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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Fleur - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2446 -



Juste Clémentine et moi

Hier matin, lundi, nous sommes tirés de nos profonds sommeils par l'application "forêt". D'agréables fééries qui nous réveillent en douceurs. Sur nos tables de nuit, de chaque côté de notre lit, en même temps, nos téléphones se mettent à fonctionner. Tout cela ne dure que quarante cinq secondes. Clémentine, en gémissant, se blottit contre moi. Quelques papouilles, quelques bisous, il faut se lever. Nous nous précipitons aux toilettes un peu à la façon de robots. Dans la salle de bain nous enfilons nos tenues sports. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. L'organisation est sans faille. Pendant que Clémentine fait le café, j'allume le feu dans la cuisinière à bois. Je presse les oranges, Clémentine pèle les kiwis. Le reste de la brioche retrouve son moelleux dans le four à micro onde.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les merveilles vues ce week-end. Les marchés de Noël constituent une agréable activité lorsque le temps ne permet pas d'autres possibilités extérieures. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les soirées de la semaine qui nous attend. Six heures vingt cinq. Nous remontons nous entraîner. Les échauffements aérobics dans une salle où il ne fait pas plus de 10°. Le jogging sur tapis roulant. Les exercices au sol. Les charges additionnelles finissent par nous mettre dans d'excellentes conditions. Nous transformant en guerriers pour la journée. Les étirements du retour au calme. Même bâclé un stretching reste toujours l'idéal pour terminer une séance. La douche. Je redescends pour aller préparer la voiture. La faire chauffer.

Presque sept heures quarante cinq. La température est de 2° sous un ciel menaçant. Le jour achève de se lever. Clémentine vient me rejoindre déguisée en esquimau. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. Je cavale pour rentrer au chaud faire notre vaisselle, notre lit. Dans l'atelier c'est d'abord le plaisir d'allumer une belle flambée dans la cheminée. Rapidement crépitante. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant. La peinture de ma première scène de genre à trois personnages m'accapare totalement. C'est une œuvre de commande qui sera expédiée à son commanditaire après les fêtes. Je peins dans la plus parfaite sérénité, poussant des cris surréalistes.

Les heures passent hors de ma perception. Je sais qu'il est midi aux gargouillis que fait mon estomac. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Pendant que gonfle du riz complet, que rissole un filet de flétan, je fais l'assaisonnement d'une salade de tomates. Préparation rapide. Je sors une pâte feuilletée du réfrigérateur pour lui permettre de se mettre à température. À proximité de la cuisinière à bois où je viens de rajouter une bûche. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff revient sur les évènements tragiques de Crépol. L'assassinat du jeune Thomas présenté comme un fait divers, une simple rixe entre jeunes par les médias aux ordres d'un gouvernement préparant sciemment le chaos et la guerre civile.

J'écoute en préparant mentalement les ingrédients de la tarte aux courgettes que je veux préparer ce soir. J'étale la pâte feuillée à présent tiède dans un grand plat aux bords hauts. Je lave, je coupe une grosse aubergine et deux belles courgettes. Je place les tranches en domino, en spirale. C'est ludique et très agréable à réaliser. Sur le tout je verse le liant. Le mélange d'œuf, de crème fraîche et de lait de soja. Je recouvre d'une copieuse couche de gruyère Suisse. De la chapelure. Des graines de sésame grillé. Des cerneaux de noix que je dispose en deux cercles concentriques. Au four électrique pour laisser mijoter à 160°. La vaisselle. C'est serein que je monte me laver les dents. J'aime me délasser un peu au dehors. Pressé de me dégourdir les jambes je dévale les escaliers.

Emmitouflé dans mon anorak, mon bonnet sur la tête, c'est sous le parapluie que je descends jusqu'à la rivière. Un froid glacial, du vent, de la pluie. L'horreur. La pluie tombe presque quotidiennement depuis plus d'un mois. Je pense à Clémentine qui pose souvent la question de savoir comment Véolia et les mafieux du gouvernement vont s'y prendre pour inventer la pénurie d'eau. Pour gonfler les factures à venir en justifiant des nappes phréatiques basses. Treize heures quarante cinq quand je suis confortablement installé devant le chevalet. Je peins dans le même état d'esprit que ce matin. Poussant des cris surréalistes à chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent. Sans avoir la moindre perception du temps qui s'écoule. Je sais qu'il est dix sept heures trente.

J'entends le bruit qui précède le retour de Clémentine. La porte s'ouvre. Elle jette son cartable dans le fauteuil pour courir vers moi en sautillant. À califourchon sur mes cuisses, se frottant, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le repas du restaurant universitaire. << Estelle me charge de te remercier pour tes soins avec une bonne pipe ! >> conclue t-elle avant de se lever. Elle a encore du travail. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, Clémentine se met à l'ouvrage en chantonnant. Cette petite heure d'émulation commune est encore un enchantement. Dix huit heures trente quand Clémentine se lève pour commencer à ranger ses affaires en s'écriant : << Ras-le-bol ! >>. Je nettoie la palette, les pinceaux parce que c'est tout à fait pareil pour moi.

Clémentine me rejoint au petit lavabo de l'atelier où je me lave les mains. Elle me tient la bite pour en diriger les jets. Elle secoue les dernières gouttes alors que je m'essuie. Penchée en avant, elle se régale des derniers épanchements. Je caresse sa nuque. Elle se redresse. Toutes lumières éteintes, juste éclairés par la lueur des dernières flammes vacillantes nous admirons les braises rougeoyantes. Clémentine contre moi, son bras autour de ma taille. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand elle découvre la surprise que je tire du four électrique éteint pour la placer dans la fournaise du four à bois, j'ai droit à un mitraillage de bisous. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade d'endives en me confiant sa joie d'être seule avec moi les lundis soirs. C'est vrai. Moi aussi.

Nous mangeons de bon appétit en parlant des vacances à venir. << Même plus un mois et c'est l'Écosse ! >> fait Clémentine. Nous organisons déjà mentalement ce qu'il faudra préparer et emmener. Nous avons pour habitude d'envoyer nos cadeaux pour ma famille par la poste. Ce qui évite de tout trimballer dans l'avion. << On devrait faire pareil pour nos valises ! >> suggère Clémentine. C'est à étudier. Mais il est bien d'avoir un minimum avec nous en cas de pépins. << Si jamais l'avion heurte un iceberg en plein milieu de l'Atlantique Nord par exemple ! >> lance Clémentine en venant s'installer à califourchon sur mes cuisses. Nous en rions. Ses bras autour de mon cou elle chuchote : << J'ai envie de faire l'amour avec toi ! >>. Nous restons ainsi à nous embrasser. Je bande rapidement. Hyper fort. J'adore quand elle se frotte.

La vaisselle. Je soulève Clémentine comme une jeune mariée pour l'emmener au salon. Je la dépose en m'accroupissant pour déboutonner son Levis. Je retire ses bottines. Je l'entends soupirer de contentement. Elle m'aide à retirer ses vêtements. Je suis prié de garder les miens. Clémentine adore quand ma queue dépasse de ma braguette. Je la fais tomber dans le canapé où elle se vautre en gémissant de plaisir. À genoux sur un des épais coussins, ma tête entre ses cuisses, je hume longuement les effluves parfumées de sa journée de fille. J'en ai de doux vertiges. C'est absolument divin. Du bout de la langue je fouille les plis et les replis de ses lèvres charnues. Je l'enfonce pour savourer les reliquats. les miasmes. Le gout vinaigré du trou à pipi. Miam. Clémentine caresse ma tête.

Je suce son clitoris géant qu'elle cesse alors de tenir entre son pouce et son index. Décalotté comme le serait une petite bite, j'y goute les saveurs fromagères délicates et onctueuses. Clémentine est comme moi. Nous avons tous deux une préférence pour les rapports génitaux buccaux. La soirée pourrait se limiter à ce cunnilingus qui m'offre les plus suaves émotions. J'adore sentir les frissons des cuisses de Clémentine contre mes joues. Je me régale de son miel. Ces coulures de cyprine que je récupère avant qu'elles ne coulent entre ses fesses. Je retire les poils qui envahissent ma bouche. Il y en a tellement. Mais j'aime ça. J'aime les légers spasmes qui animent tout le corps de Clémentine. Parfois elle se tortille d'un côté ou de l'autre pour chercher le meilleur angle de jouissance. De plaisir.

Quand je sens poindre l'ultime instant, je cesse. C'est comme si Clémentine retombait subitement pour s'avachir un peu plus dans les profondeurs du canapé. Quand le "danger" est passé, je reprends mes "explorations" linguales ou mes suçages. Du jus de fille mouille le bas de mon visage. C'est comme des vagues. Les mouvements réguliers du bassin de Clémentine. Quand je la pénètre de ma langue, elle se masturbe. Quand je suce son clitoris elle pousse un petit râle de bonheur. Entre deux gémissements. Nous savons ruser. Éviter l'orgasme au dernier instant, laisser retomber la pression avant de monter d'un cran dans la gradation du plaisir de plus en plus intense. Je cesse pour tirer la cuvette en plastique de sous le guéridon à côté du canapé. J'anticipe. Clémentine en rit.

<< Viens ! >> dit elle en se couchant de tout son long, sa tête posée sur les coussins, les cuisses largement écartées, une jambe sur le dossier du canapé. Je reste en appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids. Clémentine cesse de se masturber pour s'installer encore plus confortablement sous moi. Elle saisit mon érection pour la placer judicieusement. Mes amis ! Cette merveilleuse sensation quand, centimètre par centimètre je pénètre son intimité. La tête rejetée en arrière, les yeux fermés, mordillant sa lèvre inférieure, gémissant, Clémentine m'attrape par le cou pour se suspendre à moi. Elle murmure : << Emmène moi, loin ! >>. Je bouge doucement. Mes couilles battant ses fesses. Ses jambes enserrant ma taille. Nous partons aux pays des merveilles.

Nous alternons toujours les séquences d'immobilités totales. Juste en contractant nos muscles fessiers. Clémentine me confie alors ses secrets de fille. Ses désirs. Les fantasmes exhibitionnistes habituels qu'elle a le souhait de développer. << Je n'ai pas encore tout exploré ! >> chuchote t-elle avant que je ne me remette à bouger en rythme. Lentement. Clémentine se laisse retomber. Elle peut ainsi reprendre sa masturbation en même temps que je lui fais l'amour. Car ce soir nous ne baisons pas, nous faisons l'amour. En poussant un cri, me repoussant, Clémentine, haletante, s'apprête à être la victime d'un véritable chapelet d'orgasmes. Elle se redresse. S'assoit. Vautrée. Tenant son clitoris turgescent. Impressionnante petite bite. J'ajuste la cuvette. Elle se lâche en hurlant de plaisir.

Bonne nouille à toutes les coquines qui s'en offre une bien juteuse pour l'égoutter sous les draps dans une fellation passionnée. Et passionnante...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Le petit monde de Clémentine et de Julien
Wednesday 29 November 2023 07:36

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 2 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2447 -



Estelle, Clémentine et moi

Les gazouillis d'oiseaux que l'on devine sur les branches, dans les arbres d'une forêt mystérieuse. L'écoulement d'une source que l'on devine entre des roches moussues. L'application "forêt" nous arrache de nos sommeils avec ses enchantements. Il est presque six heures, hier matin, mardi. Clémentine vient se blottir contre moi en murmurant des propos incompréhensibles. Nous rions de sa façon de trébucher sur les mots. Des bisous, des papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain nous revêtons nos lycra sports. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. J'allume immédiatement la cuisinière à bois. Clémentine fait le café en étant cette fois intelligible. Nous rions. Elle me confie à quel point : << J'aime comme tu m'aimes avant de monter nous coucher ! >>

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre lundi soir. En effet, c'était magnifique. << Tu me refais ça quand tu veux, sans demander ! >> lance t-elle. Nous en rions de bon cœur. Les deux gros croissants aux amandes retrouvent tout leur moelleux dans le four à micros ondes. Nous mangeons de bon appétit en évoquant Estelle que Clémentine voit tout à l'heure en cours. << Quand je vais lui raconter elle aura envie aussi. Attends-toi à une soirée mouvementée ! >> dit elle. Ce sont de nouveaux éclats de rires. Six heures vingt cinq, nous remontons pour nous offrir notre heure de gymnastique. Il commence à faire bien chaud partout dans la maison. Sauf dans notre salle d'entraînement comme dans notre chambre à coucher. Une volonté délibérée.

Les échauffements aérobics sont donc nécessaires. Ainsi que le jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol qui viennent parfaire cette sensation de liberté avant les redoutables mais bénéfiques charges additionnelles. Les étirements d'un stretching qui permet un parfait retour au calme. La douche. Je redescends pour sortir la voiture du garage. Le jour achève de se lever sous un ciel menaçant, un froid glacial, un vent du Nord. Presque sept heures quarante cinq. Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak beige. Son bonnet, ses gants. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud. Le contraste entre les moins deux degrés du dehors et les vingt deux degrés de l'intérieur est saisissant. La vaisselle, notre lit.

Dans l'atelier j'aime à allumer une belle flambée dans la cheminée. Le crépitement des premières flammes. Confortablement installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette première scène de genre de commande m'entraîne dans les méandres de ma passion. Je peins dans la plus totale félicité. Sans percevoir les tours d'aiguilles de la pendule. Il va être midi. Je mets deux bûches sur les braises. Je quitte la grande pièce pour la cuisine. Une bûche sur les braises de la cuisinière à bois. La "locomotive" semble ronronner de bonheur. Je réchauffe le reste de tarte à la courgette. Je fais l'assaisonnement d'une salade de carottes. Dans le grand plat en terre cuite je dispose les cinq grosses bouchées à la reine. Ce sera la surprise pour la soirée.

Une des surprises très probablement. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission, André Bercoff et ses invités reviennent sur cette nouvelle anxiogène "bénéfique" que constitue l'épidémie en Chine. Comme le précisait fort bien Hermann Göring au procès de Nuremberg : << Pour contrôler un peuple il faut trouver un évènement qui l'effraie. L'inventer au besoin. Car d'un peuple qui a peur on fait tout ce qu'on veut ! >>. André évoque également cette ahurissante mascarade qui consiste à condamner à des peines de prisons fermes des gens qui veulent défendre leurs valeurs occidentales et séculaires contre la barbarie. Alors que les assassins qui tuent aux couteaux dans des fêtes de villages restent en liberté mais sous "contrôle judiciaire". Chacun aura compris l'infamie et la lâcheté appliquées par les dangereux psychopathes criminels qui sont aux "affaires" de ce pays. C'est scandaleux et surtout révoltant.

Tout en écoutant les débats qui s'en suivent, je prépare une belle Béchamel. J'émince des filets de saumon fumé au bois de hêtre. Je les fais revenir dans la poêle avec des champignons, de l'ail, de l'échalote. Je râpe de ce succulent gruyère Alpestre. Je ne remercierais jamais assez Danièle de nous l'avoir recommandé puis fait découvrir. Encore meilleur que le meilleur des Comtés. J'égoutte les coquillettes complètes et "bio". Je les verse dans le plat tout autour des bouchées à la reine que je remplis de la garniture. Cette onctueuse Béchamel à laquelle j'ai rajouté le contenu de la poêle. Je recouvre d'une montagne de gruyère. Chapelure, graines de sésame grillé. Des cerneaux de noix. Au four électrique pour une lente et longue cuisson à seulement 160°. Je lave des endives.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. En regardant par une des deux fenêtres de la salle de bain je découvre cette campagne sinistre, dont la plupart des arbres sont vides de leurs feuillages. La fumée qui monte de la maison des Bertrand à quelques trois cent mètres en contrebas. Pressé d'aller me dégourdir les jambes je redescends à toute vitesse. J'enfile mon anorak, mon bonnet, mes gants. J'affronte le vent du Nord, sec et cinglant. La température extérieure est de 4°. Un hiver précoce. Il pourrait tomber de la neige de ce ciel gris et bas que cela n'étonnerait personne. Le plus tard possible s'il vous plaît. Je vais jusqu'à la rivière dont les eaux charrient des amas de feuilles, des branches cassées. L'entreprise paysagère intervient une dernière fois vendredi , dans trois jours.

Treize heures cinquante. Je suis confortablement installé devant le chevalet. Je peins dans la même félicité que ce matin. Cette toile verra sa finalisation demain matin. L'après-midi s'écoule ainsi, sous la lumière artificielle d'une lampe à halogène. Il fait tellement sombre. Du bruit. J'anticipe. Je pose la palette, les pinceaux sur la desserte à ma droite. Clémentine entre dans l'atelier, pose son cartable sur la table, se précipite pour se mettre à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée de cours. Le repas de midi au restaurant universitaire. Estelle qui est pressée de vivre ce que lui a raconté Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Comme deux sœurs jumelles, depuis qu'elles ont douze ans, Estelle et Clémentine ne se cachent jamais rien.

Clémentine a encore du travail. Qu'elle est impatiente de mener à son terme. Assise devant son ordinateur, des classeurs ouverts, elle se plonge immédiatement dans ses notes. Nous apprécions énormément ces séances de travail commun. << Put-Hein mais comme j'en ai marre ! Je balance tout dans le feu ! >> s'écrie t-elle soudain en se levant pour ranger ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Moi aussi je sature. Je me lave les mains au petit lavabo de l'atelier, la bite posée sur le rebord de faïence. Clément me rejoint pour s'en saisir, en diriger les jets, la secouant pour s'amuser. Je m'essuie les mains en observant ses expressions dans le minuscule miroir. J'adore la regarder. C'est comme un film passionnant. Elle le sait. Ça l'amuse et ça l'excite beaucoup. Exhibitionniste.

Penchée en avant, récupérant les reliquats, je passe l'extrémité de mes index sur ses joues creusées par l'effort de succion. Une probable minute. Pas davantage. Elle se redresse pour murmurer : << Mmmhh ! >>. Je la prends dans mes bras. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille, suspendue à mon cou, je la promène dans toute la grande pièce. Elle me couvre le visage de bisous. Ce sont toujours des moments d'intenses émotions. Elle me dit : << Je t'aime, mais pas seulement. Je suis également amoureuse. Donc méfie-toi des femmes amoureuses. Il pourrait t'arriver des "bricoles" ! >>. Sans me laisser la possibilité de répondre, elle enfonce sa langue dans ma bouche. Ma bite à l'air se met alors rapidement à durcir. À frotter contre l'entre jambes de son Levis.

La porte s'ouvre sur Estelle. Elle arrive toujours silencieusement et nous découvre ainsi. << J'arrive au bon moment ! >> s'exclame t-elle en se précipitant vers nous. Clémentine lui cède sa place en sautant au sol. Estelle s'accroche pour recevoir le même traitement. << Monsieur bite à l'air. Clémentine m'a tout raconté à midi. Je veux voir si c'est vrai ! >> lance t-elle alors que je la promène dans tout l'atelier. Clémentine, une main dans son Levis déboutonné nous observe avec une expression malicieuse. Estelle saute au sol devant la cheminée alors que Clémentine vient d'éteindre les lumières. Seule la lueur des dernières flammes éclaire cette partie de l'atelier. Je suis entre mes deux anges que je tiens par la taille. Estelle garde ma queue dans la main pour la tordre dans tous les sens.

Elle nous raconte son lundi soir en compagnie de ses parents. Ils ne pourront pas passer les fêtes dans leur nouvelle maison en Écosse. Trop de contraintes professionnelles dans leur entreprise. Les filles posent leurs têtes sur mes épaules, en même temps. << Séquence romantique ! >> murmure Estelle qui se tourne soudainement pour me saisir par les épaules. << Put-hein comme vous me manquez les soirs où je ne suis pas avec vous. Et toi, je t'aime ! >>. Elle regarde Clémentine pour rajouter : << Oui, je sais, tu vas dire une fois encore que c'est ton mec. Mais c'est le mien aussi ! >>. Elles éclatent de rire. J'adore les voir rire aux éclats. Estelle s'accroupit la première en s'accrochant à mes fesses. Clémentine la rejoint pour dire : << C'est une partie que j'aime beaucoup ! >>

Elles rient. Je les regarde humer les odeurs de ma journée d'homme. C'est passionnant. Elles scrutent en décalottant légèrement, observant comme deux entomologistes découvrant une nouvelle "créature". Elles échangent leurs impressions. L'odeur fromagère de mon chibre à moitié décalotté monte à mes narines. Vous savez ces effluves qui rappellent un vieux sandwich au thon. Ça me gêne toujours un peu. Sous leurs nez alors qu'elles reniflent en riant. Estelle qui tient mon Zob, l'agite devant le visage de Clémentine. Je bande mou. Mon "tuyau d'arrosage" secoué mollement sous le nez de Clémentine. Estelle le lui frotte sur la gueule. Clémentine ferme les yeux avec une expression d'extase. Mais c'est Estelle qui le prend en bouche la première. Me fixant fièrement.

Elles se refilent ma biroute en évoquant son goût. Clémentine se redresse la première pour éviter l'ankylose qui la gagne. Estelle tombe à genoux pour se livrer à une véritable pipe des familles. Clémentine m'embrasse. Elle me tient fort car elle devine les vertiges qui me font vaciller. Je sombre dans l'indicible volupté d'une fellation passionnée. Clémentine me tient le chibre, se penche pour dire : << On va manger ? >>. Aussitôt Estelle cesse. Se redresse en s'écriant : << J'ai faim. C'est à cause de l'apéro ! >>. Elles m'attrapent toutes les deux par la taille pour m'entraîner. C'est ainsi que nous quittons l'atelier pour la cuisine. Une bûche sur les braises de la "locomotive". Clémentine fait l'assaisonnement des deux endives déjà lavées. Quand elles découvrent ce que j'ai préparé c'est la fête.

Je mets les assiettes, les couverts. Estelle, accroupie devant le four de la cuisinière à bois, surveille la fournaise. Elle observe également dans le reflet de la vitre ma masturbation. Elle sait à quel point cette situation agit sur ma libido. Clémentine me fait des clins d'œil en faisant des bosses avec sa langue à l'intérieur de sa joue. C'est un plat doré, magnifique, aux fumets exquis qu'Estelle sort de four. Nous mangeons de bon appétit en envisageant la soirée qui nous attend. << Ça fait longtemps qu'on a pas baisé sur le bureau. Vous en pensez quoi ? >> demande Estelle. Elle se lève entre deux coups de fourchette pour mimer une masturbation masculine. Nous ne traînons pas. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Nous débarrassons pour mettre dans le lave vaisselle. Impatients. Fébriles.

À peine m'ont elle entraîné au salon que toutes les deux, sans même se concerter, retirent leurs bottines, leurs jeans et leurs culottes. Je me masturbe en restant à distance. Juste en épaisses chaussettes qui évoquent des jambières de ballerines, en sweats, elles s'assoient sur le bureau. Un mètre les sépare. Elle relèvent leurs jambes pour poser leurs pieds sur le bord du meuble. Elles écartent les cuisses. Toutes les deux, le regard par en-dessous, espiègles et mutines, observent mes réactions en se touchant. Ce sont des moments d'une intensité sans équivalents. Je me branle en tournant autour du bureau pour les admirer sous tous les angles. << Tu viens me fourrer la première ! >> s'écrie Estelle. Je contourne le meuble, je m'approche avec deux épais coussins du canapé.

En se couchant pour m'accueillir elles pourront y poser leurs têtes. Je frotte mon sexe contre celui d'Estelle. Je cesse. Je me penche. Je veux d'abord goûter à sa journée de fille. J'en ai d'étourdissants vertiges. Mes amis ! Je ne connais pas de dessert plus savoureux. Je la pénètre doucement. Clémentine se masturbe, déjà en sueur. Une fois pénétrée jusqu'aux couilles, Estelle se met à bouger en rythme. Je la baise avec la délicatesse d'un Bruce Lee en plein combat de rue. Quand je veux me retirer pour m'enfiler dans Clémentine, en haletant, elle m'en empêche. Je passe enfin à Clémentine qui n'est pas réellement demandeuse. Avec elle nous restons immobiles alors qu'Estelle sautant du bureau me chope les couilles par derrière, dans le Levis qu'elle déboutonne. En se masturbant de sa main libre. Elle me fait le cul, accroupie à me lécher les roubignoles. Elle remonte s'assoir. Je l'enfile à nouveau. Ce soir elle est carrément hystérique.

<< C'est parce que tu baises avec ton parrain demain soir ? >> demande Clémentine qui se touche. << Peut-être bien ! >> répond Estelle. Nous passons une heure et demi à vivre une nouvelle fois nos folies. Deux orgasmes pour Estelle qui ne pousse pas seulement des cris mais de véritables mugissements. L'orgasme pisseux de Clémentine qui hurle de plaisir, les yeux larmoyants, en sueur, toute rouge, prostrée. Défaite par ce tsunami qui la submerge. Tout comme il submerge la cuvette en plastique bleue. Je tiens cette cuvette en essayant de tout récupérer mais ça gicle souvent n'importe comment. Estelle saute du bureau pour tomber à genoux. J'ai le slip et le Levis sur les chevilles. C'est en beuglant comme un animal en rut que j'éjacule dans sa bouche. Il va bientôt être l'heure.

Bonne nuit à toutes les coquines qui adorent se lover contre leur coquin, sous les draps pour de derniers câlins avant un bon dodo...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 3 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2448 -



Clémentine, moi et Juliette

Hier matin, mercredi, il est tout juste sept heures quand je réveille Clémentine. J'ai une méthode infaillible et douce pour ne causer aucun mini traumatisme post sommeil. Je place ma paupière tout près de sa joue. El ouvrant et en fermant l'œil, mes cils caressent sa peau. Ça la chatouille un peu. Lorsqu'elle ouvre les yeux, je murmure : << Papillon ! >>. Puis je frotte mon nez délicatement contre le sien en chuchotant : << Esquimau ! >>. C'est en gémissant d'aise qu'elle s'étire puis qu'elle se serre contre moi. Le plaisir est double puisque nous passons la journée ensemble. Le mercredi Clémentine n'a pas cours à l'université. C'est depuis la maison qu'elle restera en télé travail.Il y a donc une certaine tendance à la déconne. L'euphorie de la joie que présente cette situation.

Nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain nous passons nos lycra de sports. Il fait déjà bien chaud dans la maison. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Pendant que Clémentine fait le café, j'allume la cuisinière à bois. Je presse les oranges. Clémentine pèle les kiwis en me disant à quel point elle aime ma façon de la tirer du sommeil. << De me tirer aussi ! >> rajoute t-elle en venant palper ma bosse. Nous en rions de bon cœur. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée avec Estelle. Nous mangeons de bon appétit en évoquant celle qui nous attend ce soir en compagnie de Juliette. C'est en imitant son accent Corse que Clémentine rajoute : << Notre coach "branlettes" ! >> Écroulés de rire nous dégustons nos délicieuses tartines de confiture.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents avant de gagner notre salle d'entraînement. Pas chauffée. Motivation supplémentaire pour s'agiter le plus vite possible en y entrant. L'échauffement de l'aérobic, celui du jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol avant les charges additionnelles. Le retour au calme avec les étirements d'un stretching réalisé correctement. La douche. Nous revêtons nos Levis, nos épaisses chemises à carreaux. Nous affrontons la fraîcheur de la chambre à coucher pour y faire notre lit. Nous dévalons les escaliers pour aller dans l'atelier. Clémentine s'assoit devant son ordinateur, ouvre ses classeurs. J'allume un beau feu dans la cheminée. Dehors c'est l'hiver. Un mois avant sa date officielle. Le gris du ciel. Menaçant. Une température extérieure à moins 2°.

Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je termine ce matin cette première scène de genre à trois personnages. Comme à chaque toile de ce style, les personnages féminins ont les traits de Clémentine et d'Estelle. Le personnage masculin a les miens. Ce sont des moments fabuleux. Travailler ensemble. Clémentine chantonne quelquefois. Je chante avec elle. Elle imite mes cris d'animaux qui n'existent pas. Je peins dans un authentique enchantement. Il est onze heures quinze quand je pose la dernière touche de brun sur la surface de la toile. Je la place sur un second support. Recouverte d'un ample linge elle pourra sécher à l'abri de la poussière. Je place la scène de genre suivante sur le chevalet. Dessin préparatoire, couche d'impression réalisés.

Je rajoute deux bûches sur les braises crépitantes avant de rejoindre Clémentine. Debout derrière elle, je masse délicatement sa nuque son cou. Elle m'explique qui est l'étudiant que je vois parler à l'écran. Elle retire son casque bluetooth et l'éteint. J'entends le jeune homme qui développe un concept mathématique. C'est abstrait pour moi qui ne jure que par le réalisme en peinture comme dans d'autres domaines. Clémentine rit de me voir en plein désarroi. Elle se lève pour se blottir dans mes bras. Je retire ma blouse devant le petit lavabo de l'atelier. Pendant que je me lave les mains, Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets. Ce matin je m'amuse à contracter mes muscles fessiers. Ce qui a pour effet de lâcher de véritables jets brefs et en rafales. Clémentine vise en la secouant.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il y a les deux dernières grosses bouchées à la reine à réchauffer. Avec leurs coquillettes. Je m'en occupe. Clémentine fait l'assaisonnement d'un salade de concombre. Je coupe le légume en fines lamelles. Nous mangeons de bon appétit en envisageant diverses options de repas pour ce soir avec Juliette. Clémentine décide de faire simple. Une purée en accompagnement de pavés de saumon poêlés. Excellente suggestion. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur ses cours depuis la maison. Souvent en connexions avec Estelle. Nous descendons récupérer les pavés de saumon dans le congélateur. Les pommes de terre dans le cellier. Clémentine me sort la bite pour me l'agiter en riant.

<< On a encore oublié de se faire livrer quelques chose par Danièle. Elle insiste pourtant pour le faire. Il faut qu'on s'invente un besoin ! >> dit elle. C'est vrai, je n'y ai pas pensé non plus. Clémentine rajoute : << Je suis certaine qu'elle y pense et qu'on s'offrirait une belle tranche de vice ! >>. En remontant nous nous promettons de trouver un "plan". Nous épluchons, lavons et coupons les grosses pommes de terre. Une cuisson rapide dans l'auto cuiseur sur la fournaise de la cuisinière à bois. Les deux gros pavés de saumon posés sur le couvercle décongèlent très vite. Il faut les mettre dans un récipient car ils partent en flotte. Ce qui créé des bulles qui tournent sur la fonte rougeoyante en sifflant. Pendant ce temps nous faisons la vaisselle. Clémentine passe les patates dans le presse purée.

Je découpe le saumon en fines tranches. Poêlées avec des champignons, de l'ail, de l'échalote. Il faut rajouter du lait de soja, de la crème fraîche à la purée avant de l'étaler dans le grand plat carré en terre cuite. En plusieurs couches. Sur chacune d'elles on verse de la poêlée, du gruyère Suisse. On recouvre d'une couche de purée pour refaire. Ainsi sur cinq couches jusqu'à ras bord. On couvre de fines lamelles de Morbier, de saint Nectaire. Chapelure, graines de sésame grillé. Des cerneaux de noix en carrés concentriques. Au four électrique pour une longue cuisson à 160°. Nous lavons les feuilles d'une belle laitue. Ce sera la salade d'accompagnement. Il suffit de terminer par son assaisonnement. Huile de noix, huile d'olive, moutarde à l'ancienne. Recouvrir d'un linge. C'est prêt.

La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. << Madame branlette arrive pour dix neuf heures. Je vous demanderai donc de l'accueillir avec tous les honneurs ! >> me fait Clémentine en sortant ma queue pour la faire tournoyer. "L'hélicoptère" qui nous fait beaucoup rire. Debout derrière moi, elle agite mon chibre devant le grand miroir ovale. Pressés d'aller nous dégourdir un peu les jambes, nous dévalons les escaliers. Anoraks, bonnets, gants pour affronter le froid polaire. Le pénible vent glacial. Jusqu'à la rivière. Clémentine reste serrée contre moi pour me raconter sa façon de voir les choses ce soir avec l'arrivée puis la présence de Juliette. Nous en rigolons comme des bossus. Je trouve les différents scénarios géniaux.

Il est presque quatorze heures quand nous retrouvons l'atelier. Les crépitements de la cheminée. Les suaves odeurs des bois de hêtre et de chêne qui se consument doucement. Clémentine assise devant son ordinateur. Moi devant mon chevalet. Une nouvelle séance de plaisir partagé. De chansons loufoques, de cris surréalistes. Parfois l'un se lève pour aller faire un rapide bisou à l'autre. Murmurer une douceur ou une coquinerie à son oreille. << J'ai envie d'une pipe ! >> chuchote Clémentine à la mienne. L'après-midi passe ainsi. << Là, je n'en peu plus ! >> s'écrie Clémentine en se levant pour ranger ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Le rituel pisseux devant le lavabo avant de nous avachir dans le vieux canapé de velours carmin. Entre les épais coussins assortis.

Couchée sur le dos, sa tête sur mes cuisses, Clémentine parle de ses cours à domicile. J'écoute en caressant son front. Ma bite toute molle contre laquelle elle frotte sa joue. Le crépuscule fait rapidement place à la nuit. Ce ne sont plus que les dernières flammes qui éclairent cette partie de la grande pièce. C'est un moment de félicité que nous vivons. Pour Clémentine c'est comme un sas de décompression. Quand elle tourne la tête c'est pour suçoter la peau fripée de mon prépuce. La mâchouiller. J'adore la regarder s'amuser ainsi. Depuis sept ans il m'est tout à fait impossible de m'habituer à son visage d'ange, ses traits délicats, ses yeux d'un bleu clair et intense, ses longs cheveux d'un noir de jais. C'est un sentiment merveilleux d'être "l'élu", le privilégié "choisi". J'en savoure l'instant.

Comme le précise parfois Juliette, c'est pour mon argent aussi. Je lui rétorque à chaque fois que j'ai les moyens de m'offrir non pas un ange mais deux. Ce qui fait beaucoup rire Clémentine et Estelle qui précise : << Pourquoi ? C'est vilain d'aimer l'argent ? >>. Nous passons une bonne heure ainsi. Je bande mou. Je frotte ma queue sur son visage. Les yeux fermés avec une expression d'extase, Clémentine en gémit de plaisir. << On fait la "surprise" à Juliette ? >> lance t-elle soudain en se redressant. Je garde ma main gauche dans sa culotte. Je tiens son clitoris géant entre le pouce et l'index. Elle bouge doucement et en rythme, masturbée délicatement depuis plus d'une demi heure. << Tu te mets là, dans l'obscurité, dans le fauteuil à bascule et tu te branles. Moi je m'assoie sur le pouf pour te regarder ! >> m'explique t-elle une nouvelle fois. Superbe.

Je m'installe. Clémentine aussi. L'un en face de l'autre. Juste éclairés par les flammèches. Nos intimes ont pour consigne d'arriver sans s'annoncer. À cet effet, nous avons ouvert le portail depuis l'interphone du hall d'entrée. C'est le bruit discret que nous entendons qui nous prévient de la présence de Juliette. La porte s'ouvre. C'est ainsi qu'elle nous découvre ce soir. Vêtue d'une paire de jeans, d'un pull à coll roulé, de ses bottines, elle se précipite en disant : << J'hallucine ou vous vous entraînez pour vendredi soir ? >>. Nous en rions tous les trois aux éclats. Cette fois, en arrivant, Juliette ne peut pas faire semblant d'ignorer mon chibre. Je bande comme le dernier des salauds. Elle se penche pour faire la bise à Clémentine. Puis à moi en rajoutant : << Superbe surprise. Félicitations ! >>

Juliette s'installe en tailleur sur le tapis. Je me branle. Clémentine, les coudes sur ses cuisses, écoute Juliette nous raconter sa journée. Nous bavardons ainsi un petit moment. La faim nous gagne. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand Juliette découvre le plat que je sors du four électrique pour le mettre dans la fournaise du four à bois, elle passe son bras autour de ma taille en disant : << N'allez pas risquer de vous brûler cher branleur. Ce sera moi qui sortirais le plat dans cinq minutes ! >>. Il suffit de mettre les feuilles de laitue dans l'assaisonnement déjà préparé. De placer les assiettes et les couverts sur la table. Je n'arrête pas de me masturber. D'agiter ma bite vers Juliette ou vers Clémentine. Juliette sait que mon plaisir est décuplé quand je la vois accroupie de dos.

Devant la porte du four, dans le reflet de la vitre elle observe ma branle. Clémentine qui vient se placer derrière moi, ses bras autour de ma taille. << Attention ! >> lance Juliette qui ouvre la porte. C'est un gratin aussi divinement beau que bon. Nous mangeons d'un appétit faisant honneur à ce plat. La conversation reste axée sur nos préoccupations. Le sexe. Ce vendredi nous serons tous les trois à nous offrir une "soirée branle". Ce n'est pas la première. Tout en mangeant je me lève d'ailleurs à plusieurs reprises pour en donner un aperçu à mes deux spectatrices. Juliette nous promet une << Très belle surprise ! >>. Elle devra nous laisser pour 22 h. Nous traînons à table. Je me lève pour frotter ma biroute sur la joue de Clémentine. Elles bavardent toutes les deux comme si c'était "normal". Nous en rions beaucoup. Je me comporte encore ce soir comme un véritable dépravé, doublé d'un satyre et d'un pervers chevronné. Sous les rires des coquines.

Bonne nouille à toutes les coquines qui en savourent les jus sous la couettes. Remerciant ainsi leur coquin de leurs offrir de merveilleux instants d'un esthétisme vicelard et déviant. Avant de se ramasser des giclées de sperme au fond de la gorge. Puis se s'endormir blottie contre leur bienfaiteur...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 4 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2449 -



Contrôles de routines du jeudi soir

Il est presque six heures hier matin, jeudi. Les fééries de l'application "forêt" nous tirent du sommeil. Clémentine se serre contre moi en gémissant. Quelques papouilles. Quelques bisous. Il faut se lever. C'est comme des robots dont les piles seraient défaillantes que nous allons aux toilettes. Nos mouvements mécaniques et un peu maladroits ne tardent pas à nous faire rire. Les radiateurs viennent de s'allumer. Il ne fait pas très agréable dans la salle de bain où nous enfilons nos vêtements de sport. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. J'allume immédiatement la cuisinière à bois. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Nous pressons les oranges, nous pelons les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée avec Juliette. Nos conversations érotiques.

Nous mangeons de bon appétit en nous réjouissant des folies de ce soir avec Estelle. << Je la vois tout à l'heure en cours. Au restaurant universitaire, à midi, elle va me raconter son mercredi soir avec son parrain ! >> dit Clémentine qui vient terminer sa tartine au miel sur mes genoux. Six heures vingt cinq. Il faut remonter car chaque seconde est précieuse. L'échauffement des mouvements aérobics. Le jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol. Excellente mise en conditions avant les charges additionnelles. Le retour au calme avec un stretching bien trop hâtif. La douche. Il fait à présent très agréable dans la maison avec 22°. Je descends le premier pour préparer la voiture. Presque 7 h45. Il neige un peu. Le thermomètre extérieur indique moins deux degrés. Un ciel sinistre.

Clémentine vient me rejoindre sous son parapluie. << Mais quelle horreur ! >> lance t-elle, déguisée en esquimau. Je dis : << Sois prudente ! >>. En s'asseyant au volant elle répond : << Oui. Promis. Je ne me touche pas en roulant ! >>. Nous rions. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je m'empresse de retourner au chaud pour faire la vaisselle, le lit. Dans l'atelier, première des choses, allumer une belle flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je m'attelle à cette seconde scène de genre avec jubilation. Je peins dans un enthousiasme parfois délirant qui me fait pousser des cris surréalistes. J'entends du bruit. Un moteur de camion. Je me précipite. J'avais complètement oublié l'intervention de l'entreprise paysagère.

Je mets mon anorak pour aller saluer la dame qui s'occupe du chantier. Son assistant déjà entrain de décrocher une machine. Ils connaissent leurs boulots. Et avec le tapis de feuilles pourrissantes et les branchages jonchant le sol, ils ont de quoi s'occuper. Je laisse Caroline à son travail pour retourner au chaud. La matinée passe encore à une telle vitesse. Midi. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je regarde par une des fenêtres. Le jardin est propre. La neige a disparu pour faire place à une pluie fine et incessante. Je réchauffe le reste de purée. Je fais l'assaisonnement d'une salade de concombre et d'avocat. En prévision de la préparation du repas de ce soir, je sors la pâte feuilletée du réfrigérateur. Je descends chercher des poireaux à la cave.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission, André Bercoff aborde la "relaxe" du garde des sceaux. Deux poids deux mesures en fonction de votre degré d'implication dans le marasme des magouilles à la tête d'un pays. Les faits sont avérés, il y a bien eu matérialisation des faits reprochés mais notre Dupont-Maserati les aurait commis à l'insu de son plein gré. Une sorte de Virenque de la magistrature. Dopé malgré lui à la mauvaise foi la plus écœurante. Ces individus donnent la gerbe et sont maintenus à leurs fonctions. Il y a également l'article 4 de la future loi Darmanin qui précise que tout individu qui préconisera les médecines parallèles, qui dénoncera les effets secondaires d'un vaccin, l'efficacité des médecines alternatives en substitut aux traitements médicaux conventionnels se verra condamné à un an de prison et à quinze mille euros d'amandes. Bref, la victoire de "Big Pharma". Proprement monstrueux.

Je visionne mentalement les préparations de la Flamiche Picarde qui sera notre repas du soir. J'étale deux tiers de la pâte feuilletée dans le grand plat rond à bords hauts. Je lave et je coupe deux gros poireaux. Je les ébouillante dans l'autocuiseur. Je concocte une belle et onctueuse Béchamel. J'y rajoute de ce succulent gruyère Suisse. J'égoutte le poireau pour le rajouter à la sauce. Je verse le tout sur la pâte. Le reste de gruyère dessus. Je recouvre du dernier tiers de pâte feuilletée en jointant bien les bords. Je badigeonne le mélange œuf, lait de soja et moutarde à l'ancienne sur le tout. Au four électrique pour une longue et lente cuisson à 160°. Je fais l'assaisonnement de la salade de tomates qui accompagnera la tourte aux poireaux. J'en connais deux qui vont se régaler ce soir.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. De ce côté-ci de l'étage le bruit des machines est assez pénible. Je regarde par une des deux fenêtres. Caroline et son employé, côte à côte, poussent les amas de feuilles avec des sortes de canons soufflant. Le bruit est assourdissant. Pourquoi donc ne pas utiliser des moteurs électriques plutôt que ces maudits moteurs thermiques ? Je me promets d'en parler au directeur de cette entreprise que je connais bien depuis huit ans qu'elle intervient dans ma propriété. Il pleut en plus. Alors cette confiture de feuilles colle fortement sur l'herbe. Je redescends pour mettre mon anorak, chausser mes bottes en caoutchouc. C'est sous le parapluie que je vais jusqu'à la rivière. Malgré les trois cent mètres qui m'en séparent je perçois cet épouvantable potin.

Il est treize heures cinquante quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je reprends ma peinture dans un relatif silence revenu. L'atelier est orienté Nord, Nord Est. Le double vitrage des grands baies vitrées fait également office d'isolant phonique. L'après-midi se passe dans l'enthousiasme de la passion. Du bruit. Dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table. Se précipite pour s'installer à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le repas de midi du restaurant universitaire. Elle a encore du travail. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches la voilà plongée dans ses écrits. En chantonnant parfois, en se relisant quelquefois. Me demandant ce que j'en pense.

Dix huit heures trente quand elle se lève d'un bond en s'écriant : << J'arrête ou je pète une durite ! >>. En réunissant ses affaires pour les ranger elle rajoute : << J'aime bien ce mot "durite". Ça rime avec bite et ça évoque des trucs un peu glauques. Tu me la donnes après, ta "durite" ! >>. Nous rions alors que je nettoie la palette, les pinceaux. Devant le petit lavabo de l'atelier, où je me lave les mains, bite posée sur le rebord, Clémentine vient me rejoindre en sautillant. << Ta "durite" ! Je la purge ! >> lance t-elle en la saisissant pour en diriger les jets. Penchée en avant, après en avoir secoué les dernières gouttes, Clémentine suçote la peau fripée de mon prépuce. Elle se redresse en disant : << Le constat est sans appel mon pauvre monsieur, votre durite présente des fuites ! >>

Nous rigolons comme des bossus quand je promène Clémentine dans toute la grande pièce. Accrochée à mon cou, ses jambes autour de ma taille, mitraillant mon visage de bises. C'est la situation sur laquelle tombe Estelle qui arrive toujours silencieusement. Je dépose Clémentine au sol pour administrer le même traitement à notre visiteuse. Je bande mou. Quand je la repose au sol, Estelle attrape mon chibre, elle le soupèse en disant : << Il y a bien là 350 grammes de barbaques ! Nous rigolons comme des bossus. Je demande : << Et ta soirée de mercredi ? Baisée jusqu'à la congestion ? >>. En continuant de rire Estelle répond : << Au delà, j'ai encore la chatte toute ankylosée. Tu veux contrôler ? >>. Elle saisit le tisonnier pour remuer les dernières braises en me racontant.

Morts de faim nous quittons l'atelier pour la cuisine. Je remballe ma bite. Quand les filles découvrent ce que j'ai préparé, je suis pris en sandwich par leurs effusions de tendresse. Je tire la Flamiche Picarde du four électrique éteint pour la mettre dans la fournaise du four à bois. L'assaisonnement des tomates déjà lavées est un gain de temps appréciable car nous sommes pressés de manger. Pressés de passer au salon pour procéder au "contrôle" de la chatte d'Estelle. Bien évidemment tout cela n'est qu'un prétexte car sa chatte se porte comme un charme. Je pourrai bientôt le constater une fois de plus. Estelle, accroupie devant le four pour surveiller m'observe également dans le reflet de la vitre fumée. Je mets les assiettes, Clémentine les couverts. Je sors ma bite pour l'agiter mollement.

"L'hélicoptère" qui fait tant rire mes deux anges quand je fais tournoyer ma biroute. Estelle enfile les maniques. Elle ouvre la porte du four pour en sortir la splendide tourte aux poireaux. Son odeur embaume soudainement toute la cuisine. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos soirées de débauches. Estelle ne vient pas avec nous vendredi chez Juliette. La "soirée branle" se déroulera sans elle. << Vous me raconterez samedi ! >> précise t-elle. La Flamiche Picarde est un met délicieux autant que délicat. Mes deux anges félicitent mon initiative. Nous ne traînons pas. Les assiettes et les couverts dans le lave vaisselle. Elles m'entraînent en me tenant par les bras jusqu'au salon. << Tu contrôles mon minou monsieur le garagiste ! >> lance Estelle en retirant ses bottines, son Levis et sa culotte. Clémentine fait de même. Je jette les épais coussins sur le tapis devant le canapé où se vautrent mes deux coquines excitées.

C'est par le sexe d'Estelle que je commence le plus souvent mes "contrôles" des jeudis soirs. Mon visage entre ses cuisses alors qu'elle titille son clitoris, je hume longuement les effluves parfumées de sa journée de fille. Toutes les deux se masturbent en me regardant renifler. En riant elles échangent leurs impressions. Estelle revient sur quelques détails épiques de sa baise avec son parrain. << Il n'a pas cessé de parler de toi et de ton "garage à bite" ! >> dit elle à Clémentine qui a son tour évoque les sensations ressenties vendredi dernier en se faisant sauter par le parrain d'Estelle. Je fouilles les plis de leurs vulves en les écoutant digresser sur leurs aventures. C'est évidemment extrêmement excitant. Quand ma langue fouille leurs intimités elles se masturbent. Parfois en gémissant, parfois en bavardant. Quand je suce leurs clitoris, c'est soudain la stéréophonie d'un concerto pour deux voix en jouissances majeures. La Coda s'annonce.

C'est le plus souvent Estelle qui est la victime d'un orgasme "dévastateur" qui la laisse haletante. Prostrée. Couchée sur le côté, ses cuisses serrées sur ses mains. L'orgasme pisseux de Clémentine dont je tente de recueillir les jets puissants qui m'éclaboussent dans la cuvette que j'oriente au mieux. C'est en hurlant qu'elle se "décharge". C'est merveilleux de voir les éjaculation de cyprine laiteuse et abondantes êtres éjectées en même temps que les jets de pisse. Dès les dernières gouttes je me précipite pour y coller ma bouche. Les frissons qui secouent l'intérieur de ses cuisses contre mes joues. Des spasmes qui secouent tout son corps alors qu'elle me tient par les oreilles. Je connais moi aussi l'extase. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Elle reprend ses esprits avant de s'habiller. Clémentine me bouffe la queue. Je m'agite dans sa bouche avec quelques généreux coups de reins. J'éjacule en poussant un hurlement de damné. Put-hein !

Bonne nuit à toutes les coquines qui se blottissent contre leur lécheur suceur sous la couette. Pour sombrer dans le sommeil après lui avoir confié leurs derniers ressentis...

Julien (Docteur Honoris Causa es cunnilingus)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
Fleur - 5 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2450 -



Soirée branle chez Juliette

Hier matin, vendredi, à presque six heures, quand les fééries de l'application "forêt" nous réveillent, Clémentine, en se blottissant contre moi, s'écrie : << Il était temps ! >>. Encore dans un demi sommeil, nous nous mettons à rire. Le week-end commence à midi le vendredi. Ce qui rend la fille que j'aime très facétieuse dès le levé. Des bisous, des papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Les radiateurs viennent de se mettre à fonctionner. Il ne fait pas chaud. C'est donc fébriles, avec rapidité, que nous enfilons nos tenues de sports dans la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine, en imitant l'accent Corse de Juliette, "madame branle" comme elle la surnomme, fait le café. Je suis plié de rire en allumant le feu dans la cuisinière à bois. Il prend très vite.

Clémentine pèle les kiwis en imitant un pas de danse folklorique tout en chantant d'absurdes litanies. Je presse les oranges, écroulé de rire. Je m'exclame : << Ce matin, je ne suis pas seulement fou amoureux de toi, mais je t'adore ! >>. Elle me saute au cou. Il faut se raisonner. Chaque seconde nous est comptée pour pouvoir tout faire. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le programme de l'après-midi. Il faudra aller en ville acheter les cadeaux pour ma famille en Écosse. Famille qui est également devenue celle de Clémentine qui se réjouit pour la revoir aux vacances de fin d'année. Nous mangeons de bon appétit en organisant bien le planning. Nous sommes attendus chez Juliette pour 20 h. Six heures vingt cinq. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement.

Les échauffements aérobics, ceux du jogging sur tapis roulants ou Clémentine, déconneuse, se met à courir en se tournant, avec un sérieux qui me fait pouffer de rire. Les exercices au sol. Les charges additionnelles. Les étirements du stretching avant la douche. Je redescends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Le jour achève de se lever et à presque 7 h45 la température extérieure n'excède pas moins deux degré. Et toujours ce léger vent du Nord. Clémentine vient me rejoindre chaudement vêtue sous un ciel gris, bas et sinistre. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Frigorifié, je me dépêche de rentrer dans l'agréable chaleur qui règne dans la maison. 22°. Je fais rapidement la vaisselle et notre lit avant de passer dans l'atelier. J'allume le feu de la cheminée.

Installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette seconde scène à trois personnages m'accapare très vite et totalement. Je peins dans l'euphorie laissée par Clémentine. La matinée passe au-delà de ma perception du temps. Il est presque midi. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je mets deux bûches dans les flammes. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer le reste de la tourte aux poireaux. Je concocte l'assaisonnement d'une salade de carottes. Je fais gonfler du riz complet. Une sauce au Roquefort. Midi trente. Clémentine rentre de cours pour me sauter au cou. Je la soulève. Les jambes autour de ma taille, elle mitraille mon visage de bisous. C'est comme ça que je l'emmène aux toilettes pour le rituel pipi et le lavage des mains.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée de cours. << Peut-être rencontrera t-on Estelle et sa maman au marché de Noël ! >> précise t-elle. Nous traînons un peu à table. Assise sur mes cuisses, à califourchon, ses bras autour de mon cou elle dit : << J'ai une méchante envie de faire des trucs sympas tu sais. Ça va être dur d'attendre jusqu'à ce soir ! >>. Nous en rions de bon cœur. J'émets l'hypothèse de commencer dès maintenant et d'entretenir nos excitations jusque dans la soirée. Mais avec ce froid, il sera difficile de mettre en application ce dogme qui nous est cher. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Clémentine garde ses vêtements de la matinée. Levis, pull mohair à col roulé, bottines. Je me change pour des habits propres.

Nous prenons quelques poses déconnantes devant le miroir ovale de la salle de bain. J'ai la braguette ouverte. Le chibre qui en pend mollement. Clémentine, accroupie sur ma gauche, me tient par les jambes. Sa tête posée sur ma cuisse. Elle me dit : << Savez-vous mon cher "Maître" que j'aurais besoin d'une sérieuse reprise en main ? >>. En caressant sa tête je réponds : << Ma douce "Soumise", je vous promets une belle séance ce weekend ! >>. Clémentine se redresse, saisit ma queue. Enfonce sa langue dans ma bouche. Le goût d'eucalyptus de la crème dentifrice. Je bande presque immédiatement comme le dernier des salauds. Tenu par la bite, nous descendons les escaliers avec précaution en nous faisant des bises. Les anoraks noirs. Les bonnets, les gants. C'est parti.

Il y a vingt cinq kilomètres jusqu'à la petite ruelle habituelle où nous garons l'auto. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue tout en me racontant quelques amusantes anecdotes de sa matinée d'étudiante. Il est 14 h quand nous arrivons. En ville le vent ne peut sévir avec autant de perversité que dans la campagne. C'est presque un soulagement. Nous marchons d'un pas rapide, Clémentine me tenant par le bras. Dix minutes jusqu'aux premières rues piétonnes. Il y a du monde. Un froid humide et glacial. Nous traversons le marché de Noël en flânant. Les odeurs de cannelle, d'anis des boissons chaudes. Les odeurs sucrées des gaufres qui réchauffent sur des plaques électriques. Des crêpes et des pommes d'amours caramélisées. Ça donne envie. De la pure gourmandise.

Sur l'escalator qui mène au premier étage de la FNAC, Clémentine utilise la stratégie "Estelle" pour me palper discrètement la bosse. Serrée contre moi, une main baladeuse, l'autre autour de mon cou. Nous attirons évidemment bien des regards. Nos hautes tailles. Cette sublime jeune fille au bras d'un homme d'âge mûr. Le rayon informatique. J'ai l'intention d'acheter un nouvel ordinateur comme cadeau de Noël pour Estelle. Nous choisissons le même modèle que celui de Clémentine. MacBook Pro 13. La vendeuse vient nous rejoindre après une bonne dizaine de minutes d'attente. C'est que nous ne sommes pas seuls, il y a du monde. Il y a le modèle d'exposition. Je propose à Clémentine d'en acheter un neuf également pour elle. << T'es fou, le mien n'a même pas deux ans et il fonctionne super bien ! >>. Je demande à la vendeuse un modèle certifié fabriqué dans l'année. Afin de retarder l'obsolescence inévitable au bout de 5 ans.

<< Ils ne sont pas aux même prix. Il faut compter cent cinquante euros de plus ! >> précise la jeune fille. Je réponds : << C'est ça que nous voulons ! >>. Elle nous invite à l'attendre. Elle revient au bout de quelques minutes avec cet emballage blanc si caractéristique d'Apple. Nous ne nous attardons pas, nous passons en caisse. Facture de garantie. Dans son emballage l'ordinateur ne pèse pas plus d'un kilo huit cent. << Comme son prix 1,8 K ! >> lance Clémentine. Je trimballe le sac. Nous passons aux rayon des bouquins. Des idées de cadeaux pour mon oncle et sa femme, pour ma tante et son mari. C'est chargés que nous retournons à la voiture. Nous ferons les emballages cadeaux avant de tout envoyer par la poste. Pour ne pas les trimballer dans l'avion. On fait ça chaque année.

Nous revenons en ville pour nous offrir un bon chocolat chaud et une tartelette aux abricots dans notre salon de thé préféré. C'est à chaque fois très agréable de nous retrouver au chaud. Même si les chocs thermiques successifs sont déplaisants. Par la grande baie vitrée nous avons vue sur une des rues piétonnes. C'est noir de monde. Avec le crépuscule qui annonce la tombée de la nuit, les illuminations prennent un aspect féérique. Je propose de manger en ville. Dans ce restaurant gastronomique dont nous apprécions la classe et la cuisine. Clémentine préfère rentrer. Mettre les cadeaux dans l'atelier. Préparer le paquet cadeau pour Estelle. Je trouve l'idée judicieuse. Il est dix huit heures trente quand nous revenons. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de tomates.

Je fais bouillir l'eau des spaghettis. Il reste de la sauce au Roquefort. Préparations rapides. Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Il reste trois quart d'heure. C'est dans l'atelier que Clémentine fait le bel emballage cadeau pour Estelle. Un magnifique papier aux motifs sépias. Je la regarde faire, consciencieuse, alors qu'elle me confie son impatience de rejoindre "madame branle". Je fais les emballages cadeaux pour la famille en Écosse. Nous irons les emmener à la poste vendredi prochain. Nous cachons le paquet pour Estelle comme des gamins facétieux. Sur le haut d'une des étagères de la grande armoire où je stocke du matériel de peinture. Petites toiles, pinceaux, tubes de couleurs et toutes ces petites choses. Estelle aime ouvrir les armoires.

Nous restons vêtus comme nous le sommes. << Pour me branler c'est plus simple en jupe ! >> lance Clémentine avec une expression de dépit. Nous rigolons comme des bossus. Je suggère que nous remontions dans la chambre pour choisir une jupe qu'elle pourra mettre chez Juliette. Elle m'entraîne par la main. Nous remontons en courant. C'est une de ses jupes kilts à carreaux rouges et verts. Des escarpins à talons hauts, avec la petite sangle qui enserre délicatement la cheville. Nous cavalons pour redescendre, enfiler nos anoraks. C'est parti. Il n'y a que trois kilomètres jusqu'au haras. La cour est déserte. De la lumière à l'étage, au-dessus des bureaux d'accueil. C'est comme si elle guettait notre arrivée. À peine sommes-nous devant la porte que celle-ci s'ouvre. Juliette.

J'aime découvrir la joie qui inonde son visage lorsqu'elle nous voit. Ce soir Juliette est vêtue d'une jupe noire et ample. De bottes noires à talons hauts. Un pull à col roulé. Ses longs cheveux noirs aux reflets d'argent qui flottent sur ses épaules. C'est toujours une émotion qui m'envahit quand je la revois. Nous la suivons dans l'escalier. << Thé, tisane, café avec les petits salés ? >> demande t-elle. Ce sera un thé. Vautrés dans le canapé, Clémentine et moi, nous grignotons des noix de cajou en écoutant Juliette nous raconter sa journée. Installée dans le fauteuil qui nous fait face. Je fixe ses cuisses qu'elle écarte imperceptiblement. Clémentine pose sa main sur ma braguette. << Ça va sentir le renfermé, mettez-vous donc à l'aise ! >> me fait Juliette en écartant ses cuisses. Majestueuse. Pointant son index vers ma braguette.

Clémentine se lève en disant : << Je me change à la salle de bain ! >>. Elle s'y précipite avec le grand sachet FNAC qui contient sa jupe et ses souliers. Juliette me fixe silencieusement. Mon regard va de ses yeux à son sexe qu'elle me montre si généreusement. << J'ai envie de faire l'amour avec toi. Il faut à tout prix que tu persuades Clémentine de t'y autoriser. Ça fait presque sept ans qu'on se connaît. S'il te plaît ! >> chuchote t-elle comme de peur d'être entendue. Je murmure : << Tu me demandes l'impossible. Clémentine est intraitable à ce sujet ! >>. Je n'ai pas le temps de finir que Clémentine revient. Comme elle est belle et sexy dans sa jupe kilt, ses escarpins noirs. Elle tourne sur elle-même en soulevant légèrement sa jupe. << C'est comment ? >> demande t-elle.

Juliette est bisexuelle. Cette tendance la fait littéralement "baver" à chaque fois que nous sommes ensemble. Je le déplore mais pour Clémentine c'est une option impossible. Lorsque nous faisons l'amour et que j'aborde ce fantasme de la voir coucher avec une autre fille, elle répond invariablement : << Je serai gouine quand tu seras pédé ! >>. Il n'y a donc pas l'ombre d'un début d'espoir de voir réaliser un jour ce fantasme. Je sors ma queue. Je tiens mon érection. Clémentine reste debout. Une main sous sa jupe. L'autre sur son sein gauche. Elle se touche. Nous voilà silencieux tous les trois. Juliette se lève. Elle se touche en faisant face à Clémentine. Elles s'observent toutes les deux. Je me branle en assistant à cette confrontation. C'est à la fois surréaliste et hyper excitant.

Dommage que Clémentine n'est aucune attirance pour les femmes. Car Juliette, sublime bourgeoise de cinquante ans, est redoutablement sexy, attractive, séduisante. Selon l'expression populaire "elle ferait bander un mort". Mais les vivants surtout parce que mon érection devient presque une torture. << J'ai une surprise, comme toujours ! >> lance soudain Juliette en s'éloignant. Nous n'y avions pas prêté attention dans la pénombre. Elle revient avec une sorte de boîte noire d'environ 50 cm sur 30 et autant de haut. Cela ne semble ni lourd ni encombrant. << Sybian ! Vous connaissez ? >> dit elle en posant l'objet sur la table basse. << Tu en as un ! Je n'en ai jamais vu pour de vrai ! >> s'écrie Clémentine. << Je l'ai depuis huit jours. Je voulais te le faire essayer ! >> dit Juliette.

Clémentine, en se touchant, se penche pour observer l'appareil. Juliette ouvre une petite trappe à l'arrière. En sort deux godes de tailles différentes. << Put-hein ! >> murmure Clémentine à la fois étonnée et intéressée. << Je fixe le petit. Touche, il est en caoutchouc ! >> lance Juliette en le fixant sur l'ergot du dessus. L'engin fait penser à une selle de cheval. On s'y assoit à califourchon, le gode enfoncé. Je regarde l'expression d'envie qui se dessine sur les traits de Clémentine. << Viens, monte sur la table, tu t'accroupis et tu t'installes. Dès que tu te sens prête tu t'enfonces le truc. Tu préfères le grand ? >> explique Juliette. Elle branche la prise de l'appareil avec la rallonge. Elle met en fonction. Le gode se met à vibrer. Il y a différentes vitesses, différentes fréquences. Un petit bruit.

<< Génial ! Je ne suis pas du tout sextoys mais je vais me faire un plaisir d'essayer ! >> s'exclame Clémentine ravie. Juliette enduit alors le gode d'un gel. << Lubrifiant et stérilisant ! >> lance t-elle en montrant le flacon. Clémentine monte sur la table basse. Elle me tend une main pour que je l'aide à maintenir son équilibre. Un équilibre précaire car elle tend son autre main à Juliette. Nous la tenons tous les deux. Clémentine s'accroupit doucement. Les lèvres charnues de son sexe se refermant sur l'extrémité du gland en caoutchouc. Elle lâche la main de Juliette pour se l'enfoncer doucement. Tout en se mettant à genoux sur la table basse. L'engin est dimensionné à la perfection. À genoux, assise sur l'appareil, Clémentine se met à pousser de petits cris de ravissements. << Mmhh ! >>

Juliette fait tourner une molette crantée de un à dix. Clémentine lâche ma main pour tenir la poignée. Tout comme elle le ferait sur une selle. Sur un cheval. L'appareil en présente d'ailleurs le profilé. Les vibrations sonores augmentent. Les expressions de ravissements sur le visage de Clémentine passent de l'étonnement à la surprise, du plaisir à l'extase. Juliette se touche en admirant ce spectacle. Je suis debout devant Clémentine à me branler. C'est merveilleux de la voir se faire baiser par cet engin. C'est surréaliste. Extraordinaire. Elle a compris comment ça fonctionne. En haletant, elle tourne la molette sur cinq. Le bruit n'est pas sans rappeler celui d'un batteur électrique de cuisine. Les frissons qui agitent l'intérieur des cuisses de Clémentine secoue un peu la machine. Et la table basse. Ce qui est posé dessus.

Il y a du jus qui coule sur l'appareil. Il en coule jusque sur la table. Clémentine, en extase, les yeux fermés, prostrée sur la machine s'envoie littéralement en l'air. Elle ouvre les yeux, me fixe avec un regard implorant, couverte de sueur. Elle ouvre la bouche. J'y enfonce ma queue ruisselante de jute. C'est tellement excitant que ça fait bien vingt minutes que je lutte contre l'éjaculation. Juliette se masturbe en nous observant. L'orgasme de Clémentine est tout simplement prodigieux. Et pisseux. Juliette ne s'y attendait pas. Elle éclate de rire. J'éjacule au fond de la gorge de Clémentine qui en tousse, qui manque de s'étouffer tout en pissant. C'est prodigieux. Juliette aussi s'offre un orgasme. Nous reprenons nos esprits. Clémentine passe la serpillère en s'excusant. Nous rions aux éclats.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui savent très exactement quel sera l'un des cadeaux du prochain Noël...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Sunday 3 December 2023 10:11

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Coeur - 6 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2451 -



Samedi matin - Samedi coquin

Il est sept heures hier matin, samedi. << De pouvoir dormir une heure supplémentaire est un petit bonheur ! >> me fait Clémentine d'une voix encore mal assurée. Elle se blottit contre moi en serrant ses pieds contre les miens. Nous ne chauffons pas notre chambre afin de mieux dormir. Mais c'est un défi quotidien que de sortir de sous la couette chaude quand il ne fait que 14°. Quelques bisous, quelques papouilles et voilà notre acte de courage de la journée. Nous sautons du lit pour nous précipiter aux toilettes. Partout ailleurs, sauf dans notre salle d'entraînement, les radiateurs offrent leurs vingt deux degrés. Dans la salle de bain nous revêtons nos lycra sports. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Il fait encore nuit. Impossible de voir à quoi ressemble le climat au dehors.

Clémentine fait le café, presse les dernières oranges, pèle les derniers kiwis. J'allume la cuisinière à bois. Lorsqu'il y a un tel tirage c'est qu'il fait froid dehors. Effectivement. Le thermomètre extérieur indique moins quatre degrés. Les quatre premières tranches sont éjectées du grille pain dans in claquement sec. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre "soirée branle" chez Juliette. << C'est génial ce sybian. J'en avais vu en photos ou dans des films pornos. Là, j'ai enfin découvert son utilisation en vrai ! >> lance Clémentine. Je dis : << J'ai comme une vague idée d'un de tes prochains cadeaux de Noël ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous garderons un excellent souvenir de cette toute première expérience. Pourtant Clémentine n'a aucun penchant pour les sextoys.

Nous mangeons de bon appétit en nous promettant de consulter quelques sites de ventes en lignes. Sept heures trente. La vaisselle. Avant de remonter nous allons ouvrir le portail depuis l'interphone dans le hall d'entrée. Lavage des dents dans une certaine déconnade. Nous changeons les draps du lit. Nous voilà dans la fraîcheur de notre salle d'entraînement. La motivation idéale pour nous mettre à la gymnastique. Les échauffements aérobics et le jogging sur tapis roulants nous mettent dans les toutes meilleures conditions. Les exercices au sol. Les charges additionnelles. Les étirements correctement effectués d'un stretching parfait. En quittant la pièce pour la salle de bain, nous entendons l'aspirateur quelque part à l'étage. Notre "fille de ménage" est arrivée. Lise est à son travail.

La douche. Les shampoings. Nous pouvons prendre tout notre temps les samedis. C'est appréciable. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite, je coiffe Clémentine. Une serviette sur les épaules, assise devant l'un des miroirs, elle revient sur l'expérience du sybian. J'écoute attentivement. Dans le miroir Clémentine constate l'érection que cela provoque. << Mmhh ! Génial ! >> dit elle entre deux descriptions. << Tu me fais une natte pour le week-end ? >> me demande t-elle. Je divise ses cheveux en trois parties pour les tresser. << Tu les fais mieux qu'Estelle. C'est vraiment parfait et régulier ! >> s'écrie t-elle. C'est à son tour de me sécher les cheveux de me coiffer. Clémentine adore ça. Je me laisse faire en continuant d'écouter ses impressions "sybian".

Nous nous habillons de nos Levis, de nos épaisses chemises à carreaux. Nos baskets. En regardant par les fenêtres nous découvrons une campagne toute blanche. << Après les horreurs de la pluie, voilà les horreurs de la neige ! >> s'exclame Clémentine. Dans le couloir nous tombons sur Lise qui vient de terminer le ménage dans notre chambre. Vêtue de son survêtement de sport beige. De gros écouteurs sur les oreilles qu'elle retire pour nous saluer. Lise est toute contente de nous voir. Facétieuse, elle dit : << C'est sympa de se croiser dans cette grande maison. On pourrait s'y perdre ! On fait connaissance ? Vous vous promenez souvent par ici ? >>. Ce trait d'humour nous fait autant plaisir. J'adore sa petite frimousse. Ses cheveux auburns et courts. Ses discrètes tâches de rousseurs sur son nez. Ce visage de fille presque nubile.

<< Bon anniversaire Lise ! >> fait Clémentine. Je rajoute : << Bon anniversaire Lise ! >>. Elle nous remercie en précisant : << C'est seulement demain. Je suis née le 3 décembre ! >>. Clémentine demande : << Ça fait quoi de plonger dans tes dix neuf ans ? >>. Lise, en riant, répond : << Une douce continuité de mes dix huit ! >>. Nous rions ensemble. Nous laissons Lise entrer dans la salle de bain pour continuer son ménage. Nous dévalons les escaliers pour aller dans le salon. Assise sur mes cuisses, Clémentine allume l'ordinateur. Trois courriels. Celui de ma famille d'Écosse. Il y a dix centimètres de neige qui recouvre Édimbourg. Notre appartement au premier étage de la grande demeure Victorienne n'attend plus que notre arrivée. Nous aussi sommes impatients de nous y retrouver.

Quelle amusante surprise. À son courriel Juliette joint des photos de deux sybians légèrement différents. Deux liens pour visiter les sites qui les proposent. Le mail d'Estelle. Pressée de nous retrouver en début d'après-midi. Pendant que Clémentine répond, je glisse un billet de cent euros dans une petite enveloppe sur laquelle j'écris "Bon anniversaire". Je mets cette enveloppe dans une plus grande avec un billet de cinquante euros et un billet de vingt euros. Les filles qui font le ménage chez nous n'ont pas affaire à des ingrats. Clémentine visite les sites à partir des liens indiqués par Juliette. Nous découvrons des appareils à des prix différents. << Put-hein regarde, il y a même des bites en caoutchouc fixées au bout de tiges et activées par un moteur électrique ! >> s'écrie Clémentine.

En effet, nous n'imaginions pas l'éventail des choix proposés en ce domaine. Je propose de passer commande dès maintenant. << Surtout qu'il y a des prix très attractifs pour les fêtes. Regarde celui-là, 950 euros au lieu de 1 200 ! >> s'exclame Clémentine. Je découvre un tout autre univers. Je précise : << Si déjà je t'en offre un, choisis le tout meilleur. Du très haut de gamme ! >>. Nous en rions aux éclats. Clémentine rajoute : << Plus besoin d'un mec avec un tel appareil. Si ce n'est pour lui tailler une pipe en se faisant baiser ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Et en me rappelant l'extraordinaire "rodéo" de Clémentine chez Juliette, force est de prendre conscience que c'est la vérité dans sa plus triviale réalité. Je réponds : << Comme je préfère la pipe, c'est ce qu'il nous faut ! >>

Les livraisons ne vont pas tarder. Nous quittons le salon. << Je laisse l'ordinateur allumé, on revient voir ça tout à l'heure ! >> propose Clémentine lorsque nous enfilons nos anoraks. Nos bonnets, nos gants. Un coucou à Lise qui s'apprête à passer l'aspirateur en bas. Nous sortons pour affronter la gifle d'un froid glacial. Moins trois degrés. Il neige même un peu. << C'est beau quand même ! >> fait Clémentine en s'accrochant à mon bras pour traverser le jardin. Le sol est gelé. On entend et on sent les craquements sous nos pieds. Il va être dix heures. Voilà le Mercedes blanc qui descend lentement sur les pavés autobloquants du chemin. Ça a l'air de glisser sévère. Il faut que je sale. Danièle nous offre son plus beau sourire en se garant derrière la Fiat rouge de Lise. Elle saute de son véhicule en touchant nos poings du sien. Dans son épais gilet de camionneur, son pantalon gris renforcé aux genoux, ses grosses chaussures de protection.

Danièle est belle quand même sous son bonnet. << Bonjour >> faisons-nous en même temps. En contournant la camionnette elle nous raconte un peu de son ordinaire. L'exploitation agricole qu'elle tient avec son mari. Les diversifications de productions qu'ils ont en prévision. << À partir de janvier on commence à produire des poulets élevés en extérieur et aux grains. Un sacré investissement sans parler de toute la paperasserie administrative ! >> dit elle en me tendant le lourd cageot contenant les fruits et les légumes. Clémentine attrape celui qui contient les fromages, les yaourts, les œufs, le beurre, les pots de crème fraîche. Elle demande : << On a l'intention de se mettre à la viande blanche avec Julien. On peut déjà en commander ? >>. Danièle répond : << Oui, bien sûr ! >>

Clémentine rajoute : << Alors on en commande pour mercredi matin ! Ça marche ? >>. Danièle s'écrie << À la bonne heure. Enfin les mercredis ! >>. En précisant cela, tout en sautant de l'arrière de son Mercedes, Danièle fixe l'emplacement de ma braguette cachée par l'anorak. Avec insistance. Elle me tend le terminal dans lequel j'introduis la carte bancaire. Sans cesse de fixer le même endroit de mon anatomie. Se penchant même pour mieux regarder. Elle se redresse en m'adressant un clin d'œil. << À mercredi alors. Je suis là aux mêmes heures le main ! >> conclue t-elle en se mettant au volant. Nous la regardons faire les manœuvres de son demi tour. Il fait vraiment trop froid pour sortir ma bite. C'est frustrant. Et pas que pour nous. Danièle mime une rapide masturbation masculine avant de remonter le chemin. Un dernier coucou de la main avant de disparaître au portail. Nous sautillons sur place pour s'échauffer.

Voilà le tube Citroën de madame Marthe. Hilare au volant comme à son habitude. Elle aussi descend prudemment. Nous récupérons le cageot contenant les grosses miches de pain complet, les deux pâtes feuilletées, les bouchées à la reine, l'énorme brioche au pudding et les deux croissants aux amandes. Notre boulangère adorée à toujours quelques amusantes anecdotes villageoises à partager. Pendant que j'introduis la carte bancaire dans le terminal de paiement. Nous rions. Même commande pour samedi prochain. Madame Marthe ne s'attarde pas. Nous la laissons filer. Nous contournons la maison pour descendre à la cave par l'arrière. Dans le cellier, sur les étagères en bois, nous disposons soigneusement les fruits, les légumes. Clémentine se serre contre moi. Un baiser.

Nous nous embrassons passionnément dans la fraîcheur de la cave. << Mercredi matin, sois le plus vicelard des satyres. On prépare un super "plan" pour Danièle ! >> dit Clémentine en ouvrant mon anorak, ma braguette. Du congélateur où je place une des miches de pain, une pâte feuilletée, je tire le paquet de moules, les sachets de haricots verts et de petits pois. Nous remontons avec le cageot des produits frais à ranger dans le réfrigérateur. Le carrelage de la cuisine a séché. Nous entendons l'aspirateur quelque part. Je mets une bûche sur les braises dans le foyer ardent de la cuisinière à bois. Clémentine écarte largement les boutons métalliques de la braguette de mon 501. << Viens, on retourne au salon ! >> me fait elle en m'entraînant par la main. Il fait bien chaud partout.

Nous surprenons Lise concentrée sur l'écran de l'ordinateur laissé allumé. Notre "fille de ménage" se fait surprendre en souriant. Elle vient de découvrir nos centres d'intérêts de la matinée. Elle fixe un instant ma braguette béante avant de détourner le regard avec un sourire amusé. Assise sur mes genoux, Clémentine change la page, un peu gênée. C'est à cet instant que Lise éteint l'aspirateur. En appuyant sur l'interrupteur qui enroule le câble, elle demande : << C'est bien ces trucs là ? >>. Nous restons comme hébétés. Que dire. Il y a comme un flottement. Un silence. Pour le briser, Lise rajoute : << J'ai vu ça dans des films pornos ! >>. Nous sommes dans l'impossibilité de dire quoi que ce soit. Lise quitte le salon pour aller ranger son matériel dans l'office. Pour se changer.

<< Put-hein, tu as compris le "message" ? C'est clair comme de l'eau de roche. C'est une membre du "Club" ! >> murmure Clémentine. Je chuchote : << Tu crois ? Où c'est juste par curiosité ou pour faire "genre" ? >>. Clémentine rapproche sa bouche de mon oreille : << Si elle n'est pas encore membre, nous allons l'introniser ! >>. Nous rions discrètement lorsque Lise revient vêtue "ville". Un pantalon noir, un gros pull à col roulé, des bottes à fourrures synthétiques. Clémentine se lève, contourne le bureau. Je fais de même. Nous remercions Lise pour son travail. << J'adore cette maison. J'adore ce qui s'y passe ! >> lance t-elle. Décidément cette jeune fille aux allures juvéniles a de quoi nous étonner par son aplomb et sa personnalité plutôt extravertie. C'est un enchantement.

Je lui tends l'enveloppe. << Merci monsieur ! >> dit elle, constatant son épaisseur inhabituelle. Elle l'ouvre. << Oh, c'est quoi ! >> s'écrie t-elle comme une adolescente. C'est surprenant. << Oh merci, comme c'est gentil ! >> s'exclame t-elle. Après un instant d'hésitation où elle fixe ma braguette béante, elle s'approche pour me tendre la main. Je la serre dans la mienne en disant : << Je sais, c'est demain, mais je vous souhaite une merveilleuse dix neuvième année Lise ! >>. Clémentine rajoute : << Pareil. Et nous nous réjouissons pour te revoir samedi prochain ! >>. Nous la raccompagnons jusque dans le hall d'entrée où elle enfile son anorak. Son bonnet. << Allez, un peu de courage ma fille, affrontons la banquise ! >> lance t-elle avant de sortir. << Au revoir ! >> fait elle encore en sautant les marches du perron.

Clémentine se serre contre moi. Je la prends dans mes bras : << Tu le sens le "plan" ? >> demande t-elle en mitraillant mes lèvres de bises. Je réponds : << Oui, il y a comme un parfum que nous connaissons bien ! >>. Clémentine m'entraîne par la main en concluant : << Le parfum du stupre et de la luxure ! >>. Il fait chaud dans la cuisine. Les moules, les haricots verts et les petits pois ont décongelé près de la fournaise de la cuisinière. Cette bonne vieille "locomotive" que nous entendons ronronner. Clémentine fait l'assaisonnement d'un belle laitue toute fraîche. Je m'occupe des moules, des haricots verts et des petits pois. Préparations rapides des samedis. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la personnalité de Lise. La jeune fille semble se plaire non seulement à ses tâches ménagères mais également en nos compagnies.

<< Je crois que nous allons au devant de belles surprises. Je commence à bien cerner le personnage ! >> précise Clémentine. Elle n'a pas sa pareille pour les "analyses" psychologiques. << Anna Lise ou anal Lise ? >> lance t-elle. Nous rions. Clémentine perçoit les êtres avec une redoutable acuité. Nous traînons à table. Assise sur mes cuisses, à califourchon, se frottant doucement, ses bras autour de mon cou, Clémentine me dit : << Tout ça me donne envie de baiser ! >>. Nous en rions de bon cœur. Je décide de la prendre au mot. Je la force à se relever. Étonnée elle dit : << Quoi ? >>. Je pousse les assiettes, les couverts en disant : << Moi aussi ! >>. Ni une, ni deux. Clémentine descends son Levis, sa culotte. Retire ses baskets. Elle s'installe sur la table. Le bois donne l'impression de fraîcheur à ses fesses chaudes. Elle se met en position. Je sors ma queue. En appui sur ses coudes, Clémentine me fixe de son regard suggestif, par en-dessous alors que je frotte mon sexe contre le sien. Je la pénètre avec d'infinies précautions.

Nous baisons comme nous aimons. Immobiles. Ce sont toujours les instants que préfère Clémentine pour me confier ses secrets de fille. Elle m'avoue son impatience de posséder son sybian personnel. S'empressant de rajouter : << Mais c'est avec toi que je préférerai toujours faire l'amour ! >>. Du bruit. Estelle arrive. Stupeur légitime. Quand elle nous rejoint les samedis elle nous retrouve toujours dans la salle bain. << Mais il se passe quoi dans cette maison aujourd'hui ! >> s'exclame t-elle en posant son sac de sport sur la chaise. << On baise ! >> répond Clémentine. Estelle nous couvre les visages de bises. << C'est génial. Le week-end commence fort ! >> s'exclame t-elle. Je soulève Clémentine pour la promener dans toute la grande pièce. Estelle rit aux éclats.

