres contre le vent qui se lève. Estelle s'occupe de la préparation du poulet à rôtir. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de mâche. Je fait cuire les asperges pendant que je concocte une mayonnaise. La conversation reste axée sur les deux mois de vacances qui nous attendent en Écosse. Départ aux aurores le dimanche 30 juin. Notre ferry pour l'Angleterre à 15 h. Notre arrivée à l'hôtel de Brighton en soirée. Nous arriverons à Édimbourg mardi soir. Clémentine adore organiser nos séjours et ménager ses surprises. Elle refuse d'en dire davantage.

Nous mangeons de bon appétit. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer des masturbations masculines. Nous évoquons à présent les fameux "gages" que nous allons nous fixer tout le long de juillet et d'aout. Estelle exige une photo ou un petit film immortalisant la réalisation de chacun d'eux. Clémentine fera les prises de vues. Nous traînons à table. Installées sur mes cuisses, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges reviennent sur les endroits à visiter lorsque nous serons en Écosse. Il y a ces lieux sur lesquels nous retournons chaque année. Pour des "pèlerinages". Clémentine énumère ceux qu'elle voudrait revoir. Estelle énumère les siens. Il y a surtout cette nouvelle expérience que nous allons tenter. Aller d'hôtels en hôtels durant nos périples. Terminé la formule "Camping car".

Ce sera bien plus confortable de disposer d'une chambre, de pouvoir prendre nos petits déjeuners dans de meilleures conditions. Cet itinéraire a été préparé par Clémentine. Elle a réservé une grande chambre dans les établissements qui jalonneront nos découvertes. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Nous changer. La température extérieure ne dépasse pas les 19°. Il y a quelques séquences sans pluie. Vêtus de nos pantalons noirs, de nos blousons de cuir noir, de nos bottines noires, nous prenons des poses devant le grand miroir de la penderie du hall d'entrée. Les filles accroupies. Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche. Entourant mes jambes de leurs bras, leurs têtes contre mes cuisses. << Il y aura des gages de ce genre en Écosse ! >> s'exclame Estelle.

C'est parti. L'exposition itinérante à lieu dans les locaux de la foire. Il y a une vingtaine de kilomètres. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière, caresse mon cou, mes joues, en revenant sur nos "gages" coquins. Elle nous rappelle la nouvelle "règle". Pour l'aller elle est assise à l'arrière, pour le retour elle est assise à l'avant. << Et ce sera comme ça en Écosse ! >> précise t-elle. Nous en rions quand Clémentine rajoute : << C'est encore à débattre ! >>. Nous arrivons sur le parking de la salle des fêtes accueillant les différentes foires de l'année. Il y a du monde. Avec cette météo déplorable, les gens se rabattent sur des activités plus "culturelles". Les filles restent accrochées à mes bras ou me tiennent par les mains. L'entrée à 8 euros.

Nous attirons encore bien des regards. Avec leurs mètres quatre vingt deux, auxquels se rajoutent les cinq centimètres de leurs talons, mon mètre quatre vingt huit sans les talons de mes bottines, nos hautes tailles suscitent bien des curiosités. Notre élégance discrète également. Cette exposition présente des créations de toutes natures. Artistiques, musicales, sportives et surtout industrielles. Des innovations qui attirent des attroupements. Quand nous sommes ainsi immergés dans la foule, il est beaucoup plus simple de nous tripoter astucieusement. À ce jeu là, Estelle n'a pas de rivale. Pas toujours très discrète elle me touche la bosse qui déforme la braguette fermée de mon pantalon à plis et à pinces. La coquine me fait bander comme le dernier des salauds. Comme le premier aussi !

Il est agréable de flâner dans les allées. D'écouter les explications des exposants. Nous reconnaissons quelques artisans qui sont déjà intervenus chez nous. Notamment monsieur Didier le ramoneur. Nous bavardons quelques instants avec chacun d'entre eux. À part se toucher, en prenant parfois tous les risques, il n'est pas possible daller au-delà. Ça nous frustre. Les toilettes n'en parlons pas. C'est un défilé incessant et deux files devant les portes. Des artisans pâtissiers proposent leurs créations, leurs inventions. Nous le découvrons en nous offrant des glaces artisanales chez l'un d'entre eux. Petits délices auxquels nous sacrifions deux fois. L'après-midi se déroule ainsi. Au retour c'est Estelle qui joue avec ma queue. Clémentine à l'arrière qui caresse mon cou, mes joues.

Il est dix huit heures trente quand nous sommes de retour. Nous nous changeons immédiatement avant de redescendre à la cuisine. Nous décortiquons les os du poulet de sa viande restante. Rissolée à la poêle. Je refais des frites. Clémentine fait l'assaisonnement de deux endives. Nous mangeons de bon appétit. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il nous reste presque deux heures. À peine la vaisselle terminée, les filles m'entraînent au salon. Me font tomber sur le canapé. À genoux sur les épais coussins, elles se refilent ma bite en partageant leurs impressions quand à l'odeur d'une journée sans douche. Quand au gout. Moi aussi j'aime gouter aux minous d'une journée sans douche. << Après ! >> me fait Estelle qui suce comme si sa vie en dépendait. Enfin elles cessent pour se déshabiller.

C'est à mon tour de passer de l'une à l'autre. De lécher, de sucer et de me régaler. Estelle m'attire soudain sur elle alors que, redressé, je lui fais bouffer ma bite quelques instants. Je la pénètre selon son souhait. Ça rentre facile. Le plus délicat fourreau pour une bonne épée. Le plus chaud des fours pour cuire une baguette. Je passe à Clémentine. Son orgasme pisseux. Accroupie au-dessus de la cuvette, se masturbant, se tenant au canapé. Hurlant de jouissance. Tremblante. Alors que je suis dans Estelle qui m'embrasse passionnément, en bougeant en rythme. Elle se cambre soudain. Accrochée à moi elle se lâche dans un orgasme délirant. C'est la seconde fois que cela se produit. J'éjacule en elle. Ce qui semble la ravir et participer de son plaisir. Je pousse des cris d'ours en rut. Il faut reprendre ses esprits. Estelle, debout, cambrée sur ses genoux fléchis, essuie le sperme qui s'écoule. J'en ai encore balancé une sacrée quantité.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se blottissent contre leur coquin sous les draps. Tenant sa bite pour s'endormir avec leur "doudou" dans la main...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine, Julien et Estelle
Tuesday 4 June 2024 07:29

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 38 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2629 -



Lundi soir exceptionnel

Il est presque six heures, hier matin, lundi. L'illusion d'une des applications "nature" nous tire de nos profonds sommeils. Nous aimons cette sensation bucolique de nous réveiller au fond d'une mystérieuse forêt. Clémentine vient se blottir contre moi en gémissant. Quelques bisous, quelques papouilles. Il faut se faire violence. Nous nous précipitons aux toilettes. Nous revêtons nos tenues de running à la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café. Le lundi j'ai pour habitude de réchauffer le reste de la brioche au pudding dans le four à micro ondes. Elle retrouve son moelleux. Je presse les oranges en écoutant Clémentine me raconter les rêves de sa nuit. Elle pèle les kiwis pendant que je beurre les quatre premières tranches éjectées par le grille pain.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée en amoureux. Nous mangeons de bon appétit en évoquant celle qui nous attend ce soir. Il va être six heures vingt cinq. Nous enfilons les K-ways. Avec une température extérieure ne dépassant pas les 12° il faut faire preuve d'un peu de volonté pour sortir. Le ciel est gris, bas et tristounet. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Nous courons le long de la rivière. Quarante cinq minutes d'un très agréable jogging et nous voilà sous la douche. Je redescends le premier pour sortir l'auto du garage. Presque sept heures quarante cinq. Clémentine me rejoint dans sa veste de velours noire, cintrée à la taille. Un Jeans, ses bottines noires. Ses bras autour de mon cou pour dernier bisou. << Je t'aime ! >> fait elle.

Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. Je rentre faire la vaisselle, recouvrir le lit. Dans l'atelier, installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque ce matin la seizième toile hyper réaliste destinée à ma saison d'été. D'après une photo prise à Édimbourg aux fêtes de Noël. La retraite aux flambeaux. Je peins dans de douces voluptés en pensant à notre week-end. La matinée passe encore tellement vite. Il va être midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. La pâte feuilletée est à température. Je descends à la cave, au cellier, pour y récupérer les brocolis. Ce sera pour la surprise de la soirée. Une tarte aux brocolis et champignons. Je fais gonfler du riz pendant que je prépare l'ensemble.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission, André Bercoff et son invité, abordent la question des élections européennes à venir. Les procès qui menacent de s'ouvrir très prochainement contre Pustula Von Der Leyen. Il faudra qu'elle s'explique sur les quatre milliards d'euros de vaccins commandés aux laboratoire Pfizer. Laboratoires de sinistre réputation, déjà condamnés à de multiples reprises depuis quinze ans. Même si les salauds s'en tirent toujours par une pirouette juridique, cette fois ce sont cinq pays différents qui demandent des comptes à cette femme corrompue jusqu'à l'os et qui devra finir par expliquer à la justice ses petites manœuvres d'enrichissement personnel et sa façon d'imposer l'injection de produits expérimentaux aux populations.

La tarte aux brocolis est au four. Je fais la vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller prendre l'exacte température, je dévale les escaliers. Exactement 19°. Le ciel reste morose. Présentant toutes les déclinaisons des gris. Il ne pleut pas. Je descends jusqu'à la rivière. Presque quatorze heures quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans les mêmes conditions d'esprit que ce matin. Sans voir passer le temps. Du bruit. Clémentine rentre de cours. Elle chantonne en revenant des toilettes. Elle entre dans l'atelier en se précipitant vers moi. À califourchon sur mes cuisses, se frottant lascivement, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Les deux conférences ennuyeuses de l'après-midi. Ses pensées.

Clémentine a les notes prises à mettre en archives. Assise devant son ordinateur, elle me confie son impatience d'être fin juin. D'en avoir terminé avec tout ce travail de préparation au Doctorat. Trois quart d'heure où nous partageons ces moments de concentration. << J'arrête ! >> lance t-elle soudain en rangeant ses fiches. Je nettoie la palette, les pinceaux. Nous nous rejoignons devant le petit lavabo de l'atelier. Pendant que je sèche mes mains, Clémentine tient ma bite pour en diriger les jets. << Pas de chance avec Léo. Il n'arrive pas à s'extirper des tenailles maternelles. Il n'est pas assez rusé. Il faut que je lui apprenne également à mentir ! >> m'explique Clémentine à propos du jeune étudiant. Comme un gamin sa maman l'emmène et le cherche à l'université. Il a 20 Ans.

Nous en rions de bon cœur. Estelle nous surprend. Arrivant comme à son habitude dans le plus grand silence. Mais il est rare qu'elle vienne un lundi soir. Clémentine accroupie qui savoure les reliquats de ma queue. Estelle se précipite pour nous rejoindre. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Provoquant ainsi une immédiate érection dans la bouche de Clémentine. Elle se redresse avant l'ankylose. Estelle s'accroupit immédiatement. Je me fais tailler une pipe des familles. Deux minutes avant qu'elle se redresse. Elles se sont vues toutes la journée en cours, au restaurant universitaire. Elles préparent quelquefois des pièges dans lesquels je tombe en soirée. Nous quittons l'atelier pour aller faire quelques pas au dehors. Les filles restent à mes bras pour revenir sur les deux conférences barbantes de l'après-midi. << C'est à cause de cette tension que je suis revenue un lundi soir. Et ça va se reproduire ! >> explique t-elle.

Ce qui n'empêche nullement Estelle de jouer avec ma queue. C'est amusant. Car le sujet de la conversation paraît important. Et pourtant elle tripote son "doudou". Il commence à faire faim. Nous rentrons. Quand elles découvrent ce qui réchauffe au four, j'ai droit à de nouvelles effusions de tendresses. Clémentine fait l'assaisonnement des radis blancs que je râpe avec des carottes. Estelle met les assiettes, les couverts. Je les écoute parler du programme universitaire de la journée de mardi. La sonnerie du four. Nous mangeons de bon appétit. Cette fois la conversation s'axe sur nos projets d'aventures en Écosse. << Plus que 27 jours ! >> lance Estelle. Elle se lève pour mimer une masturbation masculine en disant : << Tous les matins, je te donnerai un gage à réaliser dans la journée, au réveil ! >>

<< Et moi je filmerai sa réalisation ! >> précise Clémentine. Je me lève pour faire "l'hélicoptère". << Tu feras déjà ça tous les jours dans un endroit public. Tu te démerdes comme tu veux. Ce sera le gage de base ! >> dit encore Estelle. Nous en rions. Elle rajoute : << Ce qui n'exclue pas que toi aussi tu nous donnes un gage à réaliser chaque jour ! >>. Je promets d'en faire une liste prochainement. De la soumettre pour acceptation. Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges donnent quelques exemples. << Ta bite à l'air dans des endroits à risques ! >> s'exclame Estelle. Je réponds : << Et toi des pipis dans tous les coins "dangereux" ! >>. Elle rit en mitraillant mon visage de bisous. << Génial ! >> lance Clémentine.

La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Tout cela est devenu une douce habitude. Toutes les deux, vautrées dans le canapé, une main dans leurs jeans déboutonnés, se masturbent en me regardant faire la même chose. Je reste volontairement à quelques mètres. C'est passionnant de voir leurs expressions. << Tu viens ? >> lance Estelle qui retire ses bottines, son Levis et sa culotte. << Moi je regarde ! >> dit Clémentine. Estelle relève ses jambes écartées qu'elle tient sous les genoux. Elle montre son sexe. Cette touffe affolante qui dissimule ses intimités. Je contourne la table basse pour venir m'immiscer en elle. La situation n'est pas très confortable. Elle s'allonge, sa tête sur les cuisses à Clémentine. Au-dessus d'elle, en appui sur mes bras, je la pénètre dans de bonnes conditions.

Depuis quelques temps, je me comporte avec Estelle comme avec Clémentine. Je reste immobile. Nous ne baisons plus. Nous faisons l'amour. Et ce soir encore ma partenaire semble jouir de cette formule. Clémentine caresse sa tête. Sa main libre passant sur ses cheveux. Estelle, sur un petit nuage, garde les yeux fermés. Je bouge doucement. Je cesse. Je recommence. Clémentine pose des questions. Estelle y répond. Parfois je tourne la tête pour enfoncer ma langue dans la bouche de Clémentine. Parfois je me penche pour l'enfoncer dans celle d'Estelle. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il nous reste presque une heure trente. Je me retire. Je suce son clitoris. Je lèche le jus de fille. Je reviens en elle. Clémentine se libère en plaçant deux coussins sous la nuque d'Estelle. Confortable.

D'abord debout, une main dans sa culotte, Clémentine se met à genoux à côté du canapé. Son visage tout près des nôtres. Nous pouvons nous faire des bises tout en nous chuchotant des douceurs. En faisant des projets coquins pour cet été. Je berce Estelle qui ouvre les yeux pour me fixer. Interrogative ou reconnaissante. Je cesse pour retourner la lécher, la sucer. C'est un concerto de gémissements. Quand je la pénètre une nouvelle fois elle passe ses bras autour de mon cou, ses jambes autour de ma taille. Ainsi accrochée je l'emmène dans quelques chevauchées fantastiques. Clémentine, à genoux, droite, se tient d'une main au canapé et se masturbe de l'autre. Estelle n'est pas très partageuse ce soir. Pas question d'arrêter de m'occuper de ses plaisirs. Ce qui amuse Clémentine.

Cette fois encore, sans pouvoir m'en empêcher, au bout de plus d'une heure de "manège", j'éjacule en elle. Elle ne me laisse d'ailleurs pas la possibilité de m'échapper. Me tenant avec les mains autant qu'avec les jambes. Je me retire enfin. Clémentine se précipite pour gober mon sexe redevenu mou. Le bruit bulleux des gargouillis donne une idée du "fond de cuve" qu'elle est entrain de pomper. Sans cesser de se toucher. Estelle se rhabille. Je suis vautré dans le canapé à me faire sucer. Clémentine à genoux entre mes jambes écartées. Ses mains à plat sur mes cuisses. Je la force à cesser. Elle pousse un petit cri de dépit. Je me redresse rapidement pour échapper à sa gourmandise. Elle se relève. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. La nuit noire et froide.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se font lécher le minou sous les draps avant de s'endormir dans les bras du pompé...

Julien (le pompé)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine, Julien et Estelle
Wednesday 5 June 2024 07:17

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 39 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2630 -



Douce soirée à trois

Hier matin, mardi, juste avant six heures, ce sont les chants des oiseaux qui nous tirent du sommeil. Des oiseaux virtuels qui semblent exister dans notre chambre. Nos deux I-phones entrant en fonction quarante cinq secondes. Le temps d'une illusion procurant un réveil très agréable. En gémissant, Clémentine vient se blottir contre moi. Quelques bisous, quelques papouilles. Il faut se lever pour courir aux toilettes. S'habiller de nos vêtements de sport à la salle de bain. Dévaler les escaliers, morts de faim, jusqu'à la cuisine. Clémentine prépare le café. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Clémentine vient se serrer contre moi, dans mon dos, ses bras autour de ma taille alors que je beurre les quatre premières tranches éjectées par le grille pain. Elle pose ses lèvres dans mon cou.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre lundi soir à trois. C'était une belle surprise. Je ne m'attendais pas à la venue d'Estelle. Elle reviendra d'ailleurs ce soir. Clémentine la voit en cours ce matin. Nous mangeons de bon appétit en envisageant différentes options de repas. Nous optons pour un gratin Dauphinois façon "nous". Ce qui est appréciable en cuisine c'est que l'improvisation permet de varier les préparations, les goûts et les cuissons. Contrairement à la pâtisserie qui exige une rigueur de chaque instant. Il va être six heures vingt cinq. Nous enfilons nos K-ways pour sortir. La température extérieure est de 13°. Le ciel est voilé mais clair. Quelques mouvements d'échauffement. Quarante cinq minutes d'un superbe jogging dans la fraîcheur matinale. Puis c'est la douche.

Je redescends pour aller sortir l'auto du garage. À presque 7 h45, le voile se déchire pour laisser place au bleu du ciel. Clémentine vient me rejoindre dans une veste de coton beige, cintrée à la taille. Un pantalon de même couleur. Des mocassins crèmes. Ses bras autour de mon cou pour un dernier bisou. Toujours ces mêmes mots depuis une semaine : << Si j'ai du retard, ne t'inquiète pas, tu sais pourquoi ! >>. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je rentre pour faire la vaisselle. Recouvrir notre lit avant de passer dans l'atelier. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette seizième toile hyper réaliste m'absorbe rapidement. Je peins en pensant à la phrase prononcée par la fille que j'aime. S'en suit une délicieuse excitation. C'est voluptueux.

Il va être midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe le reste de la tarte aux brocolis. J'épluche, je lave et je coupe en tranches de grosses pommes de terre. Je les ébouillante à l'autocuiseur. Pendant ce temps, je râpe du gruyère Suisse. Je concocte un liant à base d'œufs, de crème fraîche, de fromage blanc et de lait. J'égoutte les patates avant de les disposer dans le plat carré en terre cuite. Je verse le liant. Je recouvre le tout d'une épaisse couche d'Appenzeller. De la chapelure, des graines de sésame grillé. Des cerneaux de noix. Le tout au four pour une longue et lente cuisson à 160°. Dehors le ciel est bleu. Le soleil y règne en maître. Seuls quelques rares nuages d'altitude parsèment l'azur. La température extérieure est de 20°. Et si enfin le printemps était de retour en ce 4 juin ?

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff aborde les habituels sujets d'actualité. Notamment les élections européennes qui auront lieu d'ici une semaine. Un président de la République, désavoué et souvent détesté par une immense partie de la population qui viendra au secours de ses troupes sur tous les médias pour tenter une dernière arnaque, une ultime escroquerie. Les mensonges habituels, quant aux chiffres, quant à sa politique intérieure et extérieure. Lui et sa bande qui s'apprêtent à se servir des économies et de l'épargne des Français pour éponger la dette colossale de mille milliards d'euros que ses largesses auront couté à la nation. Lui qui s'apprête à réduire la retraite des séniors dupés qui pourraient avoir la bêtise de voter une nouvelle fois pour lui et ses voyous. Il viendra raconter qu'en votant RN il y aura des chars allemands sous la Tour Effel et le retour des chambres à gaz. Cette histoire a fonctionné tant de fois avec les crédules, les naïfs et les imbéciles. Même si personnellement je ne prends parti pour personne, je le constate à chaque élection...

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Impatient d'aller profiter de cette météo, je redescends à toute vitesse. C'est une belle journée. Enfin. Je vais jusqu'à la rivière. La douceur du soleil est appréciable. Pas de grosses chaleurs. C'est juste bien. Il est treize heures cinquante quand je suis confortablement installé devant le chevalet. Je peins dans une douce volupté. Sans aucune réelle perception du temps qui passe. Du bruit. Il est déjà dix sept heures trente. Ce n'est pas Clémentine qui entre dans l'atelier. C'est Estelle. Quelle surprise. Elle se précipite pour s'assoir sur mes genoux. Ses bras autour de mon cou, elle dit : << Je suis chargée de te faire patienter. Clémentine est en "pipe" dans sa voiture ! >>. Nous rions aux éclats juste avant qu'elle n'enfonce sa langue dans ma bouche.

Elle se lève, m'entraîne par la main jusqu'au canapé. << Fais-moi l'amour ! >> s'écrie t-elle en enlevant ses baskets, son Levis, sa culotte. Je me masturbe en la regardant s'allonger sur le dos. Sa tête sur l'accoudoir. << Viens ! >> rajoute t-elle, impatiente. Je reste en appui sur mes bras. Au-dessus d'elle. Estelle frotte mon érection contre son sexe. << Je t'aime. J'adore être juste avec toi ! >> dit elle en enfonçant délicatement mon sexe dans le sien. Nous restons immobiles à nous fixer. Comme elle est belle. Nous nous berçons lentement. Nous faisons l'amour. Estelle s'accroche à mon cou de ses bras, à ma taille de ses jambes. Cette position semble être sa préférée. Je bouge à peine. << Tu aimes faire l'amour avec moi ou tu préfères me baiser ? >> demande t-elle soudain.

Je réponds : << J'aime les deux. Mais ma préférence va à la première formule ! >>. Nos bouches, telles des ventouses, restent collées. Il coule de la salive tant nos baisers sont passionnés et fougueux. << Tu as remarqué, quand tu me baises, je me masturbe toujours en même temps. Alors que quand on fait l'amour, je reste romantique ! >> murmure Estelle. Nous en rions de bon cœur. C'est amusant de rire en étant l'un dans l'autre. La porte de l'atelier s'ouvre. Clémentine. Elle se précipite pour nous rejoindre. << C'était bon ? >> demande Estelle. << Un délice ! >> répond Clémentine. Elle se met à genoux sur un des épais coussins. Son visage tout près des nôtres. J'esquive ses tentatives de bises. Elle rit. Clémentine sait qu'après qu'elle ait sucé un autre, sa bouche me dégoute.

Par contre Estelle hume en disant : << Fais-moi sentir ! >>. La bouche ouverte, Clémentine souffle son haleine au nez d'Estelle. Je sens l'odeur d'un foutre qui n'est pas le mien. << Salope ! >> lance Estelle. Je rajoute : << C'est un compliment ! >>. Je me retire délicatement pour m'assoir. Clémentine reste à genoux mais se précipite entre mes jambes. Sans que je ne puisse faire le moindre mouvement, totalement surpris, elle gobe mon érection dégoulinante du mélange de nos substances pour se mettre à sucer avec gourmandise. Estelle remet sa culotte avant de se mettre à genoux dans le canapé. Fouiller ma bouche de sa langue. Clémentine, qui a pourtant sucé plus d'une demi heure dans sa voiture, se remet là à l'ouvrage avec un enthousiasme étonnant. Estelle m'embrasse.

Je saisis Clémentine par sa natte pour la forcer à cesser. Quand j'y parviens, un long filament gluant, bulleux et visqueux relie mon sexe à sa bouche. Estelle se penche, son visage tout près du sien pour dire : << Tu n'en as jamais assez toi ! >>. Nous en rions de bon cœur. Je dis : << On remet ça après le repas ! Venez ! >>. Je me lève. Les filles aussi pour m'attraper les mains Nous quittons l'atelier pour la cuisine. La découverte du gratin de pommes de terre au four suscite encore une effusion de tendresse dont je suis la victime passive. J'aide Clémentine à faire l'assaisonnement de deux endives. Estelle met les assiettes, les couverts. Nous mangeons de bon appétit. Estelle veut tout savoir. Elle pose toutes les questions qui m'habitent également. Clémentine nous raconte sa pipe.

