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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 6 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2204 -



Une autre belle soirée

Il est presque six heures, hier matin, mercredi. Nous sommes tirés du sommeil par les illusions bluffantes de l'application "océan". C'est comme de se réveiller dans quelques petits ports écossais. Clémentine se blottit contre moi, gémissante, cherchant l'énergie nécessaire pour affronter la subite réalité. Quelques papouilles, quelques bisous. Nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain nous mettons nos vêtements de sport. Mort de faim, nous dévalons les escaliers. Dans la cuisine, chacun de nos gestes est encore mécanique. Des robots.

Pendant que Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis, j'allume la cuisinière à bois. Le grille pain éjecte les quatre premières tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée complètement "allumée" en compagnie d'Estelle. << Je la vois ce matin en cours. Elle va me donner ses impressions ! >> dit Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre invitation chez Juliette. Il faut que je sorte une tarte aux noix du congélateur. Ce sera à emmener pour le dessert. Sympa.

Il est 6 h25. Nous remontons nous livrer à notre heure d'entraînement. Il faut un effort de volonté mais c'est le moyen le plus efficace afin de nous transformer en guerriers pour la journée. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol, abdos. Charges additionnelles. Avant le retour au calme du stretching. La douche. Je dévale les escaliers pour aller préparer la voiture. Dans le froid glacial d'un jour gris qui s'annonce morose. Peut-être même pluvieux. Il est presque sept heures quarante cinq. Clémentine vient me rejoindre chaudement vêtue.

Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou avant de rentrer au chaud pour faire la vaisselle, le lit. Je passe dans l'atelier. J'allume une belle flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. Le cinquième paysage destiné à ma saison d'été, m'accapare rapidement. Totalement. Je peins dans l'ivresse de la passion. Poussant quelquefois de véritables cris surréalistes. Les conséquences de ce plaisir. Il est rapidement midi. Je mets deux bûches sur les braises. Je quitte l'atelier pour la cuisine.

Je réchauffe la dernière part de Flamiche Picarde. Cette tourte aux poireaux qui a fait les délices de notre repas du soir. Accompagnée d'une salade de tomates c'est un second régal. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission, André Bercoff reçoit une député qui participe à l'enquête sur l'escroquerie aux vaccins Pfizer organisée par Ursula von der Leyen. C'est surréaliste de mensonges, de perversités et de machiavélisme. Avec la complicité active des dirigeants européens. Des agissements de crapules mafieuses sans scrupules.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Je dévale les escaliers pour sortir faire quelques pas. À voir les lourds nuages menaçants d'un ciel gris et bas, la pluie ne va pas tarder. Il fait étrangement doux. Le thermomètre extérieur indique 20°. Je descends jusqu'à la rivière. Les arbres sont maintenant quasiment tous couverts de fleurs blanches. Les bosquets de genêts couverts de fleurs jaunes. L'exubérance d'une nature qui revient à la vie. Il est 13 h15 quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins habité par la même passion.

Du bruit. Il est déjà dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours. Posant son cartable sur la table elle me rejoint. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Son après-midi en salle de documentation. La rédaction du début du sixième chapitre de sa thèse. << C'est peinard car il y a un quart des étudiants qui font grève. On peut bosser cool. Je sympathise avec les grévistes mais l'obtention de mon doctorat reste mon objectif absolu ! >> précise t-elle. Déterminée.

Clémentine a encore du travail. Assise devant son ordinateur, entourée de ses notes, elle chantonne en tapant sur son clavier. Un moment d'émulation créative comme nous les aimons. Il est dix huit heures trente cinq. << J'arrête tout ! >> lance t-elle en se levant pour ranger ses affaires. Les feuilles dans la main, tournant autour de moi, elle me fait la lecture. Je nettoie la palette, les pinceaux en écoutant. Je la félicite pour ce rédactionnel. Nous nous rejoignons devant le petit lavabo de l'atelier. Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets.

Ce rituel nous enchante. Clémentine a toujours une amusante anecdote concernant l'université. Elle serre alors fermement ma queue pour tout contrôler. Lorsque je ris j'ai tendance à éclabousser partout. Accroupie, ses index dans les passants de mon Levis, Clémentine se régale des derniers épanchements. Me fixant dans les yeux avec ce regard terriblement suggestif qu'ont les coquines dans les instants libidineux. Je caresse sa tête en murmurant : << Je t'aime ! >>. Je l'aide à se relever pour la prendre dans mes bras. La soulever. La promener dans l'atelier.

Nous montons afin que je puisse changer de vêtements. Nous sommes attendus pour dix neuf heures trente. Nous avons tout notre temps. Un Levis propre dont je garde la braguette déboutonnée. Une chemise blanche sous un pull bleu nuit au col en "V". Mes bottines noires. Clémentine reste vêtue pareille. Devant le grand miroir de la penderie du hall d'entrée, nous prenons la pose. Clémentine me sort la bite. Accroupie, se tenant à mes jambes, sa tête contre ma cuisse, elle me fixe avec cet étrange sourire qu'ont les coquines entreprenantes.

Elle se positionne entre le miroir et moi pour frotter son visage contre mon sexe mou. << Sois hyper vicelard ce soir ! >> me dit elle juste avant de gober la peau de mon prépuce qu'elle mâchouille en gémissant de plaisir. Je l'aide à se relever. Nous enfilons nos blousons de cuir noir. C'est avec la voiture de Clémentine que nous partons. Il ne pleut pas. La douceur de la journée s'estompe au profit de la fraîcheur du soir. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue sur les trois kilomètres. Il est 19 h30 quand je gare l'auto dans la cour du haras.

Il y a un groupe de personnes qui bavardent dans l'entrée de l'ancienne écurie. Certainement des propriétaires de chevaux. Nous faisons un signe amical à madame Walter, la collaboratrice de Juliette. Elle nous adresse un grand sourire. Voilà Juliette qui arrive accompagnée d'une jeune femme. Nous restons à l'écart. Une dizaine de minutes à caresser l'encolure des chevaux qui nous regardent. Juliette vient nous rejoindre. Trois bises. << Bonsoir. Du boulot aujourd'hui ! >> lance t-elle en nous invitant à la suivre. Nous montons dans son appartement.

Clémentine et moi, vautrés dans le canapé. Juliette vautrée dans le fauteuil en face. Elle nous raconte sa journée. Clémentine, sa main dans ma braguette pose tout un tas de questions. Juliette porte ses vêtements de travail. C'est à dire sa tenue équestre. Un de ses pantalons beiges d'équitation, moulant, ses hautes bottes de cuir noir. Un chemisier clair sous un gilet de laine brune. Ses longs cheveux noirs en tresse. Juliette nous propose de nous installer à table. Elle veut nous faire la surprise du repas qu'elle a préparé. Nous acceptons volontiers.

Seuls dans le salon, Clémentine me sort la queue. Avec quelques difficultés car je bande comme un salaud. Se plaçant derrière moi, un bras autour de ma taille, elle me masturbe de sa main libre. En direction de la porte. Aussi, quand Juliette revient avec une tarte au thon, dorée, fumante, elle découvre la scène. << Wouah ! Superbe initiative ! >> lance t-elle en déposant le plat sur la table. Elle file pour aller chercher le reste. Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche. Quand elle m'embrasse avec tant de fougue, mon érection est presque douloureuse.

<< Vous êtes beaux tous les deux ! >> fait Juliette en revenant avec le saladier. Nous voilà assis. Nous savourons cette tarte au thon absolument succulente. << Je l'ai préparé à midi, en vitesse. Mes journées sont assez folles en ce moment ! >> précise Juliette. Très rapidement pourtant elle axe la conversation sur nos intérêts communs. Le sexe. Ce qui s'est passé vendredi dernier. Cette seconde "soirée maraîchère" où Clémentine s'est régalée de la bite coudée du maraîcher. Où Juliette s'est régalée de la mienne. Pas du tout coudée et droite.

J'écoute la conversation. Les femmes qui évoquent le goût de la bite. C'est excitant. Surtout que Juliette, avec cette perversité dont elle est coutumière entre dans les détails les plus "juteux". Clémentine revient sur la "fondue" tirée des couilles du maraîcher. << Je m'en suis offerte une petite dose hier après-midi quand il est venu chercher les tonnes de crottin ! >> dit Juliette. << C'était bon ? >> demande Clémentine. << Je n'ai que quelques minutes. Je n'ai pas vraiment le temps d'apprécier. Par contre il m'a parlé de vous ! >> répond Juliette.

Elle rajoute : << Son fantasme serait de venir vous chercher après les cours pour une promenade en voiture ! >>. Clémentine éclate de rire avant de dire : << Oui, il me l'a demandé deux fois déjà ! >>. Clémentine explique qu'elle ne désire pas commencer un truc. Son plaisir est de me savoir présent. De préférence caché. Pas seulement pour sécuriser la situation mais parce qu'elle adore être regardée par l'homme qu'elle aime. << Je comprends. C'est sublime ! >> précise Juliette. Je me lève pour me masturber dans sa direction. Elle cesse de manger.

J'adore le regard sévère avec lequel Juliette me fixe. C'est un jeu merveilleux qu'il n'est possible de comprendre que dans une complicité de quelques années. Je lui dis : << Juliette, j'adore vos pipes. Vous êtes absolument divine ! >>. Elle se met à rire avant de répondre : << J'ai beaucoup de pratique ! >>. Clémentine demande : << Combien de mecs ? Moi, ça doit être une bonne quinzaine en sept ans ! >>. Silence. Juliette répond : << Moi un peu plus. Mais en vingt ans ! J'ai commencé vers 28 ans ! >>. Nous rigolons tous les trois comme des bossus.

<< Je crois que la bite à "fondue" du maraîcher est une de mes toutes meilleures ! >> rajoute encore Juliette. << Moi aussi ! >> lance Clémentine en posant sa main sur la mienne. Juliette me demande alors que je suis debout une nouvelle fois à me pignoler : << Et vous Julien, votre meilleure pipeuse ? >>. Je réfléchis un instant. Question difficile. Je fini par répondre : << C'est le plus souvent sublime. Je ne fais pas vraiment le distinguo. Mais j'avoue que Clémentine me fait grimper aux rideaux. Elle aime tellement ça. C'est la différence ! >>

<< Et les miennes ? >> demande Juliette en mimant une fellation, tournant le poing fermé devant sa bouche. C'est Clémentine qui répond : << Julien évoque vos pipes avec un certain respect ! >>. Juliette rit aux éclats quand je rajoute : << Une vraie ventouse ! >>. Juliette se lève, se cambre sur ses genoux fléchis, se touche en disant : << Je passe pour une pompe à foutre au près de certains de mes prestataires de services. Comme mon vétérinaire, le gars de l'entretien, vous savez le black très sympa et depuis peu Philippe, le maraîcher ! >>. Rires.

Je rajoute : << Et ils ont parfaitement raison. Une femme qui aime vraiment ça sort du lot. Vous en êtes. Une véritable championne ! >>. Nous rigolons comme des bossus. << Juliette, il faut vous présenter aux jeux Olympipes ! >> lance Clémentine. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous prenons le dessert au salon. Cette délicieuse petite tarte aux noix que j'ai ramené. Vautrée dans son fauteuil, les jambes écartées et posées sur les accoudoirs, comme à son habitude, Juliette se touche du doigt. Clémentine qui joue avec ma queue.

Il est 22 h. Juliette nous raccompagne jusqu'à la voiture. La fraîcheur est encore accentuée par la pluie fine. J'agite ma queue vers Juliette en disant : << Merci pour cette soirée. Au fait, le goût de ma bite ? C'est comment ? >>. Juliette et Clémentine se mettent à rire. Juliette répond : << Je vais être franche ! Un goût d'huitre plus très fraîche. C'est même parfois un peu dégueu. Ce n'est pas une des meilleures mais elle appartient à un vicelard. Et pour moi, c'est le plus important ! >>. Une dernière bise. Sur la route Clémentine joue avec mon Zob.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont se régaler sous la couette d'une "huitre" par très fraîche, un peu dégueu, mais "cuisinée" par un véritable vicelard...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2205 -



Tous trois réservés

Hier matin, jeudi, il est presque six heures. L'heure habituelle où l'application "océan" nous tire du sommeil. Impossible de s'y faire car chaque jour est différent. Nos deux I-phones 14, en même temps, posés sur nos tables de nuit, dans un effet stéréophonique. La sirène du gros bateau dans le lointain. Les moteurs de ce chalutier quittant le port. Ces marins qui se hèlent sur les quais. Tout cela ne dure que quarante cinq secondes. Mais reste d'une efficacité redoutable. Clémentine se serre contre moi pour chercher la force d'affronter le monde réel.

Quelques bisous, quelques papouilles en quittant définitivement le monde onirique. Nous nous précipitons aux toilettes en nous tenant par la main. Dans la salle de bain nous passons nos tenues d'entraînement. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Il faut absolument allumer la cuisinière à bois. Je m'y applique pendant que Clémentine fait le café, pèle les kiwis, presse les oranges. Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur la soirée en compagnie de Juliette. Son amusante comparaison entre mon sperme et une huitre plus très fraîche.

Nous rions de bon cœur à l'évocation de cette comparaison. << On va demander son avis à Estelle ce soir. Et à Julie demain après-midi ! >> lance Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en rigolant comme des fous. Une excellente manière de se réveiller complètement. << Moi, en tous cas, les huitres pas très fraîches me conviennent parfaitement tant qu'elles ne sont pas vertes ! >> s'écrie encore Clémentine en venant terminer sa tartine de miel assise sur mes genoux. Il est 6 h25. Nous ne traînons pas, nous remontons nous offrir notre sport.

Les échauffements aérobic avant ceux du jogging sur tapis roulants. Le bénéfice des exercices au sol et des abdos avant ceux des barres et des haltères. Le plaisir des étirements d'un stretching quelque peu trop hâtif. Une bonne douche qui vient conclure cette bonne séance quotidienne. Je redescends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Le ciel est maussade mais pas menaçant. La fraîcheur est désagréable accentuée par un vent détestable. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre vêtue de son blouson de cuir brun. Son écharpe.

Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer au chaud pour faire notre vaisselle, notre lit avant d'aller dans l'atelier. Impatient. Les deux radiateurs chauffent agréablement la grande pièce. J'allume tout de même un bon feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ce cinquième paysage destiné à ma saison d'été me plonge direct dans ma passion. Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser des cris surréalistes. Les heures m'échappent.

Il est midi. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je fais gonfler du riz complet. Pendant que rissolent les ronds de calmars, je prépare l'assaisonnement d'une laitue. Je lave les feuilles. Elle sera prête pour ce soir également. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff reçoit une sociologue. Il est question du "transgenre" et de ses conséquences dramatiques sur les plus jeunes. Les documents administratifs qui demandent aux hommes s'ils sont "enceints". Les délires du wokisme.

Tant d'inepties grossières, tant de démences vulgaires qui humilient le genre humain me font plier de rire. Il est d'ailleurs préférable d'en rire que d'en pleurer. Sinon c'est la plongée dans la neurasthénie. C'est affligeant. Je prépare mentalement la surprise du repas de la soirée. Ce seront des beignets de calmars avec des pommes de terre chips. Pommes de terre que j'épluche, que je lave avant de les couper en fines lamelles. La préparation des chips nécessite une bonne petite logistique matérielle. Je les fais frire doucement dans la graisse des calmars.

En les retournant sans arrêt afin qu'elles blondissent. Je les dépose sur des feuilles de papier absorbant. J'en fais en grosse quantité. Pour le repas de demain, midi. Il n'y aura qu'à réchauffer. C'est si bon. Les ronds de calmars sont à point. Je recouvre la poêle de son couvercle. Je mets les chips dans le four électrique éteint afin de les protéger de la poussière. Il me reste à préparer la pâte à crêpes. Onctueuse. J'y rajoute une cuillère à café de crème d'amandes non sucrée. Un petit truc de Chef pour que ce soit encore plus savoureux. Un truc à Jean-Louis.

Le Chef de cuisine du restaurant de l'étang où officie Julie les soirs des week-end. Il suffit de recouvrir le saladier d'un linge. Je fais la vaisselle avant de monter me laver les dents. Pressé de faire le tour de la propriété je redescends à toute vitesse. Il ne fait pas froid. Le thermomètre extérieur indique 18°. Par contre il y a un vent à décorner les bœufs. Il est 13 h45 quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé du même enthousiasme que ce matin. Les heures de l'après-midi défilent loin de mes perceptions.

Clémentine rentre de cours. Il est 17 h30. Elle pose son cartable sur la table avant de se précipiter. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. La rédaction du sixième chapitre de sa thèse dans la salle de documentation. La plupart des étudiants grévistes ont repris le travail. Clémentine me laisse pour aller terminer ses écrits du jour. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, elle chantonne, commente ou me lit à voix haute certaines tournures de phrases.

<< Faut-il mettre le complément d'objet direct avant le verbe ou après ? >> me demande t-elle parfois lorsqu'elle hésite. Afin de rendre son propos plus précis, plus pertinent. C'est une heure de plaisir. Il est 18 h30 quand elle se lève pour ranger ses affaires en s'écriant : << Je sature ! >>. Je nettoie la palette, les pinceaux en l'écoutant me faire la lecture. << Demain matin, je termine avec Alban notre maître de thèse ! >> lance Clémentine qui vient me rejoindre devant le petit lavabo de l'atelier. Elle me tient la bite pour en diriger les multiples jets.

Notre rituel pisseux qui marque la fin de nos journées de labeurs. << Fais-moi goûter cette huitre plus très fraîche ! >> lance Clémentine après avoir secoué les dernières gouttes. Accroupie, me tenant par les passants de mon Levis, elle savoure le reliquat en gémissant de plaisir. Ce n'est pas véritablement une pipe car elle se redresse rapidement pour se blottir dans mes bras en murmurant : << J'adore le goût de la mer ! >>. Nous rions alors que je la soulève pour la promener dans toute la grande pièce. Ses jambes enserrant ma taille. Des bisous.

Comme le plus souvent je l'assois sur la table pour frotter mon érection contre son Levis. C'est désagréable, un peu rêche mais très explicite. << Bonsoir les gens ! >> lance Estelle en entrant soudainement dans l'atelier. Elle se précipite pour saisir mon sexe. Elle enfonce directement sa langue dans ma bouche. << Tu ne t'emmerdes plus toi ! >> s'écrie Clémentine. Estelle cesse de m'embrasser, se penche pour gober ma queue. Elle se redresse en disant : << Au restaurant universitaire, à midi, Clémentine m'a raconté. Le coup de l'huitre ! >>

Elle rajoute : << Effectivement, si on goûte bien, il y a de ça ! >>. Nous rigolons comme des bossus alors qu'elle nous entraîne dans une farandole folle. Elle s'arrête nette pour dire : << Hier soir, pendant que vous passiez la soirée chez la vieille pouffe, moi je me faisais niquer ! >>. Nous sommes pliés de rire par la soudaineté de cette phrase. Je dis : << Donc ce soir c'est "contrôle" de la moule pas très fraîche ! >>. Estelle nous entraîne par les mains. Nous quittons l'atelier pour la cuisine en rigolant. Clémentine prépare l'assaisonnement de la laitue.

Je porte à ébullition l'huile de friture. Estelle remue la pâte à crêpe avant d'y verser les ronds de calmars. Avec une cuillère à soupe elle trempe le tout dans l'huile bouillante. Clémentine, à l'aide d'un écumoire, récupère chaque beignet qui remonte pour flotter à la surface. Je réchauffe les pommes de terre chips. Clémentine dépose chaque beignet sur des feuilles de papier absorbant. Les filles parlent de leurs écrits, de leurs rédactionnels. Je mets les assiettes, les couverts. Je relève mon tablier comme un satyre pour montrer ma bite toute molle.

Nous mangeons de bon appétit. À plusieurs reprises, durant le repas, Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine. Souvent pour ponctuer une phrase. Elle nous raconte sa baise avec son parrain. La baise des mercredis soirs qui durent depuis onze ans. Les performances de Jean-Marc sont toujours étonnantes. << Hier soir c'était dans ma chambre, sur mon lit ! >> précise t-elle. << Tu te souviens quand j'étais cachée dans l'armoire pour vous mâter ? >> lance Clémentine. Nous rions aux éclats. Elles n'avaient pas seize ans à cette époque.

Nous ne traînons pas. Avec l'évocation de l'huitre plus très fraîche, celle des moules ayant macérées toutes la journée au fond des culottes, nous faisons la vaisselle à toute vitesse. Le rituel du jeudi soir reste invariable. Je suis à genoux sur les épais coussins, le visage fourré entre les cuisses de mes deux anges. Elles m'offrent à savourer leurs sexes. Je ne m'en lasse pas et ce soir encore je m'en enivre jusqu'au vertige. La métaphore des "moules" est la plus pertinente des définitions. C'est très exactement dans ces "eaux" là. Je suis amateur de fruits de mer.

Quand elles sont toutes les deux à genoux, les bras croisés en appui sur le dossier du canapé, qu'elles m'offrent leurs culs, c'est démentiel. La cyprine qui y a coulé pendant la première phase du cunnilingus prend une toute autre saveur. Je dois sans cesse recracher des poils. C'est que les coquines ont la raie des fesses aussi velues que leurs chattes. Ça me picote, ça me gratouille, ça me chatouille. Mais je me régale en esthète du léchage de minous. Il me faut surmonter quelques hauts le cœur quand je déguste la moule d'Estelle. Fille négligée. Les odeurs.

Son orgasme la propulse dans une autre sphère. Poussant des cris d'animal blessé, les mains entre ses cuisses, elle se tourne sur le côté. C'est devenu une habitude après que nous ayons regardé Clémentine se masturber en pissant dans la cuvette. Son orgasme est tout aussi dithyrambique. Deux véritables éjaculations. Une qui tombe dans la pisse. Une projection de crème dans ma bouche quand je me précipite pour "nettoyer" son sexe. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Elle s'habille car il reste un quart d'heure. Pendant que je lèche, que je suce.

J'adore les frissons et les spasmes qui agitent le corps de Clémentine. Surtout les tremblements de l'intérieur de ses cuisses contre mes joues. Estelle me caresse la tête, se penche pour murmurer : << Comment c'était la moule plus très fraîche ? >>. Je cesse de pomper la vulve de Clémentine à présent vide pour répondre : << Un délice mademoiselle Schlinguette ! >>. Elle rit aux éclats en s'accroupissant derrière moi. Ma bite molle dans sa main. Je me redresse. Elle se glisse entre Clémentine encore dans le canapé et moi. Ma bite qu'elle prend en bouche.

Je me fais tailler une pipe des familles. Clémentine s'habille en mâtant. Elle se penche pour demander : << Et la vieille huitre plus très fraîche, c'est comment ? >>. C'est l'instant précis où j'éjacule en sournois, sans prévenir. En toussant, en tentant de déglutir, en essuyant le sperme qui coule de sa narine droite, péniblement Estelle répond : << Bien dégueu, comme j'aime ! >>. Elle arrive enfin à tout avaler. Avec un mouvement de tête, faisant une horrible grimace. Je dis : << Bon appétit mademoiselle ! >>. Nous raccompagnons Estelle à son auto.

Bonne nuit à toutes les coquines qui sucent encore un peu sous la couette. Qui se font lécher encore un peu sous les draps avant un bon dodo régénérateur...

Julien (lécheur émérite)



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NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 8 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2206 -



Le week-end commence vendredi à midi

Il est presque six heures hier, vendredi, quand l'application "océan" nous tire du sommeil. Les cri des mouettes et tout le toutim. Quarante cinq secondes d'illusions. Clémentine en gémissant se serre contre moi. C'est souvent l'instant où elle murmure des choses incompréhensibles à mon oreille. Ce qui nous fait rire dès le réveil. Comme elle termine sa semaine à midi, Clémentine est déjà gagnée par une sorte d'euphorie. Nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain nous nous habillons de nos vêtements de gym. En riant.

Nous dévalons les escaliers. Morts de faim, dans la cuisine froide, j'allume immédiatement la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis en racontant ses rêves. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée avec Estelle. Les léchages de minous qui restent la préférence de mes deux anges. Surtout de Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en envisageant la présence de Julie cet après-midi. << Et ce soir on est juste nous deux ! >> s'écrie Clémentine en venant terminer sa tartine assise sur mes genoux.

Il est six heures vingt cinq. Nous remontons pour achever de nous réveiller complètement. Les échauffements de l'aérobic et du jogging sur tapis roulants. Dans ses facéties des vendredis matins, Clémentine fait des figures en courant. Tournant sur elle-même, faisant semblant de perdre l'équilibre. Je suis plié de rire quand elle dit : << Un de ces jours je vais vraiment me casser la gueule ! >>. Les exercices au sol, les abdos qui sont l'excellente préparation pour les charges additionnelles. Là, ça ne déconne plus. Les étirements d'un stretching surréaliste.

La douche. Je redescends le premier pour aller sortir l'auto du garage. La météo est tout simplement épouvantable. Il pleut. Les paquets d'eau sont jetés n'importe comment par une véritable tempête. Aucun parapluie n'y résisterait. Il est presque 7 h45. Le ciel est tellement bas et sinistre qu'il fait encore sombre. Clémentine me rejoint sous sa cape de pluie. Il fait vraiment froid en plus. Je suis grelotant, en K-ways. Un dernier bisou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou, bras levé.

Je me dépêche de rentrer au sec, au chaud pour faire notre vaisselle et notre lit. Même si les deux radiateurs chauffent bien l'atelier, j'y allume une belle flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je termine très certainement ce cinquième paysage destiné à ma saison d'été ce matin. Je suis largement dans les clous, en avance d'un mois sur mon timing habituel. C'est donc dans la plus totale des sérénités, habité par l'euphorie laissée par Clémentine, que je peins en chantonnant.

Il est exactement onze heures quinze quand je finalise ma toile. D'un format F6 (41 x 33 cm). Je la pose sur son support afin qu'elle sèche sous un linge, à l'abri de la poussière. Sur le chevalet je place le septième paysage qui n'est encore que dessin préparatoire recouvert de sa couche d'impression. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je fais un peu d'ordre sur la desserte. J'aligne les tubes de peintures, les pinceaux. Le matériel nécessaire. Avec ce climat l'après-midi sera consacré au travail. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Une bûche dans la cuisinière à bois.

Je réchauffe le reste des beignets de calmars, les pommes de terre chips dans le four à bois. Je prépare l'assaisonnement d'une belle salade de tomates avec des champignons crus. J'écoute Sud Radio. Aujourd'hui André Bercoff consacre le début de son émission à des guitaristes de jazz de la famille de Django et de sa mouvance. Je mets les assiettes, les couverts. Il fait tellement sombre que le plafonnier est allumé. De véritables bourrasques de vent jettent des paquets d'eau contre la vitre et contre les baies vitrées de la véranda. C'est cataclysmique.

Il est midi trente cinq quand Clémentine rentre de cours. Elle se précipite dans mes bras. << Je t'aime ! On est ensemble jusqu'à lundi. Défense de se séparer de plus d'un mètre ! >> s'écrie t-elle alors que je la soulève. Ses jambes enserrant ma taille, me couvrant le visage de bisous. Je l'emmène aux toilettes pour le pissou, le lavage des mains. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. L'achèvement du sixième chapitre de sa thèse. Il en reste deux à terminer avant les vacances de Pâques. Les plus contraignantes.

Ensuite nous pourrons confier tout cela à l'imprimeur. Les vingt bouquins à compte d'auteur seront livrés vers la mi mai. << Il est vachement performant Alban ! On peut vraiment compter sur lui ! >> précise Clémentine en parlant du maître de thèse. Il a en charge seize étudiants qu'il dirige et oriente avec efficacité. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine rajoute : < En plus il est mignon, il est presque aussi grand que toi et doit être hyper sportif ! J'aime bien sa mèche blonde et ses yeux bleus ! >>

Nous rions de bon cœur quand je dis : << Une petite pipe et te voilà détentrice de ton Doctorat ! >>. Pliée de rire Clémentine répond : << Si seulement c'était aussi simple. Il n'est pas le jury à lui tout seul ! >>. Nous faisons la vaisselle avant de monter nous laver les dents. Les pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Clémentine mime une fellation avec sa brosse à dents. La bouche encore pleine de crème dentifrice elle tente de dire quelque chose. Ce qui nous fait toujours rigoler comme des bossus. Nous nous rinçons d'abord la bouche.

Nous dévalons les escaliers. Dans le hall d'entrée, nous hésitons vraiment à sortir. Ce serait affronter une véritable tempête. Par séquences, le vent redouble de puissance. Tout se calme subitement pour reprendre. Finalement, la sagesse étant bonne conseillère, c'est dans l'atelier que nous retournons. Serrée contre moi, Clémentine me confie les doutes qui l'habitent. Des interrogations quand à ses rédactionnels. Les six chapitres de sa thèse. Je la rassure. Tout se passera très bien. Je dis : << Tu n'as jamais rien raté ! Inutile de te créer des tourments ! >>

Nous regardons la danse des flammes dans la cheminée. Avec l'obscurité qui règne à l'extérieur, il faut allumer les lampes à halogène. Clémentine s'accroupit devant moi. De ma braguette ouverte, elle extirpe mon sexe mou en disant : << J'ai besoin de jouer avec mon doudou. C'est bon pour le stress ! >>. Nous rions de bon cœur lorsqu'elle l'agite devant son visage en demandant : << Comment vas-tu mon petit coquin ? >>. Elle le mitraille de bisous avant d'en suçoter délicatement la peau fripée du prépuce. Puis de se mettre à pomper.

Elle cesse pour rajouter : << Oh, tu es devenu mon gros coquin ! >>. Je l'aide à se redresser. Clémentine m'entraîne par la queue. Comme par une laisse. Pour me faire faire le tour de la grande pièce. Elle me lâche pour s'assoir devant son ordinateur. Je suis debout derrière elle. Je passe mes doigts dans ses cheveux. Nous regardons l'appartement que nous allons occuper dix jours durant les vacances de Pâques. Par Google earth nous parcourons les rues du petit village de Saint-Claude. Nous nous réjouissons beaucoup pour ce second séjour dans le Jura.

Clémentine adore organiser nos vacances. << Regarde, c'est une voiture comme ça que j'ai loué. Il n'y avait plus de Golf disponibles ! >>. Je découvre une Renault "Captur". D'un rouge magnifique. Ce sera la toute première fois que je conduirai une voiture française. Du bruit. C'est Julie qui arrive. Elle entre dans l'atelier un peu comme un coup de vent. Elle se précipite vers nous. Trois bises pour Clémentine. Trois bises pour moi. Julie ne peut cacher son immense joie de nous revoir. C'est pareil pour nous. Elle s'assoit sur les genoux de Clémentine.

Clémentine lui montre le lieu de notre résidence. << Dix jours ensemble. Ça va être merveilleux ! >> lance Julie à plusieurs reprises. Julie pose tout un tas de questions sur l'organisation. Clémentine répond en concluant chaque fois par la même phrase : << Toi, tu n'emmènes que ta valise et ta bonne humeur ! >>. Je m'écarte pour agiter mon sexe mou. Tout en faisant "l'hélicoptère", je rajoute : << Nous, on s'occupe de reste ! >>. Julie n'ose pas soutenir mon regard. Les siens son furtifs. Par contre elle fixe mes manipulations comme hypnotisée.

Je laisse les filles pour aller m'installer devant mon chevalet. Julie ne tarde pas à venir me rejoindre. Laissant Clémentine aux prémices de la rédaction de son septième chapitre. Julie, assise sur le tabouret, à ma gauche, observe chacun de mes gestes. J'applique les premiers aplats sur la toile. J'ai la bite à l'air. Je surprends plusieurs fois Julie entrain de loucher sur ma queue. Quelle n'est pas ma surprise. Depuis quelques mois, Julie ne bride plus ses pulsions. Ses initiatives ont de quoi surprendre. Surtout comme maintenant, quand elle saisit mon Zob.

J'ai un frisson qui parcourt tout mon corps. Un spasme. Comme une décharge électrique. Je murmure : << Magnifique ! >>. Je prononce ce mot en jetant un coup d'œil vers Clémentine. Elle nous observe, se lève pour regarder ce qui se passe. << Génial ! >> lance t-elle avant de se rassoir. Je peins. Julie joue avec ma queue. C'est absolument divin. Seul le crépitement du feu. Le bruit des doigts de Clémentine sur son clavier. La respiration de Julie qui fluctue selon le degré d'excitation qui la gagne. Son initiative la surprend certainement autant que moi.

Julie devra nous laisser pour dix sept heures. Elle profite probablement de chaque seconde. C'est intense. J'aime peindre en érection. Une érection que Julie tient à présent d'une poigne ferme. Impulsant des mouvements de "serrages" réguliers. Je chuchote : << Si vous avez ce genre d'initiative pendant les vacances, je vous promets de très grands moments ! >>. Julie pousse un petit cri de contentement. Elle dit : << Je me laisserai aller. Je suis tellement impatiente de vivre cette nouvelle expérience ! Je ne suis jamais partie en vacances en plus ! >>

Julie me masturbe doucement. Elle scrute mes expressions. Avec la même attention qu'en observant l'écriture de mes pinceaux. Quand elle me décalotte un peu trop, c'est avec les deux mains qu'elle recouvre mon gland de mon prépuce protecteur. Elle se penche sur sa droite pour le prendre en bouche. Clémentine me fait un clin d'œil. Elle se lève pour mieux voir ce qui se passe. Julie cesse, se lève, s'accroupit entre les montants du chevalet. Entre mes pieds écartés elle se met à genoux avant de s'assoir sur ses cuisses. Ma queue dans la bouche.

De me faire tailler une pipe en peignant n'est pas une nouveauté. C'est une autre forme d'inspiration. C'est un peu comme conduire une voiture en me faisant sucer. Je dois redoubler de vigilance, rester concentré. Je laisse à la lectrice qui connaît et au lecteur qui pratique, le soin d'imaginer le plaisir avant tout cérébral de cette situation épique. Au bout d'une dizaine de minutes, le bruit bulleux des premiers gargouillis. Le foutre que tire Julie de mes couilles par ses succions passionnées. Clémentine vient nous rejoindre, une main dans son Levis.

Accroupie aux côtés de Julie, elle mâte. << Vous me perturbez tous les deux ! >> lance t-elle en saisissant ma main alors que je caresse la nuque de Julie. Parfois j'appuie pour enfoncer un peu plus de bite dans sa bouche. Toutes les deux trois minutes Julie cesse pour tenter de déglutir difficilement mes abondants épanchements. Clémentine se touche. Elle pose sa main sur la tête à Julie pour appuyer. Elle murmure : << Régales toi. Dans le Jura on va t'offrir différentes saveurs. Dont la mienne et celle d'Estelle ! >> Julie cesse pour s'écrier : << Oui ! >>

Je n'éjacule pas mais c'est limite. Je dois me contrôler sévère. Ce sera pour Clémentine ce soir. Ce qui se passe nous excite considérablement. Elle n'arrête pas de me faire des sourires, de m'embrasser, de se masturber. Julie pousse de petits râles de contentements, avalant de véritables coulées ininterrompues de jus de couilles. Il faut cesser. C'est sous une accalmie que nous raccompagnons Julie jusqu'à son auto. Assis à l'intérieur avec elle, je me fais encore sucer un peu. Julie revient demain matin pour le ménage. Quelques derniers bisous.

Bonne soirée à toutes les coquines qui vont profiter de l'excitation de leur coquin. Rien que pour elle. Pour des pénétrations, des cunnilingus savoureux, des fellations juteuses...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 9 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2207 -



Poisson d'avril

Il est aux environs de sept heures trente. Clémentine me tire du sommeil en faisant bouger ses cils contre ma joue tout en murmurant : << Papillon ! >>. Dès qu'elle me sait réveillé, elle frotte son nez contre le mien en chuchotant : << Esquimau ! >>. C'est adorable. Je la serre subitement contre moi. Profitant de l'effet de surprise pour me mettre sur elle, le poids de mon corps en appui sur mes bras. Elle passe ses jambes autour de mes reins, s'accroche à mon cou pour dire : << Je vous aime mon gentil monsieur. Emmenez-moi partout avec vous ! >>

L'impérieux besoin reste le plus fort. Je soulève Clémentine pour l'emmener aux toilettes comme une jeune mariée. Les radiateurs chauffent depuis plus d'une heure. Il fait bien chaud partout dans la maison. Dans la salle de bain nous revêtons nos tenues de sport. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café, pèle les kiwis, presse les oranges pendant que j'allume la cuisinière à bois. Nous courons dans le hall d'entrée afin d'ouvrir le portail depuis l'interphone. Clémentine qui ne cesse de s'accrocher à mon cou pour que je la soulève.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre vendredi soir en amoureux. Julie nous a bien allumé durant l'après-midi. Nous mangeons de bon appétit en passant en revue les rituels de ce samedi matin. Il est huit heures quinze. Voilà Julie qui arrive pour faire notre ménage. Un prétexte pour être dans cette demeure qu'elle adore. Pour être avec nous. << Bonjour ! >> fait elle en se précipitant pour nous faire à tous les deux trois bises sur les lèvres. << Mmhh ! Miel ! >> lance t-elle. Elle rajoute : << Il fait un temps lamentable là dehors ! >>

Effectivement. Des bourrasques de vent continuent de jeter des paquets d'eau contre les fenêtres côté Nord Est. Le thermomètre extérieur indique 6°. Nous attendons ce printemps qui n'arrive pas. Julie nous raconte son vendredi soir de serveuse. << Rien pour satisfaire mes penchants de voyeuse ! >> conclue t-elle en commençant à débarrasser pour faire la vaisselle. << Allez vous entraîner, je m'occupe de tout ! >> rajoute t-elle. Nous quittons la cuisine en déposant chacun une bise sur son front. Julie a un regard furtif sur la bosse de mon legging.

Nous remontons pour nous livrer au second plaisir de la journée. Les échauffements de l'aérobic et du jogging sur tapis roulants. Le samedi, comme nous disposons de tout notre temps, nous pratiquons chaque discipline consciencieusement. Les exercices au sol ainsi que les abdos, les gainages avant l'épreuve des charges additionnelles. Aujourd'hui sur machines. Les étirements nécessaires d'une stretching concentré. La douche. Le sèche cheveux dans la main droite, la brosse dans la main gauche, je coiffe Clémentine. Elle adore me regarder faire dans le miroir.

Nous voilà habillés de nos Levis, de nos épaisses chemises à carreaux. Nous pouvons entendre l'aspirateur que passe Julie quelque part à l'étage. En sortant de la salle de bain nous l'entendons chanter. Nous dévalons les escaliers pour enfiler les anoraks, chausser les bottes en caoutchouc. Il faut profiter de cette accalmie, les pluies diluviennes viennent de cesser. Nous traversons le jardin, la pelouse, en restant sur les dalles de grès. Pas plus de quelques minutes et voilà la camionnette Mercedes blanche qui descend lentement sur les pavés autos bloquants.

Danièle nous adresse un merveilleux sourire en se garant derrière la Clio rouge de Julie. Nous nous touchons les poings en nous saluant. Danièle est vêtue de son épais gilet de camionneur. Son bonnet de laine brune. Ses bottes en caoutchouc. En sortant le cageot qui contient les fruits, les légumes, elle dit : << Ce put-hein d'hiver qui n'en finit pas. C'est désespérant ! >>. Je prends le lourd cageot. Danièle sort le cageot contenant les fromages, les yaourts, les œufs, la petite motte de beurre, les pots de crème fraîche. C'est Clémentine qui s'en saisit.

C'est quand elle me tend le terminal afin que j'y introduise la carte de paiement que Danièle se penche. Comme pour mieux observer le bas de mon anorak. Je dis : << Je l'attends ce printemps, si vous saviez ! >>. Danièle me fait un clin d'œil en me donnant le ticket. Même commande pour samedi prochain. Elle fait demi tour en nous souriant. La camionnette remonte. C'est au portail que Danièle sort le bras pour nous faire un dernier coucou. Au moment où arrive le tube Citroën rénové de notre boulangère. Madame Marthe, hilare au volant.

C'est en racontant une histoire drôle arrivée au village cette semaine qu'elle ouvre la porte latérale dans un épouvantable bruit de ferraille. Elle me tend le cageot contenant les deux grosses miches de pain complet, les bouchées à la reine, les deux pâtes feuilletées, l'imposante brioche au pudding et les deux croissants aux amandes. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Nous saluons madame Marthe qui s'en repart pour d'autres livraisons. Il recommence à pleuvoir. Il faut lutter contre le vent qui nous pousse avec nos gros cageots.

Nous contournons la maison pour descendre à la cave par derrière. Sur les étagères en bois du cellier, nous disposons soigneusement les fruits, les légumes. Une miche, une pâte feuilletée, dans le congélateur d'où je sors le paquet de moules, les sachets de haricots verts et les petits pois. << Il faudra faire les courses avant les vacances. Ça se vide ! >> lance Clémentine qui déboutonne ma braguette pour en sortir une queue toute molle. << J'adore quand ça pend ! >> rajoute t-elle en tirant bien mon sexe hors du pantalon. Elle m'embrasse. Surprise.

Mon érection est presque instantanée quand Clémentine fouille ma bouche avec tant de fougue. Nous remontons par l'escalier intérieur. Julie est entrain de passer la serpillère dans la cuisine. Me voyant avec le cageot des produits frais à ranger dans le réfrigérateur elle dit : << Allez-y, je repasse derrière vous ! >>. Nous traversons la cuisine. Je bande mou. Julie aussi adore la vision de mon "tuyau d'arrosage". Elle n'ose pas soutenir mon regard. Nous rangeons les fromages, les yaourts, les œufs, les petits pots de crème fraîche dans le réfrigérateur.

En ressortant de la cuisine, nouvelle bise sur le front de Julie. Elle me fait le plus merveilleux des sourires. Au salon, assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Trois mails. Celui de ma famille d'Édimbourg. Tout va très bien. Un courriel de Juliette qui nous rappelle qu'elle vient manger mercredi soir. Le message d'Estelle qui est impatiente de revenir en début d'après-midi. Elle précise qu'avec cette météo pitoyable, autant travailler au prochain chapitre de leurs thèses. Dans la petite enveloppe jaune je glisse un billet de 50€, un de 20€.

Le petit mot que rajoute Clémentine et que je signe du personnage de Marcel Gotlib "Bitonio". J'aime caresser les seins minuscules de Clémentine quand elle est installée sur mes cuisses, me tournant le dos. Elle répond aux mails. Il est un peu plus de onze heures trente. Julie vient nous rejoindre. << Vous avez une belle maison toute propre ! >> dit elle, toute timide devant le bureau, jouant avec ses doigts. Clémentine se lève pour la rejoindre. << Merci Julie ! >> fait elle en la tenant par les épaules. Je les rejoins pour tendre l'enveloppe jaune.

<< Merci Julien ! >> lance Julie en se dressant sur la pointe des pieds, m'attrapant par les épaules pour me déposer une bise sur chaque joue. Je ne m'y attends absolument pas. Mais depuis quelques mois, Julie a d'étonnantes initiatives. Elle saisit mon sexe mou de sa main libre. << Je reviens lundi soir ! >> murmure t-elle. Clémentine me fait un clin d'œil en levant son pouce. Nous raccompagnons Julie jusqu'à son auto. Assis à l'intérieur avec elle nous bavardons encore un peu. Je suis installé à l'arrière. Elle m'observe dans le rétroviseur. Je me branle.

Un dernier bisou. Nous la regardons partir dans une accalmie qui ne dure pas plus d'une minute. Les bourrasques de vent sont d'une telle violence qu'elles pourraient nous projeter au sol. Un dernier coucou et nous nous dépêchons de rentrer au chaud, au sec. Clémentine prépare l'assaisonnement d'une belle laitue. Je fais monter en ébullition le bouillon. Dans le wok je réchauffe les haricots verts, les petits pois. Je vide le paquet de moules dans le bouillon. La confection du repas rituel du samedi est toujours rapide. Chacun connaît parfaitement son rôle.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Comme le suggère Estelle dans son courriel, nous le passerons à bosser. Que faire d'autre que d'avancer dans nos travaux avec une météo aussi épouvantable ? Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque nos prochaines vacances dans le Jura. Elle a tout organisé. << Espérons tout de même de belles journées ensoleillées et chaudes parce que si c'est ce temps de merde ça ne va pas du tout le faire ! >> s'exclame t'elle.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de remonter nous laver les dents. Faire les clowns devant le miroir de la salle de bain reste une de nos spécialités. << Dire que l'année dernière, à la même période, nous partions déjà à bicyclette ! >> lance Clémentine en s'essuyant la bouche. Un léger bruit. Estelle aime bien arriver silencieusement pour nous surprendre. La porte s'ouvre soudain. Estelle se précipite vers nous. Serrés tous les trois, nous nous faisons plein de bises. C'est trop bien d'être ensemble. Estelle m'attrape la queue.

<< Toi, tu vas voir ce que tu vas voir ! >> lance t-elle avant de la lâcher. De son grand sac de sport elle tire son pyjama de soie mauve, une culotte et des chaussettes pour demain matin. Clémentine et moi sommes assis sur le rebord de la baignoire. Estelle nous raconte sa matinée à l'hypermarché avec sa maman. << On s'est fait saucer, quel temps dégueulasse ! >> précise t-elle. Clémentine joue avec ma queue en racontant notre vendredi après-midi avec Julie. Notre vendredi soir en amoureux. Estelle vient s'accroupir entre mes jambes écartées.

Elle hume mon sexe que lui présente Clémentine. << Mmhh, ça sent le savon ! Je préfère quand ça sent la bite ! >> dit elle avant de rajouter : << Viens, je t'épile les couilles ! >>. Nous éclatons de rire. << Sans déconner ? >> demande Clémentine. << Sans déconner ! >> répond Estelle qui se redresse. Du petit coffre de bois sur l'étagère elle tire la minuscule paire de ciseaux à ongles. Clémentine déboutonne mon Levis pour le descendre. Elle fait la même chose avec mon slip. Je suis comme un con, debout au milieu de la salle de bain.

Estelle, minutieusement, soulève mes roubignoles. Avec d'infinies précautions elle coupe les poils au plus court. << Comme ça, à la prochaine pipe, ça ne me chatouillera plus ! >> précise t-elle, consciencieusement affairée. Elle est assise parterre. Clémentine s'accroupit pour regarder. Je dis : << Tu sais, il n'y a rien de plus désagréable quand ça repousse. Ça pique, ça démange ! >>. Estelle, passant délicatement le rasoir répond : << Pour avoir de belles couilles dodues, il faut savoir faire quelques sacrifices ! >>. Nous rions aux éclats.

<< Voilà de belles roupettes à montrer aux filles ! >> lance t-elle en passant une crème hydratante à base d'avocat. Celle que met Clémentine sur sa peau délicate. Clémentine qui place judicieusement le petit miroir rectangulaire afin que je puisse admirer le travail ! Je me marre. Elles sont toutes les deux accroupies à observer mes couilles comme si c'était une découverte archéologique qui allait soudain bouleverser l'histoire de l'humanité. Clémentine tient ma bite à la verticale alors qu'Estelle soulève mes couilles pour les masser doucement.

Ce n'est pas la première fois qu'elle rend mes parties génitales glabres. << Avec cette météo, quand on se fait chier, on épile des couilles ! >> lance Estelle en se relevant la première. Elle dépose une bise sur mes lèvres. Clémentine fait pareil. Je retire mes fringues. Il y a plein de poils au fond du slip et parterre. Je change de slip. Nous rigolons comme des bossus. En me rhabillant je suis prié de garder la bite et les couilles hors de ma braguette déboutonnée. Une braguette boutons, étroite et qui fait "garrot". C'est contraignant et très désagréable.

<< Bon, tu peux ranger tes couilles mais pas la bite ! >> fait encore Estelle. Nous dévalons les escaliers. Les filles me tiennent par les mains. Dans l'atelier, Estelle allume une belle flambée dans la cheminée. Clémentine, serrée contre moi, nous admirons le savoir faire d'Estelle. << Je prends une photo de tes couilles ! >> lance t-elle en saisissant son téléphone. Clémentine me déboutonne une nouvelle fois. Slip et Levis aux genoux, positionné devant les flammes, Estelle, accroupie, prend plusieurs clichés. Clémentine me tient sous les couilles.

Estelle et Clémentine, assises devant leurs ordinateurs, se concentrent à présent sur leurs rédactionnels. Le septième chapitre consacré à leurs thèses. Je suis installé devant mon chevalet à préparer les couleurs sur la palette. Je peins dans le bonheur absolu. Les couilles qui me picotent légèrement. En écoutant mes deux anges relire des phrases, changer des mots. Chercher des synonymes. Parfois je me lève. Je me place derrière mes deux anges pour lisser leurs cheveux. Elles adorent ça, quand je passe mes doigts comme des peignes pour les coiffer.

Cette fois je reviens pour faire une natte à Estelle. << Mais comme tu es doux et attentionné Julien ! >> me dit elle sans cesse de taper sur son clavier, de prendre des notes avec son stylo. Je passe aux cheveux de Clémentine pour faire pareil. Je retourne à la peinture de mon sixième paysage destiné à ma saison d'été. C'est Estelle qui vient me faire un câlin dans la nuque. Puis c'est Clémentine. L'après-midi se déroule ainsi. L'obscurité est telle dehors qu'il faut travailler avec les lampes à halogène. Comme en plein mois de décembre. C'est moche.

Il est dix huit heures. << Put-hein on a super bien bossé ! >> s'écrie Estelle. << C'est génial ! >> s'exclame Clémentine. Elles rangent leurs affaires. Pendant que je nettoie la palette, les pinceaux, chacune me fait une lecture. J'applaudis. C'est tellement bien écrit. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Tous les trois, l'éplucheur à la main, nous enlevons les pelures des pommes de terre, des carottes, des navets et du céleri. Lavés, coupés, dans la vieille cocote en fonte noire, Estelle remue la potée de légumes. L'accompagnement des trois repas de ce week-end.

Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la laitue. Je poêle trois beaux dos de cabillaud blanc. Nous mangeons de bon appétit. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Je saisis mes deux anges par leurs nattes. Comme si je les tenais à la laisse, je les entraîne au salon. J'ordonne : << À quatre pattes. C'est l'heure de la promenade ! >>. Ravies, enchantées, en gloussant de plaisir, Estelle et Clémentine s'exécutent de suite sur le parquet. Je donne quelques à coups. Aux coins de chaque meuble, Clémentine lève la patte. Imitée par Estelle qui en rajoute encore.

Nous faisons ainsi trois fois le tour de la grande pièce. Je dépose deux des épais coussins du canapé au sol. J'ordonne : << À genoux, mains sur la tête ! >>. Toutes les deux anticipant déjà ma directive, sont droites, fières, à genoux, les doigts croisés sur la tête. Je frotte ma queue sur le visage d'Estelle. En insistant bien sous ses narines. Je fais pareil avec Clémentine. Je m'accroupis pour palper leurs sexes à travers le tissus de leurs Levis. J'essaie d'être le plus vulgaire possible. Elles écartent les genoux pour me permettre le meilleur accès. Je les tripote.

Je me redresse en ordonnant : << Debout. Vous retirez vos fringues ! >>. Là aussi, avant même que je ne termine ma phrase, elles déboutonnent leurs jeans. Je précise : << Ce soir, je vous veux à poils ! >>. Toutes les deux, complètement nues, les mains derrière le dos m'observent. Attendant ma prochaine directive. J'ordonne : << Estelle, sur le bureau, couchée ! >>. Estelle se précipite avec le coussin dans la main. Je me tourne vers Clémentine en disant : << Tu fais pareil ! >>. Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. Elle se précipite.

Toutes les deux, les têtes posées sur les coussins, se masturbent. Je frotte mon sexe contre celui d'Estelle. Je fais de même contre celui de Clémentine. Elles se masturbent en haletant. De voir mes deux anges, complètement nues, ainsi offertes, me procure une émotion folle. Bien plus cérébrale que physique. Je m'enfonce dans Estelle en murmurant : << Poisson d'avril ! >>. Elle se met à rire, perdant tout le sérieux de cet instant solennel. Je me retire pour m'enfoncer dans Clémentine en prononçant les mêmes mots. Nous rigolons comme des bossus.

Je soulève Estelle, pénétrée jusqu'à mes couilles épilées, pour la promener dans tout le salon. Clémentine, à genoux sur le bureau, assise sur ses talons, se masturbe en nous regardant. Je reviens poser Estelle à ses côtés pour l'emmener à son tour. Quand nous n'avons pas d'activités physiques comme aujourd'hui, j'ai une vigueur décuplée. En temps normal j'ai une forte endurance. Mais là c'est puissance dix ! Je baise mes deux anges à la hussarde. Alternant la douceur du lutteur ukrainien à la sensualité de l'équarrisseur de l'époque soviétique.

En poussant des cris d'hommes des bois. Je suis en rut comme un néandertalien avec des filles de Cromagnon. Il faut imaginer ce salon victorien résonner de nos hurlements de déments. Je lèche les minous que je pénètre. Je suce le clitoris de l'une en fourrant l'autre de mon dard glabre et vigoureux. L'orgasme d'Estelle l'agite de spasmes presque inquiétants avant qu'elle ne s'écroule dans un profond râle sonore. Là, sous nos yeux ahuris, Clémentine accroupie au-dessus de la cuvette pisse en se masturbant. Ça gicle à côté parce que son corps est agité de spasmes.

Cette fois, quand elle est entrain de jouir, en se retenant de sa main libre contre le bureau, je viens lui enfoncer la bite dans la bouche. J'éjacule en hurlant. Estelle vient me rejoindre. Elle saisit mes couilles par derrière. Ses lèvres comme une ventouse contre mon omoplate gauche. En toussant, du foutre lui dégoulinant des narines, les yeux larmoyants, Clémentine fait tous les efforts possibles pour tenter d'avaler. Je me tourne vers Estelle pour la forcer à se mettre à genoux. Je lui enfonce la queue encore dure dans la bouche. Seconde jute.

Bonne nuit à toutes les coquines qui aiment se blottir contre leur bienfaiteur, sous la couette, pour confesser leurs immenses bonheurs...

Julien (poissonnier d'avril)



Classe

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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Les vingt six ans de Clémentine

Hier matin, notre grasse matinée du dimanche nous emmène jusqu'aux environs de neuf heures. Estelle à ma gauche qui saisit mon érection. Me réveillant de cette manière assez violente. Clémentine à ma droite qui vient se serrer encore plus fort. Voilà qu'Estelle, me sachant réveillé se couche sur moi pour dire : << Bon anniversaire ! >>. Tout en frottant son sexe sur le mien elle fait des bisous à Clémentine. L'impérieux besoin de pisser interrompt son élan chaleureux. D'un bond elle nous abandonne. Elle se précipite vers la porte.

C'est Clémentine qui se couche sur moi. Elle couvre mon visage de bisous en disant plein de << Je t'aime ! >>. Je n'arrête pas de murmurer : << Bon anniversaire mon ange ! >>. Clémentine passe soudain sous la couette pour gober ma turgescence. C'est une impression étrange autant qu'insolite. La tumescence matinale est une simple conséquence physiologique, biologique. Rien de commun avec une excitation quelconque. Je caresse sa nuque. Elle revient à la surface en disant : << Je viens de m'occuper de la bougie de mon gâteau ! >>. Rires.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Il fait bien chaud partout dans la maison. Depuis trois heures que les radiateurs fonctionnent. Dans la salle de bain où nous les préparons la veille, nous revêtons nos Levis, nos épaisses chemises à carreaux. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Dans la cuisine règnent les doux parfums du café, du pain grillé et de la cuisinière à bois que vient d'allumer Estelle. Estelle encore en pyjama qui me saute au cou. << Tu as été adorable hier soir ! >> lance t-elle alors que je la soulève. Je fais pareil avec Clémentine.

La brioche au pudding trône sur la table. Estelle y a planté vingt six bougies. Toutes allumées. << Bon anniversaire ! >> faisons nous en même temps alors que Clémentine, d'un seul souffle, avec un mouvement de tête régulier, souffle l'ensemble des bougies. Nous applaudissons. J'avais préparé le cadeau en secret sur le dessus du buffet. Je monte sur le tabouret pour le saisir. Je le pose sur la table. Un petit paquet au bel emballage de papier mauve comme le pyjama d'Estelle. Préparé selon mes directives par Jean Charlier, le bijoutier.

Je fais appel à ses services depuis plus de vingt ans pour marquer des évènements particulier. Il me fournissait déjà en bijoux quand mon ancienne compagne était encore parmi nous. Je presse les oranges. Estelle pèle les kiwis. Clémentine, assise à table déballe son cadeau. Doucement, comme si elle ne voulait surtout pas abimer l'emballage. Comme si le contenant était aussi précieux que le contenu. Je suis debout derrière elle, mes main autour de son cou que je caresse délicatement. Estelle me tant autour de la taille. Une main baladeuse.

En poussant un cri d'admiration Clémentine retire lentement la gourmette en or vieilli de son écrin. À la droite de son prénom gravé en lettres gothique un diamant bleuté. << C'est merveilleux ! >> lance Clémentine dans un souffle. << Mets le moi ! >> rajoute t-elle. Je le passe à son poignet. << Il est lourd ! >> s'écrie t-elle. Elle fait tourner son poignet. C'est un bijoux magnifique. Une fois encore j'ai fait le bon choix. Clémentine est plutôt argent qu'or. Mais cet or vieilli, patiné est d'une telle beauté, d'une telle finesse qu'il en est extraordinaire.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos folies de la soirée. << J'ai ma fête tous les soirs ! >> lance Clémentine. << Moi aussi je veux un Julien ! >> s'exclame Estelle qui vient terminer sa tranche de brioche sur mes genoux. Nous mangeons de bon appétit alors que Clémentine vient s'installer sur mon autre jambe. Nous traînons à table. La vaisselle avant de remonter nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Estelle se change pour s'habiller comme nous. Nous faisons notre lit avant de redescendre.

Le thermomètre extérieur indique 8°. Il est 10 h30. Mais il ne pleut pas. Il y a même des séquences ensoleillées. Emmitouflés dans nos anoraks nous allons jusqu'à la rivière. Clémentine fait tourner son poignet pour admirer sa gourmette. << Je vais la porter tout le temps. Même sous la douche ! >> dit elle en me mitraillant le visage de bises. Les filles restent accrochées à mes bras. Nous regardons virevolter les poules d'eau, les colverts et les canards. Nous n'irons pas plus loin car le sentier qui part sur la gauche oblige à marcher séparément.

<< On est des vieilles bientôt. Vingt six ans. Ça fait tout drôle, hein ? >> lance Estelle. Moi qui en ai le double, je ne peux m'empêcher de sourire à cette affirmation complètement saugrenue. << Mais un homme ce n'est pas pareil ! >> lance Estelle. << Non, ça a une bite. Et j'aime la bite ! >> dit Clémentine. Nous rions aux éclats. Nous remontons le chemin. Nous remplissons la brouette d'une vingtaine de bûches. Pendant qu'Estelle les empile à côté de la cuisinière, de la cheminée du salon, de celle de l'atelier, nous faisons un second voyage.

Seuls tous les deux derrière l'abri à bois, Clémentine se jette dans mes bras en disant : << Depuis six ans que je vis ici avec toi, tu as fait de moi la femme la plus heureuse. Je t'aime. Je t'en suis profondément reconnaissante ! >>. Sans me laisser le temps de dire quoi que ce soit, une connerie certainement, elle enfonce sa langue dans ma bouche. Ce baiser passionné me fait bander. Déformant affreusement mon Levis. Passant sa main sous mon anorak, elle la glisse dans la braguette toujours ouverte. Elle me touche alors tout aussi passionnément.

<< Je te fais une méga pipe aujourd'hui ! >> s'écrie t-elle en reprenant son souffle. Nous chargeons la seconde brouette pour rejoindre Estelle. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges découvrent les deux paquets posés sur le bureau du salon. Fébriles, toutes les deux ouvrent les emballages de papier kraft. Émerveillées autant qu'amusées elles sortent les deux colliers de cuir mauve des paquets. Deux collier de deux centimètres de large. Une fermeture discrète en laiton. Presque un bijoux aussi.

Les deux sangles sont réunies par un petit cœur en laiton. << Des colliers de "Soumises" ! >> s'écrie Estelle. << Génial ! >> lance Estelle. Toutes les deux se lèvent d'un bond. Se mettent à genoux, les mains sur la tête. Clémentine à ma gauche, Estelle à ma droite. << Tu nous le mets ! >> lance Estelle. Fières, droites, elle me tendent leurs cous. J'y fixe les colliers. Ils sont doublés de nubuck. Ce cuir retourné qui les rends agréable à porter en toutes occasions. Du tiroir du bas je sors les laisses. Je fixe les mousquetons aux petits cœurs laitonnés.

Je me lève, je donne un à coup. Toutes les deux se mettent à quatre pattes. Je les promène dans la grande pièce dont nous faisons deux fois le tour. Elles ont leurs cheveux en nattes. Lorsque je passe les poignées des laisses autour de mes poignets, je saisis leurs nattes. Au coin de chaque meuble, Clémentine lève la patte. Comme hier soir, imitée par Estelle. Arrivés devant le canapé je jette deux des épais coussins au sol. Sans attendre une quelconque directive, mes deux anges s'y mettent aussitôt à genoux, fières et droites, les mains posées sur la tête.

Je frotte ma bite sur la gueule à Clémentine. Le plus vulgairement possible en disant : << Bon anniversaire mon ange ! >>. En gloussant de plaisir, juste avant de prendre mon sexe en bouche, elle murmure : << Merci mon doux "Maître" ! >>. Estelle attend son tour. Impatiente. Observant la pipe de Clémentine. Je caresse son visage du bout de mes doigts. Je me penche. Elle se redresse encore davantage pour m'offrir sa bouche. J'y enfonce ma langue. Je me redresse, la bouche ruisselante de nos salives. Je retire ma queue de celle de Clémentine.

Comme déçue, dépitée, elle me fixe de ses yeux plein de reconnaissance. Je les force à se relever toutes les deux. J'enlève les laisse. Mais toutes les deux tiennent à garder les colliers. Nous quittons le salon pour la cuisine. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade de carottes. Estelle fait rissoler trois beaux pavés de saumon. Avec de l'ail, de l'échalote, des champignons. Un petit pot de crème fraîche en fin de cuisson. Je remue la potée de légumes sans cesser de la détacher du fond de la vieille cocotte en fonte noire. Sur la cuisinière à bois.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant différentes options d'activités pour l'après-midi. Il fait froid. Le vent reste glacial. Il y a du soleil presque tout le temps. Je propose une virée en voiture. Le port de plaisance. Nous adorons cet endroit. << Je vais te sucer tout le temps ! >> me fait Clémentine en venant s'assoir sur mes genoux. Elle rajoute : << Je ne le fais pas assez souvent ! >>. Estelle vient s'installer sur ma jambe libre. Elle dit : << On va te faire ta fête ce soir ! >>. Nous traînons à table en évoquant nos prochaines vacances.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous restons vêtus comme nous le sommes. Juste des pulls à enfiler. Nos bottines à chausser. Nous dévalons les escaliers à toute vitesse. Nos blousons de cuir brun. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue en essayant de la passer entre sa nouvelle gourmette et son poignet. Évidemment c'est impossible. Estelle, assise à l'arrière, caresse mon cou. Il y a un peu plus de 35 km jusqu'au port. La température n'excède pas 17°. Il est 14 h45. Il y a pas mal de monde à flâner sur les quais.

Discrètement, nous n'arrêtons pas de nous tripoter. J'ai souvent mes mains entre les cuisses chaudes de mes deux anges. Elles s'y frotte lascivement. Quand ce n'est pas Estelle qui glisse sa main dans ma braguette c'est Clémentine. Les colliers de cuir sont si doux qu'elles viennent toutes les deux de constater qu'elles les portent toujours. Je passe mes index dans chacun des cœurs en laiton. << Promène-nous comme ça ! >> lance Estelle. Je m'y refuse. Il y a trop de familles en balade. Inutile d'imposer des situations et des attitudes aux jeunes.

Impossible de prendre un bon chocolat chaud dans le bar restaurant au bout du quai. Plus une place et il y a même des familles debout à consommer devant le comptoir. Il faut se résoudre à ne pas savourer une boisson chaude. D'habitude, en virée, nous avons toujours une thermos de thé bouillant. Pas aujourd'hui. Nous revenons à la voiture. Je propose de nous offrir un bon restaurant. De marquer les vingt six ans de mes deux anges. << Oh oui ! >> s'écrient elles en même temps. Je dis : << Le restaurant de l'étang. Une surprise pour Julie ! >>

Là aussi, il y a un monde fou. Heureusement une table reste libre. Quand Julie nous voit entrer dans la salle, elle ne peut cacher son immense joie. C'est devant de grands plateaux de fruits de mer que nous fêtons l'anniversaire de Clémentine. Anne-Marie, la patronne et tante de Julie vient nous saluer. Elle a donné des directives en cuisine. Jean-Louis, le Chef, prépare déjà un dessert de fête. Nous mangeons de bon appétit en passant une merveilleuse soirée. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il reste à peine une demi heure quand nous reveno

À peine au salon, Estelle me sort la queue. Accroupie, elle hume longuement mon sexe à pleines narines. << Put-hein j'adore quand ça schlingue ! >> s'écrie t-elle. << fais-moi sentir ! >> lance Clémentine qui se met à genoux à même le parquet. Toutes les deux, en riant, reniflent ma bite. Je peux en sentir la puanteur des dimanches sans douche. << C'est ton anniversaire, je te la laisse ! >> dit Estelle en se redressant. Je me vautre dans le canapé. Clémentine à genoux entre mes jambes. Ses mains posées sur mes cuisses. Une fellation de roi.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui fêtent leur anniversaire dans l'amour, la considération, en se faisant pénétrer et en dégustant une bonne bite juteuse et coulante sous la couette. Avant le dodo...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 11 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2209 -



Julie s'adonne à son penchant pour le voyeurisme

Il est presque six heures en ce lundi matin. Le cri strident des mouettes. Le bruit des moteurs de ce chalutier rentrant au port. Nous sommes réveillés par les illusions de l'application "océan". Clémentine se love contre moi en gémissant : << Bientôt pour de vrai ! >>. Je la serre plus fort. Elle fait allusion à l'Écosse qui nous attend pour cet été. Quelques bisous, quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. La salle de bain. Vêtus de nos leggings de lycra noir, de nos sweats de lycra rouge, morts de faim, nous dévalons les escaliers.

Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Elle presse les oranges, pèle les kiwis pendant que j'allume la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée au restaurant. La joie de Julie lorsqu'elle nous a vu entrer dans la salle. Elle revient ce soir. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la personnalité de notre jeune amie. Nous passerons bientôt dix jours de vacances avec elle. Il est 6 h25. Nous remontons. Notre heure d'entraînement va nous permettre d'émerger complètement. C'est urgent.

L'aérobic et le jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol, les abdos. Tout cela constitue l'échauffement parfait avant les barres et les haltères. Le retour au calme d'un stretching bien trop hâtif avant la douche. Je redescends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Le ciel est gris, bas et il fait un froid glacial. Le thermomètre extérieur indique 2°. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre déguisée une fois encore en esquimau. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud. C'est affreux.

Je fais notre vaisselle, notre lit avant d'aller dans l'atelier. J'y allume un beau feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette sixième toile destinée à ma saison d'été est un enchantement de chaque instant. Je peins dans une sorte de félicité qui me coupe des perceptions du temps qui passe. Il est midi lorsque je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe le reste de potée de légumes. Il suffit de l'accompagner d'une salade de concombre, d'un filet de colin.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff reçoit une sociologue et un épidémiologiste. Il est question de ce climat anxiogène que les dirigeants imposent à la nation. La dixième vague du Covid en est une nouvelle facette. Bien évidemment il n'y a plus que les imbéciles pour êtres dupes de toutes ces manœuvres scélérates. Mais comme le précise André, c'est ces mêmes individus qui ont mis en place ce système corrompu et dictatorial par leurs votes. Après tout ils n'ont que ce qu'ils méritent. Mais tous les autres subissent.

J'écoute de plus en plus distraitement en préparant mentalement le repas du soir. J'opte pour un gratin de courgette, d'aubergine et de potiron. Je lave soigneusement ces trois légumes que je n'épluche surtout pas. Ils sont de culture biologique. Ce serait dommage de se priver du meilleur. De ce qui contient les éléments vitaux. Le coupe en fines tranches que je dépose dans le grand plat carré en terre cuite. Je rajoute le mélange œuf, lait de soja, fromage blanc et moutarde à l'ancienne. Je recouvre de gruyère suisse râpé et de chapelure.

Je saupoudre de graines de sésame grillé. Onze cerneaux de noix disposés en cercle. J'évide quatre tomates. Je verse le jus dans un plat carré bien plus petit. Je remplis ces tomates de miettes de thon mélangées à une rapide Béchamel aux champignons. De petits cubes de Roquefort. Je recouvre de fines lamelles de Saint Nectaire et de Morbier. Il me reste à placer les deux plats au four électrique pour une cuisson lente et longue. Je fais mijoter à 160°. Le thermostat pilotera cette cuisson. Je n'ai plus qu'à faire la vaisselle, à me laver les dents.

Pressé de faire quelques pas au dehors, je dévale les escaliers pour enfiler l'anorak. La température extérieur est de 4°. Ce maudit froid polaire est encore accentué par un fort vent du Nord. Je descends jusqu'à la rivière. C'est étrange de voir cette végétations en fleurs en plein hiver. Parce que cette année l'hiver semble vouloir jouer les prolongations. Il est 13 h50 quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans le même état de totale félicité que ce matin. Sans perception réelle du temps qui passe. C'est un enchantement.

Je sais qu'il est 17 h30 en entendant de légers bruits. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table. Elle se précipite pour se mettre à califourchon sur mes cuisses. Elle me montre sa gourmette en disant : << C'est le cadeau d'anniversaire que m'a fait l'homme que j'aime. Qui partage ma vie ! >>. Clémentine met ses bras autour de mon cou. Elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Son après-midi en salle de documentation. L'avancée de ses écrits. Ce septième chapitre consacré à sa thèse. C'est parfait.

Elle va d'ailleurs finaliser le tout cette semaine. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, Clémentine chantonne. Me fait des lectures à voix haute. J'aime peindre en l'écoutant. À la savoir près de moi. C'est une autre forme de félicité. Toute aussi extatique. << Put-Hein comme j'en ai marre ! >> s'écrie t-elle en commençant à ranger ses affaires. Il est 18 h40. Je nettoie la palette, les pinceaux. Devant le petit lavabo de l'atelier, la queue posée sur le rebord, je me lave les mains. Clémentine s'empresse de venir me rejoindre en sautillant.

Elle me tient la bite pour en diriger les jets. << Tu as vu comme elle est belle ma gourmette ! >> lance t-elle. C'est vrai. Elle est magnifique. << Tu m'as constitué toute une collection de bijoux plus beaux les uns que les autres ! >> dit elle encore avant de se pencher en avant. Gobant le prépuce fripé pour le suçoter, le mâchouiller. Du bruit. Julie fait son apparition. Elle se précipite en découvrant la scène. Trois bises sur les lèvres mouillées de Clémentine. Trois bises sur les miennes. << C'était génial la surprise hier soir ! >> s'exclame Julie.

Je bande mou. Julie fixe ostensiblement mon "tuyau d'arrosage" en nous racontant sa journée d'étudiante en Lettres Modernes. Elle est très sereine quand à l'échéance de sa Licence. Ce diplôme qu'elle passera en juin. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand les filles découvrent la surprise que j'ai préparé, j'ai droit à un mitraillage de bisous sur mes joues. << Je suis morte de faim ! >> lance Clémentine. << Moi aussi ! >> s'écrie Julie. Il suffit de mettre les deux plats dans le four à bois hyper chaud. Clémentine prépare la salade d'endives.

Nous mangeons de bon appétit. J'écoute les filles évoquer leurs études. La passion qu'elles mettent dans la préparation de leurs diplômes. C'est rassurant. Julie aussi veut aller jusqu'au doctorat, devenir maître de conférence. Enseigner en troisième cycle universitaire. Beaucoup de points communs même si les matières ne sont pas les mêmes. Doucement, insidieusement, sous les ruses de Clémentine, la conversation s'axe sur nos passions communes pour le sexe. Les réjouissances qui nous attendent d'ici deux semaines. Nos futures vacances dans le Jura.

Je me lève à plusieurs reprises pour agiter ma queue toute molle en direction de Julie. Puis vers Clémentine. Je dis : << Julie, je vous réserve de grands moments pour ces dix jours ensemble ! >>. Elle n'ose pas soutenir mon regard insistant. Par contre elle observe "l'hélicoptère" comme subjuguée. Je contourne la table pour venir me placer sur sa droite, tenant le Zob à quelques dizaines de centimètres de son visage. C'est comme si Julie cherchait l'assentiment de Clémentine car elle l'interroge du regard. Clémentine qui mime une fellation.

Julie devra nous laisser pour 22 h. Il reste deux bonnes heures. Elle hésite. Je bande mou. Je lui présente cette bite flasque avec une certaine insistance. Julie se tourne. Toujours assise, fermant les yeux, elle ouvre la bouche. J'y enfonce ma queue. Elle a soudain comme un haut le cœur qui la fait tousser. Je me retire immédiatement. Elle détourne la tête avec une légère grimace de dégoût. Elle s'est certainement ramassée une petite montée de liquide séminale. Quand je suis excité par mes exhibitions vulgaires, il y a des montées de jus.

Je n'insiste pas. Je me dirige vers Clémentine alors que Julie termine son assiette. Clémentine saisit la peau fripée et trempée de mon prépuce pour la tirer légèrement. Laissant apparaître le méat. Une bulle se forme. Du bout de la langue elle la crève avant de gober l'ensemble pour sucer. Julie, comme hébétée, assiste à la scène. Elle pose sa fourchette. Elle prend son assiette pour en lécher l'intérieur. Il y a quelque chose de très animal dans cette façon de terminer son repas. Elle le fait à chaque fois. Puis, le menton posé sur ses mains elle nous mâte.

Julie n'ose pas soutenir mon regard. À peine si elle m'adresse de furtifs sourires. Elle regarde cette scène hallucinante avec cette intensité dont elle est coutumière. Je me fais tailler une pipe des familles au-dessus de l'assiette vide de Clémentine. Je me retire. Un long filament laiteux et gluant relie mon prépuce aux lèvres de Clémentine. Julie, en apnée, concentrée sur cette fellation, reprend soudain son souffle. Elle laisse échapper un gémissement qui trahit sa profonde excitation. Comme pour fuir son trouble, elle se lève pour débarrasser la table.

Nous faisons la vaisselle. Nous passons au salon pour prendre une infusion avec les yaourts au miel. Clémentine et moi dans le canapé. Julie dans le fauteuil qui nous fait face. Nous parlons des vacances. Clémentine montre sa gourmette. Julie regarde mon mouvement masturbatoire. Elle réagit toujours comme si c'était la première fois. C'est adorable. Elle ne joue pas. C'est sa nature profonde. Parfois je me lève pour agiter ma queue dans sa direction. Je me tourne vers Clémentine pour faire pareil. Cette fois Clémentine tourne la tête pour gober le Zob.

Debout, les mains sur les hanches, je me fais tailler une pipe. Julie, les coudes en appui sur ses cuisses, penchée en avant, observe avec attention. J'arrive quelquefois à lui adresser un clin d'œil. Clémentine cesse, me fait tomber au fond du canapé. Se lève. Jette un des épais coussins au sol, s'y met à genoux entre mes jambes écartées. Elle dit à Julie : << Viens t'assoir là, tu seras mieux ! >>. Elle tapote la place où elle était assise. Julie hésite. Se lève pour venir s'installer à ma gauche. Un peu distante. Comme méfiante. Clémentine la rassure.

Penchée en avant, les bras croisés sur ses cuisses, Julie regarde la fellation que me prodigue Clémentine. Je me fais sucer comme un bienheureux. Julie me lance de rapides sourires, de furtifs regards. Comme pour scruter mes expressions. Je sais qu'elle me regarde avec beaucoup d'attention quand j'observe Clémentine. Clémentine qui se régale en gloussant. Je murmure des douceurs. Je m'adresse à Julie en disant : << Vous l'aurez en bouche tous les jours. Vous vous souviendrez de vos vacances dans le Jura ! >>. Clémentine glousse en riant.

Julie cache son visage dans ses mains lorsque je lui promets des fellations variées. Je lui confie mon désir de la baiser dans tous les recoins du petit village de Saint Claude. << Capitale de la pipe ! >> s'écrie Clémentine qui cesse de pomper. Nous rions aux éclats. Elle a du foutre autour de la bouche. Sous le nez. Elle tend ma queue à Julie en demandant : << Tu veux te régaler un peu ? >>. Julie n'aime pas être frustrée. Et rien n'est plus frustrant que d'être pressée par le temps. Il reste un petit quart d'heure. Clémentine n'insiste pas. Moi non plus.

Clémentine s'assoit entre Julie et moi. Elle demande : << Tu aimes mâter ? >>. Julie répond : << Je fais ça depuis que je suis petite ! J'adore ! >>. Nous rions aux éclats quand Clémentine rajoute : << Ici, tu es au spectacle à chacune de tes visites ! >>. Julie s'écrie : << Et c'est génial ! >>. Je murmure : << C'est pour ça que vous venez ! >>. Ce n'est évidemment pas vrai. Nos relations sont bien plus profondes. Nous raccompagnons Julie dans la nuit glaciale jusque dans sa voiture. Installés avec elle pendant que le moteur chauffe.

Bonne nuit à toutes les coquines qui après avoir passé une bonne partie de la soiré à sucer de la queue, vont se faire bouffer la chatte sous les draps avant un bon dodo...

Julien



Classe

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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Classe - 12 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2210 -



Clémentine et sa passion pour la fellation

Hier matin, mardi, il est presque six heures. Les illusions sonores de l'application "océan" nous arrachent de nos profonds sommeils. Clémentine vient se blottir encore plus fort en gémissant d'incompréhensibles propos amphigouriques qui nous font déjà rire. Il faut se lever après quelques bisous, quelques papouilles. Après les toilettes nous allons dans la salle de bain pour nous y revêtir de nos habits de sport. Les radiateurs viennent de s'allumer. Comme il fait très froid au dehors, nous faisons chaque chose, chaque geste dans la précipitation.

Morts de faim, nous dévalons les escaliers. J'allume immédiatement la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée. La présence de Julie. Sa façon de mâter la pipe de Clémentine. << Pendant les vacances, on va beaucoup s'amuser avec elle. Tu vas voir ! >> lance Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en nous projetant dans l'avenir proche. Il ne reste plus tout à fait deux semaines de cours avant ces vacances dans le Jura. À saint-Claude.

Il est 6 h25. Nous remontons très vite. Il commence à faire chaud dans la maison. Notre salle d'entraînement reste à la température de 16°. Idéal pour nos activités. Les échauffements de l'aérobic et du jogging sur tapis roulants participent de cet idéal. Les exercices au sol ainsi que les abdos sont les compléments parfaits avant d'attaquer les charges additionnelles. Les étirements du stretching beaucoup trop précipités avant la douche. Je redescends le premier. Le froid est polaire. Le vent glacial. Le thermomètre extérieur indique moins deux degrés.

Il est presque 7 h45. Le ciel est totalement bleu. Une ambiance de pôle Nord pour une végétation printanière. Ce n'est pas seulement surréaliste c'est également insensé. Emmitouflée dans son anorak, sous sa capuche à fourrure, son bonnet, ses gants, Clémentine vient me rejoindre. << Ce soir je te suce. J'ai trop envie ! >> s'écrie t-elle en s'installant au volant. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou avant de rentrer au chaud. Ce froid glace le sang, les os. Je fais la vaisselle et notre lit avant de retourner dans l'atelier.

J'y allume le feu dans la cheminée. Avec ce froid intense dehors, le tirage est puissant. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette sixième œuvre destinée à ma saison d'été m'accapare rapidement. Je terminerai cette toile en fin d'après-midi. Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser des cris d'animaux qui n'existent pas. Absorbé dans ma passion je n'ai aucune perception du temps qui passe. Il est midi quand je rajoute deux bûches dans les flammes. Je quitte l'atelier pour la cuisine.

Je réchauffe les restes. Le gratin de courgette, d'aubergine ainsi que la dernière tomates farcie. Une rapide salade de carottes. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Aujourd'hui André Bercoff reçoit un journaliste d'investigation. Il est question du procès qui attend l'ancien président des États-unis. Donald Trump va t-il tourner cet évènement à son avantage ? Il est fort probable que cette actualité va lui rapporter un taux se sympathie jamais égalé. En tous cas ce brave homme a déjà toute la mienne. J'écoute en riant dans mon fort intérieur.

Pour ce soir j'envisage une Flamiche Picarde. Cette tourte aux poireaux qui fait souvent les délices de nos mardis soirs. Estelle et Clémentine en raffolent. Moi aussi. J'étale les deux tiers de la pâte feuilletée dans le grand plat rond. Je coupe et je lave deux beaux poireaux. J'adore l'odeur. Je le fais bouillir dans l'auto cuiseur pendant que je concocte une belle Béchamel. J'y rajoute du gruyère Suisse grossièrement râpé, de l'ail, de l'oignon. J'y mets le poireau égoutté. Je remue avant de verser dans le plat rond. De recouvrir du dernier tiers de pâte feuilletée.

Je jointe soigneusement les bords avant de badigeonner le dessus du mélange œuf, lait de soja, moutarde à grains. Dans le four électrique pour une cuisson lente à 180°. Je lave trois endives pour la salade qui accompagnera la Flamiche Picarde. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller prendre l'air, je dévale les escaliers pour enfiler l'anorak. La lumière est extraordinairement intense sous ce ciel bleu, pur et ensoleillé. Par contre la température reste à 3°. Une véritable gifle. Le froid pique les oreilles. Quelle horreur en ce début avril.

Je vais jusqu'à la rivière. Les canards, les poules d'eau, les colverts paraissent indifférents aux conditions climatiques. Il est 13 h50 quand je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans le même enthousiasme que ce matin. Doublement serein à l'idée que je suis en avance sur le timing et que le repas du soir soit déjà prêt. Les heures défilent hors de ma perception de leurs durées. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table avant de me rejoindre en sautillant. Toute heureuse.

À califourchon sur mes cuisses, se frottant légèrement, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Son après-midi en salle de documentation occupée au rédactionnel du septième chapitre de sa thèse. << Je me suis touchée en rentant. Je te promets, je roule doucement. Mais ce qui s'est encore passé hier soir m'a encore complètement chamboulé ! >> me confie t-elle. Nous en rions de bon cœur quand elle rajoute : << Et je reproduis ce soir. Estelle est au moins aussi voyeuse que Julie ! Tu veux ? >>

Clémentine a encore du travail. Elle ne s'attarde pas. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, elle chantonne en tapant sur le clavier. J'aime cette atmosphère d'émulation commune. Je dépose la dernière touche de jaune de cadmium sur la surface du tableau achevé. Afin qu'il sèche dans les toutes meilleures conditions je le mets sur le second chevalet, recouvert d'un linge qui le protège de la poussière. Je dépose le septième paysage destiné à ma saison d'été sur son support. Il n'est encore que dessin préparatoire et couche d'impression.

Je nettoie la palette, les pinceaux. Je rejoins Clémentine. Debout derrière elle, je défais son catogan pour lisser ses cheveux. Elle adore quand j'y passe mes doigts tel un peigne. Parfois je soulève ses cheveux pour poser mes lèvres dans sa nuque. << Mmhhh ! >> murmure t-elle sans cesser d'écrire, de relire à voix haute. C'est quand je titille sa peau du bout de ma langue qu'elle glousse de plaisir. Nous restons ainsi un bon quart d'heure avant que Clémentine s'exclame : << Là, j'arrête. Écoute, je te fais la lecture des deux derniers paragraphes ! >>

Tout en la coiffant, j'écoute. Je me penche pour murmurer : << C'est magnifique ! >>. Elle tourne la tête pour me faire un rapide bisou sur la bouche. Elle se lève pour ranger ses affaires en disant : << Je te rejoins au lavabo ! >>. Je sors ma bite pour la poser sur le rebord de faïence. Je me lave les mains. Je dois méchamment pisser mais j'attends en serrant les fesses. Clémentine vient me rejoindre. Elle tient ma bite pour en diriger les jets. Penchée en avant, elle contemple ce spectacle en visant le trou ou le rectangle du trop plein. Des jets précis.

