- 4 - Tous droits réservés - © - 2025 - Épisode 2946 -
Il faut composer avec la météo
Hier matin, dimanche, notre grasse matinée nous emmène aux environs de neuf heures. Je suis réveillé par les habituels murmures, les habituels rires étouffés. Dès qu'elles me savent réveillé, Clémentine et Julie m'entourent de leurs petits soins. Clémentine, avec souplesse, passe au-dessus de moi. Se blottit en attrapant mon érection matinale. Julie vient se serrer. Mes joues mitraillées de bisous. J'ai mes bras autour de leurs épaules. Tel un bienheureux, je reviens aux réalités de l'existence dans un enchantement paradisiaque. << Nous, on a déjà été faire pipi il y a une demi heure ! >> murmure Julie. << Tu ne nous a même pas entendu tellement tu dors profondément ! >> rajoute Clémentine. Elles se refilent mon chibre en jouant avec. << Wouah, le calibre ! >> s'écrie Julie.
<< Viens, on va la lui tenir ! >> lance Clémentine alors que l'urgence absolue me force à quitter le lit. << Oh oui, j'adore ! >> s'exclame Julie. C'est un riant que nous nous précipitons aux toilettes. Julie me tient la bite pour en diriger les jets. Clémentine tient mes couilles par derrière. Il fait sombre dans la maison. Dehors le ciel est gris, bas et sinistre. Tout est trempé des pluies de la nuit. Julie secoue consciencieusement les dernières gouttes avant que nous ne filions à la salle de bain. De l'eau sur nos visages. Julie et Clémentine portent des jupettes. Je suis en short. Tous les trois en T-shirts blancs, morts de faim, nous dévalons les escaliers. Clémentine s'occupe du café. Julie est aux tranches de pain qu'elle fait griller. Je pèle trois beaux kiwis, je presse les oranges. J'épluche les bananes.
Au milieu de la table trône l'énorme brioche à la pâte d'amandes. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre virée vélo de samedi. Sous un soleil caniculaire. Un sérieux contraste avec la météo qui s'annonce aujourd'hui. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les possibilités d'activités pour cet après-midi. Il faut écarter toute perspectives de randonnées pédestres ou à bicyclette. << Il y a une exposition au bourg voisin. La piste au trésor organisée en ville ! >> explique Julie. Nous traînons à table à hésiter. << Tu as déjà été au musée de la locomotive ? >> demande Clémentine à Julie qui répond par la négative. << Alors on se fait les locos ! >> propose Clémentine. Les filles, assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, font le timing.
Nous partirons immédiatement après le poulet rôti et les frites du repas de midi. Qu'il est agréable de pouvoir prendre tout son temps. Les filles parlent de leurs universités. Clémentine n'aura que deux heures de cours, mardi et mercredi matins. Une réunion des professeurs jeudi après-midi. Alors que Julie n'aura plus que deux heures jeudi matin. Détentrice de son Master de Littérature Moderne, elle n'a plus à s'inquiéter. << J'ai déjà présenté mon dossier de candidature et mon inscription pour le Doctorat ! >> précise t-elle. Nous évoquons notre départ pour l'Écosse le dimanche 29 juin. En riant, les filles font l'inventaire de ce qu'elles vont emmener dans leurs valises. << Moi j'emmène une tonne de fringues que je ne mets jamais ! >> lance Clémentine. << On fera ta valise ensemble ! >> s'écrie Julie.
La vaisselle. Nous montons nous brosser les dents, recouvrir notre lit. Julie réunit ses affaires car elle devra nous laisser ce soir pour vingt et une heures trente. Nous dévalons les escaliers pour aller au salon. Julie s'installe dans le canapé avec un livre. La biographie de Gala Dali. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Je caresse ses seins minuscules alors qu'elle ouvre nos boîtes mails. Le message de Juliette qui nous remercie pour la "soirée branle" de vendredi. Nous invitant à une récidive mercredi soir prochain. Le courriel de tante Amy. Elle nous annonce que son amie, madame Hudson, s'est définitivement installée avec elle dans sa grande maison Victorienne sur les hauteurs d'Édimbourg. Oncle Alan s'approchant inexorablement de la fin d'une vie heureuse et bien remplie.