Léo a menti à sa chère maman. Gagnant ainsi trois quart d'heure qu'il a passé avec Clémentine. << C'est lui qui conduisait cette fois. Vous savez que j'adore tailler des pipes en voiture. Et bien nous avons parcouru la campagne sur une dizaine de kilomètres. Tournant sur le même parcours ! >> explique t-elle. << Et lui, il réagit comment ? >> demande Estelle qui se lève pour mimer une masturbation masculine. << Lui ? Il apprécie. C'est un grand profiteur. Et à ma grande surprise, il s'est adapté très vite. Il sait que j'aime ça ! Il s'est arrêté sur le parking de l'hypermarché pour m'éjaculer dans la bouche ! >> répond Clémentine. Son aventure nous excite considérablement. << Tu récidives quand ? >> demande Estelle. << Ça dépend de lui et de ses mensonges ! >> répond Clémentine.

Estelle devra nous laisser pour 22 h. Dès la vaisselle terminée, elles m'entraînent toutes les deux au salon. Estelle se jette sur le canapé, retire sa culotte et me supplie de venir sur elle. Je n'hésite pas une seconde. Clémentine déboutonne son pantalon beige pour y glisser sa main droite. En se mettant à genoux sur les épais coussins. Son visage tout près des nôtres. Je pénètre Estelle une nouvelle fois. Nous échangeons nos impressions. << Raconte encore ! >> murmure Estelle à l'attention de Clémentine qui se masturbe. Elle raconte en revenant sur des détails suggestifs. Tentant de trouver les mots les plus juste pour décrire certains instants. Le gout. Le comportement de Léo qui est finalement beaucoup moins timide que nous l'imaginions. Après le repas, Clémentine peut m'embrasser. Il n'y a plus ce sentiment de dégout qui me saisit à la gorge. Je fais l'amour à Estelle. C'est divin. C'est Clémentine qui commente ses envies.

Bonne nouille à toutes les coquines qui apprécient d'en savourer les jus. Deux jus de couilles dans une même soirée avant de plonger dans le sommeil...

Julien (et son jus de nouille)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine, Julien et Juliette
Thursday 6 June 2024 07:33

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 40 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2631 -



Nos soirées branles en compagnie de Juliette

Il n'est pas loin de sept heures, hier matin, mercredi. Comme convenu, le premier réveillé réveille l'autre. Une fois encore, en regardant Clémentine dormir à poings fermés, je suis saisi de scrupules. Ai-je réellement le droit de la sortir de ce sommeil qui semble si profond ? Je n'ai pourtant pas le choix. Le mercredi Clémentine suit ses cours depuis la maison. Devant son ordinateur, en télé travail. C'est le dernier mercredi. Et celui-ci est très important car c'est à son tour de présenter une vidéo conférence. Source de doutes depuis quelques jours. Je pose mes lèvres dans son cou. Du bout de ma langue je titille la peau fine juste sous l'oreille. Dans un gémissement, la fille que j'aime se réveille. Elle vient se blottir contre moi. Distribution de bisous. Cette fois il ne faut pas être en retard.

Nous nous précipitons aux toilettes. Nous revêtons nos tenues de jogging à la salle de bain. Morts de faim, nous dévalons les escalier. Clémentine prépare le café pendant que je presse les oranges, que je pèle les kiwis. Toujours si heureuse de pouvoir rester à la maison, elle se montre volontiers facétieuse. Comme Juliette vient nous rejoindre ce soir, Clémentine me raconte ses rêves de la nuit en imitant l'accent Corse de cette dernière. Je beurre les quatre premières tranches éjectées du grille pain en restant plié de rire. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les "extras" de Clémentine. La pipe qu'elle a taillé à Léo, mardi après les cours, en le priant de conduire sa voiture. Elle aime préciser des détails qui surgissent à sa mémoire. C'est très excitant d'en parler au petit déjeuner.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant la possibilité que cela se reproduise jeudi en fin d'après-midi. << Je l'ai rendu addict de la pipe. C'est certain qu'il va se démerder pour que ça se passe à nouveau et très rapidement ! >> précise Clémentine. Elle rajoute : << Tu ne t'inquiètes donc pas si j'ai une demi heure de retard ! >>. Il est sept heures vingt cinq. Nous enfilons les K-ways avant de sortir. La température extérieure est de 18°. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale. C'est parti pour un running de quarante cinq minutes. Sensations extraordinaires. La douche. Vêtus de nos vieux Levis tous délavés, de fins sweat de coton bleu, nous dévalons les escaliers pour nous rendre dans l'atelier. Clémentine s'installe immédiatement devant son ordinateur. "Inspirée".

Elle ajuste ses écouteurs, le micro devant sa bouche. Entourée de ses fiches elle se racle la gorge. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de la "Retraite aux flambeaux" dans les rues d'Édimbourg en fin décembre, m'accapare rapidement et totalement. Je peins habité de l'immense bonheur d'avoir la fille que j'aime à quelques mètres de moi. Curieusement, ce matin, elle reste silencieuse, ne chantonne pas. Elle relit ses notes apprises par cœur. Elle va devoir s'exprimer plus d'une heure devant un jury composé des étudiants de son groupe mais également de professeurs. Comme si je ne devais faire aucun bruit avec mes pinceaux, je reste vigilant, à l'écoute et doublement concentré. La vidéo conférence commence. J'écoute avec intérêt.

Mon I-phone, glissé dans la poche de ma blouse se met à vibrer. Je l'éteins juste avant qu'il n'émette sa sonnerie "à l'ancienne". Il est dix heures. Je quitte l'atelier pour aller réceptionner nos livraisons. J'accueille Danièle en venant à sa rencontre sous le soleil. Elle est belle avec sa coupe garçon, ses petites taches de rousseurs. Je récupère le grand sachet en papier kraft qu'elle me tend. Nous nous saluons. Je m'empresse de rentrer. À la cuisine je vide le sachet de son poulet à rôtir, de ses escalopes de dindes et des deux belles bottes d'asperges blanches. Le tout dans le réfrigérateur. Pour le repas de ce soir ce sera un gratin de choux fleurs. Je descends le chercher à la cave, dans le cellier. Je m'occupe de la confection de ce plat. Au four pour une longue et lente cuisson à 160°.

Je rejoins Clémentine dans l'atelier. Sa vidéo conférence est terminée. Je n'entends qu'elle. Les questions qu'elle pose. Dont je n'entends pas les réponses dans ses écouteurs. Je retourne à ma peinture. Il est rapidement midi. En sautillant, Clémentine vient me prendre par les mains pour m'entraîner à la cuisine. L'odeur du gratin de choux fleurs nous met en appétit. Je le tire du four pour y placer le reste du gratin de pommes de terre de la veille. J'aide Clémentine à faire l'assaisonnement de la belle et grasse laitue que j'ai remonté de la cave avec le choux fleurs. Nous en lavons les feuilles également pour ce soir. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit. J'écoute Clémentine me raconter sa matinée. Tout s'est tellement bien passé. Elle devra reproduire cette conférence en cours.

Sereine, se sachant tirée d'affaire, elle retrouve son humour et son optimisme naturel. Nous ne traînons pas. La vaisselle terminée nous montons nous laver les dents. Impatients de profiter de cette journée magnifique, nous dévalons les escaliers pour sortir. C'est trompeur. La température extérieure n'excède pas 20°. Il y a un fort vent d'Ouest. Annonciateur d'un retour des pluies. Main dans la main, nous descendons jusqu'à la rivière. Monsieur Bertrand, notre plus proche voisin entrain de nourrir les canards. Nous bavardons un peu. Nous l'informons des dates de notre départ pour l'Écosse et de notre retour en septembre. Le vieux retraité salace dissimule difficilement son regard quelquefois concupiscent sur Clémentine. Cette dernière lance : << On se prend un café un de ces jours ? >>

Je fais mine de regarder le ballet des poules d'eau qui virevoltent sur l'onde. Clémentine me confie parfois à quel point elle aimerait sucer ce vieux pervers avant de partir en vacances. Ce sera vendredi, en début d'après-midi. << Juste une demi heure car j'ai un emploi du temps chargé ! >> précise le vieux salaud. Je surprends Clémentine, son regard braqué sur la braguette de monsieur Bertrand. Bien évidemment je fais celui qui n'est au courant de rien. Je m'imagine déjà caché dans le placard, silencieux, à assister aux élucubrations de ce vieux saligaud. Nous le saluons pour remonter le chemin. Il va être treize heures cinquante. Le temps de reprendre nos postes de travail dans l'atelier. Je peins en écoutant Clémentine poser des questions, y répondre. Pour moi ce n'est qu'un monologue.

Dix sept heures dans dix minutes. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine range ses affaires. Elle retire ses écouteurs, éteint son ordinateur pour me rejoindre en sautillant. Nous quittons l'atelier pour retourner au dehors. Ce beau temps vécu de l'intérieur n'est un peu qu'illusion car le fond de l'air reste frais. << Le fond de l'air effraie ! >> lance Clémentine qui me raconte son après-midi. Sa satisfaction est palpable. Et je la palpe. Entre les cuisses alors que nous échangeons des milliers de bisous sous le soleil. << J'aime quand tu as genre d'initiatives, tu sais. Surtout après une journée de travail ! >> dit elle en fourrant sa main dans ma braguette. << Prêt pour la soirée branle ? >> demande t-elle en me sortant le Zob. Nous en rions. Je réponds : << Prêt aux jouissances ! >>

Les autres années, à la même période, il y a déjà le mobilier de jardin à côté du bassin. La balancelle. Cette année c'est un peu tristounet. Il y a une humidité constante. Les sols sèchent difficilement. Et ce vent d'Ouest n'annonce rien de bon. J'ai la bite à l'air dans la serre. Son épais double vitrage offre là une vraie chaleur. C'est très agréable. Nous nous touchons. Ma main dans le Levis déboutonné de Clémentine. La sienne qui joue avec mon érection. Nous nous embrassons passionnément. Nos mentons trempés de nos salives. C'est exquis. Nous faisons quelques pas dans la propriété. J'aime avoir la bite à l'air au soleil. Clémentine également. Parfois elle se penche pour y déposer une bise. Parfois elle s'accroupit un instant pour la suçoter. C'est absolument divin. Il va être dix huit heures trente. Le portail est resté ouvert. Ce qui permet à Juliette de venir garer sa grosse berline allemande devant la porte du garage. Nous allons à sa rencontre.

En sortant de son auto, elle fixe immédiatement mon sexe. Clémentine l'empoigne. << Bonjour ! Accueil génial ! >> lance Juliette qui nous fait des bises. Ce soir encore notre amie porte sa tenue d'équitation. Sa tenue de travail. Son pantalon beige aussi moulant qu'un legging. Un chemisier crème sous une veste de fin velours brun. Ses hauts bottes noires. Ses longs cheveux noirs qui flottent sur ses épaules. Sous le soleil, les mèches argentées qui parsèment sa chevelure miroitent de la plus belle des façons. Belle bourgeoise quinquagénaire qui exerce sur ma libido de délicieux tourments. Elle le sait. Il en va de même pour elle. Nous rentrons. Clémentine tient ma main, Juliette tient mon bras. Elle nous raconte ses journées. Il ne reste que cinq chevaux en pensions. Du temps libre.

Pendant que réchauffe le gratin de choux fleurs, j'aide Clémentine à faire l'assaisonnement de la laitue. Juliette, sans cesser de nous raconter d'amusantes anecdotes, met les assiettes, les couverts. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Juliette est folle de joie à l'idée de gérer ma galerie d'Art au mois d'aout. Nous mettons au point certains détails. Nous accrocherons les toiles à la fin du mois de juin. Juliette partira en Corse tout le mois de juillet. À son retour elle pourra interpréter le rôle de la galeriste. Elle s'en réjouit. Nous ne traînons pas. À peine la vaisselle terminée, nous voilà au salon. Juliette vautrée dans le fauteuil qui nous fait face. Clémentine à ma gauche dans le canapé. Elle joue avec ma queue. Juliette passe son index sur la couture centrale de son pantalon. Juste à l'endroit de son sexe. J'adore les deux petites boules séparées par cette couture que font les lèvres charnues de sa vulve. Clémentine se touche déjà.

Nos soirée branles sont devenues une sorte de rituel. Voire une nécessité en cette période particulière pour Clémentine. Une catharsis qui permet à son esprit de se détourner de la préoccupation des épreuves de son Doctorat. J'adore également la tache sur le pantalon de Juliette. À l'endroit de son intimité. Tache légèrement plus foncée qui ne cesse de s'agrandir au fur et à mesure de la soirée. Juliette devra nous laisser pour 22 h. il reste plus d'une heure. Nous nous masturbons en discutant. Parfois la conversation glisse sur d'autres sujets que nos déviances sexuelles. Mais, adroites et subtiles, les deux femmes savent y revenir rapidement. Il n'y aura pas de gloryhole avant notre départ pour l'Écosse. Clémentine ne veut pas se disperser dans cette douce folie avant les épreuves finales à l'université. Ce qui déçoit un peu Juliette qui aimerait bien organiser une soirée gloryhole au haras. << À la rentrée peut-être ! >> lance Clémentine.

Bonne nouille à toutes les coquines qui vont se régaler de son jus de cuisson. Sous les draps après s'être faites lécher le minou, sucer le clitoris. Avant un bon dodo...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine, Julien et Estelle
Friday 7 June 2024 07:38

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 41 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2632 -



Jeudi soir en compagnie d'Estelle

Hier matin, jeudi, le gazouillis des oiseaux, l'écoulement de la source nous tirent du sommeil. Ce n'est jamais semblable au jour précédent. Comme si cette illusion était enregistrée en direct. Quarante cinq secondes. Clémentine se tourne. En gémissant, elle se blottit contre moi. Quelques bisous. Quelques papouilles. Six heures. Nous nous précipitons aux toilettes. Nous nous habillons de nos de vêtements de jogging. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Pendant que Clémentine fait le café, je presse les oranges, je pèle les kiwis. J'aime l'entendre me raconter ses rêves. Quand elle trébuche sur les mots en riant de sa "dyslexie". Je beurre les quatre premières tranches éjectées du grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée branle avec Juliette.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant celle de ce soir avec Estelle. << Elle va encore exiger un "contrôle" de minou. Je la vois ce matin en cours. Elle va me raconter ses frasques avec son parrain ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Six heures vingt cinq. Nous mettons nos K-ways pour sortir. La température extérieure n'est que de 16°. Quelques mouvements d'échauffement sous un ciel qui s'annonce bleu. Nous courons le long de la rivière. Quarante cinq minutes de pur bonheur dans un paysage sublime. Le printemps semble enfin prendre possession de ce climat décevant. La douche. Je redescends le premier. Je sors l'auto du garage. Clémentine vient me rejoindre. Vêtue aujourd'hui d'une jupe beige, d'un fin pull de coton gris sous une veste beige. Mocassins assortis.

Ses bras autour de mon cou pour un dernier bisou elle prononce cette phrase devenue "mantra" : << Si j'ai une demi heure de retard, tu sais pourquoi ! >>. Oui, je sais pourquoi. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Le portail reste ouvert car nous nous faisons livrer ce matin vingt stères de bois de chêne et de hêtre. Cet après-midi ce sera la livraison du fuel. Je rentre faire la vaisselle, recouvrir notre lit. Dans l'atelier, installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette seizième toile hyper réaliste, destinée à ma saison d'été, me plonge dans de délicieuses introspections. Je peins dans une douce volupté. L'idée même que Clémentine puisse tailler une pipe à Léo en fin d'après-midi, dans sa voiture, avant de rentrer, m'envahit d'étranges sensations.

Il va être midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer le reste du gratin de choux fleurs. De faire l'assaisonnement d'un concombre. Pour ce soir ce sera le rituel des bouchées à la reine. Je coupe finement des escalopes de poulet que je rissole à la poêle avec des champignons. Je concocte une Béchamel dans laquelle je rajoute de ce savoureux gruyère Suisse. J'en râpe une bonne quantité. J'égoutte les coquillettes que je verse dans le plat entre les cinq grosses bouchées à la reine. Je les remplis avec la Béchamel dans laquelle j'ai rajouté le contenu de la poêle. Je recouvre l'ensemble du reste de gruyère. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillées. Je dispose des cerneaux de noix de façon géométrique. Au four pour laisser mijoter longtemps à 160°.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission, avec ses invités, André Bercoff aborde une nouvelle fois les élections Européennes de ce dimanche 9 juin. La trouille qui agite l'exécutif avec le score qui s'annonce désastreux. Jamais la connerie, l'inculture ne se sont autant lus sur un visage. Cette gourdasse de Valérie Hayer, madame pipi dans la culotte, qui s'est ridiculisée partout représente très bien son "camps". Quand à la gauchiasse elle ne fait pas mieux en terme d'intentions de votes. Aussi, le président de République, comprenant que c'est fini, tente de convaincre en s'invitant effrontément sur tous les médias. Avec la victoire indéniable du Rassemblement National, il va faire peur aux vieux, raconter la blague du retour des chambres à gaz et des chars allemands sous la tour Effel. Triste individu qui s'apprête à faire main basse sur l'épargne des français pour limiter la casse de la dette abyssale qu'il a creusé.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Ce beau temps, ce soleil, ce ciel presque entièrement bleu sont tout simplement épatants. Aussi, impatient d'en profiter, je dévale les escaliers pour sortir. Le thermomètre extérieur indique 23°. Le baromètre quand à lui indique un changement de climat. Nous n'en finirons donc jamais avec les journées maussades ? Je descends jusqu'à la rivière. Ambiance bucolique et champêtre. Je vais jeter un coup d'œil dans l'abri à bois. La livraison a eu lieu ce matin. Tout est parfaitement empilé. Il y a là un stock pour les cinq ans à venir. J'aime me savoir pourvu. Il est treize heures cinquante quand je suis à nouveau installé devant mon chevalet. Je peins dans les même voluptueuses et libidineuses pensées. Sans la perception du temps qui passe.

Du bruit. Il est déjà dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours à l'heure habituelle. Elle n'a donc pas sucé. Je ris de ce constat. Je l'entends chanter en revenant des toilettes. Elle entre dans l'atelier pour se précipiter vers moi. À califourchon sur mes cuisses, se frottant langoureusement, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le repas de midi au restaurant universitaire. << Je dois te "préparer" de la part d'Estelle ! >> me confie t-elle en mitraillant mon visage de bisous. Elle rajoute : << Quand à Léo, il n'a pas réussi à s'extraire des griffes de sa maman. Il n'aura pas sa pipe avant le semaine prochaine ! >>. Nous en rions. Clémentine me raconte sa conférence. Devant un parterre des dix huit étudiants de son groupe et cinq professeurs. Tout ces gens très attentifs.

Cela s'est très bien passé. Demain matin, vendredi, c'est elle qui fera partie du jury. << Viens, on profite de ce super temps ! >> conclue t-elle en se levant. Je nettoie la palette, les pinceaux, je retire ma blouse. Je m'apprête à sortir ma bite devant le petit lavabo de l'atelier. << Non, tu fais dehors ! >> lance Clémentine. Je me lave tout de même les mains. Nous sortons presque en courant. Il fait beau. Là-bas, au-dessus des horizons, des nuages ont fait leur apparition. Partout autour de nous. Un vent d'Ouest sévit depuis quelques jours. Annonciateur d'un changement. Clémentine m'entraîne derrière la dépendance. Elle aussi veut constater la quantité de bois livrée. C'est impressionnant. << On pourrait en faire commerce tellement il y en a ! >> s'écrie t-elle très justement.

<< Tu fais ton pissou ! >> s'écrie t-elle en fourrant sa main dans ma braguette béante. Elle en extrait mon sexe gluant. Avec les excitations successives causées par mes pensées libidineuses de la journée, mon sexe dégorge de liquide séminal. Elle en a plein les doigts. Me les montre avant de les porter à sa bouche. Me voilà face à la porte claire de l'abri à bois. Clémentine me tient la bite, s'apprêtant à en diriger les jets. C'est trop tentant. Dès la première giclée elle s'accroupit. Elle guette. Voilà le foutre. Elle gobe immédiatement mon sexe pour en savourer le mélange. Un instant. Elle cesse. Seconde giclée que je maîtrise parfaitement. Elle gobe mon chibre mou une seconde fois. Mais là, mon envie de pisser est trop forte, ne se contrôle plus. Je me lâche. Elle se retire à temps pour se redresser.

Penchée en avant, consciencieuse, elle dessine la silhouette d'un bonhomme contre la porte de bois. Nous rions. << Attends, je lui fais un chapeau ! >> s'exclame t-elle. C'est trop drôle. Elle secoue les dernières gouttes avant de s'accroupir à nouveau. Déguster le reliquat. Je l'aide à se redresser après une petite minute de dégustation. Juste avant la crampe. Nous descendons jusqu'à la rivière. Les canards, les poules d'eau, les colverts s'ébattent à la surface de l'eau. Quelle surprise. Estelle descend nous rejoindre. En courant. << Je savais que vous seriez à profiter de ce beau temps ! >> lance t-elle en me sautant au cou. J'ai la bite à l'air. Elle me l'attrape en disant : << En voilà une bonne initiative ! C'est pour moi ? >>. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. J'ai une érection.

Clémentine, derrière moi, ses bras autour de ma taille. Estelle dans mes bras qui m'embrasse passionnément. << Raconte ton mercredi soir à Julien ! >> lance Clémentine. Estelle me tient fermement le Zob pour se mettre à raconter. << Depuis deux mois, on baise dans ma chambre. Parrain préfère le dépôt, sur les cartons, c'est plus graveleux. Moi je préfère sur mon lit. Il a encore fait son baiseur fou. Il achève sa prestation en m'enculant. Le salaud. Il fait durer de plus en plus longtemps. Derrière moi, sa bouche près de mon oreille il me récite des poèmes salaces qu'il invente et improvise. Il adore être enfoncé et me sentir rire ! >>. Je ris moi aussi. Surtout quand Estelle cite quelques phrases "poétiques" que lui susurre à l'oreille son parrain. << Sacré Jean-Marc ! >> conclue t-elle.

Il commence à faire faim. Nous remontons les trois cent mètres en nous tenant par les mains. J'ai remballé ma bite. Prudence. Il arrive fréquemment que notre plus proche voisin descende lui aussi à la rivière. Quand elles découvrent les bouchées à la reine que je fais réchauffer, mes deux anges mitraillent mes joues de bisous. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de carottes. Estelle met les assiettes et les couverts. Elles évoquent les partiels de leur Doctorat. J'écoute avec intérêt car au fur et à mesure que les épreuves se précisent, toutes les deux font part de leurs craintes. Je les rassure quand elles me demandent mon avis. Comment pourraient-elles échouer si près du but ? Après avoir fourni tant d'efforts. Après avoir tant travaillé, tant préparé. Elles me sautent au cou. Des bises.

Nous mangeons de bon appétit. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Lorsqu'elle revient sur ce qui s'est encore passé dans sa chambre avec son parrain, elle se lève pour mimer une masturbation masculine. << Tu procèdes au "contrôle" ce soir ? >> me demande t-elle. Clémentine répond : << Il faudrait peut-être "contrôler" chez moi aussi ! >>. Nous rions aux éclats quand je rajoute : << Ce soir je vous "contrôle" avec "ça" ! >>. Je me lève pour faire "l'hélicoptère". << Oh oui ! >> s'exclame Estelle. Nous ne traînons donc pas. Les assiettes, les couverts dans le lave vaisselle, nous nous précipitons au salon. J'adore voir mes deux anges faire les clowns en retirant chaussures, pantalon pour Estelle, jupe pour Clémentine. Je me masturbe doucement. Je savoure chaque instant.

Vautrées dans le canapé, séparées d'un mètre environ, elles me présentent leurs intimités. << On se rase les touffes avant l'Écosse. On se fait tatouer au-dessus du clito à Édimbourg ! >> lance Estelle. Je dis : << Je vais passer les deux mois d'été avec deux abricots glabres ! Quelle horreur ! >>. Clémentine s'écrie : << Ça repousse vite et tu seras le seul à connaître le secret de nos tatouages ! >> rajoute Clémentine. Je suis à genoux sur les épais coussins. Mon visage enfui dans les poils d'Estelle. À m'enivrer des odeurs affolantes de sa journée de fille. Je fouille du bout de ma langue alors qu'elle titille son clitoris. Je le suce un peu pour retourner laper la cyprine qui coule. Avant qu'elle ne ruisselle dans la raie culière. Je recrache des quantité de poils. Je veux passer à Clémentine lorsque Estelle m'en empêche. M'attirant sur elle. Je la pénètre malgré tout avec précaution. << Comme c'est bon ! >> murmure t-elle. Haletante.

