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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Clémentine et Julien
Sunday 10 March 2024 10:16

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 6 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2548 -



Danièle, Lise, Clémentine, Estelle et moi

Hier matin, samedi, il est presque sept heures. Sur sa demande de la veille, je réveille délicatement Clémentine. Les cils de ma paupière que je fais bouger contre son nez en chuchotant : << Papillon ! >>. En gémissant, en se blottissant contre moi, elle pose sa tête dans le creux de mon épaule. Nous restons ainsi, luttant contre l'impérieux besoin naturel qui torture nos vessies. Quelques bisous, des papouilles qui deviennent câlins. Nous nous précipitons aux toilettes. Il fait bien chaud partout dans la maison. Nous revêtons nos tenues sports dans la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans le hall d'entrée. Je tiens Clémentine par sa taille avant de remonter sur ses seins minuscules. Elle ouvre le portail depuis l'interphone. L'écran s'allume. Tout fonctionne. Parfait.

À la cuisine, pendant que Clémentine fait le café, presse les dernières oranges, pèle les derniers kiwis, j'allume la cuisinière à bois. Je beurre les quatre premières tranches éjectées par le grille pain. Je recouvre de miel, de confiture d'églantine. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de vendredi après-midi. L'agréable repas à la cafétéria de l'hypermarché en soirée. Nous mangeons de bon appétit en évaluant la possibilité d'aller courir en extérieur. Malgré que la température n'excède pas 7°. << Un peu de courage ! On se laisse aller ! >> lance Clémentine en venant terminer sa tartine assise sur mes genoux. Nous traînons à table. C'est si bien de pouvoir prendre tout son temps. La vaisselle. Nous mettons les K-ways, les bonnets, les gants pour affronter le froid.

Quelques sérieux mouvements d'échauffement. Le sol est encore détrempé des pluies de vendredi. C'est donc le long de l'étroite route communale déserte que nous pratiquons un jogging gratifiant. Constatant une fois encore qu'il faut juste le courage de s'y mettre. << Oui ! Six mètres jusqu'à la porte ! >> précise Clémentine quand je fais part de ces considérations. Il est huit heures trente quand nous revenons. La Fiat rouge de Lise est garée devant la porte du garage. En montant à l'étage pour nous rendre à la salle de bain, on perçoit le bruit de l'aspirateur. Elle est déjà en plein ménage. Nous prenons notre douche. Une large serviette de bain sur les épaules, comme moi, assise sur un des deux tabourets, devant le miroir, Clémentine me raconte d'amusantes anecdotes universitaires.

Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite je la coiffe. Elle revient sur Léo, le jeune étudiant en première année de Licence qu'elle aimerait bien sucer. Avec son collègue Maël ils viendront fêter l'anniversaire d'Estelle et de Clémentine vendredi prochain. << Mon pauvre Julien, tu vas encore te retrouver coincé dans le placard. Cette fois deux bonnes heures ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur quand je précise : << Mais deux heures de spectacle ! >>. Sur sa demande je divise ses cheveux en trois parties égales. Que je tresse en une longue natte. C'est à mon tour de me faire sécher les cheveux, coiffer. C'est un rituel fort plaisant. C'est tellement agréable de pouvoir y consacrer tout son temps. À la bourre tous les matins de nos semaines.

Vêtus de nos 501, de nos chemises à carreaux d'épais coton, chaussés de nos baskets, nous sortons de la salle de bain pour tomber sur Lise. Dans son éternel survêtement gris, ses écouteurs sur les oreilles, poussant l'aspirateur dans le couloir. Nous nous saluons. Lise, en retirant ses écouteurs, avec un merveilleux sourire, nous raconte un peu de sa semaine. BTS commercial. Entre six et sept heures de cours chaque jour. De venir faire le ménage chez nous est une véritable évasion. Nous la laissons à son travail pour redescendre. Au salon, assise sur mes genoux, me tournant le dos alors que je caresse ses seins, Clémentine allume l'ordinateur. C'est le courriel d'Amy qui nous inquiète une fois encore. La compagne d'oncle Alan nous informe qu'il restera hospitalisé jusqu'à la fin du mois. 91 ans.

Le message de Juliette qui confirme sa venue mercredi prochain. En précisant qu'elle est déjà à l'organisation de la soirée gloryhole du vendredi 19 avril. Premier jour des vacances scolaires de Pâque. Le mail d'Estelle qui est impatiente de nous revoir en début d'après-midi. Elle nous raconte avoir rencontré Julie à la piscine vendredi après-midi. Avec sa maman. Julie avec un homme d'âge mûr. Julie, notre ancienne "fille de ménage" est à présent en "ménage" avec un de ses professeurs de la Faculté des Lettres. Nous lisons ces révélations avec surprise et plaisir. << C'est donc pour ça que nous n'avions plus aucune nouvelle ! >> s'exclame Clémentine. Mes mains dans sa chemise déboutonnée, ses seins à nus. Elle répond à nos messages alors que je la caresse avec une douce passion.

<< Mmhh, coquin, c'est bon ce que tu me fais ! >> lance t-elle en se levant. Dans l'enveloppe jaune je glisse un billet de 50 €, un billet de 20 €. Je la pose sur le bord du bureau alors que Clémentine déboutonne la braguette de mon Levis. << Moi aussi je vais faire ma coquine ! >> fait elle en s'accroupissant pour en extraire le locataire. Mon érection molle qu'elle apprécie en la soupesant. Se redressant elle murmure : << Tu vas montrer cette belle chose à Danièle ! >>. Il va être l'heure de nos livraisons. C'est par la bite que Clémentine me tire hors du salon. Ça m'oblige à marcher comme un con. Ce qui nous fait rire aux éclats. Et une fois de plus c'est comme ça que nous rencontrons Lise dans le couloir. Elle s'apprête à passer la serpillère sur les carrelages de la cuisine des toilettes du bas. Découvrant une fois encore cette scène ridicule.

Elle nous fait un merveilleux sourire, levant le pouce de sa main libre en nous adressant un clin d'œil. Nous allons mettre nos anoraks car il va être dix heures. À peine avons-nous traversé le jardin que la camionnette blanche vient se garer derrière l'auto de Lise. Le sourire de Danièle est éloquent. Elle saute de sa camionnette avec un enthousiasme débridé. Touche nos poings du sien alors que j'ouvre mon anorak. Malgré les quelques 12°, malgré la désagréable fraîcheur humide, j'exhibe mon chibre pour le plus grand plaisir de notre livreuse. Je sais que Lise, derrière une des fenêtres de la cuisine, ne rate pas une miette de la scène. Nous suivons Danièle qui contourne le véhicule, qui ouvre les portes arrières pour y grimper. Elle regarde mon sexe. Je bande très mou. Un clin d'œil.

<< Mercredi je te la suce ! >> lance t-elle en me tendant le lourd cageot contenant les fruits et les légumes. En l'attrapant, je me tourne bien vers la maison. Afin que Lise puisse elle aussi se rincer l'œil. Je pose le cageot sur le banc en pierre contre le mur. J'attrape celui que me tend Clémentine. Il contient les pots de fromage blanc, les pots de crème fraîche, les yaourts, les œufs, le beurre et tous ces délicieux fromages de caractère dont nous sommes friands. Danièle saute de sa camionnette. Elle referme les portes avant de m'attraper par le Zob. Elle répète : << Mercredi je viens en début d'après-midi. Vers 13 h30. Je termine mes livraisons par vous. Je vais te la bouffer mon gars ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Cette femme de la campagne est "brut de décoffrage" et direct.

Paiement par carte que j'introduis dans le terminal que me tend la jeune femme. De l'autre elle serre mon Zob devenu raide et dur. << Génial ! >> lance t-elle avant de me lâcher pour s'installer au volant. Même commande pour samedi prochain. La viande mercredi. Nous la regardons faire la manœuvre de demi tour. Danièle mime une masturbation masculine en faisant une bosse à l'intérieur de sa joue. Les mains sur les hanches, tourné vers la maison, je présente ma queue qui débande inexorablement à cause du froid. Je remballe juste à temps car voilà le tube Citroën rénové de notre boulangère. Madame Marthe, hilare, se gare au même endroit. Elle saute de sa camionnette en nous saluant. Elle ouvre la porte latérale qui coulisse dans un effroyable bruit de tôle. Elle en tire notre cageot.

Il contient les deux grosses miches de pain complet et bio. Les deux pâtes feuilletées, l'énorme brioche au pudding, les bouchées à la reine et les deux gros croissants aux amandes. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Pour demain matin dimanche, vers 11 h 45, c'est son mari qui viendra nous livrer le gâteau pour l'anniversaire d'Estelle. Un beau vacherin glacé commandé vendredi. C'est lundi 11 mars qu'Estelle le fêtera avec ses parents. Nous anticipons d'un jour pour fêter ses 27 ans tous les trois demain dimanche. La remise de son cadeau. Ce magnifique bijoux de vieil argent récupéré vendredi. Nous saluons notre boulangère adorée. Quelle agréable initiative. Lise arrive en courant pour prendre un des cageots. Nous contournons la maison tous les trois.

Nous descendons à la cave par derrière. Lise ne s'attarde pas. Elle remonte en courant en disant : << J'adore ce qui se passe dans le jardin ! >>. Ne nous laissant pas le temps de répondre elle referme la porte. Nous disposons les fruits et les légumes sur les étagères en bois du cellier. Du congélateur je tire le paquet de moules, les sachets de haricots verts, de petits pois. Clémentine s'accroupit pour m'extraire le Zob. Je porte le cageot contenant les produits frais à ranger dans le réfrigérateur. La cuisine sent bon les produits d'entretien. Je mets les yaourts que me tend Clémentine sur les étagères du frigo. Lise arrive dans la cuisine. Comme la dernière fois elle s'immisce entre la porte du frigo grande ouverte et le buffet. Elle s'accroupit. C'est mon Zob qui suscite son attention.

Clémentine, accroupie elle aussi, s'en saisit en l'agitant sous le nez de Lise. << Sers-toi, c'est à disposition ! >> dit elle. Je me redresse. Lise, hésitante, son visage à une vingtaine de centimètres de mon chibre, reste immobile. Sans doute pour échapper à la tentation, elle se redresse à son tour pour s'éloigner rapidement. << J'ai encore la salle de bain du bas à terminer ! >> lance t-elle. Nous terminons de ranger les victuailles avant d'aller au salon. Clémentine attend que je sois assis sur la chaise du bureau. Mais au lieu de s'installer sur mes genoux, c'est à quatre pattes qu'elle passe sous le meuble. << Ça m'excite de trop quand tu es tellement vicelard ! >> s'exclame t-elle, ses mains posées sur mes cuisses, à genoux entre mes jambes écartées, avant de sucer ma bite.

Je laisse imaginer la situation à nos lecteurs. L'état d'excitation dans lequel me projette si subitement Clémentine. J'allume l'ordinateur. Je vérifie la boîte mail. Rien. Lise, à présent en tenue ville, entre dans la grande pièce. Un peu inquiète, elle cherche Clémentine du regard. Réflexe bien naturel de la part d'une jeune fille de dix neuf ans se retrouvant seule avec un homme sans doute plus âgé que son père. Elle comprend toutefois très vite. Elle s'approche. Son merveilleux sourire illumine son visage presque juvénile. Ses cheveux auburns, courts, ses discrètes tâches de rousseurs. Ses expressions sont passionnantes. Nous percevons le bruit bulleux de la pipe que me fait Clémentine sous le bureau. Lise le contourne pour bien confirmer ce qu'elle suppute. C'est effectivement "ça".

<< Tu aimes ça ? >> demande Lise en se penchant. J'ai envie de glisser ma main dans sa nuque mais je m'abstiens. Pas de familiarités. Je préfère toujours laisser ce genre d'initiatives à mes éventuelles partenaires. Ainsi, pas de quiproquos inutiles. Cessant de pomper, en tentant de déglutir, Clémentine répond : << Quand je commence le matin, je pourrais faire ça tout le restant de la journée ! >>. Lise se redresse, me regarde d'une étrange manière. Je saisis l'enveloppe jaune pour la lui remettre. Je me recule pour permettre à Clémentine de se redresser. Lise nous remercie. Nous la raccompagnons jusque dans le hall d'entrée. Elle enfile son anorak avant de nous remercier une nouvelle fois. J'agite ma queue redevenue molle mais dégoulinante de foutre. Lise regarde comme effarée.

<< À samedi ! >> finit elle pas lancer en ouvrant la porte avant de sauter les quatre marches du perron. Assise au volant, elle nous fait un grand coucou. Son sourire magnifique. Nous rentrons vite au chaud. << Tu es mon mon amour, tu es mon chéri, tu es mon vicelard ! >> s'écrie Clémentine en me sautant au cou. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille elle enfonce sa langue dans ma bouche. Je bande presque immédiatement. Je dis : << Attention, je vais te mettre de la jute partout ! >>. En sautant au sol, Clémentine examine sa braguette. Pas de tâches. Par contre, s'accroupissant elle s'exclame : << Pas de gâchis ! >>. La voilà à me tailler une pipe des familles. Je la force à cesser. La tirant par sa natte je l'aide à se redresser. C'est ainsi que je l'emmène jusqu'à la cuisine. 11 h50.

Clémentine fait l'assaisonnement de la belle laitue. Elle en lave les feuilles pour ce soir également. Je fais le bouillon pour y jeter les moules décongelées. Dans le wok je vide les sachets de haricots verts et de petits pois décongelés. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos aventures de la matinée. << Ça m'excite quand tu fais ton pervers ! >> me confie plusieurs fois Clémentine. Avant le dessert je me lève pour venir frotter ma bite sur son visage. J'esquive adroitement chacune de ses tentatives de chopper ma queue avec sa bouche grande ouverte. Elle rit. Nous nous amusons beaucoup de ces jeux. Assis sur la table, face à Clémentine sur sa chaise, à peine a t-elle posé son pot de yaourt vide et sa petite cuillère qu'elle me pompe le Zob. Je caresse ses joues creusées par l'effort de succion.

Mes couilles dégorgent de jute. Il en suinte aux commissures des lèvres de Clémentine qui glousse de plaisir. Je retire ma queue d'un mouvement de l'index. Ce qui la fait gicler contre la joue de Clémentine. Une giclée de liquide séminale laiteux jusque au-dessus de son oreille, sur ses cheveux. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Devant le miroir, je montre la giclée de foutre dans ses cheveux. Elle rit. Je la saisit par la nuque et sous le menton pour approcher son visage à proximité du miroir. Je murmure : << Regarde un peu cette gueule de salope que tu te trimballes ! >>. Clémentine saisit mon poignet pour que surtout je ne la lâche pas. Elle répond : << Je vois cette gueule de salope depuis l'adolescence. Et elle m'excite tout le temps aussi ! >>

Nous nous rinçons la bouche, tête contre tête au-dessus du lavabo. En riant. Nous nous essuyons. Estelle arrive toujours silencieusement. Authentique voyeuse, elle adore nous surprendre. Quand elle jaillit dans la salle bain, comme un diable de sa boîte, laissant tomber son sac de sport, elle se précipite. Tous les trois, serrés comme des naufragés sur un radeau, nous nous faisons des milliers de bises. En sortant le pyjama de soie mauve, la paire de chaussettes et une culotte de son sac de sport, Estelle nous raconte sa matinée. Les courses à l'hypermarché avec sa maman. Elle revient sur sa rencontre avec Julie à la piscine. << Elle était toute contente de me revoir et m'a présenté son compagnon. Ils sont ensemble depuis octobre de l'année dernière. Et ça a l'air super ! >> explique t-elle.

Nous avons programmé une randonnée pour l'après-midi. Le ciel est couvert mais sans menace. Dans le petit sac à dos, les pommes, les barres de céréales, la thermos de thé bouillant. Les lampes frontales. Une température extérieure de 17°. Il va être 14 h. Pressés de filer, nous traversons le jardin en courant. Il y a quatre kilomètres jusqu'à la chapelle gothique. Départ de notre escapade de l'après-midi. Je roule doucement. Clémentine me suce. Estelle assise à l'arrière, me caresse les joues en revenant sur des détails de sa matinée. Je gare l'auto le long du muret du cimetière. Il y a d'autres voitures. Nous changeons de godasses. En marchant, nous tenant par les mains, nous revenons sur notre projet de film porno. Nous le réaliserons demain, pour l'anniversaire d'Estelle. Un scénario.

Quand Clémentine raconte nos aventures de la matinée, Estelle veut savoir tous les détails. J'ai la bite à l'air. Quand nous croisons d'autres promeneurs, nous appliquons la technique dite "du bouclier". Ce qui consiste à dissimuler mon Zob en se mettant contre moi, en passant les bras autour de mon cou. Et cet après-midi il faut le faire à plusieurs reprises. Nous arrivons à l'ancienne carrière d'où était extraite l'argile pour les tuiles. J'évite de regarder au bas des falaises. Bien évidemment, quand Estelle sait tout ce qui s'est encore passé ce matin, elle aussi veut s'amuser. Aux détours des sentiers, accroupies, mes deux anges se refilent ma biroute. Nous manquons de nous faire surprendre à plusieurs reprises. Notamment quand Estelle me tient la bite pour en diriger les multiples jets.

Puis quand je les torche après les pipis. Ça se passe dans l'espace herbeux entre les bâtiments abandonnés des anciennes tuileries. Il y a du monde à profiter de cet après-midi plutôt sympa. Je doigte mes deux anges avec autant de passion qu'elles me bouffent la queue. Nous revenons à la voiture à la tombée de la nuit, vers 18 h45. À la maison pour 19 h. << On fait hyper simple ! >> propose Clémentine. Je suggère des "croûtes aux anchois". C'est simple, facile et délicieux. Clémentine prépare l'assaisonnement du reste de la laitue. Estelle coupe de longues tranches de pain que je beurre. Estelle y allonge des anchois. Je recouvre de fines tranches de Morbier, de Saint Nectaire. Dans le four pour faire griller. Je recommande. C'est tellement bon. Ça fond dans la bouche. C'est une extase. Avant la baise.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se font tringler sur le bureau. Baisées à la hussarde en échangeant leurs idées de scénario pour le film porno de dimanche qu'elles dénomment : << "L'anniversaire" >>...

Julien (le hussard)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Monday 11 March 2024 07:43

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 7 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2549 -



L'anniversaire

Hier matin, dimanche, la grasse matinée nous emmène aux environs de neuf heures. Estelle à ma droite, dont les pieds bougent d'un rythme régulier contre les miens. À ma gauche Clémentine qui vient se blottir encore plus fortement qu'Estelle. Je suis entre mes deux anges. Tous les trois, arrivant à consciences, dans un authentique enchantement paradisiaque. Estelle saisit ma tumescence. D'une poigne ferme, en émergeant complètement, elle murmure : << Toi, tu as de le chance. Je dois faire pipi. Tu y échappes de justesse ! >>. Nous rions. Je demande : << Et j'échappe à quoi ? >>. Estelle se lève d'un bond. Propulsée par l'impitoyable besoin naturel. Sans répondre, courant vers la porte dans son pyjama de soie mauve. Clémentine joue avec ma turgescence. Plein de papouilles.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Dans la salle de bain, nous revêtons nos Levis, nos chemises à carreaux, nos baskets. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Estelle est entrain d'allumer la cuisinière à bois. Les parfums du café, du pain grillé flottent dans la cuisine. Sur la table trône la brioche au pudding. Collé contre le dos d'Estelle, mes mains remontant de ses hanches jusque sur ses seins, je murmure : << Bon anniversaire mademoiselle ! >>. Estelle se retourne, ses bras autour de mon cou. Je la soulève. Ses jambes enserrent ma taille. Elle mitraille mon visage de bises. << Bon anniversaire ! >> chuchote Clémentine qui passe ses bras autour de ma taille. Nous prenons notre petit déjeuner en dissertant sur l'anniversaire d'Estelle. En réalité c'est demain 11 mars.

Mais comme nous ne sommes pas ensemble le lundi soir, nous fêtons un jour d'avance. << Put-hein, je ne voulais pas avoir dix huit ans, maintenant j'en ai vingt sept ! >> s'exclame t-elle. Mes deux anges reviennent sur leurs anniversaires. Amies depuis qu'elles ont douze ans, elles ont fêtés chacun d'entre eux ensemble. J'écoute. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le film porno qu'Estelle veut réaliser pour ses 27 ans. Le vingt cinquième. Dehors, il pleut. C'est moche. Un ciel bas, sinistre. Une obscurité persistante. Ce sera donc un film en intérieur. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, les filles envisagent les déclinaisons possible de notre projet. Un film devant s'appeler initialement "Le seau", sera "L'anniversaire".

La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Pendant qu'Estelle se change, nous recouvrons le lit, refermons la porte fenêtre. Pour les besoins du film Clémentine récupère une de ses jupes kilts, un chemisier crème, ses escarpins noirs à talons. Ceux avec la fine sangle de cuir qui enserre délicatement la cheville. Nous rejoignons Estelle dans la salle de bain. De son sac de sport elle vient de tirer des vêtements semblables. Pressés d'aller prendre la température malgré cette météo pourrie, nous dévalons les escaliers pour enfiler les anoraks. Chausser les bottes en caoutchouc. C'est sous le grand parapluie que nous descendons jusqu'à la rivière. Il pleut. Indifférents aux conditions climatiques, les canards virevoltent à la surface des eaux agitées.

Les poules d'eau, les colverts tournent inlassablement en cancanant. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par la taille. Le thermomètre extérieur indique 8° alors qu'il est presque dix heures trente. Pour son anniversaire Estelle propose : << Poulet et frites. Comme quand j'étais petite ! >>. Excellente suggestion. Nous remontons. Estelle tient absolument à s'occuper de la préparation du poulet. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade d'endives. J'épluche, je lave les grosses pommes de terre. Les filles parlent de leurs études. Nous nous faisons des bisous à chaque fois que nous sommes tous prêts. C'est dans la friteuse électrique, sans huile, que seront préparées les patates. Le poulet est au four électrique. Il va rôtir une bonne heure. Mon I-phone qui sonne.

Clémentine l'attrape. << C'est la boulangerie ! >> lance t-elle. Nous courons jusqu'au hall d'entrée pour ouvrir le portail depuis l'interphone. << La boulangerie ? Un dimanche ? >> demande Estelle en palpant ma braguette que je reboutonne. C'est un kangoo identique à celui d'Estelle qui descend les pavées autobloquants du chemin pour venir se garer derrière le sien. C'est le mari de madame Marthe. Un grand gaillard costaud. C'est sous le parapluie que nous traversons le jardin pour récupérer le gâteau. Dans un emballage rigide. C'est lourd. L'homme ne s'attarde pas. Il nous souhaite un bon dimanche avant de repartir. Le gâteau entre tout juste dans le congélateur. << C'est quoi ? >> demande plusieurs fois Estelle qui cette fois a sorti mon Zob pour jouer avec.

<< Surprise ! >> répond Clémentine. Nous remontons de la cave pour mettre les assiettes, les couverts. Il va être midi quinze. Estelle sort le poulet du four. Merveilleusement doré. Nous mangeons de bon appétit en savourant ce délicieux repas. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. Je me lève pour agiter ma bite toute molle. "L'hélicoptère" qui suscite l'admiration de mes spectatrices. Nous traînons à table. La vaisselle. C'est au salon que nous disposons les petites assiettes à dessert, les tasses pour le thé. << À partir de maintenant, tu es à la fête ! >> lance Clémentine qui me saisit la bite pour m'entraîner. Nous descendons à la cave. Dans le cellier, pour récupérer le gâteau du congélateur. Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche.

Je bande instantanément. Je tiens l'emballage blanc en mousse rigide et synthétique. Nous remontons. Quelle surprise. Estelle s'est changée. Dans sa jupe kilt, son chemisier crème, ses escarpins noirs à talons hauts. Accroupie, cuisses largement écartées, elle dit : << Prête à tourner ! >>. Je pose l'emballage sur le bureau. Estelle se précipite pour venir voir. C'est Clémentine qui ouvre en soulevant la cloche blanche. C'est un magnifique vacherin glacé. Du tiroir du bureau je tire le petit paquet cadeau. Estelle, émerveillée par ce beau gâteau sur lequel, en chocolat noir, est écrit "Bon anniversaire". Clémentine y plante délicatement vingt sept bougies. Je les allume pendant qu'elle vérifie la caméra. Pendant qu'Estelle découvre son cadeau. << Julien ! >> s'exclame t-elle en se précipitant.

<< Tu me le passes autour du cou ! >> me demande t-elle. Je fixe la chaînette dans sa nuque. Le pendentif est magnifique. On en oublie la représentation de l'objet en vieil argent. Cette sublime petite bite d'un réalisme étonnant. Une bite et des couilles d'un éclat somptueux sur la couleur crème du chemisier. C'est évidemment un bijoux qu'Estelle ne pourra porter qu'en vacances ou encore dans des circonstances particulières. Comme cet après-midi par exemple. Mais il est également un magnifique porte clefs qui se dissimule parfaitement. Estelle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille. Je sais qu'elle ne porte pas de culotte. Aussi je la dépose sur le bureau. En appui sur ses coudes, elle me regarde frotter mon sexe contre le sien. << Le gâteau ! >> lance Clémentine. Nous nous précipitons pour nous jeter sur le canapé. C'est Estelle qui coupe les tranches. Nous dégustons ce délicieux vacherin. Pistache, noisette.

Vanille et pralin. Je suis entre mes deux anges. Je remarque soudain le vieux seau en fer posé sur le guéridon. Je demande : << C'est quoi ? >>. Estelle répond : << Le sujet du film ! >>. Je commence à comprendre. À peine le dessert pris, les filles se lèvent d'un bond. Clémentine m'entraîne par la main. Nous montons nous changer à notre tour. Dans la salle de bain. Elle porte sa jupe kilt, son chemisier, ses escarpins. Je suis vêtu de mon pantalon de cuir noir, de mes bottes et de ma chemise blanche aux manches bouffantes. Nous prenons la pose quelques instants devant le grand miroir ovale. Pressés de rejoindre Estelle, nous descendons prudemment tout de même. Les talons hauts peuvent représenter un risque. Une nouvelle surprise nous attend dans le salon. Estelle se masturbe.

Debout, contre le coin du bureau, en appui sur ses deux mains, Estelle se frotte. Elle est toute rouge. Nous savons qu'elle ne fait pas semblant. Clémentine porte son loup de dentelles noires. C'est hyper érotique. Elle contourne le bureau pour saisir la caméra. Elle l'allume pour filmer la scène. Je reste hors champs. Estelle n'en rajoute pas. Elle reste naturelle. Cambrée sur ses genoux fléchis à se frotter lascivement contre le coin du meuble. Elle cesse. Se redresse, passe une main sous sa jupe pour se continuer. Je m'approche pour la saisir par la taille. Debout, derrière elle. Je remonte mes mains sur ses seins. Elle lève ses bras en "V". Je saisis ses poignets. Clémentine filme en tournant autour de nous. J'entraîne Estelle vers une des grandes bibliothèques. Celle à droite de la cheminée allumée.

Je fixe ses poignets, bras levés avec de la cordelette de coton blanc. Je fais de même avec ses chevilles, pieds largement écartés. Debout, le dos contre les étagères pleines de livres, Estelle me fixe. Cet air innocent, candide et plein d'interrogation. Je récupère le petit seau en fer. Avec de la cordelette, je le fixe à la taille de ma "captive". De façon à ce qu'il pende entre ses cuisses. J'ajuste l'ensemble. Je déboutonne son chemisier. Je dois le coincer car ses seins minuscules ne permettent pas de garder le tissu écarté. Je déboutonne sa jupe pour la lui retirer. Je retire le chemisier. Estelle, totalement nue, attachée par les poignets et les chevilles, fixe la caméra. Elle ne joue pas. Terriblement gênée, elle reste silencieuse. Je la tiens sous le menton pour qu'elle fixe l'objectif. Clémentine filme.

Quand elle pose la caméra qui filme alors en "automatique", Clémentine vient se positionner à droite d'Estelle. Je suis à gauche. Nous exhibons Estelle comme un trophée. Je la touche vulgairement. Je la doigte. Elle a des spasmes qui secouent son corps. Elle tortille des hanches. Je lèche son visage. Clémentine, accroupie, me suce alors que je fouille la bouche d'Estelle de ma langue exploratrice. Cela ne s'entendra pas dans le film car je chuchote : << Bon anniversaire. Je t'aime Estelle. Tu es merveilleuse ! >>. Ces mots la font se pâmer d'aise. Excitée comme une puce elle se frotte sur ma main. Soudain, sans prévenir, alors que Clémentine se redresse, que je saisis sa nuque et son menton, un étrange bruit de robinet qui coule. Estelle pisse dans le seau. C'était donc "ça" son plan.

Elle nous avait parlé de ce rêve qu'elle avait fait il y a trois semaines. Attachée, livrée, un seau fixé entre ses cuisses. Estelle vit son fantasme en poussant de petits cris de ravissement. Clémentine me tient la bite. Mon pantalon de cuir noir est inconfortable. Nous restons à gauche d'Estelle. Filmés en automatique. Lâchant de petits jets sporadiques dans le seau attaché entre ses cuisses, à une vingtaine de centimètres de son sexe. Les jets sont puissants. Nombreux. Elle s'amuse. Mais c'est un plaisir jouissif auquel Estelle s'offre là. Clémentine chuchote : << Je veux vivre la même chose ! >>. La scène dure une bonne dizaine de minutes. Parfois, entre deux jets, j'enfonce un ou deux doigts dans Estelle qui n'arrête plus de gémir, de se tortiller. Son plaisir devient incontrôlable. Sublime.

Un jet plus puissant à chaque fois que je retire mes doigts. Ma main est trempé. Clémentine, accroupie, joue avec mon érection en même temps qu'elle observe les jets que lâche Estelle. Je ne l'ai jamais vu pisser de cette manière aussi longtemps. C'est pour avoir de la réserve qu'elle n'est plus allée aux toilettes depuis ce matin. Délicieuse salope qui préparait son coup. Un coup que je vais lui mettre. Les dernières gouttes s'écoulent dans le seau. Il est plein à moitié. Chaud quand je le détache. Clémentine ne cesse de me tenir le sexe ou de me sucer. L'assistante parfaite. Je détache Estelle pour l'entraîner par sa natte, d'une poigne ferme. Je la promène à poil dans le salon. Clémentine a repris la caméra pour filmer la scène sous différents angles. C'est sur le bureau que je baise Estelle. Et bien. Sans ménagement. Avec la délicatesse d'un lutteur ukrainien. En poussant les rugissements d'un ours des cavernes poursuivant une frêle gazelle.

Il ne reste que quelques minutes de batterie dans la caméra. Clémentine lève quatre doigts de sa main libre pour indiquer combien. Je me retire d'Estelle que j'ai terminé à la hussarde. Je la tiens par la natte pour la tirer, la forcer à se mettre à genoux. Je frotte ma bite sur son visage avant de le maculer d'une copieuse giclée de sperme. Clémentine filme en gros plan. Estelle tente de se dégager de mon étreinte en poussant un râle de dégout. Je lui pisse à la gueule en disant bien fort : << Bon anniversaire mademoiselle ! >>. Elle pousse un cri de dégout en tentant de s'arracher à moi poigne ferme. Rien à faire, je me vide sur sa gueule avant de fourrer une nouvelle fois ma bite dans sa bouche. Le petit déclic sonore, indique que la caméra va arrêter de fonctionner. Juste avant que je ne lâche Estelle qui, hébétée, hallucinée, fixe une dernière fois l'objectif avant l'arrêt total de l'appareil. Je répète avec Clémentine : << Bon anniversaire Estelle >>

Bonne faim d'après-midi à toutes les coquines qui prennent une douche après s'être faites pisser dessus. Avant une petite balade sous le parapluie. Avant de réchauffer les restes du repas de midi. Impatientes de voir enfin ce film, vautrées dans le canapé...

Julien (le salaud)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Tuesday 12 March 2024 07:35

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 8 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2550 -



Juste Clémentine et moi

Hier matin, lundi, notre réveil féérique a lieu un peu avant six heures. Cette suave illusion de sortir du sommeil dans une profonde et mystérieuse forêt. Cette application téléchargée il y a plus de quatre ans propose plusieurs déclinaisons "naturelles". Clémentine, en gémissant vient se serrer. J'entoure ses épaules de mon bras. C'est ainsi que nous accédons au monde réel. Quelques papouilles, quelques bisous et, péniblement, nous nous précipitons aux toilettes. Les lundis matins sont les plus difficiles. Les radiateurs viennent d'entrer en fonction. Les 17° qui règnent partout dans la maison obligent à tout faire dans une sorte de précipitation. À la salle de bain, rapidement, nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Morts de faim, nous dévalons les escaliers.

J'allume la cuisinière à bois. Clémentine prépare le café en trébuchant sur les mots. Nous sommes pliés de rire quand elle tente de faire toute une phrase cohérente. Je l'aide à presser les oranges, à peler les kiwis. Les douces odeurs envahissent la cuisine. Le reste de la brioche au pudding dans le four à micro ondes. Je beurre les tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la réalisation de notre film "l'anniversaire". Film qui devait initialement s'intituler "le seau". Pour bien en saisir la substantifique moelle, j'invite le lecteur à relire le récit de hier. J'y relate la teneur et l'enthousiasme dont Estelle a fait preuve en tant qu'actrice. Nous en rions de bon cœur. << Tu me fais pareil à mon anniversaire ? C'est très bientôt ! >> lance Clémentine.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant cette possibilité. Il est six heures vingt cinq. Notre entraînement nous attend à l'étage. L'épreuve est double. Le sport et la fraîcheur de la salle pas chauffée. Les mouvements aérobics sont de parfaits échauffements. Suivis du jogging sur les tapis roulants. Les exercices au sol, préludes à la manipulation des charges additionnelles. Chaque matin il faut déplorer les étirements trop hâtif d'un stretching bâclé par manque de temps. La douche. Je redescends le premier pour aller préparer la voiture. il est presque 7 h45. Le ciel est très nuageux. Sans menaces. La température extérieure de 7°. Clémentine vient me rejoindre dans son anorak, capuche et bottes à fourrures. << Tu vas me manquer jusqu'à ce soir. J'ai envie de rester avec toi ! >> dit elle.

Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Je m'empresse de retourner au chaud. À présent les 22° de l'intérieur sont bien plus agréables. La vaisselle, le lit, avant d'aller dans l'atelier. J'allume la flambée de la cheminée. Installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque aujourd'hui la peinture de la sixième toile hyper réaliste "Le musée". D'après plusieurs photos que nous avons prise dans la National Galery à Édimbourg l'an dernier. Le parfait prétexte pour peindre les visiteurs et les toiles fixées à leurs cimaises. Un nouveau défi que je m'apprête à relever avec panache. Armé de mes plus fins pinceaux, ma loupe frontale et mes stratégies habituelles. Je peins dans un enthousiasme qui frise l'hystérie.

La matinée passe évidement sans me laisser la moindre perception du temps qui passe. Ce sont les gargouillis de mon estomac qui m'avertissent. Il va être midi. Je mets deux bûches sur les braises rougeoyantes. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer le reste des patates. Avec un filet de lieu noir à la poêle. L'assaisonnement d'une salade de carottes. Sur la demande de Clémentine, durant l'entraînement ce matin, je coupe et lave les brocolis. J'étale la pâte feuilletée dans le grand plat rond à bords hauts. Je fais un liant à base d'œuf, de fromage blanc, de crème fraîche et de lait de soja. J'étale le brocolis finement émincé sur la pâte. Je verse le liant. Je recouvre de ce délicieux gruyère Suisse que je râpe. Je saupoudre de chapelure, graines de sésame. Cerneaux de noix.

Au four électrique pour une lente cuisson n'excédant pas 160°. Je mange de bon appétit mes pommes de terre poêlées. C'est tellement meilleur quand c'est réchauffé. J'écoute Sud Radio. Dans son émission quotidienne, André Bercoff reçoit Gilbert Collard, le célèbre avocat. Ils abordent ensemble les nouvelles lois scélérates votées par l'Assemblée Nationale et validées par le Sénat. Pour tout esprit des lumières, pour tout épris de liberté il y a de quoi être écœuré. Une de ces lois permet de faire condamner à 3500 euros et à de la prison tout individu qui, même dans le cadre privé ou familiale, tient des propos exprimant ses opinions. Un encouragement à la délation, à la dénonciation. Si un cousin désire se venger d'un membre de sa famille il suffit qu'il attendent la fin du repas, qu'il enregistre discrètement sur son smartphone les propos "licencieux". La France en est arrivée à ces extrémités dignes des grandes années du régime Nazi. Vichy.

Je fais la vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller me dégourdir un peu les jambes, je dévale les escaliers pour enfiler mon anorak. La température extérieure n'est que de 12°. Un léger vent de Nord Est maintient cette fraîcheur désagréable. Je descends jusqu'à la rivière. Chaque jour davantage d'arbres se couvrent de fleurs. Les buissons présentent les premier bougeons. Certains aux apparences du miel. Pas de doute, le printemps pointe le bout de son nez. Il est treize heures quarante quand je suis installé devant mon chevalet. Je peins animé du même enthousiasme que ce matin. Sans voir passer les heures. C'est le bruit que j'entends qui m'informe. Il est donc déjà dix sept heures trente ? Clémentine qui rentre de cours, pénètre dans l'atelier pour se précipiter vers moi.

À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Je dois t'embrasser très fort de la part d'Estelle ! >> conclue t-elle avant de se lever. Clémentine a encore ses notes à mettre au propre. << Pour m'y retrouver ! >> précise t-elle en s'asseyant devant son ordinateur, s'entourant de ses fiches. Cette heure de travail en commun est la récompense de ma journée. << Là, put-Hein, j'arrête ! >> s'écrie t-elle en se levant pour commencer à ranger ses affaires. Je nettoie la palettes, les pinceaux. C'est devant le petit lavabo de l'atelier, où je me lave les mains, que Clémentine me rejoint. Elle me tient la bite pour en diriger les jets, revenant sur certains souvenirs de la réalisation de notre film porno. "L'anniversaire". Riant.

Après s'être désaltérée des derniers reliquats pisseux, Clémentine m'entraîne vers le vieux canapé de l'atelier. Elle m'y pousse. Couchée sur le dos, sa tête sur mes cuisses, sa joue contre ma queue, elle ferme les yeux pour savourer ce retour au calme. Ces instants de sérénité qui font un bien fou. Je caresse ses cheveux, je passe le bout de mes doigts sur ses sourcils. Pour ne pas s'endormir, Clémentine revient sur la fête qu'elles préparent avec Estelle. Vendredi prochain. Dans notre maison d'amis. Elles fêteront leurs anniversaires en compagnie des deux jeunes étudiants qui les draguent depuis quelques mois. Léo et Maël qu'elles veulent "se taper". Deux jeunes puceaux qui ne se doutent pas un seul instant à ce qui va leurs arriver. Ils s'imaginent deux pucelles. Les pauvres.

Nous en rions de bon cœur. En évoquant cette bonne blague, Clémentine déboutonne son 501 pour fourrer sa main dans sa culotte. Elle frotte sa joue contre mon érection. << Je veux me gouter la queue de ces deux petits gars ! >> dit elle. J'écoute avec une excitation galopante. Léo et Maël sont en seconde année de préparation à la Licence. Âgés d'à peine vingt ans, ils vont tomber dans un piège qu'ils s'imaginent tendre aux deux filles. Ils viendront vendredi après-midi pour 14 h30. Repartiront au plus tard pour 16 h. << J'espère qu'ils emmèneront le jus de pommes ! >> lance Clémentine toute contente à l'idée de la bonne blague qu'elle met au point avec Estelle. Une "partie carrée". Une partouze pour déniaiser les deux garçons. << Ils vont s'en souvenir ! >> précise Clémentine.

C'est en riant que nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand elle découvre la tarte aux brocolis qu'elle a tant souhaité, Clémentine me saute au cou. Tarte que je place dans la fournaise du four à bois. J'aide Clémentine à faire l'assaisonnement du concombre et de l'avocat. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la fête. Je vais consacrer mon vendredi matin à faire le ménage dans la salle du bas de la maison d'amis. Allumer une bonne flambée dans la cheminée. Faire fonctionner les radiateurs. Préparer le nécessaire. Je serai planqué dans le dernier placard, à l'étroit, pour observer ce qui se déroulera. Nous nous réjouissons. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Impatients de nous aimer, considérablement excités, nous passons au salon. Clémentine me pousse dans le canapé. J'y tombe.

En me masturbant, je la regarde retirer ses bottes, son 501 et sa culotte. Debout devant moi, cambrée sur ses genoux fléchis, en se touchant, elle me dit : << Et dès les premiers jours je vais aller montrer ma chatte partout avec toi ! >>. Nous en rions aux éclats. Moi aussi j'attends les premiers beaux jours. Et pas seulement pour assister aux exhibitions de la fille que j'aime. Elle contourne la table basse pour venir se mettre à genoux sur moi. À califourchon sur mes cuisses. La position n'est pas des plus confortables mais dans nos états d'excitations, ça rentre tout seul. Ses bras autour de mon cou, bougeant doucement, Clémentine me chuchote des tonnes de : << Je t'aime. Merci de me comprendre si bien. Merci de m'accepter avec toutes mes déviances ! >>. Nous en rions.

Clémentine se redresse. Elle vient s'assoir à ma gauche. Je me lève pour me mettre à genoux entre ses jambes. Mon visage entre ses cuisses, je me régale des jus de sa journée de fille. De ses odeurs enivrantes. Je suce son clitoris géant. Je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de sa vulve. Je recrache des dizaine de poils. Je suis en proie aux mêmes vertiges qu'en haut d'une falaise. << Viens ! >> murmure Clémentine en m'attirant sur elle. Couchée sur le dos, une cuisse sur le dossier du canapé, elle me prie de la pénétrer. Elle enserre ses jambes autour de ma taille. Ses bras autour de mon cou. Nous adorons rester immobiles. Ce sont les instants magiques où Clémentine me confie ses secrets de filles. Ce sont des confessions extraordinaires. J'en bande encore plus fort.

Nous alternons alors les berceuses avec les moments d'immobilités. Nous fouillons nos bouches de nos langues exploratrices. Le bas de nos visages trempés de salive. Ça glisse. Les contractions répétées de mes muscles fessiers font bouger mon sexe dans celui de Clémentine. << J'adore quand tu fais ça ! >> lance t-elle entre deux gémissements. S'accrochant encore plus fort de ses jambes et de ses bras. Je suis à quatre pattes, Clémentine suspendue à moi. Nous savons retarder l'orgasme ultime. Même si Clémentine en subit plusieurs, elle se garde pour l'apothéose finale. << Attention ! >> chuchote t-elle. Je me retire. Tout va alors très vite. Clémentine se termine aux doigts, en pissant dans la cuvette. Poussant de véritables hurlements déments. À genoux, je me régale des dernières goutes de "mélange".

Bonne nouille à toutes les coquines qui raffolent d'en savourer le jus de cuisson sous les draps. Avant de s'endormir contre leur bienfaiteur...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Clémentine et Julien
Wednesday 13 March 2024 07:38

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 9 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2551 -



Juste Estelle, Clémentine et moi

Hier matin, à presque six heures, mardi, nous sommes arrachés du sommeil par les enchantements sylvestres habituels. Le gazouillis d'oiseaux aussi mystérieux que la profonde forêt qui résonne de leurs appels mélodieux. L'écoulement d'une source invisible entre des roches. Clémentine, en gémissant, se tourne pour venir se blottir dans mes bras. Bras que j'ouvre instinctivement pour la recevoir. Elle vient y chercher la force et la volonté nécessaires. Quelques bisous, quelques papouilles. Comme des robots nous nous précipitons aux toilettes. Dur ce matin encore d'émerger. Les radiateurs se mettent en fonction. C'est dans la désagréable fraîcheur de la salle de bain que nous revêtons nos tenues sports. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Fraîche aussi.

J'allume immédiatement la cuisinière à bois. Clémentine prépare le café, pèle les kiwis, presse les oranges. Je mets les deux gros croissants aux amandes dans le four à micro ondes. Je beurre les quatre tranches éjectées par le grille pain. J'en recouvre deux de miel, deux de confitures d'églantine. Nous prenons notre petit déjeuner en riant car Clémentine, qui tente de faire des phrases cohérentes, trébuche sur les mots. << Ma dyslexie du matin ! >> dit elle. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre soirée en amoureux. << J'aime faire l'amour avec toi. C'est si bon d'être aimée comme tu m'aimes ! >> rajoute t-elle. Il va êtes six heures vingt cinq. Nous remontons pour l'entraînement. Pas plus de 17° dans la salle. Il faut donc s'échauffer avec des mouvements aérobics énergiques.

Le jogging sur les tapis roulants l'est tout autant. Les exercices au sol avant les charges additionnelles. Les étirements d'un stretching rapide pour revenir au calme. La douche dans une salle de bain à présent bien chauffée. 22°. Je redescends en vitesse pour aller sortir l'auto. Le ciel est gris, bas et menaçant. Le sol est trempé des pluies de la nuit. Une température extérieure de 7°. Il va être 7 h45. Clémentine vient me rejoindre chaudement habillée. Son élégant manteau noir, un béret noir, un pantalons noir, des bottines noires. Seule son écharpe crème apporte une touche de couleurs. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou et je m'empresse de retourner au chaud. La vaisselle, le lit avant d'aller allumer une belle flambée de cheminée dans l'atelier qui m'attend.

Installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ma sixième œuvre hyper réaliste m'accapare rapidement de ses subtilités. Je peins dans une sérénité absolue. En poussant quelques cris d'animaux n'existant pas pour manifester la profonde satisfaction des instants sublimes qui s'enchaînent. Je ne vois pas passer les heures. Mon estomac qui gargouille est la plus précise des horloges biologiques. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe le reste de tarte aux brocolis. L'assaisonnement d'une salade de tomates. Je descends à la cave. Dans le cellier je récupère de grosses pommes de terre. Des champignons de Paris et deux grosses endives. Ce sera pour la purée Parmentier "façon Julien" du repas de ce soir.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff reçoit deux invités. Des journalistes d'investigations ayant l'habitude d'aller sur le terrain des évènements. Rien à voir avec ces animateurs d'informations qui viennent pontifier sur les plateaux de télévisions en costumes cravates. Qui interrompent leurs interviewés avant que ces derniers n'aient le temps de répondre à leurs questions. Bien évidemment dès que le sujet échappe à leurs compétences. Ces deux enquêteurs sont allés en Russie. Ils commentent les actualités de ce pays vu de l'intérieur. Ce qu'ils révèlent n'a strictement rien à voir avec la propagande gouvernementale. La France, si appréciée jadis pour sa culture, sa mode, est à présent détestée, conspuée à cause d'un seul homme.

J'épluche et je lave les pommes de terre. Je les coupe en fines tranches que j'ébouillante quelques minutes dans l'autocuiseur. Pendant que j'émince deux belles escalopes de dinde. Je les fais rissoler avec ail, échalote, champignons. Je concocte un liant à base d'œufs, de Roquefort, de crème fraîche et de lait de soja. J'égoutte les patates pour les étaler par couches dans le grand plat carré en terre cuite. Je recouvre chacune d'elles de ce liant onctueux et de gruyère Suisse. Une seconde couche de pommes de terre et ainsi de suite, pour quatre épaisseurs jusqu'au bord du plat. Je recouvre de fines lamelles de Morbier entrecroisées avec du Saint Nectaire. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillé. Trois carrés de cerneaux de noix. Au four électrique pour que ça mijote à 160°.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Impatient d'aller faire quelques pas au dehors, je cavale dans les escaliers. J'enfile l'anorak. Je chausse les bottes en caoutchouc. C'est sous un ciel sinistre que je descends jusqu'à la rivière. Je bavarde un peu avec monsieur Bertrand, notre plus proche voisin. Il vient apporter de la nourriture aux canards, aux poules d'eau et aux colverts de plus en plus nombreux. Il est treize heures cinquante quand je suis installé devant le chevalet. La séance de l'après-midi est identique à celle de la matinée. Totalement baigné d'une sérénité voluptueuse je peins en poussant mes cris enthousiastes. Sans la moindre perception du temps qui s'écoule inexorablement pour m'emmener aux environs de dix sept heures trente. Du bruit. Clémentine qui rentre de cours.

Elle pose son cartable sur la chaise. Elle se précipite. J'anticipe. Je pose la palette, les pinceaux. J'aime la voir élégante. Son pantalon noir à plis, à pinces, ses bottines noires, son pull à large col roulé. Noir également. À califourchon sur mes genoux, se frottant lascivement, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. La raison de son élégance. Avec son groupe d'étudiants et son maître de thèse, Alban, ils ont visités le Musée des sciences. La section minéralogie. << Alban est mon professeur préféré. Regarde, j'ai pris des photos à son insu ! >> me dit elle en me montrant l'écran de son I-phone. J'ai déjà vu des photos de ce bel homme, grand, athlétique. Trente cinq ans. Une mèche blonde rebelle. Des yeux d'un bleu d'acier. "Hollywoodien".

<< Lui aussi, je ferais volontiers des trucs avec lui ! >> confie Clémentine. Quand nous faisons l'amour elle m'en parle parfois en termes élogieux. Elle conclue souvent : << Je ne suis pas seule sur le "coup". Il plaît à toutes les filles de mon groupe, hélas. Et même à Estelle ! >>. Nous en rions de bon cœur. Clémentine a les notes prises durant la visite à mettre au propre. Assise devant son ordinateur elle continue de me donner ses impressions. Cette petite heure d'émulation commune solde nos journées dans une ambiance de joie et de rires. << Put-Hein, mais comme j'en ai marre ! >> lance t-elle soudain en se levant. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine vient me rejoindre devant le petit lavabo de l'atelier où je me lave les mains. Elle arrive en sautillant toute contente. Coquine.

Elle me tient la bite pour en diriger les jets. En secouant les dernières gouttes, elle dit : << Il faut que je fasse ça à Alban avant la fin de l'année universitaire ! >>. Nous en rions de bon cœur. Évidemment, comme à chacune de ses requêtes, même fantasmées, je l'encourage à passer aux actes. Elle s'accroupit pour gober la peau fripée et mouillée de mon prépuce. Elle la tient entre ses lèvres pour la tirer comme un chewing-gum. Après en avoir récupéré les reliquats elle se redresse, prend une expression dépitée pour conclure : << Mais pour ce genre de situation il faudrait l'accompagner aux toilettes ! >>. Je suis plié de rire. C'est par la queue qu'elle m'entraîne pour me faire tomber dans le vieux canapé. Couchée sur le dos, sa tête sur mes cuisses, elle revient sur sa visite de l'après-midi.

Une main dans sa culotte, son pantalon ouvert, sa joue contre mon érection, elle m'entretient d'amusantes anecdotes. C'est ainsi que nous surprend Estelle qui arrive toujours dans le plus grand silence. Cette fois, la porte de l'atelier s'entrebâille à peine. Juste sa tête penchée en avant qui apparaît dans l'obscurité. Comme un fantôme. Elle arrive en courant pour nous rejoindre. Elles se sont vues toute la journée. Clémentine se redresse, sans lâcher mon sexe, pour s'assoir à ma gauche. Estelle s'installe à ma droite. << Je suis entrain de raconter à Julien l'effet que produit Alban sur nos psychés ! >> explique Clémentine. << Moi, je me le ferais bien aussi ! >> s'exclame Estelle. Je les écoute disserter sur les qualités pédagogiques et professionnelles de ce professeur décidément spécial.

Clémentine ne cède pas mon Zob à Estelle qui pourtant cherche à l'attraper. << Non ! >> s'écrie à chaque fois Clémentine. << Mais toi tu l'as tout le temps, pas moi ! >> lance Estelle qui reste serrée contre moi, ses bras autour de ma taille. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Estelle qui est déjà rentrée chez elle, s'est changée. Jeans, chemise à carreaux. Elle devra nous laisser pour 22 h. Quand mes deux anges découvrent ce que j'ai concocté, elles me sautent au cou. Je suis submergé de bisous. De caresses. Clémentine fait l'assaisonnement des endives. Estelle surveille le gratin dans la fournaise du four à bois. Je mets les assiettes, les couverts. Rien ne m'excite davantage qu'une fille, accroupie, me tournant le dos. Estelle le sait et exagère la pose. Magnifique.

Je me branle. Clémentine me regarde avec un sourire complice, me fait des clins d'œil. Estelle utilise le reflet de la vitre fumé du four comme un rétroviseur. Elle peut apprécier ma branlette. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le projet de vendredi après-midi. La "partie carrée" avec Léo et Maël, les deux jeunes étudiants. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. Je me lève pour agiter mon Zob tout mou. Nous ne traînons pas. Nous débarrassons pour tout mettre dans le lave vaisselle. La conversation nous a considérablement excités. C'est en me prenant par les bras que mes deux anges m'entraînent au salon. Clémentine allume les deux grosses bougies du candélabre. Estelle fouille ma braguette pour en extraire le locataire. Je bande mollasse.

Toutes les deux retirent leurs bottines, leurs pantalons, leurs culottes. Elles restent distantes, cambrées sur leurs genoux fléchis, les fesses en appui contre le bord du bureau. Elles se masturbent. Ces expressions d'attention, de sérieux, achèvent de m'exciter. J'anticipe. Je sais ce qui va arriver. Aussi, saisissant deux des épais coussins du canapé, je contourne le bureau pour les déposer sur le meuble. Je tiens ma queue en revenant me placer à quelques mètres devant mes deux branleuses. Nous nous masturbons tous les trois en nous observant. En silence. Un long moment. Nous adorons ce genre de préliminaires. Clémentine, authentique exhibitionniste y prend un plaisir fou. Estelle, authentique voyeuse prend un plaisir similaire à me regarder faire. Chacun y trouve sa satisfaction.

<< Je pourrais me terminer comme ça ce soir ! >> lance Estelle. << Moi aussi ! >> rajoute Clémentine. Je dis : << Idem ! >>. Pourtant Estelle est la première à sauter sur le bureau pour s'y assoir, relever ses pieds en chaussettes qu'elle pose sur le bord. Jambes écartées, un doigt ou deux enfoncés. Je n'arrive pas à voir avec le peu de lumière. Clémentine me fait signe de m'approcher en agitant son index. << Ce soir je regarde ! >> murmure t-elle. << Ce soir tu te branles surtout ! >> répond Estelle. Je m'approche. Je frotte mon sexe contre celui d'Estelle. En appui sur ses coudes, avant de poser sa tête sur le coussin, elle me fixe de son habituel regard inquisiteur. Clémentine reste à ma droite, en se masturbant, déjà en sueur, son visage tout près du mien pour scruter mes expressions.

Estelle impose rapidement un rythme soutenu, régulier. Je suis en elle, enfoncé jusqu'à la garde. J'aime voir son corps secoué de spasmes lorsqu'elle ne se tortille pas pour se faire pénétrer et limer sous le meilleur angle. Clémentine me chuchote des mots souvent incompréhensibles. Son haleine m'excite au plus haut point. Elle se frotte contre mes fesses, ses bras autour de ma taille, quelques instants, avant de revenir se positionner à ma droite. Reprendre sa masturbation, scruter mon visage comme si j'étais une "curiosité". En hurlant de jouissance, Estelle me repousse délicatement. Son orgasme l'emmène dans des limbes inaccessibles. De petits cris d'animal blessé entre deux râles profonds. Couchée sur le côté, les mains entre ses cuisses comme en proie à d'intenses douleurs. Elle tente de revenir au monde des réalités. Son attitude m'inquiète quelquefois. Aurait-elle définitivement perdu la raison cette fois ? Un plaisir fou.

Bonne nouille à toutes les coquines, une fois seules sous les draps, à en savourer les jus de cuisson. Après s'être fait sucer le clito, lécher le minou. Avant de s'endormir avec le gout du sperme dans la bouche...

Julien (producteur de jus de nouille)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Thursday 14 March 2024 07:38

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 10 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2552 -



Juliette passe la soirée avec nous

Hier matin, mercredi, à presque sept heures, comme convenu, le premier réveillé, réveille l'autre. C'est moi. Clémentine, ses pieds contre les miens, couchée sur le dos, bouche entrouverte, dort encore à poings fermés. Je la regarde secrètement. Comme elle est belle. Je peux la surprendre dans n'importe quelle situation de la vie courante, je reste subjugué. J'approche mon visage du sien. Ma bouche près de son oreille pour murmurer : << Je vous aime mademoiselle. Il n'est que sept heures et je suis déjà fou de vous ! >>. Dans un gémissement de ravissement, sans même ouvrir ses yeux elle vient se blottir dans mes bras. Des bisous, des papouilles qui deviennent câlins. Mon érection dans la main de Clémentine, la mienne dans sa culotte. L'envie de pisser devient une torture. Hélas.

Cela met fin à nos effusions de tendresses. Nous courons vers la porte. Il fait déjà bien chaud dans la maison. Dans la salle de bain où nous revêtons nos habits de gymnastique. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Pendant que Clémentine me raconte ses rêves en faisant le café, j'allume la cuisinière à bois. Je l'aide à peler les kiwis, à presser les oranges. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre mardi soir avec Estelle. Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre soirée en compagnie de Juliette. Dès que nous évoquons notre amie, Clémentine prend son accent Corse pour l'imiter. Je suis plié de rire. Le mercredi c'est depuis la maison que Clémentine suit ses cours. Il y a un horaire mais qu'elle juge flexible selon son envie. Nous ne traînons toutefois pas trop.

La vaisselle. Il va être sept heures trente. Pas de jogging encore ce matin car il pleut. Ce sera l'entraînement en salle. Nous remontons pour nous offrir cette heure de plaisirs. Les échauffements aérobics. Le jogging sur les tapis roulants. Quand elle reste à la maison, Clémentine s'avère une redoutable déconneuse. Aussi, j'ai tout le mal du monde à faire mes exercices au sol avec un minimum de sérieux. Et comme je rigole, elle en rajoute. Jusqu'aux manipulations des barres et des haltères. Là, pas d'autres alternatives que d'exécuter les mouvements avec attention, prudence et concentration. Mais ça recommence pour le stretching avant la douche. Vêtus de nos Levis, de nos épaisses chemises à carreaux, nous recouvrons notre lit avant de dévaler les escaliers jusque dans le hall d'entrée.

Clémentine ouvre le portail depuis l'interphone. Nous sommes livrés aux environs de dix heures. Danièle n'aura qu'à descendre les pavés autobloquants pour se garer devant la maison d'amis. Dans l'atelier, assise devant son ordinateur, Clémentine ajuste ses écouteurs, son micro. Il va être neuf heures. Le début des cours. J'allume un beau feu dans la cheminée. Installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette sixième œuvre hyper réaliste m'emplit d'une joie intense encore décuplée par la présence de la fille que j'aime. Je peins en l'écoutant parler. J'essaie de recomposer la conversation car je n'entends qu'elle. Mon I-phone, posé sur la desserte à ma droite, entre les flacons d'huiles précieuses et les tubes de pigments, se met soudain à vibrer.

Je le saisis. C'est Danièle. Ses écouteurs sur les oreilles, Clémentine me regarde me lever en faisant un mouvement de branlette. Je lève le pouce pour confirmer. Je quitte l'atelier car Danièle est légèrement en avance. Depuis le hall d'entrée je la vois traverser le jardin revêtue de sa cape de pluie rouge. Elle porte un carton. Clémentine arrive en courant : << Tu as sorti ton Zob ! >> s'écrie t-elle. Je le sors immédiatement car je n'y pensais même pas. Je débarrasse Danièle de son carton. Elle retire sa cape de pluie en soupirant. << J'ai dix minutes ! >> lance t-elle en nous suivant à la cuisine. Je déballe le poulet et les escalopes de dindes pour les mettre dans le réfrigérateur. Danièle, sans prévenir, par derrière, alors que j'ai la tête dans le frigo, m'attrape par la biroute molle.

Clémentine qui dit : << Nous apprécions beaucoup tes initiatives. Surtout Julien ! >>. Depuis quelques temps, avec Danièle, nous nous tutoyons. C'est une femme de la campagne, agricultrice, pas le genre à s'encombrer de civilités devenues inutiles à ce degré de familiarités. Je me retourne alors qu'elle s'accroupit en même temps. Sans la la moindre hésitation elle prend mon sexe en bouche pour le sucer passionnément. Clémentine s'approche pour enfoncer sa langue dans ma bouche. Mon érection, doublement sollicitée, est quasi immédiate. Une fois encore lorsque je pose ma main sur la nuque de Danièle elle la repousse. Cessant sa pipe elle dit d'un ton sec : << On ne touche pas ! >>. J'avais oublié ce "deal". Je pourrais éjaculer tellement tout cela devient ingérable et excitant.

La jeune femme se redresse toute aussi soudainement en s'écriant : << J'aime biberonner déjà le matin. Hélas, j'ai d'autres livraisons ! >>. Nous la raccompagnons jusque dans le hall. Clémentine tient ma queue. << À samedi ! >> lance Danièle en enfilant sa cape de pluie. Nous la regardons s'installer au volant de sa camionnette. Un dernier coucou. J'agite ma bite dans la désagréable fraîcheur humide. Un dernier coucou, nous retournons dans l'atelier. << Ça ira tu crois ? >> me demande Clémentine avant d'ajuster ses écouteurs sur les oreilles. Elle m'adresse un clin d'œil. Mimant une masturbation masculine, elle rajoute : << Sinon ! >>. Nous en rions de bon cœur. Il va être midi. Avant de quitter l'atelier pour la cuisine, Clémentine met deux bûches sur les flammes.

Il n'y a qu'à réchauffer les restes du gratin de patates de hier. Clémentine fait l'assaisonnement d'une belle laitue dont je lave les feuilles. Également pour ce soir. Nous dévalons l'escalier de la cave pour aller récupérer le gros choux fleurs dans le cellier. Ce sera pour le gratin de ce soir. Il suffit d'en couper les branches, de les laisser tremper dans l'eau vinaigrée. Clémentine râpe de ce savoureux gruyère Suisse. Je prépare le liant à base d'œufs, de fromage blanc et de lait de soja. Pendant que nous mangeons de bon appétit, le choux fleurs s'ébouillante dans l'autocuiseur. Je l'égoutte pour le déposer dans un plat carré en terre cuite. J'y verse la sauce. Clémentine recouvre d'une copieuse couche d'Appenzeller. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillé. Des cerneaux de noix.

Au four électrique pour laisser mijoter à 160°. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Accroupie, Clémentine me suce un peu le Zob. Elle se redresse pour dire : << J'adore te regarder quand tu te fais pomper par d'autres salopes ! >>. Elle me tient la bite devant le grand miroir ovale. Je la tiens par sa natte pour répondre : << Mademoiselle, je vous présente ma salope préférée ! >>. Clémentine se tourne pour enfoncer sa langue dans ma bouche. Notre baiser passionné est au gout de l'eucalyptus. Nous redescendons pour retourner dans l'atelier. Avec cette pluie que nous n'avons pas le cœur d'affronter nous préférons gagner un peu de temps sur nos activités. Je reste debout derrière Clémentine devant l'ordinateur.

Elle m'explique ce que je vois sur l'écran. Des graphiques. En abscisse des chiffres, des lettres grecques, en ordonnée des symboles mathématiques. Je n'y comprends évidemment rien. Ce qui la fait rire. Nous reprenons nos labeurs respectifs. L'après-midi se déroule dans cette promiscuité gratifiante et amoureuse. Car je me lève de temps en temps pour rejoindre Clémentine quand s'installe le silence. Je sais alors qu'elle n'est pas connectée en webcam pour quelques minutes. Des bisous sous les oreilles, dans sa nuque, qui la font frissonner. Il est dix sept heures quand elle se lève en s'écriant : << La guerre est finie, les fusils à la Mairie ! >>. Je nettoie la palette, les pinceaux. Nous nous rejoignons dans le vieux canapé de velours carmin, vautrés parmi les épais coussins de velours eux aussi.

Clémentine, couchée sur le dos, sa tête sur mes cuisses, une main dans son 501 déboutonné, sa joue contre ma bite me raconte quelques épisodes épiques de ses cours en télé travail. << Je suis souvent connectée avec Estelle. Je dois t'embrasser très fort de sa part ! >> dit elle. Nous restons ainsi à deviser une bonne heure. Je bande mou contre la joue de Clémentine qui, parfois, tourne la tête pour prendre mon Zob dans la bouche. La position n'est pas confortable et, dépassées quelques secondes, son cou, sa nuque deviennent douloureux. Elle se redresse, s'assoit à ma gauche. Jouant avec ma bite qu'elle tord dans tous les sens, Clémentine revient sur la fête d'anniversaire que nous organisons vendredi après-midi. La "partie carrée", la partouze. Le placard où je serai caché.

Du bruit. Juliette entre dans l'atelier. Comme elle le fait à chaque fois, avant de nous rejoindre elle contourne le chevalet pour regarder mon travail. Ce soir elle est en Jeans, bottines brunes, pull brun à large col roulé. Ses longs cheveux attachés en une natte qui flotte jusqu'au-dessus de ses reins. Nous restons vautrés dans le canapé en l'observant, en écoutant ses commentaires. Je bande comme le dernier des salauds dans la poigne ferme de Clémentine. Juliette vient nous faire la bise. Elle s'installe en tailleur sur un des deux gros poufs. Elle aime bien nous raconter ses journées de chef d'entreprise. Les actualités concernant ses employés, Robert le vétérinaire qu'elle a encore sucé hier matin. Clément son agent d'entretien qu'elle va probablement sucer demain après-midi. << J'ai baisé avec lui, lundi ! Génial ! >> précise t-elle alors que Clémentine me masturbe doucement. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour aller en cuisine.

Juliette met les assiettes les couverts en évoquant la petite "sauterie" qu'elle envisage pour vendredi soir. L'anniversaire de madame Walter, sa collaboratrice depuis plus de dix ans maintenant. Le gratin de choux fleurs réchauffe dans la fournaise du four à bois. J'aide Clémentine à faire l'assaisonnement de la laitue. Juliette devra nous laisser pour 22 h. Nous mangeons de bon appétit en bavardant, en riant. La conversation s'oriente assez vite sur nos préoccupations habituelles. Le sexe. << On se fait une "soirée branle" vendredi de la semaine prochaine. Je vous invite à manger. Ça vous tente ? >> propose Juliette dans le flot de la conversation. Clémentine pose sa main sur la mienne en répondant : << Super. Et comment. Ça fait trop longtemps ! >>. Nous en rions de bon cœur.

Ces discussions nous excitent toujours considérablement. Quand mon érection est à son summum, je me lève pour l'agiter devant Juliette. Je me tourne pour l'agiter devant Clémentine. J'adore l'expression de sévérité sur le visage de Juliette. Elle joue merveilleusement la femme importunée, courroucée. << Vicelard ! >> lance t-elle à chaque fois. C'est au salon que nous prenons le dessert. De savoureuses coupes glacées que je prépare avec une gaufre triangulaire, croustillante au gout caramélisé. Vautrée dans le fauteuil qui nous fait face, une main dans son jeans tout comme Clémentine, Juliette revient sur la soirée gloryhole qu'elle organise à l'attention de Clémentine le mois prochain. << Ça aussi, ça fait un moment. Je me réjouis déjà ! >> s'exclame alors Clémentine.

Clémentine qui joue avec ma queue. Qui, tout en posant des questions sur les bites inconnues qui passeront par le trou, me tord la bite dans tous les sens. Comme le fait Estelle. Vers le bas, en érection, c'est à la limite de la douleur. Elle le sait et s'en amuse également. Juliette répond aux questions de Clémentine. Comme toujours, quand elle organise des "plans" à plusieurs, elle exige un certificat médical de moins de 48 heures aux participants. Une vieille habitude de l'époque où elle faisait l'actrice pour des films pornographiques. Il y a vingt ans. En compagnie de son ancien mari qui participait à la production. Juliette nous promet une fois encore de nous faire visionner ses "prestations". Chose qu'elle refuse pourtant de révéler depuis sept ans qu'elle en parle. C'est un jeu aussi.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment bavarder en jouant avec une bite alternant le mou et le dur. Qui apprécie de l'agiter devant l'invitée qui observe tout en discutant. Qui adorent la sucer une fois sous les draps pour en savourer les jus après s'être fait pénétrer et lécher un peu avant de dormir...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Friday 15 March 2024 07:41

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 11 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2553 -



Estelle exige son "contrôle qualité"

Il va être six heures. Les illusions bluffantes offertes par nos I-phones qui s'allument en même temps. Hier matin, jeudi, comme quatre jours par semaine, le gazouillis des oiseaux nous tirent de nos profonds sommeils. Un doux instant que celui d'avoir l'impression de se réveiller dans une mystérieuse forêt. Clémentine vient se blottir tout contre moi en gémissant. Quelques bisous, quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Les radiateurs entrent en fonction. C'est dans la fraîcheur de la salle bain que nous revêtons nos habits sports. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Clémentine prépare le café, pèle les kiwis, presse les oranges en me racontant ses rêves. J'allume la cuisinière à bois qui ronronne rapidement comme une vieille locomotive. En chauffant vite.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre mercredi soir en compagnie de Juliette. Ce qui pousse Clémentine à imiter son accent Corse. Je suis plié de rire en l'entendant évoquer les propositions de Juliette. La "soirée branle" du vendredi de la semaine prochaine. La soirée gloryhole programmée pour le vendredi 19 avril. Que des réjouissances qui se dessinent dans l'horizon de nos libidos débridées. Nous mangeons de bon appétit en envisageant la soirée qui nous attend avec Estelle. << J'en saurai davantage ce matin en cours. Elle a probablement baisé avec son parrain mercredi soir ! >>. Nous en rions de bon cœur. Six heures vingt cinq. Il faut remonter pour l'entraînement. Second plaisir de ce jeudi. Les échauffements aérobics. Contrôlés, rapides et extrêmement efficaces.

Le jogging sur les tapis roulants. Les exercices au sol avant les charges additionnelles, ce matin sur les machines. Le retour au calme grâce aux étirements d'un bon stretching. La douche. Je redescends à toute vitesse car chaque seconde nous est comptée. Je sors l'auto du garage. Le ciel est clair et lumineux. La température extérieure de 8°. Il va être 7 h45. Clémentine vient me rejoindre dans son blouson d'épais cuir brun, son bonnet brun, ses gants, son Levis "brut" et ses bottines brunes. Comme elle est élégante encore aujourd'hui. Je la complimente toujours. Un dernier bisou où elle entoure mon cou de ses bras. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou avant de courir pour rentrer au chaud. Je fais la vaisselle, notre lit avant d'allumer la flambée de la cheminée dans l'atelier.

Installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. En chantonnant "Le grand chêne" de Georges Brassens. La peinture de ma sixième toile hyper réaliste est encore source d'une volupté enivrante. Je peins en pensant à Juliette et à ses propositions. Les heures passent pour m'emmener aux environs de midi. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il reste de ce délicieux gratin de pommes de terre que je réchauffe. L'assaisonnement d'un concombre. J'émince deux escalopes de dindes. Des champignons de Paris. Je poêle pendant que je râpe du gruyère Suisse. Je concocte une Béchamel. Je fais bouillir les coquillettes. Je les égoutte pour les verser dans le plat. J'emplis les bouchées à la reine ainsi calées de l'onctueuse garniture.

Au four électrique pour une longue cuisson à 160°. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission quotidienne André Bercoff aborde les principaux sujets d'actualité. L'interprétation de la chanson d'Édith Piaf par Aya Nakamura à l'occasion de l'ouverture des jeux olympiques. La loi scélérate qui glorifie la délation et la dénonciation qui entre en vigueur. Les effets d'annonces du Méprisant de la République concernant la guerre en Ukraine que de plus en plus d'analystes dénoncent comme un vaste blanchiment d'argent à l'échelle occidentale. Sept milliards d'euros offerts à cette crapule de Zelinsky qui ont tout simplement disparu des comptes de l'État Français. Cette rusée crapule de Poutine qui fait preuve de beaucoup de patience malgré les calomnies européennes.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Impatient de profiter de cette splendide journée je dévale les escaliers. Une température extérieure de 22°. Malgré ce que voudraient nous faire croire les "experts" climatologues, toujours les mêmes experts que pour la guerre en Ukraine, le Covid ou encore l'enculage des mouches à merde lors de l'équinoxe d'été en Asie tropicale par des doryphores, il n'y a strictement rien d'exceptionnel pour un 14 mars. C'est un ciel quasiment bleu où règne un superbe soleil. La première journée d'un printemps qu'il faut espérer précoce. C'est en chemise à carreaux, manches relevées que je descends jusqu'à la rivière. Une seule envie me pénètre soudain. M'emparer de mon vélo et m'enchanter de cette sensation unique de liberté que procure la pratique de la bicyclette. Je suis vraiment tenté. Mais sans Clémentine, ce ne serait qu'un demi plaisir. Je me raisonne en regardant évoluer les canards, les poules d'eau.

Il est treize heures cinquante cinq quand je suis à nouveau installé devant mon chevalet. J'avoue devoir me faire violence car le climat est une invitation de chaque instant à l'évasion. Fort heureusement ma passion prend le dessus. Le plaisir de la peinture me fait oublier mes tourments. L'après-midi passe aussi vite que la matinée. Du bruit. Il est dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table. << Viens on sort, on profite de la douceur ! >> s'écrie t-elle en m'entraînant par la main. Blouse et braguette ouvertes je me laisse emmener dans un véritable enchantement. Il fait encore relativement doux avec 20°. Un soleil qui descend sur l'horizon. Le gazouillis permanent des oiseaux. Il y a même un gros bourdon qui nous accompagne jusqu'à la rivière.

Clémentine me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Nous sommes assis sur les rochers au bord du bassin vide. Jouant avec ma bite, Clémentine me confie son impatience. C'est demain après-midi, à 14 h30, qu'a lieu la fête. Estelle et Clémentine marquent l'anniversaire de leurs 27 ans avec une "partie carrée" qu'elles espèrent inoubliable. Léo et Maël, les deux jeunes étudiants de 20 ans qu'elles vont "déniaiser". C'est la toute première fois qu'elles vont dépuceler des garçons. J'écoute amusé ce qu'elles projettent de faire toutes les deux. Estelle qui va nous rejoindre d'ici peu de temps. Quand le soleil disparaît derrière les branches couvertes de fleurs blanches et mauves, la chaleur s'en va avec lui. La fraîcheur est soudaine. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud.

Ce soir Clémentine n'a nulle envie de prolonger sa journée de cours. Quand nous retournons dans l'atelier c'est pour ranger nos affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux pendant que Clémentine trie ses notes et classe des feuilles dans un porte documents. Estelle arrive. Silencieuse comme un guerrier Sioux. Nous ne l'entendons jamais venir. Je suis devant le petit lavabo de l'atelier à m'essuyer les mains quand elles me rejoignent toutes les deux. Je ne sais pas laquelle s'empare de ma bite posée sur le rebord de faïence pour en guider les multiples jets. Des bras autour de ma taille, de mes épaules. Estelle à ma gauche. Clémentine à ma droite. C'est Estelle qui dirige les opérations. Elle secoue les dernières gouttes, penchée en avant pour les voir s'écouler avec l'eau chaude.

Elle présente le "tuyau d'arrosage" à Clémentine qui s'accroupit devant moi. Elle suce un peu alors qu'Estelle tient le Zob comme un objet précieux. Clémentine se redresse. Estelle déboutonne sa chemise. << Regarde. Je le porte en secret tous les jours ! >> me fait elle en me montrant le petit pendentif "vieil argent" offert pour son anniversaire. Une bite et des couilles d'un réalisme inouï malgré la taille qui n'excède pas 3,5 centimètres. << Je le préfère en pendentif qu'en porte clefs. J'espère juste ne pas me faire surprendre avec, sans contrôler la situation ! >> rajoute t-elle. Clémentine, ma bite dans la main, précise : << Tu pourras bien t'amuser des situations que cela ne manquera pas de créer ! >>. Nous en rions de bon cœur. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier.

Quand elles découvrent les bouchées à la reine que je sors du four électrique pour placer le plat dans la fournaise du four à bois, je suis noyé de bisous. Les bouchées à la reine sont devenues le plat rituel des jeudis soirs. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de carottes. Carottes que je brosse sous l'eau. Elles sont de culture biologique, proviennent du potager de Danièle et il serait dommage de se priver des nutriments essentiels que contient leurs peaux. Estelle met les assiettes, les couverts. Nous mangeons de bon appétit. La conversation restant axée sur la "célébration" de l'anniversaire de mes deux anges. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. << Pauvre Julien qui sera caché dans son placard. À l'étroit pour se branler ! >> lance t-elle.

Nous en rions aux éclats. Je présente le programme de ma matinée de vendredi. Préparer la salle du bas de la maison d'amis. Passer l'aspirateur, faire la poussière, allumer les radiateurs et la cheminée. Si la journée est aussi belle qu'aujourd'hui, le plaisir sera encore décuplé. << C'est la maman de Maël qui les emmène tous les deux pour 14 h30. Elle revient les chercher pour 16 h. Moi j'arrive à 14 h15 et je repars tout de suite après. On va en ville avec maman ! >> précise Estelle. << Raconte ta baise avec Jean-Marc à Julien ! >> lance Clémentine. Elles viennent s'assoir sur mes genoux, leurs bras autour de mes épaules, de ma taille. Estelle raconte. Elle a encore baisé dans sa chambre avec son parrain. << Le baiseur fou ! >> dit elle. Je demande : << Il t'a enculé salope ? >>

<< Bien sûr. Il veut conclure par ça et je commence à apprécier. Il me jute même dans le cul. Je te dis pas, ça coule encore un quart d'heure après ! >> répond t-elle. Nous sommes pliés de rire. La vaisselle. Pressés de passer à cet autre rituel des jeudis soirs, au salon. Toutes les deux, juste en chaussettes et en chemises déboutonnées, vautrées dans le canapé, m'offrent leurs minous. À genoux sur les épais coussins, je m'enivre des effluves parfumées de leur journée de fille. Ce soir encore je commence par Estelle. Mon visage collé dans sa toison pubienne à m'enivrer des odeurs fortes de son intimité. Sa chemise ouverte me permet de caresser ses seins minuscules. Elle en gémit de plaisir. Quand je ne suce pas son clitoris elle se masturbe. Je fouille son sexe du bout de ma langue.

Je passe à Clémentine qui se masturbe. Je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de sa vulve. Je suce son clitoris géant. Il y a cette abondante coulure de cyprine crémeuse que j'attrape juste à temps. Avant qu'elle ne coule entre les fesses. Quand je reviens à Estelle je peux me régaler de ses épanchements crémeux. Les gouts ne sont pas les mêmes mais les gémissements en stéréophonie sont semblables. Elles échangent leurs impressions, évoquent ce qui les attend demain après-midi. Pendant que je savoure leurs jus de filles. J'adore sentir l'intérieur de leurs cuisses frissonner contre mes joues. À quatre pattes, les coudes en appui sur le dossier du canapé, elles m'offrent les raies de leurs culs. Le mélange de sueur et de cyprine est un autre délice dont je déguste les saveurs.

Elles bavardent le plus naturellement du monde entre deux gémissements. Entre deux râles de jouissances. Entre deux petits cris de ravissements. Estelle se retourne la première pour se vautrer dans le canapé. Elle se termine aux doigts en poussant un hurlement de plaisir. Clémentine se retourne. Elle se baisse pour saisir la cuvette en plastique bleu. Elle s'accroupit au-dessus. Elle se lâche dans un cri, en pissant, se tenant de sa main libre au canapé. Je la tiens sous les bras. Estelle qui retrouve ses esprits vient s'accroupir à ma gauche, contre le canapé, pour me sucer. Elle va être obligée de nous laisser pour 22 h. Il reste une dizaine de minutes. Dès qu'elle a pissé, Clémentine se vautre dans le canapé pour m'offrir ses mélanges. À genoux je lui nettoie la chatte. Et proprement.

Bonne nouille à toutes les coquines qui, une fois sous les draps, en savourent le jus de cuisson. Avant de s'endormir dans les bras de leur "nettoyeur"...

Julien (alias "Léon le nettoyeur")



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Saturday 16 March 2024 07:09

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 12 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2554 -



La petite fête d'Annie Versaire

Hier matin, vendredi, à presque six heures, les gazouillis des oiseaux semblent plus magiques encore. L'écoulement de la source plus étrange encore. L'illusion bucolique de nous réveiller dans une forêt mystérieuse plus accrue encore. Clémentine vient se blottir contre moi en gémissant. Quelques bisous, quelques papouilles. Quand elle termine à midi Clémentine se révèle la plus facétieuse des jeunes filles. Ce qui est encore le cas aujourd'hui. Trébuchant sur les mots dont elle tente de composer ses phrases, riant de cette dyslexie momentanée. Des propos incohérents, inintelligibles qui nous font rire aux éclats. Il faut se lever. Nous nous précipitons aux toilettes en nous tenant par la main. Les radiateurs commencent à peine à chauffer. Il faut affronter la fraîcheur qui règne partout.

Dans la salle de bain, nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Pendant que Clémentine s'occupe du café, de presser les oranges, de peler les kiwis, j'allume un bon feu dans la cuisinière à bois. La cuisine étant la pièce qui chauffe alors le plus rapidement. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée avec Estelle. Soirée léchage de minous qui laisse toujours à Clémentine une douce impression. << Je ne sais plus si je préfère la pipe ou le broutage de minou ! >> s'exclame Clémentine en imitant mon accent Écossais. Elle le fait si bien. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le projet de cet après-midi. Estelle viendra nous rejoindre en tout début d'après-midi. Avant l'arrivée de Léo et de Maël.