<< Et moi ? Je sens le pâté ? >> lance t-elle en déboutonnant son Levis pour le descendre en même temps que sa culotte. Elle retire ses bottines. Clémentine me repousse délicatement en disant : << Je suis partageuse mais n'abuse pas ! >>. Estelle répond en s'asseyant sur la table : << Promis. C'est juste pour situer les choses ! >>. Avec Estelle c'est de la baise. De la pure. De la pas coupée. Qualité premium AAA. Clémentine qui tourne autour de la table en se masturbant en nous regardant. Estelle se masturbe alors que je la tringle avec la délicatesse d'un Sumo Japonais en pleine compétition. La coquine s'offre un orgasme en poussant de petits cris, haletante, les yeux humides. Je me retire. Nous la laissons reprendre ses esprits pendant que Clémentine, accroupie, savoure nos "mélanges" sirupeux. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. Une vraie ventouse.

Nous débarrassons pour mettre les assiettes et les couverts dans le lave vaisselle. C'est en courant que nous montons. Pendant que Clémentine et moi nous nous lavons les dents, Estelle prépare son pyjama de soie mauve, une culotte et des chaussettes pour cette nuit et demain. Nous faisons les clowns en rigolant comme des bossus. Grimaces devant le miroir. << C'est génial de commencer l'après-midi en tirant un coup ! >> lance Estelle. Nous restons en jeans, chemises à carreaux. Nous enfilons les mêmes pulls qu'Estelle, à cols roulés. Les bottines. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Je pense à son cadeau, le nouvel ordinateur que nous allons lui offrir à Noël. Nous mettons nos anoraks, bonnets, gants, écharpes. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue.

Assise à l'arrière, caressant mon cou, Estelle nous raconte sa soirée de vendredi avec ses parents. Son samedi matin à faire les courses avec sa maman. Il y a vingt cinq kilomètres sur une route enneigée. Je redouble de prudence malgré l'érection et mon état d'excitation. << Tu préfères que je roule ? >> me demande Estelle qui se penche entre les deux appuis têtes pour mieux voir ma bite que branle et suce parfois Clémentine. Je répond : << Non ça ira ! >>. Nous en rions de bon cœur. Je gare la voiture dans la ruelle habituelle. Il fait un froid polaire et la neige tient. Tenace. C'est sur un tapis blanc que nous parcourons les dix minutes qui nous séparent des premières rues piétonnes. Il faut faire gaffe de ne pas glisser. Un monde fou. Une ambiance de fête. Des illuminations partout.

Sous la neige qui tombe, sous un ciel gris et bas, c'est une véritable féérie. Voilà les allées du marché de Noël. Nous en oublions le froid. Chaudement vêtus, collants sous les pantalons des filles, legging sous le mien, nous pouvons affronter les éléments. Il faut louvoyer entre les gens dans une véritable foule. Estelle s'amuse à me palper la bosse sous l'anorak. Sa main gantée est moins efficace. Mais cela maintient bien nos états d'une excitation latente. Nous flânons entre les chalets. Il y a toujours de nouvelles choses à découvrir. Nous aimons écouter les commerçants vanter les mérites de leurs produits. Écouter les clients poser des questions. La gaufre chaude au sucre réchauffent nos bouches de ses douceurs. Des gobelets de thé tibétain nous réchauffent de leurs étonnantes saveurs.

Un petit tour à la FNAC avant d'aller déguster des chocolats chauds dans notre salon de thé préféré. C'est noir de monde. Impossible de donner liberté à nos libidos qu'il faut garder bridées. Nos attitudes attirent l'attention tout autant que nos hautes tailles. En effet, deux sublimes jeunes filles qui n'arrêtent pas de faire des bisous, souvent sur la bouche à cet homme d'âge mûr, ont de quoi susciter des interrogations. Nous nous en amusons encore énormément. Je propose de nous offrir un bon restaurant en soirée. Estelle et Clémentine sont toujours hésitantes. << À la maison on peut baiser après la bouffe ! >> lance Estelle pas très discrète alors que les clients de la table voisine nous observent en douce. Louchant sur notre trio mystérieux. << Mais on a baisé avant de venir en ville ! >> précise Clémentine de manière à ce que nos voisins curieux entendent bien. Nous rigolons comme des gamins farceurs. C'est le bonheur et on en profite.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui vont festoyer dans un restaurant gastronomique en évoquant l'achat prochain d'un sybian pour les fêtes...

Julien (Père Noël privé)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Monday 4 December 2023 07:39

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 7 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2452 -



Un dimanche au froid polaire

Il est aux environs de neuf heures, hier matin, dimanche quand Estelle saisit ma tumescence. Elle reste toujours contre moi toute la nuit quand elle dort avec nous. Cet acte des plus instinctifs et rituel quand elle sort du sommeil réveille également Clémentine. Elle vient se blottir. De sa main qui veut saisir la même chose elle constate que la place est prise. C'est amusant. Ce sont donc les roubignoles qu'elle empoigne fermement. << Oh le père dodu ! >> murmure t-elle. << Et le père tricard ! >> rajoute Estelle. Nous rions. Je glisse mes mains dans les culottes pour coiffer les touffes, défaire quelques nœuds. Nous nous étirons longuement en modulant nos gémissements. << Pipi ! >> lance soudain Estelle qui se lève d'un bond pour courir vers la porte. Dans son pyjama de soie mauve.

Clémentine me chevauche en riant, frottant doucement son sexe sur le mien. Nous ne sommes pas du matin et il fait bien trop faim. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Il fait bien chaud partout dans la maison. Ça fait trois heures que les radiateurs fonctionnent. C'est en slips et T-shirts de nuit que nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Dans les suaves odeurs du pain grillé et du café. Estelle vient d'allumer la cuisinière à bois qui ronronne déjà. Je presse les oranges, Clémentine pèle les kiwis. Sur la table trône la belle brioche au pudding recouverte de son sucre glace. Estelle, derrière moi, ses bras autour de ma taille, palpe ma bosse. << C'est sexy un homme en slip, le matin dans une cuisine ! >> lance t-elle. Je passe ma main entre ses cuisses.

J'adore le contact de la soie. Surtout quand elle est chaude. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée au restaurant. C'est le même établissement depuis trois semaines. << On va finir par y avoir nos ronds de serviettes. Vous avez vu l'accueil ! >> dit Clémentine. << Le problème avec les soirées restaurant c'est l'absence de soirées baises ! >> fait Estelle. Nous en rions de bon cœur. En rentrant vers vingt deux heures nous ne nous sommes pas privés d'une bonne bourre tous les trois, sous la couette. Je dis à Estelle : << Tu t'endors toujours la première pendant que nous on s'en paie encore une tranche ! >>. Elle vient s'assoir sur mes cuisses en murmurant : << Je ne le ferais plus, promis ! >>. Nous en rions aux éclats. Clémentine aussi vient s'installer.

Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges évoquent les vacances de fin d'année. << Plus que 19 jours avant le départ. Je les compte ! >> fait Clémentine. << Moi aussi ! >> rajoute Estelle. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents, nous habiller. Estelle se change. Tous les trois en Levis, nos épaisses chemises à carreaux. Nous faisons notre lit dans le froid de la chambre en refermant bien les fenêtres. Nous dévalons les escaliers à toute vitesse pour enfiler les anoraks. Les bonnets, les écharpes et les gants. Le froid glacial est redoutable. Le thermomètre extérieur indique moins cinq degrés. Alors qu'il est 10 h30. Il en faut du courage pour descendre jusqu'à la rivière. Les eaux commencent à geler sur les bords plus calmes.

Les trois cygnes blancs cassent la glace de leurs becs puissants pour trouver leurs nourritures. Les herbes sous marines des bords. Les poules d'eau, les colverts et les canards tournent sur l'onde. Nous ne nous attardons pas. Nous remontons. << Cet après-midi, on met les collants sous les jeans ! >> lance Estelle. Il est prévu d'aller faire un tour au petit marché de Noël du bourg voisin. Depuis quelques années la municipalité y organise des festivités commerçantes. Nous revenons au chaud. Au salon, assises sur mes genoux, mes deux anges allument l'ordinateur. Aucun message. Elles font un petit tour sur le site de l'université. Une page accueillante où tombent des flocons de neige virtuelle. Puis Clémentine montre à Estelle les choix de sybian et de sextoys sur les différents sites d'achats en lignes.

<< Tu me feras essayer ce truc. Je ne supporte pas de m'enfoncer des machins. Mais si tu me dis que t'es éclatée avec chez Juliette ! >> lance Estelle qui zoome les photos pour mieux voir. Pour mieux comprendre le fonctionnement de ces machines à baise. Le choix de Clémentine est arrêté. Ce sera le modèle haut de gamme. << Put-hein, 1 870 euros pour une bite en caoutchouc ! >> s'exclame Estelle. << Quand on aime on ne compte pas ! >> lance Clémentine. Nous en rions aux éclats. Il y a également ces machines très particulières. Une bite en caoutchouc fixée au bout d'une tige de métal chromé, elle-même actionnée par un moteur électrique. On peut également y régler la vitesse. Différents modèles. << Ça, ça me me parle davantage ! >> s'écrie Estelle.

Nous passons commande en ligne. Achat sécurisé. L'appareil sera livré mercredi. << Génial ! Mercredi nous avons la visite de Danièle qui nous livre. Et l'arrivée de la "fuck machine" ! >> lance Clémentine. << Tu me fait essayer jeudi soir ! >> s'exclame Estelle. Je dis : << Qui ? Danièle ? >>. Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine précise : << J'attends jeudi soir, qu'on soit toutes les deux. On l'essaie ensemble ! >>. Nous finalisons l'achat. C'est hyper sécurisé. Nous bénéficions même d'une remise de 5 % pour les fêtes de fin d'année. Estelle, une main dans son Levis déboutonné, rajoute : << C'est marrant mais dès qu'il est question de cul, je me touche ! >> lance t-elle. Elle se lève pour nous montrer le mouvement de son poignet. << Et pour de vrai ! >> dit elle.

Clémentine se lève à son tour pour se déboutonner. Je fais de même. Je sors ma bite. Tous les trois nous nous masturbons doucement, sans réelle conviction en nous donnant nos impressions. Clémentine s'accroupit devant moi. Elle approche son visage pour humer mon chibre. Le dimanche nous nous contentons d'une toilette sommaire. Juste le cul après la "grande commission". Le papier essuie mais ne nettoie pas. Et c'est un endroit que nous souhaitons propre et clean. Par contre, nous laissons nos sexes macérer dans leurs "humus" toute la journée. Le plus souvent, les dimanches soirs, après le repas, j'assure le nettoyage de celui de mes deux anges. Rien que d'y penser elles en "frétillent". Estelle s'accroupit à son tour. Elles reniflent mon chibre en échangeant leurs impressions. En riant.

<< Monsieur pue de la bite ! >> lance Estelle en se redressant. << Monsieur pue du Zob ! >> fait Clémentine en se redressant. << Tu veux sentir aussi ? >> me demande Estelle qui s'apprête à descendre sa paire de jeans et sa culotte. Je propose de me garder tout ça au chaud pour ce soir en précisant : << Ça aura macéré toute la journée, ce sera bien meilleur ! >>. Nous rions aux éclats quand Clémentine rajoute : << Monsieur est un esthète ! >>. Estelle dit : << Un fin gourmet ! >>. C'est en rigolant comme des bossus que nous quittons le salon pour la cuisine. Ça sera encore du "vite fait" comme le dit si bien Estelle. Elle s'occupe de la cuisson des spaghettis. Complets et bios. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de laitue préparée samedi à midi. Conservée au frigo.

Je concocte une sauce au Roquefort dans laquelle je rajoute des filets de saumon fumé finement tranchés. Estelle égoutte les spaghettis qu'elle mélange avec du gruyère Suisse et de la crème fraîche, façon "Carbonara". Avec la sauce, ce sera gouteux. Rapide. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Elle est donc bien décidée à profiter de chaque instant de notre emploi du temps. Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, mes deux anges reviennent sur nos vacances à Édimbourg. Nous prenons l'avion samedi 23 décembre à onze heures. Changement à Londres. Arrivée à Édimbourg vers dix sept heures trente où nous récupérons la voiture de location. Encore une Golf. Comme chaque hiver. Retour samedi 6 janvier.

Ce sont les parents d'Estelle qui nous emmènent à l'aéroport et qui nous y cherchent. Des réjouissances s'annoncent. << Je vais faire ma salope à chaque occasion ! >> s'écrie Estelle. << Et moi donc ! >> lance Clémentine. Ce sera toutefois restreint car Édimbourg connaît une période de froid. Et les prévisions ne sont pas aux changements. La ville est actuellement sous une fine couche neige. Comme ici. Avec des températures le plus souvent sous glace. << On s'en fout du flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ! >> lance Estelle. Nous faisons la vaisselle avant de monter nous laver les dents. Les filles enfilent des collants sous leurs jeans. Deux paires de chaussettes. Moi je porte un legging sous mon Levis. Deux paires de chaussettes. Nous voilà parés à affronter le froid polaire. Nous dévalons les escaliers. Grosses godasses de randonnées.

Il n'y a que trois kilomètres jusqu'au bourg. C'est à pieds, en longeant la rivière que nous parcourons la campagne blanche. La portion du sentier est dangereuse sur environ deux bornes. Ce qui oblige à marcher prudemment. Nous ne sommes pas pressés. << Mon collant me pique et me chatouille ! >> lance parfois Estelle en palpant ma braguette. Je passe ma main entre ses cuisses chaudes pour dire : << Enlève-le ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous arrivons au bourg par le stade de football. Même avec ce froid il y a des gamins qui tapent dans un ballon. Sur la neige. La municipalité a bien fait les choses. Les chalets du marché de Noël sont disposés devant la mairie. Une dizaine. Quelle surprise. Danièle et son mari. Nous découvrons enfin à quoi ressemble son homme. Un grand gaillard.

De ma taille mais corpulent. Il est jovial lors des présentations. Sur leur stand des produits de leur exploitation agricole. Il proposent de la tartiflette fumante dans de grandes poêles. Du vin chaud, des saucissons secs, de la viande des grisons. Nous les saluons. J'hallucine. Après m'avoir dit : << À mercredi matin ! >> Danièle m'adresse un discret clin d'œil. Son mari occupé à servir des clients. Il y a du monde. Surprise. Nous rencontrons Juliette, Bernadette et Pierre. C'est un plaisir. Nous prenons un thé chaud ensemble pour bavarder. Madame Walter témoigne de son plaisir de me revoir en s'approchant. Clémentine se rapproche également. Pas question de s'éloigner de moi quand je suis en conversation avec une autre femme. Estelle se marre avec Pierre et Juliette. C'est communicatif.

Nous continuons nos flâneries pour tomber sur Yvan et Michèle qui savourent un jus de pommes chaud. Les parents d'Estelle se comportent toujours comme de jeunes amoureux s'étant rencontrés la veille. C'est charmant. Nous sommes invités à manger dimanche prochain. Nous promettons d'êtres là en les invitant à notre tour pour le dimanche suivant. Il y a également des stands à l'intérieur de la salle polyvalente. Il y fait soudain bien meilleur. Même chaudement vêtus, en restant statiques à discuter, on a froid. Là, c'est sympa. Quelques visages connus. Estelle reconnait des voisins, des filles avec qui elle était à l'école. Souvent accompagnées de leurs maris. Parfois d'une progéniture. Nous savourons un chocolat chaud et une gaufre à la terrasse du "bistrot" intérieur. C'est très sympa.

La nuit tombe tôt. Aussi nous ne nous attardons pas. Mais pour éviter le danger du sentier, nous prenons le chemin de la forêt. Dans le petit sac à dos que je porte, nos lampes frontales. Nous nous réjouissons pour cette petite équipée nocturne dans le froid glacial. C'est un détour mais ça en vaut la peine. Nous croisons même un groupe de marcheurs. C'est insolite. Il est dix huit heures quarante cinq quand nous sommes de retour. Frigorifiés. Il suffit de réchauffer, de faire une rapide salade de concombre. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos rencontres de l'après-midi. La vaisselle. Au salon, vautrées dans le canapé, mes deux anges m'offrent leurs minous à nettoyer. À genoux sur les épais coussins, je nettoie consciencieusement. Je me fais nettoyer également.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment se faire nettoyer les minous après une rude journée d'hiver. Qui aiment savourer le Parmezob d'un chibre ragoûtant après leurs orgasmes...

Julien (nettoyeur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Tuesday 5 December 2023 07:40

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 8 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2453 -



Clémentine et moi

Il est presque six heures, hier matin, lundi. Le gazouillis des oiseaux résonne encore étrangement au plus profond de cette mystérieuse forêt. Tout autant que la source qui s'écoule entre les rochers. Les illusions bluffantes de nos applications. Nos deux téléphones fonctionnant en même temps pour parfaire l'impression de nous réveiller dans un monde enchanté. En gémissant, Clémentine se blottit contre moi. Quelques bisous. Quelques papouilles. Impossible de s'attarder alors qu'il serait tellement agréable de rester dans ces fééries. Tout cesse aussi soudainement au bout de quarante cinq secondes. Nous nous levons comme des robots pour nous précipiter aux toilettes. Les radiateurs viennent de se réveiller eux aussi. Il fait frais dans la maison. Ce qui accélère tous nos actes. Vite.

Dans la salle de bain nous revêtons nos lycra de sport. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café, presse les oranges. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. C'est en pelant les kiwis que Clémentine trouve enfin une diction normale pour me raconter ses rêves. Nous en rions de bon cœur. Je place le reste de la brioche dans le four à micros ondes afin de lui rendre son moelleux. Clémentine attrape au vol et dans un geste gracieux les premières tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur quelques moments forts de ce week-end. Nous mangeons de bon appétit en évoquant celui à venir. Six heures vingt cinq. Nous remontons en vitesse. Il fait à présent bien chaud. Sauf dans notre salle d'entraînement. Volonté délibérée.

Les échauffements de l'aérobic. Avec dynamisme. Le jogging sur tapis roulants. Avec ferveur. Ça réchauffe pour attaquer les exercices au sol avant les charges additionnelles. Enfin les étirements du stretching qui permettent un retour au calme. La douche. Je me dépêche de redescendre le premier pour aller faire chauffer la voiture. Presque 7 h45. Le jour achève de se lever sous un ciel "dramatique". Un tapis de neige fine et poudreuse recouvre le sol par endroit. S'amoncelant dans les recoins, balayée par l'impitoyable vent du Nord qui souffle depuis plusieurs jours. C'est un froid glacial. Clémentine vient me rejoindre chaudement emmitouflée dans son anorak beige. Elle sautille sur place. Un dernier bisou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail. Un dernier coucou.

C'est en cavalant que je rentre me mettre au chaud pour faire notre vaisselle, notre lit. Une fois dans l'atelier j'allume la flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette seconde scène de genre m'accapare rapidement et totalement. Je peins dans la sérénité en poussant quelques fois un de ces cris surréalistes qui m'enchantent. Les heures de la matinée défilent hors de ma perception du temps. Il n'est pas loin de midi. J'entends les gargouillis de mon estomac m'en avertir. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je fais gonfler du riz complet. En grande quantité pour ce soir également. Je poêle un filet de lieu noir préalablement panné. L'assaisonnement d'une rapide salade de tomates.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff reçoit un ancien candidat à la présidentielle. Sont évoqués les faits de plus en plus nombreux de violences aux personnes, d'incivilités aboutissant souvent à ces violences. Une succession d'évènements inquiétants que tentent de cacher les dirigeants. Allant jusqu'à s'en prendre aux psychiatres pour les accuser de ne pas faire leur job. Se défausser sur des catégories professionnelles pour cacher leurs meurtrières incompétences. Leurss stratégies sournoises allant jusqu'à protéger les assassins des foudres de la justice en invoquant des antécédents psychiatriques. André pose la question subsidiaire à son invité : << Mais ces barbares criminels échapperont-ils aux gens qui commencent à s'organiser ? >>

J'écoute en préparant mentalement les repas de ce soir. Je verse le riz dans un plat carré en terre cuite. J'y verse de la crème fraîche que je mélange avec du gruyère et deux œufs. Je recouvre de fines tranches de morbier, de saint Nectaire. Des carrés de Roquefort. De la chapelure. Des graines de sésame grillé. Des cerneaux de noix. Au four électrique pour laisser mijoter à 160°. Dans la poêle je verse le contenu d'un sachet de calmars. Ail, échalote. Un déglaçage avec le reste du jus de tomates au fond du saladier. Je coupe le feux, je recouvre d'un couvercle. Notre repas de ce soir est prêt. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Par la fenêtre je regarde tomber une neige fine qui tourbillonne sous le vent. Pressé d'aller me dégourdir les jambes je redescends les escaliers très vite.

J'enfile l'anorak. Le thermomètre extérieur affiche moins un degré. Décidément, l'hiver a fait son apparition, volant tout un mois à un automne dépouillé. Le vent est polaire. Je vais jusqu'à la rivière sous d'affolantes rafales glaciales. Le spectacle qui s'offre est désolant. Sinistre. Le regard ne porte pas à plus de deux cent mètres. La neige forme une brume qui ferme l'horizon proche. Je me fais violence dans cette atmosphère de fin du monde. Il est treize heures cinquante quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé du même sentiment de sérénité que ce matin. Sachant que je finaliserai cette toile de commande demain mardi, en fin d'après-midi au plus tard. Les heures passent hors de mes sens. Du bruit. Il va être 17 h30. Clémentine rentre de cours.

Elle pose son cartable sur la table. J'anticipe. Je pose la palette et les pinceaux sur la desserte. À califourchon sur mes cuisses, se frottant pour se réchauffer, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le repas de midi au restaurant universitaire. Elle a le bout du nez tout froid avec une goutte. Je la récupère du bout de la langue. Salée. Nous rions. Clémentine est pressée de terminer ses travaux d'écritures. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches. C'est un vrai bonheur que de passer cette petite heure ensemble. << Là, j'en ai carrément marre ! >> s'écrie t-elle soudain en se levant pour commencer à ranger ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. J'enlève ma blouse. Debout devant le petit lavabo de l'atelier, la bite posée sur le rebord, je me lave les mains.

En sautillant Clémentine vient me rejoindre. Saisissant ma queue pour en diriger les jets. Ça monte en vapeur sous l'eau bouillante qui coule du robinet. Clémentine secoue les dernières gouttes, penchée en avant, son bras autour de ma taille. C'est comme ça qu'elle suçote les derniers reliquats. Elle se redresse en me faisant le plus merveilleux des sourires. << On est seuls ce soir. Juste toi et moi. Je m'en réjouis depuis le levé ce matin ! >> dit elle en passant ses bras autour de mon cou. Je fais toujours très attention, dans ces situations, à ne pas risquer de tacher son pantalon. Ce qui la fait rire. Elle mitraille mon visage de bisous en m'entraînant vers le vieux canapé. Elle m'y fait tomber pour se coucher sur le dos, sa tête sur mes cuisses. Les yeux fermés elle ronronne comme une chatte heureuse près de la cheminé.

Je l'écoute me raconter quelques anecdotes de sa journée d'étudiante. Sa joue tout contre ma bite fripée. J'adore passer mes doigts sur ses sourcils. C'est un peu un stretching mental qui permet un retour au calme. Parfois Clémentine tourne la tête pour gober mon prépuce. En mâchouiller les peaux. Je caresse ses seins minuscules, presque inexistants lorsqu'elle est couchée sur le dos. Seule la lueur des dernières flammes éclaire cette partie de la grande pièce. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Je veux remballer quand Clémentine attrape mes poignets pour dire : << Non laisse la dehors, je m'occupe de réchauffer la bouffe ! >>. C'est par la bite qu'elle me fait faire le tour de la table. Elle découvre mes préparations. Je préviens : << J'ai fait simple ! >>

<< Ce qui est simple est si bon. Surtout quand on a faim ! >> lance t-elle en sortant le plat du four électrique éteint pour le placer dans la fournaise du four à bois. La poêlée de garniture aux calmars réchauffe. J'aide Clémentine à préparer l'assaisonnement d'une salade de carottes. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit en parlant de notre départ pour l'Écosse d'ici même plus trois semaines. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie à quel point elle attend les vacances. << J'accumule de la fatigue nerveuse avec ces stress ! >> dit elle avant d'éclater de rire. Je sais très bien qu'elle gère parfaitement et qu'il n'y a nul stress, nulle fatigue nerveuse. Juste le besoin de décompresser. La vaisselle. Elle m'entraîne au salon par le Zob. << Installez-vous là cher monsieur ! >> lance t-elle en me faisant tomber dans le canapé. Je la regarde retirer ses bottines, son Levis et sa culotte.

Juste en chaussette, en pull à col roulé qu'elle garde sur son chemisier, elle tourne sur elle-même telle une ballerine. Sur la pointe des pieds. Gracieuse. Quelle belle danseuse elle eut été. Elle mime une masturbation masculine pour m'encourager à changer de registre de pensée. Car je pense à voix haute sous l'effet de mon admiration. Elle s'accroupit devant moi, à quelques mètres. Tire sur le bas de son pull comme si elle voulait cacher son intimité. Comme elle semble soudain fragile, enveloppé dans sa féminité. Je constate une fois encore que la jeune fille cède doucement sa place à la jeune femme en devenir. La chenille devient papillon. Je me masturbe lentement en la regardant. D'un mouvement lent mais généreux, Clémentine ouvre ses cuisses pour les écarter largement.

Elle reste dans cette position jusqu'aux limites de l'ankylose. Elle se tourne pour se mettre à quatre pattes, me présentant son cul. Deux fesses musclées où je distingue dans la touffe dense qui en garni la raie, son trou. J'ai l'irrépressible envie d'y fouiller du bout de ma langue. Elle se redresse pour s'accroupir à nouveau, cuisses largement écartées. Me tournant le dos, jouant avec sa natte. Je me branle comme le dernier des salauds. Ces spectacles ont sur ma psyché des conséquences "traumatisantes". Car je n'ai pas assez de tous mes sens pour en saisir toute la mesure. Nous aimons tous les deux les longs préliminaires. Il n'est pas question un seul instant de laisser s'exprimer en nous la moindre pulsion animale. Nous sommes tous deux des cérébraux. C'est intense et excitant.

Clémentine se lève. Avec la grâce d'un mannequin présentant un pull qu'elle tire vers le bas, elle contourne la table basse pour me rejoindre. Elle se vautre à ma gauche, écartant ses cuisses et les lèvres de sa vulve avec ses doigts. Je me lève. Je jette un des épais coussins au sol pour m'y mettre à genoux. C'est l'heure de mon festin. Les jus de Clémentine, agrémentés des effluves parfumées de sa journée de fille me font vaciller. Je suce son clitoris géant qu'elle cesse de titiller. J'ai le bas du visage trempé de mouille quand je la pénètre avec d'infinies précautions. En appui sur mes bras. Au-dessus de son corps chaud. Accrochée à mon cou par ses bras, à ma taille par ses jambes, Clémentine gémit de plaisir en se laissant bercer. Ce sont toujours les instants où elle aime confier ses secrets.

Ce soir ils concernent notre commande de mercredi. Ce sybian qu'elle attend avec impatience pour revivre les émois vécus chez Juliette. Elle me confie également le "plan" qu'elle a conçu pour la venue de Danièle en matinée. Nous nous faisons livrer des escalopes de dindes, de poulets. Pour la toute première fois Danièle entrera dans notre maison. Je suis prié d'avoir l'attitude qui plaît tant à Clémentine. Mon comportement de satyre avec les femmes complices et consentantes. J'écoute. C'est évidemment hyper excitant. Je promets d'appliquer le scénario selon sa convenance. Nous nous berçons jusqu'à l'orgasme pisseux de Clémentine. J'ai juste le temps d'attraper la cuvette de sous le guéridon. De tenter de tout récupérer sans que ça gicle. Alors qu'elle jouit en hurlant.

Bonne nouille à toutes les coquines qui vont en savourer les jus sous la couette, avant un bon et profond dodo...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Wednesday 6 December 2023 07:34

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 9 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2454 -



Le mardi soir, tous les trois...

L'application "forêt", téléchargée sur nos I-phones, délivre la même illusion en même temps. Celle de nous réveiller à 5 h55 par ses fééries. Un peu comme si nous ne sortions pas vraiment du sommeil d'un coup mais progressivement, en quarante cinq secondes. La suite presque logique de nos rêves. Clémentine, en gémissant, se serre contre moi. Se frotte. Des bisous, des papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain nous revêtons nos tenues de gym. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café en revenant sur notre soirée en amoureux. J'allume la cuisinière à bois en écoutant ses souvenirs qui sont aussi les miens. Mais comme pour tout souvenir commun, chacun en garde une vision personnelle. Nous pelons les kiwis, pressons les oranges.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée. << C'est si bon de faire l'amour tous les deux. Encore ! >> fait Clémentine en venant terminer son croissant aux amandes assise sur mes genoux. Six heures vingt cinq. Nous remontons nous offrir le second plaisir de cette nouvelle journée. Il commence à faire bien chaud. Les échauffements aérobics, le jogging sur les tapis roulants, les exercices au sol. De parfaites mises en conditions avant les charges additionnelles. Le stretching d'un retour au calme précipité par manque de temps. La douche. C'est ma mission. Je cavale dans les escaliers pour aller sortir l'auto du garage. Il va être 7 h45 et le jour achève de se lever sous le même ciel sinistre et chargé que les jours précédents. Il fait moins froid avec seulement quatre degrés. Une autre illusion.

Clémentine vient me rejoindre dans son accoutrement d'esquimau. Sous son parapluie puisque évidemment la pluie reprend de plus belle. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou en me dépêchant de rentrer au chaud et au sec. Je fais notre vaisselle, notre lit. Une fois dans l'atelier j'allume un beau feu dans la cheminée. Son tirage est moins bon les matins d'humidités. Confortablement installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette seconde scène de genre me plonge dans la plus totale satisfaction. Satisfaction double car je vais la finaliser avant midi. Je peins donc dans la plus parfaite des félicités. Effectivement il est onze heures quand je dépose la dernière touche de blanc de titane. Du bel ouvrage dont je suis encore très fier.

Je peux immédiatement commencer la troisième œuvre de commande. C'est serein que je sais que le timing sera respecté. Je pourrais expédier les douze toiles à leurs commanditaires juste avant notre départ pour l'Écosse. Il est midi. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Pendant que réchauffe le reste de gratin de riz et sa garniture aux calmars, je fais l'assaisonnement d'une belle laitue. J'en lave les feuilles également pour ce soir. Je descends rapidement à la cave récupérer deux pavés de saumon dans le congélateur. Ils vont décongeler au-dessus de la fournaise de la cuisinière à bois. Je monte également les bouchées à la reine. Ce sera pour la surprise du repas du soir. Mes deux anges sauront apprécier. J'aime tellement réserver des surprises.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff aborde quelques sujets d'actualité bien ciblés. Des sujets que tous les autres médias appartenant à de grands groupes financiers ont interdiction d'aborder. Comme l'article 4 de la future loi Darmanin qui stipule que ce sera un délit sanctionné de 15 mille euros d'amande assorti d'une peine de prison d'un an à quiconque fera l'éloge des médecines parallèles, qui remettra en cause les vaccins en dénonçant leurs effets secondaires. Comme le dit l'invité, professeur en sociologie : << Les gens n'ont que ce qu'ils méritent. Il ont fait le choix d'élire des corrompus. Et quand on met des corrompus aux pouvoirs d'un pays on n'est pas victime. On est complice ! >>. C'est axiome est d'une vérité sanglante.

J'écoute tout en ordonnançant les différentes phases du menu. J'émince les deux pavés de saumon et les gros champignons de Paris que je poêle avec de l'ail, de l'oignon. Pendant que les coquillettes montent en ébullition je concocte une belle et onctueuse Béchamel. Je râpe de ce délicieux gruyère Suisse. J'égoutte les coquillettes que je mets autour des bouchées à la reine dans le grand plat carré. Je verse le contenu de la poêle dans la Béchamel avec du gruyère. Je remplis les bouchées de cette garniture. Je recouvre d'une bonne couche de gruyère. Chapelure. Graine de sésame grillé. Des cerneaux de noix. Au four électrique pour laisser mijoter à 160°. C'est la saison des gratins et nous adorons ça. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller faire quelques pas je redescends.

C'est sous le parapluie, emmitouflé dans mon anorak, chaussé de mes bottes en caoutchouc que j'affronte le vent et le froid en allant jusqu'à la rivière. Impossible d'apprécier cette petite escapade à sa juste mesure avec cette épouvantable météo. Il est 13 h45 quand je suis installé devant mon chevalet. Je peins dans la plus totale félicité. L'après-midi passe encore si vite. Un de plus. Du bruit. Il va être dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours. Elle jette son cartable dans le fauteuil à bascule. À califourchon sur mes cuisses, se frottant d'aise, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Je dois te préparer. De la part d'Estelle ! >> dit elle en se levant pour s'accroupir entre le chevalet et mes jambes écartées.

Écartant les pans de ma blouse, elle me sort la queue toute molle. Clémentine me fixe dans les yeux tout en humant les odeurs de ma journée d'homme. << Mmhhh, je crois qu'Estelle va apprécier, ça "fouette" ! >> lance t-elle en se redressant. Elle a encore du travail. Me laissant bite à l'air à ma peinture, elle s'assoit devant son ordinateur, entourée de ses fiches. Encore un de ces merveilleux moments d'émulations communes. Il est dix huit heures trente quand elle se lève en s'écriant : << Stop ! De la bite maintenant ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Clémentine range ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Elle me rejoint devant le lavabo de l'atelier où je lave mes mains, bite posée sur le rebord de faïence. Elle s'en saisit pour en diriger les jets, en secouant, en jouant.

Penchée en avant, dégustant les dernières goutes, elle me tient de son bras libre par la taille. Je passe ma main sur ses fesses qu'elle remue en gémissant. Elle se redresse sans lâcher ma biroute durcissante. Comme en me tenant par une laisse elle m'entraîne ainsi. Je suis obligé de marcher comme un con, tiré par la queue. Nous faisons le tour de la grande pièce en riant comme des fous. Lorsque s'ouvre la porte sur Estelle. << Mais regardez-moi ça un peu ! >> s'exclame t-elle en courant nous rejoindre. Elle fourre immédiatement sa langue dans ma bouche. Clémentine s'accroupit pour gober mon érection. Estelle me roule une pelle d'enfer. En reprenant ma respiration normale, tout en me faisant tailler une pipe des familles, dans un souffle je dis : << Ça commence fort ! >>. Rires.

En s'accroupissant à son tour alors que Clémentine se redresse, Estelle précise : << Non, ça continue fort ! >>. Elle se met à sucer mon chibre comme si sa vie en dépendait. Clémentine m'embrasse passionnément. Je bande comme le dernier des salauds dans la bouche d'Estelle. Par contractions des muscles fessiers je lâche de petits jets de liquide séminal. Je l'entends déglutir et gémir de satisfaction. Estelle aussi, pour éviter l'ankylose, se redresse. << Put-hein, vous savez quoi, après la bouffe on s'envoie en l'air ! >> s'exclame t-elle alors que Clémentine se penche en avant pour récupérer le filament de jute épaisse et gluante qui pend de l'extrémité trempée de mon prépuce. Je tiens mes deux anges par la taille. Bouches ouvertes elles me font sentir l'odeur de ma bite. Oui, ça "fouette" !

Morts de faim, nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand mes coquines découvrent ce que je tire du four électrique éteint pour le placer dans la fournaise du four à bois, j'ai droit à un mitraillage de bisous. Comme pour la protéger, Estelle me tient la queue des deux mains, serrée contre mon dos. Clémentine fait l'assaisonnement pour la laitue déjà lavée. Estelle met les assiettes, les couverts alors que c'est moi qui la tripote. Derrière elle, je caresse ses seins minuscules que je sens à peine sous son pull mohair et sa chemise. Je passe une main entre ses cuisses. << Harry Ploteur et sa braguette magique ! >> lance t-elle en se retournant pour s'accroupir une nouvelle fois. Elle met tant de passion dans cet acte que j'en suis saisi de vertige. Par contractions je fais bouger ma queue.

Il faut surveiller le four car il n'y a pas de sonnerie dans une cuisinière à bois. C'est Clémentine qui s'accroupit devant la porte vitrée pour contrôler. Nous tournant le dos, cuisses écartées. Elle sait à quel point cette position flatte ma libido. Je pourrais éjaculer tellement c'est sublime. Elle tourne la tête pour m'adresser un clin d'œil. J'aide Estelle à se redresser. Clémentine sort le plat doré et fumant du four. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la soirée. "Baise sur bureau". Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il nous restera une bonne heure et demi. Elle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine avec cette vulgarité dont elle est coutumière. Je me lève aussi pour agiter ma bite dans leurs directions. Avec une vulgarité similaire.

Je contourne même la table pour venir frotter mon sexe sur la joue d'Estelle. Je prépare ma queue au-dessus de son assiette qu'elle retire immédiatement en s'exclamant : << Non, pas ça, salaud va ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous ne traînons pas. Les assiettes et les couverts dans le lave vaisselle. Les filles m'entraînent par les mains jusqu'au salon. Elles retirent leurs bottines, leurs jeans, leurs culottes. Installées sur le bureau, cuisses écartées, en se masturbant, elles m'observent. Je me branle. Je les rejoins avec deux épais coussins du canapé que je place derrière elles. Elles pourront y poser leurs têtes en se couchant sur le dos. Je frotte mon sexe contre celui d'Estelle. Je fais de même contre celui de Clémentine. Je lèche et je suce un peu leurs cramouilles. Un vrai délice.

Je les pénètre tout de même avec précautions. Je baise d'abord Estelle qui se touche en s'agitant déjà comme une démente. Clémentine qui se masturbe également attend son tour. Je passe de l'une à l'autre. Leurs petits cris d'animal blessé, leurs petits râles de plaisirs, leurs gémissements d'extases. Je ne sais plus où donner de la queue. Cette queue ruisselante de nos mélanges qui éclabousse leurs cuisses quand je me retire. L'orgasme d'Estelle est probablement de 11 sur l'échelle de Richter qui n'en compte que 9. Couchée sur le côté, haletante, ses mains entre ses cuisses elle tente de retrouver ses esprits. L'orgasme pisseux de Clémentine la fait hurler. J'ai beau tenter d'orienter la cuvette, il en gicle à côté. Estelle saute du bureau pour s'habiller la première. Clémentine fait de même.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont encore s'offrir le jus d'une bite qui se déversera par saccades au fond de leurs gorges. Sous les draps...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Thursday 7 December 2023 07:41

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 10 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2455 -



Les livraisons du mercredi matin

Les mercredis Clémentine prend ses cours depuis la maison. Ce qui permet de rajouter une heure de sommeil à notre nuit. Il est sept heures quand je fais bouger les cils de mon œil droit contre sa joue en murmurant : << Papillon ! >>. Au premier de ses frémissements, je frotte doucement mon nez contre le sien en chuchotant : << Esquimau ! >>. Elle se serre contre moi en gémissant : << J'aime quand tu me réveilles comme ça. C'est mon application "Julien" ! >>. Des bisous, des papouilles en riant. Nous nous précipitons aux toilettes. Les radiateurs fonctionnent depuis plus d'une heure. Il fait bien chaud partout. Dans la salle de bain nous enfilons nos lycra de sports. Morts de faim nous dévalons les escaliers. J'allume immédiatement notre bonne vieille cuisinière à bois.

Clémentine fait le café, pèle les kiwis, presse les oranges. Je suis plié de rire en l'écoutant me raconter ses rêves avec l'accent Corse de Juliette. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée "baise sur bureau" en compagnie d'Estelle. Nous mangeons de bon appétit en évoquant Danièle et ses livraisons que nous attendons ce matin. Il y aura également la livraison Chronopost. À cet effet, après la vaisselle, nous allons ouvrir le portail depuis l'interphone du hall d'entrée. Nous remontons nous laver les dents et procéder à notre entraînement. Le mercredi tout comme le vendredi, avec la perspective de rester à la maison, Clémentine se montre facétieuse. Les échauffements aérobics, les joggings sur tapis roulants sont autant de prétexte à la déconnade.

Les exercices au sol exigent davantage de concentration. Surtout les relevés de jambes et les "groupés". Excellents préludes aux charges additionnelles où ça ne déconne plus du tout. Les étirements d'un agréable retour au calme avant la douche. Il est huit heures quarante cinq quand nous sommes dans l'atelier. Clémentine assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, de ses classeurs ouverts. Chantonnant. J'allume un beau feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Mon I-phone à portée de main sur la desserte. Quel bonheur d'être avec la fille que j'aime. Et ça sera pour toute la journée. La peinture de cette troisième scène de genre m'accapare toutefois très vite. Je peins dans un sentiment de béatitude. Un enchantement.

Il est exactement dix heures quand la sonnerie à l'ancienne téléchargée sur mon téléphone se met à déchirer le silence. << Danièle ! Va vite te mettre en situation ! >> lance Clémentine qui se précipite pour aller ouvrir la porte d'entrée. Accueillir la livraison. Je suis dans la cuisine. Autour de ma bite, à sa base, j'enfile l'anneau doré que m'a offert Clémentine à notre premier Noël ensemble. Il enserre les couilles. Ma braguette bouton fait "garrot". Mes attributs virils sont doublement saillants. C'est assez désagréable. Je me branle légèrement. Je commence à bander. Quand j'entends la voix de Danièle, mon érection est somptueuse. Les couilles bien dodues, la bite fièrement dressée vers les poutres apparentes du plafond de la cuisine. Je me mets devant le réfrigérateur.

Danièle entre dans la cuisine en portant un carton qui semble lourd. << Bonjour ! >> lance la jeune femme suivie de Clémentine qui est tout aussi étonnée. Elles ne s'attendaient pas du tout au coup de l'anneau. << Wouah ! Merci pour l'accueil ! >> s'exclame Danièle en posant le carton sur la table. C'est la toute première fois qu'elle entre dans la maison. Elle aussi reste admirative en découvrant l'intérieur de notre grande demeure. Elle ouvre le carton d'où dépasse un emballage plastique. << Il y a dix escalopes de dindes, dix escalopes de poulets. Congelés. Et un de nos premiers petits poulets fermiers. C'est "cadeau" ! >> explique t-elle. Sans cesser de fixer mes organes génitaux magnifiquement présentés. Clémentine me fait un discret clin d'œil. J'invite Danièle à visiter notre maison. << On commence par la cave comme ça ont peut mettre la barbaque dans le congélo ! >> propose Clémentine. << Judicieux ! >> lance Danièle.

Tout en entrant dans le salon Danièle s'écrie : << J'ai l'impression d'être dans un manoir. C'est comme dans un film. C'est magnifique ! >>. Elle répète ces mots à chaque nouvelle découverte. Oubliant presque la bite et les couilles du "guide". Il est rare qu'un étranger entre dans l'atelier. Je fais exception. Danièle parcourt la grande pièce. Reste en admiration devant ma peinture, devant la cheminée d'où montent de belles flammes. Tout cela ne dure pas plus d'une dizaine de minutes. En découvrant que la tourelle du "manoir" n'est que l'escalier en colimaçon qui monte de la cave au grenier, Danièle s'exclame. << C'est toujours un mystère. Que peut-il bien avoir dans une tourelle ? Je me posais cette question tous les samedis en arrivant ! >>. Je dis : << Voilà un mystère résolu ! >>

Clémentine empoigne mes couilles quand nous raccompagnons Danièle. Elle regarde à la fois la scène dans le grand miroir de la penderie et pour de "vrai". << On fait comment pour les livraisons ? Je propose de dispatcher vos commandes. Ainsi on se voit un peu plus longtemps les mercredis matins ! >> propose Danièle. Nous constatons qu'elle également à échafaudé un "plan". << C'est parfait. Vraiment ! Nous ça nous convient bien ! >> répond Clémentine. Je me masturbe en rajoutant : << J'en connais une qui en frétille déjà ! >>. Nous rions tous les trois aux éclats. << À samedi alors ! >> lance Danièle en refermant son gros gilet de camionneur. En ajustant son gros bonnet de laine. Il fait froid, il ne pleut pas mais tout est trempé. Un dernier coucou à Danièle. Nous rentrons.

<< Génial le coup de l'anneau mon "seigneur" ! >> lance Clémentine en me sautant au cou. << Vient, je te le retire, tu ne peux pas peindre comme ça. Mais remets le ce soir pour en faire profiter Juliette ! >> rajoute t-elle en s'accroupissant pour retirer l'accessoire. J'avoue que ça irrite un peu la peau sous les couilles. << On mettra un peu d'homéoplasmine avant ! >> dit elle. Nous voilà à nouveau plongés dans nos travaux. Je suis passablement excité en peignant. Cette sublime exhibition devant Danièle fut un tel plaisir que j'en suis encore tout retourné quand mon téléphone sonne une nouvelle fois. << Chronopost ! >> s'écrie Clémentine en se levant. << Viens on va voir ! >> lance t-elle en m'attrapant par la main. Nous courons jusque dans le hall d'entrée. La sonnette.

C'est un jeune homme vêtu de jaune qui tient un paquet assez volumineux. << Bonjour. Votre colis ! >>. Clémentine attrape le carton gris pendant que je signe le reçu. << Au revoir ! >> fait le livreur en courant vers sa camionnette "La poste". Impatiente et fébrile, Clémentine pose le carton sur la table, sur ses fiches. À l'écran de l'ordinateur on voit Alban, le maître de thèse entrain de causer. << J'ai pas la web allumée, il ne peut pas voir et de toute façon j'enregistre ! >> fait Clémentine en déballant. C'est le sybian rouge et blanc de la photo. Il est là, assez imposant, évoquant une sorte de selle de cheval. Dans l'autre pochette il y a deux godes différents. Un plus petit. Un plus gros. Un tube de lubrifiant. << C'est celui avec le réservoir ! >> s'écrie Clémentine toute contente. << Notice d'emploi ! >> lance t-elle en agitant le carnet. Elle rajoute : << On l'essaie après la bouffe ! >>. Nous en rions de bon cœur. Clémentine est aussi heureuse qu'en recevant un cadeau "normal".

Nous travaillons encore un peu en tentant de nous reconcentrer sur l'essentiel. Dur. Presque midi. Je mets deux bûches sur les braises. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. << J'ai quand même bien bossé. Malgré les émotions ! >> lance Clémentine en faisant l'assaisonnement d'une salade de concombre. Je réchauffe les deux grosses bouchées à la reine et les coquillettes. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit. Sans traîner. Nous débarrassons pour tout mettre dans le lave vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous dévalons les escaliers pour retourner dans l'atelier. Clémentine déplie la notice d'emploi. Tout en lisant elle commence à déboutonner son Levis. Je l'aide. Elle reste en chaussettes et en sweat. Elle pose l'appareil sur l'épais tapis. Puis le branche avec la rallonge. Parfait.

Elle y fixe la petite bite en caoutchouc. << C'est tout doux, regarde ! >> lance t-elle en me faisant toucher. Effectivement. Elle se touche en lisant la notice. << Fastoche pour l'utilisation comme pour l'entretien ! >> lance t-elle encore. Elle se positionne au-dessus de l'appareil. S'accroupit cuisses écartées. Elle saisit le gode préalablement lubrifié de la main droite. Descend encore un peu pour se l'enfoncer doucement. << Mmhhh ! Ça rentre facile ! >> gémit elle en s'asseyant. Il y a une poignée à l'avant. Elle s'y tient de la main gauche. De la main droite elle manipule la télécommande. On perçoit les premières vibrations du moteur électrique. Avec la mollette crantée un peu "rétro", Clémentine peut accélérer ou ralentir les vibrations. Tout son corps frissonne de plaisir. << Wouah ! Divin ! >> s'écrie t-elle.

Je tourne autour d'elle. C'est comme si elle faisait du canasson. Des spasmes secouent son corps. << C'est génial ! >> s'exclame t-elle en rejetant sa tête en arrière. Je la saisis par sa natte. Je me penche pour scruter les expressions de son visage. C'est merveilleux. Je murmure : << Salope ! >>. Elle chuchote : << Ta salope à toi ! >>. Elle reste ainsi une dizaine de minutes avant d'éteindre en criant : << Il faut que j'arrête parce que sinon j'y consacre l'après-midi ! >>. Nous en rions aux éclats. Clémentine se redresse. Décroche la bite en caoutchouc pour la passer sous l'eau tiède du robinet. << Il faut toujours rincer après qu'ils disent dans la notice ! >> dit elle alors que nous ne cessons de rire. Elle attrape ma bite dure comme le bois de chêne en rajoutant : << Mais je préfère quand même les "vraies" ! >>. En riant, elle demande : << Tu veux l'essayer ? >>. Nous rigolons comme des bossus quand je réponds : << Non, vraiment pas, je ne suis pas ce genre d'enculé ! >>. Pour rattraper un peu de ce temps précieux passer à nos plaisirs, nous nous remettons aussitôt au travail. Il est 13 h30.

L'après-midi passe très vite. Clémentine est souvent en conversation avec un prof, avec Estelle ou avec un autre étudiant. << Là, stop ! >> lance t-elle en se levant. Il est exactement dix sept heures. Elle range ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Il y a le repas du soir à préparer. Nous quittons l'atelier. Clémentine emmène son sybian pour le mettre sur le bureau du salon. << On va le montrer à Juliette ce soir ! >> dit elle en m'entraînant par la main jusqu'à la cuisine. Nous épluchons de belles pommes de terre que nous lavons et coupons en tranches. Pendant que les patates s'ébouillantent dans l'auto cuiseur, Clémentine râpe du gruyère. Je prépare un liant avec de l'œuf, de la crème fraîche, du fromage blanc et du lait de soja. J'égoutte les patates pour les mettre dans le plat carré.

Clémentine verse le liant. Je recouvre d'une copieuse couche de gruyère. Au four électrique pour faire mijoter à 160°. J'aide Clémentine à préparer l'assaisonnement d'une salade d'endives. Il est un peu plus de dix huit heures. Nous mettons les assiettes, les couverts. << Mets-le pour ce soir, s'il te plaît, j'ai beaucoup aimé ce matin ! >> me fait Clémentine en me tendant l'anneau à sexe posé sur le buffet. Je m'écrie : << Maintenant ? >>. Elle répond : << Oui, je veux l'avoir un peu pour moi d'abord ! >>. J'enfile l'anneau autour de mes organes génitaux. C'est beaucoup plus facile quand tout est mou. << Wouah ! C'est somptueux ! >> s'exclame Clémentine en s'accroupissant pour le fermer et scruter de près. << Ça "fouette", j'adore ! >> rajoute t-elle en humant ma bite. Je dis : << Ça sent surtout la pommade ! >>. Rires.

Juliette est toujours en avance. Et ce soir elle ne déroge pas à cette constante. Clémentine va l'accueillir dans le hall d'entrée. Je me masturbe devant le buffet. Il me suffit de penser à Danièle ce matin pour bander comme le dernier des salauds. Juliette entre dans la cuisine, tombe sur le spectacle. << Waouh, vous donnez dans l'accessoire Julien ? >> me demande t-elle en contournant la table pour venir me faire trois bises. Ce soir Juliette porte des jeans, des bottines, un gros pull noir à col roulé. Ses cheveux en natte. Superbe bourgeoise qui me fait bander encore plus fort. La sonnerie du four. Nous sommes morts de faim. Clémentine retire mon anneau car il commence vraiment à m'irriter. À me faire mal même. Nous mangeons de bon appétit. Juliette nous raconte sa semaine.

Nous ne traînons pas trop. Tout dans le lave vaisselle. En découvrant le sybian tout neuf et tout beau posé sur le bureau, Juliette s'exclame : << Le dernier modèle ! >>. Clémentine répond : << Et déjà expérimenté ! >>. Juliette le caresse. Le soulève en disant : << Neuf kilos huit cent. C'est marqué sur le mien aussi ! >>. Nous rions. Ce sont des appareils stables. Et en montant dans la gamme ils sont plus lourds afin d'assurer une parfaite stabilité. << Tu veux l'essayer ? >> demande Clémentine en tutoyant Juliette. << Non, parce que si je commence, je passe la soirée assise dessus ! >> répond notre invitée. Clémentine insiste en rajoutant : << Avec la bite à Julien en prime ! Ça te dit ? >>. Juliette regarde ma bite puis l'appareil, semble hésiter longuement en se touchant. Elle finit par conclure : << On se fait ça vendredi soir toutes les deux installées sur le nôtre. Avec la bite à Julien ! >>. Nous trouvons l'idée absolument géniale.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont s'offrir une coupe glacée vautrées dans le canapé en bavardant. Jouant parfois avec la bite de leur coquin. Devant une invitée qui se touche en parlant d'équitation, de manège à chevaux et de pipe au vétérinaire...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Friday 8 December 2023 07:40

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 11 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2456 -



Estelle, Clémentine, le sybian et moi

L'application "forêt" nous offre les fééries d'un réveil bucolique. Il est presque six heures quand le gazouillis des oiseaux, l'écoulement de la source nous tirent du sommeil. Hier matin, jeudi, dans le froid de notre chambre volontairement sans chauffage. En gémissant Clémentine se glisse contre moi sous la douceur des draps. Des bisous, des papouilles. Il faut se lever. Nous nous précipitons aux toilettes avant de passer dans la salle de bain où nous préparons toujours nos vêtements la veille. Nous enfilons nos tenues de gymnastique. Morts de faim nous dévalons les escaliers. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. Les radiateurs commencent à chauffer. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Je récupère les premières tranches éjectées par le grille pain. Bruit sec.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les faits marquants de mercredi. La visite de Danièle le matin. La livraison du sybian. La présence de Juliette en soirée. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la soirée qui nous attend. << Estelle voudra probablement tester la "machine" ! >> suggère Clémentine. Nous remontons pour nous livrer aux échauffements aérobics, aux joggings sur les tapis roulants. Nous redoublons d'efforts pour nous réchauffer. Les exercices au sol, les charges additionnelles. Un stretching avant la douche. Je redescends en éclaireur pour préparer la voiture. Il est presque 7 h45. Le jour commence à se lever sous un ciel de plomb et menaçant. Tout est trempé des pluies de la nuit. La température extérieure est 4°. Et toujours ce maudit vent soufflant du Nord. Moins fort toutefois.

Clémentine me rejoint dans son anorak noir. Écharpes, bonnets, gants. Le moteur de la voiture tourne depuis cinq minutes. La Golf hybride offre les deux options. Mais Clémentine a une préférence pour le moteur thermique. << Au moins le chauffage fonctionne ! >> lance t-elle en s'asseyant au volant. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer au chaud pour faire notre vaisselle, notre lit. J'allume une belle flambée dans l'atelier. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque la suite de ma troisième scène de genre. Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser des cris surréalistes à chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent. Sans voir les aiguilles de l'horloge tourner si vite.

Il va être midi. Je mets deux bûches sur les flammes avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à réchauffer le reste du gratin de pommes de terre. De faire l'assaisonnement d'une salade de tomates. Du réfrigérateur je sors la pâte feuilletée ainsi que trois escalopes de dinde. Je place le tout sur l'étagère de la hotte afin de laisser venir à température. Pour ce soir je veux préparer la surprise d'une tourte aux brocolis, champignons et viande blanche. Je descends chercher les légumes à la cave, dans le cellier. Je remonte également la seconde miche de pain qui va décongeler tranquillement. Je prépare mentalement la procédure à suivre pour la surprise que je réserve à mes deux anges pour le repas du soir. Je dispose le tout sur la desserte. J'attaque après la bouffe.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff reçoit deux journalistes d'investigations et Michel Onfray. Un débat animé sur les croyances religieuses des uns et des autres. Surtout des "autres" et leur culte dictatorial qui punit d'apostasie tout fidèle qui voudrait quitter le dogme. Pour moi, depuis toujours, les religions ne sont qu'autant de prisons mentales. Depuis deux millénaires, grâce à l'invention du monothéisme, les dirigeants peuvent enfermer les naïfs et les crédules dans les affres de la culpabilité, du repentir et de la croyance en l'irrationnel. Michel Onfray dans son nouvel ouvrage analyse très bien ce postulat. Les deux journalistes ont fourni un travail de recherches titanesque sur plus de quatre ans. Nulle trace réelle d'un personnage biblique ayant réellement existé autrement que par des écrits. Mais comme le propose Onfray l'idée d'un personnage est plus importante que le personnage lui-même.

J'étale les deux tiers de la pâte feuilletée dans le grand plat à tarte aux bords hauts. Je lave et je coupe brocolis et champignons. J'ébouillante les brocolis quelques minutes. J'émince les escalopes de dinde en pensant à Danièle. Association d'idées qui me font bander. Quand j'étais adolescent je me masturbais avec une escalope de dinde dans la main. Les sensations étaient décuplées. C'est amusant d'y penser aujourd'hui. Je concocte une sauce au fromage. J'y rajoute la viande, l'ail et l'échalote préalablement poêlés. Je dispose le brocoli et les champignons égouttés dans le plat. Je verse la garniture. Une bonne couche de gruyère Suisse. Des cerneaux de noix que je brise en mille morceaux. Je recouvre du dernier tiers de pâte feuilletée en jointant bien les bords. Je badigeonne le dessus du reste de sauce à laquelle je rajoute un œuf, de la moutarde. Au four électrique pour une longue cuisson à 160°. Je lave trois très belles endives.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller me dégourdir les jambes je dévale les escaliers pour enfiler mon anorak. Bonnet, gants. La température extérieure est de six degrés. Un froid humide dans une brume qui empêche de distinguer quoi que ce soit à plus d'une trentaine de mètres. Plus de vent. Cette impression de froid polaire a disparu. Je vais jusqu'à la rivière. Les arbres sans feuilles sont comme autant de silhouettes fantomatiques. L'ambiance d'un film de l'impressionnisme Allemand des années trente du siècle dernier. J'apprécie cette atmosphère de mystère. Il est treize heures cinquante quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Si tout se passe comme prévu, j'aurai terminé cette onzième œuvre de commande lundi matin. Je peins serein.

Du bruit. Il est déjà 17 h30 et je n'ai pas eu perception du temps. Clémentine rentre de cours. Posant son cartable sur la table elle s'écrie : << Dure journée. J'en ai mal au poignet à force de gratter ! >>. À califourchon sur mes cuisses, se frottant légèrement, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le repas de midi au restaurant universitaire. << Devine ! J'ai raconté le sybian à Estelle. Tu sais quoi ? Elle veut évidemment l'essayer ce soir ! >> dit elle. Nous en rions de bon cœur quand je fais : << Je suis certain qu'on va lui offrir le même pour les fêtes ! >>. Clémentine a encore du travail. Assise devant son ordinateur, classeurs ouverts à finaliser ses écrits. À mettre au propre ses notes. << Afin de pouvoir relire et comprendre mes "hiéroglyphes" ! >> lance t-elle.

Cette petite heure est exaltante. Je ne peins jamais aussi bien qu'avec la proximité de la fille que j'aime. Je ne suis pas objectif mais je me plais à le voir ainsi. << Put-hein, j'arrête ! >> s'écrie t-elle soudain en se levant d'un bond pour commencer à ranger ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine vient me rejoindre devant le petit lavabo de l'atelier. Elle me tient la bite pour en diriger les jets. Je me lave les mains en observant ses expressions dans le minuscule miroir. Elle le sait. Lève les yeux pour me faire un clin d'œil. Elle se penche pour suçoter les derniers reliquats avant de se redresser en disant : << Vivement ce week-end parce que cette semaine a été dure en cours ! >>. Je réponds : << Bientôt les vacances. Le sapin de Noël géant à Édimbourg ! >>

Clémentine me saute au cou pour mitrailler mon visage de bises. << Le sapin sur les boules. Comme tous les ans ! >> murmure t-elle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Mon érection gonfle dans sa main alors qu'elle m'embrasse avec fougue. Estelle, coquine, arrive toujours le plus silencieusement possible. C'est encore réussi ce soir. << Alors, on fait des trucs derrière mon dos ! >> lance t-elle en se précipitant vers nous. Même si elles ont passé la journée ensemble à l'université, elles ont tant de plaisir à se revoir. Nous nous serrons fort à nous distribuer des bisous. Estelle cherche à saisir ma queue. Clémentine la lui offre en la lâchant. Je demande : << Raconte-moi la baise du mercredi avec ton parrain ? >>. Estelle me branle en répondant : << Éprouvante comme d'habitude. La bite rude je veux dire ! >>. Nous rions de bon cœur de cette vanne éculée. << Tu es prête à une autre ce soir ? >> demande Clémentine.

Elle fait bien sûr allusion au sybian. << Fais-moi voir ce truc en vrai. Je n'ai toujours vu qu'en photos ou dans des films pornos ! >> répond Estelle. Nous quittons l'atelier pour le salon. Estelle m'y entraîne en me tirant par la queue. Ce qui me fait marcher comme un con. Ce qui fait bien rire mes deux anges. Estelle découvre la "machine" posée sur le bureau. C'est le petit gode en caoutchouc qui est fixé sur l'ergot vibrant. Il se dévisse de deux tours dans un petit bruit sympa. Comme lorsqu'on décapsule une bouteille d'eau gazeuse. Estelle le caresse, rêveuse, du bout des doigts. Clémentine explique le fonctionnement extrêmement simple. La télécommande reliée par un câble peut également fonctionner en connexion bluetooth. Elle allume. Estelle empoigne le gode qui vibre dans sa main. << Put-hein, génial ! >> s'exclame t-elle alors que Clémentine tourne la molette "rétro" pour accélérer les vibrations. Moteur électrique.

<< Put-hein après la bouffe j'essaie ! >> s'écrie Estelle. << Tu vas t'amuser. C'est comme faire du dada ! >> lance Clémentine qui saisit ma queue que lâche Estelle. Trop occupée à soulever la machine, à la soupeser. Put-hein ça pèse son poids ce machin ! >> s'exclame t-elle. << Presque dix kilos. Il faut que ce soit stable avec une salope qui s'agite dessus ! >> explique Clémentine. Elle montre le gros gode à Estelle qui s'écrie : << Ah non ! Merci ! J'en avais une grosse comme ça mercredi soir. Une heure à me défoncer la chatte ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine dévisse le petit gode pour montrer le réservoir à l'intérieur. D'une contenance intéressante. << Eau chaude, tisane, thé ou tout ce qu'on veut ! >> précise t-elle alors que nous rions aux éclats. Ambiance.

Pour le moment, la faim prédomine. Estelle m'attrape la bite pour me tirer contre elle. << Et toi, espèce de vieux pervers, tu vas encore te branler et regarder, c'est ça ? >> lance t-elle. << Non non, je vais m'amuser comme toi, faire du dada aussi ! >> répond Clémentine. Nous quittons le salon pour la cuisine. Quand elles découvrent la surprise j'ai droit à des effusions de tendresse, de douceur qui me font fondre. Il n'y a qu'à préparer l'assaisonnement de la salade d'endives. La tourte réchauffe dans la fournaise du four à bois. Estelle et moi mettons les assiettes, les couverts. Nous mangeons de bon appétit. Estelle, qui se lève à quelques reprises pour mimer une masturbation masculine nous avoue être impatiente de passer à l'acte. Tester cette machine insolite. Je me branle debout.

Tout dans le lave vaisselle. Vite, au salon. Les filles retirent leurs bottines, leurs jeans, leurs culottes. Juste en épaisses chaussettes, en sweats, elles déplacent la "machine" pour la placer bien au milieu du bureau. Estelle monte sur la chaise. Au-dessus du sybian. Pieds écartés de chaque côté. << Attends, c'est mieux ! >> lance Clémentine en ouvrant le tube de lubrifiant pour en enduire le gode. Estelle se touche, se déplace, s'accroupit, cuisses écartées pour me dire : << Tu me prépares un peu ? >>. Je m'assois sur la chaise médiévale. Mes mains sur ses cuisses, mon visage dans sa touffe, je la fouille de ma langue exploratrice. Je suce son clitoris dès qu'elle cesse de le titiller. Clémentine passe derrière moi pour me tenir par les épaules. Penchée car je sens son souffle dans ma nuque. Je me bouffe de la chatte. Je me régale de sa journée de fille. Ses odeurs puissantes. Ses goûts forts. J'en ai de délicieux vertiges. J'en vacille. Des hauts le cœur.

Estelle se redresse à la limite de l'ankylose. Elle se met en position. Elle s'enfile le gode. Saisit la télécommande. Le bruit du moteur électrique offre des variations sonores selon la fréquence voulue. Les expressions du visage d'Estelle vont de la surprise à l'extase. Parfois elle rit. Parfois elle gémit, pousse de petits cris de surprises. Clémentine s'assoit sur ma bite. Elle me tourne le dos. Je caresse ses seins minuscules. Elles se font face. C'est merveilleux de les voir communiquer par le regard. Des mouvements de sourcils. Des mordillements de la lèvre inférieure. Estelle obligée de se tenir à la poignée pour ne pas chuter. Se masturbant de sa main libre. Tout comme Clémentine. Toutes les deux font du "dada" dans la plus parfaite extase. C'est beau. C'est merveilleux. Sublime.

Je demande : << Ça te plairait d'en avoir un à toi ? >>. Estelle, en haletant, répond : << Et comment ! >>. Je rajoute : << Et bien le Père Noël va t'en apporter un ! Le même ! >>. Clémentine en se tortillant de plaisir sur ma queue rajoute : << Il existe en noir aussi ! >>. Estelle cesse de se trémousser sur l'appareil. Elle se retient des deux mains à la poignée. Prostrée en avant, comme en proie à d'intenses douleurs, elle pousse plusieurs petits cris. De la sueur sur son visage. De la mouille inonde tout le dessus de l'appareil pour couler de tout son long jusque sur le sous main de cuir beige. << Oh put-hein ! >> s'écrie t-elle en tentant de se dégager. Victime d'un orgasme dévastateur. Clémentine se lève pour se précipiter vers le guéridon, attraper la cuvette juste à temps pour jouir en pissant. Estelle devra nous laisser pour 22 h. C'est dans dix minutes. Elle reprend ses esprits. Me saute au cou en s'écriant : << Merci Julien ! >>. Nous la raccompagnons à son auto.

Bonne nouille à toutes les coquines ayant fait du "dada". Qui vont s'offrir les dernières joies d'une bonne pipe sous les draps avant de sombrer dans le sommeil...

Julien (Père Noël pour écuyères de sybian)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Saturday 9 December 2023 07:36

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 12 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2457 -



Soirée sybian chez Juliette

Le vendredi, Clémentine termine à midi. C'est le début tant attendu de son week-end. Au réveil, un peu avant six heures, le vendredi, elle est souvent à la limite de l'euphorie. Sinon facétieuse. Le gazouillis des oiseaux qui nous tire du sommeil en est le premier prétexte. En se serrant contre moi, Clémentine imite les illusions bluffantes de l'application "forêt". Mais comme elle n'a pas encore toutes ces capacités intellectuelles, c'est tellement maladroit que nous nous réveillons ainsi, en riant aux éclats. En appui sur mes bras à peine valides, pour ne pas peser de tout mon poids, je mets mon corps au-dessus du sien pour dire : << Je t'aime ! >>. Elle s'accroche à mon cou. Passe ses jambes autour de ma taille pour se frotter contre mon érection matinale et tout à fait naturelle.

Chaque instant est compté au levé. Impossible de s'attarder. Nous nous précipitons aux toilettes. Les radiateurs viennent d'entrer en fonction. Il ne fait pas plus de 16° dans la salle de bain où nous passons nos vêtements de sports. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. J'allume prestement la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis en imitant l'accent Corse de Juliette pour me raconter ses rêves. Je suis encore plié de rire. Au point de manquer de faire tomber les quatre tranches qu'éjecte le grille pain. Dans un claquement sec plus inquiétant chaque jour. Il n'a pourtant pas deux ans. << L'obsolescence programmée ! >> lance Clémentine en tournant sur elle-même, un bras levé, comme une danseuse. J'aime la voir hyper déconneuse.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre jeudi soir avec Estelle. << Et le sybian ! >> précise Clémentine en l'appelant : << Mon nouvel amant ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la journée. Cet après-midi nous irons à la poste afin d'envoyer les colis cadeaux en Écosse. Nous pratiquons cette formule chaque année avant les fêtes. Moins de choses à trimballer dans l'avion. Juste nos valises. Six heures vingt cinq, nous remontons nous offrir le second plaisir de la journée. En nous promettant qu'il y en aura beaucoup d'autres. Notre salle d'entraînement n'est volontairement pas chauffée. C'est donc la motivation nécessaire pour effectuer nos échauffements aérobics avec célérité sinon enthousiasme. Méthode idéale.

Les jogging ssur tapis roulants où Clémentine nous fait rire. Je n'arriverais pas à courir et à tourner sur moi-même comme elle le fait sans tomber. Et tout ça en faisant des mimiques, d'horribles grimaces. Comme il y a des miroirs partout autour de nous, je la vois sous tous les angles. Je n'arrête pas de dire des << Je t'aime ! >>. Les exercices au sol. Les charges additionnelles qui exigent le plus grand sérieux avant les étirements du stretching. La douche. Je dévale les escaliers pour aller sortir la voiture du garage. Il va être 7 h45. Le thermomètre extérieur indique 2°. Le ciel est bas et dramatique. Clémentine vient me rejoindre sous le parapluie, déguisée en esquimau. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement.

Un dernier coucou et je me précipite pour rentrer au sec et au chaud. Notre vaisselle, notre lit avant de redescendre dans l'atelier. J'y allume une belle flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Cette troisième scène de genre de commande, m'accapare rapidement et complètement. Je peins dans cette douce euphorie laissée par la fille que j'aime. Sans voir tourner les aiguilles de l'horloge. Presque midi quand je nettoie la palette, les pinceaux. Je mets deux bûches sur les braises. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Pendant que réchauffe le reste de la tourte aux brocolis, je fais l'assaisonnement d'une salade de concombre et d'avocat. Je fais gonfler du riz complet pour le repas de ce soir. Je concocte une sauce au Roquefort. Rapide.

Il est midi trente quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. C'est comme ça que je l'emmène aux toilettes. Le rituel pisseux, le lavage des mains avant de la ramener dans la cuisine en la portant comme une jeune mariée. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. << Je dois te faire une pipe de la part d'Estelle ! >> lance t-elle entre deux anecdotes de sa matinée d'étudiante. Je me lève, je sors ma bite en disant : << J'apprécie les intentions charmantes d'Estelle ! >>. Nous en rions aux éclats. Clémentine tient sa fourchette. De sa main libre elle agite son index pour m'inviter à contourner la table. Je viens lui présenter ma queue toute molle. Mon "tuyau d'arrosage" qui pend bien "mollasse".

Elle déglutit sa bouchée de tourte aux brocolis avant de prendre mon sexe en bouche. Ses joues se creusent par l'effort de succion. Une petite minute. Je caresse sa tête, je me penche pour murmurer : << Votre repas va refroidir mademoiselle ! >>. Elle cesse pour répondre : << J'apprécie les saveurs différentes ! >>. Nous rions. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle fait le planning de l'après-midi. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant mille pitreries devant le miroir de la salle de bain. Clémentine reste vêtue comme pour aller en cours. Sa paire de jeans, ses bottines, son pull de laine mohair noir à grand col roulé. Je mets un Levis propre, une chemise blanche sous un pull noir au col en "V". Mes bottines noires.

Pressés de filer, nous dévalons les escaliers pour enfiler nos épais blousons de cuir brun. Ceux achetés en Écosse au début septembre. Bien rembourrés, ils tiennent bien chaud. Nos écharpes crèmes. Il ne pleut plus. Je roule doucement sur les vingt cinq kilomètres qui nous séparent de la ville. Clémentine joue avec ma queue. Suce parfois pour se redresser et continuer de parler de ses cours, des profs et de la finalisation de la version définitive de sa thèse. Il est 14 h30 quand nous nous garons sur le parking de la poste, derrière la gare. Il y a enfin un guichet spécialement consacré aux envois de colis. Ce qui évite les sempiternelles attentes dans des files évoquant celles des pays communistes devant les supermarchés. Cette comparaison de Clémentine nous fait rigoler.

Nous sommes tous les deux avec les bras chargés. L'employée est probablement une "nouvelle" ou alors une stagiaire. Pas du tout démerde et maladroite. Elle doit s'y reprendre à deux fois pour coller la moindre étiquette. À tel point que Clémentine agacée s'écrie : << Attendez, donnez-moi ces étiquettes, je les colle ! >>. Mais la jeune fille est aussi peu efficace pour l'enregistrement sur l'écran de son ordinateur. Ce qui énerve Clémentine qui s'exclame : << J'espère que vous n'avez pas arrêté vos études ! >>. L'employée n'a peut-être pas les aptitudes à comprendre l'humour de Clémentine car elle répond : << Si. Je travaille à la poste depuis septembre ! >>. Clémentine la regarde avec compassion avant de rajouter : << Ce n'était peut-être pas le meilleur plan de carrière ! >>

Finalement, après y avoir passé près d'une demi heure, nous quittons enfin la poste. Le parking est à environ dix minutes du centre. Il est gratuit mais ferme ses grilles à 17 h30. Il faudra donc récupérer la voiture avant cette échéance. Nous rions des "exploits" de la jeune employée qui a procédé à l'enregistrement de nos paquets cadeaux. La température extérieure est de 10°. Pas de vent, pas de pluie. Nous marchons d'un bon pas. Clémentine accrochée à mon bras, nous arrivons dans les premières allées du marché de Noël à proximité de la gare. Nous flânons dans les suaves odeurs de marrons chauds, de gaufres, de cannelle et d'anis étoilé qui parfument les vins chauds. Un chalet propose de magnifiques objets en cuir. Artisanaux. C'est un beau jeune homme qui tient le stand.

Nous admirons les ceintures, les portefeuilles, les sacoches, les gants, les anneaux à poignets. Clémentine me fait à l'oreille : << Si sa bite est à la hauteur de son physique ! >>. C'est vrai que ce garçon qui ne doit pas avoir plus de 25 ans est beau comme un dieu. << Alain Deloin ! >> rajoute Clémentine quand nous reprenons nos découvertes. Il n'y a aucune possibilité de s'amuser à quelques jeux exhibes dans un marché de Noël. Nous quittons le marché de Noël de la place de la Gare pour prendre les rues piétonnes qui mènent à celui de la place de l'hôtel de ville. << Je fais mon Estelle, je peux ? >> murmure Clémentine en se serrant contre moi pour cacher sa main baladeuse. J'adore ses initiatives. Elle adore la réciproque. Quand nous commençons à nous toucher comme ça, c'est l'entrée dans une toute autre dimension. Nous profitons alors de chaque coin, de chaque recoin, pour nous palper. Nous embrasser. Je bande comme un salaud.

Notre salon de thé préféré nous accueille au premier étage. Nous avons à chaque fois la chance d'y trouver une table libre. Près de la grande baie vitrée qui donne sur une des rues piétonnes. Il y a du monde. Nous savourons nos chocolats chauds avec une torche aux marrons. Absolument divines. Nous lorgnons du côté de la porte des toilettes mais avec tous ces gens c'est un incessant va et vient. De quoi décourager les plus courageux des hédonistes. Dont nous sommes. Un petit tour à la FNAC avant de reprendre le chemin du parking de la poste. 17 h20. Juste à temps. Nous prenons le sens inverse. Sur sa demande, Nous passons devant l'université de Clémentine. Parking désert. Il fait nuit. Pas une lumière dans les bâtiments. Je gare l'auto sur le parking de l'hypermarché.

Nous en profitons pour y faire quelques achats. Là aussi, il y a du peuple. C'est parfois de véritables embouteillages de chariots dans les rayons alimentaires. Hélas, là non plus ne se présentent la moindre opportunité exhibe. Nous avons beau tourner avec notre caddie dans les rayons culturels. Ce ne sont principalement que des couples, des familles. Il faut se faire une raison. Ça ne suffit pas à calmer nos libidos de plus en plus enflammées car nous ne cessons plus de ruser pour nous tripoter. C'est un jeux exquis. << Je fais mon Estelle ! >> lance à chaque fois Clémentine. Je réponds : << J'aime aussi quand tu fais ta Clémentine ! >>. Nous passons aux caisses "fidélités". Heureusement nos cartes de fidélités permettent d'éviter les files longues de plusieurs dizaine de mètres.

Un petit tour dans la galerie commerciale. Nous regardons les menus affichés dans la cafétéria. Je propose de nous prendre des tartes flambées préparées à la "Flamande". << Mais tu as préparé du riz pour ce soir ! >> me rappelle Clémentine. Je réponds : << C'est pas perdu. On le met au congèle où on réchauffe demain ! >>. Nous nous laissons tenter par ces savoureuses tartes flambées accompagnées d'un assortiment de salades, choux, carottes et cœurs d'artichauts. Des coupes glacées en dessert. Il est dix neuf heures trente quand nous arrivons à la maison. Le temps de ranger les courses pendant que Clémentine se change. Elle redescend vêtue d'une de ses jupes kilts, un chemisier blanc sous un pull bleu nuit à col en "V". Ses bas noirs. Ses bottes noires à talons hauts.

Dans le hall d'entrée, avant de repartir, nous prenons des poses devant le grand miroir de la penderie. Clémentine, accroupie sur ma droite, cuisses largement écartées sur son porte-jarretelles, sa tête conte ma hanche, enserre ma jambe de ses bras. << Tu m'aimes en pute ? >> demande t-elle. Je pose ma main sur sa tête pour répondre : << Surtout en pute, puis en salope. Mais toujours après votre personnalité habituelle mademoiselle ! >>. Elle se redresse en palpant ma bosse. Nous enfilons nos blousons pour affronter la nuit. Les trois kilomètres qui nous séparent du haras. Je me fais sucer en roulant lentement. Il n'est pas tout à fait huit heures quand je gare l'auto dans la cour. Je porte le carton lourd contenant le sybian. Clémentine reste accrochée à mon bras comme si elle avait un peu peur.

Je la sens toujours un peu inquiète quand nous venons chez Juliette pour une soirée de débauche. Juliette qui vient nous accueillir en nous faisant la bise. Elle aussi est en jupe ce soir. Très élégante comme à l'accoutumée. Vêtue façon "secrétaire de direction". Veste blaser, tailleur, chemise blanche et cravate noire. Nous la suivons dans l'escalier qui monte à ses appartements. J'aime la couture à "l'ancienne" de ses bas noirs. Nous sommes invités à prendre place. Canapé ou fauteuil pendant que Juliette sert les infusions et les petits salés. Son sybian est posé sur l'épais tapis. Je déballe celui de Clémentine pour le poser à côté. Clémentine et Juliette comparent les deux appareils. Ils sont très semblables. Rouges et blancs. Sur celui de Juliette le gros gode. Clémentine fixe le sien sur l'ergot. Quand il est question de sexe, nous nous tutoyons avec Juliette. Elle demande à Clémentine : << Tu as essayé le tien ? >>. Clémentine confirme.

Le fonctionnement est le même dans le doux ronronnement des moteurs électriques qui les animent. Celui de Clémentine est le modèle "haut de gamme" mais son fonctionnement est identique. Nous savourons nos infusions en grignotant des noix de cajou, des amandes salées. Juliette est la première à se lever de son fauteuil. Elle s'accroupit, bien face à moi, cuisses légèrement écartées. Tout comme Clémentine, pas de culotte. Pour enduire le gode de ce gel lubrifiant neutre sans doute à base de vaseline. Elle me demande : << Et toi Julien tu n'as pas envie d'essayer ? >>. Je réponds : << Plutôt me faire enculer que de me mettre un truc dans le cul, non merci ! >>. Nous rions aux éclats alors que Juliette se redresse, se positionne au-dessus de l'appareil pour trousser sa jupe droite.

Clémentine se lève à son tour. Juliette s'accroupit pour s'enfiler le sexe en caoutchouc. Elle tient la poignée de la main gauche et s'asticote de la main droite. Sans cesser de me fixer de son air sérieux. Clémentine enduit son gode de gel avant de s'installer de la même façon. Un mètre les sépare toutes les deux. Je reste distant. Je tiens ma bite dure comme le bois dans ma main droite. De la gauche je tiens mes couilles à travers le tissu de mon Levis. Le doux ronronnement des moteurs électriques. Elles m'observent toutes les deux. Elles commencent à bouger doucement et en même temps. Clémentine est la première à pencher la tête en avant, à fermer les yeux, envahie par l'extase qui la gagne déjà. Même pas cinq minutes. Juliette l'observe, amusée avant de m'adresser un clin d'œil. Clémentine est également la première à gémir. Elle ouvre parfois les yeux comme pour reprendre ses esprits. Inspirant fortement.