Clémentine adore nous voir baiser. Mais depuis quelques semaines, nous ne baisons plus. Nous faisons véritablement l'amour. Il y a quelques temps encore, je m'agitais en Estelle comme un ours en rut. Je la baisais avec la délicatesse d'un lutteur de l'époque soviétique. Je la remuais comme le fait un Sumo japonais de son adversaire. Non. Tout cela semble appartenir au passé. Clémentine, se masturbant, enchantée, approche son visage des nôtres. Nous adorons échanger nos impressions en chuchotant. Je ne connais pas de sensations plus vertigineuses. Clémentine nous dépose des bises sur les joues. Estelle enfonce sa langue dans ma bouche. Je la berce doucement. C'est Clémentine qui enfonce sa langue dans ma bouche. Une fois encore, j'éjacule dans Estelle qui adore l'effet en elle.

Bonne nuit à toutes les coquines qui aiment retrouver leur coquin sous les draps. Rien que pour elle. Pour lui confier à quel point ces soirées sont merveilleuses...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Saturday 8 June 2024 07:07

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 42 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2633 -



Juste Clémentine et moi

Hier matin, vendredi, il va être six heures quand l'illusion de nous réveiller au fond d'une forêt nous tire du sommeil. Quarante cinq secondes de purs délires sylvestres. Nos I-phones entrant en fonction chacun en même temps sur nos tables de nuit respectives. Rajoutant encore au réalisme des impressions. En gémissant, Clémentine vient se blottir contre moi. Le vendredi, quand elle termine à midi, c'est dans une certaine euphorie que son levé se déroule. Pour ma plus grande joie. Quelques bisous. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra jaune. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine, déjà facétieuse, en préparant le café, me raconte ses rêves. Je presse les oranges, plié de rire.

Car elle pose des questions avec l'accent Corse de Juliette et y répond avec mon accent Écossais. Je pèle les kiwis en devant m'y reprendre à deux fois. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de jeudi en compagnie d'Estelle. Elle viendra nous rejoindre samedi en début d'après-midi. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me fait part de ce qui l'attend ce matin en cours. Elle fera partie d'un jury. Elle auditionnera d'ailleurs Estelle. Il va être six heures vingt cinq. Nous enfilons les K-ways. La température extérieure est de seize degrés. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur. C'est parti pour un running de quarante cinq minutes le long de la rivière. Douche au retour. Je redescend en éclaireur pour sortir l'auto. Il va être sept heures quarante cinq.

Clémentine vient me rejoindre dans une jupe mauve. Un T-shirt violet sous une veste de fin coton beige. Des mocassins beiges également. Ses bras autour de mon cou, pour un dernier bisou, elle me dit : << Je suis impatiente de revenir. Aujourd'hui c'est juste nous deux ! >>. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. Je fais quelques pas dans la propriété. La journée promet d'être ensoleillée. Je rentre pour faire la vaisselle, recouvrir le lit. Dans l'atelier, installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. J'achèverai en fin de matinée cette seizième toile hyper réaliste représentant la retraite aux flambeaux d'un soir de décembre dans les rues d'Édimbourg. D'après des photos prises aux fêtes de fin d'année.

Je peins dans une douce sérénité. Sans voir passer le temps. Je pense à Estelle. Nous avons pris gout à faire l'amour plutôt qu'à baiser. Cette pensée m'amuse. Il est onze heures trente quand je dépose la dernière touche de pigments sur la surface de l'œuvre terminée. Je nettoie la palette, les pinceaux. Le temps de faire un peu de ménage et je quitte l'atelier pour la cuisine. Midi dix. Je réchauffe les deux grosses bouchées à la reine dans leurs coquillettes. Je concocte l'assaisonnement d'une salade de tomates. Je prépare la table. Midi trente cinq quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille. Je l'emmène pisser et se laver ses mains dans les toilettes du bas. Elle commence à me raconter sa matinée de cours. Intéressante.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Avec cette splendide météo ce sera une virée bicyclettes. Ça nous manque cruellement. Ce printemps a été tellement médiocre que nous en étions trop souvent privés. Aussi, nous ne traînons pas. Dès la vaisselle finie, nous montons nous laver les dents, nous changer. Clémentine porte une jupette sport beige. Un T-shirt crème. Je suis en short de coton gris, T-shirt beige. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos que je porte, deux brugnons. Les barres de céréales. Nous sortons. Nos bouteilles d'eau à la main, à fixer aux cadres de nos machines, nous traversons le jardin en courant. Je vérifie la pression des pneus. Je réajuste à 5,5 bars à l'avant comme à l'arrière. La tension des chaînes.

C'est parti. La température est de 24°. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Nous pédalons contre un fort vent d'Ouest. Et là-bas, au-dessus des horizons, toujours ces lourds nuages blancs d'altitude. Il faut fournir de constants efforts sur les vingt cinq kilomètres qui nous séparent du port de plaisance. Nous ne croisons pas beaucoup de cyclistes. Ce qui est étrange dans de telles conditions climatiques. Nous fermons les vélos à cadenas derrière le cabanon de la capitainerie du port. Rapidement, avec des gestes précis, Clémentine retire sa culotte pour la glisser dans la poche avant du sac à dos. Il nous a fallu une heure trente contre un vent à décorner les bœufs. On sent bien nos jambes. Le vent nous poussera au retour.

Nous adorons cet endroit. Il n'y a pas trop de monde. La saison de la plaisance est commencée. Nous avons croisé nombre de bateaux sur le canal. Il y a une ambiance estivale sur les quais. Les joueurs de pétanque, fidèles au poste. Des employés communaux entrain de faire les marquages au sol pour la fête de dimanche. Messe de bénédiction des bateaux en matinée, course de caisses à savon l'après-midi. Avec animation folklorique. Nous y serons. Nous apprécions trop tout ce que la municipalité du bourg voisin organise. Nous flânons. Il est déjà quinze heures quinze. Clémentine s'offrirait très volontiers une petite exhibe. Avec les tensions accumulées à l'université toute la semaine, c'est une "thérapie" dont elle raffole. Sa catharsis préférée. Et une belle opportunité se présente.

Là, entre deux camionnettes aux armoiries de la commune, il y a un jeune employé communal. Très certainement un étudiant qui a trouvé un job de vacances déjà pour les week-end. Il a de longs cheveux blonds attachés en catogan. Grand et filiforme. Il est assis sur un petit engin de levage qui permet de sortir des palettes d'un des véhicules. Nous nous assurons qu'il soit bien seul. En longeant le mur, nous passons derrière les camionnettes. On pourrait nous voir depuis la route en haut mais il n'y a visiblement aucun promeneur. Je reste en retrait, dissimulé par l'avant d'un des véhicules. Clémentine s'avance. Ça y est. Elle est vue par le jeune homme. Pas l'ombre d'un doute quant aux intentions de la jeune fille. Une main sous sa jupe, les cuisses croisées, elle cherche un endroit pour y pisser.

Le jeune employé fait mine de ne pas regarder après l'avoir tout de même salué d'un geste de la main. Il est bien trop absorbé par son travail. Mais c'est quand il tourne la tête une troisième fois qu'il découvre la fille accroupie, cuisses écartées dans une indécence folle, le dos en appui contre l'autre camionnette, entrain de se soulager par de multiples jets qu'elle contrôle à la perfection. Le jeune gars reste immobile sur son lève palettes à présent à l'arrêt. Ce spectacle bien trop rare, dont il est le privilégié spectateur, semble polariser tous ses sens. Il n'en rate pas le moindre jet. Jets qui viennent s'écraser contre l'autre véhicule. Laissant sur les pavés du sol une traînée d'au moins quatre mètres. C'est certain, notre homme n'a jamais assisté à un tel prodige. Clémentine se lâche.

Il se lève, descend de son élévateur, sort sa queue. Une magnifique érection qu'il présente à Clémentine. Elle termine sa petite "affaire". Relevant la tête pour lui adresser un magnifique sourire. Notre gaillard ne s'approche pas. Rien dans son attitude ne pourrait susciter la moindre inquiétude. Par contre le salopiot se masturbe effrontément. Clémentine termine. Elle reste encore un instant dans cette position pour affronter cette situation qui comble sa libido. Moi aussi, dans ma cachette, je me branle. J'ai assisté à cette scène des dizaines et des dizaines de fois mais c'est toujours une grande première. Des voix se font entendre. Là-bas, deux autres employés communaux, dans leurs gilets jaunes, se dirigent par ici. Clémentine se redresse. Elle s'éloigne précipitamment. Le mec remballe.

En passant devant lui, je l'entends distinctement prononcer ces mots : << Superbe bite. Je l'aurais volontiers gouté ! >>. Le jeune homme n'a pas le temps de répondre il remonte sur son engin à toute vitesse. Clémentine vient me rejoindre, une main sous sa jupe. Nous filons sans demander notre reste. Nous nous offrons des crèmes glacées Ben & Jerry's à la supérette. Nos préférées. Nous les dégustons sur un des bancs, à l'ombre des platanes. Clémentine offre une seconde exhibe à l'habituel joueur de boules qui regarde souvent par là. Soudain, un gros nuage masque le soleil. La luminosité change pour devenir presque lugubre. Il y aura plusieurs séquences identiques durant le reste de l'après-midi. Au retour, après les spaghettis à la carbonara, nous faisons l'amour comme des fous. Immobiles comme nous aimons. Clémentine revient alors sur les évènements de l'après-midi. Deux exhibes de qualité. << On refait demain ! >> dit elle.

Bonne nouille à toutes les coquines qui vont en savourer les jus sous les draps avant de s'endormir contre leur complice...

Julien (le complice)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine, Julien et Estelle
Monday 10 June 2024 07:39

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 43 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2634 -



La pitoyable météo de ce dimanche

La grasse matinée du dimanche nous emmène, hier, jusqu'aux environs de neuf heures. Estelle à ma droite qui saisit ma tumescence en collant ses lèvres sous mon oreille. Sa langue sur ma peau qui bouge doucement. Clémentine à ma gauche qui vient se serrer. C'est ainsi que nous sortons du sommeil. << Tu sens comme c'est spécial, ça ! >> chuchote Estelle qui descend le pantalon de son pyjama de soie mauve, sa culotte, pour coller son sexe contre ma cuisse. Enserrant ma jambe des siennes. En effet, je peux sentir "ça". Les lèvres de son intimité. C'est absolument divin. Une autre "ventouse". C'est bouillant, chaud, "piquant". Et quand j'y mets les doigts, c'est légèrement moite. Dans un mouvement masturbatoire elle bouge en rythme. Clémentine, se lovant contre moi, fait exactement la même chose. Stéréophonie des sens.

Je suis entre mes deux anges, dans un enchantement paradisiaque. Nous aimerions que cela ne cesse jamais. Jusqu'aux extrêmes limites, Estelle aura lutté. Mais c'est en s'écriant : << Pipi ! >> qu'elle nous quitte. Se lève d'un bond pour courir vers la porte. Clémentine me chevauche. Frottant son sexe sur le mien. Nous ne sommes absolument pas du matin. Mais s'il n'y avait pas l'impérieux besoin naturel, nous serions bien l'un dans l'autre. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, c'est en slips et T-shirts de nuit que nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Les suaves effluves parfumées du café, du pain grillé. Estelle qui presse les oranges. Par derrière, je pose mes mains sur ses hanches. Mes lèvres se posent dans sa nuque. Elle en glousse.

Sur la table trône la gigantesque brioche au pudding. Clémentine me coince en sandwich en venant se serrer contre mon dos. Ses bras autour de ma taille. Je bande à nouveau, mon sexe entre la raie des fesses d'Estelle. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre randonnée pédestre de samedi après-midi. Une journée totalement ensoleillée est le retour d'une douce chimère. Depuis deux jours, la grisaille nous impose une ambiance sinistre. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Ce sera le port de plaisance. Mais avec ce ciel gris et menaçant, ce sera en voiture. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges évoquent les partielles de leurs Doctorats. Les épreuves écrites qui commencent demain, lundi et dès huit heures.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. La température extérieure est de 20°. Estelle et Clémentine portent une jupe légère. Toutes les deux de couleur carmin, identiques. Un T-shirt beige avec le logo de la langue des Stones. Baskets. Je suis en bermuda carmin, T-shirt beige mais sans le logo. Pressés d'aller nous dégourdir les jambes, nous dévalons les escaliers. Estelle propose de préparer la bouffe avant de sortir. C'est rapide car chacun a une tâche particulière. Estelle s'occupe du poulet à rôtir. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade de tomates. J'épluche, je lave et je coupe les grosses pommes de terre. Elle resteront dans l'eau avant de passer au coupe frite et cuites dans la friteuse sans huile au tout dernier moment. Parfait.

Le poulet au four, les tomates lavées prêts à êtres coupées au dernier moment. La friteuse électrique posée sur la desserte. Les assiettes et les couverts alignés sur la table. À chaque fois que l'un croise l'autre, distribution de bisous. Mains qui se baladent entre les cuisses. J'adore le contact du fin coton lisse des culottes. Estelle palpe ma bosse ou fourre sa main dans ma braguette. << Ton gage pour cet après-midi. Tu dois te branler trente secondes dans un endroit à risques ! >>. dit elle. << Et trente secondes, dans un endroit à risques, c'est hyper long ! >> précise Clémentine. << Et tu en sais quelque chose ! >> conclue Estelle. Nous sortons. Le fond de l'air reste frais. Humide. Les pluies de la nuit ont détrempé les sols. Les nuages présentent toutes les déclinaisons des gris. Moroses.

En nous tenant par les mains, nous descendons jusqu'à la rivière. J'écoute les filles parler de la semaine universitaire qui les attend. << Pour tous les examens, c'est toujours pareil ! J'ai l'impression de passer le bac. La même anxiété quand j'y pense. Et j'y pense plusieurs fois par jour ! >> lance Estelle. J'ai la bite à l'air. Parfois caressée par Clémentine. Parfois saisit fermement par Estelle. Toutes les deux, cambrées sur leurs genoux fléchis, m'offrent une accessibilité parfaite. Mes mains peuvent se promener sous leurs cuisses dont l'intérieur est doux et chaud. Estelle dit : << L'Écosse dans trois semaines. Vous avez vu passer cette année vous ? >>. En s'accroupissant pour humer mon sexe que j'agite sous son nez. << C'est assez fou ! >> s'exclame Clémentine qui se penche.

Toutes les deux, accroupies, échangent leurs impressions quand aux odeurs douteuses de mon Zob. Le dimanche pas de douche. Une légère toilettes après la "grande commission". Nous aimons laisser nos sexes macérer toute la journée au fond de nos sous-vêtements. De belles surprises. Ce sera pour nos dégustations du soir, après le repas. Il est onze heures quarante cinq quand nous remontons. Il y a même quelques gouttes de pluie. Clémentine coupe les tomates. Estelle surveille le poulet merveilleusement doré qui emplit la cuisine de son odeur de rôtisserie. Je m'occupe des frites. Par mesure de précaution avec la bite remballée. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur quelques projets pour les vacances d'été. Estelle et Clémentine veulent en faire un été "exceptionnel".

<< Toi aussi tu es chargé de nous donner un gage tous les matins au petit déjeuner. À réaliser dans la journée ! >> me lance Estelle qui se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. << On va mettre la barre très haut. Je veux des sensations exceptionnelles tous les jours ! >> s'exclame Clémentine. Je me lève à mon tour. J'agite ma queue en faisant "l'hélicoptère". Je dis : << On va tenter des baises en situations risquées. Qu'en pensez-vous ? >>. Toutes les deux s'écrient : << Oh oui ! >>. Estelle rajoute : << Ça je veux le vivre absolument. Et si j'obtiens mon Doctorat je suis prête à tous les extrêmes. Julien sera d'ailleurs chargé de nous les faire vivre. Tu es prié de faire preuve d'imaginations ! >>. Nous en rions de bon cœur. Je promets de faire de mon mieux. Nous ne traînons pas. Vaisselle.

Nous remontons nous laver les dents avec nos pitreries habituelles. Impatients de filer, nous redescendons à toute vitesse. Dans le petit sac à dos, trois gros brugnons, les barres de céréales, une bouteille de Salvetat Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle installée à l'arrière, caresse mon cou en parlant de ses parents. De la semaine programmée début aout que nous passerons à North Kessock, dans leur maison. Il y a trente cinq kilomètres par la route. Il faut garer la voiture le long de cette dernière. Marcher un bon kilomètre pour arriver au port de plaisance. Estelle et Clémentine retirent leurs culottes qu'elles fourrent dans la poche avant du sac que je porte. << Ce soir c'est moi qui suit assise devant ! >> nous rappelle Estelle en palpant la braguette que je referme.

Il y a un monde fou. Comme pour chacune des animations organisées par la municipalité du bourg voisin, celle de ce dimanche après-midi est encore un franc succès. Le départ de la course des "caisses à savon" est au sommet de la colline qui surplombe le port. L'arrivée se fait cinq cent mètres plus bas sur les quais. Entre les manèges rétros, les stands. Il y a même une exposition d'ânes dans la paille. Accompagnés de poules, de coqs et d'oies. << C'est le salaud de l'agriculture ! >> lance Estelle. Nous avons les minis parapluies dans le sac. On ne peut avoir aucune confiance en cette météo. Le ciel est lourd. Presque orageux. Nous gravissons la colline dont les flancs sont recouverts de spectateurs. Nous restons aux abords du vieux cimetière touristique. Pleins de gens partout.

C'est avec la petite paire de jumelles que nous nous refilons, que, debout sur le muret, nous regardons la trentaine de "caisses à savons" prêtes pour le départ. Il y a chaque année des engins extraordinaires. Confectionnés par d'authentiques designers. Une reproduction en bois d'une Ferrari Dino. Superbe. Une Rolls Royce "Silver Cloud" magnifique. << Là, regarde, l'employé municipale de vendredi ! >> me fait Clémentine. En effet, le jeune homme blond aux longs cheveux attachés en catogan est dans la foule. Nous racontons rapidement à Estelle le détail de cette aventure. Le lecteur pourra d'ailleurs la retrouver dans le texte précédent. L'exhibe pisseuse de Clémentine. Il ne nous a pas vu. Il faut dire qu'il y a un tel rassemblement de spectateurs là-haut. Plus près des nuages gris.

Nous sommes considérablement excités. À chaque possibilité, discrètement, je glisse mes mains sous leurs jupes, entre leurs cuisses bouillantes. Avec accès direct à leurs intimités. Je doigte un peu. J'adore les porter à ma bouche pour en savourer le gout et les parfums. Impossible d'avoir la bite à l'air en ces circonstances. Ce qui frustre considérablement Estelle qui aimerait beaucoup jouer avec son "doudou". La musique s'arrête. Ce qui fait un bien fou. L'animateur parle dans son micro. C'est le départ dans une minute. Les concurrents se mettent en position. Debout, une jambe dans leurs engins. Prêts à s'y assoir au coup de révolver. Levé du drapeau, coup de feu. C'est parti sous un tonnerre d'applaudissements. Nous flânons un peu entre les pierres tombales du vieux cimetière.

Clémentine aimerait bien être vue entrain de pisser. En ces périodes d'examens, d'être surprise dans les plus folles indécences, lui procure les sensations décuplées. Une véritable thérapie contre le stress. Il y a hélas bien trop de promeneurs. Il est tout à fait impossible de pisser entre les tombes horizontales. Il reste le coin des poubelles. Ce petit espace carré entouré d'un mur qui permet de se dissimuler aux yeux des visiteurs. Toutes les deux, accroupies, se soulagent. Je les tiens par leurs nattes. Je fais le guet. Je m'accroupis à mon tour pour les torcher consciencieusement. Je préfèrerais les lécher mais c'est vraiment bien trop dangereux. Surtout qu'un gros chien vient renifler entre les grandes poubelles grises à roulettes débordantes de branchages et de fleurs fanées.

Nous redescendons la colline. Nous n'assisterons pas à l'arrivée mais depuis les quais nous parviennent les cris de la foule et les applaudissements. Le speaker annonce les gagnants sur fond musical disco. C'est décidément "rétro" aujourd'hui. C'est la caisse à savon numéro 11 qui remporte la victoire. Une sorte de fusée sur roues. Très moche, mal peinte en bleu dégueulasse. Son constructeur et pilote, sur la première marche du podium, est un jeune garçon de 16 ans. Acclamations. C'est en quittant les quais pour longer le canal, que nous trouvons enfin un coin tranquille. Derrière la rangée de fourrés de l'autre côté du chemin. Les K-ways faisant office de plaids, nous pouvons nous y allonger. Clémentine se mettant à genoux pour surveiller. Mais faisant l'amour à Estelle.

Bonne fin d'après-midi à toutes les coquines revenues de leur virée vélo, mortes de faim, qui s'apprêtent à se faire nettoyer les minous par un expert en cunnilingus du dimanche soir. Après un bon repas fait des restes de poulet et accompagné de spaghettis...

Julien (nettoyeur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Tuesday 11 June 2024 07:36

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 44 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2635 -



Juste nous deux

Hier matin, lundi, les illusions bluffantes d'une des applications de nos I-phones. Cette illusion qui nous donne l'impression d'être tiré du sommeil en pleine forêt. Tous les bruits de la nature. Presque six heures. En gémissant Clémentine se tourne pour venir se blottir dans mes bras. Quelques bisous. Quelques câlins. Il faut un ultime acte de volonté pour s'extraire de sous cette couette bien chaude. Nous nous précipitons aux toilettes. Nous mettons nos tenues de jogging. Morts de faim nous dévalons les escaliers. En faisant le café, Clémentine me raconte ses rêves. Je l'envie. Elle se rappelle toujours de chacun d'eux. De leurs plus infimes détails. Je presse les oranges. Je pèle les kiwi. Le lundi je place le reste de la brioche au pudding dans le four à micro ondes. Ça lui rend son moelleux.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les moments forts de notre week-end. Nous mangeons de bon appétit en évoquant déjà les activités de samedi et dimanche prochain. Presque six heures vingt. Nous revêtons les K-ways pour sortir. La température extérieure est de 16°. Le ciel est bleu. La journée s'annonce belle. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur de ce 10 juin. Quarante cinq minutes d'un running gratifiant. << Qui remet les idées bien en place ! >> comme le précise si justement la fille que j'aime quand nous prenons notre douche. Je redescends le premier. Je sors la voiture du garage. Clémentine vient me rejoindre. Elle porte une jupe de fin velours carmin. Un pull de fin coton brun sous une veste brune cintrée à la taille. Des mocassins marrons.

Ses bras autour de mon cou, cherchant un peu de chaleur, pour un dernier bisou. Ces mots qu'elle prononce devenus comme un rituel : << Si j'ai un peu de retard, tu sais pourquoi ! >>. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui reste ouvert. Ce matin l'entreprise paysagère vient s'occuper de la propriété. Un dernier coucou. Je fais le tour du propriétaire. Voilà la camionnette qui descend lentement les pavés auto bloquants pour se garer devant la maison d'amis. Caroline, la chef de chantier en saute pour me saluer. Il y a son employé qui s'occupe déjà de décharger du matériel alors que j'exprime quelques souhaits à la jeune femme. Elle intervient depuis des années. Elle connait son métier et le fait plutôt bien. Je la laisse à son travail pour rentrer faire notre vaisselle, recouvrir notre lit.

Dans l'atelier, installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque ce matin "le parc" d'après des photos prises l'an dernier devant la National Gallery d'Édimbourg. La dix septième toile hyper réaliste que je destine à ma saison d'été. Je peins dans une douce volupté. Je pense à cette phrase de Clémentine qui, en fonction de mes introspections, peut s'avérer dolente puis excitante. Il va être midi. Les gargouillis que fait mon estomac est la meilleure horloge biologique. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je fais gonfler du riz complet. Deux gros nems réchauffés à la poêle. Pendant que je concocte l'assaisonnement d'une endive. Pour ce soir, ce sera une tarte aux brocolis. Je me lance immédiatement dans sa préparation. Rapide, simple, au four à 160°.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff revient évidemment sur les élections Européennes. Le résultat prévisible. Un président de la République qui se ramasse une bonne raclée. Et qui pourtant, ne pouvant plus minimiser le désaveu d'une immense et majoritaire partie de la nation, tente une nouvelle escroquerie en dissolvant l'Assemblée Nationale. N'étant plus à une fourberie prête, soucieux de sauver quelques meubles du naufrage de son Titanic, il se lance dans ce qui lui réussissait le mieux jusqu'à présent, le bluff. La ritournelle des promesses et des mensonges. La farandole des affirmations démentes et mégalomanes. Et tous ces vieux nantis qui viennent sur les plateaux de télévisions pour des analyses aussi pitoyables que leurs personnalités ridicules.