Six heures vingt cinq. Nous remontons pour nous offrir une bonne heure d'entraînement. La fraîcheur de notre salle est doublement motivante. Les échauffements aérobics, le jogging sur tapis roulants nous mettent rapidement en conditions. Je suis plié de rire en voyant Clémentine courir sur son tapis roulant. Tournant sur elle-même, faisant des grimaces, faisant semblant de perdre l'équilibre. Sans jamais faillir véritablement. Du grand art. Les exercices au sol. Faire des abdos en riant participe à les rendre plus ferme encore mais avec une certaine difficulté. Les barres, les haltères qui requièrent le plus grand sérieux, la concentration extrême pour ne pas risquer la blessure. Les étirements d'un stretching hâtif viennent parfaire cette séance avant une bonne douche.

Je redescends le premier pour sortir l'auto du garage, la faire chauffer. Le ciel est gris, voilé mais lumineux. Il va être 7 h45. La température extérieure est de 8°. Clémentine vient me rejoindre dans son anorak, capuche à fourrures. Un dernier bisou en me tenant par le cou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. C'est en courant que je retourne au chaud. Je fais la vaisselle, le lit. Pressé d'en découdre avec le programme de la matinée, je dévale les escaliers. J'enfile mon anorak. C'est en courant que je traverse le jardin pour entrer dans la maison d'amis. Le principe "hors gel" permet de maintenir une température constant de 8°. Durant toute la mauvaise saison. Ce sont les panneaux photovoltaïques qui chargent des batteries. Qui gèrent.

J'ouvre le placard dans lequel je serai dissimulé cet après-midi. J'en tire l'aspirateur, le plumeau et deux chiffons. Me voilà transformé en "homme de ménage". Mais avant de commencer, j'allume la belle flambée de la cheminée. Le gros chaudron de fonte noire suspendu à sa crémaillère est l'ingénieux système qui va permettre d'alimenter les radiateurs en eau chaude. Je vérifie que les six tubulures de cuivre soient emplies aux trois quart. Je dispose le bois d'un cageot détruit pour la circonstance sur du papier d'emballage froissé. Je craque une allumette. C'est parti. J'ajuste les écouteurs, je me connecte sur Sud Radio. C'est la rediffusion de l'émission de jeudi, animée par le talentueux Alexis Poulin. Je peux donc passer l'aspirateur sans avoir à en subir les inconvénients sonores.

L'émission est consacrée aux actualités inquiétantes imposées par un Méprisant de la République relevant de la psychiatrie. Monsieur "Nez Poudré" comme le surnomment affectueusement les initiées et un cercle de connaisseurs. L'analyse de la situation catastrophique où se retrouve la France débouche sur une évidence probable. L'exécutif, pour une fuite en avant dictée par la conjoncture, va très certainement organiser un évènement d'une gravité extrême. Un peu du style "11 septembre". Ce qui permettra de mettre en application la Loi Martiale ou un dispositif similaire. Les libertés seront restreintes pour des raisons de "sécurité nationale". Sans que les dirigeants n'aient à se justifier d'une quelconque manière. Ce fort probable évènement sera le plus parfait des échappatoires.

L'exécutif pourra faire annuler les élections qui seront sinon une gifle historique pour l'actuelle secte au pouvoir. Les mêmes pourront annuler le déroulement des Jeux Olympiques qui s'annoncent eux aussi cataclysmiques. Et surtout, subtilité finale, le Méprisant de la République pourra s'arroger tous les pouvoirs sans avoir à en référer à qui que ce soit. Son désir de provoquer une situation de conflit avec la Russie doit perdurer au moins jusqu'aux élections présidentielles qu'il fera reporter selon son bon vouloir. Restant ainsi le seul et unique roi du pays. Aussi longtemps qu'il le souhaitera. L'état d'urgence alors absolue décrétée lui permettra de régner en maître absolu. Alexis Poulin et son invité sont à rire des imbéciles qui reviendront avec la fameuse théorie du complot. Farce sinistre.

Il est dix heures quand la salle du bas est parfaitement nettoyée. Plus de poussière. Je monte à l'étage. Il fait bien chaud partout. Les robinets coulent. Tout est fonctionnel. Le crépitement des flammes dans la cheminée. J'y rajoute deux grosses bûches de bois de chêne. Ce bois se consume plus lentement et présente un pouvoir calorique bien supérieur au bois de hêtre. Dehors, il y a des séquences ensoleillées. L'émission d'Alexis Poulin est terminée par les informations. Des informations anxiogènes parfaitement entretenues pour d'évidentes raisons de propagande. Maintenir les gens dans la peur reste la meilleure formule sur une immense majorité de moutons dociles. Alexis Poulin termine son émission sur ces mots lourds de significations : << Ils vont imposer un vaccin anti Russes ! >>

La température extérieure est de 14°. C'est qu'il ferait presque doux. Je traverse le jardin en restant sur les dalles de grès. Il fait bien chaud dans la maison. Dans l'atelier j'allume la flambée de la cheminée. Je ne vais pas me mettre à la peinture pour l'heure et demi restante. Sur ma lancée, je fais un peu de rangement et de ménage. Je téléphone pour réserver une table dans notre restaurant préféré. Comme nous passerons le reste de l'après-midi en ville, nous prendrons notre repas du soir dans cet établissement étoilé si prisé des fins gourmets. C'est fait. Il va être midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe les deux grosses bouchées à la reine et les coquillettes. L'assaisonnement de deux belles endives. Je mets les assiettes, les couverts. L'odeur est si délicate.

Il va être midi trente. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes en me couvrant le visage de bisous. Je l'emmène ainsi aux toilettes. Le rituel pisseux, le lavage des mains. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Léo et Maël ont confirmé leurs venus pour la petite fête d'anniversaire. Nous traînons à table. Assise sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, Clémentine me fait part de cette appréhension qu'elle a toujours avant les folies qui l'attendent. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Clémentine se change. Une de ses jupes kilts, chemisier crème. Escarpins à talons hauts. Ceux avec la petite sangle de cuir qui enserre délicatement la cheville. Je mets un Levis propre. Chemise jeans.

Ainsi, immédiatement après les festivités, nous pourrons filer comme des voleurs. Lorsqu'elle vit des circonstances particulières, Clémentine fonctionne toujours de la même manière. Dès que tout est terminé, elle éprouve l'irrépressible besoin de fuir. De s'échapper. De changer d'univers. Ce sera très probablement encore le cas cet après-midi. Il va être 14 h. La voiture d'entreprise d'Estelle vient se garer devant la porte du garage. Nous allons à sa rencontre. Estelle est vêtue de la même façon sous son manteau noir. D'une élégance folle. Nous entrons dans la maison d'amis. Les filles me félicitent pour l'état du salon. Il fait presque trop chaud avec 24°. Alors que la température extérieure est de 18°. Nous préparons la bouteille de jus de pomme, les verres, les cacahuètes, noix de cajou.

Léo et Maël

Caché dans mon placard, à l'étroit, debout sur de vieilles couvertures pliées, sans faire le moindre bruit, en retenant ma respiration, je regarde les deux garçons s'assoir dans le canapé. Ils me tournent le dos. C'est vrai qu'ils ont l'air de deux gamins mal à l'aise. Timides. Estelle et Clémentine, assises dans le canapé qui fait face, juste séparées par la table basse, ont des propos tendancieux. C'est la toute première fois que je les vois draguer aussi ouvertement. Installées confortablement, leurs jupes kilts qui dévoilent la moitié de leurs cuisses, elles partagent quelques plaisanteries graveleuses en évoquant d'autres étudiants. D'autres professeurs. Les deux garçons rient un peu bêtement. C'est Clémentine qui déclenche les "hostilités". Écartant ses cuisses subrepticement tout en parlant.

Je donnerais cher pour voir les visages des deux garçons. Estelle donne à son tour dans l'exhibitionnisme. Toutes les deux, à présent vautrées dans le canapé, présentent leurs intimités velues aux "victimes". De ma cachette, par la petite ouverture ronde grillagée, j'ai une vue parfaite. Je découvre une autre dimension de la personnalité de Clémentine. J'admire cet aplomb extraordinaire. Tout en bavardant, elle fixe tour à tour Léo et Maël. Je les vois de dos. J'ai l'impression qu'ils réduisent, qu'ils rapetissent dans le canapé. Elle écarte ses cuisses avec une indécence hallucinante devant les deux invités. Estelle, que je découvre beaucoup plus réservée, ne va pas jusqu'à écarter ses cuisses aussi largement. Je la connais bien. Elle n'est pas vraiment exhibitionniste. Je devine les efforts qu'elle fait. Je sais qu'elle préfèrerait être avec moi dans le placard. Voyeuse qu'elle est.

Toutes les deux tendent leurs verres de jus de pomme. Les garçons font de même en s'écriant en cœur : << Bon anniversaire ! >>. Clémentine et Estelle ont repris une position beaucoup plus raisonnable. J'écoute les amusantes anecdotes qu'ils tous les quatre, en parlant des professeurs, d'une certaine madame Bonardel qui vient régulièrement donner des conférences scientifiques à l'université. Imperceptiblement, Clémentine recommence à écarter ses cuisses. Estelle se met à l'imiter. Toutes les deux présentent à présent leurs intimités aux deux garçons. Dieu qu'ils sont timides et pleutres. À leurs âges, 20 ans, j'avais déjà suffisamment de verve et de culot pour "attaquer" sévère. Mais, c'était il y a 34 ans ! L'époque n'est plus la même. En ce temps là les mecs avaient encore des couilles.

C'est Clémentine qui pose la question qui tue : << C'est lequel qui vient me la mettre ? Léo ? Maël ? >>. Le silence n'est pas subitement lourd mais également épais. Les deux garçons se regardent. Ils ont une expression d'effroi véritable. Ils ne jouent pas. Ils ne jouent plus aux malins. Malgré leurs vêtements, ils sont là, à poil devant deux filles qui les dominent dans tous les sens du terme. Estelle en rajoute une louche : << Il faut que ce soit nous qui venions ? >>. Je suis tellement amusé par cette situation cocasse que mon érection a fondu comme neige au soleil. << Allez les hommes, on sort sa queue et on prouve qu'on en a une paire ! >> lance Clémentine qui relève sa jupe kilt pour saisir son clitoris géant entre son pouce et son index. Je ne vois pas l'expression des visages de nos zigotos. Hélas.

Mais à voir Léo et Maël de dos, s'agiter nerveusement, je peux imaginer leurs états d'esprits. Ce que montre Clémentine aux deux étudiants doit complètement les décontenancer. Les déstabiliser. Le clitoris de Clémentine est une véritable petite bite de presque cinq centimètres. Je peux comprendre. Moi-même, la première fois que je l'ai vu, j'étais dans le doute. Un trans ? Un trav ? Et bien non, c'est le cadeau qu'a offert dame nature à Clémentine. Elle pointe son index vers Léo en disant : << Toi, viens donc par là. Ne m'oblige pas à venir te chercher ! >>. Léo se lève. Visiblement perdu. Il ne sait plus quoi faire. Si jeune et encore si con. Clémentine se lève, contourne la table basse, s'accroupit devant Léo. Elle descend la tirette de son pantalon beige. Il se laisse faire complètement effaré. Comme s'il assistait à quelque chose qui ne le concernait pas. Dissocié de sa réalité.

Clémentine, rusée et stratège, désireuse de me faire profiter de ce qu'elle entreprend, force Léo à changer de position. Je le vois de profil. Je vois son sexe. Une belle pièce qui doit bien faire ses dix huit centimètres. Cylindre de chair dont le jeune homme peut s'enorgueillir. Estelle fait de même. Mais je ne vois pas le sexe de Maël. Je n'ai de yeux que pour Clémentine que je regarde se régaler de cette bite. Assise sur la table basse, sa bouche à la bonne hauteur. Ce pauvre Léo. Pas de doute, c'est sa première fois. Moi aussi j'ai découvert la sexualité avec une fellation. J'avais dix sept ans. Dans les vestiaires de mon Club de Karaté. Mais avec ma "copine" qui est devenue par la suite et durant dix huit ans, ma première compagne. Cette vision me rappelle ma jeunesse. Estelle est assise sur la table basse aussi.

Je la vois sucer. Je ne vois toujours pas la bite de Maël. Je ne sais donc pas ce qu'Estelle semble savourer avec passion. Toutes les deux sont entrain de tailler une pipe à ces deux étourneaux tombés de la dernière averse. Ne comprenant pas encore vraiment ce qui leurs arrive. Bien salopes, Estelle et Clémentine échangent leurs impressions. Les deux garçons sont complètement consternés. Hébétés. Ils n'osent même plus se consulter du regard. Trop gênés de se retrouver dans une telle situation. J'ai repris ma branlette en faisant très attention de ne pas faire le moindre bruit. Il ne manquerait plus que je me fasse surprendre ! << On permute ? >> demande Clémentine. << Tu veux gouter la mienne ? >> répond Estelle qui se lève. Toutes les deux changent de place. Pour se remettre à sucer l'autre bite.

Clémentine me gratifie de sa ruse. Forçant Maël a se positionner de profil. Je vois enfin son sexe. Moins avantagé par dame nature, celui de Maël est plus court, plus trapu peut-être. Je ne sais pas s'il est circoncis ou non. Car la peau du "col roulé" recouvre les lèvres de Clémentine. Impressionnant. Je découvre qu'Estelle savoure le chibre de Léo avec plus d'appétit encore. S'en est très certainement trop pour nos deux moineaux tombés du nid. Léo éjacule en poussant un cri. Estelle le bouffe en gémissant de plaisir. Le garçon, comme en proie à une immense honte, se retire, referme sa braguette pour se précipiter vers la porte. Maël, légèrement moins inhibé éjacule dans la bouche de Clémentine. Lui sait apprécier. Mais juste quelques secondes car il a très vite le même réflexe. Il remballe prestement. Gêné. C'est mignon.

Tous les deux, comme des premiers communiants, comme des gamins pris la main dans le paquet de bonbons, sont debout devant la porte à enfiler leurs vestes, à passer leurs écharpes autour du cou. Mutiques. << La prochaine fois on baise ! >> lance Estelle qui s'approche d'eux, sa main sous sa jupe. << Parce que là, juste une pipe, c'est frustrant les garçons ! >> rajoute Clémentine qui elle aussi se masturbe en rejoignant le trio. Tous les quatre sortent. Je peux enfin quitter ma cachette. Par la fenêtre, je les regarde monter vers le portail. Il y a déjà la voiture de la maman de Maël qui attend. Les deux gaillards semblent avoir retrouvé leurs esprits. Estelle et Clémentine bavardent un peu avec la dame. C'est d'un pas rapide qu'elles redescendent. Estelle saisit immédiatement ma bite.

Je félicite mes deux anges pour le spectacle. Toutes les deux, assises sur la table basse, se refilent ma queue et échangeant leurs impressions. << C'est génial d'échanger des queues ! >> lance Estelle. << Put-Hein, j'adore ! >> fait Clémentine. Une dizaine de minutes où elles savourent mon liquide séminal épais et visqueux. Hors de question d'éjaculer. Ce sera pour Clémentine ce soir. Elles cessent. Se lèvent. Il va être 16 h. Estelle doit nous laisser. Sa maman l'attend. Elles adorent faire du shopping ensemble. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. << À demain. Je suis là vers 13 h45 ! >> lance t-elle en s'asseyant au volant. Nous la regardons partir. << Merci mon amour ! Sans toi rien de tout cela ne serait possible ! >> s'écrie Clémentine en me serrant dans ses bras. Nous aussi allons partir pour la ville. La table est réservée dans notre restaurant préférée pour 19 h30. Le plaisir de flâner dans les rues piétonnes.

Bonne faim de soirée à toutes les coquines qui aiment sucer dans les situations et les endroits les plus insolites. Avant de savourer un bon repas dans un restaurant étoilé...

Julien (le mec du placard)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Sunday 17 March 2024 10:14

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 13 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2555 -



Les exhibes du samedi matin

Il va être sept heures. Hier matin samedi. C'est moi qui tire Clémentine de son sommeil. Sur sa demande. Elle adore d'ailleurs ma façon de procéder. J'approche mon visage du sien. D'un mouvement de paupière, je frotte mes cils contre sa pommette. Je chuchote : << Papillon ! >>. C'est en gémissant d'aise qu'elle vient se blottir contre moi. Dans mes bras. Se saisissant rapidement de mon érection matinale et tout à fait naturelle. Des bisous. Des papouilles qui deviennent câlins. L'impérieux besoin d'aller aux toilettes. Nous nous précipitons vers la porte. Il fait déjà bien chaud partout dans la maison. Nous revêtons nos tenues de jogging à la salle de bain. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. J'allume le feu de la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les dernières oranges.

Je pèle les derniers kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de vendredi. La petite fête d'anniversaire du début d'après-midi. Les flâneries en ville. La soirée dans notre restaurant préféré. << J'ai beaucoup aimé la bite à Léo. Celle de Maël a un gout fade ! >> précise Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Je recommande de récidiver. << Je peux ? Parfois, le soir avant de rentrer, dans la voiture ? >> me demande t-elle en venant s'assoir sur mes genoux. Trempant sa tartine de miel dans mon bol de café. Je dis : << Wouah, c'est génial. Et sans que je ne sois caché pour te regarder ? >>. Clémentine reste silencieuse. Comme un peu gênée. << Oui, j'ai trop aimé ! >> finit elle par lâcher. Je la félicite. Je la rassure. Je l'encourage. Elle m'en est reconnaissante.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la matinée. Celui de l'après-midi. Ce sera une randonnée sur le sentier des collines. La météo semble encore parfaite. En regardant au dehors le ciel est voilé mais lumineux. La température extérieure n'est toutefois encore que de 8°. Nous hésitons. Jogging ou entraînement en salle ? << Allez, on essaie d'êtres courageux. On sort. On va voir comment c'est ! >> lance Clémentine. La vaisselle. Nous enfilons les K-ways. Bonnets, gants. Nous ouvrons le portail depuis l'interphone. Nous sortons. Il faut du courage. Nous n'en manquons pas mais quand même ! Des mouvements d'échauffement dans la désagréable froidure. C'est parti. Le long de la rivière, sur notre parcours préféré. Une heure d'un running des plus gratifiants. Superbe.

La petite Fiat 500 rouge de Lise est garée devant la maison d'amis. En montant nous pouvons entendre l'aspirateur quelque part à l'étage. Nous prenons notre douche. Assise sur un des deux tabourets, une serviette de bain sur les épaules, devant le miroir, Clémentine revient sur ses fellations de vendredi après-midi. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite je la coiffe. J'écoute ses appréciations avec attention. C'est tellement excitant. Je lui montre l'effet que produisent ses aveux sur ma virilité dans le miroir. Elle rit. Ayant sucer les deux étudiants, elle a une préférence pour le sexe de Léo. Une longue queue d'au moins dix huit centimètres. Fine et droite. Au prépuce généreux. Sans doute pas plus de trois centimètres de diamètre. Elle m'en parle avec passion.

<< Ça coule doucement pour envahir la bouche. Le gout est un peu celui d'une amande amère. Alors que la bite de Maël est épaisse. Son foutre brûle la gorge ! >> m'explique t-elle. Je dis : << Il faudra demander ses impressions à Estelle en début d'après-midi ! >>. Clémentine me demande de nouer ses cheveux en natte. Je les divise en trois parties égales pour les tresser. Je demande : << Et tu n'as pas envie de baiser avec Léo ? >>. Après un long silence où elle m'observe dans le miroir, Clémentine répond : << Tu sais bien que j'adore la pipe. Mais je n'exclue pas de le faire. Mais là, je veux que tu sois caché dans les environs. C'est trop bon quand je sais que tu n'es pas loin ! Comme pour la pipe d'ailleurs ! >>. Nous en rions de bon cœur. C'est à mon tour de me faire coiffer.

Quand nous sortons de la salle de bain, vêtus de nos Levis, de nos sweats, de nos baskets, nous rencontrons Lise. Dans son éternel survêtement gris. Elle retire ses écouteurs. Éteint l'aspirateur. Son merveilleux sourire. Nous nous saluons pour bavarder un peu. Je surprends les regards furtifs qu'elle jette sur ma braguette déboutonnée. Les boutons métalliques luisant dans la légère obscurité de ce coin du couloir. Nous la laissons à son ménage pour dévaler les escaliers jusqu'au salon. Assise sur mes cuisses, me tournant le dos, Clémentine allume l'ordinateur. Je caresse ses seins minuscules alors qu'elle ouvre nos boîtes mails. Le courriel de ma famille d'Édimbourg est toujours aussi peu rassurant. La santé d'oncle Alan, hospitalisé depuis presque deux mois, reste très critique. Incertaine.

Sa compagne nous apprend qu'il va rentrer à la maison sur son insistance. Désireux de prendre tous les soins nécessaires chez lui. Ce qui est parfaitement compréhensible et légitime. Nous découvrons le message de Juliette qui nous confirme sa venue mercredi prochain. Juliette qui nous rappelle que nous sommes invités à manger chez elle vendredi prochain. Avant la "soirée branle" qu'elle organise avec une "surprise". En caressant les seins de Clémentine, je dis : << Tu auras peut-être la surprise d'une bite à sucer ! >>. Clémentine se met à rire avant de lancer : << Génial ! >>. Le courriel d'Estelle qui est impatiente de nous retrouver pour 13 h45. Dans la petite enveloppe jaune, je glisse un billet de 50 €, un billet de 20 €. Il va être 9 h50. Nos livraisons ne vont plus trop tarder.

Nous quittons le salon. << Sors ta queue, Danièle doit être impatiente de la revoir ! >> fait Clémentine en fourrant sa main dans ma braguette. C'est depuis la cuisine, en passant dans le couloir, que nous percevons le bruit de l'aspirateur. Nous retrouvons Lise qui ouvre la porte en allant vers le hall d'entrée. J'ai la bite à l'air. Une semi érection. Mon tuyau d'arrosage pendant superbement de mon 501 déboutonné. Lise me fixe dans les yeux avec cet étrange regard. Impossible d'y lire un quelconque sentiment. Peut-être de l'interrogation. Peut-être de la satisfaction. Elle fixe à présent mon sexe pour dire : << J'aurai du spectacle depuis la fenêtre. Merci Julien ! >>. J'ai envie de caresser affectueusement sa joue. Mais nous sommes probablement encore très loin de ce genre de familiarités.

Elle me laisse d'ailleurs à mes hésitations en retournant dans la cuisine. Clémentine saisit ma queue en murmurant : << J'adore. Ce sont des instants magiques. Ça me fait mouiller quand tu montres ta bite ! >>. Nous enfilons nos anoraks. La température extérieure est de 16°. Il va être dix heures. Nous sortons au moment où descend la fourgonnette Mercedes. Danièle, grand sourire, vient se garer derrière la voiture de Lise. Lise que nous savons derrière une des deux fenêtres de la cuisine à s'en mettre plein les yeux. << À se branler ! >> affirme Clémentine. Danièle saute de sa camionnette pour toucher nos poings du sien. J'ai l'anorak ouvert. Avec la fraîcheur, mon érection est timide. Elle va très certainement réduire complètement si aucun stimuli ne vient revigorer ma libido débridée.

Danièle contourne le véhicule sans cesser de regarder mon chibre qui effectivement rapetisse à vu d'œil. << J'ai un truc infaillible pour le rendre bien raide ! >> lance t-elle en m'invitant à monter dans la camionnette. Il y a peu de place entre les rangées de cageots. L'odeur des agrumes, des produits laitiers est extrêmement forte. Je suis obligé d'être tout contre elle. Clémentine, son visage à hauteur de mes fesses, se penche pour mieux voir. Danièle s'accroupit pour prendre ma bite en bouche. Dans un profond râle de satisfaction est se met à sucer passionnément. J'aimerais caresser sa tête mais je sais qu'elle m'interdit de la toucher. Tout cela ne dure sans doute qu'une petite minute. Danièle a bien d'autres clients à livrer. Elle se redresse en s'exclamant : << Bonne bite ! >>

Je redescends pour attraper le lourd cageot qu'elle me tend. Il contient les fruits, les légumes. << J'ai le gout de ta bite. Miam ! >> s'écrie Danièle en tendant le second cageot à Clémentine. Il contient les œufs, les pots de fromage blanc, de crème fraîche, les yaourts, les fromages dont nous raffolons. Le beurre. Quatre gros avocats bien granuleux. Danièle saute de la camionnette pour s'emparer de ma queue à nouveau mollasse. << Toi, je te suce mercredi, tu n'as pas idée. Je vais me démerder pour avoir une bonne demi heure ! >> lance t-elle alors que Clémentine et moi éclatons de rire. Nul doute que là-bas, depuis les fenêtres de la cuisine, Lise n'en perd pas une miette. C'est la toute première fois que Danièle à ce réflexe. Une rapide bise sur mes lèvres. << J'aime trop ta bite ! >> dit elle encore. En s'installant au volant, Danièle rajoute mais en s'adressant à Clémentine : << J'aimerais bien baiser avec toi aussi. Si j'ai la permission ! >>

Clémentine se serre contre moi. Chasse gardée. Que je me fasse sucer, que je me fasse branler, que je montre ma bite l'enchante. Mais que je baise avec une autre est du domaine des interdits qu'elle a fixé depuis le début de notre vie commune. Sauf avec Estelle cela m'est impossible. Elle s'en explique très rapidement. Danièle, en démarrant s'exclame : << Dommage ! >>. Nous la regardons faire la manœuvre de demi tour. En remontant les pavés auto bloquants du chemin qui mène au portail, Danièle mime une pipe, faisant une bosse à l'intérieur de sa joue avec sa langue. Tournant le poing devant sa bouche. Un dernier signe de la main avant de disparaître. Avant de remballer, je me tourne vers la maison pour agiter ma queue toute molle en direction des fenêtres de la cuisine.

De mon autre main je fais signe à notre probable voyeuse de nous rejoindre. Je remballe juste à temps. Voilà le tube Citroën rénové de notre boulangère adorée qui descend. Hilare au volant, sans de douter un seul instant de quoi que ce soit, madame Marthe se gare au même endroit. Malgré sa corpulence, elle saute du marche pieds avec une vivacité incroyable. Elle ouvre la porte coulissante latérale dans un horrible bruit de tôle. Elle me tend le cageot contenant les deux grosses miches de pain, les bouchées à la reine, les pâtes feuilletées, l'énorme brioche au pudding, les geux gros croissants aux amandes. Madame Marthe non plus ne s'attarde pas. Elle a bien d'autres clients à livrer. À peine est-elle repartie que Lise traverse le jardin en courant pour nous rejoindre. Prendre un cageot.

Nous contournons la maison pour descendre à la cave par derrière. << J'ai tout vu. Vous faites très fort. Qu'est-ce qui s'est passé dans la camionnette blanche ? >> s'écrie Lise. En déboutonnant ma braguette, accroupie devant moi, Clémentine répond : << Julien adore se faire sucer. Il s'est fait tailler une petite pipe ! >>. Lise reste pantoise, ouvrant de grands yeux avant de demander : << En si peu de temps ? >>. Je précise : << Je ne vais que très rarement jusqu'à l'éjaculation. Et pas avant au moins une heure ! >>. Lise me fixe dans les yeux. Comme consternée par cette explication. Elle observe rêveusement mon sexe qui durcit. << Je vous laisse, j'ai encore la serpillère à passer dans la salle de bain du bas ! >> lance t-elle en quittant le cellier presque en courant. Silencieuse.

Nous disposons soigneusement les fruits et les légumes sur les étagères en bois. Du congélateur où Clémentine range une des deux grosses miches, une pâte feuilletée, je tire le paquet de moules, les sachets de petits pois, de haricots verts. Elle saisit ma queue mollasse pour murmurer : << J'adore. C'est vrai, comme le dit Lise, tu fais très fort ! Le salaud que j'aime ! >>. Sans me laisser répondre, Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche. Mon érection est presque immédiate. Je porte le cageot. Nous remontons par l'escalier intérieur. Dans la cuisine, devant la porte du réfrigérateur ouverte, je place les produits frais que me tend Clémentine. Nous avons déjà remarqué ce comportement très particulier de Lise. Elle vient s'immiscer entre le frigo et le buffet, accroupie, pour voir.

Cette position aussi inconfortable que la situation exiguë semblent parfaitement convenir à cette étonnante jeune fille de dix neuf ans. Ça me gêne un petit peu de la savoir voyeuse, à proximité, son visage à une cinquantaine de centimètres de mon sexe raide comme un piquet de tente. Ce qui amuse Clémentine qui, ce matin, va de ravissements en enchantements. Je me redresse. Comme habitée soudain d'une crainte, Lise se redresse également pour s'enfuir vers la porte. Clémentine saisit ma queue pour chuchoter : << Réaction normale ! >>. Nous en rions discrètement. C'est par la bite que Clémentine m'entraîne au salon. Assise sur mes genoux, elle allume une seconde fois l'ordinateur. Elle surfe sur le site universitaire. Pas d'informations supplémentaires depuis tout à l'heure.

Je caresse ses seins. J'adore l'entendre glousser de plaisir. Quand je descends mes mains sur ses hanches elle se tortille en gémissant. Lise entre dans le salon. << Terminé. J'ai passé une superbe matinée. Cet après-midi je vais en ville avec ma maman ! >> lance la jeune fille en s'avançant vers le bureau. Clémentine se lève la première. Je fais de même en tenant mon érection à pleine main. Dans l'autre je tiens la petite enveloppe jaune que je tends à Lise. Elle s'en saisit mais sans cesser de fixer mon chiffre. << Ça fait envie hein ! >> lance Clémentine. << Et comment ! >> répond Lise qui, pour se soustraire à la tentation que nous devinons, file vers la porte. Nous la rejoignons dans le hall d'entrée où elle met son anorak. En fixant mon Zob elle s'exclame : << Merci. À samedi ! >>

Nous la regardons traverser le jardin en courant jusqu'à sa voiture. Il va être midi moins le quart. Elle nous fait un merveilleux sourire en faisant sa manœuvre de demi tour. Un grand coucou en montant jusqu'au portail. Morts de faim, nous courons à la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement d'un beau concombre. Je prépare le bouillon pour y jeter les moules décongelées. Dans le wok je réchauffe les petits pois, les haricots verts. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur mes exhibes de la matinée. Clémentine me confie à quel point ces situations l'excitent. Elle est pressée de se livrer aux siennes, beaucoup plus raffinées et féminines. Dès les premiers beaux jours. À bicyclettes, situations privilégiées se prêtant parfaitement à l'exhibitionnisme féminin. Nous faisons mille projets.

Pour ce soir, je propose de réserver une table au restaurant des collines. Ainsi, en revenant de randonnée, nous n'aurons qu'à mettre les pieds sous la table. Clémentine hésite toujours un peu. Car au retour, à la maison, nous aimons bien nous livrer au stupre et à la luxure. Estelle fonctionne d'ailleurs de la même façon. Je suggère de lui en parler lorsqu'elle viendra nous rejoindre d'ici une petite heure. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur son souhait de sucer Léo. << J'aime bien dévergonder des garçons plus jeunes que moi ! >> me confie t-elle. Je suggère qu'elle fasse de cet "innocent" son amant de pipes. Elle rit aux éclats. Elle reste pensive en jouant avec mon Zob. Elle finit par répondre : << Je vais y penser ! >>

Nous préparons le petit sac à dos. Des pommes, des barres de céréales, la Thermos de thé bouillant, les lampes frontales. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Après avoir essuyé nos bouches, Clémentine se blottit dans mes bras. Elle me confie l'envie de retrouver Léo. Elle va étudier la meilleure stratégie. Ce jeune étudiant se fait chercher par sa mère après les cours. Mais il arrive qu'il se déplace en scooter. << Je peux ? >> me demande une fois encore Clémentine. Je réponds : << Non, tu dois ! >>. C'est en riant qu'elle enfonce sa langue dans ma bouche. Après un baiser passionné qui trempe nos mentons de salive, Clémentine rajoute : << Merci Julien. Tu me comprends si bien et depuis si longtemps ! >>. Elle se serre.

Estelle arrive toujours silencieusement. Tel un guerrier Sioux. Elle entre dans la salle de bain en disant : << Sans moi ! Dès que j'ai le dos tourné ! >>. Elle laisse tomber son sac de sport pour se précipiter vers nous. Nous ouvrons les bras pour l'accueillir. C'est tellement bon de se retrouver. Les trois Mousquetaires. Nous nous couvrons les visages de bisous. Estelle nous raconte sa matinée avec sa maman. Les courses à l'hypermarché. Nous lui racontons nos dépravations de la matinée. En saisissant ma queue, Estelle s'écrie : << Vieux pervers. T'exhiber devant des jeunes filles. Tu n'as pas honte ! >>. C'est Clémentine qui répond : << Non ! Pas du tout. Et puis la honte que cela procure participe du plaisir que cela offre ! >>. Estelle enfonce sa langue dans ma bouche. Passionnée.

Nous dévalons les escaliers. Pressés de filer. Il y a vingt cinq kilomètres jusqu'au parking du restaurant. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue qu'elle suce parfois. Estelle, assise à l'arrière, caresse mon cou, mes joues. Je les écoute échanger leurs impressions quand à leurs fellations de vendredi. Léo et Maël. Estelle avoue ne pas trop apprécier ni l'une ni l'autre queue de ces jeunes mecs. Clémentine avoue sa découverte. Le gout de celle de Léo. << Tu vas en faire ton amant de pipes alors ? >> lance Estelle. << Avec l'accord et les encouragements de Julien ! >> répond Clémentine en se redressant. Du foutre aux commissures des lèvres. << T'es une salope. Moi je ne ferais pas ça à mon mec ! >> s'écrie encore Estelle. Je la rassure. Je dis : << On pourra baiser tous les deux pendant que Clémentine s'amuse ! >>. Estelle se lève pour me faire des bises. Je me concentre sur ma conduite. Elle rajoute : << Très Bonne idée ! >>

Il y a de nombreuses voitures garées là. Le ciel est presque entièrement bleu. La température est de 20°. Nous changeons de chaussures. Je mets le petit sac sur le dos. Nous laissons les anoraks dans l'auto pour nouer les K-ways par leurs manches autour de nos tailles. Nous regrettons de ne pas êtres en shorts. Mais les fins d'après-midi sont encore bien frileux. Avant de le contourner par sa droite pour monter le sentier, nous entrons dans le restaurant. Il y a encore plein de monde. << C'est nous qui avons réservé la table pour ce soir ! >> lance Clémentine à la jeune serveuse qui répond : << C'est parfait. On vous attend à partir de dix neuf heures ! >>. Il y a un trio de jazz prévu pour la soirée. C'est parti. Nous prenons l'étroit sentier qui devient chemin au bout de cinq cent mètres.

Nous pouvons y marcher d'un bon pas en nous tenant par la main. Les filles reviennent sur leurs pipes à Léo et à Maël. Décidément, cette expérience semble avoir enthousiasmé Clémentine. Je l'ai rarement vu et entendu disserter avec tant de passion pour une aventure. << Pourvu qu'il ne tombe pas amoureux de toi. Je te rappelle que c'est un jeune mec de 20 ans ! >> lance Estelle. Clémentine répond : << Ne t'inquiète pas, je vais le "dresser". Je vais en faire un véritable fou de pipes ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. C'est pratique d'avoir le K-wayx noué par ses manches autour de la taille. Le nœud dissimule en grande partie ma queue. Je peux garder la bite à l'air jusqu'au château. Nous croisons beaucoup de marcheurs. Avec ce soleil et cette météo printanière.

Quand mon érection est trop flagrante, Estelle passe ses bras autour de mon cou, se serre contre moi. Tout comme Clémentine. Les randonneurs que nous rencontrons alors ne se doutent pas un seul instant que mon sexe est en parfaite liberté, au grand air. Même s'ils restent souvent comme consternés de voir un homme d'âge mûr serré dans les bras de deux sublimes jeunes filles. Nous nous amusons beaucoup de ces situations "burlesques". Il y a un monde fou dans la cour du château. Les deux restaurants, le musée, le bureau de tourisme vont ouvrir leurs portes le premier mai. Des panneaux nous informent qu'à cette occasion il y aura une animation médiévale. Nous en prenons bonne note. Dimanche 5 mai. Les arrêts pipis, pas toujours très discrets, sont d'autres moments de joies.

Estelle me tient la bite pour en diriger les jets. Accroupis derrière mes deux anges qui pissent, j'enfonce la première phalange de mes index dans les trous des culs. Je les tourne. Ce qui a pour effet de donner davantage de puissance aux jets qu'elles peuvent propulser, en riant, beaucoup plus loin. Même Estelle dont le mince filet reste bien timide à côté des "grandes eaux de Versailles" que lance Clémentine. La fois suivante c'est Clémentine qui me tient la bite pour en diriger les jets. Accroupies toutes les deux à se la refiler en faisant d'horribles grimaces et en échangeant leurs impressions. On se touche dans des détours de sentiers. J'enfonce mes doigts. Elles sucent. Nous manquons de nous faire surprendre à de nombreuses reprises. Il est dix neuf heures. Il fait nuit. Notre table nous attend.

Bonne faim de soirée à toutes les coquines qui aiment sucer dans un des cabinets des toilettes hommes. Riant en entendant des mecs pisser de l'autre côté de la porte. Prises en levrettes, les mains en appui contre le carrelage, quelques minutes, main de leur niqueur sur la bouche pour rester silencieuse. Avec du Jazz en fond sonore...

Julien (le niqueur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Monday 18 March 2024 07:36

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 14 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2556 -



Un dimanche serein et reposant

Le dimanche point d'entraînement. Le dimanche pas de jogging. Le dimanche, c'est grasse matinée. Celle de hier nous emmène aux environs de neuf heures. Estelle à ma droite, qui est restée accrochée à moi toute la nuit. Telle une naufragée de la "P'tite Annick" à sa bouée. Clémentine à ma droite qui vient se blottir. Estelle qui saisit ma tumescence. Clémentine qui empoigne mes couilles. Je glisse mes mains dans les culottes. C'est ainsi que nous émergeons doucement de nos profonds sommeils. Cette érection avec laquelle joue déjà ma coquine est purement naturelle. Et pourtant c'est rudement bon ce matin. Mes doigts passent entre les lèvres de leurs intimités. Je dénoue quelques nœuds. Nous finissons cette séance de réveil en nous étirant. Modulant nos gémissements en riant.

Estelle, soudainement, comme propulsée par un ressort invisible, saute du lit. << Pipi ! >> s'écrie t-elle en courant vers la porte. Dans son pyjama de soie mauve. C'est Clémentine qui peut jouer avec mon sexe à présent redevenu mou. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Il fait agréablement doux dans toute la maison. Nous mettons nos jeans, nos chemises à carreaux, les baskets. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Déjà avant d'entrer dans la cuisine, les effluves parfumées du café, du pain grillé flattent nos narines. Estelle entrain d'allumer la cuisinière à bois. C'est un rituel auquel je ne déroge pas. Je viens me positionner derrière elle. Le contact de la soie est un bonheur. Mes mains d'abord sur ses hanches, je remonte doucement jusque sur ses seins minuscules.

Ce léger spasme qui secoue son corps m'enchante. Clémentine, venue se coller derrière moi, masse ma bosse. Sur la table l'énorme "chinois". Cette brioche au pudding qui fait les délices de nos dimanches matins. Je presse les oranges. Avec la main d'Estelle dans ma braguette ouverte. Clémentine pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de samedi. La randonnée de l'après-midi. Le repas du soir au restaurant des collines. Le trio de jazz qui a agrémenté la soirée. Nos folies une fois de retour. Sous les draps. << C'est génial sous la couette, on est tout de suite au lit ! >> lance Estelle. << On n'a plus qu'à s'endormir après nos "trucs" ! >> rajoute Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en faisant l'itinéraire de la randonnée de cet après-midi.

Ce sera à partir de la chapelle gothique. Mais en direction du monastère abandonné. En changeant légèrement de parcours car il y a toujours de nouveaux sentiers à découvrir. De plus la météo est identique à celle de samedi. Un ciel encore voilé mais lumineux. Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges reviennent sur leurs fellations de vendredi. Estelle n'en garde pas un souvenir particulier. << Sauf avec Julien, la pipe ce n'est pas vraiment ma tasse de thé ! >> précise t-elle une fois encore. Tout le contraire de Clémentine qui s'exclame : << Moi, ça reste mon "truc" et j'ai beaucoup apprécié. C'est toujours surprenant autant qu'excitant d'avoir une bite inconnue dans la bouche ! Du dégout sympa ! >>. Nous rions.

Il va être dix heures. C'est tellement agréable de pouvoir prendre tout notre temps. De faire chaque chose sans précipitation. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Pendant qu'Estelle se change, nous recouvrons le lit, refermons la porte fenêtre. Pressés d'aller nous dégourdir les jambes, nous redescendons à toute vitesse en nous tenant par les mains. Nous mettons les anoraks. La température extérieure n'est encore que de 14°. Nous allons jusqu'à la rivière. Je reste entre mes deux anges qui parlent de leurs études. Je les tiens par la taille. Serrées contre moi, elles évoquent le programme qui les emmènera aux vacances de Pâques. Nous ne nous attardons pas. Nous avons prévu un poulet rôti accompagné de bonnes frites.

Estelle s'occupe des tomates, des champignons et de ces toutes petites patates qu'il est inutile d'éplucher. Clémentine lave les feuilles d'une belle laitue dont elle fait l'assaisonnement. J'épluche, je lave et passe au presse frites de belles et grosses pommes de terre. Chacun un rôle précis dans cette préparation qui ne nous empêche nullement de nous tripoter, de nous faire des bises quand nous passons à proximité les uns des autres. Le poulet est dans la fournaise du four à bois. Les frites dans la friteuse électrique sans huile. Les assiettes sont mises. Les couverts sont prêts. Le soleil règne majestueusement dans un azur presque exempt de nuages. Dehors, les branches des arbres sont recouverts de fleurs. Une déclinaison de tous les roses, de tous les violets, des plus pâles aux plus mordorés.

Pas de doute, nous allons vers le printemps. Il faut surveiller la cuisson car il n'y a pas de sonnerie dans un four à bois. C'est à tour de rôle que nous nous accroupissons devant la vitre fumée pour contrôler. C'est un poulet doré qu'Estelle tire du four. Nous mangeons de bon appétit alors qu'il n'est pas tout à fait midi. Parfait. Nous pourrons partir tôt. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Impatients de nous enfuir, nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos, les barres de céréales, trois pommes, la thermos de thé bouillant. Nos lampes frontales. C'est en courant que nous traversons le jardin pour sortir l'auto du garage. Il n'y a que quatre kilomètres jusqu'à la chapelle. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue qu'elle suce un peu.

Estelle, assise à l'arrière, caresse mon cou en nous racontant son vendredi soir avec ses parents. Je gare la voiture. Il y a d'autres véhicules stationnés le long du muret qui entoure le petit cimetière. Nous changeons de chaussures. Je mets le sac sur le dos. La température extérieure est de 20°. Une fois encore nous regrettons de ne pas êtres en shorts ou les filles en jupettes. Mais il vaut mieux anticiper les fraîcheurs de fin d'après-midi. Nos K-ways noués par leurs manches autour de nos tailles. Pour moi c'est très pratique car le nœud cache en partie la bite que je peux laisser flotter à l'air libre. Un enchantement supplémentaire pour mes deux anges qui peuvent s'en emparer selon leurs bons vouloirs. Nous longeons les clôtures des prés encore vides de leurs bovins. De leurs bovidés.

Le large chemin permet de marcher en nous tenant par les mains. Il fait tellement doux. L'absence du moindre souffle de vent participe de cette ambiance bucolique. Les premiers insectes virevoltent. Nous croisons des marcheurs. Estelle ou Clémentine se serrent contre moi, bras autour de mon cou. Formule imparable pour cacher totalement mon sexe qui est quelquefois bien raide. Surtout lorsqu'il est sollicité par des mains baladeuses. Le premier arrêt pipi. Rituel pisseux où j'encule les filles de mes index que je fais tourner. << Enculeur de filles ! >> lance Estelle qui se positionne comme Clémentine pour pouvoir propulser ses jets le plus loin possible. Mais à ce jeu c'est toujours Clémentine qui gagne. Ses jets d'une puissance inouïe vont se perdre à plusieurs mètres.

Pour les miens, mes deux anges choisissent un endroit où elles peuvent s'amuser tranquillement. Soit l'une, soit l'autre me tient la bite pour en diriger les multiples jets. Là, c'est contre un rocher de granit sur lequel mes jets dessinent un personnage. Nous en rions de bon cœur. Accroupies, mes coquines se refilent mon chibre qu'elles dégustent en échangeant leurs impressions. Nous manquons de nous faire surprendre à quelques reprises. De justesse. Ce sont le plus souvent de petits groupes de promeneurs. Nous suscitons encore bien des interrogations. Les attitudes équivoques d'Estelle et de Clémentine. Ces deux sublimes jeunes filles tout contre cet homme d'âge mûr. Non. Je ne suis pas le papa. Il y a quelques arrêts simples où j'explore simplement le fond des culottes.

Leurs Jeans largement déboutonnés, côte à côte, mes deux coquines se font tripoter en échangeant leurs impressions. Saisissant mes poignets pour que surtout je n'arrête pas. Pour me guider aussi. Cet après-midi est consacré à une "randonnée tripotage". Dans la cour de l'ancien monastère, entourée de hauts murs, il y a quantité de randonneurs. Impossible de trouver un coin pour appuyer davantage nos besoins de câlins. Nous savourons nos pommes, nos barres de céréales, le thé fumant. Nous ne sommes pas seuls à prendre cette collation de seize heures. Tout le monde semble de régaler du contenu de son sac à dos. J'ai remballé ma bite car il ne faut prendre aucun risque. Nous prenons le sentier des chasseurs. Ce n'est qu'un nom. Rien à craindre. Mais nous ne connaissons pas du tout.

C'est une boucle qui nous ramène à la voiture par un itinéraire magnifique. Certes, le chemin est souvent à l'ombre mais les points de vues méritent le détour. Beaucoup de marcheurs aujourd'hui. Nous ne sommes pas les seuls à vouloir profiter de cette météo. Les arrêts pipis doivent donc se dérouler en contrebas des sentiers. J'adore sucer mes doigts poisseux quand je les retire des croupions de mes coquines. Je leurs promets un nettoyage de minous après le repas du soir. Un autre rituel qui les comble de bonheur. Dans la descente, elles sautillent souvent en chantonnant des paroles loufoques sur des airs de comptines d'écoles maternelles. Du style << Il était un petit homme, pirouette, cacahuète ! >>. Mais les paroles deviennent alors : << Il était une petite bite, la quéquette , la bistouquette ! >>

Le crépuscule s'annonce quand nous arrivons à la voiture. Il est 18 h45. Fourbus mais tellement enchantés par cet après-midi. La fraîcheur impose les K-ways depuis le début de la descente. Nous changeons de chaussures. Il est 19 h quand nous sommes de retour. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la laitue. Je réchauffe les restes de la viande du poulet retirée des ses os dans la poêle. Estelle égoutte les macaronis d'accompagnement. Elle devra nous laisser pour 22 h. Mais il reste une heure quarante cinq après le délicieux repas et la vaisselle. Vautrées dans le canapé, juste en grosses chaussettes et en chemises à carreaux, mes deux randonneuses m'offrent les jus de leurs intimités. À genoux sur les épais coussins, je passe de l'une à l'autre pour savourer ce merveilleux dessert.

Je ne saurais trop le recommander aux lecteurs qui suivent nos aventures. Gouter de la cramouille après un après-midi d'effort, de sueur, de pipi, de tripotages divers et variés reste le plus divin des réconforts après l'effort. Les odeurs, les goûts, les fromages, les substances non identifiables qui fondent sur la langue. Tout cela relève d'un enchantement paradisiaque. Dans la symphonie de gémissements stéréophoniques. Je n'en suis pas seulement enivré jusqu'au vertige mais subjugué par tout ce que je déguste. L'orgasme nucléaire d'Estelle la fait hurler d'extase. D'abord couchée sur le côté, ses mains entre ses cuisses, à reprendre ses esprits, c'est à genoux près de moi qu'elle admire l'orgasme pisseux de Clémentine au-dessus de la cuvette. Je me remets évidemment à les sucer pour achever le nettoyage.

Bonne nuit à toutes les coquines qui après avoir jouis comme des damnées, sucent les jus d'une nouille qu'elles égouttent sous les draps. Savourant elles aussi les "surprises" d'un après-midi de randonnée...

Julien (le randonneur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Tuesday 19 March 2024 07:36

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 15 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2557 -



Le lundi matin il y a école

Hier matin, lundi, réveillés par les fééries distribuées par nos I-phones, il est presque six heures. Clémentine vient se blottir contre moi. Des murmures incompréhensibles à mon oreille. Quelques bisous. Quelques papouilles. Il faut se faire violence en début de semaine. Comme des zombis nous nous précipitons aux toilettes. Les radiateurs ne chauffent pas encore. C'est donc dans la fraîcheur désagréable de la salle de bain que nous revêtons nos leggings de lycra noir. Nos sweats de lycra bleu. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Première mission, allumer la cuisinière à bois. Pendant que Clémentine s'occupe du café, presse les oranges pèle les kiwis. En essayant de rendre ses propos intelligibles. Elle éclate de rire à chaque fois qu'elle trébuche sur un mot. Nous rions.

Le lundi matin, il reste de la brioche au pudding. Je la place dans le four à micros ondes, le temps de beurrer les tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les moments forts du weekend. Il y en eut quelques uns. Surtout au tout début, lorsque Estelle et Clémentine ont sucé Léo et Maël. Curieusement, ce matin, en abordant le sujet, Clémentine paraît soudain gênée. Baissant les yeux. Un peu comme honteuse. Je demande : << Tu regrettes ? >>. Elle s'empresse de répondre : << Non, mais je crois que je suis tombée amoureuse de la bite à Léo ! J'ai hâte de le voir à midi au restaurant universitaire ! >>. Je l'encourage à récidiver le plus tôt possible. << J'ai besoin de te savoir caché dans les environs tu sais ! >> rajoute t-elle, embarrassée.

Nous mangeons de bon appétit. Je suggère qu'elle laisse les évènements s'enchaîner. Il va être six heures vingt cinq. Plus une seconde à perdre. Nous remontons en courant pour nous offrir notre heure d'entraînement. La salle n'étant pas chauffée, il faut se bouger. Les échauffements aérobics, le jogging sur les tapis roulants mettent en parfaites conditions. Les exercices au sol avant les charges additionnelles. Le stretching forcément bâclé par manque de temps avant la douche. Ma seconde mission, aller faire chauffer la voiture. Il va être 7 h45. Il pleut. Le ciel est gris, bas et sinistre. La température extérieure n'excède pas 8°. Clémentine vient me rejoindre en sautillant. Toute contente. Déguisée en esquimau. Ses bras autour de mon cou. << Je t'aime. C'est toi que j'aime ! >> dit elle.

Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou avant de me précipiter pour rentrer au sec, au chaud. Je fais la vaisselle, je recouvre le lit avant d'aller dans l'atelier. J'y allume la flambée de la cheminée. Installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je termine probablement ce matin cette sixième toile hyper réaliste "Le Musée". Je peins en pensant à ce qui s'est passé vendredi en début d'après-midi. Ces pipes prodiguées par Estelle et Clémentine à ces deux jeunes étudiants de 20 ans. Je suis envahi de cet étrange et indéfinissable sentiment. J'adore être caché pour regarder Clémentine sucer un autre mec. Elle adore me savoir à proximité. Cela double son excitation. Je suis vraiment impatient d'en savoir plus.

Il est onze heures quand je dépose la dernière pointe de jaune de cadmium sur la surface de l'œuvre achevée. Je la dépose sur un second chevalet, recouverte d'un ample linge afin qu'elle sèche hors poussières. Dès cet après-midi je vais pouvoir commencer "Le bateau de plaisance". D'après une série de photos que nous avons prise durant notre croisière au large de l'Écosse. Là je représente le restaurant des premières classes où nous prenions nos repas gastronomiques. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je prépare les couleurs pour ma prochaine séance. Je mets deux bûches sur les braises rougeoyantes avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il reste de la viande de poulet et des spaghettis que je réchauffe. L'assaisonnement d'une belle laitue dont je lave les feuilles aussi pour ce soir.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission quotidienne, André Bercoff avec ou sans ses invités fait un tour d'horizon des différentes actualités. Aujourd'hui il revient sur les mensonges, les affabulations et les enfumages des irresponsables qui sont aux "affaires" du pays. Les promesses non tenues d'un président qui voulaient recevoir les agriculteurs et qui annule le rendez-vous. Les délires d'un ministre de l'économie qui a plombé la nation de mille milliards d'euros en sept ans. Qui prévient qu'il faudra compter avec l'austérité. Sept milliards d'euros ayant mystérieusement disparu quelque part entre l'Ukraine et la France. Brigitte Trognon et ses petites magouilles incompréhensibles pour cacher que son président de mari en "serait". Tout cela est grotesque.

J'écoute en préparant mentalement le nécessaire pour le repas de ce soir. Ce sera un gratin dauphinois façon Julien. J'épluche et je lave de belles pommes de terre. Je les coupe en fines tranches que j'aligne tels des dominos dans le plat carré en terre cuite. Je prépare le liant avec des œufs, de la crème fraîche, une tonne de gruyère Susse que je râpe grossièrement. Je verse sur les patates. Je recouvre de fines tranches de Morbier, de Saint Nectaire. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillées. Des cerneaux de noix. C'est dans le four électrique, thermostat sur 160° que le gratin va mijoter longuement. Je fais la vaisselle. Je monte me laver les dents. Malgré la pluie incessante, je redescends à toute vitesse pour chausser mes bottes en caoutchouc, enfiler mon anorak.

C'est sous le parapluie que je vais jusqu'à la rivière. Les canards, les poules d'eau et les colverts semblent insensibles à cette météo pitoyable. Ils s'ébattent à la surface des eaux comme des parisiens à la plage un après-midi d'août. Je suis installé devant mon chevalet. J'entame ma seconde séance. Je peins dans la plus totale des sérénités. Les heures passent hors de ma perception du temps. Je sais qu'il est dix sept heures trente. J'entends du bruit. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table avant de venir me rejoindre. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Les attitudes de Léo et de Maël. << De vrais gamins. C'est à peine s'ils ont osé nous approcher dans la cafétéria ! >> explique t-elle.

J'écoute amusé. Elle continue : << J'ai rarement vue des mecs aussi gênés. Avec Estelle on a fait comme s'il ne s'était rien passé. Mais visiblement pour eux c'était impossible. Un rapide "salut ça va" et ils se sont enfuis ! >>. Nous en rions de bon cœur. Clémentine rajoute : << Mais ce soir, après les cours, je suis allée dans le bâtiment des Licences. J'ai coincé Léo. Il était tout rouge. Je lui ai dis à quel point j'avais apprécié ! >>. J'écoute en silence, suspendu aux lèvres de Clémentine pour en savoir davantage. Elle finit par conclure : << Je l'ai raccompagné jusqu'à la voiture de sa maman. J'ai insisté en précisant que j'adorai ça ! >>. Clémentine a encore ses notes à mettre en archive. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, elle dit : << La balle est dans son camps ! >>

Cette petite heure de travail ensemble est un moment précieux que nous savourons tous les deux. << Ras-le-bol ! >> s'écrie Clémentine en se levant pour commencer à ranger ses affaires. Il est dix huit heures quarante. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je suis devant le petit lavabo de l'atelier à me laver les mains. Clémentine me rejoint. Elle saisit ma bite posée sur le bord de la faïence pour en diriger les jets. << Il est mignon Léo. Je crois que j'aimerais bien baiser avec lui. Le dépuceler ! >> me confie Clémentine en secouant les dernières gouttes. Je suggère d'organiser un "plan". De mettre en œuvre une stratégie. C'est une grande spécialité de Clémentine qui répond : << Je vais y réfléchir. Mais je veux que tu sois caché pour regarder ! >>. Elle s'accroupit pour sucer un peu.

Je l'aide à se redresser. Je la soulève. Ses jambes enserrent ma taille. Je la promène dans la grande pièce où tombe la nuit. Seules les dernières braises éclairent cette partie de l'atelier. C'est comme ça que nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand Clémentine découvre le gratin que je tire du four électrique pour le placer dans la fournaise du four à bois, elle entoure ma taille de ses bras. << Mais c'est toi que j'aime ! >> lance t-elle. Je l'aide à faire l'assaisonnement du reste de la laitue. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur ce projet "Léo". Posant sa main sur la mienne, Clémentine me donne ses ressentis quand à cette éventualité. Baiser avec ce jeune garçon de vingt ans qui ne sait même pas ce que cela signifie réellement. Certes, depuis vendredi, il connaît la pipe.

Nous en rions aux éclats. La vaisselle. Fébrile car cette conversation nous a considérablement excité, Clémentine m'entraîne au salon. Elle allume les deux grosses bougies du candélabre en disant : << Je vais déjà faire l'amour avec mon chéri. Nous aurons l'occasion de développer ! >>. Elle retire ses bottines, son Levis, sa culotte. Je suis debout près du bureau, à me masturber en la regardant se dévêtir. Elle récupère un des épais coussins du canapé avant de me rejoindre en sautillant comme une écolière revenant de l'école. Elle s'installe sur le bureau. En appui sur ses coudes, me fixant de l'éclat intense du bleu de ses yeux, un étrange sourire, elle murmure : << Ce soir je veux me faire baiser. Tu me fais comme tu fais avec Estelle. Tu veux bien ? >>. Je me masturbe.

Je la regarde en restant à distance. Les cuisses largement écartées, tenant son clitoris géant entre le pouce et l'index, couchée sur le dos, la tête sur le coussin elle rajoute : << Viens ! >>. Je m'approche. Je frotte mon sexe contre le sien pour constater qu'elle est trempée de mouille. Ça rentre comme dans du beurre. << Je me suis touchée en rentrant. Je n'arrête plus depuis quelques temps ! >> dit elle alors que je la pénètre avec d'infinies précautions. Une fois enfoncé dans la fille que j'aime, je me mets à la baiser selon sa demande. Je la vois rarement s'éclater aussi rapidement. En poussant de petits cris d'animal blessé. J'alterne la baise à la hussarde avec des moments d'immobilité. Ce sont les instants magiques où Clémentine confie ses secrets de filles. C'est une vrai bonheur.

J'écoute. Elle ne cesse pas de se masturber tout en se faisant sauter. En hurlant. Parfois je me retire pour découvrir la cyprine qui s'écoule sur le bois sombre du bureau. Un chêne centenaire maculé de taches sèches. Il y en a probablement des centaines. J'ai la bite qui dégouline de nos mélanges. Je me penche. J'enfuis mon visage dans cette "écosphère" touffue. Je me bouffe du jus de fille avec délectation. C'est quand je suce son clitoris que Clémentine se cambre. J'ai juste le temps de me redresser pour éviter l'incroyable jet de pisse qui va se briser à quelques mètres. Tout près de la table basse devant le canapé. Elle tente bien de se contrôler mais, en jouissant, c'est totalement impossible. Prostrée, écartant les lèvres charnues de sa vulve, Clémentine se vide, le corps secoué de spasmes.

Elle reprend ses esprits, couchée sur le dos, tenant son clitoris. Ses gémissements ralentissent au rythme de sa respiration. Il y a une marre de pisse sur le parquet. Il en coule sur la façade du bureau. Je vais chercher le seau, la serpillère et le balai aux toilettes du bas. Je reviens. Clémentine, debout, comme effarée, contemple son "œuvre". Elle se précipite pour saisir les ustensiles afin de nettoyer. << Put-Hein c'est chiant ! J'aimerais jouir sans pisser tout le temps ! >> lance t-elle alors que je passe mes bras autour de sa taille. Que je pose mes mains sur ses hanches. Je la rassure : << J'adore quand tu perds tes moyens ! On s'en moque. C'est tellement bon ! >>. Clémentine rajoute : << C'est vrai. C'est tellement bon de se lâcher complètement ! >>. Tout est rapidement propre.

Bonne nuit à toutes les coquines qui, une fois sous les draps, savourent du jus de bite en gémissant de plaisir. Puis, serrée contre leur comparse, avouant leurs péchés, elles peuvent trouver un sommeil réparateur...

Julien (le comparse)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Wednesday 20 March 2024 07:22

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 16 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2558 -



Le mardi matin aussi il y a école

Hier matin, mardi, il est presque six heures. Il faut se lever dès la fin des fééries offertes par nos I-phones. À partir de cet instant chaque seconde nous est comptée. Quelques bisous. Des papouilles. Clémentine serrée contre moi cherchant le courage et la volonté de s'extraire de nos draps bien chauds. Nous nous précipitons aux toilettes. Il fait encore désagréablement frais partout dans la maison. Surtout dans la salle de bain où nous revêtons nos tenues de gym. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Même si les radiateurs entrent en fonction, j'allume immédiatement la cuisinière à bois. Dans des efforts désespérés, en riant, pendant qu'elle prépare le café, Clémentine tente de me raconter ses rêves. Je l'aide à peler les kiwis, à presser les oranges. Elle me fait des câlins.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée en amoureux. Le lundi soir nous sommes seuls. C'est parfait pour faire le point sur les choses de nos vies. Nous mangeons de bon appétit en envisageant la semaine qui nous attend. Pour Clémentine se seront deux conférences universitaires cet après-midi. Six heures vingt cinq. Nous remontons. La salle d'entraînement n'est pas chauffée. Nous n'y sommes qu'une heure par jour. Il faut donc redoubler de mobilité. Les échauffements aérobics, le jogging sur les tapis roulants et les exercices au sol. Les charges additionnelles et les étirements du stretching. La douche. Je dévale les escaliers pour aller préparer la voiture. Presque 7 h45. Le ciel est voilé mais extrêmement clair. Il va faire beau. La température extérieure est de 9°.

Dans son blouson de cuir brun, ses jeans, ses bottines brunes, son béret brun, Clémentine vient me rejoindre. Ses bras autour de mon cou pour un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer au chaud. Car à présent règnent les 22° partout dans la demeure. Je fais la vaisselle, je recouvre le lit. Dans l'atelier j'allume d'abord la belle flambée de la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. C'est toujours passionnant de commencer la peinture d'une nouvelle toile. Je peins dans la plus gratifiante des voluptés. Sans la moindre perception des heures qui m'emmènent aux environs de midi. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe les restes du gratin de lundi soir.

L'assaisonnement d'un concombre. La pâte feuilletée sortie du réfrigérateur ce matin est à température. J'en étale les deux tiers dans le plat à tarte rond aux bords hauts. Je lave et coupe deux gros poireaux. Je concocte une Béchamel dans laquelle je râpe une grosse quantité de gruyère Suisse. J'y rajoute le poireaux finement coupé. Je verse sur la pâte. J'étale consciencieusement l'onctueuse garniture. Je recouvre du dernier tiers de pâte feuilletée. Je badigeonne le dessus du mélange œuf, lait de soja et moutarde à l'ancienne. Je place au four électrique pour une longue et lente cuisson à 160°. Pilotée par le thermostat. Voilà notre repas de ce soir en cuisson. C'est serein que je peux savourer les restes du gratin dauphinois façon Julien. Le gratin c'est toujours tellement meilleur réchauffé.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff aborde les principaux sujets d'actualité. Bien évidemment ceux qui font polémiques. Il y est à nouveau question de Brigitte Trognon. Le flou étrange qui règne sur son passé dont des années entières sont inconnues. Il semblerait que ce qui est connu ne serait qu'un tissu de mensonges. Que pour de basses raisons électoralistes, la vérité sur son personnage créé de toutes pièces viendra de l'Amérique. La presse française aux ordres à interdiction de faire mention de cette éventuelle histoire "transgenre". Chacun est évidemment libre de vivre sa vie comme il l'entend. Sauf quand on est un personnage public, qu'on se permet de donner des leçons de morale et qu'on est censée représenter une certaine vertu.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Il fait beau. Le soleil règne en maitre dans un ciel presque entièrement bleu. Pressé d'aller en profiter, je redescends à toute vitesse. La température est de 20°. C'est en chemise à carreaux que je vais jusqu'à la rivière. Le printemps qui pointe gagne chaque jour du terrain. Certaines fleurs couvrant les branches des arbres s'ouvrent pour offrir des décorations splendides. Il y en a déjà à joncher le sol humide. Il est treize heures quarante cinq quand je suis de retour à ma peinture. Comme ce matin, sans percevoir le temps qui s'écoule inexorablement. C'est le bruit qui m'avertit. Il est dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou à me raconter sa journée. J'aime l'écouter.

Le menu du restaurant universitaire. Curieusement, ni Léo ni Maël ne viennent plus les saluer à la cafétéria. Un peu comme s'ils évitaient de se retrouver face à leurs fantasmes. << Tout juste un sourire timide avant de franchir les grilles après les cours ! >> précise Clémentine. Elle a encore ses notes prises durant les conférences à mettre au propre, à archiver. Assise devant son ordinateur, en chantonnant, elle se met à son travail. Nous apprécions ces moments ensemble. Il est pile dix huit heures trente quand Clémentine se lève en s'écriant : << Là, j'arrête ! >>. Je nettoie la palette les pinceaux. C'est devant le petit lavabo de l'atelier que nous nous rejoignons. Pendant que je me lave les mains, Clémentine tient ma bite pour en diriger les jets. En revenant sur son projet "pipe à Léo".

Nous en rions de bon cœur. Penchée en avant, secouant les dernières gouttes, s'apprêtant à siroter les reliquats, Clémentine me dit : << J'ai un "plan". Encore très vague, mais réalisable ! >>. Je la regarde suçoter. Estelle arrive toujours dans le plus grand silence. Authentique voyeuse, elle adore surprendre à l'improviste. C'est donc dans cette situation qu'elle nous découvre. << Salauds ! Sans moi ! >> lance t-elle en courant jusqu'au lavabo. Clémentine se redresse. Estelle me fait des bises en saisissant mon chibre. Je bande mou. Elle aussi est assez surprise par l'attitude distante de Léo et de Maël. Elles mettent ce comportement sur le compte de la timidité des deux garçons. << Ils ne se sont pas encore remis de la pipe de vendredi dernier ! >> dit elle. Nous en rions.

Nous quittons l'atelier en nous tenant par les mains. Le crépuscule qui précède la tombée de la nuit est de toute beauté ce soir. Un avant goût des soirées de printemps qui s'annoncent. << C'est demain, mercredi, le printemps ! >> lance Estelle. << Et l'arrivée probable de mes "petits machins" ! >> rajoute Clémentine. Quand mes deux anges découvrent la Flamiche Picarde que j'ai préparé, j'ai droit à des effusions de tendresse émouvantes. Mes joues brûlantes des bises qu'y déposent les filles. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de tomates. Estelle reste accroupie devant la vitre de la porte du four à bois. Je mets les assiettes, les couverts. Je sais que dans le reflet de la vitre, Estelle m'observe. J'agite mon sexe. "L'hélicoptère". Elle tourne la tête pour me faire un sourire.

<< Tu me fais des trucs sympas ce soir ? >> dit elle en se redressant. << Du genre ce que tu as fais à Clémentine sur le bureau lundi soir ! >> rajoute t-elle en sortant la tourte aux poireaux fumante du four. Nous mangeons de bon appétit. Estelle porte tous les jours ce pendentif très particulier offert pour ses 27 ans. Elle déboutonne sa chemise pour me le montrer fièrement. Cette étonnante petite bite et ses couilles en argent vieilli d'un réalisme extraordinaire. << Je fais gaffe. Personne ne l'a encore vu ! >> précise t-elle en l'agitant. Nous en rions de bon cœur. Quand Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine elle rajoute : << C'est comme la tienne, je l'ai souvent dans la bouche. Dans ma chambre, assise au bureau quand je bosse. Que je me concentre ! >>. Nous rions.

La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon en me tenant par les bras. Toutes contentes de ce qui nous attend. Je dispose deux des épais coussins du canapé sur la surface du bureau. Elles pourront y poser leurs têtes. Estelle qui devra nous laisser à 22 h est la première en chaussettes et juste en chemise. Toutes les deux, assises sur le bureau, pieds relevés sur les bords, cuisses écartées, se touchent. J'aime rester à distance en les observant. Nous nous masturbons tous les trois dans le plus grand silence. Juste la lueur des deux grosses bougies du candélabre. Cette ambiance magique qui participe à flatter nos libidos. Nous faisons durer. Ces préliminaires ont toutes nos préférences. Tenant son clitoris géant entre ses doigts Clémentine dit : << Soirée branle chez Juliette vendredi soir ! >>

<< Sans moi, une fois encore. Vous êtes salauds ! >> s'exclame Estelle qui se caresse en ralentissant son mouvement pendulaire. Les vendredis soirs Estelle les consacre à ses parents. Ce n'est donc qu'une boutade. Elle agite doucement son index pour m'inviter à me rapprocher. Dans un même élan, toutes les deux se mettent en appui sur leurs coudes. Je passe de l'une à l'autre pour frotter mon sexe sur le leur. Les premiers gémissements voluptueux résonnent dans la grande pièce. Je me penche pour bouffer la chatte de Clémentine avant de passer à celle d'Estelle. C'est sirupeux. Couchées sur le dos, la tête posée sur les coussins, se masturbant, mes deux anges se font pénétrer. Quand je suis dans Estelle, j'enfonce mon doigt dans Clémentine. Le contraire quand je suis dans Clémentine.

Quand je me retire, avant de pénétrer l'autre, je suce le clitoris de celle que je quitte. Je laisse aux lecteurs d'imaginer la stéréophonie symphonique de ce duo philharmonique. L'orgasme d'Estelle la fait hurler. Elle se termine aux doigts. Son corps est secoué de spasmes. En pénétrant Clémentine j'adore voir Estelle se coucher sur le côté, les mains entre ses cuisses comme en proie à une intense douleur. Je quitte Clémentine qui elle aussi se termine toujours aux doigts. J'ai juste le temps de saisir la cuvette en plastique bleu, de l'orienter le plus judicieusement possible. Clémentine peut elle aussi se lâcher en hurlant de plaisir. Dans un orgasme pisseux qui emplit la cuvette aux deux tiers. Giclant sur mes mains. Je me pourlèche de ses derniers mélanges alors qu'elle reprend ses esprits.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se régalent d'une bite juteuse sous les draps avant de sombrer dans un profond sommeil. Dans les bras de leur coquin...

Julien (le coquin)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Thursday 21 March 2024 07:39

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 17 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2559 -



Les livraisons de Danièle, la soirée avec Juliette

Hier matin, mercredi, il est presque sept heures. Je réveille Clémentine en posant mes lèvres délicatement dans son cou. Couchée sur le dos, la bouche entrouverte, émettant un léger ronflement, je la regarde d'abord quelques minutes. Comme elle est belle dans l'innocence de son sommeil. Dans un gémissement, elle vient se blottir dans mes bras. Quelques papouilles qui deviennent câlins. Quelques bisous. Nous nous précipitons aux toilettes. Comme le mercredi Clémentine suit ses cours depuis la maison, en télé travail, elle se montre rapidement facétieuse. Nous revêtons nos tenues sports dans la salle de bain. Il fait bien chaud partout dans la maison. Les radiateurs. Je jour est levé sous un ciel déjà clair et lumineux. Morts de faim nous dévalons les escaliers.

En imitant l'accent Corse de Juliette, Clémentine prépare le café, presse les oranges. Je pèle les kiwis, plié de rire. J'allume la cuisinière à bois. Je n'arrête plus de rire car Clémentine s'est lancée dans un monologue où elle pose des questions avec l'accent Corse et se répond avec mon accent Écossais. De rester avec moi la rend encore déconneuse. Nous pouvons prendre notre temps les jours où elle n'a pas école. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre mardi soir de folie avec Estelle. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les différentes options du repas de ce soir, en compagnie de Juliette. Ce sera un gratin de choux fleurs. Il va être sept heures trente. Le soleil apparaît au-dessus des arbres. La température n'est toutefois que de 10°. Nous hésitons. Jogging ou pas ?

<< Du courage ! >> s'exclame Clémentine. Nous faisons la vaisselle. Après avoir enfilé nos K-ways, nos bonnets, nos gants, Clémentine ouvre le portail depuis le hall d'entrée. Nous sortons. C'est vrai. Il faut du courage. Des mouvements d'échauffement sont nécessaires. C'est parti pour un running d'une heure. Le long de la rivière. Il est huit heures trente quand nous revenons pour la douche. Dans l'atelier, j'allume la flambée de la cheminée. Assise devant son ordinateur, Clémentine ajuste ses écouteurs. Place le fin micro devant sa bouche. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Quelle bonheur de me lancer dans ma peinture avec la fille que j'aime à proximité immédiate. Il en va de même pour Clémentine que j'entends en pleine conversation. Ses cours.

Il est pile dix heures. C'est la pose pour Clémentine qui se lève en sautillant pour se dégourdir les jambes. Mon I-phone se met à vibrer. Clémentine se précipite pour l'attraper. << Danièle arrive ! >> lance t-elle. Elle fourre sa main dans ma braguette béante pour en sortir le locataire d'une main virtuose. << Viens ! >> dit elle en m'entraînant par la queue. À peine sommes-nous dans le hall que la camionnette blanche se gare devant la maison d'amis. Danièle en saute. Portant un petit carton elle traverse le jardin en restant sur les dalles de grès. La température est de 16°. Le soleil règne en maître dans un ciel presque sans nuages. Nous l'accueillons. Je la débarrasse du petit carton qu'elle me tend. Nous invitons Danièle à nous suivre à la cuisine. << J'ai cinq minutes ! >> précise t-elle.

Je sors le poulet et les escalopes de dinde du carton pour les mettre dans le réfrigérateur. Je suis penché, porte du frigo ouverte quand une main saisit mon chibre. Ce n'est pas celle de Clémentine bien moins réactive. Danièle est une jeune femme de la terre, des campagnes. Pas une de ces mondaines citadines qui donnent dans le futile. Quand elle se met à un ouvrage c'est avec la conviction du terroir dont elle est issue. Je me redresse, je me tourne. Elle s'accroupit pour gober ma bite. Je bande mou. Je consulte Clémentine du regard. Elle m'adresse un sourire, lève son pouce en me faisant un clin d'œil. Je me fais tailler une vraie pipe des familles. Danièle y met soudain tant de passion qu'elle tombe à genoux à même le carrelage. Je referme la porte du réfrigérateur. Clémentine s'approche.

Elle aussi s'accroupit pour observer la suceuse de près. Il m'est interdit ne serait-ce même de caresser la tête de ma pompeuse. Je peux regarder mais pas toucher. Elle me l'a précisé à quelques reprises. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. C'est comme si elle prenait subitement conscience de ce qu'elle fait. Danièle cesse aussi soudainement pour se redresser. << Je resterais bien volontiers mais j'ai encore une dizaine de clients à livrer avant midi ! >> lance la jeune femme. Clémentine se met à sucer. Rien ne l'excite davantage que de voir l'épanchement de foutre qui pend telle une stalactite du bout de mon Zob. Elle se redresse après avoir récupéré la coulure. En déglutissant, la main sur sa gorge alors que Danièle conclue : << Un petit délice hein ! >>. Clémentine qui rit aux éclats en répondant : << C'est mon "dix heures" ! >>

Nous raccompagnons Danièle jusque dans le hall. << On se voit samedi matin ? >> s'exclame t-elle en ouvrant la porte. J'agite ma queue, debout sur le perron, au soleil, le bras de Clémentine autour de ma taille. Nous la regardons s'installer au volant, démarrer, faire demi tour. Un dernier coucou. C'est en levant son pouce qu'elle accélère pour monter jusqu'au portail. Nous retournons dans l'atelier. << Put-Hein j'ai raté dix minutes de cours ! >> s'écrie Clémentine en ajustant les écouteurs sur ses oreilles. Nous reprenons nos activités jusqu'aux environs de midi. Clémentine vient mettre deux bûches dans l'âtre avant de prendre ma main. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue dont elle lave les feuilles également pour ce soir. Je réchauffe les restes.

La tourte aux poireaux réchauffée c'est encore meilleur. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les évènements de la matinée. << Tu as vu comme elle te suce. Elle est carrément passionnée ! >> dit Clémentine. Je réponds : << Oui, et je sens également son pompage ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous ne nous attardons pas. Nous cherchons le choux fleurs dans le cellier à la cave. Je coupe les branches avant de les laisser tremper dans l'eau vinaigrée. Clémentine râpe une grosse quantité de gruyère Suisse. Je concocte une sauce au Roquefort avec de l'œuf. Clémentine égoutte le choux fleurs avant de l'étaler dans le plat carré en terre cuite. J'y verse la sauce. Clémentine recouvre le tout du gruyère râpé. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillées. Des cerneaux de noix.

Dans le four électrique pour laisser cuire longuement à seulement 160°. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. En regardant par une des fenêtres de la salle de bain, Clémentine s'écrie. << Cet après-midi, la conférence sur le potentiel magnétique dans les minéraux, ce sera sans moi ! >>. Je suis derrière elle, mes bras autour de sa taille quand elle rajoute : << J'ai déjà fait un boulot là-dessus l'année dernière. Il suffit de reprendre mes écrits ! >>. Nous redescendons à toute vitesse pour sortir. Il fait exactement 22° au soleil. C'est une journée magnifique. La première journée du printemps. << On file à bicyclette ! Ça te dit ? >> me fait elle à peine sommes-nous dans le jardin. Je trouve l'idée saugrenue. Je tente de la raisonner. << Clémentine, on va au moins jusqu'à la rivière ! >>

Elle hésite. C'est vrai qu'avec ce soleil, cet enchantement qui nous entoure, il faut se faire violence. Finalement, c'est en regardant virevolter les canards, les poules d'eau et les colverts à la surface des eaux que Clémentine revient aux réalités. Il faut se faire une raison. D'ici les vacances de Pâques il y aura d'autres journées ensoleillées. Nous aurons alors l'occasion de faire du vélo. Il est quatorze heures quand nous sommes de retour dans l'atelier. Clémentine devant son ordinateur, je reste un peu avec elle. Debout dans son dos, à caresser sa nuque. À me pencher pour poser mes lèvres dans sa nuque. << Mmmhh ! Reste avec moi tout l'après-midi ! >> lance t-elle. Ce n'est évidemment pas possible parce que dès qu'elle va allumer l'écran, ce sera le télé travail en formule webcam.

Installé devant mon chevalet je reprends ma peinture. C'est frustrant, certes, de devoir rester à l'intérieur avec cette météo. Mais la passion pour nos activités prend rapidement le dessus. Il est dix sept heures quand Clémentine se lève d'un bond en s'écriant : << Put-Hein, ras-le-bol ! >>. Je nettoie la palette, les pinceaux pendant qu'elle range ses affaires. C'est en courant que nous quittons l'atelier. Il fait encore tellement beau. La douceur est encore si agréable que nous redescendons jusqu'à la rivière. Assis sur la souche de l'arbre tombé il y a plus de vingt ans, qui sert de banc, nous admirons la vie aquatique en devisant. Clémentine joue avec ma queue. Je reste toutefois vigilant car notre plus proche voisin descend plusieurs fois par jour jusqu'à la rivière. Mais il n'y a personne.

Clémentine revient sur l'attitude de Danièle. Sur les attitudes des deux jeunes étudiants; Léo et Maël. Une fois encore elle me confie son envie de plus en plus pressante de gouter au sexe de Léo une seconde fois. Pour conforter son impression première. Je l'encourage à le faire dès que possible. Que je sois caché dans les environs ou non. Clémentine en reste dubitative. Elle m'explique une fois encore à quel point elle apprécie de me savoir caché quand elle se livre à des trucs avec un autre mec. J'insiste en précisant : << Tu me racontes en rentrant. Ou tu filmes en cachette ! >>. Comme si elle avait une soudaine révélation Clémentine s'exclame : << Ah oui ! Filmer à son insu ! Et je te montre en rentrant ! >>. Je conclue : << Voilà ! C'est simple ! >>. Clémentine se penche pour sucer mon Zob.

C'est vers dix huit heures, une fois à l'ombre, que la fraîcheur nous rappelle que nous ne sommes encore que le 20 mars. Premier jour du printemps certes, mais en soirée, ça refroidit. En chemises à carreaux, nous remontons. Clémentine se serre fort contre moi en poussant des : << Brrr ! >>. Il fait tout de même bien plus agréable dans la maison à présent. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la laitue. Je sors le gratin de choux fleurs du four électrique éteint pour le mettre dans la fournaise du four à bois. Je mets les assiettes, les couverts quand la voix de Juliette fait : << Bonsoir ! Quelle merveilleuse journée ! >>. Nos intimes n'ont pas à prévenir de leur arrivée. Aussi la surprise est à la hauteur de notre plaisir de revoir notre amie. Elle est vêtue de sa tenue de cavalière.