Juliette est beaucoup plus lucide. Même si parfois elle ferme les yeux pour être prostrée en avant comme Clémentine. Je me masturbe tout comme elles le font toutes les deux. À présent gagnées par leurs jouissances elles ne font plus vraiment attention à moi. Je me branle en me déplaçant, en tournant autour d'elles. J'aime à venir scruter leurs visages de tout près. Des gouttes de sueur qui perlent sur le bout de leurs nez. Sur leurs fronts. C'est un spectacle phénoménal. Je me sens le plus privilégié des privilégiés. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon de me branler dans ces circonstances. Elles font du "dada" en poussant de petits cris, de petits râles, tentant de retarder l'échéance, de maîtriser leurs plaisirs, de refouler leurs pulsions. Le sybian de Clémentine est ruisselant de jus.

En restant assise dessus, avec ses genoux, elle se déplace. Je comprends. Je me précipite pour l'aider. Elle vient de quitter le tapis. Je sais pourquoi. << J'ai tout prévu ! >> lance Juliette sans cesser de se tortiller sur la machine qui vibre au maximum. Elle regarde mon sexe avec insistance. Au moment où Clémentine pousse un hurlement de jouissance, inondant le sybian de pisse, je m'approche de Juliette que je saisis par sa tignasse. Elle ne s'y attendait pas. Elle a le réflexe de vouloir me repousser. J'enfonce ma bite dans sa bouche à l'instant où elle veut parler. Je lui éjacule au fond de la gorge alors qu'elle est secouée d'un orgasme cataclysmique. Elle aussi ne peut s'empêcher de jouir avec plusieurs jets d'urine. C'est un peu la conséquence des orgasmes féminins sur ces machines.

Nous reprenons nos esprits. Je suis assis à grignoter mes noix de cajou. Je regarde Juliette et Clémentine essuyer leurs pisses. Toutes les deux accroupies, cuisses écartées, pour me montrer leurs chattes. C'est plutôt sombre sous les jupes avec la lumière tamisée. Elles essorent les serpillères en riant, échangeant leurs impressions. Je remballe le sybian à présent essuyé et sec dans son carton. Je remballe également ma bite. Il va être 21 h45. Juliette a également une séance d'entraînement le matin avant de commencer sa journée. Elle nous raccompagne jusqu'à la porte du bas. Trois bisous. << C'était divin, merci ! >> lance t-elle alors que nous la laissons pour traverser la cour sous quelques premières gouttes de pluie. Dans la voiture, Clémentine me taille une nouvelle pipe.

Bonne nuit à toutes les coquines épuisées par les orgasmes délirants que procure une machine à baise...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Sunday 10 December 2023 10:12

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 13 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2458 -



Nos aventures du samedi

Sept heures hier matin, samedi. J'aime réveiller Clémentine en faisant "papillon" et "esquimau". Sur sa demande express le soir quand elle se blottit dans mes bras avant de s'endormir. Mes cils que je fais bouger contre sa pommette. Mon nez que je passe délicatement contre le sien. C'est dans un gémissement de plaisir, en s'étirant, qu'elle se serre contre moi. Des papouilles, des bisous avant d'aller pisser. Depuis plus d'une heure que les radiateurs fonctionnent il fait bien chaud partout dans la maison. Dans la salle de bain ou nous passons nos lycra de sports. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Pendant que Clémentine fait le café, j'allume une belle flambée dans la cuisinière à bois. Elle presse les oranges en me racontant ses rêves. Le pèle les kiwis en écoutant.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures du vendredi après-midi. En riant de la jeune fille de la poste tellement maladroite. De la soirée sybian chez Juliette. << Deux soirées branles, deux vendredis de suite ! >> précise Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la matinée. Le samedi nous prenons tout notre temps. Nous allons ouvrir le portail depuis l'interphone du hall d'entrée. La température extérieure est de 6°. Une nette amélioration comparée aux semaines précédentes. Le ciel reste toutefois gris, bas et menaçant. Tout est trempé des pluies de la nuit. Pas de running. Nous montons nous entraîner dans notre salle. Les échauffements aérobics, le jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol. Les charges additionnelles. Tous les mouvement enchaînés à la perfection. Ainsi que les étirements d'un stretching pour le retour au calme.

Nous entendons l'aspirateur. Lise est donc déjà là à faire le ménage. Nous prenons la douche. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite, je coiffe Clémentine. Elle me raconte plein de choses concernant ses études, les écrits de sa thèse. C'est à mon tour de me faire sécher les cheveux et coiffer. C'est un moment de plaisir que nous partageons avec bonheur. Nous revêtons nos paires de jeans, nos épaisses chemises à carreaux. Les baskets. C'est en sortant de la salle de bain que nous tombons sur Lise. Souriante, contente de nous voir. Habillée de son survêtement gris, des écouteurs sur les oreilles qu'elle retire pour nous saluer. Elle aussi, depuis qu'elle "sait", lance un regard furtif sur ma braguette déboutonnée. Elle m'adresse un merveilleux sourire.

Ce qui n'échappe pas à Clémentine qui m'entraîne par la main pour dévaler les escaliers avec nos draps sales. À la cave, dans la buanderie, alors que nous mettons le linge dans la machine, Clémentine me fait : << Tu as vu son regard ? Deux fois elle a mâté ta braguette ! >>. Je n'en ai vu qu'un. Clémentine est bien plus observatrice que moi. Elle me sort le chibre mou. << Il faudra lui tendre un de nos pièges pour voir sa réaction en situations préméditées ! >> rajoute t-elle en se plaçant derrière moi pour agiter ma queue. Nous en rions de bon cœur. La machine tourne. Nous remontons pour aller au salon. Assise sur mes genoux, me tournant le dos, Clémentine allume l'ordinateur. Elle lit nos trois courriels. Je caresse ses seins minuscules que je sens vivre sous sa chemise.

Un message de ma famille d'Écosse. Ils nous réservent une belle surprise. Un mail de Juliette qui nous remercie pour la soirée sybian. En précisant qu'elle tient à refaire avant Noël mais avec une variante dont elle prétend garder le secret. << Tu as vu sa réaction quand tu lui as éjaculé dans la bouche ? Elle avait beaucoup de difficulté à cacher son plaisir ! >> précise Clémentine. Nous rions quand je rajoute : << Sans compter la difficulté qu'elle avait à avaler ! >>. Clémentine, pliée de rire, rajoute : << Tu as conscience de la quantité de foutre que tu nous balances ? >>. Nous rigolons comme des bossus. Le message d'Estelle impatiente de nous retrouver en début d'après-midi. Elle précise : << Pas de sybian pour moi s'il vous plaît. Je préfère de la bonne et vraie bite ! >> Nous rions.

Pendant que Clémentine fait les réponses, je glisse un billet de 50 € et de 20 € dans la petite enveloppe jaune. Clémentine y rajoute un petit mot gentil que je signe d'une fleur pouvant évoquer une bite. Nos livraisons ne vont pas tarder. Lise entre dans le salon avec l'aspirateur. Nous la laissons à son travail. Cette fois encore je vois le regard en biais qu'elle a pour ma braguette béante. Et toujours ce sourire timide et magnifique. Nous enfilons les anoraks. Les bonnets, les gants. La température extérieure est à présent de 8°. Nous traversons le jardin en restant sur la terre stabilisée du sentier. Voilà le véhicule blanc qui descend lentement les pavés autobloquants depuis le portail. Danièle a cet immense sourire si particulier en se garant derrière la Fiat rouge de Lise. Elle saute de sa camionnette. Heureuse.

Elle touche nos poings du sien avant de contourner le véhicule. En disant : << J'ai beaucoup apprécié mercredi. Vraiment ! >> . En me tendant le lourd cageot contenant les fruits et les légumes, Danièle rajoute : << Faites-moi une belle surprise mercredi prochain ! >>. Clémentine attrape le second cageot qui contient les fromages, les yaourts, le beurre, les œufs, les pots de crème fraîche et de fromage blanc. Elle demande : << Vous en parlez à vos proches, à votre mari ? >>. Danièle en sautant de la camionnette s'empresse de répondre : << Pensez-vous. Ça reste entre vous et moi. Même si avec mon mari il ne se passe plus grand chose au lit, je n'évoque pas mes petites fantaisies. C'est un homme adorable que je ménage et préserve ! >>. Nous sommes rassurés. Danièle me tend le terminal dans lequel j'introduis la carte bancaire.

Elle fixe le bas de mon anorak avec insistance. Je l'ouvre. Malgré le froid, je sors ma bite en disant : << C'est cadeau ! >>. Danièle en remontant dans son véhicule, assise au volant, démarre. Je me masturbe. Elle me dit : << Je m'amuserais volontiers avec ! >>. Clémentine répond : << Quand vous voulez. Organisez-vous ! >>. Un court instant, avant de faire sa manœuvre de demi tour, Danièle reste comme rêveuse. Je précise : << J'adore les pipes et vous ? >>. Danièle ne répond pas. Elle se contente d'un sourire énigmatique. << À mercredi ! >> lance t-elle avant de monter le chemin. Je prends une fois encore conscience que dans l'excitation j'ai oublié de prendre les plus élémentaires des précautions. Si elle a regardé par la fenêtre de la cuisine, lise m'a vu faire.

Je remballe car voilà le tube Citroën rénové de notre boulangère. Madame Marthe, toujours aussi hilare au volant, se gare au même endroit. << Bonjour ! >> nous écrions-nous en même temps. J'attrape le cageot contenant les deux miches de pain, les deux pâtes feuilletées, les bouchées à la reine, l'énorme brioche au pudding, les deux gros croissants aux amandes. Carte bancaire dans le terminal de paiement que me tend la dame. Même commande pour samedi prochain. Nous saluons notre boulangère adorée qui s'en va pour d'autres livraisons. Avec nos cageots nous contournons la maison pour descendre à la cave par derrière. Dans le cellier où nous frangeons les fruits et les légumes. Du congélateur je tire le paquet de moules, les sachets de petits pois et de haricots verts. Parfait.

Nous remontons par l'escalier intérieur pour ranger les produits frais dans le réfrigérateur. Lise est dans le couloir entrain de rincer les carrelages. Son regard est lourd d'interrogations. Un sourire énigmatique avant qu'elle ne fixe ma braguette. Pas l'ombre d'un doute, elle m'a vu depuis la fenêtre de la cuisine. Ce n'est pas la première fois. Elle ne dit rien mais son silence m'accable. Clémentine qui devine le trouble demande : << On ne s'amuse comme ça qu'avec nos amis intimes ! >>. Lise ne dit toujours rien. Elle est penchée au-dessus du seau. Elle lève la tête pour fixer ma braguette. Un regard effronté. Elle garde cette position. Je demande : << Vous ne voulez plus venir ? >>. Lise se redresse. Elle répond enfin : << Il faut passer quel genre d'examen pour faire partie de vos intimes ? >>

C'est nous qui restons pantois. Que dire ? Que répondre ? C'est Clémentine qui dit : << Aucun examen de passage. Juste la discrétion et le désir profond de vouloir passer de bons moments ! >>. Lise reste silencieuse. Nous la laissons à sa serpillère pour retourner au salon. Clémentine murmure : << On lui fait un "plan" ! >>. Elle s'accroupit. Elle me sort la bite. Elle reste immobile à écouter les légers bruits qui nous parviennent. Quand je chuchote : << Quoi ? >>, elle pose l'index sur ses lèvres pour faire : << Chut ! >>. Je commence à bander car je crois comprendre. Lise vient nous rejoindre. Elle tombe sur le spectacle. Clémentine de dos entrain de jouer avec ma queue. Lise ne peut pas la voir mais se doute probablement de ce qui se passe. << Oh pardon ! >> s'écrie t-elle.

Clémentine se redresse en même temps que je joue la surprise en remballant mon chibre. Une fraction de seconde où Lise l'a forcément aperçu. Elle tousse, un peu gênée, en faisant mine de ressortir de la pièce. Je lance : << Votre enveloppe Lise ! >>. Elle me fait un sourire franc et magnifique. S'approche sans quitter des yeux ma braguette béante. Je lui tends l'enveloppe. << Merci ! >> dit elle en me fixant dans les yeux, par en-dessous. Ce regard terriblement suggestif qu'on les femmes voulant faire passer un message. Nous raccompagnons Lise jusque dans le hall d'entrée. En mettant son anorak, elle s'adresse à Clémentine : << J'ai tout vu depuis la fenêtre de la cuisine ! >>. Sans attendre elle se précipite au dehors. << Et ? >> demande Clémentine. << Génial ! >> répond Lise.

Nous la regardons courir vers sa voiture, s'installer au volant, démarrer. Elle nous fait un grand coucou avant de s'en aller. << Les choses prennent la tournure habituelle ! Tu as vu ses réactions au salon ? >> me fait Clémentine en fourrant sa main dans ma braguette. Il m'est difficile d'interpréter une expression sur un visage. Même si je devine, il m'arrive fréquemment de me tromper. Pas Clémentine. Elle est fine psychologue. Je sais que tout cela n'est possible que par sa présence rassurante auprès de nos "visiteuses". Montrer ma bite dans d'autres circonstances à des jeunes filles me conduirait tout droit à de sérieux problèmes. Il se créé une complicité avec sa présence. Nos visiteuses veulent forcément en savoir davantage. La curiosité féminine d'abord, le désir d'être complice ensuite.

Clémentine fait l'assaisonnement d'une belle laitue toute fraîche. Elle en lave les feuilles pour ce soir également. Je prépare le bouillon pour les moules. Je réchauffe les petits pois et les haricots verts dans le wok. Tout a parfaitement décongelé au-dessus de la cuisinière à bois. C'est là, que sur le buffet, Clémentine trouve une feuille de papier qu'elle agite : << Écoute un peu ! >>. Je reste totalement surpris. Je comprends rapidement. Clémentine me fait la lecture : << J'ai tout vu. J'ai adoré. Merci ! >. Ces simples mots écrits et laissés là par Lise achèvent de nous rassurer. << On va quand même y aller cool, progressivement. Je la devine hyper timide même si elle ne le montre pas ! >> précise Clémentine en lisant une seconde fois. Silence. Je dis : << Ça m'excite, tu n'imagines pas ! >>. Clémentine conclue : << Et moi donc ! >>

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les évènements de la matinée. Danièle qui nous a fait quelques confidences, peut-être même des aveux. Lise qui qui nous laisse ce message. Je me lève. Je me branle. J'écoute Clémentine me confier ses impressions. Elle aime tellement mes comportements de pervers avec d'autres femmes. Elle me le confie une fois encore. Il en va exactement de même pour moi. Elle se lève pour se précipiter dans mes bras. Nous restons ainsi à nous bercer, trop heureux de prendre une fois encore conscience de nos privilèges. << On s'est bien trouvés tous les deux ! >> répète t-elle. Nous traînons à table. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, se frottant lascivement, elle revient sur des situations similaires vécues ces dernières années.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Je n'arrête pas de me branler sous les encouragements de Clémentine qui me dit : << J'ai envie de faire ma salope quand je te vois faire ton salaud ! >>. Nous en rions de bon cœur avant de nous embrasser passionnément. Je bande comme le dernier des salauds quand Estelle entre dans la salle de bain. Elle adore nous surprendre. Mais là elle me surprend entrain de me pignoler. << Mais put-hein, tu pourrais m'attendre ! >> s'écrie t-elle en précipitant dans mes bras. Nous nous serrons tous les trois pour nous faire plein de bisous. Estelle attrape mon Zob en rajoutant : << Cet après-midi il n'est rien qu'à moi ! >>. Nous rions aux éclats quand Clémentine fait : << Dans le froid ça va être difficile ! >>. Estelle répond : << Pour Julien ! Pas pour nous ! >>

Pressés de filer nous dévalons les escaliers. Les marchés de Noël restent une distraction fort plaisante en hiver. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue en racontant nos aventures de la matinée. Estelle, assise à l'arrière, ses mains dans mon cou s'écrie plusieurs fois : << Tu es un vrai salaud. Un vieux pervers ! >>. Mais elle conclue : << Comme je les aime ! >>. Il y a vingt cinq kilomètres jusqu'en ville. Je gare l'auto dans la ruelle habituelle. À dix minutes du centre. Il y trois marchés de Noël. Nous n'avons pas encore visité celui du parc. Là aussi c'est magnifique. Des chalets en bois, richement décorés. Nous y flânons. Il fait bien moins froid aujourd'hui. Même si le climat est très humide. Nous nous régalons de gaufres, de thés chauds. Il y beaucoup de monde. Des chalets autour de l'étang au milieu duquel trône un haut sapin garni de boules et de guirlandes.

Estelle n'arrête pas de se mettre devant moi. De bloquer la marche. Un bras autour de mon cou, l'autre main qui palpe ma braguette. Pas toujours discrète. Quand je le lui fais remarquer elle répond : << Je m'entraîne pour l'Écosse. Je vais te fixer un nouveau défi chaque jour là-bas. Et on va filmer. Attends-toi à du sévère ! >>. Je sais pouvoir lui faire confiance. Des chocolats chauds à l'étage de notre salon de thé préféré. Nous flânons dans les rues piétonnes. << Je vous rappelle que nous sommes invités demain à midi chez mes parents ! >> lance Estelle. Cette fois c'est moi qui passe la main entre ses cuisses pour dire : << Et si je drague ta mère, tu m'arraches les couilles avec les dents, c'est ça ? >>. Nous rions aux éclats. << Exactement vieux cochon ! >> répond Estelle. Je propose un bon restaurant en soirée. Les filles hésitent. << À la maison on peut baiser, pas au restau ! >> s'exclame Estelle. << C'est vrai. Et on a envie ! >> dit Clémentine. Ce sera donc repas à la maison.

Bonne soirée à toutes les coquines qui après le repas du soir vont pratiquer la "baise sur bureau"...

Julien (Vieux pervers)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Monday 11 December 2023 07:22

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 14 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2459 -



Le repas de midi en compagnie de Michèle et Yvan

Il est neuf heures, hier matin, dimanche. Nous nous réveillons quasiment en même temps. Clémentine à ma gauche, Estelle à ma droite. Des bisous. Tout est maladroit et nous fait rire. Estelle attrape mon érection naturelle. Elle se frotte quelques instants contre ma hanche avant de s'écrier : << Pipi ! Vite ! >>. Elle saute du lit comme mue par un ressort. Clémentine se couche sur moi pour me couvrir le visage de bises. << C'était si bon avant de dormir ! >> chuchote t-elle. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Il fait bien chaud partout dans la maison. Nous enfilons tout de même nos Levis, nos épaisses chemises à carreaux. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Les suaves odeurs de café et de pain grillé. Estelle entrain d'allumer la cuisinière à bois. La brioche au milieu de la table.

Je pèle les kiwis. Clémentine presse les oranges. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre samedi soir. "Baise sur bureau" et autres joyeusetés. << C'est quand même mieux avec une vraie bite qu'avec une bite en caoutchouc ! >> lance Estelle. << Je ne te le fais pas dire ! >> répond Clémentine. Je me lève, je sors ma bite en disant : << C'est vrai, avec une bite il y a un mec au bout ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de la journée. La seule certitude est que nous sommes attendus à midi chez les parents d'Estelle. Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges évoquent les vacances. << Plus que deux semaines ! >> s'exclame Estelle en me touchant.

Elle est encore en pyjama. J'adore le contact de la soie. C'est chaud et doux. Surtout entre ses cuisses. << Max l'explorateur ! >> lance Estelle qui saisit mon poignet pour que surtout je ne cesse pas. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les pitres devant les miroirs de la salle de bain. Il ne pleut pas mais le ciel est menaçant. Estelle se change. Nous faisons notre lit avant de descendre à toute vitesse. Pressés d'aller faire quelques pas dehors. La température extérieure est de 9°. Nos anoraks, nos bonnets, nos gants. Accrochées à mes bras, mes deux anges m'entrainent vers la rivière. Ses eaux sont au niveau critique. Grace à la digue de terre élevée par notre voisin, cette partie de notre terrain ne ressemble plus à un étang. C'est appréciable. Nous apprécions.

Nous ne nous attardons pas. Il va être dix heures. En remontant nous passons par derrière pour descendre dans la cave. Dans le congélateur Clémentine récupère une tarte aux noix. Ce sera notre dessert chez Yvan et Michèle. Il suffit de la placer sur l'étagère de la hotte, au-dessus de la cuisinière à bois pour qu'elle décongèle. Nous passons au salon. Il y a encore les taches de foutre et de cyprine sur le sous main de cuir gris. << Toi ! Moi ! >> fait Estelle en désignant les taches. Nous en rions de bon cœur. << Sors ta bite ! Il fait bien chaud dans la maison ! >> lance Estelle qui fourre sa main dans ma braguette. Elle en extrait adroitement le locataire qu'elle agite vers Clémentine en disant : << Monsieur bite à l'air ! >>. Elle me la fait tournoyer. Le fameux "hélicoptère".

Assises sur mes genoux, mes deux anges allument l'ordinateur. Elles me tournent le dos. Ce qui est parfait pour caresser leurs seins minuscules. Seins que j'adore sentir palpiter sous le coton des chemises. Elles surfent sur le site de l'université. Pas d'informations. Par contre la page d'accueil est magnifique. Un paysage sur lequel tombe la neige. Il y a une petite fille et un petit garçon qui tirent un traîneau rempli de paquets cadeaux. Ce sont des images de synthèse criantes de vérité grâce à l'intelligence artificielle. Aucun message dans nos boîtes mails. << Ça déconnait un max chez Orange cette semaine ! >> lance Estelle. << Mais là, ça semble fonctionner parfaitement ! >> surenchérit Clémentine. Il va être l'heure. En saisissant ma queue toute molle, Estelle prononce le fameuse formule : << Si tu dragues ma mère, je t'arrache les couilles avec les dents ! >>. Clémentine rajoute : << Depuis le temps, Julien ne devrait plus en avoir ! >>

Nous restons vêtus de nos jeans, chemises à carreaux, bottines. Nos anoraks. La température est montée à 12°. Ce qui permet de laisser nos anoraks ouverts. Excellente accessibilité à nos intimités. Nous en rions. Il n'y a que trois bornes jusqu'au bourg voisin. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle tient soigneusement le tupperware contenant la tarte aux noix décongelée. Il n'est pas loin de midi quand nous garons l'auto dans la descente du garage. La porte basculante s'ouvre. Yvan vient nous accueillir. Vêtu comme nous. Estelle saute au cou de son papa. Nous les suivons en passant par la cave. Michèle aussi est vêtue pareille. Trois bises. Nous sommes tellement contents de nous revoir. La maman d'Estelle nous débarrasse du grand Tupperware circulaire.

L'odeur aiguise nos faim. Un gratin de choux fleurs nous attend sur la table du salon. Quand nous sommes chez Estelle, ma préoccupation principale est de me retrouver seul en compagnie de sa maman. Je dois ruser car Estelle me surveille du coin de l'œil. Agitant discrètement son index menaçant. C'est un jeu très excitant. Surtout que Michèle a quelquefois un regard appuyé sur la bosse qui déforme ma braguette. << Vieux salaud ! >> murmure Estelle quand elle passe près de moi. Nous sommes invités à prendre place. Clémentine à ma droite. Face à Michèle et à Yvan. Estelle préside en bout de table. C'est pratique pour me surveiller et me filer un coup de pied dans les tibias. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Nous promettons de donner des nouvelles depuis l'Écosse quand nous y serons. Estelle et Clémentine parlent de leurs études. La fin de ce premier trimestre est attendue comme une libération. Nous rions beaucoup.

Nous traînons à table. Estelle, assise sur les genoux de son papa, ses bras autour du cou, évoque sa phobie de l'avion. Elle a déjà ses médicaments. << En plus j'aurai mes "petits machins le jour de Noël ! >> dit elle. Nous débarrassons pour faire la vaisselle à l'ancienne. C'est bien plus convivial. Nous retournons au salon pour déguster la tarte aux noix. Avec un thé bouillant. Impossible de me retrouver seul avec Michèle. Clémentine m'adresse des clins d'œil car elle devine mon dépit. Estelle aussi hélas, qui me tire la langue à plusieurs reprises. Le marché de Noël se situe sur la place de la mairie. Nous l'avons visité la semaine dernière. Yvan propose de nous armer de nos parapluies et d'y aller à pieds. Une promenade digestive. Nous applaudissons la suggestion. Nos anoraks.

Il y a un peu plus d'une borne en passant dans les rues du lotissement. Estelle reste au bras de son papa. Clémentine reste au mien. Michèle qui la tient également par le bras. C'est plutôt agréable. Il n'y a pas de vent, il ne pleut pas et la température avoisine les 14°. Il y a du monde à flâner dans les allées, entre les chalets. Le rez de chaussée de la mairie est accessible. Malgré l'interdiction scélérate, Le maire a fait installer un semblant de crèche. C'est plutôt une évocation. Il fait presque trop chaud dans la salle. Il y a des tables rondes, des chaises. Mais pas une seule de libre. Tant pis. Nous ressortons. Je surprends quelques fois le regard appuyé de Michèle sur ma braguette. Un regard furtif. Rapide. Elle m'adresse un magnifique sourire après s'être fait surprendre.

J'arrive à chuchoter à son oreille : << Je te la montrerais bien ! >>. Elle murmure : << Je la verrais bien ! >>. Seule Clémentine s'en est rendue compte. Fort heureusement Estelle est occupée avec son papa. Nous dégustons un thé tibétain au chalet des thés. Succulent. Il est dix sept heures quand nous revenons à la maison. Nous déclinons l'invitation qui nous est faite de manger ensemble ce soir. Yvan et Michèle viendront manger chez nous dimanche prochain. Je roule doucement. Il fait nuit. Il y quelques premières gouttes de pluie. << Bravo monsieur le pervers. Pour une fois tu as réussi à te tenir ! >> lance Estelle assise à côté de Clémentine sur le siège passager. Nous rions aux éclats. Pour le repas de ce soir, nous décidons de faire simple. Des "croûtes aux anchois".

Sur le pain grillé, Estelle étale le beurre qui fond. Elle y pose des filets d'anchois et du gruyère finement râpé. Clémentine lave des tomates. Je prépare la poêle pour réchauffer les tranches de pain grillé recouvertes de la préparation d'Estelle. Elle devra nous laisser pour vingt deux heures. Je la devine déjà un peu anxieuse à ce propos. Nous mangeons de bon appétit. Quasiment pas de vaisselle. C'est simple et délicieux. Léger également. Après le repas, nous voilà au salon, vautrés tous les trois dans le canapé. Estelle me tient la queue qu'elle tord dans tous les sens tout en bavardant. Les filles font l'inventaire des vêtements qu'elles vont emmener en Écosse. << Une seule valise pour les trois. La grosse valise ! >> propose Clémentine. << Et les godasses ? >> demande Estelle.

La fatigue commence à se faire sentir. Toutes les deux, avachies dans le canapé, juste en chaussettes et en chemises, m'offrent la dégustation de leurs minous. Je me régale de leurs sécrétions de filles. C'est encore un grand moment. Des gémissements stéréophoniques. Je passe de l'une à l'autre en savourant tout ce que j'attrape et que peux laisser fondre dans la bouche. Ce soir, le cœur n'y est pas vraiment. Je sens comme un flottement chez Estelle. Son orgasme est d'ailleurs tout de circonstance. Sans réelle passion. Elle s'endort même pendant que j'offre le sien à Clémentine. Il faut réveiller Estelle car il va être l'heure. << Je dors là ! >> gémit elle en s'étirant. Ce n'est évidemment qu'une boutade car elle se lève soudain d'un bond pour se rhabiller. Nous la raccompagnons.

Bonne nuit à toutes les coquines désireuses de retrouver le calme et le sommeil sous les draps. Dans les bras de leur bienfaiteur.

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Tuesday 12 December 2023 07:37

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 15 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2460 -



Un lundi soir entre amoureux

Presque six heures, hier matin, lundi. Tirés de nos profonds sommeils par les fééries de l'application "forêt", nous nous serrons fort. Quelques papouilles. Quelques bisous. Encore hésitants, nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain nous revêtons nos lycra de sports. Morts de faim nous dévalons les escaliers. J'allume la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Le lundi c'est sympathique car il reste de la brioche. Nous prenons notre petit déjeuner en revisitant les moments forts de ce week-end. La soirée sybian chez Juliette vendredi, la matinée "exhibe" de samedi. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre dimanche après-midi en compagnie de Michèle et d'Yvan. Les parents d'Estelle étant de très bons amis.

Il est six heures vingt cinq. Nous remontons pour l'entraînement. C'est un peu dur de s'y mettre les lundis matins. Les échauffements aérobics, le jogging sur tapis roulants avant les exercices au sol. Nous accomplissons nos mouvement à la façon de robots. Ce n'est qu'avec les charges additionnelles qu'il faut se concentrer, s'appliquer. Non seulement pour faire les choses correctement mais surtout pour ne pas se blesser. Les étirements d'un stretching. Le retour au calme mériterait de pouvoir bénéficier d'un peu plus de temps. La douche. Je redescends le premier pour aller préparer la voiture. Il va être 7 h45. Le jour commence à se lever. La température extérieure est de 10°. Il pleut. C'est sous le parapluie que Clémentine vient me rejoindre. Dans son blouson d'épais cuir brun.

Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou avant de rentrer au sec, en courant. Notre vaisselle, notre lit. Je découvre la feuille de papier fixée avec un aimant sur la porte du frigo "Je t'aime". J'écris avec le gros marqueur "moi aussi". Je vais dans l'atelier. J'allume une belle flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette troisième scène de genre me plonge presque immédiatement dans les affres de ma passion. Je peins dans une extase pas du tout mystique. Je préfère. La matinée passe si vite. Je mets deux bûches sur les braises. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je fais gonfler du riz complet. L'assaisonnement d'une salade de concombre.

Un filet de flétan à la poêle. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission quotidienne André Bercoff aborde les principaux faits d'actualités. Notamment économiques et sociaux aujourd'hui. La guerre en Ukraine, inéluctablement perdue, une Russie qui n'a jamais connu une telle santé économique, s'étant ouverte tous les marchés d'Afrique et d'Asie, une arnaque planétaire qui nous aura coûté des centaines de milliards. Et la haute finance s'apprête à réitérer ce coup de génie en Palestine. Ce qui évidement nous coûtera de nouveaux milliards. Comme il faut bien trouver cet argent quelque part, la seule solution est d'augmenter les prix dans tous les domaines où cela est possible. De surtout maintenir la nation dans l'anxiété, dans les peurs de l'autre pour faire passer la pilule.

Tout en écoutant j'élabore le repas de ce soir. Ce sera une purée parmentier façon Julien. J'épluche, je lave et coupe des morceaux de pommes de terre. Je les fait cuire sur la cuisinière à bois. J'émince en fines lamelles deux grosses escalopes de dinde que je poêle. Je concocte une sauce à partir d'un "roux". Ail, oignons. Je mélange. J'égoutte les pommes de terre que je passe au presse purée. J'étale une première couche de cette belle et onctueuse purée dans le grand plat carré en terre cuite. Je verse une couche de garniture. Une seconde couche de purée, une seconde couche de garniture. Ainsi de suite avec cinq niveaux. Je recouvre d'une copieuse épaisseur de gruyère Suisse, chapelure, graine de sésame grillé. Des cerneaux de noix. Je verse sur le tout le mélange œuf, crème fraîche, lait de soja. Au four électrique pour laisser mijoter longuement à 160°. Je lave deux belles endives. J'en prépare l'assaisonnement. Le repas du soir est prêt.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller faire quelques pas au dehors, je dévale les escaliers pour chausser mes bottes en caoutchouc, enfiler mon anorak. C'est sous le parapluie que je descends jusqu'à la rivière. Avec l'absence de vent c'est presque une impression de douceur avec une température de 14°. Il est quatorze heures quand je suis de retour dans l'atelier. Je peins dans la même extase doublée de la sérénité de savoir la surprise que je réserve à Clémentine ce soir. À ce propos une fulgurance me passe à travers l'esprit. Je me lève pour me précipiter au salon. Le carton contenant le sybian est glissé dans l'étagère du bas d'une des deux grandes bibliothèques se faisant face. Je le déballe pour le poser devant le canapé. Sur l'épais tapis. J'ai ma petite idée. Ça me fait même bander.

L'après-midi passe aussi vite que la matinée. J'aurai probablement terminé cette onzième toile de commande mercredi matin au plus tard. Du bruit. Il est dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table et se précipite vers moi. << Toi aussi alors ! >> s'écrie t-elle en ayant vu ma réponse sur la feuille aimantée sur la porte du réfrigérateur. À califourchon sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, mitraillant mon visage de bises, elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. << Je dois te faire une pipe de la part d'Estelle ! >> conclue t-elle alors que nous éclatons de rire. Clémentine a encore à finaliser ses écrits. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, elle chantonne. Je peins dans la plus sublime des félicités.

<< J'arrête, sinon je balance tout dans les flammes ! >> lance t-elle soudain en se levant pour commencer à ranger ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Debout devant le petit lavabo de l'atelier, la bite posée sur le bord, je me lave les mains. Clémentine se précipite pour l'attraper, pour en guider les jets. Par contractions des muscles fessiers je bloque les giclées d'innombrables fois. Clémentine, ravie, me la secoue doucement. << J'aime quand tu fais ça ! >> dit elle dans un souffle. Sous le filet d'eau bouillante du robinet, l'odeur nauséabonde nous monte aux narines. Pour s'y soustraire Clémentine utilise son stratagème habituel. Elle s'accroupit. Ce qui lui permet de sucer les toutes dernières gouttes en gémissant. Je caresse sa tête. Douceurs et tendresses.

Clémentine m'entraîne vers le vieux canapé de velours carmin. Les lumières éteintes. Seules la lueur des dernières flammes. Couchée sur le dos, sa tête sur mes cuisses elle évoque les vacances à venir. Programmant déjà les lieux qu'elle veut revoir, les endroits qu'elle aime tout particulièrement. Je passe mes doigts sur ses sourcils, je masse délicatement ses tempes en l'écoutant. Ma bite collée contre sa joue dont elle mâchouille parfois la peau fripée du prépuce. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille, nous faisons le tour de la table. << J'aime tellement être seule avec toi tu sais ! >> dit elle. Je la dépose devant le four électrique. Quand elle découvre la "surprise", c'est une effusion de joie.

Je mets le plat dans la fournaise du four de la cuisinière à bois. Tout est prêt. Il n'y a qu'à mettre les assiettes et les couverts. La cuisson dans le four d'une cuisinière à bois ne se contrôle que d'une seule façon, il faut surveiller. Clémentine sort le plat du four. Doré, fumant. Une merveille. Nous mangeons de bon appétit en savourant cette recette. Clémentine revient sur quelques amusantes anecdotes de sa journée d'étudiante. Elle évoque la pipe qu'Estelle lui a demandé de me prodiguer. Nous en rions de bon cœur. Je me lève pour contourner la table. J'appuie ma bite contre sa joue en disant : << J'ai anticipé. J'ai prévu une autre surprise au salon ! >>. Clémentine pose sa fourchette, avale et prend ma queue en bouche. Elle ouvre les yeux pour me fixer avec un air très coquin.

Nous ne traînons pas. Nous débarrassons pour faire une rapide vaisselle. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'au salon en disant : << Je veux voir l'autre surprise ! >>. J'allume les deux grosses bougies du candélabre. Elle découvre le sybian posé sur le tapis. Elle me saute au cou. << Tu n'es pas jaloux de cette machine ? >> me demande t-elle. Je ris aux éclats en répondant : << Je crois bien que ce soir ce sera la machine qui sera jalouse ! >>. En disant cela je déboutonne son 501. Clémentine retire ses bottines, son Levis et sa culotte. Je reste avec la bite fièrement dressée depuis ma braguette. Ce que préfère Clémentine. Elle me confie souvent que cette vue la met dans tous ses états. J'allume le sybian. Je soulève Clémentine pour la déposer dans le canapé.

À genoux sur un des épais coussins, je savoure sa journée de fille. Je fouille les plis et les replis de ses lèvres charnues du bout de ma langue. J'adore les gouts légèrement "vinaigrés". Surtout en titillant son "trou à pipi". Je suce son clitoris. Véritable petite bite que je peux décalotter pour y recueillir quelques miasmes. Je savoure les premiers épanchements de cyprine. Les gémissements de Clémentine alternent avec ses petits cris de plaisirs. Je me redresse pour la pénétrer doucement. La position n'est pas géniale. Nous en changeons. Je reste en appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids. Clémentine s'accroche à mon cou, se suspend à mes hanches de ses jambes. J'emmène Alice aux pays des merveilles. Nous alternons les moments plus calmes avec les plus fougueux.

Je me redresse soudain. Je la soulève pour venir la positionner au dessus du sybian. Elle comprend immédiatement. Je maintiens son équilibre en la tenant par la taille. Elle se tient à ma queue raide et dégoulinante. La voilà assise sur la machine dont j'actionne les commandes. Clémentine me fixe avec étonnement, tout en gémissant. Je me place devant elle en disant : << Il me semble qu'Estelle t'a demandé de me faire une pipe ! >>. Je frotte ma queue sur sa gueule. À chaque fois qu'elle veut la prendre en bouche, j'esquive. Je finis tout de même par la lui offrir. En se faisant baiser par la machine, Clémentine me taille une authentique pipe des familles. À l'aide du modulateur, cette molette à l'ancienne, je peux régler le degré et la vitesse des vibrations. C'est absolument divin.

C'est tellement jouissif qu'il arrive à plusieurs reprises que Clémentine cesse de sucer, détourne la tête pour pousser un cri de jouissance en tentant de déglutir la quantité de foutre qu'elle pompe. Il en coule aux commissures de ses lèvres. Je le récupère de l'index pour le lui faire bouffer. J'enfonce ma bite en la maintenant par la tignasse. Elle ne cesse de faire du "dada" sur ce canasson artificiel. Quand je ne me fais pas sucer je frotte ma queue sur son visage trempé de jute et de sueur. Clémentine sait parfaitement jouer les prolongations. Nous excellons d'ailleurs tous les deux dans cette discipline. Elle se met soudain à hurler en s'immobilisant, se relevant pour tomber à genoux à coté du sybian. Un orgasme pisseux que là, elle ne maîtrise plus du tout. Je la saisis par sa tignasse. J'enfonce ma queue pour éjaculer dans les profondeurs de sa bouche. Elle manque de s'étouffer. Tousse, tente d'avaler. Tousse à nouveau.

Bonne nuit à toutes les coquines épuisées par une chevauchée fantastique et des flots de sperme épais, visqueux et gluants. Un bon dodo pour récupérer dans les bras de leur bienfaiteur...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Wednesday 13 December 2023 07:39

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 16 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2461 -



Estelle aime beaucoup faire comme Clémentine

Hier matin, mardi, l'application "forêt" nous réveille de ses enchantements. c'est tellement agréable d'être tiré du sommeil par les bruits de la nature. Comme un jour de juin alors que nous sommes dans les prémices de l'hiver. Il est presque six heures. J'aime tout autant entendre le premier gémissement de Clémentine quand elle se love ce trop bref instant dans mes bras. Réunissant toute ses forces pour se soustraire à l'extrême douceur de notre lit. Des bisous. Des câlins. Il faut y aller. Nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain pas encore très chaude, nous nous habillons de nos habits de sport. Maladroits, riant de nos hésitations. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine où Clémentine prépare le café. Presse les oranges, pèle les kiwis en racontant.

J'allume la cuisinière à bois en écoutant la narration de ses rêves. Elle a de la chance de se souvenir de chacun d'eux avec une exactitude étonnante. Je mets les deux gros croissants aux amandes dans le four à micros ondes. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée en amoureux. << À trois quand même avec monsieur sybian ! >> précise Clémentine. Depuis l'arrivée de cet appareil elle n'a de cesse d'en faire l'éloge. << Ça va me passer, comme Estelle je préfère une bite quand il y a un mec au bout ! >> précise t-elle. Nous en rions de bon cœur. Surtout lorsque je propose qu'elle s'offre une bonne baise avec un mec un de ces jours. Pourquoi pas Jean-Marc, le parrain d'Estelle ? Où alors monsieur Bertrand notre plus proche voisin ? Clémentine m'observe d'un air coquin.

<< C'est à étudier ! >> conclue t-elle. Il va être 6 h25. Notre entraînement nous attend. Nous remontons à toute vitesse. Les échauffements aérobics, le jogging sur les tapis roulants, les exercices au sol. Bien concentrés nous pratiquons dans un silence religieux. Les charges additionnelles avant le stretching. Des étirements qui nous procurent un bienêtre fou. La douche. Je redescends pour sortir la voiture du garage. À presque 7 h45 il fait encore nuit noire. Au moins il ne pleut pas. Mais tout est trempé. La température extérieure est de 9°. Clémentine vient me rejoindre chaudement vêtue. Je l'aime dans son blouson d'épais cuir brun, son écharpe brune, son Levis et ses bottines brunes. Ses lunettes d'étudiante sur le nez pour conduire. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller.

Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer au chaud. La vaisselle avant de faire notre lit. Dans l'atelier, j'allume la belle flambée matinale. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je plonge dans la continuité de ma scène de genre à trois personnages. J'attaque aujourd'hui les visages. Ils auront les traits d'Estelle, de Clémentine, les miens. Je peins avec la loupe frontale pour un rendu hyper réaliste que j'affectionne. La matinée passe sans me laisser en prendre toute la mesure. Déjà midi. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il me suffit de réchauffer le reste de la purée Parmentier. De faire l'assaisonnement d'une laitue dont je lave également les feuilles pour ce soir. C'est une préparation rapide, facile et surtout ludique.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Quelques tranches de vérités crues et sanglantes délivrées par notre journaliste d'excellence André Bercoff. L'un des thèmes de son émission est une fois encore la guerre en Ukraine. La perte de crédibilité d'un Zelensky dont les dirigeants occidentaux découvrent enfin les roublardises. Sauf le dirigeant français aux ordres d'Ursula van der Leyen. Sans doute trop heureux de pouvoir faire son intéressant sur une scène internationale où il n'est plus qu'un pitre. Donald Trump précisait d'ailleurs déjà à son encontre il y a quatre ans : << Tout ce que touche le président français se transforme en merde ! >>. Un grand visionnaire. Et pendant ce temps là l'ignoble Poutine fait retrouver à sa Russie une grandeur économique sans équivalent dans son histoire. Un fin stratège qui avait très soigneusement préparé son plan d'enrichissement économique. En inversant des valeurs séculaires. Rusé guerrier.

J'écoute en préparant mentalement la surprise du repas de ce soir. Ce seront des beignets de calmars et de crevettes avec des pommes de terre chips. Encore un grand plaisir de préparation qui m'attend. J'épluche, je lave, je coupe en fines tranches de belles et grosses pommes de terres. Je fais rissoler les calmars et les crevettes tirés de leurs emballages sous vide du réfrigérateur. Je prépare une belle et onctueuse pâte à crêpes. Je vide la poêle pour déposer son contenu sur des feuilles de papier absorbant. Dans cette même poêle, en y rajoutant une cuillère à café d'huile d'olive, je fais dorer les tranches de pommes de terre. Je les remue et je les retourne sans arrêt afin de les blondir sur leurs deux faces. Elles aussi je les dépose sur des feuilles de papier absorbant. Du bon travail.

Je les dispose sur deux des grandes plaques du four électrique. Il n'y aura qu'à les réchauffer ce soir. Je recouvre la pâte à crêpe dans son saladier d'un linge. Je recouvre crevettes et calmars d'un couvercle. La vaisselle. Je monte me laver les dents pour découvrir le petit mot de Clémentine fixé à l'aimant sur le bord du miroir. "Fais-moi l'amour comme une brute ce soir". Je lis plusieurs fois. C'est amusant. C'est une demande extrêmement rare. Très certaine la conséquence de notre conversation du petit déjeuner. Pressé d'aller me dégourdir les jambes, je dévale les escaliers pour chausser mes bottes en caoutchouc, enfiler mon anorak. Je descends jusqu'à la rivière. La température est de 13°. Presque agréable. Coïncidence. En remontant je tombe sur monsieur Bertrand. Nous bavardons un peu. Comme chaque jour il va apporter du vieux pain et des boules de graisse contenant des graines, aux emplumés de la rivières. Nos amis.

J'ai presque envie d'évoquer notre conversation de ce matin. Je n'en fais rien. C'est le vieux salaud qui pose la question : << Comment va Clémentine ? Ça fait longtemps que je ne l'ai plus aperçue dans le jardin ? >>. J'ai envie de répondre : << Ça fait surtout longtemps qu'elle ne t'a pas sucé et que tu ne l'as pas tringlé, vieux pervers ! >>. Mais je me contente de la phrase courtoise du cocu qui ignore la vérité : << Elle va très bien. Je lui passe votre bonjour ! Elle me parle quelquefois de vous et de vos passions pour le jardinage ! >>. Après ces quelques hypocrisies nous nous saluons pour retourner chacun à nos occupations. Il est 14 h quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins en pensant à ce vieux retraité salace, à sa bite minuscule et à ses perversions.

Du bruit. C'est fou mais il est déjà 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle jette son cartable dans le fauteuil pour s'élancer vers moi. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le repas du restaurant universitaire. << Estelle veut vivre les émotions que tu m'as infligé lundi soir. Avec monsieur sybian ! >> dit elle alors que nous en rions de bon cœur. Je chuchote : << Et moi j'ai trouvé ton petit message dans la salle de bain. Je te promets d'être à la hauteur de tes attentes ! >>. Nous rions aux éclats quand elle rajoute : << Oh mais c'était ce matin, sous l'effet de la conversation ! >>. Clémentine a encore du travail. Assise devant son ordinateur, entourée de ses notes, de ses classeurs ouverts. J'aime l'entendre chantonner en s'y mettant.

Encore une petit heure de bonheur pur. << Là, si je n'arrête pas, je pète un câble ! >> s'écrie t-elle soudain en se levant d'un bond. Pendant qu'elle range ses affaires, je nettoie la palette, les pinceaux. Nous nous rejoignons devant le petit lavabo de l'atelier. Je me lave les mains. Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets. Sous le filet d'eau bouillante du robinet, en visant le trou rond ou rectangulaire. C'est un rituel. C'est devenu une habitude. Et pourtant ça nous fait toujours autant rire. Le bruit de la porte qui s'ouvre. Comme elle le fait tout le temps, Estelle arrive silencieusement pour nous surprendre. Elle se précipite vers nous alors que Clémentine se redresse pour agiter ma queue dans sa direction. Estelle s'en saisit en enfonçant sa langue dans ma bouche. Je bande direct.

Clémentine, serrée contre mon dos, se frotte contre mes fesses. Ses bras autour de ma taille. Estelle me roule une pelle d'enfer en me branlant. Ça dure cinq bonnes minutes où nous avons les mentons trempés de nos salives. << C'est comme pour la bouffe, j'arrive pas à embrasser proprement ! >> s'écrie t-elle en s'accroupissant. << Tu ne suces pas très proprement non plus ! >> lance Clémentine qui m'embrasse à son tour. Je me fais tailler une vraie pipe des familles durant deux petites minutes. Estelle se redresse juste avant la crampe, l'ankylose qui la gagne. C'est Clémentine qui prend le relai. << Ça donne faim ! >> dit Estelle en tentant de déglutir l'épais jus de couilles dont elle vient de se pomper une lampée. Clémentine se redresse pour nous montrer l'intérieur de sa bouche.

Nous restons un peu là à regarder la danse des dernières flammes de la cheminée. Il fait trop faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue déjà lavée. Estelle remue la pâte à crêpe en y rajoutant les crevettes et les calmars. Je réchauffe les pommes de terre chips dans la fournaise du four à bois. Mes deux anges, en découvrant cette surprise ont mitraillé mon visage de bisous. Ça me picote encore de partout. Avec une cuillère à soupe Estelle récupère chaque calmars et crevettes enrobés de pâte pour la vider dans le caquelon d'huile bouillante. Une petite minute et ça remonte sous forme de superbes beignets dorés. Clémentine les recueille avec l'écumoire pour les déposer sur des feuilles de papier absorbant. C'est amusant à préparer.

Nous mangeons de bon appétit. << Pour Noël, papa m'a mise dans le secret, nous achetons une de ces friteuses sans huile. Parce que les beignets, j'en fais bien une fois par semaine pour mes parents ! >> lance Estelle. Je trouve le concept très intéressant. Je suggère que vendredi après-midi nous allions faire un tour à la FNAC DARTY pour voir à quoi ressemblent ces friteuses et d'en faire l'acquisition. << Super ! >> s'exclame Clémentine. Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine. Elle me demande : << Monsieur sybian est déjà au salon ? >>. Nous rions de bon cœur quand Clémentine répond : << Oui. Et il est pressé de te revoir ! >>. Nous ne traînons évidemment pas à table. Dès le repas terminé, le lave vaisselle prend le relais. Les filles m'emmènent au salon.

Le sybian est resté là où il a servi lundi soir. Nous avons passé la serpillère, nettoyé, il ne reste aucune trace de nos "exactions" de la veille. Estelle s'accroupit. Elle enduit le petit gode de caoutchouc du gel lubrifiant tout en disant : << Je préfère quand même les vraies bites ! >>. Toutes les deux retirent leurs bottines, leurs Levis, leurs culottes. J'adore les voir en grosses chaussettes tombantes sur leurs chevilles comme des jambières de danseuses. Les pans de leurs chemises à carreaux qui flottent sur leurs fesses. Je m'assois sur la chaise que prépare Clémentine devant le sybian. Toutes les deux, en même temps prennent la même position. Frottant leurs sexes sur les bites fièrement dressées. Clémentine me tourne le dos. Je peux caresser ses seins minuscules. Elles s'enfilent lentement les biroutes. C'est assez exceptionnel de voir une fille penchée en avant, concentrée sur l'acte de s'introduire une biroute artificielle dans la chatte. Avec attention.

Toutes les deux se mettent à bouger en rythme. Je reste aussi immobile que "monsieur sybian". Je n'ai pas assez de tous mes sens pour apprécier ce qui se déroule encore dans le cadre victorien de notre grand salon. Juste cette partie de la grande pièce étant éclairée par les deux grosses bougies du candélabre. Estelle, prostrée en avant, le menton sur sa poitrine, est la victime des vibrations qu'elle commande sur la molette. Parfois elle lâche un cri de surprise, un cri de ravissement, jette sa tête en arrière, ouvre les yeux. Son expression comme gênée d'être surprise en flagrant délire. Clémentine pousse de légers halètements entre deux souffles jouissifs. Elles s'observent quelquefois. Elles maîtrisent assez rapidement la situation pour contrôler leurs plaisirs. Estelle nous sourit.

<< On permute ? >> demande t-elle. << On permute ! >> répond Clémentine qui se lève d'un bond. Il y a de nos jutes qui éclaboussent mes cuisses. J'ai mon slip et mon Levis sur les chevilles. Un filament de nos mélanges pend à la manière d'une stalactite de la moule de Clémentine pour se mélanger à la mouille laissée par Estelle sur le sybian. Il en dégouline sur les flancs de la machine. Elles s'installent à nouveau toutes les deux en même temps. Pour s'observer, s'érotisant mutuellement de leurs ébats. Il y a des séquences plus calmes où elles échangent leurs impressions. Estelle invite Clémentine à mettre les vibrations sur maximum. Le moteur émet alors un bruit qui n'est pas sans rappeler celui d'un moulin à café électrique. Je la regarde. Elle est agitée de soubresauts. L'intérieur de ses cuisses qui frissonne aux fréquences des vibrations. C'est hallucinant. Elle pousse de véritable cris de démence, les yeux révulsés quand elle les ouvre.

<< Tu vas encore faire ta grande salope et pisser partout ! >> s'écrie Estelle en se levant d'un bond pour se terminer aux doigts sur son clitoris. Elle se retourne entre mes jambes écartés pour tomber à genoux. Son visage déformé par les convulsions d'un orgasme cataclysmique. Je la saisis par sa tignasse. Elle n'a pas tous ses esprits, n'a pas le réflexe nécessaire et se retrouve avec ma bite dégoulinante dans la bouche. Elle veut se soustraite de l'étreinte que je lui impose. Ce spectacle met à rude épreuve les dernières capacités de Clémentine à retarder son orgasme pisseux. Elle retire son sexe pour saisir son clitoris géant dans un déluge de pisse. Elle tente de maintenir son équilibre mais toute la surface de la machine est trempée de mouille et de pisse. C'est en pissant n'importe comment qu'elle s'effondre. J'éjacule dans la bouche d'Estelle en l'empêchant de se retirer. Elle n'a d'autre choix que de tenter d'avaler le déluge de foutre qui l'étouffe. Nous rions de voir Clémentine s'ébattre dans une véritable marre de pisse.

Bonne nuit à toutes les coquines que le sybian épuise soir après soir de ses surprenantes aptitudes surnaturelles...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Thursday 14 December 2023 07:41

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 17 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2462 -



Le mercredi Clémentine reste à la maison

Il est sept heures hier matin, mercredi. J'adore tirer Clémentine de son sommeil. Ce n'est pas souvent. Une fois encore avec la méthode "papillon-esquimau". Faire bouger mes cils contre sa joue. Glisser mon nez contre le sien. Comme elle le murmure après être réveillée : << C'est une volupté ! >>. Elle se blottit dans mes bras. Gémissant de bonheur elle rajoute : << Et je reste avec toi jusqu'à demain matin ! >>. Quelques papouilles, quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes. Il fait bien chaud partout dans la maison. Nous enfilons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge dans la salle de bain. C'est vraiment très agréable de ne pas être à la bourre. Morts de faim nous dévalons les escaliers. J'allume le feu dans la cuisinière est bois. Le tirage est élevé.

En me racontant ses rêves de la nuit, Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Le grille pain éjecte les premières tranches que je beurre immédiatement. Nous cavalons jusque dans le hall d'entrée. Depuis l'interphone nous ouvrons le portail. Il pleut. La température extérieure est à 4°. Le ciel est bas, sinistre et dramatique. Ce qui ne nous empêche nullement de prendre un copieux petit déjeuner dans la joie et la bonne humeur. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre mardi soir en compagnie d'Estelle. << Encore une soirée à quatre avec monsieur sybian ! >> lance Clémentine en venant terminer sa tartine au miel assise sur mes genoux. Je l'adore dans sa tenue lycra autant qu'elle qui m'adore dans la mienne. Il faut préciser que ça moule nos corps. Sexy.

La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents, fermer les fenêtres de la chambre où il fait froid et faire notre lit. Notre salle d'entraînement non plus n'est pas chauffée. Excellent pour stimuler les motivations. Il faut se remuer. Les échauffements aérobics et le jogging sur tapis roulants sont indispensables pour êtres chauds. Les exercices au sol se font alors avec un plaisir accru. Les charges additionnelles et les étirements d'un stretching correctement réalisés avant la douche. C'est en Levis, chemises à carreaux d'épais coton, baskets, que nous dévalons les escaliers pour aller dans l'atelier. J'y allume la flambée de la cheminée pendant que Clémentine allume son ordinateur, ouvre ses classeurs. Comme tous les mercredis elle va à l'université en restant à la maison. Du télé travail.

<< Viens voir, regarde sur le forum. Il y a un auteur qui propose de superbes textes. "Voluptueux21" ! >> lance Clémentine. Je me précipite pour la rejoindre en disant : << Tu es déjà sur un forum de cul ! >>. Debout derrière elle, penchée en avant, j'écoute davantage que je ne lis car Clémentine le fait à voix haute. Ce sont de belles histoires. Un dernier bisou dans sa nuque et je retourne m'installer devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Oui, c'est une volupté que d'êtres tous les deux ensemble dans une émulation productive. Parfois Clémentine se met à chantonner. Parfois elle bavarde avec un collègue étudiant. Parfois avec Estelle. Elle porte un casque audio. Je peins dans l'abstraction la plus totale une œuvre hyper réaliste dans un enthousiasme extatique.

Nous avons oublié. La sonnerie façon "vieux téléphone gris" de mon I-phone me tire de mes introspection. Presque dix heures. Clémentine, en retirant son casque se lève. C'est Danièle qui vient d'arriver pour nous livrer. << Sors ta bite ! >> s'écrie Clémentine qui fourre sa main dans ma braguette ouverte pour me l'extraire avec une incroyable dextérité. C'est tellement simple quand je ne bande pas. << Zizi mou deviendra guerrier dur ! >> lance Clémentine alors que nous nous précipitons vers la porte pour quitter l'atelier. << Branle-toi dans la cuisine ! >> rajoute Clémentine qui va dans le hall d'entrée. Elle revient suivie de Danièle. Danièle qui découvre la situation en riant. << Bonjour monsieur, c'est ma surprise ? >> lance la jeune femme d'un ton de plaisanterie. Elle s'approche.

<< Oh, ben alors, il est où l'anneau de la dernière fois ? >> rajoute t-elle alors que Clémentine ouvre le carton contenant des fromages et de fines tranches de jambon de dinde que Danièle veut absolument nous faire découvrir. Produits issus de son élevage. Son sourire mutin, son regard par en-dessous. Elle dit : << Je vous fais goûter à ma production. Je goûterais volontiers à la vôtre ! >>. Clémentine vient se mettre tout contre moi. Nous sommes tous les deux aussi surpris. Impossible de répondre. Contente de son petit effet, tout de même pressée par le temps car elle a d'autres livraisons, Danièle contourne la table en concluant : << Je vais m'organiser pour une dégustation. Si vous m'y invitez bien sûr ! >>. Nous la raccompagnons jusque dans le hall d'entrée. Je me masturbe.

<< On se fait ce "plan" ? >> demande Clémentine. << On se fait ce "plan". Il faut juste que je m'organise. Au revoir ! >> répond Danièle avant de sortir en remontant le capuchon de son ciré qu'elle vient d'enfiler. Nous la regardons traverser le jardin en courant jusqu'à sa camionnette. Malgré le froid, cambré sur mes jambes fléchies, je me pignole dans sa direction. Elle nous adresse un grand coucou en remontant le chemin jusqu'au portail. Nous refermons vite la porte. << Put-hein c'est génial ! Depuis le temps qu'on amorce la pompe, elle va bientôt fonctionner ! >> s'exclame Clémentine qui m'entraîne dans la cuisine en me tirant par la queue. << Celle-là, elle va te faire une pipe ! J'aimerais être à ta place ! >> s'écrie Clémentine alors que nous rangeons les produits dans le frigo.

Nous voilà de retour dans l'atelier. C'est un peu difficile de se remettre au travail. << Coucou ! >> me lance parfois Clémentine, ses écouteurs sur les oreilles. En mimant une masturbation masculine ou une fellation. Il est onze heures quarante quand je dépose la dernière touche de jaune de Cadmium sur la surface de mon tableau terminé. Placé sur un second support, sous un ample linge qui le protège de la poussière, il pourra sécher. Je prépare déjà la quatrième scène de genre sur le chevalet. Je m'y mets dès cet après-midi. Je me lave les mains au-dessus du petit lavabo de l'atelier. Clémentine me rejoint en courant pour me saisir la queue, en diriger les jets. Avec l'excitation vécue lors de la livraison, il y a une coulure de foutre qui refuse de se détacher malgré la force du jet de pisse. Jet qui se dédouble d'ailleurs à cause du foutre. Ce qui passionne ma complice qui secoue la biroute pour tenter de faire tomber la coulure visqueuse.

Clémentine qui s'accroupit en secouant les dernières giclées, me dit : << C'est de la qualité dis-donc ! >>. Rien à faire la coulure de foutre épais reste suspendue. S'étirant à présent sur une bonne dizaine de centimètres. D'un mouvement de tête gracieux, se tenant aux poches arrières de mon Levis, Clémentine ouvre la bouche pour récupérer la "stalactite" sirupeuse qu'elle déguste en gémissant. Je passe mes index sur ses joues creusées par la succion. Je l'aide à se redresser avant l'inconfort que provoque sa position. Ses bras autour de mon cou, elle me montre l'intérieur de sa bouche. Son expression pourrait me faire éjaculer tellement c'est intense. Tout ce qu'elle vient encore de me tirer des couilles m'impressionne. Elle laisse bien diluer dans sa salive avant d'avaler d'un mouvement de tête. Avec une grimace.

Morts de faim, en riant, nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les beignets de calmars et de crevettes avec les pommes de terre chips. C'est rapide. Je m'en occupe pendant que Clémentine prépare l'assaisonnement d'une salade de carottes. << Ton foutre a le goût que j'aime aujourd'hui ! >> lance Clémentine alors que je l'aide à éplucher les légumes. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la proposition de Danièle. Une proposition non déguisée. Franche et honnête comme la jeune femme qui la fait. Nous apprécions. Nous sommes impatients de savoir comment elle va s'y prendre pour "goûter" à ma "spécialité". Nous traînons à table. Assise sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, Clémentine suggère le repas de ce soir. Juliette vient manger à la maison. << On fait simple. Spaghettis à la Carbonara façon "nous" ! >> propose t-elle. Je dis : << Salade de tomates ! >>

Nous faisons la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés d'aller nous dégourdir les jambes, malgré la pluie, nous dévalons les escaliers. Nos anoraks. C'est sous le parapluie que nous descendons jusqu'à la rivière. Une météo épouvantable sous laquelle nous ne nous attardons pas. Il est à peine treize heures quinze quand nous sommes de retour dans l'atelier. Clémentine descend son Levis et sa culotte, pour se vautrer dans le vieux canapé. << Tu me fais l'amour ? >> lance t-elle, candide et innocente en dénouant les lacets de ses baskets. Elle remonte ses cuisses écartées en tenant son clitoris géant entre ses doigts. J'arrive. Elle se couche sur le dos pour m'accueillir. Je reste en appui sur mes bras la laissant prendre l'initiative de la pénétration. Elle guide nos sexes.

Nous faisons l'amour comme nous aimons. Immobiles. Ces moments d'extases ou Clémentine me confie ses secrets de fille. Ce qui maintient mon érection dans une vigueur olympique. Nous évitons d'aller jusqu'aux limites. Nous contentons de nous bercer. Il est presque quatorze heures. Je me retire. << Mmhh, comme c'est bon ! >> lance Clémentine en remettant ses vêtements. En laçant ses baskets, ma bite en bouche pour en essorer les sucs, je caresse sa tête. Assise devant son ordinateur, en chantonnant, Clémentine retourne à ses cours. Installé devant mon chevalet, je retourne à ma peinture. L'après-midi passe ainsi, dans le bonheur d'un labeur à deux. << Stop ! >> lance Clémentine alors qu'il est dix sept heures. Elle se lève pour ranger ses affaires. << Attends, je te lis mes trucs ! >> lance t-elle. Elle me fait la lecture en tournant autour de moi alors que je nettoie la palette, les pinceaux. J'écoute la chanson de sa voix, de ses mots.

Nous restons longuement dans le vieux canapé de velours carmin. La nuit est tombée. Juste la lueur des flammes. Couchée sur le dos, sa tête sur mes cuisses Clémentine parle de l'Écosse que nous allons retrouver dans même plus deux semaines. Je caresse sa tête. Tous les deux dans un enchantement paradisiaque. Il est dix huit heures trente. Du bruit. Nos intimes ont pour consignes d'entrer chez nous comme chez eux. La porte de l'atelier s'ouvre sur la silhouette de Juliette. Ce soir en jeans, pull à large col roulé, bottines. Nous nous redressons alors qu'elle vient vers nous. Nous nous faisons trois bises. Juliette adore l'ambiance de l'atelier. Nous admirons encore un peu les braises. Elle nous raconte sa journée épuisante. Morts de faim, nous quittons la grande pièce pour la cuisine.

C'est un véritable plaisir de bavarder en préparant les spaghettis à la carbonara ensemble. Avec des filets de dindes émincés et poêlés. Une petite demi heure à concocter notre repas et nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Juliette suggère une soirée Gloryhole avant notre départ pour Édimbourg. Clémentine décline. Tout comme elle décline l'offre d'une partouze de Noël comme l'année dernière. << On se fait du sybian alors ce vendredi ? >> propose Juliette. << Ça marche ! >> s'écrie Clémentine. Nous prenons notre dessert au salon. Tout en bavardant, Clémentine joue avec ma queue. Comme Juliette, une main dans son Levis déboutonné. Juliette qui devra nous laisser pour 22 h. Nous passons cette soirée dans le calme. Sans vraiment nous masturber mais en nous touchant. Ce qui est reposant.

Bonne nouille à toutes les coquines que se régale de son jus avant de se blottir dans les bras de leur "spaghetteur", sous les draps. Avant de plonger dans le sommeil...

Julien (juteur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Friday 15 December 2023 07:42

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 18 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2463 -



Estelle, toujours partante pour une expérience

L'application "forêt" nous tire de nos profonds sommeils à presque six heures, hier matin, jeudi. Clémentine se tourne vers moi pour se blottir, saisir ma tumescence en gémissant. Des bisous, des papouilles avant de nous précipiter aux toilettes. Il fait encore bien frais dans la maison car les radiateurs viennent de s'enclencher. Nous nous habillons à la salle de bain. Morts de faim, vêtus de nos lycra de sports, nous dévalons les escaliers. J'allume la cuisinière à bois. Clémentine s'occupe du café, pèle les kiwis, presse les oranges. Le grille pain éjecte ses premières tranches dans un claquement sec. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre mercredi soir avec Juliette. Ses propositions d'organiser une partouze de Noël ou encore d'organiser un Gloryhole avant les fêtes.

Nous en rions. Clémentine a décliné les deux invitations. << Ça me brouille un peu la tête avant les vacances. Par contre une nouvelle soirée sybian c'est très sympa ! >> précise t-elle. Nous mangeons de bon appétit en entrant dans les considérations techniques de cet appareil nouveau dans la vie de Clémentine. Elle qui a toujours détesté les sextoys, la voilà tombée amoureuse du sien. Cet amusant revers de médaille lui permet de baiser sans ce lointain sentiment de culpabilité qui reste constamment présent dans son esprit après ses copulations hors couple. Malgré mes encouragements à ne surtout pas sans priver. << Je crois que c'est un réflexe mental tout à fait féminin ! >> m'explique t-elle. Nous n'avons hélas pas le temps de développer. Nous le ferons peut-être au repas du soir.

Il est six heures vingt cinq et nous remontons pour nous livrer corps et âmes à l'entraînement. Un autre plaisir. Les échauffements aérobics, le jogging sur les tapis roulants, les exercices au sol. Les charges additionnelles avant les étirements d'un calmant stretching. La douche. Je redescends le premier pour préparer l'auto. Il ne pleut pas. Par contre le froid est à nouveau plus vif avec 2° affichés au thermomètre extérieur. Le jour commence à peine à se lever à presque 7 h45. Sous un ciel plus dégagé. Clémentine vient me rejoindre. Ce matin dans son manteau noir, un pantalon noir, son chapeau feutre noir. D'une élégance folle avec ses bottines noires. << Ce matin, avec les profs, on visite un laboratoire de recherche de la police. Je veux faire mon petit effet ! >> m'explique t-elle. Rires. Je la félicite.

Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais notre vaisselle, notre lit. Une fois dans l'atelier j'allume le feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette quatrième scène de genre m'accapare complètement. Je peins dans la béatitude du bienheureux passant sa première matinée dans le jardin d'Éden à partouzer avec les créatures célestes qui l'y reçoivent. Je ne vois pas défiler les heures. La faim m'avertit. Il va être midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Comme toujours quand il n'y a pas de restes à réchauffer, je fais gonfler du riz complet. C'est rapide. Je prépare l'assaisonnement d'une salade de concombre. Je poêle un filet de colin préalablement panné.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Berfoff aborde quelques actualités du jour. Il y est question de la nouvelle aide de 50 milliards apportée à l'Ukraine. Du revers de médaille qu'a connu le projet de loi Darmanin. Et surtout des élections Européennes qui s'annoncent pour l'année prochaine. Les magouilles qui se préparent, les "manœuvres d'appareils" comme les nomment poliment les journalistes d'investigations. Bref, il y a cette odeur putride de latrines qui commence à se répandre dans les médias. J'écoute en préparant mentalement l'ordre de préparation de notre repas du soir. J'opte pour la facilité mais les bouchées à la reine accompagnées de coquillettes sont à chaque semaine un véritable succès. Je mets en pratique très rapidement. D'abord les coquillettes.

Dans l'eau bouillante. Je fais la Béchamel. J'émince trois belles escalopes de dinde. Des champignons de Paris. Ail, échalote. Dans la poêle. Je dispose les cinq bouchées à la reine dans le grand plat carré en terre cuite. Elles sont encore énormes cette fois-ci. Je les cale avec les coquillettes que je viens d'égoutter. Je râpe une grosse quantité de gruyère Suisse. Je verse la poêlée dans la Béchamel avant de remplir les bouchées à la reine de cette garniture. J'y ai rajouté le même gruyère dont je recouvre le tout. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillé. Des cerneaux de noix. Au four électrique pour laisser mijoter longuement, thermostat sur 160°. Je fais l'assaisonnement de la salade d'endives qui accompagnera l'ensemble. La vaisselle. Je monte pour me laver les dents. Serein.

Pressé d'aller faire quelques pas, je redescends à toute vitesse pour enfiler mon anorak. Le thermomètre extérieur indique 6°. Pas de doute, les températures se remettent à chuter. Je vais jusqu'à la rivière. Il y a des coins de bleu dans le ciel. Ça faisait longtemps que nous n'y avons pas eu droit. Treize heures quarante cinq quand je suis installé devant mon chevalet. Comme ce matin, je peins dans le jardin d'Éden. Sans percevoir le temps qui passe et qui m'emmène inexorablement vers la fin de l'après-midi. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table. Elle se précipite pour se mettre à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le repas de midi au restaurant universitaire. La visite du laboratoire.

<< Il arrive que pour les besoins d'une enquête les autorités fassent appel à des chercheurs. Ce sera une sollicitation possible une fois que j'en serai ! >> m'explique Clémentine. Elle a encore à mettre au propre le texte narrant cette visite. Dans le cadre des travaux qui l'attendent au second trimestre. Assise devant son ordinateur elle s'y met en chantonnant. J'adore cette heure d'émulation commune. Je reste ainsi dans mon jardin d'Éden. << Put-hein, ça y est ! Écoute, tu me dis si ça va ! >> s'écrie t-elle soudain. Pendant que je nettoie la palette, les pinceaux, elle me fait la lecture de ses écrits. Telle une actrice de théâtre déclamant son texte en tournant autour de moi. Je la félicite en disant : << C'est tellement clair que j'ai l'impression d'avoir fait cette visite avec toi ! >>

Elle me rejoint au petit lavabo de l'atelier. Pendant que je me lave les mains, Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets. Estelle, silencieuse comme un guerrier Sioux ouvre soudain la porte pour nous surprendre. << Ha ha ! En pleine action ! >> s'exclame t-elle en courant pour nous rejoindre. Toutes les deux reviennent pourtant très vite sur leurs visites du laboratoire. Je crois que ça les a marqué. Tout en parlant, Estelle me tripote les fesses alors que Clémentine continue de secouer ma bite au-dessus du lavabo. << Euh, je crois qu'il y a plus de gouttes à secouer ! >> lance Estelle. Nous en rions aux éclats. Mes deux anges se lisent leurs comptes rendus. Chacune écoutant l'autre, portant une appréciation sur tel ou tel passage. J'écoute avec beaucoup d'intérêt. Passionnant.

Elles se promettent d'apporter quelques précisions et modifications par ci, par là avant de remettre les textes lundi matin. De les soumettre à Alban leur directeur de thèse. << C'est qu'il commence à faire faim avec tout ça ! >> lance Clémentine qui lâche mon Zob. Estelle s'en empare instantanément. Morts de faim, nous quittons l'atelier pour la cuisine. << C'est toujours très excitant l'attente de l'instant où je vais découvrir ce que tu as préparé ! >> me fait Estelle en tordant mon sexe dans tous les sens. Heureusement je bande mou. Quand elles découvrent ce que je tire du four électrique pour le placer dans la fournaise du four à bois, je croule littéralement sous les effusions de tendresses dont me gratifient mes deux anges. La salade aussi est prête. Il n'y a qu'à couper les deux endives.

Estelle met les assiettes et les couverts. Je n'arrête pas de la coller par derrière pour la tripoter entre ses cuisses les bras autour de sa taille. << Mais quel délicieux salaud ce soir ! >> s'exclame t-elle. << Dis-voir à Julien ce que tu m'as raconté au restau à midi ! >> s'écrie Clémentine. << Et bien après m'avoir pris dans tous les sens sur la pile de cartons du dépôt mon baiseur de parrain m'a enculé ! C'est tout ! L'enfoiré ! >> lance Estelle. Je m'écrie : << Et ben bravo ! Tu te fais enculer maintenant ! >>. Estelle s'empresse de préciser : << À l'insu de mon plein gré. C'est dans le feu de l'action. Mais je ne déteste finalement pas trop ! >>. Nous en rigolons comme des bossus quand elle conclue : << Mais si ça n'a pas lieu je ne suis pas demandeuse. Ça reste un endroit à chier ! >>. Je surveille le four.

C'est Estelle qui me repousse en disant : << Ne va pas risquer de brûler ton Zguegue, laisse-moi m'occuper de tout. Elle enfile les maniques. Ouvre la porte du four. Clémentine me tient la bite dans un geste protecteur. Le plat est merveilleusement doré. Fumant. Nous mangeons de bon appétit. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il nous restera deux bonnes heures après le dessert. Car sur ma suggestion de procéder au contrôle de son minou, Estelle est impatiente de se retrouver vautrée dans le canapé du salon. Nous traînons toutefois un peu à table. Ce plat est succulent. Nous nous régalons. Estelle me pose des questions sur mes "exactions" avec Danièle et Juliette. Je lui raconte mes exhibes devant Danièle. Son souhait de goûter à ma queue. << Vieux cochon ! >> s'écrie Estelle à chaque fois qu'elle se lève pour mimer une masturbation masculine. Elle rajoute : << Elle vient nous livrer les samedis matins. J'y penserai en la voyant. Salaud va ! >>

Tout dans le lave vaisselle avant de passer au salon. Toutes les deux, portant les mêmes élégants vêtements les retirent pour ne garder que leurs pulls et leurs chaussettes. Vautrées l'une à côté de l'autre, elles se touchent en écartant leurs cuisses. Toutes les deux, le regard implorant, me fixe. Je reste distant pour admirer ce merveilleux spectacle. Je me masturbe. J'agite ma queue vers l'une, vers l'autre, alors qu'elle titille leurs clitoris. À genoux sur les épais coussins, je commence par la chatte d'Estelle. Les saveurs très particulières de sa journée de fille. Ses odeurs de "fille négligée" alors qu'elle ne l'est pas du tout. Je passe à Clémentine. C'est toujours un étonnant plaisir de déguster du minou pour en apprécier la différence de goût. Minime mais évidente. Je m'enivre de jus de filles.

Quand je n'introduis pas ma langue, ou que je ne fouille pas les plis et les replis des lèvres de leurs vulves suintantes de mouille, je suce leurs clitoris dans une véritable symphonie stéréophonique. J'adore les vertiges que ces dégustations me procurent. Je bande comme le dernier des salauds en suçant, en léchant. Toutes les deux à genoux, les coudes sur le dossier du canapé, m'offrent leurs culs. Je passe ma langue dans les raies pour recueillir la cyprine qui y a coulé. En m'attardant sur les "oignons" des deux coquines qui se masturbent en même temps. Nous reproduisons à deux reprises avant l'orgasme dithyrambique d'Estelle. L'orgasme pisseux de Clémentine. Les filles reprennent leurs esprits lentement alors que je me branle en les regardant se rhabiller. Ce sera pour Clémentine, au lit.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont encore se régaler d'un onctueux jus de bite, d'un vidage de couilles sous la couette qui leurs laissera le gout du foutre pour s'endormir...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Saturday 16 December 2023 07:35

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 19 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2464 -



Le vendredi, le week-end commence à midi

Lorsque les premiers gazouillis d'oiseaux se font entendre, nous donnant l'illusion d'êtres au fond d'une mystérieuse forêt, il est presque six heures. Le bruit de la source contre les rochers participe de cet enchantement féérique. << C'est Noël tous les matins avec cette application ! >> murmure Clémentine après s'y être prise à trois fois. Nous en rions aux éclats pas encore vraiment réveillés. Quelques bisous, quelques papouilles et nous filons aux toilettes. Dans la salle de bain nous enfilons nos lycra sports. Les radiateurs viennent d'entrer en fonction et chaque seconde nous est comptée. Nous ne traînons donc pas. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Comme elle le fait souvent en imitant l'accent Corse de Juliette.

Pendant qu'elle presse les oranges, qu'elle pèle les kiwis, j'allume le feu dans la cuisinière à bois. Je récupère au vol les quatre premières tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons un copieux petit déjeuner agrémenté des facéties de Clémentine. Le vendredi à midi commence notre week-end. Ce qui la rend euphorique dans ses démonstrations de langage. Je suis plié de rire en l'écoutant revenir sur notre soirée avec Estelle. Le contrôle de minous qui nous a encore plongé dans les suaves béatitudes du sexe. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Marché de Noël, FNAC DARTY et la dégustation d'un bon chocolat chaud dans notre salon de thé préféré. Six heures vingt cinq. Nous remontons pour nous offrir notre bonne heure d'entraînement.

Dans la salle pas chauffée il faut rapidement redoubler de dynamisme. Les échauffements aérobics, le jogging sur les tapis roulants ou j'assiste, écroulé de rire, au show de Clémentine. Non seulement elle est à courir en tournant sur elle-même avec le plus grand sérieux mais également en improvisant des paroles de chansons surréalistes. Les exercices au sol sont encore autant de prétextes à la déconne jusqu'aux charges additionnelles. Pas question de déconner dans ces mouvements spécifiques et précis. Sous peine de blessures. Les étirements d'un agréable retour au calme avant la douche. Je redescends le premier pour aller faire chauffer la voiture. À presque sept heures quarante cinq il fait encore nuit. La température extérieure est de 2°. Un froid glacial, vif, cinglant mais sec.

Clémentine vient me rejoindre chaudement vêtue. Retour au déguisement de l'esquimau s'apprêtant à affronter sa banquise. En sautillant elle me fait un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je cavale pour rentrer au chaud, faire la vaisselle et notre lit. Dans l'atelier j'allume la flambée de la cheminée. Quand il fait un tel froid la prise est immédiate car le tirage redoutablement efficace. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette quatrième scène de genre m'entraîne dans les méandres des introspections les plus diverses. Je peins dans cette esprit facétieux laissé par Clémentine. Aux environs de midi, je nettoie la palette, les pinceaux. Je mets deux bûches sur les braises incandescentes. Je quitte l'atelier pour la cuisine.

Pendant que réchauffent les deux énormes bouchées à la reine avec leurs coquillettes, je fais l'assaisonnement d'une salade de tomates. C'est agréable de retrouver des coins de ciel bleu en regardant par une des fenêtres. De brèves séquences d'ensoleillement. Je mets les assiettes, les couverts. Midi trente. Clémentine rentre de cours. Je me précipite dans le hall d'entrée pour la débarrasser de son anorak, de son bonnet, de ses gants, de son cartable. Le bout du nez tout froid elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. C'est comme ça que je l'emmène au rituel pipi et au lavage des mains. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Comme tout les vendredis elle fait le plein d'essence. Il y a souvent une anecdote.

Aujourd'hui c'est un type avec une vieille camionnette verte qui s'est mis à la draguer. << Une camionnette pourrie. Une vraie poubelle. Le mec avait une de ses tronches ! Avant de raccrocher le tuyau il m'a regardé avec insistance en faisant semblant de pisser dans son réservoir ! >> me raconte t-elle, pliée de rire. J'adore quand elle donne les plus infimes détails. Nous traînons à table. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur nos projets de l'après-midi. Cette friteuse électrique et sans huile que nous ont fait découvrir les parents d'Estelle dimanche dernier. Clémentine consulte sur son I-phone. Ce ne sont pas les marques et les modèles qui manquent. Deux pages Google pour en présenter les multiples versions. Clémentine fait de bons choix.

Aussi ce sera le modèle Moulinex. << Easy fry and gril dual inox - Référence EZ905 D20 ! Ouf, j'ai réussi à le dire ! >> lance t-elle en me montrant l'écran de son téléphone. << Regarde, à gauche le tiroir de la bidoche, à droite celui des frites ! >> rajoute t-elle. Nous optons pour ce modèle. Encore faut-il qu'il soit en magasin. << Il y est ! >> s'écrie Clémentine en montrant la page FNAC DARTY. Nous faisons la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous nous changeons. Clémentine porte son collant legging très particulier. Celui ou elle a pratiqué cette ouverture d'environs six centimètres à l'endroit de son sexe. Elle tire sur les lèvres charnues de sa vulve afin de les faire pendre par l'orifice. Son clitoris géant fièrement pointé vers le bas comme une petite bite. Superbe.