Notre Président désavoué, mais vexé et humilié qui va maintenant se lancer dans sa stratégie habituelle. Faire peur aux vieux. Menacer la nation de l'arrivée des chars Russes sous la Tour Effel. Il va dramatiser comme à son habitude. Le retour des chambres à gaz. Un grand classique des imbéciles. À cause de cette fameuse "extrême droite". Ce spectre qu'agite tous les politiciens depuis l'invention du terme au début des années quatre vingt. Les politiciens véreux d'aujourd'hui n'ayant rien à envier à leurs prédécesseurs. Ces sinistres mafieux utilisant les mêmes rhétoriques pour tenter de sauver leurs culs, leurs privilèges, leurs détournements d'argent public et surtout de maintenir leurs somptueux train de vie au frais du peuple. André Bercoff rappelle fort justement que si une extrême droite devait exister dans ce pays, elle aurait pris le pouvoir par la force depuis longtemps. Comme toujours et partout dans l'Histoire.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Impatient de profiter de quelques instants de cette journée magnifique je dévale les escaliers pour sortir. Là-bas, Caroline au sommet d'une échelle double qui manipule une cisaille électrique dans le pommier. Le jeune employé qui manipule le taille haies. C'est déjà bien propre. Je descends jusqu'à la rivière. Le ciel est bleu. Par contre là-bas, au-dessus de l'horizon, à l'Ouest, de gros amoncellements de nuages. Un vent assez fort les pousse inexorablement par ici. Il est presque quatorze heures quand je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé des mêmes pensées. Je perçois le bruit que font les machines à l'extérieur. Du bruit. Il est déjà dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours. J'anticipe.

Je nettoie la palette, les pinceaux. Je l'entends chantonner en revenant des toilettes. Elle entre dans l'atelier pour se précipiter vers moi. À califourchon sur mes cuisses, sa jupe retroussée, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Avec le pouce que je bouge doucement à l'endroit de son clitoris, je caresse le doux coton blanc de sa culotte. << Viens, on va dehors, il fait tellement beau ! >> propose t-elle en se levant. Elle m'entraîne par la main. Nous quittons l'atelier. Dans le hall d'entrée, Clémentine retire sa culotte qu'elle suspend à deux crochets du porte manteaux. Nous en rions. La température extérieure ne dépasse pas 20°. Les gros nuages sont là. Il y a déjà les premières séquences d'un soleil voilé. Il va disparaître.

Nous faisons le tour de la propriété pour constater la qualité du travail fourni par l'entreprise. << C'est vraiment "nickel" ! >> précise Clémentine qui fourre sa main dans ma braguette béante. Je glisse la mienne sous sa jupe. Je ne connais pas de sensation plus enchanteresse que de la glisser entre ses cuisses bouillante. Mes doigts qui s'égarent dans la douce moiteur de ses intimités. Elle me raconte sa petite conversation de quelques minutes avec Léo en fin de cours, dans les couloirs de l'université. << J'aimerais bien le dépuceler avant les vacances. C'est devenu un vrai fantasme. Si pas une obsession ! >> lance t-elle en riant. Elle rajoute : << Mais il est difficile pour lui de se soustraire au joug de sa maman ! >>. Cette obsession nous amuse beaucoup. Nous entrons dans la serre.

Le double vitrage maintient ici une chaleur étonnante. Qui contraste fortement avec l'extérieur. C'est là, contre une des deux tables recouvertes de feuilles fanées des géraniums à l'abandon, que je cale Clémentine. Sa jupe relevée, mon sexe qui frotte contre l'intérieur de ses cuisses. Elle ouvre de grands yeux. << J'adore tes initiatives. Tu n'en as pas assez ! >> s'écrie t-elle en s'asseyant d'un bond sur le dessus de la table. Elle se laisse aller en arrière jusqu'à être en appui sur ses coudes. Je frotte mon sexe sur le sien. Je m'y introduis avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles à nous fixer dans les yeux. Je veux prendre son clitoris géant entre mon pouce et mon index mais elle joue déjà avec. Je bouge doucement. Imprimant un léger mouvement du bassin. Berceuse.

Je saisis les chevilles de Clémentine. Je la bascule en arrière. Elle est allongée sur le dos, les jambes relevées à la hauteur de mes épaules. Ses gémissements envahissent la serre. Il fait décidément bien trop chaud et trop humide dans ce climat soudain tropical. Cela va devenir insupportable. Nous ressentons déjà les premières coulées de sueur. Je me retire. Clémentine saute de la table pour attraper mon Zob. C'est par la bite qu'elle me tire à l'extérieur. Cette fraîcheur retrouvée fait le plus grand bien. Nous faisons le tour du bassin. Cette année, à cause de cette météo, nous n'avons pas encore installé le mobilier de jardin. C'est un peu tristounet. Nous n'avons pas encore mangé dehors une seule fois. Il commence à faire faim. Nous rentrons. Clémentine attrape sa culotte. Rires.

Je l'aide à préparer l'assaisonnement d'un gros concombre. Au four réchauffe la tarte aux brocolis. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine revient sur des anecdotes universitaires. Les partiels du Doctorat ont commencé aujourd'hui. Jusqu'à vendredi matin. La semaine prochaine Clémentine fera son exposé, sa soutenance de thèse. Tirera au sort le sujet à développer pour convaincre le jury. Ce n'est qu'au début octobre que tomberont les admissibilités. << Un été d'angoisse si je n'étais pas sûre de moi ! >> précise Clémentine. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous passons au salon dans une certaine fébrilité. L'épisode de la serre surchauffée nous a bien "chauffé". Clémentine s'accroupit. Me pousse dans le canapé où je m'affale. Elle se met à genoux sur les coussins.

Je me fais sucer comme un bienheureux. Je la force à cesser. Je me lève pour la soulever. Je l'emmène sur le bureau. Je l'y installe. Nous adorons baiser de cette façon. C'est la bonne hauteur pour mon mètre quatre vingt huit. À l'horizontale Clémentine peut se faire pénétrer dans les toutes meilleures conditions. Je retourne récupérer un des épais coussins. Elle pourra y poser sa tête. Comme dans la serre, je frotte mon sexe contre le sien avant de la pénétrer. Clémentine se masturbe toujours en étant pénétrée. Je la besogne de façon académique. Alternant les berceuses, l'immobilité et des séquences plus agitées. De petits cris d'extase, des gémissements lascifs, des plaintes, des râles de plaisirs enchantent mes oreilles. << Je t'aime ! >> parvient t-elle à lancer à plusieurs reprises.

Nous faisons l'amour. Juste nous deux. Je reste extrêmement attentif. Une fois encore j'ai oublié de préparer la cuvette de plastique bleu. Aussi, en y pensant, alerté par les mouvements du bassin de Clémentine, par ses contorsions, je me retire. << Non ! >> s'écrie t-elle. Je me précipite pour récupérer la cuvette sous le guéridon. Clémentine s'est redressée. Descendue du bureau, cambrée sur ses genoux fléchis, elle se masturbe comme affolée. Je pose la cuvette. Elle s'accroupit. Je me place derrière elle pour la tenir sous les aisselles. Elle peut se lâcher en toute insouciance dans un orgasme pisseux. En hurlant. Son corps agité de spasmes qu'il me faut maintenir avec fermeté. C'est passionnant. Une fois terminé, je la soulève pour l'emmener au canapé. À mon tour de sucer un peu.

Bonne nuit à toutes les coquines, submergées de plaisirs, qui s'endorment dans les bras de leur coquin. Avec le gout de son sperme...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine, Julien et Estelle
Wednesday 12 June 2024 07:11

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 45 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2636 -



Baise sur bureau

Six heures dans cinq minutes. Les gazouillis des oiseaux. Le bruit de l'eau de la source. Hier matin, mardi, une fois encore, nous avons l'impression de nous réveiller au milieu d'une profonde forêt. En gémissant, Clémentine vient se serrer contre moi. Quelques bisous. Des câlins. Il faut se lever. Tels des robots nous nous précipitons aux toilettes. Nous revêtons nos tenues de running à la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Comme tous les matins, lorsqu'elle prépare le café en me racontant ses rêves, Clémentine trébuche sur ses mots. Ce qui nous fait rire aux éclats. Je presse les oranges. Elle vient me faire une bise avant d'attraper les premières tranches éjectées par le grille pain. Je les beurre. Je mets les croissants dans le four à micro ondes. Je pèle les Kiwis.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée en amoureux. Nous mangeons de bon appétit en évoquant celle qui nous attend ce soir. Presque six heures vingt cinq. La température extérieure n'est que de 14°. Il faut un petit effort de volonté pour sortir. Habillés de nos K-ways nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement dans la désagréable fraîcheur humide. Quarante cinq minutes d'un agréable jogging avant de prendre la douche. Je dévale les escaliers pour aller préparer la voiture. Presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre. Vêtue de son perfecto noir, Levis, bottines noires. Ses bras autour de mon cou pour un dernier bisou. La même phrase prononcée : << Si je suis en retard, tu sais pourquoi ! >>. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou avant de rentrer.

Je fais notre vaisselle, je recouvre notre lit avant de passer dans l'atelier. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette dix septième toile hyper réaliste m'absorbe rapidement. Et totalement. Je peins dans une douce sérénité. Mes pensées revenant une fois encore sur la phrase prononcée par Clémentine. C'est à la fois excitant et étrange de l'imaginer dans sa voiture, entrain de tailler une pipe à un autre. La matinée passe ainsi. Presque midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à réchauffer les restes de la tarte aux brocolis. De faire l'assaisonnement d'une endive. Pour ce soir, ce seront des pizzas. Je fais une belle pâte à pain qui repose dans un saladier, sous un linge. Je fais la garniture. Tomates qui reposent sous un couvercle. Parfait.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. L'actualité revue et commentée par André Bercoff et ses invités. Cette fois un général des armées à la retraite. Il est évidemment question de cette guerre en Ukraine qui n'en finit pas. En fonction des besoins et des "vides" des évènements, les médias y reviennent ou l'ignorent. Le président de la République, désavoué, s'attache à sa chère guerre comme un unijambiste à sa béquille. Il lui serait tellement agréable d'entrer en conflit ouvert avec la Russie. Redorer son blason. Se poser en héros de l'Histoire. Ce général, interviewé par André, précise bien que dans un tel cas, la France serait rayée de la carte du monde en quelques minutes. Qu'engager le pays dans un tel conflit serait un véritable crime contre l'humanité. La France n'intéresse pas Poutine.

La vaisselle. Je râpe une grosse quantité de gruyère pour les pizzas de ce soir. Au réfrigérateur dans un grand bol. Je monte ma laver les dents. Depuis ce matin, le ciel a bien changé. D'ensoleillé il s'est recouvert d'épais nuages gris, bas et sinistres. La température du dehors n'étant que de 18°. Pressé d'aller me dégourdir les jambes, je dévale les escaliers pour sortir. Je descends jusqu'à la rivière. Le vent d'Ouest apporte cette détestable fraîcheur humide. Presque 14 h quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans la continuité de ce profond sentiment de sérénité. Presque 17 h30. Du bruit. Ce n'est pas Clémentine qui rentre de cours, c'est Estelle qui fait irruption dans l'atelier. 17 h30. Elle se précipite pour s'assoir sur mes genoux. Je pose la palette, les pinceaux.

<< Clémentine suce ! >> m'apprend t-elle en se levant pour m'attraper la main. Elle m'entraîne vers le vieux canapé. << On fait l'amour. J'aime trop quand je suis seule avec toi ! >> s'écrie t-elle en retirant ses bottines, son Levis, sa culotte. Je bande déjà comme le dernier des salauds. Cette situation m'excite au plus haut point. Et puis j'aime de plus en plus faire l'amour avec Estelle. C'est comme une découverte après plus de sept ans de relations. En appui sur mes bras, pour ne pas peser de tout mon poids, je pénètre Estelle avec précaution. << Je t'aime Julien ! C'est toi que j'aime ! >> s'écrie t-elle en donnant le dernier coup de reins. Me voilà complètement en elle. C'est un bonheur. Nous nous berçons lentement. Estelle se masturbe elle aussi toujours en faisant l'amour. Les doigts.

<< Tu préfères me baiser ou tu préfères m'aimer ? >> me demande Estelle lors d'une des séquences d'immobilité. Je réponds : << J'aime faire l'amour avec toi ! >>. Nous nous embrassons avec une telle fougue que nos salives inondent nos mentons. Je bouge lentement. Estelle y répond par un rythme régulier. Nous pourrions rester ainsi des heures. C'est tellement bon. Estelle aussi adore me raconter ses secrets de filles. Faire la voyeuse à chaque occasion qui se présente. Du bruit. Cette fois c'est Clémentine. Elle rentre dans l'atelier pour découvrir la situation. Elle se précipite pour s'assoir sur le canapé. Son visage tout prêt des nôtres. << J'ai honte ! >> dit elle. J'esquive les bises qu'elle veut me faire. Elle rit. Elle sait que sa bouche me dégoutte quand elle a sucé un autre. Par contre Estelle semble apprécier.

<< On a baisé dans la bagnole. Ça y est, je l'ai dépucelé. Ce mec est un super coup ! >> nous raconte Clémentine. << Dis-nous tout ! >> s'écrie Estelle en accélérant le mouvement de son bassin. Clémentine narre le déroulement de sa nouvelle expérience : << On a baisé presque une heure. Le potentiel de ce garçon est étonnant ! >>. Je félicite Clémentine qui rajoute à mon intention : << Tu sais que c'est très excitant de baiser sans ta présence dans les environs ! >>. Estelle s'écrie : << Tu es vraiment une salope. Tu oses avouer une telle chose à Julien ! >>. J'accélère le mouvement car cela devient passionnant. << Tu es fâché, tu m'en veux ? >> me demande Clémentine qui passe son bras autour de mon cou. Je la rassure. Je recommande même de nombreuses récidives.

Nous rions. Je me retire. Je découvre qu'il presque 19 h. << Ce soir, j'ai vraiment du retard ! >> lance encore Clémentine en se levant en même temps que moi. Elle se jette à mon cou en s'exclamant : << Merci Julien. Ne t'inquiète pas, c'est juste pour le fun ! >>. Une fois encore elle tente de poser ses lèvres sur les miennes. Je dis : << On va manger d'abord ! >>. Estelle récupère ses vêtements avant de les remettre. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Chacun a un rôle défini. Estelle travaille la pâte pour la rendre onctueuse. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de carottes. Je réchauffe la garniture. Les pizzas sont rapidement au four. Je remarque l'attitude de Clémentine. Son regard parfois fuyant en dit long sur cette culpabilité que je devine. Je lui fais un clin d'œil.

Je vais me placer derrière elle. De ses hanches mes mains remontent sur ses seins. Je murmure : << J'aime ce que tu fais. J'aime qui tu es. Tu es une grande fille maintenant. Baise un maximum avec tous les mecs qui te plaisent. Je suis ton complice et je t'encourage ! >>. Estelle s'exclame : << Moi, à ta place, je resterais fidèle à Julien. C'est mon meilleur "coup" ! >>. Nous rions aux éclats. Estelle vient se placer contre mon dos. Je suis pris en sandwich. Nous restons un petit moment ainsi, silencieux. La sonnerie du four. Estelle met les maniques, s'accroupit, sort les pizzas l'une après l'autre. De belles réussites que nous savourons en revenant sur la baise de Clémentine. Léo, le jeune étudiant de vingt ans a passé le test. << Un super coup ! >> précise une nouvelle fois Clémentine. << Salope ! >> lance Estelle.

Nous ne traînons pas. Dès la vaisselle terminée, les filles m'entraînent au salon. Elles retirent bottines, Levis et culottes. Installées sur le bureau. Je les rejoins avec deux des épais coussins du canapé. Allongées, elle m'offrent leurs intimités. Je frotte mon sexe sur celui d'Estelle que je pénètre avec une facilité déconcertante. Je caresse ses seins. Elle se masturbe alors que je bouge doucement. Clémentine se couche sur le côté. En se masturbant elle aussi, elle m'observe. Me fait des sourires. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Ce soir je ne m'occupe que d'elle. Volontairement, par jeu, je ne m'occupe pas de Clémentine. Ce qui l'amuse. Je caresse simplement son visage. Estelle lui demande : << Il t'a juté dans la chatte ou dans la bouche ? >>. Clémentine répond : << Dans les deux ! C'est une vraie corne d'abondance ! >>. Estelle s'offre un orgasme qui la fait hurler. Clémentine la regarde amusée. Il faut penser à l'heure.

Bonne pipe à toutes les coquines qui sucent leur coquin sous les draps en racontant, dans le détail, leur infidélité sur le siège avant, incliné, de leur voiture...

Julien (cocu heureux)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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- 46 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2637 -



Masturbations à trois

Hier matin, mercredi, à presque six heures, les enchantements habituels des bruits de la forêt. Qu'il est agréable d'être tiré du sommeil bercé d'illusions. Quarante cinq secondes de pures merveilles. Clémentine vient se blottir contre moi. Quelques bisous. Quelques câlins. Il faut absolument se lever si nous voulons respecter son timing. Nous nous précipitons aux toilettes avant de revêtir nos habits de sports à la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine s'occupe du café. Je presse les oranges, beurre les premières tranches éjectées par le grille pain. Clémentine pèle les kiwis en me racontant ses rêves. Un peu inquiète quant aux partiels qui l'attendent en cours dès huit heures. Elle m'en fait part en venant dans mes bras.

Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant. Clémentine m'avoue culpabiliser pour ce qui s'est passé dans sa voiture, mardi après les cours. Je la rassure. Même si cela ne s'est pas passé exactement comme elle le souhaitait, elle a réalisé son fantasme. << Ce qui m'inquiète c'est que j'y ai pris beaucoup de plaisir alors que tu n'étais pas caché dans les environs pour regarder, pour surveiller. Et ça c'est bizarre ! >> m'explique t-elle. Je dis : << N'hésite pas. Même si je ne suis pas là, vas-y. On ne vit qu'une fois ! >>. Ma réponse un peu convenue la fait rire aux éclats. Je demande : << Tu as un autre plan cul en prévision ? >>. En venant terminer sa tartine au miel assise sur mes genoux, Clémentine répond : << Alban, mon maître de thèse. Je le vois tous les matins en cours et il m'excite ! >>

Il va être six heures vingt cinq, je conclue : << Alors attaque. Si tu peux te le faire avant l'Écosse ça fera deux beaux trophées à ton tableau de chasse ! >>. C'est en rigolant comme des bossus que nous mettons nos K-ways. La température extérieure ne dépasse guère 14° ce matin. Il faut un peu de courage pour aller courir. Mais le ciel est bleu et le soleil pointe au-dessus de l'horizon. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Nous pratiquons notre running le long de la rivière. Ces joggings matinaux procurent un bien fou pour le reste de la journée. Pas seulement le fait de courir mais d'évoluer dans un environnement champêtre, apaisant pour Clémentine et des appréhensions universitaires. Quarante cinq minutes plus tard nous prenons notre douche. Je dévale les escaliers.

Je sors la voiture du garage. Il va être 7 h40. Clémentine vient me rejoindre dans sa veste de fin velours noir, cintrée à la taille. Sur un léger pull de coton beige. Son Levis, ses bottines noires. Ses bras autour de mon cou pour un dernier bisou. Je dis : << Si tu as un peu de retard ce soir je ne dois pas m'inquiéter ! >>. Elle rit en disant : << Non, aucun risque. Léo sera entre les griffes de sa maman. Ce serait un miracle qu'il arrive à se libérer. Ce garçon manque d'imagination ! >>. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je rentre faire la vaisselle, recouvrir le lit avant de descendre dans l'atelier. Installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ma dix septième toile hyper réaliste me plonge dans ma seconde passion. Sans cesser de penser à ma première.

Je peins en pensant à Clémentine. La culpabilité qui l'accable m'amuse. Il a toujours été convenu entre nous, depuis le premier jour d'une relation sérieuse, qu'elle serait libre d'aller et de venir selon son bon gré. Tout comme elle pourrait avoir une vie sexuelle indépendante. Ayant l'âge d'être son papa, je comprends parfaitement ce qui peut tourmenter une jeune fille. Elle ne s'en est jamais privée. Mais depuis quelques temps, cet étrange sentiment de culpabilité fait son apparition. En plaisantant elle prétend qu'à 27 ans elle s'assagit. Heureusement mes encouragements la rassure et la stimule. << J'aurai bientôt fait le tour de tout ça ! >> précise t-elle. Il va être midi. Mon estomac gargouille. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à faire cuire la quatrième pizza restante de mardi soir.

L'assaisonnement d'un petit concombre et d'un avocat bien mûr. Pour ce soir, avec la venue de Juliette, je prévois un gratin de purée Parmentier. À cet effet j'épluche, je lave et je coupe en grossiers morceaux de grosses pommes de terre. Je les ébouillante quelques minutes dans l'auto cuiseur avant de les réduire en purée. De mélanger cette onctueuse matière avec du lait. J'émince trois escalopes de poulet que je fais rissoler à la poêle. J'y rajoute ail, oignon, champignons. Je verse le tout dans un grand bol. J'y rajoute deux œufs, de la crème fraîche. Dans un plat carré j'étale une couche de purée. Je recouvre de garniture. Une seconde couche de purée. Une seconde couche de garniture. Cinq couches que je recouvre de gruyère Suisse. Graines de sésame, chapelure. Cerneaux de noix.

Au four pour laisser mijoter longuement à 160°. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff et ses invités reviennent sur les élections et leurs résultats. Les manœuvres d'appareils politiques, les alliances contre nature et totalement ridicules entre différents partis que tout oppose. L'honneur et la dignité ne sont pas les vertus premières des hommes politiques. Ils sont bien plus à l'aise dans les coups tordus, les mensonges et la turpitude. Ceux d'aujourd'hui ne sont pas différents de ceux de hier. Les mêmes fripouilles prêtes à vendre leurs mères pour garder leurs prérogatives sur le commun des mortels. Ces individus sont à vomir. La nation semble une fois encore oublier à quel point ces salopards veulent les rouler dans la farine pour préserver leurs privilèges. Manipulés par la haute finance qui contrôle leurs agissements de pourris.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé de profiter de cette journée magnifique, je dévale les escaliers. La température extérieure est de 20°. Toujours ce vent d'Ouest. Je descends jusqu'à la rivière quand mon téléphone se met à vibrer dans ma poche. C'est Danièle. Elle s'excuse de ne pas être venue nous livrer ce matin. Elle le fera demain matin pour dix heures. Je la rassure, j'avais complètement oublié. Plongé dans mes introspections quant à Clémentine j'avais totalement occulté ce rendez-vous hebdomadaire des mercredis matins. Il est treize heures cinquante quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins inspiré des mêmes excitantes pensées que durant la matinée. Jusqu'à dix sept heures trente où j'entends les bruits rassurants et quotidiens.

Clémentine rentre de cours. Elle se précipite vers moi pour se mettre à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le repas de midi au restaurant universitaire. Ses attirances pour son maître de thèse. Tout s'est excellemment passé. Ses inquiétudes se sont rapidement estompées une fois dans le déroulement des écrits. Ce qui apaise considérablement ses craintes pour la suite. Même programme pour demain jeudi et vendredi. Exceptionnellement Clémentine aura un vendredi complet à l'université. Elle se lève en disant : << Viens, on profite de ce beau temps ! >>. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je me lave les mains. Je veux poser ma bite sur le rebord du petit lavabo de l'atelier quand elle dit : << Viens, tu fais ça dehors ! >>

De nombreux nuages encombrent un ciel de moins en moins bleu. Nous faisons le tour de la propriété, main dans la main. Clémentine revient sur quelques anecdotes universitaires vécues aujourd'hui. Là, contre la cloison de l'abri à bois, elle me tient la bite pour en diriger les jets. Dessinant la silhouette d'un bonhomme. << Attends, je lui fais un chapeau ! >> s'exclame t-elle en dirigeant adroitement les deux dernières giclées. Nous rions de bon cœur. C'est une réussite. En secouant les dernières gouttes avant de s'accroupir pour savourer les reliquats, elle enfonce rapidement sa langue dans ma bouche. Ce qui provoque une érection presque immédiate. Je la regarde sucer. Ses joues creusées par l'effort, les yeux fermés, une expression d'extase sur son visage. Passionnante.