S'accroupissant elle me fait tourner afin de prendre mon Zob tout mou en bouche. En gémissant Clémentine savoure. Je caresse sa tête. Ce qui n'est que le rituel habituel de nos fins de séances de travail devient ce soir une authentique pipe des familles. Je l'aide à se redresser pour éviter qu'elle ne se mette à genoux à même les tommettes du sol. Elle se blottit dans mes bras en murmurant : << Je t'aime ! >>. Je la soulève pour la promener dans tout l'atelier. Ses jambes autour de ma taille elle se laisse "transporter". << Les vacances bientôt ! >> dit elle.

Du bruit. Estelle entre dans l'atelier comme un ouragan. Elle se précipite pour me faire la bise, saisir ma queue en s'écriant : << Vieux cochon, Clémentine m'a tout raconté à midi au restau U ! Je veux avoir le même spectacle que Julie hier soir ! >>. Nous rions aux éclats. Heureusement que je ne bande pas vraiment parce qu'Estelle me tord la queue dans tous les sens. << Tu me la mets un peu après la bouffe ! >> s'écrie t-elle. Je suis entre mes deux anges que je tiens par la taille. Ma bite dans la main d'Estelle. Nous regardons les flammes.

Morts de faim, nous quittons l'atelier pour la cuisine. La découverte de la Flamiche est une explosion de joie. Mes deux anges me couvrent le visage de bisous. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade d'endive. Je sors la Flamiche du four électrique pour la mettre dans le four à bois. Hyper chaud. Estelle met les assiettes, les couverts. Je me place derrière elle pour caresser ses seins minuscules. << Toi, tu ne perds rien pour attendre ! >> dit elle alors que je fais pareil à Clémentine. Préparations rapides. C'est Estelle qui sort la tourte du four. Fumante.

La vue et l'odeur de cette Flamiche Picarde, dorée à souhait, nous donne le vertige. Nous mangeons de bon appétit en évoquant nos vacances de Pâques. Estelle a le souhait de réaliser un ou deux films pornos. Elle en possède déjà dix huit. Des films privés réalisés sur cinq années. << Je veux en avoir vingt, après j'arrête ! >> précise t-elle. Nous rigolons comme des bossus. Clémentine rajoute : << Julie aussi a le souhait d'en réaliser durant ces vacances ! >>. Nous en avons déjà fait trois avec elle. Et des biens. De quoi attiser nos réjouissances.

Nous ne traînons pas. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il reste presque deux heures. La vaisselle avant de nous précipiter au salon. Estelle me tire par le Zob comme par une laisse. Clémentine, pliée de rire nous regarde faire le tour de la grande pièce. Je marche de façon ridicule, tiré par la queue. Nous rejoignons Clémentine vautrée dans la canapé, une main dans son Levis déboutonné. Estelle me place devant Clémentine. Elle agite ma queue molle en disant : << Faites moi voir ce que vous avez fait hier soir ! >>. Elle s'assoit à son tour.

Clémentine m'attire à elle pour me faire tomber entre elle et Estelle qui s'écarte juste à temps. Clémentine se couche sur le côté. Sa tête contre mes abdominaux. Estelle se redresse pour se mettre à genoux sur un des épais coussins. Son visage tout près de celui de Clémentine qui suce avec avidité. Je caresse les cheveux d'Estelle qui me fait les plus adorables sourires avant de me fixer sévèrement. De me faire des clins d'œil. Je bande évidemment comme le dernier des salauds. Les premiers gargouillis bulleux se font entendre. Mes montées de jute.

Clémentine se régale en poussant de petits cris de ravissements. Ce qui met Estelle en appétit. Elle a une main dans son Levis déboutonné. Estelle est une authentique voyeuse. Passionnée. Depuis petite elle adore mâter. Elle me raconte parfois de petites anecdotes dans les toilettes et dans les cabines de la piscine municipale. Elle n'avait alors que douze ans. Je suis couvert de frissons. Cette pipe est encore un intense moment de jouissance continue. Je reste parfaitement immobile. Tout comme Clémentine qui ne cesse de sucer que pour avaler.

Estelle, son coude gauche posé sur ma cuisse, sa main droite dans sa culotte observe cette fellation à la façon d'une entomologiste faisant une découverte scientifique. Clémentine lui tend enfin ma queue ruisselante de foutre. Quand Estelle veut la prendre en bouche, Clémentine la détourne au dernier instant. Estelle pousse de petits gémissements de frustrations. Clémentine reprend la bite en bouche. C'est tout simplement merveilleux. Estelle se cambre, change de position, se masturbe sans cesser de mâter. Elle me fait de magnifiques sourires.

Je dis : << Les filles, durant ces vacances, je vous promets de très grands moments ! >>. Estelle répond : << Des promesses, toujours des promesses ! >>. Clémentine cesse de pomper pour rajouter : << Julien tient toujours ses promesses ! >>. Estelle réplique : << Oui, je sais. Et on va terminer à l'asile ! >>. Nous rions de bon cœur. Clémentine daigne enfin offrir ma bite à Estelle qui suce comme si son existence en dépendait. Poussant un profond râle de plaisir. Le bruit bulleux des gargouillis reprend pour ne plus cesser jusqu'à l'éjaculation.

Dans un élan virtuose, elles se partagent toutes les deux l'abondance de mes trois giclées de sperme épais, visqueux et gluant. Sans en perdre la moindre goutte. Se disputant pour la sucer encore. Vider le fond de cuve dans un élan passionné. Estelle, autant que Clémentine, adore repartir pour un second tour. Hélas, pour elle, le temps est compté. Il faut reprendre nos esprits. Toutes les deux, en me taillant cette pipe divine, n'ont pas cessé de se toucher. Aussi, Estelle, se relevant, s'offre un orgasme. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Dur.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont se faire lécher sous la couette. Se faire brouter le minou avant de se régaler d'une seconde éjaculation buccale...

Julien (juteur fou)



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NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 13 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2211 -



Juliette voyeuse pour une nouvelle soirée pipe

Hier matin, mercredi, il est presque six heures. Toutes ces choses qui s'inscrivent dans le quotidien. Clémentine se serre tout contre moi dès les premiers cris de mouettes. L'illusion de nous réveiller dans un port, quelque part en Écosse. L'application "océan" nous impose quarante cinq secondes de ces instants magiques. Quelques papouilles, quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes. C'est dans la salle de bain où nous préparons nos vêtements que nous nous habillons de nos tenues de gymnastique. Leggings de lycra noir, sweats de lycra rouge.

Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. J'y allume immédiatement la cuisinière à bois. En avril ne te découvre pas d'un fil prend en ce printemps tout son sens. Lorsque je regarde la température affichée sur le thermomètre extérieur il est indiqué moins trois degrés. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Le grille pain éjecte ses quatre tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée pipe avec Estelle. << Ça faisait longtemps qu'elle n'avait pas fait sa voyeuse ! >> lance Clémentine.

Elle rajoute : << Ce soir, si tu es d'accord on fait pareil devant Juliette. Ça lui mettra l'eau à la bouche ! >>. Nous rions de bon cœur. Je trouve la suggestion parfaite. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la personnalité de Juliette. Clémentine en parle en imitant son accent Corse. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Là aussi, les habitudes du quotidien. Les échauffements de l'aérobic, du jogging sur tapis roulants. Exercices au sol, abdos. Charges additionnelles. Les étirements du stretching.

La douche. Je redescends le premier. Avec ce froid glacial, sous un ciel parfaitement bleu, balayé par un vent polaire, il faut faire chauffer la voiture. Presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre chaudement vêtue. Il n'a pas fait aussi froid de tout l'hiver. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou avant de me précipiter au chaud. La vaisselle, le lit avant de passer dans l'atelier. Là aussi j'y allume une belle flambée dans la cheminée. Malgré les deux radiateurs qui fonctionnent depuis deux heures. C'est une grande pièce difficile à chauffer.

Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque aujourd'hui le septième paysage destiné à ma saison d'été. Je peins dans la sérénité la plus totale. Je pense à hier soir. À ce soir. À la suggestion de Clémentine. C'est merveilleux de partager sa vie avec une authentique exhibitionniste. Les surprises sont souvent aux rendez-vous les plus inattendus. Et quand les situations sont préparées par avance, avec ruses et stratégies, c'est encore bien meilleur. C'est abimé dans mes pensés que les heures défilent. Il est déjà midi. J'ai faim.

Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer la dernière part de Flamiche Picarde. Avec une salade de tomates. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission, André Bercoff reçoit un général des armées. Il est question des agissements scélérats des politiciens actuels De leurs intrigues de couloirs, de leurs magouilles. D'un président étant parti pour la Chine afin d'y voir appliquer des mesures restrictives et dictatoriales encore plus coercitives. Sous le fallacieux prétexte de la paix.

Pour la surprise du repas de ce soir ce sera un gratin de pommes de terre avec une sauce au Roquefort, ronds de calmars. J'épluche, je lave et je coupe en fines tranches de belles pommes de terre. Je les ébouillante dans l'auto cuiseur pendant que je prépare un liant à base d'œuf, de lait de soja et de fromage blanc. Je râpe grossièrement de ce délicieux gruyère Suisse. J'égoutte les patates avant de les verser dans la plat carré en terre cuite. Je verse le mélange. Je recouvre du gruyère, de chapelure, de graines de sésame grillé. Onze cerneaux de noix.

Au four électrique pour une cuisson lente à 160°. Je prépare la sauce au Roquefort dans la poêle où rissolent les ronds de calmar, l'ail, l'échalote. Je retire du feu. Un couvercle. Je n'ai plus qu'à faire la vaisselle. Monter me laver les dents. Je dévale les escaliers pour mettre l'anorak. La température extérieur est à présent de 3°. Comme le précise Clémentine, facétieuse dans ses boutades imparables : << Ce froid glacial, si t'écoutes les écolos, c'est à cause du réchauffement de la planète ! >>. Je ris intérieurement en descendant vers la rivière.

Il est 13 h50 quand je suis de retour dans l'atelier. Confortablement installé devant mon chevalet, je peins animé de la même sérénité. Sans voir défiler les heures. Je sais qu'il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table avant de venir me rejoindre en sautillant. << Bientôt les vacances ! >> s'écrie t-elle en s'installant à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Son après-midi en salle de documentation. Son désir de me sucer ce soir.

Elle a encore bien du travail. La voilà assise devant son ordinateur, entourée des notes prises en cours. Je peins en l'écoutant se relire. J'adore quand elle me demande mon avis. Je n'en ai pas vraiment. Je trouve que tout ce qu'elle écrit est si remarquable. Même si le thème de l'intrication quantique reste totalement impénétrable pour mon esprit. << Put-Hein là j'arrête où je pète un plomb ! >> s'écrie t-elle soudain. Il est 18 h35. Elle range ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux en l'écoutant me faire la lecture des derniers paragraphes.

Debout devant le lavabo de l'atelier, Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets. Nous rions pendant que je me lave les mains en lâchant de multiples salves sous le filet d'eau chaude. C'est l'instant que choisis Juliette pour entrer dans l'atelier. << Bonsoir ! Je dérange peut-être ! >> dit elle. Nous rions tous les trois aux éclats car ce n'est pas la première fois que Juliette nous surprend en pleines ablutions. Elle s'approche pour nous faire la bise. Clémentine secoue les dernière gouttes en répondant : << Vous ne dérangez pas, c'est pire que ça ! >>.

Ce soir encore Juliette porte sa tenue d'écuyère. Son pantalon d'équitation beige, moulant comme un legging, ses hautes bottes noires, un gilet aux motifs "Prince de Galles" cintré à la taille. Ses longs cheveux d'un noir de jais noués en catogan. Clémentine lui tend ma queue en demandant : << Vous voulez le terminer ? >>. Juliette s'en saisit immédiatement en répondant : << Mais avec plaisir mademoiselle ! >>. Nous rions de bon cœur. Je me tourne vers Clémentine. Juliette se serre contre mon dos, son bassin contre mes fesses. Ça commence fort.

Clémentine s'accroupit pour gober mon sexe que lui présente Juliette. Sur la pointe des pieds, Juliette pose ses lèvres dans ma nuque. Son souffle chaud a quelque chose de merveilleusement animal. Clémentine se redresse. << C'était bon ? >> demande Juliette qui me masturbe doucement maintenant que je bande comme le dernier des salauds. Clémentine répond : << C'est notre habitude de fin d'après-midi. Un peu comme l'apéro avant le repas du soir ! >>. Nous rions. << Je goutte ! >> lance Juliette en me contournant pour s'accroupir à son tour.

Clémentine la tire par son catogan pour qu'elle cesse en disant : << Il faut consommer avec modération ! >>. Juliette se redresse. Nous sommes tous les trois pliés de rire. Morts de faim, nous quittons l'atelier pour la cuisine. La découverte de la surprise me donne droit à un mitraillage de bisous partout sur le visage. Juliette en profitant pour passer sa langue sur mes lèvres. Clémentine qui voit tout s'en rend compte et s'interpose très vite. Aucune autre femme ne suscite autant de jalousie chez Clémentine. C'est devenu source de plaisanteries.

C'est Juliette qui sort le gratin de pommes de terre du four électrique pour le mettre dans le four à bois. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade de concombre. Je réchauffe la sauce au Roquefort. Juliette nous raconte sa journée. La visite du vétérinaire. du service d'hygiène. Les petits tracas d'une chef d'entreprise qui s'occupe d'un haras. D'une pension pour chevaux qui abrite plus de quatre vingt animaux. Elle sait que rien ne m'excite davantage que de voir une femme accroupie, de dos. Elle prend cette position plusieurs fois.

Ce n'est pas le gratin de patates qu'elle observe dans le four à bois. C'est le reflet de ma masturbation dans la vitre fumée. Elle tourne la tête à plusieurs reprises pour me lancer ce sublime regard sévère, lourd de reproches. Accusateur. Ce n'est qu'un jeu qui nous passionne. Qui nous excite encore davantage. Clémentine me fait des clins d'œil. Juliette sort le gratin du four pour le poser sur la table. Doré à souhait, fumant, parfumant toute la cuisine. Clémentine remue la salade. J'emmène la poêle contenant la sauce. Nous voilà confortablement installés.

Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Juliette est toujours très intéressée par les études de Clémentine. Autant que nous le sommes par ses écuries et ce qui s'y passe. Rapidement Juliette en vient à parler de ses aventures de la semaine. << Une pipe à robert, vendredi, une pipe à Philippe lundi après-midi et samedi soir notre trio avec Pierre et Bernadette ! >> dit elle en me fixant par en-dessous avec ce regard terriblement suggestif. << On se fait une bonne soirée gloryhole avant votre départ pour le Jura ? >> demande encore Juliette.

Clémentine pose sa main sur la mienne pour m'interroger du regard. Je réponds : << C'est toujours très sympathique avant les vacances ! >>. Clémentine s'adresse à Juliette : << Comme à chaque fois, ça demande réflexion. Par contre une "soirée maraîchère" ne serait pas pour me déplaire ! >>. Juliette précise : << Vous me confirmez tout ça ce week-end et j'organise la soirée pour le vendredi 14 avril ! >>. Il y a un silence. Clémentine me consulte du regard. Je rajoute : << Pourquoi hésiter ! C'est ta bite préférée après tout ! >>. Clémentine se lève.

Elle vient s'assoir sur mes genoux pour terminer son assiette. << Julien, il me faut cette recette. Absolument. Quel qu'en soit le prix. C'est trop bon ! >> me fait Juliette. Je réponds : << Une pipe lors de la prochaine "soirée maraîchère" ! >>. Juliette s'écrie : << Ça marche ! >>. Nous rions aux éclats de ce futur projet. La vaisselle. Nous passons au salon pour savourer le dessert. La petite tarte aux poires qu'a ramené Juliette. Vautrée dans le fauteuil qui nous fait face, ses jambes écartées posées sur les accoudoirs. On distingue déjà bien la petite tache.

Cette cyprine qui macule le tissus absorbant de son pantalon d'équitation. Ostensiblement je fixe son entre jambes afin qu'elle comprenne à quel point j'apprécie. Elle passe le doigt sur la couture centrale qui sépare les lèvres charnues de sa vulve en deux bosses. Parfois elle les tripote. J'ai envie de me lever pour aller les toucher moi aussi. Clémentine m'en empêche en tenant fermement mon érection. Nous bavardons. Nous revenons sur des souvenirs communs aux écuries. Les soirées gloryhole, les soirées partouzes et les soirées masquées.

Clémentine jette un des épais coussins au sol. Entre mes pieds. Elle s'y met à genoux. Juliette, soudain silencieuse, cesse de se toucher. Elle s'assoit normalement, les coudes posés sur ses jambes. Clémentine, les mains à plat sur mes cuisses, me suce délicatement. Quoi de plus plus excitant pour une exhibitionniste que de s'exhiber ainsi. Nous sommes d'ailleurs trois exhibitionnistes ce soir. Doublés de trois voyeurs. Juliette se lève. Elle vient s'assoir à côté de moi. Elle observe cette fellation avec l'attention d'une scientifique assistant à une expérience.

Clémentine, dans cet élan de jalousie qui la caractérise lors de la présence de Juliette, me tient fermement les poignets. Impossible de caresser les cheveux, le visage, les seins ou encore l'entre jambes trempé de Juliette. Cette attitude l'amuse beaucoup. Elle se penche pour chuchoter à l'oreille de Clémentine : << De toute façon, à la prochaine "soirée maraîchère" elle sera rien qu'à moi ! >>. Clémentine, sans cesser de sucer rit en gloussant. Je me fais tailler une pipe des familles devant une voyeuse pour le troisième soir consécutif. C'est sublime.

Le bruit bulleux des gargouillis dans la bouche de Clémentine. Juliette, serrée contre moi qui regarde. Parfois elle observe mes réactions, les expressions de mon visage en sueur. Juliette reprend alors son souffle après de longues apnées. Elle aussi adore mâter. Clémentine ouvre parfois les yeux pour me fixer. Pour fixer Juliette. Elle nous fait des clins d'œil amusés tout en gémissant de plaisir. Juliette me pose des questions quand à ma jouissance. Des comparaisons avec d'autres suceuses. Je réponds. Ce qui amuse Clémentine qui rit en gloussant.

J'éjacule en sournois, sans prévenir. L'abondance de mes giclées de sperme est telle que Clémentine en tousse. Manque de s'étouffer. Il y a une coulée de foutre qui apparait à sa narine. Juliette se touche en poussant de petits cris de ravissements. Clémentine tente de déglutir sans en perdre la moindre goutte. Elle nous montre l'intérieur de sa bouche. Le souffle de Juliette devient haletant. Elle se lève d'un bond. J'aide Clémentine à se redresser. Nous reprenons nos esprits. Nous raccompagnons Juliette dans la nuit glaciale jusqu'à sa voiture. Bisous.

Bonne nuit à toutes les coquines qui adorent passer des soirées, bite en bouche, à sucer, cesser pour bavarder, reprendre la pipe, se faire lécher sous la couette avant un bon dodo...

Julien



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Clémentine, Estelle, moi et nos plaisirs

Il est presque six heures hier matin, jeudi. L'application "océan" nous réveille de ses illusions portuaires. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. << Ça devrait s'appeler l'application "port de pêche" ! >>. Nous rions en nous faisant des bisous. Quelques papouilles avant de nous précipiter aux toilettes. Dans la salle de bain où il fait bien meilleur, nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Les radiateurs viennent de s'allumer. Il ne fait pas chaud non plus.

J'allume immédiatement la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée en compagnie de Juliette. << J'aime bien la frustrer cette vieille salope. Tu as vu comme elle bavait d'envie en nous mâtant ? >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la soirée qui nous attend. << Estelle a encore baisé avec son parrain. Elle va me raconter ça à midi, au restaurant universitaire ! >> rajoute Clémentine. Pliée de rire.

Il est 6 h25. Il faut remonter. Notre heure d'entraînement que nous voulons intense. Les échauffements de l'aérobic, du jogging sur tapis roulants. Les bénéfices des exercices au sol et des abdos avant d'aborder l'épreuve des charges additionnelles. Les étirements nécessaires d'un stretching assez surréaliste. La douche. Je redescends le premier pour aller sortir l'auto du garage. Il est presque 7 h45. Le ciel est nuageux, menaçant. Il fait froid. Ce vent glacial apportera certainement la pluie. Clémentine vient me rejoindre bien chaudement vêtue.

Un dernier bisou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud pour faire notre vaisselle, notre lit. Dans l'atelier j'allume un bon feu. Le tirage de la cheminée fonctionne très bien malgré un hiver de bons et loyaux services. Le ramoneur passera la semaine prochaine. Mardi matin à 8 h. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ce septième paysage destiné à ma saison d'été m'absorbe totalement.

Je peins dans une sorte de sérénité qui m'abstrait de la réalité. Sans perception réelle du temps. Je sais que nous approchons de midi parce que je commence à avoir faim. L'horloge biologique parfaite. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe le reste de gratin de pommes de terre. Avec une salade de carottes. Le reste de sauce au Roquefort. Pendant ce temps je prépare une pâte à pain. Farine complète et bio, eau, levure boulangère. J'aime y rajouter du Parmesan finement râpé ainsi que du jus d'ail pressé.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission "Bercoff dans tous ses états" André reçoit une journaliste et un député. Il y est question des violences policières. Des dégradations de mobilier urbain et des conséquences sociales de l'inflation, des répressions, de la surdité d'un gouvernement totalement déconnecté de toute réalité, d'un pays qui a perdu tout attrait, même touristique. D'une nation ayant perdu tout espoir. Bref d'une dictature de la médiocrité qui s'installe insidieusement pour empêcher toute pensée dissidente. Pitoyable.

Je pétris longuement la pâte qui est à présent onctueuse. Je la recouvre dans son saladier d'un linge. Je lave et je coupe de belles tomates. De l'ail, de l'oignon, des champignons. Les ingrédients de la garniture que je fais cuire dans la poêle. Hors feu je recouvre d'un couvercle. Je râpe de ce délicieux gruyère Suisse. Dans un grand bol, au bas du frigo. Je fais la vaisselle avant de monter me laver les dents. Pressé d'aller prendre l'air, je dévale les escaliers pour enfiler l'anorak. Le thermomètre extérieur n'indique que 8°. Je descends jusqu'à la rivière.

Le ciel est lourd, sombre, emplit de nuages bas. Je remonte sous les premières gouttes de pluie. Il est 13 h45. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé de la même sérénité que ce matin. Loin de toute perception temporelle. Je sais qu'il est 17 h30 quand j'entends de légers bruits. C'est Clémentine qui rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table avant de se précipiter vers moi. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. La baise d'Estelle.

<< Elle te racontera après, quand elle viendra. C'est pas triste ! >> précise Clémentine avant de parler de son après-midi en salle de documentation. Pour parfaire son rédactionnel elle doit encore y consacrer une petite heure. Aussi, elle ne s'attarde pas. Assise devant son ordinateur, entourée de ses notes, elle est déjà au travail. Parfois elle chantonne. Parfois elle commente. Parfois elle s'exclame : << Comme je suis conne je "m'ai trompé" ! >>. C'est dans cette merveilleuse ambiance d'émulation que nous passons cette dernière heure de boulot.

<< Put-Hein là, si je n'arrête pas, je coule une bielle ! >> s'écrie t-elle en se levant d'un bond. Elle range ses affaires avant de me faire la lecture des deux derniers paragraphes de son septième chapitre. J'écoute en nettoyant la palette, les pinceaux. Je félicite Clémentine pour la qualité supérieure de ses écrits. Je ne suis pas obligé de comprendre pour apprécier un texte captivant. Une sémantique descriptive qui ravit l'auditeur. Peut-être autant que le futur lecteur. Clémentine me rejoint au lavabo de l'atelier. Elle me tient la bite pour en diriger les jets.

C'est en imitant l'accent Corse de Juliette qu'elle me fait rire d'une anecdote d'étudiante. Et quand je rigole elle doit bien maintenir ma queue. Sinon ça gicle partout et n'importe comment. Ce qui nous fait rire encore davantage. Accroupie devant moi, me tenant par les fesses, Clémentine se régale des derniers épanchements. Je l'aide à se redresser pour la soulever, la promener dans toute la grande pièce. Nous regardons par une des deux grandes baies vitrées orientées Nord et Est. Il pleut. C'est désespérant. Pourtant dehors tout est en couleurs.

Estelle, toujours désireuse de nous surprendre, n'a fait aucun bruit. Elle jaillit soudain dans l'atelier en faisant :<< Coucou ! >>. Elle se précipite pour me faire des bises. Saisissant ma biroute elle dit : << Clémentine m'a tout raconté. Tu t'es encore fait sucer devant Juliette ! Vieux cochon que tu es ! >>. Sans me laisser dire quoi que ce soit elle enfonce sa langue dans ma bouche. Clémentine se serre contre mon dos pour poser ses lèvres dans ma nuque. C'est chaud. C'est si bon d'être ensemble tous les trois. Tant de doux réflexes. Tant de tendresses.

Nous restons ainsi. Quand Estelle cesse son fougueux baiser elle dit : << On a failli se faire gauler hier soir avec Jean-Marc. Je suis certaine que ma mère veut nous choper en flagrant délire ! >>. Nous rions de bon cœur quand elle rajoute : << On baisait peinard dans un des bureaux de l'entreprise familiale quand on a entendu du bruit. Ma mère toussoter. Il m'a soulevé pour m'emmener aux chiottes. Juste à temps. On s'est terminé là-bas. Il en a mis partout sur le couvercle de la cuvette ! >>. Je dis : << Je dois contrôler ça après le repas ! >>.

<< Oh oui, soirée contrôle de minou ! >> s'écrie Estelle en me tordant la bite dans tous les sens. Heureusement que je ne bande pas trop fort. Morts de faim nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade de concombre. Estelle travaille la pâte pour la rendre encore plus onctueuse. Je réchauffe la garniture. Estelle étale la pâte sur la nappe enfarinée. Puis elle la dépose en quatre parties sur les trois plaques du four à bois. Sur une des plaques du four électrique. Ce sera pour le repas de demain, midi. Vendredi.

J'étale la garniture qu'Estelle répand consciencieusement jusqu'au bord de la pâte. Clémentine dépose de fines rondelles d'un avocat bien mûr. Estelle recouvre du gruyère Suisse déjà râpé. Elle enfourne. Le four de la cuisinière à bois est hyper chaud. Il n'y a pas de thermostat ni de sonnerie. Il faut constamment surveiller. La quatrième pizza cuit dans le four électrique. Pas de soucis. J'ai la bite à l'air sous mon tabler de cuisine. Noué sur mes reins. Estelle n'arrête pas de glisser ses mains en-dessous pour me la tripoter. << Tu vas voir toi ! >> dit elle.

Je passe ma main entre ses cuisses à chaque fois qu'elle est occupée. Mes bras sous ses aisselles, alors qu'elle me tourne le dos pour mettre les couverts, je caresse ses seins minuscules. << Toi, tu vas vois ce que tu vas voir ! >> dit elle. Clémentine en profite pour se coller contre mon dos, ses hanches contre mes fesses pour mimer un mouvement masturbatoire. Ses bras autour de ma taille à tripoter la bosse que fait ma queue sous le tablier. Estelle s'accroupit devant le four en enfilant les maniques. << C'est prêt ! >> s'écrie t-elle en ouvrant la porte.

Mes amis ! Qu'elles sont belles et appétissantes ces trois pizzas. Cuites au feu de bois. Dorées. Les surfaces en ébullitions comme le dessus d'un volcan. Clémentine sort notre pizza de demain du four électrique. Nous mangeons de bon appétit en riant de nos frasques. Estelle revient sur sa baise du mercredi soir avec Jean-Marc. Sur la "combine" de Michèle, sa maman, qui semble bien curieuse de savoir ce que magouille sa fille avec son parrain. Nous rions aux éclats. Pour ponctuer son récit, Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Un peu lourds après ce savoureux repas, nous voilà vautrés dans le canapé. Je suis entre mes deux anges. Mes mains entre leurs cuisses. Estelle jouant avec ma queue tout en parlant. Elles déboutonnent leurs Levis. J'ai mes mains dans les culottes. C'est trop bon. Elles se lèvent d'un bond pour retirer jeans et culottes. Vautrées dans le canapé, elles m'offrent le dessert. Je suis à genoux sur les épais coussins. Je me régale de ces deux chattes succulentes. Au jus de filles. Des chattes ayant macéré toute la journée.

Je commence le plus souvent par le minou d'Estelle. Ses odeurs fortes. Le gout acidulé de son trou à pipi. Pendant que j'enfonce ma langue dans sa vulve, elle se masturbe. La cyprine ne tarde pas à couler. J'aspire. Avec les années, Estelle est de plus en plus juteuse. Elle devra nous laisser pour 22 h. Il reste une heure trente. Je passe au minou de Clémentine. Une autre extase. L'abondance des coulées de sa foutrine ne cesse de m'impressionner. Je suce son clitoris géant. Ce qui secrète encore davantage de jus. Je m'en enivre avec délectation.

L'orgasme d'Estelle la fait hurler, couverte de frissons, le corps agité de spasmes. Couchée sur le côté, les mains entre les cuisses, elle jouit en haletant. Comme à son habitude, Clémentine s'offre le sien en pissant dans la cuvette. Accroupie au-dessus du récipient, les reins collés contre le bord du canapé pour ne pas tomber. Le corps secoué de spasmes. J'adore regarder la cyprine s'écouler de sa vulve, juste derrière les dernières giclées de pisse. C'est passionnant. Je suis à plat ventre pour mieux voir ce merveilleux spectacle. Estelle qui me rejoint.

Nous admirons. Clémentine, le visage en sueur, toute rouge, qui reprend également ses esprits. << Tu es belle quand tu fais ton show ! >> lance Estelle. Elle glisse sa main sous mes abdominaux à la recherche de mon érection. Je me retourne sur le dos. Clémentine frotte son minou sur mon visage alors qu'Estelle me pompe le dard. J'adore avoir le croupion de Clémentine sur la gueule. Les parfums affolants de sa journée de fille, le mélange de ses substances intimes qui ruissèlent sur mon visage. J'éjacule dans la bouche d'Estelle en hurlant de plaisir.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se sont fait nettoyer le minou après un orgasme délirant. À toutes les coquines qui vont se serrer contre leur bienfaiteur sous la couette...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Juste Clémentine et moi

Hier matin, vendredi, l'application "océan" nous arrache de nos profonds sommeils un peu avant six heures. Le cri des oiseaux de mer. La sirène de ce gros bateau dans le lointain. Une fois encore cette curieuse impression de nous réveiller dans un port de pêche. Clémentine, en gémissant, se serre encore plus fort contre moi en murmurant : << Je n'y vais pas. On reste au lit ! >>. Je chuchote : << Dans un peu plus d'une semaine nous pourrons le faire tous les jours ! >>. Quelques bisous, quelques papouilles. << Tu as raison ! >> fait elle en soupirant.

Nous nous précipitons aux toilettes. En tenant ma queue pour en diriger le jet, Clémentine rajoute : << Et ce week-end on se repose ! >>. Nous rions de bon cœur dans la salle de bain où nous nous habillons de nos tenues sport. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Comme ce froid perdure, que les radiateurs viennent à peine de s'allumer, j'allume la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis en me racontant ses rêves. Comme je ne me souviens que très rarement des miens, c'est captivant.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée "léchage de minous" avec Estelle. Clémentine sait que je préfère le sien. Mais elle aime bien me demander mes impressions quand aux comparaisons que je serais éventuellement amené à faire. Ce qui nous fait rire aux éclats. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me confie ses appréhensions quand au rédactionnel de sa thèse. Au fur et à mesure qu'elle avance dans ses écrits, un doute s'installe. Je la rassure. Ce qu'elle me lit le soir après ses cours est vraiment superbe. De qualité.

Je précise qu'elle a un maître de thèse. Même si ce dernier pilote dix huit étudiant, il prend le temps de diriger chacun d'entre eux. << En plus il est mignon, il a des yeux aussi bleus que les tiens ! >> s'écrie Clémentine. Je réponds : << Mais moins que les tiens ! >>. Nous rions de bon cœur avant de monter nous offrir notre heure d'entraînement. Il est 6 h25. Dans les escaliers, je dis : << Après l'obtention de ton doctorat, tu prends une année sabbatique. Nous ferons une croisière de rêve, le tour du monde en bateau. Ça vaut le coup de réussir ! >>

Les échauffements de l'aérobic et du jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol et les abdos. Les barres et les haltères avant les étirements d'un stretching bien trop précipité. Pendant une grande partie de l'entraînement Clémentine revient sur cette croisière autour du monde. Je rajoute : << Nous pourrons enfin nous offrir tout le temps qu'on voudra. Quelques mois sur un palace flottant ! Ça vaut le coup de réussir ton doctorat ! Et si tu le rates ça ne change rien au programme. On s'en fout, tu es à l'abri de tous besoins ! >>. Notre douche.

Je redescends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Le climat n'a strictement rien à voir avec celui des Caraïbes, de Hawaï ou encore des mers du sud. Le thermomètre extérieur indique 4°. Le ciel est bas, sinistre. Tout est trempé des pluies de la nuit. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre déguisée une fois encore en esquimau prête à affronter la banquise. << Je t'aime ! >> s'écrie t-elle en s'accrochant quelques secondes à mon cou. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un coucou. Je m'empresse de rentrer au chaud. Au sec.

Je fais la vaisselle, notre lit, avant de passer dans l'atelier. J'y allume une magnifique flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je peins en pensant à ma proposition. Avec Christine, mon ancienne compagne disparue, nous avons fait plusieurs croisières. Mais jamais plus de trois semaines. Sa profession de professeur en lycée ne permettait pas des loisirs extensibles. J'en garde de merveilleux souvenirs. Je suis impatient de revivre de telles aventures avec Clémentine. Mais bien plus longtemps.

Il est dix heures. La musique imbécile de mon téléphone. Il est posé sur la desserte parmi les tubes de peintures. En maugréant, je le saisis. Quelle surprise. C'est Julie. Elle me téléphone depuis les toilettes de l'université. Elle s'excuse. Elle ne pourra pas venir cet après-midi. C'est le week-end de Pâques. Ses parents et ses grands parents sont très pratiquants. << C'est donnant donnant. Si je veux partir avec vous dix jours aux vacances, je me dois de rester avec la famille. Je reviens dimanche prochain ! >> fait elle, avec un sanglot dans la voix que je devine.

Il est presque midi. Je mets deux bûches sur les flammes avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à réchauffer la grande pizza préparée hier soir. Accompagnée d'une salade d'endives. Je prépare l'assaisonnement, les assiettes, les couverts. Il est midi trente cinq quand Clémentine rentre de cours. Euphorique comme tous les vendredis quand elle revient. Elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille elle me couvre le visage de bisous. Je l'emmène aux toilettes pour le rituel "pipi", le rituel du lavage des mains.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme du week-end qui commence dès à présent. Clémentine me raconte sa matinée. L'achèvement du septième chapitre de sa thèse. << Le prof est hyper satisfait de nos travaux ! Il organise un pot de départ pour clore ce second trimestre. Vendredi prochain, de onze heures à midi ! >> me confie t-elle toute contente. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me dit : << C'est une motivation supplémentaire que cette croisière de rêve ! >>.

Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Clémentine est d'autant plus heureuse qu'elle peut enfin prendre tout son temps pour toute chose. Elle m'entraîne par la main. << J'ai besoin de péter les plombs. Quelle meilleure catharsis que d'aller faire ma salope quelque part ! Une bonne petite exhibe sympa ! >> s'exclame t-elle dans les escaliers. Il pleut. Il fait moche. Ce qui restreint considérablement les possibilités. Clémentine a de l'imagination.

<< On se fait le musée des Beaux-Arts. Après on se fait l'hypermarché. De toutes façons il faut faire des courses. On n'a plus de papier cul, plus de crème dentifrice. Il me faut des tampons ! >> s'écrie t-elle en m'entraînant dans le hall d'entrée. Je termine de boutonner mon Levis propre, d'ajuster le pull bleu nuit sur ma chemise blanche. Clémentine se met contre moi devant le miroir de la penderie. << Regarde comme on est beaux tous les deux ! >> dit elle en s'accroupissant. Tenant ma jambe dans ses bras, sa tête contre ma hanche, elle sourit.

Je sors ma bite. Clémentine y appui sa joue. << Tu seras le vicieux que j'aime ce week-end ? C'est génial, on a tout le reste de la journée rien qu'à nous ! >> fait elle. Elle se redresse. Je promets de faire de mon mieux en rajoutant : << Ce sera facile. Tu es une telle source d'inspirations. Quelque soit le domaine d'ailleurs ! >>. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Nous revêtons nos blousons de cuir noir. Assortis à nos bottines noires. Nous traversons le jardin sous le parapluie en restant sur les dalles de grès. Je roule doucement. Il pleut.

Clémentine joue avec ma queue. Il y a une vingtaine de kilomètres jusqu'en ville. Comme toujours Clémentine me propose de passer devant son université. Elle me montre les étages, la salle de documentation au premier. Les fenêtres de l'amphithéâtre. Je gare l'auto dans la petite ruelle habituelle. Sous le parapluie, Clémentine à mon bras, nous marchons d'un bon pas. Le musée des Beaux-Arts est un grand bâtiment du dix neuvième siècle. Nous le connaissons par cœur. Mais il y a toujours de petites opportunités bien vicelardes pour un couple de vicelards.

C'est à l'étage, dans la galerie des Maîtres Hollandais du dix septième siècle que nous aimons admirer les chef d'œuvres. Gerard Dou. Pieter de Hook. Gabriel Metsu. Il y a peu de visiteurs en ce vendredi après-midi maussade. Il y a ce type qui flâne seul. Élégamment vêtu. Un imperméable clair, un pantalon noir à plis. Des souliers de ville bien cirées. Chemise, cravate. Les cheveux un peu longs. << Regarde, un philosophe. C'est Bernard-Henri Levy Strauss 501, braguette boutons ! >> murmure Clémentine, facétieuse. Je suis plié de rire. Le délire.

Clémentine rajoute : << Attends un peu, ce n'est pas Arielle Dombasle qui va le tourmenter, c'est moi ! >>. Nous rions aux éclats. Je reste à l'écart et je laisse Clémentine entrer seule dans la salle. Il y a des statues sur leurs socles. Des tableaux accrochés à leurs cimaises. Une gardienne vêtue de noire qui circule. Le type vient de remarquer cette grande jeune fille à l'allure aristocratique qui admire une nature morte de Samuel Van Hoogstraten. Clémentine fait mine de prendre des photos. Consultant son téléphone entre chacune d'elle. Elle joue parfaitement.

Je fais mine de lire le texte au bas d'un tableau de Nicolas Poussin. Je louche discrètement dans l'autre salle. Il y a des caméras. Mais comme le signifie Clémentine ces caméras ne sont que dissuasives. Aucun salarié devant des écrans à regarder des visiteurs déambuler. Le type passe une première fois derrière Clémentine. Il mâte au risque de choper un torticolis. Il repasse une seconde fois. Nul doute, le bougre échafaude une stratégie d'approche. Comportement masculin. La gardienne passe de salle en salle. Il n'y a plus que Clémentine et l'inconnu.

J'hallucine. Le mec écarte les pans de son imperméable mastic. Il ne se doute pas un seul instant que je le vois faire. Le salopard extrait une queue d'un calibre comparable au mien. Il se paluche avec la discrétion d'un virtuose. L'enfoiré s'apprête à montrer son chibre à la jeune fille. Il contourne le socle d'un buste voltairien. Il louche vers Clémentine à s'en déboîter les globes oculaires. Il choisit l'exacte instant où elle relève la tête pour regarder dans sa direction. Je ne vois pas ses expressions immédiatement. C'est seulement quand elle détourne la tête. Comme consternée.

Clémentine est une grande actrice. Elle joue parfaitement la comédie. En l'occurrence la jeune fille outrée. Le type, inquiet, referme son imperméable. Pourtant cette belle jeune fille reste. Elle se déplace pour prendre la photo d'une autre toile. Le mec se doute de quelque chose. Si cette jeune fille était véritablement offusquée elle quitterait la salle. Préviendrait sans doute la gardienne qui vient de passer une nouvelle fois. C'est surtout mon comportement qui intrigue la dame. Je reste scotché devant la même œuvre. Elle doit se poser quelques questions.

Je regarde surtout ce voyou qui recommence son approche. Le saligaud montre une nouvelle fois son chibre. Cette fois je vois le sourire que lui adresse Clémentine. Il vient de se rendre compte que cette jeune fille entre dans son jeu. Il en profite. Rassuré. Il reste pourtant d'une grande discrétion. Il me tourne le dos. Mais je me doute bien de ce qu'il fait. Clémentine joue à la perfection. Ce type est un virtuose. Pas un seul signe de trouble ne l'anime. Il sait parfaitement contrôler son exhibition. Vicelard. La gardienne passe une nouvelle fois. Sans de douter.

Le salaud doit être à sa quatrième exhibe en vingt minutes. Il sait les faire durer. Clémentine braque plusieurs fois son regard sur ses "activités". L'inconnu a compris depuis un moment. Il a affaire à une de ces salopes de rêves qu'on ne rencontre que trop rarement. C'est là qu'un autre homme arrive. Il s'approche du quidam pour l'inviter à le suivre. Pas l'ombre d'un doute. Malgré son extrême prudence, notre exhibitionniste vient de se faire attraper. Il suit l'homme. Sans doute le directeur du musée en costard. Clémentine vient me rejoindre en riant.

<< Tu as vu l'engin. Tu as vu le genre de salaud ! >> me dit elle. La gardienne s'approche de nous. Elle s'adresse à Clémentine pour murmurer : << Il fallait nous prévenir. Ce type vous a importuné depuis une demi heure. Nous l'avons repéré ! >>. Clémentine s'exclame : << Mais je n'étais pas importunée. Plutôt amusée. Il faut être gonflé pour se livrer à ce genre de trucs ! >>. La gardienne rajoute : << On les repère assez vite. Des visiteuses nous les signalent parfois ! >>. Nous la saluons. Clémentine conclue à l'adresse de la dame : << Dommage ! >>

Nous quittons le musée. Il y a un véhicule de la police devant les grilles. Sans doute l'interpellation de notre exhibitionniste. << Pas de chance mon bonhomme ! >> fait encore Clémentine. Nous flânons un peu dans le centre ville sous le parapluie. Nous retournons à la voiture. Excitée, Clémentine me suce une bonne dizaine de minutes. Je lui donne mes impressions quand à son attitude avec les pervers. Je la félicite pour son jeu d'actrice. En route pour la zone commerciale. Les courses dans l'hypermarché. Un monde fou. Pas d'opportunités ici.

Bonne soirée à toutes les coquines qui vont se voir offrir des cunnilingus, des pénétrations, toutes sortes de douceurs avant une éjaculation buccale bien juteuse sous la couette...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 16 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2214 -



Plein d'évènements habituels pour ce samedi

Il est sept heures trente quand Clémentine passe une cuisse sous mes fesses. Pose l'autre sur mon érection matinale. S'accrochant à mes épaules c'est en se frottant contre ma hanche qu'elle me réveille. << Je t'aime ! >> murmure t-elle à mon oreille avant d'en mordiller le lobe. << Dommage pour l'exhibitionniste de hier. J'aurais volontiers fais sa connaissance en l'entraînant dans les chiottes du musée ! >> rajoute t-elle. L'impérieux besoin naturel empêche pour le moment d'approfondir cette question. Nous nous précipitons aux toilettes.

Il fait bien chaud partout dans la maison. Les radiateurs fonctionnent depuis une heure trente. Dans la salle de bain nous revêtons nos tenues de gymnastique. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Pendant que Clémentine me révèle avoir rêvé de l'exhibitionniste en préparant le café, j'allume la cuisinière à bois. Je vais ouvrir le portail depuis l'interphone dans le hall d'entrée. Je rejoins Clémentine qui me saute au cou : << J'aime comme tu m'aimes. C'était une délicieuse soirée hier ! >> lance t-elle. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de hier après-midi. Au musée des Beaux-Arts. Cet élégant exhibitionniste qui s'est probablement fait repérer par les caméras. << Je pense plutôt qu'il s'est fait repérer par la gardienne ! >> suggère Clémentine. J'écoute ses suppositions car son sixième sens très féminin est souvent l'exacte vérité. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la matinée. Du bruit. Les talons sur le carrelage. Julie entre dans la cuisine. Souriante. Radieuse. Heureuse de nous revoir.

Elle se précipite pour nous faire des bises. Sur les bouches. << J'adore quand c'est collant de miel ! >> lance t-elle. Julie nous raconte sa soirée de serveuse au restaurant de l'étang. La préparation des fêtes de Pâques en famille. << Je ne viens pas lundi soir. Je ne reviens pas avant samedi matin de la semaine prochaine pour le ménage. Puis dimanche en tout début d'après-midi ! >> rajoute t-elle en commençant à débarrasser les bols vides. << Allez courir, je m'occupe de tout ! >> dit elle en faisant couler l'eau pour la vaisselle. Passant un tablier.

Avant de quitter la cuisine nous déposons chacun une bise sur son front. Julie louche sur la bosse qui déforme l'avant de mon legging noir. La température extérieure est de 12°. Nous hésitons. Un bon jogging serait tellement agréable. Ça nous manque. Finalement nous enfilons nos K-ways, nos bonnets, nos gants avant de sortir. Le sol est humide. Il y a des séquences ensoleillées. Quelques mouvements d'échauffements. Nous nous armons de courage. Il faut de la volonté. C'est parti. Nous courons sur le bord de la route. Il n'y a personne.

Nous passons devant le haras. Des voitures sur le parking. Des groupes de cavalières. Déjà, alors qu'il n'est que 8 h45. Une heure d'un running finalement très agréable et gratifiant. Il est 9 h30 quand nous revenons. Nous pouvons entendre Julie passer l'aspirateur quelque part à l'étage en entrant dans la salle de bain. La douche. Le samedi aucune précipitation. Nous faisons chaque chose correctement. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite, je coiffe Clémentine. Elle est installée devant le miroir du meuble blanc.

Clémentine adore quand je m'occupe de ses cheveux. Une fois séchés je les divise en trois parties pour en faire une longue natte. << Il faut que je les coupe un peu. Il me descendent sur les reins ! >> dit elle. C'est Estelle qui va s'en charger. Tous les ans elles se coupent toutes les deux une quinzaine de centimètres. Une fois le sèche cheveux éteint nous percevons les bruits que fait Julie durant ses activités de ménages. Nous revêtons nos Levis, nos épaisses chemises à carreaux. Nos baskets. Nous dévalons les escaliers pour enfiler les anoraks.

En traversant le jardin nous sommes agréablement surpris de voir le ciel devenir tout bleu. La température est montée à 16°. L'absence de vent rend l'atmosphère calme et plaisante. Voilà la camionnette blanche qui descend doucement pour venir se garer derrière la voiture de Julie. Danièle, avec un grand sourire, nous tend le poing que nous touchons des nôtres. J'ai l'anorak ouvert. Tout en souriant, elle fixe ma braguette béante. Elle contourne le véhicule pour ouvrir les portes arrières. Clémentine me fait un clin d'œil. Elle regarde ma braguette.

Danièle me tend le cageot le plus lourd. Celui contenant les fruits et les légumes. Elle tend l'autre contenant les fromages, les yaourts, la motte de beurre, les petits pots de crèmes fraîche et les œufs à Clémentine qui s'en saisit. Nous les posons sur le banc en pierre à côté de l'évier mural. << Les beaux-jours se précisent. Demain, je cache les œufs dans le jardin ! >> lance Danièle en tendant le terminal. J'y introduis la carte de paiement. La tête penchée, elle scrute ma braguette ouverte pour bien me faire comprendre à quel point elle attend cet instant.

Clémentine qui voit tout vient se serrer contre moi pour répondre : << Moi, je vais me faire un plaisir de chercher les œufs dès ce matin ! >>. En prononçant cette boutade, elle pointe son index vers le blanc bien visible de mon slip. Danièle éclate de rire. << C'est génial ! >> lance t-elle en me tendant le ticket. Je précise : << Pas de livraisons les deux prochains samedis. Votre sourire va nous manquer ! >>. Danièle, en remontant dans son Mercedes, fait : << Passez de bonnes vacances. À bientôt pour de nouvelles aventures ! >>. Elle démarre.

Tout en faisant la manœuvre de demi tour, Danièle nous adresse son magnifique sourire. Elle ne porte pas son épais bonnet de laine ce matin. Sa coupe à la "garçonne" lui va à merveille. Ses cheveux auburns libres. Elle nous fait un clin d'œil. Je me touche vulgairement. Elle lève le pouce avant de remonter. Arrivée en haut du chemin, au portail, elle nous fait un dernier coucou. << Une membre du "Club" qu'il faudra introniser avant l'été ! >> lance Clémentine en fourrant sa main dans ma braguette. << J'aime quand t'es vicieux ! >> dit elle.

Voilà le tube Citroën de notre boulangère adorée. Avec madame Marthe pas de comportement déviant. Ce n'est pas du tout le genre de la maison. Hilare au volant, elle se gare derrière l'auto de Julie. Avec une étonnante agilité pour sa corpulence, la boulangère saute de son véhicule. Elle ouvre la porte latérale qui coulisse dans un épouvantable bruit de ferraille. Elle en tire le cageot qui contient nos deux grosses miches de pain complet et bio. L'énorme brioche au pudding. Les bouchées à la reine, les deux pâtes feuilletées, les deux gros croissants.

Lorsque j'introduis la carte de paiement dans le terminal je précise qu'il n'y aura pas de commandes pour les deux samedis à venir. Madame Marthe, en démarrant, nous souhaite également de bonnes vacances. Nous prenons les cageots pour contourner la maison. Descendre à la cave par derrière. Par l'escalier extérieur. Dans le cellier nous disposons soigneusement les fruits et les légumes sur les étagères. Clémentine glisse plusieurs fois sa main dans ma braguette. << Tu as vu comme Danièle mâtait. La prochaine fois montre lui ta queue ! >> lance t-elle.

Me voilà avec la bite à l'air. Je bande mou dans la main de Clémentine qui enfonce sa langue dans ma bouche. Là, l'érection est instantanée. En bandant comme le dernier des salauds, je range une des miches de pain dans le congélateur. J'en tire le paquet de moules, les sachets de haricots verts et de petits pois. Nous en avons fait grande provision hier après la visite du musée, dans un hypermarché bourré de monde. À cause des fêtes de Pâques. Nous remontons par l'escalier intérieur. Julie s'apprête à passer la serpillère dans la cuisine. Nous arrivons juste à temps.

Elle a le même regard que Danièle en découvrant ma bite qui pend tel un tuyau d'arrosage. Je porte le cageot dont nous rangeons le contenu dans le réfrigérateur. En ressortant nous déposons chacun une bise sur le front de Julie. Nous la laissons à son ménage pour aller au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Elle me tourne le dos. Je caresse ses seins minuscules en faisant durcir les tétons. << J'aime ! >> chuchote Clémentine en lisant à voix haute chacun de nos quatre courriels. D'abord le message de ma famille.

Depuis six ans c'est aussi celle de Clémentine qui n'en a pas d'autre. Tout va bien. Oncle Alan et Tante Amy sont impatients de nous revoir en juillet. Édimbourg aussi nous attend. Ainsi que tout le reste de l'Écosse. Le message de Juliette qui nous rappelle que nous sommes invités mercredi soir prochain. Qu'elle attend la réponse pour une éventuelle troisième "soirée maraîchère". << Je ne sais pas trop ! >> lance Clémentine en passant aux messages suivants. Le loueur de Saint-Claude dans le jura nous indique les dernières modalités pour les clefs.

Monsieur Legris nous attendra devant la maison dimanche en fin d'après-midi. Pour la visite du studio et la remise des clefs. Enfin le courriel d'Estelle qui nous rejoint pour 13 h45. Pendant que Clémentine répond aux mails, je glisse un billet de vingt euros, et un billet de 50 euros dans une petite enveloppe jaune. Clémentine y rajoute un petit mot que je signe d'un personnage en forme de bite et de couilles qui agite une main levée. Il est onze heures trente. Julie vient nous rejoindre. << Je vous ai fait une maison bien propre ! >> lance t-elle. Toute souriante.

Clémentine se lève, contourne le bureau pour poser ses mains sur les épaules de Julie. << Merci. On te revoit samedi prochain alors ? >> demande Clémentine. << Oh oui vous allez me manquer. J'adore les lundis soirs avec vous ! >> répond Julie. Je me lève pour lui remettre la petite enveloppe jaune. << Merci Julien ! >> dit elle. Je passe l'extrémité de mes doigts sur sa joue en disant : << N'oubliez pas. Vous venez avec nous dans le Jura. Dix jours pleins ! >>. Julie ne peut cacher l'émotion qui l'étreint. Elle s'écrie : << C'est merveilleux ! >>.

Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Nous avons pris l'habitude de nous y assoir avec elle une petite minute. Je suis à l'arrière, agitant ma queue. Julie qui m'observe dans le rétroviseur s'adresse à Clémentine : << Samedi prochain j'emmène ma valise. Elle sera prête. Comme ça dimanche, quand je viens, on n'a plus qu'à partir ! >>. Nous trouvons la stratégie excellente. << Nos valises seront déjà prêtes aussi ! >> répond Clémentine. Un dernier bisou. Nous regardons Julie, un peu tristounette au volant, faire la manœuvre de son demi tour.

Un dernier coucou une fois arrivée au portail. Il y a du soleil. C'est qu'il ferait presque doux. Le thermomètre extérieur indique 19°. Morts de faim nous nous dépêchons de rentrer. Clémentine prépare l'assaisonnement de la laitue dont elle lave chaque feuille. Je prépare le bouillon. Dans le wok je verse les haricots verts, les petits pois. Dans le bouillon rapidement en ébullition sur la cuisinière à bois, je vide le paquet de moules. Notre repas du samedi est simple et rapide à préparer. Peut-être pas très diététique mais délicieux. Nous mangeons de bon appétit.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine revient sur la personnalité de Julie. << On va beaucoup s'amuser. Notre petite mascotte sexuelle va passer du bon temps. Fais lui bouffer ta queue tous les jours. Estelle et moi on lui fera bouffer nos chattes ! On a déjà nos plans. On en parle tous les midis au restaurant universitaire ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Je bande en écoutant les projets mis au point par mes deux coquines. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Monter nous laver les dents. Faire les pitres.

<< Coucou les gens ! >>. C'est Estelle qui jaillit soudain dans la salle de bain. Elle pose son grand sac de sport sur le tabouret avant de se précipiter dans nos bras. Comme c'est bon d'êtres tous les trois. Estelle joue un peu avec ma bite toute molle. Elle nous raconte son vendredi en famille. Son samedi matin à faire les courses avec sa mère. << Lundi matin je vous laisse. Je mange en famille à midi. Il y a ma mamie et j'aide maman. Je reviens pour 14 h maximum. C'est Pâques. Je dois marquer le coup ! >> précise t-elle en ouvrant son sac de sport.

Elle en tire son pyjama, une paire de chaussettes et une culotte pour demain matin. Pressés de filer pour profiter de cet après-midi ensoleillé, nous dévalons les escaliers. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle assise à l'arrière caresse mon cou. Direction le port de plaisance. << L'an dernier, à la même époque, on y allait à bicyclette ! >> lance Clémentine. << Cette année avec cet hiver qui n'en finit pas, c'est en bagnole ! Bien merdique ! >> s'écrie Estelle. Je gare l'auto sur le parking de la supérette. Plein de monde.

Il y a les joueurs de boules sur les quais. Les platanes verdissent. Il y a quelques cyclistes courageux. Des promeneurs. Les jeunes qui retrouvent leurs habitudes, réunis avec leurs scooters à proximité des toilettes publiques. Bref, nous retrouvons l'atmosphère de cet endroit si particulier que nous aimons bien. Les bateaux sont encore bâchés pour la plupart. Par contre il y a pêcheurs sur des barques. Ce qui participe à cette ambiance printanière. Nous flânons. Nous tenons nos blousons de cuir à la main. Il fait presque chaud. Presque. Avec 20°.

Estelle retrouve ses petites manies. Discrètement elle palpe ma braguette en disant : << Mais ouvre là ! >>. Je ne veux pas. Il y a trop de gens. Tout le monde veut profiter de cette météo. Nous attirons encore bien des regards. Nos hautes tailles. Ces deux sublimes jeunes filles accrochées aux bras d'un homme d'âge mûr. Est-ce un ami, est-ce le tonton, est-ce le papa ? Pour répondre à ces questions que nous devinons, Estelle et Clémentine me couvrent les joues de bisous. Ne laissant surtout planer aucun doute quand à la nature de nos relations.

Nous nous amusons de ces situations. << Regardez, ce sont les mêmes joueurs de boules depuis des années. Il y a le mec qui te mâtait l'année dernière ! >> lance Estelle. << Quand ma culotte restait dans le sac à dos que portait Julien ? >> demande Clémentine. Nous rions de bon cœur quand elle rajoute : << On aurait été bien en jupes ! >>. Estelle répond : << Je déteste avoir froid à la chatte ! >>. Nous prenons le chemin qui monte au vieux cimetière. Depuis le sommet de la colline la vue est superbe. On voit à des kilomètres à la ronde.

Combien de fois n'avons nous pas profité de ce cimetière pour donner libre cours à nos comportements déviants ! Il y a des visiteurs car c'est un endroit touristique. Depuis plus de cinquante ans plus personne n'est enterré ici. Cimetière qui remonte au moyen-âge et classé au patrimoine historique. Nous avons même un caveau de famille où nous baisons parfois. Une famille de nobles du dix neuvième siècle. Nous les remercions de nous offrir le cadre idéal pour le stupre et la luxure. J'étais souvent caché là pour mâter les exhibes de Clémentine.

Pour Clémentine, l'exhibition en cimetière est un véritable sport. Elle aime pratiquer entre les tombes. C'est vrai que ce sont des lieux qui s'y prêtent fort bien. On peut rester d'une discrétion absolue. Choisir la "victime". Combien de fois n'ai-je pas vu une de ces "victimes" toujours masculines tomber sur Clémentine entrain de pisser entre deux pierres tombales. Entre deux socles de crucifix ou d'anges de pierre. De grands moments d'extase. Souvent cachés, Estelle et moi, nous avons assisté à des évènements extrêmement ludiques. Surtout lubriques.

<< Là, vous vous souvenez du mec qui se branlait ? >> lance Clémentine en montrant un endroit du doigt. << Et là le mec qui te prenait en photo l'an dernier ? >> s'écrie Estelle. Tous ces souvenirs nous reviennent en mémoire. Nous excitant considérablement. Clémentine se touche. Elle déboutonne son Levis pour fourrer sa main dans sa culotte. Elle dit : << Put-Hein je m'en ferais bien un ! >>. Nous regardons partout autour de nous. Ce sont principalement des couples qui se promènent. Beaucoup de séniors. Nous parcourons les allées secondaires.

Clémentine marche en se touchant. Quand il y a des gens, Estelle ou moi, nous masquons ses activités en nous plaçant tout simplement devant elle. Estelle tripote l'énorme bosse qui déforme ma braguette. Mon érection est des plus désagréables car contrainte au fond de mon slip. Tordue et prisonnière. Aussi, j'entraîne les coquines près des poubelles. Il y a un muret qui entoure la fosse où les employés laissent les fleurs, les plantes devenir compost. L'endroit idéal et retiré pour extraire mon sexe. Le libérer enfin de ses contraintes. Le laisser s'épanouir.

Estelle s'accroupit pour m'aider à le sortir. Elle le lisse de sa main pour bien remonter la peau du prépuce. << N'attrape pas froid mon bitounet chéri ! >> dit elle en y déposant des bises. Clémentine, sans cesser de se toucher, longe les murets pour regarder dans toutes les directions. Elle aimerait beaucoup s'offrir les délicieux frissons d'une bonne exhibe de qualité. Estelle, serrée contre moi, me masturbe doucement. J'ai ma main dans son Levis qu'elle déboutonne afin que je puisse fouiller dans sa culotte. Nous regardons Clémentine mâter.

<< Un mec ! >> s'écrie t-elle soudain en se cambrant sur ses genoux fléchis. Se masturbant plus énergiquement. Nous regardons par dessus le muret. Juste nos têtes ont visibles. C'est un mec qui promène son clébard. Un teckel qui trottine. Le type doit avoir la quarantaine. Anorak bleu ouvert. Casquette à visière sur la tête. Un pantalon brun et des baskets. Il ne nous a pas vu. Il longe le mur extérieur du cimetière. Il salue les visiteurs qu'il croise. Parfois il s'arrête pour discuter le bout de gras. Présenter son affreux clébard. Nous regardons.

<< S'il entre par le portillon là-bas, j'ai le temps de me préparer près de la fontaine ! >> lance Clémentine. Je l'encourage à jouer de prudence. Il y a plein d'arrosoirs en plastique posés autour de la fontaine. Mais à bien y regarder, c'est vrai que c'est un bon plan pour une exhibe. Encore faut-il que le quidam entre dans le cimetière avec son clebs. Même si le panneau précise que c'est interdit. Nous ressortons du local à compost pour longer la haie de lauriers qui nous dissimule des promeneurs. Nous nous cachons derrière la statue de la fontaine.

Une sorte de Hercule grec qui tient un tonneau. Le socle est large et permet de dissimuler trois à quatre personnes. Nous attendons en silence. En nous masturbant. Estelle, une main dans sa culotte me tripote, me branle de l'autre. << Gagné ! >> murmure Clémentine. En effet le bonhomme entre dans le cimetière par l'étroit portillon. C'est dégueulasse car il laisse son clébard pisser contre les tombes. L'enculé ! >> chuchote Estelle. << Attendez moi là. Au moindre blême, vous vous pointez ! >> murmure Clémentine en sortant de sa cachette.

Elle longe la haie pour aller se faufiler entre deux pierres tombales couvertes de mousse épaisse. Nous ne la voyons plus. Estelle se serre fort contre moi. Nous adorons ces moments de voyeurisme. Nous pouvons nous tripoter, nous faire des bises en même temps qu'êtres au spectacle. Clémentine réapparaît soudain. Avec une prudence de Sioux elle observe partout autour d'elle, surveillant le mec au clebs. Il vient enfin par là. Il passe à quelques mètres de notre cachette sans se douter de quoi que ce soit. Clémentine descend son Levis et sa culotte.

Elle s'accroupit rapidement. Nous ne voyons plus que sa tête. Elle mâte par là. Pour voir arriver l'homme au teckel. Il semble absorbé dans ses pensées. Estelle serre ma queue de toutes ses forces. Je cesse de la doigter. Nous retenons nos respirations. Le mec au clebs vient de tomber sur la scène. Ils sont à environ une vingtaine de mètres. Impossible d'entendre. L'homme et Clémentine parlent. Comme toujours, désireuse de s'offrir ce moment de honte qu'elle adore, Clémentine reste en position pisseuse. On ne sait pas si elle pisse en discutant.

<< Elle en est capable. Quand on était au lycée, c'était sa spécialité après les cours. On avait nos petits endroits ! >> murmure Estelle. Elle rajoute : << Si j'avais un euro à chaque fois qu'un mec l'a vu pisser, je serais riche ! >>. Je connais toutes les aventures. Estelle et Clémentine me les ont tant raconté. Dans ces situations troublantes, les hommes ont toujours le même réflexe, ils regardent dans toutes les directions. En fait, ils prennent le relai. Ce sont eux qui surveillent les environs. Clémentine n'a plus qu'à se laisser aller. Et elle en profite.

Je reste toujours prêt à intervenir. Pourtant, depuis plus de six ans que nous nous amusons à ces jeux, je n'ai eu qu'à le faire quatre ou cinq fois. La plupart des messieurs restent de parfaits gentlemen. Même si certains sortent leurs queues pour la montrer, pour se branler et tenter des propositions. En apnées, Estelle et moi, observons chaque détail. C'est vraiment dommage que la distance empêche d'entendre la discussion. << Put-Hein ! Mais qu'est ce qu'il attend pour sortir sa queue ! >> murmure Estelle en reprenant son souffle. Il ne se passe rien.

Il ne peut rien se passer car deux couples de séniors viennent dans cette direction. Ils passent à quelques mètres de nous. Clémentine se redresse rapidement. Elle s'abrite derrière une stèle pour remonter ses vêtements. Une des dames connait probablement l'homme au chien car elle se met immédiatement à bavarder. Clémentine vient nous rejoindre. Toute rouge, hyper excitée, en sueur. << Raconte ! >> lance Estelle. Nous reboutonnons nos Levis. C'est en redescendant le chemin que Clémentine nous raconte son 'entretien", son "entrevue".

Nous en rigolons comme des bossus quand elle dit : << Ce con, il causait de son clebs en me regardant pisser ! C'est la première fois que je me suis sentie aussi conne ! >>. Nous prenons des cônes glacés dans la supérette. La gérante qui est en caisse, est toute contente de nous revoir. Elle nous raconte son hiver. Il y a eu une tentative de cambriolage après le nouvel an. La dame nous tend une petite brochure où sont indiquées toutes les manifestations organisées par la municipalité sur les quais du port de plaisance. La première sera le vide grenier.

Nous dégustons nos premiers cônes glacés de l'année en flânant encore un peu sur le port. Clémentine, bien allumée par son exhibe, s'offrirait volontiers un second chapitre. Aussi, nous la suivons quand elle nous entraîne dans les coins et recoins où c'est possible. Nous les connaissons tous. Clémentine a déjà pratiqué dans chacun d'entre eux. Hélas, il n'y a aucune autre opportunité. Il faut se faire une raison. Je dis : << Ce soir, après la bouffe, pour faire disparaître toute frustration bien légitime, ce sera un dessert "baise sur bureau" ! >>.

En sautillant autour de moi, mes deux anges s'écrient : << Oh oui ! >>. Ou encore : << Super ! >>. Le programme de la soirée est dont bien arrêté. Il est dix huit heures quarante cinq, dans la fraîcheur désagréable du soir, quand nous arrivons à la maison. Nous épluchons les pommes de terre, les carottes, les navets et le céleri pour la potée de légumes. Clémentine fait l'assaisonnement pour le reste de la laitue. Je poêle trois beaux dos de cabillaud blanc. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre aventure de l'après-midi. Avant le dessert.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se faire lécher, se faire pénétrer, comme elles adorent, couchées sur le bureau, la tête posée sur un épais et confortable coussin...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 17 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2215 -



Où sont cachés le lapin et les œufs ?

Hier matin, dimanche, notre grasse matinée nous entraîne jusqu'aux environs de neuf heures. Estelle à ma droite qui colle ses lèvres contre ma joue en saisissant ma tumescence. Clémentine à ma gauche qui empoigne mes couilles en posant ses lèvres dans mon cou. C'est ainsi que comme un bienheureux, je suis tiré de mon profond sommeil. L'enchantement paradisiaque se prolonge par des papouilles, des bisous. Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine glisse sa tête sous la couette. Étranges sensations que la pipe du matin.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Il fait bien chaud partout dans la maison. Les radiateurs fonctionnent depuis trois heures. Dans la salle de bain nous nous habillons de nos Levis, de nos épaisses chemises à carreaux. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Le café est près, les oranges pressées, les kiwis pelés. Estelle est entrain d'allumer une belle flambée dans la cuisinière à bois. Je passe derrière elle pour caresser ses seins minuscules dont les tétons se retrouvent immédiatement en érection.

Clémentine se colle contre mon dos pour caresser ma bosse. Je suis en sandwich entre mes deux anges. Un dimanche matin qui commence fort. << C'était génial hier soir ! >> dit Estelle en replaçant les ronds de fonte avec le tisonnier. << D'autant plus génial quand on peut rester au lit le lendemain pour récupérer ! >> lance Clémentine. Nous prenons notre petit déjeuner. Que ce "chinois" est bon. Cette brioche au pudding, farcie de pâte d'amandes, est un véritable délice. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur l'exhibe de Clémentine hier.

<< C'est comme une catharsis. Ça libère. En tous cas c'est ma manière à moi de faire disparaître les tensions, le stress. Rien ne vaut une bonne petite exhibe ! >> précise une fois encore Clémentine. << T'es surtout vicieuse ! >> lance Estelle. Nous rigolons comme des bossus. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges envisagent différentes options de randonnées pour l'après-midi. Estelle n'aura pas besoin de nous laisser ce soir. Le lundi de Pâques étant férié, elle restera avec nous.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Estelle quitte son pyjama pour s'habiller comme nous. Il faut encore faire notre lit avant de redescendre. Pressés de filer nous dévalons les escaliers pour enfiler les anoraks. Le thermomètre extérieur indique 13°. Il n'est que dix heures. Le ciel est voilé. Aucune menace. Par contre un léger vent du Nord impose cette sensation de froid. Estelle et Clémentine, accrochées à mes bras, nous descendons jusqu'à la rivière. Les eaux sont au maximum.

Serrés tous les trois, nous admirons les colverts, les poules d'eau, les canards. Nos amis à plumes qui s'amusent à tourbillonner sur les eaux. Estelle s'accroupit pour glisser sa main dans ma braguette. << Moi, je sais où tu caches le lapin et les œufs de Pâques ! >> dit elle. Clémentine, posant sa tête sur ma poitrine observe. Estelle m'extrait le Zob. Je bande mou. Avec l'index qu'elle passe sous la queue, elle cherche les couilles. Pour l'aider, car il sera impossible de les extraire, je déboutonne mon Levis. Elle parvient à récupérer les roupettes.

Je referme le bouton. Ainsi garrotées par l'étroitesse de la braguette boutons de mon 501, ma bite et mes couilles font une apparition pascale en cette vieille de la Pâques. << J'adore ! >> lance Estelle en se redressant, s'éloignant pour voir l'ensemble dans sa globalité. Clémentine la rejoint. Toutes les deux, à quelques mètres, rient aux éclats en contemplant le "panier" aux œufs surmonté du lapin. Je me sens un peu con. Estelle et Clémentine sortent leurs téléphones pour faire une photo. Nous rions comme des fous. C'est tellement drôle.

Ce vent est désagréable. Je ne reste pas longtemps avec ma queue et les roubignoles à l'air. << Tu vas attraper froid ! >> fait Clémentine en caressant mes organes génitaux. << Après tu auras la goutte au nez ! >> rajoute Estelle en mimant une masturbation masculine et en lançant : << Pschhhhhh ! >>. Je remballe. Nous remontons lentement vers la maison. Nous remplissons une première brouette d'une vingtaine de bûches. Pour les empiler à côté des cheminées du salon et de l'atelier. À côté de la cuisinière à bois. Deux brouettes pleines.

Il est onze heures. Nous préparons le petit sac à dos. Trois pommes, trois barres de céréales, la thermos avec du thé bouillant. Pour la rando, c'est près. Nous irons faire l'itinéraire des collines du château. Départ dès la fin du repas pour profiter de ce dimanche après-midi. Depuis le changement d'heure, les journées sont à nouveaux bien longues. Clémentine prépare l'assaisonnement d'une salade de tomates. Estelle fait revenir trois beaux pavés de saumon. Champignons, crème fraîche en fin de cuisson. Je réchauffe et remue la potée de légumes.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant nos vacances. Elles débutent vendredi prochain à midi. Nous revoyons l'emploi du temps et les plages horaires de dimanche prochain. Nous prenons l'avion à 14 h30 pour arriver à Dole dans le Jura pour 17 h. Changement à Roissy Charles De Gaule. << C'est chiant les changements, c'est là qu'on perd le plus de temps ! >> lance Estelle. Nous ne traînons pas. Il est 13 h et nous faisons notre vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Trois clowns devant le miroir de la salle de bain. À rire comme des fous.

Nous restons vêtus comme nous le sommes. Les grosses godasses à la main, nous dévalons les escaliers pour mettre les anoraks. Je récupère le petit sac à dos. C'est parti. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Assise à l'arrière Estelle me caresse le cou, les joue. Me fait des clins d'œil ou des grimaces dans le rétroviseur intérieur. La température extérieure est de 18°. Le ciel reste voilé de gris. Il y a une vingtaine de kilomètres. Je gare la voiture sur le parking du restaurant. Je remballe mon sexe avec peine car il est en érection. Dur.

Nous prenons le sentier de droite. Il longe le mur de la terrasse du restaurant. Il y a un monde fou. Les fumeurs, courageux, prennent leurs cafés dehors, assis aux tables. Nous marchons l'un derrière l'autre d'un bon pas. Au bout d'un quart d'heure le sentier rejoint le chemin. Nous pouvons y évoluer côte à côte en nous tenant par les mains. Nous croisons nombre de marcheurs. Souvent des petits groupes. Il faut ouvrir les anoraks car avec l'effort nous avons trop chaud. Pratique pour Estelle qui peut fourrer sa main dans ma braguette qu'elle ouvre.

Il faut être prudents. Aussi quand je marche avec la bite à l'air, qu'il y a la menace de croiser des randonneurs, il suffit à Estelle ou à Clémentine de me prendre dans leurs bras. Impossible de voir le "tuyau d'arrosage" qu'évoque ma bite semi molle. De multiples occasions de rire comme des fous, de me donner des frayeurs et de me palper le Zob. Moi aussi je tripote mes coquines. << Là ! >> lance Clémentine qui déboutonne rapidement son Levis. Elle saisit mon poignet pour glisser ma main dans sa culotte. Estelle fait la même chose. Rigolades.

C'est quand je les doigte toutes les deux en même temps, au bas du sentier qui monte au château, que nous nous faisons surprendre par un jeune couple. << Oh pardon ! >> lance la jeune fille. << On ne fait que passer ! >> rajoute le jeune garçon. Estelle et Clémentine ont alors le même réflexe. Tenir mes poignets fermement afin que je ne puisse pas retirer mes mains. << Trop bon ! >> dit Estelle. << Trop classe ! >> fait Clémentine. Le jeune couple nous contourne en riant. La jeune fille se retourne, lève son pouce pour s'écrier : << Bonne balade ! >>.

<< C'est génial de croiser des complices ! >> lance Estelle quand nous reprenons notre marche. Voilà le château. Une forteresse majestueuse du treizième siècle entièrement rénovée pour devenir un lieu hautement touristique. Une réussite. Il y a évidemment un monde fou. Inutile espérer nous livrer à nos petits jeux. Même si Estelle, bien "allumée", me tripote en se plaçant devant moi. Nous attirons encore bien des regards. Interrogateurs chez nombre de femmes. Parfois libidineux chez certains messieurs. Nous montons sur le chemin de ronde.

Depuis la fin des travaux il y a deux ans, il est à présent possible de faire tout le tour du château en restant sur les remparts. En hauteur le vent est désagréable et froid. Dommage. La vue sur la région est splendide. On peut voir jusqu'à la ville au loin. Les énormes "yoyos" des cheminées de la centrale nucléaire. Avec la petite paire de jumelles nous observons à tour de rôle. Parfois, passant mes mains dans les anoraks ouverts, je caresse les seins minuscules de mes deux coquines. << Trop bon ! >> lance Clémentine. << Trop bien ! >> dit Estelle.

Il n'est pas encore possible de boire quelque chose dans le château car l'ensemble n'ouvrira ses activités d'été qu'à partir du premier mai. Dommage. Nous prenons le sentier qui descend vers le petit lac. Ses eaux reflètent le gris uniforme du ciel. Il y a vraiment beaucoup de monde. Les cris de la marmaille que nous croisons sur le chemin qui fait le tour du lac. C'est parfois énervant. Il est dix huit heures trente quand nous revenons à la voiture. Estelle veut absolument être devant avec Clémentine. Je roule doucement, me faisant tripoter le Zob.

C'est toujours avec une certaine appréhension car il peut y avoir un contrôle de gendarmerie. Deux personnes assises sur l'unique siège passager, c'est la "prune" assurée. Peut-être même des points en moins. << Mais non, les gendarmes restent bien au chaud. Quand un gendarme rit dans la gendarmerie, tous les gendarmes rient dans la gendarmerie ! >> lance Estelle en empoignant ma queue que Clémentine vient de cesser de sucer. Il est dix neuf heures quinze quand nous sommes de retour. Sans aucun contrôle quelconque. Ouf !

Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de concombre. Estelle concocte sa spécialité des dimanches soirs. Une omelette aux fromages. Je remue la potée de légumes que je réchauffe sur la cuisinière à bois encore hyper chaude. Nous mangeons de bon appétit. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer des masturbations masculines. << C'est génial, je ne suis pas obligée de partir ce soir ! >> s'écrie t-elle en étant la première à venir s'assoir sur mes genoux. Clémentine vient nous rejoindre. Nous traînons un peu à table pour savourer les yaourts.

La vaisselle. Je dis : << Ce soir les filles, je me bouffe de la chatte ! >>. Je ne suis pas obligé de le suggérer deux fois. Aussitôt les torchons suspendus au-dessus de la cuisinière à bois, mes deux anges m'entraînent au salon. C'est le rituel des dimanches soirs. Une journée sans douche. Les sexes qui ont macéré dans leurs jus toutes la journée. Je laisse à la lectrice "alléchée" et au lecteur émoustillé le soin d'imaginer les festivités qui s'annoncent. Toutes les deux, juste en chemises et en chaussettes, vautrées dans le canapé, cuisses en l'air. Les parfums !

Je suis à genoux sur les épais coussins. Je commence par le sexe d'Estelle. Son odeur forte que je peux respirer à plus de cinquante centimètres. J'écarte un peu les poils pour voir à quoi ressemble son minou après quatre heures de marche. J'écarte la fente pour laisser jaillir ses lèvres. Mes amis ! Que c'est appétissant. De petites particules de frome. Ça suinte un peu. Et cette odeur ! Estelle se masturbe alors que j'enfonce ma langue. J'aspire. Estelle gémit en se calant, les fesses au bord du canapé. Clémentine se masturbe en regardant.

Le lecteur qui suit nos aventures sait les moments d'extases qui s'en suivent. Surtout s'il pratique lui-même ce genre de dévotions à la gente féminine. Je passe au croupion de Clémentine. Du jus de fille coule déjà entre ses fesses, maculant le cuir noir du canapé. L'odeur est différente. Les gouts sont différents. Les fromages sont différents. C'est exquis. Quand je ne suce pas leurs clitoris, les coquines se les stimulent. Le clitoris géant de Clémentine dont je nettoie consciencieusement les peaux. Un véritable gland sous son prépuce. Magnifique.

Quand je repasse au sexe d'Estelle, Clémentine se lève pour saisir la cuvette en plastique sous le guéridon à côté du canapé. Elle la pose au sol pour s'accroupir au-dessus. Je cesse de sucer Estelle. Nous admirons ce merveilleux spectacle. Clémentine qui s'offre un orgasme pisseux en se tenant d'une main au bord du canapé, qui tient son clitoris géant entre le pouce et l'index. Poussant des gémissements qui accompagnent ses multiples jets d'une pisse abondante, bien jaune. On voit le filet de cyprine laiteuse qui tombe par gouttes dans la pisse.

<< Viens ! >> s'écrie Clémentine en se vautrant dans le canapé. Elle adore quand je viens parfaire son orgasme avec ma bouche. Moi j'adore les saveurs de ce savoureux mélange. Estelle, à genoux derrière moi, se frottant contre mes fesses, se masturbe. Les spasmes qui secouent le corps de Clémentine sont presque inquiétants. Les frissons qui agitent l'intérieur de ses cuisses contre mes joues qu'elle enserre. Estelle me branle. Je suis tellement concentré sur mes dégustations que j'en oublierais de bander. Estelle se charge alors d'entretenir le feu.

Je cesse de lécher, de sucer pour laisser reposer ma mâchoire. Estelle pousse un cri. Son orgasme la tétanise. Tout son corps se raidit. Elle tombe sur le côté. Comme en proie à une intense douleur, elle tient ses mains entre ses cuisses serrées en gémissant. Je me lève. Je pénètre Clémentine qui ne s'y attendait pas du tout. Je me mets à bouger en rythme sous ses cris d'extase et de surprise. Elle se masturbe à nouveau en se faisant baiser à la hussarde. Estelle se couche sur le canapé en tenant mes couilles par l'arrière. Je baise comme un salaud.

Clémentine connait rapidement un nouvel orgasme. Elle me repousse délicatement pour se terminer aux doigts in extremis. Estelle en profite pour gober mon érection dégoulinante. Elle suce comme si sa vie en dépendait. Elle aussi a recommencé à se toucher. J'éjacule en gueulant. Estelle tousse, à moitié noyée par l'abondance de mes trois saccades juteuses d'un sperme épais, visqueux et gluant. De plus en plus souvent l'explosion de la décharge au fond de sa gorge fait couler du foutre de ses narines. Pourtant elle continue à pomper. Fébrile.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont s'offrir un sommeil réparateur, sous la couette, contre leur bienfaiteur tout aussi épuisé qu'elles...

Julien



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Classe - 18 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2216 -



Le lundi de Pâques

Hier matin, lundi, une fois encore, il est aux environs de neuf heures. Estelle à ma droite qui ne supporte pas d'être réveillée toute seule. Sa main qui se pose sur ma bosse avant de s'introduire dans mon slip. Ses lèvres sur ma joue, elle se frotte contre ma hanche. Ce qui réveille également Clémentine à ma gauche. Mécaniquement, tout en gémissant, elle passe une cuisse sous mes fesses, pose l'autre sur la main d'Estelle. Dans l'identique mouvement masturbatoire, elle se frotte contre ma hanche. J'émerge doucement en caressant mes deux anges.

Estelle est la première à être tourmentée par l'impérieux besoin. Elle se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>. Elle se précipite vers la porte. Clémentine me chevauche. Toujours en frottant son sexe sur le mien elle dit : << Comme c'était bon hier soir ! >>. Elle mitraille mon visage de bisous. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Il fait bien chaud partout dans la maison. Nous passons nos tenues de sport dans la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. C'est le parfait remake de la matinée de hier.

Le lundi il reste toujours de la brioche. Il y a déjà l'odeur du café, l'odeur du feu dans la cuisinière à bois. Les oranges sont pressées, les kiwis sont pelés. C'est devenu un autre rituel que de caresser les seins minuscules d'Estelle quand elle est occupée. Serré derrière elle, mes bras sous ses aisselles. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée "léchage de minous". Je promets de nombreuses récidives car tous les trois nous adorons les rapports génitaux buccaux. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme du jour.

Estelle devra nous laisser en fin de matinée pour aller dans sa famille. Le repas de midi avec ses parents, sa mamie. Elle reviendra pour 15 h. Nous ne traînons pas trop. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Estelle quitte son pyjama pour sa tenue sport. Pressés d'aller courir nous redescendons à toute vitesse pour enfiler les K-ways. Il faut un peu de courage, faire preuve de volonté. Le thermomètre indique 12°. Le ciel est gris, bas et menaçant. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Nous courons le long de la rivière.

Une heure d'un très agréable running. Le vent vient cette fois de l'Ouest. Annonciateur de pluies. Estelle prend sa douche la première pendant que Clémentine et moi faisons la chambre, le lit. C'est à notre tour d'investir la salle de bain. Estelle reste avec nous à se coiffer, à nous raconter. Nous pouvons prendre tout notre temps. C'est un jour férié. Nous nous vêtons tous les trois pareils. Levis, sweats de coton bleu. Baskets. Nous redescendons en nous tenant par les mains. Il va être l'heure. il est un peu plus de onze heures. Estelle me serre fort.

Nous la raccompagnons jusqu'à son auto. << À tout à l'heure ! >> fait elle, assise au volant, mimant une masturbation masculine. Un dernier bisou. Nous la regardons partir. Clémentine m'entraîne dans la dépendance. Dans la maison d'ami, il y juste le "hors gel" qui fonctionne. C'est assez désagréable d'entrer dans un lieu froid. La poussière est revenue, recouvrant toute chose d'un léger voile gris. << C'est un peu déprimant ! >> dit Clémentine. C'est vrai. C'est juste. Aussi, nous ne nous attardons pas. Nous descendons jusqu'à la rivière.

