
- 1 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2101 -
La partouze de Noël
Hier matin, vendredi, l'application "océan" accomplit son forfait quotidien sur nos profonds sommeils. Même si cela ne dure que quarante cinq secondes, la sentence est difficile. Il est presque six heures. Le cris stridents des mouettes est le plus pénible. Comme en gémissant de douleurs, Clémentine enfuit son visage dans mon cou, se blottissant encore plus fort. Quand elle termine à midi, elle est rapidement déconneuse dès le réveil. Quelques papouilles et quelques bisous plus tard, poussés par l'impérieuse envie, nous courons aux toilettes.
<< Put-Hein ! Ça caille tous les jours davantage ! >> lance t-elle alors que nous passons nos vêtements de sport. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. J'y allume immédiatement la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, pèle les kiwis, presse les oranges. En sautillant sur place car le thermomètre n'indique que 17°. Les radiateurs viennent de s'allumer eux aussi. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. La soirée "léchage de minous" du jeudi en compagnie d'Estelle. Nous en rions beaucoup.
Nous mangeons de bon appétit en évoquant ce qui nous attend ce soir. La "partouze de Noël" chez Juliette. << Je suis morte de trouille. J'ai peur d'y aller ! >> lance Clémentine qui vient s'assoir sur mes genoux pour terminer sa tartine au miel. Je dis : << On peut annuler. Je téléphone ! >>. Clémentine s'écrie : << Non, je vais surmonter ! >>. Nous rigolons comme des bossus avant qu'elle ne rajoute : << Tu ne baises avec aucune des deux salopes, hein, promis ! >>. En riant je réponds : << Non, promis. Par contre je vais me faire sucer ! >>.
Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Très facétieuse, Clémentine nous emmène dans l'échauffement aérobic en virevoltant. Le jogging sur tapis roulants où elle se tourne pour courir à l'envers, manquant de perdre l'équilibre. Je suis plié de rire quand nous attaquons les exercices au sol et les abdominaux. Avec les charges additionnelles, c'est du sérieux. Impossible de déconner pendant les manipulations. Le retour au calme avec les étirements du stretching où Clémentine revisite toutes les mimiques de Benny Hill.
La douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Le thermomètre extérieur indique moins 6°. Le froid est polaire. Tout est recouvert d'une fine couche de givre ou de neige poudreuse. Le jour commence à se lever. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre chaudement vêtue. En sautillant sur place nous échangeons le dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou avant de me précipiter dans la maison. Il y fait bien chaud à présent. Déjà 22° partout sauf dans la chambre où je fais le lit après la vaisselle.
Dans l'atelier, j'allume une belle flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de la sixième nature morte destinée à l'été prochain m'absorbe rapidement. Je peins en pensant aux appréhensions de Clémentine quand à la partouze de ce soir. Nous en avons déjà vécu quelques unes depuis presque cinq ans. À chaque fois ses craintes et ses inhibitions naturelles de jeune fille la plongent dans les tourments de l'anxiété. Je n'ai jamais vu les heures d'une matinée passer aussi vite. Il est presque midi.
Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il y a la quatrième pizza à réchauffer. Elle est énorme. Je la place dans le four à bois. Il est hyper chaud. J'entretiens le feu en déposant une bûche de chêne dans la cuisinière. Pendant ce temps je prépare une belle salade d'endives. Je suis à la tâche en écoutant Sud Radio. André Bercoff reçoit un journaliste sportif en pleine enquête sur les dessous de la coupe du monde de football. Les enjeux économiques et les agissements secrets peu reluisants des dirigeants européens.
