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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Clémentine et Julien
Sunday 21 January 2024 11:04

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 6 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2500 -



Un samedi matin plein de petites habitudes

Il est sept heures, hier matin, samedi, quand nous nous réveillons quasiment en même temps. Clémentine serrée contre moi. Sa main saisissant ma tumescence, elle murmure : << J'ai un peu honte de ce qui s'est passée hier ! >>. Je passe mon bras autour de son épaule pour chuchoter : << Honte d'assouvir tes fantasmes ? >>. Elle ne dit rien, change de position pour me chevaucher. Penchée en avant, elle me fait plein de bisous. << Tu es tellement gentil avec moi, tout le temps. Tu me comprends si bien et moi je fais ma salope avec d'autres ! >> finit elle par rajouter. Je dépose une bise sur son front avant de conclure : << Ne dis pas de bêtises ! Tout ce que tu fais m'enchante, me passionne, m'excite ! Tu es priée de continuer ! >>. L'impérieux besoin de pisser met un terme à nos confidences. << J'ai mes "petits machins". Je me suis levée très tôt ce matin pour mettre un tampon et prendre mon médoc ! >> lance t-elle.

Je la laisse toute seule aux toilettes pour aller dans la salle de bain. Depuis plus d'une heure que les radiateurs fonctionnent, il fait bien chaud partout dans la maison. Je suis entrain de me vêtir de ma tenue sport quand Clémentine vient me rejoindre pour faire pareil. << C'est génial. Ce coup-ci je n'ai même pas mal. Juste de petites contractions. Pourvu que ça se passe comme ça les trois jours ! >> dit elle. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusque dans le hall d'entrée. Nous y ouvrons le portail depuis l'interphone. Nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine prépare le café, presse les dernières oranges, pèle les derniers kiwis. J'allume un bon feu dans la cuisinière à bois. Cette bonne vieille "locomotive" se met à ronronner d'aise. Je beurre les tranches de pain grillé.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la "soirée pipe" chez Juliette. << Cette salope sait nous surprendre agréablement ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Pour éviter de la mettre dans l'embarras du lendemain, j'oriente la conversation sur le projet de "soirée bondage" prévue avec Estelle. Nous mangeons de bon appétit en envisageant le déroulement de la séance de "dressage". << C'est génial. Je me réjouis ! >> s'exclame Clémentine qui vient terminer sa tartine de miel assise sur mes genoux. La vaisselle. Pressés de nous offrir le second plaisir de ce samedi matin, nous remontons à toute vitesse. Notre salle d'entraînement pas chauffée exige de nous mettre en condition pour supporter les seulement quatorze de degrés qui règnent en ce lieu.

Les échauffements aérobics, le jogging sur les tapis roulants. Les exercices au sol. Les différents mouvements abdominaux que nous pratiquons sont une sorte de thérapie pour Clémentine. Cela soulage souvent ses douleurs menstruelles. Ce matin ce n'est donc que pur plaisir. Nous voilà chauds pour attaquer les charges additionnelles. Aujourd'hui sur les machines. Le samedi nous pouvons enfin exécuter les étirements du stretching en y consacrant le temps nécessaire. Nous entendons l'aspirateur quelque part dans le couloir. Lise, notre "fille de ménage" est arrivée depuis un bon quart d'heure. Probablement en avance. En sortant de la salle nous la croisons dans le couloir. Vêtue de son éternel survêtement gris. Ses écouteurs sur les oreilles qu'elle retire pour nous saluer.

Cette jeune fille ne cache jamais sa joie de nous voir. Aussi, son grand sourire illumine la matinée d'un autre plaisir. Nous la laissons à ses occupations pour aller dans la salle bain. La douche. En pouvant prendre tout notre temps, il n'est que huit heures quarante cinq. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite, je coiffe Clémentine. Assise sur un des tabourets, une grande serviette recouvrant ses épaules, elle me raconte d'amusantes anecdotes universitaires. Elle parle d'Alban, son professeur, son maître de thèse. Trente cinq ans, bel homme. Je ne pose aucune question. Je sais que Clémentine me fait toujours toutes ses confidences, tous ses aveux, quand nous faisons l'amour. J'aime rester dans le suspens amoureux. C'est diantrement plus excitant et jouissif.

Je fais la natte qu'elle aime bien porter en hiver. C'est plus pratique sous le bonnet. Le mettre, l'enlever. Elle me sèche les cheveux, me coiffe en évoquant le désir d'Estelle. Réaliser un nouveau petit film "bondage". Clémentine adore filmer ces scènes souvent extraordinaires. Estelle adore en faire le montage. Nous adorons les visionner lors de nos "soirées cinéma". Nous revêtons nos Levis, nos épaisses chemises à carreaux, nos baskets. Nous dévalons les escaliers. Lise est entrain de passer l'aspirateur dans le hall d'entrée. En mettant nos anoraks, nos bonnets, nos gants, nous échangeons quelques mots. Lise prépare un BTS "commerce". Sa première année, son second trimestre. Elle n'a strictement aucune idée du métier qu'elle veut exercer. Elle a choisi cette filière en pis aller.

Nous la laissons pour affronter le froid glacial. Le thermomètre extérieur indique moins cinq degrés. Une fine couche de neige recouvre toute chose. Nous traversons le jardin prudemment. Comme souvent, en attendant nos livraisons, nous entrons dans la maison d'amis. Seul le "hors gel" maintient cinq degrés dans la dépendance. Et toujours cette poussière qui recouvre les meubles d'un voile gris. Les housses qui protègent les canapés sont à l'origine blanches. Là, elles sont grises. Nous en rions. Nous demanderons à Lise de s'en occuper. Le bruit d'un moteur. C'est la camionnette blanche qui vient se garer derrière la petite Fiat rouge de Lise. Danièle, souriante, chaudement vêtue en saute. Merveilleux sourire en touchant nos poings du sien. Un regard insistant sur le bas de mon anorak.

Un air de dépit, de compassion, elle m'adresse un clin d'œil en montant à l'arrière du véhicule. Avec ce froid, pas de présentation de bite, juste la braguette ouverte mais invisible sous l'anorak fermé. J'attrape le lourd cageot contenant les fruits et les légumes. Clémentine attrape celui contenant les yaourts, les petits pots de crème fraîche, de fromage blanc, les œuf, le beurre, le Roquefort, le Morbier et surtout le gruyère Suisse dont nous faisons grande consommation. << On se voit mercredi matin ? >> lance Danièle en me tendant le terminal. En y introduisant ma carte, je réponds : << Oui, et dans des conditions qui nous conviennent bien davantage ! >>. Nous rions de bon cœur. Danièle a bien d'autres livraisons. Nous devinons sa légère frustration de devoir nous laisser déjà.

En faisant sa manœuvre de demi tour, elle mime une masturbation masculine, une pipe avant de lever le pouce. Son merveilleux sourire. La camionnette remonte jusqu'au portail où elle disparaît très vite. Clémentine fait le rapide inventaire de ce que contiennent les cageots posés sur le banc en pierre. << Je cherche un plan pour motiver son retour mercredi matin ! >> dit elle. Nous rions quand elle rajoute : << Pour assister à ta prestation de satyre ! >>. Voilà le tube Citroën rénové de notre boulangère bien aimée. Hilare au volant, elle se gare au même endroit. Son bonnet bien enfoncé sur la tête lui donne une allure de personnage de dessin animé. Elle nous tend le cageot contenant les deux grosses miches, les deux pâtes feuilletées, les bouchées à la reine, la grosse brioche.

Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Comme toujours, il est préférable de contourner la maison pour descendre à la cave par derrière. Chemin le plus court. Il est ludique de disposer les fruits, les légumes sur les étagères en bois du cellier. Clémentine ouvre mon anorak pour fourrer sa main dans ma braguette. << C'est aussi frustrant pour moi que pour Danièle ce froid intense qui empêche les prestations exhibitionnistes ! >> lance t-elle en me sortant la bite. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Ce qui me fait rapidement bander comme le dernier des salauds. << Parfait, parce qu'en haut, il y a une autre spectatrice qui semble beaucoup apprécier les satyres ! >> rajoute t-elle. Nous en rions aux éclats. Du congélateur je sors le paquet de moules de Bouchot.

Les sachets de haricots verts et de petits pois. Clémentine y place une des deux grosses miches, une des deux pâtes feuilletées. J'en sors trois escalopes de dindes, trois gros pavés de saumon. Nous remontons par l'escalier intérieur. Je porte le cageot contenant les produits frais à ranger dans le réfrigérateur. Le carrelage de la cuisine est déjà sec. Le seau, le balai brosse et la serpillères abandonnés à côté de la porte. Nous entendons l'aspirateur depuis le salon. J'ai débandé en commençant à placer les yaourts dans le frigo. << Dommage ! Mais c'est sympa aussi les bites molles. Personnellement je préfère ! >> lance Clémentine en me passant les œufs. Nous en rions de bon cœur. Nous comprenons surtout que Lise, peut désireuse de se retrouver dans une situation des plus embarrassantes, reste distante. Nous le comprenons d'autant mieux qu'à notre arrivée dans la grande pièce, elle détourne la tête avec un léger sourire gêné.

Assise sur mes genoux, me tournant le dos, Clémentine allume l'ordinateur. Quand elle a ses "petits machins", les extrémités de ses seins minuscules sont terriblement sensibles. J'évite de les caresser. me contentant de la tenir par la taille. Nous avons trois courriels. Ma famille d'Édimbourg. Oncle Alan s'apprête à passer deux semaines supplémentaires au pôle gériatrique de l'hôpital. Le message de Juliette qui nous remercie pour cette "soirée pipe". Impatiente de nous revoir mercredi prochain pour en parler. Le mail d'Estelle pressée de nous rejoindre en début d'après-midi. Dans le petite enveloppe jaune je glisse un billet de 50 euros, un billet de 20 euros. Clémentine change de position pour s'installer de manière à ce que je puisse voir l'écran. Elle surfe sur le site universitaire.

Lise, vêtue ville, vient nous rejoindre. Quelque chose dans son attitude semble avoir changé. Elle est toujours aussi souriante, avenante mais reste plus distante. Clémentine se lève, contourne le bureau pour lui tendre l'enveloppe. << Je me suis bien renseignée, c'est un salaire de ministre que vous m'offrez tous les samedis matins ! >> lance la jeune fille. Je me lève pour contourner le bureau. J'ai la bite qui pend de ma braguette béante. Aujourd'hui, Lise fait mine de ne pas s'en rendre compte. Nul doute, son attitude a changé. En aurait elle parlé à quelqu'un ? Se serait elle ouverte à quelques confidences avec une copine ? À cet âge là, les filles sont souvent imprévisible. À dix neuf ans, on manque peut-être encore du discernement nécessaire pour garder certaines choses secrètes.

Nous la raccompagnons jusque dans le hall d'entrée. En la remerciant pour la parfaite qualité de son travail. Elle s'apprête à sortir lorsqu'elle se ravise soudain pour lancer : << Je suis un peu triste. Mon petit copain m'a plaqué ! >>. Elle n'attend aucune réponse. Elle dévale les escaliers. Clémentine referme la porte en disant : << Voilà l'explication. Il n'y a aucun revirement de situation. C'est une affaire de cœur ! >>. Je suis à la fois soulagé et rassuré. Nous avions tord de nous inquiéter. << Si ça l'avait dérangé, elle ne serait certainement pas revenue une seconde fois, puis une troisième ! >> conclue Clémentine. Cette évidence tombe sous le sens. Clémentine m'entraîne par le Zob jusque dans la cuisine. Elle noue mon tablier sur mes reins afin d'offrir une protection à ma bite à l'air.

Nous préparons notre repas en dissertant sur le cas "Lise" et sur le cas "Danièle". << Maudit froid ! >> lance Clémentine alors que nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, Clémentine propose un itinéraire de randonnée pour l'après-midi. Quand règne ce froid intense, c'est l'activité la plus agréable. Chaudement vêtus. << On se refait celle du château demain, ça te dit ? >> demande t-elle. Voilà un passionnant programme pour ce week-end. Je souffle de l'air chaud sur les petits seins tous durs de Clémentine. À travers l'épais coton de sa chemise. Ce sont les seuls trois jours où, pour des raisons de confort et de protection, elle porte un soutien gorge. Elle déteste. << Maudites démangeaisons ! >> s'écrie t-elle.

La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. J'applique de la crème sur ses épaules et dans son dos. À l'endroit ou les bretelles et le fermoir arrière, irritent sa peau. << Mmhh, docteur Julien. Quel praticien émérite vous faites ! >> dit elle en se tournant pour passer ses bras autour de mon cou. Quand elle m'embrasse, au goût d'eucalyptus de notre crème dentifrice, je bande une nouvelle fois comme le dernier des salauds. Elle saisit mon Zob d'une poigne ferme en disant : << Docteur, je peux prendre mes gouttes ? Je vous promets de respecter la posologie ! >>. Nous rions alors qu'elle s'accroupit pour se mettre à sucer immédiatement. Elle se met à genoux sur le carrelage. Je sais que ce n'est vraiment pas très agréable. Aussi je la saisis par sa natte pour la relever.

C'est ainsi que nous surprend Estelle qui arrive toujours dans le plus grand silence. << Les salauds, les égoïstes, ils s'entraînent pour ce soir. Et sans moi ! >> s'exclame t-elle en se précipitant. Tellement heureux d'êtres à nouveau ensemble tous les trois que nous nous serrons fort. Des bisous. << Vous faisiez quoi exactement ? >> lance Estelle en saisissant ma queue mollasse. << Oh, j'ai mes "petits machins", je prenais mes gouttes ! >> répond Clémentine. Nous en rions alors qu'Estelle, de son sac de sport, tire son pyjama, une culotte et des chaussettes de change. Comme notre chambre à coucher n'est pas chauffée, nous préparons toujours nos vêtements du lendemain dans la salle de bain. Estelle a emmené une jupe kilt, un chemisier blanc, un pull bleu marine et des escarpins.

<< Ma tenue d'actrice pour ce soir ! >> précise t-elle en déposant soigneusement sa vêture sur le couvercle de la baignoire condamnée. << Je fais pareil ! >> lance Clémentine. Nous la suivons dans la fraîcheur désagréable de la chambre à coucher. De l'armoire elle tire les mêmes habits. Elle sort les miens. Ma tenue de "Maître" d'opérette. Un pantalon de cuir noir, la chemise blanche "mousquetaire" aux manches bouffantes, mes cuissardes noires. << Tu vas être beau ce soir ! >> me fait Estelle en tordant mon Zob mou dans tous les sens. En le tirant fortement. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos, thermos de thé bouillant, barres de céréales, pommes. Nos grosses godasses. C'est à partir de la maison que nous prenons un de nos parcours préférés. Le circuit des quatre heures.

Marcher dans le froid, dans une campagne blanche, en faisant craquer la neige gelée sous nos pas, reste une source de plaisir intense. Bien évidemment, hors de question de se balader queue à l'air avec seulement zéro degré. De plus, sous nos jeans, nous portons des collants. Emmitouflés dans nos anoraks à capuches, sous nos bonnets, en portant nos gants. Ce qui ne nous empêche nullement de sacrifier à de multiples arrêts bisous, à des tripotages et autres explorations de bouches avec nos langues. Les bouts de nos nez froids. Il est dix huit heures trente quand nous revenons. Clémentine fait l'assaisonnement de trois petites endives. Estelle s'occupe des macaronis. Je poêle trois grosses escalopes de dinde. Ma queue souvent raide sous mon tablier de cuistot. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les moments forts de notre randonnée. Qu'il est bon de retrouver la chaleur d'une maison propre et de s'offrir un repas simple mais délicieux.

Nous ne traînons pas. Trop impatients de nous livrer à notre séance de "dressage". La vaisselle. Nous montons nous laver les dents et nous mettre en tenues. Nous enfilons nos personnages en même temps que leurs vêtements. Nous dévalons les escaliers. La caméra numérique, fixée sur le trépieds. Clémentine s'en occupera un peu. Pour la durée de nos jeux. Du tiroir du bas du bureau, elle tire les genouillères de cuir noir, les colliers canins, les laisses et la paire de menottes. Estelle, une main sous sa jupe, se touche déjà en installant deux chaises entre le bureau et le canapé. Ce soir, c'est moi qui allume la caméra. Estelle et Clémentine, assises sur les chaises, le dossier entre leurs cuisses écartées, gardent leurs bras posés sur les dossiers. Je fixe le loup de dentelles noires pour dissimuler le visage de Clémentine. Même si nous exerçons notre Art dans la plus totale confiance, la plus absolue complicité, elle préfère rester anonyme.

Ces films, (le vingt quatrième depuis presque sept ans), est exclusivement destiné à notre usage privé. Personne n'en verra jamais la moindre image. J'allume la caméra. Les filles fixent l'objectif. J'entre dans le champs. Filmé de dos. Je contourne les chaises pour me placer derrière mes deux "Soumises". Je les tiens par leurs nattes. Je passe autour de leurs cous les colliers canins. Sans serrer. J'y fixe les laisses. J'ordonne : << Debout et à quatre pattes ! >>. Les filles s'exécutent immédiatement, trop heureuses de vivre enfin ces moments tant attendus. Estelle y a pris goût. Je reste dans le champs de la caméra en les promenant dans cette partie de la grande pièce. Il y a la lumière tamisée des deux abats jour. Toutes les deux, à chaque coin de meuble, lèvent la patte.

J'ordonne : << À genoux, mains sur la tête ! >>. Leurs genoux protégés par les genouillères de rollers, pourront s'amuser sans souffrir. Je les tiens par les laisses que je lâche. Je frotte ma queue molle contre le visage d'Estelle. Elle serre ses lèvres pour m'empêcher de pénétrer sa bouche. J'utilise la méthode infaillible pour la contraindre à le faire. Je pince son nez. Pour pouvoir respirer elle n'aura d'autre choix que de l'ouvrir. Clémentine, penchée en avant, les mains sur la tête, observe le tourment que j'inflige à Estelle. Dans un râle elle ouvre la bouche pour respirer un grand coup. J'en profite pour enfoncer ma bite. Bien au fond. Elle en a un haut le cœur. Je la tiens par sa nuque, sous le menton, pour l'empêcher de se soustraire à mon étreinte. Je la fais sucer une dizaine de minutes. Quand je la lâche enfin, il y a plusieurs filaments de foutre qui relient sa bouche à ma queue. Je passe à Clémentine qui ouvre immédiatement la bouche. Estelle tousse en tentant d'avaler toute la jute que j'ai laissé.

Je me fais sucer une nouvelle fois. J'ordonne : << On se masturbe ! >>. Je me retire. Toutes deux, prostrées, les yeux fermés, se touchent. C'est un spectacle ahurissant. Je me branle en tournant autour d'elles. De dos, c'est aussi spectaculaire que de face. Je vais vérifier la caméra. Tout fonctionne à la perfection. Je retourne vers mes deux anges. Je saisis Estelle par sa laisse en ordonnant : << Vous arrêtez ça immédiatement car je vais vous baiser ! >>. Estelle ouvre de grands yeux. Je lui fourre ma bite dans la bouche afin qu'elle retrouve toute sa raideur. J'ordonne : << Couchée sur le dos ! Cuisses écartées ! >>. Estelle ne se fait pas prier. Je me couche sur elle, je reste en appui sur mes bras. Mon pantalon de cuir noir est la chose la plus désagréable à porter dans ces moments fous.

La braguette en est serrée. Ce qui ne provoque pas seulement de l'inconfort mais une irritation rapidement douloureuse à la base du chibre. Mais, c'est pour les besoins du film. Je la pénètre pour la baiser à la hussarde. Avec la délicatesse d'un sumo japonais. Accrochée à mon cou par ses bras, à ma taille pas ses jambes, elle reste suspendue à se faire tringler en hurlant. Clémentine, accroupie au-dessus de la cuvette, sans cesser de se masturber, pisse face à la caméra. Nous cherchons les plus représentatives de nos vulgarités afin de les immortaliser par l'image. Ce soir encore c'est du "cru", du "cinglant", de l'obscène et du graveleux. Malgré l'excitation démentielle qui nous habite, la randonnée de l'après-midi se fait sentir. La fatigue nous gagne. Estelle s'offre un orgasme fou.

Clémentine qui a pissé tout ce qu'elle pouvait peut s'offrir elle aussi un autre orgasme "sec". J'ordonne : << À genoux ! >>. Estelle, couchée sur le côté, les mains entre ses cuisses veut obéir quand je précise : << Non, pas vous délicieuse "Soumise" ! >>. Clémentine s'exécute. Mains à nouveau sur la tête. C'est dans sa bouche que j'éjacule en hurlant. Tout mon corps secoué de spasmes. Tout cela n'aura duré que 55 minutes. Nous en avons la certitude en entendant le signal sonore qu'émet la caméra. La carte SD est pleine. Estelle se redresse. Je les tiens toutes les deux par leurs nattes, à genoux. Je me penche pour mettre mon visage entre les leurs. Nous sourions bêtement à la caméra avant que celle-ci ne s'éteigne. Nous retombons tous les trois au sol, épuisés. Serrés fort.

Bonne nuit à toutes les coquines qui adorent jouer la comédie, interpréter et jouer devant la caméra. En s'offrant d'indicibles moments de démences jouissives...

Julien ("Maître" pour de semblant)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Monday 22 January 2024 07:39

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 7 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2501 -



Notre agréable dimanche

Hier matin, dimanche, notre grasse matinée nous emmène aux environs de neuf heures. Estelle est restée agrippée à moi toute la nuit. Imbriquée comme la seconde pièce d'un puzzle qui en compte trois. Aussi, quand elle saisit ma raideur naturelle d'une main hésitante, elle m'arrache du sommeil d'une bien douce façon. Elle parfait son acte en collant ses lèvres dans mon cou comme une chaude ventouse. Tout cela réveille Clémentine qui se serre à son tour. Empoignant mes couilles. Je suis entre mes anges tel l'élu des divinités de l'amour. Je glisse mes mains dans les culottes pour y démêler quelques poils noués. Je joue avec la petite ficelle blanche qui dépasse de la vulve chaude de Clémentine. Nous nous étirons en modulant nos gémissements jusqu'à l'absurde et en rigolant.

Estelle se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte. << Je vous attends en bas ! >> s'écrie t-elle avant de refermer derrière elle. Clémentine passe la tête sous la couette pour prendre ma tumescence en bouche. Sensation étrange quand l'érection n'a pour cause qu'un phénomène purement physiologique. Cela ne dure pas. C'est à notre tour de nous précipiter aux toilettes. Depuis trois heures que les radiateurs fonctionnent, il fait bien chaud dans la maison. Nous nous habillons de nos paires de jeans, de nos sweats, baskets, à la salle de bain. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Il y a l'odeur du café mais aussi celle du pain grillé. Estelle est entrain d'allumer le feu de la cuisinière à bois. Je passe mes mains autour de sa taille par derrière. Je colle mes lèvres dans sa nuque.

J'adore le contact de la soie mauve de son pyjama. Quand je glisse ma main entre ses cuisses, qu'elle a ce petit réflexe féminin, je suis pétri d'émotion. Clémentine coupe trois parts de la magnifique brioche au pudding. Je viens lui faire la même chose. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre samedi soir "bondage". << Personne n'était "bondé" pourtant ! Mais qu'est-ce que c'était bon ! >> s'exclame Estelle. << J'adore. "Maître" Julien est de plus en plus habité par le personnage ! >> rajoute Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en envisageant déjà la "soirée cinéma" de samedi prochain. Estelle aura fait le montage du film réalisé à cette occasion. << Il n'y aura pas beaucoup de scènes à supprimer, tout était parfait ! >> fait encore Estelle en mimant une branle.

Le dimanche pas de gymnastique. Repos total. Nous traînons à table en dissertant sur le projet de randonnée de l'après-midi. Ce sera le sentier des collines. Celui qui monte au château médiéval. Splendide rénovation du Conseil Général qui en a fait une somptueuse destination touristique et un centre culturel exemplaire. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges parlent de leurs études. J'écoute. C'est tellement surprenant d'entendre les ruses et les stratégies que vont encore mettre en œuvres mes deux coquines. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Pendant qu'Estelle s'habille comme nous, Clémentine et moi faisons le lit, ramenons les vêtements pour demain lundi.

Pressés d'aller constater de visu les conditions météos, nous redescendons à toute vitesse. Le ciel est clair, lumineux. La température est de zéro degré. Pas un souffle de vent. << C'est parfait pour une rando ! >> lance Clémentine. Les filles restent accrochées à mes bras alors que nous descendons vers la rivière. Nos amis à plumes virevoltent à la surface des eaux. Il y a un couple de hérons cendrés qui nous observe sur la rive opposée. Deux magnifiques échassiers plutôt distants. Emmitouflés dans nos anoraks, sous nos bonnets, avec nos gants, nous ne nous attardons pas. Nous remontons nous mettre au chaud. Assises sur mes cuisses, au salon, les filles allument l'ordinateur. Pas de courriels. Leur premier réflexe est de faire un tour sur le site de l'université. La page d'accueil a changé.

Puis Clémentine visite chacun des forums où nous publions nos aventures. Sur le meilleur d'entre tous, BobVoyeur, nous avons régulièrement des messages privés. Le plus souvent extrêmement sympathiques. Pour l'épisode 2500 publié samedi, nous avons quelques félicitations. Estelle, Clémentine et Julien, les pseudos que nous avons choisi il y a sept ans sont devenu populaires dans les milieux de l'écriture érotique. Il y a également des messages dithyrambiques qui me sont personnellement adressés. Mes nouvelles publications "Le trou" dans la rubrique "Pratiques sexuelles, jeux érotiques et fétichisme" de ce même forum suscitent l'intérêt des fétichistes du Gloryhole. C'est toujours Clémentine qui répond. Estelle lit le dernier épisode à voix haute alors que je caresse ses petits seins.

<< Mais quel salaud tu fais. Ça s'est passé il y a onze ans. Tu racontes tout ? Où juste ce qui est racontable ? >> me demande Estelle. << Seulement ce qui est racontable ! Comme avec nos aventures ! >> répond Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Estelle rajoute : << Tu es abonné aux salopes. Je peux voir ta carte d'abonnement ? >>. Il va être onze heures trente. Si nous voulons partir tôt pour profiter de la lumière, il vaut mieux se mettre à la préparation du repas immédiatement. Clémentine fait l'assaisonnement d'une belle laitue dont elle lave également les feuilles pour ce soir. Estelle fait gonfler du riz complet. Je fais cuire trois pavés de saumon dans la poêle. Estelle râpe le gruyère en revenant sur notre soirée "bondage". << J'adore quand tu me baises comme un rustre ! >> me dit elle. Rires.

Elle rajoute : << Surtout dans nos personnages ! >>. Clémentine précise : << J'adore le comportement du "Maître" ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en faisant le planning de la suite. Nous ne traînons pas. Nous débarrassons pour tout mettre dans le lave vaisselle. Nous préparons immédiatement le thé bouillant dans la thermos, les barres de céréales. Le tout dans le petit sac à dos avant de monter nous laver les dents, nous changer. Avec ce froid, nous enfilons des collants sous nos Levis. Des maillots à manches longues sous nos sweats. Nous voilà parés. Nous dévalons les escaliers pour remettre nos anoraks. Nous traversons le jardin en courant. Avec le dégel le sol est détrempé. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Il y a 25 kilomètres.

Treize heures piles quand je gare l'auto sur le parking du restaurant. Nous changeons de godasses. Je mets le petit sac sur le dos. Nous ne sommes pas les seuls à vouloir profiter de cette journée de redoux très relatif. Nous prenons le sentier qui monte sur la droite du restaurant. La terrasse si animée à la belle saison est tristement déserte et silencieuse. Nous traversons le pont en dos d'âne qui traverse la rivière torrentueuse pour prendre à gauche. Le sentier devient chemin. Nous pouvons y évoluer côte à côte en nous tenant par les mains. Les filles parlent de leurs études. De leurs thèses. Nous croisons des promeneurs. Le plus souvent des groupes. Les sentiers rocailleux, pierreux s'avèrent souvent glissants, il faut donc redoubler de prudence. Mes anges s'accrochent alors à moi.

<< Tu as une lourde responsabilité. Deux fois soixante kilos de viandes et d'os à trimballer ! >> lance Estelle en me faisant un bisou sur la bouche. Nous suscitons encore bien des interrogations chez les marcheurs que nous croisons. Ces deux jeunes filles accrochées aux bras d'un homme d'âge mûr. Cela nous amuse. J'ai envie de hurler : << Non, je ne suis pas le papa ! >>. Nous aimons jouer de ces situations. En bas, dans la vallée, les eaux sombres du lac reflètent le ciel laiteux. << Ça fait penser au Loch Ness. C'est un peu le même paysage mais en plus petit ! >> lance Estelle. C'est vrai. La ressemblance est frappante avec un peu d'imagination. Deux heures de marche avec quelques arrêts bisous. Voilà la silhouette massive et majestueuse du château qui se détache sur le ciel.

Il n'y a aucune animation à la mauvaise saison. Les deux restaurants sont fermés. Tout comme la boutique souvenirs, l'office de tourisme et le musée. Par contre il y a du monde à se promener dans la vaste cour. C'est bien dommage mais l'accès aux chemins de rondes, sur les murailles, est interdit. C'est frustrant. << Nous vivons une époque où les mesures de sécurité vont jusqu'à infantiliser les bébés ! >> lance Estelle. << Un jour on nous imposera la compagnie d'une caméra même pour aller aux toilettes ! >> rajoute Clémentine. << En parlant de toilettes, j'ai envie de faire pipi ! >> s'écrie Estelle. Les toilettes publiques sont évidemment fermées. Il faut donc trouver un endroit. Nous avons nos repères sur le sentier qui descend vers le lac. Il suffit de parcourir deux cent mètres.

<< C'est chiant de pisser comme ça ! >> s'exclame Estelle alors que nous sommes tous les trois avec les jeans, les collants et les slips descendus à mi cuisses. Tous les trois dans la même position. Avec ce froid c'est tout particulièrement détestable mais suffisamment drôle pour nous faire rire aux éclats. Je suis chargé de torcher mes deux anges avec les mouchoirs en papier qu'elles me tendent. Depuis notre cachette, derrière un abri, nous entendons les éclats de voix des marcheurs qui passent à proximité. Nous contournons le petit lac par sa rive droite. Le chemin permet d'y marcher de front en nous tenant les main. C'est un peu plus long mais plus sympathique. Le crépuscule précède une nuit éclairée par une lune grossissante. Bientôt pleine. Il faut sortir la lampe du sac à dos.

Il fait nuit. Nous connaissons parfaitement les lieux. Il est dix huit heures quand nous sommes de retour à la voiture. Estelle exige d'être assise à côté de Clémentine sur le siège passager. Je roule doucement. Estelle me tient la bite. Sa main encore fraiche se réchauffe vite. En arrivant devant le portail ouvert, je dis : << Ce soir, léchage de minous ! >>. Elles éclatent de rire. << Beau programme ! >> lance Estelle. Il est dix huit heures quarante cinq. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la laitue déjà lavée. Estelle concocte sa spécialité du dimanche soir. Une omelette aux fromages. Je fais bouillir l'eau des spaghettis. Avec du Parmesan ce sera délicieux. Nous mangeons en revenant sur les moments forts de notre randonnée. << Les pipis foireux ! >> dit Estelle.

Nous ne traînons pas. Estelle devra nous laisser pour 22 h. La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Elles me font tomber dans le canapé. Toutes les deux, en dansant lascivement, en riant aux éclats, retirent baskets, Levis et culottes. Elles s'installent à côté de moi. Je suis entre mes deux anges. Je dispose deux des épais coussins au sol. À genoux, je commence par le sexe d'Estelle. Pas de douche le dimanche. Je laisse aux "connaisseurs" d'apprécier le festin auquel je me livre ce soir. Estelle se masturbe alors que je fouille ses intimités du bout de ma langue. Elle cesse quand je suce son clitoris. J'ai le gout de ses fromages dans la bouche. Ses odeurs fortes. J'en ai de délicieux vertiges. Comme Clémentine à ses règles, je ne peux que sucer son clitoris géant. De quoi me régaler.

J'adore ces ambiances feutrées des dimanches soirs. Les léchouilles, les sucettes, le gout vinaigré des trous à pipis, les miasmes mystérieux qui fondent sur ma langue. Je me branle en passant de l'une à l'autre. Dans la stéréophonie philharmonique des gémissements, des petits râles et des petits cris de ravissements. L'orgasme d'Estelle la fait hurler en se tortillant. Elle me tient par les oreilles. L'orgasme de Clémentine la fait pisser dans la cuvette en poussant des cris insensés. Je me redresse. Je lui fourre la bite dans la bouche. Complètement surprise par mon initiative, elle ouvre de grands yeux, pousse un râle alors que je la tiens fermement sous le menton et par la nuque en lui éjaculant au fond de la gorge. << T'es bien dégueu ! >> me fais Estelle avant de se mettre à sucer pour récupérer tout ce qu'elle peut du "fond de cuve".

Bonne nuit à toutes les coquines qui se blottissent contre leur coquin, sous les draps, pour de dernières tendresses, avant de sombrer dans un profond sommeil. Lundi il y a école...

Julien (coquin)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Tuesday 23 January 2024 07:37

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 8 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2502 -



Et c'est reparti

Il est presque six heures. L'illusion d'être tiré du sommeil au plus profond d'une mystérieuse forêt. Clémentine se tourne pour se serrer contre moi. Le réveil étant très certainement l'épreuve la plus douloureuse de la journée. Elle gémit en cherchant à la fois le réconfort et le courage d'affronter la réalité. Quelques bisous. Quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. C'est le troisième jour de ses règles, je l'y laisse seule pour me rendre à la salle de bain. Nos vêtement y sont préparés. Elle vient me rejoindre. Habillés de nos leggings de lycra noir, de nos sweats de lycra rouge, morts de faim, nous dévalons les escaliers. Le radiateurs viennent seulement d'entrer en fonction. Il fait froid. Pendant que Clémentine prépare le café, j'allume la cuisinière à bois. Un bon feu.

C'est la toute première caresse de ce lundi. Il reste de cette délicieuse brioche au pudding que je place dans le four à micro ondes. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos deux randonnées du week-end. Sur la séance filmée de samedi soir. << C'est toujours intense. Tu sais que ma seule appréhension reste la crainte de devenir un jour un vieux couple assis devant sa télévision ! >> lance Clémentine en venant terminer sa tartine au miel assise sur mes cuisses. Nous mangeons de bon appétit en riant des curieuses pensées de ma compagne. Il va être six heures vingt cinq. La chaleur devient agréable. Nous remontons pour nous offrir un autre plaisir. Les échauffements aérobics, le jogging sur les tapis roulants, les exercices au sol et les charges additionnelles.

Un entraînement de presque une heure qui situe bien les choses en faisant de nous des "guerriers" pour la journée. Le retour au calme d'un stretching trop hâtif avant de prendre la douche. Je redescends pour aller faire chauffer la voiture. Presque 7 h45. La température extérieure est de deux degrés. Il ne pleut pas mais le sol est trempé des pluies de la nuit. Le jour se lève sous un ciel bas et sinistre. Clémentine vient me rejoindre chaudement vêtue. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. Je rentre en courant pour retrouver les 22° qui règnent dans la maison. Je fais la vaisselle. Je fais notre lit avant de passer dans l'atelier. Le cérémonial quasi religieux qui consiste à faire une belle flambée dans la cheminée.

Installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je m'attelle à ma nouvelle création. Son nom provisoire est "Reflets". Une œuvre hyper réaliste où je représente l'intérieur d'une vitrine. Un magasin de parfums. Des flacons de verre, posés sur des étagères en verre dans lesquelles se reflète une rue de New-York. Je peins dans un enthousiasme tel que je pousse des cris surréalistes à chaque coup de pinceau. Évidemment, dans ces conditions d'extases, toutes notions du temps m'échappent. C'est l'horloge biologique de la faim qui me tenaille, m'avertissant qu'il va être midi. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Pendant que gonfle le riz complet, que rissolent deux nems, je fais l'assaisonnement d'un concombre. Une préparation hâtive.

Je mange toutefois de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff revient sur les principaux faits d'actualités. Il est question des nouveaux ministres nommés par un président aux abois. Acculé dans les latrines d'un fonctionnement de plus en plus incohérent. Comment des gens ayant des comptes à rendre à la justice pour des actes qui emmèneraient le commun des mortels derrière les barreaux, peuvent-ils exercer un ministère ? Les dirigeants, se sachant dans l'impunité la plus totale, ne cachent même plus leurs turpitudes. Ils se savent au-dessus des lois qu'ils ont pourtant contribué à mettre en place. Avec le plus absolu mépris pour ce que pourrait en penser ce brave peuple. Mais il est vrai que ce brave peuple ne pense plus depuis longtemps. Il baisse la tête.

J'écoute en préparant mentalement le repas de ce soir. Ce sera un gratin Dauphinois, façon "Julien". J'épluche, je lave, de grosses pommes de terre. Je les coupe en tranches épaisses d'un demi centimètre environ. Je les ébouillante dans l'autocuiseur. Le temps d'émincer deux escalopes de dindes, de l'ail, un gros oignon. Je fais rissoler dans la poêle. un déglaçage pour donner du jus. Une sauce. Je râpe une bonne quantité de ce délicieux gruyère Suisse. Je coupe en fines lamelles du Morbier. Je prépare un mélange d'œuf et fromage blanc. Du lait de soja. J'égoutte les patates pour en disposer une première couche dans le grand plat carré en terre cuite. Je recouvre d'un peu du contenu de la poêle. Une couche de gruyère. Une seconde couche de pommes de terre. Ainsi de suite jusqu'à ras bord.

Je verse le mélange sur le tout avant de recouvrir de gruyère et des tranches de Morbier. Je saupoudre de chapelure, graines de sésame grillé. Je dispose des cerneaux de noix en trois carrés, l'un dans l'autre. C'est beau. Au four pour laisser mijoter longuement à 160°. Le thermostat s'occupera du reste. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Je regarde tomber la pluie par l'une des deux fenêtres. C'est une ambiance sinistre. Je dévale les escaliers pour chausser mes bottes en caoutchouc, enfiler l'anorak. C'est sous le parapluie que je parcours la propriété. Un froid humide. Un sol détrempé. Il est quatorze heures quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé du même enthousiasme que ce matin. Totalement privé de la notion des heures qui passent.

Du bruit. Dix sept heures trente. Déjà. Clémentine rentre de cours. Elle jette son cartable dans le fauteuil à bascule pour venir me rejoindre. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Tu sais que mes "petits machins" sont déjà en voie d'extinction ? Ça ne s'est jamais aussi bien passé ! Si c'était comme ça à chaque fois ce serait parfait ! >> m'explique t-elle en se frottant doucement. Elle a encore un peu de travail. Impatiente d'en finir avec sa journée d'étudiante, elle s'assoit devant son ordinateur en chantonnant. Trois petits quart d'heure à nous occuper. J'adore quand elle brise le silence de nos concentrations en me racontant des anecdotes. Un détail de sa journée qui vient soudainement à son esprit.

Dix huit heures quarante. << Ras-le-bol, vraiment ! >> s'exclame t-elle en se levant. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine vient me rejoindre au lavabo de l'atelier. Pendant que je me lave les mains, elle tient ma bite pour en diriger les jets. J'adore voir les expressions de son visage dans le minuscule miroir suspendu au carrelage. Penchée en avant, secouant consciencieusement les dernières gouttes avant de se pencher davantage pour les sucer. Je saisis sa natte que je tiens au plus court. Elle se redresse pour me prendre par les épaules. Dans un vague tango, pas du tout argentin, elle m'entraîne en chantonnant. Cette danse nous amuse. Je prends sa main pour la guider tel un Rudolf Valentino à travers toute la grande pièce. << Je vous aime monsieur ! >> lance t-elle.

Je dis : << Je vous aime mademoiselle ! >>. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes en enfonçant sa langue dans ma bouche. Cet assaut de bonheur me fait rapidement bander comme le dernier des danseurs de salon. Clémentine se frotte sur cette bosse qui la réjouit. J'ai la bite à l'air. C'est douloureux. Je la repose au sol. Elle attrape mon chibre d'une poigne ferme. C'est comme ça que nous quittons l'atelier pour la cuisine. Nous nouons nos tabliers. Quand elle découvre ce que je sors du four électrique pour le mettre dans la fournaise du four à bois, je dois faire face à un déluge de bisous. Je l'aide à préparer l'assaisonnement des endives. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les moments clefs du week-end passé. La soirée "bondage" de samedi.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie à quel point elle apprécie nos soirées à deux. La vaisselle. Nous quittons la cuisine pour le salon. Clémentine me fait tomber dans le canapé. Elle jette un des épais coussins au sol, devant moi. À genoux dessus, entre mes jambes largement écartées, elle tient ma queue de ses deux mains pour jouer avec. En décalotter légèrement le gland pour le humer. Titiller le méat du bout de sa langue. Il y a les premières sécrétions de liquide séminal. Un fin filament opalescent relie sa langue à l'ouverture du gland. C'est à la fois insolite et excitant à voir. Elle l'aspire comme elle le ferait d'un spaghetti. Elle refait plusieurs fois, amusée, me fixant de ses yeux d'un bleu clair et intense dans l'obscurité.

J'aime l'observer quand elle passe sa langue sous la peau de mon prépuce. Cela évoque un petit animal sous un tapis. Pour finir par prendre l'extrémité de ma biroute dure comme le bois, en bouche. Je passe le bout de mes doigts dans le creux de ses joues. Sur ses sourcils. Le long de ses oreilles que je finis par saisir pour lui enfoncer davantage de queue. De légères contractions des muscles fessiers font bouger ma bite dans sa bouche mais font également monter la sève gluante. << Mmhhh, mmhh ! >> murmure t-elle en tentant de déglutir ce qu'elle pompe avec passion. Je chuchote : << J'ai adoré te voir sucer Robert vendredi dernier chez Juliette ! >>. Elle se contente de glousser sans cesser de sucer. Je continue : << C'est ta première autre bite de l'année ! >>. Elle ouvre les yeux.

Elle me fixe. À présent attentive à mes paroles. Clémentine apprécie beaucoup ces instants ou, durant la fellation, je reviens sur des souvenirs communs. Je caresse son visage. Je me fais tailler une pipe des familles. Toutes les deux trois minutes elle cesse. Non seulement pour laisser reposer sa mâchoire, mais pour tenter d'avaler la jute épaisse et visqueuse qu'elle tire de mes couilles. C'est la fin de ses règles. La place est encore occupée. Mais rien n'empêche de sucer son clitoris géant. Après tout, c'est là que tout se passe. C'est le clitoris qui est source de plaisir. Je murmure mon désir de m'en occuper. Clémentine cesse de piper pour dire : << Tu me fais ça tout à l'heure, au lit, sous les draps ! >>. Elle reprend sa fellation passionnée. Sa main droite que je ne vois plus, dans sa culotte.

Je me fais pomper comme un bienheureux. << Raconte-moi encore ! >> chuchote t-elle lors d'une pause de quelques secondes. Je reviens sur les émotions vécues durant le dernier Gloryhole dans les écuries chez Juliette. Mes histoires la ravissent. La font sucer encore plus passionnément. La font glousser de plaisir. C'est excitant de partager ainsi des souvenirs communs. Soudain, sans prévenir, en sournois intégral, je lâche la purée. Je la tiens par ses oreilles pour éjaculer au fond de sa gorge. Elle en tousse. Une larme coule subitement de son œil gauche. Je la maintiens. Les suceuses savent la difficulté d'avaler le sperme en étant maintenues ainsi. Je jute comme un parfait enfoiré. Trois giclées que je sais abondantes, qui la font tousser. Trois saccades. Elle en a des hauts le cœur. Je sens les frissons qui parcourent son corps. Ces instants où le dégoût se mêle au plaisir. Je la relâche enfin. Les yeux pleins de reconnaissance elle dit : << Je t'aime ! >>

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se font sucer le clitoris sous les draps. Entre le sommeil qui les gagne doucement et l'indicible plaisir qui les envahit. Au point de mêler le premier onirisme et la réalité. Avant de se blottir contre celui qui les aime comme un fou...

Julien (le fou)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Clémentine et Julien
Wednesday 24 January 2024 07:38

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 9 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2503 -



Notre couple à trois

Cinq heures cinquante cinq. C'est tous les matins l'heure à laquelle nous sommes tirés de nos profonds sommeils. L'illusion de nous réveiller au fond d'un bois. Par une belle journée d'été. Cela dure quarante cinq secondes. Chaque minute nous est alors comptée. Clémentine se blottit contre moi. Je la prends dans mes bras. Quelques papouilles, quelques bisous. Les rituels commencent et s'enchaînent, immuables et quotidiens. Comme pour chacun d'entre nous. Nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain encore fraîche me rejoint Clémentine. << Ça y est, plus rien. Fini ! >> lance t-elle. Faisant allusion à ses règles. Revêtus de nos tenues de sports, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. J'y allume immédiatement le feu de la cuisinière à bois.

Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Je place les deux gros croissants aux amandes dans le four à micro ondes. Je beurre les quatre tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur notre soirée en amoureux. << Pour moi c'était la seconde "soirée pipe" en trois jours ! >> dit Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Elle rajoute : << Et j'aime ça ! >>. Nous mangeons de bon appétit en envisageant le repas de ce soir en compagnie d'Estelle. Il est rapidement décidé de faire une Flamiche Picarde. Cette délicieuse tourte aux poireaux dont nous raffolons. Six heures vingt cinq. Nous remontons à toutes vitesse. Les radiateurs commencent à réchauffer l'air ambiant. Sauf notre chambre et notre salle d'entraînement. Fraîches.

Volonté délibérée qui permet de mieux dormir, de mieux s'entraîner. Les échauffements aérobics, suivis du jogging sur tapis roulants s'avèrent alors très efficaces. Les exercices au sol avant les charges additionnelles. Conclure par les étirements d'un stretching permet le plus parfait retour au calme avant la douche. Je redescends le premier pour sortir l'auto du garage. Il va être 7 h45 sous un ciel sinistre. La température extérieure est de 10°. Il fait nettement moins froid ce mardi matin. Appréciable. Tout est trempé des pluies de la nuit. Ce n'est qu'une accalmie avant qu'elles ne se remettent à tomber. Clémentine vient me rejoindre dans son blouson d'épais cuir brun, son bonnet brun, ses gants, ses bottines brunes, son Levis. Élégante et sexy. Un tout dernier bisou.

Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je rentre faire la vaisselle, notre lit avant de passer dans l'atelier. C'est agréable d'allumer une bonne flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ma toile hyper réaliste "Reflets", m'accapare rapidement. Je peins dans la plus totale sérénité sans voir tourner les aiguilles de la pendule. Je sais qu'il n'est pas loin de midi quand mon estomac se met à grogner. Je mets deux bûches sur les braises. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe les restes du gratin de pommes de terre en faisant l'assaisonnement d'une belle laitue. J'en lave les feuilles également pour ce soir. Je sors la pâte feuilletée du bas du réfrigérateur. Je descends dans le cellier de la cave pour chercher deux poireaux.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. L'émission d'André Bercoff s'avère encore instructive et pleine de ces révélations truculentes qui font le succès grandissant de cette station. Il y est évidemment question des évènements qui secouent le monde agricole. Ce qui inquiète fortement la crapule encravatée de Paris. Tout cela peut déraper d'un jour à l'autre en entraînant d'autres secteurs d'activités. Cette maudite Europe, dirigée par des individus qui n'ont été élus par personne, exerce un dictat insupportable pour plusieurs catégories professionnelles. Des fonctionnaires du fond de leurs administrations, devant la machine à café, décident de la vie des gens confrontés aux réalités. Des députés Européens palpent vingt milles euros de salaires mensuels pour décider du taux du Smic.

J'écoute ces invraisemblances pourtant bien réelles en préparant mentalement la tourte aux poireaux. J'étale deux tiers de la pâte dans le grand plat rond aux bords hauts. Je lave et je coupe deux magnifiques poireaux que j'ébouillante dans l'auto cuiseur. Pendant que je cuisine une belle Béchamel. J'y rajoute ail, échalote, persil, ciboulette et quelques épices. Poivre, curcuma, paprika, muscade. De ce succulent gruyère Suisse que je râpe. J'égoutte le poireaux. (Une de mes spécialités dans la bouche de mes deux anges). Cette idée me fait sourire et me donne quelques idées pour agrémenter la soirée. Je mets le poireau dans la Béchamel. Je mélange. Je verse le tout sur la pâte feuilletée. Je recouvre du dernier tiers de pâte en jointant consciencieusement les bords avec les doigts.

Je badigeonne du mélange moutarde, œuf et lait de soja. Au four électrique pour une longue cuisson à seulement 160°. Pilotée par le thermostat. La vaisselle avant de monter me laver les dents. Je regarde par une des deux fenêtres de la salle de bain. Il pleut. Une météo désobligeante. Pressé de tout de même aller me dégourdir les jambes, je dévale les escaliers pour chausser mes bottes en caoutchouc, enfiler mon anorak. La température extérieure est à présent de 15°. Un sacré contraste avec le froid des jours précédents. C'est sous le parapluie que je descends jusqu'à la rivière. Il est treize heures cinquante quand je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé de cette même sérénité. Sans la moindre notion de ce temps qui passe inexorablement.

Le léger bruit que j'entends m'avertit qu'il est dix sept heures trente, que Clémentine vient de rentrer de cours. Je l'entends chantonner en revenant des toilettes. J'anticipe. Je pose la palette, les pinceaux sur la desserte à ma droite. La porte s'ouvre. Elle se précipite. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << J'ai raconté notre soirée pipe à Estelle. Attends-toi à de la récidive éventuelle ! >> me dit elle entre deux baisers. Clémentine a encore des notes à mettre au propre. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, elle chantonne. Voilà cette heure de travail ensemble que j'attends chaque fin d'après-midi avec impatience. Je peins encore mieux avec sa présence. Sublime.

<< Put-Hein, stop ! Là, ça ne va plus ! >> s'exclame soudain Clémentine en se levant. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je me lave les mains devant le lavabo de l'atelier. Cet un autre rituel. Elle vient me rejoindre pour tenir ma bite, en diriger les jets, un bras autour de ma taille, penchée, la tête sous mon aisselle. Accroupie, savourant les derniers épanchements, elle me fixe de son regard plein d'amour. Je caresse ses cheveux. Je la saisis par sa natte. Au lieu de se redresser, Clémentine cesse pour se mettre à quatre pattes. << Je vous amie mon doux "Maître" ! >> susurre t-elle. Elle se met à avancer ainsi. Je la tiens par sa natte. Nous faisons le tour de la grande pièce. À chaque coin des meubles, elle lève la cuisse. C'est dans cette situation qu'arrive Estelle. Elle reste hébétée.

<< Put-Hein, vous ne vous emmerdez plus quand je ne suis pas là ! >> s'écrie t-elle en courant pour nous rejoindre. Elle enfonce immédiatement sa langue dans ma bouche. Je bande presque de suite dans celle de Clémentine qui s'est redressée, bien droite sur ses genoux. Nos retrouvailles sont souvent épiques mais là elles sont sextraordinaires. Estelle me tend sa natte en disant : << Et moi, je sens le pâté ? >>. Je la saisis alors qu'elle se met à quatre pattes. Je les promène toutes les deux en essayant de me remettre de ma surprise. Nous arrêtons devant la cheminée. J'aide mes deux anges à se relever. Accroupi à mon tour je masse d'abord les genoux de Clémentine qui caresse ma tête. Puis ceux d'Estelle qui me tient par les oreilles. Nous admirons la danse des flammes.

Je tiens mes deux anges par leurs tailles. Serrées contre moi, elles reviennent sur quelques anecdotes vécues aujourd'hui en cours. La faim nous tenaille. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Nous nouons nos tabliers sur nos reins. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la laitue. Quand elles découvrent ma préparation du soir, elles me sautent au cou. À travers le coton de mon tablier, Estelle palpe et masse ma bosse. Elle surveille la Tourte aux poireaux, accroupie devant la porte du four à bois. Je mets les assiettes, les couverts. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Estelle et Clémentine parlent de leurs études. De la mise en œuvre des possibilités infinies de l'utilisation de l'intelligence artificielle dans les domaines des sciences. J'écoute car c'est vraiment passionnant.

Nous ne traînons pas. Nous débarrassons pour tout mettre dans le lave vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Le rituel de nos mardis soirs. Toutes les deux, en riant, retirent bottines, Levis, culottes pour rester en grosses chaussettes et en pulls. Je les regarde, amusé, faire leurs danses orientales en remuant les hanches. Toutes les deux lèvent leurs pulls pour que je puisse admirer leurs "tablettes de chocolat" soigneusement entretenues par un entraînement quotidien. Je dépose deux des épais coussins sur le bureau. Pauvre bureau victorien qui va encore souffrir un peu ce soir. Toutes les deux miment une masturbation masculine. Je ne les imite pas car je me masturbe pour de bon. Elles s'installent sur le bureau. Un mètre les sépare mais leurs genoux se touchent. Cuisses écartées. Elles se masturbent en m'observant. Nous aimons faire durer. C'est une gradation dans l'étourdissement des sens. Dans les vertiges qui nous gagnent.

Estelle me fait signe de m'approcher. Avec son index. Elle devra nous laisser pour 22 h. Je viens me positionner. En appui de mes genoux contre le bureau. Je frotte mon sexe contre le sien. Je cesse pour me pencher. J'adore humer les minous de mes deux anges. Leurs journées de filles. Étourdissant. C'est un vertige supplémentaire. Je fouille leurs intimités du bout de ma langue alors qu'elles se masturbent silencieusement. Je n'entends que le souffle de leurs respirations concentrées. Je passe de l'une à l'autre. Parfois je suce les clitoris. Elles échangent leurs impressions. J'aime les entendre rire, donner une appréciation entre les premiers gémissements de plaisir. Je cesse pour aller récupérer la cuvette de plastique bleu sous le guéridon à côté du canapé. Je reviens la poser sur le bureau.

Ce soir, je m'enfonce délicatement dans Clémentine. C'est par elle que je commence. Mes deux anges se masturbent toujours quand elles sont pénétrées. Comme elles le précisent : << Une bite n'est qu'un gadget supplémentaire ! >>. Ni l'une, ni l'autre ne sont "vaginales". D'ailleurs, ça n'existe pas vraiment. L'immense majorité des femmes sont clitoridiennes. C'est là que ça se passe. Et ce n'est que la partie visible d'un organe destiné exclusivement à la jouissance et au plaisir. La pénétration n'est donc même pas un pur accessoire mais un simple acte de stimuli. Mes deux coquines préfèrent d'ailleurs nettement un bon cunnilingus. Moi aussi. Tout comme je préfère une bonne pipe. Mais de faire l'amour nous permet d'échanger de la tendresse. De communiquer par le regard.

Je les besogne à tour de rôle. Estelle à la hussarde. Clémentine avec douceur. Selon leurs convenances. Mais c'est lorsque je cesse pour sucer leurs clitoris que les vagues de plaisir s'enchaînent. Couchées sur le dos, leurs têtes posées sur les coussins, elles se tortillent de jouissances. Cherchant l'angle le meilleurs pour jouir le mieux possible. Je me redresse, les pénètre à nouveau. Je cesse, je suce, je reviens. Il est impossible de s'habituer à cette activité. Nous nous y adonnons avec passion. Quand mes lombaires deviennent douloureuses à cause de la position, je me retire pour me pencher et sucer. Ce qui soulage le bas de mon dos. L'orgasme d'Estelle doit être de onze sur l'échelle de Richter qui n'en compte que dix. Celui de Clémentine est pisseux et cataclysmique. Des cris.

Bonne nouille à toutes les coquines qui, une fois sous les draps, vont en savourer les jus avant de l'égoutter complètement. Puis plonger dans le sommeil, serrées dans des bras amoureux...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Thursday 25 January 2024 07:36

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 10 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2504 -



Quand Juliette vient passer la soirée

Il n'est pas loin de sept heures, hier matin, mercredi, quand nous sortons du sommeil. Quasiment en même temps. Clémentine se serre contre moi un instant avant de me chevaucher. << Je suis avec mon chéri toute la journée ! >> lance t-elle en mitraillant mon visage de bisous. Frottant son sexe sur le mien. L'impérieux besoin de pisser remporte la partie. Nous nous précipitons aux toilettes en riant. Il fait bien chaud dans la maison. Nous revêtons nos habits de gym à la salle de bain. Clémentine, facétieuse, pose sa main sur la bosse qui déforme le lycra de mon legging en murmurant : << Beau paquet ! >>. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusque dans le hall d'entrée. Nous ouvrons le portail depuis l'interphone. Nous courons jusqu'à la cuisine. Clémentine me palpe.

C'est en imitant l'accent Corse de Juliette qu'elle prépare le café, pèle les kiwis, presse les oranges. J'allume la cuisinière à bois avant de beurrer les tranches de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit en envisageant déjà le repas de ce soir. Juliette viendra manger pour dix neuf heures. Nous optons pour une tarte aux courgettes et à l'aubergine. Simple mais délicieuse. Nous mangeons de bon appétit en sachant que pour midi il nous reste de la Flamiche Picarde. Cette tourte aux poireaux qui a enchanté notre mardi soir. Par association d'idées nous évoquons la compagnie d'Estelle. << Ce soir elle baise avec son parrain. Il faudra penser au contrôle de son minou jeudi soir ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Il est sept heures trente. Nous pouvons prendre notre temps.

Une bonne heure d'entraînement va achever de nous réveiller complètement. Nous remontons à toute vitesse. Les échauffements aérobics. Quand Clémentine reste à la maison, elle a tendance à une certaine euphorie. C'est plié de rire que je la regarde pratiquer son jogging sur le tapis roulant. Tout en courant, elle se tourne, me fait une grimace. Quand nous avons terminé de courir, elle me saute au cou. Des bisous. Pour ne pas nous refroidir, nous passons très vite aux abdos et autres exercices au sol. Les charges additionnelles. Le retour au calme avec les étirements d'une bon stretching. Nullement pressés par un quelconque timing, nous effectuons nos mouvements à la perfection. Comme les samedis matins. La douche. Nous revêtons nos jeans, nos épaisses chemises à carreaux. Le coton.

Nous redescendons pour aller directement dans l'atelier. Le mercredi c'est depuis la maison que Clémentine suit ses cours. En télé travail. J'allume une belle flambée dans la cheminée. Clémentine, assise devant son ordinateur, place ses écouteurs sur les oreilles pour attraper le train en marche. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. C'est un immense bonheur que d'être plongé dans nos activités en restant ensemble. Je peins dans l'extase la plus complète. J'entends Clémentine parler avec des étudiants de son groupe. Parfois il y a de longs moments de silence. Juste le crépitement du bois qui se consume dans l'âtre. C'est la musique de mon I-phone qui me tire de ces introspections. Il va être dix heures. Je me lève. Clémentine s'exclame : << Danièle ! >>

Elle me rejoint alors que je réponds à Danièle. Elle ouvre ma blouse. Fourre sa main dans ma braguette ouverte pour m'en extraire le Zob. Elle me tire par la queue jusque dans le hall d'entrée. La camionnette blanche de notre livreuse se gare devant la porte du garage. Danièle, vêtue de sa cape jaune, chaussée de ses bottes en caoutchouc, travers le jardin en portant un petit cageot recouvert d'un sac poubelle en plastique gris. Il pleut. Le ciel est sinistre. La température extérieure est de 15°. Nous accueillons Danièle dans le hall où elle se débarrasse de son ciré jaune. Je la débarrasse de son cageot. << Non , je vais bous faire des saletés partout ! >> dit elle quand Clémentine l'invite à nous suivre jusque dans la cuisine. Clémentine insiste en précisant : << Un petit coup de serpillère après ! >>

Du cageot que je pose sur la table, Danièle tire des escalopes de dinde et le petit poulet que je place immédiatement dans le haut du réfrigérateur. << Goutez-moi cet Appenzeler. Il vient directement des environs de Genève. Je vous en ai mis un échantillon. Si ça vous plaît, je vous en mettrais avec les livraisons du samedi matin ! >> fait encore Danièle en déballant un onctueux gruyère. Son odeur a de quoi ravir et mettre en appétit. J'ai la bite à l'air. Danièle la fixe avec son insistance habituelle. Sa coupe de cheveux auburns, à la garçonne, des légères tâches de rousseur, son visage avenant. Cette jeune femme est attractive. Elle me dit : << Pour les vacances de février, je viendrais passer un peu plus de temps mais en début d'après-midi. Je viendrai vous livrer en dernier ! >>

Clémentine répond : << Prévenez-nous, on prépare un café et des gâteaux. Il y aura Estelle avec nous ! >>. Danièle, ravie de cette proposition se tourne vers moi pour rajouter : << J'aurai deux mots à vous dire en particulier ! >>. Je n'ai pas le temps de réagir qu'elle saisit mon érection d'une main ferme. Elle me fixe dans les yeux. Un regard presque sévère pour murmurer : << J'aime les salauds de ton espèce ! >>. Elle me lâche en rajoutant : << Il faut que j'y aille. C'est bien dommage ! >>. Nous la raccompagnons jusque dans le hall où elle enfile sa cape de pluie. Elle touche nos poings du sien en lançant : << À samedi matin ! >>. Nous la regardons traverser le jardin en courant, restant sur les dalles de grès. Au volant de sa camionnette, elle nous fait un dernier coucou. La voilà partie.

De retour dans l'atelier, Clémentine prend mon Zob à pleine main pour dire : << Toi, tu te fais pomper le dard par cette salope pendant les vacances de février. Sûre ! Mais moi aussi j'aime les salauds de ton espèce ! >>. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Je bande comme le dernier de ces salauds évoqués par les deux femmes. Clémentine s'accroupit. Maintenant son équilibre en me tenant par les fesses, elle me suce avec fougue en gémissant de plaisir. Cela ne dure même pas une minute. Elle se redresse. Nous retournons chacun à nos postes de travail. Il va être midi. Nos estomacs nous en avertissent. Je mets deux bûches sur les braises. Me tirant par le Zob, Clémentine m'entraîne. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de carottes.

Pendant que réchauffe le reste de tourte aux poireaux je descends à la cave chercher une grosse aubergine et deux belles courgette. Je sors la pâte feuilletée du bas du frigo. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la visite de Danièle. Jeune femme étonnante, pleine de ce dynamiste des exploitantes agricoles qui font la richesse de nos terroirs. Nous ne traînons pas. Nous lavons et coupons en tranches l'aubergine et les courgettes. Clémentine étale la pâte dans le grand plat rond aux bords hauts. Je concocte le liant. Ce flan à base d'œufs, de fromage blanc, de crème fraîche et de lait de soja. C'est un jeu de placer les tranches en domino et en spirale. Pendant que Clémentine râpe le gruyère, je verse le mélange sur les légumes. Elle recouvre d'une bonne couche de gruyère Suisse.

Clémentine saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillé. Je dispose trois cercles concentriques de cerneaux de noix sur le tout, que Clémentine place dans le four électrique. Cuisson lente et longue à 160°. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Clémentine mime une fellation avec sa brosse à dents, laissant volontairement couler un peu de crème dentifrice de la commissure de ses lèvres. Tête contre tête, en riant, nous rinçons nos bouches au-dessus du lavabo. Après les avoir essuyé, nous nous embrassons passionnément au gout de l'eucalyptus. Clémentine s'accroupit pour sucer ma nouvelle érection. Une petite minute avant de se redresser en disant : << Quand je commence, c'est dur d'arrêter ! >>

Nous dévalons les escaliers pour retourner dans l'atelier. Nous reprenons nos travaux. Quand il y a des moments de silence, je sais que Clémentine est déconnectée. J'en profite pour la rejoindre. Debout derrière elle, mes mains sur ses épaules, je me penche pour lui faire des bisous dans la nuque. Elle m'explique ce que je vois sur l'écran. Ce sont des points qui se rejoignent pour former des figures géométriques. Chacune de ses figures s'adapte à une autre comme la pièce d'un puzzle. << Intelligence artificielle qui n'est pas du tout intelligente ! >> lance t-elle en saisissant mes poignets à chaque fois que je veux la laisser. Nous en rions quand apparaît à l'écran le visage d'un des étudiants. Je peux alors m'enfuir pour retourner à ma peinture. L'après-midi se passe ainsi.

Il est dix huit heures trente quand Clémentine se lève d'un bond en s'écriant : << Stop, je vais péter un plomb ! >>. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine vient me rejoindre au lavabo de l'atelier. Pendant que je lave mes mains, elle tient ma bite pour en diriger les jets. Une nouvelle fois accroupie, elle en savoure les derniers reliquats. Elle se redresse. Accrochée à mon cou, ses jambes autour de ma taille, je la promène dans toute la grande pièce. Du bruit. Nos intimes ont pour consigne d'arriver comme ils le souhaitent, sans s'annoncer. La porte s'ouvre. La silhouette de Juliette qui s'avance dans l'obscurité. Je dépose Clémentine au sol. Nous nous faisons la bise. Ce soir Juliette porte une paire de jeans, un pull noir à large col roulé, des bottines noires. Cheveux en natte.

Elle aussi s'empare immédiatement de ma queue pour dire : << Bel accueil que le vôtre cher monsieur ! >>. Clémentine se serre contre moi, un bras autour de ma taille. Quand Juliette a ce genre d'attitude, c'est toujours le réflexe de ma compagne. Juliette étant la seule femme dont elle pourrait éprouver de l'inquiétude sinon un reste de jalousie. Clémentine connaît les sentiments de Juliette pour ma personne. Et comme elle le signifie souvent : << Rien n'est plus dangereux qu'une femme amoureuse ! >>. Juliette me lâche la bite. C'est Clémentine qui me l'attrape. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Juliette met les assiettes, les couverts alors que je mets la tarte dans la fournaise du four de la cuisinière à bois. J'aide Clémentine à faire l'assaisonnement de la salade d'endives Belges.

Nous mangeons de bon appétit. Juliette nous raconte sa journée. Rapidement toutefois, la conversation s'axe sur nos intérêts communs. Le sexe. << Ma petite surprise de vendredi dernier a t-elle laissé un agréable souvenir ? >> demande Juliette. Clémentine répond : << J'adore ce genre de "plan". Mais il ne faut surtout pas que ça devienne systématique ! >>. Nous en rions de bon cœur. Comme je le fais toujours avec nos invitées, je me lève à plusieurs reprises durant le repas pour agiter ma bite. La vaisselle. C'est de retour au salon que nous prenons le dessert et le café. Ce soir des coupes glacées. Installée dans le fauteuil qui nous fait face, une main dans son jeans déboutonné, Juliette revient sur des souvenirs communs. Clémentine et moi, vautrés dans le canapé. Une main dans son Levis, l'autre jouant avec ma queue, Clémentine disserte sur les souvenirs du dernier gloryhole. << Tu en veux un prochainement ? >> demande Juliette.

<< Attendons un peu. Après les vacances de février par exemple ! >> répond Clémentine. Juliette devra nous laisser pour 22 h. Il n'est que vingt et une heures. J'écoute Juliette et Clémentine échanger leurs impressions. Chacun a toujours un souvenir personnel et différent d'un évènement. Je m'adresse à Juliette en la regardant se masturber dans son fauteuil : << Moi par contre les pipes que tu me fais restent de grands moments ! >>. Lorsque nous parlons sexe c'est en nous tutoyant. Juliette me répond : << J'ai beaucoup de pratique tu sais ! >>. Je demande : << Tu as déjà compté le nombre de bites que tu as sucé ? >>. Nous en rions de bon cœur quand elle répond : << Je ne les compte plus ! >>. Clémentine surenchérit en lançant : << Moi non plus ! >>. Elle me branle.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se font encore un peu brouter le minou avant et après une petite pénétration sous les draps. S'endormant dans les bras de leur coquin avec la bouche au gout de son sperme...

Julien (le coquin)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Friday 26 January 2024 07:38

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 11 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2505 -



C'est au tour d'Estelle

Lorsque les illusions féériques nous tirent du sommeil, il est presque six heures. Le gazouillis des oiseaux qui résonne étrangement dans une forêt mystérieuse. Nos I-phones entrant en fonction en même temps. C'est une impression bluffante. En gémissant Clémentine se tourne pour se lover contre moi. Quelques bisous, quelques papouilles. Il faut encore se faire violence ce jeudi matin. Un peu comme des zombies nous nous levons pour aller aux toilettes. C'est la parabole de l'aveugle et du paralytique. Nous en rions rapidement en nous revêtant de nos tenues sports dans la salle de bain où il ne fait que 16°. C'est motivant car ça oblige à se remuer. Les radiateurs viennent de s'enclencher. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. J'allume immédiatement la cuisinière à bois.

Clémentine prépare le café, presse les oranges, pèle les kiwis en me racontant ses rêves. Je beurre les premières tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée en compagnie de Juliette. Nous mangeons de bon appétit en évoquant celle qui nous attend ce soir avec la compagnie d'Estelle. Il va être six heures vingt cinq. Nous remontons pour nous livrer corps et âmes à la gymnastique quotidienne. Il faut faire preuve de volonté car notre salle d'entraînement n'est pas chauffée. Ce qui motive également. Les échauffements aérobics, le jogging sur tapis roulants. Nous voilà bien chauds pour les exercices au sol. La manipulation des charges additionnelles. Les étirements du stretching. Qui permettent le retour au calme avant la douche.

Je redescends précipitamment pour aller faire chauffer l'auto. Bientôt sept heures quarante cinq. Le jour se lève. Le ciel est bas mais il ne pleut pas. La température est de 11°. Clémentine vient me rejoindre. Vêtue comme hier de son blouson d'épais cuir brun, de son Levis, ses bottines brunes. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je rentre faire la vaisselle, notre lit. Une fois dans l'atelier c'est un autre rituel. Fort plaisant. J'allume une belle flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ma toile hyper réaliste m'accapare totalement. Je peins en réfléchissant à l'éventualité de ne pas ouvrir ma galerie d'Art cet été. Il faudra que j'en parle très sérieusement avec Clémentine. La matinée passe.

Il va être midi. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Pendant que réchauffe le reste de la tarte aux légumes, que rissole un filet de flétan, je procède à l'assaisonnement d'une laitue dont je lave les feuilles également pour ce soir. Dans le grand plat carré en terre cuite, je place les cinq bouchées à la reine. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je sors deux grosses escalopes de dindes du réfrigérateur que j'émince avec l'ail et l'oignon. Dans la poêle. Je concocte une Béchamel. Je râpe du gruyère. J'égoutte les coquillettes que je verse dans le plat de façon à caler les bouchées à la reine. Je rajoute l'émincé de dinde, le gruyère à la Béchamel. Je remue. Je remplis les bouchées à la reine de cette garniture. Je recouvre de gruyère. Au four électrique, à 160°.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff consacre son émission aux évènements qui secouent le monde agricole. Comment, et de quelles manières, les agriculteurs et le monde paysan en général, vont-ils se faire baiser une fois de plus. Par un pourrissement de la situation ? Par de faux agriculteurs mandatés par certains ministères pour foutre la merde, décrédibiliser le mouvement auprès du "public" ? Les dirigeants pouvant ainsi légitimer l'envoi des CRS pour prétexter le maintien de l'ordre, énucléer, mutiler et procéder à des arrestations arbitraires pour donner des images aux médias. Toutes ces saloperies habituelles utilisées sans scrupules par de dangereux psychopathes qui dirigent d'abord les affaires de leurs amis de la haute finance avant celles de la nation. Parfois même pédophiles pour certains d'entre eux. Mafieux pour la plupart.

Je fais la vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller me dégourdir un peu les jambes, je dévale les escaliers pour enfiler mon anorak. Mes bottes en caoutchouc. Le ciel est nuageux, couvert, mais pas menaçant. Je descends jusqu'à la rivière. Je pense une fois encore à l'ouverture ou non de ma galerie d'Art. Si j'ouvre, il me faut quinze toiles. Ce qui implique que je me plonge dans les reproductions de mes anciennes toiles. Ce qui n'est pas vraiment créatif. Si je laisse fermé cet été, je pourrai me consacrer à de nouvelles créations. Les proposer à la vente l'année prochaine. Je vais soumette cette idée à Clémentine. Il est treize heures cinquante quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans la plus totale sérénité. Le repas surprise pour ce soir est prêt.

L'après-midi passe ainsi. La nuit est tombée. Du bruit. Il est dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours. Elle dépose son cartable sur la table en disant : << Put-Hein, aujourd'hui ras le bol ! >>. Elle se précipite pour s'assoir à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << C'est au tour d'Estelle d'avoir ses "petits machins". Et ça ne se passe pas très bien cette fois ! >> précise Clémentine qui rajoute : << Elle va solliciter les bons soins du docteur Julien ! >>. Nous en rions de bon cœur. Clémentine a encore du travail. Installée devant son ordinateur, entourée de ses fiches, elle chantonne. Nous passons trois quarts d'heure magiques. C'est tellement agréable d'être ensemble dans nos activités.

<< Stop ! >> s'écrie Clémentine en se levant pour commencer à ranger ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine me rejoint au lavabo de l'atelier où je me lave les mains. Elle tient ma bite pour en diriger les jets. En secouant les dernières gouttes elle enfonce sa langue dans ma bouche. C'est imparable. Une érection me gagne dans la minute. Je bande comme le dernier des salauds dans sa main. Sans cesser de m'embrasser avec fougue, elle me branle. Quand elle cesse de fouiller ma bouche de sa langue exploratrice, elle dit : << Ce soir, on fait l'amour devant Estelle. On en a parlé. Elle a le profond désir de faire sa voyeuse, de se masturber. Une sorte de thérapie ! >>. Nous en rions de bon cœur. En parlant de la louve, elle sort du bois. Estelle arrive.

Nous ne l'entendons jamais venir. Elle adore nous surprendre dans le plus grand silence qui précède ses apparitions. Elle se précipite pour venir se serrer contre nous. << Docteur, ! Bobo ! >> me fait elle en prenant ma main pour la placer sur sa braguette. Elle déboutonne son 501 pour y mettre ma dextre. Je masse délicatement en défaisant quelques nœuds. Je pose mes lèvres sur la pointe de chacun de ses seins minuscules. Au travers du coton de son sweat, je souffle de l'air chaud. << Mmhh, docteur, j'attendais ça toute la journée ! >> lance t-elle avec un évident contentement. Le soulagement, peut-être uniquement psychologique qui s'en suit, semble la ravir. Clémentine lâche ma bite redevenue toute molle pour qu'Estelle puisse s'en emparer. << Je peux avoir mes gouttes docteur ? >> demande t-elle.

Suppliante, elle se frotte sur ma main à présent entre ses cuisses, sur sa vulve. Je joue un peu avec la ficelle blanche que je sens sous mes doigts. J'enfonce ma langue dans sa bouche. C'est comme dans un profond soulagement qu'Estelle se laisse totalement aller dans mes bras. Je la retiens. Quand je cesse, je prends un peu de recul en la tenant par les épaules, disant : << Suivez bien la posologie. Pas plus de trois gouttes toutes les dix minutes. Jusqu'à votre départ ce soir à 22 h ! >>. Estelle éclate de rire. Elle s'exclame : << Bien docteur, je vais suivre vos conseils en commençant tout de suite ! >>. Je vois bien qu'en s'accroupissant, elle fait une horrible grimace en tenant subitement son ventre. Je l'aide à se redresser immédiatement. La position est ce soir trop douloureuse.

Elle saisit ma bite en disant : << Docteur, je prends mes gouttes assise ou couchée après le repas ! >>. Nous en rions en quittant l'atelier pour la cuisine. Quand elles découvrent les bouchées à la reine, j'ai droit à des élans de tendresse reconnaissante qui me pétrissent d'émoi. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la laitue. Estelle surveille le repas dans la fournaise du four à bois. Je mets les assiettes, les couverts. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les activités du prochain week-end. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mes épaules, mes deux anges parlent de leurs cours. La vaisselle. Impatients de nous retrouver dans nos turpitudes, nous nous précipitons au salon. Estelle retire ses bottines sa paire de jeans la première.

<< C'est une expérience. Je vais voir si ça fonctionne ! >> lance Estelle en se laissant tomber dans le canapé. Clémentine se débarrasse elle aussi de ses vêtements. Elle s'installe à côté d'Estelle. Je reste distant en agitant ma queue. Toutes les deux, silencieuses, avec le plus grand sérieux, observent ma masturbation lente et régulière. Le spectacle est aussi divin pour moi qu'il semble l'être pour elles. Estelle et Clémentine se touchent. Nous nous regardons ainsi un long moment. << On ne le fait pas assez souvent ça ! >> lance Estelle. << C'est vrai, c'est tellement génial ! >> dit Clémentine. Estelle me fait signe de l'index. Je m'approche. Elle écarte ses cuisses en se redressant pour m'attirer à elle. Ses deux mains sur mes fesses. << Mes gouttes, docteur ! >> dit elle.

Elle prend l'extrémité de mon sexe en bouche. Je me penche pour murmurer : << Respectez les doses chère patiente ! Pour que le médicament fasse son effet, il faut sucer longuement ! >>. Elle glousse en riant. Clémentine se masturbe, approche son visage tout près de celui d'Estelle pour bien voir. Je me fait tailler une pipe des familles. Quelques minutes de pompage avant qu'Estelle ne cesse pour tenter d'avaler, laisser reposer sa mâchoire et reprendre une respiration normale. << Viens ! >> me fait Clémentine presque implorante. Je me mets à genoux sur un des épais coussins pour fouiller ses intimités de ma bouche avide. Mes amis ! L'odeur de sa journée de fille, les goûts de ses sucs, les frissons de l'intérieur de ses cuisses contre mes joues. Je m'en enivre jusqu'aux vertiges.

Elle m'attire sur elle. Je la pénètre avec d'infinies précautions malgré une position bien inconfortable. Estelle se tourne, assis, les jambes relevées, se touchant, en nous observant. Clémentine et moi faisons l'amour. Comme nous aimons, sans bouger. Ignorant presque Estelle que nous entendons gémir. Quand je tourne la tête pour la regarder, elle me fait le plus merveilleux des sourires. << Ça marche bien. Excellente thérapie pour oublier les tourments de mon ventre ! >> dit elle. Nous passons le reste de la soirée ainsi. Quand je me retire c'est pour me remettre à genoux. Mon visage entre les cuisses bouillantes et frémissantes de Clémentine. À chaque fois, lorsque je me redresse pour revenir en elle, Estelle lance : << Mes gouttes docteur ! >>. Alors je lui donne ses gouttes. Une minute.

Quand je tourne la tête pour la regarder, Estelle ouvre la bouche pour me montrer mon foutre qu'elle garde longuement. Comme prescrit par le "docteur". Elle me fait un clin d'œil. Elle ne change de position que pour me sucer. La coquine s'offre un orgasme. Ce qui n'arrange pas vraiment ses "petites affaires" car cela semble empirer. Clémentine propose qu'elle reste avec nous cette nuit. Estelle envisage cette possibilité. << Bonne idée. Je téléphone à mes parents ! >> lance t-elle en se levant d'un bond pour aller récupérer son i-phone. Clémentine s'est mise à me sucer. Tout en se masturbant. C'est comme ça qu'elle s'emmène à l'orgasme. Elle se redresse pour s'accroupir au-dessus de la cuvette. Estelle revient toute contente en disant : << Ça y est, j'ai prévenu ! >>. Nous montons.

Bonne nouille à toutes les coquines qui vont pouvoir prendre leurs gouttes sous les draps avant un bon dodo dans les bras du "docteur"...

Julien (docteur Lajute)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Saturday 27 January 2024 07:28

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 12 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2506 -



Estelle se réveille avec nous

Hier matin, vendredi, il est presque six heures. Nos I-phones, disposés sur nos tables de nuit, s'allument en même temps. Une stéréophonie qui permet une illusion parfaite. Cette délicieuse impression de nous réveiller dans la forêt, un jour d'été. Estelle est restée collée à moi toute la nuit. Aussi imbriquée que la pièce d'un puzzle. << Mmhh, j'ai la même application à la maison ! >> murmure t-elle d'une voix à peine audible. Clémentine vient se blottir contre moi. C'est agréable de sortir du sommeil entre mes deux anges. Insolite également. Estelle se lève pour courir vers la porte. Clémentine saisit mon érection matinale et toute naturelle. Quelques bisous, quelques papouilles. C'est à notre tour de nous précipiter aux toilettes. Nous rejoignons Estelle dans la salle de bain pour nous habiller.