Elle se redresse avant l'ankylose pour se blottir dans mes bras. << Je suis si heureuse avec toi ! >> lance t-elle dans un souffle avant de poser ses lèvres sous mon oreille. J'aime sentir sa langue jouer sur la peau de mon cou. << Je sens les battements de ton cœur. C'est la carotide ! >> dit elle en m'entraînant par la main. Nous aimons nous assoir sur les rochers au bord du bassin. Ses eaux claires reflètent la danse des nuages dans les cieux. Clémentine évoque ses projets futurs. Les doctorants en sciences sont sollicités par des entreprises de pointes. La plupart situées en Californie ou encore en Écosse. L'Écosse voit un développement sans équivalent dans le domaine de la recherche. Clémentine se destinait initialement à l'enseignement en troisième cycle universitaire.

Dès septembre il y aura des conférences destinées aux recrutements de nouveaux chercheurs. << Tu sais qu'aux États-Unis, des boîtes proposent un salaire de départ de sept mille dollars ? Presque six mille cinq cent euros ! >> m'explique t-elle. J'écoute avec attention. Ce serait sympathique d'aller vivre dans cette Californie que j'ai visité à six reprises durant mes jeunes années. Avec mon ancienne compagne disparue. << Avec Estelle on envisage depuis quelques mois une carrière dans la recherche. Je ne te dis pas les salaires et les avantages après deux ans de boîte ! >> rajoute t-elle. Je l'encourage évidemment dans cette voie. Le salaire d'un enseignant en troisième cycle universitaire ne tourne qu'à 2 500 euros nets mensuel. Le choix est vite fait si on n'a pas la vocation véritable.

Voilà la grosse berline allemande qui descend lentement pour se garer devant la maison d'amis. Juliette nous a vu. Elle se précipite pour nous rejoindre. Ce soir encore dans sa tenue d'écuyère. Sublime bourgeoise quinquagénaire à la silhouette de rêve. Nous l'accueillons avec joie et plaisir. Juliette est devenue notre intime. Juste après Estelle, sa compagnie reste des plus agréables. J'ai la bite à l'air. Clémentine aime me raconter en jouant avec. Une fois encore, dans cette délicieuse attitude féminine, Juliette fait semblant de ne pas s'en apercevoir. Du moins pas tout de suite. Nous nous faisons la bise. Nous marchons un peu. Juliette tient le bras de Clémentine. Clémentine tient ma main. Juliette nous raconte son quotidien. Son entreprise en veille jusqu'à la fin septembre. Du repos.

Clémentine me met en position. Contre le mur de la maison d'amis. Elle me tient la bite pour en diriger des jets qui ne viennent pas. Juliette prend un peu de recul pour voir la scène dans sa globalité. Je suis quand même un peu gêné. Même si Juliette partage nos intimités, c'est une situation "dérangeante". Mais rapidement excitante. J'arrive à lâcher un jet ridicule. << Tu veux t'amuser ? >> demande Clémentine. Juliette s'approche pour s'emparer de mon chibre. Je bande mou. Avec l'excitation la seule substance qui perle à l'extrémité de la peau de mon prépuce est cette goutte de liquide séminal. Clémentine s'accroupit pour mieux voir. Juliette s'amuse à lui présenter ma queue. À esquiver la bouche de Clémentine au dernier instant. Juste avant qu'elle ne veuille la gober.

Juliette s'accroupit à son tour. Avec une sorte de passion soudaine, en poussant un petit cri, elle prend mon Zob en bouche. Clémentine s'en saisit pour l'en extraire. Elle dit : << On va manger ? >>. Toutes les deux se redressent en même temps. Morts de faim, nous traversons le jardin. Il n'y a qu'à allumer le four. J'aide Clémentine à faire l'assaisonnement des tomates. Juliette met les assiettes, les couverts. Nous mangeons de bon appétit. La conversation tourne autour de ma galerie d'Art. Juliette est impatiente d'endosser le rôle de la bourgeoise désœuvrée qui tient un lieu d'exposition. Elle sera en Corse au mois de juillet. À Sartène dans sa famille. Puis viendra le mois d'aout et son rôle de galeriste. Nous mettons au point différents détails. Elle a déjà exercé l'année dernière. Elle connait. C'est une femme pleine d'initiative et responsable.

Après la vaisselle, nous passons au salon. Vautrée dans le fauteuil qui nous fait face, la cuisse droite sur l'accoudoir droit, la cuisse gauche sur l'accoudoir gauche, Juliette joue de son doigt sur la couture centrale de son pantalon d'équitation. Aussi moulant qu'un legging. Cette couture qui sépare les lèvres de sa vulve en deux petites bosses qu"elle malaxe parfois. Clémentine, sa main gauche dans son jeans déboutonné, se masturbe. Jouant avec mon Zob de sa main droite. J'adore voir l'auréole plus sombre qui grandit à l'endroit du sexe de notre amie. Tout en nous masturbant, nous bavardons. Juliette nous raconte sa partouze de samedi dernier. Juste à deux couples. Clémentine raconte sa baise en bagnole. Nous rions beaucoup. Juliette devra nous laisser pour 22 h. Parfait.

Bonne nouille à toutes les coquines qui vont se régaler de ses jus avant de plonger tel le Titanic dans les profondeurs abyssales d'un sommeil bien mérité...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 47 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2638 -



Estelle vient nous retrouver en soirée

L'extraordinaire illusion de nous réveiller en pleine forêt. Il va être six heures, hier matin, jeudi. Les oiseaux, la source qui s'écoule. Tout cela résonne étrangement. Quarante cinq secondes d'irréalités qui nous tirent de nos sommeils. Clémentine gémit en se lovant contre moi. Quelques bisous, quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. À la salle de bain nous nous habillons de nos tenues de jogging. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine, qui prépare le café, prenant l'accent Corse de Juliette, me raconte ses rêves. Plié de rire je presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre mercredi soir en compagnie de Juliette. Une de ces soirées branles dont nous sommes friands et surtout bien habitués.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant celle qui nous attend ce soir en compagnie d'Estelle. << Je la vois en cours tout à l'heure. Elle va me raconter son mercredi soir avec son parrain ! >> dit Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Six heures vingt cinq. Température extérieure de 14°. Il faut mettre les K-ways pour sortir. Quelques mouvements d'échauffement. Nous courons le long de la rivière. Ces suaves sensations de parcourir une nature bucolique. Quarante cinq minutes d'effervescence avant de prendre la douche. Je redescends pour préparer la voiture. Le ciel est bleu. Il va être 7 h40. Le soleil va encore régner en maître. Clémentine vient me rejoindre. Jupe de velours carmin. Chemisier crème sous sa veste noire. Des mocassins beiges. Ses bras autour de mon cou.

Nous rions aux éclats en prononçant la même phrase en même temps : << Si je suis en retard, tu sais pourquoi ! >>. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou avant de rentrer pour faire la vaisselle, recouvrir le lit. Dans l'atelier, installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je plonge dans les plaisirs de ma peinture. Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser des cris surréalistes à chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent. Sans la moindre perception du temps. Ce sont les bruits que fait mon estomac et la sensation de faim qui m'avertissent. Il n'est pas loin de midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à réchauffer les restes de la purée Parmentier. De faire l'assaisonnement d'une laitue. J'en lave les feuilles pour ce soir.

Le rituel du jeudi soir impose ces délicieuses bouchées à la reine que je prépare avec amour. Coquillettes, Béchamel, émincé de dinde, champignons. Au four pour une lente cuisson à 160°. J'adore ce plat autant que mes deux anges. J'adore leurs en faire la surprise. Même si à présent Clémentine et Estelle s'y attendent probablement. La purée Parmentier réchauffée est encore meilleure. Je m'en régale en écoutant Sur Radio. Andrée Bercoff et ses invités qui reviennent une fois encore sur les résultats des élections européennes de dimanche dernier. Ils n'ont d'ailleurs pas fini d'en parler car les rebondissements sont chaque jour jubilatoires et révélateurs de la moralité douteuses, des convictions artificielles des différents larrons qui jouent cette pièce de théâtre pitoyable.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Il fait beau. Une véritable invitation à la paresse. Impatient d'un profiter un peu je dévale les escaliers. Une illusion supplémentaire car la température extérieure ne dépasse pas 20°. Un vent d'Ouest souffle en permanence depuis six jours. C'est tout de même fort plaisant de descendre jusqu'à la rivière. Je bavarde un peu avec monsieur Bertrand notre plus proche voisin. Je l'informe une fois encore des dates de départ et de retour concernant nos absences en juillet et août. Jusqu'à la mi septembre. Même si la propriété ainsi que la demeure sont équipées d'une domotique de pointe, monsieur Bertrand fait partie des "voisins vigilants". Il est presque quatorze heures quand je suis de retour dans l'atelier. Confortablement installé devant le chevalet.

Je peins dans le même enthousiasme que ce matin. Sans la moindre perception des heures qui défilent. Je sais qu'il est déjà dix sept heures trente quand j'entends les bruits familiers. Clémentine qui chante en revenant des toilettes et qui vient de rentrer de ses cours. En venant me rejoindre en sautillant, elle s'écrie : << Ça s'est super bien passé ! >>. Elle fait évidemment allusion à ses partiels. À califourchon sur mes cuisses, sa jupe retroussée, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Les confidences d'Estelle qui ne manquera pas de me mettre dans le secret dès son arrivée proche. << Viens, on profite de ce soleil ! >> lance Clémentine en se levant pour m'entraîner par la main. Nous sortons. Comme il fait beau !

Main dans la main, nous parcourons la propriété. Clémentine me fait part de son immense satisfaction. Les partiels successifs, depuis lundi, ont été de francs succès. Elle sait que c'est "dans la poche". La semaine prochaine il y aura la soutenance de sa thèse. << Une autre histoire. Mais je suis bien affutée ! >> précise t-elle. En riant elle rajoute : << Tu sais que j'aime bien aller en cours en jupe. C'est beaucoup plus facile pour me toucher en roulant. Ou aux toilettes de l'université ! >>. Nous rions aux éclats. Elle passe une main sous sa jupe pour m'en montrer un exemple. Son autre main qu'elle fourre dans ma braguette ouverte. J'ai très rapidement la bite à l'air. Clémentine me la tient pour en diriger les jets contre le mur de l'abri à bois. Dessinant un bonhomme et son chapeau.

Accroupie, sa culotte à mi cuisses, Clémentine pisse à son tour. Je prends du recul pour me branler en admirant la scène. Même si j'ai assisté à ses pissous un nombre incalculable de fois, cela reste toujours aussi intense, aussi spectaculaire et aussi attractif. Son sourire merveilleux. Ce petit spasme qui la fait frissonner de plaisir. Clémentine adore être vue, être regardée. Elle tire sur l'élastique de sa culotte avec l'index, se cambre davantage, cuisses écartées. Je m'approche pour frotter ma bite sur sa gueule. En gémissant d'aise elle me présente toutes les aspérités de son visage. Je la lui fais renifler en insistant bien sous ses narines. Le bruit d'un moteur. C'est le kangoo. Clémentine reste en position. Je contourne l'angle de l'abri pour agiter mon sexe dans la direction d'Estelle qui sort de sa voiture pour courir vers moi. Elle me saute au cou en s'écriant : << J'adore quand tu m'accueilles comme ça ! Je t'aime ! >>. Elle m'embrasse.

Je l'entraîne par la main pour rejoindre Clémentine. Elle a changé de position. Nous la voyons de dos, accroupie, dans une indécence folle. Nous comprenons pourquoi. Monsieur Bertrand bavarde avec elle de l'autre côté de la clôture. Nous avons le réflexe commun de nous rejeter en arrière. Notre voisin ne nous a pas vu. Ouf ! Nous pouvons mâter en toute quiétude. Estelle est en jupe également. Je passe ma main dessous. Merveille, pas de culotte. Cette découverte me fait bander comme un taureau en rut. Elle me la tient de sa poigne ferme. Nous observons. Impossible de comprendre le sujet de la conversation. Nous parviennent juste des bribes de phrases inintelligibles. Il est question de prendre un café, de tailler une pipe avant le départ. Ce vieux retraité salaud qui fait des propositions.

Clémentine se redresse. Cambrée sur ses genoux fléchis elle continue à se masturber tout en conversant. Estelle et moi, considérablement "allumés" nous passons là le moment le plus divin de cette journée. << J'ai baisée comme une dingue mercredi soir. Dans ma chambre. Je te raconte après ! >> murmure Estelle. Là-bas, Clémentine s'est rapprochée de la clôture. À nouveau accroupie pour jouer avec le sexe minuscule de monsieur Bertrand. << Qu'est-ce qu'elle attend pour le sucer ? >> chuchote Estelle. Monsieur Bertrand est lui aussi cambré pour passer sa queue entre les mailles du grillage. Position inconfortable et les herbes doivent déranger Clémentine en chatouillant ses fesses, ses cuisses et son sexe. Elle se redresse sans lâcher le Zob du vieux pervers. En bavardant.

Il finit par se retirer. Il prend la descente vers sa maison en faisant quelques grimaces de dépit. Sa femme a préparé le repas. Clémentine lui adresse un dernier coucou, saisit sa jupe pour la relever, avant de la laisser retomber pour nous rejoindre. << Pourquoi que tu ne l'as pas pipé ? >> demande Estelle. << Parce que ces put-heins d'herbes me piquaient la chatte et le cul ! >> répond Clémentine. C'est en rigolant comme des bossus que nous rentrons. Morts de faim. Comme prévu, mes deux anges sont enchantées de découvrir les bouchées à la reine. Nous mangeons de bon appétit. J'écoute les filles parler de leurs partiels. De ce qui les attend demain matin vendredi Et surtout l'après-midi où est organisée une conférence avec différents représentants d'entreprises de recherches du pays.

Les Doctorats en sciences appliquées sont très demandés par les entreprises de pointe. Les dirigeants savent très bien que beaucoup d'impétrants, une fois leurs diplômes en poche, quittent la France pour des pays bien plus rémunérateurs en termes de salaires. Notamment les États-Unis et l'Écosse. Parfois, alors que le sujet de la conversation n'a aucun lien, Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine. Je me lève pour agiter mon Zob. Estelle me raconte son mercredi soir en compagnie de son parrain. Jean-Marc qu'elle surnomme depuis peu "monsieur l'enculeur". Nous rions comme des fous à l'énoncé de ses performances. Bien évidemment, excités comme de beaux diables, nous ne traînons pas. Le lave vaisselle se charge du reste alors que nous passons au salon.

Le rituel des jeudis soirs. Léchages de minous et contrôles des fonctionnements. Toutes les deux, juste en chemisiers, vautrées dans le canapé, tenant leurs jambes relevées et écartées sous les genoux, en riant, me présentent leurs intimités velues. Je me masturbe en restant distant. C'est tellement charmant. Elles prennent rapidement un air sérieux pour m'observer avec autant d'attention que je les regarde. Encore une séquence "branle" qui nous enchante. Je viens me mettre à genoux sur un des épais coussins, entre les jambes d'Estelle. Elle se masturbe en se tortillant déjà. M'avouant qu'elle aussi se touche en conduisant au retour de l'université. J'approche mon visage pour humer les odeurs de sa journée de fille. Mes amis ! Quels plus merveilleux parfums que ceux d'un minou !

J'enfonce ma langue. Je fouille les lèvres de sa vulve. Le gout "vinaigre" de son trou à pipi. La cyprine que je tente de récupérer avant qu'elle ne s'écoule dans la raie culière. Je dois insister avec mes lèvres pour qu'elle me laisse sucer son clitoris. Clémentine se penche. Tout en se touchant, son visage près du mien, elle murmure : << Mon lécheur, tu t'occupes un peu de moi ? >>. Estelle répond : << Tu as Julien pour toi tout le temps. Laisse-le moi un peu ! >>. Elle me tient d'ailleurs fermement par les oreilles pour m'empêcher de passer à Clémentine. Elle m'attire sur elle. Je la pénètre. Elle s'adresse à Clémentine en disant : << Tu es punie ce soir. Pour tous tes méfaits ! >>. Nous rions de bon cœur. Ce soir, je baise Estelle comme elle aime. À la façon d'un ours en rut. À la hussarde.

Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il reste une heure. Je me dégage enfin de son étreinte pour m'agenouiller entre les jambes de Clémentine. Ce merveilleux petit cri qu'elle pousse lorsque ma bouche enveloppe son clitoris géant. Quand ma bouche descend j'ai droit à une véritable éjaculation. J'en prends plein. J'aspire, je suce. Estelle qui se masturbe se lève soudain pour se mettre à quatre pattes. Sa tête entre le canapé et moi, ma bite dans la bouche. La jambe de Clémentine sur ses épaules. Cette pipe est un enchantement. Clémentine se tourne pour me présenter son cul. J'y fourre mon visage. Je me régale de tout ce qui a coulé, qui se mélange à la sueur. Estelle cesse de sucer, se redresse pour se mettre dans la même position. Je lui bouffe le cul. Son orgasme est délirant.

Bonne nouille à toutes les coquines qui en savourent les jus sous les draps, avant de se laisser aller dans un profond sommeil régénérateur...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Saturday 15 June 2024 07:07

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 48 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2639 -



Juste Clémentine et moi

Hier matin, vendredi, ce sont une fois encore les gazouillis des oiseaux, le chant que fait la source en s'écoulant entre les rochers qui nous réveillent. Quarante cinq secondes de magie distribuées par nos I-phones. Clémentine vient se blottir contre moi. Quelques bisous, des câlins, il ne faut surtout pas se rendormir. Aussi, le mieux est de se lever rapidement. Nous nous précipitons aux toilettes. C'est toujours amusant de s'habiller de nos leggings de lycra noir, de nos sweats de lycra rouge comme le ferait des robots. << Cyborg ! >> dit Clémentine en revenant contre moi. Morts de faim nous dévalons les escaliers. En faisant le café, tentant de bien articuler, Clémentine me raconte ses rêves de la nuit. Je suis plié de rire parce qu'elle trébuche toujours sur les mots les cinq premières minutes.

Je presse les oranges, je pèle les kiwis. J'adore faire des papouilles à la fille que j'aime. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre jeudi soir en compagnie d'Estelle. << J'aime être punie comme vous m'avez puni ! >> lance t-elle. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme du week-end. Six heures vingt cinq. Nous enfilons les K-ways avant de sortir. La température extérieure est de 13°. Le ciel est voilé. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti pour un jogging de quarante cinq minutes. Là-bas, au-dessus de l'horizon, de gros nuages menaçants ont fait leur apparition. << Ça va être pour nous ce matin encore ! >> suppose Clémentine quand nous revenons pour prendre notre douche. Je redescends le premier, je prépare la voiture.

Sept heures quarante. Clémentine vient me rejoindre dans sa veste de fin velours noir. Un Levis délavé. Des bottines noires. J'adore quand elle porte ses lunettes d'étudiante déjà en me rejoignant. Ses bras autour de mon cou pour une dernière bise. Me confiant une dernière crainte pour son dernier partiel de la semaine. << Le tout dernier de ma vie ! >> précise t-elle en s'asseyant au volant. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. Je rentre faire notre vaisselle. Recouvrir notre lit avant de descendre dans l'atelier. Le ciel s'obscurcit étrangement vite. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je termine probablement ce matin la dix septième toile hyper réaliste de ma saison d'été.

Je peins dans la plus douce des voluptés. C'est un peu bizarre de savoir que ce vendredi Clémentine ne rentrera pas à midi. Son après-midi sera consacré à des conférences où se présenteront des représentants d'entreprises désireuses de recruter les futurs doctorants. << Ça va être d'un barbant ! >> sont les derniers mots prononcés par la fille que j'aime avant de partir il n'y a pas vingt minutes. Il est précisément midi quand je dépose la dernière couche de peinture sur la surface achevée du tableau. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je fais gonfler du riz complet. Les deux bouchées à la reine restantes seront notre repas de ce soir. Avec le riz j'aime savourer deux nems au crabe. Une salade de concombre et d'avocat en accompagnement. Un délice.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Le vendredi ce n'est pas André Bercoff qui anime l'émission mais Alexis Poulin. Alexis Poulin que l'on retrouve presque tous les matins sur sa chaîne youtube "Le monde moderne". Il aborde les sujets d'actualité avec son humour et son ton de gentleman complice. Avec les évènements, inutile de faire dans la dentelle. Alexis revient sur les pantomimes ridicules des dirigeants des différents partis de la gauchiasse qui unissent leurs efforts pour tenter de contrer la volonté de millions d'électeurs qui ne peuvent même plus les voir et les entendre sans êtres saisis de profondes nausées vomitives. Tant et tant d'années d'échecs répétés et vouloir s'accrocher ainsi à des principes éculés, mensongers, sont autant de manifestations pathétiques et affligeantes.

La vaisselle. Je remonte ma laver les dents. Pressé d'aller me dégourdir les jambes, je dévale les escaliers. L'ambiance est sinistre. Le ciel gris, plombé et bas, ne va pas tarder à déverser son eau. La température est de 20°. Je descends jusqu'à la rivière. Je peux prendre tout mon temps car je vais consacrer une partie de l'après-midi à achever le dessin préparatoire de ma dix huitième toile. Ce sera la représentation de la chapelle Rosslyn, l'ancienne collégiale saint Mathieu à quelques kilomètres d'Édimbourg. D'après une photo prise il y a deux ans. Les premières gouttes. Je me dépêche de remonter les trois cent mètres. Juste à temps avant d'être trempé. Il est quatorze heures. Je suis installé devant mon chevalet à dessiner. Tout à l'heure je procéderai à l'application des couches d'impression. Terre de Sienne brûlée acrylique que j'étalerai en deux couches croisées. Activité ludique qui me permettra de commencer la peinture dès lundi.

Je suis entrain de faire du rangement. Du bruit. Il est dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours. Je l'entends chantonner en revenant des toilettes. Juste avant qu'elle n'ouvre la porte pour me rejoindre, j'extrais mon chibre de la braguette boutons de mon vieux 501. Je bande mou. Les mains sur les hanches, je me positionne face à la porte. Par contractions des muscles fessiers, je fais bouger mon Zob. La porte s'ouvre. L'expression sur le visage de la fille que j'aime est extraordinaire. Elle reste ainsi, dans l'encadrement de la porte. Découvrant la scène. Dubitative avant d'éclater de rire. Elle se précipite vers moi pour me sauter au cou. << Je t'aime. J'adore ton accueil. Pourquoi que tu ne me reçois pas comme comme ça tous les soirs ! >> s'écrie t-elle. Nous rions.

Saisissant mon sexe, m'entraînant vers le vieux canapé de l'atelier, elle m'y fait tomber. Sur la table basse les tasses de thé fumant et les petits gâteaux secs que j'ai préparé il y a dix minutes. S'installant à mes côtés, Clémentine me raconte sa journée. À midi, avec Estelle, Gauvain et Léo, elles sont allées manger dans un petit restaurant. Elles avaient deux heures de battement avant le début de la première conférence. << Ils sont adorables tous les deux. Amoureux aussi ! >> dit elle. Nous en rions de bon cœur. Il pleut. Il y a un vent fort. L'obscurité est telle que nous avons l'impression d'être au début du mois de novembre. J'écoute Clémentine me narrer dans le détail le déroulement des conférences. L'attitude des professeurs. Alban leur maître de thèse qui semble avoir un penchant marqué pour ses thésardes. Clémentine m'avoue depuis plus d'une année le charisme qu'exerce ce professeur sur les dix huit étudiants de son groupe.

Je l'encourage à "se le faire" avant notre départ pour l'Écosse. Elle hésite un instant avant de préciser : << J'aimerais beaucoup mais dès les cours terminés il file à toute vitesse. Il a probablement une copine. Avec Estelle on fait les curieuses, on mène nos enquêtes, mais impossible d'en savoir davantage sur sa vie privée ! >>. En riant je dis : << Tu guettes. Tu attends qu'il aille aux toilettes. Tu le choppes entrain de pisser ! >>. Clémentine, pliée de rire, prend soudain un air sérieux de circonstance, faisant partie de la plaisanterie, pour répondre : << Je l'ai guetté à plusieurs reprises, cachée derrière les grandes plantes vertes en pots dans le couloir. Mais il y a chaque fois quelqu'un. Les profs de cette université vont pisser à deux ou à trois ! >>. Nous en rigolons alors comme des bossus.