Il est midi quarante cinq quand Clémentine rentre de cours. J'éteins la radio. Elle me saute au cou. Je la soulève. Enserrant ma taille de ses jambes, me couvrant le visage de bisous en mitrailles, elle se fait emmener aux toilettes. Le rituel pisseux avant de nous laver les mains. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Les appréciations de son groupe d'étudiants. C'est le début des vacances scolaires. La rentrée est fixée au mardi 2 janvier. << Ils ont enfin salé la route. Il a fallu trois jours ! >> s'exclame Clémentine.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revisite le programme du week-end. Tout ce qu'il ne faut pas oublier avant notre départ. Les préparatifs. Nous ferons les valises demain après-midi. Il faut rationaliser. Il est exclu de se surcharger. Aussi, Clémentine fait l'inventaire des vêtements à emporter. << Le strict minimum ! >> précise t-elle le plus sérieusement du monde avant d'éclater de rire. Elle sait bien qu'elle emmène pour deux semaines des fringues pour un mois. << Aide-moi ! >> fait elle.
Je promets de superviser le remplissage des deux valises. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle bain. Une fois encore la surprise est grande. En redescendant Julie est au bas de l'escalier à se débarrasser de son anorak. Elle monte quelques marches avant que nous ne soyons en bas. Trois bises à Clémentine. Trois bises sur mes joues, ma bouche. C'est la seconde fois que notre douce amie a le réflexe de poser ses lèvres sur les miennes. Rapide comme l'éclair.
Nous la prenons par le bras pour l'entraîner dans l'atelier. Après tout, Julie vient pour son cours de peinture. Jolie prétexte pour être en nos compagnies. << Ça va être dur de ne pas vous voir jusqu'à la rentrée ! Je n'arrête pas d'y penser ! >> lance t-elle en se serrant contre Clémentine toujours un peu embarrassée de tant de sollicitudes. Julie s'assoit devant ma toile qu'elle scrute avec attention. Clémentine mime une masturbation masculine en me faisant un clin d'œil. Ce qui échappe complètement à Julie concentrée sur ma peinture. Je capte.
Je sors ma queue qui pend mollement de ma braguette. Je me place à droite de Julie qui tourne la tête pour s'en apercevoir. << Ça aussi ça va me manquer ! >> lance t-elle dans un soupir de dépit. Nous rions de bon cœur quand Clémentine dit : << Tu en auras plein à voir dans les chiottes du restau durant ces vacances ! >>. Julie répond : << Arrête, je vais bosser tous les soirs sauf le 25 décembre. Toutes les tables sont réservées jusqu'au premier janvier. Heureusement qu'on est à trois pour assurer le service ! >>. Je saisis mon sexe à sa base.
Je le secoue vers le visage de Julie qui est une fois encore comme hypnotisée par le "spectacle". Je murmure : << Le Chef de cuisine va pouvoir se vider les couilles ! >>. Clémentine rajoute : << Oui, Jean-Louis va pouvoir t'enculer tous les fins d'après-midi avant le service ! >>. Nous rions de bon cœur. Julie fait encore : << Durant les coups de feu des vacances de fin d'année, je préfère après le service de midi. Vers 14 h nous sommes tranquille dans la réserve à côté des cuisines. Juste Anne-Marie, Jean-Louis et moi ! >>. J'agite ma queue mollasse.
Julie se lève pour aller devant la cheminée. Clémentine est devant son ordinateur. Elle archive quelques documents virtuels. Je prépare le chevalet de table, la boîte de peinture, la palette et les pinceaux. Rêveuse, un peu tristounette, Julie s'accroupit devant l'âtre. Le spectacle des flammes subjugue. Je la rejoins. Une fois encore, debout à sa droite, je fais "l'hélicoptère". Elle tourne la tête pour regarder les rotations de plus en plus rapides. Je fais tournoyer mon sexe en disant : << Vous allez beaucoup nous manquer aussi Julie. On pensera à vous ! >>.
<< On garde le contact. On se fait un courriel tous les jours. On se fait des moments caméras par Instagram ! >> lance Clémentine. Julie s'écrie : << Ah oui, génial. On se voit en temps réel ! Wapchat si Instagram déconne ! >>. Dans un élan soudain joyeux, Julie se redresse pour me sauter au cou. Sur la pointe des pieds, elle me fait plusieurs bisous sur les lèvres. Je bande mou. Elle cesse pour regarder. << Je peux ? >> me demande t-elle. Je réponds : << Mais servez-vous chère demoiselle. C'est à votre bon vouloir ! >>. Julie saisit ma queue. Timide.