Clémentine offre à Estelle un de ses leggings et sweats de sport en lycra. Il fait encore frais dans la maison. On entend très bien le bruit que font les radiateurs en chauffant. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café. Estelle presse les oranges, pèle les kiwis. J'allume le feu de la cuisinière à bois. C'est un peu étrange d'êtres là tous les trois un vendredi matin à 6 h05, à devoir nous dépêcher pour respecter le timing imposé. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée. << C'était une bonne idée de rester avec nous ! >> lance Clémentine. << J'ai bien dormi en plus. J'ai pris mes médocs, j'ai changé mon tampon et ça va beaucoup mieux ! >> précise Estelle. Nous mangeons de bon appétit en envisageant une récidive pour ce soir. Mais Estelle ne préfère pas.

Elle réserve le plus de temps possible à ses parents. Il va être 6 h25. Nous remontons à toute vitesse pour investir notre salle d'entraînement. Les échauffements aérobics. Les joggings sur tapis roulants. Estelle adore pratiquer le vélo ergométrique. Les exercices au sol. Tout comme Clémentine Estelle apprécie tout particulièrement les exercices abdominaux. Ils procurent une sensation de bienêtre et soulage son bas ventre douloureux. Les charges additionnelles. Les étirements d'un bon stretching. C'est une des rares fois où nous prenons notre douche ensemble, tous les trois dans la déconne la plus complète. Le vendredi elles terminent toutes les deux à midi. Ce qui les rend facétieuses dès le levé. Et quand elles sont toutes les deux, c'est la surenchère.

Je descends le premier pour sortir la voiture du garage. 7 h45. Le Kangoo d'Estelle est garée à proximité. Le jour achève de se lever. À la fin janvier les jours rallongent et c'est à présent perceptible. La température extérieure est de 8°. Le ciel est nuageux mais nullement menaçant. Estelle et Clémentine, vêtues à l'identique, telles deux sœurs jumelles, me rejoignent en sautillant. Toutes contentes d'êtres ensemble. Estelle empoigne ma braguette en disant : << Merci docteur. Nous nous revoyons demain, samedi, pour la suite du traitement ! >>. Elle colle ses lèvres sur les miennes en me palpant. À son tour Clémentine me fait une bise en lançant : << À tout à l'heure mon amour ! >>. Elle s'installent toutes les deux aux volants de leurs autos. Un dernier coucou. Clémentine monte la première.

Je les regarde se suivre jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Je m'empresse de rentrer au chaud faire la vaisselle, notre lit. Dans l'atelier, j'allume la belle flambée matinale dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ma toile "Reflets" me plonge dans les plus divertissantes introspections. Je peins dans cette sorte d'euphorie laissée par mes deux anges. Je pense à Estelle. Mon second amour. Les heures défilent pour m'emmener aux environs de midi. Je mets deux bûches sur les braises. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer les deux grosses bouchées à la reine accompagnées de leurs coquillettes. C'est souvent le cas les vendredis. Je fais l'assaisonnement d'un beau concombre. Un avocat.

Midi trente cinq. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me couvrir le visage de bisous. << Je dois te remercier mille fois de la part d'Estelle ! >> lance t-elle alors que je l'emmène aux toilettes pour le rituel pisseux et le lavage des mains. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Elle a pour habitude de prendre de l'essence à la station le vendredi. << J'ai rencontré Louis, il faisait le plein de sa camionnette ! Il m'a confié son désir de baiser avec moi un de ces jours ! >>. Monsieur Bertrand, notre plus proche voisin, n'en est pas à son coup d'essai. Il a d'ailleurs déjà tiré quelques coups avec Clémentine. Nous en rions de bon cœur quand je dis : << Alors on va s'organiser en conséquence ! >>

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie à quel point elle aime sucer la bite minuscule de Louis. Ce vieux retraité vicelard a fêté en septembre dernier ses 70 ans. Homme robuste de la campagne, il se montre encore un amant fougueux. Nous nous promettons de faire le nécessaire pour réaliser ce projet. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Cet après-midi encore, Clémentine doit donner priorité à ses études. Mettre par écrits le compte rendu de sa semaine. Et surtout développer un concept d'application de l'intelligence artificielle dans le cadre de sa thèse. << Ça me fait chier. J'aurais préféré partir en promenade avec mon chéri ! >> s'exclame t-elle lorsque nous dévalons les escaliers pour retourner dans l'atelier.

C'est extrêmement sympathique de travailler ensemble. Nous définissons l'heure où nous cesserons toute activité. << Dix sept heures. Tu me fais un peu l'amour et on se prépare à manger ! >> précise Clémentine en s'installant devant son ordinateur. Beau programme. Je suis assis devant mon chevalet à reprendre ma peinture. Parfois l'un se lève pour rejoindre l'autre. Lui faire un bisou. Lui chuchoter une tendresse, une cochonnerie. L'après-midi se déroule ainsi. Il n'est pas tout à fait dix sept heures que Clémentine se lève d'un bond en s'écriant : << Maintenant je m'occupe de mon chéri ! >>. Pendant qu'elle range ses affaires, je nettoie la palette, les pinceaux. Dehors, il s'est mis à pleuvoir. Il fait sombre. Clémentine me rejoint en courant devant le petit lavabo de l'atelier.

Pendant que je me lave les mains, elle tient ma bite pour en diriger les jets. Se régale, accroupie, des dernières gouttes avant de se redresser en disant : << Je vous aime monsieur ! >>. Quand Clémentine me vouvoie je pense toujours à mon interprétation du "Maître". Ce qui me donne encore une idée. Je propose à Clémentine de monter nous vêtir des habits de nos personnages. << Mike et Samantha ! >> s'exclame Clémentine trop contente de la suggestion. C'est par le Zob qu'elle m'entraîne. Nous quittons l'atelier pour monter à l'étage en courant. Nous récupérons nos "panoplies" dans la chambre pas chauffée pour tout emmener dans la salle de bain. Clémentine porte une de ses jupes kilts. Un chemisier crème. Ses escarpins noirs à talons. Avec la sangle qui enserre la cheville.

Je porte mon pantalon de cuir noir, moulant et inconfortable. Ma chemise blanche aux manches bouffantes. Mes cuissardes. << Mon Mousquetaire ! >> s'écrie Clémentine en me sautant au cou. Nous prenons quelques poses devant le grand miroir ovale avant de dévaler les escaliers jusqu'au salon. Trop heureuse d'endosser son personnage de "Soumise", Clémentine passe derrière le bureau pour tirer du tiroir du bas, le collier canin, la laisse et les genouillères de cuir noir. Elle me tend le collier, la laisse. Je fixe le tout autour de son cou. Accroupi, j'attache les genouillères pour protéger ses genoux. Elle caresse ma tête en disant : << Je vous aime mon doux "Maître". Vous vous occupez toujours tellement bien de ma personne ! >>. Je me redresse en saisissant la laisse. Deux à coups secs.

J'ordonne : << À quatre pattes ! >>. Clémentine s'exécute immédiatement. Je la promène ainsi dans toute la grande pièce. Il est dix sept heures trente et la nuit commence à tomber. J'allume les deux grosses bougies du candélabre. Clémentine lève la patte à l'angle de chaque meuble. C'est là que je découvre le plug anal enfoncé dans son cul. C'est extrêmement rare. Mais cette vision participe à m'exciter encore davantage. Je ne suis pas au bout de mes surprises car là, à l'angle du bureau, Clémentine lève la cuisse, à quatre pattes, pour lâcher un véritable jet de pisse. Une petite flaque sur le parquet. J'ordonne : << Stop ! À genoux, mains sur la tête ! >>. Clémentine se redresse immédiatement, bien droite. Je frotte mon sexe sur son visage. J'enfonce ma bite dans sa bouche.

La tenant sous le menton et par la nuque sur laquelle j'appuie parfois, je la fais sucer à la hussarde. Je regarde les deux flaques de pisse. L'une à l'angle du bureau, l'autre aux pieds métalliques du candélabre. Je me concentre. Je m'imagine avec les pieds dans l'eau froide. J'ai déjà pissé dans le lavabo il y a un peu plus d'une demi heure. Impossible de lui pisser à la gueule. J'alterne les frottements de queue et les enfoncements de queue. Quand elle ouvre les yeux, Clémentine me fixe de son regard emplit de reconnaissance. Authentique "Soumise", elle jouit de ces instants en gémissants d'un plaisir immense. Je la tiens fermement. J'ordonne : << À quatre pattes ! >>. Je l'emmène une nouvelle fois pour faire le tour du salon. Une troisième flaque de pisse devant le guéridon.

Je la fais piper une nouvelle fois. Son visage maculé de foutre où colle de petites mèches de cheveux s'étant échappés de sa natte. Pas grave. Le shampoing c'est demain matin. Je tente encore une fois de lui pisser sur la gueule. Bouche ouverte, une expression d'extase, les yeux fermés, mains sur la tête, elle attend. C'est trop excitant et je ne peux pas lisbroquer. J'ordonne : << Debout ! >>. Clémentine se redresse. C'est debout que je la promène. À plusieurs reprises je glisse ma main sous sa jupe, entre ses cuisses. C'est trempé. Je la doigte. Elle en pousse de petits râles de ravissements. Je la fait tomber à quatre pattes sur le canapé. Elle me présente son cul. Le diamant synthétique de son plug brille de mille feux. C'est un plug en acier chromé que je lui ai offert il y a sept ans.

J'enfonce mon index dans son sexe en admirant ce fessier d'athlète. Ferme et musclé. Je me branle comme un véritable "zobsédé". C'est en levrette que je la pénètre. Ce n'est pas notre position préférée. Nous préférons pouvoir nous voir. Observer les émotions sur nos visages. Aussi, au bout d'une dizaine de minutes, je me retire. Clémentine se couche sur le dos en retirant son plug. Je la pénètre façon "missionnaire". Le piège se referme sur nous. Nous quittons nos personnages pour redevenir deux amoureux fous d'amour. Nous nous aimons en échangeant nos impressions. Il va être dix neuf heures. Volontairement nous avons évité d'aller jusqu'à l'orgasme. Nous nous promettons une seconde séance après les spaghettis, les escalopes de dindes et la salade d'endives. Faim !

Clémentine tient tout d'abord à passer la serpillère alors que je tiens le plug dont le chrome brille de mille feux. Je le renifle. Aucune odeur. Nous en rions aux éclats. Nous quittons le salon pour la cuisine. C'est en revenant sur notre projet "Monsieur Bertrand" que nous préparons notre repas du soir. Nous mangeons de bon appétit en envisageant diverses approches. C'est le plus souvent dans la maison d'amis que Clémentine pratique ses relations sexuelles dépravées avec notre voisin. Le "truc" convenu depuis trois ans est le chiffon jaune suspendu à la fenêtre de la cuisine à l'étage. C'est le "code", le signal pour préparer les "fesses tivités". << Je rentre en contact avec ce vieux pervers dès demain. On se fait ce "plan" pour vendredi prochain ! Tu es OK ? >> demande Clémentine.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont retourner à leur interprétation de la "Soumise" après un bon repas...

Julien ("Maître" pour rire)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Sunday 28 January 2024 10:50

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 12 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2506 -



Les aventures du samedi

C'est aux environs de sept heures que nous sortons du sommeil. Nullement pressés par un quelconque timing, nous nous étirons longuement. Clémentine me chevauche en riant. << J'aime comme tu m'aimes ! >> murmure t-elle à mon oreille en frottant son sexe sur mon érection matinale. Hier matin, samedi, il faisait encore nuit à sept heures. L'impérieux besoin naturel met un terme provisoire à nos effusions de tendresses. Nous nous précipitons aux toilettes. Il fait bien chaud dans la maison. Ce qui est fort plaisant à la salle de bain où nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra bleu. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans le hall d'entrée. Pendant qu'elle ouvre le portail depuis l'interphone, je passe mes bras autour de la taille de Clémentine.

Elle prend ma main pour m'entraîner jusqu'à la cuisine où elle palpe ma bosse en disant : << Tu es sexy dans ton collant noir ! >>. Pendant qu'elle prépare le café, presse les dernières oranges, pèle les derniers kiwis, j'allume le feu de la cuisinière à bois. Je beurre les tranches parfumées, éjectées par le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée. Nos jeux de rôles. Le "Maître" et sa "Soumise". Clémentine me confie à quel point elle aime endosser son personnage. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la "soirée cinéma" de ce soir. Estelle aura fait le montage du film de notre dernière séance de "dressage". Elle fait ça de manière tellement professionnelle. Bien des réjouissances en perspective. C'est agréable de pouvoir prendre tout son temps le samedi.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine propose d'aller jogger. La température extérieure est de 8°. Nous faisons la vaisselle avant de prendre tout notre courage. Nous enfilons nos K-ways. Nos bonnets, nos gants. À peine dehors, sept heures trente, un jour qui commence à se lever, nous pratiquons de sérieux mouvements d'échauffement. Le sol est détrempé. Nous nous interrogeons du regard. Allez, soyons téméraires aux défauts d'êtres courageux. C'est parti. Nous courons sur le bord de l'étroite route communale. Pas une voiture pour nous inquiéter à cette heure indue. Nous passons devant le haras. Le jour achève de se lever totalement vers huit heures. Il est huit heures trente quand nous revenons après un running gratifiant et plaisant.

La Fiat rouge de Lise garée devant la porte du garage. Notre "fille de ménage" est déjà là. Elle vient d'arriver parce qu'à peine dans le hall d'entrée elle sort de l'office dans sa tenue habituelle. Un survêtement gris. Elle retire les écouteurs qu'elle à sur les oreilles pour nous saluer. Souriante, visiblement heureuse de vivre, joyeuse, elle nous raconte un peu de sa semaine. << Alors, tes histoires de cœur, ça s'est arrangé ? >> demande Clémentine qui la tutoie pour la toute première fois. << Oui, ça y est, c'est derrière moi. Je suis très bien toute seule. J'ai mes parents, ma meilleure copine et mon chat ! >> répond Lise. Elle fixe ma bosse avec ostentation tout en bavardant. Au point de me gêner considérablement. Son regard qui se pose à l'endroit de mon sexe à quelques reprises pour y rester braqué.

C'est Clémentine qui met fin à ma douce "torture" en m'entraînant par la main. Nous laissons Lise à son travail pour monter prendre notre douche. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite, je coiffe Clémentine. Assise devant l'un des miroirs de la salle de bain, une serviette sur les épaules, elle raconte quelques amusantes anecdotes de sa vie d'étudiante. Nous adorons ces moments comme presque tous les autres de nos existences. Je m'applique à faire une belle natte à ses longs cheveux noirs. C'est à mon tour. Nous entendons Lise passer l'aspirateur quelque part à l'étage. Nous revêtons nos Levis, nos épaisses chemises à carreaux, nos baskets en nous félicitant d'avoir pris le courage d'aller courir. Les joggings nous manquent toujours cruellement en hiver. L'entraînement en salle ne procure pas les mêmes sensations. N'apporte pas les mêmes satisfactions.

Nous dévalons les escaliers pour aller au salon. Assise sur mes genoux, me tournant le dos, Clémentine allume l'ordinateur. Un courriel de ma famille d'Édimbourg. Oncle Alan passe trois semaines au pôle gériatrique de l'hôpital. Un message de Juliette qui nous invite à passer au haras dimanche. Elle y organise une animation équestre. Le mail d'Estelle, impatiente de nous retrouver en début d'après-midi. Elle joint une photo d'elle avec un thermomètre en bouche ainsi légendée "Je viens consulter le docteur cet après-midi". Pendant que Clémentine répond, je caresse ses seins minuscules. J'adore les sentir vivre sous l'épais coton. Je descends entre ses cuisses. Elle lit à voix haute, ponctuant chaque phrase d'un << Mmhhh, c'est bon ce que tu me fais "docteur" ! >>

Dans la petite enveloppe jaune je glisse deux billets. L'un de 50 €, l'autre de 20 €. Clémentine surfe encore un peu sur le site de l'université. Je la caresse, je la tripote. Elle se tortille en gémissant d'aise. Je murmure des douceurs, des cochonneries en répétant à plusieurs reprises : << J'ai envie de vous faire l'amour mademoiselle ! >>. Elle se redresse pour s'installer à califourchon. Ses bras autour de mon cou. Frottant son sexe sur le mien elle chuchote : << Moi aussi, j'aimerais beaucoup vous sentir en moi cher monsieur ! >>. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Mon érection subite est désagréable. Ma bite enroulée au fond de mon slip est soudain recroquevillée, contrainte et tordue dans mon sous vêtement de coton blanc. Il faut rester lucide car il est déjà 9 h50. Se calmer.

Clémentine se lève pour déboutonner la braguette de mon 501. Elle sait les désagréments d'une érection contrariée. D'une main adroite elle fouille pour tenter de récupérer la queue. Ce n'est pas simple. La difficulté l'oblige à déboucler mon ceinturon, à ouvrir le bouton pour pouvoir y fourrer les deux mains. << Ah ! Voilà ! >> lance t-elle en tenant fièrement un Zob dur comme le bois. L'exhibant tel un trophée, elle rajoute : << Magnifique ! >>. Nous en rions de bon cœur alors que je referme le boutons et la boucle de la ceinture. C'est avec juste la bite à l'air, tenue d'une poigne ferme, que Clémentine m'entraîne dans le hall d'entrée. Lise entrain de préparer le seau, la serpillère devant la porte de la cuisine. Elle ne nous entend pas avec ses écouteurs sur les oreilles. Nous passons très vite. En douce.

Nous enfilons nos anoraks, nos bonnets, nos gants. Le thermomètre extérieur indique 12°. Nous sortons pour traverser le jardin en restant sur les dalles de grès. Devant la maison d'amis, serrés pour garder la chaleur, nous n'attendons pas longtemps. La camionnette Mercedes blanche descend lentement les pavés autobloquants depuis le portail à une centaine de mètres. Danièle au volant, souriante, qui se gare derrière la Fiat rouge. Même s'il fait plutôt frais, je l'accueille avec l'anorak ouvert. Elle saute de son véhicule toute heureuse de nous revoir. Elle touche nos poings du sien avant de saisir ma bite toute molle. C'est elle qui m'entraîne pour contourner la camionnette. C'est la toute première fois que Danièle se comporte ainsi. << Wouah ! >> lance Clémentine ravie autant que moi.

Danièle me lâche pour ouvrir les portes arrières, monter dans le véhicule. Cette fois je n'oublie pas que Lise est probablement derrière une des deux fenêtres de la cuisine. Aussi, sans regarder, je me tourne vers la maison quelques secondes en agitant mon sexe. J'attrape le lourd cageot que me tend Danièle. Il contient nos fruits, nos légumes pour la semaine. Je le pose sur le banc en pierre contre le mur de la dépendance. Clémentine attrape celui contenant les fromages, les yaourts, le beurre, les œufs, les petits pots de crème fraîche et de fromage blanc. Danièle saute de la camionnette pour m'attraper une nouvelle fois par la queue. << Sympa quand il ne fait pas trop froid ! >> lance t-elle. Elle rajoute : << Avant les vacances de février, j'aurais deux mots à vous dire Julien ! >>

Elle me lâche pour me tendre le terminal dans lequel j'introduis ma carte de paiement. Même commande pour samedi prochain. << On se voit mercredi ? >> demande Danièle en nous adressant un clin d'œil. Je fais tournoyer ma bite. "L'hélicoptère" qui amuse toujours beaucoup les extraverties pleines d'humour et de joie de vivre. Installée au volant, démarrant, Danièle fait une bosse avec sa langue à l'intérieur de sa joue. Elle fait la manœuvre de demi tour avec sa dextérité habituelle pour filer vers d'autres livraisons. Un dernier signe de la main en montant le chemin jusqu'au portail. Je remballe rapidement. Pas seulement parce qu'il ne fait pas chaud mais parce que madame Marthe ne va pas tarder. La voilà d'ailleurs. Son tube Citroën rénové qui vient se garer au même endroit.

Hilare, elle aussi contente de nous voir, saute de sa camionnette. Elle a toujours d'amusantes anecdotes concernant la vie du bourg. Dans l'infernal bruit de tôle, elle fait coulisser la porte latérale pour attraper le troisième cageot qui nous est destiné. Je l'attrape. Il contient les deux miches de pain complet, deux pâtes feuilletées, cinq bouchées à la reine, les deux gros croissants aux amandes et surtout cette énorme brioche ronde au pudding. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Depuis quatre ans que nous achetons nos produits alimentaires chez des producteurs locaux, nous apprécions la qualité incomparables des aliments. Directement de l'artisan boulanger, madame Marthe. Directement de l'agriculteur, Danièle, sans aucun intermédiaires mercantiles. Avec les récents évènements secouant le monde paysan et rural, nous ressentons une certaine fierté à participer à la vie de ces filiales en achetant chez eux.

Nous contournons la maison pour descendre à la cave par derrière. Dans le cellier nous disposons les fruits et les légumes sur les étagères. J'ai froid au Zob. Il est resté longtemps dehors. Quand je m'en plains à Clémentine, cette dernière fourre sa main dans ma braguette pour l'attraper. << Pauvre biroute. Viens, sors là, que je la réchauffe ! >> fait elle en s'accroupissant. Sa bouche chaude, ses lèvres telles une merveilleuse ventouse se referment sur la peau froide de mon prépuce. Comme c'est bon. Comme c'est chaud. Ça soulage. Je l'aide à se redresser en la remerciant. Une érection naissante que Clémentine m'encourage à garder à l'air. << Une autre voyeuse n'attend probablement que de la voir là haut ! >> lance Clémentine en ouvrant la porte du bas du congélateur. C'est froid.

Elle y place une des deux miches de pain complet et bio. Une pâte feuilletée. J'en tire un paquet de moules, les sachets de haricots verts et de petits pois. C'est avec la bite à l'air, tenant le cageot contenant les produits frais à ranger au réfrigérateur que je monte derrière Clémentine. Par l'escalier intérieur. Lise vient de terminer de passer la serpillère sur les carrelages. Celui de la cuisine est bien sec. Clémentine me passe les produits que je range dans les compartiments du frigo. Lise entre dans la cuisine avec la pelle et la balayette. Très certainement un simple prétexte pour nous rejoindre. Quand je me redresse, elle dit : << J'aime beaucoup ce qui se passe dehors depuis la fenêtre de la cuisine ! >>. Je dois devenir tout rouge. Comme un adolescent surpris en pleine masturbation.

Comme pour me rassurer, fixant ostensiblement mon sexe mou, Lise rajoute : << Vraiment, j'aime beaucoup. C'est une de mes petites joies en venant faire le ménage chez vous ! >>. Clémentine saisit ma bite pour demander : << Tu en as déjà parlé à quelqu'un ? À ta meilleure copine par exemple ? >>. Lise éclate de rire avant de répondre : << Non, il y a des choses trop secrètes qu'il est préférable de garder pour soi ! >>. Devant cet aveux, nous sommes définitivement rassurés. Lise n'est pas ce genre de femmes. Clémentine rajoute : << Parce qu'un secret partagé est un secret trahis ! >>. Lise s'exclame : << Pas mon genre ! >>. Elle nous fait le plus merveilleux des sourires avant de nous laisser seuls. Clémentine, sans lâcher ma queue, se serre contre moi. << Génial ! >> dit elle.

Nous passons au salon. Une nouvelle fois installée sur mes genoux, Clémentine rallume l'ordinateur. Il y a un second courriel de Juliette. Elle nous propose une "soirée branle" pour vendredi prochain. Cette fois après avoir partagé un bon repas. << On fait quoi ? >> me demande Clémentine. Je propose de laisser cogiter cette idée dans nos têtes jusqu'à la semaine prochaine. Je dis : << Peut-être qu'une nouvelle surprise t'attendra chez elle ! >>. Clémentine change de position pour se mettre à califourchon. Ses bras autour de mon cou, en se frottant, elle murmure : << Ce qui ne serait pas pour me déplaire ! >>. Nous en rions de bon cœur. C'est ainsi que nous surprend Lise entrant dans le salon, à nouveau vêtue "ville". << J'adore mes samedis matin ici ! >> s'exclame t-elle avant de rire.

Clémentine se lève. J'ai la bite qui pend de ma braguette. Nous contournons le bureau. Je tends son enveloppe à Lise. << Vous me traitez royalement ! >> me dit elle. Elle rajoute : << Merci Julien, merci Clémentine ! >>. Une nouvelle fois, silencieuse, pas du tout embarrassée, Lise fixe mon Zob. Ce qui cette fois me fait bander. Clémentine s'adresse à notre "fille de ménage" : << Vous voyez un peu l'effet que vous produisez sur Julien ! >>. Lise se met à rire en cachant son visage entre ses mains. << Il faut que j'y aille ! >> répond t-elle. Nous la raccompagnons jusque dans le hall. Elle enfile son anorak. Cette fois elle semble un peu gênée, évite de regarder mon sexe que j'agite le plus vulgairement possible. << À samedi prochain alors ! >> lance la jeune fille en ouvrant la porte.

Elle dévale les escaliers du perron pour traverser le jardin en courant. Nous refermons la porte. Clémentine prépare l'assaisonnement d'une belle laitue dont elle lave les feuilles également pour ce soir. Je fais le bouillon pour y jeter les moules décongelées. Dans le wok, je réchauffe les haricots verts, les petits pois également décongelés. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les attitudes et les personnalités de Danièle, de Lise. Je tiens à préciser une fois encore que tout cela n'est possible que pour un couple. Tout comportement de ce genre de la part d'un homme seul serait évidemment rédhibitoire et attirerait probablement de sérieux problèmes. La proximité d'une jeune fille vivant avec un homme d'âge mûr est la plus idéale des formules dans ces cas de figures.

C'est avec ces certitudes que nous rions de bon cœur de nos frasques. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine propose de préparer les légumes pour accompagner les trois autres repas de ce week-end. Je suggère de rôtir le beau poulet au four. Ainsi, ce soir, il n'y aura qu'à réchauffer. C'est tellement meilleur. Clémentine se lève d'un bond en s'écriant : << Bonne idée ! >>. Nous nous mettons immédiatement au travail. Nous épluchons, lavons, et coupons des pommes de terre, des navets, des carottes, le céleri. Ail, oignon. Le tout directement dans la cocote en fonte noire. Je sors le poulet du réfrigérateur. C'est un petit poulet provenant de l'élevage agricole de Danièle. Élevé aux grains. Dodu. À la peau bien jaune. Des réjouissances.

Clémentine remue la potée de légumes pour éviter qu'elle n'attache. Je fourre le poulet avec une garniture. Tomates, champignons, persil, ciboulette, ail, échalote et chapelure. Je le place dans le plat carré en terre cuite. Entourés de petites pommes de terre dans leurs pelures. C'est beau. Je le badigeonne de moutarde à l'ancienne avant de le placer dans le four électrique pour une lente et longue cuisson pilotée par le thermostat, à seulement 160°. Pour ce soir, tout est prêt. Il suffit de recouvrir la cocote de son couvercle ovale, de laisser hors feu. C'est sereins que nous faisons la vaisselle avant de remonter nous laver les dents. Estelle aime bien venir silencieusement. Une fois encore elle nous surprend en entrant dans la salle de bain. << Coucou les coquins ! >> lance t-elle en se précipitant.

Serrés tous les trois pour des distributions de bisous, nous fêtons nos retrouvailles. << Docteur, j'ai encore un peu bobo, vous savez ! >> me dit elle en empoignant ma braguette bossue. << Toi, tu veux prendre tes gouttes avant la randonnée ! >> lance Clémentine. << Oh oui ! Mes gouttes ! >> répond Estelle en s'accroupissant pour gober mon chibre. Avec les excitations de la matinée, nous percevons très bien le gargouillis que font les "gouttes" dans la bouche de ma "patiente". Clémentine serrée derrière moi, ses bras autour de ma taille, ses lèvres dans ma nuque. Estelle se redresse avant la crampe. << Merci docteur ! >> dit elle avant de nous montrer l'intérieur de sa bouche. Du foutre crémeux qu'elle laisse se mélanger à sa salive. Suivant la posologie prescrite. Elle ira mieux.

De son sac de sport, Estelle tire son pyjama de soie mauve, une paire de chaussettes, une culotte. C'est avec un gracieux mouvement de tête, une horrible grimace, s'observant dans le miroir, qu'elle déglutit enfin. Tenant sa gorge elle dit : << Miam, ça descend tout seul aujourd'hui ! >>. Nous éclatons de rire. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. C'est à partir de la maison, le long du parcourt des quatre heures, que nous nous offrons cette randonnée tant attendue. Le sol est détrempé par endroits. Il faut contourner les coins les plus boueux. C'est à la nuit tombée, à dix huit heures trente, que nous revenons. Je porte la lampe. On devine une lune encore ronde derrière le voile nuageux. Il n'y a qu'à réchauffer. Nous mangeons de bon appétit en savourant ce succulent repas. Un délice.

Après la vaisselle, vautrés dans le canapé, devant l'écran géant du téléviseur, nous nous apprêtons à admirer le montage d'Estelle. Clémentine à ma droite qui manipule la télécommande. Estelle à ma gauche qui manipule ma queue. Le générique. Défilent nos pseudos "Mike", "Samantha" et "Malicia". Ce sont les noms qu'Estelle attribue aux personnages qui apparaissent à l'écran. Ces images que nous avons tourné samedi dernier. Estelle et Clémentine, assises en jupes kilts, sur des chaises à l'envers dont le dossier forcent leurs cuisses à rester écartées. Les deux "Soumises" tourmentées par le "Maître" dans sa tenue de Mousquetaire. On le voit les promener à quatre pattes, attachées à des laisses. Elles lèvent la patte à chaque coin de meuble. On les voit à genoux, bien droites, les mains sur la tête, entrain de se faire passer la bite sur la gueule. Sucer de la queue. Se faire tringler dans les cris de jouissance. C'est épatant. Merveilleux.

Clémentine fait de nombreux arrêts sur images. Revient en arrière. Je précise ici, une fois encore, que je ne connais pas de circonstances plus excitantes, plus délirantes que d'être assis entre les deux "actrices" que je vois à l'écran. Cette affolante dualité qui conjugue virtuel et réalité. C'est d'ailleurs une sensation qui nous est commune à tous les trois. J'ai mes mains entre les cuisses de mes deux anges qui se masturbent. Estelle me branle, me tord la bite dans tous les sens. Quand elle me voit dans mon personnage du "Maître", entrain de me livrer à des vulgarités, dans le film, elle me dit : << Tu es un adorable salaud. En vrai comme en "acteur" ! >>. Nous en rions de bon cœur. La fatigue se fait sentir. C'est le troisième jours des "petits machins" d'Estelle. C'est bien dommage. Elle devra se contenter de ma bouche sur son "bouton".

Bonne nouille à toutes les coquines qui se font sucer les clitoris sous les draps, se refilent de la queue baveuse, s'offrent des orgasmes délirants sous la couette. Avant de s'endormir, épuisées" contre leur coquin...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Monday 29 January 2024 07:37

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 13 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2507 -



Le dernier dimanche de janvier

Hier matin, dimanche, c'est une bien agréable grasse matinée. Il n'est pas loin de neuf heures quand je suis tiré de mon sommeil par la poigne ferme d'Estelle qui se referme sur ma tumescence. Ses lèvres se posent sous mon oreille. Telles des ventouses. Il y cette courte séquence où la conscience prend le relai de l'onirisme. Ce basculement du rêve à la réalité. Clémentine que cela réveille également vient elle aussi se lover contre moi. Je suis entre mes deux anges dans une sorte de grâce céleste. C'est ainsi que nous émergeons, que nous renaissons à cette nouvelle journée. << J'ai plus rien. C'est fini ! >> murmure Estelle alors que je glisse ma main dans sa culotte. Je peux sentir rouler la petite ficelle blanche. << C'est juste par précaution ! >> précise t-elle. Avec un gros bisou.

Elle se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte. << Pipi ! Je vais vérifier ! >> s'écrie t-elle dans son pyjama de soie mauve. En riant, Clémentine se couche sur moi. Elle se frotte en mitraillant mon visage de bisous. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Il fait bien chaud partout dans la maison. Particulièrement dans la salle de bain où nous nous habillons de nos paires de jeans, de nos épaisses chemises à carreaux, baskets. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Les suaves effluves parfumées du café, du pain grillé emplissent la cuisine. Estelle entrain d'allumer la cuisinière à bois. Pendant que Clémentine presse les oranges, pèle les kiwis, je me place derrière Estelle, mes mains sur ses seins minuscules. Je descends lentement entre ses cuisses.

Je demande : << Et alors ? Ces "petits machins", ont-ils disparu ? >>. J'adore le contact chaud de la soie. Elle tourne juste la tête pour me faire une bise en répondant : << Plus rien docteur ! >>. Aujourd'hui, le "chinois" posé au milieu de la table est de toute beauté. Cette énorme brioche au pudding va agrémenter notre premier plaisir du dimanche. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre "soirée cinéma". Ce sont des moments d'extraordinaires extases jouissives. Nous ne tournons sans doute plus de films pornos privés que pour le plaisir plus intense encore de les visionner. Nous partageons cette même émotion d'êtres à la fois ensemble dans la réalité et à nous contempler sur l'écran. << Est-ce possible que ce soient les mêmes protagonistes ? >>. Telle est la question qui se pose. Nous ne connaissons rien de plus excitant, rien de plus stimulant. C'est tellement insolite. Tellement fort et puissant pour la libido.

Nous mangeons de bon appétit en faisant l'itinéraire de la randonnée de cet après-midi. Dehors il fait beau. Le ciel est entièrement dégagé, d'un bleu d'azur. La température extérieure est de 12°. Les conditions idéales pour partir en promenade. Ce sera à partir de la chapelle désacralisée, après le bourg, mais en direction du monastère abandonné. Quatre bornes en bagnole puis l'aventure pour quatre heures de marche à flancs de collines. Nous traînons évidemment à table car le dimanche c'est repos total. Pas de sport. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges reviennent sur la "soirée cinéma". << On se refait un film pendant les vacances de février. Mais un truc bien "senti", vicelard et glauque ! >> lance Estelle. Elle rajoute : << Je fais le scénario ! >>

Nous savons que son imagination va nous emmener vers de nouvelles contrées de turpitudes. Nous en rions de bon cœur. << J'ai déjà une vague idée. Un truc bien naze avec le voisin mais à son insu ! >> précise Estelle. << Raconte ! >> s'écrie Clémentine. << Non, pas maintenant, il faut que je cogite, que je développe ! Mais je vous promets que vous en saurez davantage bientôt ! >>. Nous restons suspendus à ses lèvres mais elle refuse d'en dire plus. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Pendant qu'Estelle se change pour se vêtir comme nous, Clémentine et moi faisons le lit, la chambre. Elle récupère les habits nécessaires pour demain. Nous retournons dans la salle de bain. Estelle me saute au cou.

<< Tu me fais l'amour ce soir avant que je m'en aille ! >> s'exclame t-elle. Je suis surpris autant que Clémentine car les dimanches soirs sont le plus souvent consacrés aux léchages de minous. Estelle devant nous laisser pour vingt deux heures les cunnilingus exigent moins d'investissements émotionnels. Nous en rions de bon cœur en dévalant les escaliers. Nous enfilons nos anoraks. La température est de 14° alors qu'il n'est encore que dix heures trente. << Ça va être génial cet après-midi ! >> lance Estelle alors que nous descendons jusqu'à la rivière. Les filles accrochées à mes bras. Les canards, les poules d'eau, les colverts nous font la fête, s'approchant tout près pour cancaner. << C'est du langage "canard" pour nous dire bonjour ! >> dit Estelle qui s'accroupit en tendant sa main.

Un des anatidés s'approche croyant se voir offrir de la nourriture. Il donne quelques légers coups de bec avant de s'en retourner rejoindre sa fratrie. Nous longeons le sentier du bord de la rivière en marchant l'un derrière l'autre. Estelle à l'avant qui se retourne pour me faire une bise. Je me retourne pour en faire une à Clémentine. Nous nous arrêtons à de multiples reprises pour nous serrer tous les trois. J'ai rapidement la bite à l'air. Certes, le fond de l'air est frais, mais c'est supportable. << Le fond de l'air effraie ! >> lance Estelle en tordant mon érection dans tous les sens. Surtout vers le bas parce qu'elle sait que c'est très désagréable, presque douloureux. Je chuchote à chaque fois : << Salope ! >>. Ce à quoi elle répond : << Enchantée ! Moi c'est Estelle ! >>. Nous en rions alors aux éclats.

Nous revenons pour remonter le chemin. Il y a trois cent mètres où je préfère remballer. Il arrive souvent que nous tombions sur monsieur Bertrand. Notre plus proche voisin apporte des graines et du vieux pain à nos amis à plumes. Nous arrivons toutefois sans le rencontrer. Il va être onze heures trente. Estelle découpe les restes du poulet rôti. Elle le poêle avec des champignons, de l'ail, de l'échalote. J'aide Clémentine à préparer l'assaisonnement d'une salade de tomates. Je remue régulièrement la potée de légumes pour éviter que ça n'attache au fond de la cocotte en fonte noire. Nous mangeons de bon appétit en envisageant notre randonnée. Pressés de nous y rendre, nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Nous restons avec nos vêtements. C'est parfait.

Nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos, la thermos de thé bouillant, des barres de céréales, les lampes frontales, trois pommes. Nous mettons nos anoraks. Les grosses godasses à la main pour traverser le jardin. C'est parti. Je roule doucement alors qu'il n'est que treize heures. Clémentine joue avec ma queue. Assise à l'arrière, Estelle caresse mon cou, mes joues, en murmurant plusieurs fois : << J'ai envie de faire l'amour ! >>. Je gare la voiture le long du muret du cimetière. Il y a d'autres véhicules stationnés là. C'est un départ de randonnées pour deux itinéraires différents. Nous changeons de chaussures. Je mets le sac sur le dos. Nous prenons le chemin des pâturages. Il n'y a encore ni bovins, ni bovidés. Il faut longer les clôtures qui délimitent les prés déserts.

Nous pouvons marcher en nous tenant la main. Le chemin est large. Nous croisons déjà des randonneurs. Souvent par groupes de quatre. La température extérieure étant de 17°, nos anoraks sont ouverts. Surtout en montant le sentier qui grimpe en pente douce. << Sors ton Zob s'il te plaît ! >> me fait Estelle en s'accroupissant pour déboutonner la braguette de mon 501. << Je te promets, on sera prudents ! >> dit elle encore en extrayant ma bite. Elle y dépose une bise avant de se relever. Nous avons une combine imparable. Quand arrivent des gens, Estelle ou Clémentine se serrent contre moi, pour me prendre dans leurs bras. Il est alors impossible de voir ce qui pend de ma braguette béante. Il faut juste rester aux aguets, savoir anticiper, mettre en application ce réflexe ultime.

Ce qui se déroule deux fois avant d'arriver à la table d'orientation située sur une terrasse naturelle mais aménagée. Il y a plusieurs groupes de marcheurs. C'est une sorte de grande table de bronze en demi lune sur laquelle sont gravés les indications, les symboles de toutes les directions qui s'offrent aux regards. Il est donc tout à fait normal d'y trouver foule. Mais, par prudence, j'ai remballé et tout refermé bien avant de monter les marches taillées dans la roche. Nous attirons bien des regards. Cet homme d'âge mûr que tiennent par la main ou par le bras ces deux sublimes jeunes filles. De quoi susciter bien des interrogations. Nous nous amusons beaucoup de ces situations fréquentes. Estelle et Clémentine aiment alors bien situer la nature de notre relation. Des bisous, ou alors un baiser.

Nous redescendons les escaliers pour prendre le sentier qui monte vers les bâtiments abandonnés. C'est un ancien monastère dont les bâtisses servent à entreposer du matériel agricole. L'endroit est très fréquenté. Il y a une vaste cour intérieur, un grand hangar. Hélas il est impossible d'entrer dans les bâtiments fermés à clefs. C'est là que nous grignotons nos pommes, nos barres de céréales et que nous buvons notre thé encore bien chaud. << Il ne subsiste plus aucun de tes trous le long du sentier. Tu n'en faisais pas ici il y a onze ans ? >> me demande Estelle. Elle fait allusion à mes récits "Le trou" qui paraissent ici, sur ce même forum, dans la rubrique "Pratiques sexuelles, jeux érotiques et fétichisme". C'est Clémentine qui répond : << Avec le temps ça s'est dégradé tu sais ! >>

Je précise que je n'en faisais plus à partir de la fin 2013 et que je n'ai jamais pratiqué sur cet itinéraire. << J'aime bien lire tes histoires chez moi, le soir quand je viens traîner sur "BobVoyeur" ! >> précise Estelle. Nous rions d'ailleurs souvent de bon cœur des pseudos que nous nous sommes choisis. Estelle, Clémentine et Julien. << Ça nous va bien. Ça nous correspond bien ! >> rajoute Clémentine. Il est déjà seize heures. Il faut songer à prendre le chemin du retour. Il fait complètement nuit à dix huit heures. On avance toujours plus vite en redescendant. Mais il faut compter avec nos arrêts pipis et "touche pipi". Il est déjà dix huit heures quinze quand nous sommes de retour à la voiture. Avec ce ciel dégagé les nuits sont claires. La lune était pleine il y a quatre jours encore. Elle éclaire toujours parfaitement.

Nous changeons de groles. Estelle et Clémentine, assises toutes les deux sur le siège passager, tripotent ma queue pendant que je roule. << Ce soir, "baise sur bureau" ! >> nous rappelle Estelle. Nous arrivons pour dix huit heures quarante. Clémentine fait l'assaisonnement d'un beau concombre. Estelle nous concocte son omelette des dimanches soirs. Je remue la potée de légumes qui réchauffe. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les temps forts de notre superbe randonnée. Nous ne traînons pas. À peine la vaisselle terminée, mes deux anges m'entraînent au salon. Un rapide "strip-tease" et les voilà affalées sur ce pauvre bureau Victorien. Je place les deux épais coussins derrière elles. Elle peuvent y déposer leurs têtes pour se masturber pendant que je les besogne avec soin.

Il en a déjà subi des affronts ce vieux bureau centenaire. Et depuis quelques années tout particulièrement avec nous. Je frotte mon sexe contre celui d'Estelle avant de la pénétrer. Je la baise à la hussarde, comme elle aime. Avec toute la délicatesse d'un Sumo Japonais sur le tatamis. Je passe de l'une à l'autre en poussant ce soir de véritables rugissements de sauvage. Les filles ne sont pas en reste car leurs cris sont en harmonie. Même si la fatigue se fait sentir, cette "baise sur bureau" s'avère un véritable succès. L'orgasme d'Estelle en précède un second. Elle s'agite furieusement, tremblant des spasmes qui la secouent. L'orgasme de Clémentine nécessite ce savoir faire dont nous sommes coutumiers. Un orgasme pisseux qui emplit presque la cuvette à ras bord. De la mousse !

Bonne nouille à toutes les coquines qui vont en savourer les jus sous la couette avant de s'endormir dans les bras de leur randonneur, anciennement créateur de trous...

Julien (jadis créateur mural)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Tuesday 30 January 2024 07:34

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 14 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2508 -



Juste Clémentine et moi

Le gazouillis des oiseaux, le bruit que fait cette source entre les rochers. L'illusion de nous réveiller dans une forêt. Il est presque six heures hier matin, lundi. Ce ne sont que nos I-phones qui nous tirent ainsi du sommeil. Clémentine vient se blottir. Je la prends dans mes bras. Quelques papouilles, quelques bisous durant ces quarante cinq secondes que durent les fééries bucoliques. Il faut se lever. C'est toujours un peu difficile en tout début de semaine. Nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain encore fraîche, nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. J'y allume la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis, place les tranches dans le grille pain.

Une petite fête supplémentaire le lundi matin, il reste de la brioche que je mets dans le four à micro ondes. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les moments forts du week-end. Tout particulièrement sur notre "soirée cinéma" de samedi. Le vingt quatrième film porno que nous réalisons depuis presque sept ans. Estelle envisage déjà le tournage du prochain. << Avec un "extra" ! Je suis impatiente de savoir ce qu'elle a derrière la tête ! >> lance Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en envisageant différents cas de figures. Estelle ne manque pas d'imagination. Clémentine non plus d'ailleurs. Terminant sa tranche de brioche en venant s'assoir sur mes genoux, elle me confie : << J'ai envie d'un plan cul avec monsieur Bertrand ! >>. Je l'encourage à le réaliser.

Il va être six heures vingt cinq. Les radiateurs commencent enfin à chauffer la maison. Nous remontons dans notre salle d'entraînement qui n'est pas chauffée. C'est motivant. Il faut se remuer. Les échauffements aérobics, le jogging sur tapis roulants y contribuent. Les exercices au sol qui précèdent les charges additionnelles viennent parfaire l'ensemble. Les étirements d'un stretching bien trop précipité à cause d'un timing serré. La douche. Je redescends rapidement pour aller sortir l'auto du garage. Presque 7 h45. Le thermomètre extérieur indique 4°. Le jour achève de se lever sous un ciel clair. Clémentine vient me rejoindre dans son blouson d'épais cuir brun, son Levis brut, ses bottines brunes. Sous son bonnet brun. J'aime tant son élégance matinale. Un dernier bisou.

Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud pour faire notre vaisselle, notre lit. Dans l'atelier, j'allume un beau feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque la finalisation de ma toile hyper réaliste "Reflets". Si tout se passe comme prévu, cette œuvre sera terminée mercredi en fin d'après-midi. Je peins en pensant aux désirs de Clémentine. Monsieur Bertrand, notre plus proche voisin, a d'ailleurs émis le souhait de "faire l'amour" avec elle quand Clémentine l'a rencontré vendredi, en faisant le plein d'essence à la station. Ils ont déjà baisé à quelques reprises. Clémentine adore les toutes petites bites, surtout quand elles sont molles. Et ce qui l'amuse c'est que malgré ce qui pourrait être un désagrément, ce retraité salace arrive à la lui fourrer. Et pas que dans la bouche le salaud.

C'est abîmé dans ces réflexions que midi approche inexorablement. Tant mieux. Il commence à faire faim. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à réchauffer le reste de potée de légumes, de faire rissoler un dos de cabillaud blanc à la poêle. Je fais l'assaisonnement d'un concombre. Je descends à la cave, dans le cellier, pour y récupérer le magnifique choux fleurs. Je remonte pour en couper les branches, les laisser tremper dans l'eau vinaigré pendant mon repas. Je râpe une grosse quantité de ce gruyère recommandé par Danièle. De l'Appenzeller affiné plusieurs mois en cave. C'est un délice. La neuvième merveille du monde. Je prépare le grand plat en terre cuite que je beurre soigneusement. Il est aux cristaux de sel de Guérande. Un régal.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff consacre la première heure de son émission aux manifestations agricoles. Les tentatives d'enfumage d'un premier ministre missionné pour calmer le jeu, apaiser les esprits, tempérer la colère des agriculteurs. N'hésitant pas pour cela à utiliser les vieilles ficelles des promesses. Promesses qui n'engagent évidemment que ceux qui y croient. Le Président de la FNSEA, Arnaud Rousseau étant un intime d'Emmanuel Macron, chacun comprend que tout sera fait pour satisfaire la haute finance qui dirige l'Europe. En même temps que les dirigeants leurs font des promesses, dans le dos des agriculteurs, ils signent des accords de libres échanges avec le Chili pour importer, viandes et céréales. Contenant les pesticides, produits phytosanitaires interdits en Europe. Mais, il se trouvent toujours quelques naïfs, quelques crédules, pour tomber dans les pièges les plus grossiers.

J'égoutte le choux fleurs de l'autocuiseur où je l'ai ébouillanté. Je le dépose dans le plat en terre cuite. Je verse dessus le mélange œufs, fromage blanc, crème fraîche et lait de soja. Je recouvre d'une copieuse couche de ce gruyère aux parfums envoûtants. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillé. Des cerneaux de noix. Je place dans le four électrique pour une lente cuisson à 160°. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller faire quelques pas au dehors, je dévale les escaliers. J'enfile l'anorak. La température extérieure est de 12°. Le ciel est voilé mais lumineux. Je descends jusqu'à la rivière. Il est treize heures quarante cinq quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé des mêmes pensées que ce matin. Les désirs de Clémentine.

Clémentine qui rentre de cours pour dix sept heures trente. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Je dois te branler de la part d'Estelle qui te remercie pour la "thérapie" du docteur ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Elle a encore ses notes à mettre au propre, une application à télécharger de son I-phone sur son MacBook Pro. Cette petite heure à travailler ensemble est encore une bénédiction. << J'en ai marre aux canards ! >> s'écrie t-elle en se levant. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je me lave les mains au lavabo de l'atelier quand elle vient me rejoindre en sautillant. Pendant qu'elle me tient la bite pour en diriger les jets, Clémentine me dit : << Juste toi et moi ce soir ! >>

Même si notre histoire d'amour à trois, avec Estelle, procure les plus belles émotions, sentimentales et sexuelles, nous apprécions de nous retrouver seuls tous les deux. Ses bras autour de mon cou, ses jambes autour de ma taille, en se faisant promener dans l'atelier, Clémentine revient sur cette idée qui semble l'obséder. Baiser avec Louis, notre vieux voisin vicelard. << Je me touche en roulant et en pensant à ce vieux pervers ! >> lance t-elle. Nous en rions de bon cœur. Je propose de mettre au point un plan pour vendredi après-midi. Dans la maison d'amis. << Put-Hein, c'est chiant, il faudra d'abord faire un peu de ménage et chauffer le matin ! >> dit Clémentine. Je réponds : << Je m'occupe de tout ! >>. Elle se frotte pour s'exclamer : << Tu es un amour ! >>. Nous rions quand elle rajoute : << Et moi une salope ! >>. Je murmure : << J'aime les salopes, je m'ennuie tellement avec celles qui ne le sont pas ! >>. Elle m'embrasse.

Je la dépose devant la cheminée. La nuit est tombée. Les dernières flammes sont la seule lueur à éclairer cette partie de la pièce. Nous admirons ce spectacle magnifique serrés l'un contre l'autre. << Je t'aime Julien. Tu me comprends si bien. Et ça fait sept ans que tu fais de moi la femme la plus heureuse ! >> dit elle en se tournant pour se blottir dans mes bras. Je suis pétri d'émotions, ne sachant quoi dire. Clémentine s'accroupit, me tient par les passants de mon 501. Elle frotte son visage contre mon sexe en gémissant de contentement. Je caresse ses tempes du bout de mes doigts. De petits massages circulaires alors qu'elle gobe l'extrémité de ma queue. Je bande mou. C'est dans sa bouche que mon érection prend toute sa dimension. Clémentine suce avec passion. En gémissant.

Je l'aide à se redresser avant que l'ankylose ne la gagne. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand elle découvre le gratin de choux fleurs, Clémentine redouble de tendresse. Il suffit de le réchauffer. << Et tu t'occupes si bien de tout, de moi, je t'aime, si tu savais ! >> s'écrie t-elle en me prenant dans ses bras. Clémentine fait l'assaisonnement des deux endives. Je mets les assiettes, les couverts. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le "plan Louis". Je suggère de contacter monsieur Bertrand de la façon convenue. Un chiffon jaune accroché à la fenêtre de l'étage de la maison d'amis. Depuis sa propriété, à un peu plus de trois cent mètres en contrebas, monsieur Bertrand ne manquera pas de l'apercevoir. << On fait ça jeudi soir, c'est une bonne idée ! >> dit elle.

Nous traînons à table à rire des différents scénarios déjà vécus avec notre voisin. Nous ne traînons pas car ces échanges et le thème nous ont considérablement excité. La vaisselle. Je soulève Clémentine pour l'emmener, comme une jeune mariée jusqu'au salon. Je la dépose devant le canapé en disant : << Ce soir je vous fais l'amour mademoiselle ! >>. Clémentine ouvre la boucle de son ceinturon, déboutonne son 501. Elle se penche pour retirer ses bottines, puis son Levis et sa culotte. Je me masturbe en assistant à ce strip-tease. Nous en rions de bon cœur lorsque Clémentine se couche sur le canapé en disant : << Viens ! >>. Ce soir, je retire mon pantalon, mon slip. Je reste en appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids. Je frotte mon érection à l'entrée de sa vulve.

Elle saisit mon chibre pour se l'introduire. Doucement je m'immisce. Nous aimons rester immobiles. Parfois c'est Clémentine qui impulse un rythme lent. Nous nous berçons. Ce sont les moments que choisit Clémentine pour me confier ses secrets de fille. J'écoute avec attention. Sans poser de question. C'est comme si elle les devinait car elle y répond par anticipation. J'apprends que deux étudiants de la faculté viennent quelquefois prendre le café à la cafétéria de l'université pour les draguer, Estelle et elle. << On se les ferait bien tous les deux. Ils sont tellement maladroits et mignons dans leurs avances. Timides mais entreprenants. Très certainement puceaux ! >> murmure Clémentine. Je bouge doucement parce que ses aveux sont très excitants. Je l'encourage là aussi à passer aux actes.

Nous passons la soirée à nous aimer, à nous confier des sentiments, des ressentis, des impressions. << Avec le printemps, cette année, je vais mettre toutes les barres très haut ! >> lance Clémentine lorsqu'elle se met à bouger de plus en plus rapidement. La cuvette est prête, posée au sol devant le canapé. Clémentine ne cesse jamais de se masturber en faisant l'amour. Quand elle cesse c'est pour ajuster sa position. Puis elle recommence. Je me retire car je sais ce qui se prépare. Depuis toutes ces années je sais anticiper les évènements. Clémentine se redresse en hurlant. S'accroupit au-dessus de la cuvette, le dos en appui contre le canapé. Elle se lâche dans un orgasme pisseux. Elle souffle, pousse de petits cris. Je me lève. Je frotte mon sexe sur son visage. J'éjacule dans sa bouche.

Bonne nuit à toutes les coquines heureuses de s'être confiées, d'avoir été aimée, se serrant contre leur comparse, sous les draps pour un profond sommeil...

Julien (le comparse)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Wednesday 31 January 2024 07:36

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 15 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2509 -



Clémentine, Estelle, les pizzas et moi

Hier matin, mardi, il est presque six heures. Les fééries d'une des applications de nos i-phones nous tirent de nos profonds sommeils. C'est comme de nous réveiller dans une mystérieuse forêt. Tout y résonne de manière étrange. Une illusion qui ne dure que quarante cinq secondes. Clémentine vient se blottir contre moi en gémissant. C'est encore ces quelques instants pénibles où la réalité brise l'onirisme avec cruauté. Quelques bisous. Quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Les radiateurs viennent de s'allumer. Pour tenter de se réchauffer un peu il faut tout faire très vite. Nous revêtons nos tenues de gym dans la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers. J'allume immédiatement une belle flambée dans la cuisinière à bois. Elle chauffe rapidement.

Clémentine prépare le café, pèle les kiwis. Presse les oranges. Je place les deux gros croissants aux amandes dans le four à micro ondes. Je beurre les quatre tranches de pain éjectées par le grille pain. Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur notre soirée en amoureux. Sur les aveux de Clémentine lorsque nous faisions l'amour sur le canapé. << Des souhaits jusqu'au passage à l'acte, il y a souvent un gouffre. La réalité des choses ! >> précise t-elle. Nous mangeons de bon appétit en envisageant toutes les possibilités de les réaliser. Clémentine, débordante d'imagination, promet de prendre en considération chaque option. De la plus invraisemblable à la plus réaliste. Il va être six heures vingt cinq. Notre entrainement nous attend à l'étage. Chaque seconde nous est comptée. Nous remontons.

Les échauffements des mouvements aérobics, le jogging sur tapis roulants précèdent les exercices au sol. Avant de passer aux charges additionnelles. Le retour au calme d'un stretching bâclé par faute de temps. La douche. Je redescends le premier pour sortir la voiture du garage. Presque 7 h45. La température extérieure est de 4°. Le ciel est voilé mais nullement menaçant. Clémentine vient me rejoindre. Aujourd'hui dans son élégant manteau noir, un pantalon noir, ses bottines noires. Un béret noir. Comme elle est belle. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou et je me dépêche de rentrer au chaud. La vaisselle, notre lit. À l'atelier je fais un bon feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant. Sympa.

La peinture de ma toile hyper réaliste me plonge dans d'autres délices. Je peins en pensant aux confidences sur canapé de la fille que j'aime. J'adore la savoir libre, extravertie et désireuse de vivre ses pulsions sans contraintes. Nous en avons tant vécus de ces moments exaltants ! Je suis impatient d'aller au devant de nouvelles expériences. Même si elles se reproduisent parfois, ce ne sont jamais exactement les situations identiques. Mes pensées m'emmènent aux environs de midi. Il est convenu que s'il y a des pizzas au restaurant universitaire, Clémentine m'appelle avant midi quinze. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter la grande pièce pour la cuisine. Je réchauffe le reste du gratin de choux fleurs. Je fais l'assaisonnement d'une belle laitue. Un filet de colin dans la poêle.

Il n'y a pas d'appel téléphonique. Rassuré, je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff consacre la première partie aux évènements qui concernent le monde rural. L'accès à la capitale bloqué par des centaines de tracteurs. Le gouvernement utilise toujours le même principe. D'abord il envoie un émissaire. Un ministre chargé de prendre l'exacte mesure des revendications. Ensuite ce même gouvernement envoie un négociateur. Le premier ministre chargé de calmer le jeu avec des promesses qu'il n'a nullement l'intention d'honorer. Puis viennent les CRS, les chars de la gendarmerie et les premières provocations. De faux manifestants, déguisés, chargés de causer des dégradations urbaines, de décrédibiliser le mouvement auprès de l'opinion publique. Puis viennent les violences policières.

J'écoute en préparant mentalement les ingrédients nécessaires à l'élaboration des pizzas. J'aime préparer de belles pâtes à pain. La farine complète et bio à laquelle je rajoute levure boulangère, eau, sel, huile d'olive et poudre de Parmesan. Du jus d'ail pressé et une petite pointe de poivre. Je pétris longuement cette pâte jusqu'à la rendre onctueuse. Un petit "truc" est de rajouter une noisette de beurre. Je laisse reposer dans le saladier, recouvert d'un linge. Dans la partie la plus chaude de la cuisine. Je lave et je coupe de belles et grosses tomates. De l'ail, de l'oignon. C'est dans la poêle que fais cuire cette garniture. J'y rajoute une cuillère à soupe d'huile d'olive, du persil, de la ciboulette. Sel, poivre, paprika et une pointe de curcuma. Je recouvre d'un couvercle, le tout placé hors feu.

Je râpe de ce succulent Appenzeller pour en remplir un gros bol. Ce gruyère Suisse recommandé par Danièle enchante nos palais. Comme le dit Clémentine : << On pourrait en prendre au petit déjeuner tellement c'est bon ! >>. Je n'ai plus qu'à faire la vaisselle, monter me laver les dents. Pour ce soir tout est prêt. Les feuilles de la belle laitue déjà lavées. C'est donc serein que j'enfile mon anorak pour aller faire quelques pas au dehors. La température extérieure est de 14°. Si cette douceur pouvait durer jusqu'aux premiers jours du printemps ! Tout le mois de février par exemple. Je descends jusqu'à la rivière. Il est treize heures quarante cinq quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé des mêmes pensées que ce matin. C'est très excitant de m'y plonger.

Il va être dix sept heures trente. J'entends du bruit. Je pose la palette, les pinceaux sur la desserte à ma droite. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table avant de se précipiter vers moi. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Son après-midi consacré à la visite d'un laboratoire d'analyse scientifiques. Ce qui explique l'élégance de sa vêture. << Je monte me changer avant de mettre mes notes au propre. Tu montes avec moi ? >> me dit elle en se levant pour m'entraîner par la main. Nous montons en courant. Clémentine se change dans la salle de bain. Son Levis, son sweat, ses baskets. Elle me saute au cou en s'écriant : << Me voilà à nouveau "moi" ! >> dit elle.

Nous dévalons l'escalier pour retourner dans l'atelier. Consacrer trois petits quarts d'heure au plaisir commun du travail ensemble. Tout en allumant son ordinateur pour télécharger les photos prises cet après-midi, les légender, Clémentine me raconte quelques amusantes anecdotes de sa vie universitaire. Les deux jeunes étudiants d'à peine vingt ans, préparant leurs Licences de Sciences, qui les draguent Estelle et elle. Nous en rions de bon cœur. << Viens voir, je les ai en photo ! >> s'écrie Clémentine. Je me lève pour découvrir les douze étudiants de sa section. Mais c'est l'autre groupe à côté que Clémentine désigne. Ce sont deux jeunes garçons. Des blondinets à l'air un peu quelconque. Souriant timidement pour cette photo de classe. Clémentine zoome l'image. On voit mieux.

<< Regarde-les. Ils ont encore les couches, du lait maternel aux coins de la bouche. Avec Estelle on se dit que ce serait une bonne aventure que de les déniaiser. De les mettre devant leurs challenges. Ils nous draguent de manière tellement stupide ! >> m'explique t-elle. Je l'encourage à entreprendre cette expérience. << On va en parler avec Estelle ce soir si tu veux. Elle sera contente ! >> rajoute Clémentine. Je la laisse terminer ses notes. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine vient me rejoindre devant le lavabo de l'atelier où je me lave les mains. Elle tient ma bite pour en diriger les jets. << Tu t'imagines un peu. Infliger ça à un puceau ! Ça me plairait bien ! >> lance t-elle en secouant les dernières gouttes. Nous en rions de bon cœur avant qu'elle ne s'accroupisse.

Je la regarde sucer en disant : << Tu imagines le traumatisme que tu infligerais à un jeune garçon de vingt ans encore puceau en lui faisant ça ! >>. Clémentine se redresse en riant. << Génial. Une autre expérience. Un autre souvenir ! >> s'exclame t-elle. Je la soulève. Accrochée à mes épaules, ses jambes autour de ma taille, je la promène dans tout l'atelier. Estelle, coquine et stratège, arrive sans faire le moindre bruit. C'est ainsi qu'elle nous retrouve. Elle se précipite. Je dépose Clémentine la soulever à son tour. Nous admirons encore un peu la danse des dernières flammes. Estelle et Clémentine parlent de leur après-midi, la visite du laboratoire. La faim nous tenaille. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Estelle travaille la pâte pour lui rendre de l'onctuosité. Des deux mains enfarinées.

Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue. Je réchauffe la garniture. Estelle étale la pâte sur les trois grandes plaques du four à bois. Le reste sur la plaque du four électrique. Ce sera notre repas de demain midi. Je verse délicatement la garniture qu'Estelle répand sur la pâte avec la spatule. Clémentine recouvre de gruyère. Le tout dans la fournaise du four à bois. Pendant que nous mettons les assiettes, les couverts. Estelle, accroupie devant la porte vitrée du four ne surveille pas seulement la cuisson mais m'observe me branler. Rien ne m'excite davantage que la vision d'une femme, accroupie, de dos, cuisses largement écartées. Elle tourne la tête pour me dire : << Vieux pervers ! >>. Je m'approche pour poser mes mains sur ses épaules. Penché, mon visage tout près du sien. Je murmure : << Jeune salope ! >>. Nous en rions de bon cœur. Estelle sort les pizzas dorées, fumantes, dont le dessus en ébullition évoque le bouillonnement d'un volcan.

Nous mangeons de bon appétit. J'écoute les filles parler de leur programme universitaire. Demain mercredi, c'est depuis la maison, en télé travail, qu'elles seront en cours. << J'ai raconté notre souhait de dépuceler les deux naïfs ! >> lance Clémentine. Estelle me regarde et me demande : << Tu serais de la "partie" ? Tu vois les choses comment ? >>. Je ne sais évidemment pas quoi dire. << C'est quelque chose qui s'organise avec soin. Il faut bien concevoir ce "plan". Il faut surtout l'endroit ! Et je tiens absolument à ce que Julien soit caché pour regarder ! >> précise Clémentine. À tout hasard je propose d'organiser un "truc" dans la maison d'amis. Fêter un anniversaire par exemple. Celui d'Estelle le 11 mars. Ou celui de Clémentine le 2 avril. Elles se regardent en silence.

<< Le 2 avril ! Avec le début du printemps ! >> lance Clémentine. << Génial ! >> s'exclame Estelle. Nous traînons à table. La vaisselle. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Nous filons dans le salon. Toutes les deux, juste en sweats et en grosses chaussettes, installées sur le bureau, se masturbant, la tête posée sur les coussins, se font lécher, sucer et tringler sans cesser de revenir sur le nouveau projet. Le nom de code de ce "plan" est suggéré par Estelle "dépucelage". Nous en rions de bon cœur. Ce projet est un stimulateur d'une redoutable efficacité car ce n'est pas un orgasme que s'offrent mes deux anges, mais un chapelet d'orgasmes qui les font hurler de plaisir. Il va être l'heure. C'est dur de reprendre nos esprits. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. Dans la nuit glaciale.

Bonne nuit à toutes les coquines, serrées contre leur coquin, sous les draps, qui reviennent une fois encore sur cette soirée d'anniversaire qu'il faudra organiser. D'ici là il y a le "plan" avec le voisin, ce vendredi...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Thursday 1 February 2024 07:40

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 16 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2510 -



Le repas du soir en compagnie de Juliette

Il est sept heures, hier matin, mercredi quand je réveille délicatement Clémentine. Je murmure : << Papillon ! >> en faisant bouger les cils de ma paupière contre sa joue. Je chuchote : << Esquimau ! >> en caressant son nez avec le mien. << Mmhh, quel bon réveil ! >> gémit elle en s'étirant. Le mercredi, c'est télé travail depuis la maison. À cette idée, Clémentine se montre facétieuse dès le levé. Ce qui est encore le cas aujourd'hui. Quelques papouilles où elle saisit mon érection matinale et naturelle. Quelques bisous où je la doigte doucement. << Mmmhhh; mais tu es magique ce matin ! >> lance t-elle en m'entraînant par le Zob jusqu'aux toilettes. C'est bien le mercredi. Car nous disposons de davantage de temps. De plus il fait déjà bien chaud partout dans la grande demeure.

Nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge dans la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans le hall d'entrée. Je tiens Clémentine par la taille quand elle ouvre le portail depuis l'interphone. Nous courons à la cuisine où j'allume la cuisinière à bois. Clémentine prépare le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Je beurre les tranches éjectées par le grille pain dans un claquement sec. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée avec Estelle. Excités par nos nouveaux projets, nous avons pratiqué la "baise sur bureau", la "baise sur canapé" dans l'opulence de nos libidos dévoyées. << À refaire. Vraiment ! >> dit Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en envisageant le menu du repas de ce soir.

Ce sera un gratin de pommes de terre. Façon Parmentier. Quoi de meilleur en hiver que des plats cuits au four ! Le jour commence à se lever alors qu'il n'est encore que sept heures trente. Nous hésitons. Le running matinal nous manque cruellement. Mais avec seulement deux degrés de température, le courage fait défaut. La vaisselle. Nous remontons pour l'entrainement en salle. Et comme la grande pièce n'est pas plus chauffée que la chambre à coucher, la motivation est soudain très importante. Les échauffements aérobics. Le jogging sur tapis roulants, les exercices au sol. C'est très agréable de pouvoir pratiquer en prenant son temps. Les charges additionnelles suivies des étirements du retour au calme d'un stretching concentré. La douche. Clémentine, déconneuse et facétieuse.

C'est en imitant l'accent Corse de Juliette qu'elle raconte. Je suis plié de rire. Elle prend même ses manières un peu pincées de bourgeoise. Nous dévalons les escaliers en riant aux éclats. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine s'installe devant son ordinateur, ajuste les écouteurs sur ses oreilles. << Les cons, il n'est pas encore neuf heures et ils ont déjà commencé ! >> s'exclame t-elle. Toujours avec l'accent de Juliette. Rires. J'allume une belle flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je finalise aujourd'hui ma toile "Reflets". Je peins en écoutant Clémentine échanger avec d'autres étudiants. Je n'entends qu'elle mais je peux reconstituer des bribes de dialogues. C'est amusant. Il est presque dix heures, la sonnerie de mon I-phone.

Quand elle me voit me lever, téléphone en main, Clémentine mime une masturbation masculine avant de retirer ses écouteurs. Comme lorsqu'elle est à l'université, il y a la pause de dix heures. J'ouvre ma blouse, je sors ma bite. Clémentine m'entraîne par le Zob. Nous quittons l'atelier pour aller accueillir Danièle. Chaudement vêtue nous la faisons entrer. Je la débarrasse immédiatement du cageot qu'elle vient nous livrer. Clémentine l'invite à nous suivre à la cuisine où elle retire ses gants. << Mon mari est à Paris entrain de bloquer l'accès à Rungis ! Je fais tourner la boutique toute seule avec nos deux employés ! >> explique t-elle pour justifier de son passage éclair. Cette adorable jeune femme montre chaque mercredi une nouvelle initiative. Elle retire son bonnet de laine.

Ces cheveux auburns, coiffés à la garçonne, ses petites tâches de rousseur, ce rire sincère quand elle attrape ma queue en demandant : << Pas trop froide la main ? >>. Je saisis son poignet en répondant : << On va la réchauffer ! >>. Danièle, me lâchant, remettant son bonnet, s'exclame << Il faut vraiment que j'y aille j'ai encore une quinzaine de clients à livrer ! >>. Nous la raccompagnons jusqu'à la porte. << C'est que je m'attarderais volontiers ! >> lance t-elle encore avant de sauter les quatre marches du perron en disant : << À samedi ! >>. En retournant dans l'atelier, Clémentine, me tenant par la queue, me dit : << Tu as remarqué qu'elle se touchait discrètement de son autre main ? Oh, juste quelques secondes ! >>. Je ne m'en étais pas aperçu. << Ah les hommes ! Ils ne voient pas ce qu'il faudrait ! >> fait elle.

Nous voilà à nos postes de travail. Parfois, me levant, tourné vers Clémentine, je fais "l'hélicoptère". Occupée à ses cours, elle ne peut me rejoindre. Elle se contente d'agiter son index en prenant un air sévère. J'agite ma biroute avant de me rassoir. Il va être midi. Clémentine se lève pour aller mettre deux bûches sur les braises. Je la rejoins pour passer mes bras autour de sa taille. Mes lèvres dans son cou. Elle attrape mon Zob pour me tirer vers la porte. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Pendant que Clémentine prépare l'assaisonnement d'une salade de tomates, s'occupe du reste de gratin de choux fleurs, j'épluche de grosses pommes de terre que je lave. Je beurre un autre grand plat carré en terre cuite. Je coupe les patates en rondelles. Deux grosses escalopes de dinde à la poêle.

Nous mangeons de bon appétit en continuant à évoquer Danièle. À disserter sur ses attitudes. << Cette femme est en "manque" ! >> précise Clémentine. Je dis : << Peut-être a t-elle se comportement avec tous ses clients mâles ! >>. Clémentine s'empresse de préciser : << Certainement pas. Il s'est passé trois ans avant qu'elle révèle un peu de ses centres d'intérêts. C'est à dire la bite ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. C'est évident. Dès le repas terminé nous retournons à la préparation de celui de ce soir. Juliette arrivera pour dix neuf heures. Sur la planche à découper, j'émince les deux escalopes. Clémentine prépare le liant. De l'œuf, de la crème fraîche, du lait de soja. J'y rajoute la viande finement tranchée. Une première couche de patates. Une première couche de garniture. Une couche de gruyère.

Ainsi de suite sur cinq superpositions. Je recouvre d'une copieuse couche de gruyère d'Appenzeller. Clémentine saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillé. Des cerneaux de noix. Au four électrique pour laisser mijoter à 160°. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés d'aller nous dégourdir les jambes nous dévalons une nouvelle fois les escaliers pour enfiler nos anoraks. Il fait plutôt doux avec 14° affichés. Nous descendons jusqu'à la rivière. Quelle surprise, monsieur Bertrand est entrain de nourrir les canards, les poules d'eau et les colverts. Nous nous saluons pour bavarder un peu. Notre voisin se montre le plus courtois des retraités. Il ne se doute pas un seul instant que je suis dans la "combine". Que je sais. Ou alors il est excellent comédien. Selon Clémentine.

Dans la conversation, Clémentine propose à Louis de venir prendre le café vendredi en début d'après-midi. Monsieur Bertrand s'empresse de préciser : << C'est avec plaisir, mais vous savez qu'on a jamais autant d'occupations que lorsqu'on est à la retraite ! >>. Je propose : << Pourquoi ne pas venir chez nous prendre ce café au salon. Une fois encore je serai obligé de m'absenter mais Clémentine est une hôte parfaite ! >>. Monsieur Bertrand rajoute : << Et absolument exquise ! >>. Elle me fait un clin d'œil. << À vendredi alors, quatorze heures ? >> lance Clémentine alors que nous laissons Louis à ses amis à plumes. << Le vieux salaud. Ce pervers. Tu as vu comme il joue la comédie ? >> me dit Clémentine alors que nous remontons. Je réponds : << Tu vas lui bouffer la bite ! >>

Installés à nos postes de travail, dans l'atelier, il faut se remettre à nos occupations. Cet après-midi, c'est à une mini conférence que se livre Clémentine. Chacun des membres de son groupe a cinq minutes pour exposer un concept suite à la visite d'un laboratoire scientifique mardi. J'écoute, admiratif, le narratif qu'elle a préparé. Il est dix sept heures quand je dépose la dernière touche de peinture sur ma toile. Clémentine éteint son ordinateur, range ses affaires avant de venir s'assoir sur mes genoux, ses bras autour de mon cou. Elle reste un long moment silencieuse à regarder la toile. << C'est encore plus précis qu'une photo ! Comment tu fais ça ? >> lance t-elle. Une fois encore j'explique que la technique hyper réaliste demande à peindre sans émotion, sans y mettre de sentiment.

Dès que le peintre joue sur le registre des émotions, il va forcément induire un "romantisme". Hors la réalité d'une vitrine dans une rue de New-York en est totalement dépourvue. Il faut peindre les choses, les objets, tels qu'ils sont. Dans leurs impudeurs, dans leurs "drames" et dans leurs inerties. Clémentine revient sur ma proposition de boire le café dans notre salon. Je préfère plutôt que de devoir faire le ménage dans la maison d'amis, de devoir chauffer dès le matin. Clémentine précise : << Il ne faut pas que ce soit un précédent. Ici, au salon, chez nous, je ne baise et je ne suce que toi ! >>. Je comprends le dilemme. Aussi, pour la tirer d'embarras, je m'empresse de rajouter : << Bon, vendredi matin, je fais le ménage et j'allume le chauffage dans la maison d'amis ! >>

<< Je t'aime. Tu comprends, je ne veux pas quelqu'un d'autre dans les endroits où je vis avec l'homme que j'aime. C'est "sacré" et trop "précieux" ! >> m'explique t-elle en mitraillant mon visage de bisous. Après tout, elle a parfaitement raison et j'apprécie cette grande preuve de tact. Je ferais le ménage vendredi matin. Il suffit de passer l'aspirateur, de faire la poussière, de faire fonctionner le chauffage en allumant une belle flambée dans la cheminée. Tout sera opérationnel pour les galipettes de Clémentine, vendredi, en début d'après-midi. Comme à chaque fois, je serai planqué dans le dernier des trois placards. Je sens Clémentine tirée d'embarras. Je me lave les mains au lavabo de l'atelier. Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets. Suce un peu. Se régale.

<< J'ai envie de faire l'amour ! >> me confie t-elle en se redressant. Elle m'entraîne par le Zob jusqu'au canapé. Elle retire ses baskets, son Levis. Juste en sweat et en chaussettes, couchée sur le dos, elle m'attire sur elle. Je la lèche un peu, je suce son clitoris géant avant de la pénétrer avec d'infinies précautions. Nous faisons l'amour comme nous aimons, souvent immobiles. Les moments que choisis Clémentine pour me confier ses secrets de filles. Ses désirs, ses scénarios. J'écoute. Ses confidences entretiennent mon érection. Nos intimes on pour consigne d'arriver sans s'annoncer. C'est dans cette situation que nous découvre Juliette qui arrive le plus souvent avant l'heure. << Oh pardon, là je dérange ! >> s'écrie t-elle en faisant mine de vouloir quitter l'atelier. Nous rions.

<< Non, vous ne dérangez pas Juliette. On allait cesser ! >> s'exclame Clémentine qui arrête de se masturber alors que je me retire. << Comme j'aimerais prendre le relai ! >> ne peut s'empêcher de lancer Juliette. << Pas question ! Mais tu peux le sucer ! >> répond Clémentine qui tutoie notre amie dans les situations à caractère sexuel. << Je peux ? >> s'écrie Juliette en se précipitant. Accroupie devant moi, me tenant par les fesses, Juliette pompe immédiatement comme une affamée. Clémentine la saisit par sa natte pour la forcer à cesser. << Tu as pris ton apéro salope, maintenant on va passer à table ! >> dit elle. Je reste médusé par les initiatives de Juliette comme de Clémentine. Je veux remballer ma bite dégoulinante de foutre quand Juliette s'écrie : << Non ! Pour après ! >>

Clémentine fait l'assaisonnement des deux endives. Je met le gratin de patates dans la fournaise du four à bois. Juliette met les assiettes, les couverts. Ce soir elle porte une paire de jeans, un pull à large col roulé bleu nuit, ses bottines noires. Sublime bourgeoise de cinquante ans, divinement salope. Seule femme à causer des tourments de jalousies à Clémentine qui surveille chacun de ses gestes. Nous mangeons de bon appétit avant de prendre le dessert au salon. Clémentine assise à ma gauche dans le canapé, tenant ma queue. Juliette installée dans le fauteuil qui nous fait face. Elle se touche, une main dans son pantalon déboutonné. Tout en nous racontant sa journée. Il n'est plus question de me sucer jusqu'à son départ pour 22 h. Clémentine me branle, me pipe quelques instants, se redresse et continue la conversation. Sous le regard souvent envieux de Juliette. Nous la voyons se tortiller dans son fauteuil.

Bonne nouille à toutes les coquines qui vont en savourer les jus sous les draps. Avant de s'endormir dans les bras de leur coquin...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Clémentine et Julien
Friday 2 February 2024 07:34

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 17 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2511 -



Le "contrôle" du jeudi

Presque six heures hier matin, jeudi. Le gazouillis des oiseaux. Le bruit régulier que fait la source en s'écoulant entre les rochers. Les illusions bluffantes délivrées durant quarante cinq secondes par nos I-phones parfaitement synchronisés. Nous sortons du sommeil comme au fond d'une forêt mystérieuse. Sous les draps bien chauds de notre lit. Clémentine, en gémissant, se tourne pour se serrer contre moi. Quelques papouilles où je l'entends tenter de prononcer des mots inintelligibles qui la font rire. Quelques bisous. Nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain où les radiateurs viennent d'entrer en fonction, il fait encore frais. Nous nous vêtons rapidement de nos tenues de sports. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Clémentine fait le café.

Pendant qu'elle presse les oranges, qu'elle pèle les kiwis en me racontant ses rêves, j'allume le feu de la cuisinière à bois. Le grille pain éjecte ses premières tranches que je beurre. Miel et confiture. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre mercredi soir et la compagnie de Juliette. << Cette salope se permet de plus en plus de familiarités. Si je n'intervenais pas elle passerait la soirée dans tes bras ! >> lance Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Nous mangeons de bon appétit en envisageant le repas de ce soir en compagnie d'Estelle. Estelle que Clémentine voit tout à l'heure en cours et qui lui racontera très certainement sa baise du mercredi soir avec son parrain. Jean-Marc le baiseur fou. << Elle se fait enculer depuis quelques temps ! >> rajoute Clémentine.

Il va être six heures vingt cinq. Nous remontons à toute vitesse dans notre salle d'entrainement. Pas chauffée. Les échauffements aérobics, le jogging sur tapis roulants nous mettent toutefois rapidement dans les meilleures conditions. Les exercices au sol avant les charges additionnelles. Les étirement d'un stretching précipité avant de courir dans la chaleur retrouvée de la salle de bain. La douche. Je redescends le premier pour aller faire chauffer l'auto. Presque sept heures quarante cinq. La température extérieure est de 8°. Le jour achève de se lever sous un ciel voilé. Clémentine vient me rejoindre. Son blouson d'épais cuir brun, son Levis, ses bottines brunes. En sautillant sur place elle me fait un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer au chaud.

