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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 6 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2057 -



Julie sait nous réserver bien des surprises

Hier matin, mercredi, il est aux environs de huit heures trente. Clémentine se serre contre moi. Elle passe sa cuisse sous mes fesses. Pose l'autre sur sa main qui vient de saisir mon érection naturelle. Elle se frotte lascivement en chuchotant : << Je t'aime Julien. Merci pour tout ce que tu me permets ! >>. Julie se réveille probablement aussi car je vois son bras s'enrouler autour de la taille de Clémentine. Épousant ainsi à la perfection son mouvement masturbatoire. Je passe mon bras autour de ses épaules en murmurant ; << Merci pour tout ce que tu m'offres ! >>.

Julie qui n'ose pas dormir à côté de moi, reste aux côtés de Clémentine. << Bonjour ! >> fait elle d'une voix à peine audible. Je prends son poignet et croise ses doigts entre les miens. << Oh mais je crois que je dérange ! >> lance Clémentine. Nous rions tous les trois de bon cœur. Julie s'écrie : << Non, reste ! >>. Sur ces mots Julie se lève pour se précipiter vers la porte. Clémentine me tient fermement le sexe pour me confier à quel point elle a encore atteint des "sommets" hier après-midi. << Je deviens de plus en plus salope ! >> s'exclame t-elle. Bisous.

Nous rions. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Quand Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets je la félicite pour ses "compétences" et pour sa "prestation" de hier. << J'aime te savoir caché à m'observer. Je crois que c'est ce qui m'excite le plus ! >> avoue t-elle une fois encore. Nous nous habillons de nos tenues de sport avant de dévaler les escaliers. Julie achève de mettre la table dans une cuisine aux effluves de café et de pain grillé. Petit bout de femme adorable dans son pyjama de fin coton blanc. Ses cheveux en catogan.

Je presse les oranges, Clémentine pèle les kiwis. Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur l'aventure de hier après-midi. Julie pose quelques subtiles questions auxquelles Clémentine se fait un plaisir de répondre. Un luxe de détails quand à ses ressentis, ses impressions. La "surprise" réservée par monsieur Bertrand. << Un vrai vicelard ! >> précise t-elle. Je demande à Julie : << Tu n'as pas envie de goûter du vieux pervers ? >>. Elle baisse les yeux sur sa tartine avec un sourire énigmatique. Aucune réponse. Juste le silence.

Elle demande à Clémentine : << Tu baises avec d'autres mecs sans capote ? >>. Clémentine s'empresse de répondre : << Jamais. Mais tu sais, j'avais déjà bavardé avec le menuisier il y a deux semaines. Et Louis m'a confirmé la chose. Ce type ne baise plus, ne va pas aux prostituées et se contente des sites pornos sur lesquels il se branle des heures entières ! >>. Nous rions aux éclats. Clémentine rajoute : << Je déteste me faire éjaculer dedans. Mais là, hier, j'étais à savourer la queue à Louis quand j'ai énormément apprécié la sensation. Bizarre ! >>.

Je demande à Julie : << Et vous, lorsque le Chef de cuisine vous encule, il éjacule ? >>. Julie s'empresse de répondre : << Rarement. Il éjacule dans la bouche de ma tante. Ils se font des signes. Elle se précipite toujours pour tout récupérer ! >>. Nous rions aux éclats quand Julie rajoute à l'attention de Clémentine : << Tu devrais vraiment essayer le Chef de cuisine. Jean-Louis en a une belle. Comme tu les aimes ! >>. Clémentine pose sa main sur la mienne. Je dis : << Mais oui, tente le coup ! Un bon coup comme tu les aimes ! >>. Elle me regarde en souriant.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de la journée. Julie a prévenu ses parents. Elle reste avec nous jusqu'à demain jeudi. Elle revient vendredi après-midi pour le cours de peinture et samedi matin pour le ménage. << Génial ! Tu auras été avec nous toute la semaine ! >> lance Clémentine. << Allez courir, je m'occupe de tout ! >> dit Julie qui se lève pour commencer à débarrasser. Nous posons chacun une bise sur son front avant de quitter la cuisine. Moi je passe une main entre ses cuisses. C'est chaud. Le coton est doux.

Il fait un peu plus frais ce matin. Il faut enfiler les K-ways avant de sortir. Le ciel est couvert. Aucune menace. Quelques mouvements d'échauffement. Flexions, sauts sur place. C'est parti. Notre parcours préféré le long de la rivière. Il est dix heures quand nous revenons pour prendre notre douche. Clémentine porte une jupette "tennis" grise, un sweat noir. Je reste en bermuda kaki et sweat gris. Il n'y a aucun bruit à l'étage. Nous dévalons les escaliers. C'est au salon que Julie lit son livre. Confortablement installée dans le fauteuil.

Elle nous fait le plus merveilleux des sourires. << Tu viens courir avec nous demain matin ? >> demande Clémentine. En refermant son bouquin, Julie répond : << Je ne peux pas me permettre de perdre encore du poids ! >>. C'est vrai que Julie est mince. "Limite". Mais nous la connaissons avec ce même physique depuis cinq ans. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Nous avons un courriel d'Estelle. Elle nous raconte sa soirée de la Toussaint chez les parents de Gauvain. Jean-Marc, son parrain qui l'invite au restaurant ce soir.

Julie est en jupe. Plongée dans sa lecture. Le fait-elle exprès ? Est-ce destiné à ma personne ? Mais ses cuisses sont légèrement écartées. Je mâte. C'est Clémentine qui, de l'index discrètement pointé, me fait découvrir ce détail. Il y a quelques messages privés sur les forums où nous publions nos aventures. Clémentine répond toujours de quelques phrases courtes. Ce sont le plus souvent des remerciements. Des témoignages de quelques lecteurs fidèles. Le plus drôle ce sont ces mecs qui voudraient s'immiscer dans notre vie privée, dans nos intimités.

Je ne cesse d'observer Julie. Je surprends son regard qui louche par-dessus ses lunettes d'étudiante. J'ai à présent la conviction que c'est un acte délibéré. Je ne sais pas si elle porte une culotte. Je ne sais pas si elle a son plug dans le cul. Clémentine se lève. Elle change de position pour s'assoir sur mes cuisses en me tournant le dos. << Julie, regarde, par derrière ! >> lance t-elle. Julie regarde franchement en souriant. Elle dit : << Si tu essaies avec Jean-Louis, tu vas aimer ça ! >>. Nous rions de bon cœur. Clémentine se lève pour ouvrir ma braguette.

Elle me sort la queue. Je bande. Elle me la tient à sa base. Julie referme son livre pour mâter. << On se fait un après-midi vicieux en extérieur ? Ça te dit ? >> demande Clémentine. Julie se lève, s'ajuste en répondant : << Je suis ouverte à toutes les suggestions. Oui, partons à l'aventure ! >>. Clémentine me lâche pour retrousser sa jupette. Elle dit : << Une exhibe avec moi ? >>. Julie retrousse sa jupe pour lancer : << Une exhibe avec toi ! >> J'ai la réponse à ma question. Julie ne porte pas non plus de culotte. Je bande hyper fort. Dur.

<< Venez, on va faire quelques pas dehors ! >> propose Clémentine. La température extérieure n'excède pas 16°. Avec nos jambes nues, c'est vraiment limite. Mais nous descendons jusqu'à la rivière. Il est onze heures quinze. Julie reste au bras de Clémentine qui me tient la main. J'ai remballé mon sexe. La braguette ouverte dissimulée par mon sweat. Quelle surprise. Monsieur Bertrand est au bord de l'eau. Il y a deux seaux dans sa brouette. Il nous salue comme si l'après-midi de hier n'avait jamais existé. Le bougre ne manque pas de toupet.

Nous bavardons. Louis est parfaitement ignorant du fait que je sais tout. Il s'imagine que ce qu'il vit avec ma compagne est secret. Tant mieux. C'est bien plus excitant. Volontairement je me mets en retrait après quelques minutes. Je suis accroupis près de l'eau en y trempant la main, essayant d'attirer les canards. Je louche sur le trio. J'hallucine. Clémentine tient Julie par sa nuque. De son autre main elle lève le pouce. Julie, tête et yeux baissés, silencieuse reste toute timide et réservée. Je sais qu'elle ne joue pas. Clémentine qui chuchote. Fabuleux.

C'est comme si elle faisait des cachoteries que je devais ignorer. Fabuleuse Clémentine qui prépare un nouveau "plan". Je me redresse pour m'éloigner encore un peu plus. Jusqu'à être derrière les fourrés à une centaine de mètres. Je regarde. Notre voisin se palpe vulgairement la braguette tout en bavardant avec les deux filles. Clémentine qui pointe son index vers la bosse. Comme si elle expliquait quelque chose à Julie. Julie qui lève parfois timidement la tête pour répondre à monsieur Bertrand. Quand Clémentine me cherche du regard, c'est le signal.

Je reviens en tenant une branche. Il y pend de la "monnaie du pape", ces feuilles pâles et translucides qui évoquent un peu des chips. Évidemment Louis cesse toutes activités manuelles louches. Je rejoins le trio. Il fait froid avec les jambes nues. Et il commence à faire faim. Nous saluons notre voisin pour remonter le chemin. Clémentine me raconte : << J'ai présenté Julie à monsieur Bertrand. Je lui ai expliqué ce que je fais parfois avec lui comme si elle ne le savait pas. Ce vieux pervers a failli sortir sa bite pour la lui montrer ! Le vicelard ! >>.

Je demande à Julie : << Il vous a fait une proposition ? >>. Julie me répond : << Non c'est Clémentine qui lui a proposé de m'emmener dans son jardin un de ces jours ! >>. Nous rions de bon cœur quand elle rajoute : << Pour goûter sa queue ! >>. Il fait bien meilleur à l'intérieur. Quelle surprise. Pendant que nous étions entrain de courir ce matin, Julie a préparé le repas. Du riz complet qui a gonflé. Trois filets de flétan avec des champignons. Jusqu'aux carottes qu'il suffit de râper. Nous déposons chacun une bise sur son front. Elle en glousse.

Clémentine fait l'assaisonnement de la salade. Julie met les assiettes et les couverts. Je râpe du gruyère. Je fais une rapide sauce au Roquefort. Julie répond aux questions de Clémentine. Elle n'est pas contre un super "plan". Clémentine propose de l'emmener voir le voisin, tenue à la laisse. De l'offrir aux agissements pervers de ce vieux dégueulasse. << Je ne suis jamais contre une nouvelle expérience ! >> répond deux fois Julie. Je passe derrière elle. Je glisse ma main sous sa jupe, entre ses cuisses. Son sexe est humide. Rien d'enfoncé dans le cul.

Je peux donc y introduire mon doigt. Elle se cambre un peu pour me permettre d'y enfoncer la première phalange de mon index. Je tourne le doigt délicatement en disant à l'oreille de Julie : << Vous allez sucer du vieux pervers un de ces jours ! >>. Clémentine qui se touche, répond : << Julie, tu veux que je t'organise le "plan" pour ce vendredi ? >>. Julie ne répond pas. Elle se contente de lever la tête et de fixer longuement Clémentine. Je sors mon index pour le passer entre les lèvres trempées de sa vulve. J'adore les petits spasmes de son corps.

<< Je fais le service ! >> s'écrie soudain Julie. Nous mangeons de bon appétit en faisant le "plan" de l'après-midi. Clémentine suggère un tour à la bibliothèque municipale. << Il y a parfois des mecs louches là-bas ! >> précise t-elle. Le Musée des Beaux-Arts permet également quelques "figures de styles" qu'affectionne tout particulièrement Clémentine. Elle précise : << Deux salopes en virée, ça te tente ? >>. Julie s'empresse de répondre : << Génial ! Tu m'apprendras des "trucs" parce que moi je suis plutôt voyeuse ! >>. Je me lève pour me branler.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine raconte quelques grands moments vécus durant nos vacances ou lors de nos "expéditions". Julie, sur sa chaise, se trémousse en écoutant. Parfois elle demande quelques détails. C'est passionnant de les écouter toutes les deux. Julie débarrasse pour faire la vaisselle. Nous essuyons avant de monter nous laver les dents. Nous nous changeons. Julie n'a pas de porte-jarretelles. Ceux de Clémentine sont au moins deux tailles au-dessus. Par contre elle a des collants.

Clémentine porte une jupe droite, grise, qui arrive un peu au-dessus du genoux. Un chemisier blanc sous un pull noir. Ses bas noirs. Des mocassins noirs à légers talons. << Façon "Mormon" cet après-midi ! >> lance t-elle en prenant des poses devant le miroir. Julie est habillée elle aussi de façon stricte. Une jupe droite, noire. Des collants noirs. Un chemisier crème sous un pull bleu nuit. Des souliers de ville, noirs, à légers talons. Sur la demande de Clémentine je reste avec un jeans propre, une chemise blanche sous un pull noir au col en "V". Mocassins.

Nous prenons des poses devant le miroir de l'armoire. << Venez, on file, je suis pressée d'aller à l'aventure ! >> lance Clémentine qui nous entraîne. Nous enfilons des vestes cintrées. Ces accoutrements un peu sévères nous excitent considérablement. Julie découvre ma nouvelle voiture. << Wouah ! Elle est magnifique ! >> lance t-elle. Elle aussi trouve cette aspect de métal gris anodisé absolument superbe. << On dirait du métal "brossé" ! >> lance t-elle. << Mets toi devant, à côté du chauffeur ! >> lui fait Clémentine en ouvrant la portière. Silence.

Je demande : << Électricité ou essence ? >>. La Mercedes de classe E présente les deux possibilités. Véhicule hybride. << On teste l'électricité ! >> lance Clémentine qui s'installe à l'arrière. Ça me fait tout bizarre de la voir derrière. Je démarre. Dans un silence total la voiture réagit à la moindre sollicitation. Aussi puissante en électrique qu'en version essence. C'est bluffant. Julie est toute timide et reste mutique. Clémentine me tapote sur l'épaule en disant : << Option bite à l'air ! Ce n'est pas de série mais appréciable en voyage ! >>.

Nous rions de bon cœur. J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe. Je bande mou. Julie ne regarde plus le paysage. Les yeux rivés sur ma turgescence galopante. Je commence à bander sévère. Quand je regarde dans le rétroviseur intérieur je vois Clémentine, cuisses largement écartées, entrain de se masturber. Son clitoris géant entre ses doigts. Julie se retourne fréquemment pour regarder. Il y a de nombreux silences. Une quinzaine de kilomètres jusqu'à la zone commerciale. Une vingtaine jusqu'en ville. Ma main entre les cuisses de Julie. Douceurs.

Je la touche. Son collant empêche le contact de la peau. Je passe ma main sous ses cheveux pour saisir sa nuque. Fermement je la force à se pencher sur sa gauche. Elle comprend. Serrant obstinément les lèvres afin de m'empêcher de pénétrer sa bouche. J'ordonne : << Ouvrez Julie ! >>. Elle obéit. En fait, authentique soumise qui se révèle, tant à nous qu'à elle-même, Julie vit encore là un instant sublime. Je sens ses lèvres qui se referment comme une ventouse. Julie suçote longuement. Sa préférence étant de mâchouiller la peau fripée du prépuce.

Je roule doucement. Le plaisir de conduire une grosse berline allemande, propulsée par 360 chevaux sous le capot, est encore décuplé par la superbe pipe que me prodigue ma passagère. Clémentine, sans cesser de se masturber est à genoux sur la banquette arrière. Son bras autour de l'appui tête et de mon cou, elle observe religieusement la fellation goulue de Julie. << C'est bon hein ! >> lance t-elle. Julie, sans cesser de pomper pousse un gémissement affirmatif. Je gare la bagnole sur le parking derrière les bâtiments de la grande bibliothèque.

Je force Julie a se relever. Les yeux cernés de Clémentine ne laissent aucun doute sur son état d'excitation. De l'index je récupère le liquide séminal aux commissures des lèvres de Julie. Je lui fais sucer mon doigt. Elles ont toutes les deux ces visages des filles enivrées de plaisir, de bonheur et de vice. Ce sont les vacances scolaires. Il n'y a pas grand monde dans la grande salle. Deux couples de séniors assis autour d'une des tables rondes. Clémentine nous entraîne dans les rayons du fond. Là, glissant une main sous sa jupe, elle se masturbe à nouveau.

Je passe ma main sous la jupe à Julie en chuchotant : << Vous avez déjà joué dans des lieux publics ? >>. Julie ouvre de grand yeux. Je la tripote vulgairement. Elle regarde partout autour de nous, le corps agité de frissons. << Non ! J'ai la trouille ! >> répond t-elle à voix basse. Clémentine murmure : << Tu vas voir, c'est génial ! >>. Personne ne vient par là. C'est désert une bibliothèque quand il n'y a pas d'étudiants. Triste. Clémentine se masturbe en se tenant au montant d'une des étagères. Je masturbe Julie qui paraît terrorisée. Nous rions bien.

Il n'a pas de caméra de surveillance là. Je sors ma queue. Je bande comme le dernier des salauds. Je force Julie à s'accroupir. Je lui frotte la bite sur la gueule en la maintenant fermement par ses cheveux. Elle tremble de peur. Clémentine, tout en se touchant, fait le guet. J'enfonce mon sexe dans la bouche de Julie. Je la saisis par les oreilles pour me masturber. M'agiter. Elle se met à sucer comme si sa vie en dépendait. Beaucoup plus pour s'abstraire de la réalité de cet endroit peu rassurant que par plaisir pur. Clémentine a des spasmes de plus en plus forts.

Je murmure : << Tu ne vas nous pisser ici ! >>. Elle chuchote : << Mais tu imagines un peu dans quel état tu me mets ! >>. J'éjacule dans la bouche de Julie qui tombe à genoux sans cesser de pomper. L'abondance de mon sperme est tel qu'il en coule de sa narine droite. << Quelqu'un ! >> lance Clémentine. C'est un couple de séniors qui se dirigent par là. Je remballe à toute vitesse. Julie se redresse précipitamment. Il y a deux hommes qui viennent également vers les rayonnages. << On dégage ! >> fait Clémentine. Nous repartons vite.

Un petit tour au Musée des Beaux-Arts. Aucune opportunité sérieuse. Clémentine exige des situations exhibes de haute qualité. C'est mieux. Hors là, il n'y en a pas. Ce sont principalement des groupes qui visitent. Un petit tour au centre commercial. << On bouffe à la cafétéria ? >> suggère Clémentine lorsque nous lisons les menus. Julie répond : << On serait pas mieux à la maison ? >>. Clémentine rajoute : << Toi, tu as envie de faire des trucs hein ! >>. Julie murmure : << Oui ! >>. Je chuchote : << Je vous baise toutes les deux après le repas ! >>.

Bonne "faim" de soirée à toutes coquines bien "allumées" par un après-midi de vice, de turpitudes, de bite en bouche et de jus de couilles...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2058 -



Julie nous laisse avec tristesse

Hier matin, jeudi, il est aux environs de quatre heures. Après de multiples insistances de la part de Clémentine, Julie s'en endormie auprès de moi. Dans son sommeil elle est venue se serrer. Inconsciente. Je suis donc réveillé par quelques mouvements intempestifs. Je bande. Il me revient en pensées nos "jeux" de hier soir. J'entends la respiration régulière de Clémentine à ma gauche, de Julie à ma droite. Je me tourne vers elle. Je passe ma main entre ses cuisses. Un doux et léger gémissement. J'introduis ma dextre dans son pyjama, sa culotte.

Lascive, offerte, Julie se met sur le dos, écarte ses cuisses pour me permettre le meilleur accès. Je viens me coucher sur elle en évitant de le faire de tout mon poids. Je frotte mon érection sur son sexe tout en descendant ses vêtements. Elle m'y aide dans le plus total silence. Je la pénètre de quelques millimètres. Elle est sèche mais désireuse. Elle se masturbe. Clémentine se réveille. Dans la pénombre elle nous observe. Elle passe sa main sur mon dos, sur mes fesses avant de saisir mes couilles. Je pénètre Julie un peu plus. Elle gémit. J'arrête.

Inutile d'insister. C'est douloureux. Je me retire pour me placer sur le dos. Je la saisis par la nuque pour attirer sa tête. Julie n'oppose aucune résistance. Je me fais tailler une pipe. C'est un peu étrange. Clémentine se blottit contre moi. C'est ainsi que nous nous endormons tous les trois à nouveau. Il est huit heures trente quand Clémentine vient se blottir contre moi. Julie ouvre les yeux. Je passe mon bras autour de ses épaules pour l'attirer vers moi. Elle vient timidement se serrer. De plus en plus fort, tenant la main de Clémentine. C'est beau.

Julie est la première à se lever pour se précipiter vers la porte. Elle dit : << Je vous attends dans la cuisine ! >>. Clémentine me chevauche en riant. Elle adore frotter son sexe sur ma tumescence. << Tu fais des tentatives nocturnes non abouties ? >> lance t-elle, espiègle. Nous rions de bon cœur lorsque qu'elle rajoute : << Avec moi, ça rentre plus facilement ! Surtout si tu me la mets dans la bouche avant ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous nous promettons de tenter l'expérience en nous habillant de nos tenues de gymnastique.

Morts de faim nous dévalons les escaliers. Les effluves enivrantes du café et du pain grillé flottent dans la grande pièce. Julie, dans son pyjama, place les bols, les couteaux. Elle paraît encore plus timide que les autres matins. Je m'approche d'elle. Je pose mes mains sur ses épaules pour dire : << Pardonnez mes audaces nocturnes jeune fille ! >>. Julie lève les yeux. Je la sens lutter pour soutenir mon regard. Nos jeux d'entraînement à le faire commencent à porter leurs fruits. Elle répond : << C'est moi qui m'excuse. Je me sens cruche ! >>.

Nous rions aux éclats. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée. Je dis à Julie : << Je vous pénètre deux à trois fois par jour. J'apprécie énormément. Merci pour vos participations ! >>. Julie se met à rire. Elle fait : << Je me fais tellement rarement pénétrer par là. Ça commence à me plaire ! Vous êtes le seul à en avoir la primeur ! >>. Clémentine, en posant sa main sur la mienne, demande : << Tu ne baises jamais. Tu te fais enculer c'est tout ? >>. Julie baisse les yeux, honteuse pour répondre : << Toujours ! >>.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant nos aventures communes de ces derniers jours. Julie devra nous laisser après le repas de midi. Rejoindre ses parents, sa mamie. Dehors, il pleut. Il fait sombre dans toute la maison. Depuis l'arrivée de Julie lundi, nous fonctionnons avec les panneaux photovoltaïques. Une expérience concluante car il est impossible de ressentir une quelconque différences. Les appareils fonctionnent à l'identique. Congélo, frigo, etc... C'est rassurant car en cas de coupure du courant, notre parfaite autonomie est assurée.

<< Allez vous entraîner, je m'occupe de tout ! >> lance Julie qui se lève pour commencer à débarrasser. Nous quittons la cuisine en déposant une bise sur son front. Une fois encore je passe ma main entre ses cuisses. Cette fois, et en même temps qu'elle a ce réflexe typiquement féminin, elle saisit mon poignet pour placer ma main directement sur son sexe. Le doux contact du fin coton chaud me procure un frisson. Nous la laissons pour monter à toute vitesse. Notre heure d'entraînement. Ce matin dans une intensité maximale. L'aérobic.

Le jogging sur les tapis roulants. Nous sommes contents de retrouver notre salle de sport à l'étage. Les exercices au sol et abdominaux avant de passer aux charges additionnelles. Les étirements d'un bon stretching avant de filer sous la douche. Nous nous habillons. Le thermostat régule parfaitement les radiateurs qui assurent une température de 20° dans toute la demeure. Clémentine porte une jupe de velours carmin, un fin sweat de coton rouge. Je reste en bermuda kaki, chemisette à carreaux vichy. C'est d'un mauvais goût qui fait rire Clémentine.

<< Enlève ce truc. Tiens tu mets ça ! >> lance t-elle en me tendant un sweat brun. Nous redescendons à toute vitesse. Julie est au salon. En jupette, chemisier blanc, assise dans le fauteuil avec son livre. Nous déposons une bise sur son front. J'ai le réflexe de glisser ma main entre ses cuisses. Elle ne porte pas de culotte. Il est dix heures trente. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Visite sur le site de l'université. Il y a enfin les informations tant attendues. Les programmes qui attendent Clémentine dès lundi. Elle est contente.

Je regarde en direction de Julie. J'hallucine. Elle est à genoux dans le fauteuil, la jupette relevée, ses coudes en appui sur le dossier. Elle porte le plug anal que nous lui avons offert pour son anniversaire. << Deviendrais-tu exhibitionniste ? >> demande Clémentine. << Tu m'apprends tes tours de prestidigitations alors je pratique pour conserver l'acquis ! >> répond Julie. Nous en rions tous les trois aux éclats. Julie reste dans cette position tout en reprenant sa lecture. En nous montrant son magnifique petit cul. Un modèle réduit sublime.

Nous avons le message d'Estelle qui nous rejoindra samedi en début d'après-midi pour rester jusqu'à dimanche soir. Elle commence à drôlement nous manquer. Ce sont les premières vacances depuis longtemps qu'elle ne passe pas avec nous. Il faut aider à l'entreprise familiale, il y a les préparations pour la rentrée universitaire, il y a probablement quelques escapades avec Gauvain, le collègue étudiant. Clémentine se lève. Elle m'entraîne par la main, nous contournons le bureau pour venir regarder de près. Penchés tous les deux, on mâte.

J'adore les petits poils qui forment un écrin autour du socle en laiton doré du plug. Julie cesse de lire. Elle se cambre pour que nous puissions observer tout à notre aise. Je sors ma queue. Je bande mou. Ce spectacle nous ravit. Je m'accroupis en saisissant les cuisses de Julie. Elle les écarte au maximum que permet la largeur du fauteuil. Les fines lèvres fripées de sa vulve pendant gracieusement. Je découvre qu'elles ressemblent à celles de Clémentine. Je passe délicatement mon doigt pour les faire bouger. Elle reprennent leurs positions initiales.

Je montre mon index mouillé à Clémentine en disant : << Il faut que je compare ! >>. Clémentine retourne vers le bureau. Y monte pour s'y mettre à quatre pattes. << Viens ! >> lance t-elle à Julie qui s'empresse de la rejoindre. Toutes les deux, jupettes relevées, m'expose leurs fesses. Il n'y a pas de plug dans le fondement de Clémentine. Par contre l'extrême broussaille cache le trou du cul. Les lèvres de Clémentine sont bien plus charnues. Elles pendent bien davantage. Je peux comparer en toute sérénité. Longuement. Elles se marrent !

Je fais tourner le plug. Doucement. Il est probablement lubrifié par la salive de Julie. Je glisse mes doigts entre leurs lèvres. J'en enfonce la première phalange pour les faire bouger. Doucement. Puis j'accélère. Ça les fait rire. Le clitoris de Julie, extrêmement sensible n'est que ce petit bouton turgescent de la plupart des filles. Par contre celui de Clémentine se distingue par derrière en dépassant de la touffe de poils. Comme une petite bite que je décalotte. Elle en frissonne. Je masturbe mes deux "démonstratrices" qui commencent à gémir en se tortillant.

Julie se retourne soudain pour sauter du bureau. Elle se réajuste en disant : << Je suis bien ici. Je suis cruellement partagée entre ma famille et vous ! Ça devient infernal. Un vrai tourment ! >> lance t-elle. Je cesse de doigter Clémentine qui descend à son tour. Elle pend Julie par ses épaules en disant : << Moi, je n'ai pas de famille. Toi tu en as une. Tu dois en profiter tant que tu le peux ! >>. Sans répondre mais comme soulagée, dans un soupir, Julie se blottit dans les bras de Clémentine qui me regarde avec air terriblement embarrassée. Gênée.

J'agite ma queue en direction des filles pour dire : << Julie, vous êtes ici chez vous. Votre présence est un plaisir de chaque instant. Pourquoi être déchirée par tant de bonheur ? Profitez du temps que vous passez dans chaque maison pour nourrir toutes vos envies ! Toutes vos joies ! >>. Julie me fait le plus adorable des sourires quand Clémentine rajoute : << Ici, tu as une bite et une chatte ! C'est un petit supplément non négligeable ! >>. Rires. Julie reste debout, un peu perdu, les mains croisées à la hauteur de son sexe. Elle paraît méditative.

C'est qu'il commence à faire faim. Pour détendre un peu cette atmosphère devenue légèrement pesante, Clémentine nous entraîne dans la cuisine. Quelle surprise. Une fois encore Julie a profité de notre absence pour préparer le repas de midi. Elle sait que Clémentine adore les gratins. Cette fois c'est un gratin de courgette et d'aubergine qui est dans le four encore chaud. L'assaisonnement déjà préparé n'attend que les endives lavées qu'il suffit de couper. Nous déposons des bises sur le front de Julie pour la remercier. Elle se serre contre nous deux.