Immobile, ma bite entre ses doigts, comme ne sachant qu'en faire, elle me fait le plus merveilleux des sourires. Même si elle reste incapable de soutenir mon regard. Elle préfère fixer ce qu'elle tient dans sa main. Je dis : << Vous devriez venir en partouze avec nous ce soir, elle ne serait que pour vous ! >>. Julie rit, toute gênée, pour préciser : << Plus jamais rien avec Juliette et puis de toutes façons je travaille ! >>. Je la félicite en lançant : << Vous êtes admirable Julie. Vos études, la préparation de votre Licence de Lettres Modernes et le restau ! >>.
<< Oui, je ne sais pas comment tu fais ! >> dit Clémentine en fermant un des classeurs qui l'entourent. Julie répond : << Le temps que j'arrive à voler pour être avec vous est un des moteurs qui me motivent ! >>. Je la prends dans mes bras pour la bercer. Elle lâche mon Zob pour s'accrocher à mes épaules. Je rajoute : << À notre retour, en janvier, on se fait une partouze rien qu'à nous ! >>. Julie se blottit fort. Dans un profond soupir elle dit : << Oh oui ! Juste nous trois ! >>. Je la soulève pour la promener comme une jeune mariée dans l'atelier.
Je viens l'installer devant son chevalet. Elle termine cet après-midi ce petit paysage. Il faudra toutefois qu'il sèche une bonne semaine. Je précise : << Julie, vous êtes ici chez vous, vous le savez. C'est votre seconde résidence. Vous savez où est la clef. Je vous missionne. Venez vous y détendre quand vous le souhaitez ! >>. Julie, éperdue de reconnaissance, me dépose une nouvelle bise sur la joue en poussant un gémissement de satisfaction. Je suis assis à sa droite. Je la regarde peindre en jouant avec ma queue sous la table. Elle adore le savoir.
Parfois Clémentine m'adresse un clin d'œil. Je réponds aux questions techniques de Julie. Extrêmement douée en a t-elle vraiment besoin ? Je crois que c'est plutôt pour entretenir la conversation. Se donner de la contenance aussi, peut-être. Il faut dire que pour une jeune fille de vingt et un an qui se retrouve à proximité d'un homme de l'âge de son père qui se masturbe, de la contenance est nécessaire. Je l'admire également pour cette qualité là. Faisant semblant de prendre du recul pour examiner sa peinture, Julie louche sur mon activité manuelle.
<< L'atelier des Arts manuels ! >> lance d'ailleurs Clémentine. Nous éclatons tous les trois d'un fou rire. Julie devra nous laisser pour dix huit heures. Il est dix sept heures trente quand elle dépose la dernière touche de vert d'émeraude sur sa toile achevée. Elle nettoie sa palette, ses pinceaux. Clémentine termine ses classements. Elle a archivé tous les travaux de ce premier trimestre qui vient de s'achever. Nous prenons le thé et quelques petits gâteaux. Julie est entre Clémentine et moi. Nous la rassurons, nous la consolons de ses tristesses.
<< Je viens demain matin pour le ménage ! Ce sera notre dernière fois avant trois semaines. Je déteste les dernières fois ! >> lance Julie. Il est temps de la raccompagner dans la nuit glaciale jusqu'à sa voiture. Les adieux sont difficiles. Julie doit ajuster sa voix pour étrangler ses sanglots. Un dernier bisou. Nous la regardons partir. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Nous montons à l'étage. Clémentine a préparer nos vêtements de change dans la salle de bain. À la fois pleine d'appréhension et d'excitation elle me confie ses émotions.
Clémentine, moi, Bernadette, Juliette, Pierre et Robert
Nous arrivons dans la cour du haras. Il est presque vingt heures. Je gare la voiture. Sur les trois kilomètres qui nous séparent de la maison, Clémentine est restée contre moi. Je roule toujours avec quelques difficultés quand elle réagit comme ça. << Je suis morte de trouille ! >> me dit elle. Je la prends dans mes bras. Je murmure : << Tu préfères qu'on retourne à la maison ? >>. Clémentine m'embrasse passionnément. Je passe ma main entre ses cuisses. << Non, je déteste reculer ! >> chuchote t-elle. Elle rajoute : << On y va ! >>.