La vaisselle. Notre lit. À l'atelier j'allume une belle flambée dans la cheminée. Installé à la table de travail je m'attelle au dessin préparatoire d'une nouvelle œuvre hyper réaliste. Cette fois l'intérieur d'un des pubs Irlandais où nous avions pris des photos il y a trois ans lors de notre séjour de deux semaines près de Dublin. Ce sont des endroits pittoresques, des lieux de rencontres festives. Ce sont surtout les décors de ces endroits qui attirent l'attention par leur singularité intemporelle. En y pénétrant on pourrait très bien se retrouver au dix neuvième siècle. Il y a toujours de petites scènes où des artistes locaux se réunissent pour faire de la musique. Et la musique traditionnelle folklorique Irlandaise est attractive. Les visiteurs participent rapidement. Cette toile s'appellera évidemment "Le Pub Irlandais".

Je travaille jusqu'aux environs de midi. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à réchauffer les restes du gratin de patates. C'est un plat complet. Je fais l'assaisonnement d'un concombre. Je prépare les cinq bouchées à la reine dans le grand plat en terre cuite. Je concocte une Béchamel. J'émince un bon morceau de dinde. Des champignons. Tout cela à la poêle avant de le rajouter à la Béchamel avec du gruyère. J'égoutte les coquillettes pour les verser autour des bouchée à la reine que je remplis de la garniture. Bien calées. Je recouvre d'une copieuse couche de gruyère. Graines de sésame grillé. Chapelure. Cerneaux de noix. Je tiens à rassurer le lecteur qui s'inspire de nos recettes, de nos plats, nos préparations n'ont jamais le même goût.

Au four pour une cuisson lente à 160°. Je mange mon gratin réchauffé de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff consacre une partie de son émission aux retombées scientifiques et médicales des produits expérimentaux injectés à la population, parfois de force pour certaines catégories professionnelles, en faisant croire qu'il s'agissait d'un vaccin. Les vérités commencent à voir le jour même si les plus cons continuent de traiter de complotistes les lanceurs d'alertes. Les différentes branches scientifiques en arrivent toutes aux mêmes conclusions. Une personne sur cinq est victime d'effets secondaires le plus souvent pénibles. Sinon indésirables. Voire invalidants ou mortels. Il n'y a plus qu'en France que les médias mainstreams tentent de dissimuler la réalité. Sur ordres de leurs hiérarchies gouvernementales. Complices de "crime contre l'humanité" ils se tiennent par les couilles.

Je fais la vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller me dégourdir les jambes je redescends à toute vitesse pour mettre mon anorak. Avec une température extérieure de 14° je peux aller jusqu'à la rivière en le laissant ouvert. Pas un souffle de vent pour ce premier février. Comme il serait agréable que les 29 jours de ce second mois de l'année se déroulent dans ces conditions météorologiques. Il est treize heures quarante cinq quand je suis de retour dans l'atelier. Je termine mon dessin vers seize heures trente. J'aime qu'il soit déjà une œuvre d'Art à part entière. Je prépare l'émulsion de pigments terre de sienne en suspension dans une résine liquide d'acrylate. Deux couches croisées de peinture acrylique. Le dessin transparaît parfaitement sous la couche d'impression.

Je pourrai commencer cette nouvelle toile dès demain matin. Du bruit. Clémentine rentre de cours. Il est déjà dix sept heures trente. Elle pose son cartable sur la table avant de venir me rejoindre devant la cheminée où je remue les braises avec le tisonnier. Elle me saute au cou. Je la soulève. Enserrant ma taille de ses jambes elle reste accrochée à moi. Je la promène dans l'atelier alors qu'elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Estelle est encore bien "allumée". Tu vas être sollicité ce soir ! >> dit elle quand je la dépose devant son ordinateur. Elle a encore un peu de travail. Debout derrière elle, mes mains sur ses épaules, je l'écoute m'expliquer ce que je vois à l'écran : << Valeurs atomiques des molécules végétales ! Valeurs atomiques des minéraux ! >>

Les symboles mathématiques m'échappent totalement. Pour moi, l'algèbre c'est de l'hébreu mâtiné de chinois. Ce qui la fait rire. Je la laisse pour aller m'installer dans le vieux canapé de velours carmin. Avec un livre consacré à l'hyper réalisme Américain du vingtième siècle. Duane Hanson, Audrey Flack et surtout Chuck Close le plus célèbre d'entre eux. Il est dix huit heures trente quand Clémentine vient me rejoindre. Couchée sur le dos, sa tête sur ma cuisse, sa joue contre ma bite. << Raconte-moi. Fais-moi la lecture. Sinon je m'endors ! >> dit elle. Je me mets à lire quelques paragraphes. Je montre les photos. Clémentine montre toujours un grand intérêt pour toutes choses. Elle se redresse pour s'installer à ma gauche. En jouant avec ma queue, elle regarde les illustrations avec moi.

C'est ainsi que nous retrouve Estelle. Elle se précipite pour nous rejoindre. Elle s'assoit à ma droite pour regarder ce que nous lisons. << Wouah, de belles photos ! >> lance t-elle en s'emparant de mon chibre que lui laisse Clémentine. Clémentine qui explique : << Ce ne sont pas des photos, ce sont des peintures ! >>. Estelle, me tordant la bite dans tous les sens, s'écrie : << Put-hein c'est génial ! >>. Nous restons ainsi, juste éclairés par la lampe à halogène à droite du canapé. Il commence à faire faim. Clémentine se lève la première en prenant ma main. Estelle se lève à son tour en tenant mon Zob. Je les prends toutes les deux par la taille pour les attirer à moi. Distribution de bisous. Estelle enfonce sa langue dans ma bouche quelques instants. Clémentine fait pareil. Nous rions.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. C'est encore ma fête quand elles découvrent ce que je sors du four électrique éteint. Quand je le mets dans la fournaise du four à bois. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de carottes. Estelle surveille la cuisson. Je mets les assiettes, les couverts. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme du week-end qui commence demain, vendredi, à midi. << Tu vas te faire le voisin alors ! >> lance Estelle. Clémentine répond : << Comme tu t'es faite ton parrain mercredi soir ! >>. Nous en rions aux éclats. << À ce propos, tu fais un chek up de mon minou ce soir ? >> me demande Estelle qui se lève pour mimer une masturbation masculine. Clémentine rajoute : << Raconte à Julien tes saloperies sur les cartons du dépôt de la boîte ! >>

<< Il voulait encore conclure en m'enculant, le saligaud ! J'ai refusé. Ça me fait trop mal ! Le fils de pute insiste toujours lourdement en y enfonçant son gros doigt ! >> raconte t-elle. Nous en rigolons comme des bossus. Nous ne traînons pas. L'examen du minou d'Estelle nécessite une bonne heure de contrôle assidu. La vaisselle. Mes deux anges m'entraînent au salon. C'est réglé comme du papier à musique. Je me branle en les regardant retirer leurs bottines, leurs jeans, leurs culottes. Je dispose les épais coussins sur le tapis. Elles se vautrent dans le canapé. Les cuisses largement écartées, les jambes relevées qu'elles tiennent sous les genoux pour m'offrir leurs chattes. J'aime rester un petit moment distant, à admirer en me masturbant. Ces sublimes chattes poilues, velues. Belles.

À genoux, je commence une fois encore par l'intimité d'Estelle. C'est un agréable défi que de surmonter les odeurs de sa journée de fille. Ça remugle. Je hume à en avoir le vertige. Ce qui la fait rire alors qu'elle se masturbe. Je passe au minou de Clémentine. Parfums différents mais tout aussi enivrants. C'est un réel plaisir ce soir encore que de me lancer dans les comparaisons. Comparaisons des senteurs, comparaisons des goûts. Mes amis ! Quel immense bonheur que de prendre mon dessert dans la stéréophonie des gémissements, des petits cris de ravissements, les râles profonds alors que mes coquines se tortillent de plaisirs. Quand je suce les clitoris, elles cessent de se masturber. Quand je fouille leurs vulves du bout de ma langue, elles recommencent. C'est tout simplement divin.

Estelle, devant nous laisser à 22 h, est toujours la plus prompte à s'emmener au bout. Ce soir encore dans un orgasme paroxystique. Démentiel. En hurlant de jouissance. Elle me repousse délicatement pour se terminer aux doigts. Alors que je suis déjà à brouter le minou de Clémentine, Estelle, comme en proie à une intense douleurs, tournée sur le côté, les mains entre ses cuisses serrées, m'observe, hébétée. Reprenant ses esprits elle se redresse. Clémentine me repousse pour se terminer aux doigts, au-dessus de la cuvette, dans un orgasme pisseux. C'est toujours un spectacle étonnant. Ce déluge de pisse qui jaillit de ce petit trou dont elle écarte les peaux en criant. Je la tiens pour maintenir son équilibre. Son corps agité de spasmes orgasmiques. Elle en a les larmes qui coulent.

Bonne nouille à toutes les jouisseuses qui aiment en savourer les jus sous les draps, avant de s'endormir dans les bras de leur distributeur de plaisirs. Et de sperme...

Julien (le distributeur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Saturday 3 February 2024 07:09

Oncle-Julien
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Le vendredi

Hier matin, vendredi, à presque six heures, réveillés par les fééries d'une des applications téléchargées sur nos I-phones, nous nous serrons fort. C'est la dernière épreuve matinale de la semaine. Le week-end commence à midi. J'adore tout particulièrement ce matin là. Clémentine, déjà en proie à une certaine euphorie, me chevauche en riant. Mitraillant mon visage de bisous. J'admire cette vitalité aux aurores. Il faut se lever. Nous nous précipitons aux toilettes. Les radiateurs viennent d'entrer en fonction. C'est dans la fraîcheur de la salle de bain que nous mettons nos habits sports. Clémentine, déconneuse, palpe ma bosse à travers le lycra noir de mon legging. << Elle est bossue ta bosse ce matin ! >> lance t-elle en m'entrainant par la main. Morts de faim nous dévalons les escaliers.

Je fais immédiatement un bon feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, pèle les kiwis, presse les oranges. Je beurre les tranches que vient d'éjecter le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur le léchage de minou du jeudi soir. Ce qui est devenu un rituel hebdomadaire est également un plaisir auquel nous sommes abonnés. Nous rions de bon cœur de cette plaisanterie. << Nous avons de multiples cartes d'abonnements ! >> lance Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en envisageant le programme de la journée. << J'ai honte ! >> dit Clémentine en venant terminer sa tartine au miel, assise sur mes genoux. Elle fait allusion au rendez-vous avec monsieur Bertrand en début d'après-midi. Je la rassure : << Il n'y a pas de honte à se faire du bien ! >>

Il faut remonter. Il va être six heures vingt cinq. C'est en courant que nous gravissons les escaliers pour aller dans notre salle d'entraînement. On se réchauffe assez vite avec les mouvements aérobics. Le jogging sur les tapis roulants. Les exercices au sol précèdent la manipulation des charges additionnelles. Les étirements. Rien de mieux qu'un stretching pour revenir au calme. La douche. Je redescends le premier pour aller sortir la voiture du garage. La température extérieure est de 5°. Un ciel tourmenté de nuages. Le jour achève de se lever. Il est presque sept heures quarante cinq. Clémentine vient me rejoindre. Vêtue de son blouson d'épais cuir brun, de sa paire de jeans, de ses bottines. Bonnet, gants. Elle sautille sur place pour me faire quelques derniers bisous. Il faut y aller.

Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. C'est en courant que je rentre retrouver les 22° de la maison. Je fais notre vaisselle, notre lit. J'ai soigneusement organisé le timing de ma matinée. Je remets mon anorak. Je traverse le jardin pour entrer dans la maison d'amis. J'y allume immédiatement un feu dans la cheminée. Je vérifie que les tubulures de cuivre du gros chaudron de fonte noire soient pleines d'eau. Cette eau une fois chaude alimentera les radiateurs. Ingénieux système des pays Nordiques. Je retire les housses blanches qui recouvrent les meubles de l'unique grande pièce du bas. Elles protègent de la poussière mais il faut les secouer dehors. Je vérifie le niveau de charges des batteries des panneaux photovoltaïques.

Tout est parfait. Je passe l'aspirateur. Au sol d'abord, puis sur le dessus de la cheminée, l'escalier à angle droit. Un coup de chiffon. L'atmosphère commence à changer. Je monte à l'étage avec l'aspirateur. Il y a moins de poussière dans la cuisine, dans la salle de bain, les WC et la chambre à coucher. Les radiateurs commencent à tiédir. J'entends bouillir la flotte dans les tuyauteries. J'accroche le chiffon jaune à la fenêtre. Comme convenu. C'est le code qu'utilise Clémentine. Depuis sa propriété, à trois cent mètres en contrebas, notre voisin comprend que le rendez-vous est confirmé. Mais il ne sait pas que je suis informé. Ou alors, comme le suppute Clémentine il fait comme s'il ne le savait pas. Ce vieux renard est rusé, vicelard et pas tombé de la dernière pluie. Vieux retraité pervers.

La température affichée dans la maison d'amis est à présent de 19°. En un peu plus d'une heure trente j'ai gagné 15°. J'ai également terminé le ménage. Je rajoute quatre grosses bûches. Deux de hêtre, deux de chêne. Le chêne se consume plus lentement. Pour cet après-midi il fera ici aussi chaud qu'une journée caniculaire en plein été. Je quitte pour traverser le jardin. À l'atelier, j'allume également une bonne flambée dans la cheminée. Il est presque dix heures. Installé devant la table, je commence le dessin préparatoire d'une troisième œuvre hyper réaliste. L'intérieur de la chapelle Rosslyn dont nous avons quantité de photos prises ces dernières années. Ce sera une réalisation passionnante. Je suis plongé dans mon travail jusqu'aux environs de midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine.

Je n'ai qu'à réchauffer les deux grosses bouchées à la reine avec les coquillettes. C'est encore meilleur réchauffé. Je concocte l'assaisonnement de la salade de tomates. Je mets les assiettes, les couverts. Il est midi trente quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. Mitraille mon visage de bisous. << Avec mon chéri jusqu'à lundi matin ! >> s'écrie t-elle alors que je l'emmène aux toilettes. Le rituel pisseux, le lavage des mains avant de retourner à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. << Je dois te tailler une pipe de la part d'Estelle ! >> conclue t-elle en venant s'installer sur mes genoux. Nous en rions de bon cœur. << J'ai la trouille ! >> lance soudain Clémentine. Je comprends.

Avant chaque "sextravagance", elle est habitée de ce même sentiment où se mêlent la honte, l'excitation, la culpabilité et la crainte. Je la rassure : << Tu vas encore beaucoup t'amuser ! >>. Clémentine m'avoue s'être masturbée en roulant, sur le chemin du retour. << J'ai imaginé un "plan". Dis-moi ce que tu en penses ! >> fait elle. J'écoute, à la fois étonné et amusé. Elle développe sa stratégie : << On emmène le sybian, on l'installe et je me fais surprendre assise sur l'appareil ! >>. Je trouve l'idée épatante. Elle rajoute : << Je fixe le petit gode. Tu sais celui en caoutchouc beige. Ça rentre facile. On emmène une rallonge et le pot de crème "Baûbo" ! >>. C'est ce gel intime, ce baume vulve que Clémentine utilise parfois avant et après l'amour. Il évite picotements, irritations et permet de lubrifier.

Nous traînons à table en envisageant chaque étape des préparatifs. En sachant que j'ai déjà fait le ménage dans la maison d'amis, allumé le chauffage, Clémentine me fait plein de bisous. << Je t'aime. Tout ce que tu fais pour me rendre la vie facile ! >> s'exclame t-elle en calant sa tête dans le creux de mon épaule. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Dans la chambre à coucher, de l'armoire, Clémentine sort les vêtements qu'elle enfilera sur place. Elle me les passe. Je les dépose dans le sac de sport. Nous redescendons. Clémentine, un peu anxieuse, se serre dans mes bras. Je la berce. Je murmure : << Je vais être à l'étroit dans mon placard pendant que tu vas t'éclater ! C'est moi qui suis à plaindre ! >>

Clémentine, soudain redevenue facétieuse, s'écrie : << Mon pauvre chéri ! Comme je suis égoïste de ne penser qu'à moi ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Clémentine s'accroupit pour déboutonner la braguette de mon 501. J'adore quand elle fouille dans mon slip dont elle tire l'élastique vers le bas. << Tu ne devrais plus en porter quand on est ensemble ! >> lance t-elle en extrayant ma queue toute molle. D'un mouvement de tête gracieux, tenant mon chibre entre le pouce et l'index pour le soulever, elle hume longuement. << Mmhh, ça sent bon ! >> chuchote t-elle. Je murmure : << Tu pourras comparer avec celle qui t'attend dans vingt minutes ! >>. Clémentine se redresse en riant. Nous mettons nos anoraks. La température extérieure est de 10°. Nous sortons pour traverser le jardin d'un pas rapide. Je trimballe le sac de sport. Le ciel est de plus en plus bas, menaçant. Clémentine contre moi, réunissant tout son courage.

La pipe au vieux

<< Oh, comme il fait bien chaud ! >> lance Clémentine en pénétrant dans la dépendance. << Tu as passé l'aspirateur et enlevé la poussière ! >> rajoute t-elle en me sautant au cou. Elle pose son sybian sur la table basse qui sépare les deux canapés. Elle m'entraine devant la cheminée. Une belle flambée lèche le cul du gros chaudron de fonte noire. En soulevant son couvercle on distingue les cinq cylindres qui contiennent l'eau bouillante. Cette eau qui monte dans les radiateurs pour chauffer la maison d'amis. Ce sont les panneaux photovoltaïques installés sur le toit qui assure l'électricité via de grosses batteries offrant une autonomie permanente. Ce système permet de maintenir les 6° du "hors gel". Cette installation est à la pointe des technologies actuelles. Un investissement judicieux.

<< Viens, je monte me changer ! >> propose Clémentine dont je tiens le sac qui contient ses vêtements. Il fait bien chaud à l'étage. C'est dans la salle de bain que Clémentine revêt sa jupe kilt à carreaux rouges et verts. Son chemisier blanc. Ses escarpins noirs à talons. Ceux avec la petite sangle de cuir qui enserre la cheville. << J'ai honte d'être aussi salope ! >> s'exclame t-elle en me prenant dans ses bras. Elle se berce un peu avant de rajouter : << Merci Julien. Tu me comprends toujours si bien ! >>. Je la repousse délicatement pour la prendre par ses épaules. Je dis : << Depuis le tout début, j'ai tenu à ce que tu puisses vivre ta vie de fille dans la plus totale liberté. Et je t'assure une fois encore que de ce principe ne découle pas seulement ton plaisir mais également le mien ! >>

<< Je t'aime ! >> s'écrie t-elle en se serrant contre moi. Pour éviter de glisser sur le terrain du sentimentalisme, je passe ma main sous sa jupe. L'absence de culotte me permet l'accès le plus parfait à ses intimités. J'enfonce la première phalange de mon index. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Il va être treize heures cinquante. Louis ne va pas tarder. J'entraîne Clémentine par la main. Nous dévalons l'escalier en angle droit. J'ouvre la porte du dernier placard pour montrer l'installation des couvertures parterre. Elles permettront d'étouffer d'éventuels bruits quand j'y serai caché. Clémentine branche le sybian avec la rallonge. La thermos de café est posée entre les tasses et petits gâteaux. Je regarde Clémentine enduire la bite en caoutchouc du sybian avec le gel intime.

Elle monte sur la table. L'appareil entre ses pieds écartés. Elle s'accroupit. << Tiens-moi ! >> lance t-elle. Je passe derrière elle, les bras levés, pour la tenir par les hanches. Elle descend le bassin jusqu'à s'introduire le gode enduit de gel intime. Quelques centimètres. Elle s'installe en s'asseyant sur le sexe en caoutchouc. Elle se mordille la lèvre inférieure en fermant les yeux. << Wouah ! >> s'exclame t-elle. Je suis vraiment obligé d'aller me cacher car Louis va arriver d'un instant à l'autre. Heureusement que notre voisin n'est pas très ponctuel. Je m'enferme dans le placard. Il est étroit. C'est par la petite ouverture ronde grillagée, à hauteur de mes yeux, que je peux observer en cachette. Je regarde Clémentine se masturber. Déjà bien excitée, elle bouge en rythme.

J'entends le léger bourdonnement qu'émet le moteur de l'appareil. Même si elle ne me voit plus, Clémentine, tout en faisant du "dada", m'adresse un clin d'œil. Trois coups contre la porte. Sans attendre de réponse, monsieur Bertrand entre dans la pièce. Il reste comme pantois. Hébété. Il ne s'attendait pas du tout à ce spectacle. Cette sublime jeune fille, à cheval sur une machine qui la pénètre. << Bonjour Louis ! >> lance t-elle en accentuant encore son mouvement des hanches. Nul doute, elle s'offre le plus authentique des plaisirs. Authentique et véritable exhibitionniste, elle peut jouir de cet instant extraordinaire. Louis porte une épaisse veste de velours bruns. De la même étoffe que son pantalon brun. Il retire sa veste, descend la tirette de sa braguette, sort son sexe pour l'agiter.

Cette toute petite bite qu'il tient entre le pouce et l'index pour l'empêcher de disparaître dans son pantalon. Il s'approche. Clémentine lui fait le plus merveilleux des sourires. << Ma grande salope. Je n'ai pas plus d'une demi heure à te consacrer, mais je vais te gâter ! >> dit il en montant sur la table basse. << Tu ne veux pas qu'on prenne le café et les petits gâteaux d'abord ? >> demande Clémentine que le vieux salaud choppe par la nuque. Sans répondre, il frotte sa queue minuscule sur le visage de la fille. << Tu l'aimes la bite à Loulou, hein, grande salope ! >> s'exclame t-il en lui fourrant le sexe dans la bouche. Se faisant baiser par le sybian, la queue de monsieur Bertrand dans la bouche, Clémentine a des expressions d'extase. Je me branle en retenant ma respiration. En apnée.

Le vieux pervers se retire, il se penche pour soulever la jupe de Clémentine. << Mais tu as ce truc dans la chatte ! Tu fais ça souvent ? Il en pense quoi ton cocu ? >> s'écrie t-il. << C'est un cadeau de Julien. Il aime quand je l'utilise ! Là, il est dans son atelier à bosser ! >> répond Clémentine. Louis se redresse. Il recommence à frotter sa bite sur la gueule de la fille. Cette fois il la saisit par les oreilles. Cambré sur ses genoux fléchis, il colle son bassin contre le visage de Clémentine. Sa tête maintenue fermement presque dans la braguette du salopard. Il se branle dans sa bouche. J'entends Clémentine gémir de plaisir. Pousser de petits cris de ravissement. Le vieux saligaud se retire pour soulager son dos. Il se penche pour demander : << Tu aimerais baiser avec un électricien ? Prendre du jus ? >>. Il se marre tout seul de sa propre question surréaliste.

Je l'entends expliquer qu'une entreprise d'électricité intervient les vendredis après-midi des deux semaines à venir. Sans laisser à Clémentine la possibilité de répondre, enfonçant sa bite dans sa bouche, il rajoute : << C'est un jeune type. Il est branché cul. Si tu veux je t'arrange le plan. Il te baise et toi tu me suces. C'est mieux une vraie bite que ta machine à baiser, là ! >>. Il maintient fermement Clémentine que j'entends tousser. Qui a cessé de bouger sur le sybian. Elle tente maintenant à se soustraire de l'étreinte du vieux dégueulasse. Éjacule t-il ? Pisse t-il ? Sans doute un peu des deux. Clémentine me parle parfois des "mélanges" qu'elle se ramasse quand elle taille des pipes à cet incontinent dépravé. Il la lâche enfin. Je comprends ce qui vient de se passer. Du foutre coule aux commissures de ses lèvres. Ce vieux retraité salace décharge en sournois d'incroyables quantités de sperme gluant. Je discerne plusieurs petits jets de pisse.

Le haut du chemisier de Clémentine est trempé. Je viens de m'en apercevoir. C'est donc pour ça que cet enfoiré la maintenait fermement. C'est pour ça que j'entendais Clémentine pousser des râles. Heureusement que Clémentine a les cheveux en natte dans le dos. Ils ont échappé aux courtes et brèves giclées. Louis descend prudemment de la table. Il referme sa braguette en rotant. Clémentine se redresse. J'hallucine. Elle se lève en pissant. Un de ses jets impressionnants qui vient s'étaler en flaque sur la table avant de couler sur l'ocre des tomettes en terre cuite. << C'est pas le tout ma pisseuse mais je dois filer. J'ai du boulot ! >>. Il enfile sa veste. Se touche vulgairement en rajoutant : << Je te la garde au chaud pour la prochaine fois et pense à ma proposition ma grande ! >>

Il sort sans un au revoir. J'attends quelques instants. Le bougre est capable de revenir. Clémentine retire son chemisier trempé. Sa jupe mouillée. Je sors de mon placard. Enfin. Je tiens mon érection. << Quelle ordure ce mec ! Il m'a noyé de pisse l'enculé ! >> me fait elle. Elle retire ses escarpins pour les vider de leur pisse. C'est toute nue, me prenant la main, que nous remontons. Clémentine se douche dans la salle de bain en me donnant ses impressions. << Tu as aimé ? >> me demande t-elle alors que je l'enveloppe d'une grande serviette. Je réponds : << Pas autant que toi. Je te félicite pour ta prestation. Tu as encore été parfaite. Il aurait fallu filmer ces vingt cinq minutes ! >>. Clémentine de serre contre moi et dit . << Merci Julien. Sans toi rien de tout cela ne serait possible ! >>

C'est avec ses vêtements trempés dans un sachet en plastique que Clémentine me tient par la main. Nous traversons le jardin pour descendre à la cave par derrière. Les habits mouillés directement dans la machine. Nous remontons. Nous nous changeons pour mettre nos élégants vêtements de ville. Il va être quinze heures cinquante. C'est parti. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Comme elle mâche un chewing-gum pour faire passer le goût persistant des mélanges du vieux, elle le sort de sa bouche pour me sucer quelques instants. Puis elle revient sur ses ressentis. << C'est tellement dégueulasse que j'en raffole ! >> dit elle. Nous en rions de bon cœur. Il y a 25 km. Clémentine réserve une table dans notre restaurant préféré. Je gare l'auto dans la ruelle habituelle.

Qu'il est agréable de flâner dans les rues piétonnes malgré le froid. Nos visites aux grands magasins, à La FNAC. Un bon chocolat chaud avec une tranche de tarte aux abricots dans notre salon de thé préféré. Clémentine aime à me confier ses émotions les plus intimes. J'écoute. Je n'ai même pas besoin de poser de questions. Elle y répond en anticipant mes pensées. << Tu es parfois fâché quand tu me regardes en étant caché ? >> me demande t-elle. Je la rassure. Je tente de trouver les mots exactes pour décrire mes sentiments quand je la vois baiser avec un autre. Quand je la vois sucer une autre bite. Ce qui semble l'intéresser au plus haut point. C'est elle à présent qui me pose des questions. Au restaurant, durant notre délicieux repas, je dis : << Ce soir, au lit, avant de dormir, je vais te faire l'amour en amoureux ! >>. Elle pose sa main sur la mienne pour proposer : << Viens, on va faire un tour dans les toilettes hommes ! >>

Bonne faim de soirée à toutes les coquines qui aiment sucer dans les cabinets. Qui aiment faire l'amour sous les draps. Qui aiment êtres aimées jusqu'au délire...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Sunday 4 February 2024 10:22

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 19 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2513 -



Nos exquis samedis

Hier matin il est presque sept heures. Nous nous réveillons quasiment en même temps. Clémentine se blottit contre moi. Le samedi matin nous appartient. Nous pouvons prendre tout notre temps. Les papouilles se transforment en câlins. Les bisous ne sont pas précipités. L'impérieux besoin de pisser met tout de même rapidement fin à nos effusions de tendresse, de douceur. C'est en nous tenant par la main que nous allons aux toilettes. Les radiateurs chauffent depuis plus d'une heure. C'est dans la douce chaleur de la salle de bain que nous revêtons nos tenues de sports. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'au hall d'entrée. Clémentine ouvre le portail depuis l'interphone. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. Je l'emmène à la cuisine.

Pendant qu'elle prépare le café, presse les dernières oranges, pèle les derniers kiwis, j'allume un bon feu dans la cuisinière à bois. Dehors il fait encore nuit mais sur l'horizon on voit le ciel pâlir. Je beurre les tranches éjectées par le grille pain. Comme pour chacun d'entre nous, nos matinées son marquées par autant de rituels de la vie quotidienne. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la pipe prodiguée à monsieur Bertrand par Clémentine. << Ce vieux dégueulasse en a encore bien profité. Il m'a pissé dans la gueule. D'abord je crois que c'est du foutre, je pompe et c'est du mélange avant de devenir de la pure pisse. Ce vieux salaud ! >> lance Clémentine. Nous éclatons de rire quand elle rajoute : << Mais qu'est-ce que j'aime son foutre ! >>. Clémentine fait soudain d'horribles grimaces.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant cet "électricien" dont parlait monsieur Bertrand. << J'aimerais beaucoup en savoir davantage ! >> confie Clémentine en venant terminer sa tartine de confiture assise sur mes genoux. Je l'encourage à entrer en contact avec notre voisin afin d'en savoir davantage. << C'est une entreprise d'électricité qui intervient chez lui. C'est ça ? Si je me souviens bien ce que me disait ce vieil enfoiré en me jutant dans la bouche ! >> s'exclame Clémentine. Je suis plié de rire. Il va être sept heures trente. La température extérieure étant de seulement 3° nous n'envisageons pas un seul instant d'aller courir dans le froid glacial. C'est dans notre salle d'entraînement que nous montons nous offrir le second plaisir de cette nouvelle journée d'aventures.

Il faut se motiver un peu pour affronter les 15°. Les échauffements aérobics et le jogging sur tapis roulants restent la formule idéale. Les exercices au sol avant les charges additionnelles. Ce matin sur les machines. Avec les miroirs qui nous entourent de partout, Clémentine, facétieuse, prend des poses de culturiste. Je suis plié de rire et j'ai parfois du mal à me concentrer. Surtout pour les développés couchés à 90 kg. Nous terminons par les étirements bénéfiques d'un agréable stretching. Nous entendons l'aspirateur quelque part à l'étage. Lise vient d'arriver. Avec de l'avance comme le plus souvent. C'est d'ailleurs en allant à la salle de bain que nous la rencontrons dans le couloir. Dans sa tenue de "fille de ménage" habituelle. Un survêtement gris qui paraît bien élimé. Ses écouteurs sur les oreilles. Que peut-elle bien écouter ?

Elle les retire, éteint l'aspirateur pour nous saluer. Ses cheveux courts, auburns, ses tâches de rousseurs la font ressembler à Danièle. Un air de famille avec seize ans de moins. Mon legging noir moule parfaitement mes formes. Mon sexe replié dans mon slip présente un superbe relief qui attire forcément l'attention. Lise fixe cette bosse avec une certaine ostentation. Comme si elle voulait me faire comprendre qu'elle apprécie. Nous la laissons à ses activités pour aller dans la salle de bain. La douche. Qu'il est sympathique de pouvoir prendre tout son temps. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite, je coiffe Clémentine. Assise sur un des deux tabourets, les épaules couvertes d'une large serviette de bain, me regardant dans le miroir, elle me raconte ses souvenirs récents.

D'amusantes anecdotes concernant sa semaine à l'université. Les deux jeunes étudiants qui viennent timidement les draguer, Estelle et elle dans la cafétéria du restaurant universitaire. Je demande : << Ça en est où le projet de dépuceler ces deux zigotos ? >>. Riant aux éclats, Clémentine répond : << Je laisse à Estelle d'organiser le "plan". J'ai mon anniversaire le mardi 2 avril et nous le fêterons par anticipation le vendredi 29 mars. On ne sait pas encore où mais ce sera probablement dans la maison d'amis. Je veux que tu sois caché pour assister à nos gaudrioles ! >>. J'écoute le développement des différentes possibilités. Je confie ma joie d'assister à cette nouvelle expérience. << Et moi donc ! >> conclue Clémentine alors que j'achève de nouer ses cheveux dans une longue natte.

C'est à mon tour. J'aime la voir tourner autour de moi avec le sèche cheveux. Elle revient sur la "pipe au vieux" de vendredi. << Quand j'y pense j'ai soudain le goût de sa bite en bouche. Beurk ! C'est tellement dégueulasse que j'en raffole ! >>. Nous en rions de bon cœur. Clémentine aime décrire son ressenti, ses impressions avec une foultitude de détails. Ça me fait bander. Aussi je me fais coiffer en me masturbant. << Je vous fais la raie monsieur ? >> lance Clémentine facétieuse alors que nous rigolons comme des bossus. Nous revêtons nos Levis, nos chemises à carreaux d'épais coton, nos baskets. Nous laissons la salle de bain aux bons soins de Lise qui sort de notre chambre à coucher avec le paquet de draps sales sur les bras. Nous les empoignons pour l'en débarrasser.

Nous dévalons les escaliers jusque dans la cave. La buanderie pour trier le linge de couleurs. Les draps ainsi que la housse de couette, les taies d'oreillers dans la machine. Nous en profitons pour aller dans le cellier. Du congélateur nous récupérons le paquet de moules, les sachets de haricots verts et de petits pois. Nous remontons. Il va bientôt être l'heure de nos livraisons. Nous enfilons nos anoraks. Le thermomètre extérieur indique seulement 6°. Pas de bite à l'air pour aller à la rencontre de Danièle. Juste la braguette ouverte. Nous traversons le jardin jusque devant la maison d'amis. Clémentine ouvre la porte pour y jeter un œil. La chaleur est partie et il y fait à nouveau frisquet. Voilà la camionnette blanche Mercedes qui descend lentement les pavés autobloquants depuis le portail.

Danièle, toute souriante au volant se gare derrière la petite Fiat 500 rouge de Lise. La jeune femme ne cache pas sa joie de nous retrouver. Elle saute de sa camionnette pour toucher nos poings du sien. Elle mime une rapide et discrète masturbation masculine en disant : << Dommage ! >>. Nous contournons le véhicule avec elle. Elle y pénètre par l'arrière en disant : << Mon mari est rentré vendredi, fourbu. Les promesses ministérielles habituelles. C'est à dire mensonges, fourberies et autres enfumages. Les médias qui font croire que les manifestations paysannes sont terminées. Alors que tout continue et repart de plus belle dès lundi. Des actions ciblées pour bloquer les livraisons de fruits et légumes dans les hypermarchés ! >>. Elle me tend le premier lourd cageot.

Il contient justement nos fruits et nos légumes. Issus des cultures et de l'exploitation agricole de Danièle et de son mari. Depuis peu un élevage de volailles, de production d'œufs. Clémentine attrape le second cageot contenant les yaourts, les délicieux gruyères, Morbier, Saint Nectaire et surtout de ce Roquefort dont nous sommes friands. Les petits pots de crème fraîche, de fromage blanc, le beurre, les œufs. Cela fait bientôt quatre ans que nous nous fournissons directement chez le producteur. Pas d'intermédiaires pour nous racketter au passage. Nous ne saurions trop encourager à cette pratique. On mange mieux, des produits non traités, souvent "biologiques". Danièle saute de l'arrière du véhicule pour refermer la porte. << On se voit mercredi matin ? >> s'exclame t-elle.

<< On vous attend pour dix heures ! >> répond Clémentine alors que j'ouvre mon anorak. Cette agréable jeune femme mérite bien quelques égards. Rapidement, j'extrais mon Zob mollasse que j'agite en disant : << Merci Danièle. On se revoit mercredi dans de meilleures conditions ! >>. La jeune femme lève son pouce, éclate de rire pour rajouter : << Avec plaisir. Je vous réserve une bonne surprise durant les vacances de Carnaval ! >>. Assise au volant, elle démarre en m'adressant un clin d'œil. Nous la regardons faire demi tour avant de remonter le chemin. Son bras qui sort par la vitre baissé pour nous faire un dernier coucou. Avant de remballer, à l'intention de Lise que je devine derrière une des fenêtres de la cuisine, j'agite ma queue en direction de la maison.

Mon anorak fermé. << Génial ! >> me dit Clémentine en me déposant une bise sur la bouche. Voilà le tube Citroën rénové de notre boulangère adorée. Hilare au volant, elle se gare au même endroit. L'agilité dont fait preuve madame Marthe en sautant de son véhicule, malgré sa corpulence, nous laisse toujours admiratif. Elle ouvre la potière latérale coulissante dans un infernal bruit de tôle froissée. Tout en ayant quelques amusantes anecdotes du bourg à partager, elle me tend le cageot contenant nos deux grosses miches de pain bio, les deux pâtes feuilletées, les bouchées à la reine, les deux gigantesques croissants aux amandes et l'énorme brioche ronde au pudding. Comme pour Danièle, paiement avec carte bancaire. Même commande pour samedi prochain. Nous la saluons.

Nous contournons la maison pour redescendre à la cave par derrière. Dans le cellier, nous disposons soigneusement les légumes, les fruits sur les étagères. Clémentine fouille dans mon slip pour en extraire le locataire. Une belle bite ayant retrouvée son format habituel hors froid. Derrière moi, tenant mon Zob qu'elle fait tournoyer, elle chuchote : << À ton avis c'est quoi la surprise que nous réserve Danièle ? >>. Je ne sais que répondre . Clémentine dit : << Un pipe. Tu peux être certain qu'elle en meurt d'envie. Depuis le temps que tu la provoques avec ton gros machin ! >>. Nous rigolons comme des bossus. C'est par l'escalier intérieur que nous remontons. Je porte le cageot des produits frais à ranger dans le réfrigérateur. Lise doit être au salon. Nous percevons le bruit de l'aspirateur.

J'ai la bite à l'air en déposant les yaourts sur les étagères du frigo. Clémentine me les passe deux par deux. << C'est ignoble ce froid, non ? >>. Nous nous retournons pour voir Lise, la pelle et la balayette en main debout dans l'encadrement de la porte. Je me tourne gêné. Je bande encore légèrement. C'est certain, la jeune fille fait allusion à mon exhibition devant Danièle. << Tu observes par les fenêtres ? >> demande Clémentine. << Oui, j'adore. Je suis très voyeuse ! >> répond Lise du tac au tac. Pas le genre de fille à jouer la bêcheuse ou à jouer l'effarouchée. Nous apprécions la franchise et l'honnêteté des rapports humains. L'hypocrisie et les faux semblants nous sont détestables. Lise fixe avec ostentation le chibre qui pend de ma braguette. Elle lève les yeux pour me sourire.

<< Tu apprécies ? >> demande Clémentine qui s'en saisit pour l'agiter. << C'est génial ! >> répond Lise le plus simplement du monde. Ne désirant probablement pas s'engager plus loin sur ce terrain, Lise tourne les talons en lançant : << Bon, je vais aller terminer. J'ai encore la serpillère à passer dans la salle de bain du bas. Clémentine m'entraîne par la queue jusqu'au salon. Assise sur mes cuisses, me tournant le dos, elle allume l'ordinateur. Nous avons nos trois courriels habituels. Ma famille en Écosse. Le mail de Juliette qui se réjouit pour mercredi prochain. Le message d'Estelle impatiente de nous retrouver en début d'après-midi. Nous avons prévu une bonne randonnée. La météo est idéale. Un froid sec, une absence de vent, un terrain peu humide. Tout est parfait.

Je caresse les seins minuscules de Clémentine pendant qu'elle répond à nos mails. Quand elle surfe sur le site de son université, je glisse un billet de 50 € et un billet de 20 € dans la petite enveloppe jaune. J'aime poser mes lèvres dans sa nuque. Juste sous sa natte que je soulève délicatement. Il y a là les petites racines de quelques cheveux rebelles et encore trop courts. Pour moi, c'est un endroit très érotique. Cette zone au bas de l'arrière de ses oreilles. Je la titille du bout de la langue. J'adore sentir les frissons que cela procure à Clémentine qui pousse quelques : << Mmhhh ! >>. Il va être onze heures trente car Lise entre dans le salon. À présent vêtue d'un pantalon noir, d'un pull noir sous son anorak rouge. << Et voilà, mission accomplie ! >> lance t-elle en s'approchant.

Clémentine se lève la première pour contourner le bureau. Je fais pareil. Une fois encore Lise n'a de yeux que pour le chibre qui pend mollement de ma braguette. Je lui tends l'enveloppe jaune. << Merci Julien ! >> me fait t-elle avec un sourire et un regard francs. J'apprécie. Nous avons une fois encore affaire à une bonne personne. << On se voit samedi prochain ? >> dit elle alors que nous la raccompagnons jusqu'au hall d'entrée. << Et pendant les vacances de fin février, je viens aussi ? >> demande encore la jeune fille. Clémentine répond : << Mais tu viens quand tu veux ! Et si tu venais manger avec nous un jour de la semaine des vacances ? >>. Lise reste silencieuse. Elle ouvre de grand yeux. Son visage s'illumine. Elle répond : << Génial. Je vous en dis davantage samedi prochain ! >>

Nous refermons la porte derrière elle. Clémentine me chope le Zob en enfonçant sa langue dans ma bouche. En m'embrassant avec tant de fougue c'est une érection magnifique qu'elle tient dans sa poigne ferme. Nos mentons trempés de salive, elle cesse pour dire : << Put-Hein, c'est absolument génial tous les samedis matins ! >>. Nous rions aux éclats quand elle rajoute : << Comme les lundis, mardis, mercredis, jeudi, vendredis et dimanches ! >>. Elle me tire par le Zob jusque dans la cuisine. Pendant qu'elle prépare l'assaisonnement de la belle laitue, je fais le bouillon pour y plonger les moules décongelées. Dans le wok je verse le contenu des sachets de petits pois et de haricots verts. J'aide Clémentine à laver les feuilles de la laitue. Il y en aura également pour le repas du soir.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les évènements de ce samedi matin. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mes épaules, Clémentine propose l'itinéraire de notre randonnée. Ce sera le circuit des quatre heures à partir de la maison. Des réjouissances en perspective. << Demain on se refait le circuit des anciennes tuileries, tu veux ? J'adore cet endroit. Un jour il faudra qu'on fasse des trucs "spéciaux" là-haut ! >> suggère Clémentine. Je trouve ses initiatives formidables. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. En faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Clémentine me branle devant le grand miroir ovale qu'elle oriente à cet effet. << Regarde un peu cette bite que tu te trimballes ! Tu comprends l'effet que ça induit sur les filles ! >> dit-elle.

Nous en rions de bon cœur. Soudain, la porte s'ouvre : << Je vous y prends ! En flagrant délire ! Et quand je ne suis pas là, en plus ! >> lance Estelle qui adore arriver silencieusement pour nous surprendre. Elle pose son sac de sport pour courir vers nous. Serrés tous les trois nous nous faisons des tonnes de bises. Nous n'apprécions jamais assez de nous retrouver tous les trois. C'est un peu comme si quelque chose nous échappait. Trop de bonheur, le temps qui s'écoule avec cruauté. Nos sens qui ne semblent pas assez aiguisés pour saisir toute cette merveille. Nous en parlons quelquefois en randonnant. Dans nos considérations philosophiques. De son sac de sport qui contient ses vêtements de change pour le week-end, Estelle tire son pyjama de soie mauve, une culotte, des chaussettes.

Pressés de filer, habillés à l'identique tous les trois, nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos la thermos de thé bouillant, trois pommes, les barres de céréales, les lampes frontales. Nous chaussons nos grosses godasses. C'est parti. Nous montons jusqu'au portail, traversons la route pour nous engager dans le chemin forestier. Le chemin est large, quasiment sec partout. Nous pouvons marcher d'un bon pas en nous tenant les mains. Je suis entre mes deux anges qui parlent de leur semaine. Quelques arrêts où nous nous touchons au travers de nos vêtements. Il fait bien trop froid pour me balader bite à l'air. Pas plus de dix degrés. Les filles en arrivent au sujet des deux puceaux de la faculté des sciences. << Ces deux-là vont tomber dans un de nos pièges ! >> lance Clémentine.

<< On se les fait tourner. J'ai envie de baiser avec les deux. Ils sont trop mignons ! >> s'écrie Estelle en palpant ma bosse. << Put-Hein tu bandes comme un salaud là-dedans ! >> rajoute t-elle. Nous en rions de bon cœur. J'écoute les différentes stratégies qu'elles comptent mettre en application. Il est décidé que cette partouze se déroulera dans la maison d'amis. Je ferai comme vendredi, le ménage le matin, allumer le chauffage et préparer les petits gâteaux. Ce projet est extrêmement excitant. Clémentine fouille ma bouche de sa langue avide. Estelle fait de même. Mes mains entre leurs cuisses. Les leurs à palper ma braguette déformée par une érection presque douloureuse. Le froid calme toutefois nos ardeurs. Surtout quand nous revenons sur la surprise des vacances de Pâques.

Clémentine nous prépare un séjour d'une semaine dans un endroit qu'elle garde secret. Je me doute bien qu'en revenant de cours le soir, elle n'est pas seulement concentrée sur son ordinateur pour mettre des notes au propre. Elle "magouille" nos vacances. La coquine est une rusée stratège. L'organisation de ces vacances s'annonce encore pleine d'imprévue et de magnifiques découvertes. Elle se contente de préciser : << Tout est presque réglé ! >>. Il est dix huit heures trente quand nous revenons dans la nuit glaciale. Dans la cuisine, assis autour de la table, nous épluchons les pommes de terre, les carottes, les navets, le céleris. La potée de légumes qui accompagnera les trois repas du week-end. << Demain, à midi, poulet ! >> propose Clémentine. Un de ces beaux petits poulets provenant de l'élevage de Danièle. Succulent. À la chair ferme et bien jaune.

Nous mangeons de bon appétit. Légumes et filets de flétan poêlés. La fatigue commence à se faire sentir. Celle accumulée durant la semaine se conjuguant à celle de notre randonnée. La vaisselle. Au salon, vautrés tous les trois dans le canapé, nous faisons le programme de demain, dimanche. Nous nous réjouissons pour la randonnée du circuit des anciennes tuileries. Je suis entre mes deux anges, mes mains dans leurs jeans déboutonnés. Ce n'est pas très confortable mais sympa. Estelle joue avec ma queue mollasse. Elles retirent leurs Levis, leurs culottes. Là, dans une sorte de nonchalance, à genoux, je bouffe de la chatte. Je les pénètre un peu, passant de l'une à l'autre. Nous faisons le même constat, tout cela manque de conviction. Je propose d'aller au lit. Je m'occuperai d'elles sous les draps.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se font encore lécher et sucer un peu avant de s'endormir contre leurs brouteur de minous. L'une à sa gauche, l'autre à sa droite, pour une nuit d'un profond sommeil...

Julien (brouteur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Monday 5 February 2024 07:33

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 20 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2514 -



Les petits plaisirs du dimanche

Une grasse matinée est un luxe hors période de vacances. Celle de hier, dimanche, nous emmène aux environs de neuf heures. Estelle qui reste imbriquée comme une pièce d'un puzzle toute la nuit contre moi, me tire de mon sommeil. Ses lèvres qui se posent dans mon cou, sous mon oreille. Sa main qui passe dans mon slip pour saisir ma tumescence. Ce qui réveille également Clémentine qui vient elle aussi se blottir. Je suis entre mes deux anges dans un enchantement paradisiaque. C'est ainsi que nous émergeons doucement. Je glisse mes mains dans les culottes. Mes doigts, comme des peignes, coiffent les touffes, dénouent quelques nœuds. Nous nous étirons en modulant nos gémissements jusqu'à l'absurde. Jusqu'à rire aux éclats de nos toutes premières facéties matinales.

Estelle bondit du lit en s'écriant : << Pipi ! Au secours ! >>. C'est tellement amusant de la voir se précipiter vers la porte dans son pyjama de soie mauve. Clémentine tient ma turgescence d'une poigne ferme en murmurant : << C'était bon ce que tu m'as fait avant de dormir. Encore ce soir ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Il fait chaud dans toute la maison. Ça fait trois heures que les radiateurs chauffent. Dans la salle de bain nous revêtons nos jeans, nos épaisses chemises à carreaux. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle entrain d'allumer la cuisinière à bois. Dans les suaves odeurs du café, du pain grillé. Sur la table trône la brioche. J'aime me coller contre le dos Estelle. Mes bras autour de sa taille. Le contact de la soie. Caresser son ventre.

Je descends entre ses cuisses en collant mes lèvres contre sa nuque, sous la natte. Une voluptueuse attention qui la couvre de frisson. << J'attends les dimanches matins que pour ça ! >> dit elle en se tournant pour se frotter contre moi ses bras autour de mon cou. Clémentine presse les oranges, pèle les kiwis. Nous la rejoignons pour déposer ensemble un bisou sur chacune des ses joues. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre samedi soir, nos caresses, nos douceurs. Nous mangeons de bon appétit en évoquant celles qui nous attendent aujourd'hui. Qu'il est agréable de pouvoir prendre tout notre temps, de traîner à table. << Dans trois semaines on fera comme ça tous les jours. C'est fou comme cette année ça paraît loin les vacances ! >> lance Estelle.

Toutes les deux, assises sur mes cuisses, les bras autour de ma taille, de mes épaules, font mille projets pour ces vacances à venir. Elles commenceront le vendredi 23 février à midi. << Et comme il y a cette fois 29 jours en ce février bissextil on en gagne un ! >> précise Clémentine. << J'adore les années bisexuelles ! >> rajoute Estelle. Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Pendant qu'Estelle quitte son pyjama pour s'habiller comme nous, Clémentine et moi faisons le lit dans la chambre glaciale car les deux fenêtres sont ouvertes pour aérer. Pressés d'aller faire quelques pas dehors, nous redescendons à toute vitesse pour mettre nos anoraks. La température extérieure est de huit degrés. il est 10 h30.

Le ciel est voilé mais lumineux. Mes deux anges accrochées à mes bras, nous allons jusqu'à la rivière. Nous surprenons une dizaine de biches, de chevreuils entrain de boire un peu plus loin. Ils ne font pas attention à nous. C'est un spectacle féérique. Nous restons discrets en nous cachant au mieux derrière les troncs des acacias. Les canards, les poules d'eau, les colverts qui tournoient à la surface des eaux calmes. Une vision bucolique d'une sérénité totale. Il y a juste Estelle qui a son téléphone. Elle filme, fait quelques photos. Nous assistons à cette scène une bonne dizaine de minutes. Les cervidés quittent nonchalamment les bords de la rivière pour disparaître tour à tour dans les fourrés, la forêt. << Il manque un truc dans le film ! >> me fait Estelle en mimant une masturbation.

Clémentine ouvre mon anorak, s'accroupit, retire un gant pour fourrer sa main dans ma braguette. Elle en extrait le locataire. Avec le froid, une bite déjà molle ne tarde pas à perdre la moitié de son volume. Il faut donc faire très vite. Clémentine se redresse, garde mon Zob dans la chaleur toute relative de sa main, pour la présenter à l'objectif. Elle me la saisit à sa base pour l'agiter vers Estelle qui tourne autour de nous pour filmer la scène. << Merci ! >> lance Estelle qui éteint. Je remballe rapidement pour remettre "l'outil" au chaud. Nous longeons la rivière sur une centaine de mètres. Jusqu'à être en face de l'endroit où buvaient les animaux il y a encore dix minutes. Nous remontons le chemin en évoquant la randonnée prévue cet après-midi. Nous retournerons aux anciennes tuileries.

Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade de concombre. Estelle touille la potée de légumes afin qu'elle n'attache pas dans la vieille cocote en fonte noire. Nous voulions faire rôtir le petit poulet de l'élevage de Danièle. Mais il est déjà onze heures quarante cinq. << On se le fait mardi soir avec des frites ! >> propose Clémentine. Notre choix se porte sur trois magnifiques escalopes de dindes que je fais dorer à la poêle. Clémentine tranche de fines lamelles de Morbier et de Saint nectaire. Nous adorons faire fondre ces délicieux fromages sur les légumes, dans nos assiettes. Autant préciser que nous mangeons de bon appétit en mettant au point l'itinéraire et le timing de la virée qui nous attend. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Quand elle y pense, c'est avec un peu de tristesse.

Nous ne traînons pas. Trop impatients de nous évader. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Nous couvrir d'un pull supplémentaire. Dans le petit sac à dos la thermos de thé bouillant, trois pommes, les barres de céréales, les lampes frontales. C'est parti. Il n'y a que quatre kilomètres jusqu'à la chapelle gothique. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle installée à l'arrière caresse mon cou en nous racontant son samedi matin à faire les courses avec sa maman. Il y a toujours d'amusantes anecdotes. Je gare l'auto le long du muret du cimetière. Il y a d'autres véhicules. La température n'excède pas 10°. Mais l'absence de vent permet de bien supporter sans être importuné. Nous changeons de godasses. Je mets le sac sur le dos. C'est parti. Le silence.

Le chemin qui monte en pente douce permet de marcher tous les trois de front. Les filles me tenant les mains. Sur environs cinq cent mètres. Il devient alors le sentier sinueux qui s'avère plein de belles surprises. Parfois la vue sur le bourg, parfois sur la couleur uniforme de la forêt qui nous entoure. Tout est gris en ce début février. Nous avançons d'un bon pas en croisant quelquefois d'autres randonneurs. Voilà l'ancienne carrière que surplombe le sentier devenu étroit. C'est une épaisse chaîne attachée à des poteaux de béton tous les cinq mètres qui protègent le marcheurs du gouffre qui s'ouvre à nos pieds, sur la droite. Je suis en proie au vertige. Aussi j'évite de regarder. Ce qui amuse beaucoup Estelle qui se retourne, s'arrête, pour me faire une bise. Nous avons nos nez tous froids.

Nous retrouvons un chemin plus large après avoir contourné les "falaises" de la carrière abandonnée. C'est de là que jadis les constructeurs tiraient les pierres pour bâtir les maisons et l'église du village. Un arrêt pipi. Comme nous portons tous les trois des collants sous nos jeans pour avoir chaud, pisser reste une désagréable épreuve. Je n'ai d'autres choix que d'imiter Estelle et Clémentine pour soulager ma vessie. << Mademoiselle Julien ! >> me fait Estelle quand je me redresse rapidement pour remonter mes fringues. Je les torches en vitesse avec les mouchoirs en papier qu'elles me tendent. Nous repartons. Deux heures de marche pour arriver aux murs de briques rouges des bâtiments abandonnés. Il y a d'autres promeneurs dans les ruines des anciennes tuileries. L'ambiance y est toujours étrange. Les fantômes du passé semblent y rôder. Clémentine qui est médium prétend ressentir des présences. Nous savourons le bon thé bouillant.

Il n'est que seize heures quand nous prenons le sentier qui redescend en direction du bourg. Notre circuit fait une boucle sur une durée de quatre heures trente. Nous ne sommes pas seuls à profiter de cet agréable froid dimanche au ciel voilé mais lumineux. Estelle prend quelques photos. Pour satisfaire son imaginaire facétieux, je pose parfois bite à l'air. Clémentine me tenant par la taille, tout contre moi, nous sourions à l'objectif. << On se fait un selfie tous les trois ! >> propose Estelle. Son I-phone programmé sur le retardateur "dix secondes", elle pose le téléphone sur une souche. Nous avons dix secondes pour prendre la pose. Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche. Accroupies, leurs visages tous près d'une bite mollasse qui pend paresseusement de ma braguette béante.

C'est dans cette posture que nous nous faisons surprendre par deux couples. Je me retourne pour remballer en vitesse alors qu'Estelle et Clémentine font écran en me cachant. Mais cela ne fait pas l'ombre d'un doute. Ces deux couples de jeunes gens ont certainement observé en silence ce que nous faisions. Avant de nous surprendre en riant. Je me sens un peu con. Ces jeunes n'ont probablement pas l'âge d'Estelle et de Clémentine. La vingtaine tout au plus. Nous nous saluons. Les deux filles m'adressent un étrange regard. Un étrange sourire. Non, je ne suis pas le papa des deux jeunes filles qui me tiennent par les mains. Nous les saluons avant de continuer notre descente. Nous les entendons rire aux éclats encore sur une bonne centaine de mètres. Nous aussi nous rigolons.

Il faut prendre le sentier de droite juste après l'abri à bois. Il subsiste encore là un gloryhole de ma fabrication, il y a de cela douze ans. Quand je faisais mes trous discrets. Ces créations murales que je relate en cliquant sur ce lien [www.bobvoyeur.com]. Le lecteur y retrouvera l'historique et de passionnants récits. Estelle s'accroupit devant cet orifice. Il y a des gens. Impossible de prendre une photo avec ma bite dans l'orifice. Tant pis. Nous arrivons à la chapelle dans la nuit glaciale. Je porte la lampe frontale qui éclaire superbement. Nous changeons de chaussures. Estelle et Clémentine assises sur le siège passager, se refilent ma bite. Je roule prudemment. Nous arrivons à la maison pour 18 h45.

Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de tomates. Estelle nous concocte son omelette des dimanches soirs. Je remue la potée de légumes qui réchauffe pour la troisième fois. << Trois fois meilleure ! >> précise Estelle que je viens tripoter quelques secondes. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les moments forts de notre randonnée. << Les deux couples ont peut-être trouvé une "inspiration" en nous surprenant ! >> lance Estelle. << Ils ont peut-être même filmé en cachette ! >> suggère Clémentine. Nous avions nos bonnets et nos lunettes de soleil. << S'ils ont filmé ont s'en contrefiche ! >> conclue Estelle. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Malgré la fatigue qui se fait sentir, mes deux anges, juste avec les pulls et les chaussettes, vautrées dans le canapé, m'offrent mon dessert. À genoux sur les épais coussins, je savoure tout ce qui a macéré aux fonds des culottes toute cette journée. De quoi me donner d'autres vertiges.

Bonne nouille à toutes les coquines qui aiment en savourer les jus sous les draps. Avant de s'endormir dans les bras de leur randonneur...

Julien (randonneur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Tuesday 6 February 2024 07:41

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 21 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2515 -



Un lundi soir en amoureux

Hier matin, lundi, il est presque six heures quand nous émergeons avec beaucoup de difficultés. Le gazouillis des oiseaux, le bruit de la source qui s'écoule. Les fééries distillées par nos I-phones. Clémentine se blottit contre moi en gémissant : << Je reste au lit ! >>. Elle se ressaisit toutefois très vite. Quelques papouilles. Quelques bisous, l'impérieux besoin de pisser. Nous en rions. Nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Il fait encore froid dans la maison. Les radiateurs viennent d'entrer en fonction. Dans la salle bain, nous hâtant, nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra jaune. Baskets. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Pendant que Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis, j'allume la cuisinière à bois.

Une des premières récompenses est le reste de la brioche qu'il suffit de mettre au four à micro ondes pour qu'elle retrouve son moelleux. Je beurre les tranches que vient d'éjecter le grille pain. Ce claquement sec qui fait partie du paysage sonore de nos levés. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les moments forts du week-end. Bien évidemment la fellation prodiguée à notre plus proche voisin reste le souvenir prégnant. << Tu sais, ce vieux pervers parlait d'un électricien. Je veux en savoir davantage. Je ne sais pas encore comment ! >> lance Clémentine. Je l'encourage à trouver la bonne astuce. Nous mangeons de bon appétit en dissertant sur la passion de Clémentine pour la fellation. Son rapport sexuel préféré avec bien sûr le cunnilingus. Nous partageons ces goûts.

Il va être six heures vingt cinq. Nous remontons dans la fraîcheur désagréable de notre salle d'entrainement. Pour se réchauffer il est impératif de se bouger rapidement. L'aérobic est peut-être un peu brutal mais efficace. Le jogging sur les tapis roulants dans la plus parfaite continuité. Les exercices au sol avant les charges additionnelles complètent cet échauffement. Les étirements du stretching avant de courir à la salle de bain. La douche. Je redescends le premier pour faire chauffer la voiture. Il est presque 7 h45. Le jour s'est levé sous un ciel voilé. La température extérieure est 3°. Clémentine vient me rejoindre déguisée en esquimau. Un dernier bisou en sautillant sur place. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou.

C'est en cavalant que je retourne au chaud. Dans les 22° qui règnent à présent dans la maison. Je fais la vaisselle, notre lit. Dans l'atelier j'allume la belle flambée de la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque aujourd'hui ma seconde toile hyper réaliste "Le pub Irlandais". Les réjouissances dithyrambiques avant le commencement d'un nouveau projet. Je peins dans la plus totale félicité. Poussant des cris surréalistes à chaque fois que je reprends conscience. La matinée passe ainsi pour m'emmener aux environs de midi. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il reste de la potée de légumes que je n'ai qu'à réchauffer. Un filet de lieu noir que je panne préalablement. Champignons. Oignon. Ail.

Je sors une pâte feuilletée du bas du réfrigérateur. Le magnifique brocolis. Les premiers préparatifs pour ce soir. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff revient sur des faits d'actualités. L'enfumage, la roublardise avec laquelle la crapule encravatée de Paris à encore roulé dans la farine les agriculteurs. S'empressant de trahir leurs promesses en allant signer des traités de libres échanges à Bruxelles. Il faudra un jour se poser la question cruciale. Pourquoi les gens votent-ils pour leurs bourreaux ? Pourquoi les gens se comportent avec les candidats aux élections comme des candidats d'un concours de chanson. Le plus beau doit gagner. Le plus talentueux doit remporter la victoire. La réponse est si simple. La crétinisation des masses. Du showbiz.

J'écoute en préparant mentalement les opérations du repas de ce soir. J'étale la pâte dans le grand plat rond aux bords hauts. Je coupe les branches du brocolis que je lave soigneusement dans de l'eau vinaigré. Je le fais bouillir dans une grande casserole sur la cuisinière à bois. Pendant ce temps je râpe une grosse quantité de gruyère Appenzeller. Ce gruyère Suisse est un véritable délice. Je concocte le flan. Un mélange d'œuf, de crème fraîche, de fromage blanc et de lait de soja. J'égoutte le brocolis pour le déposer sur la pâte. Je verse le mélange. Je recouvre le tout de gruyère. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillé. J'aime faire trois cercles l'un dans l'autre avec des cerneaux de noix. Je place au four électrique pour laisser mijoter longuement à 160°. Thermostat.

Je lave deux belles endives. Je prépare l'assaisonnement. Pour ce soir, tout est près. Je n'ai plus qu'à faire la vaisselle, monter me laver les dents. Depuis une des deux fenêtres, je regarde la campagne. Il fait gris. Il fait froid avec seulement 8° au dehors. Je vois la fumée s'élever des toits de la maison des Bertrand. En contrebas à un peu plus de trois cent mètres. Je pense à ce vieux salaud qui se fait sucer par la fille que j'aime. Je ris en murmurant : << Vieux débris va ! >>. Je redescends pour enfiler mon anorak. Bonnet, gants pour affronter le climat glacial. Comme le dit Clémentine : << S'il fait aussi froid en hiver c'est à cause du réchauffement climatique ! >>. C'est en riant dans ma Ford intérieure que je descends d'un bon pas jusqu'à la rivière. Les canards, les poules d'eau, les colverts.

Tout ce petit monde à plumes, comme dans la plus totale indifférence, tournoie sur les eaux calmes avec la désinvolture de parisiens sur la plage de Juan les Pins au mois d'aout. Il est treize heures cinquante quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans la même félicité que ce matin. Jusqu'aux environs de dix sept heures trente où Clémentine rentre de cours. Elle jette son cartable dans le fauteuil à bascule avant de se précipiter vers moi. J'anticipe. Je pose la palette, les pinceaux. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Je dois te sucer de la part d'Estelle ! >> précise t-elle en mitraillant mon visage de bisous. Nous rions. Clémentine a encore un travail à finaliser.

Assise devant son ordinateur, en chantonnant, elle s'occupe pendant que je termine ma séance. Cette petite heure magique où nous sommes ensemble, concentrés sur nos réalisations. << Put-Hein, ras le bol ! >> s'écrie t-elle comme à son habitude en se levant pour ranger ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je me lave les main au petit lavabo de l'atelier. Clémentine vient me rejoindre en sautillant. Prenant ma bite pour en diriger les jets elle dit : << Ce soir je suis toute seule avec mon chéri ! >>. Elle secoue les dernières gouttes avant de s'accroupir pour suçoter la peau de mon prépuce. J'aime quand elle le pince fortement entre ses lèvres pour le tirer. Elle me fixe de son regard plein d'amour. Je l'aide à se redresser. Ses bras autour de mon cou. Serrée contre moi.

Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. Je la promène dans toute la grande pièce. Je m'arrête devant la cheminée pour la déposer au sol. Nous admirons la danse des dernières flammes. Il commence à faire furieusement faim. Me saisissant par le Zob, Clémentine m'entraine vers la porte. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand je sors la tarte aux brocolis du four électrique pour la placer dans la fournaise du four à bois, j'ai droit à un tourbillon de douceurs. Il y a juste à mettre les assiettes, les couverts, couper les endives, les mettre dans leur assaisonnement et à remuer. Nous nous embrassons en surveillant la cuisson du coin de l'œil. << Avec quelle fille tu aimerais passer cette soirée ? >> me demande Clémentine. Je réponds : << Avec une salope ! >>

Nous en rigolons comme des bossus. << Alors je vais me mettre en tenue. Attends-moi, je suis là dans cinq minutes ! >> lance Clémentine en courant vers la porte. Je surveille la cuisson de la tarte. Je prépare le paquet de levure diététique en paillettes pour la salade. Cinq minutes. Pas davantage. Je vois cette sublime jeune fille revenir. Vêtue d'une jupe kilt à carreaux rouges et verts, d'un chemisier crème et de bottes de cuir noir à hauts talons. Elle tourne sur elle-même en levant légèrement sa jupe. << Vos souhaits vont êtres exaucés cher monsieur ! >> dit elle en s'accroupissant, cuisses largement écartées. Pas de culotte. C'est vrai. Je suis l'homme le plus privilégié ce soir encore. Clémentine se mettant à quatre pattes s'avance jusqu'au four. Elle se redresse, enfile les maniques pour en sortir la tarte. Dorée à souhait, fumante, embaumant toute la grande pièce de ses parfums envoutants. Nous mangeons de bon appétit.

Nous ne traînons pas. Clémentine se montre encore plus impatiente que moi. La vaisselle. Elle m'entraine par la main jusqu'au salon. Elle me fait tomber dans le canapé. Elle s'éloigne de quelques mètres. Debout, les pieds écartés à la largeur de ses épaules, la main droite sous sa jupe, l'autre sur son sein gauche, elle me fixe. Ce sont toujours d'intenses moments d'émotions. Je me branle doucement. Ce spectacle est divin. J'ai envie de hurler : << Je t'aime ! >>. Ce que je fais mais à voix modérée et en ponctuant : << Merveilleuse salope ! >>. Clémentine s'accroupit. Cuisses largement écartées. Je viens seulement de me rendre compte qu'elle porte son plug anal. C'est extrêmement rare. Elle tient son clitoris géant entre son pouce et son index. Elle risque de perdre son équilibre. Elle se lève.

S'appuyant contre le bureau derrière elle, elle reprend sa position. << Si vous saviez monsieur, les émotions et les sensations qui m'habitent, vous vous dépêcheriez de me rejoindre. De me prendre sur ce bureau ! >> dit elle en se redressant pour s'y assoir. Ses jambes relevées, les talons de ses bottes coinçant ses pieds sur le bord du meuble, elle continue à se toucher. Seule la lueur des deux grosses bougies du candélabre éclairent la scène. Je distingue à peine. Elle me fait signe de venir en agitant son index. Je me lève. Tout en me masturbant je la rejoins avec un des épais coussins. Je le place derrière elle. En appui sur ses coudes, elle observe mes expressions alors que je frotte mon sexe contre le sien. Ça rentre comme dans du beurre. Mais je m'introduis très lentement.

Nous adorons rester immobiles. Quand nous bougeons c'est juste pour nous bercer. Ce sont ces moments précieux où Clémentine me confie ses secrets de fille. Je pose très rarement des questions. Nous sommes télépathes. Et Clémentine anticipe chacune de mes pensées. Elle me raconte les deux étudiants dragueurs de l'université. Estelle et Clémentine les tournent un peu en bourriques. << On se les fait pour mon anniversaire. Une partie carrée. Une partouze à quatre ! >> m'explique t-elle. Ce sera dans notre maison d'amis. Le vendredi 29 mars, en début d'après-midi. C'est Estelle qui les récupèrera pour les emmener. Pour les ramener vers dix sept heures avant de rejoindre ses parents. J'admire cette organisation qui semble sans faille. J'écoute. Tout cela m'excite considérablement.

<< Je vais aussi faire le nécessaire pour en savoir davantage quand à cet électricien. J'appelle monsieur Bertrand dès demain matin, à dix heures, entre les cours ! >> rajoute Clémentine en s'accrochant à mon cou. Je la promène un peu dans la grande pièce. Je suggère une meilleure formule. Pourquoi ne pas rencontrer monsieur Bertrand mercredi, quand Clémentine est à la maison. << Ah oui, ce serait mieux. On organise ce plan. Tu es un amour. Merci pour cette merveilleuse complicité ! >> dit elle quand je viens la reposer sur le bureau. C'est exactement la bonne hauteur pour la limer à présent à la hussarde. J'aime la voir jeter sa tête en arrière, les yeux révulsés, poussant de petits cris d'animal blessé. La cuvette en plastique bleu est posé à sa droite, sur le bureau.

Elle me repousse. Saute du bureau. Se termine aux doigts en s'accroupissant au-dessus de la cuvette que je tiens bien. Dans un hurlement de jouissance, Clémentine s'offre son orgasme pisseux. Je suis accroupis devant elle. Elle cesse de se masturber pour se tenir à mes épaules. Le visage en sueur, penché vers le bas, essayant de reprendre ses esprits. Je passe mon index entre les lèvres de sa vulve trempée. J'en récupère de la cyprine. Je porte mon doigt à ma bouche. Je dis : << Viens ! >> en me levant. Je l'entraine vers le canapé où je la fais tomber. À genoux sur un des coussins, je me régale de ses jus. Jusqu'au vertige alors que Clémentine s'en va déjà vers un nouvel orgasme. Elle me jouit dans la bouche. C'est comme une éjaculation de cyprine. Je m'en délecte.

Bonne nouille à toutes les coquines qui elles aussi veulent en déguster les jus sous les draps avant de plonger dans le plus profond des sommeils...

Julien (et sa nouille juteuse)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Wednesday 7 February 2024 07:40

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 22 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2516 -



Le mardi soir

Hier matin, mardi, les fééries de nos applications nous arrachent du sommeil juste avant six heures. Le second jour de la semaine n'est pas plus facile. C'est dur. Clémentine vient se serrer contre moi. Comme pour chercher la force nécessaire. Quelques papouilles. Quelques bisous. Il faut se faire violence. Nous courons aux toilettes dans l'urgence. Les radiateurs viennent de s'allumer. Ça caille dans la baraque. Précipitamment nous revêtons nos tenues de sports dans la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. Je place les deux gros croissants aux amandes dans le four à micro ondes. Nous faisons tout cela comme des robots. Mécanisés. Ce qui nous fait rire à plusieurs reprises.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée en amoureux. << C'est magique ! >> précise Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la soirée qui nous attend en compagnie d'Estelle. Il va être six heures vingt cinq. Nous remontons. Il faut un peu de courage pour entrer dans notre salle d'entrainement pas chauffée. Surtout qu'à présent les radiateurs fonctionnent et qu'il fait bien chaud partout. Les échauffements aérobics et le jogging sur tapis roulants nous mettent rapidement en conditions. Les exercices au sol, les charges additionnelles. Le stretching permet de revenir au calme. La douche. Je redescends pour aller préparer l'auto. Presque sept heures quarante cinq. Du levé et jusqu'au départ de Clémentine notre timing est d'une précision absolue.

La température est de 4°. Le jour achève de se lever sous un ciel bas et gris. Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak à capuche. Ses gants, ses bottes à fourrure. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de retourner au chaud pour faire notre vaisselle, le lit. Dans l'atelier, j'allume la belle flambée de la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture du "Pub Irlandais" me plonge dans les méandres de ma passion. Je peins dans une sorte d'extase. Juste le crépitement dans la cheminée pour meubler ce merveilleux silence. La matinée passe ainsi, m'emmenant aux environs de midi. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Tout semble aller si vite aujourd'hui.

Je réchauffe le reste de la tarte aux brocolis. Je fais l'assaisonnement d'une laitue dont je lave les feuilles également pour ce soir. Du bas du réfrigérateur je sors le petit poulet issu de l'élevage de Danièle. Un petit poulet dodu et à la viande jaune des volailles nourries exclusivement aux grains et en plein air. Je le place dans le plat carré en terre cuite. De petites pommes de terre qu'il est inutile d'éplucher que je passe sous l'eau en les brossant légèrement. De gros champignons de Paris. Je dispose tout cela autour de la volaille. Je la badigeonne de moutarde à l'ancienne. Je mets des bolets à l'intérieur. Ii ne me reste qu'à éplucher, à laver les grosses pommes de terre que je passe au presse frites. Je les recouvre d'un linge. Au frigo jusqu'à ce soir. Elles conserveront leur fraîcheur.

Le poulet au four pour une lente cuisson à 160°. Ça va tirer du jus. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff revient sur la gigantesque escroquerie planétaire de la guerre en Ukraine. Le gouvernement à pour injonction de la commission Européenne de réduire de dix milliards les dépenses dans le domaine de la santé, dans les hôpitaux, dans l'aide médicale des personnes atteintes de pathologies longues. Par contre 50 milliards vont être offerts à Zélensky et à sa bande de crapules. Ce qui permettra de financer les achats de ses villas et de ses voitures de luxe. Tout cela évidemment affiché au grand jour puisque la mafia politicienne ne cache même plus le mépris qu'elle a pour le peuple. Le message est clair. << On vous emmerde bande de cons ! >>

J'écoute en préparant l'assaisonnement de la salade pour ce soir. Dans un Tupperware placé dans le bas du réfrigérateur. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller me dégourdir les jambes, je dévale les escaliers pour enfiler l'anorak. La température extérieure n'est que de 10°. Je descends jusqu'à la rivière. J'ai la surprise d'y rencontrer monsieur Bertrand. C'est un hasard qui fait bien les choses. Louis vient deux fois par jour nourrir ses amis les canards, les colverts, les poules d'eau. Nous bavardons. Dans le flot de la conversation notre voisin évoque les travaux d'électricité qui achèveront son nouvel équipement en panneaux photovoltaïques. S'étant inspiré des nôtres, ayant appris les économies qui en résultent, le retraité s'est empressé de faire procéder aux travaux d'installations.

Seulement voilà. Son installation électrique datait des années soixante. Il a fallu mettre tout cela aux normes. << Si vous voulez venir voir un de ces jours je me ferai un plaisir de vous montrer. C'était un sacré boulot de tirer les câbles partout dans la maison ! >> raconte monsieur Bertrand. Je saisis l'occasion en précisant que cela intéressera également Clémentine. Qu'elle viendra peut-être voir la première, vendredi, en début d'après-midi. << Oui, l'électricien sera là jusqu'au milieu de la semaine prochaine ! >> précise Louis. Je conclue : << J'en parle à Clémentine ce soir ! >>. Nous nous saluons, je remonte le chemin en pensant à la fourberie de ce vieux salaud. D'après Clémentine il se douterait de quelque chose. Je ne décèle pourtant aucun indice dans son comportement qui pourrait le laisser penser. Mais ma compagne est une redoutable psychologue. Dotée d'un sixième sens féminin tout aussi redoutable. Cette idée m'amuse.

Il est presque quatorze heures. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans cette même extase que ce matin. En pensant à ce vieux pervers. Le temps passe encore si vite. Il m'emmène à dix sept heures trente. J'entends Clémentine arriver, chantonner en revenant des toilettes. Elle entre dans l'atelier, pose son cartable sur sa chaise. Se précipite vers moi pour se mettre à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Elle a encore des notes prises en cours à mettre au propre et à revoir. Des sites à consulter. Nous adorons cette petite heure à finaliser nos travaux. 6 h30. << Là, si je continue je mets tout au feu ! >> s'exclame t-elle en se levant pour commencer à ranger ses affaires.

Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine me rejoint au lavabo de l'atelier où je me lave les mains. Elle me tient la bite pour en diriger les jets. Cet amusant rituel permet de passer d'un univers à l'autre. En secouant les dernières gouttes elle dit : << J'ai raconté notre soirée à Estelle au restaurant à midi. Elle veut une récidive à trois ! >>. Nous rions de bon cœur. Pendant qu'elle suçote un peu je caresse sa nuque. Clémentine se redresse pour rajouter : << Pour nos thèses, tout est prêt. J'ai mis les deux cent feuilles dans un carton ! >>. Je réponds : << On emmène tout ça chez l'imprimeur ce vendredi. Je lui téléphone demain ! >>. C'est une excellente organisation. L'impression des livres des thèses d'Estelle et de Clémentine pourra se faire dans la plus totale sérénité.

Nous pourrons les récupérer aux vacances de Pâques. Je soulève Clémentine pour la promener dans tout l'atelier. Accrochée à mon cou, ses jambes autour de ma taille, je lui raconte ma rencontre avec monsieur Bertrand. << Génial ! Dis-moi tout ! >> s'exclame t-elle alors que je la dépose au sol. J'explique le coup de la visite pour découvrir les travaux d'installations électriques. Ni Clémentine ni moi n'en avons rien à foutre. Mais quel bon prétexte pour voir à quoi ressemble l'électricien. << Mais je n'entreprends rien vendredi. C'est juste pour tendre un piège. Je trouverai bien un prétexte pour le faire venir. Un petit contrôle dans la maison d'amis est une mesure de sécurité n'est-ce pas ! >> lance t-elle. Nous en rions aux éclats. Une fois encore je reste admiratif devant son imagination.

Estelle adore arriver en silence. La porte s'ouvre soudain. << Coucou ! >> fait elle en courant vers nous. Elle saisit ma bite en enfonçant sa langue dans ma bouche. Sans un même un bisou préalable. Clémentine éclate de rire. Quand elles m'embrassent avec tant de fougues, mes deux anges provoquent souvent une érection démentielle et presque instantanée. Je bande comme le dernier des salauds. La coquines cesse. En me tordant la queue dans tous les sens elle s'exclame : << Tu me fais comme à Clémentine lundi soir ? >>. Je réponds : << Si tu n'es pas sage, que tu te montres dévergondée et pleine d'initiatives salaces ! >>. Elle s'accroupit en disant : << Comme ça par exemple ? >>. Elle se prend ma turgescence en bouche pour sucer immédiatement. Me fixant dans les yeux.

Je murmure : << C'est parfait, tes souhaits seront exaucés ! >>. Elle cesse pour se redresser alors que Clémentine précise : << Et moi, je regarde en me branlant. Faites-moi un super spectacle ! >>. Nous en rions. << Promis ! Mais tu filmes ! >> lance Estelle. Les coquines me prennent par les mains. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine prépare la friteuse. Cette friteuse à sec qui permet de faire des frites sans huile. Je sors le tupperware les contenant du bas du frigo. Estelle sort le poulet du four électrique pour le placer dans la fournaise du four à bois. Ça va aller très vite. Je mets les assiettes, les couverts. Clémentine rajoute les feuilles de laitue à l'assaisonnement déjà préparé. Estelle sort un poulet magnifiquement doré du four. L'odeur envahit toute la vaste cuisine.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur l'impression des livres. Comme l'an dernier il sera tiré vingt exemplaires. La soutenance de la thèse, au début juin, devant le jury sera étayée de son double livresque. Estelle et Clémentine se réjouissent. Elles ont toutes les deux préparé le tout. Leurs thèses sont développées sur environ deux cent feuilles pour Clémentine. Cent quatre vingt cinq pour Estelle. Une fois imprimés les livres ne feront qu'une centaine de pages chacun. Édité à compte d'auteur comme la dernière fois. << Merci Julien ! Grâce à toi c'est un souci en moins ! >> lance Estelle en venant s'assoir la première sur mes genoux. << Tout est toujours si simple avec toi ! >> rajoute Clémentine qui vient s'assoir également. Nous traînons à table à mettre au point le tout.