Clémentine se couche sur le dos après avoir grignoté son dernier gâteau. Sa tête sur ma cuisse. Sa joue contre mon sexe redevenu mou. Je caresse ses cheveux. Je passe l'extrémité de mon index sur ses sourcils. Elle me raconte le programme qui l'attend la semaine prochaine. Lundi après-midi sera une des épreuves fondamentales puisqu'elle présente sa thèse. Elle n'aura pas cours le matin. << On pourra rester au lit et faire la grasse matinée ! >> dit elle en saisissant ma queue entre le pouce et l'index. Elle se tourne sur le côté pour la prendre en bouche. C'est une sensation exquise de se la faire sucer alors qu'elle est toute molle. Certes, ça ne dure pas. À peine trente secondes plus tard et je bande comme le dernier des salauds. À me faire sucer comme un bienheureux.

Ce n'est pas très agréable d'avoir la bite contrainte vers le bas. Aussi, pour trouver elle aussi davantage de confort, Clémentine se redresse pour se mettre à quatre pattes sur le canapé. Réussissant cette contorsion sans arrêter de sucer. Je passe ma main sous sa natte pour saisir sa nuque. J'appuie pour enfoncer toute la bite. Un haut le cœur. Surprise par mon initiative, Clémentine pousse un petit râle d'étonnement avant de glousser de plaisir. Elle s'installe plus confortablement pour me tailler une pipe des plus "académiques". Je murmure mes impressions quand à ses anecdotes concernant son maître de thèse. Suggérant des possibilités plus abracadabrantesques les unes que les autres. Ce qui la fait rire en suçant. Je l'encourage évidemment à trouver de bons "plans".

Je la force à cesser. << Cet apéritif m'a donné faim ! >> lance t-elle en se redressant pour s'assoir, poser sa tête sur mon épaule. << Je t'aime. Tu n'imagines pas comme c'est merveilleux pour une femme d'avoir un complice ! Je t'aime comme une folle même si je suis la dernière des salopes ! >> dit elle. Je me lève. Je prends sa main. Elle se lève. Nous nous embrassons passionnément. Je pense que ce n'est pas seulement sa salive qui mouille nos mentons. Morts de faim nous quittons l'atelier pour la cuisine. Les deux grosses bouchées à la reine réchauffent au four. J'aide Clémentine à faire l'assaisonnement des tomates. Nous mangeons de bon appétit. Je demande à Clémentine tous les détails salaces qui me viennent à l'esprit. Elle prend tellement de plaisir à entrer dans les détails.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine m'explique les stratégies qu'avec Estelle elles vont appliquer pour les épreuves de la semaine prochaine. Le charme et les envoûtements qu'elles vont exercer sur les jurys. La vaisselle. Nous passons au salon. Clémentine, à genoux sur un des épais coussins, insiste pour reprendre sa fellation. Sa préférence sexuelle avec le cunnilingus. Cunnilingus que je lui offre une dizaine de minutes plus tard alors qu'elle a retiré bottines, Levis et culotte. Les odeurs et les goûts de sa journée de fille. Je ne connais pas d'équivalent pour me procurer les plus doux vertiges. Les plus suaves tourments. Surtout lorsqu'elle évoque des situations concernant Léo et Alban. Nous ne tardons pas à faire l'amour. Immobiles, comme nous aimons, situation idéale pour Clémentine qui peut me confier tous ses secrets de filles. Ce qui entretient mon érection. Je la berce par instant. Et je cesse.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment à confesser leurs péchés en se faisant tringler sur le canapé. Avant de se faire tringler sous les draps...

Julien (confesseur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine, Julien et Estelle
Monday 17 June 2024 07:35

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 49 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2640 -



Un dimanche reposant et apaisant

Hier matin, dimanche, notre grasse matinée nous emmène aux environs de neuf heures. C'est Estelle qui nous tire du sommeil. Ses pieds qui bougent contre les miens. Toujours en quête d'un peu de chaleur supplémentaire. Sa cuisse qui se pose sur mon érection parfaitement naturelle. L'autre qu'elle glisse sous mes fesses. Pour imprimer un lent mouvement masturbatoire contre ma jambe. Posant ses lèvres sous mon oreille pour titiller la peau du bout de sa langue. Ce qui réveille également Clémentine qui vient faire pareille contre ma jambe gauche. Je glisse mes mains dans les culottes. La sensation rêche quand je passe mes doigts comme des peignes. Puis la douceur quand j'explore les secrets de leurs intimités. Distribution de bisous, à tous les étages quand Clémentine descend.

C'est toujours une étrange sensation que de se faire sucer sans excitation. Mais c'est très rapidement une sensation délicieuse. Estelle se lève d'un bond. Elle se précipite vers la porte en s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine cesse de pomper pour revenir à la surface des draps. Se coucher sur moi et frotter son sexe contre le mien. Nous ne sommes pas du matin mais une petite pénétration serait bien agréable. Hélas, l'impérieux besoin naturel nous oblige à nous lever pour suivre l'itinéraire d'Estelle déjà descendue. Nous dévalons les escaliers en slips et T-shirts de nuit. Nous la rejoignons à la cuisine où les effluves parfumées du café et du pain grillé sont un enchantement. Sur la table, l'énorme brioche au pudding livrée par madame Marthe samedi matin. Notre boulangère bien aimée.

Mes mains sur ses hanches, mon sexe mou contre ses fesses, je remonte sur ses seins minuscules. Le contact de la soie de son pyjama mauve, rajoute encore à la douceur. Clémentine se colle contre moi, ses mains palpant ma bosse. Je presse les oranges. Clémentine pèle les kiwis. Estelle beurre les tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la randonnée pédestre de samedi après-midi. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les deux possibilités de nous rendre au port de plaisance ce dimanche après-midi. Le ciel n'est bleu que par endroits. Des nuages gris pars laissent présager une pluie probable. Bicyclettes ou voiture ? Nous traînons à table. Assises sur mes genoux mes deux anges ne veulent pas jouer la carte du risque.

Il est donc rapidement décidé que nous irons au carré des antiquaires avec l'auto. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Nous changer. Pendant qu'Estelle s'habille comme nous, Levis, T-shirt et baskets, nous recouvrons le lit. Nous nous rejoignons sur le balcon. Il y a de nombreuses séquences alternant soleil et nuages. C'est étonnant de passer ainsi, d'un instant à l'autre de la lumière la plus vive à l'obscurité orageuse. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par la taille. Tout comme je le fais. << Il faut qu'on évite de parler études. Comme ça pas d'inquiétudes inutiles ! >> propose Clémentine. Estelle qui fourre sa main dans ma braguette béante, rajoute : << Oui. Évitons l'inutile ! >>. Je me retrouve avec la bite dans sa poigne ferme. Nous redescendons vite.

Au salon, assises sur mes cuisses, Estelle et Clémentine allument l'ordinateur. << Interdiction d'aller sur le site de l'université ! >> lance Estelle. << Ou alors juste un peu, pour rire ! >> s'exclame Clémentine. Il n'y aucune information. Nous consultons nos boîtes mails. Clémentine toute heureuse de trouver les dernières confirmations quand à l'organisation de notre périples de découvertes Écossaises. Du lundi 15 juillet au lundi 29 juillet nous pratiquerons le nomadisme. Un itinéraire où nous passerons chaque nuit dans un hôtel différent. Hôtels où Clémentine a réservé une chambre. Clémentine qui est passionnée par l'organisation nous a arrangé cette aventure. Cet été hors de question de louer un van ou un camping car. Nous voulons le confort. Arriver et nous installer après nos expéditions de la journée.

Et là, devant nos yeux, elle dévoile l'itinéraire qu'elle a conçu. Nous la félicitons. << Et il y a les passes touristiques dans le courriel. Regardez. Il suffit de scanner le QR code tout de suite et on peut aller visiter tout ce qu'on veut ! >> précise Clémentine. Tous les trois nous scannons. Clémentine télécharge également le circuit et les hôtels sur son I-phone. Estelle fait de même. Il y a le message de Juliette qui nous invite à manger chez elle mercredi soir. Le courriel de tante Amy qui se réjouit de nous revoir à notre arrivée à Édimbourg le mardi 2 juillet. Notre appartement au premier étage de la grande demeure Victorienne nous attend. Oncle Alan restera au pôle gériatrique de l'hôpital. Nous irons le visiter. Cet été nous passerons beaucoup moins de temps à Édimbourg. Tout comme chez tante Margaret en oncle Jack à Saint Andrews. Nous privilégions cette année l'aventure. Devenir des nomades itinérants est notre seul but.

<< On fait la bouffe, comme ça on peut aller se balader un peu ! >> propose Estelle. Nous nous précipitons à la cuisine. Estelle s'occupe du poulet à rôtir. Clémentine prépare l'assaisonnement d'une salade d'endives. J'épluche, je lave et je passe les pommes de terre au presse frites. La friteuse électrique posée sur la desserte. Il n'est que onze heures. Les préparations sont rapides. Nous nous faisons des bisous à chaque fois que nous nous croisons. Le poulet est au four. Les frites baignent dans l'eau pour éviter qu'elles ne noircissent avant d'êtres cuites sans huile. La table est mise. Nous sortons pour descendre jusqu'à la rivière. La température extérieure est de 22°. Par contre il y a un vent au fond frais. Le soleil le plus souvent caché au-dessus des nuages de plus en plus gris et bas.

Il est midi quand nous sommes installés à table. Nous mangeons de bon appétit en évoquant les aventures qui nous attendent en Écosse. La nouvelle formule que nous inaugurons cette année va nous permettre de nouvelles découvertes. Les hôtels choisis par Clémentine sont le plus souvent des établissements "classes". Nous voyagerons donc dans les toutes meilleures conditions. Avec notre voiture. Sans tracas. À plusieurs reprises Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine. << Tous les jours on se fixe des défis. Chacun a un gage à la moindre occasion ! >> lance t-elle. << Et moi je filme chaque réalisation ! >> précise Clémentine. Estelle rajoute à mon intention : << Julien, toi tu as l'obligation de nous fixer un challenge tous les matins au petit déjeuner ! >>

Je n'ai pas l'imagination de mes deux anges mais je promets d'être à la hauteur des attentes. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous changer. Les filles portent leurs jupettes sports, T-shirts, baskets. Je suis en short, T-shirt, baskets. Tous les trois dans les mêmes teintes. Pressés de filer nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos que je porte, la petite paire de jumelles, les minis parapluies, les barres de céréales. Par la route il y a 35 km. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Au retour, ce sera Estelle qui sera à l'avant. Caressant mes joues, mon cou, elle nous raconte son vendredi après-midi avec ses parents, le samedi matin à l'hypermarché avec sa maman. Nous verrons ses parents dimanche prochain. Ils viendront manger à la maison. Nous pourrons mettre au point les dates auxquelles nous seront dans leurs maison tout près d'Inverness.

Comme pour chaque manifestation organisée par la municipalité du bourg voisin, l'animation de ce dimanche est une franche réussite. Il faut garer la voiture à plus d'un kilomètre du port de plaisance. Les gendarmes régulent le flot incessant des voitures qui partent, qui arrivent. C'est à pieds que nous longeons la route jusqu'aux quais. Noirs de monde. Il y a plein de stands. Tenus par les brocanteurs et antiquaires parfois venus de très loin. Estelle et Clémentine ont glissé leurs culottes dans la pochette avant du sac à dos. Nous flânons entre les stands. Nous avons une passion commune pour les vieilleries. Et il y a là de quoi chiner. Pas toujours très discrète, Estelle palpe ma bosse. Je suis en érection. Ce qui déforme la braguette de mon short. Clémentine s'offrirait volontiers une petite exhibe.

Avec cette foule de promeneurs, de visiteurs et des premiers touristes, il serait vain d'espérer trouver un plan. Par contre il est beaucoup plus facile de jouer de nos mains sans êtres vus. Et nous ne nous en privons pas. Comme le dit Estelle : << C'est si bon d'être tout le temps excité ! >>. Nous savourons des boules de glaces en cornets. Glaces artisanales pas toujours très bonnes. Nos mesures étalons de comparaison restent les crèmes glacées Ben & Jerry's. Difficile de faire meilleur. Pas le moindre recoin pouvant permettre à clémentine de s'amuser. C'est entre les voitures, sur le parking saturé de la supérette que nous trouvons l'endroit le plus approprié. Entre deux autos, accroupie, Clémentine peut pisser. Se faire surprendre par ce jeune homme qui pousse sa trottinette électrique.

Estelle et moi, dissimulés derrière un van, nous assistons à la prestation exhibitionniste de Clémentine. En pissant, dans cette indécence folle, elle se fait surprendre puis bavarde avec l'inconnu. Nous ne percevons pas le sujet de la conversation. Estelle me tripote. J'ai une main sous sa jupe. << J'ai tout le temps envie de faire l'amour avec toi ! >> me chuchote t-elle. Clémentine, à présent debout, se torche longuement sous les yeux médusés du jeune type. Il tient sa trottinette, les yeux grands ouverts. Clémentine tend le mouchoir en papier. Elle s'approche pour le lui remettre. Il s'en saisit. Clémentine s'éloigne. Se retourne une dernière fois pour faire un signe amical de la main. C'est un gentleman. Il ne tente rien. Il coince le mouchoir en papier sur le guidon de sa machine.

Clémentine nous rejoint. Elle nous raconte. << Il m'en faut un autre ! >> dit elle alors que nous rions aux éclats. Estelle prend la même position pour se soulager. L'envie est pressante. Il n'y a personne. Elle ne peut plus attendre. Clémentine et moi faisons le guet. J'ai ma main sous sa jupe. C'est mouillé. Je la doigte. Nous continuons notre périple en revenant dans la foule. Il y a de belles possibilités à la condition d'être rusé. Là, devant des cartons de vieux disques vinyles, accroupie, Clémentine peut s'exhiber le plus légitimement. Les spectateurs ne manquent pas. Estelle et moi faisons semblant d'êtres captivés par les vielles pochettes de 33 tours que nous regardons. Ce qui nous intéresse vraiment c'est la réaction des très rares solitaires qui découvrent la situation extrêmement discrète.

Il y a là de quoi satisfaire les penchants de Clémentine. Estelle m'entraîne par la main. Nous contournons les stands où Clémentine s'amuse ainsi. Nous pouvons nous aussi admirer et nous rendre compte des effets produits. C'est du grand Art. Clémentine est une véritable virtuose. Derrière les verres fumés de ses lunettes de soleil, elle peut mâter et surveiller, préparer son coup. Nous sommes parfois amusés des réactions. Une nouvelle fois Estelle me dit : << J'ai envie de faire l'amour avec toi ! >>. Cette envie, depuis quelques semaines, devient de plus en plus prégnante. Quelques gouttes de pluie. Rien d'alarmant. Je suggère de nous trouver un bon restaurant pour la soirée. Mes deux anges ne veulent même pas en entendre parler. Trop excitées, elles préfèrent manger à la maison.

Bonne faim de soirée à toutes les coquines qui, dès le repas terminé, vont se jeter à corps perdus dans le stupre, la luxure et les réjouissances les plus diverses...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Tuesday 18 June 2024 07:38

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 1 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2641 -



Soirée en amoureux

Il est presque huit heures, hier matin, lundi. Nous nous réveillons quasiment en même temps. Qu'il est agréable de pouvoir commencer la semaine en dormant un peu plus longtemps. Clémentine qui vient se serrer contre moi, n'ira à l'université que cet après-midi. Elle présentera sa thèse devant un jury de professeurs. Aussi, c'est une sorte d'antidote à l'inquiétude qu'elle vient chercher dans mes bras. Des papouilles qui deviennent câlins. Des bisous jusqu'à l'extrême limite. Pas d'autre choix que de se lever, de nous précipiter aux toilettes. Nous mettons nos tenues sports à la salle de bain. Il pleut. Il n'y aura pas de jogging en extérieur. C'est rageant. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. En préparant le café, Clémentine me raconte ses rêves. Avec les détails.

Je pèle les kiwis. Je place le reste de la brioche au pudding dans le four à micro ondes. Je presse les oranges. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les moments clefs de ce weekend déjà derrière nous. Nous mangeons de bon appétit en évoquant les craintes légitimes mais parfaitement inutiles de Clémentine. Sa soutenance de thèse occupera une partie de son après-midi. Je dis : << Peut-être que Léo se sera débrouillé pour se faire chercher plus tard après les cours. Un petit mensonge à sa maman pour baiser avec toi dans la bagnole ! >>. Clémentine, venant terminer sa tartine au miel sur mes genoux, me fait : << Si seulement. Ce serait un excellent retour à la "normale" ! Ce soir on est juste nous deux et si ça se passe avec lui, en rentrant, je refais avec toi ! >>

Nous en rions de bon cœur. Nous pouvons prendre tout notre temps. Traîner à table. Un avant gout des vacances qui débuteront dans un peu plus d'une semaine. La vaisselle. Nous remontons pour nous offrir notre entraînement en salle. Les échauffements aérobics. Le jogging sur tapis roulant. Un peu de vélo ergométrique. Les exercices au sol. Chacun cent abdos. Chacun vingt pompes. La manipulation des charges additionnelles. Le retour au calme d'un consciencieux stretching. La douche. Vêtus de nos Levis, de nos sweats, baskets, nous redescendons pour passer au salon. Assise sur mes cuisses, me tournant le dos pour allumer l'ordinateur, Clémentine va directement sur le site de l'université. Les informations attendues s'affichent sur l'écran. Je caresse ses seins.

Clémentine lit à voix haute. Elle prend quelques notes. Après sa soutenance de thèse il y aura le tirage au sort d'un sujet au hasard qu'il faudra développer demain matin. << Je termine à seize heures demain. Regarde les horaires des prochains jours. C'est chaotique ! >> lance t-elle. J'ai passé mes mains sous son sweat. Quel bonheur de toucher délicatement ses seins minuscules. Passer les doigts dessous. Sentir leur fermeté. << Tu viens me faire ça cet après-midi pendant ma soutenance ! >> dit elle en saisissant mes deux poignets. Elle relit des passages à plusieurs reprises. Afin de bien comprendre l'emploi du temps des prochains jours. << Ça sent la fin. Nous aurons les résultats le 4 octobre. De quoi angoisser jusque là. C'est vache ! >> explique Clémentine. Je la rassure. Ça ira bien.

Nous visitons nos boîtes mails. Aucun courriel. Clémentine affiche l'itinéraire qu'elle a élaboré pour l'été. Nous quitterons Édimbourg en direction de Glasgow. Nous remonterons toute la côte Ouest. Nous ferons le tour de l'Écosse en restant sur le littoral. Chaque nuit dans un hôtel différent. Déjà réservé parfois depuis la fin janvier. Les capacités d'organisations de la fille que j'aime ne cessent de m'étonner. La coquine fait tout cela depuis son ordinateur, près de moi, alors que je la crois souvent penchée sur son travail universitaire. << J'y accorde tous les soirs dix minutes, un quart d'heure. Toi, tu es dans ta peinture ! >> m''explique t-elle une fois encore. Elle se lève, change de position pour s'installer à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou, mitraillant mon visage de bises.

Elle m'expose le procédé mental qu'elle va utiliser durant nos vacances : << Interdiction de parler université, études, Doctorat et résultats ! Si tu me surprends à le faire avec Estelle, tu me donnes une punition, un gage que je dois réaliser dans l'heure qui suit ! >>. J'écoute en riant. Je dis : << De toutes les manières, je te réserve quelques "pénitences" pour juillet, quelques "punitions" pour le mois d'aout ! >>. Clémentine, avec un petit cri de ravissement, enfonce sa langue dans ma bouche. Nos baisers passionnés mouillent le bas de nos visages. Nos bouches glissent. << Je t'aime ! >> répète t-elle plusieurs fois. Mon érection contrainte par une bite tordue au fond de mon slip rend la position inconfortable. Clémentine se lève, s'accroupit pour extraire mon chibre de ma braguette.

Mon érection dans la main, elle me sourit. << Je peux me taper Léo encore quelquefois avant l'Écosse ? >> demande t-elle avec une expression d'innocence. Je caresse sa tête pour répondre : << Tu ne peux pas. Tu dois ! >>. En riant elle frotte ma queue sur son visage. Lorsqu'elle veut gober ma bite, j'esquive au dernier instant. Nous rions. Ce jeu plait beaucoup à Clémentine qui me confie son désir de mettre la barre très haute cet été en Écosse. << Je suce toutes les queues qui passent à ma portée ! >> lance t-elle en essayant d'attraper mon sexe avec sa bouche. << Tu me la donnes ! >> s'exclame t-elle. Je réponds : << Ça va te perturber. Tu sais bien que quand tu commences, tu ne peux plus t'arrêter ! >>. Nous en rions aux éclats. Je la lui donne enfin. Belle récompense.

S'étant mise à genoux à même le parquet, ses mains sur mes cuisses, Clémentine me taille une authentique pipe des familles. Je chuchote des souvenirs communs. Sans cesser de piper, Clémentine rit en gloussant des plus insolites histoires que je lui rappelle. Je la saisis par sa natte pour la forcer à se retirer. Je me lève précipitamment en l'entraînant dans le même élan. Je m'accroupis à mon tour pour masser ses pauvres genoux probablement douloureux. Elle caresse ma tête en gémissant de soulagement. Je me redresse. Clémentine vient se blottir dans mes bras. Je la berce longuement. Je devine les inquiétudes qui la tourmentent. Je murmure à son oreille : << Tu verras, tout se passera très bien. Tu ne connais pas l'échec et tu as tellement bossé. Ne te tracasse plus ! >>

Comme soulagé, poussant un profond soupir, elle conclue : << Tu as raison ! >>. Je rajoute : << Et sinon tu recommences l'année prochaine. Après tout, tu n'es pas assujettie à un quelconque devoir de résultat ! >>. Elle saute à mon cou. Je la soulève. << Je t'aime, tu es tellement sécurisant ! >> lance t-elle en enserrant ma taille de ses jambes. Je la promène ainsi dans toute la grande pièce. Je la pose au sol devant une des deux portes fenêtres. Nous regardons tomber la pluie. Je dis : << Tu sais que les jours de pluie sont tes journées de chance ! >>. La vision de la campagne sous la pluie nous pousse à un long silence contemplatif. Je propose de prendre le grand parapluie et d'affronter les éléments. Clémentine m'entraîne par la main jusque dans le hall d'entrée. Parapluie.

La température extérieure est de 20°. La pluie tombe, régulière et abondante. C'est sous le parapluie que je tiens que nous descendons jusqu'à la rivière. C'est très agréable malgré cette météo pitoyable. Il va être onze heures trente. Morts de faim nous remontons. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de carottes. Je fais bouillir l'eau des spaghettis. Dans la poêle je fais rissoler deux escalopes de poulet avec des champignons. En fin de cuisson, après avoir égoutté les spaghettis, je rajoute deux belles tomates coupées en dés. Ça rajoutera du jus. Clémentine râpe le gruyère. Nous mangeons de bon appétit quand je suggère d'emmener Clémentine à l'université pour 14 h. De la rechercher en fin d'après-midi. << Et si Léo a réussi à se libérer des griffes de sa mère ? >> lance t-elle.

Un moment de silence avant que Clémentine ne s'exclame : << Je préfère être avec mon chéri. Au diable le reste ! >>. Elle vient terminer son yaourt au miel sur mes genoux. Je rajoute : << Et on s'offre un bon restaurant ce soir ! >>. Clémentine, enchantée, change de position pour s''installer une nouvelle fois à califourchon sur mes cuisses. Position idéale pour se faire face, se faire des bisous, se fixer dans les yeux en revenant sur les folies qui nous attendent cet été. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Clémentine se change. Elle présentera sa thèse vêtue d'un complet beige. Un ensemble qu'elle porte avec tant d'élégance. Évoquant quelques secrétaires de direction. J'adore quand elle porte ses lunettes d'étudiante. Nous prenons des poses devant les miroirs.

Des escarpins beiges également. À talons. C'est à un mètre quatre vingt huit que culmine Clémentine avec des talons de six centimètres. Elle marche dans la chambre à la manière d'une mannequin. Tournant sur elle-même, faisant la moue comme les filles dans les défilés de mode, sur les podiums. Je savoure ces instants extraordinaires. Puis elle se met à faire des grimages, des pantomimes désarticulées. Nous rigolons comme des bossus. Excellentes mises en conditions pour aborder les épreuves de l'après-midi dans les meilleures dispositions mentales. Il faut y aller. Il est préférable d'anticiper tout impondérable en arrivant en avance. Nous redescendons. Le parapluie. Un exemplaire de sa thèse à la main, son sac à main en bandoulière, Clémentine reste accrochée à mon bras.

Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Je roule prudemment. Il y a quinze kilomètres jusqu'au campus universitaire. Je gare l'auto sur le parking. D'autres étudiants arrivent. C'est un ballet incessant de voitures qui se garent. Notre grosse berline Allemande attire l'attention de quelques collègues étudiants. Voilà Estelle qui arrive dans son Kangoo. Elle nous rejoint pour s'assoir une minute à l'arrière. << J'ai une de ces trouilles ! >> avoue t-elle. Je dis : << Tout se passera très bien. Pas d'inquiétude ! >>. Pour sa soutenance, Estelle porte un ensemble crème. Elles sont d'une élégance folle toutes les deux quand je les vois s'éloigner sous le grand parapluie. Elles se tiennent par le bras pour saluer d'autres étudiants de leur groupe. Elles disparaissent dans le bâtiment.

Je suis de retour à la maison pour quatorze heures vingt cinq. Je retournerai pour seize heures trente. Installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je peins en prenant conscience que j'ai accumulé un peu de l'inquiétude de Clémentine. Mais ce que j'ai pris sera moins lourd à porter pour elle. Je l'imagine entrain de présenter sa thèse comme le ferait une professeur donnant une conférence. Elle a l'aplomb nécessaire et contrôle parfaitement ses différents personnages. Je ne suis pas inquiet. Il est seize heures. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je monte me changer. Pantalon noir à plis, à pinces. Chemise blanche au col négligemment déboutonné. Un veston noir. Des mocassins noirs. Je sais que cette tenue flatte beaucoup la libido de Clémentine.

Je suis garé sur le parking devant l'université. Des étudiants quittent le parc de l'université. Il ne pleut plus. Le ciel s'est illuminé. Heureux présage. Là-bas, Clémentine qui traverse la rue pour venir sur le parking. Elle est rejointe par Estelle. Elles s'installent toutes les deux dans l'auto. << Toutes ces inquiétudes pour rien ! >> lance Estelle. << Ça s'est superbement bien passé ! >> rajoute Clémentine. Elles racontent. C'est passionnant. Évidemment, de sublimes jeunes filles devant une assemblée constituée de professeurs, d'étudiants déjà thésards comme jury, est surtout une épreuve pour l'assemblée présente. Peut-être davantage que pour la candidate. Elles en rient toutes les deux. J'aime les savoir emplies de certitudes. Cette épreuve s'est effectivement très bien déroulée.

Je demande : << Et le tirage au sort pour demain ? >>. Estelle répond : << Il faudra y procéder demain matin ! >>. Clémentine rajoute : << Et demain matin on ne commence qu'à neuf heures ! >>. Nous restons un long moment dans la voiture. Les filles ont besoin de parler, de soulager tout le stress accumulé. Je propose à Estelle de venir manger avec nous. J'ai réservé une table dans l'établissement étoilé dont nous apprécions la cuisine. Elle décline mon offre car sa mamie est à la maison pour quelques jours. De toutes façons nous passerons le mardi soir ensemble. Estelle me palpe la braguette en disant : << Tu es beau dans ton costard "Bernard Henri Levi" ! >> Elle enfonce sa langue dans ma bouche avant de nous quitter. Une bise sur la bouche de Clémentine. Elle sort de la voiture pour rejoindre la sienne. Un dernier coucou en passant devant la nôtre. Je démarre. Nous prenons la direction de la ville. Huit petits kilomètres. Je me fais tailler une pipe.

Bonne faim de soirée à toutes les coquines rassurées, soulagées et aimantes. Rien de plus calme que de s'attabler dans un bon restaurant pour oublier les tourments d'une soutenance de thèse dans un amphithéâtre devant une trentaine de personnes. Avant de retrouver les draps sous lesquels il se passe des trucs...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Wednesday 19 June 2024 07:37

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
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Juste nous deux

C'est très agréable de pouvoir prolonger le sommeil d'une heure. Hier matin, mardi, c'est juste un peu avant sept heures que nous sommes réveillés. Une des options de l'application téléchargées sur nos I-phones. L'illusion d'être en pleine forêt. En gémissant, Clémentine vient se blottir contre moi. Instant précieux et magique. Des bisous. Des papouilles. Il faut se lever pour aller aux toilettes avant toute chose. Nous vêtir de nos tenues de gymnastique à la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine prépare le café en me faisant part de ses appréhensions quant au programme de sa journée. Il y a le tirage au sort d'un sujet qu'elle devra développer devant un jury. Elle aura une heure pour le faire. J'écoute avec attention en pressant les oranges, en pelant les kiwis.

Je place les deux gros croissants aux amandes dans le four à micro ondes. Nous beurrons les premières tranches bien chaudes éjectées par le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de lundi. Un délicieux repas dans notre restaurant préféré. En début de semaine c'est fort sympathique. Je propose une récidive pour ce soir. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la possibilité d'une réservation dans un autre établissement réputé pour la finesse de sa gastronomie. Je dis : << Pourquoi pas le restaurant de l'étang. Nous pourrons y revoir Anne-Marie, la tante de Julie ! >>. Clémentine préfère rentrer et rester à la maison. Je comprends son attitude aussi je propose un gratin de pommes de terre au fromage. Une de ses préférences.

Sept heures vingt cinq. Il pleut. Le ciel est sinistre et il règne une sinistre pénombre. C'est donc à l'étage, dans notre salle de sport, que nous remontons pour quarante cinq minutes d'entraînement. Échauffements aérobics. Jogging sur tapis roulant. Exercices au sol. Abdos, pompes avant de passer aux charges additionnelles. Le retour au calme d'un stretching. Ce matin Clémentine s'y adonne consciencieusement. Les étirements contrôlés permettent de soulager le stress. Aussi bien mental que musculaire. La douche. Je redescends pour aller préparer la voiture. Il va être 8 h40. La température est de 20°. C'est sous son parapluie que Clémentine vient me rejoindre. Sa fine veste de lin écru, un pantalon beige comme ses mocassins. Ses bras autour de mon cou pour un dernier bisou.

Toujours cette phrase qui va résonner dans mon esprit jusqu'à son retour. Qui va m'habiter de délicieux tourments : << Si je suis en retard, tu sais pourquoi ! Et ça me changerait bien les idées en fin d'après-midi ! >> dit elle. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer au sec pour faire notre vaisselle, recouvrir notre lit. Dans l'atelier, installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette dix neuvième toile hyper réaliste destinée à ma saison d'été, m'accapare rapidement. Je peins en pensant à cette phrase prononcée tous les matins. Un peu comme un mantra. Cette idée m'amuse. Il est plus rapidement midi que les autres jours. Ce qui me déstabilise quelque peu. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je fais gonfler du riz complet.

L'assaisonnement d'un concombre auquel j'aime rajouter un avocat bien mûr. Deux nems au crabe à la poêle. J'épluche, je lave et je coupe de belles pommes de terre. Fines tranches que j'ébouillante quelques minutes à l'auto cuiseur. Je coupe de bonnes tranches de Morbier et de saint Nectaire. Je concocte un mélange œufs, crème fraîche, fromage blanc avec du lait. J'égoutte les patates pour les disposer dans le plat carré en terre cuite. Je verse le liant. Je recouvre avec les tranches de fromages. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillées. Des cerneaux de noix. Un peu de persil et d'ail avant de placer dans le four pour une lente cuisson à 160°. Il faut que cela mijote longuement. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. L'émission quotidienne d'André Bercoff.

Avec ses invités ils abordent aujourd'hui le cas du président de la République. Les différentes hypothèses pouvant expliquer sa décision de dissoudre l'Assemblée Nationale. La ruse machiavélique dont il va probablement, une fois encore, faire preuve dans une stratégie du chaos qui lui est chère. La certitude d'avoir déjà des députés RN au conseil de l'Europe évitera les magouilles trop évidentes de ce côté là. Plusieurs pays ont envoyé les leurs. Tout ne se déroulera plus aussi facilement pour faire passer des lois scélérates et des normes plus ridicules les unes que les autres. Une seule certitude. Quel que soit le gagnant des législatives Macron lui refilera le "bébé" et l'eau de son bain. Démerde-toi avec la dette et tout le reste. Et, pendant les trois ans qui termineront son désastreux mandat, il ira couper des rubans, inaugurer des fêtes, faire des discours à l'amicale des boulistes Berrichons, commémorer les anniversaires de défunts parfois célèbres.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. La pluie a cessé. Le ciel semble s'éclaircir. Impatient d'aller me dégourdir les jambes, je redescends à toute vitesse. La température extérieure est de 25°. Avec l'humidité l'impression est assez désagréable. "Collante" car les vêtements adhèrent rapidement à la peau. Je suis en bermuda et T-shirt. Je vais jusqu'à la rivière. J'y bavarde un petit moment avec monsieur Bertrand. Notre plus proche voisin venu nourrir les canards. Il est treize heures cinquante quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins en pensant à nos vacances proches. Ce nouveau séjour en Écosse. Les réjouissances à l'idée de revoir mes oncles, mes tantes et peut-être mes cousins et cousines. Le timing est différent aujourd'hui. Il est seize heures trente.

Clémentine rentre de l'université une heure avant. J'aime l'entendre chantonner en revenant des toilettes, juste avant qu'elle ne me rejoigne dans l'atelier. Elle se précipite avec un enthousiasme extraordinaire. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Tout s'est merveilleusement bien passé. Le sujet tiré au sort était dans l'exacte domaine de ses compétences. << Ce ne fut que d'heureuses suites de choses que je maîtrise à la perfection ! >> précise t-elle en mitraillant mon visage de bisous. J'écoute les détails de ses récits. Je savais que tout se passerait bien. Je lui en fait part. Elle répond : << J'étais affutée pour ces épreuves. Demain je reste à la maison. Je dois préparer l'écrit à rendre jeudi matin. Je commence à 9 h ! >>

<< Viens on sort un peu ! >> rajoute t-elle en se levant. Je nettoie rapidement la palette, les pinceaux pendant qu'elle visite nos boîtes mails. Le soleil fait de fréquentes apparitions dans un ciel libéré de son trop plein de nuages et d'eau. Par contre tout est mouillé et luisant. Main dans la main, nous descendons jusqu'à la rivière. Je reste passionné par les anecdotes que partage Clémentine. Il se passe tant de petits évènement durant cette période d'examens. Elle revient sur ses réflexions quand à sa carrière. Jusqu'à peu Clémentine se destinait à l'enseignement en troisième cycle universitaire. Mais les offres alléchantes de grandes entreprises, la poussent à la réflexion. Accepter un poste dans la recherche scientifique en restant maître de conférence, semble l'attirer davantage.

<< Estelle ne viendra pas nous rejoindre ce soir. Il y a sa mamie qui est montée du Var pour passer quelques jours en famille ! >> précise Clémentine par association d'idées. En effet, c'est avec Estelle qu'elles envisagent leurs futures carrières. L'avantage d'être professeur d'université ce sont les quatre mois de vacances chaque année. Par contre les salaires ne sont en rien comparable à ce qui est proposé dans le privé. Aux États-Unis comme au Royaume Unis et tout spécialement dans notre chère Écosse en plein développement des techniques de pointe. << Tout cela demande réflexion. Estelle et moi prendront nos décisions à la fin de l'été. On va te casser les pieds avec nos interrogations car on va en discuter souvent ! >> m'explique t-elle. Je la rassure. Je comprends parfaitement.

Nous remontons le chemin caillouteux et détrempé. Clémentine m'entraîne derrière la dépendance, devant l'abri à bois. Nous adorons l'odeur du hêtre et du chêne qui va sécher là durant des années. Elle glisse sa main dans ma braguette béante. La tirette baissée. Le tissu de mon bermuda est plus ample que celui d'un Levis. Elle peut donc y fouiller plus facilement. M'en extraire le chibre en disant : << Mon doudou rien que pour moi ce soir ! >>. Ma queue molle dans sa main, elle enfonce sa langue dans ma bouche. Ma bandaison est presque immédiate. Je bande rapidement comme le dernier des salauds. Je glisse ma main entre ses cuisses. Le lin de son pantalon est plus rêche que le coton. C'est très agréable. Nous nous embrassons longuement. Le bas de nos visages trempé.

Clémentine s'accroupit. Me tenant par les hanches, elle hume les odeurs de ma journée d'homme. Les yeux fermés, en gémissant de contentement. Elle gobe l'extrémité de mon sexe. Indicible sensation. Comme si j'avais la bite dans un bol de purée tiède. Comme si une douce ventouse emprisonnait ma biroute. Je caresse ses cheveux. Je la regarde se régaler. Elle se redresse. M'attire devant la cloison en bois. Me tient la bite. Je bande. Impossible de pisser. Ce qui nous fait rire. Je saisis sa natte pour la forcer à se pencher. Elle s'accroupit à nouveau. Je frotte mon sexe sur son visage. Cette fois, à chaque tentative de le prendre en bouche, j'esquive au dernier instant. J'adore faire ça. Ce qui amuse beaucoup la fille que j'aime qui en roucoule. Poussant de petits cris de dépits, ou de joie.

Je l'aide à se redresser. Nous nous embrassons à nouveau. La faim commence à se faire sentir. Nous rentrons alors que le ciel se couvre inexorablement pour de nouvelles séquences pluvieuses. Lorsqu'elle découvre le gratin de pommes de terre qui réchauffe au four, j'ai droit à de nouveaux élans passionnés. J'aide Clémentine à faire l'assaisonnement de deux belles endives. Nous mangeons de bon appétit. À l'idée de rester à la maison demain toute la journée, Clémentine s'avère facétieuse. J'adore quand elle est déconneuse. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me fait part de ses projets de vacances. Tout ce qu'elle me réserve comme "coquineries". J'écoute avec attention. Et avec la trique. C'est passionnant. Moi aussi je lui réserve de belles surprises. Nous en avons parlé en cachette avec Estelle. C'est oublier qu'Estelle et Clémentine en parlent également à midi au restaurant universitaire. << Le seul secret que garde une femme est celui qu'elle ignore ! >> lance Clémentine en palpant ma bosse.

La vaisselle. Clémentine m'entraîne au salon. Elle retire ses mocassins, son pantalon et sa culotte. Couchée sur le dos, dans le canapé, un pied posé sur le dossier, jambes écartées, elle dit : << Viens ! >>. Je retire mon bermuda, mon slip. Au-dessus d'elle, en appui sur mes bras, je la laisse prendre l'initiative de la suite des "opérations". J'aime lorsqu'elle s'empare de mon érection pour la frotter contre son sexe. Jouer avec comme s'il s'agissait d'un sextoy. Pour finir par se l'introduire avec précautions. Se mordillant la lèvre inférieure, positionnant sa tête sur les épais coussins. Nous nous berçons doucement. Longuement. Avant de retrouver l'immobilité que nous apprécions tant. Ce sont toujours les moments précieux où Clémentine me révèle ses secrets de filles. C'est toujours hyper excitant. Ce qui maintient mon érection. Par contractions des muscles fessiers je fais bouger ma turgescence en elle. Elle fait de même. Fabuleuses sensations.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment faire l'amour libres de toutes contraintes horaires. Sachant qu'elles pourront faire la grasse matinée le lendemain...

Julien (confident toujours à l'écoute)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
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Une soirée chez Juliette

Hier matin, mercredi, nous nous réveillons quasiment en même temps. Il va être sept heures. Aujourd'hui Clémentine reste à la maison. Ce qui la rend facétieuse dès le levé. Elle vient se blottir contre moi en murmurant des propos amphigouriques. Je ris. Elle attrape mon érection naturelle en riant avec moi. Au réveil, elle n'arrive jamais à prononcer une phrase de quatre mots sans trébucher sur deux d'entre eux, sans rendre inintelligibles les deux autres. C'est en rigolant comme des bossus que nous nous précipitons aux toilettes. Nous revêtons nos tenues de jogging à la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine prépare le café en ayant retrouvé ses facultés de locution. J'aime l'entendre raconter ses rêves de la nuit. Pendant que je pèle les kiwis.

Pendant que je presse les oranges. D'un geste gracieux elle attrape les quatre premières tranches éjectées du grille pain. Je les beurre. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre seconde soirée en amoureux de mardi. En prenant l'accent Corse, Clémentine dit : << Et ce soir nous irons nous branler en compagnie de Juliette ! >>. Nous ne cessons de rire. En effet, nous sommes invités chez notre amie pour le repas du soir. Attendus pour 19 h30. Nous mangeons de bon appétit en prenant tout notre temps. Dehors le ciel est bleu. Finies les pluies de la journée de mardi. La température extérieure est de 19°. La journée s'annonce probablement chaude et ensoleillée. La vaisselle. Enfin nous pouvons sortir sans revêtir de K-ways. Quelques mouvements d'échauffement.

C'est le long de la rivière que nous nous offrons une heure d'un agréable running. La douche. Clémentine porte une jupette claire et plissée façon "tennis". Un T-shirt crème. Je suis en short beige, T-shirt blanc. Nos baskets. Nous redescendons pour nous rendre directement dans le hall d'entrée. Clémentine ouvre le portail depuis l'interphone. Nous passons dans l'atelier. Assise devant son ordinateur, elle se met immédiatement à ses travaux d'écriture. Elle devra présenter demain, jeudi matin, l'écrit du sujet tiré au sort. << Ça c'est superbement bien passé pour l'oral, je vais enfoncer le clou par le texte ! >> lance t-elle toute heureuse de se mettre devant un nouveau défi. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Il va être neuf heures. Excellent timing.

C'est l'absolu bonheur que de travailler ensemble, à quelques mètres l'un de l'autre. Je peins dans un véritablement enchantement paradisiaque. J'aime entendre Clémentine se relire. Parfois je me lève pour passer derrière elle. Mes mains délicatement posées sur ses épaules, penché, mon visage tout près du sien. Placer mes lèvres dans sa nuque. Titiller la racine de ses cheveux du bout de ma langue. << Tu commets l'irréparable ! >> murmure t-elle sans cesser de taper sur son clavier. Je ne m'attarde pas. Mon téléphone se met à vibrer entre les tubes de peintures. C'est Danièle. Notre livraison du mercredi. Il est un peu plus de dix heures. Clémentine se lève d'un bond. Me rejoint pour saisir ma main, m'entraîner hors de la grande pièce. La camionnette blanche se gare devant le garage.

Nous allons à la rencontre de notre livreuse sous un soleil déjà étonnamment chaud. Nous n'en avions plus souvenir avec la médiocrité des nombreux jours de ce printemps qualifié par Clémentine de "pourri". Danièle, redevenue depuis quatre semaines la dame des fruits et légumes, nous salue d'une manière presque anonyme. Nous jouons le jeu en comprenant parfaitement ce changement de comportement. De lui montrer ma bite, de la voir sucer, tout ça est terminé. Sur sa demande. Femme mariée et mère de famille la jeune femme a décidé de cesser les "déviances". Nous récupérons le grand sachet de papier kraft contenant les escalopes de dinde et le poulet à rôtir. Paiement par virement bancaire. Nous nous dépêchons de rentrer pour placer la viande dans le réfrigérateur. Retour dans l'atelier.

La matinée s'achève doucement. << Terminé ! >> s'exclame Clémentine en tirant ses écrits sur l'imprimante. Je nettoie la palette, les pinceaux. << Écoute, tu me dis ce que tu ressens ! >> lance t-elle en tournant autour de moi. Déclamant son texte comme le ferait une actrice de théâtre passant son casting. Je trouve l'ensemble parfait. En toute objectivité. Je la rassure, ça passera "crème" avec les félicitations du jury. Elle me saute au cou. Mitraille mon visage de bises. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer les restes du gratin de pommes de terre. J'aide Clémentine à faire l'assaisonnement des tomates. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le comportement de Danièle. Nous rappelant ses attitudes passées. Le plaisir qu'elle semblait y trouver.

<< Son mari est tombé sur ses textos et ses trucs pas clairs. On la comprend. Elle ne veut plus d'histoires de cul dans son couple ! >> précise très justement Clémentine. Avec cette splendide journée, il est décidé d'une virée à bicyclette. Un allé retour au port de plaisance. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Clémentine porte une jupette de lycra beige, un T-shirt de lycra blanc. Je porte un short et un T-shirt de même couleur et de matière identique. Impatients de profiter de ces conditions météos enfin de saison, nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos, des brugnons, des barres de céréales et la minuscule paire de jumelles qui ne nous quitte jamais. Les bouteilles d'eau à la main, nous traversons le jardin en courant. Je vérifie le gonflage des pneus, la tension des chaînes, les freins. Tout est parfait. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle. Cinq cent mètres, voilà la piste cyclable.

Nous pédalons poussés par un vent d'Est que nous aurons hélas de face au retour. Il n'y a pas grand monde à circuler sur l'étroite route. Quelques séniors déguisés en coureurs du Tour de France. Vingt cinq kilomètres de pur bonheur. Sans arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Clémentine se "garde" pour une éventuelle opportunité exhibe à l'arrivée. Rien n'est plus gratifiant pour sa psyché en période d'examens. Et elle est fermement décidée à saisir la moindre occasion. Il y a de nombreux bateaux sur le canal. Certains attendent aux écluses. Les employés VNF, (voies navigables de France), ont fort à faire. Nous arrivons au port de plaisance pour 14 h30. Bonne moyenne. Nous fermons nos vélos à cadenas derrière le cabanon de la capitainerie. Les volets sont levés. Il y a quelqu'un.

Clémentine retire discrètement sa culotte pour la glisser dans la pochette avant du petit sac à dos que je porte. Nous faisons connaissance avec la jeune étudiante qui fait là son job d'été. Capitaine d'un petit port de plaisance ne requiert pas de qualifications autres que d'encaisser les locations, renseigner les plaisanciers et d'indiquer les emplacements où amarrer le navire. Nous bavardons un peu. Elle est grande, presque de la taille de Clémentine. Fine. Ravissante brune aux yeux noisettes. La conversation facile et l'humeur optimiste. Tout ce qu'il faut pour ce travail saisonnier. Nous la laissons à son activité pour flâner un peu sur les quais. Les joueurs de pétanques ne sont cet après-midi que quatre. À l'ombre des branchages des platanes et des marronniers. Pas grand monde.

La chaleur est accablante. Nous n'en avons plus l'habitude. Nous traversons la route pour aller dans la supérette. Nous bavardons un peu avec la gérante. Elle nous apprend les prochaines festivités prévues pour les dimanches à venir. Il y aura la fête de l'été ce dimanche. Orchestre de Rock en plein air ou sous chapiteau. Des célébrités locales. Un défilé de mode sur podium. Le tout sous chapiteaux si la météo devait être peu favorable. Nous nous promettons d'y être. Nous savourons nos pots de crèmes glacées Ben & Jerry's assis sur un des bancs. Sous les platanes. Il n'y a pas l'habituel bouliste voyeur et aucun des joueurs de pétanque ne porte la moindre attention sur notre couple. C'est quand ce cycliste vient mettre pieds à terre à une dizaine de mètres que d'autres festivités commencent. Le quidam doit avoir la quarantaine. Vêtu en coureur cycliste. Il consulte son téléphone. Regardant machinalement vers notre banc à l'ombre.

Belle opportunité pour Clémentine. Elle se tourne légèrement. Écarte ses cuisses après s'être assurée de n'être vue que par le type. Nous portons nos lunettes de soleil. Ce qui permet de regarder où on veut de la manière la plus anonyme. Je louche pour observer les réactions du mec. L'exhibition de Clémentine en fait un voyeur privilégié. Surtout qu'elle relève une jambe pour poser le pied sur le banc. L'autre jambe écartée. Cette position, d'une indécence folle, attire évidement l'attention du cycliste. Il regarde discrètement. Ma présence gêne très probablement son plaisir. Je fais mine de consulter l'écran de mon I-phone. Il y croit. Son regard se fait plus appuyé. Il adresse même un rapide et discret sourire à Clémentine. Que j'entends glousser de plaisir. Le gars n'est qu'à dix mètres.