Clémentine reste le plus souvent dans mes bras à me parler des vacances à venir. Sa main dans ma braguette, elle enfonce sa langue dans ma bouche. Je bande presque instantanément. Délicieuses sensations. La faim commence à se faire sentir. Clémentine prépare l'assaisonnement d'une belle laitue. Elle lave les feuilles pour les deux repas à venir. Je réchauffe le reste de la potée de légumes tout au bord de la cuisinière à bois. Je poêle deux filets de lieu noir préalablement pannés. Préparations rapides mais néanmoins délicieuses et savoureuses.

Nous mangeons de bon appétit en évaluant plusieurs menus pour le repas de ce soir. Ce seront des bouchées à la reine. Nous ne traînons pas. Clémentine émince un gros pavé de saumon. Des champignons. Je fais la Béchamel. Ail, oignon. Je râpe de ce bon gruyère Suisse. Nous rajoutons le tout à la Béchamel. Hors feu, recouvert d'un couvercle. Clémentine jette les coquillettes dans l'eau bouillante. Je prépare le grand plat carré en terre cuite. Je remplis les quatre bouchées à la reine de la garniture. Clémentine égoutte les coquillettes complètes. Bio.

Je pose d'abord les bouchées à la reine dans le plat. Elles sont bien calées avec les coquillettes que rajoute Clémentine. On recouvre d'une bonne couche de gruyère, de chapelure. Saupoudrés de graines de sésame grillé. Au four électrique pour une longue et lente cuisson à 160°. Plus longtemps ça mijote, meilleur c'est. Notre repas de ce soir est déjà prêt. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous dévalons l'escalier pour aller au salon. J'y allume une belle flambée dans la cheminée.

Clémentine, derrière moi, garde sa main dans ma braguette. Elle adore avoir sa main au chaud. Il est 13 h45. Je saisis Clémentine par ses cheveux noués en catogan. Elle pousse un petit gloussement de plaisir. Surprise par mon initiative. C'est moi qui fourre ma langue dans sa bouche, une main entre ses cuisses. Elle saisit ma queue. Nous nous embrassons passionnément jusqu'à en avoir les mentons trempés de nos salives. Clémentine déboutonne son Levis. Elle s'apprête à le descendre quand Estelle surgit dans la grande pièce. Comme un ouragan.

<< Pris la main dans le sac ! >> s'écrie t-elle toute contente de nous surprendre sans avoir fait le moindre bruit. Elle se précipite. La vision de ma bite soudain libérée. Elle s'accroupit pour s'en saisir en disant : << Mon petit lapin de Pâques. Où sont les œufs ? >>. Nous rions de bon cœur quand Clémentine ouvre mon ceinturon, déboutonne mon Levis. Elle en extrait les couilles en s'accroupissant à côté d'Estelle. Toutes le deux, en riant, jouent avec le "petit lapin et les œufs". << Joyeuses Pâques Julien ! >> lance Estelle avant de se mettre à lécher.

Elles prennent toutes les deux une couilles en bouches. Les filles n'ont pas toujours la notion de la sensibilité d'une paire de roupettes. De tirer dessus, chacune de leur côté, est presque douloureux. Je les force à se redresser. Elles me couvrent le visage de bisous. << C'était comment le repas de famille ? >> demande Clémentine en retirant son Levis et sa culotte. En ouvrant de grands yeux, Estelle raconte tout en retirant elle aussi ses fringues. Toutes les deux, juste en chaussettes et en sweats, se mettent à danser avec des mouvements saccadés.

En riant, elles cessent pour prendre des poses absurdes. Reprennent leurs danses tribales. Je tombe dans le canapé pour les regarder déconner. << Pas de regret. Il commence à pleuvoir ! >> lance Estelle en s'appuyant sur le bureau pour s'assoir dessus d'un bond. Clémentine vient me rejoindre. Elle me prend la main pour me tirer du canapé. Elle m'entraîne vers le bureau. Elle me place entre les jambes d'Estelle en disant : << Je regarde ! >>. Elle frotte mon sexe contre celui d'Estelle qui me fixe par en-dessous. Regard évocateur.

Elle se touche en attendant l'intromission. << Je m'occupe de tout ! >> fait Clémentine en plaçant mon sexe là où il faut. Estelle se laisse aller en arrière, prenant appui sur ses coudes. Je la pénètre doucement. Clémentine se place contre mon dos pour me pousser. Ses bras autour de ma taille. Ses lèvres contre ma nuque. Avec Estelle, pas de demi mesure. Ça baise à la hussarde dès les premiers instants. Je m'adapte au rythme qu'elle impose. Clémentine empoigne mes couilles. J'ai le pantalon et le slip sur les chevilles. Elle malaxe mes boules.

Clémentine s'éloigne. Fait le tour du bureau. Me fixe de son regard suggestif. Me fait des clins d'œil. Elle va chercher deux coussins du canapé pour les ramener. En pose un sous la tête d'Estelle qui pousse de petits cris d'animal blessé. C'est que je la pistonne sévère. Nous sommes en sueur. Lorsque je me retourne je découvre Clémentine totalement nue. Cambrée sur ses genoux fléchis qui se masturbe en nous observant depuis la bibliothèque. Estelle me repousse soudain pour se terminer aux doigts. Toutes les deux ont toujours ce même réflexe.

J'agite mon érection en direction de Clémentine en montrant la place qu'occupait Estelle avant de filer se vautrer dans le canapé. Clémentine vient s'installer à son tour. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Même si elle est déjà trempée, elle est si étroite. Avec elle, c'est une baise langoureuse. Quand j'accélère, elle tempère mon ardeur en enserrant ma taille de ses jambes, me bloquant. Nous aimons rester immobiles l'un dans l'autre. Estelle vient nous rejoindre. << À mon tour de mâter ! >> dit elle avant d'empoigner mes couilles par derrière.

Il y a des bourrasques de vent qui jettent des paquets de pluie contre les portes fenêtres. C'est tempétueux. << La cuvette ! >> s'écrie Clémentine avant de mordiller sa lèvre inférieure. Estelle se précipite vers le bas du guéridon pour la ramener. Je me retire. Clémentine saute du bureau, s'accroupit au dessus du récipient pour se terminer en pissant. Poussant des cris orgasmiques alors qu'Estelle saisit ma queue à pleine main. Nous admirons ce spectacle à la fois insolite, surréaliste et tellement magnifique. Je tiens Clémentine pas sa tignasse.

Afin qu'elle puisse garder son équilibre le temps de ses derniers épanchements. J'adore les coulées de cyprine laiteuse qui flottent sur la pisse. J'aide Clémentine à se relever. Je la soulève pour l'assoir sur le bureau. Penché en avant, mon visage entre ses cuisses, je déguste les "restes". Pendant qu'Estelle, accroupie entre le bureau et mes jambes, me taille une pipe en poussant de petits râles de plaisir. Clémentine, sous l'effet de ma caresse buccale, repart pour un second tour. Je suce son clitoris géant. Elle se remet à gémir, couchée sur le dos. Miam.

Estelle me pompe comme une affamée avant d'être obligée de se mettre à genoux pour éviter la crampe. Je me retire de sa bouche. Elle pousse un cri de dépit. Je la force à se redresser en disant : << Gardes-en pour ce soir ! >>. Nous restons tous les trois assis en tailleurs, à même le parquet à nous regarder comme hébétés. C'est de plus en plus long de reprendre nos esprits après tant de plaisirs fous. Il est seize heures trente. Je propose une balade en bagnole, sous la pluie. << Super ! >> lance Clémentine. << Génial ! >> rajoute Estelle. On se rhabille.

Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière, caresse mon cou. Nous évoquons nos vacances prochaines. L'avion jusqu'à Dole. Notre studio qui nous attend à Saint-Claude. Les visites et les découvertes que nous allons faire. Le lundi de Pâques, tout est fermé. Nous aurions volontiers pris un chocolat chaud dans un établissement ouvert. Hélas, volets clos partout. Je me gare parfois pour me faire sucer par Clémentine. Par Estelle qui passe devant. Pendant que l'une suce, l'autre parle études ou vacances. Nous repartons.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui ont "école" demain mais qui vont encore s'offrir de la queue après un bon repas...

Julien



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Clémentine retourne à ses études

Hier matin, mardi, l'application "océan" nous réveille à cinq heures cinquante cinq. Le cri des oiseaux de mer. Le bruit du ressac. Les marins qui se hèlent sur les quais. Les moteurs de ce chalutier qui rentre au port. La sirène de ce gros bateau dans le lointain. L'illusion de nous retrouver dans un petit port de pêche quelque part en Écosse. Se serrant contre moi en gémissant, Clémentine se frotte contre ma hanche. Des bisous, des papouilles avant de nous lever un peu comme des zombies. Nous nous précipitons aux toilettes pour nous y soulager.

Les radiateurs viennent d'entrer en fonction. C'est dans la salle de bain que nous passons nos leggings en lycra noir. Nos sweats en lycra jaune. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Je ne peux pas allumer la cuisinière à bois car ce matin vient le ramoneur. Clémentine fait le café. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Il fait à peine 17° mais les radiateurs bouillonnent. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les faits les plus marquants de ce week-end de Pâques. << Étrange balade en voiture hier sous la pluie ! >> lance Clémentine.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant le repas de ce soir. J'ai quelques idées aussi je propose que ce soit une surprise. Sans l'appoint de la chaleur de la cuisinière à bois, la cuisine est plus longue à chauffer. Nous ne nous attardons pas. Il est 6 h25. Nous remontons nous offrir notre heure d'entraînement. Les échauffements de l'aérobic et du jogging sur tapis roulants sont une bénédiction. Les exercices au sol ainsi que les abdos viennent parfaire cette sensation de douce chaleur. Parfait pour manipuler les barres et les haltères. Un bon stretching.

La douche. Je redescends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Ii pleut. Il fait froid. C'est désespérant. La température extérieure n'est que de 6°. Presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak, sous le parapluie. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre automatiquement. Il reste ouvert pour l'arrivée imminente du ramoneur. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud, au sec. Car à présent il fait bien chaud partout dans la maison. J'ai le temps de faire notre vaisselle, notre lit.

À peine suis-je en bas que les trois coups de sonnette résonnent. J'accueille monsieur Simonetti. L'homme en noir qui vient ramoner nos cheminée tous les six mois. Monsieur Simonetti connaît parfaitement les lieux. Je l'accompagne d'abord au sous-sol. Le ramoneur commence toujours par les conduits des deux chaudières. L'une au bois, l'autre au fioul. Je le laisse à son travail pour remonter. Dans l'atelier, installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ce septième paysage destiné à ma saison d'été m'emporte vite.

Je peins depuis une vingtaine de minutes quand monsieur Simonetti entre à son tour dans la grande pièce. L'atelier exerce toujours une sorte de fascination sur les très rares privilégiés à y pénétrer. Le brave homme peut tenir debout dans la grande cheminée. Seuls ses épaules et sa tête disparaissent dans le conduit. Le temps d'y passer le matériel. Un seau, une brosse, un aspirateur sont déposés au sol. << C'est vraiment parfait partout. Propre. Il n'y a aucun bistre, aucun goudron. Vous avez une qualité de bois remarquable ! >> explique le ramoneur.

Il y a toutefois l'équivalent de deux seaux de suie qui tombent du conduit quand l'artisan frotte les parois avec une grosse brosse métallique. Il a terminé les quatre conduits de cheminée de la maison. Je fais le chèque. Je raccompagne monsieur Simonetti jusqu'à la porte. Je donne l'adresse de mon fournisseur de bois de hêtre et de bois de chêne. << Ah oui, je le connais bien. J'interviens chez lui la semaine prochaine ! >> lance le ramoneur avant de repartir avec son matériel. Je retourne dans l'atelier. J'y allume une belle flambée dans la cheminée propre.

J'allume la cuisinière à bois dans la cuisine. Une belle flambée dans la cheminée du salon. Me voilà de retour devant mon chevalet. Je peins dans la plus totale des sérénités. Il est rapidement midi. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les restes de hier. Les coquillettes et la bouchée à la reine. Accompagnées d'une salade de concombre. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff reçoit deux journalistes d'investigations. C'est à dire de vrais journalistes.

L'un deux a suivi le président en Chine. Il décrit le climat dans sa nature réelle. Les ronds de jambes, les courbettes et les léchages de cul du fameux "couple présidentiel". En concluant pas cette phrase : << Aucune dignité. Aucun amour propre ! Même Taïwan est sacrifié ! >>. L'autre journaliste évoque la visite du président aux Pays-Bas où il a été accueilli par des quolibets et des tomates dès sa descente d'avion. Évènements soigneusement passés sous silence par les médias aux ordres des grands groupes financiers qui imposent les informations formatées.

Pour ce soir, ce sera une tarte aux courgettes et à l'aubergine. Je lave et je coupe deux belles courgettes, une belle aubergine. J'étale la pâte feuilletée dans le grand plat à tarte. J'y pose en spirale les tranches de légumes. Je verse le flan. Ce mélange d'œuf, de lait de soja, de fromage blanc et de moutarde. Je recouvre d'une grosse couche de gruyère alpestre. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillé. Onze cerneaux de noix déposés en cercle. J'enfourne dans le four électrique. Le repas de ce soir va y mijoter longuement à 160°.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller me dérouiller un peu les guiboles je redescends à toute vitesse. L'anorak car la température extérieure n'excède pas 12°. C'est sous le parapluie, chaussée de mes bottes en caoutchouc que je fais le tour de la propriété. J'entends une machine depuis la propriété de monsieur Bertrand. Notre voisin travaille probablement à l'entretien de son jardin. Il est 13 h50 quand je suis à nouveau confortablement installé devant le chevalet. Je peins dans le même sentiment de profonde et parfaite sérénité.

Dix sept heures trente. Je le sais car Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table avant de se précipiter vers moi. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Son après-midi en salle de documentation. Le début de la rédaction du huitième chapitre qui sera l'épilogue de la première version de sa thèse. Elle est enthousiaste et veut absolument m'en faire la lecture. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, Clémentine me lit son écrit.

La capacité féminine de pouvoir faire deux choses en même temps. En l'occurrence taper sur son clavier pour conclure et lire ce qu'elle a déjà produit. C'est toujours une heure magique. Source d'inspirations. Êtres tous les deux à travailler à nos activités. << Là, c'est terminé pour aujourd'hui ! >> s'écrie t-elle en commençant à ranger ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je suis debout devant le petit lavabo de l'atelier. La queue posée sur le rebord de faïence, à me laver les mains. Clémentine qui me fait la lecture vient me rejoindre.

Elle cesse pour me tenir la bite afin d'en diriger les jets. Je la félicite pour son texte. C'est en imitant l'accent Corse de Juliette qu'elle secoue les dernières gouttes. Elle s'accroupit pour se régaler des dernières saveurs. Je l'aide à se redresser. Je la soulève pour la promener dans toute la grande pièce. Elle me couvre le visage de bisous. << En cours je suis chaque jour impatiente de retrouver ce rituel quand je rentre ! >> me fait elle. Je l'assois sur la table. J'ai la bite à l'air. Posée contre le tissu de son entrejambes. Elle reste suspendue à mon cou.

Du bruit. Voilà Estelle qui entre comme une tornade. << C'est génial les week-ends prolongés parce qu'on se voit tous les jours ! >> s'écrie t-elle en saisissant mon sexe qui commence à durcir. << Je t'aime vieux cochon ! >> lance t-elle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Clémentine mordille le lobe de mon oreille. Elle se redresse. Estelle nous entraîne dans une farandole folle qui fait plusieurs fois le tour de la grande pièce. << C'est bientôt les vacances. Ensemble deux semaines ! Envers et contre tous ! >> chante t-elle sur un air de comptine.

Nous reprenons en cœur avant d'entamer une danse tribale. En poussant des cris et des rugissements d'animaux qui n'existent pas. Morts de faim nous quittons l'atelier pour la cuisine. Évidemment, la découverte de la surprise du repas me donne droit à un mitraillage de bisous. Estelle me tient la queue lorsque je sors la tarte du four électrique pour la mettre dans le four à bois. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade d'endives. Estelle met les assiettes, les couverts en disant : << J'adore les surprises des repas du soir ! >>. Elle m'embrasse.

Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Mes deux anges parlent de leurs derniers chapitres. Vendredi après-midi nous irons remettre les écrits à l'imprimeur. Il y aura une vingtaine d'exemplaires dont deux pour le dépôt légal. Nous pourrons les récupérer pour le 22 mai. Ainsi, pour la présentation de leurs thèses, elles auront le support d'un livre. De quoi impressionner favorablement n'importe quel jury. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, Estelle et Clémentine reviennent sur tous ces détails.

<< Tout est tellement simple avec toi ! >> me dit Clémentine. << C'est vrai ! Tout est tellement facile avec toi ! >> rajoute Estelle. La vaisselle. Pressés d'aller nous livrer à nos jeux, les filles m'entraînent au salon. La "baise sur bureau" est un peu devenue la tradition de la maison. Tout particulièrement les mardis soirs. J'adore voir mes deux coquines jeter leurs vêtements n'importe où après les avoir fait tourbillonner. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il reste une heure trente de folie. Estelle et Clémentine installée sur la surface du bureau.

En appui sur leurs coudes. Les cuisses écartées. Me fixant avec insistance. Je récupère deux épais coussins du canapé pour les rejoindre. Elles pourront y poser leurs têtes. Ce soir, pour faire saliver Estelle, je commence par Clémentine. Je frotte mon sexe contre le sien. Pour être plus libre de mes mouvements je descends mon pantalon et mon slip. Je me penche pour fouiller les plis et les replis de ses lèvres charnues du bout de ma langue. Délicieux. Ça a macéré toute une journée au fond d'une culotte. Les effluves parfumées m'enivrent.

Je passe à Estelle. Odeurs différentes. Goût légèrement plus amer. C'est elle que je pénètre la première. Elle donne immédiatement le rythme. Je la baise à la hussarde avant de passer à Clémentine. Sous les gémissements stéréophoniques j'alterne mes pénétrations. L'orgasme d'Estelle la fait hurler de plaisir. Celui de Clémentine est pisseux. Accroupie au-dessus de la cuvette, se tenant à ma cuisse, elle se laisse aller dans des cris insensés. Je la lèche toujours après. Estelle tente de garder ma queue en bouche. Malgré mes fréquents changement de positions

Nous reprenons nos esprits. Estelle, en reboutonnant son Levis, dit : << Demain soir je remets ça avec parrain ! >>. Nous rions de bon cœur quand Clémentine rajoute : << Tu bénéficies d'un excellent entraînement ! >>. Nous raccompagnons Estelle dans la nuit glaciale, sous le parapluie, jusqu'à sa voiture. Nous nous y installons quelques instants. C'est mieux d'êtres au sec pour les derniers bisous. Nous la regardons partir. Un dernier coucou avant de courir nous abriter du froid et de la pluie. Clémentine m'entraîne par la main à la salle de bain.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont se blottir contre leur coquin, sous la couette, avant de plonger dans un profond sommeil...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 20 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2218 -



Juliette nous réserve bien des surprises

Il est presque six heures hier matin, mercredi. Le cri des oiseaux de mer, les moteurs de ce chalutier. L'application "océan" nous tire du sommeil avec ses illusions habituelles. En gémissant, en s'étirant, Clémentine se serre contre moi en murmurant d'incompréhensibles propos. Elle se met à en rire. Quelques papouilles, quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain, nous revêtons nos habits de sport. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Dans la cuisine j'allume immédiatement la cuisinière à bois.

En faisant le café, en pelant les kiwis et en pressant les oranges, Clémentine me raconte ses rêves. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée "baise sur bureau" avec Estelle. << Je la vois ce matin, elle va encore me donner ses impressions ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la soirée qui nous attend chez Juliette. Il est 6 h25 quand nous remontons. L'heure d'entraînement quotidien qui va permettre d'émerger complètement. Un petit effort de volonté. C'est parti.

Les échauffements cardio-vasculaires de l'aérobic et du jogging sur tapis roulant avant les exercices au sol. Les abdos que nous aimons à pratiquer avant les charges additionnelles. Les étirements d'un stretching hélas trop rapide avant une bonne douche. Je dévale les escaliers pour aller faire chauffer la voiture. Il pleut. La température extérieure est de 5°. Décidément il faudrait un exorciste pour chasser décembre de ce mois d'avril glacial. Clémentine vient me rejoindre sous le parapluie. Son bonnet, ses gants et emmitouflée dans son anorak rouge.

Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou et je m'empresse de rentrer au sec, au chaud. La vaisselle, notre lit avant de passer dans l'atelier. J'y allume un bon feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ce septième paysage destiné à ma saison d'été trouvera son épilogue en fin de matinée. Je peins dans une sorte d'enthousiasme délirant qui me fait pousser les cris surréalistes habituels. Il est onze heures quand de je dépose la dernière goutte de bleu de cobalt sur le tableau.

Je le place sur le second chevalet, recouvert d'un linge. Afin qu'il sèche à l'abri de la poussière. Une cheminée à bois en génère toujours généreusement. Je pose le huitième paysage qui n'est encore que dessin préparatoire sur le chevalet. Je me remets à la peinture jusqu'à midi. Je pose deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe la dernière part de tarte à la courgette et à l'aubergine. Avec une salade d'endive, c'est un repas succulent. C'est tellement meilleur quand c'est réchauffé une seconde fois en 24 h.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans l'émission d'André Bercoff il est question des théories wokistes. De ces gamins à qui on apprend dès l'école primaire qu'ils peuvent choisir leur sexe. Qu'ils ne sont encore ni hommes ni femmes. C'est assez déconcertant et pour tout dire écœurant sous bien des aspects. La vaisselle. Je descends à la cave pour tirer du congélateur une petite tarte aux noix. Ce sera le dessert pour ce soir. Je monte me laver les dents avant de dévaler les escaliers. J'enfile l'anorak, je chausse les bottes en caoutchouc.

Je profite d'une des nombreuses accalmies pour descendre jusqu'à la rivière. Les eaux y sont à leur niveau maximal. Le vent souffle en tempête. Je regarde cette végétation verdoyante qui contraste avec ce climat hivernal. C'est assez surréaliste. Il est 13 h30 quand je suis confortablement installé. Je peins en écoutant les crépitements dans la cheminée, la tempête qui jette des paquets d'eau contre les deux grandes baies vitrées. L'une orientée Est, l'autre orientée Nord. Formule idéale pour bénéficier d'une lumière constante toute la journée.

Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Jetant son cartable dans le fauteuil à bascule elle vient me rejoindre en sautillant. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Son après-midi en salle de documentation. L'avancée du huitième et dernier chapitre de sa thèse. Comme elle a encore à parfaire ses écrits, elle ne s'attarde pas. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, elle chantonne. Cette petite heure d'émulation commune est un moment très intense.

Dix huit heures trente. << J'arrête ! Put-Hein je n'ai pas envie de sortir ce soir avec ce maudit temps ! >> s'écrie t-elle en se levant pour ranger ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine tourne autour de moi en me faisant la lecture. J'écoute sans vraiment comprendre, bercé par la musique des mots, le son de sa voix. J'applaudis. Je la félicite. Debout devant le petit lavabo de l'atelier, pendant que je me lave les mains, Clémentine tient ma bite pour en diriger les jets. Visant à la perfection le rectangle du trop plein, le trou du fond.

Accroupie, se régalant des derniers reliquats, Clémentine me fixe de son œil amusé. Guettant mes réactions. Mes expressions. Je l'aide à se redresser. << Tu seras le dernier des vicelards ce soir, chez Juliette ? >> me demande t-elle en m'entraînant par la queue. Elle me tire comme par une laisse. Ce qui m'oblige à une démarche ridicule qui nous fait éclater de rire. Quand elle enfonce sa langue dans ma bouche mon érection est quasi instantanée. Je passe ma main entre ses cuisses. Clémentine s'y frotte en murmurant : << Je t'aime. C'est si bon ! >>

Tenu par la queue, Clémentine m'emmène. Nous quittons l'atelier pour monter à l'étage. Elle reste vêtue comme elle est. Par contre je change de pantalon et de chemise sous un pull au col en "V". Des bottines noires. Clémentine s'accroupit, sa tête contre ma cuisse, ses bras autour de ma jambe. Je pose ma main sur sa tête. << Mon bon "Maître" daignera t-il venir avec sa "Soumise" pour ces vacances ? >> demande t-elle. Je réponds : << Quelle bonheur d'y être invité par sa "Soumise" ! >>. Clémentine se redresse pour m'embrasser passionnément.

Nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks. C'est avec la voiture de Clémentine que nous affrontons les trois kilomètres qui nous séparent du haras. Il pleut. C'est une véritable tempête. Il est dix neuf heures trente quand je gare l'auto dans la cour déserte. Inutile de déplier le parapluie car il serait irrémédiablement détruit. C'est en courant la dizaine de mètres que nous nous abritons sous le porche. Juliette qui devait guetter notre arrivée ouvre la porte. Trois bises. Nous la suivons dans l'escalier qui mène à ses appartements. Il y fait bien chaud.

Installé dans le canapé, Clémentine et moi écoutons les anecdotes de Juliette. Elle est assise bien droite dans le fauteuil qui nous fait face. Ce soir encore dans sa tenue d'écuyère. << On se fait cette "soirée maraîchère" vendredi ? >> demande t-elle. Clémentine répond : << Je préfère attendre le retour des vacances ! >>. Juliette a soudain une expression de dépit. Elle se ressaisit toutefois très vite pour rajouter : << Pas de souci. Je peux même organiser une soirée Gloryhole. Ça fait longtemps ! >>. Clémentine précise : << C'est une bonne idée ! >>

Juliette nous invite à prendre place à table. Comme toujours nous préférons l'accompagner en cuisine. C'est tellement plus convivial d'en ramener les plats ensemble. Pour le dessert, la tarte aux noix est déjà posée sur la table basse entre le canapé et les fauteuils. C'est une divine surprise que nous réserve Juliette avec cette tourte au pâté de crabe. << J'ai trouvé la recette sur "Marmiton" ! >> précise t-elle. Nous mangeons de bon appétit. Juliette en vient rapidement au sujet qui nous passionne. Le sexe. Elle a toujours d'amusantes histoires.

<< Samedi soir avec Bernadette et Pierre. Je ne m'en lasse pas car nous avons des soirées à thèmes ! >> raconte Juliette. Ces histoires provoquent toujours chez moi de sévères érections. Le bras gauche sous la table, je me tripote en écoutant. Mon mouvement régulier suscite l'intérêt de Juliette autant que de Clémentine. Parfois je me lève pour leur montrer ce que je "bricole". J'agite ma turgescence de la façon la plus vulgaire possible. Je me rassois. Le repas est délicieux. Nous faisons la vaisselle ensemble. Malgré le lave vaisselle. C'est plus sympa.

À nouveau vautrés dans le canapé, Clémentine joue avec ma queue pendant que Juliette coupe la petite tarte en trois parts égales. C'est très bon. Les jambes relevées, posées sur les accoudoirs du fauteuil, Juliette parle de ces vacances d'été. Comme tous les ans elle ira passer un mois chez sa sœur en Corse. << Même si je souffre des grosses chaleurs, c'est un vrai plaisir de se balader à cheval. Les environs de Sartène sont extraordinaires. Les odeurs, le paysage, les pieds dans les torrents ! >> raconte t-elle passionnée. En se touchant de l'index.

Ce doigt qu'elle passe sur la couture centrale de son pantalon d'équitation beige. Aussi moulant qu'un legging. Les deux petites bosses des lèvres charnues de sa vulve, séparées par la couture sont bien visibles. Clémentine me tient fermement par la queue pour m'empêcher de me lever. Parce que j'aime beaucoup les faire coulisser sous mes doigts. Cette tâche plus sombre qui ne cesse de grandir à l'endroit de son sexe me fascine. Juliette ne porte jamais de culotte en notre compagnie. Un acte délibéré qu'elle nous réserve en exclusivité. Dans l'intimité.

Je bande comme le dernier des salauds. Pas seulement à cause de la branlette que m'inflige Clémentine tout en bavardant. Mais également à cause des détails salaces qu'aime confier Juliette. Cette semaine elle a sucé deux fois Robert, son vétérinaire. Elle s'est fait baisée par Pierre samedi soir, sous le regard de sa femme, ligotée sur une chaise. Madame Walter étant une authentique "Soumise". Juliette nous raconte tout cela non seulement avec son adorable accent Corse mais avec des métaphores qui nous font rire aux éclats. Tout en se touchant.

Clémentine demande : << Aux "soirées maraîchères" vous prenez plaisir à sucer Julien ? >>. En riant Juliette répond : << Mais ces soirées ne sont que prétextes pour le faire ! >>. Nous la rejoignons dans des rigolades folles. << Venez y goûter un peu alors. Mais juste cinq minutes ! >> lance soudain Clémentine en cessant de me masturber pour tendre mon sexe vers Juliette. Elle se lève d'un bond pour venir s'accroupir entre mes jambes. J'écarte bien. Elle pose ses mains à plat sur mes cuisses. Clémentine agite ma queue son son nez. Silence.

Juliette hume longuement, les yeux fermés, comme si c'était une fleur ou encore un plat cuisiné. Il reste une demi heure. À chaque fois que Juliette veut gober ma turgescence, Clémentine l'esquive au dernier instant. Le jeu semble beaucoup plaire car Juliette pousse de petits cris lorsqu'elle referme sa bouche sur le vide. Je veux caresser son visage mais Clémentine saisit mon poignet pour me l'interdire. Juliette est la seule femme suscitant de la jalousie chez Clémentine. Pas une seule fois Juliette n'arrive à attraper ma queue. Déviée par Clémentine. Adroite.

<< Salope ! J'adore jouer à ça ! >> lui lance Juliette. << Moi aussi ! >> répond Clémentine. Il va falloir y aller. << On ne se revoit plus avant le mois de mai. Je vous souhaite de belles vacances. En espérant que le printemps vous accompagne ! >> dit Juliette en se redressant. Je découvre que la tâche est devenue une véritable auréole entre ses cuisses. Nos jeux l'excitent autant que nous. Juliette met son anorak. Elle nous raccompagne jusqu'à la porte. La nuit est glaciale. Le vent fait crisser les branches des arbres. Trois dernières bises.

Dans la voiture, Clémentine me suce. Je roule prudemment. Il est 22 h15 quand nous sommes de retour. En nous lavant les dents, Clémentine mime une pipe. Après avoir essuyé nos bouches, elle me dit : << Tu as vu comme elle était contente de "jouer". Cette vieille salope raffole de ta bite ! >>. Nous en rigolons comme des bossus quand je réponds : << Une bite que tu va te prendre dans la bouche et la chatte sous la couette ! >>. Clémentine m'entraîne par la queue en s'écriant : << Viens vite ! >>. Nous voilà sous les draps encore froid.

Bonne "nouille" à toutes les coquines qui vont se faire lécher un peu, pénétrer un peu avant de se ramasser de bonnes giclées de foutre...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 21 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2219 -



Soirée contrôle

Hier matin, jeudi, il est presque six heures. L'application "océan" nous arrache du sommeil. Ce sont surtout les cris des mouettes qui sont à la limite du supportable. Clémentine en gémissant se blottit contre moi. Elle se frotte un instant contre ma hanche en murmurant des choses incompréhensibles. Quelques papouilles, quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes. Un peu comme des robots parfaitement programmés, nous revêtons nos tenues de sport dans la salle de bain. Quelques mouvements hésitants. Quelques ratages de visées. Rires.

Morts de faim, en riant, nous dévalons les escaliers encore complètement vaseux. J'allume immédiatement la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Elle adore me raconter ses rêves. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée en compagnie de Juliette. Le jeu qu'à instigué Clémentine. Juliette accroupie puis à genoux entre mes jambes qui tentait de gober mon sexe. Clémentine qui au dernier instant le retirait. J'ai trouvé ça absolument magique. Clémentine me promet d'en faite une nouveau rituel.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant les différentes options du repas de ce soir. Une fois encore je propose d'un faire la surprise. Il est 6 h25 quand nous remontons. L'importance de nos entraînements quotidiens prend encore tout son sens aujourd'hui. L'aérobic et le jogging sur tapis roulants sont les échauffements parfaits. Les exercices au sol et les abdos sont le plus excellent prologue aux charges additionnelles. Les étirements d'un stretching trop hâtif. Nous nous promettons de faire ces mouvements avec plus de concentration durant les vacances.

La douche. Je redescends le premier pour faire chauffer l'auto. La température extérieure est de 6°. Tout est trempé mais il ne pleut pas. Le vent est glacial. 7 h45. Clémentine vient me rejoindre dans son anorak, sous son bonnet. Un dernier bisou. Je regarde la voiture monter le chemin jusqu'au portail. Un dernier coucou. Je cavale pour retourner au chaud. La vaisselle et notre lit avant de passer dans l'atelier. J'y allume un bon feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant du Brassens.

La peinture de ce huitième paysage destiné à ma saison d'été qui approche m'accapare rapidement et complètement. Je peins dans une sorte d'extase pas du tout mystique qui me fait pousser des cris de dément. Surtout à chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent. Les heures passent. Il est presque midi. Je mets deux bûches dans la cheminée avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je fais bouillir l'eau des spaghettis. Dans la poêle je fais rissoler des ronds de calmars afin de les réduire. Je fais l'assaisonnement des carottes.

Je concocte une Béchamel onctueuse. J'y rajoute du gruyère Suisse râpé. Avec les ronds de calmars je rajoute ail, oignon et champignons finement émincés. J'égoutte les spaghettis. Je fais gonfler du riz complet. Je remplis les cinq bouchées à la reine avec la Béchamel. Je recouvre chacune de leur couvercle de pâte feuilletée. Je les cale dans le plat avec le riz. Je recouvre d'une couche de gruyère alpestre. Quelques fines tranches de morbier. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillé. Au four électrique pour une cuisson à 160°.

Je savoure ma salade de carottes en entrée, puis les spaghettis. J'ai gardé un peu de Béchamel comme sauce. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff donne un aperçu des évènements de la semaine. Hélène Schiappa dans le magazine Play-boys restera une intarissable source de dérisions. Tout ce que ce gouvernement est capable pour détourner l'attention, pour enfumer ses réformes scélérates, est sidérant. Sans parler du ministre du travail, Olivier Dussopt, qui confie son homosexualité. On s'en fout. Le degré zéro de la communication.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Je dévale les escaliers pour mettre l'anorak. Chausser les bottes en caoutchouc. Il fait froid. Le vent ne cesse de souffler. Décidément cette première quinzaine d'avril est à l'image de l'actualité. Morose, désespérante, décevante. Je vais jusqu'à la rivière. Quelques gouttes de pluie. Il est 13 h45 quand je suis de retour devant mon chevalet. Je peins dans la même extase que ce matin. Doublé de la sérénité de savoir que le repas du soir, déjà prêt, sera une agréable surprise. L'après-midi passe encore très vite.

Dix sept heures quarante cinq. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table avant de se précipiter. À cheval sur mes cuisses, se frottant lascivement, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Son après-midi en salle de documentation à finaliser le huitième chapitre de sa thèse. << On conclue demain matin avec les profs. Je ne suis pas mécontente que tout cela soit terminé ! >> précise Clémentine. Elle a encore quelques points précis et quelques notes à rédiger ce soir.

Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, c'est en lisant à voix haute qu'elle tape sur son clavier. J'aime travailler ainsi en l'écoutant. Il y a quelque chose de rassurant, parfois d'émotionnel mais toujours de profondément agréable. << Put-Hein, point final et basta ! >> s'écrie soudain Clémentine en se levant. Elle range ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux, en écoutant la lecture des derniers paragraphes qui conclue ce travail acharné de huit semaines. Je la félicite. Du bel ouvrage. Elle me rejoint devant le petit lavabo de l'atelier.

Clémentine aime tenir ma bite pour en diriger les jets. Autant que moi qui me lave les mains. << Tu sais que je suis intellectuellement épuisée par ces écrits ! Les vacances ne seront pas un luxe ! >> me confie t-elle en s'accroupissant pour recueillir les dernières gouttes. Je la regarde se régaler en caressant ses joues creusées par la succion du bout de mes doigts. Elle me fixe de son regard plein de reconnaissance. Je l'aide à se redresser. Elle ne lâche pas ma bite en m'entraînant devant la cheminée. Nous admirons les dernières flammes.

<< Je me réjouis pour ces vacances. Je crois que je ne les ai jamais autant attendu ! >> dit elle en se serrant contre moi. Mon bras autour de sa taille j'écoute. Il est 18 h50 quand Estelle surgit dans l'atelier. Elle se précipite. Sans me laisser le temps de dire : << Bonsoir ! >> elle enfonce sa langue dans ma bouche. Rien de plus imparable. Mon érection, dans la main de Clémentine, est immédiate. Elle cesse pour lancer : << J'en ai des choses à te raconter ce soir ! Je les ai déjà raconté à Clémentine à midi ! >>. Je propose de rejoindre la cuisine.

Quand mes deux anges découvrent ma surprise, j'ai droit à un mitraillage de bisous. Estelle me choppe la queue en disant : << Je t'aime toi ! >>. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade d'endives. Les bouchées à la reine réchauffent dans le four à bois hyper chaud. Estelle met les assiettes, les couverts. Derrière elle, mes bras sous ses aisselles, je caresse ses seins minuscules. << Mais c'est tellement bon ça ! >> s'écrie t-elle. Je vais derrière Clémentine pour faire pareil. << C'est meilleur que bon ! >> lance Clémentine. Une bosse sous mon tablier.

Nous mangeons de bon appétit en écoutant l'histoire d'Estelle. Il y avait une réunion de travail dans l'entreprise familiale hier soir. Impossible de baiser dans les locaux. Estelle est donc montée dans sa chambre avec son parrain. << Le salaud m'a fait jouir deux fois. Ses coups de bite ne perdent pas en vigueur avec les années qui passent ! >> précise t-elle. Nous rions aux éclats. Estelle continue : << Je suis certaine que ma mère écoutait à la porte, qu'elle observait par le trou de la serrure. C'est moi qui ai failli l'attraper ! Elle s'est barrée ! >>.

Pliés de rire nous écoutons la narration d'Estelle qui aime en rajouter dans l'emphase. Elle n'a pas sa pareille pour mette de la dérision dans ses histoires. Pour ponctuer les phrases relatant les moments forts, elle se lève pour mimer des masturbations masculines. Je me lève. Je soulève mon tabler pour agiter ma queue. Une queue parfois bien raide car ses aveux m'excitent considérablement. Je dis : << Ce soir je contrôle l'état de ton minou ! >>. Clémentine rajoute : << Avec ce que tu prétends, il y a peut-être quelques "réparations" à effectuer ! >>

Pliés de rire nous faisons la vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Elles me font tomber dans le canapé. Elles montent sur le bureau. Pauvre bureau victorien et centenaire. En se dandinant lascivement elles retirent bottines, Levis et culottes en les jetant au sol. Elles rient aux éclats en m'offrant un strip-tease loufoque. Je tiens ma queue. Comme je suis effondré de rire, je bande plutôt mou. Estelle redescend la première pour se précipiter vers moi. Elle se met à genoux entre mes jambes écartées. Ses mains à plat sur mes cuisses. Des bisous.

Clémentine vient nous rejoindre. Elle se touche en disant : << Ce soir, je regarde ! >>. Estelle répond : << Tu vas avoir de quoi te rincer l'œil ! >>. Elle prend mon sexe en bouche pour se mettre à sucer comme si sa vie en dépendait. Je caresse ses tempes avec de petits mouvements circulaires. Elle ouvre parfois les yeux pour me sourire sans cesser de pomper. Je bande comme le dernier des salauds. En sueur. Clémentine, assise sur un des épais coussins, à même le tapis, regarde cette pipe de près. En se masturbant. En haletant déjà parfois.

C'est quand Estelle cesse de sucer pour déglutir, qu'il y a ces filaments visqueux qui relient ses lèvres à ma queue, que Clémentine gémit en redoublant d'activités. Je dis : << Estelle, je dois procéder au contrôle ! >>. Elle cesse de pomper pour répondre : << Laisse-moi encore un peu me régaler. Tu es délicieusement juteux ce soir ! >>. Je me penche vers Clémentine qui se redresse pour enfoncer sa langue dans ma bouche. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il ne reste déjà plus qu'une heure. Ça passe si vite.

Je la force à cesser. Dans un cri de dépit, elle se laisse tirer par les cheveux lorsque je me lève. Je la fais s'installer à ma place dans le canapé. C'est moi qui suis à genoux entre ses jambes que je saisis par les chevilles. Dans un autre cri de surprise Estelle m'offre sa chatte gluante et odorante. Quand ma langue fouille ses intimités, elle titille son clitoris. Quand je suce son clitoris ses cuisses frissonnent contre mes joues. Clémentine se couche sur le côté. Sa tête entre le canapé et moi. Ma bite dans la bouche elle se masturbe en gémissant. En suçant.

L'orgasme d'Estelle est une fois encore "nucléaire". J'adore quand elle me repousse pour se terminer aux doigts, se couchant sur le côté, enserrant ses mains avec ses cuisses. J'éjacule dans la bouche de Clémentine qui ne s'y attendait pas du tout. Je gicle en sournois. Sans prévenir. Elle en tousse, manque de s'étouffer dans cette position inconfortable. Couchée sur le côté, en appui sur son coude. Je l'aide à se redresser. Je masse son épaule endolorie. Comme à chaque fois que j'éjacule au fond de sa gorge il y a du foutre qui coule de ses narines.

Il faut reprendre nos esprits. Les filles m'offrent encore un instant leurs chattes. Je passe de l'une à l'autre en suçant comme un affamé. C'est qu'il y a là de quoi sustenter un honnête homme. Clémentine a réussi à garder le contrôle. Je lui offrirai un orgasme sous la couette. Les filles se rhabillent. << Un avant goût de ce qui nous attend dans le Jura ! >> lance Clémentine. Nous raccompagnons Estelle dans la nuit glaciale. Assis quelques instants avec elle dans sa voiture, nous faisons des plans pour le week-end. Nous avons notre avion dimanche.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont se faire lécher, se faire pénétrer, se faire sucer sous la couette. Un orgasme avant un bon dodo...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 22 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2220 -



Les vacances commencent vendredi à midi

Il est presque six heures hier matin, vendredi. À peine l'application "océan" impose t-elle ses premières illusions que Clémentine se couche sur moi. C'est ainsi qu'elle nous réveille. Je sais bien que les vendredis matins donnent souvent lieu à quelques facéties car c'est le début du week-end qui comme à midi. Mais aujourd'hui, ce sont les vacances qui commencent. Juste encore cette matinée de cours. Quelques bisous, quelques papouilles où Clémentine frotte son sexe sur mon érection en passant son nez contre le mien avant de m'entraîner aux toilettes.

Dans la salle de bain, en imitant l'accent Corse de Juliette, pendant que nous revêtons nos habits de gym, Clémentine me dit : << À midi j'envoie tout balader et je suis en vacances ! >>. Moi, la tête encore dans le cul, je suis admiratif devant tant de vitalité. Clémentine m'entraîne dans les escaliers que nous dévalons. Elle fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis pendant que j'allume la cuisinière à bois. Elle me raconte ses rêves. Une vague histoire de regards échangés avec des inconnus qui deviennent soudain de nos amis. C'est souvent surréaliste.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée en compagnie d'Estelle. Nos amours sous la couette, une fois couchés. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la journée. Cet après-midi nous avons rendez-vous à 14 h30 chez mon comptable, monsieur Philippe. Qui est aussi un vieil ami depuis plus de vingt ans. Il s'occupe de mon patrimoine, de mes placements avec une redoutable efficacité. Ensuite nous irons chez l'imprimeur avec qui nous avons rendez-vous à 15 h30. Clémentine termine sa tartine sur mes genoux.

<< Tout est toujours tellement simple avec toi ! >> dit elle en déposant ses lèvres collantes de miel sur les miennes. Six heures vingt cinq. Nous remontons nous offrir notre heure de gymnastique. Les échauffements de l'aérobic. Le jogging sur les tapis roulants est une sorte de prétexte à toutes sortes de facéties. Clémentine, tout en courant, tourne sur elle-même, avance à reculons sans perdre le rythme, me fait des grimaces en louchant. Je suis plié de rire. Les exercices au sol et les abdos avant les charges additionnelles. On termine en stretching.

La douche. Je dévale les escaliers le premier pour aller sortir l'auto du garage. La température extérieure est de 6°. Tout est mouillé des pluies de cette nuit. Presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre en sautillant. << Vivement midi ! >> s'écrie t-elle en se pendant à mon cou pour un dernier baiser. << Je t'aime ! C'est le dernier matin où tu vas me manquer ! >> lance t-elle en s'asseyant au volant. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud pour faire notre vaisselle, notre lit. Je redescends dans l'atelier.

J'y allume une flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ce huitième paysage destiné à ma saison d'été m'abstrait rapidement des réalités. Je peins dans cette euphorie laissée par Clémentine. Les heures défilent sans que je ne puisse en percevoir la durée. Il est presque midi. Je le sais parce que j'ai faim. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je mets deux bûches sur les braises. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les deux dernière bouchées à la reine et le riz.

Pendant cette cuisson je fais l'assaisonnement d'une salade d'endives. Je mets les assiettes, les couverts. Il est midi trente cinq quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou en s'écriant : << Vacances ! >>. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. En me couvrant le visage de bisous. Je l'emmène ainsi aux toilettes. << Tu te rends compte, je vais être deux semaines entières avec l'homme que j'aime ! >> lance t-elle en revenant se positionner pour que je la soulève. C'est en la portant comme une jeune mariée que je l'emmène à la cuisine.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Les derniers détails d'écriture réalisés avec son maître de thèse. Alban est un jeune professeur de trente deux ans. C'est lui qui pilote le groupe de dix huit étudiants dont Estelle et Clémentine font parties. Il est très performant et malgré son jeune âge maîtrise parfaitement toutes les situations, tous les impondérables. << Avec lui ça bosse dur mais il fait un sacré bon boulot ! >> précise Clémentine en venant s'assoir sur mes genoux. << En plus, il est beau gosse et te ressemble ! >> dit elle.

Nous en rions de bon cœur. Nous traînons un peu à table en faisant l'itinéraire de nos déplacements de cet après-midi. Clémentine doit encore réunir les soixante dix sept pages de sa thèse. Nous faisons la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant nos clowneries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Nous nous changeons. La température extérieure n'est que de 18°. Clémentine préfère mettre une de ses jupes kilts. Celle à carreaux rouges et verts. Des bas retenus par un porte-jarretelle. Un chemisier crème sous un pull bleu au col en "V".

Sur sa demande je porte un pantalon beige à pinces et à plis. Une chemise blanche sous un pull beige au col en "V". Mes bottines marron clair. Une écharpe de fin coton brun assortie aux chaussures. Clémentine chausse ses bottes noires à talons. Nous prenons des poses devant le grand miroir ovale de la salle de bain. << Regarde comme on est beaux tous les deux ! Cet après-midi, à la moindre occasion, je fais ma vicieuse ! >> lance t-elle en s'accroupissant sur ma gauche. Sa tête contre ma hanche, ses bras autour de ma jambe, cuisses bien écartées.

Je pose ma main sur sa tête en disant : << Je vous aime mademoiselle. Vous faites de mon existence un bonheur de chaque instant ! >>. Elle répond : << Et moi j'enlève ma culotte avant de sortir de la voiture, en ville ! >>. Elle reste accroupie pour se faufiler entre le miroir et moi. Frottant son visage sur la bosse qui se forme dans ma braguette. Je l'aide à se redresser. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Pour un baiser passionné. Ce qui provoque une érection instantanée. Une bosse dure sur laquelle Clémentine se frotte lascivement. Je bande fort.

Nous dévalons les escaliers pour aller dans l'atelier. J'aime le bruit que font les talons des bottes de Clémentine sur les tommettes en terre cuite. Elle réuni les feuilles qu'elle insert dans une chemise en les comptant. << Heureusement je les ai numéroté ! >> dit elle tout en les classant. Je reste derrière elle, mes mains sur ses hanches, la tête par dessus son épaule pour regarder. J'admire ce travail et cette rigueur déployés depuis six ans. La somme de tout ce labeur se retrouve réuni là dans cette chemise de fin carton gris. Elle ferme avec l'élastique.

<< C'est parti ! >> lance t-elle en se retournant pour s'accrocher à mon cou. Nous quittons l'atelier pour le hall d'entrée. Du cartable posé sur le bahut qui fait aussi office de banc, elle tire les quatre dernières feuilles qui vont rejoindre les autres dans la chemise grise. Nous enfilons nos blousons de cuir brun. Quelques poses devant le grand miroir de la penderie. << J'ai envie de faire ma salope tu n'imagines pas ! >> me fait elle en déposant une bise sur mes lèvres. Il y a quelques séquences ensoleillées. C'est avec la Mercedes que nous partons.

Il y a une vingtaine de kilomètres jusqu'aux bâtiments qui abritent la pharmacie, le pôle médicale, notre médecin et en face le cabinet d'expertise de mon ami expert comptable. Je roule doucement. Nous avons de la marge. J'ai toujours détesté l'idée d'être pressé au volant. Pour moi, ça ne se fait tout simplement pas. Clémentine, sa main dans ma braguette ouverte, joue avec ma queue. Tout en me racontant quelques anecdotes d'étudiantes. Je gare l'auto sur le parking entre les trois bâtiments modernes et en "U". Clémentine me saisit la main.

<< Je t'aime. J'adore avoir des frissons à l'idée de tout ce que la vie nous réserve ! >> fait elle avant d'ouvrir la portière. Nous sonnons devant la porte. Au premier étage l'étude de mon notaire, Maître Robert. Au second étage le cabinet de monsieur Philippe mon comptable. Nous sommes reçus par la secrétaire qui nous invite à patienter en salle d'attente. Il y a une de mes toiles accrochée au mur. Nous sommes seuls. Clémentine s'assoit en face de moi. Quatre ou cinq mètres nous séparent. Sur ses genoux, la précieuse chemise posée et bien tenue.

Ses cuisses largement écartées, clémentine m'observe. Nous adorons jouer aux inconnus. Ça me trouble autant que ça me fascine. C'est un moment intense et magique. J'imagine être dans la peau d'un inconnu confronté à cette situation. Car une des passions de Clémentine est de créer ces situations avec de parfaits inconnus. Combien de fois n'ai-je pas assisté, caché, à ces merveilleux instants d'un exhibitionnisme de très haut niveau. Nous nous fixons ainsi depuis quelques minutes lorsque la secrétaire ouvre la porte. La dame nous invite à la suivre.

<< Monsieur Philippe va vous recevoir ! >> dit elle en nous précédant dans le couloir lumineux. Elle ouvre la porte du fond. Mon comptable est tout content de nous revoir. Nous voilà assis devant son bureau. Monsieur Philippe gère la plupart de mes projets. Que ces derniers soient fonciers ou financiers. Là, il a organisé toute la procédure de l'édition d'un livre. La première version de la thèse de Clémentine. À cet effet il a créé une société d'éditions éphémère. Il nous explique rapidement les modalités, les obligations et les fonctionnements. Très simples.

Tout en parlant monsieur Philippe ne peut quitter Clémentine des yeux. Il faut dire que cette sublime jeune fille de vingt six ans exerce une sorte de fascination sur la plupart des messieurs. Cela m'amuse. Nous prenons connaissances de tous les rouages de cette création qui prendra fin l'an prochain à la publication d'un second ouvrage. La thèse définitive de Clémentine pour l'obtention de son doctorat de sciences. En recherches appliquées. Il est 15 h quand nous prenons congé. Dans la voiture, Clémentine sort ma queue, me donne ses impressions

<< Tu as vu comme il me mâtait ! J'avais l'impression d'être un morceau de gâteau dans lequel il avait envie de mordre ! >> me confie Clémentine. Elle retire sa culotte en rajoutant : << Il m'a excité le bougre ! >>. Je roule avec ma main droite entre les cuisses de Clémentine. L'imprimerie se trouve dans la zone d'activités commerciales. Nous sommes attendu par le patron lui-même. Monsieur Philippe fait bien les choses. Dans son bureau l'artisan observe attentivement les feuilles dans leur chemise. << Ce sera rapide ! >> lance t-il.

Clémentine choisit l'option du livre broché. Ça fait bien plus sérieux. L'ouvrage sera disponible pour le 15 mai. C'est parfait. Notre homme lui aussi dévore quelquefois Clémentine des yeux. J'aime quand elle devient ainsi "précieuse" et désirable. Je fais un premier chèque pour confirmer l'opération. Un second chèque sera remis à la livraison. Dans la voiture, toute contente, Clémentine me donne ses impressions. Pressée d'aller s'encanailler un peu en ville, Clémentine me sort à nouveau le Zob. Il n'y a que quelques kilomètres ou elle suce quelquefois.

Je gare l'auto dans la petite ruelle habituelle. Je propose un bon restaurant pour la soirée. Un dîner en amoureux pour fêter ce nouvel évènement dans notre vie. La publication d'un livre. Une nouvelle aventure. Nous montons à la FNAC. Il y a du monde le vendredi après-midi. Nous attirons encore bien des regards avec nos hautes tailles, notre élégance et cette sublime jeune fille accrochée au bras d'un homme qui pourrait être son père. Après la FNAC, ce sont les Galeries. Ce grand magasin sur trois étages. Un chocolat dans un salon de thé.

Bonne soirée à toutes les coquines qui vont beaucoup s'amuser. Susciter les curiosités. Exciter les libidos de messieurs charmés. Qui vont êtres extrêmement féminines et terriblement sexy...

Julien



Classe

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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Classe - 23 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2221 -



Un samedi avec réinitialisation du logiciel sexe

Hier matin il est huit heures quand Clémentine se blottit contre moi en gémissant. Elle a quelques propos totalement incompréhensibles qui nous font rire. << Je t'aime ! >> finit elle par pouvoir articuler de façon intelligible. Elle se couche sur moi en mimant l'acte d'amour. Nous ne sommes pas du matin et l'impérieux besoin naturel met rapidement un terme à nos effusions sensuelles. Quelques bisous, quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Les radiateurs fonctionnent depuis deux heures. Il fait bien chaud partout dans la maison.

C'est à la salle de bain que nous passons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Comme c'est agréable de trouver une cuisine bien chaude. Pendant que Clémentine commence à faire le café, je vais ouvrir le portail depuis l'interphone du hall d'entrée. Je la rejoins. J'allume un bon feu dans la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée. La découverte d'un restaurant gastronomique. La découverte des tartes flambées qui y étaient proposées. Un vrai délice.

Nous mangeons de bon appétit lorsque le bruit depuis le hall, puis des talons sur le carrelage, nous rendent muets. Julie entre dans la grande pièce. <<Bonjour ! >> fait elle en se précipitant d'abord vers Clémentine. Trois bises. Elle contourne la table pour m'en offrir trois dont une, furtive, sur les lèvres. << Mmhh, j'aime le goût du miel ! >> s'écrie t-elle. Julie nous raconte sa semaine. Sa soirée de serveuse hier soir. Nous terminons de savourer la dernière tranche de pain grillé recouverte de beurre et de confiture d'églantine. Julie se met à débarrasser.

<< J'ai emmené ma valise pour demain. Elle est dans le hall, venez-voir ! >> dit elle en nous invitant à la suivre. C'est une grosse valise à roulettes. Je la soupèse. Clémentine également en lançant : << C'est du lourd ! >>. Julie précise : << C'est pour dix jours et j'ai vraiment pris le minimum ! >>. Comme tous les samedis matins Julie est venue faire le ménage. Chacun une bise sur son front. Julie s'accroche un instant à nos cous. Trop heureuse d'être à nouveau de retour ici. Nous la laissons à son labeur pour monter dans notre salle d'entraînement.

La température extérieure n'excède pas 6°. Nous n'avons ni le courage, ni la volonté d'aller courir dans le froid. Les échauffements de l'aérobic et du jogging sur tapis roulants sont le parfait prélude aux exercices au sol. Surtout aux abdos que nous aimons effectuer en respirant profondément. Le samedi nous pouvons faire tous les mouvements correctement, en prenant le temps nécessaire. C'est sur les machines que nous pratiquons les charges additionnelles. Les étirements bénéfiques d'un retour au calme long et gratifiant d'un stretching.

Une bonne douche nous attend. Clémentine est confortablement installée devant un des miroirs. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite, je la coiffe longuement. Clémentine adore ce moment de plénitude. Elle me raconte quelques anecdotes de sa semaine d'étudiante. Cet après-midi il faudra retourner au cabinet de mon comptable afin d'y déposer les écrits d'Estelle dans la boîte aux lettres. Estelle ayant voulu fignoler quelques derniers détails. Soixante dix huit feuilles contenant la première version de sa thèse. Parfait.

Je divise les cheveux bien secs de Clémentine en trois parties égales. Je tresse une belle natte qui descend presque sur ses reins. << Il faut qu'Estelle m'en coupe une bonne quinzaine de centimètres pendant ces vacances ! >> lance t-elle. Elle saisit mes poignets lorsque je passe un miroir derrière sa tête pour lui montrer le résultat. << C'est parfait Julien. Tu es un maître coiffeur ! >> s'écrie t-elle. Je me penche pour faire des bises dans son cou, sur sa nuque. << Mmhh, tu me donnes des frissons ! >> fait elle. Nous nous habillons. Levis, sweats, baskets.

Nous entendons l'aspirateur quelque part à l'étage. Probablement dans notre chambre à coucher car le tas de draps à laver, devant la porte, trahit la présence de Julie. Nous dévalons les escaliers pour aller dans le salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Il y a quatre courriels. Celui de ma famille à Édimbourg. Tout va bien. Ils nous attendent pour la fin juin. Quelle surprise, il y a un courriel de Brooke. Cette jeune femme, vendeuse dans une boutique de mode, que nous avons rencontré à Édimbourg durant les vacances de Noël.

Brooke nous annonce qu'elle a ouvert sa propre boutique de vêtements féminins. Elle nous invite à passer la voir dès notre retour en Écosse. << Tu te souviens comme elle est entrée dans notre jeu. Comme elle prenait plaisir à jouer. Quand elle entrait dans la cabine d'essayage. Qu'elle nous a surpris en pleine fellation ? >> me rappelle Clémentine. Je m'en souviens parfaitement. Surtout son regard étrangement fixe sur ma queue trempée. Nous en rions de bon cœur. Le message de Juliette qui nous souhaite d'excellentes vacances. Elle joint une photo d'elle.

Le mail d'Estelle qui nous donne les dernières informations. Elle viendra avec sa valise en début d'après-midi. Ce sont ses parents qui nous emmèneront à l'aéroport demain. Nous avons notre avion à 12 h45. Clémentine répond aux messages. Elle me tourne le dos. Je caresse ses seins minuscules en titillant délicatement les extrémités. J'adore sentir durcir ses tétons. J'adore l'entendre gémir de plaisir. << Mmhh, c'est bon ce que vous me faites monsieur ! >> dit elle avant de commencer à me lire ses réponses. La photo de Juliette souriante, tenant un cheval.

Dans une petite enveloppe jaune je glisse un billet de 50 € et un billet de 20 €. Clémentine y rajoute un petit mot que je signe du personnage de Bitonio. Un bonhomme constitué d'une paire de couilles et dont la tête est le gland. Il n'est encore que dix heures trente. Julie vient nous rejoindre avec l'aspirateur. Elle s'apprête à faire le salon. Nous quittons la grande pièce en déposant une bise sur son front. Nous remontons pour préparer nos valises. << Je te promets, je n'emmène que le strict minimum pour dix jours ! >> lance Clémentine.

Debout sur le tabouret, j'enlève la bâche qui recouvre les valises sur le haut de l'armoire. Clémentine la secoue sur le petit balcon de la porte fenêtre. Je pose les valises sur le lit. Debout devant l'armoire ouverte, Clémentine me tend les vêtements qu'elle veut emmener. Je les plie consciencieusement pour les poser dans sa valise. Vivre avec une femme implique un premier principe. Un principe fondamental. Trois quart de l'armoire, aussi grande soit-elle, sont consacrés à madame. Monsieur se contentera du dernier quart. Que cela lui plaise ou non !

Pareil pour le bas des placards où madame collectionne ses paires de chaussures. Idem pour les quatre tiroirs de la commode, dont trois sont propriétés exclusives de madame. J'ai droit au tiroir du bas. << Et ça ? Je l'emmène où pas ? >> demande Clémentine en dépliant des pulls, des sweats, des jeans, des jupes. Elle ne me demande pas vraiment. Elle s'adresse à elle même. Je me contente de dire à chaque fois : << Nous ne partons que dix jours ! >>. Clémentine répond invariablement : << Tu as raison ! >> Je la sens hésiter, se restreindre.

Ça m'amuse énormément. Dans sa valise deux Levis. Deux chemises à carreaux. Deux sweats. Une jupe kilt. Un chemisier. Des culottes, des chaussettes. Les vêtements de sport. << Et tu sais quoi ! J'aurai mes "petits machins" en pleine vacances. Comme d'habitude ! >> lance t-elle. Je la félicite car elle a fait les bons choix. Il reste de la place pour les baskets de ville, les baskets de sport, les mocassins. J'arrive à fermer sa valise sans être obligé de me mettre à genoux dessus. << Je fais des progrès, hein ! >> s'écrie t-elle. Nous passons à la mienne.

Pareil. Deux Levis, deux sweats, mes fringues de sport. Les godasses. Beaucoup plus raisonnable, dans ma valise il reste de la place pour notre trousse de toilettes, les gants de toilettes et les serviettes. Rangement pragmatique. Il est presque onze heures trente. Nous redescendons avec nos valises. Même en étant raisonnables, elles sont quand même assez lourdes. Julie est entrain de ranger l'aspirateur, les balais, le seau dans un des placards muraux des toilettes du bas. Une ancienne chambre réaménagée. Ce n'est pas la place qui manque.

Nous déposons les valises dans le hall d'entrée, à côté de celle de Julie. Elle vient nous rejoindre au salon. Je lui tends la petite enveloppe jaune. << Merci Julien. Merci pour tout ! >> dit elle. Clémentine agite les billets d'avion en faisant : << Demain, rendez-vous ici pour 13 h30 tapante ! >>. Julie a un sourire merveilleux. Elle n'ose pas soutenir mon regard. Je vois bien qu'elle fait des efforts pour y parvenir malgré tout. << J'aimerais participer aux frais ! >> lance t-elle. D'une voix ferme je réponds : << Nous en avons déjà discuté. Non ! >>

Elle vient se serrer contre moi. Je rajoute : << Julie, vous êtes notre invitée. Laissez-nous le plaisir de vous traiter comme telle ! >>. Elle me dépose un furtif bisou sur chaque joue. Un troisième sur la bouche. Clémentine rajoute : << Tu es notre invitée et on te promet de très grands moments ! >>. C'est dans les bras de Clémentine que Julie se précipite en disant : << Je tiens absolument à m'occuper des petits déjeuners et au moins des repas de midi ! >>. Clémentine répond : << Accordé ! Seulement parce que c'est toi ! >>. Nous rions aux éclats.

Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Cette fois son départ n'est pas pénible. Un dernier bisou. Nous la regardons partir. En haut du chemin, au portail, Julie s'arrête pour souffler des bisous dans sa main. Nous nous dépêchons de rentrer. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade. Les dernières tomates. J'épluche et lave les dernières pommes de terre que je coupe en grossiers morceaux. Cuisson dans l'auto cuiseur sur la cuisinière à bois. Je poêle deux dos de cabillaud blanc. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme.

Nous traînons à table en réfléchissant une dernière fois. Il ne faut rien oublier. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie ses souhaits. << J'aimerais que tu sois très vicieux ces vacances. Autant avec moi et Estelle qu'avec Julie ! >> me dit elle. Je promets de faire de mon mieux. Je précise : << Il reste un peu de place pour les colliers canins et les laisses ! >>. Clémentine mitraille mon visage de bisous en disant : << Oh oui ! La "Soumise" veut emmener son "Maître" ! >>. Nous rigolons comme des bossus.

La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Prétexte à nos clowneries habituelles devant le miroir de la salle de bain. << Coucou les gens ! >>. C'est Estelle. Comme tous les samedis, parfaitement silencieuse, elle aime à nous surprendre. Serrés tous les trois, savourant le plaisir d'êtres à nouveau ensemble nous nous couvrons de bises. << J'ai ma valise à côté des vôtres dans le hall ! >> précise t-elle. Nous dévalons les escaliers. En arrivant silencieusement, Estelle a déposé la chemise grise contenant les feuilles de sa thèse sur le guéridon.

<< J'ai mis la dernière main hier après-midi. Je crois bien que c'est OK ! >> lance t-elle. Nous sommes tous les trois vêtus à l'identique. Levis, sweats, bottines. Nous mettons nos écharpes autour du cou, nos blousons de cuir noir. Estelle serre ses précieux documents contre elle en disant : << Soupesez ma valise ! >>. Je soupèse. Aussi lourde que les nôtres. La température extérieure est de 16°. Le ciel est gris mais nullement menaçant. C'est parti. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle assise à l'arrière caresse mes joues.

Il y a une vingtaine de kilomètres jusqu'au cabinet Comptable. Les volets sont clos. Juste la pharmacie qui est ouverte. Estelle glisse l'épaisse chemise grise contenant sa thèse dans la boîte aux lettres. Ça passe tout juste. << Et voilà ! >> lance t-elle toute contente. Elle sautille autour de nous avant de se jeter à mon cou. << Merci Julien. Tout est tellement simple avec toi. Grâce à toi nous aurons notre premier livre publié ! >> lance t-elle. Clémentine vient se serrer contre nous. Deux clients de la pharmacie nous observent consternés.

<< On va en ville ? >> propose Clémentine. << Excellente suggestion ! >> dit Estelle. Nous garons l'auto dans la petite ruelle habituelle. Si je ferme mon blouson, je peux rester avec la braguette ouverte. Ce que je fais sur les demandes insistantes de mes deux anges. << Tripote-moi dans tous les coins ! >> me fait Estelle en palpant ma bosse alors que je remonte la tirette de mon blouson. Nous marchons d'un bon pas. Arrivés dans les rues piétonnes, noires de monde, nous attirons encore bien des regards. Nos hautes tailles. Les filles à mes bras.

La FNAC. Nous aimons y feuilleter des albums photos. Les livres du rayon touristique. Clémentine feuillette les ouvrages consacrés au Jura. Je suis entre Estelle et Clémentine. Discrètement, tout en regardant les photos, je glisse ma main entre les cuisses d'Estelle. << Salaud ! >> murmure t-elle alors que Clémentine lit les légendes à voix haute. Nous écoutons. Nous avons quelques projets de visites dans le Doubs. C'étaient nos premières vacances ensemble, il y a six ans. Nous en gardons de merveilleux souvenirs. Nous allons faire découvrir à Estelle.

Estelle que je tripote avec cette vulgarité qu'elle adore. Parfois en prenant quelques risques car un samedi après-midi il y a évidemment un monde fou partout. Elle aussi n'hésite pas à quelques dangereuses témérités. Ce qui est pratique, c'est que les nombreux clients permettent les "touchettes" sans êtres vus des caméras. Et nous pratiquons en habitués. Estelle en virtuose. Des "pouet-pouet" qu'elle me fait tout le temps. Le rayon scientifique. Estelle et Clémentine sont dans leurs éléments. Je les écoute échanger en silence puisque je n'y comprends rien.

Nous avisons un de nos salons de thé préféré. Au premier étage de la grande pâtisserie. Les tables situées sur des gradins montants. Il y des places libres tout en haut. << Dommage que je ne sois pas en jupe ! >> lance Clémentine. La configuration de la salle semble conçue pour l'exhibitionnisme de qualité. En effet, les clients installés aux gradins inférieurs, ont une vue parfaite sous les tables des gradins supérieurs. Nous savourons nos chocolats chauds et nos éclairs au caramel en parlant de nos vacances. Tout ce que nous voulons voir et faire.

Il est 16 h30. C'est Estelle qui se lève la première pour m'entraîner aux toilettes. Enfermés dans un des cabinets des WC hommes, elle me tient la bite pour en diriger les jets. À mon tour je la tiens sous les bras pour maintenir son équilibre. Hors de question de s'assoir sur la lunette de chiottes publiques. Je caresse ses seins minuscules. Je m'accroupis. Elle m'offre sa chatte à lécher. << Prends moi ! >> murmure t-elle en se positionnant. Les deux mains contre le mur, penchée en avant. Je la prends en levrette. C'est inconfortable. Ce n'est pas jouissif pour moi .

On entend des mecs venir pisser de l'autre côté de la porte. Nous rions car certains causent tout seul. Ça fait dix minutes que nous sommes enfermés là. Nous sortons pour nous laver les mains. Il y a un type qui arrive. Surpris de voir un couple en cet endroit. Il n'ose pas sortir sa queue devant l'urinoir. Nous le laissons à ses petites affaires pour rejoindre Clémentine. Nous lui racontons. << À moi ! >> dit elle en se levant à son tour. Elle m'entraîne elle aussi par la main. Sous quelques regards interrogateurs. Ce n'est pas la première fois en ces lieux.

Enfermés dans le même cabinet, je maintiens l'équilibre de Clémentine comme je l'ai fait avec Estelle. En me régalant de son sexe de la même manière. En entendant des mecs pisser de l'autre côté. Clémentine adore me sucer dans les endroits les plus insolites. Sa préférence reste la pipe. J'en ai des vertiges. Je suis obligé de me tenir dos contre le mur. Je caresse ses joues creusées par l'effort de succion. C'est absolument divin. Il faut êtres raisonnables. Ça fait plus de dix minutes que nous sommes là. Nous nous lavons les mains à un des lavabos.

Nous rejoignons Estelle qui consulte un site touristique sur son I-phone. << Regardez ! Il y a de vieux châteaux à visiter près de Dole ! >>. Nous découvrons les itinéraires en essayant de mémoriser les noms. L'addition. Nous flânons dans les rues pavées du centre. Un petit tour aux étages des grands magasins. Nous apprécions beaucoup les Galeries. Trois étages. Celui des fringues. Il y a là des vêtements de grandes marques. Un peu plus loin des articles de merceries, des sacs de voyages, des sacs à mains de grand luxe. Vuitton y règne en maître.

Bien évidemment, grâce à l'affluence, masqués des caméras par la clientèle, nous jouons aux tripoteurs fous. Je n'arrête pas de bander comme un véritable Sardanapale. Je pourrais les niquer toutes les deux dans une des canines d'essayages. Quand je le suggère en plaisantant, Estelle nous y entraîne en disant : << On tente ! >>. Les cabines étroites permettent peu d'initiatives. On y est à l'étroit à trois. Pourtant j'ai rapidement la bite à l'air. Une fois dans la bouche de Clémentine. Une fois dans la bouche d'Estelle. C'est surréaliste en ce lieu.

Surtout qu'on entend les gens parler à même pas un mètre derrière la porte. Il y a un couple dans la cabine voisine. Une meuf entrain d'essayer un pantalon. Son mec qui l'aide à le fermer. Nous rigolons silencieusement. Estelle et Clémentine la bouche pleine à tour de tôle. Put-hein que c'est bon. Hyper excitant. J'ai les mains dans les culottes. Leurs Levis déboutonnés je fouille, je caresse, je doigte. Je pose la main sur la bouche d'Estelle car une fois excitée elle a tendance à se lâcher. Ça l'excite comme une puce de sucer, de se faire tripoter.

Nous restons enfermés dans cette cabine qui devient suffocante. Clémentine développe assez rapidement de la claustrophobie. Nous refermons nos jeans. Je remballe ma queue avec difficultés car en érection c'est toujours une épreuve. Nous ressortons. Nous flânons au rayon de l'électroménager. Nous avons en projet d'acheter un appareil à faire de l'eau gazeuse. Il y a là un grand choix. Le moment venu nous saurons où l'acheter. Nous faisons l'autre grand magasin au bout de la rue. Trois étages sensiblement identiques. D'autres marques.

Bien évidemment, la tentation est trop forte. Tous les trois à nouveau dans une des cabines d'essayages. Là, il faut être beaucoup plus prudents. Il n'y a pas de porte mais d'épais rideaux. Ce qui implique que l'une fasse la garde pendant que l'autre suce. Moi aussi j'ai envie de bouffer de la chatte. Car quand je fourre mes doigts dans les sexes de mes deux anges je les retire suintants de jus de filles. Alors, en les léchant, ça ouvre un appétit dantesque. Nous ne pouvons pas continuer à prendre de tels risques. Trop de gens attendent devant les cabines.

Nous flânons encore un peu car il y a quelques séquences ensoleillées. Une certaine douceur. Je propose de nous offrir un bon restaurant. Après tout, c'est la veille du départ pour nos vacances. << Génial ! >> lance Estelle. << Super ! >> s'écrie Clémentine qui rajoute : << Avec des chiottes où peut s'amuser ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Nous parcourons les rues en lisant les menus affichés devant les établissements gastronomiques. Nous trouvons notre bonheur. Le restaurant de la cathédrale. Il porte bien son nom à cent mètres de l'édifice.

Un gigantesque plateau de fruits de mer. Une salle comble. Un service de qualité. C'est un restaurant étoilé dont le chef vient saluer chaque client. C'est extrêmement plaisant. Comme souhaitées par Clémentine, les toilettes hommes offrent des cabinets d'une propreté exemplaire. Je peux la niquer la première. Toujours avec le bruit de quelques pisseurs de l'autre côté de la porte. Quand elle me suce je pourrais éjaculer tellement c'est bon. Nous rejoignons Estelle qui m'y entraîne à son tour. Une nouvelle fois. Je la nique en gardant ma main sur sa bouche.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines pressées de retrouver la couette pour s'y faire lécher, sucer, pénétrer avant un bon dodo...



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 24 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2222 -



Clémentine s'offre un petit "extra" avant notre départ

Hier matin, dimanche, notre grasse matinée nous emmène aux environs de neuf heures. Je suis entre Estelle à ma gauche. Clémentine à ma droite. Le mouvement régulier des pieds d'Estelle contre les miens achève de me tirer de mon sommeil. Elle saisit mon érection naturelle en posant ses lèvres dans mon cou. Je peux sentir le bout de sa langue contre ma peau. Sensation divine. Ce qui réveille Clémentine. Toute les deux ont pour habitude de se frotter contre mes hanches en glissant leurs bouches sur ma peau. Un véritable enchantement paradisiaque.

Cela ne dure pas car le besoin d'Estelle remporte une nouvelle fois la victoire. Elle se lève d'un bond pour s'élancer vers la porte. Clémentine me chevauche en continuant de frotter son sexe sur ma turgescence. << C'était génial hier. Une veille de départ des plus agréables ! >> me dit elle en mitraillant mon visage de bisous. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Il fait bien chaud partout dans la maison. Les radiateurs pilotés par thermostat fonctionnent depuis trois heures. C'est dans la salle de bain que nous nous habillons. Dans une certaine exubérance.

Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Il y a déjà l'odeur du café. Elle est encore en pyjama entrain de presser les oranges. Elle a déjà pelé les kiwis. Pendant que Clémentine coupe la brioche à la frangipane que nous avons acheté hier en ville, je passe derrière Estelle. Mes mains sur ses seins minuscules. Le contact avec la soie de son pyjama décuple encore les douces sensations. << Mmhh. Tu es prié de m'infliger ça tous les jours durant ces vacances ! >> lance t-elle. << Moi aussi ! >> fait Clémentine.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée au restaurant. Nous avons trouvé un nouvel établissement. Nous passions souvent devant. Cette fois nous avons tenté l'expérience. Une aventure concluante où nous nous promettons de récidiver. Nous mangeons de bon appétit en faisant l'inventaire de nos préparatifs. Nos valises sont prêtes. << Mes parents seront là pour 13 h30 ! >> précise Estelle. Ce sont eux qui nous emmènent à l'aéroport. Ce seront eux qui reviendront nous chercher le mardi 25 avril. C'est vraiment sympathique.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, les filles font mille projets pour ce séjour dans le centre du massif du Jura. Clémentine s'est occupée des passes touristiques, de la location d'un bel appartement d'une pièce, cuisine, salle de bain au premier étage de la belle maison d'un particulier. C'est dans une des communes limitrophes de Saint-Claude. J'en tairai le nom ici pour préserver son anonymat. Saint-Claude étant une sous préfecture de presque dix milles habitants est un peu comme une petite ville.

Clémentine s'est occupée de la location d'une Renault "Captur" d'un beau rouge flammé. Les talents d'organisatrice de ma compagne ne sont plus à démontrer. Elle adore. Comme en toutes choses, elle se montre d'une redoutable efficacité. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. En riant. Pendant que nous faisons notre lit, Estelle quitte son pyjama pour s'habiller comme nous de son Levis, de son épaisse chemise à carreaux. Nous voyagerons ainsi.

Pressés d'aller faire quelque pas au dehors, nous dévalons les escaliers. Le thermomètre extérieur indique 16°. Il n'est pas tout à fait dix heures. Il y a quelques séquences ensoleillées. Mais il y a également des averses régulières. L'absence de vent est appréciable. Nous pouvons garder nos anoraks ouverts. Ma braguette aussi. Estelle y vieille tout particulièrement. Nous descendons jusqu'à la rivière. La digue de terre qu'a érigé notre voisin empêche les eaux d'inonder toute cette partie de notre terrain à trois cent mètres de la propriété. Parfait.

Les filles restent accrochées à mes bras pour parler de leurs études. De leurs thèses dont la première version est à présent entre les mains de l'imprimeur. << Ça me fait tout drôle de savoir qu'il existera un livre avec mon nom sur la première de couverture ! >> lance Estelle. << On passe à la postérité ! >> s'écrie Clémentine. Nous en rions de bon cœur car ce n'est qu'une boutade. Nous remontons lentement et tout en bavardant. Par acquis de conscience nous allons jeter un coup d'œil dans la maison d'ami. Il y fait plutôt frais. Malgré le "hors gel".

L'extra de Clémentine

Estelle passe son doigt sur le dessus de la cheminée. On en voit la trace dans la poussière. << Au retour on va faire le ménage ! >> lance Clémentine. J'aime respirer l'odeur des cendres. Il reste encore quelques tisons éteints dans les restes du feu. << Le voisin ! >> s'écrie soudain Clémentine. Estelle se précipite pour voir. Monsieur Bertrand porte son sachet. Il va donner du vieux pain à ses amis canards. Il ne se doute pas que nous le voyons passer à une dizaine de mètres de la maison. Il longe la clôture sans tourner la tête de ce côté. Dans ses pensées.

<< Celui-là, je me le suce ce matin. Ça fait trop longtemps que je n'ai plus gouté sa petite bite ridicule ! >> rajoute Clémentine en passant sa main entre ses cuisses. << Tu déconnes ? >> s'exclame Estelle. << Je peux ? >> me demande Clémentine. Je fais mine de regarder une montre imaginaire à mon poignet. << Juste un peu ! >> rajoute t-elle. Je dis : << Bon appétit alors ! >>. Estelle vient se serrer contre moi en faisant : << Débrouille-toi pour le faire là derrière. Comme ça on peut te mâter depuis la fenêtre ! >>. Clémentine me fait une bise.

Estelle fourre sa main dans ma braguette. Elle en extrait le locataire. Je bande mou. Heureusement car elle le tord dans tous les sens. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Mon érection est alors instantanée. Clémentine se dirige vers la fenêtre. Nous la rejoignons. Elle déboutonne son Levis. Une main dans sa culotte elle guette le retour de monsieur Bertrand. Estelle me masturbe en nous racontant ses impressions. Elle tend mon sexe à Clémentine qui se penche pour le prendre en bouche. Juste du bout des lèvres. Quelques instants.

Elle se redresse. Elle reproduit plusieurs fois. << Ça y est, je le vois là-bas, il remonte ! >> dit Estelle. Clémentine ouvre la fenêtre. C'est par là qu'elle saute entre la porte latérale de l'abri à bois et le vieux puis fermé de son couvercle de fonte. Estelle referme immédiatement la fenêtre. Elle tire la tenture qu'elle ajuste. De façon à ce que de chaque côté nous puissions regarder. Il ne fait que 16°. Clémentine, contre la porte de l'abri à bois, guette l'arrivée de notre voisin. Nous l'apercevons à une cinquantaine de mètres. Clémentine descend son Levis et sa culotte.

Prenant appui contre la margelle du puis de la main droite. Elle tire ses vêtements verts le haut. Accroupie, observant son entrejambes. Nous la voyons de dos. C'est dans cette situation que monsieur Bertrand la surprend. Nous entendons vaguement. Il faut tendre l'oreille. << Bonjour ma grande. Ça faisait longtemps dis donc ! >> lance notre homme. Clémentine lève la tête pour répondre : << Bonjour Louis. Excusez-moi ! >>. Monsieur Bertrand s'arrête. Silence. Il descend immédiatement la tirette de son vieux pantalon d'épais velours brun.

Il en extrait ce sexe minuscule et étonnant. Il le tient à sa base en l'agitant. << Tu as de l'appétit ce matin ? >> demande t-il. Clémentine ne répond pas. Est-elle entrain de terminer de pisser ? Impossible de le savoir. Estelle vient me rejoindre. Nous regardons prudemment. Pas question de se faire surprendre. Je glisse ma main dans sa culotte pour la doigter. Elle me tient la bite. Clémentine se redresse, elle remonte ses vêtements tout en se dirigeant vers le portillon. Elle en monte le loquet afin de permettre à monsieur Bertrand d'entrer sur nos terres.

Notre retraité salace passe sa main entre les cuisses de Clémentine. Cambrée sur ses genoux fléchis, tenant le bras de Louis des deux mains, elle se frotte. Il approche sa tête. Il veut l'embrasser. Elle détourne la tête. << Tu fais ta chochotte maintenant ! >> dit-il. Il la saisit par la nuque pour la forcer à coller sa bouche sur la sienne. De la voir rouler une pelle à ce vieux pervers me dégoûte. Mais ça m'excite également énormément. << Regarde-moi cette salope ! >> murmure Estelle en se blottissant contre moi. Je bande dans sa poigne ferme.

Louis pose ses mains sur les épaules de Clémentine. Il la force à s'accroupir. C'est à genoux dans l'herbe humide qu'elle tombe. Tenant son équilibre de ses deux mains accrochées aux fesses de notre vieux salopard. Il se détourne en dirigeant son sexe ridiculement petit et mou vers la margelle du puis. Il maintient fermement la tête de Clémentine des deux mains. Sa natte serrée dans sa poigne. Il lâche plusieurs giclées de pisse. Quand Clémentine arrive à détourner la tête nous découvrons ses horribles grimaces. Ce salaud pisse longuement.

Une pisse jaune foncée qui devient moussue en giclant sur le granit du puis. D'un coup sec il force Clémentine à mettre son visage bien face à sa queue. Queue qu'il frotte en murmurant des mots qui nous restent inaudibles. Nous voyons Clémentine de dos. Pas de doute. Elle suce. Fermement maintenue par la nuque. Le type frissonne. Il doit changer de position pour ne pas tomber. Superbe initiative. Quand il se tourne nous assistons à la scène de profil. La bite de monsieur Bertrand est totalement invisible dans la bouche de Clémentine. Elle pompe avec un air de dégoût.

Son nez écrasé contre le tissu de velours côtelé. Louis relâche son étreinte. Clémentine peut enfin reprendre sa respiration. Nous l'entendons à chaque fois pousser un cri. Comme une noyée remontant à la surface. De longs filaments de foutre jaunâtre relient sa bouche à la bite toute molle de notre vieux pervers. Il la laisse suffoquer un long moment en maintenant sa tête. Il est impossible d'entendre ce qu'il dit. En tous cas cet enfoiré se fait tailler une méchante pipe. Il relâche à nouveau son étreinte. Clémentine, les yeux larmoyants, reprend son souffle en haletant.

Il frotte sa queue tout en parlant. Il se penche. Il pose probablement des questions. Clémentine, toujours maintenue par la natte secoue la tête de bas en haut dans un mouvement affirmatif. Elle fait de délicieux sourires à son "tortionnaire". Il est impossible de savoir si cet enfoiré éjacule ou pas. Car l'abondance de son foutre est impressionnante. Quand il retire sa queue de la bouche de Clémentine, il y a une coulée de foutre. Elle ne tombe pas au sol. Trop gluante. D'un mouvement gracieux de la tête, Clémentine la récupère avant de se remettre à pomper.