La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. << Branle-toi, on se prépare ! >> lance Estelle qui déboutonne son Levis la première. Elle se penchent toutes les deux pour d'abord retirer leurs bottines. Je me masturbe peinard. Je dépose deux des épais coussins sur le bureau. Juste en grosses chaussettes, en sweats, mes deux anges s'installent sur le bureau. << Moi, je regarde ! >> précise Clémentine. Debout entre les cuisses écartées d'Estelle, je frotte mon sexe contre le sien. Le rituel de nos mardis soirs. La "baise sur bureau". Je m'agite dans Estelle qui me donne le rythme. Clémentine saute du bureau pour tourner autour. Nous regarder baiser sous tous les angles tout en se touchant. Elle tire l'appareil photo du tiroir du bas pour filmer la scène en 4K. Il n'y a que la lueur des deux grosses bougies du candélabre. Il y aura forcément du "grain" sur l'image. << Génial ! >> s'écrie Estelle entre deux cris de plaisir. Elle devra partir pour 22 h.

J'alterne les assauts à la hussarde avec des moments plus calme où je pose des questions stupides. Estelle y répond avec célérité. Je demande : << Combien de pipe tu as déjà taillé dans ta vie ? >>. Elle répond : << À toi seulement ou globalement ? >>. Nous en rions de bon cœur. Je continue : << Combien de pipes tu comptes me faire durant les vacances de Pâques ? >>. Estelle répond : << D'abord il y a toutes celles que je vais te faire aux vacances de février ! Et c'est dans un peu plus de deux semaines ! >>. Nous rions de ces dialogues surréalistes entre deux assauts. Je la tringle avec la douceur d'un lutteur ukrainien, avec la tendresse d'un Sumo Japonais. Son orgasme la fait hurler. Clémentine, qui n'a cessé de filmer, de se masturber, nous dit : << Notre film pour samedi soir ! >>

Bonne nouille à toutes les coquines qui adorent en savourer les jus sous les draps après s'être fait sucer et lécher un peu. Avant un sommeil réparateur...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Thursday 8 February 2024 07:41

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 23 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2517 -



Les charmantes initiatives de Danièle

Il est sept heures, hier matin, mercredi. J'aime bien réveiller Clémentine sur sa demande de la veille. J'approche mon visage du sien. Avec de légers mouvements de paupière je chatouille sa joue de mes cils en murmurant : << Papillon ! >>. Elle s'étire en gémissant. Je frotte délicatement mon nez contre le sien en chuchotant : << Esquimau ! >>. Dans d'incompréhensibles borborygmes elle se blottit contre moi. Le mercredi c'est depuis la maison que Clémentine prend ses cours. En télé travail. Ce qui permet de ne pas stresser et de prendre son temps. Quelques bisous, quelques papouilles et nous allons pisser. Depuis une heure que les radiateurs fonctionnent il fait bien chaud dans la maison. C'est un plaisir de s'habiller de nos tenues de sports dans la salle de bain. Prenant notre temps.

Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans le hall d'entrée. Je tiens Clémentine par la taille alors qu'elle ouvre le portail depuis l'interphone. Nous nous précipitons à la cuisine. Pendant qu'elle me raconte ses rêves en préparant le café, j'allume la cuisinière à bois. Il fait encore nuit et la température extérieure est de 8°. Alors qu'à l'intérieur règnent nos agréables 22°. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre mardi soir avec Estelle. << J'aime vous voir baiser ! >> précise Clémentine. C'est en effet un plaisir que s'offre souvent Clémentine. La masturbation étant sa toute première préférence sexuelle avant le cunnilingus et la fellation. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les différentes options du repas de ce soir. Juliette arrivera pour 19 h.

Nous traînons un peu à table. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents avant de passer dans la fraîcheur de notre salle d'entrainement. La motivation est grande dans une pièce pas chauffée et où il ne fait que 15°. Il faut s'échauffer avec des mouvements aérobics répétés. Le jogging sur les tapis roulants permet d'entretenir la température des corps. Les exercices au sol sont le plus excellent prélude aux manipulations des barres et des haltères. Les étirements du stretching offrent ce progressif retour au calme. Nous courons à la salle de bain pour les plaisirs d'une douche. Vêtus de nos Levis, de nos chemises à carreaux d'épais coton, nos baskets, nous dévalons les escaliers jusque dans l'atelier. C'est Clémentine qui veut allumer la flambée de la cheminée. J'aime la seconder.

Assise devant son ordinateur, ajustant les écouteurs sur ses oreilles, chantonnant encore un peu, Clémentine s'apprête à partir en cours virtuels. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Ce sont de grandes réjouissances à l'idée de rester ensemble toute la journée. Nous avons l'intime conviction d'êtres plus performants dans nos activités. J'entends Clémentine parler avec d'autres étudiants de son groupe. Avec un professeur. Avec Estelle peut-être. La peinture du "Pub Irlandais" m'absorbe complètement. Je peins dans la plus totale félicité. Mon I-phone posé sur la desserte à ma droite, parmi les tubes de peintures, se met à vibrer avant la sonnerie à "l'ancienne". Je m'en saisis. Il est pile dix heures. C'est l'interclasse pour Clémentine qui se lève d'un bond.

Je décroche. C'est Danièle. Elle vient de franchir le portail pour descendre les pavés autobloquants. J'ai la braguette ouverte sous ma blouse. Clémentine m'entraîne par la main. << Sors ta bite ! >> s'exclame t-elle quand nous quittons l'atelier. Je déboutonne ma blouse de coton écru. Dans le hall d'entrée, Clémentine fouille dans mon slip pour en extraire le locataire. Nous ouvrons la porte pour accueillir Danièle. Je la débarrasse immédiatement du carton qu'elle tient. Elle retire son anorak pour nous suivre à la cuisine. Je déballe le contenu du petit carton. Des escalopes de dinde, des fromages à pâtes cuites dont nous raffolons. Danièle nous parle de son exploitation agricole, de la rancœur de son mari devant les fourberies et les roublardises des dirigeants menteurs.

Je ferme la porte du réfrigérateur où je viens de ranger la viande et les gruyères. Je ne m'y attends pas du tout. Tout en bavardant avec Clémentine, Danièle contourne la table pour saisir mon sexe. Je bande mou. C'est donc un beau "tuyau d'arrosage" qu'elle prend dans sa poigne ferme. << Wouah ! Magnifique ! >> s'écrie t-elle alors que Clémentine et moi, un peu interloqués quand même, nous nous regardons. << Je gêne ? >> demande la jeune femme sans me lâcher et en serrant davantage. Je ne sais jamais quoi dire dans ces instants étonnants. C'est Clémentine qui dit : << Julien apprécie les initiatives. Et celle-ci ne manquera pas de le ravir ! >>. Nous rions tous les trois. Je finis par proposer d'aller faire un tour dans l'atelier. << Super, j'ai cinq minutes ! >> lance Danièle.

Comme tous les privilégiés qui découvrent la grande pièce où je compose mes toiles et où je passe une grande partie de mon temps, Danièle reste bouche bée. << C'est génial ! Je peux voir ? >> s'exclame t-elle en lâchant ma queue pour se précipiter devant le chevalet. << On dirait une photo, c'est fou ! >> s'écrie t-elle. C'est Clémentine qui me tient la bite à sa base. Juste entre le pouce et l'index. Je bande. Elle l'agite. Danièle tourne la tête pour regarder "l'hélicoptère". Elle dit : << Tout ici mérite d'être découvert ! >>. Elle marche vers la porte en rajoutant : << Il faut vraiment que j'y aille. J'ai encore une dizaine de livraisons avant midi ! >>. Dans le hall d'entrée, en mettant son anorak, la jeune femme conclue : << On se voit samedi ! >>. Nous la saluons pour retourner bosser.

Clémentine, assise devant son ordinateur, en ajustant ses écouteurs sur les oreilles, me fait : << Tu as apprécié. Elle a de ces initiatives que j'aime beaucoup ! >>. Je m'empresse de répondre : << C'était superbe. Et ça venait du fond du cœur ! >>. Clémentine éclate de rire en concluant : << Du fond du cœur, vraiment ? Tu en es sûr ? >>. Nous retournons dans nos travaux. La faim est l'horloge biologique infaillible. Il n'est pas loin de midi. Clémentine met deux bûches sur les braises. Elle m'attrape par le Zob pour m'entraîner. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il suffit de découper les restes du poulet, de les faire revenir dans la poêle avec de l'ail, de l'oignon, des champignons. Je m'en occupe pendant que Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade de tomates.

J'égoutte les spaghettis. Je râpe une copieuse quantité de Parmesan. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur l'étonnante initiative de Danièle. << Toi, aux vacances de fin février, tu vas encore te faire sucer ! On parie ? >> lance Clémentine. Je ne fais pas de pronostics mais Clémentine se trompe rarement. Danièle nous a d'ailleurs prévenu. Elle nous réserve une "surprise" pour cette période. Précisant même qu'elle saura se libérer un après-midi pour nous visiter. Clémentine fait des "plans sur la comète". J'aime l'entendre fantasmer sur des situations probables. Je bande comme le dernier des salauds en l'écoutant développer d'amusants scénarios. Nous traînons à table en dissertant sur les ingrédients de notre préparation de ce soir. Un gratin de choux fleurs.

Nous descendons à la cave. Dans le cellier. Pour récupérer le gros choux fleurs. Du congélateur Clémentine en profite pour tirer une pâte feuilletée pour une prochaine préparation. Je coupe les branches du choux fleurs pour les laisser tremper une dizaine de minutes dans l'eau vinaigrée. Clémentine râpe une grosse quantité de gruyère. Cet Appenzeller que nous savourons. Elle vient d'ailleurs me déposer un petit bout dans la bouche. Je beurre le grand plat carré en terre cuite. Pendant que le choux fleurs cuit dans l'eau bouillante, je beurre le plat. Clémentine, derrière moi, ses bras autour de ma taille, fourre quelquefois sa main dans ma braguette. << Ça m'excite quand tu fais ton pervers avec d'autres femmes ! >> dit elle. << Tant que tu ne baises pas avec toutefois ! >> rajoute t-elle.

Nous en rions de bon cœur. Je verse le flan sur le choux fleurs. Ce délicat mélange d'œuf, de crème fraîche, de fromage blanc et de lait de soja. Clémentine recouvre du gruyère, saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillé. Des cerneaux de noix en trois carrés parallèles aux bords du plat. Au four électrique pour laisser mijoter longuement à 160°. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. S'asseyant sur un des deux tabourets, m'attirant à elle, me tenant par les hanches, Clémentine hume mes odeurs d'homme. << Mmhh, ça rappelle l'Appenzeller ! >> murmure t-elle. Nous rions aux éclats. Elle gobe la peau fripée de mon prépuce pour la mâchouiller, la suçoter. J'aime la regarder, yeux fermés, concentrée et gouteuse.

Je me penche pour chuchoter des douceurs. Ce préliminaire gustatif se transforme rapidement pour devenir une authentique pipe des familles. Je me fais tailler une turlute de tout premier ordre. Dans les gargouillis, les bruits bulleux et les gémissements ravis de Clémentine qui suce avec tant de passion. Toutes les deux trois minutes elle cesse pour déglutir, prendre une grande respiration et laisser reposer sa mâchoire. C'est à la troisième pause que je la force à se relever. Elle s'accroche à mon cou en disant : << Comme j'aime ça ! >>. Je la soulève comme une jeune mariée. C'est comme ça que nous sortons de la salle de bain pour descendre l'escalier prudemment. Nous mettons nos anoraks. La température extérieure est de 14°. Le ciel est menaçant. La pluie ne va pas tarder à tomber.

Nous allons jusqu'à la rivière. Monsieur Bertrand est entrain de nourrir ses amis à plumes. Il est tout content de nous voir. Enfin, de voir Clémentine très certainement. Mais la vieille canaille joue très bien la comédie. Nous bavardons un peu. C'est l'opportunité rêvée. << Je viens vous rejoindre vendredi après-midi à 14 h. On remonte avec l'électricien. On va lui montrer l'installation des circuits de nos panneaux photovoltaïques ! >> propose Clémentine. Louis s'empresse de préciser : << Non, pas la peine de descendre, je monterai avec lui. Mais nous n'aurons que quelques minutes !>>. C'est à mon tour de rajouter : << Louis, vous m'excuserez mais je pourrai pas être là, j'ai tant de travail. Vous savez toutes ces commandes incessantes ! >>. Je déteste mentir. Mais c'est pour la "bonne cause". Monsieur Bertrand est-il dupe ? Toujours est-il qui lance : << Oh mais Clémentine est bricoleuse et s'y connait en visites guidées ! >>

Je sais bien à quoi cette vieille fripouille fait allusion. Nous le laissons à ses canards, à ses colverts et à ses poules d'eau. En remontant le chemin, Clémentine me dit : << Ce vieux salopard se réjouit. Mais ce vendredi il ne se passera rien. Je veux juste voir à quoi ressemble cet électricien. Monsieur Feraudo je crois ! >>. Je réponds : << C'est ça, Jean Feraudo ! >>. Il est quatorze heures piles quand nous sommes dans l'atelier, installés à nos postes de travail. L'après-midi passe dans l'émulation constructive. Nous sommes toujours beaucoup plus performants quand nous sommes ensemble. Mais est-ce réellement objectif ? Nous nous promettons d'étudier la question. Il est dix sept heures. Clémentine range ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Elle me rejoint au petit lavabo.

Pendant que je sèche mes mains, elle tient ma bite pour en diriger les jets. Quand durant la journée il y a déjà eu des stimuli d'ordre sexuel, mes sécrétions de liquide séminal sont abondantes. Un mélange qu'apprécie tout particulièrement Clémentine en me suçant une nouvelle fois après avoir secoué les dernières gouttes. Accroupie devant moi, me tenant par les hanches, passionnée par sa pipe, elle se met à genoux sur les tomettes. Je la tiens par sa natte, au plus court et sous son menton. Je bouge doucement, d'un rythme lent. Me masturbant dans sa bouche. Je l'aide à se relever. Je m'accroupis à mon tour pour masser ses genoux douloureux. Cinq minutes de ce traitement les rendent sensibles. C'est elle qui m'aide à me redresser. << Tu es tellement attentionné avec moi, je t'aime ! >> lance t-elle.

Nous admirons la danse des dernières flammes dans la cheminée. La nuit est tombée. Clémentine, couchée sur le dos, sa tête sur mes cuisses, nous voilà installés dans le vieux canapé de velours carmin. Ma bite contre sa joue, elle me confie ses craintes quand à la soutenance de sa thèse. << C'est dans même plus quatre mois ! >> précise t-elle. Je la rassure. Elle n'a jamais connu l'échec. C'est dans ses considérations que nous entendons du bruit. La porte s'ouvre. La silhouette de Juliette. << Bonsoir ! >> fait elle en venant vers nous. Ce soir dans un ensemble Levis et des bottines brunes. Nous nous redressons. Je bande mou et un filament de foutre pend de ma bite. J'ai quelques taches de foutre qui maculent le tour de ma braguette. Juliette nous fait la bise. Toute heureuse.

Elle reste un petit moment à observer ma toile. Elle ne tarde pas à fixer son regard sur mon sexe. Avec la même attention. << Oh mais ça dégouline ! >> s'exclame t-elle. Nous rions tous les trois. Là aussi, depuis quelques temps, nous allons de surprises en surprises avec Juliette. Elle s'accroupit rapidement. Maintient son équilibre à mes hanches. D'un mouvement gracieux de la tête elle gobe la coulée de jute pour l'aspirer tel un spaghetti. Avant de remonter jusqu'au Zob et le prendre en bouche. Clémentine, aussi étonnée que moi, me regarde avec de grands yeux. Je me penche pour demander : << Vous n'avez pas eu votre dose cette semaine pour être aussi gourmande ? >>. Juliette cesse, se redresse pour répondre : << Vous ne croyez pas si bien dire ! Rien de rien ! >>

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Je mets le gratin dans le four à bois. Clémentine fait l'assaisonnement des deux endives. Juliette met les assiettes, les couverts en nous expliquant la situation. Robert, son vétérinaire est grippé. L'agent d'entretien est en congé. << Une semaine sans bite quoi ! >> s'exclame Clémentine. << Exactement ! >> s'écrie Juliette. Nous en rigolons comme des bossus. Nous mangeons de bon appétit. Juliette nous raconte ses journées. Ses projets. << Et votre galerie cet été ? Vous ouvrez ? Je suis disponible tout le mois de juillet ! >> lance Juliette. J'avoue ne pas encore avoir pris de décisions. Je réponds : << Il me faut au moins quinze toiles à exposer ! Je vous tiens informée pour la mi mai ! >>. Juliette, toute contente, répond : << C'est parfait ! >>

La vaisselle. C'est au salon que nous savourons nos coupes glacées. Vautrée dans le fauteuil qui nous fait face, tout en se touchant, Juliette propose une "soirée branle" un de ces prochains vendredis. Clémentine s'empresse de préciser : << Pendant les vacances, avec Estelle ! >>. Juliette, ravie, répond : << Génial ! Avec une petite surprise ou sans ? >> demande Juliette. << Avec ! >> s'écrie Clémentine en jouant avec ma queue. << Superbe ! >> lance Juliette. Il va être 22 h. Nous raccompagnons Juliette dans la nuit glaciale, sous le parapluie, jusqu'à sa voiture. Assise au volant, vitre baissée, Juliette conclue : << Le premier mars, c'est un vendredi. Ça irait ? >>. Clémentine, en agitant ma bite, répond : << C'est parfait ! >>. Je lâche un puissant jet de pisse contre la portière.

Bonne nuit à toutes les coquines, bien excitées par une journée pleine de rebondissements. Un bon dodo après s'être fait lécher, sucer et éjaculer dans la bouche, sous les draps...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Friday 9 February 2024 07:38

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
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Quand Estelle revient

Le gazouillis des oiseaux, l'écoulement de la source. Les fééries délivrées par nos I-phones nous réveillent juste avant six heures. Clémentine vient se lover contre moi. Il en faut du courage encore en ce jeudi matin. C'est dans mes bras qu'elle vient en chercher une partie. Quelques bisous, des papouilles. Des papouilles qui deviendraient rapidement des câlins aujourd'hui. Nous nous précipitons aux toilettes dans la fraîcheur car les radiateurs viennent juste de s'enclencher. Nous nous habillons en vitesse dans la salle de bain. Dans nos tenues sports nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Pendant que Clémentine prépare le café, presse les oranges, pèle les kiwis en me racontant ses rêves, j'allume la cuisinière à bois. Je suis plié de rire quand Clémentine imite l'accent Corse de Juliette.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre mercredi soir en compagnie de Juliette. Ce sont ses initiatives qui nous interpellent. Des initiatives qui ne peuvent se créer qu'entre complices de longues dates. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la compagnie d'Estelle ce soir. << Elle a probablement baisé avec son parrain et exigera son "contrôle" de minou ! >>. lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Il va être six heures vingt cinq. Nous remontons pour nous offrir le second plaisir de la journée. Une heure d'un bon entrainement. En commençant par nous échauffer à l'aérobic et au jogging sur les tapis roulants. Les exercices au sol, les charges additionnelles en terminant hâtivement par un stretching. Nous cavalons jusqu'à la salle de bain. Une bonne douche.

Je redescends le premier pour sortir la voiture et la faire chauffer. Il va être sept heures quarante cinq. La température extérieure est de 8°. Les pluies de la nuit ont tout détrempé. Le ciel est bas. Le jour achève de se lever. Clémentine vient me rejoindre chaudement vêtue. Anorak, bottes à fourrure. Bonnets, gants. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer au chaud. Ce froid humide est détestable. Je fais la vaisselle, le lit, avant de passer dans l'atelier. J'y allume la cheminée d'une belle flambée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ma seconde toile hyper réaliste m'entraîne rapidement dans les méandres de l'introspection. Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser des cris surréalistes.

Il va être midi car la faim commence à me tenailler. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Pendant que réchauffent les restes du gratin de choux fleurs, que rissolent deux gros nems dans la poêle, je fais l'assaisonnement du concombre. J'émince deux grosses escalopes de dindes, de gros champignons. Je monte les coquillettes en ébullition. Je râpe une grosse quantité de gruyère. Je dispose les cinq bouchées à la reine dans le grand plat carré en terre cuite. Je n'ai qu'à concocter une Béchamel, y mettre la viande, les champignons, l'ail et l'oignon poêlé et emplir de cette garniture les bouchées à la reine. J'égoutte les coquillettes pour les verser tout autour. Je recouvre de gruyère. Chapelure, graines de sésame grillé. Cerneaux de noix. Au four à 160°.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff propose encore une de ses émissions passionnantes, édifiantes. Avec son invité ils abordent les sujets d'actualité. La popularité déjà déclinante d'un premier ministre inexpérimenté, à peine nommé, n'ayant jamais travaillé vraiment de sa vie et peut-être même paré de faux diplômes. Dans ce gouvernement de comiques, la duperie érigée en dogme d'État n'étonne plus personne. Il y est question d'André Bayrou, le déçu aigri et amer, relaxé par une justice en totale collusion avec le pouvoir. Relaxé car prétendant ne pas avoir été au courant de l'origine des rémunérations de ses collaborateurs ! Sans rire évidemment. D'un Bruno Le Maire qui voulait ruiner l'économie Russe et qui n'a fait que ruiner celle de la France. Une bande de tartuffes pitoyables.

Le thermostat du four électrique pilote la longue et douce cuisson des bouchées à la reine. Le repas de ce soir est assuré. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller me dégourdir les jambes je dévale les escalier pour chausser les bottes en caoutchouc, enfiler l'anorak. Il ne pleut pas mais le ciel reste menaçant. La température extérieure est de 14°. Je ne rêve pas. Il y a d'authentiques gazouillis d'oiseaux. Je descends jusqu'à la rivière. Je suis accueillis par les canards, les poules d'eau et les colverts qui cancanent de plus belle. Il est treize heures cinquante quand je suis installé devant mon chevalet. Si tout se déroule comme convenu, cette toile sera terminée demain avant midi. C'est empli de toutes ces certitudes que je peins animé du même enthousiasme délirant.

Du bruit. Il est déjà 17 h30. Clémentine rentre de cours. Je l'entends chantonner. Je pose la palette, les pinceaux sur la desserte. Elle entre dans l'atelier pour se précipiter vers moi. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Je dois te préparer à ce qui t'attend ce soir. De la part d'Estelle ! >> me dit elle. Nous en rions de bon cœur quand je demande : << Contrôle de son minou ? >>. Clémentine qui a encore du travail, se lève, me fait un bisou en répondant : << Et contrôle du mien aussi ! >>. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, Clémentine se remet à chantonner, à commenter à haute voix les notes parfois illisibles qu'elle a pris en cours. Une heure de plaisir à bosser ensemble.

Dix huit heures trente. << Mais là, je vais péter une durite ! >> s'écrie soudain Clémentine en se levant. En rangeant ses affaires, elle rajoute : << Ça rime avec bite ! >>. Je nettoie la palette, les pinceaux. Elle me rejoint au lavabo de l'atelier où je termine de m'essuyer les mains. Tenant mon Zob pour en diriger les jets elle me confie la stratégie mise au point pour demain vendredi, en début d'après-midi. Elle descendra chez monsieur Bertrand. Je resterais caché dans le placard. Elle remontera pour faire visiter l'endroit à monsieur Feraudo, l'électricien. J'admire la ruse. En secouant les dernières gouttes Clémentine rajoute : << Il ne faudra pas que je me trompe de placard lorsque je montrerai l'installation électrique et les batteries des panneaux photovoltaïques ! >>. Nous rions aux éclats.

Clémentine m'entraine par la queue pour me faire tomber dans le canapé. Elle jette un des coussins au sol pour s'y mettre à genoux. Ses mains sur mes cuisses, elle suçote la peau fripée de mon prépuce. Lorsqu'elle elle y enfonce la langue pour tourner autour du gland, cela évoque un petit animal sous un tapis. Je la regarde s'amuser. Je l'écoute glousser quand la porte de l'atelier s'ouvre. Estelle adore arriver silencieusement pour nous surprendre. Cette vision la fait s'écrier : << Put-Hein déjà ! >>. Elle se penche pour me faire la bise. Clémentine cesse de sucer pour lui offrir mon Zob en disant : << L'apéro ! >>. Estelle s'assoit à ma gauche pour se pencher. Son coude en appui sur ma cuisse. Elles se refilent mon sexe et échangeant leurs impressions. Nous en rigolons comme des bossus.

La faim. Nous nous levons tous les trois en même temps. Estelle me tire par la queue. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Les bouchées à la reine dans leurs coquillettes sont la plus belle surprise de leur journée. Mes deux anges me mitraillent le visage de bisous. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de carottes. Estelle surveille le four à bois dans lequel réchauffe le plat gratiné. Je mets les assiettes, les couverts. Nous mangeons de bon appétit en faisant quelques projets du week-end qui commence demain. << Raconte à Julien tes saloperies avec Jean-Marc ! >> lance Clémentine. << Parrain m'a baisé dans ma chambre, sur mon lit, comme il le faisait quand j'avais seize ans. Mais maintenant il m'encule à chaque fois le salaud. Je commence à apprécier ! >> raconte Estelle. << Tu es une enculée toi ! >> lance Clémentine.

Nous rions aux éclats quand Estelle rajoute : << Il a un fantasme débile. Dans sa voiture, je suis installée au volant, assise sur sa queue, enculée, et je conduis ! >>. Nous sommes pliés de rire. Clémentine s'écrie : << Si ça fonctionne et que c'est bien, je veux essayer aussi ! >>. Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine. Je me lève pour agiter ma bite. Clémentine nous regarde en lançant : << C'est génial de vivre parmi les dingues ! >>. Nous terminons le repas dans cette ambiance loufoque. La vaisselle. Mes deux anges m'entraînent par les bras jusqu'au salon. Comme un infirme. Je n'ai qu'à me laisser guider. Toutes les deux me font tomber dans le canapé. Je suis prié de me branler alors qu'elles retirent bottines, jeans et culottes. Je mets les épais coussins parterre.

Je sais ce qui m'attend. Tout comme le lecteur passionné par nos frasques. Elles me tirent par les bras. Je me lève. Elles prennent ma place, vautrées dans le canapé. À genoux entre leurs jambes, la tête entre leurs cuisses, je commence ce soir par Clémentine. Ravie, elle tient son clitoris géant entre son pouce et son index pendant que je hume les affolants parfums de sa journée de fille. Je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe. Ce petit gout vinaigré du trou à pipi. Ces petits miasmes fromagers qui fondent dans ma bouche avant de sucer son clitoris. Estelle se masturbe en me regardant. Penchée, son visage tout près du mien. Je l'entends souffler, reprendre sa respiration après ses apnées. Je quitte le sexe de Clémentine pour humer celui d'Estelle. Ses odeurs fortes.

Je me régale de leurs substances. Le jus de fille m'enivre jusqu'aux vertiges. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Bien décidée à jouir autant que possible elle se tortille en gémissant. Elles changent de position pour se mettre à quatre pattes. Je me bouffe les culs. Je récupère ainsi les coulures de cyprine qui ont dégouliné dans les raies. Je dois retirer plein de poils de ma bouche. J'enfonce le doigt dans l'oignon d'Estelle qui pousse un petit cri de surprise. Un spasme agite son corps. En même temps que je tourne mon index pour l'enfoncer davantage, je dis : << Enculée ! >>. Quand elle se met à rire cela secoue son corps. Quelle beauté que de voir cette giclée de cyprine éjectée de sa vulve comme une éjaculation. Une coulure qui tombe sur le cuir noir du canapé. Laiteuse, onctueuse.

Quand je fouille leurs intimités du bout de ma langue, jusqu'à la crampe, je laisse reposer ma mâchoire en suçant leurs clitoris. L'orgasme d'Estelle la fait hurler. Elle me repousse délicatement en soufflant comme un fauve. Les mains entre ses cuisses serrées, elle se tourne sur le côté. Clémentine a le même réflexe quand je l'emmène à ses dernières extrémités. Je saisis la cuvette sous le guéridon à côté du canapé. Je fais très vite. Clémentine se termine aux doigts en se levant pour s'accroupir au-dessus de la cuvette. En criant, elle jouit, pisse, se tient d'une main au canapé, ses doigts serrant son clitoris qui ressemble encore ce soir à une bite naine. J'ai l'impression qu'au fil des années, il se développe davantage. C'est vraiment une petite queue. C'est impressionnant. Magnifique aussi.

Estelle, se redresse, tombe à genoux à côté de moi. Nous admirons ce merveilleux spectacle. Une pisseuse, femme fontaine de surcroît, reste l'attraction la plus insolite dans les jeux du sexe. Mais cela l'est beaucoup moins pour elle car Clémentine en est victime depuis son adolescence. Et ce n'est pas du tout pareil que pour les spectateurs. Je me lève en même temps qu'Estelle. Je saisis Clémentine sous le menton et par la nuque. Estelle frotte ma bite sur sa gueule. Clémentine ouvre la bouche. Estelle y fourre ma queue. Clémentine m'attrape par les fesses pour maintenir son équilibre. Toujours accroupie au-dessus de la cuvette. Dans un beuglement bovin, je me lâche au fond de sa gorge. J'éjacule en trois jets, suivis de trois saccades. Elle en tousse. Je la maintiens fermement. Pour pouvoir avaler la quantité de foutre que je sais avoir balancé, Clémentine tente de se soustraire à mon étreinte. Je l'en empêche. Estelle se touche à nouveau.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui adorent se serrer dans les bras de leur lécheur, de leur suceur, de leur éjaculateur avant de s'endormir tout contre lui sous les draps...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Saturday 10 February 2024 07:15

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 25 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2519 -



Le vendredi Clémentine termine à midi

Hier matin, vendredi, nos I-phones nous réveillent de leurs fééries. Une fois encore l'illusion bluffante de sortir d'un profond sommeil au fond d'une forêt magique. Clémentine vient se blottir contre moi. Quelques papouilles, quelques bisous. Nous nous précipitons aux toilettes. Nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra jaune. Les radiateurs font un bruit de vidange car ils viennent d'entrer en fonction. En riant de son handicap matinal, Clémentine tente de prononcer des phrases inintelligibles alors qu'elle trébuche sur les mots. << Le matin je suis dyslexique ! >> lance t-elle. Nous rions. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. J'allume immédiatement la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis en me racontant ses rêves.

Nous rions car elle compose enfin des phrases intelligibles. Le vendredi elle termine à midi. Ce qui la rend encore plus facétieuse. Déconneuse. Je suis plié de rire. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les léchages de minous du jeudi soir. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le plan "électricien". << J'espère que je ne vais pas me prendre du 220 volts dans le cul ! >> lance Clémentine en venant terminer sa tartine au miel sur mes genoux. Il est presque six heures vingt cinq. Le temps de remonter en courant, nous voilà à l'entrainement. Aérobic et jogging sur tapis roulants. Ça réchauffe. Les exercices au sol avant les charges additionnelles. Le stretching avant la douche. Je redescends pour aller préparer la voiture. Presque 7 h45. Température extérieure 8°.

C'est sous le parapluie que Clémentine vient me rejoindre. Son blouson d'épais cuir brun, un pantalon noir, des bottines brunes. Le jour achève de se lever. Un dernier bisou. Je regarde monter l'auto jusqu'au portail qui s'ouvre et de referme automatiquement. Un dernier coucou. C'est en courant que je rentre me mettre au sec et au chaud. Je fais notre vaisselle, notre lit avant de passer dans l'atelier. J'y allume la flambée de la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je termine ce matin "Le pub Irlandais". Cette seconde toile hyper réaliste que je prend un plaisir fou à réaliser. Je peins dans cette esprit de déconne laissé par Clémentine. Il est onze heures trente quand j'achève cette création. Je nettoie la palette, les pinceau. Je quitte l'atelier pour la cuisine.

Je réchauffe immédiatement les deux bouchées à la reine dans leur gratin de coquillettes. Je prépare l'assaisonnement d'une salade de tomates. Midi trente. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Ces jambes enserrant ma taille elle me couvre le visage de bisous. Je l'emmène ainsi aux toilettes pour le rituel pisseux et le lavage des mains. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle propose différentes options de "plans B" pour le week-end. S'il devait pleuvoir et faire moche nos projets de randonnées tomberaient à l'eau. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Je me change. Une paire de Jeans propres, une chemise clair sous un pull noir.

Mes bottines noires. C'est sous le parapluie, avec une température de 15° que nous traversons le jardin. Il fait froid dans la maison d'amis. La température du système "hors gel" est péniblement de 10°. << Il fait plus froid dedans que dehors ! >> s'exclame Clémentine. Elle ouvre la porte des trois placards. Le premier permet l'accès à l'installation électrique, compteurs voyants, cadrants. Le second contient les batteries des panneaux photovoltaïques. Dans le troisième où je m'apprête à me cacher, il y a les balais, les serpillères, les seaux et l'aspirateur. << Il ne faut pas que je me trompe de porte ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Il va être quatorze heures. Clémentine me fait une rapide bise avant de fermer la porte pour m'enfermer dans le placard. << Pauvre Julien. Je reviens très vite ! >> conclue t-elle en partant. Je ressors pour aller guetter à la fenêtre arrière. Je vois le chemin qui monte depuis la propriété de Louis.

Clémentine, accompagnée de monsieur Bertrand et d'un jeune homme en combinaison de travail grise. Ils montent le chemin. Ils ne sont plus qu'à une centaine de mètres. Je file ma planquer dans ma cachette. Une grosse couverture au sol évite tous craquements. Le trio entre dans la maison. J'entends Clémentine dire : << C'est là, les deux placards ! >>. Je regarde par la petite ouverture circulaire et grillagée. Clémentine ouvre les deux portes voisines. Mon cœur bât la chamade. Le regard du jeune homme se porte à plusieurs reprises sur la porte fermée. Il doit se demander ce qu'il y a dans ce placard. J'écoute les explications techniques qu'échangent les deux hommes alors que Clémentine condamne l'accès de la porte close en s'y appuyant. Silencieuse à écouter la conversation.

Il y est question de relais, de branchements, de câblages. Tout cela dure une bonne dizaine de minutes. << Bon, entendu. Je remonte vendredi prochain ! >> lance le jeune homme à l'adresse de Clémentine. Il prend des photos des installations en rajoutant : << Je monterai avec l'échelle pour voir les panneaux photovoltaïques sur le toit ! >>. Clémentine les raccompagne jusqu'à la porte. Je suis soulagé. Par l'ouverture grillagée je vois monsieur Bertrand faire un clin d'œil à Clémentine. Mimer une pipe derrière le dos de l'électricien. Je peux enfin sortir de ma cachette. Frigorifié car contraint à l'immobilité depuis presque vingt minutes. << Pauvre Julien ! >> lance Clémentine en courant pour me sauter au cou. Nous traversons le jardin pour rentrer. La pluie a cessé. C'est tant mieux.

Clémentine a préparé les feuilles à la manière d'une rame de papier vierge. Ce sont deux fois cent vingt cinq feuilles qui une fois imprimées sous forme d'un livre ne feront plus qu'à peu près cent vingt pages. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. << Ce mec je le suce vendredi prochain ! Tu as vu comme il me mâtait ? Pire que ce vieux salopard de Louis ! >> me fait elle en se penchant parfois pour me sucer. Je n'ai pas réussi à voir grand chose par le petit orifice. << Je n'ai strictement rien compris au jargon professionnel de ce type mais il est mignon. Je crois bien que c'est un bon vicieux. Mon sixième sens me trompe rarement ! >>. Nous rions de bon cœur des considérations de Clémentine. Il y a vingt kilomètres jusqu'à la zone d'activités économique. Je gare la voiture.

Voilà les bâtiments de l'imprimerie. Nous sommes attendus pour 15 h30. Pile à l'heure. La jeune femme du secrétariat nous invite à la suivre. Nous entrons dans une partie de l'atelier. Il y a là cinq employés affairés devant de grandes machines. L'ensemble est piloté par ordinateur. Mais l'impression du papier reste mécanique. Ce sont des bruits rythmés. Voilà le patron. Monsieur Levois. Il nous reconnaît. Nous nous saluons. Il nous invite à le suivre dans son bureau. C'est un homme jovial. Grand, mince presque ma taille. Nous nous installons dans les fauteuils. Assis à son bureau monsieur Levois examine les feuilles. Il nous explique le procédé, l'ordre des opérations. Nous pourrons disposer des quarante livres pour la fin avril. La fin des vacances de Pâques. Ce qui est parfait.

Il y a là les thèses de Clémentine et d'Estelle. Je propose de régler la totalité du travail dès maintenant. Ce qui est également parfait pour monsieur Levois. Virement bancaire. << Avec l'inflation, le coût des matières premières, les prix ne sont plus les mêmes ! >> nous apprend l'artisan imprimeur. Je le rassure. Tout va très bien se passer. Je dis : << Si d'ici là les prix ont encore grimpé, faites-moi la facture du différentiel ! >>. C'est en riant que monsieur Levois répond : << C'est interdit par la loi. un prix, surtout payé d'avance, doit rester fixe ! >>. Nous en rions. Nous laissons le brave homme à ses occupations. Son téléphone n'a cessé de sonner alors qu'il ne décrochait pas pour se consacrer à notre entretien, à notre commande. Il est 16 h30. Nous voilà en route pour la ville. Je gare l'auto dans la ruelle habituelle. << Tout est toujours tellement simple avec toi ! >> me fait Clémentine qui se remet à sucer en gloussant de joie.

La pluie a recommencé à tomber. Je me fais tailler une pipe dans cette rue déserte. Une bonne demi heure entrecoupée de pauses où Clémentine revient sur l'électricien. << Il ne m'a même pas donné son prénom le bougre ! >> dit elle. Je propose de morceler cette fellation en différentes séquences. C'est sous le parapluie que nous marchons d'un bon pas. Les premières rues piétonnes sont à dix minutes. Le rituel de la FNAC, de notre salon de thé préféré. Je propose de réserver une table dans notre restaurant gastronomique habituel. << J'ai envie d'un truc très simple et très con. Le goût de ta bite peut-être. Un steak avec des frites ! >> lance Clémentine en m'entrainant dans les toilettes hommes du salon de thé. Enfermés dans un des cabinets elle reprend une séquence de sa pipe. C'est depuis cet endroit insolite après nous êtres lavés les mains que Clémentine téléphone pour réserver notre table. Nous y sommes attendus pour 19 h15.

Bonne faim de soirée à toutes les coquines qui adorent sucer dans les cabinets des toilettes hommes. Qui aiment rire en entendant des mecs pisser de l'autre côté de la porte. Avant de retourner s'assoir pour déguster une bonne coupe glacée...

Julien (complice des mœurs dépravés de Clémentine)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Sunday 11 February 2024 10:34

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 26 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2520 -



Les évènements ludiques d'un samedi matin habituel

Presque sept heures. Hier, samedi, c'est un réveil naturel. Nous nous réveillons quasiment en même temps. << Notre horloge biologique ! >> murmure Clémentine qui vient se blottir contre moi. Qu'il est doux de pouvoir prendre tout son temps. Les papouilles, les bisous avant de nous lever. De nous rendre aux toilettes. Les radiateurs chauffent la maison depuis plus d'une heure. Nous nous habillons de nos tenues de sports à la salle de bain. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusque dans le hall d'entrée. Je tiens clémentine avec mes bras autour de sa taille, mes lèvres dans sa nuque alors qu'elle ouvre le portail depuis l'interphone. Elle m'entraîne par la main. J'allume la cuisinière à bois. La cuisine est bien chaude. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves.

Elle presse les dernières oranges, je pèle les derniers kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de vendredi après-midi. La visite de Louis et de l'électricien. Les flâneries en ville, le repas du soir dans notre restaurant préféré. Nous mangeons de bon appétit en faisant des projets, en envisageant les options de ce samedi. Dehors il fait encore nuit. Le thermomètre extérieur affiche 8°. Le sol est luisant et certainement trempé des pluies de la nuit. Si nous ne pouvons partir en randonnée, nous retournerons en ville. Il est sept heure trente cinq. Nous remontons. Tout comme la chambre à coucher, la salle d'entraînement n'est pas chauffée. C'est doublement motivant. Il faut se remuer. Les échauffements aérobic, le jogging sur les tapis roulants nous le permettent très vite.

Les exercices au sol où Clémentine se montre facétieuse. Il est parfois difficile de se contrôler en faisant les abdos. D'être plié de rire en plein ciseaux arrières par exemple. Les charges additionnelles que nous privilégions les samedis matins sur les machines. Là, ça ne rigole plus. Les dorsaux, les développés couchés, les squats nécessitent une concentration maximale. Par contre, comme nous disposons de tout notre temps, nous pratiquons les étirements du stretching consciencieusement. Nous entendons l'aspirateur quelque part à l'étage. Lise, notre "fille de ménage" est déjà en pleine activité. C'est dans le couloir, en nous rendant à la salle de bain que nous la rencontrons. Ses écouteurs sur les oreilles, son survêtement gris. Son merveilleux sourire quand elle retire son casque.

Nous nous saluons. Nos leggings moulent nos corps comme des collants. Aussi, mes organes génitaux forment une bosse généreuse. Lise, tout en bavardant, la regarde avec une certaine ostentation. Effrontément même ce matin. Nous la laissons à son ménage. En prenant notre douche Clémentine me fait : << Tu as vu sa manière de fixer tes formes ? Un moment j'ai cru qu'elle allait te les toucher ! >>. Nous en rions de bon cœur. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite, je coiffe Clémentine. Assise sur un des deux tabourets, devant le miroir, les épaules couvertes d'une ample serviette, elle me raconte d'amusantes anecdotes de sa semaine d'étudiante. Les deux "collègues" qui préparent leurs Licences de Sciences qui viennent les draguer à la cafétéria, Estelle et elle.

En deuxième année de préparation de leurs études, les deux étudiants se montrent entreprenants mais tellement maladroits dans leurs tentatives d'approches. C'est à la cafétéria de l'université qu'ils "œuvrent". Timides, réservés mais visiblement déterminés. Ils n'ont que vingt ans. Estelle et Clémentine bientôt vingt sept. C'est lorsque Clémentine répète : << "On se les fait" pour mon anniversaire ! >> que je demande : << Au fait, ces deux zigomars, comment s'appellent ils ? >>. Clément s'écrie : << On te l'a pas dit ? Ils s'appellent Léo et Maël ! >>. Je sais enfin comment s'appellent les deux blondinets dont j'ai vu les photos. "Beaux gosses" mais paraissant à peine sortis de l'adolescence. Je divise les cheveux de Clémentine en trois parties égales. Elle adore quand je les tresse en une longue natte.

C'est à mon tour de me faire sécher les cheveux et de les coiffer en catogan. << Monsieur grisonne ! J'adore ! Monsieur fait très "British" ! >> murmure Clémentine à mon oreille avant de la mordiller. Nous revêtons nos Levis, nos chemises à carreaux d'épais coton, nos baskets. Nous dévalons les escaliers avec les draps à laver. Jusque dans la buanderie, à la cave. Nous trions le linge de couleurs. Les draps en premier dans la machine. Clémentine déboutonne la braguette de mon 501. Y fourre sa main pour en extraire le chibre. Je bande mou. Elle soupèse en disant : << Belle bête ce matin encore ! >>. Nous rions aux éclats avant qu'elle enfonce sa langue dans ma bouche. Quand la fille que j'aime m'embrasse avec tant de fougue, de passion, mon érection est instantanée. Immédiate.

Je bande comme le dernier des salauds dans sa main. Elle s'accroupit pour gober l'extrémité de mon sexe. Mâchouillant le prépuce qu'elle serre entre ses lèvres pour le tirer. Comme un chewing-gum. Elle se redresse en faisant : << Tu en gratifie Danièle et Lise ce matin. J'aime quand tu fais ton satyre devant d'autres femmes ! >>. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes avant de m'embrasser à nouveau. Nous en avons les mentons trempés. Ma bite frotte douloureusement contre la braguette du 501 de Clémentine. << Pauvre Julien ! >> lance t-elle quand je la dépose au sol. Elle se penche pour mitrailler mon Zob de bisous. Je remballe juste avant de prendre l'escalier. Il va être l'heure de nos livraisons. Nous remontons. Lise entrain de passer la serpillère dans la cuisine.

J'ai la braguette béante sur mon slip de coton blanc. Une fois encore Lise pose son regard sur cette ouverture. Un regard insistant tout en échangeant quelques mots. Nous confirmons ses interrogations. Elle viendra faire le ménage durant les vacances. Celles-ci commencent le vendredi 16 février à midi pour s'achever le dimanche 25 février. Mais une semaine entière de cours se dérouleront depuis la maison. En télé travail jusqu'au dimanche 3 mars. Deux semaines en fait. Lise est toute heureuse de se voir confirmer notre accord. << On te donnera un coup de main ! >> lance Clémentine. Nous la laissons à sa serpillère pour aller enfiler nos anoraks dans le hall d'entrée. La température extérieure est de 10°. Il va être dix heures. Il ne pleut pas mais le ciel reste menaçant. La fraîcheur.

Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Tout est détrempé. Voilà la camionnette Mercedes blanche de notre livreuse. Danièle, toute souriante au volant, vient se garer derrière la petite Fiat rouge de Lise. Elle saute de son engin pour toucher nos poings du sien. En ouvrant les portes arrière Danièle fixe le bas de mon anorak en disant : << Je les attends ces premiers beaux jours. Vraiment ! >>. Le message est clair. Clémentine me pousse du coude. J'ouvre mon anorak. Très vite, d'un geste sûr je sors mon Zob pour l'agiter vers la jeune femme. Clémentine fait : << Pourquoi attendre les beaux jours ! >>. Nous en rions. J'attrape le lourd cageot contenant les fruits et les légumes que me tend Danièle. << C'est les patates qui pèsent ! >> lance t-elle. Je le pose sur le banc.

Clémentine attrape le second cageot qui contient les fromages, les yaourts, les œufs, les pots de crème fraîche et de fromage blanc, le beurre et deux superbes avocats. Je l'en débarrasse pour le poser à côté de l'autre sur le banc en pierre. Je dis : << Danièle, prenez deux minutes, suivez-moi ! >>. Elle ouvre de grands yeux pour s'écrier : << Mais juste deux minutes. J'ai encore une vingtaine de clients avant treize heures ! >>. Clémentine aussi ouvre de grands yeux. J'entre dans la maison d'amis. À peine y sommes nous que Danièle se saisit de ma queue en lançant : << Génial ! Vraiment génial ! >>. Elle me la tord dans tous les sens comme pour me punir de mon initiative crapuleuse. Elle me la tord comme le fait Estelle. Danièle me lâche pour se précipiter vers la porte. Elle doit partir.

Malgré la désagréable fraîcheur humide, je garde la bite à l'air. Danièle me tend le terminal dans lequel j'introduis la carte bancaire. Même commande pour samedi prochain. << À mercredi pour la viande ! >> lance Danièle en remontant dans son véhicule. Je garde présent à l'esprit que depuis une des deux fenêtres de la cuisine, Lise observe probablement ce qui se déroule là depuis cinq minutes. Aussi, je me tourne ostensiblement vers la maison en faisant un dernier coucou à Danièle. Je remballe rapidement avant de refermer mon anorak. Frigorifié. Voilà notre boulangère. Madame Marthe, hilare au volant de son tube Citroën rénové, se gare au même endroit. Nous récupérons le cageot contenant les deux miches de pain, les deux pâtes feuilletée, les bouchées à la reine.

Mais c'est surtout l'impressionnante brioche ronde au pudding qui prend toute la place. J'introduis la carte de paiement dans le terminal que tend notre boulangère. Même commande pour samedi prochain. Nous saluons la dame qui repart vers d'autres livraisons. Quelle surprise. Lise arrive en courant. << Je viens vous aider ! >> lance t-elle en prenant le cageot de la boulangerie. Elle jette un regard insistant sur le bas de mon anorak. Ce qui confirme mes suppositions. La coquine nous mâtait depuis les fenêtres. Certain ! Nous contournons la maison pour descendre à la cave par derrière. Sous quelques gouttes de pluie. << Je vous laisse, je vais terminer en haut ! >> fait Lise en courant pour sortir du cellier. Nous disposons les fruits et les légumes sur les étagères en bois.

Du congélateur où je mets une pâte feuilletée et une des deux grosses miches de pain, je tire un paquet de moules, deux sachets. Petits pois et haricots verts. C'est par l'escalier intérieur que nous remontons. En haut des marches Clémentine me sort le Zob. Je porte le cageot des produits frais à ranger dans le réfrigérateur. C'est avec la bite à l'air, les bras chargés que j'entre dans la cuisine. Lise, pour un prétexte fallacieux que nous devinons, est entrain de passer le chiffons sur les étagères du buffet, de la hotte. Une fois encore, mais avec une insistance décuplée, elle fixe ma queue. Je bande mou. Elle peut donc admirer ce superbe "tuyau d'arrosage" qui pend de ma braguette. Et elle ne s'en prive pas. Pour bien appuyer sur le point le plus sensible de ma psyché elle me fait un sourire. Désarmante coquine au physique presque nubile.

Je passe les produits frais à Clémentine qui les dispose dans le frigo. Me lançant quelques clins d'œil complices. C'est inévitable. Avant même d'avoir terminé mon érection pointe fièrement vers les poutres apparentes du plafond rustique de la cuisine. Lise ne baisse pas les yeux. Je laisse imaginer aux lecteurs l'émotion qui manque de me faire vaciller. J'en ai un vertige. Un sentiment ou se mêlent honte, excitation et gêne terrible. << C'est une dure lutte n'est-ce pas ! >> lance la jeune fille décidément peu farouche. Clémentine se redresse. Tout est rangé. Lise se sauve en répétant : << Je vais terminer j'ai encore le hall d'entrée à faire ! >>. Une fois seuls dans la cuisine, Clémentine saisit mon Zob en murmurant : << Génial, non ? >>. Je chuchote : << Au delà même ! >>

Nous quittons la cuisine pour le salon. Assise sur mes cuisses, me tournant le dos, Clémentine allume l'ordinateur. Trois courriels. Ma famille d'Édimbourg, le message de Juliette impatiente de nous voir qui nous rappelle que vendredi 23 février elle organise une "soirée branle" avec une surprise. Nous en reparlerons mercredi prochain lorsqu'elle viendra manger à la maison. Le mail d'Estelle. Impatiente de nous retrouver en début d'après-midi. Elle précise qu'elle sera habillée pour aller en ville. Pendant que Clémentine répond je glisse un billet de 50 € et un billet de 20 € dans une petite enveloppe jaune. Je caresse délicatement ses seins que j'aime sentir palpiter sous mes doigts au travers du coton de sa chemise. Lise vient nous rejoindre à présent vêtue d'une paire de jeans, d'un sweat.

Clémentine se lève la première en reboutonnant sa chemise. Ce qui amuse Lise. Je me lève à mon tour pour contourner le bureau. Ma bite qui pend de ma braguette. Un filament de foutre reste suspendu à son extrémité. Je tends son enveloppe à Lise qui nous remercie. Ce n'est pas son contenu qu'elle observe, les yeux vers le bas, mais mon chibre qui recommence à raidir. Avant de tourner les talons, Lise lance : << Il faut l'essuyer, vous allez tâcher votre pantalon ! >>. Je suis estomaqué par l'aplomb de cette jeune fille de dix neuf ans. Nous la raccompagnons jusque dans le hall d'entrée où elle enfile son anorak. Elle se penche pour relacer sa basket gauche. Est-ce un prétexte pour approcher son visage à une cinquantaine de centimètres de mon chibre ? J'en suis convaincu. La classe.

<< À samedi prochain alors ! >> s'écrie t-elle en sautant les quatre marches du perron sans nous laisser le temps de répondre. Nous la regardons traverser le jardin en courant. Cette fois, je prends mon culot à pleine poigne. Ma bite que j'agite dans sa direction alors qu'elle fait sa manœuvre de demi tour. En partant elle lève le pouce de sa main droite avant de nous faire un coucou. En refermant la porte, Clémentine saisit ma bite en disant : << Pas l'ombre d'un doute c'est une membre du "Club" ! >>. Elle m'entraîne à la cuisine où nous préparons le repas. Clémentine fait l'assaisonnement d'un concombre. Je m'occupe du bouillon pour les moules décongelées. Je réchauffe les petits pois, les haricots verts dans le wok. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos frasques sexuelles.

<< C'est génial d'être entouré de gens qui sont de connivence ! >> lance Clémentine qui me demande de lui raconter mon ressenti. Je tente de trouver les mots les plus justes pour expliquer mes impressions. Montrer ma bite, faire le satyre, m'emplissent de sensations qu'il est difficile à décrire. Pour me faire comprendre au mieux, j'explique à Clémentine qu'il lui suffit de comparer les émotions que procurent ses tendances exhibitionnistes pour saisir toute la substantifique moelle des miennes. Nous en rions aux éclats. Nous traînons à table en faisant le programme de l'après-midi. Il pleut. Ce sera donc une virée citadine. << On s'habille hyper élégants. Je mets une jupe. Il y aura peut-être un "plan" pour moi aussi ! >> dit Clémentine en venant s'assoir sur mes genoux, ses bras autour de mon cou.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Estelle, qui adore arriver dans le plus grand silence, ouvre soudain la porte. << Coucou les gens que j'aime ! >> s'exclame t-elle en courant nous rejoindre. Laissant tomber son sac de sport sur le carrelage elle se serre contre nous. Nous nous couvrons de bisous. Estelle est déjà élégamment vêtue. Une jupe noire au-dessus du genoux, des escarpins noirs à talons. Un chemisier blanc sous un pull noir au col en "V". Elle relève sa jupe en disant : << Collants noirs ! >>. Elle tourne sur elle-même pour nous faire admirer sa plastique athlétique et terriblement sexy. De son sac de sport elle tire son pyjama de soie mauve, une paire de chaussettes, une culotte. Pour ce soir et demain.

Nous nous changeons pendant qu'Estelle nous raconte son vendredi après-midi et soir avec ses parents. Sa matinée à faire les courses avec sa maman. Clémentine s'est habillée très exactement comme Estelle. Deux sœurs jumelles. Sur leurs demandes, je porte un pantalon noir strict, à plis et à pinces. Des souliers de ville noirs. Une chemise blanche sous un pull noir au col également en "V". Nous prenons des poses devant le grand miroir ovale de la salle de bain. << J'ai envie de faire ma salope cet après-midi ! >> lance Estelle en s'accroupissant pour entourer ma jambe de ses bras. << Moi aussi ! >> s'écrie Clémentine qui s'accroupit à son tour. Toutes les deux, leurs têtes contre mes hanches, les cuisses largement écartées, me font des sourires, des clins d'œil, tirent la langue.

Je pose mes mains sur leurs têtes en disant : << Et mes deux adorables salopes seront en compagnie d'un sacré salaud ! >>. Elles se redressent en riant pour mitrailler mes joues de bisous. Pressés de filer nous dévalons les escaliers pour mettre nos manteaux noirs, nos écharpes crèmes, seules touches de couleur. Une fois encore nous prenons des poses devant le grand miroir de la penderie du hall d'entrée. Estelle me palpe la bosse en disant : << J'aime la compagnie d'un beau salaud très élégant et vicelard ! >>. Nous en rions de bon cœur. C'est parti. Je roule doucement sur les vingt cinq kilomètres qui nous séparent de la ville. Clémentine joue avec ma queue. Quand Estelle ne caresse pas mon cou, mes joues, elle se redresse pour tenter d'attraper mon Zob que lâche Clémentine.

Je gare la voiture dans la ruelle habituelle. Il ne pleut plus. Par mesure de précaution nous emmenons notre grand parapluie. Il y a un monde fou dans les rues piétonnes. Nous comprenons pourquoi. C'est le premier week-end de Carnaval. Pour ce soir se préparent des festivités sur la place de l'hôtel de ville. Il y aura un lâcher de lanternes dans le ciel. Un chapiteau abritera l'orchestre et la fête. Nous flânons comme nous aimons à le faire. Nos hautes tailles, notre élégance, ces deux sublimes jeunes filles au bras d'un homme d'âge mûr. Nous attirons encore bien des regards, des interrogations et des curiosités. Et comme toujours, pour ne laisser aucun doute quand à la nature de nos relations, à chaque regard insistant, mes deux anges se serrent davantage. Des bises sur mes joues, sur ma bouche.

Tout cela nous amuse. Il se remet à pleuvoir. Accrochées à mes bras, Estelle et Clémentine restent à l'abri du grand parapluie noir que je tiens. Un tour à la FNAC. Un tour dans un des grands magasins du centre. Balade dans les quatre étages bondés de gens. Il n'y aura hélas aucune opportunité exhibes pour mes deux anges. Il y a bien trop de monde. Même dans notre salon de thé préféré aucune possibilité. Il faut se rabattre sur un autre endroit moins bien fréquenté. Moins classe mais dont les chocolats chauds et les éclairs à la pistache nous régalent. Malgré tout, dans les recoins, je me comporte en parfait salaud. N'hésitant pas à tripoter les sexes de mes deux coquines à travers la laine de leurs jupes. << Salaud ! >> murmure Estelle alors que Clémentine fait écran de son corps.

Je récidive avec Clémentine quand Estelle nous cache. Je me fais palper la bosse. Une fois encore je n'ai pas anticipé. Je bande comme le dernier des salauds. Mais ma bite, tordue dans mon slip, reste désagréablement enroulée sur elle-même. C'est presque douloureux. << Viens, je te la mets droite ! >> me fait Clémentine en m'entraînant dans la venelle entre la mercerie et la boutique SFR. Il faut faire vite. Estelle nous dissimule du mieux qu'elle peut. J'ai la bite à l'air quelques instants dans l'ouverture d'une entrée de porte. Enfin soulagée elle peut se redresser dans toute sa raideur. << Wouah ! >> s'exclame Clémentine qui me la tient fermement. << Faites voir ! >> s'écrie Estelle qui se précipite pour mâter. Clémentine la lui refile en nous cachant à son tour. Impossible de s'exposer davantage, de prendre des risques inutiles. Avec l'excitation la témérité devient dangereuse.

Nous continuons notre périple citadin. Je propose de nous offrir un bon restaurant avant d'assister aux festivités. Les filles hésitent toujours un petit peu. En effet, nos samedis soirs privés, sont précieux. Elles ont peur d'en gâcher la teneur. De passer à côté d'un autre truc fou. J'insiste. Nous réservons une table dans le même restaurant que vendredi soir. Un établissement doublement étoilé qui offre les plus succulentes folies gastronomiques. Notre table pour 19 h30. Nous flânons encore un peu. Il y a une sorte de "clique" de joueurs de trompettes, de tambours, déguisés en clowns affreux, qui font un potin infernal dans les rues, bombardant les gens de confettis. Nous arrivons à les éviter à chaque fois en entrant dans une des magasins. Notre table nous attend. La salle est presque pleine. Des gens très élégants, comme nous. Ambiance feutrée pour un festin royal. Service impeccable. Visites dans les toilettes hommes avec chacune.

Bonne faim de soirée à toutes les coquines qui raffolent prendre des risques dans l'enthousiasme débridée des fêtes populaires. Sortir la bite de leur coquin dans les situations les plus insolites pour le faire pisser, en diriger les jets, se refiler le chibre encore dégoulinant dans l'effervescence carnavalesque...

Julien (souvent mort de trouille avec le chibre exposé)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Monday 12 February 2024 13:52

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 27 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2521 -



Le second dimanche de février

Hier matin, dimanche, la grasse matinée dominicale nous emmène un peu après neuf heures. Estelle est restée serrée contre moi toute la nuit. C'est en se blottissant plus fortement encore qu'elle me tire du sommeil. Clémentine se tourne pour se lover, poser sa tête sur ma poitrine. Je suis entre mes deux anges. L'enchantement paradisiaque du dimanche. Mais en contemplant une des deux portes fenêtres, notre joie est légèrement gâchée par la météo. Un ciel sinistre, lugubre. La pluie est jetée par paquets par des rafales de vent. Nous regardons l'heure pour être certain que le jour est bien levé. << On reste au lit ! Je vais préparer le petit déjeuner et je le monte ! >> lance Estelle. << Arrête, c'est démoralisant. Non on descend ! >> s'écrie Clémentine. Je ne sais quoi dire.

Estelle se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte. Dans son pyjama de soie mauve. Clémentine se couche sur moi. << Je suis lourde hein ! >> dit elle. Je la serre fort en disant : << Comme l'ancre d'un navire de croisière de la Costa ! >>. Nous rions de bon cœur. Avec ses 62 kg pour son mètre quatre vingt deux, Clémentine pèse à peine la moitié de ce que je soulève en développé couché durant mes entrainements matinaux. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, habillés de nos paires de jeans, de nos sweats, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Les effluves parfumées du café, du pain grillé qui flottent aiguisent nos sens. Estelle est entrain d'allumer la cuisinière à bois. Je me serre contre elle pour passer mes bras autour de sa taille.

J'adore le contact et la douceur de la soie. Je murmure à son oreille : << La soie est la seule matière presque aussi douce que ta peau ! >>. Elle tourne la tête pour déposer une bise sur mes lèvres. Clémentine vient se serrer à son tour. Je suis pris en sandwich. Sur la table trône l'énorme brioche au pudding. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre samedi soir à la fête de Carnaval. Nous rions des confettis trouvés dans les draps au levé. Nous mangeons de bon appétit en évaluant la possibilité de nous rendre cet après-midi au port de plaisance. Il y a une cavalcade. Estelle consulte son I-phone. La météo annonce un calme à partir de midi. Les festivités auront donc lieu sur les quais. << On y va ? >> demande t-elle. << On y va ! >> répond Clémentine. Je suis d'accord.

Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de ma taille, de mes épaules, mes deux anges évoquent nos tenues pour l'après-midi. Anoraks, jeans, bonnets, gants. << Ras-le-bol de l'hiver ! Put-Hein cette année c'est hyper chiant ! >> lance Estelle. Nous ne pouvons qu'acquiescer. << Déplorable ! >> rajoute Clémentine. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Pendant qu'Estelle se change, nous faisons le lit. Le vent semble être retombé. Il ne pleut plus. Il va être onze heures quinze. Nous dévalons tous les trois les escaliers pour revenir dans la cuisine. Assis autour de la table, nous épluchons les pommes de terre, les carottes, le navet, le céleri. Ce sera pour la potée de légumes des deux repas à venir.

Clémentine fait l'assaisonnement d'une belle laitue. Elle en lave les feuilles pour midi et pour ce soir. Estelle s'occupe de la cuisson de la potée. Je fais rissoler trois magnifiques pavés de saumon. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bises, de rire. Mes deux anges racontent des anecdotes de leur semaine à l'université. Léo et Maël, les deux blondinets qui les draguent avec une maladresse qui les amusent. Estelle aura son anniversaire le 11 mars. Clémentine aura le sien le 2 avril. Elles auront 27 ans. Les deux garçons n'en ont que vingt. C'est dans la maison d'amis que mes deux coquines veulent organiser la "fête". << Pauvre Julien. Tu vas être enfermé dans ton placard au minimum deux heures ! >> lance Estelle en fourrant sa main dans ma braguette béante. Elle en sort ma queue.

Clémentine propose de trouver un autre plan que la cachette inconfortable du placard. Nous rigolons comme des bossus quand Estelle suggère que je perce des trous dans les murs. << Ça fera autant de gloryholes ! >> s'exclame t-elle en me tordant la bite dans tous les sens. Nous mangeons de bon appétit en envisageant toutes les possibilités, toutes les options. Par contre, je refuse d'être présent. Je préfère faire mon voyeur en restant caché. Les deux garçons seront bien plus à leur aise avec les filles. Clémentine trouve que c'est la meilleure formule en précisant : << Si papa est là, les garçons n'oseront pas sortir leurs zizis ! >>. Nous sommes pliés de rire. << Moi j'aimerais me dédoubler. Être avec Julien dans le placard et entrain de me faire sauter en même temps ! >> s'écrie Estelle.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Nous restons habillés comme nous le sommes. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Les anoraks, les bonnets. Nous changeons nos baskets pour nos bottines. C'est un agréable contraste en comparant avec le climat de ce matin. Il y a même des séquences ensoleillées. C'est parti. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, installée à l'arrière, caresse mon cou en revenant sur le dépucelage de Léo et de Maël. << Je n'ai jamais dépucelé un mec. Ce n'est pas mon fantasme ! >> précise t-elle. << Moi non plus. Et vraiment ce n'est pas mon truc non plus ! >> s'exclame Clémentine. Il y a 35 km par la route nationale jusqu'au port de plaisance. Nous y arrivons relativement tôt. Il est 14 h15.

Comme pour toutes les manifestations organisées par le bourg voisin, la cavalcade est encore un franc succès. Il faut garer la voiture à plus d'un kilomètre des quais. Nous sommes pourtant là une heure avant le début de la fête. Oui, c'est un franc succès. Le soleil semble gagner la partie. Mais tout est trempé. La température de 16° est un supplément de confort. << Avec nos anoraks ouverts, on pourra se tripoter plus facilement ! >> précise Estelle qui s'arrête de marcher pour se placer contre moi. Cachant ainsi sa main baladeuse sur ma bosse. Je passe la mienne entre ses cuisses. << Salaud ! >> lance t-elle. Je réponds : << Salope ! >>. Nous marchons d'un bon pas. Nous retrouvons avec joie le port de plaisance. Il y a un monde fou. Un grand chapiteau est dressé.

On entend la musique. Des airs folkloriques. Mais de quel folklore ? Nous nous posons la question en riant. << Tu as un gage. Tu dois sortir ta bite deux fois cet après-midi ! >> lance Estelle. << Ah oui, je fais les photos ! >> s'écrie Clémentine qui palpe à son tour ma bosse. << Tu bandes ? >> me demande Estelle. << Je crois bien. Touche ! >> répond Clémentine. Je me fais tripoter dans une foule. C'est facile et forcément discret. Nous quittons cette foule pour longer la jetée. Les bateaux de plaisance sont amarrés. Certains recouverts d'énormes bâches. << Là ! >> lance Estelle en montrant l'endroit entre deux grosses motos garées. Je comprends immédiatement. Je regarde partout autour de nous. Les gens les plus proches sont à une trentaine de mètres. Mais ça circule et ça bouge. Gaffe.

Clémentine tire son I-phone de sa poche. Je me place entre les deux bécanes. Estelle me dissimule des regards. Je déboutonne mon 501. Je sors mon Zob. Je bande mou. C'est un peu difficile. Estelle saisit ma bite. Son bras autour de ma taille, nous posons tous deux pour les photos que prend Clémentine. Elle se colle contre moi juste à temps car il y des groupes de promeneurs. À peine sont-ils plus loin qu'elle s'accroupit. Son visage tout près de mon chibre. Quelques photos. Le dernier cliché, ma bite contre sa joue. Pour prendre cette photo, Clémentine se rapproche pour s'accroupir à son tour. << On se les mâte ce soir ! >> lance Estelle en se relevant. Nous continuons notre promenade. Comme mon "gage" s'est passé dans les meilleures conditions, nous recherchons un second endroit.

Cette fois c'est entre une camionnettes aux armoiries du bourg voisin et le mur de la route qui passe au-dessus. Il faut faire vite car les arrivants ne cessent d'affluer. La cavalcade commence dans dix minutes. Une photo avec ma bite dans la bouche d'Estelle. Un film de quelques secondes où elle agite ma queue vers l'objectif. Pour assister à la cavalcade dans de bonnes conditions, nous remontons sur la route. Voilà les premiers chars. Toutes les associations de la région ont donné dans la surenchère. Des personnalités politiques caricaturées, des personnages historiques, des héros de fictions. Le tout dans des parodies de situations plus loufoques les unes que les autres. Un défilé de chars tirés par des tracteurs. Entre certains des clowns qui jettent des confettis dans la foule. Des rires.

Il y a un "Donald Trump" géant qui serre les mains de gens qui les tendent. Des cliques musicales qui prennent un plaisir fou à jouer faux. Tout cela dure une heure trente. Le soleil disparaît soudainement pour la fin du défilé. De gros nuages menaçants s'annoncent. Nous retournons sur les quais pour entrer sous le chapiteau. L'ambiance de fête. Les cris des gamins, les rires, la musique diffusée par des hauts parleurs. << On se casse ? Ça commence à gonfler ! >> propose Clémentine. << Ah oui, on dégage ! >> fait Estelle. Nous revenons à la voiture sous les premières gouttes de pluie. Il est dix sept heures. Je roule doucement. Estelle, assise avec Clémentine, sur le siège passager. Toutes les deux sont au rapport, échangeant leurs impressions tout en jouant avec ma bite qu'elles se refilent. Estelle se penche pour la prendre en bouche quelques instants. À plusieurs reprises. << Miam ! Le goût des dimanches ! >> lance t-elle à chaque fois.

Nous arrivons à la maison sous une pluie battante. << J'ai une méchante envie de baiser ! >> lance Estelle quand nous retirons nos anoraks, nos bottines. << Je filme ! >> dit Clémentine. Il n'est pas dix huit heures. Il n'y aura qu'à réchauffer avec une omelette aux fromages. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Elle m'entraîne au salon en me tirant par la bite. Elle retire son Levis, sa culotte. Ses baskets délacées qu'elle jette en l'air en riant. Vautrée dans le canapé, elle me fait tomber sur elle alors que je viens juste de retirer mon slip. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Clémentine s'assoit sur le bord du canapé. Elle nous montre les photos prises cet après-midi. Ça va très vite. Estelle impose le rythme. Je la baise à la hussarde. Clémentine filme la scène sous tous les angles.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui, après le repas, se font lécher le minou, pénétrer par un véritable ours en rut, avant de s'offrir de merveilleux orgasmes...

Julien (l'ours)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Tuesday 13 February 2024 07:12

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 28 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2522 -



Juste Clémentine et moi

Hier matin, lundi, il va être six heures. Réveillés par les fééries de nos I-phones, nous nous serrons fort. Le lundi, c'est encore plus difficile de sortir du sommeil. L'illusion de nous retrouver dans une mystérieuse forêt ne dure que quarante cinq secondes avant le silence presque angoissant et total. Quelques bisous, quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. La fraîcheur désagréable car les radiateurs viennent tout juste d'entrer en fonction. Dans un bruit de tuyauterie habituel. Nous revêtons nos habits de gymnastique dans la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Pendant que Clémentine prépare le café, pèle les kiwis, presse les oranges, j'allume la cuisinière à bois. Le reste de la brioche dans le four à micro ondes afin qu'elle retrouve son moelleux.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les moments les plus sympathiques du weekend. Il y en a eu quelques uns. Nous mangeons de bon appétit en faisant mille projets pour les vacances qui commencent vendredi prochain à midi. Six heures vingt cinq. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entrainement. Les nécessaires échauffements aérobics suivis du jogging sur tapis roulants. Parfaites conditions physiques pour attaquer les exercices au sol avant les charges additionnelles. Le retour au calme par quelques étirements avant la douche. Je redescends le premier pour préparer la voiture. Presque 7 h45. La température extérieure est de 8°. Le jour achève de se lever sous un ciel gris et bas. Il ne pleut pas mais tout est humide des pluies de la nuit. Détrempé.

Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak. Un dernier bisou. << Ce soir on est juste nous deux. Je me réjouis ! >> dit elle en s'installant au volant. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. C'est en courant que je rentre me mettre au chaud. Je fais la vaisselle, notre lit. Dans l'atelier j'allume la belle flambée de la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je commence ce matin la troisième réalisation hyper réaliste. "Rue de New-York". D'après une photo prise il y a une quinzaine d'années sur Trafalgar Square. Avec mon ancienne compagne disparue nous aimions passer quelques jours à New-York lors de nos séjours de deux semaines aux États-Unis. À Los Angeles aussi.

Je peins avec un tas de souvenirs qui me reviennent à l'esprit. Je n'ai encore jamais emmené Clémentine de l'autre côté de l'Atlantique. Elle aime tellement passer la totalité de ses vacances d'été et d'hiver en Écosse. Midi. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe le reste de potée de légumes. Dans la poêle je fais rissoler un dos de cabillaud blanc. L'assaisonnement d'un concombre. Pour la tarte aux brocolis de ce soir je sors la pâte feuilletée du bas du réfrigérateur. Les brocolis dont je coupe les branches pour les laisser tremper quelques minutes dans l'eau vinaigré. J'étale la pâte dans le grand plat à bords hauts. J'ébouillante les brocolis dans l'auto cuiseur. Je concocte le flan. Mélange à bas d'œuf, de crème fraîche. Je râpe le gruyère Suisse.

J'égoutte les brocolis pour les déposer sur la pâte. Je verse le liant sur le tout. Je recouvre d'une copieuse couche d'Appenzeller. Chapelure, graines de sésame grillé. Des cerneaux de noix en trois cercles concentriques. Au four électrique pour laisser mijoter longuement à seulement 160°. Je mange enfin. Et de bon appétit, en écoutant Sud Radio. C'est le journaliste qui remplace André Bercoff. Il anime l'émission quotidienne. Il y est question des lois liberticides qui se préparent. Punissant de peines de prison et de lourdes amandes ceux qui pourraient "désinformer". C'est à dire ceux qui critiqueraient les directives gouvernementales ou qui remettraient en cause les informations "officielles". Les lois qui rendraient obligatoires les vaccinations pour tout et n'importe quoi.

La vaisselle. Je jette un coup d'œil dans le four. Le dessus de la tarte commence à bouillir. Je monte me laver les dents. Pressé de me dégourdir les jambes je redescends pour enfiler mon anorak, chausser mes bottes en caoutchouc. La température extérieure est de 12°. Je vais jusqu'à la rivière. Le ciel est beaucoup plus dégagé. Lumineux. Apparaissent même les nues bleutés. Il est quatorze heures quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins en pensant au passé, avant Clémentine, mais sans nostalgie, sans tristesse. Je ne suis pas du genre à ruminer. Non, pour moi, ce n'était pas "mieux avant". Je vis une merveilleuse histoire depuis sept ans. Une existence de privilégié. Il serait bien inconvenant de me plaindre de quoi que ce soit. Déjà dix sept heures trente.

Dès que j'entends le bruit, dès que j'entends chantonner, je pose la palette, les pinceaux sur la desserte à ma droite. Clémentine qui rentre de cours, surgit dans l'atelier en s'exclamant : << Je t'aime ! Tu m'as manqué toute la journée ! >>. Elle met son cartable sur la chaise pour se précipiter vers moi. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Je dois te faire une pipe de la part d'Estelle ! >> conclue t-elle avant de se lever. Elle a encore les notes prises en cours à archiver. Assise devant son ordinateur elle chantonne. J'attends chaque jour cette petite heure où nous travaillons ensemble. << Put-Hein, stop ! >> s'écrie t-elle en se levant pour commencer à ranger ses affaires. Déjà dix huit heures trente cinq.

Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine me rejoint au lavabo de l'atelier. Pendant que je me lave les mains, elle tient ma bite pour en diriger les jets. Sous l'eau bouillante qui s'écoule. En secouant les dernières gouttes, elle me confie à quel point elle est heureuse d'être seule avec moi. J'avoue que j'éprouve la même joie. Penchée en avant, savourant les derniers reliquats, Clémentine chantonne. C'est amusant. Quand elle se redresse elle passe ses bras autour de mon cou pour murmurer des douceurs. << Tu voudrais passer la soirée avec quelle fille ? >> me demande t-elle. Elle pose ses lèvres sur les miennes en attendant ma réponse. Je suis pris au dépourvu. Ce qui importe pour moi c'est qu'elle soit là. Je ne sais quoi dire. << Tu me voudrais salope ou romantique ? >> dit elle.

Je finis par répondre : << Je veux la fille que j'aime ! >>. Elle m'entraîne par la main devant la cheminée ou danses les dernières flammes. Seule lueur qui éclaire cette partie de la grande pièce. Je viens de comprendre le sens de la demande de Clémentine. Je me tourne pour la prendre dans mes bras. Je dis : << Et si on passait cette soirée avec Mike et Samantha ? >>. Je fais allusion à nos personnages du "Maître" et de sa "Soumise". << Mais avec plaisir. Ça fait longtemps que nous leur avons plus rendu visite. On va les voir après la bouffe ! >> s'écrie Clémentine. Elle m'entraîne par la main. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand Clémentine découvre ce que je tire du four électrique éteint pour le placer dans la fournaise du four à bois, j'ai droit à une effusion de douceur.

Je l'aide à préparer l'assaisonnement des endives. Nous mettons les assiettes, les couverts. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les projets des vacances. Nous ne traînons pas trop. Clémentine est bien trop impatiente d'endosser son rôle. La vaisselle. Lorsqu'elle veut monter pour se changer, je propose de rester vêtus comme nous le sommes. Je dis : << Inutile de mettre les "panoplies". Viens ! >>. C'est moi qui l'entraine au salon. Pendant qu'elle allume les deux grosses bougies du candélabre, du tiroir du bas du bureau, je tire le collier canin, la laisse et les genouillères. Clémentine ne porte plus que son sweat noir. Sa paire de grosses chaussettes en laine qui ressemblent aux jambières des danseuses. Je m'accroupis pour fixer les genouillères à ses genoux. Velcros.

J'ordonne : << À genoux, mains sur la tête ! >>. Clémentine ne se fait pas prier. Trop heureuse des choses qui s'annoncent. Je passe le collier canin de cuir brun autour de son cou. J'y fixe la laisse. Je sors ma bite. Je la frotte sur son visage quelques instants avant d'ordonner : << À quatre pattes ! >>. C'est ainsi que je l'emmène pour faire deux fois le tour de la grande pièce. À chaque coin de meuble, Clémentine lève la patte. Parfois je me penche pour la doigter. Avec mon index enfoncé dans son cul j'ordonne : << On avance ! >>. Clémentine, en gloussant, se met à avancer. J'adore caresser son sexe par derrière quand elle est à quatre pattes. Son clitoris géant que je saisis en m'accroupissant. Je me redresse, la tenant par la laisse, je l'emmène devant le canapé. Je saisis la cuvette.

Je la pose devant le guéridon. J'ordonne : << On pisse en se touchant ! >>. Clémentine se redresse pour se mettre en position. Accroupie au-dessus du récipient en plastique bleu, tenant son clitoris géant entre le pouce et l'index, la tête penchée en avant, se tenant au guéridon de sa main libre, Clémentine se concentre. Elle descend le cul jusqu'à avoir les fesses en appui sur les bords de la cuvette. Je m'accroupis. Elle se soulage d'une multitudes de jets puissants. Je dis : << Ma délicieuse "Soumise", vous êtes la plus adorable des pisseuses. Je me réjouis pour retrouver vos "pissades" en extérieurs devant des inconnus, vous savez ! >>. Clémentine respire fort, parfois en apnée, reprenant son souffle, poussant des soupirs, elle se masturbe en pissant. Elle me fixe de ses yeux plein de reconnaissance, d'amour et de bonheur. Les dernières gouttes. Je vois tomber les coulées de cyprine en même temps. Elles flottent, laiteuses, sur la pisse.

Je me redresse, j'ordonne : << Debout. Je vais vous lécher puis vous baiser ma chère "Soumise" ! >>. Je l'entraîne vers le bureau en tenant un des épais coussin. En appui sur ses coudes, les jambes relevées que je tiens par ses chevilles, je me régale des sucs de son sexe. Les odeurs et les saveurs de sa journée de fille. Trempée par l'excitation, sa vulve se laisse pénétrer avec une facilité déconcertante. Elle s'accroche à mon cou en criant : << Je vous aime mon doux "Maître" ! >>. Je la promène ainsi dans toute la grande pièce, pénétrée jusqu'à la garde. Je la ramène sur le bureau. Elle peut s'y allonger, la tête sur le coussin. J'alterne alors la douceur, la vigueur et l'énergie. Comme elle a déjà pissé, Clémentine peut s'offrir un orgasme sans les précautions et contraintes habituelles.

Bonne nuit à toutes les coquines qui aiment interpréter la "Soumise" avant de se retrouver sous les draps, à sucer la queue juteuse de leur "Maître"...