Elle sort de la voiture pour sautiller sur place. Telle une athlète, prenant de grandes bouffées d'air, elle me prend par la main. Nous traversons le parking pour entrer dans la nouvelle écurie. Il y a de la lumière. Même des guirlandes accrochées au-dessus des box. Bernadette, dans l'allée centrale, téléphone à la main, semble préoccupée. Elle nous voit entrer. Un grand sourire illumine son visage. Madame Walter est vêtue d'une jupe kilt. Un peu comme celle que porte Clémentine. Nous caressons quelques encolures des chevaux qui nous regardent passer.
Madame Walter raccroche pour nous serrer les mains. << Comme je suis contente de vous voir. Vous vous faites tellement rares ! >> lance t-elle. << Venez, tout le monde est déjà là ! >> rajoute t-elle en nous entraînant. C'est au fond de l'allée, la porte à gauche. Lors de la construction il y a trois ans, Juliette a fait aménagé ici un petit salon de courtoisie. Elle peut y recevoir des propriétaires de chevaux, négocier avec des fournisseurs. Clémentine me tient la main. Toute tremblante. Nous suivons Bernadette qui entre la première. Juliette arrive.
L'ambiance est à la bonne humeur. Pierre, un verre de jus de fruit à la main, bavarde avec Robert, le vétérinaire. Nous nous serrons les mains. Juliette, en parfaite maîtresse de maison, accorde son attention à chacun. Prévenante elle propose boissons, petits salés. Nous avons emmené des petits gâteaux aux noix. Les invités apportent toujours un petit quelque chose. Sur le principe de l'auberge Espagnole. On y trouve ce qu'on apporte. Juliette est également en jupe kilt. Les trois femmes portent bas noirs, bottes à talons. Et c'est le pur hasard ?
Un concours d'élégances féminines autant que masculines. Pierre, Robert et moi sommes en costumes stricts. Il fait bien chaud dans le petit salon superbement aménagé. Deux canapés se font face. Deux fauteuils au fond entre les deux. Il y a un matelas posé sur le parquet. Seul indice qui donne le ton quand à notre raison de nous retrouver là. Je bavarde avec Bernadette. Cette femme m'excite terriblement. Il émane de sa personne ce côté sensuel, discret, des femmes secrètement "disponibles". Nous savons qu'elle est une authentique "soumise".
En couple libertin avec Pierre, ils ont l'habitude de ce genre de réunions. Juliette est intransigeante. Elle exige de chacun des participants un certificat médical de moins de 48 heures. Nous présentons les nôtres. Les six feuilles sont posées sur la table à côté du canapé de droite. Chacun peut les consulter, en vérifier l'authenticité. C'est rassurant. Nous sommes entre esthètes, entre gens du monde, entre libertins. Pas question de transiger avec le règlement imposé par la "patronne". Juliette n'est pas seulement une chef d'entreprise, c'est une "meneuse".
Du coin de l'œil je regarde Pierre qui bavarde avec Clémentine. Depuis le temps qu'il désire la revoir. Il y a au fond de moi cette étrange sensation qui monte. Un mélange de curieuse tristesse, d'excitation et de curiosité. Je ne suis pas jaloux. Je ne connais d'ailleurs pas ce sentiment. Il y a toujours une émotion à voir sa compagne se faire draguer. Clémentine aussi surveille Juliette du coin de l'œil. J'ai interdiction absolue de baiser avec elle. Juliette est la seule femme à inquiéter Clémentine. Elle sait les sentiments de Juliette pour moi.
Bernadette bavarde avec Pierre. Il est le vétérinaire du haras depuis trois ans. Il ne vient pas que pour les chevaux. C'est un homme d'une quarantaine d'années. Plutôt chétif, le visage en lame de couteau, des petites lunettes rondes sur un nez droit. Quand Clémentine en parle, elle l'appelle le "rapace". Il en a le regard vif. Les cheveux noirs légèrement longs, raides coupés très élégamment. En regardant mieux, je découvre qu'il est le premier à avoir la bite à l'air. Le véto fait partie de ceux qui passent leurs queues dans le Gloryhole privé de Juliette.