Nous entendons ce petit cri de surprise qu'elle lâche quelquefois avant de se mettre à tousser. Ce vieux salopard est probablement entrain de pisser. La tête penchée sur le côté, comme si elle s'apprêtait à vomir, le corps secoué de hauts le cœur, Clémentine pose sa main sur sa poitrine. << Tu aimes la bite à ce vieux Louis toi, hein ? >> lance le vieux saligaud. Clémentine reprend la queue en bouche. C'est elle qui semble à présent prendre les initiatives. Peut-être bien décidée à faire éjaculer ce type. D'en finir avec cette fellation bien dégueulasse.

Louis pousse soudain un cri. Rejette la tête en arrière, se cambre. Clémentine se met à tousser. Elle a beau tenter de tout avaler, elle n'y parvient pas. Elle a plusieurs hoquets. Des hauts le cœur. La tête penchée vers le sol. Du foutre tombe dans l'herbe. << Tu dis merci ma grande ! >> s'écrie soudain le goujat en se penchant pour cracher au visage de Clémentine. Il se recule en la lâchant. Nous l'entendons rajouter : << Quand tu rentreras de tes vacances avec ton cocu, on baise ensemble, OK ? >>. Clémentine cesse de cracher de tousser.

<< Oui, volontiers ! >> répond t-elle en se redressant. Les genoux de son Levis sont trempés. Louis s'apprête à franchir le portillon lorsqu'il se retourne pour lancer : << Tu n'as pas dit merci ! >>. Clémentine essuie sa bouche avec un mouchoir en papier avant de répondre : << Merci Louis ! >>. Il agite sa queue encore dégoulinante de foutre en rajoutant : << Bientôt je te la mets grande salope. Au revoir ! >>. Il descend le chemin sur les trois cent mètres qui le séparent de sa propriété. Clémentine l'appelle. Il se retourne. Elle lève ses deux pouces.

Estelle ouvre la fenêtre afin que Clémentine puisse y grimper pour nous rejoindre. Je la félicite. Elle n'ose pas soutenir mon regard. Elle me fixe par en-dessous, terriblement vicelarde. Je dis : << Je t'aime Clémentine ! >>. Estelle demande : << C'était bon ? >>. Clémentine est comme honteuse pour répondre : << Oui ! J'adore la bite de ce vieux salaud ! >>. Estelle rajoute : << Meilleure que celle de Julien ? >>. Clémentine répond : << Oui ! >>. Elle me fixe soudain, comme pour guetter mes réactions. Je dis : << Tu es une fille de bons goûts ! >>

Nous quittons la maison d'amis. Clémentine s'arrête soudain. Se pliant en deux. Comme agitée d'un soubresaut. Dans un râle elle se met à dégueuler. << Tu gâches la marchandise ! >> lance Estelle qui reste serrée contre moi. Je tiens Clémentine par ses épaules. Elle vomit son petit déjeuner avec une invraisemblable quantité de sperme, de foutre gluant. C'est dégueulasse. << Ça me brule jusque dans le nez ! >> dit elle avec peine. Nous rentrons. Clémentine s'empare d'une pomme pour croquer dedans. Comme soulagée. Nous la regardons déguster.

<< J'aime quand c'est dégueulasse. Vraiment, j'adore ça ! >> lance t-elle, avalant après avoir savouré. << Si ce vieil enfoiré savait qu'on sait tout ! >> s'écrie Estelle. Je dis : << C'est beaucoup plus excitant qu'il ne s'en doute pas. Il semble apprécier de me croire cocu. Comme il le croyait à l'époque où Christine était encore de ce monde. Le vieux salaud se tapait déjà mon ancienne compagne. Il n'avait encore que cinquante ans à l'époque. Il bandait bien en enfonçant sa toute petite bite dans tous les trous de mon ancienne compagne disparue ! >>

Il faut se préparer doucement au départ

Nous accompagnons Clémentine à l'étage. Dans la salle de bain où elle pratique ses ablutions. Elle se lave longuement les dents. Passe de l'eau sur son visage en disant : << Vieux dégoûtant ! Tu ne perds rien pour attendre ! >>. Estelle, ma bite dans la main, serrée contre moi, demande : << Tu vas mieux ? Ça ne brûle plus dans ton nez ? >>. Clémentine s'essuie le visage en répondant : << Ça baigne. Mais plus dans le sperme ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Il commence à faire faim. Nous dévalons les escaliers pour confectionner le repas.

Clémentine prépare l'assaisonnement des deux dernières endives. Estelle dore trois pavés de saumon dans la poêle. Je fais bouillir l'eau des coquillettes pendant que je râpe du gruyère alpestre. Les filles en reviennent à leurs études. Je passe parfois derrière l'une, derrière l'autre. Mes bras sous leurs aisselles pour caresser délicatement leurs seins. Estelle me palpe les couilles par derrière. Tripote la grosse bosse sous mon tablier. C'est le timing parfait. Nous sommes dans les clous. Nous mangeons de bon appétit un peu avant midi. En parlant des vacances.

Assises sur mes genoux, mes deux anges évoquent à présent ce qui s'est passé ce matin. << Tu es une méga salope ! >> lance Estelle. << Merci pour le compliment ! >> répond Clémentine. Je dis : << Toutes mes félicitations mademoiselle ! >>. Nous rions de bon cœur. Estelle revient sur quelques unes de nos aventures du même genre mais avec de parfaits inconnus. Tout au fond de moi je culpabilise toujours un peu. C'est moi, il y a six ans, qui ai mis mon fantasme dans l'esprit de Clémentine. J'adore être caché. Voir ma compagne sucer un inconnu.

Depuis Clémentine m'a avoué que grâce à notre complicité elle y a pris goût. En précisant que de ses tendances exhibitionnistes à la fellation "sauvage" il n'y a qu'un pas. Pas qu'elle s'est empressée de franchir avec célérité. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. À partir de cet instant les choses semblent s'accélérer. À peine sommes nous redescendus que Julie arrive. Radieuse. Nous ne l'avons jamais vu aussi lumineuse. Aussi souriante. Elle se précipite dans les bras d'Estelle. Puis dans ceux de Clémentine. Bises.

Accrochée à mon cou elle dit : << Comme je suis contente ! >>. Nous préparons le petit sac à dos qui nous accompagnera dans l'avion. Il contient des barres de céréales, des pommes, nos minis parapluies, une bouteille d'eau et la minuscule paire de jumelles. Voilà les parents d'Estelle. Yvan et Michèle eux aussi sont contents de nous revoir. << Même si vous nous volez une fois de plus notre fille ! >> lance sa maman. Nous leurs présentons Julie. De quoi surprendre. Malgré ses vingt et un ans, Julie n'en paraît pas seize. De quoi être circonspect.

Nous disposons les valises dans le coffre arrière de mon ancienne Mercedes. Les coffres des grosses berlines allemandes sont spacieux. Yvan roule prudemment. Michèle à ses côtés. Estelle, Clémentine, Julie et moi installés à l'arrière. Malgré l'espace intérieur de la voiture, nous sommes à l'étroit. Aussi, très rapidement, Julie s'installe sur les genoux d'Estelle. Yvan et Michèle évoquent leur départ pour l'Écosse. Ce sera mardi. Il vont finaliser l'achat de leur maison près d'Inverness. Nous arrivons à l'aéroport. Il n'est que 14 h. Le temps des formalités.

Nous nous souhaitons respectivement de bonnes vacances. Notre avion est à l'heure. Air France n'a pas pour habitude d'avoir du retard dans ses horaires. C'est la toute première fois que Julie prend l'avion. Comme Estelle a toujours une peur bleu en s'envolant dans les airs, elles restent serrées l'une contre l'autre. Clémentine à côté du hublot. Je suis près d'elle. Estelle à ma droite. Sur le siège de la rangée de gauche Julie séparée de nous par l'allée centrale. Assise à côté d'un couple de séniors. Les trépidations de l'appareil avant qu'il ne se mette à bouger.

Nous nous envolons. Julie est livide. Estelle ferme les yeux en serrant la main de Julie. Nous voilà en l'air. L'hôtesse fait un passage pour s'assurer que tout le monde va bien. Nous voyageons toujours en première classe. Tout va donc très bien. Changement d'avion à Roissy. C'est durant ces changements que la perte de temps est rageante. Il est 17 h quand l'avion se pose sur l'aéroport de Dole-Jura. Entouré de montagnes. Il pleut. Nous arrivons sans encombre. Ce qui est normal puisque nous ne l'avons pas emmené avec nous. Les formalités.

Nous récupérons nos valises. Il faut aller récupérer les clefs de la voiture de location au bureau central. Nous ne sommes pas les seuls. Nous attendons dans la file. Julie reste serrée contre Estelle. Estelle qui m'adresse de discrets clins d'œil. Comme pour me signifier qu'elle est investie d'une mission de "protection". C'est vrai que Julie semble un peu perdue. Elle a très peu voyagé dans sa vie. N'est jamais partie en vacances. C'est sa première expérience. Je comprends qu'elle soit déstabilisée. Nous récupérons la voiture sur le parking de l'agence Hertz.

Une splendide Renault "Captur" d'un rouge flammé absolument magnifique. Je crois que c'est la première fois que je conduis une voiture française. Je roule doucement. Il faut prendre la départementale 470. Il y a environ 120 km jusqu'à Saint-Claude. La route est parfois pittoresque. Entourée de montagnes. C'est un environnement étrange que nous retrouvons avec plaisir. Certains endroits du Jura ne sont pas sans rappeler des paysages d'Écosse. Clémentine joue avec ma queue. La voiture se pilote dans d'excellentes conditions. Très maniable.

Le GPS nous guide. Saint-Claude paraît beaucoup plus grande qu'elle ne l'est en réalité. Des immeubles donnent l'impression d'arriver dans une grande ville. Il reste cinq kilomètres avant d'arriver dans la banlieue. Ce tout petit village limitrophe où nous attend notre location. J'entre dans la propriété de monsieur Legris. (J'utilise évidemment un pseudonyme pour préserver son identité). C'est un petit homme vigoureux qui nous reçoit avec un sourire jovial. Il semble surpris de me voir. Un homme d'âge mûr avec trois jeunes filles. De quoi le surprendre !

Nous montons à l'étage d'une somptueuse maison. L'appartement est grand et spacieux. Un peu comme un loft. << Appelez-moi Bernard ! S'il y a le moindre souci, vous descendez, je suis en bas ! >> précise monsieur Legris. La cinquantaine légèrement bedonnante. Il nous laisse nous installer en nous indiquant un bon restaurant au centre du bourg. Nous défaisons nos valises. Clémentine raconte à Julie notre aventure de la matinée. << Ça ne te dégoûte pas de sucer des vieux ? >> demande t-elle. C'est Estelle qui répond : << Elle aime ça ! >>

Julie ouvre le canapé lit pour mettre les draps. Nous faisons de même sur le grand lit. Estelle se met à y sauter comme sur un trampoline. Nous rions aux éclats. << Sors ta bite ! >> s'écrie t-elle alors que je serre Clémentine dans mes bras. Julie m'adresse un regard évocateur. Je m'écarte. Clémentine déboutonne ma braguette. Je sors ma queue. Les trois coquines, une à côté de l'autre, observent un instant. Silencieuses. Elles éclatent soudain de rire en même temps. Il commence à faire faim. Nous dévalons l'escalier. Le restaurant "La chasse" nous attend.

Bonne soirée à toutes les coquines qui vont à la découverte de ce nouvel endroit. Prendre leurs marques pour les aventures à venir...

Julien



Classe

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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Classe - 25 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2223 -



Première journée à Saint-Claude

Il est aux environs de huit heures trente hier matin, lundi. Un léger bruit qui nous réveille. C'est Julie qui se lève. S'entourant pourtant de la plus grande discrétion. Je suis entre Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche. Nous regardons Julie se lever de son canapé lit. Sans nous consulter, sans rien dire, nous refermons les yeux pour faire semblant de dormir. Julie quitte la chambre, referme la porte. Estelle saisit ma tumescence en calant sa tête contre mon épaule. Clémentine empoigne mes couilles en posant sa tête sur ma poitrine. Nous somnolons.

Quand elle est réveillée, Estelle ne peut lutter très longtemps contre l'impérieux besoin naturel. << Pipi ! >> murmure t-elle en se dressant. Nous regardons par la porte fenêtre du petit balcon. Le ciel est sinistre. Il y a les montagnes qui barrent l'horizon. << Ambiance lugubre ! >> chuchote Clémentine. Estelle ne revient pas. Clémentine passe sa tête sous les draps pour téter mon sexe redevenu mou. C'est une étrange sensation le matin, sans excitation. Je murmure : << Je t'aime ma délicieuse suceuse ! >>. Elle revient à la surface tout en riant.

Nous nous levons pour aller aux toilettes. Ça change considérablement de l'espace qu'il y a dans les nôtres. Nous entendons rire à la cuisine. C'est en slips et en T-shirts de nuit que nous rejoignons Julie et Estelle. La cuisine est moderne, équipée et lumineuse. Estelle est en pyjama. Julie déjà vêtue d'un pantalon beige, d'un sweat gris. Elle se précipite pour nous faire la bise en disant : << C'est moi qui vous ai réveillé, hein ? >>. Clémentine la rassure : << C'est très bien. Sinon on traîne au lit ! >>. La table est déjà mise, le café parfume toute la pièce.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée au restaurant. Épuisés par le voyage, il était à peine vingt deux heures quand nous avons sombré dans le sommeil. Il pleut. C'est moche. Il n'y aura pas de jogging mais une séance d'entraînement intérieure. C'est frustrant car nous aimons découvrir nos environnements en courant. Nous traînons à table en envisageant les différentes options de cette première journée de vacances. Estelle consulte son téléphone. Le site officiel de la ville. << C'est super, il y a des musées ! >> précise t-elle.

Je regarde discrètement Julie. Elle semble très heureuse, très détendue. Elle n'ose pas soutenir mes regards. Je les devine pourtant parfois. Furtifs, à la dérobée, comme pour me scruter à mon insu. << La priorité est d'aller faire les courses. Il faut remplir le frigo ! >> lance Clémentine. Notre petit déjeuner n'est fait que de ce que nous avons emmené. C'est impératif et une excellente façon d'appréhender ce nouvel endroit. Quand nous avons terminé, Julie se lève la première en disant : << Je m'occupe de tout. Allez faire votre gymnastique ! >>

Quand nous la regardons d'un air interrogateur, elle rajoute : << Rappelez-vous, c'était convenu ! >>. Avant de quitter la cuisine, nous déposons chacun une bise sur son front. La chambre est spacieuse. Nous refermons le lit. Celui de Julie est déjà fait. Estelle retire son pyjama. Revêt un T-shirt. Notre premier entraînement des vacances est plutôt agréable. Les échauffements de l'aérobic. Sauts sur place. Nous les faisons durer en prenant soin d'effectuer le plus correctement possible chaque mouvement. Ça commence un peu à déconner.

Nous rions souvent aux éclats des pitreries de l'une ou de l'autre. Les exercices au sol. Il n'y a pas de tapis en mousse confortable. C'est très désagréable de pratiquer les enroulements et les déroulements de colonne sur le parquet. On s'y fait en se massant après, l'un derrière l'autre. Double dose. Nous remplaçons les charges additionnelles par des mouvements de force. Chacun devenant les barres et les haltères de l'autre. Ce sont des exercices nécessaires pour la masse musculaire. Tout cela ne dure qu'environ une bonne demi heure. On s'arrange.

Julie est assise dans l'unique fauteuil, plongée dans sa lecture. Parfois elle lève la tête pour assister à nos clowneries. Rigole avec nous. La salle de bain est spacieuse. Lumineuse. Pendant qu'Estelle prend sa douche la première, je défais la natte de Clémentine pour la coiffer. << Vous êtes si attentionné avec moi monsieur, je vous aime ! >> dit elle. Nous entendons chantonner Estelle. C'est à notre tour. C'est très agréable de pouvoir prendre tout son temps. Pour Estelle et Clémentine c'est le privilège des vacances. Nous voilà habillés. Levis et sweats.

Nous rejoignons Julie. Elle se lève d'un bond. Nous enfilons nos anoraks. Nous dévalons les escaliers. Il fait froid. En consultant la météo sur son téléphone, Estelle précise qu'il ne fait que 11°. Je demande : << Qui veut conduire ? >>. Estelle et Clémentine pointent leurs index dans ma direction. J'ai compris. Il n'y a que trois kilomètres jusqu'à Saint-Claude. La route longe la Bienne, cette rivière aux eaux abondantes. Je roule doucement. Clémentine palpe ma braguette. Assises à l'arrière, Estelle et Julie commentent le paysage. << C'est lugubre ! >> dit Julie.

Il est certain qu'avec cette sinistre météo n'importe quel endroit serait lugubre. Il faut s'en faire une raison. << Intermarché ! Là-bas ! >> lance Estelle. Je gare l'auto sur le parking. Je pousse le Caddie. Clémentine reste à mon bras. Julie tient celui d'Estelle. Il n'y a pas trop de monde. Ça circule très bien dans les rayons. Priorité aux légumes et aux fruits. C'est très propre, très bien présenté et le choix est plutôt varié. Puis c'est le rayon des céréales. Il y a un grand choix de produits biologiques. Pâtes, riz. Levure diététique et tout ce qu'il nous faut.

Le rayon des produits d'entretiens, lessive, vaisselle, papier cul, papier absorbant et tout le toutim. Estelle et Clémentine prennent des tampons. "Minis". Julie précise : << Plus besoin avant le mois prochain ! >>. Nous rions du ton solennel qu'elle utilise. Estelle me tripote discrètement. Julie regarde comme consterné quand Estelle demande : << Tu paries que je lui sort la queue ici ? >>. Je saisis le poignet d'Estelle pour l'empêcher de mettre son délire à exécution. << Mais quoi, Saint-Claude c'est la capitale de la pipe ! >> lance t-elle. Rires.

Nous passons à l'une des caisses ouvertes. Nous rangeons nos achats dans le coffre. Sur le chemin du retour Clémentine me sort la queue. Julie et Estelle, à l'arrière, sont redressées pour mieux voir. << Cet après-midi on fait nos vicelards partout ! >> lance Estelle. << Avec modération tout de même, nous ne sommes pas seuls ! >> répond Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Je remballe une fois arrivés. Nous rangeons les produits frais dans le grand réfrigérateur. Il y a un espace congélateur en haut pour les crèmes glacées. Miam.

Les légumes et les fruits dans le bas du buffet. Comme convenu nous laissons Julie seule dans la cuisine. C'est le "contrat". Elle veut nous faire chaque jour la surprise d'un repas. Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine allument l'ordinateur. C'est très pratique un MacBook Pro. Pas encombrant et hyper performant partout. La connexion Wifi est parfaite. Nous visitons nos boîtes mails. Estelle a un message de ses parents. Nous avons un courriel de Juliette. Très rapidement les filles surfent sur les sites concernant Saint-Claude. Il y a des vidéos sur Youtube.

<< On va visiter le musée du diamant ? Ça vous tente ? >> propose Clémentine. Excellente suggestion. << Braguette ouverte ! >> précise Estelle. Nous rions de bon cœur. Julie vient nous rejoindre : << C'est prêt ! >> dit elle. Morts de faim nous la suivons dans la cuisine. Elle a fait simple. Nous en raffolons. Une salade de concombre en entrée. Des spaghettis avec une sauce aux Roquefort. << Une recette de Jean-Louis ! Notre Chef ! >> précise Julie. Nous savourons ce repas. C'est délicieux. Nous traînons à table. Julie est ravie par la visite d'un musée.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Julie assiste à nos pitreries devant le miroir de la salle de bain. Nous dévalons les escaliers. Je roule doucement. Je gare la voiture à l'entrée de la ville. C'est sous les parapluies que nous découvrons les rues pavées. Le centre est très bien agencé. Le musée de la pipe et du diamant. Une place entourée de bâtiments sans véritable style. << On va d'abord à l'office de tourisme ? >> propose Clémentine. C'est à quelques centaines de mètres. L'accueil est chaleureux. Nous prenons quantité de brochures, de prospectus.

La pluie cesse pour reprendre. Ce sont des averses. Quelquefois une séquence ensoleillée. Mais toujours cette désagréable fraîcheur de décembre en avril. Munis de nos passes touristiques il nous faut tout de même attendre dans la petite file de visiteurs. Nous découvrons un de ces musées de provinces, très typique. Des personnages articulés, vêtus à l'ancienne, manipulent des outils pour tailler des pierres précieuses. Je demande à Estelle d'être la plus discrète possible dans ses attouchements. Elle aime montrer à Julie sa façon de me toucher.

Nous parcourons les différentes salles. La fabrication des pipes. Le plus souvent dans de la racine de bruyère. Là également ce sont des mannequins articulés qui font les démonstrations. Julie prend nombre de photos. Estelle devient de plus en plus lubrique. Elles nous précèdent souvent en se tenant par le bras. Clémentine me tient la main. Nous attirons quelques regards. Nous sommes certainement pour quelques visiteurs, une attraction supplémentaire. Nous aimons flâner dans les musées. Quel que soit les thèmes proposés. Un vrai plaisir.

Il est seize heures trente. Il y a quelques rayons de soleil. Je propose de réserver une bonne table dans un restaurant pour la soirée. Clémentine s'en charge. Estelle et Julie chuchotent souvent ensemble avant de rire. Estelle mime des masturbations masculines avec toutes la vulgarité dont elle est coutumière. << Voilà ! Une table réservée ! >> lance Clémentine. Il faudra y aller avec la voiture. Le restaurant de Maison Blanche est situé à une quinzaine de bornes. Excellente manière de découvrir les petites roues jurassiennes. Il va être 18 h30.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui font du tourisme coquin avant de se régaler de bons plats régionaux et du terroir...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 26 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2224 -



Seconde journée à Saint Claude

Il est aux environs de neuf heures lorsque nous sommes tirés du sommeil. << Bonjour. Le petit déjeuner vous attend ! >>. C'est Julie qui s'assoit sur le lit, du côté d'Estelle. Nous ouvrons les yeux en même temps. Clémentine à ma gauche, Estelle à ma droite. << Bonjour ! Miam. Merci on arrive ! >> lance Estelle. Julie lui fait trois bises, se penche pour m'en faire trois, contourne le lit pour en faire trois à Clémentine. Estelle se lève d'un bond en disant : << D'abord pipi ! >>. Clémentine saisit mon érection naturelle. Puis descend le draps.

<< Regarde ce que j'ai attrapé au fond du lit ! >> dit elle en montrant mon sexe. Julie ouvre de grands yeux en mettant sa main sur sa bouche. Je justifie cet état rigide en expliquant que c'est purement physiologique. << C'est marrant ! >> fait Julie. Estelle revient. << Prends là en main ! >>. Julie hésite. Estelle s'approche pour prendre son poignet, attirer sa poigne sur ma queue que lâche Clémentine. Là, ce n'est plus tout à fait physiologique. C'est soudain délicieusement excitant. << Viens, tu nous accompagnes aux toilettes ! >> lance Clémentine.

Julie, toute timide, comme si c'était la première fois, marche à côté de moi en tenant maladroitement mon Zob. Comme lors de chacun de nos rituels pisseux, je tiens Clémentine par sa nuque, pas ses cheveux pendant qu'elle soulage son besoin naturel. C'est à mon tour. Julie, un bras autour de ma taille, penchée en avant, me tient la bite pour en diriger les jets. Estelle a du mal à se faufiler car le cabinet des WC n'est pas grand. On y tient à peine tous les quatre. Elle dit : << Ils font ça tous les jours ! >> quand Clémentine se penche pour suçoter.

Morts de faim nous nous précipitons dans la cuisine. L'odeur du café, du pain grillé, préparé par Julie embaume toute la pièce. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée au restaurant. Nous faisons un constat en ce second matin jurassique. Une très étrange atmosphère règne dans ces lieux. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme du jour. Dehors il pleut. En regardant la météo sur son téléphone, Estelle précise : << Onze degrés et il va faire moche toute la journée ! >>. Julie dit : << On se fait le soleil ! >>

Depuis notre arrivée, nous n'avons pas vraiment sacrifié au stupre et à la luxure. Estelle, Clémentine et Julie ont surtout consacré ces deux dernières journées à décompresser. Clémentine précise : << C'est beaucoup plus insidieux cette fatigue intellectuelle accumulée depuis des mois. Je m'en rend compte une fois dans l'inactivité ! >>. Estelle rajoute : << Je ressens les mêmes impressions. Comme une sorte de libération ! >>. Julie précise : << C'est pareil pour moi. Je peux enfin vivre à mon rythme. Sans stress. Sans angoisse aussi ! >>. Silence.

J'écoute les filles échanger leurs ressentis en étalant le beurre et le miel sur la seconde fournée de leurs tranches de pain grillé. Nous traînons à table. Ce matin encore le jogging nous est interdit. C'est extrêmement frustrant. << Il y a peut-être une salle de fitness à Saint Claude ! >> lance Julie. << On déteste la promiscuité de ces endroits ! >> répond Estelle. Comme le souhaite Julie, elle va s'occuper de l'intendance pendant que nous allons pratiquer notre gymnastique d'intérieur. Avant de quitter la cuisine chacun une bise sur son front.

Nous remercions Julie pour cette belle surprise. << Il y en aura une autre pour midi. Je m'y attelle dès maintenant ! >> fait elle. Nous faisons notre lit. Estelle quitte son pyjama pour se mettre dans la même tenue que nous. Slips et T-shirts de nuit. Les échauffements de l'aérobic dont nous rallongeons les durées d'exécutions. Les exercices au sol. Cette fois sur les couvertures car les abdos à même le parquet sont douloureux pour les vertèbres. On double la durée de ses enroulements et déroulements. Quelques mouvements de force très sympas.

Nous terminons par les étirements bien concentrés d'un stretching libérateur. En riant de nos singeries nous nous précipitons dans la salle de bain. Pendant qu'Estelle prend sa douche, je coiffe Clémentine. Je divise sa chevelure en trois parties pour en faire une natte. C'est à notre tour d'aller sous l'eau. Je fais une natte à Estelle. Toutes les deux se comparent dans le miroir au-dessus du lavabo. << Ma nature profonde semble rejaillir ! >> lance Clémentine. << Moi aussi, je me sens hypra salope aujourd'hui ! >>. Nous rigolons en revêtant nos Levis et sweats.

Interdiction d'entrer dans la cuisine. C'est le domaine réservé de Julie que nous entendons s'affairer. Assises sur mes genoux, mes deux anges allument l'ordinateur. Une rapide visite sur nos boîtes mails. C'est juste Estelle qui a un courriel de ses parents. Ils ont leur avion pour l'Écosse demain matin. Ils y resteront jusqu'à dimanche. Le temps de finaliser l'achat de leur seconde maison. Acte notarié et déclaration foncière. Bref, tout l'administratif. Aussi complexe qu'en France. Nous visitons quelques sites touristiques inhérents au Massif du Jura.

Avec cette météo épouvantable, il n'y aura pas de randonnées. Alors que tout autour de nous d'attirantes montagnes invitent à la découvertes pédestres. << Regardez un peu, ce ne sont pas les itinéraires qui manquent. Le circuit du Mont Bayard par exemple. Ça a l'air super ! >> montre Estelle, son doigt sur l'écran. << Ou encore le Mont Chabot. Regardez comme c'est beau ! >> rajoute t-elle. << Quand il ne pleut pas ! >> surenchérit Clémentine. << On est condamné aux visites de musées. On peut se faire celui de l'abbaye ! >> dit elle.

Je dis : << On peut aussi se faire les petites routes de montagne. Il y a probablement des auberges qui servent de bons chocolats chauds ! >>. En même temps mes deux anges mitraillent mes joues de bises. << En voilà une bonne idée. Put-hein on s'en fout des visites culturelles ! >> s'écrie Estelle. << Pour sûr ! On est là pour s'éclater. Pour décompresser pour oublier le boulot ! >> dit Clémentine qui se lève d'un bond pour passer sous la table. J'ai la braguette béante. Elle fouille un peu dans mon slip de ses deux index pour en extraire le Zob.

Estelle se redresse à son tour pour passer derrière moi. Elle reste debout. Penchée en avant pour me faire de doux suçons dans la nuque. Je vacille sous l'effet de ces doubles caresses. Clémentine mâchouille la peau de mon prépuce. Quand je ne bande pas elle peut la tirer comme un chewing-gum. Elle cesse pour dire : << Et si tu t'allongeais sur le lit ? >>. Estelle rajoute : << Bien à l'aise, hein ? >>. Clémentine se relève. Mes deux coquines m'entraînent par les mains pour me faire tomber sur le plumard. Elles s'allongent de chaque côté tout en riant.

Elles se refilent ma queue. Quand l'une suce, l'autre donne ses impressions. Elles parlent bites. Celle de monsieur Bertrand, notre voisin qui reste une des préférées de Clémentine. Estelle qui précise : << Ma préférée c'est celle de Julien ! >>. Je me laisse emporter dans les vertiges d'un enchantement paradisiaque. Je caresse leurs nuques. Parfois je tiens leurs nattes comme des laisses. Nous rions souvent d'une plaisanterie. Facétieuses mes deux anges s'amusent avec des façons rigolotes de pomper. C'est comme ça que Julie nous surprend à midi.

Elle reste comme interloquée dans l'encadrement de la porte. << Mille excuses. Je venais juste pour dire qu'on mange ! >>. Nous éclatons de rire. << Tu veux un petit apéro avant ? >> demande Estelle. Clémentine agite son index pour l'inviter à se joindre à nous. Julie reste hésitante et fini par dire : << Ça va refroidir. Ce serait dommage ! >>. Nous nous levons d'un bond. Estelle s'exclame : << Nécessité fait loi ! >>. Quelle belle surprise. Julie a confectionné un repas de roi. Pour trois reines. Des pommes de terrer farcies avec des aubergines.

Une salade d'endives en entrée. Inutile de préciser que ce repas exquis vient souligner un état d'hédonisme auquel nous allons consacrer la journée. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les différentes options de l'après-midi. L'exploration de la région en voiture reste celle qui est retenue. Saint Claude est une petite commune d'à peine dix mille habitants. Mais les montagnes environnantes doivent révéler des découvertes extraordinaires. Rapidement, sur son téléphone, Estelle trace un semblant d'itinéraire. Le pain de sucre, le crêt pourri, etc...

Nous traînons à table. Il y a un GPS dans le véhicule de location. Aucune hésitation. L'après-midi sera consacré à de longues errances sur les routes du massif montagneux autour de Saint Claude. Sous une pluie incessante. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Julie s'amuse de nos clowneries sans jamais y participer vraiment. Elle semble tellement heureuse. Tellement détendue. Comme emportée dans une autre dimension. Ce sont ses premières vraies vacances loin de chez elle. Elle est radieuse.

Nos anoraks. Nous dévalons l'escalier. Les propriétaires doivent avoir de la visite car nous entendons des rires. Il y a plusieurs voitures garées dans la cour. Il pleut. Je demande : << Qui veut nous conduire vers les découvertes ? >>. Estelle et Clémentine pointent leurs index vers moi sans répondre. << On peut toujours permuter en fonction des évènements ! >> lance Estelle. C'est parti. Je roule doucement. Nous sommes au cœur du parc du Haut Jura. Chaque route quitte Saint Claude vers la montagne. Nous prenons la direction des gorges du Flumen.

L'étroite départementale ne tarde pas à se transformer en route de montagne. Des virages en épingles à cheveux. Clémentine joue avec ma queue. Estelle et Julie, à l'arrière, font des photos, commentent le paysage. Sur son téléphone Estelle cherche les descriptions et l'historique des lieux que nous découvrons. Parfois, toutes les deux se redressent pour regarder ce que fait Clémentine. Surtout quand elle se penche sur sa gauche pour me sucer quelques secondes. << J'en veux aussi ! Je suis toujours condamnée à rester derrière ! >> s'exclame Estelle.

Nous rions de bon cœur. Je roule excessivement lentement. À tel point que les très rares voitures qui arrivent derrière nous klaxonnent. Je me serre au maximum à droite pour qu'elles dépassent d'un coup d'accélérateur rageur. Nous arrivons vers le sommet du "chapeau de gendarme". Il y a quelques véhicules garées sur le parking. C'est un point de vue sur le panorama. Quelques touristes sous les parapluies. Avec cette météo la vision ne porte pas loin, dommage. Nous ne nous attardons pas. Clémentine propose de prendre le volant. Superbe.

Elle dit : << C'est toujours Julien qui doit faire le chauffeur ! >>. Estelle rajoute : << Je viens devant ! >>. Je suis installé à l'arrière. Julie à ma droite. Toute timide, serrée contre la portière. Je passe mon bras autour de ses épaules pour dire : << Merci pour ce délicieux repas. On s'est régalé ! >>. Julie m'adresse un furtif sourire. À l'avant, Clémentine et Estelle s'amusent à comparer les plats préparés par Julie. Je sors ma bite toute molle mais dégoulinante de foutre. Je me suis fais sucer plusieurs fois depuis ce matin. L'excitation secrète des épanchements.

Julie louche sur mon sexe. Il devient d'ailleurs très rapidement son principal centre d'intérêt. Estelle se retourne souvent pour mâter. Clémentine nous observe dans le rétroviseur. Estelle réserve une table dans un restaurant pour la soirée. Clémentine roule prudemment et lentement. Les paysages de montagnes ne sont pas à leur avantage avec cette pitoyable météo. Je saisis le poignet de Julie afin qu'elle choppe ma bite en érection. Elle hésite. Mais quand elle me la tient, c'est fermement. J'appuie sur sa nuque pour la faire se pencher.

Aucune résistance. Julie se retrouve avec ma queue ruisselante dans la bouche. Elle émet un gémissement de ravissement en se mettant à pomper comme si sa vie en dépendait. Estelle ne cesse de se retourner pour regarder. Parfois elle passe son bras à l'arrière pour caresser les cheveux de Julie. << Tu te régales de la bite de ce vieux salaud ? >>. Sans cesser de pomper Julie émet un gémissement affirmatif. Estelle me traite de << Vieux pervers ! >> ou encore de << Vieux salaud ! >>. Clémentine ralentit encore pour mieux voir dans le rétroviseur.

Nous parcourons probablement une cinquantaine de kilomètres à travers cette partie du massif montagneux. Dommage que cette météo pourrie gâche un peu du plaisir visuel. Je me fais tailler une pipe des familles. Quand Estelle se retourne je bouge doucement du bassin pour me masturber dans la bouche de Julie. J'appuie sur sa nuque. Je me comporte en véritable vicelard. Clémentine m'adresse des clins d'œil dans le rétroviseur. << Demain c'est à moi ! >> s'écrie soudain Estelle qui se touche. << Et après demain à moi ! >> lance Clémentine.

Bonne soirée à toutes les coquines qui vont s'offrir une délicieuse spécialité régionale avant de s'offrir de la queue sous les draps...

Julien (vicelard pour jeunes filles en vacances)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 27 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2225 -



Troisième journée à Saint-Claude

Hier matin, mercredi, notre grasse matinée nous entraîne jusqu'aux environs de neuf heures. C'est convenu avec Julie. C'est à cette heure qu'elle doit nous réveiller. C'est donc sa voix douce qui fait : << Bonjour. Le petit déjeuner est prêt ! >>. Nous ouvrons les yeux en nous étirant. << Bonjour Julie ! >> faisons-nous en même temps. Elle nous dépose à chacun une bise sur le front. << T'es réveillée depuis quelle heure ? >> lui demande Estelle. << Depuis une heure ! >> répond Julie. Clémentine rajoute : << Tu es une lève tôt toi ! >>. Nous bâillons.

Estelle, dans son pyjama mauve se lève pour se précipiter aux toilettes. Julie quitte la pièce. C'est à notre tour d'aller investir les WC. Nous rejoignons Julie et Estelle dans la cuisine. Le café fumant, les tranches de pain grillé. Les jus d'oranges fraîchement pressés. Les kiwis pelés. De quoi flatter nos appétits. Nous remercions Julie. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée au restaurant. C'est très agréable de découvrir de nouveaux établissements gastronomiques. << On devrait êtres employés chez Gault et Millau ! >> lance Estelle.

Nous en rions de bon cœur quand Clémentine fait : << Non, chez Michelin ! >>. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de l'après-midi. Comme la météo est sensiblement la même je propose un remake en voiture. << Je veux être assise derrière ! >> s'écrie Estelle. Nous rions aux éclats. Surtout quand Julie lance : << On y est bien je t'assure ! >>. C'est la toute première fois que nous voyons Julie mimer une fellation. Une bosse avec sa langue à l'intérieur de sa joue. Tournant le poing fermé devant sa bouche. Bien vulgaire.

Elle n'ose pas soutenir mon regard. Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine. Toute aussi vulgaire. Je me lève à mon tour. Avec Clémentine nous sommes en slips et en T-shirts de nuit. Je sors ma queue. << Oh monsieur que faites-vous là ! >> s'écrie Julie décidément très facétieuse, se révélant sous un jour nouveau. Nous en rigolons comme des bossus. Nous traînons à table. << Allez faire votre gym, je m'occupe de tout ! >> lance encore Julie qui se lève pour se mettre à débarrasser. Une bise sur son front avant de la quitter.

Après nous êtres lavés les dents, nous posons les couvertures au sol. Les échauffements de l'aérobic avec double durée. Les exercices au sol. Sur les couvertures nous pouvons pratiquer les abdos sans avoir trop mal aux vertèbres. Quelques mouvements de force et des pompes. Les étirements salvateurs d'un stretching appliqué et bien exécuté. Estelle prend sa douche la première. Clémentine et moi faisons tourner une machine. Culottes, slips, chaussettes et sweats. C'est à notre tour d'aller sous l'eau. Vêtus tous les trois à l'identique. Levis, sweats.

Julie est installé dans le fauteuil avec un livre. Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine allument l'ordinateur. Juste un courriel de Juliette. Elle joint souvent une photo d'elle avec ses messages. Cette fois encore sur un des chevaux de son haras. << Elle est hyper photogénique cette vieille pouffe ! >> lance Estelle. << Elle a fait du porno entre 28 et 35 ans ! >> s'exclame Julie. << Oui, elle nous a raconté ! >> précise Clémentine. << Elle prenait l'avion pour aller tourner des films en Californie ! >> rajoute Julie. Nous le savons bien.

Juliette nous a raconté son passé sulfureux. Elle était encore mariée à un riche industriel américain. Clémentine répond au mail en joignant une photo de nous trois. Sans Julie qui n'y tient pas du tout. Elle a entretenu il y a quatre ans une relation particulière de quelques mois avec Juliette. Ça s'est très mal terminé. Julie disant d'elle : << C'est une mère maquerelle ! >>. Ce qui nous amuse toujours énormément. Nous surfons sur les sites touristiques du massif du haut Jura. Il y a plein de choses à voir, d'endroits à visiter. Nous envisageons un parcours.

Il est onze heures quinze. Julie nous laisse en disant : << Interdiction d'entrer dans la cuisine ! >>. Elle nous dépose à chacun une bise sur le front. Estelle qui me palpe la bosse, s'écrie : << Mais tu bandes ! C'est les histoires avec Juliette qui te mettent dans cet état ? >>. Elle fourre sa main dans ma braguette toujours béante. Quand je suis en érection il est difficile d'extraire le Zob. Aussi, c'est Clémentine qui déboutonne mon pantalon. Une fois ouvert c'est facile de sortir ma queue du slip. << C'est l'évocation de Juliette ? >> demande Clémentine.

Je réponds par l'affirmative. Estelle s'accroupit devant moi, me tenant par les fesses pour garder son équilibre. Juste avant de lécher ma bite sur toute sa longueur, depuis les couilles, elle dit : << Je m'entraîne pour cet après-midi ! >>. Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche. Méthode infaillible pour stimuler ma libido. Estelle se redresse d'un bond en lançant : << Pas avant cet après-midi ! >>. Nous en rions de bon cœur. Clémentine passe derrière moi pour me branler en disant : << C'est génial d'avoir une queue toujours à disposition ! >>

Estelle retire soudain son Levis et sa culotte en s'écriant : << On peut s'en servir quand on veut ! >>. Elle se couche sur le lit, cuisses largement écartées. Elle montre son sexe de l'index de sa main gauche. De l'index de sa main droite elle me fait signe de la rejoindre. C'est Clémentine qui m'entraîne par la queue. Je reste en appui sur les bras pour ne pas peser de tout mon poids. Clémentine introduit mon sexe dans celui d'Estelle. << Tu baises bien le soir sous la couette ! >> dit elle en faisant allusion à ce qui s'est encore passé au lit hier soir.

Elle se met à imprimer un rythme soutenu avec son bassin. Je bouge en même temps. Les couilles dans la poigne ferme de Clémentine. Elle ne tarde pas à retirer son pantalon et sa culotte. << Fais-moi une place ! >> dit elle à Estelle. Je passe de l'une à l'autre. Nous préférons pratiquer sur une table. Ou sur un bureau comme à la maison. Pour moi c'est beaucoup plus confortable de baiser debout. Nous avons les mentons trempés de salives. Elles m'embrassent toutes les deux comme des dingues durant la saillie. Je les baise à la hussarde. Avec fougue.

C'est ainsi que Julie nous découvre. << C'est donc ça que j'entendais ! On peut manger. Ne tardez pas ! >> lance t-elle en venant tourner autour du lit. Je me retire de Clémentine toute tremblante de plaisir. Nous sommes tous les trois tous rouges et en sueur. Je me lève le premier pour remettre mon slip et mon pantalon. Estelle et Clémentine font pareil. Julie m'adresse de rapides, furtifs et étranges regards. Nous la suivons dans la cuisine. Quelle belle surprise. Une tourte aux champignons accompagnée d'une laitue délicieusement assaisonnée.

Nous remercions Julie pour ce superbe repas. << Une recette de Jean-Louis. Une recette de Chef ! >> précise t-elle. Nous mangeons de bon appétit en parlant cul. << Ça fait trois jours et tu n'as pas encore baisé avec Julien ! >> lance Estelle. Julie répond : << Il faut que je m'adapte à votre rythme. Vous faites ça tous les soirs. Je m'endors en vous entendant gémir ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Nous traînons à table en envisageant des possibilités de baiser en extérieur. << Dans la voiture je n'aime pas ! >> précise Julie. Nous l'écoutons.

Elle nous raconte ses frustrations. Elle déteste baiser à l'arrière d'une bagnole. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Nous enfilons nos anoraks. Le rythme et l'emploi du temps de nos vacances sont tributaires de cette météo épouvantable. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle et Julie sont assises à l'arrière à commenter le paysage. À revenir sur nos aventures passées. << On se fait un film un de ces après-midi ? >> propose Estelle. << Oh oui ! >> s'exclame Julie.

Nous prenons sensiblement le même itinéraire que hier. Il pleut. Il cesse. Il recommence. Nous reconnaissons les endroits parcourus hier. << C'est ici que tu es passé à l'arrière ! >> me fait Estelle en passant ses bras autour de mon cou. Je m'arrête sur le bas côté. Nous sortons dans la légère accalmie. Il y a même une légère brume. Un peu comme si nous étions en automne. C'est agréable de faire quelques pas. Impossible de voir la vallée. Estelle n'arrête pas de me palper. Julie nous observe avec de grands yeux, bouche ouverte. Je fais un clin d'œil.

Clémentine la prend par le bras. Il y a de rares voitures qui passent. Il fait plutôt froid. En interrogeant la météo sur son téléphone, Estelle s'écrie : << Onze degrés ! Et probablement moins ici, en altitude ! >>. Nous retournons à la voiture. Clémentine s'installe une nouvelle fois au volant. Julie s'assoit sur le siège passager. Estelle et moi sommes vautrés à l'arrière. Elle me sort la queue qu'elle tient fièrement comme un trophée. Julie et Clémentine sont retournés pour bien nous observer. << Je vais lui faire une pipe à notre vieux pervers ! >> lance Estelle.

Clémentine démarre. Julie reste avec la tête tournée pour ne rien perdre de ce spectacle. Je me fais tailler une authentique pipe des familles. Clémentine roule lentement. Elle me fait de délicieux sourires dans le rétroviseur. Parfois un clin d'œil. Je bouge doucement du bassin pour me masturber dans la bouche d'Estelle. Estelle qui, quand elle cesse, la bouche ruisselante de foutre, tend ma queue en direction de Julie. << Tu veux nous rejoindre à l'arrière ? On se la partage ! >>. Julie répond : << Non, je te la laisse, je l'avais hier ! >>

Il y a une sorte de construction en pierre. Sans doute les ruines d'une ancienne entreprise. Une petite route qui part sur la gauche. Le GPS permet de prendre des directions totalement improvisées. << J'adore conduire dans ces conditions ! >> lance plusieurs fois Clémentine. Je me comporte en véritable vicelard avec Estelle. Pour reposer sa nuque qui commence à devenir douloureuse, Julie bavarde avec Clémentine. C'est surréaliste car elles parlent de leurs études. Julie prépare sa Licence de Lettres Modernes au mois de juin. Je me fais sucer à l'arrière.

J'appuie sur la nuque d'Estelle. Elle toussote. Elle déglutit avec peine. Les gargouillis, les bruits bulleux attirent l'attention de Julie qui se retourne pour regarder. Je lui fais un clin d'œil en appuyant sur la nuque d'Estelle. Je dis : << C'est superbe de se faire vider les couilles sur les petites routes du Jura ! >>. Clémentine dit : << Jura suck park ! >>. Nous rions de bon cœur. Je devine l'envie de plus en plus forte de Julie quand Estelle lui propose de nous rejoindre. << Tu veux que je m'arrête ? >> demande Clémentine. Julie répond : << Non non ! >>

Pour entretenir sa volonté elle prend son téléphone. C'est elle qui réserve une table dans un restaurant. "La table de la Mainaz". Un établissement gastronomique recommandé par le guide Michelin. Estelle commence à donner des signes de fatigue. Elle cesse de plus en plus souvent pour laisser reposer sa mâchoire. La bouche pleine de foutre qu'elle adore laisser se diluer dans sa salive. Comme Clémentine. Julie ne sait pas encore apprécier cette formule. Les expressions de son visage trahissent sa profonde envie de nous rejoindre à l'arrière.

J'allonge le bras en me redressant. Entre les deux sièges avant, je glisse ma main sur la nuque de Julie en demandant : << Torticolis ? >>. Elle répond : << Non ! >>. Nous redescendons par le viaduc qui surplombe la Bienne. Cette rivière aux eaux tourbillonnantes. Il ne pleut plus. Il est dix huit heures trente. Pourquoi ne pas se garer quelque part en ville et flâner un peu ? J'ai la bite congestionnée. Quand j'en fais part aux filles, Estelle me dit : << Tu te les vides ce soir, au lit ! >>. Nous rions en parcourant l'artère principale et presque déserte.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui vont se régaler d'un bon repas gastronomique. Faire quelques tours aux toilettes hommes pour sucer un peu. Chacune à son tour...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 28 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2226 -



Quatrième journée à Saint Claude

Il est presque neuf heures hier matin, jeudi. Julie, déjà debout depuis sans doute un bon moment, vient nous réveiller. Je suis entre Estelle et Clémentine. << Bonjour, le petit déjeuner vous attend ! >> fait Julie en contournant le lit pour nous faire des bises. Nous nous étirons en modulant nos gémissements jusqu'à l'absurde. Ce qui nous fait rire aux éclats. Julie file à la cuisine en même temps qu'Estelle qui se précipite aux toilettes. Clémentine saisit ma tumescence en murmurant : << J'adore quand tu fais ton vicieux à l'arrière de la voiture ! >>.

C'est à notre tour d'aller pisser. En slips et T-shirts de nuit nous rejoignons Estelle et Julie dans la cuisine. Nous remercions Julie pour sa charmante attention. Elle nous gratifie de la préparation de deux repas chaque jour. << On n'a pas emmené une boniche avec nous ! >> lance Estelle. << J'adore tout préparer. Je fais pareil à la maison. Et puis comme je me lève tôt ! >> précise Julie. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée au restaurant. Encore une belle découverte et un délicieux repas. Julie s'assoit sur les genoux d'Estelle.

<< Bonjour les amoureuses ! >> dit Clémentine. Nous en rions de bon cœur quand Clémentine s'assoit sur les miens. Nous mangeons de bon appétit en envisageant différentes options pour l'après-midi. Dehors, c'est sensiblement la même météo. La température extérieure n'excède pas 7°. Il n'est que neuf heures quinze. Il ne pleut pas mais le ciel reste menaçant. Gris, bas, empli de nuages sinistres. << Ce sera une virée en bagnole ! C'est à mon tour d'être installée à l'arrière ! >> fait Clémentine. Nous traînons à table en bavardant, en riant.

Il est convenu d'un point décisif. Ce sont les vacances. Peu importe les conditions climatiques. Il n'y a rien à regretter. L'important reste le repos. Comme le précise Clémentine : << Un peu de paresse fait du bien ! >>. Julie commence à débarrasser. << Allez faire votre gym, je m'occupe de tout ! >>. Avant de quitter la cuisine nous déposons chacun une bise sur son front. Nous étalons les couvertures au sol. C'est beaucoup moins douloureux pour les vertèbres en pratiquant les exercices et les abdos. D'abord les échauffements aérobic des sauts.

Soudain Clémentine se tient le ventre. Elle se précipite aux toilettes. Elle vient nous rejoindre en disant : << J'ai mes "petits machins" ! >>. En faisant les premiers sauts elle a ressenti un sorte de contraction. << Même pas mal ! >> lance t-elle en s'y remettant. Les exercices au sol, surtout les groupés, les enroulements et les déroulements de colonne sont efficaces. Des massages internes des viscères qui agissent un peu comme un anesthésiant. Les étirements soignés d'un bon stretching et nous passons à la salle de bain. Estelle prend sa douche la première.

Nous décrochons le linge lavé hier et qui a séché sur l'étendoir. Il fait bien chaud dans tout l'appartement. Comme tous les vingt huit jours j'assume le rôle du "docteur Julien". Je pose mes lèvres sur le fin coton du T-shirt de Clémentine. J'insuffle de l'air chaud sur chacun de ses seins. Je masse délicatement son bas ventre. << Mmhh, docteur, vos thérapies sont si efficaces ! >> murmure t-elle. Comme au premier jour de chacune de ses règles, Clémentine appréhende un peu d'aller sous l'eau. C'est souvent le déclencheur de ses premières douleurs.

Ça se passe plutôt bien cette fois encore. Clémentine a pris son médicament. Tout juste une désagréable congestion qui va durer trois jours. Se faisant plus où moins ressentir par moments. Par contre les extrémités de ses seins restent hyper sensibles et en érection presque permanente. Nous nous habillons tous les trois de nos Levis, épaisses chemises à carreaux. En revenant dans la chambre nous retrouvons Julie plongée dans sa lecture. Elle est installée dans le seul et unique fauteuil. Assises sur mes genoux les filles allument l'ordinateur.

C'est juste Estelle qui a un courriel. Ses parents sont bien arrivés en Écosse où c'est toujours encore l'hiver. Pas de chance cette année avec cet hiver qui joue les prolongations. Nous surfons sur les sites jurassiques. Dehors il y a soudain un ensoleillement. La seule chose réellement frustrante est d'être dans une région à randonnées et de ne pas pouvoir en faire. << Je conduis l'auto cet après-midi ! >> lance laconiquement Estelle. << J'en profiterai pour prendre mes gouttes ! >> fait Clémentine en mimant une fellation. Poing devant la bouche.

Nous envisageons quelques itinéraires sur les routes sinueuses des montagnes qui nous entourent. Saint Claude étant une enclave dans une vallée. Des constructions sur les flancs en pentes douces. << On a encore le musée de l'Abbaye à voir ! >> précise Clémentine. Nous étudions différents itinéraires. Il y a environ cent kilomètres qui nous séparent des grottes d'Osselle. Environ quatre vingt kilomètres qui nous séparent d'Ornan où nous aimerions revoir le musée Gustave Courbet. Dans la maison natale du peintre. Avec cette météo ce serait parfait.

<< C'est vrai ! Si déjà on roule ! >> précise Estelle. Je suggère d'aller faire un tour dans la Suisse voisine qui n'est qu'à une cinquantaine de bornes. Faire une excursion autour du lac Léman. Estelle se lève pour aller ranger le linge dans l'armoire. Clémentine se lève pour s'accroupir entre mes jambes écartées. Elle me sort la queue. Ses mains posées à plat sur mes cuisses elle en hume les parfums. << Ça sent le savon ! >> lance t-elle. Estelle découvre la scène en refermant l'armoire. Elle dit : << C'est bien mieux quand ça sent la bite ! >>

Julie qui fait à présent semblant de lire louche sur ce qui se passe. << Je prends mon médicament ! >> lance Clémentine avant de gober mon sexe tout mou. Il disparaît entièrement dans sa bouche. << Respecte la posologie ! >> s'écrie Estelle qui vient nous rejoindre. Elle retire son pantalon et sa culotte. Elle s'assoit sur la seconde chaise. << Julie ! >> s'exclame t-elle en pointant son doigt vers sa chatte velue. Julie saute de son fauteuil d'un bond pour accourir à toute vitesse. Elle se met de suite à genoux entre les jambes écartées d'Estelle.

Nous savons que Julie est bisexuelle. Qu'elle a peut-être même une préférence pour les filles. Clémentine cesse de sucer. Nous regardons Estelle se faire bouffer la chatte. << Dis donc, tu as faim toi ! >> lance t-elle à Julie qui garde son visage enfuit dans l'invraisemblable touffe de poils. Estelle la saisit par la tête. Se contorsionne pour trouver l'angle le plus favorable. Clémentine se remet à sucer. Estelle et moi nous nous regardons. Complices de rapports génitaux buccaux que nous apprécions plus que tout. Estelle n'est absolument pas portée sur les filles.

Mais il est convenu que Julie est notre mascotte sexuelle. Et elle se conforme parfaitement à ce qui a été décidé. Nous nous sourions. Nous nous faisons des clins d'œil. Nous nous faisons des grimaces. Clémentine ouvre parfois les yeux pour nous surprendre. Je bande comme le dernier des salauds. C'est un moment magique. Dehors il se remet à pleuvoir. << Tu vas m'emmener au bout petite salope ! >> lance soudain Estelle qui repousse sans ménagement Julie qu'elle tient par ses cheveux. Elle se lève pour la trainer à quatre pattes autour du lit.

<< Regardez-moi notre étudiante en Lettres Modernes ! Si c'est pas beau ça ! >> lance Estelle alors que Julie semble jouir de cette situation. Nous la savons extrêmement "soumise" et toujours désireuse d'être traitée comme telle. Soudain, comme si elle tentait de reprendre le dessus, Julie se relève d'un bond. Estelle la lâche comme inquiète. << Je vais préparer le repas ! >> dit elle en courant vers la porte. Estelle vient rejoindre Clémentine. Toutes les deux se refilent ma queue dégoulinante. Quand l'une suce, l'autre évoque Julie.

Nous cessons pour reprendre nos esprits. Toutes les deux gardent du foutre dans la bouche. Estelle se rhabille. Elles se montrent la substance qu'elle avalent en même temps dans une horrible grimace en levant les pouces. Je veux remballer quand Clémentine s'exclame : << Non, je veux mon distributeur de sirop à portée de main ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Nous restons devant l'ordinateur à établir l'itinéraire de l'après-midi. Clémentine émettant une nouvelle fois le désir d'être installée avec moi à l'arrière de la voiture.

Je propose de faire d'abord le musée de l'Abbaye. << Non demain ! >> s'écrie Clémentine. Il est un peu plus de midi. Julie entre dans la chambre : << On peut passer à table ! >> lance t-elle. Morts de faim nous nous levons d'un bond. Quelle belle surprise. C'est un gratin de courgettes et d'aubergine. Une salade de tomates en entrée. Nous couvrons le visage de Julie de bises en la remerciant. Nous mangeons de bon appétit. << Tu es une superbe lécheuse ! >> lance Estelle. Julie baisse les yeux en rougissant. << Merci ! >> répond t-elle timidement.

Nous traînons à table en évoquant ce film porno privé et personnel que Julie et Estelle ont le souhait de réaliser durant ces vacances. << Je film ! >> précise Clémentine qui rechigne toujours à apparaître à l'image. << Ce week-end ! Élaborons un scénario bien vicelard ! >> suggère Estelle. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Pressés de filer, nous mettons nos anoraks avant de dévaler l'escalier. On entend des rires chez les propriétaires. Ils ont de la visite.

Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Nous prenons l'étroite route qui monte dans la montagne en direction inverse. Cette fois vers la frontière Suisse. Même paysage de roches, de profondes forêts d'épineux et de feuillus. Estelle et Julie assises à l'arrière qui n'arrêtent pas de rire. Clémentine se penche parfois sur sa gauche pour me sucer. Estelle et Julie cessent de causer pour regarder. J'arrête la voiture. Il pleut. Il faut changer de place très vite. Estelle se met au volant. Julie s'installe dans le siège passager. Clémentine et moi à l'arrière.

Je me fais tailler une pipe des familles. Estelle conduit avec beaucoup de prudence. Julie à ses côtés se retourne tout le temps pour observer cette fellation juteuse et sonore. Les gargouillis, les bruits bulleux, les gémissements gourmands de Clémentine. << Tu veux me lécher la chatte ? >> demande soudain Estelle. << Oh oui ! >> s'écrie Julie. Estelle se gare sur un petit emplacement devant un abri de promeneur. Il n'y a personne. Un brouillard s'est levé. Empêchant de distinguer à plus de vingt mètres. Estelle, avec de multiples contorsions se dévêt.

Installée sur le siège passager, les pieds posés sur le tableau de bord, Julie à genoux au sol, elle se fait brouter. Nos gémissements envahissent l'habitacle. C'est absolument divin. Estelle oriente le rétroviseur afin que nous puissions nous lancer des regards. Nous adresser des clins d'œil. Tout en se faisant bouffer la chatte elle s'empare de son téléphone pour dire : << Je réserve une table dans un restau pour ce soir ! >>. Je dis : << Fais-nous une belle surprise ! >>. Je me redresse avec peine pour essayer de distinguer la "brouteuse". Je vois juste ses cheveux.

Nous restons ainsi un très long moment. Estelle et moi bavardons en nous faisant bouffer. Ce qui fait glousser de rire Clémentine et Julie. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. Parfois Estelle rejette sa tête en arrière en poussant de petits râles de jouissance. Il est décidé de ne pas aller jusqu'à l'orgasme. Nous nous gardons pour ce soir sous les draps. Comme chaque soir Julie pourra s'endormir en nous observant depuis son canapé lit. Je tiens Clémentine par sa natte pour la faire cesser. La bouche ruisselante de foutre elle macule ma braguette.

Julie se redresse. Le bas du visage trempé des sucs d'Estelle. En s'installant au volant, elle dit : << Put-Hein Julie, t'es une merveilleuse bouffeuse de chatte. Je vais devenir gouine si tu continues ! >> Julie pose sa tête contre son épaule en murmurant : << Ce serait super toutes les deux ! Je t'aime tu sais ! >>. Estelle désamorce immédiatement la gravité des propos de Julie en précisant : << Je préfère les bites ! Pas de bol ! >>. Nous rions aux éclats en prenant la route en direction de Saint-Claude. Un bon restaurant nous y attend. Faim.

Presque dix neuf heures quand nous sommes attablés tous les quatre. Le "Panoramic" est un établissement étoilé recommandé par le guide Michelin. Le service impeccable. La cuisine divine. << Demain je te promène à la laisse ! Ça te chante ? >> lance Estelle en revenant des toilettes où elle m'a entraîné. << Oh oui ! >> répond Julie que Clémentine encourage à m'accompagner aux chiottes. Nous attirons évidemment bien des regards. Cet homme d'âge mûr en compagnie de trois jeunes filles. Nous nous en amusons beaucoup. Visite aux WC.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui vont s'offrir un repas gastronomique. Se rendre dans les toilettes hommes pour sucer de la bonne queue de vicelard...

Docteur Julien



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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Classe - 29 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2227 -



Sixième journée à Saint Claude

Il est neuf heures hier matin vendredi. Julie vient nous réveiller avec cette bienveillance qui la caractérise. << Bonjour. Le petit déjeuner vous attend ! >> murmure t-elle en déposant une bise sur chacun de nos visages. On ouvre les yeux péniblement. Clémentine à ma droite, Estelle à ma gauche. << Venez vite le café est bien chaud ! >> rajoute notre bienfaitrice. Estelle se lève d'un bond pour aller pisser. Clémentine se love contre moi en murmurant : << J'avais un peu mal cette nuit ! >>. Je souffle de l'air chaud sur le coton de son T-shirt.

De l'air chaud sur ses seins douloureux. << Mmmhhh ! Merci docteur ! >> fait elle alors que je caresse délicatement son bas ventre congestionné. Elle attrape le flacon pour prendre son médicament. C'est le second jour de ses règles. Je la laisse aller aux toilettes seule. Pendant ce temps j'aère le lit en dépliant les couvertures. Clémentine ouvre la porte en disant : << Viens ! >>. Elle adore me tenir la bite pour en diriger les jets. C'est un rituel immuable. Parfois plusieurs fois dans la journée. Nous rejoignons Estelle et Julie dans la cuisine.

C'est magique. Tout est prêt. Nous remercions Julie pour ce cadeau tous les matins. << On t'emmène en Écosse cet été ! >> lance Estelle. Nous prenons ce copieux petit déjeuner en revenant sur nos virées "pipes" en voitures. << C'est assez génial de mettre à profit cette météo merdique ! >> confie Clémentine. << En tout cas c'est une superbe façon de décompresser ! >> rajoute Estelle alors que Julie vient s'assoir sur ses genoux. Clémentine vient s'assoir sur les miens. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les occupations de la journée.

Il y a des séquences ensoleillées au dehors. << On tente le jogging ? >> demande Clémentine. Julie interroge la station météo régionale sur son téléphone en faisant : << 7° ! >>. << Soyons fous. J'ai vraiment envie de courir ! >> s'écrie Estelle. Julie se lève pour commencer à débarrasser. Nous nous lavons les dents avec nos pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Julie est plié de rire. Nous aussi. On enfile nos tenues lycra. Les K-ways. Bonnets, gants. Nous laissons Julie. Chacun une bise sur son front. Nous dévalons l'escalier.

Dans le couloir nous tombons sur monsieur Bernard, le propriétaire. Nous bavardons un peu. Le coquin reluque mes deux anges avec un appétit d'ogre. Nous le laissons aux cartons qu'il empile contre le mur. Quelques mouvements d'échauffement dans un froid humide extrêmement désagréable. Nous avons bien repéré les lieux. Comme le sol est détrempé, c'est sur le bord de l'étroite route communale que nous courons. Malgré les conditions climatiques c'est un véritable moment de plaisir. On peut enfin se dégourdir les jambes. Bouger un peu.

Une heure d'un extraordinaire running. Il est dix heures trente quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première en chantonnant. Clémentine s'occupe de ses "petites affaires" aux toilettes. Je bavarde un peu avec Estelle qui me donne ses impressions quand au cunnilingus que pratique avec passion Julie. Nous en rions de bon cœur. C'est à notre tour d'aller sous la douche. Nous nous habillons tous les trois à l'identique. Levis, sweats, baskets. Nous rejoignons Julie plongée dans la lecture d'un de ses livres. Installée dans le fauteuil.

Assises sur mes genoux, mes deux anges allument l'ordinateur. Nous avons un courriel de Juliette qui nous raconte sa semaine. Elle joint une photo d'elle entre deux chevaux qu'elle tient par leurs longes. Les filles reçoivent par mails les dernières informations venant de l'université. << Ça va chauffer pour le troisième trimestre. Je sens qu'on aura un sacré besoin de décompresser cet été ! >> lance Estelle. Nous surfons sur les sites régionaux. << Put-hein il est onze heures et il ne pleut pas ! Que se passe t-il ? >> lance Estelle. C'est étonnant.

Julie referme son livre, se lève d'un bond en disant : << Interdiction d'entrer dans la cuisine ! >>. Elle se précipite vers la porte. << On se fait des trucs sympas avant la bouffe ? >> demande Estelle qui se lève pour mimer une masturbation masculine. Clémentine se lève en disant : << Je vous regarde ! >>. Elle se plaint de cette maudite congestion qui la contraint malgré son médicament anti douleurs menstruelles. Je passe ma main dans son jeans qu'elle garde déboutonnée pour soulager son ventre. J'insuffle de l'air chaud sur ses seins.

Estelle s'accroupit pour glisser sa main dans ma braguette béante. Elle en extrait facilement le locataire. Comme je ne bande pas c'est d'une simplicité déconcertante. Clémentine apprécie mes attentions en murmurant : << Merci docteur ! >>. Elle s'assoit sur la chaise mais avec le dossier en ses cuisses écartées. Les coudes posés et croisés. Estelle se redresse pour me tirer par la queue. Nous faisons deux fois le tour de la grande chambre. << Vous avez vu comme il nous mâtait l'affreux Jojo en bas, tout à l'heure. Je croyais qu'il allait nous bouffer ! >> dit elle.

<< J'aimerais bien voir sa bite. Je suis certaine que c'est un bon vicelard ce mec ! >> rajoute Clémentine. << Tu lui tends un de tes pièges ! >> suggère Estelle en me positionnant devant Clémentine. En agitant ma bite devant son visage. << On va mettre ça au point ce week-end ! >> lance t-elle avant d'ouvrir la bouche. << Prenez vos gouttes mademoiselle ! >> dit Estelle en fourrant ma queue dedans. Clémentine suce immédiatement avec fougue. Estelle met sa langue dans ma bouche en poussant un petit cri passionné. Je me fais tailler une superbe pipe.

<< Suivez bien la posologie. Consommez avec modération mademoiselle ! >> fait Estelle en se penchant pour observer de près. Clémentine cesse de pomper toutes les deux trois minutes. Ce qui permet de déglutir l'abondance de mon liquide séminale mais aussi de laisser reposer sa mâchoire. C'est Estelle qui prend alors le relai en suçant comme si sa vie en dépendait. Hier soir au lit, avant de dormir, nous avons encore baisé tous les deux alors que Clémentine se masturbait, se frottait contre moi. Et que Julie s'endormait en nous mâtant depuis son canapé lit.

Je me retire parfois pour reprendre le contrôle. De passer d'une bouche gourmande à une autre m'excite considérablement. Pas question d'éjaculer. Je veux être hyper "allumé" et "inspiré" pour le reste de la journée. << C'est prêt ! On mange ! >> dit Julie en tombant sur le spectacle. Elle se précipite pour mieux voir. Estelle lui tend ma queue en demandant : << Tu prends l'apéro ? >>. Julie se redresse en répondant : << Je préfère en digestif ! >>. Nous rions aux éclats. Les filles ont le bas du visage aussi trempé et dégoulinant que ma bite.

Morts de faim nous suivons Julie. Quelle surprise ! Ce sont des tomates farcies avec des coquillettes. Accompagnées d'une salade de concombre. Chacun, nous déposons des bises sur les joues de Julie qui glousse de plaisir. << Cet après-midi tu auras droit à lécher ma chatte ! >> s'écrie Estelle. << Tu le mérites amplement ! >> rajoute Clémentine. Julie passe sa langue sur ses lèvres en faisant : << Mmmhh ! >>. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. La visite de l'abbaye s'impose. Si déjà on est là.

Ce repas est succulent. << C'est une recette de Jean-Louis. C'est un grand Chef ! >> précise Julie. << C'est avant qu'il t'encule ou après ? >> demande Estelle. Julie éclate de rire avant de répondre : << Entre deux séances ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Nous traînons à table. Julie assise sur les genoux d'Estelle. Clémentine sur les miens. << Et ce film ? Qui a une bonne idée ? >> demande Estelle. Julie répond : << Il suffit de mettre en images les situations vécues dans la voiture ces trois derniers jours ! Simplement. Comme c'était ! >>

Nous trouvons la suggestion parfaite. << Je filme ! >> lance Clémentine. Nous faisons la vaisselle avant de passer dans la salle bain pour nous laver les dents. << Ce jogging ce matin m'a mis en super forme ! >> s'écrie Estelle. C'est vrai que ce running d'une heure nous a été bénéfique. << On rouillait ! >> fait Clémentine. Nous mettons nos anoraks. Pressés de profiter de ces éclaircis fréquents nous dévalons l'escalier. Il y a trois kilomètres jusqu'à Saint Claude. Je roule doucement. Clémentine tient ma queue de sa poigne ferme. Il y du soleil.

Estelle et Julie à l'arrière commentent les évènements passés et à venir. Il y a une grande complicité qui se créée entre Estelle et Julie. Elles sont serrées l'une contre l'autre en riant beaucoup. Julie se blottit souvent. Je vois bien que cela dérange quelque peu Estelle qui n'est absolument pas gouine. Mais elle a beaucoup d'affection pour Julie. Je gare l'auto sur le parking. Le bâtiment de l'abbaye est sans caractère. Très quelconque. Malgré nos passes touristiques il faut attendre dans la file. Il n'y a pas de scanner électronique. La visite est libre. Au choix.

La première impression passée, nous découvrons que les anciens bâtiments se trouvent à l'arrière. Nous pénétrons des grandes salles voutées. Un curieux mélange de style gothique, roman ou encore baroque. Leurs constructions ont certainement évoluées au fil des siècles. Il y a une résonance particulière selon les salles. Il y a des vitrines contenant des objets anciens. Des parchemins. Des pièces de monnaie. L'ensemble donne l'impression d'être parfois un fourre tout. C'est assez hétéroclite. Ce qui fait un des charmes du lieu. Estelle me touche.

Souvent en prenant des risques insensés elle palpe ma braguette. Nous nous faisons surprendre deux fois par des couples de visiteurs. Les regards qu'on nous lancent sont interrogateurs, consternés et parfois hallucinés. Un homme d'âge mûr que tiennent deux grandes jeunes filles accompagnés d'une plus petite qui semble très gênée. Nous nous en amusons. Je gronde Estelle qui répond : << On s'en fout. On est en vacances. Et puis il n'y a pas de caméra ! >>. C'est vrai. Aucune véritable surveillance à part cette dame à lunettes qui circule entre les salles.

Nous flânons. Il est seize heures quand nous sommes installés devant des chocolats chauds. Dans un salon de thé à l'intérieur très moderne. Première visite aux toilettes hommes avec Estelle que je baise en levrette. Ses main appuyées contre le mur. Une petite dizaine de minutes. Seconde visite avec Clémentine qui se régale du jus de ma bite. Une autre petite dizaine de minutes. Julie n'ose pas m'accompagner. Elle décline les propositions de Clémentine qui insiste. Celles d'Estelle qui finit par demander : << Et avec moi ? Ça te dit ? >> Julie qui hésite.

Elle regarde les autres clients attablés. Elle finit par dire : << Non, je ne me sens pas à l'aise ! >>. Nous respectons son choix. Julie n'a pas nos habitudes, nos culots ni nos témérités. Estelle, Clémentine et moi sommes de vieux virtuoses de la débauche en lieux publics. Nous flânons dans la rue principale. À nouveau le ciel devient menaçant. Il y a eu quelques épisodes pluvieux durant notre visite de l'abbaye. Tout est mouillé. Nous réservons une table dans un établissement gastronomique. C'est dans "Le mot de la faim" que se porte notre choix du soir.

Nous visitons la boutique d'un des diamantaires de la ville. Saint-Claude n'est pas seulement la capitale de la pipe mais également réputée pour la taille du diamant. C'est un artisan chaleureux qui nous reçoit. Il nous propose de visiter son atelier. Il y a d'autres visiteurs. Ce qui est présenté là ne vaut pas seulement de véritables fortunes mais est également admirable. Il y a un grand écran sur lequel nous pouvons voir le même homme en pleine taille. Une voix off qui commente chaque opération. Estelle me tripote discrètement. Je bande comme un vrai salaud.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui vont se régaler dans un endroit convivial. Avec visites dans les toilettes. Avant d'aller faire les folies habituelles sous les draps. Sous le regard d'une jeune voyeuse timide...

Julien



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Homme, 53 ans, France
Classe - 30 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2228 -



Septième journée à Saint Claude

Ponctuelle, Julie nous réveille à neuf heures. Elle qui est déjà debout depuis plus d'une heure. Clémentine à ma gauche, Estelle à ma droite nous ouvrons les yeux. << Le petit déjeuner vous attend ! >> lance Julie en contournant le lit pour nous faire une bise. Estelle l'attrape pour la faire tomber sur le plumard. Elles se font des papouilles en riant. << Viens avec moi toi ! >> fait Estelle en se levant d'un bond pour entraîner Julie aux WC. Clémentine et moi nous nous regardons. Interrogatifs. Avant d'éclater de rire nous aussi. On n'entend rigoler là-bas.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous rejoignons Julie et Estelle dans la cuisine. Les odeurs du café, du pain grillé. << Il faudra faire des courses aujourd'hui. On n'a plus rien ! >> précise Julie. Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur notre soirée au restaurant. C'est passionnant de découvrir chaque soir un endroit différent. Un plat gastronomique différent. << Ces vacances sont très exactement ce dont nous avions besoin ! >> dit Clémentine. << C'est vrai. C'est reposant, hyper cool. Juste ce qu'il fallait ! >> fait Estelle.

Nous mangeons de bon appétit en organisant le programme de la journée. Julie s'installe sur les genoux d'Estelle. Clémentine s'assoit sur les miens. Nous traînons à table. Nous rions de nos aventures avant qu'Estelle ne propose de tourner notre film cet après-midi. << J'ai un scénario ! >> s'écrie Julie. << Raconte ! >> lance Estelle << Une fille qui fait du stop ! >> Nous nous regardons. Et soudain très sérieux. Je demande : << Prise en stop avant d'être prise dans la bagnole ? >> Nous rions aux éclats. << J'ai dit une bêtise ? >> répond alors Julie.

Elle se lève pour commencer à débarrasser. << Allez courir, je m'occupe de tout. Je fais la liste des courses ! >> fait encore Julie. Nous allons dans la salle de bain pour nous laver les dents, nous changer. Clémentine se plaint d'une contraction du bas ventre persistante. Elle a pourtant pris son médicament. C'est le troisième jour de ses règles. Pour soulager un peu de sa peine je pose ma bouche sur le lycra de son sweat. Je souffle de l'air chaud sur chacun de ses seins minuscules aux extrémités dures. Nous dévalons l'escalier. Il y a un ciel dégagé.

La température extérieure est de 12°. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Nous pratiquons notre jogging sur le même parcours que hier. Une heure d'un agréable running avant de revenir pour dix heures trente. Estelle prend sa douche la première pendant que je défais la natte de Clémentine pour brosser ses cheveux. Elle adore être assise devant le miroir à se laisser coiffer. C'est à notre tour d'aller sous l'eau. Estelle défait sa natte. Je l'entends me dire : << Tu me coiffes, Julien ? >> À peine essuyé me voilà avec la brosse.

Vêtus tous les trois à l'identique, nous revenons dans la chambre. Julie, confortablement installée dans le fauteuil, plongée dans la lecture de son livre. Assises sur mes genoux, mes deux anges allument l'ordinateur. Un mail de ma famille d'Édimbourg, un autre de ma famille de Saint Andrews. Ils nous attendent pour cet été. Un message des parents d'Estelle qui reprennent l'avion demain dimanche pour rentrer d'Écosse. Un courriel de Juliette qui nous raconte ses aventures buccales de la semaine. Avec d'amusantes métaphores. Histoires de flûtes.

Il est onze heures quinze. Julie referme son livre, se lève d'un bond en disant : << Interdiction d'entrer dans la cuisine ! >>. Elle nous adresse un bisou qu'elle souffle dans sa main avant de refermer la porte. << Tu te fais bouffer la chatte cet après-midi ? >> demande Clémentine. Estelle répond : << Si ça fait partie de son scénario ! >>. Elle rajoute : << Sacré vicelarde pour vouloir se mettre en scène dans le rôle d'une stoppeuse ! >>. Clémentine précise : << On reste à l'arrière toutes les deux. Je filme. D'abord il faut faire les courses ! >>

Clémentine se lève pour aller vers l'armoire. Elle en tire la pochette contenant la caméra numérique. La batterie est chargée. La carte SD permet de filmer une heure en Full hd 1080p. << Ça prend moins de place sur la carte et c'est tout aussi bien qu'en 4K ! >> dit Clémentine. Estelle, à califourchon sur mes cuisses se frotte. << On se fait un film pour moi aussi. Je veux le même scénario ! >> fait elle. << On se le fait demain si tu veux ! >> conclue Clémentine qui vient nous rejoindre. Je dis : << Que diriez-vous toutes les deux d'un suçage de clito ? >>

Je ne suis pas obligé de le proposer deux fois. Estelle se lève d'un bond. Toutes les deux retirent leurs Levis, leurs culottes. Couchées sur le lit, les pieds au sol, elles m'offrent leurs minous. Pour Clémentine qui porte son tampon, ce sera juste du suçage de clito. Par contre pour Estelle ce sera la "totale". À genoux sur les oreillers, je commence par le clitoris géant de Clémentine. Dès que je le prend entre mes lèvres un spasme secoue tout son corps. Elle pousse un gémissement d'extase. Estelle se masturbe en mâtant. Je passe à son sexe déjà mouillé.

J'adore ce phénomène que je ne connais que chez Estelle. Je lèche sa fente en introduisant ma langue. C'est alors que ses lèvres jaillissent doucement comme les pétales d'une tulipe. C'est magnifique. Je fouille avec la langue. Les premières coulées de cyprine sont un enchantement. Quand je "l'explore" elle stimule son clitoris. Il est comme un petit bouton rose et lisse. Clémentine m'observe en se touchant, en se contorsionnant. Tout cela est une excellente entrée en matière. Une mise en bouche avant le repas de midi. Il fait faim.

C'est ainsi que nous surprend Julie quand elle entre dans chambre. << C'est prêt ! >> dit elle en se précipitant pour me regarder sucer le clitoris géant de Clémentine. << C'est impressionnant ! >> lance t-elle en découvrant une fois encore le prodigieux cadeau que la nature a offerte à Clémentine. << Tu aimerais y goûter ? >> demande t-elle. Julie répond : << Mais ça va refroidir à la cuisine ! >>. Comme pour se soustraire à la terrible tentation Julie file vers la porte. Estelle et Clémentine remettent leurs vêtements. Morts de faim nous rejoignons Julie.

Quelle surprise ! Des pommes de terre poêlées avec des filets de flétan. Une sauce à la crème fraîche et aux champignons. Nous remercions Julie pour cette nouvelle délicatesse en couvrant ses joues de bisous. << J'adore faire à manger. Ça me détend et je peux faire le point sur plein de choses ! >> se justifie t-elle. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le programme de l'après-midi. Après les courses il faudra d'abord revenir mettre les produits frais au réfrigérateur. Nous partirons ensuite sur un de nos itinéraires routiers pour faire le film.

<< Nous on est bien chaudes ! >> lance Estelle en se levant pour mimer une masturbation masculine. << Julien a fait le nécessaire ! >> rajoute Clémentine. Je me lève pour sortir ma queue. Toute molle je la fais tournoyer. "L'hélicoptère" amuse toujours beaucoup mes coquines. Je contourne la table pour m'appuyer contre l'épaule de Julie. Je frotte ma bite sur sa joue. Comme si c'était la toute première fois elle pousse un cri de surprise. Elle repousse sa chaise pour fuir ma vulgarité. Estelle et Clémentine me font un clin d'œil en même temps.

Je retourne m'assoir. Nous mettons les derniers détails du planning au point. << On monte au Mont Bayard pour faire le film. Il y a des tronçons de route qui se prêtent parfaitement à ce que nous voulons réaliser ! >> suggère Clémentine. << Je pensais pareil ! >> précise Estelle. << Ah oui, je me souviens. C'est là où il y a le petit chalet abri ? >> demande Julie. << Oui, c'est là ! >> précise Clémentine. Julie rajoute : << C'est parfait ! >> Estelle propose de s'occuper de la réalisation et de la mise en scène. << Demain c'est mon tour ! >> dit elle.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous nous lavons les dents dans la salle de bain. Julie s'amuse une fois de plus de nos pitreries devant le miroir de la salle de bain. En regardant par l'étroite fenêtre, Estelle s'écrie : << Regardez en bas, il y a le propriétaire ! >>. Nous regardons. En effet, monsieur Bernard est affairé dans le coffre de sa Volvo noire. << Attendez-moi là, je vais voir comment se comporte ce type ! >> lance Clémentine qui sort de la salle de bain. Nous passons dans la cuisine. La vue est meilleure et on peut mâter tous les trois.

Nous voyons Clémentine traverser la cour comme si elle n'avait pas vu le propriétaire. Lui par contre l'a vu. Clémentine s'installe au volant de notre voiture de location. Elle regarde l'écran de son téléphone. On ne distingue pas bien ce qu'elle fait. Par contre nous voyons le soudain comportement de monsieur Bernard. << J'en étais certaine. C'est un vicelard. Quand il nous parlait il nous bouffait des yeux ! >> dit Estelle. << C'est génial ! >> s'exclame Julie. Je suis en compagnie des deux plus grandes voyeuses qu'il m'ait été donné de connaître.

Elles sont toutes les deux scotchées sur ce qui se déroule sous nos yeux sidérés. Monsieur Bernard sort son sexe. << Put hein le machin ! >> murmure Estelle. Il tient dans la main droite un véritable tuyau d'arrosage. << Elle est plus grande que la tienne ! >> me fait Estelle. En effet, ce type a une queue qui doit avoisiner les 25 cm. Plutôt fine. Toute blanche, évoquant un boudin. Visiblement, il cherche une combine pour la montrer à Clémentine. Il croit qu'elle ne se doute de rien. Nous le regardons changer de position, se déplacer pour le meilleur angle.

<< J'adore ce genre de pervers ! >> chuchote Julie. << Moi aussi ! >> fait Estelle qui glisse sa main dans ma braguette. Je bande comme le dernier des salauds. J'aide Estelle à en extraire mon sexe. Sous le regard de Julie qui ne sait plus ou mâter. Le type quitte l'arrière de sa voiture pour se diriger vers le garage dont la porte est ouverte. Il y entre. On ne le voit plus. Clémentine, toujours assise au volant. Impossible de savoir ce qu'elle fait. Où se porte son regard. Il est certain qu'il se passe quelque chose. C'est frustrant. On ne voit pas !

Une dizaine de minutes se passent ainsi. << Il est probablement entrain de se branler et Clémentine le mâte depuis la bagnole ! >> suppose Estelle. << C'est certainement ce qui se passe ! >> fait Julie qui regarde de plus en plus souvent ma masturbation. C'est très excitant de la savoir sur ma gauche, son épaule contre moi, la tête baissée à observer ce que me fait Estelle. En oublierait elle de regarder ce qui se passe en bas ? Clémentine sort soudain de la voiture. Elle observe par dessus le toit qu'elle tient des deux mains. Pas de doute.

<< Elle nous racontera ! >> dit Estelle. Clémentine referme la portière. Sans cesser de se retourner elle traverse la cour. Elle disparaît. Quand elle nous rejoint dans la cuisine elle nous raconte : << Il faisait semblant de ne pas savoir que je le mâtais. Il se branlait en feuilletant des magazines. Génial ce mec ! >>. Julie garde son visage entre ses mains comme consternée par le récit de clémentine. Estelle me branle en posant des questions quand à des détails précis. << Non, je ne l'ai pas vu éjaculer. Mais il se tordait la bite dans tous les sens ! >>

<< Comme ça ? >> demande Estelle en tordant subitement mon sexe. Je bande et c'est presque douloureux. << Oui, comme ça et pour reprendre sa branlette ! >> répond Clémentine. Julie, comme désireuse de mettre fin au profond trouble qui l'habite s'écrie : << On va faire les courses ? >>. Estelle lâche ma queue pour la prendre dans ses bras en disant : << Oui, on te tire de là ! >>. Nous éclatons de rire tous les quatre. La température extérieure est de 19°. Le contraste avec les journées précédentes est étonnant. On peut garder nos anoraks ouverts.

Nous dévalons l'escalier. Monsieur Bernard est toujours affairé derrière son auto. << Bonjour ! Alors, ces vacances, ça se passe bien ? >> lance t-il. Nous bavardons un peu. Clémentine, pour bien lui faire comprendre qu'elle a tout vu fixe ostensiblement la braguette de l'homme. Ce qui gêne terriblement Julie qui ne sait plus qu'elle attitude adopter. Elle reste contre Estelle. Moi, je fais le type au courant de rien. C'est parti. Direction Saint-Claude à trois bornes. Le parking Intermarché est empli de voitures. Je trouve enfin une place. Je remballe ma queue.