<< Mon dindon est prêt à l'aventure. Tout comme sa maîtresse ! >> lance Clémentine en s'accroupissant devant le grand miroir de l'armoire. C'est remarquable. Porté sous une de ses jupes évasées de velours noir. Ses bottes noires à hauts talons. Un pull noir. Une écharpe crème. Un béret de la même couleur. D'une élégance folle elle choisit les vêtements que je vais porter. Ce sera un pantalon à plis et à pinces, noir, une chemise blanche sous un pull noir au col en "V". des souliers de ville noirs. Nous prenons des poses en faisant les clowns. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Dans le hall d'entrée nous enfilons nos manteaux noirs. Je porte une écharpe beige pour le "trait de couleur" que me conseille Clémentine. La température extérieure n'est que de six degrés. Froide.

C'est avec la Mercedes que nous parcourons les vingt cinq kilomètres qui nous séparent de la ville. Le ciel est redevenu entièrement gris mais lumineux. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue en me racontant le "plan" qu'elle nous réserve cet après-midi. J'écoute amusé car ce fantasme qu'elle veut absolument réaliser a de quoi susciter toute ma curiosité. J'en bande d'ailleurs comme le dernier des salauds une bonne moitié du chemin. Nous garons l'auto dans la ruelle habituelle. À dix minutes des premières rues piétonnes. Il y a du monde. C'est un petit plaisir de flâner en admirant les vitrines superbement décorées. Tous les magasins affichant "Ouvert dimanche". Une ambiance festive. Les décorations sont magnifiques cette année. Un bel effort de convivialité.

Nous voilà dans les allées du marché de Noël place de l'Hôtel de ville. Le plus grand. << Viens. J'ai repéré un chalet particulier ! >> dit Clémentine. Elle me tient par la main d'une poigne encore plus ferme pour me guider. Sur le présentoir du chalet des écharpes, des foulards, des gants, des bonnets. Mais c'est surtout le jeune homme qui attire les "convoitises" libidineuses de Clémentine. Je comprends. Il est plutôt "beau gosse". Grand, blond, les yeux noisettes claires. Avec un léger accent Belge. Il est occupé avec deux jeunes femmes très élégantes. << Tu restes là, devant le chalet des thés. Tu gardes les yeux rivés sur ton téléphone. On reste en contact caméras ! >> m'explique Clémentine. Mais comment diable va t-elle s'y prendre ? Aucun "plan" exhibe possible avec tout ces gens partout.

<< Chut ! Surprise ! >> rajoute t-elle en mettant son index sur mes lèvres pour éviter toute question. Clémentine sait me surprendre mais j'avoue que là, ça va être le "pompon" !. Je reste donc à l'écart en scrutant l'écran de mon I-phone. En louchant tout de même sur la suite. Clémentine s'avance rapidement vers le chalet. Le jeune homme la salue d'un grand sourire. J'entends vaguement. Je n'ai pas les écouteurs. Je reste à une vingtaine de mètres. La jeune femme qui vend les thés me demande si je veux goûter. Je la remercie : << Peut-être tout à l'heure ! >>. Clémentine bavarde, touche les tissus, les différentes matières que présente le vendeur. Je le vois soudain ouvrir de grands yeux. Je n'entends rien avec la foule. Je le vois rester comme pantois. Étonné. Puis il se met à rire.

Que peuvent-ils bien se raconter ? Il disparaît pour réapparaître devant son chalet. Je comprends. Il y a un espace entre chaque chalet. D'élémentaires mesures de précautions. Le jeune homme invite Clémentine à le suivre dans ce couloir. Je ne peux pas m'approcher sans être "repéré". Pourtant je marche en faisant semblant de regarder les santons du stand voisin. Où est passée Clémentine ? Je comprends. Les chalets sont disposés les uns à côté des autres. Environs une quinzaine formant les allées qui les séparent. Mais il existe un espace de deux mètres derrière ces chalets. La situation perdure une bonne dizaine de minutes. Enfin une image apparaît. Clémentine, accroupie, se filme en murmurant : << Tu me vois ? >>. Je réponds : << Oui, mais très mal car tu es dans l'obscurité ! >>. Il ne fait pourtant pas encore sombre. Il n'est que quinze heures. Mais le ciel s'est considérablement assombrit.

Il est impossible d'éclairer l'endroit. Je discerne des cageots, des caisses en plastique. Sans doute la réserve ou alors les emballages des articles du stand. Le jeune homme est occupé avec un couple de clients. Il termine de faire un paquet cadeau, encaisse l'argent, rend la monnaie avant de disparaître. Je scrute avec attention, avec avidité l'écran de mon I-phone. Mauvaise qualité d'image dans l'obscurité. Clémentine a judicieusement disposé le sien afin de filmer la scène. Je discerne des formes. Des mouvements. Je porte l'appareil à mon oreille pour entendre : << Ça va mademoiselle ? >>. La voix de Clémentine qui répond : << Oui, je suis un peu longue car j'ai toujours du mal à pisser dans le froid ! >>. Je ris. Ma merveilleuse salope s'est trouvée un "plan" tout aussi merveilleux pour s'offrir sa petite exhibe. << Vous faites comment, vous quand vous devez pisser avec tout ce monde ? >> demande t-elle. J'entends le type se mettre à rire.

<< Dans le petit jerrican en plastique vert, là, dans le coin. Il contient deux litres. Le soir je l'emmène pour le vider chez moi ! >> explique t-il en riant. Il rajoute : << C'est la première fois qu'on me demande ça ! >>. J'entends également les jets que propulse Clémentine contre l'arrière du chalet de l'allée parallèle. Sous les exclamations admiratives du jeune homme. << Je peux voir comment vous faites ? >> demande Clémentine. J'écoute. Ma frustration est à son comble car l'image sur l'écran de mon téléphone est d'une telle médiocrité. Il y a juste le bruits des jets de Clémentine. Je sais de quoi elle est capable en quantité et en puissance. << Je dois vous laisser, il y a des clients ! >> s'écrie soudain notre vendeur. En effet, deux couples attendent devant son chalet.

Clémentine me fait : << J'arrive, je te raconte ! >>. L'image disparaît. J'éteins mon téléphone. Je l'attends devant le chalet des thés. La jeune femme nous en prépare deux. Nos gobelets dans les mains, Clémentine me raconte. << J'ai guetté. Je me suis mise en situation. Toujours rien. Je me suis redressée. Je voulais attendre le bon moment ! Je suis morte de froid ! >>. Je lui raconte l'impossibilité d'avoir une image véritable. Mais je la rassure : << J'ai tout entendu. Félicitations. Tu as encore fait fort sur ce coup-là ! >>. Nous en rions. Clémentine dépose ses lèvres sur les miennes. Nous savourons ces boissons chaudes avant de continuer nos flâneries. << Je veux revenir. Je veux absolument pousser ce type à pisser dans son jerrican devant moi ! >> me confie Clémentine.

Nous en rions aux éclats. Au premier étage de la FNAC, c'est DARTY. Effectivement l'appareil qui nous intéresse est là, sur une étagère. Deux modèles, deux couleurs. Nous optons pour le noir. Moins salissant. Je me retrouve à trimballer un paquet de huit kilos. Nous le tenons à deux pour retourner à la voiture. La ruelle est déserte. Le crépuscule s'annonce. Clémentine s'accroupit entre notre voiture et celle de l'arrière. Ses cuisses largement écartées. La vue sur son sexe est une merveille dans cette position hautement troublante. Elle écarte l'épaisse toison pour tirer sur les lèvres de sa vulve. Bien six ou sept centimètres de peau. Je la regarde en disant : << Tu me donnes envie de me branler ! >>. Elle lâche un jet puissant en répondant : << Ne va pas prendre froid au Zob ! >>

Nous retournons en ville. Au premier étage de la grande boulangerie-pâtisserie nous attend notre table. Pour être certain d'en trouver une, j'ai réservé devant le stand des thés. Nous voilà installés devant de grands chocolats chauds et des tartelettes aux figues. Clémentine tente une discrète exhibe. Il y a un des clients d'une table voisine qui semble avoir remarqué le jeu de jambes de la sublime jeune fille qui m'accompagne. Il mâte tout en bavardant avec sa compagne et les deux femmes qui les accompagnent. << Peut-être un "Julien" ! >> murmure Clémentine. C'est probable à voir la complicité qui règne entre les quatre protagonistes. Hélas les choses ne peuvent pas aller bien loin. Il y a un monde fou dans la salle. C'est quand elle se touche discrètement en fixant effrontément ce type que la situation est à son paroxysme. Sa main gauche sous la table, l'autre tenant la petite cuillère avec laquelle Clémentine savoure se tartelette aux figues. Tripotant sa "figue".

Je propose un bon restaurant pour ce soir. Notre établissement gastronomique habituel. Clémentine en compose immédiatement le numéro. Il reste des places. Nous réservons pour 19 h. Nous flânons encore un peu dans les rues merveilleusement illuminées. Des cascades de couleurs qui semblent mouvantes. Du vert au bleu en passant par toutes les nuances du jaune au rouge. Tout cela finit par nous mettre en appétit. Devant des plateaux de fruits de mer nous jouissons de cette soirée aux chandelles. Car dans notre salle du premier étage, ce sont des chandelles sur toutes les tables. Hélas, aucune possibilité "exhibe " pour Clémentine. Enfermés tous les deux dans un des cabinets des toilettes hommes, nous nous offrons deux "extras" absolument divins. Jus de fille. Jus de bite.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines pleines d'imaginations sachant mettre à profit toutes les opportunités qui flattent leurs libidos...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Sunday 17 December 2023 10:37

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 20 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2465 -



Assurer la logistique pour la semaine

Le samedi matin, c'est une heure de sommeil supplémentaire. Ce qui est encore le cas hier. Il est sept heures. Depuis quelques temps, c'est un vrai plaisir de réveiller Clémentine. J'essaie d'être inventif. Je murmure des douceurs à son oreille. En gémissant elle se tourne pour se serrer contre moi. << Déjà l'heure ! >> gémit elle. Plein de bisous. Des papouilles. Poussés par l'impérieux besoin naturel nous nous précipitons aux toilettes. Depuis plus d'une heure les radiateurs distribuent leurs chaleurs dans la maison. Nous enfilons nos lycra sports à la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Le jour achève de se lever sous un ciel gris et bas. La température extérieure est de 2°. Pendant que Clémentine fait le café, j'allume la cuisinière à bois. Elle ronronne.

Je presse les dernières oranges, Clémentine pèle les derniers kiwis. Nous courons jusqu'au hall d'entrée pour ouvrir le portail depuis l'interphone. Nous prenons notre petit déjeuner en sondant les profondeurs de notre courage. Malgré ce froid nous aimerions aller courir. Les joggings nous manquent. Mais nous manquons cruellement du courage nécessaire. Nous mangeons de bon appétit en nous promettant d'essayer notre nouvelle friteuse sans huile ce week-end. << Demain, les parents d'Estelle viennent manger à midi. On fait des frites et le poulet qui est au congèle ! >> propose Clémentine. Je trouve l'idée parfaite. C'est agréable le samedi matin. Nous pouvons prendre notre temps. Je vis au rythme de celui de Clémentine toute la semaine. J'apprécie de pouvoir lever le pied moi aussi.

La vaisselle. Nous remontons, impatients de nous entraîner. Il faut redoubler d'énergie durant les échauffements aérobics. Pour mettre nos organismes à bonne température. Le jogging sur les tapis roulants y participe. Ainsi que les exercices au sol. Là aussi c'est appréciable de faire tous les mouvements consciencieusement sans êtres bousculés par le timing. Les charges additionnelles. Il y a des miroirs partout dans notre salle d'entraînement. Ce qui permet de contrôler chacun de nos exercices. Qu'il est agréable de pouvoir pratiquer les étirements lentement pour revenir au calme avec un gratifiant stretching. Nous nous faisons des bises. Clémentine, telle une ballerine, fait des pointes devant un des miroirs. Les bras levés. Je la tiens par la taille comme le ferait un danseur.

Des bisous. Nous nous trouvons tous les deux terriblement sexys dans nos lycra de gymnastique. En sortant de la salle nous tombons sur Lise. Elle trimballe l'aspirateur. Déjà vêtue de ses habits de travail. Son survêtement gris. << Bonjour ! >> nous écrions-nous en même temps. Ce qui nous fait rire. Lise retire ses écouteurs pour nous saluer. << On ne se voit plus jusqu'au samedi 6 janvier ! Comment allez-vous faire sans moi ? >> lance la jeune fille espiègle. << Je crois bien que nous allons êtres livrés à nous-même et de devoir faire le ménage nous-même ! >> répond Clémentine. Nous rions. Dans nos leggings noirs toutes mes formes se devinent à la perfection. Je surprends trois fois le regard furtif de Lise sur ma bosse. Je demande : << Vous passerez les fêtes en famille Lise ? >>

<< Oui, il y a mon papy et ma mamie qui viennent entre Noël et nouvel an ! >> précise la jeune fille. Nous la laissons à son ménage pour aller dans la salle de bain. La douche. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite, je coiffe Clémentine. Assise devant un des miroirs, une grande serviette sur les épaules, elle parle de la dernière semaine de cours qui l'attend. Des vacances tant attendues. Des coups d'œil de Lise sur cette partie de mon anatomie qui semble elle aussi susciter son intérêt. C'est à mon tour. Clémentine sèche mes cheveux en me coiffant. J'adore autant qu'elle. De plus nous pouvons prendre tout notre temps. Vêtus de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux, baskets, nous dévalons les escaliers. On entend l'aspirateur quelque part à l'étage.

Au salon, assise sur mes genoux, me tournant le dos, Clémentine allume l'ordinateur. L'hebdomadaire courriel de ma famille d'Écosse. Ils sont impatients de nous revoir. Le message de Juliette qui nous propose une soirée sybian vendredi prochain en précisant que nous en reparlerons mercredi soir lorsqu'elle viendra manger. Le mail d'Estelle, impatiente elle aussi de nous rejoindre en début d'après-midi. Pendant que Clémentine répond en se relisant à haute voix, je glisse un billet de 50 euros et de 20 euros dans l'enveloppe jaune. Clémentine y rajoute quelques mots pour les fêtes. Je signe d'une fleur qui rappelle un phallus en érection. C'est habile, équivoque et s'interprète très bien. Il va être l'heure de nos livraisons. Nous quittons le salon. Lise entrain de passer l'aspirateur dans le hall d'entrée où nous enfilons nos anoraks. Ça caille. Bonnets et gants. Je surprends une nouvelle fois le regard de Lise. C'est toujours rapide mais pertinent.

C'est un froid sec. Un froid vif qui a presque séché le sol. Nous n'attendons d'ailleurs pas plus d'une minute. Voilà le véhicule utilitaire blanc qui descend lentement les pavés autobloquants depuis le portail. Danièle au volant. Son plus merveilleux sourire. Sous son épais bonnet de laine, son gros gilet de camionneur, son pantalon gris renforcé aux genoux, ses grosses godasses de protection, elle saute de sa camionnette. Nous nous touchons les poings en faisant : << Bonjour ! >> en même temps. En contournant le véhicule pour y monter à l'arrière, Danièle s'adresse plus particulièrement à moi : << Pour mercredi, de la saucisse ? >>. Nous rions quand Clémentine répond : << Mais juste pour vous alors ? >>. Riant aux éclats, Danièle rajoute : << C'est comme ça que je l'entendais ! >>

J'attrape le lourd cageot contenant nos fruits et nos légumes. Clémentine attrape celui contenant les fromages, les yaourts, les œufs, les pots de crème fraîche et de fromage blanc. La motte de beurre. Les cageots posés sur le banc en pierre contre le mur de la dépendance, j'introduis la carte bancaire dans le terminal que me tend Danièle. << Dommage qu'il fasse si froid ! >> lance t-elle en se penchant sur sa droite pour fixer le bas de mon anorak. Je réponds : << Il fera bien chaud mercredi matin dans la maison ! >>. Elle me fait un clin d'œil. Il fait vraiment trop froid pour ouvrir mon anorak, pour sortir ma bite. Danièle, au volant, démarre. Nous la regardons faire demi tour. Elle mime une masturbation masculine en nous adressant un clin d'œil. Nous regardons le véhicule monter.

Voilà le tube Citroën rénové de notre boulangère. Hilare au volant elle se gare au même endroit, derrière la Fiat rouge de Lise. L'agilité avec laquelle elle saute du marche pied nous bluffe à chaque fois. Cette dame corpulente est d'une vitalité étonnante. Toujours avec d'amusantes anecdotes villageoises elle me tend le cageot contenant les deux grosses miches de pain complet, les deux pâtes feuilletées, les bouchées à la reine, l'énorme brioche au pudding et les deux gros croissants aux amandes. Paiement par carte. Il n'y aura pas de livraisons avant le samedi 6 janvier. Nous nous souhaitons bonnes fêtes. Madame Marthe s'en va pour d'autres livraisons. C'est par derrière, contournant la maison, que nous descendons à la cave. Dans le cellier afin d'y ranger les fruits et les légumes.

Du congélateur je tire le paquet de moules, les sachets de haricots verts, de petits pois. Nous remontons avec les produits frais à ranger dans le réfrigérateur. La cuisine déjà nettoyée. Les carrelages lavés. Nous entendons l'aspirateur quelque part en bas. Je mets les produits à décongeler sur l'étagère de la hotte, au-dessus de la cuisinière à bois. En quittant la cuisine nous retrouvons Lise armée d'un plumeau, d'une petite pelle et d'une balayette. Sourire. Elle a ses écouteurs sur les oreilles. Nouveau regard furtif sur ma braguette. Au salon, assise sur mes genoux, Clémentine surfe sur le site de l'université. Je caresse ses seins minuscules. J'adore les sentir palpiter sous l'épais coton de sa chemise. Il va être onze heures trente. Lise vient nous rejoindre, vêtue de ses jeans, son sweat.

Elle nous surprend ainsi avec un sourire énigmatique. Quand Clémentine se lève pour contourner le bureau, Lise lui demande : << C'est bien comme appareil ? >>. Elle pointe son doigt en direction du sybian rangé sur l'étagère du bas, sous les livres. Je devine Clémentine un peu embarrassée. Aussi c'est moi qui répond en me levant. En tendant son enveloppe jaune à Lise, je dis : << Pourquoi ne pas l'essayer pour s'en faire une juste idée ? >>. La jeune fille nous étonne souvent par sa présence d'esprit et ses réparties. Aussi, en me fixant presque effrontément dans les yeux, elle rajoute : << C'est le meilleur procédé que je connaisse ! Essayer ! >>. Savourant l'effet de sa réponse, amusée et souriante, elle fixe ma braguette. Cette attitude provoque un début d'érection. Et c'est apparent.

Cette grosse bosse qui déforme ma braguette n'échappe pas à la sagacité de notre "fille de ménage" qui conclue : << Je vais y réfléchir ! >>. Clémentine me jette un discret regard, un clin d'œil en disant : << Merci Lise pour le travail que vous réalisez chez nous. C'est irréprochable ! >> nous raccompagnons la jeune fille jusque dans le hall d'entrée. Nouveau regard insistant qui me met un peu mal à l'aise. Clémentine demande : << Voulez-vous que je vous prête l'appareil entre deux samedis ? >>. Avec une incroyable sérénité, Lise répond : << Je vais bien étudier la question. Bonnes fêtes. Vous m'enverrez des photos d'Édimbourg ? >>. Nous promettons de lui faire un courriel pour Noël et pour le jour de l'An. Accompagné de photos. << Des trucs sympas ! >> dit elle en adressant un clin d'œil à Clémentine. Nous la saluons. Elle ouvre la porte pour sauter les quatre marches du perron avec une agilité de gymnaste. << Au revoir >>. Elle traverse le jardin, courant à tout vitesse.

En préparant l'assaisonnement de la laitue toute fraîche, Clémentine me fait part de ses réflexions : << J'espère que tu prends toute la mesure des évènements à venir ! >>. Je comprends bien évidemment à quoi elle fait allusion. Je verse les moules décongelées dans le bouillon en ébullition. Les haricots verts et les petits pois dans le wok. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les attitudes de Lise. Dix neuf ans depuis peu et déjà si sûre d'elle. Un caractère que nous commençons à cerner. << Celle-là, elle sait ce qu'elle veut ! Tu as intérêt à la jouer fine ! Laisse-moi diriger les opérations. Ne prend aucune initiative sans me consulter. Je suis fine psychologue avec les filles du "Club" ! >> lance Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Je promets de suivre ses conseils.

Nous traînons à table. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur le cas "Danièle" : << Celle-là aussi, je peux te certifier une pipe avant les vacances de Carnaval. Elle a d'ailleurs annoncé la couleur mercredi dernier ! Soyons plus "démonstratifs" mercredi prochain quand elle viendra nous livrer ! >>. J'écoute. Clémentine se frotte doucement en me donnant de petites informations sur des détails qui m'échappent toujours dans les situations d'approches. Les femmes sont toujours beaucoup plus perspicaces. Dans tous les domaines. Je me suis toujours appuyé sur leurs recommandations. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. << Sors ta bite. Tout ça m'excite. Je pourrais faire l'amour là, sur la table ! >> lance t-elle en ouvrant ma braguette.

Ses baskets sur la chaise, son Levis et sa culotte sur le dossier, Clémentine, assise sur la table de la cuisine, en appui sur ses coudes, me regarde par en-dessous. Ce regard terriblement suggestif empreint de gravité, de sérieux, "codé". Je m'approche pour frotter mon sexe contre le sien. Elle tient son clitoris géant entre le pouce et l'index pour l'offrir à ma turgescence. Je m'introduis lentement, avec d'infinies précautions, centimètres par centimètres. Clémentine se masturbe en mordillant sa lèvre inférieur. Je suis en elle. Totalement. Sans coussin sous la tête, la situation n'est pas confortable. Aussi elle se redresse pour passer ses bras autour de mon cou. Je reste bien enfoncé et jusqu'à la garde. Sans bouger. Immobiles comme nous aimons. Clémentine confie d'autres secrets.

Je la soulève pour la promener ainsi dans toute la grande pièce. Du bruit. Estelle nous croyant sans doute à l'étage, dans la salle de bain n'est pas encore silencieuse pour monter les escaliers pour vouloir nous surprendre. << Coucou ! >> lance Clémentine. Estelle entre dans la cuisine, ouvre de grands yeux en lançant : << Sans déconner, déjà ? >>. Elle se précipite pour constater qu'effectivement : << Déjà ! >> répond Clémentine que je repose au sol après m'être retiré. Estelle choppe ma queue : << Bonjour ! >> dit elle en mitraillant nos visages de bisous. Nous nous serrons tous les trois. Le rituel des retrouvailles. Nous montons nous laver les dents accompagnés d'Estelle. Je porte le grand sac de sport qui contient ses vêtements de change pour le week-end. La salle de bain.

Nous faisons rapidement le programme de l'après-midi. Le marché de Noël évidemment. Surtout que Clémentine raconte sa petite exhibe de hier. Estelle est impatiente de voir le "beau gosse" dans son chalet. Nous restons vêtus de nos jeans, chemises à carreaux que nous recouvrons d'un pull épais. Clémentine n'a pas le courage d'affronter une nouvelle fois le froid en jupe. Estelle surtout pas. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Les anoraks. Bonnets, gants, c'est parti. Je roule doucement sur les 25 km qui nous séparent de la ville. Estelle assise à l'arrière nous raconte son vendredi soir avec ses parents. Son samedi matin avec sa maman à faire les courses dans l'hypermarché. Le monde fou partout dans les rayons, aux caisses. Difficulté de trouver une place de parking.

Clémentine joue avec ma queue en racontant nos petites aventures de la matinée avec Danièle et Lise. << Tu es vraiment le dernier des vicelards ! >> me fait Estelle en caressant mes joues. Elle rajoute : << Comme je les aime ! >>. Nous en rions de bon cœur. Je gare la voiture dans la ruelle habituelle. Mes deux anges accrochées à mes bras, nous marchons d'un bon pas pour nous réchauffer. La température n'est que de 3°. Un léger vent polaire. Les premières rues piétonnes. Les allées du marché de Noël. Clémentine nous mène directement au chalet du "beau gosse". Hélas, ce qui nous refroidit quelque peu c'est la présence de cette belle jeune fille derrière le stand. << Je comprends mieux pourquoi il était si distant ! >> lance Clémentine. << Évidence ! >> dit Estelle.

<< Il faut se frayer un passage à la machette aujourd'hui ! >> lance Estelle alors que nous avons toutes les peines du monde à avancer. C'est noir de monde. Cela reste un plaisir malgré tout. << Bon, ça commence à bien faire cette fin d'année encore ! >> s'exclame Estelle. Nous nous réjouissons pour retrouver les marchés de Noël d'Édimbourg. Si particuliers. Très certainement les plus beaux d'Europe. Mais chaque pays prétend présenter la plus belle attraction du monde. Je me souviens il y a une vingtaine d'années, avec Christine, mon ancienne compagne disparue, lorsque nous avions découvert les marchés de Noël à New-York. Quand les Américains copient une bonne formule, ils le font en grand. En très grand. En énorme même. Carrément Las Vegas. Nous irons un jour avec Clémentine et Estelle. << Quand on habitera à Édimbourg et qu'on voudra aller voir ailleurs ! >> précise Clémentine. Nous savourons des gaufres chaudes.

Je suggère de réserver une table pour ce soir. Dans notre restaurant gastronomique. Il vaut mieux s'y prendre dès à présent. Clémentine s'en charge. Avec ce froid nous restons serrés tous les trois. Ce qui permet également à Estelle de me tripoter discrètement. De palper ma braguette en murmurant des obscénités qui nous font rire. Clémentine a du mal à rester sérieuse en téléphonant. Notre salon de thé préféré où nous attend une table garnie de mugs de chocolats chauds et d'éclairs à la pistache. C'est encore un de ces après-midi festifs et épuisants où il faut se battre pour avancer. La nuit tombe vite et dès 17 h toutes les illuminations prennent un aspect féérique. Balades au chaud, dans les grands magasins. On se touche discrètement. Enfin, Estelle n'y parvient pas toujours...

Bonne fin de soirée à toutes les coquines devant de succulentes spécialités gastronomiques au premier étage d'un restaurant étoilé. Avec deux visites aux toilettes hommes, enfermées dans un des cabinets pour d'extravagants rituels pisseux...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Monday 18 December 2023 07:34

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 21 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2466 -



Yvan et Michèle viennent manger à la maison

Hier matin, dimanche, notre grasse matinée nous emmène jusqu'aux environs de neuf heures. Estelle reste souvent contre moi toute la nuit, épousant chacun de mes mouvements. Peut-être moi épousant les siens. Elle saisit ma tumescence en chuchotant : << Bientôt ce sera comme ça tous les matins ! >>. Elle fait allusion aux vacances qui nous attendent. Mon érection naturelle dans sa main, elle colle ses lèvres comme une ventouse sous mon oreille. Du bout de sa langue elle titille l'endroit le plus sensible de mon cou. Je glisse ma dextre dans sa culotte. J'adore y passer les doigts à la manière d'un peigne. Tout cela réveille Clémentine qui vient se blottir en gémissant. << Qu'est-ce que vous faites déjà tous les deux. Et sans moi ? >> chuchote t-elle. Elle s'en rend vite compte.

Lorsqu'elle veut attraper ma turgescence matinale et en découvrant qu'elle est tenue d'une poigne ferme par Estelle. Ce sont les roubignoles qu'elle choppe. Je glisse mon autre main dans sa culotte. Je passe mes doigts dans les plus infimes parties. Les plus intimes. C'est doux, c'est chaud, c'est moite. Je titille les clitoris. Celui de Clémentine, géant, semble déjà animé d'une vie indépendante. Petite bite dont je peux caresser le relief d'un gland. Ce qui la fait frissonner d'aise. Soudain, s'écriant : << Pipi ! >>, Estelle se redresse, saute du lit pour se précipiter vers la porte. Dans son pyjama de soie mauve. Clémentine prend le relai. Je tiens son clitoris entre le pouce et l'index. Elle tient mon sexe dans sa main. Nous nous faisons des bisous, frottons nos nez. Douceurs. Tendresses.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Les radiateurs fonctionnent depuis plus de trois heures. Il fait bien chaud. Nous revêtons nos Levis, nos sweats dans la salle de bain. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Il y a l'odeur du café, du pain grillé et de la cuisinière à bois qu'est entrain d'allumer Estelle. L'énorme brioche à qui nous réservons un sort peu enviable, trône sur la table. Je presse les oranges. Clémentine pèle les kiwis. Estelle passe sa main par derrière entre mes cuisses, tentant d'atteindre mes couilles. Je fais de même parce que j'adore le contact de la soie de son pyjama. L'intérieur de ses cuisses chaudes. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos après-midi à faire les marchés de Noël. Nous apprécions ces périodes très particulières. Même avec le monde.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant la préparation du repas de midi. Nous allons inaugurer notre toute nouvelle friteuse sans huile. << Je m'en occupe, je la connais bien. Je vous montre les astuces à connaître ! >> lance Estelle qui vient s'assoir la première sur mes genoux. Trempant son morceau de brioche dans mon café puisque son bol est déjà vide. J'adore quand elle pose ses lèvres collantes sur les miennes et que je sens juste le bout de sa langue sucrée pénétrer ma bouche. Clémentine vient s'installer à son tour. Nous traînons à table en faisant l'inventaire des ingrédients nécessaires. Le poulet est dans le bas du réfrigérateur. Les pommes de terre dans le panier sur l'étagère du bas de la desserte. << On s'y met avant ou après la balade ? >> demande Clémentine.

<< C'est comme on veut, avec la friteuse sans huile c'est rapide et propre ! >> répond Estelle. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Estelle se change pour se vêtir comme nous. Nous faisons notre lit. Nous fermons les deux fenêtres. << Put-hein c'est un froid de canard là dehors ! >> s'écrie Estelle depuis le balcon. Nous la rejoignons. Effectivement, zéro degré. Mais pas un souffle de vent. Le ciel est étonnamment bleu. Limpide et clair. Ça faisait bien deux mois que nous ne l'avions plus vu ainsi. On ne s'attarde pas. Pressés d'aller nous dégourdir les jambes nous dévalons les escaliers. Nous enfilons nos anoraks, nos bonnets, les gants. Les bottes en caoutchouc pour ne pas risquer de glisser sur le verglas éventuel. Mes deux anges s'accrochent à mes bras. La chaleur.

Nous descendons jusqu'à la rivière. Dans la plus parfaite insouciance les poules d'eau, les colverts et les canards s'ébattent sur la surface de l'eau. << Regardez, des boules de Noël ! >> lance Estelle en nous montrant les boules de graisse contenant des graines que notre voisin fixe aux branches des arbres. Devant les petits abris en bois qui évoquent des maisons miniatures. Monsieur Bertrand en a placé partout. Ce qui fait de cet endroit une véritable volière. C'est magnifique. Même si nous avons l'impression d'effrayer les merles, les mésanges habitant le lieu. Ayant colonisés l'endroit. Le froid est vif et sec. Le sol a entièrement séché en trois jours sans pluie. Nous restons serrés tous les trois à admirer. << Le village des oiseaux ! >> comme le surnomme Estelle. Les filles parlent études.

C'est la dernière semaine avant les vacances. Nous prenons l'avion samedi prochain à onze heures du matin. Pour arriver à Édimbourg à dix sept heures. Le changement à Londres nous faisant perdre deux heures au minimum. Estelle qui a une peur bleu de l'avion prend toujours un médicament qui la fait somnoler jusqu'au soir. Nous en rions. Nous remontons en flânant, évoquant nos projets Écossais. La période entre Noël et Nouvel ans est très festive à Édimbourg. Le fameux Hogmanay. Nous nous réjouissons. << C'est une plongée dans l'univers d'Harry Potter ! >> lance Clémentine. C'est vrai. C'est ce que cette période suggère à l'esprit là-bas. Un monde magique. Nous remontons. Dans la cuisine, Estelle et Clémentine déballent la nouvelle friteuse. Je sors le poulet du réfrigérateur.

Nous épluchons les pommes de terre avant de les laver. Estelle prépare le mélange pour enduire le poulet. Moutarde à l'ancienne et huile d'olive. Elle fait pareil avec deux grosses escalopes de dinde. Clémentine et moi passons les pommes de terre dans le coupe frites. C'est rapide, facile et ludique. << Il est plus de onze heures et tu n'as pas encore la bite à l'air ! >> me fait Estelle qui glisse sa main entre mes cuisses par derrière. << Oui, on va y remédier ! >> rajoute Clémentine. C'est toujours à la fois amusant et passionnant de voir mes deux anges s'accroupir en même temps, toute affaire cessante, pour déboutonner la braguette de mon 501, d'en extraire une queue toute molle qu'elles agitent de l'index et par en dessous. J'ai les mains posées sur leurs têtes à les observer.

Elles se redressent en même temps après m'avoir fait plein de bisous sur le chibre. C'est juste cette rigidité naissante, qui fait ressembler la bite à un tuyau d'arrosage, qui les amuse. Estelle ouvre les deux tiroirs de la friteuse. Clémentine, à l'aide d'une rallonge, la branche. Cet engin pèse ses huit kilos. Sur les indications d'Estelle je le pose sur la desserte. Dans le tiroir de gauche qu'elle retire complètement, elle dépose le poulet et les deux escalopes qu'elle y a enfoncé. << Poulet farci à la dinde sel vous pli ! >> lance t-elle. Elle me fait toucher du doigt le revêtement téflon. Elle remplit le tiroir de droite de frites. Environ 700 g. Il est prévu le double car une fois cuites il faut diviser leur poids par deux. Une cuisson sans la moindre goutte d'huile. Estelle positionne les tiroirs.

Tout est fermé. Clémentine et moi avons bien observé le principe. Il y a un petit tableau de commande. Estelle allume. Un voyant lumineux se met à briller. Estelle règle la température et la durée de cuisson. Il faudra sortir la première fournée de frites avant. Nous la réchaufferons sur une des grandes plaques du four à bois que je sors en enfilant préalablement les maniques pour ne pas me brûler. Nous mettons les assiettes et les couverts sur le chemin de table en lin écru. De petites branches de sapin qu'Estelle et Clémentine ont récupéré durant notre balade à la rivière. Ce seront les décorations. Je trouve magnifique cette idée toute féminine d'agrémenter la présentation d'un détail si ingénieux et tellement naturelle. La friteuse est sans odeur. Il y a une série de déclics insolites.

Des voyant lumineux qui clignotent, s'allument, s'éteignent. Depuis l'interphone du hall d'entrée, Estelle ouvre le portail. Ses parents ne vont pas tarder. Il va être midi. Dans la cuisine Clémentine joue avec ma queue alors que nous sommes adossés contre l'évier. Estelle revient et s'exclame : << Tu me rentres cette queue. Parce que je te préviens, espèce de vieux cochon, si tu la montres à ma mère, je te l'arrache avec les dents ! >>. Nous répétons ces derniers mots en même temps qu'elle avant d'éclater de rire. Clémentine s'accroupit devant moi pour remballer mon érection. Et quand je bande il est encore plus ardu de la rentrer que de la sortir. Aussi je l'aide alors qu'Estelle s'écrie : << Les voilà ! >>. Nous nous précipitons dans le hall d'entrée pour accueillir Yvan et Michèle.

Ils sont vêtus comme nous l'étions pour la balade. Anoraks, bonnets et gants dont nous les débarrassons. Les parents d'Estelle sont nos amis. Des intimes qu'il est plaisant de recevoir. Estelle veut faire le service. Nous voilà installés autour de la table. Estelle au bout qui préside. Qui peut surtout me surveiller. Clémentine à ma gauche face à Yvan. Michèle devant moi. La redoutable Estelle à ma droite. Et bien il faut le dire. La cuisson sans corps gras préserve le goût de la nourriture. Pas de calories inutiles. C'est vraiment goutteux. Nous mangeons de bon appétit en faisant des "plans" Écossais pour l'été de l'année prochaine. Nous passerons une semaine à North Kellock dans la maison d'Yvan et Michèle. Début aout. Ils y seront presque deux mois. Des réjouissances en perspective.

Nous traînons à table. En bavardant il est naturel de se fixer dans les yeux. Mais dès que nos regards sont insistants entre Michèle et moi, j'ai droit à un coup de pied sous la table. Aïe ! Michèle est encore tellement attractive aujourd'hui. Ses longs cheveux noirs parsemés de mèches grises qui donnent des reflets d'argent. Tout comme Juliette, Michèle déteste les teintures. << Le jeunisme ? Très peu pour moi ! >> précisent t-elles souvent. Yvan est comme moi, il adore : << Je trouve ça magnifique ! >> dit il pour appuyer sa compagne. << On se fait le marché de Noël du bourg, comme dimanche dernier ? >> propose Michèle. Nous débarrassons. Plutôt que d'utiliser le lave vaisselle nous la faisons à la main, à l'ancienne. C'est tellement plus convivial. Surtout que nous rions beaucoup.

Impossible de faire mon vicelard. Estelle ne me laisse pas la moindre opportunité de me retrouver seul avec Michèle. Même quand Yvan et Clémentine sont au salon à préparer les coupes glacées et le thé sur la table basse. Comme pour me narguer, Estelle me tire la langue. Pas la moindre occasion de faire mon vicelard. Michèle qui aime tant entrer dans mon jeu en est très certainement aussi dépitée que moi. Estelle en paraît tout à fait satisfaite. Coquine. Je lui glisse à l'oreille : << Toi, ce soir, avant de partir, tu ne perds rien pour attendre ! Tu vas voir ce que tu vas voir ! >>. Nous prenons le dessert au salon en nous montrant des photos prises dans les marchés de Noël. Il est quinze heures quand nous partons pour le bourg. Je suis installé à l'arrière de la voiture, entre mes anges.

C'est un froid glacial mais les décorations sont si belles, les gaufres tellement bonnes que c'est un plaisir de flâner entre les chalets. Il y a une partie du marché de Noël dans la salle polyvalente. Il y fait bien meilleur. Hélas toutes les tables des deux restaurants sont occupées. Il y a un monde fou. Yvan et Michèle déclinent notre proposition de partager le repas du soir. Eux aussi aiment à se ménager des séquences à deux. Ils nous ramènent pour dix huit heures. Estelle et moi préparons les restes. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de concombre. Nous mangeons de bon appétit en faisant mille projets Écossais. Je suggère que nous passions la soirée au salon pour un nettoyage de minous. Le dimanche pas de douche. Nous adorons trop les "saveurs" naturelles de nos sexes. La vaisselle. À genoux sur les épais coussins, je passe de l'une à l'autre. Vautrées dans le canapé, en gémissant, mes deux anges m'offrent leurs minous.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui raffolent des dimanches soirs "nettoyage de chattes". Surtout quand le nettoyeur n'omet aucune partie et qu'il rend le tout propre, luisant et très clean...

Julien (nettoyeur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Tuesday 19 December 2023 07:41

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 22 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2467 -



Le lundi, il faut se lever de bonne heure

Il est presque six heures, hier matin, lundi. Les illusions bluffantes de l'application "forêt" qui nous arrachent de nos profonds sommeils. En gémissant d'incompréhensibles paroles Clémentine se blottit contre moi. Quelques bisous, quelques papouilles. Comme des robots, nous nous précipitons aux toilettes. Les radiateurs viennent d'entrer en fonction. Avec 16° dans la maison, la sensation de fraîcheur est motivante. Nous nous habillons en vitesse de nos vêtements de gym dans la salle de bain. Nos habits y sont toujours préparés la veille au soir. Morts de faim nous dévalons les escaliers. J'allume précipitamment le feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je suis plié de rire car c'est une histoire de papier hygiénique dans un hôtel qui n'en a pas.

Le lundi il reste de la brioche que je place au four à micros ondes pour lui rendre son moelleux. Clémentine presse les oranges, pèle les kiwis. Dans un claquement sec le grille pain éjecte ses tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les évènements du week-end. Le dimanche soir consacré au léchage de minous. << Ce soir c'est à mon tour ! >> me fait Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en faisant l'inventaire des vêtements à emmener en Écosse. << On prépare les valises tous les soirs un peu. Tu veux ? >> rajoute Clémentine en venant terminer son morceau de brioche sur mes genoux. Il va être six heures vingt cinq. Nous remontons pour notre heure d'entraînement. La salle n'est pas chauffée. Nouvelle motivation au dynamisme exacerbé.

Les échauffements aérobics et le jogging sur les tapis roulant mettent nos corps dans les toutes meilleures conditions. Les exercices au sol avant les charges additionnelles. Les étirements du stretching de retour au calme avant la douche. Je descends à toute vitesse pour aller faire chauffer l'auto. Presque 7 h45. Il fait encore nuit. Le froid est glacial avec seulement 2°. Clémentine vient me rejoindre déguisée en esquimau. Sa capuche à fourrure, ses bottes à fourrure, elle sautille sur place pour me faire plusieurs bisous. << Je suis impatiente d'être avec toi ce soir. Juste nous deux ! >> s'exclame t-elle en s'installant au volant. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. Je suis littéralement frigorifié. Je rentre en courant.

Notre vaisselle, notre lit avant de passer dans l'atelier. J'y allume une belle flambée dans la cheminée. Ça crépite rapidement. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette quatrième scène de genre verra son épilogue en fin d'après-midi. Je peins dans l'allégresse en poussant des cris d'animaux n'existant pas. Les aiguilles tournent sur le cadran de l'horloge pour m'emmener vers midi. Je mets deux bûches dans les flammes avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je fais gonfler du riz complet pendant que rissole un dos de cabillaud blanc. L'assaisonnement d'une salade de tomates. C'est rapide. Je prépare immédiatement le nécessaire pour le repas de ce soir. La pâte feuilletée, l'aubergine, les deux courgettes. Oignon. Le tout sur la desserte.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff ayant pris quelques jours de vacances, son remplaçant possède la même verve, la même énergie. Il est question des mensonges Covid. Des conséquences sur l'économie. Des dirigeants politiques empêtrés jusqu'au cou dans des combines avec les laboratoires et qui pourtant, malgré ça, continue leurs propagandes éhontées sur les bienfaits du vaccin. Continuant à distiller dans les médias des informations anxiogènes. Il est très important pour les irresponsables dirigeant le pays de maintenir la nation dans la peur. Tous les coups sont permis. Et avec les imbéciles ça fonctionne à la perfection. Les imbéciles étant majoritaires et pour éviter qu'ils ne s'interrogent, il y l'élection Miss France, le football et les séries Américaines.

J'écoute en préparant mentalement ma procédure. Après mon repas, j'étale la pâte feuilletée dans le grand plat à tarte aux bords hauts. Je lave et je coupe en rondelles l'aubergine, les courgettes. Je les aligne en spirale et en dominos verticaux sur la pâte. J'y verse le liant à base d'œufs, de crème fraîche, de moutarde à l'ancienne et de lait de soja. Je recouvre d'une bonne couche de gruyère Suisse. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillé. Je fais deux cercles concentriques avec des cerneaux de noix. Je place au four électrique pour laisser mijoter longuement à 160°. Je fais l'assaisonnement de la salade d'endives. J'en lave deux. La vaisselle. Je monte me laver les dents. En regardant par une des deux fenêtres de la salle de bain je découvre qu'une légère brume se lève.

C'est étrange. Le ciel est d'un bleu limpide et du sol semble monter une brume mystérieuse. Je n'aime pas savoir Clémentine devoir conduire dans le brouillard. Pressé de me dégourdir un peu les jambes, je dévale les escaliers pour enfiler mon anorak. La température extérieure est de 6°. Bonnet, gants. Pas le moindre souffle de vent en descendant jusqu'à la rivière. Je salue nos amis à plumes qui virevoltent sur l'eau totalement indifférents aux conditions climatiques. Il est treize heures quarante cinq quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans la continuité de cette allégresse qui m'habite depuis ce matin. Il est dix sept heures. Je dépose la dernière touche de vert d'émeraude sur la surface de ma toile achevée. Elle va sécher sous un linge sur son support.

Je nettoie la palette, les pinceaux. Sur le chevalet je pose la cinquième scène de genre dont le dessin préparatoire et les couches d'impression sont déjà réalisés. J'attaque ce nouveau tableau dès demain matin. Dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Je dois te branler avant et après le repas de la part d'Estelle ! >> conclue t-elle alors que nous rions aux éclats. Clémentine a encore ses notes de la journée à mettre au propre. Elle allume son ordinateur, s'entoure de ses fiches. Assise à chantonner en ouvrant un classeur. Debout derrière elle, je passe mes doigts dans ses cheveux à la manière d'un grand peigne.

Clémentine adore ça. << J'aime, ça me détend ! >> lance t-elle. Parfois je relève ses cheveux pour coller mes lèvres dans sa nuque. Du bout de la langue je titille la peau. << Mmhh ! Interdiction d'arrêter ! >> gémit elle tout en restant concentrée sur ses écrits. Je la laisse pour aller m'installer dans le vieux canapé en velours carmin de l'atelier. Dehors il fait nuit noire. Je suis plongé dans la lecture d'un de mes ouvrages consacrés à la peinture de la Renaissance Italienne. Sandro Boticelli et ses personnages aux visages étranges. Raphaël et ses techniques stupéfiantes. Michel-Ange, le Titien. << Put-Hein, là je rejoins mon chéri ! >> s'exclame soudain Clémentine en se levant d'un bond. En rangeant ses affaires elle rajoute : << Tu sais que j'ai envie de faire plein de trucs ? >> dit elle.

En sautillant elle vient me rejoindre. Je pose mon livre en me redressant pour m'assoir. Un épais coussin qu'elle met au sol entre mes pieds, installée à genoux dessus, elle fourre sa main dans ma braguette en disant : << Des trucs dans le style par exemple ! >>. En humant à plein nez les odeurs de ma journée d'homme, Clémentine me confie à quel point elle a le souhait d'une soirée pipe. Nous en rions de bon cœur. Je caresse ses cheveux en l'écoutant revenir sur son amour de la fellation. << Je ne te suce pas assez et je vais finir par manquer de pratique ! >> lance t-elle. Nous rions aux éclats. J'aime passer le bout de mes index sur ses sourcils. Les yeux fermés, Clémentine apprécie les délicates explorations de mes doigts sur son visage. Je passe l'index sur ses lèvres. Sèches.

Je bande mou. Clémentine y frotte ses joues en gémissant d'aise. Elle mâchouille un peu la peau fripée de mon prépuce. J'aime bien quand elle la saisit entre le pouce et l'index de ses deux mains pour l'écarter. Elle y enfonce le bout de sa langue. Elle ouvre les yeux pour me fixer de son regard espiègle. Je bande de plus en plus fort. Clémentine referme ses lèvres sur mon prépuce qu'elle tient afin qu'il ne décalotte pas mon gland. C'est ainsi qu'elle adore sucer. Quand elle se retire légèrement pour siroter les premières montées de liquide séminal, il y a déjà un filament épais et visqueux qui relie sa bouche à mon sexe. Consciencieusement, les yeux fermés, concentrée, en gémissant, elle savoure mes montées de jute. Des bulles apparaissent aux commissures de ses lèvres.

Je saisis sa crinière pour retirer ma queue trempée en disant : << Après cet apéro, si nous passions à table ? >>. Clémentine se lève d'un bond, tend ses mains que j'attrape. Morts de faim nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand elle découvre la surprise, Clémentine me choppe la bite, enfonce sa langue dans ma bouche. << Mmmmhhhh ! >> gémit t-elle en m'embrassant passionnément. La tarte à l'aubergine et aux courgettes est dans la fournaise du four à bois. Nous coupons les deux endives. Il ne reste qu'à mettre les assiettes, les couverts. Par mesure de précaution, je remballe ma bite. Par contre je déboutonne le Levis de Clémentine pour fourrer ma main dans sa culotte. J'adore ce réflexe d'étonnement typiquement féminin. Je murmure : << Moi aussi j'ai envie de te manger ! >>

Clémentine enfile les maniques pour sortir la tarte du four. Je suis debout derrière elle alors qu'elle est accroupie. Je caresse ses seins minuscules sous le coton de son sweat. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la valise qui contiendra nos affaires pour l'Écosse. << On commence ce soir avant d'aller au lit ! >> propose Clémentine. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque la soirée sybian proposée par Juliette vendredi prochain. << Je n'ai pas trop envie. Le lendemain on prend l'avion. Je préfère rester avec toi. Juste toi et moi ! >> s'exclame Clémentine. Je trouve la suggestion parfaite. La vaisselle. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'au salon. Je glisse la mienne dans sa culotte. À nouveau cet amusant soubresaut.

Je tiens son clitoris géant. Clémentine s'accroche à mon cou, sa tête contre mon épaule, à savourer ma caresse. J'adore quand elle se met à bouger d'un lent mouvement régulier. Je descends son Levis et sa culotte. J'ai l'accès idéal. Je ne lâche pas son clitoris. Cette étonnante petite bite qui semble encore grandir avec les années. Je la tire par son clitoris. Avec ses vêtements sur les chevilles elle tente bien d'avancer. Je m'accroupis pour ouvrir ses bottines, les retirer, arracher ses jeans et sa culotte. Je me redresse. J'adore ses yeux grands ouverts d'étonnement devant mes initiatives. Je reprends son clitoris entre le pouce et l'index. Je l'attire ainsi pour faire le tour du bureau. En tenant ses cheveux relevés d'une main, se tenant à moi de l'autre, pour ne pas perdre l'équilibre, elle se laisse guider.

Je murmure : << Tu aimes comme ça ? >>. Clémentine dans un souffle, émettant un petit cri de ravissement, répond : << J'aime tout ce que tu me fais. Là, c'est tout simplement extraordinaire ! >>. Je crois qu'elle n'exagère pas. Je tiens son clitoris sans le lâcher, en la faisant faire le tour de la grande pièce. Des arrêts où j'enfonce ma langue dans sa bouche. Des arrêts où je la masturbe en branlant son clitoris comme une petite bite. Cambrée sur ses genoux fléchis, Clémentine connait une succession d'extases. La tête rejetée en arrière, ses mains tenant ma nuque, elle est secouée de spasmes. << Comme c'est bon ce que tu me fais ! >> s'écrie t-elle entre deux cris de plaisir. Je l'emmène vers le bureau. Je la soulève pour l'y assoir. Je frotte mon sexe sur le sien. Ils sont trempés.

Ça rentre comme dans du beurre. Cette fois c'est Clémentine qui tient son clitoris alors que j'imprime un léger mouvement de va et vient. Je la berce. En appui sur un bras derrière elle, se masturbant, sa tête au creux de mon épaule, Clémentine gémit de plaisir. Je la soulève pour la promener dans toute la grande pièce obscure. Je la dépose dans le canapé après m'être retiré. À genoux sur un des épais coussins, ma tête entre ses cuisses, je me régale de sa journée de fille et des sucs de ses excitations. J'anticipe. À côté de moi la cuvette en plastique. Les orgasmes délirants de Clémentine sont pisseux. Et ce soir il y en aura deux. Le premier qui l'a fait hurler. J'oriente la cuvette. Elle veut me repousser délicatement alors que je plaque mon visage sur son sexe. Je me bouffe tout ce que je peux avant de recommencer à sucer son clitoris incroyablement turgescent. Des râles graves alternent avec des cris d'animal blessé. Un second orgasme. Sec.

Bonne nouille à toutes les coquines qui se font juter dans la bouche sous la couette, avant de plonger dans un profond sommeil réparateur...

Julien (qui égoutte sa nouille)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Wednesday 20 December 2023 07:35

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 23 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2468 -



Le froid glacial du mardi

L'application "forêt" nous enchante de ses fééries. Une fois encore, hier matin, mardi, elle nous tire du sommeil avec ses enchantements. Le gazouillis des oiseaux. Le bruit de la source. Tout cela au plus profond d'un bois mystérieux. Clémentine se tourne vers moi pour se blottir. En gémissant, cherchant toute l'énergie nécessaire pour se réveiller à presque six heures. Quelques bisous, quelques papouilles. C'est difficile. Nous nous précipitons aux toilettes. La fraîcheur qui règne encore dans la maison nous oblige à l'extrême mobilité. Dans la salle de bain nous nous habillons de nos lycra de sports avant de dévaler les escaliers, morts de faim. Les radiateurs viennent d'ailleurs de se réveiller eux aussi. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. Pendant que Clémentine prépare le café.

Je mets les deux gros croissants dans le four à micros ondes. Clémentine presse les oranges, pèle le kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée à deux. << J'aime tout ce que tu me fais. Tes initiatives me couvrent de plaisirs ! >> lance Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en évoquant les vacances qui s'annoncent. Nous remontons nous entraîner. Six heures vingt cinq. Les échauffements aérobics, le jogging sur les tapis roulants, les exercices au sol. Les charges additionnelles. Le retour au calme du stretching avant de finaliser avec une douche. Je redescends très vite pour aller sortir la voiture du garage. Presque 7 h45. Il fait nuit. La température est glaciale avec 2°. Clémentine vient me rejoindre dans son anorak. Bonnet, gants, bottes à fourrure.

Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou et je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais la vaisselle, notre lit avant de passer dans l'atelier. Là aussi j'allume le feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je m'attaque à la peinture de cette cinquième scène de genre à trois personnages. Je peins dans une douce sérénité. Sans aucune perception du temps qui passe. Il va être midi car mon estomac gargouille. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe le reste de la tarte à l'aubergine et aux courgettes. Je fais l'assaisonnement d'une belle laitue dont je lave les feuilles également pour ce soir. Je descends à la cave, au cellier, pour y récupérer un gros choux fleurs.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Le remplaçant d'André Bercoff anime son émission avec autant de savoir faire, de "mordant" et de verve. Il y est question de la loi sur l'immigration. Il a fallu quarante ans aux irresponsables successifs qui ont dirigé le pays pour pondre une loi qu'attendait une immense majorité de gens. Je suis amusé par les extraits sonores des différentes joutes verbales entre les dirigeants de partis. Décidément ce Jordan Bardella est un redoutable adversaire pour toute les fripouilles qui ont la mauvaise idée de vouloir faire leur petit "numéro" devant lui. Pitres pathétiques mis devant leurs pitoyables bilans, leurs mensonges, leurs manœuvres d'appareil et leur mauvaise foi consternante. J'écoute en préparant mentalement le repas du soir.

Je coupe et lave le gros choux fleurs que je laisse tremper dans de l'eau vinaigré. Je râpe du gruyère Suisse. De l'ail, de l'oignon. Je concocte une sauce au Roquefort. Le choux fleurs ébouillanté quelques minutes dans l'auto cuiseur. Je l'égoutte avant de le verser dans le grand plat carré en terre cuite. Je verse la sauce sur le tout. Le liant parfait. Je recouvre d'une copieuse couche de gruyère. Chapelure, graines de sésame grillé. Des cerneaux de noix. Au four électrique pour laisser mijoter longuement à 160°. Je fais l'assaisonnement pour la laitue. Assaisonnement que je recouvre d'un linge avant de le mettre dans la véranda pas chauffée. Excellente manière de conserver sa fraîcheur. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller marcher un peu je redescends très vite.

L'anorak. Le ciel bleu de la matinée a fait place au gris. De plus en plus bas et sinistre. Je vais jusqu'à la rivière. Ce désagréable vent de Nord Est accentue encore ce froid polaire. Il ne fait pas plus de 4°. Il est treize heures quarante cinq quand je suis installé devant mon chevalet. Je peins dans le même sentiment de sérénité que ce matin. Sans voir passer le temps. La nuit tombe vite et à partir de seize heures trente le crépuscule la précède. Dix sept heures trente. Du bruit. Clémentine rentre de cours. Pose son cartable sur la table. Se précipite vers moi. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le repas de midi au restaurant universitaire. Clémentine a du travail à terminer. La voilà assise devant son ordinateur entourée de ses fiches.

Cette petite heure d'émulation que j'attends toute la journée. J'ai l'impression de peindre mieux. << Mais comme j'en ai marre ! >> s'écrie t-elle soudain en se levant. Elle range ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Nous nous rejoignons devant le petit lavabo de l'atelier. Pendant que je me lave les mains, Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets. Rituel pisseux qui nous amuse à chaque fois. Une habitude, certes, mais dont il est impossible de se lasser. Après s'être régalée des derniers reliquats, Clémentine se redresse en disant : << Tu me fais comme lundi soir ? >>. Je la prends dans mes bras alors qu'elle déboutonne son Levis. J'y fourre ma main. C'est doux, c'est chaud, c'est plein de poils et son clitoris géant semblait n'attendre que notre "rendez-vous".

À peine l'ai-je saisi entre le pouce et l'index que Clémentine a ce sursaut, ce réflexe féminin qui fait frémir tout son corps. << Mmmhhh ! >> gémit t-elle en posant sa tête dans le creux de mon épaule. Estelle, coquine, arrive toujours le plus silencieusement. La porte s'ouvre sur sa silhouette. Elle se précipite. Elle découvre ma queue dans la main de Clémentine, la mienne dans sa culotte. << Put-hein moi aussi ! >> s'écrie t-elle en passant ses bras autour de ma taille. Clémentine s'écarte en disant : << Juste un peu alors ! >>. Nous rions alors qu'Estelle déboutonne elle aussi son 501. Son clitoris "normal" est quasiment introuvable mais je le situe très bien. Elle aussi a cet adorable réflexe de surprise quand je titille son petit "bouton". Clémentine, derrière, ses bras autour de ma taille. Je sens et j'entends son souffle chaud s'accélérer. Elle se frotte contre mes fesses.

Nous restons ainsi devant la cheminée. Je suis entre mes deux anges, mes mains dans leurs culottes. Leurs bras autour de mes hanches, de mes épaules, à se laisser caresser. Les dernières flammes éclairent cette partie de l'atelier. C'est une ambiance magique. Je propose d'aller manger. Morts de faim nous quittons la grande pièce pour la cuisine. Un gratin de choux fleurs nous attend là. Quand elles le découvrent, mes deux anges me mitraillent le visage de bisous. Ma bite tenue fermement par Estelle bien décidée à ne plus la lâcher de la soirée. << Mon "doudou" ! >> lance t-elle en se plaçant derrière moi pour l'agiter vers Clémentine. << Voleuse ! >> lance cette dernière alors qu'Estelle fait tournoyer mon Zob en s'exclamant : << L'hélicoptère ! >>. Le gratin dans le four à bois.

Tout est déjà prêt. Il suffit de mettre les assiettes, les couverts. Estelle, accroupie devant le four, surveille le gratin. Clémentine me tient la queue pour me masturber un peu. Toutes les deux savent bien que la vision d'une femme accroupie, de dos, exerce sur ma psyché les plus délicieux tourments. Enfilant ses maniques, Estelle sort le plat du four. Doré, fumant, de toute beauté. Nous mangeons de bon appétit en évoquant les vacances qui se profilent. À l'idée de prendre l'avion samedi matin, Estelle nous confie ses craintes. Ce n'est pas seulement la peur mais les inconforts physiques que cela engendre chez elle. Elle a ses médicaments pourtant. Nous traînons à table en revenant sur les préparatifs. Nous avons fait l'inventaire des choses à ne pas oublier. Tout comme Estelle lundi soir.

La vaisselle. Nous quittons la cuisine pour le salon. Clémentine allume les deux grosses bougies du candélabre. Estelle, serrée contre moi, tient ma bite. Je bande mou. Nous regardons et écoutons Clémentine qui revient sur les vêtements à ne pas oublier pour presque deux semaines. C'est la maman d'Estelle qui nous emmènera à l'aéroport samedi matin. Michèle insiste toujours. Ce sont ses parents qui reviendrons nous chercher le vendredi 5 janvier en fin d'après-midi. Je glisse ma main dans la culotte d'Estelle. Clémentine nous rejoint. Je fais pareil de mon autre dextre. Toutes les deux, cambrées sur leurs genoux fléchis, pieds largement écartés, m'offrent leurs minous. J'enfonce les doigts. Je tiens le clitoris géant de Clémentine. Je reproduis mes actes du lundi soir. Elles sont comme émerveillées.

Nous restons ainsi. Je caresse, je tripote, j'enfonce. Estelle se tient à mon érection comme pour garder l'équilibre. Elles s'accrochent à moi en se faisant masturber. Elles chuchotent leurs impressions, leurs ressentis. << J'adore ! >> murmure Clémentine. << Moi aussi ! >> dit Estelle. Je fais : << Si vous enlevez vos fringues, je vous prends toutes les deux sur le bureau ! >>. Bien évidemment je ne suis pas obligé de le répéter. Toutes les deux se penchent pour enlever leurs bottes. Leurs Levis, leurs culottes. Elles m'entraînent par la main jusqu'au bureau sur lequel elles s'installent. Je file récupérer deux épais coussins du canapé. Elles pourront y poser leurs têtes. Toutes les deux se touchent en me fixant. C'est impressionnant. Seul leurs yeux bleus brillent dans l'obscurité. Quatre diamants aux éclats magiques.

Ceux de Clémentine paraissent encore plus clairs selon l'angle où elle regarde. Ce soir, je veux commencer par elle. Je tiens ses chevilles pour garder ses jambes relevées. Ses cuisses largement écartées. Je frotte mon sexe contre le sien. Elle tient son clitoris en me fixant dans les yeux. Son autre main en appui derrière elle. Clémentine s'accroche à mon cou alors que je la pénètre doucement. Les gémissements d'Estelle qui se masturbe en attendant son tour. Nous adorons pratiquer la "baise sur bureau". Nous sacrifions une fois encore à ce rituel excitant. Je passe de l'une à l'autre. Ça rentre comme dans du beurre. Comme si mon sexe était aimanté par celui de mes deux anges. Parfois, avant d'en pénétrer une, je me penche pour lui bouffer la chatte. J'ai rapidement toute la gueule trempée de mouille. Ça picote.

Elles m'observent avec le plus grand sérieux pendant que je les besogne. Ce ne sont que quelques instants avant qu'elles ne referment les yeux possédées par le plaisir intense de la masturbation agrémentée de la pénétration. L'orgasme d'Estelle la fait hurler. Couchée sur le côté, les mains entre les cuisses comme en proie à une intense douleur, elle tente de revenir à la réalité. L'orgasme de Clémentine est pisseux. Fort heureusement nous préparons toujours la cuvette de plastique bleu. J'oriente, le plus près possible. Mais avec la puissance des jets, ça éclabousse toujours un peu. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il reste une dizaine de minutes où les filles se rhabillent. Nous raccompagnons Estelle dans la nuit noire jusqu'à sa voiture. La séparation n'est jamais simple. Et il fait si froid.

Bonne nouille à toutes les coquines qui vont se régaler du jus de celle de leurs bienfaiteur. Sous les draps, avant de sombrer dans le plus profond des sommeils...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Thursday 21 December 2023 07:42

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 24 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2469 -



La soirée avec Juliette

Il est presque sept heures hier matin, mercredi. Je réveille Clémentine que j'ai entendu se lever tôt ce matin. << J'ai mes "petits machins" ! >> murmure t-elle en se blottissant dans mes bras. Réglée comme une horloge, tous les 20 du mois, Clémentine est la victime de son cycle naturel. Quelques bisous. Je caresse délicatement son bas ventre. Je pose mes lèvres sur ses seins minuscules pour souffler de l'air chaud à travers le coton de son T-shirt de nuit. << Mmhh ! >> gémit elle. Nous nous levons pour aller aux toilettes. J'y laisse Clémentine seule. Elle me rejoint dans la salle de bain où nous nous habillons de nos tenues sports. << Ça va plutôt bien pour mon premier jour. Juste des crampes mais pas de bobo ! >> m'explique t-elle. Elle a pris un de ses médicaments contre les douleurs.

Morts de faim nous dévalons les escaliers. Les radiateurs fonctionnent depuis plus d'une heure. Il fait bien chaud. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis en me donnant ses impressions. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les folies du mardi soir avec Estelle. << Ça précipite toujours les choses les baises du jour d'avant ! >> lance t-elle. Nous en rions de bon cœur. C'est agréable de ne pas êtres obligés de composer avec le temps car le mercredi il est presque tout à nous. Clémentine va à l'université depuis son ordinateur. Nous ne traînons toutefois pas trop. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents avant de passer dans la salle d'entraînement. Pas chauffée. C'est extrêmement motivant la fraîcheur.

Les échauffements aérobics, le jogging sur les tapis roulants. Je vois bien que Clémentine ne souffre pas car à sa façon de déconner elle me fait plier de rire. Les exercices au sol, surtout les groupés, sont un peu la thérapie idéale. Rien de plus efficace qu'une ceinture abdominale musclée, ferme et entretenue pour soutenir les viscères. Les charges additionnelles avant le retour au calme du stretching. La douche. Il est 8 h45 quand nous sommes installés dans l'atelier. La flambée dans la cheminée qui crépite. Clémentine devant son ordinateur pour le télé travail, moi devant mon chevalet pour ma peinture. Nous adorons êtres ensemble pour travailler. J'aime entendre Clémentine parler, ses écouteurs sur les oreilles. À la tonalité que prend sa voix je sais quand elle s'adresse à Estelle ou au prof. C'est superbe.

Parfois je me lève pour aller la rejoindre. Derrière elle, passant mes doigts dans ses cheveux, à regarder ce qui se passe sur l'écran de son Macbook Pro. << On a oublié d'ouvrir le portail pour Danièle ! >> me fait Clémentine. C'est vrai. Et il n'est pas loin de dix heures. Je quitte l'atelier pour aller ouvrir le portail depuis l'interphone du hall d'entrée. Clémentine vient me rejoindre en disant : << Sors ta bite ! >>. Elle s'accroupit pour l'extraire de ma braguette ouverte. Je suis toujours un peu fébrile dans ces attentes. La camionnette blanche descend lentement les pavés autobloquants. Sous la pluie. Danièle gare son véhicule devant le garage. Elle en saute pour récupérer un carton à l'arrière. Sous la capuche de son ciré vert, chaussée de ses bottes en caoutchouc vert, la jeune femme traverse le jardin en courant.

Nous l'accueillons en la faisant entrer. Elle fait penser à un lutin vert dans son ciré qu'elle retire. Ses cheveux cours, auburns, sont humides malgré tout. Je la débarrasse du carton. Elle fixe mon érection en me souriant. << Il faut que je m'en mette plein les yeux car nous ne nous revoyons que le samedi 6 janvier ! >> lance t-elle en m'adressant un clin d'œil. Clémentine répond : << Et on peut même toucher pour s'assurer qu'on ne rêve pas ! >>. Nous rigolons tous les trois comme des bossus. Quelle n'est pas ma surprise quand Danièle saisit mon sexe de sa main gauche. << Pas d'à priori contre les gauchères ? >> demande t-elle, espiègle. Je ne sais quoi dire c'est à la fois surprenant, intense et excitant. Danièle rajoute : << En janvier je prendrai davantage de temps, j'ai trop envie ! >>

Danièle lâche ma bite au bout de quelques secondes. Elle s'adresse à Clémentine pour demander : << Si j'ai votre permission, bien évidemment ! >>. Clémentine saisit mon sexe pour répondre : << Mais sans aucun problème. J'aime voir Julien dans l'embarras ! >>. Nous rions aux éclats alors que Danièle enfile sa cape de pluie. La livraison est déjà payée depuis samedi. Cette fois, et par surprise, Danièle dépose un bisou sur mes lèvres avant de filer. Arrivée à sa camionnette, en s'asseyant au volant, elle nous fait un grand coucou. Je me branle sur le perron. Nous la regardons repartir. Nous regagnons l'atelier. << Sympa, non ? >> lance Clémentine en me tordant la queue encore bien dure. Nous voilà installés devant nos postes de travail. La matinée passe très vite.

Deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de concombre. Je réchauffe les restes du gratin de choux fleurs. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la visite de Danièle. << Tu as vu ses expressions quand elle tenait ta bite ? >> demande Clémentine. Je suis un peu gêné quand elle rajoute : << Et si tu as bien compris elle te fait une pipe en janvier ! >>. Je ne sais quoi dire en regardant Clémentine mimer une fellation. Elle pose sa main sur la mienne pour dire : << Depuis le temps qu'elle en a envie. On parie ? >>. Je sais qu'elle ne se trompe jamais sur la psychologie des gens. Cette idée me fait bander. Je me lève pour agiter mon sexe. Clémentine dit : << Et ce soir, ce sera devant Juliette ! >>

Du carton posé sur la table, je sors le poulet fermier. Il provient de l'élevage de Danièle. Pour le repas de ce soir ce sera poulet et frites. Notre repas de Noël anticipé puisque nous ne verrons plus Juliette avant le mercredi 10 janvier. << Tu es prié de te comporter comme le dernier des salauds ! >> rajoute encore Clémentine en sortant les pommes de terre du panier. Je pose le poulet dans le grand plat de terre cuite. Avec de l'ail, de l'échalote, des champignons de Paris. Clémentine le badigeonne d'un mélange huile et moutarde. Un peu d'eau. Elle le met dans le four électrique. Cuisson douce et lente à 160°. Ce soir nous réchaufferons avec les frites dans la toute nouvelle friteuse sans huile. Estelle nous a bien montré comment procéder. Parfait. Nous aimons les nouveautés.

Nous pouvons prendre tout notre temps. Dehors la météo reste épouvantable avec des bourrasques de vent, des paquets de pluie projetées contre les vitres. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Nous voilà de retour dans l'atelier alors qu'il n'est que treize heures trente. C'est la fin du trimestre pour Clémentine qui veut être à jour de ses travaux. Nous sommes rapidement plongés dans nos labeurs. L'après-midi passant encore plus vite. Il est 17 h quand Clémentine éteint son ordinateur. << Vivement vendredi midi ! >> lance t-elle en rangeant ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. La nuit est tombée. Nous aimons en profiter, toutes les lumières éteintes, installés dans le vieux canapé de velours carmin. Juste éclairés des flammes de la cheminée. Sérénité.

Couchée sur le dos, sa tête sur mes cuisses, sa joue contre ma bite, Clémentine me confie à quel point elle est impatiente d'être en Écosse. Je l'écoute en caressant ses cheveux. Ces moments de retour à l'inactivité agissent comme un sas. Une décompression entre deux états. Elle ferme les yeux en gémissant d'aise. << Ne me laisse pas m'endormir, je déteste ça ! >> murmure t-elle en tournant la tête pour gober la peau fripée de mon prépuce. Il commençait à coller contre sa joue. Je chuchote : << Comme ça, tu vas attraper un torticolis ! >>. Elle se redresse pour se coucher sur le côté. En appui sur son coude, ma bite dans la bouche pour une authentique pipe des familles. Toutes les deux trois minutes, pour laisser reposer sa mâchoire, elle cesse pour me raconter. Pour tenter d'avaler.

Parfois, ma main sur sa nuque, j'appuie. Ma bite enfoncée elle pousse un petit râle de surprise. C'est moi qui raconte. Je reviens sur quelques souvenirs communs. Je demande : << Tu vas sucer le voisin avant qu'on parte ? >>. En riant, cessant de sucer, elle répond, la bouche pleine de foutre : << On aura pas le temps ! >>. J'adore quand elle n'arrive pas à prononcer toutes les voyelles à cause de la jute qu'elle tente de déglutir en même temps. Je fais d'ailleurs exprès de poser tout un tas de questions dans les moments les plus critiques. Quand j'entends les gargouillis, le bruit bulleux. Elle le sait et c'est toujours en riant qu'elle essaie vainement de répondre de façon intelligible. Elle se redresse pour me montrer l'intérieur de sa bouche. Pleine de cette jute qu'elle veut surtout savourer en la laissant longuement se dissoudre dans sa salive. Je caresse son visage délicatement.

Il va être dix huit heures. Il y a les frites à préparer, le poulet à réchauffer. La table à mettre. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'accroupit pour épancher les coulures de foutres qui pendent de ma queue à présent molle. << J'adore la sucer quand elle est molle, il y a plein de jus ! >> s'exclame t-elle à chaque fois qu'elle se redresse. Nous épluchons les patates, nous les lavons, avant de les passer au presse frites. La friteuse est branchée. Je mets le poulet dans le grand tiroir de gauche. Clémentine met les pommes de terre dans le tiroir de droite. Elle allume l'appareil. Il y a une série de déclics, des voyants lumineux. << En route pour le voyage spatial ! >> fait Clémentine en s'accrochant à mon cou. J'ai la bite bien remballée pour éviter tout accident domestique.

Nous mettons les assiettes, les couverts sur le chemin de table en lin écru. Clémentine fait des nœuds savants avec les serviettes de même tissu. Dressés tels des fleurs dans les verres. Les déclics et les voyants lumineux de la friteuse électrique. << Pilotage automatique. Atterrissage dans dix minutes ! >> lance Clémentine en fourrant sa main dans ma braguette. Mes lèvres posées sur ses petits seins aux extrémités douloureuses, je souffle de l'air chaud. << Mmhh, docteur Julien, après votre sirop, c'est une véritable thérapie que vous m'offrez là ! >>. Du bruit. Juliette arrive. << Coucou ! >> lance t-elle depuis le hall d'entrée où elle retire son manteau. Ce soir encore, elle entre dans la cuisine vêtue de son Levis, d'un pull noir à large col roulés. Ses bottines noires à talons. Une élégance et une classe naturelle qui restent fascinantes.

Nous nous faisons la bise. Cette fois Juliette ne fait pas semblant d'ignorer ce qui pend de ma braguette. << Le petit Jésus dans la crèche ? >> demande t-elle. Nous en rions de bon cœur. Le signal sonore nous averti que l'appareil vient de s'éteindre. Clémentine explique à Juliette son fonctionnement. Nous mangeons de bon appétit en parlant des fêtes de fin d'année qui se préparent. La sœur jumelle de Juliette viendra de Corse pour passer Noël et nouvel an avec elle. C'est toujours très agréable d'entendre les anecdotes de Juliette. La vie de son entreprise, celles de ses employés. Parfois, alors que la conversation n'a strictement rien de sexuelle, je me lève pour agiter mon chibre. Faire "l'hélicoptère". Clémentine décline la proposition d'une soirée sybian vendredi. C'est trop "juste".

<< Nous avons notre avion samedi matin. Une soirée branle risquerait de nous épuiser ! >> explique t-elle avant que nous n'éclations de rire. << On se rattrape en janvier ! >> conclue Juliette. Nous débarrassons pour tout mettre dans le lave vaisselle. C'est au salon que nous prenons une verveine et le dessert apporté par Juliette. Une tarte aux pommes "self made". Clémentine joue avec ma queue tout en bavardant. Installée dans le fauteuil qui nous fait face, Juliette se touche, une main dans son 501 déboutonné. Elle devra nous laisser pour 22 h. Aussi nous nous offrons cette soirée branle en savourant chaque instant. Je joue avec le clitoris géant de Clémentine. Des moments d'excitations intenses alternent avec des instants de "récupération". Surtout ne pas arriver jusqu'à l'orgasme. Juliette partage d'ailleurs cet exquis raffinement de cesser juste avant la seconde fatidique. Nous la raccompagnons sous les parapluies jusqu'à sa voiture.

Bonne nouille à toutes les coquines qui vont en savourer les jus sous la couette. Donnant leurs impressions sur les thérapies de leur docteur préféré et sur les goûts de son sirop. Sirop dont elles ne respectent pas forcément la posologie avant de dormir. En prenant deux fois...

Docteur Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Friday 22 December 2023 07:44

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 25 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2470 -



Les premiers cadeaux de Noël

Hier matin, jeudi, l'application "forêt" nous réveille de ses douces illusions. Nous avons vraiment l'impression d'ouvrir les yeux un matin d'été dans une profonde forêt. En gémissant Clémentine vient se serrer contre moi. Le temps de quelques bisous, de quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Il est six heures. Je laisse Clémentine dont c'est le second jour de ses règles. Elle me rejoint dans la salle de bain où nous mettons nos vêtements de sports. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Clémentine fait le café, pèle les kiwis, presse les oranges pendant que j'allume une flambée dans la cuisinière à bois. Cette fois ça se passe bien. << Juste quelques crampes sourdes et une congestion. Mes petits seins qui son douloureux au bout ! >> dit elle.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée avec Juliette. Nous ne la reverrons plus avant le début du mois de janvier. Nous mangeons de bon appétit en faisant l'inventaire de nos préparatifs pour l'Écosse. Tous les soirs nous plaçons un ou deux vêtements dans la grande valise à roulettes. Comme avant chaque départ, nous nous promettons d'emmener le strict minimum. Et en prenant l'avion nous avons une lourde valise à trimballer. Et à l'intérieur des habits que nous ne porterons même pas. Nous en rions de bon cœur. Il est six heures vingt cinq. Nous remontons pour notre entraînement. Le plaisir des échauffements aérobics, du jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol dont les abdos soulagent les viscères de Clémentine. Les charges additionnelles.

Après les étirements reposants d'un stretching un peu bâclé, c'est la douche. Je redescends en courant pour aller préparer l'auto. Il fait encore nuit à presque 7 h45. Il pleut. Par contre la température extérieure est de 6°. Clémentine me rejoint sous son parapluie. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou avant de rentrer au sec. Je fais notre vaisselle, notre lit. Dans l'atelier j'allume une seconde flambée dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette cinquième scène de genre me plonge dans une douce béatitude. Je peins en poussant des cris surréalistes à chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent. La matinée passe ainsi. Il va être midi. Je mets deux bûches sur les braises incandescentes.

Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il reste pas mal de poulet que je réchauffe à la poêle. Avec du riz complet que je fais gonfler. Je fais l'assaisonnement d'une salade de carottes. En prévision du repas de ce soir, j'ai même le temps de concocter une Béchamel onctueuse. De jeter les coquillettes dans l'eau bouillantes. De disposer les cinq grosses bouchées à la reine dans le plat carré en terre cuite. Je rajoute les restes du poulet avec du gruyère et des champignons dans la Béchamel. Je remplis les bouchées à la reine de cette garniture. J'égoutte les coquillettes pour les verser entre les bouchées. Je recouvre de fines lamelles du fromage à raclette que nous a conseillé et apporté Danièle mercredi matin. Une expérience. Des graines de sésame grillé, chapelure et cerneaux de noix.

Le plat au four électrique pour une lente cuisson à 160°. Je savoure mon riz accompagné d'un filet de colin rissolé dans le jus du poulet. Pas dégueu. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission le remplaçant d'André Berfcoff aborde les sujets d'actualités. La véritable "chasse à l'homme" dirigée par les médias mainstreams contre Gérard Depardieu. Alors qu'au stade où en sont les investigations, il n'y a que des témoignages. Mais le brave peuple aime jeter aux enfers aujourd'hui les dieux qu'il a monté au pinacle hier. Comme le précise une invité de l'émission au téléphone : << Dans le porno je n'ai jamais été obligée de coucher pour réussir. Mais je dois préciser que je ne suis pas une actrice de cinéma subventionné, moi ! Avec Gérard c'est quand il veut. Où il veut. Je ne crache pas dans la soupe et je ne mords pas la main qui me nourrit. Quand je n'ai pas de tournages je ne suis pas obligée de me faire de telles publicités ! >>

J'écoute amusé les interventions des unes et des autres. Plutôt celles des autres d'ailleurs. On se doute bien que Depardieu est un gros porc. Mais de là à le condamner avant un jugement, c'est un peu infecte et nauséabond. Inquisitorial et abjecte. Car si aucun fait n'est avéré à ce stade des investigations, Gérard Depardieu est déjà passé sous la guillotine médiatique. Je fais la vaisselle. Je retire la nappe pour la remplacer par le chemin de table en lin écru. J'y place les assiettes à décors, les couverts en laiton doré. Je fais l'assaisonnement de la salade d'endives. Ainsi, pour ce soir, tout est prêt. Je monte me laver les dents. Pressé de me dégourdir un peu les jambes, je dévale les escaliers pour enfiler mon anorak, chausser mes bottes en caoutchouc. C'est sous le parapluie, en luttant contre les bourrasques, que je descends jusqu'à la rivière. Il est treize heures quarante cinq quand je suis confortablement installé devant mon chevalet.