Mon étonnement ne fait que grandir quand je vois Pierre passer sa main sous la jupe de Clémentine. Il l'attire à lui en la tenant par là. La doigte t-il pour l'attirer ainsi à lui ? Bernadette s'accroupit devant le vétérinaire. Elle offre son visage de femme "docile". Robert y frotte son sexe. Environ quinze centimètres d'une splendide érection. Juliette s'accroupit à son tour devant moi. Avec des gestes précis, elle descend la tirette de ma braguette. Je regarde Clémentine s'accroupir à son tour devant Pierre. C'est lui qui sort sa queue. Très semblable à la mienne.
Juliette s'empare d'une télécommande. La lumière baisse. Une lumière à présent tamisée. Juliette sait qu'elle a droit à la pipe sur autorisation de Clémentine que je vois sucer la première. C'est une émotion folle de voir la femme que l'on aime, qui partage notre vie, la complice de nos intimités, entrain de tailler une pipe à un autre. Je recommande à tout homme de découvrir et de ressentir ces émois. Il n'y a rien de plus déclencheur pour l'aimer encore plus fort. Les lèvres de Juliette se referment sur l'extrémité de mon sexe telles une ventouse.
Bernadette branle encore un peu Robert avant de se mettre à le téter à son tour. C'est surréaliste. Dans le miroir ovale je nous vois, les trois mecs, debout, entrain de mâter nos suceuses. Je pourrais déjà éjaculer dans la bouche de Juliette. Ce n'est pas souvent qu'elle me suce. Cela n'arrive d'ailleurs que lors de nos rares visites aux partouzes organisées au haras. Mais quelles merveilleuses pompeuses. Elles sont trois sublimes tailleuses de pipes réunies là ce soir. Avec trois véritables vicelards. Nous sommes six jouisseurs. Confrérie de la turpitude.
Pierre est le premier à se vautrer dans le canapé, son pantalon et son slip à mi cuisses. Il maintient fermement Clémentine à quatre pattes entre ses jambes écartées. Robert fait pareil en entraînant Bernadette. Bernadette, les yeux déjà cernés, excitée comme à chaque fois, présente les expressions de béatitudes célestes que nous lui connaissons. Stupre. Elle est à genoux entre les jambes du vétérinaire. Juliette ouvre les yeux, me fait un clin d'œil, ma bite enfoncée de moitié dans sa bouche. Elle me montre le canapé en le pointant de son index.
Je comprends. Je m'installe à mon tour en déboutonnant mon pantalon. L'élastique de mon slip sous les couilles. C'est désagréable mais c'est comme ça que Juliette apprécie. Je regarde Clémentine. Les yeux fermés, une expression d'extase sur le visage, la bite d'un autre mec dans la bouche. Cette étrange sensation m'envahit encore un peu plus. Pierre caresse sa tête, son visage. Parfois il appuie sur sa nuque pour enfoncer davantage de queue. Je contemple Bernadette. Elle aussi, dans une totale extase bouffe de la queue comme si sa vie en dépendait.
Juliette me suce sans cesser de me fixer. Dans ces instants d'intimité absolue elle ne peut masquer son regard amoureux. Je sais que pour elle le plaisir est double. La queue du mec qu'elle aime. Son jus qui envahit sa bouche. Je caresse sa tête. Elle saisit mes deux mains pour croiser nos doigts. Elle me fait des clins d'œil. De l'œil gauche. De l'œil droit. Hyper vicelarde. Les yeux pétillants de vice. J'adore cette femme. Chaude, autoritaire, une classe naturelle, l'allure aristocratique quelle que soit la situation. Ma sublime bourgeoise de 48 ans.