Julien ("Maître" pour de semblant)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Wednesday 14 February 2024 07:40

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 29 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2523 -



Estelle aime beaucoup reproduire les situations

Le bruit que fait la source en s'écoulant entre les rochers. Les gazouillis joyeux des oiseaux. Tout cela résonne d'une si belle façon au fond de cette mystérieuse forêt. L'illusion est parfaite. C'est comme si nous sortions du sommeil dans une réalité autre. Un enchantement qui ne dure que quarante cinq secondes. En gémissant Clémentine s'étire, se serre contre moi. Cherchant le courage et la volonté de se lever. Quelques papouilles, des bisous. Nous nous précipitons aux toilettes. Encore un matin où nous accomplissions les premières choses comme des robots. Hier matin, mardi, à six heures, nous revêtons nos tenues de sports dans la salle de bain où il ne fait que 16°. Il faut faire vite. Morts de faim, pour nous remuer, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Fraîcheur aussi.

J'allume la cuisinière à bois. Clémentine me raconte ses rêves en pelant les kiwis, en pressant les oranges. Je mets les deux gros croissants aux amandes dans le four à micro ondes. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre lundi soir. Nos rôles du "Maître" et de la "Soumise". << J'aime mon doux "Maître". Mais je déplore ne pas le voir assez souvent ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en évoquant Estelle. Quand elles seront en cours toutes les deux, Clémentine racontera sa soirée. Estelle aime beaucoup reproduire les situations. << Il faut t'attendre à interpréter ton personnage ce soir. Sûre ! >> précise Clémentine en venant terminer sa tartine au miel assise sur mes cuisses. La trempant dans mon café en riant. Bisous.

Il faut remonter pour achever de nous réveiller complètement. Nous sommes encore des zombies ce matin. Six heures vingt cinq. La salle d'entrainement n'étant pas chauffée, il faut redoubler de courage et de dynamisme. Les échauffements aérobics, le jogging sur tapis roulants nous mettent rapidement en conditions. Les exercices au sol sont d'agréables préludes aux manipulations des barres et des haltères. Les étirements d'un stretching hâtif achèvent de nous transformer en guerriers pour cette nouvelle journée. La douche. Je laisse Clémentine toute seule dans la salle de bain pour dévaler les escaliers à toute vitesse. Il va être 7 h45. Le jour s'est levé sous un ciel lumineux. La température extérieure n'est que de 3°. Clémentine vient me rejoindre déguisée en esquimau. Il fait si froid.

Je viens de sortir la voiture du garage pour la faire chauffer un peu. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je m'empresse de retourner au chaud pour faire notre vaisselle, notre lit. J'allume une belle flambée dans la cheminée de l'atelier. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ma troisième toile hyper réaliste me plonge rapidement dans les délices de ma passion. Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser un cri surréaliste à chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent. La matinée passe ainsi. La faim commence à me tenailler. Il va être midi. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe le reste de la tarte au brocolis. Je fais l'assaisonnement des carottes.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Le journaliste qui remplace André Bercoff à titre exceptionnel fait de son mieux. L'émission est consacrée aux actualités du jour. La guerre perdue en Ukraine que certains dirigeant Européens, à des fins criminelles et économiques, s'obstinent à vouloir faire durer en offrant 50 nouveaux millards à Zelensky. Alors qu'il n'y a que 50 millions pour les agriculteurs. Dix milliards retirés aux soins, à la santé et aux hôpitaux. Bruno Le Maire qui voulait ruiner l'économie Russe mais qui n'a réussi qu'à ruiner davantage encore celle de la France. Avec 3 mille milliards de dettes, c'est évidement une fuite en avant. Pour effacer un tel contentieux il faut une apothéose guerrière afin remettre les comptes à plat. "Repartir à zéro". Effacer la dette dans la destruction. C'est ce qui s'organise probablement aux sommets de certains états. Il n'y a qu'a écouter les déclarations publiques des irresponsables politiques.

J'écoute en préparant mentalement les ingrédients du gratin parmentier que je veux préparer pour ce soir. Je beurre le grand plat carré en terre cuite. J'émince deux grosses escalopes de dinde. Je fais revenir à la poêle avec de l'ail, de l'oignon. Je râpe une bonne quantité de gruyère Suisse. Je prépare une sauce au Roquefort. J'y rajoute le contenu de la poêle. De la crème fraîche. J'épluche et je lave d'imposantes pommes de terre. Je les coupe en fines tranches. J'en dépose une première couche au fond du plat. J'y verse de la garniture. J'étale. Je recouvre d'une seconde couche de patates. J'y verse de la garniture. Ainsi de suite pour cinq épaisseurs. Je recouvre de gruyère. Chapelure, graines de sésame grillé. Des cerneaux de noix. Au four électrique pour laisser mijoter longuement.

Le thermostat réglé à 160°. Je fais la vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé de profiter de l'ensoleillement de cette froide journée de février, je dévale les escaliers pour mettre l'anorak. La température extérieure n'est que de 7°. Un léger vent du Nord est responsable du climat glacial. Je descends jusqu'à la rivière. Il est treize heures cinquante quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. "Une rue de New-York" m'accapare avec le même enthousiasme que ce matin. Je peins dans le méandre de mes pensées. Le temps passe alors tellement vite. Du bruit. Déjà 17 h30. J'anticipe. Je pose la palette, les pinceaux. Clémentine entre dans l'atelier en sautillant pour me rejoindre. << Je suis avec mon chéri jusqu'à jeudi matin ! >> s'écrie t-elle en s'asseyant sur mes genoux.

Ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << J'ai raconté la soirée de "Mike et de Samantha" à Estelle. Tu es prié d'endosser ton personnage de "Maître" dès la fin du repas de ce soir ! >> dit elle. Nous en rions de bon cœur. Clémentine finalise son travail de la journée. Assise devant son ordinateur elle chantonne, se relit, se concentre, chantonne à nouveau entre deux momens de silence. J'adore peindre dans ces conditions. << J'arrête tout et je pars sur une île déserte avec l'homme que j'aime ! >> s'exclame t-elle soudain en se levant pour commencer à ranger ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je me lave les mains au lavabo de l'atelier. Clémentine vient me rejoindre. Me tenir la bite pour en diriger les jets.

En secouant les dernières gouttes elle m'explique le télé travail de demain mercredi. Le mercredi c'est depuis la maison qu'elle suit ses cours. C'est malgré tout une journée de détente au milieu de la semaine. Lorsqu'elle se redresse après s'être régalée des derniers épanchements, elle rajoute : << Ensemble toute la journée. On fugue tous les deux s'il fait beau. Je "bleute" ! >>. Nous en rions car nous savons bien que ce n'est qu'une boutade. La nuit est tombée. Les lumières sont éteintes. Seule la lueur des dernières flammes éclaire cette partie de la grande pièce. Assis en tailleur, sur l'épais tapis devant la cheminée, nous admirons ce spectacle. Clémentine me confie ses ressentis quand à la situation du pays. Les étudiants en parlent en cours. Avec les professeurs également.

<< Dès que je j'ai mon Doctorat, on quitte ce put-hein de pays. L'Écosse, vite ! >> lance t-elle. Elle rajoute : << On en parle avec Estelle. Ses parents aussi, à la moindre alerte, filent s'installer en Écosse. On a vraiment des enfoirés qui dirigent les affaires de ce pays. De dangereux psychopathes ! >>. J'écoute avec attention. Estelle adore nous surprendre. Arriver sans bruit. La porte s'ouvre. Elle se précipite pour venir s'assoir avec nous. Nous nous tenons les mains comme pour une séance de spiritisme. La conversation de mes deux anges continue sur le même thème. Il serait stupide de croire que les jeunes gens ne suivent pas avec une grande inquiétude ce qui est entrain de se passer. Le sort que réservent ses dirigeants à une nation à bout. << Ça va péter ! >> dit Estelle en caressant ma cuisse.

Elle pose sa main sur ma braguette ouverte pour faire : << Clémentine m'a tout raconté. Moi aussi je veux "jouer". On joue ce soir ? >>. Je caresse sa tête, je passe l'extrémité de mes doigts sur son front, sur ses joues en disant : << Prête à subir les tourments que je réserve à mes "Soumises" ? >>. Elle s'écrie : << Oh oui ! Et comment ! >>. Nous en rions de bon cœur quand elle se couche pour faire des roulades sur le tapis. Clémentine l'attrape par les pieds. Je l'attrape par les bras. Nous la soulevons. Nous la faisons bouger. << Au feu ! >> lance Clémentine. Nous l'aidons à se relever. La faim commence à se faire sentir. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Ma petite surprise a pour effet de me gratifier d'une avalanche de tendresse, de douceur quand elles découvrent le gratin.

Clémentine fait l'assaisonnement des endives. Estelle met les assiettes, je dispose les couverts. Dans la fournaise du four à bois, il faut surveiller la cuisson. << On s'habille en salopes ce soir ? >> demande Estelle. Clémentine propose de rester vêtus comme nous le sommes. << Après tout l'habit, ne fait pas la salope ! >> s'exclame Estelle. Nous en rions aux éclats. C'est elle qui sort le gratin parmentier du four. Doré, fumant, parfumant toute la grande pièce. Nous mangeons de bon appétit en faisant mille projets pour les vacances qui commencent vendredi à midi. Estelle fait le planning. Elle nous rejoindra samedi en début d'après-midi, restera avec nous jusqu'au dimanche suivant. Toute une semaine. Tous les trois. Mes deux anges espèrent de belles journées pour partir en randonnées. Moi aussi. Nous ne traînons pas.

Estelle devra nous laisser pour 22 h. Nous faisons la vaisselle. Les filles m'entraînent par les bras jusqu'au salon. J'allume les deux grosses bougies du candélabre. Estelle et Clémentine, faisant les clowns, retirent leurs bottines, leurs jeans, leurs culottes. J'adore les voir avec leurs grosses chaussettes en laine qui tombent sur leurs chevilles. Telles des jambières de ballerines. Les pans de leurs chemises d'épais coton qui sont comme des minis jupes. Je passe derrière le bureau. Du tiroir du bas je sors les genouillères, les colliers canins, les laisses. Toutes les deux, l'une à côté de l'autre, comme des soldats au garde à vous, m'observent, m'attendent. Je m'accroupis pour fixer les genouillères à leurs genoux. C'est un accessoire très érotique en dehors du rollers. Elles bougent leurs jambes pour tester l'aisance et l'amplitude des mouvements. Je me redresse pour passer les colliers de cuir brun autour de leurs cous. J'y fixe les deux laisses.

Je passe derrière les filles. Je glisse mes mains entre leurs cuisses. Je ne connais pas de sensations sensuelles plus agréables. Mes index s'attardent entre les lèvres de leurs vulves. Chez Clémentine s'est déjà humide. J'y enfonce la première phalange de mon doigt explorateur. Elles se touchent toutes les deux en me sachant derrière elles à fouiller leurs intimités. Je passe mes mains sous les chemises pour caresser délicatement leurs seins minuscules. Pas besoin de soutien gorge. Elles apprécient de ne jamais en porter. Je cesse. Je donne un à coup sur les laisses. J'ordonne : << À genoux, mains sur la tête ! >>. Je ne suis pas obligé de le répéter. Trop contentes de jouer elles s'exécutent. Silencieuses, les mains sur la tête, à genoux, bien droites, elles attendent l'ordre suivant. Je les contourne pour me placer devant Estelle. Je lui frotte le sexe sur le visage. Je passe à Clémentine pour faire la même chose. Elle ouvre la bouche en grand.

Ce que ne fait pas Estelle quand je me positionne à nouveau devant elle. Gardant les lèvres obstinément serrées. Je pince ses narines. Elle pourra peut-être tenir trente à quarante secondes avant de devoir ouvrir la bouche pour respirer. C'est là qu'en sournois, en parfait saligaud, j'enfonce tranquillement mon Zob dans sa cavité buccale. Je la tiens sous le menton et par la nuque pour me masturber dans sa bouche. Sous le regard de Clémentine. Elles se masturbent toutes les deux en subissant les tourments que leurs inflige le "Maître". Un "Maître" pour rire parce que ce fantasme n'est absolument pas dans ma nature. Mais, excellent comédien, j'endosse ce rôle avec la ferveur d'un acteur d'Hollywood nominé aux Grammy Awards. J'aurai mon étoile sur Hollywood Boulevard. Je me fais sucer.

Quand je retire ma bite de la bouche d'Estelle qui ne cesse de tousser, étouffée par mes assauts de salaud, j'y laisse un long filament de foutre qui se brise sur le menton de Clémentine. Je passe de l'une à l'autre en disant : << Cette soirée de dressage, mes chères "Soumises", sera exclusivement consacrée à la fellation. Ce n'est que durant ce weekend que vous pourrez envisager des "sévices" plus contraignants encore ! >>. Elles en gloussent de plaisir, le bas de leurs visages maculé de foutre. J'ordonne : << À quatre pattes ! >>. S'exécutant immédiatement, je les emmène en "promenade" dans toute la grande pièce. Estelle imite Clémentine. Toutes les deux lèvent la cuisse à l'angle de chaque meuble. Je me penche alors pour enfoncer un doigt. Dans le cul ou dans le fion. Je le tourne.

J'ordonne : << Dans le canapé ! Vautrées, cuisses relevées ! >>. Elles courent. Je les tiens par les laisses que je lâche afin qu'elles puissent s'installer. Je monte sur le canapé pour les faire sucer. Je me comporte comme le dernier des pervers. Sous les gémissements, les petits cris de ravissement. Je passe de l'une à l'autre. C'est dans la bouche d'Estelle que je balance toute la sauce. Je la maintiens fermement afin qu'elle n'ait d'autres possibilités que d'avaler. Elle tousse, tente de me repousser, tape sur mes cuisses en poussant des râles. Clémentine se masturbe en regardant la scène. Je lui mets l'index dans la bouche. Je me retire enfin pour mettre ma queue dégorgeant de foutre dans sa bouche. C'est Estelle, comme hébétée, qui nous observe à présent. Elle s'offre un orgasme.

Bonne nuit à toutes les coquines qui aiment à situer les choses avec de bonnes séances de "dressages". Avant de quitter leurs personnages de "Soumises" pour s'endormir dans les bras de leur "Maître"...

Julien ("Maître" pour rire)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Thursday 15 February 2024 07:34

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 30 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2524 -



Juliette aime tant nous rejoindre

Hier matin, mercredi, il va être sept heures. Clémentine pose sa bouche sous mon oreille en se blottissant contre moi. Elle en prend le lobe entre ses lèvres. C'est tellement agréable de se réveiller comme ça. << Bonjour mon amour. Ça fait cinq minutes que je te regarde dormir. Que je me retiens ! >> chuchote t-elle. Je passe mon bras autour de ses épaules pour la serrer plus fort. Des bisous, des papouilles qui deviennent câlins. L'impérieux besoin naturel ne nous laisse pas d'autres choix. Nous nous précipitons aux toilettes. Depuis plus d'une heure que les radiateurs fonctionnent il fait bien chaud partout dans la maison. Surtout dans la salle de bain où nous revêtons nos tenues de sports. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. J'allume la cuisinière à bois.

Clémentine prépare le café, pèle les kiwis, presse les oranges. Je beurre les tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la séance de "dressage" de mardi soir. << J'adore. C'est hyper excitant. Tu joues ton rôle à la perfection ! >> me confie Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les options du repas de ce soir. Juliette vient nous rejoindre pour 19 h. Ce sera une tourte aux poireaux. << Ça fait longtemps qu'on a plus mangé de Flamiche Picarde ! >> précise Clémentine quand nous optons pour ce choix. Préparation simple et rapide. À cet effet, dès la vaisselle terminée nous descendons à la cave récupérer les poireaux dans le cellier. Une pâte feuilletée du congélateur. Le nécessaire pour ce soir.

Nous montons nous laver les dents. Le jour commence à se lever dès 7 h30. La température extérieure n'est que de 3°. N'ayant pas le courage d'aller courir par ce froid, ce sera un entrainement intérieur. Notre salle n'est pas chauffée. Il faut donc se remuer. Les échauffements aérobics et le jogging sur tapis roulants sont parfaits. Les exercices au sol. Les charges additionnelles. Un stretching dont nous pouvons pratiquer les étirements en prenant tout notre temps. La douche. Habillés de nos Levis, de nos chemises à carreaux d'épais coton, de nos baskets, nous dévalons les escaliers jusqu'à l'atelier. Clémentine s'assoit immédiatement devant son ordinateur. Elle ajuste ses écouteurs. La voilà à ses cours, à l'université, en télé travail. Depuis la maison. J'allume une belle flambée dans la cheminée.

Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Quel bonheur d'attaquer "Une rue de New-York" avec la présence de la fille que j'aime à quelques sept ou huit mètres. Je peins dans une extase pas du tout mystique qui me fait baver. La salive aux coins de mes lèvres, en séchant, me picote. J'entends Clémentine échanger avec d'autres interlocuteurs. Je n'entends qu'elle. J'essaie de trouver le sens de ses dialogues. D'en comprendre les significations. Il va être dix heures quand mon I-phone se met à vibrer. Puis sa sonnerie à l'ancienne. Je m'en saisis entre les tubes de peintures sur la desserte à ma droite. C'est Danièle. Elle est devant le portail. Nous avions complètement oublié de l'ouvrir. Je me précipite vers la porte. Je cavale jusque dans le hall d'entrée.

Depuis l'interphone j'ouvre. Clémentine vient me rejoindre. C'est sa pause de cinq minutes. << Put-Hein, on a oublié ce matin ! >> dit elle en déboutonnant ma blouse. S'accroupissant pour extraire mon Zob de ma braguette elle rajoute : << Sois le vice incarné s'il te plaît ! >>. Nous en rions de bon cœur. Danièle traverse le jardin avec un petit carton. Le ciel est lumineux mais le froid reste vif. Une fois dans le hall d'entrée, je la débarrasse de son colis. Danièle ne cache pas sa joie de nous voir. Clémentine la débarrasse de son anorak pour l'inviter à nous suivre à la cuisine. << J'ai cinq minutes. Je suis beaucoup moins à la bourre les mercredis matins ! >> précise la jeune femme. Du carton je déballe le petit poulet, les escalopes de dindes. Il y a un pâté dans un flacon de verre.

<< C'est un pâté de volaille. Je les prépare le lundi. C'est un produit qui marche bien. Vous goûtez. Si vous aimez je vous en prépare un pour les mercredis ! >> explique Danièle. Clémentine va devoir retourner à ses cours. Aussi j'invite Danièle à nous suivre dans l'atelier. Cette grande pièce qui exerce toujours une attractivité particulière au près des visiteurs. Danièle la retrouve avec plaisir. Jusqu'à présent elle n'a prêté que peu d'attention à ce qui pend de ma braguette. En regardant ma toile, elle saisit soudainement mon chibre à pleine main. Elle dit : << Samedi matin je vous indique le jour où je passe durant les vacances scolaires. Ce sera un après-midi. Une heure à moi. Ma petite sera chez ma mère ! >>. Je me tourne vers Clémentine. Ses écouteurs sur les oreilles qui sourit.

Elle lève le pouce comme pour nous féliciter. Danièle agite ma queue qui commence à gonfler, à durcir en levant également le pouce de sa main libre. << J'aime les mecs dans ton genre ! >> me dit elle en me tutoyant pour la toute première fois. << Il faut que je file. J'ai encore sept clients à livrer avant midi ! >> lance t-elle en me lâchant pour se diriger vers la porte. Je la raccompagne jusque dans le hall. Lorsque Danièle est seule avec moi, son comportement est assez distant. Plus réservé. Elle me salue en disant : << J'adore tailler des pipes à des mecs de ton genre ! >>. Sans me laisser répondre, elle saute les marches du perron pour traverser le jardin en courant. Je rejoins Clémentine qui me regarde rentrer dans l'atelier avec les sourcils froncés et un air sévère. Ce qui est très rare.

J'écris sur un bout de papier la révélation de Danièle. Je le pose sous les yeux de Clémentine qui discute avec Alban. Le professeur que je vois sur l'écran de son ordinateur. Elle lève son pouce. Je la laisse à sa conférence. Il va être midi. Clémentine met deux bûches dans l'âtre avant de me rejoindre. << Raconte-moi. Je déteste te savoir seul avec une autre quand je ne suis pas là ! >> s'exclame t-elle en m'entraînant par la bite. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les restes du gratin parmentier. Pendant qu'elle fait l'assaisonnement de la laitue dont elle lave les feuilles également pour ce soir, je raconte dans le détail l'attitude de Danièle seule avec moi quelques minutes. Rassurée, Clémentine me donne ses impressions : << Toi tu vas te faire sucer par cette salope ! >>

Je lave et je coupe les deux gros poireaux. La pâte feuilletée décongelée dont j'étale les deux tiers dans un plat à tarte aux bords hauts. Je les ébouillante à l'autocuiseur pendant que je concocte une Béchamel. Clémentine râpe du gruyère qu'elle y rajoute. J'égoutte les poireaux pour les étaler sur la pâte. Clémentine verse la Béchamel sur le tout. Je recouvre du dernier tiers de pâte. Je jointe consciencieusement les bords. Clémentine badigeonne le dessus du mélange moutarde, lait de soja et beurre fondue. Je place la Flamiche Picarde dans le four électrique. Le thermostat réglé sur 160° en pilotera la longue et lente cuisson. Notre repas de ce soir. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les comportements et la personnalité de Danièle. Des réjouissances pour les vacances.

<< On devrait organiser une fête avec tous les membres de notre club de débauchés ! >> lance Clémentine. Nous en rions aux éclats quand elle rajoute : << Pour une méga partouze ! D'ailleurs aujourd'hui c'est la saint Valentouze ! >>. Nous traînons à table. Assise sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie à quel point elle attend les vacances : << C'est dans deux jours ! Il faut que je me change les idées ! >>. Il y aura Estelle avec nous toute la semaine prochaine. Réjouissances. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Pressés d'aller nous dégourdir un peu les jambes nous dévalons une nouvelle fois les escaliers. La température extérieure est de 8°. Nos anoraks, les bonnets pour descendre jusqu'à la rivière. Une petite promenade digestive.

Il est presque quatorze heures quand nous sommes de retour dans l'atelier. Chacun à son poste de travail. Il y a de très fortes probabilité que je termine cette troisième toile hyper réaliste vendredi en fin de matinée. Le timing parfait. Si j'ai quinze toiles avant la mi juin, je pourrai ouvrir ma galerie d'Art un mois cet été. Juliette m'a déjà prévenu qu'elle sera disponible en juillet. Et que ce serait un total plaisir pour elle que de la tenir. L'après-midi se passe ainsi. Je peins dans le même sentiment extatique que ce matin. Dix sept heures. Clémentine se lève d'un bond en retirant ses écouteurs. << Terminé ! La guerre est finie, les fusils à la Mairie ! >> lance t-elle en commençant à ranger ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine me rejoint au lavabo de l'atelier. J'essuie mes mains.

Elle me tient la bite pour en diriger les jets. En secouant les dernières gouttes elle dit : << Et ce soir, avec Juliette, tu es prié de donner toute ta démesure ! >>. Nous en rions de bon cœur. Dans le vieux canapé de velours carmin, près de la cheminée, Clémentine est couchée sur le dos. Sa tête sur ma cuisse, sa joue contre ma bite. Elle me raconte sa journée. En quoi consistaient les cours d'aujourd'hui. J'écoute en caressant ses sourcils du bout de mes doigts. << Touche-moi un peu ! >> me demande t-elle en déboutonnant son 501. Je fourre ma main dans sa culotte. Tout en continuant à m'expliquer, elle tient mon poignet pour que surtout je ne cesse pas. Je la doigte un peu. C'est mouillé. Quand je retire mon index c'est pour le sucer. Ça n'a pas réellement de goût mais c'est doux.

Cette heure de retour au calme agit sur nos psychés comme une sorte de sas. C'est important de passer d'une situation à l'autre dans le calme et la sérénité. Considérablement excité par mes explorations digitales, Clémentine se lève. Retire ses baskets, son Levis, sa culotte. Vautrée dans le canapé, elle m'offre ses intimités. À genoux sur un des coussins, je m'en régale. Je m'en pourlèche. Sous les gémissements lascifs de ma "victime". Du bruit. C'est en plein cunnilingus que nous nous faisons surprendre par Juliette. Légèrement en avance. << Oh pardon, je dérange ! Je reviens plus tard ! >> lance la jeune femme. Je me redresse en riant. Clémentine s'écrie : << Mais non, vous ne dérangez pas. Julien était entrain de prendre un encas et son apéritif ! >>. Juliette rit aux éclats.

Clémentine se lève pour se rhabiller alors que je fais trois bises à Juliette qui dit : << Ça sent la moule ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Ce soir encore Juliette porte une paire de jeans, un pull bleu nuit au large col roulé. Des bottines noires. Ses longs cheveux noirs aux mèches argentées flottant en liberté jusqu'au milieu de son dos. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. J'allume le four électrique. C'est plus lent. Ce qui nous permet de préparer la table. Juliette devra nous laisser pour 22 h. Nous mangeons de bon appétit. Juliette nous raconte le quotidien de son entreprise. Nous en arrivons à ma galerie d'Art. Je ne peux pas encore me prononcer. Il me faut quinze œuvres à exposer. << Sachez que je suis disponible ! >> précise une fois encore Juliette en insistant.

Durant le repas, je me lève à plusieurs reprises pour agiter mon sexe. En direction de Juliette. En direction de Clémentine. << De la baise cette semaine ? >> demande Clémentine. << Non de la pipe c'est tout ! >> répond Juliette. Nous rions. Elle rajoute : << Et je pratiquerais volontiers ce soir ! >>. Je me lève pour contourner la table. Sur sa droite, ma bite à une vingtaine de centimètres de son visage, je dis : << Ce serait un plaisir partagé ! >>. Juliette garde toutefois sa distance pour continuer à manger. Je viens près de Clémentine qui avale sa bouchée de tourte aux poireaux avant de prendre ma bite en bouche. << Wouah ! >> lance Juliette qui me fixe avec une incroyable sévérité. Son jeu favori. Je lui fais un clin d'œil. << Vicelard ! >> me lance t-elle. Je réponds << Salope ! >>

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment être assises à côté de leur coquin pour jouer avec son chibre. En écoutant l'invitée proposer des soirées branles, des soirées gloryholes en se masturbant...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Friday 16 February 2024 07:37

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 31 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2525 -



Le "contrôle" des jeudis soirs

Les fééries d'une forêt profonde et mystérieuse. L'illusion de nous y réveiller. Hier matin, jeudi, c'est ainsi que nous sommes encore tirés de nos sommeils. Les gazouillis des oiseaux, le bruit d'une source. Il va être six heures. Quelques papouilles, quelque bisous. Nous nous précipitons aux toilettes. Chaque seconde nous est comptée. Il fait plutôt frais dans la maison. Les radiateurs commencent à y remédier. Nous enfilons nos tenues de sport dans la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Pendant que Clémentine s'occupe du café, presse les oranges, pèle les kiwis, j'allume la cuisinière à bois. Je beurre les premières tranches que vient d'éjecter le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre mercredi soir en compagnie de Juliette.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant le début des vacances dès demain midi. Le vendredi Clémentine termine à midi. C'est déjà dans une certaine euphorie qu'elle en parle. Il va être six heures vingt cinq. Nous remontons en courant pour rejoindre notre salle d'entrainement. Pas chauffée. Motivant pour pratiquer l'aérobic et le jogging sur tapis roulant, avec célérité. Les exercices au sol, les charges additionnelles avant le retour au calme d'un bon stretching. La douche. Je cavale pour redescendre les escaliers. Je sors la voiture pour la faire chauffer. Le jour s'est levé sous un ciel lumineux. La température extérieure est de 8°. Clémentine me rejoint dans son blouson d'épais cuir brun, son Levis, ses bottines brunes, son bonnet de laine brune. Un dernier bisou. Puis un second.

Je la regarde partir. Un dernier coucou. C'est à nouveau en courant que je rentre au chaud. La vaisselle, notre lit. Une fois dans l'atelier j'allume une belle flambée de cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de "Une rue de New-York", toile d'un format 10 F (46 x 55 cm), m'accapare rapidement et complètement. Je peins dans une félicité mystique. Poussant des cris d'animaux qui n'existent pas. Entre deux coups de pinceaux. La matinée passe encore à une telle vitesse qu'il est déjà presque midi. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe les restes de la tourte aux poireaux. Un filet de flétan dans la poêle. Pendant ce temps je prépare les ingrédients pour le repas de ce soir. Bouchées à la reine.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio et le retour d'André Bercoff. Il consacre cette partie de son émission aux mensonges d'État concernant toute la période Covid. Dans nombre de pays les vérités de manipulations éclatent au grand jour. Sauf en France ou la crapule dirigeante s'évertue à fuir en avant alors que les preuves sont accablantes. Lentement, certainss médecins d'une lâcheté absolue pour la plupart durant la pandémie artificielle, sortent du silence. Olivier Véreux, alors sinistre de la santé, s'était pris les pieds dans le tapis en se couvrant de ridicule. Ce que ce charlatan sans scrupule continue de faire en conspuant des Didier Raoult ou encore des Christian Perrone. Alors que nombreux sont ceux de la classe politique, dont très peu sont vaccinés, sont allés se faire soigner à l'hydroxychloroquine. Dans la clinique marseillaise, eux et leurs familles, du fameux docteur. Sommité et épidémiologiste réputé mondialement, Didier en rigole.

J'écoute en préparant la Béchamel. Dans la poêle je fais revenir deux belles escalopes de dinde émincées avec des champignons de Paris. Je râpe du gruyère. Je rajoute tout cela à La Béchamel pour former une garniture onctueuse. J'égoutte les coquillettes que je verse entre les bouchées à la reine dans le grand plat de terre cuite. Je remplis les bouchées à la reine de la garniture avant de recouvrir l'ensemble d'une copieuse couche de gruyère Suisse d'Appenzeller. Chapelure, graines de sésame grillé. Des cerneaux de noix. Je place au four électrique pour laisser mijoter longuement à 160°. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Impatient de me dégourdir les jambes je redescends à toute vitesse pour enfiler mon anorak. La température extérieure est de 14°. Mais le ciel se couvre.

Je vais jusqu'à la rivière. Comme pour chacun d'entre nous, je ritualise mon existence de petites habitudes rassurantes. Il est treize heures cinquante quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans la même félicité que ce matin. Confronté une fois de plus au temps que me vole ma passion. Du bruit. Est-ce possible ? Il est déjà dix sept heures trente. Le bruit me l'annonce. J'entends chantonner Clémentine qui revient de l'université. Elle entre dans l'atelier en se précipitant vers moi. J'anticipe en posant la palette, les pinceaux sur la desserte. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Estelle me charge de bien te "préparer" pour ce soir. Elle exige un "contrôle" de minou ! >> me dit Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Elle a encore ses notes à archiver. Assise devant son ordinateur Clémentine me raconte quelques anecdotes drôles.

Une petite heure dans l'émulation de nos activités respectives. << Là j'arrête ! Stop ! >> s'exclame t-elle en se levant pour commencer à ranger ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je me lave les mains au lavabo de l'atelier. Clémentine vient me rejoindre en sautillant. Elle me tient la bite pour en diriger les jets. Secouant les dernières gouttes, elle dit : << J'ai presque saturé mon vieux disque dur externe de 500 Go avec sept ans d'archives. En juin, je le mets dans un musée ! >>. Nous en rions. Accroupie, suçotant mon Zob, elle chantonne. Je trouve ça charmant. Émouvant même. Elle se redresse pour me tirer par la queue jusque devant la cheminée. Nous admirons la danse des dernières flammes. Sa tête contre mon épaule. Je la tiens par la taille. Un moment de silence.

Estelle qui adore nous surprendre sans faire de bruit, arrive. La porte s'ouvre. C'est en courant qu'elle vient nous rejoindre. Elle me fait la bise. Clémentine lui laisse mon sexe qu'elle empoigne d'une main ferme. Je bande mou. Je dis : << Raconte-moi ton mercredi soir avec ton parrain ! >>. Elle me tord le Zob pour répondre : << Jean-Marc m'a niqué dans ma chambre. Mes parents n'étant pas là, on a fait comme quand j'avais seize ans ! Parmi les peluches, sur mon lit ! >>. Nous en rions aux éclats. Je surenchéris : << Donc, ce soir, c'est "contrôle" du minou ! >>. Clémentine, se serrant contre moi, corrige : << Des minous ! >>. Mes deux anges mitraillent mes joues de bisous. Elles m'emmènent par les mains. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Je sors le plat du four électrique.

Je le place dans la fournaise du four à bois. Quand elles le découvrent je suis inondé de bises. << On en a parlé à midi, au restaurant universitaire. C'est devenu le repas rituel des jeudis soirs. On se réjouissais ! >> précise Estelle en empoignant mon Zob sous le tablier. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de tomates. Estelle surveille le four. Je mets les assiettes, les couverts. Je passe derrière Clémentine, mes bras autour de sa taille. Mes lèvres dans sa nuque. Je caresse ses seins minuscules en chuchotant des douceurs. << Et moi ! >> s'écrie Estelle qui parfois tourne la tête pour nous regarder. Elle enfile les maniques pour sortir le plat du four. Doré à souhait, fumant, délicieusement odorant. Nous mangeons de bon appétit en faisant mille projets pour les vacances proches.

<< On se fait tous les jours un autre "plan". Des trucs bien salaces doivent parsemer et agrémenter nos journées ! >> lance Estelle. << Mais c'est le contraire qui serait étonnant ! >> ponctue Clémentine. Clémentine qui suggère une randonnée dans les environs du port de plaisance. Il y a là des itinéraires de promenades que nous nous promettons de faire depuis longtemps. << Bite à l'air ! >> me fait Estelle qui se lève une fois encore pour mimer une masturbation masculine. Je me lève à mon tour pour agiter mon Zob en disant : << Bite à l'air ! >>. Nous rions aux éclats quand Clémentine rajoute : << Sans la bite à l'air ça le fait pas ! La randonnée perd de son charme ! >>. Nous traînons à table. Les filles, assises sur mes cuisses, leurs bras autour de ma taille, de mes épaules. À émettre différentes options d'activités pour cette semaine de vacances. Il n'y a pas cours pour la suivante mais c'est depuis la maison qu'elle devront s'y atteler.

La vaisselle. Impatientes de retrouver nos sirupeuses turpitudes des jeudis soirs, mes deux coquines m'entraînent au salon. C'est un spectacle que de les voir retirer leurs bottines, de les balancer n'importe où avec leurs jeans et leurs culottes. De les voir debout sur le canapé à exécuter une "danse du ventre" lascive en riant aux éclats. Je me branle, certes, mais je suis également pétris d'émotion. C'est tellement merveilleux. D'imaginer qu'un jour tout cela prendra fin, me plonge soudain, pour un bref instant, dans les affres d'une terrifiante angoisse. Les coquines devinent cette pensée. Aussi elles sautent du canapé pour me prendre par les bras. Mon visage mitraillé de bises. Toutes les deux s'accroupissent en même temps. Elles hument ma queue. Les odeurs fortes de ma journée d'homme.

Elles se refilent ma bite qu'elles suçotent à tour de rôle en échangeant leurs impressions. Je caresse leurs têtes avant de les saisir toutes les deux par leurs nattes. Je les force à se redresser pour les emmener au canapé. Je les y fait tomber. Vautrées, les jambes relevées qu'elles tiennent sous leurs genoux, cuisses largement écartées, elles m'offrent leurs minous. Ces touffes obscures et profondes, chargées de tout le mystère que je m'apprête à découvrir en me mettant à genoux. Sur les épais coussins, ma tête entre les cuisses d'Estelle. Je commence par son sexe. Ses odeurs fortes de fille négligée qu'elle n'est absolument pas. Ne nous fions pas aux impressions. Je m'enivre de ses parfums intimes. Toutes les deux se masturbent. C'est un spectacle pour elles aussi de me voir "affairé".

Je passe de l'une à l'autre en savourant les subtiles différences de goûts. Les saveurs particulières d'Estelle. Celles plus crémeuses de Clémentine. Elles cessent de se masturber quand je suce leurs clitoris. C'est encore une de ces soirées cunnilingus dans la stéréophonie passionnante d'une symphonie de gémissements, de petits cris d'animal blessé, de petits râles sonores. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il reste un bon quart d'heure. Elle s'offre un orgasme dithyrambique. En poussant un rugissement. Clémentine s'offre un orgasme pisseux au-dessus de la cuvette. Debout derrière elle, la tenant sous les aisselles, je maintiens son équilibre. J'adore les spasmes qui secouent alors son corps. Estelle, qui recommence à se toucher, nous observe. << Put-hein vivement les vacances ! >> dit elle.

Bonne nouille à toutes les coquines qui vont encore en savourer les jus sous les draps. Avant de plonger dans l'univers onirique d'un profond sommeil...

Julien (qui égoutte sa nouille)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Clémentine et Julien
Saturday 17 February 2024 07:16

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 32 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2526 -



Les vacances commencent à midi

Hier matin, vendredi, il est presque six heures. Le gazouillis des oiseaux, le bruit de la source. Impossible de s'en lasser car chaque jour c'est différent. Très certainement pris sur le vif quelque part dans le monde. Nous nous réveillons pour nous étirer. Quelques papouilles, quelques bisous. Clémentine tente ses premiers mots. Inintelligibles. Elle s'y prend à deux fois avant d'éclater de rire. << Je suis bègue le matin ! >> finit elle par pouvoir dire. C'est en riant que nous nous précipitons aux toilettes. Ce vendredi, aux aurores, Clémentine est doublement facétieuse. Non seulement elle termine à midi mais c'est le début de ses vacances. Dans la fraîcheur de la salle de bain par encore chauffée, nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. C'est hyper rapide.

Morts de faim nous dévalons les escaliers. J'allume la cuisinière à bois. Clémentine prépare le café, presse les oranges, pèle les kiwis. C'est en imitant l'accent Corse de Juliette qu'elle me raconte ses rêves. Je suis plié de rire à beurrer les premières tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée "contrôle" de jeudi. Léchage de minous pour Estelle et Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Il faut aller chez le bijoutier. Je passe commande d'un bijoux très particulier pour Estelle. Ce sera son anniversaire le 11 mars. Je veux absolument marquer le coup. Sur le modèle de la tétine en caoutchouc qu'elle s'obstinait à sucer à Édimbourg durant nos vacances de fin d'année. Clémentine en rit aux éclats.

<< Tu as fais le dessin ? >> me demande t-elle. Je réponds : << Non mais il y a les photos ! >>. Nous en rions tous les deux. Il va être six heures vingt cinq. Les radiateurs chauffent à présent agréablement. Sauf dans la salle d'entraînement où nous montons à toute vitesse. Les échauffements aérobics sont autant de prétextes à la déconne pour Clémentine. De plus en plus euphorique. Le jogging sur tapis roulants où je ris comme un fou en la regardant courir en tournant sur elle même. Prêt à la retenir si elle devait chuter. Nul besoin, elle fait ça si souvent qu'elle en est devenue virtuose. Les exercices au sol. Les charges additionnelles où il est difficile mais nécessaire de garder tout notre sérieux. Dur. Les étirements d'un stretching bâclé par manque de temps. Avant de courir prendre la douche.

Je redescends le premier car il va être 7 h45. Le jour s'est levé sous un ciel gris mais lumineux. La température extérieure est de 9°. Je sors l'auto du garage pour la faire chauffer. Clémentine vient me rejoindre dans son blouson d'épais cuir brun. Sa paire de jeans, ses bottines brunes. Ses bras autour de mon cou, elle me fait quelques dernières bises en disant : << À partir de midi, on est ensemble pendant deux semaines. Je t'aime ! >>. Elle s'installe au volant en rajoutant : << On va se fabriquer plein de nouveaux souvenirs ! >>. Elle démarre. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Je m'empresse de rentrer au chaud. Je fais notre vaisselle, notre lit. J'y retrouve les odeurs de la fille que j'aime. J'en ai de doux vertiges.

J'allume la flambée de la cheminée une fois dans l'atelier. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je termine en fin de matinée cette troisième œuvre hyper réaliste "Une rue de New-York". C'est passionnant de créer les effets de reflets et de lumières sur les carrosseries des véhicules. Je peins envahi de l'euphorie laissée par Clémentine. Le heures passent alors si vite. Il est onze heures trente quand je dépose la dernière touche de vert d'émeraude sur la surface de la toile. Satisfait de mon travail je scrute attentivement. Il n'y a strictement aucune différence entre la photo et la toile. Pas le moindre coup de pinceau n'est visible. L'hyper réalisme est ma technique préféré. J'y excelle. Je nettoie la palette, les pinceaux. Serein, je fait un peu de rangement dans l'atelier.

Je le quitte pour me rendre à la cuisine. Je n'ai qu'à réchauffer les deux bouchées à la reine restantes. Dans leurs coquillettes. Réchauffés, les plats que je concocte sont encore meilleurs. Je fais l'assaisonnement du gros concombre. Il est midi trente. Clémentine revient de cours. En sautillant. Elle me saute au cou. Je la soulève. Enserrant ma taille de ses jambes, elle couvre mon visage de bisous. Je l'emmène aux toilettes pour le rituel pisseux et le lavage des mains. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. << Estelle me charge de te prévenir. Elle sera machiavélique durant les vacances ! Tu dois donc te préparer à un enfer de vices, de stupre, de luxures et de débauches diverses et variées ! >>. Nous en rigolons comme des bossus quand elle rajoute : << Bref comme toutes les vacances quoi ! >>. Nous traînons à table. Assise sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur notre programme.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Je me change pour m'habiller comme Clémentine. Elle reste vêtue comme ce matin pour aller en cours. Je porte un Levis propre et brut. Des bottines brunes. Une chemise blanche sous un pull bleu nuit au col en "V". Comme elle. Nous prenons des poses devant le grand miroir ovale de la salle de bain. << Cet après-midi je prends ta bite en bouche à la moindre occasion. Je vais même en créer ! >> lance t-elle en palpant ma braguette. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers pour enfiler nos blousons d'épais cuir brun. La température extérieure est de 16°. Les bonnets sont inutiles. C'est presque dans la douceur que nous traversons le jardin. Je sors la Mercedes, Clémentine range sa Golf. C'est parti. Pour vingt cinq kilomètres.

Je roule toujours doucement. Clémentine joue avec ma queue. Parfois penchée sur sa gauche elle met en application son souhait de me pomper le dard à toutes les occasions. Je caresse sa tête de ma main droite. Je saisis sa natte au plus court. Parfois j'appuie sur sa nuque pour enfoncer davantage de queue. Je murmure : << Salope ! >>. Elle cesse, se redresse pour chuchoter : << J'aime la bite ! >>. Nous garons l'auto dans la ruelle habituelle. À dix minutes des premières rues piétonnes. Accrochée à mon bras, Clémentine m'entretient du programme universitaire qui l'attend après les vacances. Dernière ligne droite avant les vacances de Pâques et la fin du second trimestre. Première étape, la bijouterie Charlier. Jean est un vieil ami. Il possède même une de mes toiles.

Nous avons rendez-vous. Il est donc disponible et nous reçoit dans le coin bureau de son atelier. Il y a des clients dans sa boutique. Une vendeuse très élégante s'en occupe. Il y a une jeune fille, loupe fixée sur l'œil droit, assise devant un établi. Jean fait les présentations. << Laurence est la plus fine créatrice de bijoux que je connaisse ! >> précise notre ami. J'ai vaguement parlé de mon souhait quand au bijoux que je veux faire réaliser. C'est amusé que Jean télécharge sur son Mac les quatre photos depuis mon I-phone. << Ce sera simple à réaliser. Il faut que je fasse un premier modèle en pâte à durcir. Que je cré le moule pour y couler l'argent. Je vais confier les finitions à Laurence ! >>. La jeune employée se lève pour nous rejoindre. Découvrir de quoi il est question. Je suis gêné.

La tétine, bite en caoutchouc de trois centimètres de long sur un de large avec les couilles, grossie plusieurs fois, s'affiche sur l'écran. Laurence se met à rire en disant : << Ce sera facile il faudra surtout poncer, puis polir à la polisseuse ! >>. La jeune fille s'exprime en professionnelle. Sans émettre la moindre considération sur l'objet de cette commande insolite. Clémentine me fait du coude. Nous pourrons récupérer cette pièce d'orfèvrerie d'ici le 8 mars. Ce qui est le timing parfait. Je règle immédiatement par carte bancaire "Gold". Jean nous raccompagne. Nous bavardons encore un peu avant de nous saluer. Il me fait un clin d'œil en disant : << Excellent choix ! >>. Je crois d'abord qu'il parle de l'objet de notre commande. Mais c'est Clémentine qui me l'apprend lorsque nous quittons Jean : << C'est de moi qu'il parlait. Il n'arrêtait pas de me mâter ! Ça doit être un sacré vicelard ce type ! >>. Nous rigolons comme des bossus.

Nous en rions de bon cœur encore quelques minutes. Il est décidé de nous offrir le repas du soir dans notre restaurant gastronomique. Clémentine y a réservé une table pour 19 h15. << On est entrain de prendre une nouvelle habitude. Ça fait le troisième vendredi qu'on mange au restau ! >> dit elle. Ce sera notre soirée de la Saint Valentin à nous. Décalée de deux jours. Sans chichis, sans manières. << Mais avec ta bite en bouche dans les chiottes ! >> lance Clémentine alors que nous montons l'escalier qui mène à l'étage de la FNAC. Clémentine a deux bouquins à récupérer. C'est vendredi, il fait plutôt doux. Il y a du monde. Un bon chocolat chaud à l'étage de notre salon de thé préféré. Tous les deux, enfermés dans un des cabinets des toilettes hommes, nous nous livrons à notre joyeux rituel de la pipe.

C'est amusant de se faire pomper le Zob en entendant des mecs pisser de l'autre côté de la porte fermée à clef. Nous y faisons deux "voyages". Clémentine se livre à sa passion pour la fellation avec cette fougue qui pourrait me faire éjaculer au bout de peu de temps. Disons, dix minutes au lieu de la demi heure habituelle. Nous flânons dans les rues piétonnes. La nuit tombe à présent un peu avant dix huit heures. C'est sympathique. Par contre la fraîcheur prend le pas sur la douceur toute relative de cette agréable après-midi. Clémentine aimerait beaucoup trouver un coin pour satisfaire son désir de me sucer encore. << Quand je commence, difficile de m'arrêter ! >> précise t-elle. Il faudra toutefois attendre un des cabinets des toilettes hommes de notre restaurants étoilé.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui aiment visiter les toilettes hommes entre la pomme et le fromage, entre le dessert et le café, pour savourer le chibre juteux de leur coquin...

Julien (le coquin juteux)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Sunday 18 February 2024 10:12

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 33 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2527 -



Les réjouissances du samedi

Il est sept heures, hier matin, samedi. C'est devenue une habitude. Je réveille Clémentine avec toute la douceur possible. Faisant bouger mes cils contre sa pommette en murmurant : << Papillon ! >>. C'est en gémissant qu'elle se blottit contre moi. J'adore quand elle trébuche sur les premiers mots qu'elle tente de prononcer. C'est inintelligible, incompréhensible et nous en rions tous les deux en nous offrant des papouilles, des bisous. Nous devons rapidement pisser. Aussi, un peu comme des robots, nous nous précipitons aux toilettes. Les radiateurs qui fonctionnent depuis plus d'une heure chauffent agréablement la maison. Ce qui change notoirement des autres jours de la semaine où ils ne s'allument qu'à six heures. Nous nous habillons de nos vêtements de sports dans la salle de bain.

Morts de faim nous dévalons les escaliers. En courant jusque dans le hall d'entrée pour ouvrir le portail depuis l'interphone. Dans la cuisine, pendant que Clémentine fait le café, presse les dernières oranges, pèle les derniers kiwis, j'allume la cuisinière à bois. Je beurre les premières tranches éjectées par le grille pain. Nos rituels matinaux. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre vendredi après-midi. Le bijoutier, la FNAC, le salon de thé, le délicieux repas au restaurant en soirée. << Ça va devenir une habitude les vendredis soirs ! >> lance Clémentine. Nous rions quand elle rajoute : << Sauf dérogations sexuelles ! >>. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les différents itinéraires de la randonnée de cet après-midi. Une fois encore la météo s'y prête.

Le jour commence à se lever dès 7 h25. Nous le devinons déjà lumineux. Par contre la température extérieure n'est que de 3°. Nous traînons un peu à table. Assise sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie à quel point ces vacances étaient attendues et nécessaires. La vaisselle. Nous remontons pour nous offrir le second plaisir de ce samedi matin. Les échauffements aérobics, le jogging sur les tapis roulants mettent en conditions. Les exercices au sol sont l'excellent prélude aux dures manipulations des barres et des haltères. Les étirements d'un stretching consciencieux. C'est tellement plus gratifiant quand on peut prendre tout son temps. Sans se brusquer. Sans contrainte. En sortant de notre salle de sport nous entendons le bruit de l'aspirateur.

Lise est déjà arrivée et est déjà à l'ouvrage. C'est qu'il est 8 h40. Nous prenons notre douche. Assise sur un des deux tabourets, une grande serviette sur les épaules, Clémentine raconte d'amusantes anecdotes de la vie universitaire de sa semaine. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite, je la coiffe en écoutant. << Fais moi une natte ! >> demande t-elle. Je divise ses cheveux en trois parties égales pour en faire une tresse qui descend jusqu'au milieu de son dos. << Il faut qu'on se les coupe un peu avec Estelle, ça va faire huit mois et ils poussent ! >> rajoute t-elle. Elle aussi adore s'occuper de mes cheveux. C'est à son tour de me les sécher, de me les coiffer. En prenant tout notre temps il va être 9 h20. Nous nous habillons de nos Levis, chemises à carreaux d'épais coton.

C'est en baskets que nous dévalons les escaliers. Nous n'avons pas encore vu Lise occupée à son ménage. Au salon, assise sur mes cuisses, me tournant le dos, Clémentine allume l'ordinateur. Cinq courriels. Deux de ma familles en Écosse. Oncle Alan va être hospitalisé. Son état de santé ne s'améliore pas. Tante Margaret de St Andrews et son mari vont rester avec sa compagne Amy à Édimbourg le temps de l'hospitalisation. Un courriel de la bijouterie Charlier. Confirmant la commande, le paiement et où Jean témoigne sa joie de nous avoir revu. Le mail de Juliette qui se réjouit de nous revoir avec Estelle mercredi soir prochain. Le message d'Estelle, impatiente de nous retrouver tout à l'heure en début d'après-midi. Pendant que Clémentine répond, je caresse ses doux petits seins minuscules.

Dans une enveloppe jaune, je glisse un billet de 50 €, un billet de 20 €. Clémentine relit ses réponses pour me demander mon avis. C'est toujours tellement explicite que je n'ai strictement rien à rajouter. Elle se lève pour changer de position. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, se frottant, elle dit : << J'adore quand tu me caresses. Tu es si doux. Ça ne m'excite pas seulement, ça m'émeut ! >>. Elle mitraille mon visage de bisous quand Lise entre dans le salon. << Oh pardon ! Bonjour ! >> lance la jeune fille portant l'aspirateur. << Bonjour Lise ! >> faisons-nous en même temps. Clémentine demande : << Tu as bien commencé tes vacances ? >>. Lise, retire les écouteurs qu'elle a sur ses oreilles. En branchant la prise de l'aspirateur, elle répond : << Super bien, ici, avec vous ! Et ça commence fort ! >>

Nous bavardons un peu avant de la laisser seule dans la grande pièce. C'est celle qui nécessite le plus de travail avec notre salle d'entraînement. Nos livraisons ne vont pas tarder. Dans le hall d'entrée, s'accroupissant alors que j'enfile mon anorak, Clémentine déboutonne la braguette de mon 501. Elle fouille dans mon slip pour placer ma queue sur l'élastique. Ainsi, au premier mouvement un peu appuyé, ma bite pourra jaillir comme mue par ressort. Comme un diable de sa boîte. Clémentine se redresse pour mettre son anorak. La température extérieure est de 10°. Le ciel est voilé mais lumineux. Nous sortons dans la désagréable fraîcheur humide. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Devant la maison d'amis, nous n'attendons pas longtemps. Voilà La camionnette.

Danièle, au volant de "son" Mercedes, grand sourire, vient se garer derrière la Fiat rouge de Lise. Elle en saute pour toucher nos poings du sien. Danièle, sous son bonnet de laine assorti à son gilet de camionneur, ne cache pas sa joie de nous voir. En contournant le véhicule pour ouvrir les portes arrières, elle dit : << Il y a quelques clients qui me réjouissent les samedis matins ! >>. Clémentine demande : << Bite à l'air comme Julien ? >>. En me tendant le lourd cageot contenant les fruits, les légumes, la jeune femme répond : << Non. Julien est bien le seul à m'en gratifier ! Il y a un vieux pervers très laid qui me reçoit en pyjama ou en slip. Mais tellement moche ! >>. Nous en rions aux éclats. Ayant posé le cageot sur un des deux bancs en pierre, j'ouvre ma anorak. Je montre ma queue.

Malgré le froid je bande mou. Mon "tuyau d'arrosage" dans toute sa longueur pend de ma braguette. En passant le cageot contenant les fromages, les yaourts, le beurre, les œufs, le pots de crème fraîche et de fromage blanc à Clémentine, Danièle rajoute : << Vous êtes un héros en quelque sorte. Un héros qui brave le froid avec son épée tirée de son fourreau ! >>. J'agite mon chibre en le tenant à sa base. C'est vrai qu'avec cette température c'est un acte de bravoure. Je me doute bien que Lise, depuis une des deux fenêtres de la cuisine, observe avec attention. Aussi, pour la gratifier du spectacle, je me tourne vers la maison en continuant de secouer ma queue. Clémentine sait très bien pourquoi je le fais dans cette direction. << De profil c'est superbe également ! >> s'exclame Danièle.

J'introduis ma carte bancaire dans le terminal que me tend Danièle. Elle n'a de yeux que pour ma bite qui ramollit piteusement. Même commande pour samedi prochain. En saisissant mon sexe à présent mollasse, elle dit : << Je ne vous livre pas mercredi matin la semaine prochaine mais en débit d'après-midi. J'aurai une petite heure à moi ! >>. Danièle ne me lâche pas le Zob. Clémentine, absolument ravie de cette affirmation, demande : << Alors on prépare le café et les petits gâteaux. Il y aura Estelle ! >>. Danièle lâche ma bite pour remonter dans sa camionnette. Elle répond : << Bonne idée. Je me réjouis. À bientôt alors ! >>. La jeune femme démarre. Nous la regardons faire la manœuvre de demi tour. Je remballe ma bite gelée et à présent minuscule à cause de la température.

Danièle nous fait un clin d'œil, mime une masturbation masculine, fait une bosse à l'intérieur de sa joue avec sa langue avant de remonter les pavés autobloquants du chemin qui mène au portail. Elle nous adresse un dernier coucou. << Toi, mercredi après-midi, tu vas t'éclater ! >> me fait Clémentine. En regardant descendre le tube Citroën rénové de notre boulangère adorée, Clémentine rajoute : << Estelle et moi aurons du spectacle ! >>. Madame Marthe, malgré sa corpulence, nous surprend toujours pas l'agilité avec laquelle elle saute de son véhicule. Hilare elle ouvre la porte coulissante latérale dans un effroyable bruit de tôle froissée. Elle en tire le cageot contenant le pain, les bouchées à la reine, les pâtes feuilletées, les croissants et la brioche au pudding.

Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Nous saluons la brave dame qui repart pour d'autres livraisons. Quelle surprise. Lise, vêtue de son anorak, arrive en courant. << Je viens vous aider. Trois cageots. On en prend un chacun ! >>. Nous admirons cette attention. Ce qui prouve que la coquine observait derrière les fenêtres. Nous contournons la maison pour descendre à la cave par derrière. Dans le cellier où nous disposons les fruits et les légumes sur les étagères en bois, Lise, fixant le bas de mon anorak avec ostentation, nous dit : << Je retourne, j'ai encore les toilettes du bas à faire et le hall d'entrée ! >>. Elle remonte l'escalier intérieur en courant, en se débarrassant de son anorak. << C'est très classe de sa part. Petite voyeuse vicieuse ! >> lance Clémentine.

Du congélateur où nous plaçons une des deux grosses miches, une des deux pâtes feuilletées, nous tirons le paquet de moules, les sachets de petits pois et de haricots verts. Clémentine me sort la queue en disant : << Il faut contenter la petite vicelarde là haut. Viens ! >>. Je porte le cageot contenant les produits frais. Nous remontons. Clémentine me passe les aliments que je range dans le réfrigérateur. Parfois, rapidement, elle chope mon Zob. Lise entre dans la cuisine. Cette fois, sans même utiliser un prétexte quelconque elle s'approche. Elle fixe ma bite en disant : << J'apprécie beaucoup ce que vous faites devant la dame des légumes. Pourquoi vous ne le faites pas devant moi ? >>. À ces mots, je reste pantois, comme consterné. C'est Clémentine qui répond : << Mais, il suffit de demander. Julien se fait toujours un plaisir d'exaucer les souhaits, les vœux et de satisfaire aux désirs de celles qui ont de l'initiative et l'esprit d'à propos ! >>

Je range les derniers yaourts. Lise se faufile entre la porte du frigo ouverte et le buffet. Pour se retrouver à moins d'un mètre. Elle se penche en avant pour mieux regarder. Je suis envahi de ce sentiment où se mêle la gêne, la honte et l'excitation. Je ne connais pas de sensation plus "électrisantes" pour me couvrir des plus délicieux frissons. Lise se redresse, me lance un regard étrangement lubrique en concluant : << Je vais terminer mon ménage ! >>. Elle se précipite vers la porte. Clémentine saisit ma bite. Nous nous regardons en silence. << Put-Hein, génial ! Alors là, on a encore gagné au Loto ! >> murmure t-elle. Je dois admettre que, revenant de mes émotions, je partage exactement le même ressenti. Clémentine rajoute : << L'avenir est plein de promesses. Pour sûre ! >>

Nous quittons la cuisine pour retourner au salon. Lise allume toujours les diffuseurs d'arômes disposés dans toutes les pièces de la maison. Magnolia en bas. Jasmin en haut. Des essences naturelles, biologiques qui parfument discrètement. Je suis debout devant la grande chaise seigneuriale du bureau. Clémentine s'y assoit la première en chuchotant : << Branle-toi, elle ne vas pas tarder il va être onze heures trente ! >>. Je m'exécute avec plaisir et soulagement. La tension n'est pas retombée et je suis considérablement excité. Clémentine allume l'ordinateur. Elle l'ouvre sur un site porno indiqué il y a quelques temps par Juliette qui les fréquente assidument. Celui-ci est entièrement consacré aux films Japonais non censurés. On y voit de délicieuses jeunes filles se livrant au plus affolantes déviances. Des raffinements typiquement Japonais qui feraient bouillir la libido d'un mort. C'est affolant. C'est du "mouillé", du "sévère". Clémentine se touche.

Je ne me masturbe plus d'un geste lent et pondéré mais d'un mouvement rapide et saccadé. Lise entre dans le salon. Elle a quitté son survêtement gris habituel pour une paire de jeans et un sweat. La jeune fille reste un instant figée. Elle m'adresse un merveilleux sourire. Bien évidemment je garde présent à l'esprit que sans la présence de Clémentine, la présence rassurante d'une autre fille, tout cela serait totalement impossible. J'en suis conscient et infiniment reconnaissant. Lise contourne le bureau pour venir voir ce qui nous met dans un tel état. Elle reste comme hébétée. Un silence s'installe en même temps que nous cessons de nous toucher. << C'est quel site ? >> demande t-elle. Mais je ne suis pas au bout de mes surprises car en prononçant cette phrase elle s'empare de mon érection. Elle se rapproche en se penchant pour scruter l'écran. On y voit une jeune Japonaise en tenue de collégienne pisser devant un mec qui se branle.

Même Clémentine, pourtant difficile à surprendre, en reste muette. Lise me lâche pour contourner le bureau. << On se voit samedi prochain ? Je viens même pendant les vacances ? >> demande t-elle. Clémentine se lève pour répondre par une autre question : << Bien sûr ! Tu ne veux pas passer nous voir un après-midi ou un soir ? >>. Je tends son enveloppe jaune à Lise qui lance : << Plutôt en soirée. Mardi ? >>. Cette immédiateté nous laisse rêveur. Jamais les évènements dans ce domaine ne m'ont semblé s'enchainer aussi vite. Nous raccompagnons Lise dans le hall d'entrée. << Tu manges avec nous mardi soir ? >> demande encore Clémentine. << Oh oui, avec plaisir. Je viens pour 19 h ! >> répond Lise en mettant son anorak. << Tu viens les mains vides ! >> précise Clémentine. << OK ! >> lance Lise en ouvrant la porte. Avant de dévaler les quatre marches du perron elle fixe mon sexe. Comme admirative. Je l'agite, mou.

Clémentine prépare l'assaisonnement de la belle laitue dont elle lave les feuilles également pour ce soir. Je fais le bouillon pour y plonger les moules décongelées. Je réchauffe les haricots verts, les petits pois dans le wok. Nous mangeons de bon appétit sans cesser d'évoquer les attitudes et le comportement de Lise. << Celle-là, elle cachait bien son jeu. Au bout de quatre mois voilà qu'elle se révèle ! >> analyse Clémentine. J'écoute avec intérêt. Dans ce domaine comme dans beaucoup d'autres, Clémentine est fine psychologue, perspicace et très observatrice. Je n'ai qu'à me fier à ses suppositions. Nous traînons à table. Assise sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, Clémentine compare les attitudes de Danièle et de Lise. C'est Danièle qui nous avait recommandé Lise.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Estelle adore arriver dans le plus grand silence. Nous sommes entrain de nous embrasser, de nous toucher quand elle surgit dans la salle de bain. << De nouveau ! Et sans moi ! >> s'écrie t-elle en posant son sac de sport sur le couvercle de la baignoire. Elle se précipite. Serrés tous les trois nous nous couvrons de bises. Estelle tient mon érection en disant : << Raconte-moi tes saloperies de la matinée, espèce de vieux pervers pour filles dépravées ! >>. Pendant qu'elle tire le pyjama de soie mauve, une culotte et des chaussettes de son sac de sport, Clémentine raconte nos frasques. Je suis serré contre Estelle, derrière elle, mes bras autour de sa taille. << Salauds ! Vicieux ! >> lance t-elle à chaque révélation de Clémentine.

Elle se tourne pour reprendre mon Zob en main. << Tu as intérêt à assurer la semaine prochaine ! >> précise Estelle. << Oh mais nous serons là pour mettre Julien dans les toutes meilleures conditions ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Avec ce climat idéal, la randonnée de l'après-midi nous attend. Nous chaussons nos godasses de marche. Nous mettons les anoraks. La température extérieure est de 16°. C'est parfait. Presque de la douceur. C'est à partir de la maison que nous partons pour notre circuit des quatre heures. Un vrai plaisir. Mes deux anges me tiennent par les mains. Parfois par le Zob. Chacune son tour aux arrêts pipis où je les torche, les doigte un peu avant qu'elles ne me tiennent la bite pour en diriger les jets.

Estelle nous raconte son vendredi avec ses parents. Son samedi matin à faire les courses avec sa maman. Il fait nuit noire quand nous revenons pour 18 h45. Éclairés par la lampe fixée à mon front. Assis à la table de la cuisine, nous épluchons les pommes de terre, les carottes, les navets, le céleri pour la potée de légumes. Comme chaque weekend nous en préparons une grande quantité. La potée de légumes sera l'accompagnement des trois repas à venir. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les moments forts de la randonnée de cet après-midi. Pour demain dimanche nous envisageons la randonnée tant attendue, à partir du port de plaisance. La vaisselle. Au salon, vautrés dans le canapé, nous luttons contre la fatigue en nous tripotant. Le cœur n'y est plus vraiment. Dodo.

Bonne fin de soirée sous les draps, à toutes les coquines qui réunissent leurs dernières forces pour se faire lécher, pénétrer avant de s'endormir contre leur "bienfaiteur". Leurs bouches au goût de son foutre...

Julien (Bienfaiteur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Monday 19 February 2024 07:35

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 34 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2528 -



Un agréable dimanche de février

La grasse matinée du dimanche, c'est sacré. Celle de hier matin nous emmène aux environs de neuf heures. Estelle à ma droite est restée collée à moi toute la nuit. Frileuse malgré son pyjama de soie mauve. Ce sont les mouvements de ses pieds contre les miens qui me réveillent. Clémentine à ma gauche qui vient se serrer. Nous restons ainsi un petit moment à émerger. Estelle saisit ma tumescence en déposant ses lèvres dans mon cou. Clémentine attrape mes roubignoles. Je glisse mes mains dans les culottes pour démêler quelques nœuds. Passer mes doigts entre les lèvres des vulves de mes deux anges. << On fait ça tous les matins des vacances ! >> lance Estelle. << Et tous les jours des deux semaines à venir ! >> rajoute Clémentine. Nous nous étirons en gémissant longuement.

Estelle se lève la première. << Si je ne vais pas pisser, je fais dans les draps ! >> dit elle avant de courir vers la porte. << Je vous attends en bas ! >> fait elle encore. Clémentine passe sa tête sous les draps pour prendre mon érection matinale en bouche. C'est une curieuse sensation quand il n'y a pas l'excitation. Quelques instants et elle refait surface. << J'aimerais te réveiller tous les matins comme ça ! >> me dit elle. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Les radiateurs fonctionnent depuis plus de trois heures. Il fait bien chaud partout dans la maison. Nous revêtons nos paires de jans, nos sweats et nos baskets dans la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers. C'est une bonne surprise que cette suave odeur de café et de pain grillé qui flotte dans la cuisine.

Au milieu de la table trône l'énorme brioche. Il en restera demain, lundi. Estelle est entrain d'allumer la cuisinière à bois. Je presse les oranges, Clémentine pèle les kiwis. J'adore la sensation que procure le touché de la soie. Je me place derrière Estelle, mes mains d'abord autour de sa taille, je remonte sur ses seins minuscules. << Mmhh, mais c'est magique ! >> s'exclame t-elle. Je redescends pour glisser mes mains entre ses cuisses, posant la droite à l'endroit de son sexe. Il y a alors ce réflexe féminin. Ce spasme qui secoue tout son corps. Suivi de frissons. << Tu es prié de récidiver toute la journée et surtout tous les matins ! >> rajoute t-elle encore alors que Clémentine vient se serrer contre moi. Je suis pris en sandwich entre mes deux anges. Le café fumant dans nos bols.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la randonnée prévue cet après-midi. Nous allons enfin découvrir l'arrière région du port de plaisance. Je me souviens vaguement de l'endroit. Avec Christine, mon ancienne compagne disparue, nous avions jadis fait quelques escapades par là-bas. Nous mangeons de bon appétit en envisageant l'obligatoire déplacement en voiture que cela implique. À bicyclette, par la piste cyclable, le port de plaisance est distant de 25 km. Par la route de 35 km. << Il faut partir vers treize heures ! >> suggère Clémentine. << On prépare le poulet tout de suite alors ! >> précise Estelle. Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de ma taille, de mes épaules, les filles évaluent la préparation du poulet et la durée de sa cuisson.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous y laissons Estelle qui se change pour aller recouvrir le lit, fermer les portes fenêtres. Habillés tous les trois pareils, nous dévalons les escaliers pour revenir dans la cuisine. Clémentine sort le poulet du bas du frigo où elle l'avait placé hier soir. Estelle épluche un gros oignon et deux grosses gousses d'ail. Je prépare une farce avec une bonne quantité de champignons de Paris, des biscottes que je pile. Je mélange avec de l'œuf, de la crème fraîche. J'y rajoute du gruyère Appenzeller. Ce délicieux gruyère Suisse à nul autre semblable. Clémentine fait l'assaisonnement de deux endives qu'elle lave. Nous sommes autant occupés à préparer le repas qu'à nous faire des bises.

Ma main s'égare parfois entre les cuisses de l'une, sur les seins de l'autre. Les leurs sur mes fesses ou dans l'exploration furtive de l'intérieur de ma braguette. Tout ça en les écoutant parler de leurs études. Du programme qui les attend après les vacances jusqu'à celles de Pâques. Je badigeonne le poulet de moutarde. Posé dans le plat carré en terre cuite. Estelle y place quelques unes de ces toutes petites patates qu'il est inutile d'éplucher. << Ma mamie appelle ça de la "grenaille de pommes de terre" ! >> précise t-elle. Je rajoute un verre d'eau avec des épices, du persil, de la ciboulette avant de mettre au four électrique pour une longue et lente cuisson à 180°. Ce qui permettra à la volaille de rôtir tranquillement et sans risques. Nous disposons les assiettes les couverts. Il est 10 h45.

Tout sera prêt pour midi. Nous mettons nos anoraks dans le hall d'entrée. La journée s'annonce plutôt douce pour une mi février. Le thermomètre extérieur indique 16°. Le ciel voilé est lumineux. Pas la moindre menace. En nous donnant la main nous descendons jusqu'à la rivière. Pas le moindre souffle de vent. Si tout n'était pas encore gris et tristounet, ce serait presque une fin de matinée de début de printemps. << Sors ta bite. Avec cette douceur elle a besoin de respirer le grand air ! >> me fait Estelle en fourrant sa main dans mon Levis. Elle en extrait le locataire d'une main sûre. Les canards, les colverts, les poules d'eau qui virevoltent à la surface des flots sont indifférents à cette queue qu'agite Estelle dans leurs directions. Ce qui nous fait rire aux éclats. Je bande mou.

Je tiens mes deux anges serrées contre moi par leurs tailles. Estelle tient mon Zob. Clémentine sa tête contre mon épaule. Nous apprécions ces instants bucoliques et insouciants. Il faut toutefois rester sur nos gardes. Monsieur Bertrand peut venir nourrir nos amis à plumes à n'importe quel moment. Notre voisin n'a pas de timing précis pour leurs apporter des graines, du vieux pain. Je remballe par prudence. << Tu la gardes dehors durant notre rando de cet après-midi ! >> lance Estelle déçue de ne plus l'avoir en main. << Mon doudou ! >> rajoute t-elle. Nous remontons les trois cent mètres qui nous séparent de la maison sans rencontrer notre plus proche voisin. Les effluves parfumées de la cuisson du poulet embaument toute la cuisine. Ça creuse nos appétits. C'est trop bon.

Nous mangeons de bon appétit alors qu'il est à peine midi. Depuis que nous avons repris la viande de volaille, les saveurs sont toutes différentes. Sans toutefois délaisser les produits de la mer dont nous raffolons toujours autant. Nous traînons un peu à table. La potée de légumes qui accompagne le poulet rôti a tendance à nous alourdir. << Demain à midi, avec les restes du poulet, on fait des frites ! >> suggère Clémentine. Je prépare de rapides coupes glacées pendant que les filles débarrassent la table pour tout mettre dans le lave vaisselle. Nous prenons le dessert en savourant la pistache, la noisette et la vanille de chez "Carte d'Or". Notre marque de glaces pour la maison. << Il faudra faire des courses cette semaine ! Il ne reste plus qu'un bac de pistache ! >> nous rappelle Clémentine.

Dans le petit sac à dos, les barres de céréales, les lampes frontales, les pommes, la thermos de thé bouillant. Nous remontons nous laver les dents. Nous dévalons les escaliers pour mettre les anoraks. Les grosses godasses à la main, nous traversons le jardin en courant. Nous prenons la Mercedes. Il n'est même par treize heures. Parfait. Je roule prudemment. Clémentine joue avec ma queue. Estelle installée à l'arrière caresse mon cou, mes joues. Il est très exactement treize heures vingt cinq quand nous garons l'auto sur le parking de la supérette. Il y a toujours du monde sur les quais. C'est un endroit magique. Très apprécié car il s'y passe toujours quelque chose. La municipalité du bourg voisin propose souvent des activités. Associatives en hiver. Nous changeons de godasses.

C'est parti. Les filles me tiennent par les mains. Nous gravissons la colline qui monte au vieux cimetière. Devenu lieu touristique. Depuis plus de cinquante ans, personne n'est plus enterré ici. La température est de 19°. Il faut marcher avec les anoraks ouverts car la montée nous fait transpirer. Nous croisons d'autres marcheurs. Après le cimetière, ça monte encore un peu. Le chemin devient pierreux, se rétrécit pour devenir sentier. Je me rappelle vaguement. Estelle marche devant. Elle s'arrête souvent pour se retourner, poser sa main sur ma bosse, me faire une bise. << Fais passer ! >> lance t-elle. Alors je fais pareil en me tournant vers Clémentine. Il y a des tronçons de sentier où je peux évoluer avec la bite à l'air. Pour le plus grand plaisir de mes deux coquines enchantées.

Nous avons une formule efficace quand nous croisons inopinément des promeneurs. Estelle se tourne, passe ses bras autour de ma taille, se serre contre moi. Ce qui cache ma biroute. Clémentine me prenant en sandwich. Nous attirons évidemment l'attention de tous les marcheurs que nous rencontrons ainsi. Deux sublimes jeunes filles serrées contre un homme d'âge mûr. Nos hautes tailles achèvent de faire de nous des sortes d'extraterrestres en goguette. Nous nous amusons beaucoup de ces situations insolites. Quand les gens nous ont dépassé, Estelle saisit mon chibre de sa poigne ferme. << Te voilà tirée d'embarras belle petite chose ! >> lance t-elle cette fois-ci. Nous arrivons à la croisée de chemins. Clémentine tire alors l'I-phone de sa poche. L'application GPS permet de nous orienter. << Il faut prendre à gauche ! >> dit elle parfois. << Il faut prendre à droite ! >> dit elle d'autres fois. Ma queue serrée dans la poigne ferme d'Estelle.

Ce sont de belles découvertes. Il y a même les vestiges d'un ancien corps de ferme. Les maisons abandonnées d'un hameau. De belles forêts que nous nous promettons d'explorer aux beaux jours. Cette randonnée propose plusieurs itinéraires. Ce qui permet de projeter des explorations dès la belle saison revenue. Il est dix huit heures quinze quand nous revenons à la voiture. C'est un peu rageant de devoir se taper 35 km. Surtout qu'une fois installés, dans l'immobilité, la fatigue se fait sentir. Mes deux anges, au mépris de la loi, sont assises sur le siège passager. Elles me tripotent la queue tout en bavardant, en riant. La crainte d'un contrôle de gendarmerie m'empêche de savourer le retour à sa juste mesure. Il est presque dix neuf heures quand nous arrivons à la maison. Fourbus.

Clémentine fait l'assaisonnement d'un concombre. Estelle concocte son omelette aux fromages des dimanches soirs. Je remue la potée de légumes pour éviter qu'elle n'attache. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos découvertes de l'après-midi. << Il y a plein d'endroits cools pour baiser. Notamment les bâtiments de la ferme abandonnée ! >> lance Estelle. Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, les filles font mille projets pour la semaine qui nous attend. La vaisselle. Un peu ragaillardis par ce délicieux repas, nous allons au salon. Les filles m'offrent les saveurs de leur dimanches. À genoux sur les épais coussins, je passe d'un minou à l'autre pour en déguster les sucs, les fromes et les gouts laissés par les pissous de l'après-midi. Estelle se montre enjouée malgré la fatigue qui nous gagne. Ce soir elle ne sera pas obligée de nous laisser. Son orgasme en est des plus conséquents.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se blottissent contre leur coquin, sous les draps pour de derniers câlins avant de sombrer dans un coma profond...

Julien (gouteur de minous)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Tuesday 20 February 2024 07:38

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 35 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2529 -



Qu'il est agréable d'être en vacances

Hier matin, lundi, il n'est pas loin de neuf heures quand Estelle nous réveille d'un gémissement effrayé. << J'ai fait un cauchemar ! >> s'écrie t-elle en se redressant. Clémentine vient se blottir contre moi. Nous émergeons difficilement. Elle saisit mon érection naturelle en disant : << Raconte ! >>. Estelle se recouche. Sa tête dans le creux de mon épaule, elle dit : << J'ai rêvé qu'on avait cours et qu'on avait raté l'heure ! >>. Nous rions aux éclats. Clémentine rajoute : << En effet, il n'existe pas pire cauchemar ! >>. Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Et là je m'en vais pisser. Je vous attends en bas. Je prépare ! >>. Clémentine se couche sur moi avant de me chevaucher. Nos vessies aussi sont pleines. << C'est génial de se réveiller si tard. J'ai bien dormi ! >> fait elle.

Depuis trois heures que les radiateurs fonctionnent il fait très agréable dans la maison. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous revêtons nos tenues de gymnastique dans la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Les effluves parfumées du café, du pain grillé flattent nos sens olfactifs. Nous entendons Estelle chanter. En arrivant dans la cuisine elle est entrain d'allumer la cuisinière à bois. Je viens la prendre par la taille pendant que Clémentine presse les oranges, pèle les kiwis. << Mmmhh c'est magique ! >> s'exclame Estelle quand je caresse ses seins minuscules, que je passe la main entre ses cuisses. J'adore le contact de la soie de son pyjama. Ce fin tissu qui glisse sous mes doigts. Je cesse pour mettre le reste de la brioche au four à micro ondes.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les découvertes de notre randonnée de dimanche après-midi. Sur la soirée "léchage de minous" qui s'en est suivie. Qu'il est agréable d'être en vacances, de pouvoir prendre son temps pour toutes choses. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de la journée. Dehors c'est le même climat. Un ciel voilé mais lumineux. Une température de 14° alors qu'il est 9 h35. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges parlent de leurs études. << On va jogger ? >> propose Clémentine. << Oh oui, ça nous manque ! >> s'exclame Estelle. Nous faisons la vaisselle avant de remonter nous laver les dents. Pendant qu'Estelle se change nous faisons la chambre, le lit.

Impatients de pouvoir enfin aller courir, nous redescendons à toute vitesse. Les K-ways. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur très supportable. C'est parti. Comme le sol est sec, nous pratiquons le long de la rivière. Une heure d'un jogging absolument superbe. Il est onze heures moins le quart quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première pendant que nous préparons les vêtements de la journée. C'est à notre tour. Estelle nous agrémente de ses improvisations chantées. Souvent loufoques et surréalistes. Nous voilà vêtus tous les trois à l'identique. Levis, chemises à carreaux, baskets. Nous redescendons avec les habits de hier jusque dans la cave. La buanderie où nous faisons une machine. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bisous.

C'est Estelle qui fourre sa main dans ma braguette la première. << Bite à l'air cher monsieur. Nous voulons l'avoir à disposition selon nos caprices ! >> dit elle en m'extrayant le chibre. Clémentine s'accroupit pour le mitrailler de bises. Estelle s'accroupit à ses côtés. Toutes les deux s'amusent ainsi. << Si je commence à sucer, je n'arrête plus ! >> lance t-elle. << Moi c'est pareil. Aussi j'évite ! >> rajoute Clémentine. Je saisis leurs nattes au plus court pour dire : << Coquines ! >>. Je tire légèrement les nattes pour qu'elles se redressent en même temps. Elles se blottissent dans mes bras en gloussant de plaisir. Nous remontons pour aller au salon. Assises sur mes cuisses, elles allument l'ordinateur. Un message de ma famille d'Édimbourg. L'état de santé d'oncle Alan semble se dégrader.

Un message de Lise, notre "fille de ménage", qui confirme sa venue mardi soir. Elle précise qu'elle se conformera au souhait de Clémentine. Lise viendra les mains vides. Estelle découvre le courriel de ses parents. Nous sommes invités à manger dimanche prochain. Elles répondent toutes les deux pendant que je caresse leurs seins minuscules à travers le coton de leurs chemises. << Tu es prié de faire comme ça toute la journée. C'est d'ailleurs ton premier gage ! >> fait Estelle. Il commence à faire faim. Nous quittons le salon pour la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade d'endives. Je réchauffe le reste de la potée de légumes. Estelle fait rissoler trois grosses escalopes de dinde. << Pour ce soir, que diriez-vous de spaghettis à la carbonara ? >> suggère t-elle.

Nous applaudissons. << Mais à notre manière ! >> précise t-elle. Nous mangeons de bon appétit en faisant l'itinéraire de notre randonnée de l'après-midi. Nous adorons marcher des heures dans la nature. Ce sera le circuit de l'ancienne tuilerie. << Avec cette météo tout est dégagé et la vue sera magnifique ! >> dit Clémentine. << On se fait un film ? >> propose Estelle. << Génial ! On emmène la caméra ! >> répond Clémentine. Estelle se lève, mime une masturbation masculine en rajoutant : << Des trucs bien vicelards ! >>. Je me lève pour agiter ma bite en disant : << Des trucs salaces ! >>. Clémentine, mimant une pipe, conclue : << Moi, je filme et je dirige les opérations ! >>. C'est sur ce projet que nous débarrassons pour tout mettre dans le lave vaisselle. Nous remontons.