Notre appartement à l'étage nous attend dès notre arrivée à Morningside, le lundi 30 juin en soirée. Alors qu'elle répond, je redouble d'activités sous son T-shirt. Dehors il pleut des cordes. Un vacarme. Clémentine relit ses réponses à haute voix. Ponctuant chaque phrase de gloussement de plaisir causés par les errances délicates de mes doigts. Je passe même une main sous sa jupette. J'adore le doux contact du coton blanc et lisse de sa culotte. Clic sur "envoi". Elle se lève. Change de position. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, mitraillant mes lèvres et mes joues de bises. << Toi, tu es obligé de me faire ces douceurs toute la journée ! >> lance t-elle. << Et moi ? >> dit Julie, d'une petite voix depuis son canapé. << Viens ! >> lui fait Clémentine. Julie se lève.
Clémentine également pour lui céder ma cuisse gauche. C'est une distribution de bises. << Et moi ? >> répète Julie en pointant son index sur ses seins. Elle ne porte pas de soutien gorge ce matin. Je passe une main sous son T-shirt. Ses seins sont légèrement plus volumineux que ceux de Clémentine. Julie me fixe. Elle me regarde comme si je commettais un acte répréhensible. Puis, après quelques instants, avec un sourire amusé. << C'est comment ? >> demande Clémentine à qui j'administre le même traitement. << C'est super ! >> répond Julie. Toutes les deux palpent la bosse qui naît dans mon short. << Put-Hein comme c'est dur ! >> s'exclame Julie. Nous rions. Il va être onze heures. Nous cessons. Quittons le salon pour la cuisine. << Fais-voir ta bite ! >> s'écrie Clémentine. Nous rions
Je la sors par le haut de mon short dépourvu de braguette. << Wouah ! >> s'écrie Julie alors que Clémentine me la choppe d'une main ferme. Je glisse la mienne sous sa jupette. J'ai l'élan de faire de même à Julie mais elle a le réflexe de s'éloigner. << Seulement au signal ! >> dit elle. J'avais oublié ce détail. Elle se rapproche pour passer ses bras autour de mon cou en disant : << Le signal ! >>. Je glisse mon autre main entre ses cuisses. La douceur du coton de sa culotte est la même. Elle se laisse toucher quelques instants avant de reculer en faisant : << Je m'occupe du poulet ! >>. Nous prenons chacun notre rôle pour la préparation du repas. Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue dont elle lave les feuilles également pour ce soir. J'épluche et je lave les pommes de terre.
Le "poulet frites" dominical. Tradition qui remonte à nos toutes jeunes années et qui se transmet dans toutes les bonnes familles. Mais également chez nous depuis un peu plus d'une année. Durant les préparations, ce sont des échanges de bisous à chaque fois que nous nous croisons autour de la table. Julie adore passer sa main sous la jupette de Clémentine. Lorsque cette dernière à les mains sèches, elle fait de même. J'adore les voir s'embrasser furtivement juste un instant avant de retourner à leurs tâches. Il est midi quinze quand nous passons à table. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le programme de l'après-midi. Le musée de la locomotive. Nous ne traînons pas. Dès la vaisselle terminée, nous montons nous brosser les dents et changer de vêtements.
Julie et moi en bermudas kakis, T-shirt gris. Clémentine en jupette "tennis" bleue nuit, T-shirt crème. Nos baskets. Impatients de filer, nous dévalons les escaliers. Il faut profiter de ce bref moment d'accalmie pour traverser la pelouse en prenant soin de rester sur les dalles de grès. Jusqu'au garage. C'est avec la Mercedes que nous parcourons les dix sept kilomètres qui nous séparent de la zone industrielle où se trouvent les bâtiments du musée. Il y a visiblement un monde fou à voir toutes les voitures garées sur le parking. Clémentine cesse de jouer avec ma queue que je remballe un peu à regret. C'est tellement agréable en roulant. Elle retire sa culotte pour la laisser dans la boîte à gants. Nous traversons le parking pour nous rendre dans le hall d'accueil. Il y a foule. Plein de familles.