Son pantalon d'équitation beige aussi moulant qu'un legging. Ses hautes bottes de cuir noir. Une veste "prince de Galle" cintrée à la taille sur un chemisier crème. Ses longs cheveux noirs aux mèches argentées éparses tressés en une natte qui tombe au milieu de son dos. Juliette se précipite pour nous faire la bise. Comme toujours, dans ce réflexe typiquement féminin, elle fait semblant de ne pas s'apercevoir de ce qui pend de ma braguette. C'est elle qui sort le gratin du four. Je me masturbe doucement. Rien ne m'excite davantage que de voir une femme accroupie, de dos. Surtout lorsqu'elle a un physique athlétique, une taille de guêpe et qu'elle est terriblement sexy. Une tenue d'écuyère qui me fait fantasmer. Elle se redresse, pose le plat fumant et doré sur la table. Elle me sourit.

Juliette m'a évidemment observé dans le reflet de la vitre fumée du four. Elle me dit : << Tu t'entraînes déjà pour vendredi soir ? >>. Clémentine répond : << Non, pour après le repas ! Julien s'entraîne d'ailleurs avec la régularité d'un sportif préparant les jeux Olympipes ! >>. Nous rions de bon cœur quand Clémentine lance : << Les jeux Olympipes ! Quelle merveilleuse métaphore ! >>. Nous mangeons de bon appétit. Juliette nous raconte ses journées de chef d'entreprise. Des anecdotes concernant son personnel. Les pipes qu'elle prodigue à Robert, son vétérinaire. << Samedi soir j'ai baisé avec Pierre sous le regard de Bernadette ! >> précise t-elle. Je me lève pour agiter mon sexe dans sa direction. J'adore quand elle joue à la femme courroucée. Elle joue tellement bien ce rôle. C'est hyper excitant.

Nous prenons le dessert au salon. Vautrée dans le fauteuil qui nous fait face, Juliette, tout en bavardant, se touche. Elle a cette façon très personnelle de le faire. Passant l'extrémité de son index sur la couture centrale de son pantalon moulant. Tellement moulant que cette couture sépare les lèvres charnues de sa vulve en deux petites bosses. Petites bosses qu'elle malaxe quelquefois. Comme souvent, une petite auréole plus sombre apparait exactement à cet endroit. Clémentine, une main dans son pantalon déboutonnée, se masturbe. Jouant parfois avec ma queue de l'autre. Nous nous masturbons tous les trois tout en parlant des vacances d'été. Je ne sais pas encore si j'ouvre ma galerie d'Art en aout. Juliette s'empresse de préciser que ce serait une immense joie que de s'en occuper. Elle garde un agréable souvenir de son expérience de l'an dernier. Il va être 22 h. Nous raccompagnons Juliette jusqu'à sa voiture. Dans la nuit redevenue glaciale.

Bonne nuit à toutes les coquines, considérablement excitées par les aventures de leur journée, qui se font sucer le clitoris, pénétrer un peu sous les draps avant de s'endormir dans les bras de leur coquin. Avec le gout de son sperme dans la bouche...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Friday 22 March 2024 07:41

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 18 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2560 -



Les bouchées à la reine du jeudi soir

Il est presque six heures hier matin, jeudi. Curieusement, Clémentine est déjà réveillée. Elle me laisse apprécier le gazouillis des oiseaux. En venant se blottir contre moi, elle murmure : << J'ai mes "petits machins". C'est arrivé cette nuit. Je ne te dis pas ! >>. J'ai le réflexe immédiat de poser ma bouche sur son sein gauche. À travers le fin coton de son T-shirt de nuit je souffle de l'air chaud. Je fais de même sur son sein droit tout en massant délicatement son bas ventre. << Je me suis levée pour mettre mon tampon et prendre mon médoc, il devait être cinq heures ! >> rajoute t-elle. Pas de réelles douleurs sans le ventre mais cette désagréable suite de contractions. L'extrémité hyper sensible de ses seins minuscules. Nous nous levons. Je suis encore un peu ensommeillé. Pas clair.

Clémentine m'emmène par la main jusqu'aux toilettes. Me tenant la bite pour en diriger les jets elle dit : << Un jour de retard. C'est rare ! >>. C'est vrai. Elle éclate de rire en lançant : << C'est à cause de l'année bissextile ! >>. Nous revêtons nos tenues de sports dans une salle de bain pas encore chaude. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Ça me fait tout drôle d'être un peu "chaperonné" par Clémentine dès le matin de si bonne heure. Habituellement c'est moi qui prend les devants de toutes choses car elle met du temps à émerger. J'allume la cuisinière à bois. Clémentine fait le café en me racontant son réveil à cinq heures ce matin. << Je n'ai plus dormi alors je t'ai regardé, je t'ai écouté et ça ma occupé ! >> précise t-elle en pressant les oranges. Je l'aide à peler les kiwis.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée en compagnie de Juliette. Nos bavardages en nous masturbant. << Je ne connais pas de moments plus intenses que ceux-là, à deux ou à trois ! >> s'exclame Clémentine. Je confirme. Il en va de même pour moi. Nous nous réjouissons pour nous revoir vendredi soir. Nous sommes invités à manger pour 19 h30. Juliette a prévenu, elle fera très simple car elle a beaucoup de travail dans son haras. Il va être six heures vingt cinq. Nous remontons. La salle d'entraînement n'est pas chauffée. C'est donc avec une double motivation que nous procédons aux échauffements aérobics, au jogging sur les tapis roulants, aux exercices au sol. Clémentine apprécie tout particulièrement les abdos. Ils soulagent ses viscères.

Par contre, aujourd'hui, elle s'abstient de manipuler les barres, les haltères pour se contenter de quelques mouvements sur les machines avec des poids légers. << Sinon je vais être trop crevée en cours ! >> explique t-elle. Ce qui lui permet de se consacrer pleinement au stretching. Je la rejoins dans les étirements du retour au calme. La douche. Je redescends très vite pour sortir l'auto du garage, la faire chauffer. Il va être 7 h45. Le ciel est clair, bleu, presque exempt de nuages. La température extérieure est de 11°. Clémentine vient me rejoindre. Vêtue de son blouson d'épais cuir brun, d'un Levis, de ses bottines brunes. De son béret brun. << Je reste avec toi ! Je n'ai pas envie de te laisser ! >> dit elle, ses bras autour de mon cou pour quelques derniers bisous. Je la regarde partir.

Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais la vaisselle, le lit avant de passer dans l'atelier. J'y allume la flambée de cheminée. Installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette septième toile hyper réaliste m'accapare rapidement et totalement. Je peins dans la plus totale félicité. Sans aucune perception du temps. Je sais qu'il n'est pas loin de midi lorsque mon estomac se met à gargouiller. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à réchauffer les restes du gratin de choux fleurs. L'assaisonnement d'un concombre. Pour ce soir ce seront des bouchées à la reine. Je les dispose dans le plat carré en terre cuite. J'émince deux escalopes de dinde que je fais rissoler à la poêle avec des champignons. Ail, oignon.

Je verse les coquillettes dans l'eau bouillante. Je concocte une Béchamel dans laquelle je verse le contenu de la poêle, du gruyère Suisse que je râpe grossièrement au-dessus de la casserole. J'égoutte les coquillettes. Je les dispose autour des bouchées à la reine pour bien les caler. Je n'ai plus qu'à les remplir de la garniture. Je recouvre d'une copieuse couche de gruyère. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillées. J'adore disposer des cerneaux de noix en figures géométriques avant de mettre au four pour une longue et lente cuisson à 160°. Le thermostat du four s'occupe de la suite. Je n'ai plus à m'en inquiéter. Je me réjouis pour cette surprise que je vais encore réserver à mes deux anges ce soir. C'est devenu un véritable rituel. Les bouchées à la reine du jeudi.

Je mange enfin de bon appétit. J'écoute Sud Radio. Dans son émission André Bercof revient sur les informations les plus insolites et les plus pertinentes. Il est question aujourd'hui des menaces lancées contre la France si des soldats devaient poser le pied en Ukraine. Tous les chefs d'États occidentaux ont la fâcheuse habitude d'avoir des mots qui le plus souvent ne dépassent pas leurs pensées en matières de politiques étrangères. Tout comme leurs promesses jamais tenues. Mais pas Vladimir Poutine qui va toujours au bout de ce qu'il annonce depuis plus de vingt ans de règne. Sans être "pro poutine" il faut souligner ce détail qui va s'avérer d'une redoutable réalité en cas de bluffe français. Il est également question des médias occidentaux s'empressant de dénoncer les fraudes électorales Russes qui ont permis la réélection de Poutine. En omettant bien évidemment d'évoquer les fraudes électorales qui ont permis la réélection de Macron en 2022.

Deux poids, deux mesures. Deux traitement différents pour les mêmes corruptions. Mais celles de La France sont "honorables" alors que celles de la Russie sont haïssables. Peu de gens sont encore dupes de ces mensonges et manipulations médiatiques. Hélas, il y a encore nombre de naïfs à y prêter attention. À y croire. J'écoute en faisant la vaisselle. Je jette un rapide coup d'œil dans le four électrique. Tout est parfait. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller me dégourdir les jambes, je dévale les escaliers. Le soleil est maître d'un ciel d'azur. À peine quelques traînées nuageuses. La température est de 22°. Une seconde magnifique journée de printemps. Je nous imagine à bicyclettes sur la piste cyclable. Clémentine déjà en jupette et T-shirt. Il est treize heures cinquante quand je suis dans l'atelier.

Installé devant mon chevalet à m'abstraire dans ma passion picturale. Il est déjà dix sept heures. J'entends des bruits. Clémentine qui s'affaire en chantonnant. Elle entre dans la grande pièce pour me rejoindre en sautillant. << Même pas mal ! >> s'exclame t-elle en s'installant à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou elle me raconte sa journée. Les pizzas dégueulasses de midi au restaurant universitaire. Léo et Maël redevenant plus "sociables" puisqu'ils sont venus saluer Estelle et Clémentine à la cafétéria avant les cours. << Il me plaît Léo. Il est beau gosse. Quand je lui ai fait un clin d'œil il est encore devenu tout rouge ! >> raconte Clémentine en mitraillant mon visage de bisous. Elle a encore un travail à préparer pour demain matin. Le vendredi elle termine à midi.

Assise devant son ordinateur, elle chantonne. Le bruit de l'imprimante. << Écoute ! >> lance t-elle en tournant autour de moi pour me faire la lecture. C'est le compte rendu de la conférence en télé travail de mercredi après-midi. Je la félicite. Il y est question des fréquences magnétiques générés par les courants électriques dans les minéraux. Je ne savais pas que l'électricité passait dans les cailloux. Quand j'en fais la réflexion en nettoyant la palette, les pinceaux, Clémentine rit aux éclats. Devant le lavabo de l'atelier où je me lave les mains, Clémentine tient ma bite pour en diriger les jets. En secouant les dernières gouttes elle me confie vouloir faire "ça" à Léo. Nous en rions de bon cœur quand elle rajoute : << Et ça ! >> en s'accroupissant pour en savourer les reliquats.

Nous sortons pour profiter de cette fin d'après-midi. Il est six heures trente et il fait encore agréable. Le soleil se couche sur l'horizon. C'est une ambiance champêtre, bucolique. L'entreprise paysagiste va faire sa première intervention de l'année le lundi 15 avril. Nous regardons le bassin vide au fond duquel jonchent des feuilles de l'automne dernier. Dans de l'eau croupissante. Voilà la voiture d'entreprise. Estelle au volant de son Kangoo. Elle se gare devant la porte du garage pour nous rejoindre en sautillant. Ses bras autour de mon cou, ses jambes autour de ma taille, alors que je la tiens soulevée, elle mitraille mon visage de bises. << J'ai baisé avec parrain mercredi soir. Dans ma chambre, sur mon lit. C'est génial quand mes parents ne sont pas là ! >> me raconte t-elle en riant.

Je dis : << Donc ce soir tu vas me demander de contrôler si tout est en bon état ? >>. En sautant au sol elle répond : << Comment tu as deviné ? >>. Le crépuscule annonce l'arrivée de la nuit. La lune est presque pleine dans ce ciel bleu sombre. C'est magnifique. La fraîcheur du soir gâche un peu le plaisir. Aussi nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Clémentine fait l'assaisonnement des endives. Je mets les bouchées à la reine dans la fournaise du four à bois. Estelle met les assiettes, les couverts. Clémentine nous confie à quel point ses règles cette fois encore ne sont pas douloureuses. Nous mangeons de bon appétit. Quand Estelle évoque la petite conversation avec Léo et Maël dans la cafétéria, elle se lève pour mimer une masturbation masculine. Debout, j'agite ma bite.

Estelle ne désire aucune suite avec les deux jeunes étudiants. Alors que Clémentine aimerait bien sucer Léo. Baiser avec lui peut-être. << Moi, si j'avais un Julien, je n'irais pas me faire sauter par un autre ! >> lance une fois encore Estelle. Ça fait plus de six ans qu'elle utilise cet argument avant de venir s'installer affectueusement sur mes cuisses. Nous en rions de bon cœur. Clémentine répond : << Toi, tu préfères te faire sauter par ton parrain ! >>. Nous restons pliés de rire. La vaisselle. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Chaque seconde lui est donc comptée. C'est elle qui me tire par le Zob jusqu'au salon. Ce qui m'oblige à marcher derrière elle comme un vrai con. Sous les rires de Clémentine qui garde ses bras autour de ma taille. Je suis prié de me branler et de regarder la suite.

Toutes les deux retirent leurs bottines. Leurs Levis, leurs culottes. Je suis debout devant le candélabre où je viens d'allumer les deux grosses bougies. Mes deux anges, vautrées dans le canapé ont déjà disposé les épais coussins au sol. Entre leurs pieds écartés comme leurs cuisses. Elle me présentent leurs intimités velues. << Cet été on se rase les chattes pour changer un peu. On en parle au restaurant universitaire. C'est décidé ! >> lance Estelle. << Tu es d'accord ? >> me demande Clémentine. Je trouve l'idée charmante et ça va me changer. À genoux entre les jambes d'Estelle, je hume les odeurs fortes de sa journée de fille. J'enfonce ma langue alors qu'elle se touche le clitoris d'un léger mouvement pendulaire. Ses coulées de cyprine sont de plus en plus abondantes avec l'âge.

Je passe à Clémentine. Comme l'accès est condamné je me contente de sucer son clitoris géant. Je passe de l'une à l'autre alors qu'elles bavardent. Échangeant leurs impressions entre deux gémissements de plaisir. Elles ont un projet un peu délirant. De se faire tatouer un petit motif discret sur le mont de vénus une fois qu'elles seront rasées. Chez un tatoueur d'Édimbourg. Nous y avons plusieurs fois admiré les photos de la vitrine. Depuis deux ans elles en parlent parfois. Restant évasives. En repoussant, les poils dissimuleront ce tatouage. << Un truc bien vicelard qu'on pourra choisir de révéler ou non ! >> précise Estelle. Je trouve ce projet excellent. << Et julien n'aura plus à recracher des poils en nettoyant nos minous pendant les vacances d'été ! >> rajoute t-elle. << Mais c'est julien qui nous rase et nous épile ! >> s'exclame Clémentine. << Bien sûr, et c'est prévu. Tu es prié de faire très attention ! >> me dit Estelle en se tortillant.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se font lécher, sucer, en évoquant les projets parfois saugrenus des vacances à venir. En riant parfois de leurs extravagances. Qui jouissent en hurlant, se trémoussant au fond du canapé, avant de reprendre leurs esprits...

Julien (barbier de chattes)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Saturday 23 March 2024 07:15

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 19 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2561 -



Le weekend commence vendredi à midi

Il va être six heures, hier matin, vendredi. Les fééries sylvestres et bucoliques d'une profonde forêt, nous tire du sommeil. Clémentine, en gémissant, vient se blottir tout contre moi. Quelques bisous, quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. J'y laisse Clémentine toute seule. C'est le second jour de ses règles et tout se passe très bien. Une fois encore il n'y a pas de séquences douloureuses dans cette épreuve mensuelle. Et menstruelle. Dans la salle de bain encore fraîche, nous enfilons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Pendant que Clémentine, déjà facétieuse, prépare le café en me racontant ses rêves, j'allume la cuisinière à bois. Je pèle les kiwis. Clémentine presse les oranges. Je beurre les tartines.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de câlins et de caresses en compagnie d'Estelle. Quand elle termine à midi pour commencer son weekend, Clémentine, comme tous les vendredis matins, s'avère très déconneuse. Je suis plié de rire lorsqu'elle imite mon accent Écossais. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Si la météo reste aussi sympathique et printanière que les jours précédents, ce sera une virée à bicyclettes. C'est que nous attendons cette grande première de l'année avec impatience. Il va être six heures vingt cinq. C'est en courant que nous remontons pour retrouver notre salle d'entraînement. Les échauffements aérobics, le jogging sur tapis roulants, les exercices au sol que Clémentine fait durer car ils soulagent ses viscères mises à rudes épreuves.

Les charges additionnelles avant les étirements d'un retour au calme assez précipité. La douche. Je redescends à toute vitesse pour aller préparer la voiture. Il va être 7 h45. Le ciel est clair, lumineux et d'un bleu pâle. Une température extérieure de 11°. Nul doute, la journée va ressembler aux journées précédentes. Clémentine vient me rejoindre vêtue comme hier. J'aime l'élégance de son blouson d'épais cuir brun, de ses bottines assorties, de cuir brun également, son Levis assorti à son béret bleu "Denim" de la même marque. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais la vaisselle, le lit avant de passer dans l'atelier. La première des choses est d'y allumer une belle flambée de cheminée.

Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je termine ce matin cette septième toile hyper réaliste. La salle du restaurant des premières classes sur le bateau où nous étions en croisière au large de l'Écosse. Je peins dans la sérénité du vainqueur. Il est pile onze heures trente quand je dépose la dernière touche de noir sur la surface du tableau. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je range un peu mes tubes de pigments épars sur la desserte toujours à ma droite. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer les deux grosses bouchées à la reine et leurs coquillettes. L'assaisonnement d'une salade de carottes. Je suis entrain de mettre les assiettes, les couverts quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes enserrent ma taille. Elle mitraille mon visage de bisous alors que je l'emmène ainsi jusqu'aux toilettes. Lavage des mains, je l'y laisse seule avec ses "petits machins" de fille.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Me confie son désir de fuir à bicyclette le plus tôt possible. Aussi, nous ne traînons pas. Dès la vaisselle terminée, nous montons nous laver les dents. Dans le petit sac à dos, des pommes, des barres de céréales, la thermos de thé bouillant. Les K-ways. C'est en leggings de lycra noir et en sweats de lycra rouge que nous dévalons les escaliers. Pressés de filer nous traversons le jardin en courant. La température extérieure est de 20°. Il fait un peu moins chaud que hier et là-bas, au-dessus de l'horizon le ciel se couvre d'épais nuages. Nous retirons la bâche qui préserve nos vélos de la poussière au fond du garage. Nous les décrochons. Je vérifie rapidement la tension des chaînes, le gonflage des pneus que j'ajuste 5,5 bars.

C'est parti. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. C'est contre un vent d'Ouest assez fort que nous pédalons dans une joie intense. << Enfin ! >> crie Clémentine toute contente. Il y a quelques cyclistes. Nous pouvons rouler côte à côte en bavardant. Il y a de fortes probabilités qu'il pleuve en fin d'après-midi. Là-Bas, les nuages menaçants, poussés par le vent, viennent à notre rencontre. Le changement météo se fera peut-être même bien avant. Désireux de profiter de ces intenses sensations de liberté, téméraires, nous allons contre le danger pluvieux. Une dizaine de kilomètres et voilà le cabanon de l'écluse. Nous n'avons encore croisé aucun bateau sur le canal que longe la piste cyclable. Juste quelques séniors à bicyclettes.

Arrêt pipi. La tentation est trop forte. C'est au milieu de la piste cyclable que Clémentine descend son legging, sa culotte pour pisser. Debout derrière elle, la tenant par ses épaules, je fais le guet. Je me penche pour caresser délicatement ses seins minuscules. Clémentine ne porte de soutien gorge que durant les trois jours de ses règles. Bien davantage par mesure de protection que par autres nécessités. Il faut faire preuve de raison. Nous prenons le sens inverse pour rentrer. Nous pédalons à toute vitesse, poussés par un vent de plus en plus violent. L'ambiance a bien changé. C'est l'atmosphère des pluies imminentes. Nous arrivons d'ailleurs sous les premières gouttes. Deux heures de balades qui nous ont enchanté malgré la légère frustration d'un retour prématuré. Nous nous changeons.

Il n'est que seize heures trente quand nous sommes dans la voiture. Direction la ville. Nous allons récupérer le bijou de Clémentine. Son cadeau d'anniversaire. Je roule doucement sous la pluie. Clémentine joue avec ma queue. Vingt cinq kilomètres et nous garons l'auto dans la petite ruelle habituelle. C'est sous le large parapluie que nous marchons d'un bon pas. La température a chuté pour atteindre 17°. C'est beaucoup moins agréable. Voilà la bijouterie Charlier. Jean, notre ami, nous reçoit avec sa jeune vendeuse. Je remarque son sourire et son regard de connivence. Elle sait le genre de bijoux que j'ai encore fait faire. Jean nous invite à passer dans la seconde salle du magasin. Caroline reste à distance, affairée au-dessus d'un large tiroir, à trier ou à ranger des bagues, des anneaux.

Jean ouvre l'écrin contenant la commande. Il en tire une réplique exacte de celle que possède Estelle. Une petite bite et ses couilles, en or massif. Façon "vieil or". Jean passe le pendentif à une chaînette en même matière. << Je me permets ? >> demande t-il en passant la chaînette autour du cou de Clémentine. C'est de toute beauté. D'un réalisme saisissant. Clémentine se regarde devant un des miroirs. C'est absolument magnifique sur le coton noir de son sweat. << Qu'en pensez-vous Caroline, en situation ? >> demande Jean à sa vendeuse qui vient nous rejoindre. Je surprends son regard qui me fixe d'une étrange façon dans le miroir. Quelques instants à chaque fois, mais à quatre reprises. Cette fois, prenant mon courage, je lui adresse un clin d'œil discret qui échappe à Clémentine et à notre ami bijoutier.

Jean retire la chaînette pour placer le tout dans le bel écrin. << Caroline, vous faites un bel emballage s'il vous plaît ? >> demande t-il à la jeune fille. En quittant la boutique, nous saluons Jean qui nous raccompagne jusque sur le trottoir. En regardant machinalement dans la vitrine, j'aperçois Caroline. C'est elle qui m'adresse un clin d'œil. J'adore ces complicités. Quand nous prenons la direction de la FNAC, je raconte mon aventure à Clémentine. << Mais j'avais remarqué. Je savais que tu me dirais tout ! >> se contente t-elle de répondre en me sautant au cou. C'est là que la sonnerie "à l'ancienne" de mon I-phone perturbe quelque peu cette effusion de tendresse. Clémentine toute contente de son cadeau, tire le téléphone de la poche de mon blouson. << Juliette ! >> dit elle.

En mode "haut parleur" j'entends Juliette nous expliquer que la "soirée branle" est remise. Un impondérable s'est encore produit au haras. Il y a quatre vingt sept chevaux en pensions. Et c'est le second qui décède subitement d'un arrêt cardiaque cet hiver. Sans raison. Une mort subite. Elle nous apprend que Robert, son vétérinaire est là et qu'ils attendent l'équarrisseur qui viendra chercher le cadavre. Il faut une dépanneuse avec grue, palan et tout le toutim. Comme pour une voiture accidentée. << On remet à vendredi prochain ? >> demande Juliette que nous devinons très embarrassée. << Ça marche ! >> lançons-nous en même temps. Juliette se confond encore en excuses avant de nous saluer. Je propose notre bon restaurant en soirée. Clémentine hésite puis nous réserve une table.

Bonne faim de soirée aux coquines gourmandes dans un bon restaurant gastronomique à savourer quelques délicieuses spécialités. À déguster une bonne bite juteuse enfermées dans un des cabinets des toilettes hommes. À deux reprises. Avant de sucer le chauffeur sur les vingt cinq kilomètres du retour. Avant un bon dodo...

Julien (le chauffeur)



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Clémentine et Julien
Sunday 24 March 2024 10:34

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 20 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2562 -



Les délices exhibitionnistes du samedi matin

Presque sept heures. C'est elle qui me le demande la veille, avant de s'endormir blottie dans mes bras. Je réveille Clémentine de ma manière habituelle. Les cils de ma paupière contre sa pommette que je fais bouger. Tout en murmurant : << Papillon ! >>. Tirée du sommeil, elle vient à nouveau se serrer dans mes bras. Gémissant dans mon cou. Chuchotant d'incompréhensibles phrases à mon oreille. Ce qui nous fait rire car c'est tout à fait inintelligible. C'est le troisième jour de ses "petits machins". Cette fois encore ça c'est bien passé. Pas de ces pénibles douleurs abdominales. Juste quelques crampes inattendues. Les extrémités de ses seins minuscules hyper sensibles. C'est donc délicatement que je pose mes lèvres pour souffler de l'air chaud sur chacun d'entre eux à travers le T-shirt.

L'impérieux besoin de soulager nos vessies devient si prégnant que nous nous levons d'un bond pour nous précipiter aux toilettes. Il fait bien chaud partout dans la maison. Surtout dans la salle de bain où nous revêtons nos habits de sports. Morts de faim nous dévalons les escaliers. M'entraînant par la main, Clémentine fait un détour par le hall d'entrée. Nous y ouvrons le portail depuis l'interphone. Nous courons jusqu'à la cuisine où j'allume la cuisinière à bois. Clémentine me raconte ses rêves en préparant le café, en pressant les dernières oranges, en pelant les derniers kiwis. Je beurre les tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de vendredi après-midi. La petite escapade à bicyclettes avant d'aller en ville, puis au restaurant.

Le bijoux récupéré chez notre ami bijoutier est dans son emballage cadeau. Ce sera pour l'anniversaire de Clémentine le 2 avril. Même si elle sait parfaitement ce que c'est, elle me confie son impatience de le porter. Nous mangeons de bon appétit en évaluant le peu d'options que nous laisse cette météo pitoyable. Les fameuses giboulées de mars dans toutes leurs horreurs sont projetées par paquets contre les vitres par des bourrasques d'un vent violent. << Quel temps de merde pour le weekend ! >> lance Clémentine en venant s'assoir sur mes cuisses. Le samedi nous pouvons enfin prendre tout notre temps. Il est évidemment hors de question d'aller courir en extérieur. C'est frustrant car les runnings matinaux procurent les meilleures sensations. Il faudra se résoudre à rester au sec.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Notre salle d'entraînement, tout comme notre chambre à coucher, sont les seules pièces à ne pas êtres chauffées. Une volonté délibérée. Non par soucis d'économie mais par commodités. C'est motivant de pratiquer la gymnastique d'abord pour se réchauffer. Pour ce faire rien de mieux que les mouvements aérobics. Le jogging sur les tapis roulants. Les exercices au sol que privilégie Clémentine. Augmentant le nombres de répétitions dans chaque série. C'est un soulagement pour ses viscères lorsqu'elle a ses règles. Nous passons alors aux charges additionnelles dans une forme olympique. Pour finaliser cette heure de pure plaisir par les étirements d'un bon stretching. Nous nous précipitons à la salle bain. Nous entendons l'aspirateur.

Lise est déjà là, occupée au ménage. Notre douche. Clémentine adore se faire savonner, se faire frotter le dos. J'adore m'en occuper. Nous aimons bien traîner en faisant les pitres. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite, je coiffe Clémentine. Assise sur un des deux tabourets, une serviette sur les épaules, elle me raconte quelques anecdotes de sa semaine à l'université. Son désir de sucer Léo, peut-être même de baiser avec lui. << C'est rare qu'un mec me donne envie de baiser avec lui. Je préfère sucer. Mais ce garçon exerce sur ma psyché de délicieux tourments ! >> me confie t-elle. En séparant ses cheveux en trois parties pour les tresser en une longue natte, je l'encourage à passer aux actes. Je suggère : << Un plan cul pour tes 27 ans. Avec un jeune type encore puceau. Le rêve pour une salope ! >>. Clémentine saisit mes poignets pour s'exclamer : << Mais avec le consentement de mon homme ! >>

C'est à mon tour de me faire sécher les cheveux et coiffer. Clémentine reste hésitante quand à l'éventualité d'un plan avec le jeune étudiant de 20 ans. Son désir ainsi que ses envies ne trouvent leurs pleines mesures que lorsqu'elle me sait caché pas loin. Un besoin exhibitionniste qu'elle doit absolument satisfaire dans ces situations sexuelles. Nous émettons différentes hypothèses pour réaliser ce "plan cul". Mais encore rien de très affriolant. Ce sera probablement dans notre maison d'amis. Quoi de mieux pour ce genre de trucs que de posséder une résidence secondaire. Nous nous promettons d'en parler avec Estelle quand elle viendra en début d'après-midi. Estelle a souvent d'excellentes inspirations. Nos Levis, de nos chemises à carreaux, nos baskets pour quitter la salle de bain.

Nous rencontrons Lise dans le couloir. Le tuyau de l'aspirateur en mains. Revêtue de son éternel survêtement gris. Elle retire les écouteurs qu'elle porte sur ses oreilles pour nous saluer. Souriante, véritablement heureuse de nous revoir. Nous bavardons quelques instants. Ma braguette béante ne manque pas d'attirer à plusieurs reprises son regard inquisiteur. << On se voit tout à l'heure pour mâter ? >> demande Clémentine. Lise s'exclame : << Oh oui, ça fait partie de mes petits plaisirs du samedi matin ! >>. Elle m'adresse un sourire entendu, le regard par en-dessous. Clémentine m'entraîne par la main pour descendre les escaliers. Il n'est que neuf heures trente cinq. Au salon, assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Elle surfe un peu sur le site de l'université.

Pendant qu'elle découvre les informations, je glisse un billet de 50 € et un billet de 20 € dans une petite enveloppe jaune. Je caresse avec d'infinies précautions ses seins minuscules en évitant les extrémités. Nous avons trois courriels. Le message peu rassurant de tante Amy. Oncle Alan reste hospitalisé pour Pâques. L'avenir est incertain car l'état de santé de mon oncle est alarmant. Le mail de Juliette qui s'excuse une fois encore pour l'annulation de notre "soirée branle". Elle propose de reporter à vendredi prochain avec une "surprise". Le petit mot d'Estelle impatiente de nous rejoindre en début d'après-midi. Il va être dix heures. Nos livraisons ne vont plus tarder. Nous quittons le salon pour le hall d'entrée. La température extérieure est de 8°. La pluie a cessé. Le vent est tempétueux.

Il faut mettre les anoraks. Malgré ce froid glacial je sors ma bite. << Elle va rester minuscule. Dommage ! >> lance Clémentine qui la prend en main. Elle rajoute : << Je raffole des petites bites mais quand c'est naturel ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Les bonnets, les gants pour affronter le retour de l'hiver. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Tout est détrempé et dégoulinant de flotte. Le ciel est bas et sinistre. Il fait sombre. Voilà la camionnette blanche qui descend lentement les pavés autobloquants du chemin, depuis le portail grand ouvert. Danièle, un sourire éclatant illuminant son visage, se gare derrière la Fiat 500 de Lise. Elle en saute pour toucher nos poings du sien. << Quelle horreur. Il faisait si beau vendredi ! >> s'exclame t-elle.

Nous la suivons jusqu'à l'arrière du véhicule dans lequel elle monte. Je monte avec elle dans l'espace exigu. Meilleure façon d'ouvrir mon anorak pour lui montrer mon sexe. Mou, ridiculement petit. En tirant le cageot du dessus qu'elle nous destine, Danièle me dit : << Tu me donnes envies mon salaud ! Si tu savais ! >>. Nous en rions de bon cœur. J'aime les familiarités qui s'installent entre nous. Cette complicité à trois. << Sers toi deux minutes ! >> lance Clémentine qui tente de se mettre à l'abri des premières gouttes qui tombent à nouveau. Laissant le cageot sur la pile, Danièle s'accroupit dans l'inconfort le plus total. Ma bite en bouche, elle suce quelques instants en gémissant d'aise, avec cette passion qui la caractérise. Elle se redresse rapidement. Ma queue restant toute mollasse.

<< Si je n'avais pas toutes les livraisons qui m'attendent ! >> s'écrie t-elle en me tendant le lourd cageot contenant les fruits, les légumes. << Goûtez-moi ces asperges. Ce sont les premières, cultivées et récoltées sous serres ! >> dit elle. Il y en a une belle botte. Clémentine attrape le second cageot. Il contient les pots de fromage blanc, de crème fraîche, les yaourts, les œufs, le beurre et surtout les spécialités fromagères que nous apprécions. Danièle nous fait souvent découvrir de nouvelles saveurs en laissant un ou deux échantillons. Depuis peu, le paiement se fait par virement bancaire. Plus simple. Un forfait mensuel. Danièle doit nous quitter. Au volant de sa camionnette, en démarrant elle mime une masturbation masculine en criant : << Mercredi je te suce mon salaud ! >>

Nous la regardons faire sa manœuvre de demi tour. Mon anorak ouvert, j'agite ma biroute rendue ridiculement minuscule par ce froid glacial. Nous regardons le véhicule monter jusqu'au portail. Je me tourne vers les fenêtres de la cuisine pour agiter ma queue. Je sais que Lise est entrain d'observer. Je remballe car voilà le tube Citroën rénové de notre boulangère. Elle vient se garer au même endroit. Madame Marthe me tend le cageot contenant les deux grosses miches de pain complet bio, les deux pâtes feuilletées, les bouchées à la reine, l'énorme brioche au pudding et les deux gros croissants aux amandes. Avec elle aussi la formule du paiement par virements depuis la semaine dernière. Madame Marthe a bien d'autres clients à livrer. Nous la saluons alors que Lise vient nous rejoindre en courant sous le grand parapluie. Elle a pris l'habitude de venir nous aider en prenant un des trois cageots. Nous contournons la maison pour descendre à la cave.

J'ouvre mon anorak dans le cellier. Lise reste un instant debout, curieuse. Je saisis ma queue toute molle en disant : << C'est frustrant avec ce froid ! >>. Lise avant de filer vers l'escalier, répond simplement : << J'imagine ! >>. Nous disposons les fruits et les légumes sur les étagères en bois. Du congélateur où Clémentine place une des deux miches, une pâte feuilletée, je tire un paquet de moules, les sachets de haricots verts et de petits pois. Notre repas des samedis midis. Rapide, simple et délicieux avec une salade verte. Nous remontons. Je porte le cageot avec les produits frais à ranger dans le réfrigérateur. Lise passe le chiffon sur les étagères de la hotte, au-dessus de la cuisinière à bois. Quand j'ouvre la porte du frigo elle cesse pour nous rejoindre. Pour s'accroupir à côté.

Clémentine me tend les yaourts, les œufs. Lise fixe avec attention le sexe qui pend de ma braguette. Avec les 22° qui règnent dans la maison, il reprend sa taille et une dimension "normale". Un bon "tuyau d'arrosage" jaillissant de mon 501 déboutonné. << J'ai tout vu sauf ce qui s'est passé dans la camionnette ! >> lance Lise. Clémentine répond : << Julien adore se faire sucer. Même si ce n'est qu'une petite seconde ! >>. Comme si elle se dérobait à la tentation, Lise se redresse d'un bond en disant : << Il faudra que j'y goute aussi ! >>. Clémentine et moi nous nous regardons médusés. Lise quitte la cuisine en nous laissant sur nos étonnements. Clémentine m'entraîne par la main pour retourner au salon. Ce n'est pas devant l'ordinateur que nous nous installons. Je me laisse faire, guider.

Clémentine, assise sur la chaise, le dossier entre ses cuisses forcément écartées, les coudes croisés et posés en appui, me suce. Je me fais tailler une authentique pipe des familles. Une volonté délibérée afin que nous nous fassions surprendre ainsi. Je suis debout devant Clémentine. Je regarde la porte du salon grande ouverte. Lise passe dans le couloir à plusieurs reprises. À chaque fois en s'arrêtant pour jeter un coup d'œil, m'adresser un léger sourire, avant de disparaître rapidement. C'est terriblement excitant. En murmurant je raconte tout à Clémentine qui glousse en riant. Elle savoure les montées de liquide séminal. Avec mon excitation elle pompe à profusion. À tel point que je perçois les gargouillis, les bruits bulleux d'une fellation passionnée, fougueuse et hyper juteuse.

Il est un peu plus de onze heures trente quand Lise, qui s'est changée, ayant terminé son ménage, vient nous rejoindre. Cette jeune fille d'à peine dix neuf ans, ne manque pas d'initiatives. Elle entre dans le salon à pas lents. Tourne autour de nous, silencieuse, une expression de totale consternation sur son visage. Cette fois, elle n'ose pas croiser mon regard. Elle reste à distance. J'aimerais bien la fixer dans les yeux. L'inhibition légitime et bien compréhensible l'en empêche. Pourtant, après quelques minutes, Lise se rapproche. Se penche en avant pour demander à Clémentine : << Tu te régales ? C'est bon ? Tu aimes ça ? >>. Un instant de silence. Clémentine cesse de pomper pour répondre : << Tu veux gouter ? >>. Elle saisit mon chibre raide et turgescent pour le présenter à Lise.

Une fois encore, comme pour échapper à la probable tentation, la jeune fille se redresse et recule de quelques pas. Clémentine se lève. Montre l'intérieur de sa bouche de son index. Il y a des filaments de foutre gluant. Elle en a toujours aux commissures des lèvres. Je me dirige vers le bureau pour récupérer la petite enveloppe jaune que je tends à Lise. << Merci monsieur. On se voit samedi prochain ! >> lance t-elle en marchant d'un pas rapide vers la porte. Nous la raccompagnons jusque dans le hall d'entrée où elle enfile son anorak. Sans cesser de fixer ma queue. Je débande doucement. Il y a une coulure de jute qui pend sur une bonne dizaine de centimètres. Clémentine la récupère du bout de son index pour le montrer, le proposer à Lise. Nouvelle hésitation. Nouvelle tentation.

Lise détourne la tête avec une légère grimace de dégout. Clémentine porte son index à sa bouche. Avant d'ouvrir la porte pour dévaler les quatre marches du perron, Lise s'écrie : << Merci pour ce samedi matin. Au prochain ! >>. Nous la regardons courir jusqu'à sa voiture. J'agite ma queue malgré le froid mais sous l'auvent. Lise fait sa manœuvre de demi tour. Lève le pouce de sa main droite en accélérant dans la montée. Nous refermons vite la porte. << Put-Hein le goût de ta bite ! Quand je commence je n'ai plus envie d'arrêter ! >> s'écrie Clémentine en la saisissant. C'est comme ça qu'elle m'emmène à la cuisine. Je suis obligé de marcher comme un con, tiré par le Zob. Nous en rions aux éclats. Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue dont elle lave les feuilles sous l'eau.

Je fais le bouillon pour y verser les moules décongelées. C'est dans le wok que je réchauffe les haricots verts, les petits pois. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les évènements de la matinée. << Je me suis livrée au vice depuis le début de mon adolescence, et même déjà avant. Avec toi j'ai développé toutes les déclinaisons possibles. C'est merveilleux. Merci Julien ! >> s'écrie soudain Clémentine en venant terminer son assiette assise sur mes genoux. J'adore quand elle picore dans mon assiette. Qu'elle me met de la nourriture dans la bouche. Nous nous faisons des bises même en mâchant. La bouche pleine, Clémentine qui s'exclame avec difficulté : << Je t'aime ! >> postillonnant partout. Nous en rigolons comme des bossus. << De vrais porcs ! >> lance t-elle. Je dis : << J'aime les ports Écossais à marée basse ! >>. C'est pliés de rire que nous achevons ce délicieux et surréaliste repas. Avant de traîner à table. Bises.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Ma bite enroulée au fond de mon slip colle dans le foutre qu'elle dégorge. Quand j'en fais part à Clémentine, elle dit : << Mais sors-là ! Elle doit respirer cette bête ! >>. Nous nous rinçons la bouche, tête contre tête au-dessus du lavabo. En riant. Assise sur un des deux tabourets, me tenant par les fesses, Clémentine reprend sa fellation gloutonne. Estelle arrive toujours dans le plus grand silence. C'est dans le miroir que je vois la porte s'entrebâiller. Sa tête apparaître. Elle surprend mon regard avant de se précipiter en hurlant : << Sans moi ! Vous êtes des affreux ! >>. Nous cessons. Clémentine se redresse. Nous sommes tellement heureux d'êtres à nouveau ensemble. Les trois Mousquetaires. Serrés, à nous mitrailler de bisous.

Avec cette météo désastreuse, il est décidé d'aller en ville. De son sac de sport, Estelle tire une petite culotte, des chaussettes, son pyjama de soie mauve en nous racontant sa matinée avec sa maman. << Un monde fou à l'hypermarché. On a attendu en caisses au moins vingt minutes ! >> précise t-elle. Elle nous raconte son vendredi. Avec sa maman et la secrétaire au bureau de l'entreprise familiale avant d'aller faire du shopping en ville. De préparer le repas du soir. Nous racontons les dépravations jubilatoires de notre samedi matin. << Vicieux. J'espère que vous allez m'en faire profiter un peu ce weekend ! >> fait encore Estelle. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue, évoque son désir de baiser avec Léo entre deux pompages gourmands de mon chibre dégoulinant de jute. Estelle, assise à l'arrière, caressant mon cou, suggère quelques possibilités pour un "plan cul".

Je gare la voiture dans la petite ruelle habituelle. La pluie a cessé de tomber. Clémentine éprouve beaucoup de mal à cesser de sucer. Ce qui fait rire Estelle qui dit : << Tu m'en laisses un peu dis ! >>. Clémentine qui arrête enfin pour se redresser, s'essuyer la bouche répond : << Si tu veux passer devant ! >>. Estelle ne se fait pas prier pour culbuter par dessus les sièges. À genoux au sol, entre les pieds de Clémentine, elle me taille une pipe des familles. Je la force à cesser pour dire : << Les filles, gardez-en pour les opportunités que nous allons créer en ville ! >>. Nous savons bien que cela sera difficile. À part les chiottes d'un salon de thé ou encore entre deux poubelles dans une venelle, les occasions sont rares. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par les bras. Nous marchons vite.

Il y a dix minutes jusqu'aux premières rues piétonnes. Il y a pas mal de monde malgré un climat sinistre et morose. Flâner dans les grands magasins. Se tripoter en cachette. Le gage que me fixe Estelle est de lui montrer la bite quelque part au quatrième étage de ce grand magasin que nous affectionnons. Dans les rayons des accessoires ménagers. C'est là, dans l'allée entre les cocottes minutes et les bouilloires électriques que discrètement je réalise mon gage. << Bravo ! >> lance Estelle. << Génial ! >> rajoute Clémentine. Au troisième étage ce sont les vêtements femmes. Nous y faisons un tour. Il y là le choix de grandes marques. Pas d'essayages car les cabines sont pleines et il y a des files de clientes qui attendent leurs tours. Pareil au second étage des vêtements hommes. Une petite pipe en cabine est un must absolu pour mes deux anges. Estelle adore s'y faire prendre en levrette tout en nous observant dans le miroir.

Ce sera finalement dans un des cabinets des toilettes hommes de notre salon de thé préféré où nous pourrons satisfaire nos libidos débridées. Je suis obligé de mettre ma main sur la bouche d'Estelle quand je la pénétre par derrière. Ses mains en appui contre le carrelage. Je stimule son clitoris de mes autres doigts. Elle aimerait en crier de plaisir librement. Hélas, ce n'est pas possible. Surtout que de l'autre côté de la porte on entend parfois des mecs qui viennent pisser. Deux visites avec Estelle que je baise à la hussarde à chaque fois une dizaine de minutes. Deux visites avec Clémentine qui savoure les abondantes montées de foutre. Nous rions aux éclats devant nos chocolats chauds et nos éclairs à la vanille. Nous avons tous les trois les yeux cernés des jouisseurs hédonistes que nous sommes. Estelle se touche sous la table. Heureusement qu'il y a une nappe. Je propose notre restaurant pour ce soir. Clémentine téléphone immédiatement pour réserver une table.

Bonne faim de soirée à toutes les jouisseuses, vicieuses, qui adorent les douces perversités offertes par leurs tendances naturelles aux déviances sexuelles les plus dépravées...

Julien (partenaire biteux)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Monday 25 March 2024 07:42

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 21 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2563 -



Quand la météo du dimanche est merdique

Notre grasse matinée dominicale nous emmène jusqu'aux environs de neuf heures. Avec l'obscurité qui règne dans la chambre, hier, dimanche, nous ne sommes pas très sûrs de l'heure qu'il est réellement. Estelle à ma droite qui blottit encore plus fort contre moi. Clémentine à gauche qui faite de même. Nous nous étirons en modulant nos gémissements jusqu'à l'absurde. En riant. Estelle saisit mon érection naturelle la première. Alors que Clémentine empoigne mes couilles. Je glisse mes mains dans les culottes pour défaire quelques nœuds. Passer mes doigts entre les lèvres moites de l'intimité de mes deux anges. Je tire par quelques légers à coups la ficelle du dernier tampon de Clémentine. Estelle se lève la première. D'un bond. D'un seul élan pour courir vers la porte. Pipi.

<< Je l'ai gardé par précaution ! >> me dit Clémentine à propos du tampon. Ses règles sont terminées depuis hier. << Va savoir, c'est parfois chiant ! >> précise t-elle. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Il fait bien chaud partout dans la maison. Les radiateurs fonctionnent depuis plus de trois heures. Nous revêtons nos 501, nos chemises à carreaux d'épais coton, nos baskets. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Les effluves parfumées du café et du pain grillé. S'y mêlent celles de la cuisinière à bois où Estelle allume le feu. J'aime alors me placer derrière elle. Poser mes mains sur ses hanches. Monter doucement sous ses aisselles jusqu'à ses seins minuscules que je caresse délicatement. Le contact de la soie de son pyjama.

Clémentine, derrière moi, ses bras d'abord autour de ma taille puis sur ma braguette déboutonnée. Ce rituel du dimanche matin qui nous enchante. Sur la table, entre les bols, les pots de miel et de confiture, trône la brioche au pudding. Clémentine pèle les kiwis, je presse les oranges. Les filles racontent leurs rêves en imitant mon accent Écossais. Nous sommes pliés de rire. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures du samedi après-midi. Du restaurant en soirée. << On a tendance à se laisser aller. On va même vers la facilité avec ces restaurants tous les weekend ! >> lance Estelle. << On a le droit. Cette météo pourrie oblige à un peu de fantaisie ! >> précise Clémentine qui compare avec la météo de l'an dernier, aux mêmes dates. << Les pluies ! >> fait elle.

Nous traînons à table. Le dimanche, ni sport, ni jogging, ni entraînement. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, les filles font le vague programme de la journée. Dehors il pleut. C'est moche. Les bourrasques de vent jettent des paquets d'eau contre les vitres. << Mais quelle horreur. Il faisait tellement beau de mercredi à vendredi ! >> s'exclame Clémentine. Estelle qui fourre sa main dans ma braguette dit : << C'est un temps à faire un film porno d'intérieur ! >>. Nous rigolons comme des bossus. << Tu as un scénario qui tient la route ? >> demande Clémentine. << Non mais on peut improviser avec une agente d'assurance qui vient proposer un contrat en début d'après-midi ! >> répond Estelle. Nous l'écoutons et la regardons développer son concept.

<< Mais c'est fameux comme possibilité ! >> lance Clémentine. Chacun émet une idée pour parfaire l'histoire. La rendre moins bancale. C'est Estelle qui interprètera le rôle de la visiteuse. Clémentine filmera et réalisera. Elle ne désire pas figurer dans ce vingt sixième opus. Je serai le "visité". Les rares apparitions de Clémentine devant la caméra seront de dos. Nous mettons au point les derniers détails. << C'est un beau projet pour un début d'après-midi qui s'annonce bien merdique ! >> conclue Estelle. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pendant qu'Estelle s'habille nous recouvrons le lit. Pressés de nous occuper du repas de midi, nous descendons. D'abord au salon. Assises sur mes genoux, mes deux anges allument l'ordinateur. Pas de messages dans nos boîtes mails.

Elles surfent un peu sur le site universitaire. Il y a quelques photos de professeurs, d'étudiants. Estelle et Clémentine les nomment une fois encore. En ayant pour chacun d'eux une petite anecdote amusante. Alban, le beau maître de thèse du groupe des dix huit étudiants de la section dont mes deux anges font partie. Estelle se lève la première. Il est décidé de préparer un poulet rôti avec des frites. << Comme quand on étaient petites ! >> précise t-elle. Nous quittons le salon pour la cuisine. Nous pouvons tout préparer sans précipitation. Dehors c'est l'horreur des giboulées violentes de mars. << Vous allez voir, malgré le taux de remplissage parfait des nappes phréatiques, ils vont nous inventer des histoires de manque d'eau ! >> fait Estelle en sortant le poulet du réfrigérateur.

Chacun a un rôle précis dans cette préparation. Estelle s'occupe du poulet, Clémentine s'occupe de la salade et de l'assaisonnement. Je m'occupe des pommes de terre que nous descendons chercher tous les trois à la cave. Dans le cellier. Les oignons, l'ail, les champignons, les tomates. Tout en nous occupant, les filles bavardent. J'aime les écouter raconter leurs histoires d'étudiantes. Quand elles reviennent sur les attitudes de leurs jeunes dragueurs, Léo et Maël. << Ils ne sont pas les seuls ! >> précise Clémentine. Mais dans l'université d'Estelle et de Clémentine il y a de nombreuses jeunes filles plus belles les unes que les autres. Les garçons sont plutôt "beaux gosses". C'est une université privée, un peu sur le modèle Américain. Les étudiants sont "triés sur le volet". La classe.

Il est onze heures cinquante. Le poulet achève de rôtir dans la fournaise du four à bois. Estelle joue avec ma queue. Nous sommes dans la fraîcheur désagréable de la véranda pas chauffée. Nous regardons par les baies vitrés. C'est vraiment un dimanche pourri. La seule consolation en observant la situation extérieure, ce sont les couleurs printanières qui parsèment la campagne. On voit jusqu'à la rivière. Il ne faut pas trop s'éloigner du four. Les odeurs de cuissons viennent nous rappeler qu'il vaut mieux retourner à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le scénario de notre projet cinématographique. << Je fais le montage et samedi prochain on s'offre une soirée cinéma ! >> précise Estelle. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges parlent vacances.

Clémentine nous a préparé une semaine. Dans une location. Pas très loin. C'est tout ce qu'elle révèle. Elle adore nous préparer de belles surprises avec de courts séjours. Le plus souvent dans des appartements de locations chez des particuliers. Elle organise nos vacances dans le plus grand secret. Nous nous réjouissons pour découvrir ce qu'elle nous a concocté pour la première semaine des vacances de Pâques. << La veille du départ, vous avez la soirée gloryhole chez Juliette, il me semble ! >> lance Estelle. << Oui, tu viens avec nous ! >> répond Clémentine. << Ça me tente. Je vais voir ! Mais je m'occupe exclusivement de Julien ! >> rajoute Estelle. Nous en rions. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Estelle se met en tenue "d'actrice". Jupe kilts à carreaux verts et rouges.

Chemisier crème. Escarpins noirs à talons hauts. Ceux avec la petite sangle de cuir qui enserre délicatement la cheville. Clémentine revêt une jupe carmin évasée au-dessus du genoux. Un chemisier blanc. Les bottes de cuir noir à talons. Ni l'une ni l'autre ne portent culottes. Sur leurs demandes je reste en Levis mais "brut". Propre. Une chemise blanche. Des mocassins beiges. C'est déjà très excitant de prendre des poses devant le grand miroir ovale de la salle de bain. Nous redescendons. Dans le hall d'entrée, Estelle passe une des vestes cintrées de Clémentine. De nouvelles poses devant le grand miroir de la penderie. Mon sang ne fait encore qu'un tour lorsqu'elles s'accroupissent toutes les deux en écartant leurs cuisses. En jupes, il n'y a rien de plus spectaculaire. Ça nous auto érotise.

Au salon, Estelle reste serrée contre moi. Nous regardons Clémentine fixer la caméra sur le trépieds. Vérifier la charges des batteries. Deux fois quarante cinq minutes sont autorisées. Sinon il faut brancher l'appareil dans une des prises murales. Nous optons pour les batteries. Cela permet une totale mobilité de la caméra. Clémentine adore diriger les opérations. Elle nous met en situation. Estelle retourne dans le hall d'entrée. Je suis assis au bureau. << Ça tourne ! >> crie Clémentine afin qu'Estelle entende. Trois coups de sonnette. Je me lève. Suivi par Clémentine qui filme. Je vais accueillir cette splendide jeune fille qui porte un attaché case. Elle se présente. << Mademoiselle Laure. Je viens pour notre contrat d'assurance ! >> dit elle avec une authenticité qui suscite l'admiration.

Je l'invite à me suivre. Clémentine filme sous différents angles. Le trépieds replié ne semble pas gêner les prises de vues. Il faut préciser que Clémentine a beaucoup d'expérience dans ce domaine. Depuis presque sept ans que nous réalisons ce genre de films privés. Je prie la jeune fille de s'installer confortablement dans le canapé. La table basse nous sépare alors que je suis assis dans le fauteuil. Clémentine tourne autour de nous pour saisir chaque détail. En ouvrant son attaché case pour en tirer les fameux contrats, la visiteuse écarte légèrement ses cuisses. Est-ce une volonté délibérée ou la conséquence de la position qu'il lui faut adopter ? Estelle joue tellement bien ses personnages qu'il est impossible de le savoir. Toujours est-il que mon personnage est victime d'une superbe érection. Mon sexe enroulé au fond de mon slip, contrarié, demande une libération urgente. C'est tellement désagréable de sentir ma queue tordue dans le tissu.

Clémentine, accroupie derrière moi, filme l'indécence provocante de la visiteuse. Assise sur le bord du canapé, penchée en avant pour expliquer la nature de ce "contrat", les cuisses à présent largement écartées, la jeune fille me tend les feuilles de papier. Moi aussi je suis penché en avant. Mais pour mieux regarder sous sa jupe kilt. Ma visiteuse s'en rend compte. Elle en est d'abord un peu gênée puisqu'elle serre ses cuisses dans un réflexe féminin des plus émouvants. Pour les écarter en s'installant plus confortablement. Le véritable "jeu" de séduction commence. Estelle joue à la perfection. Tout cela semble à présent tellement authentique. Tellement vrai. Je joue moi aussi le mieux possible. Je vois que lorsque Clémentine change d'endroits pour filmer, elle se touche. Mais sous sa jupe.

L'excitation est évidemment à son comble. Et c'est dans ces moments là que nous savons parfaitement nous maîtriser. Il serait stupide de faire comme dans ces films pornos à la con. De nous ruer l'un sur l'autre. Non. Au contraire, nous faisons durer cette situation jusqu'aux limites du supportable. Et nous savons fixer ces limites pour nous propulser dans la stratosphère de l'excitation. Avec raffinement. Accentuant les moments les plus intenses. Estelle est une redoutable actrice. Une véritable "vocation" si elle n'était passionnée par les sciences et une carrière universitaire. Un fantasme de faire l'actrice porno qui remonte au début de l'adolescence. Lorsqu'avec Clémentine elles surfaient toutes les deux sur des sites "chelous" qu'on ne trouve qu'avec le navigateur TOR et le moteur de recherche "DuckDuckGo". Elles me racontent souvent leurs émois d'adolescentes quand elles se masturbaient toutes les deux à regarder des images sextraordinaires.

Il y a toute la charge de la première batterie, quarante cinq minutes, qui passe dans les prises de vues de ses préliminaires absolument fabuleux. Mon personnage présente sa bite raide et dégoulinante à la sublime visiteuse. Elle-même vautrée dans le canapé à se toucher. Clémentine apparait quelquefois de dos. Accroupie. Les cuisses écartées. La caméra fixée sur le trépieds filme alors en "automatique". Ses apparitions apportent une touche à la fois insolite et surréaliste. Qui est cette jeune fille qui apparaît ainsi ? Que fait elle ? Quel est son rôle dans l'histoire ? Telles sont les questions que nous nous poserons très certainement samedi prochain, en découvrant le film. Ce n'est qu'après le changement de batterie, pour quarante cinq nouvelles minutes, que s'annoncent les "passages aux actes". Estelle, à genoux entre mes jambes écartées, suçant ma queue en fixant l'objectif de la caméra. Nous entrons là dans le "classicisme".

Ce sont principalement des situations de fellations, filmées sous différents angles que Clémentine réalise. Ce n'est que lorsque je pénètre enfin ma visiteuse que les choses passent à un niveau plus "académique". Nous entrons dans la phase du porno très classique. Nous essayons bien d'y apporter une touche personnelle mais c'est peine perdue. Nos préférences vont vers les préliminaires, les "entrées en matières". Les avances. Les jeux de séductions. Les séquences de voyeurisme, d'exhibitionnisme. Ce qui se passe ensuite ne nous captive vraiment plus. Aussi, nous avons tendance à baiser juste quelques minutes avant d'improviser une situation beaucoup plus "cérébrale". Et à ce jeux, Estelle et Clémentine excellent, avec imagination, virtuosité et célérité. C'est merveilleux.

Bonne fin d'après-midi à toutes les "actrices" qui aiment prendre la collation de dix sept heures en savourant le thé, les petits gâteaux. En revenant sur la passionnante réalisation d'un nouveau fantasme cinématographique...

Julien (acteur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
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Clémentine et Julien
Tuesday 26 March 2024 07:37

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 22 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2564 -



Juste Clémentine et moi

Hier matin, lundi, les illusions bluffantes de nous réveiller en pleine forêt, nous tirent du sommeil un peu avant six heures. L'application "Bruits de la nature". Clémentine vient se serrer contre moi en gémissant. Quelques papouilles, quelques bisous, nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. C'est dur d'émerger le lundi matin. Les radiateurs viennent à peine d'entrer en fonction. Nous mettons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge dans la fraîcheur de la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Pendant que Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis, j'allume la cuisinière à bois. Le reste de la brioche au pudding dans le four à micro ondes. Je beurre les premières tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur notre weekend.

Le film porno que nous avons tourné dimanche après-midi. << Celui-là était particulièrement sympa ! >> lance Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en appréciant l'idée que nous en verrons le montage effectué par Estelle samedi prochain. Pour une de nos "soirées cinéma". Il va être six heures vingt cinq. Pas une seconde à perdre. À toute vitesse nous remontons. Notre heure d'entraînement. Les échauffements aérobics, le jogging sur les tapis roulants. Les exercices au sol. Les charges additionnelles. Le tout finalisé par les étirements d'un stretching bien trop hâtif. La douche. Je dévale les escaliers pour aller préparer la voiture. Il pleut. Le ciel est aussi sinistre que dimanche. Presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak. La température extérieure est de 10°.

Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Je m'empresse de rentrer au chaud, au sec, pour faire notre lit, notre vaisselle. Dans l'atelier j'allume la flambée de la cheminée. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque ce matin ma huitième toile hyper réaliste "Les cuisines". Un endroit ultra moderne à la propreté clinique que Clémentine a photographié à Édimbourg l'année dernière. Après un délicieux repas. Les cuisines d'un grand restaurant gastronomique. Je peins dans la plus totale félicité. Sans la moindre perception du temps qui passe. Les gargouillis de mon estomac restant mon seul repère, je sais que nous approchons de midi. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine.

Je n'ai qu'à réchauffer les spaghettis. Avec une belle escalope de dinde. L'assaisonnement d'un concombre. Pour ce soir j'envisage un gratin de brocolis. Je descends à la cave, dans le cellier pour les récupérer. J'en coupe les branches pour les laisser tremper quelques minutes dans l'eau vinaigrée. Le temps de râper du gruyère Suisse, de concocter le mélange œuf, crème fraîche, lait de soja. Je beurre le grand plat à tarte en terre cuite. J'y dépose les brocolis. Je verse le mélange. Je recouvre d'une grosse couche de gruyère. Je saupoudre de graines de sésame grillées. Des cerneaux de noix. Chapelure. Au four électrique pour une longue cuisson à 160°. Le thermostat pilotera l'ensemble. Je n'ai plus à m'occuper de rien. Ce sera une bien agréable surprise pour Clémentine ce soir. Joie.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission quotidienne, André Bercoff aborde les principaux sujets d'actualité. Avec cette verve dont il est coutumier. Bien évidemment les évènements terroristes s'étant déroulés à Moscou. Il est étrange que les auteurs de cette barbarie soient rattrapés vivants, en quelques heures et traduits en justice dès le lendemain. Alors qu'en France les même assassins sont tués et que les complices sont traduits en justice six mois après les faits. Il est également question de Bruno Le Maire, ministre de l'économie qui a participé à plomber la France de mille milliards de dettes en sept ans, qui annonce de nouvelles mesures d'austérités. Ces sinistres guignols criblent le pays de dettes par une gestion scandaleuse et font les poches des français.

Je fais la vaisselle avant de remonter me laver les mains. Pressé d'aller faire quelques pas malgré la pluie, je redescends à toute vitesse. Je chausse les bottes en caoutchouc, j'enfile mon anorak. C'est sous le parapluie et par 14° que je vais jusqu'à la rivière. Le froid, la pluie, le vent de Nord Est. Encore une journée déplorable. Il est treize heures quarante cinq quand je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé de la même félicité que ce matin. Sans la moindre perception du temps. C'est le bruit que j'entends qui m'indique qu'il est déjà dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table pour se précipiter vers moi. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, heureuse, elle me raconte sa journée.

Le menu du restaurant universitaire. << Je dois te sucer de la part d'Estelle ! >> dit elle. Nous en rions de bon cœur. Clémentine a encore ses notes à archiver. Assise devant son ordinateur, en chantonnant, elle se met à son travail. Quarante cinq minutes de pur bonheur que d'êtres occupés ainsi, ensemble, à quelques mètres l'un de l'autre. << Mais là, si je n'arrête pas, je mets tout dans le feu ! >> s'écrie t-elle en se levant. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine me rejoint au petit lavabo de l'atelier. Je me lave les mains. Elle me tient la bite pour en diriger les jets. En secouant les dernières gouttes elle me parle de Léo, le jeune étudiant. << J'ai encore réussi à le coincer dans le couloir après les cours. Nous n'avons que quelques instants pour bavarder. Sa mère qui l'attend dans la voiture. Comme un gamin devant l'école primaire ! >> dit elle en riant.

Elle rajoute : << Je l'ai invité à prendre un café un de ces soirs après les cours. Il va se démerder pour se faire chercher un peu plus tard ! >>. Je la félicite pour cette initiative en disant : << C'est en bonne voie ! >>. Clémentine s'empresse de préciser : << J'aimerais que tu assistes à tout le déroulement de mon "plan" ! >>. Nous nous promettons de mettre tout cela au point. Clémentine me fait tomber dans le vieux canapé de velours carmin. Couchée sur le dos, sa tête sur mes cuisses, sa joue contre ma queue, elle m'explique sa façon de procéder. Aller boire un café avec Léo n'est évidemment qu'un prétexte. J'écoute amusé. Elle ne manque pas d'imagination et une fille qui a une idée fixe en tête s'avère toujours une redoutable stratège. Je caresse ses sourcils. Elle développe son "plan".

Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand Elle découvre le gratin de brocolis, Clémentine me saute au cou. Il suffit de le réchauffer dans la fournaise du four à bois. Pendant que j'aide Clémentine à faire l'assaisonnement d'une salade de tomates. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les différents projets. La soirée cinéma de samedi. La soirée branle avec Juliette vendredi. Entre temps il y aura les livraisons de Danièle mercredi. Le repas du mercredi soir en compagnie de Juliette. Tout cela est réjouissant. Nous traînons à table. Assise sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou Clémentine me confie à quel point l'idée de "draguer" Léo l'enchante. << Je vais avancer un pion tous les jours. Et Estelle a plein de bons conseils ! >> lance t-elle. Nous rions.

La vaisselle. Clémentine m'entraîne au salon. Elle retire ses bottines, son Levis, sa culotte. Je me masturbe en appui contre le bureau. Clémentine, juste en chaussettes et en sweat, vient me rejoindre. Elle s'accroupit devant moi pour humer les odeurs de ma journée d'homme. Me tenant par les fesses, s'accrochant, collant son sexe contre mon tibia, elle se frotte lascivement. Je saisis sa natte au plus court. Je me penche pour murmurer : << Je me réjouis pour te voir avec une autre bite dans la bouche ! >>. Elle lève la tête, le regard plein de reconnaissance, pour demander : << C'est vrai ? >>. Je frotte ma bite sur son visage. À chaque fois qu'elle cherche à la gober, j'esquive au dernier instant. Ce qui l'amuse. Je la force à se redresser. C'est par la natte que je l'entraîne vers le canapé.

Je m'y installe. À genoux sur un des épais coussins, les mains à plats sur mes cuisses, entre mes jambes écartées, elle cherche à prendre mon sexe en bouche. J'aime esquiver à la dernière seconde. À chaque "coup manqué", Clémentine glousse de plaisir. Je la laisse enfin déguster. Ses joues creusées par l'effort de succion, parfois elle ouvre les yeux pour me fixer d'un air amusé. Espiègle. Mutine. Je pose des questions en revenant sur son projet "Léo". Cessant de sucer elle répond immédiatement. Trop contente de pouvoir insister sur des détails. Je propose le plan qui me vient à l'esprit : << Je me rends dans un des lieux que nous fréquentons lors de nos randonnées. Je t'y attends caché. Tu arrives et tu gares la bagnole. Tu me sais à proximité. Tu suces ce mec comme tu en rêves ! >>

Clémentine cesse de pomper, se redresse. M'observe longuement en silence. J'ai de la jute qui dégouline de l'extrémité de ma queue. Qui coule sur les doigts de Clémentine. Elle finit par dire : << J'y ai pensé. Je crois que c'est le meilleur plan pour un début. Mais je déteste baiser dans une bagnole ! >>. Je propose de choisir un soir où la météo est plus convivial. De prendre un plaid. Je précise : << Vous baisez en plein air. Tu sais, près du pré aux vaches, il y a le mirador. C'est la planque idéale. On a déjà baisé là tous les trois avec Estelle. J'ai une vue parfaite de là-haut. Je peux même te filmer ! >>. Clémentine me regarde longuement. Dans sa tête doivent certainement défiler toutes les scènes que je décris. Je rajoute : << Et on met Estelle dans le coup ! >>. En gémissant d'aise, Clémentine se remet à sucer. Je me penche pour chuchoter : << Viens, on fait l'amour. On pourra mettre tout ça au point plus facilement ! >>. Clémentine se redresse.

Elle se lève pour venir se placer à califourchon. S'enfonçant doucement sur mon sexe. Sa langue fouille ma bouche alors qu'elle imprime un mouvement de cavalière. C'est délicieux. Elle se retire, se lève, s'allonge sur le dos en me priant de la prendre couchée. Cette position du "missionnaire" qui nous permet d'alterner les séquences plus "actives" et celles plus calmes. C'est ainsi, dans l'immobilité, que nous aimons échanger. C'est là que Clémentine me révèle ses secrets de fille. Qu'elle a l'inspiration. M'avouant ce soir être impatiente de baiser avec le jeune étudiant. << C'est rare qu'un mec me donne envie de baiser. La plupart me donne envie de les sucer ! >> murmure t-elle en s'accrochant de ses bras autour de mon cou, ses jambes autour de ma taille. Je suis à quatre pattes.

Je la berce. Je chuchote : << J'aime vous emmener en promenade mademoiselle. Vous êtes une perpétuelle source d'inspiration ! >>. Poussant quelquefois de petits cris Clémentine se décroche pour se laisser retomber doucement sur le dos. Je reste en appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids. Bien enfoncé, immobile, j'écoute ses nouvelles inspirations. Ses nouvelles confidences. Le "plan" Léo prend doucement forme. Je l'encourage. << Je t'aime Julien. Tu me comprends si bien. Sans toi rien de tout cela ne serait possible ! >> murmure t-elle dans un souffle sans cesser de se masturber. Je me retire. Je me lève pour récupérer la cuvette en plastique bleu sous le guéridon. Je la pose au sol en m'agenouillant. J'attends Clémentine qui me rejoint en se masturbant. Accroupie au-dessus du récipient, dans un cri elle peut jouir en pissant. Je la tiens sous les bras pour maintenir son équilibre. Son corps secoué de spasmes.

Bonne nuit à toutes les coquines. Couchée sur le côté, sous le draps, la tête sur le ventre de leur complice qu'elles sucent. Avant un bon dodo...

Julien (le complice)



NOTE
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Clémentine et Julien
Wednesday 27 March 2024 07:31

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
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Docteur Julien - Docteur coquin

Il va être six heures. Hier matin, mardi, quand les bruits caractéristiques d'une profonde forêt nous tirent du sommeil. Une illusion qui nous réveille. Cela ne dure guère plus de quarante cinq secondes. En gémissant, Clémentine vient se glisser contre moi. Saisissant ma tumescence. Quelques bisous, quelques papouilles. Il faut se lever. Se précipiter aux toilettes, se vêtir des tenues de gymnastique. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. J'allume immédiatement la cuisinière à bois. Clémentine, en me racontant ses rêves, prépare le café presse les oranges, pèle les kiwis. Les radiateurs viennent de s'enclencher. Il ne fait encore que 18° dans toute la maison. Sauf à la cuisine où ça chauffe très vite avec le feu. Je beurre les tranches de pain qui ont grillé.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée en amoureux. J'évoque les aveux que ma fait Clémentine lorsque nous faisions l'amour. J'aime beaucoup la voir un peu troublée quand j'aborde le sujet. Peut-être même un peu gênée. Je le lui témoigne. Elle pose sa main sur la mienne en me souriant. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les moments sympathiques qui nous attendent cette semaine. Je dis : << Ça commence déjà ce soir avec Estelle ! >>. Clémentine s'exclame : << Elle a ses "petits machins" depuis lundi. Tu devras surtout faire le docteur ! >>. Nous en rions de bon cœur. Il va être six heures vingt cinq. Comme tous les matins, chaque seconde est comptée. Nous remontons dans notre salle d'entraînement pas chauffée. Une volonté délibéré. 16°.

Les échauffements des mouvements aérobics y remédient rapidement. Le jogging sur les tapis roulants vient parfaire la sensation corporelle de chaleur retrouvée. Les exercices au sol. Les charges additionnelles. Le retour au calme des étirements d'un stretching précipité par manque de temps. La douche. Je redescends en courant pour aller sortir l'auto du garage. Presque 7 h45. Le ciel est couvert. Le sol est trempé des pluies de la nuit. La température extérieure n'excède pas 10°. Clémentine, vêtue de son blouson d'épais cuir brun, une paire de jeans, ses bottines brunes, vient me rejoindre en enfilant ses gants de cuir brun. Assortis à son béret. Une écharpe crème. J'aime cette élégance discrète. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou avant de rentrer.

La vaisselle, faire le lit avant d'aller dans l'atelier. J'y allume la belle flambée de cheminée. Installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette huitième toile hyper réaliste est un enchantement de chaque instant. Je représente l'intérieur d'une cuisine moderne, où tout est d'une propreté clinique, chromes, carrelage blanc. On y voit un chef de face, un collaborateur de dos. C'est Clémentine qui avait pris la photo l'an dernier, dans un de nos restaurants gastronomiques préférés. Je peins dans une volupté qui me fait pousser des cris d'animaux inexistants à chaque touche de pinceau plus subtile que la précédente. Sans voir les aiguilles de l'horloge. Il va être midi. Je mets deux bûches sur la danse des dernières flammes. Je quitte l'atelier pour la cuisine.

Je n'ai qu'à réchauffer les restes du gratin de brocolis. Avec un dos de cabillaud blanc doré à la poêle. L'assaisonnement d'une endives. Pour le repas de ce soir ce sera une Flamiche Picarde. Cette tourte aux poireaux qu'apprécient tant mes deux anges. Je descends chercher les poireaux à la cave. Je les coupe et les laisse tremper un peu dans l'eau. Pendant que j'étale les deux tiers de la pâte feuilletée dans le grand plats aux bords hauts. Je concocte une Béchamel. Le poireau s'ébouillante quelques minutes dans l'auto cuiseur. Je l'égoutte pour le rajouter à la Béchamel avec le gruyère Suisse que je viens de râper. Je verse sur la pâte. Je recouvre du dernier tiers de pâte. Je badigeonne du mélange œuf, lait de soja. Au four électrique pour laisser mijoter longuement à quelques 160°.

Je mange enfin de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff anime son émission quotidienne de sa présence extraordinaire. Avec son invité il aborde aujourd'hui le conflit Ukrainien son un angle beaucoup plus pragmatique que les "merdias" traditionnels. Nous ne sommes pas ici sur RTL, sur Europe 1 ou encore sur France Inter aux informations formatées, pleines de complaisances et surtout envenimées par cette infâme propagande gouvernementale. Sud Radio est la seule station libre, n'appartenant à aucun groupe financier. La parole de ses intervenants y est donc totalement libre. Honnête. Nous avons affaire a du vrai journalisme. J'apprécie de manger sans entendre un tissu de mensonges. Oui, la guerre en Ukraine n'est qu'une vaste opération de blanchiment d'argent.

Je fais la vaisselle avant de monter me laver les dents. Pressé d'aller me dégourdir un peu les jambes je dévale les escaliers pour chausser les bottes en caoutchouc, enfiler l'anorak. Le ciel reste gris et menaçant. La température extérieure n'est que de 14°. Je descends jusqu'à la rivière. Un léger vent d'Est est probablement le responsable de cette désagréable fraîcheur humide. Je bavarde un peu avec notre plus proche voisin. Monsieur Bertrand vient nourrir les canards, les poules d'eau et les colverts qui colonisent cette partie du cour d'eau depuis plusieurs années. Il est treize heures cinquante quand je suis confortablement installé devant le chevalet. Je peins dans la même volupté que ce matin. En fond sonore le crépitement des flammes dans la grande cheminée.

Du bruit. Est-ce possible qu'il soit déjà dix sept heures trente ? Oui, car j'entends Clémentine chantonner en revenant des toilettes. Elle entre dans l'atelier pour se précipiter vers moi. Aux premiers bruits j'anticipe toujours. Je pose la palette, les pinceaux. Clémentine peut se mettre à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Je dois préparer le docteur pour ce soir. De la part d'Estelle. Mais cette fois encore, ses "petits machins" ne sont pas trop pénibles ! >> lance Clémentine en se frottant lascivement. Elle a encore ses notes à archiver. Assise devant son ordinateur elle se met au travail en parlant de Léo. Ce jeune étudiant qu'elle a encore "coincé" dans un des couloirs après les cours. À 17 h pile.

Ces quarante cinq minutes à nous occuper ensemble sont un réel bonheur. << Mais là, il et temps de tout arrêter ! >> lance soudain Clémentine en se levant. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine m'a devancé au petit lavabo de l'atelier où elle se lave les mains la première. Je retire ma blouse pour la rejoindre lorsque je la découvre accroupie. Se tenant d'une main au rebord du lavabo, l'autre dans son Levis déboutonné. La bouche grande ouverte pour y accueillir ma queue. Je me lave les mains à mon tour en me faisant sucer. Clémentine se redresse pour saisir mon érection naissante. Elle tient ma bite pour en diriger les jets. Comme presque à chaque fois qu'elle rentre de cours, sur les quinze kilomètres, Clémentine se masturbe en conduisant. Ce qui l'excite. Ce soir encore.

Après avoir secoué les dernières gouttes, elle s'accroupit une nouvelle fois. Pour me sucer passionnément. Je me penche pour demander : << Tu suces qui là, à l'instant, dans ton fantasme ? >>. Clémentine se contente de rire en gloussant. Je demande encore : << Léo par exemple ? >>. Clémentine glousse en riant. Je la saisis par sa natte et sous son menton. En enfonçant davantage de queue dans sa bouche jusqu'à la faire tousser, je rajoute : << Salope ! >>. Estelle arrive toujours dans le plus grand silence. Cette fois nous n'entendons même pas la porte de l'atelier s'ouvrir. Juste sa voix : << Dès que je ne suis pas là, c'est pipe land les salauds ! >> lance t-elle. Elle se précipite. Je lâche la tête de Clémentine qui se redresse. Sans lâcher mon Zob qu'elle agite, elle dit : << Ton sirop ! >>

À peine si Estelle me fait plusieurs bises sur la bouche, rapides, qu'elle s'accroupit pour gober mon sexe suintant de liquide séminal. Clémentine, penchée en avant, son visage tout près de celui d'Estelle, lui dit : << Tu vois, j'ai fait comme tu as demandé, j'ai préparé le docteur ! >>. Estelle cesse de sucer et se redresse juste avant que je saisisse sa tête. << Merci docteur ! >> dit elle en s'accrochant à mon cou. Clémentine passe sa main entre nous pour attraper mon érection. Serrés tous les trois nous nous faisons plein de bisous. Ça donne faim. Nous quittons l'atelier à toute vitesse. Les filles m'entraînent par les mains. Il fait chaud dans la cuisine. J'alimente toutes les trois heures la cuisinière à bois d'une bûche de chêne. Je sors la tourte du four électrique. Elle est bien dorée.

Quand mes deux anges découvrent ma surprise culinaire du soir, c'est une véritable fête qu'elles me font. Je mets la Flamiche Picarde dans la fournaise du four à bois. J'aide Clémentine à faire l'assaisonnement de la salade de carottes. Estelle met les assiettes, les couverts. La seconde cuisson est rapide. Il doit bien y avoir 300° dans le four à bois. Il faut donc surveiller de près. Ce que fait Estelle accroupie devant la porte vitrée du four. Je viens frotter ma queue contre sa nuque. Quelques petits coups de bite contre sa joue. << Vieux pervers ! >> lance t-elle à chaque initiative. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le "projet Léo". Estelle est dans la combine. Elles en parlent ensemble au restaurant universitaire. À la cafétéria ou encore durant les pauses de 10 h et de 16 h.

Le plan retenu est en extérieur. Celui que j'ai préconisé. Estelle et moi seront cachés en haut du mirador. Une sorte d'étroit cabanon où l'on accède par une échelle de trois mètres. Il y a là une banquette rudimentaire où s'installent les chasseurs de sangliers. C'est l'endroit stratégique idéal pour observer sans être vu. Nous y viendront un petit quart d'heure avant l'arrivée de Clémentine et de Léo. Nous pourrons alors assister à la suite. J'écoute mes deux anges développer chaque détail de la procédure que nous allons suivre. Les coquines ont préparé le "plan Léo". Je demande à Estelle : << Et toi, tu n'as pas envie de te faire un mec de la fac ? >>. Elle s'écrie : << Non merci. J'ai mon docteur et mon parrain, ces deux-là suffisent amplement à me combler ! Espèce de vieux pervers ! >>

Nous en rigolons comme des bossus. La vaisselle. Au salon, j'offre la thérapie du docteur Julien à Estelle. Cette phase de soins intensifs où je la fais sucer. Ce soir, effectivement comme un "vieux pervers". Elle en tousse, manque de s'étouffer, a des hauts le cœur qui donnent l'impression qu'elle va vomir dans des spasmes qui agitent tout son corps. Je cesse pour sucer son clitoris. Masser délicatement son bas ventre. Alternant la douceur, la tendresse et le comportement du "vieux pervers" qu'elle affectionne tant. Clémentine nous observe en se masturbant. Tournant autour de nous. Parfois accroupie, parfois à genoux, parfois debout. J'éjacule au fond de la gorge d'Estelle que je maintiens fermement. Elle tente de se soustraire à mon étreinte. Peine perdue. Elle doit partir pour 22 h.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se retrouvent toutes seules sous les draps avec le docteur, après s'être offert un orgasme de voyeuse...

Julien (docteur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Thursday 28 March 2024 07:41

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 24 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2566 -



Une surprise pour Danièle - Une surprise pour Juliette

Hier matin, comme chaque mercredi, je suis chargé de réveiller la fille que j'aime. Il va être sept heures. C'est depuis la maison, en formule "télé travail", que Clémentine suit ses cours. Je la regarde dormir. Ce qui me permet d'émerger dans une sorte d'émerveillement. Parce qu'elle est belle en dormant. Je suis le Prince qui va déposer ses lèvres sur les siennes pour la sortir d'un sommeil séculaire. Ce que je fais comme dans le conte de Charles Perrault. La belle se tourne pour se blottir dans mes bras en gémissant. En saisissant mon érection matinale. Je glisse ma main dans sa culotte pour démêler quelques poils. Pour glisser mon index entre les lèvres charnues de sa vulve. Buttant sur son clitoris géant. Même si nous pouvons prendre un peu plus de temps, nous ne traînons pas.

J'emmène Clémentine que je soulève et porte comme une jeune mariée jusqu'aux toilettes. Elle rit. Il fait bien chaud partout dans la maison car les radiateurs fonctionnent depuis plus d'une heure. C'est dans l'agréable chaleur de la salle de bain que nous mettons nos tenues de sport. Morts de faim nous dévalons les escaliers. J'allume la cuisinière à bois en écoutant Clémentine me raconter son rêve. Elle le fait en prenant l'accent Corse de Juliette qui vient manger ce soir. Tout en préparant le café, en pressant les oranges, en pelant les kiwis, alors que je suis plié de rire. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de mardi en compagnie d'Estelle. la thérapie du docteur qui consiste à sucer et à se faire sucer. Nous en rions de bon cœur. Car ce sont de grands moments.