Lavage des dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Dans le sac à dos, les pommes, les barres de céréales, les lampes frontales. Clémentine cavale au salon pour aller récupérer la caméra. Elle revient avec un des colliers canin et une des laisses. << Génial ! >> s'exclame Estelle qui me demande de lui passer le collier de cuir brun autour du cou. Je suggère d'attendre les scènes car sa peau risque fort d'être irritée. << Où avais-je la tête ! >> s'écrie t-elle avant de saisir ma queue en rajoutant : << Je l'avais à ça ! >>. Nous en rions de bon cœur alors que Clémentine fourre les accessoires de la "Soumise" dans le sac. Avec nos grosses godasses en mains, nous traversons le jardin. Il y des séquences ensoleillées.

La température extérieure est de 19°. Je roule doucement sur les quatre kilomètres qui nous séparent du point de départ. Clémentine joue avec ma queue. Nous garons la voiture le long du muret qui entoure le cimetière de la chapelle. Nous changeons de chaussures. Il n'y a personne aujourd'hui. Mais il n'est que treize heures quinze. Je mets le petit sac sur le dos. Nous traversons la route pour prendre le chemin. Il est large et permet de marcher de front en nous tenant par la main. Les anoraks fixés par leurs manches nouées autour de nos tailles. Le nœud cache ma bite ce qui est pratique en cas de rencontres inopinées. Mais nous ne croisons aucun marcheur. Une heure à parcourir ce chemin pierreux. C'est en arrivant à l'ancienne carrière qu'il devient sentier. Un sentier qui monte soudain raide.

Je suis sujet au vertige. Aussi, marchant entre Estelle et Clémentine, j'évite de regarder au bas des falaises. Ce n'est que plus haut, au croisement des chemins que je retrouve mes facultés. Sous les rires de mes deux anges. Le premier pipi. Debout derrière elles, je les tiens par leurs nattes. La caméra fixée sur le mini trépieds. En automatique. Pour filmer ce moment insolite. Nous portons tous les trois nos lunettes de soleil. Je torche les filles consciencieusement alors qu'elles se tortillent devant l'objectif. La minuterie de la caméra est réglée sur cinq minutes. Le bip sonore indique qu'elle va s'éteindre. Nous reprenons notre avancée. Direction les bâtiments abandonnés des anciennes tuileries. Absolument personne alors que cette météo est idéale pour les promenades. C'est étrange, curieux.

C'est là qu'Estelle me demande de fixer le collier de cuir à son cou. J'y fixe la laisse. Elle s'accroupit pour enlever ses chaussures. Nous sommes en haut des quatre marches d'un vieil escalier. Une large porte béante donne sur l'intérieur d'un des bâtiments de briques rouges. Toujours personne. Parfait. Estelle retire son Levis, sa culotte. Dénoue son anorak. Elle remet ses godasses. Avec ses chaussettes tombant sur ses chevilles. Je trouve cet accoutrement d'un érotisme fou, ici, en ce lieu. Clémentine se touche. Elle aussi est excitée par l'ambiance très particulière qui règne en cet endroit mystérieux. << Attention, je tourne. On improvise ! >> lance Clémentine qui cesse de se toucher pour se concentrer sur la caméra. Je donne un à coup sur la laisse avant de tirer Estelle à l'intérieur.

Je la tire fermement. Moi aussi j'ai dénoué mon anorak. Nos fringues sont soigneusement posés sur un socle de béton à côté de l'entrée. C'est la salle des fours. Il y a de grosses chaînes qui pendent de poulies accrochées à d'énormes poutres métalliques. C'est ici que se pratiquait la cuisson des briques. Par tonnes. J'entraîne Estelle dans le seul four accessible. C'est un cylindre de briques calcinées où peuvent tenir dix personnes sans se bousculer. J'ordonne : << Accroupie ! Mains sur la tête ! >>. Estelle qui est plutôt dominatrice que soumise, s'exécute avec célérité. Pour maintenir son équilibre, elle se cale contre une grosse pièce de béton noirci par des années de cuissons. Je tiens la laisse. Je m'approche. Je frotte mon sexe sur son visage. Elle garde les lèvres serrées. Obstinément.

Clémentine tourne autour de nous. Avec la luminosité extérieure, les grandes fenêtres aux vitres éclatées, la lumière permet de filmer dans de bonnes conditions. Je pince le nez d'Estelle. Pour respirer elle devra ouvrir la bouche. C'est là qu'en parfait salaud, j'enfonce ma queue. Je bande mou. Je tiens Estelle sous son menton, par la nuque. Je me me masturbe d'un mouvement de bassin. Un rythme régulier en disant : << Suce, salope ! >>. Je me comporte comme un véritable pervers. Je devine l'immense plaisir d'Estelle qui tombe à genoux sur le béton en se masturbant. Je m'écrie : << J'ai dit mains sur la tête, salope ! >>. En poussant un râle de dépit, les joues creusées par l'effort de succion, Estelle n'a d'autres choix que de pomper. Clémentine filme sous tous les angles.

Cela fait bien dix minutes que cette situation perdure. Clémentine, trop excitée, pose la caméra dans un renflement de la paroi. Elle peut ainsi se masturber sans contrainte. Soudain, brisant le silence, des voix. Nous cessons pour rester silencieux. Je me retire. Estelle se redresse, se frotte les genoux. Clémentine et moi refermons nos Levis. Comment allons-nous faire avec Estelle à moitié nue ? << Attendez-moi, je vais chercher les fringues ! >> chuchote Clémentine. Estelle, tremblante, se serre dans mes bras. << J'ai froid ! >> murmure t-elle. Du doigt je récupère le foutre qui colle aux commissures de ses lèvres. Je le lui fais sucer. Nous entendons Clémentine parler. Ce sont plusieurs personnes. Des randonneurs. Enfin Clémentine revient avec les vêtements d'Estelle qui s'habille à toute vitesse.

En sortant nous croisons trois couples de séniors. Nous nous saluons. Ils nous regardent d'une étrange manière. Loin de se douter de ce qu'ils viennent d'interrompre. Nous repartons. Nous rigolons comme des bossus de cette aventure délirante. << Moi, j'aurais aimé me faire surprendre ! >> lance Clémentine. << Mais toi tu es exhibitionniste ! >> répond Estelle en chopant ma queue. Nous arrivons à la voiture pour dix huit heures. À la maison pour 18 h15. Clémentine fait l'assaisonnement d'un concombre. Estelle s'occupe des spaghettis. Je prépare les œufs, les champignons, le Parmesan. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre aventure folle. Après le repas, sur l'écran du téléviseur, au salon, nous regardons le film interrompu. Avant de baiser comme des dingues. Couchées sur le bureau, la tête posée sur des coussins, mes deux anges se font sauter, tirer, baiser à la hussarde par un véritable ours en rut.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se font sauter sur le bureau dans un état d'excitation proche de la démence. En hurlant. En se masturbant, en pissant, avant de plonger sous les draps contre leur bienfaiteur. Dans la béatitude qui précède le coma d'une bonne nuit...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Wednesday 21 February 2024 07:41

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 36 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2530 -



Notre "fille de ménage" vient passer la soirée avec nous

Hier matin, mardi, il est aux environs de huit heures trente quand Estelle saisit ma tumescence. C'est à la fois sensuel et excitant. Ses lèvres qui se déposent sur les miennes. J'en éprouve un frisson alors que je n'émerge pas encore vraiment. Je me rends compte qu'elle également agit ainsi encore plus ou moins endormie. Clémentine se réveille à son tour. Mes deux anges se blottissent contre moi. Je passe mes bras autour de leurs épaules pour les serrer fort. Des bisous, des papouilles qui deviennent câlins. L'enchantement paradisiaque du début de nos journées de vacances. Estelle se lève. << Pipi, urgence absolu ! >> s'écrie t-elle en courant vers la porte. Clémentine prend le relai en saisissant mon érection. << Comme c'était bon ce que tu nous as fait avant de dormir ! >> dit elle.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Entre notre chambre à coucher qui n'est pas chauffée et le reste de la maison déjà chaude, le contraste est toujours saisissant. Nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge dans l'agréable douceur de la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Y règnent les suaves odeurs du café, du pain grillé. Comme chaque matin des vacances, je me mets derrière elle, mes bras autour de sa taille, avant de caresser ses seins, son entre jambes. Le contact de la soie de son pyjama est tellement doux. Comme elle est entrain d'allumer la cuisinière à bois ses mains sont occupées. Clémentine presse les oranges, pèle les kiwis. Je place les trois croissants dans le four à micro ondes.

Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur nos aventures dans les bâtiments abandonnées des anciennes tuileries. Nous mangeons de bon appétit en évoquant les images du court film que nous y avons tourné. << C'est vraiment un endroit qui inspire à ce genre de "trucs" ! >> lance Estelle. << On y retournera pour que je puisse également faire "l'actrice" ! >> dit Clémentine. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges font le très vague programme de la journée. Dehors la météo paraît beaucoup moins clémente que ces derniers jours. Un ciel devenu menaçant. Par contre la température à 9 h15 est déjà de 14°. << On va courir ? >> propose Clémentine. C'est une excellente suggestion que nous applaudissons.

La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Pendant qu'Estelle s'habille, Clémentine et moi faisons le lit. Tous les trois en tenues, nous redescendons à toute vitesse. Les K-ways. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur humide. Pas de doute, il va pleuvoir. Le ciel s'obscurcit inexorablement. Nous courons sur le sentier qui longe la rivière. Estelle impose un rythme soutenu. Il est dix heures vingt quand nous revenons après un gratifiant jogging. Et sous les premières gouttes de pluie. Quand Clémentine revient des toilettes alors que je bavarde avec Estelle qui est sous la douche, elle dit : << Put-Hein, mes "petits machins". Mais ça va je n'ai aucune douleur ! >>. Je prépare nos vêtements sur le couvercle de la baignoire. Clémentine et moi prenons la douche à notre tour.

Vêtus tous les trois de nos Levis, de nos épaisses chemises à carreaux nous dévalons les escaliers. Au salon, assises sur mes genoux, mes deux anges allument l'ordinateur. Aucun message. Les filles surfent sur le site de l'université. Aucune information notoire. Clémentine télécharge le film réalisé durant notre randonnée de lundi après-midi. J'invite le lecteur à en découvrir la teneur dans l'épisode précédent. Ainsi Estelle peut le récupérer sur son I-phone. Clémentine l'efface immédiatement, ne laissant aucune trace sur le disque. Nous revoyons les dernières images où Estelle, à genoux, mains sur la tête, me taille une pipe. On entend distinctement les voix des randonneurs qui pénètrent dans la salle des fours. Nos précipitations pour cesser. Estelle encore à moitié nue, affolée.

Nous en rions de bon cœur. << Il faudra faire une suite ! >> dit elle. << Toutes les deux. Caméra en prises de vues automatiques ! >> rajoute Clémentine. Nous quittons le salon pour la cuisine. Pour ce soir, avec la visite de Lise, il est décidé de préparer des lasagnes. Chacun son rôle. La préparation de l'assaisonnement de la salade est le domaine réservé de Clémentine. Une belle laitue dont elle lave les feuilles déjà pour midi. Estelle m'aide à émincer les deux grosses escalopes de dinde, les champignons de Paris, l'ail l'oignon. Les feuilles de lasagne trempées dans l'eau bouillante qui faut ramollir juste ce qu'il faut. Al dente. Je m'occupe des tomates que je tranche avant de les mettre à la poêle avec l'huile d'olive, le persil, la ciboulette. Avec la viande également poêlée.

Clémentine râpe une grosse quantité de gruyère et de Parmesan. Je concocte une Béchamel. Dans le grand plat carré en terre cuite Estelle dépose les premières feuilles de lasagne. J'y verse la Béchamel. Du gruyère. Sur la seconde couche de feuilles, je verse la sauce. Du Parmesan. Ainsi de suite pour sept couches recouvertes d'une épaisse couche de gruyère. Chapelure, graines de sésame grillé, cerneaux de noix. Au four électrique pour laisser mijoter longuement à seulement 140°. Tout est prêt pour ce soir. Nous préparons notre repas de midi. Estelle fait rissoler six gros nems au crabe dans la poêle. Je fais gonfler du riz complet. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Avec cette météo pas de randonnée. C'est un peu tristounet.

Nous avons des courses à faire. Par pur souci logistique. Nous irons les faire à l'hypermarché. Clémentine commence à ressentir de légères crampes dans son bas ventre. L'extrémité de ses seins devient sensible même au contact du coton de sa chemise. Ce qui impose de mettre un soutien gorge pour les protéger. Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, les filles font la liste des achats. Nous prenons tout notre temps. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. La thérapie du docteur Julien est sollicitée. Je pose mes lèvres sur chacun des seins de Clémentine. Je souffle de l'air chaud à travers le tissu de sa chemise. L'effet de soulagement est presque immédiat. Je caresse délicatement son bas ventre, ma main dans son 501 déboutonné. Estelle me palpe la bosse.

Nous redescendons pour enfiler nos blousons d'épais cuir brun. Ceux que nous avons acheté l'an dernier, en septembre, à Édimbourg. Ils ne sont pas seulement très élégants mais tiennent également bien chaud. C'est parti. Je roule doucement sur les vingt kilomètres qui nous séparent du vaste centre commercial. Faire les courses, lorsqu'il pleut, qu'il fait moche, reste une occupation sympathique. Clémentine joue avec ma queue. Elle se penche quelquefois sur sa gauche pour me sucer. << Je prends mes gouttes ! >> lance t-elle à chaque fois qu'elle se redresse. Estelle, assise à l'arrière, regarde le film téléchargé ce matin sur son I-phone. Elle en commente les scènes. Je gare la voiture sur le parking. Nous passons la poignée du caddie au gel hydroalcoolique. Nous enfilons les gants mappa.

C'est une protection. Une habitude vieille maintenant de plus de trois ans. Je pousse le chariot dans les rayons. Estelle me tient par le bras. Nous suivons Clémentine qui nous entraîne. Elle tient la liste des courses, compare les prix, les marques, lit les étiquettes. Il n'y a pas grand monde dans l'hypermarché. Estelle, pas toujours discrète, me palpe la bosse. Comme mon blouson est ouvert, je refuse d'avoir la braguette béante. Ce qui ne l'empêche nullement de me tripoter. Pour me mettre dans l'embarras autant que par jeu. Nous flânons même dans les rayons qui ne nous concernent pas. Le chariot se remplit de papier cul, de papier absorbant, de barils de lessives, d'éponges, de produits d'entretien et autres serviettes périodiques. De protèges slips et de crèmes dentifrices.

<< Je te suce ! >> murmure Estelle à plusieurs reprises quand nous nous retrouvons tous les trois seuls dans une allée. << Dans une cabine d'essayage par exemple ! >> suggère Clémentine. Nous nous rendons dans le rayon des vêtements hommes. Il y a là six cabines d'essayage qui forment un petit couloir. C'est dans celle du fond, à droite, que je me fais tailler une authentique pipe des familles alors que Clémentine surveille. Parfois elle écarte le rideau pour regarder, me faire un clin d'œil. La jeune fille responsable du rayon arrive. Nous l'entendons demander : << Je peux vous renseigner ? >>. Clémentine explique. Je laisse aux lecteurs d'imaginer la tête que fait la jeune employée en voyant un couple sortir de la cabine. << Non, ce n'est pas mon papa ! >> lance Estelle. Nous rions aux éclats.

Nous passons en caisse. Nous flânons dans la galerie commerciale. Un chocolat chaud dans un des deux salons de thé. C'est insolite quand il y a si peu de clients. Nous avons toute cette immense surface rien que pour nous. Nous faisons les boutiques. Il y a un magasin de meubles. Là, je me retrouve bite à l'air. Estelle, accroupie, entrain de pomper. Clémentine qui fait le guet. Nous reproduisons à trois reprises. À chaque fois plusieurs minutes. C'est absolument génial. Quand l'une surveille, l'autre suce. Il est dix huit heures quand nous revenons à la maison. Le temps de ranger les courses il est déjà l'heure de préparer la table. Les lasagnes réchauffent dans le four à bois. Le portail est resté ouvert. Trois coups de sonnettes. Clémentine se précipite pour aller accueillir Lise.

Estelle, accroupie devant moi, nous nous faisons surprendre ainsi. C'est évidemment une volonté délibérée. Une mise en scène prévue depuis l'hypermarché. Et puis nous sommes tous les trois considérablement excités. Par contre, ma braguette reste fermée. Lise entre dans la cuisine. Elle paraît encore plus juvénile que les samedis matins. Si nous ne savions pas que cette jeune fille a dix neuf ans, nous serions certains d'avoir affaire à une adolescente nubile. Elle a un grand sourire. Pas du tout timide. Elle contourne la table pour venir nous serrer les mains. Elle fixe ma braguette avant de me lancer un regard par en-dessous. Extrêmement significatif. Les présences de Clémentine et d'Estelle rendent toutes ces situations possibles. C'est rassurant pour une jeune fille invitée à manger.

Le plat de lasagnes est divinement délicieux. Nous bavardons. Les filles parlent de leurs études. Lise est en première année de préparation au BTS commerce. Elle aussi a d'amusantes anecdotes à raconter. Nous découvrons une jeune fille pleine d'humour. Ses cheveux courts, auburns, ses tâches de rousseurs sont autant de charmes supplémentaires. Nous traînons à table. La conversation s'axe doucement sur les choses ayant trait au sexe. Une préoccupation que semble partager Lise. Elle nous raconte s'être séparée de son mec juste après les fêtes de fin d'année. << Tu l'as remplacé par un sextoy ? Un "womanizer" ? >> demande Estelle. << Oui, je vous le montre ! >> répond Lise en présentant l'index et le majeur de sa main gauche. Elle précise : << Je suis gauchère ! >>. Nous rions.

Nous débarrassons pour tout mettre dans le lave vaisselle. C'est au salon que nous prenons le dessert. Je suis entre Estelle et Clémentine, assis dans le canapé. Lise est installée dans le fauteuil qui nous fait face. La conversation reste à présent axée sur le sexe. Il s'avère que Lise n'a eu que très peu de relations sexuelles avec son ex petit copain. << Pas génial. J'aime quand ça dure et quand c'est dur ! >> lance t-elle, espiègle en observant nos réactions. Estelle pose sa main sur ma braguette fermée mais déformée par l'énorme bosse que Lise y devine en la fixant ostensiblement. Il a été décidé que nous en resterions à de simples actes démonstratifs. Aucune exhibitions. Clémentine a proposé dès l'après-midi de tester les réactions de notre invitée. De ne surtout rien brusquer. Et de lui tendre la perche en quelque sorte. << Si elle manifeste le souhait d'aller plus loin, nous lui en laissons l'entière initiative ! >> a précisé Clémentine.

Une expérience qui s'avère concluante. Estelle finit par demander : << Et à part baiser, tu as déjà sucé ? >>. Lise reste un instant silencieuse. Hésitante. Nous restons suspendus à ses lèvres. << Jamais ! >> lance t-elle soudain en brisant le silence. << Nous, on en raffole ! >> dit Clémentine. Lise regarde Estelle et Clémentine. Veut-elle en savoir davantage ? C'est volontairement que nous ne posons aucune autre question. C'est Estelle qui conclue : << Julien adore ça ! >>. Lise m'observe. Silencieuse. Ses yeux plongés dans les miens comme pour lire dans mes pensées. 22 h. Nous raccompagnons Lise jusqu'à sa voiture, sous le parapluie. Assise au volant, la vitre baissée après nous avoir dit << Au revoir ! >> elle rajoute : << Je peux la gouter vendredi soir ? >>. Elle démarre.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines "allumées" et "échaudées" par cette visite qui se partagent la bite juteuse du docteur Julien en le félicitant pour sa grande discrétion. Pour sa retenue...

Julien (le docteur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Thursday 22 February 2024 07:40

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 37 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2531 -



Danièle vient nous livrer en début d'après-midi

C'est un peu notre heure biologique durant les vacances. Huit heures trente, hier matin, mercredi quand Estelle se frotte contre moi. En saisissant mon érection naturelle elle murmure à mon oreille : << J'ai fait un rêve très cochon ! >>. Ce qui ne tombe pas dans l'oreille d'une sourde car Clémentine se réveille à son tour. << Raconte ! >> dit elle dans un gémissement en venant se blottir. << Je faisais pipi debout dans un arrêt de bus ! >> confie Estelle. Nous en rions de bon cœur quand Clémentine précise : << Mais on le faisait pour de vrai, le soir en rentrant du lycée, tu te rappelles ? >>. J'écoute cette conversation totalement surréaliste alors que j'émerge en bandant comme le dernier des salauds. Et là, ce n'est plus seulement une turgescence physiologique, biologique mais l'excitation.

Estelle se lève en s'écriant : << Et là je vais aller faire pour de vrai mais assise ! >>. Nous rions en la regardant se précipiter vers la porte dans son pyjama de soie mauve. Clémentine me dit : << Cette fois, mes "petits machins", ça se passe vraiment très bien. Je n'ai pas mal au ventre, pas de crampes. Juste mes seins qui sont hyper sensibles et parfois douloureux ! >>. Je pose mes lèvres sur chacun de ses seins minuscules mais aux extrémités étonnamment dures. À travers le fin coton de son T-shirt de nuit, je souffle de l'air chaud. << Mmhh docteur, ça fait un bien fou ! >> murmure t-elle en saisissant mon sexe qui ramollit doucement. J'aime quand elle malaxe entre ses doigts la peau de mon prépuce. C'est une sensation très agréable. Indéfinissable. C'est à notre tour d'aller aux toilettes.

J'y laisse Clémentine toute seule à ses "affaires" pour me rendre à la salle de bain. Je l'attends après avoir revêtu mes habits de sport. Elle vient me rejoindre en précisant : << C'est génial quand mes règles se passent sans douleurs ! >>. Une fois vêtue comme moi, elle me saute au cou pour frotter son bas ventre contre le mien. << C'est bon ça aussi, hein ! >> fait elle. Je confirme. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Tout est déjà prêt sur la table. Les délicates odeurs du café, du pain grillé. Estelle vient d'allumer la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant la soirée avec Lise. << C'est une bonne idée d'être resté dans l'écume des choses. La balle est dans son camp, la suite va peut-être réserver des surprises ! >> fait Clémentine.

<< Elle a bien précisé qu'elle revenait vendredi soir pour "gouter" ! >> lance Estelle. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la venue de Danièle en début d'après-midi. Elle vient nous livrer la viande. Dinde et poulet de son élevage. << Je suis impatiente de voir ! >> s'exclame Estelle. << Ce qui est normal pour une voyeuse ! >> lance Clémentine. Nous rions. Qu'il est agréable de pouvoir prendre tout son temps. Nous traînons à table. Les filles assises sur mes cuisses, leurs bras autour de ma taille, de mon cou. Il pleut. Il n'y aura pas de jogging en plein air ce matin. Nous le déplorons. Courir en extérieur reste quand même notre préférence. Il faudra se contenter de courir sur nos tapis roulants, à l'étage. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns.

Pendant qu'Estelle se met en tenue sport, nous recouvrons le lit. La chambre n'étant pas chauffée, nous nous sauvons en courant. Dans la salle d'entraînement pas de chauffage non plus. Ce sont les mouvements aérobics qui permettent de s'échauffer. Le jogging sur les tapis roulants. Estelle adore faire du vélo ergométrique. Les exercices au sol. Entre mes deux anges. Estelle qui me touche un instant avant chaque changement de position. Les ciseaux avant, quand je suis en appui sur mes coudes, ont sa préférence. La bosse que fait mon sexe sous le lycra de mon legging est une trop grande tentation pour ma coquine. Nous passons aux charges additionnelles. Estelle préfère les machines aux barres et aux haltères. Là, il faut se concentrer. C'est une des choses les plus difficiles.

Les étirements consciencieux d'un stretching qui permet un retour au calme tout en douceur. Estelle prend sa douche la première en revenant sur son rêve érotique. Nous disposons les vêtements que nous allons mettre sur le couvercle de la baignoire. C'est à notre tour. Habillés de nos jeans, de nos chemises à carreaux, baskets, nous dévalons les escaliers jusqu'au salon. Quand le temps est aussi lugubre, il règne dans toute la maison une pénombre qui entoure les lieux de mystères. Assises sur mes cuisses, les filles allument l'ordinateur. Trois courriels. Un message de Juliette qui confirme sa venue en soirée. Un mail de Lise qui nous remercie pour le repas la soirée en notre compagnie. Elle s'excuse. Elle ne pourra pas revenir vendredi soir. Nous nous reverrons samedi matin.

Un courriel de Danièle. Elle sera là pour 14 h. C'est Clémentine qui répond. Estelle relit à voix haute. Je caresse ses seins. Clic sur "envoi". Estelle et Clémentine se rendent sur le site de l'université. Il y a enfin les informations attendues. Le programme de la seconde partie de ce second trimestre. Principalement axé sur l'expression orale, la présentation et le développement d'un concept devant un auditoire. Elles se réjouissent toutes les deux. Il va être onze heures trente. Nous quittons le salon pour la cuisine. Il y a les restes de lasagnes à réchauffer. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de carottes. Estelle met les assiettes, les couverts. Pour le repas de ce soir, ce sera un gratin de choux fleurs. Estelle descend à la cave, dans le cellier, pour le chercher. Nous la rejoignons en courant.

Du congélateur nous sortons une pâte feuilletée. Afin de la mettre dans le bas du réfrigérateur pour la tourte aux poireaux de demain. Estelle fourre sa main dans ma braguette ouverte en disant : << Il fait toujours bien chaud là dedans ! >>. Nous remontons. Je coupe les branches du choux fleurs pour les laisser tremper dans l'eau vinaigrée. Estelle râpe une grosse quantité de gruyère. Je concocte une sauce au Roquefort. C'est sublime avec un gratin de choux fleurs. Estelle prépare le mélange œuf, crème fraîche, lait de soja. Nous laissons nos préparations pour prendre notre repas. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Danièle devra nous laisser vers 15 h. L'exploitation agricole et l'élevage de volailles qu'elle dirige avec son mari imposent la rigueur d'un emploi du temps serré.

Estelle se lève à plusieurs reprise pour mimer une masturbation masculine. Avec cette vulgarité surréaliste dont elle est coutumière. Je me lève pour agiter ma queue toute molle. "L'hélicoptère" qui les fait rire. Dès le repas terminé, nous nous mettons à la préparation de celui de ce soir. J'égoutte le choux fleurs ébouillanté dans l'autocuiseur. Je le mets dans le grand plat carré en terre cuite. Estelle verse dessus le liant d'œuf et de crème fraîche. Clémentine recouvre d'une copieuse couche de gruyère. De la chapelure. Des graines de sésame grillé. Je dispose des cerneaux de noix en trois carrés parallèles aux bords du plat. C'est beau. Estelle met le plat dans le four électrique. Le gratin de choux fleurs va y mijoter longuement à 160°. Piloté par thermostat. Il nous reste à faire la vaisselle

Nous montons nous laver les dents. Faire les clowns devant le miroir de la salle de bain est une autre de nos spécialités. Estelle me sort la bite en disant : << Il faut préparer l'engin ! Il va peut-être servir cet après-midi ! >>. Nous rions de bon cœur quand Clémentine précise : << Avec nous deux, c'est certain, il va servir ! >>. Nous redescendons en nous tenant par les mains. Arrêts bisous toutes les quatre marches. Le gout de l'eucalyptus de la crème dentifrice. Une saveur délicate qui donne à nos baisers une saveur particulière. Nous allons au salon. La pluie ne cesse de tomber, le ciel est bas et sinistre. Estelle allume une belle flambée dans la cheminée. Pendant que je souffle de l'air chaud sur l'extrémité des seins de Clémentine. À travers l'épais coton de sa chemise à carreaux.

Entre mes deux anges que je tiens par la taille, devant une des deux portes fenêtres, nous regardons cette météo déplorable. << Cette année, j'ai l'impression que l'hiver n'en finit plus ! >> dit Estelle. << Et il reste encore un mois avant le printemps ! >> rajoute Clémentine. Je commence à bander dans la main d'Estelle qui n'arrête pas de me tripoter. << Dis donc mon salaud, tu bandes drôlement fort aujourd'hui ! >> lance t-elle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. << Vous savez qu'on se ferait chier comme des rats morts avec ce temps si nous n'étions pas membres du club des dépravés ! >> lance Clémentine en se serrant contre mon dos, ses bras autour de ma taille. Estelle cesse de fouiller ma bouche de sa langue exploratrice pour répondre : << Ce serait mortel ! >>

Nous allons dans le hall d'entrée pour ouvrir le portail depuis l'interphone. Il est 13 h50. Danièle est ponctuelle dans ses livraisons. D'ailleurs à peine sommes-nous dans la cuisine à surveiller la cuisson du gratin que Clémentine s'écrie : << La voilà ! >>. C'est par une des deux fenêtres où nous nous précipitons que nous voyons la camionnette blanche se garer derrière le Kangoo d'Estelle. Sous la capuche de son ciré rouge, chaussée de bottes en caoutchouc, nous la voyons courir pour traverser le jardin en portant un petit cageot. Nous accueillons Danièle dans le hall. Je la débarrasse de son colis. Estelle récupère son ciré pour l'accrocher au porte manteaux. Danièle retire ses bottes en disant : << Mais quel temps ! C'est un déluge ! >>. Clémentine lui propose des mules chaudes.

<< Je préfère rester en grosses chaussettes, comme à la maison ! >> précise la jeune femme. Ces cheveux auburns, sa coupe à la garçonne, ses discrètes tâches de rousseur pourraient la faire passer pour la maman de Lise. Elle retire son gilet. Elle a minci depuis l'automne. Je le lui fais remarquer. Ce qui flatte toujours une femme. Souligner ce point précis est comme un cadeau. << Avec tout le boulot, c'est comme si j'avais un entraînement pour les jeux Olympiques ! >> répond Danièle. Clémentine l'invite à nous suivre au salon. Je suis entre mes deux anges, vautrés tous les trois dans le canapé. Danièle assise dans le fauteuil qui nous fait face. Estelle se lève pour aller chercher la cafetière. << Enfin au calme. Au repos ! >> lance Danièle en savourant les petits gâteaux secs.

Estelle tord ma queue dure dans tous les sens alors que nous bavardons. Danièle, amusée, parle de ses livraisons du matin, de ses commandes à prendre l'après-midi, de ses travaux agraires, de la culture et de la récolte des légumes qu'elle propose à la vente. Le mardi et jeudi matin aux marchés des deux bourgs. << Mais je ne suis pas venue pour parler boulot ! >> lance t-elle soudain en se redressant pour fixer ma queue dure comme le bois. Estelle la tient à présent à sa base en demandant : << Vous êtes venue pour ça, non ? >>. Danièle joue l'étonnement. Elle répond : << Comment as-tu deviné ? >>. Quand nous en arrivons au tutoiement, c'est toujours l'ouverture d'une "porte". << Les jeux Olym-Pipe ? Julien se prétend gardien de pute à l'Olym-Pipe de Marcelle ! >> lance Estelle. Danièle se lève, contourne la table basse pour venir s'accroupir entre mes jambes écartées. Le silence. Estelle, Clémentine et moi retenons notre souffle.

<< Depuis le temps que tu me tentais avec ton "machin" espèce de salopard ! Tu n'as pas honte de montrer ta bite aux femmes qui viennent dans ta propriété ? >> fait Danièle en articulant chaque mot. Comme pour affirmer la signification de chacun d'entre eux. Nous restons silencieux. Je ne sais quoi répondre. Totalement pris au dépourvu. Estomaqué quand Danièle saisit mon chibre pour l'agiter sous son nez. << Ce que j'aime ce sont les odeurs ! >> précise t-elle. << Toi aussi tu aimes quand ça sent fort ? >> demande Estelle. << Oui, quand j'étais petite, dans la ferme de mes parents, j'allais sentir les cochons dans la porcherie. On élevait chaque année quatre gros porcs. Pour notre consommation mais aussi pour la vente sur les marchés ! >> répond Danièle en humant mon Zob comme si c'était une fleur ou encore une pâtisserie. Clémentine se couche sur le côté, en appui sur son coude pour mieux voir. Estelle fait la même chose.

Toutes les deux, le visage tout près de celui de Danièle, elles regardent cette dernière gober la peau fripée de mon prépuce qu'elle maintient tirée vers le haut. Un frisson parcourt soudain tout mon corps. Une décharge électrique le long de ma colonne vertébrale. Ma colonne verticale dans la bouche de cette jeune femme étonnante. Estelle lève la tête, les yeux, pour regarder mes expressions. Clémentine fait de même. Elles sont au spectacle. Nous observons cette scène extraordinaire. J'essaie de saisir ce paradoxe fou dans son intégralité. Cette femme qui vient nous livrer chaque samedi matin, à qui je montre ma bite, est là, entrain de me la sucer avec une passion "dévorante". Ses joues creusées par l'effort de succion, émettant de petits gémissements de ravissements. Le bruit bulleux du jus de couilles qu'elle pompe avec gourmandise. << Tu te régales ? >> murmure Estelle, son visage tout près de celui de la sublime gourmande.

Danièle cesse pour répondre : << Je suis folle de la pipe ! >>. Elle y retourne immédiatement. << Nous aussi ! >> chuchote Clémentine qui a son visage si près de celui de Danièle qu'elle pourrait le toucher. Je passe l'extrémité de mes doigts dans le creux de ses joues. La jeune femme cesse pour dire : << On ne touche pas. On regarde ! >>. Je retire immédiatement mes doigts. Les filles me regardent avec interrogation. Je sens l'ébullition gagner mes couilles. Le gargouillis du foutre dans la bouche de ma pompeuse. Sans bouger, en sournois, j'éjacule. Danièle se retire pour lancer : << Tu pourrais prévenir espèce de salaud ! >>. Elle essuie le bas de son visage que je suis entrain de maculer de mes giclées. << Tu n'aimes pas le sperme ? >> demande Estelle. << Non, j'aime ce qui vient avant et ce qui vient après ! >> répond la jeune femme. En se redressant, droite sur ses genoux. Elle se relève en disant : << Voilà ! Tu le sais pour la prochaine fois, espèce de porc ! >>

J'ai compris le message. Pas d'éjaculations buccales pour la dame. Elle prend un petit gâteau qu'elle croque en disant : << Je n'aime vraiment pas le gout du sperme, par contre j'adore ce qui vient avant ! >>. Cette précision, martelée pour la seconde fois, est un message clair. Estelle se goinfre un peu de tout ce qu'elle peut encore tirer de mes couilles, du reliquat de jus dans la bite. Clémentine se lève à son tour en disant : << C'est bon à savoir ! >>. Danièle conclue : << Oui, pour la prochaine fois ! >>. Estelle cesse de me vider complètement le fond de cuve pour se lever à son tour. Elle demande << Il y aura donc une prochaine fois malgré tout ? >>. Danièle, se dirigeant vers la porte s'empresse de répondre : << Et comment ! Ça fait bien deux ans que je n'ai plus sucé de mecs ! >>. Clémentine demande : << Et tu suces quoi alors ? >>. Danièle éclate de rire. Nous la raccompagnons jusque dans le hall d'entrée. Il va être 15 h.

<< On se voit samedi matin ? >> lance Danièle en revêtant sa cape de pluie. En remettant ses bottes. Je suis un peu confus. Avec la bite toute molle dans la main d'Estelle. Je dis : << Vous m'excuserez madame, je ne le ferai plus ! >>. Elle me fait un merveilleux sourire avant de répondre : << N'en parlons plus. En tous cas merci pour l'accueil et se moment. C'était "extra" ! >>. Nous la regardons s'enfuir sous la pluie jusqu'à sa camionnette. Un dernier coucou. Nous refermons la porte. << Curieux de tailler des pipes sans aimer le sperme ! >> lance Estelle en me tirant par la queue pour retourner au salon. << Chacune ses gouts ! >> précise Clémentine avant de rajouter : << Moi j'en raffole ! >>. Estelle s'exclame : << Moi aussi mais pas tout le temps comme toi ! >>. Nous rions.

Nous revêtons nos blousons d'épais cuir brun. Nous chaussons nos bottines. C'est sous le parapluie que nous allons jusqu'au garage. J'en sors la voiture. Je roule doucement jusqu'au bourg. Arrivés devant la maison d'Estelle nous passons par la cave. Ses parents n'étant pas là, nous montons directement dans sa chambre. Elle y récupère quelques affaires. J'aime sa chambre. Elle est grande, spacieuse, au premier étage de la maison familiale. Le lit est large, l'armoire, le bureau, la table de nuit, la commode, le fauteuil. Toutes les peluches un peu partout. Des nounours surtout. Nous restons là, devant l'ordinateur une bonne partie de l'après-midi. << Ça va, tes couilles sont à nouveau remplies pour ce soir ? >> me demande t-elle en tordant ma queue, me faisant tomber sur le lit.

Il est dix huit heures trente quand nous revenons à la maison. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de tomates. Estelle surveille le gratin de choux fleurs dans le four à bois. Je réchauffe la sauce au Roquefort. Du bruit. C'est Juliette. Le bruit des talons de ses bottines dans le couloir. Toute heureuse de nous revoir elle se précipite pour nous embrasser. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Juliette ne voit pas souvent Estelle. Aussi c'est surtout à elle qu'elle s'adresse. Nous en arrivons rapidement à nos préoccupations pour les choses du sexe. Juliette nous propose une "soirée branle", chez elle, vendredi soir de cette semaine ou de la semaine prochaine. << Avec surprise ? >> demande Clémentine. << Selon ton souhait Clémentine ! >> répond Juliette. << Alors avec ! >> lance Clémentine. Juliette devra nous laisser pour 22 h. C'est au salon que nous prenons le dessert en bavardant. Juliette voyeuse. Estelle tordant ma queue.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment exhiber le chibre de leur coquin devant les invitées. Avant de s'en prendre plein la bouche sous les draps. Prélude à un bon dodo. Demain, il n'y a pas école. C'est les vacances...

Julien (propriétaire du chibre)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Friday 23 February 2024 07:39

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 38 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2532 -



Notre couple à trois

Hier matin, jeudi, il est aux environs de huit heures trente. Je suis entre mes deux anges. Serrées contre moi, elles bougent en même temps. En gémissant elles se blottissent encore plus fort. Estelle saisit ma turgescence toute naturelle. C'est émouvant quand elles posent leurs lèvres sur mes joues. Comme une chorégraphie labiale coordonnée. Je passe mes mains dans les culottes. Mes doigts, tels les dents d'un peigne, démêlent quelques nœuds. C'est ainsi que nous émergeons. Estelle se lève comme mue sur ressort en s'écriant : << Si je ne vais pas faire pipi, j'inonde le lit ! >>. Elle se précipite vers la porte en rajoutant : << Je vous attends en bas ! >>. Clémentine me chevauche en me confiant que cette nuit elle a été réveillée plusieurs fois par des contractions de son ventre.

C'est le second jour de ses règles. Je masse délicatement son bas ventre. Je souffle de l'air chaud sur les extrémités dures de ses seins minuscules. << Mmhh, docteur. Vos soins soulagent ! >> murmure t-elle. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. J'y laisse Clémentine toute seule pour l'attendre dans la salle de bain. Vêtus de nos tenues sports, nous dévalons les escaliers. Les effluves parfumées du café, du pain grillé flottent dans la cuisine. Estelle allume la cuisinière à bois. Je viens caresser ses seins par derrière. Le contact de la soie m'enivre tout autant que celui de son entrejambes. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les évènements de la veille. La visite et la fellation de Danièle en début d'après-midi. La visite et les propositions de Juliette en soirée. Nous développons.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de cette nouvelle journée. Dehors, c'est la pluie. Une température de 10°. Un climat pitoyable. << Pas de chance pour ces vacances question météo ! >> précise Clémentine. Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de ma taille, de mes épaules, les filles font quelques suggestions d'activités pour l'après-midi. Cette météo interdit l'idée même d'une randonnée. << On va en ville, on se fait le musée des Beaux-Arts ! >> propose Clémentine. << Ah oui. On fait nos salopes ! >> s'écrie Estelle en glissant une main entre mes cuisses. Palpant la bosse de mes bourses. La vaisselle. Qu'il est agréable de pouvoir prendre tout son temps. Nous remontons nous laver les dents, nous livrer à l'entraînement.

Les échauffements aérobics dans notre salle pas chauffée. Estelle alterne le jogging sur tapis roulants avec le vélo ergométrique. Ça réchauffe considérablement. Les exercices au sol. Pour Clémentine ils agissent comme des massages internes qui soulagent les inconvénients de ses viscères. Les charges additionnelles. Le retour au calme avec les étirements consciencieux d'un bon stretching. Pendant qu'Estelle prend sa douche la première, nous recouvrons le lit, refermons une des deux portes fenêtres. Nous emmenons nos vêtements dans la douce chaleur de la salle de bain. C'est à notre tour d'aller sous la douche. Habillés tous les trois de nos paires de jeans, de nos sweats, baskets, nous redescendons en nous tenant par les mains. Arrêts bisous toutes les quatre marches. C'est si bon.

Au salon, assises sur mes cuisses, mes deux anges allument l'ordinateur. Estelle a un courriel de ses parents qui nous rappellent que nous sommes invités dimanche pour le repas de midi. Nous avons deux mails. Le premier de Danièle qui nous remercie "pour tout". Le second de Juliette qui fait de même. J'aime caresser leurs seins pendant que mes deux anges répondent aux courriers. Pendant qu'elles surfent sur le site de l'université. Surtout qu'il y a de nouvelles informations. Des précisions quand au programme de la semaine prochaine. C'est une semaine qu'elles considèrent toutes les deux comme un prolongement des vacances puisque c'est depuis la maison, en télé travail, qu'elles suivront les cours. << C'est génial. Juste quelques heures chaque jour ! >> lance Clémentine.

Il va être onze heures quinze. Nous quittons le salon pour la cuisine. La pâte feuilletée sortie du bas du réfrigérateur ce matin est à température. Estelle en étale les deux tiers dans le grand plat à tarte carré. Nous descendons tous les trois à la cave. Dans le cellier où nous récupérons les deux gros poireaux. << En parlant de poireau, le tient ne prend pas encore l'air dis donc ! >> me fait Estelle en fourrant sa main dans ma braguette ouverte. << C'est vrai ça ! Que se passe t-il au fond de ce garde manger ! >> rajoute Clémentine. Je suis là, debout devant les étagères en bois, à me faire tripoter le chibre comme pour une visite médicale. Nous remontons en riant. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de tomates. Estelle râpe du gruyère. Je lave et je coupe les poireaux.

Je concocte la Béchamel dans laquelle Estelle verse la totalité du gruyère. De la noix de muscade, du paprika doux. Je presse deux grosses gousses d'ail. << Vous savez que des imbéciles se privent de ce médicament naturel et préventif qu'est l'ail, juste à cause l'haleine que ça dégage à la digestion ! >> lance Estelle. << Nous vivons des temps de bêtises. Les imbéciles s'adaptent à leurs conditions ! >> répond Clémentine. Nous en rions. J'égoutte les poireaux de leur eau bouillante pour les déposer sur le fond de tarte. Estelle verse la Béchamel sur le tout. Clémentine recouvre du dernier tiers de pâte feuilletée. Elle jointe l'ensemble. Estelle badigeonne le mélange œuf, lait de soja et moutarde sur le dessus. Je place dans le four électrique pour laisser mijoter à 160°. Notre tourte aux poireaux pour ce soir. La Flamiche Picarde.

Pour le repas de midi, il suffit de réchauffer les restes du gratin de choux fleurs. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos projets de l'après-midi. Malgré cette météo médiocre, mes deux anges proposent de s'habiller élégamment. << On va faire nos salopes ! >> répète Estelle. << J'en ai besoin, c'est une thérapie anti bobo quand j'ai mes "petits machins" ! >> dit Clémentine. Nous traînons à table. Le café, les coupes glacées avant de faire la vaisselle. Nous montons pour choisir les vêtements. Comme la fraîcheur de la chambre est dissuasive, nous ramenons le tout à la salle de bain. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres devant le miroir. Avant de nous changer. Les filles portent leurs jupes kilts à carreaux rouges et verts. Discrets. Chemisiers couleurs crèmes.

Un pull bleu nuit au col en "V". Porte jarretelles et bas noirs pour Clémentine. Collants noirs pour Estelle. Leurs bottes noires à talons. Sur leurs demandes je porte un pantalon noir à plis et à pinces. Une chemise blanche sous un pull noir au col en "V". Mes bottines noires. Nous prenons des poses devant le grand miroir ovale. << Je n'arrive pas à faire le distinguo entre la pute et la bourgeoise quand je me vois dans le miroir ! >> lance Clémentine. << Le savant mélange des deux ma chère ! >> s'exclame Estelle. En posant sa main sur ma bosse elle me demande : << Qu'en pense notre débauché ? >>. Je réponds : << La compagnie de deux merveilleuses salopes me convient parfaitement. Qu'elles soient bourgeoises ou putes ! Je m'ennuierais à mourir dans le cas contraire ! >>

Nous rigolons comme des bossus en dévalant les escaliers. Nous revêtons nos manteaux noirs et nous nous coiffons de nos chapeaux feutres. Un de ceux que je porte sur le petit avatar avec ma fausse moustache. Nous prenons une fois encore des poses devant le grand miroir de la penderie dans le hall d'entrée. Nous admirons nos élégances raffinées. La pluie a cessé. Nous emmenons tout de même le grand parapluie. Je sors la Mercedes. Je roule doucement sur les vingt cinq kilomètres qui nous séparent de la ville. Clémentine joue avec ma queue. << Je prends mes gouttes ! >> dit elle à chaque fois qu'elle se redresse après m'avoir sucé quelques instants. Estelle, assise à l'arrière, caresse mes joues, mon cou en évoquant le télé travail de la semaine prochaine. Ce qui la préoccupe un peu.

Je gare la voiture dans la petite rue habituelle. Comme il ne pleut pas nous pouvons nous diriger vers les premières rues piétonnes sans hâter le pas. Mes deux anges accrochées à mes bras. Le musée des Beaux Arts est une grande bâtisse composée de deux bâtiments de style Haussmannien. L'un présente la collection et les œuvres "classiques", l'autre des expositions temporaires et la peinture contemporaine. L'entrée est gratuite. Il y a des visiteurs. Nos hautes tailles, notre élégance et ces deux sublimes jeunes filles aux bras d'un homme d'âge mûr, attirent encore tous les regards. C'est le quidam solitaire que chassent mes deux anges. Clémentine aimerait s'offrir une exhibe de haute qualité. Nous connaissons parfaitement les lieux et les salles qui se prêtent à nos jeux. Hors caméras.

Il y a un monsieur très élégant lui aussi qui prend des notes devant une toile de Jan Steen. Un des Maîtres Hollandais du dix septième siècle présentés dans cette salle. L'homme a des cheveux gris, presque blancs, attachés en catogan, comme les miens. Un long manteau noir qui lui confère un air aristocrate. Il ne prête aucune attention à notre présence. Une jeune femme rousse vient le rejoindre. Dommage. Est-ce son père ? Elle repart après lui avoir glissé quelques mots en anglais, tenant un gros appareil photo. << La victime potentielle idéale ! >> murmure Estelle. << Exactement ! >> chuchote Clémentine. Estelle m'entraîne par le bras. Nous restons à l'angle de l'autre salle destinée aux Maîtres Flamand de la même époque. Un autre quidam fait son apparition. En tenue plus "relax". Plus jeune aussi.

Clémentine a repéré cet inconnu qui vient lui aussi photographier quelques tableaux. À côté du socle sur lequel est posée le buste supposé de Rembrandt, elle s'accroupit en fouillant dans son petit sac en cuir noir. Quand le visiteur se dirige vers cette partie de la salle, il découvre la scène. Bien évidemment, Clémentine qui ne laisse rien au hasard a anticipé la situation. La tête baissée, son visage ainsi dissimulé par son chapeau, elle écarte ses cuisses avec cette indécence folle qui me fait bander instantanément. << Cette salope est capable de pisser là, devant ce type ! >> me chuchote Estelle. Il faut être extrêmement prudent car une gardienne en uniforme noir fait parfois les cent pas d'une salle à l'autre. Celle-ci fait penser à une gardienne de prison, austère, ses cheveux coiffés en chignon.

Nous restons surpris. L'inconnu ne semble absolument pas déstabilisé. Tranquillement il prend quelques photos. L'anonymat de Clémentine préservé par son chapeau feutre et son visage baissé. Sa culotte est restée dans la boîte à gants de la voiture. La gardienne se pointe en toussotant. Pas de doute, elle a compris ce qui se passait là. Clémentine se redresse instantanément pour marcher d'un pas rapide vers la sortie. Elle vient nous rejoindre. Nous lui racontons que le mec a pris plusieurs photos. Ce qui la réjouit puisqu'elle ne sera pas reconnaissable. Par contre, nous avons éveillé l'attention de la gardienne qui reste maintenant continuellement à proximité. << Salope ! >> murmure Clémentine. << Voyeuse ! >> surenchérit Estelle. Nous ne nous attardons pas. Nous voilà à l'extérieur.

Notre salon de thé préféré, à l'étage, où il y a peu de clients. Deux visites dans les toilettes hommes avec chacune de mes deux anges. Enfermés dans un des cabinet, je pénètre Estelle quelques minutes. Nous sommes passés maîtres dans la "baise en chiottes". Quand Clémentine m'y entraîne à son tour c'est pour "prendre ses gouttes". Nous flânons en ville. Il ne pleut pas. Nous errons dans les rues piétonnes. Il y a des recoins que nous connaissons bien dans les venelles. Mes mains sous leurs jupes à caresser leurs sexes. Leurs mains qui palpent l'érection déformant la braguette de mon pantalon noir. << Put-hein ce soir on baise ! >> s'écrie Estelle quand nous montons l'escalator de la FNAC. Il est dix neuf heures quand nous sommes de retour. Un délicieux repas nous attend. À réchauffer.

Bonne faim de soirée à toutes les coquines qui vont se régaler d'une bonne Flamiche Picarde. Avant de se faire sucer le clitoris pour l'une, et de se faire tringler à la hussarde pour l'autre. Dans la stéréophonie d'un concerto de cris, de hurlements et de râles de jouissances...

Julien (le hussard)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Saturday 24 February 2024 07:31

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 39 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2533 -



Qu'il est agréable de prendre son temps

En ce vendredi matin, le sommeil nous emmène jusqu'aux environs de huit heures trente. Estelle, accrochée à moi toute la nuit, telle une désespérée, se blottit encore plus fort en saisissant ma tumescence. Passant une cuisse sous la mienne, l'autre posée sur sa main qui joue avec mon érection naturelle, elle se frotte. Un peu comme elle le fait avec un des épais coussins du canapé, lorsque nous nous amusons au salon. Tout cela réveille Clémentine qui vient elle aussi se blottir. Je suis entre mes deux anges dans un enchantement paradisiaque. Nous émergeons ainsi lentement. Nous étirant en poussant des gémissements que nous modelons jusqu'à l'absurde en riant. Estelle, pressée par un impérieux besoin de pisser, se lève pour courir vers la porte en s'écriant : << Pipi ! Vite ! >>

Clémentine m'attire sur elle alors que je masse délicatement son bas ventre, que je souffle de l'air chaud à travers le fin coton de son T-shirt de nuit. Sur l'extrémité de chacun de ses seins congestionnés. C'est le troisième jour de ses règles et cette fois ça se passe plutôt bien. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Je laisse Clémentine s'occuper de ses "affaires intimes". Je l'attends à la salle de bain où je me vêts de ma tenue sport. Elle me rejoint pour se vêtir de la même façon. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Flottent les suaves parfums matinaux du café, du pain grillé et du feu qu'elle est entrain d'allumer dans la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures en ville, au musée au salon de thé.

Nous mangeons de bon appétit en nous promettant une récidive. Il ne pleut plus et le ciel voilé est à nouveau lumineux. La tempête de la nuit n'a causé aucun dégât si ce n'est quelques branches cassées jonchant le sol. Qu'il est agréable de prendre tout son temps. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, les filles font le très vague programme de la journée. Si ce climat se maintient nous pourrons nous offrir le plaisir d'une randonnée. Estelle interroge la station météorologique sur son I-phone. << Pas de pluie annoncée et 18° de température moyenne ! >> lance t-elle. J'aime le contact de la soie mauve de son pyjama. Aussi, je passe mes mains un peu partout. << Mmhh, Max l'explorateur ! >> s'exclame t-elle entre deux gloussements de ravissement.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pendant qu'Estelle se change, nous recouvrons le lit. La température extérieure n'étant que de 6° nous n'avons pas le courage d'aller jogger. Ce sera l'entraînement en salle. Les mouvements aérobics ainsi que le running sur tapis roulants nous mettent rapidement dans les toutes meilleures conditions. Les exercices au sol. Clémentine aime quand j'appuie sur ses muscles ventraux en faisant ses mouvements abdominaux. Tout particulièrement durant ses règles. C'est une méthode qui la soulage. Nous passons aux charges additionnelles. Il y a de grands miroirs partout dans la vaste pièce. Mes deux anges prennent des poses de culturistes. Leurs physiques athlétiques encore sublimés par ses postures à la fois étonnantes et très amusantes.

Les étirements d'un stretching consciencieux permette un doux retour au calme. Estelle prend sa douche la première pendant que nous préparons les vêtements propres. C'est à notre tour. Tous les trois, habillés de nos Levis, de nos sweats, en baskets, nous redescendons en nous faisant des bisous. Arrêts toutes les quatre marches pour nous faire des douceurs. Mes mains entre les cuisses de mes deux anges qui palpent ma braguette que par mégarde j'ai fermé. Estelle se charge rapidement d'y remédier en la déboutonnant. << Je ne te la sors pas encore. Je lui laisse un peu de répit ! >> dit elle alors que nous en rions de bon cœur. Au salon, assises sur mes cuisses, mes deux anges allument l'ordinateur. Quatre mails. Celui de ma famille d'Édimbourg. Des nouvelles inquiétantes.

L'état de santé d'oncle Alan, hospitalisé depuis plus d'une semaine, ne s'améliore pas. Un message de Lise qui s'excuse une fois encore de ne pouvoir nous rejoindre en soirée comme en avait émis le souhait. Elle le déplore. Elle vient faire le ménage demain matin, samedi. Un courriel de Juliette qui nous invite à passer dimanche au haras. Elle y organise une animation équestre pour Carnaval. Un mail de Maître Robert, mon ami notaire qui me propose un rendez-vous la semaine prochaine, mardi. Maître Robert ainsi que Philippe mon ami et expert comptable, gèrent mon patrimoine. Avec une virtuosité et une efficacité remarquables je dois le préciser. Estelle à un mail de ses parents. Toutes les deux me tournent alors le dos pour répondre. Je caresse leurs seins minuscules.

Estelle et Clémentine ont pour habitude de consulter tous les matins le site de l'université. Pas d'informations supplémentaires si ce n'est le détail de quelques travaux personnels à réaliser depuis la maison, en télé travail, la semaine prochaine. Nous serons encore ensemble tous les trois pour une dizaine de jours. Ce qui réjouis Estelle au point qu'elle se lève, change de position, se met à califourchon sur ma cuisse, ses bras autour de mon cou, pour se masturber en disant : << Ça m'excite quand les trois Mousquetaires peuvent rester ensemble ! >>. Clémentine termine de lire à voix haute les réponses aux courriels. Nous voilà devant une des deux portes fenêtres du salon. Je suis entre les filles que je tiens par la taille. Nous regardons la campagne. La journée s'annonce sympathique.

Il va être onze heures trente. Nous quittons le salon pour la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade d'endives. Estelle réchauffe le reste de la tourte aux poireaux. Je fais gonfler du riz complet en complément. Trois gros nems au crabe dans la poêle. Nous mangeons de bon appétit en révisant les options de randonnées pour cet après-midi. Ce sera à partir de la chapelle désacralisée mais en direction du monastère abandonné. Un parcours qu nous mène à travers les collines qui surplombent le bourg. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Dans le petit sac à dos, des pommes, la thermos de thé bouillant, les barres de céréales et les lampes frontales. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous restons habillés ainsi.

Pressés de filer, nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks, récupérer nos grosses godasses. C'est parti. Je roule doucement sur les quatre kilomètres qui nous séparent du point de départ. La petite chapelle gothique. Clémentine joue avec ma queue qu'elle suce par instant en disant : << Je prends mes gouttes ! >>. Estelle à l'arrière, qui caresse mon cou, précise : << Cet après-midi, de façon préventive, je vais prendre les miennes ! >>. Nous en rions de bon cour quand je gare la voiture le long du muret du cimetière. Il y a d'autres autos garées là. Ce sont des itinéraires de randonnées très prisés. Nous changeons de chaussures. Je mets le sac sur le dos. La température est de 16°. Il est treize heures quinze. Nous prenons le large chemin qui passe par les pâturages.

En ce mois de fin février qui va vers sa fin, pas encore de bovins ni de bovidés. Nous longeons les clôtures pour arriver à la rivière dont les eaux menacent de déborder. Le chemin est large. Nous pouvons marcher de front en nous tenant par les mains. Anoraks ouverts car nous entamons les premières montées. << Sors ta bite, il faut aérer ta chambre. Ça va encore sentir le renfermé ce soir ! >> lance Estelle qui s'arrête. Penchée en avant, sa main fourrée dans ma braguette béante, en fouille un peu le slip avant de m'en extraire une bite toute molle. Nous n'avons encore croisé personne. Il faut donc continuer en observant une certaine prudence. Le chemin devient sentier. Estelle ouvre l'expédition. Elle s'arrête souvent pour saisir mon Zob, me faire un rapide bisou avant de repartir.

Je me tourne alors vers Clémentine pour déposer une bise sur ses lèvres. À chaque fois elle y enfonce sa langue. Premier arrêt pipi au totem directionnel. Les panneaux indiquent les directions des quatre sentiers formant une croix. Personne mais c'est risqué. Nous aimons le risque. Surtout Clémentine qui se déboutonne la première pour descendre son Levis et sa culotte à mi cuisses. Rapidement imitée par Estelle. Je ne fais pas seulement le guet, je les tiens par leurs nattes, au plus court. Nous n'avions pourtant rien entendu. C'est un couple de marcheurs qui nous surprend ainsi. Alors que les filles, en riant, s'amusent à un concours de jets. Estelle cesse de pisser pour se redresser. Remontant ses fringues en catastrophe. Clémentine, ne voulant pas se pisser dessus, reste en position pisseuse.

J'éprouve très certainement autant de gêne que mes deux coquines. Je n'ai pas lâché les nattes. Le couple détourne pudiquement la tête en s'arrêtant à une cinquantaine de mètres. Ce qui laisse à Clémentine le temps de s'essuyer. << Put-Hein je me suis pissée dessus, dans la culotte. Je déteste ça ! >> s'écrie Estelle quand nous repartons. C'est tellement désagréable qu'un peu plus loin, elle enlève ses grosses godasses, sa paire de jeans et sa culotte effectivement trempée. Elle la met dans le sachet plastique après en avoir retiré les trois pommes. Elle tapisse le fond de son Levis de mouchoirs en papier. << Voilà, ça ira. Mais quelle horreur ! >> s'exclame t-elle. Nous en rions de bon cœur. Deux heures de marche rythmée et nous arrivons aux bâtiments abandonnés du vieux monastère. Il y a des gens.

L'endroit sert à entreposer des machines agricoles. Il y a des hangars emplis de foin, de caisses, d'énormes pneus de tracteurs. Des marcheurs qui prennent leurs collations car il est seize heures quinze. Nous prenons le sentier qui fait une boucle à flanc de colline. Il est dix huit heures trente quand nous arrivons à la voiture. Il faut changer de godasses. Dix huit heures cinquante quand nous arrivons à la maison. Morts de faim. Clémentine fait l'assaisonnement d'un concombre. Je beurre les tranches de pain grillé que me prépare Estelle qui vient de remettre une culotte sèche. Elle y place des filets d'anchois allongés. De fines tranches de gruyère Suisse. Au four pour quelques instants. C'est un repas simple mais délicieux que les "croûtes aux anchois". Nous mangeons de bon appétit. Ça revigore. Pressés d'aller nous livrer à nos galipettes avant que la fatigue ne nous gagne, nous nous précipitons au salon. Elles retirent leurs Levis.

<< Je vous regarde ! >> lance Clémentine qui dépose un des épais coussins sur le bureau. Estelle s'y installe déjà passablement excitée. En appui sur ses coudes elle me fixe de son regard interrogatif. Je frotte mon sexe sur le sien avant de le pénétrer avec d'infinies précautions. Centimètre par centimètre alors qu'elle pose sa tête sur le coussin. Clémentine se masturbe. Elle tourne autour de nous. Approche son visage tout près du mien pour observer mes expressions. C'est doublement excitant d'être ainsi scruté en faisant l'amour. Ce soir nous nous ménageons. Cinq heures de randonnée ont des conséquences musculaires. Il faut donc faire avec le peu d'énergie que nous trouvons encore au fond de nos libidos. Clémentine s'offre un orgasme pisseux dans la cuvette, posée sur le bureau. Accroupie au-dessus, maintenant son équilibre de sa main libre à mon épaule. Estelle s'offre le sien après m'avoir repoussé doucement pour se terminer seule. Aux doigts.

Bonne nouille à toutes les coquines qui vont en savourer le jus de cuisson sous les draps, se refilant une bite un peu mollasse avant de s'endormir blotties contre le cuistot...

Julien (cuistot)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Sunday 25 February 2024 09:54

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 40 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2534 -



Nos samedis matins sont épiques

Hier matin, samedi, il n'est pas tout à fait sept heures quand je réveille Clémentine. Conformément à sa demande de la veille. Toujours de la même manière. Je fais bouger ma paupière tout près de sa pommette en murmurant : << Papillon >>. Mes cils caressent alors délicatement sa peau sans la chatouiller. << Mmhh, mon application du samedi ! >> murmure t-elle alors qu'Estelle se réveille à son tour. Elle saisit mon érection matinale en se serrant encore plus fort. Je suis entre mes deux anges qui se frottent lascivement contre mes hanches. << Je reste au lit ! >> gémit Estelle. << Moi aussi ! >> surenchérit Clémentine. Un premier réflexe bien naturel avant d'émerger complètement. Estelle se lève d'un bond. Comme à son habitude, en s'écriant : << Pipi ! >> courant vers la porte.

<< J'ai presque plus rien. Je crois même que c'est terminé ! >> me fait Clémentine en jouant avec mon sexe redevenu mou. Elle fait allusion à ses règles. Toute contente que cette fois elle n'ait pas été à la merci de douleurs pénibles. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. J'y laisse Clémentine toute seule afin qu'elle puisse vérifier. Je l'attends dans la salle de bain où nous enfilons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Il y a le pyjama de soie mauve posé sur un des tabourets. Estelle est donc déjà vêtue elle aussi de sa tenue sport. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour la rejoindre à la cuisine. Dans les suaves effluves du café, du pain grillé. Nous courons tous les trois dans le hall d'entrée. Depuis l'interphone Clémentine appuie sur le bouton qui ouvre le portail.

La main d'Estelle qu'elle passe entre mes cuisses par derrière en disant : << Tu es hyper sexy dans ton legging ma chochotte ! >>. Je fais de même alors qu'elle pose ses lèvres sur les miennes. Nous cavalons tous les trois pour retourner dans la cuisine. Le crépitement du feu qu'Estelle a allumé dans la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre magnifique randonnée de vendredi après-midi. Nous mangeons de bon appétit en organisant celle de ce samedi après-midi. Dehors il fait plutôt beau. Même si la température extérieure n'est encore que de 6°. Nous n'avons pas le courage d'affronter cette fraîcheur. C'est frustrant car nous adorons jogger le long de la rivière. Ce sera l'entraînement en salle, au premier étage, comme la plupart des matinées de ces vacances.

La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Il fait bien chaud partout dans la maison sauf dans notre chambre à coucher et dans la salle d'entraînement. Volonté délibérée qu'il faut assumer en y pénétrant. Nous nous mettons pourtant très rapidement en conditions avec des échauffements aérobics. Estelle sur le vélo ergométrique. Nous en running sur les tapis roulants. Nous voilà bien chauds pour la séance d'abdos et d'exercices au sol. Les charges additionnelles. Les étirements permettant un parfait retour au calme avant la douche. Pendant qu'Estelle investit la salle de bain, nous changeons les draps du lit. On entend l'aspirateur. Lise est arrivée et est déjà occupée au ménage. C'est à notre tour d'aller sous la douche. Clémentine confirme que ses "petits machins" sont finis.

Toutes les deux, installées sur les tabourets, les épaules recouvertes d'une serviette, parlent des cours qui reprennent lundi. En télé travail, depuis la maison. Elles se sont fixées deux heures chaque matin de dix heures à midi. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite, je passe de l'une à l'autre. Elles apprécient tellement. << Notre garçon coiffeur ! >> lance Estelle. Sur leurs demandes je divise leurs crinières en trois parties égales pour les tresser en nattes. Nattes qui tombent au-dessus de leurs reins. J'ai droit à des félicitations tous les samedis matins. C'est à mon tour. Mais là, avec la présence d'Estelle, c'est un salon de coiffure très particulier. Pendant que Clémentine me sèche les cheveux, les attache en catogan, Estelle accroupie, joue avec mon Zob.

Nous rions de bon cœur de nos facéties. << Mais comment allons-nous survivre quand tout cela prendra fin ? >> demande Estelle. << On n'en survivra pas ! >> répond Clémentine. Elles s'assoient toutes les deux sur mes cuisses, leurs bras autour de ma taille, de mes épaules. Je les serre fort. Distributions de bisous. Nous nous habillons de nos Levis, de nos épaisses chemises à carreaux, baskets. C'est en sortant de la salle de bain que nous rencontrons Lise, trimballant l'aspirateur, revenant de la salle d'entraînement. << Bonjour ! >> nous faisons-nous en même temps. Vêtue de son éternel vieux survêtement gris, Lise retire ses écouteurs pour nous saluer. Son sourire est toujours franc, sincère et ce matin plus merveilleux encore. Nous la laissons à ses occupations ménagères.

Il n'est que neuf heures trente cinq. Au salon, assises sur mes cuisses, mes deux anges allument l'ordinateur. Les messages que nous envoient mes parentés d'Édimbourg sont de plus en plus inquiétants quand à l'état de santé de mon vieil oncle. C'est d'ailleurs le seul courriel qui nous est destiné aujourd'hui. Estelle consulte les siens. Elles répondent alors que je caresse délicatement leurs seins minuscules. C'est un bonheur. C'est doux, c'est chaud. Comme leurs petits seins ne nécessitent aucun soutien gorge, c'est simple d'y avoir accès en déboutonnant deux boutons de leurs chemises. Les coquines aiment mes prévenances. Je suis encouragé à récidiver toute la journée. Dans la petite enveloppe jaune je glisse un billet de 50 €, un billet de 20 €. Les filles vont aux nouvelles sur le site de l'université. Aucune information. Elles se lèvent en refermant les boutons de leurs chemises. << Vous êtes un homme attentionné cher monsieur ! >> me fait Estelle. << Et prévenant ! >> rajoute Clémentine.

Nous quittons le salon pour le hall d'entrée où nous enfilons nos anoraks. Il y a bien quelques nuages mais le soleil semble remporter la partie. La température extérieure est à présent de 12° alors qu'il va être dix heures. Nous sortons. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès car le sol est humide. Voilà la camionnette blanche qui descend lentement les pavés autobloquants du chemin pour venir se garer derrière la Fiat rouge de Lise. Danièle, merveilleux sourire, saute de son véhicule. Elle touche nos poings du sien. << Bonjour les gens ! >> lance t-elle avant de s'adresser à moi en demandant : << Bien remis de vos émotions de mercredi ? >>. Nous rions aux éclats quand Clémentine répond : << Pas encore vraiment. Estelle et moi avons été obligées de prendre le relai ! >>. Allusion à la fellation prodiguée par Danièle mercredi dernier.

En ouvrant les portes arrière du Mercedes utilitaire, Danièle rajoute : << Je reviens mercredi après-midi. Si ça va pour vous bien sûr ! >>. Cette fois c'est Estelle qui répond : << Et comment ! >>. Mon anorak ouvert, je sors ma bite. Ce n'est pas très agréable. Avec ce froid j'ai intérêt à bander, même mou, pour que mon chibre ressemble à quelque chose. Mais c'est tellement excitant de revoir cette jeune femme adorable. Elle me tend le lourd cageot contenant les fruits, les légumes. Estelle me tient le sexe pour qu'il reste au chaud. << C'est charmant, c'est plein d'attention ! >> lance Danièle en tendant l'autre cageot à Clémentine. Il contient les œufs, les yaourts, le beurre, les fromages, les pots de crème fraîche et les briques de lait de soja. Il y a quatre gros avocats granuleux.

Danièle saute de sa camionnette. Sous son bonnet de laine assorti à son épais gilet de camionneur. << Mon mari est au salon de l'agriculture. Je fais tourner la boutique toute seule jusqu'à demain. Je ne m'attarde pas. Mais on se voit mercredi pour la viande ! >> lance t-elle en s'installant au volant. Elle m'adresse un clin d'œil en répétant : << Oui, je viens pour la viande ! >> alors qu'Estelle agite ma bite à demi molle dans sa direction. Un dernier signe de la main et Danièle se dépêche de partir vers d'autres clients. Je remballe au grand regret d'Estelle qui adore jouer avec son "doudou". << Vous pouvez être sûrs que Lise mâte depuis les fenêtres de la cuisine ! >> précise Clémentine. D'un même réflexe nous nous tournons tous les trois vers la maison pour faire de grands coucous. Ce n'est pas vraiment une surprise. Lise ouvre la fenêtre pour agiter son bras, lever le pouce de sa main droite avant de faire le "V" de sa victoire probable.

Voilà le tube Citroën rénové de notre boulangère adorée. Elle se gare au même endroit. Elle saute de son véhicule, hilare, toute contente de partager quelques amusantes anecdotes concernant le bourg. << J'ai livré vos parents il n'y a pas une heure ! >> lance t-elle à l'adresse d'Estelle. L'ouverture de la porte coulissante de ces camionnettes vintages se fait dans un épouvantable bruit de tôles froissées. Madame Marthe en tire le cageot que j'attrape. Il contient deux grosses miches de pain complet et bio. Deux pâtes feuilletées, les bouchées à la reine, l'énorme brioche au pudding et cette fois trois gros croissants à la pâte d'amande. Comme avec Danièle, paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Madame Marthe ne s'attarde pas non plus. Nous nous saluons.

Nous contournons la maison par derrière en portant nos cageots. Nous descendons à la cave par l'escalier extérieur. Dans le cellier, sur les étagères, nous disposons soigneusement les fruits, les légumes. Dans le congélateur où Clémentine place une des miches, une des pâtes feuilletées, elle tire le paquet de moules, les sachets de petits pois, de haricots verts. Estelle, accroupie, trifouille dans ma braguette, dans mon slip, pour en sortir le Zob. Mou. << Tu ne vas pas monter avec ce truc mollasse. Il faut un peu de présentation ! Tu as une spectatrice qui attend ta prestation ! Vieux pervers ! >> dit elle en se redressant pour me tirer par la biroute. Je porte le cageot contenant les produits frais à ranger dans le réfrigérateur. << Pauvre Julien. Dans l'incapacité de pouvoir se défendre des agressions sexuelles dont il fait l'objet ! >> lance t-elle encore.

Nous rions de bon cœur en remontant par l'escalier intérieur. Nous en étions certains. Lise avait préparé l'accueil qu'elle nous réserve. Elle est dans la cuisine à faire les carreaux de la fenêtre de gauche. << J'ai tout vu ! C'est génial ! Trop bien ! >> dit elle en se retournant pour nous sourire. Un sourire complice et de connivence car elle fixe mon sexe avec ostentation. Estelle s'en saisit à sa base, se plaçant derrière moi pour le faire tournoyer. << C'est super hein ? Une bite à disposition quand on veut ! >> fait elle à l'attention de Lise qui répond : << Oui, je dois reconnaître que c'est très agréable ! >>. Clémentine rajoute : << Alléchant aussi ! >>. Nous en rigolons tous les quatre comme des bossus. Lise surtout. Clémentine me passe les produits frais que je range dans le réfrigérateur.

Nous laissons Lise à la finalisation de son ménage. Elle a encore les carrelages du hall d'entrée et des toilettes du bas à faire. Au salon, nous regardons par une des portes fenêtres. La météo est épatante. Le soleil s'est fait tellement rare tous ces mois d'hiver. Je tiens mes deux anges contre moi, par leurs tailles. Nous nous décidons pour la randonnée de cet après-midi. Estelle me branle en précisant : << On se fait un itinéraire où je peux te branler quand je veux ! >>. Clémentine propose le circuit des quatre heures à partir de la propriété. << Excellent ! C'est là qu'on croise le moins de monde ! >> répond Estelle. << Voilà, tout est OK ! >>. C'est Lise qui vient d'entrer dans la grande pièce. Une fois encore, elle fixe ma queue avec l'attention d'une entomologiste. Changée. Vêtue de sa tenue "ville".

Je prends l'enveloppe jaune pour la remettre à la jeune fille. << Merci. Je suis encore en vacances la semaine prochaine. J'aurai davantage de temps libre. On se voit un après-midi ? >> nous fait elle sans cesser de braquer son regard sur la queue que tient fermement Estelle. << Ce serait vraiment avec plaisir. Viens prendre le café ! >> répond Clémentine. << Je vous fais un mail dimanche soir pour vous confirmer le jour ! >> dit encore Lise que nous raccompagnons jusque dans le hall d'entrée. << À bientôt alors ! >> s'exclame t-elle en mettant son anorak. Elle ouvre la porte pour sauter les quatre marches du perron. En courant sur les dalles de grès pour rejoindre sa voiture. Un dernier coucou. Estelle agite ma queue. Cet "hélicoptère" qui amuse toujours tant les femmes. Les jeunes filles surtout.

Clémentine prépare l'assaisonnement de la belle et grasse laitue toute fraîche. Estelle s'occupe de la cuisson des haricots verts, des petits pois dans le wok. Je fais bouillir les moules dans leur bouillon. Nous mangeons de bon appétit en évoquant nos frasques sexuelles de la matinée. Appréciant une fois encore l'immense privilège d'êtres membres du même "Club" de dépravés. Estelle, qui se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine, nous donne ses impressions quand aux attitudes de Lise. Clémentine dont le sixième sens ne la trahit jamais, pronostique à son propos de belles surprises. << Elle cache encore son jeu, pas trop, mais je la devine aussi salope que nous ! >> dit elle. Estelle surenchérit en précisant : << Tu sais bien que c'est impossible ! >>

Nous rions aux éclats. Moi aussi je me lève pour agiter ma biroute. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. C'est en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain que nous décidons de l'itinéraire de la randonnée. Clémentine propose de nous refaire celle des anciennes tuileries. Elle explique ce changement de programme : << On se garde le circuit à partir de la maison pour les jours plus gris ! >>. Nous trouvons cette suggestion parfaite. Pressés de filer, habillés comme nous le sommes, nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos, les pommes, les barres de céréales, la thermos de thé bouillant, les lampes frontales. Nous enfilons nos anoraks. Comme hier, à treize heures, la température extérieure est de 19°. C'est parti. 4 km jusqu'à la chapelle gothique.

Je gare la voiture le long du muret du cimetière. Il y en a bien une dizaine d'autres. Nous changeons de godasses. Avec ce soleil, c'est un véritable enchantement. << Sors ta bite ! Il faut aérer ! >> lance Estelle en déboutonnant adroitement la braguette de mon 501. Je porte le sac sur le dos. Nous traversons la route pour prendre le large chemin qui monte en pente douce. Nous nous tenons les mains. Les filles parlent de leurs études. J'ai la bite à l'air qui ballote au rythme de nos pas. Notre formule reste simple et efficace. Dès que nous croisons des marcheurs, soit Estelle, soit Clémentine se placent devant moi pour me prendre par les épaules. C'est toutefois limite. Car il est impossible d'anticiper au détour du virage d'un sentier. Voilà l'ancienne carrière abandonnée.

J'évite de regarder au bas des falaises. Estelle me tient la bite en marchant devant moi. Ce qui m'oblige à avancer avec la démarche d'un idiot du village. << Ah, ce bon vieux temps où il n'y avait qu'un seul idiot par village ! >> lance Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Premier arrêt pipi. Nos anoraks sont noués par les manches autour de nos tailles. Il faut donc les retirer et les accrocher aux branches. Accroupis derrière mes deux pisseuses, je les encule de mes index. Ce qui a pour effet de décupler la puissance de leurs jets. Même celui d'Estelle qui évoque celui d'un robinet. Alors que celui de Clémentine évoque les grandes eaux de Versailles. << Salaud va ! Enculeur de filles ! >> s'écrie Estelle alors que, toujours par derrière, je les torche très soigneusement avec les mouchoirs en papier qu'elles me tendent. Nous avons de la chance. Pas de promeneurs.

C'est Estelle qui me tient la bite pour en diriger les jets. Clémentine qui surveille les environs. Tout se passe bien. Personne. Elles peuvent même s'accroupir pour se refiler ma bite afin de se régaler des derniers reliquats. Je les tiens toutes les deux par leurs nattes, prêt à les relever si quelqu'un devait venir. Nous arrivons aux bâtiments abandonnés. Fantomatiques dans leurs briques rouges à cette période de l'année. Il y a deux groupes de marcheurs. Au moins vingt personnes dans chacun d'eux. C'est là qu'il y a quelques jours, en tournant un de nos films pornos privés, nous avons failli nous faire surprendre. Là, il est tout à fait impossible de donner libres cours à nos libidos débridées. Avec tous ces randonneurs ce serait pure folie. Les rires, les conversations. L'ambiance des jours heureux.

Nous attirons évidemment tous les regards en buvant notre thé chaud, en grignotant nos pommes. Ces deux sublimes jeunes filles tout contre cet homme d'âge mûr à qui elles font quantités de bises. Nous nous amusons tellement de ces situations que mes deux anges en rajoutent. C'est qu'il ferait presque chaud avec une température de 20°. Clémentine nous montre les photos qu'elle a prise en montant. On y voit Estelle guider mes jets de pisse. Ou encore accroupie, sa joue contre mon Zob. Si nous en faisons une comptabilité surréaliste, depuis près de sept ans, il doit bien exister deux cent photos du même style. << Je ne les compte même plus. Elles sont sur un de mes disques dur secrets ! >> précise Estelle. Il fait jour jusqu'à dix huit heures. Nous pouvons revenir tranquillement.

Il est dix huit heures trente lorsque nous revenons à la voiture pour changer de godasses à la lueur des lampes. Il est dix neuf heures quand nous revenons à la maison. Fourbus mais tellement heureux de notre belle journée. Morts de faim nous préparons un repas simple et rapide. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la laitue. Estelle fait rissoler trois belles escalopes de dinde avec ail, oignon, champignons. Pendant que les spaghettis cuisent dans l'eau bouillante, je râpe une grosse quantité de Parmesan. Un Parmigiano Reggiano affiné 40 mois et recommandé par Danièle. Elle nous en a laissé un gros échantillon ce matin. Mes amis, il picote sur la langue, il est merveilleusement parfumé, fruité, avec un gout épicé plein de saveurs mystérieuses. Estelle m'embrasse avec un petit bout que nous laissons fondre dans nos bouches. Je fais pareil avec Clémentine qui dit : << C'est le même gout quand tu m'embrasse après que tu nous lèche le minou ! >>. C'est évidemment une boutade.

Bonne faim de soirée à toutes les coquines qui vont se régaler d'un bon plat de spaghettis avant de savourer le spaghetti de leurs compagnon de randonnée...

Julien (le compagnon de randonnée)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Monday 26 February 2024 07:45

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 41 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2535 -



Un dimanche ensoleillé pour une randonnée

Nos grasses matinées du dimanche n'ont d'égales que la passion du rituel dominical auquel nous sacrifions. Celle de hier nous emmène au delà de neuf heures. Estelle, accrochée à moi toute la nuit, comme une naufragée à sa branche, saisit ma tumescence avec cette spontanéité innocente qui me réveille dans le ravissement. Ses lèvres qui se collent contre ma joue. Clémentine à son tour sort alors du sommeil en venant se blottir. Je suis entre mes deux anges, dans la stéréophonie de leurs gémissements. Aux toutes premières loges d'un concert philharmonique. Nous nous étirons longuement dans un concours involontaire de bâillements, de râles sonores. Avant de nous offrir des câlins. Mes doigts qui coiffent les touffes contenues dans leurs culottes. Nous luttons contre les pipis.