Je peins dans le même état de béatitude que ce matin. Sans voir passer le temps. Cette toile sera terminée demain avant midi. Parfait. Du bruit. Déjà dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours. En jetant son cartable dans le fauteuil à bascules, elle vient vers moi en courant. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa matinée, le repas de midi au restaurant universitaire. << Tu sais que je n'ai pratiquement aucune douleurs contraignantes cette fois. Juste les bouts de mes seins qui me font mal à cause du soutif ! >> dit elle. Je pose mes lèvres sur chacun d'eux. Au travers de la laine de son pull, du coton de sa chemise, de la soie de son soutien gorge, je souffle de l'air chaud. << Mmhh docteur, comme c'est agréable. Votre thérapie ! >>

Clémentine a encore à mettre au propre ses notes. Ce soir elle me fait la lecture des derniers paragraphes remaniés de sa thèse. J'écoute en peignant. Je trouvais déjà l'ancienne version excellente mais je dois admettre que cette mouture définitive est un chef d'œuvre d'écriture. Même si pour moi l'intrication quantique reste de l'hébreu tyrolien issu de la chine antique du cinquième siècle avant le déluge. Nous rangeons nos affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Nous nous rejoignons devant le petit lavabo de l'atelier. Pendant que je me lave les mains, Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets. Accroupie, se régalant des dernières gouttes, Clémentine me fixe dans les yeux. Ce qui provoque très rapidement une sévère érection. Volonté délibérée. Car Clémentine adore le "mélange". Ces premières montées de liquide séminal, de ce jus opalescent dont elle prétend les vertus médicamenteuses. En riant aux éclats.

Je l'aide à se redresser. Elle me montre l'intérieur de sa bouche. Je suis toujours impressionné par la quantité de foutre pompée en quelques minutes une fois que je suis bien excité. Ses bras autour de mon cou, elle avale enfin en faisant une horrible grimace avant de dire : << Merci docteur. J'ai pris mes gouttes ! >>. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes alors que je la promène dans toute la grande pièce. Elle mitraille mon visage de bises en murmurant des douceurs. Impatiente d'être vendredi à midi, pour le début des vacances. Estelle, coquine, arrive le plus silencieusement possible. Ce n'est que lorsqu'elle ouvre la porte de l'atelier que nous découvrons sa présence. Elles étaient ensemble toute la journée. Aussi c'est moi qui fait soudain l'objet de toutes ses attentions.

Nous aimons quand même nous serrer tous les trois, heureux de nous retrouver. Après six ans de nos aventures il s'est créé entre nous des liens indissociables. Une complicité hors norme. Tout au fond de moi je sais que lorsque tout cela sera terminé, je plongerai dans les abîmes de l'effroi. Certainement le plus grand drame de mon existence. Ces idées me traversent souvent l'esprit quand nous sommes ainsi. Comme si elles les devinaient mes deux anges se montrent alors d'une extrême douceur. Estelle saisit ma bite toute molle en disant : << Docteur Julien j'aurai besoin de vos attentions ce soir. Vous savez j'ai encore méchamment baisé mercredi soir avec mon parrain ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Elle rajoute : << Et mes "trucs" tombent à Noël en plus ! >>

Morts de faim, nous quittons l'atelier pour la cuisine. Mes deux anges découvrent les préparatifs. Clémentine allume les quatre bougies sur chacun des deux chandeliers en bout de table. J'ai disposé de petites branches de sapin entre les assiettes. Ce qui parfume agréablement, donnant une ambiance festive. Quand elles découvrent ce que je tire du four électrique éteint pour le placer dans la fournaise du four à bois, j'ai droit à de véritables avalanches de tendresse. Il y a le paquet cadeau bleu métallique entouré d'un ruban de satin rouge. << C'est quoi ? >> s'écrie Estelle en voyant son prénom sur l'étiquette rétro. << Ouvre ! >> lance Clémentine. Fébrile, comme une petite fille, Estelle se précipite sur le paquet dont elle ouvre l'emballage. Elle découvre son MacBook pro M3. Silence.

Comme consternée elle reste un instant tétanisée. << Joyeux Noël ! >> faisons nous en même temps en la prenant par la taille, par les épaules. << Put-Hein mais vous n'imaginez pas comme c'est génial. Mon vieil Asus était à l'agonie et mon vieil HP tournait de l'œil ! Merci, merci mille fois ! >> s'écrie t-elle les yeux humides de larmes. Elle se jette dans mes bras en disant : << Merci Julien ! Tu me gâtes tout le temps ! >>. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. Je la promène dans la cuisine pendant que Clémentine sort les bouchées à la reine du four en s'exclamant : << Il était moins une ! >>. Nous mangeons de bon appétit. J'ai préparé une surprise pour Clémentine qui n'aura son vrai cadeau qu'à Édimbourg, envoyé par colis à son insu, alors que nous étions ensemble pour les expédier depuis la poste. Elle ouvre son petit paquet. C'est une bague en or blanc sertie d'un rubis du plus bel éclat. Le prénom gravé à l'intérieur. Gothique.

C'est une commande secrète réalisée par mon bijoutier habituel. Elle le glisse à son doigt. Se lève d'un bond pour venir s'assoir sur mes cuisses. Elle mitraille mon visage de bisous. J'aime lui offrir des bijoux. Au début elle n'était pas trop "bijoux" mais je lui ai expliqué qu'un bijoux reste un "capital" dans l'existence. Il arrive quoi que ce soit et un bijoux se monnaye toujours à l'avantage de son possesseur. Un peu comme un lingot d'or. Toutes les deux, assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mes épaules, me font plein de bises. << J'ai un nouvel ordinateur ! Comme je suis contente ! >> n'arrête pas de dire Estelle. Nous en rions de bon cœur. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il reste presque deux heures. La vaisselle. Mes deux anges m'entraînent par les bras au salon.

Elles me font tomber dans le canapé. Chacune jette un des épais coussins au sol. << Toi, tu ne vas t'en remettre ! >> lance Estelle en se mettant à genoux sur le coussin, à droite de ma jambe droite, ses coudes sur ma cuisse. Clémentine à genoux sur ma gauche, dans la même position. Elles n'arrêtent pas de me faire des bises. Ce qui fait chauffer mes joues. J'ai la bite à l'air, encore toute molle car je suis pétris d'une toute autre émotion. Estelle passe son index en dessous pour la faire gigoter. << On dirait une petite souris qui dort ! >> fait elle en y déposant des bises. Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche. Le moyen le plus imparable pour provoquer la plus extraordinaire des érections. Érection qui est rapidement dans la bouche d'Estelle. Estelle qui pompe avec passion.

Elle suce comme si sa vie en dépendait. Je lui demande : << Et ton contrôle "minou" des jeudis soirs ? >>. Elle cesse de sucer pour répondre : << On fait ça une fois à Édimbourg. Ça peut attendre ! >>. Nous rions. Mes deux anges se refilent ma queue suintante, dégoulinante de foutre et de salive. Je les tiens par leurs nuques en chuchotant des douceurs. Quel merveilleux spectacle. Si les femmes savaient dans quel état divin nous projettent les fellations, elles feraient ça tout le temps. Comme elles sont belles et "dramatiquement" merveilleuses quand elles font ça ! Je suis comme un bienheureux dans le jardin d'Éden. Mon seul soucis n'étant plus que de me contrôler, de me maitriser car je pourrais éjaculer à chaque instant. À chaque changement de bouche. Nous sommes au paradis.

Je me dois de faire quelques efforts. Qui n'en sont pas réellement mais qui demandent de me ressaisir. J'éjacule dans la bouche d'Estelle qui déglutit en poussant de petits râles de ravissement. Avec avidité alors que Clémentine observe la gourmandise d'Estelle avec le même ravissement. Je force Estelle à cesser. Clémentine prend immédiatement le relai. Estelle m'embrasse avec la même avidité qu'elle pompe. Après cette petite minute de flottement, où ce premier orgasme m'a comblé, je me sens repartir dans la tourmente de la pipe prodiguée par Clémentine. Estelle observe avec l'attention d'une entomologiste alors que je caresse sa nuque. Parfois elle tourne la tête pour me faire le plus merveilleux des sourires, chuchotant : << J'ai un MacBook Pro ! >>. J'éjacule une seconde fois dans la bouche de Clémentine. J'en ai les couilles congestionnées. Surtout qu'Estelle y retourne dès que Clémentine cesse pour avaler. Je dois sévir ! ! !

Bonne nuit à toutes les coquines qui se font bouffer la chatte sous la couette. Avant de s'endormir dans les bras de leur bienheureux...

Julien (le bienheureux)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Clémentine et Julien
Saturday 23 December 2023 07:32

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 26 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2471 -



Les vacances commencent à midi

Hier matin, vendredi, à presque six heures, l'application "forêt" nous réveille pour la dernière fois de l'année. Clémentine en gémissant se serre contre moi. Une cuisse sur mon érection, l'autre qu'elle glisse sous mes fesses, elle se frotte lascivement. C'est que nous resterions volontiers comme ça s'il ne fallait s'extraire de ce lit chaud et douillet. Quelques bisous, quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. J'y laisse Clémentine seule à ses "petites affaires". Elle me rejoint dans la salle de bain on nous enfilons nos lycra de sports. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Pendant que j'allume la cuisinière à bois. C'est en imitant l'accent Corse de Juliette qu'elle me raconte ses rêves. Facétieuse. Je suis écroulé de rire.

C'est la constante de tous les vendredis puisqu'elle termine à midi. Mais aujourd'hui double dose car c'est aussi le début des vacances. Clémentine se révèle encre très déconneuse même à cette heure indue. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée pipe de jeudi. Clémentine porte fièrement la bague que je lui ai offerte. << Tu es un cachotier. Tu as fais fabriquer cette bague à mon insu. Alors qu'on s'est jurés il y a sept ans de tout nous dire ! >> lance Clémentine en venant terminer sa tartine au miel assise sur mes cuisses. << Tu aurais une liaison secrète avec la femme de ton bijoutier, Jean Charlier ? >> dit elle. Elle rajoute : << Ou alors avec Jean lui-même ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Je réponds en montrant la bague : << Le fruit de nos amours ! >>

Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la journée. Six heures vingt cinq. Nous remontons nous offrir notre heure d'entraînement. Dans la déconne la plus totale Clémentine accomplit tous ces exercices avec facétie. Que ce soit les échauffements aérobics, le jogging sur les tapis roulants ou encore pour les abdos. C'est le troisième jour de ses règles et les exercices au sol agissent sur son ventre comme une thérapie de soulagement. Les charges additionnelles où il faut se montrer du plus grand sérieux sous peine de risquer la blessure. Ce qui serait stupide avant les vacances. Les étirements d'un retour au calme salvateur avant la douche. Je redescends le premier pour aller sortir la voiture du garage. Il pleut. 7 h45. Il fait encore nuit. Tout est d'un sinistre !

Clémentine me rejoint sous son parapluie. Il fait moins froid avec une température extérieure de 8°. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer au sec faire notre vaisselle, notre lit. Dans l'atelier, j'allume le feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette cinquième scène de genre me plonge dans les introspections de ma passion. Je peins dans cet esprit de déconne laissé par Clémentine. Il est dix heures trente quand je termine cette quinzième toile de commande. Je nettoie la palette, les pinceaux. Cette toile va sécher sous un linge afin de la préserver de la poussière. Elle partira fin janvier, comme convenu. J'ai encore l'emballage de douze tableaux à finaliser avant midi. Je ne chôme pas. Je m'affaire immédiatement en chantonnant. Méthodiquement surtout.

Chaque toile est placée entre deux feuilles de papier sulfuré, deux feuilles de papier kraft. Le tout pris en sandwich entre deux plaques de polystyrène expansé, dense et résistant. On n'en trouve plus mais au grenier j'en ai un stock conséquent. Je place ce "sandwich" dans un carton à la dimension idoine. C'est une activité rapide et ludique. Il est presque midi quand les douze colis sont entreposés dans le hall d'entrée. Étiquetés à l'adresse de leurs commanditaires. Il y en a un pour la Hollande. Deux pour l'Allemagne et un pour le Canada. Dans la cuisine je peux enfin me consacrer à la préparation du repas. Les deux grosses bouchées à la reine avec leurs coquillettes, réchauffent dans le four à bois. Il faut bien les surveiller car c'est encore une fournaise. Je fais l'assaisonnement de la salade.

Un beau concombre avec les deux dernières tomates. Je mets les assiettes, les couverts. Midi trente. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille pour être emmenée aux toilettes. Je l'y laisse seule à ses "petits machins" de fille. Elle me rejoint à la cuisine en sautillant. << C'est génial je n'ai pas mal cette fois. Et je suis en vacances. Demain on part pour l'Écosse ! >> s'écrie t-elle en me sautant au cou une nouvelle fois. Je viens de sortir le plat du four. Il embaume toute la cuisine. C'est encore meilleur réchauffé. Nous mangeons de bon appétit en faisant l'inventaire de tout ce qu'il faut encore mettre dans notre valise. Nous traînons à table. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, Clémentine raconte sa matinée.

<< On a fêté Noël avec les profs. Estelle me charge de te dire que tu as intérêt à te méfier de ses ardeurs durant les deux semaines à venir ! >> dit elle en mitraillant mon visage de bisous. Elle rajoute : << Elle va s'initier au MacBook pro cet après-midi avant de faire le sapin avec sa maman ! >>. Estelle nous rejoint demain matin avec sa maman qui nous emmène à l'aéroport. Nous apprécions les détails bien réglés. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Clémentine reste avec les mêmes vêtements. Je me change. Tous les deux en Levis "bruts", pulls "bleu nuit" aux cols en "V" sur un chemisier blanc. Nos bottines noires. Une écharpe crème. Pressés de filer nous dévalons les escaliers. Il ne pleut plus. Nous profitons de cette accalmie pour mettre les colis dans la voiture.

Les cartons contenant les toiles ne pèsent pas grand chose. À peine deux kilos et huit cent grammes chacun. Tous de même format 6F (41 x 33 cm). On en prend trois chacun pour deux allers et retours. Sur le siège arrière. La température extérieure est de 13°. Ce qui change considérablement en rendant presque agréable ce climat pourtant humide. Nos épais blousons noirs de style "Perfecto" de chez Schott. Nous voilà parés. Nous prenons des poses devant le grand miroir de la penderie. << On est hypers sexys tous les deux en "bikers". Regarde comme on est beaux ! >> lance Clémentine en s'accroupissant. Sa tête contre ma hanche, ses bras autour de ma cuisse. << Vous m'accorderez une séance de dressage à Édimbourg ? Vous savez mon bon "Maître", j'ai besoin d'être reprise en main ! >> dit elle avec un regard implorant. Je pose ma main sur sa tête pour répondre : << Ma douce "Soumise", je me ferai une joie de vous remettre sur le droit chemin ! >>

Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue qu'elle suce parfois. Il y a une vingtaine de kilomètres jusqu'à la gare. Je gare l'auto sur le grand parking de la poste. Ses imposants bâtiments. Je propose à Clémentine de m'attendre au guichet des expéditions pendant que je retourne chercher les six derniers cartons. C'est un peu plus lourd et encombrant sur les deux cent mètres. Mais ne nous plaignons pas. Il ne tombe pas la moindre goutte de pluie. Nous enregistrons les douze colis. L'assurance et les formalités pour l'international. Le Canada ne faisant pas partie de l'UE, c'est un peu plus complexe. Il est quinze heures. Tout est réglé. Il y a le marché de Noël devant la gare, sur la place et dans le parc. De beaux chalets magnifiquement décorés eux aussi. Une bonne gaufre au sucre.

Le premier étage de notre salon de thé préféré où nous attendent des chocolats chauds et des éclairs au caramel. Je propose un bon restaurant pour ce soir. Clémentine me rappelle que nous avons nos dernières affaires à ranger dans la grande valise. Nous avons une partie de la matinée de demain pour finaliser nos préparatifs. << Mais j'ai envie de te sucer ! >> rajoute t-elle en insistant. Elle rajoute : << Tu sais bien que quand je commence je pourrais passer le reste de la journée à "ça" ! >>. Sa main posée sur la mienne, nous en rions de bon cœur. Nous attirons encore bien des regards. Notre élégance, nos hautes tailles, cette sublime jeune fille en compagnie de cet homme d'âge mûr. Nos attitudes qui n'ont rien de celles d'un père et de sa fille. Nous en jouons en nous en amusant.

Finalement, j'arrive à convaincre Clémentine. Elle réserve une table dans notre restaurant gastronomique préféré lui aussi. Il y du monde partout en ville. C'est le dernier week-end avant Noël. Tous les magasins seront ouverts dimanche. Nous flânons. Il ne pleut toujours pas. Ce qui rend nos promenades bien plus agréables. Surtout dans la douceur toute relative de ces 14° de l'après-midi. Un tour à la FNAC. Un tour au marché de Noël de la place de l'Hôtel de ville, puis dans celui plus petit devant la cathédrale. Sous les premières gouttes de pluie hélas. C'est à l'abri de notre grand parapluie que nous nous promenons. Mon téléphone qui vibre. Clémentine le saisit dans ma poche. << Estelle ! >> s'exclame t-elle en montrant l'écran. Nous bavardons un peu. Estelle est devant son nouvel ordinateur.

<< Merci Julien. Tu ne peux pas savoir à quel point je suis contente. Moi je ne sais jamais quoi t'acheter pour Noël ! >> lance t-elle. Clémentine répond : << Oh, une bonne pipe sous le sapin, ça ira ! >>. Nous rigolons comme des bossus quand Estelle s'écrie : << Mais alors c'est Noël presque tous les jours ! >>. Nous nous saluons au bout d'une dizaine de minutes où Estelle se promène virtuellement avec nous. << À demain matin, on arrive pour neuf heures trente ! >> conclue t-elle avant de nous laisser. Il est dix neuf heures quand nous sommes installés devant des tranches de saumon grillées accompagnés de légumes. Nous adorons les brocolis confis. C'est un délice. Nous traînons à table. Curieusement ce restaurant trois étoiles ne fait pas le plein ce vendredi soir. Ce qui rend nos deux visites aux toilettes très sympathiques. Clémentine adore me tenir la bite pour en diriger les jets. Me sucer dans un des cabinets des toilettes hommes.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont encore se faire sucer le clitoris sous la couette, alternant avec de juteux pompage de queue, avant un bon sommeil réparateur dans les bras de leur complice...

Julien (complice)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Sunday 24 December 2023 09:48

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 27 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2472 -



Le départ pour Édimbourg

Il est sept heures, hier matin, samedi quand Clémentine me réveille. J'adore la façon dont elle s'y prend. En me chuchotant des douceurs et des trucs coquins. Une cuisse sous mes fesses. L'autre posée sur sa main qui vient d'empoigner ma tumescence. Et quand elle se frotte lascivement contre ma hanche, le lobe de mon oreille entre ses lèvres, c'est l'enchantement paradisiaque. Clémentine a tant attendu ce jour. Le départ. Elle me chevauche en frottant son sexe sur le mien. Mitraille mon visage de bisous. L'impérieux besoin naturel met fin à nos effusions de tendresse. J'en suis couvert de frissons quand elle m'entraîne par la queue jusqu'aux toilettes. Qu'elle me la tient pour en diriger les jets, facétieuse, en jouant avec. << Mes "petits machins" sont terminés ! >> précise t-elle.

Après nos rituels pisseux du matin, nous nous précipitons dans la salle de bain pour enfiler nos tenues sports. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Il fait déjà bien chaud dans toute la maison. Comme nous la quitterons vers neuf heures trente, inutile d'allumer la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, je presse les dernières oranges, je pèle les derniers kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant l'inventaire de tout ce qui est déjà dans la valise. Dans le sac de sport qui contient nos chaussures et nos affaires de gymnastique. Nous mangeons de bon appétit en visualisant chacune des étapes de la journée qui nous attend. Sept heures trente. La vaisselle. Nous remontons nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, charges additionnelles.

Les étirements d'un bon stretching avant la douche. Dans l'amusante ambiance de déconne où nous baigne Clémentine, tellement heureuse de partir pour sa chère Écosse. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite je la coiffe. En peignoir, assise devant un des miroirs de la salle de bain, elle me confie ses souhaits. Tout ce qu'elle aimerait revoir à Édimbourg. Nous commencerons par la visite des fameux souterrains hantés de la ville. C'est à mon tour de me faire sécher et peigner. Tout en écoutant Clémentine parler du château que nous visiterons une nouvelle fois. Presque neuf heures quand nous sommes vêtus de nos Levis, de nos épaisses chemises à carreaux. Nos bottines. Un pull. C'est avec la grande valise, le sac de sport et les draps sales, que nous redescendons. Clémentine dans une de ses imitations de l'accent Corse de Juliette. Je suis plié de rire. Pour nous les départs sont sans le moindre stress.

Les draps seront lavés à notre retour. Avec d'autres trucs dans le panier à linge de la buanderie, à la cave. Nous vérifions les fermetures des portes, des volets. Notre plus proche voisin, monsieur Bertrand, sait nos dates d'absences. Une domotique de pointe équipe la maison. Je vérifie les alarmes. Clémentine ouvre le portail depuis l'interphone du hall d'entrée. Je vérifie que tous nos papiers, avec les billets d'avion, sont bien dans la pochette en cuir. Voilà la Mercedes qui descend les pavés autobloquants. Estelle et sa maman qui en jaillissent. Le ciel est lumineux mais couvert. Il ne pleut pas. C'est sympathique. Nous nous faisons des bises. Une fois encore Michèle pourrait être la grande sœur d'Estelle plutôt que sa mère. Elles sont belles et radieuses ce matin encore. Magnifiques.

Nous mettons nos affaires dans le coffre, avec celles d'Estelle qui profite de la place encore disponible dans le grand sac de sport pour y mettre deux paires de chaussures. C'est parti. Michèle conduit, Estelle à ses côtés. Toutes les deux nous racontent les préparatifs de Noël. Elles ont fait les derniers paquets cadeaux et le sapin vendredi après-midi. Les parents d'Estelle partiront quelques jours chez des amis en Touraine. À Pocé-sur-Cisse. Il y a quarante cinq kilomètres qui nous séparent de l'aéroport. Nous ne faisons confiance qu'à une seule compagnie aérienne pour le confort de ses premières classes. Air France. Il est dix heures trente quand Michèle gare la voiture sur le parking. Comme à une petit fille, elle donne quelques dernières recommandations à Estelle qui répond : << Maman, j'ai 26 ans ! S'il te plaît ! >>

Nous en rions de bon cœur. L'enregistrement de nos bagages. Les formalités douanières puisque le Royaume Unis ne fait pas partie de l'UE. Tout est parfait. Nous saluons Michel, nous la remercions. Elle reviendra nous chercher le vendredi 5 janvier au même endroit pour dix huit heures. Des bises. Nous resterons en contact par mails. La navette récupère les passagers pour les mener sur le tarmac. Un dernier coucou à Michèle qui nous fait de grands signes derrière l'immense baie vitrée. Nous voilà installés à nos places respectives. Clémentine près du hublot à ma droite. Estelle à ma gauche. << J'ai pris mon médoc ! Gravol, c'est rudement efficace ! >> précise t-elle en fixant le bandeau sur ses yeux. << Tu vas encore être dans le cirage jusqu'à ce soir ! >> lui fait Clémentine.

Les annonces du commandant de bord. Le passage des hôtesses. Vérification des ceintures. Les légères trépidations des réacteurs. C'est parti. Curieusement, en avion, je ne suis pas victime du vertige. Clémentine non plus. Elle fait quelques photos. Nous percevons les ronflements d'Estelle qui s'est endormie. Sa façon de lutter contre sa phobie des voyages aériens. Le changement d'avions à Londres est toujours aussi contraignant. Clémentine filme l'atterrissage. Nous perdons là deux bonnes heures entre deux correspondances. Estelle, littéralement dans les choux, reste accrochée à nos bras. Nous mangeons dans un des restaurants du gigantesque aéroport de la capitale Britannique. C'est dans un appareil de la British Airways que nous nous envolons pour Édimbourg. Estelle qui roupille.

Il est dix sept heures quand l'avion se pose sur la piste d'atterrissage de l'aéroport d'Édimbourg. Le voyage s'est encore passé sans encombre. Ce qui est tout à fait normal puisque nous ne l'avons pas emmené avec nous. Estelle reprend ses esprits. Nous l'accompagnons dans les toilettes car elle veut se mette de l'eau sur le visage. Encore légèrement somnolente. Nous récupérons nos bagages. Il faut encore récupérer la voiture de location chez Hertz. Depuis plus de vingt ans c'est dans cette agence que je loue mes véhicules. Cette fois encore ce sera une Golf noire. Hybride. Ils ont toujours des modèles de dernière génération. Les formalités d'usage. Les capacités d'organisations de Clémentine suscitent encore nos admirations. Elle insiste toujours pour s'occuper de tout. Des mois à l'avance. Jusqu'aux passes touristiques, nous évitant d'attendre aux guichets des lieux que nous visitons. Elle a droit à nos bisous sur les joues. Nous rions.

Il y a treize kilomètres jusqu'à Édimbourg. Il fait nuit. La température extérieure est de 11°. Le temps est sec. Je roule doucement. Clémentine à ma gauche, puisque qu'au Royaume Unis on roule à gauche, commente cet itinéraire que nous connaissons par cœur. Estelle, vautrée à l'arrière n'arrête pas de bâiller. Riant des gémissements qu'elle émet à chacun d'eux. C'est par Dean Village que nous montons Morningside. Voilà les hautes grilles de la propriété Victorienne d'oncle Alan et de sa compagne. Une centaine de mètres sur le chemin entouré de hauts platanes centenaires. Je me gare devant le perron. Amy et Alan nous attendent en haut des marches. Emmitouflés dans d'épaisses doudounes. Ce sont des effusions de joie. Nous sommes tellement contents de nous revoir. Le bonheur des personnes âgées est toujours extraordinairement émotionnel. Estelle et Clémentine font partie de la famille depuis six ans. Elles sont reçues comme des reines.

Nous montons immédiatement nos bagages à l'étage dans nos appartements. Rien n'a changé depuis notre départ au début septembre. Estelle place toujours malicieusement un objet quelque part avant de partir. La première chose qu'elle fait en revenant c'est de voir s'il est caché au même emplacement. Elle investit la douche la première pendant que nous déballons la valise. C'est à notre tour pendant qu'Estelle déballe la sienne. Plus petite. Il est dix neuf heures. Nous sommes attendus pour le repas à vingt heures. Tous les paquets cadeaux expédiés il y a deux semaines sont bien arrivés. Les cadeaux pour demain soir, réveillons de Noël. Amy a eu une fois encore, l'extrême bon goût de décorer un petit sapin dans le salon de notre appartement. Ça sent le frais partout. Super.

Je suis couché sur le grand lit. Estelle et Clémentine terminent de disposer nos vêtements dans l'armoire. << Tu sais que je n'ai pas encore vu ta bite aujourd'hui ! >> lance Estelle en mimant une masturbation masculine. << C'est vrai ça, on n'y pensait même plus et il est déjà 19 h15 ! >> rajoute Clémentine. Je déboutonne la braguette boutons de mon 501. J'en extrait une bite toute molle que j'agite lascivement en disant : << Elle a fait bon voyage en vos compagnies et vous salue bien pour cette première soirée Écossaise ! >>. Mes deux anges rient aux éclats, mimant des pipes, des baises. Estelle me semble avoir retrouvée toutes ses facultés. Elle est d'ailleurs la première à sauter sur le lit pour attraper mon Zob. Sa tête sur ma poitrine en le faisant tournoyer. " L'hélicoptère".

Elle l'agite en direction de Clémentine qui place le dernier pull bien plié sur l'étagère. Elle saute à son tour sur le lit. Je suis entre mes deux anges qui mitraillent mon visage de bisous. << Merci Julien pour cette vie merveilleuse que tu nous offres ! >> murmure Clémentine. << Et tous ces cadeaux dont tu nous couvres ! >> chuchote Estelle. Mes bras autour de leurs épaules, je dis : << Vous faites toutes les deux de moi l'homme le plus heureux de la planète. Je ne vous ferai jamais assez de cadeaux pour vous remercier d'exister ! Jamais ! >>. Elles en gloussent toutes les deux en collant leurs lèvres sous mes oreilles. Ma bite toujours dans la dextre d'Estelle qui rajoute : << Et notre doudou commence à grossir ! >>. Toutes les deux se redressent pour assister à l'érection majestueuse qui naît. Pointant fièrement dans la main d'Estelle qui l'agite comme un trophée. Je contracte mes muscles fessiers pour la faire bouger. Rires.

Clémentine pose sa tête sur mon ventre. Elle passe son doigt sur la peau du prépuce. Estelle le décalotte légèrement. Elle aussi pose sa tête sur mon ventre. Comme il n'y a pas assez de place sur mon coussin d'abdominaux saillants, c'est Estelle qui gobe la première ma turgescence. C'est là, lorsque mes deux anges se refilent ma bite, que nous prenons conscience de la fatigue qui nous gagne. Si nous ne nous levons pas dans la minute, nous allons nous endormir. Je saute du lit le premier en agitant mon chibre. En riant mes deux anges se lèvent en même temps. << Oui, en plus je suis morte de faim ! >> s'écrie Estelle. Nous nous donnons un look présentable devant le miroir de la salle de bain. Nous voilà faussement frais et dispos. Nous dévalons les escaliers pour rejoindre Amy et Alan. J'ai évidemment remballé le "trophée"...

C'est le traiteur habituel qui a livré le repas somptueux qui nous attend dans le grand salon Victorien. C'est là, une fois encore, que nous constatons l'état de santé déclinante de mon oncle. Malgré ses deux séjours dans une unité gériatrique, il ne récupère plus vraiment. Mais c'est un de ces vieux briscards Écossais qui veut aller au combat jusqu'à son dernier souffle. Même si le jeu des apparences se met ce soir encore à le trahir. Amy me lance un regard de compassion. Il y a une jeune femme qui fait le service. Elle est l'employée du couple depuis septembre. Madame Dona. Une dame très gentille qu'Amy invite à venir prendre le café avec nous à la fin d'un repas savoureux. Nous rions beaucoup des histoires d'Oncle Alan. Mais ce sont les études brillantes d'Estelle et de Clémentine qui passionnent Amy et Alan. Ma famille est aussi fière de leurs réussites que si c'étaient leurs propres filles. Oncle Alan ne manquant jamais de m'adresser un discret clin d'œil. Me chuchotant parfois : << You are privileged. It's been my fantasy all my life to walk around with two girls as beautiful as the day ! >>

Oncle Alan se lève péniblement avant le dessert. Épuisé, il nous laisse en disant : << À demain soir ! Pour le réveillon ! >>. Amy s'empresse de préciser : << Il y aura Tante Margaret et Jack pour le réveillon ! >>. Ma tante de Saint Andrews et son mari. Nous aussi nous tombons de sommeil alors qu'il n'est même pas 22 h. Nous prenons congé. Lavage des dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Une fois sous les draps, sentant bon le muguet, nous tentons quelques dingueries habituelles. Clémentine me suce alors que j'offre un cunnilingus à Estelle. Cette position à trois est inconfortable et Estelle s'endort malgré mes derniers efforts. Clémentine remonte de sous le draps pour se blottir contre moi. Tout comme Estelle qui ronfle déjà comme une locomotive. Un bon dodo.

Bonne nuit à toutes les coquines qui ont besoin de reprendre des forces afin d'affronter les prochaines aventures Écossaises...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Monday 25 December 2023 07:53

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 28 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2473 -



Notre premier dimanche à Édimbourg

Notre grasse matinée nous emmène aux environs de neuf heures. Nous avions prévenu oncle Alan et tante Amy que nous ne serions sans doute pas d'aplomb pour le petit déjeuner ensemble. Nous nous sommes couchés littéralement épuisés samedi soir vers 22 h15 pour plonger presque immédiatement dans un profond sommeil réparateur. Et puis nous passerons le réveillon de Noël ensemble ce soir. Estelle à ma droite qui est restée blottie contre moi toute la nuit. Clémentine à ma gauche qui vient se serrer. Entre mes deux anges, nous nous étirons. Estelle saisit mon érection tout à fait naturelle à pleine main en disant : << Put-hein le truc ! >>. Nous en rions de bon cœur. Clémentine saisit mes boules pour rajouter : << Put-hein les machins de Noël ! >>. Nous rions aux éclats.

Estelle se lève le plus souvent la première. Ce qui est encore le cas aujourd'hui. Elle se précipite aux toilettes en disant : << Je prépare le café et les tartines ! Venez vite ! >>. C'est Clémentine qui tient à présent fermement ma turgescence. Des bisous, des câlins. Estelle revient dans la chambre dans son pyjama de soie mauve pour plonger sur le lit en s'écriant : << Non, après tout je reviens un peu. On fera tout ensemble ! >>. Clémentine m'entraîne par la queue en disant : << Oui, on fait tout à trois ! >>. Estelle vient nous rejoindre aux toilettes. C'est elle qui tient ma bite pour en diriger les jets. Clémentine me tenant les couilles par derrière. Nous rions de nos premières frasques de la journée. Morts de faim, nous allons dans la cuisine. Clémentine fait le café. Je coupe le pain.

Estelle met les tranches dans le grille pain. Je les beurre en le laissant fondre. C'est du pain complet que nous avons ramené avec un reste de miel, de beurre. Il faudra faire quelques courses pour assurer. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la journée de samedi. Le voyage en avion, l'arrivée à Édimbourg, la location de la voiture et nos tentatives avortées de nous éclater un peu au lit avant de dormir. << On est tous les trois un vieux couple. La routine s'installe ! >> lance Estelle alors que nous en rigolons comme des bossus. Elle a toujours parlé de nos relation en termes de "couple à trois". Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de notre première journée Écossaise. Il fait beau. Il y a du soleil et la température extérieure flirte avec les 12°.

<< Il fait meilleur et plus beau que chez nous ! >> lance encore Estelle qui se lève pour mimer une masturbation masculine. << Tu nous montres ta bite plusieurs fois aujourd'hui. Ton premier défi des vacances deux fois ce matin, mais en ville. Et deux fois cet après-midi, en ville aussi ! >> dit elle, contournant la table en pointant son index vers mon sexe. << Et moi je fais les photos ! >> précise Clémentine en mimant une fellation. Nous rions de ce projet un peu absurde et difficilement réalisable. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges font la liste des courses. Leurs souhaits d'aller faire un des marchés de Noël de la ville. Surtout celui du centre historique. C'est très certainement un des plus beaux d'Europe.

La vaisselle. Un brin de toilettes. Le lavage des dents. Nous nous habillons. Levis, épaisses chemises à carreaux, bottines. Nous prenons des poses amusantes devant le grand miroir de la penderie. Clémentine nous montre l'ordonnancement de nos vêtements pliés et rangés dans l'armoire. Nous enfilons des sweats. Nous mettons nos blousons de cuir brun et épais. Nous les portions hier. Ils sont matelassés et chauds. De vrais coupes vent. Nos écharpes crème. Tous les trois, absolument à l'identique. << Les trois Mousquetaires ! >> lance Estelle en palpant ma bosse. Elle rajoute : << L'étroite moustiquaire ! >>. C'est en riant que nous descendons l'escalier de service. Pas un souffle vent. Il est presque dix heures. C'est à pieds que nous descendons Morningside sur ses cinq cent mètres.

Le carrefour de Christ Church. Toujours aussi touristique même en ce début d'hiver. Nombre d'Asiatiques qui ont déserté la France et l'Europe en général pour cause de "mauvaises fréquentations"? Au profit de l'Irlande, de l'Écosse, de la Suède et de la Finlande aussi. << Je me sucerais bien une bonne bite asiatique ! >> lance Clémentine. << Ça devient une sorte de rituel à chacun de nos séjour Écossais ! >> répond Estelle qui une fois encore palpe ma braguette. Elle rajoute : << Mais ouvre ça que je puisse y avoir accès ! >>. C'est vrai qu'avec le blouson fermé, je peux garder ma braguette ouverte. << Et même ta bite à l'air ! >> précise Estelle décidément bien "allumée" ce matin. Nous voilà dans une des deux rues commerciales et parallèles. La supérette Lidl. Notre boulangerie.

Au coin le grand magasin "bazar" qui fait bar, bureau de tabac, librairie, journaux et boutique de souvenirs. Il y a du monde. Les décorations sont magnifiques. Nous reprenons immédiatement tous nos repères. Dans la supérette, des fruits, des légumes. Des pâtes, du riz. Du miel, du beurre. Des fromages. Des filets de poissons sous emballages. Dans notre boulangerie adorée, une grosse miche de pain aux noix. La boulangère nous reconnait et nous offre trois petits pancakes. Malgré les clients elle bavarde un peu laissant à ses deux vendeuses le soin de s'occuper des ventes. Nous prenons également une de ses grosses brioches à la pâte d'amandes confectionnées spécialement pour les fêtes de Noël. Nous remontons lourdement chargés. Une première pose, les sacs sur un banc de bois.

Personne. << Et ton défi ! >> s'écrie Estelle. Je regarde partout autour de nous. Il y a bien une voiture qui passe de temps à autre mais c'est tout. J'ouvre mon blouson en me mettant derrière le tronc d'un tilleul centenaire. Clémentine tire son téléphone de sa poche. Estelle reste près de moi, penchée en avant pour me regarder pisser. Clémentine filme en tournant autour de nous. Je termine peinard, caché d'éventuels regards, derrière le tronc de mon arbre. Estelle se saisit de ma queue pour en secouer les dernières gouttes. << Photo please ! >> dit elle en s'accroupissant, sa tête contre ma hanche, son visage presque contre ma bite. Clémentine s'accroupit pour prendre deux clichés. Une voiture passe, un coup de klaxon. Même si le conducteur n'a rien vu, la situation est assez cocasse.

Il est presque midi quand nous sommes de retour à l'appartement. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de concombre. Estelle s'occupe des spaghettis. J'ouvre la boîte de sauce au pistou. Dans la poêle trois filets de saumon d'Écosse. Exactement le même que nous trouvons chez nous, au Super U. Nous mangeons de bon appétit en appréciant cette vie un peu "bohème" et totalement improvisée. Assises sur mes genoux, les filles prennent le dessert. Des flans à la chantilly. Elles me font goûter. Le bout de leurs langues déposant du chocolat dans ma bouche. Nous traînons à table en faisant mille projets. La vaisselle. Nous restons vêtus pareils. Lavage des dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. << Ça compte double ce matin, ton défi ! >> dit Estelle.

Nous en rions quand elle rajoute : << Tu as deux autres défis cet après-midi ! >>. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Le bon goût de notre crème dentifrice à l'eucalyptus. Pressés de filer, nous dévalons l'escalier. Il fait encore meilleur que ce matin par contre le ciel se couvre. C'est en voiture que nous descendons cette fois. Dean Village, Leith, pour entrer dans Édimbourg par le Nord. Impossible d'aller plus loin. Impossible de garer l'auto dans la petite ruelle. Toute la ville est réservée aux piétons. Parfait. Il y a des navettes électriques qui embarquent ceux qui le désirent pour les emmener à proximité du centre. Nous préférons la marche. Il y a trois bornes pour arriver dans le centre historique. Par Leith Walk pour arriver sur Leith Street puis Waterloo Place. C'est magnifiquement décoré. Les vitrines, au-dessus des rues, des monuments. La température extérieure, affichée en grand sur un tableau lumineux, est de 16°.

Le ciel est à présent gris et couvert mais absolument pas menaçant. Princess Street, The Edimburg Dungeon. Tout ce quartier historique est superbement décoré. C'est sur Market Street que nous rencontrons les premiers chalets en bois. Il y a de petits chapiteaux pouvant abriter une centaine de personnes disposés tous les deux cent mètres. Il y aura là des groupes, des orchestres. Toutes ces animations qui font du Hogmanay la plus grande fête d'Europe entre Noël et Nouvel An. Les festivités s'annoncent d'ailleurs remarquables. Nous flânons sur Moon Bank Street, le long du parc. Il y a des chalets en bois dans le grand square. Richement décorés. Cette année encore les teintes générales sont sépias. Nous nous offrons des gaufres au sirop d'érable. Elles sont savoureuses.

Voilà le château d'Édimbourg en haut de sa colline. Le marché de Noël de Street Shandwick Place dont la rue monte jusqu'à la forteresse. Il y a un monde fou. Malgré la fraîcheur, des joueurs de cornemuses en kilt. En costumes traditionnels Écossais. La cornemuse résonne à chaque coin de rue. Pour les fêtes, le grand parking de l'esplanade du Château accueille nombre de chalets en bois. Il y a même une course de voiturettes en bois pilotées par des gamins. Dans la descente vers la National Gallery of Arts. << Ton défi monsieur ! >> lance à plusieurs reprises Estelle quand nous sommes entourés de moins de gens. Bien évidemment je refuse de prendre le moindre risque. Pas toujours très discrète elle se plaque alors contre moi pour palper ma bosse. Fourrer sa main dans ma braguette.

Nous passons une grande partie de l'après-midi à parcourir les rues du centre de cette ville unique au monde. Le labyrinthe du centre historique. Ses venelles, ses passages, ses escaliers surprenants pour passer d'un niveau à l'autre. Impossible de se lasser de ce dédale où nous finissons toujours par nous perdre, pour notre plus grand bonheur. Il faut songer à retourner vers la voiture. Garée juste avant le port de Leith. Sur les quais un autre marché de Noël. En fait ce sont plein de petits hameaux de chalets regroupés sur les places. Parfois dans les carrefours interdits de circulations. Nous sommes attendus pour dix neuf heures trente. Nous arrivons à dix neuf heures. Inutile de se changer. Tante Amy a disposé les paquets cadeaux sous le grand sapin qui trône dans le grand salon.

Nous revoyons avec plaisir tante Margaret et son mari Jack. Ils sont venus de Saint Andrews et nous racontent la circulation chaotique sur les trente derniers kilomètres. Cette année encore ma cousine et son mari ne peuvent pas traverser l'Atlantique pour fêter la nativité avec nous. C'est sur l'écran de l'ordinateur que nous nous saluons. Une fois encore c'est le traiteur qui a livré le repas de ce soir. Attablés à la grande table ovale, devant la cheminée, nous savourons ce festin en bavardant, en riant. Estelle et Clémentine, jeunes filles sublimes et pleines de joie de vivre, polarisent évidemment toutes les attentions. Elles sont les reines de la soirée. Madame Dona fait le service, débarrasse tout en partageant le repas avec nous. C'est une jeune femme pleine d'humour. 21 h. L'heure des cadeaux.

Chacun déballe ses paquets. Dans ceux que j'ai expédié il y a deux semaines, il y a les cadeaux pour Estelle et Clémentine. Elles découvrent les deux blousons de toile bleue, Levis, "sherpa", doublées d'une fourrure synthétique blanche. Elles en parlaient parfois. J'ai saisi l'idée au vol depuis octobre. C'est très "vintage" et le "vintage" est très tendance. Elles sont magnifiques toutes les deux. Comme deux sœurs jumelles. Nous sommes en compagnies d'octogénaires. Pour les personnes âgées, lorsque l'horloge sonne vingt trois heures, il est grand temps d'aller se reposer. Nous les voyons bâiller tous les quatre depuis une bonne demi heure. Madame Dona s'occupe des derniers rangements. Nous nous saluons avant de remonter dans nos appartements. Épuisés. Une rapide toilette, au lit.

Bonne nuit à toutes les coquines que le premier jour de vacances a encore épuisé. Serrées contre leur coquin contre lequel elles s'endorment rapidement...

Julien (le coquin)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Tuesday 26 December 2023 07:59

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 29 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2474 -



Le jour de Noël

Hier matin, lundi, il n'est pas loin de huit heures lorsque Estelle nous réveille en revenant des toilettes. << J'ai mes "petits machins" docteur ! >> murmure t-elle à mon oreille d'un ton implorant. << Bobo ? >> demande Clémentine. << Un peu ! >> répond Estelle qui se couche sur moi. Nous rions en nous faisant des bisous. Quelques câlins. Je dépose mes lèvres sur le haut de son pyjama de soie mauve. Sur chacun de ses seins minuscules je souffle de l'air chaud. << Mmhh, docteur, encore ! >> gémit Estelle alors que je masse délicatement son bas ventre, démêlant quelques poils. Elle saisit mon érection matinal en disant : << Je prendrai mes gouttes aussi. Combien de fois par jour docteur ? Je ne m'en souviens jamais ! >>. Nous rions aux éclats en nous levant. Il fait faim.

Dans la cuisine chacun a son rôle. Clémentine fait le café. Estelle pèle les kiwis, presse les oranges. Je m'occupe des tranches que je glisse dans le grille pain. Estelle se montre très câline encore ce matin. J'adore le contact de la soie. Ma main entre ses cuisses, par derrière, je ne cesse de la toucher. Clémentine me tient les roupettes par derrière également. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre première journée à Édimbourg. Les découvertes des différents marchés de Noël. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de ce lundi de Noël. << On peut mettre nos nouvelles vestes, regardez, il va faire beau aujourd'hui ! >> lance Estelle. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, les filles font mille projets.

<< On se fait le château ou les souterrains aujourd'hui ? >> demande Clémentine. << Les deux ma capitaine ! >> répond Estelle. Je suggère qu'on se garde un truc pour chaque jour. << Oui, c'est mieux comme ça on peut improviser ! >> rajoute Clémentine. J'applique la thérapie du docteur Julien sur la pointe des seins hypers sensibles d'Estelle qui en gémit d'aise. La vaisselle. Nous sommes invités au repas de midi, nous avons toute la matinée. Lavage des dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Les K-ways. Nous dévalons l'escalier pour nous retrouver dans la fraîcheur matinale. Pour notre premier jogging des vacances, la météo est plutôt accueillante. Un ciel voilé mais très lumineux.

Une température extérieure de 12°. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Nous n'avons principalement qu'un circuit sur les hauteurs d'Édimbourg. C'est un vrai bonheur de le retrouver. Une heure d'un running où nous croisons quelques autres joggers. Il y a surtout cet emplacement qui permet une vue sur la ville et jusqu'à la mer. C'est magnifique. << Le "Roquefort Gothique" ! >> comme la nomme Estelle. Là-bas les collines d'Arthur Seat, un des trois volcans éteints qui entourent Édimbourg. Nous pourrions rester là des heures. Mais sous peine de nous refroidir, il faut repartir. Il est presque dix heures quand nous revenons dans nos appartements. Estelle prend sa douche la première pendant que nous faisons le lit, la chambre. Nous la rejoignons dans la salle de bain.

Estelle, déjà vêtue de son Levis, de son sweat se coiffe. << Tu me fais une natte après la douche ? >> me demande t-elle. << À moi aussi ! >> lance Clémentine. La douche. Pendant que je m'essuie, Estelle saisit ma queue en disant : << J'ai pas encore pris mes gouttes docteur ! >>. Nous en rions de bon cœur quand je fais : << Après la natte ! >>. Nous nous habillons comme elle. Jeans, sweats. Toutes les deux, assises devant le miroir, se laissent coiffer en faisant mille projets pour les prochain jours. Surtout revoir Rosslyn Chapel au village de Roslin. Cet endroit magique est devenu un de nos premiers objectifs à chaque séjour ici. Comme un pèlerinage. Il est décidé d'y sacrifier demain, mardi. Voilà Estelle et Clémentine avec leurs nattes qui tombent au milieu du dos.

<< Merci Julien. Tu fais ça si bien ! >> lance Estelle en la faisant tournoyer avant de chatouiller mon nez avec l'extrémité de ses cheveux. Nous quittons la salle de bain pour le salon. Assises sur mes cuisses, me tournant le dos, mes deux anges allument le MacBook pro que Clémentine emmène toujours partout. Plutôt que la tablette. La connexion en wifi est parfaite. Nous découvrons nos mails. Que de belles surprises. Un message de Danièle qui nous souhaite de belles fêtes et qui nous avoue son grand plaisir de nous avoir comme clients. Le message de Lise, notre fille de ménage qui elle aussi nous confie le plaisir de venir chez nous tous les samedis matins. Le message de Juliette dont la sœur jumelle est arrivée de Corse pour les fêtes. Estelle découvre les mails de sa famille.

Pendant qu'elles répondent en se relisant à voix hautes, en riant, je caresse leurs seins. Ceux d'Estelle avec d'infinies précautions. Estelle aussi ne porte de soutien gorge que lorsqu'elle a ses règles. Par protection des extrémités douloureuses durant deux jours. J'adore passer mes mains sous les sweats. Elles en gémissent de plaisir. Par acquis de consciences elles surfent un peu sur le site de l'université. La page d'accueil est encore une belle réussite. Un paysage d'hiver avec de la neige qui tombe. C'est une image de synthèse << Intelligence artificielle ! >> précise Estelle. Toutes les deux ont déjà acquis une excellente maîtrise de cette discipline. Elles m'en font la démonstration. En quelques minutes elles créent un personnage féminin qui nous récite un poème loufoque. Nous rions.

<< On apprend en cours avec Alban ! >> précise Clémentine. Cela fait partie de leurs cursus universitaire et Alban, leur directeur de thèse, se montre excellent initiateur aux techniques informatiques. Je suis bluffé par cette image. On jurerait voir une véritable jeune fille sur l'écran. Elle s'exprime dans un français parfait. << Maintenant elle dit la même chose en Anglais ! >> lance Clémentine qui d'un simple clic change l'expression orale de l'image. C'est étourdissant de réalisme. Estelle se lève pour faire quelques exercices physiques qui soulagent les contractions de son bas ventre. Clémentine reste sur mes genoux, ses bras autour de mon cou. Nous regardons Estelle couchée sur le canapé, sur le dos, à faire ses exercices abdominaux. << Ça soulage ! Et comment ! >> précise t-elle.

Clémentine fait pareil quand elle a ses "petits machins". Elle se lève. Je me lève également. Elle s'accroupit pour déboutonner ma braguette. Elle y fourre sa main, fouille un peu, en extrait mon chibre tout mou. En faisant ses "groupés", main sous sa nuque, jambes repliées, buste relevé, Estelle nous observe. Clémentine agite ma bite dans sa direction en disant : << Tes gouttes ! Après tes abdos, il faut prendre tes gouttes ! >>. Nous rions. Clémentine se redresse pour me tirer par le Zob jusqu'au canapé. Elle s'y assoit à côté d'Estelle qui termine sa quatrième série de vingt flexions. Légèrement essoufflée elle se redresse. Elle fixe "l'hélicoptère". Ma queue que fait tournoyer Clémentine. Je bande mou. Estelle avance la tête. Son visage. Clémentine lui frotte ma bite sur la gueule.

Elle ouvre la bouche pour en gober la bonne moitié. Clémentine me fait un clin d'œil. Je me fais tailler une pipe. Estelle semble passionnée par cette fellation car elle suce comme si sa vie en dépendait. Je caresse sa tête en tenant Clémentine par sa nuque. Je me penche pour dire : << Estelle, cet après-midi je profiterai de la moindre occasion pour te donner tes gouttes ! >>. Elle ouvre les yeux pour me fixer d'un œil amusé, malicieuse, elle cesse pour répondre : << Votre thérapie est toujours la plus appropriée docteur. Je me montrerai la patiente la plus zélée ! >>. Nous rions alors qu'elle retourne à sa pipe. Clémentine, le visage tout près de celui d'Estelle la regarde pomper avec l'attention d'une entomologiste. Il va être l'heure de descendre. Il va être 11 h45. Je propose d'arrêter.

Estelle cesse. Clémentine prend immédiatement le relai. J'appuie sur sa tête pour lui enfoncer presque toute la queue. Elle tousse. À moitié étouffée par la bite, à moitié noyée par la jute. Je retire ma biroute dégoulinante. Estelle se précipite pour récupérer le filament de liquide séminal qui pend lourdement après s'être décroché des lèvres de Clémentine. Je force Estelle à se redresser. Toutes les deux, serrées contre moi, me montrent l'intérieur de leurs bouches. L'expression vicelarde sur leurs visages me donne envie de les forcer à se rassoir. Mais nous devons nous raisonner. Le repas de Noël nous attend en bas et il va être midi. Les filles s'essuient la bouche avec un mouchoir en papier. J'essuie ma queue avec celui que me tend Clémentine. Je remballe. Morts de faim, nous descendons.

Tante Margaret, son mari Jack, oncle Alan et tante Amy ainsi que madame Dona sont déjà dans le grand salon. Le magnifique sapin à côté de la grande cheminée dans laquelle une flambée émet ses doux crépitements. Nous mangeons de bon appétit en bavardant, en riant. Nous restons une fois encore à table jusqu'aux environs de quinze heures. Nous nous retrouverons lundi prochain, premier de l'an, pour le repas de midi. Nous prenons congé pour remonter nous laver les dents. Pressés de filer nous dévalons l'escalier de service. Je roule doucement pour descendre Morningside. En Écosse, en cette saison, la luminosité est moindre. Un peu magique. << On se fait Dean Village et le port de Leith ! Ça vous dit ? >> lance soudain Estelle. << Et comment ! >> répond Clémentine.

Je dis : << D'abord tu prends tes gouttes ! >>. Estelle glousse de plaisir en lançant : << Là, dans la bagnole ? >>. Je gare la voiture sur le parking devant l'église. De toute manière il est interdit d'aller plus loin par cet itinéraire. Elle passe devant sans sortir de la voiture, avec d'étonnantes qualités de contorsionnistes. Par dessus les dossiers. Assise à côté de Clémentine elle se bouffe ma queue avec délectation. Clémentine fouille ma bouche de sa langue. Je découvre qu'en m'embrassant ainsi elle appuie sur la tête d'Estelle qui pousse de petits râles. Je me fais tailler une pipe des familles. Une bonne dizaine de minutes, en empêchant Estelle de reprendre sa respiration. Elle doit respirer par le nez et les vraies suceuses savent qu'en hiver on respire moins bien par les narines.

Je la laisse enfin se redresser. << Salaud ! >> lance t-elle en essayant de déglutir. Clémentine se met à genoux dans la bagnole, ses coudes sur les cuisses d'Estelle qui me montre l'intérieur de sa bouche, pour me sucer comme une affamée. << Merci docteur. Vous avez vu, je suis une patiente sérieuse, je prends mes gouttes ! >> finit par dire Estelle. Clémentine se redresse en lançant : << Put-hein comme c'est bon ! >>. Elles s'essuient une nouvelle fois les bouches avant de sortir de l'auto. Elles portent toutes les deux leurs nouvelles veste Levis à l'intérieur doublé de fourrure synthétique blanche. Jeans et bottines. Hypers sexys toutes les deux en m'attrapant par les bras. Nous descendons sur les quais. Le marché de Noël nous accueille. Il y a là une véritable marée humaine.

<< Courage ! >> lance Clémentine alors que nous hésitons en haut du large escalier. Il faut lutter pour se frayer des passages dans les allées entre les chalets. << J'ai envie de sucer ! >> me dit plusieurs fois Estelle. << Moi aussi. Quand on commence on n'a plus envie d'arrêter ! >> rajoute Clémentine. Il va être extrêmement difficile de trouver un endroit pour leurs permettre de satisfaire leurs envies. Nous montons sur la jetée, puis sur le chemin de ronde des anciennes fortifications. Il y a un monde fou partout. Je propose de réserver une bonne table dans un restaurant dès maintenant. Clémentine, son téléphone à la main, consulte Google. Elle téléphone. Plusieurs refus. C'est en remontant sur Dean Village que The Painted Rooster nous offre une table accueillante. Restau branché.

Dean Village est le quartier "branché" d'Édimbourg. Des artistes y tiennent des galeries d'Art. Il y a un dynamisme formidable partout dans les rues. The Painted Rooster n'est pas un restaurant gastronomique. Mais l'ambiance y est chaleureuse. Un groupe de Blues joue sur une petite scène. Il y a quantité de toiles accrochées partout. La clientèle est hétéroclite. Le service est parfait. Nous savourons une soupe de poisson avant des steaks de saumon grillé accompagnés de frites. Cette soirée de Noël est festive autant qu'incongrue. C'est Édimbourg et ses surprises. Il règne ici cette convivialité et cette solidarité dans la fête qui existaient encore en France il y a une vingtaine d'année. L'Écosse et son optimisme, sa joie de vivre et ses rires. Nous passons là une bonne soiré. C'est superbe. Clémentine se fait un peu draguer par un jeune gars à lunettes et à l'ait "intello". Elle adore s'amuser de ces situations. Estelle reste tout près de moi.

Il est vingt deux heures. La fatigue nous gagne. Nous avons même dansé sur la piste aux sonorités de Blues entraînants. Une fois dans la voiture, je n'ai pas encore démarré que je me retrouve bite à l'air. Très rapidement dans la bouche d'Estelle. Toutes les deux installées dans l'inconfort du siège passager avant. Je roule excessivement lentement pour remonter Morningside. Je marque même quelques arrêts pour apprécier cette pipe gourmande. Les bruits bulleux résonnent dans toute la bagnole. Il est vingt trois heures quand nous sommes de retour. Une rapide toilette. Je me fais sucer aux chiottes. Lâchant des giclées de pisse dans les bouches de mes deux anges qui en redemandent. << Mmhhh, mmhh ! >> sont les seuls gémissements qui se font entendre. J'éjacule dans la bouche d'Estelle. Pas très partageuse ce soir, elle n'en laisse rien à Clémentine qui se redresse pour me montrer la pisse qui inonde sa bouche. De la salive flottant dessus.

Bonne nuit à toutes les coquines qui ont fêté Noël aux jus de couilles, à la pisse et au Blues dans un accueillant petit restaurant typique de Dean Village...

Julien (pisseur foutreur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Wednesday 27 December 2023 07:32

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 30 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2475 -



Retour sur nos endroits préférés

Il est huit heures trente, hier matin, mardi. Estelle, serrée contre moi, saisit ma tumescence. C'est toujours un réveil agréable et surprenant. Quand elle colle ses lèvres dans mon cou, juste sous mon oreille. Je glisse ma main dans son pyjama, dans sa culotte. Son gémissement tire Clémentine de son sommeil. Quelques bisous, quelques papouilles avant d'émerger lentement. Je caresse le bas ventre d'Estelle le plus délicatement possible. Je pose ma bouche sur la soie mauve pour souffler de l'air chaud sur chacun de ses seins. << Mmhh docteur ! >> murmure t-elle en passant ses mains dans mes cheveux. C'est Clémentine qui me tient la queue à présent. Estelle se redresse en disant : << Je dois faire pipi, fort ! >>. Clémentine m'attire sur elle. Estelle se précipite aux toilettes.

Je frotte mon sexe contre l'entrée de celui de Clémentine qui murmure : << Tu me fais ça pour de vrai après ? >>. Estelle revient pour dire : << Je vous attends à la cuisine ! >>. C'est à notre tour d'aller pisser. En slips et T-shirts de nuit, nous rejoignons Estelle. Dans les odeurs du café, du pain grillé. Les oranges déjà pressées. Les kiwis déjà pelés. J'aime surprendre Estelle. Derrière elle, je passe ma main entre ses cuisses. La douceur de la soie de son pyjama. La chaleur de son corps. C'est un véritable petit bonheur. Elle empoigne mon paquet pour dire : << Après, je prends mes gouttes docteur. Votre sirop était délicieux lundi ! >>. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos promenades de lundi. Nous mangeons de bon appétit en envisageant notre expédition d'aujourd'hui.

Ce sera le village de Roslin et la visite de sa célèbre chapelle. Même si nous connaissons l'endroit par cœur, c'est une balade que nous ne manquerions pour rien au monde lorsque nous sommes à Édimbourg. Il n'y a que treize kilomètres. La vaisselle. Nous passons dans la salle de bain pour revêtir nos tenues sports. Pressés de nous offrir ce plaisir, nous dévalons l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale. La température est de 8°. Il faut du courage dans nos K-ways, sous nos bonnets, avec nos gants. C'est parti. Un jogging des plus sympathiquse sur notre circuit habituel. Nous croisons quelques joggeurs. Après une heure d'un running extrêmement gratifiant nous revenons prendre notre douche. Estelle la première. Nous faisons la chambre.

Tous les trois, habillés exactement pareils de nos Levis, de nos sweats, de nos bottines, nous prenons quelques poses amusantes devant le grand miroir de l'armoire. Nous passons au salon. Assises sur mes cuisses, mes deux anges allument l'ordinateur. Un mail de mon comptable. Monsieur Philippe m'informe de la confirmation des virements sur le compte de ma banque à Édimbourg. Les tableaux de commande sont toujours payés avant expédition. Mais d'une banque à l'autre, surtout hors de la CE, il y a un certain délai imposé par le fisc Français. Aucun autre courriel aujourd'hui. Clémentine interroge Google pour les différents restaurants dans le village de Roslin. << On se refait le Beetroot Grill. Ça vous dit ? >> propose Clémentine. Nous nous souvenons y avoir bien mangé cet été.

Clémentine téléphone immédiatement pour réserver une table. Nous y serons pour midi et demi. Parfait. Il va être onze heures. Nous vérifions que tous nos papiers sont dans la pochette en cuir que Clémentine garde en bandoulière. Précieusement. Nous mettons nos épais blousons de cuir brun avant de dévaler une nouvelle fois l'escalier de service. Pas un souffle de vent. Un ciel voilé de gris mais ne présentant aucune menace. Une température de 12°. C'est parti. Je roule doucement dans une circulation fluide dès les premiers kilomètres. Clémentine joue avec ma queue en commentant les paysages. Installée à l'arrière, ses mains dans mon cou, Estelle revient sur notre dernière visite à Rosslyn Chapel l'été dernier. Huit miles et je gare la voiture sur le parking entre le cimetière et l'église.

Rosslyn Chapel est de la taille d'une église de village. Il y a déjà du monde. C'est un haut lieu. Nous nous réservons toutefois sa visite pour l'après-midi. Il y a environ un mile jusqu'au village. Nous marchons d'un bon pas. Les filles restent accrochées à mes bras. Nous ne sommes pas seuls à faire cet itinéraire. Heureusement que nous avons réservé une table. Roslin est un grand bourg typique de cette région de l'Écosse. Il faut passer sous une porte médiévale, vestige des anciennes fortifications qui entouraient le village. Une rue principale bordée de maison à un étage. Menant sur la place de l'Hôtel de ville. Une église. Même un petit marché de Noël que nous nous promettons de parcourir après le repas. Beetroot Grill est un établissement gastronomique proposant des spécialités.

Une grande maison de maître devant un petit square. Même en hiver, sans feuilles aux arbres, l'endroit est absolument charmant, romantique. Notre table nous attend. Nous reconnaissons bien la grande salle aux murs en pierres de taille, décorés façon dix neuvième siècle. Toutes les tables sont occupées. Nous nous régalons de viandes grillées accompagnées de frites. Avec Clémentine nous avons pris la décision de ne plus limiter nos repas aux seuls produits de la mer. Ce qui enchante Estelle. De petits légumes en sauce viennent parfaire ce délicieux moment de dégustation. Nous envisageons au moins une visite dans les toilettes hommes. Nous y gardons quelques amusants souvenirs. Mais avec tout ce monde, il faut se faire une raison. Ce sera une visite avec chacune. Et plutôt rapide.

C'est donc d'abord avec Estelle que nous traversons la salle pour entrer dans les WC. Enfermés dans le même cabinet des toilettes hommes qu'au mois de juillet, j'offre à Estelle quelques gouttes de son sirop. Je la laisse seule afin qu'elle puisse changer son tampon dans l'intimité. Je me lave les mains alors qu'un client entre pour pisser. Quand il voit Estelle sortir du cabinet pour me rejoindre, il reste pantois. Nous le laissons pour rejoindre Clémentine. Avant le café c'est avec elle que nous y retournons. Mes talents de contorsionniste me permettent de bouffer sa chatte après la pisse. Accroupie, elle me tient la queue pour en diriger les jets. Plusieurs jets puissants que je lâche. Entre chacun d'eux Clémentine suce avec avidité. C'est le "mélange" qu'elle adore. Ses yeux ouverts pour me fixer.

Nous rejoignons Estelle. Nous avons bien traîné à table. Il va être 14 h. L'addition. Aux lecteurs intéressés par la visite, il faut savoir que les cartes Visa sont acceptées. Et bien évidemment les cartes "Gold" comme la mienne, très prisées. Nous flânons dans les allées du Marché de Noël. Une quinzaine de chalets reconstituant un village dans le village. Autour d'une petite église en bois où sont proposées des grillades, des saucisses, des soupes et des fish and chips. Les marchés de Noël de la région fermeront leurs portes demain, 27 décembre. Il faut donc encore un profiter. Il est quinze heures trente quand nous revenons sur le parking devant Rosslyn Chapel. Une bonne trentaine de bagnoles. Entrer dans ce haut lieu d'énergie reste un souvenir pour chacun des visiteurs. Mystère.

Il n'y a là rien de la Chrétienté. Aucune statuaire, aucun bas reliefs. Rien ne faisant allusion à une des religions monothéistes occidentales. Par contre, partout, avec un luxe de sculptures rappelant les plus fines dentelles, se retrouvent toutes les symboliques Franc-Maçonnes. C'est une véritable encyclopédie architecturale dédié à cette philosophie. À ce courant de pensée. C'est là que Dan Brown situe le cœur de l'énigme de son fameux "Da Vinci Code". On y vient du monde entier pour découvrir les étonnantes ambiances de ce lieu étrange, plein de mystères. Dérangeant sous certains angles d'approches, gênant sous certains aspects de la pensée. L'endroit est peu chauffé. Il faut remonter les cols, ajuster les écharpes. Pleins de recoins sombres. En été, je me fais tripoter la bite à l'abri des regards. Mais là, avec ce froid, pas question de laisser Estelle me la sortir. << Pour mes gouttes ! >> lance t-elle pourtant d'une voix implorante en me palpant la braguette.

Nous avons déjà probablement une cinquantaine de photos de cette édifice dédié aux cultes de l'obédience occulte. Mais à chaque visite nous découvrons de nouveaux détails intrigants. Aux significations qui nous échappent. Nous commençons à grelotter malgré notre chaude vêture. Il y a un monde fou dans le bâtiment. Nous regagnons la voiture. Je fais tourner le moteur. L'intérieur chauffe très vite. Estelle, installée devant, aux côtés de Clémentine, peut enfin prendre ses gouttes. Je me fais sucer comme un bienheureux. Des visiteurs passent près de notre véhicule sans vraiment se douter de ce qui s'y passe. Clémentine fouille ma bouche de sa langue pendant qu'Estelle pompe de bonnes quantités de foutre en gémissant d'aise. << Je préfère la pipe quand j'ai mes règles ! >> dit elle.

Nous en rions de bon cœur. Une demi heure où mes deux anges se partagent du jus de couilles. Clémentine propose de téléphoner pour réserver une table à Édimbourg centre. Ce restaurant où le personnel officie en costumes traditionnels. Pendant qu'elle réserve notre table. Estelle se blottit contre moi en exprimant son bonheur d'être là. Me montrant l'intérieur de sa bouche où flottent encore des filaments laiteux de mon liquide séminal sur sa salive. Elle parle avec difficulté, en faisant très attention de ne pas en perdre la moindre goutte. Notre table nous attend ce soir dans le centre historique pour 19 h30. Il est déjà dix huit heures quinze. Estelle insiste pour rester devant. C'est ainsi que nous reprenons la route en sens inverse. Demain ce sera la visite des fameux souterrains de la ville.

Bonne faim de soirée à toutes les coquines qui vont s'offrir de délicieuses spécialités Écossaises. Notamment du jus de couilles d'un Écossais dans un des cabinets des toilettes hommes du "Gardener's Cottage", aux pieds de Calton Hill...

Julien (Écossais juteux)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Clémentine et Julien
Thursday 28 December 2023 07:38

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 31 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2476 -



Dans les souterrains d'Édimbourg

Hier matin, mercredi, il est huit heures quand Estelle me tire du sommeil. Le mouvement de ses pieds contre les miens achève ma nuit. Clémentine se réveille à son tour. Je suis entre mes deux anges qui se blottissent. Mes bras autour de leurs épaules, je les serre encore plus fort pour distribuer mes bisous. Elles en gémissent d'aise. Cette fois c'est Clémentine qui précède d'une seconde Estelle en empoignant mon érection naturelle la première. Elles rient. Estelle colle ses lèvres contre ma joue. De la pointe de sa langue elle me fait des papouilles. Elle finit par se lever en s'écriant : << Pipi ! >> et en se précipitant vers la porte. << Ce matin elle est à moi, je l'ai attrapé la première ! >> me fait Clémentine avant de passer sous les draps pour prendre ma bite en bouche et sucer.

C'est une bien étrange sensation au réveil. Surtout que mon érection n'est pas la cause d'une excitation quelconque. Elle remonte à la surface quand Estelle revient en disant : << Je vous attends à la cuisine ! >>. Elle nous regarde en riant pour rajouter : << Déjà ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine où règnent les parfums du café et du pain grillé. J'adore le contact de la soie de son pyjama mauve. Elle le sait. Ses mains en appui sur la chaise elle se penche en avant. Je peux passer ma main entre ses cuisses, toucher son sexe. C'est chaud. C'est doux. Clémentine presse les oranges. Je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre visite à Roslin. Sa chapelle mystérieuse. Impossible de se lasser de ce lieu.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Ce seront les souterrains d'Édimbourg. Nous connaissons bien mais à la mauvaise saison il est possible d'avoir accès à un plus grand nombre de galeries. C'est une véritable ville sous la ville. Avec des habitations creusées dans la roche. Des rues, une avenue centrale. Jadis c'étaient les indigents qui vivaient là. La prostitution ainsi que les trafics les plus divers avaient lieu ici. Tout au long du dix huitième siècle. Il y des légendes urbaines quand à cet endroit. Y sont régulièrement aperçus des fantômes, des spectres et notamment celui d'une fillette. Toute la vieille ville est d'ailleurs criblée de souterrains. Pour d'évidentes mesures de sécurité la plus grande partie d'entre eux sont interdits d'accès au public.

Il se murmure qu'il se passe de curieuses choses là-dessous malgré les interdictions. Des étudiants festifs notamment. De quoi susciter nos curiosités. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine évoquent leurs souvenirs quand à ces caves. Les visites sont obligatoirement guidées. La vaisselle. Nous passons dans la salle de bain pour nous laver les dents, nous habiller de nos lycra de sport. Nos K-ways, nos bonnets. Je masse délicatement le bas ventre d'Estelle dont c'est le troisième jour de ses "petits machins". Ma bouche posée sur l'extrémité hyper sensible de ses seins minuscules, je souffle de l'air chaud. << Mmhh docteur, c'est si bon ! >>. Elle passe une main dans mes cheveux, palpe ma bosse de l'autre. Nous dévalons l'escalier de service.

C'est sensiblement la même météo. Un ciel gris, pas menaçant et une température extérieure de 10°. Quelques mouvements d'échauffement pour cesser de frissonner. C'est parti. Un jogging d'une heure qui nous emmène le long de notre parcours habituel. Avec vue sur la ville depuis les hauteurs de Morningside. Il est 9 h45 quand nous revenons. Estelle investit la salle de bain pendant que nous faisons le lit, la chambre. Nous la rejoignons pour prendre notre douche. << Mes gouttes, docteur ! >> lance Estelle qui achève de se vêtir de son Levis, de son épaisse chemise à carreaux bleus. Après m'être séché, j'agite ma bite en disant : << Si tu veux les prendre c'est maintenant ! >>. Après avoir chaussé ses bottines elle s'accroupit devant moi, bouche grande ouverte. Je m'approche.

Je frotte ma queue sur son visage en esquivant son désir de la gober. Clémentine qui commence à s'habiller m'observe. Elle me fait un clin d'œil en mimant une pipe. Je laisse enfin Estelle prendre ses gouttes. Je me branle dans sa bouche alors qu'elle ouvre les yeux pour me fixer. Je l'aide à se redresser en la tirant par sa natte comme par une laisse. << Merci docteur ! >> fait elle. Je pose immédiatement ma bouche sur chacun de ses seins pour souffler de l'air chaud. Je suis le seul à être encore nu. << Oh mais tu sais que tu es très "inspirant" à poil dans cette salle de bain ! >> lance Clémentine qui m'attrape la bite. << Tu restes à poil toute la journée ! >> rajoute Estelle. Nous en rigolons comme des bossus alors que je me fais à présent sucer par Clémentine. Accroupie. Passionnée.

La position est pourtant rapidement inconfortable. Estelle fouille ma bouche de sa langue. Je tiens Clémentine par sa natte pour l'aider à se relever. Je m'habille. Nous sommes tous les trois vêtus à l'identique. Au salon, assises sur mes cuisses, me tournant le dos, mes deux anges allument l'ordinateur. Des courriels. Autant de surprises. Le message de Juliette qui nous raconte son réveillon de Noël. Seule avec sa sœur. Elle joint deux photos. C'est hallucinant comme elles se ressemblent. << Si sa frangine est aussi salope, elles font la paire ! >> lance Estelle. Nous n'en savons strictement rien. Le message de Danièle qui raconte son réveillon de Noël en famille. Le message de Lise, notre "fille de ménage" qui nous raconte le sien. C'est à la fois sympa et étrange d'avoir de leurs nouvelles.

Estelle découvre ses mails. Celui de ses parents. Celui de Jonathan qui passe ses fêtes à Los Angeles, dans sa famille. Alors que toutes les deux répondent en se relisant à haute voix, je caresse délicatement leurs seins. Je les sens palpiter sous l'épais coton de leurs chemises. << Tu veux rajouter quelque chose ? >> me demande Clémentine. << La photo de ta bite par exemple ! >> rajoute Estelle. Je réponds : << L'idée n'est pas pour me déplaire mais restons sur les écrits ! >>. Nous en rions de bon cœur. Les filles surfent un peu sur le site de l'université. Il y a de nouvelles informations. Clémentine se lève la première. Estelle change de position pour se tourner. À califourchon, ses bras autour de mon cou. << J'aime quand mon docteur se montre très salaud ! >> s'exclame t-elle.

Clémentine téléphone. Un de nos restaurants préférés dans le centre historique. Estelle m'embrasse avec tant de fougue que nous en avons le bas de nos visages trempés de salive. << Vivement que mes "petits machins" cessent. Je veux baiser ! >> dit elle. Nous entendons Clémentine conclure. Une table nous attend ce soir, pour dix neuf heures au "Room with a View". Un établissement de cuisines traditionnelles avec vue sur le château. Estelle se lève. Je l'empêche de s'éloigner en la tenant fermement par sa natte. Je la force à s'accroupir entre mes jambes. Ses mains à plats sur mes cuisses, elle me fixe avec sévérité, interrogation, inquiétude peut-être. Elle joue tellement bien que je ne sais jamais si c'est vrai. Je sors ma bite. Je la tiens par sa natte, au plus court. Ferme.

C'est elle qui tente à présent d'esquiver. Gardant ostensiblement ses lèvres serrées. Pour m'empêcher d'y enfoncer ma bite. Je dois la tenir fermement car elle veut se soustraire à mon étreinte. Je frotte ma queue molle sur sa gueule. Clémentine, une main dans son Lévis déboutonné, s'approche pour observer la scène. J'ai une méthode imparable. Je pince le nez d'Estelle. Elle ne tiendra pas plus d'une minute avant de devoir ouvrir la bouche pour respirer. << Salopard, vicieux, pervers ! >> s'écrie t-elle en essayant d'être aussi authentique et sincère que possible. Elle finit par ouvrir la bouche pour prendre une grande bouffée d'air. J'y enfonce ma queue qui devient bien raide. Clémentine s'accroupit. D'une main elle se masturbe, de l'autre elle se tient à ma cuisse. Je me fais tailler une pipe.

Estelle tombe à genoux. Prise à son propre jeu elle suce passionnément. Je caresse le visage de Clémentine qui observe cette pipe tout près de celui d'Estelle. Je perçois le bruit bulleux d'une fellation de qualité. Les gargouillis que fait le foutre en inondant la cavité buccale de ma pompeuse. Elle cesse toutes les deux trois minutes pour l'offrir à Clémentine. Elles se refilent ma queue en se donnant leurs impressions. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. Hors de question. Je me garde pour le reste de cette journée qui s'annonce riche en évènements. Je les tiens toutes les deux par leurs nattes. Je me lève. Elles restent toutes les deux à quatre pattes. Je les promène ainsi dans toute la pièce. Clémentine levant la patte à chaque coin de meuble. Je fourre ma bite dans la bouche d'Estelle.

Je propose : << Et si on allait préparer à manger ? >>. Clémentine se met droite sur ses genoux, les mains posées sur sa tête pour répondre : << Oh oui, ça met en appétit le foutre ! >>. Estelle l'imite en disant : << Moi, c'est purement thérapeutique avec le docteur ! >>. Nous rions aux éclats. Je ne lâche pas les nattes pour les entrainer dans la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de carottes. Estelle s'occupe des spaghettis, du parmesan qu'elle râpe. Je poêle six gros nems au crabe. Préparations rapides. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre programme de l'après-midi. Nous traînons à table. Les filles installées sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille. Elles font mille projets pour les jours à venir. Demain visite du château.

La vaisselle. Lavage des dents. Nous restons vêtus à l'identique. Nous blousons d'épais cuir brun. Pressés de filer nous dévalons l'escalier. Estelle veut absolument s'installer devant avec Clémentine. J'ai beau m'y opposer, rien à faire. << Comment veux-tu me foutre ta queue dans la bouche si je suis assise à l'arrière ? >> lance t-elle à chaque fois. C'est parti. Je roule doucement. J'ai la bite à l'air. C'est une situation à risque mais les contrôles de police sont improbables. Je gare l'auto sur un des parkings obligatoires car toute la ville est interdite de circulation durant le Hogmanay. Je tiens Estelle par la nuque pour la forcer à me sucer. Clémentine m'embrasse. Elle se touche car tout cela l'excite toujours considérablement. << Mais comme t'es dégueulasse avec les filles aujourd'hui ! >> s'écrie Estelle quand je la libère enfin. Elles restent accrochées à mes bras pour marcher d'un bon pas jusqu'à l'entrée de South Bridge Vaults. Les souterrains.

Il faut suivre un guide. Par groupes de dix personnes. C'est un moment magique que de parcourir des rues souterraines. En tous points semblables à celles de la surface. Des murs de pierres. Des appartements parfois meublés avec un luxe incroyable. Cet après-midi c'est moi qui n'arrête pas de palper, de tripoter et de toucher. << Salaud ! >> murmure à chaque fois Estelle. << Génial ! >> chuchote Clémentine. Je crois halluciner quand je la vois avec une main dans son jeans pour se masturber. Nous restons à l'arrière de notre groupe. Je leurs chuchote de véritables saloperies. C'est une visite qui dure une heure. Suivie d'une sorte de conférence filmée pour en apprendre davantage sur la vie souterraine de nos ancêtres. Enfermés dans un des cabinets des toilettes hommes, au mépris de toute prudence pour nous y rendre, nous nous offrons du vice. Je me suce de la chatte pisseuse. Je me fais sucer entre deux jets de pisse. C'est hyper excitant.

C'est le tout dernier jour des marchés de Noël. Nous y flânons. La température est relativement agréable avec 14°. Par contre le ciel semble devenir menaçant. Pas de parapluie avec nous mais il est tellement simple d'en acheter dans une boutique à la moindre alerte. Un salon de thé nous accueille. Deux nouvelles visites aux chiottes. Je me montre bien vicelard avec Estelle qui est étonnée par mon imagination dépravée. Je la force à sucer jusque devant le lavabo au risque de nous faire surprendre. Clémentine aussi est émerveillée par mes initiatives de pervers. Elle se touche. Attend son tour. Mais c'est Estelle qui fait l'objet de toutes mes attentions. Et surtout celles de ma bite que je la force à déguster. Elle en tousse, en a des hauts le cœur. Nous flânons dans les rues du centre historique où se prépare les festivité du Hogmanay. Nous les découvrirons ce soir, après un bon restaurant. Après de bonnes pipes vicelardes dans les chiottes.

Bonne faim de soirée à toutes les coquines ravies des initiatives de leur "tour operator" qui ne manque pas la moindre occasion de les enchanter de ses penchants pervers.

Julien (tour operator)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Friday 29 December 2023 07:37

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 32 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2477 -



Visite du château d'Édimbourg

Il est presque huit heures trente, hier matin, jeudi. Cela tient de l'inexplicable. Toutes les nuits qu'elle passe avec nous, depuis des années maintenant, Estelle épouse très exactement chacun de mes mouvements, chacune de mes positions en dormant. Ou est-ce moi ? Le mystère reste entier. Quand nous en parlons parfois, nous ne trouvons aucune explication convaincante. Cette fois encore, saisissant ma tumescence, posant ses lèvres dans mon cou, elle se blottit encore plus fort. Ce qui réveille toujours Clémentine qui vient se serrer contre moi. Je suis entre deux anges. Notre enchantement est paradisiaque. Nous restons ainsi dans de douces effusions de tendresses. Je glisse mes mains dans les culottes en me faisant tripoter la bite et les roubignoles. Je démêle quelques nœuds.