Nous mangeons de bon appétit en choisissant l'option du repas de ce soir. Pour midi nous n'aurons qu'à réchauffer les restes de la tourte aux poireaux. Pour ce soir ce sera le gratin de choux fleurs. Il va être sept heures trente. << Ce matin, ils vont commencer sans moi. Je prends mes aises. Mon chéri d'abord ! >> lance Clémentine en prenant ma main. Elle m'entraîne dans le hall d'entrée où nous ouvrons le portail depuis l'interphone. Le ciel est gris mais il ne pleut pas. La température extérieure est de 4°. Nous remontons à toute vitesse jusque dans notre salle d'entraînement. Il n'y a là que 16°. Motivant pour se bouger. Nous commençons par nous échauffer avec les mouvements aérobics. En accélérant. Puis vient le jogging sur les tapis roulants. Clémentine, facétieuse, me fait rire.

Très déconneuse quand elle peut rester avec moi à la maison. Les exercices au sol. Les charges additionnelles avant le retour au calme d'un agréable stretching. La douche. Vêtus de nos Levis, de nos épaisses chemises à carreaux, nous dévalons l'escalier pour aller dans l'atelier. J'allume la flambée de la cheminée alors que Clémentine s'installe devant son ordinateur. En ajustant les écouteurs sur ses oreilles, elle dit : << Eh oui, ils ont commencé sans moi ! >>. Installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La huitième toile hyper réaliste ne m'accapare ce matin qu'en partie. La présence de la fille que j'aime est un enchantement supplémentaire. Je peins dans la volupté la plus totale. Il est dix heures lorsque mon I-phone se met à vibrer parmi le tubes de peintures.

Je m'en saisis. Le visage de Danièle apparaît à l'écran alors qu'une voix féminine prononce son prénom. Je me lève. C'est également l'heure de la pause pour Clémentine qui retire ses écouteurs, se lève pour m'accompagner. << Sors ta bite ! >> me fait elle une fois dans le hall d'entrée. La camionnette blanche se gare devant le garage. Danièle, emmitouflée dans un épais anorak gris, en saute. C'est en courant, portant un petit carton, qu'elle traverse le jardin. Je la débarrasse du colis. Clémentine la débarrasse de son anorak, de son bonnet, de ses gants. Danièle, toute heureuse d'être là nous suit à la cuisine. << Mais quel temps de merde. Ce froid détestable ! >> lance la jeune femme. Je déballe le petit poulet et les escalopes de volaille que je range dans le réfrigérateur.

C'est elle qui saisit mon sexe par derrière puisque Clémentine met une bûche de chêne dans la cuisinière à bois. Je me tourne. Danièle me lâche la queue. Je bande comme le dernier des salauds. Je me branle. J'accélère. Danièle s'accroupit en me tenant par les hanches. Clémentine se rapproche. Ce qui se passe là étonne les deux femmes. Cela dure cinq bonnes minutes. À chaque fois que Danièle ouvre la bouche pour tenter de gober mon chibre, j'esquive. << Il fait ça tout le temps pour faire saliver sa partenaire ! >> lance Clémentine qui se penche en avant. Son visage tout près de celui de Danièle à qui j'enfonce enfin ma bite dans la bouche. C'est pour lui éjaculer au fond de la gorge. Elle en tousse, manque de s'étouffer. Pour l'empêcher de se retirer, malgré l'interdiction de la toucher, je la saisis par la nuque, maintenant fermement sa tête. Elle attrape mes poignets pour tenter de se soustraire à mon étreinte. Je jute en sournois.

Je la lâche enfin. Elle se redresse pour s'écrier : << Je suis obligé de te répéter que je déteste qu'on me touche, espèce d'enfoiré ! >>. Clémentine calme cette colère naissante pour préciser : << C'est dans le feu de l'action. Julien n'est jamais mal intentionné ! >>. Danièle me fixe d'un regard courroucé. Finissant de déglutir mon foutre épais et gluant. Elle sort de la cuisine sans mot dire. Mais certainement à me maudire. En remettant son anorak alors que nous la rejoignons elle s'adresse à moi : << Tu me touches encore une fois, je t'en allonge une à travers ta gueule de pervers. Tu t'en souviendras toute ta vie ! >>. Quelle surprise quand elle m'attrape soudain par les épaules, se met sur la pointe des pieds pour poser ses lèvres sur les miennes. << Vicelard ! >> conclue t-elle.

Nous la regardons faire sa manœuvre de demi tour. Elle lève son pouce en montant vers le portail. J'agite ma queue toute molle en signe d'au revoir. Clémentine me tient par la main pour retourner dans l'atelier. << Tu as été bien inspiré de lui balancer la purée sans la prévenir. Par contre je crois qu'il est préférable d'obéir à sa demande. Ne la touche plus. Laisse-toi faire. C'est une perverse ! >> me dit elle en s'asseyant devant son ordinateur. Je retourne à ma peinture en pensant aux réactions de Danièle. Est-elle réellement sincère ? Est-ce que cette attitude est réelle ? Tout cela fait-il partie d'un jeu ? Les fantasmes de la jeune femme ? Il faudra un jour élucider ce mystère. Il est midi quand Clémentine retire ses écouteurs, se lève pour venir mettre deux bûches sur les braises.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les restes. Pendant que Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de concombre et d'avocat, je coupe les branches du gros choux fleurs pour les laisser tremper dans l'eau vinaigrée. Je concocte une sauce au Roquefort. Un liant composé d'œuf, de crème fraîche et de lait de soja. Je mets le choux fleurs dans le plat carré en terre cuite. Je verse la garniture. Je recouvre d'une copieuse couche de ce délicieux gruyère Suisse. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillées. Des cerneaux de noix avant de placer le tout dans le four électrique. Le thermostat pilotera la lente et longue cuisson à 160°. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les évènements de la matinée. J'écoute les considérations de Clémentine. << Tu peux être certain que cette salope a vraiment apprécié de se faire juter dans la gueule. J'ai bien observé. Sûre ! >> lance Clémentine.

Nous en rions de bon cœur. Assise sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, Clémentine me conseille vivement d'imposer le même comportement à Juliette ce soir. Nous savons qu'avec Juliette les choses sont assez similaires. Elle non plus n'aime pas trop être "manipulée". Il me faudra donc ruser. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Pressés d'aller nous dégourdir un peu les jambes, nous redescendons à toute vitesse pour enfiler les anoraks. Bonnets, gants, comme en plein hiver. La température extérieure reste bloquée à 8°. Un fort vent de Nord Est est responsable de ce froid glacial. Nous allons jusqu'à la rivière. Clémentine me tenant par le bras, serrée contre moi pour me donner ses impressions. Mon comportement vicieux avec Danièle l'a enchanté autant qu'excité.

Il est presque quatorze heures quand nous sommes de retour dans l'atelier. Plongés dans nos travaux. Il est dix sept heures quand Clémentine retire ses écouteurs en disant : << Je quitte l'école ! >>. Je nettoie la palette, les pinceaux. Nous nous rejoignons devant le petit lavabo de l'atelier. Après nous êtres essuyés les mains, Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets. En secouant les dernières gouttes, elle dit : << Viens, moi aussi j'ai envie de sucer un vicelard. Ça va te mettre en forme pour tout à l'heure ! >>. Elle m'entraîne par la bite jusqu'au canapé où elle me fait tomber. À genoux sur un des épais coussins, entre mes jambes écartées, ses mains à plat sur mes cuisses alors que je passe ma queue sur son visage, elle revient sur Léo, le jeune étudiant.

Une fois encore nous nous offrons ce moment d'échanges. Clémentine se livre avec passion à son appétit pour la fellation. Je caresse délicatement son visage en posant des questions. Parfois Clémentine glousse en riant. Parfois elle cesse de sucer pour y répondre. J'adore son regard par en-dessous, terriblement suggestif, quand elle me branle doucement tout en parlant. Je demande : << Tu n'as pas envie que je m'occupe de toi ? Tu n'as pas envie de faire l'amour ? >>. Clémentine reste un instant silencieuse. << Je suis toujours partagée entre ma passion pour la pipe et la baise. On baise au lit ce soir. Tu veux ? >> finit elle par répondre. Je découvre qu'elle a sa main libre dans son Levis déboutonné. Elle se masturbe. << Mon plaisir premier juste avant la pipe ! >> s'exclame t-elle.

Du bruit. C'est Juliette. La porte de l'atelier qui s'ouvre. Juliette y pénètre. Ce soir vêtue d'une paire de jeans, de bottines et d'un épais pull noir au large col roulé. Ses cheveux attachés en une longue natte qui dépasse de son bonnet de laine noire. Elle se précipite pour me faire la bise alors que Clémentine se redresse. << J'arrive encore comme un cheveux sur la soupe ! Excusez-moi ! >> lance notre amie. Lorsque je me lève Juliette m'attrape le Zob. Je passe ma main immédiatement entre ses cuisses. C'est le test idéal pour savoir quelle est son humeur ce soir. Elle dit : << Bien "allumé" encore ce soir notre pervers préféré ! >>. Nous en rions aux éclats. Ma main se fait insistante. Ce soir Juliette ne semble pas farouche. Elle saisit même mon poignet pour me maintenir.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer le gratin de choux fleurs. Juliette met les assiettes, les couverts en nous racontant ses journées de chef d'entreprise. Le cheval décédé vendredi dernier. Le deuxième depuis novembre. Morts subites. J'aide Clémentine à faire l'assaisonnement des endives. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. La conversation dévie assez rapidement sur le sujet qui nous préoccupe. Nos sexualités déviantes. Nous rejoindrons Juliette chez elle vendredi. Pour partager le repas prélude à notre projet de soirée branle. << Avec une surprise ! >> lance Juliette et son air mystérieux. Nous prenons le dessert au salon. Juliette vautrée dans le fauteuil qui nous fait face. Comme Clémentine, avec une main dans son pantalon déboutonné. Branlette.

Se touchant d'une main, Clémentine joue avec ma queue de l'autre. Nous évoquons la soirée Gloryhole que prévoit Juliette le vendredi 19 avril. Le premier soir des vacances de Pâques. Clémentine se réjouit pour cette soirée extraordinaire. Dans le flot de la conversation, je me lève. Je contourne la table basse pour m'approcher de Juliette. Elle cesse de se toucher. Comme devant une menace, elle change de position. << Toi, mon salaud, je te vois venir ! >> dit elle en agitant son index comme en avertissement. Je m'approche encore. Je saisis sa natte. Elle me repousse. Je la tiens fermement. Je frotte ma bite sur sa gueule alors que tente de me repousser. Mais, ce n'est très certainement qu'un jeu car à ma grande surprise elle ouvre la bouche. J'entends Clémentine gémir de plaisir.

Je me branle frénétiquement. Je tiens Juliette par ses oreilles. Elle devra nous quitter pour 22 h. Il reste une petite demi heure. Curieusement, cette fois, elle ne m'en empêche pas. J'enfonce ma bite dans sa bouche. Elle se met immédiatement à sucer comme une assoiffée. Clémentine se lève d'un bond, contourne la table basse pour venir s'accroupir à côté du fauteuil. Son visage tout près de celui de Juliette. Pour dire : << C'est sa deuxième éjaculation de la journée ! >>. J'éjacule au fond de sa gorge. Une décharge encore plus puissante que ce matin. Là, je maintiens fermement la tête de Juliette. Elle en tousse, manque de s'étouffer. Du foutre qui jaillit. Sa petite gueule de belle bourgeoise quinquagénaire déformée par une affreuse grimace. Presque défigurée de convulsions et de dégoût. Je la lâche enfin. Dans un cri, en reprenant son souffle dans une profonde inspiration, elle s'écrie : << Espèce de pervers. Salopard. Dégueulasse ! >>

Bonne nuit à toutes les coquines ayant assisté à deux moments de vice intense de la part de leur coquin. Qui se font sucer le clitoris. Qui s'endorment contre lui après un orgasme foudroyant en témoignant la joie de vivre de tels instants...

Julien (pervers décadent et vicelard)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Friday 29 March 2024 07:37

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 25 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2567 -



Le jeudi soir avec Estelle

Il est presque six heures, hier matin, jeudi. Le gazouillis des oiseaux qui semblent virevolter dans la chambre. Le bruit de la source qui semble s'écouler à proximité du lit. Le jour qui commence à se lever. L'illusion enchanteresse de nous réveiller en pleine nature. En pleine forêt. Nos I-phones distribuent cette féérie durant quarante cinq secondes. Avant ce silence brutal ou Clémentine se tourne pour venir se blottir contre moi. Cherchant toute la volonté et le courage pour affronter cet instant traumatique. Quelques bisous, quelques papouilles. Il faut se lever. Se précipiter aux toilettes. Se vêtir de nos tenues sports dans une salle de bain encore fraîche. Tout cela un peu à la manière de robots parfaitement programmés. Quand nous évoquons cette particularité, nous en rions.

Morts de faim nous dévalons les escaliers. Pendant que Clémentine prépare le café, presse les oranges, pèle les kiwis en chantonnant, j'allume la cuisinière à bois. J'attrape les quatre première tranches éjectées par le grille pain. Elles se beurrent facilement avant d'y étaler miel crémeux ou confiture d'églantine. Nous prenons le petit déjeuner en revenant sur notre soirée de mercredi en compagnie de Juliette. << Ce sont déjà des "soirées branles" à chacune de ses visites. Je l'ai bien observé quand tu lui éjaculais au fond de la gorge ! Cette salope apprécie et ne fait que simuler le courroux. Au contraire de Danièle que cela a certainement révulsé ! >> m'explique Clémentine. J'écoute ses impressions car elle ne se trompe jamais sur la psychologie des individus. C'est très intéressant.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant quelques options d'activités pour le weekend à venir. Notre seul véritable souhait, qu'il fasse enfin beau pour cette fin mars. Il va être six heures vingt cinq. Il faut remonter. La salle d'entraînement pas chauffée impose un échauffement conséquent. Les mouvements accélérés de l'aérobic suivis du jogging sur les tapis roulants restent la meilleure formule. Nous pouvons poursuivre avec les exercices au sol. Abdos sur tapis de mousse. Avant la manipulation des barres et des haltères. Les étirements d'un agréable stretching avant de courir à la salle de bain pour prendre notre douche. Ma mission quotidienne, aller faire chauffer la voiture. Il va être 7 h45. Le ciel est voilé de gris mais plutôt lumineux, sans menace. Une température de 6°.

Clémentine vient me rejoindre. Vêtue de son blouson d'épais cuir brun, d'un pantalon noir, de bottines brunes assorties à son béret, à ses gants. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer au chaud pour faire la vaisselle, recouvrir le lit. Dans l'atelier j'allume une belle flambée de cheminée avant de m'installer devant le chevalet. Je prépare les couleurs sur la toile. Il est fort probable que je termine cette huitième toile ce soir ou au pire, demain matin. Je peins dans la plus profonde des sérénités en pensant à mes deux éjaculations de mercredi. En matinée dans la bouche de Danièle. En soirée dans la bouche de Juliette. Je ris de leurs attitudes et de ces insultes que je reçois comme autant de compliments. Tout cela m'emmène vers midi.

Je mets deux bûches sur les braises rougeoyantes avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à réchauffer le reste du gratin de choux fleurs. Avec une salades de carottes. Le rituel du repas des jeudis soir est devenu hebdomadaire. Je fais bouillir l'eau des coquillettes pendant que je concocte une Béchamel. Dans la poêle je fais rissoler deux grosses escalopes de dinde que j'ai finement émincé. Avec de tous petits champignons que je rajoute juste avant d'enlever la poêle de la plaque chaude de la cuisinière à bois. Je râpe de ce sublime gruyère Suisse Appenzeller. Je verse le contenu de la poêle dans la Béchamel. Avec le gruyère. Je rempli les cinq grosses bouchées à la reine. Je les cale avec les coquillettes égouttées. Gruyère, chapelure et au four électrique. Une cuisson à 160°.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff fait aujourd'hui l'inventaire des thèses complotistes les plus en vogues. En précisant : << Donnez-moi de nouvelles théories du complot car toutes les anciennes sont devenues vraies ! >>. Il est question de cette rumeur selon laquelle des agents des services spéciaux Russes seraient sur le territoire français. Plusieurs dizaines. Ayant pour mission de s'emparer du Méprisant de la République et de l'emmener à Moscou vivant. Cette autre rumeur qui voudrait que durant les Jeux Olympiques sera organisé un attentat meurtrier de grande envergure sous faux drapeau. Ce qui permettrait à ce même méprisant de la République de décréter l'état d'urgence, (la loi martiale) et ainsi de décider seul des choses à venir. C'est vrai que nos dirigeants sont de tels psychopathes, de telles crapules sans scrupules que ces hypothèses fumeuses pourraient devenir de terribles réalités.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller faire quelques pas au dehors je redescends à toute vitesse. J'enfile l'anorak. Il y a de nombreuses séquences ensoleillées depuis ce matin. Je vais jusqu'à la rivière. J'y rencontre une fois encore monsieur Bertrand. Notre plus proche voisin qui vient nourrir les canards. Nous bavardons. Il est treize heures cinquante lorsque je suis à nouveau confortablement installé devant le chevalet. Je peins dans plus parfaite des sérénité. Non, je ne pourrai pas terminer cette toile ce soir. Il est déjà dix sept heures trente. J'entends Clémentine chantonner en revenant des toilettes. Elle entre dans l'atelier, jette son cartable dans le fauteuil à bascule pour se précipiter vers moi. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou. Bisous.

Elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Ses contacts avec Léo avec qui elle bavarde toujours quelques minutes dans les couloirs avant de quitter les bâtiments. << Je dois te prévenir qu'Estelle veut en savoir davantage sur tes comportements de pervers avec Danièle et Juliette ! >> rajoute Clémentine en se levant. Elle a encore ses notes du jour à archiver. Assise devant son ordinateur à chantonner, à me raconter d'autres détails quand au piège qu'elle prépare envers ce jeune étudiant. << J'espère simplement qu'il ne va pas tomber amoureux. Je n'ai aucune envie de lui faire le moindre mal. Si je sens le moindre doute, j'arrête tout immédiatement ! >> précise Clémentine. Nous passons les quarante cinq minutes suivantes dans la félicité d'êtres ensemble.

<< Put-Hein ! Je pète un câble si je n'arrête pas ! >> s'écrie t-elle soudain en se levant pour commencer à ranger ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Nous nous rejoignons devant le petit lavabo de l'atelier. Nous nous lavons les mains en riant. Puis Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets. Elle secoue les dernières gouttes avant de se pencher pour suçoter les derniers épanchements. << Tu t'es branlé ? >> me demande t-elle en se redressant. Elle rajoute : << Il y a le gout du foutre ! >>. C'est probablement la résultante des multiples érections de ma journée de peinture. Lorsque je peins je pense quelquefois à des situations vécues. Ce qui me fait bander. L'excitation produisant des sécrétions de liquide séminal. << En tous cas c'est miam ! >> dit elle.

La nuit tombe totalement vers dix neuf heures. C'est très agréable dans l'atelier. J'y promène Clémentine en la portant. Ses jambes autour de ma taille, ses bras autour de mon cou. Mitraillant mon visage de bisous. L'idée du weekend qui commence vendredi à midi produit ses petits effets. Estelle entre dans l'atelier. Dans le plus grand silence. Guerrier Sioux. Nous nous en apercevons soudain quand elle se précipite vers nous. Je dépose Clémentine pour soulever Estelle. Nous sommes tellement contents d'êtres à nouveau tous les trois. Morts de faim, nous quittons l'atelier pour la cuisine. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Elle le déplore en restant serrée contre moi pendant que Clémentine sort les bouchées à la reine du four électrique froid pour les mettre dans la fournaise du four à bois.

Je l'aide à faire l'assaisonnement du concombre. Estelle met les assiettes, les couverts. Vient derrière moi pour me tenir la queue toute molle. << Mon doudou ! >> dit elle. Elle rajoute d'un ton enjoué : << Mes "petits machins" ! Terminés depuis ce matin ! Chatte lavée ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Je dis : << On va contrôler tout ça après la bouffe ! >>. Estelle sautille autour de nous en s'écriant : << Oh oui, oh oui ! >>. Nous mangeons de bon appétit. À chaque fois que je réponds à une de ses questions concernant mes attitudes de pervers avec Danièle, avec Juliette, Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine. << Vieux cochon ! Tu me fais la même chose ce soir ? >> s'exclame t-elle en venant s'assoir la première sur mes cuisses. Bras autour de mon cou.

Quand Clémentine vient s'installer à son tour, Estelle nous apprend qu'elle a terminé le montage du film porno que nous avons tourné dimanche dernier. << Comme je n'ai pas baisé mercredi soir à cause de mes "petits machins, j'ai consacré une partie de mon temps à finaliser le montage. On se mâte ça samedi soir ! >>. Nous nous réjouissons. Je demande : << Mais, toi qui apprécie de plus en plus la sodomie, pourquoi n'as-tu pas passé la soirée avec ton parrain ? >>. Estelle, en riant, répond : << Je ne vais tout de même pas passer une heure à me faire enculer par Jean-Marc. T'es fou ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon par les mains. Estelle se montre ce soir particulièrement douce, aimante et désireuse. Elle m'embrasse.

C'est Clémentine qui se retrouve la première juste en chaussettes et en sweat. Elle se touche en regardant Estelle fouiller ma bouche de sa langue, tenant mon érection. Je bande comme le dernier des salauds quand on m'embrasse passionnément. Estelle me lâche pour se déshabiller à son tour. C'est Clémentine qui vient m'embrasser. Sans cesser de se masturber. J'adore entendre les tous petits gémissements qu'elle émet en jouant avec ma bite. Nos mentons sont trempés de salive. Nous ne nous lassons jamais de ces préliminaires. C'est toujours comme une première fois. Estelle, un des épais coussins du canapé à la main, va s'installer sur le dessus du bureau. Elle se touche, cuisses écartées, pieds posés sur le bord du meuble. Clémentine cesse de m'embrasser. Nous la regardons.

Je passe mes doigts dans la raie culière de Clémentine. J'en enfonce deux dans son sexe trempé. Elle me tire par le Zob pour m'emmener devant Estelle. Elle frotte mon sexe sur celui d'Estelle qui, en appui sur ses coudes, observe mes expressions. Comme le fait Clémentine avant d'introduire ma queue dans l'intimité d'Estelle. << Je vous regarde ! >> dit elle en passant derrière moi pour me chopper les couilles de sa main libre. Je baise Estelle comme elle aime. C'est à dire avec la douceur d'un Sumo Japonais sur le tatamis. Avec la délicatesse d'un lutteur Ukrainien lors d'une compétition. Estelle s'agite en poussant des cris. En gémissant. La tête rejetée en arrière. Elle se masturbe d'une main, couchée sur le dos, sa tête posée sur le coussin. Je la tringle avec la tendresse d'un ours en rut. En poussant des mugissements d'animal sauvage. Des beuglements évoquant le brame du cerf au fond des bois. Ça résonne étrangement dans le salon.

Clémentine adore rester près de nous. Son visage tout près du mien pour observer chacune de mes expressions. Pour me chuchoter ses impressions. Elle se frotte contre ma cuisse en se maintenant de ses bras autour de ma taille. Je tiens les chevilles d'Estelle pour la bourrer comme un sauvage. Elle me repousse doucement pour se terminer aux doigts. Dans un hurlement. Son orgasme la laisse hébétée, les yeux cernés. Elle se couche sur le côté en gémissant, les mains entre ses cuisses serrées. Clémentine s'accroupit pour me prendre en bouche. Elle a de quoi se régaler. Avec cette heure d'exercice mes couilles dégorgent de liquide séminal qu'elles distillent en abondance. Clémentine suce encore avec une telle passion. Je l'aide à se redresser avant la crampe alors qu'Estelle s'habille.

Bonne nouille à toutes les coquines qui, sous les draps, vont en savourer les jus. Après s'être fait sucer le clitoris jusqu'à l'orgasme. Avant de s'endormir dans les bras de leur bienfaiteur. Le gout du jus de sa nouille dans la bouche...

Julien (l'homme à la nouille juteuse)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Saturday 30 March 2024 07:24

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 26 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2568 -



Soirée branle chez Juliette

Hier matin, vendredi, à presque six heures, retentissent les gazouillis des oiseaux. Le bruit de la source. Les illusions distillées par nos I-phones parfaitement synchrones. Clémentine se tourne pour se serrer contre moi. Gémissant comme une désespérée. Saisissant rapidement ma tumescence pour poser ses lèvres dans mon cou. Je glisse ma main dans sa culotte. J'adore passer mon index entre les lèvres pulpeuses et charnues de sa vulve. C'est la première émotion de la journée. Il faut se lever. Chaque seconde est employée à son juste escient. Quelques bisous. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Quand elle termine à midi, Clémentine est facétieuse. Les radiateurs viennent de se mettre en fonction. Nous nous habillons de nos habits de sport. À toute vitesse.

Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Clémentine s'occupe immédiatement du café, de presser les oranges, de peler les kiwis. J'allume la cuisinière à bois. Je beurre les quatre premières tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les folies du jeudi soir. En compagnie d'Estelle. << Elle m'en parle souvent au restaurant universitaire. Tu la baises encore mieux que son parrain ! >> me confie Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de l'après-midi. Ce soir nous sommes attendus chez Juliette pour dix neuf heures. Pas de repas à préparer. En regardant par la fenêtre pour voir le jour se lever, à la vue du ciel gris et couvert, nul doute que ce serons des activités d'intérieurs.

Il va être six heures vingt cinq. Nous remontons pour la séance d'entraînement. Les échauffements aérobics bien nécessaires dans cette grande pièce pas chauffée. Clémentine s'avère encore très déconneuse. Pendant le jogging sur les tapis roulants elle se tourne en courant, fait des grimaces me fait rire au point que je risque de trébucher. Les exercices au sol. Les charges additionnelles avant les étirements du retour au calme des plus agréables. Même si par manque de temps nous bâclons la plupart d'entre eux. La douche. Je redescends le premier pour aller faire chauffer l'auto. Presque 7 h45. Une température extérieure de 10°. Un ciel tristounet avec la déclinaison de tous les gris de nuages pas menaçants. Clémentine vient me rejoindre en sautillant. Ses bras autour de mon cou.

Un dernier bisou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Je me dépêche de rentrer. Il fait bien chaud dans la maison avec 22°. Je fais la vaisselle, je recouvre le lit. Dans l'atelier j'allume une belle flambée de cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Cette huitième toile hyper réaliste verra sa finalisation ce matin. Je peins dans une certaine euphorie. Un peu de cette déconne laissée par Clémentine. Typique de mes vendredis matins. Il est exactement dix heures trente quand je dépose la dernière touche de bleu de cobalt sur la surface du tableau achevé. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je fais un peu de ménage dans la grande pièce. Avec une cheminée, le dépôt de poussière est redoutable.

Il est presque midi. Je mets deux bûches sur les braises rougeoyantes avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les deux grosses bouchées à la reine dans leurs coquillettes. L'assaisonnement d'une salade de tomates. Il est 12 h35 quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou en s'écriant : << Je suis avec mon chéri jusqu'à lundi matin ! >>. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. Je l'emmène aux toilettes. Pipi. Lavage des mains. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Les vendredis, avant de rentrer, elle s'arrête toujours à la station pour y faire le plein. Elle s'est encore fait draguer un peu par un type. Nous rions quand elle relate la façon de faire et les arguments du bonhomme. << Un café à midi ! >> lance t-elle.

Nous ne traînons pas car Clémentine aimerait bien aller en ville. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Je me change pour mettre un Levis propre, une chemise blanche sous un pull noir au col en "V". Mes bottines brunes. Nous sommes vêtus à l'identique. Nous dévalons les escaliers pour enfiler nos mêmes blousons d'épais cuir brun. Une écharpe crème. Nous prenons des pauses devant le grand miroir de la penderie du hall d'entrée. La température extérieure est de 17°. Le ciel est légèrement plus lumineux. C'est parti. Il y a vingt cinq kilomètres jusqu'en ville. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Elle revient sur le "projet Léo". Dès les premiers beaux jours, ce sera le "piège". << J'ai prévu mon "coup". Lorsque nous bavardons après les cours. Il est d'accord pour faire un tour dans ma voiture. L'essayer. On mettra tout ça au point. Tiens-toi prêt. Tu seras planqué avec Estelle ! >> m'explique t-elle. J'écoute avec soin.

Je gare l'auto dans la ruelle habituelle. Clémentine aime bien me sucer encore un peu lorsque nous sommes là, à l'arrêt. Je remballe. Nous marchons d'un bon pas sur les dix minutes qui nous séparent des premières rues piétonnes. Clémentine me tient par la main. Il y a du monde pour un vendredi après-midi. Nous flânons en admirant les vitrines. Les décorations de Pâques. La tradition veut qu'en cette période les maisons soient vidées afin de tout nettoyer de fond en comble. Les décors tournent autour de cette idée. Nous apprécions les grands magasins sur plusieurs étages. Les "Galeries" proposent un univers très particulier. De grands œufs multicolores. Des personnages de contes de fées accompagnés de lapins. Parfois loufoques. Les rayons des vêtement hommes. Ceux des vêtements femmes. Clémentine aime bien faire des essayages. J'aime bien l'accompagner. On s'amuse tellement dans les cabines, derrière les rideaux tirés.

Parfois tirés de manière à laisser un petit espace pour voyeurs. Ou voyeuses. Hélas pas de "victimes potentielles" aux jeux exhibitionnistes de Clémentine. Je l'encourage à prendre ce bel ensemble en toile de lin écru, beige. Un pantalon légèrement évasé. Une veste légère, cintrée à la taille. Clémentine hésite. << J'ai une armoire pleine de fringues ! >> se justifie t-elle. Je suggère qu'un de ces jours elle fasse le tri de ce qu'elle ne porte plus. Qu'on s'en débarrasse pour faire de la place. Argument qui finit par la convaincre. Estelle connaît une dame au bourg qui fait la collecte des vieux vêtements pour l'association "Terre des hommes". Il suffira de tout apporter à cette bénévole. Nous prenons. Je porte le grand sachet en papier au logo des "Galeries". Nous faisons tous les étages.

Dans l'ascenseur où nous montons et descendons plusieurs fois comme des gamin espiègles. Pour nous embrasser, pour nous tripoter. Je bande comme le dernier des salauds. Nous manquons de nous faire surprendre par deux dames. Alors que j'ajuste mon érection bien droite dans mon slip. J'en ai marre que ma bite soit contrariée et tordue dans mon Levis. Un petit tour dans les boutiques de chaussures. J'aime beaucoup quand Clémentine choisit des souliers en fonction de ses nouvelles tenues. L'ensemble est beige. L'idéal avec des souliers dans les teintes grèges. Entre le gris et le beige. Je suis doté d'une patience infinie. Je prends donc un plaisir intense à regarder Clémentine faire de multiples essayages, s'observer dans les miroirs. Elle est tellement belle et encore plus attractive.

De plus elle attire les regards par sa classe et sa prestance naturelles. J'éprouve une certaine fierté à l'accompagner dans ces moments privilégiés. Finalement le choix se porte sur deux paires. Un mocassin, un soulier à léger talon. Je porte les sacs en trottinant parfois derrière Clémentine qui nous entraîne. Un tour à la FNAC. Il y a du monde. Beaucoup d'étudiants les vendredis après-midi. Clémentine rencontre d'ailleurs quelques uns de son université. Je me tiens alors à l'écart pour la laisser bavarder un peu. Elle insiste toujours pour que je reste au près d'elle. Mais ça me gêne un peu d'être d'abord pris pour le papa avant d'être considéré comme le compagnon. Ce qui fait énormément rire Clémentine. << J'aime je présenter. Ça m'excite aussi ! >> précise t-elle pour me convaincre.

À l'étage de notre salon de thé préféré nous attendent deux grandes tasses de chocolats chauds. Deux tranches de tarte aux myrtilles. Nous avons beaucoup de chance d'y trouver une table libre. Un premier tour aux toilettes hommes. Enfermés dans un des cabinets. Je tiens Clémentine pour parfaire son équilibre. Quand elle fait pipi elle ne veut aucun contact avec la lunette de la cuvette. Je fais le contorsionniste, accroupi, pour lui lécher le fion. Sucer son clitoris géant. Elle me tient la bite pour en diriger les jets. Accroupie elle suce les dernières gouttes. Une bonne dizaine de minutes. Nous nous offrons même le luxe d'une seconde visite. Sous le regards interrogatifs de quelques clients. Que va donc faire cette sublime jeune fille aux chiottes avec cet homme d'âge mûr. Est-ce son père ?

Il est dix sept heures trente quand nous revenons à la voiture. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue qu'elle suce parfois en gémissant d'aise. J'aime bien appuyer sur sa nuque en sournois pour lui enfoncer davantage de queue. Quand elle se redresse elle me dit : << J'aime quand tu fais ça tu sais ! >>. Et elle reprend sa conversation. Me raconte quelques amusantes anecdotes universitaires concernant les étudiantes qu'elle m'a présenté. Il est dix huit heures quand nous sommes de retour à la maison. Nous restons vêtus comme nous le sommes. Clémentine déballe ses nouveaux vêtements qu'elle repasse rapidement avant de les suspendre sur un cintre. Ses nouvelles chaussures vont rejoindre ses dizaines d'autres dans le bas de la penderie. Elle me fait rire de ses plaisanteries quand à sa collection de godasses. << Je développe une sorte de fétichisme de la chaussures ! >> lance t-elle en changeant de bottines.

Les lecteurs savent bien que lorsqu'on vit en couple, les trois quarts de l'armoire sont réservés aux vêtements de madame. Un petit quart nous est octroyé par pitié. Il en va de même pour le bas des placards avec les chaussures. Dans la penderie comme dans les tiroirs des commodes. Moi aussi j'ai l'impression de vivre avec quatre femmes qui occupent tout l'espace. J'adore. Nous en rions aux éclats. << Pauvre Julien ! >> lance Clémentine. Il faut y aller. Nous dévalons les escaliers. Il est exactement dix neuf heures. Nous garons l'auto dans la cour du haras. Juliette vient nous accueillir sur le pas de la porte. << Venez, il faut passer par les bureaux parce que j'ai des peintres qui refont les couloirs ! >> précise Juliette vêtue comme nous, d'une paire de jeans, d'un pull noir à large col.

Installés dans le canapé, Clémentine et moi bavardons avec Juliette. Assise dans le fauteuil qui nous fait face. La conversation s'oriente très rapidement sur le thème de notre rendez-vous. Une de ces "soirées branles" dont nous raffolons. En abordant le sujet, avant de passer à table, Juliette se lève pour déboutonner son Levis. Sur une culotte de dentelles blanches. Nous remarquons les poils qui en dépassent au-dessus de l'élastique. << Je fais comme toi, je laisse pousser la broussaille ! >> dit elle à Clémentine en tirant l'élastique vers le bas avec son pouce. Clémentine qui sort sa main de ma braguette pour se lever à son tour. Déboutonner son 501. Question pilosité, il est extrêmement difficile de s'aligner. Car Clémentine est véritablement velue. Elle fait comme Juliette avec son pouce.

Je sors ma queue en admirant ces deux superbes femmes comparer leurs pilosités. Juliette me demande : << Tu aimes tellement les femmes poilues ? >>. Je réponds : << Non, je n'aime pas, j'adore. Je déteste les "abricots". Les paysages déserts m'accablent ! >>. Nous en rigolons comme des bossus avant de passer à table. Juliette nous a préparé une tarte à la tomate et à l'avocat. Un véritable délice. Je me lève à plusieurs reprises pour agiter mon sexe vers l'une, vers l'autre. C'est Juliette qui se lève la première pour se toucher quelques instants avant de se rassoir pour continuer son repas. Imitée par Clémentine. Nous débarrassons pour tout mettre dans le lave vaisselle. Trop impatients de passer à la suite des évènements. Juliette ouvre les festivités avec sa façon habituelle.

Coinçant son sexe sur le coin de la table, ses mains en appui sur les bord, elle se frotte. Ce n'est pas un jeu, c'est une véritable masturbation. Imitée par Clémentine qui prend un autre coin. Je tourne autour de la table en me branlant. Je regarde. J'observe. Je me rapproche d'abords de Clémentine pour scruter les expressions de son visage. Puis je vais vers Juliette. Je vais, je viens. Je découvre la sueur qui commence à perler sur le bout de leurs nez. Clémentine se retire la première pour glisser sa main dans sa culotte. Cambrée sur ses jambes fléchies, se tenant à la table, elle accélère son mouvement en poussant de petits cris de ravissements. Juliette cesse également pour faire de même. Regardant Clémentine. Je suis le spectateur privilégié d'un moment extraordinaire et intense.

Juliette est bisexuelle. Depuis six ans elle n'a jamais caché son attirance pour Clémentine. Hélas pour elle, comme pour moi, Clémentine n'a absolument aucun penchant homosexuelle. J'observe le regard libidineux de Juliette qui doit probablement se maîtriser pour ne pas se précipiter sur Clémentine. Je bande comme le dernier des salauds. C'est presque douloureux. C'est vers moi que soudain, sans prévenir, Juliette se précipite. Elle me choppe la queue qu'elle tord dans tous les sens. Comme si elle cherchait à se venger de sa frustration. La sonnerie d'un téléphone. << La surprise ! >> s'exclame Juliette en courant vers la porte. Elle disparaît. Clémentine sans cesser de se toucher, toute rouge, en sueur, vient se serrer contre moi. Juliette revient avec Robert, son vétérinaire. Sa bite à l'air.

<< L'enfoiré vient se faire pomper le dard mademoiselle ! >> lance Juliette à l'attention de Clémentine. Clémentine qui se serre encore plus fort. Je la sens frissonner puis trembler. Robert est un quinquagénaire de taille moyenne. Au physique quelconque et toujours vêtu comme un comptable. Là, il se masturbe en disant : << Bonsoir ! En effet je viens me faire pomper le dard par la belle demoiselle ! >>. Juliette rajoute : << Pendant que je pompe celui du pervers qui l'accompagne ! >>. Elle me fixe de son regard pénétrant, sévère et impressionnant. J'écarte Clémentine en disant : << Tu vas aller sucer le monsieur pendant que je me fais sucer par la dame ! >>. Clémentine hésite un instant. Robert se laisse tomber dans le fauteuil. Je dis à Clémentine : << Allez, ne fait pas attendre les invités et régale-toi ! >>. Clémentine contourne la table basse pour aller se mettre à genoux entre les jambes de mon alter égo vicelard. Il rit.

Je me laisse tomber dans le canapé. Juliette ne se fait pas prier. À genoux entre mes jambes, ses mains à plat sur mes cuisses, elle se met à sucer comme une affamée. Je vois Clémentine de dos. Sa longue natte qui remue dans son dos lorsqu'elle bouge la tête. Elle reste immobile la plupart du temps. Se régalant du foutre du vétérinaire. Il a la tête renversée en arrière. Jouissant de se faire pomper une nouvelle fois par Clémentine. Je regarde Juliette. Elle garde les yeux ouverts pour me fixer. Son regard toujours aussi sévère. Nous parviennent les gémissements de Clémentine qui savoure la queue du pervers. Il jute le premier dans un cri sinistre. Il tente d'écarter Clémentine, de se retirer. Mais il oublie à quel genre de pipeuse il a affaire. Prête à partir pour un second tour. Il arrive enfin à se dégager. Se lève en s'écriant : << Il faut que je rentre. Ma femme qui m'attend ! >>. Je repousse doucement Juliette en appelant Clémentine.

Bonne "faim" de soirée à toutes les affamées de foutre, à toutes les assoiffées de jute. Surtout celles qui adorent se prendre le jus de deux paires de couilles différentes. Si pas trois...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Sunday 31 March 2024 10:38

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 26 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2568 -



Petites déviances sympas

Hier matin, samedi, comme convenu, je réveille Clémentine. C'est toujours avec un certain remord. Elle est tellement belle quand elle dort. Il est presque sept heures. J'approche mon visage du sien pour faire bouger ma paupière contre sa joue. Le mouvement de mes cils la chatouille. Je murmure : << C'est un papillon ! >>. Elle se tourne pour venir se serrer tout contre moi en gémissant. Nous restons ainsi dans l'enchantement paradisiaque de l'instant. Des bisous. L'impérieux besoin naturel met un un terme à nos papouilles qui deviennent câlins. Nous nous précipitons aux toilettes. Il fait bien chaud dans la salle de bain où nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Morts de faim, en nous tenant par les mains, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.

J'allume la cuisinière à bois tandis que Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Je beurre les tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la "soirée branle" de vendredi, chez Juliette. J'adore cette attitude toute féminine. Quand j'aborde la fellation que Clémentine a prodigué au vétérinaire, Clémentine reste silencieuse, yeux baissés sur sa tartine au miel, comme gênée. Honteuse peut-être. Même lorsque je la félicite. En venant s'assoir sur mes cuisses, trempant sa biscotte dans mon bol, elle me confie à quel point elle culpabilise par rapport à moi. Je la rassure. Nous partageons exactement les mêmes penchants. Clémentine sait que j'adore la voir tailler une pipe à un autre. Elle adore me savoir caché à la regarder sucer.

Je dis : << Et là, dans ces soirées, je ne suis même pas obligé de me planquer dans d'inconfortables cachettes ! >>. Clémentine éclate de rire, passe ses bras autour de mon cou, pose ses lèvres collantes, au gout de miel sur les miennes. << Je t'aime ! C'est si bon d'être comprise ! >> s'exclame t-elle en mitraillant mon visage de bisous plus collants les uns que les autres. Nous en rigolons comme des bossus. C'est tellement agréable les samedis matins. Nous pouvons prendre tout notre temps. La vaisselle. La température extérieure est de 11°. Le sol est détrempé des pluies de la nuit. Nous hésitons. Finalement il n'y aura pas de jogging. Avant de monter nous entraîner à l'étage, nous allons dans le hall d'entrée pour ouvrir le portail depuis l'interphone. Nous montons à toute vitesse.

Notre salle n'est pas chauffée. Il faut donc redoubler d'effort pour que cela devienne agréable. Pour cela rien de mieux que les mouvements aérobics. Nous accélérons avant de courir sur les tapis roulants. Les vitesses sont programmées pour accélérer, revenir à un rythme plus modéré puis repartir à nouveau. Les exercices au sol. Les charges additionnelles. Ce matin sur les machines. Clémentine se surpasse dans le développé couché avec une barre à 60 kilos. Le retour au calme. Consciencieux. Avec les étirements d'un bon stretching. En allant à la salle de bain nous percevons le bruit que fait l'aspirateur. Sans pouvoir le localiser. Lise est déjà là pour faire le ménage. La douche. Assise sur un des deux tabourets, une serviette sur les épaules, Clémentine me raconte. J'écoute.

Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite j'entends ses amusantes anecdotes d'étudiante avec délectation. Bien sûr elle aborde le "projet Léo". C'est comme si elle anticipait chacune des questions que je meurs d'envie de poser. Une fois encore Clémentine décrit dans le détail son "plan". Quand elle découvre l'effet que ça me fait, mon érection dans le miroir, elle rit aux éclats. << Tu me fais une natte ! >> me demande t-elle. Je divise ses cheveux à présent secs en trois parties égales. Je les tresse soigneusement. Clémentine est toujours admirative devant mon savoir faire. Je dis : << J'exerce depuis plus de trente ans comme "garçon coiffeur" auprès de ces dames ! >>. Nous en rions quand Clémentine rajoute : << Je vais vous appeler Serge, mon cher Serge ! >>

C'est au tour de "Serge" de se faire sécher les cheveux et coiffer. Nous revêtons nos Levis, nos chemises à carreaux, nos baskets. En regardant par une des deux fenêtres de la salle de bain, nous découvrons la persistance de ce ciel couvert, gris et morose. Dans le couloir, juste avant de descendre, nous rencontrons Lise qui sort de notre salle d'entraînement. Aspirateur à la main. Habillée de son éternel vieux survêtement gris. Son sourire est merveilleux. Elle retire ses écouteurs pour nous saluer. Ma braguette est largement ouverte. Clémentine y vieille. Ce qui attire évidemment le regard de cette adorable jeune fille. Espiègle et mutine et déjà bien "éveillée" pour ses dix neuf ans. Nous bavardons un peu avant de la laisser à son travail. Nous dévalons les escaliers pour passer au salon. 9 h30.

Assise sur mes cuisses, me tournant le dos, Clémentine allume l'ordinateur. Déjà un courriel de Juliette qui nous remercie pour la magnifique "soirée branle" passée ensemble. Elle précise que son vétérinaire était enchanté lui aussi. << Tu m'étonnes, ce saligaud s'est fait sucer pendant plus d'une demi heure avant de me balancer toute sa purée ! >> lance Clémentine. Rires. Je caresse ses seins minuscules pendant qu'elle lit nos mails à voix haute. Il y a le courriel inquiétant de tante Amy. Oncle Alan est toujours hospitalisé. Il comptait passer Pâques avec sa femme à la maison. Le message d'Estelle qui est impatiente de nous retrouver en début d'après-midi. Pendant que Clémentine répond je glisse un billet de 50 € et un billet de 20 € dans une petite enveloppe jaune. Clémentine lit ses réponses.

<< J'aime quand tu me caresses comme ça. C'est si doux, si chaud, si bon ! >> dit elle dans un souffle en surfant sur le site de l'université. Il va être l'heure de nos livraisons. Nous quittons le salon pour le hall d'entrée. En rencontrant une nouvelle fois lise et son aspirateur. En plaçant deux doigts en "V" devant ses yeux, en montrant la porte de la cuisine elle dit : << Merci d'avance ! >>. Nous comprenons immédiatement l'allusion. Quand nous enfilons nos anoraks, Clémentine me fait : << Tu as compris ? Tu as saisis ? >>. Je confirme. En s'accroupissant pour sortir ma queue, Clémentine conclue : << La petite salope veut mâter ! >>. Nous en rions de bon cœur. La température est de l'ordre de 16°. Le ciel semble s'éclaircir. << Si ça s'améliore, cet après-midi, randonnée ! >> s'exclame Clémentine.

Voilà la camionnette blanche qui descend lentement pour venir se garer derrière la petite Fiat rouge de Lise. Nous traversons le jardin pour accueillir Danièle. Souriante. Pleine d'humour ce matin, quand elle touche nos poings du sien, elle lance : << Ma première bite du jour ! >>. Nous la suivons jusque derrière le véhicule dont elle ouvre les portes arrières pour y monter. J'ouvre mon anorak pour qu'elle puisse s'apercevoir de ce que je lui réserve. << Viens, monte par là toi ! >> dit elle. L'espace entre les cageots est exigu. À peine si on peut y tenir à deux. Danièle s'accroupit immédiatement pour gober mon sexe. Clémentine, en bas de la camionnette, s'écrie : << Bon appétit ! >>. Danièle a encore bien d'autres clients à livrer jusqu'à treize heures trente. Aussi, en se redressant, elle répond : << Merci ! >>. Debout, elle tire le cageot qui nous est destiné. Je l'attrape. Il est lourd. Il y a là nos fruits, nos légumes pour la semaine. Je descends avec.

C'est Clémentine qui monte dans la camionnette pour récupérer le second cageot. Il contient les produits frais et fermiers. Yaourts, œufs, beurre, pots de fromage blanc, de crème fraîche, les spécialités fromagères habituelles. << Je te suce mercredi ! >> me lance Danièle en sautant du véhicule. En s'asseyant au volant pour démarrer, elle rajoute : << Je me prends dix bonnes minutes mercredi matin. Je serai là pour dix heures ! >>. J'agite ma queue. Nous la regardons faire sa manœuvre de demi tour. Un dernier signe de la main. Je me tourne vers les fenêtres de la cuisine. Nous savons que Lise nous observe. Je remballe juste à l'instant où arrive le tube Citroën rénové de notre boulangère adorée. Madame Marthe, éternellement hilare au volant, vient se garer au même endroit.

Nous sommes toujours impressionné par son étonnante agilité. Malgré sa corpulence, elle saute de sa camionnette avec souplesse. Elle ouvre la porte latérale en la faisant coulisser dans un horrible bruit de tôle. J'attrape le cageot contenant les deux grosses miches de pain complet et bio. Les deux pâtes feuilletées, les bouchées à la reine, l'énorme brioche au pudding, les deux gros croissants aux amandes. Madame Marthe a toujours d'amusantes anecdotes concernant des gens du bourg. Nous sommes souvent pliés de rire. Nous la saluons car elle non plus ne s'attarde pas. Nous la regardons partir alors que Lise, vêtue de son anorak, vient nous rejoindre en courant. Toute souriante. Elle a pris l'habitude de venir nous aider. Chacun un cageot dans les bras nous contournons la maison.

C'est par l'escalier arrière que nous descendons à la cave. Dans le cellier. << J'ai tout vu. J'apprécie. C'est récréatif ! >> lance lise en mimant une rapide masturbation masculine. C'est la première fois qu'elle se lance dans cette imitation. C'est toujours excitant de voir une fille faire "ça". << Ça donne des idées aussi, non ? >> s'exclame Clémentine qui fait pareil. Comme soudain gênée, prenant conscience de la situation, Lise tourne des talons pour s'enfuir en disant : << Je monte terminer mon ménage ! >>. Nous disposons les légumes et les fruits sur les étagères en bois. Clémentine passe derrière moi pour passer ses bras autour de ma taille, descendre sur ma braguette béante en murmurant : << Je l'aime mon satyre. Il me met dans tous mes états ! >>. Nous rions aux éclats.

Du congélateur où Clémentine place une des miches, une des pâtes feuilletées, je tire le paquet de moules, les sachets de petits pois, de haricots verts. Clémentine me sort la bite en chuchotant : << Et votre prestation n'est pas terminée cher monsieur. La petite salope en haut en veut encore ! >>. Nous n'arrêtons pas de rire. Je porte le cageot qui contient les produits frais pour monter par l'escalier intérieur. J'ai le "tuyau d'arrosage" qui pend de ma braguette béante. La bite ballote, toute molle, quand j'entre dans la cuisine. Lise est entrain de passer le chiffon sur le buffet. Debout sur l'escabeau. Clémentine ouvre la porte du réfrigérateur. Elle commence à me donner les pots de yaourts que je dispose sur les étagères. Lise descend de son escabeau pour venir nous rejoindre.

Ce n'est pas la première fois qu'elle s'accroupit entre la porte du frigo et la desserte. Cette fois à moins d'un mètre de moi. Je la surprends à fixer mon sexe avec l'attention d'une entomologiste. Clémentine s'adresse à Lise : << Il faudra quand même un jour que tu approfondisses la question qui te taraude ! >>. Lise éclate de rire avant de répondre : << Je ne sais pas si j'en aurais le courage ! >>. Pour la rassurer Clémentine rajoute : << Je resterai avec toi ! >>. Lise s'exclame : << Pour m'apprendre ? >>. Je bande comme le dernier des salauds en plaçant les pots de crème fraîche sur l'étagère du haut. Cette conversation surréaliste me fait sourire autant qu'elle m'excite. Je me redresse. Je saisis mon sexe pour l'agiter à une cinquantaine de centimètres du visage de la regardante. Elle se redresse, comme inquiète.

Elle s'enfuit vers son escabeau pour y grimper. << Bon, on te laisse à ton travail ! >> lance Clémentine alors que nous quittons la cuisine. << À mes méditations aussi ! >> répond la jeune fille. Dans le couloir, saisissant mon érection, Clémentine murmure : << Ça prend le bon chemin ! Toi mon salaud, tu te fais tailler une pipe avant les vacances de Pâques ! >>. Nous rions. Quand Clémentine me tire par la queue pour m'entraîner, je marche derrière elle comme un vrai con. En canard. Ce qui la fait rire aux éclats. Assise sur mes genoux, devant l'ordinateur, Clémentine retourne sur le site de l'université. Je caresse délicatement ses seins. Elle se lève en disant : << Attends, on va donner des idées à notre fille de ménage ! Viens ! >>. Je me lève. Clémentine me positionne devant la chaise. Elle s'y assoit. M'attire à elle. Je frotte mon sexe sur son visage. À chaque fois qu'elle veut le gober, j'esquive sournoisement. Clémentine adore ça.

Je fais durer en évitant à chaque fois sa bouche ouverte au dernier instant. Elle rit. Saisit mes fesses comme pour m'empêcher de bouger. Cela fait très certainement plusieurs minutes qu'elle nous observe. Lise à présent vêtue de ses vêtements "ville", debout dans l'encadrement de la porte, assiste à nos jeux. Un énigmatique sourire. Clémentine s'en rend compte en même temps que moi. Elle tourne la tête pour demander : << Tu veux t'amuser un peu ? >>. Lise perd sa béatitude pour devenir soudain sérieuse. Elle me fixe d'une étrange façon. C'est très impressionnant d'être regardé de la sorte. Est-ce du reproche ? Est-ce de la consternation ? Est-ce de la réprobation ? Impossible d'identifier le sentiment qui habite la jeune fille. Bizarre. Je saisis Clémentine par sa natte, au plus court.

En enfonçant ma bite au plus profond de sa bouche, appuyant sur sa nuque, je dis à Lise : << Tu as ton enveloppe sur le bureau ! >>. Elle s'avance sans cesser de me fixer de cette étrange manière pour s'en emparer. Clémentine tousse, a un haut le cœur. Je la maintiens fermement. Lise saisit l'enveloppe jaune, contourne le bureau pour s'approcher. Elle contemple à présent le spectacle bouché bée. Hébétée. Je lui fais un clin d'œil. Je bouge mon bassin d'un mouvement régulier en me masturbant dans la bouche de Clémentine. Je la tiens d'une poigne ferme. Elle émet des gémissements sonores. Lise observe comme inquiète. Pétrifiée. Incapable du moindre mot. Immobile. Paralysée. Je dis : << C'est une de mes "spécialités". Clémentine adore ! >>. Lise reprend sa respiration après une longue apnée de stupéfaction. Je relâche enfin mon étreinte. Je retire ma bite gluante de la bouche de Clémentine. Il y a plusieurs filaments gluants reliant ma bite à ses lèvres.

Lise porte ses mains à son visage. Ouvre de grand yeux. Elle s'adresse à Clémentine pour demander : << C'est vrai ? Tu aimes comme ça ? >>. Clémentine ne répond pas immédiatement. En gloussant elle reprend mon sexe en bouche pour le sucer un instant. Elle cesse pour répondre : << J'adore faire des pipes. Quelles que soient les situations ! >>. Lise semble enfin se ressaisir. Clémentine se lève. Nous suivons Lise jusque dans le hall d'entrée. Comme si elle était soudain méfiante, elle reste à distance. Ne m'approchant pas. Elle enfile son anorak. << À samedi prochain alors ! >> lance t-elle en ouvrant la porte pour dévaler les quatre marches du perron. Elle tourne sa tête pour m'adresser un timide sourire. Comme si c'était la toute première fois. Adorable jeune coquine.

Clémentine fait l'assaisonnement de la salade en me donnant ses impressions. << Tu me refais comme ça cet après-midi, durant la randonnée. De préférence quand je ne m'y attends pas. Tu veux bien ? >> me dit elle. Je verse les moules décongelées dans le bouillon. Je réchauffe les haricots verts et les petits pois dans le wok. J'écoute Clémentine me confier ses ressentis. Quant à Danièle. Quant à Lise. Quant à mon attitude devant la chaise. Je promets de me comporter cet après-midi selon ses souhaits. Elle me saute au cou pour mitrailler mon visage de bisous. Follement reconnaissante de si bien la comprendre. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la pipe de vendredi soir. Clémentine me confie une fois encore que "ce qui vient avant" est toujours meilleur que le sperme. J'écoute. Une fois de plus Clémentine anticipe les réponses à toutes les questions que je pourrais poser. Je suis subjugué par toutes ses affirmations.

Nous traînons à table. Assise sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, Clémentine propose la randonnée de l'après-midi. Les collines du château à partir du restaurant. À mon tour je propose d'y réserver une table. Je trouve très agréable de revenir de randonnée en n'ayant qu'à mettre les pieds sous la table. Entourés d'autres gourmets. Clémentine téléphone immédiatement. Une table nous attend ce soir pour dix neuf heures. << Il y aura le trio de Jazz de la dernière fois ! >> précise Clémentine en m'aidant à débarrasser. La vaisselle. Nous préparons le contenu du petit sac à dos. Pommes, barres de céréales, thermos de thé bouillant, lampes frontales. << On change d'heure cette nuit ! >> me rappelle Clémentine alors que nous montons nous laver les dents.

Nous faisons les pitres devant le miroir en nous essuyant les bouches. << Tu me fais comme sur la chaise cet après-midi, n'oublie pas ! >> s'écrie t-elle en sortant ma queue toute molle mais dégoulinante de liquide séminal. Les multiples excitations de ce matin en sont la cause. Estelle arrive sans faire le moindre bruit. Aussi, nous ne l'entendons pas venir. << Les salauds, ils font des trucs sans moi ! >> s'exclame t-elle pour nous surprendre alors que je fouille le fond de la culotte humide de Clémentine. Estelle se précipite. Serrés tous les trois, dans l'immense bonheur de nous retrouver, nous nous adonnons à toutes les effusions de tendresse habituelles. Nous couvrant les visages de bisous. Clémentine offrant enfin mon sexe à Estelle qui cherchait désespérément à l'attraper.

Nous sommes vêtus tous les trois pareils. Pressés de profiter de cette météo prometteuse, nous dévalons les escaliers. Nos anoraks. Il y a vingt cinq kilomètres jusqu'au parking du restaurant. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue qu'elle suçote parfois. Estelle nous raconte sa matinée avec sa maman. Les courses à L'hypermarché bondé de clients. À cause du lundi de Pâques, jour férié. Elle nous raconte son vendredi après-midi et le repas du soir avec ses parents. Je gare la voiture sur le parking. Nous changeons de chaussures. Il y a plein de bagnoles. Nous ne sommes pas les seuls à vouloir profiter de cette douceur toute relative et de ce ciel enfin lumineux. C'est parti. J'oublie évidemment ma promesse de me comporter en pervers. Clémentine raconte notre matinée à Estelle.

En marchant sur les différents sentiers qui montent au château, nous croisons nombre de marcheurs, de promeneurs. Je dois donc rester vigilant avec ma bite le plus souvent à l'air. La méthode consiste à me laisser faire. Estelle me prend dans ses bras. Ainsi, les randonneurs qui nous croisent ne peuvent pas voir mon chibre. Clémentine finit par me rappeler mon engagement. Aussi, c'est sous le regard étonné, parfois ahuri d'Estelle que j'opte aux détours de certains sentiers pour mon comportement de dépravé autoritaire et exigeant. << Put-Hein ! Vous avez mis ça au point quand ? >> s'exclame à chaque fois Estelle. Nous manquons de nous faire surprendre à plusieurs reprises. Clémentine parfois à genoux, fermement maintenue par sa natte, ma bite enfoncée dans la bouche. Estelle exige rapidement le même traitement. En demandant à Clémentine de filmer les scènes. << On se mâte les films demain soir ! >> précise t-elle.

Bonne "faim" de balade à toutes les randonneuses qui vont se régaler de truffes en ragout de mouton avec de petits légumes de saison, en écoutant du Jazz. En allant s'enfermer dans un des cabinets des toilettes hommes avec leur randonneur. Pour déguster du foutre et de la pisse entre la poire et le fromage...

Julien (randonneur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Monday 1 April 2024 07:50

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 28 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2570 -



Un dimanche plutôt humide et "agité"

Hier, dimanche, notre grasse matinée nous emmène un peu après neuf heures. Estelle à ma droite, une fois encore, est restée accrochée à moi toute la nuit. Épousant chacun de mes mouvements nocturnes. Clémentine, à ma gauche, vient nous rejoindre. Nous nous réveillons tous les trois quasiment ensemble. Mes deux anges qui se blottissent en gémissant. Estelle joue avec mon érection matinale. Clémentine caresse mes abdominaux. << Tablette de chocolat. Miam ! >> murmure t-elle. << Moi j'ai le nem au thon ! >> chuchote Estelle. Je glisse mes mains dans les culottes pour démêler les touffes, passer mes doigts entre les lèvres moites de leurs intimités. C'est que nous resterions bien volontiers comme ça toute la journée. Mais la faim, le besoin de pisser, gagnent cette partie matinale.

Estelle se lève d'un bond. Courant dans son pyjama de soie mauve et miroitante jusqu'à la porte en s'exclamant ; << Pipi ! Vite ! >>. Clémentine saisit mon sexe qui ramollit en me confiant à quel point nos aventures de samedi l'ont enchanté. Notre randonnée, notre soirée au restaurant. Les folies une fois de retour. Les draps s'en souviennent probablement encore. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous revêtons nos Levis, nos chemises à carreaux, nos baskets dans la salle de bain. Il fait bien chaud dans la maison. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Elle est entrain d'allumer la cuisinière à bois. Dans les suaves odeurs du café, du pain grillé. Je me précipite pour la saisir par sa taille, monter sous ses aisselles jusque sur ses seins minuscules.

Clémentine vient se serrer contre mon dos, ses bras autour de mes hanches. Je suis pris en sandwich. J'adore le contact de la soie que porte Estelle. J'aime m'étourdir des odeurs de sa nuit. L'odeur de nos folies d'avant le sommeil. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la randonnée et la soirée de samedi. << Ce sont des souvenirs par centaines ! >> lance Estelle. << On se fait un poulet rôti et des frites à midi. Ça vous dit ? >> rajoute t-elle. Nous applaudissons en riant. Traîner à table est un de nos privilèges des weekend. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges parlent de leurs études. Il reste trois semaines avant les vacances qui commencent le vendredi 19 avril à midi. Nous resterons ensemble deux semaines.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Pendant qu'Estelle se change, nous allons recouvrir le lit. L'odeur de nos folies s'est évaporée. Nous allons sur le balcon. Il pleut. C'est un spectacle désolant, navrant. La température extérieure est de 12°. Estelle vient nous rejoindre. << Brrr, vous n'avez pas froid ? >> fait elle en venant se serrer contre moi. Je suis entre mes deux anges que je tiens par leurs tailles. Quelques bisous. Nous refermons la porte fenêtre avant de redescendre. Nous avions prévu une "soirée cinéma" pour découvrir le montage effectué par Estelle. Le vingt sixième film porno réalisé depuis presque sept ans. << Ce sera donc un après-midi cinéma ! De découvertes ! >> précise t-elle. Nous nous réjouissons.

<< D'autant plus qu'il y a les trois petits films réalisés durant la randonnée ! >> rajoute Clémentine. Nous sommes au salon. Assises sur mes genoux, mes deux anges allument l'ordinateur. Pas de courriels. Les filles surfent sur le site de l'université. Aucune information particulière. Juste l'emploi du temps des profs la semaine prochaine. Nous avons quelques messages privés émanant des forums sur lesquels nous publions nos aventures. C'est toujours très sympathique d'avoir des témoignages épiques. Des retours amusants. Des lecteurs ayant connu des situations similaires. C'est toujours Clémentine qui répond. Il va être onze heures. Nous revêtons les anoraks pour tenter d'affronter cette météo déplorable. << Une météo de merde ! >> lance Clémentine. << À chier ! >> fait Estelle.

Juste quelques pas dehors. C'est sous le parapluie. À l'abri d'une pluie incessante. Le tour du jardin en restant sur les dalles de grès. Autour de la maison d'amis. Nous rentrons au sec et au chaud. Clémentine fait l'assaisonnement d'une belle laitue dont elle lave les feuilles également pour ce soir. Estelle s'occupe de la préparation du petit poulet et de sa garniture. J'épluche, je lave et je coupe les pommes de terre en frites. La friteuse électrique, sans huile, est une bénédiction. Les filles parlent de leurs thèses. Elles sont "affutées". << Il y a une très forte baisse des maîtres de conférences depuis plusieurs années ! >> précise Estelle. << Ce qui nous ouvre une voie royale pour nos carrières universitaires ! >> rajoute Clémentine. C'est ce qu'elles feront après leurs Doctorats. J'écoute avec attention.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos divers projets. La semaine de vacances que nous organise Clémentine. Elle refuse de révéler quoi que ce soit en disant simplement : << Tout est prévu. Il n'y a qu'à partir. Trois heures trente de voiture ! >>. Estelle essaie de soutirer quelques détails qui pourrait trahir une destination. Rien à faire. Quand elle se lève pour mimer une masturbation masculine, elle conclue : << Après tout, peu importe, on sera ensemble ! >>. Je dis : << Et tu restes avec nous puisque demain lundi, c'est jour de Pâques ! >>. Elle sautille avant de venir s'assoir la première sur mes genoux. << Je peux chercher tes œufs ? Tu les caches toujours aux mêmes endroits ! Dans les fourrés ! >> dit elle en glissant sa main dans ma braguette ouverte. Les œufs.

Clémentine vient s'installer sur mon autre jambe. Nous rions des explorations fructueuses d'Estelle qui s'écrie : << Ça y est, je les ai trouvé ! >>. Elle tient mes couilles d'une poigne ferme. C'est assez désagréable dans cette situation assise. << Moi je suis beaucoup plus intéressée par le lapin. Je vais me le manger après ! >> s'exclame Clémentine. Je les tiens par les épaules, je caresse leurs nuques. Je tire un peu sur les nattes. Malgré la position les coquines ont réussi à m'extraire la bite et les couilles. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous passons au salon. Estelle glisse la clef USB dans l'ordi. << Attends, on se regarde le film sur grand écran ! >> s'écrie Clémentine. Je l'aide à positionner le téléviseur devant le canapé. Câble HDMI. Un essai. Tout est fonctionnel.

Estelle à ma gauche qui joue avec ma queue. Clémentine à ma droite qui manipule la télécommande. Comme pour chacun de ses montages, Estelle nous gratifie une fois encore d'une réalisation hyper "pro". Une image fixe du château dont la silhouette se détache sur fond de ciel voilé. Mystérieux. Le générique qui défile. Une musique classique en fond sonore. Nous rions en la félicitant. Pour bien comprendre ce qui se passe à l'écran, pour bien saisir la teneur de ce film, j'invite le lecteur à relire les récits du weekend dernier. L'épisode 2562 - No 21 - publié lundi 25 mars. Estelle a sobrement intitulé ce film "La visiteuse". Puisqu'elle y interprète une agent d'assurance venant finaliser un contrat avec un client. Estelle est une actrice née. D'un talent certain. Une vocation qu'elle reconnaît.

Je bande comme le dernier des salauds dans sa main. Nous découvrons des images extraordinaires. Clémentine est excellente derrière la caméra. Comme metteuse en scène et réalisatrice également. Je ne trouve jamais les mots pour définir les émotions extraordinaires que procurent le visionnage d'un film porno assis entre les deux actrices qu'on voit également à l'écran. Je ne crois pas qu'il existe une sensation plus forte dans ce domaine. Il en va de même pour les "actrices". << Put-hein comme je suis salope ! >> lance plusieurs fois Estelle. Sa main gauche dans sa culotte à se toucher. Sa main droite tenant mon érection. Clémentine, sa main gauche dans sa culotte, la télécommande dans sa main droite, fait des arrêts sur image. Des retour en arrière. Des ralentis. Zoome les gros plans.

Je vois ma bite contre le visage d'Estelle sur grand écran. C'est magique. Le foutre qui suinte aux coins de sa bouche quand elle suce. Nous en frissonnons comme si nous avions froid. Les plans rapprochés alternent avec les vues d'ensemble. Quand je pénètre Estelle. Quand elle se voit pénétrée à l'écran, elle pose sa tête contre mon épaule en murmurant : << Tu me baises bien. Je me souviens. Le lendemain j'avais mes "petits machins" ! >>. Nous faisons des pauses. La durée du long métrage ne dure qu'exactement quarante cinq minutes. Estelle coupe l'inutile au montage. Chez elle, dans sa chambre, sur I-Movie. Le résultat est stupéfiant. Filmé en 4K. Chaque détail est parfaitement visible. << On peut compter les poils ! >> s'exclame Estelle alors que nous rigolons comme des bossus. Nous savourons un thé au jasmin et des gâteaux secs confectionnés par la maman d'Estelle. Je débande mais les épanchements macule mon Levis.

Nous restons devant ce film jusqu'aux environs de seize heures trente. Nous allons aux toilettes. Je tiens les filles par la nuque, je caresse leurs clitoris pendant qu'elles font pipi. Avant de les lécher. Je savoure le mélange. Avec l'excitation les écoulements de cyprine sont abondants. Pas de douche le dimanche. Il y a donc toutes les odeurs, toutes les saveurs. Et comme nous avons baisé avant de nous endormir la veille, je laisse au lecteur d'imaginer les vertiges que me procurent cette collation. Elles me tiennent la bite pour en diriger les jets. Nous nous amusons comme des fous car je maîtrise parfaitement la situation. Une multitude de jets. Avec mon excitation délirante, apparaissent des perles opalescentes de liquide séminale entre les jets de pisse. Accroupies, elles s'en disputent la dégustation. Avec mon érection presque douloureuse, il m'est difficile de pisser. Nous retournons au salon. Il y a les trois petits films de la randonnée à voir.

À nouveau vautrés dans le canapé nous découvrons les trois courts métrages réalisés durant la randonnée de samedi. Ces pipes vicelardes prodiguées aux détours des sentiers durant notre montée au château. Quand Estelle tombe à genoux dans l'herbe. Qu'elle s'accroche des deux mains à mes hanches, aux poches de mon Levis, sont visage enfoncé dans ma braguette. Je la maintiens fermement pas la nuque. Sous le menton. Clémentine a filmé en tournant autour de nous. D'une durée n'excédant pas trois à quatre minutes ces images sont saisissantes de vérités car totalement improvisées. Spontanées. Prises sur le vif. À chaque fois il a fallu cesser car nous entendions les voix d'autres marcheurs arrivant. Les gros plans que n'oublie jamais de faire Clémentine sur le visage d'Estelle.

Son visage d'ange, presque juvénile sous la lumière extérieure. Les commissures de ses lèvres luisantes du jus de mes couilles. Quand elle sourit à l'objectif. Quand elle ouvre la bouche pour monter le foutre épais et gluant qu'elle laisse fondre dans sa salive avant de déglutir en faisant une horrible grimace. Nous regardons ces trois films plusieurs fois. Nos excitations sont à leurs combles. Mais nous adorons accumuler, faire durer. << Vous imaginez la baise de ce soir après la bouffe ? >> demande Clémentine qui retire la main de sa culotte pour nous montrer ses doigts ruisselants de cyprine. Je saisis son poignet pour les porter à ma bouche. << Et les miens ! >> s'écrie Estelle qui les retire elle aussi de sa culotte pour me les offrir. Épuisés par nos longues masturbations, les têtes en appui contre le dossier du canapé, nous reprenons nos esprits. Les filles se serrent contre moi. Il est presque dix huit heures. Estelle s'est endormie en ronflant.

Clémentine somnole tout comme moi. Ce sont des séances de masturbations tellement intenses qu'elles nous épuisent. Il faut préciser que nous venons de faire ça tout l'après-midi. En évitant les orgasmes parfois de justesse. Les filles poussant un cri en retirant leurs mains juste à temps. << Oh put-hein ! Limite ! >> s'écriait Estelle. Ce qui nous faisait rire. Et dans ces cas-là, les rires permettent de surmonter et de maîtriser les pulsions. Morts de faim, nous sortons de nos torpeurs pour aller à la cuisine. Il suffit de désosser le poulet pour en réchauffer les restes à la poêle avec des champignons. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la laitue. Je refais des frites. Nous mangeons de bon appétit en riant comme des fous de nos yeux cernés. Ce soir, ce sera "baise sur bureau". Une spécialité "maison". Couchées toutes les deux sur le bureau, la tête sur des coussins, elle se feront prendre à la hussarde, chacune à tour de rôle. La démence.

Bonne fin de soirées à toutes les coquines épuisées par une succession de moments ultimes. Qui ont joui à en perdre la raison. Qui s'endorment contre leur comparse. Sous les draps bien chauds. Pour plonger, comme le Titanic, au fond de l'océan...

Julien (le comparse épuisé)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Tuesday 2 April 2024 07:36

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 29 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2571 -



Estelle trouve mes œufs de Pâques

Hier matin, lundi de Pâques, jour férié, il est une nouvelle fois neuf heures quand nous sortons du sommeil. Estelle saisit ma tumescence en posant ses lèvres juste sous mon oreille. La douceur d'une ventouse. Clémentine vient se blottir. Nous émergeons doucement. Estelle lâche mon érection pour la céder à Clémentine. C'est pour empoigner mes couilles en murmurant : << Joyeuses Pâques monsieur ! >>. Nous rions aux éclats quand Clémentine chuchote : << Poyeuses Jacques ! >>. Nous nous étirons longuement. Je glisse mes mains dans les culottes. << Attention. Pipi ! >> s'exclame Estelle qui, n'en pouvant plus, se lève comme mue par un ressort. En courant vers la porte elle se tourne, s'écrie : << Je vous attends en bas, je prépare le petit déjeuner. Venez vite ! >>

Clémentine passe sa tête sous les draps pour prendre mon sexe qui ramollit en bouche. Je la tiens par sa nuque. C'est une étrange sensation que de se faire sucer sans être excité. Elle remonte toutefois vite à la surface. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous nous habillons à la salle de bain où il fait bien chaud. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans les effluves parfumées du café, du pain grillé. Estelle est entrain d'allumer la cuisinière à bois. Je m'approche par derrière pour poser mes mains sur ses hanches. Le contact soyeux de son pyjama mauve. Je monte doucement pour caresser ses seins minuscules. Clémentine serrée contre mon dos. Je ne suis plus qu'une tranche prise en sandwich. Mes lèvres dans la nuque d'Estelle. Ventouse.

Il reste de la brioche que Clémentine met au four à micro ondes. Je presse les oranges. Clémentine pèle les kiwis. Je beurre les tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons tout notre temps. Dehors, c'est la continuité d'une météo pitoyable. Des paquets de pluie sont jetés contre les vitres des fenêtres. Des bourrasques de vent. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur l'après-midi cinéma de dimanche. << C'était trop bien ! >> lance Estelle. << On peut refaire, avec ce temps pourri on ne perd rien ! >> rajoute Clémentine. Nous traînons longuement à table. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges évaluent les options d'activités de la journée. Plutôt dépités par ces conditions climatiques nous hésitons entre une virée voiture et revoir un de nos films.

<< On fait les deux ! >> propose Clémentine. << Mais on passe devant chacune son tour dix minutes ! >> suggère Estelle. Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Nous n'avons pas envie de nous entraîner. Cette météo est tellement décourageante. C'est Clémentine qui parvient à nous convaincre. Tous les trois, vêtus de nos leggings de lycra noir, de nos sweats de lycra jaune, nous courons jusqu'à la salle. Cette grande pièce pas chauffée, équipée de tout le matériel "pro" nécessaire. Ce matin, c'est dur de se mettre en condition. Il faut se faire violence. Les échauffements d'abord et à contre cœur. Mouvements aérobics. Rapidement la motivation revient. Nous nous félicitons d'avoir fait preuve de volonté. Le jogging sur tapis roulants. En faisant les pitres.

Estelle qui pédale à toute vitesse sur un des deux vélos ergométriques. Nous voilà bien chauds pour passer aux exercices au sol. Estelle passe sa main entre mes cuisses par derrière. En empoignant ainsi mes couilles, elle dit : << Vous êtes très sexy monsieur dans votre collant noir ! >>. Je glisse ma main entre ses cuisses pour répondre : << Vous êtes très sexy mademoiselle dans votre collant noir ! >>. Restons concentrés. Nous passons aux charges additionnelles. Avec un sérieux retrouvé car c'est une redoutable épreuve. Les étirements salvateurs d'un stretching qui permet un retour au calme progressif. Estelle prend sa douche la première pendant que nous refermons le lit et la porte fenêtre du balcon. C'est à notre tour. Nous nous habillons de nos Levis, de nos épaisses chemises à carreaux.

Nous dévalons les escaliers jusqu'au salon. Assises sur mes cuisses, les filles allument l'ordinateur. Premier réflexe, le site universitaire. Je caresse leurs seins minuscules. << Mmhh, comme c'est bon ! >> murmure Estelle. << Encore ! >> chuchote Clémentine. Vient le dilemme du repas de midi. Il est onze heures quinze. Debout devant une des deux portes fenêtres du salon, nous regardons cette météo épouvantable. Je suis entre mes deux anges que je tiens par leurs tailles. Estelle glisse sa main dans ma braguette en disant : << Je vais à la recherche des œufs. C'est Pâques ! >>. Je me retrouve rapidement avec la bite dans sa main. Clémentine qui s'accroupit. Estelle qui passe ma queue sur son visage avant de s'accroupir à son tour. Elles se refilent mon chibre. Je bande mollement.

Chacune suçote un petit instant. Elles se redressent. << Si on commence on n'arrête plus ! >> dit Clémentine. Nous quittons le salon pour la cuisine. Ce sera spaghettis à la Carbonara façon "nous". C'est la viande de dinde qui remplacera les lardons et le jambon. Chacun a sa tâche précise. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de tomates. Estelle émince deux grosses escalopes de dinde. Je fais bouillir l'eau des spaghettis. Je concocte une sauce au Roquefort dans laquelle Estelle rajoute la viande. Crème fraîche. Clémentine râpe une bonne quantité de Parmesan. La préparation est rapide. Morts de faim nous mettons les assiettes, les couverts. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le projet de l'après-midi. << "Le chauffeur et ses deux passagères" ! >> lance Estelle.

<< On peut même se faire un rapide scénario et filmer notre virée ! >> propose Clémentine. << Génial ! On aménage des séquences totalement improvisées ! >> s'exclame Estelle. Tout cela reste encore assez flou. Mais l'imagination débordante de mes deux anges permet très vite de se faire une idée très exacte. Je ne possède pas de casquette de chauffeur. Nous en rions aux éclats. Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses mes deux anges font l'itinéraire. Il est décidé d'aller jusqu'au port de plaisance. Trente cinq kilomètres par la départementale. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous restons vêtus de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux. Nous chaussons nos bottines. Blousons d'épais cuir brun.

Pressé de filer nous dévalons les escaliers. Nous suivons Clémentine jusqu'au salon. Du tiroir du haut du bureau, elle tire la caméra. Vérifie la charge des deux batteries. << Deux fois quarante cinq minutes. Ça devrait suffire ! >> dit elle alors qu'Estelle cherche les "œufs". C'est sous le grand parapluie que nous traversons le jardin. Je sors la grosse berline Allemande du garage. C'est parti. Estelle assise à ma droite. Je roule doucement. Clémentine à l'arrière prépare la caméra, fait quelques essais pendant qu'Estelle joue avec ma queue. << Tout est OK ! >> précise Clémentine qui rajoute : << C'est quand vous voulez ! >>. Estelle va suivre un scénario très peu élaboré. Assise bien droite, elle dit : << OK ! >>. Clémentine fait : << Ça tourne ! >>. Je reste concentré sur ma conduite. Droit.

Les essuies glaces balaient le pare brise avec une régularité métronomique. Il fait bien chaud dans la voiture. Estelle saisit ma queue. Clémentine, à l'arrière, se rapproche, passe la caméra entre les deux sièges. Estelle me branle en décrivant le paysage. Jouant à l'aristocrate se faisant promener par son chauffeur. Me vouvoyant. M'appelant "James". J'ai du mal à garder mon sérieux. Clémentine, silencieuse à l'arrière, filme consciencieusement. Nous savons qu'elle fait un excellent travail. Estelle se penche sur sa gauche pour sucer "James". Il est impossible de filmer dans les meilleures conditions. Mais ce qui se passe ne laissera aucun doute au visionnage du film. Cela se passe de multiples fois jusqu'à l'arrivée au port de plaisance. Désert. Je gare l'auto sur le parking de la supérette.

Estelle, Levis et culotte descendus qui demande : << James, que diriez-vous de me sauter ici ? >>. Je réponds sur le même ton pincé : << Bien mademoiselle. Vos désirs sont des ordres ! >>. J'appuie sur le bouton. Le dossier du fauteuil descend doucement pour se mettre en position couchette. Je bande comme le dernier des salauds. Je reste en appui sur mes bras afin de ne pas peser de tout mon poids. Ce qui permet également à Clémentine de pouvoir filmer dans de meilleures conditions. À peine suis-je au-dessus d'Estelle qu'elle s'empare de mon sexe pour se l'introduire. Nous détestons baiser dans la voiture. Rien n'est plus inconfortable. Mais c'est pour les besoins de cette nouvelle réalisation. Je baise Estelle comme elle aime. À la hussarde. Nous sentons bouger la Mercedes.

Il y a les phares d'une voiture qui vient se garer à une vingtaine de mètres. << Put-Hein les flics ! >> lance Clémentine. Je me retire prestement. Il pleut. Il est impossible de distinguer ce qui se passe dans les véhicules. Il ne se passe rien. La camionnette de gendarmerie reste stationnée, tous feux éteints. << Peut être qu'ils baisent ! >> lance Estelle qui remonte sa culotte, son Levis. Je redresse le dossier. Nous restons à reprendre nos esprits. Clémentine a cessé de filmer depuis l'arrivée du véhicule. Nous rions de notre nouvelle aventure. Il vaut mieux en rester là. << Au retour c'est moi qui suis devant ! >> précise Clémentine. << Avec James ? >> demande Estelle. Nous en rigolons comme des bossus. Je démarre. Nous repartons. Tout est fermé en ce lundi de Pâques. Même le bar restaurant au bout du quai. La supérette également. Nous prenons la route qui mène au bourg voisin. Dans l'espoir d'y trouver un troquet ouvert. Il pleut.