C'est Estelle qui craque la première en s'écriant : << Vite, sinon je fais pipi au lit ! >>. Elle se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte. Clémentine se couche sur moi. Frottant son bas ventre sur mon érection toute naturelle, elle mitraille mon visage de bisous en murmurant d'incompréhensibles borborygmes. Nous en rions avant de nous lever. C'est à notre tour d'aller pisser. Dans la salle de bain nous revêtons nos paires de jeans, nos sweats, nos baskets. Il y a le pyjama d'Estelle posé sur le couvercle blanc de la baignoire. Elle est probablement déjà vêtue comme nous. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour la rejoindre à la cuisine. Dans les affolants parfums du café, du pain grillé et de l'énorme brioche au pudding qui trône royalement au milieu des pots de confitures et de miel, des bols.

Estelle vient d'allumer la cuisinière à bois. Presser les oranges et peler les kiwis quand nous déposons une bise sur ses joues. Pour la remercier. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de la veille. Nos épiques samedis matins. Notre après-midi au grand air. En regardant le ciel lumineux par la fenêtre notre après-midi est déjà programmé. Ce sera une nouvelle randonnée. Nous mangeons de bon appétit en définissant son itinéraire. Clémentine suggère de nous refaire un circuit à partir du port de plaisance. << Mais 35 km en bagnole. Du temps perdu où on ne profite de rien ! >> s'exclame Estelle. Je suggère un des circuits des collines. Pour monter au château. Mes deux anges posent leurs mains sur les miennes en même temps pour s'écrier : << Excellent ! >

Nous pouvons traîner à table autant que nous le voulons puisque c'est dimanche. De surcroît les vacances. Pas de jogging, pas d'entraînement. Pas de douche. Juste une légère toilette intime après la "grosse commission". Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, les filles évoquent les deux heures de télé travail qu'elles vont devoir fournir à partir de lundi. Connectées au site de l'université, pour y suivre leurs cours depuis la maison. << Il n'y a même pas la bouffe à préparer puisque nous sommes invités chez mes parents ! >> nous rappelle Estelle qui rajoute : << Et si tu montres ta bite à ma mère, je t'arrache les couilles avec les dents ! >>. Nous en rions de bon cœur quand Clémentine s'exclame : << Celle-là, ça fait longtemps qu'on ne l'a pas entendu ! >>

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Pressés d'aller nous dégourdir un peu les jambes, nous dévalons les escaliers. Il est un peu plus de dix heures, il y a juste quelques nuages. La température extérieure est de 12°. Les anoraks et nous descendons jusqu'à la rivière. Même s'il n'y a encore aucun signe d'un printemps quelconque, il y a ce petit quelque chose qui laisse augurer des changements à venir. D'abord ces jours qui durent plus longtemps puis la luminosité qui s'accentue. Au point d'être plus à l'aise en portant des lunettes de soleil. Nous restons à admirer les évolutions aquatiques des poules d'eau, des canards et des colverts. Nos amis à plumes semblent eux aussi dans l'effervescence d'un renouveau imminent.

J'ai la bite à l'air entre mes deux anges que je tiens par leurs tailles. Estelle tient ma queue pour en diriger les jets. Je remballe assez vite. En remontant nous rencontrons monsieur Bertrand. Portant un sachet contenant des graines, des boules de graisse et du vieux pain. Notre voisin alimente la colonie d'emplumées qui colonise la rivière. Nous bavardons un peu. Louis évoque la finalisation des travaux d'électricité et le parfait fonctionnement des panneaux photovoltaïques identiques aux nôtres qu'il a fait installer dans sa propriété. Pas un mot, pas une allusion à monsieur Ferodo, l'électricien coquin ayant procédé à l'installation. Nous saluons monsieur Bertrand. << À un de ces vendredis pour boire un café ensemble ! >> lui lance Clémentine. << Avec plaisir ! >> répond notre retraité libidineux. Il va être onze heures trente.

Nous sommes habillés de propre, inutile de nous changer. La tarte aux noix tirée du congélateur ce matin est décongelée. Je sors la Mercedes du garage. Il y a quatre kilomètres jusqu'à la sortie du bourg. Je roule tranquillement. Clémentine palpe ma braguette. Estelle, installée à l'arrière, le grand Tupperware rond sur les cuisses, réitère sa menace : << Ne drague pas ma mère vieux pervers exhibitionniste ! >> précise t-elle. Je gare la voiture dans la descente, devant la porte du garage. C'est Yvan qui vient nous accueillir. Vêtu d'une paire de jeans, d'une chemise blanche sous un pull bleu nuit. Des mocassins beiges. Le papa d'Estelle est aussi grand et athlétique que moi. C'est toujours un immense plaisir d'échanger une poignée de main virile et sincère. Estelle lui saute au cou pour des bises.

C'est par le garage qui communique avec la cave que nous montons par l'escalier intérieur. Michèle aussi est habillée d'une paire de jeans, d'un chemisier blanc. Cette femme est splendide. La grande sœur d'Estelle. Elle aussi laisse les mèches argentées gagner sa chevelure noire. Ses yeux d'un bleu intense. C'est un plaisir de la revoir. << Ça va faire deux mois qu'on ne s'est pas vus ! >> lance t-elle. J'adore les discrets regards furtifs qu'elle pose sur ma braguette. Seule Clémentine s'en rend compte. Estelle étant bien trop occupée à câliner son papa chéri. Nous sommes invités à prendre place au salon. C'est un somptueux repas de fête qui nous attend. Des cuisses de canards confis accompagnées de gelées de légumes. << C'est le traiteur qui nous a livré il y a 20 minutes ! >> précise Yvan. Je suis face à Michèle. Clémentine à ma gauche face à Yvan. Estelle à ma droite qui me donne déjà les premiers coups de pieds sous la table. La coquine.

C'est délibérément que la maman d'Estelle me porte ce regard par en-dessous, terriblement suggestif, lorsque nous bavardons. Nous mangeons de bon appétit en faisant mille projets pour nos vacances d'été. Yvan et Michèle seront également en Écosse, dans leur nouvelle maison dont les travaux de rénovations sont terminés depuis décembre. Nous sommes invités à y passer une semaine en aout. Des réjouissances en perspectives. À cette évocation, le regard de Michèle prend un éclat particulier. Difficile d'échapper à la sagacité d'Estelle qui me gratifie d'un nouveau coup de pieds sous la table. Nous traînons à table. Il va être quatorze heures. Les parents d'Estelle ont eux aussi un programme pour l'après-midi. Le parrain et la marraine arrivent d'ailleurs à l'instant. Tout heureux.

Jean-Marc, qui baise Estelle tous les mercredis soir ou presque, depuis ses seize ans, est un excellent comédien. Mais, personne n'est dupe. Isabelle, la marraine est une femme absolument magnifique. C'est la toute première fois que Clémentine et moi la rencontrons. Il faut imaginer l'actrice chanteuse Marie Laforêt pour bien comprendre le style de cette femme épatante. Nous sommes dans le secret sans jamais en faire la moindre allusion. C'est un sujet qui dérange toujours un peu Estelle. Il est difficile pour elle d'admettre que ses parents, son parrain et sa marraine, sont deux couples échangistes qui se fréquentent depuis presque trente ans. Nous respectons cette discrétion d'une réserve qui convient à tout le monde. Nous prenons congé dès la fin du dessert. Yvan et Michèle sont invités chez nous dimanche prochain. Il y a cette opportunité tant attendue où je suis seul un instant avec Michèle à la cave. Cette femme m'excite considérablement.

Elle se rapproche pour murmurer : << Dommage. J'aime quand tu me montres ta bite ! >>. Je chuchote : << J'adore te la montrer ! >>. Elle rajoute : << Mon mari le sait. Nous ne nous cachons rien. Il faut juste éviter d"en parler avec Estelle. Elle est très coincée à ce niveau ! >>. Je la rassure, je le sais. Je conclue : << On se trouvera bien quelques plans exhibes au mois d'aout ! >>. Impossible d'en dire davantage car voilà tout le monde qui descend l'escalier de la cave. Je fais semblant d'être intéressé par les cadrans de la grosse chaudière mixte qui ronronne. Nous saluons Yvan, Michèle, Isabelle et Jean-Marc. Une fois dans la voiture, en direction de la chapelle gothique, Estelle assise à l'arrière me tance vertement : << Je t'ai encore vu faire du gringue à ma mère vieux salaud ! >>

Clémentine qui vient de me sortir la queue précise : << Et ton parrain vient encore de me proposer de baiser avec lui un de ces jours ! >>. Je réponds : << Voilà, tout le monde trouve ses petites joies là où il peut ! >>. Changement de programme pour ne pas perdre de temps en roulant. C'est à partir de la chapelle que nous partons en randonnée. Cette fois le long d'un circuit que nous prenons rarement. Il faut prendre le chemin de droite, immédiatement après les prés. Traverser la rivière pour la longer sur deux kilomètres. Au bas des collines. Heureusement sous le soleil. Comme les arbres sont encore dépourvus de feuilles les douceurs de ses rayons nous accompagnent tout du long. J'ai la bite à l'air. Estelle s'arrête souvent pour me la tordre dans tous les sens. Je bande très mou.

Heureusement. Car elle est fait preuve de brusquerie en disant à chaque fois : << Vieux pervers ! >> ou encore : << Vieux salaud ! >>. Nous arrivons dans une sorte de cratère naturel au sommet d'une des collines qui surplombent le bourg. << Regarde, on voit ta maison ! >> lance Clémentine. << Ils sont peut-être en pleine partouze ! >> s'exclame Estelle. Nous en rions de bon cœur. J'écoute mes deux anges étudier la possibilité d'attirer Jean-Marc un de ces prochains jours. Le parrain d'Estelle, qu'elles surnomment "le baiseur fou" a déjà baisé avec Clémentine. C'est un amant redoutable capable de performer durant des heures sans jamais défaillir. Depuis peu Estelle accepte même de se faire enculer par ce "Rocco Siffredi". J'écoute les stratégies de mes deux anges. En riant.

C'est une agréable randonnée que nous découvrons là. Peut-être moins spectaculaire mais pleine de découvertes très agréables. << Des coins à baise quand il fera meilleur ! >> précise Estelle qui les photographie. Alors que Clémentine fait des photos de nos frasques avec Estelle. Quand elle présente ma bite à l'objectif. Que je lâche de brefs jets de pisse. Quand elle est accroupie, son visage tout près de mon Zob. Ou encore avec mon sexe contre sa joue. Il est dix huit heures quarante cinq quand nous sommes de retour. Clémentine fait l'assaisonnement d'un concombre. Estelle concocte son omelette des dimanches soirs. Je réchauffe des pommes de terre précuites dans le wok. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la proposition faite à Clémentine par le parrain d'Estelle.

En revenant des toilettes, Estelle nous annonce l'arrivée de ses "petits machins". << Put-hein, ça va encore me gâcher trois jours ! >> s'écrie t-elle. Je la rassure. Docteur Julien saura lui administrer la thérapie de choc qui lui fera oublier sa déconvenue. << Je prends mes gouttes dès ce soir, docteur ! >> me fait elle en s'installant sur ma cuisse libre. Toutes les deux, leurs bras autour de ma taille, autour de mon cou, font mille projets pour la semaine qui nous attend. Pas tout à fait des vacances puisqu'elles se sont fixées deux heures de cours tous les matins de dix heures à midi. Nous traînons à table. La vaisselle. Nous passons au salon. Je commence le traitement de ma patiente. Vautrée dans le canapé, Estelle m'offre son clitoris que je suce avec passion. Clémentine me taillant une pipe des familles. Parfois, pendant qu'Estelle se masturbe, je bouffe la chatte à Clémentine. Et il y à là de quoi sustenter n'importe quel goinfre de mon espèce.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui apprécient les thérapies douces. Les thérapies qui consistent à se faire sucer le clito, à se faire souffler de l'air chaud sur les seins, à se faire câliner par un thérapeute, praticien diplômé des hautes écoles de la caresse...

Julien (docteur honoris causa es cunnilingus)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Tuesday 27 February 2024 07:41

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 42 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2536 -



Deux heures de cours chaque jour

Hier matin, lundi, je suis tiré de mon sommeil par le mouvement des pieds d'Estelle. Un mouvement régulier contre les miens. Ce qu'elle appelle ses "impatiences". Elle est restée tout contre moi toute la nuit. Très certainement dans une semi conscience elle saisit ma tumescence d'une poigne déjà ferme. En gémissant. Clémentine se réveille également pour se blottir. Je suis entre mes deux anges. Nous émergeons doucement. << Docteur, j'ai bobo ! >> murmure Estelle en s'accrochant à moi comme une désespérée. C'est le second jour de ses "petits machins". Je glisse ma main dans sa culotte pour caresser délicatement son bas ventre. De petits massages circulaires du bout de mes doigts. Tout en soufflant de l'air chaud sur ses seins à travers la soie mauve de son pyjama.

<< Mmhh comme c'est bon docteur ! >> dit elle encore. Elle se lève la première pour courir vers la porte. Clémentine me tient par mon érection à présent déclinante. << Docteur gros Zob. Je vous aime ! >> fait elle en me tirant par le sexe. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Dans la salle de bain nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Il y règne déjà ces suaves odeurs de café, de pain grillé. Le reste de la brioche dans le four à micro ondes. Estelle entrain d'allumer la cuisinière à bois. Je me place derrière elle pour caresser ses hanches, descendre entre ses cuisses. Le contact de la soie est un enchantement supplémentaire. << Docteur, je vous aime ! >> lance t-elle.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures du dimanche. Le repas chez les parents d'Estelle. La proposition faite par son parrain à Clémentine. Nous rions de bon cœur des différentes stratégies qu'elles comptent mettre en œuvre pour y répondre. Clémentine se réjouit pour baiser avec Jean-Marc. << Le baiseur fou ! >> s'exclame Estelle. Nous mangeons de bon appétit en envisageant la possibilité de réaliser ce plan vendredi prochain. << Je m'en occupe, je le contacte dès cet après-midi ! >> précise Estelle. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Dehors le ciel est bas, gris et menaçant. La température extérieure de 6°. Pas vraiment engageant pour aller courir. Nous remontons nous laver les dents. Pendant qu'Estelle se change, nous recouvrons le lit, fermons la fenêtre.

Entraînement en salle. L'échauffement des exercices aérobics, du vélo ergométrique, des joggings sur tapis roulants est le plus parfait prélude aux abdos. Surtout pour Estelle que les exercices précis soulagent de ses crampes douloureuses. Les charges additionnelles. Les étirements d'un stretching permettant un agréable retour au calme. Estelle prend sa douche pendant que nous préparons nos vêtements de la journée. Habillés de nos jeans, de nos sweats, baskets, nous redescendons pour nous rendre directement dans l'atelier. Assises devant leurs ordinateurs, mes deux anges s'apprêtent à se connecter sur le site de l'université. Leurs cours, en télé travail, jusqu'à midi. Installé devant mon chevalet, je m'attelle au dessin préparatoire de ma quatrième toiles hyper réaliste.

D'après une photo prise il y a quelques années. Une dizaine de motos, plus rutilantes les unes que les autres. Leurs couleurs éclatantes et leurs chromes brillant de mille feux sous le soleil. Avec en arrière plan la mer, des cabanons de plage et des baigneuses. J'écoute les filles échanger avec un professeur, avec d'autres étudiants. Ce sont deux heures extrêmement productives. Il va être midi. J'ai bien avancé dans mon dessin. Il sera probablement terminé demain en fin de matinée. Je rejoins les filles entrain de ranger leurs affaires, de classer leurs fiches. << C'est sympa de bosser comme ça. Ça devrait être la norme ! >> lance Estelle qui m'attrape par le bras en rajoutant : << Docteur, j'ai bobo ! >>. Je me penche pour poser mes lèvres sur chacun de ses seins. Y souffler de l'air chaud.

<< Après la bouffe, je prends mes gouttes ! >> dit elle encore en fourrant sa main dans ma braguette béante. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de carottes. Estelle fait bouillir l'eau des spaghettis. Je fais rissoler six gros nems au crabe. C'est totalement improvisé. C'est volontairement que nous n'avons rien prévu. << La bohème ! >> lance Estelle. Une rapide sauce au Roquefort à partir de crème fraîche, de lait de soja. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Partir en randonnée constitue un véritable risque car le ciel est particulièrement menaçant. << On va en ville ? >> propose Clémentine. << Oh oui, traîner un peu ! >> s'exclame Estelle. Je trouve la suggestion parfaite. C'est une agréable activité.

Nous décidons de préparer un repas du soir un peu plus élaboré. Plus diététique aussi. Ce sera une tarte à la courgette et à l'aubergine. Clémentine étale la pâte feuilletée dans le grand plat. Nous descendons à la cave, dans le cellier, pour y récupérer une grosse aubergine et deux belles courgettes. Nous les lavons avant de les couper en tranches fines. Alignées en spirale et à la verticale comme des dominos. Je concocte le liant. De l'œuf, de la crème fraîche, du lait de soja. Estelle râpe une bonne quantité de gruyère Suisse. Je verse la garniture sur le tout. Clémentine recouvre de gruyère. Estelle saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillé. Je termine avec les cerneaux de noix que je dispose en trois cercles. Estelle place la tarte dans le four électrique. Cuisson lente et longue à 160°.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous restons vêtus de nos jeans, de nos sweats. << Mes gouttes docteur ! >> fait Estelle en m'invitant à m'assoir sur un des deux tabourets de la salle de bain. Clémentine me sort le chibre. Toutes les deux, accroupies, Estelle à ma gauche qui suce avec avidité. Clémentine à ma droite qui tient mon sexe à sa base. << Ne dépasse pas la dose prescrite ! >> murmure t-elle à Estelle qui suce comme si sa vie en dépendait. Je bande encore mou. << Ça vient ? >> demande Clémentine. Estelle répond d'un gémissement négatif. << Attend ! >> fait encore Clémentine en se redressant pour enfoncer sa langue dans ma bouche. Je ne connais pas de principe érectile plus efficace car je bande soudain comme le dernier des salauds.

<< Mmhh ! >> entendons-nous en cessant de nous embrasser pour observer la pipe des familles à laquelle se livre Estelle. << Et là, ça vient ? >> demande une nouvelle fois Clémentine en penchant son visage tout près de celui de la pompeuse. Estelle gémit cette fois positivement. Les gargouillis et les bruits bulleux d'une fellation de qualité viennent confirmer les montées de jus de couilles. Je caresse sa tête. Ma main sur sa nuque sous sa natte. Clémentine qui recommence à m'embrasser. Estelle, pour laisser reposer sa mâchoire, pour déglutir l'abondance de mes substances, cesse à plusieurs reprises en levant la tête pour nous observer. Elle est à genoux sur le carrelage de la salle de bain. Elle se relève pour les masser. Je me lève. Clémentine reste serrée contre moi. Il va être 14 h.

Je passe mon index au coin droit des lèvres d'Estelle pour récupérer la perle de foutre. Elle me regarde faire dans le miroir. Je lui fais sucer mon doigt en murmurant : << Regarde un peu la gueule de salope que tu te tires encore ! >>. Elle éclate de rire avant de répondre : << Je la vois depuis bientôt vingt sept ans ! >>. Nous éclatons de rire quand Clémentine rajoute : << On les compare souvent ! >>. Nous dévalons les escaliers pour chausser nos bottines brunes, enfiler nos épais blousons de cuir brun. Une écharpe crème. Sans oublier le grand parapluie nous traversons le jardin en courant. Je roule doucement. C'est Estelle qui est assise à ma droite. Clémentine installée à l'arrière qui garde ses mains dans mon cou. Estelle, penchée sur sa gauche joue avec ma queue, suce parfois.

<< Docteur, je ne respecte pas la posologie. Votre sirop est trop bon ! >> lance t-elle en se redressant quand je gare la voiture dans la petite ruelle déserte. Sur les presque vingt cinq kilomètres Estelle n'a quasiment pas cesser de me tailler une pipe. Je remballe avant de sortir de l'auto. << Put-hein, c'est vrai, j'ai vraiment ma gueule de salope des grands jours aujourd'hui ! Regardez ces cernes ! >> s'exclame t-elle en s'observant dans le miroir de courtoisie. Clémentine répond : << Un traitement thérapeutique entraîne des effets secondaires ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Je saisis Estelle par sa nuque en disant : << Je vais te faire sucer à chaque occasion cet après-midi ! >>. Estelle mitraille mes lèvres des siennes en s'écriant : << Oh oui docteur ! Encore du sirop ! >>

Accrochées à mes bras, mes deux anges m'entraînent d'un bon pas en riant de nos frasques. Il y a une dizaine de minutes jusqu'aux premières rues piétonnes. Nous y flânons avec le plaisir habituel. Il y a peu de monde le lundi après-midi. La température est de 17°. Plutôt agréable. Beaucoup de magasins gardent leurs volets baissés. Un petit tour à la FNAC. Puis dans un des grands magasins. Notamment celui qui propose quatre étages. C'est dans une des cabines d'essayages qu'Estelle reprend ses gouttes. Que je pose mes lèvres sur le coton de son sweat pour souffler de l'air chaud sur ses petits seins douloureux. Je masse son bas ventre. Alors que Clémentine ne lâche pas ma queue. Il faut gémir silencieusement de nos caresses. Même s'il y a peu de monde, d'autres clients se baladent.

Nous savourons de délicieux chocolats chauds à l'étage de notre salon de thé quasiment désert. Nous pouvons nous rendre dans les toilettes hommes. Enfermés dans un des cabinets. Deux fois avec Estelle qui prend ses gouttes quelques minutes. Deux fois avec Clémentine qui s'en offre elle aussi. C'est assis à notre table, en savourant des éclairs au chocolat qu'Estelle téléphone à son parrain. Il n'a que quelques minutes car il est en pleine réunion. Mais nous l'entendons se réjouir pour venir vendredi. Le rendez-vous est fixé chez Estelle. Ses parents n'étant pas là, Clémentine pourra baiser avec lui dans la chambre. Sur le grand lit d'Estelle parmi les nounours en peluche. Jean-marc ne sait pas que nous entendons la conversation. Quand elle raccroche, Estelle me dit : << Et toi ? Il faudra qu'on te trouve une planque dans ma chambre ! >>. Clémentine toute émoustillée à l'idée de ce qui l'attend, répond : << Je ne vois que dans l'armoire ! >>

Nous rions aux éclats. Je suis un habitué des placards et des armoires. << Tu es un planqué ! >> rajoute Estelle qui se lève pour m'entraîner une troisième fois aux toilettes. Ce qui attire pour la seconde fois l'attention de la jeune serveuse. Son curieux sourire quand elle vient nous apporter l'addition en dit long sur son opinion. Surtout qu'Estelle précise : << On adore faire des trucs dans les chiottes ! >>. La jeune fille éclate de rire, me tend le terminal dans lequel j'introduis la carte. Elle se contente d'un << Merci. Et à bientôt ! >>. Nous reprenons nos flâneries citadines. Par chance il ne pleut toujours pas. Nous connaissons une venelle pleine de recoins. C'est là, derrière de grandes poubelles grises sur roulettes, que je me fais pomper le Zob. Estelle qui pousse de petits râles de plaisir. Accroupie, se tenant aux passants de mon Levis. Clémentine faisant le guet. Je caresse sa nuque. Elle me fait un clin d'œil. Une bosse à l'intérieur de sa joue.

Sur le chemin du retour, dans la nuit tombante, mes deux anges sont assises toutes les deux sur le siège passager. Je crois qu'Estelle n'a jamais tant sucé depuis sept ans que nous nous connaissons. Que nous partageons notre relation amoureuse à trois. J'appuie sur sa nuque en murmurant : << Salope ! Merveilleuse salope ! >>. Quand elle se redresse c'est pour répondre : << Vieux pervers ! Tu les aimes tes deux salopes, hein ? >>. Je confirme. Il est dix neuf heures quand nous revenons. Clémentine fait l'assaisonnement de deux gros avocats. Il n'y a qu'à réchauffer la tarte aux courgettes et à l'aubergine. Nous mangeons de bon appétit. Estelle se plaint de crampes. Son ventre douloureux. Je sais comment la distraire après le repas. Rien ne remplace un suçage de clitoris pour oublier les tourments.

Bonne faim de soirée à toutes les coquines qui aiment se livrer aux thérapies de leur docteur. Se faire sucer le bouton pendant que l'autre patiente se régale du nectar à même le flacon du thérapeute...

Julien (docteur gros Zob)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Wednesday 28 February 2024 07:37

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 43 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2537 -



Lise nous réserve une belle surprise

Hier matin, mardi, il est huit heures. Une fois n'est pas coutume. C'est Clémentine qui vient se blottir contre moi. Saisissant mon érection naturelle. Elle murmure d'incompréhensibles mots à mon oreille : << Je vous aime monsieur ! >> finit elle par pouvoir articuler. Nous en rions en réveillant Estelle. << Docteur, j'ai encore bobo ! >> dit elle en devant se contenter d'attraper mes couilles. Nous émergeons ainsi. Je suis entre mes deux anges qui se frottent contre mes cuisses. Je masse délicatement le bas ventre d'Estelle tout en soufflant de l'air chaud sur ses seins. À travers la soie de son pyjama mauve. << Je me suis déjà levée très tôt ce matin pour changer mon tampon, faire pipi et prendre mon médoc ! >> rajoute t-elle alors que Clémentine joue avec ma biroute molle.

Nous nous levons tous les trois. << Je vous attends à la salle de bain ! >> lance Estelle alors que Clémentine et moi allons aux toilettes. Nous rejoignons Estelle déjà vêtue de son legging de lycra noir, son sweat de lycra bleu. Nous faisons de même. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Estelle allume la cuisinière à bois. Clémentine fait le café. Je presse les oranges, pèle les kiwis. Clémentine beurre les premières tranches éjectées du grille pain. Les trois gros croissants à la pâte d'amande retrouvent leurs moelleux dans le four à micro ondes. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre lundi après-midi en ville. Les fellations prodiguées par Estelle partout où cela était possible. << Je vous préviens docteur, je récidive aujourd'hui. Pour prendre mes gouttes ! >> lance t-elle.

Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les options d'activités pour l'après-midi. Dehors le ciel est gris mais sans présenter de menaces. La température extérieure n'est que de 3°. La cause de ce refroidissement subit reste ce maudit vent de Nord Est. Il secoue les branchages des sapins. Avec cette météo dissuasive pas de jogging en extérieur. Dès la vaisselle terminée, nous remontons nous laver les dents. L'entraînement en salle. Les échauffements aérobics. Le vélo ergométrique pour Estelle qui pédale comme une dingue. Le running sur tapis roulants pour Clémentine et moi. Les exercices au sol. Des mouvements spécifiques que fait Estelle pour soulager son ventre victime de contractions désagréables. Les poids, les haltères avant un bon stretching.

Estelle prend sa douche la première en chantonnant. Nous couvrons le lit et récupérons des vêtements dans l'armoire. C'est à notre tour d'aller sous l'eau. Habillés tous les trois de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux, baskets, nous redescendons avec arrêts bisous toutes les quatre marches. Dans l'atelier, j'allume une belle flambée de cheminée. Mes deux anges assises devant leurs ordinateurs. Prêtes aux deux heures de télé travail qui les attendent. Installé devant mon chevalet je continue le dessin préparatoire de ma quatrième toile hyper réaliste "Motos". J'aime travailler en écoutant les conversations qu'ont les filles, écouteurs sur les oreilles, avec d'autres étudiants ou professeurs. Il va être midi quand elle commencent à classer leurs notes. Documents.

Nous restons quelques minutes devant la cheminée. La danse des flammes est un spectacle. Il fait faim. Je pose ma bouche sur les seins d'Estelle. Je souffle de l'air chaud à travers le coton. Ma main dans son Levis déboutonné pour masser son pauvre ventre. << Mmhh docteur, c'est si bon ! >> dit elle en fourrant sa main dans ma braguette ouverte. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer le reste de la tarte aux courgettes et à l'aubergine. Clémentine fait l'assaisonnement d'un gros concombre. Estelle sort le poulet du bas du réfrigérateur. Ce sera pour le repas de ce soir. Avec des frites. Nous mangeons de bon appétit en privilégiant le circuit des quatre heures à partir de la maison, pour la randonnée de l'après-midi. << Lise n'a pas téléphoné ! >> s'exclame Estelle.

<< Elle devait le faire dimanche ! >> précise Clémentine. Quand on parle du loup il sort du bois. Ce vieil adage populaire prend ici tout son sens. L'I-phone de Clémentine se met soudain à chanter. Elle se lève, se précipite vers la desserte pour le récupérer. << Lise ! >> lance t-elle en mettant sur "haut parleur". Notre "fille de ménage" s'excuse et propose de nous rejoindre en soirée, pour dix neuf heures. Quand Clémentine lui annonce qu'il y aura du poulet rôti et des frites, nous l'entendons s'écrier : << Génial ! >>. Estelle, debout, mimant une masturbation masculine me fait d'horribles grimaces, me tire la langue. Clémentine raccroche et revient s'assoir. Ce sont des réjouissances supplémentaires qui s'annoncent pour ce soir. << Et bite à l'air, docteur ! >> lance Estelle. Nous rions.

Dans le cellier, à la cave, nous récupérons les petites pommes de terre "bintje" qu'il est inutile d'éplucher. Des gousses d'ail, des oignons, des gros champignons de Paris. De grosses patates pour les frites. Quatre grosses tomates. Estelle, accroupie, prend ses gouttes. Clémentine fouille ma bouche de sa langue. Principe infaillible pour me faire bander comme le dernier des salauds dans la bouche d'Estelle. De lui offrir les premières montées de liquide séminal. Une petite minute et nous remontons en riant. Clémentine beurre le plat carré en terre cuite. Estelle épluche les patates à frites. Nous les lavons en même temps que les petites. Je fais rissoler les tomates. J'y rajoute de l'eau. Le poulet posé dans le plat. Clémentine dispose les champignons, les petites pommes de terre tout autour. L'ail.

Je verse la purée de tomates. Estelle badigeonne la volaille de moutarde. Au four électrique pour faire rôtir doucement à 160°. Les pommes de terre pour les frites trempent dans le saladier. Nous faisons la vaisselle avant de monter nous laver les dents. Faire les clowns devant le miroir de la salle de bain. J'offre quelques "soins" à Estelle qui me les réclame. Air chaud sur ses seins. Massage du bas ventre. Elle insiste pour reprendre ses gouttes. Clémentine, mon "assistante médicale", fouille ma bouche de sa langue afin de permettre à Estelle de prendre son sirop à partir d'une tétine bien dure. C'est tellement bon que je pourrais éjaculer. J'aide Estelle à se redresser. Nous dévalons les escaliers. Pressés de partir. Dans le petit sac à dos, pommes, barres de céréales et thermos.

Nous chaussons les grosses godasses. Anoraks, bonnets, gants. C'est parti. << Put-hein comme ça caille ! >> s'écrie Estelle quand nous montons jusqu'au portail. Ce maudit vent glacial est la cause de ce froid. La température extérieure est de 8°. Un sacré contraste avec les jours précédents. Nous marchons d'un bon pas. Sur ce circuit la plupart des chemins son larges, sur terrains plats. Ce qui permet d'évoluer en nous tenant par les mains. Pas de bite à l'air avec ce froid. Sauf pour permettre à Clémentine de me la tenir afin d'en diriger les jets. D'offrir à Estelle sa thérapie. Pour la seconde pause pipi, c'est Estelle qui me la tient. Impatiente de prendre ses gouttes. C'est une randonnée revigorante et nous nous félicitons d'avoir pris le courage de la faire. C'est tellement gratifiant.

La nuit tombe à présent totalement vers 18 h25. L'heure où nous revenons à la maison après quatre heures de plaisirs. Clémentine fait l'assaisonnement des endives. Le poulet, doré, magnifique, réchauffe dans la fournaise du four à bois. J'aide Estelle à passer les pommes de terre au presse frites. C'est dans le grand tiroir de gauche de la friteuse sans huile qu'elles deviendront de belles frites croustillantes. Le portail est resté ouvert. Nos invités, nos amies, nos intimes ont pour consignes de ne pas s'annoncer et d'entrer directement. Voilà Lise qui arrive. Le bruit des talons de ses bottines sur le carrelage du hall d'entrée. << Coucou ! >> lance t-elle en nous rejoignant à la cuisine. << Mmhh, ça sent rudement bon ! Comme chez ma mamie ! >> rajoute la jeune fille en s'approchant d'abord de Clémentine pour lui faire trois bises. Pour cuisiner, j'évite d'avoir la bite à l'air. Trois bises à Estelle avant qu'elle ne vienne m'en faire trois aussi.

Ma braguette béante attire son attention car elle se retourne vers Clémentine pour demander : << C'est une constante, une habitude où c'est pour moi ? >>. Nous rions aux éclats quand Estelle répond : << C'est sur notre demande. On aime pouvoir se servir quand on a soif ! >>. Lise est une jeune fille pleine d'humour. Pas du tout "coincée". La proximité d'Estelle et de Clémentine ne la rassure pas seulement mais offre la certitude de ne courir aucun danger. Ce soir Lise porte un pantalon beige, un pull à col roulé gris, des bottines noires. Ses cheveux courts, auburn, à la garçonne, la fait ressembler à Danièle. Ses petites tâches de rousseur. Ses gestes d'une élégance naturelle rajoute à sa personnalité. Lise insiste pour mettre les assiettes, les couverts. Les filles parlent de leurs études.

<< Sors ta queue, fais ton vicieux, pour nos beaux yeux ! >> me chuchote Estelle alors que Lise et Clémentine, accroupies devant la porte vitrée du four guettent le moment de sortir le rôti de volaille. Je m'exécute. Estelle m'attrape le Zob dès qu'il est à l'air libre. Serrée contre moi, un bras autour de ma taille, sa tête contre mon épaule elle agite mon chibre mou quand Lise et Clémentine se redressent. Elles découvrent la scène. << Génial ! >> lance Lise ravie elle aussi de l'initiative. Elle devra nous laisser pour 22 h. Nous savourons ce repas en bavardant, en riant. Lise bénéficie de deux semaines pleines. Des vacances bien méritées car elle avoue bosser dur. Sa première année de préparation au BTS "commerce". J'aime entendre les filles raconter leurs amusantes anecdotes.

<< Tu nous fais du spectacle après, au salon ? >> me demande Estelle en mimant une branlette. Je suis un peu gêné car la présence de Lise que nous ne connaissons que depuis quatre mois me déstabilise quelque peu. Certes, elle connait nos penchants exhibitionnistes. Elle avoue d'ailleurs être extrêmement voyeuse. << Bienvenue au club ! >> lui fait Estelle. Nous débarrassons pour tout mettre dans le lave vaisselle. Estelle et moi préparons les coupes glacées. Elle en profite pour prendre ses gouttes. Nous rejoignons Clémentine et Lise déjà installées au salon. Je présente une splendide érection. << Wouah le machin ! >> s'écrie Lise. << Belle bête hein ? >> lance Clémentine. << Je viens de me la sucer un peu ! >> rajoute Estelle. << Reste debout ! >> s'exclame t-elle.

Lise, Clémentine et Estelle sont installées dans le canapé. Debout, les pieds écartés, les mains sur les hanches, par contractions des muscles fessiers, je fais bouger ma queue. J'adore les expressions sur les visages de mes spectatrices. C'est encore comme si c'était ma toute première prestation exhibitionniste. << Ça coule ! >> lance Lise en pointant son doigt. Je regarde. En effet la première stalactite de liquide séminal pend à l'extrémité de la peau fripée de mon prépuce. << Tu veux te régaler un peu ? >> demande Estelle. Lise reste silencieuse. Nous la devinons hésitante. Elle reste assise entre mes deux anges, dubitative, le menton en appui sur ses mains, ses coudes posés sur ses cuisses. Estelle se lève, contourne la table basse pour venir s'accroupir à ma droite.

Sa tête contre ma hanche, ses bras autour de mes cuisses, elle reste immobile. Clémentine nous observe avec la même attention que Lise. Lise que je devine aux combles de l'excitation. Mais, il est peut-être encore trop tôt dans le cadre de nos relations, pour qu'elle se laisse véritable tenter. Je la comprends très bien. Elle n'a que dix neuf ans, très peu d'expériences. Et sachant que nous avons affaire à une authentique voyeuse il n'y a pas lieu de s'interroger davantage. Estelle se met à genoux. D'un geste gracieux de la tête, elle récupère, bouche ouverte les dix centimètres de coulée de foutre épais et gluant. Clémentine, s'adressant à Lise, précise : << Le jour où tu gouteras, tu vas être surprise. Ça n'a pas du tout le gout qu'on imagine ! >>. Lise me regarde, écoute les explications de Clémentine tout en observant la pipe que me taille Estelle. Estelle me pousse dans le fauteuil. À genoux entre mes jambes, elle va y passer la soirée. Thérapie.

Bonne nuit à toutes les coquines qui aiment se serrer contre leur docteur, sous les draps, pour recevoir quelques derniers câlins, leurs bouches au gout du sperme...

Docteur Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Thursday 29 February 2024 07:39

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
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Un après-midi bien amusant

Il est huit heures hier matin, mercredi. Je suis tiré de mon sommeil par le mouvement masturbatoire d'Estelle contre ma hanche. Ses gémissements également. Ce ne sont plus ses "petits machins" qui causent du tourment. Elle me rassure en murmurant : << J'ai fait un rêve très cochon ! >>. Clémentine est réveillée à son tour. Elle vient se blottir pour se rendre compte du mouvement d'Estelle. Je suis entre mes deux anges. J'ai mon érection naturelle dans la main d'Estelle qui rajoute : << Et tu étais encore plus vicelard dans mon rêve que dans la réalité ! >>. Nous rions tous les trois quand Clémentine dit : << Alors ça il faut que tu nous racontes ! >>. Estelle se lève la première pour courir vers la porte en s'écriant : << Je vous attends en bas ! >>. Clémentine se frotte contre ma hanche.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Dans la salle de bain nous revêtons nos habits de gym. Le pyjama de soie mauve d'Estelle posé sur le couvercle de la baignoire. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour la rejoindre à la cuisine. Les suaves parfums du café, du pain grillé se mêlent à l'odeur du feu qu'allume Estelle dans la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la randonnée de mardi après-midi. << Aujourd'hui un plan randonnée, c'est foutu ! >> précise Clémentine. Il ne pleut pas mais le ciel en est annonciateur. Gris, sombre, sinistre et bas. La température extérieure est remontée à 8°. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la journée. J'ai rendez-vous cet après-midi avec Maître Rober mon notaire. 15 h.

C'est Clémentine qui me le rappelle. Du mardi ce rendez-vous a été décalé au mercredi. << C'est super, le centre commercial et l'hypermarché ne sont pas loin ! >> s'exclame Estelle avant de rajouter d'une voix posée : << On s'habille salopes ? Mes "petits machins" sont finis ! >>. Clémentine trouve l'idée plutôt sympa. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents, recouvrir le lit, refermer la porte fenêtre. Une fois encore ce sera un entraînement en salle. Les échauffements nécessaires. Aérobic, jogging sur tapis roulants, vélo ergométrique. Exercices au sol. Dans une certaine confusion car mes deux anges font les clowns. Estelle racontant son rêve érotique. Nous en rions aux éclats. Dans son rêve Estelle était "Soumise", un seau suspendu entre ses cuisses écartées.

<< Un seau ! >> s'écrie Clémentine. << Oui, Julien m'avait attaché, les bras levés, les pieds écartés. Un seau attaché à la chaîne qu'il avait passé autour de ma taille. Pratique pour pisser debout sans en mettre partout ! >>. Nous écoutons un peu éberlués en attaquant les barres et les haltères. Conclure avec les étirements d'un bon stretching permet le retour au calme. En temps normal. Car là, l'excitation nous gagne. En allant à la salle de bain Estelle palpe la bosse qui déforme mon legging de lycra noir. << Dis donc, ça te fait bander comme un pendu mes rêves ! >> lance t-elle. Elle prend sa douche la première alors que Clémentine, aussi excitée que moi, saisit mon poignet pour que je glisse ma main dans sa culotte. En passant mon index entre les lèvres pulpeuses de sa vulve je découvre avec bonheur qu'il y a des suintements. De la mouille.

C'est à notre tour d'aller sous l'eau. Je n'arrête pas de toucher Clémentine même en la savonnant. Nous sommes habillés tous les trois de nos Levis, de nos sweats, baskets. Nous redescendons les escaliers. Arrêts bisous et palpations toutes les quatre marches jusqu'en bas. Il va être dix heures. Dans l'atelier, j'allume la flambée de la cheminée. Estelle et Clémentine, assises devant leurs ordinateurs, ajustent leurs écouteurs et leurs micros. Il faut se faire violence car nous sommes considérablement excités. Installé devant mon chevalet je commence le dessin préparatoire d'une cinquième toile hyper réaliste. "Le Musée". D'après une photo que nous avons prise dans la grande salle des Maîtres Hollandais du dix septième siècle à la National Gallery d'Édimbourg, l'année dernière.

On y voit les visiteurs admirer des œuvres du Siècle d'Or. Excellent prétexte pour peindre des gens et reproduire les tableaux qu'ils admirent. Ainsi, dès lundi je pourrais me consacrer à la peinture pour deux toiles successives. Ce sont encore deux heures d'un pur plaisir. J'entends les conversations de mes deux anges avec un professeur, d'autres étudiants. Il va être midi. Estelle et Clémentine rangent les documents dans des classeurs. Je cesse mon dessin qui sera terminé demain en fin de matinée. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Morts de faim. Il suffit de réchauffer les restes du poulet à la poêle. Avec du riz complet. Une salade de carottes. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la compagnie de Lise mardi soir. Estelle apprécie d'avoir une nouvelle amie hyper voyeuse.

<< Tu m'infliges en vrai les tourments de mon rêve ? >> me demande t-elle en venant s'assoir la première sur ma cuisse. Rapidement rejointe par Clémentine. Elles me tiennent par la taille, par le cou en faisant le scénario d'une prochaine séance. Clémentine est aussi impatiente de tester cette histoire de seau suspendu. << On se fait une méga soirée vendredi ! >> suggère Estelle. << Je filme ! >> précise Clémentine. << Tu ne participes pas ? >> demande Estelle. << Si bien sûr, mais comme ça, samedi soir, on se fait une soirée cinéma ! Lundi prochain on a école ! >> répond Clémentine. La vaisselle. J'ai la bite à l'air et je bande comme le dernier des salauds en remontant les escaliers. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Je me masturbe.

Estelle et Clémentine, assises sur les deux tabourets, se touchent en me regardant. << J'adore voir ça. Un mec qui se branle ! >> s'écrie Estelle. << Moi aussi ! >> s'exclame Clémentine. Je rajoute : << "Lui", aimant être vue cherche "Elles" aimant voir ! >>? Toutes les deux, en cœur, lancent : << "Il a trouvé "Elles" ! >>. Nous rions aux éclats. Dehors, la pluie s'est mise à tomber. Nous nous changeons. Les filles portent une de leurs jupes kilts aux discrets carreaux gris et verts. Des collants noirs pour Estelle, des bas noirs pour Clémentine. Un chemisier crème sous un pull noir au col en "V". Leurs hautes bottes de cuir noir à talons. Sur leur demande je porte un Levis brut, mes bottines noires, une chemise blanche sous un pull noir au col en "V". Nous prenons des poses devant le grand miroir ovale de la salle de bain. Estelle accroupie à ma gauche, Clémentine accroupie à ma droite, leurs têtes contre mes hanches. Cuisses écartées.

<< Maître, faites-moi connaître l'épreuve du seau vendredi soir, sel vou pli ! >> demande Estelle entourant ma cuisse de ses bras. Clémentine faisant pareil, rajoute : << À moi aussi même si je ne sais pas pisser debout proprement ! >>. Nous rions aux éclats alors que je les tiens par leurs nattes comme par des laisses. Je donne un à coup avant de les forcer à se redresser. Pressés de filer, nous redescendons. Les bottes à talons hauts obligent à une certaine prudence. Excellent prétexte pour s'arrêter à nouveau toutes les quatre marches. Mes mains sous leurs jupes à palper le plus vulgairement possible leurs intimités. Nous mettons nos blousons de cuir noir. Les écharpes crèmes sont la seule touche de couleur clair. Nous traversons le jardin sous le parapluie. Température de 18°.

Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Ma main droite entre ses cuisses. Estelle assise à l'arrière, qui me caresse le cou en élaborant un premier vague scénario de la séance de "dressage" prévue vendredi soir. << S'il fait moche, on peut même faire ça l'après-midi ! >> suggère t-elle. << À la lumière naturelle c'est très sympa à filmer ! >> précise Clémentine. Il y a une vingtaine de kilomètres jusqu'à la zone commerciale. Il y a également les études de mon notaire, de mon comptable à côté de la pharmacie et de la maison médicalisée. Je gare la voiture lorsque mon I-phone se met à sonner. Clémentine s'en saisit. << Juliette ! >> dit elle avant d'allumer en mettant sur "haut parleur". Juliette s'excuse. Elle ne pourra pas nous rejoindre en soirée. Un imprévu au haras.

Maître Rober nous reçoit dans son bureau. Il connait bien Estelle pour la voir lors des vernissages dans ma galerie d'Art. Il n'est donc pas étonné de sa présence avec nous. Et deux jeunes filles aussi sublimes assises devant son bureau ne sont pas pour déplaire à un homme d'âge mû également. Maître Rober voulait me rencontrer pour me faire part d'une éventualité d'achat des deux immeubles résidentiels que je mets en vente depuis deux ans. Chaque immeuble contenant dix appartements de grand standing. Maître Rober gère mon patrimoine immobilier depuis plus de trente ans. Son père gérait déjà celui de mes parents. Une histoire de famille. L'acheteur potentiel est un fond de pension Californien. Le prix n'étant pas négociable les clients sont plutôt rares. Surtout les particuliers.

Je donne mon accord par écrit si la transaction devait se faire. Nous bavardons un peu. Je promets à mon ami notaire que si j'exploite ma galerie cet été, il sera invité au vernissage. << Ma femme adorerait faire l'acquisition d'une de vos toiles hyper réalistes ! >> précise t-il. Maître Rober nous raccompagne jusqu'à l'ascenseur. Nous adorons bavarder. Une fois de retour dans la voiture Estelle me dit : << Vous faites vos commères les messieurs ! >>. Nous rions de bon cœur. Il y a un petit kilomètre. Je gare l'auto sur le parking de l'hypermarché. Parking que nous traversons pour nous rendre chez Décathlon. Il n'y a pas trop de monde. C'est agréable de flâner là, d'acheter des chaussettes invisibles pour les godasses de sport. Il y a de superbes jupettes de tennis en fin coton plissé.

Essayage dans les cabines. À l'étroit, tous les trois, à nous toucher. Je doigte mes coquines. Je baise même Estelle en levrette quand, se penchant, prenant appui de ses mains sur la banquette, elle me présente son cul. Sa culotte et ses collants descendus à mi cuisses. Elle se regarde dans le miroir entrain de se faire sauter. Clémentine contre moi nous l'observons. Il faut être silencieux et chuchoter. Quand je me retire Clémentine se penche pour me sucer. Impossible de s'accroupir pendant qu'Estelle remonte ses fringues. L'endroit trop exigu n'est pas prévu pour trois. Mais c'est très sympathique. Bien évidemment mes coquines n'ont pas essayé les jupettes tennis. Il suffit de les replacer dans le rayon. Clémentine, dont la culotte est restée dans la voiture, s'offre une superbe exhibe.

Un type seul, au rayon des bicyclettes. Clémentine, faisant semblant d'admirer la même machine, s'accroupit carrément devant le mec. Estelle et moi, un peu plus loin, nous admirons la scène. C'est encore extraordinaire. Le jeune homme paraît déstabilisé. Il y a d'autres clients mais aucun ne se doute un seul instant de ce que fait réellement la jeune fille accroupie derrière le vélo. Le jeune homme s'accroupit à son tour. Pour bien voir évidemment. Et il n'est pas déçu. Une superbe jeune fille, hyper sexy, ne portant pas de culotte, là, devant lui, à même pas un mètre. Chacun pourra se faire une idée du bouleversement des sens qui s'opère dans la psyché de ce pauvre garçon "victime". Hélas, comme souvent, le mec n'est pas seul. C'est son pote qui se pointe. Le marrant des deux sans doute.

Notre "victime" se redresse pour suivre son copain qui a probablement besoin de son avis. Nous les voyons s'en aller tous les deux. Clémentine vient nous rejoindre pour nous raconter ses émotions. Nous quittons Décathlon pour Chausse Land. Il y a là de belles opportunités dans le rayon des chaussures hommes. Clémentine s'offre une seconde exhibe. Assisse, cuisses largement écartées, devant un mec qui essaie une paire de godasses. Estelle et moi, plus loin, excités comme des malades, nous assistons à ce second épisode. Clémentine tourne une chaussure de sport dans ses mains, faisant mine de l'évaluer. Le mec fixe son entrejambes comme s'il assistait à une apparition mariale. Lui non plus n'est pas seul. C'est sa femme qui vient le rejoindre. Clémentine revient nous raconter.

Bonne fin d'après-midi à toutes les coquines bien "allumées". Dans la cafétéria de l'hypermarché à déguster une délicieuse paëlla. Avant de s'offrir une soirée baise sur bureau une fois de retour à la maison...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Friday 1 March 2024 07:40

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 45 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2539 -



Un petit moment dans la bouche de Danièle

Il va être huit heures. Hier matin, jeudi, nous nous réveillons quasiment en même temps. Estelle serrée contre moi sur ma droite. Clémentine qui vient se blottir sur ma gauche. Une fois encore c'est Estelle qui s'empare de ma tumescence la première. Je glisse mes mains dans les culottes. Quelques instants car très rapidement, dans un réflexe commun et tout à fait organique, nous nous étirons longuement. En modulant nos gémissements jusqu'à l'absurde. En riant. Estelle se lève d'un bond. De cette façon dont elle est coutumière de courir vers la porte en s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine saisit mon érection à présent déclinante pour me dire : << C'était sympa hier dans les magasins. Quelques bonnes exhibes, ça fait du bien. Et ça me manque ! >>. J'ai bien apprécié aussi.

C'est à notre tour de nous précipiter aux toilettes. Nous revêtons nos tenues sports dans la salle de bain. Estelle a déjà revêtu la sienne. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour la rejoindre à la cuisine. Il y a déjà les délicieuses odeurs de café, de pain grillé. S'y rajoutent celles du feu qu'allume Estelle dans la cuisinière à bois. Je presse les oranges, Clémentine pèle les kiwis. Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur nos aventures de mercredi après-midi. Le rendez-vous chez mon ami notaire. Les exhibes extrêmement sympathiques de Clémentine. Notre repas du soir à la cafétéria de l'hypermarché. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la visite de Danièle en début d'après-midi. La jeune femme a décalé hier ses livraisons à aujourd'hui, pour quatorze heures.

Nous traînons un peu à table pour faire le très vague programme de la journée. La vaisselle. La température extérieure n'est que de huit degrés mais il ne pleut plus. Le ciel est voilé mais lumineux. Une fois encore il faut accepter de s'entraîner en salle. Nous n'avons pas le courage d'aller courir dans la fraîcheur humide de ce 29 février. Nous remontons pour nous laver les dents. Notre salle d'entraînement n'étant pas chauffée il faut redoubler de dynamisme pour rendre les choses agréables. L'aérobic et le jogging sur tapis roulants sont parfaits pour l'échauffement. Estelle qui pédale comme une championne sur son vélo ergométrique. Les exercices au sol. Les charges additionnelles avant le retour au calme salvateur d'un bon stretching. Estelle prend sa douche la première.

Pendant que nous recouvrons le lit avant de la rejoindre à la salle de bain. Habillés de nos 501, de nos épaisses chemises à carreaux, de nos baskets, nous dévalons les escaliers pour nous rendre dans l'atelier. J'y allume immédiatement la belle flambée de la cheminée. Estelle et Clémentine assises devant leurs ordinateurs. Ajustant leurs écouteurs et leurs micros. Prêtes à se lancer dans leurs cours en télé travail. Installé devant mon chevalet, je fignole le dessin préparatoire de ma sixième toile hyper réaliste, "Le musée". Encore une de ces séances de travail hautement productives. C'est une véritable émulation que de la vivre ensemble, à trois, dans la même pièce. Il va être midi. Je termine mon crayonnage. Estelle et Clémentine retirent leurs écouteurs, rangent et ferment leurs classeurs.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la laitue. Une laitue dont elle lave les feuilles en parlant du programme universitaire. Estelle fait dorer trois grosses escalopes de dindes dans la poêle. Pendant que les spaghettis cuisent dans leur eau bouillante, je prépare une sauce au Roquefort. C'est une préparation rapide. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les évènements inquiétants qui font l'actualité. << Un président qui relève de la psychiatrie aurait donc droit de vie et de mort sur la nation ! >> lance Estelle. << Un fou mégalomane qui veut entraîner toute l'Europe dans la destruction et l'anéantissement ! >> rajoute Clémentine. J'écoute leurs conversations avec grand intérêt. Nous traînons longuement à table à évoquer le danger qui guette. << C'est que ce cinglé se voit en chef de guerre ! >> dit Estelle. << Qu'attendent les autres dirigeants pour neutraliser ce taré ! >> fait Estelle.

La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Ce qui dédramatise un peu le sujet abordé en mangeant. << Donc, avant de mourir sous le feu nucléaire, je propose de nous envoyer en l'air comme des malades ! >> lance Estelle en fourrant sa main dans ma braguette béante. Elle en extrait le locataire en rajoutant : << C'est toujours ça de pris ! >>. Nous en rions aux éclats. Danièle doit nous livrer pour quatorze heures. Nous redescendons car elle va arriver d'ici quinze minutes. Nous ouvrons le portail depuis l'interphone du hall d'entrée. Estelle tient ma bite d'une poigne ferme. Je bande comme le dernier des salauds quand Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche. Le gout eucalyptus de la crème dentifrice.

Toutes les deux m'entraînent devant le grand miroir de la penderie. << Regarde un peu ce vicelard qui s'apprête à recevoir une jeune femme avec la bite à l'air ! >> lance Estelle alors que Clémentine s'accroupit pour coller sa joue contre ma queue. Estelle me branle. Voilà la camionnette blanche qui descend les pavés autobloquants et luisants du chemin. Danièle en saute pour traverser le jardin presque en courant en tenant un carton. Estelle ouvre la porte pour la recevoir juste quand elle monte les quatre marches du perron. Son bonnet de laine assorti à son gilet de camionneur, la jeune femme est visiblement débordante de joie en nous retrouvant. Nous la débarrassons de son gilet, de son bonnet et moi de son carton contenant nos viandes. Clémentine l'invite à nous suivre à la cuisine.

Je pose le carton sur la table pour en vider le contenu. Des escalopes de dindes, un beau petit poulet, des asperges. << Ce sont les premières de l'année. Cultivées sous nos serres. Vous m'en direz des nouvelles ! >> dit Danièle en fixant mon sexe qui commence à ramollir. << Je peux ? >> me demande t-elle en s'accroupissant devant moi. Estelle et Clémentine contournent la table pour se rapprocher. J'évite de toucher la tête de Danièle. Mercredi dernier elle m'a bien signifié qu'on regarde mais qu'on ne touche pas. << On peut aller au salon ! >> propose Clémentine. << Je prépare le café ! >> rajoute Estelle. Danièle se redresse en m'adressant un curieux regard. Ce regard suggestif qu'ont les femmes dans ces instants particuliers. Ça me fait bander comme un vrai salaud.

Clémentine me fait tomber dans le fauteuil. Danièle se saisit d'un des épais coussins du canapé pour le jeter au sol, entre mes pieds. << C'est comme ça que j'aime ! >> s'exclame t-elle en s'y mettant à genoux. Clémentine déboutonne son Levis pour y fourrer sa main. Estelle vient nous rejoindre avec des tasses fumantes de café posées sur le plateau. Avec Danièle les préliminaires sont inexistants. Très certainement par manque de temps mais aussi pour satisfaire ses pulsions. Estelle et Clémentine, d'abord accroupies de part et d'autre du fauteuil, ne tardent pas à s'installer plus confortablement. Je me fais tailler une pipe des familles sous les regards de mes deux anges qui se masturbent. Un moment extraordinairement surréaliste dont nous sommes friands et coutumiers. Sublime.

Danièle me suce avec délectation. Comme il m'est interdit de pouvoir m'exprimer avec les mains, je caresse les nuques de mes deux anges. Parfois à genoux, parfois assises, elles se touchent en observant avec l'attention de scientifiques. C'est extraordinairement excitant. Je regarde les expressions d'extase sur le visage de Danièle. Quand je demande : << C'est bon ? >>, elle se contente de glousser. Ses joues creusées par l'effort de succion. Ses cheveux courts, auburns, ses tâches de rousseur, j'ai l'impression de me faire sucer par la maman de Lise. Ou tout au moins par sa grande sœur. Dix sept ans d'écarts tout de même. Je me concentre. J'aimerais bien lui pisser dans la bouche. Mais mon érection et mon excitation folle me l'interdisent. Je contracte mes muscles fessiers pour faire bouger mon sexe dans sa bouche. Curieusement, contrairement à Clémentine ou encore à Estelle, Danièle ne fait aucune pose. Elle pompe avec fougue.

J'éjacule en poussant un cri. Depuis plusieurs minutes, Estelle et Clémentine se sont redressées, à genoux, à scruter mes expressions. Ravies de me voir jouir ainsi, dans un réflexe commun, elles me prennent par les épaules, me caressent la tête. Je me vide dans la bouche de Danièle qui pousse de petits râles de ravissements. J'ouvre les yeux pour la regarder me vider les couilles comme si sa vie en dépendait. Je suis certain que si elle en avait le temps, la jeune femme repartirait pour un second tour. Elle cesse. Mon sperme est épais, gluant et visqueux. Elle aussi doit s'y prendre à plusieurs fois pour le déglutir. Elle se redresse en s'écriant : << Wouah ! >>. Estelle demande : << Tu t'es régalée ? >>. Danièle, se tournant pour prendre sa tasse de café, répond : << Et comment ! >>

Pressée par le temps, devant retourner à son exploitation agricole, Danièle se redresse en disant : << J'ai encore deux clients à livrer. Ce matin depuis six heures, j'ai tenu le stand au marché. Et cet après-midi il y a plusieurs centaine d'œufs à ranger dans les boîtes. Je les livre aux supermarchés aux aurores demain matin ! >>. Nous la raccompagnons jusque dans le hall d'entrée où elle se recoiffe de son bonnet, enfile son gilet. Elle passe sa main sur mon visage en disant : << Merci ! >>. Elle m'adresse un clin d'œil en ouvrant la porte. Nous la regardons courir en restant sur les dalles de grès, jusqu'à sa camionnette. << Put-hein j'adore te voir jouir ! >> me fait Estelle en saisissant ma bite toute mollasse. << Moi aussi, c'est beau un homme qui jouit ! >> rajoute Clémentine.

Nous retournons au salon. << Je peux faire comme elle ? >> me demande Estelle. Je réponds : << Attends un peu. Là je suis complètement sur les rotules et vidé ! >>. Les filles éclatent de rire. << Nous, on s'est bien éclatées en regardant ! >> dit Clémentine qui recommence à se toucher. Je suis vautré dans le fauteuil. Mes deux anges assises sur les accoudoirs. Leurs bras autour de mes épaules. Me câlinant en échangeant leurs impressions. Estelle se lève, retire ses baskets, ses jeans et sa culotte. << Ça te dit ? >> me demande t-elle en montrant sa chatte. Elle écarte ses poils, ses lèvres pour me montrer toute la mouille qui colle. Cette vue me met évidemment en appétit. Estelle contourne la table basse pour s'effondrer dans le canapé, ses jambes relevées, les cuisses écartées.

Clémentine fait de même. Je reste installé dans le fauteuil à les regarder. Elles se touchent toutes les deux. Me font d'adorables sourires. Je m'écrie : << Mais put-hein comme vous êtes belles toutes les deux ! Je n'arrive pas à m'y faire ! >>. Elles se mettent à rire. C'est vrai que je ne peux pas m'y faire. Dans la pénombre du salon, les yeux de Clémentine, d'un bleu irréel, scintillent comme les phares d'un camion dans la nuit. Ceux d'Estelle d'un bleu moins intense m'étourdissent tout autant. Se doigtant, jouant avec leurs clitoris, elles tiennent leurs nattes de leurs mains libres. Mon érection revient doucement. Il y a ce fond de cuve qui remonte de mes couilles pour s'épancher n'importe comment. Une longue coulure gluante qui reste collée sur ma cuisse, maculant le tissu denim de mon 501.

Je me masturbe doucement. Tout comme les filles. Nous nous observons en silence. Ce sont des moments intenses. De nous masturber l'un en face de l'autre constitue un must pour nos libidos. Nous partageons les mêmes penchants pour le voyeurisme et l'exhibitionnisme. << Je vais préparer un thé et je ramène des petits gâteaux ! >> lance Estelle qui se lève d'un bond. Sans cesser de se toucher, elle marche vers la porte. Se retourne, cambrée sur ses genoux fléchis, elle rajoute : << Et après, on fait la fête ! >>. Clémentine tient son clitoris géant entre son pouce et son index. De son autre main elle écarte les polis de l'invraisemblable touffe qui l'entoure. << Je t'aime. J'adore te voir faire ton vicieux avec une autre ! Ça m'excite tu sais ! >> me répète t-elle une fois encore.

De me montrer ainsi son "cadeau du ciel", l'excite tout autant. Je me lève pour venir me mettre à genoux entre ses jambes. Je fourre mon visage entre ses cuisses. J'adore les sentir frissonner contre mes joues. Je prends son clitoris entre mes lèvres pour me mettre à le sucer passionnément. Dans un gémissement lascif Clémentine s'effondre complètement dans le canapé. Estelle revient avec le plateau qu'elle pose derrière moi, sur la table basse. << Et moi ! >> s'exclame t-elle en tombant à gauche de Clémentine. Avec l'excitation vécue depuis plus d'une heure trente, je me régale de quantité incroyable de mouille. L'onctueuse "crème" de Clémentine. La savoureuse "liqueur" d'Estelle. Toutes les deux, trop heureuses de passer le reste de l'après-midi à se faire bouffer la chatte, échangent leurs impressions. J'adore me régaler, le visage trempé de jus de filles, en les écoutant bavarder. Entre deux petits cris, l'intérieur de leurs cuisses qui tremble.

Cet après-midi, c'est encore tellement excitant qu'elles en arrivent aux "expériences". Estelle se concentre. Je le sens bien. Elle retient sa respiration. Explique à Clémentine ce qu'elle tente de faire. Je cesse de sucer pour me redresser, relever le tapis pour le caler sous les pieds de la table basse. À peine suis-je revenu à la dégustation du minou d'Estelle qu'elle se lâche. Un bref jet de pisse chaude. << Copieuse ! >> lance Clémentine. Estelle, le corps parcouru de spasmes à chaque nouveau jet se cambre soudain en hurlant. Elle s'offre un orgasme nucléaire. Je suis trempé de pisse. Le visage, la chemise. Il y en a sur le parquet. Ce spectacle fait hurler Clémentine à son tour. Elle aussi victime d'un orgasme tellurique avant même que je ne revienne bouffer son intimité. Elle en pisse de joie.

Je me lève pour admirer ces deux sublimes coquines complètement hébétées par leurs plaisirs. Je me positionne devant Clémentine que je saisis par sa natte. Trop heureuse de cette suite inattendue, elle gémit de plaisir quand je frotte ma queue sur son visage. Avant de l'enfoncer dans sa bouche qu'elle ouvre en grand pour l'accueillir. Estelle, qui recommence à se toucher, se met à genoux sur le canapé pour m'attraper par la taille. Son visage tout près de celui de Clémentine, elle observe cette fellation juteuse. Estelle retombe dans le canapé en proie à un second orgasme. Épuisée. Elle me regarde éjaculer dans la bouche de Clémentine. Une véritable explosion car du sperme jaillit même de sa narine droite. Je la maintiens fermement. Elle ne cherche pas à se dégager. trop contente de vivre une fois encore cette situation dont elle raffole. Estelle se rapproche. Je l'attrape par sa natte. Elle ouvre la bouche pour que j'y pisse aussi.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui ont vécu une fois encore l'apocalypse des sens en se livrant à des dépravations dont elles raffolent. Avant de réchauffer le reste des spaghettis avec une omelette et deux avocats en salade...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Saturday 2 March 2024 07:17

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
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Les improvisations du vendredi

C'est aux environs de huit heures, hier matin, vendredi, qu'Estelle me tire de mon sommeil. Comme elle sait le faire quand nous sommes ensemble. C'est à dire aux vacances et le weekend. Saisissant mon érection matinale d'une poigne ferme. Ne supportant pas de rester seule quand elle ne dort plus. Ce qui réveille également Clémentine qui vient se serrer contre moi. Le plus souvent, constatant que ma turgescence est déjà dans la main d'Estelle ce sont les couilles qu'elle empoigne. Je suis entre mes deux anges. Encore dans une certaine confusion mentale, nous nous étirons en tentant d'émerger complètement. Nos gémissements très vite loufoques nous font rapidement rire de nos facétieux réveils. Estelle, toujours aussi soudainement, se lève d'un bond. Mue par ressort.

<< Pipi ! Au secours ! >> s'écrie t-elle en courant vers la porte. Clémentine a ma bite à présent molle, pour elle toute seule. Un petit moment car nous aussi nous nous précipitons aux toilettes en proie à l'urgence absolue. Nous revêtons nos tenues sports dans la salle bain. Le pyjama de soie mauve de notre comparse posé sur le couvercle de la baignoire. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Les suaves odeurs du café, du pain grillé. Estelle entrain d'allumer la cuisinière à bois. C'est une belle surprise de constater que le ciel est morcelé de bleu. La journée promet d'être ensoleillée. Le thermomètre extérieur indique 10°. Il va peut-être même faire plus doux. Je presse les oranges. Clémentine pèle les kiwis. Les filles racontent leurs rêves.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur l'après-midi fou de notre jeudi. La livraison, la présence et la fellation de Danièle. Nos folies qui s'en sont suivies. << Tu as vu la pompeuse que c'est ! >> lance Estelle. Clémentine répond : << Encore plus gourmande que nous ! >>. Je rajoute : << Et ce n'est pas peu dire parce que en ce moment, j'en connais une qui se surpasse ! >>. Estelle se lève, mime une fellation puis une masturbation masculine en disant : << Tu veux sans doute parler de celle-là ! >>. Nous rions de bon cœur quand Clémentine s'écrie en mimant une pipe : << Ou alors de celle-ci ! >>. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le vingt quatrième film porno que nous envisageons éventuellement de tourner ce soir. << Ou demain ! >> précise Clémentine.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nos pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Cette fois nous prenons notre courage à deux mains. Nous dévalons les escaliers pour revêtir nos K-ways. Bonnets, gants avant de sortir. Quelques mouvements d'échauffement dans la désagréable fraîcheur humide. C'est sur le bord de l'étroite route communale déserte que nous courons. Un jogging d'une heure où nous passons deux fois devant le haras. Il y a plein de voitures déjà garées dans la cour. Il est neuf heures trente cinq quand nous revenons. Enchantés et ravis de ce running gratifiant. Estelle prend sa douche pendant que nous recouvrons le lit, que nous préparons nos vêtements. Nous la rejoignons à la salle de bain. C'est à notre tour. Estelle nous attend en s'habillant. Chantant.

Vêtus tous les trois de nos paires de 501, de nos sweats, nous redescendons à toute vitesse pour aller dans l'atelier. Deux heures de cours en télé travail y attendent les filles. J'allume la flambée de la cheminée pendant que mes deux anges mettent leurs écouteurs, ajustent les micros devant leurs bouches. Je vais consacrer le reste de la matinée à lire, à faire un peu de rangement de mon matériel de peinture. Il va être midi quand Estelle se lève la première en s'écriant : << Terminé jusqu'à lundi ! >>. Clémentine se lève à son tour pour rajouter : << Ça devrait se limiter à ça tous les jours ! >>. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement des carottes. Estelle émince deux grosses escalopes de dinde. Je prépare la Béchamel. Je râpe le gruyère Suisse.

Dans la poêle, avec le rajout d'ail et d'oignon, la viande rissole. Estelle verse le tout dans la Béchamel. J'y rajoute le gruyère. Clémentine remplit les six bouchées à la reine. J'égoutte les coquillettes. Le tout dans le grand plat carré en terre cuite. Pas question de laisser mijoter longuement ce qui est déjà cuit. C'est dans la fournaise du four à bois que nous terminons la cuisson. Ce soir, en revenant de randonnée, il n'y aura qu'à réchauffer. Ou demain. Nous mangeons de bon appétit en faisant l'itinéraire de notre virée pédestre de cet après-midi. Ce seront les sentiers des collines du château. Réjouissances en perspectives car il fait vraiment beau. Il est midi quarante cinq et la température extérieure est de 19°. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Impatients de profiter de cette météo.

Nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos, pommes, barres de céréales, lampes frontales et thermos de thé bouillant. Nos grosses godasses en mains nous traversons le jardin en courant pour sortir l'auto du garage. C'est parti. Vingt cinq kilomètres jusqu'au parking de restaurant. Il y a là plein de voitures. Non seulement celles des clients mais également des marcheurs. Nous changeons de chaussures. Inutile de mettre nos anoraks avec 20° sous un ciel bleu et un agréable soleil. Nos K-ways noués par leurs manches autour de nos tailles. C'est parti. Nous contournons la terrasse du restaurant. Quelques clients y sont déjà attablés. Le chemin est large. Nous pouvons marcher en nous tenant par les mains. Ma braguette béante est dissimulée par les manches nouées de mon K-way.

Le chemin devient sentier. Nous croisons d'autres randonneurs. Probablement des gens partis très tôt en matinée et qui reviennent. La bite qui pend de ma braguette ouverte est cachée elle aussi par les manches du K-way. Il me faut juste prendre la précaution de la garder à l'abri des regards des marcheurs que nous croisons. C'est presque la première journée d'un printemps précoce. Un premier mars ensoleillé et doux. Il y a deux heures avant d'arriver au château. Les boutiques, le restaurant, le salon de thé, l'office de tourisme et le musée sont encore fermés. Dommage. Il y a du monde dans la grande cour de la forteresse entièrement rénovée. Remise à neuve comme si elle avait été construite récemment. Tous les accès, au donjon, aux coursives, aux chemins de rondes sont fermés.

Un panneau annonce les ouvertures officielles pour le premier mai. Nous nous promettons d'assister à l'inauguration de la citadelle. Estelle, pas toujours très discrète, joue avec ma queue. Je glisse mes mains entre les cuisses des filles qui regrettent de ne pas êtres en jupettes. << Il fait tellement bon qu'on aurait été bien plus à l'aise en jupettes ! >> précise Clémentine. Moi aussi j'aurais été mieux en short ou bermuda. La nuit tombe totalement pour dix huit heures quarante cinq. L'heure où nous retrouvons la voiture. Il y a de l'animation dans le restaurant car nous entendons de la musique. << Venez, on va voir. C'est de la musique Country ! >> propose Clémentine. Nous entrons dans l'établissement. C'est un groupe de quatre musiciens "cow-boys" qui jouent une musique entraînante.

Comme il reste quelques tables je suggère que nous mangions là. Estelle et Clémentine se regardent. Hésitante. Je demande à la jeune serveuse qui passe s'il reste des tables libres pour ce soir. << Deux ! Mais il faut réserver parce que ça téléphone grave ! >> répond t-elle en filant pour rejoindre des gens attablés. << J'adore cette ambiance ! >> lance Clémentine. << Moi aussi ! >> rajoute Estelle. Je dis : << Alors on s'installe ! Le temps d'aller changer de godasses ! >>. Nous réservons la table située à droite de la scène. Pas trop près, pas trop loin. Le niveau de la la sono est très raisonnable et ce n'est encore qu'une répétition. Nous retournons à la voiture pour remettre les baskets. Les filles sont finalement tellement contentes que ce sont des effusions de joie sur la banquette arrière.

Je suis entre mes deux anges. Elles se refilent le Zob en échangeant leurs impressions. Moi aussi j'aime me régaler de leurs minous quand elles ont marché et transpiré durant quatre heures. Les arrêts pipis agrémentant les saveurs de l'ensemble de ce petit gout relevé, acidulé et vinaigré. Des voitures s'en vont. D'autres arrivent. Personne ne se doute de ce qui se passe dans la nôtre. Estelle et Clémentine couchées sur le côté, en appui sur leurs coudes, qui se partagent mon chibre. Je bande comme le dernier des salauds. Le bruit bulleux et les gargouillis envahissent l'habitacle. Les gémissements lascif, les râles de contentement. Quand l'une suce l'autre précise à quel point "l'apéro" est sirupeux. Il fait nuit noire. Là-bas les fenêtres éclairées du restaurant. Une demi heure de fellation.

Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. Il faut cesser pour reprendre nos esprits. Morts de faim. Les filles serrées contre moi qui échangent leurs ressentis. Nous rions de nos frasques. Les coquines me félicitent car j'ai marché quasiment tout l'après-midi avec la bite à l'air. Ma bite aussi à ce goût qu'elles apprécient après quatre heures de randonnée. Je remballe la queue une fois sorti de la voiture. C'est plus facile et je bande mou. Elles savent qu'avec l'excitation mon sexe va dégorger de liquide séminale une bonne partie de la soirée. Aussi Estelle précise : << Deux visites aux chiottes. Avant le dessert. Avant le café ! >>. Clémentine surenchérit : << Et peut-être même une au milieu du repas ! >>. Nous voilà installés dans une salle bondée. Un repas délicieux. Une musique des plus sympas.

Bonne faim de soirée à toutes les coquines qui, au retour, se partagent la queue du chauffeur. Qui, une fois sous les draps, se font nettoyer le minou avant un bon dodo. Serrées contre leur coquin...

Julien (le coquin)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Sunday 3 March 2024 10:22

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 47 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2541 -



Les petites manies de nos samedis matins

Il est pile 7 h30 quand Estelle attrape mon érection naturelle de sa poigne ferme. Je suis déjà plus ou moins conscient car accrochée à moi toute la nuit, elle bouge ses pieds contre les miens depuis un moment. Clémentine se réveille pour venir se blottir. Je suis entre mes deux anges qui se frottent contre mes cuisses en gémissant de plaisir. L'impérieux besoin de pisser terrasse Estelle qui, se levant d'un bond, lâchant mon chibre, s'écrie : << Pipi du matin, pour aller bien ! >>. Elle se précipite vers la porte. Clémentine continue son mouvement masturbatoire, enserrant ma cuisse des siennes. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Dans la salle de bain, nous enfilons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra bleu. Le pyjama d'Estelle posé sur le porte serviette. Elle aussi est en tenue.

Morts de faim nous dévalons les escaliers pour la rejoindre à la cuisine. Elle n'y est pas. << Je suis là ! >> dit elle depuis le hall d'entrée. Elle vient d'y ouvrir le portail depuis l'interphone. Il fait beau. Il y a du soleil mais la température extérieure n'excède pas 10°. Dans la cuisine il y a les effluves parfumées du café, du pain grillé. Du feu allumé dans la cuisinière à bois. Je presse les dernières oranges. Clémentine pèle les derniers kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de vendredi. La randonnée sur le circuit des collines. La soirée au restaurant à savourer un excellent repas en écoutant de la Country Music interprétée par de très bons musiciens déguisés en cow-boy. Plus vrai encore que dans les films. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme.

Il va être huit heures. Après moult hésitations, il est décidé d'aller courir. Affronter la fraîcheur matinale de ce samedi. La vaisselle. Nous mettons les K-ways, les bonnets, les gants avant de sortir. Le soleil. Les apparences sont trompeuses. Il fait froid. Quelques mouvements d'échauffement accompagnés de nouvelles hésitations. << Allez, soyons courageux ! >> lance Clémentine. C'est parti. Estelle donne le rythme. Soutenu et plutôt rapide. Une heure d'un superbe jogging le long de la rivière jusqu'au petit bois plus loin que le haras. Il est neuf heures dix quand nous sommes de retour. Lise est en plein ménage car en montant à l'étage, on entend l'aspirateur. Estelle prend sa douche la première pendant que nous déplions les vêtements pour la journée sur le couvercle de la baignoire.

C'est à nous d'aller sous l'eau. Estelle et Clémentine, assises sur les tabourets, devant un des miroirs, d'amples serviettes sur les épaules. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite, je les coiffe. Je passe de l'une à l'autre alors qu'elles parlent de leurs études. La rentrée à lieu lundi. La seconde partie de ce second trimestre qui les emmènera aux vacances de Pâques. << Tu nous fais une natte ? >> me demande Estelle. Je sépare leurs longs cheveux noirs en trois parties égales. De belles nattes qui pendent presque sur leurs reins. << Avant les grandes vacances, on se les raccourcis de dix centimètres ! >> lance Clémentine lorsqu'elles se tiennent les nattes pour en admirer les tresses parfaites. << Viens là mon garçon coiffeur ! >> s'exclame Estelle.

Elle se lève, m'attrape les roubignoles pour me faire assoir à sa place. C'est à mon tour de me faire sécher les cheveux et coiffer. Moi aussi j'adore. Nous finissons tout de même par nous habiller. Nos paires de jeans, nos chemises à carreaux d'épais coton bleu, nos baskets. En sortant de la salle de bain, juste avant de descendre, nous rencontrons enfin Lise. Vêtue de son éternel survêtement gris, portant ses écouteurs. Écouteurs qu'elle retire toute heureuse de nous revoir. J'ai la braguette béante. Il m'est interdit de la fermer. Estelle vérifie toujours si elle est déboutonnée. Cette fois encore, tout en échangeant quelques banalités, je surprends le regard insistant de la jeune fille à l'endroit de mon slip blanc. Nous la laissons à son travail pour dévaler les marches. Pour nous rendre au salon.

Assises sur mes genoux, les filles allument l'ordinateur. Nous avons un message alarmant de ma famille d'Édimbourg. Amy joint même une photo de son compagnon qu'elle visite tous les jours à l'hôpital. On les voit, elle et oncle Alan, dans un couloir blanc plein de plantes vertes. Oncle Alan accroché à un déambulateur. Nous en avons le cœur qui se serre. Nous l'avons encore vu aux fêtes de Noël en bien meilleure forme. Il y a un courriel de Juliette qui confirme sa venue mercredi prochain, pour dix neuf heures. Estelle a un mail de ses parents qui confirment, eux aussi, leurs venues pour demain, dimanche, à midi. Précisant qu'ils seront obligés de nous laisser pour quatorze heures. Pendant que mes deux anges répondent, je glisse un billet de 50 € et un billet de 20 € dans une petite enveloppe jaune.

Je caresse un peu leurs seins. Délicatement, comme je le ferais d'éléments précieux. << Mmhh, j'adore ! >> murmure Estelle. << Mmhh, c'est bon ! >> chuchote Clémentine. Il va être l'heure de nos livraisons. Nous quittons la grande pièce pour rencontrer Lise une seconde fois. Cette fois an tenant un seau et un balai brosse. Elle fixe ma braguette avant de m'adresser un énigmatique sourire. << Je regarde par la fenêtre ! >> lance t-elle en me faisant un clin d'œil. Décidément cette jeune fille de dix neuf ans n'est pas victime des inhibitions qu'on pourrait prêter à quelqu'un de son âge. Nous la laissons pour aller dans le hall d'entrée. Nous passons nos anoraks. À presque dix heures la température est de 13°. << Parfait pour sortir ton Zob vieux pervers ! >> fait Estelle en fouillant ma braguette.