Clémentine ouvre les yeux pour fixer Pierre. Je la vois hyper gênée. Elle fait probablement des efforts surhumains pour soutenir son regard. Puis elle me regarde à mon tour. Je l'ai rarement vu aussi gênée. Presque honteuse de se livrer ainsi à sa gourmandise. Elle ferme les yeux pour continuer sa fellation goulue et certainement juteuse à la voir pomper, cesser, déglutir, recommencer. Pierre la tient sous le menton et par la nuque. Le salaud se fait piper comme un véritable pervers. Nous sommes trois pervers à offrir nos bites à trois authentiques salopes.
La porte s'ouvre soudain. Cessant de sucer, Juliette lance à la cantonade : << La "surprise" ! >>. Les femmes cessent de pomper pour regarder l'homme qui entre. Je ne l'ai jamais vu. Il ne paie pas de mine. Vêtu un peu "crade". Vieux futal en velours brun, élimé. Une chemise bleu sous une veste noire. Des mocassins de l'âge des cavernes. Il doit avoir la cinquantaine. Il s'avance rapidement en disant : << Salut tout le monde ! >>. Nous regardons ce curieux personnage se placer dans le coin. Juliette se lève pour le rejoindre. Elle s'accroupit.
C'est elle qui descend la tirette de sa braguette. Mais c'est lui qui en sort sa bite. Une petite chose qu'il agite vers nous. << Mesdames et messieurs, je vous présente le pervers de la soirée. Un clodo qui traîne parfois au haras pour donner un coup de main ! >>. Le type rit bêtement. Visiblement un peu simplet. De sa poche il tire un papier qu'il agite en disant : << J'ai mon passe ! >>. Je ne peux m'empêcher de rire. Juliette se redresse en lui disant : << Amuse toi bien et ne met pas du foutre partout ! >>. Elle vient s'accroupir entre mes jambes.
C'est un peu dérangeant ce type qui se branle en nous mâtant. Il se déplace. Se penche pour regarder chacune des pompeuses dans ses œuvres. Lorsqu'il est penché près de Clémentine, tout en suçant, elle louche sur la queue minuscule du branleur. Il se branle entre deux doigts. Juste au bout du prépuce. Il vient faire pareil près de Bernadette qui me lance un regard apeuré. Je lui fais un sourire. Pierre se lève soudain. Sans ménagement il saisit Clémentine par ses cheveux pour l'entraîner vers le matelas. À présent le branleur regarde Juliette.
Pierre se tourne vers Juliette en enfilant un préservatif. Il sait que la patronne a des exigences. Clémentine se couche sur le dos, écarte ses cuisses en repliant ses jambes. Elle attend la bite de Pierre. Il se couche sur elle, les bras en appui sur le matelas. Cette étrange émotion m'envahit complètement. Ce mélange d'une insondable tristesse teintée de dépit, d'excitation et de curiosité. Clémentine est pénétrée. Elle passe ses jambes autour du bassin de Pierre qui la baise à la hussarde. Bernadette cesse de sucer Robert pour s'allonger sur le dos au sol.
Elle aussi lui présente son sexe. Un triangle de poils noirs parfaitement taillé. Robert se redresse pour inviter madame Walter à s'installer dans le canapé. Elle y sera bien plus à l'aise pour se faire tirer. Juliette cesse de sucer, se redresse pour me chuchoter : << Tu n'imagines pas comme j'ai envie de baiser avec toi. Cette interdiction stupide me met en rage. Regarde là ta Clémentine. Elle s'envoie en l'air. Elle n'en a rien à foutre de ce que tu peux ressentir ! >>. Je mets ma main sur sa bouche en murmurant : << Ça suffit. Tais-toi. J'aime la voir ! >>.
Le branleur solitaire ne cherche à aucun moment le contact physique avec une des femmes. Il se contente d'aller de l'une à l'autre pour scruter leurs visages. Tout en se masturbant parfois frénétiquement. Un vrai pervers à n'en point douter. Comme il est moche avec ces cheveux gras pas coiffés. Clémentine pousse des petits cris de ravissements. Elle se fait sauter avec un bonheur évident. Depuis le temps que Pierre voulait à nouveau se la faire. Par contre, lorsqu'il veut l'embrasser elle détourne adroitement la tête. Le salaud la lime à blinde.