Clémentine me tient une bite toute molle. << Tu prends un apéro ? >> demande t-elle à Julie pour la divertir. Quelle bonheur que de la voir éclater de rire. À nouveau heureuse, soulagée des pensées qui la tourmentent. Je pose mes mains sur ses épaules pour appuyer. Je ne suis pas obligé de la forcer. La voilà avec l'extrémité de mon sexe en bouche. Mâchouillant la peau de mon prépuce comme elle aime tant le faire. Elle prétend que ça me fait mouiller et que ça tire du jus. Clémentine m'embrasse passionnément en gardant les yeux ouverts pour mâter.

Nous regardons Julie, les yeux fermés, une expression de profonde extase sur ses traits, entrain de savourer ce qu'elle suce. Je bande comme le dernier des salauds. Je retire mon sexe. Un long filament épais, gluant et légèrement jaunâtre relie mon prépuce luisant de liquide séminal aux lèvres brillantes de Julie. Brillantes de foutre. Je l'aide à se redresser. Clémentine se penche pour récupérer le reliquat. Elle suce alors que je demande à Julie de me montrer l'intérieur de sa bouche. Je demande : << Dur à avaler, hein ! >>. Julie répond : << J'adore ! >>.

Nous passons à table. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur ces trois journées ensemble. Julie en reste enchantée. Elle expose à haute voix toutes les stratégies possibles pour venir passer plus de temps avec nous. Son emploi du temps est serré. Surtout les week-end ou elle exerce en tant que serveuse dans le restaurant de sa tante. Pourquoi ne pas nous rejoindre les samedis soir. Passer la nuit avec nous et repartir le dimanche avant midi. Afin de manger avec ses parents ? << J'y pense de plus en plus ! >> précise notre amie, pensive, secrète.

Je me lève à quelques reprises pour faire "l'hélicoptère". Cela fait rire Julie qui adore me voir faire tourner ma queue molle de plus en plus vite. Clémentine rit aux éclats quand je bats des records de vitesse. Elle me fait signe de l'index. Je la rejoins. Elle saisis mon sexe pour dire : << Un petit digestif après le dessert ? >>. Julie ouvre de grands yeux gourmands en s'écriant : << Oh oui ! >>. Nous rions de bon cœur. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Julie se change. Jeans, sweat, bottines. Nous redescendons. Je porte son sac de sport.

C'est dans le hall d'entrée que Clémentine lui offre ma queue. En serrant le prépuce comme pour l'essorer, elle en fait jaillir une goutte. Julie s'accroupit précipitamment pour la récupérer du bout des lèvres. Clémentine appuie sur sa nuque afin qu'elle gobe la moitié de mon sexe. Elle suce goulument en poussant de petits râles. Il faut cesser. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture, sous le parapluie. Julie revient demain pour le cours de peinture. << On te prépare un super "plan". Je crois que tu ne vas pas peindre beaucoup ! >> précise Clémentine.

Bon après-midi et bonne soirée à toutes les coquines qui raffolent d'être seules avec leur compagnon de vie, une bite rien que pour elles...

Julien



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Clémentine se livre à une petite expérience

Hier matin, vendredi, il est presque neuf heures. Dehors c'est la pluie. Nous nous réveillons quasiment en même temps. Clémentine est restée serrée contre moi toute la nuit. Elle se blottit encore plus fort en saisissant mon érection matinale. << Je t'aime ! >> murmure t-elle en se frottant contre ma cuisse. Je glisse ma main dans sa culotte. De sa main libre elle tient mon poignet afin que je ne la retire surtout pas. Des bisous, des papouilles avant de nous précipiter aux toilettes. Vêtus de nos tenues d'entraînement, morts de faim, nous descendons.

C'est toujours un peu étrange de retrouver la cuisine sans Estelle ou sans Julie. Clémentine me saute au cou en s'écriant : << J'aime quand il y a juste nous deux ! >>. Je la soulève pour la faire tourner. Elle fait le café pendant que je presse les oranges, que je pèle les kiwis. D'un geste adroit Clémentine récupère les premières tranches éjectées par le grille-pain. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant un premier bilan de ces vacances. Denses, intenses, pleine de rebondissements imprévus et de surprenantes surprises. Les moments les plus dingues.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant le week-end à venir lorsque la musique du téléphone de Clémentine nous interrompt. << Julie ! >> s'écrie t-elle en mettant sur haut-parleur. Julie s'excuse de ne pouvoir nous rejoindre. Un impondérable familiale. Elle viendra demain matin pour le ménage. Elle précise également qu'il faut qu'elle se retrouve un peu car notre compagnie participe souvent à la déstabiliser quelque peu. Rires. Nous l'embrassons en lui souhaitant une bonne journée. Clémentine se lève pour s'assoir sur mes genoux avec sa tartine.

<< Seuls jusqu'à demain. Juste toi et moi. C'est génial ! >> s'écrie t-elle en mitraillant mon visage de bisous collants au miel. Je réponds : << Je t'adore ! Je te promets quelques beaux moments. Rien que pour toi ! >>. Clémentine change de position. Installée à califourchon sur mes cuisses, elle pose sa tartine pour se frotter, agrippée à mon cou. Nous débarrassons pour faire la vaisselle, remonter pour nous laver les dents, passer dans notre salle équipée. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, exercices au sol, charges additionnelles et stretching.

La douche. Vêtus pareils tous les deux, jeans, chemises à carreaux, nous dévalons les escaliers pour aller au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Deux messages. Un courriel d'Estelle impatiente de nous rejoindre en précisant qu'elle a un tas de choses à nous raconter. Le mail de Julie qui confirme son impossibilité de nous rejoindre. Avec quelques détails supplémentaires. C'est Clémentine qui répond. Elle surfe un peu sur le site de l'université. Pas de nouvelles informations. Juste des précisions quand aux déroulements des cours.

S'installant à nouveau à califourchon, tout en se frottant, elle me propose d'aller en ville cet après-midi. À la recherche de quelques ouvrages universitaires en rapport avec les cours qui l'attendent dès ce lundi. Visite à la FNAC et chez Cultura. << J'ai une petite idée sympa qui taraude mon esprit. Et mes sens ! >> dit Clémentine. Lorsqu'elle se frotte ainsi, elle se masturbe toujours pour de bon. << À quoi bon faire semblant si ça ne procure pas de plaisir ! >> précise t-elle souvent entre deux soupirs de contentements. Je la tiens par les hanches.

Du tiroir du bas du bureau, celui où nous rangeons les accessoires de nos "jeux", Clémentine tire la pochette brune en cuir "croco". De la taille d'un portefeuilles, elle s'ouvre comme un livre. C'est un aimant qui en fixe le battant. Ne mesurant pas plus d'un centimètre d'épaisseur, elle abrite quelques photos prises il y a trois ans. Aux nombre de quatre, d'un format standard de 10 cm sur 15 cm. Le visage de Clémentine, maculé de sperme. Des mèches de cheveux mouillés qui collent sur son front, sa joue droite, sur le bord de son menton.

Ce sont des clichés pris par Estelle lors d'une de nos soirées à trois. Clémentine les pose sur le bureau. L'une à côté de l'autre. << Tu trouves que j'ai vieilli ? >> demande t-elle. Je réponds : << Nous savons que tu as trois années de plus mais je mets n'importe qui au défi de le percevoir. Surtout sur ces photos d'un genre particulier ! >>. Clémentine, d'un ton neutre répond : << N'importe qui ? Vraiment ? On va tenter l'expérience cet après-midi, en ville ! >>. Quand je veux en savoir davantage, elle murmure : << Secret. Surprise. Mystère ! >>.

Nous enfilons nos anoraks pour sortir. Il pleut. Il fait froid. C'est sous l'immense parapluie que nous descendons jusqu'à la rivière. Clémentine reste accrochée à mon bras. Elle revient sur ce qui s'est passé il y a deux jours avec monsieur Bertrand et monsieur Barnabé le menuisier. << Je déteste qu'on éjacule en moi. Ça me laisse une curieuse impression ! >> précise t-elle une fois encore. Je le sais bien puisque nous évitons toujours d'en arriver à cette extrémité. La préférence de Clémentine restant la fellation et le cunnilingus. Comme moi.

La faim commence à se faire sentir. Nous remontons le chemin. Clémentine s'occupe de la salade de concombre. Je fais gonfler du millet doré. Dans la poêle je fais rissoler deux dos de cabillaud blanc. Il suffit de rajouter un petit pot de crème fraîche dilué d'un peu d'eau pour faire une bonne sauce. Du gruyère râpé pour accompagner le tout. Préparations rapides pour un repas délicieux. Nous mangeons de bon appétit. Assise sur mes cuisses à califourchon, accrochée à mon cou, Clémentine se masturbe. Elle me confie ses impressions en soufflant.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle, remonter nous laver les dents et nous changer. Avec cette météo déplorable, nous restons chaudement habillés. Jeans propres. Chemises blanches sous nos pulls bleus nuit. Mocassins. À l'identique. Mêmes écharpes sous nos blousons de cuir bruns. Pressés de filer nous dévalons une fois encore les escaliers. Dans son petit sac à main de cuir noir qu'elle porte le plus souvent en sac à dos, Clémentine glisse la pochette contenant les quatre photos. Nous sortons la voiture du garage. La pluie redouble.

Je roule doucement. Clémentine tout en jouant avec ma queue, appuie sur des boutons du tableau de bord. La nouvelle auto reste encore un peu mystérieuse. Il y a un peu plus d'une quinzaine de kilomètres jusqu'en ville. Nous nous garons dans la petite ruelle habituelle. Pas de stationnement payant. Il y a dix minutes jusqu'au centre. Sous le parapluie. Accrochée à mon bras Clémentine inventorie les trois livres qu'elle aimerait trouver cet après-midi. << Sinon on les commande. Ça n'urge pas mais j'aimerais bien les avoir ! >> précise t-elle encore.

Dans une des rues piétonnes, nous passons devant un magasin d'antiquités. Nous aimons beaucoup ce genre de boutiques. Il y en a quatre en ville. Celle-ci est notre préférée. Clémentine s'arrête devant la vitrine. L'antiquaire un quinquagénaire. De longs cheveux grisonnants en catogan. Le plus souvent dans un costume de vieux velours brun élimé. Une écharpes négligemment nouée autour du cou. Un peu philosophe, un peu poète, un peu bohème, c'est un homme affable. Il aime bavarder longuement avec les rares visiteurs. Les rares clients.

<< Viens, on va voir ! >> me fait Clémentine. Nous montons les marches. Je referme le parapluie que je secoue longuement. Nous entrons dans la boutique. L'antiquaire est debout derrière son bureau à étiqueter de vieux bouquins. Même s'il nous voit parfois passer dans son échoppe il se contente d'un << Bonjour ! >> un peu bourru. Nous ne voulons pas le déranger. Il y a rarement de nouvelles choses. Ce sont principalement de vieux trucs poussiéreux. Là, des voitures minuscules "Dinky Toys" des années cinquante. Des pièces pour collectionneurs.

Là, de vieilles poupées aux couleurs passées. De vieux bouquins. Des meubles anciens. Deux de ces machines à coudre Singer à pédales. L'odeur particulière qui n'est pas sans évoquer quelques greniers d'anciennes demeures. Clémentine me tourne le dos. << Sors la pochette des photos s'il te plaît ! >> murmure t-elle. J'ouvre le sac à dos. J'en tire la pochette "croco". Clémentine s'en saisit en même temps que d'un vieil almanach Vermot. << Viens ! >> chuchote t-elle. Elle rajoute : << Tu sors le premier. Je te rejoins dans quelques minutes ! >>.

En sortant je comprends le "plan". Je reste à l'extrémité de la vitrine pour mâter. Je vois Clémentine s'entretenir avec l'antiquaire. Il feuillette l'almanach en causant. Clémentine doit poser des questions car je le vois répondre. Elle salue l'homme qui retourne à ses étiquetages. Clémentine vient me rejoindre. Nous restons discrètement au coin de la vitrine. Comme il fait plutôt sombre et sinistre, de l'intérieur du magasin éclairé, il est pratiquement impossible de voir correctement à l'extérieur. Par contre, le contraire reste très aisé.

J'ai la confirmation de ce que je supputais. Délibérément Clémentine a "oublié" la pochette aux photos sur le comptoir. Il ne faudrait pas qu'un autre visiteur entre dans l'échoppe. Une bonne dizaine de minutes plus tard l'antiquaire découvre enfin l'objet. Il s'empare de la pochette en ajustant ses lunettes. Il ouvre le battant. Il en tire les photos. Il semble soudain consterné. Il scrute chacune d'entre elles avec l'attention d'un entomologiste. Il mâte à s'en déboîter les globes oculaires. << C'est le moment. J'y retourne ! >> lance Clémentine.

Elle entre dans la boutique. Elle doit probablement préciser à notre voyeur qu'elle vient récupérer la pochette oubliée. Ce brave homme doit avoir un palpitant qui bat la chamade. Il remet confusément les photos dans la pochette avant de la tendre à la jeune fille. Ils bavardent tous deux. Je donnerais très cher pour entendre la nature de cette conversation. Surtout que Clémentine mime plusieurs fois une masturbation masculine. Expliquant probablement à l'antiquaire l'origine du foutre qui macule sa frimousse. Il écoute très sérieusement.

Il pose certainement des questions. Il montre l'arrière salle de sa boutique à plusieurs reprises. Il invite Clémentine à le suivre. D'une des étagères il tire un vieil appareil photographique. Un de ces Nikon F1 des années soixante dix. Très prisés et très recherchés. C'est évidemment un appareil "argentique" qui nécessite de la pellicule Kodak. Car il en prend une. Il part dans quelques explications car je le vois manipuler l'objet. Clémentine écoute attentivement. Cette fois c'est l'antiquaire qui mime une masturbation masculine en montrant l'arrière boutique.

Clémentine se penche dans l'encadrement de la porte. Sans y entrer. Ils se mettent à rire. Finalement clémentine indique une montre imaginaire à son poignet avant de se diriger vers la sortie. Elle se retourne et fait mine de tenir un téléphone. L'homme lève le pouce de sa main droite avant de saluer la jeune fille qui quitte la boutique. Clémentine vient me rejoindre. Il fait de plus en plus sombre. J'ai froid à rester immobile. En nous dirigeant vers la FNAC elle me raconte. Notre antiquaire propose à Clémentine de faire des photos. De même nature.

<< Il veut absolument me prouver que l'argentique est supérieur au numérique. Il fait de la photo à l'ancienne et développe lui-même. C'est sa passion. Il s'engage à développer les photos en ma présence et de n'en garder aucune épreuve. Tu en penses quoi ? >> me fait Clémentine. Je réponds : << C'est génial. Tu vas te faire éjaculer au visage par ce vieux pervers ! >>. Nous rions de bon cœur en prenant l'escalator qui monte à l'étage. En bas c'est Darty. En haut c'est la librairie. Clémentine m'entraîne dans la partie réservée aux ouvrages universitaires.

Elle ne trouve qu'un seul des titres qu'elle recherche. Je suggère de les commander. Nous pourrons venir les chercher la semaine prochaine. Soudain Clémentine dit : << Mais, si ce type me jute à la gueule, il faut d'abord que je le suce ! >>. Nous éclatons de rire en plein rayon. Je fait : << Une bonne pipe comme tu les aimes ! Ou alors tu te contentes de stimuler sa branlette ! >>. Toujours en riant, m'entraînant par le bras, Clémentine répond : << La pipe ! Un "plan" génial non ? >>. Nous commandons les deux ouvrages. Nous payons celui déjà acquis.

Nous flânons dans les rues piétonnes. Nous entrons dans quelques boutiques. Thierry Armand propose de belles chemises hommes. << Tu en aurais besoin. Regarde un peu celles à motifs ! Viens ! >>. Dans la cabine d'essayage Clémentine me suce. Nous nous observons dans le miroir. C'est très excitant d'entendre des gens causer juste derrière l'épais rideau. << Un de ces jours je nous offre un super "plan" dans une cabine d'essayage ! >> murmure Clémentine, assise sur la banquette, en me masturbant. J'essaie trois chemises. Je prends les trois.

<< Je peux sucer ce mec et faire des photos ? >> me demande soudain Clémentine lorsque nous entrons dans la boutique Levi's. Nous rions aux éclats. Je réponds : << C'est même une obligation. Je veux moi aussi découvrir la différence de qualité entre l'argentique et le numérique ! >>. Cette fois c'est Clémentine qui essaie les nouvelles chemises de fines toiles de coton. Je n'arrête pas de tripoter ses tous petits seins. Je glisse ma main dans son jeans déboutonné. Elle murmure : << Un jour on vient baiser ici, quand il y a moins de monde ! >>

C'est vrai que le vendredi après-midi il y a de la clientèle dans les boutiques. On achète les deux superbes chemises Levi's. Chez Devred ce sont deux blousons de cuir brun, mixtes. Ils conviennent parfaitement aux femmes comme aux hommes. Clémentine adore s'habiller dans les boutiques hommes. << Il y a des mecs dans les cabines d'essayages ! >> précise t-elle en me faisant un clin d'œil. Nous passons l'après-midi en ville. Après-midi shopping. Il faut ramener les paquets à la voiture. Je propose de nous trouver un bon restau pour ce soir.

<< On va au restaurant de l'Étang. On fait une surprise à Julie ! >> s'écrie Clémentine en sortant le téléphone de sa poche. L'établissement tenu par Anne-Marie connait un grand succès. Aussi il est plus prudent de réserver une table. << C'est foutu ! Plus de places ! >> lance Clémentine légèrement dépitée. << Tans pis, viens on part à la chasse aux restaus ! >> s'exclame t-elle. Nous trouvons rapidement un établissement gastronomique. Des plateaux de fruits de mer sont les bienvenus. Il est 19 h quand nous les savourons en parlant "photos".

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se réjouissent de ces nouveaux projets. Cabines d'essayages. Photos à l'ancienne...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
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Les agréables petites habitudes du samedi

Hier matin, samedi, il est presque huit heures. Clémentine s'est endormie dans mes bras hier soir. C'est comme si nous n'avions pas bougé car nous nous réveillons dans la même étreinte. << Comme c'était bon hier soir ! >> murmure t-elle en faisant allusion à nos folies amoureuses. Je glisse ma main dans sa culotte pour chuchoter : << Excellent le coup de l'oubli de la pochette photo chez l'antiquaire ! >>. Nous en rions de bon cœur. Poussés par le pressant besoin de pisser, nous nous précipitons aux toilettes. Nous revêtons nos tenues sports.

Morts de faim, nous dévalons l'escalier. Pendant que Clémentine fait le café, j'ouvre le portail depuis l'interphone dans le hall d'entrée. Je la rejoins à la cuisine. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur le "coup de l'antiquaire". J'encourage Clémentine à donner suite à la proposition du pervers. Elle se lève pour venir s'installer sur mes genoux. Tout en mangeant sa tartine au miel elle dit : << Il faut qu'on s'organise. Il suffit de trouver le numéro de téléphone de sa boutique. Je m'en occupe bientôt ! >>.

Nous envisageons tous les cas de figures. Il est probable que l'antiquaire veuille faire les photos dans son arrière boutique. Auquel cas il fermera forcément son magasin. Clémentine se retrouvera en quelques sortes à sa merci. Est-ce bien prudent ? C'est ce point là qu'il nous faudra résoudre. Clémentine a déjà une ou deux idées. Pas question de prendre un risque quelconque. << Je vais bien y réfléchir. Examiner cela sous tous les angles ! >> précise t-elle. Je sais qu'elle ne laisse jamais rien au hasard. C'est sur ces réflexions qu'arrive Julie. 8 h20.

Toute contente, radieuse, lumineuse en cette matinée pluvieuse, elle se précipite vers nous. Trois bises à Clémentine. Trois bises pour moi. Dans le grand sachet qu'elle porte, ses vêtements de change. Nous terminons de manger de bon appétit en écoutant Julie nous raconter sa journée de hier. Sa soirée en tant que serveuse. << Un plan voyeuse ? >> demande Clémentine. << Oh oui ! Un exhibitionniste dans les toilettes. Le truc assez habituel pour un mec un peu coquin quand une fille entre dans les toilettes hommes ! >> répond Julie. Nous rions.

<< Laissez tout, je m'en occupe, montez faire votre gym ! >> fait encore Julie venue faire le ménage. Nous déposons une bise sur son front en quittant la cuisine. C'est devenu une habitude. Je passe ma main entre ses cuisses. Ce petit réflexe féminin est ravissant. Le soubresaut qui secoue son corps un bref instant. Dehors la pluie tombe. Ce sera donc un entraînement en salle. Nous remontons pour nous laver les dents. Aérobic, jogging sur tapis roulants. Exercices au sol, abdos, les charges additionnelles. Suivies du retour au calme d'un stretching.

La douche. Il faut s'habiller chaudement car le thermomètre extérieur n'indique que 9°. Le thermostat régule les radiateurs. Ici, chez nous, en totale autarcie, nous chauffons comme nous l'entendons. Un minimum de 21° partout dans la maison. << Et on les emmerde ! >> précise Clémentine qui m'entraîne par la main pour redescendre. C'est sympathique d'entendre l'aspirateur à l'étage. Nous sommes en jeans, chemises à carreaux, il faut enfiler les anoraks. C'est sous le grand parapluie que nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès.

Il est presque dix heures. Clémentine écarte bien les pans de ma braguette à boutons. Ils brillent. Ce qui permet de constater qu'elle est largement ouverte. L'attente ne dure que quelques minutes. Voilà le fourgon Mercedes blanc qui descend lentement pour se garer derrière la Clio rouge de Julie. Danièle est toute souriante. En sautant de sa camionnette elle fixe ostensiblement ma braguette béante tout en nous disant : << Bonjour ! Tout va bien ? >>. Elle contourne le véhicule pour ouvrir les deux portières. Elle en sort nos deux cageots en bois.

L'un contient nos fruits, nos légumes. L'autre les fromages, les petits pots de crème fraîche, les yaourts, les œufs et ce beurre aux cristaux de sel de Guérande si délicieux. Je reste surpris car en nous donnant quelques nouvelles du bourg, Danièle observe ma braguette. Le "malaise" perceptible les fois précédentes semble avoir fait place à un amusement discret. Paiement par carte bancaire. Même commande pour la semaine prochaine. Nous saluons la jeune femme qui fait demi tour pour repartir vers d'autres livraisons. La pluie qui redouble.

<< Tu as vu ? Ça y est, elle est entrée dans le jeu. Elle sait que tu le fais exprès. Nous avons une nouvelle complice de "jeux" ! >> lance Clémentine alors que je referme soigneusement les boutons de mon Levi's 501. Voilà le tube Citroën de madame Marthe. Hilare au volant de sa camionnette "vintage" entièrement rénovée. Avec cette dame, pas question de nous livrer à nos petites déviances sans conséquences. Elle saute du marche pieds pour ouvrir la porte coulissante sur le côté. Dans un vacarme de ferraille assourdissant. Toujours en riant.

Le cageot qu'elle en tire contient nos deux grosses miches de pain complet et "bio", les deux pâtes feuilletées habituelles. L'énorme "chinois". Cette brioche ronde au pudding ruisselante de sucre blanc sec. Les deux gros croissants aux amandes que j'insiste à payer en disant : << Chère madame, terminé le temps des cadeaux. Mais même en les payant ils restent un cadeau ! >>. Clémentine rajoute : << Ils sont tellement bons ! >>. Notre boulangère adorée nous remercie. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain.

Nous contournons la maison pour descendre à la cave par derrière. En deux étapes pour tenir le parapluie et mouiller le moins possible les cageots. Dans le cellier, nous disposons soigneusement les fruits et les légumes sur les étagères. << J'adore voir la réaction des filles quand elles découvrent ta braguette ouverte. Ma présence est rassurante et leurs permet d'apprécier à sa très juste primeur ! >> lance Clémentine en palpant ma bosse. Je réponds : << Dans ce domaine, tout est toujours beaucoup plus simple quand il y a ta présence ! >>. Nous rions.

<< Sors ta queue, Julie y a droit aussi ! >> rajoute Clémentine. Nous remontons par l'escalier intérieur. Julie est entrain de passer la serpillère sur le carrelage de la cuisine. Nous restons dans l'encadrement de la porte. << Venez, c'est facile, je repasse derrière vous ! >> nous fait elle en s'accroupissant. Comme tous les samedis matins, depuis un mois, Julie fait le ménage en tenue de soubrette. C'est absolument divin. C'est le seau qui cache son sexe entre ses cuisses largement écartées. Elle fixe mon Zob qui pend de ma braguette.

Je porte le cageot jusque devant le frigo. Nous y rangeons les produits frais. Julie ne bouge pas. Trop heureuse de s'offrir ainsi à notre vue. << Tu goutes aux joie de l'exhibitionnisme ? C'est génial ! >> lui fait Clémentine. << Tu m'apprends de belles choses tu sais. Dans ce domaine tu restes mon modèle absolu ! >> répond Julie. Je me tourne vers elle pour agiter ma queue en disant : << Et dans le domaine des pipes ? Je peux encore vous en apprendre ? >>. En me faisant le plus merveilleux des sourires, Julie lance : << J'aime apprendre ! >>.

Ni une, ni deux, je contourne la table sur laquelle sont disposées les chaises à l'envers. Je me positionne devant Julie. Clémentine se précipite pour ne rien rater de ce qui se passe. Je saisis Julie sous le menton pour lui frotter mon sexe mou sur le visage. Ce petit cri de ravissement m'enchante. Julie ouvre la bouche. Je lui enfonce la queue. La forme de mon gland qui se devine sous la peau du prépuce, semble être fait pour épouser l'ouverture de ses lèvres en ventouse. Je reste ainsi quelques instants avant de me retirer. Julie pousse un cri de dépit.

Je l'aide à se redresser. Je me penche pour masser ses genoux probablement endoloris. Nous déposons tous deux une bise sur son front avant de la laisser à ses occupations. Je profite de la proximité pour glisser ma main entre ses cuisses. Je veux m'assurer de quelque chose. En effet, Julie porte son plug bien enfoncé dans le cul. Je demande : << Vous avez bossé au restau hier soir avec le plug ? >>. Julie s'empresse de répondre : << Non, pas hier soir. Je veux rester disponible au cas où Jean-Louis voudrait se vider les couilles en cuisine ! >>.

C'est évidemment une plaisanterie car avec la clientèle il serait tout à fait impossible de se livrer à de tels actes. De plus ils sont trois en cuisine pour vingt huit tables. Nous en rions de bon cœur. Nous allons au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Deux courriels. Celui de Juliette qui nous rappelle que nous sommes invités à manger mercredi prochain. Celui d'Estelle qui est folle d'impatience de nous retrouver en début d'après-midi. Dans une petite enveloppe jaune je glisse un billet de 50 euros. Un petit mot.

Clémentine surfe un peu sur le site universitaire quand Julie vient nous rejoindre. À nouveau habillée de son jeans, de son gros pull à col roulé, de ses bottines. << Je reviens lundi soir. Cette fois c'est moi qui emmène le dessert. Je n'ai pas cours lundi après-midi. J'ai un peu de temps pour préparer un bon gâteau léger ! >> fait elle. Clémentine se lève pour contourner le bureau. Elle prend Julie par les épaules en disant : << Ces quatre jours avec toi ont été magnifiques tu sais ! >>. Julie s'empresse de lancer : << Pour moi aussi. Merveilleux ! >>.

Je me lève à mon tour pour rejoindre le duo. Je tends l'enveloppe à Julie qui se serre contre moi en me tenant dans ses bras. Ces élans d'affections sont de plus en plus fréquents. Cala me touche et me pétri d'émotion. Clémentine se penche pour dire à l'oreille de Julie : << Passe donc déjà dans l'après-midi. Julien est là. Et moi je rentre vers 17 h30. Ça me ferait bien plaisir de te trouver là ! >>. Julie, éperdue de reconnaissance se tourne pour s'écrier : << C'est vrai ? >>. Clémentine précise : << Bien sûr. C'est ta seconde maison ici tu sais ! >>.

Elle rajoute encore avec un clin d'œil : << Et puis Julien saura t'accueillir comme il se doit. Il est très créatif et saura te réserver d'agréables surprises ! >>. Nous rions tous les trois. J'agite ma queue toute molle. En faisant "l'hélicoptère" je rajoute : << Vous savez, ces petites surprises qu'on ne réserve qu'aux intimes ! >>. Julie, soudain toute gênée, baisse les yeux. Je passe mon index sous son menton pour dire : << Les intimes qui deviennent complices évidemment ! >>. Nous enfilons nos anoraks pour raccompagner Julie jusqu'à sa voiture. Il pleut.