La situation perdure une bonne dizaine de minutes. Accroupi il fait semblant de bricoler son dérailleur, puis les pignons arrières. Excellente façon de mâter. Clémentine a posé les deux pieds sur le banc. Les cuisses relevées permettent une vue magnifique. Son dos contre moi, en appui contre mon épaule, elle peut offrir une prestation de grande qualité. En plus il n'y a personne pour venir troubler ces instants extrêmes. Le type se redresse. Il prend la gourde fixée au cadre de sa bicyclette. En boit plusieurs lampées, sans cesser de mâter. Clémentine se lève. Passe derrière le banc. Elle ne pourrait être vue que depuis la route qui surplombe cette partie du quai. Mais là non plus il n'y a personne. De rares voitures. Accroupie, dans une autre indécence folle, elle se met à pisser. Concentrée.

Le bruit des multiples jets qu'elle projette à quelques mètres devant elle. En direction du cycliste dont l'expression de surprise est étonnante. Cette salope qui pisse sans aucun scrupule, là, devant lui, a de quoi le ravir. Je me tourne afin qu'il puisse regarder sans être gêné par ma présence. C'est sur l'écran noir de mon téléphone, dont je me sers comme d'un rétroviseur, que j'assiste à cette scène épique. Il empoigne la bosse qui déforme le lycra noir de son short "Kalanji". Il ne se doute pas que je le vois faire. Il fourre même sa main droite dans son slip. Tenant ses couilles par en dessous de la main gauche. La vessie de Clémentine a une contenance exceptionnelle. Quand elle pisse, ce sont de véritables jets de fontaine. Un couple arrive. Deux jeunes gens poussant leurs vélos. Clémentine se redresse.

Le type cesse de se toucher. Le couple vient par là. Ils s'installent sur le banc voisin. Ce qui met un terme aux jeux de Clémentine qui vient se rassoir gentiment à ma gauche. Le cycliste remonte sur sa machine pour s'en aller sans se retourner. Quand je vois la tache de pisse qui s'étend sur au moins quatre mètres, j'imagine la puissance des jets. Clémentine prend une photo avant que nous reprenons nos flâneries. Une seconde opportunité serait la bienvenue. Hélas, il ne s'en présente plus. Derrière le cabanon d'où l'on entend une conversation probablement en hollandais, Clémentine remet sa culotte. Il faut pédaler contre un vent de plus en plus fort. Deux heures pour parcourir vingt cinq bornes. Il est dix huit heures quarante cinq lorsque nous revenons. L'autre plaisir qu'est la douche.

Clémentine porte ses vêtements de ce matin. Moi également. C'est comme ça que nous prenons la voiture pour parcourir les trois kilomètres qui nous séparent du haras. Pour arriver à dix neuf heures trente précises. Juliette, en robe d'été, nous accueille dans ses appartements, à l'étage, au-dessus des bureaux de son entreprise. Cela faisait bien huit mois que nous n'étions pas venus manger chez elle. Une tarte aux champignons accompagnée d'une laitue font les délices de notre repas. Nous sommes morts de faim. La conversation s'axe principalement sur l'organisation du mois d'aout de Juliette. Elle se réjouit pour tenir ma galerie d'Art. Nous accrocherons les toiles aux cimaises le vendredi 28 juin dans l'après-midi. Après les coupes glacées du dessert, nous nous masturbons tous les trois. C'est devenu une délicieuse habitude. Clémentine et moi avachis dans le canapé, un peu fatigués, Juliette vautrée dans le fauteuil. Nous apprécions ces soirées.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment se faire lécher et sucer encore un peu sous les draps avant de s'endormir contre leur lécheur...

Julien (lécheur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Friday 21 June 2024 07:36

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 4 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2644 -



Clémentine et moi

Il va être six heures. Hier matin, jeudi, lorsque les bruits familiers de la forêt nous réveillent. De petits animaux, des oiseaux, l'écoulement d'une source. Nos I-phones entrent toujours en fonction en même temps. Rendant ainsi parfaite, grâce à la stéréophonie ainsi créée, l'illusion de sortir du sommeil en pleine nature. Quarante cinq secondes. Clémentine, en gémissant, vient se blottir contre moi. Quelques bisous, quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. À la salle de bain, un peu comme ds robots, nous revêtons nos tenues de jogging. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Dehors le ciel est bleu. Le soleil va faire son apparition. C'est toujours un beau moment quand ses rayons jouent sur le carrelage d'ocre clair de cette partie de la cuisine. Juste en cette période de l'année.

Clémentine s'occupe du café en racontant ses rêves de la nuit. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Je beurre les tranches qu'expulse le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée avec Juliette. Nous mangeons de bon appétit en évoquant Estelle. Clémentine la voit ce matin en cours. << Avec la présence de sa mamie à la maison, comment s'est-elle débrouillée pour baiser avec Jean-Marc ? Elle va me raconter tout ça ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Il va être six heures vingt cinq. Nous sortons. La température extérieure est de 19°. Quelques mouvements d'échauffement avant de nous offrir quarante cinq minutes d'un gratifiant running. Le long de la rivière. Notre parcours préféré. Bucolique et enchanteur.

La douche. Je redescends le premier pour sortir l'auto du garage. Il est 7 h40. Le soleil va régner en maître toute la journée. Clémentine vient me rejoindre dans une de ses robes d'été claires à discrets motifs floraux. Une veste légère de lin écru. Des mocassins beiges. Ses bras autour de mon cou pour un dernier bisou. C'est en même temps que nous répétons cette phrase devenue quotidienne avant son départ : << Si j'ai du retard, tu sais pourquoi ! >>. Nous en rions. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Qu'il est agréable de faire le tour de la propriété quand il y a encore la rosée partout. Les odeurs sont fabuleuses. Ce sont de véritables oiseaux qui gazouillent. Le bruit de l'eau qui s'écoule n'est pas une illusion. C'est celle du jet qui tombe dans le bassin, entre les rochers de granit.

Je fais la vaisselle. Je recouvre notre lit. Dans l'atelier, installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette dix neuvième et dernière toile hyper réaliste me plonge presque immédiatement dans les délicieux tourments de ma passion. Je peins en pensant à notre "soirée branle" en compagnie de Juliette. Nous en raffolons. Ces masturbations à plusieurs sont de véritable bonheurs. Il n'y a pas que le plaisir des sens. Il y a également l'intensité émotionnelle. Les suaves sensations de jouissances ne sont pas que physiques mais également cérébrales. La matinée passe ainsi, dans les souvenirs excitants de nos vies de "débauches" sexuelles. Il va être midi. Mon estomac grogne. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je fais gonfler du riz. Une escalope de poulet à la poêle.

L'assaisonnement d'un concombre. Pour ce soir, ce sera le rituel des bouchées à la reine. Avec des coquillettes. Je fais rissoler deux escalopes de dindes préalablement émincées. J'y rajoute des champignons coupés. Ail, oignons. Je concocte la Béchamel. Je râpe de ce succulent gruyère Suisse. Je le rajoute, avec le contenu de la poêle à la sauce. Je remplis les cinq bouchées à la reine que je cale dans le plat avec les coquillettes égouttées. Je recouvre d'une copieuse couche d'Appenzeller. De la chapelure. Des graines de sésames grillées. Sur le dessus je dispose des cerneaux de noix. Je mets l'ensemble au four pour l'y laisser mijoter longuement à 160°. le thermostat pilotera la cuisson sans que je n'ai à m'occuper de quoi que ce soit. Une belle surprise pour le repas de ce soir.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Avec ses invités, André Bercoff revient sur l'imbroglio politique que constituent les élections à venir. Deux dimanches de suite. Lors du second scrutin nous serons déjà en Écosse. En ayant laissé aucune procuration à personne. Dans cette émission quotidienne, il est question des sondages truqués, des manœuvres désespérées des médias mainstreams pour faire peur aux vieux avec des histoires de relents nazis, de chambres à gaz. De faire peur aux jeunes en disant que c'est vilain de voter "facho". De faire peur aux autres en évoquant d'éventuelles faillites économiques. Alors que les gangsters aux "affaires" n'ont fait que ruiner le pays de mille milliards d'euros supplémentaires. Que l'autre andouille aurait "sauvé la France". C'est assez consternant. Comme à chaque élection les voyous en costumes cravates de croques morts viennent faire la morale aux Français en se prétendant les meilleurs !

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé de sortir, je dévale les escaliers à toute vitesse. La température extérieure est de 28°. Il y a bien quelques nuages d'altitude mais le soleil ne leurs laisse aucune chance. Heureusement qu'il y a cette légère brise d'Est pour apporter un peu de bien être et de confort. Parfait pour ce changement une fois encore brutal. Nous basculons d'un climat d'automne dans celui de l'été. C'est brusque. Je vais jusqu'à la rivière. L'ambiance y est magnifique. Deux grands cygnes blancs accompagnés de leurs deux progénitures. Les canards, les colverts, les poules d'eau surfent sur l'eau dans une sorte de ballet aquatique extrêmement attractif. Je n'ai aucune envie de retourner dans l'atelier. Après tout je n'en ai nul besoin. C'est simplement une passion.

Il est tout de même quatorze heures tentes quand je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Je peins en me remémorant les mêmes souvenirs que ce matin. Enchaînant érections après érections. Cessant même de peindre pour me masturber quelques minutes. Rien de plus agréable que ces petites masturbations de début d'après-midi. Je n'ai aucune perception du temps qui passe. C'est le bruit qui m'avertit. Il est dix sept heures. Clémentine rentre de cours. Elle ne se sera donc pas amusée avec Léo dans sa voiture. Je l'entends chantonner en revenant des toilettes. Je nettoie immédiatement la palette, les pinceaux. En entrant dans l'atelier, elle se précipite vers moi en s'écriant : << Viens, on sort ! Tu as vu comme il fait beau ! >>. Elle saisit mes deux mains.

Nous sortons. C'est un véritable après-midi d'été. Nous descendons jusqu'à la rivière. Clémentine me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Estelle ne viendra pas ce soir. Je dois te branler, te sucer et baiser avec toi de sa part. Avant qu'elle ne s'en charge ce weekend ! >> précise t-elle. Avec la présence de sa mamie, les épreuves du Doctorat, Estelle juge préférable de rester en famille. C'est la meilleure formule. Clémentine rajoute : << Et elle n'a pas baisé avec son parrain mercredi soir. Sérieuse la fille ! >>. Nous en rions de bon cœur alors que Clémentine fourre sa main, par le haut, dans mon short de fin coton bleu. C'est absolument divin. Elle retire ses doigts humides en s'exclamant : << T'es mouillé. Tu t'es branlé ? >>. Nous en rigolons comme des bossus.

Clémentine revient sur sa matinée. La remise de son texte concernant le sujet tiré au sort. Bien évidemment, une fois encore, comme toujours depuis l'école primaire, en suscitant l'admiration de ses professeurs. << Avec Estelle on en parle tout le temps. On voulait faire profs en université. Mais c'est nous condamner à rester à l'école toute notre vie. On a donc cédé aux sirènes d'une carrière de chercheuses en entreprises. Tout en étant maîtres de conférences et partager les résultats de nos recherches hors secrets industriels évidemment. Les professeurs n'arrêtent pas de nous briffer sur cet aspect des choses. Estelle aimerait la "silicone valley" en Californie. Moi je préfèrerais Édimbourg et ses entreprises de pointe en technologies ! >> m'explique t-elle. J'écoute avec attention. Intérêt.

Elle rajoute : << Avec un salaire net de sept mille euros pour commencer. Sympa non ? >>. Je l'encourage évidemment dans cette voie. Personne en France ne pourrait commencer une carrière professionnelle avec un tel salaire. << Mais il n'existe plus d'entreprises de technologies de pointes en France ! Ces cons-là on tout vendu aux ricains ! Autant quitter le navire avant la catastrophe qui se prépare ! >> s'exclame t-elle. J'adhère totalement à cette vision des choses. Les professeurs encouragent d'ailleurs les Doctorants à se barrer vite fait. De grandes opportunités s'ouvrent à eux à l'étranger. Nous devisons ainsi, assis sur le tronc de cet arbre que j'ai toujours connu couché là. Depuis des décennies. Clémentine joue avec ma queue tout en me faisant part de ses réflexions. De ces projets.

La faim commence à nous gagner. Il va être dix neuf heures. Clémentine propose de manger dans la véranda, toutes les baies vitrées ouvertes. Je l'aide à préparer l'assaisonnement des tomates. Les bouchées à la reine réchauffent au four. Je mets les assiettes et les couverts sur la table de la véranda. Samedi dernier Lise y a fait un nettoyage et un ménage minutieux. Brave jeune fille qui nous a demandé, elle aussi, de cesser nos exubérances sexuelles en a présence. Après tout, c'est très bien ainsi. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les épreuves universitaires de Clémentine. << La semaine prochaine, je commence à neuf heures les jours ouvrables. On n'a plus cours mardi après-midi, mercredi toute la journée et jeudi à midi c'est fini ! >> lance t-elle toute contente.

Nous faisons la vaisselle avant de ressortir. Une véritable soirée d'été. Par contre un amoncellement de nuages gris a fait son apparition, là-bas, au-dessus de l'horizon. Des orages sont prévues pour la nuit. Nous sortons les chaises longues du garage pour les installer près du bassin. Clémentine allume de petites bougies parfumées à la citronnelle. Censées nous prémunir contre d'éventuels moustiques. Les insectes sont rares cette année. Nous ne sommes pas du tout importunés. Allongés dans nos transats, en sirotant des jus de mangues où flottent des glaçons, nous parlons de l'Écosse. Clémentine a prévu deux rendez-vous au début septembre dans deux entreprises d'Édimbourg. Elle me raconte, passionnée par la nouvelle vie qui l'attend. Il faudra peut-être se séparer d'Estelle.

<< On n'est plus des gamines. Il va falloir entrer dans la "vraie vie" ! >> lance Clémentine sur un ton de dépit qu'elle prolonge d'un long soupir. C'est indéniable, une page va se tourner dans nos existences. Le voile gris s'avance inexorablement. Il fait lourd. Nous restons ainsi à savourer ce moment formidable. Il va être vingt et une heures. Le ciel s'est obscurcit. Des bruits sourds dans le lointain annonce l'échéance climatique. Au loin, deux éclairs zèbrent les cieux devenus tout gris. << On fait l'amour dehors, tu veux, j'ai envie ! >> me fait Clémentine en se levant. Elle retire sa robe pour tourner sur elle-même en culotte. Comme une ballerine qui ferait ses pointes. Elle est magnifique. Sa silhouette athlétique. Sa peau mate hiver comme été. Sa longue natte qui flotte dans son dos, au rythme de ses mouvements gracieux. Qu'elle est belle. C'est dans une émotion presque brutale que je prends conscience une nouvelle fois de mon privilège.

Elle récupère sa robe. Nous plions les chaises pour les laisser sous le balcon de la véranda. Nous rentrons. Clémentine s'accroche à mon cou. Je la soulève. Ses jambes enserrent ma taille. C'est ainsi que je l'emmène au salon. << Sur le bureau ! >> murmure t-elle entre deux bisous. Je l'y dépose. Pendant qu'elle retire sa culotte, je récupère un des épais coussins du canapé. En appui sur ses coudes, elle me fixe. Ses yeux d'un bleu encore plus intense illumine son visage. Je frotte mon sexe contre le sien. Je la pénètre avec d'infinies précautions avant qu'elle ne s'allonge, qu'elle ne pose sa tête sur le coussin. Je la berce doucement, d'un rythme lent. Elle chuchote : << Je t'aime. J'ai peur. Je ne veux pas te perdre ! >>. Je cesse pour écouter. Clémentine est médium, dotée d'un sixième sens infaillible. Je me suis toujours fié à ses impressions, à ses ressentis. Je la rassure. En ce qui me concerne, je l'aime comme un fou, comme au tout premier jour.

Nous aimons alterner les séquences d'immobilités avec celles plus mouvementées de l'amour. C'est dans les moments de calme que Clémentine aime me confier ses secrets de fille. Les projets coquins qu'elles évoquent avec Estelle. Ce seront peut-être les dernières vacances de plus de deux mois en Écosse tous les trois. Aussi elles veulent donner dans la surenchère. Il est question de baiser dans des endroits à risques. De filmer le maximum de situations torrides. De se remplir la tête de souvenirs plus fous les uns que les autres. << Tu en seras souvent la "victime" ! >> précise Clémentine qui accélère soudain le rythme. Je sais ce qui va arriver. Elle se masturbe toujours en même temps. Je sais quand je dois me retirer. La cuvette en plastique est prête. Clémentine peut se lâcher dans un orgasme pisseux. Je la tiens sous les aisselles. Tout son corps agité de spasmes, elle hurle de plaisirs. J'adore la lécher et la sucer juste après. Un "nettoyage".

Bonne nouille à toutes les coquines qui vont en savourer les sucs sous les draps avant de s'endormir dans les bras de leur coquin...

Julien (nettoyeur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Saturday 22 June 2024 07:05

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 5 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2645 -



La fête de la musique

Hier matin, vendredi, l'illusion bluffante d'avoir dormi dans une forêt, nous tire du sommeil. Presque six heures. << C'est la dernière fois avant longtemps ! >> réussit à dire Clémentine sans trébucher sur les mots. En venant se serrer tout contre moi. Quarante cinq secondes de gazouillis d'oiseaux, du bruit de l'eau qui s'écoule et de différents petits cris furtifs d'animaux indéfinissables. Quelques bisous avant de nous lever pour nous précipiter aux toilettes. Nous nous habillons de nos leggings de lycra noir, de nos sweats de lycra rouge à la salle de bain. Dehors le ciel est couvert. Rien de menaçant. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café en m'expliquant ce qui l'attend ce matin en cours. J'écoute en pressant les oranges, en pelant les kiwis. C'est très intéressant.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée en amoureux de jeudi. << J'aime être toute seule avec toi ! >> lance Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Presque six heures vingt cinq. Nous sortons. La température extérieure est de 18°. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale. Les pluies de la nuit ont mouillé les sols. Nous courons malgré tout le long de la rivière. Quarante cinq minutes d'un plaisir sans égal. La douche. Je redescends pour préparer la voiture. Presque sept heures quarante. Clémentine vient me rejoindre dans sa veste de fin velours noir, cintrée à la taille. Une jupe en tissu jeans bleu. Des mocassins noirs. Ses bras autour de mon cou pour un dernier bisou. << Je t'aime ! >>

Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. J'aime faire le tour de la propriété à ces heures matinales. Le ciel semble s'être obscurcit davantage. Je rentre faire la vaisselle, recouvrir notre lit. Quand elle termine à midi, le vendredi, Clémentine es montre très déconneuse dès le levé. C'est donc encore habité de l'ambiance facétieuse qu'elle a laissé dans la maison que je vais dans l'atelier. Installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. J'achève ce matin la peinture de ma dix neuvième toile hyper réaliste destinée à ma saison d'été. Je peins dans une sorte d'euphorie qui me fait pousser des cris surréalistes à chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent. Et ils sont très nombreux. Pur plaisir.

Il est onze heures trente quand je dépose la dernière touche de blanc de titane sur la surface de ma peinture. Je nettoie la palette, les pinceaux avant de procéder à un peu de rangement. Je téléphone. J'ai bien l'intention d'aménager une belle soirée pour ce début de weekend. Je réserve une table dans notre restaurant gastronomique préféré. Au centre ville. J'ai énormément de chance, il en reste une. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à réchauffer les trois bouchées à la reine restantes. L'accompagnement d'une petite laitue dont je lave consciencieusement chaque feuille. Je mets les assiettes, les couverts. Tout est prêt. Le ciel est gris et bas. Rien à voir avec ce que l'on pourrait espérer d'une première journée d'été. Midi trente cinq. Clémentine revient de l'université.

Elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille. Me couvrant le visage de bises, je l'emmène aux toilettes. Lavage des mains, pipi. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. En prenant de l'essence avant de rentrer, elle s'est encore faite draguer par un automobiliste entreprenant. << Il était plutôt beau gosse. Très sympa mais tellement baratineur ! >> lance Clémentine en venant s'assoir sur mes genoux. Nous partageons la dernière bouchée à la reine prévue initialement pour Estelle. << Estelle qui me charge de te mettre en garde. Tu lui manques et elle va se livrer à toutes les exactions sexuelles sur ta personne dès son retour demain, samedi, en début d'après-midi ! >> rajoute Clémentine en palpant la braguette de mon Levis.

Nous traînons à table. Avec cette météo menaçante, nous passerons l'après-midi en ville. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous nous changeons pour porter tous les deux les mêmes vêtements. Levis bruts, chemisier blanc négligemment déboutonnée sous nos blousons de fin cuir noir. Nos bottines de la même couleur. La température extérieure ne dépassant pas les 19°. << Sympa pour un premier jour d'été ! >> s'exclame Clémentine en me prenant dans ses bras pour rajouter : << On est ensemble jusqu'à lundi. Et lundi je ne commence qu'à quatorze heures ! >>. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Nous traversons la pelouse en restant sur les dalles de grès. Sautant de l'une à l'autre, Clémentine m'entraîne en me tenant par la main. Le ciel est lourd, menaçant.

Nous avons le grand parapluie, arme absolue contre la pluie. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Vingt kilomètres où parfois je me fais piper. Je gare l'auto dans la ruelle habituelle. Nous avions oublié que le premier jour de l'été, se déroule la fête de la musique. Il y a une dizaine de minutes jusqu'aux premières rues piétonnes. C'est un peu étrange de voir les gens habillés comme en automne. Il y a de petits chapiteaux un peu partout. Une grande scène sur la place de l'Hôtel de ville. Un groupe y fait les balances. Du bon rock en prévision. Nous flânons langoureusement, partant à la découverte de tous ces préparatifs. Les quatre étages d'un de nos grands magasins préférés. C'est au quatrième, au rayon des vêtements hommes que nous nous enfermons dans une des cabines d'essayage. Clémentine adore m'y sucer. Moi aussi j'adore la lécher dans des endroits insolites et parfois improbables. Nous y restons un bon quart d'heure.

Bien "allumés" nous divaguons dans les rayons des étages inférieurs. C'est devant un quidam solitaire, alors que je reste en retrait, que j'assiste pour notre plus grand plaisir à une petite exhibe extrêmement sympathique. Clémentine se touche discrètement devant des articles électro ménagers. De l'autre côté, devant les machines expressos, un monsieur assiste avec grand intérêt aux "activités" de cette sublime jeune fille. Il contourne la table pour se rapprocher. Il tente le contact. Clémentine, en parfaite virtuose, continue sa "manipulation" tout en bavardant avec cet inconnu plutôt entreprenant. Je reste à une dizaine de mètres. Je sais que Clémentine me racontera le sujet de la conversation. Je bande comme le dernier des salauds. Je pourrais me branler tellement c'est bon. Même si ma bite, tordue au fond de mon slip, me procure également une sensation de contrainte désagréable. Cela dure une bonne dizaine de minutes. Personne ne voit rien.

Clémentine s'éloigne avec un large sourire. D'un petit signe amical de la main, elle laisse le dragueur. Nous nous rejoignons devant l'ascenseur. Une fois à l'intérieur, en appuyant sur le bouton "arrêt". Je passe ma main entre les cuisses de Clémentine qui me raconte la nature de la conversation avec cet inconnu intrépide. << Il me proposait d'aller boire quelque chose ! Un monsieur charmant et certainement très cultivé ! >>. Nous en rions avant de reprendre notre descente. Un bon chocolat chaud à l'étage de notre salon de thé préféré. Accompagné d'une tartelette à la cerise. Deux visites aux toilettes hommes dont la configuration que nous connaissons parfaitement nous permet de nous enfermer dans un des cabinets. Je me fais sucer comme un bienheureux. Superbe pipe.

Je fais le contorsionniste pour lécher et sucer Clémentine après son pissou. Deux visites. Une bonne dizaine de minutes. En entendant parfois, de l'autre côté de la porte, un mec qui vient pisser. Nous continuons notre périple avec une visite à la FNAC. Une petite opportunité exhibe ne serait pas pour déplaire à la fille que j'aime. Mais il n'y en a pas vraiment. À moins de prendre des risques inutiles, rien de vraiment "attractif". Même si le ciel reste sinistre, pas la moindre goutte de pluie. Il est dix neuf heures quand nous sommes attablés dans notre restaurant étoilé. Toutes les tables sont occupées. Nous traînons à table. Deux visites aux toilettes que nous connaissons très bien également. Le reste de la soirée à nous promener dans la foule des anonymes, à écouter les différentes formations musicales. Une fois encore des disques jockeys pénibles. << Si le disque jockey est un musicien, alors le mec de la photocopieuse est un écrivain ! >> lance Clémentine.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines aimant flâner avec leur coquin dans les rues animées par une fête de la musique plutôt sympathique...

Julien



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