Robert n'est pas avare de coups de reins avec Bernadette. Elle aussi, les yeux fermés, dans une expression d'extase, pousse de petits cris de plaisir. Juliette me suce. Toutes les deux trois minutes elle cesse pour regarder ses consœurs se faire défoncer la chatte. Elle se lève pour aller tapoter sur l'épaule de Pierre en disant : << Laisses-en pour les autres et vient me la mettre ! >>. J'admire l'autorité de Juliette car Pierre se retire. Il enlève son préservatif pour en enfiler un autre. Ce faisant il y a du foutre qui s'écoule. Clémentine se redresse très vite.
Comme une assoiffée elle se met à téter la bite de Pierre. Lorsqu'il s'arrache de sa bouche pour enfiler son nouveau préservatif, Clémentine s'empare de l'autre pour le retourner et le sucer passionnément. Juliette se fait sauter debout, contre la table sur laquelle Pierre la couche. J'hallucine. Clémentine qui louche depuis un bon moment sur les activités du "clodo", ouvre la bouche en le fixant. L'enflure ! L'enfoiré ! C'est qu'il glisse sa queue dégoulinante dans la bouche de ma compagne. Robert se retire de Bernadette qui se masturbe en gémissant.
Robert aussi change de préservatif. Il fait tomber Clémentine sur le dos. Sur le matelas. Lui aussi reste en appui sur ses bras pour la sauter. J'ai le tournis. Bernadette pointe son index gauche sur sa poitrine. Son index droit vers mon sexe dégoulinant de jute. Je comprends. De mon index je lui fais signe de venir se mettre à genoux entre mes jambes. C'est avec un bonheur débordant qu'elle prend mon sexe en bouche. Elle aussi a une préférence pour les rapports génitaux buccaux. Surtout avec les vicelards de mon espèce. Le branleur s'approche.
Il se penche pour observer Juliette sucer. Là-bas, Clémentine, les jambes autour de l'étroit bassin de Robert, se fait baiser en gloussant de plaisir. C'est comme si elle cachait son visage pour que je puisse pas la voir. Bernadette est une grande, une très grande suceuse. Sa pipe me fait chavirer. Je ne veux pas éjaculer. Je veux le faire en fin de partouze dans la bouche de Clémentine. Lui offrir le fruit de ce qu'elle suscite de folies dans ma psyché. Je ne compte pas les orgasmes de Clémentine. Ni ceux de Juliette. Elles se font sauter bruyamment.
Le branleur va se mettre debout à la hauteur du visage de Juliette qui ouvre parfois des yeux humides de larmes de la jouissance. Il lui frotte le sexe sur le visage. Elle ouvre la bouche pour le gober. Les joues creusées par la succion gourmande, elle pompe comme une affamée. Il est étrange ce vieux dégueulasse qui passe d'une cochonne à l'autre pour faire goûter le fruit de ses branles sauvages et hystériques. Le voilà qui va se mettre à genoux à côté du matelas. Clémentine découvre cette petite bite inconnue pour la seconde fois.
Robert la saisit par sa nuque. Pour la forcer à approcher son visage. Le vieux dégoutant appuie sur sa tête. Il lui pince le nez puisqu'elle refuse d'ouvrir la bouche. Secouée par les coups de reins de Robert, Clémentine finit par ouvrir la bouche. Le salopard y introduit immédiatement sa queue. Robert redouble de coups de boutoirs. Ça fait longtemps que je n'ai plus vu Clémentine se faire sauter de la sorte. Le type la fait sucer en la forçant. Elle tente de se débattre mais à quoi bon chercher à lutter sous les coups de bite du vétérinaire.
Le vieux dégueulasse se retire enfin. Il se redresse pour aller faire subir les mêmes outrances à Juliette. Juliette beaucoup moins coriace, qui hurle sous les coups de queues de Pierre, ouvre généreusement la bouche. Je caresse la tête de ma suceuse. Bernadette me fixe de son regard plein de reconnaissance. Peu lui importe ce qu'on lui inflige, madame Walter a pour seul désir que l'on s'occupe d'elle. Et je le fais avec toute l'affection, toute la tendresse que cette femme émouvante m'inspire. Elle avale mes substances avec un étonnant appétit.