La séparation est difficile. Il est toujours difficile à nos amies de partir. Que ce soit Estelle, que ce soit Julie et dans une moindre mesure Juliette, il leurs faut se faire violence. Je tiens le grand parapluie. Clémentine tient ma queue. Nous sommes tout près de la portière. Assise au volant, le moteur déjà en fonctionnement, la vitre baissée malgré le froid, Julie observe. Elle penche la tête au dehors. J'évite de me coller contre la portière trempée. Je me cambre pour lui offrir mon sexe. Un bisou avant d'en entourer l'extrémité de ses lèvres chaudes.

Un dernier bisou. Nous la regardons partir. Un dernier coucou avant de rentrer au chaud, au sec. Nous passons nos tablier. Chacun nouant celui de l'autre dans son dos. Clémentine s'occupe de la laitue dont elle lave chaque feuille. Pour midi et pour ce soir. Je prépare le bouillon. Dans le wok je verse le contenu des deux sachets de petits pois et de haricots verts encore congelés. Je fais de même avec les moules congelées elles aussi. Clémentine revient sur son "expérience" de hier. << L'opération antiquaire ! >> comme elle la surnomme à présent.

Nous mangeons de bon appétit en étudiant les différentes options. Réaliser cette "expérience" reste le prochain objectif de Clémentine. Il faut donc préparer tout cela avec le plus grand soin. Afin que le plaisir soit total. Quand elle vient s'assoir sur mes genoux, en ramenant son assiette à côté de la mienne, Clémentine me confie quelques premières "idées". J'écoute, amusé, car son imagination est débordante. Nous traînons à table. La priorité doit être donnée à ce principe que nous appliquons toujours. Pour sécuriser, ma présence discrète est requise.

Il faut donc élaborer un stratagème qui permettra "l'opération antiquaire". Être réalisable. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. << Tu réserves une bonne surprise à Julie lundi après-midi ? Raconte-moi ! >> lance Clémentine quand nous nous essuyons la bouche. Sans même me laisser répondre, elle rajoute : << Tu mets la caméra en automatique dans un coin pour que je puisse le découvrir. Et si tu baisais avec elle ? Tu sais qu'elle adore avec toi ! >>

Je n'ai pas le temps d'émettre une considération car la porte de la salle de bain s'ouvre soudain. Estelle jette son grand sac de sport au sol avant de se précipiter vers nous. Serrés tous les trois dans une étreinte émouvante nous restons silencieux à nous couvrir de bisous. << Plus jamais aussi longtemps, c'est trop dur ! >> lance Estelle les yeux humides de larmes. Je passe mes index pour les essuyer avant de porter mes doigts à ma bouche. Estelle se jette dans mes bras en s'écriant : << C'est toi que j'aime ! >>. Clémentine se met contre elle.

Cette relation à trois, qui dure maintenant depuis plus de cinq ans, n'est pas sans conséquences. Nos sentiments sont profonds. Nous nous en rendons compte une fois encore. Dans la douleur. Je murmure : << Mais il y a pourtant Gauvain depuis quelques temps ! >>. Estelle s'écrie : << Mais c'est pas pareil, Gauvain je l'aime bien c'est tout. Il ne se passe rien avec lui ! C'est avec vous deux que je suis pleinement heureuse ! >>. Sans me laisser le temps de réagir, elle pose sa bouche sur la mienne avant d'y enfoncer sa langue. Clémentine contre nous.

Nous quittons la salle de bain. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent les bras. Je tiens le grand sac de sport que je pose sur le tabouret dans la chambre. Estelle en tire son pyjama de soie mauve et quelques effets personnels. Clémentine est couchée sur le lit, sa tête sur ma cuisse. Je suis assis à caresser ses cheveux. Nous écoutons Estelle nous raconter sa semaine. Ses parents sont entrain de créer une troisième filiale de leur société. Ils l'installent à Inverness, en Écosse. Ce qui demande du travail. Les tracas administratifs bien français.

Yvan et Michel ont profité de leurs vacances en Écosse pour faire une sorte d'étude de marché. Nul doute que leur entreprise, en installant une unité de production en Écosse, connaîtra le même succès. Estelle participe à ces démarches et à cette organisation. Nous l'encourageons d'ailleurs à donner priorité à ce projet familial. Surtout que ses parents, tombés amoureux fous de mon pays, ont le souhait de s'installer le plus rapidement possible en Écosse. Les découvertes qu'ils ont fait là-bas ont changé leurs vies. << Tu en es responsable ! >> me dit Estelle.

Nous en rions de bon cœur. << Tu as baisé avec ton parrain mercredi soir ? >> demande Clémentine. << Il m'a "défoncé" comme à son habitude ! >> répond Estelle en nous racontant que cette fois c'était au dépôt. << Une pile de carton ça fait ressort. Il faut juste mettre celui avec les tâches en dessous pour le planquer ! >> s'écrie t-elle. Nous rions aux éclats. << Et avec Gauvain ? >> demande encore Clémentine. << J'ai passé la soirée de mardi chez ses parents. Jeudi soir il m'a invité au restau. Vraiment un gentleman ! >> répond Estelle.

Elle rajoute : << Il n'a jamais le moindre geste déplacé. N'évoque jamais une quelconque sexualité. Il est très respectueux. Je crois qu'il me voue beaucoup d'admirations. Peut-être davantage que de sentiments. J'adore son côté secret. Et puis à part les études il ne parle que sport. Il aimerait être sélectionné pour les jeux Olympiques ! >>. Clémentine me sort la queue en disant : << Et toi, tu aimerais être sélectionnée pour les jeux Olym-pipes ? >>. Nous rions comme des fous quand Estelle rajoute : << Moi ? Mais je veux décrocher la médaille d'or ! >>.

La grande chambre à coucher est la seule que nous ne chauffons pas. Il y a juste 14°. Au bout d'une petite demi heure la température basse devient désagréable. Aussi, pressés de retourner au chaud, nous dévalons les escaliers. Nous allons dans l'atelier. Estelle a ramené des classeurs. Toutes les deux s'installent à la table devant leurs ordinateurs. Ce qui les attend lundi demande quelques dernières mises au point, quelques dernières préparations. J'en profite pour choisir certains calques d'anciennes réalisations. Moi aussi j'ai la rentrée lundi.

J'aime calquer les dessins d'anciennes toiles en écoutant les filles bavarder entre deux moments de concentrations intenses. Elles échangent des données. Reviennent sur des travaux anciens. Parfois c'est en riant qu'elles découvrent des documents des précédentes années universitaires. De temps à autre l'une vient me faire un bisou. De temps à autre je les rejoins. Elles aiment tant que je lisse leurs cheveux avec mes doigts. À la fa façon d'un grand peigne. L'après-midi se passe ainsi. Il fait tellement sombre que les lampes à halogène fonctionnent.

Il est 18 h30. Soudain, au-dessus de nos têtes, un bruit sourd. << Christine ! >> murmure Clémentine. Des pas. Une porte qui claque. C'est comme si quelqu'un déplaçait un meuble. << Elle est revenue ! >> chuchote Estelle. C'est toujours en ces périodes de l'année que le fantôme de ma compagne disparue se manifeste. Les filles viennent me rejoindre. Nous restons assis en tailleurs, silencieux. Tout cela n'a duré que deux ou trois minutes pour cesser aussi brutalement. << Elle a tant aimé vivre ici avec toi. C'est sa maison ! >> murmure Estelle.

<< Non, c'est devenu la nôtre ! >> lance Clémentine. Il commence à faire faim. Mes deux anges rangent leurs affaires. Tout est près pour la rentrée de lundi. Je range les miennes. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il faut juste préparer l'assaisonnement de la laitue. Assis tous les trois autour de la table, nous épluchons les pommes de terre, les carottes, les navets, le céleri. Pour la potée de légumes habituelle. Une potée qui fera l'accompagnement parfait des trois repas du week-end. Estelle touille les légumes dans la vieille cocote en fonte noire.

Dans une poêle je fais revenir des lamelles de calmar décongelé. Avec de la crème fraîche en fin de cuisson ce sera un délice. Clémentine coupe de fines tranches de Morbier. Il suffira de les déposer sur les légumes chauds dans nos assiettes pour qu'elles fondent délicatement. Durant toute la préparation nous ne cessons de parler du fantôme. Même si nous avons l'habitude d'une présence invisible il y a toujours une vieille peur atavique à l'évocation des phénomènes paranormaux. Notre grande demeure est hantée. Une entité vit ici avec nous.

Nous mangeons toutefois de bon appétit en revenant sur des préoccupations beaucoup plus humaines. Et charnelles. Car les êtres décharnés ne sont pas réellement une source d'intérêt vital. << Tu fais le rituel dans les souterrains ? >> me demande Clémentine. << Oui, pour qu'elle nous foute la paix ! >> rajoute Estelle. Je dis : << J'irai pratiquer demain en fin d'après-midi ! >>. Un silence : << Ça me fout toujours la trouille quand tu fais ça ! >> s'écrie Estelle en venant s'assoir sur mes genoux. Clémentine se lève pour venir s'assoir aussi.

Nous traînons à table. Mes deux anges parlent de la rentrée de lundi. J'écoute en silence en caressant leurs nuques, leurs dos. Entre deux échanges l'une ou l'autre me dépose un bisou sur la joue, sur le bout du nez ou encore sur le front. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Estelle me met la main au paquet en disant : << Tu veux bien contrôler si mon minou est en bon état ? Tu sais, Jean-Marc le maltraite à grands coups de queue ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Son parrain est un vrai baiseur fou !

Clémentine ouvre son jeans pour l'enlever en même temps que sa culotte. Estelle ouvre le mien pour l'enlever en même temps que mon slip. << Tu m'enlèves les miens ? J'adore ! >> dit elle en tenant ma bite d'une poigne ferme. Je m'exécute. Je jette deux épais coussins au sol. Les filles, trop contentes, se vautrent dans le canapé. Assises l'une à côté de l'autre, à peine à un mètre de distance, elles écartent leurs cuisses. Elles tiennent toutes les deux leurs jambes sous l'articulation. Je suis à genoux. Ce spectacle est un des plus beaux que je connaisse.

Ces deux touffes invraisemblables qui se prolongent à l'intérieur des cuisses, qui montent en triangles jusqu'aux nombrils, exercent sur ma libido des effets intraduisibles. Il n'existe tout simplement pas de mots pour les décrire. Même Estelle qui depuis petite aime à inventer des mots et des expressions reste sans inspiration. Je commence toujours par le sexe d'Estelle. Cette odeur forte de fille négligée qui me fait bander comme un fou. Quand je lèche sa fente afin qu'elle s'ouvre pour laisser jaillir ses lèvres comme des pétales, elle se masturbe.

Quand je suce son clitoris, elle se tortille en gémissant. Pendant ce temps, Clémentine qui attend son tour, se masturbe en haletant. Je passe à elle. J'adore fouiller les plis et les replis des lèvres charnues de son intimité. Ses sécrétions sont d'une abondance telle que je dois aspirer pour éviter qu'elle ne se répandent sur le cuir du canapé. Elle se masturbe en poussant de petits râles de plaisir. Quand je suce son clitoris géant elle se trémousse. Pendant ce temps, Estelle qui attend que je revienne, se masturbe. Je me redresse, mon menton trempé.

Estelle m'attire sur elle. Je la pénètre. Elle enserre ma taille de ses jambes pour que je m'y enfonce complètement. L'inconfort de la position m'oblige à me retirer. Je suis debout à cambrer mes lombaires quand elle se lève d'un bond pour courir vers le bureau. Elle s'y assoit. << Viens ! >> s'écrie t-elle. Clémentine se lève à son tour pour la rejoindre. Toutes les deux en appui sur leurs coudes me présentent leurs chattes. Je frotte mon sexe sur la vulve dégoulinante d'Estelle. Elle s'en saisit pour se l'introduire. Elle se laisse glisser sur le dos.

Dans cette position, je peux les baiser debout. Je passe de l'une à l'autre. Elles peuvent également se masturber dans le plus total confort. Je me retire d'Estelle en y laissant un long filament de nos mélanges. Un filament qui se brise sur la cuisse de Clémentine quand je la pénètre à son tour. Cette position permet également de tenir longtemps. De contrôler et de maîtriser parfaitement la situation. Pas pour mes deux anges que je sens "venir". Pour moi. Je me retire pour aller récupérer la cuvette en plastique sous le guéridon. Je la tends à Clémentine.

Je la pénètre pour m'agiter en elle comme un dément. Dans un concert de cris elle me repousse délicatement pour jouir en hurlant. En pissant dans la cuvette. J'adore cette coulée de cyprine où il y a probablement de mon foutre qui coule dans ses fesses derrière le jet de pisse. De petites éjaculations absolument étonnantes. Cela impressionne toujours tant Estelle qu'elle est assise, en se touchant pour observer ce phénomène. Quand je la pénètre pour faire ma brute épaisse, elle se met à crier. Me repousse pour jouir à son tour en hurlant.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont se blottir contre leur "thérapeute" pour se partager une queue ruisselante. Sous la couette...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 10 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2061 -



Un dimanche pluvieux

Hier matin, dimanche, il est presque neuf heures. Je suis entre mes deux anges. Elles sont restées accrochées à moi toute la nuit. C'est Estelle qui attrape mon érection naturelle et matinale d'une main leste. Tout en se frottant contre ma hanche, elle pose ses lèvres dans mon cou. Ce qui réveille Clémentine à ma gauche. Elle attrape mes couilles, enserrant ma jambe de ses cuisses pour se frotter elle aussi. C'est ainsi que tous les trois nous sortons du sommeil. Encore étourdis de notre nuit, nous échangeons des bisous en gémissant. Des papouilles.

Estelle se lève la première. Offrant ma turgescence à Clémentine qui s'en empare d'une poigne ferme. C'est à notre tour d'aller pisser. Le dimanche, pas d'entraînement, pas de jogging. C'est donc vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux que nous dévalons les escaliers. Morts de faim nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Il y règne déjà les suaves parfums du café, du pain grillé. Estelle, dans son pyjama de soie mauve, me saute au cou. Je la soulève. << Je suis ton employée de bureau ! >> s'exclame t-elle entourant ma taille de ses jambes.

C'est au tour de Clémentine qui presse les oranges. Pendant qu'Estelle pèle les kiwis, je promène Clémentine autour de la table. << Je suis prête à faire des heures supplémentaires non payées au bureau ! >> s'écrie t-elle. Nous rions de bon cœur. Ce sont évidement d'amusantes allusions à nos jeux préférés. Quand, assises toutes les deux sur le bureau du salon, elles se font sauter des soirées entières. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les aventures de vendredi après-midi. La proposition de l'antiquaire. << Un pervers ! >> lance Estelle.

<< Et probablement comme tu les aimes ! >> rajoute t-elle. Clémentine tout en savourant sa brioche répond : << Et c'est un vrai celui-là, pas l'ombre d'un doute ! >>. Nous en rions aux éclats. Estelle continue : << Remarque, c'est absolument génial le coup de la pochette photo. Le mec voit ta gueule pleine de foutre sur les photos. Il te reconnait. Tu reviens chercher la pochette "oubliée" cinq minutes avant ! C'est un coup imparable. N'importe quel mec tombe dans le panneau ! >>. Je dis : << Surtout quand la fille est belle comme un ange ! >>.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, Estelle et Clémentine passent en revue toutes les options possibles pour réaliser le fantasme de Clémentine. Se faire éjaculer au visage par l'antiquaire qui prend alors une série de photos. À l'ancienne, avec un appareil argentique. Il est d'une importance capitale de récupérer immédiatement la pellicule. De la ramener, d'assister au développement et de ne laisser aucune photo au photographe. << Pas de mauvaise blague ! >> lance Clémentine. << Sûr ! >> fait Estelle.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant nos pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Estelle s'habille comme nous. Nous faisons le lit avant de fermer les fenêtres. Il fait froid, il pleut. Une météo pitoyable. Nous redescendons à toute vitesse. << Put-Hein mais comme j'aime baiser avec toi ! >> s'écrie Estelle en me sautant au cou. La conversation relative à l'antiquaire nous a considérablement excité tous les trois. Nous enfilons nos anoraks. C'est sous le parapluie que nous sortons.

C'est moi qui le tient alors que mes deux anges restent accrochées à mes bras. Il n'y a pas de vent. Le ciel est bas, sombre et l'atmosphère est sinistre. Nous montons jusqu'au portail pour traverser la route, nous engager dans le chemin pierreux. Il est jonché des feuilles qui dégarnissent inexorablement les arbres. << Raconte-moi en détail ce qui s'est passé avec Julie quand je n'étais pas là ! >> me lance Estelle en glissant sa main dans ma braguette. Elle rajoute : << Tu sais bien que je suis hyper jalouse ! >>. Je raconte en commençant par lundi.

Ma narration est ponctuée de : << Salaud ! >> ou encore de << Vieux pervers ! >> quand ce ne sont pas des << Vicieux va ! >>. Sous les éclats de rire de Clémentine qui rajoute quelques détails qui achèvent d'exciter Estelle. Elle bloque notre marche en se serrant contre moi, palpant ma bosse elle s'écrie : << Tu me fais la même chose où je te fais un garrot autour des couilles jusqu'à la semaine prochaine ! >>. Nous rions comme des fous en prenant le sens du retour. L'immense parapluie nous préservant de la moindre goutte. Il est 11 h45 en arrivant.

Clémentine s'occupe de la salade. Sur le barbecue électrique de la véranda, Estelle fait cuire les pavés de saumon en papillotes. Je remue la potée de légumes afin qu'elle attache le moins possible dans la vieille cocote en fonte. Ce qui accroche étant toutefois le meilleur. Parfois, je vais agiter ma bite derrière la vitre fumée. Estelle mime des masturbations masculines. Vêtue de son anorak car la véranda n'est pas chauffée, elle mime des fellations en me tirant la langue. Je fais tourner ma queue. Clémentine me choppe par derrière pour me branler.

C'est une préparation rapide. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le retour du fantôme. Comme tous les hivers, mon ancienne compagne disparue vient nous rendre une petite visite. << Elle pourrait s'abstenir et nous demander notre avis ! >> dit Estelle en se levant une nouvelle fois pour mimer une masturbation masculine. Moi, quand je me lève immédiatement après, c'est pour montrer ma queue. Je bande mou. Avec l'excitation la peau fripée du prépuce est humide et luisante. << Mmhh ! >> lance Clémentine en remuant sa langue.

<< Le rituel dans les souterrains ! >> s'exclame Estelle. Clémentine propose d'y aller dès la vaisselle terminée. << Qu'on n'en parle plus ! >> précise t-elle. Nous débarrassons. Nous remontons nous laver les dents. Pressés d'aller réaliser le souhait d'Estelle et de Clémentine nous redescendons à toute vitesse. Nous prenons l'escalier qui mène à la cave. Je tiens précieusement le petit coffret en bois. Il contient les bijoux que portait Christine. Deux lettres manuscrites, une mèche de ses cheveux. C'est par la cave que nous accédons aux souterrains.

Une première demeure a été construite ici il y a plus de 400 ans. Sur les terres d'une ancienne commanderie du Temple. Il subsiste dans les sous-sol quantité de galeries. Les Templiers étaient passés maîtres dans l'art du secret, de la dissimulation et des constructions souterraines. J'ouvre la grande porte en fer. Le haut est arrondi pour épouser parfaitement le haut de la galerie dans laquelle nous pénétrons. En héritant de la demeure je me suis empressé de faire murer certaines entrées latérales. De l'humidité venue d'on ne sait où constituait un danger.

Ce souterrain relie la cave au sous-sol de la dépendance. Le garage et la maison d'amis étant construits sur les fondations d'une vieille chapelle. Il subsiste là quantité d'accès condamnés. Je n'ai conservé que la pièce minuscule qui s'ouvre à droite. Il y a là un hôtel de pierre. Toute la pièce est faite de pierres de taille. << On devrait venir baiser ici, ça doit être génial et inquiétant ! >> murmure Estelle. << Vêtues de façon Gothique ! >> chuchote Clémentine. Je dis à voix basse : << C'est à étudier ! >>. Soudain, un bruit. Un courant d'air glacial.

Il n'y a pourtant aucune arrivée d'air car les portes sont rigoureusement fermées. Le souterrain à cet endroit doit faire une cinquantaine de mètres avant de faire un coude pour aller vers la rivière. Il y a là plus de trente centimètres de flotte. Il faudrait chausser les bottes en caoutchouc. Je l'ai fait il y a 25 ans avec Christine. Rien à voir. Par contre les gouttes qui tombent mouillent et trempent rapidement le malheureux qui va s'y promener sur les trois cent mètres de galeries. Je pose le coffret de bois sur l'hôtel de pierre sculptée. Le rituel.

<< C'est quoi ? Du sang ? >> demande Estelle en s'emparant du flacon posé dans l'anfractuosité, creusée dans la pierre. Je réponds : << Très certainement de l'adrénochrome. Il se passait ici des choses ignobles. J'ai consulté des archives il y a 25 ans. Au XVI ème siècle des gens ont été brûlés, pendus pour pratique de la magie noire, meurtres rituels et autres joyeusetés ! >>. Estelle et Clémentine se serrent contre moi. Il y a un bruit étrange dans le couloir. J'ai beau avoir une connaissance parfaite des différents rituels, j'éprouve aussi de la peur.

<< Put-Hein mais tu vis dans un drôle d'endroit ! >> chuchote Estelle. Je réponds : << Maintenant silence. J'ai besoin de me concentrer ! >>. Les filles ne me lâchent pas. Malgré ses multiples supplications, j'ai toujours refusé d'apprendre la magie noire à Clémentine. Ce n'est pas du tout nécessaire de vouloir changer un environnement qui est déjà très privilégié. Et la magie noire sert principalement à transformer l'environnement de celui, (ou celle), qui la met en œuvre. C'est toujours irrémédiable, irréversible. Terriblement dangereux. Rituel rapide.

Christine, rassurée, ne pourra pas nous causer de torts, nous causer des frayeurs nocturnes ou encore pourrir nos existences dans la maison. Elle devra se contenter de courtes visites comme elle le fait tous les hivers. Je ne veux pas lui interdire l'accès à un endroit qu'elle a tant aimé. Je referme le coffret. Je souffle les deux bougies noires. Je demande à Estelle de remettre le flacon scellé à la cire sur l'étagère. Clémentine allume immédiatement la lampe torche. Je dis : << Et maintenant on dégage. On ne regarde surtout pas derrière nous. Go ! >>

C'est à toute vitesse que nous parcourons les trente mètres de galerie. C'est comme si nous étions suivis. Il y a une présence. Nous sortons du souterrain. Je referme immédiatement la lourde porte de métal. Un cadenas impressionnant en condamne l'entrée. Un coup sourd semble être frappé de l'autre côté. << Put-Hein, c'est délirant ! >> lance Estelle qui se serre contre moi en tremblant. Clémentine tend son bras pour nous montrer les tremblements de sa main. Je dis : << Et toi tu voudrais faire de la magie noire ! >>. Nous éclatons d'un rire nerveux.

Nous remontons. Il fait froid dans les souterrains. Aussi en remontant nous apprécions l'agréable chaleur qui règne dans la maison. Le thermomètre intérieur indique 22° alors que celui de l'extérieur indique 11°. Nous passons au salon. Clémentine propose un thé et des petites crêpes dentelles sèches de Pont-Aven. Excellente suggestion. Je suis entre mes deux anges. Nous sommes vautrés dans le canapé. << C'est quand même une histoire de fou ce rituel que tu pratiques tous les ans ! >> me fait Estelle en sortant ma queue de ma braguette.

Je réponds : << Oui, n'importe quel esprit rationnel serait révolté par de telles conneries. Et je le comprends ! >>. Clémentine s'empresse de rajouter : << C'est toujours le même principe. Tant qu'on est pas confronté à ces phénomènes on ne peut pas y croire. Et lorsqu'on y est confronté, qu'on est bien obligé de les admettre, on passe pour un dingue ! >>. Estelle précise : << C'est le fonctionnement de l'esprit humain. Il s'applique dans tous les domaines de l'existence ! >>. Tout en jouant avec ma queue Estelle tente de rationaliser les évènements.

Clémentine se lève. Elle jette un des épais coussins au sol pour s'y mettre à genoux. Ses coudes posés sur ma cuisse, elle dit en regardant Estelle : << On se fait une queue ? >>. Nous rigolons comme des bossus. Estelle se lève pour faire comme Clémentine. Elles adorent se refiler de la bite juteuse. Je bande évidemment comme un dingue. Je regarde Clémentine se goinfrer du foutre qu'elle pompe. Avec l'excitation de la matinée elle a de quoi se régaler. Estelle qui attend son tour me fouille la bouche de sa langue exploratrice. Je suis penché.

Position inconfortable. Surtout après un copieux repas qui pèse sur l'estomac. Je propose aux filles de faire les "employées de bureau". Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. Les voilà qui se lèvent pour arracher leurs vêtements qu'elles jettent n'importe où en riant. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Demain il y a école. Assises toutes les deux sur le bureau du salon, elles m'offrent leurs chattes, jambes relevées, tenues sous les genoux. Trop heureux du dessert qui m'attend, je m'installe devant Estelle, sur le tabouret. L'odeur me donne le vertige.

Le dimanche pas de douche. Nous restons à macérer dans nos jus. Et des filles excitées ont un jus délicieux à offrir. Estelle, en fille négligée, me procure des vertiges qui me font vaciller. Ses parfums, le goût de sa chatte, tout cela participe d'une émotion où se mêlent dégoût et excitation. Je passe à la chatte de Clémentine. Chaque fille a un goût différent. Sa cyprine n'a pas la fluidité de celle d'Estelle. Un yaourt crémeux que je savoure en gémissant autant que mes deux coquines. Elles se masturbent dès que je cesse de sucer leur clitoris.

Je me lève. Je pénètre Estelle. Je la baise à la hussarde. Je passe à Clémentine. Nous adorons rester immobiles à communiquer par contractions des muscles fessiers. C'est absolument génial de sentir bouger nos intimités l'une dans l'autre. Je cesse. Je me retire. Je m'assois sur le tabouret pour recommencer mes dégustations. De petites éjaculations de cyprine me font frissonner du plaisir du gourmet. Il faut absolument que je fasse durer. Les gémissements stéréophoniques se transforment quelquefois en petits cris. En rugissements même !

Bonne fin d'après-midi à toutes les coquines que les rituels de magie noire propulsent dans les plus inconsidérées jouissances sur bureau...

Julien (Sorcier de ces dames)



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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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La rentrée universitaire

Hier matin, lundi, il est presque six heures. Ce sont les cris stridents des oiseaux de mer qui nous arrachent de nos profonds sommeils. Dans un gémissement Clémentine se blottit encore plus fort alors qu'elle est restée accrochée à moi toute la nuit. Le bruit des moteurs de ce chalutier qui rentre au port vient parfaire l'illusion de nous réveiller au bord de la mer. L'application "océan" est bluffante de réalisme. Quelques bisous. Quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, en tenues de sport, nous dévalons les escaliers.

Le thermostat vient d'enclencher les radiateurs. Il fait encore frais dans la maison. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. << C'est le grand jour. Le début d'une nouvelle expérience ! >> lance Clémentine en se pendant à mon cou. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan de ces deux semaines passées. Deux semaines parfois extraordinaires. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la visite de Julie ce soir. Nous passons en revue les plats préférés de Clémentine. Ses souhaits.

Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Il n'est pas tout à fait 6 h30. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol, abdos. Charges additionnelles avant un stretching surréaliste où nous rions aux éclats. La douche. Je dévale les escaliers pour aller préparer la voiture. Il est presque 7 h45. Le jour achève de se lever sous un ciel bas, gris et sinistre. Il fait froid. Clémentine vient me rejoindre chaudement vêtue. J'aime quand elle porte son bonnet. << Je t'aime, tu me donnes du courage ! >> dit elle dans mes bras.

Un dernier bisou. Je la regarde partir. Le portail reste ouvert car l'entreprise paysagère intervient aujourd'hui. Par association d'idées je constate l'épais tapis de feuilles qui recouvre le gazon. Je me dépêche de rentrer au chaud. Il fait très agréable dans la maison. Je fais la vaisselle. Trois coups de sonnette. Je m'empresse d'aller voir. C'est la dame qui s'occupe du chantier. C'est elle qui dirige les opérations depuis quelques années. Je l'accompagne. Je salue l'employé qui l'accompagne. J'indique quelques points précis, je donne quelques directives.

Ils connaissent leurs boulot. Et aujourd'hui il y en a. Je les laisse pour rentrer. Je fais notre lit, je referme les fenêtres. Je redescends dans l'atelier. J'allume une belle flambée dans la cheminée. Quelques marrons dans la vielle poêle à trous. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant "Le grand Chêne" de Georges Brassens. J'attaque ce matin la septième œuvre de commande. D'après une photo. Le commanditaire veut une toile qui représente sa splendide villa dans un environnement sublimé.