La direction du musée à eu la judicieuse idée d'installer des scanners qui permettent le paiement par téléphone. Évitant ainsi de devoir perdre du temps dans la file d'attente, là-bas, qui s'étend sur une bonne dizaine de mètres. Nous voilà sur le premier quai reconstitué façon début du vingtième siècle. La décoration "modern style" est parfaite. Lorsqu'elle passe ses bras autour de mon cou, se serrant contre moi, Clémentine m'invite à la toucher. Ce que je fais quelquefois tous les vingt mètres. Nous flânons sur les quais. Il y a un kiosque à journaux, la terrasse d'un bar restaurant, la salle d'attente. Une de ces énormes locomotives à vapeur aux couleurs ravivées. Comme si elle sortait des ateliers de constructions. Sur les toits, hauts au-dessus de nos têtes, le vacarme de la pluie qui tombe.
Hors de question de sortir ma bite. Ne serait-ce qu'une seconde. Malgré les sollicitations de mes deux coquines qui aimeraient me mettre au défi de le faire. << Juste une photo ! >> insiste Julie. << Oui, juste une ! Allez ! >> surenchérit Clémentine. J'ai beau regarder partout autour de nous c'est tout simplement impossible. Il nous reste à tenter de le faire dans un des wagons. Nous montons dans le dernier. C'est le wagon restaurant parfaitement reconstitué avec ses boiseries, ses tapis, ses lustres et ses tables "bistrot" en bois de palissandre. Il y a du monde. Nous passons dans les wagons suivants à la recherche d'un de ces compartiments à l'ancienne, à deux banquettes, permettant de fermer la porte et de tirer les rideaux. Il y a des familles. Des gamins turbulents. C'est stressant.
Là, rapidement, je descends la tirette de la braguette de mon bermuda. Julie tenant son smartphone. Je sors ma bite molle. Clémentine passe son bras autour de ma taille, tout contre moi. Nous sourions. Première photo. << Je filme ! >> dit Julie. Clémentine saisit ma queue à sa base entre le pouce et l'index pour l'agiter en direction de l'objectif. Nous sourions un peu bêtement car dans le couloir, ce sont des rires, des voix et des passages incessants. Évidemment des visiteurs entrent dans notre compartiment. J'ai juste le temps de me tourner pour remballer ma queue qui commence à durcir. En me tournant vers la fenêtre, je me fais surprendre depuis l'autre wagon par une jeune femme. Elle n'a pas le temps de réellement comprendre que voilà ma tirette remontée. C'est stressant.
Me suis-je fait surprendre ? Nous descendons des wagons pour traverser les voies ferrées. Pour remonter dans les autres wagons. Nous croisons la jeune femme. Elle est accompagnée de son probable mari et d'un couple. Elle me reconnaît, me dévisage d'une étrange manière. Jette un rapide coup d'œil comme pour vérifier que ma braguette est bien fermée. Elle lance un étrange sourire à Clémentine qui me tient par la main. Nous visitons cet enchaînement de wagons. Il va être dix sept heures quand nous trouvons une table dans le second bar restaurant. Déguster trois chocolats chauds est un réel plaisir. Quelle n'est pas notre surprise. La jeune femme, son mari et le couple s'installent à une table voisine. D'étranges échanges de regards entre elle et moi. Je ressens comme un malaise. Cela dure une bonne demi heure. C'est elle qui m'adresse enfin le premier discret sourire. << Cool ! >> me fait Clémentine. << Une touche ! >> dit Julie.
Bonne fin d'après-midi à toutes les coquines qui se réjouissent d'avoir passé un agréable après-midi plein de petites surprises. Avant de retrouver les plaisirs de la préparation du repas du soir. Un repas du soir qui précède une charmante "soirée branle" et le visionnage de deux petits films réalisés durant la visite...
Julien
NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...