Je pousse la caddie. Estelle et Julie marchent à l'avant. Clémentine à mon bras tient la liste des courses. Dressée par Julie. Des fruits et des légumes. Il ne reste que trois jours avant notre retour. Nous avons notre avion à 14 h mardi. Changement à Roissy. Arrivée à 17 h45. En principe. C'est Michèle, la maman d'Estelle qui viendra nous chercher. Nous déposerons Julie chez elle avant de rentrer. Il y a un monde fou dans le grand supermarché. C'est samedi. Il faut louvoyer entre les chariots, éviter les collisions dans les rayons. << C'est du sport ! >> dit Julie.

Nous passons enfin en caisse. Il est quinze heures. Les achats dans le coffre. Nous retournons à l'appartement. Nous rangeons nos courses. De quoi tenir jusqu'à mardi midi. Julie paraît de plus en plus fébrile. Elle reste souvent silencieuse. Se prépare t-elle mentalement à ce qu'elle a désiré ? Je roule doucement. Nous repassons dans Saint Claude. Clémentine joue avec ma queue qu'elle suçote parfois. Avec mes excitations successives, les épanchements de liquide séminal sont abondants. Clémentine est très excitée pas ce qui s'est passé dans la cour.

L'étroite route sinueuse monte vers le Mont Bayard. Pas une goutte de pluie n'est encore tombée aujourd'hui. Il fait plutôt doux même à 600 mètres d'altitude. Par contre le ciel reste voilé. << Là, ça pourrait le faire ! >> s'exclame soudain Estelle. Nous reconnaissons les lieux. Le muret qui borde la route au-dessus du ravin. Le chemin qui part sur la gauche. Là-bas, plus loin le cabanon. Il n'y a personne. Je gare la voiture. Je regarde Julie dans le rétroviseur. Je l'ai rarement vu aussi gênée, aussi mal à l'aise peut-être. Nous restons tous les quatre silencieux.

Je demande : << Quels sont vos souhaits Julie ? >>. Elle n'ose pas soutenir mon regard. << Tu veux qu'on passe à autre chose ? >> demande Estelle. Après une longue réflexion, Julie finit par répondre : << Non, on le fait ! >>. Nous mettons rapidement au point l'ordre des opérations. Estelle sort de la voiture en prenant le petit sac à dos qui nous accompagne partout. Julie sort de l'autre côté. Clémentine récupère la caméra. Nous sortons à notre tour. Je veux remballer ma bite quand Estelle s'écrie : << Non, tu es le chauffeur pervers ! >>

Estelle invite Julie à la suivre en lui proposant de mettre le sac sur son dos. Elle ajuste ses longs cheveux qui flottent sur ses épaules. << Voilà, tu es superbe ! >> dit elle. Estelle tient les bras de Julie pour la placer au bord de la route. Elle s'écarte pour mieux regarder. Revient pour ajuster les pans de l'anorak afin que les formes des seins de Julie soient bien visibles. Elle est toute rouge. Comme honteuse. Julie est voyeuse. Pas exhibitionniste. C'est pour les besoins de ce quatrième film qu'elle s'impose ce jeu "d'actrice". Se voir jouer un rôle différent.

Clémentine se place à environ vingt mètres. Estelle donne ses dernières recommandations. Elle lève le pouce en direction de Clémentine qui s'écrie : << Ça tourne ! >>. Julie marche le long de la route. Elle se retourne plusieurs fois. Il ne faudrait pas qu'une voiture arrive et que le conducteur imagine que serait une véritable auto stoppeuse. Nous en rions. << Je monte avec toi dans la bagnole ! >> chuchote Clémentine. Je fais demi tour. Clémentine, assise à l'arrière, filme Julie de dos, entrain de marcher. Julie entend la bagnole qui arrive.

Elle se retourne pour tendre le bras, tendre son pouce. Nous voyons Estelle près du cabanon, hors champs de la caméra. Elle nous fait signe de ralentir. Estelle dirige les opérations en véritable "professionnelle". J'ai la bite à l'air. Je bande comme le dernier des salauds. Depuis huit ans je n'ai plus pris d'auto stoppeuse. La dernière fut Christelle dont je raconte l'histoire sur ce même forum. Histoire simplement intitulée "Christelle". Un grand souvenir de vacances. Je m'arrête à la hauteur de la fille. Je me penche en faisant descendre la vitre. Un silence.

<< Vous allez vers la Suisse ? >> demande alors la jeune fille. J'admire la façon de "jouer" qu'a Julie. Ce n'est pas la première fois que je constate ses talents "d'actrice". Je réponds : << Oui, c'est ma direction. Je vous emmène ? >> La jeune fille voit pourtant bien mon sexe apparent, en érection. Elle ouvre quand même la portière pour monter. Nous laissons Estelle qui nous fait signe de démarrer. Elle se cache dans le cabanon. On ne sait jamais. Je roule doucement en me masturbant. J'engage alors la conversation. << Vous êtes étudiante ? >>

<< Oui, je me promène. J'aime aller à l'aventure ! >> répond ma passagère. Soudain elle s'écrie : << Oh , j'ai oublié quelque chose au cabanon ! >>. Cela fait partie du scénario. Je fais demi tour à l'endroit du chemin qui monte dans la forêt. Ma passagère n'a de yeux que pour ce que je "bricole" de ma main droite. << Vous faites ça souvent quand vous prenez des filles en stop ? >> me demande t-elle. Je réponds : << Seulement quand elles sont belles ! >>. La jeune fille se met à rire. Je demande : << Vous appréciez ? >>. Elle répond : << Pas trop ! >>

Je continue : << Vous allez me dénoncer alors ? >>. Ma passagère dit : << Non, rassurez-vous. Mais à la condition que vous cessiez ! >>. Je cesse. Je regarde les expressions de Clémentine assise sur le siège arrière. Elle filme. Je la devine hyper excitée. Elle m'adresse un clin d'œil en levant son pouce. Nous revenons au cabanon. Je gare la voiture. Estelle s'empresse de nous rejoindre pour monter à l'arrière. Ma passagère reste immobile, les yeux braqués sur ma turgescence. Le silence est total. Brisé par deux voitures qui se suivent. Voilà le soleil.

<< Je peux ? >> me demande soudain l'auto stoppeuse. Elle pointe son index sur mon sexe. Je réponds : << Mais je croyais que cela vous importunait ! >>. Ma passagère rajoute : << C'est top tentant et j'aime bien goûter aux spécialités régionales ! >>. Elle se penche. Elle hume mon sexe. Clémentine sort de l'auto. Je descends la vitre. La jeune fille gobe soudain mon sexe pour le sucer comme si sa vie en dépendait. Clémentine filme depuis l'extérieur en faisant signe à Estelle de rester en retrait. Qu'elle n'apparaisse pas de façon impromptue dans le cadre.

Je saisis ma stoppeuse par sa nuque pour appuyer sur sa tête. J'enfonce toute ma bite. Ce qui manque de l'étouffer. Je la maintiens fermement. Rapidement, manquant d'air, elle se débat. Cherchant à se soustraire de mon étreinte. Dans le rétroviseur Estelle me fait des clins d'œil, lève son pouce. Elle a une main dans son pantalon déboutonné. Fantasme ultime d'une authentique voyeuse qui assiste à une fellation dans une bagnole sur une route de montagne. Le soleil disparaît soudain. Il est presque 18 h. La fraîcheur du soir s'annonce.

Je me fais tailler une pipe avec toute la dimension vulgaire que mon rôle exige. Régulièrement je tire les cheveux de ma suceuse afin de retirer ma queue. Il y a des filaments de foutre partout. Ça lui dégouline de la bouche. Elle a le visage trempé de sueur, de larmes et de foutre. Des cheveux qui collent sur son front, ses joues. J'appuie encore pour la faire pomper. Elle pousse des gémissements, de petits cris, des râles de dégoûts. L'habitacle d'une Renault Capture n'offre pas l'espace d'une grosse berline Mercedes. Dommage. C'est un peu exigu.

Clémentine fait le tour de la voiture pour filmer depuis l'autre vitre descendue. Il commence à cailler dans l'auto. Quand Clémentine revient filmer en gros plan, j'éjacule en hurlant de jouissance. Je ne joue plus. Je jouis pour de bon. Avec l'abondance de ce que je lui projette au fond de la gorge, ma passagère tousse, manque de se noyer. Je la maintiens fermement. Impossible de se dégager malgré ses efforts répétés. Je tire ses cheveux pour redresser sa tête afin qu'elle montre son minois maculé de jute à l'objectif de la caméra. Elle toussote. Râle.

<< Terminé ! >> lance Clémentine qui éteint la caméra. Elle rajoute : << Quarante quatre minutes et dix huit secondes ! >>. Estelle à l'arrière, qui se masturbe depuis presque trois quart d'heures, pousse un gémissement avant de me dire : << Demain tu me fais ça ! Mon film numéro dix neuf ! >>. Clémentine se met à rire en rajoutant : << Moi je filme avec Julie ! >>. Julie est entrain de s'essuyer le visage avec un mouchoir en papier. Je demande : << Est-ce que j'étais à la hauteur de vos espérances ? >>. Julie répond : << Très au-delà ! >>

Nous rigolons tous les quatre comme des bossus. Nous sortons de la voiture pour nous dégourdir les jambes. << Tu me termines ce soir au lit ! >> me dit Estelle, suppliante. << Moi aussi ! >> rajoute Clémentine. << Moi j'ai ma dose ! >> surenchérit Julie. Je lui dis : << Je ne vous ai pas encore fait l'amour une seule fois depuis le début de notre séjour ! >>. Elle n'ose pas soutenir mon regard et baisse les yeux. Il commence à faire faim. C'est au restaurant "La Bruyère" que nous trouvons une table libre. Julie reste étrangement silencieuse durant tout le repas.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines que la réalisation de films mettent en appétit. Avant de nouvelles folies au retour sous les draps...

Julien (acteur de pornos amateurs et privés)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI..

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 31 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2229 -



Huitième jour à Saint Claude

Il est presque neuf heures. En ce dimanche de grasse matinée, Estelle, Clémentine et moi, nous nous faisons réveiller par Julie. << Le petit déjeuner vous attend ! >> chantonne t-elle en contournant le lit pour nous faire à chacun une bise. J'ai droit à deux bises dont une appuyée, sur la bouche. Ce matin c'est moi qui l'attrape pour la faire tomber sur le lit. Je dis : << Bonjour Julie. Bien remise de notre aventure du samedi après-midi ? >> Elle ne répond pas et me contente d'un gloussement révélateur. Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>

C'est à notre tour d'aller aux toilettes avant de rejoindre Estelle et Julie dans la cuisine. Elles font un peu les folles en riant aux éclats. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur cette aventure. Julie reste les yeux baissés pour ne surtout pas croiser les miens. C'est à la fois frustrant et adorable. Elle termine sa tartine au miel assise sur les genoux d'Estelle. Le dimanche pas de gymnastique. Repos. Clémentine vient s'installer sur les miens. Nous traînons longuement à table en faisant le programme du jour. Estelle veut vivre la même expérience.

C'est le quatrième film de la collection privée de Julie que nous avons réalisé hier. Ce sera le dix neuvième de la collection privée d'Estelle que nous réaliserons cet après-midi. Elle veut exactement le même scénario, au même endroit. Julie nous étonne soudain en proposant de faire la deuxième auto stoppeuse. Estelle préfère interpréter l'auto stoppeuse solitaire et vicieuse. Clémentine s'écrie : << C'est une excellente idée. Ça pourrait même faire l'objet d'une prochaine réalisation ! >> Julie reste rêveuse. Nous débarrassons pour faire la vaisselle en bavardant.

Nos pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain en nous lavant les dents. Julie rit aux éclats des facéties d'Estelle et de Clémentine. Moi aussi. Nous nous vêtons tous les trois à l'identique. Comme Julie. Levis, sweats de coton bleu, baskets. Pressés d'aller faire quelques pas, nous dévalons l'escalier. Les Legris reçoivent probablement des invités aujourd'hui. Il y a des voitures dans la cour et nous entendons rire. Il y a ce chemin qui quitte la route sur la gauche. Comme il ne pleut plus depuis deux jours, il est praticable. Nous le prenons.

Il nous mène vers un confluent du Tacon. Une des deux rivières qui traversent Saint Claude. L'endroit est magnifique. Il y a des séquences d'ensoleillement. Tout est bien vert. Le chemin longe la rivière. Il y a des promeneurs. Estelle me sort la queue qu'elle agite devant Julie en disant : << Cet après-midi elle est pour moi ! >>. Julie ouvre de grands yeux. C'est toujours comme si c'était une première fois. Estelle la fait tournoyer. Clémentine reste serrée contre moi, un bras autour de ma taille. Je bande mou. Ce qui donne une belle apparence à ma bite.

Une agréable promenade sous une température de 20°. Alors qu'il n'est que dix heures trente. Nous prenons le sens du retour. Julie et Estelle se tiennent par la main. Elles marchent devant nous. Clémentine me tient par la main. Les filles parlent de leurs études. Il est un peu plus de onze heures quand nous sommes de retour. << Interdiction d'entrer dans la cuisine ! >> lance Julie en retirant son anorak. << Et moi ? >> demande Estelle comme le ferait une collégienne implorant une permission. << Viens avec ! >> se contente de répondre Julie.

Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Ses règles sont terminées. Elle est soulagée et très déconneuse. Nous avons un courriel de Juliette. Un message accompagné d'une photo où on la voit dans l'allée centrale d'une de ses écuries. Elle fait un grand sourire en ayant une main entre ses cuisses, l'index de l'autre sur sa bouche faisant : << Chut >>. Elle nous raconte son samedi soir en compagnie de Pierre et de Bernadette. Bernadette attachée qui assiste aux ébats de son mari avec Juliette. Ils font ça quasiment tous les samedis soirs.

<< Cette vieille salope m'excite avec ses histoires de cul ! >> murmure Clémentine qui répond. Nous n'évoquons jamais nos frasques. << On lui résumera dans deux semaines, quand elle viendra bouffer ! >> lance encore Clémentine. En écrivant elle me tourne le dos. Je caresse délicatement ses seins minuscules dont les extrémités sont à nouveau doux et tendres. << Mmhh, j'adore quand tu fais ça ! >> chuchote t-elle. Parfois des éclats de rire provenant de la cuisine se font entendre. << Estelle va devenir gouine ! >> lance Clémentine. Nous rions.

Maintenant que la "place" est libre je murmure à l'oreille de Clémentine : << Je te fourre avant qu'on mange. Tu veux ? >>. Elle se lève d'un bond, ouvre son pantalon pour le descendre en même temps que sa culotte sur ses chevilles. Elle s'assoit sur la table, à côté de l'ordinateur. C'est un peu comme si elle avait les chevilles attachées. Je me glisse entre ses pieds et la table. Je frotte mon sexe sur le sien. Elle se masturbe d'une main, son autre bras autour de mon cou. Je la pénètre lentement, avec d'infinies précautions. Jusqu'aux couilles.

Qu'il est doux d'être enfoncé dans la fille que j'aime. Nous restons parfaitement immobiles. Nous adorons ça. Juste les contractions des muscles fessiers que nous ressentons au plus profond de nos intimités. Clémentine se masturbe toujours quand je suis en elle. J'adore les spasmes qui secouent tout son corps. Les frissons qui s'en suivent. La porte s'ouvre. Estelle et Julie nous découvrent ainsi. << Mais on ne s'emmerde plus ! >> lance Estelle alors que Julie nous observe comme si c'était la première fois. Je dois faire attention de ne pas tomber.

Je m'extrais du sexe de Clémentine pour relever une jambe puis l'autre. Je garde la bite à l'air. Bien raide. Estelle se précipite car de la voir mouillée, dégoulinante de jus, provoque chez elle le désir fou de la sucer. De la nettoyer. Julie assiste à cette scène comme consternée. Je force Estelle à se redresser en la tenant par ses cheveux. Je dis : << Elle est bien prête pour cet après-midi. Ça va juter ! >>. Estelle m'attrape par les épaules en répondant : << Je me réjouis ! Salaud va ! >>. Morts de faim nous nous précipitons dans la cuisine. Quelle surprise !

Ce sont des pommes de terre farcies. Avec des haricots verts et des petits pois. Accompagnés d'une salade de carottes. Clémentine et moi félicitons Estelle et Julie pour ce délicieux repas. Nous mangeons de bon appétit en faisant les dernières mises au point pour le film de l'après-midi. Ce sera très exactement le même scénario, au même endroit. Pour bien situer les choses j'invite le lecteur à relire le récit de hier. Dehors, le ciel a tendance à se couvrir. Rien de menaçant. La température reste stable à 20°. Ce qui est parfait pour la réalisation.

Nous ne traînons pas trop. La vaisselle. Lavage des dents dans la salle de bain. Estelle semble impatiente. Julie reste tout près d'elle à l'observer avec des yeux amoureux. À boire chacune de ses paroles. Nous prenons le petit sac à dos. J'y mets pommes, barres de céréales, bouteille d'eau gazeuse. Clémentine fait un essai caméra. Elle a rechargé la batterie ce matin. Tout fonctionne. C'est parti. Nous entendons les éclats de voix, les rires, chez les propriétaires. << C'est la fête chez l'exhibitionniste ! >> lance Estelle. << Celui-là je le suce ! >> dit Clémentine.

Je roule doucement. Je prends la même direction que hier. Clémentine joue avec ma queue. Assises à l'arrière Julie et Estelle se touchent. Julie la main entre les cuisses d'Estelle. Estelle la main entre celles de Julie. Je les regarde dans le rétroviseur. Estelle serait-elle entrain de virer sa cuti ? Je bande sévère dans la main de Clémentine. Parfois dans sa bouche. Il est quinze heures quant nous arrivons au cabanon. Le ciel reste à présent voilé. Une lumière uniforme, parfaite pour le film selon les dires de Clémentine. Je m'arrête sur le petit parking désert.

<< C'est génial. Il n'y a personne ! >> lance Clémentine. Estelle et Julie sortent de la voiture. Elles restent bras dessus bras dessous. Estelle m'adresse un clin d'œil. Comme pour me signifier : << Je ne fais que "jouer" ! >>. Estelle s'est toujours montrée très affectueuse avec Julie. Un peu comme une grande sœur pour sa petite sœur. Elle met le sac sur son dos. Julie s'écarte pour aller se placer sous l'auvent du cabanon. Clémentine reproduit très exactement les mêmes gestes que hier. Estelle marchant sur le bord de l'étroite route. Auto stoppeuse.

Je monte dans la voiture. Clémentine s'installe à l'arrière, caméra à la main. Elle filme. Julie se précipite pour nous rejoindre. Toutes les deux assises à l'arrière. Nous voyons Estelle se retourner à l'arrivée de la voiture. Elle lève le bras, le pouce. Je m'arrête à sa hauteur. Comme l'a fait Julie hier, elle penche le buste à l'intérieur de l'habitacle pour m'indiquer sa direction. Avec les mêmes dialogues, je l'invite à monter, à prendre place sur le siège. Dans le rétroviseur je vois Clémentine faire << Chut >> à Julie devenue toute rouge, déjà en sueur. Voyeuse.

Clémentine filme l'exacte réplique de la réalisation de hier. Je fais demi tour au même endroit. Je gare l'auto devant le cabanon. Clémentine sort du véhicule. Julie reste à l'arrière. La portière grande ouverte pour permettre à Clémentine toutes les prises de vue, je me fais tailler une pipe avec toute la vulgarité requise. Clémentine fait souvent un geste de la main pour que Julie reste hors champs de la caméra. Mais le souffle de sa respiration sera très certainement audible dans le film. C'est comme si elle haletait juste dans ma nuque. Elle se rince l'œil. Se touche.

Comme je l'ai fait avec Julie hier, après quarante cinq minutes d'une fellation hallucinante, j'éjacule au fond de la gorge d'Estelle. Elle tousse, manque de s'étouffer. Du sperme coule de sa narine droite. Je la tiens par ses cheveux afin qu'elle présente son visage devant l'objectif de la caméra. Je suis épuisé. Je découvre que Julie s'est masturbé durant toute la prise de vue. Ce qui explique sa respiration haletante. << Tu as été magnifique ! >> dit elle à Estelle alors que nous sortons de la voiture pour nous dégourdir les jambes. << T'es un vrai Salopard ! >> me fait Estelle.

Elle m'attrape la queue toute molle pour la tordre dans tous les sens. Clémentine profite du peu de batterie qui reste pour nous faire voir l'écran. << Exactement quarante minutes et vingt deux secondes ! >> précise t-elle. Estelle, en s'essuyant le bas du visage avec un mouchoir en papier rajoute : << On se le mâte jeudi. Une soirée cinéma ! >>. Julie recoiffe Estelle en répétant : << Tu a été superbe ! >>. Estelle prend son téléphone en disant : << Je réserve une table ! >> Clémentine me fait visionner mes attitudes dans le film. Mes expressions.

<< J'adore voir tes expressions. Surtout quand tu es si vicieux. Je t'aime ! >> me dit elle. Julie reste contre Estelle que nous entendons réserver une table. J'ai la bite toute congestionnée. Je me la secoue pour la détendre. Sous le regard de Julie qui me lance un regard à la fois sévère et interrogateur. Je lui adresse un clin d'œil avant de me mettre à pisser au milieu du petit parking. Clémentine se précipite pour saisir mon sexe. Elle me tient la bite pour en diriger les jets. Sous le regard totalement halluciné de Julie. Je pisse avec de multiples jets.

<< On mange au restaurant de l'hôtel Saint Hubert. Une table nous y attend. C'est un trois étoiles ! >> lance Estelle tenue par la taille par les bras de Julie. << Attend ! >> dit elle à Julie en se précipitant pour s'accroupir devant moi. Précédant Clémentine qui s'apprêtait à sucer les dernières gouttes. Avec l'éjaculation d'il y a un quart d'heure, Estelle peut se régaler de son mélange préféré. Toujours sous le regard totalement consterné de Julie. Nous remontons dans la voiture. Cette fois, c'est Estelle qui est assise à l'avant. Elle a insisté lourdement.

Je comprends que c'est pour fuir les attitudes de Julie. Julie qui se fait de plus en plus "collante", insistante. Estelle n'est absolument pas gouine. Et visiblement elle ne tient pas le laisser espérer à Julie. Je roule doucement. Estelle joue avec ma queue. Nous arrivons à Saint Claude. Il est dix huit heures. Nous nous changeons dans l'appartement. Hors de question de ne pas êtres impeccables pour manger dans un restaurant trois étoiles. Estelle et Clémentine en jupes kilts. Julie en pantalon noir à pinces et à plis. Comme moi. Chemises crèmes.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui se régalent d'un succulent repas dans un endroit prestigieux. Avec quelques visites dans les toilettes hommes pour sucer la bite de "l'acteur"...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI..

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 32 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2230 -



Neuvième et dernière journée à Saint Claude

Comme tous les matins, Julie, avec sa délicatesse et sa douceur habituelles, nous réveille pour neuf heures. Contournant le lit pour distribuer des bises, elle chantonne : << Le petit déjeuner vous attend ! >>. Nous nous étirons en gémissant : << Bonjour ! >>. Estelle se lève d'un bond pour se précipiter aux toilettes. Julie quitte la pièce en disant : << Venez vite tout est prêt ! >>. C'est à notre tour d'aller pisser. Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets lorsque la porte s'ouvre. Estelle et Julie nous font : << Coucou ! >>. En riant.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les deux films réalisés deux après-midi consécutifs. << Pour le mien, je ferai un montage "Hollywood" ! >> lance Estelle. Julie rajoute : << Je fais des montages pour les miens aussi. J'ai trouvé un site gratuit et super performant qui s'appelle Kapwing ! >>. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de cette dernière journée de vacances. Je propose une virée en Suisse. Genève étant à une cinquantaine de bornes. << Trop bien ! >> lance Estelle. << Génial ! >> fait Clémentine.

Nous traînons à table en regardant Estelle faire le trajet sur son téléphone. << Il faut passer Mijoux puis Gex ! Principalement de la montagne. 62 km. 1 h20 par les deux départementales ! >> précise t-elle << Allez courir, je m'occupe de tout ! >> lance Julie qui se lève pour débarrasser. Nous déposons chacun une bise sur son front en la remerciant avant de quitter la cuisine. Nous enfilons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Les K-ways, bonnets et gants. La température à chuté. Il ne fait que 6°. Il faut du courage ce matin.

Nous dévalons l'escalier. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Estelle donne le rythme. Soutenu. Rapide. Ça réchauffe. Une heure d'un running très agréable. Nous revenons pour dix heures trente. Estelle prend sa douche la première. En chantonnant. Assise devant le miroir, Clémentine se fait coiffer. Elle adore me raconter pendant que je brosse ses cheveux. C'est à notre tour. Nous nous habillons. Levis, Sweats, baskets. Nous rejoignons Julie installée dans le fauteuil, plongée dans sa lecture. Elle nous fait un beau sourire.

Assises sur mes genoux, mes deux anges allument l'ordinateur. Estelle a un courriel. Sa maman nous attend demain en fin d'après-midi à notre descente d'avion. Tout est parfaitement organisé. C'est sur Google Maps que Clémentine vérifie l'itinéraire dans ses moindres détails. << Il y aura de belles choses à voir sur le trajet ! >> précise t-elle en pratiquant les agrandissement des photos. Julie se lève pour venir voir. << C'est beau. Je me réjouis ! >> dit elle avant de rajouter : << Je vais préparer le repas. Interdiction d'entrer dans la cuisine ! >>

Estelle se lève pour lancer : << Je viens t'aider ! >>. Elles disparaissent toutes les deux en fermant la porte. << Rien que nous deux ! >> fait Clémentine qui change de position pour s'installer à califourchon. En se frottant, ses bras autour de mon cou, elle me confie à quel point ces vacances ont été reposantes. << C'est bon de ne rien faire pendant quelques jours. Loin de tout ! >>. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Ce qui me procure presque immédiatement une puissante érection. << Tu me la mets un peu sur le lit ? >> chuchote t-elle alors.

Elle se lève. Moi aussi. En même temps nous enlevons nos baskets, nos pantalons, nos slips. Clémentine couchée sur le plumard. Je prends position. En appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids je frotte mon sexe contre le sien. Elle s'en saisit pour se l'introduire doucement. Je ne connais pas de plus doux prélude à l'amour que sa main qui s'empare de ma virilité. C'est extatique. Nous restons immobiles en contractant nos muscles fessiers. Depuis la cuisine nous entendons rire. Nous nous berçons. Clémentine aime me faire des aveux.

C'est toujours dans ces moments précieux qu'elle me confie ses secrets de fille. Cette fois ce sont ses désirs de monter d'un cran dans la réalisation de quelques fantasmes. << J'aimerais bien être livrée à une bande de vicelards. Être la seule fille. Être le jouet de véritables salopards ! >> murmure t-elle alors que je bouge lentement. Clémentine se masturbe toujours en même temps. Je chuchote : << Si on en parle à Juliette, certain qu'elle pourra organiser ce plan ! >>. Clémentine, la tête rejetée en arrière, les yeux fermés se met à accélérer.

<< Tu es d'accord ? >> demande t-elle en s'arrêtant soudain. Ouvrant les yeux pour fouiller les miens jusqu'au plus profond. Je réponds : << Quelle question stupide. Je me ferai un plaisir d'assister à une telle situation. Je pourrais même faire partie de cette bande de salauds ! >>. Clémentine s'écrie : << Non ! Je n'aimerais pas te savoir participer ! Je préfère te savoir caché à mâter ! >>. Nous nous promettons d'en parler avec Juliette dès notre prochaine soirée avec elle. << Put-Hein mais ça baise encore ! >> lance Estelle qui ouvre la porte.

Julie nous observe. Se précipite pour venir faire le tour du lit. << On mange. Désolée ! >> s'écrie t-elle. Nous nous levons. Estelle accourt pour m'empêcher de mettre mon slip. Elle adore me sucer quand elle sait que mes couilles regorgent de foutre. Elle me nettoie la bite en trente seconde d'une pipe vigoureuse. Morts de faim nous nous précipitons dans la cuisine. Quelle belle surprise. C'est un gratin de coquillettes avec des pavés de saumon. Une sauce au Roquefort. Accompagnés d'une salade de concombre. C'est absolument savoureux.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur quelques épisodes "croustillants" de nos aventures jurassiques. Tout le monde s'accorde à faire ce même constat. Ce sont les vacances dont les filles avaient besoin. Improvisations totales. Pas de réel plan sur la comète. Le lâcher prise complet. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nos clowneries habituelles devant le miroir de la salle de bain qui font rire aux éclats Julie. Nous enfilons nos anoraks. Il y a des séquences d'ensoleillement. D'autres plus couvertes. Aucune menace.

Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle et Julie assises à l'arrière racontent des choses farfelues. Des anecdotes de filles. Revenant sur des souvenirs divers. Pas forcément à caractères sexuels. Nous parcourons les kilomètres en traversant des cols. La route est agréable. Il y a peu de circulation. De découvrir Genève depuis les hauteurs de Ferney-Voltaire est un spectacle majestueux. En arrière plan les hauts sommets des Alpes. Le soleil est de la partie. Nous passons la frontière. Il y a un contrôle aléatoire et sympathique.

Une simple formalité douanière. << Ils sont moins cons les Suisses, ils ont gardé leurs frontières ! >> lance Estelle. << On devrait prendre exemple sur leur sagesse ! >> dit Clémentine. << Ça éviterait bien des déboires ! >> rajoute Julie. Quand on arrive à Genève par la France, on découvre des bâtiments ultra modernes. Des architectures futuristes. Une fluidité de circulation étonnante. La courtoisie des automobilistes laisse rêveur. Je gare la voiture sur le parking du port de plaisance. C'est un grand port. On se croirait au bord de l'océan.

Le lac de Genève est tellement grand que l'horizon est celui de la mer. Entouré de hautes montagnes. Les Alpes françaises, les Alpes suisses. Il fait froid car la température n'excède pas 12°. Il y a un vent glacial. Estelle et Julie se tiennent par le bras. Clémentine reste serrée contre moi. Nous longeons le lac sur la large avenue. << On se croirait à Nice ! La promenade des Anglais ! >> lance Estelle. << Mais drôlement mieux fréquenté ! >> s'écrie Julie. Nous rions. Nous admirons le paysage grandiose autant que les somptueuses voitures qui parcourent l'avenue.

<< Moi je compte les Porches ! >> dit Estelle. << Moi les Ferraris ! >> fait Julie. << Moi les grosses berlines allemandes comme celle de Julien ! >> rajoute Clémentine. J'aime tout particulière les anciennes Rolls Royce. Notamment les Phantom V. Il y en a quelques unes à circuler en direction du port. J'ai longtemps hésité à en posséder une. On en trouve sur le marché de l'occasion pour quelques centaines de milliers d'euros. Mais je n'ai jamais franchi le pas. Estelle se retourne quelquefois pour venir palper ma braguette. Pas toujours discrètement.

<< Fais gaffe, on est en Suisse, il y a des caméras partout. C'est répréhensible et les français ne sont pas très bien vu ni considérés ! >> lance Clémentine. Julie rit à chaque fois. Estelle et Clémentine, serrées devant moi, permettent à Julie de pouvoir me palper sans être vue. Elle se montre cet après-midi d'une étonnante vulgarité. Je la félicite en disant : << Julie, nous avons passé neuf jours ensemble et je ne vous ai pénétré que la bouche ! >>. Elle éclate de rire avant de répondre : << Comme vous ne pratiquez pas la sodomie c'est dommage ! >>

La sodomie étant la préférence de Julie c'est vrai qu'elle a de quoi être frustrée. Estelle, Clémentine et moi détestons la sodomie. Cet acte nous répugne à sa simple évocation. Nous quittons l'avenue pour les rues du centre. C'est magnifique. Le savant mélange du modernisme et de la tradition. Genève est une métropole moderne. Il y a du monde malgré le froid. Les rues piétonnes sont parées de somptueuses vitrines. Partout des boutiques de luxe. Nous regardons les prix. Un sac Vuitton vaut ici un tiers plus cher qu'à Paris. Pareil pour les Rolex.

La mienne va avoir vingt ans. Elle fonctionne parfaitement. J'en possède deux et une Chopard "Tradition". Ce sont des montres qui durent une vie entière. C'est dans un salon de thé au luxe improbable que nous savourons des cappuccinos. Avec une tarte de "Linz". Spécialité suisse. Nous sommes en Suisse Romande. Tout le monde parle français. L'accent est charmant. Je suggère d'éviter nos prouesses habituelles dans les toilettes hommes. En ce comté tout est sous surveillance vidéo. Aucune forme de délinquance n'est tolérée. Ni même les déviances.

Il n'y a d'ailleurs pas de délinquances en Suisse Romande. Pas d'individus pour en commettre. Nous flânons jusqu'en fin d'après-midi. C'est dans un des tous meilleurs restaurants de Genève que nous savourons une gastronomie du terroir. Des galettes de pommes de terre avec des boulettes de brochet péché dans le lac. Notre table donne sur une grande baie vitrée. L'Odéon donne sur le lac Léman. C'est un spectacle magnifique. De grand bateaux de croisières, plein de touristes, illuminés comme des sapins de Noël passent dans le crépuscule.

Nous passons une soirée extraordinaire. Dans les rues rassurantes de Genève, il est possible de se promener sans le moindre stress. La courtoisie accompagne les sourires. << Ça devait être comme ça en France il y vingt ans ! >> lance Julie. << Il y a quarante ans tu veux dire ! >> s'écrie Estelle. Nous rions de bon cœur. Il est temps de revenir à la voiture. Nous rentrons dans la nuit. Je roule doucement. Il est 23 h30 quand nous sommes de retour. Épuisés. Julie dans son canapé lit s'endort comme une masse. Je suis entre mes deux anges.

Bonne nuit à toutes les coquines qui ont passé une belle dernière journée de vacances reposantes avant un profond sommeil réparateur...

Julien



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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Homme, 53 ans, France
Classe - 33 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2231 -



Les derniers moments à Saint Claude

Il est huit heures hier matin, lundi. Comme convenu Julie nous réveille en avance. Elle contourne le lit pour nous faire des bises. Chantonnant : << Il faut se lever. Le petit déjeuner est prêt ! >>. Nous ouvrons péniblement les yeux. Nous nous étirons en modulant longuement nos gémissements. Gémissements qui se conclus par : << Bonjour Julie ! >>. Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Yé n'en pé plou ! >>. J'attire Julie dans le lit. En appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids sur elle, je dis : << Merci ! >>

<< Tu es un trésor ! >> rajoute Clémentine. Julie, toute heureuse du traitement qui lui est infligé s'écrie : << Ce sont mes premières vraies vacances. Donc les plus belles. Merci ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous rejoignons Estelle et Julie dans la cuisine. L'odeur du café, du pain grillé embaume la pièce. Les petites brioches Suisses que nous avons acheté à Genève. Nous prenons notre petit déjeuner en révisant le timing précis de la journée. Pas de jogging aujourd'hui. Nos valises et nettoyer l'appartement. Du rapide. Tout est déjà propre.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de ce séjour à Saint Claude. Clémentine souligne une fois encore sa satisfaction d'avoir passé les vacances les plus reposantes. Estelle surenchérit dans cette vision des choses. Ainsi que Julie qui précise : << J'ai quand même lu un peu chaque jour ! >>. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Julie a déjà pris sa douche. Aussi elle propose de nettoyer la cuisine pendant que nous allons prendre la nôtre. C'est toujours Estelle qui y va la première. Pendant ce temps nous enlevons les vieux utilisés du lit.

Le canapé lit de Julie est déjà replié. Ses draps soigneusement posés avec le protège matelas. Nous faisons de même. Le propriétaire se chargera du reste. C'est à notre tour d'investir la salle de bain pendant qu'Estelle commence le ménage dans la chambre. Elle vient nous rejoindre afin de se faire coiffer. Comme Clémentine elle adore quand je brosse ses cheveux, que j'en fasse une natte. Julie vient nous rejoindre en disant : << Cuisine, mission accomplie ! >>. Elle rajoute : << C'est génial, c'est un salon de coiffure ! >>. Nous en rions.

<< Tu devrais essayer le garçon coiffeur, il est remarquable ! >> lui dit Estelle. C'est ensemble, tous les trois que nous mettons la salle de bain en ordre. Comme dans la cuisine, Julie insiste pour passer la serpillère. << J'excelle dans cet exercice ! >> précise t-elle. Nous la laissons pour retourner dans la chambre. Je suis prié de placer les vêtements que me tendent Clémentine et Estelle dans les valises. Julie fait la sienne. Nous nous activons tout en revenant sur quelques anecdotes épiques de ce séjour dans le massif du Jura. Estelle évoque les films.

Il est dix heures. Tout est propre. Nous laissons un appartement nickel. Dans l'état parfait où nous l'avons trouvé. Nous descendons les valises pour les mettre dans le coffre arrière de la voiture. Je suggère de trouver un bon restaurant pour midi. Ainsi nous n'aurons plus à nettoyer la cuisine une nouvelle fois. Il fait froid. La température extérieure n'excède pas 6°. Nous nous apprêtons à remonter lorsque le propriétaire vient à notre rencontre. << C'est le départ ? La rupture bête et méchante avec notre Jura ? >> lance t-il. Nous bavardons.

Monsieur Bernard nous accompagne jusqu'à l'étage. << C'est superbe et rassurant de savoir qu'il existe encore des gens respectueux ! Si vous saviez dans quel état je retrouve parfois l'appartement après le départ des touristes ! >> dit il. Je surprends le regard de Clémentine braqué sur la braguette de monsieur Bernard. Elle le fait exprès. Elle adore troubler et créer la confusion. Ce type lui a quand même montré sa bite dans son garage l'autre jour. Monsieur Bernard ne sait où donner du regard. Il y a là trois jeunes filles qui titillent sa libido de vicelard.

C'est dans le miroir de l'armoire que je découvre une nouvelle fois le regard insistant de Clémentine. En fixant le propriétaire qu'elle dépasse d'une demi tête, elle fait une bosse à l'intérieur de sa joue. Notre homme ne paraît pourtant pas déstabilisé. Il nous invite à descendre, à visiter la maison. Nous le suivons en nous faisant de discrets sourires entendus. Clémentine m'adresse un clin d'œil. C'est une grande maison de maître. Presque aussi vaste que la nôtre. << Cent soixante dix mètres carrés au sol ! >> précise le bonhomme. Voilà sa femme.

C'est une belle dame très élégante avec beaucoup de classe naturelle. Elle m'observe souvent à la dérobée. Je sens son regard. Clémentine me fait du pied. Elle voit tout. Nous faisons connaissance. << Notre région vous plaît ? >> demande la dame. << Il aurait fait beau, un peu plus chaud et c'était parfait ! >> répond Clémentine. Monsieur Bernard s'adresse à Clémentine en particulier : << Je vous montre mes voitures ? >>. Clémentine accepte volontiers. Estelle, Julie et moi suivons madame Legris dans le grand salon. Elle veut nous faire visiter.

Je suis frustré car je donnerais cher pour voir ce qui se passe dans le garage. << Mon mari est chasseur. Il collectionne les armes. Tous les cinq ans il se fait confectionner un fusil personnel. Avec ses initiales incrustées d'abalone Paua ! >>. Nous découvrons de splendides armoires vitrées dans lesquelles une bonne dizaine d'armes de collections sont présentées dans des râteliers. Je n'y connais pas grand chose en armes. Je n'écoute pas vraiment les explications de la dame. Mon esprit est occupé ailleurs. Que fait Clémentine ? Elle nous racontera.

Monsieur Bernard et Clémentine finissent par revenir. Après une bonne vingtaine de minutes. Elle me fait un discret clin d'œil. Un œil brillant de malice. Je regarde la braguette de notre vicelard. Tout est bien fermé. Le couple nous raccompagne jusqu'à la voiture. Il est onze heures. Il y a 120 bornes jusqu'à l'aéroport de Dole. Je roule avec prudence. Clémentine joue avec ma queue. Assises à l'arrière Julie et Estelle qui n'arrêtent pas de rire. << Raconte ! >> lance Estelle. Clémentine nous raconte : << Il m'a demandé s'il pouvait me montrer sa queue ! >>

<< Je lui ai avoué avoir apprécié son exhibitionnisme de l'autre jour. Il savait que je l'avais vu. Une fois sa bite à l'air il m'a demandé si je voulais jouer avec ! >> rajoute t-elle. << Je comprends pourquoi tu es entrain de manger ta pomme ! >> s'écrie Estelle. Julie s'avance pour demander : << Tu l'as sucé ? >> Clémentine répond : << Évidemment. Juste un peu. Dégueu ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Tout le long de la route nous échangeons nos souvenirs. << Tu as sucé combien de mecs ? >> demande Julie à plusieurs reprises. Nous rions.

<< Je ne sais plus trop ! >> répond Clémentine. << Tu pourras écrire tes mémoires de suceuse un jour. Ça te ramènera du pognon ! >> lance Estelle. Clémentine me serre la queue. Me branle un peu. Se penche pour la sucer. À l'arrière Julie devient un peu tristounette. Estelle la console. Il est midi trente quand nous arrivons à l'aéroport. L'agence de location Hertz où je récupère la caution. Il faut se trimballer avec les valises. Il y a un restaurant. Le "Bar à Caf". Ce ne sont pas réellement des repas qui sont servit là. Mais des en cas très sympathiques.

Nous prenons des parts de pizzas. Il reste des pommes en entrée. Nous aimons tapisser nos estomacs de crudités avant le repas. Cela facilite considérablement la digestion. Surtout quand on bouffe ce genre de trucs dans ce genre d'endroit. Il est quatorze heures. Notre avion décolle dans une demi heure. Nous attendons dans le grand hall. La navette vient nous récupérer. Nous prenons place sur nos sièges réservés en première classe. Estelle et Julie redoutent. Clémentine à côté du hublot. Moi entre elle et Estelle. Julie assise de l'autre côté de l'allée.

C'est parti. Les trépidations de l'appareil. Dans l'avion, avec discrétion, j'ai la bite à l'air. Une brochure de la compagnie Air France pour la dissimuler. Quand Estelle cesse de jouer avec, c'est Clémentine. Quand Julie ouvre les yeux, qu'elle regarde dans notre direction, Estelle lui montre le trophée qu'elle tient en main. Julie est totalement consternée. << Même dans l'avion ! >> dit elle. Il faut être d'une prudence de Sioux. Il y a des caméras et les deux hôtesses, hyper sexys, font de fréquents aller et retour. Changement à Roissy. Une demi heure à se faire chier.

Il est 17 h45 quand l'avion se pose enfin à quarante cinq kilomètres de chez nous. Michèle nous attend. Souriante, quadruplement contente de revoir sa fille, Clémentine, Julie et moi. Discrètement elle fixe ma braguette quand je charge les valises dans le coffre de mon ancienne Mercedes. Ce regard par en-dessous, terriblement suggestif. Estelle s'installe à côté de sa maman. Clémentine entre Julie et moi à l'arrière. Nous racontons notre séjour. Enfin, ce qui est racontable bien sûr. Clémentine me palpe la bosse. Julie se penche à chaque fois pour regarder.

Nous arrivons dans le lotissement où vivent les parents de Julie. Ils accueillent leur fille avec tant de joie. C'est émouvant. << À lundi prochain ! >> lui lance Clémentine. Michèle nous dépose devant notre propriété. Estelle nous rejoindra demain en soirée. Il est bien légitime qu'elle consacre vingt quatre heures à ses parents. Elle a un regard d'une tristesse infinie quand elle me fait une bise. Un dernier coucou en regardant la voiture s'éloigner. << Viens ! >> s'exclame Clémentine en m'entraînant par la main. Nous retrouvons notre grande demeure.

<< J'adore quand on est seuls. Juste toi et moi. Je vais tout te raconter en détails ! >> s'écrie t-elle en ouvrant ma braguette aux toilettes. Elle me tient la bite pour en diriger les jets. Il fait bien chaud partout dans la maison. Les radiateurs ont fonctionné au ralenti. Suffisamment pour maintenir une douce température. Pour le repas du soir, une salade de carottes. Des haricots verts, des petits pois et des moules tirés du congélateur. C'est une préparation rapide. Nous sommes morts de faim. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur ces vacances.

Avec un luxe de détails, Clémentine me raconte la pipe qu'elle a prodigué à monsieur Bernard. La façon qu'avait le salopard de la tenir par la tête pour se branler dans sa bouche. De la maintenir au risque de la faire vomir pour lui éjaculer au fond de la gorge. << Il y a des mecs qui ont vraiment un sperme dégueulasse ! >> précise une fois encore Clémentine. Je bande comme le dernier des salauds quand elle me raconte ses histoires. La vaisselle. Nous avons pour habitude, malgré la fatigue, de défaire et de ranger le contenu de nos valises de suite.

Il est vingt et une heure. << Viens, j'ai encore plein de choses à te raconter ! >> dit Clémentine en m'entraînant dans la salle de bain. Une rapide toilettes avant d'aller nous coucher. Quand je suis dans Clémentine, que nous sommes parfaitement immobiles, j'adore l'entendre me confier ses secrets de fille. Ça ne maintient pas seulement mon érection par une excitation délirante, mais ça me passionne. Je me mets à la bercer quand l'excitation atteint son summum. Je cesse lorsqu'elle se remet à murmurer les aveux les plus "croustillants". C'est merveilleux.

Bonne nuit à toutes les coquines qui aiment baiser en confessant leurs turpitudes, leurs exactions et les nouveaux fantasmes induits...

Julien (confesseur)



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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
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Classe - 34 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2232 -



Qu'il est bon d'être de retour à la maison

Il est neuf heures hier matin, mercredi. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. Elle saisit mon érection naturelle pour mitrailler mon visage de bises. << C'était un véritable séjour de repos total dans le Jura ! >> murmure t-elle. Nos effusions de tendresse sont cruellement interrompues par l'impérieux besoin de pisser. Nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain nous revêtons nos tenues sport. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Dans la cuisine j'allume immédiatement la cuisinière à bois. Clémentine fait le café en me racontant.

J'aime entendre ses rêves. Il faudra aller faire des courses. C'est impératif si on veut tenir jusqu'aux livraisons de samedi. Le pain aux noix sorti du congélateur hier soir est à point. Ses tranches une fois grillées sont délicieuses. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan de ces dix jours à Saint Claude. << La ville est un peu sinistre. C'est un drôle de contraste avec Genève juste à soixante bornes ! >> précise Clémentine qui rajoute : << Deux jours à Genève et je suis amoureuse du lieu. Je la félicite pour la pipe qu'elle s'est offerte avant le départ.

<< Le sperme de ce mec était dégueulasse. Comme le bonhomme d'ailleurs. Je déteste faire des trucs quand tu n'es pas caché dans les environs ! >> lance Clémentine en venant terminer sa tartine de miel sur mes genoux. Les bises collantes sont une petite joie supplémentaire. Je propose de nous offrir une croisière sur un des grands bateaux du Lac de Genève. Le pont du week-end du jeudi de l'ascension du 18 mai me semble tout à fait approprié. << Je m'occupe de tout. Avion, réservations et tout le reste ! >> s'écrie Clémentine.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous redescendons à toute vitesse pour enfiler les K-ways. Il faut encore une dose de courage et de volonté pour aller courir. Le thermomètre extérieur indique 7°. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Notre parcours préféré le long de la rivière. Le sol est encore humide. Il est dix heures trente quand nous revenons. Un running gratifiant et très agréable. Malgré la fraîcheur. La douche. Habillés de nos Levis, de nos sweats, baskets, nous dévalons les escaliers jusque dans le salon.

Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Trois courriels. Un message de Juliette qui nous souhaite bon retour. Qui nous raconte quelques unes de ses frasques de la semaine. Un message d'Estelle qui est impatiente de nous retrouver ce soir. Précisant qu'elle emmène le dessert. Un mail de monsieur Bernard Legris. Il remercie Clémentine et avoue son désir d'une récidive si jamais nous revenons dans le Jura. << À lui je ne réponds pas. Et il y a très peu de probabilités que je retourne un jour dans le jura ! >> s'exclame t'elle en riant.

Nous faisons la liste des courses pour cet après-midi. Dehors le ciel se couvre inexorablement. À l'horizon de lourds nuages menaçants.<< Ça n'en finira donc jamais ce temps de merde ! >> s'écrie Clémentine qui m'entraîne par la main jusque dans la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de betteraves rouges emballées sous vide. Salade de secours. Je fais bouillir l'eau des spaghettis pendant que je prépare une sauce aux Roquefort avec des crevettes décongelées. C'est rapide. Un paquet de Parmesan râpé. Bouffe de secours aussi.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur cette idée de croisière. Avec Christine, mon ancienne compagne disparue, nous faisons une croisière tous les ans. J'aurais volontiers passé six mois de l'année sur un de ces gros bateaux qui sillonnent les océans. Mais Christine était enseignante. Elle tenait à garder cette activité. Alors que nous pouvions passer une existence de dilettantes voyageant à travers le monde. Il y a un paramètre dont je dois tenir compte. Clémentine déteste les grosses chaleurs. Elle ne les supporte pas et développe des allergies.

Ce qui nous condamne aux climats septentrionaux de nos latitudes. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. La température extérieure est de 14°. Il est 13 h45. Clémentine met une de ses jupes kilt. Ses bas fixés à son porte-jarretelles, un chemisier crème sous un pull bleu nuit au col en "V". Ses souliers de ville à légers talons. Sur sa demande je porte un pantalon beige à plis et à pinces. Une chemise blanche sous un pull beige au col en "V". Mes mocassins bruns. Nous prenons des pauses amusantes devant le miroir. Clémentine s'accroupit.

Sa tête contre ma hanche, ses bras autour de ma jambe, ses cuisses largement écartées elle me fixe. J'adore. << J'ai envie de faire ma salope cet après-midi. Tu m'aides ? >> dit elle. Je pose ma main sur sa tête en disant : << À condition que tu laisses ta culotte dans la boîte à gant de la voiture avant l'hypermarché ! >>. Nous rions aux éclats. Clémentine se redresse, enfonce sa langue dans ma bouche. Mon érection déforme rapidement le tissu de ma braguette. Clémentine la palpe en disant : << C'est merveilleux d'avoir un complice ! >>.

Nous redescendons prudemment car nous ne cessons de nous faire des bises. Nous mettons nos blousons de cuir brun. C'est parti. Je roule doucement sur la vingtaine de kilomètres qui nous séparent de la zone commerciale. Clémentine joue avec ma queue. J'ai ma main droite entre ses cuisses bouillantes. Clémentine mouille toujours abondamment aux moindres sollicitations manuelles ou buccales. Aussi, pour ne pas tacher l'intérieur de sa jupe, elle préfère garder sa culotte jusqu'au moment où elle peut se retrouver debout. Ce qui nous fait encore bien rire.

Je désinfecte les poignées du caddie avec du gel hydroalcoolique. Nous enfilons nos gants Mappa. Je pousse le charriot. Clémentine me précède souvent avec la liste des courses à la main. Il n'y a pas grand monde. Nous sommes mercredis après-midi. Les gamins sont en vacances et accompagnent leurs parents pour faire leurs courses. Il faut donc parfois subir des cris intempestifs, des pleurs qui accablent les nerfs. Bref, c'est très désagréable. Il nous faut surtout des fruits, des légumes. Clémentine nous entraîne au rayon culturel. Les bouquins.

Pour une exhibitionniste, c'est l'endroit idéal dans un hypermarché. Nous faisons plusieurs fois le tour des rayons. La culotte de Clémentine est restée dans la voiture. Le téléphone de Clémentine. Elle le sort de sa poche. C'est Estelle. Elle ne viendra pas ce soir. Elle nous rejoint demain en fin de matinée. << Génial ! Juste toi et moi ! >> lance Clémentine toute contente. Nous attirons quelques regards. Nos hautes tailles, notre élégance. La sublime jeune fille qui m'accompagne, moi qui ai l'âge d'être son papa. Nous nous en amusons comme des fous.

<< Là, mâte, le mec en jogging ! >> me fait Clémentine. Il y a un type qui feuillette des magazines. Il porte un jogging bleu. Une casquette jaune assortie à ses chaussures de jogging jaune. La trentaine. << Reste là, s'il y a un blême tu rappliques ! >> me dit Clémentine. Elle part en poussant le charriot. Je reste au rayon des bandes dessinées. À une vingtaine de mètres. Je fais semblant de parcourir les pages du dernier Blake et Mortimer "Deux jours à Berlin". Mais c'est surtout Clémentine qui me captive. Elle passe derrière le mec, étudie les choses.

Les lecteurs qui ont le privilège de partager leurs vies avec une authentique exhibitionniste connaissent ces émotions extraordinaires. Du coin de l'œil j'observe la scène. Clémentine cale le caddie contre le rayon. Il lui permet d'exercer son art avec beaucoup plus de facilités et de discrétions. Elle est debout à deux mètres de sa "victime". Elle s'accroupit pour saisir un magazine du bas. Notre brave homme ne se doute pas encore que la superbe jeune fille à sa gauche est une aventurière débauchée. Il s'en rend très vite compte en découvrant sa position.

Les cuisses qu'elle écarte toujours un peu plus en remettant un magazine avant d'en prendre un autre. J'ai assisté à ces situations d'innombrables fois. Le "sport" préféré de Clémentine. Et ce mec a exactement le même réflexe que tous les autres avant lui. Il s'accroupit à son tour pour prendre un magazine du bas. Je contourne le rayon des bandes dessinées pour aller à celui des albums photos. De là je peux le voir loucher sous la jupe de la fille. Il mâte à s'en déboîter les globes oculaires. Et il y a de quoi mâter. Une chatte hyper poilues. Velues.

Je retourne aux bandes dessinées. Moi aussi j'aime voir la chatte que Clémentine expose ainsi, discrètement mais vicieusement. C'est magique. Je me touche pour tenter de réajuster mon érection. Ma bite étant tordue, contrariée par le slip. C'est désagréable et extrêmement frustrant. Clémentine se redresse. Toute aussi discrètement elle se touche à l'endroit de son sexe. Juste quelques instants, comme si elle se grattait. Notre homme est évidemment profondément troublé. Je peux constater ses gestes à présent maladroits lorsqu'il prend un magazine.

Lui aussi se redresse. Il s'approche. Il engage la conversation. Clémentine déteste se faire draguer. Je la vois jouer à l'importunée. Il arrive qu'elle tombe sur un emmerdeur. Un type qui insiste. Qui devient chiant. C'est visiblement le cas. Notre "sportif" de supermarché doit en être aux propositions car je vois Clémentine parler en faisant un mouvement de tête négatif. Notre dragueur de supermarché se montre insistant. Aussi, sans répondre, Clémentine lui tourne le dos, saisit le charriot et s'en va. Plantant là notre séducteur en chaussures jaunes.

C'est un tenace. Le bougre contourne le rayon pour faire semblant de la croiser par hasard. Clémentine semble vraiment ennuyée. Elle me cherche du regard. J'aime beaucoup la laisser dans l'adversité. Ça m'amuse et ça m'excite. Après tout, c'est elle qui se met dans de telles galères. Mais vu l'attitude du goujat, je finis par la rejoindre. Dès qu'il me voit, le harceleur en jogging bleu tourne des talons sans demander son reste. Clémentine me raconte : << Le baratin habituel. Vous êtes belle. Ça vous tente d'aller boire quelques chose ? >>

Nous rions de bon cœur alors que Clémentine nous entraîne au rayon des vêtements hommes. Il y a là quelquefois de bonnes opportunités. Il y en a une. Un type vêtu d'un jeans, d'un anorak et de baskets décroche des pantalons. Je reste en tête de gondole, faisant mine de regarder les ceintures. Clémentine pousse le charriot qu'elle cale contre les blousons. Accroupie devant les chaussettes, elle en décroche plusieurs paires. Écartant ses cuisses toujours davantage à chaque fois. Notre nouvelle innocente victime remarque ce merveilleux manège.

Lui aussi se rince l'œil. Par contre, il ne tente rien. Il se contente de mâter. Une sublime jeune fille qu'il devine rapidement s'amuser de sa présence. Il entre dans le jeu en restant parfaitement distant. Une fois encore je pourrais me masturber en regardant la fille que j'aime se livrer à sa passion. Une virtuose qui pratique l'art de l'exhibition depuis le début de son adolescence. La situation dure une bonne dizaine de minutes. Clémentine se redresse, s'accroupit à nouveau. C'est du grand Art. L'homme profite de la présence de cette merveilleuse salope.

C'est probablement sa compagne qui arrive en poussant un charriot. Clémentine se relève précipitamment. Peu désireuse d'attirer l'attention de cette autre femme qui décroche un pantalon. Clémentine s'esquive rapidement en poussant le caddie. Elle me confie les émotions intenses que lui procure ce jeu. J'écoute avec attention car elle décrit ses ressentis avec un luxe de détails. Nous entrons dans une cabine d'essayage. Clémentine saisit mon poignet pour glisser ma main entre ses cuisses. Je m'écris : << Tu es trempé ! J'ai envie de te bouffer la chatte ! >>

Nous passons en caisse. << Tiens, regarde là-bas, le dragueur en jogging ! >> lance Clémentine. Nous voyons le type de tout à l'heure entrain de discuter avec une jeune femme. Une fois dans la voiture, sur le parking, je sors ma bite. Clémentine la prend immédiatement en bouche en gémissant de plaisir. Je démarre. Je roule doucement en me faisant tailler une pipe passionnée. Je m'arrête sur le parking de l'université. En vacances pas une bagnole ici. Je suis à genoux devant le siège passager à bouffer la chatte de Clémentine. Il est dix sept heures.

Bonne soirée à toutes les coquines que quelques exhibitions de qualité ont copieusement "allumé". Bonne baise, bon cunnilingus, bonne pipe après un délicieux repas en amoureux...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 35 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2233 -



Juste Clémentine et moi

Il est huit heures trente, hier matin, jeudi. Clémentine est restée contre moi toute la nuit. Épousant chacun de mes mouvements, comme je le fais probablement aussi. Elle passe une jambe sous mes fesses, pose l'autre sur ma tumescence. Sa bouche contre ma joue, elle se frotte dans un mouvement masturbatoire. << Je t'aime. C'était si bon une soirée rien qu'à nous ! >> murmure t-elle. L'impérieux besoin de pisser met toutefois un terme à cette effusion de sensualité. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Nous pissons en bienheureux.

Dans la salle de bain, nous enfilons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra jaune. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Il faut encore allumer la cuisinière à bois. Malgré les radiateurs sa chaleur reste un agréable complément. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis alors que je m'occupe du feu. Elle me raconte ses rêves. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur l'exhibe de Clémentine dans l'hypermarché. << J'ai besoin d'une bonne récidive cet après-midi ! >> lance t-elle en venant s'installer sur mes genoux.

Nous faisons le rapide inventaire des lieux où Clémentine pourrait pratiquer. Nous en rions beaucoup. La vaisselle. Nous nous lavons les dents avant de mettre les K-ways. La température extérieure et de 14°. Le soleil joue à cache cache avec des nuages blancs. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur vive. C'est parti pour un jogging d'une heure. Nous courons le long de la rivière. La douche au retour. Je coiffe Clémentine avant de lui faire une natte. Vêtus de nos Levis, de nos chemises à carreaux, nous redescendons très vite.

Au salon, assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Deux messages. Celui d'Estelle qui nous annonce qu'ayant cédé aux demandes de ses parents trop heureux de l'avoir à la maison, elle ne viendra que samedi en début d'après-midi. << Mais c'est génial Julien ! Juste toi et moi encore deux jours. Ce n'est plus arrivé depuis les vacances de Noël ! >> s'écrie Clémentine. Un message de Julie qui nous remercie pour le merveilleux séjour passé avec nous dans le Jura. Elle précise qu'elle a fait le montage du film que nous y avons réalisé.

Clémentine pour répondre, s'installe plus confortablement. Me tourne le dos. La position idéale. Je caresse ses seins minuscules. J'en fais durcir les extrémités. << Mmhh, c'est bon quand tu me fais ça ! >> murmure t-elle. Elle fait un petit tour sur le site de l'université. Aucune information particulière. Il est onze heures. Clémentine se lève. Elle me prend par la main pour m'entraîner dans la cuisine. Il va faire faim. Le choux fleurs acheté hier est magnifique. Pendant que Clémentine lave les feuilles de la belle laitue, je fais de même avec le choux fleurs.

Je le laisse tremper dans de l'eau vinaigrée pendant que je concocte une Béchamel. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bisous. Je passe souvent derrière Clémentine qui prépare l'assaisonnement. Collé contre son dos, je caresse ses seins, je descends pour caresser sa braguette. Je passe mes lèvres dans sa nuque. << Mmhh ! >> gémit elle entre deux anecdotes concernant notre séjour dans le Jura. C'est surtout l'après-midi passé à Genève qui laisse un agréable souvenir. << Julie s'est amusée à compter le nombre de Porches ! >> dit elle.

Elle rajoute : << Je ne suis pas très bagnoles mais il faut admettre qu'elles sont belles. Mes préférées je crois ! >>. J'écoute amusé car je n'ai jamais vraiment prêté attention à ces voitures sportives. Je dis : << Tu veux qu'on en achète une ? >>. Clémentine s'écrie : << T'es fou. On est en France. T'imagine un peu si je vais à l'université en Porche ! En Amérique oui, mais pas en France ! La jalousie, la frustration et sans évoquer tous les poncifs gauchiasses ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Je rajoute : << On loue un garage près de la fac ! >>

Je fais cuire le choux fleurs dans l'auto cuiseur. Clémentine râpe du gruyère de Comté. J'égoutte le choux fleurs avant de le verser dans le grand plat en terre cuite. Je rajoute la Béchamel. Clémentine recouvre de gruyère, de chapelure et de graines de sésame grillé. Au four à bois pour une cuisson hyper rapide. Il y fait une température infernale. Comme la température extérieure est montée à 20° il fait presque trop chaud dans la cuisine. La table est mise. Clémentine m'entraîne dans la véranda. << Cet après-midi on pourrait partir à vélo ! >> dit elle.

Il n'y a pas de sonnerie dans le four à bois. Il faut donc surveiller la cuisson. Clémentine glisse sa main dans ma braguette béante. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Je suis presque immédiatement en érection. Elle cesse pour s'accroupir. Avec quelques difficultés elle sort mon sexe contre lequel elle frotte son visage. << Mmhh, j'aime la bite ! >> murmure t-elle entre deux gémissements. Elle en gobe la peau fripée du prépuce pour la mâchouiller entre ses lèvres. Elle me fixe de son regard suggestif, terriblement troublante. C'est excitant.

Je l'aide à se redresser pour éviter l'ankylose. En me tirant par la queue elle m'entraîne dans la cuisine. J'enfile les maniques. Il était grand temps de sortir le gratin de choux fleurs du four. Il est midi juste. Nous mangeons de bon appétit. Notre repas de ce soir est assuré, il n'y aura qu'à réchauffer. Nous évoquons notre prochain projet. Une croisière de deux jours sur le Lac Léman. Clémentine adore organiser nos séjours. << Je te ferai de belles surprises ! >> précise t-elle en venant s'assoir sur mes genoux. Nous traînons un peu à table. Bavardages.

La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Nous enfilons nos leggings de lycra noir. Nos sweats de lycra jaune. Comme ce matin pour le jogging. Pressés de filer nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos deux pommes, les K-ways, des barres de céréales, la thermos de thé bouillant. Nous traversons le jardin en courant. Dans le fond du garage nous retirons la bâche qui recouvre nos bicyclettes. Tout est parfaitement fonctionnel. Je gonfle les pneus. 5,5 bars à l'arrière et à l'avant. << Monsieur Bertrand ! >> s'écrie soudain Clémentine.

Nous le voyons par l'étroite lucarne monter de la rivière. << Reste là, je vais m'amuser un peu ! >> lance t-elle avant de se précipiter vers la sortie. Je regarde par la lucarne. Une vitre d'environ vingt centimètres sur trente. Sale. Elle permet de regarder sans être vu. Je vois Clémentine qui se positionne derrière la dépendance, à côté de la porte de l'abri à bois. Une main en appui sur le rebord de la fenêtre, penchée en avant, cambrée sur ses genoux fléchis, l'autre main entre ses cuisses serrées, elle se fait surprendre entrain de se masturber.

Je perçois vaguement les paroles de notre voisin. << Bonjour Clémentine. Alors ? Toute seule ? >> demande t-il. << Bonjour Louis ! Non Julien prépare les bicyclettes nous partons en promenade ! >> répond Clémentine. Elle se redresse tout en gardant la main entre ses cuisses. Il y a un espace entre ses cuisses. Qui permet l'exacte largueur de sa main. Hyper sexy dans son collant noir, ses seins minuscules moulés dans son sweat de lycra jaune, Clémentine est époustouflante de sensualité. << Ça te dis en vitesse ? >> demande notre retraité.

Tout en prononçant ces paroles il descend la tirette de son vieux pantalon de velours brun. Il fouille dans sa braguette pour en extraire ce tout petit sexe ridicule qu'il agite. Je ne vois pas les expressions de Clémentine car elle me tourne le dos. Par contre j'ai droit au spectacle qu'offre monsieur Bertrand. Elle se rapproche pour s'accroupir devant le vieux salaud. Elle s'accroche à ses hanches. Le vieux pervers saisit sa tête. Rien ne m'excite davantage que de voir une fille accroupie, de dos. Mais quand je sais qu'elle taille une pipe, c'est puissance 100.

Je sors ma queue. Clémentine bouge rarement la tête. Comme elle le dit souvent : << Il n'y a que dans les mauvais films pornos que les meufs branlent les mecs avec leurs bouches. Ce n'est pas de la pipe ça ! >>. Pourtant là, comme si elle était pressée d'en finir, je la vois synchroniser ses mouvements de tête avec ceux des hanches du vieux salopard. Elle cesse soudain. Se redresse en disant : << Je te termine une autre fois. Ta bite a un gout dégueulasse. Jamais tu la laves ? >>. Louis se met à rire en remballant. << Jamais ! >> lance t-il.

Clémentine le plante là pour contourner la maison d'amis. Elle me rejoint alors que je sors les vélos. << Put-hein, sa bite est une horreur aujourd'hui ! >> s'écrie t-elle en tirant une pomme du sac à dos. Nous rions aux éclats quand elle y croque avec avidité. Je la félicite pour cette initiative. << C'est une bonne cachette hein ? >> s'exclame Clémentine en palpant l'énorme bosse qui déforme mon legging. C'est parti. Nous descendons jusqu'à la rivière. J'ouvre le cadenas à code du portillon sur la passerelle en bois. 500 mètres jusqu'à la piste cyclable.

Nous croisons quelques cyclistes. Principalement des séniors. Il y a un léger vent d'Ouest, de face. C'est parfait. Il nous poussera au retour. Le fond de l'air est frais. C'est parfois désagréable. Nous pouvons rouler côte à côte et bavarder. Nous n'irons pas plus loin que le cabanon de l'écluse. Revenir en fin d'après-midi serait nous exposer au froid. Mais c'est superbe de profiter de ce soleil. Il est chaud. Nous en profitons bien à l'arrêt. Assis sur le bord de l'écluse, nous dégustons nos barres de céréales en buvant du thé bouillant. Il n'est que 16 h.

<< Je peux me taper le vieux demain ? >> me demande Clémentine. Je l'encourage en précisant : << Je me demande toujours comment il arrive à te mettre sa petite bite toute molle ! >>. Clémentine éclate de rire en disant : << Je ne sais pas mais je la sens bien ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Qu'il est agréable d'être assis là, sous le soleil. À entendre le gazouillis des oiseaux. Parfois un cycliste solitaire, parfois un couple. Parfois un groupe. Clémentine m'entraîne derrière le cabanon. Nous guettons le passage d'un solitaire. Pour un petit plan exhibe.

Pas de chance. Il n'y en a aucun durant la quinzaine de minutes que nous passons dans l'ombre. La fraîcheur nous décourage. Clémentine se serait volontiers fait surprendre entrain de pisser. Elle se retient depuis un moment. << Tant pis ! Je n'en peux plus ! >> lance t-elle en descendant son legging et sa culotte au milieu de la piste cyclable. Un plaisir n'arrive jamais seul. J'ai juste le temps de me planquer. Un cycliste tombe sur ce merveilleux spectacle. Cette fois Clémentine ne s'est pas préparée mentalement. Elle se fait surprendre en pipi "normal".

Comme toutes les filles surprises ainsi elle a ce réflexe de vouloir se redresser. Mais en pissant elle sait très bien qu'elle s'en mettrait partout. << Excusez-moi ! >> fait le bonhomme en contournant la jeune fille. Sans mettre pied à terre. << C'est moi ! >> lance Clémentine. Elle pisse toujours abondamment. Un jet puissant et étonnant. Là, ça ne semble plus finir. Le type s'arrête un peu plus loin en demandant : << Un petit coup de main ? >> Il se marre. << Non merci, ça ira ! >> répond Clémentine que je découvre gênée pour de vrai. Elle ne joue pas.

Le cycliste remonte sur sa machine pour s'en aller en marmonnant des trucs incompréhensibles. Je rejoins Clémentine avec un mouchoir en papier. Je m'accroupis à ses côtés pour la torcher. << Génial ! C'est l'émotion d'une première fois ! >> me dit elle. À cet instant nous nous faisons surprendre une nouvelle fois. C'est une jeune femme. Elle éclate de rire en faisant : << Oh pardon ! Je ne fais que passer ! >>. Nous nous sentons stupides. Clémentine remonte sa culotte, son legging. S'ajuste. Nous rigolons comme des bossus. C'est vraiment cocasse.

Il y a dix kilomètres dans le sens inverse. Poussés par le vent nous ne fournissons que peu d'efforts. Clémentine me confie son ressenti. De s'être faite surprendre ainsi a été un instant formidable. << J'ai vécu les mêmes sensations que la première fois. Quand j'avais quatorze ans ! >> dit elle. Je connais tous les détails. Je suis ravi que Clémentine ait vécu un retour dans le passé. Il est dix sept heures quand nous sommes de retour. << J'ai envie de faire l'amour ! >> s'exclame Clémentine dans la salle de bain où nous nous déshabillons. Elle m'embrasse.

Bonne soirée à toutes les coquines que quelques évènements imprévus ont bien "allumé". Une bonne baise avant un bon repas. Un bon cunnilingus et une bonne pipe après...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Classe - 36 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2234 -



Juste Clémentine et moi

Hier matin, vendredi, il est neuf heures quand nous nous réveillons tous les deux. Quasiment en même temps. Ces vacances sont vraiment parfaites. Après les exubérantes journées à quatre dans le Jura, nous savourons d'êtres seuls. Nous faisons l'amour tous les soirs, au lit, façon "vieille France", "à la papa". Et nous pouvons faire la grasse matinée. C'est reposant. Clémentine aime se frotter contre moi au réveil. Une fois encore contre ma hanche, une cuisse sous mes fesses, l'autre posée sur mon érection naturelle. Me mitraillant le visage de bisous.

Il faut pisser. Impossible de se soustraire à cette fatalité. Nous revêtons nos tenues de sport. Dehors, il pleut. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Comme les températures extérieures deviennent plus clémentes, inutile d'allumer la cuisinière à bois. Clémentine fait le café. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur ce qui s'est passé hier avec monsieur Bertrand. Notre voisin habite la maison plus bas, à un peu plus de trois cent mètres. Ce qui est bien pratique pour une coquine qui aime sucer du retraité.

Cette évocation nous fait beaucoup rire. << Je veux baiser avec lui un de ces jours. Tu sais que j'en ai encore rêvé cette nuit. Ça me rend toute chose le matin ! >> lance Clémentine en venant terminer sa tartine de miel sur mes genoux. Je l'encourage : << Fais lui signe ce matin avec le chiffon jaune à la fenêtre du premier étage de la maison d'amis ! >>. Clémentine me fait plein de bises collantes. J'adore. Surtout qu'après elle me lèche comme un petit chat. << Je peux ? >> me demande t-elle. Je réponds : << Non, tu dois ! >>. Nous rions.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Avec cette météo déplorable, pas de running en pleine nature. C'est dans notre salle que nous nous entraînons. Nous retrouvons avec plaisir nos petits rituels. Les échauffements de l'aérobic, du jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol ainsi que les différents abdos. Les charges additionnelles avant les étirements d'un bon stretching. Pendant les vacances, nous pratiquons chaque exercice dans sa parfaite amplitude. Nous avons tout notre temps. Nous courons vers la salle de bain pour la douche.

Ce matin, shampoing. Le sèche cheveux dans la main gauche, je brosse les cheveux de Clémentine de la main droite. Elle adore me raconter plein de choses assise devant le miroir en se faisant coiffer. Nous nous habillons. Levis, sweats, baskets avant de redescendre à toute vitesse. Clémentine veut aller coincer le chiffon jaune à la fenêtre. Il faut chausser les bottes en caoutchouc, enfiler l'anorak, se munir du parapluie. La température extérieure est de 19°. Mais dans la maison d'amis elle n'est que de 16°. Il faut allumer les convecteurs électriques.

Les commandes sont dans le placard de droite. Clémentine fait les dernières vérifications. Tout fonctionne à la perfection. Ce sont les panneaux voltaïques qui fournissent l'énergie. Les batteries sont pleines. D'ici une heure il fera bien meilleur. J'ouvre le placard de gauche. Les balais, l'aspirateur, les seaux, les serpillères. Il y a juste la place restante pour me permettre d'y entrer. Clémentine y pénètre avec moi en se serrant fort. Par la grille d'aération, par l'ouverture ronde de quelques centimètres, la vue sur la grande pièce est parfaite. Idéale.

Clémentine s'empare du chiffon jaune pour se précipiter dans l'escalier. Je sors l'aspirateur que je branche. Immédiatement je me mets au travail. C'est amusant. Clémentine redescend, me saute au cou en s'écriant : << Tu es sexy en passant l'aspirateur ! >> Nous rions de bon cœur. Elle rajoute : << Ça y est j'ai fixé le chiffon. Il passe tous les matins avant midi pour aller nourrir ses amis canards. Il va être content le vieux pervers ! >> Je dis : << Il va baiser une adorable jeune salope. De quoi être le plus heureux des retraités ! >>. Nous rions aux éclats.

Clémentine, armée d'un plumeau, enlève les poussières en me racontant la façon dont elle va s'habiller pour recevoir Louis. << En pute ? En étudiante ? En innocente ? En dame du monde ? >> lance t-elle. J'écoute en étant plié de rire car elle imite l'accent Corse de Juliette. << Ce sera en "pute". Ce qui me va comme un gant ! >> s'écrie t-elle soudain après un moment de silence. Trois coups discrets contre la porte. Clémentine se précipite pour ouvrir. C'est monsieur Bertrand, sous son parapluie. Il semble un peu étonné de me voir. Il ne s'y attendait pas.

Nous nous saluons. << Vous venez prendre le café tout à l'heure ? >> demande Clémentine. << Volontiers, vers 14 h ? C'est bon ? >> répond le sexagénaire. Immédiatement, je veux rassurer sa libido : << Vous m'excuserez Louis mais je ne serai pas présent. J'ai fort à faire pour préparer ma saison d'été ! >>. Le vieil hypocrite se fend d'un : << Comme c'est dommage ! >> Clémentine m'adresse un discret clin d'œil. << Bon, à tout à l'heure alors ! >> lance le vieux saligaud en ressortant. << Ce salopard a vraiment tous les vices ! >> lance Clémentine.

Nous terminons le rapide ménage. Juste en bas. Personne ne monte à l'étage. Il fait à présent bien chaud partout. Nous quittons, morts de faim, pour traverser le jardin en courant sous le parapluie. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade de concombre. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je poêle deux dos de cabillaud blanc pas tout à fait décongelés. Ça tire de la flotte. Je rajoute les champignons. J'égoutte les coquillettes. Clémentine râpe du gruyère de Comté. Elle me fait part de son excitation grandissante. Mêlée à une légère peur.

<< Merci Julien de m'offrir cette vie de complicité, d'amour et de bonheur ! >> s'écrie t-elle en me sautant au cou. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie ses peurs grandissantes. Il en va toujours ainsi avant une nouvelle aventure. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Clémentine se change pour une jupe kilt à carreaux rouges et verts. Un chemisier crème sous un pull bleu nuit au col en "V". Des soquettes blanches, des mocassins de cuir noir.

Devant le miroir elle prend des poses. Je la félicite en disant : << Il en a de la chance ce vieux dépravé. Il va tirer une sublime salope ! >> Clémentine s'accroupit, cuisses largement écartées, sans culotte. << Le plus dur sera de traverser le jardin sans me mouiller sans attraper froid à la chatte ! >>. Elle se redresse en riant. << Viens, il va être l'heure ! >> lance t-elle en prenant ma main pour m'entraîner dans les escaliers. Nous les dévalons. Pas la peine d'enfiler les anoraks, la température extérieure est à présent de 20°. Mais il faut le grand parapluie.

Il est 13 h45. Clémentine se jette dans le canapé de gauche. Elle écarte ses cuisses. Elle me fixe avec ce regard terriblement suggestif. Elle dit : << Tu veux me prendre un peu avant ? >> Je réponds : << En cinq minutes, je ne peux pas. Ce serait trop frustrant ! >> Nous montons à l'étage pour préparer le café. Nous disposons les tasses sur la table basse qui sépare les deux canapé. Les petits gâteaux secs. Je n'ai plus qu'à entrer dans le placard pour m'y cacher. Je donne trois coups contre la porte pour indiquer que c'est bon en disant : << OK ! >>

Clémentine mime une masturbation masculine en écartant ses cuisses. La vue de sa chatte hyper poilue me procure déjà une formidable érection. Trois coups contre la porte. Clémentine, couchée lascivement sur le canapé, se touche en faisant : << Entre, c'est ouvert ! >>. Monsieur Bertrand ne semble pas vraiment étonné. Il sait à quel genre de salope il a affaire. Ce n'est pas la première fois. Je retiens ma respiration. Il va falloir rester silencieux et immobile trois bons quarts d'heure. Le vieux retraité n'a jamais davantage de temps à consacrer.

Il est vêtu de son pantalon d'épais velours brun, d'une vieille chemise grise. Il met son parapluie contre la porte en ouvrant sa braguette. Il déboutonne son pantalon, défait les lacets de ses grosses godasses. Il fait tout cela méticuleusement en disant : << Il ne risque pas de se pointer ton cocu ? >> Clémentine répond : << Oh non, il est occupé. Il a du boulot pour cet été ! >>. Louis ne porte plus que sa paire de chaussettes. Il est petit, trapu, avec du bide. L'horreur absolue. Un ventre rond sans poils. C'est à gerber. Sa queue minuscule et ridicule.

Il est à genoux sur le canapé. Clémentine lève une jambe pour la poser sur le dossier. Le vieil enfoiré se vautre carrément sur elle. J'assiste une fois encore à la saillie de la fille que j'aime par un spécimen rare de pervers. Ni Clémentine ni moi ne savons comment ce vieux schnock s'y prend pour enfoncer son sexe mou. Mais visiblement il y parvient une nouvelle fois. Louis est le seul homme qui peut la pénétrer à crue, sans capote. Je suis envahi de cette étrange sensation où se mêle excitation, tristesse. J'assiste au coït de ce vieux saligaud. Il y va à fond.

C'est également le seul homme que Clémentine accepte d'embrasser pendant la baise. Mais elle est le plus souvent tête rejetée en arrière, le corps remué par les assauts vigoureux de notre vicelard. Elle pousse de petits cris. Elle se fait véritablement baiser en y prenant un plaisir énorme. Ce vieux salaud qui s'agite en poussant des râles d'ours en rut. Je me branle silencieusement en retenant ma respiration. Je suis en sueur. Clémentine se masturbe toujours en se faisant tirer. Elle doit s'offrir plusieurs orgasmes à la suite car je la vois agitée de spasmes.

Le ventre de ce vieux salaud qui frotte celui de Clémentine. C'est à la fois écœurant et terriblement excitant. Il n'arrête pas de lui lécher le visage, le cou, les épaules. Il se dégage soudain pour s'affaler sur le canapé. Comme pris d'un malaise, il s'écrie : << Tu vas me tuer salope ! >> Il est rouge, en sueur, à poil dans notre canapé. Clémentine se couche, sa tête sur sa cuisse, elle dit : << Tu es un super baiseur ! >> Elle se tourne pour se positionner à plat ventre, la bite toute molle de Louis dans la bouche. Elle suce avec une expression de ravissement.

<< Tu l'aimes la bite à Louis, hein ! >> lance le retraité. Sa bite est totalement dans la bouche de Clémentine qui pompe en gémissant de plaisir. Quand elle cesse quelques instants, il y a un incroyable flot de foutre qui coule. Elle tente bien de ne pas en perdre la moindre goutte mais il y a une telle abondance. On ne sait jamais si c'est l'éjaculation ou un épanchement continu. Clémentine tousse, manque de s'étouffer quand ce vieux salaud la maintient férocement en bougeant de manière rythmée et régulière. Il pousse un véritable rugissement. Ça jute.

Clémentine se débat, tente de se soustraire à cette étreinte. Rien à faire, le bougre la tient en s'écriant : << Bouffe ! C'est du 66 ans d'âge ! Ça se déguste ! >> Il finit par lâcher Clémentine qui parvient à se lever pour fuir. Elle a du foutre partout, le visage trempé. Louis se lève et commence à s'habiller. Il dit : << C'est pas le tout mais il faut que je te laisse ma grande. On refait quand tu veux ! >> Clémentine ne répond pas. Elle s'essuie le visage avec un mouchoir en papier dans lequel elle crache tout ce qu'elle ne peut déglutir. Elle est toute rouge.

<< Allez, à un de ces jours ! >> lance le vieux en se dirigeant vers la porte. Il sort en fermant la porte derrière lui. J'attends un petit moment avant de sortir de mon placard. C'est Clémentine qui vient ouvrir la porte. Elle n'ose pas soutenir mon regard. Je la félicite avant de demander : << Raconte-moi tout en détails ! >> Elle m'entraîne pour me faire tomber dans l'autre canapé. L'endroit où était assis Louis est trempé. Clémentine croque dans une pomme en disant : << Attends, avant je dois enlever le goût dégueulasse de ce vieux pervers ! >>

Nous restons longuement vautrés là, grignotant le reste des petits gâteaux. Clémentine me confie la puissance des orgasmes fous que lui procure notre voisin. Je tente de décrire la scène telle que je la vois depuis ma cachette. << On se fait un film en douce la prochaine fois. Je veux voir comment il me baise ! >> Quand Clémentine veut m'embrasser j'esquive sa bouche. Ça me dégoûte toujours quand elle a taillé une pipe à un autre. Même si elle a mangé une pomme et des petits gâteaux. Nous quittons la maison d'amis. Clémentine prend une douche.

Elle insiste pour que reste à la salle bain. Je suis assis sur le tabouret entre l'armoire à serviettes et la baignoire. J'écoute en me masturbant. J'essuie Clémentine qui adore que je m'occupe d'elle. Elle remet son Levis, son sweat. << Tu m'embrasses maintenant que je ne suis plus lépreuse ? >> s'écrie t-elle sans me laisser le temps de répondre. Je bande immédiatement. Elle s'accroupit pour se remettre à sucer. Je la tiens par les oreilles. J'appuie sur sa nuque. Je lui inflige le même tourment que Louis. J'éjacule en hurlant. Je dis : << Ce soir restau ! >>

Bonne soirée à toutes les coquines qui on eu double dose. Deux spermes différents. Un bon repas gastronomique dans un restaurant très "classe". Avant un retour vers 22 h pour une nuit de récupération...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 37 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2235 -



Le retour d'un samedi habituel

Il est sept heures trente hier, samedi. Clémentine se serre contre moi. En se frottant elle murmure : << J'ai fait un rêve cochon ! >>. Elle se couche sur moi. Me couvre le visage de bisous. C'est ainsi que j'émerge. Mon érection naturelle sur laquelle Clémentine frotte son sexe. Je dis : << Tu me racontes devant des tartines et un bon café ! >>. Débordante d'énergie, elle m'attrape par la queue pour m'entraîner aux toilettes. C'est en riant que nous procédons à nos rituels pisseux. Dans la salle de bain nous mettons nos tenues de jogging. Il est 7 h40.

Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant son rêve érotique. Il y est question de monsieur Bertrand, notre voisin. << C'est tellement bon avec ce vieux salaud ! >> précise Clémentine pendant que je presse les oranges, que je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur ce qui s'est passé vendredi après-midi avec ce vieux pervers. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en faisant le planning de la matinée. Un programme précis et méticuleux.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents. L'absence de Julie est un peu étrange. Mais nous ne la reverrons que vendredi prochain. La température extérieure est de 14°. Il y a du soleil. Nous enfilons nos K-ways pour sortir. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti pour notre heure de running le long de la rivière. Il est neuf heures quinze quand nous revenons pour prendre notre douche. Nous pouvons prendre notre temps. C'est un des avantages appréciables des vacances. Je coiffe Clémentine qui évoque monsieur Bertrand. Sa petite bite.

Je dis : << Pour moi c'est un mystère. Comment peut-il t'enfoncer cette petite queue toute molle ! >>. Clémentine répond : << C'est une énigme pour moi aussi. Mais qu'est-ce que c'est bon ! >>. Nous rions. Elle rajoute : << J'adore la sucer. Ça ne prend pas de place dans la bouche, je peux tout prendre. C'est une des plus abondamment juteuses. Bien dégueu. Comme j'aime ! >>. Nous revêtons nos Levis, nos sweats. << Tu montres ta bite à Danièle ce matin ? Ça nous plairait bien à toutes les deux ! >> s'écrie Clémentine en palpant ma bosse.

Elle s'accroupit pour déboutonner ma braguette, faire dépasser mon Zob par dessus l'élastique du slip. Elle ajuste l'ensemble en disant : << Voilà, c'est parfait ! >>. Je m'exclame : << Mais au moindre mouvement un peu brusque, elle va jaillir ! >>. Clémentine m'entraîne par la main. En dévalant les escaliers elle précise : << C'est parfait si elle jaillit ! >>. Dans le hall d'entrée j'ouvre le portail depuis l'interphone. Nous sortons dans une douceur à laquelle nous n'étions plus habitués. Nous allons dans la maison d'amis. Il y a comme une odeur de fauve.

<< Ça sent la baise. Il sue comme un porc le vieux ! >> lance Clémentine. Le bruit d'un moteur. Voilà la camionnette blanche qui descend le chemin. Danièle se gare devant le garage. Toute souriante elle saute de son véhicule. Nous nous touchons les poings. << Alors, ces vacances, c'était bien ? >> demande t-elle en ouvrant les portières arrières. Elle vient de voir ma braguette ouverte. Danièle a un mouvement de recul, surprise. Elle me tend le cageot contenant les fruits et les légumes. C'était prévisible, dans l'effort ma queue qui jaillit.

Danièle tend le cageot contenant les fromages, les yaourts, les œufs, le beurre et les petits pots de crème fraîche à Clémentine. Le temps de poser mon cageot sur le banc de pierre contre le mur. Je veux remballer mon sexe car je me sens ridicule. Danièle me fait un merveilleux sourire en disant : << Si vous saviez comme j'attendais ces premiers beaux jours ! >> Elle fixe ma braguette. Je la trouve séduisante aujourd'hui. Ses cheveux auburn, coupés à la garçonne. Son jeans moulant. Son sweat qui épouse bien ses formes. Cette jeune femme est troublante.

Quand Danièle me tend le terminal dans lequel j'introduis ma carte de paiement, elle se penche ostensiblement. Elle tente de me faire comprendre à quel point elle apprécie la situation. Clémentine me fait un discret clin d'œil. Danièle retourne s'assoir au volant de son Mercedes utilitaire. Pendant qu'elle fait la manœuvre de demi tour, Clémentine chuchote : << Sors ta bite, montre-lui. C'est le moment, j'te jure ! >>. J'hésite. Tout va très vite. << Allez ! >> lance Clémentine. J'extrais ma queue. Je bande mou. Je l'agite vers la conductrice.

Elle nous adresse le plus merveilleux des sourires. Par la vitre baissée elle crie : << Merci c'est génial ! >>. Elle lève le pouce de sa main gauche et accélère. Arrivée en haut du chemin, au portail, elle nous fait un grand signe de la main, le bras par la fenêtre. Clémentine saisit mon sexe en disant : << Tu vois, au bout de trois ans, c'est la récompense. Elle t'a bien fait comprendre en précisant qu'elle attendait les premiers beaux jours ! >> Elle me masturbe. Je m'écrie : << Merde ! >> car voilà le tube Citroën de notre boulangère. Madame Marthe.

J'ai juste le temps de remballer en me tournant vers le mur, devant les cageots posés sur le banc. Quand je bande c'est ardu. J'y arrive. La dame saute de son véhicule de collection, entièrement rénové qui sert à ses livraisons. << Alors, vos vacances ? >> demande t-elle en faisant coulisser la porte latérale dans un affreux bruit de ferraille. Elle en tire un cageot contenant deux grosses miches de pain complet, bio et aux noix. Deux pâtes feuilletées, une énorme brioche au pudding et deux gros croissants à la frangipane. Paiement par carte bancaire.

Madame Marthe ne s'attarde pas. Tout comme Danièle elle a encore bien d'autres clients à livrer. Nous la saluons. Nous contournons la maison pour descendre à la cave par derrière. Dans le cellier, sur les étagères en bois, nous disposons les fruits, les légumes. << J'aime la réaction des filles quand elle découvre ta queue ! Ça m'excite ! Si tu savais ! >> s'écrie Clémentine en me déboutonnant une nouvelle fois la braguette. Alors que je dépose les pâtes feuilletées dans le congélateur, elle me sort la bite. Je prend le sachet de haricots verts, de petits pois.

Un paquet de moules. Nous remontons par l'escalier intérieur pour ranger les produits frais dans le réfrigérateur. << J'ai envie ! >> ne cesse de chuchoter Clémentine en me palpant, en me tripotant, en s'accroupissant à peine la porte du frigo fermée. << Je dois être atteinte de nymphomanie, doublée d'une tendance érotomane ! >> fait elle. Nous rigolons comme des bossus quand elle imite mon accent écossais en rajoutant : << Pardon, une tendance érotowoman ! >> Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour m'embrasser avec passion.

C'est ainsi que je l'emmène au salon. Assise sur mes genoux, elle allume l'ordinateur. Quatre mails. Celui de ma famille d'Édimbourg. Ils sont impatients de nous revoir. Un message de Juliette qui nous raconte sa semaine. Des propriétaires de chevaux commencent à venir récupérer leurs bêtes. Comme tous les ans, il y a les "lâches" qui tentent de les "oublier" au haras en même temps qu'ils oublient de payer la location. Il faut donc adresser des relances avant d'entamer des pressions. Des menaces. Un courriel de Julie qui nous raconte son retour.

Il y a ses deux mamies, ses deux papis qui restent jusqu'à lundi. Elle qui adore préparer les repas, faire des surprises, s'essayer à la pâtisserie a de quoi s'occuper. Un message d'Estelle qui nous annonce son arrivée pour le début de l'après-midi. Clémentine change de position pour répondre. Elle me tourne le dos en tapant sur le clavier. << Mmhhh, j'adore ! >> murmure t-elle lorsque je caresse ses petits seins minuscules. Que je fais pointer ses extrémités sous le coton de son sweat. Elle se lève soudain d'un bond après avoir cliqué sur envoi.

Elle passe sous le bureau. Cet espace entre les deux compartiments à tiroirs. C'est un grand bureau victorien et plus que centenaire. Elle peut y évoluer à genoux, à sa guise. Ses mains sur mes cuisses, elle frotte son visage sur mon sexe dégoulinant à cause des excitations répétées de la matinée. << Je peux sucer le vieux ce week-end ? >> murmure t-elle en prenant ma bite en bouche. Je réponds : << Tu ne peux pas. Tu dois ! >>. J'aime l'entendre glousser de rire en pompant. Je me fais rapidement tailler une pipe des familles. J'en ai des vertiges.

Les bruits bulleux et les gargouillis d'une fellation de haute qualité. Il y a tout juste la place pour sa tête. Si elle la relève trop elle se cogne. Elle suce donc en contraignant ma queue à l'horizontale. C'est assez désagréable au bout d'un moment. La chaise victorienne sur laquelle je suis assis est bien trop lourde pour la faire riper en arrière. Je saisis Clémentine par ses cheveux pour l'obliger à cesser. En poussant un râle de déception elle sort de sous le bureau. Je me lève. Je l'entraîne dans toute la grande pièce en la tenant par sa tignasse. À quatre pattes.

Au coin de chaque meuble Clémentine lève la patte. Je me place alors face à elle pour lui frotter la bite sur la gueule. Quand elle veut la gober, j'esquive au dernier instant. << Mmhh ! >> gémit elle à chaque tentative ratée. Nous faisons deux fois le tour du salon. Je l'aide à se relever. Je m'accroupis pour masser ses genoux alors qu'elle caresse ma tête en murmurant : << Je vous aime mon doux "Maître" ! >>. Il commence à faire faim. Nous quittons le salon pour la cuisine. Clémentine prépare l'assaisonnement d'une belle et grosse laitue du matin.

Je prépare le bouillon pour les moules. Sur la cuisinière électrique c'est un peu plus long que sur celle à bois. Pendant ce temps je fais chauffer les petits pois, les haricots verts dans le wok. Je vide le paquet de moules dans le bouillon en ébullition. Préparations rapides de nos samedis, ce repas nous régale. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les réactions de Danièle ce matin. << Une membre du "Club" ! >> lance Clémentine avant de rajouter : << S'il y a une suite à tout cela, je suis hyper excitée, hyper impatiente à l'idée de la découvrir ! >>

Je rappelle à Clémentine que Danièle est une femme mariée et qu'il sont quatre dans sa famille. << Elle doit aimer les "extras" ! Ou alors c'est juste une voyeuse qui aime les situations troublantes ! >> répond Clémentine. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle propose les options de l'après-midi. Il fait beau, plutôt doux avec 21°. << On se fait une virée vélo ou une randonnée ? >> me demande t-elle. Je précise qu'il y a tout de même un vent frais. Léger certes mais désagréable car venant du Nord Est.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Il y a un léger bruit dans le couloir. La porte s'ouvre brusquement sur Estelle qui se précipite. À peine nos bouches essuyées que nous nous serrons tous les trois à nous couvrir les visages de bises. C'est tellement bon d'êtres tous les trois. Estelle, tout en tirant le pyjama, une culotte et des chaussettes de son grand sac de sport, nous raconte ses trois jours avec ses parents. << Il y avait ma mamie du Var. J'ai préparé tous les repas, j'ai même fait de la patoche en suivant les recettes ! >> dit elle.

Pressés de filer, nous nous changeons. Ce sera pour faire de la bicyclette. Tous les trois, en leggings de lycra noir, en sweats de lycra rouge, recouverts de gilets de lycra jaune, nos baskets, nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos des pommes, des barres de céréales, la petite paire de jumelles, les K-ways. La thermos de thé bouillant. Estelle a emmené son vélo. Je le tire de l'arrière de son Kangoo. << Papa a tout vérifié ! >> précise t-elle. Nous sortons les nôtres du fond du garage. Je vérifie la pression des pneus. Ça n'a pas bougé. 5,5 bars.

C'est parti. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. Le cadenas à code du portillon sur l'étroite passerelle en bois. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Le vent de Nord Est est léger, il contribue à avancer sans fournir d'effort. Nous l'aurons de face au retour. Ce qui sera moins drôle. Nous croisons pas mal de cyclistes. Il y a déjà des filles en rollers. C'est un bel après-midi de printemps. Enfin. Nous pouvons souvent rouler côte à côte. Clémentine raconte sa baise avec Louis, le voisin. << Mais comment tu peux baiser avec ce vieux ? >> demande Estelle.

<< Essaie, tu verras. Petite bite qui rentre toute seule. Agitée par un véritable pervers ! >> répond Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Pas d'arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Une bonne vingtaine de cyclistes sont assis au bord de la route. Il y a vingt cinq kilomètres jusqu'au port de plaisance. Une bonne heure à pédaler sans forcer. Nous adorons l'ambiance qui règne là. Il y a du monde. Des préparatifs aussi. Nous fermons les vélos à cadenas derrière la capitainerie fermée. Nous flânons en appréciant la magie de l'endroit. C'est si typique.

Après renseignements il y aura demain dimanche le premier marché aux antiquaires sur les quais. Sous bâches en cas de mauvais temps. Lundi premier mai verra une messe en plein air et une réunion de tous les habitants de la région pour une manifestation festive. La municipalité du bourg organise toujours des évènements étonnants et à succès. Si la météo le permet, nous reviendrons à bicyclettes. Il faut soulager nos vessies. Les alentours des toilettes publiques sont le lieu de réunion de tous les jeunes du bourg. Il y a plein de scooters garés.

Les toilettes réservées aux plaisanciers sont encore fermées. Il faut donc descendre le chemin qui longe le canal. Des buissons, des bosquets, des fourrés, les premiers pêcheurs au bord de l'eau. Estelle me tient la bite pour en diriger les jets contre un muret. Clémentine tient mes couilles par derrière. C'est au tour de mes deux anges. Clémentine propose un pipi exhibe car là-bas, sur l'autre rive du canal, un pêcheur est installé. En tenue para militaire, devant plusieurs lignes. Clémentine et Estelle se rapprochent du bord. Entre deux bosquets.

Il n'y a que la largeur du canal à cet endroit qui les sépare du quidam. Une vingtaine de mètres tout au plus. Je fais le guet en restant planqué. Les filles scrutent soigneusement les environs. Personne. L'occasion rêvée. Toutes les deux descendent leurs leggings et leurs culottes. En appuis sur une main derrière elles, cambrées sur la pointe des pieds, accroupies, tirant leurs fringues vers le haut, elles se mettent à pisser. Le pêcheur, comme ahurit, hébété, observe la scène. Le jet de Clémentine, très puissant, qui vient se briser dans l'eau.

Estelle, beaucoup plus voyeuse qu'exhibitionniste, n'a que son petit jet habituel. Surtout qu'elle mâte les réactions du type. La scène dure environs deux minutes. Estelle se redresse la première pour se torcher. Elle fait durer. Alors que Clémentine, qui savoure l'instant, ne cesse de propulser de petits jets d'une incroyable puissance à plus de trois mètres devant elle. J'adore voir ses fesses bouger à chaque contraction de ses muscles pour lancer ses jets le plus loin possible. Le pêcheur, prenant conscience de son impuissance, lève le pouce de la main droite.

Comme pour féliciter les deux salopes qui viennent de lui offrir un merveilleux spectacle. Clémentine se redresse alors qu'Estelle remonte ses vêtements. Clémentine fait un signe amical de sa main gauche. Cambrée sur ses genoux fléchis, elle se masturbe de la main droite. S'en est trop. Le type se lève. Il regarde dans toutes les directions. Il va dans la tente kaki sur sa droite. Il sort sa queue pour se branler. C'est surréaliste. Estelle vient me rejoindre. Nous regardons ces deux exhibitionniste se masturber, chacun sur la rive opposée. Ils s'observent.

Estelle saisit ma bite. J'adore me branler en regardant Clémentine dans ses prestations. << Je t'aime Julien. Tu m'as manqué durant ces trois jours. Merci pour ces vacances dans le jura ! >> murmure t-elle en se calant contre moi, sa tête contre mon épaule, pour me masturber en regardant Clémentine s'éclater comme une dingue. << Tu vas voir, elle va aller jusqu'à l'orgasme cette salope. Quand on était au lycée toutes les deux, elle faisaient déjà pareil ! >> rajoute Estelle. Clémentine m'a très souvent raconté ses exhibes d'adolescente.

Il y a un groupe de cyclistes. Ils arrivent du côté du pêcheur. Lui est planqué sous sa tente. Mais Clémentine est obligée de se dissimuler derrière les buissons. Ce sont probablement les cyclistes de tout à l'heure. Une des femmes s'arrête, provoquant l'arrêt de toute la bande. Il est inutile de continuer. Clémentine vient nous rejoindre en disant : << Les cons ! Je suis abonnée aux cons, j'ai ma carte, mais là vraiment, autant d'un coup ! >>. Nous rions aux éclats en remontant le chemin. Un autre rituel auquel nous allons sacrifier. Les crèmes glacées.

Il n'y a pas beaucoup de clients dans la supérette. Juste la gérante à la caisse. La dame est toute contente de nous revoir. Elle s'exclame : << Quand je vous vois tous les ans en début de saison, vous m'emmenez le printemps ! >>. Nous savourons nos premiers bacs de glaces de l'année. Ben & Jerry's. Nos préférées dans leurs pots ronds de 500 grammes. Cookie Dough pour Estelle. Peanuts cookie pour Clémentine. Vanille pécan pour moi. Assis sur un des bancs, sous les platanes, à regarder les joueurs de boules qui se livrent à une compétition sévère.

Nous flânons longuement sur les quais. La plupart des bateaux sont encore bâchés. Mais les premiers plaisanciers sont déjà sur les ponts des plus grands. Il est 17 h45. La fraîcheur du soir nous rappelle aux dures réalités. Il faut enfiler les K-ways. Nouer les capuches car nous luttons contre un vent frisquet. Une heure trente plus tard, transis de froid, nous arrivons à la maison. Heureusement qu'il y fait bien chaud. Le contraste est saisissant. Assis tous les trois dans la cuisine, nous épluchons les pommes de terre, les crottes, les navets et le gros céleri.

Ce sera pour une potée de légumes qui accompagnera les trois repas à venir. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la laitue déjà lavée à midi. Je touille les légumes dans la vieille cocotte en fonte noire, afin qu'ils n'accrochent pas. Estelle fait dorer trois filets de colin avec des champignons. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur l'exhibe de l'après-midi. << Vous avez vu comme il se branlait le mec ! >> s'exclame Clémentine. << Il avait de quoi se branler en te regardant faire pareil ! >> s'écrie Estelle. Nous rions aux éclats.

<< J'ai une surprise pour ce soir ! >> lance Estelle. Nous traînons un peu à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges évoquent la rentrée du troisième trimestre dès mardi. J'écoute. C'est intéressant de découvrir les stratégies qu'elles vont mettre en œuvre. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous sommes toujours encore en tenues sports. Les filles m'entraînent au salon pour me faire tomber sur le canapé. De sa petite banane fixée autour de la taille, Estelle sort la minuscule boîte en plastique habituelle. Elle contient la carte SD.

Nous comprenons immédiatement. Clémentine met la carte SD dans l'ordinateur. Relie le téléviseur avec le câble HDMI. Elle allume les deux appareils. En retirant nos leggings nous la regardons faire. << C'est OK ! >> lance t-elle en venant nous rejoindre. Elle retire son legging pour s'assoir à ma gauche en tenant la télécommande. Estelle à ma droite qui tient ma queue. À l'écran nous découvrons le film réalisé durant nos vacances dans le Jura. Estelle, comme à son habitude en a fait un montage. Avec générique de début et de fin. Une musique.

Sobrement intitulé "Auto Stop" nous retrouvons le décors assez sinistre du Mont Bayard. Ses forêts de sapins sous un ciel triste et taciturne. Nous reconnaissons Estelle marcher de dos en levant le bras, en levant le pouce. Une fois encore Clémentine s'est révélée efficace et virtuose à la caméra. C'est filmé en 4K. Autant préciser que sur l'écran géant du téléviseur, l'image est plus vraie que dans sa réalité. Avec des détails époustouflants. La stoppeuse que je fais monter dans la voiture. La conversation d'abord quelconque. Puis les propositions salaces.

Tout a été filmé à la perfection. << Tu as aimé me prendre en stop ? >> me demande Estelle alors que Clémentine fait des arrêts sur images. Estelle tord ma queue dure comme le bois dans tous les sens. Clémentine, la télécommande dans sa main gauche, se masturbe de la droite. << Si ce n'était pas aussi risqué, je me ferais volontiers prendre en stop par un vicelard comme toi ! >> lance t-elle. Les premières images de la stoppeuse qui se penche vers la queue du conducteur. C'est hyper excitant. << Écoutez bien là, ! >> s'écrie soudain Estelle.

<< Ce sont les gloussements que poussait Julie. Elle se touchait à côté de moi pendant que je vous filmais ! >> s'exclame Clémentine. Toute cette scène nous revient à l'esprit. Toute cette ambiance très particulière. Une fois encore nous faisons ce constat fantastique. Estelle que je vois interpréter le rôle de l'auto stoppeuse dans le film, est là assise en chair et en os à ma droite. J'ai ma main entre ses cuisses. Je doigte sa chatte trempée. Elle me fait part du même ressenti. Le vicelard que j'interprète dans le film est assis à sa gauche. Dans sa totale réalité.

Nous passons la soirée à nous masturber tous les trois en visionnant les trente huit minutes conservées au montage par Estelle. Avec la bicyclette et les émotions vécues, nous sommes complètement épuisés. Il est vingt trois heures. Nous montons. Après la salle de bain, sous la couette, nous continuons encore un peu. J'offre un cunnilingus à mes deux anges. L'orgasme est rapide pour Estelle. Clémentine s'endort bien avant. Estelle s'endort avec ma bite toute molle dans la bouche. Je l'aide à s'installer. Je plonge à mon tour entre mes deux anges.

Bonne nuit à toutes les coquines qui s'offrent de sublimes instants de plaisirs, de merveilleux moments de bonheur. Avant un bon dodo...

Julien



Classe

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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 38 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2236 -



Une journée passionnante

Hier matin, dimanche, il est presque neuf heures. Les mouvements réguliers des pieds d'Estelle contre les miens ont raison de mon sommeil. Ce qu'elle appelle ses "impatiences". Elle saisit mon érection naturelle en posant ses lèvres sur ma joue. Se frottant contre ma hanche en gémissant. Ce qui réveille Clémentine qui se frotte à son tour. C'est dans cet enchantement paradisiaque que nous émergeons. Je suis entre mes deux anges que je serre encore plus fort en passant mes bras autour de leurs épaules. Distributions de bisous, de papouilles. Tendresse.

Estelle abandonne son poste en s'élançant vers la porte. Dans son pyjama de soie mauve. Clémentine tient à présent ma tumescence en me chuchotant : << J'ai encore rêvé du vieux pervers ! >>. Nous rions. Je glisse ma main dans sa culotte pour murmurer : << Tu me racontes tout ça devant de la brioche ! >>. Nous nous précipitons à notre tour aux toilettes. Dans la salle de bain nous enfilons nos Levis, nos sweats, nos baskets. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Dans les suaves odeurs du café, du pain grillé.

Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes en disant : << Que c'est bon les week-end ! >>. J'administre le même traitement à Clémentine. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur l'exhibe de mes deux anges au bord du canal. << À refaire dès que possible ! >> s'écrie Clémentine qui nous raconte son rêve érotique. Un rêve où notre voisin retraité se comporte exactement comme dans la réalité. Vulgaire et vicelard. Nous mangeons de bon appétit en riant beaucoup. Notre brioche est succulente.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges reviennent sur notre "soirée cinéma". C'est toujours passionnant de découvrir les films pornos que nous réalisons à titre privé. Le dernier fait dans dans le Jura est encore un must. Une réussite. << Ça m'en fait un total de dix neuf. Encore un et stop ! >> précise Estelle. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. << Le vingtième sera consacré à quel fantasme ? >> demande Clémentine. << Moi et une bande de mecs ! >> répond t-elle.

Nous remontons pour nous laver les dents. En faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Estelle quitte son pyjama pour s'habiller comme nous. Dehors, le ciel est voilé mais lumineux. Pressés d'aller nous dégourdir les jambes, nous redescendons à toute vitesse. Le thermomètre extérieur indique 18°. Nous restons en sweats pour aller jusqu'à la rivière. Les canards, les poules d'eau, les colverts s'y ébattent en cancanant. J'ai la braguette ouverte. Estelle y fourre sa main. Elle fouille un peu dans mon slip. C'est facile de sortir une bite molle.

Clémentine se colle derrière moi, ses bras autour de ma taille. Estelle s'accroupit pour humer mon sexe. << J'aime les odeurs naturelles des dimanches ! >> dit elle. C'est le seul jour de la semaine sans douche. Estelle a donc de quoi embaumer ses narines. << Monsieur Schlingo ! >> lance t-elle en se redressant. Clémentine me contourne pour s'accroupir à son tour. Elle aussi apprécie les effluves fromagères de ma biroute pas lavée. Nous restons au bas du chemin, hésitant à prendre le sentier. Dix huit degrés, avec un léger vent frais, c'est un peu juste.

Je remballe ma bite. Nous remontons pour aller dans la maison d'amis. Estelle m'y ressort la queue qu'elle soupèse comme une saucisse en disant : << Regardez-moi cette belle marchandise ! >> quand Clémentine, à la fenêtre, s'écrie << Monsieur Bertrand ! >>. Nous nous précipitons. Il est encore à quelques deux cent mètres, longeant la clôture avec son sachet à la main. << Il va apporter du vieux pain aux canards ! >> murmure Estelle. << Attendez-moi là, je vais lui tendre un piège à ce vieux salaud ! >> s'écrie Clémentine en filant vers la porte.

Estelle rabat l'épaisse tenture de velours carmin. Nous pouvons regarder derrière la maison sans êtres vus. Clémentine vient de la contourner à toute vitesse. Nous la voyons descendre son pantalon et sa culotte. Une fois encore elle s'apprête à se faire surprendre en pissant. Une de ses préférences. Estelle me tient la bite. Je bande déjà comme un patient atteint de priapisme au stade terminal. Voilà monsieur Bertrand qui arrive. Une fois encore il tombe sur ce fabuleux spectacle. Nous l'entendons s'exclamer : << Bonjour ma grande ! >>

Nous ne savons pas si Clémentine se soulage vraiment. Elle nous tourne le dos. La scène se déroule à une dizaine de mètres. Notre voisin descend immédiatement la tirette de son vieux pantalon de velours brun. Il en sort son sexe minuscule en disant : << T'es toute seule, il n'est pas dans le coin ton cocu ? >>. Clémentine, accroupie, bien droite et fière, répond : << Non il est à sa peinture. Tu peux entrer le portillon est ouvert ! >>. Nous voyons l'odieux pervers passer par le portillon pour venir rejoindre Clémentine. Il se positionne devant elle.

<< T'as toujours de l'appétit toi ! >> rajoute t-il en présentant sa bite toute molle et minuscule. Il se rapproche encore. Il frotte sa queue sur le visage de Clémentine. En s'agrippant au pantalon de Louis, Clémentine tombe à genoux. Son Levis et sa culotte à mi cuisses. Nous pouvons admirer ses fesses. Magnifiques. Monsieur Bertrand la saisit par la nuque. Il enfonce probablement son chibre. Il lâche son sachet qui tombe au sol. Rien ne m'excite davantage que de voir une fille de dos, accroupie ou à genoux. Surtout quand cette fille taille une pipe.

C'est un spectacle fabuleux. Estelle se serre contre moi. Elle tient ma bite de sa main gauche, la main droite dans son Levis déboutonné. Elle murmure : << J'adore voir ça. Ça me rend dingue ! >>. Estelle est une authentique voyeuse. Passionnée. Elle cesse pour tirer son téléphone de la poche arrière. Elle prend des photos. Parfois, Louis cesse de regarder ce que lui fait clémentine. Par réflexe il regarde dans toutes les directions. Il n'y a évidemment personne sur ce chemin privé qui longe nos propriétés sur mes terres. Parfois il fixe la fenêtre.

Aurait-il un sixième sens qui susciterait une attention particulière vers la fenêtre ? Il ne peut pas nous voir mais nous nous reculons quand même. Estelle prend une bonne dizaine de photos. Elle filme même une petite minute. Clémentine est immobile. Tenue sous le menton et par la nuque. Quand elle bouge c'est pour se mettre à tousser. Nous l'entendons parfaitement. Elle penche alors la tête sur sa gauche ou sur sa droite agitée par des hauts le cœur. Elle se remet à sucer. << Quelle salope ! >> chuchote Estelle qui a repris mon sexe dans sa main.

Une bonne vingtaine de minutes d'une fellation qui semble de plus en plus glauque. Louis reste silencieux. Quand il s'adresse à Clémentine c'est pour dire des grossièretés. Il se retire soudain. Il y a du foutre épais, gluant et jaunâtre qui pend de son prépuce trempé. Sa bite toute molle est luisante. Il se penche pour demander : << Ça te dit de sucer un vieux copain à moi ? Je te le présente demain si tu veux ! >> Clémentine se relève. Elle remonte ses vêtements, penchée en avant, laissant couler la même substance de sa bouche. Elle est debout.

<< Il est comment ton copain ? C'est un vicelard comme toi ? >> demande t-elle. << C'est un collègue de boulot. Il était employé dans ma menuiserie ! Tu verras, c'est un "cas" ! >>. Quand Clémentine tourne la tête pour regarder rapidement vers la fenêtre en tirant un mouchoir de sa poche, nous voyons son visage trempé. Ses larmes et le sperme du vieux saligaud. Elle s'essuie le visage sans répondre. << Tu n'as qu'à être au même endroit demain matin, vers onze heures. Tu feras sa connaissance. Allez salut ma grande ! >> dit il en remballant.

Il ramasse son sachet avant de franchir le portillon pour descendre vers la rivière. Nous voyons Clémentine, se tenant contre la porte de l'abri à bois, penchée en avant, animée de soubresauts. Va t-elle vomir ? Elle se redresse. Estelle ouvre la fenêtre en disant : << Bravo, belle pipe ! Viens, passe par là ! >>. Clémentine d'un bond, prenant appui sur ses mains, fait un rétablissement pour sauter dans la pièce. << Quel salopard ! >> s'écrie t-elle les yeux encore mouillés de larmes. << Tu les aimes ! Au point de bouffer leur foutre ! >> lance Estelle.

Je tire un mouchoir en papier de la pochette pour essuyer les yeux de Clémentine. Elle passe ses bras autour de ma taille. Je demande : << Il t'a juté dans la bouche ? >> Elle répond : << Ça coule tout le temps, je ne sais pas vraiment quand il éjacule ! >>. Estelle me tient la queue fermement. Je saisis Clémentine par ses cheveux pour la forcer à s'accroupir. D'une poigne ferme. Elle pousse un cri de surprise. Je lui frotte la bite sur la gueule. Je tente de la lui enfoncer dans la bouche qu'elle garde fermée. Je pince son nez. Privée d'air elle se débat.

Je la tiens fermement. Estelle saisit ses bras pour l'empêcher de se débattre. Pour pouvoir respirer Clémentine doit ouvrir la bouche. C'est là qu'en parfait vicelard, sournois et pervers, j'enfonce ma bite. Elle gémit, pousse des râles de dégoût. Tente une nouvelle fois de se soustraire à mon étreinte. À celle d'Estelle qui me fait un clin d'œil. Elle se penche pour dire à l'oreille de Clémentine : << Bouffe, suceuse de sperme de vieux ! >>. Elle se redresse sans cesser de maintenir fermement les bras de Clémentine qui se débat toujours autant. J'éjacule en parfait salopard.

Au fond de sa gorge en hurlant. Estelle se penche à nouveau pour dire : << Tu en as de la chance, salope que tu es ! >>. Je reste bien enfoncé. Clémentine manque de s'étouffer en toussant à nouveau. Du foutre qui coule de ses narines. L'explosion de sperme au fond de sa gorge est bien trop abondante. Je la relâche enfin. Elle tombe à quatre pattes, haletante, tentant de reprendre son souffle. Du foutre coulant sur le parquet. Je la saisis par ses cheveux pour l'entraîner. Elle oppose une nouvelle résistance. Je l'emmène à quatre pattes par sa tignasse.

Estelle, une main dans sa culotte, nous suit, nous observe. Elle est toute rouge, en sueur. Voyeuse elle assiste à toute cette scène en se masturbant. Je force Clémentine à se redresser. Elle est une nouvelle fois en larmes, totalement déstabilisée. Je dis : << Je vais te faire sucer toute la journée. Te voilà prévenue ! >>. Estelle rajoute : << Et tu n'auras rien d'autre à bouffer ! >>. Bien évidemment ce n'est qu'une plaisanterie. Nous accompagnons Clémentine à l'étage. Afin que dans la salle de bain elle se mette de l'eau sur le visage pour se rafraîchir.

Clémentine saute à mon cou. << Tu as été merveilleux Julien. J'aime quand tu as des initiatives de ce style ! >>. J'esquive sa bouche lorsqu'elle veut m'embrasser. Quand elle a taillé une pipe à un autre ça me dégoutte toujours un peu. Nous quittons la maison d'amis pour traverser le jardin. Estelle et Clémentine accrochées à mes bras. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade d'endives. Je touille la potée de légumes qui réchauffe. Estelle fait dorer trois magnifiques pavés de saumon. Nous écoutons Clémentine nous confier ses ressentis.

<< Tu es tellement vicelarde, tellement salope ! >> lance plusieurs fois Estelle. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. C'est en voiture que nous irons au port de plaisance. Le marché aux antiquaires est toujours très intéressant. Et puis il y a les crèmes glacées Ben & Jerry's à la supérette. Peut-être même une nouvelle opportunité exhibe pour Clémentine. << Peut-être une autre bite à gouter ! >> lance Estelle. Nous ne traînons pas. Nous restons vêtus comme ça. Juste Clémentine qui change de sweat et de pantalon.

Elle nous montre fièrement les coulures de foutre qui maculent son sweat bleu. Des coulures déjà sèches. Estelle pointe son index en désignant des tâches différentes : << Louis. Et là, Julien ! >>. Nous rigolons comme des bossus. C'est parti. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière, caresse mon cou, mes joues. Il y a 35 km par la route. Je gare l'auto sur le parking de la supérette. Cette manifestation culturelle connaît un nouveau succès car il y a du monde. Des familles, des couples et bien sûr notre trio.

Maintenant que Clémentine a mangé, qu'elle s'est lavée les dents, elle sait qu'elle peut m'embrasser. Elle ne s'en prive pas. Estelle non plus qui me supplie de lui infliger le même traitement ce soir. Je promets de faire de mon mieux. << Je t'attache sur la chaise ! >> précise Clémentine. Avec cette affluence de visiteurs il n'est pas possible pour Clémentine de s'offrir un "plan exhibe". Elle nous entraîne pourtant dans tous les recoins que nous connaissons par cœur. C'est dans les fourrés où nous pissons que je lui mets une nouvelle fois la bite en bouche. Écœurée, elle suce.

J'aime quand elle se débat en criant : << Non ! >>. Ce n'est qu'un jeu. Elle suce passionnément sous le regard d'Estelle qui n'arrête plus de se toucher. Il faut être prudent. Avec tout ce monde partout, le risque de se faire surprendre est omniprésent. Nous flânons entre les stands. Bien évidemment, comme dans tous les marchés aux antiquaires, les plus belles pièces sont déjà parties dès le matin. Dès la première demi heure d'ouverture. Il y a néanmoins de belles choses. Il est dix huit heures trente quand nous sommes de retour. Préparatifs de notre repas.

Bonne soirée à toutes les coquines. Attachée sur une chaise, une queue dans la bouche, les seins palpées, à savourer du sperme de vicelard...

Julien (vicelard pour coquines)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 39 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2237 -



Les douces effluves du muguet

Il est aux environs de neuf heures, hier matin, lundi. Le premier mai étant un jour férié. Nous savons bien profiter de nos journées de repos. Aujourd'hui encore celle-ci débute avec une belle grasse matinée. Je suis entre Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche. Estelle se serre contre moi en saisissant ma tumescence. Encore dans un demi sommeil sans doute. Tout comme moi qui glisse une main dans sa culotte. << Attention, je dois "pipiter" ! >> murmure t-elle. Clémentine se réveille à son tour. Passant une cuisse sous mes fesses pour se frotter.

Elle aussi a droit à mon autre main dans sa culotte. Je joue de mes doigts. Le clitoris géant de Clémentine semble durcir. Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Je vais faire pipi au lit ! >>. Elle se précipite vers la porte. Clémentine passe sa tête sous les draps. C'est une étrange sensation que de se faire pomper le dard le matin. Mon érection naturelle n'est la conséquence d'aucune excitation. Cela ne dure que quelques instants. Clémentine remonte à la surface en chuchotant : << J'aime bien quand ça sent fort ! >> Effectivement sa bouche pue.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Dans la salle de bain nous revêtons nos tenues sports. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Dans les délicieux parfums du café, du pain grillé et du reste de brioche dans le four à micros ondes. Elle me saute au cou. C'est un rituel matinal de les soulever toutes les deux pour me faire couvrir le visage de bises. La bouche de Clémentine a l'odeur de ma bite. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la pipe prodiguée à monsieur Bertrand. Il y a un rendez-vous avec lui ce matin.

<< Il veut me présenter un copain à lui. S'il s'imagine que je vais sucer tous ses potes il se fourre le doigt dans le cul ! >> lance Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Nous mangeons de bon appétit en envisageant différentes options pour l'après-midi. Il fait beau, il y a du soleil. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Estelle quitte son pyjama pour s'habiller comme nous. Pressés de profiter de cette belle matinée nous redescendons à toute vitesse. La température extérieure est de 18°. Pas besoin d'enfiler les K-ways. C'est réjouissant.

Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti pour notre heure de jogging. Le long de notre parcours préféré, le long de la rivière. Il est dix heures trente. Estelle prend sa douche la première pendant que je coiffe Clémentine. Que je lui tresse une longue natte. C'est à notre tour. Je fais la même natte aux cheveux d'Estelle. Nous redescendons vêtus de nos Levis, de nos sweats, baskets. Nous traversons le jardin pour retourner dans la maison d'amis. Nous avons complètement oublier de fermer les convecteurs électriques hier. Il y fait bien chaud.

Nous guettons à la fenêtre. J'ai la bite à l'air, dans la main d'Estelle. << On va voir à quoi ressemble le copain de Louis ! >> dit Clémentine. << Tu nous raconteras le goût de sa queue. L'odeur aussi ! >> lance Estelle. << Je ne suce pas aujourd'hui ! >> s'écrie Clémentine qui se serre contre moi pour rajouter : << Juste mon homme ! >>. Nous rions quand soudain, au bas du chemin qui monte vers notre propriété, deux silhouettes. C'est notre voisin. Il est accompagné d'un individu que nous n'avons jamais vu. << Ni des lèvres ni des dents ! >> précise Estelle

Clémentine se précipite vers la porte. Estelle garde ma queue dans la main pour se serrer contre moi. Nous regardons Clémentine s'approcher de la haie de lauriers, entre les cyprès. Nous ne pouvons pas entendre ce qui se dit. Les protagonistes étant à une vingtaine de mètres et la fenêtre est fermée. Les deux hommes tombent sur Clémentine entrain de cueillir le muguet le long de la clôture. Nous retenons nos respirations. Monsieur Bertrand fait les présentations. Nous voyons l'inconnu tendre sa main à Clémentine. Elle s'y refuse en tenant ses fleurs.

La conversation semble très amicale. Estelle ne cesse de me faire des bises en murmurant : << Je t'aime Julien. Cet été en Écosse je te suce tous les jours ! >>. Elle me fait rire. Je chuchote : << Et moi je te baise tous les jours ! >>. Soudain, ce qui se déroule sur le chemin nous laisse pantois. Les deux mecs ont la bite à l'air. Celle de l'inconnu est assez étrange. Rappelant une saucisse veineuse. Légèrement violacée. C'est surprenant. << Belle pièce ! >> murmure Estelle. Le type garde les mains sur les hanches en guettant les réactions de la fille.

Clémentine, penchée en avant pour comparer, garde néanmoins ses distances. Elle connaît très bien les réflexes de Louis. Elle est de notre côté du portillon. Les deux exhibitionnistes sur le chemin. Clémentine reste prudemment hors de portée. Le type se rapproche. Il passe sa queue dans le grillage. Tout les trois bavardent. Clémentine rit souvent aux éclats. Nous la voyons mimer des masturbations masculines à plusieurs reprises. Mimer des fellations aussi. Monsieur Bertrand malaxe son sexe minuscule. L'autre type présente une érection mollasse.

Les deux hommes ont probablement le même âge puisqu'ils travaillaient ensemble dans la menuiserie de monsieur Bertrand. Le type saisit sa queue pour l'agiter vulgairement vers Clémentine qui lève le pouce comme pour confirmer son assentiment. Le mec mime une pipe en invitant la jeune fille à ouvrir le portillon. Nous sentons bien que Clémentine hésite. Elle est toute rouge, comme honteuse. N'osant pas fixer les deux hommes dans les yeux. Je connais bien la psyché de Clémentine. Je sais parfaitement ce qui se passe dans sa tête. Estelle aussi.

Le moment d'hésitation dure longuement. Nous commençons à sentir nos ventres gargouiller. Il fait faim. Finalement Clémentine, mettant un terme à l'entretien, tourne les talons en saluant les deux affreux qu'elle plante là. Ils font demi tour pour redescendre. Clémentine vient nous rejoindre. << Didier qu'il s'appelle l'enfoiré. Il voulait que je le goutte. Il a insisté le salaud ! >> nous raconte t-elle alors que nous traversons le jardin pour rentrer. Clémentine, en faisant l'assaisonnement de la salade de tomates, nous raconte la nature de la conversation.

Je touille le reste de la potée de légumes pendant qu'Estelle fait revenir des ronds de calmars. Un petit pot de crème en fin de cuisson. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur cette nouvelle rencontre. << J'adore les bites surprenantes. Vous avez-vu celle-là ! Toute pleine de veines apparentes. C'est affreux ! >> raconte Clémentine. << Ça fout la gerbe ! >> dit Estelle. Nous rions de bon cœur. Nous décidons d'une nouvelle virée à bicyclette cet après-midi. Même s'il fait moins beau que hier, la douceur du climat est une invitation à la promenade.

<< Demain il y a école ! >> lance Estelle. Elle devra nous laisser ce soir pour 22 h. Elle nous avoue que ça va encore être difficile. << Ben tu reviens demain soir et on se voit demain matin en cours ! >> s'exclame Clémentine. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents, remettre nos tenues sports. Dans le petit sac à dos que je porte, des pommes, des barres de céréales, les K-ways, la thermos de thé bouillant. Je vérifie le gonflage des pneus. 5,5 bars devant et derrière. C'est parfait. 300 mètre jusqu'à la rivière. 300 jusqu'à la piste cyclable.

Aujourd'hui il n'y a pas le moindre souffle de vent. Nous croisons nombre de cyclistes. Des filles en rollers. Des couples poussant des landaus. Et hélas de ces vrais cons qui promènent leurs chiens sans laisses. Estelle les insulte copieusement. Nous rions aux éclats après avoir failli tomber. Il y a une voiture de la gendarmerie. Ils font la chasse aux petits inconscients en scooters sur la piste cyclable. Et la chasse doit être bonne car il y en a deux dans la remorque. << S'ils pouvaient embarquer les clébards de tous les cons aussi ! >> dit Estelle.

Il est quinze heures quand nous arrivons au port de plaisance. Notre destination favori. De toute manière la piste cyclable ne va pas plus loin dans cette direction. Nous retrouvons l'endroit avec plaisir. Les vélos fermés à cadenas derrière la capitainerie aux volets clos. Notre récompense après 25 km sera nos crèmes glacées. Il y a du monde. Les joueurs de pétanque, les familles en balade. Des attroupements de cyclistes. Pas mal de clients dans la supérette ou nous prenons nos parfums préférés. De notre marque préférée également. Ben & Jerry's.

Assis sur le muret, les pieds dans le vide, nous savourons nos glaces. Nous adorons nous faire gouter nos parfums en nous embrassant. Les bouches pleines des arômes différents. Quelques joueurs de boules ainsi que quelques promeneurs assistent de loin à nos jeux. Nous nous en amusons. << Au moins ceux-là n'iront pas s'imaginer que tu es notre papa ! >> précise Estelle. Nous traînons là, à profiter de ce dernier après-midi de vacances. << Il y a encore trois jours fériés ce mois ! >> lance Estelle. << Deux lundis et un jeudi ! >> s'écrie Clémentine.

Pour nos rituels pisseux nous prenons le chemin qui descend le long du canal. Il y a un pêcheur tous les trente mètres. Il faut ruser. C'est derrière les fourrés qu'Estelle me tient la bite pour en diriger les jets contre le tronc d'un acacias. Clémentine me descend le legging et le slip pour palper mes couilles par derrière. C'est ainsi que nous nous faisons surprendre par deux pêcheurs. << Le veinard ! >> lance l'un d'entre eux. << Le chanceux ! >> rajoute l'autre. Le premier demande : << Alors les demoiselles, on fait mumuse ? >>. Je me sens soudain très con.

Heureusement ils continuent leurs chemins en portant leur matériel. Je tiens mes deux anges par leurs nattes, comme par des laisses. Accroupies toutes les deux, leggings et culottes maintenus en l'air avec le doigt, elles pissent. Évidemment, la loi des séries fait que l'un des deux types repasse. Il retourne probablement à la voiture garée plus haut. << Chacun son tour je vois ! >> lance t-il. Il s'arrête, se retourne pour rajouter : << Un coup de main ? >>. Estelle se redresse et répond : << Non merci, ça ira ! >>. Clémentine reste en position, trop contente.

Il est dix huit heures quarante cinq quand nous sommes de retour. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade d'avocats. Estelle concocte une omelette au gruyère. Je fais gonfler du riz complet. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de cette journée magnifique. Pleine de belles surprises. La vaisselle. Au salon, à genoux sur les épais coussins, je me bouffe de la chatte gorgée de jus de filles. Un délice de me régaler de leurs intimités après un après-midi de vélo. Je pénètre Estelle. Clémentine préfère se masturber en mâtant.

Parfois elle se met à genoux à côté d'Estelle pour mieux voir mes expressions. Puis elle se lève pour venir fourrer son nez entre mes fesses, sous mes couilles, pour observer le mouvement de ma queue dans la chatte d'Estelle. Ainsi, quand je la retire, elle peut en déguster les substances en poussant de petits râles de satisfaction gourmande. Estelle aussi se masturbe toujours quand je la baise. La saveur supplémentaire et élégiaque que procure un départ imminent, décuple son besoin irrépressible de s'emmener à l'orgasme. Elle jouit en criant.

Clémentine tombe à genoux alors que je me redresse. Elle gobe immédiatement mon sexe dégoulinant de mélange. Clémentine suce comme si sa vie en dépendait. Les gargouillis sonores, amplifiés par le bruit bulleux, résonnent étrangement dans le grand salon victorien. Estelle qui a repris ses esprits, reste assise, les coudes sur les cuisses à observer cette pipe d'anthologie. Je la retire avec peine de la bouche de Clémentine qui ce soir n'est pas partageuse. Je la mets dans celle d'Estelle. Un petit instant avant d'éjaculer dans celle de Clémentine.

Bonne fin de soirée et bonne nuit à toutes les coquines qui adorent se faire nettoyer les minous après une journée sportive et excitante...

Julien (brouteur de minous)



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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 40 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2238 -



La rentrée du troisième trimestre

Il est presque six heures, hier matin, mardi. C'est l'application "forêt" qui nous tire du sommeil. Sur la demande de Clémentine qui gémit en se serrant contre moi, nous avons changé. Ce sont les bruits de cette source, les gazouillis des oiseaux qui résonnent étrangement dans une forêt profonde, qui nous réveillent. C'est vraiment très "Zen". << Je reste au lit ! >> murmure Clémentine. Bien évidemment ce n'est que le réflexe bien naturel devant l'adversité de cette journée de reprise. Nous nous levons rapidement, propulsés par l'impérieux besoin pisseux.

Dans la salle de bain nous passons nos vêtements sports. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Il fait bien frais dans la maison car les radiateurs viennent d'entrer en fonction. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Je pèle les kiwis, je presse les oranges. Les deux gros croissants dans le four à micros ondes. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les aventures de notre week-end. Le constat de Clémentine sur la pipe qu'elle a taillé dimanche à monsieur Bertrand, notre vicieux et graveleux voisin retraité.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant la suite. En riant de nos frasques sexuelles et autres. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Même si le jour est déjà levé, la température n'est que de 8°. Pas le courage d'aller courir dans le froid. Les échauffements de l'aérobic et du jogging sur tapis roulants sont efficaces. Les exercices au sol ainsi que les abdos sont le parfait prélude aux charges additionnelles. C'est redoutable de les retrouver. Les étirements bien trop précipités et très mal faits d'un stretching aléatoire.

La douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Le ciel est bleu avec quelques nuages d'altitude. Par contre le vent de Nord Est est désagréable. Clémentine vient me rejoindre dans son blouson de cuir noir, son Levis, ses bottines. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou avant de me précipiter au chaud pour faire notre vaisselle, notre lit. Dans l'atelier, un peu par réflexe également, j'allume une belle flambée dans la cheminée. Le feu démarre très vite.

Confortablement installé devant mon chevalet, passionné par mon retour à la peinture, je prépare les couleurs sur la palette. Mon huitième et dernier paysage me plonge dans la béatitude la plus totale. Je peins en poussant les cris les plus surréalistes. La matinée passe à une vitesse folle. Il est presque midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je fais l'assaisonnement d'une salade d'endives. Je fais gonfler du riz complet. Je poêle un dos de cabillaud blanc. C'est une préparation extrêmement rapide. Je n'arrête pas de chantonner, la vie est fantastique.

Je mange de bon appétit en écoutant sud Radio. Dans son émission, André Bercoff reçoit Philippe Pascot. Cet essayiste mondain, ancien député, est l'auteur de quelques livres incendiaires sur les gens de pouvoirs. Il dénonce l'inepte, la corruption des élites et leurs magouilles scandaleuses. Précisant lors de l'interview que ces individus n'ont jamais travaillé, ne produisent aucun biens et ont curieusement des fortunes sur des comptes au Luxembourg. Qu'ils imposent à la nation des humiliations sociales qu'ils ne connaîtront jamais eux-même.

Tout en étant captivé par les qualités narratives de ce monsieur, je prépare mentalement le repas de ce soir. Ce seront des pizzas. Dans le saladier je pétri longuement une belle pâte à pain. À la farine complète et bio, je rajoute du parmesan réduit en poudre, le jus d'une gousse d'ail soigneusement pressée. durant cette émission riche d'enseignements sur la turpitude physique et morale des dirigeants, je me dis que l'on peut très bien vivre riche et fortuné comme je le suis sans imposer d'odieuses saloperies aux autres. Je fais cuire les tomates à la poêle.

J'y rajoute champignons, ail, oignons et épices. La pâte repose sous un linge. La garniture repose sous un couvercle. Il me reste à râper une tonne de ce délicieux gruyère Suisse avant de faire la vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller profiter de l'ensoleillement de cette magnifique journée, je redescends à toute vitesse. L'ambiance est trompeuse car le thermomètre extérieur n'indique que 19°. Il y a ce maudit vent. Je vais jusqu'à la rivière. C'est beau. Une atmosphère bucolique avec les étourdissants gazouillis des oiseaux un peu partout.

C'est comme si chaque arbre abritait une colonie de mésanges, d'hirondelles ou encore de rouge gorges. Je remonte en pensant à la surprise que je prépare à mes deux anges pour ce soir. En espérant tout de même qu'il n'y avait pas de la pizza au restaurant universitaire aujourd'hui. Il est 13 h50. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans la même humeur presque exubérante que ce matin. L'après-midi passe encore plus vite. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table.

Elle se précipite vers moi pour se mettre à califourchon sur mes cuisses. En imprimant à son bassin un mouvement masturbatoire, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Ouf, pas de pizza, je suis rassuré et soulagé. Parfait. Clémentine a encore du travail. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches elle commente à voix haute les éléments qu'il lui faut réunir pour le travail à fournir. Ce troisième trimestre sera le cadre de la préparation d'un Doctorat en "blanc". Une sorte d'essai pour "voir".

<< Put-Hein, là, je te jure, ras-le-bol ! >> s'écrie t-elle en se levant. Il est 18 h30. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine vient me rejoindre devant le petit lavabo de l'atelier où je me lave les mains. Elle me tient la bite pour en diriger les jets dans le trou d'écoulement. Parfois dans le trou rectangulaire du trop plein. Elle vise remarquablement juste tout en me donnant ses impressions quand à ce Doctorat pour de "faux" qu'elle prépare. Clémentine imite l'accent Corse de Juliette. Ce qui me fait rire. En riant je pisse un peu n'importe comment.

Accroupie devant moi, se régalant des derniers épanchements qu'elle pompe en gloussant, elle me fixe de son regard espiègle. Je l'aide à se relever avant l'ankylose. Je la soulève pour la promener dans toute la grande pièce. << J'ai quelquefois des doutes sur la réussite de ce Doctorat ! >> me confie t-elle. Je la rassure en précisant : << Tu n'as jamais rien raté. Tu as toujours été la première à l'école, comment veux-tu rater cet ultime épreuve. Et si jamais ça échoue, ce qui est fort peu probable, tu recommences l'année suivante. No problème ! >>

<< Avec toi tout est tellement facile ! Je t'aime Julien ! >> s'écrie t-elle avant de m'embrasser avec fougue. Je rajoute : << Et nous pouvons très bien consacrer tout le reste de nos existences en parfaits dilettantes à parcourir le vaste monde. Dans tes vieux jours, tu écris quelques bouquins de riche veuve fortunée et voilà une vie bien remplie ! >>. Clémentine rit aux éclats quand la porte de l'atelier s'ouvre. C'est Estelle qui vient nous rejoindre. Elles ont passé la journée ensemble. Aussi je fais l'objet de toutes les attentions d'Estelle. Fougueuse.

Elle attrape la bite qui pend de ma braguette ouverte avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Clémentine, ses bras autour de ma taille, se frotte contre mes fesses, ses lèvres comme une ventouse dans ma nuque. Je bande comme le dernier des salauds. Estelle, qui devra nous laisser pour 22 h, s'écrie : << Tu me fais plein de trucs ce soir après la bouffe sel te pli ! >>. Clémentine lance : << À moi aussi ! >>. Les filles m'entraînent par les mains. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Je préchauffe immédiatement le four électrique. La surprise.

Quand mes deux anges découvrent les préparations des pizzas, j'ai droit à un mitraillage de bises. Estelle travaille la pâte pour lui redonner de l'onctuosité. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de concombre. Je réchauffe la garniture. Estelle étale la pâte en trois parties sur les plaques. Je verse consciencieusement la garniture dessus. Estelle l'étend soigneusement avec la spatule jusque tout au bord. C'est Clémentine qui dépose le gruyère sur le tout avant d'enfourner dans le four hyper chaud. Estelle prépare la quatrième pizza dans le plat.

Ce sera pour mon repas de demain midi. Il suffira de la mettre au four pendant qu'on mange. Estelle me palpe les couilles par derrière. Clémentine palpe la bosse sous mon tablier. Nous ne cessons de nous faire des bises. << C'était génial ces vacances. Je me réjouis déjà pour les prochaines ! >> lance Estelle. << On se fait d'abord cette croisière sur le Lac Léman ! >> rappelle Clémentine. Elle va s'occuper de tout. Avion, réservation de l'hôtel, cabine sur le bateau. Première classe partout. La sonnerie du four nous tire de nos introspections ludiques.

Estelle enfile les maniques, s'accroupit devant le four. J'adore voir une femme de dos, accroupie, Ça me procure toutes sortes d'émotions libidineuses. Elles le savent toutes les deux. Clémentine me fait un clin d'œil en mimant une masturbation masculine. Estelle m'observe dans le reflet de la vitre avant d'ouvrir. Les pizzas fumantes, magnifiques, dont le dessus est en ébullition embaument soudain toute la grande pièce. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre croisière. Nous partirons jeudi 18 mai au matin pour Genève. Le programme.

Clémentine développe les opérations. Estelle se lève régulièrement pour mimer elle aussi des masturbations masculines. << On se fait des trucs de ouf sur le bateau ! On allume tout le monde ! J'ai envie de faire ma salope ! >> s'exclame t-elle. << Calme tes ardeurs ! Nous serons en en Suisse. Il faudra se tenir ! >> dit Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. La vaisselle. Pressées de s'offrir une soirée délirante, mes deux anges m'entraînent au salon. << Prépare-toi à une épreuve mon pauvre Julien ! >> lance Estelle en retirant la première ses fringues.

Toutes les deux, assises sur le bureau, cuisses largement écartées, me font des sourires lubriques, des clins d'œil. Je me branle. << Une bonne baise sur bureau, ça faisait longtemps ! >> dit Estelle. Je les rejoins avec deux épais coussins du canapé que je pose sur le bureau. Elles pourront y déposer leurs têtes. En appuis sur leurs coudes, elles me regardent faire. Debout, entre ses jambes relevées, je frotte mon sexe contre celui d'Estelle. Je passe à Clémentine. Combien de fois n'avons-nous pas procédé aux préliminaires de cette délicate façon !

C'est magique. Estelle se couche la première. Tout en se masturbant elle se fait pénétrer lentement. Je saisis ses chevilles pour relever ses jambes. Je la besogne à la hussarde, comme elle aime. Je passe à Clémentine qui se masturbe elle aussi en étant pénétrée jusqu'aux couilles qui battent sur ses fesses. Je passe de l'une à l'autre. Nous adorons cette manière de baiser. C'est très pratique. Pour moi, les mouvements sont libres, amples et je peux me mouvoir de l'une à l'autre. Alors qu'elles sont toutes les deux couchées sur le dos à gémir.

Clémentine se lève d'un bond pendant que je m'agite dans Estelle. Nous la regardons revenir avec la cuvette en plastique. Elle remonte sur le bureau pour s'accroupir au-dessus du récipient. Tout en se touchant, tenant son clitoris géant entre son pouce et son index, elle pisse en hurlant. L'instant précis où Estelle connaît un orgasme qui la fait crier. Secouée de spasmes, haletante, elle me repousse pour se coucher sur le côté, mains entre ses cuisses serrées. Clémentine connaît une fois encore un orgasme pisseux où je n'y suis absolument pour rien.

Bonne fin de soirée et bonne nuit à toutes les coquines ayant bien mangé, bien joui avant de se régaler d'une succulente pipe juteuse sous la couette...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 41 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2239 -



Juliette vient manger à la maison

Hier matin, il est presque six heures quand l'application "forêt" nous impose ses agréables surprises. Le bruit de la source qui s'écoule au fond d'une mystérieuse forêt. Le gazouillis des oiseaux qui résonne étrangement. Comme si tous ces évènements avaient lieu dans notre chambre. Nous nous réveillons en douceur. Clémentine vient se blottir contre moi. Chaque jour j'ai l'impression que c'est encore plus tendre que le précédent. Quelques bisous, quelques papouilles entre chaque étirement avant de nous lever pour nous précipiter aux toilettes.

Dans le salle de bain, nous mettons nos vêtements de gymnastique. Morts de faim nous dévalons les escaliers dans la fraîcheur. Les radiateurs viennent de s'allumer. C'est d'ailleurs très curieux mais il fait froid pour un 3 mai. Dans la cuisine j'allume immédiatement la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Le grille pain expulse ses premières tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée "baise sur bureau". Nous en rions de bon cœur. << C'est si bon ! >> lance Clémentine.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant Juliette que nous reverrons ce soir. Il est 6 h25. Nous remontons nous livrer à notre entraînement. Les échauffements de l'aérobic, du jogging sur les tapis roulants. Les exercices au sol avec les abdos que nous apprécions tout particulièrement. L'épreuve des charges additionnelles. Ce matin sur machines. Les étirements de ce stretching chaque jour bâclé avant une bonne douche. Je dévale les escaliers pour aller préparer la voiture. Il fait très froid avec seulement 6° affichés sur le thermomètre.

Par contre le ciel est voilé mais lumineux. Presque 7 h45. Clémentine, vêtue comme hier de son blouson de cuir noir, une écharpe autour du cou, en Levis et bottines vient me rejoindre en frissonnant. Elle ne veut plus entendre parler d'anorak, de bonnet ni de gants. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer car il fait bien chaud partout dans la maison. Je fais la vaisselle, notre lit avant de passer dans l'atelier. J'y allume un bon feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette.

La peinture de ce huitième et dernier paysage destiné à ma saison d'été, m'accapare complètement. Je peins dans cet enthousiasme délirant qui me fait pousser des cris d'animaux qui n'existent pas. Comme par exemple le girafodile ou encore l'hyporénusol. La matinée passe à une vitesse folle ainsi livré corps et âme à ma passion. Il est presque midi. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à réchauffer la pizza préparée hier soir. Accompagnée d'une salade de carottes. C'est une préparation rapide et délicieuse.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff reçoit un politologue et une sociologue. Il y est question d'Ursula von der Leyen, simple fonctionnaire du conseil de l'Europe mais s'en prenant pour la reine, investie de tous les pouvoirs. Surtout la reine de la corruption, de la dissimulation et des mensonges les plus éhontés. Les intervenants s'amusent de la manière dont les dirigeants Chinois l'ont traité. Exactement comme l'exige le protocole pour son rang de simple fonctionnaire. Notre président logé dans un simple hôtel Ibis. Sublime !

Dans ma tête défilent les préparations pour le repas de ce soir. Ce sera encore une surprise tant pour Clémentine que pour Juliette. Ce sera un gratin Dauphinois à ma manière. J'épluche, je lave et je coupe en tranches de belles pommes de terre. Je les ébouillante dans l'auto cuiseur. Cinq minutes avant de les disposer dans le grand plat en terre cuite. Je verse le mélange œufs, lait de soja, crème fraîche. Je rajoute de fines lamelles de champignons. De l'ail. Je recouvre de tranches de Morbier que je croise avec des tranches de Saint Nectaire.

Au four électrique pour une cuisson lente à feu très doux. 160° afin que l'ensemble mijote longuement. Je lave les feuilles d'une belle laitue. Il n'y aura plus qu'à faire l'assaisonnement. Je fais la vaisselle, je mets les assiettes et les couverts. Tout est près. Il ne me reste plus qu'à monter me laver les dents. Pressé d'aller faire quelques pas je redescends à toute vitesse. Le ciel se couvre inexorablement. Par contre la température est de 20°. Je vais jusqu'à la rivière en humant les délicates odeurs d'une nature enchantée de reprendre sa vie exaltante.

Il est 13 h50 quand je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé du même enthousiasme que ce matin. Entouré des mêmes animaux de ma mythologie. L'après-midi passe tout aussi vite. Il est déjà 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la chaise avant de se précipiter pour se mettre à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Nous rions car il y avait de la pizza. Clémentine a encore ses notes à mettre au propre.

Nous apprécions énormément cette petite heure d'émulation. C'est source d'inspirations. << J'arrête où je pète une durite ! >> lance Clémentine en se levant. Prenant l'accent Corse de Juliette, elle rajoute << Ça rime avec bite ! >>. Nous rions de bon cœur. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine vient me rejoindre au petit lavabo de l'atelier. Pendant que je lave mes mains, elle me tient la queue pour en diriger les jets. Accroupie, elle en savoure les derniers reliquats alors que je caresse sa tête. Je la saisis par sa natte pour la faire cesser.

Tous ces petits rituels qui font nos quotidiens. Comme celui de la soulever pour la promener dans toute la grande pièce. La faim commence à se faire sentir. Assise sur mes genoux, devant l'ordinateur, Clémentine me fait une démonstration mathématique magistrale dont je ne saisis pas l'ombre d'une équation. Alors elle tente de m'expliquer. Mon niveau de mathématiques reste à tout jamais à celui de la Terminale du lycée. Clémentine rit de mes lacunes et de ma profonde ignorance. Du bruit. La porte s'ouvre sur Juliette. Radieuse. Ravie de nous revoir.

Nous aussi. Elle se précipite vers nous pour nous faire la bise. << C'est de l'hébreu chinois ou du chinois hébraïque ? >> demande t-elle en découvrant les équations sur l'écran. Clémentine tente là une nouvelle explication. Comme moi, Juliette n'y comprend strictement rien. << J'ai juste une Licence en philosophie ! >> s'écrie t-elle. Nous rions aux éclats. Juliette est vêtue de sa tenue d'écuyère. Ce pantalon beige hyper moulant, d'un gilet. Ses hautes bottes noires d'équitation. L'ensemble épousant ses formes parfaites d'une athlète de 48 ans. Magique.

Ses longs cheveux noirs en natte comme ceux de Clémentine. Nous somme vraiment contents d'êtres ensemble. Juliette fait mine de ne pas remarquer ma braguette largement ouverte. Dépenaillée et béante sur mon slip blanc. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand elles découvrent la surprise du soir, Clémentine et Juliette se serrent contre moi. Je sors le gratin du four électrique pour le placer dans le four à bois. Hyper chaud. Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue déjà préparée. Juliette, bras croisés, contre le buffet, fait la conversation.

Elle nous raconte la vie de son entreprise. Quelques anecdotes savoureuses. Et cet adjectif est l'exacte descriptif de sa passion pour la fellation. Un autre point commun avec Clémentine. Son vétérinaire qu'elle suce souvent deux fois par semaine. Ainsi que l'ouvrier de l'entreprise d'entretien qui vient tous les vendredis en début d'après-midi. << Un véritable vicelard que je vous recommande Clémentine ! >> précise Juliette. Clémentine qui répond : << Là, j'ai tout ce qu'il me faut. Moi, par contre, je vous recommande la bite de notre voisin retraité ! >>

Clémentine raconte ses dernières aventures. La pipe qu'elle a prodigué au propriétaire de l'appartement que nous avons loué dans le Jura. << C'était Jurasuck Park alors ! >> lance Juliette qui enfile les maniques. Elle s'accroupit devant la porte du four. Dans le reflet de la vitre, avant d'ouvrir, elle observe mes agissements. La nature de la discussion, le fait qu'elle soit accroupie de dos, contribuent à mon érection de toute première catégorie. Clémentine me fait un clin d'œil. Je me masturbe. Juliette tourne alors la tête pour m'adresser un regard sévère.

Ce n'est qu'un jeu. Mais ce jeu nous passionne tous les trois. Enfin Juliette n'ignore plus ce que je tiens fermement dans ma main droite. Elle ouvre la porte du four pour en sortir un gratin magnifiquement doré. Fumant et qui embaume toute la grande pièce. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Juliette aime beaucoup poser d'insidieuses questions. Questions auxquelles Clémentine adore répondre avec un luxe de détails. Comme je le fais régulièrement, je me lève à plusieurs reprises pour agiter ma queue en direction de Juliette et de Clémentine.

Elles cessent de mastiquer, visages immobiles pour m'observer comme si c'était la première exhibe. Ce regard lourd de reproche, de sévérité que me lance alors Juliette m'excite encore davantage. La conversation s'articule principalement sur nos souvenirs. Les partouzes, les gloryholes organisés par Juliette dans ses écuries. Toutes ces choses qui resteront à jamais gravées dans nos mémoires. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. C'est au salon que nous dégustons la petite tarte aux pommes confectionnée et ramenée pat Juliette. Un vrai délice.

Vautrée dans le fauteuil qui nous fait face, chacune de ses cuisses écartées, posées sur les accoudoirs permet une vue parfaite sur cette tache plus sombre qui se dessine à l'endroit de son sexe. C'est un mystère. Pisse t-elle de petites gouttes ou est-ce sa cyprine ? Nous savons que Juliette lorsqu'elle vient nous voir ne porte pas de culotte son son pantalon beige. Clémentine tient mon sexe. Je bande comme le dernier des salauds. J'ai une main dans sa culotte. C'est divinement paradoxale de causer d'autres choses que de sexe en s'exhibant ainsi.

Les deux petites bosses que fait la couture centrale de son pantalon semblent s'animer d'une vie indépendante. Ce sont les contractions de ses muscles fessiers. C'est magnifique. Juliette se les touche à présent en les malaxant entre ses doigts. Elle montre la goutte de liquide séminal qui perle à l'extrémité de mon prépuce en disant : << Attention, ça va couler ! >>. Clémentine se penche sur sa droite pour prendre ma bite en bouche. Juliette m'adresse le plus merveilleux des sourires en redoublant d'activité avec ses doigts masturbateurs.

Elle devra nous laisser pour 22 h. Il reste une petite demi heure. Clémentine cesse, se redresse en disant : << J'aime la crème de couilles après la tarte aux pommes ! >>. Nous rigolons comme des bossus quand Juliette surenchérit : << Moi aussi, j'en raffole. Je m'en sers régulièrement une tasse ! >>. Rapidement Juliette en vient à proposer une soirée masturbation à trois, chez elle, un vendredi soir. Ce sont des soirées extraordinaires que nous nous offrons quelquefois. Elle suggère également une soirée gloryhole un de ces prochains vendredis.

Clémentine me regarde comme pour me jauger. Elle serre ma queue encore plus fort. Je dis : << Ce serait bien. Tu pourrais te régaler de cette fameuse crème de couilles ! >>. Juliette rajoute : << Des crèmes de couilles. Nuances ! >>. Nous rions aux éclats. Clémentine réserve sa réponse. << Je dois toujours me faire à l'idée ! >> précise t-elle. Juliette fait encore : << Et moi je m'occupe de Julien ! >>. Elle mime une fellation avec cette vulgarité confondante que seules les belles bourgeoises savent exprimer avec tant de talent. Il va être l'heure.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont sucer sous la couette, trop excitées par une soirée "expressive". Puis se faire brouter le minou avant un bon dodo...

Julien



Classe

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Homme, 53 ans, France
Classe - 42 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2240 -



J'aime préparer des surprises

Il est presque six heures hier matin, jeudi. L'application "forêt" ne nous tire pas seulement du sommeil. Elle nous enchante de ses illusions dès le réveil. Clémentine, en gémissant d'incompréhensibles choses, se serre contre moi. Quelques papouilles, quelques bisous et beaucoup de volonté. Nous nous précipitons aux toilettes dans l'urgence. Il fait encore frais car les radiateurs viennent d'entrer en fonction. Nous nous habillons de nos tenues sports pour dévaler les escaliers. Dans la cuisine j'allume la cuisinière à bois. Clémentine prépare un délicieux café.

Elle me raconte ses rêves en pressant les oranges, en pelant les kiwis. Je récupère les quatre tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée avec Juliette. Ses propositions d'un prochain gloryhole. Clémentine me confie qu'elle adorerait un tel divertissement dans les prochains temps. Mais, comme à chaque fois, elle doit s'y préparer mentalement. Surmonter de légitimes inhibitions. Trouver le courage pour affronter son fantasme et sa réalité. Nous mangeons de bon appétit en envisageant la chose.

Six heures vingt cinq. Nous remontons pour achever de nous réveiller totalement. Et pour ça rien de plus efficace qu'un bon entraînement avec une intensité maximale. Les échauffements de l'aérobic, du jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol, abdos, pompes avant la redoutable épreuve des charges additionnelles. On termine par les étirements délassant d'un stretching bien trop rapide. La douche. Je dévale les escaliers pour aller faire chauffer l'auto. Il pleut. Le ciel est bas, sinistre et sombre. La température extérieure n'est que de 12°.

Presque sept heures quarante cinq. Clémentine vient me rejoindre sous son parapluie. Écharpe, son blouson de cuir brun, son Levis, ses bottines brunes. Son béret brun très élégant qui rajoute de la classe à la fille que j'aime. Un dernier bisous. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je rentre me mettre au sec, au chaud. La vaisselle, notre lit avant d'aller dans l'atelier ou j'allume un feu dans la cheminée. Je crois bien que nous battons tous les records en consommation de bois cette année. Nous serons livrés mardi prochain. J'ai commandé vingt stères.

Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. Je vais probablement terminer ce huitième paysage destiné à ma saison d'été en fin d'après-midi. Je peins dans une douce sérénité en sachant que j'ai reconstitué un stock de vingt quatre toiles. Avec les quatre restantes de l'an dernier, ça m'en fait vingt huit. Une satisfaction rassurante. La matinée passe si vite. Il est presque midi. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Pendant que je fais l'assaisonnement des endives.

Je prépare une belle Béchamel dans laquelle je rajoute des champignons rissolés avec un pavé de saumon préalablement émincé. Du gruyère Suisse finement râpé. Avec cette garniture je remplis quatre bouchées à la reine. Je les cale dans le plat carré en terre cuite avec les coquillettes égouttées. Je recouvre le tout d'une couche de gruyère mélangée à du Parmesan. Au four électrique pour une cuisson lente et douce n'excédant pas 160°. Ce sera ma surprise de la soirée. J'ai gardé un peu de garniture en accompagnement de mes coquillettes.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission Andre Bercoff reçoit un essayiste et un journaliste d'investigations. Il est question de la fameuse guerre en Ukraine. Source de revenus inépuisables pour toute la bande à Zelinsky qui détournent à leurs profits des sommes colossales d'aides occidentales. Avec la bénédiction des dirigeants européens et américains qui attendent un excellent retour sur investissement dont le montant restera secret. Avec la complicité des médias chargés d'en présenter une propagande guerrière favorable.

Je fais la vaisselle avant de monter me laver les dents. Pressé d'aller prendre un peu l'air et la température, je redescends à toute vitesse. Je chausse les bottes. C'est sous le parapluie et par 20° que je vais jusqu'à la rivière. En remontant je fais une visite à l'abri à bois. Il reste une trentaine de stères de bois de hêtre et de chêne. J'ai toujours soigneusement entretenu un stock pour au moins cinq ans. Mais là, avec la consommation décuplée, il faut songer à regarnir l'ensemble. C'est toujours le même fournisseur depuis plus de vingt ans. Un homme sérieux.

Il est 13 h50 quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans les mêmes dispositions d'esprit que ce matin. Comme prévu je dépose la dernière pointe de blanc de titane sur la surface de la toile vers 17 h. Afin qu'elle sèche tranquillement je la dépose sur un second chevalet, recouverte d'un linge qui la met à l'abri de la poussière. Je nettoie la palette, les pinceaux. Dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours. Radieuse, toute contente d'en avoir terminé avec cette nouvelle journée. Elle se précipite vers moi.

Elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille, elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. Je la dépose devant son ordinateur car elle a encore du travail. Assise, entourée de ses fiches, elle me confie sa satisfaction. Je reste debout derrière elle. Mes mains sur ses épaules à l'écouter. Parfois je me penche pour déposer une bise sur sa nuque. << Tu me donnes des frissons ! >> lance t-elle en m'expliquant ce que je vois sur l'écran. Le programme des prochains jours. Un travail sur l'oral et la présentation personnelle.

<< C'est un peu comme la préparation d'une pièce de théâtre. Nous allons orienter nos efforts sur la diction, l'élocution et la prononciation. Présenter nos thèses dans les meilleures conditions devant un jury. C'est passionnant ! >> développe t-elle. C'est vrai. Rien qu'à l'entendre c'est passionnant. Je propose de mettre en application ces apprentissages. Pourquoi ne pas filmer et revoir. Constater ce qui fonctionne et les domaines qui sont à approfondir. << Génial ! Tu aurais la patience ? >> demande t-elle. << Je réponds : << J'ai terminé mon stock ! >>

Je la rassure, je pourrai me consacrer à ce travail non seulement avec joie mais en y consacrant tout le temps nécessaire. << Tout est toujours si simple avec toi ! >> s'écrie Clémentine qui se lève d'un bond pour se blottir dans mes bras. Elle me fait une dernière lecture du texte de son oral de demain matin. Je la félicite pour la qualité de l'ensemble. Clémentine, rassurée elle aussi, range ses affaires. Je tire une toile vierge de l'armoire. Un format F6 (41 x 33 cm). Je commencerai la préparation de ce support dès demain matin. De quoi m'occuper.

La porte de l'atelier s'ouvre soudain. Christelle se précipite pour me sauter au cou. Elle me couvre le visage de bises. Elles ont passé la journée ensemble et se mettent rapidement à en faire le bilan. Quand Clémentine évoque ma proposition de filmer, Estelle fourre sa main dans ma braguette ouverte en s'écriant : << Julien, tu es toujours l'homme de tous les bienfaits et accessoirement mon salaud préféré ! >>. Nous rigolons comme des bossus. J'ai rapidement la bite à l'air. Tenue d'une poigne de fer par Estelle qui en dirige les multiples jets.

Le rituel pisseux qui consiste à pisser dans le petit lavabo de l'atelier. << Jean-Marc m'a défoncé la chatte hier soir ! >> s'exclame t-elle. << Ce qui implique un contrôle technique ce soir ! >> lance Clémentine. Comme tous les mercredis soir, le parrain d'Estelle vient la niquer. Un autre rituel qui a commencé quand elle n'avait pas encore ses seize ans. Un rituel auquel Clémentine a assisté de nombreuses fois, cachée pour mâter. Les fameuses "années lycées" qu'aiment à me raconter mes deux anges. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il fait faim.

Quand Estelle et Clémentine découvrent ma préparation, j'ai droit à de nouvelles effusions de joie, de tendresse et surtout de cette divine sensualité. C'est Estelle qui sort le plat du four électrique pour le mettre dans le four hyper chaud de la cuisinière à bois. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de tomates. Je l'aide à éplucher l'oignon, l'ail. Estelle, derrière moi, ne cesse de tripoter l'énorme bosse qui déforme mon tablier de cuistot. La conversation reste axées sur ce projet de filmer les oraux préparés pour le doctorat "blanc" de juin.

Nous mangeons de bon appétit. Les bouchées à la reine sont succulentes. Nous savourons en revenant sur notre projet de croisière sur le Lac de Genève. << C'est un peu con de perdre presque une journée en avion ! >> lance Estelle. << C'est un vol direct jusqu'à Genève. Aller et retour ! >> précise Clémentine qui s'occupe de toute l'organisation. Elle rajoute : << Deux nuits dans un hôtel de luxe. Une nuit en cabine première classe sur le bateau ! >>. Estelle et moi roucoulons d'aise. La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Le rituel de nos jeudis soirs se prépare.

Mes deux anges, juste en sweats et en chaussettes, m'offrent la dégustation de leurs minous. Je suis à genoux sur les épais coussins. Je passe de Clémentine à Estelle, toutes les deux vautrées dans le canapé. Estelle devra nous laisser pour vingt deux heures. Il reste une bonne heure. Pendant que je fouille leurs intimités de ma langue exploratrice, toutes les deux se masturbent en gémissant. C'est encore un moment magique et merveilleux. Quand je suce leurs clitoris, elles se tortillent et se contorsionnent toutes deux en poussant de petits cris.

Les jeudis soirs sont le cadre d'instants fabuleux. Ce rituel s'est installé depuis quelques années et nous comble de bonheur. J'offre à Estelle un de ces orgasmes nucléaires qui la font hurler. C'est comme si elle était prise de démence en s'agitant, couverte de frissons. Couchée sur le côté, les mains entre ses cuisses serrées, comme en proie à une douleur intense, elle regarde Clémentine pisser au-dessus de la cuvette en se masturbant. Je suis debout derrière elle à la tenir pour maintenir son équilibre. Avant de tomber à genoux pour la lécher. Merveille.

Il faut reprendre ses esprits. Et c'est toujours le plus difficile. Surtout après de telles folies. J'ai le bas du visage trempé de mouille. Estelle m'essuie avec un mouchoir en papier. Pendant que je la doigte un peu. << Salaud ! >> murmure t-elle pendant que Clémentine essuie les gouttes de pisse qui ont giclé à côté de la cuvette. << Et toi ? >> me demande Estelle en saisissant ma queue qui ramollit. << Je m'en occupe au lit ! >> répond Clémentine. Les filles se rhabillent. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. Elle revient samedi. Bisous.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont encore s'offrir le jus d'une bonne bite, sous la couette, avant de s'endormir dans les bras de leur lécheur...

Julien



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Classe - 43 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2241 -



Juste Clémentine et moi

Hier matin, vendredi, agréablement bercés par les illusions de l'application "forêt", nous nous réveillons juste avant six heures. Lorsqu'elle termine à midi, ce qui est le cas des vendredis, Clémentine connait un réveil quelque peu euphorique. Là, elle se couche sur moi pour frotter son nez contre le mien en chuchotant : << Esquimau ! >>. C'est en effet ainsi que les inouïs s'embrassent pour se saluer. Il faut pisser. C'est impérieux. Aussi, nous levant d'un bond, nous courons aux toilettes. Dans la salle de bain nous nous habillons de nos tenues de sport.

Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Clémentine prépare le café. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée avec Estelle. Le léchage de minous tant apprécié par mes deux anges. Nous mangeons de bon appétit en envisageant la proposition d'une soirée gloryhole organisée chez Juliette. J'aime voir cet éclat particulier dans le regard de Clémentine quand elle évoque les souvenirs de ce trou dans le mur. << J'aime trop la bite ! >> se justifie t-elle en voyant mon sourire équivoque.

Six heures vingt cinq. Nous remontons nous offrir notre séance d'entraînement. Les échauffements aérobic précédent ceux du jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol avec ces abdos que nous apprécions. Dans la déconnade Clémentine fait ses pompes en claquant dans ses mains entre chaque répétition. Poussant un << Oye ! >> de karatéka. Avec les barres et les haltères ça déconne un peu moins pour reprendre avec les étirements d'un stretching totalement farfelu. La douche. Je redescends le premier pour aller sortir la voiture du garage.

Presque sept heures quarante cinq. Clémentine vient me rejoindre dans la fraîcheur matinale et sous un ciel dégagé. Son écharpe de coton mauve, son blouson de cuir marron, son Levis, ses bottines brunes et ce béret qui ponctue son élégance. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je fais la vaisselle, le lit, avant de passer dans l'atelier. Je m'apprête à exécuter le dessin préparatoire de ma toile prochaine. D'après une photographie que m'a remise Juliette. C'est un portrait de Bernadette et de Pierre pour leurs dix sept ans de mariage.

Madame Walter et son mari posent devant leur villa. C'est un plaisir qui m'attend là. Durant toute la réalisation de cette œuvre je vais être en leur compagnie. J'apprécie ce couple d'hédonistes. Je dessine avec une précision extrême. C'est un excellent exercice et cela me tire délicieusement de la routine de mes productions mercantiles. Là, c'est pour me faire plaisir et pour offrir un plaisir plus grand encore. Bien sûr moyennant une somme frôlant l'indécence et fixée par Clémentine. Je m'applique. La photographie punaisée sur le montant du chevalet.

Il est onze heures quand je mets le dernier trait de crayon. Je prépare immédiatement l'acrylique "terre de Sienne" diluée dans l'eau. Avec un spalter j'applique les trois couches d'impression. Couches croisées qui permettent d'harmoniser les couches supérieures à l'huile. Je sèche chacune d'elles avec le sèche cheveux. Le dessin ressort à la perfection. Je pourrai m'atteler à cette réalisation dès mardi prochain. La toile sera terminée pour le vendredi suivant. Je pourrai la remettre au retour de notre croisière sur le Lac Léman. Il est maintenant presque midi.

Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les restes de hier. Les deux bouchées à la reine dans leurs coquillettes. Au four électrique. Réchauffé c'est encore meilleur. Je prépare l'assaisonnement de la salade de carottes. Il est un peu plus de midi trente quand Clémentine revient. Suspendue à mon cou, ses jambes autour de ma taille, elle me couvre le visage de bisous. C'est comme ça que je l'emmène faire pipi, se laver les mains. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Tout se passe vraiment bien.

Alban, le maître de thèse, malgré son jeune âge, il n'a que 32 ans, est très performant. Clémentine ne tarit pas d'éloge concernant ce professeur. Elle fait partie du groupe de dix huit étudiants encadrés par cet enseignant. J'écoute avec attention. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur notre projet de filmer l'oral qu'elle prépare. Se mettre en situation devant une caméra comme elle le ferait devant un jury. Refaire, encore et encore jusqu'à approcher ce qu'elle souhaite. Excellente méthode.

Elle en parle avec Estelle et ce projet les excitent considérablement. Pouvoir corriger des expressions faciales. Les appuyer ou les atténuer en fonction de la pertinence du propos. Nous consacrerons du temps à cette méthode. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. C'est le début du week-end. Clémentine est très déconneuse. Je suis pliée de rire. Ses mimiques, ses grimaces, ses imitations de Juliette en prenant son accent Corse. Nous serons seuls pour le restant de la journée. Julie ne peut pas nous rejoindre. Elle viendra demain pour le ménage.