Je peins dans une sorte d'exaltation. Je me livre à ma passion corps et âme. Je prends une fois encore conscience du plaisir insensé que me procure mon activité. Le crépitement du feu dans la cheminée. L'odeur des marrons. Qu'il est bon de travailler dans cette ambiance d'automne. Il est rapidement midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Pour le repas, je n'ai qu'à réchauffer le reste de potée de légumes. Dans la poêle je fais revenir un filet de lieu noir que je panne préalablement. Je prépare une rapide salade d'endives avec de l'avocat bien mûr.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff, dans tous ses états, reçoit un sociologue dans son émission. Il y est question de toutes les mesures liberticides qui se mettent insidieusement en place dans un pays sous contrôle. La dématérialisation de la monnaie étant une des prochaines étapes. La pâte feuilleté est à température. Je l'étale dans le grand plat à tarte. Je lave et je coupe finement des tranches de tomate, de courgette et d'aubergine. Il suffit de les déposer en spirale sur la pâte. De rajouter les tranches de tomates.

Je verse le "flan". Mélange d'œufs, de lait de soja, de fromage blanc et de moutarde à l'ancienne. Je recouvre d'une épaisse couche de gruyère de Comté grossièrement râpé. Au four pour une longue et lente cuisson à 180°. Le repas de ce soir est assuré. Je lave les feuilles d'une belle laitue. J'en fais l'assaisonnement. Ce sera l'accompagnement. Je fais la vaisselle. Je monte me laver les dents. Je dévale les escaliers avant d'enfiler l'anorak pour sortir. Il y a le bruit des tronçonneuses. Il n'y a plus aucune feuilles au sol. La remorque en est pleine.

Je vais jusqu'à la rivière. Il fait un peu moins froid. Les canards, les poules d'eau, les colverts me font la fête. Je ne m'attarde pas. Je rentre pour revenir dans l'atelier. Je peins dans le même état d'esprit que ce matin. L'après-midi passe tellement vite. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la chaise avant de venir me rejoindre en sautillant. << Cool aujourd'hui ! C'était super ! >> fait elle en s'installant à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou, tout en se frottant, elle me raconte sa journée.

Le menu du restaurant universitaire. Le bonjour d'Estelle. Clémentine me confie le programme de cette première journée. << Le rythme est totalement différent. C'est beaucoup plus calme. Les nouveaux profs sont sympas ! >> m'explique t-elle. Clémentine me fait un bisou sur le bout du nez, se lève. Elle s'installe à sa table, allume son ordinateur et met au propre les notes prises aujourd'hui. Elle commente ce qu'elle fait en parsemant sa narration d'anecdotes amusantes concernant les profs, les étudiants. Gauvain qui se montre protecteur avec Estelle.

Il est 18 h quand trois coups sont frappés contre la porte qui s'ouvre. Julie se précipite vers Clémentine. Trois bises avant de venir vers moi. Je lui cède ma place car elle adore s'assoir devant le chevalet pour observer ma peinture. Je nettoie les pinceaux, la palette. << Finalement j'avais cours cet après-midi. Sinon je serais bien venu le passer ici avec vous ! >> me fait Julie. Elle rajoute : << Par contre je suis libre demain à partir de 15 h. Je peux être là pour 15 h30 ! >>. C'est Clémentine qui lance : << Mais alors viens. On se voit en soirée ! >>.

Julie s'empresse de préciser qu'il lui faut être de retour chez elle pour 18 h au maximum. Clémentine s'exclame : << C'est jouable ! >>. Je me lave les mains au petit lavabo de l'atelier. Dans le petit miroir j'observe Julie. Elle est beaucoup plus intriguée par ce que je fais que par ma toile. Je sors ma queue pour la poser sur le rebord en faïence. Julie se lève, se précipite pour venir voir. Debout à ma gauche, elle se penche pour scruter de plus près. Les mains sur les hanches, le robinet d'eau chaude ouvert, je pisse par petits jets parfaitement contrôlés.

Je passe mon bras gauche autour de la taille de Julie pour l'attirer contre moi. Elle pousse un léger gloussement à peine audible. Clémentine s'empresse de venir nous rejoindre. Debout sur ma droite, son bras autour de ma taille, penchée pour regarder les réactions de Julie, elle se serre contre moi. Avec l'eau chaude l'odeur nous monte aux narines. Ça me gêne considérablement. Aux dernières giclées, Clémentine saisit mon sexe à sa base pour le tapoter sur le rebord du lavabo. Je commence évidemment à bander. Il faut contraindre ma queue vers le bas.

C'est Julie qui le prend à pleine poigne. Je dis : << Si vous venez demain après-midi, elle n'est que pour vous ! >>. Julie se redresse, sans me lâcher, elle s'adresse à Clémentine : << Je peux ? >>. Clémentine répond : << On allume la caméra en automatique. Comme ça, moi, le soir en rentrant, je peux voir ce que vous avez fait ! >>. Julie reste pensive. Je rajoute : << On se fait un film. Mais il sera pour vous ! >>. Julie s'écrie : << Mais alors on le regarde ensemble tous les trois. Je le garde et je le ramène ! >>. Clémentine dit : << Bon deal ! >>.

Clémentine se penche, s'accroupit, me fait pivoter pour gober mon sexe. Julie se cale derrière moi. Elle ne lâche pas mon sexe à présent dur comme le bois. Sous l'effet de l'indicible caresse, je vacille. Julie le sent bien, aussi elle maintient mon équilibre. Clémentine cesse, se redresse. Julie me contourne pour s'accroupir à son tour. Je reste subjugué par ses attitudes. Depuis quelques temps notre jeune amie se révèle pleine d'audaces et d'initiatives étonnantes. Sa manière de sucer est particulière. Ses lèvres forment une ventouse sur le prépuce.

Elle semble beaucoup apprécier de mâchouiller la peau fripée de mon prépuce. Sa langue qui tente de s'y introduire. Clémentine qui se masturbe contre moi tout en observant. Julie se redresse. Elle n'ose pas affronter mon regard admiratif. Ses lèvres humides et brillantes de mes premières substances. Je dis : << On va manger ? >>. Les filles se mettent à sautiller autour de moi. C'est merveilleux de voir Julie se lâcher toujours un peu plus. Elle ne prend pas seulement confiance en cet environnement qu'elle aime tant mais surtout confiance en elle.

Lorsqu'elles découvrent ce que je réchauffe dans le four, j'ai droit à des bises sonores en stéréophonie. Tout est déjà prêt. Julie met les assiettes et les couverts. Clémentine reste contre moi. Nous nous embrassons passionnément. Quand j'ouvre les yeux, c'est pour surprendre Julie qui nous observe amoureusement. Ce soir elle est vêtue d'un pantalon noir à plis et à pinces, un chemisier blanc sous son pull au col en "V". Ses bottines. Petit bout de femme adorable, timide mais tellement attractive. J'adore quand elle porte ses lunettes d'étudiante.

Clémentine qui cesse de m'embrasser agite ma queue en direction de Julie. Elle dit : << Tu as tous les droits sur Julien. Avec mon consentement. Alors je t'en prie, fais-toi plaisir quand bon te semble ! >>. Julie a soudain un sourire merveilleux qui illumine son visage. Nous devinons son embarras. Clémentine rajoute : << Et si tu as envie de bouffer de la chatte, tu as la mienne ! >>. À ces mots Julie se précipite vers nous. C'est dans les bras de Clémentine qu'elle se blottit comme un chaton. Je caresse ses cheveux, ma main dans sa nuque.

Je murmure : << Tu l'aimes la chatte à Clémentine, hein ? >>. Julie s'écrie : << Je t'aime Clémentine ! >>. Elle s'empresse de se tourner vers moi en disant : << Je vous aime bien Julien mais ce n'est pas pareil ! >>. Nous savons que Julie a un fort penchant pour les femmes. La relation amoureuse qu'elle entretient avec sa tante depuis l'adolescence la conforté dans cette certitude. Elle nous en parle parfois. Tout en étant bisexuelle sa préférence va aux filles. La sonnerie du four nous tire de nos considérations. Julie se précipite pour sortir la tarte.

Elle devra nous laisser pour 22 h. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les jours passés ensemble. J'écoute les filles échanger leurs impressions. Julie cherche les meilleures formules. Elle veut absolument organiser son emploi du temps afin de passer davantage de temps avec nous. Elle veut des "cours particuliers" avec Clémentine. Des cours très particuliers. Clémentine reste sa professeur d'exhibitions préférée. Nous en rions de bon cœur. Nous mettons au point la petite visite que s'apprête à nous faire Julie demain après-midi. Suspens.

C'est la toute première fois que nous serons véritablement seuls Julie et moi. Je la vois trembler quand Clémentine revient sur le principe de la caméra automatique. Elle n'ose pas soutenir mon regard plus de quelques instants. Pourtant nous nous sommes entraînés la semaine dernière. Nous en rions. Je me lève plusieurs fois pour agiter mon sexe mou en direction de Julie. À chaque fois elle me fait un rapide sourire. << Contente pour demain ? >> demande Clémentine. Julie baisse les yeux, toute honteuse, pour murmurer : << Impatiente ! >>.

Nous traînons un peu à table avant de faire la vaisselle. Nous passons au salon pour prendre le thé. Clémentine, installée à côté de moi dans le canapé, joue avec ma queue. Julie, assise dans le fauteuil qui nous fait face observe tout en discutant. Les filles parlent de leurs études. Je bande mou. Il perle de petites gouttes de liquide séminal sur l'extrémité de mon prépuce. Clémentine appuie, pour en faire sortir davantage. C'est un peu comme si elle m'essorait. << Tu en veux aussi ? >> demande t-elle à Julie quand elle cesse de sucer. Je bande.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment passer du temps en compagnie d'un couple légèrement pervers, vicelard et extraverti...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 12 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2063 -



Étonnante Julie

Hier matin, mardi, l'application "océan" nous offre un réveil "marin". Les bruits du ressac. Les bruits du moteur d'un chalutier. Un diesel des plus typiques. Le cri strident des mouettes. C'est comme de nous réveiller dans un port de pêche quelque part dans notre chère Écosse. En gémissant Clémentine se serre contre moi. Des bisous alors qu'elle se frotte en saisissant mon érection naturelle. Quelques papouilles avant de nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos leggings en lycra noir, de nos sweats en lycra jaune, nous dévalons les escaliers.

Les radiateurs viennent de s'allumer, pilotés par le thermostat général. La fraîcheur s'accentue avec l'avancée de l'automne. Clémentine fait le café en racontant son rêve. Une curieuse et surréaliste histoire de documents égarés. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Du four à micros ondes émane la délicieuse odeur des croissants aux amandes. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier, en compagnie de Julie. Elle est censée revenir cet après-midi pour 15 h30. << Tu la baises. On se mâte le film ! >> lance Clémentine.

Nous mangeons de bon appétit en imaginant les différents endroits où nous pourrions disposer la caméra. Nous en rions de bon cœur. Tout cela est encore tellement saugrenu. Il est 6 h25. Nous remontons rapidement pour pratiquer notre entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol avec abdos. Le tout dans une intensité croissante pour devenir maximale avec les charges additionnelles. Un stretching un peu bâclé avant la douche. Je dévale les escaliers pour aller sortir l'auto du garage. Le jour achève de se lever. Il fait froid.

Clémentine me rejoint emmitouflée dans son anorak. Sa capuche à fourrure lui confère un air esquimau qui nous fait rire. Il est presque 7 h45. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Je me dépêche de rentrer au chaud pour faire la vaisselle, le lit. Dans l'atelier, j'allume un beau feu. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. Si tout va bien, j'aurai terminé ce paysage demain soir, mercredi. Ce qui me rend détendu et serein.

Il est déjà presque midi. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il me suffit de réchauffer le reste de la tarte aux légumes de hier soir. Une belle escalope de saumon que je prépare avec des champignons. Une laitue en accompagnement dont je lave les feuilles pour midi et pour ce soir. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. L'émission d'André Bercoff est encore passionnante. Deux journalistes d'investigations qui ont enquêté sur les dérives sectaires et la corruption de certains membres de l'élite.

Pour le repas de ce soir, je veux réserver une excellent surprise à Clémentine. Je fais cuire des coquillettes que j'égoutte, que je verse dans un grand plat carré en terre cuite. J'y verse un mélange d'œuf, de fromage blanc et lait de soja. Je recouvre d'une copieuse couche de gruyère de Comté grossièrement râpé. De la chapelure. Des graines de sésame grillé. Au four pour mijoter longuement à 180°. Je concocte une Béchamel dans laquelle je rajoute quatre quenelles aux crabes. Il reste à préparer l'assaisonnement de la salade. Pour ce soir c'est prêt.

La vaisselle avant de monter me laver les dents. Je redescends à toute vitesse pour enfiler l'anorak. Le ciel est voilé mais lumineux. Il fait moins froid mais à peine 17°. Je fais le tour de la propriété pour constater l'excellent travail de l'entreprise paysagiste. Les haies sont taillées. Plus que quelques feuilles mortes tombées cette nuit. Le bassin a été vidé de son eau et nettoyé. Je vérifie que le portail soit ouvert. Satisfait je rentre pour aller dans l'atelier. Je rajoute deux bûches dans la cheminée. Je peins avec le même enthousiasme que ce matin.

Il est 15 h25 quand trois coups timides sont frappés contre la porte qui s'ouvre. Julie, hésitante, comme une adolescente timide, entre dans la grande pièce. Clémentine n'étant pas là, je sens chez Julie une profonde réserve. Elle vient me faire trois bises. Je me lève, je l'invite à prendre ma place. Je tends le pinceau avec lequel je travaille en disant : << S'il vous plaît Julie, mettez donc un peu de vous dans ce paysage ! >>. Julie hésite longuement avant de faire quelques ombres dans le feuillage. Elle est en jeans, sweat, bottines, cheveux noués.

Debout à sa gauche, j'ouvre ma blouse. Elle tourne la tête à gauche. Comme paniquée, elle observe ma main qui pénètre ma braguette béante. J'en extrais un sexe mou que je fais ballotter. Julie n'a plus de yeux que pour ce que j'agite entre mon pouce et mon index. Elle pose le pinceau sur la desserte à sa droite. Les mains entre les cuisses, toute gênée, elle ne peut s'empêcher de fixer ma queue. Je dis : << La caméra est posée là, sur l'étagère. Elle zoome sur le canapé. Tout est prêt. Moi aussi. Et vous ? >>. Julie se lève d'un bond, baisse la tête.

Je saisis sa main pour l'emmener vers l'étagère à droite de la cheminée. Je braque la lampe à halogène en direction du canapé. Je crois n'avoir jamais vu une Julie aussi timide. Jusqu'à me gêner moi aussi. Elle regarde la caméra. De la petite poche de son jeans, elle tire une minuscule boîte en plastique qu'elle ouvre pour me tendre une carte SD. Elle précise : << 16 Go ! >>. Je fais : << Il y a de quoi faire ! >>. Soudain, dans un élan qui me surprend, elle se jette contre moi pour me serrer dans ses bras en s'écriant : << J'ai peur, mais j'ai envie ! >>

Je la soulève pour la faire tourner dans les airs. Pour la première fois Julie a cet élan qu'ont toutes les filles heureuses. Elle enserre ma taille de ses jambes. Je murmure : << Je vais tâcher votre pantalon avec mon foutre ! >>. Elle rit un peu nerveusement quand je l'emmène ainsi jusqu'au canapé. Je retire ma blouse. Julie retire son jeans. C'est moi qui descend sa culotte pour la retirer. Je chuchote : << Installez-vous, je vais préparer la caméra. J'arrive ! >>. Je bande comme le dernier des salauds. J'ai des frissons car moi aussi je suis extrêmement gêné.

J'introduis la carte SD. La caméra est branchée sur secteur. Le bip sonore et je rejoins Julie assise dans le canapé. Je reste debout devant elle. Je lui présente mon sexe. Je crois n'avoir jamais vu une jeune fille garder ses yeux braqués sur ma queue avec autant d'intérêt. Je sais que je ne suis pas vraiment sincère mais dans le trouble qui m'anime, je ressens les choses ainsi. Je m'approche pour saisir Julie par sa nuque. De ma main libre, je frotte ma bite sur son visage. J'insiste sous ses narines pour bien lui faire humer les parfums de ma virilité.

Julie pousse de légers gloussements à peine audibles. Je tourne la tête vers la caméra. Lorsque j'enfonce mon sexe dans la bouche de mon invitée, j'adresse un clin d'œil à l'objectif. Je me fais tailler une authentique pipe des familles. Toujours en direction de l'objectif de la caméra je lève le pouce de la main droite en signe de satisfaction. Julie suce d'une façon particulière. La forme de mon gland, sous la peau du prépuce, épouse parfaitement sa cavité buccale. Ses lèvres exercent une succion régulière. À la manière d'une ventouse. C'est délicat.

Elle exerce des pressions d'une douceur infinie tout en pompant. Un mouvement de ses joues, régulier, ponctué de petits gémissements gustatifs. Je me retire. Un long filament de jute relie ma queue à ses lèvres. Il se détache pour venir s'étaler sur le haut de son sweat bleu nuit. Comme pour m'inviter à la suite, Julie s'allonge sur le dos en écartant ses cuisses. Je me positionne. En appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids, je la pénètre en redoublant de précaution. Depuis que nous pratiquons je découvre que Julie mouille beaucoup.

Pas autant que Clémentine certes, mais abondamment. C'est une étrange sensation que de m'immiscer ainsi, avec autant de facilité dans ce petit corps. Julie, dans un râle de plaisir, s'offre en s'enfonçant totalement d'un coup de reins. Je reste immobile. Elle aussi. Nous reprenons cette activité ludique qui consiste à nous fixer. Je murmure : << Sans ciller des paupières, sans baisser les yeux. Une minute ! >>. Dans des efforts désespérés Julie tente de soutenir mon regard. Peine perdue. Ce n'est pas cette fois-ci qu'elle y parviendra plus de dix secondes.

Je bouge doucement entre chaque tentative. J'accélère la cadence. Je pose tout un tas de questions. << Vous vous êtes fait enculer ce week-end en cuisine ? >>. Julie, en haletant, avalant sa salive, jouissant de plus en plus ouvertement, répond : << Oui ! Deux fois. Samedi avant le service. Dimanche après le service ! >>. Je continue : << Une pipe à quelqu'un ? >>. Julie se prend au jeu. << Non ! >> lance t-elle. Elle se cambre. Ses reins faisant un arc de cercle. Elle se met à trembler. À frissonner de plaisir. Elle fait ça à de multiples reprises.

Je comprends rapidement qu'elle cherche le meilleur angle pour jouir le mieux possible de mon intromission. J'alterne les brusqueries avec les séquences de douceurs. Les yeux larmoyants de bonheur, c'est elle qui essaie maintenant de soutenir mon regard. Elle y parvient. Je vois que cela participe de son excitation galopante. Je tourne souvent la tête vers la caméra pour lui adresser un clin d'œil. Julie aussi regarde vers l'objectif. Je me réjouis par avance. Nous nous offrirons une de nos soirées cinémas pour découvrir nos ébats. Avec Clémentine.

Nous baisons comme des fous. Je trimballe parfois Estelle dans tout l'atelier. Ce petit bout de femme ne doit pas peser plus de 45 kg. Nous échappons sans doute parfois au champs de la caméra. Mais c'est pour y revenir en haletant. Je ne connais pas encore suffisamment les réflexes intimes de ma jeune partenaire. Je devine plutôt que je d'en être certain. Mais la coquine doit s'offrir quelques orgasmes de tous premiers ordres. Les cris, les gémissements et les râles ne constituent pas des indicateurs fiables puisqu'elle n'arrête pas de geindre de joie.

Je me retire en disant : << Je termine toujours de façon très "classique" ! >>. Je force Julie à se mettre à genoux sur l'épais tapis devant le canapé. Je lui enfonce la queue dans la bouche. Elle se masturbe d'une main en restant accrochée à moi tout en me pétrissant les fesses. J'éjacule mais en me retirant. Je macule son visage d'une quantité prodigieuse de sperme épais, gluant et visqueux. Je l'attrape par ses cheveux noués pour l'entraîner vers la caméra. Il reste quelques minutes d'images car la lumière verte clignote. Je la tiens devant l'objectif.

Je murmure : << Après s'être fait baiser on fait un grand sourire ! >>. Julie fixe l'objectif. J'approche mon visage du sien pour sourire bêtement. Je fais un nouveau clin d'œil en agitant doucement la tête de Julie. Mon sperme est épais. Il ne coule pas. Elle en a plein la gueule. De la paupière droite jusqu'au menton. Il en colle dans ses cheveux au-dessus de l'oreille. Une coulure magistrale en diagonale sur son nez. Le bip sonore. La lumière rouge. La carte SD est pleine. Une heure trente de saloperies, de cochonneries et de gémissements.

Julie, à nouveau gênée, comme honteuse, s'essuie au-dessus du lavabo. Je suis à sa droite, la bite posée sur le rebord de faïence. Je pisse. Julie, dans le petit miroir, me fait le plus adorable des sourires. Il est dix sept heures trente. Nous sommes à nouveau habillés. Les yeux cernés de Julie, ses traits encore un peu défaits trahissent la fille qui a joui. Clémentine rentre de cours. Elle se précipite vers nous. C'est d'abord à moi qu'elle fait trois bises en s'asseyant sur mes genoux. Trois bises à Julie qui ne peut cacher sa joie. Elle vient se serrer fort.

<< Alors ? C'était comment ? >> demande Clémentine. Julie répond en riant : << Génial ! >>. Nous racontons notre baise. Julie demande à récupérer la carte SD. Elle propose de nous offrir une soirée cinéma lundi prochain. De faire découvrir à Clémentine ce qui s'est passé. << Des images sont bien plus explicites que des mots ! >> lance t-elle en se blottissant contre Clémentine qui me regarde extrêmement embarrassée. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. La séparation est difficile. En s'adressant à moi Julie s'écrie : << Merci ! >>.

Nous la regardons partir. Un dernier coucou. << Estelle ne vient pas ce soir. Elle préfère bosser sur l'écrit à remettre vendredi. Je vais m'y mettre aussi avant et après la bouffe ! >> me fait Clémentine en m'entraînant par la main. Assise devant son ordinateur, Clémentine me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. L'attitude très protectrice de Gauvain envers Estelle. Il est 18 h45. Un vacarme à l'étage. << Christine ! >> lance Clémentine. Le fantôme de mon ancienne compagne se manifeste quelques minutes. Ce soir c'est sonore.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand Clémentine découvre ce que je réchauffe au four, elle me saute au cou. << Mon baiseur est aussi mon cuisinier ! >> s'exclame t-elle. Je la soulève. Ses jambes enroulées autour de ma taille elle me couvre le visage de bisous. Je dis : << Ce soir, je te lèche comme jamais ! >>. Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche. Nous mangeons de bon appétit. Je raconte par le détail ce qui s'est passé avec Julie. << Je suis un peu jalouse mais impatiente de voir le film ! >> s'exclame t-elle, assise sur mes genoux.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se faire lécher, sucer, brouter avant une douce pénétration pour des aveux torrides...

Julien



Classe

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Classe - 13 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2064 -



Une soirée chez Juliette

Hier matin, mercredi, il est presque six heures. Une fois encore nous sommes bluffés par l'application "océan". Des marins qui se hèlent sur les quais d'un port. Des mouettes hurlantes semblent tourner au-dessus de nos têtes. Clémentine se serre encore plus fort contre moi. Des bisous, des papouilles. Impossible de nous attarder davantage. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, dans nos tenues lycra, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Clémentine fait le café en m'entretenant du souvenir de ses rêves. J'écoute amusé.

Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. Même si Clémentine en a consacré une grande parie à préparer son écrit, nous avons sacrifié à nos petits jeux habituels. Surtout une fois couchés. Ce qui explique que ce matin encore il est difficile d'avoir les yeux en face des trous. Nous mangeons de bon appétit en évoquant l'invitation qui nous est faites. En soirée nous sommes attendus chez Juliette pour 19 h30. Nous emmènerons le dessert. Une tarte aux noix qu'il faut tirer du congélateur.

Il est 6 h25 quand nous remontons. Pressés d'aller en découdre avec notre entraînement quotidien. Aérobics, jogging sur tapis roulants, exercices au sol, abdominaux avant les charges additionnelles. Le stretching, puis la douche. Je dévale les escaliers pour aller préparer la voiture. Il pleut. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre sous son parapluie. Il fait un peu moins froid que hier. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Le portail se referme automatiquement. Un dernier coucou avant de rentrer au sec, au chaud pour faire la vaisselle, notre lit.

Dans l'atelier j'allume un feu dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je regarde les petites touches de peintures déposées par Julie hier. Par association d'idées je peins en pensant à ce qui s'est passé à son arrivée, l'après-midi. C'est un petit bonheur, doublé d'un grand plaisir que de baiser avec cette jeune fille de 21 ans. J'en éprouve quelques doux frissons. La matinée passe tellement vite. Il est déjà midi. Je mets deux bûches dans le feu avant de quitter l'atelier pour la cuisine.

Il me suffit de réchauffer le reste du gratin de coquillettes. Une salade de tomates. Un filet de colin poêlé. Je mange de bon appétit en écoutant André Bercoff. Dans son émission il reçoit aujourd'hui un éminent scientologue ainsi qu'un climatologue. Ils nous entretiennent de la duperie des effets climatiques d'un soi-disant réchauffement planétaire. Ce n'est qu'une affaire d'argent. De cycles naturels. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Je regarde par la fenêtre. Il pleut avec régularité. Pressé d'aller faire quelques pas je redescends très vite.

C'est sous le parapluie, chaussé de mes bottes en caoutchouc que je fais le tour de la propriété. L'entreprise paysagiste a encore fait un excellent travail. Je vais jusqu'à la serre. Les deux employés en ont même nettoyé l'intérieur. Je vais à la rivière. Avec ces pluies le niveau monte considérablement. L'accès au sentier sur la gauche est impossible. Le petit étang se forme inexorablement. Je remonte pour rentrer au sec. Dans l'atelier, je rajoute deux bûches de hêtre sur les braises. Je peins réaliste en restant abstrait dans les mêmes considérations.

Les heures de l'après-midi défilent tellement vite. Déjà 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable dans le fauteuil à bascule. Assise à califourchon sur mes cuisses, tout en se frottant, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Aujourd'hui c'était plutôt cool ! >> me confie t-elle. Il y a juste encore ses notes à mettre au propre. << Question que je m'y retrouve pour vendredi matin. Il faudra remettre un texte exposant les grandes lignes de nos thèses ! >> précise Clémentine qui va s'assoir devant son ordinateur.

Nous aimons tant ces moments de travail. Il est 18 h20 quand Clémentine s'écrie : << Alors là, j'en ai plus que marre ! >>. Elle range ses affaires. Je viens de terminer ma septième toile de commande. Le timing parfait. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je suis assis dans le canapé. Clémentine couchée sur ma gauche, la tête sur ma cuisse. Ce sont quelques instants de détente dont nous profitons en silence. Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte. Du bout des doigts elle atteint mon sexe. << Tu me le donnes ? >> demande t-elle.

Je l'extrait de mon slip. Clémentine y frotte sa joue. Les yeux fermés, en gémissant d'aise. À quelques reprises elle en hume les effluves viriles. << Mmhh, j'adore ! >> murmure t-elle en redressant sa tête pour coller ma bite sous ses narines. Je bande mou. Je caresse ses cheveux, sa nuque. Elle gobe l'extrémité du prépuce. Cette peau fripée qu'elle mâchouille en essayant de glisser la langue entre la peau et le gland. J'appuie sur sa nuque en parfait scélérat, sans prévenir. Dans un râle de surprise, Clémentine qui se retrouve avec la bouche pleine.

Je murmure des douceurs, des cochonneries. Toutes les deux trois minutes, Clémentine cesse de sucer pour laisser reposer sa mâchoire. Elle me demande : << Quelle suceuse tu préfères ? Julie, Estelle ou moi ? >>. Nous rions aux éclats par le côté saugrenue de la question. Je réponds : << Tu sais, j'apprécie la manière de faire de chacune. Mais comme c'est toi que j'aime serais-je réellement objectif ? >>. En gloussant, Clémentine retourne à sa fellation de plus en plus passionnée. Je dis : << Tu as oublié à propos des rares pipes de Juliette ! >>.

J'aime l'entendre glousser en riant, la bouche pleine. << Tes poils de queue me chatouillent ! >> lande t-elle en se grattant le nez. Je dis : << Ce week-end je demande à Estelle de me les couper ! >>. Nous sommes abîmés dans nos plaisirs quand soudain un bruit sourd, inquiétant, au-dessus de nos têtes. . En se redressant complètement, manquant de s'étouffer en avalant de travers, Clémentine s'écrie : << Christine ! >>. Elle s'assoit à côté de moi. Tout en jouant avec ma queue qui ramollit, nous écoutons les errances du fantôme à l'étage.