C'est comme une journée de novembre car il y a même de la brume. Rien d'ouvert dans le village. C'est d'un sinistre. Nous prenons la route du retour. Estelle me suce. Clémentine caresse mon cou. J'arrête la voiture à l'entrée de la zone commerciale. Le Quick et le MacDo sont ouverts. Le "Buffalo-Grill" également. << Ils ont parfois de bonnes glaces au MacDo ! >> lance Estelle en s'essuyant la bouche. Je remballe une bitte dégoulinante de foutre gluant. Je tiens le parapluie. Mes anges accrochées à mes bras, nous traversons les cinquante mètres de parking qui nous séparent de l'entrée du fastfood. Il n'y a pas grand monde. C'est vrai. Les glaces sont délicieuses. Vanille, pralin au crumble. Avec un thé. Je refuse de sortir ma bite sous la table. L'endroit est bien trop exposé et il y a des caméras. << Big Brother nous surveille ! >> chuchote Clémentine. Nous n'irons pas non plus dans les toilettes. Trop risqué. Un personnel qui fait la gueule.

<< Ils bossent un jour férié. Ça doit les faire chier ! >> conclue Estelle alors que nous repartons. Pas un au revoir de la part des employés qui ne prêtent d'ailleurs aucune attention à notre départ. C'est Clémentine qui est assise devant. C'est Estelle qui filme. Clémentine ne sera pas identifiable dans le film car la position préserve son anonymat. Je suggère de réserver une table en ville. Estelle cesse de filmer. Clémentine suce en gloussant de rire car Estelle consulte Google en commentant ses déconvenues à haute voix. << Les enculés ! Ceux-là aussi sont fermés ! >>. Enfin un établissement ouvert. << C'est pas le top. J'ai bouffé une fois là-bas avec mes parents ! >> précise Estelle. << Et si on rentrait ? On se réchauffe le reste de spaghettis avec une omelette ! >> dit Clémentine

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines bien "allumées" par une expédition "pipe en bagnole". Bonne baise d'après repas...

James (le chauffeur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Wednesday 3 April 2024 07:29

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 30 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2572 -



Pas un soir sans Estelle depuis samedi

Il est presque six heures, hier matin, mardi. Les gazouillis, l'écoulement de l'eau de la source. L'étonnante résonance au fond de cette mystérieuse forêt. Une féérie qui ne dure que quarante cinq secondes. Nous nous réveillons dans cette illusion bucolique alors que ce ne sont que nos I-phones posés sur nos tables de nuit. Un réveil en douceur. Clémentine vient se blottir contre moi, cherchant les forces suprêmes pour rester éveillée. La volonté pour s'arracher aux chaleurs des draps. Quelques bisous, quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes en nous faisant violence. C'est dur. Surtout après un weekend prolongé. Les radiateurs viennent d'entrer en fonction. Il fait encore frais dans la salle de bain où nous revêtons nos tenues sports. Dans des gestes rapides et robotiques.

Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. J'allume la cuisinière à bois. Je place les deux gros croissants aux amandes dans le four à micro ondes. Je beurre les premières tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les moments forts du weekend de Pâques. Il y en eut quelques uns. Certains qui nous font rire. Nous mangeons de bon appétit en envisageant notre soirée à venir avec Estelle. Clémentine la voit ce matin, en cours. Je promets de réserver une belle surprise pour le repas. << Seulement pour le repas ? >> demande Clémentine en venant terminer sa tartine au miel assise sur mes cuisses. J'adore quand elle pose ses lèvres collantes et sucrées sur les miennes pour des bises.

Il va être six heures vingt cinq. Nous remontons. La salle d'entraînement pas chauffée. Motivant pour se bouger. Les échauffements aérobics, le jogging sur les tapis roulants. Ça achève de nous réveiller. Les exercices au sol. Les charges additionnelles. Le stretching avant de courir à la salle de bain pour y prendre notre douche. Chaque matin nous essayons de grignoter quelques secondes sur un emploi du temps réglé au millimètre. Je redescends le premier. Il va être 7 h45. La température extérieure est de 11°. Il ne pleut pas mais tout est trempé. Le ciel est gris avec de lourds nuages sombres et menaçants. Je fais chauffer l'auto. Clémentine vient me rejoindre. Son blouson d'épais cuir brun, son préféré. Une paire de jeans délavés, ses bottines marrons, son béret assorti, son écharpe crème. Hyper élégante.

Un dernier bisou. Ses bras autour de mon cou. << Je reste avec toi ! >> dit elle alors qu'il faut être raisonnable. Assise au volant, la vitre baissée, elle rajoute : << Tu nous réserves une belle surprise ce soir ? >>. Je promets. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Je m'empresse de rentrer au chaud. Les 22° qui règne à l'intérieur sont bien plus supportables. Je fais la vaisselle, notre lit avant de passer dans l'atelier. J'y allume la belle flambée de cheminée. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque ce matin la neuvième toile de ma série hyper réaliste. "Le salon", à partir d'une photo prise dans un de nos meilleurs restaurants d'Édimbourg. Un décors Victorien, luxueux qu'il sera plaisant de reconstituer.

Je peins dans une volupté qui me fait fredonner des chansons. Avec les paroles loufoques qu'invente Estelle dans ses moments de gaité exacerbée. La matinée passe sans que je n'ai la moindre notion du temps. Ce sont les grincements que fait mon estomac qui m'alertent. Il va être midi. Je mets deux bûches dans les dernières flammes avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je fais gonfler du riz complet. Je fais dorer le dernier filet de limande encore tout congelé dans la poêle. L'assaisonnement d'un concombre. Ma surprise de ce soir sera une tarte aux brocolis. Je les cherche dans le cellier à la cave. Je les coupe pour les laver. Les ébouillanter dans l'auto cuiseur, pendant que j'étale la pâte feuilletée dans le grand plat rond. Je concocte le liant à base d'œuf, de fromage blanc, de crème fraîche. J'égoutte les brocolis que je dépose sur la pâte. J'y verse le liant. Je recouvre de gruyère râpé, de chapelure, de graines de sésame grillé. Au four. 160°.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff manque à son émission aujourd'hui. Son remplaçant n'a ni sa verve ni son "mordant". Mais les sujets abordés valent leurs pesant de cacahuètes. Il y est question des élections présidentielles annulée par Zelensky. Afin d'empêcher son opposant de remporter une inéluctable victoire. Et surtout pour empêcher toutes négociations de paix avec la Russie. Chacun comprendra donc que cette guerre n'est pas seulement souhaitée mais programmée. Les malfaisants agitant la sinistre marionnette Zelensky et qui sont à la manœuvre sont Ursula Von Der Leyen, Macron. Pilotés par Joe Biden. Il y a également cette loi scélérate que veut absolument faire adopter Macron et qui punira toute liberté d'expression à son encontre.

Je fais la vaisselle. Je monte me laver les dents. Il y a quelques séquences d'ensoleillement. Pressé d'en profiter, je dévale les escaliers pour enfiler l'anorak. Les sols sont détrempés. Je descends jusqu'à la rivière dans une désagréable fraîcheur humide. La température est de 16°. Les instants de soleil sont trop brefs, instantanés, pour réchauffer l'atmosphère. Il est treize heures cinquante quand je suis à nouveau confortablement installé devant le chevalet. Je peins dans les mêmes dispositions d'esprit que ce matin. L'après-midi passe aussi vite. Du bruit. J'entends Clémentine chantonner en revenant des toilettes. Elle rentre de cours en se précipitant vers moi pour s'installer à califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou pour me raconter sa journée. Pour se frotter un peu.

Le menu du restaurant universitaire qui ne laissera pas un souvenir gastronomique inoubliable. Clémentine a encore ses notes à archiver. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, elle continue de me raconter les amusantes anecdotes de sa journée. Sa petite conversation devenue quotidienne avec Léo. << Je prépare soigneusement le terrain. Je le mets en confiance ! >> précise t-elle. Le jeune étudiant semble très réceptif. Trop content d'attirer les attentions d'une des plus belles filles de l'université. J'écoute, amusé et excité. Quarante cinq minutes plus tard, en se levant, Clémentine s'écrie : << Mais là il faut que j'arrête, je vasouille sec ! >>. Je nettoie la palette, les pinceaux pendant qu'elle range ses affaires. C'est devant le petit lavabo de l'atelier que nous nous retrouvons. Je m'essuie les mains pendant que Clémentine, me tenant la bite, en dirige les jets en me confiant quelques autres confidences concernant Léo.

Penchée en avant, se désaltérant des derniers épanchements, Clémentine suce en riant de ses propres mots. Quand elle se redresse elle dit : << Ce petit gars, je vais me le faire, il n'imagine pas ce qui l'attend ! >>. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille, accrochée à mon cou, j'emmène Clémentine faire le tour de la grande pièce. Elle mitraille mon visage de bisous. Je dis : << Tu n'imagines peut-être pas ce qu'il te réserve ce jeune éphèbe puceau. Peut-être un "super coup". Ou même plusieurs ! >>. Nous en rions de bon cœur. Estelle arrive avec la discrétion secrète d'un guerrier Sioux. Ça fait probablement quelques minutes qu'elle est entrée dans l'atelier. Nous la découvrons debout entre les deux grandes étagères, culotte et pantalon à mi cuisses. Entrain de se toucher. Je pose Clémentine au sol. Nous regardons ce spectacle insolite. C'est la première fois qu'Estelle a ce comportement exhibitionniste. Elle si authentiquement voyeuse.

J'ai la bite à l'air. Clémentine me l'attrape. << Bonsoir ! >> lance Estelle. Sans cesser de se toucher elle sort de l'obscurité de sa cachette pour venir nous rejoindre. Elle saute à mon cou pour enfoncer sa langue dans ma bouche. Ce qui a pour effet immédiat de me faire bander comme le dernier des salauds. Clémentine me branle. Visiblement, toutes les deux avaient préparé ce "plan". Je passe ma main entre les cuisses d'Estelle. Je veux la doigter mais c'est impossible. Elle joue avec son clitoris. L'accès est difficile et elle ne semble pas vouloir cesser de se masturber. Elle prend du recul. << Tu aimes ma surprise ? >> me demande t-elle avec une expression d'innocence qui me pétri d'émotion. Clémentine s'accroupit pour se placer devant moi, maintenir son équilibre en se tenant aux poches arrières de mon Levis. Elle gobe mon érection alors qu'Estelle se masturbe de plus belle. Je réponds : << Moi aussi j'aime les surprises ! >>

J'aide Clémentine à se relever. Juste avant la crampe. Elle me montre l'intérieur de sa bouche. C'est plein de filaments gluants et laiteux. Estelle se précipite pour s'accroupir à son tour. Je me fais tailler une pipe des familles. Juste une petite minute avant qu'elle ne se redresse à son tour. Sans avoir cessé de se toucher depuis son arrivée. Mes deux anges se serrent contre moi. Nous nous faisons plein de bises. Il commence à faire faim. Je les tiens par la taille. Estelle remonte sa culotte, son Levis. Elles m'entraînent par les mains. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Elles découvrent la surprise du repas de ce soir en me faisant ma fête. Clémentine fait l'assaisonnement de deux endives. Estelle surveille le réchauffage dans le four à bois. Je mets les assiettes et les couverts.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les surprises de la soirée. Je dis à Estelle : << Tu devrais nous faire ça plus souvent ! >>. Elle répond : << J'y pense. Ça va même devenir une habitude ! >>. Je sais qu'Estelle fait comme Clémentine. Le soir en rentrant de cours, sur les 15 km, elles se touchent en conduisant. << Parfois même le matin, en allant à l'école ! >> lance Estelle. << On se raconte en cours ! >> rajoute Clémentine. Cette conversation nous excite évidemment beaucoup. Aussi, dès le repas terminé, tout dans le lave vaisselle, les coquines m'entraînent au salon. Estelle devant nous laisser pour 22 h se montre impatiente de la suite. C'est couchées sur le bureau, juste en chaussettes et en sweats, leurs têtes posées sur les coussins, qu'elles m'offrent leurs intimités velues.

Je passe de l'une à l'autre. Je baise Estelle à la hussarde, comme elle aime. C'est dans Clémentine, immobile, que je trouve le répit. Avant de m'introduire une nouvelle fois dans Estelle. Ce soir, en se faisant tringler, elles ont toutes les deux les confidences les plus émouvantes. Estelle assiste aux manœuvres d'approche de Clémentine. Elle assiste à sa drague tous les fins d'après-midi après les cours. Elles en rient. J'écoute. Toutes les deux anticipent par des réponses précises à toutes les questions que je pourrais poser. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. L'orgasme d'Estelle est une fabuleuse succession de spasmes. L'orgasme de Clémentine est pisseux. Je dois la maintenir sous ses aisselles au-dessus de la cuvette. Nous reprenons nos esprits en restant complètement étourdis. La folie.

Bonne nouille à toutes les coquines qui vont encore en savourer le jus de cuisson sous les draps. Avant de se blottir dans les bras aimants et passionnés de leur "nouilloneur"...

Julien (la nouille juteuse)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Thursday 4 April 2024 07:36

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 31 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2573 -



Nos visiteuses du mercredi

Les gazouillis des oiseaux qui semblent virevolter autour de notre lit. Une source qui semble s'écouler à même des rochers dans note chambre. Il va être sept heures. Une illusion féérique qui ne dure que quarante cinq secondes. Nos I-phones s'éteignant aussi brutalement qu'ils ne s'allument. C'est un silence presque angoissant qui succède. Pour être certains de nous réveiller c'est la manière la moins pénible. En gémissant Clémentine vient se lover contre moi. Je la serre fort. Le mercredi elle reste en télé travail depuis la maison. Nous gagnons alors une heure de sommeil. Nous pouvons prendre notre temps avec davantage d'amplitude. Ce qui rend Clémentine facétieuse dès le levé. Quelques bisous, quelques papouilles avant de nous précipiter aux toilettes. Il fait bien chaud.

Les radiateurs fonctionnent depuis plus d'une heure. C'est donc très agréable d'enfiler nos tenues de gymnastique à la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Pendant que Clémentine s'occupe du café, à peler les kiwis, à presser les oranges, j'allume la cuisinière à bois. Dehors le ciel reste gris, sinistre. << Mais put-Hein, c'est quoi ce printemps de merde ! >> s'exclame Clémentine. Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur notre mardi soir en compagnie d'Estelle. La surprise qu'elle nous a réservé dans l'atelier. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en envisageant le repas de ce soir. Juliette viendra nous rejoindre pour 19 h. Il va être 7 h30. Avant de remonter nous allons dans le hall d'entrée y ouvrir le portail depuis l'interphone.

Notre heure d'entraînement constitue le second plaisir de cette nouvelle journée. Les échauffements aérobics, le jogging sur les tapis roulants. Clémentine qui fait les figures habituelles en nous faisant rire aux éclats. J'aime la voir déconneuse. Les exercices au sol avant la manipulation des barres et des haltères. Ces derniers temps Clémentine tente de battre ses records au développé couché. Des charges de 60 kg pour parfois huit répétitions successives. Couchée sur le banc en soufflant puissamment. Les étirements d'un stretching où il est très agréable de faire chaque mouvement consciencieusement. En télé travail Clémentine n'en a strictement rien à foutre d'arriver en retard. Nous courons à la salle de bain pour le plaisir de la douche. En prenant là aussi tout notre temps. Nous habiller.

Il est neuf heures quand nous sommes dans l'atelier. J'y allume la belle flambée de cheminée. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, classeurs ouverts, Clémentine ajuste ses écouteurs, le micro devant sa bouche. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. C'est encore un tel bonheur d'être ensemble. Je peins dans une sorte d'euphorie sachant la fille que j'aime près de moi. Il en va de même pour Clémentine qui m'adresse parfois de merveilleux sourires. Les vibrations de mon I-phone posé entre les tubes de peintures. Je m'en saisis. C'est Danièle qui arrive. Je me lève précipitamment suivi de Clémentine. C'est sa pause. Nous quittons l'atelier en nous tenant les mains pour courir jusqu'au hall d'entrée. La camionnette se gare devant la maison d'amis. Il est pile dix heures.

Danièle en saute pour traverser le jardin en portant un carton. La température extérieure est de 14°. Son anorak ouvert la jeune femme grimpe les quatre marches du perron en courant. Je la débarrasse de son carton. Clémentine la débarrasse de son anorak. << Je suis encore à la bourre ce matin ! >> fait Danièle en nous précédant pour aller à la cuisine. J'ai complètement oublié le "cadeau". Elle me le fait remarquer pendant que je tire le petit poulet et les escalopes de dindes du carton. Avant de ranger tout ça dans le réfrigérateur, je sors mon Zob en disant : << Veux-tu bien m'excuser , c'est un oubli ! >>. C'est Clémentine qui mets la viande dans le frigo. Danièle se penche d'abord pour humer ma bite. Elle s'accroche aux poches de mon 501 en s'accroupissant. C'est immédiat.

La jeune femme se met à me tailler une de ses pipes passionnées dont elle est coutumière depuis quelques semaines. Il m'est défendu de la toucher. Interdiction de caresser sa tête, de passer l'extrémité de mes doigts sur son visage. Clémentine vient nous rejoindre. Penchée en avant, son visage près de celui de ma pompeuse, elle dit : << Alors ? On se régale ? >>. Danièle, sans cesser de sucer comme une affamée se contente de répondre par un gloussement amusé. Elle cesse aussi soudainement pour se relever. << Un petit délice entre deux livraisons ! >> lance t-elle en se précipitant vers la porte. Nous la suivons jusque dans le hall d'entrée où la jeune femme revêt son anorak. << On se voit samedi matin ? >> lance t-elle en ouvrant la porte avant de dévaler les quatre marches.

J'agite ma bite sur le perron, Clémentine me tenant par la taille. De nos mains libres que nous agitons pour un dernier coucou nous regardons Danièle faire sa manœuvre de demi tour. Nous rentrons vite au chaud pour retourner dans l'atelier. << J'arrête pas d'être en retard ! Mais je n'en ai strictement rien à foutre ! >> précise Clémentine en s'asseyant devant son ordinateur. Ajustant ses écouteurs sur les oreilles. Je retourne à ma peinture dans un degré d'excitation très inspirant. Je peins en pensant à cette jeune femme étonnante. Je l'imagine entrain de sucer d'autres clients. Je sais bien que ce n'est qu'un fantasme mais c'est tellement sympathique de m'inventer des "films". Il va être midi. Clémentine se lève pour venir mettre deux bûches sur les braises rougeoyantes. Il fait faim.

Elle m'attrape par la main pour m'entraîner. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Pendant que Clémentine fait l'assaisonnement d'une laitue dont elle lave les feuilles également pour ce soir, je réchauffe le reste de la tarte au brocolis. Pour ce soir, ce sera un gratin de pommes de terre façon "nous". Je les épluches, je les lave avant de les ébouillanter quelques minutes dans l'auto cuiseur. Clémentine râpe une bonne quantité de gruyère Suisse. J'égoutte les patates avant de les étaler dans le grand plat carré en terre cuite. Je verse le liant. Ce flan constitué d'œuf, de crème fraîche, de lait de soja et de fromage blanc. Clémentine recouvre du gruyère. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillées. Je dispose des cerneaux de noix sur le tout. Au four électrique. Cuisson à 160°.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur ce qui s'est passé ce matin. Les attitudes et les demandes de Danièle. Nous évoquons les fois précédentes et le souhait de la jeune femme d'avoir un jour tout son temps pour m'en "tailler une longue". C'est d'ailleurs très étrange. Une de ces synchronicités insolites et étranges. Car mon I-phone me prévient de l'arrivée d'un SMS. Clémentine se précipite vers le buffet pour s'en saisir. << Danièle ! >> s'écrie t-elle avant de se mettre à lire à voix haute. Danièle nous remercie pour l'accueil et précise qu'elle attend avec impatience de nous revoir samedi matin. Que répondre ? C'est Clémentine qui le fait par un simple "nous également". Nous traînons à table. Assise sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte son ressenti quand à Danièle.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. << Tu me donnes un peu ta bite ! >> lance Clémentine en s'asseyant sur un des deux tabourets de la salle de bain. Je lui présente mon sexe. Je bande mou. Clémentine le hume, l'inspecte à la façon d'un examen scientifique. Je caresse sa nuque en passant ma main sous sa natte. Elle me suce passionnément. J'aime passer l'extrémité de mes doigts dans le creux de ses joues. Je me penche pour murmurer : << Je suis entouré de suceuses. Ma vie est merveilleuse ! >>. Clémentine rit en gloussant. Je saisis sa natte au plus court pour la forcer à cesser. Je dis : << Gardes-en pour plus tard ! >>. Elle se lève pour se serrer dans mes bras : << Je t'aime ! J'aime la bite ! >> s'exclame t-elle avant d'enfoncer sa langue au gout de foutre dans ma bouche.

Pressés d'aller faire quelques pas dehors, nous dévalons les escaliers pour mettre nos anoraks. Il y a des séquences timides de luminosité sous un ciel qui reste voilé. Nous descendons jusqu'à la rivière. Il fait un peu moins froid avec les 18° degrés qui règnent sans le moindre souffle de vent. Les canards, les colverts et les poules d'eau virevoltent en cancanant à la surface des eaux. C'est magnifique. Il est presque quatorze heures lorsque nous sommes de retour à nos postes de travail. L'après-midi se passe dans ce plaisir partagé d'être ensemble. Dix sept heures quand Clémentine se lève en s'écriant : << Terminé. L'école est finie ! >> Je nettoie la palette, les pinceaux. Il y a des séquences ensoleillées. Nous voulons absolument en profiter. Aussi nous nous précipitons au dehors. Les rares apparitions du soleil n'apportent aucune chaleur mais en donnent l'impression. Nos anoraks ouverts nous faisons le tour du bassin. Les eaux croupissantes au fond. Des feuilles de l'automne dernier achèvent d'y pourrir.

Je glisse ma main dans le Levis déboutonné de Clémentine qui glisse la sienne dans ma braguette ouverte. Nous adorons jouer avec nos sexes. Tout en parlant de toutes autres choses. Clémentine qui évoque sa journée de conférences en télé travail. Il est dix huit heures. Les nuages ont définitivement gagné la partie. La fraîcheur humide redevient désagréable. Nous rentrons. << J'ai trop envie ! >> me fait Clémentine en m'entraînant au salon. Elle s'assoit sur la chaise, le dossier entre ses cuisses écartées, me tenant par les poches arrières de mon Levis. Je frotte ma bite sur son visage alors qu'elle gémit de bonheur, les yeux fermés, à apprécier ma caresse "queutarde". À chaque fois qu'elle veut gober mon sexe, j'esquive en sournois au dernier instant. Ce qui la fait rire en gloussant.

Je finis tout de même par satisfaire son appétit. Je me fais une nouvelle fois tailler une pipe des familles. Du bruit. C'est Juliette que nous entendons marcher dans le couloir. Clémentine cesse de sucer pour crier : << Coucou ! >>. Juliette qui se précipitait vers la porte de l'atelier semble un peu surprise de nous trouver au salon. Étonnée par ce qui s'y passe. D'un pas rapide elle vient nous rejoindre. << Déjà en plein exercice ? >> demande t-elle en se penchant pour faire trois bises à Clémentine qui répond : << Je te la prépare ! >>. Juliette se redresse pour me faire trois bises avant de répondre : << Merci, c'est très sympa ! >>. Nous en rions de bon cœur. Clémentine se lève en rajoutant : << La place est chaude ! >>. Juliette ne se fait pas prier. Elle s'installe immédiatement.

Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche. Juliette enfonce ma bite dans la sienne. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. J'ai l'impression d'avoir la bite dans un bol de purée tiède au fond duquel il y aurait une ventouse aspirante. Je caresse la tête de ma pompeuse. Elle aussi à ses cheveux tressés en une longue natte. La position debout commence à être pénible pour mes lombaires. C'est comme si Juliette s'en rendait compte. Elle cesse. Se lève en disant : << Je ne connais pas de plus belles surprises en arrivant quelque part ! >>. Je passe ma main entre ses cuisses. J'adore ce réflexe féminin. Ce petit spasme de surprise qui secoue tout son corps. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Pour éviter tous risques, je remballe mon érection dégoulinante avec difficultés.

Nous mangeons de bon appétit. Juliette nous raconte ses journées. Elle attend avec impatience les premiers départs des chevaux encore en pensions. La conversation dérive toutefois rapidement sur nos centres d'intérêts communs. Juliette revient sur la soirée Gloryhole qu'elle prépare pour le vendredi 19 avril. Vieille de notre départ pour un séjour d'une semaine de vacances. Clémentine se réjouit. << Ça va faire plus de six mois ! >> précise t-elle en mimant une pipe. << Je te réserve une petite surprise. Tu vas beaucoup apprécier ! >> lance Juliette qui fait la même imitation. Je me lève pour agiter ma bite vers les mangeuses. << Tu me la donnes en dessert après ? >> me demande Juliette sans cesser sa vulgaire pipe imaginaire, tournant son poignet fermé devant sa bouche. Juliette devra nous laisser pour 22 h. Nous ne traînons pas. C'est encore une de ses soirées où Clémentine se masturbe en me regardant me faire sucer.

Bonne nouille à toutes les coquines que le spectacle d'une fellation a émoustillé au plus haut point. Se faisant lécher la cramouille et sucer le clito sous les draps par le "sucé"...

Julien (le sucé)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Friday 5 April 2024 07:38

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 32 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2574 -



Les bouchées à la reine du jeudi soir

Hier matin, jeudi, il est presque six heures. Tirés de nos profonds sommeils par l'illusion bluffante des gazouillis d'oiseaux, d'une source, nous nous étirons en gémissants. Clémentine se serre contre moi en murmurant d'incompréhensibles suites de mots. Elle trébuche sur chacun d'eux avant de se mettre à rire de ses impossibilités. Nous nous précipitons aux toilettes en riant. Les radiateurs viennent d'entrer en fonction. C'est dans la fraicheur que nous mettons nos tenues sports à la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis en me racontant ses rêves. Je suis plié de rire en allumant la cuisinière à bois. Car c'est avec l'accent Corse de Juliette et en ayant retrouvé ses facultés cognitives. Je beurre les tranches de pain.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée avec Juliette. Ses attitudes. << Tu as vu. Elle ne joue plus à la farouche. Bien au contraire ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la présence d'Estelle ce soir. << Elle va me raconter sa soirée baise avec son parrain ce matin en cours ! >> précise Clémentine. Je dis : << Il faudra que je procède au contrôle technique ce soir ! >>. Clémentine rajoute : << Oui, tel un garagiste. Il faudra en profiter pour vérifier mon kilométrage ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Il va être six heures vingt cinq. Notre heure pour l'entraînement. C'est en courant que nous remontons rejoindre notre salle pas chauffée. Les échauffements aérobics dans des mouvements précipités.

Le jogging sur tapis roulants avant les exercices au sol. La manipulation des barres, des haltères. Les étirements d'un stretching bien trop hâtif avant la douche. C'est en courant que je redescends les escaliers le premier. Je sors la voiture du garage. Presque 7 h45. La température extérieure est de 10°. Le ciel est voilé mais lumineux. Clémentine vient me rejoindre dans son élégante tenue habituelle. Un Levis "brut", des bottines brunes, son blouson d'épais cuir brun assorti à son béret. Son écharpe de laine crème. Ses bras autour de mon cou pour un dernier bisous. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou avant de courir me mettre au chaud. Faire la vaisselle, faire le lit avant de passer dans l'atelier. J'allume la belle flambée de cheminée. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. La peinture du "salon", cette neuvième toile hyper réaliste, m'accapare rapidement. Je peins dans un enthousiasme totalement délirant.

La matinée passe encore tellement vite qu'il est presque midi. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à réchauffer les restes du gratin, à faire l'assaisonnement d'une salade de carottes. Je prépare le rituel des jeudis soirs. Je fais bouillir les coquillettes. J'émince deux grosses escalopes de dinde que je fais rissoler à la poêle avec des champignons. Je concocte une Béchamel dans laquelle je rajoute du gruyère Suisse grossièrement râpé. J'y verse le contenu de la poêle. Il me reste à remplir les bouchées à la reine de cette savoureuse garniture, de rajouter les coquillettes égouttées, de recouvrir d'une épaisses couche de gruyère, d'y saupoudrer chapelure et graines de sésame grillé. Au four électrique pour laisser mijoter longuement à 160°.

Je mange mes restes de gratin de non appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff aborde l'épineux sujet des malversations, des prises d'intérêts et le probable enrichissement personnel d'Ursula Von Der Leyen. Quatre milliards de doses de vaccins commandées aux laboratoires Pfizer avec un simple SMS depuis son smartphone. Doses inutiles et détruites. Les centaines de millions d'euros financés avec l'argent des contribuables européens. Une enquête est enfin ouverte sur demandes des procureurs de différents pays européens. Curieusement aucun procureur français. Étrangement les médias français n'en parlent que du bout des lèvres. Entièrement au pouvoir de dirigeants probablement beaucoup plus préoccupés de dissimuler leurs gestions calamiteuses. Leurs bilans désastreux.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé de profiter de ces éclaircies de plus en plus nombreuses, je redescends à toute vitesse. La température extérieure est de 18°. Un léger vent d'Est est responsable de cette fraîcheur. J'enfile l'anorak pour aller jusqu'à la rivière. Les arbres sont verts et se couvrent lentement de feuilles luisantes et grasses. Souhaitons qu'aucune gelée nocturne ne viennent perturber leur développement. Il est treize heures cinquante quand je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans le même enthousiasme que ce matin. C'est vers quinze heures trente que mon I-phone me prévient de l'arrivée d'un message. Quelle surprise. Ce sont quelques mots que m'envoie Danièle. "Je n'arrête plus d'y penser", écrit elle. Cinq mots.

Je m'empresse de répondre "Idem". Plus de suite. Au bruit que j'entends, je sais qu'il est dix sept heures trente. Clémentine entre dans l'atelier. J'ai juste le temps de poser la palette, les pinceaux avant qu'elle ne se mette à califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou. Elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << C'est de plus en plus dégueulasse ! Ils ont encore changé de fournisseurs ! Minable ! >> lance t-elle avant de conclure : << Avec Estelle, ce sera comme on a dit ce matin. Soirée "contrôle de routine" ! >>. Nous en rions aux éclats alors que Clémentine se lève pour aller s'assoir devant son ordinateur. Entourée de ses notes qu'elle met en archives. Ces quarante cinq minutes d'un travail ensemble sont encore sources d'inspirations. Je la rejoins pour lui montrer le message de Danièle. << Ça se précise ! >> dit elle sans se déconcentrer.

<< Mais que j'en ai marre. Mais que j'arrête. Mais que ras-le-bol ! >> s'écrie t-elle en se levant. Pendant qu'elle range ses affaires, je nettoie la palette, les pinceaux. C'est devant le petit lavabo de l'atelier que nous nous rejoignons. Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets. Pour l'amuser j'en lâche des dizaines. Courts, brefs et puissants. En secouant les dernières gouttes, avant de se pencher pour suçoter, Clémentine me dit : << Tu me contrôles un peu ce soir ? >>. Nous en rions. J'aime l'entendre rire en gloussant, la bouche pleine. Elle s'accroupit pour pouvoir trouver meilleure aisance dans cette petite pipe d'à peine une minute. Je l'aide à se relever. << Viens, on profite de ce soleil ! >> s'exclame t-elle en m'entraînant par la main. << Garde la bite à l'air ! >> rajoute t-elle.

Nous mettons nos anoraks. Malgré le soleil et à cause de ce vent il ne fait pas très chaud. C'est tout de même un véritable plaisir de faire quelques pas jusqu'au bassin. L'entreprise paysagère fera sa première intervention lundi 8 avril. Il y aura fort à faire. Tailler les haies, élaguer les arbres, retirer les branches cassées qui jonchent les sols. Nettoyer le bassin avant de le remplir d'une eau claires et limpide. Nous sommes assis sur les rochers. Le petit pont de bois est moussu et dangereux. Là-aussi il faudra le remettre en état. Clémentine raconte ses manœuvres d'approche quant à Léo, le jeune étudiant qu'elle drague. Elle tient mon sexe dans sa main chaude. Les rochers sont trop froids pour y rester assis plus longtemps. Voilà la voiture d'entreprise qui descend. Estelle au volant de son "Kangoo". Elle se gare devant la porte du garage pour venir vers nous en courant. Elle me saute au cou. Clémentine me lâche le Zob. Je soulève alors Estelle.

Accrochée à mon cou, ses jambes autour de ma taille. C'est comme ça que nous rentrons au chaud. Je la débarrasse de son blouson d'épais cuir brun. Nous avons acheté les mêmes l'année dernière à Édimbourg. Il ne faudra pas les confondre en les accrochant au porte manteaux. Estelle attrape mon Zob en disant : << Tu vas avoir du boulot ce soir. Jean-Marc m'a encore complètement démonté ! >> s'exclame t-elle en se touchant l'entre jambes. Nous en rions. Nous allons dans la cuisine. Ce n'est plus réellement une surprise que nos bouchées à la reine du jeudi soir. Mais mes deux anges restent enchantées de cette préparation. Clémentine m'attrape la bite à son tour en disant : << Notre "Chef", notre "cordon bleu, notre "maître queue a encore sévit devant les fourneaux ! >>. Rires.

Estelle met les assiettes, les couverts. Je sors le plat du four électrique éteint pour le mettre dans la fournaise du four à bois. Estelle surveille le réchauffage. J'aide Clémentine à faire l'assaisonnement des endives. Nous mangeons de bon appétit. Estelle me raconte ce qui s'est encore passé avec Jean-Marc mercredi soir. Elle baise avec son parrain depuis l'âge de seize ans. Elle se réjouit de renouer avec la formule "baise en chambre". << Sur mon lit c'est plus confortable que sur les cartons au dépôt, où à la cave à côté de la chaudière ! >> précise t-elle. Durant son amusante narration elle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. Je demande : << Et il t'encule ce "monstre" ? >>. Estelle rit aux éclats avant de répondre : << Oui, en fin de séance. Il prend même l'habitude de me juter dans le cul ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Elle rajoute : << Quand il est parti ça n'arrête pas de couler, dégueu ! >>

Nous ne traînons pas. Trop impatients d'aller nous livrer à nos "exactions sexuelles" des jeudis soirs. Forts ressemblantes à celles des mardis soirs d'ailleurs. Estelle devant nous laisser pour 22 h, chaque minute est précieuse. Nous débarrassons pour tout mettre dans le lave vaisselle. C'est Estelle qui prend ma main pour m'entraîner au salon. Elle me pousse dans le canapé où je tombe pour me vautrer. Pour me branler en regardant mes deux coquines retirer leurs bottines, leurs Levis, leurs culottes. Je me lève pour les laisser s'installer. << Je m'assoie là où tu étais, c'est bien chaud ! >> lance Estelle qui relève ses jambes qu'elle tient sous ses genoux. Les cuisses largement écartées sur son intimité velue. Tout comme fait Clémentine. De quoi susciter mon second appétit de la soirée.

Je commence par Estelle. À genoux sur les épais coussins, mon visage entre ses cuisses, je hume longuement les odeurs fortes de sa journée de fille. Elle se masturbe en me demandant : << Ça sent comment ? >>. Je me contente de répondre pas un : << Mmhh ! >>. Je passe à Clémentine dont les odeurs, bien que légèrement différentes, soient fortes elles aussi, m'enivrent d'une autre douceur. Toutes les deux se masturbent en échangeant leurs impressions. Du bout de la langue je goûte aux saveurs "épicées" de leurs intimités. << Notre "soumis" trouve t-il tout ça à son goût ? >> demande Estelle qui se vautre complètement quand je prends son clitoris entre mes lèvres pour le sucer. Immédiatement Estelle se met à gémir entre quelques petits cris d'enchantement.

Je passe au clitoris géant de Clémentine. C'est une véritable petite bite. Quand je cesse pour enfoncer ma langue, toutes les deux recommencent à se masturber. En échangeant à nouveau leurs ressentis. En me félicitant pour ma prestation. De ce "contrôle qualité" durant lequel j'excelle. Elles ont toutes les deux en projet une épilation intégrale avant les vacances d'été. Le projet de se faire tatouer un petit symbole personnel qui sera caché une fois les poils repoussés. Je trouve cette idée charmante. Clémentine précise : << Mais ça repoussera vite et plus dense encore ! >>. Nous en rions. Estelle me demande alors que je lui bouffe la chatte. En extase elle dit : << Tu nous dessineras de beaux symboles "ésotériques" ? >>. Clémentine rajoute : << On les donnera au tatoueur à Édimbourg ! >>

Estelle, dans un véritable hurlement, me repousse délicatement pour se terminer aux doigts. Son orgasme la projette dans une cascade de spasmes. J'ai les joues bouillantes du frottement des cuisses de mes deux anges contre mon visage. J'adore sentir les frissons qui agitent l'intérieur de leurs cuisses quand elles les resserrent. J'ai le bas du visage trempé de leurs mouilles. Je ne connais pas de meilleur dessert après un copieux repas. Estelle, couchée sur le côté, les mains entre ses cuisses, tentant de revenir de sa "petite mort", ouvre les yeux pour admirer l'orgasme de Clémentine. Je tiens la cuvette en plastique pour tenter d'éviter que les incroyables jets de pisse n'éclaboussent tout et n'importe comment. Clémentine totalement éclatée", hurlante, ne maîtrise plus rien.

Bonne nouille à toutes les coquines qui une fois au lit, en savourent les jus de cuisson. Sous les draps. Avant de s'endormir avec le gout de sperme de leur "maître queue", de leur "Chef", de leur "cordon bleu. De leur cuistot spécialiste du jus de nouille...

Julien (le cuistot)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Saturday 6 April 2024 07:04

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 33 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2575 -



Le vendredi, Clémentine termine à midi

Hier matin, vendredi, il est presque six heures quand les gazouillis des oiseaux, l'écoulement de la source, nous tirent du sommeil. C'est une transition qui s'opère sans aucun traumatisme. Rien de plus naturel que de se réveiller au fond d'une forêt. Même si tout cela n'est qu'illusion et ne dure que quarante cinq secondes. Dès que nos I-phones s'éteignent, c'est cet étrange silence qui devient effrayant. Clémentine vient se blottir contre moi. Ses gémissements dans le creux de mon oreille. Elle saisit ma tumescence en murmurant d'inintelligibles suites de mots. Trébuchant sur chacun de ceux qu'elle tente de prononcer une seconde fois. Nous en rions. Quand elle arrive au vendredi, qu'elle sait que le weekend commence à midi, Clémentine se révèle espiègle, mutine et facétieuse. Le vrai bonheur.

Nous nous précipitons aux toilettes. Les radiateurs commencent à chauffer. Il fait encore bien frais dans la salle de bain où nous enfilons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. J'allume immédiatement un bon feu dans la cuisinière à bois. Clémentine prépare le café, presse les oranges, pèle les kiwis en me racontant ses rêves. Elle trouve enfin les mots. Imitant l'accent Corse de Juliette. Je suis plié de rire. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre jeudi soir en compagnie d'Estelle. Le "contrôle" des minous auquel j'ai procédé. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de l'après-midi. Si les prédictions météos s'avèrent exactes, justes, ce sera randonnée à bicyclette. Il va être six heures vingt cinq.

Nous remontons à toute vitesse dans notre salle d'entraînement pas chauffée. La motivation est grande. Ce sont les mouvements aérobics, puis le jogging sur tapis roulants qui nous échauffent. Clémentine se montre encore très déconneuse. Les exercices au sol avant les charges additionnelles. Le retour au calme d'un stretching bien trop précipité par manque de temps. La douche. Je dévale les escaliers pour aller sortir l'auto du garage. Presque 7 h45. Le ciel est bleu, lumineux. La température extérieure reste toutefois à 11°. Clémentine vient me rejoindre dans son blouson d'épais cuir brun, un Levis délavé, ses bottines brunes. Ses bras autour de mon cou, elle enfonce rapidement sa langue dans ma bouche. Un trop court instant avant de dire : << À tout de suite. Je t'aime ! >>

Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Je m'empresse de retourner au chaud. Je fais la vaisselle, notre lit. Il y a cet extraordinaire phénomène des mois d'avril. En se levant au-dessus des arbres, le soleil donne un aspect doré aux vitraux des fenêtres de l'escalier en colimaçon. Les dessins des vitraux se reflètent alors sur le mur comme en filigrane. Je prends quelques photos. Cela n'arrive qu'une dizaine de fois chaque année. Dans l'atelier, j'allume la flambée de cheminée. Installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette neuvième toile hyper réaliste m'entraîne rapidement dans les méandres d'une douce introspection. Je peins animé de l'euphorie laissée par Clémentine. En déconnant. La joie.

Il est onze heures trente quand je dépose la dernière touche de vert d'émeraude sur la surface du tableaux achevé. Si tout se passe comme je le veux, j'aurai la quinzaine de toiles nécessaires pour ouvrir ma galerie d'Art cet été. Juliette me presse de le faire car ce serait un plaisir suprême pour elle de tenir ma boutique. D'interpréter le personnage de la bourgeoise désœuvrée qui tient un espace d'exposition. Je fais un peu de rangement. Je passe un coup d'aspirateur dans toute la grande pièce. Rien ne produit davantage de poussière qu'une cheminée et son chauffage au bois. Il va être midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à faire l'assaisonnement d'une salade de tomates pendant que réchauffent les deux grosses bouchées à la reine dans leurs coquillettes. C'est meilleur réchauffé.

Il est midi trente cinq quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes enserrant ma taille, je l'emmène aux toilettes. Lavage des mains, rituel pipi. << Viens voir ! >> lance t-elle en saisissant ma main pour m'entraîner au dehors. La température est de 22°. Le soleil joue à cache cache avec quelques nuages gris. << Cet après-midi, vélo ! >> s'écrie t-elle en m'entraînant cette fois jusque dans la cuisine. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Le jeune homme qui l'a dragué à la station lorsqu'elle faisait le plein. Sa conversation avec Léo, ce jeune étudiant de 20 ans qui semble subjugué, flatté qu'une des plus belles filles de l'université lui prête quelques attentions. "L'élu", le privilégié, bénit des Dieux. Nous en rions de bon cœur. << S'il fait beau trois ou quatre jours de suite, je l'invite à faire un tour dans ma voiture. Vous serez planqués dans le mirador avec Estelle ! >> explique Clémentine.

Nous avons soigneusement mis au point la stratégie. Défini l'endroit. << Je veux me le faire. Il est trop mignon ! >> rajoute Clémentine. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous changer. Clémentine n'hésite pas. Elle met une de ses jupettes "tennis" beige, un T-shirt de coton blanc, ses soquettes beiges et ses baskets. Je suis en short beige, T-shirt blanc. Même teintes. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos que je vais porter, des barres de céréales, les K-ways pour le retour. La petite paire de jumelles. Nous prenons des pauses devant le grand miroir de la penderie dans le hall d'entrée. Clémentine s'accroupit, cuisses largement écartées sur sa culotte de coton blanc. J'adore cette touffe noire et épaisse qui dépasse de tous les côtés.

Les bouteilles d'eau à la main nous traversons la pelouse en courant. Je vérifie le gonflage des pneus de nos vélos. Ça n'a pas bougé depuis la dernière sortie. 5,5 bars devant et derrière. C'est parti. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. Nous traversons l'étroite passerelle en bois. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Le vent d'Ouest nous oblige à quelques efforts. Il est de face. Le soleil nous gratifie d'une chaleur tellement agréable. Nous avant tant attendu cette première véritable journée de printemps. Nous pédalons côte à côte en bavardant. Lorsque nous croisons d'autres cyclistes il suffit de nous serrer. Il y a déjà des filles en rollers. Par contre, les trottinettes électriques étant interdites depuis l'été dernier, c'est une circulation beaucoup plus sécurisée. Le vrai et pur plaisir.

Sur les dix kilomètres où il faut pédaler contre un vent qui semble souffler de plus en plus fort, nous remarquons que le soleil disparaît inexorablement derrière des nuages d'altitude. Ce qui n'a pas de réelle incidence sur la douceur étonnante de ce premier vendredi d'avril. Voilà le cabanon de l'écluse. Distant d'environs dix kilomètres de chez nous. Nous en avons vécu de belles aventures en ce lieu. Il n'y a personne. C'est l'arrêt pipi préféré de Clémentine qui met pieds à terre. << J'ai envie de faire ma salope. Tu me sécurises ? >> me dit elle. Je m'arrête à mon tour. La configuration des lieux permet tant le voyeurisme que l'exhibitionnisme. Nous poussons nos bicyclettes pour les cacher derrière le cabanon. Il faut descendre en contrebas de la piste cyclable. Je reste là, à l'angle des fondations de pierres. Clémentine me fait une bise avant de se précipiter. Remonter la piste cyclable qu'elle traverse pour prendre la passerelle en métal au-dessus de l'écluse.

Je sors la petite paire de jumelles du sac à dos. Clémentine se place à l'endroit habituel. Entre deux bosquets d'épais lauriers. Penchée en avant, une main sous sa jupette, elle regarde à droite. Elle regarde à gauche. Elle m'adresse des coucous. Je me tiens dissimulé à une cinquantaine de mètres. Nous attendons une dizaine de minutes en nous adressant des bisous, des mimes de masturbations. Dans les jumelles je vois les clins d'œil que me fait Clémentine. Là, voilà un cycliste solitaire. Vêtu d'une magnifique tenue "Tour de France". Clémentine descend sa culotte en s'accroupissant. Elle doit véritablement pisser. ça fait bien cinq minutes qu'elle sautait d'une jambe sur l'autre en se tenant l'entre jambes des deux mains. Accroupie, un peu en avant des bosquets, presque au bord de la fosse de l'écluse, elle attend l'instant fatidique. Le type, tout en pédalant, regarde machinalement sur sa droite. Il voit la fille. Il freine à en déchirer les pneus de son vélo.

Il met un pied à terre pour admirer ce magnifique spectacle. Clémentine se lâche dans une série de jets d'une puissance phénoménale. Cette écluse ne doit pas mesurer plus de six mètres de largeur. Des jets qui viennent probablement se briser contre le mur de la fosse qui fait face. Ses larges lunettes de soleil préservent son anonymat. Malgré ses cheveux noués en une longue natte. Le cycliste doit avoir la trentaine, athlétique. Il pose le second pied au sol. Il se frotte sur le cadre de sa bicyclette. Entre chacun de ses jets, Clémentine laisse passer quelques secondes. L'inconnu n'est pas dupe. Il comprend que cette exhibition s'adresse à sa personne. De tomber sur une telle salope n'arrive qu'une fois dans une existence. Et rares sont les élus, les privilégiés qui ont l'extrême chance d'assister à une telle prestation. C'est parfait. Personne n'arrive. Clémentine peut faire durer. Le type pose son vélo au sol. Il descend lentement son short.

Clémentine, qui peut loucher derrière les verres fumés de ses lunettes, garde la tête penchée en avant. Pour contempler elle aussi l'abondance de ses jets qui deviennent simples giclées. Notre lascar se masturbe. Je le vois de dos. Impossible de savoir ce qu'il montre à la pisseuse. Pisseuse qui lève enfin la tête pour faire semblant d'être surprise. Depuis ma cachette il m'est impossible d'entendre la nature des propos échangés. Dommage car je vois Clémentine sourire. Tout en restant accroupie. Merveilleuse salope qui s'offre aux regards dans une indécence folle. Invraisemblable. Moi aussi je me masturbe en regardant avec les jumelles. De les tenir d'une seule main me fait parfois perdre le fil des évènements. Le mec, cambré sur ses genoux fléchis, accélère sa branlette. Je vois son bras accélérer jusqu'au cri qu'il pousse. Impossible de voir ce qui se passe. Mais je vois Clémentine lever son pouce comme pour féliciter notre coureur du "Tour de France".

Elle se redresse pour se torcher longuement. C'est un très grand moment qui dure depuis une bonne dizaine de minutes. Quelle chance. Personne pour venir perturber cette prestation extraordinaire. Le quidam remonte son short, ramasse son vélo et repart en titubant. Clémentine remonte sa culotte, s'ajuste, traverse la passerelle. Elle s'apprête à traverser la piste cyclable pour me rejoindre. Le mec qui a fait demi tour un peu plus loin revient à toute vitesse. Poussé par le vent. Clémentine se dépêche de descendre pour contourner le cabanon. Elle me saute au cou en s'écriant : << Put-Hein comme c'était bon ! Ça ma manqué ! >>. Mais voilà le cycliste qui descend à son tour. Il me voit. Un temps d'arrêt. Je demande : << Un problème ! >>. Il me jauge, évalue ma carrure de culturiste, fait demi tour pour s'enfuir sur sa machine à toute vitesse. << L'enculé ! Je n'aurais pas pensé qu'il revienne. L'enfoiré ! >> s'exclame Clémentine.

Nous reprenons notre route. Malgré le vent nous pouvons pédaler côte à côte en bavardant. Clémentine me donne ses impressions, me confie son ressenti. C'était tellement intense qu'elle serait facilement allée jusqu'à l'orgasme. Elle s'offrirait bien volontiers une seconde séance. Nous arrivons au port de plaisance. Le ciel est couvert mais pas menaçant. Il y a les joueurs de pétanques. Nous en reconnaissons quelques uns. Il y a celui qui a assisté l'année dernière aux prestations de Clémentine. Nous fermons les vélos à cadenas derrière la capitainerie fermée. Nous traversons la route pour aller dans la supérette. Quelle joie de revoir la gérante et de pouvoir bavarder un peu avec elle. Il y a notre marque de crème glacée préférée. Ben & Jerry's. En pots de 450 ml. Nous les savourons assis sur un des bancs. À une cinquantaine de mètres des joueurs de pétanque. Le quidam de l'année dernière a les mêmes réflexes. Il regarde souvent par chez nous.

Bien évidemment, Clémentine le gratifie de quelques exhibitions discrètes. C'est quand il est le seul à regarder par là qu'elle écarte ses cuisses. Sa petite culotte étant dans la pochette avant du sac à dos. Quand il y a des promeneurs, elle place le sac entre ses cuisses, posé sur le banc. << C'est génial. Dès les prochains beaux jours je ne veux plus rater la moindre opportunité ! >> me dit elle. Avec le sac à dos entre ses cuisses, je peux glisser ma main sous sa jupette pour la doigter. << Mmhh, c'est bon ça ! >> gémit elle. Nous flânons un peu sur les quais. La plupart des bateaux sont encore bâchés. Aucune activité sur l'eau. Il va être dix huit heures. Nous retournons aux bicyclettes. C'est tellement agréable de revenir sans faire le moindre effort. En pédalant d'un bon rythme. Vingt cinq kilomètres en une heure. Morts de faim nous nous mettons immédiatement à cuisiner. Clémentine fait l'assaisonnement d'un beau concombre bien mûr.

J'étale la purée de pomme de terre dans la grande poêle pour la faire rissoler en petites galettes préalablement pannées. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos aventures de l'après-midi. << Demain on refait avec Estelle. Les prévisions météorologiques promettent un soleil radieux et jusqu'à 25° ! >> lance Clémentine en venant s'installer sur mes genoux. Ses bras autour de mon cou. Me confiant une fois encore les plaisirs intenses que procurent ses penchants exhibitionnistes. Je propose qu'elle me confie tout cela en faisant l'amour. << Pourquoi ne pas prendre notre douche et de faire l'amour au lit. En amoureux ? >> demande t-elle. Je trouve la suggestion idéale. La vaisselle. Il n'est que vingt heures trente et nous voilà douchés, sous les draps. Je suce le clitoris géant de Clémentine avant de la pénétrer avec d'infinies précautions. Nous adorons rester immobiles. Clémentine qui me confesse ses secrets de filles.

Bonne nuit à toutes les coquines qui aiment confier leurs secrets en faisant l'amour. Sous des draps bien chauds, bien doux, avant de s'endormir dans les bras de leurs "garde du corps"...

Julien (chargé de la sécurité)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Sunday 7 April 2024 10:20

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 34 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2576 -



Quand arrive le samedi

C'est convenu entre nous. Aux environs de sept heures, le premier réveillé réveille l'autre. C'est le plus souvent moi. J'adore regarder Clémentine dormir. Sur le dos, la bouche entre ouverte. Je ressens soudain comme un outrage de devoir la tirer de son sommeil. J'approche mon visage près de son oreille pour murmurer : << Bonjour belle demoiselle. Vous allez vous réveiller mais votre doux rêve continu ! >>. Dans un gémissement, Clémentine se tourne pour se serrer contre moi. Dans mes bras que je referme sur elle. << Il me faut des bisous et des papouilles d'abord ! >> chuchote t-elle en s'y prenant à deux fois. Nous en rions aux éclats. Il va être sept heures. Quelques câlins et nous nous levons pour aller aux toilettes. Il fait bien chaud dans toute la maison. Les radiateurs fonctionnent.

Dans la salle de bain nous revêtons nos tenues de jogging. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour aller directement dans le hall d'entrée. J'ouvre le portail depuis l'interphone. Clémentine garde ses bras autour de ma taille, ses lèvres dans mon cou. Elle me prend la main pour m'entraîner à la cuisine. Pendant qu'elle fait le café, pèle les derniers kiwis, presse les dernières oranges, j'allume la cuisinière à bois. Même si dehors le ciel est entièrement bleu, que la température extérieure est de 17°, il est préférable de donner un petit coup de chauffe supplémentaire. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre sortie vélo de vendredi après-midi. L'exhibe de Clémentine. Le comportement assez étrange de l'heureux privilégié qui a assisté à un spectacle rare et sublime.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le vœux que la météo nous offre d'autres possibilités cet après-midi. Pour l'instant, ce sera un jogging. Après avoir fait la vaisselle, nous enfilons les K-ways avant de sortir. Quelques mouvements d'échauffement dans l'agréable fraîcheur d'un véritable matin de printemps. C'est le long de la rivière que nous courons. Les K-ways sont presque les accessoires de trop. Mais s'avèrent bien utile lorsque nous faisons nos exercices abdominaux sur un des banc. Là-bas, les toits du haras à Juliette. Il est huit heures trente cinq quand nous revenons de cet extraordinaire premier running dans la douceur. Il y a déjà 19°. La Fiat Rouge de Lise est garée devant la dépendance. Nous rentrons. En montant à l'étage nous percevons le bruit de l'aspirateur. Lise est en plein ménage.

Nous prenons une douche salvatrice. Assise sur l'un des deux tabourets, une serviette sur les épaules, Clémentine me raconte d'amusantes anecdotes universitaires. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite, je la coiffe. Le samedi nous pouvons prendre tout notre temps. Pas de précipitations. Sur sa demande je divise ses cheveux en trois parties égales pour les tresser en une longue natte. C'est à mon tour de me faire coiffer. Tout en écoutant Clémentine revenir sur les souvenirs d'aventures passées. Il est question de notre semaine de vacances au Mont Saint-Michel il y a deux ans. À la même période. Nous nous sommes promis d'y retourner une seconde fois. Par contre il est préférable de s'y prendre un an à l'avance pour réserver un hôtel.

Nous nous habillons de nos Levis, d'un sweat léger, les baskets. En quittant la salle de bain nous rencontrons Lise. Son éternel survêtement gris. Elle retire les écouteurs qu'elle porte sur ses oreilles pour nous saluer. Le tuyau de l'aspirateur à la main, souriante elle nous raconte un peu de sa semaine. Étudiante en première année d'un BTS commercial, c'est un tout autre univers que celui d'une université privée. Un peu le prolongement d'une ambiance de lycée. Tout en bavardant la jeune fille lance plusieurs regards appuyés sur ma braguette béante. Marque un instant de silence. M'adressant un étrange regard. Reprend le fil de sa pensée. C'est extrêmement excitant. Nous la laissons à son ménage pour redescendre. Au salon, assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur.

Trois courriels. Celui de tante Amy. Toute ma famille en Écosse reste attentif quant à l'état de santé d'oncle Alan. Il ne quittera pas le pôle gérontologique de l'hôpital d'Édimbourg pour les vacances. Nous percevons l'inquiétude pour la partager. Le message de Juliette qui nous confirme sa venue mercredi prochain. Nous informant au passage que l'organisation de la soirée Gloryhole du vendredi 19 avril est en bonne voie. Le mail d'Estelle impatiente de nous retrouver en début d'après-midi. Comme il est prévu une virée à bicyclette, Estelle viendra nous rejoindre dès treize heures quinze. Pendant que Clémentine répond à nos courriels je glisse un billet de 50 € et de 20 € dans une petite enveloppe jaune. Je caresse les seins minuscules de Clémentine qui lit ses réponses à voix haute.

Il va être l'heure de nos livraisons. Nous sortons du salon pour tomber sur Lise, un seau à la main gauche, un balai brosse dans l'autre. Son merveilleux sourire. Son regard insistant sur ma braguette ouverte. Elle s'apprête à passer la serpillère sur le carrelage de la cuisine. Dans le hall d'entrée, Clémentine s'accroupit devant moi. Je bande mou. Il est alors très simple d'ajuster ma bite juste au-dessus de l'élastique du slip. << Ça fait garrot ? >> me demande t-elle. Je confirme et cela n'est pas très agréable. << Sors-là complètement. Tu seras plus à l'aise. Et Danièle appréciera cette attention à son égard ! >> lance Clémentine alors que nous en rions aux éclats. << Oui, c'est mieux ! >>. Nous nous retournons. Lise est debout dans l'encadrement du couloir. Elle assiste à l'ajustement. Elle vient de prononcer cette phrase. Clémentine est aussi décontenancée que moi.

La complicité qui s'installe samedi après samedi avec cette adorable jeune fille de dix neuf ans ne va pas sans nous surprendre. Une fois encore. Sa présence provoque une érection soudaine. << Wouah ! >> s'exclame t-elle avant de tourner les talons pour s'enfuir. Retournant à ses occupations. Avec Clémentine, nous nous regardons une nouvelle fois un instant. Lise nous avait donc suivi pour nous espionner avant de révéler sa présence ? C'est ce qu'il faut en déduire. Nous sommes semblables. Rien ne nous excite davantage que des initiatives d'une telle nature. Nous sortons. Il fait carrément chaud. 21° alors qu'il est à peine dix heures. Nous traversons le jardin. Malgré la complicité qui s'est créée en quelques quatre années avec Danièle, je suis habité d'une certaine appréhension. C'est la première fois que je l'attends avec le sexe en évidence. Cela ma fait débandé. Je m'en ouvre à Clémentine que cela amuse. Elle me dit en riant : << Et il y a Lise qui te regarde certainement depuis la fenêtre ! >>

Nous le savons et Lise ne s'en cache pas. Voilà la camionnette blanche qui descend depuis le portail. Avec le soleil qui tape, les chromes brillent de mille feux. Danièle, un large sourire illuminant son visage, se gare derrière la voiture de Lise. Elle saute de sa véhicule en s'écriant : << Mais en voilà une bonne idée ! >>. Elle pointe son index vers mon "tuyau d'arrosage". Après avoir touché nos poings du sien elle s'empare immédiatement de mon sexe. << J'aime les accueils de ce genre ! >> me dit elle en me tirant par le Zob. Je marche comme un con, tiré par le Zob, pour la suivre alors qu'elle contourne la camionnette. Elle me lâche pour ouvrir les portes arrières. Elle s'assoit sur le plancher du véhicule pour gober ma turgescence revenue. À cause de la portière ouverte, depuis une des fenêtres de la cuisine, il est dommage que Lise ne puisse apprécier le spectacle. Clémentine, penchée en avant, se touche pour regarder de près. Je me fais sucer.

Danièle n'a guère plus de quelques minutes. D'autres livraisons l'attendent. Aussi, elle cesse pour se redresser, monter dans la camionnette. Clémentine prend le relai un court instant. J'attrape le lourd cageot que me donne Danièle. Il contient les fruits, les légumes. << Tiens mon salaud ! >> lance t-elle alors que je redescends de la camionnette pour poser le cageot sur le banc en pierre. Clémentine attrape le second cageot. Il contient les œufs, les pots de fromage blanc, de crème fraîche, les yaourts, le beurre et toute ces variétés de spécialités fromagères dont nous sommes friands. << Goûtez-moi ces asperges vertes. Elles sont succulentes. C'est cadeau ! >> lance encore Danièle en sautant du véhicule pour en refermer les portières. Elle m'attrape par la queue une nouvelle fois.

<< Toi mon salaud, je ne sais pas encore comment je vais me débrouiller, mais je te fais une pipe du début à la fin un de ces jours ! >> lance t-elle en me la tirant avec cette poigne d'une femme de la campagne. Exploitante agricole. Directe, franche et pas le genre à s'embarrasser de préliminaires mondains. Danièle me lâche pour s'installer au volant. En allumant le moteur elle rajoute : << On se voit mercredi matin, dix heures. Pour les viandes ! >>. Clémentine tient ma bite. Nous regardons Danièle faire sa manœuvre de demi tour. Elle nous fait un dernier coucou avant de remonter la pente en accélérant. Je remballe, je referme consciencieusement ma braguette boutons. Je suis toujours bien inspiré de le faire dès le départ de Danièle. Car voilà le tube Citroën rénové de la boulangère.

Madame Marthe, hilare au volant, vient se garer au même endroit. Elle saute de sa camionnette avec une étonnante vitalité malgré sa corpulence. Notre boulangère adorée à toujours d'amusantes anecdotes concernant des gens du bourg. En tirant la porte coulissante latérale qui fait un bruit d'enfer, elle en tire le cageot contenant les deux grosses miches de pain complet et bio. Les deux pâtes feuilletées, les bouchées à la reine, l'énorme brioche au pudding et les deux gros croissants aux amandes. Madame Marthe non plus ne s'attarde pas. Elle a bien d'autres clients à livrer. Aussi, elle file après nous avoir salué. C'est Lise qui traverse le jardin en courant. C'est devenue une habitude. Elle prend un des cageots pour nous aider à les descendre dans la cave. Nous contournons la maison.

Dans le cellier où nous disposons les fruits et les légumes sur les étagères en bois, Lise s'adresse à moi : << J'adore vous regarder depuis la fenêtre. Elle vous a sucé derrière la portière de son Mercedes ? >>. Complètement surpris par une affirmation et une question aussi directes, je regarde Clémentine. Probablement aussi surprise que moi. Comme contente de la stupeur ainsi créée, Lise tourne les talons pour s'enfuir. Dans l'encadrement de la porte elle se retourne pour rajouter : << C'est génial de faire le ménage chez vous ! >>. Sans nous laisser réagir Lise disparaît comme un garnement après une blague facétieuse. << Sors ta bite. Qu'elle puisse bien en profiter quand nous allons remonter ! >> me fait Clémentine en s'accroupissant pour déboutonner mon 501. M'en extraire le Zob.

Du congélateur d'où je tire un paquet de moules, les sachets de haricots verts et de petits pois, Clémentine y place une des miches, un des pâtes feuilletées. Je porte le cageot des produits frais alors que nous remontons par l'escalier intérieur. Comme elle le fait à chaque fois quand nous entrons dans la cuisine, Lise est entrain de passer le chiffon sur les étagères de la hotte. Clémentine me passe les produits frais que je range sur les étagères du réfrigérateur. Lise le fait tous les samedis. Elle vient se placer entre la porte ouverte et le buffet. Accroupie, elle demande : << Besoin d'aide ? >>. Je réponds : << Non, c'est gentil ! >>. Mais cette fois Lise se montre beaucoup plus insistante. Elle rajoute : << Même pas pour "ça" ? >>. Je tourne la tête pour la voir mimer un geste masturbatoire.

Clémentine, qui me passe les yaourts, demande : << Tu aimerais que les choses évoluent ? >>. Lise se redresse, nous contourne pour retourner à ses étagères. Debout sur l'escabeau elle répond : << Oui. Je crois que ça me plairait bien ! >>. Je lève la tête en me redressant. Lise m'adresse un merveilleux sourire. Je regarde Clémentine qui agite mon sexe redevenu dur comme le bois d'un chêne centenaire. Elle demande : << Pendant les vacances, pourquoi ne viendrais-tu pas manger ici, avec nous. nous pourrons approfondir le sujet ! >>. Lise ne répond pas. Nous l'entendons toutefois glousser de joie à cette invitation. Nous la laissons terminer son ménage pour aller au salon. Cette fois encore, Clémentine s'installe sur la chaise avec le dossier entre ses cuisses écartées. Je m'approche.

Elle me tient par les poches arrières de mon Jeans alors que je frotte mon sexe sur son visage. << Je t'aime Julien. Tu m'excites tout le temps ! >> murmure t-elle. Je me penche pour chuchoter : << Tu es la complice la plus merveilleuse de tout l'univers ! >>. Elle gobe mon érection dans un gémissement de contentement. Nous ne nous en rendons pas compte immédiatement. Mais une fois encore nous sommes observés. Là, dans l'encadrement de la porte, Lise. En tenue ville. Ça fait probablement un moment qu'elle est cachée à regarder. Elle me gratifie une fois encore de ce sourire magnifique. Clémentine cesse de sucer pour tourner la tête. << Ça fait combien de temps que tu mâtes ? >> demande t-elle. << Au moins cinq minutes. Tu le fais bien ! >> répond la jeune fille.

Je montre l'enveloppe jaune posée sur le bureau et qui lui est destinée. Elle entre dans la grande pièce pour se diriger vers le meuble Victorien. Sans cesser de fixer mon sexe que tient fermement Clémentine. Lise saisit son enveloppe en disant : << Merci ! >>. Il est un peu plus de onze heures trente. Clémentine se lève. Je veux ranger mon Zob quand Lise s'écrie : << Non ! Surtout pas ! C'est tellement mieux comme ça ! >>. Une fois encore, comme sidérée, Clémentine et moi nous nous regardons. Lise, comme un garnement contente de sa facétie, rit aux éclats. Nous la raccompagnons jusque dans le hall d'entrée. << Vous venez jusqu'à la voiture ? >> demande t-elle. C'est la première fois qu'elle a cette requête. Nous sortons. Il fait une véritable chaleur d'été. Au moins 28°. Le soleil.

J'ai la bite à l'air. Je bande mou. En s'installant au volant de sa petite Fiat 500 rouge, sans cesser de fixer mon chibre, Lise rajoute : << Je vais m'organiser pour votre invitation. Mais ça m'arrangerait mieux à midi qu'en soirée ! >>. Clémentine dit : << Comme tu le sens ! Pourvu que tu nous préviennes deux jours avant ! >>. Lise, satisfaite de la réponse, démarre. La voiture avance doucement car Lise s'apprête à faire sa manœuvre de demi tour. Les mains sur les hanches, je fais bouger ma queue. Contractions des muscles fessiers. Je lâche un jet de pisse. Comme effarée, Lise immobilise la voiture. Elle me regarde avec consternation. << Une spécialité à Julien ! >> lance Clémentine. Lise semble soudain pressée de s'enfuir. Elle nous fait un dernier coucou arrivée en haut. Avant le portail.

Morts de faim nous courons pour rentrer. Pendant que Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue dont elle lave les feuilles également pour ce soir, je prépare le bouillon pour y jeter les moules décongelées. Clémentine me donne ses impressions. Revient sur les moments forts de la matinée. Tant avec Danièle qu'avec Lise. Je réchauffe les petits pois et les haricots verts dans le wok. J'aime écouter Clémentine me confier ses ressentis. Tout comme pour moi, c'est le comportement de Lise qui excite nos sens. C'est sur les recommandations de Danièle que nous avons proposé à Lise de venir faire le ménage chez nous les samedis matin. Lise a travaillé deux mois dans l'exploitation agricole de Danièle. Se montrant dynamique, ponctuelle et capable d'initiatives. Nous en parlons durant le repas. << Elles ont d'ailleurs des particularités physiques en commun. Les tâches de rousseurs, les cheveux auburns ! >> me fait remarquer Clémentine.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos émotions de la matinée. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Il va être treize heures et Estelle ne va pas tarder. Nous montons nous laver les dents. Nous mettre en tenues. Avec ces chaleurs dignes d'un mois de juillet, ce seront des vêtements légers. Clémentine est tellement heureuse de pouvoir porter ses jupettes "tennis". Un simple T-shirt. Je suis en short et T-shirt. Estelle arrive dans le plus grand silence. Elle adore nous surprendre. En entrant dans la salle bain, posant son sac de sport sur un des tabourets, elle se précipite vers nous. Serrés tous les trois, nous couvrant de bisous, nous vivons un autre grand instant de bonheur. Estelle aussi est déjà en tenue. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers à toute vitesse. Les filles me tenant par les mains. Le petit sac à dos déjà prêt. Je sors sa bicyclette du "Kangoo" d'Estelle. 300 mètres jusqu'à la rivière. 500 mètres jusqu'à la piste cyclable.

Il fait encore plus chaud que hier avec 28°. Le vent d'Ouest est tombé. À peine en subsiste t-il un léger souffle de face. Nous pédalons avec une facilité déconcertante. Nous croisons nombre de cyclistes. Avec cette chaleur d'été nous ne sommes pas seuls à vouloir profiter de cette météo exceptionnelle. Nous pouvons bavarder côte à côte. Estelle à ma gauche, Clémentine à ma droite. Voilà le cabanon de l'écluse. Impossible d'y faire le "pèlerinage" d'un arrêt pipi. Il y a tout un groupe de cyclistes assis sur le muret, à même le sol. Nous continuons notre chemin. Il est quatorze heures quarante cinq quand nous arrivons au port de plaisance. Nous fermons les bicyclettes à cadenas derrière la capitainerie aux volets baissés. Mes deux anges retirent leurs culottes pour les glisser dans la pochette avant du sac que je porte. Je glisse mes deux mains sous leur jupettes pour passer les doigts entre les lèvres moites de leurs vulves bouillantes.

Il y a du monde. Les joueurs de boules sont aujourd'hui une bonne quinzaine. Des groupes de cyclistes. Des couples, des familles. Ça grouille de gens sur les quais. Il y a une infinie tristesse qui se dégage des bateaux bâchés. Encore aucune activité sur les eaux calmes du port. Nous traversons la route pour nous rendre à la supérette. Nombre de clients imposent notre stratégie habituelle. Estelle se place dans la file d'une des deux caisses. Elle nous y attend. Nous allons chercher nos pots de crèmes glacées dans une des armoires congélateurs. Ben & Jerry's. Parfums nougat, vanille pécan et pistache noix. Nous rejoignons Estelle juste à temps pour payer. Qu'il est agréable de savourer nos douceurs sucrées assis sur un des bancs sous les platanes. Le soleil est tellement fort qu'il n'y a pas encore assez de feuilles aux branches pour nous abriter de ses ardeurs. Il y a le joueur de pétanque, toujours le même, qui nous a repéré. Il regarde de plus en souvent par là.

Discrètement, Clémentine le gratifie de sa prestation habituelle. Cuisses qu'elle écarte juste au moment où le quidam regarde. Je suis entre mes deux anges. Estelle s'amuse de la même façon. Nous avons déjà fait ça l'année dernière. Estelle place le sac à dos entre ses cuisses écartées. Je comprends immédiatement. Je plante la petite cuillère dans mon pot de glace pour avoir la main libre. Main que je glisse sous sa jupette. Le sac dissimule alors mes activités tactiles. Elle m'attrape le poignet quand je retire mes doigts pour les humer. Je les suce avant de reprendre la cuillère et la dégustation de ma pistache aux noix. Il y a cette jeune femme qui est arrivée depuis une dizaine de minutes. Debout, son vélo entre ses jambes, elle consulte son smartphone. C'est du moins ce que son attitude pourrait laisser penser. Elle aussi porte de larges lunettes noires comme nous. << Elle mâte vers chez nous. Sûre qu'elle a capté ! >> dit Clémentine.

C'est fort probable. Estelle rajoute : << Touche-moi à nouveau pour voir ! >>. Toujours cachés par le petit sac à dos, mes doigts explorent à nouveau son intimité. Mais cette fois nous observons avec attention. Je suis convaincu que cette jeune femme n'est là que pour mâter discrètement. << Montre-lui ta bite ! >> murmure Estelle. Je m'y refuse. Trop dangereux. Il y a deux familles qui se rapprochent. Poussettes, gamins criards, c'est rapidement insupportable car ils s'installent sur un banc voisin. Nous terminons nos pots avant de nous lever pour aller les jeter dans une des poubelles. La jeune femme a disparu. Nous longeons le quai jusqu'au bar restaurant. Les tables de la terrasse sont toutes occupées. Il y a un cycliste qui pousse son vélo. Sans doute déçu de ne pas trouver une place libre, il s'assoit sur le muret. Trois grosses motos sont garée là. << Attendez-moi là ! >> lance Clémentine qui s'éloigne. Le truc "classique".

Marchant doucement, les bras croisés, elle longe le muret jusqu'à passer derrière les motos. À une dizaine de mètres du cycliste qui fixe la terrasse du bar. Estelle se serre contre moi, nous restons près des bateaux, derrière un petit cabanon de plastique gris. À une cinquantaine de mètres. Les clients de la terrasse ne se doutent de rien. Nous faisons semblant de scruter l'écran de l'I-phone d'Estelle. Mais c'est évidemment la manœuvre d'approche de Clémentine qui nous intéresse. C'est quand le cycliste la remarque enfin qu'elle s'accroupit derrière les bécanes. Son attention éveillée il tente de voir. Il a compris. Pas l'ombre d'un doute. Cette superbe jeune fille cherchait un coin pour faire son besoin. Nous n'apercevons plus que le haut de la tête de Clémentine. C'est frustrant de ne pas pouvoir voir ce qu'elle fait. Par contre le cycliste lui en profite. Il semble comme hypnotisé. Nous comprenons. Un filet de pisse coule sous la grosse moto rouge.

<< Cette salope. Elle est entrain de pisser. Regarde le mec comme il mâte ! >> me fait Estelle. En effet notre gaillard mâte à s'en déboîter les globes oculaires. Les propriétaires des motos, trois couples vêtus cuir, sont attablés à la terrasse sans se douter un seul instant ce qui se passe derrière la grosse Honda Goldwing rouge. Il y a deux filets de pisse qui s'écoulent, prenant chacun une direction différente. Le type se lève. Il s'approche. Clémentine se redresse. Nous les voyons converser. Clémentine rit aux éclats. << Un humoriste ! >> lance Estelle. Clémentine fait deux fois un mouvement négatif de la tête. Sans doute pour décliner une invitation. << La salope. Regarde, elle discute en se torchant ! >> rajoute Estelle en touchant la bosse qui déforme mon short de lycra noir. Elle n'est pas très discrète. Je tourne le dos à la terrasse. Clémentine fait un signe amical au cycliste avant de contourner les motos, venir vers nous. Estelle me palpe.

<< Raconte-nous ! >> s'écrie Estelle sans cesser de masser ma turbe. C'est en longeant le mur du quai que Clémentine nous confie la nature de la conversation. Le type l'invitait à boire quelque chose à l'intérieur du restaurant. << Il était mignon ! >> précise t-elle. Nous flânons car cet endroit et fort plaisant. Il va être dix huit heures quand nous retournons aux bicyclettes. Mes deux anges remettent leurs culottes. Nous pédalons avec une grande facilité, poussés par le vent. Il fait étonnamment doux. Les vingt cinq kilomètres en un peu plus d'une heure. Nous sommes de retour pour dix neuf heures quinze. Morts de faim nous nous mettons immédiatement à la préparation. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la laitue. Estelle s'occupe de la cuisson des ravioles. Je fais rissoler des champignons avec de l'ail et de l'échalote. C'est en mangeant de bon appétit que la fatigue commence à se faire sentir. Nous traînons à table. Les filles assises sur mes genoux. Fourbues.

La vaisselle. Estelle et Clémentine savent à quel point j'aime savourer leurs minous après un après-midi d'effort sous la chaleur d'un généreux soleil. Aussi, au salon, vautrées dans le canapé, sans avoir retiré autre chose que leurs culottes, elles m'offrent mon dessert. Mes amis ! Le jus de filles après trois heures de bicyclettes, trois séances pipis, les excitations diverses, procure les plus divines saveurs. Il y a là de quoi donner les plus enivrants vertiges. Je me régale sous des gémissements stéréophoniques. Les filles suggèrent de monter prendre notre douche et de nous terminer sous les draps frais d'un bon et grand lit. Ce que nous faisons dans l'immédiateté de nos dernières forces vacillantes. Tous les trois, derrières les vitres fumées, nous faisons les clowns sous l'eau. Je savonne mes deux anges qui adorent se faire frotter le dos. Sentir mes doigts coquins passer dans les raies de leurs fesses. Au lit, épuisés, nous tentons un dernier truc. Avant de plonger.

Bonne nuit à toutes les coquines qui s'endorment contre leur nettoyeur de minous...

Julien (Léon le nettoyeur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Monday 8 April 2024 07:34

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 35 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2577 -



Récidives exhibitionnistes

Hier matin, dimanche, il est presque neuf heures quand nous émergeons doucement. Une bonne nuit de sommeil. Une grasse matinée bienvenue. Estelle à ma droite qui tient mon érection naturelle au réveil. Clémentine à ma gauche qui vient se serrer contre moi. Je suis entre mes deux anges dans un enchantement paradisiaque. Je glisse mes mains dans les culottes. Qu'il est doux de défaire quelques nœuds. De passer les doigts entre les lèvres moites de leurs intimités. Estelle se lève en disant : << Je vais prendre l'habitude d'aller faire pipi une heure avant comme ça je pourrai rester plus longtemps ! >>. Elle se précipite vers la porte alors que Clémentine lance : << Pour les vacances ont adopte ce principe ! >>. Nous savons bien qu'il n'en sera rien, aussi nous en rions de bon cœur.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Comme les radiateurs fonctionnent depuis près de trois heures, il fait bien chaud dans la maison. C'est dans la salle de bain que nous revêtons nos jeans, nos sweats, nos baskets. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Dans l'odeur du café, du pain grillé, Estelle est entrain d'allumer la cuisinière à bois. J'aime venir derrière elle, poser mes mains sur ses hanches, remonter jusque sur ses seins minuscules. Le contact de la soie. La vie que je sens palpiter en dessous. Clémentine vient se serrer contre mon dos, ses bras autour de ma taille en murmurant ; << Le sandwich du dimanche matin ! >>. Nous prenons notre petit déjeuner non seulement en savourant la brioche au pudding mais en revenant sur nos aventures de samedi après-midi.

Dehors il semblerait bien que la météo soit identique. Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, les filles évoquent nos vacances à venir. Souhaitant qu'elles soient ensoleillées. << J'ai envie d'être en jupe tout le temps, de faire ma salope au moins une fois par jour ! >> lance Clémentine. << Seulement une fois par jour ? >> s'exclame Estelle. Nous en rigolons comme des bossus. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Pendant qu'Estelle se change, nous refermons le lit. Elle vient nous rejoindre sur le balcon. Il fait beau. Le soleil est au rendez-vous. Par contre, là-bas, au-dessus de l'horizon, il y a des nuages d'altitude. Rien d'inquiétant. Estelle palpe ma braguette. Je suis entre mes deux anges que je tiens par leurs tailles.

Pressés d'aller faire quelques pas nous redescendons à toute vitesse. Il n'est que dix heures et la température extérieure est de 19°. Pas un souffle de vent. Nous allons jusqu'à la rivière. Nous la longeons sur l'étroit sentier où nous pratiquons nos joggings matinaux. Estelle qui ouvre la marche s'arrête. Se retourne. Me fait une bise. Déboutonne la braguette de mon 501. Elle m'en extrait le locataire sous le regard de Clémentine penchée en avant pour voir apparaître mon Zob. << La prochaine fois on reste en short depuis le matin ! >> dit elle alors qu'Estelle joue avec ma queue. Nous reprenons notre promenade. J'ai la bite à l'air. C'est vraiment très agréable. Nous revenons sur nos pas car nous voulons repartir à bicyclettes le plus tôt possible. De plus il commence à faire faim.

Estelle s'occupe de la préparation du poulet à rôtir. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de tomates. Je prépare les pommes de terre pour en faire des frites. Depuis quelques semaines nous renouons avec leur passé. << Quand on étaient petites, c'étaient poulets et frites tous les dimanches ! >> lance Estelle. Chacun a un rôle précis dans la préparation du repas. Aussi, tout va très vite. Nous mangeons de bon appétit alors qu'il est exactement midi. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents, nous mettre en tenues. Jupettes et T-shirts pour les filles. Short et T-shirt pour moi. Nos baskets. Impatients de nous enfuir vers de nouveaux périples, nous dévalons les escaliers. Dans le sac à dos, barres de céréales, K-ways, la petite paire de jumelles.

Je vérifie le gonflage des pneus, la tension des chaînes. Tout est parfait. C'est parti. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois, cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. C'est comme hier. À peine s'il y a un très léger vent d'Ouest. De face. Il nous poussera au retour. Par contre, dans la direction que nous prenons, le ciel semble se voiler. La température est de 26°. Nous ne sommes pas les seuls à profiter de cette magnifique météo. Plein de cyclistes. Des promeneurs. Des filles en rollers. Dix premiers kilomètres jusqu'au cabanon de l'écluse. Ce serait prendre un grand risque de pisser là. Trop de passages. Il est donc décidé de tenir encore quinze kilomètres, jusqu'au port de plaisance. Nous y arrivons pour quatorze heures trente. Il y a un monde fou sur les quais.