Accroupie, elle parvient aisément à me sortir le sexe. Je bande mou. C'est donc avec le "tuyau d'arrosage" qui pend que j'affronte la fraîcheur. Anorak ouvert. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. << Pourvu que ce ne soit pas la boulangère qui arrive la première ! >> lance Estelle qui me choppe la queue pour me la garder au chaud dans sa main. << Elle est toute froide ! >> rajoute t-elle comme une infirmière désireuse de refaire le pansement d'un blessé. Nous en rions de bon cœur. Nous n'attendons pas longtemps. Voilà la camionnette Mercedes blanche qui descend lentement. Danièle au volant, avec son généreux sourire, se gare derrière la Fiat rouge de Lise. Elle saute de sa camionnette pour toucher nos poings du sien. Elle voit évidement ce que tient Estelle.

En contournant le véhicule pour ouvrir les portes arrières, elle me dit : << J'en ai encore le gout et les saveurs ! >>. Nous en rions aux éclats. Elle me tend le lourd cageot contenant les fruits et les légumes. Estelle tient ma queue durant tout l'effort. Clémentine attrape le second cageot contenant les fromages, les œufs, le beurre, les yaourts, le pots de crème fraîche et de fromage blanc. Elle saute de la camionnette pour se précipiter vers moi. Comme si elle comprenait pourquoi, Estelle lâche mon Zob. Danièle s'en empare en rajoutant : << Mercredi je suis là pour dix heures le matin. Je n'aurai pas plus de dix minutes, mais je vais me la gouter ! >>. Je reste interloqué. Encore une initiative étonnante de la part de notre livreuse. Elle me lâche la queue pour s'installer au volant.

Nous la regardons faire sa manœuvre de demi tour. Avant de remonter elle nous adresse un clin d'œil, une bosse à l'intérieur de sa joue. Comme nous savons que Lise, depuis une des deux fenêtres de la cuisine ne perd rien de ce qui se déroule dehors, je me tourne franchement vers la maison. Estelle saisit ma bite bien mollasse pour l'agiter. Nous avons le même réflexe. Nous levons tous les trois les pouces de nos mains droites comme pour féliciter la voyeuse. Lise ouvre la fenêtre pour faire de même. Nous l'entendons crier : << Bravo ! >>. Notre coquine la referme rapidement à cause de la fraîcheur pénible. Il faut que je remballe. Vite. Voilà le tube Citroën rénové de notre boulangère adorée. Avec elle pas d'attitudes ni de jeux licencieux. Estelle se place judicieusement devant moi pour que je puisse ranger ma queue et boutonner ma braguette. Madame Marthe, hilare au volant, se gare elle aussi au même endroit. La Fiat 500 rouge.

Quand elle saute de son véhicule avec une étonnante souplesse malgré sa corpulence, la dame s'adresse à Estelle : << J'ai livré vos parents il n'y a pas une heure ! Vous avez le bonjour ! >>. Madame Marthe ouvre alors la porte latérale coulissante dans un horrible bruit de ferraille. Elle en extrait le cageot contenant les deux grosses miches de pain complet et bio, l'énorme brioche au pudding, les bouchées à la reine, les pâtes feuilletées et les gigantesques croissants aux amandes. Notre boulangère ne s'attarde pas. Elle a encore de nombreux clients à livrer jusqu' à 13 h. Nous la saluons. Chacun portant un cageot nous contournons la maison pour descendre à la cave par derrière. Dans le cellier, sur les étagères en bois, nous disposons soigneusement les fruits et les légumes.

<< Sors ta queue, vieux salaud, tu as une autre spectatrice là-haut ! >> me fait Estelle qui déboutonne ma braguette, penchée en avant. Clémentine s'accroupit pour me la sortir. Avec l'excitation la peau fripée de mon prépuce est trempée. << Regarde-moi ce vicelard, il mouille ! >> lance Estelle. Nous mettons une miche, une pâte feuilletée dans le congélateur avant de remonter par l'escalier intérieur. Je porte le cageot des produits frais à ranger dans le réfrigérateur. Lise est entrain de passer le chiffon sur le buffet de la cuisine. Elle tourne la tête pour fixer mon chibre mou. Je pose le cageot au sol. Clémentine me donne les produits que j'aligne sur les étagères du frigo. << J'ai tout vu. J'aime voir. Vous faites fort ! >> dit Lise le plus tranquillement du monde. Nous en rions. Je suis tout de même légèrement embarrassé. Ça me gêne un peu. Honteux d'une certaine manière. Sentiment qui se dissipe rapidement sous l'effet de l'excitation.

Lise rajoute : << Et pourquoi ne pas offrir vos prestations à la boulangère ? >>. C'est Estelle qui répond : << Ce n'est pas le genre de la dame ! >>. Lise s'approche pour ramasser la pelle et la balayette à gauche du réfrigérateur. Elle reste accroupie. Fixant ma queue molle. << Sympa hein ! >> lance Estelle. << Plutôt oui ! >> dit Lise en se redressant. Nous la laissons car elle a encore la serpillère à passer sur le carrelage de la cuisine. Au salon, assises sur mes genoux, mes deux anges surfent sur le site universitaire. Il y a des informations concernant l'emploi du temps de lundi. Je caresse délicatement leurs seins minuscules. C'est vraiment très agréable de ne pas devoir affronter de soutiens gorges. Elles n'en portent jamais. À quoi bon, il n'y a rien à soutenir. Mes mains dans les chemises. << Max l'explorateur ! >> lance Estelle en saisissant mon poignet pour que surtout je ne retire pas ma main.

Il est 11 h30. Lise, qui s'est changée, vient nous rejoindre dans le salon. Elle voit bien ce qui se passe. Elle a un sourire amusé en disant : << C'était génial ce matin encore ! >>. Estelle et Clémentine se lèvent. Je fais de même. Nous contournons le bureau pour rejoindre notre "fille de ménage". Je lui tends l'enveloppe. << Merci Julien ! >> me dit elle comme si j'étais un membre de sa famille. Jusqu'à présent c'était << Monsieur >>. Je préfère ces familiarités car elles brisent la glace. Comme ma biroute pend toujours encore, elle se penche pour la regarder avec l'attention d'une scientifique. Estelle et Clémentine passent leurs bras autour de ma taille pour assister à cet évènement. << Ça dégouline ! >> lance Lise en se redressant. << On va sécher ! >> répond Estelle. Nous rions. << Oui, il faudrait ! Parce que ça va tâcher le pantalon ! >> conclue la jeune fille en se redressant. Je recommence à bander. Ma queue qui se lève.

Nous raccompagnons Lise jusque dans le hall d'entrée. << Dommage que les samedis soient aussi éloignés les uns des autres ! >> lance t-elle. Nous comprenons le message. Aussi Clémentine s'empresse de préciser : << Tu n'habites pas loin. Tu passes quand tu veux ! >>. Lise, en mettant son anorak, répond : << Je vais étudier cette possibilité ! >>. Estelle attrape mon Zob qui durcit pour préciser : << Pour jouer avec nous. Regarde un peu le jouet qu'on a ! >>. Nous en rions aux éclats. Lise ne répond pas. Elle ouvre la porte. Avant de sauter les marches du perron elle s'écrie : << À bientôt et merci ! >>. Nous retournons à la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement d'une belle laitue dont elle lave les feuilles également pour ce soir. Estelle épluche l'échalote et l'ail.

Il suffit de réchauffer les trois bouchées à la reine qui devaient êtres consommées vendredi soir en revenant de randonner. Mais comme nous avons pris le repas au restaurant des collines, ce sera une joie de les savourer aujourd'hui. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les attitudes de nos visiteuses. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. Je me lève pour agiter mon sexe. Nous mettons au point le programme de l'après-midi. Les randonnées restent une de nos passions préférées. Aussi nous décidons de nous offrir celle de l'ancien monastère abandonné. À partir de la chapelle gothique. Dans le petit sac à dos, les pommes, les barres de céréales, la thermos de thé bouillant. Les lampes frontales. La vaisselle avant de monter se laver les dents.

Pressés de filer nous dévalons les escaliers. Le ciel est bleu. Quelques traînées nuageuses et laiteuses. Je roule doucement sur les quatre kilomètres qui nous séparent de la chapelle. Clémentine joue avec ma queue. Estelle assise à l'arrière caresse mon cou. Il y a d'autres voitures garées là. La température extérieure est de 20°. Il n'est que treize heures. Nous laissons les anoraks dans l'auto. Juste les K-ways à rajouter dans le petit sac à dos que je porte. Nous changeons de godasses. C'est parti pour quatre heures et demi de pur plaisirs. Pas seulement pédestre mais de toutes ces situations que nous aimons créer. Je peux marcher bite à l'air parfois un quart d'heure. Quand nous croisons des randonneurs, Estelle ou Clémentine passent leurs bras autour de mon cou. Ce qui cache mon Zob.

Il fait très agréable sous le soleil. Une fois encore nous regrettons de ne pas êtres habillés plus léger. Mais nous nous raisonnons. Ce n'est pas le printemps et les fins d'après-midi redeviennent rapidement plus frais. Des arrêts pipis où nous jouons à "touche pipi". Des plaisirs supplémentaires. Contorsionniste de talent, ne manquant pas d'entraînement, je me bouffe de la chatte. Mes coquines en raffolent en plein air. Cambrées sur leurs genoux fléchis à écarter les lèvres de leurs intimités pour se frotter sur ma bouche. Je suis assis au sol, en appui sur mes bras derrière moi, la tête relevée en arrière à me régaler de leurs jus. Une fois c'est Estelle qui me tient la bite pour en diriger les jets. Une autre fois c'est Clémentine. Accroupies, elles se refilent ma bite pour en savourer les reliquats.

Nous arrivons aux bâtiments abandonnés du vieux monastère. Les hangars servent à entreposer du matériel agricole. Nous nous sommes déjà bien amusés ici. Nous avons baisé entre les remorques, entre les caisses, sur les bottes de foin. Mais là, à 16 h, c'est un rendez-vous de marcheurs. Il y a foule. J'ai évidemment remballé avant d'entrer dans la grande cour. Nous savourons notre thé bouillant, nos pommes, nos barres de céréales en bavardant avec deux vieilles dames. Des randonneuses pleines d'humour qui nous racontent quelques anecdotes. C'est leurs compagnons qui viennent rire avec nous. L'un d'entre eux, malgré les soixante dix huit ans qu'il nous avoue, ne cesse de mâter les deux sublimes jeunes filles qui m'accompagnent. Ces gens sont pleins d'humour et nous rions beaucoup.

Il est dix huit heures quarante quand nous revenons à la voiture. La nuit est presque tombée. Cette ambiance crépusculaire apporte une touche de mystère à l'endroit. Le vieux cimetière qui entoure la chapelle gothique. Nous changeons de chaussures. Il est dix neuf heures quand nous arrivons à la maison. La fatigue commence à se faire sentir. Nous préparons un repas simple et rapide. Des "croûtes aux anchois". Délicieuses. Des tranches de pain beurrées, avec des anchois allongés dessus, de fines tranches de gruyère. Au four. Accompagnées du reste de la laitue. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les moments forts de nos aventures de l'après-midi. Nous voulions réaliser un film porno. L'énergie n'y est plus. Ce seront des cunnilingus et des fellations avant d'aller dormir.

Bonne nouille à toutes les coquines qui aiment à en savourer les derniers jus sous les draps, avant d'entourer le "cuistot" de leurs bras et contre lequel elles vont s'endormir...

Julien (cuistot )



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Monday 4 March 2024 07:41

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 48 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2542 -



Yvan et Michèle viennent manger pour midi

Hier matin, dimanche, notre grasse matinée nous emmène aux environs de neuf heures. Pas d'entraînement, pas de jogging, aucune pression. C'est appréciable et c'est dans le plus totale quiétude que nous sortons du sommeil. Je suis entre mes deux anges qui se blottissent contre moi en gémissant d'aise. Nous nous étirons en modulant nos gémissements jusqu'à l'absurde. Puis jusqu'à des airs musicaux qui nous font rire aux éclats. Estelle lâche mon érection tout à fait naturelle pour se lever. Courir vers la porte en s'écriant : << Pisser au levé, avant de déjeuner, c'est la santé ! >>. Nous rions. Clémentine se couche sur moi de tout son poids pour mitrailler mon visage de bisous. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. De nous habiller dans la salle de bain. Il fait bien chaud partout.

Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Quand nous entrons dans la grande pièce, les suaves odeurs de café, de pain grillé et du feu qu'allume Estelle dans la cuisinière à bois, ont de quoi enchanter. Je presse les oranges. Clémentine pèle les Kiwis. Estelle coupe des parts de la gigantesque brioche au pudding. Je passe derrière elle. Mes mains sur ses hanches avant de monter doucement sur ses seins minuscules. Puis de redescendre entre ses cuisses. << Mmhhh, mais qu'est-ce que c'est bon déjà le matin ! >> murmure t-elle alors que Clémentine me prend en sandwich en palpant ma braguette. J'adore le contact de la soie chaude du pyjama que porte Estelle. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la randonnée de notre samedi.

La soirée qui s'en est suivie. Nous avions en projet de tourner un vingt quatrième film porno. Sur le thème "bondage". Trop fatigués, nous avons remis à une prochaine fois. Pour faire dans la qualité c'est soit durant le weekend, soit un jour de vacances. Nous en rions de bon cœur quand Clémentine dit : << Tu pourras peaufiner le scénario ! >>. Estelle répond : << Oui, j'ai quelques idées ! >>. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les différentes options du repas de midi. Les parents d'Estelle viennent manger. Nous passons en revue les plats que nous aimons quand Estelle propose : << Poulet frites ! Comme quand on étaient petites ! >>. Choix arrêté. C'est simple et rapide à préparer. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges inventorient les ingrédients nécessaires.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Pendant qu'Estelle s'habille de son Levis, de son sweat, nous recouvrons le lit et fermons la fenêtre. Il fait beau. Mais la fraîcheur tempère un peu l'enthousiasme. La température extérieure n'excède pas 9°. Nous dévalons les escaliers pour retourner dans la cuisine. Estelle sort le poulet du réfrigérateur. Nous descendons à la cave. Dans le cellier afin d'y récupérer les champignons, les avocats, les tomates, les endives, les deux différentes sortes de pommes de terre. Les petites qui ne s'épluchent pas. Les grosses pour les frites. Chacun a une tâche précise. Clémentine fait l'assaisonnement des endives. Je lave et pèle les gros champignons de Paris. Estelle épluche les patates.

Pour la farce à garnir le poulet, j'émince trois grosses escalopes de dinde. À la poêle avec ail, oignon. J'y rajoute de la biscotte pilée. C'est Clémentine qui emplit le poulet de cette farce. Tout autour nous y disposons des tomates coupées en deux, des gros champignons. De l'ail, de l'oignon finement tranchés. Les patates minuscules qu'il est inutile de peler. Estelle badigeonne la volaille de moutarde à l'ancienne. Je mets au four électrique pour faire rôtir à feux doux. Pas plus de 160°. Il y a tout le temps nécessaire car il est à peine dix heures trente. Nous épluchons et lavons les grosses pommes de terre. Il faut les laisser tremper dans l'eau pour éviter qu'elles ne s'oxydent. Clémentine prépare la friteuse sans huile. Très pratique et permettant de limiter l'apport calorique inutile et malsain.

Nous mettons les assiettes, les couverts. Nous n'avons pas cessé de nous faire des bises, de nous caresser. Les filles ont parlé de la rentrée de demain. Il va être onze heures. Tout est prêt. Nous enfilons nos anoraks pour descendre jusqu'à la rivière. Il ne fait que 10°. C'est un contraste insolite avec un ciel presque entièrement bleu. Sous un soleil majestueux. Il y a trois cent mètres où les filles, accrochées à mes bras, préparent l'itinéraire de la randonnée de l'après-midi. Cette fois à partir du bourg pour monter les collines par les ruines du vieux moulin. Estelle fourre sa main dans ma braguette. Il fait trop froid. Je refuse de sortir ma bite. << Mais je te la tiens au chaud dans ma main. Ne fais pas ta chochotte ! >> dit elle. Je caresse son entrejambes en répondant : << Fais comme moi ! >>

<< Et si tu fais ton pervers avec ma mère, je te les arrache avec les dents ! >> rajoute t-elle en serrant mon sexe de toutes ses forces. Heureusement que je bande mou. Nous remontons le chemin pour rentrer au chaud. Retirer nos anoraks. Depuis l'interphone Clémentine ouvre le portail. Nous courons à la cuisine pour passer les pommes de terre au coupe frites. Les placer dans le grand tiroir de la friteuse électrique. J'ai la braguette béante. << Toi, tu me fermes ça ! >> lance Estelle. Nous rigolons comme des bossus quand Clémentine s'écrie : << C'est la première fois que tu demandes à Julien de fermer sa braguette. Parce que tu n'arrêtes pas de lui demander de l'ouvrir, de sortir son Zob ! >>. Je sors mon sexe tout mou pour l'agiter en direction d'Estelle. << Tu me nargues ! >> dit elle. Je réponds : << Non, je te défie ! >>. Nous rions.

Nos intimes, nos amies, ont pour consigne d'entrer comme chez eux dans notre vaste demeure. Ce que font Yvan et Michèle. La grosse berline Allemande se gare derrière le Kangoo d'Estelle qui se précipite pour aller les accueillir. Clémentine vérifie le parfait boutonnage de mon Levis. Elle enfonce sa langue dans ma bouche avant de chuchoter : << Tu fais ton vicieux avec Michèle. J'adore. Moi je fais ma vicieuse avec Yvan ! >>. Estelle revient en tirant son papa par la main. Suivie de sa maman. Ils sont vêtus comme nous. Jeans et sweats. C'est toujours une joie de nous retrouver. Depuis toutes ces années nous formons presque une même famille. Yvan fait la bise à Clémentine. Je fais la bise à Michèle. Encore extraordinairement belle en ce dimanche. Ses yeux bleus, ses cheveux noirs qu'illuminent merveilleusement des mèches de cheveux argentés. Elle m'adresse un discret clin d'œil. J'adore les petites complicités secrètes. Ça me fait bander.

Nous passons immédiatement à table. Les parents d'Estelle ont ramené le dessert. Des torches aux marrons achetées dans la boulangerie pâtisserie de madame Marthe. C'est une agréable surprise pour nos invités que ce poulet rôti que Clémentine sort du four. Ces frites dorées qu'étale Estelle sur le grand plat ovale. Nous mangeons de bon appétit en parlant surtout de nos vacances d'été en Écosse. Nous passerons une semaine dans leur grande maison rénovée près d'Inverness. Des réjouissances en perspective. Échappant parfois à la surveillance d'Estelle j'arrive quelquefois à échanger des regards suggestifs avec sa maman. Hélas, je prends également quelques coups de pieds dans le tibia quand elle surprend mes regards un peu trop appuyés. Clémentine fait diversion.

Yvan et Michèle doivent nous laisser après le dessert. Ils sont attendus pour 14 h15 au bourg. L'anniversaire d'une collaboratrice. La ruse de Clémentine fonctionne. Car elle entraîne Yvan dans le salon. Estelle qui tient son papa adoré par son bras. Je suis seul avec Michèle qui m'aide à mettre les assiettes, les couverts dans le lave vaisselle. Je murmure : << J'ai envie de te montrer ma bite ! >>. Elle chuchote : << Et moi j'ai envie de la voir ! >>. Nous nous redressons. Depuis le salon nous parviennent des rires, des éclats de voix. Il faut faire très vite. Prendre tous les risques. Je déboutonne mon 501 pour en extraire le chibre. Je bande mou. Michèle prend son visage entre ses mains en murmurant : << Waouh ! J'adore quand tu fais ça. Je pourrais te la sucer ! >>

Je l'agite quelques instants avant de la remballer très vite. Je chuchote : << Moi, j'aimerais baiser avec toi ! >>. Michèle murmure : << Arrête ! Tu mouilles ma culotte ! >>. Je fais couler l'eau du robinet de l'évier. Pour faire diversion car Estelle revient la première. Ouf. Elle ne se doute de rien. C'est Clémentine qui tient Yvan par le bras en revenant dans la cuisine à son tour. Nous raccompagnons les parents d'Estelle dans le hall d'entrée où ils enfilent leurs anoraks. Yvan et Michèle sont le plus souvent habillés des mêmes vêtements, des mêmes couleurs. << Je rentre ce soir pour 22 h ! >> précise Estelle à sa maman. Pendant qu'Yvan fait les bises à Clémentine. C'est là que je surprends sa main qui remonte rapidement de ses fesses qu'il tripotait sans aucun doute. Les << Au revoir >> de rigueur mettent fin à cet agréable visite.

Les pommes, les barres de céréales, la thermos de thé bouillant dans le petit sac à dos. Tout est prêt. C'est avec les grosses chaussures en mains que nous traversons le jardin en compagnie d'Yvan et de Michèle. Nous nous promettons de nous revoir bientôt. Nous regardons la Mercedes monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. Nous sortons la nôtre du garage. C'est parti. Je roule doucement sur les quatre kilomètres qui nous séparent de l'église du bourg. Clémentine joue avec ma queue. Estelle à l'arrière fait mine de m'étrangler en demandant : << Raconte-moi tout, espèce de vieux pervers. Je sais que tu as profité de la moindre occasion ! >>. Nous ne nous cachons rien. C'est en changeant de godasses, garés sur le parking de la Mairie, que j'avoue mon exhibe à Estelle.

Clémentine avoue le comportement d'Yvan. << Mais je suis entourée de pervers, de déviants et de gens peu recommandables ! >> lance Estelle. Nous en rigolons comme des bossus. Je mets le sac sur le dos. Il faut contourner l'église, le cimetière, passer derrière la "porte des sorcières" avant de marcher sur le chemin qui mène au vieux moulin. Nous croisons nombre de promeneurs du dimanche. Des gens que connait Estelle. Parfois depuis petite. Des gens que connait Clémentine qui passait beaucoup de temps avec Estelle et ses parents depuis l'âge de douze ans. Il y a une demi heure de marche sous un agréable soleil qui parvient tout ce même à réchauffer un peu. Les ruines du vieux moulin sont spectaculaires. Une grande roue à aubes tourne encore dans les eaux de la rivière.

L'accès au site est condamné par mesure de sécurité. Mais nous n'hésitons pas à contourner les barrières autant que les interdictions. Les transgressions permettent des plaisirs interdits à ceux qui respectent les lois. << Sors ta queue vilain salaud ! >> me fait Estelle quand nous sommes à l'abri des regards éventuels. C'est un lieu de promenade très fréquenté. Me voilà bite à l'air. Estelle qui me la choppe pour la tordre dans tous les sens. Clémentine passe ses bras autour de ma taille, par derrière en disant : << J'ai envie de baiser ! >>. Estelle s'accroupit pour humer l'odeur de ma virilité. Elle fait : << Moi aussi ! >>. Je regarde autour de nous. L'intérieur de ce vieux moulin est beaucoup moins spacieux qu'il n'y paraît. Baiser là est plutôt risqué car d'autre gens peuvent arriver.

Surtout qu'on entend des cris de gamins pas très loin. Estelle prend mon sexe en bouche. Clémentine me contourne pour venir s'accroupir à ses côtés. Attendant son tour. Elles échangent leurs impressions. Clémentine qui dit : << Cet été en Écosse, je baise avec ton père ! >>. Estelle lui passe ma bite en murmurant : << Salope ! >>. Elle se redresse, laissant Clémentine à sa flûte baveuse. Estelle enfonce sa langue dans ma bouche. Quand elle cesse de m'embrasser je chuchote : << Et moi je baise avec ta mère ! >>. Elle me pince le nez et une oreille en s'écriant : << Toi, tu baises avec moi et tu laisses ma mère tranquille ! >>. Des voix. Clémentine se redresse à toute vitesse. Je me retourne pour cacher mon érection. Ce sont deux couples de jeunes gens. Ils viennent en exploration.

Estelle connait une des filles et un des garçons. Nous les laissons bavarder alors que Clémentine m'entraîne par la main pour franchir les barrières. Estelle vient nous rejoindre. Nous continuons notre promenade. Le chemin devient sentier pour monter à flancs de collines. La vue sur le bourg et les environs est magnifique. Nous faisons la boucle par la chapelle gothique pour revenir par le chemin qui longe les clôtures des prés. Il est dix huit heures trente quand nous revenons à la maison. Clémentine fait l'assaisonnement des carottes. Avec Estelle nous coupons les restes du poulets que nous poêlons. Avec des spaghettis c'est délicieux. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Nous ne traînons pas. Elles m'offrent leurs intimités dont je me régale, à genoux, entre leurs jambes. Miam.

Bonne nouille à toutes les coquines qui vont encore en savourer le jus sous la couette. Avant de s'endormir contre leur coquin lécheur de minous, suceur de clitos...

Julien (lécheur et suceur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Tuesday 5 March 2024 07:41

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 49 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2543 -



Lundi matin il y a école

Hier matin, lundi, il est presque six heures. Nous renouons avec les illusions de nous réveiller dans une profonde et mystérieuse forêt. Le gazouillis des oiseaux. L'écoulement d'une source que nous entendons couler. Nos I-phones, posés de chaque côté du lit délivrent cette ambiance bucolique en stéréophonie. Clémentine, en gémissant, vient se blottir contre moi. Comme toujours, le premier jour après les vacances, de nous réveiller sans la présence d'Estelle est étrange. Il manque un élément. Cette perception nous amuse. Quelques bisous, quelques papouilles. Il faut se lever. Nous nous précipitons aux toilettes. Les radiateurs viennent d'entrer en fonction. La fraîcheur nous oblige de nous habiller de nos tenues de sport avec célérité. Pas plus de 17° dans toute la maison.

Morts de faim, nous quittons la salle de bain pour dévaler les escaliers. J'allume la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. J'attrape les quatre tranches éjectées par le grille pain. Le reste de la brioche dans le four à micro ondes pour lui rendre son moelleux. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur ces vacances. Il y eut quelques grands moments. Comme à chacune de nos vacances. Nous mangeons de bon appétit en évoquant les prochains congés. Deux semaines à Pâques. Du vendredi 12 avril à midi au dimanche 28 avril. Nous partirons une semaine. Clémentine aime beaucoup préparer secrètement un séjour. C'est une agréable surprise qui nous attend déjà. Il va être six heures vingt cinq. Chaque instant nous est compté. Chaque seconde précieuse.

Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Là aussi, l'absence d'Estelle est étrange. Clémentine la verra d'ici une heure et demi, en cours. Les échauffements aérobics. Le jogging sur les tapis roulants. Les exercices au sol. Les charges additionnelles. Les étirements d'un stretching avant la douche. Je redescends le premier. Nous retrouvons tous ces réflexes de façon automatisée. Je sors la voiture du garage sous un ciel gris et chargé. La température extérieure est de 10°. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre chaudement habillée. Un dernier bisou. << Ce qui me donne du courage c'est de revoir Estelle ! >> me dit elle en s'asseyant au volant. Je réponds : << Tu l'embrasses fort. Je pense à elle ! >>. Un dernier coucou, je regarde l'auto partir.

Je m'empresse de retourner au chaud car il fait très agréable à présent dans toute la grande demeure. Je fais la vaisselle, je referme notre lit. J'aime y respirer les effluves que laisse Clémentine. Dans l'atelier j'allume la belle flambée de la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. C'est la peinture de ma quatrième toile hyper réaliste qui m'attend là. "Les motos". D'après une photo prises à New-York il y a une quinzaine d'années. Une dizaine de Harley-Davidson, rutilantes de couleurs et de chromes, dans lesquelles se reflètent les buildings de Manhattan. Je peins dans une sorte de volupté qui me fait pousser des cris surréalistes à chaque touche minuscule de mes plus fin pinceaux. La matinée passe encore si vite pour m'emmener aux environs de midi.

Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe le reste de spaghettis. Une belle tranche de saumon rissole dans la poêle. Je fais l'assaisonnement des tomates. Pour ce soir je réserve la surprise d'une tarte aux brocolis. Clémentine adore cette spécialité. J'étale la pâte feuilletée sortie du réfrigérateur ce matin. Elle est à température ambiante. 22°. Je l'étale dans le grand plat rond aux bords hauts. Je descends à la cave, dans le cellier. J'y récupère les brocolis. Je coupe les branches pour les tremper le temps de mon repas dans l'eau vinaigré. Je concocte un liant. Un flan à base de crème fraîche, d'œuf, de moutarde à l'ancienne et de lait de soja. Je râpe une grosse quantité de gruyère Suisse. Cet Appenzeller recommandé par Danièle. Un délice.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff et ses invités abordent les actualités. Il est évidemment question de notre va t-en guerre de président. Probablement sous cocaïne la plupart du temps d'après un des participants. Seule façon d'expliquer ses errances, ses attitudes de détestation de l'humanité et ses erreurs calamiteuses. Avec la guerre en Ukraine il est question d'utiliser les mêmes ficelles que pour le Covid. Maintenir les gens dans la peur. À un tel point qu'ils iront jusqu'à accepter l'inacceptable. Le virus s'appelant cette fois Poutine. Trois mille milliards de dettes imposent une fuite en avant guerrière et meurtrière. BFMTV et autres merdias seront chargés de nous inventer un professeur Raoult à discréditer. Les anti guerre seront traités de "complotistes" et les stratégies criminelles pourront s'enchaîner comme pour la fameuse pandémie. Seront imposés les mêmes conditionnements mentaux.

Je dépose le brocolis égoutté sur la pâte. Je verse le liant. Je recouvre d'une copieuse couche de gruyère. De la chapelure. Je saupoudre de graines de sésame grillé. Trois cercles concentriques de cerneaux de noix. Au four électrique pour mijoter longuement à 160°. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller faire quelques pas, je redescends à toute vitesse pour enfiler l'anorak. Le ciel est uniformément gris. La température extérieure est de 15°. Je vais jusqu'à la rivière. Quelques arbres sont déjà en floraisons, leurs branches se couvrant de fleurs blanches. Il ne faudrait pas qu'il gèle. Il est treize heures quarante cinq quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans la même volupté que ce matin. Juste les crépitements du bois de hêtre dans le feu.

L'après-midi passe encore plus vite. Du bruit. Il est dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table avant de me rejoindre. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Je dois te branler de la part d'Estelle ! >> conclue t-elle avant de se lever. Elle a encore ses notes à mettre au propre. Assise devant son ordinateur, chantonnant, elle se met au travail. Cette petite heure d'émulation positive reste le must de mes journées de peinture. << J'arrête tout pour m'occuper de mon chéri ! >> s'écrie t-elle soudain en se levant pour commencer à ranger ses fiches. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine me rejoint devant le petit lavabo de l'atelier. Je me lave les mains.

Elle me tient la bite pour en diriger les jets. Notre rituel pisseux nous enchante. Impossible de s'en lasser. Penchée en avant, savourant les reliquats après en avoir secoué les dernières gouttes, Clémentine se régale. Je regarde les expressions de son visage. Elle se redresse pour me tirer par le Zob. Devant la cheminée, dans l'obscurité, seules les flammes illuminent cette partie de la grande pièce. Mon bras autour de sa taille je l'écoute me parler du programme universitaire de la semaine à venir. Elle me tient la queue. Je bande mou. J'aime quand elle me la tord dans tous les sens comme le fait Estelle. La faim commence à se faire sentir. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine découvre ma surprise culinaire. J'ai droit à des effusions de tendresse. Je fonds.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le projet d'Estelle. Réalisé un vingt quatrième film porno. Une fois encore consacré au thème du "bondage". Suite à un rêve qu'elle a fait il y a une dizaine de jours. Un rêve et un projet qu'elle intitule "le seau". Nous rions de bon cœur à l'évocation de ce concept. Nous traînons à table. Assise sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie à quel point sa libido se révèle certains jours "dévastatrice". << Je n'arrête pas de mon toucher en rentrant. Parfois en partant en cours le matin. Je suis une jouisseuse folle ! >> me dit elle. J'écoute car c'est extrêmement excitant, motivant et inspirant. La vaisselle. Je la soulève comme une jeune mariée pour l'emmener au salon. Je la dépose devant le bureau. Je le contourne.

Du tiroir du bas je tire le collier canin de cuir brun, la laisse. Clémentine retire ses bottines, sa paire de jeans, sa culotte. Je passe le collier autour de son cou. J'y fixe la laisse. Ce soir, sans même avoir à parler, tout cela s'enchaîne dans une mécanique parfaite. Les yeux d'un bleu intense et brillants de reconnaissance de Clémentine sont comme les phares d'un camion la nuit. Juste la lueur de la lampe du bureau. Je donne un à coup sur la laisse. Clémentine s'accroupit. Les mains posées sur sa tête. Elle me fixe. "Soumise" attendant les directives de son "Maître". Clémentine est une authentique "Soumise". Je ne suis pas un vrai "Maître". Mais depuis sept ans, elle m'a bien éduqué. Je joue mon personnage à la perfection. Aussi, j'ordonne : << À quatre pattes. Pour la promenade ! >>

Clémentine s'exécute avec tant de passion. Je la tiens par sa laisse. C'est elle qui m'entraîne. Je n'ai qu'à suivre son parcours. À chaque coin de meuble, elle lève la patte. Je ne peux m'empêcher de me pencher pour introduire mon index dans son cul. Cette sensation permanente de ne pouvoir profiter pleinement de tous nos sens. Nous en parlons souvent en faisant l'amour. Entre deux êtres animés des mêmes passions, partageant les mêmes penchants, il y a toujours ce sentiment de ne pouvoir appréhender les évènements dans leurs globalités. Nous le ressentons encore ce soir. Je donne un à coup en ordonnant : << À genoux ! >>. Nous sommes devant le canapé. Clémentine, à genoux sur un des épais coussins, mains sur la tête, bien droite me regarde amoureusement. Épanouie.

Je frotte mon sexe sur son visage en disant : << Je veux te voir sucer un mec dans les dix jours. C'est un ordre ! >>. Clémentine tente d'attraper mon sexe avec sa bouche ouverte. J'esquive toujours au dernier instant. << J'obéis à tous vos ordres mon bon "Maître". Et je suis impatiente de réaliser celui-ci ! >> répond t-elle avant de recevoir en cadeau ma bite. Sucer avec tant de passion relève de l'extase. Une extase que nous partageons. J'en ai des vertiges. Je tiens les oreilles de Clémentine pour me masturber dans sa bouche. Les joues creusées par l'effort de succion, elle gémit de plaisir. Du foutre suinte aux commissures de ses lèvres. Je la force à cesser en tirant sur la laisse. Elle se redresse. Les mains derrière le dos, Clémentine me fixe avec tant de reconnaissance. D'amour.

J'en ai le cœur qui chavire. Il m'est difficile de jouer mon rôle dans de telles conditions mentales. Sentimentales. Je la fais tomber dans le canapé. Couchée de tous son long, une jambe relevée sur le dossier, Clémentine continue de me fixer avec une expression d'attente. Je me couche sur elle. Je reste en appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids. Elle saisit mon sexe pour l'introduire dans le sien. Nous restons immobiles. Comme nous aimons le faire. Juste des contractions des muscles fessiers. Nous nous fixons en silence. Nous nous berçons. Nous cessons. C'est toujours dans ces moments que Clémentine me confie ses secrets de filles. Elle m'avoue ce soir à quel point elle a envie de sucer un des deux étudiants qui les draguent Estelle et elle. Je l'y encourage.

Je demande : << Le quel ? >>. Elle répond : << Léo ! >>. Je l'encourage à passer à l'acte. Clémentine me confie la difficulté de le faire. Léo se fait chercher à l'université par sa mère. Alors que Maël son pote rentre avec son auto. Il était question d'attirer les deux garçons durant les vacances. Mais l'emploi du temps de ces deux jeunes étudiants laisse peu d'opportunité. Je suggère à Clémentine de le sucer dans les toilettes. << J'y ai déjà pensé. Mais je ne vais pas dans les toilettes hommes à l'université. Personne ne se doute qui je suis vraiment là-bas ! >>. Nous faisons l'amour en inventoriant toutes les possibilités. De la plus probable à la plus insensée. << En tous cas, si ça se passe, je veux que tu sois caché pas loin. J'aime te savoir à me regarder en cachette ! >> conclue t-elle.

Bonne nuit à toutes les coquines qui aiment conclure leurs soirées de "jeux" par une pipe sous les draps avant de se blottir dans les bras de leur coquin pour s'endormir...

Julien ("Maître" pour rire)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France


Le petit monde de Clémentine et de Julien

Après quelques 2543 épisodes le plaisir de partager nos aventures reste intact. De sacrés moments.
C'est une véritable joie de publier nos récits quotidiennement. C'est même devenu une nécessité.

Bien évidement, les noms, les prénoms, les lieux ne sont qu'autant de pseudonymes sans réalités.
Il est préférable de préserver son anonymat. Sur Internet mais également sur les forums "sexes".

Je remercie nos lectrices, nos lecteurs pour leurs fidélités, pour l'intérêt qu'ils nous portent.
Tout particulièrement celles et ceux qui entretiennent avec nous un contact en messagerie privée.

Nous avons autant de joie à pratiquer les échanges en messagerie privée qu'à narrer nos aventures.
C'est très intéressant, souvent amusant et parfois passionnant. Certains "amis" depuis six ans.

Je vous souhaite d'excellentes lectures, de belles découvertes et de passer du bon temps avec nous.

Cordialement



Clémentine et Julien
Clémentine et Julien
Wednesday 6 March 2024 07:33

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 1 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2544 -



Le "Maître" et ses deux "Soumises"

Il est presque six heures, hier matin, mardi. Les illusions bluffantes de nous réveiller dans une forêt mystérieuse. Clémentine se tourne pour venir se blottir contre moi. J'aime l'entendre gémir tout près de mon oreille. Se frotter doucement sur ma cuisse qu'elle entoure des siennes. C'est magique. Quelques bisous. Quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Les radiateurs viennent d'entrer en fonction. Il ne fait pas encore très agréable dans la salle de bain où nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Pendant que Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis, j'allume la cuisinière à bois. Les deux gros croissants à la pâte d'amande dans le four à micro ondes. Ils retrouvent ainsi leur moelleux.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre lundi soir. << J'aime quand tu prends ces initiatives. Que tu me mets le collier, la laisse. Tu me refais ça ce soir avec Estelle ? >> lance Clémentine en posant sa main sur la mienne. Elles vont se voir tout à l'heure, en cours. Clémentine ne manquera pas de lui raconter le détail de nos dernières folies. Nous mangeons de bon appétit en évoquant ce projet de film "bondage" qu'Estelle veut à tous prix réaliser. << Ce sera une excellente répétition ! >> dit encore Clémentine en venant terminer sa tartine au miel assise sur mes genoux. Il va être 6 h25. Nous remontons à toute vitesse pour nous offrir notre entraînement quotidien. La salle n'étant pas chauffée, la motivation est soudain décuplée. Les échauffements aérobics. Parfaits.

Le jogging sur les tapis roulants. Les exercices au sol avant les manipulations des barres et des haltères. Suivies des étirements d'un stretching bâclé par manque de temps. La douche. Je redescends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Le jour s'est levé sous un ciel menaçant. Gris, sinistre et bas. Il va être 7 h45. La température extérieure est de 9°. Clémentine vient me rejoindre dans son blouson d'épais cuir brun. Un béret brun assorti à ses bottines brunes. Un Levis brut. Son écharpe crème. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. C'est en courant que je retourne au chaud pour faire la vaisselle, recouvrir le lit. Dans l'atelier j'allume une magnifique flambée de cheminée. Excellent tirage.

Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ma quatrième toile hyper réaliste m'absorbe rapidement. Je peins dans cette volupté qui m'abstrait de toute autre réalité. Sans voir passer les heures. Presque midi. Je mets deux bûches sur les braises rougeoyantes. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe les restes de la tarte aux brocolis. L'assaisonnement d'un concombre. Pour le repas de ce soir ce seront des pizzas. Je fais une pâte à pain que je pétris énergiquement. J'y incorpore du Parmesan finement râpé. Le jus de deux gousses d'ail pressées. Dans la poêle je fais revenir des tomates, de l'ail, de l'échalote, des champignons. Persil, ciboulette. Je retire du feu pour recouvrir d'un couvercle. Je râpe une bonne quantité de ce délicieux gruyère Suisse.

Je recouvre le saladier qui contient la pâte à pain d'un linge. La surprise de ce soir est prête. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. La tarte aux brocolis réchauffée est exquise. Dans son émission, André Bercoff aborde différents sujets d'actualités. Notamment celui concernant les 4 milliards de doses de vaccins, payés des dizaines de milliards d'euros avec l'argent du contribuable. Commandé sur son smartphone par Ursula Von Der Leyen sur sa seule initiative. Dans son intérêt ainsi que celui de son mari. Quand le parlement Européen a ordonné que soit diligenté une enquête pour prise d'intérêt et détournement d'argent public, les députés, si prompts à faire toutes les promesses pour se faire élire, se sont opposés à l'ouverture de cette enquête. Une corruption délirante.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller me dégourdir les jambes, je dévale les escaliers pour mettre l'anorak. Le ciel est bas. Il ne pleut pas mais l'ambiance y ressemble. La température extérieure n'est que de 14°. Je descends jusqu'à la rivière. Certains arbres ont leurs branches couvertes de fleurs blanches. C'est de toute beauté et ramène cette touche printanière qui flatte les sens. Il est treize heures quarante cinq quand je suis installé devant mon chevalet. Je peins dans le même état d'esprit que ce matin. Absorbé par la peinture de ma toile "Les motos". Sans voir passer le temps. C'est le bruit que j'entends qui m'avertit. Il est donc déjà 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle jette son cartable dans le fauteuil à bascule avant de précipiter vers moi.

À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << J'ai raconté notre soirée à Estelle. Elle veut savoir comment tu t'y es pris ! >> précise Clémentine en mitraillant mon visage de bises. Nous en rions de bon cœur. Je dis : << Alors je vais immédiatement préparer le nécessaire ! >>. Clémentine se lève, m'entraîne par la main en faisant : << Et moi je viens avec toi ! >>. Elle a encore ses notes à mettre au propre. Mais comme elle le signifie : << Ça peut attendre ! >>. Nous quittons l'atelier pour le salon. Du tiroir du bas du bureau, je tire les deux colliers canins de cuir brun, les laisses et les genouillères. Le petit plug anal en bois de palissandre. << Mets-le moi tout de suite ! >> s'exclame Clémentine.

Elle déboutonne son Levis, le descend à mi cuisses avec sa culotte. Elle se penche en appui des deux mains sur le bureau. Je mouille le plug avec nos salives. Délicatement, je l'introduis dans l'oignon de Clémentine. C'est un petit plug en bois précieux qui ne fait que trois centimètres dans sa partie la plus épaisse sur une longueur utile de quatre centimètres. Je regarde les reflets que font les facettes du faux diamant Swarovsky. << Merci monsieur ! >> lance Clémentine en se redressant pour remonter ses vêtements. << Je le sens à peine mais c'est assez désagréable. C'est comme si je devais chier ! >> précise t-elle alors que nous rions aux éclats. C'est par la main qu'elle m'entraîne pour retourner dans l'atelier. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, Clémentine chantonne.

Je peins en l'écoutant me donner ses impressions. << Put-Hein mais comme j'en ai marre ! >> s'écrie t-elle soudain en se levant pour commencer à ranger ses feuilles. Je nettoie la palette, les pinceaux. C'est devant le lavabo de l'atelier où je me lave les mains que Clémentine me rejoint en sautillant. Elle me tient la bite pour en diriger les jets. En secouant les dernières gouttes elle me dit : << Tu es en compagnie d'une véritable enculée ! >>. Nous en rions. Elle rajoute : << Je suis hyper excitée. Ce n'est pas ce que j'ai dans le cul, c'est à l'idée de ce qui m'attend ! >>. Je promets d'être à la hauteur de ses attentes. Je l'attrape par sa natte comme par la laisse pendant qu'elle se régale des mélanges. Avec mon excitation il y du liquide séminal qu'elle pompe encore avec tant de passion.

J'appuie sur sa nuque. Elle s'accroupit. Je la tiens par ses oreilles. D'un mouvement lent et régulier, je me masturbe dans sa bouche. Je l'attrape sous le menton et par la nuque. Dans le petit miroir accroché au-dessus du lavabo je peux voir son visage déformé par ma queue enfoncée jusqu'aux couilles. Quand je relâche mon étreinte, c'est dans un cri de soulagement que Clémentine peut reprendre son souffle. Ses yeux humides de larmes. Mon comportement de pervers a ses effets. Clémentine, à genoux sur les tomettes, me tient par les fesses. Je la maintiens fermement par la nuque. C'est ainsi que nous surprend Estelle en arrivant silencieusement. << Waouh ! Et moi ! >> lance t-elle en courant pour nous rejoindre. Sans même me faire la bise elle s'accroupit à côté de clémentine qui bave.

Je la repousse pour saisir la tête d'Estelle. Estelle qui aime jouer. Gardant ses lèvres ostensiblement serrées elle refuse de me laisser enfoncer ma queue dégoulinante de foutre bulleux. Je la lui frotte sur la gueule en pinçant ses narines. Pour respirer il faudra bien qu'elle ouvre la bouche. En véritable saligaud, sournois et retors, j'y enfonce alors ma bite. Je dois la maintenir avec davantage de fermeté encore. Clémentine, à genoux, assises sur ses talons, une main dans son jeans déboutonné, le bas du visage maculé de jute, se masturbe en nous regardant. Estelle qui se débat pour tenter de se soustraite à mon étreinte. Quand je la relâche enfin, dans un cri, elle hurle : << Salaud ! >>. Je les attrape toutes les deux par leurs nattes pour les forcer à se relever. Les gueules trempées de jus de couilles.

Je les tire sans ménagement en disant : << Et maintenant on va préparer la bouffe ! >>. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Je lâche mes deux anges. Clémentine fait l'assaisonnement des endives. Estelle travaille la pâte. Je réchauffe la garniture. Toutes les deux, absolument ravies par ce début de soirée annonciateur de plaisir, me font des bisous, sautillent autour de moi, font mille scénarios pour le film "bondage". << Je veux un "truc" dans le style ! >> s'écrie Estelle. Elle étale la pâte sur les plaques du four à bois. Et sur la plaque du four électrique. Je verse la garniture. Clémentine recouvre de gruyère. Je mets dans la fournaise du four à bois. Les filles, comme en attente, impatientes, se blottissent contre moi. Nous mettons les assiettes, les couverts. Je prends leurs nattes.

Je les emmène au salon. Alors qu'elles sont toutes les deux à genoux sur les coussins du canapé, mains sur la tête, je passe les colliers canins de cuir brun autour de leurs cous. J'y fixe les laisses. Je donne des à coups. Elles en gloussent de plaisir. << Tu es génial ce soir ! >> me fait Estelle en fourrant sa main dans ma braguette béante. Je la prends par le menton, je me penche pour répondre : << Avant la bite que je vais te faire sucer, on va se régaler d'une pizza ! >>. Nous en rions de bon cœur. Je les force à se relever en ordonnant : << On garde les mains sur la tête ! >>. C'est ainsi que je les ramène à la cuisine. Fières, droites et merveilleusement belles. Estelle sort les pizzas dorées du four. Il y a celle pour demain midi prête à cuire dans le four électrique. J'allume à feu doux.

Nous mangeons de bon appétit. Les laisses qui pendent entre leurs seins, fixées aux colliers qu'elles gardent autour du cou. Clémentine avoue à Estelle que depuis presque deux heures elle a le plug enfoncé dans le cul. Que ça commence à l'indisposer. << Le chromé ou celui en bois ? >> demande Estelle soudain très intéressée. Je réponds : << Non, le chromé sera pour toi. Depuis que je sais que tu aimes te faire enculer par ton parrain, tu vas y avoir droit à chaque séance de "dressage" ! >>. Elle se lève pour mimer une masturbation masculine en s'écriant : << Vous êtes trop bon avec moi "Maître" ! >>. Nous ne traînons pas. Nous débarrassons pour tout mettre dans le lave vaisselle. C'est par les laisses que j'entraîne mes deux "Soumises" jusqu'au salon. Estelle allume les bougies pendant que Clémentine retire ses bottines, sa paire de jeans et sa culotte. << Tu me l'enlèves s'il te plaît, ça m'insupporte ! >> me demande t-elle.

J'ordonne : << À quatre pattes. ! >>. Pendant qu'Estelle retire elle aussi ses vêtements, je sors le plug de l'oignon de Clémentine qui pousse un soupir de soulagement. Estelle vient se mettre à quatre pattes à côté de Clémentine. Je les promène dans toute la grande pièce. Quand je propose de leurs mettre les genouillères pour rendre leurs promenades plus confortables, moins douloureuses pour leurs genoux, elles refusent. À chaque coin de meuble elles lèvent la cuisse. C'est dans le cul d'Estelle que je place le plug après l'avoir essuyé et mouillé de salive. Nous alternons les balades avec les positions "prières". Toutes les deux, les mains sur la tête, reçoivent ma bite en bouche. Estelle devra nous laisser pour 22 h. C'est donc elle que je pénètre la première. Je la baise à la hussarde. Comme elle aime. J'adore l'entendre crier, ouvrir de grands yeux pour me regarder m'agiter en elle comme un ours en rut. J'en hurle de jouissance.

Bonne nouille à toutes les coquines qui, une fois sous les draps, se régalent de son jus avec volupté, le minou congestionné par les coups de bite. Sous les draps, avant de s'endormir contre leur "tourmenteur"...

Julien (tourmenteur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Thursday 7 March 2024 07:35

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 3 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2545 -



Quand Juliette vient passer la soirée

Il va être sept heures. Hier matin, mercredi. Quand Clémentine vient se blottir contre moi. C'est juste avant que ne résonnent nos I-phones posés sur nos tables de nuit. C'est un plaisir d'entendre le gazouillis des oiseaux. D'entendre l'écoulement d'une source. C'est comme si ces bruits provenaient de notre chambre. Quelques bisous, quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain nous nous habillons de nos vêtements de gymnastique. Les radiateurs viennent de s'allumer. C'est donc dans une certaine fraîcheur que nous dévalons les escaliers. Morts de faim. J'allume immédiatement la cuisinière à bois. En imitant l'accent Corse de Juliette, Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Je suis plié de rire. Je beurre les tranches de pain grillé.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée "bondage" de mardi, avec Estelle. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le visite de Juliette ce soir. Elle vient manger à la maison. À cet effet je propose un gratin de choux fleurs. Cela ne requiert aucun talent particulier, c'est une préparation simple et rapide. << Super ! On prépare ensemble ! >> lance Clémentine. Le mercredi c'est depuis l'atelier, en télé travail, qu'elle prend ses cours. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Avant de remonter nous ouvrons le portail depuis l'interphone dans le hall d'entrée. Nous attend notre heure d'entraînement à l'étage. Le second plaisir de la journée. Les échauffements aérobics, le jogging sur tapis roulants nous mettent dans les toutes meilleures dispositions pour passer aux exercices au sol.

Puis viennent les charges additionnelles, ce matin sur les machines. Les étirements d'un bon stretching. Un agréable retour au calme avant la douche. C'est bien de pouvoir prendre son temps sans être bousculé trop sévèrement par un horaire. Vêtus de nos Levis, de nos sweats, baskets, nous redescendons pour passer directement dans l'atelier. J'y allume la flambée de la cheminée. Clémentine, assise devant son ordinateur, ajuste ses écouteurs, le micro devant sa bouche. << C'est parti ! >> lance t-elle. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ma toile hyper réaliste m'accapare très vite. Je peins dans une volupté double. La présence de la fille que j'aime, la passion pour mon hobby. J'entends les échanges de Clémentine. Les questions. Les réponses.

Mon téléphone se met d'abord à vibrer. Puis à sonner "à l'ancienne". Je l'attrape. Je sais que c'est Danièle qui arrive. C'est également l'heure de pause de Clémentine. Presque dix heures. Elle se lève en même temps que moi en s'écriant : << Sors ta bite ! >>. J'ouvre ma blouse pour extraire mon sexe de ma braguette béante. Clémentine me prend la main. Nous quittons l'atelier pour le hall d'entrée où nous accueillons Danièle. Elle traverse le jardin en restant sur les dalles de grès. Le sol étant détrempé par les pluies de la nuit. Il pleut d'ailleurs quelques gouttes. Je la débarrasse du carton contenant nos viandes. << Bonjour ! C'est aussi frustrant que le samedi matin ! >> s'exclame t-elle en nous suivant à la cuisine. Je déballe le poulet et les escalopes pour les mettre au frigo.

Danièle, d'un geste rapide, saisit mon sexe. Je bande mou. << Comment va notre copine ? >> lance la jeune femme. Clémentine répond : << Elle va sans doute être frustrée également ! >>. Nous rions quand Danièle, en s'accroupissant, rajoute : << Oh la pauvre ! >>. Elle prend mon sexe en bouche pour le sucer quelques instants. Bien d'autres livraisons l'attendent. Aussi, elle ne peut s'attarder plus longtemps. À son grand regret. Nous la raccompagnons jusque dans le hall. << Je refais samedi matin ! Au revoir ! >> lance t-elle avant de dévaler les quatre marches du perron. Toit cela n'a duré très exactement que sept minutes. Nous retournons très vite dans l'atelier. Clémentine en s'asseyant devant son ordinateur, me fait : << Je prends le relai à midi ! >>. Elle ajuste ses écouteurs.

Presque midi. Clémentine vient me rejoindre devant la cheminée où je mets deux bûches. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. La pizza à réchauffer. J'aide Clémentine à préparer l'assaisonnement des carottes. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la livraison de ce matin et de la livreuse. << Toi, tu vas avoir droit à une mini pipe tous les samedis et mercredis matins ! >> s'exclame Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Nous ne traînons pas. Nous descendons à la cave, dans le cellier, pour récupérer le gros choux fleurs. Ses branches coupées, il trempe quelques minutes dans l'eau vinaigrée. Pendant que Clémentine râpe le gruyère. Que je prépare une sauce au Roquefort. Le liant à base d'œuf, de Roquefort, de lait de soja, de crème fraîche et de moutarde à l'ancienne.

Il faut ébouillanter le choux fleurs quelques minutes avant de l'égoutter dans le plat carré en terre cuite. Je verse le liant. Clémentine recouvre d'une copieuse couche de ce délicieux gruyère Suisse. Chapelure, graines de sésame grillé. Des cerneaux de noix. Je place au four électrique pour une longue cuisson à 160°. Clémentine lave les deux endives. Nous en préparons l'assaisonnement. Il n'y a plus qu'à faire la vaisselle. Monter nous laver les dents. Nous disposons d'une bonne demi heure. C'est sous le parapluie, dans nos anoraks et bottes en caoutchouc que nous descendons jusqu'à la rivière. Malgré la pluie fine, le ciel gris et bas, les premières couleurs annoncent le printemps. Nous l'espérons chaud et agréable. Nos escapades à bicyclettes commencent sérieusement à nous manquer.

Il va être quatorze heures. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, Clémentine ajuste ses écouteurs. Installé devant mon chevalet, je m'apprête à m'abstraire dans l'hyper réalisme. L'après-midi passe ainsi, sans réelle perception du temps qui passe jusqu'à la pause de 16 h. J'ai anticipé en préparant le thé et les petits gâteaux. J'apporte le tout sur la table alors que Clémentine me serre la taille de ses bras, son visage plaqué dans ma braguette ouverte. Le contact froid des boutons métalliques de mon 501, l'a fait sourire. Nous prenons notre collation. Les cours reprennent beaucoup trop rapidement. Nous retournons chacun à nos labeurs. Il est dix sept heures quand Clémentine se lève en s'exclamant : << Là, j'en ai plein les bottes ! >>. Elle range ses notes, ferme ses classeurs.

Je nettoie la palette, les pinceaux. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, Clémentine me donne ses impressions. Même si nous passons nos mercredis ensemble, il y a cette étrange sensation de nous retrouver. << Viens ! >> fait elle en se redressant. En saisissant ma main pour m'emmener devant le petit lavabo de l'atelier. Nous nous lavons les mains. À peine les a t-elle essuyé qu'elle saisit ma bite pour en diriger les jets. Après avoir secoué les gouttes, penchée en avant, elle suçote les deniers épanchements. Elle m'entraîne par le Zob devant la cheminée. Me faire tomber dans le vieux canapé de velours carmin. Couchée sur le dos, sa tête sur mes cuisses, une main dans son Levis déboutonnée, elle revient sur nos projets du weekend. Le film porno "bondage".

Frottant sa joue contre ma bite, Clémentine envisage différents scénarios. Sachant qu'au final, ce sera celui d'Estelle qui sera retenu. Je glisse ma main libre dans sa culotte pour rejoindre la sienne. De mes autres doigts, je caresse délicatement ses sourcils, ses pommettes. Ce moment de retour au calme est exaltant. L'excitation est douce et participe de la plénitude du repos. Je bande contre la joue de Clémentine qui se frotte en gémissant d'aise. La nuit tombe. Nous restons ainsi à parler de l'Écosse, de mon oncle dont les nouvelles ne sont pas réjouissantes. Clémentine garde encore le secret sur la destination de nos vacances de Pâques. Elle a déjà tout goupillé mais refuse d'en révéler davantage. Se contentant de préciser : << Ce n'est pas très loin. Une semaine de location ! >>

La danse des dernières flammes éclaire cette partie de la grande pièce. Du bruit. Nos intimes ont pour consigne d'aller et venir comme chez eux dans notre grande demeure. Nous savons que c'est Juliette qui arrive. Toujours en avance sur l'horaire défini. Ce soir, vêtue d'un Levis, d'un pull à large col roulé marron, de bottines brunes, elle entre dans l'atelier. << Bonsoir ! Enfin ! Comme vous me manquez depuis presque trois semaines ! >> s'exclame t-elle en se précipitant. Nous nous redressons pour échanger des bises. C'est vraiment intense de nous retrouver ensemble. Juliette laisse ses cheveux noirs en toute liberté. Ils flottent élégamment jusqu'au milieu de son dos. Elle aussi ne cherche pas à cacher les mèches argentées qui les parsèment. C'est absolument magnifique.

Cette sublime bourgeoise de cinquante ans ne fait pas son âge. Athlétique, sexy, elle ne laisse pas indifférent. Ses yeux noisettes, sa peau mate comme celle de Clémentine dont elle pourrait être la maman. Juliette aussi sait faire preuve d'initiative. Surtout là, à l'instant où elle saisit mon Zob. Je bande mou. Elle me la tord dans tous les sens en disant : << Ma préférée ! >>. Quand nous évoquons la sexualité nous nous tutoyons. Sinon nous nous vouvoyons. C'est un jeu. Je passe ma main entre ses cuisses. J'adore ce réflexe féminin. Ce spasme qui secoue tout son corps. Cela la surprend et elle me confie souvent que je suis le seul homme à qui elle permet cette familiarité. Ce soir, je passe derrière elle pour remonter mes mains de ses hanches jusque sur ces seins. Fermes et généreux.

Juliette est la seule femme qui peut rendre Clémentine craintive. De la jalousie mêlée d'inquiétude. Elle sait les sentiments qu'éprouve cette femme pour moi. Aussi, elle m'écarte délicatement de Juliette pour se serrer dans mes bras. Nous en rions beaucoup. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Juliette met les assiettes, les couverts en nous racontant ses journées au haras. Son personnel performant. Les visites fréquentes de la commission sanitaire, du vétérinaire et de la paperasserie aberrante que sa qualité de chef d'entreprise exige. Je place le gratin de choux fleurs dans la fournaise du four à bois. Je coupe les endives avec Clémentine. Juliette passe sa main sous mon tablier noué sur mes reins. << Ta bite me manque mon salaud ! >> lance t-elle. << Toi aussi ? >> demande Clémentine. Nous en rions aux éclats.

Nous mangeons de bon appétit. Juliette devra nous laisser pour 22 h. Chaque seconde de ce temps semble compter pour elle. Nous bavardons. Une conversation qui s'axe rapidement sur le sujet qui nous préoccupe le plus. Le sexe. S'adressant à Clémentine, elle demande : << Ça te tente un gloryhole un de ces soirs ? >>. Clémentine pose sa main sur la mienne, me consulte du regard avant de répondre : << Oui, assez ! Ça fait un moment ! >>. Juliette précise : << Exactement quatre mois et une semaine ! >>. Nous rions de cette précision étonnante. Notre amie propose quelques dates. Les vendredis soirs sont toujours les meilleurs choix. << Tu as le choix dans la date ! >> lance encore Juliette en faisant cette amusante contrepèterie. Juliette suggère la soirée du vendredi 12 avril. La veille de notre départ pour les vacances de Pâques. << Excellent ! J'ai le temps de me préparer mentalement ! >> s'exclame Clémentine, toute ravie.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. C'est au salon que nous dégustons nos coupes glacées. Vautrée dans le fauteuil qui nous fait face, une main dans son pantalon déboutonné, Juliette nous raconte ses dernières aventures. Elle aussi est passionnée de fellations. Mais elle aime bien se faire monter comme les chevaux de son haras. Elle suce régulièrement Robert, son vétérinaire. Clément, l'homme d'entretien qui vient deux fois par semaine. Un beau black bien membré. << Quand je me lasse de baiser avec eux, je les suce. Généralement au bout de quelques semaines ! >> précise notre invitée. Clémentine, une main dans sa culotte, l'autre jouant avec ma queue, pose des questions. Juliette aime y répondre avec un luxe de détails scabreux. La soirée se termine comme ça.

Bonne nouille à toutes les coquines qui en savoure les jus une fois sous les draps. Après s'être fait sucer et pénétrer. Se réjouissant de ce projet de Gloryhole d'ici un mois. En s'endormant dans les bras de leur compagnon...

Julien (le compagnon)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Friday 8 March 2024 07:27

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 4 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2546 -



La coutume des jeudis soirs

Le gazouillis des oiseaux. L'écoulement de la source. L'étrange résonance dans une forêt qui semble profonde. Les illusions de nous y réveiller à presque six heures, hier matin, jeudi. Clémentine vient se blottir contre moi. Nous restons un instant entre le monde onirique et la réalité. Quelques bisous. Quelques papouilles. Tels des robots nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Dans la salle de bain nous revêtons nos habits de sport. Les radiateurs entrent à peine en action. La fraîcheur participe à nous "remuer". Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Pendant que Clémentine me raconte ses rêves en faisant le café, j'allume la cuisinière à bois. Je l'aide à presser les oranges, à peler les kiwis. Dans un geste gracieux elle attrape les tranches éjectées par le grille pain.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre mercredi soir en compagnie de Juliette. Dès que nous en parlons, Clémentine imite son accent Corse. Plié de rire j'écoute en me gondolant. Nous mangeons de bon appétit en envisageant le weekend qui s'annonce. Six heures vingt cinq. Nous remontons à toute vitesse pour nous offrir un entraînement bien nécessaire. Il faut nous réveiller complètement. Dans notre salle pas chauffée. Les mouvements aérobics et rythmés, le jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol, les charges additionnelles. Nous voilà bien chauds pour conclure par les étirements d'un agréable retour au calme. La douche. Je redescends pour aller faire chauffer l'auto. 7 h45. Le jour est levé sous un ciel gris, bas et sinistre. Le sol est trempé des pluies de la nuit.

La température extérieure n'excède pas 5°. Clémentine, déguisée en esquimau vient me rejoindre en courant. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je rentre me mettre au chaud sous quelques gouttes de pluie. La vaisselle, le lit avant de passer dans l'atelier. J'y allume la flambée de la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de la cinquième toile hyper réaliste m'offre une plongée voluptueuse dans la passion. Je peins en poussant des cris surréalistes. Les heures défilant hors du champs de ma conscience. Il va être midi. Je le sais car mon estomac gargouille. Je mets deux bûches sur les braises ardentes avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à réchauffer les restes du gratin de choux fleurs.

Accompagnés d'une salade de tomates dont je fais l'assaisonnement. Une autre de nos coutumes du jeudi. Les bouchées à la reine. J'émince deux grosses escalopes de dindes que je poêle avec de l'ail, de l'échalote, des champignons. Pendant que la viande rissole, je concocte la Béchamel. J'égoutte les coquillettes que je verse dans le plat carré en terre cuite. Ce qui cale les cinq bouchées à la reine que je remplis de la garniture préparée. En y rajoutant de ce délicieux gruyère Suisse que je râpe moyennement. Je recouvre le tout de cet Appenzeller onctueux, je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillé. Des cerneaux de noix. Au four électrique pour laisser mijoter à 160°. C'est rassurant de savoir que notre repas de ce soir est prêt. Ce sera une belle surprise pour mes deux anges.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission, André Bercoff et son invité abordent les actualités du jour. Un gouvernement aux abois, croulant sous les dettes. Un ministre des finances qui va de mensonges en arnaques. Il est présenté au Sénat le projet scélérat et odieux de piller l'épargne des français en confisquant leurs économies, des ponctions dans ce fameux livret A. Et comble du cynisme, annonçant que cela servira à financer l'armement de l'armée ukrainienne. Un président certainement sous cocaïne, ayant perdu le sens des réalités, relevant de la psychiatrie, qui veut rallier d'autres chefs d'États à sa cause aussi perdue que sa guerre. Et tout cela dans l'indifférence d'un peuple con, totalement soumis, prêt à accepter l'inacceptable. Comme pour le Covid.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Malgré la pluie, je suis impatient d'aller me dégourdir les jambes. Les bottes en caoutchouc, l'anorak. C'est sous le parapluie que je descends jusqu'à la rivière. Je ris de ces infortunes car la mienne est à l'abri dans les coffres Écossais. Le siège de la société qui gère mes biens de façon tout à fait légale est à Édimbourg. Comme le précise monsieur Philippe, mon comptable : << Ces enculés ne pourront que vous voler quelques miettes ! >>. Je n'ai jamais eu confiance aux tartuffes mafieux qui dirigent ce pays d'imbéciles à grandes gueules. Il est treize heures quarante cinq quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins en pensant à mon pays, cette chère Écosse. Je retournerai y vivre dès la fin des études de Clémentine. Cet automne très probablement.

Les heures de l'après-midi défilent aussi vite que celles de la matinée. Le bruit que j'entends annonce le retour de Clémentine. Déjà 17 h30. Elle entre dans l'atelier en sautillant pour me rejoindre. << Je suis avec mon chéri ! >> s'écrie t-elle en s'installant à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Je dois te préparer à ce qui t'attend ce soir. De la part d'Estelle ! >> rajoute t-elle en fourrant sa main dans ma braguette béante. Elle a encore ses notes à mettre au propre. << Pour m'y retrouver ! >> précise t-elle en s'asseyant devant son ordinateur. Cette petite heure de travail en commun que j'attends depuis le début de l'après-midi. C'est encore un vrai bonheur d'être ensemble et de s'y plonger.

<< Put-Hein, là, stop ! >> lance soudain Clémentine en se levant pour ranger ses fiches. 18 h40. Je nettoie la palette, les pinceaux. Devant le petit lavabo de l'atelier, à me laver les mains, la bite posée sur le rebord de faïence. C'est en courant que Clémentine vient me rejoindre. Ma bite dans la main pour en diriger les jets. Une autre coutume. Un autre plaisir. Penchée en avant à essorer le peau fripée de mon prépuce du bouts de ses lèvres. Je caresse sa tête. Elle se redresse en disant : << Demain, à midi, commence le week-end. J'ai plein de projets ! >>. Nous irons en ville. Jean Charlier, mon bijoutier m'a téléphoné. Le cadeau d'anniversaire d'Estelle est prêt. << Génial ! >> s'exclame Clémentine en m'entraînant dans un tango. Un tango pas du tout Argentin mais loufoque. En riant.

C'est ainsi que nous retrouve Estelle. Estelle qui arrive toujours dans le plus grand silence. Elle se précipite. Elles ont passé la journée ensemble mais la joie d'êtres à nouveau réunis tous les trois nous pousse aux étreintes folles. Estelle chope ma bite toute molle en mitraillant mon visage de bisous. La nuit est tombée. Seule la danse des dernières flammes éclaire cette partie de la grande pièce. De les admirer devant la cheminée est une sorte de retour au calme. << Un stretching de l'esprit ! >> comme le souligne Clémentine. Je suis entre mes deux anges que je tiens par leurs tailles. Le bras de Clémentine autour de mon cou. Ma bite dans la main d'Estelle qui retrouve son doudou préféré. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. En nous tenant les mains.

Clémentine fait l'assaisonnement d'un concombre. Estelle surveille les bouchées à la reine qui réchauffent dans la fournaise du four à bois. Je mets les assiettes, les couverts. Nous mangeons de bon appétit. La conversations est axée sur les évènements dramatiques dans lesquels des politiciens déments, soutenu par des médias fous veulent plonger le pays. Les étudiants en parlent dans les universités. C'est même devenu le sujet de conversation. La préoccupation principale. Aucun jeune homme n'a envie d'aller laisser sa jeunesse dans les tranchées d'une guerre qui ne les concerne pas. Pour servir la mégalomanie d'un fou dangereux rêvant d'inscrire son nom dans l'Histoire. J'écoute. C'est admirable. La jeunesse que l'on imagine préoccupée par le futile, par l'inutile, paraît bien éveillée.

La vaisselle. Impatients de nous plonger dans d'autres tourments, beaucoup plus "vitaux", nous nous précipitons au salon. Toutes les deux me font tomber dans le canapé. J'ai la bite à l'air. Je bande mou en la tenant de la main droite. Je regarde mes deux anges retirer leurs bottines, leurs jeans et leurs culottes. En grosses chaussettes, en sweats, elles se mettent à exécuter une danse du ventre en riant. << Dire que d'authentiques salauds psychopathes voudraient nous priver d'une vie d'insouciance ! Les fils de putes ! >> lance Estelle. Elle me fait signe de les rejoindre alors qu'elles s'installent toutes les deux sur le bureau. Je me lève pour les rejoindre avec deux des épais coussins. Les jambes relevées, les pieds posés sur le bord du meuble, mes deux anges touchent leurs clitoris en appui sur l'autre main. J'adore ce regard par en-dessous, à la fois suggestif et plein d'interrogations qu'elles m'adressent. Je frotte mon sexe contre celui d'Estelle qui me fixe comme étonnée.

<< Je n'ai pas baisé avec parrain hier soir. Il avait une réunion avec ses employés. Alors je fais ce soir ! >> lance t-elle en se mettant sur ses coudes. Je me penche pour sucer son clitoris. Un spasme secoue tout son corps alors qu'elle pousse un petit cri de ravissement. Je fais pareil à Clémentine. Je passe de l'une à l'autre. D'abord avec ma langue pour fouiller leurs intimités, me régaler du jus de filles. Puis pour sucer leurs clitos turgescents. Avant de les pénétrer. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il ne reste plus qu'une heure. Largement de quoi la rendre hystérique en la baisant à la hussarde. Avec la délicatesse d'un Sumo Japonais sur le tatamis. Je retrouve le calme dans Clémentine car son plaisir est dans l'immobilisme. Leurs orgasmes sont évidemment cataclysmiques.

Bonne nouille à toutes les coquines qui aiment en savourer le jus de cuisson. Sous les draps. La tête posée sur le ventre de leur coquin comme sur un coussin. Avant un bon dodo...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Saturday 9 March 2024 07:17

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 5 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2547 -



Vendredi après-midi

Il est presque six heures hier matin, vendredi. Les bruits de la source qui s'écoule entre les roches. Qui semble tomber en cascade. Cela résonne de façon mystérieuse dans la nuit. Le gazouillis des différents oiseaux qui se répondent. Ces illusions faisant partie des choix d'une application que nous avons téléchargé sur nos I-phones il y a plus de trois ans. Nous ne connaissons pas de méthodes plus douces pour êtres réveillés le matin. Sans stress, sans traumatisme et sans chocs sensoriels désagréables. En gémissant Clémentine vient se blottir quelques instants dans mes bras. Des papouilles, des bisous alors qu'elle essaie de parler et que ces mots trébuchent ou se diluent dans d'incompréhensibles et inintelligibles borborygmes. Ce qui nous fait rire aux éclats en allant aux toilettes.

Il fait encore froid dans la maison. Mais l'eau bouillante qu'on entend monter dans les tuyaux des radiateurs est rassurante. Dans la salle de bain nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra bleu. Quand elle termine à midi, le vendredi, Clémentine est déconneuse dès le levé. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Pendant que Clémentine prépare le café, presse les oranges, pèle les kiwis en me racontant ses rêves, j'allume le feu de la cuisinière à bois. Je beurre les tranches éjectées par le grille pain. J'en recouvre deux de miel, deux de confitures d'églantine. Avant les quatre suivantes. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée à trois avec Estelle. Estelle dont nous irons chercher le cadeau d'anniversaire cet après-midi. Nous sommes impatients.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Il y a quelques courses à faire. Le projet d'aller en ville est donc judicieux. La météo déplorable étant parfaite pour cette expédition. Six heures vingt cinq. En mode "speed" nous remontons pour nous livrer corps et âmes à l'entraînement. Avec la motivation supplémentaire de nous réchauffer dans une salle à seulement 16°. Les mouvements aérobics, les joggings sur tapis roulants. Les facéties de Clémentine où nous sommes pliés de rire. Les exercices au sol. Les charges additionnelles avant le retour au calme des étirement d'un stretching bien trop hâtif. La douche. Je cavale dans les escaliers car chaque secondes compte. Je sors l'auto du garage. La température extérieure est de 5°. Le ciel est gris et maussade.

Emmitouflée dans son anorak, ses bottes à fourrures comme sa capuche, Clémentine arrive en courant. Il va être 7 h45. Un dernier bisou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud pour faire la vaisselle, recouvrir le lit. Dans l'atelier j'allume la flambée de la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je termine ce matin cette cinquième toile hyper réaliste "Les motos". Je peins dans cette félicité euphorique laissée par Clémentine. Typique de nos vendredis matin. À midi commence le weekend. Il est onze heures trente quand je dépose la dernière touche de pigments sur la surface de la toile. Dès lundi je pourrais attaquer la sixième œuvre. "Le musée".

Je nettoie la palette, les pinceaux. Un peu de rangements dans l'atelier. Je passe à la cuisine. Je lave deux endives. Je prépare leur assaisonnement. Pendant que réchauffe les deux grosses bouchées à la reine calées dans leurs coquillettes. Il est un peu plus de midi trente. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes enserrant ma taille, elle mitraille mon visage de bisous. C'est comme ça que je l'emmène aux toilettes. Rituels pisseux et lavage de mains. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte ses cours. Sa conversation de quelques minutes avec Léo. Ce collègue étudiant qui la drague depuis plus d'une année. Alors que son copain Maël drague Estelle. << Il est adorable. Mignon comme tout. J'aimerais bien voir sa bite ! >> me confie t-elle.

Nous en rions de bon cœur. Je suggère une nouvelle fois : << Fais lui une pipe dans ta voiture ! >>. Clémentine pose sa main sur la mienne en demandant timidement : << Je peux ? >>. Je réponds : << Tu dois ! >>. Elle vient s'assoir sur mes genoux pour rajouter : << Ça me ferait tout drôle de sucer un autre type sans te savoir caché dans les environs. Ça m'exciterait beaucoup moins tu sais ! >>. Nous avons beau réfléchir à une combine. Il faudra se résoudre à attendre vendredi prochain. Léo et Maël sont invités aux anniversaires de Clémentine et d'Estelle qu'elles organisent dans la maison d'amis. Un projet établit depuis presque deux mois. << Je serai patiente. Mais la partouze à quatre m'emballe beaucoup moins. Je préfère sucer que de baiser ! >> précise Clémentine.

La vaisselle. Cette conversation nous a encore considérablement excité. Nous montons nous laver les dents. Nous changer. Il fait froid et le temps est incertain. Il pleut quelquefois une demi heure. Habillés de Levis brut, de chemises blanches sous nos pulls bleu nuit aux cols en "V". Nos bottines brunes. Nous dévalons les escaliers pour enfiler nos blousons d'épais cuir brun. Écharpes crème. C'est parti. Il y a vingt cinq kilomètres. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue qu'elle suce parfois. J'appuie sur sa nuque en murmurant : << Imagine que ce soit Léo au volant et que c'est sa queue que tu pompes ! >>. Clémentine en glousse de contentement. Quand elle se redresse c'est pour me confier à quel point cela lui plairait. << Mais et toi, tu serais caché où ? >> lance t-elle.

Je gare la voiture dans la petite ruelle habituelle. Clémentine se régale de mes substances. Elle insiste pour me sucer encore un peu. << C'est trop bon. Et j'aime quand tu me racontes des trucs pendant que je taille une pipe ! >> dit elle en se redressant enfin. Nous en rions de bon cœur. J'essuie la commissure de ses lèvres avec l'index que je lui fais sucer. << Mmmhhh ! >> gémit elle en rajoutant : << Je n'arriverai jamais à sucer proprement ! >>. C'est en riant que nous sortons de l'auto. Nous avons le parapluie mais la pluie a cessé. Il y a dix minutes jusqu'aux premières rues piétonnes. Clémentine accrochée à mon bras. Il n'y a pas grand monde dans les rues du centre. Voilà la bijouterie Charlier. Mon vieil ami Jean nous accueille en personne. Nous avons rendez-vous. Il est 14 h30.

La jeune vendeuse nous salue. Une belle jeune fille qui doit avoir l'âge de Clémentine. Jean nous fait passer derrière une des vitrines. Il y a un couple qui entre dans la boutique. << Caroline, vous vous occupez de ces messieurs dames ! >> lance Jean. Se saisissant d'une boite carré paraissant couverte d'un fin velours vert comme d'une relique sacrée, il en ouvre le couvercle. C'est une bite en argent. D'un réalisme étonnant. Des couilles toutes aussi travaillées. L'effet vieil argent empêche tous reflets désagréables. Juste sous les couilles un anneau minuscule. Il y a une chaînette terminée par l'anneau d'un porte clefs. << On n'est pas obligé de fixer la chaînette. Le bijoux peut se porte en pendentif. Je vous offre la chaînette en argent. Elle fait 50 cm ! >> nous explique Jean avec passion.

<< Je peux l'essayer ? >> s'exclame Clémentine. << Mais avec joie ! >> lance Jean en enfilant l'anneau le long de la chaînette. Il fixe l'ensemble autour du cou de Clémentine qui s'admire devant un des miroirs. Le couple de client vient de repartir. Caroline vient nous rejoindre. Nullement gênée par la caractéristique très particulière de notre commande. Jean nous explique la manière de procéder pour créer un bijoux. Caroline me lance quelquefois un étrange regard. Rapide. Furtif, par en dessous. Un discret sourire. Ce bijoux en vieil argent est de toute beauté. D'un réalisme extraordinaire. << Exactement 38 millimètres de long sur 16 millimètres dans sa plus grande largeur ! >> précise Caroline. Clémentine retire la chaînette. Caroline est chargée de nous faire un bel emballage cadeau.

L'objet plaît tant à Clémentine que je passe commande du même mais façon "vieil or". Son anniversaire étant le 2 avril prochain, Jean nous affirme que nous pourrons en disposer d'ici le vendredi 22 mars. Comme toujours, j'insiste pour payer d'avance. C'est forcément un forfait qui couvre les frais supplémentaires éventuels. L'affaire est conclue. Clémentine récupère le petit sachet contenant le paquet cadeau. Nous remercions Jean et son employée pour tant de diligences, pour l'accueil. Je le félicite pour son immense talent. Nous prenons congé. Clémentine sous le charme de cet essayage, se réjouit de posséder bientôt le même objet. Un chocolat chaud à l'étage de notre salon de thé préféré. Presque désert cet après-midi. Deux petits tours dans les toilettes. Enfermés dans un cabinet.

Clémentine adore me sucer dans ces endroits insolites. Moi j'adore faire le contorsionniste en léchant ses intimités après ses pissous. Nous retournons à la voiture sous le parapluie. Nous avons prévu une visite à l'hypermarché. Il n'y a pas trop de monde. Nous flânons dans les allées. Je pousse le caddie dans lequel Clémentine dépose les achats figurant sur la liste qu'elle tient en main. Pas d'opportunités pour une exhibe de qualité. Il faut s'y résoudre. Passage en caisse. Après avoir rangé les courses dans le coffre de la voiture nous revenons rôder dans la galerie commerciale. Il y a déjà des chocolats de Pâques. Des œufs multicolores, des lapins. Le menu affiché devant la cafétéria est fort alléchant. Des moules grillées au feu de bois avec des légumes de saisons confis. Miam.

Bonne faim de soirée à toutes les coquines désireuses de sucer partout où cela est possible. Toute contentes de posséder bientôt un bijoux exceptionnel. Et de se faire sauter un peu sous les draps au retour à la maison...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
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