Un phénomène sonore qui ne dure que deux trois minutes. Une porte qui claque et tout s'arrête aussi brutalement. Il est dix neuf heures. Nous quittons l'obscurité de l'atelier pour monter nous changer. Clémentine reste en jeans. Elle enfile simplement un chemisier crème sous un pull bleu nuit au col en "V". Je passe un jeans propre, une chemise blanche sous un pull carmin au col en "V". << Ça te va bien ces couleurs ! >> fait Clémentine en m'entraînant devant le grand miroir de l'armoire. Elle s'accroupit, sa tête en appui sur ma cuisse. Silence.

Ses bras autour de ma jambes elle dit : << Mon doux "Maître", seriez gentil de m'offrir une bonne séance de "dressage" un de ces jours ? Vous savez, j'en ai besoin lorsque je suis confronté à mon quotidien d'étudiante ! >>. Je pose ma main sur ses cheveux pour répondre : << Ma douce "Soumise", je vous promets quelques bons moments ce week-end. Je vais vous faire oublier vos tracas pour vous imposer des tourments ! >>. Clémentine se redresse. Nous rions aux éclats en dévalant les escaliers. Nous prenons la voiture de Clémentine. Il pleut.

Il est 19 h30 quand je gare la voiture dans la cour du haras. Juliette nous attend sous l'auvent, dans l'encadrement de la porte. Elle est toute contente, toute souriante. Des bises. Nous la suivons dans l'escalier jusque dans ses appartements. Elle me débarrasse du grand Tupperware rond qui contient le dessert. Ce soir Juliette est vêtue de sa tenue de travail. C'est à dire de son pantalon beige d'équitation, aussi moulant qu'un legging, d'un chemisier blanc sous un gilet gris sans manches. De ses bottes noires de cavalière émérite. Magnifique.

Cette bourgeois de 48 ans, au physique d'athlète, svelte, terriblement sexy, exerce sur ma libido un véritable ensorcellement. C'est la seule femme dont Clémentine est jalouse. Elle me confie souvent ce sentiment quand nous faisons l'amour. << C'est ma seule rivale. Je reste méfiante car tu n'es qu'un homme ! >> dit elle souvent sous la couette. Avec son adorable accent méridional, Juliette nous invite à prendre place sur le canapé. Assise dans le fauteuil qui nous fait face, elle nous raconte les derniers évènements. La pension est complète. Pleine.

Quatre vingt sept chevaux ont trouvé refuge dans les écuries du haras, pour y passer l'hiver. << J'ai des demandes depuis les départements voisins ! >> précise la jeune femme en passant ses mains dans ses cheveux pour les coiffer vers l'arrière. Son teint mat, ses cheveux noirs et raides, ses yeux noisettes. Comme elle est belle sous l'éclairage tamisé de son salon. Clémentine, sa main sur ma braguette raconte sa rentrée universitaire. La sonnerie du four nous parvient depuis la cuisine. Une délicieuse odeur affole nos sens. Nous sommes morts de faim.

<< Passez à table, je m'occupe de tout ! >> lance Juliette qui se précipite vers la porte. << Pas question, on fait tout ensemble ! >> s'écrie Clémentine qui m'entraîne par la main. Nous ramenons les plats au salon. Juliette a concocté une tarte aux champignons. Dorée à souhait. Une tarte magnifique. Une salade verte. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre dernière soirée Gloryhole. << On refait avant Noël ? >> demande Juliette. Clémentine pose sa main sur la mienne pour répondre : << Il faut voir. J'ai beaucoup de travail à l'école ! >>.

En restant dans le domaine qui nous préoccupe, Juliette en vient à nous raconter ses dernières frasques. << Pierre me parle quelquefois de vous. Il doit être amoureux ! >> dit Juliette. Clémentine s'écrie : << Il dit quoi ? >>. Juliette nous confie les désirs du mari de Bernadette. Madame Walter, la fidèle collaboratrice de Juliette qui participe aux partouzes en parfaite "Soumise". Je fais à l'attention de Clémentine : << J'ai oublié de préciser que les pipes de Bernadette sont d'exquis moments de plaisir ! >>. Juliette nous demande : << J'organise un "plan ? >>.

Je consulte Clémentine du regard. Elle tourne son poing fermé devant sa bouche et me disant : << Autorisation accordée ! >>. Nous rions de bon cœur. J'ai souvent la main sous la table. Surtout que j'ai sorti ma queue. Je bande comme le dernier des salauds. Juliette fixe le léger mouvement régulier de mon bras. Son regard par en-dessous, son discret sourire. Je me lève pour agiter mon sexe. D'abord vers Clémentine qui me fait un clin d'œil, puis vers Juliette qui m'adresse un merveilleux sourire. << On se fait un plan ? >> demande t-elle.

Elle rajoute : << Ce vendredi soir. En comité restreint. Juste Pierre, Bernadette vous deux et moi ! >>. Clémentine me regarde longuement. Comme elle est belle avec ses yeux pétillants de malices et de désirs. Elle répond : << On se fait un mail ! On va y réfléchir ! >>. Nous traînons à table. Je me lève à plusieurs reprises pour me masturber. Juliette et Clémentine m'observent alors dans un silence religieux. Juliette se lève pour débarrasser. Nous l'aidons. Elle plonge, nous essuyons. En revenant au salon pour le thé, nous sommes plutôt bien excités.

J'adore voir Juliette se caler contre un des coins de la table. Se pencher en appui sur ses bras. Cambrée et à se frotter. Tout en bavardant elle imprime à son bassin un mouvement régulier. De voir cette croupe, ce fessier, sa taille de guêpe, affole mes sens. Lorsque Clémentine fait pareil au coin d'en face, je me masturbe. Ces soirées masturbations, dont nous sommes de fervents adeptes, nous procurent les plus merveilleuses sensations. Surtout que Juliette propose plusieurs options pour vendredi soir. Elle suggère que ce soit ici, dans son salon.

<< Vous aimeriez un "invité surprise" ? Clémentine ? >> demande t-elle. Clémentine répond : << Non, pas cette fois. il y a Pierre. Par contre si vous m'organisez un "plan" je suis partante. J'aime les "surprises" ! >>. Tout en bavardant, Juliette et Clémentine se masturbent. Chacune son coin de table. C'est un spectacle extraordinaire. C'est fabuleux de les voir toutes les deux se frotter, haletantes, en sueur. S'offrant d'authentiques sensations. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. Il faut cesser. Demain il y a école. Il y a boulot. Il est 22 h.

Juliette nous raccompagne jusqu'à la voiture. Tous les trois sous les parapluies. << Exaltante soirée encore ! >> lance Juliette. Quand nous nous faisons la bise elle palpe ma bosse. Je glisse ma main entre ses cuisses. Clémentine se serre contre moi en disant : << On vous confirme notre venue vendredi pour 14 h par mail. Ça marche ? >>. Juliette s'écrie : << C'est carrément parfait. Si vous venez les festivités commencent à 20 h30 ! >>. Je m'empresse de préciser : << Sinon, on vous attend mercredi soir pour le repas ! >>. Un dernier coucou.

Bonne rentrée sous la pluie à toutes les coquines impatientes de se retrouver sous la couette. La chatte en feu. Un incendie qu'il faut éteindre...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 14 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2065 -



Estelle vient nous rejoindre en soirée

Hier matin, jeudi, le cri des oiseaux de mer nous réveille dès cinq heures cinquante cinq. L'application "océan" étant réglée pour nous tirer du sommeil à cette heure. L'illusion de nous retrouver dans un port écossais. Clémentine me serre dans mes bras en murmurant : << Je reste au lit ! >>. Ce n'est bien évidemment qu'une boutade car après deux bisous, nous nous précipitons aux toilettes. Habillés de nos tenues de gymnastique, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Clémentine fait le café. Je presse les oranges, je pèle les kiwis.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier. La compagnie fort agréable de Juliette. Les moments de masturbation à trois comme nous les apprécions. << Toi, t'as envie d'aller à cette soirée surprise demain soir ? >> me demande Clémentine en posant sa main sur la mienne. Je réponds : << Je fais comme toi. Ce qui m'importe c'est d'être auprès de toi ! >>. Elle s'écrie : << Comme moi ! >>. Tout cela ne nous avance pas vraiment. Nous faisons comme d'habitude. Ce sera l'inspiration qui nous guidera d'ici demain. Nous en rions.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de ce week-end prolongé. Clémentine doit absolument remettre son écrit par courriel, demain matin avant midi. << Les profs nous ont prévenu. Ce procédé apparaîtra très souvent durant ces deux années. Nous seront emmenés à fournir de grandes quantités de travail personnel ! >> m'explique Clémentine. Il est 6 h25. Nous remontons. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol, abdos. Charges additionnelles. Stretching avant la douche. Je descends rapidement le premier.

Je sors la voiture du garage. Il est presque 7 h45. Le ciel est couvert, menaçant, mais il ne pleut pas. Clémentine vient me rejoindre dans la fraîcheur. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer au chaud pour faire la vaisselle. Notre lit. Dans l'atelier j'allume un bon feu dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque ce matin le second et dernier paysage de commande. La maison du commanditaire au bord de l'océan.

Je peins dans une sorte d'exaltation qui me fait baver de plaisir. Il y a une mouche qui tourne autour de moi. Sans doute une survivante ou alors prisonnière d'une des bûches de hêtre entreposées dans le grand panier. Elle se pose au coin de ma bouche. Je suis incommodé. Ça me chatouille. Mais, dans un procédé inquisitorial, je ne fais rien. Je dois surmonter. C'est une torture. Je reste stoïque. Je remporte la victoire car elle s'envole pour disparaître à jamais. Ce n'est plus la saison des mouches. Il est rapidement midi. Je mets deux bûches dans l'âtre.

Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je fais gonfler du riz complet. Une salade verte dont je lave les feuilles pour midi et pour ce soir. Je poêle des crevettes qui ont décongelé depuis ce matin. J'en récupère un peu. Avec le riz ça me fait un bon repas. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff et son invité évoquent les pays-bas et la Belgique devenus des cartels de la drogue en Europe. C'est à la fois intéressant et inquiétant. Bien évidemment sur cette station ce sont toujours des tranches saignantes de vérités crues. Rien n'est caché.

J'épluche, je lave et je coupe en très fines tranches des pommes de terre. Je les fais revenir dans une grande poêle sans cesser de les retourner. Transformées en pommes chips elles sont dorées à souhait. Étalées sur des feuilles de papier absorbant. Je concocte une belle pâte à crêpe. Elle repose sous un linge dans le grand saladier. Les crevettes reposent sous un couvercle. Le nécessaire pour les beignets de crevettes est prêt. Les filles vont apprécier cette surprise ce soir. Estelle et Clémentine en raffolent. La vaisselle. Je monte laver mes dents.

J'enfile l'anorak pour aller faire quelques pas au dehors. Il y a des séquences ensoleillées mais la fraîcheur humide persiste. Me voilà de retour dans l'atelier. Comme ce matin je m'adonne à ma passion avec délectation. Je peins en pensant à Juliette, à sa proposition. C'est un sentiment merveilleux que de faire partie d'un "Club" très fermé où les membres partagent tous les mêmes penchants. Cette pensée me fait sourire. Il est déjà 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table pour se précipiter vers moi en sautillant. Bisous.

<< Week-end ! Week-end avec mon chéri ! >> s'exclame t-elle en s'installant à califourchon sur mes cuisses. Ses bras atour de mou cou, en se frottant, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Je me suis touchée en revenant. Mais je te promets je roule prudemment ! >> rajoute t-elle en se levant. Clémentine a son écrit à finaliser. Assise devant son ordinateur elle commente à haute voix ce qu'elle fait. J'adore peindre en l'écoutant. Je ne comprends pas grand chose puisque je suis focalisé sur la musique de ses phrases. Magique.

Il est 18 h15. << Terminé ! Écoute ! Tu me dis si ça va ! >> lance t-elle. Telle une actrice de théâtre déclamant son texte, Clémentine tourne autour de moi en lisant. Je nettoie les pinceaux, la palette en essayant de me concentrer sur le sens des phrases. C'est juste une page ou elle expose les grandes lignes de la méthode qu'elle va employer durant les deux ans à venir. Sa façon de procéder pour préparer sa thèse. Je trouve l'ensemble absolument parfait. Tout est clair et précis même si la plus grande partie m'échappe. J'applaudis la qualité.

Clémentine lit une seconde fois. Cette fois en imitant l'accent méridional de Juliette. Je suis plié de rire mais curieusement je comprends mieux. << Alors ? >> me demande Clémentine qui se met à genoux sur l'épais coussin qu'elle vient de jeter au sol. Mains croisées sur la tête, bien droite, elle rajoute : << Mon bon "Maître", ai-je méritée que vous m'accordiez quelques sévices ? >>. Je me lève pour m'accroupir devant elle. Je dis : << Ma délicieuse "soumise". Vous êtes adorable. Vos réactions m'étonnent. Je vous promets de faire de mon mieux ! >>

Du bruit. Il est un peu plus de 18 h35. Estelle entre dans l'atelier. Elle tombe sur cette scène surréaliste en se précipitant vers nous. Elle tombe à genoux à même les tommettes du sol pour glisser sa main dans ma braguette béante en me couvrant le visage de bisous. Clémentine demande : << Tu fais "Soumise" avec moi ce week-end ? >>. Estelle me sort la queue en répondant : << Et comment ! Avec ce qu'on en a encore chié en cours, j'ai besoin de me changer les idées ! >>. Nous rions de bon cœur. Estelle prend la position de Clémentine.

Toutes les deux, bien droites, les mains croisées sur la tête me fixent avec un regard implorant. Estelle rajoute : << Je suis obligée de partir pour 22 h car j'aide papa à l'entreprise demain ! >>. << N'oublie pas d'envoyer ton texte par mail avant midi ! >> lance Clémentine. Je me lève. Ma bite dans la main. Je bande mou. Je la tiens à sa base entre deux doigts. C'est d'abord sur le visage de Clémentine que je la frotte. En la tenant sous le menton pour bien lever sa tête. Je passe à Estelle. J'essaie d'être le plus vicieux possible. De faire preuve de vulgarité.

Quand elles tentent de gober mon sexe, j'esquive au dernier instant pour tapoter leurs joues. << Salaud ! >> murmure Estelle après chaque échec. << Mmhh, j'adore ! >> chuchote Clémentine. Je cesse. J'aide les filles à se relever. Je masse les genoux d'Estelle qui n'était pas sur un coussin. Je lance : << Lis-nous ton écrit, on écoute ! >>. Clémentine s'exclame : << Oui, fais-nous la lecture ! >>. Estelle va s'installer devant l'ordinateur. Avec son mot de passe elle se connecte. << Déjà en ligne dans mon espace privé ! >> s'écrie t-elle.

Clémentine, dans mes bras, ma queue dans la main, fouille ma bouche avec sa langue. Je glisse ma main dans son jeans déboutonné. C'est comme ça que nous écoutons le texte d'Estelle. Nous applaudissons. Elle aussi présente un écrit clair, net et précis. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand mes deux anges découvrent ce que j'ai préparé elles me sautent au cou. << Tu es un amour ! >> lance Estelle qui m'attrape la queue que je voulais remballer avant de faire la bouffe. << C'est miam ! >> fait Clémentine.

Clémentine qui fait l'assaisonnement de la salade. Estelle qui verse les crevettes dans la pâte tout en remuant. Elle y rajoute les morceaux de bolets. Je porte le gros caquelon contenant l'huile de friture à ébullition. C'est rapide car électrique. Estelle, avec une cuillère à soupe, dépose délicatement chaque crevette enrobée de pâte dans l'huile bouillante. Au bout d'une minute elles remontent transformées en beignets. Beignets que Clémentine récupère avec l'écumoire. Je réchauffe les pommes chips au four. Elle seront beaucoup plus sèches.

Nous mangeons de bon appétit. J'écoute les filles parler de leurs études. De la mise en pratique des procédés et des formules qu'elles exposent dans leurs dissertations. << Il faut trouver une maison d'édition qui accepte de publier nos thèses. Ce ne sont toujours que quelques dizaines d'exemplaires car ça n'intéresse personne ! >> lance Clémentine. Estelle surenchérit : << Une des conditions sine qua non exigées par les profs ! >>. J'écoute. Je constate qu'il y a quantité de chicanes avant l'obtention d'un Doctorat. Chicanes administratives.

Il me vient soudain une idée. Je dis : << Si ce n'est que ça, j'en parle à mon comptable. On créé une société d'édition et on édite vos bouquins ! >>. Estelle et Clémentine me regardent avec de grands yeux. Je continue : << Mon comptable n'arrête pas de me conseiller de dépenser un peu de mon argent. Pour éviter que ce ne soit le fisc français qui m'en pique une grosse part ! >>. Estelle et Clémentine restent silencieuses à m'observer. Je conclue : << Même si la majeure partie de mon argent est en Écosse, tout à fait légalement, c'est jouable ! >>

<< Avec toi Julien, tout est toujours si facile ! >> s'écrie Clémentine qui vient s'assoir sur ma jambe droite. Estelle en venant s'assoir sur ma jambe gauche s'exclame : << Tout est toujours si simple avec toi ! >>. Mes bras autour de leurs épaules, je dis : << C'est une société d'édition qui ne publiera que deux livres. Les vôtres, pour mettre la clef sous la porte immédiatement après. Où est le problème ? Il n'y a que des solutions ! >>. Estelle et Clémentine mitraillent mes joues de bisous. << Avec l'argent on peut tout acheter ! >> murmure Estelle.

Je rajoute : << C'est pour ça qu'il faut toujours en avoir ! >>. Clémentine chuchote : << Mon Rothschild à moi ! >>. Nous rigolons comme des bossus. La vaisselle. Pressés d'aller nous donner un aperçu des jeux du week-end, les filles m'entraînent au salon. Ce souci encore lointain de thèses à publier étant déjà résolu, mes deux anges sont folles de joies. Je dis : << Si je peux aider ! >>. Elles jettent toutes les deux en même temps les épais coussins au sol. En me faisant tomber dans le canapé elles s'y mettent à genoux. Leurs bras sur mes cuisses.

C'est assez désagréable d'avoir juste la bite à l'air. Interdiction d'ouvrir mon jeans. Elles adorent toutes les deux la vision de mon sexe entre les boutons métalliques du Levi's 501. Elles évoquent à présent les projets encore vagues du week-end torride que nous voulons nous offrir. Deux "Soumises" et leur "Maître". << Nous aurons un Maître de thèse, tu sais ! >> me fait Estelle en agitant mon sexe sous ses narines pour en humer les effluves masculines de ma journée. Il y a une coulure de liquide séminal qui s'échappe de la peau fripée de mon prépuce.

<< Wouah ! J'adore quand ça coule par surprise ! >> s'écrie Clémentine qui passe sa langue de la base jusqu'à l'extrémité. Estelle gobe ma queue la première. Elles se refilent ma bite qu'elles gardent en bouche une à deux minutes. Entre chaque changement s'échappent des coulées de sève épaisse. Je caresse leurs cheveux, leurs nuques. Quand l'une suce, l'autre donne ses impressions. Clémentine raconte l'invitation de Juliette demain soir. Estelle demande si nous y allons. Clémentine explique qu'aucune décision est prise. J'écoute en jouissant.

C'est toujours un dilemme quand elles me sucent toutes les deux. Je ne veux pas faire de jalouse. Dans quelle bouche vais-je m'épancher ? Je sais qu'elles adorent toutes les deux repartir pour un second tour. S'offrir une seconde fournée. Mais comme Estelle est obligée de partir d'ici un quart d'heure, c'est dans sa bouche que j'éjacule. Comme toujours. Sans prévenir. Parfaitement immobile. En sournois. Ce qui passionne Clémentine à qui je dis : << Tu en auras au lit, rien que pour toi, après, sous les draps ! >>. Nous raccompagnons Estelle.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui raffolent de foutre avant de s'endormir après un cunnilingus qui les fera hurler de plaisir...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 15 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2066 -



Vendredi de l'Armistice

Hier matin, vendredi, il est presque neuf heures. Une véritable grasse matinée qui s'achève. Clémentine est restée contre moi toute la nuit. C'est quand elle glisse sa main lentement, de ma poitrine jusque sur mon ventre pour saisir mon érection qu'elle me réveille. Je passe ma main dans sa culotte. Nous savourons cet instant de grâce. Clémentine, une cuisse sous mes fesses, l'autre sur ma tumescence, se frotte. C'est absolument divin de la sentir ainsi, dès la conscience retrouvée, se masturber franchement en gémissant de plaisir. Il faut faire pipi.

Ce qui met un terme aux premières ébauches des plaisirs qui s'annoncent encore aujourd'hui. Nous nous précipitons aux toilettes en riant. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers. Il fait bien chaud partout dans la maison. En réunissant les souvenirs du rêve de la nuit, Clémentine fait le café en me racontant. Je presse les oranges, je pèle les kiwis en écoutant, amusé. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier avec Estelle. Elles se sont amusées avec ma queue presque deux heures.

<< J'aime les pipes Julien ! >> fait Clémentine ne se levant pour venir s'assoir sur mes genoux. Les bisous au miel qu'elle me fait sur la bouche font coller nos lèvres. La vaisselle. Nous enfilons les K-ways avant de sortir. Il y a des coins de ciel bleu mais la fraîcheur est vive. Le sol encore partiellement humide ne permet pas d'aller courir ailleurs que le long de l'étroite route communale. En passant devant le haras, Clémentine dit : << Je n'ai pas envie d'y aller ce soir. Je veux profiter de toi. Juste nous deux ! >>. Je me range à sa sagesse. C'est bien.

Il est dix heures trente quand nous revenons après un superbe running. La douche. Nous pouvons prendre tout notre temps en ce jour férié. Et nous le prenons. Habillés de nos jeans, de nos chemises à carreaux, nous redescendons pour aller directement dans l'atelier. Assise sur mes genoux Clémentine allume son ordinateur. Elle relit à voix haute ce texte qu'il faut envoyer avant midi. Elle hésite sur deux trois tournures de phrases pour finalement cliquer sur "envoi". << Ouf ! Un souci de moins ! >> dit elle en changeant de position. La boîte mail.

Nous avons le message de Julie qui s'excuse de ne pouvoir venir cet après-midi. Un impondérable familiale l'en empêche. Elle viendra demain matin pour le ménage. Il y a le courriel d'Estelle qui nous retrouve demain également mais en début d'après-midi. Le mail de Juliette qui réitère son invitation. << Je réponds immédiatement ! >> s'écrie Clémentine assise en me tournant le dos. Je caresse ses tous petits seins au travers le coton de sa chemise. Je glisse une main entre ses cuisses. << Tu sais que j'aime ce que tu me fais ! >> s'exclame t-elle.

Elle lit la réponse pour Juliette. Nous nous excusons de ne pas donner suite à son invitation. En rappelant toutefois que Juliette est attendue mercredi soir pour partager notre repas. Clic sur "envoi". << Et voilà, peinards jusqu'à demain ! >> lance Clémentine qui se lève pour reprendre sa position préférée. À califourchon sur mes cuisses pour se frotter. << Tu l'aimes ta frotteuse ? >> dit elle en enfonçant sa langue dans ma bouche. Quand elle m'embrasse ainsi, avec tant de fougue passionnée, mon érection est instantanée. Dure comme le bois.

Nous quittons l'atelier pour aller faire quelques pas dehors. Le thermomètre extérieur indique 14° alors qu'il est déjà 11 h30. << On se fait une rando cet après-midi, tu veux ? >> me demande Clémentine accrochée à mon bras. Nous allons jusqu'à la rivière. Les pluies de ces derniers jours ont transformé l'endroit en étang. Les canards, les poules d'eau et les colverts y évoluent en poussant des cris d'emplumés. Lorsque le soleil fait son apparition il y a cet éclat lumineux propre à l'automne. Une lumière rasante qui annonce déjà celle de l'hiver.

Il commence à faire faim. Nous remontons. Clémentine fait une salade d'endives. Je réchauffe les derniers beignets de crevettes et les pommes chips. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme du jour. Il y a une exposition de matériel militaire au bourg. Excellent prétexte pour aller tenter quelques exhibes discrètes. << Des exhibes militaires ! >> lance Clémentine en s'installant sur mes cuisses. Nous en rions de bon cœur. Elle rajoute : << Tu me mets le beau collier avec l'anneau en forme de cœur pour nous promener ? >>

Je trouve l'idée à la fois saugrenue et tout à fait charmante. Nous traînons à table en terminant nos yaourts dans lesquels nous avons rajouté de la poudre d'amande. Je recommande. Un délice. La vaisselle avant de monter nous laver les dents, nous changer. Clémentine porte une de ses jupes kilt à carreaux gris. Ses bas noirs fixés à son porte-jarretelles. Un chemisier blanc sous un pull noir au col en "V". Ses souliers de ville à légers talons. Sur sa demande je porte un jeans beige, une chemise blanche sous un pull beige au col également en "V".

Mes mocassins bruns. En m'entraînant devant le grand miroir de l'armoire, serrée contre moi, Clémentine dit : << Regarde un peu ce beau couple ! >>. Elle pose sa main sur ma braguette en rajoutant : << Sois super vicieux cet après-midi car je serai super vicieuse ! >>. Sans me laisser le temps de répondre elle se tourne pour me prendre dans ses bras et m'embrasser passionnément. Nos mentons sont rapidement mouillés de nos salives. Je bande jusqu'à déformer affreusement le devant de mon pantalon. Bosse que Clémentine palpe.

<< Tu n'es rien qu'à moi aujourd'hui ! Génial ! Je ne suis pas obligée de partager ! >>. dit elle en descendant la tirette de ma braguette tout en s'accroupissant. Nous aimons nous observer ainsi dans le miroir. Clémentine, ma bite dans la bouche, s'admire. Je caresse sa tête. Elle se redresse. << Quand je me vois faire, je suis toute excitée ! >> lance t-elle en m'entraînant par la main. Nous dévalons les escaliers jusque dans le salon. Clémentine contourne le bureau pour s'accroupir devant la rangée verticale des quatre tiroirs. C'est celui du bas qu'elle ouvre.

Elle en tire le collier en cuir de couleur crème. << N'oublions pas la décoration du sapin de Noël ! >> dit elle en se redressant pour me tendre l'accessoire. Le cuir est doublé de nubuck sur sa face intérieur. Aucune irritation de la peau n'est à craindre. Je le passe autour du cou de Clémentine que j'entraîne devant le miroir des toilettes du bas. C'est adorable. Les deux parties du collier sont réunies par un cœur de laiton. C'est du plus bel effet tout en donnant une indication des préférences de la femme qui porte ce genre de chose. Largeur de 25mm.

Je passe mon doigt entre le cuir et la peau du cou. Clémentine dit : << S'il me gêne, il suffit que tu me le retires ! >>. Nous enfilons nos manteaux noirs que nous laissons ouverts. Il y a trois kilomètres jusqu'au bourg. C'est le long de l'étroite route communale que nous marchons. Cette route est déserte. Nous y courons souvent. Peu fréquentée elle n'offre aucune praticité. Nous y évoluons en nous tenant par la main. << C'est si bon une promenade en amoureux ! >> me fait Clémentine en s'arrêtant pour m'embrasser. Il y a plusieurs arrêts.

Je passe souvent ma main entre ses cuisses, sous sa jupe. Le doux contact du coton blanc de sa culotte me fait frissonner. Il y a quelques centimètres de peau nue. Le haut de ses cuisses entre ses bas et la culotte. Je demande : << Tu n'as pas froid là ? >>. Clémentine pose sa main sur ma bosse en répondant : << Non, si j'ai froid, ta main me réchauffe ! >>. Nous arrivons au bourg. Les rues pavées où sont déjà montés les petits chalets en bois pour le marché de Noël. Il y a du monde. Un gros char Leclerc sur la place devant la Mairie. Des soldats.

C'est sous une grande tente commerciale que se déroule l'exposition. Ce n'est pas vraiment notre tasse de thé mais c'est une découverte agréable. Nous attirons encore évidemment bien des regards. Une attraction supplémentaire parmi les stands. Nos hautes tailles. Cette sublime jeune fille au bras d'un homme mûr. Nos élégances vestimentaires. Lorsque des regards se font insistants, Clémentine me fait une bise. Ce qui situe bien la nature de notre relation. Non. Je ne suis pas le papa. La visite pas du tout attractive ni intéressante ne dure pas.

À peine si nous passons une quinzaine de minutes sous cet immense chapiteau. Ce sont des militaires qui commentent les stands où sont présentées des photos, des médailles. Il y a des armes impressionnantes également. Mais ce qui nous intéresse ce sont les stands à l'extérieur. Tout particulièrement celui qui propose des gaufres. Nous avons beau regarder, Estelle et ses parents restent invisibles. << C'est pas leur truc non plus ! >> lance Clémentine en me faisant mordre dans sa gaufre. << J'ai envie de faire ma salope ! >> murmure t-elle.