Nous fermons les vélos à cadenas derrière la capitainerie au volets clos. Parmi une bonne vingtaine d'autres. Estelle et Clémentine retirent rapidement leurs culottes pour les fourrer dans la pochette avant du sac à dos que je porte. Je passe mes mains entre leurs cuisses. C'est d'une douceur envoûtante. << Tu es prié de faire ça tout le temps ! >> lance Estelle en palpant la bosse sous le lycra beige de mon short. Les filles me tiennent par les mains. Nous attirons encore les regards de nombre de promeneurs, de familles et même de ces groupes de cyclistes qui bavardent en tenues "Tour de France". Il est certain que cet homme d'âge mûr n'est pas le papa des deux sublimes jeunes filles qui le tiennent par les mains. Nous nous amusons toujours de ces situations cocasses et insolites.

Nous traversons la rue pour nous rendre à la supérette. Là aussi, il y a du monde. La même astuce consiste à laisser Estelle nous attendre dans la file des caisses pendant que nous allons récupérer nos pots de crèmes glacées. Ben & Jerry's. Délices que nous savourons assis sur le muret . Là-bas, les joueurs de pétanques. Au bout du quai, le bar restaurant aux terrasses noires de monde. Le ciel est à présent entièrement couvert d'un léger voile opaque. Nous adorons l'ambiance. Il fait peut-être légèrement moins chaud mais avec 23° tout reste très agréable. Le cycliste qui pousse sa bicyclette passe à proximité. Clémentine, dans ce réflexe dont elle est coutumière quand de telles situations se présentent, écarte ses cuisses. La vue sur sa toison pubienne est alors des plus sublimes.

Le type n'en perd pas un poil. Il n'en a probablement jamais vu autant. Clémentine agit en virtuose de l'exhibe. Il faut rester d'une prudence de guerrier Sioux car n'importe qui ne doit pas voir. C'est un grand "classique". Un peu plus loin le cycliste s'arrête. Fait demi tour pour repasser une seconde fois. Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche. Toutes les deux écartant largement les cuisses juste au moment où le quidam regarde vers ici. Sa récompense est double. Nous portons tous les trois nos larges lunettes de soleil aux verres fumés. Il ne sait donc pas où nous regardons. De quoi déstabiliser n'importe quel cycliste en goguette. Il continue son chemin en marquant une légère hésitation. En même temps, mes deux anges referment leurs cuisses car deux groupes se pointent.

C'est un jeu de cache cache des plus amusants à chaque fois que passe un "solitaire". De quoi titiller nos libidos jusqu'à en êtres considérablement excités. Nous reprenons nous aussi nos flâneries sur les quais. Il y a deux caravanes publicitaires près des bâtiments sanitaires réservés aux plaisanciers. Fermés car la saison ne commencera qu'au début mai. Ces caravanes sont probablement destinées aux premières animations sur les quais qui commenceront également au début du mois de mai. Il y a des gens partout. Les haies de houx sont parfaitement taillées et forment des labyrinthes sympathiques. Il y a là de quoi satisfaire toutes les pulsion exhibitionnistes et voyeuses. Et bien d'autres déviances les plus inavouables. Mais certainement pas un dimanche. Il y a trop de gens vraiment partout.

Il faut ruser. Et à ce jeu, nous sommes passés maîtres. À chaque fois qu'il n'y a personne à proximité les filles se touchent. Me touchent. J'en profite pour glisser mes mains entre leurs cuisses. Nous raffolons de ces situations délicieusement perturbantes. Je sors même quelquefois mon Zob dur comme le bois. << Zob de bois, couilles de fer ! >> lance alors Estelle. << Ça fait pacte ! >> s'exclame Clémentine. Nous en rions de bon cœur. << J'aimerais bien que tu me la mettes ! >> rajoute Estelle. << Dans la bouche ou dans la chatte ? >> demande Clémentine. << Les deux mon capitaine ! >> répond Estelle. Il y a un type seul qui se pointe. Il pousse lui aussi un vélo. Il descend le chemin depuis la route. << Attendez-moi là, au moindre souci vous rappliquez ! >> murmure Clémentine.

Elle contourne les haies pour se placer entre les deux caravanes jaunes. Il faut faire gaffe car elle pourrait être vue depuis le haut, si des gens marchaient au bord de la route. Estelle et moi, planqués à une trentaine de mètres plus bas, derrière les haies de houx. On entend des voix, des rires d'un peu partout et pas très loin. C'est donc de la "haute voltige" pour Clémentine. Le type arrive. Il consulte son smartphone de sa main libre. Tient son vélo de l'autre. C'est là qu'en regardant sur sa droite il voit la fille accroupie, dans une indécence folle, entrain d'uriner en propulsant des jets d'une puissance invraisemblable et dans sa direction. Il s'arrête. Observe. Estelle a glissé sa main dans mon short. Elle se touche de l'autre en murmurant : << Elle fait ça depuis ses quatorze ans ! >>

Elles m'ont raconté leurs sorties du collège puis leurs sorties de lycée, quand c'est Estelle qui sécurisait les exhibes de Clémentine. Leurs expéditions à bicyclettes pour aller faire les voyeuses dans les coins qu'elles m'ont fait découvrir depuis. Il y a hélas d'autres groupes de gens qui arrivent. Comme ils parlent fort, c'est l'indicateur parfait pour Clémentine qui cesse de pisser pour se redresser. Le quidam continu son chemin pour aller vers les quais. Clémentine vient nous rejoindre. Elle a failli se faire surprendre par ces deux familles nombreuses qui discutent un peu plus loin. Il va être dix sept heures. Le ciel se couvre à présent. Ce n'est plus un voile léger. Il vaut mieux retourner aux bicyclettes et reprendre la route du retour. Les filles remettent leurs culottes. Nous voilà partis.

Le vent nous pousse. Nous pédalons avec facilité. Il faut à peine plus d'une heure quinze pour faire les vingt cinq kilomètres. Dix huit heures trente quand nous préparons le repas. Les restes du poulet dans la poêle avec des champignons. Clémentine fait l'assaisonnement de deux endives. Estelle s'occupe de la cuisson des spaghettis. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les moments forts de l'après-midi. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. Je me lève pour faire tournoyer ma bite. "L'hélicoptère". Je propose au filles de nettoyer leurs minous. Je n'ai pas besoin de le dire deux fois. La vaisselle. Elles m'entraînent au salon. Retirent leurs culottes qu'elles font tournoyer en l'air avant de les jeter n'importe où en riant. Vautrées dans le canapé, elles m'offrent mon dessert. À genoux sur les épais coussins, je me régale des substances enivrantes de leurs après-midi de filles à bicyclettes. Miam.

Bonne nouille à toutes les coquines qui, une fois sous les draps, en savourent les jus de cuissons avant de s'endormir dans les bras de leur pourvoyeur en sperme. De leur nettoyeur de minou qu'elle gratifient d'une dernière fellation avant un bon dodo...

Julien (pourvoyeur de jus de nouille)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Tuesday 9 April 2024 07:39

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 36 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2578 -



Lundi soir en amoureux

Il va être six heures, hier matin, lundi, quand les fééries forestières nous tirent du sommeil. Nos I-phones, de chaque côté du lit, s'allument. Offrant une sorte de stéréophonie. Les oiseaux qui gazouillent semblent alors virevolter dans l'obscurité de notre chambre. Il en est de même pour la source qui s'écoule délicatement. Cette illusion ne dure que quarante cinq secondes. Clémentine vient se serrer contre moi en gémissant. Quelques bisous, quelques câlins et nous nous précipitons aux toilettes. C'est dur le lundi matin. Chaque instant a son importance. Les radiateurs venant d'entrer en fonction, il fait encore frais partout dans la maison. Surtout dans la salle de bain où nous nous habillons de nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. J'allume immédiatement la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis en racontant ses rêves.

Le lundi matin est peut-être difficile mais il reste de la brioche au pudding. Réchauffée au four à micro ondes, elle retrouve tout son moelleux. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les moments les plus intenses du weekend. Le départ précipité d'Estelle dimanche soir, après un orgasme qui a achevé de l'épuiser. << Elle me racontera ce matin en cours ! >> précise Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en nous réjouissant de la soirée en amoureux qui nous attend aujourd'hui. << J'ai besoin de faire le point. Et pour ça rien de mieux que de te sentir en moi ! >> rajoute Clémentine en venant terminer sa tartine au miel assise sur mes genoux. J'adore quand elle pose ses lèvres sucrées sur les miennes qui restent alors collantes. Rires. Il va êtres six heures vingt cinq.

Nous remontons pour notre entraînement en salle non chauffée. Malgré les chaleurs des derniers jours, la maison reste fraîche. Les épais murs d'une demeure du dix neuvième siècle restent imperméables plusieurs jours avant de se mettre à température. Heureusement les échauffements aérobics, le jogging sur tapis roulants ainsi que les exercices au sol, nous mettent rapidement dans les meilleures conditions. Les barres et les haltères que nous manipulons achèvent de nous transformer en guerriers pour la journée. Les étirements bâclés par manque de temps du stretching avant de courir à la salle de bain pour y prendre notre douche. Je redescends le premier pour sortir la voiture du garage, la faire chauffer un peu. La température est de 19° alors qu'il est à peine 7 h45. Un ciel voilé.

Clémentine vient me rejoindre dans son élégante veste de velours noir, cintrée à la taille, une paire de jeans, ses bottines noires. Ses bras autour de mon cou pour quelques derniers bisous. << Ce soir on est juste toi et moi ! >> dit elle en s'asseyant au volant. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre automatiquement. Clémentine ne le referme pas car l'entreprise paysagère ne va pas tarder. Et il y aura du boulot. Un dernier coucou. Je fais quelques pas dans la propriété pour constater les branches mortes qui jonchent le sol, l'état du fond du bassin et les haies qu'il faut tailler. Je m'apprête à rentrer lorsque la camionnette arrive, descend pour venir se garer devant la porte du garage. Caroline, la chef de chantier vient me saluer alors que son employé s'affaire déjà.

Cela fait dix huit ans que je fais appel aux services de cette entreprise. Ils connaissent leurs boulots. Je donne quelques directives à la jeune femme avant de la laisser à ses travaux. Je fais la vaisselle, notre lit, avant d'aller dans l'atelier. J'y allume la flambée de cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque ce matin la onzième toile hyper réaliste de la série de quinze destinée à ma saison d'été. D'après une photo prise sur Broadway il y a une quinzaine d'années. Un excellent sujet hyper réaliste. Trafalgar Square reste une source d'inspiration inépuisable. Je peins dans un enthousiasme délirant. Je perçois depuis l'extérieur le bruit des machines. Tronçonneuses, tailles haies et autres souffleuses. C'est quelque peu gênant et pénible. Tans pis.

Il est rapidement midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je fais gonfler du riz complet. L'assaisonnement d'un concombre. Une escalope de dinde à la poêle. La pâte feuilletée sortie du réfrigérateur ce matin est à température ambiante. Je descends à la cave récupérer les brocolis. Je sais que Clémentine adore les tartes aux brocolis du lundi soir. Je les coupe, je les lave, les ébouillante à l'auto cuiseur. Je concocte le liant avec de l'œuf, de la crème fraîche, du fromage blanc et du lait de soja. Je râpe du gruyère. J'égoutte le brocolis, je l'étale sur la pâte, je verse le liant, je recouvre de gruyère. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillé. Des cerneaux de noix. Au four électrique afin de laisser mijoter longuement à seulement 160°. Ce soir, il suffira de réchauffer. Ce sera délicieux.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff reçoit le professeur Christian Perronne. Ce chercheur émérite, mondialement connu, qui a tenté d'alerter l'opinion sur la folie du confinement, la folie d'un vaccin qui n'était qu'un produit expérimental. Ce qui qui lui a coûté la disgrâce et la calomnie de toute la bande d'ignorants, d'incompétents qui ont pris les décisions désastreuses que l'on sait. Avec tous les effets secondaires tenus longtemps sous silence, tant d'un point de vue de la santé que d'un point de vue économique. Il est d'ailleurs consternant de découvrir la chape de censure imposée à la presse française par les mêmes malfaisants. Alors que partout en Europe des enquêtes sur les gestions et les vaccins Covid sont diligentées par des instances tant scientifiques que gouvernementale. Nous avons un ancien ministre de la santé, recyclé dans la chirurgie esthétique, qui pourrait avoir bien des comptes à rendre. En espérant qu'il y soit plus compétent.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller faire quelques pas, je dévale les escaliers. Même si le ciel reste voilé mais lumineux, la température extérieure est de 23°. Je suis en jeans et T-shirt. Je découvre les travaux déjà réalisés durant la matinée. C'est fameux. Les haies de lauriers et de houx parfaitement taillées. Je descends jusqu'à la rivière dans le bruit que fait le broyeur à composte de l'entreprise. C'est une bonne idée de transformer les branches mortes sur place. Mais le bruit reste accablant. Il est treize heures cinquante quand je suis installé devant mon chevalet. Je peins dans le même enthousiasme. Sans voir défiler les heures. C'est en entendant chantonner Clémentine que je sais qu'il est dix sept heures trente et qu'elle est rentrée de cours. Elle entre dans l'atelier pour me rejoindre en courant. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire.

Comme elle a ses notes à archiver, elle ne s'attarde pas. Assise devant son ordinateur elle chantonne. J'attends ces quarante cinq minutes de pur plaisir depuis ce matin. Rien n'est plus inspirant que de travailler ensemble. Même à des activités différentes. << Là, j'en ai ras la culotte ! >> s'écrie t-elle soudainement en se levant pour réunir ses affaires. C'est le signal. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je retire ma blouse. Je me lave les mains au petit lavabo de l'atelier. La bite posée sur le rebord. Clémentine vient me rejoindre pour s'en saisir, en diriger les jets sous le robinet d'eau chaude. Elle secoue les dernières gouttes en disant : << Viens, on va profiter de cette fin d'après-midi dehors ! >>. Elle m'entraîne par la main. Je garde la bite à l'air, "flottante". Nous sortons dans le jardin.

C'est magnifique. Tout est propre. Les arbres élagués. Plus un branchage au sol. Les haies sont taillées. Le bassin est empli d'une eau claire. Le petit pont chinois qui l'enjambe a été débarrassé de la mousse qui le rendait impraticable. Il fait tellement doux. Pas un souffle de vent. Nous faisons le tour de la propriété. Dans la serre au double vitrage, il fait presque suffoquant. C'est là que Clémentine s'accroupit pour humer mon sexe. << Mmhhh ! >> gémit elle quand je le frotte délicatement sur son visage. À chaque fois qu'elle veut le gober, j'esquive sournoisement. Ce qui la fait rire. << Donne-la moi ! >> murmure t-elle d'une voix implorante. Je fini par lui offrir ma queue molle. Sa préférence. Elle prétend qu'une queue molle est bien plus juteuse. Je la regarde pomper passionnément.

Je l'aide à se redresser avant l'ankylose. C'est moi qui la prend par la main pour l'entraîner. Nous faisons un dernier petit tour avant de rentrer. Il est dix neuf heures. Quand Clémentine découvre ce que j'ai concocté pour le repas du soir, elle m'attrape le Zob pour m'attirer à elle. Mitraillant mon visage de bises elle dit : << J'ai envie de faire l'amour ! >>. Je réponds : << Moi aussi ! >>. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de tomates. Je surveille le réchauffage dans la fournaise du four à bois. Il fait presque trop chaud dans la cuisine. Si cette météo perdure il ne sera plus utile d'allumer la cuisinière à bois. Nous mangeons de bon appétit. Sans traîner. La vaisselle. Impatient de nous aimer, nous nous précipitons au salon. Il est agréable de faire l'amour sur le cuir du canapé.

Je l'aide à retirer ses bottines. Ce qui la fait rire. Elle m'aide à retirer son Levis. Elle jette sa culotte. À genoux sur un des épais coussins, je savoure son intimité de ma bouche avide. Clémentine m'attire sur elle en murmurant : << Viens ! >>. Je reste en appui sur mes bras. Au-dessus d'elle. Je la laisse diriger les opérations. Elle saisit mon érection pour se l'introduire. Je m'immisce avec d'infinies précautions. Nous nous berçons un peu avant de rester immobiles. Ce sont les moments d'une intensité folle où Clémentine me révèle ses secrets de fille. J'écoute. C'est excitant. Ça maintient mon érection. Par de légères contractions des muscles fessiers, je fait bouger mon sexe au fond du sien. Je peux sentir qu'elle fait de même. C'est si bon ! Clémentine me confie quelques énigmes.

Je ne suis même pas obligé de poser de questions. Elle anticipe, comme si elle les devinait. Il est question de Léo. Le jeune étudiant en deuxième année. Elle m'avoue être impatiente de l'entraîner dans le piège que nous avons tendu. << Je peux faire l'amour avec lui ? >> me demande une fois encore Clémentine. Je l'encourage en précisant : << On sera caché avec Estelle. Tu es priée de donner toute ta mesure, on voudra du spectacle ! >>. Quand Clémentine rit alors que je suis en elle, la sensation est magique sur mon sexe. Le "fourreau" si doux devient soudain si dur. Clémentine me confie également que son maître de thèse, le professeur Alban, 35 ans, ne la laisse pas indifférente. Là aussi, je l'encourage à donner libre cours à ses pulsions. J'ai toujours désiré que Clémentine se sente entièrement libre. Notre différence d'âge, notre relation, nos vies communes ne doivent en aucun cas constituer un obstacle. Une jeune fille doit s'épanouir.

Nous alternons les séquences d'immobilités où Clémentine revient sur des détails précis. Me chuchote des mystères étonnants. Ses désirs de se surpasser dans ses pulsions exhibitionnistes. Son profond désir d'une "séance de dressage". J'écoute, complètement envoûté. Puis nous nous remettons à nous bercer. Les gémissements de Clémentine qui s'amplifient. Sa tête rejetée en arrière, accrochée à mon cou, ses jambes autour de ma taille, emportée vers un orgasme qui s'annonce cataclysmique. Je le sais car même lorsque je cesse de me secouer en elle, l'immobilité souhaitée fait place à une lente et progressive "hystérie". Clémentine se masturbe toujours quand je suis en elle. Sauf quand elle est accrochée ainsi. J'anticipe. Elle me repousse délicatement. Je me lève d'un bond. J'attrape la cuvette de plastique bleue. Clémentine se redresse en catastrophe. C'est en hurlant qu'elle s'offre un orgasme pisseux complètement démentiel.

Bonne nuit à toutes les coquines qui aiment siroter une bonne bite juteuse sous les draps, avant de s'endormir avec le goût du foutre. Contre leur complice...

Julien (le complice)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Wednesday 10 April 2024 07:40

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 37 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2579 -



Quand arrive le mardi

Hier matin, mardi, il est presque six heures. Les illusions féériques d'une forêt virtuelle nous tirent du sommeil. Clémentine vient se blottir contre moi. Son gémissement plaintif. Quelques câlins, quelques bisous. Comme des robots, nous nous précipitons dans la salle de bain. Il y fait encore frais car les radiateurs viennent seulement de s'allumer. Nos tenues de gym. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Là aussi, il vaut mieux allumer la cuisinière à bois. En préparant le café, en pelant les kiwis, en pressant les oranges, Clémentine me raconte ses rêves. C'est toujours impressionnant car elle a un souvenir exact de chaque détail. C'est donc tous les matins comme une nouvelle histoire. Belle histoire qui termine souvent de manière surréaliste. Loufoque.

Je mets les deux gros croissants aux amandes dans le four à micro ondes afin de leurs rendre leur moelleux. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée en amoureux. Pudiquement, je n'aborde pas les aveux qu'elle ma fait. Je crois bien que Clémentine m'en est reconnaissante. Nous mangeons de bon appétit en évoquant les vacances qui s'annoncent à la fin de la semaine prochaine. 19 avril. Nous remontons car il va être six heures vingt cinq. La salle d'entraînement pas chauffée nous oblige à une mobilité. C'est presque fébriles que nous procédons aux échauffements aérobics. Au jogging sur les tapis roulants. Avant les exercices au sol que nous apprécions tant. Puis viennent les redoutables charges additionnelles avant les étirements d'un stretching beaucoup trop hâtif.

La douche. Je dévale les escaliers pour aller faire chauffer la voiture. Il va être 7 h45. Le ciel est couvert, bas et menaçant. La température a chuté pour n'être plus qu'à huit degrés. Le retour de l'hiver ? Chaudement vêtue, Clémentine vient me rejoindre pour se serrer dans mes bras. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Je me dépêche de rentrer au chaud pour faire la vaisselle, recouvrir le lit. Dans l'atelier j'allume une belle flambée de cheminée. Installé devant mon chevalet, j'attaque la peinture de ma onzième toile hyper réaliste. Je peins dans une certaine félicité. Les heures défilent hors de ma perception. Ce sont les gargouillis de plus en plus sonores de mon estomac qui m'avertissent. Il va être midi. Je mets deux bûches sur les braises rougeoyantes. Il s'est mis à pleuvoir.

Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe les restes de la tarte aux brocolis. L'accompagnement d'une endive. Pour le repas de ce soir, ce sera un gratin de choux fleurs. Je descends à la cave, au cellier pour le récupérer. J'en coupe les branches pour les laisser tremper dans l'eau vinaigrée. Je concocte un liant avec une sauce au Roquefort. Je râpe de ce délicieux gruyère Suisse. J'égoutte le choux fleurs ébouillanté quelques minutes pour le disposer dans le plat carré en terre cuite. Je verse la sauce bien onctueuse. Je recouvre d'une bonne couche de gruyère. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillées. Des cerneaux de noix que je dispose en trois cercles, l'un dans l'autre. Au four électrique pour une longue et lente cuisson à 160°. Le thermostat pilotera l'ensemble.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission, comme il le fait chaque jour avec sa gouaille habituelle, André Bercoff aborde les sujets d'une actualité brûlante. Les premières dissensions entre le président ukrainien et le président français. Les probables inculpations pour malversations et délits d'initiées de Pustula Von Der Leyen. Le cadeau qu'a fait remettre Poutine à Macron, des petits soldats et des tanks miniatures afin qu'il puisse jouer à la seule guerre dont il serait capable. La chape de plomb de la censure des médias français qui commence à se fissurer car il est impossible d'aller à contre courant des vérités qui apparaissent un peu partout en Europe, à propos des mensonges Covid. Mensonges destinés à enrichir les dirigeants de l'industrie pharmaceutique. Industrie qui a largement arrosé certains dirigeants politiques afin de s'assurer non seulement leurs parfaite docilité, mais également leur plus totale complicité. C'est consternant.

Je fais la vaisselle. Il règne une telle obscurité avec cette météo pitoyable qu'il faut vivre avec les lumières. Je monte me laver les dents. Impatient d'aller faire quelques pas au dehors quand même, je redescends à toute vitesse. J'enfile l'anorak. Je chausse les bottes en caoutchouc. C'est sous le grand parapluie que je vais jusqu'à la rivière. Indifférents aux conditions climatiques, les canards, les poules d'eau et les colverts se livrent à leurs habituels ballets aquatiques. Il va être treize heure cinquante quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans le même état d'esprit que ce matin. Sans voir tourner les aiguilles de l'horloge. C'est le bruit qui m'informe. Il est dix sept heures trente. J'entends Clémentine chantonner en revenant des toilettes. Elle rentre de cours.

Elle se précipite pour venir s'assoir à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou pour me raconter sa journée. Me décrire le menu du restaurant universitaire par cette description peu flatteuse. << C'est de plus en plus dégueu ! >>. Clémentine a ses notes à archiver. Assise devant son ordinateur, elle partage encore quelques amusantes anecdotes de sa journée d'étudiante. J'apprécie tellement ces quelques quarante cinq minutes de travail en commun. << Là, stop ! >> s'exclame t-elle soudain en se levant pour réunir ses fiches. Je nettoie la palette, les pinceaux. Nous nous rejoignons devant le petit lavabo de l'atelier. Pendant que je me lave les mains, Clémentine tient ma bite pour en diriger les jets. Ce rituel est devenu comme une nécessité. Nous en rions de bon cœur.

Après m'avoir sucé quelques instants, Clémentine m'entraîne vers le vieux canapé de velours carmin. Couchée sur le dos, sa tête sur mes cuisses, sa joue contre ma queue, elle revient sur certains aveux faits lundi soir. J'écoute. Trop heureux que ce soit elle qui en prenne l'initiative. Clémentine revient sur l'attrait qu'exerce son maître de thèse. Il supervise aux dernières préparations d'un groupe de huit étudiants doctorants. Dont Estelle et Clémentine. Alban est un jeune professeur d'université, maître de conférence. Âgé de trente cinq ans, brillant, sportif et surtout célibataire. Alban exerce sur toutes les filles de sa section un attrait spécial. Son charisme. Sa prestance. Son élégance naturelle. Son intelligence. J'écoute avec intérêt. Estelle arrive. La porte s'ouvre en silence. Sa tête apparait d'abord puis, étant découverte, elle se précipite pour nous rejoindre. Clémentine se redresse pour s'assoir à ma gauche. Estelle s'assoit à ma droite.

Je suis entre mes deux anges. Estelle confirme les dires de Clémentine car, comme toutes les filles du groupe, elle aussi est sous le charme de ce professeur émérite. Nous rions à l'énoncé de certaines aventures que mes deux anges ont vécu en cours. Je demande : << C'est laquelle qui va se le faire la première ? >>. Estelle s'écrie : << Oh nous sommes nombreuses sur le "coup" ! >>. Elle saisit mon sexe. Je bande mou. Tout en bavardant elle me tord la bite dans tous les sens. Heureusement qu'elle n'est pas totalement dure. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Ma préparation de midi me vaut un mitraillage de bisous. J'aide Clémentine à préparer la salade de carottes. Estelle surveille le réchauffage du gratin dans la fournaise du four à bois. Ça chauffe.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos projets de vacances. Clémentine refuse de divulguer notre destination. C'est très excitant de savoir qu'elle a encore tout préparé. << Une semaine à juste trois heures de voiture. On sera bien ! >> se contente t-elle de dire. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. << Je vous préviens, je serai "démoniaque" durant cette semaine ! >> lance t-elle. Clémentine mime une fellation, son poing fermé qu'elle tourne devant sa bouche pour dire : << On fera des concours. Julien remettra les prix ! >>. Debout, agitant ma bite vers l'une puis vers l'autre, je réponds : << Voilà le prix ! >>. Rires. Nous ne traînons pas car il est prévu de sacrifier à un autre de nos rituels. La "baise sur bureau" des mardis soirs.

La vaisselle. Les filles me saisissent par les bras pour m'entraîner au salon. Je suis chargé de préparer les épais coussins du canapé sur le bureau. Estelle et Clémentine, facétieuses comme à l'accoutumée quand elles retirent leurs bottines, leurs jeans et leur culottes, rient aux éclats. D'un élan identique, elles sautent pour s'installer sur ce vieux meuble victorien. Les jambes relevées, les cuisses écartées, me présentant leurs intimités velues. Je reste distant. Je me masturbe en contemplant ce spectacle merveilleux. Estelle et Clémentine, amusées, en appui sur leurs coudes, m'observent. Je récupère la cuvette en plastique bleu de dessous le guéridon. Je la mets sur la tête comme un chapeau. Tout en me branlant avec entrain, je m'approche. Elles rient toutes les deux aux éclats. Belles.

Estelle devra nous laisser pour 22 h. C'est donc par elle que je commence. La cuvette posée à droite de Clémentine qui se touche la première en me regardant. Penché en avant, mon visage tout près de son intimité, je hume les odeurs de sa journée de fille. Je m'enivre des parfums d'Estelle. Je fourre la face dans sa touffe pour viser son clitoris que je suce. Elle se laisse tomber en arrière. Sa tête posée sur le coussin. Du bout de la langue je fouille les lèvres de sa vulve. Elle se masturbe. Les premiers gémissements. Je savoure les premiers épanchements de cyprine. Je me redresse. Clémentine me fait un merveilleux sourire. Je viens me positionner devant elle pour faire pareil. Son clitoris géant que je suce. Il y a là des substances fromagères qui me procurent les plus doux vertiges.

Je me redresse. Je doigte mes deux anges qui se masturbent en gémissant. Quel spectacle fantastique ! J'enfonce un doigt que je fais tourner. Puis deux que je fais bouger à l'intérieur en exerçant une légère pression vers le haut. Il se passe là des choses qui m'échappent mais qui procurent à mes deux jouisseuses les plus délicieuses sensations. Estelle, en apnée, se cambre pour que je puisse mieux exercer mon talent. Je retire mes doigt de son intimité. Je frotte mon sexe contre le sien. C'est trempé. Ça rentre comme dans de l'huile. Je la baise à la hussarde. Parfois j'introduis mes doigts dans Clémentine qui pousse de petits cris de ravissements. Je quitte Estelle pour pénétrer Clémentine. Il y a une giclée de cyprine. Comme une éjaculation. Estelle se masturbe en gémissant de bonheur.

C'est amusant car en sortant de Clémentine, je constate la même éjaculation de cyprine. Les petits orgasmes qui annoncent le grand final. Bien évidemment, je ne veux pas en perdre une goutte. Je suis donc souvent penché, le visage fourré dans les broussailles à récupérer tout ce que je peux. J'en ai le menton trempé. C'est un peu dans l'ordre des choses. C'est Estelle qui, dans un cri, me repoussant délicatement, se terminant aux doigts, est la victime d'une jouissance qui semble "tellurique". En poussant de petits cris d'animal blessé, couchée sur le côté, les mains entre ses cuisses serrées elle cherche à reprendre contact avec la réalité. Clémentine, plus prévoyante, se redresse pour s'accroupir au-dessus de la cuvette. Je suis debout sur le bureau à la tenir sous les aisselles. Orgasme pisseux qui la fait hurler de plaisir alors qu'Estelle, ses bras autour de ma cuisse, assiste à ce divin spectacle. Je lui fourre ma bite dans la bouche. J'éjacule.

Bonne nuit à toutes les coquines qui aiment à se faire lécher et sucer encore un peu après un orgasme pisseux et foudroyant. Avant de s'endormir contre leur lécheur. Le gout de son foutre en bouche...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Thursday 11 April 2024 07:41

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 38 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2580 -



Nos visiteuses dévoyées

Hier matin, mercredi, sur sa demande, je réveille Clémentine. Il va être sept heures. Le mercredi c'est depuis la maison qu'elle suit ses cours universitaires. Selon cette formule de télé travail qu'elle apprécie énormément. Cette fois, je passe délicatement ma main entre ses cuisses. Couchée sur le dos, la bouche entrouverte, mon ange dort encore comme une enclume au fond de l'Atlantique. Ce petit réflexe féminin. Elle resserre ses jambes dans un mouvement de protection. Je pose mes lèvres sous son oreille. Elle se tourne pour venir se serrer contre moi. Une cuisse sous mes fesses, une autre sur mon érection matinale et tout à fait normale. Lascivement, tout en émergeant de son sommeil, Clémentine imprime un lent mouvement masturbatoire. En gémissant. En se lovant.

Même si nous avons une amplitude horaire plus souple le mercredi, nous essayons de nous tenir à un timing raisonnable. Quelques bisous, quelques câlins et nous nous précipitons aux toilettes. Les radiateurs chauffent la maison depuis plus d'une heure. Même la salle de bain où il est agréable de revêtir nos tenues de sports. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans le hall d'entrée. Nous y ouvrons le portail depuis l'interphone. Puis c'est la cuisine. Clémentine prépare le café, presse les oranges, me raconte ses rêves. J'allume la cuisinière à bois avant de beurrer les tranches éjectées pas le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de mardi. "Baise sur bureau" en compagnie d'Estelle. << J'adore te voir baiser avec elle ! >> précise Clémentine.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant nos visiteuses de la journée. Danièle viendra nous livrer les viandes ce matin pour dix heures. Juliette viendra manger ce soir et passer la soirée avec nous. Sept heures trente. La vaisselle. Nous montons nous offrir notre entraînement. Comme elle le dit tous les mercredis matins : << Je ne serai pas à l'heure. Je n'ai pas envie d'être à l'heure et je m'en fout ! >> Clémentine commence ses échauffements en restant tout près de moi. Mouvements aérobics. Jogging sur les tapis roulants où je ris de la voir faire des choses incroyables. Comme courir à l'envers puis en crabe, tout en faisant des grimaces. Tirant la langue vers tous les miroirs qui nous entourent. Les exercices au sol avant les manipulations pénibles des barres et des haltères.

On termine par les étirements d'un bon stretching pour un retour au calme qui précède la douche. Vêtus de nos 501, de nos sweats bleus et légers, de nos baskets, nous dévalons les escaliers. Dehors, le ciel est dégagé par contre la température n'excède pas 8°. Dans l'atelier, j'allume la belle flambée de cheminée. En chantonnant Clémentine s'assoit devant son ordinateur. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ma onzième toile hyper réaliste m'emmène dans sur sorte de "nirvana". Quand la fille que j'aime est près de moi, toute chose prend une dimension supérieure. Il en va de même pour Clémentine qui ajuste les écouteurs sur ses oreilles. J'aime l'entendre dialoguer avec ses interlocuteurs. Pour moi cela un reste un agréable monologue.

Je peins dans la plus totale béatitude quand la musique imbécile de mon I-phone se met à résonner entre mes tubes de peintures. Il va être dix heures. Je le saisis. C'est Danièle. Pour Clémentine c'est la pause. Elle retire ses écouteurs, se lève, se précipite vers moi. J'ouvre ma blouse. Elle s'accroupit pour déboutonner ma braguette. Me sortir la bite. << Viens ! >> lance t-elle en m'entraînant par la main. Nous quittons l'atelier au pas de course pour nous rendre dans le hall d'entrée. La camionnette blanche se gare devant la dépendance. Danièle en saute avec un grand sachet de papier kraft. Il contient le petit poulet et les escalopes de volaille. Avec ce froid revenu la jeune femme est emmitouflée dans son anorak. Elle traverse le jardin en courant. Chaque seconde compte.

Nous l'accueillons. Je la débarrasse de son paquet. Clémentine la débarrasse de son anorak. << Je suis à bourre comme d'habitude. Là, je vais voler dix minutes ! >> lance t-elle en nous précédent à la cuisine. Je déballe les viandes pour les disposer dans le réfrigérateur. Clémentine et Danièle échangent quelques lieux communs. Il est question de la seconde semaine de vacances. Danièle espère coincer une petite heure, un début d'après-midi pour venir passer un peu de temps avec nous. << J'aimerais beaucoup consacrer un peu plus de temps à monsieur ! >> précise t-elle en s'approchant pour saisir mon sexe. Une érection molle qu'elle tord dans tous les sens. Elle rajoute : << Ma fille sera en vacances aussi. Parfois elle m'accompagne pour les livraisons. Huit ans en mai ! >>. Danièle s'accroupit devant moi. Elle m'attrape par les poches arrières de mon Levis. Immédiatement elle prend mon sexe en bouche. Il m'est interdit de la toucher. Aussi, j'enlace Clémentine qui vient se placer sur ma droite. Elle enfonce sa langue dans ma bouche, une main dans son jeans déboutonné. La pipe.

Hélas, cela ne dure même pas cinq minutes. Danièle se redresse. Elle sautille d'une jambe sur l'autre pour faire partir les "fourmis". << Put-hein j'adore ta bite. J'adore les goûts dégueux ! >> lance t-elle en sortant de la cuisine. Elle enfile son anorak. Elle a d'autres clients à livrer. Nous la saluons. En dévalant les quatre marches de l'escalier du perron, elle dit : << À samedi matin. En souhaitant que le soleil soit au rendez-vous ! >>. Clémentine contre moi, tenant ma queue qu'elle agite dans sa direction, nous regardons Danièle faire sa manœuvre de demi tour. Nous retournons rapidement au chaud. Dans l'atelier. Pour y reprendre nos activités. En ajustant ses écouteurs, Clémentine me demande : << Quelle note donnes-tu aux pipes de cette salope. Mais par rapport aux miennes ? >>

Nous en rigolons comme des bossus avant de nous remettre au travail. Il est rapidement midi. Clémentine met deux bûches dans l'âtre avant de me rejoindre pour me prendre la main. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Pour le repas du soir, ce sera une purée Parmentière à notre manière. Pendant que Clémentine réchauffe le gratin de choux fleurs, fait l'assaisonnement d'une laitue dont elle lave les feuilles également pour ce soir, j'épluche de belles et grosses pommes de terre. Je les lave avant de les couper grossièrement. Les porter à ébullition dans l'auto cuiseur. Pendant que j'émince deux grosses escalopes de dinde et des champignons de Paris. Le tout à la poêle. Je concocte un liant à base d'œuf, de fromage blanc, de crème fraîche, de lait de soja. J'égoutte les pommes de terre.

Clémentine les passe au presse purée. Je vide la poêle dans le liant. J'y rajoute un peu de gruyère Suisse que je râpe grossièrement. Clémentine étale une première couche de purée. Je dépose une couche de garniture. Seconde couche de purée, seconde couche de garniture. Pour totaliser cinq couches que nous recouvrons de fines tranches de Morbier, de Saint Nectaire. Quelques cubes de Roquefort. Chapelure, graines de sésame grillées. Des cerneaux de noix. Au four afin de laisser mijoter l'ensemble à 160°. Nous mangeons enfin et de très bon appétit. Clémentine, en mimant une pipe, me repose la même question quant à la note que j'accrédite aux pipes de Danièle. Je réponds : << Les tiennes sont mes préférées. Mais j'avoue que toutes les autres sont aussi mes préférées ! >>

Nous en rions aux éclats. Je rajoute que si Danièle trouve du temps à passer avec nous durant les vacances, je pourrai me faire une idée beaucoup plus exacte. Je me lève. Je contourne la table. Je saisis Clémentine par sa natte. Au plus court. Elle pose sa fourchette. Je frotte ma bite sur sa gueule avant de la lui enfoncer dans la bouche. Dans un petit cri d'étonnement, elle se tourne pour me sucer. Je la tiens sous le menton et par la nuque. Je me penche pour murmurer : << Ce qui certain c'est que je ne connais pas de plus salope que toi. Tu restes la mesure étalon à l'aulne de laquelle je peux comparer toutes les autres ! >>. Sans cesser de sucer, gloussant de rire, Clémentine tente de se dégager de mon étreinte. Je la maintiens fermement. Quelques minutes. Je me retire. Elle reprend son souffle.

Nous continuons le repas. << J'adore tes attitudes. Tes comportements avec moi. Tu devrais faire ça plus souvent. Je crois bien qu'une séance de "dressage" s'impose un de ces soirs ! >> me confie t-elle en venant s'installer sur mes genoux, ses bras autour de mon cou. Nous traînons à table à évoquer nos souvenirs quant à nos séances de "dressages". Quand j'interprète le rôle du "Maître". Que Clémentine se livre à sa nature profonde d'authentique "Soumise". Nous nous promettons de réaliser cela très bientôt. << Pour bien situer les choses ! >> conclue t-elle en riant. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Impatients d'aller nous dégourdir un peu les jambes, nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks. Il fait 12°.

Nous descendons jusqu'à la rivière. En me tenant par le bras, Clémentine revient sur son désir d'être "reprise en main" par son "Maître". Je dis : << Tu sais que depuis sept ans que nous vivons ensemble, je ne te t'ai pas encore livrée à un vrai "Maître". Un mec qui pourrait te "dresser" sans jouer un personnage ! >>. Clémentine s'arrête, passe ses bras autour de mon cou pour répondre : << Oh mais tu joues très bien ce rôle. Je crois que je serais morte de peur d'être entre les mains d'un authentique "dresseur" ! >>. Je l'encourage tout de même à tenter l'expérience. << Mais seulement si tu es là ! >> conclue t-elle. Il est presque quatorze heures. Nous voilà de retour dans l'atelier. Chacun à son poste de travail. Ces conversations nous ont bien excité. Parfois je me lève pour agiter mon chibre vers Clémentine. Occupée à une vidéo conférence, elle lève les yeux pour contempler mes extravagances avec une adorable expression hallucinée.

Dix sept heures. Clémentine retire ses écouteurs. Réunie ses fiches. Les classe dans ses classeurs. Je nettoie la palette, les pinceaux. Nous nous rejoignons devant le petit lavabo de l'atelier. Pendant que je lave mes mains, Clémentine tient ma bite pour en diriger les jets. Penchée en avant, se régalant du mélange, elle s'accroupit. Je la saisis à nouveau par sa natte et sous le menton. J'ordonne : << À quatre pattes ! >>. Trop heureuse de se plonger dans une de ces situations qu'elle affectionne, Clémentine s'exécute. Je la tiens par sa natte comme par une laisse pour lui faire faire le tour de la grande pièce. Je l'aide à se redresser. Je m'accroupis à mon tour pour masser ses genoux douloureux. Je me redresse. Je la saisis par sa natte pour l'entraîner vers la porte. Les anoraks.

Même s'il ne fait que treize degrés, il est agréable de profiter des derniers ensoleillements de cette fin d'après-midi. << Je t'aime Julien.Tes initiatives inattendues me passionnent ! >> lance t-elle en s'accrochant à mon cou. Nous redescendons jusqu'à la rivière. En amoureux. Nous arrêtant de multiples fois pour nous faire des milliers de bisous. C'est quand nous remontons vers la propriété qu'arrive la grosse berline Allemande noire. Juliette se gare devant la dépendance. Ce soir encore, vêtue de son pantalon d'équitation moulant, de ses bottes d'écuyère. D'une épaisse veste à carreau, cintrée à la taille. Coiffée d'un béret noir. Magnifique bourgeoise quinquagénaire qui se précipite vers nous. Les mèches argentées qui parsèment sa chevelure noire, qui flotte en liberté sous le soleil sont une autre merveille.

Nous rentrons au chaud. Il n'y a qu'à réchauffer la purée Parmentière. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la laitue. Juliette met les assiettes, les couverts en nous racontant sa semaine. Les premiers chevaux de sa pension sont récupérés par leurs propriétaires. Ce qui soulage son personnel. En mangeant de bon appétit, nous en venons assez rapidement à parler de notre centre d'intérêt commun. Le sexe. Juliette nous informe que tout est prêt pour la soirée Gloryhole qu'elle organise le vendredi 19 avril. C'est la semaine prochaine. << Tu auras une belle surprise ! >> lance Juliette à l'attention de Clémentine qui demande : << Une nouvelle bite ? >>. Juliette répond : << Je refuse d'en dire davantage ! >>. Je me lève pour agiter la mienne. Juliette me jette un de ses regards sévères habituels. Je lui dis : << Toi, c'est la mienne que je te ferai sucer ! >>. Juliette prend un ton courroucé pour répondre : << On verra ! >>

C'est au salon que nous prenons le dessert. Juliette devra nous laisser pour 22 h. C'est encore une de ces "soirées branles" improvisées. Juliette, vautrée dans le fauteuil, les cuisses écartées, posées sur les accoudoirs, se touche en regardant Clémentine me sucer. Je la fais sucer en "Maître". Appuyant sur sa nuque. Prononçant des vulgarités. Sous le regard de Juliette que nous pouvons entendre souffler comme une jument dans son haras. Parfois elle me dit : << Espèce de salopard. Laisse-la respirer. Tu vois bien qu'elle s'étouffe ! >>. En regardant le mouvement de sa main dans son pantalon d'équitation, je découvre cette tache plus sombre qui grandit à l'endroit de son sexe. Je lâche mon étreinte. Dans un cri Clémentine reprend son souffle. La bouche baveuse, reliée à ma queue par des filaments épais et gluants. Juliette commence à s'agiter dans son fauteuil. Pas de doute, cette délicieuse salope s'offre un orgasme. Clémentine y retourne. Je lui jute au fond de la gorge.

Bonne nouille à toutes les coquines qui adorent en savourer les derniers jus de cuisson sous les draps. Avant de s'endormir contre leur "Maître". Blottie dans ses bras en se laissant sombrer dans un profond sommeil...

Julien ("Maître" pour de semblant)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Clémentine et Julien
Friday 12 April 2024 07:39

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 39 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2581 -



Estelle, Clémentine et moi

Il est presque six heures, hier matin, jeudi. Les gazouillis des oiseaux. L'écoulement d'une source entre des rochers. L'illusion de nous réveiller au fond d'une mystérieuse forêt. Un matin d'été. Cet enchantement ne dure que quarante cinq secondes. Clémentine se blottit contre moi. Gémissante. Cherchant la volonté et l'énergie pour affronter la réalité. Le silence presque angoissant revenu. Quelques bisous. Des papouilles. Un peu comme des robots programmés, nous nous précipitons aux toilettes. Bien "vaseux" ce matin encore. Les radiateurs viennent d'entrer en fonction. C'est dans la fraîcheur de la salle de bain que nous nous habillons de nos tenues de gymnastique. En riant de nos maladresses matinales. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine prépare le café.

J'allume la cuisinière à bois. En pressant les oranges, en pelant les kiwis, Clémentine me raconte ses rêves. C'est toujours la première belle histoire de la journée. Nous rions de bon cœur de la chute surréaliste. Je suis plié de rire car elle imite l'accent Corse de Juliette à la perfection. Jusqu'aux intonations. Je beurre les tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de mercredi en compagnie de Juliette. << Cette salope s'est branlée toute la soirée. Tu as vu la tache qui grandissait entre ses cuisses ? >> lance Clémentine. Je confirme. << J'ai aimé ce que tu m'imposais ! >> rajoute t-elle. Je réponds : << Et moi aussi ! >>. Nous en rions de bon cœur en remontant les escaliers pour nous rendre dans notre salle d'entraînement.

Les échauffements aérobics. Les joggings sur tapis roulants. Les exercices au sol. Nous voilà bien chauds pour affronter les barres et les haltères. Clémentine me fait rire en prenant des poses devant les miroirs. Il y en a partout. Son image est renvoyée presque à l'infini. Nous terminons par les étirements d'un stretching bâclé par manque de temps. Chaque seconde nous est comptée. La douche. Je redescends le premier pour aller faire chauffer la voiture. 7 h45. Le ciel est bleu. Il fait beau. Par contre la température n'est que de dix degrés. Clémentine vient me rejoindre. Ce matin vêtue de son épais blouson de cuir brun, d'un Levis, de ses bottines brunes. Une écharpe crème. Son béret marron. Ses bras autour de mon cou, elle me fait un dernier bisou. << J'aime ce que tu me fais ! >> dit elle en s'installant au volant. Je la regarde partir. Un dernier coucou et je me dépêche de rentrer au chaud, en courant, pour faire notre vaisselle, recouvrir notre lit.

Dans l'atelier j'allume la belle flambée de cheminée. Installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La onzième toile surréaliste destinée à ma saison d'été m'accapare complètement. Nous en avons encore discuté avec Juliette. C'est encore à confirmer. Elle pourra tenir ma galerie d'Art au mois d'aout, à son retour de Corse. Je peins en pensant à cette étonnante bourgeoise quinquagénaire. "Une exception du genre humain" comme le dit parfois Clémentine. C'est un peu vrai. La matinée passe dans ces introspections attractives pour m'emmener aux environs de midi. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je fais l'assaisonnement d'un salade de tomates pendant que réchauffent les restes de cette délicieuse purée façon "Parmentier".

Je dispose les bouchées à la reine dans le plat carré en terre cuite. J'émince des escalopes de dindes et de gros champignons de Paris. Ça rissole à la poêle pendant que je fais bouillir des coquillettes, que je concocte une Béchamel. Le rituel des jeudis soirs. Nous aimons trop ce plat simple mais tellement gouteux. J'égoutte les coquillettes pour les étaler autour des cinq grosses bouchées à la Reine que je remplis du mélange Béchamel, viande, champignons et gruyère Suisse râpé. Je recouvre le tout avec une bonne couche de gruyère Appenzeller. De la chapelure, des graines de sésame grillées. Des cerneaux de noix. Au four électrique pour laisser mijoter longuement à seulement 160°. Mes deux anges auront une bien belle surprise ce soir. Même si ce n'en est plus vraiment une.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff, dans son émission, reçoit quelques invités. Y sont abordés les thèmes de l'actualité qui sont censurés dans tous les autres médias dépendants. La guerre perdue en Ukraine. L'obstination devenue suspecte du Méprisant de la République de continuer à vouloir jouer au "héros" de ce conflit inutile. Les centaines de milliers de morts ukrainiens que cette crapule de Zelensky porte sur la conscience par son refus ridicule de toutes négociations avec Poutine. Psycho rigide. Les nouvelles révélations sur les agissements maffieux de Pustula Von Der Leyen. Les nouvelles taxes qu'envisagent nos "Mozart de la finance" qui ne sont en réalité que les "Beethoven de l'endettement". La nouvelle loi qui censure les opinions sur Internet.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller me dégourdir les jambes, je dévale les escaliers. Il fait beau. Le soleil règne en maître dans un ciel presque entièrement bleu. Par contre un vent de Nord Est impose une température de 18° seulement. J'enfile l'anorak pour descendre jusqu'à la rivière. Il est treize heures cinquante quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins en m'adonnant aux mêmes introspections que ce matin. Me remémorant des situations vécues avec Juliette. Les partouzes, les Gloryholes, les trucs parfois glauques qu'elle organise régulièrement dans son haras. Nous avons vécu là des choses extraordinaires. Des choses que la morale réprouve, mais pas nous. Du bruit. J'entends Clémentine chantonner. Est-il déjà 17 h30 ?

Elle entre dans l'atelier pour se précipiter vers moi. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Sa petite conversation avec Léo, le jeune étudiant qu'elle convoite. << Tous les après-midi, après les cours, avant de quitter l'université, Estelle me laisse seule quelques minutes avec Léo. Je prépare consciencieusement la suite. On va beaucoup s'amuser ! >> me confie t-elle en se levant. Clémentine à ses notes à archiver. Assise devant son ordinateur en chantonnant. Quarante cinq minutes d'un plaisir intense à travailler si près l'un de l'autre. << Il faut savoir s'arrêter. Ménager sa monture ! >> s'écrie t-elle soudain en se levant pour ranger ses affaires. C'est le signal. Je nettoie la palette, les pinceaux.

Nous nous rejoignons devant le petit lavabo de l'atelier. Le rituel de fin d'après-midi. Je me lave les mains, je les essuie. Clémentine tient ma bite pour en diriger les jets. En secouant les dernières gouttes, se penchant en avant, s'apprêtant à sucer, elle me dit : << J'ai raconté tes attitudes à Estelle. Elle en veut aussi ! >>. C'est souvent quand on parle du loup que ce dernier sort du bois. Ce soir encore cette louve arrive dans le plus grand silence. Nous ne l'entendons pas entrer dans l'atelier. Ce sont nos sixièmes sens qui nous avertissent. Clémentine se redresse. Nous découvrons Estelle, bras croisés, debout, qui nous observe comme le ferait une maîtresse d'école. << C'est toujours quand je ne suis pas là ! Vous pourriez m'attendre tout de même. Je suis membre du Club ! >> dit elle.

Elle se précipite pour nous rejoindre. Clémentine cède sa place. Saisissant mon sexe, Estelle enfonce sa langue dans ma bouche. J'achève de bander comme le dernier des salauds. Je suis pris en sandwich entre mes deux anges. << Il paraît que tu as des velléités de "Maître" qui font leurs grands retours ! >> lance Estelle en me tordant la bite dans tous les sens. Sans ménagement. D'une poigne ferme. Je passe ma main entre ses cuisses pour demander : << Et toi, raconte-moi donc comment s'est passée ta baise du mercredi soir avec ton parrain ! >>. Estelle me lâche pour se mettre à danser autour de nous. Telle une ballerine, tournant sur elle-même, faisant ses pointes, levant les bras de façon gracieuse. Elle répond en chantant : << Il m'a baisé, il m'a enculé ! L'enfoiré ! >>. Nous rions aux éclats. Clémentine agite ma queue bien raide dans sa direction en chantant : << Donc ce soir Julien devra contrôler ! >>. Pliés de rire.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Ce n'est plus vraiment une surprise mais cela reste épatant. Les bouchées à la reine réchauffent dans la fournaise du four à bois. Estelle met les assiettes, les couverts. J'aide Clémentine à la préparation de l'assaisonnement d'un concombre et de deux avocats bien mûrs. Nous mangeons de bon appétit. Estelle se lève parfois pour mimer une masturbation masculine. Elle me raconte ce qui s'est encore passé dans sa chambre, mercredi soir, avec son parrain. Depuis quelques mois Estelle accepte de se faire enculer en fin de baise. Couchée à plat ventre sur son lit. Jean-Marc vautré de tout son poids sur elle à lui chuchoter des saloperies à l'oreille. << Je commence à vraiment apprécier. Ce que j'aime moins c'est quand son sperme coule de mon trou du cul encore une demi heure après ! >>. Je demande : << Parce que ce salaud te jute dans le cul ? >>. Estelle s'écrie : << C'est le seul endroit qu'il aime ! >>

Nous sommes pliés de rire. Clémentine rajoute : << Et c'est qu'il parle de moi en baisant. Il voudrait bien me faire la même chose ! >>. J'écoute mes deux anges échanger leurs impressions. Clémentine déteste la sodomie. Rien ne la révulse davantage. << Moi c'était pareil tu sais. Jusqu'avant Noël ! >> s'exclame Estelle. La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon en me tenant les mains. En riant, elles retirent leurs bottines, leurs Levis, leurs culottes. Vautrées dans le canapé, tenant leurs jambes relevées, les mains sous les genoux, cuisses largement écartées, elles m'offrent leurs intimités. Le rituel du jeudi soir. Le léchage de minous. Le "contrôle chatte" qu'exige Estelle le lendemain de ses saillies. Mais cette fois je la surprends. À genoux sur les épais coussins, je hume son intimité. Les odeurs de sa journée de fille. Je passe à Clémentine. Toutes les deux se masturbent en échangeant leurs ressentis. Entre des gémissements lascifs. Joies.

Je me redresse soudain. Je me penche pour saisir Estelle par sa natte. Je la fais se lever. Elle ouvre de grands yeux. Je la fais se mettre à genoux sur le canapé. Ses coudes en appui sur le dossier. << Non pas ce soir ! >> s'écrie t-elle. Je m'immisce en levrette. Sans cesser de se masturber, dans un gémissement longuement modulé, Estelle de cambre pour se faire pénétrer. << Tu ne m'encules pas s'il te plaît. Le lendemain ça me fait trop mal ! >> s'écrie t-elle implorante. Je la rassure. Je déteste ça moi aussi. Je la tiens par ses seins minuscules pour imprimer un mouvement de plus en plus rapide. Clémentine se met à genoux sur le canapé. En se masturbant, elle nous observe. Me fait des sourires, des clins d'œil. << C'est comme dans les chiottes des restaurants. J'adore ça ! >> lance Estelle qui penche la tête en arrière. Je fais comme dans les chiottes des restaurants quand je la tringle. En faisant des bises dans son cou, ses joues.

Je me retire car la position est bien trop pénible pour mes lombaires. Je n'ai plus vingt ans. Je n'ai plus trente ans. Je n'ai plus quarante ans non plus. Et pour se mettre en harmonie sexuelle avec une jeune fille de vingt sept ans, il faut une certaine condition physique. Heureusement qu'il y a l'entraînement tous les matins. Clémentine, tellement excitée, se lève pour attraper la bassine en plastique bleu de sous le guéridon à côté du canapé. Estelle se lève, se tourne pour passer ses bras autour de mon cou. << J'aime tes initiatives tu sais ! >> dit elle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Nos mains se touchent lorsque je la doigte pendant qu'elle se masturbe. Nous entendons Clémentine gémir de plaisir et soudain les jets de pisse qu'elle ne peut réfréner pendant son orgasme. Estelle doit nous laisser d'ici dix minutes. Il va être 22 h. Ce soir, elle n'a pas été jusqu'à l'orgasme. << Au lit ! >> dit elle. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Dans la nuit noire et glaciale. La séparation est difficile. Je la revoie samedi. Clémentine la revoie vendredi matin, en cours. Elles se raconteront.

Bonne nouille à toutes les coquines qui vont en déguster une fois encore les jus de cuisson sous les draps...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Saturday 13 April 2024 07:13

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 40 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2582 -



Le vendredi, Clémentine termine à midi

Il est presque six heures hier matin, vendredi. L'illusion de nous réveiller dans une profonde forêt. Clémentine se tourne pour venir se blottir contre moi. Un gémissement plaintif rapidement suivi de quelques mots totalement inintelligibles qui nous font rire aux éclats. Quelques papouilles. Quelques bisous. Nous nous précipitons aux toilettes. Quand elle termine à midi, que c'est le début du weekend, Clémentine me fait rire de ses facéties, de ses imitations. Les radiateurs commencent à peine à faire leur boulot. Nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge dans la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. J'allume la cuisinière à bois en écoutant Clémentine me raconter ses rêves. Je ris.

Elle imite l'accent Corse de Juliette pour poser des questions auxquelles elle répond avec mon accent Écossais. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos jeux à trois avec Estelle. Les jeux du jeudi soir. << Des Jeux OlymPipes ! >> lance Clémentine. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine assise sur mes cuisses, trempant sa tartine au miel dans mon bol. Des bisous collants et sucrés sur mes lèvres. Il va être six heures vingt cinq. Nous remontons pour l'entraînement. Avec la fraîcheur de la salle il faut vraiment se bouger. Les échauffements que procurent les mouvements aérobics. Le jogging sur tapis roulants où Clémentine fait des figures de style qui me font rire. Les exercices au sol qui précèdent les charges additionnelles. Les étirements d'un stretching trop rapide.

La douche. Je redescends à toute vitesse pour aller sortir la voiture du garage. À presque 7 h45 le ciel est bleu. Par contre la température extérieure n'est que de 15°. Clémentine vient me rejoindre en sautillant. Ce matin dans un blouson de cuir noir, un Levis "brut", ses bottines noires. Un chapeau d'où dépasse sa longue natte posée sur son épaule gauche. Ses bras autour de mon cou pour me faire un dernier bisou. Je hume ses parfums. << Chanel No 5 ! >> murmure t-elle avant de rire. << Je t'aime. À très vite ! >> lance t-elle en s'installant au volant. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. C'est en courant que je retourne me mettre au chaud. Je fais notre vaisselle, notre lit, avant de me précipiter dans l'atelier.

J'y allume la flambée de cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans l'euphorie laissée par Clémentine. Il est onze heures trente quand j'achève cette onzième toile hyper réaliste. Je nettoie le matériel, je fais un peu de ménage. Il va être midi. Je quitte la grande pièce pour la cuisine. C'est sympathique le vendredi. Je n'ai qu'à réchauffer les deux grosses bouchées à la reine et leurs coquillettes. Pendant que je fais l'assaisonnement d'un gros concombre. Il est midi trente cinq quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève pour l'emmener à la salle de bain du bas. Le rituel pipi et le lavage des mains. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Sa petite conversation avec Léo.

Elle aimerait beaucoup que son souhait se réalise durant les vacances scolaires qui s'annoncent. La deuxième semaine, au retour de notre séjour que Clémentine tient toujours encore aussi secret. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents, nous mettre en tenues vélo. Ce sera une jupette plissée beige et un T-shirt crème pour Clémentine. Ce sera un short de lycra noir et un T-shirt jaune pour moi. Nos baskets. Nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos que je porte, des barres de céréales, des pommes, la petite paire de jumelles, les K-ways, les leggings pour les fraîcheurs du retour. Nous traversons le jardin en courant. Nous sortons les bicyclettes du garage. Je vérifie le gonflage des pneus. La tension des chaînes. Les freins. Tout est parfait.

C'est parti. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. La température extérieure est de 22°. Un léger vent de Nord Est nous pousse. Nous l'aurons de face ce soir en rentrant. Nous ne sommes pas seuls à profiter de cet après-midi ensoleillé. Dix kilomètres et voilà le cabanon de l'écluse. Des employés VNF (Voies Navigables de France) sont occupés au bon fonctionnement des machineries. Pas d'arrêt pipi. Il faut patienter jusqu'au port de plaisance. Quinze kilomètres de tourment grandissant pour Clémentine. Elle veut toutefois se garder pour une opportunité exhibe. Nous fermons les vélos à cadenas derrière le cabanon de la capitainerie aux volets clos. Clémentine retire sa culotte pour la fourrer dans la poche du sac à dos.

Il y a du monde sur les quais. Les joueurs de pétanques, des employés communaux entrain de délimiter au sol des emplacements. La première animation de l'année se déroulera dimanche 14 avril avec une "chasse aux œufs". Ce sera une fête pour les familles. Nous traversons la route pour aller dans la supérette. Le peu de clients nous permet de bavarder un peu avec la gérante. Elle nous apprend les prochaines festivités organisées par la municipalité du bourg voisin. Nous achetons nos pots de glaces préférés. Ben & Jerry's. Nougat et pécan. Nous les dégustons assis sur un des bancs sous les platanes. À une cinquantaine de mètres des joueurs de boules. Notre joueur voyeur est là. Il est en bermuda noir et en chemisette à carreaux bleus ciel aujourd'hui. Il nous a évidemment vu.

À chaque fois qu'il regarde par ici, Clémentine écarte légèrement les cuisses. Sur son absence de culotte. Ils ne sont que huit joueurs. Parfois ils sont jusqu'à une vingtaine. << Je dois pisser, je n'en peux plus ! >> lance Clémentine en se levant. Nous jetons nos pots vides dans une des poubelles. Nous partons à la recherche de l'endroit idéal. Encore faut-il qu'il y ait un voyeur potentiel. Ou une "victime potentielle" à transformer en voyeur. L'occasion se présente là. Entre deux camionnettes aux armoiries de la communes. C'est un employé municipal. << C'est le même que l'année dernière. Le jeune avec les lunettes, regarde ! >> fait Clémentine. Je me dissimule derrière le kiosque au volets clos. Je regarde le jeune employé. Je ne me souviens plus de lui. Il déroule des ficelles.

Fixées à des anneaux dans le muret, ces ficelles permettent de délimiter les parcelles. Il voit Clémentine arriver. Elle marche doucement, les bras croisés. Regardant partout autour d'elle. Se penchant pour regarder derrière les camionnettes. Elle se dirige vers le jeune homme. Je suis à une cinquantaine de mètres. Impossible ce comprendre la nature des échanges. Par contre je les comprends très bien. Clémentine se touche. Carrément, devant le mec. Il lui indique l'endroit entre les deux véhicules. Elle y pointe également son doigt. Avant de s'y précipiter. Je contourne le kiosque pour passer derrière les caisses de matériel empilées. Ça y est, je vois. Accroupie, de face, franchement vers le jeune homme, elle reste concentrée, tête baissée. Le type fait semblant de fixer les ficelles.

Il me tourne le dos. Mais j'imagine parfaitement sa consternation. C'est donc ça que demandait Clémentine, un endroit pour se cacher et faire pipi. Les cuisses largement écartées, elle lève enfin la tête pour adresser le plus merveilleux des sourires à son regardant. Ce dernier se redresse, reste les bras ballants. Je me mets facilement à sa place. J'ai envie de me branler mais il y les joueurs de boules, des gens qui flânent, des groupes de cyclistes. Le premier jet que lâche enfin Clémentine est d'une puissance inouïe. Le jeune homme doit être à une dizaine de mètres. Trop heureuse de cette opportunité, Clémentine se lâche dans une série de jets invraisemblables pour qui les voit la première fois. C'est fou. Je sais de quoi elle est capable. Le jeune homme admire ce spectacle extraordinaire.

Clémentine prend son temps. Cette fois le jeune employé se touche. A t-il sorti sa queue ? Impossible de le distinguer, il me tourne le dos. Faisant écran malgré lui à ce qui se déroule devant ses yeux. Cette sublime jeune fille, hyper sexy, entrain de se livrer à un acte d'une indécence folle. Et visiblement ravie d'être observée. Elle se redresse enfin. S'essuie longuement avec le mouchoir en papier qu'elle tient à la main. Elle se réajuste pour passer devant le jeune homme qui la suit des yeux. Quand il se retourne pour la regarder jeter le mouchoir dans une des poubelles il a sa queue dans la main. Je n'avais pas rêvé. Clémentine fait une boucle. Nous nous rejoignons devant la terrasse du bar restaurant. C'est devant un bon chocolat chaud qu'elle me raconte. Qu'elle me donne ses impressions.

J'écoute amusé et avec beaucoup d'intérêt. Je lui raconte mes ressentis. Quand elle donne liberté à ses penchants exhibitionnistes, Clémentine m'avoue souvent le faire également pour moi. << Surtout pour toi ! >> précise t-elle cette fois encore. << Il m'en faut une autre cet après-midi avant de rentrer ! >> rajoute t-elle. Discrètement elle me montre les deux couples attablés. Un des messieurs regarde avec une grande attention sous notre table. Clémentine me raconte ce qui se passe. Ses cuisses qu'elle écarte au-delà du raisonnable. Parfois elle descend sa main pour se toucher. Je regarde les attitudes et les expressions du voyeur sur l'écran de mon I-phone comme dans un rétroviseur. Clémentine tente le "test des chiottes" en se levant pour s'y rendre. Le type ne semble pas avoir compris. Dix minutes. Clémentine revient un peu déçue. Les couples sont partis. Nous flânons encore un peu à la recherche d'un troisième plan exhibe. Rien !

Bonne rentrée à toutes les coquines impatientes d'être de retour. Mortes de faim. Avec le désir bien légitime de passer une soirée de folie avec leur compagnon.

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine, Julien et Estelle
Sunday 14 April 2024 10:35

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 41 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2583 -



Exhibes du samedi

Hier matin, samedi, il est presque six heures. Nous nous réveillons quasiment en même temps. Clémentine vient se lover dans mes bras en murmurant : << Bientôt les vacances ! >>. Quelques bisous, quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Il fait bien chaud dans la maison. Les radiateurs fonctionnent depuis près d'une heure. Nous revêtons nos tenues de jogging dans la salle de bain déjà agréablement tempérée. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusque dans le hall d'entrée. Clémentine ouvre le portail depuis l'interphone. Je caresse ses hanches pour remonter sur ses seins minuscules. J'adore le contact du lycra de nos vêtements de sport. Nous prenons des poses amusantes devant le grand miroir de la penderie. Tous les deux hyper sexy à nous marrer.

Clémentine prépare le café, je presse les oranges, je pèle les kiwis. C'est le premier jour sans allumer la cuisinière à bois. Première expérience de l'année. Je beurre les tartines que Clémentine attrape d'un geste gracieux lorsque les tranches sont éjectées du grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre virée vélo de vendredi après-midi. La superbe exhibe de clémentine devant l'employé municipal. << Je suis sûre qu'il m'a déjà vu l'année dernière. C'est le même mec ! >> dit elle. Je lance : << Ils sont si nombreux les privilégiés qui ont assisté à tes prestations qu'il m'est impossible de les garder tous en mémoire ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Nous mangeons de bon appétit en envisageant déjà la virée vélo de cet après-midi. Avec Estelle.

Dehors il fait beau. Le ciel est bleu. Il est sept heures trente. La vaisselle. Nous enfilons nos K-ways car la température n'excède pas 12°. Nous sortons pour sautiller sur place, faire des mouvements d'échauffement. Nous descendons en courant jusqu'à la rivière. Le sentier de gauche. C'est parti pour un jogging d'une heure. Dans une nature enchanteresse. À présent tous les arbres verdoient et certains sont emplis de feuilles. Les fleurs apportent des touches de couleurs magnifiques. Il est huit heures trente cinq quand nous revenons. La petite Fiat 500 rouge de Lise est garée devant la porte du garage. Nous en profitons pour sortir nos bicyclettes. Je vérifie rapidement le gonflage des pneus, la tension des chaînes. Tout est OK. Nous rentrons au chaud pour monter à la salle de bain.

Nous percevons le bruit que fait l'aspirateur. Sans doute dans notre salle d'entraînement. Lise est en plein ménage. Nous prenons notre douche. Assise sur un des deux tabourets. Une large serviette couvrant ses épaules, Clémentine me raconte des détails de sa semaine universitaire. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite, j'écoute. Je ne m'en lasse pas. Elle revient sur le piège qui se referme doucement sur Léo, le jeune étudiant qu'elle drague discrètement quelques minutes chaque fin d'après-midi. << Tu me fais une natte. Depuis quelques mois j'aime bien avoir les cheveux attachés ! >> me demande Clémentine entre deux "révélations" quand au projet de dépuceler ce jeune garçon d'à peine vingt ans. Je tresse ses cheveux en une longue natte.

C'est à mon tour de me faire coiffer. Vêtus de nos Levis, d'un simple T-shirt, de nos baskets, nous nous apprêtons à dévaler les escaliers lorsque surgit Lise. Son éternel survêtement gris. Elle retire ses écouteurs pour nous saluer. Ses sourires sont plus merveilleux samedis après samedis. Après tout, pourquoi cacher le plaisir de nous revoir. Son regard qui fixe ma braguette ouverte avec cette fois une ostentation délibérée. S'en est presque gênant. Nous la laissons à ses travaux pour descendre au salon. Assise sur mes genoux, me tournant le dos, Clémentine allume l'ordinateur. J'adore caresser ses seins minuscules. Ils palpitent dans la plus parfaite liberté sous son T-shirt blanc. Nous avons le courriel de ma famille en Écosse. L'état de santé d'Oncle Alan se dégrade encore davantage.

Le mail de Juliette qui nous confirme sa venue mercredi prochain. Elle précise que c'est elle qui emmènera le repas. Nous ne devons rien préparer sinon un accueil insolite. Le message d'Estelle impatiente de nous retrouver pour treize heures trente. Clémentine répond alors que je glisse un billet de 50 € et un billet de 20 € dans la petite enveloppe jaune. Clémentine se redresse, s'installe à l'envers. Ses bras autour de mon cou pour se frotter. << J'aime quand quand tu caresses mes seins. Ça ne m'excite pas seulement, ça m'émeut aussi ! >> dit elle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Nos baisers sont toujours passionnés si pas fougueux. Aussi, assez rapidement, nos mentons sont trempés de salives. Clémentine se lève. Me fait me lever. Elle s'accroupit devant moi.

Elle fouille dans mon slip pour en extraire le locataire dur comme un bois de chêne séculaire. Je bande comme le dernier des salauds dans sa main. << Avec ce soleil, tu vas pouvoir accueillir Danièle comme elle aime. Viens, ça va être l'heure ! >> me dit elle en me tirant par le Zob. M'obligeant à marcher derrière elle à la façon d'un canard complètement débile. Soudain le rire de Lise. Le tuyau de l'aspirateur à la main, dans le couloir, elle assiste à cette scène cocasse et un peu ridicule. Elle lève le pouce de sa main libre avant de disparaître dans la salle de bain du bas. Nous prenons des poses devant le grand miroir de la penderie dans le hall d'entrée. Clémentine agitant ma bite, s'accroupissant pour poser sa tête sur ma hanche, ses bras autour de ma cuisse. Une fois encore, surpris par Lise que nous voyons mâter dans le reflet du miroir. << Viens ! Ne reste pas cachée. On sait bien que tu aimes regarder ! >> lui fait Clémentine en se redressant.

Lise s'approche pour répondre : << Je développe un sens aigu du voyeurisme depuis que je vous connais. Et c'est génial de pouvoir le partager sans honte ! Merci ! >>. Nous nous apprêtons à sortir quand Lise rajoute : << Et là je me dépêche d'aller à la cuisine pour mâter depuis les fenêtres ! >>. Clémentine sort le petit sac à dos de la penderie, en extrait la minuscule paire de jumelles en disant : << Tiens, tu verras mieux. Amuse-toi bien ! >>. Comme enchantée, Lise se saisit de l'appareil optique pour le retourner dans tous les sens. Elle fixe mon sexe redevenu mou. Me fait le plus merveilleux des sourires avant de s'en retourner à ses tâches ménagères. Nous sortons. La température est de 19° alors qu'il n'est que dix heures. Très supportable avec la bite à l'air. À peine avons nous traverser la pelouse qu'arrive la camionnette Mercedes blanche. Danièle, un large sourire illuminant son visage, vient se garer derrière la Fiat rouge de Lise.

J'agite ma queue comme un clébard content de revoir sa maîtresse. Danièle saute de son véhicule, enchantée par l'accueil, elle s'écrie : << En voilà des manières avec une jeune femme. Vous n'avez pas honte monsieur ! >>. Nous rions aux éclats alors qu'elle s'approche pour saisir ma queue. Je bande mou. Elle aussi me tire par le Zob pour contourner la camionnette. Je sais que depuis les fenêtres de la cuisine, Lise nous observe. Aussi, je pense également à elle. Lorsque Danièle me lâche pour ouvrir les portes arrières, je me tourne vers la maison pour agiter mon sexe en direction des fenêtres de la cuisine. C'est hyper excitant de voir Lise, derrière les vitres, tenant les jumelles. Je fais un coucou de ma main libre levée. Ce qui n'échappe ni à Danièle, ni à Clémentine. Je monte à l'arrière. Il y a juste la place entre les étages de cageots. Danièle s'accroupit rapidement. M'attrape le Zob pour se le prendre en bouche. Merveilleuse ventouse.

Danièle a bien d'autres livraisons, aussi, cette petite fellation de "principe" ne dure même pas une minute. Danièle se redresse pour prendre le cageot sur la pile de droite. Je l'attrape. Il contient les fruits, les légumes. Je descends du véhicule. C'est Clémentine qui y monte pour attraper le second cageot qui contient les pots de fromage blanc, de crème fraîche, le lait de soja, les œufs, les yaourts, le beurre et toutes ces spécialités fromagères dont nous raffolons. Les cageots posés sur le banc en pierre contre le mur, à côté du lavabo extérieur, Danièle s'approche pour me choper la bite en disant : << À mercredi matin cher pervers ! >>. Nous ne verrons pas Danièle samedi prochain puisque nous serons partis une semaine. << J'organise un "plan" pour la seconde semaine ! >> précise Danièle en s'installant au volant. Je me masturbe. Elle fait sa manœuvre de demi tour en m'adressant un clin d'œil, faisant une bosse à l'intérieur de sa joue.

Avant de remballer, je me tourne vers les fenêtres pour me branler avec toute la vulgarité possible. Cambré sur mes genoux fléchis. Clémentine passe son bras autour de ma taille. De sa main libre, en disant : << Génial ! >>, elle adresse un signe amical à Lise. Lise, les jumelles collées contre la vitre qui mâte probablement à s'en déboîter les globes oculaires. Il faut remballer de toute urgence. Voilà le tube Citroën rénové de notre boulangère adorée. Grace à Clémentine qui se place devant moi, je peux remballer ma queue. Assez vite malgré que ce soit un véritable démonte pneu de camion. Lise m'adresse un grand signe de la main, lève le pouce avant de disparaître. Madame Marthe, avec cette étonnante agilité malgré sa corpulence, saute de son véhicule, hilare, enjouée.

Elle fait coulisser la porte latérale dans un bruit de tôle infernal. Elle en tire le cageot contenant les deux miches de pain complet et bio. Les deux pâtes feuilletées, les bouchées à la reine, l'énorme brioche au pudding et les deux gros croissants aux amandes. Nous ne verrons pas la dame samedi prochain. Madame Marthe nous souhaite de bonnes vacances avant de remonter dans sa camionnette et s'en aller. Je sors immédiatement ma bite redevenue molle. Et dégoulinante de liquide séminal à cause de mes excitations répétées de la matinée. Lise vient nous rejoindre en courant. Sautant d'une dalle de grès sur l'autre comme pour un jeu de marelle. << Génial le coup des jumelles. Je vais m'en acheter une paire, les mêmes ! >> s'écrie t-elle, saisissant un des trois cageots.

Nous contournons la maison pour descendre à la cave par l'arrière. Dans le cellier, Lise reste cette fois avec nous. Et tout particulièrement près de moi alors que nous disposons les fruits et les légumes sur les étagères. La présence de Lise est délicieusement troublante. Silencieuse, elle nous adresse de beaux sourires, fixe mon sexe à nouveau mou qui pend de ma braguette béante. Clémentine s'approche, saisit mon chibre pour le redresser, le présenter à la jeune fille. C'est la toute première fois qu'elle reste avec nous durant les rangements. Elle se penche en avant pour scruter. C'est cette goutte opalescente qui perle à l'extrémité de mon prépuce qui semble attirer toute son attention. << C'est du foutre, tu veux gouter ? >> explique Clémentine en décalottant légèrement le gland. Le méat.

Lise se redresse. Nous restons ahuris de sa réponse : << Je veux bien mais pas maintenant ! >>. Clémentine rajoute : << Tu l'as déjà fait ? >>. Lise ne répond pas. Elle reste un instant à regarder Clémentine s'accroupir pour récupérer la goutte du bout des lèvres. Elle a soudain ce réflexe que nous lui connaissons bien. Elle tourne des talons pour s'enfuir jusqu'à l'escalier intérieur qu'elle gravit à toute vitesse en s'exclamant : << Je vais terminer le ménage ! >>. Clémentine se serre contre moi, ses bras autour de mes épaules. Elle dit : << Tu as fait fort encore ce matin. J'adore ! >>. Elle s'accroupit pour se remettre à sucer quelques instants. Du congélateur où elle place une des miches, une des pâtes feuilletées, Je tire le paquet de moules, les sachets de haricots verts et les petits pois.

Nous remontons avec le cageot contenant les produits frais à ranger dans le réfrigérateur. C'est beaucoup plus flagrant que les autres samedis. Lise nous attend à la cuisine. Elle ouvre la porte du frigo. S'accroupit. Je pose le cageot au sol. Clémentine me passe les pots de yaourts. C'est extrêmement troublant avec la présence de Lise. Je suis certain qu'elle s'amuse de ce trouble. Découvrant le pouvoir d'une femme sur un homme. Malgré ses dix neuf ans depuis peu. Lise se redresse en disant, j'ai encore la serpillère à passer sur le carrelage. J'attends que vous soyez sortis de la cuisine ! >>. Tout est rangé. Nous la laissons à ses occupations. Dans l'encadrement de la porte je tourne la tête. Lise attendait cet instant pour m'adresser, pour la première fois un clin d'œil. Et son sourire.

Au salon, lorsque Clémentine s'assoit sur la chaise, le dossier entre ses cuisses écartées, je lui raconte ce qui vient de se passer. En m'attirant à elle, me tenant par les poches arrières de mon 501, elle murmure : << Elle m'excite cette petite ! >>. Elle referme sa bouche sur l'extrémité de mon prépuce dégoulinant de jute. Elle me suce quelques instants avant de chuchoter : << C'est comme ça qu'elle va encore nous surprendre notre petite complice ! >>. Je guette l'encadrement de la porte. Malgré l'inconfort de la position, mes lombaires mises à rude épreuve, je me fais tailler une pipe des familles. C'est doublement excitant car j'attends l'arrivée de Lise. C'est en tenue "ville", après s'être changée, qu'elle nous rejoint. Avec cette expression hallucinée. Cet air consterné.

Du doigt, je montre la petite enveloppe jaune posée sur le bureau. Sans cesser de nous observer, Lise entre dans la pièce, contourne le bureau pour saisir l'enveloppe. Surprise. Elle s'assoit sur la grande chaise Victorienne. Elle nous regarde, silencieuse, concentrée. Je dis : << On ne se voit pas samedi prochain. On vous racontera. Je tiens à vous offrir cette paire de jumelles. N'allez pas les acheter ! >>. Lise me fait un sourire. Clémentine cesse de sucer pour rajouter : << Ce sera l'objet fétiche de tes penchants naturels ! >>. Lise se lève pour répondre : << Il faut que j'y aille. Vous me raconterez vos vacances. Vous avez mon 06, n'hésitez pas à m'appeler ! >>. Je suis un peu décontenancé par l'aplomb dont fait preuve cette étonnante jeune fille. Clémentine se lève. Nous raccompagnons Lise jusque dans le hall d'entrée. J'agite ma bite dure comme l'acier. Lise la fixe comme hypnotisée. << À bientôt ! >> lance t-elle en sortant.

Debout sur le perron, nous la regardons faire sa manœuvre de demi tour. Je me branle. Clémentine fait mine de tenir une paire de jumelles. Lise, en remontant jusqu'au portail lève son pouce. Morts de faim nous rentrons. En faisant l'assaisonnement de la laitue, Clémentine me donne ses impressions. Je fais le bouillon pour y jeter les moules décongelées. Je réchauffe les haricots verts et les petits pois dans le wok. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur mes exhibes de la matinée. Considérablement excitée Clémentine lance : << Cet après-midi c'est à mon tour ! >>. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, alors que je caresse ses seins, Clémentine me confie à quel point mes comportements l'emplissent d'émotions libidineuses. Je partage !

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Estelle arrive. Silencieuse. Sur la pointe des pieds. Elle ouvre la porte en s'écriant : << Je vous y prends ! >>. Alors que nous sommes entrain d'échanger le gout eucalyptus de la crème dentifrice. Estelle jette son sac de sport au sol en se précipitant vers nous. Serrés tous les trois, nous couvrant de bises, nous savourons l'instant magique des retrouvailles. Estelle, déjà en tenue vélo, nous raconte sa matinée avec sa maman. Les courses à l'hypermarché. pendant que nous aussi revêtons nos tenues cyclistes. Mes deux anges en jupettes, T-shirts. Moi en short de coton et T-shirt. Pressés de fuir, nous dévalons les escaliers. Je sort le vélo d'Estelle de l'arrière de son Kangoo. C'est parti.

Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle qui l'enjambe. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Il y a du monde à profiter de ce samedi après-midi radieux et doux. Nous pédalons avec facilité, souvent côte à côte. Une totale absence de vent. C'est rare. Je raconte mes frasques de la matinée à Estelle. << Vieux pervers ! >> s'exclame t-elle à plusieurs reprises. Clémentine donne dans les détails que j'ai oublié. << Vieux salaud ! >> rajoute plusieurs fois Estelle. Pas d'arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Vingt cinq kilomètres jusqu'au port de plaisance où nous fermons les vélos à cadenas à quinze heures. Les filles retirent leurs culottes qu'elles enfoncent dans la pochette du petit sac à dos que je porte. Il y a un monde fou sur les quais. Une ambiance festive. Il y a des stands montés pour la "chasse aux œufs" organisée dimanche par la municipalité du bourg voisin. Les joueurs de pétanques, des couples, des familles, des groupes de cyclistes.

Nous traversons la route pour aller dans la supérette. Beaucoup de clients. Estelle nous attend dans une des files aux caisses. Ruse. Nous la rejoignons juste à temps avec nos pots de crèmes glacées Ben & Jerry's. Nous les dégustons assis sur le muret. Il y a quelques belles opportunités exhibes. Quand un cycliste solitaire passe en poussant son vélo, Clémentine attend l'instant où ce dernier va regarder par ici. Elle écarte alors ses cuisses pour le gratifier d'une prestation hors normes. Estelle garde le petit sac à dos posé entre ses cuisses. Ce qui me permet de la doigter à l'abri des regards. << Comme tu es salaud, j'adore. Ne t'arrête pas ! >> lance t-elle alors que Clémentine rit aux éclats. Nous flânons sur les quais. Clémentine aimerait bien s'offrir les frissons d'une bonne exhibe.

Hélas, il y a vraiment trop de gens. Il fait tellement beau. La température est de 27°. Je n'arrête pas de doigter Estelle. Elle en redemande en se collant à moi, ses bras autour de mon cou. Ce qui m'offre la possibilité de la toucher discrètement. Nous montons la colline jusqu'au cimetière touristique. Là aussi c'est plein de gens. << Là, un solitaire. Il est pour moi ! >> lance soudain Clémentine quand nous passons entre les pierres tombales. C'est un quinquagénaire grisonnant, en bermuda, chemisette. Estelle m'entraîne vers les caveaux de familles. Certains sont ouverts. On peut s'y cacher. Nous baisons parfois dans celui aux "quatre anges". Nous l'appelons ainsi à cause des quatre sculptures sur le toit de tuiles. Nous regardons Clémentine marcher lentement, les bras croisés. Entre les tombes. Estelle joue avec ma queue déjà bien dure. Je la doigte. Nous sommes planqués dans le caveau. Il y a d'autres visiteurs. Clémentine est prudente.

Nous la voyons se livrer à son jeu favori. Elle suit ce mec de loin. Évitant son regard lorsqu'il se tourne. Mais c'est là, tout près de notre cachette qu'elle se fait surprendre. Accroupie. Se touchant d'une main. Maintenant son équilibre de l'autre. Cuisses largement écartées. << Elle n'a pas encore pissé ! >> me murmure Estelle qui tord ma bite dans tous les sens alors que je la doigte avec passion. Son jus qui coule dans ma main. Je me lèche souvent les doigt pour savourer son nectar. L'inconnu contourne le caveau qui fait face au nôtre. Il tombe sur cette sublime jeune fille accroupie, entrain de se toucher. Un moment de stupeur. Il regarde partout autour de lui. Descend la tirette de sa braguette pour en sortir avec une incroyable vélocité un sexe fin, étrangement veineux. De teinte "bleuté".

<< Bonjour ! >> lance t-il à la jeune fille qui relève la tête. Clémentine a un mouvement de recul. Elle sait ne rien risquer, je suis là, mais c'est un réflexe féminin tout à fait normal. Rester sur ses gardes. Anticiper. Je reste prêt à intervenir. Estelle m'a lâché le chibre. J'ai cessé de la doigter. Je surveille. Le type agite son sexe en direction de la jeune fille, sans s'approcher. Il est à environ trois mètres. Clémentine reste dans sa position. Elle répond : << Bonjour. Difficile de s'isoler pour faire pipi ! >>. Le quidam réplique : << Ah vous cherchiez un coin tranquille ! >>. Clémentine répond : << Et visiblement je ne l'ai pas trouvé ! >>. Le mec, curieusement gentleman, remballe sa vilaine queue bleutée et veineuse pour quitter l'endroit. Juste au moment où arrive deux couples. Clémentine se redresse immédiatement pour quitter elle aussi le lieu. Nous la rejoignons au portillon arrière. Là-bas, le mec, sans doute avec un groupe d'amis. Ou famille.

<< C'est pour ça qu'il n'a pas insisté ! >> lance Clémentine. << Oui, il n'était pas seul ! >> rajoute Estelle. Nous retournons dans le caveau. Clémentine y pisse enfin. Estelle faisant de même sur la terre battue entre les deux cercueils de pierre sculptées. Je saisis Estelle pas sa natte. Je la fais s'assoir sur celui de droite. Clémentine va faire le guet en bloquant les deux étroites portes en bois. Je tente de mettre ma bite dans la bouche d'Estelle. Elle s'y refuse pour se coucher sur le dos, m'attirer sur elle. Je la pénètre en restant en appui sur mes bras. Elle s'accroche à mes épaules, passe ses jambes autour de ma taille. Nous baisons. Elle me roule des pelles affolantes en poussant de petits gémissements. S'agitant parfois de spasmes hystériques. Clémentine se touche en surveillant l'extérieur, en nous observant. Estelle me repousse délicatement pour se terminer aux doigts. Clémentine me suce. Nous sommes aux vélos pour 17 h30. De retour pour 19 h.

Bonne "faim de soirée à toutes les coquines qui commencent le printemps dans les toutes meilleures conditions. Avant de se retrouver dans de nouvelles débauches après un bon repas...

Julien (vigile pour filles exhibitionnistes)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Monday 15 April 2024 07:40

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 42 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2584 -



Un dimanche ensoleillé

Hier matin, dimanche, notre grasse matinée nous emmène aux environs de neuf heures. Estelle, restée contre moi toute la nuit, se serre encore plus fort dans un gémissement lascif. Elle saisit ma tumescence. Ses lèvres se collent dans ma nuque. Comme une ventouse. Tout cela réveille Clémentine qui vient tout contre moi. Je suis entre mes deux anges. Je glisse mes mains dans les culottes pour démêler quelques poils. Glisser mes doigts entre les lèvres moites de leurs vulves. Nous restons ainsi, dans une sorte de béatitude, a savourer l'instant. << Pipi ! >> chuchote Estelle qui lutte encore un peu avant de se lever pour courir vers la porte. Clémentine m'attire sur elle. Je reste en appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids. Elle s'accroche à mon cou, autour de mes hanches.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Il fait bien chaud partout dans la maison. Nous revêtons nos jeans, nos T-shirts, baskets. Morts de faim nous dévalons les escaliers. L'odeur du café que prépare Estelle. Elle me saute au cou en s'écriant : << C'était génial samedi, dans le caveau de famille ! >>. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour couvrir mon visage de bises. Même traitement pour Clémentine. Je presse les oranges. Estelle pèle les kiwis. Clémentine coupe les parts de brioche au pudding. Je beurre les tranches éjectées du grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos escapades à vélos. Il fait si beau en ce dimanche matin que nous savons déjà qu'il y aura récidive cet après-midi. Nous mangeons de bon appétit en évoquant nos aventures folles.

Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de mes épaules, de ma taille, mes deux anges font mille projets pour les vacances qui commencent fin de la semaine prochaine. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous faisons les clowns devant le miroir de la salle de bain. Pendant qu'Estelle s'habille comme nous, Clémentine et moi recouvrons le lit, fermons la porte fenêtre du balcon. Nous dévalons les escaliers pour sortir. Depuis l'intérieur, le ciel bleu, le soleil et l'ambiance sont trompeurs car la température n'est encore que de 16°. Alors qu'il est dix heures trente. Il faut donc mettre les K-ways. Nous descendons jusqu'à la rivière en nous tenant par les mains. Les filles parlent de leurs études. De la fin de ce second trimestre. J'écoute avec soin.

Tout est vert. Il y a des fleurs partout. Ce printemps tant attendu dans toute sa splendeur. Nous admirons le ballet aquatique des canards, des colverts et des poules d'eau qui semblent se donner en spectacle rien que pour nous. Deux hérons cendrés nous observent sur l'autre rive. Distants et immobiles. Estelle glisse sa main dans ma braguette ouverte. Elle en extrait le locataire. Je tiens mes deux anges par leurs tailles. Estelle tient mon Zob mou. Assis sur la vieille souche nous savourons ce moment hautement bucolique. Un avant goût des vacances à venir. C'est devenu un rituel du dimanche midi. Le poulet et les frites. << Comme quand on étaient petites ! >> précise une fois encore Estelle. De parler bouffe donne évidemment faim. Nous remontons lentement tout en flânant.

Chacun a son rôle dans la préparation du repas. Clémentine fait l'assaisonnement des tomates. Estelle s'occupe du poulet à rôtir. Je suis délégué aux frites. Nous aimons tous les trois les préparatifs culinaires. Comme pour chacun de nos séjours durant l'absence de nos vacances, Estelle veut s'occuper des petits déjeuners et des repas du midi. Nous l'écoutons nous révéler certains projets de bouffes plus sympas les uns que les autres. Il y est question de tomates farcies, de lasagnes et autres "roulés" aux fruits de mer. Nous mangeons de bon appétit. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents, nous mettre en tenues vélos. Dans le petit sac à dos que je porte, barres de céréales, pommes, K-ways et leggings en prévision des fraîcheurs du retour prévu à 19 h.

C'est parti. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. La température est de 24°. Comme une journée de juin. Tous les amateurs de vélo du département semblent s'être donnés rendez-vous ici. Nous pédalons côte à côte contre un vent d'Ouest parfois assez fort. Il faut souvent se serrer car nous nous faisons sans cesse dépasser par des "coureurs du Tour de France". De véritables fusées. Vingt cinq kilomètres qui nous mènent au port de plaisance. C'est la fameuse "Chasse aux œufs". Première festivité de l'année. Les quais sont noirs de monde. Encore une réussite pour la municipalité organisatrice. Nous fermons les vélos à cadenas derrière la capitainerie. Parmi une bonne trentaine d'autres. Estelle et Clémentine retirent rapidement en discrètement leurs culottes pour les fourrer dans la pochette avant du sac à dos. Nous ne sommes pas venus chasser des œufs. Pas ceux-là en tous cas !

Aussi, nous traversons la route pour aller dans la supérette. Tout ce monde. C'est décourageant. C'est se condamner à perdre une bonne vingtaine de minutes aux caisses. Pas de crèmes glacées cet après-midi. Nous prenons le chemin qui monte au vieux cimetière historique. Le soleil tape. Pleins de gens montent. Plein de gens descendent. Il est certain que les désirs d'exhibitions de Clémentine seront contrecarrés. Heureusement que les chênes centenaires qui entourent l'enceinte du cimetière médiéval offrent de l'ombrage car c'est un véritable cagnard en plein soleil. Impression encore accentuée par l'effort de la marche pour grimper jusqu'ici. Mais la vue sur le paysage est une belle récompense. À huit cent mètres en contrebas, les quais du port de plaisance évoque une sorte de fourmilière géante. Nous restons assis sur le muret. Il est difficile e s'isoler car nous ne sommes pas les seuls à vouloir profiter des charmes uniques de l'endroit.

Mais heureusement que les familles sont en bas, à chercher les œufs. Ça fait moins de marmaille pour emmerder le monde ici. Nous flânons entre les pierres tombales. Dans ce cimetière, personne n'est plus enterré depuis une bonne centaine d'années. C'est devenu un pôle touristique très prisé. L'endroit est à la fois étrange, mystérieux et présente des architectures gothiques exceptionnelles. Entourant une chapelle que nous n'avons jamais vu ouverte ni accessible au public. Certains caveaux de familles évoquent de petits manoirs, de petits châteaux. Il y a même une reproduction d'une forteresse médiévale. De cinq mètres sur six. Inaccessible, cette sépulture de pierre abrite dix sept cercueils de pierre. On peut en apercevoir quelques uns par les meurtrières grillagées du "donjon" carré.

Il y a des visiteurs partout. Impossible pour Clémentine de s'offrir les frissons d'une exhibe de qualité. Et elle déteste l'improvisation des instants fugaces forcément bâclés. Ce qui ne nous empêche nullement de nous toucher discrètement. Parfois même de prendre quelques risques excitants. J'ai donc souvent les mains sous les jupettes de mes coquines. Estelle réussi même le tour de force de me sortir la bite deux fois. Ce n'est pas rassurant mais extrêmement excitant. C'est dans un des trois caveaux de familles accessibles qu'il est possible de s'offrir un peu d'intimité toute relative. Bien évidemment les promeneurs les plus zélés, les plus curieux veulent voir comment est l'intérieur. Dans celui où nous pratiquons nos "exactions sexuelles", il n'y a personne. Nous y faisons un tour.

<< C'est là que tu m'as prise samedi. J'en garde un agréable souvenir. Tu refais sel te pli ? >> lance Estelle en sautant pour s'assoir sur le cercueil de pierre. Elle s'y allonge en relevant ses jambes qu'elle tient sous les genoux, cuisses largement écartées. Malgré la pénombre je distingue bien tout ce que j'ai soudain l'envie folle de lécher, de sucer, de pénétrer. Clémentine se touche en faisant le guet entre le vide que laisse les deux battants de la porte. Je sors mon Zob. Je m'apprête à escalader le cercueil avant d'escalader Estelle quand des voix et des rires se rapprochent. C'est rageant mais il est impossible de se livrer à nos ripailles préliminaires. Estelle a juste le temps de sauter sur la terre battue, Clémentine de s'écarter, moi de remballer mon chibre qu'entrent là deux couples.

Nous quittons les lieux en riant. Il s'en est fallu de très peu. Doublement excités, dans l'espoir vain de trouver un endroit pour satisfaire nos envies, il ne reste que la partie réservée aux poubelles. Au compost où pourrissent les fleurs et les plantes que les employés municipaux déposent là. C'est à l'ombre. C'est un espace carré d'environ cinq mètres sur cinq, entre deux murs de parpaings de béton, peu fréquenté. C'est entre deux grosses poubelles grises sur roulettes que mes deux anges s'accroupissent. Je sors mon Zob pour m'approcher. C'est moins risqué mais le danger est permanent. Je me fais sucer par Clémentine qui se touche. Leurs genoux se touchent. Je passe à Estelle. Toutes les deux se masturbent, le dos en appui contre le mur. Je leurs fais déguster du jus de couilles.

Je m'accroupis à mon tour pour les doigter. Nous sommes tous les trois couverts de sueur. Pour le moment tout se passe bien. << J'ai envie que tu me prennes ! >> murmure plusieurs fois Estelle. Je chuchote en faisant tourner mon doigt : << Je passerai les vacances à ça. Je te promets. Je te prends dans tous les coins, à chaque occasion ! >>. Clémentine répond : << Et moi je regarde, je film parfois ! >>. Estelle s'exclame : << Oh oui, on se fait des films souvenirs ! >>. Cette grosse poubelle grise qui nous cache d'éventuels regards n'est peut-être pas très romantique mais très efface. Toutes les deux, têtes rejetées en arrière, assises à même le ciment du sol, se masturbent alors que je fais tourner mes doigts dans leurs intimités. Les yeux fermés. Gémissants discrètement. Jouisseuses suprêmes.

Je suis assis au sol moi aussi. Penché en avant, dans une position assez inconfortable, à les "digitaliser". Je fais à la fois le guet et le sextoy. C'est amusant d'entendre les voix et les rires des gens qui passent tout près, de l'autre côté du mur. Personne ne vient ici. Que pourrait-on bien y faire un dimanche après-midi ? À part ce que nous y faisons. Clémentine se redresse pour se remettre en position accroupie. Je m'écarte. Elle se lâche dans un de ses jets de pisse qui nous étonnera toujours. Sans cesser de se masturber, dos contre le mur. Estelle accroupie tout contre moi, nous admirons une fois encore ce merveilleux spectacle. C'est au tour d'Estelle et ses petits jets timides, bien droits, ordonnés qu'elle arrive à projeter à peut-être un mètre seulement. La trace de ceux de Clémentine traverse tout le carré sur les cinq mètres. C'est époustouflant. Nous quittons l'endroit en préférant garder nos orgasmes pour ce soir. Fini le "touche pipi".

Bonne rentrée à toutes les coquines qui remettent leurs culottes avant de s'assoir sur la selle de leurs bicyclettes. Bonne "faim" de soirée à réchauffer les restes du poulet. Avant de se faire bouffer la chatte, nettoyer les minous baveux et de se régaler d'une bonne queue dégorgeant de foutre...

Julien (entretien et nettoyage)



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Clémentine et Julien
Tuesday 16 April 2024 08:21

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 43 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2585 -



Une soirée en amoureux

Presque six heures quand nous sommes réveillés par les illusions sylvestres habituelles. Le chant d'invisibles et mystérieux oiseaux. Le bruit d'une source. Un enchantement très "zen" qui ne dure que quarante cinq secondes. Clémentine vient se blottir dans mes bras. Le silence revenu provoque quelques instants d'une étrange angoisse. Quelques bisous, quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. La fraîcheur est encore bien présente car les radiateurs viennent de s'allumer. Nous revêtons nos tenues sports à la hâte dans une salle de bain à 17°. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. J'allume immédiatement la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Je mets le reste de la brioche dans le four à micro ondes.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures du weekend. Il y eut pour Clémentine quelques grands moments exhibes. Elle s'est offert quelques frissons qui l'émeuve en ce lundi matin. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les vacances à venir, notre départ samedi matin. Clémentine garde la destination secrète. Se contentant de préciser : << Ça va te plaire. On va être bien ! >>. Presque six heures vingt cinq. Nous remontons nous livrer corps et âmes à notre entraînement. La salle n'étant pas chauffer il faut surenchérir dans les mouvements d'échauffements. Ceux de l'aérobic ainsi que ceux du jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol avant les barres et les haltères. La conclusion par le retour au calme des étirements trop hâtifs d'un stretching.

La douche. Je redescends le premier pour aller préparer la voiture. Presque 7 h45. Les pluies de la nuit ont tout détrempé. Le ciel est bas et menaçant. Tristounet après les ensoleillements de ces derniers jours. Une température de seulement 8°. Clémentine vient me rejoindre dans son blouson d'épais cuir brun, un Levis, ses bottines brunes. Ses bras autour de mon cou elle mitraille mon visage de bisous. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Je m'empresse de fuir ce froid humide et détestable pour rentrer au chaud. Notre vaisselle, notre lit avant de passer dans l'atelier. J'allume la belle flambée de cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque ce matin la douzième toile hyper réaliste. D'après les photos prises en Écosse l'an dernier. Le fameux pont rouge qui enjambe le Forth. C'est l'un des plus longs ponts ferroviaires avec ses deux kilomètres cinq cent.

Je peins dans une certaine volupté en pensant aux moments forts du Weekend. Tout comme Clémentine je me réjouis de la belle saison qui s'annonce. Je pense à son désir de placer la barre encore plus haut pour ses penchants exhibitionnistes. Je sais de quoi elle est capable. Je m'attends donc encore à du sensationnel. Ces pensées provoquent une succession de bien agréables érections. Le temps passe. Il va être midi. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je fais gonfler du riz. Dans la poêle rissole un filet de flétan encore congelé. L'assaisonnement d'un concombre. Pour ce soir ce sera un gratin Dauphinois façon Julien. J'épluche, je lave et je coupe les pommes de terre en fines tranches. Placées en domino dans le plat carré en terre cuite. Je verse un liant à base d'œuf, de lait de soja, de crème fraîche. Je recouvre d'une épaisse couche de gruyère Suisse. Chapelure. Au four électrique pour une cuisson à 160°

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission, André Bercoff lance ses coups de gueule quotidiens. Avec son invité ils abordent les actualités les plus "brulantes" sous un angle différent de celui des animateurs d'informations qui se prennent pour des journalistes sur les autres stations aux ordres. Ce qui permet de se faire une toute autre idée sans avoir à subir des explications formatées, calibrées afin d'orienter les avis de la population dans une seule direction. Celle des dirigeants qui ne veulent surtout pas que les vérités ne soient divulguées. Il est tellement plus simple de régner par la peur d'un évènement sur des troupeaux de moutons effrayés dans leurs enclos avec des chiens loups pour les surveiller. Les bergers peuvent alors faire ripailles sans êtres inquiétés par les bêlants. Ils suffit alors de traiter les "lanceurs d'alertes" de "complotistes" ou encore de "défiants", nouveau terme à la mode dans le milieu de la crapule politicienne.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller me dégourdir un peu les jambes, je redescends pour chausser mes bottes en caoutchouc, pour enfiler mon anorak. C'est sous le parapluie que je vais jusqu'à la rivière. Il est treize heures cinquante quand je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans les mêmes douces voluptés que ce matin. Sans voir passer les heures. Du bruit. J'entends Clémentine chantonner en revenant des toilettes. Il est donc déjà dix sept heures trente. Elle entre dans l'atelier en se précipitant vers moi. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Afin d'archiver ses notes de la journée, elle s'assoit devant son ordinateur en chantonnant.

Quarante cinq minutes de pur bonheur que d'être à travailler l'un près de l'autre. << Il faut être raisonnable ! >> s'exclame t-elle soudain en se levant pour ranger ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. C'est devant le petit lavabo de l'atelier que nous nous rejoignons. Je me lave les mains. Clémentine tient ma bite pour en diriger les jets. Penchée en avant, secouant les dernières gouttes en découvrant le liquide séminal qui s'écoule en même temps. << Tu t'es branlé ? >> s'écrie t-elle. Je lui explique que les pensées de mes séances de peintures m'ont considérablement excité. S'accroupissant en s'exclamant : << Génial ! >> elle se met à sucer. La position accroupie n'est pas confortable plus de quelques minutes, aussi je l'aide à se dresser. Je masse un peu ses cuisses.

Clémentine m'entraîne sur le vieux canapé. Elle m'y fait tomber. À genoux sur les épais coussins, elle reprend sa fellation. Par intermittences elle s'arrête pour me raconter d'amusantes anecdotes de sa journée universitaire. Je caresse ses sourcils en écoutant. Elle évoque Alban son maître de thèse. Léo, le jeune étudiant. Me confiant à quel point ces deux hommes lui donnent envie de relations particulières. Je l'encourage à donner libre cours à ses pulsions. Comme à chaque fois elle répond : << Seulement si je te sais caché quelque part pour me regarder ! >>. Nous en rions de bon cœur. Je me penche pour murmurer : << Ce soir, après le repas, je te fais l'amour. Je veux t'aimer comme un amoureux transit ! >>. En suçant, Clémentine croise ses doigts entre les miens. Fort.

Il commence à faire faim. J'aide Clémentine à se relever. Main dans la main, nous quittons l'atelier pour la cuisine. Je sors le gratin Dauphinois du four électrique froid pour le placer dans la fournaise du four à bois. J'aide Clémentine à préparer l'assaisonnement de deux belles endives. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les projets de films pornos que veut encore réaliser Estelle durant nos vacances. << Elle n'arrête pas d'en parler au restaurant universitaire ! >> me confie Clémentine. Elle rajoute : << J'aime te voir baiser avec elle. Je me réjouis pour vous filmer tous les deux ! >>. Je promets de faire de mon mieux. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Un brin de toilettes. Impatients de nous aimer, nous courons jusqu'à la chambre à coucher. C'est sous les draps, comme pour une première fois, que nous connaissons une soirée en amoureux. Qu'il est bon de faire l'amour sous la couette, bien au chaud, longuement.

Bonne nuit à toutes les coquines qui aiment les soirées à deux, très "classiques", avant de s'endormir profondément...

Julien



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Clémentine , Julien et Estelle
Wednesday 17 April 2024 07:13

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 44 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2586 -



Quand Estelle vient nous rejoindre

Hier matin, mardi, à presque six heures, réveillés par nos I-phones, nous nous blottissons fort. Les quarante cinq secondes que durent les illusions bluffantes d'être en forêt. Encore sous les effets de notre soirée en amoureux, au lit à 20 h30, ce qui est d'une extrême rareté. << Comme c'était bon ! >> tente de répéter trois fois Clémentine qui n'arrive pas encore à prononcer ses phrases de manière intelligible. Ce qui nous fait rire. Nous nous précipitons aux toilettes. C'est un peu plus facile que les autres jours. Dans la salle de bain encore fraîche, car les radiateurs viennent d'entrer en fonction, nous revêtons nos tenues de gym. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Il faut impérativement allumer la cuisinière à bois. On a l'impression d'être en plein mois de janvier avec 17°.

Clémentine prépare le café, presse les oranges, pèle les kiwis en revenant sur notre lundi soir enchanteur. << J'aime comme tu m'aimes ! >> lance t-elle, émue. Je mets les deux gros croissants aux amandes dans le four à micro ondes. Ils retrouveront leur moelleux. Nous prenons notre petit déjeuner en partageant nos ressentis quand à notre soirée en amoureux. Nous mangeons de bon appétit en dissertant sur ce que nous apprécions tant. Être l'un dans l'autre, immobiles à nous parler. Je jeu des questions réponses. Repartir pour une séquence plus agitée. Cesser pour apprécier le calme de nos corps qui ne bougent plus. << Ça me donne envie de refaire. Je ne vais pas en cours ce matin, je reste avec toi ! >> fait Clémentine en venant terminer sa tartine au miel assise sur mes cuisses.

Ce n'est évidemment qu'une boutade. Il est 6 h25 quand nous remontons à toute vitesse pour retrouver la fraîcheur de notre salle d'entraînement. Dur. Les mouvements aérobics accélérés qui nous échauffent. Tout comme le jogging sur les tapis roulants. Les exercices au sol avant les charges additionnelles. Le retour au calme avec les étirements du stretching précipité par manque de temps. La douche. Je redescends pour aller faire chauffer la voiture. Il pleut. La température est glaciale avec seulement 6°. Presque 7 h45. Clémentine, déguisée en esquimau, vient me rejoindre en courant. Ses bras autour de mon cou pour chercher le courage de quitter la maison. Je tiens le parapluie. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou Je m'empresse de retourner au chaud.

Je fais la vaisselle, notre lit avant de passer dans l'atelier. J'y allume la belle flambée de cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture du "Pont du Forth" m'accapare rapidement et totalement. Je peins dans la plus totale des sérénités. Sans la moindre perception du temps qui passe. Il va être midi. Je mets deux bûches sur les braises rougeoyantes. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les restes du gratin Dauphinois. L'assaisonnement d'un concombre. Pour ce soir, ce sera une Flamiche Picarde. Cette tourte aux poireaux qui fait souvent le bonheur de nos mardis soirs. J'étale les deux tiers de la pâte feuilletée dans le plat à tarte. Je lave, je coupe et fait cuire le poireau. Je râpe une grosse quantité de gruyère Suisse.

Je concocte une Béchamel dans laquelle je fais fondre les dés de Roquefort. J'égoutte le poireau pour le disposer sur la pâte. Je verse la Béchamel. Je recouvre du dernier tiers de pâte feuilletée. Je jointe consciencieusement les bords. Je badigeonne du mélange œuf, lait de soja et moutarde à l'ancienne. Au four électrique pour laisser mijoter longuement à 160°. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission, avec ses invités, André Bercoff aborde les évènement du moyen-orient, de la guerre qui s'allume là-bas aussi. Ce qui n'arrange pas les affaires du président ukrainien, Zelensky. En effet l'attention du monde entier se détourne de ses magouilles. Et lui qui voulait venir s'installer discrètement en Israël en est pour ses frais. Mais avec l'argent piqué à l'occident, il s'est offert de magnifiques demeures dans quelques pays d'accueil et pas trop regardants sur la moralité de ce sinistre individu qui jouait du piano avec sa bite.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller me dégourdir un peu les jambes, je dévale les escaliers. Je chausse les bottes en caoutchouc, j'enfile l'anorak. C'est sous le parapluie que je descends jusqu'à la rivière. Un vent de Nord Est par instant assez violent, contribue à cette atmosphère glaciale. Il fait à peine 7°. Je ne m'attarde pas. Il est treize heures quarante cinq quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans la même sérénité que ce matin. Il est déjà 17 h30. Le bruit, Clémentine qui chantonne en revenant des toilettes. Elle ouvre la porte pour se précipiter vers moi en s'écriant : << Tu m'as manqué ! >>. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. Des bisous.

Clémentine a encore ses notes du jour à archiver. Aussi, elle ne s'attarde pas et c'est en se faisant violence qu'elle va s'assoir devant son ordinateur. Quarante cinq minutes d'un enchantement revenu. << Là, je dois arrêter sous peine de pétage de plomb ! >> s'écrie t-elle en se levant. Je nettoie la palette, les pinceaux. Le rituel du petit lavabo de l'atelier. Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets pendant que je me lave les mains. Penchée en avant, secouant les dernières gouttes, elle dit : << C'est génial une bite dans la vie d'une femme. Connes sont celles qui ne s'en rendent pas compte ! >>. Nous rigolons comme des bossus quand elle rajoute : << Mais ça dépend du propriétaire de cette bite ! Et ça, c'est le facteur déterminant du bonheur ! >>. Elle se redresse pour m'embrasser avec passion. Sans lâcher mon sexe qui grossit, grandit, pour devenir ce majestueux "démonte pneu de camion" avec lequel elle aime jouer.

Estelle qui arrive dans le plus total silence, nous surprend ainsi. Elle aussi se précipite pour nous rejoindre. << Clémentine m'a tout raconté ! Moi aussi je veux faire l'amour comme ça ! >> s'exclame t-elle en attrapant mon Zob que lui offre Clémentine. Mes deux anges se racontent toujours tout depuis qu'elles ont douze ans. Ça fait quinze ans qu'il en va ainsi. Estelle aussi fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Maintenant une érection qui défie la raison. Elle me la tord dans tous les sens. Sans ménagement. Ce qui est presque douloureux vers le bas. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Je sors la Flamiche Picarde du four électrique pour la mettre dans la fournaise du four à bois. Quand elles découvrent la surprise, j'ai droit à des effusions de tendresse qui me donnent le vertige.

Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de tomates. Estelle surveille la cuisson, accroupie devant la vitre fumée du four. Je mets les assiettes, les couverts. La coquine sait que rien ne flatte davantage ma libido que de voir une fille accroupie, de dos. Je me masturbe en admirant ce spectacle. Estelle me voit faire dans le reflet de la vitre. Clémentine me fait des clins d'œil, passe sa langue sur ses lèvres, fait une bosse à l'intérieur de sa joue. Je me pignole lentement car c'est encore un enchantement paradisiaque. << Attention, chaud devant ! >> s'exclame Estelle en se redressant pour sortir la tourte aux poireaux du four. Dorée, fumante, un plaisir visuel. Nous mangeons de bon appétit en faisant mille projets pour les vacances à venir. << Encore deux jours et demi ! >> lance Estelle qui se lève pour mimer une masturbation masculine. Elle rajoute : << Tu nous prends sur le bureau ce soir, sel te pli ? J'y ai pensé toute la journée ! >>

Nous ne traînons pas. Le rituel de la "baise sur bureau" n'attend pas. C'est solennel. Aussi nous débarrassons pour tout mettre dans le lave vaisselle. Les filles m'attrapent par les mains pour m'entraîner au salon. Elles me font tomber dans le canapé. En riant elles retirent leurs bottines, leurs jeans, leurs culottes. Je saisis deux des épais coussins pour les déposer sur le bureau. Elles sautent pour s'y installer. En appui sur leurs coudes, elles me regardent me branler. Même si Estelle devra nous laisser pour 22 h, il reste plus d'une heure trente de "réjouissances". J'aime faire durer ce moment magique. Tourner autour du bureau en me masturbant pour admirer mes deux coquines sous tous les angles. Elles y prennent un plaisir intense. Ça les amuse de m'observer. Ce sont des instants divins.

Je me penche, le visage tout près du sexe d'Estelle pour humer sa journée de fille. J'en ai des vertiges. Je goutte du bout de la langue. C'est toujours lors de ce début de dégustation qu'elle se laisse tomber en arrière, sa tête posée sur le coussin. Elle commence à tripoter son clitoris pendant que je fouille son intimité de ma langue exploratrice. Je passe à Clémentine. C'est enivrant. Il n'existe pas de sensations "gastronomiques" plus enivrantes que de comparer les parfums et les goûts de deux coquines. Je reviens entre les cuisses d'Estelle pour la pénétrer avec d'infinies précautions. Avant de la baiser à la hussarde. Puis je passe à Clémentine pour lui administrer le même traitement. Tout cela dans un concerto stéréophonique de cris, de râles, de gémissements. Ça dégouline et ça suinte.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines que ces moments exaltants couvrent d'ineffables plaisirs extatiques...

Julien (le hussard)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine , Julien et Juliette
Thursday 18 April 2024 07:39

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 45 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2587 -



Le mercredi Clémentine reste à la maison

Il est sept heures lorsque je réveille Clémentine. Sur sa demande. Avec une de mes douceurs habituelles. Ce matin en faisant bouger les cils de ma paupière contre le lobe de son oreille. Je peux ainsi chuchoter : << C'est un petit papillon qui veut vous caresser ma princesse ! >>. En gémissant, elle se tourne vers moi pour se blottir. Le mercredi c'est beaucoup moins stressant. Même s'il y a un timing à respecter, c'est assez élastique. Quelques bisous. Quelques papouilles qui pourraient devenir câlins. Nous nous précipitons aux toilettes. Il fait bien chaud dans la salle bain où nous revêtons nos habits de sports. Les radiateurs chauffent depuis une heure. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans le hall d'entrée. Clémentine ouvre le portail depuis l'interphone. Je caresse ses hanches, ses seins.

Pendant qu'elle prépare le café, pèle les kiwis, presse les oranges, j'allume la cuisinière à bois. Dehors il pleut. Le ciel est tellement gris et bas qu'il faut tout faire avec les lumières allumées. Le thermomètre extérieur indique 4°. C'est vraiment le retour de l'hiver. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre mardi soir. Le rituel de la "baise sur bureau". << S'il fait moche durant ces vacances, on emmènera le bureau avec nous ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la compagnie de Juliette ce soir. Elle vient manger et passer la soirée avec nous. Clémentine suggère un gratin de choux fleurs. Je trouve l'idée parfaite. Il va être sept heures trente. La vaisselle. Nous remontons dans notre salle d'entraînement pas chauffée.

C'est motivant. Les échauffements aérobics précèdent le jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol précèdent le travail aux barres et aux haltères avant de conclure par les étirements d'un stretching. La douche. Nous enfilons nos Levis, nos chemises à carreaux d'épais coton, nos baskets. Il y a quelques jours encore, nous dévalions les escaliers en jupettes, en short, en T-shirt. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine déjà assise devant son ordinateur, ajustant ses écouteurs et son micro. Prête pour le télé travail du mercredi. J'allume la belle flambée de cheminée. Installée devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ma douzième toile hyper réaliste "Le pont du Forth" m'entraîne dans les méandres d'un plaisir double. La fille que j'aime près de moi.

Je peins dans une sorte d'euphorie quand soudain mon I-phone se met à vibrer parmi les tubes de peinture. Je m'en saisis. C'est Danièle. Nos livraisons arrivent. Il est presque 10 h. C'est la pause pour Clémentine qui vient me rejoindre. Elle m'entraîne par la main pour quitter l'atelier. Dans le hall d'entrée, devant le grand miroir de la penderie, elle extrait mon Zob en disant : << Un peu de divertissement pour les dames mon cher monsieur ! >>. Danièle traverse le jardin en portant un gros sachet. Recouverte de son ciré jaune, chaussée de bottes grises en caoutchouc. Elle monte les quatre marches de l'escalier en courant pour entrer au chaud, au sec. Nous l'accueillons en la débarrassant du sachet et de son ciré. Toute contente Danièle nous précède jusqu'à la cuisine. << J'ai cinq minutes ! >> lance t-elle alors que Clémentine vide le sachet en me passant le poulet, les escalopes de volailles que je range dans le haut du réfrigérateur. La partie froide.

Je ne m'y attends pas. Je ne suis pas encore vraiment habitué aux familiarités récentes qui animent Danièle. Elle s'approche pour saisir mon sexe. Je bande mou. Elle le tient d'une poigne ferme en disant : << Dans deux semaines, après votre retour, je viendrais passer une petite heure avec vous. J'ai préparé ma stratégie. Ce sera entre deux livraisons. Ce sera jeudi 2 mai. Mais je vous confirme encore par SMS ! >>. Clémentine fait : << Super ! Café, thé, infusions avec les gâteaux ? >>. En s'accroupissant, juste avant de gober ma queue, Danièle répond : << Thé ! >>. Je me fais sucer alors que Clémentine vient se serrer sur ma droite, un bras autour de ma taille. Moi aussi je passe les miens autour de la sienne. Puisqu'il m'est interdit de toucher Danièle. Elle déteste être caressée.

Cela dure quelques minutes. C'est une vraie pipe des familles. Le truc qui vous donne le vertige. Qui vous fait vaciller. Clémentine s'en doute bien en se penchant pour voir les expressions de passion sur le visage de ma pompeuse. Je peux maintenir mon équilibre en la tenant par la taille. Danièle cesse pour se redresser. << Toi, mon salaud, je vais te faire une pipe en prenant mon temps ! Tu n'imagines même pas ce qui t'attend ! >> dit elle en tordant mon érection sans le moindre ménagement. Comme le fait Estelle. Nous raccompagnons Danièle jusque dans le hall d'entrée. Elle consulte sa montre. << Put-Hein faut vraiment que j'y aille ! >> s'exclame t-elle. Elle se couvre de son ciré pour dévaler les escaliers et courir jusqu'à sa camionnette blanche. J'agite ma queue.

Pas question de rester sur le perron. Des bourrasques de vent jettent des paquets d'eau contre la porte. Nous retournons dans l'atelier. Chacun à son poste d'activité. Je ne débande pas en manipulant mes pinceaux. J'entends Clémentine échanger avec d'autres étudiants. Les yeux rivés sur l'écran de son MacBook Pro. Il va être midi quand elle me rejoint. Me dépose une bise sur la joue avant d'aller mettre deux bûches sur les flammes. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Pendant que réchauffe les restes de la tourte aux poireaux, nous préparons le choux fleurs. Clémentine en coupe les branches et les lave. Je prépare un liant à base d'œufs, de crème fraîche, de lait de soja et de fromage blanc. Le choux fleurs dans l'auto cuiseur. Le temps de faire l'assaisonnement des carottes.

Clémentine râpe une grosse quantité de ce délicieux gruyère Suisse. J'égoutte le choux fleurs pour le mettre dans le plat carré en terre cuite. J'y verse la garniture. Clémentine recouvre de gruyère. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillées. Nous plaçons des cerneaux de noix en trois carrés l'un dans l'autre. Au four électrique pour une lente et longue cuisson à 160°. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les évènements de la matinée. Clémentine me pose tout en tas de questions sur mon ressenti, mes impressions. J'essaie de répondre le plus exactement possible. Dans aucune langue humaine il ne doit exister les mots justes pour décrire ce que l'on ressent au plus profond de nos viscères quand nous sommes livrés aux plaisirs charnels.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie une fois encore les émotions que lui procure mes attitudes quand je me fais tailler une pipe par une autre femme. << Peut-être une récidive avec Juliette ce soir ! >> lance t-elle. Nous faisons la vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Pressé de nous offrir un peu de bon temps avant de retourner dans l'atelier, nous passons au salon. Je suis vautré dans le canapé. Clémentine, à genoux sur un épais coussin, ses doigts croisés entre les miens, me confie ses appréhensions, ses craintes en ce qui concerne la soirée Gloryhole de vendredi. << J'ai toujours une inexplicable trouille avant de faire des "trucs" ailleurs avec d'autres mecs ! >> murmure t-elle avant de me sucer.

Je la rassure. Tout en l'admirant se livrer à cette fellation passionnée, je réponds à ces questions. Il y aura Estelle avec nous vendredi soir. Nous ferons probablement l'amour pendant que Clémentine dégustera de la queue inconnue. C'est toujours très excitant d'y penser les jours qui précèdent les festivités. Il est hors de question d'éjaculer. Je contrôle parfaitement ce qui se passe. Toutes les deux trois minutes Clémentine cesse pour laisser reposer sa mâchoire. Pour me confier une autre crainte. Une autre interrogation. Je passe l'extrémité de mes doigts sur ses sourcils. Le bleu de ses yeux est encore tellement intense dans l'obscurité de cette journée maussade. Des paquets d'eau sont jetés contre les vitres des deux portes fenêtres. C'est angoissant, épouvantable. Déprimant.

Il nous faut retourner dans l'atelier. En y entrant, Clémentine m'entraîne devant l'ordinateur. Assise sur sa chaise, elle me suce encore un instant. << J'aime bien essorer ! >> dit elle en cessant définitivement. Elle ajuste ses écouteurs, son micro. Allume son ordinateur. Je lève sa natte pour coller mes lèvres comme une ventouse dans sa nuque. Elle pousse un gémissement d'aise. Je la laisse pour aller m'installer confortablement devant le chevalet. Je peins animé des plus folles sensations. C'est inspirant d'avoir la bite en érection en se livrant à une autre passion. J'alterne bandaisons et débandaisons jusqu'aux environs de 17 h où Clémentine s'écrie : << Terminé. La guerre est finie, les fusils à la Mairie ! >>. Je nettoie la palette, les pinceaux. Nous nous rejoignons devant le petit lavabo.

Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets. J'achève de m'essuyer les mains qu'elle est déjà accroupie entrain de sucer. Je la force à se redresser pour l'emmener jusqu'au vieux canapé de velours carmin. Nous avons éteint les lumières. Il y a juste la lueur des flammes qui dansent dans la cheminée. À genoux sur un des épais coussins, Clémentine est repartie dans ses préférences. La fellation de cette fin d'après-midi est encore plus enivrante. L'indicible caresse me fait sombrer dans une sorte de coma. Je dois faire des efforts pour garder les yeux ouverts. Ce qui amuse Clémentine qui parfois ouvre les siens pour me fixer. Découvrir les expressions qui déforment mon visage. Toutes les deux trois minutes, quand elle cesse un instant, elle me montre le contenu de sa cavité buccale.

Du foutre épais, gluant et visqueux qu'elle a beaucoup de mal à déglutir. Nous cessons car mes compétences sont mises à rudes épreuves. Je veux garder le contrôle. Il serait dommage d'éjaculer prématurément. Juliette ne va pas tarder et j'ai bien envie d'opter pour mon comportement de satyre dès son arrivée. Juliette arrive toujours avec dix minutes d'avance. Impatiente de retrouver le calme enchanteur de notre grande demeure. Il est est dix huit heure quarante cinq quand elle entre dans l'atelier. Nos intimes ont pour consigne de venir sans s'entourer d'inutiles civilités ou convenances. Ce soir Juliette est vêtue d'une paire de jeans, de bottines noires, d'un pull noir à large col roulé, une écharpe bleu nuit. Ses longs cheveux noirs parsemés de mèches argentées, libres. Merveilleuse bourgeoise quinquagénaire. Nous sommes tous les trois assis en tailleurs sur l'épais tapis à admirer les dernières flammes dans la cheminée. Moment intense.

Comme souvent, Juliette fait mine de ne pas s'être aperçue de ce qui pend de ma braguette. C'est quand nous quittons l'atelier pour la cuisine qu'elle s'en empare. Elle aussi d'une poigne ferme. D'un ton autoritaire, elle me demande : << Tu t'es fait sucer aujourd'hui ? >>. Nous éclatons de rire. Elle me lâche pour s'accroupir devant la cuisinière. Clémentine vient de mettre le gratin de choux fleurs dans la fournaise du four à bois. J'aide Clémentine à faire l'assaisonnement des endives. Juliette sait, elle aussi, que la vision d'une femme vue de dos, accroupie, exerce sur ma psyché les plus délicieux tourments. Elle me voit me branler dans le reflet de la vitre fumée du four. Elle tourne la tête pour me fixer de son regard intense. D'une incroyable sévérité. Son jeu préféré. Vraie dominatrice.

Nous mangeons de bon appétit. Juliette devra nous laisser pour 22 h. Elle nous raconte ses journées de chef d'entreprise. Le retour d'un froid hivernal qui n'est pas sans conséquence sur la cinquantaine de chevaux encore en pension. Très rapidement toutefois la conversation s'oriente sur notre sujet de prédilection. Le sexe. Juliette confirme ses préparations pour vendredi soir. Nous sommes attendus au haras pour vingt heures. << Tu auras une belle surprise ma cocotte ! >> lance Juliette à Clémentine qui répond : << Un truc bien dégueu comme tu en as l'habitude ! >>. Juliette rajoute : << Oui, la bite rude ! >>. Cette vieille plaisanterie nous fait rire aux éclats. Juliette s'adresse à moi : << Et toi, tu vas te faire Estelle ? Ç'est ça, vieux saligaud ? >>. En riant, je confirme. Je me lève pour ponctuer ma réponse d'un bel "hélicoptère". Faisant tournoyer ma bite dans sa direction. Juliette dit encore : << Je t'aurais bien sucé vendredi soir ! >>

<< Mais vous pouvez très bien vous partager sa bite pendant que je m'occupe de celles de ces messieurs ! >> lance soudain Clémentine. Nous ne traînons pas. Nous débarrassons pour tout mettre dans le lave vaisselle. C'est au salon que nous prenons le dessert. Juliette vautrée dans le fauteuil qui nous fait face, une main dans son jeans déboutonné. Cuisse gauche sur l'accoudoir de gauche. Cuisse droite sur l'accoudoir de droite. De sa main libre, Clémentine joue avec ma queue, l'autre dans son Levis. Cette dernière heure n'est pas seulement consacrée à déguster nos coupes glacées mais à nous offrir une de ces "soirées branles" dont nous raffolons. Ce soir, quand je me lève pour venir présenter ma raideur à Juliette, elle détourne la tête avec une horrible grimace en s'écriant : << Non ! J'ai sucé mon vétérinaire avant de venir. J'ai ma dose ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Je me fais sucer par Clémentine sous le regard de Juliette.

Bonne nuit à toutes les coquines qui, avant de dormir, ont encore sucé un peu avant de plonger profondément au fond d'un sommeil réparateur...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine , Julien et Estelle
Friday 19 April 2024 07:41

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 46 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2588 -



Ce n'est que partie remise

Hier matin, jeudi, il est presque six heures. Le gazouillis des oiseaux. L'écoulement de la source. Durant quarante cinq secondes les illusions bluffantes semblent exister autour de nous, dans la chambre. Clémentine, gémissant, vient se serrer contre moi. Murmurant d'incompréhensibles borborygmes qui nous font rapidement rire. Quelques bisous, quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Les radiateurs viennent d'entrer en fonction. La fraîcheur désagréable de la salle de bain où nous revêtons nos habits de gymnastique. Le lycra est rapidement protecteur contre le froid. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Pouvant enfin me raconter ses rêves de manière intelligible, Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. J'allume la cuisinière à bois.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de mercredi en compagnie de Juliette. Ce fut encore épique. Une de nos "soirées branles" totalement improvisée. Nous mangeons de bon appétit en évoquant celle qui nous attend ce soir en compagnie d'Estelle. << Je la vois ce matin en cours. Elle va encore me raconter sa soirée baise avec son parrain ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. 6 h25. Nous remontons. L'heure d'entraînement commence par les mouvements d'échauffements de l'aérobic. Ce matin façon "cardio funk" car Clémentine met un CD de musique rythmée. Le jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol. Nous voilà chauds et dans les meilleures conditions pour attaquer les machines. Les poids. Le retour au calme avec les étirements stretchings.

La douche. Je redescends à toute vitesse. Je sors l'auto du garage sous la pluie, par une température extérieure de 3°. Sous un ciel lugubre et sinistre. Il va être 7 h45. Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak à capuche. Sous son parapluie que je saisis. Ses bras autour de mon cou pour quelques derniers bisous. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou et je me dépêche de rentrer au chaud, au sec. Je fais la vaisselle, notre lit avant de passer dans l'atelier. J'allume une belle flambée de cheminée avant de m'installer devant le chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. "Le pont du Forth" m'accapare rapidement et totalement. Je peins dans une sorte de ralenti, plongé dans quelques introspections. Il faut peindre avec les lampes à halogène. Il fait si sombre.

Les gargouillis de plus en plus sonores de mon estomac. Il va être midi. Mon horloge biologique est infaillible. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer les restes du gratin de choux fleurs. De faire l'assaisonnement de la salade de carottes. Pour ce soir, je réserve une agréable surprise à mes deux anges. Ce sera poulet et frites. Je le sors du réfrigérateur. J'épluche, je lave et je passe les pommes de terre au coupe frites. Je prépare la friteuse sans huile. Cuisson en soirée. Elles sont tellement plus succulentes et infiniment moins riches en calories. Je badigeonne le poulet de moutarde à l'ancienne. Je le fourre de champignons de Paris épluchés et coupés grossièrement. Quelques tomates. Au four électrique pour le faire rôtir à 180°.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff aborde les actualités et les faits de société. Il est question de ces individus qui poignardent des gens en pleine rue, de ces jeunes gens qui attaquent au couteau pour voler un portable. Avec un trait d'humour noir, un des invités précise : << Si vous avez un contentieux avec quelqu'un, faite vous suivre par un psychiatre quelques mois avant de l'assassiner. Ainsi vous échapperez à la prison pour "antécédent psychiatrique" ! >>. En effet, vu sous cet angle, les crimes, les meurtres, les assassinats peuvent s'accomplir dans la plus totale impunité. << Une petite marche blanche, un petit démenti d'acte à caractère terroriste et voilà l'affaire bouclée. C'est devenue la règle ! >> s'empresse de rajouter un journaliste.

La cuisson du poulet qui rôtit au four embaume toute la cuisine. C'est très agréable. Avant de faire la vaisselle, je lave les feuilles de la dernière laitue. J'en fais l'assaisonnement. Ce sera l'accompagnement du repas du soir. Je monte me laver les dents. Impatient d'aller faire quelques pas au dehors, malgré cette météo pitoyable, je dévale les escaliers. Je chausse les bottes en caoutchouc quand soudain mon I-phone se met vibrer. Je le sors de la poche de l'anorak. Quelle surprise. C'est Juliette. Elle m'annonce une nouvelle morbide concernant quelqu'un de sa famille en Corse. << Je suis désolée pour notre soirée Gloryhole. On remet à votre retour de vacances. Je prends l'avion pour l'aéroport d'Ajaccio cet après-midi. Mille excuses ! >> m'apprend t-elle. Nous nous saluons. Je reste un instant déstabilisé. Il ne pleut plus. Le ciel est lumineux. Mais la température reste hivernale avec seulement 10°. Il me faudra apprendre la nouvelle à Clémentine à son retour.

Il est treize heures cinquante quand je suis confortablement installé devant le chevalet. Je pense à Juliette. Je pense à la soirée Gloryhole remise. Ce sera durant la seconde semaine de vacances. C'est très sympathique aussi. Je peins animé par ces pensées quand mon téléphone sonne une nouvelle fois. C'est encore Juliette. Elle semble confuse. Sans doute dans la précipitation des évènements. Nous bavardons un peu. Elle revient sur quelques souvenirs d'école primaire. Cette tante qui préparait les tartines au sucre. Le chocolat chaud avant les devoirs scolaires. Juliette paraît bien triste en évoquant ces choses. Je lui souhaite bon vol et l'assure de mes pensées. Nous nous saluons. << Je suis de retour mercredi prochain. Madame Walter s'occupe du haras, de tout ! >> conclue t-elle.

L'après-midi passe à toute vitesse. Du bruit. Il est dix sept heures trente. J'entends Clémentine chantonner en revenant des toilettes. La porte s'ouvre. Elle se précipite en sautillant pour se mettre à califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou. Elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. Je lui apprends que la soirée Gloryhole est remise à dans deux semaines. Clémentine n'en semble nullement affligée. Elle s'exclame : << Je crois qu'Estelle sera plus affectée que moi. Son voyeurisme en souffrira ! Et puis c'est finalement très bien pour égayer la seconde semaine des vacances ! >>. Je trouve son raisonnement tout à fait logique. Elle prend l'accent Corse de Juliette pour rajouter : << On se fera notre Gloryhole à nous, avec un carton et un trou dedans ! >>

Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine a encore ses notes à archiver. Assise devant son ordinateur, en racontant quelques amusantes anecdotes concernant un professeur, elle se met au travail. Nous passons là trois quart d'heures prolifiques et gratifiantes car nous travaillons mieux en étant l'un près de l'autre. << Merde alors, là, plein les bottes ! >> s'écrie t-elle soudain. Comme à son habitude pour commencer à ranger ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Nous nous rejoignons au petit lavabo de l'atelier. Le rituel de fin d'après-midi. Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets. Je m'essuie les mains. Penchée en avant, savourant les reliquats quelques instants, Clémentine se redresse pour s'exclamer : << Et demain, à midi, c'est les vacances ! >>

Nous voilà sur le canapé. Clémentine allongée sur le dos, sa tête sur mes cuisses, sa joue contre ma bite, qui me raconte les fantasmes qu'elle souhaite réaliser durant les vacances. Elle refuse encore de dire l'endroit où elle a réservé notre séjour. Se contentant de préciser que ce n'est qu'à trois heures de bagnole et qu'elle nous dira tout vendredi soir. Les aveux. Je caresse ses tempes, ses sourcils en écoutant. Pour vendredi soir, en remplacement du Gloryhole, je propose une soirée restaurant. << Et si on réservait au restaurant de l'étang. On ferait une surprise à Julie ! >> suggère Clémentine. Je trouve l'idée excellente. Quand Estelle arrive, c'est sans faire le moindre bruit. Pour nous surprendre après avoir fait sa voyeuse. La porte s'ouvre dans l'obscurité. Sa tête apparaît. Je fais mine de ne pas la voir. Elle se précipite en courant pour nous rejoindre. Clémentine se redresse pour lui laisser un peu de place. Je suis entre mes deux anges.

Saisissant ma bite pour jouer avec , Estelle partage quelques anecdotes de sa journée de cours avec Clémentine. Je les écoute. Estelle à ma gauche, Clémentine à ma droite. Mes bras autour de leurs épaules. C'est Clémentine qui apprend le désistement de Juliette pour raison familiale. << Tant pis ! Je viens quand même vous rejoindre pour dix neuf heures vendredi soir ! >> lance Estelle. Nous évoquons notre projet de soirée au restaurant. << Génial ! C'est bien aussi même si ça va manquer de bites ! >> dit elle. Nous en rions aux éclats. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Toutes les deux, en voyant la friteuse électrique préparée sur la table, comprennent. Quand je sors le magnifique poulet doré du four électrique éteint pour le placer dans la fournaise à bois, elles viennent se serrer contre moi. Mitraillage de mon visage à coups de bisous.

Tout est préparé, il n'y a qu'à faire les frites. C'est Estelle qui veut s'en occuper. C'est vrai que c'est ludique. Une cuisson sans huile dans un des grands tiroirs de la machine électrique. Clémentine remue la salade. Je mets les assiettes, les couverts. Estelle me raconte son mercredi soir. Depuis quelques semaines c'est dans sa chambre qu'elle baise avec son parrain. << Ce salaud a pris l'habitude de terminer en m'enculant ! >> précise t-elle. Nous sommes pliés de rire quand elle rajoute : << Vous êtes donc en compagnie d'une enculée ! >>. Je demande : << Et tu aimes de plus en plus je parie ! >>. Estelle, en sortant le poulet du four s'écrie : << Non pas vraiment. Jean-Marc a grossi. Alors couché de tout son poids sur moi qui suis sur le ventre, je te laisse imaginer l'épreuve. La torture ! >>

Nous mangeons de bon appétit en dissertant sur la sodomie. Jean-Marc, le parrain d'Estelle aimerait beaucoup infliger le même traitement à Clémentine. << Il m'en parle tous les mercredis soir. Comment va Clémentine ? Et patati et patata ! >> lance Estelle. << Il peut toujours rêver et se la mettre dans le cul ! >> répond Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. Je me lève pour agiter mon Zob. La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Je me branle en les regardant retirer leurs bottes, leurs Levis, leurs culottes. Le rituel du jeudi soir. Toutes les deux, vautrées dans le canapé, m'offrent leurs minous pour le fameux "contrôle qualité". À genoux sur les épais coussins je hume les odeurs d'Estelle. Les parfums enivrants de sa journée de fille. J'en ai des vertiges. Le goût légèrement vinaigré de ses intimités. Je passe à Clémentine aux gouts et aux odeurs différents.

Quand je fouille les plis et les replis des lèvres de leurs vulves du bout de ma langue, elles se masturbent en gémissant d'aise. Quand je suce leurs clitoris, elles se mettent à fondre au fond du canapé. Il y a là de la fondue, des coulées fromagères, de petites éjaculations de cyprine qui me ravissent. J'ai le bas du visage maculé de jus de filles. J'adore sentir leurs cuisses frissonner contre mes joues lorsqu'elles les resserrent. J'adore les entendre échanger leurs impressions en se faisant lécher et sucer jusqu'à l'extase. Estelle, qui devra nous laisser pour 22 h, s'offre un orgasme de tout premier ordre. Avec cris, spasmes furieux, tremblements convulsifs et frissons incontrôlables avant de se tourner sur le côté, ses mains entre ses cuisses resserrées. L'orgasme pisseux de Clémentine est une sorte de réplique puissance deux. Je la tiens sous ses aisselles alors qu'elle se termine aux doigts, accroupie au-dessus de la cuvette. En frissonnant de joie.

Bonne nouille à toutes les coquines qui aiment en savourer le jus sous les draps, avant de s'endormir contre leur "contrôleur qualité"...

Julien (contrôleur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine , Julien et Estelle
Saturday 20 April 2024 07:17

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- 47 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2589 -



À midi commencent les vacances

Hier matin, vendredi, il est presque six heures. Les illusions d'un réveil sylvestre. Comme si tout cela se passait au plus profond d'une mystérieuse forêt. Les oiseaux, le bruit de l'eau d'une source. Clémentine qui se serre contre moi en gémissant. Quelques bisous, quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Le vendredi Clémentine termine à midi. Ce qui la rend souvent facétieuse. Mais aujourd'hui, c'est également le début des vacances. Ce qui la rend carrément déconneuse. Nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge dans la fraîcheur de la salle de bain. Les radiateurs viennent à peine de se mettre en fonction. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine fraîche. En imitant l'accent Corse de Juliette, Clémentine prépare le café.

Je suis plié de rire en allumant la cuisinière à bois. En pressant les oranges, en pelant les kiwis, Clémentine revient sur notre soirée de jeudi avec Estelle. Le "contrôle qualité". Je beurre les tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le programme de l'après-midi. Il faudra préparer les valises. Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre souhait de passer la soirée au restaurant de l'étang. Peut-être revoir notre ancienne amie et complice. Julie. Il va être six heures vingt cinq. Nous remontons à toute vitesse. Notre salle d'entraînement pas chauffée nous oblige à nous remuer. Les échauffement aérobics, le jogging sur tapis roulants nous mettent rapidement en conditions. Les exercices au sol. Les charges additionnelles. Le stretching.

La douche. Je redescends pour aller préparer et faire chauffer l'auto. Presque 7 h45. Il pleut. La température extérieure est de 5°. Clémentine vient me rejoindre sous son parapluie, dans son déguisement d'esquimau. Ses bras autour de mon cou pour un dernier bisou alors que je tiens le parapluie. << Je téléphone à dix heures pour réserver une table ! >> précise t-elle. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. C'est en courant que je retourne au chaud, au sec pour faire notre vaisselle, notre lit. Dans l'atelier j'allume la flambée de cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je termine ma douzième toile hyper réaliste ce matin. "Le pont du Forth" qui m'accapare rapidement. Plaisirs.

Je peins dans cette euphorie laissée par Clémentine. Je ris encore de ses facéties dans la salle d'entraînement, pendant la douche. Il est onze heures trente quand je dépose la dernière touche de pigment rouge de cadmium. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je mets deux bûches sur les flammes. Je fais un peu de rangement, de ménage. Je prépare la treizième toile sur son support. Ce sera une représentation de Princess Street à Édimbourg, d'après une des très nombreuses photos prises durant nos séjours en Écosse. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer les restes du poulet, de faire gonfler du riz complet, de procéder à l'assaisonnement d'un concombre. Il est midi trente quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour mitrailler mon visage de bisous. Je l'emmène aux toilettes pour le rituel pipi et le lavage des mains. Elle est très déconneuse.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Dernière matinée de ce second trimestre qui s'achève. << Une table nous attend ce soir au restaurant de l'étang. Pour dix neuf heures. Estelle vient nous rejoindre pour dix huit heures. Elle passe la nuit avec nous. Ce qui évite de devoir la chercher chez ses parents demain matin ! >> explique Clémentine. Nous apprécions tous deux les organisations sans failles. Ce qui sera encore le cas aujourd'hui. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant mille pitreries devant le miroir de la salle de bain. Dans la chambre, je descends la grosse valise à roulette du dessus de l'armoire. Ouverte sur le lit. J'y range avec application les vêtements que me donne Clémentine. Les tirants de l'armoire.

Même si nous ne partons qu'une semaine, je suis impressionné par le nombre de pantalons, de sweats que Clémentine s'apprête à emmener. Je la raisonne. << C'est vrai, je ne vais pas mettre un autre jeans tous les jours. Trois suffiront. Et trois pour toi. Deux épaisses chemises à carreaux, deux sweats, deux pulls ! >> s'exclame t-elle. Je ris de ses hésitations. À chaque fois je dis : << On ne part que sept jours ! >>. En riant elle replace alors le vêtement sur l'étagère. Notre chambre à coucher n'est pas chauffée. Ce qui oblige à faire un choix rapide et parfois sévère. Après quelques tourments, Clémentine se résigne enfin. C'est en riant que nous quittons la chambre. Dans le sac de sport, des paires de baskets, des paires de bottines. Nous dévalons les escaliers avec tous les bagages.

La pluie a cessé. Le ciel alterne les séquences menaçantes avec les moments de calme. La température n'est que de 12° alors qu'il va être quatorze heures. Il faut enfiler ces maudits anoraks. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Nous mettons les bagages dans le coffre de la Mercedes. << Une bonne chose de faite ! >> lance Clémentine en s'installant sur le siège passager. Je sors la voiture du garage pour monter lentement jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. C'est parti. Il y a une quinzaine de kilomètres jusqu'à la zone commerciale. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue en me confiant une certaine anxiété quant au troisième trimestre. La dernière ligne droite avant les épreuves de son Doctorat. J'écoute en silence.

Je gare l'auto sur le parking de l'hypermarché. Le ciel semble s'éclaircir d'heure en heure. Je pousse le chariot. Clémentine tient la liste des courses. Elle nous entraîne dans les allées des rayons qui nous concernent. Ce n'est pas seulement pour les vacances mais également pour assurer la logistique domestique. Des poudres à laver. Linge de couleurs. Le papier cul, le papier absorbant. Clémentine aime comparer les prix, choisir selon les promotions. Une vieille habitude qui remonte avant notre vie commune. J'aime la regarder faire. Me montrer les articles avant de les poser dans le caddie. Il n'y a pas grand monde en ce vendredi après-midi. Crème dentifrice, tampons. << Comme à chaque départ pour les vacances, demain j'aurai mes "petits machins" ! >> précise t-elle. Ne rien oublier.

Nous faisons un tour aux rayons culturels. Il y a là quelquefois des opportunités exhibes. Clémentine s'offrirait volontiers un petit frisson de cette nature. Il y a un jeune homme qui feuillette des bandes dessinées. Il est seul. Je reste à l'écart devant les romans policiers. Je regarde Clémentine pousser le chariot. Elle s'arrête à proximité du quidam. Il ne se rend pas immédiatement compte de ce qui se passe sur sa droite. Le chariot est l'écran parfait pour dissimuler les activités licencieuses de la superbe jeune fille qui scrute les différents albums. Je suis à une quinzaine de mètres. Je bande comme le dernier des salauds. J'adore voir les manœuvres d'approches de la fille que j'aime. C'est discrètement qu'elle se touche. Les pans de son anorak ouvert participent de la discrétion.

Cela n'échappe pas au jeune homme. Il me tourne le dos. Mais à sa façon de tourner plusieurs fois la tête pour regarder la fille qui se touche, je sais qu'il est entré dans le "jeu". Les rares clients à passer dans le rayon ne se doutent pas un seul instant de ce qui se joue ici. Clémentine, évidemment, fait semblant de ne pas porter la moindre attention à cet inconnu que je devine de plus en plus nerveux. Il finit par adresser la parole à cette jeune fille. La haute taille de Clémentine est toujours un élément insolite supplémentaire. Il commence à regarder partout autour de lui. Clémentine lève enfin les yeux pour se mettre à parler avec lui. D'abord sérieuse. Sans cesser de se toucher. Je pourrais me masturber tellement son comportement m'excite. Sa "victime" très certainement également.

Je suis bien trop loin pour entendre leurs échanges. Mais je crois comprendre assez vite quand Clémentine a des mouvements négatifs de la tête. Notre homme se montre de plus en plus insistant. Ce qui déplaît toujours fortement à Clémentine qui le salue avant de s'éloigner. Mais le bougre est très certainement du genre "pot de colle". En effet, il se montre rapidement "l'emmerdeur type". Jusqu'à aborder Clémentine alors qu'elle est à feuilleter un magazine. Rien ne l'offusque davantage que ce genre d'attitude. Comment va t-elle se débarrasser de cet individu fort peu gentleman ? Je m'amuse de la situation. Clémentine, visiblement excédée commence à me chercher du regard. Je me dissimule, trop content d'assister à ce vaudeville impromptu. Le type se montre vraiment chiant.

Je décide d'intervenir. Je rejoins Clémentine en agitant un album photo. Comme si je revenais d'un choix d'achat. Quand le quidam me voit arriver, il tourne des talons pour s'en aller sans demander son reste. Nous rions aux éclats quand Clémentine me raconte la nature des propos échangés. << D'abord il m'invitait à boire un café, puis à faire un tour avant de m'avouer qu'il aimait les filles comme moi ! >>. Nous flânons dans le rayon des vêtements hommes. Il y a là parfois de bonnes opportunités aussi. Et Clémentine se trouverait bien volontiers une autre "victime potentielle". Hélas, les rares mecs seuls ne sont vraiment pas très "glamours" ou "sexys". Nous passons en caisse. Nous allons ranger nos achats dans la voiture avant de venir déguster une coupe glacée dans la cafétéria.

Il est dix sept heures trente quand nous revenons. Le temps de ranger nos courses et voilà Estelle. Elle me saute au cou. Me mitraille le visage de bisous avant de s'écrier : << Ensemble deux semaines ! Tous les trois ! Génial ! >>. Nous ressortons pour mettre sa valise dans le coffre avec les nôtres. Ce soir, en allant au restaurant, elle nous suivra avec son Kangoo pour le laisser à la maison. Une organisation parfaite. Comme nous aimons. Il est dix neuf heures quand nous arrivons au restaurant de l'étang. Sur le parking, je referme ma braguette. << Tu l'ouvres sous la table sel te pli ! >> s'exclame Estelle. Nous en rions de bon cœur. Nous sommes accueillis par une jeune serveuse que nous n'avons jamais vu. Par contre Anne-Marie officie toujours derrière le comptoir. Elle nous adresse le plus merveilleux sourire. Presque une année depuis notre dernière visite. Anne-Marie, patronne de cette endroit charmant, vient bavarder un peu à notre table.

Nous apprenons que sa nièce, Julie, ne travaille plus ici. Qu'elle se consacre entièrement à ses études. Nous avons la confirmation qu'elle fréquente assidument son professeur de littérature. Jean-Louis le Chef de cuisine vient nous saluer. Nous retrouvons ces gens et cette ambiance avec grand plaisir. Le seul éclairage de cet établissement hautement gastronomique est la bougie. Sur chaque table il y a un chandelier. Les murs de pierres apportent cette touche médiévale que nous apprécions. Ce soir notre choix se porte sur un ragout de lapin absolument délicieux. Deux visites dans les toilettes hommes du sous sol. Anne-Marie, dans le "secret", nous adresse à chaque fois un clin d'œil entendu. Nous traînons à table. Anne-Marie revient bavarder avec nous. Il est 22 h quand nous sommes de retour à la maison. Au lit, sous les draps, j'offre à mes deux anges les préliminaires sensuels d'une bonne nuit de sommeil. Léchages, et petites pénétrations.

Bonne nuit à toutes les coquines qui s'endorment contre leur coquin après de petits orgasmes sympathiques. Il faudra être en forme pour le départ, demain matin...

Julien (coquin)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
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Le départ

Hier matin, samedi, il est presque huit heures quand nous nous réveillons quasiment ensemble. Estelle à ma droite qui est restée serrée contre moi toute la nuit. Nous en cherchons parfois l'explication. Comment faisons-nous pour épouser parfaitement nos mouvements nocturnes sans nous réveiller ? Cela reste une énigme. Clémentine à ma gauche qui vient se blottir. Nous émergeons doucement dans une douce volupté. L'enchantement paradisiaque des vacances. Et cela va perdurer deux semaines. C'est Estelle qui manifeste sa joie en saisissant mon érection alors que je m'étire. << Wouah, ça commence fort ! >> s'exclame t-elle. << Fais voir ! >> lance Clémentine qui empoigne mes roupettes. Moi aussi je pars en exploration en glissant mes mains dans les culottes. C'est si doux.

<< Attention, "petits machins" ! >> dit Clémentine en saisissant mon poignet comme pour modérer mes élans. En effet, je trouve la petite ficelle en fouillant la touffe. << On ne t'a pas entendu te lever ce matin ! >> fait Estelle. << Parce que j'ai fait doucement. Et j'ai pris mes médocs. Même pas mal ! >> répond Clémentine. Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>. Nous la regardons courir vers la porte dans son pyjama de soie mauve. Clémentine se couche sur moi. << C'était bon avant de dormir. Je vais te sucer tous les jours durant notre séjour à Bourg-Vignes ! >> murmure t-elle en passant à l'acte. Sa tête qui descend pour passer sous les draps. Sans excitation, la sensation est étrange. Mais les choses changent rapidement. Je la force à cesser en tirant sur sa natte.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Il fait bien chaud partout dans la maison. Les radiateurs fonctionnent depuis deux heures. Dans la salle de bain nous revêtons nos tenues sports. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Les délicates odeurs de café, de pain grillé. J'adore le contact de la soie. Aussi, pendant que Clémentine presse les oranges, qu'Estelle pèle les kiwis, je pose mes mains sur ses hanches. Je remonte doucement. Ses tous petits seins semblent vivre une vie indépendante sous le fin tissu. << Mmmhh, tu me fais ça tous les jours sel te pli ! >> dit elle en cambrant ses fesses contre ma braguette. << À moi aussi please ! >> fait Clémentine en venant se serrer contre mon dos, ses mains sur ma bosse. Tous les deux en leggings de lycra noir, en sweats de lycra jaune. C'est sexy. Seule Estelle dans son pyjama mauve. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le programme du jour.

Le ciel est voilé mais lumineux. Par contre la température reste glaciale avec seulement 5°. Pas de jogging. Nous n'en avons pas le courage. Nous mangeons de bon appétit en dissertant sur les horaires prévus pour la journée. Nous partirons dès la fin du repas de midi. Il y a trois heures trente de voiture jusqu'à Bourg-Vignes. C'est un pseudonyme qui permet de préserver l'anonymat. C'est là que Clémentine a réservé un bungalow jusqu'à dimanche prochain. Nous espérons pouvoir faire les sentiers balisés et bénéficier d'un peu de beau temps. C'est au restaurant de l'étang, durant le repas de vendredi soir, que Clémentine a enfin révéler notre destination. Elle nous a montré les photos de la réservation. C'est un adorable bungalow au fond du luxuriant jardin privatif d'une belle propriété.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges font mille projets. Nos bagages déjà dans le coffre de la voiture. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. La salle d'entraînement pas chauffée demande le courage de s'y mettre. C'est avec les mouvements aérobics que nous nous échauffons. Puis le jogging sur les tapis roulants, le vélo ergométrique à tour de rôle. Mes deux anges, dans cette sorte d'euphorie provoquée par la saveur élégiaque d'un départ imminent, me font rire aux éclats. J'adore les voir, les entendre rire de leurs facéties. Les exercices au sol sont aujourd'hui une bénédiction pour Clémentine. Durant la période de ses règles, cela soulage ses viscères.

Puis viennent les redoutables charges additionnelles. Ce matin nous pratiquons sur machines. Clémentine bloque à 62 kg aux développés couchés. Estelle frôle les 60 kg. Le samedi nous effectuons les étirements du stretching consciencieusement. Nous pouvons y consacrer le temps nécessaire. Nous courons pour retourner au chaud. Estelle prend sa douche la première pendant que nous changeons les draps du lit. Nous nous rejoignons à la salle de bain. Toutes les deux, assises sur les tabourets, une large serviette sur les épaules. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite, je les coiffe. J'adore écouter leurs anecdotes d'étudiantes. Parler des professeurs, de certains étudiants. Notamment de Léo la prochaine "conquête" de Clémentine. << J'ai encore jamais dépucelé un mec ! Je vous promets du grand spectacle ! >> précise t-elle. << On veut voir ça ! >> s'exclame Estelle. Nous en rigolons comme des bossus.

Je tresse les cheveux des filles en nattes. Sur leurs demandes. << Pas besoin de perdre du temps à se coiffer toute la semaine ! >> précise Estelle. C'est à mon tour de me faire sécher les cheveux et coiffer. C'est Estelle qui veut absolument le faire. Clémentine en profite pour réunir nos affaires de toilettes. Dans le vanity qui nous accompagne toujours en vacances. Une petite valise "croco" à l'intérieur compartimenté et bien pratique. Nous revêtons nos 501, nos chemises à carreaux, nos baskets. Nous laissons une salle de bain propre avant de dévaler les escaliers. Au salon, assises sur mes cuisses, mes deux anges allument l'ordinateur. Elles surfent sur le site de l'université. Il n'y a pas encore d'informations concernant le programme du troisième trimestre. Elles sont impatientes.

Nous découvrons les trois courriels. Celui de ma famille en Écosse. Les nouvelles d'Édimbourg restent inquiétantes. Le message de Juliette qui nous raconte son arrivée en Corse. Les préparatifs du deuil familial. Le mail de Lise qui nous souhaite de belles vacances et qui précise qu'elle viendra passer un peu de temps avec nous à notre retour. Nous laissons Estelle à l'intimité de sa boîte mail pour aller regarder au dehors. J'insuffle de l'air chaud sur les seins minuscules de Clémentine. Mes lèvres posées sur chacun d'eux, à souffler à travers l'épais coton de sa chemise. En même temps j'ai la main dans son Levis déboutonné pour masser délicatement son bas ventre. << Mmhh, docteur Julien, vos soins sont un soulagement permanent. Je vais prendre mes gouttes ! >> murmure t-elle.

Tout en répondant à ses messages, Estelle qui entend tout, lance : << Tu prends tes gouttes dans la voiture ? Directement du flacon ? >>. Nous rions de bon cœur. Je sors le "flacon" pour l'agiter en direction d'Estelle. "L'hélicoptère". en faisant tournoyer mon Zob. Elle agite son index d'un geste menaçant en rajoutant : << C'est vilain de donner des idées lubriques à une jeune fille écrivant un message destiné à sa famille ! >> dit elle. Nous ne cessons de rire. Clémentine s'accroupit pour prendre ses "gouttes". Je la tiens par ses oreilles. J'imprime un lent mouvement masturbatoire dans sa bouche. Ce qui ne tarde pas à provoquer des montées de liquide séminal. Clémentine savoure en gémissant. Estelle, rêveuse, nous observe. Elle me fait le plus merveilleux des sourires. Me fait un clin d'œil. Lève son pouce.

J'aide Clémentine à se redresser. Elle me montre l'intérieur de sa bouche. Clémentine apprécie de garder longuement le foutre pour le laisser se mélanger avec sa salive. Ce n'est qu'au bout de parfois dix minutes qu'elle déglutit en faisant une horrible grimace. Nous quittons le salon pour la cuisine. Il va être onze heures trente. Clémentine fait l'assaisonnement des dernières endives. Estelle s'occupe des spaghettis et d'une sauce au Roquefort. Je fais rissoler trois belles escalopes de dinde avec ail et oignon. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bises. Dans mon fantasme d'homme des cavernes, depuis sept ans, j'aimerais voir Estelle et Clémentine se livrer au saphisme. Hélas, elles n'ont absolument aucun penchant homosexuel. Comme le dit souvent Estelle : << Quand tu seras pédé, on sera gouines ! >>. Mais c'est tellement beau de les voir se faire la bise sur la bouche en riant. Les préparations sont rapides. Dehors il y a des apparitions du soleil.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les derniers préparatifs, les derniers détails. Ne rien oublier. << On s'en fout un peu, il y a un hypermarché à quelques kilomètres de Bourg-Vignes ! >> précise Clémentine qui a tout prévu. Jusqu'aux réservations dans deux restaurants étoilés du guide Michelin. Quelques itinéraires de sentiers de randonnées. Notamment celui qui traverse le parc naturel. Un parc naturel consacré au haut moyen-âge jusqu'au début de la période médiévale. Au programme la visite de deux musées. L'un consacré aux meubles anciens. L'autre consacré à la vie des châteaux forts. De nombreuses réjouissances en perspective. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges font plein de "plans" culs. Exhibes, voyeurs.

La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant nos habituelles pitreries devant les miroirs. Un dernier tour à l'étage pour voir si toutes les fenêtres sont bien fermées. Nous laissons toujours les volets ouverts. Ce n'est qu'en bas que nous les fermons. Nous vérifions partout. Dans le hall d'entrée je mets en fonction les alarmes. La demeure est équipée d'une domotique de pointe. Directement reliée à la gendarmerie du bourg voisin, à trois kilomètres. Notre voisin, monsieur Bertrand, parfaitement informé aime bien jouer au voisin vigilant. Accompagné de "Bob" son gigantesque nouveau Doberman. Il va être treize heures quand nous sortons la grosse berline Allemande du garage. La température extérieure n'excède pas 12°. Un léger vent de Nord Est en est responsable. Le soleil.

C'est parti. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Installée à l'arrière, Estelle caresse quelquefois mon cou. Se vautre en bavardant. Dans le rétroviseur elle me tire la langue, me fait d'horribles grimaces ou mime une fellation. Parfois elle mime une masturbation masculine pour appuyer tel ou tel propos grivois. Clémentine se penche sur sa gauche pour prendre ses "gouttes". Estelle se redresse alors pour regarder. << Ajuste le rétroviseur pour que je puisse mieux voir ! >> lance t-elle. À chaque fois je suis obligé de changer son inclinaison. La circulation est fluide. Pas de réel danger. C'est juste quand je me fais sucer avec fougue qu'il me faut rester vigilant. << Et moi, put-hein ! Je suis toujours derrière comme l'animal qu'on emmène en vacances ! >> s'exclame Estelle.

Nous avons pour principe de nous arrêter toutes les heures. Arrêts pipis. Dix minutes à se dégourdir les jambes. Excellente manière de garder nos sens en éveil. Je ne connais pas les torpeurs au volant. Mais cette façon de procéder est rassurante. Mes deux anges, accroupies l'une à côté de l'autre. Jeans et culottes à mi-cuisses. Je suis accroupi derrière. Mes index enfoncés dans les culs. Ce qui décuple la puissance des jets. << Mais quel salaud ! T'es un enculeur de filles ! >> s'écrie Estelle surprise par ma pénétration digitale. Je réponds : << Tu aimes ça ! La preuve, ton parrain t'encule tous les mercredis soirs ! >>. Estelle s'exclame : << Oui, mais il prévient lui ! Et je ne suis pas entrain de pisser ! Ma vengeance sera terrible ! >>. Je les torche avec soin. Elles m'entraînent sur le siège arrière. Je suis entre les deux coquines qui se refilent ma bite. C'est magnifique car le rétroviseur est resté réglé à la perfection. Je peux les admirer en pleine fellation.

Une dizaine de minutes ou Estelle prend la place de Clémentine. Pour prendre des "gouttes" dont elle n'a nul besoin. Clémentine à l'arrière, qui se touche, en me faisant des clins d'œil, de merveilleux sourires. Second arrêt. Sur un parking devant un bar restaurant. Il y a une dizaine de camions. Nous comprenons rapidement car l'endroit jouxte la sortie d'une entreprise de transport. C'est samedi. Personne. Mais mes deux coquines veulent absolument faire leurs pipis entre les poids lourds. << Comme quand on rentrait du lycée, tu te souviens ? >> lance Estelle. << Oh oui, et comment ! >> répond Clémentine. Elles me racontent souvent leurs petites "expéditions" d'après lycée quand elles avaient seize ans. Clémentine s'exhibait, se faisait surprendre entrain de pisser alors qu'Estelle faisait le guet. Entre les camions d'une entreprise. Parfois surprises par un chauffeur ravi de l'aubaine. Tout s'est toujours très bien déroulé. Sans souci.