Estelle se redresse, lâche mon Zob, se lève pour se précipiter vers la porte. Clémentine passe une cuisse sous mes fesses, pose l'autre sur mon érection toute naturelle. Elle imprime un léger mouvement masturbatoire contre ma hanche. << Si tu savais comme c'est bon comme ça ! >> murmure t-elle alors qu'Estelle revient dans son pyjama de soie mauve. << Je vais préparer la bouffe ! >> lance t-elle en mimant déjà une masturbation masculine avec toute la vulgarité dont elle est coutumière. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous rejoignons le mime Marceau à la cuisine ou flottent les effluves parfumées du café et du pain grillé. Clémentine presse les oranges, pèle les kiwis alors que je tiens Estelle avec mon bras autour de son épaule pour la toucher entre les cuisses de l'autre main.

<< J'ai plus rien. Finis les "petits machins" ! >> fait elle en se cambrant sur ses genoux fléchis pour me permettre le meilleur accès. << Vous allez baiser avant ou après la bouffe ? >> demande Clémentine qui vient se serrer contre mon dos, ses bras autour de ma taille pour recommencer à se frotter contre mes fesses cette fois. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la visite des souterrains, de mon comportement de vicelard et du bon restaurant de la soirée. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Ce sera la visite du château d'Édimbourg. Nous connaissons très bien mais c'est un de ces lieux que nous ne raterions pour rien au monde en étant en Écosse. C'est un de nos pèlerinages. Estelle est toute contente des mes attentions matinales.

Je lui promets d'être encore plus "odieux" que mercredi dans les souterrains. Nous en rions de bon cœur. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges envisagent déjà la visite du château de Stirling demain. La ville de Stirling étant distante d'une cinquantaine de kilomètres nous hésitons entre prendre la voiture ou prendre le train. Clémentine aimerait beaucoup s'offrir quelques "plans chauds" et donner libre cours à ses penchants exhibitionnistes. C'est vrai qu'il y a souvent moyen de beaucoup s'amuser dans un train pour une fille aimant ce genre de "sport". En évoquant le sport, l'envie de nous entraîner revient au galop. La vaisselle. Lavage des dents. Nous nous changeons très vite pour enfiler nos tenues de jogging.

C'est une chance aujourd'hui encore. Il ne pleut pas. Le ciel est gris et couvert. Pressé d'aller courir, nous dévalons l'escalier. La température extérieure est de 10°. La fraîcheur est humide des pluies de la nuit. Quelques mouvements d'échauffement dans nos K-ways. C'est parti le long de notre circuit habituel. Une heure d'un excellent running. Dix heures quinze quand nous revenons. Pendant qu'Estelle prend sa douche la première, nous faisons le lit, un peu de ménage dans la chambre et la cuisine. Nous la rejoignons dans la salle de bain. C'est à notre tour. Tous les trois, vêtus de nos paires de jeans, de nos sweats, de nos baskets, nous passons au salon. Assises sur mes cuisses, les filles allument l'ordinateur. Juste le message de Lise, notre "fille de ménage". C'est sympathique.

Pendant qu'elles surfent sur le site de l'université, je caresse délicatement leurs seins minuscules. Les bouts de ceux d'Estelle sont redevenu tendres. Ses règles sont bien terminées. Clémentine se lève la première. Estelle se tourne pour se mettre à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou, se frottant elle dit : << Tu me baises un peu ? Juste pour voir si j'ai retrouvé toutes mes capacités ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Il va être dix heures quarante cinq. Estelle se lève. Elle retire ses baskets, son Levis et sa culotte pour s'assoir sur la table, à côté de l'ordinateur. Clémentine déboutonne ses jeans. Elle s'approche. Je frotte mon sexe contre celui d'Estelle en disant : << On va faire un petit contrôle de routine. On en fera le constat ! >>. Estelle m'attrape par les épaules.

Je m'introduis avec d'infinies précautions. Jusqu'à sentir mes couilles battre ses fesses. Je la soulève. Elle met sa tête dans le creux de mon épaule pour se laisser trimballer dans toute la pièce. Clémentine, en se masturbant, nous observe. Je dépose Estelle sur la table où elle s'allonge sur le dos. Je la besogne comme elle aime, à la hussarde. << Il faut pas que je m'emmène, je veux rester excitée toute la journée ! >> s'exclame t-elle soudain en me repoussant doucement. Ma bite est ruisselante de nos mélanges. Clémentine se précipite pour s'accroupir devant moi. Sucer pour tout récupérer. Estelle se masse la vulve en disant : << Le bilan est positif. Tout semble fonctionner à la perfection ! >>. Clémentine se redresse en me laissant une queue propre et luisante. Nous en rions aux éclats.

La baise attise les appétits. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade de tomates. Estelle ouvre le paquet de pommes de terre précuites pour le vider dans le wok. Je poêle trois escalopes de dinde avec ail, oignon et champignons. Un rapide déglaçage pour faire du jus. Nous mangeons de bon appétit en organisant notre emploi du temps. Nous espérons que les visites du château soient libres. En fonction de l'afflux touristique ce n'est pas toujours le cas. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Lavage des dents. Nous restons vêtus comme nous le sommes. Juste chausser nos bottines. Les blousons d'épais cuir brun. Nos écharpes d'épais coton crème. Pressés d'aller vers de nouvelles aventures, nous dévalons l'escalier. C'est parti. Je roule doucement pour descendre Morningside.

Il faut garer la voiture sur le parking à dix minutes de la grande forteresse. Nous sommes munis de nos passes touristiques. Ce qui évite de devoir attendre aux guichets. Il suffit de présenter la QR code devant l'écran d'un scanner et nous voilà dans le hall d'entrée du château. Il y a du monde. Il y a toujours du monde ici. Les visites seront donc obligatoirement guidées. Estelle, bien "allumée" par notre petite séance de "jambes en l'air", se montre encore effrontément tripoteuse. Nous restons prudemment à l'arrière de notre groupe d'une quinzaine de visiteurs. J'ai beau la gronder quand elle manque à la plus élémentaire des discrétions, la coquine prend un malin plaisir à me mettre dans l'embarras. Sous les rires de Clémentine qui adore voir mes expression de gênes absolues.

Le guide est un jeune homme qui récite son argumentaire avec un zèle parfois ridicule. << Ça doit être un nouveau ou un mec qui fait ça pendant ses vacances ! >> suppose Estelle en palpant ma bosse. La salle d'armes est un des lieux les plus surprenants de la visite. Nous croisons d'autres groupes suivant leur guide. << Salope, je t'ai vu ! >> lance Estelle en chuchotant à Clémentine. Je regarde. Nous la surprenons la main à plat sur son sexe. Il y a un type dans l'autre groupe, là-bas, qui mâte. << Ça fait combien de temps que tu lui fais ton numéro ? >> demande Estelle. << Une bonne dizaine de minutes ! >> répond Clémentine. Le mec vient de surprendre nos regards. Il détourne les siens. Il est accompagné de sa femme et certainement de sa fille de l'âge de Clémentine.

C'est excitant. Je n'arrête pas de bander durant tout le temps de la visite. Nous parcourons les fortifications extérieures. En contrebas c'est vertigineux. J'évite de regarder. Ce qui amuse mes deux anges. << Là-bas, regardez, le cimetière des chiens ! >>? En effet, au bas des murailles, il existe un cimetière pour chiens. Les plus célèbres ont même une statue ou un stèle au-dessus de leurs pierres tombales. Des chiens "héros" en quelques sortes. La visite se termine dans le grand hall. Il y a des tourniquets avec des cartes postales, des livres sur l'histoire de la forteresse. Les tourniquets sont d'excellentes cachettes pour se tripoter en douce. << Sors ta bite. C'est ton défi. Je veux faire une photo ! >> lance Estelle. << T'es folle ! >> s'écrie Clémentine. Je m'y refuse catégoriquement.

Je réponds : << Je ne veux pas être "interdit de château" pour le restant de ma vie ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Impossible d'aller nous livrer à nos de jeux de cabinets car il y a bien trop de monde à aller aux toilettes. Nous flânons encore un peu avant de nous retrouver dehors, sur l'esplanade. Comme cet été il y a des marchands de fish and chips. Les tubes Citroën rénovés semblent êtres en Écosse des objets de culte. << Madame Marthe a de la concurrence ! >> dit Clémentine. Nous nous serrons tous les trois très souvent. Le meilleur moyen de nous toucher sans êtres vus. Les regards que nous attirons alors restent juste curieux. Cet homme d'âge mûr contre lequel se blottissent deux sublimes jeunes filles. Un trio qui ne passe pas inaperçu. Trois extraterrestres en goguette.

Nous redescendons sur Princess Street. Le ciel est bas et sinistre mais pas une goutte de pluie. Un de nos salons de thé préférés. Attablés devant des chocolats chauds, nous dégustons nos Dundee cake. Une pâtisserie typique. Il y a un pudding à l'intérieur. Onctueux, crémeux, qui éclate dans la bouche. C'est délicieux. Estelle en a aux commissures des lèvres. << Tu as du foutre là ! >> lui fait Clémentine en prenant une photo. Nous rions en découvrant la photo. Estelle pose sa main sur la mienne en disant : << Et si tu m'en mettais du vrai dans les chiottes ? >>. Il n'y a pas trop de clients. << C'est tout à fait jouable ! >> précise Clémentine. Estelle se lève, prend ma main pour m'entraîner. Nous traversons la petite salle ainsi pour entrer dans les toilettes. Sous quelques regards intrigués.

Enfermés dans un des cabinets des WC hommes, je prends Estelle en levrette. Debout, les mains en appui contre le carrelage, penchée en avant, elle se fait tirer quelques minutes. Je suis obligé de mettre ma main sur sa bouche. Dans ces circonstances également, Estelle a beaucoup de difficultés à rester discrète. Nous rejoignons Clémentine qui vient de réserver une table au "Dining Room". Un des restaurants gastronomiques proposant de la cuisine traditionnelle. C'est avec elle que je retourne cette fois. Je laisse aux lecteurs d'imaginer les expressions des clients attablés quand ils me voient retourner aux chiottes avec "l'autre". Enfermés dans le même cabinet j'inflige le même traitement à Clémentine. Même si la levrette ce n'est pas du tout son truc, elle veut vivre une expérience identique. << Pour voir ce que tu fais avec Estelle ! >> précise t-elle après m'avoir sucé quelques instants.

Nous flânons encore un peu dans les rues du centre historique. Chaque recoin devient alors une cachette pour nos turpitudes. Je me fais photographier contre Estelle avec la bite à l'air. Prenant parfois des risques inconsidérés, trop excités par nos "exactions" sexuées. Clémentine prend des clichés mais permet souvent, aux moments critiques, de cacher nos activités aux yeux des passants. Il est dix neuf heures trente quand nous sommes attablés dans un restaurant très chic. "Dining Room" et son ambiance feutrée. "Dining Room" dont nous visitons les chiottes pour nous livrer à d'aventureuses expéditions. Un repas délicieux. Nous traînons en ville car il y a un monde fou. Les festivités du Hogmanay. Des chapiteaux abritant des groupes locaux. Blues, Rock Écossais pour la plupart. Un genre à part et surprenant. Superbes celtitudes sonores.

Bonne rentrée dans la nuit noire à toutes les coquines impatientes de se "terminer" sous les draps, malgré la fatigue. Les chattes et les bouches fourrées comme des "Dundde cake". Avant de s'endormir tout contre leurs "pâtissier"...

Julien (pâtissier)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Saturday 30 December 2023 07:35

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 33 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2478 -



Expédition "Stirling"

Hier matin, jeudi, il est huit heures quand nous nous réveillons tous les trois quasiment en même temps. Estelle à ma droite qui se serre encore plus fort. Clémentine à ma gauche qui vient se blottir. Nous nous étirons en modulant nos gémissements jusqu'à l'absurde. En riant. Estelle arrive trop tard aujourd'hui car c'est Clémentine qui vient d'attraper mon érection naturelle. Elle empoigne mes couilles avant de se redresser, de se lever pour se précipiter vers la porte. Clémentine joue avec ma bite en me chuchotant des douceurs. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans les odeurs du café, du pain grillé. << Il faudra acheter du pain aujourd'hui ! >> dit elle en mettant les bols sur la table. Je presse les oranges, Clémentine pèle les kiwis.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la visite du château d'Édimbourg. Sur la soirée au restaurant et des flâneries dans les rues animées. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme du jour. << J'ai rêvé que je suçais une tétine en me baladant dans la rue. C'est la troisième fois en deux semaines ! >> nous raconte Estelle. << La tétine qu'on t'a ramené d'Amsterdam il y a cinq ans ? Tu l'as toujours ? >> demande Clémentine. << Et comment, c'est un de mes portes bonheur toujours au fond de mes bagages. Comme Bunny Boy mon lapin ! >>. C'est vrai qu'Estelle trimballe toujours son petit lapin devenu d'un gris sale depuis vingt trois ans. Nous en rions de bon cœur en le regardant posé sur le buffet. Il y restera durant notre séjour à Édimbourg.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles parlent de leurs études, du second trimestre et de la prochaine étape vers leurs Doctorats. La vaisselle. Nous nous lavons les dents avant de revêtir nos tenues sports. Dehors c'est exactement la même météo. Il pleut la nuit. Il fait gris et humide le jour. Pressés d'aller courir, nous dévalons l'escalier en enfilant nos K-ways, nos bonnets, les gants. Ces vêtements synthétiques ne deviennent chaud qu'à la condition de se bouger. Quelques mouvements d'échauffement, bien nécessaires. C'est parti pour notre running quotidien sur notre circuit habituel. Nous croisons souvent les mêmes joggeurs que nous saluons d'un simple mouvement de tête. Il est neuf heures quarante cinq quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première.

Nous faisons le lit, la chambre avant d'investir la salle de bain à notre tour. Vêtus tous les trois à l'identique, de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux, nous passons au salon. Installées sur mes cuisses, mes deux anges allument l'ordinateur. Trois messages. Celui de Juliette qui y joint deux photos. Aux côtés de sa sœur jumelle. Hallucinantes de ressemblances. Un courriel de Danièle. Un mail de Lise notre "fille de ménage". Elles nous racontent le déroulement des vacances scolaires, leurs activités. Estelle découvre le message de ses parents et ses photos. Je caresse leurs seins en les écoutant lire à voix haute. Répondre en riant. Un petit tour sur le site universitaire. Estelle se lève la première pour aller dans la chambre. Clémentine se retourne pour se mettre à califourchon.

Ses bras autour de mon cou à me faire des bisous en murmurant des douceurs. Estelle revient. C'est l'anneau de la tétine en caoutchouc qu'elle a dans la bouche. Qu'elle suce. Nous rions lorsqu'elle le retire pour demander : << C'est comment ? >>. Clémentine répond : << Bien vicelard ! Et tu vas te promener avec ça cet après-midi ? >>. Estelle répond : << Oui, pourquoi ? >>. Nous en rigolons comme des bossus. Estelle revient s'installer sur mes genoux. De la voir ainsi, suçant cette tétine, son visage tout près du mien, est encore un de ces instants délirants. Parfois elle le retire pour nous faire une horrible grimace. << Je préfère sucer sa bite mais comme Julien refuse de me la donner en ville, je me rabats sur mon "porte bonheur" ! >>. Nous sommes pliés de rire. Écroulés.

Elles se lèvent. J'aime les voir virevolter autour de moi en faisant les pitres. Estelle redevient subitement sérieuse. Retire sa tétine luisante de salive. Elle me dit : << Tu me donnes le biberon ? >>. Je me lève. J'ouvre ma braguette boutons, j'en extrais une bite molle. << Wouah, j'aime cet instantané. C'est mon plan favori ! >> s'écrie t-elle. << Moi aussi, juste cet instant là, quand elle apparaît ! >> rajoute Clémentine. Je dis : << Si vous mettez toutes les deux en situation, là, sur la table, je vous prends toutes les deux ! >>. Estelle et Clémentine se regardent. Silencieuses. Comme une chorégraphie répétée, elles se penchent pour retirer leurs baskets, leurs Levis et leurs culottes. Je me branle. Ce spectacle est à la fois émouvant et affriolant. Je bande comme le dernier des salauds.

Je vais chercher les deux coussins du canapé. Je les pose sur la table, à l'arrière de mes coquines. Je contourne la table. Un mètre les sépare. Installées sur le meuble, les pieds relevés, posés sur les bords, elles se touchent en me fixant. Ce regard à la fois plein de compassion et implorant mes bons offices. La tétine ! Je découvre qu'elle est enfoncée dans le sexe d'Estelle qui tient délicatement l'anneau entre ses doigts. Je m'approche. Je frotte mon sexe sur celui de Clémentine. Nous regardons Estelle s'amuser avec non mini gode en caoutchouc. Elle le fait tourner tout en se titillant le clitoris. Je m'introduis dans Clémentine. Elle est d'abord en appui sur ses coudes avant de se laisser aller sur le dos, la tête sur le coussin. Estelle retire sa tétine pour me la glisser dans la bouche.

Quand Clémentine ouvre les yeux, qu'elle découvre ce que je suce, elle éclate de rire. Je me retire. Gardant la tétine en bouche, je m'enfonce dans Estelle avec volupté. Toutes les deux se masturbent, couchées sur le dos. Je passe de l'une à l'autre. D'un commun accord il est décidé de ne pas aller jusqu'à l'orgasme ultime. Mes deux anges se contrôlent suffisamment pour l'éviter. Souvent juste au dernier moment en cessant de se toucher. Moi aussi, je me retire pour prendre du recul, admirer mes branleuses en me masturbant. Estelle saute de la table la première pour s'accroupir devant moi. Récupérer la coulure épaisse et visqueuse accrochée à la peau de mon prépuce et qui refuse de tomber. D'un geste gracieux de la tête, Estelle la récupère en gémissant de plaisir. Pour sucer.

Clémentine saute également de la table. Sans cesser de se toucher elle s'accroupit à côté d'Estelle, attendant que cette dernière veuille bien partager. Mais quand elle est dans la dégustation Estelle n'est pas prêteuse. Elle finit par cesser, gagner par l'ankylose qui la force à se relever. Clémentine prend le relai mais en tombant à genoux. Je remets sa tétine dans la bouche d'Estelle en disant : << Tu es priée de te la mettre tous l'après-midi, de te balader avec et surtout de me la faire goûter ! >>. Clémentine se relève. Nous rions aux éclats de ma proposition saugrenue. << Génial ! >> lance Estelle. << Tu vas avoir ce truc dans la chatte tout l'après-midi ? Mais l'anneau va t'emmerder tout le temps ! >> lance Clémentine que je doigte en même temps qu'Estelle qui dit : << Je le replie ou je coince dans mes fesses ! >>

Rien de tel pour ouvrir l'appétit qu'une bonne petite baise sur table. Les filles se rhabillent. À peine revêtue, Estelle s'accroupit pour recommencer à pomper. Je l'aide à se redresser. Nous quittons le salon pour la cuisine. La première chose que fait Clémentine c'est de téléphoner afin de nous réserver une table pour la soirée. Ce soir ce sera au "Dean Banks". Il faudra y être pour dix neuf heures trente. Estelle fait gonfler du riz complet; râpe du Parmesan. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de concombre. Je poêle trois filets de saumon fumé. Préparations rapides. Nous mangeons de bon appétit. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. Cette fois elle le fait en s'écriant : << Tu apprécies le coup de la tétine ? Et son goût ? >>.

Nous en rions aux éclats. Je trouve ce projet de se balader avec ce truc dans la chatte complètement surréaliste. Nous ne traînons pas. La vaisselle, lavage des dents. Nous enfilons nos bottines, nos épais blousons de cuir brun. Nos écharpes. Nous dévalons l'escalier. C'est parti. Il y a plus de cinquante kilomètres. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue qu'elle suce parfois. Estelle, assise à l'arrière, ses mains dans mon cou, nous raconte comment elle va s'y prendre. << Elle est où ta tétine ? >> lui demande Clémentine. << Là ! >> répond Estelle en la sortant de la poche de son blouson pour l'agiter. Elle rajoute, je me l'enfile avant d'arriver ! >>. Nous rions de bon cœur. Il est treize heures quinze quand nous garons la voiture sur le parking de l'immense forteresse.

Le château de Stirling, situé au sommet de sa colline, surplombe la ville de son immensité. C'est un des plus grands châteaux d'Écosse. Une construction massive. En cette période de l'année, sans le vert de la végétation, ses murailles ocres se confondent avec la roche. Estelle, à l'arrière, après quelques contorsions, s'enfile la tétine. Une fois sortie de la voiture, elle continue de se contorsionner en disant : << Put-hein, c'est l'anneau qui gêne. Il va finir par m'irriter ! >>. Clémentine répond : << Tu vois, je te l'avais dit. Ça va t'emmerder plus qu'autre chose ! >>. Estelle retourne dans l'auto pour le retirer. Mais elle revient en l'ayant dans la bouche. Accrochées à mes bras, mes deux anges m'entraînent vers le pont levis. Tout ici est démesuré. Cette forteresse est vraiment immense. Il y a du monde.

Nos passes touristiques. Grâce au QR code, pas la peine de faire la queue. Les visites sont hélas guidées. Je recommande la visite de cet extraordinaire citadelle. Le château où a séjourné Mary Stuart, les plus grands monarques du Royaume Unis. Je me fais tripoter par Estelle à qui je suis obligé de demander souvent d'être plus discrète. Sa tétine dans sa poche qu'elle met parfois quelques instants en bouche avant de la mettre dans la mienne. Nous nous faisons évidemment surprendre plein de fois. Je laisse aux lecteurs d'imaginer les regards hallucinés de certains visiteurs. De certains membres du groupe dont nous faisons partie. Le guide qui se marre en douce. La visite dure une heure trente. Nous descendons par le chemin médiéval qui mène aux fortifications de la ville. Stirling est une grande ville. Ancienne capitale.

Nous y flânons. Le ciel est gris et bas mais la température relativement agréable avec 16°. Un salon de thé aux délicieuses spécialités nous offre une table richement garnie. Des chocolats chauds, des glaces meringuée à la menthe. Surprenantes mais savoureuses. Évidemment l'obligatoire visite des toilettes hommes. Deux fois avec Estelle que je baise quelques minutes en levrette. Deux fois avec Clémentine qui me suce quelques minutes jusqu'à me faire vaciller de vertige, enfermés dans un cabinets des WC hommes. Les visites en hiver sont différentes de celles de l'été. Il fait nuit dès seize heures trente en Écosse. Je me retrouve souvent à sucer la tétine qu'Estelle après l'avoir retiré de la sienne m'enfonce dans la bouche. J'adore le goût. Il est dix neuf heures trente quand nous sommes attablés dans le "Dean Banks". À nous régaler de fruits de mer. Il y a bien trop de monde pour visiter deux fois les WC. Une fois chacune seulement.

Bonne fin de soirées à toutes les coquines qui vont découvrir les festivités du Hogmanay en se faisant tripoter pas toujours discrètement non plus. J'ai parfois l'air d'un con avec la tétine en bouche. Par contre Estelle adore être observée entrain de la téter. Ce qui amuse beaucoup d'autres filles croisées au hasard...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Sunday 31 December 2023 09:36

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 34 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2479 -



Flâneries à Édimbourg

Il est huit heures trente hier matin, samedi, quand Estelle m'arrache de mon sommeil. Des murmures à mon oreille. Des trucs coquins en saisissant ma tumescence. Ses lèvres qui se posent comme des ventouses juste sous mon oreille. Je glisse ma main dans sa culotte. Nous nous caressons un peu. Ce qui réveille Clémentine. Elle vient se blottir contre moi. Je suis entre mes deux anges dans un nouvel enchantement paradisiaque. Je passe mon autre main dans sa culotte. Mes doigts qui passent délicatement entre les lèvres de leurs vulves. C'est extrêmement doux, chaud et peut-être légèrement moite. Je titille les clitoris. << Attention, je dois faire pipi ! >> lance Estelle. Je cesse immédiatement. Elle se lève d'un bond, réajustant le pantalon de son pyjama pour courir vers la porte.

Clémentine m'attire sur elle, enserrant mes hanches de ses jambes. Nous mimons l'acte d'amour. Mon érection naturelle et matinale cognant doucement contre l'entrée de son sexe. Le coton de nos slips restant le seul obstacle. Nous ne sommes pas du matin et l'envie de pisser devient de plus en plus forte. Estelle revient nous faire des bises en disant : << Je vous attends à la cuisine ! >>. C'est à notre tour de nous précipiter aux toilettes. En slips et en T-shirts de nuit, nous la rejoignons dans les effluves parfumées du café, du pain grillé. Nous avons également ramené une brioche de Stirling. Un de ces "chinois" au pudding et à la frangipane. Je presse les oranges, Clémentine pèle les kiwis. Estelle a déjà la main baladeuse entre mes cuisses, par derrière, pour chopper mes couilles.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la visite du château de Stirling. Nous aimons bien faire le bilan de nos aventures de la veille. Il y a souvent des détails "croustillants" qui nous émoustillent dès le matin. Nous mangeons de bon appétit en envisageant le programme de cette nouvelle journée. La météo ne change pas. Une température extérieure de 10°. Un ciel gris, couvert, toujours légèrement menaçant. Nous savourons la brioche en lui faisant honneur. Nous mangeons de bon appétit en riant du coup de la tétine. << Excitant non ? Vous avez vu le regard de certaines meufs ? Elles captent plus vite que les mecs ! >> lance Estelle qui nous promet de belles récidives aujourd'hui. Comme nous avons en projet de faire la National Galleries of Art, il y aura là de belles opportunités

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mes épaules, mes deux anges font l'inventaire des choses qu'elles veulent revoir à partir de lundi, premier jour de l'an neuf. Quelques pèlerinages devenus obligatoires avec les années. La vaisselle. Le lavage des dents. Nous revêtons nos lycra de sports. K-ways, bonnets, gants avant de dévaler l'escalier. Des mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale. Le fond de l'air est encore humide des pluies de la nuit. C'est parti. Notre running nous emporte dans une véritable allégresse le long de notre parcours quotidien. Nous croisons souvent les mêmes joggeurs. Une petite minute d'arrêt pour ne pas se refroidir. Admirer Édimbourg depuis les hauteurs de Morningside en sautillant sur place. Soufflant.

Il est dix heures quinze quand nous sommes de retour. Pendant qu'Estelle prend sa douche, nous faisons notre lit, un peu de ménage dans la chambre. Nous la rejoignons dans la salle de bain. Les filles, assises sur deux tabourets, serviettes sur les épaules, s'offrent ce rituel qu'elles adorent. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite je les coiffe. Le shampoing des samedis matins. << Tu nous fais des nattes ! >> s'exclame Estelle. J'aime m'occuper d'elles, de leurs cheveux. Ce n'est pas seulement un agréable passe temps, c'est également passionnant. Je me donne de la peine alors qu'elles parlent de leurs études, du programme qui les attend au second trimestre. J'écoute avec attention car les stratégies et les ruses que mettent en œuvre les femmes sont souvent tellement extraordinaires.

Tous les trois, vêtus de nos 501, de nos sweats, chaussés de nos baskets, nous passons au salon. Installées sur mes cuisses, me tournant le dos, elles allument l'ordinateur. Un courriel de Juliette. Avec deux photos d'elle et de sa sœur jumelle. Son double troublant. Tout le mystère de la gémellité sous forme de sourire, de beauté, de charme et d'attractivité. Ce qui intrigue beaucoup Estelle qui pose une fois encore la même question : << Sa frangine est-elle aussi salope ? >>. Nous en rions de bon cœur. Clémentine rajoute : << Il faudra élucider cette interrogation ! >>. Estelle découvre le message de ses parents. Là aussi il y a deux photos. Yvan et Michèle encadrant la mamie. Une femme encore magnifiquement conservée à presque soixante dix ans. << Hyper sportive ! >> précise Estelle.

Estelle qui se lève la première en disant : << Il faudra faire des courses, demain dimanche au plus tard. On n'a plus que trois tomates, un petit bout de Parmesan, trois kiwis et trois oranges ! >>. Estelle aime à tenir la logistique "bouffe". Elle fait une liste pendant que Clémentine se retourne pour s'installer à califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou. << Donnez-moi des idées pour les légumes ! >> lance Estelle qui écrit. Brocolis, patates précuites, carottes, concombre et tout ce qui nous vient en tête. Clémentine fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Nous en avons le bas du visage trempé de salive. Estelle vient nous rejoindre pour nous lécher. C'est terriblement excitant. Je l'attrape par sa natte que je tiens au plus court pour l'embrasser comme un sauvage.

<< Waouh ! J'aime quand tu fais ta brute ! >> s'écrie t-elle quand je cesse de fouiller sa bouche. C'est Clémentine qui nous lèche. Je suggère un bon léchage de minous pour nous mettre en appétit car il va être onze heures quinze. Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. Voilà mes coquines qui retirent baskets, Levis et culottes. Avachies dans le canapé, mes deux anges m'offrent leurs chattes. À genoux sur les coussins, je passe de l'une à l'autre. Je déplore toujours le goût et l'odeur du gel douche "Yuka" que nous utilisons. Même si ça sent merveilleusement bon, j'ai une préférence pour les parfums naturels. Heureusement que ce gout ne gâche pas celui du jus de filles que je déguste en esthète. Sous les gémissements d'Estelle et de Clémentine qui se masturbent pendant mes fouilles.

Hors de question de franchir la limite à ne surtout pas dépasser. Tous les trois nous aimons rester excités pour le reste de la journée. Je me redresse. Dans un même élan, toutes les deux se rapprochent en ouvrant la bouche. Je n'ai qu'à y mettre ma bite mollasse. Passant de l'une à l'autre pour la sentir durcir. Je caresse délicatement leurs nuques alors que tout en suçant à tour de rôle, elles se masturbent. Estelle se redresse la première. << Si on veut faire tout ce qu'on a prévu, il faut être raisonnable. Sinon je me rassois ! >>. Nous en rions de bon cœur. Surtout qu'Estelle n'est absolument pas convaincante. Elles se rhabillent en partageant leurs impressions. Le léchage de minou restant leurs jeux préférés. Surtout Clémentine pour qui les rapports génitaux buccaux sont des musts.

Clémentine fait l'assaisonnement pour les trois dernières tomates. Estelle fait bouillir l'eau des coquillettes. Je poêle les trois derniers nems aux crevettes. Trois samoussas au crabe. Préparations rapides. Nous mangeons de bon appétit en mettant au point les plans de l'après-midi. Estelle me fixe mon défi. Une branlette d'au moins trente secondes dans un endroit à risque, filmée par Clémentine. Nous pratiquons régulièrement ce genre de challenge. C'est souvent hyper risqué mais terriblement excitant. Moins en le réalisant qu'en le regardant quelques jours plus tard. Estelle se lève à quelques reprises pour mimer une masturbation masculine. << Comme ça ! >> dit elle en m'imitant. << Ou encore comme ça ! >> rajoute t-elle en agitant une queue imaginaire. Clémentine mime des pipes.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Le lavage des dents. Nous chaussons nos bottines. Estelle récupère sa tétine posée sur le buffet. Elle l'a prend en bouche en observant nos réactions. Clémentine et moi avons le même réflexe. Nous levons le pouce. Dans un des tiroirs du buffet, il y a une bobine de fil alimentaire. Du lin blanc. Elle en coupe un bout d'une longueur d'environ cinquante centimètres. Elle l'enfile dans la boucle de la tétine en me disant : << Tu me l'accroches autour du cou ! >>. Elle me tourne le dos. Je fais le nœud. << Ce serait bien plus beau avec une chaînette ! >> lance Clémentine. Je propose d'en acheter une cet après-midi. Nous mettons nos blousons d'épais cuir brun. Nos écharpes. C'est au restaurant "The Spence" que Clémentine réserve une table pour la soirée.

Pressés de filer nous dévalons les escaliers. Je roule doucement pour descendre jusqu'à Dean Village. Puis Leith où je gare la voiture sur un des trois parkings obligatoires. Avec les festivités du Hogmanay, toute la ville est interdite de circulation. Il y a des policiers et des militaires un peu partout à cause des menaces terroristes. Cette plaie barbare qui gangrène l'occident est également présente au Royaume Unis. Je remballe ma bite que Clémentine vient de cesser de sucer. << Et moi, je sens le pâté ! >> s'écrie Estelle assise à l'arrière. Je réponds : << Toi, tu as trois défis cet après-midi. Me sucer trois fois dans trois endroits différents ! >>. Clémentine précise : << Que je filme bien sûr ! >>. Silence. Estelle reste un instant comme médusée avant de s'exclamer : << Chiche ! >>

Il y a vingt minutes de marche pour arriver sur Royal Mile puis sur Princess Street. Mes deux anges restant accrochées à mes bras pour me faire plein de bisous sur les joues. Surtout quand le regard insistant de quelques passants se pose sur nous. La National Galleries est située dans cet immense parc qui comprend le château et le fameux musée "camera obscura and world of illusions". C'est un peu le "Central Park" d'Édimbourg. Évidemment l'endroit est bien plus beau à la belle saison. Mais son charme particulier sait séduire n'importe quel promeneur. Nos passes touristiques. Il suffit de présenter le QR code devant le scanner. Ici, les visites sont aux choix. Libres ou guidées. Nous choisissons la première option. Surtout que nous avons des défis à relever. Le désir fort de nous encanailler.

Il y a des caméras de surveillance partout. Ce musée recèle d'œuvres d'Arts célèbres dans le monde entier. Un Salvador Dali, quelques maîtres de la Renaissance, des maîtres Hollandais, Flamands, Italiens. Il y a du monde. Il est agréable de circuler dans cette grande bâtisse aux salles hautes et lumineuses. Nos blousons ouverts. Estelle exhibant la tétine qui pend entre les protubérances à peine marquées de ses seins minuscules. Son air innocent, comme si elle ne s'en rendait pas compte, rajoute encore à cette "intrigue". Je laisse aux lectrices d'imaginer certaines réactions féminines. Je laisse aux lecteurs d'imaginer certains regards masculins. Même si en fait, très peu des visiteurs présents ne remarquent "l'accessoire". Estelle nous explique : << J'adore, ça me fout la honte ! >>. Clémentine rétorque : << Ça s'appelle les joies de l'exhibition ! >>. Nous en rions de bon cœur. Je surprends le regard d'Estelle scrutant ceux des voyeurs.

Il est totalement impossible de réaliser un de nos défis dans ce musée. Par contre, il est excitant de voir Clémentine se toucher discrètement, quelques instants, lorsqu'un visiteur regarde dans la direction de notre trio. Cet homme d'âge mûr tenu aux bras ou aux mains par deux sublimes jeunes filles. Dont l'une, en regardant mieux, porte une tétine en forme de bite, avec ses couilles, suspendue à une ficelle. Je suis encore le spectateur et l'acteur privilégié de moments surprenants, étonnants et "sextraordinaires". << Même pas aux chiottes. On ne prend aucun risque ! >> lance Clémentine pour nous dissuader du désir fort d'aller y pratiquer nos rituels. << On pourrait êtres pris pour des terroristes sexuels ! >> rajoute Estelle alors que nous en rions aux éclats. Elle me touche.

Pas toujours très discrète, Estelle pose sa main sur ma bosse. Se serrant contre moi pour masquer ses activités. Les gens qui regardent plus attentivement s'en doutent bien. Nous avons pour principal intérêt cette petite huile sur bois de Gérard Dou. Peinte au dix septième siècle. Représentant un personnage vêtu d'une cape bleue, assis devant une table où est posé un violon. C'est extraordinaire. Comme une fenêtre ouverte sur une autre dimension du temps. Peint avec une redoutable luxuriance de détails sidérants. Un tableau qui ne fait pas plus de 32 centimètres sur 28. Nous en oublions nos tourments sensuels. Les filles restent serrées contre moi. Nous nous rendons enfin compte que nous cachons cette œuvre. D'autres visiteurs derrière nous aimeraient bien admirer eux également.

La visite dure deux bonnes heures. Le crépuscule s'annonce lorsque nous sommes de retour dans le parc. << Ton défi ! >> me fait Estelle en saisissant ma braguette d'une poigne ferme. Ces deux couples viennent de nous surprendre. Ils nous croisent avec un étrange sourire. Ces deux jeunes garçons également. Eux aussi m'adressent un curieux regard. Je pourrais être leur père et les deux filles de leur âge me tiennent par les mains. L'une qui vient de palper ma braguette. Certes, nous nous amusons de ces situations mais pour moi, elle reste parfois gênantes. Sous les rires de Clémentine qui découvre mes expressions hébétées. Mais c'est là, entre le socle d'une statue d'une Diane chasseresse et un banc qu'Estelle exige que je réalise mon premier défi. Clémentine prend son téléphone. Je regarde partout autour de nous. << C'est jouable si tu fais vite ! >> me fait Estelle qui me cache à d'éventuels regards. Je me déboutonne, je sors ma bite.

Clémentine filme alors qu'Estelle, son bras autour de ma taille, lève le pouce de son autre main. Clémentine tourne autour de nous quand soudain Estelle se penche pour prendre ma queue en bouche. Elle s'accroupit pour fixer l'objectif, ma bite en bouche. Elle cesse, je remballe, tout cela n'aura duré tout au plus qu'une quarantaine de secondes. Mais quarante secondes dans une situation à risques sont une éternité. << On a fait d'une pierre deux coups. On a chacun réalisé notre premier défi ! >> lance Estelle. Nous l'avons échappé belle car deux policiers sur des chevaux arrivent. Je suis mort de trouille ! Avons-nous été surpris, dénoncés ? Ouf. Rien de tout cela. Ils nous croisent. La jeune femme dans son uniforme, très droite sur sa monture, nous adresse le plus merveilleux des sourires.

Nous retournons dans le dédale labyrinthique du centre historique. Échaudés par ce premier défi. Pressés d'en réaliser le second. Ce qui n'est pas une mince affaire car partout il y a du monde. Lors du Hogmanay, les gens placent des bougies allumées sur les rebords de leurs fenêtres. C'est magique à la nuit tombée. Nous croisons des gens déguisés. Des vampires, des chevaliers en armures, des Merlin l'enchanteur, des fées Mélusine. Des groupes de jeunes portant d'extraordinaires et extravagantes tenues gothiques. Estelle et Clémentine prennent quantité de photos. Toute la ville est dans une ambiance festive n'ayant plus rien à voir avec Noël. S'annonce la nuit du 31 décembre, passage à l'an neuf. Pour les amateurs d'ésotérisme c'est un des cinq sabbats importants de l'année.

C'est là, au même endroit que l'année dernière, que nous entrons par la porte cochère dans une cour privée. Il y a d'ailleurs la même vieille camionnette Volkswagen décorée "baba cool" garée contre le mur. L'endroit idéal pour réaliser notre second défi. Clémentine filme. C'est plus tranquille mais il y a du passage dans la ruelle. Des couples viennent s'embrasser dans les recoins. Fumer des pétards. Nous ne sommes pas les seuls à nous offrir du plaisir. Je me branle face à l'objectif. Estelle, debout à côté de moi, la main droite dans son Levis ouvert fait pareil. En agitant la tétine de sa main gauche. Clémentine filme. Je me fais sucer quelques instants. Et voilà ! Ce qui devait finir par arriver, arrive. Un type venu pisser là derrière tombe sur la scène. Sans se démonter il dit : << Yeah ! It's right ! >>

Je remballe, Estelle se reboutonne. Nous filons à l'Anglaise. Ce qui est un amusant paradoxe en Écosse. Nous rigolons comme des bossus de ce qui vient de nous arriver. << Attendez-moi là, je veux aller voir ! >> s'exclame soudain Clémentine qui retourne dans la cour. Nous la suivons pour rester cacher et mâter discrètement. Le type est entrain de secouer les dernières gouttes lorsqu'il voit arriver la fille. En montrant son téléphone, en pointant son doigt vers la bite que tente de remballer le mec, elle demande probablement si elle peut faire une photo. Bien évidemment l'homme refuse. Il contourne la fille comme méfiant pour venir rapidement vers nous. Il nous voit. Il fait tourner son index sur sa tempe avant de se fondre dans la foule. Nous sommes pliés de rire. Mal aux ventres !

Au fur et à mesure que la soirée approche, la foule se densifie. Il y a plusieurs retraites aux flambeaux prévues dans différents quartiers de la ville. La nuit du 31 décembre. Il est conseillé d'en acheter dès aujourd'hui. Nous ne voulons pas nous encombrer de ces choses qui mesurent quand même soixante centimètres. Ce qui nous importe maintenant c'est de trouver l'endroit du troisième défi. Ce sera à l'intérieur de la cathédrale Saint Gilles. Aussi dingue que cela paraisse, c'est dans cet édifice, dans un coin sombre, malgré les visiteurs, que je me branle devant l'objectif. Estelle faisant écran de son corps si d'éventuels touristes venaient par là. Il faut faire très vite, cette situation ne pourra perdurer. Estelle s'accroupit, vite, ma bite dans la bouche pour fixer l'objectif. Même pas trente secondes.

Du grand Art. Nos folies ont atteint de tels degrés de sophistications téméraires que nous sommes devenus de véritables virtuoses. << Défis réalisés ! >> lance Estelle en agitant sa tétine. Avant de la mettre en bouche pour la téter ostensiblement en fixant effrontément des messieurs consternés. Accompagnés de leurs compagnes qui parfois les saisissent par le bras pour tenter de détourner leurs attentions. Nous sommes pliés de rire à chaque fois. Il est dix huit heures trente. La faim commence à se faire sentir. The Spence est un établissement recommandé par le guide Michelin. C'est un endroit à la fois luxueux et chaleureux. Dans un cadre très dix neuvième siècle. Lustres, boiseries et parquets cirés. Nous nous régalons de pommes de terres farcies à la viande de brebis. Une merveille.

Bonne soirée à toutes les coquines qui, aux bras de leur coquin, vont parcourir les rues animées d'évènements festifs étonnants. En lui tripotant la queue. En tétant une tétine à tour de rôle pour attiser quelque convoitises de mâles en rut soudain retournés à l'état mental de l'homme de Néandertal...

Julien (le coquin)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Monday 1 January 2024 07:54

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 35 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2480 -



Le dernier jour de l'année

Notre grasse matinée du dimanche nous emmène aux environs de neuf heures. Estelle à ma droite, tout contre moi. Clémentine à ma gauche qui se tourne pour venir se blottir. Nous restons un petit moment ainsi à savourer notre réveil en douceur. Le dimanche, aucune contrainte, pas d'entraînement, un certain laxisme et une envie folle de manger de la brioche. Lâchant mon Zob, Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Je dois pisser, au secours ! >>. Nous rions en la voyant filer vers la porte dans son pyjama de soie mauve. Clémentine tient fermement ma bite alors que je fouille son intimité du bout de mes doigts, sans y pénétrer vraiment. Estelle revient en sautillant : << Ces messieurs dames désirent peut-être leur petit déjeuner au lit ! >>. Clémentine répond : << Que nenni ! >>

Nous nous précipitons à notre tour aux toilettes avant de rejoindre Estelle dans la cuisine. La brioche achetée samedi trône royalement sur la table. Je presse les dernières oranges. Clémentine pèle les derniers kiwis. C'est dans la suave odeur du café et du pain grillé que nous prenons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit en révisant la liste des courses qu'il faut absolument faire aujourd'hui. << De préférence ce matin ! >> précise Estelle qui s'auto proclame "responsable logistique" à chacune de nos vacances. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mes épaules, mes deux anges font le programme de ce dernier dimanche de l'année. Cet après-midi flâneries sans buts réels dans le labyrinthe des rues du centre historique de la ville.

La vaisselle. Le lavage des dents. Nous revêtons nos jeans, nos chemises à carreaux d'épais coton. Nous chaussons nos bottines. Clémentine met en machine notre linge de corps de la semaine passée. À notre retour il n'y aura qu'à le suspendre au-dessus de la baignoire de la salle de bain. Nous enfilons nos blousons d'épais cuir brun, rembourrés et bien chauds. Nous dévalons les escaliers. La température extérieure est de 4° ce matin. Le ciel est uniformément gris mais sans la moindre menace. << Ça sent la neige ! >> lance Clémentine. Nous prenons la voiture. Je descends Morningside à très faible vitesse. La circulation est assez dense. Clémentine joue avec ma queue. Assise à l'arrière, Estelle enserre mon cou de ses mains, jouant de ses doigts en nous racontant le port de sa tétine.

Il faut traverser Dean Village. Contourner Leith en direction du Nord, vers l'aéroport. Il y a une dizaine de bornes. Je bande comme le dernier des salauds en garant l'auto sur le parking du Lidl. Je pousse le charriot, Estelle me tenant le bras. Nous suivons Clémentine. La liste des courses à la main, elle nous entraîne dans les rayons. Il est dix heures quarante cinq. Je propose de manger dans la cafétéria car les menus sont alléchants. Estelle et Clémentine, lorsque nous sommes en vacances, aiment l'intimité du repas de midi. Par contre le restaurant en soirée est un plaisir. << On y réfléchis ! >> suggère Clémentine. Quand Clémentine compare des prix avant de choisir un produit, Estelle et moi nous nous roulons des pelles. Il y a du monde dans le grand supermarché. Plein de gens.

Nous attirons donc tous les regards des clients qui nous croisent dans les allées. Créant parfois un "embouteillage" malgré nos précautions de bien ranger le caddie contre les rayons. Nous traînons dans ces rayons richement achalandés. Il reste cinq jours avant notre départ de vendredi prochain. Estelle suggère qu'on prenne tout ce qu'il faut pour tenir jusque là. C'est une excellente résolution. Nous passons là une bonne heure à "visiter", à louvoyer et à nous frayer des passages car il y a de plus en plus de monde. Il faut encore attendre en caisse. Rien n'est plus simple et discret que de se tripoter dans une file d'attente. Estelle ne s'en prive pas, envisageant même de me sortir la bite : << Personne ne pourrait s'en douter. Allez, on dit que c'est ton premier défi ! >> chuchote t-elle.

Je m'y refuse avec une obstination qui les fait rire. Nous flânons encore un peu dans la galerie commerciale. Il y a deux animations. Deux filles vêtues "cow-boys" vantent les mérites d'une soupe au bœuf. Une dame en tenue traditionnelle propose des dégustations de cafés. Nous hésitons devant les menus affichés. Surtout à l'idée de déguster ces lasagnes au saumon dont la photo met cruellement en appétit. << On met les achats dans le coffre et on revient ! >> lance Clémentine. << Refaire la queue aux caisses ! Vraiment ? À la maison on peut s'amuser comme on aime ! >> fait Estelle qui rajoute : << En plus, on a tout ce qu'il faut ! >>. Nous nous plions à sa sagesse. Nous quittons le parking en sens inverse. Il est midi quinze quand nous sommes de retour. Clémentine fait l'assaisonnement de la superbe petite laitue .

Estelle réchauffe dans le wok les pommes de terre précuites. Dans la poêle je fais dorer trois superbes filets de limande. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les projets de l'après-midi. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges passent en revue les différents endroits qu'elles aimeraient revoir. Nous ferons l'itinéraire le long de la rivière à partir de Dean Village jusqu'au centre d'Édimbourg. C'est exclusivement piétonnier et le cadre est magique. << On gare la bagnole sur un des parkings des quais ! >> suggère Estelle. Nous sommes invités au repas du réveillon pour dix neuf heures. Ce qui impose de prendre la voiture. Nous retournerons en ville pour vingt et une heures. Les festivités du Hogmanay atteignent leur paroxysme le 31 décembre.

La vaisselle. Lavage des dents. Pressés de filer nous dévalons l'escalier de service. La température extérieure est de 11°. Un temps sec. À nouveau en voiture pour parcourir les trois bornes qui nous séparent de Leith. Clémentine joue avec ma queue. Mes défis de l'après-midi sont identiques à ceux de samedi. Me branler dans un lieu public, filmé et photographié par Clémentine, en compagnie d'Estelle qui fera le clown. Nous en rions de bon cœur. Le défi que se fixe elle-même Estelle est de garder son "pendentif" autour du cou. Bien visible sur le bleu nuit de son sweat. La tétine en caoutchouc accroché à sa ficelle de lin blanc. Dean Village est un quartier de la ville qui présente un charme particulier. Tout ici est préservé. On a l'impression d'un voyage dans le temps. C'est parfois étonnant.

Il y a cet itinéraire que nous apprécions tout spécialement. À gauche, la rivière Leith, à droite, sur les hauteurs, les magnifiques maisons de maîtres construites au dix neuvième siècle. Tous les cent mètres environ, il y a un escalier ou une venelle qui montent entre les haies de houx ou de lauriers. Les endroits parfaits pour nous amuser. Il y a du monde à se promener sur ce chemin parfois pavé, parfois goudronné. Le bruit de la rivière qui, par endroit, devient torrentueuse. Il suffit de monter quelques marches pour nous retrouver à l'abri des regards éventuels. C'est là que nous réalisons notre premier défi. Clémentine, accroupie, filme. Estelle, un bras autour de ma taille, me branle de sa main libre. Elle s'accroupit pour coller ma bite contre son visage, pour sourire à l'objectif. Je bande.

<< On se fera une soirée cinéma samedi prochain, à la maison ! >> dit elle avant de changer de position. Se présentant cette fois de dos à l'objectif pour se mettre à me tailler une pipe des familles. Du chemin à une trentaine de mètres plus bas, nous parviennent des voix, des rires. Il faut rester prudents. On ne sait jamais. Estelle, à la limite de la crampe, se redresse. Clémentine, qui a filmé sous tous les angles, se touche. Je secoue ma bite dans sa direction. Elle prend encore quelques photos alors qu'Estelle reste contre moi en souriant pour chaque cliché. Nous avons passé là une bonne dizaine de minutes sans êtres dérangés. << Génial ! >> fait Estelle en restant tout contre moi quand nous redescendons l'escalier. << Si on veut aller vers la ville, il faut prendre à gauche ! >> précise Clémentine. Nous flânons dans les ruelles de Dean Village. Nous visitons quelques unes des galeries d'Art. Il y a de belles choses. Les rues sont très animées.

Nous raffolons des Antiquités et des brocantes. C'est le paradis des chineurs ici. Ce sont souvent de petites vitrines donnant sur la rue. Mais une fois qu'on y pénètre, ces boutiques s'avèrent toutes en longueurs. Certaines sont de vraies cavernes d'Ali Baba. Et surtout, elles permettent des situations à risques. Dans l'une d'entre elles, spécialisée dans les livres anciens, les hautes bibliothèques, je me retrouve bite à l'air, entrain de me faire branler par Estelle, filmé par Clémentine. Cette fois cela ne dure que deux trois minutes. Nous manquons d'êtres surpris par deux couples de visiteurs. Mais "frissons garantis". Tout ça nous excite évidemment considérablement. Et c'est le piège. Car cette excitation pousse à dépasser parfois les limites. À nous mettre en situations de dangers.

Estelle surtout, se montre effrontément téméraire. Le pendentif qu'elle porte autour du cou, entre ses seins, n'attire pas immédiatement l'attention comme elle l'espèrerait. << Tu devrais porter un vrai gode de vingt centimètres ! >> suggère Clémentine en plaisantant. Nous en rions de bon cœur. Finalement, nous passons l'après-midi entre Dean Village et Leith. Édimbourg ce sera pour ce soir. Le troisième défi est réalisé dans une porte cochère condamnée par des pierres de taille. Au fond de la venelle où nous nous sommes fait surprendre l'an dernier, à la même époque. Un type à la fenêtre au-dessus du restaurant. Sans doute un des cuisiniers. Cette fois nous nous montrons beaucoup plus prudents. Estelle, une nouvelle fois de dos, me suce alors que Clémentine filme. Je fais hyper gaffe.

Clémentine se prend au jeu. Quand Estelle se redresse avec du foutre aux commissures des lèvres, Clémentine tend son I-phone à Estelle en disant : << Filme ! >>. Se présentant elle aussi de dos, accroupie, elle prend le relai. Je suis appuyé contre le mur. Je la tiens par ses oreilles pour pouvoir bouger en rythme, me branler dans sa bouche. Estelle qui filme. Elle me fait de merveilleux sourires. Nous échangeons des clins d'œil. Des gens. Tout un groupe qui s'engage dans la venelle. Ils sont à une cinquantaine de mètres. Ne captent pas vraiment ce qui se passe. Clémentine se redresse. Elles font écran de leurs corps alors que je peux remballer tranquillement. Nous en rions aux éclats en quittant cette impasse. Estelle serrée contre moi. Clémentine accrochée à mon bras qui murmure plusieurs fois : << Miam ! Ta bite a le goût négligé des dimanches. J'adore ! >>. Estelle qui rajoute : << C'est le gout du Parmezob ! >>. Nous rigolons comme des bossus.

Je m'arrête alors qu'Estelle se blottit dans mes bras. Je dis : << Demain, le défi fou de baiser avec toi dans un endroit à risque. Faites preuve d'imagination les filles parce que je veux monter la barre très haut ! >>. Estelle empoigne alors ma braguette pour lancer : << Tu veux parler de cette barre je suppose ? >>. Nous rions. Il faut songer à retourner à la voiture. Il est déjà dix huit heures trente. Nous passons un agréable réveillon en famille. Un succulent repas livré par le traiteur attitré. Il est vingt et une heures quand nous prenons congé. Pressés de retourner en ville. À Édimbourg cette fois. C'est tout simplement magique. Malgré la foule partout. Il y a des groupes qui jouent sur les petites places pavées. Un grand spectacle sur l'esplanade du château. Des feux d'artifices de toutes beautés. Il est évidemment impossible de nous livrer ouvertement au vice. Mais j'ai parfois la bite à l'air, cachée sous mon blouson fermé. C'est excitant.

Estelle et Clémentine, le sachant, n'arrêtent pas de me toucher. Parfois vulgairement. Nous achetons trois flambeaux pour participer à un défilé. Les filles restent accrochées à mes bras. C'est souvent une telle cohue en traversant la foule amassée devant une attraction qu'il faut bien se tenir pour ne pas êtres séparés. Je touche mes deux anges. Quelquefois ouvertement et avec vulgarité. Il y a des bougies et des lumignons sur tous les rebords de fenêtres. C'est absolument divin. La musique en fond sonore, les rires, des groupes de gens qui chantent. À minuit tout le monde se souhaite << Happy New Year ! >>. Estelle et Clémentine esquivent les bises de certains mecs éméchés. Ce genre de festivités ne va pas sans son lot d'ivrognes souvent pénibles. Je dois m'interposer assez souvent.

Bonne nuit à une heure du matin à toutes les coquines épuisées, blotties contre leur coquin pour plonger dans un profond sommeil...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Tuesday 2 January 2024 07:37

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 36 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2481 -



Sauter à pieds joints dans la nouvelle année

Il est huit heures trente hier matin, lundi. Le jour de l'An. Estelle saisit mon érection naturelle d'une poigne ferme. Je ne sais pas si c'est une conséquence de son rêve car quand j'ouvre les yeux, tout contre moi, elle semble dormir. Mon mouvement brusque réveille Clémentine qui vient se blottir. Sa tête dans le creux de mon épaule. Soudain Estelle qui faisait semblant de dormir, se couche sur moi. << Bon anniversaire monsieur le bandeur fou ! >>. J'avais complètement oublié. J'oublie toujours la date de mon anniversaire. << Bon anniversaire ! >> rajoute Clémentine. Je me retrouve avec le visage mitraillé de bisous. Estelle lâche mon chibre pour se lever d'un bond. << Aujourd'hui, je vais souffler ta bougie. Je me présente "Annie Versaire" ! >> lance t-elle en courant vers la porte

Clémentine passe sa tête sous les draps pour gober mon Zob qui ramollit doucement car mes tumescences naturelles du matin n'ont strictement rien à voir avec une excitation quelconque. Cette petite fellation matinale me procure encore une étrange sensation. Estelle revient, mimant une pipe, elle se précipite pour retirer le drap. << Miam, déjà ! >> dit elle en déposant ses lèvres sur les miennes. Clémentine cesse. << Je vous attends à la cuisine ! >> fait encore Estelle alors que Clémentine m'entraîne par la queue jusqu'aux toilettes. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine où flottent les suaves parfums du café, du pain grillé et du reste de brioche mis au four à micros ondes. Je m'apprête à vouloir presser les oranges quand Estelle m'attrape les couilles par derrière et la bite par devant.

<< Toi, aujourd'hui, tu ne fais rien qu'à te laisser faire ! >> dit elle alors que Clémentine pèle les kiwis. Estelle fourre sa main dans mon slip de nuit pour rajouter : << Et je veux voir ta queue bander toute la journée ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la nuit du 31 décembre. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les options de ce premier janvier. Beaucoup de commerces seront probablement fermés. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mes épaules, mes deux anges proposent une virée à South Queensferry. C'est le village portuaire au Nord Est d'Édimbourg. À pieds c'est une agréable promenade d'une heure à partir de Leith. Je trouve cette idée formidable. L'endroit est si beau. Même en hiver.

La vaisselle. Lavage des dents. Nous revêtons nos lycra sports. Les K-ways, bonnets, gants. La température extérieure est de 4°. Le ciel est couvert mais lumineux. Aucun risque de pluie. Pressés d'aller courir nous dévalons l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffement car il fait vraiment très froid. Il faut sautiller sur place sans s'arrêter. C'est parti. Notre running nous emmène le long de notre parcours quotidien. Une heure d'un agréable jogging. Il est dix heures quinze quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première pendant que nous faisons le lit, la chambre. Nous la rejoignons dans la salle de bain. Habillés tous les trois à l'identique, jeans, sweats, baskets, nous passons au salon. Installées sur mes genoux, Estelle et Clémentine allument l'ordinateur.

Nous avons six courriels. Mon comptable, mon notaire, Juliette, Danièle, Lise et, surprise, un mail de Julie. C'est très sympathique. Nous retournons les meilleurs vœux en joignant une photo de nous trois prise au marché de Noël. Estelle découvre ses messages. Elles y répondent toutes les deux. Me tournant le dos. Chacune à califourchon sur une de mes cuisses. Pas très confortable. Je caresse délicatement leurs petits seins que j'adore sentir vivre sous leurs sweats. << C'est génial Julien ! Tu devrais venir en cours pour t'occuper de nous quand on est en fac ! >> dit Estelle entre deux phrases de réponse qu'elle relit à haute voix. << Oh oui, ça serait bien ! >> rajoute Clémentine. Elles font un petit tour sur le site de l'université. La page d'accueil pour la nouvelle année est belle.

Elles se lèvent pour s'accroupir toutes les deux. Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche. Elles caressent ma braguette. Estelle me la déboutonne. Clémentine en extrait une bite toute molle. Ça sort beaucoup plus facilement quand c'est mou. Elle l'agite sous le nez d'Estelle qui observe amusée. << Bon anniversaire mon chéri ! >> dit Clémentine. Estelle se met à genoux en faisant : << Je me présente. Annie. Annie Versaire ! >>. Nous rions aux éclats. Je les tiens par leurs nattes. Je saisis leurs nuques. Elle rient toutes les deux en jouant avec ma queue. Une belle érection s'annonce. Clémentine la tient fermement. Estelle la décalotte légèrement pour faire apparaître le méat. << On attend la première goutte, d'accord ? >> demande t-elle à Clémentine qui répond : << Et c'est qui la première à l'attraper ? >>. En touchant leurs têtes à tour de rôle du bout de l'index , je dis : << Am stram gram, pic et pic et collé gram ! >>. Nous rions.

<< Tu triches ! Quand on commence à gauche, on termine toujours à gauche ! >> lance Estelle. Du bout de la langue qu'elle pose sur l'orifice du gland, elle essaie de fouiller. Clémentine approche son visage tout près pour bien voir. << La tricheuse c'est toi, tu suces déjà et avant la goutte ! >> dit Clémentine. En effet, ne pouvant attendre plus longtemps, Estelle gobe l'extrémité de mon sexe. La forme du gland sous le prépuce qu'elle remonte d'abord. Elle aiment toutes les deux cette peau qu'elles prennent parfois entre les dents pour la tirer. Clémentine trouve qu'avec la peau c'est plus juteux. Une fois encore elles se refilent toutes les deux ma bite. Quand l'une suce, l'autre donne ses impressions. Comme si je n'existais pas. J'adore ! Elles sucent chacune une minute. << Stop, c'est à moi ! >> fait l'une alors que l'autre se régale. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. Mais pas question. Nous aimons nous garder jusqu'au soir. Au plumard.

Il va être onze heures trente. Toutes les deux, assises sur le parquet, confortablement, se pourlèchent. Se montrant l'intérieur de leurs bouches en riant. Enfin Estelle daigne s'adresser au propriétaire légitime de cette queue suintant de foutre. << Vous appréciez cette Annie Versaire monsieur ? >> demande t-elle, espiègle et mutine. Je caresse son visage du bout de mes doigts sans répondre. Estelle se lève la première en disant : << Interdiction d'entrer dans la cuisine, je prépare la surprise ! >>. Je m'écrie : << Mais on fait tout ensemble. C'est tellement bien tous les trois ! >>. Clémentine se lève à son tour en rajoutant : << C'est vrai. Tu sais bien que le bon temps passe toujours trop vite ! >>. Estelle nous attrape par les mains en concluant : << Bon, si vous le prenez comme ça ! >>

Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de tomates. Estelle fait bouillir l'eau des spaghettis, râpe le Parmesan. Dans la poêle je fais revenir trois belles escalopes de dinde avec des champignons. Préparations rapides. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre projet de l'après-midi. La météo s'y prête superbement car il y quelques séquences d'ensoleillement. La température reste fraîche avec seulement 8°. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges sont déjà à préparer la journée de demain. La vaisselle. Lavage des dents. Nos anoraks, nos bonnets, nos gants. Nous dévalons l'escalier. Je roule doucement sur les quatre kilomètres qui nous séparent de Leith. Avec la bite dans la bouche de Clémentine. Estelle à l'arrière qui dit : << Ce soir c'est moi ! >>

Je réponds : << Oh mais nous n'attendrons pas ce soir ! >>. Nous rions. Je gare l'auto sur le même parking. Il y a du monde. Certains commerces sont ouverts. Les restaurants. C'est dans celui qui donne sur les quais que nous réservons une table pour ce soir. Nous quittons les rues pour descendre sur le sentier côtier. Malgré le froid il y a quelques courageux "matelots" sur leurs bateaux. J'avoue qu'avec seulement 8°, d'avoir souvent la bite à l'air, nécessite une bouche pour la réchauffer. Ce à quoi s'appliquent mes deux anges. Nous profitons de chaque endroit où nous pouvons nous cacher, nous isoler un petit moment. Il y a de nombreux promeneurs. Il faut donc ruser. Quitter le sentier, remonter la pente jusqu'aux murs des propriétés, se dissimuler derrière le moindre renflement.

Je me fais sucer comme un bienheureux par mes deux bienheureuses. En arrivant à South Queensferry par l'estuaire que nous longeons, c'est plus facile car il y a des cabanons, de la végétation. Des bateaux de plaisances amarrés là pour la mauvaise saison. South Queensferry est une petite ville portuaire à cinq kilomètres d'Édimbourg à laquelle elle est rattachée par des habitations. C'est un peu la banlieue. Nous y connaissons quelques endroits accueillants. Notamment ce salon de thé, ouvert, où nous savourons de délicieux et réconfortants chocolats chauds. Avec une non moins délicieuse tranche de tarte aux pommes. Il y a du monde. Néanmoins, lors de nos visites aux toilettes, enfermés dans un des cabinets "hommes", il est agréable de se faire sucer au chaud.

Je prends Estelle en levrette quelques minutes avant de lui fourrer ma queue dans la bouche en murmurant : << Bon appétit Annie Versaire ! >>. Avec Clémentine ce n'est que la pipe. C'est un peu dur de devoir affronter à nouveau le froid en flânant un peu dans les rues pavées. Il faut songer à prendre le sens du retour car le crépuscule ne va pas tarder. Accrochées à mes bras, mes deux anges partagent leurs impressions, parlent de notre séjour, font des projets pour cet été. Nous accélérons le pas pour arriver à la nuit à Leith. Notre table nous attend dans une salle à moitié vide. Étrange. << Ils ont tous la gueule de bois après la fête ! >> suggère Estelle. Nous dégustons des plateaux de fruits de mer. Deux nouvelles visites avec chacune dans les chiottes hommes. Pipes et baise.

Bonne faim de soirée à toutes les coquines heureuses de retrouver les draps, de s'y faire bouffer la chatte, de se faire pénétrer un peu avant de se régaler d'une bonne bite juteuse qui déverse ses substances dans leurs bouches avides et gourmandes...

Bonne Annie Versaire à tous les natifs du jour de l'An - Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Wednesday 3 January 2024 07:41

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 37 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2482 -



Nous voilà bien installés dans la nouvelle année

Il est aux environs de huit heures trente hier matin, mardi. Estelle a cette amusante particularité de bouger les pieds en rythme. Contre les miens. C'est le plus souvent juste avant de sortir du sommeil. Ce sont ces "impatiences" comme elle les appelle. Des "impatiences" qui finissent rapidement par me réveiller. Surtout qu'elle ne tarde jamais à saisir ma tumescence à pleine main. Ses lèvres qui se posent telles des ventouses juste sous mon oreille. Je passe mon bras autour de ses épaules. Elle en gémit d'aise. Ce qui réveille Clémentine qui vient se blottir tout contre moi. C'est un peu notre façon de revenir à la réalité chaque jour. C'est évidement un véritable enchantement paradisiaque. Estelle se redresse, lâche ma turgescence, se lève pour se précipiter vers la porte en disant : << Pipi ! >>

Clémentine me chevauche pour mitrailler mon visage de bisous, frottant son sexe sur le mien. << Je prépare tout ! >> lance Estelle en revenant nous faire des bises. Nous allons aux toilettes. Les parfums du café, du pain grillé sont un autre enchantement en entrant dans la cuisine. Je presse les oranges, Clémentine pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les défis que nous fixe le plus souvent Estelle, lors de nos activités de l'après-midi. << Tu te souviens du défi que tu nous as fixé lundi ? >> me fait elle en se levant pour mimer une masturbation masculine. Nous en rions de bon cœur quand Clémentine précise : << Avec ce froid, ça ne va pas être possible ! >>. Nous mangeons de bon appétit en envisageant cette impossibilité et en faisant le programme du jour.

<< À moins de baiser dans les chiottes d'un restau comme vous le faites régulièrement, je ne vois pas d'autres plans ! >> rajoute encore Clémentine. Cet après-midi il est prévu de retourner à South Queensferry pour visiter une exposition. Nous irons en voiture afin de pouvoir prendre tout notre temps. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges évoquent la rentrée de lundi prochain. Elles sont affutées et prêtes à ce nouveau combat. Elles s'amusent à définir le second trimestre qui les attend comme leur terrain de jeu. La vaisselle. Lavage des dents avant d'enfiler nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Nos K-ways, les bonnets, les gants. La température extérieure est de 4°. Un risque de pluie.

Pressés d'aller courir, nous dévalons l'escalier. Quelle désagréable surprise. Il y a du vent et le ciel sinistre est réellement menaçant. La pluie est probablement tombée toute la nuit. << On va se faire saucer, certain ! >> lance Estelle. Quelques mouvements d'échauffement. Il faut réunir tout notre courage. C'est parti. Un running agréable malgré les gouttes de pluie qui commencent à tomber à peine dix minutes après notre départ. Estelle accélère. Nous la suivons. Il faut remonter les capuches pour ne pas avoir les bonnets de laine trempés. Notre circuit habituel mais à plus grande vitesse. Il est dix heures quinze quand nous revenons. Trempés. Pendant que nous faisons notre lit, la chambre, Estelle prend sa douche. Nous la rejoignons dans la salle de bain. C'est à notre tour. Estelle chante.

En Levis, en baskets, en sweats nous passons au salon. Installées toutes les deux sur mes cuisses, elles allument l'ordinateur. Pas de courriel pour nous. Par contre Estelle en a deux. Ses parents et Jonathan. Nous la laissons répondre pour aller nous vautrer dans le canapé. Clémentine joue avec ma queue en revenant sur notre projet de l'après-midi. Comme nous ne sommes plus à Édimbourg que trois jours, il est préférable de profiter de cette ville que nous aimons tant. Nous serions volontiers partis une journée sur Glasgow. Mais il y a quatre vingt bornes pour aller, quatre vingt bornes pour revenir. Sur une route souvent très fréquentée. Estelle vient nous rejoindre. Accroupie entre mes jambes écartées, ses mains posées sur mes cuisses, elle regarde Clémentine manipuler mon Zob. Elle raconte.

Je passe l'extrémité de mes doigts sur ses sourcils. Elle nous donne des nouvelles de ses parents. Sa mamie va repartir pour le Var demain matin. Estelle se met à genoux, son visage tout près de mon chibre. Clémentine, tout en parlant, l'agite sous son nez. Nous regardons par la porte fenêtre qui donne sur un des balcons. Il fait sombre, lugubre et sinistre. La pluie tombe. Estelle fait des léchouilles sur la peau fripée de mon prépuce. Clémentine décalotte légèrement le gland afin que la langue d'Estelle puisse tenter de s'immiscer dans l'orifice. << Regarde, le méat, ça ressemble à une petite chatte ! >> murmure Clémentine. Estelle gobe l'extrémité du Zob pour suçoter. Je passe mes index sur ses joues creusées par la succion. Clémentine approche sa tête pour mieux regarder.

Je me fais rapidement tailler une pipe des familles. Clémentine m'embrasse passionnément alors que mes doigts fouillent délicatement son intimité. Dans son jeans déboutonné. Les premiers gargouillis se font entendre dans la bouche de ma suceuse. Ce bruit bulleux d'une fellation de qualité. Toutes les deux trois minutes Estelle cesse, nous montre l'intérieur gluant de sa bouche avant de tenter d'en avaler le contenu épais et visqueux. Je caresse sa tête, je passe ma main dans sa nuque. Je la tiens sous le menton. Les petits gloussements alternent avec les petits cris de ravissements et les << Mmhh ! >>. Clémentine se penche pour murmurer : << Tu m'en laisseras un peu dis ! >>. Estelle se met à rire sans cesser de pomper. Un peu comme si sa vie en dépendait. Nous la regardons.

Je lui retire la queue de la bouche. Il y a une giclée de jute qui éclabousse son visage. Un filament de liquide séminal qui relie ma bite à ses lèvres. Elle aspire. Ce qui n'est pas sans évoquer un long spaghetti qu'elle suce. << Si on veut être dans les clous, on va faire la bouffe ! >> propose Clémentine avant de se pencher pour récupérer la jute qui s'épanche. Estelle se relève. Elle était à genoux sur un des coussins. Clémentine se redresse en nous montrant l'intérieur de sa bouche. Ce qu'elle vient de récupérer. D'un gracieux mouvement de tête, avec une horrible grimace, elle avale. Morts de faim nous quittons le salon pour la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de concombre. Estelle fait gonfler du riz complet, râpe du Parmesan. Je réchauffe six gros nems dans la poêle

Le Parmesan que nous trouvons à Édimbourg est exactement le même. Importé d'Italie. Par contre il est difficile de trouver un autre gruyère que cet Emmental fade et sans saveur. Un jour nous avons trouvé un gruyère de Comté à Inverness. L'Écosse n'est pas vraiment le pays des fromages. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le planning des trois prochains jours. Vendredi nous reprenons notre avion à 11 h. << Put-hein, je vais encore m'abrutir avec ce médoc contre le mal de l'air ! >> lance Estelle. Clémentine dit : << C'est psychologique. Tu somatises. À cause de ta peur et de ta phobie de l'avion ! >>. Je rajoute : << Cette fois, tu essaies de surmonter. Tu restes dans mes bras et tu mets juste ton bandeau sur les yeux ! >>. Estelle vient s'assoir sur mes genoux en disant : << Docteur Julien ? >>. Nous en rions de bon cœur. Clémentine vient s'assoir sur mon autre jambe. Nous traînons à table à faire l'inventaire de notre bonheur.

La vaisselle. Lavage de dents. La température extérieure a chuté à 2°. Si elle devait tomber encore, la neige remplacerait la pluie. Nos bottines. Estelle me tend la cordelette. Je fixe sa tétine autour de son cou. Nos blousons d'épais cuir brun, nos écharpes. Bonnets, gants. Pressés de filer, nous dévalons une nouvelle fois l'escalier. Je roule doucement pour descendre Morningside. Clémentine joue avec ma queue suintante. Elle se penche pour récupérer tout ce qu'elle peut. Estelle assise à l'arrière, caresse mon cou. Nous traversons Dean Village, Leith, pour prendre en direction du Firth and Forth. Longeant l'estuaire. Par la route, c'est un peu plus long. Huit kilomètres. Voilà South Queensferry. Je recommande chaudement à tous les lecteurs désireux de visiter l'Écosse de commencer par cette banlieue d'Édimbourg. Si pittoresque.

Il est quatorze heures quand nous stationnons sur un des parkings obligatoires à l'entrée de la petite ville. Clémentine téléphone. Elle réserve notre table de ce soir dans un restaurant sympa que nous connaissons bien "The Boathouse". On y sert des spécialités de la mer d'une rare finesse. Il pleut. Je tiens le parapluie sous lequel s'abritent mes deux anges. Accrochées et serrées contre moi comme des naufragées à leur branche. Malgré cette météo sinistre, il est agréable de flâner dans les rues pavées et luisantes. Nous ne sommes d'ailleurs pas les seuls à braver les conditions climatiques. Il y a à South Queensferry quelques antiquaires qu'il faut absolument visiter. L'un deux est spécialisé dans les poupées anciennes. C'est magnifique. À l'abri de la pluie, nous admirons la boutique.

Estelle, pas du tout discrète, palpe ma bosse. << Ton défi ! Ici ! >> murmure t-elle. Je refuse de sortir ma bite dans ce magasin. Nous ne sommes pas seuls. << Trouillard ! >> chuchote t-elle à chaque fois. Son blouson ouvert sur son sweat bleu nuit. Son "pendentif" bien visible entre ses seins minuscules à peine discernables. Il y a deux couples accompagnés d'un homme seul. Ils nous croisent sans vraiment faire attention à nous. L'homme par contre fixe la tétine comme hébété. Estelle lui adresse un magnifique sourire. << That's wonderful. Is it ivory ? >> demande t-il à voix basse en se penchant pour mieux voir. << No ! Caoutchouc ! >> répond Estelle en saisissant la boucle pour agiter la petite bite en caoutchouc sous le nez du quidam. Il rejoint le couple en riant. Nous continuons notre visite de cet endroit étrange et insolite. Des poupées sont réputées êtres "hantées". Des panneaux racontent ces étranges légendes.

Nous surprenons le type qui semble suivre notre itinéraire d'une salle à l'autre. Clémentine se touche discrètement. L'homme s'en rend rapidement compte. Notre trio doit considérablement l'étonner. Estelle me touche effrontément. Cette fois l'inconnu paraît déstabilisé. Les deux couples le rejoignent. Leurs visites sont sans doute terminées. Nous sortons à notre tour pour prendre la direction du bâtiment où a lieu l'exposition. Sont présentées là des œuvres parfois magnifiques d'artistes locaux. Il y a de belles choses. Des peintures, des sculptures, des dessins. Quelle surprise. Il y a les cinq personnes de tout à l'heure. Impossible de jouer car le nombre de visiteurs est important. Quelques uns découvrent, parfois consternés, le "pendentif" d'Estelle qu'elle exhibe fièrement.

En français pour ne pas être comprise, il lui arrive de prononcer à voix basse, en croisant un visiteur esseulé << Je suis une salope ! >>. Bien évidemment l'inconnu ne comprend pas. Nous parcourons les salles. Peut-être souvent plus préoccupés par nos activités ludiques, et lubriques que par les toiles accrochées à leurs cimaises. Une fois encore, en croisant un visiteur distant du groupe dont il fait partie, Estelle prononce sa phrase : << Je suis une salope ! >>. C'est à notre tour d'êtres consternés car l'inconnu répond : << Enchanté ! >>. Nous nous éloignons rapidement en rigolant comme des bossus. Estelle se montre à présent plus discrète. << Ça m'a servi de leçon ! >> nous dit elle. Un chocolat chaud dans un salon de thé. Visites au toilettes afin de nous y livrer à nos rituels. Cette fois, son I-phone posé sur le réservoir de la chasse d'eau, Estelle nous filme alors que je la prends en levrette quelques minutes. Encore un souvenir !

Bonne faim de soirée à toutes les coquines qui adorent découvrir de nouveaux restaurants, de nouveaux cabinets dans les toilettes hommes, afin de parfaire leurs connaissances des spécialités Écossaises...

Julien (guide Écossais)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Clémentine et Julien
Thursday 4 January 2024 07:35

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 38 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2483 -



Profiter de chaque instant de nos vacances

C'est un peu notre heure. Notre horloge biologique. Huit heures trente lorsque nous nous réveillons tous les trois quasiment en même temps. Estelle et Clémentine ont exactement le même réflexe. Elles se serrent contre moi en gémissant d'aise. << Je ne veux pas que ça s'arrête ! >> chuchote Clémentine. << Je ne veux pas rentrer ! >> murmure Estelle. Elles jouent avec mon érection matinale. Mes couilles. Je glisse mes mains dans les culottes en disant : << Alors profitons de chaque instant de nos vacances ! >>. N'en pouvant plus, poussée dans ses derniers retranchements, Estelle se lève d'un bond en s'écriant de son matinal : << Pipi ! Ça urge ! Oh put-hein ! >>. Nous la regardons se précipiter vers la porte où elle rajoute : << Je vous attend dans la cuisine, venez vite ! >>

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous rejoignons Estelle dans les suaves odeurs de café, de pain grillé. Je l'attrape par la taille. J'adore le contact de la soie mauve de son pyjama. Clémentine presse les oranges. C'est Estelle qui me tient, ses bras autour de ma taille pendant que je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre virée à South Queensferry. Les aventures vécues avec le "pendentif" d'Estelle. Nous rions de bon cœur des réactions que suscite cette tétine. << J'aimerais bien la même chose, de la même taille, pour en faire un porte clefs ! >> lance Estelle. Cette amusante réflexion me donne une idée pour son anniversaire le 11 mars. Elle aura 27 ans. Un beau cadeau. Je vais en parler à Jean Charlier mon bijoutier. Dès notre retour. Mon petit secret.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant les options d'activités qui s'offrent à nous aujourd'hui. C'est mercredi. Il pleut. Il fait moche. Il reste deux jours à Édimbourg. << Il doit bien y avoir des bas fonds, des endroits glauques dans cette ville ! Comme tu les affectionnes ! >> lance Estelle. Clémentine répond : << Ça c'est une excellente suggestion. Qui tombe bien parce que j'ai une méchante envie de faire ma salope ! >>. Estelle rajoute : << Ne serait-ce pas plutôt un méchant besoin ? >>. Nous en rions aux éclats. Nous traînons à table. Avec cette météo il n'y aura pas de jogging. C'est frustrant. Mais nous avons un programme d'entraînement spécifique. Un "plan B". La vaisselle. Lavage des dents. Estelle retire son pyjama pour rester en slip et T-shirt de nuit comme nous.

La couverture posée sur le parquet pour y faire nos exercices au sol, nous commençons par l'aérobic. C'est évidemment un prétexte aux déconnades. J'adore les voir rire. Même si tous les mouvements sont faits avec un soin maniaque, les postures sont exagérées jusqu'à nous faire tordre de rire. Les abdos. Nous remplaçons les charges additionnelles par des tractions en tenant des serviettes. De quoi contracter nos muscles pour les solliciter avec des mouvements précis. Estelle prend sa douche la première. Nous faisons le lit, un peu de ménage dans la chambre. Nous la rejoignons dans la salle de bain où elle chantonne. C'est à notre tour. Habillés de nos Levis, de nos épaisses chemises à carreaux, de nos baskets, nous retournons au salon. Assises sur mes genoux elles allument l'ordinateur. Deux courriels. Celui de Juliette qui nous raconte ses journées avec sa sœur. Celui de Danièle qui nous raconte les siennes depuis le nouvel An.

Estelle découvre le mail de ses parents. Quand elles me tournent ainsi le dos, je caresse leurs seins minuscules. J'adore les sentir palpiter sous l'épais coton de leurs chemises. Elles font un petit tour sur le site de l'université. << Génial. Regarde, on aura des cours sur l'application de l'intelligence artificielle dans le domaine scientifique ! >> lance Estelle qui maîtrise déjà bien le sujet. Clémentine également qui s'écrie : << Alors là, ils font fort ! >>. Elles se lèvent pour m'entraîner vers le canapé. Elles m'y font tomber. Restent à distance pour faire les clowns. Imitant des gens rencontrés durant nos pérégrinations. << Vous savez, on ne va jamais jusqu'aux docks à Leith. Ça a l'air trop moche. Je propose qu'on y fasse un tour cet après-midi ! >> suggère Estelle. << Excellente idée ! >> lance Clémentine. Elles viennent s'installer à mes côtés. Je suis entre mes deux anges. Nous regardons les photos et les films réalisés par Clémentine.