Il y a quelques coins sympas dans les ruelles pavées du bourg. Nous quittons la grande place pour nous diriger vers la salle polyvalente. Il y a là un espace floral et une sorte de labyrinthe de haies de lauriers, de cyprès et de sapins. La salle est ouverte car il y a le bal qui commence à 18 h. Nous entrons voir. Des tables entourent la piste de danse. Sur la scène des employés sont entrain de monter le matériel de l'orchestre. << Viens, on fait un tour au sous-sol, il y a les chiottes ! >> dit Clémentine lâchant mon bras pour m'entraîner par la main.

Nous dévalons l'escalier de béton. La résonance est étrange. Il y a deux dames en costumes folkloriques qui sortent des toilettes femmes. Clémentine m'entraîne dans les toilettes hommes. Personne. En tenant un mouchoir en papier pour se protéger, Clémentine ouvre les portes des quatre cabinets. L'endroit est désert. Des voix nous parviennent de l'extérieur. Le personnel sans doute. Il y a deux urinoirs muraux. Si je m'enferme dans un des cabinets, debout sur le couvercle rabattu d'une cuvette, je peux voir par au-dessus du mur de carrelage rose.

Je tente l'expérience. La vue est parfaite et si on ne regarde pas vers le plafond, je suis parfaitement invisible. Clémentine prend des poses vicelardes devant un des urinoirs. << Parfait, non ? >> lance t-elle. La salle résonne étrangement. Je regarde. Clémentine me tourne le dos, cambrée sur ses genoux fléchis elle dit : << Il faut que j'apprenne à pisser debout sans m'en mettre partout. Comme Estelle ! >>. Soudain, la porte s'ouvre. C'est un jeune gars, un de ceux qui montent le matériel qui entre. Il marque un temps d'arrêt. On imagine sa surprise.

Il tombe sur ce spectacle. Cette sublime jeune fille qui est debout devant un des urinoirs. Clémentine ne bouge pas. Elle peut voir ce qui se passe derrière elle dans le reflet du carrelage. Sa jupe relevée, sa culotte à mi-cuisses étirée par l'écartement, elle reste immobile. Mon cœur bat la chamade. J'ai envie de me branler. Je retiens mon souffle. Légèrement penché pour pouvoir me planquer immédiatement si le mec regarde en l'air et par là. Il dit : << Excusez-moi ! >>. Clémentine répond : << C'est moi. Je me suis probablement trompé de WC ! >>

Le type hésite. Il semble reprendre le contrôle de ses émotions. Il se place à droite de Clémentine. Devant le second urinoir. Trop heureux de vivre une situation exceptionnelle. Extraordinaire. Ils me tournent tous les deux le dos. L'homme regarde souvent sur sa gauche. Ce qu'il vit sur l'instant ne lui arrivera probablement plus jamais. Je ne sais pas s'il pisse ni ce qu'il fait. Clémentine tourne plusieurs fois la tête pour adresser un sourire à cet inconnu privilégié. Je l'entends dire : << Je n'y arrive pas. Pourtant j'en ai envie ! >>. Elle éclate d'un rire sonore.

Le type répond : << C'est sans doute ma présence. Moi non plus je n'y arrive pas ! >>. Ils se mettent à rire. Clémentine se redresse. Prend appui de sa main gauche sur le carrelage. J'hallucine quand elle se cambre à nouveau pour se masturber. Le type se tourne franchement vers la fille. Je vois à présent la bite qu'il tient à la main. Une véritable lance à incendie. Son érection est magnifique. Il ne se branle pas, se contentant de la présenter à la jeune fille. J'entends distinctement les premiers gémissements que pousse Clémentine. Le mec se branle.

<< On baise ? >> lance t-il soudain. Clémentine cesse, se redresse, dépassant l'homme d'une demi tête. Elle répond : << Je ne baise pas, je suce ! >>. Je vacille. Je dois me retenir des deux mains sur le haut du mur. << Ça vous dit ? >> rajoute le type sur un ton de complicité. Clémentine se tourne franchement vers l'homme pour le fixer. Il n'en mène pas large le bougre. Il se masturbe. Cesse. Recommence. Alors que Clémentine l'observe. Le fixant dans les yeux en silence quand elle ne regarde pas sa bite impressionnante. Des voix à l'extérieur.

L'homme a tout juste le temps de se tourner vers l'urinoir. Clémentine se précipite devant le lavabo double. Ce sont deux autres employés qui entrent. Eux aussi marquent un temps d'arrêt en voyant cette élégante jeune fille entrain de se laver les mains. Elle sort des toilettes. Moi, comme un con, je suis coincé dans mon cabinet à écouter la conversation des trois types. Ils parlent d'un échafaudage qu'il faudra mettre en place devant la façade de la Mairie. Discussion surréaliste qui fort heureusement ne dure pas. Je peux enfin rejoindre Clémentine.

Bonne fin d'après-midi à toutes les coquines impatientes de retrouver le confort et la chaleur de la maison afin de satisfaire leurs excitations...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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D'avance MERCI...

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Classe - 16 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2067 -



Le train-train du samedi matin

Hier matin, samedi, il est huit heures. Clémentine, serrée contre moi pose ses lèvres sur ma joue. Ce contact me réveille délicatement. Quelques bisous car l'envie d'aller satisfaire nos besoins naturels est forte. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, dans nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra jaune, nous dévalons les escaliers. Il fait bien chaud dans la maison. Le thermostat qui régule l'ensemble des radiateurs indique 22°. Alors que le thermomètre extérieur culmine à 12°. Clémentine fait le café en racontant son rêve.

Elle est toute contente d'avoir envoyé son écrit hier. Sa façon de s'inscrire dans la préparation de son Doctorat. Je presse les oranges, je pèle les kiwis en écoutant. Le grille pain éjecte les premières tranches que Clémentine attrape au vol. Je file dans le hall d'entrée pour ouvrir le portail depuis l'interphone. Nous prenons un solide petit déjeuner en revenant sur nos aventures de hier après-midi. La petite exhibe sympa dans les sous-sols de la salle polyvalente. Nos folies en rentrant et après le repas du soir. Nous mangeons de bon appétit. Tiens ! Voilà Julie.

Il n'est que huit heures vingt et notre douce amie est déjà là. Comme tous les samedis matins Julie emmène des vêtements de change dans un sac de sport. Elle se précipite d'abord vers Clémentine en s'écriant : << Vous m'avez manqué depuis mardi ! Mille excuses de ne pas être venue hier ! >>. Elle vient me faire trois bises en disant : << Comme c'était bien mardi après-midi ! >>. Julie fait évidemment allusion à notre baise. Elle rajoute : << J'ai regardé le film. J'ai honte. Mais je l'emmène lundi soir pour la séance cinéma ! >>. Nous rions de bon cœur.

Comme nous terminons Julie lance : << Allez courir, je débarrasse et je fais la vaisselle ! >>. En quittant la cuisine nous déposons une bise sur son front. Le regard que me lance Julie, dans un bref éclair, est aussi amoureux que celui qu'elle adresse à Clémentine. Nous enfilons les K-ways, les bonnets, les gants pour sortir. << Put-Hein ça caille ! >> s'écrie Clémentine. Quelques exercices d'échauffement. C'est parti. Une fois encore nous n'avons d'autres choix que de courir sur le bord de l'étroite route départementale. Toujours aussi déserte à ces heures.

Une heure d'un très agréable running sous un ciel gris et bas. Il est 9 h30 quand nous revenons. C'est tellement rassurant d'entendre l'aspirateur quelque part à l'étage. Nous prenons une bonne douche. Nous nous habillons dans la salle de bain car la chambre à coucher n'est jamais chauffée. C'est tellement mieux pour dormir. Nos jeans, nos chemises à carreaux pour dévaler les escaliers. Julie est entrain de passer l'aspirateur dans le hall d'entrée. Quelle surprise. Dans sa tenue de soubrette. C'est toujours aussi extraordinaire. Elle est si belle.

Nous enfilons nos anoraks. Avant de sortir, un bisou sur le front de notre "femme de ménage". Je glisse ma main sous sa jupette. Pas de culotte. J'explore quelques instants sous l'œil amusé de Clémentine. Julie, les bras le long du corps, toute heureuse d'être le centre de nos attentions n'ose pas soutenir mon regard. Julie porte son plug. Cette fois il est en métal. Je demande : << Vous en aviez un hier soir pour faire le service au restaurant ? >>. Julie toute gênée, murmure : << Oui ! >>. Nous rions. Clémentine me déboutonne la braguette.

Elle dit à Julie : << Il faut aérer la chambre car la bête qui y vit aime le grand air ! >>. Julie se met à rire. Je retire ma main. Nous sortons. Il est presque dix heures. Nous n'attendons pas longtemps. Voilà la camionnette Mercedes blanche qui descend lentement le chemin pavé. Danièle nous fait un grand sourire. Il paraît plus sincère que les autres fois. Elle saute de son véhicule en nous saluant pour le contourner. C'est en sortant les deux cageots qui nous sont destinés qu'elle fixe ostensiblement ma braguette béante. Mon slip blanc attire l'attention.

Cette jeune femme, la trentaine, tient son commerce au bourg. Son mari tient la boutique avec une employée alors que Danièle fait les livraisons. Elle vient certainement de comprendre que ma braguette ouverte depuis quelques samedis matins est un acte délibéré. Un acte qui lui est réservé. D'abord ignorante de la chose, faisant mine de ne pas s'en rendre compte, elle semble à présent entrer dans notre jeu. En parfaite complicité. Danièle, la trentaine, les cheveux châtains à la "garçonne", est dynamique et plutôt réservée. Là, elle est à l'aise.

Dans le premier cageot les fruits et les légumes. Dans le second les fromages, le beurre, les yaourts, les petits pots de crème fraîche et les œufs. Paiement par carte. Même commande pour la semaine prochaine. Le sourire que me fait Danièle est tout simplement magnifique. Ce n'est plus un sourire de politesse. C'est vraiment un sourire de complicité. C'est du moins comme ça que Clémentine et moi le ressentons. Je place la carte bancaire sur l'appareil. C'est certain, Danièle fait durer. Elle le fait pour bien me faire comprendre qu'elle mâte ma braguette.

Ces petites discrétions toutes féminines me font bander comme un vrai salaud. J'ai envie de lui montrer ma bite. Son sixième sens doit la conforter dans cette certitude elle aussi. Cette fois Danièle ne monte pas dans sa camionnette à toute vitesse. Elle prend son temps. Nous adresse une beau sourire. Elle démarre en fixant une nouvelle fois la blancheur éclatante de mon slip. Pas de doute, la jeune femme vient d'entrer dans notre stratégie. À peine est-elle partie que je referme rapidement mon jeans. Voilà notre boulangère. Hilare au volant.

Le tube Citroën rénové descend doucement le chemin. Avec cette agilité surprenant pour sa corpulence, madame Marthe saute du marche pieds pour nous saluer. Dans un bruit infernal de tôle elle fait coulisser la porte latérale. Notre boulangère a toujours d'amusantes anecdotes concernant le bourg. C'est un petit bonheur de rire à l'écouter. Dans le cageot les deux grosses miches de pain complet et "bio". Deux pâtes feuilletées, l'énorme brioche au pudding, les deux croissants aux amandes. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain.

Nous contournons la maison par derrière pour descendre à la cave. En rangeant soigneusement les fruits et les légumes sur les étagères dans le cellier, Clémentine me confie : << J'adore quand il y a des trucs bien salaces. Quand tu es vicieux. Tu as vu le comportement de Danièle ? Samedi prochain, braguette ouverte mais pas de slip ! On va voir sa réaction ! >>. Clémentine ne me laisse pas le temps de répondre. Elle enfonce sa langue dans ma bouche en déboutonnant mon Levi's. << Une autre salope nous attend en haut ! >> dit elle.

C'est avec la bite à l'air que je mets une des miches et les deux pâtes feuilletées dans le congélateur. J'en tire un paquet de moules, un sachet de haricots verts, un sachet de petits pois. Nous remontons par l'escalier intérieur. Julie est entrain de passer la serpillère dans la cuisine. << On arrive toujours au mauvais moment ! >> lance Clémentine. << Des mauvais moments ? Mais il n'y en a jamais avec vous ! >> s'écrie Julie en s'accroupissant. Elle essore la serpillère, cuisses largement écartées. Le seau dissimule son intimité. C'est magnifique.

<< Tu fais comme ça dans les toilettes du restau ? >> demande Clémentine. << Oui, ça plaît beaucoup aux messieurs qui viennent me montrer leurs sexes ! >> répond Julie. Elle affirme tout cela en étant toute gênée. Nous rangeons les produits frais dans le réfrigérateur. Avant de quitter la cuisine pour passer au salon, une nouvelle bise sur le front de Julie. Je passe ma main entre ses cuisses douces, chaudes et si accueillantes. Le plug est toujours en place. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Elle me tourne le dos. Je caresse.

J'adore passer mes doigts sur ses seins minuscules. J'adore sentir les extrémités durcir. << Mmhh c'est bon ce que tu fais ! >> murmure Clémentine en surfant sur le site de l'université. Aucune nouvelle information. Deux courriels. Celui d'oncle Alan d'Édimbourg. Ma famille nous attend pour les fêtes de fin d'année. Nous y passerons treize jours. Il y a le message d'Estelle impatiente de nous rejoindre en début d'après-midi. Elle précise qu'elle se sent hypra salope pour le week-end. Clémentine répond. Je glisse un billet de 50 € dans l'enveloppe.

Cette petite enveloppe jaune où Clémentine rajoute un petit mot gentil. Je signe d'un dessin ambigu. Une fleur stylisée qui n'est pas sans évoquer une bite molle et lascive. Il est onze heures trente. Julie, à nouveau en jeans et pull à col roulé, vient nous rejoindre. << Une belle maison propre pour mes employeurs ! >> lance t-elle. Nous rions de bon cœur. Clémentine se lève pour contourner le bureau. Julie se serre contre elle dans cet élan amoureux qui l'embarrasse toujours beaucoup. Je me lève à mon tour pour tendre la petite enveloppe jaune.

Julie s'en empare. Ce qui permet à Clémentine de se dégager. Serrée contre moi, son bras autour de ma taille, elle agite ma queue de sa main libre. Julie observe comme si c'était la première fois. Je dis : << Nous avons toujours l'impression que la vue d'une bite vous fascine ! >>. Sans un instant d'hésitation, Julie s'exclame : << Mais ça me fascine ! C'est exactement le mot ! >>. Clémentine rajoute : << Lundi soir on visionne le film. Tu auras la bite de Julien rien que pour toi ! >>. Julie me lance un bref regard plein de reconnaissance, d'émotion.

Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Il fait froid. C'est presque une journée d'hiver. Tout est gris. Assise au volant, la vitre baissée, Julie observe le lent mouvement de la main de Clémentine. Je bande mou avec cette température. Nous bavardons encore un peu. Je lâche plusieurs jets de pisse qui émettent de la vapeur odorante en venant se briser sur le métal de la portière. Julie penche la tête pour observer. Ça sent fort. La dernière giclée et Clémentine m'approche encore davantage de l'auto. Je ne veux pas mouiller mon pantalon contre la portière.

C'est juste pour permettre à Julie de sucer quelques instants en démarrant. C'est devenu un rituel. Nous la regardons partir. Arrivée au portail, Julie baisse la vitre pour souffler dans sa main plein de bisous dans notre direction. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Clémentine prépare une belle laitue et son assaisonnement. Pendant que le bouillon monte en ébullition je verse les haricots verts et les petits pois dans le wok. Je jette les moules encore congelées dans l'eau bouillante persillée où cuisent l'ail, l'échalote.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les attitudes de Julie. << Lundi soir sera à marquer d'une pierre blanche ! Tu as vu comme elle se réjouit ? >> lance Clémentine. Elle rajoute : << Comme elle a mâté le film, et certainement plusieurs fois, elle le connaît bien. Fais-la sucer en découvrant les images ! >>. Nous en rions de bon cœur. Clémentine revient également sur l'attitude de Danièle. Pour samedi prochain, la stratégie est simple. << Braguette béante, pas de slip ! Après les vacances de Noël, bite à l'air ! >> s'exclame Clémentine.

Je demande : << Tu crois qu'elle est une membre du "Club" ? >>. Clémentine vient s'assoir sur mes cuisses en répondant : << Si elle ne l'est pas encore, on va se charger de son inscription ! >>. Nous rigolons comme des bossus. À cette idée, je frissonne. Ça me gêne d'imaginer la suite. Nous traînons à table en faisant le très vague programme de l'après-midi. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. << Coucou les fous ! >>. C'est la voix d'Estelle montée à l'étage en silence.

<< J'aime vous surprendre ! >> rajoute t-elle en se précipitant vers nous. Quel bonheur insensé de nous retrouver enfin tous les trois. On se serre fort en nous faisant plein de bisous. Estelle glisse sa main dans ma braguette ouverte en disant : << Fais gaffe, ce week-end tu as affaire à une véritable salope ! >>. Nous rions aux éclats quand Clémentine lance : << Ça en fait deux ! >>. Je rajoute : << En compagnie d'un vrai salaud ! >>. Du sac de sport qu'elle emmène toujours Estelle tire quelques effets personnels, son beau pyjama de soie mauve.

Elle me montre une chose étrange. Un vieux collier de cuir et une vieille laisse à la chaînette métallique. << C'est parrain qui m'a ramené ça mercredi dernier. Il ne se doute pas un seul instant de l'usage que je veux en faire ! >>. Nous éclatons de rire. Je saisis les objets. C'est vraiment vieux. Mais propre. << J'ai nettoyé ! >> précise Estelle en me tournant le dos, relevant ses cheveux elle me présente sa nuque. Je passe le collier. J'y fixe la laisse. Je donne quelques à coups. Estelle se regarde dans le miroir. << Mais quelle salope ! >> s'écrie t-elle.

<< Tu nous promènes comme ça cet après-midi ! >> s'exclame Clémentine qui saisit ma queue. << Oui, tout l'après-midi et sois vraiment odieux ! >> rajoute Estelle en se retournant. Elle saute à mon cou en disant : << C'est purement thérapeutique ! >>. Nous rions en descendant les escaliers. Clémentine nous entraîne au salon. Du tiroir du bas du bureau elle tire le foulard en soie, le collier canin et la laisse. Comme Estelle, soulevant ses cheveux, me tournant le dos, elle m'offre sa nuque. J'y fixe les accessoires. Il y a plusieurs foulards.

J'en tire un second. Je retire le vieux collier du cou d'Estelle pour y nouer le carré de soie. Ce qui évite que le cuir n'irrite la peau de mes deux anges. << On va se promener un peu dans le jardin ? >> propose Estelle. Elles me tendent toutes les deux les poignées des laisses. Il faut enfiler les anoraks. Je tiens les deux coquines au plus court. Elles restent accrochées à mes bras. Nous allons jusqu'à la rivière. L'étang qui s'est formé à cause des pluies de ces derniers jours, interdit l'accès au sentier de gauche. Nous montons sur l'étroite passerelle en bois.

J'ouvre le cadenas à quatre chiffres. Nous voilà sur l'autre rive. Il y a un peu plus de cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Tout en étant attachées aux laisses que je tiens, mes deux anges parlent de leurs cours. De ce qui les attend à l'université lundi. Comme elles le font depuis qu'elles ont douze ans elles échafaudent des stratégies communes. J'écoute car c'est passionnant. Il y a de la méthode, de la ruse et une redoutable intelligence. Nous sommes tous les trois des "cérébraux". Notre plaisir n'est possible qu'au travers de ce fonctionnement mental.

Il n'y a évidemment personne sur la piste cyclable. Les filles tenues à la laisse, vêtues de leurs anoraks qui dissimulent les colliers, échangent à propos des professeurs. Dès le trimestre prochain elle se verront attribuer un maître de thèse. Un professeur chargé de guider et d'orienter les étudiants préparant leur Doctorat. << Un autre maître ! >> lance Estelle en glissant sa main dans ma braguette. << On préfère celui-là ! >> s'écrie Clémentine qui se tourne vers moi pour me prendre dans ses bras, en enfonçant sa langue dans ma bouche.

Elles m'embrassent à tour de rôle. Il y a un jeune type qui passe à une vitesse stratosphérique sur sa trottinette électrique. Là-bas, il y a un couple qui marche vers nous. Je tiens la poignée des laisses en glissant mes mains dans mes poches. En nous croisant ces promeneurs ne se doutent pas un seul instant de nos jeux. Ce qui nous excite considérablement. Il y a agriculteur sur son tracteur qui passe, là-bas, de l'autre côté du canal. Il nous adresse un salut de la main auquel nous répondons. << Super plan ! >> lance Clémentine. Nous marchons lentement.

Le tracteur fait plusieurs allées et venues parallèles aux bordures du champs. C'est une sorte de glaise que retournent les socs de la machine que tire le tracteur. Personne sur la piste cyclable. Le ciel est désespérément gris. Nous arrivons près de bosquets. Peu de feuilles pour nous cacher. << C'est parfait ! >> dit Clémentine en s'accroupissant soudain devant moi. Estelle qui a le bon réflexe me sort une bite toute mollasse. Avec ce froid la bandaison sera retardée. Le tracteur revient. Il est de l'autre côté du canal. Une cinquantaine de mètres tout au plus.

Estelle frotte ma queue sur le visage de Clémentine. Le tracteur ralentit. Je suis hyper gêné. Estelle s'accroupit à son tour pour gober mon sexe. Je bande mou. C'est merveilleusement chaud dans la bouche d'une fille par un après-midi frisquet. Le tracteur s'arrête complètement. Le type mâte. Je n'ose pas regarder dans sa direction. Mes deux anges se refilent ma queue. À chaque fois que je change de bouche l'impression de froid devient plus intense. C'est très désagréable. Je tiens les filles à la laisse. Laisse que je ne dissimule plus du tout.

Ce spectacle doit avoir un effet "nucléaire" sur le pauvre voyeur. Il regarde en tenant son volant. Quand Estelle cesse de sucer elle tourne la tête vers l'homme pour lui adresser un coucou de la main. Quand Clémentine cesse de sucer c'est pour mimer une fellation en regardant le malheureux. Il y a de très fortes probabilités que jamais, dans son existence en plein air, il n'ait assisté à un tel spectacle. Pourtant il arrive parfois aux agriculteurs de faire de drôles de rencontres. Celui qui livre le fourrage à Juliette lui en raconte de belles. C'est extraordinaire.

Il y a deux cyclistes, des courageux, bravant la météo qui viennent vers nous. Je dis : << Du monde ! Gaffe ! >>. Les filles se redressent en même temps. Je rabats le bas de mon anorak pour cacher mon érection. Ce sont deux séniors qui nous saluent en regardant mes deux anges d'une curieuse et libidineuse façon. Ils ont vu de loin et certainement compris. Le moteur du tracteur accélère à nouveau. Nous reprenons le sens inverse. Nous recouvrons nos têtes de la capuche car le vent est désagréable. Nous revenons pour 16 h30. Frigorifiés. Ça caille !

Devant un bon thé, des petits gâteaux, nous devisons au salon. Vautrés dans le canapé. Estelle joue avec ma queue tout en donnant ses impressions. Elle n'est pas exhibitionniste pourtant elle apprécie d'imiter Clémentine. Nous traînons ainsi à bavarder, à nous caresser, à nous faire des bises. Parfois l'une ou l'autre se penche pour suçoter ma queue toute molle mais bien juteuse. De quoi régaler mes coquines. Je propose une soirée "Maître" et "Soumises". Elles me couvrent le visage de bises en mitrailles. << On s'habille en salopes ! >> lance Estelle.

Nous montons à l'étage. Il fait froid dans la chambre. Aussi Clémentine tire rapidement les vêtements de l'armoire. Estelle fait de même de son sac de sport. Nous dévalons les escaliers en tenant chacun les tenues que nous porterons après le repas. Soigneusement pliées sur les étagères des toilettes du bas. Assis à la table de la cuisine, nous épluchons les pommes de terre, les carottes, les navets, le céleri. Le rituel de la potée de légumes. Elle sera l'accompagnement idéal des trois repas du week-end. Et il en reste toujours encore pour mon repas de lundi.

Clémentine s'occupe de la salade. Le reste de la laitue de midi. Estelle touille les légumes afin qu'ils n'attachent pas au fond de la vieille cocotte en fonte noire. Dans une poêle je fais rissoler les morceaux de calmars. J'y rajoute, ail, échalote, persil, ciboulette. Un petit pot de crème fraîche. Du gruyère grossièrement râpé qui viendra fondre dans le tout. Nous mangeons de bon appétit tout en revenant sur l'attitude de l'agriculteur dans son tracteur. << Tu crois qu'il se branlait en conduisant son engin ? >> lance Estelle. Nous rigolons comme des bossus.

La vaisselle. Nous procédons par étapes. C'est d'abord Estelle qui va se changer la première. Clémentine m'entraîne au salon. << Soyons imaginatifs, j'ai envie de vivre des trucs fous ce soir ! >> me dit elle. Nous nous embrassons longuement en mouillant nos mentons de salive. Estelle vient nous rejoindre. Vêtue d'une des jupes kilt achetées en Écosse. Un chemisier blanc sous un pull bleu nuit. Des soquettes blanches dans ses mocassins noirs. Dans la plus pure tradition des collégiennes anglo-saxonnes. Clémentine se précipite aux toilettes.

C'est Estelle qui vient se blottir dans mes bras. Je dis : << Attention, ne tâche pas ta jupe, j'ai la queue qui coule ! >>. Elle s'écarte, s'accroupit. Elle me tient par les hanches pour scruter attentivement. Clémentine vient nous rejoindre. Habillée exactement de la même manière. Je m'apprête à me rendre aux toilettes à mon tour. Me changer. << Non, reste, on s'en fout t'es bien comme ça ! >> s'écrie Clémentine. << Mais oui, c'est parfait ! >> rajoute Estelle. Je bande mou. Je regarde Estelle et Clémentine qui se tiennent par la main.

Comme deux lycéennes qu'elles étaient il n'y a pas si longtemps. Les deux adolescentes lubriques qui s'amusaient dans de folles aventures. J'adore cet air candide et innocent qu'elles savent toutes les deux interpréter à la perfection. Dans un même élan elles s'accroupissent toutes les deux. Les cuisses largement écartées, les fesses près du sol, elles m'offrent le plus divin spectacle. Je me branle doucement. Clémentine ne porte rien sous sa jupe. Alors qu'Estelle porte une culotte de coton blanc. << Tu as l'embarras du choix ! >> dit elle. Le regard par en-dessous.

Elles se redressent. Estelle s'installe à califourchon sur la chaise à l'envers. Le dossier entre ses cuisses. Clémentine s'approche du bureau. Elle pose son sexe sur le coin du meuble. En appui sur ses bras, penchée en avant, elle imprime un mouvement masturbatoire à son bassin. Je m'approche d'Estelle. Je m'accroupis devant la chaise. J'adore mâter. De chaque côté de la culotte, l'invraisemblable broussaille, dépasse. Il en pousse sur l'intérieur des cuisses. C'est absolument génial. Je scrute en me branlant doucement. Clémentine m'observe en se frottant.

Estelle se touche. Je me redresse. Je m'approche. Je passe mon sexe sur son visage. Même si nous avons vécu ces situations à de multiples reprises, que nous les avons filmé même, nous retrouvons toujours les indicibles émotions de la première fois. Comment s'habituer à de tels jeux ? Impossible. Estelle ouvre la bouche en me fixant. Elle est belle. Ses longs cheveux noirs qui encadrent son visage d'ange. Ses yeux bleus qui brillent comme les phares d'un camion la nuit. Je vacille. Nous entendons les gémissements lascifs de Clémentine qui se masturbe.

Les coins de table offrent de bonnes opportunités aux filles qui pratiquent depuis l'adolescence. Clémentine me confie souvent en baisant qu'elle en a expérimenté d'innombrables. Surtout dans les rares occasions où elle adorait se faire surprendre. Je glisse doucement mon sexe dans la bouche d'Estelle. Il y a ce petit râle de ravissement qui me fait tressaillir. Je me retire. Je reviens. C'est un plaisir commun que de reproduire cet instant de pénétration buccale sublime. Je saisis Estelle par ses oreilles pour me masturber franchement dans sa bouche.

Je regarde Clémentine. En sueur, se frottant sur le coin du bureau, toujours dans la même position, elle nous observe. Je lui fais un clin d'œil. Elle a un sursaut qui secoue tout son corps. Rien ne l'excite davantage que de me voir faire le vicelard avec Estelle. Avec Julie depuis quelques temps. Je me retire. Un long filament de foutre relie les lèvres d'Estelle à mon prépuce trempé. Il se brise pour s'étaler sur le haut de son pull. Estelle se masturbe elle aussi. À la fois spectatrice et actrice de cette pièce d'un théâtre très particulier. Je bande dur et fort.