Estelle tient ma bite pour en diriger les jets. Je suis empli d'inquiétude. Et si quelqu'un, un chauffeur par exemple, déboulait soudain ? Mes deux anges rient de mes craintes. Clémentine, accroupie, prend ses "gouttes" en se régalant du mélange. Estelle fouille ma bouche de sa langue. Je la tiens par la taille pendant que Clémentine suce passionnément. Quelques minutes avant de reprendre la route. Nous passons devant un complexe commercial assez vaste. Un hypermarché entre Décathlon et Brico-dépot. << C'est là qu'on viendra faire les courses. C'est ouvert le dimanche matin ! >> lance Clémentine. Quelques kilomètres plus loin voilà Bourg-Vignes. Un magnifique village. Le clocher d'une église gothique. Le manoir qui lui fait face est la Mairie. L'endroit est plein d'un charme très "Vieille France". Il faut sortir du village en direction de la ville à quelques trente kilomètres. Nous écoutons la "dame du GPS". Une grande propriété sur notre droite.

C'est là. Je roule au pas le long d'une allée de platanes. << Ça ressemble à chez Oncle Alan à Édimbourg ! >> s'exclame Estelle. Une belle et grande demeure sur la gauche. À une centaine de mètres une petite maison ravissante toute en bois blanc, entourée d'une balustrade blanche. << C'est chez nous ! >> lance Clémentine. Nous la félicitons pour son choix, pour l'organisation. Il y a un monsieur trapu qui arrive sur un VTT. Il en saute en disant : << Bonjour ! Vous avez fait bonne route ? >>. C'est le propriétaire. Nous apprenons que Clémentine et lui étaient en contacts webcam pour la réservation. Monsieur Guillaume s'écrie : << Vous êtes encore plus belle en vraie Clémentine ! >>. Cette familiarité m'interpelle. Estelle m'adresse un discret et curieux regard. Je hausse les épaules.

Clémentine avait tout organisé dans le plus grand secret. Nous ne savions absolument rien. C'était donc ça parfois, les étranges monologues devant son ordinateurs avec ses écouteurs ! Moi qui croyait qu'elle était en télé travail ! Coquine ! Monsieur Guillaume nous invite à le suivre. Nous entrons dans le bungalow. L'agencement intérieur est aussi insolite que la construction qui évoque une sorte d'habitation de la Louisiane. De ses anciennes colonies où l'on plantait et récoltait le coton. Il y a un salon, une chambre à coucher, une salle de bain, un cabinet de toilette. Avec ce froid il ne sera pas possible de profiter de cette belle terrasse. << Je vous laisse vous installer. Vous êtes ici chez vous. Il y a quoi que ce soit, il y a moi ou ma femme à cent mètres ! >> précise monsieur Guillaume avant de nous laisser. << Vous avez vu les poils qui dépassent du haut de sa chemise ? >> lance Estelle quand le propriétaire est reparti.

Nous avons vu. En effet. << Tu imagines un peu le "gorille" ! >> rajoute encore Estelle. Nous en rions de bon cœur en retournant chercher nos bagages dans le coffre de la voiture. Les valises ouvertes sur le grand lit nous passons les vêtements à Clémentine qui les range soigneusement sur les étagères de l'armoire. << Tu as vu comme il nous mâtait. Un moment j'ai cru que sa langue allait tomber sur le plancher ! >> lance Estelle. << Mais c'est un mec sympa. Il m'a un peu dragué en webcam mais sans insister. Un gentleman ! >> précise Clémentine. Elle rajoute : << Il n'a posé aucune question quand j'ai réservé pour trois personnes ! >>. Durant la visite qui a duré dix minutes, monsieur Guillaume n'a eu aucun mot, aucune attitude déplacée. Pas de cet humour gras et imbécile dont font trop souvent preuve les "bas de plafond", les "caves", les imbéciles où les gros "nazes".

Il va être dix huit heures. Nous avons pris possession des lieux. Rangé les provisions dans le buffet de la cuisine. Dans le réfrigérateur. Nous avons de quoi tenir jusqu'à lundi après-midi. Nos affaires de toilettes disposées dans la salle de bain. Vautrés dans le canapé du salon, nous nous offrons enfin un peu de repos, de calme. Je suis entre mes deux anges. J'ai ressorti ma queue afin qu'Estelle puisse jouer avec son "doudou". Je m'occupe un peu de Clémentine. Elle ressent quelques crampes sourdes au fond de son ventre. Pas réellement douloureuses mais répétées et désagréables. Par contre les pointes de ses seins sont hyper sensibles. Ma bouche diffuse l'air chaud à travers le coton de sa chemise. << Ce soir, on bouffe au "Tonneau d'argent" ! Pour dix neuf heures ! >> lance soudain Clémentine. << Tu nous as déjà réservé une table ! >> demande Estelle aussi surprise que moi. << Je vous dis, j'ai tout organisé ! >> répond Clémentine.

Épatante Clémentine que nous couvrons de bisous. Nous restons vêtus comme nous le sommes. Pas de chichis, pas de manières, même pour aller manger dans un "Trois étoiles". C'est qu'il commence à faire faim. Une certaine fatigue se fait également sentir. Je crois bien que nous avons parcouru ces trois cent cinquante bornes sans dépasser les 80 km/h. C'est parti. Maudits anoraks dont il faut se vêtir pour affronter ce froid polaire. Huit kilomètres jusqu'au "Tonneau d'argent". Dans une grande demeure, entouré d'un petit parc bien entretenu, cet établissement gastronomique est digne de ses trois étoiles. Nous savourons un délicieux repas. Du sanglier aux morilles accompagnés de petits légumes de saison. C'est à tomber parterre tellement c'est bon. Des tables aux nappes blanches. Un décors très dix neuvième, des copies de Manet, de Renoir accrochées aux murs. Nous passons là une soirée extraordinaire. Un personnel raffiné aux petits soins.

Deux visites dans les toilettes hommes. Enfermés dans un des cabinets, d'abord avec Estelle que je prends en levrette quelques minutes. Puis avec Clémentine dont je suce le clitoris géant un court laps de temps. Il y a de nombreux clients. Quelques uns très stylés. Élégants. Nous dénotons un peu dans nos chemises à carreaux d'épais coton bleu, nos Levis, nos bottines. Habillés tous les trois exactement à l'identique. Et comme le précise Clémentine : << Ça c'est la classe aussi ! >>. Il est près de vingt deux heures quinze quand nous sommes de retour. Salle bain. Une rapide toilette. Sous les draps de ce large lit confortable, je baise avec Estelle. Clémentine, sont visage tout près des nôtres, échange ses impressions. Elle se masturbe. Légèrement perturbée par ses inconvénients menstruels. Elle nous fait des bisous. Nous encourage. Nous murmure des souvenirs communs. C'est une des rares fois où j'éjacule dans Estelle étonnée.

Bonne nuit à toutes les coquines qui fêtent leur arrivée dans un endroit charmant où elles vont passer neuf jours loin des tracas de la vie universitaire...

Julien



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
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Première journée de vacances

Il est aux environs de neuf heures, hier matin, dimanche. Estelle, accrochée à moi toute la nuit comme une naufragée à sa branche, pose ses lèvres dans mon cou. Juste sous l'oreille. Saisissant ma tumescence. Se serrant encore plus fort contre moi. Ce qui réveille Clémentine qui vient se blottir en gémissant. Elle saisit mes couilles. Je suis entre mes deux anges, tous trois tirés du sommeil dans un enchantement paradisiaque. Nous nous étirons longuement en regardant la chambre. Le mobilier de bois clair, en parfaite harmonie avec la petite maison en bois. La porte fenêtre donne sur la terrasse qui entoure tout le bungalow. Il fait beau. Le ciel est presque entièrement bleu. Estelle prend son I-phone pour dire : << Température extérieure ? Attention, on se tient au Zob de Julien, Exactement 3° ! >>

Il fait bien chaud. Estelle se lève pour se diriger vers la porte. << Vous êtes attendus pour le petit déjeuner. Mais d'abord je vais faire pipi ! >> dit elle. Clémentine se serre encore plus fort. << J'aime vous voir et vous entendre baiser tous les deux ! >> murmure t-elle faisant allusion à ce qui s'est passé avant de nous endormir. Je pose mes lèvres sur chacun de ses seins minuscules. Je souffle de l'air chaud à travers le fin coton de son T-shirt de nuit. Je masse délicatement son bas ventre. << Merci Docteur ! >> dit elle alors que je la soulève comme une jeune mariée pour quitter la chambre. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous entendons Estelle chanter en préparant le café. Le bruit des bols et des couverts qu'elle pose sur la table. Nous la rejoignons dans les suaves parfums du pain grillé. Du café.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur le voyage, puis le restaurant de samedi soir. << J'ai rarement aussi bien mangé ! >> précise Clémentine. << C'était gouteux. Moi qui est une sainte horreur de la viande de venaison, je me suis régalée ! >> lance Estelle. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de ce dimanche. Clémentine, en organisant notre séjour, a prévu deux, voire trois options pour chaque journée. En allumant son I-phone, elle nous montre l'itinéraire du "sentier aux vaches". Ainsi nommé car il serpente entre des pâturages. Mais avec cette température glaciale pas l'ombre d'un bovin ou d'un bovidé. Il faudra se vêtir chaudement. Nous adorons les randonnées. Surtout quand elles sont consacrées à la découverte de tous nouveaux circuits.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, les filles évoquent la possibilité de réaliser un film porno dans cette petite maison de bois où tout est charmant. La cuisine hyper fonctionnelle, hyper moderne, reste toutefois meublée de bois faussement ancien. La vaisselle. Nous nous lavons les dents dans la petite salle de bain. En faisant les clowns devant le miroir. Nous laissons Clémentine seule afin qu'elle s'occupe de ses "petits machins". Dans la chambre Estelle me saute au cou en disant : << Tu me fais l'amour aujourd'hui. Je veux que tu me fasses l'amour tous les jours ! >>. Nous recouvrons le lit. Nous préparons nos Levis, nos épaisses chemises à carreaux. Estelle, sa main dans mon slip, m'entraîne devant le grand miroir de l'armoire.

Je glisse ma main dans sa culotte. Nous prenons des poses ridicules en riant aux éclats. Clémentine vient nous rejoindre. << Quand la chatte n'est pas là, les souris dansent je vois ! >> lance t-elle en nous rejoignant. Je suis entre mes deux anges, mes mains dans dans leurs culottes. Nous nous faisons des grimaces. Nous revêtons nos 501, nos chemises d'épais coton, nos baskets. Il faut enfiler les anoraks avant de sortir. Il y a quelque chose de profondément surréaliste, un décalage presque absurde avec ce soleil généreux et ce froid glacial. Nous quittons le bungalow pour marcher en direction du portillon au fond du jardin. Il y a une sorte de grange haute, de pierres et de bois. Ce sont probablement les garages. Nous ouvrons le portillon quand la voix de monsieur Guillaume se fait entendre.

<< Bonjour ! Bien dormi ? >> demande le propriétaire des lieux. Il est vêtu d'une épaisse veste de velours brun, tout comme son pantalon. Coiffé d'un chapeau à larges bords de la même teinte. De grosses godasses. Nous le rassurons, et nous tenons à préciser que l'endroit est charmant. Que tout nous plaît beaucoup. << À la bonne heure ! >> semble être l'expression favorite de monsieur Guillaume car il conclu chacune de ces phrases par cette formule. Estelle et Clémentine me tiennent par les mains. Nos hautes tailles impressionnent probablement notre homme. Débonnaire il nous raconte l'histoire de la propriété. Héritier comme moi d'un domaine de plusieurs hectares, il gère un cabinet fiduciaire. << Avec ma femme aux commandes ! >> précise t-il. Nous le laissons à ses occupations.

Nous marchons sur un chemin de terre qui se dirige vers le haut viaduc que l'on distingue là-bas. << Vous avez vu comme il nous mâte en parlant. Je me sentais carrément à poil ! >> lance Estelle. << Oui, et tu as vu, c'est surtout côté chattes qu'il mâte ! >> précise Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Nous n'irons pas jusqu'au viaduc. Nous en gardons la découverte comme "plan B" pour un jour prochain. Nous revenons sur nos pas. Avant d'entrer dans le bungalow, Clémentine dit : << Entrez les premiers, je tente une expérience. Ce type doit être un bon vicelard comme je les aime. Mâtez depuis la fenêtre ! >>. Nous la laissons pour entrer. Depuis la fenêtre de la cuisine nous observons Clémentine. Les mains dans les poches de son anorak, elle se balade d'un pas nonchalant.

Estelle, serrée contre moi, sa main dans ma braguette, nous regardons avec attention. Clémentine fait le tour de cette partie de la propriété. Il y a une construction de bois sur la gauche. Une dépendance qui ressemble à d'anciennes écuries. Là-bas, la grande demeure de style colonial. Un jardin à la Française bien entretenu. Soudain, sortant de nulle part, monsieur Guillaume s'approche de Clémentine. Nous les regardons bavarder. Ils sont à une centaine de mètres. Clémentine dépasse monsieur Guillaume d'une bonne demi tête. Nous la voyons rire. Mettre sa main devant sa bouche. Tourner, faire mine de tourner des talons, puis revenir. Rire encore. << Cet enfoiré est en pleine drague ma parole ! >> lance Estelle qui vient de m'extraire le chibre. Je dis : << J'ai l'impression que ça commence très très fort ! >>

Tout cela dure une dizaine de minutes. Clémentine vient nous rejoindre. << Raconte ! >> s'écrie Estelle. << Il m'invite à me faire découvrir les environs dans sa jeep. Seule. Puis si ça me plaît, il se propose de nous emmener tous les trois. Il veut également me faire visiter les anciennes écuries qu'il est entrain de transformer en gîte touristique. Il conclu en nous invitant à venir boire un café quand on veut ! >> nous explique Clémentine. Nous écoutons. Estelle demande plein de détails. << Ce type n'est pas malsain mais salace ! >> rajoute en Clémentine. << Tu m'étonnes ! Deux jeunettes à proximité, ça doit le titiller au Zob ! >> lance Estelle. << Zob que je veux voir ! >> dit encore Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Estelle nous rappelle qu'elle veut s'occuper du repas.

C'est un contrat entre nous. Durant nos vacances, Estelle veut nous faire la surprise du repas de midi. Elle nous vire de la cuisine manu militari. Nous allons au salon. Clémentine allume son MacBook Pro. Connexion en Wifi absolument parfaite. Le code Wifi est collé sur la live box. Nous avons un courriel de Juliette. Elle nous raconte l'ambiance qui règne à Sartène. Dans sa Corse natale. Sa tante décédée récemment était une personnalité très appréciée. Nous entendons Estelle chanter. Il y a les bruits rassurants des préparatifs qui nous parviennent de la cuisine. Assise sur mes genoux, alors que je caresse son bas ventre, ma main dans son jeans déboutonné, Clémentine surfe sur un des sites touristiques de la région. Nous découvrons les choses à voir sur l'itinéraire de la randonnée de cet après-midi.

<< Si ces messieurs dames veulent bien passer à table ! >> dit Estelle en venant nous rejoindre. Elle regarde l'écran pour s'écrier : << Génial ! C'est ce qu'on va voir tout à l'heure ? >>. Nous quittons le salon pour la cuisine. L'odeur est à tomber parterre. Estelle a fait simple. Une salade de concombre. Des macaroni avec une sauce au pistou. Mais c'est un tel régal. Nous mitraillons son visage de bisous. << Il faudra quand même faire quelques courses demain ! >> précise t-elle. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les attitudes de monsieur Guillaume. << J'adore les vicieux. Là je crois qu'on en tient un "bon" ! >> lance Clémentine. Nous pouvons nous fier à son sixième sens infaillible. Nous traînons à table. Mes anges assises sur mes cuisses. À parfaire notre programme.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Dans le petit sac à dos, pommes, barres de céréales, thermos de thé bouillant, la petite paire de jumelles. Nous prenons les grosses godasses. Bonnets, gants. << Put-Hein, comme en plein hiver ! >> s'exclame Estelle. Nous voilà dans la voiture. Il y a six kilomètre jusqu'à l'exploitation agricole. Point de départ de notre itinéraire de randonnée. La température est de 12°. Un léger vent de Nord Est en est le principal responsable. C'est parti. Le chemin est large et permet d'évoluer en restant côte à côte. À nous tenir par les mains. C'est insolite de marcher dans des paysages printaniers avec un climat hivernal. Pas de bite à l'air pour moi. Il faut se contenter de petits arrêts bisous. Nous découvrons de beaux endroits. Alternants forêts et champs.

Il y a des portions de chemins qui sont encore boueux des pluies récentes. Nous croisons d'autres randonneurs. Clémentine prend des photos. Estelle reste serrée contre moi, frileuse et en demande de tendresse. Clémentine a réservé une table dans une simple pizzéria pour la soirée. Cette randonnée ne tarde d'ailleurs pas à nous mettre en appétit. Les champs fraîchement labourés, qu'Estelle appelle des "Fioranos", s'étendent à perte de vue sur ce tronçon. Du moins jusqu'aux lisières des forêts que l'on aperçoit au loin. Terrain plat. Il est dix huit heures quand nous sommes de retour. Avec d'autres promeneurs qui, comme nous, changent de chaussures auprès de leurs voitures. Des vastes bâtiments de l'exploitation agricole nous parviennent des meuglements bovins. Les vaches.

Il est dix huit heures trente quand nous garons la voiture dans la propriété. Juste à côté de notre bungalow. Un rapide pipi et c'est à pieds que nous allons jusqu'au village. Bourg-Vignes est une petite cité de caractère. De charmantes maisons déjà fleuries. Il y a des commerces, fermés le dimanche. Des restaurants. Notre pizzéria est un ensemble de petites salles de quatre à cinq tables donnant sur de grandes baies vitrées. La déco est très moderne, impersonnelle. Il y a déjà quelques clients attablés alors qu'il n'est que dix neuf heures quinze. Morts de faim nous commandons nos pizzas. Accompagnées de crudités vertes. << Pas dégueu ! >> dit Estelle en goutant la première. Ce sont d'énormes pizzas. Chacun en a choisi une différente. Aussi nous goutons les trois pour échanger nos impressions.

Très rapidement presque toutes les tables sont occupées. Ces endroits attirent une clientèle très "lambda". Il y a donc toutes sortes de gens. Familles bruyantes, groupes rigolards, couples chuchotants. Nous ne nous attardons pas. Dès les tranches napolitaines terminées, l'addition réglée, nous quittons précipitamment les lieux. << Put-Hein, plus jamais ! >> s'exclame Estelle. << Plus jamais ! >> s'écrie Clémentine. Nous en rions de bon cœur. C'est dans la nuit glaciale que nous revenons pour vingt et une heures trente. Une rapide toilette. Mes anges savent à quel point j'apprécie de me régaler de leurs intimités après plusieurs heures de randonnée, d'une journée sans douche. Même si je ne dois me contenter que du clitoris géant de Clémentine, c'est sous les draps que je prends mon second dessert. Une fois encore, enfoncé dans Estelle jusqu'aux couilles, après avoir nettoyé sa chatte avec ma bouche, Clémentine garde son visage près des nôtres.

Bonne nuit à toutes les coquines qui s'offrent les derniers plaisirs d'une première journée de vacances...

Julien (nettoyeur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Clémentine et Julien
Tuesday 23 April 2024 07:38

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France


Le petit monde de Clémentine et de Julien

Après quelques 2591 épisodes le plaisir de partager nos aventures reste intact. De sacrés moments.
C'est une véritable joie de publier nos récits quotidiennement. C'est même devenu une nécessité.

Bien évidement, les noms, les prénoms, les lieux ne sont qu'autant de pseudonymes sans réalités.
Il est préférable de préserver son anonymat. Sur Internet mais également sur les forums "sexes".

Je remercie nos lectrices, nos lecteurs pour leurs fidélités, pour l'intérêt qu'ils nous portent.
Tout particulièrement celles et ceux qui entretiennent avec nous un contact en messagerie privée.

Nous avons autant de joie à pratiquer les échanges en messagerie privée qu'à narrer nos aventures.
C'est très intéressant, souvent amusant et parfois passionnant. Certains "amis" depuis six ans.

Je vous souhaite d'excellentes lectures, de belles découvertes et de passer du bon temps avec nous.

Cordialement


Homme, 53 ans, France
- 1 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2592 -



Seconde journée de vacances

Hier matin, lundi, il est un peu plus de huit heures trente quand je suis tiré de mon sommeil. Les pieds d'Estelle qui bougent en rythme contre les miens. Toujours en quête de cette chaleur qu'elle apprécie. Ce sont ses "impatiences" comme elle les appelle. Dès qu'elle me sait conscient, elle se serre encore plus fort en saisissant mon érection naturelle. Jouant avec ma tumescence, elle pose ses lèvres dans mon cou. J'adore ce petit effet ventouse. Tout cela finit par réveiller Clémentine qui vient se blottir contre moi. Je suis entre mes deux anges, dans une volupté divine à laquelle il est parfaitement impossible de s'habituer. Distribution de bisous, mes mains dans les culottes. Estelle qui se redresse avant de sauter du lit en s'écriant : << Urgence absolue ! Sinon pipi au lit ! >>

Clémentine tient mon sexe en me couvrant le visage de bisous. Elle descend sous les draps. Cette toute petite fellation matinale qui ne dure même pas trente secondes. Elle revient à la surface des draps en murmurant : << C'était bien avant de dormir. Moi aussi j'aime ce que tu me fais avec ta bouche ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. C'est en slips et T-shirts de nuit que nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans les douceurs parfumées du café et du pain grillé. Je presse les toutes dernières oranges. Clémentine pèle les tous derniers kiwis. << Il faut vraiment faire les courses aujourd'hui ! >> précise Estelle alors que je beurre les tranches éjectées par le grille pain. Je propose de partir ce matin, après la douche pour aller à l'hypermarché. Pourquoi ne pas manger à la cafétéria ?

La suggestion est applaudie. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les découvertes de la randonnée de dimanche après-midi. En regardant par la fenêtre force est de constater que c'est très exactement la même météo. Le ciel est bleu. Le soleil y règne en maître. Par contre, lorsqu'elle consulte son I-phone, Estelle s'exclame : << Mes amours, tenez-vous à vos sexes, il ne fait exactement que 4° ! >>. Toujours cet étrange contraste entre une apparence printanière et un froid polaire. Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, les bras autour de ma taille, de mon cou, les filles font le vague programme de la journée. En revenant des courses, en début d'après-midi, ce sera une randonnée improvisée. Nous voulons découvrir le viaduc et ses environs à quelques trois kilomètres.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. C'est le troisième jour des règles de Clémentine. Je m'applique à lui prodiguer les soins du docteur Julien. Plusieurs fois par jour. La seconde fois de cette matinée. Mes lèvres posées sur chacun de ses seins minuscules, je souffle de l'air chaud à travers le fin coton de son T-shirt de nuit. En massant délicatement le bas de son ventre. << Mmhh, docteur, vos thérapies font des miracles ! >> dit elle. Estelle rajoute : << Et dans trois jours, cher docteur, vous aurez une autre patiente à soigner ! >>. Nous nous serrons tous les trois en riant. Distribution de bisous. De plus en plus souvent mes deux anges se font des bises sur la bouche avant et après les avoir posé sur la mienne. Le paradis.

Estelle retire son pyjama. Nous revêtons nos tenues de jogging. Nous enfilons les K-ways, les bonnets, les gants. Il en faut du courage pour affronter les 4°. Nous pratiquons des mouvements d'échauffement en soufflant comme des bœufs sur la terrasse avant d'en sauter les marches. Direction le portillon arrière de la propriété à petite foulée. De la vapeur sort de nos narines, de nos bouches. Il faut lutter contre l'envie de retourner au chaud. Nous courons sur le chemin qui mène au viaduc qu'on distingue là-bas, au loin. Clémentine s'arrête soudain. << Venez on rentre, on se contente de faire de la gym ! >> propose t-elle. Sans même nous consulter, nous faisons demi tour pour retourner au chaud. Pliés de rire en reprenant nos mouvements aérobics. C'est bien plus agréable à 22°.

Exercices au sol en augmentant le nombre de flexions abdominales, de pompes, de ciseaux avants, de ciseaux arrières. Dans une certaine déconne naissante. Estelle prend sa douche la première pendant que nous recouvrons le lit. Nous la rejoignons dans la salle de bain. Qu'il est agréable de pouvoir prendre tout son temps pour chaque chose. Nous revêtons nos Levis, nos chemises à carreaux d'épais coton, nos bottines. Nous enfilons nos blousons d'épais cuir brun. Les bonnets, les gants pour sortir, pour aller jusqu'à la voiture. C'est parti. Il y a dix kilomètres jusqu'à la zone commerciale aperçue à notre arrivée samedi. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Prend ses "gouttes" à quelques reprises. << Au retour c'est à mon tour d'être devant ! >> lance Estelle.

Nous garons l'auto sur le vaste parking. Je pousse le chariot. Estelle reste à mon bras. Clémentine nous précède dans les allées des rayons avec la liste des achats. Priorité aux légumes bios et aux fruits bios. Il nous faut du pain. Le choix est large. Nous flânons dans l'immense magasin pour le découvrir. Clémentine s'offrirait bien volontiers une petite friponnerie exhibe. À tous hasards nous traînons assez longuement dans la zone culturelle. Les bouquins, les magazines. Pas de mecs seuls. Pas de "victime potentielle". Pas toujours très discrète, se plaçant entre le caddie et moi, Estelle me palpe la braguette. << J'ai envie de faire ma salope ! >> dit elle à chaque fois. << Toi aussi ? Comme c'est bizarre ! >> rajoute Clémentine. Nous pensons avoir fait le tour de l'hypermarché. Avec "tout".

Nous passons en caisse. Nous regardons les menus affichés à l'entrée de la cafétéria. << Regardez, des flam's ! >> lance Estelle. Ce sont ces spécialités allemandes ressemblant à des pizzas mais sans tomate. De larges galettes de pâte blanche sur lesquelles sont éparpillés des lardons, des oignons et de la crème fraîche. << Va pour les flam's ! >> dit Clémentine. Nous allons mettre nos achats dans le coffre de la voiture avant de revenir. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Mes deux anges évoquent le troisième trimestre qui les attend. Il faudra aller récupérer les livres présentant leurs thèses. L'imprimeur m'a fait savoir par courriel qu'ils étaient disponibles. C'est au programme de la semaine prochaine. Une soutenance de thèse est plus crédible avec un support livresque.

Nous traînons à table après avoir déguster nos "savarins" au caramel et un bon café. C'est parti, nous rentrons. Estelle assise à l'avant qui joue avec ma bite. Clémentine à l'arrière qui caresse mon cou, joue avec mes oreilles. << Suceuse ! >> dit elle à chaque fois qu'Estelle se penche sur sa gauche. Il est presque quinze heures quand nous sommes de retour. Nous rangeons les courses. Légumes dans le bas du frigo, fromages dans le haut. Nous pensons avoir les courses nécessaires pour trois à quatre jours. Les oranges, les pommes et les kiwis se conserveront très bien dans la petite armoire sur la terrasse. << J'adore te sucer quand tu roules. Il y a quelque chose de romantique ! >> me fait Estelle en passant ses bras autour de mon cou. << C'est ma référence ! >> fait Clémentine.

Nous changeons nos bottines pour les chaussures de marche. Nous enfilons nos anoraks. La température extérieure est de 12°. << Put-Hein, ça pèle, ras-le-cul ! >> lance Estelle quand nous ressortons. << Jamais dans le cul ! >> lance Clémentine. C'est en riant de bon cœur que nous nous dirigeons vers le portillon. Un bruit de moteur. Là-bas, c'est monsieur Guillaume qui arrive dans sa grosse Jeep bleue métallisée. << Attendez-moi là, planquez-vous ! >> dit Clémentine. Estelle m'entraîne par le bras pour nous dissimuler derrière l'angle de la grange. Estelle tire la paire de minuscules jumelles toujours dans le sac à dos. Nous mâtons. Pour monsieur Guillaume, Clémentine reste l'organisatrice. C'est avec elle qu'il était en contact pour la réservation, le formalités et les paiements.

Il s'adresse d'ailleurs toujours à elle comme la "directrice" de nos vacances. Rôle que nous lui laissons volontiers. Ils sont à une centaine de mètres. Monsieur Guillaume reste au volant tout en parlant avec Clémentine. Cela dure une bonne dizaine de minutes. Estelle et moi nous nous disputons la paire de jumelles. Estelle commente ce qu'elle voit, ce qu'elle suppose. Nous voyons Clémentine prendre appui des deux mains sur la portière du véhicule, se pencher pour regarder à l'intérieur. Plusieurs fois. Riant à chaque fois qu'elle se remet droite. Nous devinons parfaitement ce qui se passe. Nous le comprenons d'autant mieux quand monsieur Guillaume saute de sa Jeep. Il a sa bite à l'air. Un petit calibre mais présentant une érection dure et raide. Clémentine prend du recul en riant.

Le salaud agite sa queue en rigolant lui aussi. Clémentine tourne les talons. Elle s'éloigne. Se retourne plusieurs fois en faisant un signe amical de la main. Le salopiot fait tournoyer son Zob. "L'hélicoptère". Comme je le fais souvent moi-même. Clémentine nous rejoint. Mettant son visage dans ses mains, comme si elle se remettait de son trouble elle finit par nous dire : << On dirait la bite d'un singe. Toute poilue. La peau foncée. Vous avez vu ? >>. Nous n'avons pas vu avec l'éloignement malgré l'appareil optique qui grossit tout de même huit fois. Nous nous mettons à marcher en direction du viaduc. Clémentine nous raconte dans le détail : << Ce mec doit être velu comme un gorille. Du poil qui dépasse de partout. Il m'a proposé un tour dans sa Jeep. Un modèle importé des États Unis spécialement pour lui ! >>

Nous rions en écoutant Clémentine nous narrer son aventure. << Il t'a proposé la baise ou la pipe ? >> demande Estelle. << Non il m'a juste proposé une balade en voiture ! >>. Je l'encourage à accepter en disant : << Toi qui aime les vicelards, là, tu en tiens encore un bon, un vrai ! >>. Elle s'arrête, passe ses bras autour de mon cou. Estelle passe ses bras autour de nos épaules. Nos visages presque à se toucher, Clémentine nous fait : << Je peux vous abandonner un peu demain en fin de matinée. Juste une demi heure ? >>. Nous nous couvrons les joues et les lèvres de bisous. Estelle s'écrie : << Demain tu te fais balader en bagnole avec une bite dans la bouche ma cocotte ! >>. Nous rions aux éclats. Nous reprenons notre marche rapide pour arriver aux pieds de la gigantesque construction.

C'est un viaduc bâtit au dix neuvième siècle par la compagnie des chemins de fer. Il permet encore aujourd'hui aux nombreux trains qui circulent de franchir les cinq cent mètres d'une vallée encaissée entre deux massifs de basses collines. C'est impressionnant car les larges voûtes culminent à plus de soixante dix mètres de hauteur. Il y a un grand panneau d'informations. Des photos d'adeptes du saut en élastique. Il faut grimper le sentier pour monter jusque sur l'ouvrage mais c'est une interdiction absolue. Nous ne voulons pas prendre de risque mais nos curiosités sont aiguisés. Et nous apprécions tout particulièrement les transgressions. Il y a dix huit arches. Au milieu coule une large rivière aux eaux claires mais probablement aussi glaciales que l'atmosphère qui nous pousse à rebrousser chemin.

Il est dix huit heures quand nous revenons de notre équipée viaduc. L'endroit est un peu mystérieux. << Il faudrait revenir quand il fait beau et chaud. Il y a certainement de bons "plans" près de la rivière ! >> dit Estelle. Nous changeons de chaussures. Une table nous attend ce soir au "Lapin Chasseur". Restaurant gastronomique dans lequel Clémentine a réservé. C'est à la sortie du bourg. Nous nous y rendons à pieds. À peine trois kilomètres. << Ce sera une promenade digestive au retour ! >> lance Estelle. Les filles me tiennent par les mains. Nous arrivons pour dix neuf heures quinze. C'est un établissement deux étoiles recommandé par le Gault et Millau. Une superbe demeure de style néo gothique entouré d'un petit parc. Le personnel de très grande classe nous accueille comme si nous étions de vieilles connaissances.

Il y a du monde. Presque toutes les tables sont occupées. Celles qui ne le sont pas sont réservées. Une table nappée de blanc, de dentelle. Les murs recouverts de panneaux de chêne. De grands lustres au plafond dont les poutres sont apparentes. Il règne là une ambiance envoûtante. Nous félicitons une fois encore Clémentine pour cette nouvelle surprise. Ses qualités d'organisatrice. Nous choisissons un sanglier aux fonds d'artichauts poêlés. Une spécialité de la maison. En fait, c'est un pâté de sanglier en croûte, accompagné d'une sauce absolument délicieuse. Les fonds d'artichauts fondent dans la bouche. << C'est inouï tellement c'est bon ! >> murmure Estelle. Je ne sais pas laquelle me fait du pied sous la table. Probablement toutes les deux. Elles se font des clins d'œil. Estelle m'entraîne aux toilettes la première.

Enfermés dans un des cabinets des WC hommes, je la prends en levrette dès son pipi terminé. Avec les excitations quasi permanentes de nos journées, ça rentre assez facilement. Estelle, en appui de ses mains sur le carrelage du mur, me présente son cul cambré. Je n'ai qu'à la pénétrer. Jouant avec son clitoris. On y retourne toujours deux fois. Les deux fois avec Clémentine sont réservées à la pipe. Clémentine prend ses "gouttes". Thérapie du docteur Julien. Bien évidemment, cet homme d'âge mûr qu'accompagnent deux sublimes jeunes filles jusqu'à la porte des toilettes, ne va pas sans attirer l'attention. Des regards discrets. Envieux chez certains clients. Curieux chez certaines clientes. Les deux serveuses nous adressant d'étranges sourires à nos retours. Nos yeux cernés.

Bonne nouille à toutes les coquines qui aiment en partager le jus de cuisson sous les draps. Leurs clitoris turgescents et enfiévrés par la bouche gourmande du "docteur"...

Julien (Docteur Honoris Causa es cunnilingus)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
- 2 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2593 -



Troisième journée de vacances

Presque huit heures trente, hier matin, mardi. C'est un peu le même procédé qu'utilise Estelle pour me tirer du sommeil. Elle déteste être seule. Aussi, bougeant ses pieds contre les miens, toujours en quête de chaleur, dès qu'elle me sait réveillé, elle saisit ma tumescence, pose ses lèvres en ventouse sous mon oreille. C'est tellement agréable de revenir à la réalité de cette manière. Tout cela tire également Clémentine de son sommeil. Elle vient se blottir contre moi. Je suis entre mes deux anges dans une volupté extraordinaire. Surtout quand je glisse mes mains dans les culottes. Il y fait broussailleux et chaud. Mes doigts qui passent délicatement entre les lèvres de leurs intimités. J'ai déjà envie de passer sous les draps comme avant de dormir, pour lécher, sucer et m'enivrer.

Estelle se lève d'un bond. Elle se précipite vers la porte dans son pyjama de soie mauve, s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine s'empare de mon sexe qui redevient mou. Une cuisse sous mes fesses, l'autre sur sa main, elle imprime un mouvement masturbatoire de son bassin. << Je fais l'amour avec toi ce soir. Mes "petits machins" seront terminés ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. En slips et T-shirts de nuit, nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans les suaves odeurs du café, du pain grillé. Nous avons acheté une belle brioche au pudding en faisant les courses lundi. Elle trône sur la table. Je viens me placer derrière Estelle qui presse les oranges. Mes mains sur ses hanches qui remontent sur ses seins minuscules. Clémentine qui fait pareil derrière moi. Sandwich.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les attitudes de monsieur Guillaume. Son invitation d'emmener Clémentine faire un tour dans son énorme Jeep bleue métallisée. << Tu vas le faire ? >> demande Estelle. Avant de répondre Clémentine vient s'assoir sur mes cuisses, trempe sa tranche de brioche dans mon café. << Seulement si Julien veut bien ! >> dit elle. Je l'encourage. Je propose même à Estelle de les accompagner, installée sur la banquette arrière. << Tu es fou, moi je reste avec toi ! Je suis mieux avec toi, moi ! >>. s'exclame t-elle comme offusquée. Nous en rions de bon cœur. Nous traînons un peu à table. Estelle vient à son tour s'assoir sur ma cuisse libre. Nous évoquons le programme de l'après-midi. La visite du musée du Haut Moyen-Âge de Bourg-Vignes.

La vaisselle. La météo est sensiblement la même. Consultant la température sur son I-phone, Estelle annonce : << Il fait 5° aujourd'hui ! On va vers le mieux ! >>. Clémentine rajoute : << Mais on fait comme hier, on s'entraîne au chaud ! >>. Estelle enlève son pyjama à la salle de bain. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous restons en slips et T-shirts. C'est au salon, en déplaçant la table que nous pratiquons nos mouvements aérobics, nos sauts et extensions. Les exercices au sol sur les tapis en mousse. Les étirements d'une excellent stretching. Le tout dans une certaine déconnade. Estelle prend sa douche pendant que nous recouvrons le lit. Nous la rejoignons à la salle de bain, c'est à notre tour. Estelle chantonne en s'habillant.

Tous les trois en jeans, épaisses chemises à carreaux et baskets, nous passons au salon. Assises sur mes genoux, mes deux anges allument l'ordinateur. Trois courriels. Un message de Juliette qui nous raconte la cérémonie d'enterrement de sa tante bien aimée. Elle reprend l'avion du retour demain, mercredi. Un mail de Lise, notre "fille de ménage" qui nous propose de passer lundi prochain en début d'après-midi. Un message de Danièle qui nous raconte un peu de l'entreprise agricole qu'elle dirige avec son mari. C'est Clémentine qui répond. Estelle se lève pour se diriger vers la porte. << Interdiction absolue d'entrer à la cuisine, je prépare le repas de midi. Surprise ! >>. Je caresse les seins minuscules de Clémentine toujours assise sur mes cuisses, me tournant le dos pour répondre aux mails.

Nous entendons Estelle chanter depuis la cuisine. Accompagnant les bruits rassurants des ustensiles qu'elle manipule. Clémentine change de position pour se mettre à califourchon, ses bras autour de mon cou. << Je ne vais pas te faire de la peine en allant faire un tour en Jeep ce matin ? >> me demande t-elle. Je la rassure. Une fois encore je tente de trouver les mots les plus justes pour décrire les sentiments que cela induit dans ma psyché. Elle mitraille mon visage de bisous en murmurant : << Je suis une vraie salope ! Tu me pardonnes ? >>. Je la réconforte en répondant : << J'aime les salopes. Si tu ne l'étais pas, je serais mort d'ennui depuis longtemps ! >>. Nous rions. Clémentine enfonce sa langue dans sa bouche pour se frotter lascivement. Mon érection est quasi immédiate.

Elle se lève pour se diriger vers la porte fenêtre qui donne sur la terrasse. Le ciel est bleu. Le soleil y est déjà haut. Par contre le froid reste glacial. Je vais la rejoindre, mes bras autour de sa taille, mon visage près du sien. Nous regardons la Jeep approcher du bungalow. << J'y vais ! Je te raconte tout en revenant ! >> dit elle trop impatiente d'aller rejoindre le propriétaire. Je reste en retrait. Clémentine enfile son anorak. Comme si elle était prévenue, Estelle vient me rejoindre avec une odeur de friture. Elle se serre contre moi, nous nous tenons par la taille. Nous regardons Clémentine courir vers la Jeep. << Mais quelle salope ! Elle va carrément faire un tour avec ce type. Il est gros et moche en plus. Beurk ! >> fait elle. Clémentine s'installe à côté de monsieur Guillaume. La Jeep démarre.

À l'instant où elle disparaît vers la route, arrive une Mercedes noire. C'est probablement madame Guillaume. Je n'utilise évidemment que des pseudos afin de préserver l'anonymat de ces gens. C'est une femme élégante, belle et filiforme. Estelle se tourne pour entourer mon cou de ses bras : << Tu me fais l'amour. On est juste toi et moi. C'est tellement rare ! >> dit elle. Sans attendre ma réponse, elle m'entraîne dans la chambre. Nous retirons nos vêtements. << La bouffe est prête, il n'y aura qu'à réchauffer ! >> fait Estelle en s'allongeant à côté de moi. Elle se couche sur moi. M'embrasse. Je la fais tomber sur le côté pour m'allonger sur elle. Restant en appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids, je laisse Estelle prendre les initiatives. Elle saisit mon érection pour se l'introduire.

C'est en amoureux cette fois. Pas de baise à la hussarde. Je ne connais pas Estelle langoureuse et lascive. Elle toujours si fougueuse et passionnée, que je baise à la façon d'un ours en rut. Non. Nous bougeons à peine. Nous nous berçons. Nous nous embrassons. << Je t'aime Julien. Je voudrais tellement être avec toi, toute seule, plus souvent. Je t'aime ! >>. C'est un peu comme une désespérée qu'elle murmure ces mots plusieurs fois à mon oreille. C'est vrai que c'est le paradis de faire l'amour avec elle. Parfois elle s'accroche à moi en poussant de petits gémissements. Je l'emmène doucement dans des chevauchées fantastiques. Parfois je me laisse retomber, en appui sur mes coudes, mon visage contre le sien ou dans sa nuque. Bougeant doucement. C'est merveilleux.

Cette fois, Estelle ne se masturbe pas en même temps. Gardant ses bras autour de mon cou ou me tenant par les épaules. Je discerne à peine des << Mon amour ! >> dans ses gémissements plaintifs. Pas l'ombre d'un doute, pour la toute première fois, Estelle s'emmène à l'orgasme sans me repousser délicatement pour se terminer aux doigts. Je dois avouer, un peu honteux, que pas un seul instant je ne pense à Clémentine. << Viens ! >> murmure Estelle en se tortillant, cherchant le meilleur angle pour s'abandonner dans les voluptés du plaisir. J'éjacule dans une sorte d'ivresse. C'est prodigieux. Estelle sent mes jets de sperme au plus profond de son intimité. À chacun elle a un spasme. À chacun elle pousse un petit râle. Nous avons fait l'amour plus d'une demi heure. Un vrai bonheur.

Couchés l'un contre l'autre, nous échangeons nos impressions. << C'est tellement bon de ne pas baiser mais de faire l'amour ! >> dit elle en se retournant. Elle se blottit contre moi. J'en suis pétri d'émotion. Je n'en ressens aucune culpabilité. Après tout, Clémentine se fait peut-être tringler quelque part. Il va être 11 h50. Le bruit d'un moteur. Estelle se redresse d'un bond, m'attrape la main. Nous nous précipitons à la fenêtre. La Jeep est garée à côté de la Mercedes. Il n'y a que monsieur Guillaume au volant. << Cette salope suce ! >> murmure Estelle qui reste serrée contre moi. Nous ne portons que nos chaussettes. Complètement à poil. Nous observons. Le salopard la tire probablement par sa natte pour la forcer à se redresser. Pour la forcer à cesser de sucer sa queue.

Car Clémentine se redresse soudain. Ils bavardent tranquillement. Il est difficile de voir les expressions sur les visages à cause des reflets du soleil sur le pare brise. Clémentine sort du véhicule. Elle s'éloigne en se retournant deux fois pour faire un signe amical à monsieur Guillaume toujours au volant. Il sort son bras par la vitre baissée pour pointer son pouce vers le ciel. Clémentine nous trouve tous nus, nous tenant par la taille. Elle éclate de rire. << Mais vous faites quoi comme ça, à poil, tous les deux ? >> s'exclame t-elle en retirant son anorak. Elle ramène de l'air froid du dehors. Ce qui nous fait frissonner. Nous nous habillons en vitesse. << On a fait l'amour ! >> répond Estelle. Morts de faim nous nous précipitons tous les trois à la cuisine. Surprise. Un gratin de coquillettes.

Une salade de carottes. Une sauce contenant de la viande de volaille émincée. C'est un délice. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine nous raconte, dans les plus infimes détails, ce qui s'est passé dans la Jeep bien chauffée. << Je n'ai pas arrêté de pomper ce vrai vicieux. Je me suis vraiment régalée. Encore meilleure que la bite de monsieur Bertrand ! >> lance à plusieurs reprises Clémentine. << Il t'a baisé ? >> demande Estelle. << Non. Bien sûr que non. Ce genre de pervers préfèrent se faire tailler des pipes ! >> répond Clémentine. Un tour en voiture où Clémentine a pratiquer une fellation au chauffeur plus d'une demi heure. << Il t'a juté dans la bouche ? >> demande Estelle. << Bien sûr ! Et deux fois ! >> répond Clémentine. Elle rajoute : << Un sperme affreusement dégueulasse ! >>. Nous rions des quelques impressions que partage Clémentine. Elle précise : << Il me propose la même chose demain matin, l'enfoiré ! >>

Elle s'empresse de préciser devant nos étonnements : << Mais tout ce qui venait avant fut un régal. Je crois que je ne me suis jamais régalée autant ! >>. Nous rions de bon cœur. Estelle raconte ce qui s'est passé entre nous. Sans trop entrer dans les détails. Clémentine me fixe d'une étrange façon. Je la sais très jalouse et très possessive. Mais depuis sept ans que nous partageons tous les trois nos pulsions sexuelles, Clémentine connait bien les comportements d'Estelle. Toutes les deux, comme des sœurs jumelles et depuis qu'elles ont douze ans. Clémentine vient s'assoir sur mes genoux. Comme pour marquer son territoire. << Toi, tu fais ta crise de jalousie. Tu es gonflée quand même ! >> lance Estelle. Nous rions aux éclats quand Clémentine répond : << Et toi tu veux piquer mon mec ! >>

La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Clémentine est déjà en bottines. Nous faisons pareil. C'est parti. C'est à pieds que nous allons jusqu'au village. Il va être 14 h30. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par les bras. Clémentine est d'une incroyable douceur. Autant qu'Estelle. Le Musée du Haut Moyen-Âge s'avère d'un grand intérêt. Il n'y a que peu de visiteurs. La visite est libre. Estelle profite de chaque opportunité pour toucher, palper, ma braguette. << Tu me pardonnes ? >> me demande plusieurs fois Clémentine. C'est en riant que je la rassure. Je dis : << Je n'ai rien à pardonner. J'aime te savoir libre, coquine et brigande ! >>. Estelle rajoute : << Et si tu refais un tour en Jeep demain, je baise avec Julien ! >>

Bonne faim d'après-midi à toutes les coquines qui s'offrent une soirée au restaurant "Les vignes". Avec visites aux toilettes hommes. Avant de retrouver un bon lit bien chaud. Avant de se faire pénétrer une première fois pour l'une, une seconde fois pour l'autre. Avant de s'endormir avec le goût du foutre contre leur coquin...

Julien (coquin cocu)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...
Homme, 53 ans, France
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Le quatrième jour des vacances

Hier matin, mercredi, il est un peu plus de huit heures trente. C'est un peu notre horloge biologique qui régit nos durées de sommeil à chaque vacances. Estelle à ma droite, qui saisit ma tumescence dès qu'elle me sent bouger. Ses lèvres comme une ventouse dans mon cou. Je peux sentir la pointe de sa langue bouger contre ma peau. Clémentine à ma gauche qui vient se blottir. Je reviens lentement aux réalités entre mes deux anges. Glissant mes mains dans les culottes. Démêlant quelques poils plus rebelles que les autres. Passant mes doigts entre les lèvres chaudes et moites de leurs vulves. Estelle se redresse en s'écriant : << Si je ne vais pas immédiatement pisser, je fais dans les draps ! >>. Je retire mes doigts. Nous la regardons courir vers la porte dans son pyjama de soie mauve.

Clémentine qui se couche sur moi pour murmurer : << Merci pour me permettre de tels égarements. Parfois je m'en veux. Et là, carrément, je culpabilise. Je t'aime tellement fort ! >>. Elle me couvre le visage de bisous. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans les suaves odeurs matinales du café et du pain grillé. Le reste de la brioche y participe dans le four à micro ondes. Je pose mes mains sur les hanches d'Estelle entrain de presser les oranges. Je remonte sur ses seins. Clémentine venant derrière moi pour glisser ses mains dans mon slip. Nos papouilles. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos péripéties de mardi. La "promenade" en Jeep de Clémentine avec monsieur Guillaume. La visite du musée. Le restau.

Nous mangeons de bon appétit en écoutant Clémentine proposer l'itinéraire de la randonnée de l'après-midi. Ce sera le circuit des Abbés. Ainsi nommé à cause de l'Abbaye toujours occupée par une dizaine de moines agriculteurs. << D'abord tu vas sucer le gros, je pense ? >> lance Estelle. << Si Julien est d'accord ! >> dit Clémentine en venant s'assoir sur mes genoux la première. Comme à chaque fois, je me fais piller mon café et mon morceau de brioche. Nous en rions de bon cœur. Estelle ne tarde pas à venir s'assoir sur ma cuisse libre. Nous traînons à table. C'est Estelle qui propose de faire notre petit film souvenir dans notre adorable petite maison en bois de style colonial. Un film porno comme à chaque fois. << Tu as le scénario ? >> demande Clémentine. Estelle se met à chanter.

Pour ne pas répondre tout de suite. Elle finit par dire : << Oui, une salope qui cocufie son mec avec un gros moustachu ! >>. Nous rigolons comme des bossus. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Estelle enlève son pyjama pour rester en slip et T-shirt de nuit comme nous. Au salon nous poussons la table contre le mur. Nous avons alors la place pour nos mouvements d'entraînement. Principalement aérobics. Les exercices au sol sur les tapis de mousse que nous avons eu la justesse d'esprit d'emmener avec nous. Estelle prend sa douche la première pendant que nous faisons le lit. Nous la rejoignons à la salle bain où elle fait un peu de rangement pendant que nous sommes sous l'eau. Nos Levis, nos chemises à carreaux.

Les baskets pour retourner au salon. Assises sur mes cuisses, me tournant le dos, elles allument l'ordinateur. Mes mains sur leurs seins minuscules. Nous n'avons pas de courriels. Les filles surfent sur le site de l'université. Il y a de nouvelles informations concernant leur section. Elles lisent à voix hautes. Je déboutonne les boutons pour passer mes mains sous les chemises. J'aime sentir leurs cœurs battre sous leurs seins. Ils semblent palpiter, vivre une vie indépendante de leurs propriétaires. C'est magnifique. << Mais tu es un coquin toi ! >> lance Estelle en se levant pour s'installer à califourchon sur ma cuisse. Clémentine fait de même. C'est une attaque en règle. Mon visage mitraillé de bisous. Estelle passe de plus en plus souvent sa langue sur ma peau. C'est neuf.

Dehors le ciel est bleu. Le soleil est omniprésent. Par contre en interrogeant son I-phone, Estelle s'exclame : << On se calme, il fait seulement 10° ! >>. Je dis : << Oh, mais nous avons donc gagné six degrés en vingt quatre heures alors ! >>. Les filles se lèvent pour m'entraîner par les mains. Nous guettons l'apparition de la Jeep. Il n'y a que la Mercedes de madame Guillaume garée à côté de la mienne. Nous pouvons les comparer. Estelle, sa main dans ma braguette, serrée sur ma droite, Clémentine serrée sur ma gauche. Je peux sentir les légers tremblements du corps de Clémentine. << J'ai toujours la trouille avant de faire des trucs avec un autre ! >> murmure t-elle. << Et pendant que tu vas les faire, moi je vais faire l'amour avec le tient ! >>. Nous en rigolons comme des bossus.

Voilà d'ailleurs la Jeep qui contourne la grande maison pour rouler lentement jusqu'aux Mercedes. Clémentine me dépose une rapide bise sur la joue avant de filer. Elle enfile son anorak alors qu'Estelle lance : << Et bonne pipe, salope ! >>. Clémentine avant de sortir répond : << Merci ! >>. Par la porte fenêtre du salon nous la regardons courir vers monsieur Guillaume qui s'affaire derrière l'imposant véhicule. << Put-Hein, l'enculé ! Regarde, il a la bite à l'air ! >> s'écrie Estelle en se blottissant contre moi. En effet, en regardant bien, ce qui dépasse de sa braguette n'est pas seulement suggéré mais bien visible. Clémentine se penche pour faire une bise au vicelard. Elle le dépasse d'une demi tête. Le salopard passe sa main entre ses cuisses. Clémentine se cambre, fléchit ses genoux.

<< Qu'est-ce qu'elle est salope ! Elle en a déjà fait son amant de vacances ! >> lance Estelle avant de me sortir le chibre. Je bande dans sa main comme le dernier des salauds. << Dès qu'ils sont partis, on va dans la chambre. Aime-moi comme mardi ! >> rajoute t-elle. Je glisse ma main dans son Levis. Elle le déboutonne pour me permettre un meilleur accès. Estelle est une authentique voyeuse. Depuis l'adolescence. Elle est là dans son élément. Là-bas, Clémentine reste debout à regarder ce que bricole monsieur Guillaume. Il tire deux pneus de vélo VTT du coffre arrière. Il invite Clémentine à le suivre dans la grange. Ils disparaissent. La porte se referme. En regardant la fumée qui sort de la cheminée nous comprenons que la grange est chauffée. C'est en réalité un atelier.

<< Viens, on va essayer de mâter ! >> me fait Estelle en me tirant par le Zob. Je suis obligé de marcher en canard, comme un con, pour la suivre. Nous enfilons nos anoraks. Nous sortons dans le froid. Estelle me prend la main pour m'entraîner vers le portillon de la propriété. Nous voilà sur le chemin qui mène au viaduc. Derrière la grange. Il y a deux petites fenêtres aux croisillons minuscules. Nous regardons par une des vitres. J'en reste pantois. C'est en effet un atelier de bricolage. Un établi, des outils accrochés au-dessus, deux vieilles armoires en bois. Et cette magnifique Jaguar E que restaure visiblement notre saligaud. On ne les voit pas. Estelle m'entraîne vers la seconde fenêtre. Ils sont là. Clémentine tient la bite du mec qui lui montre un album de photos. Où quelque chose qui y ressemble. Nous découvrons les expressions émerveillées de Clémentine. Et surtout l'autre voiture ancienne déjà restaurée. Une Ferrari.

Estelle reste serrée contre moi. Nous pouvons ainsi faire les voyeurs en nous tenant chaud. << Je t'aime Julien ! >> murmure Estelle. Il se passe quelques minutes où monsieur Guillaume semble expliquer des choses à Clémentine. Nous n'entendons hélas rien. Si ce n'est le gazouillis de quelques oiseaux dans les arbres derrière nous. C'est une Ferrari Dino, comme neuve, de ce rouge caractéristique. Nous comprenons qu'une des passions du propriétaire est de restaurer des voitures de luxe. Il pose l'album photo sur la table pleine d'outils. Il se tourne. Nous pouvons enfin voir sa queue. C'est étrange. La peau de son Zob fripé est foncée. Elle ne surgit pas seulement de sa braguette mais d'une incroyable masse de poils. Même en érection la peau semble fripée. << Jamais vu une comme ça ! >> chuchote Estelle. Clémentine, se tenant au pantalon d'épais velours brun du bricoleur, s'accroupit. Elle prend ce truc en bouche, une expression d'extase sur le visage. Un visage fourré dans les poils. C'est à la fois surréaliste et bien dégueu. Clémentine qui se gratte les joues. Chatouillée par toute cette pilosité.

Estelle et moi nous nous serrons encore plus fort. Je suis envahi de ce curieux sentiment. Inexprimable. Comme un mélange de nostalgie, de tristesse et d'excitation. Estelle me confie son ressenti. Très semblable au mien. << Regarde-moi cette salope ! >> murmure t-elle. J'ai vu Clémentine sucer des mecs à de nombreuses reprises. Mais à chaque fois j'ai l'impression qu'elle s'éclate davantage. Ce qui semble être le cas. Les yeux fermés, nous la voyons de profil. Nul doute, Clémentine est entrain de se régaler. Elle se redresse. Sans doute pour éviter l'ankylose. Monsieur Guillaume la prend par le bras. Assez fermement pour l'entraîner vers le vieux fauteuil entre le second établi et une des armoires. Clémentine s'y installe. Monsieur Guillaume se place devant elle. Présentant le Zob.

C'est hallucinant. Estelle et moi, visages collés contre la vitre, nous partageons cette vision extraordinaire. << Tu aimes faire le voyeur avec moi ? >> me demande Estelle. Ce n'est pas la première fois que nous sommes cachés tous les deux pour regarder Clémentine se livrer à une de ses passions. Je chuchote : << Ce sont les moments les plus divins et les plus intenses ! >>. Nous observons. Les vitres sont un peu sales. Il faut se concentrer. Clémentine, assise bien droite, accrochée de ses mains aux pans de la grosse veste en velours de notre salopiot, suce comme si sa vie en dépendait. Elle a souvent toute la bite en bouche. Son visage disparaît carrément dans les poils. Nous voyons les mouvement de ses joues qui se creusent. Sa gorge qui bouge lorsqu'elle avale. Il y a une mousse laiteuse tout autour de sa bouche. Ce type doit être hyper juteux. C'est très certainement le foutre qu'elle n'arrive pas à déglutir. Les expressions d'extase sur ses traits en disent long sur le moment que vit Clémentine. Le bougre saisit sa tête pour enfoncer davantage de bite. Elle en a des hauts le cœur.

Elle qui adore sucer des inconnus est encore dans son élément. << Mais quelle salope ! >> murmure à plusieurs reprises Estelle. Je chuchote : << J'aime la compagnie des salopes. Je m'ennuie tellement avec celles qui ne le sont pas ! >>. Clémentine se retire soudain. Elle évite de justesse les trois extraordinaires saccades que projette l'érection de monsieur Guillaume. Clémentine qui d'habitude aime se faire éjaculer dans la bouche, se retire cette fois. Elle reste comme à guetter que la dernière giclée soit expulsée. Monsieur Guillaume, les mains sur celles de Clémentine regarde ce spectacle avec bonhommie. Il se penche pour parler. Clémentine lève la tête, lui adresse un merveilleux sourire en faisant un mouvement positif. Elle reprend le sexe à présent mou dans la bouche. Je connais bien ce réflexe qu'elle a avec moi. Vider le "fond de cuve". Va t-elle repartir pour un second tour ? Brusquement monsieur Guillaume se retire. Affolé.

Nous comprenons. C'est sa femme qui entre dans l'atelier. Il est tourné vers l'établi en saisissant prestement une grosse clef à molette. Madame Guillaume tient une vieille lanterne à la main qu'elle vient déposer sur la table. Sans un regard pour Clémentine. L'a t-elle vu ? C'est soudain très étrange. La dame s'en va aussi vite qu'elle est venue. Clémentine se lève. Elle se précipite vers la porte en s'essuyant la bouche. Monsieur Guillaume ferme sa braguette avant d'aller examiner la lanterne posée sur la table. Nous rejoignons Clémentine dans la maison. << Raconte ! >> s'écrie Estelle. Clémentine n'ose pas me regarder. J'adore ce comportement. Je m'empresse de la prendre par les épaules pour dire : << Tu as été fantastique. Merveilleuse ! >>. Estelle rajoute : << Et la plus salope des salopes ! >>. Il va être 11 h45. Je propose de prendre la voiture pour aller manger au village. << Non ! On se passe du bon temps ici ! >> lance Clémentine.

Bonne journée à toutes les coquines qui aiment préparer le repas de midi avant de partir en randonnée. Passer la soirée dans un bon restaurant gastronomique. Raconter leurs petites histoires autour d'une table nappée de blanc devant une délicieuse spécialité. Avant de se faire lécher et pénétrer sous la couette...

Julien (voyeur)



NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Notre cinquième jour de vacances

Ce jeudi matin est en tous points identique à ceux qui l'ont précédé depuis quelques jours. Il est un peu plus de huit heures trente quand je suis définitivement arraché à mon sommeil. Estelle, dans cet élan matinal dont elle est coutumière, se serre encore plus fort contre moi. Saisissant mon érection qu'elle qualifie de "biologique". Posant ses lèvres sous mon oreille. Titillant la peau de mon cou du bout de sa langue. Je dois reconnaître qu'il y a pire comme réveil matin. J'en gémis d'aise. Clémentine se tourne pour venir se blottir. Je passe mes bras autour de leurs épaules. Me faisant masser les parties génitales en riant. Nous nous amusons bien quand Estelle se lève d'un bond. << Je vais pisser, sinon c'est la cata ! >>. C'est un spectacle de la voir se précipiter vers la porte en courant.

Clémentine se couche sur moi, se frotte lascivement en murmurant : << Merci Julien pour m'autoriser toutes mes folies ! >>. Elle fait allusion aux pipes qu'elle taille au propriétaire de notre gîte. Je m'empresse de la rassurer : << Je n'ai absolument rien à t'autoriser. Tu es un être libre. Et j'aime te savoir dévergondée, licencieuse et vicieuse. Tu es le sel de ma libido ! >>. Nous rigolons comme des bossus en nous précipitant à notre tour aux toilettes. << Tu es mon poète ! << murmure t-elle en tenant ma bite pour en diriger les jets. Ces suaves odeurs de café, de pain grillé en rejoignant Estelle dans la cuisine. Le rituel. Mes mains sur ses hanches. Clémentine se place derrière moi. Estelle pèle les kiwis alors que je caresse ses seins minuscules. << J'ai mes "petits machins" docteur. Il faudra mettre en pratique vos qualités de thérapeute. Un peu bobo ! >> murmure t-elle.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de mercredi. La fellation prodiguée à monsieur Guillaume. Notre randonnée de l'après-midi. La soirée au restaurant. Nous mangeons de bon appétit en écoutant Estelle nous décrire les sensations qui tourmentent ses viscères. Une sorte de douleur sourde. << J'ai pris mes médocs mais c'est bien chiant quand même ! >> précise t-elle en venant s'assoir sur mes genoux. Je promets d'endosser le personnage du docteur en préconisant des "gouttes". C'est en riant que Clémentine vient s'installer sur ma cuisse libre. Les filles, terminant leurs tartines au miel, font le vague programme de l'après-midi. Ce sera la visite du musée du meuble ancien. À la sortie du village. Nous qui adorons faire les brocantes ! Ce sont des réjouissances qui s'annoncent.

Nous traînons à table. << Tu as déjà un "plan" de prévu avec le "gros" ? >> demande Estelle. Clémentine répond : << Oui, à onze heures. Il m'emmène faire un tour dans la Jeep. Mais il n'est pas vraiment "gros". Juste un peu enveloppé ! >>. Nous rions de bon cœur. La vaisselle. Dans la salle de bain, devant le miroir, en nous lavant les dents, ce sont les clowneries habituelles. Concours de grimaces, imitation de pipes et autres tirages de langues. Dans le salon, après avoir déplacé la table, posé les tapis de mousse, nous nous offrons le second plaisir de la journée. Il fait toujours aussi beau mais la température glaciale reste à 8°. Pas le courage d'aller courir. Exercices aérobics, exercices au sol. Estelle aussi trouve un grand soulagement dans la pratique des flexions abdominales. Parfait.

Elle ne prend pas de douche pour se contenter d'une toilette au lavabo pendant que nous y sommes. Très souvent, sous l'eau, ses douleurs s'accentuent. Nous recouvrons le lit habillés de nos 501, de nos épais sweats, nos baskets. Assises sur mes cuisses, mes deux anges allument l'ordinateur. Nous n'avons qu'un seul courriel. Juliette est rentrée de Corse pour retrouver son haras. Elle nous raconte son séjour par quelques phrases descriptives et adroites. Joignant une photo où nous la découvrons en tenue de deuil. Extraordinairement sexy ainsi vêtue de noir entre des inconnus. Membres de sa famille. Je caresse délicatement les seins d'Estelle. Leurs extrémités sont dures. Elle se lève. Clémentine change de position pour s'installer à califourchon. Je pose ma bouche sur le sweat d'Estelle.

Au travers de l'épais coton, je souffle de l'air chaud. << Mmhh, docteur, ça soulage ! >> dit elle. En déboutonnant son 501 elle rajoute : << Ici aussi docteur sel vous pli ! >>. Je dois me pencher pour poser ma bouche sur le coton de sa culotte. Pour me permettre une meilleure position, Clémentine se lève. Je souffle de l'air chaud. Sous les gémissements d'aise de ma "patiente". Je cesse pour masser délicatement son bas ventre. Je me redresse. Nous revenons surfer sur le site de l'université. Pas de nouvelles informations. Un petit tour sur les messageries des différents forums où nous publions nos aventures. << Regardez, il y a un mec qui a ouvert un sujet nous concernant ! >> lance Estelle. << Peut-être un admirateur ! >> dit Clémentine. << Ou un troll fouteur de merde ! >> s'exclame Estelle.

Nous en rions de bon cœur. Debout devant la porte fenêtre de la terrasse, nous regardons ce magnifique jardin qui entoure la propriété. Je tiens mes deux anges par la taille. La main d'Estelle dans ma braguette. Celle de Clémentine sur mon épaule. << Tiens, voilà la bonne femme ! >> s'écrie soudain Estelle. En effet, la grosse berline Allemande vient se garer à côté de la nôtre. Madame Guillaume est une belle femme, élégante et pleine d'une classe aristocratique. Nous la regardons contourner sa voiture pour ouvrir le coffre arrière. Il y a un fin lévrier blanc qui arrive en courant. La femme tire de grands sacs de l'auto. J'ai envie d'aller l'aider, excellent façon de faire la connaissance de cette personne distante et mystérieuse. Elle n'a jamais cherché à savoir qui étaient les vacanciers.

<< Non, pas question. Tu es notre prisonnier. Interdiction d'aller draguer de la bourge ! >> lance Estelle en sortant ma bite. Nous n'avons pas le temps de disserter plus longuement sur mes pulsions galantes. Voilà l'énorme Jeep bleue métallisée qui arrive pour se garer à proximité du bungalow. << Je file ! >> fait Clémentine en déposant une bise sur ma bouche. << Je vous raconterai ! >> dit elle en enfilant son anorak. << Bonne pipe ! >> lui lance Estelle en se blottissant contre moi. Par la fenêtre nous regardons Clémentine courir vers la voiture dans laquelle elle monte. Nous voyons monsieur Guillaume passer son bras autour de son épaule. Ils bavardent un peu avant que Clémentine ne disparaisse en se penchant sur sa gauche. << Mais quelle salope ! >> s'écrie alors Estelle.

Le véhicule fait un demi cercle pour repartir vers la sortie de la grande propriété. Estelle m'embrasse longuement. << Je t'ai rien que pour moi Julien. Finalement, les escapades de Clémentine ont du bon ! >> dit elle. Je l'entraîne vers la chambre. Je la fais tomber sur le lit en disant : << Je vais m'occuper de toi ! >>. Trop heureuse à l'idée de ce qui l'attend, Estelle retire ses baskets, son Levis, sa culotte. Couchée sur le dos elle s'exclame : << Viens vite ! >>. Je m'allonge à ses côtés. Une nouvelle fois je soulage l'extrémité de ses seins douloureux en soufflant de l'air chaud. Elle se touche. Ma main rejoint la sienne. Je tire un peu sur la courte ficelle blanche que je découvre dans la broussaille. << Arrête ! >> murmure t-elle en riant. Je me redresse, me déplace. À plat ventre.

Mon visage entre ses cuisses qu'elle resserre sur mes joues. Je suce son clitoris. C'est merveilleux de le sentir durcir entre mes lèvres ventouses. C'est également merveilleux de sentir tout le corps d'Estelle se relâcher, se détendre complètement. Ses gémissements. Ses profonds soupirs. Lorsqu'elle reprend son souffle après de longues apnées. Elle caresse ma tête. Me tient par les oreilles. Passe ses doigts sur mes tempes pour les masser. Les frissons de l'intérieur de ses cuisses contre mes joues. C'est un bonheur vertigineux et partagé. Je sais quand il faut cesser pour prolonger la fête. Estelle, en parfaite symbiose, respire une grande bouffée d'air avant de s'abandonner une nouvelle fois à la volupté indicible de mes caresses linguales et buccales. Un premier orgasme. Très agité.

J'adore quand elle tortille du bassin sous l'effet du choc physiologique. De petits râles qu'elle émet entre deux soupirs. Elle veut me repousser délicatement pour pouvoir s'allonger sur le côté comme elle aime à le faire après avoir joui. Mais je place presque immédiatement ma bouche sur son bouton de plaisir. Comme émerveillée, Estelle lâche un cri en se laissant tourmenter une seconde fois. << Je t'aime. C'est tellement bon tout ce que tu me fais ! >> murmure t-elle entre deux gémissements lascifs. Pas un seul instant je ne pense à Clémentine. De m'occuper de sa "jumelle" me comble d'un étonnant sentiment de plénitude. Le second orgasme d'Estelle la fait hurler. Cambrée, me tenant la tête, agitant le bassin, comme une désespérée elle tente de me repousser. Je me laisse guider.

Couchée sur le côté, dans mes bras, ses mains entre ses cuisses, comme en proie à une intense douleur, Estelle se lâche totalement. Nous n'avons pas la notion du temps qui s'est écoulé. Toujours est-il que c'est la situation dans laquelle nous retrouve Clémentine. Elle saute sur le lit. J'esquive ses tentatives de me faire des bises. Elle sait qu'après avoir sucé une autre bite, ces élans provoquent chez moi un certain dégoût. Ce qui la fait rire. Estelle qui s'était endormie, s'écrie : << Raconte ! >>. Clémentine s'assoit en tailleur sur le lit, prend un air coquin pour répondre : << Pipe en voiture. Roulant dans la nature ! >>. Nous rions aux éclats. Clémentine s'empresse de rajouter : << Et là, j'arrête parce que je n'ai pas envie de baiser avec ce porc ! Il insistait durant toute la promenade ! >>

<< Je me méfie parce que le prochain coup je crois bien qu'il ne me demandera pas mon avis l'enfoiré ! >> conclue t-elle. Nous sommes morts de faim. Nous n'avons rien préparé. Je propose d'aller au fastfood de la station essence. Estelle s"habille en disant : << Non ! On se fait des croûtes aux anchois. C'est vite fait et délicieux ! >>. Nous courons pour aller à la cuisine. Estelle coupe les longues tranches dans la miche "paysanne". Clémentine fait l'assaisonnement du concombre. J'ouvre les deux boîtes d'anchois. Je les allonge sur les tranches de pain beurrées. De fines lamelles de gruyère dessus. Le tout au four à micro ondes. Nous mangeons de bon appétit en nous racontant nos déviances, nos exactions et nos émotions. Clémentine insiste. Il n'y aura pas de quatrième fois avec le type.

Malgré ma recommandation de se faire "tirer" juste pour le "fun". Visiblement ça ne s'est pas très bien passé dans la voiture. << Il n'arrêtait pas de me tenir par la nuque, à m'étouffer avec sa bite au fond de ma gorge, à m'insulter. Brutal et finalement très con ! >> s'exclame Clémentine. << Moi, le docteur Julien m'a soigné de tous mes maux ! >> lance Estelle qui vient s'installer sur mes genoux. << Vous deux, ça commence à m'inquiéter. Je ne vous lâche plus d'une bite ! >> dit Clémentine en venant s'assoir à son tour. Nous traînons à table. Pour ce soir, Clémentine nous a réservé une table au Restaurant du Château. Conseillé par le guide Michelin. Il faudra toutefois parcourir dix sept kilomètres en fin d'après-midi. La vaisselle. Lavage de dents en déconnant un maximum. Pliés de rire.

Nous chaussons nos bottines. Il fait un peu meilleur avec 18°. Nous remplaçons les anoraks par les blousons d'épais cuir brun. C'est parti. Le musée du meuble ancien est à la sortie du village en direction de la zone commerciale. Nous en profiterons pour aller faire des courses à l'hypermarché. Logistique oblige. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière, caresse mes joues en disant : << Vos thérapies son drôlement efficaces docteur. Je n'ai toutefois pas encore pris mes gouttes ! >>. Nous rions quand Clémentine rajoute : << Tu m'aurais accompagné ce matin dans la Jeep, tu aurais eu droit à tout le flacon ! >>. La visite de ce musée insolite reste un grand moment de découverte. Très peu de visiteurs. Estelle qui ne cesse de palper ma bosse. Clémentine qui cherche refuge dans mes bras en prétextant une certaine culpabilité. Même au musée je souffle discrètement de l'air chaud sur les seins tous durs d'Estelle.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui s'offrent un délicieux repas dans un établissement gastronomique. Qui s'offrent chacune deux visites dans les toilettes hommes en compagnie du "docteur". Avant de se blottir contre lui, sous les draps, pour retrouver le réconfort d'une bonne nuit de sommeil...

Docteur Julien



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Homme, 53 ans, France
- 5 - Tous droits réservés - © - 2024 - Épisode 2596 -



Notre sixième jour de vacances

Ses pieds bougeant un peu "mécaniquement" contre les miens. Sans doute en recherche de chaleur. Estelle reste le plus souvent serrée contre moi toute la nuit. Ses lèvres qui se posent dans mon cou. La pointe de sa langue qui titille ma peau. Sa main qui saisit ma tumescence. Son soupir de satisfaction lorsque je me réveille. Hier matin, vendredi, ce sont les enchantements de notre début de journée. Il va être huit heures trente. Clémentine, tirée de son sommeil malgré les agissements silencieux d'Estelle, vient se blottir contre moi. Nous savourons ce moment merveilleux. Cette renaissance. << Pipi ! >> s'écrie soudain Estelle, lâchant ma turgescence pour se lever. Se précipiter dans son pyjama de soie mauve vers la porte. Clémentine qui m'attire sur elle, ses bras me serrant fort.

<< Je ne le ferai plus ! >> dit elle. Elle fait rapidement allusion à ce qui s'est passé trois jours consécutifs avec le propriétaire de notre gîte. J'écoute le dégout qui en résulte. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Dehors il fait moins lumineux que les jours précédents. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans les effluves parfumées du café, du pain grillé. Sur la table trône la grosse brioche au pudding achetée à l'hypermarché. Mes mains sur ses hanches, Estelle nous dit : << Il fait moins beau mais il fait aussi moins froid. 12° ! >>. Je caresse délicatement ses tous petits seins en évitant de frôler ses extrémités douloureuses. C'est le second jour de ses règles. Dans l'ensemble ça se passe plutôt bien. Les soins du "docteur" participent de sa qualité de vie. J'adore le doux contact de la soie.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de jeudi. Le tour "pipe" en Jeep de Clémentine, le cunnilingus offert à Estelle. La visite du musée du meuble ancien. La soirée au restaurant. << À midi je fais les lasagnes ! On a été bien inspiré d'en prendre ! >> lance Estelle. Nous mangeons de bon appétit en écoutant Clémentine nous exposer les options de randonnées de l'après-midi. En espérant bien évidemment que la météo ne vire pas au "drame". Ce sera la visite des ruines du château que nous avons aperçu depuis les fenêtres du restaurant du château. Beau programme parce que la région est vallonnée et ses découvertes sont attractives. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges évoquent leurs études.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Avec cette température plus douce, il est décidé d'aller courir. Nous nous mettons en tenues de jogging. Je pose pour la seconde fois ce matin ma bouche sur chacun des seins d'Estelle. Tout en massant le plus délicatement possible son bas ventre, je souffle de l'air chaud à travers le lycra de son sweat. << Mmmhhh, docteur. C'est si bon ! >> murmure t-elle en palpant ma bosse. Les bras de Clémentine autour de ma taille, collée dans mon dos. Nous enfilons les K-ways. Bonnets, gants. Nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Nous courons en direction du viaduc. Il y a là un endroit où nous pouvons faire une halte afin de pratiquer nos abdos. Surtout Estelle que les flexions abdominales soulagent. L'herbe moussue est humide.

Il est dix heures quinze quand nous revenons. Estelle évite la douche lors de ses jours réglés. Pendant qu'elle se toilette au lavabo, nous la prenons en l'écoutant chantonner. Tous les trois, habillés de nos Levis, de nos épais sweats de coton bleu, chaussés de nos baskets, passons au salon. Assises sur mes genoux elles allument l'ordinateur. Elles surfent sur le site universitaire avant de visiter nos boîtes mails. Estelle a deux courriels. Nous la laissons y répondre. Clémentine, me tenant par la taille, serrée contre moi, nous regardons la grande propriété, le jardin soigné. Tout est propre, entretenu. Soudain, l'énorme Jeep vient se garer à côté de notre voiture. Monsieur Guillaume reste au volant. Avec les reflets dans le parebrise, impossible d'en voir davantage. Clémentine frissonne soudain.

<< Lui, il peut toujours attendre ! >> me fait elle en se serrant encore davantage. << Il a ton adresse mail et ton téléphone puisque vous avez échangé pour la réservation ! >> lance Estelle qui continue d'écrire ses réponses. << Je mets son adresse mail dans les spams, je bloque son numéro de téléphone. Ce n'est pas plus difficile que ça ! >> répond Clémentine. << C'est de ta faute aussi. Tu suces ce mec trois jours de suite. Il développe une addiction. C'est un vrai goujat. Et là tu prends enfin des mesures ! >> fait Estelle. Sur ces mots, voilà monsieur Guillaume qui sort de son véhicule. Il se dirige vers le bungalow. Je repousse doucement Clémentine en disant : << Pas d'inquiétude, je vais mettre les choses au clair ! >>. Comme rassurée, Clémentine me fait une bise sur la bouche.

Trois coups contre la porte. J'ouvre. Monsieur Guillaume, qui doit m'arriver aux épaules, ne s'attendait certainement pas à me voir. << Bonjour. Excusez-moi, elle est là Clémentine ! >> demande t-il, débonnaire. Comme si c'était tout à fait normal. Je m'avance. Pas vraiment menaçant mais en le toisant de mon mètre quatre vingt huit je réponds : << Oui, elle est là mais ne désire absolument pas voir qui que ce soit ! >>. Monsieur Guillaume reste un instant silencieux. Évalue ma stature, comprend très certainement. Il tourne les talons en concluant : << Bonne journée. Vous lui transmettrez mes attentions particulières ! >>. Je referme la porte. << C'est génial d'avoir un garde du corps ! Un Terminator ! >> lance Estelle qui me saute au cou. << Merci Julien ! >> s'écrie Clémentine.

La Jeep a disparu. Clémentine fait l'assaisonnement des tomates. Estelle place la lasagne dans le four à micro ondes. Je mets les assiettes les couverts. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les évènements récents. << Je crois qu'il a compris. Avec l'accueil et le ton, pas de doute qu'il ne reviendra plus ! >> précise Estelle. Les lasagnes en barquette alu, même "bios", ne constituent pas spécialement un repas diététique. Mais c'est tellement bon. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Dans le petit sac à dos, des pommes, des barres de céréales, la thermos de thé bouillant. La minuscule paire de jumelles. C'est parti. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière, caresse mon cou en nous racontant les échanges de mails avec ses parents, sa mamie.

Il y a dix sept kilomètres jusqu'au restaurant du château. C'est le départ de notre périple pédestre. Nous en profitons pour y réserver une table pour la soirée. La température est de 18°. Un vrai contraste avec celles des jours précédents. Le chemin nous emporte dans des paysages magnifiques. Puis c'est un sentier à flancs de collines. Nous croisons quelques rares promeneurs. Pour offrir ses gouttes à Estelle, dans le cadre de ses soins, je marche avec la bite à l'air. De nombreux arrêts thérapeutiques où je souffle de l'air chaud sur ses seins. Même si elle a pris ses médicaments anti douleurs, son second jour est un peux moins agréable. Des crampes inattendues la surprennent en plein effort. Les ruines du château son bien moins imposantes que l'impression qu'elles donnent depuis le bas.

Il y a l'entrée d'un donjon dont il ne subsiste que la base. C'est là que j'offre à Estelle un cunnilingus thérapeutique. Couchée en haut des marches, elle est dans la position idéale. Je suis en contrebas, dans une situation bien moins confortable. Je peux sucer son clitoris que j'adore sentir durcir contre ma langue. Je me fais sucer par Clémentine. Installée elle aussi dans une position inconfortable. Mais il est question des soins à prodiguer à ma "patiente". Il y a bien des voix dans le lointain. Personne ne passe les éboulis du donjon pour s'aventurer par là. Estelle peut donc aller jusqu'à l'orgasme. Un véritable réconfort selon son affirmation. Elle remet la jambe de son pantalon, le remonte en même temps que sa culotte en disant : << Docteur, vous êtes le médecin du clitoris ! >>

Nous en rions aux éclats. En s'essuyant la bouche dont elle me montre le contenu, Clémentine reste silencieuse. Elle adore laisser mon foutre se mélanger longuement à sa salive avant d'avaler. Estelle s'isole un court instant pour changer son tampon. Clémentine déglutit enfin en s'accrochant à mon cou. << C'est ton foutre que j'aime ! >> chuchote t-elle. Nous reprenons le sentier qui redescend. C'est une boucle qui rallonge la randonnée. C'est tellement beau. Surtout que nous suivons le cour d'une rivière sur quelques kilomètres. Quelques "arrêts gouttes". Un arrêt pipi. Je remballe lorsque nous arrivons sur le parking du restaurant. Nous changeons de godasses. La même table nappée de blanc nous attend. Nous mangeons de bon appétit. Deux visites aux toilettes hommes avec chacune de mes anges.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se font brouter sous les draps. Qui s'endorment avec le gout du sperme. Blotties contre le docteur qu'elles emmènent partout avec elles...

Docteur Julien



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