Le ciel est couvert, légèrement menaçant mais il fait doux. Le thermomètre extérieur indique 21°. Nous nous changeons. Clémentine porte une de ses jupes plissées de coton carmin. Courte. Des mocassins marrons. Un sweat de léger coton brun. Sa natte accentue encore sa silhouette filiforme. Sur sa demande je porte un pantalon de coton clair, une chemisette crème et mes mocassins en nubuck beige. Nous prenons des poses devant le grand miroir de l'armoire. Clémentine s'accroupit. Sa tête appuyée contre ma jambe qu'elle enserre de ses bras.

Ses cuisses largement écartées sur une culotte de coton blanc. << Je vous aime monsieur. Vous êtes toujours si attentionné avec moi ! >> dit elle. Je pose ma main sur sa tête pour répondre : << Je vous aime mademoiselle. Vous faites de mon existence un enchantement de chaque instant ! >>. Elle se redresse en s'écriant : << Et j'ai envie de faire ma salope cet après-midi ! >>. Nous rigolons comme des bossus en dévalant les escaliers. Nous n'avons strictement rien à faire en ville mais Clémentine a repéré un chantier sur la route de la fac.

Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue en m'expliquant : << Tous les soirs quand je rentre de cours, il y a un ouvrier qui me fait un grand signe de la main quand je passe. Je ne sais pas comment il m'a repéré ! >>. J'écoute avec soin car Clémentine désire approfondir et résoudre ses interrogations. Pour son fonctionnement libidineux, rien de plus efficace qu'une tentative d'approche à sa façon. Une bonne petite exhibe. Nous arrivons au carrefour. La jonction entre la petite route communale et la départementale. Ça circule très peu.

<< Là, regarde ! >> s'exclame Clémentine. J'ai ma main droite sous sa jupe. Elle mouille toujours considérablement. Pour ne pas tacher le tissu de sa jupe depuis l'intérieur, elle préfère garder sa culotte. Nous passons devant l'endroit. C'est une maison entourée d'échafaudages. Sans doute en rénovation. Il y a bien une camionnette garée dans la cour mais personne. Nous repassons une seconde fois. << Là, regarde, le mec ! >> s'écrie Clémentine. Cette fois je l'ai vu. Un homme plutôt costaud, en tenue de travail. Il est affairé derrière sa camionnette.

Je fais demi tour un peu plus loin. Cette fois c'est Clémentine qui se met au volant. Je reste caché sur le siège passager. Elle roule excessivement lentement. Elle commente à voix haute ce qui se déroule. << Il m'a vu. Il m'a reconnu ! >> dit elle. Habituellement il voit passer cette superbe jeune fille dans sa Golf. Là, il la voit conduire une grosse Mercedes. Elle me raconte. Elle fait demi tour un peu plus loin pour repasser une nouvelle fois. Cette fois je mâte discrètement grâce au rétroviseur intérieur que Clémentine a judicieusement réglé.

<< Il est dans la peau d'un mec qui a gagné au Loto ! >> murmure Clémentine qui se gare un peu plus loin. << Je vais l'achever ! >> lance t-elle en sortant de l'auto. Nous sommes à une centaine de mètres. Je peux maintenant observer sans crainte. Clémentine, entre la voiture et les fourrés, parfaitement visible depuis la maison, s'accroupit tout en descendant sa culotte qu'elle laisse tomber sur ses chevilles. Je me branle. J'ai assisté à ces situations d'innombrables fois, mais c'est toujours comme une grande première. Le type, là-bas, immobile, mâte.

Les bras ballants, il regarde cet hallucinant spectacle. Pour rester discrète si une voiture devait arriver, Clémentine a laissé la portière ouverte. De ma place, je peux moi aussi assister à ce prodigieux spectacle. Clémentine se tenant à la portière derrière elle, ajuste ses "tirs" avec une précision étonnante. Ses jets, d'une puissance inouïe qu'elle projette à plus de cinq ou six mètres, décrivent d'abord une courbe avant de retomber dans l'herbe. Je regarde attentivement les réactions de l'artisan. Il s'est approché de la clôture. Il est beaucoup plus près.

Nous n'avons pas pensé à emmener la paire de jumelles. Dommage. Clémentine fait durer jusqu'aux limites des crampes que cette position fini par engendrer. Elle se redresse pour se torcher longuement. Prenant le temps de savourer cette magnifique exhibition dans sa totalité. Elle fait mine de découvrir qu'elle est vue depuis la maison. Elle adresse un coucou au voyeur. Il fait un signe. Clémentine remonte dans l'auto, démarre. Je me penche pour me cacher. Nous repassons lentement devant le chantier. << Il a sorti sa queue ! >> dit clémentine.

Je murmure : << Comment pourrait-il en être autrement. C'est un mec "normal" ! >>. Elle rajoute : << Il me fait de grands signes ! >>. Je propose qu'elle me dépose un peu plus loin, que je puisse me planquer dans les fourrés et qu'elle revienne. Je précise : << Tu peux t'offrir une queue d'artisan ! >>. Clémentine ne le souhaite pas. Je ne comprends pas bien. Elle qui adore sucer des inconnus bien vicelards. << Non, j'ai pas envie de faire une pipe à ce type. Il n'est pas très beau et sa queue est quelconque ! >>. Nous rigolons comme des bossus.

Nous arrivons sur le parking de l'hypermarché. Clémentine raffole pratiquer l'exhibe dans ces endroits. Elle ne court aucun risque en choisissant une "victime potentielle". Tout spécialement dans le rayon des livres qui permet quelques "figures de style", accroupie devant les étagères du bas. Hélas, il y a beaucoup de monde. La proximité de ce lundi 8 mai, jour férié, explique sans doute cette affluence. C'est frustrant car nous sommes tous deux très "allumés". Même les cabines d'essayages ne permettent pas l'exhibe de qualité. Ce sont juste des instants furtifs.

Paradoxalement, dans le rayon des produits d'entretiens. Peu de monde. Clémentine dont la culotte est restée dans la voiture peut tout de même s'offrir quelques "frayeurs". Des messieurs achètent eux aussi de la lessive ou des éponges. J'assiste encore là à quelques performances de la fille que j'aime. Je suis obligé d'intervenir, de la rejoindre. Un emmerdeur qui ne peut se contenter d'admirer se sent obligé de l'accoster. Rien n'insupporte davantage Clémentine que ce genre de dragueurs. Je propose un bon restaurant pour clore l'après-midi.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui vont pouvoir s'amuser devant un bon repas, dans les WC, puis avant un retour festif à la maison pour une baise d'anthologie sous la couette...

Julien (garde du corps et vigile pour coquines)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 44 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2242 -



Un samedi d'agréables routines

Il est sept heures trente. Clémentine est restée serrée contre moi toute la nuit. Il faut dire qu'après notre soirée au restaurant, nos folies sous la couette au retour, la nuit fut douce, sensuelle et tendre. Passant une cuisse sous mes fesses, posant l'autre sur mon érection naturelle, elle imprime un lent mouvement masturbatoire contre ma hanche. Ses lèvres posées sur ma joue. Je glisse ma main dans cette culotte qu'elle remet après l'amour pour préserver nos draps. C'est féérique. L'impérieux besoin de pisser devient de plus en plus prégnant.

Nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain nous revêtons nos tenues de gymnastiques. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. J'y allume immédiatement la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les dernières oranges, pèle les derniers kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre aventure du vendredi après-midi. Cet artisan devant lequel Clémentine s'est encore offerte un petit frisson bien pisseux. << Super de commencer le week-end comme ça ! >> lance t-elle en riant.

Je me lève d'un bond car je viens de penser au portail. Il faut l'ouvrir depuis l'interphone dans le hall d'entrée. Clémentine me court après en passant sa main entre mes cuisses. << Tu es hyper sexy dans ton legging ! >> s'écrie t-elle en me tripotant les couilles. Je la soulève comme une jeune mariée pour l'emmener. Nous retournons à la cuisine. Je beurre nos deux dernières tranches de pain grillé. Du bruit. Voilà Julie qui arrive. Elle se précipite vers nous comme une désespérée. Cela fait plus de dix jours que nous ne nous sommes vus. Plein de bisous.

Elle nous raconte sa semaine tout en se mettant à débarrasser la table. Nous lui racontons la nôtre. << Allez faire votre entraînement, je m'occupe de tout ! >> dit elle. De venir faire le ménage le samedi matin n'est que le prétexte d'être près de nous. Nous quittons la cuisine en déposant chacun une bise sur son front. Le thermomètre extérieur indique 6°. Le ciel est lourd de nuages menaçants. Aussi, par sagesse, il est préférable de nous entraîner dans notre salle. Nous remontons. Clémentine me coince contre la porte pour me toucher. M'embrasser.

C'est en érection que je l'accompagne dans les échauffements de l'aérobic. Nous rions aux éclats. Mon érection disparue, il n'y a plus que la grosse bosse qui forme un paquet. Jogging sur les tapis roulants. Clémentine me fait rire. Tout en courant elle tourne sur elle-même, fait semblant de perdre l'équilibre. Les exercices au sol, les pompes, les abdos. Les ciseaux arrières. Le samedi nous avons le temps de faire tous les exercices convenablement. Un plaisir décuplé. Les charges additionnelles ne permettent pas de déconner. Là, c'est du sérieux.

On termine par un stretching dont les étirements permettent de retrouver le calme. La douche. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite, je coiffe Clémentine. Le rituel d'après shampoing du samedi. Nous adorons ça. Elle me raconte plein d'anecdotes sur ses collègues étudiants, sur les professeurs, sur Alban son maître de thèse. Nous percevons le bruit de l'aspirateur quelque part à l'étage. Vêtus de nos Levis, de nos épaisses chemises à carreaux, de nos baskets, nous dévalons les escaliers. Bientôt l'heure des livraisons.

Le ciel reste sinistre mais il ne pleut pas. La température est montée rapidement à 18°. Pas un souffle de vent en traversant la pelouse. Clémentine vérifie la bonne ouverture de ma braguette. Elle ajuste mon sexe par dessus l'élastique de mon slip. << Il faut qu'au moindre geste un peu vif, il jaillisse comme un diable de sa boîte ! >> dit elle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. L'érection presque immédiate fait effectivement jaillir ma queue. Clémentine la prend dans la main en rajoutant : << Tu vois, comme ça, c'est parfait. Nickel ! >>

Elle finit cette phrase lorsque la camionnette blanche fait son apparition au portail. Elle descend lentement les pavés autos bloquants du chemin pour venir se garer derrière la voiture de Julie. J'ai eu le temps de remballer. Maladroitement parce que je bande mou. Danièle, en sautant de son véhicule nous fait un immense sourire en nous tendant le poing. Nous le touchons des nôtres. Elle jette un coup d'œil sur ma braguette avant de me fixer par en-dessous. Cette complicité m'excite autant que la langue exploratrice de Clémentine dans ma bouche.

Je n'y peux rien. Je veux remballer immédiatement mon sexe quand Clémentine m'en empêche. << Montre à la dame le vicieux que tu es ! Elle aime ! >> dit elle. Danièle éclate de rire en contournant la camionnette. Elle ouvre les deux portes arrières. Elle me lance une seconde fois ce regard lourd de sous entendus. Un sourire énigmatique. Je bande comme le dernier des salauds. C'est à la fois troublant, terriblement gênant et tout ça fini par me procurer un sentiment de honte. Danièle sort le premier cageot contenant les fruits, les légumes. Il est lourd.

Je m'en saisis pour aller le poser sur le banc en pierre contre la façade de la dépendance. Elle tend le second à clémentine. Il contient les fromages, les yaourts, les pots de crème fraîche, les œufs et la motte de beurre. Quelques avocats. Je réunis tout mon courage pour affronter le regard de Danièle. Je reste un instant, mains sur les hanches, à faire bouger ma queue raide par des contractions régulières des muscles fessiers. J'ai à présent la certitude que ce comportement ravi notre livreuse. Elle me tend le terminal. J'y introduis la carte bancaire.

De manière encore plus ostentatoire que les samedis précédents, Danièle se penche pour mieux voir. Pour me faire comprendre à quel point elle apprécie mon comportement de satyre. << Bienvenue au "Club" ! >> lui dit Clémentine. Danièle rit aux éclats avant de s'installer au volant. Elle passe sa langue sur ses lèvres en démarrant. Veut-elle nous faire comprendre quelque chose ? Nous la regardons faire la manœuvre de demi tour. Cette fois, j'agite mon sexe dans sa direction. Elle lève le pouce en m'adresse un clin d'œil. La camionnette monte.

Arrivée au portail, Danièle nous fait un grand signe de la main, pouce en l'air elle disparaît. Clémentine saute à mon cou en s'écriant : << J'adore quand tu fais ton vicelard. Tu as vu comme elle apprécie ! >>. Voilà le tube Citroën rénové qui descend à son tour. Alors là, avec madame Marthe, pas question de s'amuser à ça. Je me précipite dans le garage pour aller remballer mon sexe. Je ressors pour rejoindre Clémentine et notre boulangère adorée. Dans le cageot qu'elle me tend, nos deux grosses miches de pain, les deux pâtes feuilletées.

L'énorme brioche au pudding. Un "chinois" rond dont le dessus semble couvert de sucre glace encore coulant. Deux gros croissants à la pâte d'amande. Paiement par carte. Comme avec Danièle, même commande pour samedi prochain. Nous contournons la maison pour descendre à la cave par derrière. Sur les étagères, dans le cellier nous rangeons soigneusement les fruits et les légumes. Clémentine déboutonne une nouvelle fois ma braguette. Elle me sort le Zob en disant : << Il faut le montrer à Julie. Elle ne vient pas que pour le ménage tu sais bien ! >>

Du congélateur où je mets une des deux grosses miches de pain, je tire le paquet de moules et les sachets de haricots verts, de petits pois. Nous remontons par l'escalier intérieur. Est-ce délibéré ? Une fois encore Julie vient de passer la serpillère dans la cuisine. Fixant mon sexe qui pend de la braguette elle nous invite à entrer quand même. << Je repasse après vous ! >> dit elle. Nous rangeons les produits frais dans le réfrigérateur. << J'ai tout vu depuis la fenêtre ! >> lance Julie. << Le numéro de Julien devant Danièle ? >> demande Clémentine.

<< Oui ! >> répond timidement Julie qui connaît parfaitement nos tendances exhibitionnistes. J'agite mon sexe dans sa direction pour demander : << Et ce que vous avez vu, vous a t-il satisfaite ? >>. Julie baisse les yeux, toute gênée en murmurant un << Oui ! >> à peine audible. Nous quittons la cuisine en déposant chacun une bise sur son front. Julie se remet à son nettoyage. Au salon, assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Quatre messages. Celui de ma famille écossaise. Tout va bien. Ils nous attendent d'ici deux mois.

Un mail de Juliette qui nous raconte ses frasques depuis mercredi dernier. Nous rappelant qu'une soirée gloryhole nous attend selon le bon vouloir de Clémentine. << Elle m'excite avec ses saloperies cette vieille pouffe ! >> lance Clémentine. Un courriel de confirmation de la Geneva Tour CGN quand à notre croisière sur le Lac Léman. Clémentine s'est donc déjà occupée de tout ? Comme elle aime à le faire. Avec son goût pour les surprises. Un message d'Estelle qui est impatiente de nous rejoindre en début d'après-midi. Clémentine fait les réponses.

Dans une petite enveloppe jaune je glisse deux billets. Un de 50 €, l'autre de 20 €. Clémentine y rajoute un petit mot que je signe de mon petit personnage. Un bonhomme composé d'une paire de couilles sur pattes, d'une bite avec des bras et dont le gland décalotté forme la tête. Il est onze heures trente. Julie vient nous rejoindre. Debout devant le bureau, comme une écolière, jouant avec ses doigts en disant : << Voilà une maison bien rangée, bien nettoyée ! >>. Clémentine se lève pour la rejoindre. Elle pose ses mains sur ses frêles épaules.

Je me lève à mon tour. Je contourne le bureau. En approchant je tends la petite enveloppe jaune. << Merci ! >> dit elle en me faisant un merveilleux sourire. N'osant pas soutenir mon regard, elle fixe mon sexe. Bite toute molle qui pend lamentablement de ma braguette. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Il ne pleut pas mais le ciel reste sinistre. Lundi 8 mai est férié. Julie ne pourra pas nous rejoindre. Sa famille aime à se réunir à toutes les occasions. Assise au volant elle nous fait part de sa tristesse. Par contre elle reviendra vendredi.

Clémentine joue avec ma queue. Je me rapproche de l'auto jusqu'à m'appuyer contre le portière. Mon sexe dans l'habitacle, à une vingtaine de centimètres du visage de Julie. Clémentine le lui tend, comme pour le lui offrir en disant : << Ça fait combien de temps que tu ne t'es plus offerte ta petite friandise ? >>. Julie répond : << Je l'ai fait un peu hier soir, avec Jean-Louis, dans les cuisines du restaurant. C'est ma tante qui voulait me faire goûter. Beurk ! >>. Clémentine lance : << Tu préfères l'avoir dans le cul ! >>. Nous rigolons comme des bossus.

Julie démarre. Elle regarde mon sexe avec envie. Nous la regardons faire demi tour. Arrivée en haut, au portail, elle souffle plein de bises dans sa main. Un dernier coucou. Il fait étrangement doux. L'absence de vent. La température indiquée est maintenant de 22°. Dommage que le ciel soit couvert et taciturne. Morts de faim nous rentrons. Clémentine fait l'assaisonnement de la belle laitue livrée ce matin. Il y en aura pour ce soir. Je porte le bouillon pour les moules à ébullition sur la cuisinière à bois. Dans le wok, les haricots verts, les petits pois.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les attitudes de Danièle et de celles de Julie. C'est un immense privilège d'êtres membres du même "Club". Clémentine me confie des ressentis très féminins quand à tout cela. Sa vision de femme. J'écoute avec attention. Car tout cela échappera toujours en partie à ma compréhension globale. Une vision qui diffère de la perception masculine. Ce qui participe merveilleusement à cette complémentarité naturelle que les tendances wokistes actuelles aimeraient supprimer. Aimeraient "transgenrer".

Arrivés à ce constat d'absurdité, nous rions aux éclats quand Clémentine précise : << Qu'ils soient un maximum à se transgenrer. Il ne restera que des esthètes pour s'offrir les luxes raffinés de la "normalité" ! >>. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie son désir de retourner dans les environs du chantier. Je trouve cette suggestion absolument divine. J'adore assister à ses exhibes de très hautes volées. Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de monter nous laver les dents en faisant les clowns.

<< Qu'ils sont où les gens que j'aime ! >>. C'est Estelle qui nous surprend. Elle adore arriver silencieusement. Elle pose son grand sac de sport sur le tabouret pour se précipiter. Serrés tous les trois, nous savourons ces retrouvailles en nous couvrant de bises. En sortant son pyjama de soie mauve, une paire de chaussettes et une culotte de son sac, Estelle nous raconte sa matinée à l'hypermarché avec sa maman. Son vendredi après-midi à l'aider aux travaux de bureau de l'entreprise familiale. << La secrétaire est une vraie "coincée" ! >> dit elle.

Elle rajoute : << Quand j'essaie de la brancher cul, elle change immédiatement de conversation ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Je dis : << Je viens faire un stage dans ton entreprise. Bite à l'air sous le bureau ! >>. Estelle fourre sa main dans ma braguette pour me la sortir. << Interdit. Je suis trop jalouse ! >>. Clémentine raconte notre aventure avec l'artisan du chantier. Quand elle propose d'y retourner, Estelle se met à sautiller autour de nous en s'écriant : << Oh oui ! Oh oui ! Du sexe ! Super ! >>. C'est en riant que nous nous changeons.

Clémentine s'habille de sa jupe de coton carmin, plissée, d'un T-shirt crème. Chaussée de ses baskets. Estelle a ramené de quoi se vêtir légèrement. << J'ai le vélo dans la bagnole ! >> précise t-elle. Je mets un bermuda kaki et un T-shirt gris. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, vautrée à l'arrière, cuisses largement écartées, se touche en me faisant des sourires, des grimaces et des clins d'œil dans le rétroviseur. Nous prenons la même direction que vendredi. Il est quinze heures.

<< Oh put-hein ! >> lance Clémentine. Arrivés devant le chantier nous constatons qu'il y a un camion. Qu'ils sont plusieurs ouvriers à ranger les échafaudages quasiment tous démontés. << Pas de bol ! Tu as un plan B ? >> demande Estelle. << Non, mais ça se trouve en cherchant bien ! >>. Je roule lentement. Nous prenons de petites routes. C'est comme partir à l'aventure. Nous rôdons dans l'espoir de trouver une opportunité. C'est samedi. Il y a des voitures garées dans les sous bois. << Là ! >> lance Clémentine. Une camionnette bleue.

<< Enedis ! Pour l'entretien de vos vices ! >> lance Estelle. Il y a un employé en tenue de travail en haut d'une échelle. C'est une de ces constructions sommaires en béton qui abritent des relais électriques. Il est seul. Nous comprenons la raison de sa présence un samedi après-midi. Probablement une urgence car là-bas, à environs cinq cent mètres, un hangar. Il y a un groupe de gens devant une autre camionnette du même genre. << Super plan ! >> lance Clémentine. Je me gare un peu plus loin, dans la descente d'un chemin. Le type est affairé.

Nous étudions rapidement la configuration des lieux. Un chemin, parallèle à la route, passe derrière la construction en béton. Parfait. Le sol est sec. Tous les trois, en nous tenant par la main, nous marchons vite. Là, à une quinzaine de mètres, l'arrière de la construction. L'employé debout dessus, entrain de bricoler des câbles. Il ne nous a pas vu. La végétation est dense. << Vous réagissez au quart de tour au moindre souci ! >> murmure Clémentine qui nous laisse, dissimulés derrière les fourrés. Estelle se serre contre moi. Me sort la queue. Silence.

Nous regardons Clémentine avancer à découvert. Elle marche lentement, bras croisés, comme une promeneuse cherchant un coin pour faire pipi. Elle passe, repasse et fini par attirer l'attention du quidam. Clémentine fait mine de ne pas s'apercevoir de sa proximité. Ayant parfaitement évalué l'endroit, elle descend sa culotte pour s'accroupir. Bien face à l'employé qui vient lui aussi de s'accroupir sur le toit de la construction. Manifestement il ne désire pas être vu. << Un voyeur ! >> chuchote Estelle qui me tripote, me touche de sa main gauche.

Sa main droite sous sa jupette. Cette fois nous distinguons parfaitement. Nous voyons Clémentine de profil. Nous voyons le mec sur le toit qui tente de se planquer au mieux. Il a même sorti son téléphone. << L'enfoiré, regarde, il fait des photos ou il filme ! >> murmure Estelle. Clémentine porte ses larges lunettes noires. Ses cheveux dissimulent en partie son visage. Surtout qu'elle prend soin de garder la tête penchée. Ce n'est pas la première fois qu'elle se fait photographier, filmer comme ça. Mais son anonymat total reste évidemment préservé.

À la limite de l'ankylose elle se redresse. Elle retire sa culotte qu'elle garde dans la main gauche. Elle fait quelques pas, se touche. Cambrée sur ses genoux fléchis, elle regarde partout autour d'elle en se masturbant. Nous voyons juste la tête du type et son téléphone. Il s'est probablement couché à plat ventre. Derrière ses lunettes noires il est certain que Clémentine peut parfaitement le voir. Tout en faisant semblant de ne s'être aperçue de rien. Estelle et moi nous nous masturbons en observant cette situation. C'est terriblement excitant.

Clémentine retourne s'accroupir exactement au même endroit. Sans la contrainte de sa culotte elle est bien plus libre des mouvements de ses jambes. Elle fait un peu lycéenne dans son accoutrement. Va t-elle enfin réussir à pisser devant ce voyeur caché ? Nous connaissons parfaitement le fonctionnement de Clémentine. Quand elle pratique son "sport" favori, son excitation monte graduellement. Et c'est de plus en plus difficile de se soulager. Elle se touche, tombe à genoux en poussant de petits cris que nous percevons à une trentaine de mètres.

<< Quelle salope. Je la voyais déjà faire ça quand on rentrait du lycée toutes les deux ! >> chuchote Estelle qui se masturbe. Parfois un frisson parcourt son corps. Tout comme moi. Ce spectacle me donne des décharges électriques. << Dis-le au monsieur d'Enedis. L'électricité c'est sa spécialité ! >> murmure Estelle. Clémentine se relève une nouvelle fois. Penchée en avant, les deux mains entre ses cuisses elle s'offre de merveilleuses sensations. Vue, comme elle aime. Et surtout sans être importunée car l'individu reste bien caché. Il filme. C'est sûr.

Une fois les muscles de ses jambes soulagés, Clémentine reprend sa position initiale. Nous assistons à ce prodige. Les invraisemblables jets de pisse que Clémentine propulse devant elle avec une incroyable puissance. Je les compte. Ce sont de multiples jets. Interrompus brusquement. Cessant brutalement. Six, sept... Clémentine rejette souvent sa tête en arrière, les yeux fermés, livrée aux plaisirs extrêmes d'une exhibition atteignant son paroxysme. Elle n'a sans doute jamais vécu cette situation avec tant d'intensité. Le voyeur restant dissimulé.

<< C'est rare un mec qui ne tente pas une approche. Regarde, il reste caché à filmer ! >> chuchote Estelle. Pour Clémentine c'est évidemment grandiose. On lui fout la paix. Ce n'est pas un emmerdeur, un dragueur ou un casse-pieds. La situation parfaite, idéale, ultime. Je ne crois pas avoir assisté à un tel final depuis les six années que j'assiste aux "shows" de Clémentine. Elle peut jouir, totalement, sans entrave, sans inhibition. Ce qu'elle fait en tentant de se redresser. Mais, comme anéantie de plaisir, elle retombe sur ses genoux dans un cri.

Cet orgasme est certainement le plus intense qu'elle a connu. Haletante, prostrée, le corps secoué de spasmes, elle reste ainsi. Comme en prière. << Put-hein ! La salope ! >> chuchote Estelle. Le type ne réagit pas. Nous ne savons pas ce qu'il fait. Mais à coup sûr il vient de vivre une chose unique dans la vie d'un mâteur. Et surtout il en a profité pleinement sans intervenir. Toute intervention aurait mis fin à ce genre de situation. Saluons sa grande intelligence. Clémentine se redresse. Elle s'essuie avec un mouchoir en papier. Gestes rapides.

Elle remet sa culotte pour marcher très vite dans notre direction. << Alors ? Raconte ! >> demande Estelle à voix basse. << Il y avait un avant, maintenant il y a un après ! >> chuchote Clémentine qui se jette dans mes bras en murmurant : << Je suis crevé. Ça n'a jamais été comme ça ! >>. Je chuchote : << En effet, je ne t'ai jamais vu aller aussi loin. Je t'en félicite ! >>. Nous regardons Estelle s'éloigner. Tout comme l'a fait Clémentine il y a une vingtaine de minutes, elle marche doucement, les bras croisés. Une imitation parfaite de Clémentine.

Clémentine qui découvre à son tour le type couché à plat ventre sur le toit. Il assiste à un remake insensé. Il doit avoir un système cardio-vasculaire performant. Parce qu'il ne semble pas défaillir. Clémentine me branle. Nous regardons à la fois le mec et Estelle. Tellement excitée par ce qu'elle a vu qu'elle veut vivre les mêmes émotions. Estelle n'est pas une authentique exhibitionniste. Mais une véritable voyeuse. Elle a passé les lunettes noires de Clémentine et peut donc prendre les mêmes poses en préservant son anonymat. Accroupie, elle se masturbe.

Impossible de savoir si elle pisse. Ses jets sont minuscules à côté de ceux de Clémentine. Elle se redresse et reproduit exactement les mêmes attitudes que Clémentine. Elle retire sa culotte pour revenir se positionner aux mêmes endroits. Cette fois, pas de doute, elle pisse. Se laisse aller en rejetant sa tête en arrière, les yeux fermés. Moments intenses pour une fille appréciant d'être vue. Et là-haut, sur son perchoir, le mec qui filme toujours. << Ce salaud se fait un film privé. L'enfoiré ! >> murmure Clémentine qui se penche pour me sucer.

Des voix masculines. Estelle se redresse dans la précipitation pour se précipiter vers nous. À l'instant où trois autres employés Enedis font leur apparition. Ils semblent préoccupés et nous prêtent aucune attention. Nous échangeons un bref << Bonjour ! >>. Les filles s'accrochent à mes bras. Nous retournons à la voiture. Nous nous installons tous les trois sur la banquette arrière. Je suis entre mes deux anges. Nous restons haletants, silencieux. Il faut revenir à la réalité. Nous revenons de très loin. Clémentine prend ma main pour la poser sur sa poitrine.

Estelle fait de même. Je peux sentir leurs cœurs battre puissamment. Le mien n'est pas plus calme. Nous nous passons une pomme que nous savourons avant de boire des gorgées d'eau. Enfin, nous faisons le bilan de cet évènement extraordinaire. << Il sera difficile de vivre des trucs aussi forts ! >> conclue Clémentine. << C'est comme un drogue, on voudra une dose encore plus forte ! >> rajoute Estelle. J'ai la bite dans sa main. Elle se penche pour la prendre en bouche. Comme c'est inconfortable elle se met à genoux. Je me fais tailler une pipe.

Quelques minutes. C'est au tour de Clémentine. Il va être 17 h45. Je me mets au volant. Estelle exige d'être devant à côté de Clémentine. Quand j'évoque les risques d'un contrôle elle dit : << Les flics sont occupés dans des manifs ! >>. Nous rions de bon cœur. Je roule doucement. C'est Estelle qui joue avec ma queue dégoulinante. Nous passons devant la camionnette bleue toujours garée là. Il est 18 h30 quand nous arrivons à la maison. Assis tous les trois dans la cuisine à éplucher les pommes de terre, les carottes, les navets, le gros céleri. Ail, oignon.

Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la laitue. Estelle touille la potée de légumes. Je fais rissoler trois dos de cabillaud blanc. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre aventure extraordinaire. Clémentine nous raconte les différentes phases d'extrême excitation vécue. << Impossible d'aller plus haut ! >> affirme t-elle. << Moi, l'arrivée des autres mecs m'a coupé la chique ! >> lance Estelle. Je me propose d'y remédier après la vaisselle. Je laisse au lecteur d'imaginer le déroulement de la soirée. Je me bouffe de la chatte succulente.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se font nettoyer la chatte par une bouche gourmande, se font pénétrer par une queue en mode "piston" avant de se faire décharger du foutre au font de la gorge...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Un dimanche emplit de belles émotions

Hier matin, dimanche, il n'est pas loin de neuf heures. Notre grasse matinée est des plus exquises. C'est Estelle qui m'arrache du sommeil. Elle déteste être déjà réveillée toute seule. Sa main saisit mon érection naturelle. Ses lèvres se collent dans mon cou alors qu'elle pose sa tête sur ma poitrine. Clémentine se réveille alors également pour se blottir encore plus fort. Je suis entre mes deux anges, dans un véritable enchantement paradisiaque. Toutes les deux se frottent lentement contre mes hanches en gémissant. Je glisse mes mains dans les culottes.

Nous nous étirons longuement. Estelle se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte. Clémentine me chevauche en me couvrant le visage de bises. << C'était plus que génial hier ! >> murmure t-elle entre chacun d'eux. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Le dimanche pas d'entraînement. C'est donc en Levis, en chemises à carreaux que nous dévalons les escaliers. Morts de faim. Il y a déjà l'odeur du café qu'a préparé Estelle. Elle est entrain d'allumer la cuisinière à bois. Clémentine presse les oranges, je pèle les kiwis. Le feu prend rapidement.

La brioche est succulente. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos "exactions" sexuelles de ce samedi appartenant déjà maintenant au passé. Clémentine a le désir de récidiver le plus tôt possible. Estelle également tout en s'écriant : << Enedis, c'est pour ton vice ! >>. Nous en rions de bon cœur. << On fait venir un employé Enedis ? >> me lance Clémentine. Je réponds : << Si tous leurs employés sont aussi fair-play que celui-là, ce sera tous les jours ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Nous traînons longuement à table.

Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges envisagent les possibilité de la journée. Dehors le ciel est voilé, il y a quelques nuages. Rien de menaçant. Si cette météo se maintient, ce sera une bonne randonnée comme nous les apprécions. << On monte au château ! >> s'exclame Estelle. << Ah oui, la saison a commencé dès le début mai ! >> s'écrie Clémentine. Voilà une très bonne suggestion. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous remontons très vite nous laver les dents, faire la chambre et notre lit.

Estelle se change. Quitte son pyjama pour s'habiller comme nous. Pressés d'aller constater le climat nous dévalons les escaliers. Il fait un peu plus frais que samedi. Les filles restent accrochées à mes bras. Nous descendons jusqu'à la rivière. Les canards, les poules d'eau et les colverts y fond des figures sur l'eau. Il y a une multitude de petits. Les familles s'agrandissent. Ces animaux ont colonisé cet endroit depuis quelques années. Nous prenons le sentier facile sur la gauche. Il longe la rivière sur trois kilomètres. Jusqu'au vieux lavoir près du haras.

Nous ne flânons toutefois que sur quelques centaines de mètres. C'est frustrant de ne pas pourvoir marcher côte à côte. Estelle est devant. Je la suis. Clémentine est à l'arrière. Comme ma braguette est béante, la tentation d'y fourrer la main est grande. Ce que fait Estelle en me sortant le sexe. Avec elle je passe le plus clair de mon temps "bite à l'air". Quand elle enfonce sa langue dans ma bouche, l'érection est évidemment presque immédiate. Malgré la crème dentifrice, subsiste le goût de la brioche. Pareil avec Clémentine lorsqu'elle m'embrasse.

Nous revenons sur nos pas en évoquant monsieur Bertrand. Notre voisin vient souvent apporter du vieux pain aux canards. Mais ce n'est jamais à heure fixe. Par prudence je remballe et reboutonne la braguette de mon 501. Nous remontons les trois cent mètres de chemin humide des pluies de la nuit. Un petit tour dans la maison d'amis où aucun ami n'est encore venu depuis trois ans d'existence. Ce constat nous fait éclater de rire. << Un ménage "à fond" s'impose ici. Il faudra demander à Julie de faire quelques "extras" ! >> lance Estelle.

J'en profite pour sortir la voiture du garage. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Il n'est que onze heures trente. Il commence à faire faim. Clémentine fait l'assaisonnement d'une salade de tomates. Estelle prépare trois pavés de saumon en papillotes sur le barbecue électrique dans la véranda. Je réchauffe la potée de légumes. Clémentine vient me faire des bises en passant ses bras autour de ma taille. Descendant parfois sur la braguette pour palper la bosse. Elle me déboutonne à son tour pour m'en extraire le Zob. Je bande mou.

Je suis derrière le double vitrage des vitres fumées qui séparent cette partie de la cuisine de la véranda. Clémentine agite mon sexe en direction d'Estelle qui nous fait des grimaces, mime des masturbations masculines et des fellations. Tout en retournant régulièrement les papillotes. Nous mangeons de bon appétit. En avance sur l'horaire habituelle. L'idée de la randonnée qui nous attend nous rend impatients. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous restons dans nos habits.

Nous redescendons à toute vitesse. Dans le petit sac à dos, pommes, barres de céréales, thermos de thé bouillant. La petite paire de jumelles et nos minis parapluies. Nous récupérons nos grosses godasses. Les vestes fines et légères en tissu synthétique gris. Il est même pas treize heures. C'est parti. Il y a vingt cinq kilomètres jusqu'aux collines. Je roule doucement par les départementales. La circulation est fluide pour un dimanche. Le ciel a tendance à se couvrir mais toujours sans menaces. Clémentine joue avec ma queue. Estelle caresse mon cou.

Assise à l'arrière Estelle partage ses ressentis quand à nos aventures de samedi. Je gare l'auto sur le parking du restaurant. Il y a un monde fou vu le nombre de voitures. Nous chaussons les grosses chaussures. Je porte le sac sur le dos. Les filles me tiennent par la main. Ce qui attire quelques regards des gens se préparant eux aussi. Pour prendre l'itinéraire du château, c'est le sentier de droite. Il surplombe rapidement la terrasse du restaurant. C'est noir de clients. Toutes les tables occupées. Une température de 21° affichée sur le site météo.

La pente redevient douce. Le sentier est redevenu chemin. Ce qui permet de marcher en nous tenant par les mains. Nous croisons nombre de marcheurs. Principalement des groupes. Nous suivons même l'itinéraire de la marche populaire organisée là. Il y a des stations avec buvettes. C'est très sympathique même si nous fuyons toute promiscuité. Bien évidemment, quand Estelle s'arrête devant moi, bloquant la marche, c'est pour palper ma braguette fermée. Inutile de prendre des risques. Il y a deux heures de marche jusqu'au château restauré.

Que de monde en ce dimanche ! Surtout des familles. En effet, la saison touristique a commencé. Dans l'enceinte de la forteresse nous découvrons enfin le restaurant, le bar, le magasin de souvenir et le petit musée. Tout a été judicieusement incorporé aux murailles du château. << On se visite le musée ? >> propose Clémentine. << Génial ! >> lance Estelle. Il faut se mettre dans la file. Et pour une coquine rien de plus excitant et facile que de tripoter discrètement une braguette dans une file de gens. Je fais d'ailleurs la même chose.

Sept euros par adultes. Mais la visite en vaut la peine. C'est superbement bien agencé, bien présenté et surtout bien expliqué. La visite est libre. Toute l'histoire du Château est développée là. Une citadelle dont les travaux ont commencé au treizième siècle. Successivement occupée par des seigneurs locaux, dont un tristement célèbre voyou. Des soldats Anglais durant une invasion en 1430. Puis des Suédois en 1635. Un incendie. Une première restauration sous Louis XIV en 1670. Des vitrines présentant les différentes monnaies. Des armures.

Quelques recoins où Estelle peut tripoter ma braguette en me chuchotant des coquineries. Elle montre l'endroit spécifique des armures en me demandant : << Tu arriverais à faire pipi par là avec cette ferraille sur toi ? >>. Nous rions de bon cœur. Je mesure un mètre quatre vingt huit. La taille moyenne des hommes de l'époque médiévale était d'environ un mètre soixante. Il me serait bien impossible d'entrer dans une de ces armures. Moi aussi je glisse ma main discrètement entre ses cuisses. Clémentine faisant écran de son corps, c'est simple.

La visite dure une petite demi heure. Il faut louvoyer entre les gens. Il n'y a pas une seule table libre aux terrasses. Frustrant car nous aurions volontiers savouré des coupes glacées. Il faut se contenter des cônes que nous prenons au comptoir. Toujours en devant attendre dans une file. C'est une indéniable réussite pour le Conseil Général qui a entrepris la restauration de cette grande forteresse. Inutile d'espérer utiliser les toilettes publiques sans devoir attendre au moins dix minutes. Il y a là une véritable file d'attente. Nous quittons le lieu.

Quelle soulagement de quitter la foule bruyante. Nous prenons le sentier du lac. Il y a enfin des endroits pour pisser. Là, en descendant, en quittant le sentier, il y a une sorte d'escalier naturel dans la roche. Il faut être prudent car la pente est raide. Estelle et Clémentine, accroupies l'une à côté de l'autre, font pipi. Je les tiens toutes les deux par leurs cheveux. C'est une demande. Le prétexte étant d'éviter de risquer de tomber dans le "ravin". C'est toujours surréaliste de faire ça en entendant des voix, des rires. À trente mètres du sentier proche.

Je les torche soigneusement avec les mouchoirs en papier qu'elles me tendent. Moi, j'attends un autre endroit que nous connaissons bien. Il y a une heure trente de marche jusqu'au petit lac. Le ciel qui s'est emplit de lourds nuages sombres se reflète dans ses eaux noires. C'est spectaculaire. Un environnement qui n'est pas sans rappeler la région des Black Mount en Écosse. C'est là, derrière cette construction en pierres de granit que j'aime à pisser. C'est Estelle qui me tient la bite pour en diriger les jets. Clémentine, accroupie qui observe de près.

Entre deux dernières giclées, Estelle présente ma queue à Clémentine qui la gobe d'un gracieux mouvement de tête. Je me fais sucer. C'est encore tellement bon que je me tiens contre le mur. Il faut rester prudents car nous entendons des randonneurs, des voix, des rires. Estelle s'accroupit à son tour. Elles se refilent ma bite en échangeant leurs impressions. Clémentine se redresse la première en montrant le dessin qu'Estelle a fait contre le mur. Elle se redresse à son tour en disant : << On dirait un bonhomme ! >>. Clémentine précise : << Réussi ! >>

Nous rions de bon cœur alors que je remballe. Nous suivons le chemin qui fait le tour du lac. Là-bas, les bâtiments de pierres du restaurant. Je dis : << S'il y a une table libre, elle est pour nous ! Ça vous tente ? >>. Mes deux anges sautillent autour de moi. Joyeuses. << Super ! >> lance Estelle. << Génial ! >> surenchérit Clémentine. Je rajoute : << Et s'il n'y a plus de places, on ira voir ailleurs ! >>. Il y a bien moins de clients en soirée. Aussi nous avons la chance d'avoir une table près de la fenêtre qui donne sur le petit viaduc de l'ancien train.

C'est la première fois que nous mangeons dans cet établissement. C'est très convivial. La salle est rapidement pleine. Il n'est que dix neuf heures. Le repas est simple mais délicieux. Des tourtes aux champignons avec une salade de choux. << Ça fait un peu ferme auberge ! >> lance Estelle. << À la bonne franquette ! >> précise Clémentine. Première visite dans les toilettes hommes avec Estelle. Une petite baise en levrette alors qu'elle se tient des deux mains contre le mur. C'est amusant d'entendre des mecs pisser de l'autre côté de la porte du cabinet.

Dix minutes de plaisir brut et campagnard. Seconde visite avec Clémentine. C'est amusant de se faire tailler une pipe en entendant pisser dans l'urinoir mural de l'autre côté de la porte du même cabinet. Nous récidivons deux fois encore avant l'addition. Bien évidemment quelques regards interrogateurs sinon suspicieux nous ont accompagné durant tout le repas. Quelle surprise en sortant. Il se met à pleuvoir. Il faut courir jusqu'à la voiture. Ouf ! Estelle exige d'être assise devant avec Clémentine. Je rechigne mais que puis-je bien faire ? Queue dalle !

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui adorent se faire nettoyer les minous par une bouche avide après les sueurs et les mouilles d'un après-midi de randonnée pédestre.

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 46 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2244 -



Lundi, jour férié

Ce matin de lundi est un remake de celui de dimanche. Il est aux environs de neuf heures hier matin. Ce sont les mouvements réguliers des pieds d'Estelle contre les miens qui me tirent du sommeil. Elle se serre contre moi. Ce qui réveille Clémentine qui se blottit. Tous les trois nous nous étirons en gémissants. Elles ont toutes les deux le réflexe affectueux de vouloir se saisir de ma tumescence. Leurs mains se heurtent. Elles éclatent de rire. Elles passent leurs têtes sous les draps pour m'y faire des bises. Je caresse leurs nuques. Estelle revient.

Elle se lève précipitamment en s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine aussi revient à la surface. Ce sont mes joues qu'elle couvre à présent de bises. << C'était super au restaurant. Surtout après ! >> dit elle alors que je glisse ma main dans sa culotte. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Il fait bien chaud dans la maison. Les radiateurs fonctionnent toujours encore. Cette maudite fraîcheur extérieure qui ne cesse pas. Nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge dans la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers.

Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Elle vient d'allumer la cuisinière à bois. Les suaves odeurs où se mêlent café, pain grillé et brioche dans le four à micros ondes. Clémentine presse les oranges, je pèle les kiwis. Toutes ces petites habitudes que nos lecteurs connaissent très bien. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos folies en rentrant du restaurant. << Il est drôlement sympa ce restau ! >> dit Estelle. << Et on y mange super ! >> rajoute Clémentine. En regardant par la fenêtre impossible de ne pas être déçu par la météo pourrie.

Il pleut. C'est détestable. << Décidément c'est un printemps merdique ! >> lance Clémentine. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges envisagent quelques occupations pour l'après-midi. Elles ne désirent absolument pas se plonger dans leurs études. Préférant s'offrir un recul bien nécessaire sur tout cela. Nous débarrassons pour faire notre vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Estelle quitte son pyjama pour sa tenue de sport. Nous faisons notre chambre, notre lit.

Il faut se résoudre à s'entraîner en salle. Cette météo pitoyable ne mine toutefois pas notre moral. Les échauffements de l'aérobic, du jogging sur tapis roulants et du vélo d'intérieur qu'affectionne tout particulièrement Estelle. Aux jours fériés comme aux vacances nous prenons le temps d'exécuter toutes les phases convenablement. Tout en déconnant un peu. Les exercices au sol avec pompes et abdos. Les charges additionnelles sur machines. Les étirements d'un stretching avant de retourner à la salle de bain. Estelle prend sa douche la première.

Nous réunissons le linge qu'il faudra descendre dans la buanderie pour une machine. C'est à notre tour d'aller sous l'eau. Estelle et Clémentine, assises devant le miroir, prennent encore un grand plaisir à se faire coiffer. Elles bavardent, font mille projets pour nos vacances d'été. Vêtus de nos Levis, de nos sweats, baskets, nous dévalons les escaliers pour passer au salon. À nouveau installées sur mes genoux, elles allument l'ordinateur. Estelle découvre ses messages dans sa boîte mail. Nous découvrons les nôtres. Elles répondent à voix haute.

Il est onze heures trente. La matinée passée à faire toute chose en prenant tout notre temps. << C'est bon de buller ! >> lance Estelle qui fait des mouvements de danseuses tout autour de la grande pièce. Clémentine se tourne pour s'installer à califourchon sur mes cuisses. Avec un léger mouvement masturbatoire elle dit : << Je sens que ça va être superbe notre séjour à Genève ! >>. Estelle réplique : << Ce qui est chiant c'est le voyage ! >>. Clémentine rappelle que le vol est direct jusqu'à l'aéroport de Genève : << Même pas deux heures d'avion ! >>

Nous quittons le salon pour la cuisine. Il reste de la potée de légumes. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade de concombre. Estelle fait dorer des ronds de calmars. Je remue la potée pour qu'elle n'attache pas. << Il est midi et tu n'as pas encore sorti ta bite aujourd'hui ! >> me fait Estelle en venant fourrer sa main dans ma braguette. Elle me la sort. Toute molle et flasque, elle la montre à Clémentine en chantonnant : << Un escargot tout chaud ! >>. Clémentine chantonne : << Ne serait-ce pas plutôt une limace ? >>. Rires.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Comme nous aimons bien le faire quand il pleut, nous partirons dans de longues errances en voiture. << Je veux être assise devant avec Clémentine ! >> s'exclame Estelle qui s'empresse de rajouter : << Pas de gendarmes sur les routes avec ce temps. ! >>. Clémentine fait une proposition saugrenue mais extrêmement plaisante : << L'une des deux fait le chauffeur pendant que l'autre se fait tringler à l'arrière ! Ça vous dit ? >>. Estelle se lève pour mimer une masturbation.

<< Génial ! Vive la pluie ! >> dit elle en accélérant son mouvement avec cette vulgarité dont elle est coutumière. Nous traînons toutefois longuement à table. Mes deux anges installées sur mes genoux. Elles échangent leurs impressions sur leurs superbes exhibes de samedi, devant le mec de Enedis. << J'adore les voyeurs passifs et discrets ! >> lance Clémentine. << C'est vrai, c'est chiant les mecs chiants ! >> s'exclame Estelle. Rires. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant nos pitreries habituelles.

Comment se vêtir pour cette errance automobile ? Les filles optent pour des robes amples. Pratiquent et permettant de se mouvoir à leurs aises. Toutes les deux, en robes d'été, m'entourent de leurs bras devant le miroir de l'armoire. Sur leurs demandes, je suis vêtu d'un pantalon jogging, large lui aussi, d'un simple sweat ample. Chaussés de nos baskets nous prenons des poses en rigolant comme des bossus. Elles sont accroupies, cuisses largement écartées, dévoilant leurs culottes de coton blanc. Pas question de partir sans culotte avec ce temps.

<< C'est une question d'hygiène ! >> s'écrie Clémentine. << Ça évite de se saloper après la baise ! >> s'exclame Estelle. Nous rions. Je suis prié de garder la bite à l'air. Dans un petit sac de sport nous mettons des vêtements de change. Par prudence. << Et si on veut aller boire quelque chose ! >> précise Clémentine. Pressés de nous précipiter dans l'action, nous redescendons à toute vitesse. Nous prenons la Mercedes. C'est parti. Je roule doucement. Estelle et Clémentine assises sur le siège passager chantonnent. Pourtant il pleut des hallebardes.

À peine avons nous dépassé le bourg que je gare l'auto. << Moi la première ! >> lance Estelle. << Je fais la "chauffeuse" ! >> dit Clémentine. Pas question de sortir de la voiture sous cette pluie. Ce sont donc quelques efforts de contorsions pour passer à l'arrière. Il est 14 h30. Clémentine démarre. Nous passons devant la petite chapelle désacralisée. Malgré cette météo affligeante, il y a d'autres bagnoles garées là. Estelle se vautre sur ma droite. Tout en retirant sa culotte pour écarter ses cuisses. Je me mets à quatre pattes pour la lécher.

Clémentine commente le paysage. Je frotte mon sexe contre celui d'Estelle. Même si l'habitacle d'une Mercedes Maybach de classe S est spacieux, ce n'est pas vraiment conçu pour la baise. Mais une fois que je suis bien enfoncé dans Estelle, les choses sont plus agréables. Je me félicite d'avoir choisi ce modèle. << On devrait avoir un van pour ce genre de loisirs ! >> dit Clémentine dont nous percevons les soupirs. << Tu te touches en roulant ? >> demande Estelle quand je cesse de la ramoner comme un dément. << Bien sûr ! >> répond t-elle.

Je baise Estelle à la hussarde, comme elle aime. Une bonne demi heure qui doit obligatoirement être suivie d'une pause. Clémentine se gare sur le bord de la route. Elle a pris la route des collines. << On change ? >> lance t-elle alors que nous terminons de nous partager une pomme. Avec de nouvelles contorsions, de la gymnastique, c'est Estelle qui s'installe au volant du "porte avion" comme elle appelle mon auto. C'est vrai qu'avec ses presque six mètres, cette voiture est intimidante sinon impressionnante. C'est surtout encombrant en ville.

J'inflige le même traitement à Clémentine. C'est Estelle qui commente le paysage, les comportements des rares automobilistes que nous croisons. << S'ils savaient que je conduis un baisodrome sur roues ! >> lance t-elle. Estelle, voyeuse extrême, stationne souvent pour nous regarder. Clémentine est couchée sur le dos, la tête contre le rembourrage de la portière, entrain de se faire niquer en gémissant. Estelle passe son bras pour caresser mes fesses. << Alors, vieux salaud pervers, tu te fais des jeunettes dans ta bagnole ! >> s'exclame t-elle.

C'est à son tour de repasser à l'arrière. Nous nous sommes entendus. Pas question d'aller jusqu'à l'orgasme. Nous nous gardons pour ce soir, après le repas. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Je la baise comme un enragé. Les positions contrariées qu'impose l'habitacle sont rapidement contraignantes. Il faut donc souvent varier l'angle de tir. Je me comporte comme le dernier des pervers avec Estelle qui en redemande. J'ai la bite congestionnée quand c'est Clémentine qui revient à l'arrière. Estelle chantonne << Je me touche >> en conduisant.

Je suis souvent à la limite de l'éjaculation. Les filles aux limites de l'orgasme. Il faut dire que cette situation est la fois surréaliste et hautement excitante. Il est dix sept heures. << Un restau ! >> lance Clémentine qui a repris le volant. Je me fais sucer en appuyant sur la nuque d'Estelle. Me comportant comme un vrai pervers. Murmurant des saloperies. Je la lâche. Dans un cri elle reprend sa respiration en se redressant. Nous regardons Clémentine se garer sur un parking inconnu. Il ne pleut plus. Il faut se changer. Avec de nouvelles contorsions.

Installés devant des chocolats chauds, dans une salle agréablement décorée, nous faisons le bilan de cette nouvelle expérience. Un bilan positif. << Tu m'as complètement démonté ! >> précise Estelle, les yeux encore humides. << Moi aussi. Tu m'as carrément défoncé ! >> rajoute Clémentine. Il y a d'autres clients. Des couples, une famille. Nous savourons autant nos chocolats que cette pause. << Demain, pour aller en cours, j'aurai des courbatures ! >> lance Estelle. << Moi aussi, j'en ai d'ailleurs déjà ! >> s'exclame Clémentine. Il va être 18 h.

Je propose que pour rentrer nous restions "sages". << Juste jouer avec ta bite ! >> dit Estelle. Je roule doucement. Estelle est assise au sol, entre les pieds de Clémentine. L'une ou l'autre joue avec ma queue qui reste molle. Enfin, semi dure pour préciser les choses. Sans nous en rendre compte nous avons parcouru cet après-midi soixante cinq kilomètres. Sur une boucle qui ne doit pas excéder quinze bornes. Il est 18 h45 quand nous revenons. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade d'endives. Estelle prépare une belle omelette. Moi les spaghettis.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui vont conclure un après-midi mémorable. En se faisant nettoyer les minous en profondeur par une bouche avide et gourmande...

Julien



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NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 47 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2245 -



Debout, il y a école !

Il est presque six heures hier matin, mardi. C'est l'application "forêt" qui nous tire du sommeil. Clémentine se serre contre moi en gémissant : << Merde, il y a école" ! >>. Elle se redresse sur le coude pour rajouter : << Tu viens avec moi ? >>. Quelques bisous, quelques papouilles et il faut s'y résoudre. Passage par la case "pipi" avant de nous vêtir de nos tenues de gym dans la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers. J'allume immédiatement la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges et pèle les kiwis.

Les deux gros croissants parfument la cuisine depuis le four à micros ondes. Ils retrouveront en quelques instants tout leur moelleux. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les aventures de ce week-end. << De grands moments. De la nouveauté ! >> confie Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en évoquant Juliette qui vient manger à la maison ce soir. Je précise que je prépare la surprise d'un bon repas. << Génial ! >> lance Clémentine. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre entraînement en salle. Dehors il pleut

L'aérobic et le jogging sur tapis roulants permettent un excellent échauffement. Les exercices au sol, les pompes et les abdos sont le prélude aux charges additionnelles qui achèvent de nous réveiller complètement. Les étirements d'un stretching de principe avant de courir sous la douche. Je redescends à toute vitesse pour faire chauffer la voiture. C'est d'ailleurs délirant de devoir chauffer quoi que ce soit un 9 mai. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre sous la pluie battante à l'abri de son parapluie. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller.

Je rentre très vite me mettre au sec, faire la vaisselle et notre lit. Il est un peu plus de huit heures. Trois coups de sonnette. Je me précipite. C'est la livraison du bois. Aujourd'hui elle se fera sous la pluie. Mais les bûches de chêne et de hêtre sont bâchées. C'est le même exploitant agricole qui me livre depuis plus de quinze ans. Il connaît son boulot et est accompagné d'un employé. C'est impressionnant. C'est un gros tracteur qui tire une énorme remorque. Il y a là quinze stères de bon bois. Je laisse ces messieurs à leur travail pour me rendre dans l'atelier.

J'allume une belle flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque ce matin la toile commandée par madame Walter. Bernadette, la collaboratrice de Juliette, va fêter en juillet ses dix sept ans de mariage avec Pierre. Ce sera donc un cadeau d'anniversaire qu'elle offre à son couple. C'est d'après une photo de leur salon à l'intérieur de leur propriété. Ils sont tous deux debout devant la cheminée, serrés l'un contre l'autre. C'est magnifique. Je peins dans une sorte d'euphorie en poussant des cris.

La matinée passe tellement vite. Il est presque midi. Je mets deux bûches dans la cheminée avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à réchauffer le reste des spaghettis. Je fais l'assaisonnement d'une salade de carottes. Je fais rissoler un filet de colin. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff reçoit deux journalistes d'investigations. Une émission sous le signe d'une certaine dérision car il y est question d'un président de la République qui commémore une fête publique en s'isolant dans une solitude surréaliste.

Un grand écran sur les Champs Élysées totalement déserts. Pas un badaud. Personne. Un sinistre monarque obligé de faire le vide autour de lui pour ne pas être confronté aux sinistres réalités qu'il cause dans ce pays géré par des fous dangereux. Je fais mentalement le déroulement des ingrédients nécessaires à la préparation du repas de ce soir. Ce seront des bouchées à la reine. J'émince finement un gros pavé de saumon que je poêle. J'y rajoute des champignons coupés finement. Je concocte une Béchamel. Je râpe du gruyère Alpestre.

Je rajoute le tout à la Béchamel. J'égoutte les coquillettes. Je remplis les bouchées à la reine avec la garniture. Je les dépose dans le grand plat carré en terre cuite. Ces quatre bouchées à la reine sont énormes. L'une fera mon repas de demain midi. Je les cale convenablement avec les coquillettes. Je recouvre d'une copieuse couche de gruyère Suisse. Au four électrique pour une lente et longue cuisson à feu doux. Ça va mijoter à 160°. Le thermostat pilotera l'opération. Je fais la vaisselle avant de monter me laver les dents. Je regarde par la fenêtre.

Il pleut des cordes. Certes, il faut soi disant remplir les nappes phréatiques. Mais quand même. Ce n'est pas cette pluie, ni les nappes phréatiques remplies qui empêcheront le racket. Il faut remplir les poches de tous ces psychopathes qui vivent sur le dos du peuple comme des parasites sur le dos d'un chien. Je dévale les escaliers pour chausser mes bottes, enfiler mon anorak car le thermomètre extérieur indique 16°. C'est sous le parapluie que je vais voir l'abri à bois. Tout est parfaitement rangé. Il y a un second voyage cet après-midi. C'est parfait.

Nous aurons un stock pouvant suffire à cinq années de chauffe intensive. Lundi prochain ce sera le camion de chez Bolloré qui viendra remplir nos cuves. Il est 13 h50. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé de la même euphorie que ce matin. Les temps passe tout aussi vite. Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table avant de se précipiter vers moi. << Tu m'as manqué. Estelle te fait plein de bisous partout où tu aimes ! >> s'écrie t-elle en se mettant à califourchon sur mes cuisses.

Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le repas du restaurant universitaire. << Tu les aimes où les bisous ce soir ? >> demande t-elle en passant sa main sous ma blouse. J'ai évidemment la braguette ouverte. Ce qui facilite les explorations. Clémentine a encore du travail. Assise devant son ordinateur elle commente ou chantonne. Je nettoie ma palette, mes pinceaux pour la rejoindre. Debout derrière elle, je passe mes mains dans ses cheveux en observant l'écran. C'est une sorte de vidéo conférence. On y voit un professeur.

Il sert un peu de modèle au groupe de dix huit étudiants dont fait partie Clémentine. Ce sont les premiers exemples de comportements à avoir durant la présentation d'une thèse. << Là, regarde, c'est mon maître de thèse ! >> fait Clémentine. Je découvre enfin à quoi ressemble Alban. C'est un jeune professeur de 32 ans. Athlétique. << Il a ta taille ! >> précise Clémentine. C'est une sorte de viking blond, à la mèche rebelle et au regard d'acier. Je dis : << On dirait un acteur américain dans un de ces films calibrés et formatés pour ados ! >>.

<< C'est exactement ça ! >> ponctue Clémentine. Je lisse ses longs cheveux. Parfois je les relève pour déposer une bise dans sa nuque. << Tu devrais venir avec moi en cours, me procurer ces douces sérénités ! >> dit Clémentine en saisissant mes poignets. Je regarde à présent Alban donner quelques conseils au parterre d'étudiants assis autour de lui. Je vois Clémentine, son carnet sur les genoux, entrain de prendre des notes. C'est la toute première fois que je la vois en situation. C'est magnifique. Je murmure : << Comme tu es belle quand tu es en fac ! >>

Il est dix huit heures trente. Clémentine range ses affaires. Elle se lève pour se blottir dans mes bras. << Je t'aime. C'est grâce à la vie que tu m'offres avec toi que tout se passe aussi bien. Je t'en serai reconnaissante jusqu'à la fin de mes jours ! >> murmure t-elle, sa tête dans le creux de mon épaule. Je suis pétri d'émotions. Je la soulève comme une jeune mariée pour la promener dans tout l'atelier. Je la dépose devant la cheminée. Serrée contre moi, nous y admirons la danse des dernières flammes sur le tapis de braises. Clémentine me sort la queue.

<< Après les émotions, les sensations ! >> lance t-elle en m'entraînant vers le petit lavabo. Elle me tient la bite pour en diriger les jets. En murmurant des douceurs elle secoue les dernières gouttes. Accroupie devant moi elle en savoure les derniers reliquats. Je caresse sa tête avant de l'aider à se redresser. << Moi, ce soir, je veux fonctionner au sperme ! >> s'exclame t-elle en me sautant au cou. Nous rigolons comme des bossus quand soudain la porte de l'atelier s'ouvre. Juliette, radieuse, souriante, dans son habituelle tenue d'écuyère. Follement sexy.

Elle nous fait à chacun trois bises en prenant nos mains. << Quand je viens passer la soirée avec vous, ma journée est beaucoup plus facile ! >> dit elle. Comme à chaque fois elle a cette attitude toute féminine de faire semblant de ne pas voir mon Zob qui pend, semi dur, comme un tuyau d'arrosage. Même quand Clémentine le saisit pour jouer avec en bavardant. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Bien sûr, cette soirée s'annonce comme un remake de toutes les autres que nous passons avec Juliette. Dans cette douce ambiance de tension électrisante.

Quant toutes les deux découvrent la surprise du soir, j'ai droit à des bises. Je mets les bouchées à la reine dans le four à bois hyper chaud. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade d'endives. Juliette met les assiettes et les couverts en nous racontant sa semaine : << Avec cette météo déplorable les propriétaires de chevaux rechignent à venir récupérer leurs bêtes ! >>. Comme tous les ans Juliette doit exercer des pressions afin que ces mêmes propriétaires s'acquittent de leurs soldes. Cette fois les choses sont différentes. C'est plus dur de se faire payer.

<< La conjoncture ! C'est le prétexte alors que la plupart sont bourrés de pognon ! >> explique Juliette en s'accroupissant devant le four. Sachant très bien que lorsque je la vois ainsi de dos, je ne peux m'empêcher de me branler. Elle m'observe d'ailleurs dans le reflet de la vitre fumée. Une fois encore, avec ce regard sévère, par en-dessous qu'elle m'adresse, elle tourne la tête. Clémentine me fait un clin d'œil. Juliette tire le plat du four, embaumant toute la grande pièce. Nous mangeons de bon appétit en bavardant, en riant de nos aventures.

Dans le fil de la conversation Juliette sait parfaitement axer les choses sur le sujet qui nous préoccupe, qui nous réunit. << Alors Clémentine ? Soirée gloryhole ou soirée partouze ? >> lance t-elle. Je me lève pour me masturber. Clémentine répond : << Pour moi ce sera gloryhole ! Mais la dernière fois nous avons évoqué une soirée masturbation à trois ! >>. Juliette rebondit en observant ma branlette : << Justement, j'y viens. On se fait ça vendredi soir, chez moi, pour vingt heures. Devant un thé et des gâteaux ! Ça vous tente ? >>. Excellente proposition.

Bien évidemment nous confirmons notre venue. Nous avons déjà pratiqué la soirée branle à deux reprises. C'est à chaque fois de grands moments de vices. Le souvenir est un excellent "déclencheur". Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Il est déjà vingt heures trente. Juliette devra nous laisser pour vingt deux heures. C'est au salon que nous savourons la petite tarte aux poires ramenée par notre invitée. Juliette, comme à son habitude, vautrée dans le fauteuil qui nous fait face, cuisses écartées, posées sur les accoudoirs. Qui nous raconte.

Clémentine joue avec ma queue. Je n'ai de yeux que pour la tache plus sombre qui s'agrandit à l'endroit du sexe de Juliette. Maculant son pantalon beige de cavalière, aussi moulant qu'un legging. Avec Clémentine nous abordons souvent le sujet. Soit cette femme mouille, soit ce sont des gouttes de pisse. Je me promets d'élucider ce mystère vendredi soir. Plus que deux jours avant de savoir enfin de quoi il en retourne. Avec les excitations successives provoquées par la situation, par la conversation, du liquide séminal perle à l'extrémité de mon Zob.

Quand Clémentine s'en aperçoit, elle se penche sur sa gauche pour récupérer la goutte de foutre opalescent. J'observe les réactions de Juliette qui m'adresse de mystérieux sourires, le regard par en-dessous. Cette bourgeoise de 48 ans me fascine. Elle passe son index sur la couture centrale qui sépare les lèvres de sa vulve en deux bosses. C'est absolument divin de voir cette femme bavarder de tout et de rien en malaxant du bout de ses doigts les petits bourrelets de chair sous le tissus de son pantalon. Cette tâche qui grandit pour devenir auréole.

Bonne nuit à toutes les coquines émoustillées par le projet d'une soirée masturbation. Bonne nuit à toutes les coquines qui se font sauter sous les draps avant un bon dodo...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 48 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2246 -



Juste elle et moi en mode "baise élégante"

Hier matin, mercredi, nous sommes tirés du sommeil par le doux gazouillis des oiseaux. Par le bruit que fait cette source s'écoulant entre les rochers. Ces illusions de nous réveiller quelques part dans une profonde forêt. Clémentine, en gémissant, se serre contre moi. Quelques papouilles, quelques bises, il faut s'y résoudre, nous nous précipitons aux toilettes. Il est six heures. Dans la salle de bain nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra jaune. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. J'allume la cuisinière à bois dans la cuisine.

<< C'est toujours encore l'hiver. Il fait 18° dans la baraque ! >> lance Clémentine qui fait le café. Les radiateurs viennent de se mettre en fonction. Clémentine presse les oranges, pèle les kiwis. Je récupère les quatre tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée avec Juliette. << Ce décalage d'un jour dans la semaine me perturbe légèrement ! >> précise Clémentine qui vient déguster sa tartine au miel assise sur mes genoux. Elle rajoute : << Et ce soir juste toi et moi ! C'est trop bien ! >>.

Nous mangeons de bon appétit en faisant mille petits projets pour ce soir. Il est 6 h25. Nous remontons. Les échauffements de l'aérobic, du jogging sur tapis roulants sont vraiment nécessaires ce matin. Il fait frisquet dans notre salle d'entraînement. Les pompes, les abdos et autres exercices au sol préparent nos physiques aux barres et aux haltères. Les étirements d'un retour au calme avant de courir à la salle de bain. La chaleur y est des plus agréables. Une bonne douche. Rapide mais excellente. Je redescends le premier pour préparer la voiture.

La température extérieure n'excède pas 8°. Le ciel est menaçant. Tout est trempé des pluies de la nuit. Presque sept heures quarante cinq. Clémentine vient me rejoindre dans son élégant manteau noir, son écharpe crème, son Levis, ses bottines noires. Cette fois elle porte un béret noir d'une élégance folle. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Je m'empresse de rentrer au chaud pour faire notre vaisselle, notre lit. Je passe dans l'atelier. J'y allume une belle flambée dans la cheminée.

Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant. La peinture de cette œuvre de commande me plonge immédiatement dans ma passion. Je peins en sifflotant, en chantant ou encore en poussant des cris de satisfaction. C'est une toile de format 12F, (50 x 61 cm). des dimensions qui permettent encore davantage de subtilités dans les détails. Je réalise ce tableau selon les techniques de l'hyper réalisme mais en y rajoutant un romantisme très dix septième siècle Hollandais. Je prends un plaisir fou à ce travail méticuleux.

Il est rapidement midi. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer la quatrième bouchée à la reine et ses coquillettes. Je fais le rapide assaisonnement d'une salade de concombre. Je mange de bon appétit en écoutant André Bercoff. Dans son émission il reçoit un éminent politologue et un économiste. Il est question des dizaines de milliards offerts par la France à l'Ukraine. Ce qui explique au passage que pour trouver l'argent il faut faire travailler les gens deux années supplémentaires. Hérétique !

J'écoute en me projetant dans les préparations de la surprise que je réserve à clémentine pour le repas de ce soir. Ce sera un gratin de courgettes et d'aubergine avec des rondelles d'avocats et de champignons. Elle adore. Je sors la pâte feuilletée du bas du réfrigérateur. Je la laisse prendre la température ambiante. Pendant ce temps je lave et je coupe deux belles courgettes, une grosse aubergine. Inutile de les éplucher. Ce serait même dommage car nos légumes sont de cultures biologiques. J'étale la pâte sur le grand plat à tarte aux bords hauts.

Je dispose les tranches en spirale, telles des dominos. Je pose les fines tranches de deux avocats et les fines lamelles de deux gros champignons. Je verse le mélange œuf, crème fraîche, moutarde et lait de soja. Ce sera le liant. Il se comportera comme un flan durant la cuisson. Je recouvre d'une copieuse couche de ce gruyère Suisse que nous a fait découvrir Danièle. Le plat est bien lourd. Je le mets dans le four électrique pour une lente cuisson à 160°. Plus longtemps ça mijote, meilleur c'est. Je n'ai plus qu'à faire la vaisselle. Me laver les dents.

Pressé d'aller constater de quoi il en retourne, je chausse mes bottes en caoutchouc, je mets l'anorak pour sortir. Il y a vent un d'Ouest qui rafraîchit tout. La pluie a cessé mais tombe par intermittences. L'atmosphère est froide, humide et terriblement désagréable. Je vais voir l'abri à bois. Il est plein à craquer. Il y a là plus de quarante cinq stères de bois. De quoi tenir au moins quatre hivers polaires. Tout a été soigneusement empilé. Rangé. Il est 13 h50 quand je suis à nouveau confortablement installé devant le chevalet. Livré à ma passion.

L'après-midi passe à grande vitesse. Je sais qu'il est déjà dix sept heures trente car il y a du bruit. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table. J'anticipe. Je pose la palette et les pinceaux sur la desserte à ma droite. Clémentine se précipite pour s'installer à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. La conférence à laquelle elle a assisté cet après-midi. Un éminent professeur de sciences venu tout spécialement de Paris pour une démonstration magistrale.

Elle a encore du travail. Assise devant son ordinateur elle visionne cette conférence pour achever d'établir les notes prises durant le discours. Je nettoie la palette, les pinceaux, pour venir voir. Debout derrière Clémentine, je lisse ses cheveux avec mes doigts. << Mmhh, ça détend bien ! >> murmure t-elle. Je regarde l'écran. C'est le film qu'elle a tourné avec son téléphone. À l'image on voit d'ailleurs la soixantaine d'étudiants tenant tous leurs téléphones. Le son n'est pas terrible. Mais avec le logiciel "Audacity" Clémentine l'améliore considérablement.

<< Voilà, je vais relire ça prochainement ! >> dit elle en classant les trois feuilles couvertes de notes. Je vais au petit lavabo de l'atelier. Rapidement rejoint par Clémentine qui me tient la bite pour en diriger les jets. C'est encore un vrai plaisir de pisser peinard. En imitant l'accent Corse de Juliette Clémentine lance : << Je me réjouis. On est rien que tous les deux ce soir ! >>. Elle s'accroupit devant moi pour prendre son apéritif en gloussant. Je caresse ses cheveux avant de l'aider à se redresser. Je dis : << Ce soir, repas en amoureux ! >>.

<< Oh oui ! >> s'écrie t-elle en sautillant autour de moi. << Viens ! >> dit elle en me prenant par la main. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. << Pendant que tu mets les assiettes et les couverts, je te prépare une belle surprise ! >> fait elle en quittant la grande pièce précipitamment. Je dresse une table de repas de fête au salon. J'ai même le temps de faire l'assaisonnement de la salade d'endives. C'est parfait. Clémentine, arrivant sur la pointe des pieds, en silence, derrière moi, pose ses mains sur mes yeux. Elle se serre contre mon dos.

Quelle belle surprise. Vêtue d'une jupe kilt à gros carreaux bleus et verts, dans un chemisier crème, chaussée de ses escarpins noirs, elle est tout simplement sublime. Ce sont les escarpins dont la fine sangle de cuir noir enserre la cheville. Je me recule pour mieux l'admirer. Elle est si belle, une classe naturelle, une élégance raffinée. Je ne sais quoi dire. Je lance : << Attends-moi là. Je reviens ! >>. Je quitte le salon pour monter à toute vitesse. Je m'habille moi aussi pour la circonstance. Me voilà rapidement en costume bleu nuit, chemise et cravate.

Souliers noirs. Un rapide passage à la salle de bain pour me coiffer. Je dévale les escaliers pour retourner au salon. Clémentine apprécie énormément ma tenue. Elle est assise sur la chaise mais avec le dossier entre ses cuisses écartées. Ses bras posés sur l'accoudoir. Elle me fait le plus merveilleux des sourires, le regard par en-dessous. Elle a allumé les bougies sur la table monastère. Seules lumières éclairant cette partie de la pièce. Dehors il fait aussi sombre qu'un soir d'hiver. Il pleut. Je reste à distance. Nous nous observons longuement.

Ces petites attentions que nous nous offrons parfois nous mettent dans une situations émotionnelles très particulières. Nous nous retrouvons l'un en face de l'autre, un peu comme des inconnus. C'est délicieusement excitant. C'est extrêmement sensuel. Bien évidemment cela flatte les sens et la libido. La sonnerie du four vient mettre un terme à cette séance d'érotisme suave. Je dis : << Prenez place mademoiselle, je m'occupe du service ! >>. Clémentine s'installe au bout de la table. À chaque extrémité il y a une grande chaise victorienne, confortable.

Je reviens avec le plat fumant. Quand elle découvre cette autre surprise, elle se lève pour sauter à mon cou. Nous mangeons de bon appétit en nous vouvoyant. Nous adorons ces jeux de rôles. C'est un repas simple mais succulent. Clémentine pose sa fourchette. Se lève. Tourne lentement autour de la table. Autour de moi. Comme le ferait une femme fatale dans un film de James Bond. Et ce soir James Bande. Très fort. Je la regarde. J'admire cette capacité toute féminine de transformer une ambiance déjà torride en prélude à une atmosphère érotique.

Mon érection est presque douloureuse. Je redécouvre la fille que j'aime dans un de ses personnages les plus envoûtants. Elle est là, alternant le regard enflammé à celui d'une femme effarouchée par son propre comportement. Elle s'assoit sur le bureau. Ce vieux bureau victorien aussi grand qu'une table de ping-pong. Elle me fixe par en-dessous. Pas un seul instant d'hésitation dans cette prestation supérieure. Comme si tout cela était chorégraphié. Je suis sous l'emprise d'un charme auquel il m'est impossible de me soustraire. C'est vraiment intense.

Clémentine écarte ses cuisses, une jambe relevée, le pieds posé sur le bureau. Elle agite son index pour m'inviter à la rejoindre. Je me lève. Elle mime une masturbation masculine avant de pointer son index vers ma braguette. Je descends la tirette. Je soulage enfin mon érection contrariée et tordue au fond de mon slip. Clémentine m'attire à elle, enserrant ma taille de ses jambes. Elle s'accroche à mon cou. Je la soulève. Elle enfonce sa langue dans ma bouche pour m'embrasser passionnément. Mon sexe contre le sien. Ça picote étrangement. Ce sont les poils.

Je la promène dans tout la salon. En passant près du canapé, Clémentine attrape un des épais coussins. Je reviens la déposer sur le bureau. Ça rentre comme dans du beurre. Clémentine, en appui sur ses coudes, me fixe de ses yeux d'un bleu tellement clair qu'ils semblent irréels dans la lumière des bougies. Son visage d'ange encadré de ses longs cheveux noirs. Je la pénètre en m'écriant : << Je vous aime ! >>. Elle se laisse tomber en arrière, la tête posée sur le coussin. Nous adorons faire l'amour dans cette position. Elle nous semble la plus naturelle.

Nous alternons les accélérations, les ralentissements et les moments d'immobilité. C'est toujours dans ces moments que Clémentine me confie ses secrets de fille. M'avouant se masturber dans la voiture, en roulant, quand elle rentre de cours. Parfois le matin en y allant. Me confiant son désir de revivre une soirée "trou dans le mur" dans les écuries. M'avouant son envie de baiser avec notre voisin. J'écoute tout cela en la baisant à la hussarde après chaque aveux. Elle chuchote : << Alban, mon maître de thèse. Tu sais qu'il commence à m'exciter ! >>.

Je l'encourage à se laisser aller. << Si tu n'es pas planqué dans les environs pour me regarder, je ne peux pas ! >> précise t-elle une fois encore. Je connais bien ses fonctionnements. Aussi je propose de trouver une stratégie. Ça fait bien une heure que nous faisons l'amour. Nous sommes en sueur. Clémentine se masturbe toujours pendant que je suis en elle. Elle me repousse délicatement. Je me retire. Elle saute du bureau pour se précipiter vers le guéridon à côté du canapé. Elle saisit la cuvette pour s'accroupir au-dessus. Un orgasme pisseux. Elle hurle.

Bonne nuit à toutes les coquines qui aiment faire l'amour en confiant leurs secrets. Qui aiment pouvoir se laisser aller dans les extrêmes avant de se faire éjaculer dans la bouche sous les draps...

Julien



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Classe - 49 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2247 -



Retour aux sources

Il est presque six heures. L'application "forêt" nous réveille de ses merveilles. Cette source qui s'écoule entre des rochers. Ces oiseaux qui gazouillent. Le tout dans une étrange résonance. Clémentine se love contre moi en gémissant. Il faut faire de grands efforts ce matin encore. Quelques papouilles, quelques bises, réunir nos volontés. Nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Avec la fraîcheur extérieure, les radiateurs qui viennent de s'allumer, nous accomplissons toute chose rapidement. Comme s'habiller dans la salle de bain.

Vêtus de nos tenues sports, morts de faim, nous dévalons les escaliers. Pendant que Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis, j'allume un bon feu dans la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée en amoureux. << C'était génial. C'est un "culte" que nous devrions pratiquer plus souvent ! >> dit Clémentine en venant terminer sa première tartine au miel sur mes genoux. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la soirée masturbation qui nous attend vendredi soir chez notre amie Juliette.

Il suffit de parler d'elle et Clémentine se met immédiatement à imiter son accent Corse. Nous en rions de bon cœur. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous réveiller complètement. Et pour ce faire rien de plus efficace qu'une bonne heure d'entraînement. Les mises en conditions de l'aérobic et du jogging sur tapis roulants nous réchauffent. Les exercices au sol contribuent à nous préparer aux redoutables charges additionnelles. Les étirements d'un bon stretching pour revenir au calme. Une bonne douche. Je redescends très vite le premier.

C'est sous un ciel sinistre que je sors la voiture. La température extérieure est de 8°. Presque 7 h45. Il ne pleut pas mais tout est trempé. Clémentine vient me rejoindre habillée comme hier. Son manteau noir, ses bottines noires. Son Levis, son écharpe crème assortie à son élégant béret crème. Ses cheveux noirs flottant sur ses épaules. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Le portail reste ouvert car j'attends ce matin l'entreprise paysagiste. Je m'empresse de retourner au chaud. Je fais notre vaisselle, notre lit avant de redescendre dans l'atelier.

À peine y ai-je allumé un bon feu dans la cheminée que résonnent les trois coups de sonnette. Je m'empresse d'aller accueillir la dame qui va s'occuper de la propriété. C'est la même entreprise qui intervient deux à trois fois par an depuis plus de quinze années consécutives. Elle connait très bien son boulot. Nous nous saluons. Elle est accompagnée d'un employé qui est entrain de préparer là-bas le matériel. Je laisse la dame à ses travaux. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Impatient de m'y mettre.

La peinture de cette œuvre de commande destinée à madame Walter est un grand plaisir. Je peins dans une extase pas du tout mystique. Je perçois parfois au loin le bruit des machines. La matinée passe tellement vite. Il est midi. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il me suffit de réchauffer la dernière part de tarte à la courgette et à l'aubergine. Accompagnée d'une salade de tomates. Avant tout je prépare une belle pâte à pain. Je veux réserver la surprise d'une bonne pizza à mes deux anges pour la soirée.

Je pétris longuement la pâte pour la rendre moelleuse, homogène et onctueuse. La farine complète et biologique demande un peu plus d'attentions. J'aime y incorporer du Parmesan finement râpé, le jus d'un ail pressé. Cette fois avec de la poudre de noix. Je recommande car cela donne un gout extraordinaire à la pâte. Je lave de belles tomates que je coupe pour les mettre dans l'huile d'olive chaude. Je fais cuire à feux doux en rajoutant ail, oignon, ciboulette, persil et, en fin de cuisson, des morceaux de champignons. Je remue doucement pour lier.

La pâte repose dans un saladier, sous un linge. La garniture repose dans la poêle sous un couvercle. Je peux enfin manger de bon appétit en écoutant Sud Radio. Aujourd'hui, dans son émission, André Bercoff reçoit un journaliste qui a enquêté et interviewé le Maire démissionnaire de Saint-Brévin. Qu'un élu se comporte en complice d'un projet scélérat orchestré par une "fraternité" psychopathe est une chose redoutable pour les habitants d'une commune qui ne sont pas entendus, pas écoutés. La violence qui en découle semble étonner les médias aux ordres.

Il suffit pourtant d'organiser un simple référendum populaire et d'œuvrer en fonction du résultat pour éviter les situations violentes. Faut-il manquer de réflexion à ce point ou, au contraire, obéir à un ordre générant la pagaille ? Avant bien pire ? Fort de ce constat, en écoutant encore un peu, je fais la vaisselle. J'éteins avant de monter me laver les dents. Toutes ces choses ne nous concernent pas encore dans notre coin de campagne préservé. Le maire du bourg voisin a des positions claires, nettes et précises. Aucun penchant "mondialiste". Pas de soucis.

Pressé d'aller constater l'avancée des travaux, je dévale les escaliers. Je chausse mes bottes en caoutchouc. J'enfile l'anorak car le thermomètre extérieur indique à peine 16°. Les haies sont élaguées. Les bosquets sont taillés. Je vois les deux employés occupés à leurs tâches. La dame au sommet d'une échelle double à retirer les branches mortes des glycines sur le mur de la dépendance. Je vais jusqu'à la rivière. Les canards, les poules d'eau et les colverts sont entourés d'une multitude de petits. Ça prospère. Les familles s'agrandissent.

Il est 13 h50. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans la même extase que ce matin. Sans percevoir les heures qui défilent. Il est déjà 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle jette son cartable dans le fauteuil à bascule pour se mettre à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. Je suis rassuré, il n'y avait pas de pizzas. Clémentine a encore du boulot. Assise devant son ordinateur elle chantonne puis commente ce qu'elle fait, ce qu'elle révise.

Il est 18 h30 quand elle se lève en s'écriant : << Ras-le-bol ! >> Je nettoie la palette, les pinceaux pendant que Clémentine range ses affaires. Elle vient me rejoindre devant le petit lavabo de l'atelier. Elle me tient la bite pour en diriger les jets fumants sous le filet d'eau chaude. L'odeur nauséabonde nous monte aux narines en nous faisant rire. Accroupie devant moi, Clémentine récupère les derniers épanchements. Je l'aide à se redresser. Elle m'entraîne devant la cheminée. Sa tête sur mon épaule, ma bite dans la main, elle me raconte.

<< Comme c'était bon notre soirée en amoureux. J'aime quand tu es en costume cravate pour me faire l'amour. C'est si bon de faire ça avec un personnage de fantasme qui existe vraiment ! >> me confie t-elle. Nous admirons les danses des toutes dernières flammes. La porte s'ouvre soudain. << Coucou ! >> s'écrie Estelle en courant pour nous rejoindre. Elles ont passé la journée ensemble alors j'ai droit à un mitraillage de bisous sur mes joues, mon nez, ma bouche. Elle tente de saisir ma queue que Clémentine ne veut pas partager. Nous rions.

<< Hier soir, je me suis encore faite démonter. Jean-Marc est une machine. On a baisé dans le dépôt, sur les cartons ! >> raconte Estelle en réussissant enfin à choper ma bite. Clémentine, serrée contre mon dos, ses bras autour de ma taille écoute pour la seconde fois les folies d'Estelle avec son parrain. Elle les lui a déjà raconté lors du repas de midi. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. << Wouah, des pizzas ! >> s'écrie Estelle. << Génial ! >> rajoute Clémentine. Estelle travaille un peu la pâte avant de l'étaler sur quatre grandes plaques de métal.