Je la prends par ses cheveux que je réunis en queue pour la soulever. Surprise par la soudaineté de mon acte, elle se laisse entraîner, courbée en avant, marchant en crabe, pour faire le tour du salon. Sous le regard de Clémentine trempée de sueur qui se frotte en gémissant. Un rythme régulier. C'est un spectacle merveilleux de la voir ainsi en promenant Estelle tenue par sa tignasse. J'adore cette allure fière et hautaine qu'elle sait conserver dans les situations les plus perverses. C'est une admirable "joueuse". Une grande actrice.

Je m'arrête. Je tiens Estelle par ses cheveux. Je les tire. Elle est obligée de se mettre sur la pointe des pieds. Elle me fixe avec un regard d'une sévérité troublante. Du foutre qui commence à sécher aux coins de ses lèvres. Il y en a une coulure qui barre sa joue droite de la pommette jusqu'à la narine. Je passe une main sous sa jupe. Entre ses cuisses. J'attrape l'élastique de la culotte que j'arrache d'un coup sec. Estelle a un spasme qui secoue tout son corps. Elle m'aide à descendre sa culotte déchirée. Je perçois son souffle de fille excitée.

Je l'entraîne toujours par les cheveux. Là, sur le coin qui fait face à celui sur lequel se frotte Clémentine je la cale fermement. J'ordonne : << Vous faites pareil. Comme l'autre salope, ma chère "Soumise". Je veux vous regarder toutes les deux avant de vous sauter comme vous le méritez ! >>. Je ne suis pas obligé de me répéter. Estelle prend exactement la même position que Clémentine. Je retourne me vautrer dans le canapé. J'ai l'envie folle de me branler mais je contrôle parfaitement mes pulsions. J'admire ce duo de frotteuses. C'est fabuleux.

Cela fait cinq ans que nous nous adonnons tous les trois à ce genre de soirées. Il est tout à fait impossible de s'en lasser. Pour nous, le plaisir passe d'abord par l'esprit. Avant de nous comporter en animaux, nous apprécions de longs préliminaires. Des préliminaire mettant en scènes nos déviances. Nous avons l'extrême privilège de partager les mêmes goûts pour l'extravagance sexuelle. Nous restons ainsi une bonne dizaine de minutes. Je me lève. Les mains sur les hanches, par contractions des muscles fessiers, je fais bouger ma queue bien raide.

Les filles, tout en se masturbant, me regardent comme si c'était la toute première fois. Nous savons tous les trois conserver intacts nos penchants vicelards. Nous savons surtout les entretenir. Je m'approche de Clémentine. Je passe ma main sous sa jupe. La raie de ses fesses coule de sueur. Sa vulve est trempée des mélanges de cette sueur et ses sécrétions intimes. Je m'accroupis pour lui lécher le cul, aspirer toutes ces substances. Mais que c'est bon. Je me redresse pour aller goûter Estelle. C'est un régal. Elles gémissent de bonheur, de plaisir.

Je saisis Estelle par son bras pour la tourner. Je la soulève pour l'assoir sur le bureau. Je retourne scruter le coin du bureau. Il y a de la mouille. C'est magnifique. Je lèche. Clémentine doit lutter contre l'orgasme qui pointe. Je reviens vers elle pour l'assoir elle aussi sur le bureau. Je retourne scruter. Là, ce n'est pas seulement de la mouille, c'est du jus de fille qui dégouline. En me penchant, il y a même une flaque au sol. Je reviens vers Clémentine pour demander : <<< Tu as encore pisser hein ? >>. Elle me répond dans un souffle : << Oui ! >>.

Je frotte mon sexe contre le sien. C'est elle que je pénètre la première ce soir. En appui sur ses coudes, les yeux en larmes, trempée de sueur, elle me regarde avant de se laisser glisser sur le dos. Estelle se masturbe. Elle m'attend. Je n'ai pas l'occasion de buriner longuement Clémentine car dans un cri, me repoussant doucement, elle jouit en pissant. Je n'ai que le temps de me retirer. J'entre dans Estelle que je bastonne à la hussarde. Elle aussi, les sens affolés, se met à jouir en hurlant. Elle me repousse. Je me branle en observant mes deux anges.

L'air complètement épuisé, les yeux cernés, elles sont méconnaissables. << Je n'ai jamais joui comme ça ! >> lance Clémentine en reprenant ses esprits. << Moi non plus ! >> fait Estelle qui se caresse la chatte comme pour la soulager. Clémentine se la tapote en rajoutant :: << Mais que c'est bon, put-hein mais que c'est bon ! >>. Je débande doucement. << Et toi ? >> s'écrie Estelle en sautant du bureau pour me prendre dans ses bras. Je réponds : << Mais je n'ai pas arrêté de jouir pendant deux heures ! Pourquoi éjaculer en plus ? >>.

Assise à califourchon sur mes cuisses, Estelle me couvre le visage de bisous. Nous regardons Clémentine qui passe la serpillère. << Ce n'est pas drôle d'être "femme fontaine" ! >> dit elle. Estelle rajoute : << Depuis que je te connais tu pisses en jouissant ! >>. Nous rions de bon cœur. Il est plus de 23 h. Nous sommes totalement fourbus. Nous montons comme des robots en nous tenant fort. Sous les draps, mes deux anges se refilent encore un peu ma bite dégoulinante avant de s'endormir tout contre moi. Je ne tarde pas à plonger. Estelle ronfle déjà.

Bonne nuit à touts les coquines qui se sont encore offertes une soirée inoubliable parmi tant d'autres toutes aussi mémorables...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 17 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2068 -



Que des bons moments à trois

Hier matin, dimanche, il est aux environs de neuf heures. Je suis entre mes deux anges. C'est amusant cet élan commun et pourtant spontané. Estelle et Clémentine se réveillent au même instant. Le même réflexe de se serrer contre moi. De se frotter contre mes cuisses. Estelle à ma droite qui saisit mon érection naturelle en posant ses lèvres dans mon cou. Clémentine à ma gauche qui fait de même mais en empoignant mes couilles, ses lèvres sur ma joue. C'est dans cet enchantement paradisiaque que nous sortons tous les trois du sommeil.

Je glisse mes mains dans les culottes. J'adore dénouer les poils, les lisser. Et avec de telles touffes, il y a de quoi peigner et coiffer. Nous gémissons tous les trois en nous étirant. Estelle se lève d'un bond. Comme à son habitude pour se précipiter vers la porte. << Je vous attends en bas ! >> lance t-elle. Clémentine se couche sur moi. Frottant son sexe sur le mien elle dit : << C'était merveilleux hier soir après la bouffe. À refaire ! >>. C'est à notre tour d'aller satisfaire l'impérieux besoin. En slips, en T-shirts de nuit, nous dévalons les escaliers.

Il fait déjà bien chaud dans la maison. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Il y règne déjà les suaves effluves du café et du pain grillé. Estelle se précipite pour se serrer dans mes bras. << C'était géant hier soir ! >> dit elle. Clémentine presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos délicieuses folies de hier soir. J'écoute les filles échanger leurs impressions. << Put-hein, je croyais me calmer avec l'âge ! >> lance Estelle. << Moi aussi. Et c'est tout le contraire ! >> rajoute Clémentine. Nous en rions.

Nous mangeons de bon appétit. Mes deux anges viennent s'assoir sur mes cuisses. Le dimanche pas d'entraînement. Nous avons tout notre temps. Estelle et Clémentine évoquent les cours qui les attendent demain. Elles vont avoir un travail personnel à fournir. Une sorte de "maquette" d'un concept encore abstrait. Il faudra lui donner forme. Dans le monde virtuel mais plausible. Un de ces défis qu'elles aiment à relever. J'écoute car je n'y comprends absolument rien en théories des quantas et en mécaniques ondulatoires. Pour moi c'est de l'hébreu.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous remontons nous laver les dents, nous habiller. Il faut le faire à la salle de bain avant de faire notre lit. Fermer les fenêtres. C'est à peine s'il fait 10° dehors. Nous redescendons à toute vitesse. Les filles m'entraînent au salon. Traînent encore sur l'épais tapis devant le canapé, les foulards en soie, les colliers canins et les laisses. Mes deux anges les ramassent pour me les tendre. Estelle se tourne, lève ses cheveux pour me présenter sa nuque. Elle dit : << S'il vous plaît, "Maître" ! >>. Je fixe les accessoires.

Je fais de même autour du cou de Clémentine. Toutes les deux me tendent les poignées des laisses. Sans même se concerter, ou alors l'ont elles fait en secret, elle se mettent à quatre pattes. C'est comme ça que je les promène dans la grande pièce. À chaque coin des meubles, l'une ou l'autre lève la cuisse. À dix heures trente du matin, c'est encore amusant plutôt qu'excitant. Et nous y prenons grand plaisir. Mes deux coquines se redressent. Restant à genoux, les mains croisées sur la tête, bien droites, elles me regardent, implorantes et suppliantes.

Je m'accroupis pour déposer une bise sur le front de chacune. Nous éclatons tous les trois d'un rire sonore. En tombant tous les trois au sol pour nous serrer comme des déments. Nous rigolons comme des bossus. << Tu nous emmènes faire pipi dehors ? >> demande soudain Estelle qui s'assoit sur moi en me maintenant couché sur le dos. Clémentine vient mitrailler mon visage de bisous en s'écriant : << Oh oui, emmènes-nous ! >>. Nous nous relevons. Je dis : << Vous vous rendez compte toutes les deux comme c'est merveilleux ! >>. Des bisous.

Clémentine s'écrie : << Même si on tentait d'appréhender cette réalité tous nos sens n'y suffiraient pas ! >>. Estelle surenchérit : << C'est du domaine de l'éthéré, de l'indicible ! >>. Nous enfilons nos anoraks et les bottes en caoutchouc pour sortir. Il y a une légère brume basse qui opacifie le lointain. C'est véritablement un climat de novembre. Pas question de promener mes deux anges à genoux. Le sol est trempé par l'humidité. C'est donc tenues à la laisse, marchant devant moi, qu'elles descendent jusqu'à la rivière. Pas le moindre souffle de vent.

Les filles se blottissent contre moi. Nous regardons la danse de nos amis à plumes. Les poules d'eau, les colverts, les canards qui nous font la fête. Les deux couples de hérons cendrés restent distants. << Bonjour ! >>. Nous nous retournons. C'est monsieur Bertrand qui vient nourrir les emplumés. Nous nous retournons un peu surpris. Notre voisin aussi est surpris. Je tiens les filles à la laisse. Certes, même si ce n'est pas la première fois que Louis nous surprend ainsi, il y a toujours la consternation. Il fait semblant de ne pas s'en apercevoir. Comédien.

Les filles se serrent encore plus fort. Je fourre mes mains dans les poches. Nous bavardons un peu. Louis nous invite tous les trois à passer voir l'aménagement définitif de l'appartement installé au-dessus de son garage. Dès le printemps il pourra recommencer à louer, bien plus cher, aux touristes de passages. Nous déclinons son offre pour la journée mais Clémentine dit : << Je viendrai voir la semaine prochaine. Je vous tiens informé ! >>. Le retraité a toujours du mal à dissimuler sa joie. Son regard libidineux qu'il tente également de masquer. Salaud.

Nous le laissons à ses amis canards pour remonter les trois cent mètres. Par pure provocation, mes deux anges me précèdent. Afin que Louis, depuis la rivière, lorsqu'il se retourne puisse voir cette scène totalement surréaliste. Estelle et Clémentine promenées à la laisse. Nous rions aux éclats en rentrant au chaud. Il commence à faire faim. Clémentine s'occupe de la salade de concombre. Estelle prépare les pavés de saumon à la poêle. Je touille la potée de légumes afin qu'elle n'attache pas au fond de la vieille cocotte en fonte noir. C'est le meilleur.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les attitudes de notre voisin. << Ce vieux vicieux ! Vous avez vu comme il bave d'envie ! >> lance Estelle. << Je me suce ce vieux salaud un de ces jours ! >> rajoute Clémentine. << Je viens le goûter avec toi ! >> s'écrie Estelle. Pour cet après-midi mes deux anges aimeraient exploer un peu plus profondément ces situations saugrenues d'êtres promenées à la laisse. << Ça commence à me plaire ! >> fait Estelle en se levant pour mimer une masturbation masculine en y mettant la vulgarité habituelle.

<< Moi ça me plaît depuis la première fois ! >> dit Clémentine. C'était le parrain d'Estelle, quand elles avaient seize ans toutes les deux, qui s'était amusé à promener Clémentine à la laisse. C'était par jeu. Clémentine découvrait là un plaisir totalement neuf. En parfaite harmonie avec sa nature de "Soumise". Tout n'était alors encore qu'au stade du fantasme. C'est lorsque nous avons commencé à nous fréquenter à l'automne 2016 que Clémentine me confiait ses premiers secrets de fille. Elle venait d'avoir 19 ans. Cela m'avait profondément troublé.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de monter nous laver les dents. Avec cette météo pas de jupes pour mes deux anges. Nous restons en jeans, en chemises à carreaux. Un pull par-dessus. Nous dévalons les escaliers. Elles me tendent les accessoires. Je les fixe à leurs cous. << J'ai un super "plan". Et si c'est moi qui promenais Clémentine ? >> lance Estelle. << Génial ! Deux salopes ! Je veux absolument voir la réaction du mec qui nous surprendra ainsi ! >> s'exclame Clémentine. Pressés de filer, nous mettons les anoraks.

<< On se prend le Kangoo ! >> propose Estelle. << Il n'y a que deux sièges dans ta voiture d'entreprise ! >> dit Clémentine. Rapidement nous prenons la décision de prendre la Mercedes. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, installée à l'arrière me tient par le cou, caresse ma nuque ou mes joues. Nous prenons la direction du bourg. Trois bornes sur une route déserte. Un peu d'animation sur la place de la Mairie où sont déjà installés les chalets du prochain marché de Noël. Un kilomètre jusqu'à l'ancienne chapelle désacralisée.

Je gare la bagnole le long du muret du cimetière. Il y a trois autres autos garées là. Il y a du monde dans la petite église. Sans doute un concert de fin d'après-midi. C'est souvent le dimanche vers 17 h30 jusqu'à 18 h30. Une association caritative qui réunit des fonds pour quelques nobles causes. Nous entrons dans l'enclos paroissiale pour flâner entre les tombes. Plus personne n'est enterré là depuis une cinquantaine d'années. Le cimetière est d'ailleurs classé au patrimoine national. Il faut dire qu'il est soigneusement entretenu. Personne.

Je tiens Estelle à la laisse. Estelle qui tient Clémentine à la laisse. Nous marchons l'un derrière l'autre. Quelqu'un sort de la chapelle. L'intérieur est éclairé. Je reste immédiatement caché derrière le socle d'une statue d'une vierge éplorée. Clémentine avance entre les tombes, tenue par Estelle qui à présent la tire. Je regarde attentivement les expressions du monsieur. Un quadragénaire qui semble totalement tétanisé par ce qu'il voit, là, à quelques dizaine de mètres. Il sourit soudain. Peut-il croire que cela soit réel ? Une hallucination ?

Il suit les deux filles des yeux, les bras ballants. Il regarde dans toutes les directions. Il n'aurait pas d'autres attitudes s'il assistait à l'apparition d'un fantôme. Clémentine s'accroupit soudain. Estelle la tient au plus court pour donner quelques à coups. << Pisse ! >> s'écrie t-elle afin que la malheureuse "victime" de ce spectacle l'entende. Avec ce froid, l'inconfort de ses vêtements, Clémentine ne peut évidemment pas pisser. Elle se contente d'en garder la position. Cette scène, d'une obscénité rare, achève de troubler notre homme au plus profond.

Je n'ai jamais vu une des "victimes" des petits jeux de Clémentine dans un tel embarras. Il se touche. On le comprend le pauvre. Même la sainte Vierge debout sur son socle de pierre, qui assiste à cette scène, peut pardonner à cet homme soudain perclus d'excitation. Il contourne les haies de lauriers qui séparent l'espace de la chapelle de celui du cimetière. Il se cale entre les deux piliers qui soutiennent les arcs boutants gothiques. Il sort sa bite. Je m'accroupis pour ne pas risquer d'être vu car notre voyeur involontaire regarde partout. Vigilent.

Il se masturbe. Je ne distingue pas son sexe à cause des haies de lauriers. Je vois juste le haut de son buste. Mais aux mouvements réguliers de son bras droit, je comprends ce qu'il fait. Je fais d'ailleurs exactement la même chose. Les filles font plusieurs fois le tour de cette partie de l'enceinte du cimetière. Le mec se tourne franchement vers les deux invraisemblables salopes. Il leurs montre sa queue. Cette fois, lorsqu'il s'avance, je vois. Une superbe queue. Il bande malgré le froid et le brouillard qui devient de plus en plus dense.

Bien évidement mes deux anges, profitant de l'aubaine, en rajoute. Le type reste planqué entre les deux piliers de pierres. Même si quelqu'un sortait de la chapelle ou arrivait par la route il resterait invisible. Il en profite lui aussi. Il ne tente rien. Ne prononce pas un mot. Les deux coquines passent et repassent. C'est totalement surréaliste, délirant hors de compréhension pour quelqu'un n'entrant pas dans le "jeu". Clémentine se touche à travers son jeans. Immobile, face au mec juste dix mètres devant elle. Estelle semble quelque peu gênée.

Des voix. Ce sont sans doute les autres personnes de la chapelle. << Laurent ! Laurent, t'es où ? >>. C'est une voix féminine. Le type remballe prestement. Ce sont deux femmes qui le rejoignent. Elles sont sans doute convaincues que "Laurent' est sorti pour satisfaire un besoin naturel. Mais aussi longtemps ? Car tout cela a quand même duré une quinzaine de minutes. Estelle et Clémentine ont filé à l'anglaise pour disparaître derrière les stèles. Je les rejoins. << Put-Hein, génial ! >> lance Clémentine qui se précipite dans mes bras. Estelle pareille.

<< Put-Hein ça caille ! >> dit elle. Nous nous dépêchons de retourner à la voiture. Je roule doucement. Cette fois, Estelle est assise devant, à côté de Clémentine. Je dis : << S'il y a un contrôle de gendarmerie je prends une "prune" ! >>. Estelle répond : << Les gendarmes ? Ils sont bien au chaud dans leur gendarmerie. Et puis ils n'ont plus les budgets pour aller se balader en bagnole ! >>. Il est 18 h quand nous revenons à la maison. Il y fait bien chaud. Chez nous, ici, on fait comme on veut. 22° partout. << Et on les emmerde ! >> lance Estelle.

Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il fait faim. En prévision de la soirée de folie qui nous attend après le repas, nous faisons la bouffe. Clémentine prépare une salade de carottes. En les agitant devant sa braguette avant de les éplucher. Estelle concocte son omelette des dimanches soirs. Je touille la potée de légumes. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur l'aventure extraordinaire de l'après-midi. Considérablement excités nous envisageons les différentes options de jouissances qui s'offrent à nous après le dessert. C'est fabuleux.

Bonne soirée à toutes les coquines qui vont s'offrir les exaltations nécessaires afin de calmer le feu de leurs libidos débridées. Tout comme la mienne...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 18 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2069 -



Soirée cinéma en compagnie de Julie

Hier matin, lundi, nous sommes littéralement arrachés à nos profonds sommeils par l'application "océan". L'illusion bluffante de nous réveiller dans le port d'un de ces petits bourgs écossais que nous aimons tant. Il est presque six heures. Clémentine se blottit encore plus fort en murmurant : << Je n'ai pas envie d'y aller ! >>. Des bisous, des papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes encore étourdis par la nuit. Morts de faim, habillés "sport", nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Les radiateurs viennent de s'allumer à l'instant.

Clémentine fait le café en sautillant pour se réchauffer. Elle me raconte ses rêves. J'écoute amusé en pressant les oranges, en pelant les kiwis. Nous prenons un bon petit déjeuner. Le lundi matin il reste de la brioche. Réchauffée elle aussi au micros ondes, c'est un délice. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos exactions sexuelles de hier soir. << C'est ça qui nous crève ! Mais c'est trop bien ! >> lance Clémentine. Je passe la paume de ma main sur sa joue en murmurant : << Je vous aime ma délicieuse "Soumise". Et comme un fou ! >>.

Clémentine termine sa dernière tartine assise sur mes cuisses. Il est 6 h25. Il faut remonter pour achever de nous réveiller. Rien de plus efficace qu'une bonne heure d'entraînement dans une intensité maximale. << Le tout est s'y mettre ! Oui, environ six mètres ! >> fait Clémentine lorsque nous entrons dans notre salle. Aérobic, jogging sur tapis roulants. Exercices au sol dont abdos. C'est sur les machines que nous soulevons nos charges additionnelles. Suivies des étirements d'un stretching quelque peu bâclé où nous rions comme des fous.

La douche. Je descends le premier pour préparer l'auto. Il est presque 7 h45. Il fait froid, le jour achève de se lever, il pleut. Clémentine vient me rejoindre sous son parapluie. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou et je me dépêche de rentrer pour faire la vaisselle, le lit. Dans l'atelier, j'allume un feu dans la cheminée. Confortablement installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je terminerai ce second paysage de commande en fin d'après-midi. Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser des cris.

Il est rapidement midi car le temps passe si vite quand je me livre corps et âme à ma passion. Deux bûches dans le feu avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer le reste de la potée de légume. Avec une laitue dont je lave des feuilles également pour ce soir. Dans la poêle je fait cuire un filet de lieu noir préalablement panné. Préparation rapide et délicieuse. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff consacre son émission aux élections américaines depuis Washington. Des élections de mi mandats. Intéressantes.

Pour le repas de ce soir, je retiens l'idée de Clémentine qui en a rêvé. J'épluche des pommes de terre que je lave et coupe en grossiers morceaux. Dans l'auto cuiseur cinq minutes. J'égoutte. Je passe au moulin pour les transformer en purée. Dans le saladier je rajoute du lait de soja, un yaourt nature, un petit pot de crème fraîche et du gruyère de Comté râpé. Je dispose le tout dans le grand plat en terre cuite. Je recouvre du mélange œuf, moutarde à l'ancienne. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillé. Onze cerneaux de noix fraîches.

Au four, pour une cuisson lente à 180°. En accompagnement je fais rissoler des ronds de calmars, des champignons. Ail, échalote, persil, ciboulette. Je concocte un "roux". C'est comme une sauce Béchamel avec la différence que c'est de l'eau qui remplace le lait. J'y rajoute des aromates. Notre repas de ce soir est assuré. Je fais la vaisselle avant de monter me laver les dents. Pressé d'aller faire quelque pas, je redescends à toute vitesse. J'enfile l'anorak, les bottes en caoutchouc. C'est sous le parapluie que je vais jusqu'à la rivière. Ciel maussade.

Me voilà assis devant ma toile quand la musique imbécile de mon téléphone le fait vibrer. Il est posé sur la desserte. Je le saisis en maugréant. C'est Julie. Il est extrêmement rare qu'elle téléphone. << Je suis impatiente de vous voir. Je suis là vers 18 h, c'est trop tôt ? >> demande t-elle. Je la rassure. Qu'elle se dépêche de venir car nous aussi nous sommes impatients. Elle n'a que quelques minutes car elle est en cours. C'est depuis les toilettes qu'elle m'appelle en précisant : << C'est dans les chiottes qu'il y a le meilleur réseau ! >>. Rire.

Je peins dans le même enthousiasme que ce matin. Parsemé de cris surréalistes qui ponctuent les plus sublimes coups de pinceaux. L'après-midi passe encore plus vite. Surtout que je n'arrête pas de penser à Julie. À toutes ces aventures que nous avons vécu avec elle. Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table avant de se précipiter vers moi. Assise à califourchon sur les mes cuisses, ses bras autour de mon cou, tout en se frottant, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Plein de bisous.

Clémentine n'a que les notes prises en cours à mettre au propre. Assise devant son ordinateur elle commente à voix haute ce qu'elle fait. Je dépose le dernier trait de blanc de titane sur la surface du tableau terminé. Je nettoie la palette, les pinceaux. Dès demain je pourrai m'atteler à un travail plus personnel. Je rejoins Clémentine. Debout derrière elle je lisse ses cheveux qu'elle a détaché. << J'aime ! >> murmure t-elle. Moi aussi j'aime passer mes doigts dans sa chevelure. Parfois je me penche pour déposer un bisou dans sa nuque.

<< Mmhh, ça me donne des frissons ! >> chuchote t-elle. Trois petits coups contre la porte qui s'ouvre. Julie se précipite pour nous faire la bise. Habillée d'un jeans, d'un pull noir à col roulé, ses bottines, elle s'assoit devant ma toile terminée. Scrutant longuement et en silence. Penchée en avant pour admirer les nombreux détails insolites que je glisse toujours dans mes toiles. Je retire ma blouse. Ma braguette béante, je rejoins Julie. je me place à droite du tableau. Julie fixe ma braguette ouverte avec autant d'attention que le petit paysage.

Elle n'ose pas soutenir mon regard. Aussi, avec un bref sourire, elle tire son téléphone de sa poche. Elle l'allume. Elle me montre la photo. C'est une photo prise au printemps derniers. Dehors, lors d'une de nos petites balades dans les environs. On m'y voit debout, les mains sur les hanches, mon sexe qui pend de ma braguette ouverte. Je ne m'en souvenais plus. Clémentine lance : << Viens me montrer ! >>. Julie se lève pour se précipiter. << Wouah ! >> lance Clémentine qui rajoute : << On en fait une copie. J'écris dessus, la photo de Julie ! >>.

Je tiens Clémentine par les épaules. Avec Julie nous la regardons faire. L'informatique n'a aucun secret pour Clémentine. Elle a grandi avec. Elle recadre soigneusement le cliché afin de ne garder public que la partie la plus insolite. Nous rions de bon cœur au résultat. Je passe ma main sous les cheveux de Julie pour caresser sa nuque. Ce petit frisson qui fait bouger tout son corps me ravit. Le spectacle d'un feu dans une cheminée, une fois toutes les lumières éteintes, reste un moment de profonde quiétude. Un retour au calme dont nous profitons bien.

Assis tous les trois en tailleurs sur les pouffes. Le craquement des dernières braises. Soudain, un bruit sourd et caverneux au-dessus de nos têtes. Julie se serre contre Clémentine en l'entourant de ses bras. Elle sait que la maison est hantée. << Bonsoir Christine ! >> lance Clémentine. Comme pour répondre, le fantôme de ma compagne disparue semble claquer une porte. Des bruits de pas. Comme affolés. Nous n'arrivons pas à situer l'endroit exacte. Tout cela ne dure que quelques minutes. Julie, toute tremblante reste contre Clémentine.

Je dis : << Rien ne vaut quelques phénomènes paranormaux pour donner faim ! Qu'en pensez-vous ? >>. Les filles se lèvent d'un bond. Julie s'écrie : << Je ne m'y ferai jamais. J'ai peur de ces choses ! >>. Nous rions de bon cœur en quittant l'atelier pour la cuisine. Quand Julie et Clémentine découvrent ce qui réchauffe au four, j'ai droit à une avalanche de bisous. Il n'y a que l'assaisonnement de la salade à faire. J'aide Clémentine pendant que Julie met les assiettes, les couverts. Nous mangeons de bon appétit. J'écoute les filles parler université.

Nous ne traînons pas car Julie agite la petite boîte qui contient la carte SD. Nous faisons la vaisselle avant de nous rendre au salon. Nous orientons l'écran géant de la télévision. Clémentine introduit la carte SD dans le périphérique. Julie est entre nous deux. Clémentine manipule la télécommande. L'écran s'allume. Nous reconnaissons l'atelier. J'invite le lecteur à relire le récit de mardi dernier. Il pourra ainsi revivre très exactement les évènements. Une baise partie. Julie et moi. De me voir ainsi dans ce film en 4K me gêne terriblement. C'est fou.

D'une qualité et d'une netteté clinique, les images sont fabuleuses. Quand je suis entrain de faire l'amour à Julie. Ses jambes relevées. Vautrée dans le coin gauche du canapé. Moi, en appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids. J'ai un peu honte. Je découvre cet homme d'âge mûr entrain de besogner cette toute jeune fille qui semble en extase. Comme dans la réalité, Julie ne fait pas ses 21 ans. On lui en donne seize. Au grand maximum. Clémentine fait de nombreux arrêts sur images. Revient en arrière. Elle découvre ce qui s'est passé.

<< C'était bon je vois ! >> dit elle à Julie qui se contente de glousser timidement. Je pose ma main gauche sur sa cuisse en murmurant : << On refait quand ? >>. Clémentine ne laisse pas Julie répondre. Elle fait : << Mais c'est moi qui filme. Là, c'est beaucoup trop statique. Il faut que ça bouge, tourner autour des protagonistes. Faire des prises de vues sous des angles différents ! >>. Julie s'écrie : << Oh oui ! Tu filmes ! Tu es tellement douée ! >>. Je rajoute : << Et si vous êtes d'accord, Estelle sait faire d'extraordinaires montages "Hollywood" ! >>.