On nous y découvre dans nos prestations vicieuses. On m'y voit, bite à l'air, Estelle contre moi, me la tenant. Parfois accroupie, sa joue contre ma queue, souriant à l'objectif. << Il n'y a encore aucune photo de toi. Tu pourrais nous faire un beau pipi quelque part ! >> lance Estelle. Clémentine répond : << Mais tu as d'excellentes idées aujourd'hui, toi ! >>. J'ai la braguette béante. Estelle y fourre sa main. Clémentine déboutonne son 501. Tout en bavardant, Estelle me tord la bite dans tous les sens. Heureusement que je bande mou. J'ai mes mains dans leurs culottes. C'est doux. C'est très agréable de discuter, d'échanger nos impressions, de faire le bilan de ce nouveau séjour en Écosse, en nous tripotant. Les filles ne sont pas très à l'aise. Elles se mettent à genoux. Se tenant à moi.

Je me lève. J'ai bien meilleurs accès. Je peux doigter, enfoncer l'index ou le médius. Cambrées en avant, me tenant par les épaules pour parfaire leur équilibre, mes deux anges savourent mes caresses digitales. Je dépose une bise à l'une. Je dépose un baiser à l'autre. J'adore les gémissements stéréophoniques. Ces petits spasmes qui commencent à secouer leurs corps. << C'est bon ce que tu nous fais ! >> lance Estelle entre deux souffles. << Génial ! >> rajoute Clémentine qui saisit mon poignet pour mieux guider ma main. Je les doigte délicatement. Hors de question d'aller jusqu'à l'orgasme. C'est encore une excellente mise en condition pour le reste de la journée. Nous cessons pour éviter le "drame" qui guette. Elles sont super bien "allumées" toutes les deux.

Nous sommes devant la porte fenêtre à regarder cette météo épouvantable. Il pleut des cordes. Il y a du vent. C'est presque un crépuscule permanent en Écosse quand il fait ce temps en hiver. Les filles sont contre moi, leurs bras autour de ma taille. Aucune ne joue avec ma queue qui pend magnifiquement de ma braguette ouverte. On en voit le reflet dans une partie de la vitre. C'est ça qu'elles regardent en riant depuis un petit moment avant de me l'avouer. << C'est plus beau que le spectacle sinistre ! >> s'exclame Estelle qui attrape mon Zob. Clémentine s'accroupit devant moi. Estelle lui frotte ma bite sur le visage. Nous restons ainsi quelques instants. Clémentine se redresse pour éviter l'ankylose. Il commence à faire faim. Nous passons en cuisine avec une bonne idée de repas.

Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de carottes et de radis. Estelle réchauffe des pommes de terre précuites. Je fais rissoler trois petits pavés de saumon. En vacances, peu regardant sur la diététique, nous allons au plus simple. C'est rapide. Chacun se défini une tâche précise. Organisation sans failles. Nous mangeons de bon appétit alors qu'il est à peine midi. << C'est un temps à rester au chaud et à baiser ! >> lance Estelle. << Mais décidément, tu n'as que de bonnes idées aujourd'hui ! >> s'exclame Clémentine. Elles m'interrogent du regard toutes les deux en mimant une fellation. Je me lève. Je sors ma bite que j'agite en disant : << Scout un jour, scout toujours ! >>. J'adore les voir éclater de rire, la main devant la bouche pour ne pas risquer de perdre des patates.

Nous ne traînons pas. Vaisselle, lavage des dents. Les filles retirent leurs baskets, leurs fringues. Je fais pareil. Juste avec nos chaussettes nous courons dans la chambre. Estelle se jette sur le lit, couchée sur le dos, jambes écartées, cuisses relevées elle dit : << C'est qui la première ? >>. Clémentine, à genoux derrière moi, me tenant la bite bien dure, répond : << Toi ! J'aime bien me mettre en condition en vous regardant ! >>. Je me positionne au-dessus d'Estelle. Je reste en appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids. Ce qui me permet d'observer les expressions de son visage. Clémentine se touche d'une main, tient mes couilles de l'autre. Estelle frotte mon sexe contre le sien en se mordillant la lèvre inférieure. Je veux la pénétrer avec d'infinies précautions. Attentionné.

Mais c'est d'un coup de reins qu'elle s'enfonce tout le chibre. Je me mets en appui sur les coudes. Nous restons immobiles à nous fixer, comme étonnés de cette pénétration rapide et facile. Il faut préciser que toutes les deux ont été bien préparées avant le repas. Estelle se met à bouger doucement. J'enfonce ma langue dans sa bouche. Nous ne baisons pas, nous faisons l'amour. L'échéance du départ s'annonce dans deux jours. Je connais suffisamment Estelle pour savoir que cette perspective la rend tristounette. Aussi, je lui fais l'amour aujourd'hui. Nous nous embrassons en nous berçant. Clémentine lâche mes couilles pour s'allonger à côté de nous. Sur le côté, une main entre ses cuisses, se masturbant en observant nos expressions. J'embrasse Estelle avec passion. Avec fougue.

Clémentine nous fait des bises. << C'est bien ? >> demande t-elle dans un murmure. << C'est génial ! >> chuchote Estelle. Quand ma bouche est libre, que je veux reprendre mon souffle, Clémentine y enfonce sa langue. Il est très rare qu'Estelle ne parte pas dans une de ses chevauchées fantastiques. Non. Cette fois elle reste calme. C'est sublime de faire l'amour avec elle. Je dis : << On devrait le faire comme ça plus souvent ! >>. C'est Clémentine qui répond : << Pas trop quand même. Tu vis avec moi je te rappelle ! >>. Ce n'est évidemment qu'une boutade. Estelle et Clémentine sont inséparables depuis qu'elles ont douze ans. Elles partagent absolument tout. Sauf mon vieux fantasme d'homme préhistorique de les voir baiser ensemble. << Quand tu seras pédés on sera gouines ! >> me dit à chaque fois Clémentine. Estelle précise encore une fois : << On a déjà essayé quand on avait quinze ans. Ce n'est pas notre truc tu sais ! >>

Je fais l'amour avec Estelle. Longuement. Clémentine se masturbe. Quand je lui demande : << Viens; c'est à ton tour ! >> Elle reste couchée sur le ventre à se frotter sur le coussin replié entre ses cuisses pour répondre : << Non c'est trop bon comme ça. J'adore être au spectacle ! >>. Nous essayons de bien contrôler la situation. Cessant de bouger aux premiers signes critiques. Toujours ce souci de nous garder bien "allumés" pour le reste de la journée. Clémentine se lève soudain d'un bond. Nous comprenons immédiatement en la voyant saisir la vasque de porcelaine qui servait jadis de lavabo. Posée sur la commode, devant le miroir et contenant une carafe également de porcelaine. Accroupie au-dessus, elle se doigte. Se masturbe. Estelle et moi cessons. Je me retire. Nous mâtons.

Clémentine, la tête baissée, le menton sur sa poitrine, agitée de soubresauts, lâche de petits jets de pisse qu'elle contrôle parfaitement. Elle s'offre là un orgasme en chapelet. En plusieurs séquences. C'est un spectacle extraordinaire. Impossible de s'en lasser. Ce n'est pas seulement excitant car il nous est difficile de l'être davantage, mais également émouvant. De voir ainsi l'intimité la plus profonde à laquelle se livre Clémentine. On distingue bien la cyprine laiteuse tomber dans la pisse pour flotter à sa surface. Clémentine se tient d'une main à la chaise. Tient son clitoris géant entre son pouce et son index. Elle se lâche soudain sans pouvoir continuer à contrôler. C'est en hurlant qu'elle est submergée par un indicible plaisir. Les dernières gouttes de cyprine, comme une éjaculation, sont éjectées avec force. Elle tombe à genoux, soulageant son sexe des deux mains, soufflant, essayant de reprendre ses esprits. Magnifique.

Bonne faim de journée dans un bon restaurant à toutes les coquines, les yeux cernés, qui se sont payées un après-midi de sexe...

Julien



NOTE
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C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Friday 5 January 2024 07:39

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - 39 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2484 -



Errances ludiques et lubriques en ville

Hier matin, jeudi, il est une fois encore aux alentours de huit heures trente. Une fois encore c'est Estelle qui me tire du sommeil. Empoignant ma tumescence. Collant ses lèvres dans mon cou. Se frottant contre ma hanche en murmurant : << C'est bon de faire l'amour l'après-midi ! >>. Clémentine se réveille à sont tour. Elle vient se blottir. Se frotter elle aussi contre ma hanche. Je suis entre mes deux anges dans une sorte de stéréophonie masturbatrice. Du côté droit ça ne dure pas car Estelle se redresse, saute du lit en s'exclamant : << Pipi ! >>. Elle se précipite vers la porte. Clémentine se couche sur moi en continuant de se masturber doucement. << Tu me fais l'amour comme ça aussi ! >> chuchote t-elle. L'impérieux besoin de pisser nous en empêcherait. Ça urge même ! Et nous ne sommes pas du matin question baise.

Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Les délicats parfums du café, du pain grillé. Elle me saute au cou. << C'est le dernier jour ! Je suis malheureuse ! >> lance t-elle alors que je la soulève. Ses jambes autour de ma taille, elle mitraille mon visage de bisou. En se frottant. Je la repose au sol pour presser les oranges. Clémentine termine de peler les kiwis. Je lui inflige le traitement identique. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur ce mercredi après-midi d'amour avec Estelle. << J'adore vous voir baiser tous les deux ! >> dit Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de notre dernière journée à Édimbourg. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges font le bilan de nos vacances.

Estelle est toujours un peu tristounette quand nous arrivons en fin de séjour. << Heureusement que tu m'as fait l'amour, j'ai moins le vague à l'âme ! >> précise t-elle en collant ses lèvres au gout de miel sur les miennes. Dehors le ciel est couvert mais il ne pleut pas. La vaisselle, lavage des dents. Nous enfilons nos lycra de sports. K-ways, bonnets, gants. Nous dévalons l'escalier. Quelques mouvements d'échauffement dans un froid humide. Il nous faut réunir tout notre courage. La température extérieure n'est que de 3°. C'est parti. Un running précipité, à vive allure pour bien se réchauffer. Pas tout à fait une heure le long de notre circuit habituel. Nous ne sommes pas les seuls courageux, nous croisons d'autres joggeurs. Il est dix heures quinze quand nous revenons à l'appartement.

Estelle prend sa douche pendant que nous faisons le lit, le ménage dans la chambre. Nous la rejoignons dans la salle de bain. Estelle reste avec nous pour nous donner ses impressions. Nous sommes vêtus pareils pour passer au salon. Installées sur mes cuisses, chacune à califourchon, me tournant le dos, elles allument l'ordinateur. Nous avons trois mails. Juliette qui est impatiente de nous revoir et qui nous raconte ses journées avec sa sœur. Le mail de Danièle qui nous confirme sa venue samedi matin pour nous livrer. Elle est également impatiente de nous revoir. Le courriel de Lise, notre "fille de ménage" qui ne viendra que le samedi 13 janvier. Qui se réjouit elle aussi. Estelle aussi a des messages auxquels elle répond. Je caresse leurs petits seins que j'adore sentir vivre sous leurs sweats.

Ce soir, nous sommes invités au dernier repas de famille. Avec oncle Alan et sa compagne Amy. Nous n'entendons jamais rien en bas. C'est comme si la grande demeure victorienne était déserte. Après avoir visité le site de l'université, mes deux anges m'entraînent vers la porte fenêtre. Nous allons sur le balcon. Il faut affronter le froid une nouvelle fois mais la vue sur le parc privé en vaut la peine. << On se fait un restau en ville à midi. Ça vous tente ? >> propose Clémentine. << Ah oui, ça va nous occuper l'esprit. Parce que je n'arrête pas de ruminer notre départ demain matin ! >> s'écrie Estelle en fourrant sa main dans ma braguette ouverte. Je les tiens toutes les deux par la taille. En parlant, de la vapeur sort de nos bouches. << Les locomotives ! >> lance Estelle. Nous rions.

Ni une, ni deux, nous nous mettons au grand nettoyage de l'appartement. Afin qu'il soit tel que nous l'avons trouvé en arrivant. Il n'y a pas grand chose à faire. Un coup d'aspirateur. Un coup de chiffon. La serpillère dans la cuisine, la salle de bain et les toilettes. Clémentine téléphone pour réserver une table au Dean Banks at the Pompadour. Très certainement un des meilleurs établissements gastronomiques de la ville. Nous y sommes attendus pour treize heures. Nous pratiquons notre rituel habituel quand arrive une bonne nouvelle. En nous tenant par la main, nous entamons une danse tribale en poussant des cris d'animaux qui n'existent pas. Pliés de rire. Il onze heures quarante cinq. L'appartement est nickel. Nos valises prêtes. Juste encore les fringues lavés qu'il faut suspendre.

Midi tapante. Nous chaussons nos bottines. Nous mettons nos épais blousons de cuir brun. Bonnets, gants. Pressés de filer nous dévalons l'escalier. Je roule doucement pour descendre Morningside. Cette fois en prenant la direction des Borders afin de garer la voiture près du château. Nous serons beaucoup plus proche du centre ville. Clémentine joue avec ma queue. Clémentine, assise à l'arrière caresse mon cou en nous faisant part du tourment qui la gagne. Ce n'est pas seulement le départ mais l'avion dont elle a une peur bleue. Il y a des places mais sur le premier parking. Le plus éloigné. 8 £ l'heure. Dix euros. Il faudra marcher vite et une bonne vingtaine de minutes. << À moins de prendre un des bus rouges à impériale qui desservent la ville à partir des principaux lieux touristiques ! >> suggère Clémentine. << Oh oui, on ne le fait jamais ! >> s'exclame Estelle en sautillant. Prête à accueillir la moindre idée pour oublier ses émotions tristounettes.

Nous prenons trois tickets à l'un des arrêts au bas du château. Son immense silhouette sur la colline est impressionnante juste au-dessus de nous. Nous n'attendons pas plus de quelques minutes dans un attroupement hétéroclite de touristes, de travailleurs. Voilà le bus. << On monte à l'étage ! >> lance Estelle qui y pénètre la première. Ces bus rouges ont la particularité d'avoir un étage. Nous nous installons tout devant. Comme des touristes nous admirons les monuments. De nombreux arrêts pour être déposés sur Market Place. Estelle agite fièrement son "pendentif". Cette petite bite tétine en caoutchouc qu'elle porte autour du cou depuis quelques jours. Elle se la prend en bouche alors que nous marchons d'un pas rapide. Cinq minutes pour arriver sur Caledonian Princes Street. Nous avons mangé là il y a quelques jours. La cuisine servie en cet endroit est probablement une des toutes meilleures d'Écosse. Ou au moins de cette région.

Le serveur est un jeune homme souriant. Un bel Indien à la peau matte. Des yeux d'un noir de jais, tout comme ses cheveux. D'une élégance folle, il n'a de yeux que pour la tétine que s'obstine à sucer Estelle. C'est tellement insolite qu'il reste parfois un instant comme hypnotisé. Il nous conduit à notre table. C'est au fond de la salle de l'étage. Le cadre est magnifique et digne d'un intérieur de château. Des boiseries, des lustres aux milles éclats. Un parquet de mosaïques de chêne et de palissandre. Des nappes blanches et brodées. C'est de toute beauté. Nous ne connaissons pas l'étage. C'est d'un luxe époustouflant. Nous prenons place. Les plupart des places de la quinzaine de tables sont occupées. << Si j'avais prévu le coup, j'aurais mis une jupe ! >> chuchote Clémentine une fois assise.

Le serveur nous apporte la carte. << Put-hein comme il est beau. Je veux faire un séjour à Calcutta ou à Bombay ! >> lance Estelle. Nous en rions de bon cœur. Surtout quand Clémentine rajoute : << Faire l'amour au bord du Gange ou du Brhamapoutre ? >>. Nous savourons ce repas fait de spécialités Écossaises. C'est surprenant et délicieux. De petites portions de purées de navet, de rutabagas avec des boulettes de viandes de brebis. Chaque boulette est cuisinée différemment. De petites portions mais enchaînant différentes recettes. Et à chaque fois une nouvelle assiette apportée par ce bel Indien qui semble fasciner Estelle. Nous traînons évidemment à table. En faisant le bilan de ce nouveau séjour dans cette ville que nous apprécions tant. Ce sera dur de la quitter demain.

La facture. Estelle garde ostensiblement sa tétine en bouche. Je la surprends à faire un clin d'œil au serveur. Elle retire sa tétine pour demander : << What is your first name ? >>. Le jeune homme de répondre : << Sanjay ! >>. Il est originaire de l'Est de l'Inde et a toujours vécu en Écosse. << Put-Hein l'addition est salée ! 1 300 £ ! Ça fait pas loin de 1 500 euros ! >> s'écrie Estelle une fois que nous sommes à flâner sur Prince Street. Je précise : << C'est un endroit magique. On a tellement bien mangé ! Et j'ai une carte Gold acceptée dans le monde entier ! >>. Estelle me saute au cou en rajoutant : << Tu me gâtes. Je t'aime ! >>. Nous rions de bon cœur quand elle dit : << Je veux un Julien moi aussi ! >>. Il fait un froid de plus en plus vif. Nul doute que la météo annonce de profonds changements. Nous marchons d'un bon pas, les filles serrées contre moi.

Nous aimons faire les grands magasins. La tétine que suce souvent Estelle polarise encore davantage l'attention sur notre trio. C'est un peu une catharsis pour Estelle que de s'amuser ainsi. Elle fuit ses pensées nostalgiques. Je me fais tripoter la braguette à tout bout de champs. N'ayant pas du tout le désir de rester discrète, Estelle me met dans de nombreuses situations plus embarrassantes les unes que les autres. Avec une joie qu'elle ne dissimule pas. Mes deux anges rient souvent aux éclats de mes embarras. Cet homme d'âge mûr, tenu aux bras par deux sublimes jeunes filles qui ont parfois d'équivoques attitudes. De quoi susciter l'attention de beaucoup de gens que nous croisons. Dans les escalators, dans les rayons ou encore devant des vitrines qui ne sont qu'autant de prétextes.

Un chocolat chaud dans un de nos salons de thé préférés. "Honeycomb Tearoom". À savourer un assortiment de toutes petites pâtisseries plus délicates les unes que les autres. Une visite aux toilettes s'impose. D'abord avec Estelle. Enfermés dans un des cabinets des WC hommes. Où je la prends en levrette quelques minutes. Puis avec Clémentine qui me taille une petite pipe sympa. Nous flânons encore un peu. Il faut songer à retourner à la voiture car nous sommes attendus pour dix neuf heures trente. Dans la voiture, je me fais sucer tout le long de la route. Estelle à l'arrière qui mâte en me caressant le cou, les joues. Chuchotant : << Quand on sera de retour, je vais te sucer tout le week-end ! >>. Nous arrivons à l'appartement pour dix neuf heures. Le temps de nous mettre mentalement en condition. Mes deux coquines, accroupies, se refilent ma bite suintante. Je les force à cesser. Elles se relèvent en riant. Il faut redescendre...

Bonne faim de soirée à toutes les coquines qui vont s'offrir de nouvelles spécialités cul...............inaires après un bon repas en famille...

Julien (maître queue)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Saturday 6 January 2024 07:29

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 40 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2485 -



Le jour du départ

Il est huit heures quand nous réveille le bruit des vagues qui viennent se jeter sur le sable d'une plage. C'est sur la demande d'Estelle qui voulait entrer dans cette journée de départ de la plus douce des façons. Le choix d'une application sur son I-phone. Elle se serre contre moi encore plus fort. Alors qu'elle l'a été toute la nuit. Comme une naufragée accrochée à sa branche. Clémentine vient se blottir. Nous restons immobiles. Comme pour réunir toutes nos forces pour affronter le levé. Estelle se redresse d'un bond en s'écriant : << Allez, on y va. On commence par un bon pipi ! >>. Elle se précipite vers la porte. Clémentine m'attire sur elle en me chuchotant des douceurs. Mon érection prête à déchirer le fin coton de son slip de nuit. C'est à notre tour d'aller aux toilettes.

Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Il y règne ces délicieuses senteurs de café et de pain grillé. Je presse les dernières oranges. Je pèle les derniers kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur se séjour à Édimbourg. Estelle semble s'être ressaisie à l'idée de devoir partir. La veille, Clémentine n'a cessé de la rassurer. Aussi, nous entendons Estelle prononcer ces mêmes mots : << C'est bien aussi de revenir à la maison ! >>. Clémentine rajoute : << Et on est ensemble tout le week-end jusqu'à dimanche soir ! >>. Nous mangeons de bon appétit en révisant le planning de la matinée. Nous avons notre avion à onze heures. Il y a quinze kilomètres jusqu'à l'aéroport. Il faut ramener la voiture à l'agence de location. Il faut donc partir au plus tard pour neuf heures trente.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Estelle prend sa douche la première pendant que nous retirons les draps du lit pour les mettre dans le panier à linge. Nous réunissons nos dernières affaires. Nous rejoignons Estelle dans la salle de bain. Toute nue, sa tétine qui pend entre ses seins. Nous rions aux éclats. Vêtus tous les trois de nos Levis, de nos sweats, de nos bottines. Nous réunissons toutes nos affaires. La salle de bain est clean. Nos bagages posés devant la porte nous faisons un dernier tour des lieux. << Maman nous aura acheté des oranges et des kiwis pour demain matin ! >> précise Estelle. Michèle vient nous chercher ce soir à l'aéroport du retour. Nous avons un peu de temps. Estelle prend son médicament contre le mal de l'air. Surtout pour calmer le stress à l'idée de l'avion.

<< Si jamais ça ne va pas, il y a docteur Julien ! >> fait Clémentine en palpant ma braguette. << Tu ne vas pas la garder fermée quand même ! >> s'écrie Estelle alors que nous regardons par la porte fenêtre. La température extérieure est de 2°. Le ciel d'un gris clair annonçant la neige. Les prévisions météos pour le semaine prochaine annoncent d'importantes chutes de neige sur l'Écosse. Estelle s'accroupit pour déboutonner mon 501. Elle en extrait le locataire en disant : << Je prends mes gouttes ! >>. Clémentine passe derrière moi pour enserrer ma taille de ses bras. Nous regardons Estelle suçoter. Quelques instants. Elle cesse, nous regarde, fait un clin d'œil, recommence. Je dis : << Je devrais te baiser, là, sur le canapé, avant de partir. Tu irais bien mieux dans l'avion ! >>

Estelle cesse pour s'exclamer : << T'es pas chiche ! >>. Elle se redresse. S'assoit sur le canapé, retire ses bottines, ses jeans et sa culotte. Elle se couche sur le dos, écarte ses cuisses alors que Clémentine et moi la regardons. Consternés. << Alors ? >> lance t-elle. Je bande comme le dernier des salauds. Clémentine m'entraîne par la queue. Je me mets sur Estelle. Je reste en appui sur mes bras. Clémentine, assise derrière moi, introduit mon sexe dans celui d'Estelle. Ce matin, ce n'est qu'une parodie. Même si ça fait hyper du bien, pas question de perdre le contrôle. Ni la moindre minute de notre timing précis. Surtout qu'il est déjà neuf heures dix. Je me retire. << Wouah, ça fait du bien par où ça passe ! >> s'écrie Estelle en se redressant pour se rhabiller à toute vitesse. 9 h20.

Nous dévalons l'escalier avec nos bagages. Dans le couloir nous attendent Oncle Alan et Amy. Les adieux sont toujours difficiles. Nous sommes une telle source de vie dans leur grande demeure. Nous nous reverrons à la fin du mois de juin. D'ici là nous resterons en contact par mails et par téléphone comme d'habitude. Les bagages dans le coffre. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue qu'elle suçote parfois. Avec la pipe et la mini baise d'avant le départ, elle a de quoi se sustenter. Je suis hyper juteux. Il y a un pincement au cœur en passant dans Dean Village, dans Leith. Les décorations des fêtes ont toutes disparues. La circulation est fluide. Nous nous organisons. Pendant que je règle les formalités pour la location de la voiture. Estelle et Clémentine enregistrent nos bagages.

Nous nous rejoignons devant le guichet de la douane. Depuis le Brexit le Royaume Unis exerce des contrôles extrêmement stricts. Tout est OK. Contrairement aux mensonges propagandistes des médias français aux ordres, jamais le Royaume Unis ne s'est si bien porté. On sent bien l'essor économique, la renaissance et le dynamisme d'une nation qui a retrouvée son indépendance et sa liberté. Chez les jeunes surtout. Il y a des sourires, de l'optimisme et de la bonne humeur partout. Sourire à une inconnue dans la rue n'est pas un délit ici. << Il faut se résoudre à retourner pour une petite année encore dans le pays des perdants ! >> lance Estelle avec un air de dépit. << Dans cette poubelle sociale ! >> rajoute Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Voilà la navette qui vient nous récupérer.

Nous sommes avec une trentaine d'autres passagers. Quelques français. Des Allemands, des Hollandais. Nos places nous attendent en première classe. Estelle fixe son bandeau qui masque ses yeux. Elle pose sa main sur ma braguette en murmurant : << Tu m'ouvres ça tout à l'heure ! >>. Nous rions. Comme à chaque fois, Clémentine est à côté du hublot. À ma droite. Estelle à ma gauche qui commence à somnoler. Les effets de son médoc se font sentir. Je lui fais des bises en chuchotant des cochonneries qui la font sourire. Quand j'arrête elle murmure : << Encore docteur ! >>. D'une poigne ferme elle enserre mes organes génitaux à travers l'épais tissu de mon 501. De légères trépidations. L'appareil se met à bouger. Clémentine filme toujours l'envol. Il y aura le pénible changement à l'aéroport de Londres. Une perte de temps.

L'aéroport de Londres est gigantesque. Il faut être vigilant et bien lire les indications. Écouter les annonces car il y a un départ ou une arrivée toutes les dix minutes. Nous y arrivons pour treize heures. Notre correspondance sera à 15 h. Nous avons le choix entre deux restaurants de premières classes. Estelle, dans les "choux", trottine à côté de nous dans une sorte d'hébétude qui nous fait rire. Elle aussi. Je la prends souvent dans mes bras où elle peut s'affaisser en gémissant de contentement. Je dis : << À la fin juin, quand nous reprendrons l'avion, tu t'assois sur ma bite durant tout le voyage ! >>. Nous rions aux éclats en commandant notre repas. Le dernier repas Anglais. C'est une véritable fourmilière partout dans les halls, les vastes couloirs. Les voyages internationaux.

Nous mangeons de bon appétit. Les effets de son médicament commencent à s'estomper lorsque Estelle sort le tube pour en prendre un autre. << Stop avec cette merde ! >> lance Clémentine. Elle propose de tenter le second vol sans prendre autre chose que de l'eau. << Et si je dois vomir ? >> s'écrie Estelle. << Tu vas aux chiottes ou tu fais dans le sac à vomis devant ton siège ! >> répond Clémentine. Nous traînons à table dans le grand restaurant de l'étage. Depuis les immenses baies vitrées on voit les monuments de la capitale Britannique, là-bas, dans le lointain. Il va être 14 h30. Nous redescendons. Estelle me tient par le bras comme une condamnée qui vit sa dernière minute. Nous rions de la voir si angoissée. Je lui roule une pelle d'enfer en la touchant discrètement.

La navette vient nous récupérer. Un bus blanc au logo d'Air France. Car nous quittons la British Airways pour la compagnie française. Le confort des premières classes est identique. Nous reprenons les mêmes places dans ce nouvel avion. Les ceintures. Estelle met son bandeau sur les yeux, sa main dans la mienne. Ça y est, l'appareil bouge. Durant le décollage je mitraille le visage d'Estelle de bisous. Ce qui amuse l'hôtesse de l'air qui vient nous demander si tout va bien. Une belle jeune femme blonde qui découvre la main d'Estelle sur ma braguette. Son regard, juste à cet instant, me fait bander instantanément. Les petits plaisirs de la vie, des voyages et des impondérables. Estelle dort à poings fermés. Clémentine me confie la joie qu'elle éprouve à l'idée de retrouver notre demeure.

Il est dix sept heures quinze quand l'appareil se pose sur le tarmac. Je réveille Estelle qui ouvre de grands yeux. Je dis : << On est arrivé ! >>. Elle s'étire en gémissant ce qui amuse le couple assis de l'autre côté de l'allée centrale. Nous arrivons en France sans encombre. Ce qui est normal puisque nous ne l'avions pas emmené avec nous. La navette nous ramène dans le hall où nous attend Michèle. Estelle saute au cou de sa maman. << Vous avez fait bon voyage ? >> demande Michèle. Estelle s'exclame ! << Oui, je me suis bien occupée de mes compagnons de voyage ! >>. Nous rions de bon cœur car Michèle sait les tourments d'Estelle dans un avion. Il y a quarante cinq kilomètres dans la nuit, sur la nationale. Michèle conduit prudemment. Estelle à ses côtés qui raconte.

Ses parents ont passé quelques jours à Pocé-sur-Cisse dans la Touraine. Il ont une connaissance et un client très célèbre qui vit là, les deux mois d'été. Mais hélas jamais dans l'hémisphère Nord à la mauvaise saison. Michèle nous dépose devant le portail. Nous sommes invités à manger dimanche pour midi. Nous emmènerons le dessert. C'est toujours un moment particulier quand on revient chez soi après quelques jours d'absence. L'odeur d'abord. Le silence. Nous avons pour habitude de défaire immédiatement nos valises et de ranger. C'est une manière très efficace d'éviter le spleen et de s'adapter rapidement au nouvel environnement. Les bagages d'Estelle sont restés dans la voiture de Michèle. Michèle qui a eu la gentillesse de nous acheter des tomates, des oranges, des kiwis et une belle petite miche de pain complet au noix. Ainsi, pour le petit déjeuner de demain matin et le repas de ce soir nous ne manqueront pas de l'essentiel.

Bonne faim de soirée à toutes les coquines, épuisées par un voyage de retour, qui vont trouver le réconfort dans les bras de leur lécheur de minous. Thérapie idéale pour s'adapter à la nouvelle vie...

Julien (thérapeute)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Sunday 7 January 2024 10:22

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 41 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2486 -



Nous retrouvons notre rythme de croisière

Hier matin, samedi, il est huit heures quand je suis tiré de mon sommeil de la plus merveilleuse des manières. Je suis entre mes deux anges qui se blottissent en même temps contre moi. Aussitôt chacune de mes joues est mitraillée de bises. << Merci Julien pour ces vacances ! >> murmure Estelle. << Merci pour tous ces cadeaux ! >> chuchote Clémentine. Mes deux coquines m'avouent s'être concertées pour me réveiller de cette façon. Je passe mes bras autour de leurs épaules en disant : << Merci de faire de moi l'homme le plus heureux de la planète ! >>. Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche, dans un léger mouvement masturbatoire se frottent contre mes hanches, leurs têtes dans le creux de mes épaules. Estelle n'en peu plus de lutter. L'impérieux besoin de pisser.

C'est toujours un amusant spectacle que de la voir se redresser comme un robot, de se propulser hors du lit pour se précipiter vers la porte dans son cri habituel : << Pipi ! >>. Clémentine se couche sur moi pour continuer encore un peu à se frotter. Estelle revient. Dans un pas de danse, le bras levé, elle chantonne : << Je vous attends en bas. Ne traînez pas. Je prépare le petit déjeuna ! >>. Elle vient nous nous faire des bises en continuant : << Des bisas, et voilà ! >>. Nous rions de ses facéties matinales. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Dans la salle de bain nous revêtons nos tenues sports. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Depuis deux heures que les radiateurs fonctionnent il fait bien chaud partout dans la maison. Nous rejoignons notre chanteuse dans la cuisine.

Les suaves effluves parfumées du café, du pain grillé. Estelle, encore au pyjama me saute au cou en s'écriant : << Tu me gâtes tout le temps. Et ce que tu m'as encore fait avant de dormir mérite plein de bonnes choses ! >>. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. Je la promène dans toute la grande pièce. Clémentine presse les oranges, pèle les kiwis. Je lui inflige le même traitement. Je l'emmène dans le hall d'entrée pour ouvrir le portail depuis l'interphone. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre voyage de retour. L'accueil et la gentillesse de la maman d'Estelle qui nous a cherché à l'aéroport et grâce à qui nous avons du bon pain, des oranges et de kiwis. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de l'après-midi. Peut-être aller en ville.

Il est huit heures trente quand nous entendons du bruit. C'est Lise, notre "fille de ménage" qui arrive. Nous entendant dans la cuisine elle vient immédiatement nous saluer. Toute surprise de découvrir Estelle. Elles se présentent toutes les deux. << Vous êtes la sœur de Clémentine ? >> demande Lise à Estelle qui répond : << Oui, en quelque sorte. Nous sommes des sœurs d'adoption ! >>. Le ton est donné. Lise est d'un naturel aussi optimiste et facétieux que mes deux anges. << Bon, je vais me mettre en tenue de travail ! >> conclue t-elle en nous laissant pour aller se changer dans l'office. La température extérieure est de zéro degré. Le ciel est bas et gris. Très semblable à celui que nous avons laissé à Édimbourg vendredi matin. Nous nous interrogeons. Jogging ou pas jogging ?

Avec ce froid, nous manquons souvent de courage. Après tout à l'étage nous disposons d'une salle de sport équipée en matériel pro et sophistiqué. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mes épaules mes deux anges évoquent la rentrée de lundi. Premier jour de ce second trimestre prometteur. Lise revient dans son survêtement gris et nous découvre ainsi. Elle a un mouvement de tête, ouvre de grands yeux et comprend subitement la nature de notre relation. Elle porte ses écouteurs sur les oreilles. Elle lève le pouce pour disparaître en portant l'aspirateur. Nous rions de bon cœur de notre petit effet. La vaisselle. Nous remontons pour nous laver les dents. La salle d'entraînement n'est pas chauffée. Il faut donc pratiquer immédiatement.

Quelques mouvements d'échauffement aérobic avant de passer au jogging sur tapis roulants. Estelle fait du vélo ergométrique. Exercices au sol. Charges additionnelles. Stretching. C'est un peu plus court pour ne faire que quarante cinq minutes. Nous filons dans la salle de bain. Nous entendons l'aspirateur quelque part à l'étage. Estelle prend sa douche la première pendant que nous disposons les serviettes toutes fraîches. Les gants de toilette. Nos vêtements déjà préparés, pliés sur le couvercle de la baignoire. Baignoire dont nous nous servons jamais. C'est à notre tour d'aller sous l'eau. Les filles parlent de leurs études. Assises toutes les deux sur les tabourets, devant un des miroirs. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite je les coiffe avec amour.

C'est à mon tour. Estelle me sèche les cheveux, Clémentine me les coiffe. Il ne faut plus traîner. Nos livraisons ne vont plus tarder. Nous nous habillons de nos Levis, de nos épaisses chemises à carreaux. Les baskets. Nous dévalons les escaliers en nous tenant par la main, en riant. Lise est entrain de passer l'aspirateur dans le couloir. Elle assiste une fois encore à nos attitudes intimes. Avec un sourire. Estelle se serre contre moi en me faisant des bises sur la joue. Afin de ne laisser aucun doute à notre "fille de ménage". Nous mettons nos anoraks, nos bonnets, nos gants. Il faut affronter un froid polaire. Les filles restent accrochées à mes bras pour traverser le jardin. << Sors ta queue, je veux te voir faire ton satyre avec Danièle ! >> lance Estelle. Je m'y refuse avec ce froid. Elle me palpe.

<< Monsieur est une petite nature, une chochotte un peu pleutre qui craint le froid ! >> rajoute t-elle en me palpant effrontément la bosse. Clémentine derrière moi, ses bras autour de ma taille. Voilà la camionnette blanche qui descend lentement sur les pavés autobloquants du chemin. Danièle au volant, en se garant derrière la Fiat rouge de Lise, nous fait le plus chaleureux des sourires. Nous sommes contents de nous revoir. Danièle salue Estelle avec la même joie. Estelle, effrontément, remet sa main sous mon anorak pour la poser sur ma braguette bossue. << C'est vraiment dommage qu'il fasse aussi froid ! >> lance Danièle en fixant la main d'Estelle qui dit : << Notre Julien refuse obstinément de vous présenter ses meilleurs vœux ! >>. Elle me lâche pour mimer une masturbation.

Danièle, en riant, contourne la camionnette pour ouvrir les portes arrières et y monter. Bravant le froid. Ouvrant mon anorak, déboutonnant ma braguette, je sors mon chibre tout mou. Et un chibre mou dans le froid, c'est assez piteux. Toutes les trois se mettent à rire aux éclats. << Vous en avez laissé la moitié en Écosse ? >> lance Danièle en me tendant le lourd cageot contenant les fruits, les légumes. Je ris comme un con. Que pourrais-je bien répondre avec mon zob frigorifié ! Estelle me l'attrape en s'écriant : << On va le réchauffer un peu pour montrer à la dame ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Clémentine attrape le second cageot contenant les fromages, les yaourts, les œufs, le beurre, les pots de crème fraîche et de fromage blanc. Estelle tient ma bite dans sa main chaude

Je prends soudain conscience que si Lise regarde depuis la fenêtre de la cuisine, elle assiste à toute la scène. Cette idée, dans la poigne ferme et chaude d'Estelle, commence à me faire bander. Enfin. Pour le plus grand plaisir de Danièle qui dit : << À la bonne heure, c'est rassurant. Vous n'avez rien oublié en Écosse ! >>. Elle me tend le terminal dans lequel j'introduis ma carte. << Je vous livre la viande mercredi matin ! >> précise encore Danièle en se penchant pour fixer le mouvement du poignet d'Estelle qui, pour me réchauffer, me branle avec vigueur. Elle agite ma queue en rajoutant : << Nos meilleurs vœux ! >>. Nous sommes pliés de rire. Danièle, pressée par le temps, saute dans son véhicule. Au volant, elle m'adresse un clin d'œil, lève son pouce et démarre.

En faisant sa manœuvre de demi tour, Danièle lance par la vitre baissée : << Mercredi matin, dix heures, mais bien au chaud ! >>. Nous la regardons partir. Estelle tout contre moi qui me branle. Clémentine, son bras autour de ma taille qui fait un dernier coucou de sa main libre. Je remballe juste à temps alors qu'Estelle s'exclame : << Non, pas ça ! Pourquoi tant de haine ! >>. Je réponds : << À cause de la boulangère ! >>. À peine ai-je refermé mon anorak, qu'arrive le tube Citroën rénové. Madame Marthe, hilare au volant, vient se garer au même endroit. Avec cette agilité surprenante malgré sa corpulence notre boulangère adorée saute de son véhicule "Louis la brocante" comme l'appelle Estelle. Nous présentons nos meilleurs vœux à la dame. J'attrape le cageot.

Il contient les deux grosses miches de pain complet bio et aux noix. Les deux pâtes feuilletées, l'énorme brioche au pudding. << Cadeau de la maison ! >> lance madame Marthe en nous offrant une belle galette des rois à la frangipane. << Génial ! >> lance Clémentine. Je m'empresse de remercier madame Marthe. Elle me tend le terminal dans lequel j'introduis la carte de paiement. Comme pour Danièle, même commande pour samedi prochain. Notre boulangère ne s'attarde pas. Elle a bien d'autres clients à livrer. Elle s'adresse à Estelle : << J'ai livré vos parents il y a une heure ! Maman est en pleine forme et rayonnante. Vous l'embrasserez de ma part ! >>. Estelle promet de le faire. Chacun avec un cageot, nous contournons la maison pour descendre à la cave mais par derrière.

À peine sommes-nous dans le cellier à disposer les fruits et les légumes sur les étagères qu'Estelle déboutonne ma braguette pour en extraire le locataire. << Vieux pervers. Tu as aimé ce que j'ai fait devant la livreuse ? >> me demande t-elle. Je réponds : << J'ai beaucoup aimé ce que toi tu as fait devant Danièle ! >>. Nous rions. Je bande mou. Du congélateur ou elle place une des pâtes feuilletées et une miche, Clémentine tire le paquet de moules, les sachets de haricots verts et de petits pois. Estelle me branle en fouillant ma bouche de sa langue. J'exige de pouvoir remballer le Zob avant de remonter par l'escalier intérieur. << Et pourquoi, la "fille de ménage" est loin d'être une coincée du bulbe ! C'est que tu fais des manières maintenant, vieux cochon ! >> s'écrie Estelle. Nous rions.

Je remballe mais j'ai interdiction de reboutonner ma braguette. Nous remontons avec le cageot des produits frais à ranger dans le réfrigérateur. Lise vient de passer la serpillère. Ce qui me conforte dans la certitude qu'elle a tout vu depuis une des deux fenêtres de la cuisine. Estelle me passe les yaourts, les œufs, tout ce que contient le cageot. Je range consciencieusement pendant que Clémentine pose les sachets surgelés sur le radiateur. Tout aura décongelé pour midi. Nous allons au salon où Lise termine de passer l'aspirateur. Au sourire énigmatique et au regard par en-dessous qu'elle m'adresse à l'instant où nous pénétrons dans la pièce, j'ai la certitude qu'elle a assisté à tout. Surtout que pour bien confirmer cette probabilité, Lise fixe ma braguette béante avec ostentation. Deux secondes. Me regarde à nouveau. Cette expression qu'ont les filles qui "savent" et qui n'y sont pas indifférentes.

Assises sur mes cuisses, à califourchon, dans cette position assez inconfortable, mes deux anges allument l'ordinateur. Un courriel d'oncle Alan et d'Amy. Ils nous font part de l'immense tristesse d'une maison à présent sans vie. Un mail de Juliette qui nous propose d'emmener une galette des rois mercredis soir. Nous rappelant que demain dimanche elle organise une animation équestre dans son haras. Estelle a un message de ses parents. Nous ne devons pas emmener de dessert demain. Il y aura une galette des rois ! << On va peut-être enfin prendre un peu de poids ! >> lance Clémentine. Pendant qu'elles répondent en se relisant à haute voix, je glisse un billet de 50 € et de 20 € dans la petite enveloppe jaune. Les filles font un tour sur le site universitaire. Le programme complet.

Il va être onze heures trente. Lise vient nous rejoindre. À nouveau vêtue de ses jeans, de ses bottines, de son pull à col roulé sous son anorak. Estelle et Clémentine se lèvent en même temps pour contourner le bureau. Je me lève aussi pour venir remettre l'enveloppe à notre "fille de ménage". << Merci ! >> fait elle en m'adressant cet étrange sourire. À nouveau un regard insistant sur ma braguette. << On se revoit samedi prochain ? >> lance Clémentine. << Sans moi hélas, vous avez l'air hyper sympa Lise ! >> dit Estelle en posant carrément sa main sur la bosse qui déforme ma braguette. << Merci. J'étais enchantée de faire ta connaissance ! >> répond Lise en tutoyant Estelle. Clémentine s'exclame : << Alors on se tutoie tous les quatre ! >>. Lise s'exclame : << Super ! >>

Nous la raccompagnons jusque dans le hall. C'est sous un ciel qui annonce des chutes de neige que nous regardons Lise traverser le jardin en courant. Un dernier coucou et nous retournons au chaud. Clémentine fait l'assaisonnement de la belle laitue toute fraîche. Estelle prépare le bouillon pour y plonger les moules. Je vide les sachets de haricots verts et de petits pois dans le wok. << Notre "Club" s'agrandit encore ! >> fait Estelle. Une allusion au comportement de Lise. << Attendons de l'avoir "intronisée" ! >> dit Clémentine. Nous rions aux éclats alors qu'Estelle fourre une nouvelle fois sa main dans mon slip. << Tu vas la lui montrer quand ? >> me demande t-elle. Je suis plié de rire quand elle rajoute : << Tu vas la lui faire gouter quand ? Vieux pervers ! >>. Je mets les assiettes et les couverts.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos agissements lubriques de la matinée. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. Je me lève pour agiter mon chibre mou que je fais tournoyer. "L'hélicoptère". Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges font l'inventaire de ce qu'il ne faut pas oublier pour la rentrée de lundi. Ce second trimestre sera axé sur des études poussées des techniques de pointes utilisées dans le domaine des sciences. Elles se réjouissent car le programme promet d'être extrêmement intéressant. Elles maîtrisent toutes deux parfaitement l'outil informatique. Estelle me remercie une fois encore de lui avoir offert un nouvel ordinateur. Le Macbook pro M3 est un ordinateur qui permet les réalisations les plus sophistiquées. Elle me couvre le visage de bisous en disant << Mille mercis. Je t'aime Julien ! >>. Elle me tripote.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Quelle surprise. Sur la desserte de la salle de bain, une feuille de papier sur laquelle est écrit : "J'aime passionnément". << Elle aime quoi ? >> demande Estelle. << Il faudra élucider ce mystère ! >> répond Clémentine. Je dis : << On va le lui demander samedi prochain ! >>. Nous nous passons la feuille de papier en la retournant. Il n'y a aucune autre inscription. << Mystère et bite à jus ! >> conclue Estelle qui fourre une nouvelle fois sa main dans ma braguette. Nous restons habillés comme nous le sommes. Nous dévalons les escaliers pour chausser nos bottines, enfiler nos blousons d'épais cuir brun. Écharpes de laine. Bonnets, gants. Prêts à affronter les seulement deux degrés qu'affiche le thermomètre extérieur. Un froid glacial.

Je roule doucement sur la route communale qui passe devant le haras. Plein de voitures dans la cour. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, installée à l'arrière, caresse mes joues, mon cou tout en revenant sur quelques aventures vécues à Édimbourg. << C'est marrant, c'est déjà loin ! >> lance t-elle. << C'est parce que chaque instant de nos vies est intense ! >> dit Clémentine. Je bande dans sa main. Parfois dans sa bouche. << Et moi, je sens le pâté ! >> s'écrie une fois encore Estelle. Clémentine se redresse pour répondre : << Tu auras du pâté ce soir ! >>. Nous rions de bon cœur sur les vingt cinq kilomètres qui nous séparent de l'endroit où nous garons la voiture. Dans la petite ruelle habituelle. Il fait froid. Vraiment. Nous marchons d'un bon pas contre un vent de Nord.

Les décorations ont disparu. Les rues piétonnes ont repris leurs normalités. Nous préférons. Il y a du monde. Un petit tour à la FNAC. Estelle qui me touche. Pas toujours très discrète. Quand un regard se fait interrogateur, parfois insistant, l'une ou l'autre pose sa bouche sur la mienne. Ça situe les choses. Nous attirons évidemment l'attention. Nous apprécions flâner dans les grands magasins. D'entrer dans les boutiques de luxe. Il y fait chaud. Il y a les premières promotions sur tout un tas d'articles. Parfois jusqu'à moins 50 %. Il y a ces superbes paires de mocassins noirs au dessus blanc. Mes deux anges ne cessent de les admirer, de les retourner. De très haute qualité. Je dis : << On les prend ! >>. Estelle et Clémentine, de par leur mètre quatre vingt deux chacune, ne trouvent pas souvent des chaussures à leurs pointures. Il faut souvent les commander.

Évidemment il n'y a pas de "42". << On peut les commander ! >> nous apprend la jeune vendeuse. Y a t-il des modèles "hommes" dans votre catalogue ? >> demande Clémentine. << Bien sûr. Mais ce mocassin est "mixte" ! >> répond la jeune fille. Estelle qui pose sa main sur ma bosse pour rajouter : << Quel est le délai de livraison ? >>. La jeune vendeuse explique que par commande en ligne, c'est 48 h. Si c'est en magasin, c'est jeudi prochain. << Va pour le magasin ! >> lance Clémentine qui rajoute : << On vient les chercher vendredi prochain ! >>. Je trouve cette initiative parfaite. Voilà un excellent prétexte pour ne pas revenir en ville que pour une simple balade. Je règle immédiatement la commande. << Put-hein, ils s'emmerdent pas ! 630 euros la paire ! >> s'exclame Estelle.

<< Oui mais c'est de chez "Saint Laurent" ! >> lance Clémentine. Je précise : << C'est increvable ! >>. Estelle me saute au cou en s'écriant : << Je veux faire ma vie avec un Julien ! >>. Je la soulève, là, en pleine boutique, devant les regards amusés de certains clients médusés. Les clientes surtout. Estelle me couvre le visage de bisous en enserrant ma taille de ses jambes. Je laisse aux lecteurs d'imaginer la réaction des personnes présentes quand je fais pareil avec Clémentine. La jeune vendeuse semble émerveillée. Pas seulement parce qu'elle a bien gagné sa journée mais aussi par notre attitude qui dépasse certainement son entendement. Une fois dans la rue nous rions de nos "exploits". Hélas, notre joie est tempérée par les premières gouttes de pluie. Une pluie glaciale. Pas de parapluie. << Comme des cons ! >> lance Clémentine. Nous nous précipitons dans le premier grand magasin, au rayon maroquinerie. Il nous faut le plus grand, le plus robuste, accessoirement le plus beau.

À l'étage de notre salon de thé préféré, nous savourons nos chocolats chauds et nos "milles feuilles" à la crème pistache. Un délice. Il y a du monde mais toutes les tables ne sont pas occupées. Un petit tour aux toilettes. Une fois avec Estelle. Une fois avec Clémentine. Enfermés dans un des cabinets des WC hommes. Je prends Estelle en levrette deux minutes. Son Levis et sa culotte sur les chevilles, ses mains en appui sur le carrelage. Rapidement je suis obligé de poser ma main sur sa bouche. Avec Clémentine c'est une petite pipe juteuse. Il est déjà dix huit heures quand nous flânons dans le magasin "Armand Thierry". Il y a là parfois de belles choses. Tout particulièrement des chaussettes originales, des écharpes de très belle facture et de très bon gout. Il fait nuit. La pluie tombe.

Il est dix neuf heures quand nous sommes de retour. Clémentine prépare l'assaisonnement du reste de laitue. Estelle et moi commençons à éplucher les pommes de terre, les carottes, les navets et le céleri. Ce sera une potée de légumes accompagnant les trois prochain repas. Je fais rissoler trois belles escalopes de dinde. Estelle touille les légumes dans la vieille cocotte en fonte noire. Je viens me serrer contre elle pour palper son entrejambes par derrière en chuchotant : << Des escalopes de dingue ! >>. Elle répond : << Tu prends ta dingue ce soir ? Comme tu l'as prise dans les chiottes ? >>. Clémentine vient nous rejoindre. Je suis en sandwich entre mes deux anges quand elle dit : << Et moi je vous mâte. Je veux du spectacle ! >>. Estelle rajoute : << D'abord on tire le roi ce soir ! >>

Je m'écrie : << Ah non ! Moi je veux tirer une reine ! >>. Nous rions. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre après-midi en ville. La galette des roi. On en prend une toute petite part car nos estomacs sont pleins. L'autre moitié demain soir. Aucun d'entre nous ne trouve la fève. Elle est dans l'autre partie. La vaisselle. Pressés d'aller nous éclater comme des bêtes, nous nous précipitons au salon. Mes deux anges, juste en épaisses chaussettes de laine qui tombent sur leurs chevilles, leurs chemises à carreaux, sont installées sur le bureau. Pauvre bureau. Il a subi tant et tant d'assauts. Il s'apprête ce soir à subir un nouvel outrage. Penché en avant je lèche les croupions si généreusement offerts. Je suce les clitoris. Avant de pénétrer mes coquines, je vais récupérer deux coussins du canapé.

La cuvette en plastique bleu. Je dispose les coussins sous leurs têtes. Toutes les deux, gémissantes de bonheur, se font pénétrer à tour de rôle. Debout, je passe de l'une à l'autre en les besognant tel un enragé. Avec parfois la délicatesse d'un Sumo Japonais. Parfois avec la délicatesse d'un ostéopathe en fin de carrière. Quand je me retire, c'est pour bouffer de la chatte, sucer du jus de fille. Et c'est qu'il y en a. Je soupçonne même Estelle de lâcher de toutes petites giclées de pisse qu'elle maîtrise à la perfection. Je le sens au gout. Surtout qu'elle se redresse. Qu'elle saisit mes oreilles alors que je m'accroupis. Position hyper inconfortable avec les genoux écartés au maximum contre la paroi du bureau. Je suis vite obligé de me mettre sur les genoux. Elle se lâche par tous petits jets. << C'est nouveau ça ! >> lance Clémentine qui se redresse pour regarder. Elle comprend également. Estelle a des spasmes qui secouent son bassin à chaque minis giclées. J'ai le bas du visage trempé.

Je n'arrive pas à avaler tout d'un coup. Les petits cris d'animal blessé qu'émet Estelle à chaque mini jet sont en parfaites symbioses avec les frissons de l'intérieur de ses cuisses contre mes joues. Ses cuisses qu'elle serre comme un étau pour bloquer ma tête. La coquine se masturbe contre mon visage en me tenant fermement par la nuque, des deux mains. Clémentine saute du bureau. Debout, se masturbant, elle se penche pour m'observer du plus près. << Tu te régales ? >> demande t-elle. À ces mots, n'en pouvant plus, Estelle retombe en arrière en hurlant de plaisir. Un orgasme. C'est la toute première fois qu'elle se l'offre en pissant. Je suis ruisselant de pisse. Je me redresse au bord de la crampe. J'enfonce mon index dans le sexe d'Estelle totalement surprise par mon initiative.

Clémentine, penchée en avant, en se masturbant, me suce avec une avidité qui pourrait me faire éjaculer. Je regarde Estelle se redresser. Elle éclate de rire en voyant mon visage mouillé, ma chemise trempée. << Tu es fâché ? >> me demande t-elle. Clémentine se redresse pour répondre : << Copieuse ! C'est nouveau ça ! Tu deviens "fontaine" toi aussi ! >>. Nous rions aux éclats. Estelle saute du bureau. Il y a une flaque de pisse. Comme parterre. J'en ai le gout qui devient fade dans la bouche. Elle se précipite vers la porte. Clémentine m'offre sa chatte. Je la pénètre alors qu'elle me murmure des << Je t'aime ! >>. Estelle revient avec le seau, la serpillère, une éponge. Nous rigolons comme des bossus. Ça me fait débander. Je me retire. Nous la regardons nettoyer ses "œuvres".

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont accompagner leur lécheur, suceur et baiseur dans la salle de bain. Lui vider les couilles sous la couette...

Julien (fin gourmet)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Monday 8 January 2024 07:44

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 42 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2487 -



Le repas du dimanche midi chez les parents d'Estelle

La grasse matinée de ce dimanche est la dernière de nos vacances. Estelle est restée collée à moi toute la nuit. Imbriquée comme une pièce d'un puzzle. Il est presque neuf heures. C'est toujours surprenant autant qu'appréciable encore endormi. Elle saisit mon érection naturelle à pleine main. Dans le sommeil j'attends l'instant où ses lèvres vont se poser dans mon cou. Mais c'est à mon oreille qu'elle chuchote << Bonjour monsieur. C'était bon ce que vous m'avez fait avant de dormir ! >>. Je m'étire. Clémentine est réveillée à son tour pour venir se blottir. Voulant elle aussi s'emparer de mon chibre, elle doit se contenter des couilles qu'elle empoigne beaucoup plus délicatement. Je suis entre mes deux anges. Je glisse mes mains dans les culottes. Mes doigts démêlant quelques nœuds.

Nous aimerions que cette situation perdure encore un peu mais Estelle est la proie de son irrépressible besoin de pisser. C'est rapidement une torture quand elle lâche ma queue pour se lever comme mue sur un ressort. << Pipi ! >> s'écrie t-elle en se précipitant vers la porte dans son pyjama de soie mauve. Clémentine joue avec ma bite qui ramollit inexorablement. Je glisse mon doigt entre les lèvres charnues de sa vulve. Je ne connais rien d'aussi doux au réveil. Estelle qui revient, tournant sur elle-même, comme une danseuse faisant ses pointes, lance : << Je descends tout préparer ! >>. Quelques bises à chacun et elle file. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Les radiateurs viennent d'entrer en fonction, il ne fait pas très chaud. Morts de faim nous dévalons les escalier. Dans la cuisine.

Les parfums du café, du pain grillé auxquels se mêle l'odeur du feu qu'allume Estelle dans la cuisinière à bois. J'aime venir me serrer contre son dos, me frotter à ses fesses pour passer mes bras autour de sa taille, murmurer une douceur à son oreille. Glisser ma main entre ses cuisses. << Comme tu es doux toi ! >> dit elle en se cambrant sur ses genoux fléchis. Ce qui me permet un meilleur accès. Je presse les oranges. Clémentine pèle les kiwis. J'aime lui faire la même chose. C'est dimanche et nous pouvons prendre tout notre temps. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur cette étrange impression. C'est comme si notre séjour à Édimbourg était déjà loin derrière nous. Pourtant nous sommes revenus vendredi soir. Nous mangeons de bon appétit en envisageant notre après-midi.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les bras autour de ma taille, de mes épaules, mes deux anges parlent de la rentrée de lundi. Elles sont affutées, prêtes et impatientes de relever le défi du second trimestre. J'écoute car c'est passionnant. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents, nous changer. Le dimanche, pas de douche. Une rapide toilette de cul après la "grande commission" de chacun. Les autres s'occupent. De la flotte sur la gueule. Les facéties de filles heureuses, optimistes, pleines de joie de vivre qui animent cette grande demeure font de moi l'homme le plus heureux de la planète. Nous sommes vêtus à l'identique, jeans, sweats, baskets, à prendre des poses devant un des miroirs de la salle de bain. Il fait à présent bien chaud partout dans la maison. Agréable.

Pressés d'aller nous dégourdir un peu les jambes, nous dévalons les escaliers pour mettre nos anoraks. Bonnets, gants, écharpes. Le thermomètre extérieur indique zéro degré. Un léger vent de Nord Est. Un sol humide avec par ci par là de fines couches de neige. Pas de doute, nous entrons dans une nouvelle phase climatique en ce tout début d'hiver. Les filles restent accrochées à mes bras. Nous descendons jusqu'à la rivière sous un ciel gris et menaçant. Malgré ce froid glacial et désagréable, les canards, les poules d'eau et les colverts virevoltent sur l'eau comme des touristes parisiens sur la plage de Saint Tropez en plein mois d'aout. Indifférents aux conditions météorologiques. C'est assez étonnant. Nous restons tous les trois serrés. Je suis entre mes deux anges. Moment précieux.

Nous remontons lentement le chemin pierreux. Il y a une légère brume au-dessus du sol. Une ambiance fantomatique. De retour au chaud, les filles nous entraînent au salon. Assises sur mes genoux elles allument l'ordinateur. Pas de courriels aujourd'hui. C'est sur le site de l'université qu'elles surfent. Commentant les informations. Il y a des photos qui illustrent les propos de différents professeurs. Je les écoute échanger en caressant leurs tous petits seins. Mes mains sous les sweats à me promener délicatement. << C'est bon ce que tu fais ! >> lance Estelle. << Interdiction d'arrêter ! >> rajoute Clémentine. Elles finissent par se lever en même temps pour m'entraîner par les mains devant une des trois portes fenêtres. Je les tiens par la taille. Nous regardons la campagne.

Dans ma braguette béante, Estelle fourre sa main en s'exclamant : << Mmhh, comme c'est bien chaud là dedans ! >>. Elle s'accroupit pour y fourrer son nez. << J'adore l'odeur qu'il y a là dedans ! >> rajoute t-elle. Clémentine s'accroupit à son tour, attendant qu'Estelle veuille bien la laisser humer. Je dis : << Ce sont les fumets habituels des dimanches matins ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Estelle nous entraîne dans une farandole dans toute la grande pièce. Sur la mélodie d'une comptine d'école maternelle, elle improvise des paroles loufoques. Que Clémentine et moi reprenons en cœur. C'est tellement surréaliste que parfois nous sommes pliés de rire. Clémentine, soudain sérieuse, lance : << Non mais, sans déconner, vous avez conscience de notre bonheur ? >>. Silence.

Nous la regardons. Suspendus à ses lèvres pour entendre la suite. Il n'y a pas de suite. Nous rions aux éclats. Il va être l'heure de se préparer. Nous sommes attendus pour midi. Nous avons pour consigne de ne rien emmener. << Et je te surveille, si tu dragues ma mère, je t'arrache les couilles avec les dents ! >> précise une fois encore Estelle. En fourrant sa main dans ma braguette elle rajoute : << Et tu fermes ça immédiatement ! >>. Nous rions de bon cœur en enfilant nos anoraks. Il n'y a que quatre kilomètres jusqu'à la sortie du bourg voisin. La maison des parents d'Estelle. Je roule doucement. Clémentine palpe ma braguette boutonnée. Je gare la voiture dans la descente du garage. La porte basculante qui s'ouvre. Yvan qui vient nous accueillir. Estelle se précipite.

Elle saute au cou de son papa. Tout comme elle le fait avec moi. Nous les suivons pour monter par l'escalier de la cave. Michèle vient nous saluer au salon où la table est déjà mise. La cheminée est allumée. Il règne dans la maison des parents d'Estelle une ambiance particulière. Il fait bon être là. Tout y est aussi chaleureux que les propriétaires. Yvan et Michèle, tous deux en jeans et sweats. Aujourd'hui encore j'admire les mèches argentées qui parsèment les cheveux noirs de la maman d'Estelle. C'est absolument superbe. Cette femme est d'une beauté exceptionnelle. Estelle a de qui tenir. Yvan et son look d'acteur hollywoodien n'est pas en reste. Nous sommes invités à prendre place. Nous mangeons de bon appétit. C'est un repas simple mais tellement délicieux.

Durant la conversation qui accompagne la mangeaille, je croise souvent le regard de Michèle. Ce regard parfois par en dessous qui "m'allume" toujours considérablement. Estelle qui me surveille. J'ai encore droit à quelques douloureux coups de pieds dans les tibias, sous la table. Surtout qu'elle porte ses bottines, la bougresse. Dehors, tombent des flocons de neige. << Ça y est, on va y avoir droit ! >> lance Yvan sur les genoux duquel est venue s'assoir Estelle. << Mon papa, l'amour de ma vie ! >> précise t-elle souvent. Une fois encore nous en sommes les témoins. Nous bavardons en traînant à table. Je ruse pour débarrasser la table. J'ai envie de me retrouver seul avec Michèle dans la cuisine. J'aime faire mon satyre devant cette femme magnifique. Elle apprécie beaucoup.

Nous entendons rire depuis le salon. Clémentine, ma plus totale complice, sait ce qui m'anime. Elle fait le nécessaire pour animer la discussion. Je peux enfin savourer cet instant tant attendu. Je passe les assiettes, les plats et les couverts à Michèle. Elle met le tout dans le lave vaisselle. Je murmure : << J'ai envie de vous montrer ma queue ! >>. Elle chuchote : << J'ai envie de la voir ! >>. Aux très rares occasions où c'est possible, nous apprécions ce jeu qui est devenu un rituel. Rapidement, je déboutonne ma braguette. J'en extrait le locataire pour l'agiter devant Michèle. Elle me fait le plus merveilleux des sourires. C'est un contrat entre nous, ça n'ira jamais plus loin. Yvan et Michèle sont aussi complices que Clémentine et moi. Le papa d'Estelle est dans la "combine". Seule Estelle est dans l'ignorance de ce détail cocasse. Enfin... en apparence !

Michèle s'accroupit en se tenant à la porte du lave vaisselle qu'elle s'apprête à fermer. Je secoue mon chibre à une cinquantaine de centimètres de son visage. << Ça donne envie, vous n'imaginez pas ! >> murmure t-elle. Je chuchote : << Oh si ! J'imagine tout à fait ! >>. Elle se redresse. Depuis le salon les conversations cessent. J'ai tout juste le temps de remballer, de me reboutonner. De faire semblant de m'essuyer les mains. Estelle entre dans la cuisine avec son air suspicieux. Jetant immédiatement un discret regard sur ma braguette fermée. D'un index menaçant qu'elle bouge comme une maîtresse d'école, elle me jette un regard sévère. Sur un grand plat rond, Michèle pose la galette à la frangipane. Nous sommes priés d'aller prendre place à table. Avec les couverts.

C'est Estelle qui trouve la fève. Est-ce prémédité ? Comme le faisaient Yvan et Michèle quand Estelle n'était encore qu'une petite fille ? On le suppose sans le dire. Toujours est-il que, coiffée de sa couronne en papier doré, elle est la reine de ce dimanche. Je ruse une nouvelle fois pour débarrasser, accompagner Michèle à la cuisine avec les petites assiettes à dessert. Les tasses de café, les petites cuillères. Les rires depuis le salon nous permettent une récidive. Cette fois je me masturbe avec la plus grande vulgarité devant Michèle qui en reste bouche bée. Là, dans sa cuisine, le mec de l'âge de son mari, qui baise sa fille, lui montre l'objet d'une convoitise qu'elle ne cache pas. Elle lève le pouce. De l'autre côté de la table, elle admire la scène. Oui, c'est le mot exacte. Elle admire.

Tout en me branlant comme le dernier des exhibitionnistes, je reste tous mes sens aux aguets. Quelle chance. Ça peut durer. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. Michèle passe sa main droite entre ses cuisses. Elle aussi est terriblement excitée par ce jeu. Son regard par en-dessous. Le bout de la langue qu'elle passe sur ses lèvres, la position masturbatrice qu'elle prend, nous nous observons. J'anticipe car au salon, les rires cessent. "Dragon Estelle" ne va pas tarder à accourir. Je remballe. Michèle prend une expression de tristesse en cessant de se toucher et en se redressant. Ouf. Estelle se pointe avec sa même attitude de surveillante de lycée qui fait sa tournée d'inspection. Rien à me reprocher elle me jette tout de même un regard lourd de reproches. Nous retournons au salon.

Vautrés dans les fauteuils nous passons une bonne partie de l'après-midi à bavarder. À échanger nos souvenirs de l'Écosse. Il est dix sept heures, à la nuit, quand nous prenons congé. Nous ramènerons Estelle pour 22 h. Je roule doucement car une fine couche de neige recouvre le sol. De retour à la maison pour dix sept heures trente nous reprenons un thé chaud. Vautrés tous les trois dans le canapé. Estelle à ma gauche qui tord ma queue molle dans tous les sens, Clémentine à ma droite qui me tient par le bras. << Dis-moi tout vieux salaud. Tu as encore fait ton pervers avec maman. J'en suis certaine ! >>. Je ne peux rien cacher à une des deux filles que j'aime. J'avoue mon comportement de voyou. << Salaud, salaud va ! >> lance t-elle après chacune de mes explications.

<< Dépravé, pervers ! >> s'écrie t-elle. Sous les rires de Clémentine littéralement pliée en deux. Je conclue : << Mais ce soir, après le repas, pour me faire pardonner, je te broute le minou comme jamais ! >>. Elle répond : << J'ai une petite idée de la façon dont je vais t'administrer ta punition ! >>. Nous rions quand Clémentine s'exclame : << J'ai une idée assez précise de cette "punition" ! >>. Moi pas. Nous préparons le repas. Nous mangeons de bon appétit. Au salon, vautrées dans le canapé, juste en sweats et en chaussettes, mes deux anges m'offrent leurs minous. Je prends mon dessert en suçant, en léchant. Jusqu'à ma "punition". Cette nouvelle façon qu'à Estelle de s'offrir des plaisirs raffinés. Me pisser dans la bouche par tous petits jets. Me surprenant à chaque fois.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se retrouvent blotties contre leur coquin sous les draps, après l'avoir sucé un peu, pour s'endormir dans l'extase...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Tuesday 9 January 2024 07:37

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 43 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2488 -



La rentrée

Hier matin, lundi, il est presque six heures. Clémentine a préféré renouer avec les fééries de l'application "forêt". Elle vient se blottir tout contre moi comme pour trouver du réconfort à son réveil. Je la serre. Nous resterions bien comme ça mais chacune de nos secondes est comptée. Quelques bisous, quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Il fait plutôt froid dans la maison car les radiateurs viennent de s'allumer. Nous revêtons nos tenues sports dans la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Ce ne sont que successions d'automatismes qui ont ce côté sécurisant des certitudes. J'allume immédiatement la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Je mets le reste de la brioche dans le four à micros ondes. L'odeur du pain grillé.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur des moments sympas du week-end. Estelle a été deux fois reine. La première fois en trouvant la fève dans la galette à midi, lorsque nous prenions le dessert chez ses parents. Une seconde fois en soirée lorsque nous prenions le dessert chez nous. Nous mangeons de bon appétit en envisageant le cadeau d'anniversaire que je compte offrir à Estelle. Le 11 mars c'est dans un peu plus de deux mois. Nous en rions de bon cœur. Six heures vingt cinq, nous remontons à toute vitesse nous livrer à notre heure d'entraînement. Clémentine, en pleine forme, est impatiente de retrouver les bancs de l'université. Une motivation supplémentaire qui nous dynamise tous les deux. Les échauffements aérobics. Le jogging sur les tapis roulants. Exercices au sol.

Les charges additionnelles avant les étirements du retour au calme d'un stretching précipité. La douche. Je dévale les escaliers pour aller sortir la voiture du garage. La faire chauffer. Il fait encore nuit à presque 7 h45. Le thermomètre extérieur indique moins deux degrés. Un fin tapis de neige gelée recouvre toute chose. Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak. Capuche et bottillons à fourrures. Elle sautille sur place pour me faire les derniers bisous. << Ce soir on est juste nous deux. Ça aussi c'est réjouissant ! >> dit elle en s'installant au volant. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer pour faire la vaisselle, notre lit. Dans l'atelier j'allume une belle flambée de cheminée.

Installé devant mon chevalet, en préparant les couleurs sur la palette, je retrouve ma passion avec une joie débordante. J'en pousse des cris surréalistes. Je reprends la peinture de cette cinquième scène de genre de commande. Je peins dans une ivresse des sens qui me comble jusqu'aux environs de midi. Je mets deux bûches sur les braises. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe le reste de la potée de légumes. L'assaisonnement d'une salade de carottes. Un filet de flétan poêlé avec ail, oignon et champignons. C'est un repas simple mais réellement délicieux. La potée se réchauffe à de multiples reprises et est meilleure à chaque fois. Pour ce soir je prévois une tarte à l'aubergine, à la courgette. Je vais chercher le nécessaire dans le cellier de la cave. Je sors la pâte feuilletée du frigo.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff aborde l'épineuse question de toute cette montagne d'argent qui disparaît mystérieusement chaque année. De plus en plus de journalistes, d'économistes posent cette interrogation. Des hôpitaux sont obligés de faire des appels aux dons, à la générosité de donateurs pour acheter du matériel alors que des milliards vont remplir les poches d'une mafia ukrainienne. Et ce n'est qu'un exemple. Les parlementaires européens palpant 20 milles euros de salaire chaque mois, s'augmentent au printemps alors qu'ils imposent l'austérité aux nations. C'est vrai, il y a vraiment de quoi se poser des questions. Et pour enfumer ce brave peuple, on lui donne en pâture des affaires Depardieu, Epstein ou encore de remaniements ministériels. Un voyou va en remplacer un autre. Pour surtout ne rien changer à une "crise" qui est devenue depuis 50 ans, un "système".

J'écoute sans être étonné par les activités des crapules dirigeantes de tous bords, de toutes tendances, puisqu'elles appartiennent toutes à la même obédience. Je prépare mentalement le processus de la mise en œuvre du repas de ce soir. Je veux préparer quelques belles surprises à Clémentine. Je déplie la pâte feuilletée sortie du réfrigérateur il y a une demi heure. Je l'étale consciencieusement dans le grand plat à tarte aux bords hauts. Je lave et je coupe une aubergine, deux belles courgettes. J'aligne les tranches en domino. Dessinant une spirale. Sur le tout je verse le flan. Ce mélange d'œuf, de crème fraîche et de fromage blanc. Je recouvre d'une copieuse couche de gruyère Suisse. Chapelure, graines de sésame grillé. Deux cercles concentriques de cerneaux de noix. Ça présente bien.

Au four électrique pour une cuisson lente et douce à 160°. Je fais la vaisselle. Je monte me laver les dents. Je dévale les escaliers pour mettre l'anorak, le bonnet, les gants. Il fait froid. Un léger vent de Nord contribue à ce pénible ressenti polaire. Je descends jusqu'à la rivière. C'est la danse des canards qui en sortant de la marre se secouent le bas du dos. Je pense à cette chanson idiote destinée à des fêtes populaires pour décervelés. Cela me fait rire tout seul. J'ai assisté un jour à un mariage campagnard ou tous les invités chantaient cette chanson en jetant du riz sur les mariés dès la sortie de l'église. Consternant ! Je remonte. Confortablement installé devant mon chevalet, je plonge dans ma passion. Je peins animé des mêmes émotions que ce matin. Sans voir passer le temps.

Du bruit. Il est dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours. Elle jette son cartable dans le fauteuil pour se précipiter vers moi. J'anticipe toujours aux premiers bruits. Je pose la palette, les pinceaux sur la desserte à ma droite. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le repas de midi au restaurant universitaire. << Je dois te faire une pipe de la part d'Estelle ! >> conclue t-elle. Nous en rions de bon cœur. Clémentine doit terminer quelques travaux. La voilà assise devant son ordinateur entourée de ses fiches. Nous apprécions tout particulièrement de finir nos journées ainsi, dans une émulation constructive. Quand elle est prêt de moi, je peins encore mieux. Quand je suis prêt d'elle, Clémentine fignole en chantonnant. Le bonheur.

<< Put-hein la pipe ! >> s'exclame t-elle d'un coup en se levant. Il est un peu plus de dix huit heures trente. Je nettoie la palette, les pinceaux. Debout devant le petit lavabo de l'atelier, la bite posée sur le rebord, je me lave les mains. Clémentine vient me rejoindre pour saisir mon chibre mou. Un de nos nombreux rituels. Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets. Penchée en avant pour observer de près. Les dernières giclées qu'elle secoue affectueusement avant de s'accroupir pour sucer. Je caresse sa tête. Cela ne dure pas plus d'une petite minute. Je commence à bander comme le dernier des salauds. Je l'aide à se redresser avant que la position ne devienne inconfortable. Je la soulève. Elle s'accroche à mon cou. Ses jambes enserrent ma taille. Plein de bisous sonores.

Je la promène dans toute la grande pièce pour la déposer devant la cheminée. C'est un plaisir supplémentaire que d'admirer la danse des dernières flammes. C'est la seule lueur qui projette ses ombres chinoises sur le mur de gauche, au-dessus du vieux canapé de velours carmin. Clémentine, son bras autour de ma taille, tient mon Zob de sa main libre. Elle me raconte les conditions de la route pour rentrer de cours. << Je te promets, je roule prudemment ! >> dit elle en s'accroupissant une nouvelle fois pour se remettre à sucer. Je passe l'extrémité de mes doigts dans le creux de ses joues. Une petite minute où je l'aide à se relever. << Je t'aime ! >> lance t-elle en passant ses bras autour de mon cou. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il y fait chaud.

Quand elle découvre le plat que je sors du four électrique pour le mettre dans celui de la cuisinière à bois, Clémentine me saute au cou. << Mon cuisinier. Mon cordon bleu. Mon Chef. Mon maître queue ! >> s'exclame t-elle. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Nous nous embrassons passionnément. Ce qui me fait bander comme un grizzly en rut. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade d'endives. Je mets les assiettes, les couverts. Pas de signal sonore dans un four à bois. Il faut donc surveiller la cuisson attentivement. Je tire la tarte fumante et dorée du four. Le dessus fait penser à l'ébullition d'un volcan. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les moments forts de nos vacances à Édimbourg. Je dis : << Cette fois tu n'as pas sucé d'inconnus. L'inconnu du nouvel an ! >>

En riant, venant s'assoir sur mes genoux, Clémentine répond : << Il y avait quelques beaux mecs durant la retraite aux flambeaux. Tu te souviens du type qui mâtait au restaurant ? >>. Oui, je m'en souviens très bien. Nous rions de cette tradition de la "pipe inconnue" durant nos vacances en Écosse. << Je te promets de m'en payer deux ou trois cet été. Rien que pour toi ! >> rajoute t-elle alors que nous en rigolons comme des bossus. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'au salon. << Tu me fais l'amour ce soir ? >> me demande t-elle, passant ses bras autour de mon cou. Je murmure : << Je vais t'aimer comme si c'était la toute première fois ! >>. Elle murmure : << Ah non, la première fois ne me laisse pas un souvenir très agréable ! >>

C'est en riant que nous retirons nos chaussures, nos Levis, nos sous-vêtements pour rester en sweats et chaussettes. Je connais bien l'histoire de la "première fois". Clémentine me l'a raconté à plusieurs reprises. Dix sept ans. Son premier mec. Dix neuf ans, pas imaginatif, éjaculateur précoce ne sachant rien des préliminaires et de la sexualité féminine. Clémentine s'allonge sur le dos. Dans le canapé. J'adore ce regard implorant qu'elle m'adresse toujours dans ces moments. Je savoure l'instant. << Viens ! >> dit elle d'une voix à peine audible. Je reste en appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids. Ce qui permet à Clémentine une parfaite liberté de mouvements. Mon sexe à l'entrée du sien. Dur entre les lèvres charnues de sa vulve. C'est chaud, c'est si doux.

Qu'il est bon de rester comme ça un petit moment. En nous fixant jusqu'au plus profond de nos êtres. Dans l'obscurité les yeux de Clémentine, d'un bleu clair et intense, scintillent. C'est à la fois étrange, magnifique et mystérieux. Centimètre par centimètre, avec d'infinies précautions, je la pénètre. Elle ferme les yeux comme si elle éteignait la lumière. Elle se mordille la lèvre inférieure. Je suis totalement immiscé en elle. Nous adorons rester immobiles. Je regarde chaque expression de son visage comme je le ferais devant une toile de Maître. J'attends qu'elle ouvre les yeux. Elle se détend subitement en levant enfin les paupières. Alors là, à chaque fois, je chavire. Nous nous fixons, alternant une légère berceuse et l'immobilité la plus complète. Clémentine émet de petits souffles courts.

Je sais que c'est là que vont commencer ses confidences. Qu'elle va me révéler ses secrets de fille. Nous contractons tous les deux nos muscles fessiers pour faire bouger nos sexes dans la plus profonde intimité. J'écoute. C'est intense. C'est excitant. Ça maintient mon érection. J'adore arriver à ce point de "rupture" où je pourrais me mettre à baiser comme un homme des bois. Mais c'est tellement bon de surmonter ce zénith pour rester calme. Car la récompense est un plaisir immense. Clémentine se masturbe toujours lorsqu'elle est pénétrée. Je fouille sa bouche de ma langue entre deux "révélations". Un rythme s'instaure insidieusement. Nous bougeons de façon synchrone. Une harmonie totale. Jusqu'à cet instant fatidique ou Clémentine me repousse délicatement mais rapidement, son corps agité de spasmes. J'ai juste le temps de placer la cuvette en plastique. Clémentine peut hurler de son orgasme pisseux. C'est grandiose.

Bonne nouille à toutes les coquines qui vont en savourer le jus sous les draps, avant de s'endormir, repues, satisfaites, dans les bras de leur complice de vie...

Julien (complice)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Wednesday 10 January 2024 07:38

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 44 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2489 -



La routine n'est pas toujours mortelle

Il est presque six heures quand le gazouillis des oiseaux, le bruit de la source nous tirent du sommeil. Nos deux I-phones s'allumant en même temps de chaque côté du lit, l'illusion de nous réveiller dans la forêt, un matin d'été, est bluffante. Une application trouvée il y a trois ans, proposant toutes sortes d'options. Clémentine a porté son choix sur celle-ci. En gémissant elle se blottit contre moi. J'aime ce premier réflexe qui rend l'instant magique. La féérie de la forêt ne dure que quarante cinq secondes. Le temps de nous faire quelques papouilles, quelques bisous avant de nous précipiter aux toilettes. Les radiateurs viennent d'entrer en fonction. Nous revêtons à toute vitesse nos lycra de sports dans la salle de bain où il ne fait pas encore chaud. C'est motivant pour tout faire vite.

Morts de faim nous dévalons les escaliers. Pendant que Clémentine fait le café en me racontant ses rêves, j'allume la cuisinière à bois. Je veux absolument savoir pourquoi il fait subitement aussi froid dans la maison. L'explication en est simple. Le thermomètre extérieur indique moins sept degrés. J'aide Clémentine à presser les oranges, à peler les kiwis. Le claquement sec du grille pain qui éjecte ses premières tranches. Tous ces automatismes qui participent aux charmes de nos matins. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée à deux. << C'est si bon avec toi. Tu sais que je commence à beaucoup aimer faire l'amour ! >> me dit Clémentine. Je réponds : << Moi j'aime depuis le tout début ! >>. Elle s'écrie : << Mais je continue à préférer le cunni et la pipe ! >>

Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en nous promettant une récidive dès ce soir, avec Estelle. Il faut monter nous entraîner car il va être 6 h25. Les radiateurs peinent à chauffer la maison mais il fait bien meilleur. Les échauffements aérobics. Le jogging sur tapis roulants, les exercices au sol permettent de retrouver un peu de confort corporel même si notre salle n'est volontairement pas chauffée. Les charges additionnelles avant les étirements d'un stretching bâclé par manque de temps. La douche. Je redescends pour aller préparer la voiture. Il fait encore nuit et la neige recouvre la campagne. Cinq à six centimètres de poudreuse. Il va être 7 h45, le jour commence à se lever. Clémentine vient me rejoindre déguisée en esquimau. Capuche et bottes à fourrure.

Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou avant de courir me mettre au chaud. Je fais la vaisselle, notre lit avant de passer dans l'atelier. Il fait à présent 22° dans toute cette partie de la demeure. J'allume un bon feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette cinquième scène de genre m'accapare rapidement et totalement. Je peins dans une douce sérénité en pensant à notre lundi soir. J'aime être seul avec Clémentine. Mais je souri à l'idée que j'aime peut-être autant quand Estelle est avec nous. Comme elles vont se voir toute la journée à l'université, elles vont tout se raconter. Et ce soir Estelle en voudra elle aussi. C'est dans ces pensées que j'arrive aux environs de midi. La faim qui me tenaille le confirme.

Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe les restes de la tarte aux courgettes et à l'aubergine pendant que je fais l'assaisonnement d'une salade d'avocat et de carottes. Un dos de cabillaud blanc dans la poêle. C'est rapide. Pour ce soir je prépare les bouchées à la reine et le nécessaire pour la garniture. Deux grosses escalopes de dinde que je tire du congélateur dans le haut du frigo. Des champignons. J'ai même le temps de râper du gruyère Alpestre. De sortir le paquet de coquillettes du buffet. Je prépare mentalement la préparation de la surprise gastronomique que je réserve à mes deux anges ce soir. Elles adorent autant les surprises que mes petits plats. Et j'aime tant faire la cuisine que ce ne sont que succession de réjouissances.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff aborde les sujets d'actualité. Aujourd'hui il est question de la nomination du nouveau premier ministre. Un blanc bec n'ayant jamais travaillé de sa vie, n'ayant aucune connaissance de la vie réelle des gens. N'ayant même pas la moindre idée du quotidien de l'immense majorité des français. C'est vrai que c'est pitoyable d'être à ce point loin de toutes les réalités mais déjà prêt à continuer cette répugnante direction d'un pays qui n'a pas besoin d'énarques diplômés mais de gens sachant retrousser leurs manches pour plonger dans l'existence véritable du commun des mortels. J'écoute cette partie de l'émission en me réjouissant encore plus de quitter bientôt ce pays pour retourner dans ma chère Écosse.

Tout en continuant d'entendre, je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je concocte la Béchamel. J'émince les escalopes de dindes, les champignons. Je mets l'ensemble dans la sauce avec du gruyère. Je mélange pour le rendre homogène. Je remplis les cinq bouchées à la reine posées dans le grand plat carré en terre cuite avec ce mélange. Je les cale avec les coquillettes égouttées. Je recouvre d'une copieuses couche de gruyère. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillé. Des cerneaux de noix. Je place au four électrique pour laisser mijoter longuement à 160°. Je lave les feuilles d'une belle laitue. Pour le repas du soir, tout est prêt. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Par une des deux fenêtres de la salle de bain, je vois tomber la neige. De fins flocons pérennes.

Pressé d'aller fouler ce tapis blanc, je dévale les escaliers pour enfiler mon anorak, le bonnet, les gants. Les bottes en caoutchouc. Le thermomètre extérieur reste sous glace avec seulement moins trois degrés. Un désagréable vent du Nord. Je descends jusqu'à la rivière. Même si je déteste l'hiver, que je déteste la neige, j'admire la beauté qui m'entoure. Tout est blanc. Cette neige s'accroche à toute chose. Même à la laine de mon bonnet. Je regarde les poules d'eau, les colverts et les canards s'ébattre sur l'eau, complètement indifférents au froid. Du moins en apparence. Monsieur Bertrand, notre plus proche voisin, vient leurs apporter des graines, du vieux pain. Souvent deux fois par jour. Je me dépêche de remonter pour rentrer au chaud. J'investis rapidement mon doux atelier.

Je rajoute deux bûches sur les braises comme je viens de le faire dans la cuisinière à bois. Quand il fait ce temps, que tout est blanc, la grande demeure semble prisonnière d'un silence surnaturel. Installé devant mon chevalet, je reprends ma peinture dans le même sentiment de sérénité. Je peins en pensant à tout sauf à ce que je fais tout en restant concentré. Les heures passent. La nuit tombe vers 16 h30. Du bruit. Il est dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours. Avec ces conditions météos je suis toujours un peu inquiet mais je sais qu'elle roule prudemment. La voiture est parfaitement équipée des pneus idoines. Elle rentre dans l'atelier, pose son cartable sur la table et me rejoint en sautillant. Je pose la palette, les pinceaux sur la desserte à ma droite afin qu'elle puisse s'installer.

À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. La situation ne dure pas car elle a encore du travail. Assise devant son ordinateur, chantonnant, elle me confie quelques amusantes anecdotes étudiantes. Nous nous offrons cette petite heure d'émulation productive. << Là, j'arrête sinon je pète une durite ! >> lance t-elle soudain en se levant. Je nettoie la palette, les pinceaux, je retire ma blouse. Clémentine me rejoint devant le petit lavabo de l'atelier. Pendant que je me lave les mains, elle tient ma bite pour en diriger les jets. C'est dans cette situation que nous surprend Estelle en arrivant silencieusement. << Et moi ! >> s'écrie t-elle en courant pour venir vers nous. Clémentine se redresse. Rires.

Estelle me fait des bises avant de s'accroupir à son tour pour suçoter quelques instants. Elle se relève pour dire : << Clémentine m'a tout raconté. Tu me fais l'amour pareil ce soir ! >>. Nous rions. Estelle ne lâche pas ma queue toute molle. Je suis entre mes deux anges que je tiens par la taille. Nous admirons la danse des toutes dernières flammes sur les braises rougeoyantes. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Une fois encore j'ai droit à des effusions de tendresse quand elles découvrent ma surprise. Mon visage mitraillé de bisous. Ma queue dans la main d'Estelle qui aime me la tordre dans tous les sens. Heureusement je bande mou. Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue. Je l'aide. Estelle met les assiettes, les couverts. Elles parlent de leur journée de cours. Les études.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les moments forts de notre récent séjour à Édimbourg. << C'est déjà loin ! >> dit Clémentine. << On se mâte les petits films qu'on a fait là-bas. J'en fais le montage et on se fait une soirée cinéma samedi. Ça vous dit ? >> propose Estelle. Nous applaudissons cette suggestion. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges font déjà le programme du week-end prochain. Une randonnée dans la neige samedi après-midi. Des réjouissances en perspective. La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon pour une soirée "baise sur bureau". Du moins je le suppose. Mais une fois dévêtues, juste en grosses chaussettes de laine et en sweats, elles se vautrent dans le canapé. Sourires énigmatiques. Je suis certain que c'est une stratégie concertée. Je commence à bien connaître mes deux coquines. Elles me présentent leurs chattes poilues.

Estelle me la montre de son index, les cuisses relevées et largement écartées. Son genoux gauche contre celui de Clémentine dans la même position. Les épais coussins sont déjà posés au sol. Je sais ce qui m'attend. Du moins je le crois. Elles se masturbent en me regardant d'un air malicieux. Je bande. Je me branle en restant encore un peu à distance. Nous aimons nous regarder à nous procurer du plaisir. C'est devant Estelle que je me mets à genoux. Je commence souvent par son minou. Les odeurs de sa journée de fille. Je ne connais pas de parfums plus aphrodisiaques. Je hume à plein nez. Je fais de même entre les cuisses de Clémentine. Ce sont toujours des parfums élégiaques. Je reviens à Estelle. Du bout de la langue je commence à fouiller. Le gout vinaigré de son trou à pipi.

Je suce son clitoris. Quand je cesse c'est pour déguster les premières coulées de cyprine onctueuses. Ce soir c'est un peu comme une crème licoreuse. Je passe au sexe de Clémentine pour en savourer les jus. J'adore prendre mon dessert dans la stéréophonie de leurs gémissements. Parfois elles échangent leurs impressions en riant. Ce qui provoque de petites secousses. De petites giclées de cyprine que je suce avec avidité. Je suce la vulve d'Estelle quand soudain ma bouche est envahie de pisse chaude. Juste un jet. Il m'en coule sur le menton sur le haut de la chemise. Elles rient toutes les deux. Elles avaient préparé ce plan. C'est certain. Estelle récidive en contrôlant parfaitement. À chaque fois juste assez pour m'offrir une lampée. << Tu aimes ? >> me demande t-elle en se masturbant. Je ne dis rien. J'ouvre les yeux pour voir qu'elles se font des clins d'œil, des grimaces. Les coquines. En tous cas cela excite beaucoup Estelle.

Je cesse pour demander : << Tu te lances dans des imitations de Clémentine où tu as trouvé une nouvelle façon de t'éclater ? >>. Son corps secoué de spasmes qu'elle ne contrôle plus, dans un cri elle répond : << Attention ! Ça me rend folle ! >>. Je me retire. C'est Clémentine qui tient la cuvette pour l'orienter. Estelle se masturbe en pissant. Ce sont des jets fins. Rien de comparable avec le "Niagara" de Clémentine. << Put-hein c'est trop bon ! >> s'exclame t-elle en cessant. Nous rions. Elle ne cesse de stimuler son clitoris. Je veux passer à Clémentine quand elle pousse un second cri. La coquine s'offre un véritable orgasme. Elle se couche sur le côté, les mains entre ses cuisses, comme en proie à une intense douleur. Je me redresse. Je la saisis par ses cheveux. Elle est surprise, étonnée, ouvre de grands yeux. Elle serre ses lèvres pour m'empêcher d'enfoncer ma bite dans sa bouche. Elle devra nous laisser pour 22 h. Je la lui frotte sur le visage.

Bonne nouille à toutes les coquines qui vont en savourer le jus sous la couette, après avoir été pénétrées un peu. Avant de plonger dans un dodo réparateur...

Julien (qui égoutte sa nouille)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Thursday 11 January 2024 07:39

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 45 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2490 -



La galette des rois avec Juliette

Il est presque sept heures, hier matin, mercredi. Le mercredi Clémentine est à ses cours mais depuis la maison. Nous pouvons rester une heure supplémentaire à dormir. En gémissant d'aise, elle vient se blottir contre moi. Passant une cuisse sous mes fesses, l'autre posée sur mon érection naturelle, elle imprime un léger mouvement masturbatoire contre ma hanche. << C'était bon avant de dormir ! >> murmure t-elle à mon oreille. L'impérieux besoin met un terme à nos câlins, à nos bisous et à nos papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Il fait bien chaud partout dans la maison car les radiateurs fonctionnent depuis plus d'une heure. Nous mettons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge dans la salle de bain. J'aime quand Clémentine est facétieuse. Déconneuse.

Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Même s'il y fait bien chaud j'allume la cuisinière à bois pendant que Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis en me racontant ses rêves. Je suis plié de rire quand elle imite l'accent Corse de Juliette. J'attrape les quatre premières tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée en compagnie d'Estelle. Ce nouveau fantasme qu'elle met en application. Lâcher de toutes petits giclées de pisse, juste au moment où je colle ma bouche sur son sexe. << Elle apprend à contrôler tu crois ? >> demande Clémentine. Je réponds : << Oh mais elle doit bien t'en parler au restaurant universitaire à midi cette coquine ! >>. Nous en rigolons comme des bossus.

Nous mangeons de bon appétit en choisissant l'option du repas de ce soir. Juliette viendra manger à la maison pour dix neuf heures trente. Elle emmènera la galette des rois. Il est sept heures trente. Nous remontons nous offrir le second plaisir de cette nouvelle journée. Les échauffements aérobics, le jogging sur tapis roulants, les exercices au sol. Les charges additionnelles avant les étirements du stretching qui permettent un parfait retour au calme. Et c'est un autre plaisir de pouvoir réaliser tout cela en prenant tout notre temps. La douche. Habillés de nos Levis, de nos chemises à carreaux d'épais coton, nous dévalons les escaliers. Nous descendons à la cave, dans le cellier afin de récupérer une pâte feuilletée dans le congélateur et le gros choux fleurs qui sera préparé en tarte.

Nous ouvrons le portail depuis l'interphone du hall d'entrée. Nous voilà dans l'atelier. J'allume une belle flambée dans la cheminée. Clémentine, assise devant son ordinateur, en chantonnant, ouvre un classeur, prépare des feuilles de Bristol. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. Je termine probablement cette cinquième œuvre de commande pour midi. C'est tellement agréable d'être ensemble. << Sors ta bite, il va être l'heure ! >> lance soudain Clémentine qui se lève pour me rejoindre. Plongé dans ma passion, j'avais oublié la livraison de la matinée. Il va être dix heures. Je me lève. Clémentine s'accroupit pour extraire le Zob de ma braguette béante. Je bande mou. Aussi, pour m'offrir une de ces splendides érections, elle m'embrasse avec fougue.

Elle m'entraîne par la queue. Nous quittons l'atelier pour aller vers le hall d'entrée. À l'instant précis où les vibrations de mon I-phone le font bouger dans la poche de ma blouse ouverte. Clémentine me lâche la bite pour s'en saisir. << Danièle ! Elle arrive ! >> dit Clémentine. La camionnette blanche se confond avec la neige qui recouvre tout. Danièle traverse le jardin d'un pas rapide avec un grand sac de papier kraft. Nous l'accueillons sur le perron pour la faire entrer. Avec les moins deux degrés qu'il fait dehors, la jeune femme est contente de se retrouver au chaud. Nous nous touchons les poings. En me faisant un clin d'œil elle touche mon érection de son poing. Nous l'invitons à nous suivre à la cuisine. Il reste du café. Pendant que je mets les escalopes de dindes dans le haut du réfrigérateur ainsi que le poulet, Clémentine sert le café. << Je le préfère réchauffé ! >> précise Danièle, debout devant la table. J'ai débandé. C'est mollasse.

J'agite ma queue pour la faire tournoyer. << Dommage que je n'ai que quelques minutes ! >> lance la jeune femme en retirant son bonnet de laine. Ses cheveux auburns, coupés courts, ses petites tâches de rousseurs, ses yeux noisettes clairs. Elle est belle. De ces beautés discrètes mais qu'il faut découvrir dans la durée. Nous la raccompagnons jusqu'à la porte car elle a d'autres livraisons. << Et le mercredi les gosses n'ont pas école ! >> précise t-elle. << Essayez de trouver une petite heure et passez nous voir ! >> propose Clémentine. En regardant ma queue à nouveau raide, Danièle répond : << Je m'y applique depuis quelques semaines. Mais je finirai par trouver le bon créneau ! >>. Danièle se sauve. Nous retournons dans l'atelier. Clémentine me donne ses impressions.

Il est presque midi quand je pose la dernière touche de blanc de titane sur la surface de la toile achevée. Clémentine met deux bûches sur les braises. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les deux bouchées à la reine. Clémentine fait l'assaisonnement du concombre. Je mets les assiettes, les couverts. La pâte feuilletée totalement décongelée est à température. Je l'étale dans le grand plat à tarte. Je coupe les branches du choux fleurs pour les laisser tremper le temps du repas dans l'eau vinaigrée. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la présence et les attitudes de Danièle. << Tu peux être sûr qu'elle te suce avant les vacances de février ! >> pronostique Clémentine qui se trompe rarement. Elle rajoute : << Elle va trouver le bon créneau horaire ! >>

Clémentine ébouillante le choux fleurs rincé dans l'auto cuiseur. Je râpe une grosse quantité de ce délicieux gruyère Suisse. Je prépare le liant. De l'œuf, de la crème fraîche, du lait de soja et du fromage blanc. Clémentine égoutte le choux fleurs. Nous le dispersons sur la pâte feuilletée. Grosse couche. Clémentine verse le flan. Je recouvre de gruyère. Graines de sésame grillé, chapelure. Cerneaux de noix. Au four électrique pour laisser mijoter à 160°. Je lave deux belles endives. Ce sera la salade en accompagnement. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous dévalons les escaliers pour retourner immédiatement dans l'atelier. Je commence cet après-midi la sixième et dernière scène de genre à trois personnages. Une toile de commande. Clémentine devant son ordinateur.

<< Put-hein viens voir. Il y a le même guignol qui met des commentaires stupides au bas des récits "Le trou" ! >>. Je rejoins Clémentine pour découvrir une véritable grosse merde illisible, ridicule. << Encore un mariole qui se croit drôle et qui veut faire son malin ! >> dit elle avant de rajouter : << J'alerte immédiatement la modération pour faire supprimer cette logorrhée ! >>. Nous rions de bon cœur. << Heureusement que tu précises au bas de chaque récit que les commentaires sont inutiles, qu'ils ne rajoutent strictement rien et qu'il est préférable de nous faire un message privé ! Ça permet aux "charlots" de se faire remarquer ! >> conclue t-elle. L'après-midi se déroule dans cette agréable émulation. Nous adorons travailler tous les deux ensemble. Tout nous paraît meilleur. << Ça y est. La modération a supprimé la déjection canine au bas du réverbère ! >> lance Clémentine. Je la rejoins. Effectivement l'efficace modération de BobVoyeur a supprimé cette vraie sous merde.

Je nettoie la palette, les pinceaux car il est déjà dix sept heures. Clémentine me rejoint au petit lavabo de l'atelier où je me lave les mains. Elle me tient la bite pour en diriger les jets. Nous sommes confortablement installés dans le vieux canapé de velours carmin, près de la cheminée ou crépite le feu. Couchée sur le dos, sa tête sur ma cuisse, Clémentine lit quelques pages nécessaires à ses études. Parfois elle lit à voix haute pour faire un commentaire amusant. Je caresse ses cheveux. Je savoure ce merveilleux moment de calme et de plénitude. Ma bite toute molle et moite qui colle contre sa joue. Elle referme le livre, ferme les yeux en disant : << Empêche-moi de m'endormir ! >>. Je passe le bout de mes doigts sur ses sourcils. Sur son front. Le contour de ses lèvres. Ses joues.

Il n'y a que la lueur des braises rougeoyantes. Les derniers crépitements. Clémentine change de position. Couchée sur le côté, pour suçoter mon sexe mou. Elle mâchouille la peau fripée de mon prépuce. Elle cesse pour me parler de Danièle. De Juliette qui ne va pas tarder. << Tu seras bien salaud avec elle ce soir. J'aimerais du spectacle ! J'adore la voir jouer les offusquées ! >> murmure t-elle entre deux pompages. Je commence à bander et la position devient pénible avec ma bite tordue que je suis obligé de contraindre vers le bas, dans la bouche de Clémentine toujours allongée sur le côté. Elle se met en appui sur le coude pour être plus à l'aise. Ce qui soulage la contrainte devenant douloureuse à la base de mon érection. Clémentine se redresse pour me montrer sa bouche.

Pleine de ce foutre épais et visqueux qu'elle adore laisser se mélanger longuement à sa salive avant d'avaler. Elle me fait un clin d'œil, mime une branlette, puis une pipe, fait une horrible grimace et, d'un mouvement de tête, déglutit d'un coup. << Wouah ! Thank you ! >> lance t-elle en se levant d'un bond. Elle m'entraîne par la queue. Nous quittons l'atelier pour rencontrer Juliette qui arrive. Elle vient d'enlever son anorak dans le hall d'entrée. Quelle n'est pas sa joie de nous revoir depuis plus de trois semaines. Nous nous faisons la bise. C'est extrêmement rare mais elle saisit mon chibre en disant : << Vous m'avez manqué tous les trois ! >>. Nous rions aux éclats car le "trois" est dans sa main. Juliette a déposé la galette sur la table de la cuisine. Feuilletée et très appétissante.

Il suffit de réchauffer la tarte aux choux fleurs. Clémentine fait l'assaisonnement des endives. J'aide Juliette à mettre les assiettes les couverts. Nous mangeons de bon appétit en nous racontant nos vacances. Clémentine propose de prendre le dessert au salon. La vaisselle. Clémentine et moi, vautrés dans le canapé. Juliette installée dans le fauteuil qui nous fait face. Elle coupe quatre parts égales de la galette. En étant attentive pour ne pas trouver la fève. << Celui ou celle qui la trouve a droit à une exigence particulière ! >> dit Juliette d'un air malicieux. << Sauf la baise ! >> rajoute Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Nous savourons cette délicieuse galette à la frangipane. Juliette ne cesse de regarder ma bite qui pend mollement. Une coulure de foutre qui la relie au tissu du jeans.

C'est moi qui trouve la fève. Je la suçote pour la débarrasser de sa crème d'amande. Je la montre fièrement. C'est un petit personnage de style Harry Potter. << Vos exigences maintenant que vous êtes le "roi" ! >> demande Juliette en se levant pour déposer sur ma tête la couronne de papier doré. C'est Clémentine, saisissant ma queue, qui répond : << La pipe ! >>. Juliette ouvre de grands yeux. Elle devra nous laisser pour 22 h. Il reste une heure trente. Juliette nous regarde. Clémentine, puis moi, puis à nouveau Clémentine. Comme si elle n'était pas réellement certaine d'avoir bien entendu. << Une bonne pipe ! >> répète Clémentine en lui faisant signe de contourner la table basse pour nous rejoindre. Elle pose un des épais coussins au sol. Je me sens soudain très con avec ma couronne sur la tête. Juliette ne se fait pas prier. Elle vient s'agenouiller entre mes pieds, entre mes jambes, ses mains posées à plat sur mes cuisses. Amusée.

Je commence à bander sévère. Juliette hume les odeurs de ma journée d'homme en murmurant : << J'adore quand ça sent fort ! >>. Elle gobe subitement mon chibre sans le décalotter. Avec la pipe de Clémentine, il y a deux heures, dans l'atelier, mes couilles délivrent immédiatement du liquide séminal. Nous regardons Juliette pomper passionnément. Le bruit bulleux d'une fellation de haut rang. Les gargouillis d'une pipe de haute qualité. Toutes les deux trois minutes Juliette cesse pour tenter d'avaler avec difficulté. Ce n'est pas la première fois qu'elle me suce mais la densité de mon foutre l'étonne toujours. Clémentine, penchée, son visage tout près de celui de Juliette, observe cette pipe avec l'attention d'une entomologiste. En se touchant. Parfois elle se redresse pour m'embrasser.

Quand elle fouille ainsi ma bouche de sa langue, j'éprouve de grandes difficultés à me concentrer. Les sussions qu'exerce Juliette sur ma virilité trempée et juteuse me mettent à très rude épreuve. Clémentine cesse, se penche. Observe à nouveau. Se redresse, m'embrasse encore. J'explose littéralement dans la bouche de Juliette. Une telle quantité qu'il en gicle de sa bouche. Et partout. Elle tousse. Manque de s'étouffer. Ses doigts crispés sur mes cuisses me font mal. Elle pousse un râle profond de baryton d'opéra. De la jute coule de sa narine droite. Je l'attrape par ses cheveux pour la forcer à garder mon sexe en bouche. Pour pouvoir avaler, reprendre sa respiration, elle tente avec force de se soustraire à mon étreinte. Je la lâche enfin. Elle est en larme, du foutre sur tout le bas de son visage, sur le haut de son pull à col roulé. Elle se redresse comme de peur que je ne l'attrape à nouveau. Elle essuie son visage avec un mouchoir.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment se faire bouffer le minou par un "roi" sous la couette en chuchotant leurs impressions. Avant un bon dodo...

Julien ("roi" juteur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Friday 12 January 2024 07:43

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 46 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2491 -



Les expérimentations pisseuses d'Estelle

Les illusions bluffantes nous réveillent un peu avant six heures, hier matin, jeudi. Cette impression bucolique et printanière de sortir du sommeil au plus plus profond d'une forêt féérique. Magique. En gémissant, se lovant contre moi, Clémentine saisit ma tumescence en murmurant : << Tu as été bien salaud avec Juliette. Bien fait pour elle. J'adore ! >>. Nous rions de bon cœur non seulement à cause de cette affirmation mais par la difficulté qu'a Clémentine à la prononcer sans trébucher sur les mots. Quelques bisous, quelques papouilles. Il faut se lever. Nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain il ne fait encore que 16° comme partout dans la maison. Les radiateurs ne fonctionnent que depuis dix minutes. Nous nous habillons très rapidement de nos vêtements de sports.

Morts de faim nous dévalons les escaliers. J'allume la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Une fois encore, dans une parfaite imitation de l'accent Corse de Juliette, Clémentine me raconte ses rêves. Nous prenons notre petit déjeuner dans une sorte d'euphorie. Clémentine revient sur la pipe prodiguée par Juliette. C'est moi qui ai trouvé la fève. C'est coiffé de ma couronne de papier doré que je me suis fais tailler une pipe bien vicelarde par notre amie intime. Nous mangeons de bon appétit en évaluant les conséquences de cet acte. Juliette étant amoureuse de moi, prête à toutes les extrémités pour en témoigner, elle saura me présenter la "facture". N'en doutons pas ! Cette probabilité nous amuse. Il va être six heures vingt cinq. Nous remontons en vitesse.

Notre salle d'entraînement n'étant pas chauffée, il faut redoubler de vitalité pour rendre cette séance agréable. Les échauffements aérobics. Le jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol avant les charges additionnelles. Quand il fait froid il est préférable de rester chaud en manipulant barres et haltères plutôt que de pratiquer les machines. Le stretching bâclé permet les étirements nécessaires pour un bon retour au calme. La douche. Je redescends le premier pour aller préparer la voiture. Presque 7 h45. Le jour commence à se lever dans un froid polaire. Le thermomètre extérieur indique moins cinq degrés. Tout est recouvert d'une couche de neige gelée. Clémentine vient me rejoindre dans sa panoplie d'esquimau. Le bout du nez déjà tout froid sous sa capuche à fourrure. Son bonnet.

Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Je m'empresse de rentrer au chaud. Maudit hiver qui ne fait que commencer. Je fais la vaisselle, le lit, avant de passer dans l'atelier. J'y allume un beau feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. C'est la sixième et dernière scène de genre à trois personnages. J'aurai honoré toutes les commandes de l'été dernier. De l'année dernière. Je peins habité de cette légère euphorie en pensant aux propos de Clémentine quand aux sentiments de Juliette. C'est certain que si je ne vivais pas avec Clémentine, c'est Juliette qui vivrait ici. Cette certitude m'émeut et me donne un lointain et diffus sentiment de culpabilité. La matinée passe ainsi, dans l'introspection et la peinture. Je mets deux bûches sur les braises.

Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe la dernière part de la tarte au choux fleurs. L'assaisonnement d'une belle laitue dont je lave les feuilles également pour ce soir. J'épluche et je lave de grosses pommes de terre. J'émince trois escalopes de dinde. Je coupe les patates en morceaux grossiers. Je les ébouillante dans l'auto cuiseur. Je fais rissoler la viande avec ail, oignons, champignons. J'y rajoute persil, ciboulette. Je passe les pommes de terre au presse purée. J'y rajoute crème fraîche et lait de soja. J'étale une première couche au fond du grand plat carré en terre cuite. J'y rajoute de la poêlée que je recouvre de fines lamelles de Morbier. Une seconde couche de purée, une seconde couche de garniture, de Morbier jusqu'à en déposer cinq jusqu'au ras bord du plat. Parfait.

Je recouvre de gruyère. Je saupoudre de graines de sésame grillé. De chapelure. Je dispose des cerneaux de noix pour faire trois carrés l'un dans l'autre. Au four électrique pour laisser mijoter longuement à 160°. Je mange ma tarte au choux fleurs avec appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff revient sur les milliards de doses de vaccins, payés avec nos impôts, qui sont actuellement détruites par palettes entières car hors d'usage. Ursula Von Der Leyen ayant par un tour de passe passe enrichis à milliards les dirigeants des laboratoires pharmaceutiques, refuse de venir s'expliquer devant la commission Européenne. Une monarque, non élue, mafieuse corrompue qui se comporte dans tous les domaines exactement de la même façon. Chacun comprendra sans être traité de "complotiste" à quel genre de dangereux psychopathes nous confions les responsabilités de nos existences ! Et des nations européennes...

La vaisselle. Je remonte me laver les dents. Pressé d'aller me dégourdir un peu les guibolles je redescends pour mettre mon anorak, mon bonnet, mes gants, chausser mes bottes en caoutchouc. La température reste sous glace avec seulement moins deux degrés. C'est comme si je descendais jusqu'à la rivière en marchant sur la banquise. La neige gelée craque sous mes pas. Le ciel est bleu. Le soleil y règne en maître. Je déteste cette ambiance. Rien ne m'insupporte davantage que le froid et la neige sous le soleil. Il est treize heures quarante cinq quand je suis installé devant mon chevalet. Je peins dans la plus totale sérénité. Je garde à l'esprit que le repas de ce soir sera encore une bien belle surprise pour mes deux anges. L'après-midi passe d'ailleurs tout aussi vite que la matinée.

Dix sept heures trente. J'entends du bruit. Clémentine rentre de cours. Je l'entends chanter avant même que ne s'ouvre la porte de l'atelier. C'est en sautillant qu'elle se précipite vers moi en jetant son cartable dans le fauteuil. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le repas de midi au restaurant universitaire. << Estelle me prie de bien t'allumer pour ce soir. Son parrain n'est pas venue la niquer mercredi soir ! >> dit elle. Nous en rions aux éclats. Clémentine a encore du travail. Elle ne s'attarde pas. Assise devant son ordinateur, en évoquant les conditions de circulation, elle met ses notes au propre. Cette petite heure nous fait un bien fou jusqu'à ce qu'elle se lève pour ranger ses affaires en s'écriant : << Là, j'arrête, ras le bol ! >>

Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine me rejoint devant le petit lavabo de l'atelier. Notre rituel parmi d'autres. Pendant que je me lave les mains, elle me tient la bite pour en diriger les jets. << Pipo dans le lavabi ! >> comme le dit souvent Estelle qui ne va pas tarder. Après qu'elle se soit régalée de mes derniers épanchements, je promène Clémentine dans toute la grande pièce. Accrochée à mon cou, ses jambes autour de ma taille, mitraillant mon visage de bisous. Estelle arrive toujours silencieusement. Prête à nous surprendre. Seule la lueur des dernières flammes éclaire cette partie de la grande pièce. Elle entre soudain, se précipite vers nous. Je dépose Clémentine pour soulever Estelle qui dit : << Je suis triste Julien, j'étais toute seule tout mon mercredi soir tu sais ! >>

Je corrige : << Non, il y avait ton papa et ta maman ! >>. Elle se met à rire alors que je la repose au sol. Je tiens les filles par la taille. Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche. Nous admirons les flammes qui s'éteignent sur les braises rougeoyantes. << On te montre des trucs sur l'ordi ce week-end. On est entrain de bosser sur l'intelligence artificielle et ses applications ! >> lance Estelle. << C'est génial ! >> rajoute Clémentine. Estelle se tourne pour se serrer contre moi en disant : << Merci Julien pour mon nouvel ordinateur. Tu n'imagines pas à quel point ce cadeau a été nécessaire ! >>. J'ai la bite toute molle qui frotte contre le tissu rêche de son 501. Clémentine passe derrière moi, ses bras autour de ma taille. Me voilà telle une tranche de jambon dans un sandwich.

La faim commence à faire gargouiller nos estomacs. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand mes anges découvrent la purée "Parmentier" que je sors du four électrique pour la mettre dans la fournaise du four à bois, j'ai droit à des effusions de tendresse qui risquent de me faire chanceler. Elles en rient toutes les deux. Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue déjà lavée. J'aide Estelle à mettre les assiettes, les couverts. Elle se montre très câline ce soir encore en me faisant plein de bises dans le cou, sur la bouche. Par mesure de sécurité, quand j'officie aux fourneaux, ma bite est remballée. Ce qui n'empêche nullement Estelle de fourrer sa main dans ma braguette. Il faut bien surveiller car il n'y a pas de sonnerie qui équipe le four d'une cuisinière à bois. Estelle sort le plat.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le planning de nos activités du week-end à venir. Des randonnées sont au programme. Les conditions climatiques idéales pour aller marcher quelques heures dans les paysages de l'hiver. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges parlent de leurs études. L'intelligence artificielle semble les passionner. << En fait, il n'existe pas d'intelligence artificielle. Il faut une intervention et surtout une intelligence humaine pour piloter les logiciels ! >> précise Clémentine. << Rien ne se fait tout seul. Aucun système ne se génère en lui-même ! >> rajoute Estelle. Je les écoute disserter sur leurs découvertes, c'est passionnant. << Et si on baisait un peu ce soir ? >> dit brusquement Estelle. C'est tellement incongru et si soudain. Un silence. Nous nous regardons.

Nous éclatons de rire. La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Sans se concerter, comme un numéro parfaitement réglé, toutes les deux retirent leurs bottes à fourrure, leurs Jeans, leurs culottes pour ne rester qu'en grosses chaussettes et pulls. Je dispose deux coussins sur le bureau. Pauvre bureau. Il va encore en subir des assauts ce soir ! Je sors ma bite. Je bande mou. Mes deux anges se touchent en m'observant. Avec le plus grand sérieux avant de rire aux éclats. "L'hélicoptère" provoque souvent l'hilarité. Je fais tournoyer mon Zob jusqu'à ce qu'il devienne dur et rende le mouvement de rotation impossible. Estelle se précipite soudain pour saisir la cuvette en plastique bleu toujours posée sous le guéridon, à côté du canapé. Seule la lueur des grosses bougies éclaire.

Estelle pose la cuvette au sol. Clémentine, elle-même surprise, vient me rejoindre. Une main entre ses cuisses, l'autre me tenant la bite, elle se serre contre moi. Nous regardons ce que s'apprête encore à faire Estelle. Les pieds écartés, bien droite, les mains posées sur ses hanches elle nous regarde avec le plus grand sérieux. À son attitude nous comprenons toutefois très vite qu'elle se concentre. Soudain, un filet doré s'échappe de son entrejambes. Il luit étrangement à la lueur des bougies. Rapidement le bruit que font les multiples jet venant se briser dans la pisse déjà tombée dans la cuvette résonne dans la grande pièce. La scène dure quelques minutes. Estelle, contrairement à Clémentine, contrôle parfaitement ses jets. Pas une goutte à côté. Elle se cambre toutefois de plus en plus sur ses genoux fléchis pour que ça ne gicle pas hors du récipient. Je suggère à Clémentine de pisser elle aussi afin que l'orgasme que je lui réserve ne soit pas le tourment habituel.

Accroupie au-dessus de la cuvette, elle pisse à son tour jusqu'à remplir le récipient. C'est Estelle qui est contre moi, en se touchant, pour admirer le spectacle. Clémentine est obligée d'essuyer l'intérieur de ses cuisses car il y a les dernières gouttes anarchiques. << Je n'arriverai jamais à pisser proprement ! >> lance t-elle entre deux soupirs. Déjà considérablement excitée car elle n'a pas cessé de se masturber en pissant. Toutes les deux, assises sur le bureau, pieds écartés et posés sur le bord, se masturbent en me regardant me branler. Nous adorons ces moments d'exhibitionnisme et de voyeurisme. << Viens ! >> finie par crier Estelle. J'accours. Je frotte mon sexe contre le sien alors qu'elle le saisit pour se l'enfiler. D'un coup de reins elle se l'enfonce complètement en poussant un râle.

Les têtes posées sur les coussins, toutes les deux, sans cesser de se masturber, se font pénétrer par mes soins. Je baise Estelle à la hussarde. Comme elle aime. Comme elle l'exige ce soir encore. Heureusement lorsque je suis dans Clémentine, immobile, je peux récupérer un peu, soulager mes lombaires. Je suis debout, passant de l'une à l'autre. Quand je me retire je me penche toujours pour sucer le clitoris de celle que j'abandonne. Dans un concerto de gémissements, de petits cris d'animal blessé, dans de profonds râles. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Je lui offre un orgasme cataclysmique. Couchée sur le côté, les mains entre ses cuisses, reprenant son souffle et ses esprits, elle nous regarde alors que j'offre son orgasme tellurique à Clémentine. Heureusement qu'elle a pissé avant. Nous n'avons pas pensé à vider la cuvette ! J'adore me bouffer encore un peu de la chatte après la baise. Estelle en tremble. Clémentine en a des frissons.

Bonne nouille à toutes les coquines qui raffolent d'en savourer les jus sous les draps avant un bon dodo dans les bras de leur bienfaiteur...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Saturday 13 January 2024 07:29

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
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Le vendredi Clémentine termine à midi

C'est souvent dans une certaine euphorie que se réveille Clémentine le vendredi matin. Ce qui est encore le cas hier, aux premiers gazouillis d'oiseaux. L'illusion de sortir du sommeil au plus profond d'une mystérieuse forêt. Ce n'est qu'une application. Mais tellement convaincante. Il est presque six heures. C'est en gémissant qu'elle se serre contre moi en murmurant d'incompréhensibles bégaiements. Trébuchant sur des mots inintelligibles, elle éclate de rire en arrivant enfin à dire : << Tant pis, j'essaie à la cuisine ! >>. Quelques bisous, quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain nous mettons nos habits sports. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Pendant que Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis, j'allume la cuisinière à bois.

Nous prenons notre petit déjeuner en riant de l'imitation de Clémentine pour me raconter ses rêves. L'accent Corse de Juliette. Nous mangeons de bon appétit en organisant le planning de notre après-midi. Il faudra aller en ville récupérer nos commandes. << C'est génial. On se fait très élégants tous les deux, tu veux ? >> propose t-elle. Je trouve la suggestion parfaite. Il va être six heures vingt cinq. Nous remontons pour nous livrer corps et âmes à l'entraînement. Les nécessaires échauffements aérobics car notre salle d'entraînement n'est pas chauffée. Jogging sur tapis roulants où Clémentine adore faire la clown. Sans jamais tomber. Les exercices au sol, parfaits préludes aux charges additionnelles. Le stretching et son retour au calme avant la douche. Dans la plus totale déconnade.

Je redescends le premier pour faire chauffer la voiture. Le thermomètre extérieur indique moins cinq degrés. Presque 7 h45. Le jour commence à se lever. Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak. Bonnet, gants. C'est en sautillant qu'elle me fait le dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou et je m'empresse de retourner au chaud. La vaisselle. Notre lit. Une fois dans l'atelier j'allume la flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. C'est dans l'euphorie laissée par Clémentine que j'attaque la peinture de ma sixième et dernière scène de genre de commande. Je peins en riant des facéties matinales de la fille que j'aime. La matinée passe encore hors de la moindre perception des heures qui défilent.

Presque midi. Je le sais à la faim qui commence à me tenailler. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à réchauffer le reste de la purée "Parmentier" pendant que je fais l'assaisonnement d'une salade de tomates. Midi trente. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou en s'écriant : << Ensemble jusqu'à lundi ! >>. Je la soulève. Accrochée à moi, ses jambes autour de ma taille, je l'emmène aux toilettes. Rituel pipi et lavage des mains. Nous mangeons de bon appétit. C'est toujours tellement meilleur quand c'est réchauffé. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mes épaules, Clémentine me raconte sa matinée. La circulation. Sa conduite prudente. L'amphi de la fac mal chauffé.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Notre chambre à coucher n'est pas chauffée. Une volonté délibérée qui permet de mieux dormir. C'est plus pénible au levé mais comme le dit Clémentine : << Au moins, ça réveille ! >>. Nous récupérons les vêtements qu'elle choisit pour les ramener au chaud dans la salle de bain. Juste en chaussettes et en slips, nous nous embrassons. Le contact de nos épidermes est toujours aphrodisiaque. Il y a des peaux compatibles, d'autres qui ne le sont pas. Les nôtres semblent avoir été faites l'une pour l'autre. Nos corps s'imbriquent comme les pièces d'un même puzzle. Clémentine colle son bas ventre contre le mien. Comme un courant électrique passe. Nous nous embrassons passionnément. Un grosse bosse déforme mon slip. Je me frotte.

Je murmure : << J'ai envie de venir en toi ! >>. Clémentine dans un souffle répond : << Oh oui, viens ! >>. Nous retirons les slips. Je soulève Clémentine pour l'assoir sur la table blanche. << C'est un peu froid ! >> s'écrie t-elle. J'y mets d'abord une grande serviette de bain pliée en quatre avant de l'y installer à nouveau. Je mets une seconde serviette derrière elle. En appui sur ses coudes elle a ce regard suggestif, par en-dessous, qui me fait bander comme le dernier des salauds. Je frotte mon sexe sur le sien. Elle se masturbe. Je cesse. Je me penche pour lécher son sexe. Fouiller les plis et les replis des lèvres charnues de sa vulve. Je suce son clitoris géant. En gémissant de plaisir elle se laisse aller sur le dos. La tête posée sur la seconde serviette. Je me redresse. Son goût en bouche.

Je m'introduis avec d'infinies précautions. Je reste immobile. Clémentine se redresse. Nous nous fixons. Par petites contractions des muscles fessiers nous faisons bouger nos sexes. Puis, quand Clémentine s'allonge à nouveau, je la berce doucement d'un mouvement lent et régulier. J'arrête. Je recommence. J'arrête encore. Ce sont des moments d'intenses plaisirs. Ceux où Clémentine me révèle ses secrets de fille. Je révèle les miens : << J'aimerais te voir sucer un mec ! >>. Quand elle se met à rire alors que je suis en elle, les secousses envahissent tout mon corps. Le rire me gagne alors aussi. << C'est bien quand le week-end commence comme ça. On devrait tous les commencer de cette manière ! >> dit elle . J'imagine qu'elle dit cela pour éluder mon affirmation. Je me trompe.

<< Moi aussi, j'ai envie de me sucer une bite. Je crois bien que dès les premiers beaux jours, je t'emmènerai à la "chasse" ! >>. Nous en rions de bon cœur. Elle rajoute : << Et puis il y a monsieur Bertrand. Je n'ai qu'à mettre un chiffon jaune à la fenêtre de la salle de bain ! >>. C'est le code établit. Depuis sa propriété, à un peu plus de trois cent mètres, notre voisin ne manquerait pas de l'apercevoir. De se manifester. << Mais là il fait trop froid ! >> conclue Clémentine. Je me retire lentement. Nous adorons rester excités pour le reste de la journée. Je lèche son intimité pour récupérer son jus de fille. Accroupie, elle me suce pour récupérer nos mélanges. En se regardant dans le grand miroir ovale. Je l'aide à se relever. Nous avons tous deux en bouche le goût de nos intimités. Sublime.

Vêtus de la même élégante façon. Pantalons noirs à plis et à pinces. Bottines noires. Chemises blanches sous nos pulls noirs aux cols en "V". Nous prenons des poses devant le miroir. << J'ai parfois l'impression de te sentir encore en moi ! >> murmure Clémentine en se touchant. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Devant le grand miroir de la penderie, dans le hall d'entrée, nous reprenons nos poses. Avec nos manteaux noirs, nos chapeaux feutres noirs. Nous sommes d'une élégance folle. Une écharpe crème est le seul élément de couleur. Il faut à présent affronter le froid polaire. Il est presque quinze heures et la température, toujours sous glace, n'est que de moins deux degrés. Je roule doucement. Clémentine palpe l'énorme bosse qui déforme ma braguette fermée.

Il y a vingt cinq kilomètres jusqu'à la ruelle où nous garons l'auto. Nous marchons d'un bon pas. Une dizaine de minutes jusqu'aux premières rues piétonnes. Le ciel bleu depuis ce matin. Le soleil y règne en maître. Nous détestons tous deux cette ambiance. Le soleil, le bleu du ciel, tout ça est incompatible avec le froid glacial. Nous ressentons le même dégoût pour cette météo. Clémentine reste accrochée à mon bras. Nos hautes tailles, notre élégance, attirent encore bien des regards. Cette sublime jeune fille au bras d'un homme qui pourrait être son père. Avant de nous rendre dans la boutique, nous faisons notre petit tour à la FNAC. Il y a du monde un peu partout malgré le froid. C'est dans le rayon des livres de poches que Clémentine me montre discrètement le quidam solitaire.

Un jeune homme, la trentaine, élégant, qui feuillette des bouquins. Je reste à l'écart pour assister à la manœuvre d'approche de Clémentine. Elle est debout devant le rayon alors que le jeune homme est accroupit devant les livres. J'assiste une fois encore à une scène d'anthologie. J'en ai pourtant connu une multitude avec Clémentine. Mais c'est à chaque fois comme une grande "première". Elle n'est pas à plus de deux mètres de l'inconnu, un livre à la main dont elle fait semblant de lire la quatrième de couverture. Son autre main posée à l'endroit de son sexe sur lequel elle appuie de façon répétée du bout de ses doigts. Son manteau n'est ouvert que ce qu'll faut. Aucune caméra de surveillance, aucun client ne pourrait saisir l'instant. Seul le jeune homme découvre cette situation.

Un esthète. Il sait en profiter. Un parfait gentleman qui n'entreprend rien. La préférence de Clémentine qui descend à présent sa main entre ses cuisses qu'elle resserrent l'une sur l'autre. Le quidam fait semblant de lire alors qu'il est totalement subjugué par ce qui lui arrive. Se sent-il l'élu ? Le privilégié ? Probablement un fin gourmet qui sait apprécier sans se précipiter sur le plat. Clémentine cesse le temps de saisir un autre ouvrage. Elle recommence. L'esthète est à présent à genoux devant le rayonnage du bas. Lui aussi tire un autre livre. Tout en louchant sur le comportement surréaliste de la sublime jeune fille debout à peine à un mètre. Elle s'est rapprochée. Je bande comme le dernier des salauds en faisant mine de feuilleter mon bouquin. Je pourrais me branler tellement c'est bon.

La situation dure une bonne dizaine de minutes. Clémentine se touche. Discrète mais démonstrative. Je sais qu'elle ne triche pas. Elle se masturbe véritablement. Une jeune fille arrive. Probablement la compagne du jeune homme. Elle tient des livres, ne se doutant de rien. Clémentine vient me rejoindre. Quand le couple quitte le rayon, le jeune homme découvre que la masturbatrice est accrochée à mon bras. Je fais celui qui ne se doute de rien. La cause est entendue. << Put-hein c'était génial ! Il m'en faut un autre ! >> murmure Clémentine en glissant sa main entre les pans de mon manteau ouvert. Discrètement, se mettant devant moi pour découvrir et palper l'énorme bosse qui déforme mon pantalon. Elle me fait un bisou en disant : << J'aime quand ça te fait bander ! >>

Nous quittons la grande librairie pour flâner un peu dans la partie Darty. Hélas, il n'y a aucune autre "victime potentielle". Nous marchons dans les rues piétonnes en restant bien serrés. Voilà la boutique. La jeune vendeuse nous reconnaît. << Votre commande est arrivée jeudi ! >> précise t-elle. Nous attendons qu'elle revienne avec les trois grandes boîtes à chaussures. Elle en ouvre une. Nos mocassins sont magnifiques. Noirs, satinés, le dessus blanc. Une boucle de cuir fin pour seule décoration. << Wouah, superbes ! >> s'exclame Clémentine. Il y a celles d'Estelle, celles de Clémentine, les miennes. C'est en portant d'encombrants grands sachets que nous retournons immédiatement à la voiture. Je propose un bon restaurant pour conclure cet après-midi. Il fait déjà nuit.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui adorent découvrir les cabinets des toilettes hommes des restaurants avec leur coquin. Goûter sa bite entre le fromage et le dessert. Y retourner avant le café et l'addition...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Sunday 14 January 2024 10:52

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 48 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2493 -



Les samedis matins coquins

Il est sept heures, hier matin, samedi. Nous nous réveillons quasiment en même temps. Le samedi c'est une heure de sommeil en plus. Nous pouvons prendre tout notre temps. Même si l'impérieuse envie de pisser s'invite dans nos effusions de tendresse. Nous nous étirons en modulant nos gémissements jusqu'à l'absurde. Des bisous, des câlins, des papouilles avant de nous précipiter aux toilettes. Il fait déjà bien chaud partout dans la maison. Sauf dans la chambre à coucher et dans la salle d'entraînement. C'est à la salle de bain que nous enfilons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans le hall d'entrée. Nous y ouvrons le portail depuis l'interphone. Dans la cuisine Clémentine fait le café, j'allume la cuisinière à bois.

Un bon feu qui rajoute chaleur et ambiance. Il faut presser les dernières oranges, les derniers kiwis. Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur notre vendredi après-midi en ville et notre soirée au restaurant. Nous mangeons de bon appétit en envisageant notre randonnée de cet après-midi. Qu'il est agréable de pouvoir traîner à table sans êtres pressés par un timing. Il est sept heures trente quand nous remontons pour le second plaisir de la journée. Une heure d'entraînement. Les échauffements aérobics. Le jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol. Tout cela parfaitement réalisé avant la manipulation des charges additionnelles. Suivie des étirements d'un stretching correctement effectué. La douche. Un peu plus de huit heures trente, nous entendons l'aspirateur.

Lise est arrivée et s'affaire déjà. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite je coiffe Clémentine. Assise devant le miroir, les épaules recouvertes d'une grande serviette, elle me raconte quelques amusantes anecdotes de sa semaine d'étudiante. << Tu me fais une belle natte ? >> dit elle à la fin de quelques phrases. Nous rions. Je divise ses cheveux à présent bien secs en trois longues mèches égales. Je les tresse à la perfection. Avec un miroir je lui montre l'arrière de sa tête. Cette longue natte noire qui pend jusqu'à plus bas que la moitié de son dos. Contente, satisfaite, c'est elle qui me sèche les cheveux, me coiffe. Nous revêtons nos Levis, nos épaisses chemises à carreaux. Nous redescendons avec les draps sales jusque dans la buanderie à la cave. La lessive.

Les draps dans la machine nous passons dans le cellier pour récupérer le paquet de moules, les sachets de haricots verts et de petits pois dans le congélateur. Clémentine se penche, déboutonne ma braguette en disant : << N'oublions pas le petit supplément qui fait toute la différence ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous remontons pour disposer les aliments congelés sur l'étagère de la hotte, au-dessus de la cuisinière à bois. L'endroit idéal pour laisser venir à température. En ressortant de la cuisine, nous rencontrons Lise. Nous nous saluons. Elle est toute contente de nous revoir. Vêtue de son survêtement gris, ses écouteurs sur les oreilles, le tuyau de l'aspirateur en main. Nous échangeons quelques mots. À deux fois je surprends son regard sur ma braguette béante. Le second est insistant.

Nous laissons Lise à ses travaux ménagers pour passer au Salon. Assise à califourchon sur mes cuisses, me tournant le dos, Clémentine allume l'ordinateur. Je n'ai qu'à soulever sa natte pour avoir accès à sa nuque. J'aime y poser mes lèvres comme une ventouse. En caressant ses seins minuscules au travers l'épais coton de sa chemise. Trois courriels. Celui de ma famille d'Édimbourg. Oncle Alan s'apprête à passer quelques jours dans le pôle gériatrique de l'hôpital. Cela lui fait du bien. Le message de Juliette qui est impatiente de nous revoir mercredi prochain. Elle nous rappelle que nous sommes conviés à passer dimanche au haras. Elle y organise une animation équestre. Le mail d'Estelle impatiente de nous retrouver en début d'après-midi. Clémentine répond. Je caresse ses seins.

J'adore sa nuque. La racine de ses cheveux, ces toutes petites mèches rebelles encore bien trop courtes pour être domptés par une tresse. Ça m'érotise. Dans la petite enveloppe jaune je glisse deux billets tous neufs récupérés vendredi après-midi dans un distributeur. Un billet de 50 euros, un billet de 20 euros. Il n'est que neuf heures quarante cinq. << C'est bien de ne pas êtres bousculés ! >> lance Clémentine en se levant pour changer de position. Toujours à califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou. Entre deux bisous elle me confie sa joie de partir en randonner cet après-midi. La météo s'y prête. La température extérieure est sous glace avec seulement moins trois degrés. C'est un froid sec. Le sol est gelé. Ce qui permet une marche agréable. Mais chaudement habillés.

Nos livraisons ne vont pas tarder. Nous quittons le salon pour le hall d'entrée. Dans le couloir nous retrouvons Lise portant le seau et le balai brosse. Un nouveau regard insistant sur ma braguette en me souriant lorsqu'elle me croise. En enfilant nos anoraks, en mettant nos bonnets, Clémentine me fait un clin d'œil en mimant une masturbation masculine. Je sors rapidement ma bite. Je bande mou. Clémentine s'accroupit pour y déposer une bise. Je remballe avant d'ouvrir la porte. Il faut affronter le froid polaire sur une cinquantaine de mètres. Traverser la pelouse au sol dur comme du béton, pour nous mettre à l'abri du vent devant la porte du garage. Danièle. Voilà son "Mercedes" blanc qui descend lentement les pavés autobloquants pour venir se garer derrière la petite Fiat 500 rouge de Lise.

Avec ce sourire chaleureux, devenu complice, Danièle saute de sa camionnette pour toucher nos poings du sien. Nous nous saluons. Tout est toujours méthodique chez la jeune femme car elle a beaucoup d'autres livraisons les samedis. Elle contourne le véhicule pour en ouvrir les portes arrières. J'ouvre mon anorak. Malgré le froid intense, je sors mon Zob. Il ne va pas tarder à réduire de moitié avec cette température. Moins trois degrés, ça ne laisse aucune chance à ma virilité de se dresser fièrement. Le ciel est couvert, laiteux. La neige n'étonnerait pas en se mettant à tomber. Je remballe très vite sous l'œil amusé de Danièle. En me tendant le lourd cageot contenant nos fruits et nos légumes, elle me dit : << On verra tout ça dans de biens meilleures conditions mercredi ! >>

Clémentine attrape le second cageot qui contient les fromages, les œufs, les yaourts, le beurre, les petits pots de crème fraîche et de fromage blanc. Paiement par carte. J'introduis ma carte dans le terminal que me tend Danièle. Elle demande : << C'est aussi frustrant pour vous que pour moi n'est-ce pas ? >>. Nous en rions de bon cœur quand Clémentine répond : << C'est frustrant pour les trois ! >>. Danièle emmitouflée dans son épais gilet de camionneur, sous son bonnet de laine, remonte dans sa camionnette. En allumant elle nous adresse un clin d'œil. Mime une rapide masturbation masculine avant de faire la manœuvre de demi tour. Un dernier coucou, un dernier sourire et la voilà repartie vers d'autres clients. Clémentine passe sa main sous mon anorak pour palper ma bosse.

<< Félicitations monsieur. Malgré ce froid votre acte de bravoure a été fortement apprécié ! >> dit elle. Nous rigolons comme des bossus alors que descend le tube Citroën rénové de notre boulangère. Hilare au volant, madame Marthe se gare au même endroit. Nous nous saluons. Le vacarme infernal que fait la porte coulissante de la camionnette est impressionnant. Elle nous tend le cageot contenant les deux grosses miches de pain complet et bio, les bouchées à la reine, les deux pâtes feuilletées, l'énorme brioche ronde au pudding. Les deux gros croissants à la pâte d'amande. Paiement par carte. Tout comme avec Danièle, même commande pour samedi prochain. Nous saluons madame Marthe qui s'en retourne à ses livraisons. En portant nos lourds cageots nous contournons la maison.

C'est sympa de passer par derrière pour descendre à la cave. Dans le cellier où nous rangeons nos livraisons. La cave est fraiche avec la même température toute l'année. L'avantage des sous-sols des vieilles demeures. Clémentine s'accroupit devant moi pour extraire mon sexe de la braguette. Je dis : << T'es folle, il y a Lise en haut. C'est peut-être encore trop tôt pour lui montrer ma bite ! >>. Clémentine se redresse pour lancer : << Il n'est jamais trop tôt pour bien faire. Et si tu pouvais bander, ce serait encore mieux ! >>. Elle saisit ma bite en enfonçant sa langue dans ma bouche. J'ai comme une soudaine décharge électrique qui me parcourt l'échine. Je bande évidemment très vite et comme le dernier des salauds. Je prends le cageot des produits frais à ranger dans le réfrigérateur.

Nous remontons par l'escalier intérieur. En entrant dans la cuisine, je bande mou. Lise est entrain d'y passer la serpillère. Je suis terriblement gêné. Elle peut-être aussi. Elle détourne pudiquement les yeux. Nous rangeons les aliments frais dans le frigo. Cette fois, quand je me redresse avec le cageot vide, Lise me fixe d'un regard étrange. Un soudain discret sourire bien plus interrogateur que complice. Elle baisse les yeux, cesse toute activité pour observer ce qui pend mollement de la braguette de mon 501. << Sympa, non ? >> demande Clémentine dont la présence dans la cuisine est rassurante. Lise détourne ses yeux en répondant : << Oui, très sympa ! >>. Je suis gêné quand Clémentine lui demande : << Tu as regardé par la fenêtre ? Par ce froid glacial Julien ne peut pas donner toute sa mesure ! >>. Nous rions aux éclats. Même Lise, très gênée.

Nous sentons bien que la situation devient très embarrassante pour la jeune fille. Aussi nous quittons rapidement la cuisine pour aller au salon. Lorsque je la croise de près, Lise se redresse pour me fixer d'un regard troublant. Étrange. Un sourire énigmatique. Assise sur mes genoux, devant l'ordinateur, Clémentine fait un tour sur le site de l'université. Pas de nouvelles informations. Elle se lève. << Sors ta bite, j'ai une idée ! >> dit elle en s'accroupissant pour passer sous le bureau. Ses mains à plats sur mes cuisses, à genoux entre mes jambes écartées, elle se met à me sucer. C'est une nouvelle situation embarrassante car à tout instant Lise peut nous rejoindre dans la grande pièce. Il n'est pas loin de onze heures trente. Elle va finir ses tâches ménagères. Sa raison d'être avec nous.

Je frissonne. À la fois de plaisir mais aussi de crainte. Et voilà ! Ce que je redoute arrive. Lise entre dans le salon. Elle me croit seul, installé derrière le bureau. Elle regarde partout autour d'elle, cherchant Clémentine des yeux. Je lui fais un sourire. Elle en esquisse un timide. Ce genre de choses n'est possible que lorsqu'une autre fille, complice, est présente. Et là, avec l'absence apparente de Clémentine, c'est très différent. Lise est rapidement rassurée. Clémentine sort de sa cachette en s'essuyant la bouche. Le visage de Lise s'illumine à cette apparition. Elle se met à rire n'osant pas demander ce qui se passe mais le devinant. Clémentine contourne le bureau en saisissant la petite enveloppe jaune. Elle l'emmène vers Lise qui la prend en disant : << Merci ! C'était amusant ce matin ! >>

Je me lève, la bite à l'air. Une queue bien dure que Lise découvre une nouvelle fois. La présentation est effrontée. Ce qui qui semble l'inquiéter. Elle observe mon déplacement lorsque je contourne le bureau à mon tour. À présent vêtue d'un pantalon noir, d'un épais pull, d'une écharpe sous son anorak, Lise évoque une lycéenne revenant de cours. Ce qu'elle était encore il y a quelques mois. Dix neuf ans depuis le 3 décembre de l'an dernier. Elle en a évidemment les réflexes même si nous savons qu'elle ne vient plus seulement pour faire notre ménage. Ce à quoi elle assiste parfois depuis la fenêtre de la cuisine suscite d'autres sortes d'intérêts. Là, cette fois pourtant, les choses, la "chose", ne peuvent êtres présentées plus clairement. Nous raccompagnons la jeune fille jusque dans le hall.

Comme pour nous rassurer à son tour, s'adressant tout particulièrement à moi, elle demande : << À samedi prochain alors ? >>. Je suis un peu étonné par cette question. Je comprends très rapidement que Lise la pose pour me rassurer. Clémentine répond : << Si ça va pour toi. Si un samedi tu ne peux pas venir, tu téléphones ! >>. Comme pour rassurer Clémentine également, Lise s'empresse de lancer : << Oh mais je ferai le nécessaire pour venir chaque samedi tant que mes services vous donnent satisfaction ! >>. Comme pour mettre un terme à nos échanges, Lise dévale les escaliers du perron pour courir vers sa voiture. En démarrant, elle nous fait un coucou de la main, fait demi tour pour refaire le même geste. Nous voilà parfaitement tranquillisé. Nous rentrons vite au chaud.

Clémentine fait l'assaisonnement de la magnifique laitue toute fraîche. Je prépare le bouillon pour y verser les moules décongelées. Dans le wok je réchauffe les petits pois, les haricots verts. Préparations rapides du samedi. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les évènements de la matinée. << Tu n'imagines pas à quel point ça m'excite de te voir faire le satyre devant d'autres filles ! >> me dit Clémentine en posant sa main sur la mienne. Elle rajoute : << Je crois que c'est encore plus fort pour moi que pour toi ! >>. Nous en rions de bon cœur. Je ressens soudain les troubles qui m'ont habité ce matin. Les réactions de Danièle sont devenues prévisibles. Danièle est devenue une de nos autres complices et est en "attente" de chacune de mes initiatives. Jusqu'à les provoquer.

Mais nous ne savons pas encore s'il en va de même pour Lise, notre "fille de ménage". Clémentine, venant s'assoir sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, me rassure. << Laisse les choses se faire. Samedi prochain, on s'abstient de toutes situations équivoques. Mais nous observerons attentivement les réactions de Lise. La balle sera dans son camps. Ça va être passionnant ! >>. J'écoute toujours les conseils avisés de la fille que j'aime. Elle ne se trompe jamais. Clémentine est très psychologue et analyse finement les situations. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous préparons le contenu du petit sac à dos. Thermos de thé bouillant, pommes, barres de céréales. Nous montons nous laver les dents. Je pose la boîte à chaussures sur la table de la salle de bain. La paire de mocassins pour Estelle qu'elle va devoir essayer.

<< Coucou ! >> fait elle soudain en ouvrant la porte pour nous surprendre. Elle laisse tomber son sac de sport pour se précipiter vers nous. Serrés tous les trois, à nous faire des bisous, nous écoutons Estelle nous raconter sa matinée avec sa maman. Les courses à l'hypermarché. << Put-hein il y a un de ces peuple dans les magasins ! >> lance t-elle. Nous l'invitons à essayer ses chaussures. Elle ouvre la boîte pour découvrir sa paire de mocassins. Elle me saute au cou en s'exclamant : << Merci Julien. Tu me gâtes tout le temps ! Je ne pourrai jamais te remercier assez ! >>. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour mitrailler mon visage de bises. Je dis : << Tu vois, cette façon de me remercier me comble bien au-delà de tout ce que tu imagines ! >>. Elle s'écrie : << Je t'aime ! >>. Clémentine tempère son enthousiasme avec sa phrase faussement laconique habituelle : << Je te rappelle que tu t'adresses à mon mec ! >>. Rire.

Je la dépose au sol. Elle s'assoit sur le tabouret pour enlever ses bottines. Elle chausse ses mocassins. Se lève. Fait quelques pas. << J'y suis comme dans des tongs ! Parfait ! >> lance t-elle. << Même avec un Levis elles sont d'une élégance folle ! >> s'exclame Clémentine. C'est vrai. Nous avons tous les trois exactement les mêmes. Dès les premiers beaux jours, nous nous promettons de les mettre lors de nos pérégrinations en ville. De son sac de sport Estelle tire son pyjama, une culotte et des chaussettes pour demain matin. << J'ai fait le montage des petits films tournés à Édimbourg. Oh juste quinze minutes d'images exploitables ! >> précise t-elle en préparant ses grosses chaussures de marche. Elle fourre sa main dans ma braguette avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Elle en sait les conséquences. La coquine.

<< Raconte-moi tes "exploits" du samedi matin ? >> lance t-elle en me sortant avec difficulté une queue dure et raide. << Pendant qu'on marche ! Venez ! >> répond Clémentine qui nous entraîne par les bras. Nous dévalons les escaliers. Le petit sac à dos est prêt. Nous mettons nos grosses godasses. Anoraks, bonnets, gants. La température reste à moins deux degrés. Il n'est que treize heures quarante cinq. Nous montons jusqu'au portail. Nous traversons la route pour nous engager dans le chemin forestier. Le sol est sec et gelé. La fine couche de neige glacée craque sous nos pas. Qu'il est agréable de partir pour une de nos randonnées. Ça fait bien trois mois que nous n'avons pas pratiqué ce circuit. Nous optons pour le parcours des quatre heures. Nos lampes frontales dans le sac.

En marchant d'un bon pas, nous bavardons. Les filles évoquent leurs études, le programme du second trimestre. J'écoute car c'est passionnant. Nous envisageons la possibilité de partir une semaine durant les vacances de Pâques. << Je prépare la surprise et j'organise tout ! >> lance Clémentine. Par contre pour les vacances de février, il est décidé de rester à la maison. Du samedi 17 février au lundi 11 mars. Estelle viendra s'installer avec nous. Nous prenons les sentiers et les chemins que nous connaissons par cœur. Même dans une campagne toute blanche. L'ancienne voie ferrée. La maison abandonnée du garde barrière. Le labyrinthe des amas rocheux. Le champs des dolmens. La nuit est tombée. Sans lune. Froide, glaciale et silencieuse. Seule le craquement de la glace sous nos pas.

Je porte la lampe frontale. Puissante. Elle permet de marche sans courir le moindre risque. Nous croisons une horde de sangliers. Deux chevreuils. C'est de toute beauté. Nous longeons le ruisseaux qui passe à trois cent mètres des écuries de Juliette. Il y a de la lumière partout dans les bâtiments. Nous avons d'ailleurs croisé deux cavalières. Nous traversons la route pour prendre le sentier qui longe la rivière en passant au vieux lavoir. Trois kilomètres dans un environnement magique. Les arbres sans feuilles présentent leurs branches gelées et blanches de givres. Il est dix huit heures trente quand nous arrivons frigorifiés à la maison. Il est agréable de se retrouver au chaud. Tous les trois, installés à la table de la cuisine, nous épluchons les pommes de terre, les carottes, les navets, le céleri.

En grande quantité car ce sera l'accompagnement des trois repas du week-end. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la laitue. Estelle touille la potée dans la vieille cocotte de fonte noire. Je fais dorer à la poêle trois grosses escalopes de dinde. Un déglaçage pour faire une sauce à laquelle je rajoute persil, ciboulette et Parmesan. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les moments forts de notre randonnée. Nous récidivons demain mais à partir de la petite chapelle désacralisée à la sortie du bourg. Il faudra prendre la voiture sur quatre kilomètres La fatigue commence à se faire sentir. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Au salon, vautrés dans le canapé, nous découvrons le montage réalisé par Estelle. Clémentine à ma droite qui manipule la télécommande. Serrée contre moi. Ma main droite entre ses cuisses.

Estelle à ma gauche qui manipule ma queue. C'est toujours un immense plaisir de nous revoir à l'écran durant nos vacances entrain de nous livrer à nos petits rituels vicelards. Quand par exemple, face à l'objectif, Estelle me tient la bite pour en diriger les jets. Dans des endroits aussi incongrus qu'une porte cochère, à côté d'un escalier de pierres qui nous dissimule des regards. Souvent, derrière nous, on distingue des gens, des touristes, des passants loin de se douter de ce que filme Clémentine. Clémentine qui fait des arrêts sur images en disant : << Vous vous souvenez, là, c'était à la chapelle Rosslyn ! >>. Ou encore : << Là, on était à South Queensferry. On a été surpris par les deux couples. Vous vous souvenez ? >>. Effectivement nous nous souvenons. Surtout moi. J'étais gêné et mort de honte.

Nous félicitons Estelle pour la qualité de son montage. << Ça nous fait très exactement vingt trois films en six ans ! >> précise t-elle en tordant mon érection dans tous les sens. C'est parfois douloureux quand elle le fait vers l'avant. Je murmure à chaque fois : << Aïe, salope ! >>. Nous rions aux éclats. Clémentine suggère de faire un film plus conséquent pour l'anniversaire d'Estelle, le 11 mars. Elle aura 27 ans. << Ça se fête ! >> lance Clémentine qui rajoute : << Et tu es priée d'élaborer un scénario "sextraordinaire" ! >>. Estelle répond : << Puh-hein, 27 ans ! >>. Je réponds en palpant son entrejambes : << 27 années palpitantes. Dont treize années de débauches ! >>. Nous rions. Estelle conclue : << Oui. Exacte ! Clémentine et moi ne sommes débauchées que depuis nos quatorze ans ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Il est 22 h30. Salle de bain. Chambre à coucher. Fatigués.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se font encore un peu lécher sous les draps, avant de se partager une bite juteuse. Une petite pénétration de principe avant de se blottir, épuisées contre leur coquin...

Julien (coquin)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Monday 15 January 2024 07:34

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 49 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2494 -



Un dimanche plaisant

Hier matin, dimanche, c'est la grasse matinée. Je suis entre mes deux anges. Leurs pieds contre les miens. Estelle à ma droite tout contre moi. Clémentine à ma gauche qui se blottit. C'est fusionnel. Tout comme notre relation. Nous nous réveillons ainsi presque en même temps. Je passe mes bras autour de leurs épaules pour davantage de confort encore. Leurs têtes dans le creux de mes épaules. C'est Clémentine qui attrape ma tumescence la première. << Gagné ! >> murmure t-elle. << Moi aussi ! >> lance Estelle qui empoigne mes roupettes. Je m'étire. Les filles font rapidement pareil. Estelle, en proie à son impérieux besoin, se lève en s'écriant : << Pipi ! >>. Dans son pyjama de soie mauve, elle se précipite vers la porte en rajoutant : << Je vous attends dans cuisine ! >>

Clémentine se frotte contre ma hanche en murmurant des douceurs. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Il fait bien chaud dans la maison car en regardant par les fenêtres on devine le froid glacial. Un ciel gris. Dans la salle de bain nous revêtons nos jeans, nos épaisses chemises à carreaux, baskets. Morts de faim, comme chaque matin, quelle que soit l'heure, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Les effluves parfumées du café, du pain grillé alors qu'Estelle allume un bon feu dans la cuisinière en bois. Clémentine presse les oranges. Je viens me coller contre Estelle. Mes bras autour de sa taille. J'adore le contact de la soie. Je glisse ma main entre ses cuisses bouillantes. Je sens le relief des coutures et des élastiques du coton blanc de sa culotte. Sublime.

Au milieu de la table trône la brioche. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée "cinéma". Nous évoquons ce paradoxe ultime. Être à regarder un film où les protagonistes qu'on voit à l'écran sont également les spectateurs. Côte à côte. << Je ne connais rien de plus excitant ! >> précise Clémentine. << Moi pareil ! >> rajoute Estelle. C'est vrai. Je trouve que c'est le privilège supérieur. Nous traînons à table. Le dimanche pas d'entraînement. Pas de précipitations. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges parlent de leurs études. Des applications de l'intelligence artificielle à leurs domaines de prédilections. << Je vais tenter une expérience. Par exemple rajouter un personnage fictif à un de nos films ! >> lance Estelle.

<< Excellent ! Homme ou femme ? >> s'exclame Clémentine. << Non un personnage tiré d'un autre film. "Avatar" par exemple. Ou encore d'Harry Potter ! >> précise Estelle. J'écoute passionnément car l'idée est farfelue. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Estelle se change pour se vêtir comme nous. Nous faisons notre lit. Pressés d'aller constater les conditions climatiques, nous dévalons les escaliers pour enfiler anoraks, bonnets et gants. Grosses godasses. La température extérieure reste sous glace pour la dixième journée consécutive. Moins cinq degrés. Alors qu'il est dix heures trente. Les parents d'Estelle devaient venir manger à midi. Mais il a fallu remettre à dimanche prochain. Il n'y a donc strictement aucune pression qui 'exerce aujourd'hui.

Les filles restent accrochées à mes bras jusqu'à la rivière. Il y a de la glace qui s'est formée sur ses bords. La neige gelée craque sous nos pas. Le silence est total. Le froid est polaire. Tout est blanc, figé de givre. Lorsque nous parlons, un nuage de vapeur s'échappe de nos bouches. << Les conditions idéales pour la rando de cet après-midi ! >> lance Clémentine. Il est très agréable de marcher avec ce froid. Les colverts, les poules d'eau, les canards virevoltent sur l'eau au plus grand mépris des conditions météos. Nos amis à plumes nous observent. << Ils font peut-être le même constat en nous voyant ! >> dit Estelle qui se serre contre moi encore plus fort. Je tiens mes deux anges par leurs tailles. Immobiles. Ce n'est sans doute pas la meilleure formule pour lutter contre ce froid intense. Il faut bouger sans cesse.

Nous remontons en bavardant pour rentrer au chaud. Nous faisons un petit tour dans l'atelier. Estelle reste en admiration devant ma toile. Assise sur la chaise. Clémentine et moi debout derrière elle. Les personnages de mes scènes de genre ont toujours les traits de nos visages. Comme je peins d'une technique hyper réaliste, ce sont comme autant de clichés de nous. D'après des photos prises en vacances ou lors de nos balades. Mes mains sur les épaules d'Estelle, je remonte doucement sur son cou, sa nuque. << Mmhh, ça me donne des frissons ! >> murmure t-elle alors que Clémentine me fait la même chose. Estelle se redresse, se tourne, s'assoit à nouveau mais avec le dossier entre les cuisses écartées. Elle déboutonne ma braguette en disant : << Mais elle est fermée ! >>

Clémentine se place derrière moi, ses bras autour de ma taille. Penchée, sa tête sous mon aisselle, pour regarder ce que fait Estelle. J'ai la bite à l'air en deux temps, trois mouvements. La dextérité dont fait preuve Estelle n'a d'égale que sa virtuosité pour me l'extraire. Je bande mou. Les bras croisés sur le dossier, son visage à une vingtaine de centimètres de mon sexe, elle observe avec l'attention d'une scientifique. Elle se rapproche encore pour humer à pleines narines. Le dimanche, jamais de douche. Nous aimons macérer dans nos jus. Aussi, lorsqu'elle me décalotte légèrement, l'odeur de "thon" nous montent immédiatement aux nez. << Beurk, monsieur Schlinguo ! >> lance t-elle tout en collant presque son nez sur l'extrémité de mon gland. Clémentine se penche davantage.

Du bout de la langue Estelle titille mon méat. L'ouverture qu'elle compare à une vulve miniature. Elle me décalotte un peu plus. Apparaissent les grumeaux de Parmezob. Gluants, évoquant de la fondue savoyarde. L'odeur est plus forte encore. Elle cesse en disant : << Monsieur pue du Zob ! >>. Elle se détourne alors que nous rions aux éclats. Clémentine me contourne pour saisir Estelle par ses épaules. Prenant ainsi appui, elle a son visage à côté du sien. Elle aussi titille mon méat du bout de sa langue. Estelle me décalotte un peu plus. Clémentine en gobe l'extrémité. << Wouah ! >> murmure Estelle comme admirative. Je dis : << Ce soir, après la bouffe, c'est moi qui contrôlera les odeurs et les aspects de vos minous ! >>. Estelle lève les yeux pour dire : << Bon courage ! >>. Rires.

Tout cela nous met en appétit. Les filles cessent. << Garde ta bite à disposition, on ne sait jamais ! >> lance Estelle en se levant. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de tomates. Estelle touille la potée de légume afin d'éviter qu'elle n'accroche au fond de la vieille cocote de fonte noire. Je poêle trois beaux pavés de saumon. De cuisiner sur la cuisinière à bois est rapide. Il faut ruser, déplacer sans cesse les casseroles pour trouver l'endroit idéale. J'ai la bite à l'abri sous mon tablier noué sur mes reins. Estelle y fourre souvent une main baladeuse. Nous mangeons de bon appétit en faisant l'itinéraire de la randonnée qui nous attend. Nous ne traînons pas. C'est beaucoup trop réjouissant de se préparer. La vaisselle. Le lavage des dents. Rapide.

Nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos, pommes, barres de céréales, thermos de thé bouillant, lampes frontales dont les batteries sont rechargées. Anoraks, bonnets, gants. C'est parti. Je roule doucement sur les quatre kilomètres qui nous séparent de la vieille chapelle. Il y a d'autres voitures garées là. Le long du muret du cimetière qui entoure l'édifice désacralisé. Je change de godasses. Les filles portent déjà leurs chaussures de marche. Je mets le sac sur le dos. Nous traversons la route pour prendre le chemin qui monte. Il est large. Nous pouvons marcher l'un à côté de l'autre. Je suis entre les filles qui me tiennent par les mains. Nous avançons d'un bon pas. Ça réchauffe rapidement. Emmitouflés dans nos vêtements chauds. Nous portons même des collants sous nos jeans.

Ce qui interdit tout accès à ma biroute. Estelle me palpe malgré tout à chaque arrêt. Arrêts qu'elle provoque en sautillant pour se placer devant moi. Nous croisons d'autres amoureux de la randonnée. Le chemin devient sentier en contournant la carrière abandonnée. Je suis sujet au vertige. J'évite de regarder au bas des falaises. Nous prenons le sentier de droite au carrefour. Il y a là un abri en bois, un petit chalet ouvert aux quatre vents. Des groupes de marcheurs semblent se concerter. Les panneaux indicateurs. Il est agréable de boire un gobelet de thé bouillant et de savourer une barre de céréales à la banane. Nous montons jusqu'aux bâtiments abandonnés. Les anciennes tuileries. Là aussi il y a des gens. Nous devons pisser. Et vêtus comme nous le sommes, c'est un défi.

Il faut descendre les Levis, les collants, les slips pour pouvoir se soulager. Tous les trois, derrière les murs de briques rouges, nous nous soulageons dans un nuage de vapeur de pisse qui monte du sol. Nous en rions. J'imite les filles en faisant pipi comme elles. << C'est super ! >> lance Estelle. Nous faisons une rapide visite à l'intérieur du grand bâtiment. Il y a là les anciens fours qui servaient à cuire des tonnes de tuiles en une seule cuisson. C'est impressionnant d'y entrer. Il est déjà seize heures quinze. Il faut songer à prendre le chemin du retour car le crépuscule s'annonce. Les sentiers ne sont pas réellement dangereux et nous sommes équipés de nos lampes. Il y a juste le contournement de la carrière qui constitue un risque si on ne redouble pas d'attentions, de vigilances.

Il est dix huit heures trente. Il fait nuit. Je roule doucement. Estelle et Clémentine assises sur le siège passager. Nous voilà de retour au chaud. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade ce concombre. Estelle concocte sa spécialité des dimanches soirs. Une omelette aux fromages. C'est moi qui touille la potée de légumes. Nous mangeons de bon appétit en échangeant nos impressions quand à cette superbe randonnée. Nous ne traînons pas. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Après la vaisselle il nous en reste deux. Pressées de se faire lécher, sucer, caresser, aimer, mes deux anges m'entraînent au salon. Je me masturbe en les regardant s'installer, culs nus, juste en chaussettes et en chemises, dans le canapé. Cuisses largement écartées, jambes relevées qu'elles tiennent sous les genoux.

À genoux sur les épais coussins, je commence par Estelle. Son odeur forte. Je hume à plein nez. Elles se masturbent toutes les deux en m'observant. Échangeant leurs impressions. Je passe ma langue dans son intimité. Les fines lèvres de sa vulve jaillissent comme les pétales d'une fleur. Le gout vinaigré de son trou à pipi. Estelle se trémousse, se contorsionne de plaisir. Quand je suce son clitoris ses gémissements résonnent dans toute la grande pièce. Je passe à Clémentine. Les lèvres charnues de sa vulve envahissent ma bouche. Je suce son clitoris géant. Tout cela dans un concert de petits cris, de râles profonds, dans des ravissements qui les font gémir d'extase. Estelle qui s'écrie : << Prends moi ! >>. Je me redresse étonné. Il est rare qu'elle ne préfère pas le cunnilingus.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui, gagnées par la fatigue, baisent encore un peu sur canapé, avant de s'offrir un dernier orgasme "hurleur" en pissant de bonheur...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Re: Clémentine et Julien
Tuesday 16 January 2024 07:35

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France


Le petit monde de Clémentine et de Julien

Après quelques 2494 épisodes le plaisir de partager nos aventures reste intact. De sacrés moments.
C'est une véritable joie de publier nos récits quotidiennement. C'est même devenu une nécessité.

Bien évidement, les noms, les prénoms, les lieux ne sont qu'autant de pseudonymes sans réalités.
Il est préférable de préserver son anonymat. Sur Internet mais également sur les forums "sexes".

Je remercie nos lectrices, nos lecteurs pour leurs fidélités, pour l'intérêt qu'ils nous portent.
Tout particulièrement celles et ceux qui entretiennent avec nous un contact en messagerie privée.

Nous avons autant de joie à pratiquer les échanges en messagerie privée qu'à narrer nos aventures.
C'est très intéressant, souvent amusant et parfois passionnant. Certains "amis" depuis six ans.

Je vous souhaite d'excellentes lectures, de belles découvertes et de passer du bon temps avec nous.

Cordialement.

Clémentine et Julien



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