Je réchauffe la garniture pendant que je râpe une tonne de gruyère Suisse. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de carottes. J'étale la garniture sur la pâte. Estelle la répand soigneusement sur toute la surface. Je recouvre chaque pizza d'une montagne de ce délicieux gruyère Alpestre. Trois pizzas dans le four à bois hyper chaud. La quatrième pizza sera notre repas de demain midi. Nous mettons les assiettes, les couverts en faisant mille projets pour le week-end. Estelle n'arrête pas de tripoter la grosse bosse sous mon tablier de cuistot.

La cuisson est rapide. Enfilant les maniques, Estelle s'accroupit devant la porte du four. Elle sait que cette position exerce sur ma psyché de délicieux tourments. C'est dans le reflet de la vitre fumée qu'elle en observe les effets. Le tablier relevé de la main gauche, je me masturbe de la main droite. Clémentine me fait des clins d'œil et des sourires prometteurs. Estelle sort les pizzas fumantes. Leurs surfaces en ébullition comme celui d'un volcan. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la croisière qui nous attend sur le lac de Genève en Suisse.

Nous prenons l'avion jeudi prochain, le 18 mai à neuf heures du matin. C'est un vol direct jusqu'à Genève où nous arrivons pour onze heures. Un bon restaurant déjà réservé par Clémentine qui s'est occupée de tout. Notre hôtel où nous passerons deux nuits dans le luxe helvétique. Deux jours de croisière en première classe sur un de ces grands bateaux blancs qui sillonnent l'immensité du lac. Retour pour midi dimanche 21 mai. Durant les explications de Clémentine, Estelle se lève à quelques reprises pour mimer une masturbation masculine.

Moi, quand je me lève à chaque fois, c'est pour agiter ma bite. La vaisselle. Nous ne traînons pas car Estelle est impatiente de s'offrir à mes "contrôles qualités". Nous rions toujours beaucoup de cette plaisanterie. Les nombreuses heures de vol d'Estelle nécessitent de fréquentes révisions. Ce soir encore, juste en chaussettes et en sweats, vautrées sur le canapé, mes deux anges se font brouter, lécher, sucer dans un concert de gémissements. C'est quand je suce leurs clitoris que des gémissements d'extases affolent mes oreilles. Elles se contorsionnent.

Je passe de l'une à l'autre. Je suis à genoux sur les épais coussins à savourer les intimités de mes deux anges. À me régaler de ce jus de filles à nul autre pareil. Comme toujours, Clémentine attrape la cuvette en plastique in extremis pour s'accroupir au-dessus. Je cesse de lécher Estelle qui me caresse la tête. Nous regardons tous les deux l'extraordinaire orgasme pisseux de Clémentine. Ces giclées de cyprine expulsées de son sexe juste derrière les jets de pisse. Ils viennent se répandre sur la surface jaunâtre pour y flotter en substances mordorées.

À la toute dernière giclée je me précipite pour nettoyer sa chatte dégoulinante. Sous les hurlements de plaisir de Clémentine qui se trémousse. Son corps secoués de spasmes. Je reviens pour terminer Estelle qui se masturbe en poussant de véritables mugissements. Elle devra nous laisser pour 22 h. D'ici même plus un quart d'heure. Le temps de reprendre ses esprits. << Et toi ? >> me demande t-elle comme à chaque fois. Clémentine répond : << Je m'en occupe au lit ! >>. Elles se rhabillent. Nous raccompagnons Estelle à sa voiture.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont encore se faire pénétrer un peu avant de sucer une bonne queue juteuse sous les draps. En prélude à un bon dodo. Demain, il y a école...

Julien



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Le petit monde de Clémentine et de Julien

Après quelques 2247 épisodes le plaisir de partager nos aventures reste intact. De sacrés moments.
C'est une véritable joie de publier nos récits quotidiennement. C'est même devenu une nécessité.

Bien évidement, les noms, les prénoms, les lieux ne sont qu'autant de pseudonymes sans réalités.
Il est préférable de préserver son anonymat. Sur Internet mais également sur les forums "sexes".

Je remercie nos lectrices, nos lecteurs pour leurs fidélités, pour l'intérêt qu'ils nous portent.
Tout particulièrement celles et ceux qui entretiennent avec nous un contact en messagerie privée.

Nous avons autant de joie à pratiquer les échanges en messagerie privée qu'à narrer nos aventures.
C'est très intéressant, souvent amusant et parfois passionnant. Certains "amis" depuis six ans.

Je vous souhaite d'excellentes lectures, de belles découvertes et de passer du bon temps avec nous.

Cordialement.

Clémentine et Julien

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Classe - 1 - Tous droits réservés -© - 2023 - Épisode 2248 -



Vendredi, Clémentine termine à midi

Hier matin, vendredi, il est presque six heures quand l'application "forêt" nous tire de nos profonds sommeils. Un réveil des plus agréables car il est dans l'illusion de se réveiller en pleine nature. Dans la forêt. Clémentine me chuchote : << Le bruit de la source me donne envie de faire pipi ! >>. Elle se blottit contre moi comme pour chercher la volonté d'émerger complètement. Quelques bisous, quelques papouilles et, tels des robots, nous nous précipitons aux toilettes. Nous enfilons nos vêtements de sport dans la salle de bain. Il y fait un peu plus chaud.

Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. C'est en imitant l'accent Corse de Juliette que Clémentine raconte ses rêves en faisant le café. J'allume une fois encore, presque à la mi mai, la cuisinière à bois. Le vendredi Clémentine termine à midi. C'est le début du week-end. Ce qui la rend très déconneuse. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée en compagnie d'Estelle. Nous mangeons de bon appétit en évoquant celle de ce soir. Nous sommes attendus pour la soirée branle chez Juliette pour vingt heures. Sympa.

Il est 6 h25. Pour émerger complètement rien ne remplace une bonne heure d'entraînement. Nous remontons. Les échauffements de l'aérobic, conjugués à ceux du jogging sur tapis roulants sont parfaits pour attaquer les pompes, les abdos et autres exercices au sol dont nous raffolons. Préludes aux charges additionnelles. Les étirements d'un stretching qui permet le retour au calme avant la douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Totalement surréaliste un 12 mai. La température extérieure n'excède pas les 8°.

Le ciel est bleu par endroit. De gros nuages d'altitude parsèment les nues. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre. Aujourd'hui dans son blouson de cuir brun, son Levis, ses bottines brunes, son écharpe carmin assortie à son béret carmin également. Un dernier bisou. Elle s'accroche à mon cou en disant : << Je t'aime, on va faire des folies ce week-end. Je commence ce matin en allant en cours. Je te promets, je fais très attention ! >>. Je la regarde partir. Je m'empresse de rentrer au chaud car il fait maintenant bien agréable dans la maison.

Je fais la vaisselle, le lit. Dans l'atelier j'allume un bon feu dans la cheminée. C'est consternant de le faire à la mi mai. Décidément, comme le précise souvent Clémentine en boutade : << S'il fait froid, c'est à cause du réchauffement de la planète. Il faut se fier aux écologistes de salons parisiens quand ils l'affirment ! >>. C'est sur ces amusantes pensées que je m'installe confortablement devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant du Georges Brassens. Je peins habité d'un peu de l'euphorie que m'a laissé Clémentine.

La peinture de ce portrait de commande est un enchantement quotidien. Il est aux environs de dix heures quand la musique imbécile de mon téléphone m'arrache à mes introspections. En maugréant je m'en saisis. Quelle surprise. C'est Julie. Elle n'a que peu de temps car c'est l'interclasse. Notre douce et tendre amie ne pourra pas venir cet après-midi. Elle se confond en excuses. Je la sens bouleversée. Je la rassure. Nous nous verrons demain matin puisqu'elle viendra faire le ménage. Elle viendra manger lundi soir. Nous nous saluons. Elle m'embrasse.

En travaillant, je pense à cette adorable jeune fille de vingt et un an avec qui nous passons souvent des moments fabuleux. Il est presque midi. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Dehors ce sont des séquences d'ensoleillement qui le disputent à des périodes plus nuageuses. Il suffit de réchauffer la quatrième pizza préparée hier. Je fais l'assaisonnement d'une salade d'endives. Je mets les assiettes, les couverts. Midi trente cinq. C'est le retour de Clémentine qui me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes

C'est en me couvrant le visage de bisous qu'elle me dit : << Je t'aime ! On est ensemble tout le temps jusqu'à lundi. Défense de s'éloigner de plus de deux mètres ! >>. Nous rions. C'est en la portant ainsi que je l'emmène aux toilettes. Pisser, se laver les mains. Morts de faim nous passons à la cuisine. La pizza réchauffée, c'est exquis. Nous préférons d'ailleurs toujours le réchauffé. Nous la savourons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, mon ange évoque la Suisse.

Cette croisière sur le lac de Genève qui nous attend à partir de jeudi prochain. Je raconte la conversation téléphonique avec Julie. << C'est dommage mais c'est aussi génial ! Je suis juste avec mon chéri. Seuls tous les deux ! >> s'exclame t-elle. Nous faisons notre vaisselle avant de monter nous laver les dents. La température extérieure reste bloquée à 19°. Assez pour donner l'envie à Clémentine de se mettre en jupe. Une jupe carmin ample et confortable qui descend sur les genoux. Avec un chemisier crème sous un pull brun, col en "V". Superbe.

Sur sa demande je passe un pantalon beige, à plis et à pinces. Une chemise crème sous un pull brun au col en "V". Nos souliers de ville. Pressés de partir pour de nouvelles aventures, nous redescendons pour prendre la grosse berline Allemande. Notre destination est floue car nous aimons rouler doucement sur les petites routes de campagne. Il faut faire quelques courses. Il y a une quinzaine de kilomètres jusqu'à la zone commerciale. Je gare l'auto sur le parking de l'hypermarché. Avec nos blousons de cuir brun, nous avons presque trop chaud.

Je nettoie la poignée du charriot avec du gel hydroalcoolique. Je pousse le caddie alors que Clémentine me tient par le bras. Il n'y a pas trop de monde pour un vendredi après-midi. Nos hautes tailles, notre élégance, cette jeune fille sublime accrochée au bras d'un homme d'âge mûr attirent encore bien des regards. Nous nous en amusons. Lorsqu'un regard se fait insistant, Clémentine dépose une bise sur ma joue. Les choses sont claires. Je ne suis pas le papa. Il nous faut du papier absorbant, de la crème dentifrice, de la lessive pour linge de couleurs.

Clémentine m'entraîne dans les rayons qui nous concernent. Nous traînons, nous flânons. Nous serions beaucoup mieux sur nos bicyclettes si la météo n'était pas aussi médiocre. Un petit tour dans le rayon culturel car Clémentine aimerait bien satisfaire une petite envie exhibitionniste. C'est l'endroit idéal. Il y a deux allées qui présentent quantité de livres, d'album ou encore de magazines. Il y a là souvent d'excellentes opportunités. En voilà une. Une de ces "victimes potentielles" que choisit Clémentine après plusieurs passages. Stratège.

C'est un jeune type, la trentaine sportive, mèche blonde, jogging bleu, veste de pluie en tissu synthétique gris très fin. Il feuillette des revues. Clémentine pousse le charriot. Je reste discret, en feuilletant des bandes dessinées. Ma préférence reste Blake et Mortimer. Du coin de l'œil j'observe la manœuvre d'approche de Clémentine. J'ai assisté à ces situations d'innombrables fois. Mais là encore c'est extrêmement passionnant. Le "truc" est très simple. Elle cale le charriot contre le rayon. Elle s'accroupit entre ce dernier et le jeune homme. Parfait.

Les clients venant de l'arrière ne peuvent voir puisque la caddie fait écran. Les clients venant de l'avant sont également dans l'impossibilité de voir puisque c'est le mec qui fait écran. Une situation d'une efficacité redoutable mais qui n'exclut nullement de rester d'une grande prudence. Clémentine est passée maître dans ce genre d'exercice. Cette fois encore elle agit en virtuose. Pour moi c'est absolument génial. Je bande comme le dernier des salauds. Je pourrais me branler tellement c'est bon. Accroupie à quelques deux mètres du mec elle feuillette.

Comme à chaque fois l'inconnu ne se rend pas immédiatement compte de ce qui se passe réellement. Il comprend au bout de quelques minutes quand la jeune fille est tournée de trois quart dans sa direction, cuisses légèrement écartées. Je devine alors les interrogations du gaillard. A t-il affaire à une "ingénue", une "innocente" ou au contraire à une merveilleuse salope ? En général les "victimes" comprennent assez rapidement qu'elles doivent opter pour la troisième option. Et moi, faisant semblant de lire, je suis dans un état délirant d'excitation.

Quand Clémentine joue ainsi, ses exhibitions sont autant destinées à cet inconnu troublé, qu'à moi. Elle sait l'effet qu'elle produit sur ma libido. Les conséquences une fois seule avec moi. Les plaisirs que je lui réserve en récompense. Cette fois encore c'est exactement le même scénario. Le jeune type s'est rendu compte de l'aubaine. Je le devine timide, ne sachant que faire mais déstabilisé. Ça m'amuse. Il finit par s'accroupir à son tour en faisant semblant de feuilleter un magazine. C'est surtout pour mieux voir entre les cuisses de la superbe jeune fille.

Il est récompensé de ses efforts car Clémentine le gratifie d'un show extraordinaire. Notre pauvre garçon ne tente rien. Il doit chercher la formule idoine pour aborder cette délicieuse exhibitionniste. Il a évidemment compris que c'était pour lui. Exclusivement. Clémentine se redresse pour éviter la crampe. Reste quelques instants debout à faire mine de lire la revue qu'elle tient. Pour s'accroupir une nouvelle fois. Ranger le magazine pour en prendre un autre. Écartant encore un peu plus les cuisses. Sa culotte est restée dans la voiture. Grand moment.

De là où je me trouve, j'ai une vue parfaite sur ce spectacle ahurissant. Dommage que je ne puisse voir les expressions de notre voyeur car il me tourne le dos. Des clients passent, repassent, poussant leurs charriots sans se douter un seul instant de ce qui se déroule là. Celles et ceux qui jettent un œil distrait doivent imaginer que c'est un couple qui feuillette des magazines. Je me régale de ce spectacle divin. Tout cela dure depuis un bon quart d'heure. Le mec n'a rien tenté. Ce qui fait le bonheur de Clémentine qui déteste se faire accoster par des inconnus.

Il y a un jeune homme, vêtu à l'identique, qui arrive. Il a l'air nonchalant et c'est d'un pas décontracté qu'il vient rejoindre son pote. Clémentine se redresse rapidement. L'autre guguss doit être un dragueur car il adresse immédiatement la parole à la fille. Sans répondre, l'ignorant complètement Clémentine pousse le caddie pour s'en aller. Elle vient me rejoindre au rayon des ordinateurs. Les deux types sur ses talons. Pas de doute, l'arrivée de son copain a certainement galvanisé notre "victime". C'est quand ils me voient qu'ils font demi tour.

Nous rigolons comme des bossus. Clémentine me raconte. Nous continuons nos errances. Bien "allumée, Clémentine s'offrirait volontiers une autre exhibe. Nous passons aux rayons des vêtements hommes. Autre endroit qui permet quelquefois de belles frayeurs. Hélas, il n'y a pas de véritables occasions. Parfois, quand il y a un type seul, Clémentine chuchote : << Celui là, je ne le sens pas du tout ! >>. Ou alors : << Celui-là ! Mais qu'est-ce qu'il est moche ! >>. Nous passons en caisse. Nous flânons dans la galerie commerciale. Les boutiques. Sympa.

En regardant les menus proposés dans la partie cafétéria Clémentine s'écrie : << Oh, regarde, des galettes de pommes de terre avec des encornets farcis au pâté de crabe ! >>. Je propose de mettre nos courses dans la voiture et de revenir manger là. << Excellent ! >> s'écrie Clémentine. Elle en profite pour se changer. Enfilant une jupe droite, une veste blazer. Sa tenue prévue pour la soirée branle. C'est un peu inconfortable mais le truc est de se changer entre portières ouvertes. Je fais écran. Elle peut même changer de pull. Nous retournons manger.

Soirée branle chez Juliette

Nous arrivons dans la cour du haras pour vingt heures. Il n'y a que deux autres véhicules. L'ancienne Morris Cooper "Countryman" de Clémentine. Cette voiture appartient maintenant à Évelyne, la palefrenière. Et la vieille auto de James le palefrenier. Il ne pleut plus. Par contre le ciel sinistre obscurcit toute chose. Nous traversons la cour. Juliette vient nous accueillir sur le palier. Ce soir elle porte un de ses très élégants ensembles. Une veste noire de style blazer, une jupe noire droite. Des bas noirs. Des escarpins noirs à talons hauts. Magnifique.

Nous la suivons dans l'escalier. Clémentine pointe son index pour indiquer la fente d'une vingtaine de centimètres de l'arrière de la jupe de Juliette. Je n'ai de yeux que pour ses jambes d'athlètes, merveilleusement galbées. Cette bourgeoise de 48 ans n'a strictement rien à envier à la plastique d'une jeune fille. Elle nous invite à quitter nos manteaux, accrocher nos chapeaux. Nous la suivons au salon. L'ambiance feutrée de ses appartements exerce toujours une douce impression. Une sérénité. Juliette aussi aime parfumer ses intérieurs avec un diffuseur d'arôme.

Ces agréables effluves de magnolia que nous apprécions tant. Nous prenons place dans le canapé. Juliette emplit nos tasses d'un thé au jasmin parfumé. Il y a des petits gâteaux secs. Elle s'installe dans le fauteuil qui nous fait face. Assise bien droite, jambes serrées, elle remue le sucre en nous racontant sa journée. Les soucis inhérents au fonctionnement de son entreprise. Avec cette météo détestable, peu de propriétaires récupèrent leurs chevaux. Ce qui n'est pas sans entraîner des problèmes logistiques et d'approvisionnements. Nous écoutons avec attention.

Pas une seule fois Juliette n'écarte ses genoux. Pourtant elle ne peut ignorer mes regards insistants. C'est une "joueuse". Nous sommes d'ailleurs ce soir entre "joueurs". Parfois, en riant, ou en répondant à une question, Clémentine pose sa main sur ma braguette. Palpant quelques instants mon érection contrariée. << Mettez-vous à votre aise Julien ! >> me fait Juliette en fixant ma braguette. La bosse ne se distingue pas sous le tissu noir. Mais quand les doigts de Clémentine s'y posent, on devine cette protubérance qui déforme mon pantalon.

Je suis assis à la droite de Clémentine. Moi aussi je pose parfois ma main gauche sur son genoux, sur sa cuisse. Une jupe "tailleur" ne permet pas de parcourir les intimités. Mais Clémentine porte son ensemble "secrétaire" avec tant de classe que je ne regrette rien. Juliette me complimente sur mon costume noir. Elle aussi fantasme sur les messieurs en élégants costumes. Je découvre qu'à présent quelques centimètres entre ses genoux permettent d'en voir un peu plus. Juliette s'en amuse évidement. Elle se lève soudainement, nous surprenant.

Plaçant une jambe devant l'autre, debout, penchée en avant, elle retrousse sa jupe étroite. Des deux mains elle ajuste la pince à bas de son porte-jarretelles noir. C'est un peu comme une image d'Épinal. Certainement une des illustrations causant les premiers émois chez la plupart des adolescents mâles. Je me souviens que ce sont celles qui ont provoqué et généré mes premiers fantasmes. Je découvrais alors la formidable puissance cognitive de l'image féminine. Je ne m'en suis jamais remis. Depuis, j'ai le privilège d'avoir de telles images en réelles autour de moi.

Bien sûr, c'est un acte délibéré. Comme un signal du début des festivités que nous adresse Juliette. Clémentine se lève d'un bond. Se positionnant à côté de Juliette, elle fait très exactement la même chose. J'ai là, devant moi, à quelques deux mètres, deux sublimes femmes qui corrigent la tension de leurs bas gauches. Mon sang ne fait qu'un tour. Mais quel tour ! Surtout qu'elles m'observent toutes les deux avec un sérieux accablant. Scrutant mes expressions, mon comportement. Mon érection, tordue et contrariée au fond de mon slip est presque douloureuse.

C'est comme si elles avaient choregraphié cette situation hautement suggestive. Elles se lancent un regard furtif. Comme si elles agissaient par télépathie, elles retroussent un peu plus leurs jupes noires. Dévoilant leurs touffes fournies. Pas de culottes. Rien n'est plus troublant. Nous sommes des cérébraux. Tout cela a été préparé en amont dans la psyché des feux exhibitionnistes. Juliette pourrait être la maman de Clémentine. Elles ont toutes les deux cette classe aristocratique naturelle. Cambrées sur leurs genoux fléchis, elles se touchent. Une parfaite synchronisation.

Je me fais violence. Je ne veux pas sortir mon sexe avant d'en être contraint par une excitation devenue intolérable. Je commence à lutter sévère. Clémentine et Juliette comprennent parfaitement ma lutte. Aussi, elles s'amusent de me voir victime des profondes émotions qui me font frissonner et dont elles sont responsables. Nous sommes des "joueurs". Chaque instant est une gradation dans le plaisir. << Combien de masturbations cette semaine ? >> demande Juliette. << Tous les soirs en rentrant de cours, dans la voiture ! >> répond Clémentine.

<< Moi, c'est dans les écuries. J'étudie soigneusement les façons de me faire surprendre. C'est cette fraction de seconde qui précède l'instant fatidique qui me projette au summum ! >> explique Juliette. << J'ai le même fonctionnement. Mais pour moi c'est plus facile car Julien surveille ! >>. Juliette cesse de se masturber pour se diriger vers la table en disant : << Vous avez la chance d'avoir un vigile ! >>. Elle se place contre le coin de la table. Se penchant en avant, les mains en appui sur les bords, elle se cambre pour se frotter vulgairement.

<< Et comme ça Clémentine, vous êtes-vous déjà faite surprendre ? >>. Clémentine se dirige vers la table. Elle se positionne sur le coin opposé pour prendre la même pose. Elle répond : << Oui. Deux fois. Mais c'est vraiment trop fort comme sensation ! Je n'ai pas votre pratique ! >>. Les deux coquines se mettent à rire en s'observant. Je vois le regard amoureux et envieux de Juliette. Elle désire Clémentine depuis plus de cinq ans. Bisexuelle elle ne cache pas ses désirs. Mais jamais oppressante elle n'insiste pas. Ce serait parfaitement inutile.

C'est comme si je n'existais plus. Elles se regardent en se frottant. Ce sont des masturbations véritables. J'admire ces deux culs merveilleux qui bougent en rythme. Les formes de leurs cuisses aux muscles saillant, déformant le tissu de leurs jupes. Là, c'est la limite du supportable. Je me lève. Je reste à distance. Les mains dans mes poches, je palpe mon sexe. Elles tournent la tête en même temps. Elles m'observent comme si j'étais un intrus. Je reste volontairement lointain. Je ne veux pas interférer dans cette activité féminine. Je me contente de mâter.

C'est délirant. C'est surréaliste. C'est merveilleux. Comme irréel ou encore irrationnel. C'est de toute beauté. Je ne veux surtout pas m'en mêler. Surtout ne pas perturber. Ne pas gêner. Je lutte. Je ne veux pas sortir mon sexe. Cette volonté participe du plaisir insensé de l'instant. Clémentine, la tête penchée, concentrée sur le mouvement régulier de ses hanches, garde les yeux fermés. Elle me confie souvent que la masturbation suffirait amplement à sa vie sexuelle. Qu'avec les années cette impression devient certitude. Juliette l'observe avec admiration.

Trop heureuse d'avoir dans son cercle d'intimes une jeune fille de vingt six ans partageant ses penchants pour le vice. Trop heureuse de posséder dans son tissu social une "semblable". Une complice de débauche. Je me rapproche. Doucement. Tentant de rester distant. Je veux surtout regarder leurs visages de plus près. Je me penche pour scruter celui de Clémentine. Elle est en sueur. Elle jouit intensément depuis une bonne vingtaine de minutes. C'est son sixième sens qui l'alerte. Elle ouvre les yeux pour me découvrir à ses côtés. Elle pousse un cri de plaisir.

Juliette nous observe sans cesser de rythmer son mouvement contre le coin de la table. Elle également est couverte de sueur. Juliette aussi, depuis très longtemps, a une préférence pour la masturbation, l'exhibitionnisme et le voyeurisme. Elle cesse, se redresse et me demande : << Et alors Julien ? Vous ne participez pas ce soir ? >>. Je descends la tirette de ma braguette. J'en extrais mon érection enfin libérée. Elle pointe vers le plafond. Je la tiens juste entre le pouce et l'index, juste à la base du gland que je laisse protégé de mon prépuce. J'appuie.

Ces pressions répétées provoquent de suaves sensations. Mais elles provoquent également les premiers écoulements du liquide séminal. Enfin libérés. De la jute gluante et épaisse qui reste collée sur mes doigts. Clémentine accélère son mouvement. Elle pousse de petits cris. Juliette contourne la table pour se pencher au-dessus de ma bite. Les gémissements de Clémentine s'amplifient. Juliette m'invite à me positionner sur le coin de la table. Je pose mon entrejambes en faisant très attention à mes couilles. Je me frotte doucement en me branlant. C'est génial.

Juliette retourne à son coin. Elle reprend son activité. Je l'observe. Elle m'adresse des clins d'œil, des sourires, tout en se mettant à haleter. Tout comme Clémentine sur ma gauche. Soudain, dans un véritablement hurlement Clémentine s'écarte. Cambrée sur ses jambes écartées autant que le permet sa jupe droite retombée, elle pisse en tremblant. << Bravo ! >> s'exclame Juliette qui cesse pour se rapprocher. Clémentine est rapidement debout dans une copieuse flaque de pisse. Le parquet vitrifié est une bénédiction. Rien dans le bureau du ré de chaussée.

Clémentine se tient à la table. Comme effarée elle ouvre de grands yeux en ne sachant que dire avant de se confondre en excuses. << Mais ce n'est rien clémentine. Ne bougez pas, je vais chercher le nécessaire ! >> lance Juliette. Je m'assois sur le bord de la table afin que Clémentine puisse se blottir dans mes bras. << J'ai honte. Je ne sais plus où me mettre ! >> murmure t-elle. Je chuchote : << Tu es géniale Clémentine. Ne change rien. Je t'aime comme un fou ! >>. Juliette revient avec un seau, une serpillère et un balai. << Je fais ! >> s'écrie Clémentine.

<< C'est toujours comme ça vos orgasmes ? >> demande Juliette qui a déjà assisté à ce phénomène plusieurs fois. Lors de nos partouzes. Clémentine tout en nettoyant s'explique. Cette façon de jouir sans pouvoir se contrôler a longtemps complexé Clémentine. Tout comme la taille impressionnante de son clitoris. Depuis six ans que nous vivons ensemble elle a appris à en faire une composante de ses jouissances. Un élément de ses orgasmes. Juliette écoute en se touchant. Toute émerveillée. << Moi c'est comme ça ! >> s'écrie t-elle en s'accroupissant soudainement.

Nous la regardons se tenir à la chaise d'une main. Se terminer d'un mouvement pendulaire de ses doigts. Prostrée en avant, ses cheveux noirs cachant son visage, nous l'entendons pousser de petits gémissements. C'est merveilleux de la voir jouir. Comme honteuse, très gênée, désireuse de reprendre le contrôle, Juliette se redresse, s'ajuste et lance : << Put-Hein comme c'est bon ! >>. Clémentine me demande de l'accompagner aux toilettes pour vider le seau, essorer la serpillère, essuyer sa chatte. Nous rejoignons Juliette pour un dernier thé. Il va être 22 h.

Bonne rentrée à toutes les coquines qui sucent déjà leur coquin dans la voiture. Avant de se faire tirer sous les draps avant une pipe des familles...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
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Les petites routines du samedi

Hier matin, samedi, il n'est pas tout à fait sept heures trente. Clémentine se blottit contre moi en murmurant d'incompréhensibles borborygmes. Nous rions. Elle se couche sur moi pour se frotter sur mon érection naturelle. Elle finit par pouvoir dire : << Comme c'était bon chez Juliette ! >>. Elle me couvre le visage de bisous, accélérant en rajoutant : << J'aime faire comme ça ! >>. L'impérieux besoin de pisser ne nous laisse aucune autre alternative. Nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Nous nous habillons dans la salle de bain.

Les radiateurs fonctionnent depuis plus d'une heure et demi. Il fait bien chaud partout dans la maison. Morts de faim nous dévalons les escaliers. J'allume tout de même la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les dernières oranges, pèle les derniers kiwis en revenant sur notre "soirée branle". La masturbation restant sa préférence avec la fellation. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant les émotions suscitées, les impressions quand à l'attitude de Juliette pour qui la masturbation semble également constituer une préférence.

J'oublie toujours et c'est Clémentine qui y pense. Il faut ouvrir le portail depuis l'interphone dans le hall d'entrée. J'y coure. Nous mangeons de bon appétit en faisant le rapide emploi du temps de la matinée. Les petites routines qui nous attendent. Qui nous réjouissent. Du bruit. Voilà Julie qui entre dans la cuisine. << Bonjour. Comme vous m'avez manqué hier après-midi ! >> dit elle en nous faisant trois bises. Dont la dernière sur nos lèvres. Elle rajoute : << Et comme vous n'êtes pas là pour le week-end prolongé du 18 mai, ce sera encore pareil ! >>

Nous bavardons un peu. Elle nous raconte sa semaine. Julie se met à débarrasser. << Allez faire votre gym, je m'occupe de tout ! >> lance t-elle. Nous quittons la cuisine en déposant chacun une bise sur son front. Elle fixe la bosse dans mon legging de lycra noir. Clémentine y pose sa main en disant : << Tu passes à côté d'une bonne friandise ! >>. Julie baisse les yeux, soudainement comme très gênée. Sur le thermomètre extérieur s'affiche 8°. << Allez, un peu de courage ! >> s'exclame Clémentine en m'entraînant dans le hall. Nous enfilons nos K-ways.

Le ciel est voilé de nuages. Une surprenante déclinaison de tous les gris. Le sol est humide. Il faudra courir sur le bord de la route. Quelques mouvements d'échauffement dans la vive fraîcheur matinale. C'est parti pour un jogging d'une heure. Dans d'excellentes dispositions tout de même. Il est un peu plus de neuf heures quand nous revenons. Nous entendons Julie passer l'aspirateur quelque part à l'étage. La douche. Le shampoing. Le sèche cheveux dans la main gauche, la brosse dans la main droite, je coiffe Clémentine assise devant un des miroirs.

Elle adore me raconter plein de choses dans ces instants précieux. Je divise ses cheveux en trois parties pour en faire une belle tresse. Une natte qui pend jusqu'au milieu de son dos. C'est très agréable le samedi car nous pouvons faire toute chose en prenant tout notre temps. Nous passons nos Levis, nos sweats, nos baskets avant de dévaler les escaliers que Julie balaye. Une nouvelle bise sur son front. À nouveau elle fixe ma braguette béante. << Tu peux y fourrer ta main ! Comme ça ! >> fait Clémentine en mettant la sienne dans mon Levis 501.

Julie glousse. Hésitante. << Vous allez la montrer à la dame des livraisons ? >> me demande t-elle. Clémentine répond : << Oui, bien sûr, il faut bien égayer un peu les samedis matins de cette jeune femme ! >>. Nous rions aux éclats. Nous laissons Julie à son ménage pour enfiler nos anoraks. Le thermomètre extérieur est monté à 14°. Il est presque dix heures. Clémentine, accroupie devant moi, ajuste mon sexe au-dessus de l'élastique du slip. Afin qu'au moindre geste un peu vif, il jaillisse comme un diable de sa boîte. << Voilà, parfait ! >> lance t-elle.

Nous sortons. Là-bas, au-dessus de l'horizon, de lourds nuages menaçants. << On sait ce qui nous attend ! >> s'écrie Clémentine. Comme l'entreprise paysagère est intervenue jeudi, nous prenons le temps d'admirer le travail accompli. La pelouse tondue, les haies bien droites. Les arbres débarrassés de leurs branches mortes. C'est une belle propriété mais une fois nettoyée c'est encore plus beau. Clémentine s'accroche à mon cou. << Si je t'embrasse, je te fais bander ! Et Danièle verra ta queue déjà en arrivant. Tu veux ? >> murmure t-elle.

Je chuchote : << Non, je t'en prie, ça va me gêner dès le début. Je préfère que ce soit progressif ! >>. Clémentine se met à rire en disant : << On est tous les deux pareils. On sait ce qui est bon ! >>. Nous n'avons pas le temps d'en disserter car voilà justement Danièle. Au volant de son utilitaire Mercedes blanc. Elle descend lentement le chemin pour se garer derrière la Clio rouge de Julie. Elle saute de sa camionnette toute souriante. Vêtue d'un pantalon noir, d'un gros pull noir, de bottes en caoutchouc. Un bonnet de laine. Une écharpe.

Nous nous touchons les poings en nous saluant. Danièle a encore bien des clients à livrer. Elle y est occupée jusqu'aux environs de 14 h. Aussi, ses gestes sont toujours rapides, précis. Elle contourne le véhicule pour ouvrir les portes arrières. Elle en tire le lourd cageot contenant nos fruits et nos légumes. En le saisissant je suis toujours étonné par la force de cette jeune femme dynamique. C'est son entreprise qu'elle gère avec son mari agriculteur. Des gens de la campagne. J'admire. C'est en saisissant le cageot que le "truc" se passe.

Comme prévu par Clémentine qui saisit le second cageot contenant les fromages, les œufs, les pots de crème fraîche, les yaourts et le beurre. Ma bite jaillit de ma braguette à l'instant où je pose le cageot sur le banc de pierre contre le mur du garage. Le cageot est d'autant plus lourd qu'il contient double ration. Comme nous serons absents la semaine prochaine, nous avons prévu le coup. Danièle découvre à l'instant le "tuyau d'arrosage" qui pend de ma braguette boutons. Elle a ce regard par en-dessous, terriblement suggestif des "complices".

Pas de doute, comme le suppose très justement Clémentine, Danièle est membre du même "Club". Elle ne traîne pas. Malgré son étrange sourire elle me tend le terminal. J'y introduis la carte bancaire. La tête penchée sur le côté, elle observe mon sexe en disant : << Bon séjour à Genève. On se revoit dans deux semaines ! >>. Elle remonte dans son véhicule. En faisant la manœuvre du demi tour elle nous adresse un clin d'œil. À Clémentine puis à moi. Nous la regardons remonter jusqu'au portail. Elle nous fait un grand coucou, bras dehors, vitre baissée.

<< Génial ! Non ? >> s'écrie Clémentine alors que je veux remballer. Notre boulangère adorée ne va pas tarder. Et avec elle pas de ce jeu là. Ce n'est absolument pas le genre de la maison. Maison fondée en 1928 par son aïeul. << Attends, je suis certaine que Julie mâte depuis la fenêtre de la cuisine ! >> lance Clémentine qui saisit ma queue pour l'agiter vers la maison. C'est là que nous découvrons que Julie nous observe depuis la baie vitrée de la véranda. << Regarde là, la voyeuse ! >> s'exclame Clémentine. Nous lui faisons de grands coucous.

Je remballe juste à temps quand même. Voilà le tube Citroën rénové qui descend le chemin. Au volant, madame Marthe, hilare, qui se gare au même endroit. Avec une agilité déconcertante pour sa corpulence, la dame saute du marche pieds en nous saluant. Elle a préparé notre commande dans un grand cageot car nous avons également prévu le double. Il y a quatre grosses miches de pain complet et "Bio". Quatre pâtes feuilletées. Deux énormes "chinois" au pudding et à la crème d'amandes. Dix bouchées à la reine. Quatre gros croissants à la frangipane.

C'est lourd. Madame Marthe a toujours d'amusantes anecdotes concernant le bourg voisin. Sa boulangerie pâtisserie qui connait un essor considérable depuis la construction du nouveau lotissement. Paiement par carte. Nous nous revoyons dans deux semaines. Nous saluons la dame. Je prends le cageot contenant les légumes. Clémentine celui des produits frais. Quelle surprise. Julie traverse le jardin en courant. Elle prend le cageot boulanger. Nous contournons la maison par derrière pour descendre à la cave par l'extérieur. Julie nous laisse pour remonter.

<< Félicitations pour le "show" ! >> me lance t-elle avant de disparaître. << Tu as de nombreuses admiratrices Julien. Tu es une star ! >> lance Clémentine en fourrant sa main dans ma braguette. Rire. En m'embrassant elle me sort la queue. Je bande mou. Nous disposons les fruits et les légumes sur les étagères dans le cellier. Dans le congélateur je mets les pâtes feuilletées, une brioche et les trois grosses miches de pain. Je tire le paquet de moules, les sachets de haricots verts et de petits pois. Nous remontons. Je porte le cageot des produits frais.

Julie s'apprête à passer la serpillère dans la cuisine. Elle nous laisse le temps de ranger les yaourts, le beurre, les œufs dans le réfrigérateur. Elle dit : << J'adore voir ce que vous faites. Vous êtes des rusés tous les deux. Merci pour le spectacle ! >>. Avant de quitter la grande pièce, nous déposons chacun une bise sur le front de Julie. Le pose mes mains sur ses frêles épaules pour préciser : << J'adore les petites voyeuses vicieuses ! Merci Julie ! >>. Toute confuse elle baisse les yeux. Nous la laissons à son ménage pour passer dans le salon.

Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. L'habituel message de ma famille d'Écosse. Mon oncle et ma tante d'Édimbourg et de Saint Andrews. Ils sont pressés de nous voir revenir d'ici moins de deux mois. Le mail de Juliette qui nous expose ses ressentis quand à notre "soirée branle". Concluant sa prose par un "à refaire d'urgence, c'est trop bon" ! Le courriel d'Estelle impatiente de nous retrouver en début d'après-midi. Pendant que Clémentine répond en lisant, je glisse un billet de 50 € et un billet de 20 € dans la petite enveloppe jaune.

Clémentine y rajoute un mot gentil que je signe du petit personnage de "Bitonio". << Je l'aime Bitonio ! >> s'exclame Clémentine. Il est onze heures trente. Julie vient nous rejoindre. << Je vous laisse avec une belle maison propre ! >> dit elle, debout comme une écolière devant le bureau. Clémentine se lève pour la rejoindre. Je fais de même pour lui tendre l'enveloppe. << On se voit lundi soir ? >> demande Clémentine. << Oh oui ! Parce que là ça fait trop ! >> s'écrie Julie qui nous fait des bises à son tour. Nous la raccompagnons à sa voiture.

Assise au volant, la vitre baissée, tout en observant Clémentine agiter mon sexe, Julie nous confie son impatience d'être déjà lundi. << J'emmène le dessert ! >> lance t-elle en démarrant. Un dernier bisou. Nous la regardons partir. Arrivée au portail elle sort de son auto pour souffler plein de bises dans notre direction. Adorable Julie. Morts de faim, nous nous dépêchons de rentrer. Clémentine fait l'assaisonnement de la belle laitue dont elle a lavé les feuilles. Je plonge les moules à peine décongelées dans le bouillon en ébullition sur la cuisinière à bois.

Dans le wok je réchauffe les haricots verts, les petits pois. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les personnalités de Danièle, de Julie, de Juliette. D'inévitables comparaisons avec Estelle. Je dis : << Souhaitons que le mari de Danièle ne déboule pas un jour pour m'engueuler ! >>. Nous rions de bon cœur. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine envisage différentes occupations pour le week-end. Avec le ciel qui s'assombrit inexorablement, les options sont limitées. Surtout s'il va pleuvoir.

Je propose d'aller en ville. Flâner, faire du shopping. Tenter quelques plans exhibes. Pourquoi pas à la bibliothèque municipale. << Le samedi, c'est pas top à la bibliothèque. Trop de gens ! >> précise Clémentine. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. << Coucou ! Surprenante surprise ! >> lance Estelle en entrant dans la pièce sans autres sommations. Arrivant silencieusement pour nous surprendre. Elle pose son sac de sport pour se précipiter vers nous.

Serrés tous les trois, nous nous couvrons de bisous. Trop heureux de nous retrouver. << Je me sens hyper salope cet après-midi ! >> dit elle en tirant du grand sac son pyjama de soie mauve, une paire de chaussettes et une culotte pour demain matin. << Toi aussi ! >> s'exclame Clémentine. Nous rions aux éclats quand je rajoute : << Comme moi alors ! >>. Estelle s'écrie : << Les trois mousquetaires ! >> Clémentine s'écrie : << L'étroite moustiquaire ! >>. Nous nous changeons. Jupes kilts, chemisiers, pulls et mocassins pour mes deux anges.

Pantalon gris à pinces et à plis, chemise blanche, pull noir et souliers de ville pour moi. Nous prenons des poses devant le grand miroir de l'armoire. Mes deux anges me tiennent par les hanches. Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche. << Sors ta queue. Je trouve ça hyper beau sur fond noir ! >> lance Estelle qui palpe ma bosse. Clémentine s'accroupit pour me la sortir. Je bande mou. Estelle prend une photo. << Souvenir ! >> dit elle. Pressés de filer nous descendons les escaliers prudemment quand même. Nos blousons de cuir noir. Écharpes.

Je roule doucement. Il y a une vingtaine de kilomètres. Clémentine joue avec ma queue. Assise à l'arrière, caressant mon cou, Estelle nous raconte sa matinée à l'hypermarché avec sa maman. Clémentine raconte notre "soirée branle" chez Juliette. << Elle doit se branler au moins une fois par jour cette vieille pouffe ! >> lance Estelle. << Comme nous ! >> dit Clémentine. Nous rions comme des fous. Je gare l'auto dans la petite rue habituelle. Les premières gouttes de pluie. C'est sous l'immense parapluie que je tiens, que nous marchons d'un bon pas.

Malgré cette pitoyable météo, il y a du monde dans les rues piétonnes. Un océan de parapluies qu'Estelle veut photographier depuis le haut du parvis de l'hôtel de ville. C'est insolite. << Un tableau de Magritte ! >> compare Clémentine. Nous commençons par les Galeries. Un des trois grands magasins à plusieurs étages. Les escalators auxquels nous préférons toujours les escaliers. Un peu d'exercice cardio-vasculaire n'est jamais à éviter. Nos hautes tailles, notre élégance, ces deux jeunes filles accrochées à mes bras, nous attirons encore bien des regards.

La culotte de Clémentine est restée dans la voiture. Juste son porte-jarretelles sous sa jupe. Des collants sous celle d'Estelle qui déteste le contact d'un porte-jarretelle. << Un handicap pour les petites exhibes furtives ! >> précise Clémentine. << Comme je suis voyeuse ! >> répond Estelle. Nous flânons longuement à l'étage des vêtements. Les rayons de luxe. Nous flânons longuement à l'étage des jouets, de l'électro ménager. Puis à l'étage inférieur, aux rayons culturels. Disques, bouquins, ordinateurs, téléviseurs et autres bandes dessinées.

Aucune possibilités exhibes sans courir de trop grands risques. Par contre, question "jeux de mains" je suis gâté. Je me fais tripoter partout où c'est possible. Surtout par Estelle qui fait des paris avec Clémentine. Par contre, je reste extrêmement discret quand je pose ma main à l'endroit de leurs sexes. À force de le faire, elles ont toutes les deux ce petit sursaut typiquement féminin quand je palpe. << Salaud ! >> murmure à chaque fois Estelle. << Encore ! >> chuchote à chaque fois Clémentine. C'est absolument génial de s'érotiser de ces façons.

Nous récidivons au "Global", cet autre grand magasin. Aucune possibilité réelle là non plus. Même si Clémentine s'accroupit quelquefois, cuisses largement écartées, en nous demandant de faire écran. C'est toujours à proximité ou en face d'une homme seul. Il y en a tout de même pas mal un samedi après-midi. Ce sont surtout les cabines d'essayages qui polarisent nos attentions. Hélas, il y a bien trop de gens. Beaucoup de D'jeunes. Il est seize heures trente. Nous avons notre salon de thé préféré. Il y en a plusieurs très sympathiques. Charmants.

Mais c'est au premier étage de "La belle Brioche" que nous aimons déguster un bon chocolat chaud avec une pâtisserie. Les tables en gradins permettent quelques situations "croustillantes". Par chance il y en a une de libre en haut. Nous laissons Clémentine s'installer face à la salle. Il suffit de lever légèrement la nappe pour permettre aux deux gradins inférieurs d'avoir une vue parfaite. Clémentine, stratège et rusée, ne fait jamais n'importe quoi. Nous savourons cet instant autant que les "torches aux marrons" que nous avons choisi. Un délice.

Il y a deux couples au gradin du bas. Installés à une des quatre tables toutes occupées. Il faut donc être d'une prudence de Sioux. Un des types regarde assez souvent par ici. Il suffit à Clémentine de croiser le regard d'un quidam quelconque à deux trois reprises pour que ce dernier cherche le contact visuel. Imparable. << Ça marche à tous les coups. Celui-là est entré dans le jeu ! >> dit Clémentine. Tout en fixant l'inconnu avec son regard suggestif, elle lèche sa cuillère. C'est presque obscène mais la "victime potentielle" a mordu à l'hameçon.

Les gens qui sont assis avec lui ne se doute évidemment de rien. << Ça y est, il a compris ! >> dit Clémentine. Elle nous raconte ce qui se passe sous notre table. Estelle passe son téléphone sous la nappe. Nous regardons la photo prise. Les cuisses de Clémentine largement écartées. Pour le type en bas, ça doit être spectaculaire. Il mâte. Il fixe Clémentine qui ne baisse pas les yeux. C'est intense. Estelle fait semblant de consulter son téléphone alors qu'en réalité elle filme la salle. Zoom sur les expressions du mec. Je bavarde comme si de rien était.

Clémentine agit avec sa virtuosité habituelle. Elle exerce avec une vigilance de chaque instant. Pas question d'être remarquée par d'autres clients. Mais tout ce beau monde est lancé dans des conversations qui produisent un effet de bourdonnement. << Je fais le test des chiottes ! >> lance Clémentine en se levant. Nous la regardons descendre l'escalier central. Se diriger vers les toilettes. Nous connaissons très bien la configuration des lieux. Clémentine a emmené son téléphone. Sur celui d'Estelle nous allons assister à sa "prestation" aux WC hommes.

Comme toujours, et c'est imparable, il ne se passe pas une minute, la "cible" se lève à son tour. Pour se diriger lui aussi vers la porte des toilettes. Estelle et moi, tête contre tête, nous observons l'écran de son I-phone14. La définition de l'image est d'une précision et d'une netteté 4K. Clémentine est en position "pipi debout" devant un des deux urinoirs. C'est dans cette position équivoque qu'elle se fait surprendre. Son téléphone à la main, elle filme. Pour notre voyeur, l'instant doit être affolant. Nous le voyons hésiter. Il finit pas se toucher.

<< Excusez-moi ! >> bégaye t-il. L'image est parfaite mais le son est dégueulasse. C'est le carrelage qui en est la cause. << C'est moi qui m'excuse. J'adore pisser debout ! >> répond Clémentine qui se cambre, genoux fléchis, jambes écartées au-dessus de l'urinoir. Ses cuisses à quelques centimètres de la faïence. Notre "victime" va aux lavabos. Il ne s'attendait pas du tout à une telle vision. Parfois, dans un mouvement plus brusque de Clémentine, l'image devient illisible. << Arrête de bouger comme ça ! >> murmure Estelle alors que nous mâtons.

Le type surmonte probablement enfin les affres de sa consternation car en se retournant vers Clémentine il agite une queue de très bon calibre. Légèrement tordue vers la gauche. Il se rend compte que la fille ne pisse pas mais qu'elle reste délibérément dans cette position. C'est indécent. Jusqu'à l'obscène. Les préférences de Clémentine qui ne peut pas pisser debout au risque de s'en mettre partout. Le mec se rapproche en disant : << Si je vous laisse ma carte, nous pourrions nous revoir ! >>. Clémentine se redresse, répond : << Non merci ! >>

Décontenancé, le quidam la regarde s'éloigner. Se diriger vers la porte. Il lance : << Mais vous faites ça pour quoi alors ? >>. Clémentine se retourne pour répondre : << Exclusivement pour moi. Ça m'excite et je n'ai aucun autre besoin. Au revoir monsieur ! >>. Clémentine vient nous rejoindre. C'est toujours extraordinaire de voir pour de vrai la fille qu'on a vu dans le film. Elle s'assoit et nous raconte ses émotions, les sensations que cela lui procure. Nous connaissons bien son fonctionnement. Nous voyons le mec sortir des toilettes pour rejoindre les gens à sa table.

Ils se lèvent après avoir payé l'addition pour partir. Le type tente de croiser le regard de Clémentine une dernière fois. Peine perdue. Clémentine ne joue plus. Terminé. Nous rions de bon cœur en regardant une nouvelle fois le film. << J'en fais un montage. On se le mâte la semaine prochaine ! >> dit Estelle. Nous quittons à notre tour pour aller flâner encore un peu dans le vieux centre. Un tour à la FNAC. Nous revenons à la voiture pour 18 h30. Il ne pleut plus. Pour un petit moment sans doute. Estelle veut être assise devant avec Clémentine.

Une fois encore je fais part de mes craintes d'un contrôle de gendarmerie. << T'inquiète, c'est samedi, ils sont certainement entrain de matraquer des manifestants quelque part. Ils ont autre chose à foutre ! >> dit elle. Nous rigolons comme des bossus. Je roule doucement. Estelle, assise au sol, entre les pieds de Clémentine, tient ma queue pendant que Clémentine la suce. Je démarre en proposant un bon restaurant. << Non ! On rentre. J'ai trop envie de baiser ! >> s'écrie Estelle. << Moi aussi ! >> lance Clémentine. Je n'insiste pas. Pareil pour moi.

Il est dix neuf heures quinze quand nous sommes de retour. Nous enfilons nos tabliers. Assis autour de la table à éplucher les pommes de terre, les carottes, les navet et le céleri. Pour une grosse potée de légumes qui assurera l'accompagnement des trois repas du week-end. Pratique, simple et délicieux. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la laitue. Estelle remue la potée, je fais rissoler trois beaux dos de cabillaud blanc. Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon pour me faire tomber dans le canapé.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se faire lécher, sucer, pénétrer, aimer, avant de prendre de bonnes doses de foutre au fond de la gorge. Puis les autres douceurs d'un bon dodo bien mérité...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 3 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2250 -

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Le petit dimanche peinard

Il est presque neuf heures, hier matin. Le dimanche, c'est la grasse matinée. Je suis entre Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche. Les premiers mouvements. Signes avant coureurs d'un réveil imminent. Estelle se tourne sur le côté pour venir s'encastrer tout contre moi. Saisissant mon érection naturelle en murmurant : << Il y a encore l'odeur de nos folies ! >>.Clémentine qui est déjà blottie contre moi, chuchote : << Et ça sent bon. C'est aphrodisiaque ! >>. C'est vrai qu'il y a les odeurs de l'amour sous les draps. Au propre comme au figuré.

Estelle se lève d'un bond. << Pipi ! Vite ! >> s'exclame t-elle en courant vers la porte dans son pyjama de soie mauve. Clémentine se met à califourchon sur moi. Frottant son sexe sur le mien. Nous ne sommes pas du matin mais c'est émouvant de mimer l'acte au réveil. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Vêtus de nos Levis, de nos sweats, morts de faim, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Il y règne les douces effluves parfumées du café, du pain grillé et du feu qu'elle est entrain d'allumer dans la cuisinière à bois.

Je passe derrière elle, mes bras autour de sa taille, mes lèvres dans sa nuque. << Mmhh ! Tu fais ça toute la journée sel te pli ! >> dit elle. << C'est comment ? >> demande Clémentine à qui je fais pareil. << Et moi, je peux faire comme ça toute la journée ? >> demande à son tour Estelle en fourrant sa main dans ma braguette ouverte. Rires. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de folies. La brioche est succulente. Un vrai bonheur. Nous mangeons de bon appétit en envisageant diverses options d'activités pour cet après-midi.

Nous traînons à table. Aujourd'hui pas de sport. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges proposent différents itinéraires pour la randonnée prévue. Cette fois ce sera les anciennes tuileries et le magnifique sentier qui y mène. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pendant que nous fermons le lit, Estelle troque son pyjama contre son Levis, son sweat. Tous les trois, pressés d'aller constater la météo, nous dévalons les escaliers. Le thermomètre extérieur indique 12°. Il est presque dix heures.

Mieux vaut mettre l'anorak. Nous sortons dans la désagréable fraîcheur humide. Le sol est encore mouillé. Nous descendons jusqu'à la rivière pour prendre le sentier facile sur la gauche. Les canards, les poules d'eau et les colverts semblent nous faire la fête. Entourés de leurs rejetons, ils donnent l'impression d'êtres une multitude. Estelle ouvre la marche, se retournant quelquefois pour me faire une bise. Je me retourne alors à mon tour pour en faire une à Clémentine. Notre promenade matinale nous emmène jusqu'au vieux lavoir. Trois petits kilomètres.

<< Exactement 2,8 km ! >> précise Estelle qui consulte l'application sur son téléphone. Là-bas, derrière le sommet des grands arbres, on distingue les toits du haras. Nous restons quelques minutes assis sur le muret du bassin vide. La pierre est froide. Estelle se lève d'un bond : << J'ai froid au cul ! >>. Clémentine s'écrie : << D'habitude c'est le feu que tu as au cul ! >>. Nous rigolons comme des bossus en prenant le sens du retour. Il commence à faire faim quand nous revenons pour onze heures trente. Clémentine fait l'assaisonnement des endives.

Estelle prépare les pavés de saumon en papillotes sur le barbecue électrique de la véranda. Je réchauffe la potée de légumes. La véranda n'est pas chauffée, aussi, quand je vais montrer ma bite à Estelle derrière la vitre, je la découvre sautillant sur place. << L'an dernier aux mêmes dates, nous mangions dans la véranda, portes ouvertes ! >> précise Clémentine qui me l'attrape par derrière. Dans le reflet de la vitre je la vois tirer la langue à Estelle qui mime une masturbation masculine. Nous mangeons de bon appétit en confirmant la randonnée.

Le ciel est très variable. Aucune pluie n'est toutefois annoncée jusqu'en soirée. Sans vraiment nous fier aux prévisions climatiques nous voyons bien qu'il n'y a aucune menace. Nous ne traînons pas. La vaisselle avant de remonter faire les clowns en nous lavant les dents. Nous restons vêtus à l'identique. Il faut prendre les grosses godasses. Dans le petit sac à dos, la thermos de thé bouillant, trois pommes, les barres de céréales, la minuscule paire de jumelles. C'est parti. Direction le bourg. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue.

Assise à l'arrière, Estelle caresse mes joues, mon cou en revenant sur nos "exactions" sexuelles de la soirée. Il n'y a que cinq kilomètres jusqu'à la chapelle désacralisée où nous garons l'auto. Il y en a quelques autres stationnées le long du muret. Estelle devra nous laisser ce soir pour 22 h. Elle nous le rappelle en fourrant sa main dans ma braguette. Nous chaussons nos chaussures de randonnée. Je porte le petit sac sur le dos. Nous traversons la route pour prendre le chemin des tuileries. Il est large. Nous pouvons évoluer côte à côte en bavardant.

J'écoute les filles parler de leurs partiels. Elles ne sont pas inquiètes. Elles n'ont jamais rien raté durant leurs scolarité. << On ne quittera jamais l'école puisqu'on veut faire profs ! >> lance Estelle. J'écoute avec attention car c'est passionnant. Nous croisons quelques marcheurs. Nous sommes même dépassés par un couple de joggeurs. Nous nous écartons en les saluant, admiratifs devant tant de déterminations un dimanche après-midi. Il y a de nombreuses alternances de soleil et de ciel couvert. La température n'excède pas 18°. Drôle de printemps.

Nous arrivons à la carrière abandonnée. C'est là qu'était tirée l'argile nécessaire à la fabrication des tuiles. Le sentier surplombe de véritables falaises. Bien évidemment, il y a quelques inconscients qui pratiquent la varappe le long des parois peu rassurantes. Nous arrivons au petit chalet. Un abri pour les randonneurs. Il y a là deux couples de séniors. Je descends bien mon sweat pour cacher ma braguette béante. Il y a deux heures de marche jusqu'aux bâtiments désaffectés des anciennes tuileries où nous arrivons pour seize heures. Il y a des gens.

C'est un endroit étrange. Ces vieilles bâtisses de briques rouges, à flanc de collines, invisibles depuis le chemin jusqu'à une centaine de mètres. Nous avons tourné là le premier film porno de Julie. Participant à réaliser son fantasme de fille. Elle venait d'avoir dix huit ans. C'était il y a trois ans. L'endroit se prête très bien aux délires "Bondage". Julie, les poignets entravés par des chaînes, se faisant toucher, tripoter et masturber alors que Clémentine tournait les images. Un grand souvenir. << On pourrait se faire un autre film ici ! >> dit Estelle.

<< On met la caméra en automatique, on est attachées toutes les deux. Tourmentées par Julien dans son interprétation magistrale du "Maître" ! >> rajoute t-elle. << Génial, on se fait ça encore avant l'Écosse en juillet ! >> s'exclame Clémentine. Les anciens fours sont énormes. Nous pouvons y pénétrer à plusieurs. Un parallélépipède rectangle de quatre mètres sur trois et de deux mètres de hauteur. Il y a certainement des individus très particuliers qui viennent faire des fêtes ici. Le nombre de détritus est impressionnant et surtout affligeant.

<< Sors ta queue ! >> lance Estelle qui fourre une nouvelle fois sa main dans mon Levis. Elle m'en extrait le locataire pour l'agiter, comme un trophée, en rajoutant : << Gagné ! >>. Clémentine s'accroupit devant moi. Gardant son équilibre en se tenant à mes hanches. Estelle agite ma queue devant son visage. Clémentine, d'un mouvement de tête gracieux la gobe avec habileté. Aussitôt qu'elle l'a en bouche, Estelle enfonce sa langue dans la mienne. L'effet est toujours conséquent. Fulgurant. Mon érection est quasi immédiate. Je me fais sucer.

La langue exploratrice d'Estelle pour un baiser passionné qui nous fait rapidement saliver. Nos mentons sont d'ailleurs déjà trempés de salives après quelques minutes. Estelle est d'une sensualité affolante. Clémentine cesse de pomper pour se redresser en disant : << Elle est à point ! >>. Estelle arrête de m'embrasser pour s'accroupir à son tour. C'est Clémentine qui enfonce sa langue dans ma bouche. Il y a le goût "bite sale du dimanche". Aux senteurs "Parmezob". Je me fais tailler une pipe des familles dans ce vieux four. On entend des voix. Des gens.

Pour accéder au four, y entrer, il faut gravir les marches d'un escalier. Des chaînes pendues à des palans rendent l'accès périlleux. En hauteur et dans l'obscurité nous sommes quasiment invisibles. Mais nous restons méfiants. Il y a des familles, des gosses "explorateurs". Chacune à son tour se régale de mon jus de couilles. J'ai les lombaires douloureuses à cause de la position. Toutes les deux sucent à chaque fois jusqu'à la limite de l'ankylose pour se relever juste avant. C'est merveilleusement bon. Nous restons toutefois aux aguets. Faisant gaffe.

Je ne veux pas éjaculer ici. J'ai mes mains dans les culottes. Toutes les deux, Levis déboutonnés, m'offrent leurs chattes suintantes. Je renifle mes doigts. Ça me donne l'irrépressible envie de lécher, de sucer mes deux anges. Il faut patienter jusqu'à la maison mais je sais déjà que mon "dessert" sera goûteux. Les filles cessent leurs agapes. Nous nous réajustons en prenant conscience que nous sommes morts de froid. Le thé bouillant nous réchauffe agréablement avant de prendre le chemin du retour. Nous maintenons nos excitations par d'incessantes caresses.

On s'arrête souvent. Quand l'une m'embrasse l'autre fouille ma braguette. Il est dix huit heures quinze quand nous revenons à la voiture. << Je déteste baiser dans la bagnole, mais là, je suis dans un tel état ! >> lance Estelle qui s'installe sur le siège passager avec Clémentine. Je roule doucement, elles se passent ma queue. J'ai une appréhension. La crainte d'un contrôle de gendarmerie. Ce qui fait rire mes deux anges. Il est dix huit heures quarante quand nous arrivons. Clémentine fait l'assaisonnement d'une rapide salade de concombre et d'avocat.

Estelle concocte sa spécialité des dimanches soirs. Une omelette aux mélanges de fromages. Je réchauffe la potée de légumes. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme des festivités de la soirée. Une soirée cunnilingus. J'adore me bouffer de la chatte pas lavée, ayant macéré dans son jus toute une journée. Surtout après les suées intimes d'une randonnée ponctuée de petits pissous dans les bois. La vaisselle. Impatientes, en riant, les coquines m'entraînent au salon. Elles se désapent à toute vitesse. Je m'apprête à prendre mon "dessert".

Mes amis ! Mais quels délices. Ce goût acidulé aux trous à pipi. Ce fromage onctueux que je récupère du bout de la langue dans les plis et les replis les plus inaccessibles. Les gémissements en stéréophonie. Le clitoris géant de Clémentine dont les peaux autour du gland offrent les plus délicates substances. Je me régale. Je suis à genoux sur les épais coussins. Je passe de l'une à l'autre. Le bas du visage trempé de mouille. J'en ai des vertiges. L'orgasme d'Estelle la fait hurler. Nous regardons Clémentine s'offrir le sien. Accroupie au-dessus de la cuvette.

Bonne soirée à toutes les coquines qui adorent se faire nettoyer le minou par une bouche "nettoyeuse" animée d'une langue véloce et fouilleuse. En gémissant de plaisir et de bonheur...

Julien (nettoyeur)



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Classe - 4 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2251 -



Julie a trop envie de se régaler

Il est presque six heures hier matin, lundi. Tirés du sommeil par les enchantements de l'application "forêt", nous nous serrons fort. Il faut encore fournir un gros effort de volonté. Nous nous étirons en modulant nos gémissements. Jusqu'à l'absurde et en riant niaisement. Quelques rapides bisous et nous nous précipitons aux toilettes. Clémentine tient des propos irrationnels en nous faisant rire. C'est dans la salle de bain où il fait bien meilleur que nous revêtons nos tenues de sports. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Tous les jours il fait plus frais.

J'allume immédiatement la cuisinière à bois. Clémentine sautille sur place en faisant le café, en pressant les oranges, en pelant les kiwis. << C'est insensé qu'il fasse aussi froid un 15 mai ! >> lance t-elle. Les radiateurs fonctionnent depuis cinq minutes. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les moments forts du week-end. << Ils sont toujours nombreux ! >> précise Clémentine qui vient terminer son morceaux de brioche sur mes genoux. J'étale le beurre sur les tranches de pain grillé bien chaude. Le miel. Nous mangeons de bon appétit.

Six heures vingt cinq. Nous remontons. Une heure intensive d'un bon entraînement va achever de nous réveiller. Les échauffements de l'aérobic et du jogging sur tapis roulants. Les pompes, les abdos de nos exercices au sol sont de réels plaisirs. Les barres et les haltères sont redoutablement efficaces pour bien situer les choses avant les étirement du stretching. Un retour au calme un peu trop hâtif par manque de temps. La douche. Je redescends le premier pour aller faire chauffer l'auto. Le ciel est menaçant. Tout est trempé des pluies de la nuit.

Le thermomètre extérieur indique à peine 6°. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre dans son élégant manteau noir, sous son béret carmin assorti à son écharpe. Son Levis, ses bottines noires. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou avant de me précipiter au chaud. Car à présent il fait bien chaud partout dans la maison. Je fais la vaisselle, notre lit avant de passer dans l'atelier. J'y allume une belle flambée dans la cheminée. En chantonnant "le grand café" de Charles Trenet, je prépare les couleurs sur la palette.

Quel bonheur de me replonger à la fois dans ma passion et dans la peinture de ce portrait de commande. J'attaque aujourd'hui les visages de Bernadette et de Pierre. Je peins dans une certaine euphorie provoquée par cette satisfaction intense. À chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent, je pousse des cris totalement surréalistes quand soudain, vers neuf heures, la musique imbécile de mon téléphone. Je m'en saisis. C'est le livreur de mazout. Il est derrière la maison avec son camion citerne. Je m'empresse de le rejoindre.

Je passe par la cave pour ouvrir les battants métalliques de l'escalier. J'ai la visite d'un employé de chez Bolloré. C'est un autre chauffeur. Je ne l'ai jamais vu. Un jeune homme plutôt dynamique et très poli. J'ouvre un des soupiraux afin qu'il puisse y faire passer le tuyau. Comme chaque printemps je fais remplir les deux cuves. Avec ce froid qui se prolonge la consommation est conséquente. La première cuve sert de réserve avec ses trois milles litres. La seconde ne contient plus que mille litres. Il faut donc faire l'appoint. Je laisse le brave garçon à sa tâche.

La matinée passe tellement rapidement qu'il est déjà midi. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer le reste de potée de légumes. Accompagnée d'une salade de tomates. Je fais rissoler un filet de colin. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff reçoit l'autrice d'un ouvrage consacré à la casse aux "conspirationnistes". En effet, se sont auto proclamés aux états-unis des individus ayant pour activité de dénoncer les fake news à travers le monde et l'Amérique

Une institution baptisée pompeusement "Conspiray Watch". Des gens qui consacrent leur temps à salir, à discréditer toutes celles et tous ceux qui posent des questions, qui émettent des hypothèses et qui se situent hors de la pensée dominante imposée par l'élite par le biais des médias mainstreams. En d'autres époques, pas très lointaines, ces sinistres inquisiteurs auraient été appelés "mouchards", "balances" ou tout simplement par le qualificatif qui leurs convient le mieux : "ordures". Mais ces tristes salauds se sentent investis d'une mission de "salubrité publiques".

Je prépare mentalement les ingrédients de la surprise de ce soir. Ce seront des bouchées à la reine. Je fais bouillir l'eau des coquillettes pendant que je concocte une Béchamel que je laisse reposer. Dans la poêle je fais revenir un pavé de saumon finement émincé. Champignons, ail, oignon. Je rajoute à la Béchamel avec du gruyère Suisse finement râpé. Je rempli les quatre bouchées à la reine de cette délicieuse garniture. Je les dispose dans le grand plat carré en terre cuite. Je les cale avec les coquillettes. Je recouvre de gruyère Alpestre.

Au four électrique pour une cuisson lente et douce. Pas plus de 160° afin que l'ensemble mijote longuement. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller constater le plein des cuves de mazout, je chausse les bottes en caoutchouc, j'enfile l'anorak. Je passe par l'extérieur. Sous le parapluie. Il pleut à verse. La température est de 14°. C'est pénible. Je descends dans la cave. Les cadrans indiquent le plein des deux cuves. Nous voilà tranquilles au moins trois hivers en cas de pénurie. Avec le stock de bois conséquent, cinq à six hivers.

Au vu de ce que les gens votent à chaque élection, la situation ne risque pas de s'améliorer. Cette pensée me fait d'autant plus rire que d'ici trois ans au maximum, nous aurons quitté ce pays pour nous installer à Édimbourg. Et qu'après nous le déluge ! Il est 13 h30. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans la même humeur débonnaire que ce matin. Redoublant de cris de satisfaction. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table avant de se précipiter. À califourchon sur mes cuisses.

Ses bras autour de mon cou elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. Elle a encore du travail. J'adore l'entendre commenter à voix haute ce qu'elle fait. Aux environs de 18 h30 elle s'écrie en se levant d'un bond : << Là, il faut que j'arrête ! >>. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine vient me rejoindre devant le petit lavabo de l'atelier. Elle me tient la bite pour en diriger les jets. Notre amusant rituel de fin d'après-midi. Accroupie devant moi, se pourléchant du reliquat, Clémentine me fixe de son regard pénétrant.

Je l'aide à se redresser. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. Je l'emmène en balade dans toute la grande pièce. << Bientôt nous sommes sur un bateau. C'est ma toute première expérience. Ma toute première croisière ! >> lance t-elle. Un bruit. La porte s'ouvre sur Julie qui se précipite pour nous faire des tas de bises. Nous restons serrés tous les trois. Petit bout de femme que nous pouvons sentir frissonner de bonheur dans nos bras. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Julie fait mine de ne pas voir ma bite qui pend de la braguette.

Réaction typiquement féminine qui m'amuse toujours beaucoup. Quand les filles découvrent ce que je tire du four électrique pour le placer dans le four à bois, j'ai droit à une avalanche de bisous. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de concombre. Julie mets les assiettes et les couverts en nous racontant son week-end. << Il t'a enculé le Chef cuistot ? >> demande Clémentine. << Oui, samedi avant le coup de feu parce qu'il y avait salle comble au restaurant ! >> dit elle. Julie aime bien narrer ses aventures. Autant que Clémentine. Je les écoute en riant.

Quand Julie tourne la tête dans ma direction je fais tournoyer mon Zob. Elle n'ose pas soutenir mon regard. Par contre elle observe avec attention, tout en parlant, l'étonnant "hélicoptère". Elle aussi sait les effets sur ma psyché lorsqu'elle s'accroupit en me tournant le dos. Dans le reflet de la vitre fumée du four elle peut voir ma masturbation lente et très agréable. Clémentine me fait un clin d'œil en mimant un instant une fellation. Je contourne la chaise pour venir me placer à la droite de Julie. Elle tourne la tête. Mon sexe tout près de son visage.

Elle pousse un gloussement, m'adresse un furtif sourire. J'agite ma queue comme pour l'inviter à y goûter. Ce qu'elle fait dans un sursaut, en se tournant, m'attrapant par les fesses. << Wouah ! Julie ! >> s'écrie Clémentine. Les joues creusées par l'effort de succion, Julie pousse un nouveau gloussement amusé. Cela ne dure qu'un court instant. Elle cesse pour se tourner vers le four. Il faut sortir le plat sous peine d'entamer la crémation des bouchées à la reine. Elle se redresse en sortant le plat fumant du four. C'est doré à souhait. Ça sent si bon !

Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Julie et Clémentine se posent quantité de questions quand aux plus petits détails de leurs aventures du week-end. J'écoute en me touchant sous la table. Toutes les deux, avec ce curieux sourire, observent le mouvement régulier de mon bras gauche quand je lâche le couteau. Parfois, je me lève. Julie fixe alors le mouvement régulier que fait mon poignet droit. << Comme j'aimerais venir avec vous en Suisse ! >> lance t-elle. Elle rajoute avec un air de dépit : << Je ne vous vois plus avant lundi ! >>

Nous ne traînons pas. La vaisselle. C'est au salon que nous prenons le dessert ramené par Julie. Une tartelette aux myrtilles préparée par Jean-Louis, l'enculeur et accessoirement Chef cuisinier au restaurant de l'étang. C'est succulent. Clémentine et moi, vautrés dans le canapé. Julie assise dans le fauteuil qui nous fait face. Clémentine joue avec ma queue tout en racontant son exhibe dans les toilettes du salon de thé "La belle brioche", samedi après-midi. << J'adore entrer dans les chiottes et tomber sur des scènes cocasses ! >> s'exclame Julie.

<< Viens goûter ! >> lance Clémentine. À peine a t-elle terminé sa part de tartelette, posé sa petite cuillère, que Julie se lève d'un bond. Elle contourne la table basse pour se mette à genoux entre mes pieds que j'écarte au maximum. Ma jambe contre celle de Clémentine. Je frotte ma bite sur le visage juvénile de Julie. Les yeux fermés elle s'offre cet instant de vice suprême avec délectation. Je caresse sa tête. Ses cheveux attachés en queue, je peux saisir ses oreilles. Elle prend mon sexe en bouche en gloussant pour se mettre à sucer avec passion.

Clémentine se penche pour observer au plus près. Cette pipe des familles est tellement parfaite que très rapidement les premiers gargouillis se font entendre. Pour déglutir les abondantes montées de liquide séminal, Julie doit souvent cesser de pomper pour avaler avec difficultés. Le bruit bulleux d'une fellation de qualité. Il suinte de la jute aux coins des lèvres de notre douce amie. Clémentine tient ses cheveux pour appuyer. À chaque fois Julie glousse en riant. Elle n'ose pas ouvrir les yeux. Elle sait pourtant que nous l'observons tous les deux. Trop gênée.

Julie devra nous laisser pour 22 h. Il reste quarante cinq minutes. Je me fais tailler une superbe pipe. Par petites contractions régulières des muscles fessiers, je fais bouger ma bite. Ce qui provoque également à chaque fois des montées de jute. Julie, gémissant avec passion, s'en régale. J'éjacule en sournois, sans bouger. Clémentine bloque sa tête. Julie ouvre de grands yeux. Comme paniquée. Au risque de se noyer sous le flot des saccades de sperme épais, gluant et visqueux. Je pousse un véritable rugissement en vidant mes couilles. Superbe orgasme.

Bonne nuit à toutes les coquines qui adorent voir leurs coquin faire le salopard avec une autre coquine. En se faisant brouter la chatte sous les draps avant de s'endormir contre leur lécheur. Et après un orgasme fou...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 5 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2252 -



Le rituel merveilleux de la "baise sur bureau"

Il est presque six heures hier matin, mardi. C'est l'étrange résonance de cette source qui jaillit d'entre les roches qui nous tire du sommeil. Le gazouillis des oiseaux dans une toute aussi étrange réverbération vient parfaire l'illusion de nous réveiller au milieu d'une profonde et mystérieuse forêt. L'application "forêt" est d'une redoutable efficacité. Clémentine vient se lover tout contre moi en gémissant. Quelques bisous, quelques papouilles, il faut se lever. Nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain nous passons nos vêtements sports.

Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Les radiateurs viennent d'entrer en fonction. Il y fait encore froid avec à peine seize degrés. J'allume la cuisinière à bois. Clémentine prépare le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée en compagnie de Julie. << J'aime voir tes expressions quand tu te fais tailler une pipe ! >> me dit Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en faisant une fois encore le timing des quatre jours du week-end prolongé qui s'annonce jeudi.

Il est 6 h25 quand nous remontons. Notre heure de gymnastique nous attend. Les échauffements de l'aérobic, du jogging sur tapis roulants ne sont jamais tombés aussi à propos. Les abdos, les pompes durant les exercices au sol en sont le complément idéal avant d'attaquer les charges additionnelles. Les étirements d'un stretching permettent un retour au calme des plus agréables avant la douche. Je redescends le premier pour sortir la voiture du garage. Il pleut. Il est presque 7 h45. Il y a du vent. Cette météo pitoyable semble s'acharner sur le monde.

Clémentine vient me rejoindre. Il ne fait que 6°. C'est emmitouflée dans son anorak, comme en pleine hiver, un 16 mai, que Clémentine vient me rejoindre sous son parapluie. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou avant de retourner au chaud. Je fais la vaisselle, notre lit avant d'aller dans l'atelier. J'allume le feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Si tout va bien je termine demain soir ce portrait d'anniversaire de mariage. Je peins dans un enthousiasme absolument délirant.

Il est rapidement midi. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer la bouchée à la reine et les coquillettes. Accompagnées d'une salade de carottes. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff reçoit un journaliste d'investigation. Un indépendant. Il y est question de ce fameux "fond Marianne" créé par Marlène Schiappa. Une commission d'enquêtes sénatoriales est en cours. Sous des tentatives désespérées de la part des dirigeants de noyer cette embarrassante affaire de détournements.

Les photos et les interviews dans le magazine PlayBoy ne suffiront sans doute pas à noyer le poisson non plus. Pas davantage que les soirées privées et à galipettes de la dame. Il y a une constante chez tous ces sinistres individus. Le mensonge, le mépris, le racket. Ces gens ont institués ces principes en véritables dogmes d'État. Tout en m'amusant des manœuvres immondes de toute cette racaille, je prépare mentalement la surprise du repas de ce soir. J'opte pour une innovation. Des tartes de pommes de terre. Façon pizza. Une recette Écossaise.

J'épluche, je lave et je coupe en tranches de belles patates. Je beurre et farine deux des grandes plaques du four électrique. J'y dispose les fines rondelles de pommes de terre en les faisant se chevaucher en spirales. Dessus je place des rondelles de tomates, de champignons, l'ail et l'oignons finement émincés. Du sel de Guérande, du poivre noir moulu, du curcuma, du persil, de la ciboulette. De fines tranches de morbier que j'entrecroise. Je recouvre le tout d'une bonne couche de ce délicieux gruyère Suisse que nous a fait découvrir Danièle il y a peu.

Des graines de sésame grillé, onze cerneaux de noix en cercle. Je place au four électrique pour une cuisson lente à 160°. Il faut que ça mijote longuement. Dans la recette originale on peut rajouter du saumon, de la brebis ou du bœuf. Nous allons déjà y goûter comme ça. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller me dégourdir les jambes, je dévale les escaliers pour chausser les bottes en caoutchouc, enfiler l'anorak. Le thermomètre extérieur n'indique que 14°. C'est sous le parapluie que je fais le tour de la propriété.

Il est 13 h45 quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans le plus total enthousiasme. Poussant parfois des cris d'animaux qui n'existent pas. Il est rapidement 17 h30. Clémentine qui rentre de cours pose son cartable sur la table en s'écriant : << Rude journée ! >>. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Son après-midi entier consacré à une conférence. Un scientifique de renom est venu donner un cours magistral à l'ensemble de la faculté.

<< J'ai gratté. On a filmé les moments les plus pointus ! >> m'explique t-elle avant de me montrer l'écran de son téléphone. << Je vais télécharger tout ça et prendre des notes ! >> rajoute Clémentine qui se lève pour aller allumer son ordinateur. Nous apprécions ces moments de travail ensemble. Il est 18 h30 quand elle se lève d'un bond en s'exclamant : << Put-Hein j'arrête ou je pète un câble ! >>. Je nettoie la palette, les pinceaux pendant que Clémentine range ses affaires. Elle vient me rejoindre devant le petit lavabo de l'atelier. Rituel.

Elle me tient la bite pour en diriger les jets. << Demain, il faut faire le compte rendu de la conférence ! >> dit elle en secouant les dernières gouttes. Accroupie devant moi, mécaniquement, elle se pourlèche des derniers épanchements. Comme toujours je la soulève pour la promener dans toute la grande pièce. Ce soir elle rit aux éclats en revenant sur certains moments clefs de notre week-end. Ses jambes autour de ma taille elle dit : << Tu as vu la gueule du mec dans l'hypermarché ! >> lance t-elle. Je me souviens très bien de son exhibition.

Du bruit. Estelle jaillit dans l'atelier comme une tornade. Elles ont passé la journée ensemble. Je suis donc le sujet de toutes ses attentions. << Clémentine m'a tout raconté au restau U à midi. Dis-moi ce que tu as encore fait comme cochonnerie hier soir avec Julie. Espèce de porc ! >> dit elle en s'emparant de mon sexe. Heureusement qu'il est mou car elle se met à le tordre dans tous les sens en enfonçant sa langue dans ma bouche. Ce qui me fait immédiatement bander comme le dernier des salauds. Clémentine se penche pour suçoter mon érection.

Je dis : << Ce soir, les filles, c'est baise sur bureau ! >>. Toutes les deux se mettent à sautiller en s'écriant : << Oh oui ! Oh oui ! >>. Estelle nous entraîne dans une folle farandole en improvisant des paroles sur un air de comptine d'école maternelle. Clémentine et moi répondons en cœur sur la même mélodie. C'est ainsi que nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand mes deux anges découvrent ce que j'ai préparé, j'ai droit à un mitraillage de bisous. C'est une nouvelle recette, donc une nouvelle expérience. J'allume le four électrique.

Clémentine prépare l'assaisonnement d'une salade d'endives. J'aide Estelle à mettre les assiettes, les couverts. Elle n'arrête pas de me triturer le Zob en évoquant la "baise sur bureau". << Je veux du hard. Je veux du sévère ! >> lance t-elle en riant et en mimant une masturbation masculine. << Je veux du soft. Je veux du sweet ! >> lance à son tour Clémentine en mimant une pipe. Nous rigolons comme des bossus alors qu'Estelle s'allonge sur le plan de travail pour mimer une fille qui se fait troncher. Poussant de petits cris en haletant.

La sonnerie du four. Estelle enfile les maniques en s'écriant : << Installez-vous ! >>. Elle sort le premier plat. L'odeur est extraordinaire. Cela tient à la fois du gratin et de la pizza. Mais au lieu que ce soit de la pâte, c'est un fond de pommes de terre. La consistance et la tenue sont identiques. Ça se découpe à la mollette ronde comme n'importe quelle tarte. C'est absolument divin, succulent. Elles se lèvent toutes les deux pour me noyer de bises. Je suis sur ma chaise entouré de bras et d'affection. Nous mangeons de bon appétit en parlant croisière.

Clémentine nous donne le planning. Nous prenons l'avion jeudi matin pour neuf heures. Vol direct pour Genève où nous arrivons pour onze heures. Notre chambre nous attend à l'hôtel Bristol. C'est un luxueux hôtel quatre étoiles juste en face du lac. Le restaurent y propose une gastronomie de très haut standing. Nous passerons l'après-midi à visiter Genève. C'est vendredi matin à dix heures que nous embarquons sur le "Vevey". Grand bateau blanc. En cabine première classe. C'est un des navires de croisières qui sillonnent inlassablement le grand lac.

Nous y passerons la nuit pour débarquer le samedi aux environs de dix sept heures. Une nouvelle nuit à l'hôtel Bristol avant de prendre l'avion du retour, dimanche à quatorze heures. Vol direct qui nous fait arriver vers seize heures. Ce sont les parents d'Estelle qui nous emmènent et qui nous cherchent. Ils insistent à chaque fois. Nous les inviterons à manger un de ces prochains dimanches. C'est sur ces excellentes perspectives que nous faisons la vaisselle. Je félicite une fois encore Clémentine pour la qualité de ses organisations. Fameux !

Les filles m'entraînent au salon. << Reste habillé. Juste la queue ! >> lance Estelle qui commence à retirer ses bottines, son Levis et sa culotte. Suivie de Clémentine. Toutes les deux, juste en sweats, debout sur le bureau, riant aux éclats font des danses lascives en faisant les pitres. Elles me montrent leurs chattes incroyablement velues en mimant des masturbations masculines. Je saisis deux des épais coussins pour les rejoindre. Elles s'installent sur le bureau, l'une à côté de l'autre. En appui sur leurs coudes, à m'observer, avec le regard par en-dessous.

Je place les coussins derrière elles. Je me positionne entre les cuisses écartées d'Estelle pour frotter mon sexe contre le sien. Toutes les deux s'allongent en même temps, têtes sur les coussins. Elles se masturbent. Doucement, je pénètre Estelle qui gémit en se mordillant la lèvre inférieure. D'un coup de reins elle s'enfile toute la longueur de ma bite. Ce n'est pas très agréable pour moi de rester habillé mais c'est la requête de mes deux coquines. Que ne ferais-je pas pour les contenter. Leurs offrir ces plaisirs dont elles ont tant besoin. Qu'elles réclament.

Je baise Estelle comme elle aime. À la hussarde. En poussant des mugissements de sauvage. Les petits cris d'animal blessé qu'elle pousse sont un excellent stimulant pour libidos débraillées. Je me retire en laissant un long filament laiteux de nos mélanges s'écouler entre ses fesses, dégouliner sur la surface du bureau. Pauvre palissandre de Rio centenaire. Je m'enfonce dans Clémentine qui a soudain ce sursaut de surprise. Avec elle je reste immobile. Toutes les deux se masturbent toujours durant la pénétration. Ce soir encore en hurlant de jouissance.

Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il reste quarante cinq bonnes minutes. Son orgasme est cataclysmique. Haletante, couchée sur le côté, les mains entre ses cuisses serrées, comme en proie à une douleur dévastatrice, elle reprend ses esprits. Je besogne Clémentine qui me repousse comme affolée. La cuvette en plastique bleu est posée sur le bureau. Elle se redresse pour s'accroupir au-dessus. C'est comme ça qu'elle s'offre un prodigieux orgasme pisseux. Estelle pendue à mon cou, se frottant à nouveau contre ma bite, nous observons. Admiratifs.

Bonne nuit à toutes les coquines qui ont joui comme elles le méritent. Oubliant ainsi les contraintes de leurs préparations aux doctorats. Avant de s'endormir sous les draps, la bouche au goût de sperme...

Julien



Classe

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