Robert cesse de bourrer Clémentine. Il se redresse. Il a l'air épuisé. Autant que Pierre couvert de sueur qui se retire également. Tous les deux retirent leurs capotes pour se laisser tomber dans le canapé. Le branleur se branle, debout dans le coin. Il mâte. Clémentine se redresse. Elle tient sa chatte à deux mains. Je ne l'ai jamais vu aussi épuisée. Les yeux cernés, les cheveux collants sur son visage dans la sueur. Le visage de Juliette porte lui aussi les stigmates de ce qu'elle a subi. Bernadette cesse de sucer pour dire : << C'est super ! >>.
Elle a de mon foutre qui macule le bas de son visage. Je regarde Clémentine se lever avec peine. Elle récupère les deux préservatifs emplis de foutre. Elle les porte à ses lèvres pour en faire couler le contenu dans sa bouche. Juliette qui dit : << Une connaisseuse qui sait ce qui est bon ! >>. Soudain Clémentine se précipite vers le branleur. Elle tombe à genoux devant lui. Elle nous tourne le dos. Je me lève le premier pour aller voir. Rapidement rejoint par les autres. Clémentine taille une pipe à ce véritable pervers. Il éjacule. Elle le tient par ses fesses.
Déglutissant tout en suçant, poussant de petits râles de ravissements Clémentine s'offre le jus des couilles d'un véritable salopard. Elle part même pour un second tour car elle empêche carrément le mec de se retirer. Je la sais affamée de foutre d'inconnus, mais là, ça dépasse tout ce que j'ai vu. Je ne suis pas objectif, je fais le même constat à chaque fois. Le type est obligé de se sauver pour fuir la bouche de cette "prédatrice". J'en profite pour tenter d'enfoncer ma queue. Comme souvent, dans ces situations, Clémentine oppose un refus catégorique.
Il est impossible de lui mettre mon sexe en bouche. D'un ton sévère elle dit : << Non ! >>. Je lui éjacule au visage. Pierre et Robert qui se branlent en regardant font de même. Je tiens Clémentine par sa tignasse. Fermement pour que les deux autres salauds la recouvre de leurs purées. Clémentine dans d'horribles grimaces pousse des cris d'écœurements. Bernadette vient me sucer pour récupérer les derniers reliquats de jus. Clémentine s'essuie le visage avec la serviette que lui tend Juliette. Ça coule. Mais où est passé le branleur ? Il a disparu !
Comme à chaque fois, à la fin des festivités, Clémentine n'a qu'un besoin. Celui de s'enfuir sans saluer personne. Elle se relève. Du foutre macule le haut de son pull. Elle en a plein les cheveux. Elle pose la serviette sur sa tête. C'est comme ça que nous filons. Sans un mot pour l'assistance médusée. Nous récupérons nos manteaux attachés aux cintres. Les chevaux nous observent. Là, le branleur. Il sort d'un box en se masturbant. Il rit bêtement. Clémentine s'approche de l'individu pour dire : << Merci ! J'aimerais bien vous revoir. C'est possible ? >>.
Je sors une petite carte de visite que je tends au quidam. Je précise : << Tu fais ce numéro. On prépare un rendez-vous ! >>. Clémentine rajoute : << Je veux passer une soirée à sucer votre queue. Si ça vous dit ! >>. Le mec, comme halluciné nous regarde avec de grands yeux. Il me fixe. Il fixe Clémentine. Nous entendons des rires depuis le salon. << Viens, on se casse j'ai envie de dégueuler ! >> me fait Clémentine. Nous laissons le "clodo" qui tourne la carte entre ses doigts. Je me retourne pour lancer : << Téléphone après les fêtes ! >>
Bonne nuit à toutes les coquines épuisées de plaisirs qui vont se blottir dans les bras de leur complice, de leur comparse pour un bon dodo
Julien
NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...