Julie est toute timide. Assise à ma gauche elle reste immobile. Je demande : << Combien de fois avez-vous regardé ce film depuis mardi dernier ? >>. Julie, sans hésiter, mais à peine audible, dans un souffle, répond : << Tous les soirs ! >>. Nous éclatons de rire. Je me lève. Je bande comme le dernier des salauds. Je sors mon érection pour l'agiter devant Julie en demandant : << Vous êtes plutôt pipe ou plutôt baise ? >>. Julie cache son visage dans ses mains en riant aux éclats. Elle répond en se serrant contre Clémentine : << Sodomite ! >>.

Le film dure une bonne heure. Mais, comme le précise Clémentine, une caméra fixe, qui filme en automatique, n'offre pas beaucoup d'attrait. << Je ne vais pas le garder. On s'en fait un vrai ! >> lance Julie. Clémentine propose de réaliser un truc beaucoup plus attractif un de ces prochains vendredis après-midi. Je me masturbe en précisant : << On fait la même chose mais pour un résultat incomparable ! >>. Julie me fait un sourire avant de fixer ma masturbation lente et régulière. Elle conclue : << C'était tellement bon vous savez Julien ! >>.

Je m'avance jusqu'à toucher ses genoux des miens. Elle les écarte pour me permettre de me rapprocher davantage. Clémentine lâche la télécommande. L'écran s'éteint. Elle passe sa main sous les cheveux de Julie. La saisissant fermement par la nuque, elle appuie sur sa tête. N'ayant d'autre choix que d'ouvrir la bouche pour que j'y enfonce ma turgescence. Julie a une charmante manière de commencer ses pipes. La forme de mon gland, sous la peau de mon prépuce, épouse à la perfection ses lèvres ventouses. Comme si elles étaient faites pour.

Clémentine me fait un clin d'œil. Elle se penche, son visage tout près de celui de Julie pour scruter ses expressions. Je me penche également avant de me rendre compte que l'écran éteint du téléviseur permet de découvrir les détails. Julie, les yeux fermés, maintenue fermement par Clémentine, suçote en gémissant. Par contractions des muscles fessiers, je fais bouger mon sexe. Ce mouvement rythmé surprend Julie. Cela fait également monter de la sève. Nous pouvons voir Julie tenter de déglutir. Elle ouvre les yeux pour mâter la touffe de poils sauvages.

Clémentine la tient à présent également sous le menton en chuchotant : << Tu as sucé ce week-end ? >>. Julie gémit négativement. << Tu t'es fait enculer ? >> demande t-elle encore en mettant sa joue contre celle de Julie qui gémit affirmativement. Clémentine relâche enfin son étreinte. Julie prend une grande bouffée d'air en se retirant. Elle dit : << En hiver j'ai toujours le nez bouché, je n'arrive pas bien à respirer ! >>. Je passe ma main sur sa joue, sous son menton en faisant : << On reprend ça vendredi après-midi. Ça vous tente ? >>. Un silence.

Julie s'exclame soudain : << Avec Clémentine ! >>. Nous rions aux éclats de tant de spontanéités. << Je pipe avec toi ! >> répond Clémentine un peu embarrassée par les élans amoureux de Julie. Il est presque 22 h. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture sous le parapluie. Assise au volant, Julie agite la petite boîte contenant la carte SD en disant : << J'efface. On refait comme on a dit ! >>. Clémentine qui agite ma queue, répond : << Ce vendredi si tu veux ! >>. Julie s'écrie : << Oh oui ! >>. Nous la regardons s'en aller.

Bonne nuit à toutes les coquines, excitées par une soirée cinéma, qui vont se faire brouter le minou, sucer de la queue sous les draps...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 19 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2070 -



Une soirée des plus agréables

Hier matin, mardi, il est presque six heures. Dans un mouvement réflexe, en même temps que ne s'enclenche l'application "océan", Clémentine se blottit encore plus fort. Contre moi toute la nuit c'est en gémissant qu'elle se réveille. Le cris strident des mouettes en est en grande partie responsable. Quelques bisous, quelques papouilles plus tard et nous nous précipitons aux toilettes. Dans nos tenues lycra, mort de faim, nous dévalons les escaliers. Les radiateurs viennent de s'allumer. Il fait encore bien frais dans notre cuisine. À peine 18°.

Clémentine fait le café en me contant son rêve. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Je ne me souviens jamais des miens. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier, en compagnie de Julie. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le projet de faire un nouveau film. Certainement vendredi prochain. Clémentine adore tenir la caméra. Elle pose sa main sur la mienne pour dire : << J'aime te voir baiser. Que ce soit avec Estelle où depuis peu avec Julie ! >>. Nous en rions de bon cœur. Je réponds : << Moi aussi ! >>.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol, abdos. Charges additionnelles. Retour au calme avec un stretching juste avant la douche. Je descends pour aller sortir la voiture. Il pleut. La fraîcheur humide est désagréable. Clémentine vient me rejoindre sous son parapluie. Un dernier bisou avant qu'elle ne s'en aille. Un dernier coucou lorsque le portail se referme automatiquement. Je m'empresse de rentrer au chaud, au sec, pour faire notre vaisselle, notre lit.

Dans l'atelier, j'allume une magnifique flambée dans la cheminée. Confortablement installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque ce matin la première toile destinée à ma saison 2023. Une nature morte. Depuis une bonne dizaine d'années, je me contente de reproduire les mêmes réalisations. À partir de calques d'anciennes œuvres. Il me suffit de changer quelques détails, de rajouter des choses, d'en supprimer pour produire un tableau original. Mais ma passion à le mener à son terme reste intacte. C'est un réel plaisir.

Je peins dans une sorte d'extase mystique qui me fait baver. Le crépitement des flammes, le craquement du bois, tout cela participe de moments "glorieux" où la succession des coups de pinceaux me fait pousser des cris déments. La matinée passe à une vitesse folle. Il est presque midi quand je mets deux bûches dans le feu avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je fais gonfler du riz complet. Accompagné d'une rapide salade d'endives. Un filet de colin dans la poêle. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. C'est encore passionnant.

La pâte feuilletée a décongelé depuis ce matin. J'en étale les deux tiers dans un grand plat à tarte aux bords hauts. Je lave et je coupe deux poireaux. Je les ébouillante quelques minutes avant de les rajouter à la Béchamel. J'y mets du gruyère de Comté grossièrement râpé. Je verse le tout sur la pâte feuilletée. Quelques tranches de champignons crus avant de recouvrir le tout du dernier tiers de pâte. Je jointe soigneusement les bords. Je badigeonne le dessus du mélange œuf, lait de soja, moutarde à l'ancienne, graines de sésame grillé. Au four.

C'est tellement meilleur quand ça mijote. Cuisson lente et longue à 180°. La vaisselle. Serein, sachant que le repas du soir est prêt, je monte me laver les dents. À mon intention, comme elle le fait souvent, sur le petit pense bête suspendu au mur, Clémentine a écrit "je t'aime". J'y dessine un petit cœur avant de redescendre à toute vitesse. Pressé d'aller marcher un peu sous la pluie. J'enfile l'anorak. C'est sous le parapluie que je fais le tour de la propriété. Il faut rentrer du bois. J'emplis la brouette de plusieurs bûches de hêtre et de chêne.

Une partie rangée à côté de la cuisinière à bois dans la cuisine. Une partie à côté de la cheminée du salon. Un second voyage pour reconstituer le stock de l'atelier. Me voilà installé devant mon chevalet. Je peins dans l'identique état d'esprit que ce matin. L'après-midi passe encore plus vite. Il fait sombre. Je travaille avec la lampe à halogène. À nouveau, pour faire fonctionner les batteries, toute la maison est alimentée en électricité par les panneaux photovoltaïque. L'énergie fournie couvre bien davantage les besoins que nécessaire. Parfait.

Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Jetant son cartable dans le fauteuil à bascule elle se précipite vers moi en sautillant. << C'est cool les cours ! >> s'écrie t-elle en s'asseyant à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou, en se frottant, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Comme il lui faut encore mettre au propre les notes prises elle ne tarde pas à allumer son ordinateur. J'aime ces moments d'activités communes. Quand Clémentine me raconte quelques amusantes anecdotes de sa journée.

<< Là, voyez-vous, j'en ai marre ! >> s'écrie t-elle soudain en se levant pour ranger ses affaires. Il est 18 h15. Je nettoie les pinceaux, la palettes. Clémentine éteint les lumières pour venir me rejoindre. Assis tous les deux en tailleur devant la cheminée. La lueur dansante des dernières flammes. Les craquements des dernières braises. Du bruit. La porte s'ouvre. Estelle fait son irruption pour se précipiter vers nous. Des bisous. Estelle se couche sur l'épais tapis, sa tête sur ma cuisse. J'écoute les filles parler de leur journée d'études. << C'est cool ! >>.

Le rythme est différent. Ce ne sont plus des journées entières à "gratter" dans l'amphithéâtre. Ce sont des groupes d'étudiants avec leurs profs, qui s'occupent à des projets communs. En résulte un travail beaucoup plus personnel. À partir de concepts proposés par les aspirants doctorants eux-même. J'écoute car tout cela est passionnant. Soudain, au-dessus de nos têtes, un bruit sourd. Il résonne étrangement ce soir. << Christine ! >> murmure Clémentine. << Son fantôme ! >> chuchote Estelle. Mes deux anges changent de position en tremblant.

Serrés très fort, tous les trois, nous écoutons les errances de l'entité. Des pas légers qui semblent parcourir tout l'étage. Cela ne dure que quelques minutes. << Put-hein, les revenants, ça donne faim ! >> lance Estelle comme pour conjurer l'inquiétude que provoque toujours ces manifestations étranges. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand mes deux anges découvrent ce qui réchauffe au four, elles me sautent au cou. Nous le faisons souvent. Nous serrer dans nos bras, tous les trois, à nous couvrir de bisous. Estelle me palpe la bosse.

<< On se fait des trucs sympas après la bouffe ? >> lance t-elle en gambadant autour de la table. << Mais pas trop parce que demain il y a école ! >> répond Clémentine qui m'entraîne dans une farandole un peu folle. Estelle met les assiettes et les couverts. J'aide Clémentine à préparer une belle scarole et son assaisonnement. Estelle fourre sa main dans ma braguette. Collée derrière moi, m'enserrant la taille de ses bras, elle me sort le Zob. Je bande mou. Clémentine mime une pipe en faisant tourner son poing devant sa bouche. Une bosse dans sa joue.

La sonnerie du four. << Je m'en occupe ! >> s'écrie t-elle alors qu'Estelle me contourne pour s'accroupir devant moi. << Tu sais que cela fait au moins quarante huit heures que je n'ai plus sucé ! >> lance t-elle. << À table, on mange ! >> se contente de répondre Clémentine. La Flamiche Picarde, cette tourte aux poireaux, fait les délices de notre repas du soir. C'est succulent. Le rajout des champignons crus conjugue une petite touche "campagnarde" absolument exquise. Nous mangeons de bon appétit en racontant à Estelle la soirée avec Julie.

<< Moi aussi, j'ai une idée de film. Ça fera le dix septième depuis cinq ans ! >> lance Estelle qui se lève pour mimer une masturbation masculine. << C'est ce que tu m'as raconté au restaurant universitaire ? >> demande Clémentine. << Oui, mais il ne faut pas le dire à Julien, c'est encore un secret. Et à l'état d'ébauche ! >>. Clémentine rajoute : << Et question débauches, on en connaît un rayon ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges font mille projets "cinématographiques".

Nous rions aux éclats à la plupart d'entre eux. Des choses irréalisables ou alors tellement absurdes qu'elles nous font rire. La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Estelle devra nous quitter pour 22 h. Il reste une bonne heure et demi. Elles me font tomber dans le canapé pour se vautrer sur moi. Je propose de bons léchages de minous en précisant : << C'est juste pour bien situer les choses ! >>. En riant elles se lèvent toutes les deux pour retirer leurs jeans, leurs culottes. Je ne suis évidemment pas obligé de réitérer ma proposition.

Estelle se jette dans le canapé à ma droite. Clémentine fait de même à ma gauche. M'empêchant d'abord de me relever, me couvrant le visage de bisous en mitrailles, elle saisissent mes poignets. Afin que surtout je n'arrête pas de les toucher. Mes mains entre leurs cuisses chaudes et douces. Je passe mes doigts sur leurs intimités. << Mmhh, c'est bon ça ! >> murmure Clémentine. << Mmhh, génial ! >> chuchote Estelle qui tient mon érection à pleine poigne. Je réussis à m'extraire pour me lever, jeter les épais coussins au sol. Sur le tapis.

À genoux entre les jambes d'Estelle, mes mains posées sur ses cuisses largement écartées, j'approche mon visage de son sexe. J'adore humer les odeurs de sa journée de fille. Clémentine se masturbe en m'observant. Elle attend son tour. Je viens me placer de la même manière. Ses odeurs sont légèrement différentes. Je vacille de bonheur à respirer leurs effluves parfumées. Je change de filles à plusieurs reprises pour bien comparer. Elles rient aux éclats tout en se touchant. Cette fois, je passe ma langue sur la fente humide d'Estelle.

Le nez dans les poils. J'adore quand ses lèvres jaillissent doucement comme les pétales d'une tulipe. J'en fouille les plis et les replis du bout de la langue. Quand je suce son clitoris elle cesse de se masturber pour se contorsionner en gémissant. J'administre le même traitement à Clémentine. Je suce son clitoris géant avec délectation. Il y toujours un peu de "fromage" dans les peaux. Combien de fois n'avons-nous pas sacrifié à ce rituel. Et pourtant c'est encore comme une "première". Quand Estelle m'attire sur elle pour que je la pénètre. Je m'immisce.

Je la besogne comme elle aime. Tel un homme des bois je la baise en poussant de véritables rugissements. C'est trop bon ce soir encore. Elle se masturbe toujours en même temps en poussant de petits cris gutturaux. Cette fois Clémentine s'est levée. Tout en se touchant d'une main, elle tient mes couilles de l'autre. J'ai mon jeans et mon slip sur les chevilles car elle m'a descendu mes fringues. Je me retire pour reprendre mon souffle. Ce soir Clémentine préfère se masturber. << Je l'ai déjà fait dans la voiture en rentrant ! >> lance t-elle en riant.

<< Toi aussi ! >> dit Estelle en approchant son visage de mon sexe dégoulinant de nos mélanges. Clémentine le tient entre ses doigts pour le guider. Estelle ouvre la bouche pour le gober. Clémentine revient s'assoir à ses côtés. Tout en se touchant elle observe. Elle me fait un clin d'œil. Je me fais tailler une pipe des familles. Je dis à Clémentine : << Après, au lit, sous les draps, je m'occupe de ton cas ! >>. Il va être l'heure. Je tire ma queue de la bouche d'Estelle qui pousse un petit cri de dépit. Un long filament de jute relie ses lèvres à ma turgescence.

Du doigt Clémentine le récupère. C'est surtout pour éviter qu'il ne s'étale sur le haut du sweat d'Estelle. Elle le porte à sa bouche en faisant : << Mmhh ! >>. Estelle se lève pour s'habiller. Clémentine fait pareil. Moi aussi. Nous raccompagnons Estelle dans la nuit, sous le parapluie jusqu'à sa voiture. La séparation est aussi difficile qu'au premier jour. Elle revient jeudi soir. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer. Pipi. Un passage à la salle de bain. Sous les draps j'offre un somptueux cunnilingus à Clémentine qui jouit à en perdre la raison.

Bonne nuit à toutes les coquines qu'un orgasme précipite dans un profond sommeil régénérateur. Contre l'homme qu'elles aiment...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 19 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2071 -



Juliette vient manger à la maison

Hier matin, mercredi, cinq heures cinquante cinq. Le bruit obsédant des moteurs de ce chalutier qui rentre au port nous arrache de nos profonds sommeils. L'application "océan" et ses illusions. Le cri des oiseaux de mer parachève l'ensemble. Clémentine se serre encore plus fort contre moi en murmurant : << Déjà ! >>. Quelques bisous, quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, après nous êtres vêtus de nos tenues sports, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Les radiateurs viennent de s'enclencher.

Clémentine fait le café. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. J'aime écouter le souvenir des rêves de sa nuit. Nous prenons le petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier, avec Estelle. << C'est tellement bien tous les trois ! On en parle souvent toutes les deux au restaurant universitaire. Comment pourrait-elle quitter cette merveilleuse histoire pour tenter un truc avec un autre ! >>. J'écoute, amusé. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les différentes options de repas pour la visite de Juliette ce soir. Clémentine à une idée.

<< On adore les gratins. On adore les patates ! >> lance t-elle. Je réponds : << Je m'en occupe ! >>. Il est 6 h25. Le matin chaque minute est comptée. Nous remontons vite pour nous livrer à notre plaisir. Aérobic, jogging sur tapis roulants. Exercices au sol, abdos. Les charges additionnelles. Redoutablement efficaces pour réveiller n'importe qui. Retour au calme avec un stretching déconnant. La douche. Je redescends le premier pour réparer la voiture. Il pleut, le jour achève péniblement de se lever sous un ciel sinistre et maussade. Il fait froid.

Clémentine me rejoint chaudement vêtue sous sous parapluie. Un dernier bisou. Je dis : << Ce soir gratin de purée avec sauce au calmars ! >>. Clémentine s'écrie : << Mmhh ! >>. Je la regarde partir. Un dernier coucou. J'ai hâte de me retrouver au sec et au chaud. La vaisselle. Le lit. Dans l'atelier j'allume le feu dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Cette première nature morte de la saison 2023 m'accapare rapidement, complètement. Je peins dans un enthousiasme totalement délirant.

Mes matinées de peintures passent prodigieusement vite. Il est presque midi. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer le reste de la tourte aux poireaux. Avec une salade de carottes. Un filet de flétan poêlé avec de l'ail, de l'échalote. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff, dans tous ses états, reçoit un journaliste d'investigations. Une émission passionnante sur l'invraisemblable corruption de l'élite. Une élite qui n'a rien d'élitiste et qui coûte très cher à toute la nation.

J'épluche et je lave les pommes de terre. Je les ébouillante une dizaine de minutes coupées en morceaux grossiers. Je prépare une béchamel avec des champignons. Après avoir égoutté les patates je les passe au pressoir pour en faire une onctueuse purée. Comme je l'ai fait lundi soir, j'y rajoute du lait de soja, de la crème fraîche et un yaourt "nature". Je mélange pour rendre homogène. Dans la poêle je fais rissoler de l'émincé de saumon. Une première couche de purée dans le grand plat carré en terre cuite. J'y verse de la Béchamel et l'émincé de saumon.

De fines tranches de Morbier recouvrent le tout. Une seconde couche de purée. Il suffit d'y rajouter une bonne couche de gruyère râpé. De la chapelure. Des graines de sésame grillé. Au four pour une cuisson lente et longue à 180°. Je poêle les tranches de calmars pour les rajouter au reste de Béchamel. Voilà la sauce. Je lave trois endives. Je fais un assaisonnement. Il me reste à faire la vaisselle. Je suis serein, le repas de ce soir est prêt. Je monte me laver les dents en chantonnant. Pressé d'aller faire quelques pas, je redescends l'escalier à toute vitesse.

C'est en K-way et sous le parapluie, chaussé de mes bottes en caoutchouc, que je fais le tour de la propriété. Ma passion m'appelle. Me voilà dans l'atelier. Je rajoute deux bûches dans le crépitement des flammes. Installé devant ma toile, je peins animé du même enthousiasme que ce matin. L'après-midi s'écoule dans la sérénité la plus absolue. Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle pose son sac sur la table avant de sautiller jusqu'à moi. << Put-Hein comme c'est cool en fac ! >> lance t-elle en s'installant à califourchon sur mes cuisses. Bisous.

Elle me raconte cette journée "cool". Le menu du restaurant universitaire. << Je dois me farcir un des bouquins commandés à la FNAC. Ça me fait chier ! >> dit elle en se frottant langoureusement. La voilà dans le canapé avec son livre. En chaussettes, les pieds relevés sous les coussins. Parfois elle lit un passage à voix haute. J'adore écouter la musique des mots. Il est 18 h30 quand elle referme le bouquin en s'écriant : << Ras-le-bol ! J'ai faim, j'ai envie de toi ! >>. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je viens m'assoir auprès d'elle sur le canapé.

Toutes les lumières éteintes, nous restons serrés à admirer la danse des dernières flammes. Du bruit. Trois coups contre la porte. Nos intimes ont pour consignes d'entrer et de nous rejoindre dans l'atelier. Juliette arrive dans la grande pièce. Juste éclairée par l'âtre sa silhouette s'avance vers nous. Clémentine se redresse pour allumer la lampe de chevet sur le guéridon. Le grand sourire radieux de notre visiteuse irradie. Nous nous levons d'un bond pour la saluer. Ce soir encore Juliette porte sa tenue d'équitation sous son manteau noir.

Trois bises. Je la débarrasse de son manteau. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. J'allume le four. En mettant les assiettes et les couverts, Juliette nous raconte un peu de ses journées. La pension pour chevaux accueille 87 bêtes. Ce qui demande un suivi permanent. Je regarde cette sublime bourgeoise de 48 ans. Elle pourrait être la maman de Clémentine. Vêtue d'un pantalon d'équitation beige, aussi moulant qu'un collant. Une chemise à petits carreaux beiges. Sa taille de guêpe. Sa silhouette athlétique. ses cheveux en natte qui pendent dans son dos.

Ses bottes noires de cavalière. Même Clémentine est toujours subjuguée par la classe naturelle et aristocratique de cette femme. Juliette fixe à plusieurs reprises ma braguette ouverte. Comme pour m'inviter à en sortir le locataire. Clémentine qui s'en rend compte m'adresse de discrets clins d'œil. Ce qui me fascine ce sont ces deux bosses parfaitement apparentes, séparées par la couture centrale de son pantalon. Les lèvres charnues de sa vulve. C'est vraiment fascinant. De l'entendre nous raconter avec son accent méridional nous amuse toujours.

<< Qu'est-ce que j'ai dit de drôle ? >> demande t-elle parfois quand elle nous voit rire. Nous lui expliquons. En souriant elle s'écrie : << Je ne peux pas changer ma façon de parler. Je suis Corse ! >>. Tourné vers le four, je remue la Béchamel afin de faire disparaître le coté figé de l'ensemble. Je sors discrètement mon Zob. Juliette, appuyé contre le buffet, bras croisés bavarde en regardant Clémentine couper les endives. Je me retourne. Rien ne m'excite davantage que de voir la réaction d'une femme lorsqu'elle découvre ce qui pend de ma braguette.

Juliette, tout en parlant, fixe mon sexe avec attention. Je bande mou. D'une main je touille la sauce aux calmars de l'autre je pince la peau du prépuce pour redresser ma queue. Je l'agite ainsi en direction de notre visiteuse. Juliette descend une main pour se toucher. Son index qui passe sur la couture entre les deux bosses. << Ça m'excite quand tu montres ta bite à une autre ! >> lance Clémentine en remuant la salade. << Moi, ça m'excite quand on me la montre ! >> fait Juliette en se cambrant sur ses genoux fléchis. Elle se touche effrontément.

La sonnerie du four. Juliette se précipite. Elle enfile les maniques. S'accroupit devant la porte vitrée. Une femme accroupie, que je vois de dos, me pousse dans les cordes. Surtout que Juliette m'observe dans le reflet de la vitre fumée. Je me masturbe. Clémentine mime une pipe. Juliette tire le plat du four. Un gratin merveilleusement doré. L'odeur qui achève de nous mettre en appétit. Un appétit d'ogres que nous allons satisfaire en cessant nos passionnantes déviances sexuelles. Juliette raconte ses petites aventures épiques avec le vétérinaire.

<< Celui avec la bite qui pue ? >> demande Clémentine. Nous rions aux éclats. << Oui, un vrai cas pathologique ! >> répond Juliette. Je demande à mon tour : << Et James, toujours aussi appétissant ? >>. Juliette nous apprend que son palefrenier risque de quitter son poste. James a trouvé un emploi dans l'Oise. Responsable de la section entretien d'un centre hippique. << Je n'arrive pas à les garder plus de deux ou trois ans ! >> confie Juliette. Clémentine rajoute : << Pourtant, vous faites tout ce qu'il faut pour garder un homme compétent ! >>.

En précisant cela Clémentine fait tourner son poing fermé devant sa bouche. En faisant une bosse à l'intérieur de sa joue. << Il faut croire que je ne le fais pas assez bien ! >> répond Juliette. Nous rigolons comme des bossus. Je me lève pour agiter ma bite toute mollasse dans sa direction. Je dis : << Pourtant, chère Juliette, je vous assure que vous êtes divine dans vos égards ! >>. Clémentine rajoute : << Julien m'en parle régulièrement ! >>. Juliette, souriante, me regarde amusée. Je fais : << Et si je jouais au palefrenier un de ces jours, hein ? >>.

<< Excellente idée ! >> s'écrie Juliette. Nous traînons à table en envisageant ce scénario totalement loufoque. Je suis du genre à me faire un trou dans le pied quand je change une ampoule. Alors j'imagine très mal interpréter le rôle d'un palefrenier. Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Juliette a apporté une tarte aux poires que nous dégustons au salon. Vautré dans le canapé, à gauche de Clémentine, j'agite ma queue, je me masturbe en écoutant les conversations. << Un Gloryhole avant Noël ? >> demande t-elle à Clémentine qui reste pensive.

Juliette, la jambe gauche relevée sur l'accoudoir gauche du fauteuil qui nous fait face, ne cesse de passer son index entre les deux bosses. Je bande comme le dernier des salauds dans la main droite de Clémentine. Comme le fait Estelle, Clémentine, tout en discutant, me tord la queue dans tous les sens. Juliette propose un "plan" cochon avant Noël. << La bite du véto ! Une bonne pipe ! Pour vous changer les idées ! >> propose Juliette. Clémentine répond instantanément : << Oh oui, ça, pas de souci. J'apprécierais volontiers. On fait ça quand ? >>.

Juliette précise les jours et les heures où son vétérinaire intervient. Le plus souvent les mardis ou jeudi entre 14 h et 16 h. << J'aurai des après-midi libres dans le cadre de mes études. Il faut juste que ça tombe pareil ! >> répond Clémentine. J'écoute en silence. Je fixe Juliette dans les yeux. Comme elle bavarde avec Clémentine en se touchant elle éprouve certainement la frustration de ne pouvoir entrer dans le jeu de mon regard insistant. Cette femme, ce soir encore, à la lueur des deux grosses bougies, est "monstrueusement" belle, attirante et sexy.

N'en pouvant plus, je me lève. Clémentine s'avance sur le canapé pour ne pas lâcher mon Zob dur comme le bois. Je dis : << Juliette, pendant que Clémentine se suce votre véto, je vous met la mienne dans la bouche. J'aime autant vous prévenir tout de suite ! >>. Juliette éclate de rire en lançant : << En voilà une affirmation galante, pleine de courtoisie et de pertinence ! >>. Clémentine rajoute : << On se les suce l'une à côté de l'autre ! >>. Juliette me fixe sévèrement. Elle ne répond pas. Ça me gêne jusqu'au plus profond de moi-même. Silence.

Il est 22 h. Nous raccompagnons Juliette jusqu'à sa voiture. Il ne pleut plus mais tout est trempé. Assise au volant de sa Mercedes, la vitre baissée, Juliette nous invite à passer au haras ce dimanche. Elle organise une animation équestre. Nous ne promettons rien mais nous nous réjouissons pour venir passer la soirée de mercredi prochain avec elle. Clémentine me tient la bite qu'elle agite tout près du visage de Juliette qui conclue : << C'est une bonne idée, l'une à côté de l'autre ! >>. Sans nous laisser le temps de répondre, Juliette démarre.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont s'offrir une queue sous les draps. Baise, pipe entrecoupées de léchages de minous avant le dodo...

Julien



Classe

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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Homme, 53 ans, France
Classe - 21 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2072 -



Une douce soirée à trois

Hier matin, jeudi, il est presque six heures. L'illusion de nous réveiller dans un petit port de pêche est bluffante. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. L'application "océan" nous tire du sommeil. Les mouettes et leurs cris obsédants. Le ressac qui semble venir jusqu'aux pieds de notre lit. Des bisous. Des papouilles. Tout cela ne dure que quarante cinq secondes. Suffisamment pour nous obliger à nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, dans nos habits de gym, un peu comme des robots, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.

Clémentine fait le café en réunissant les souvenirs de ses aventures oniriques. Ces bribes de rêves dont elle se souvient par étapes. Amusé, j'écoute en pressant les oranges, en pelant les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier en compagnie de Juliette. Clémentine aime à imiter son accent méridional. Ce qui me fait rire aux éclats. Nous mangeons de bon appétit en évoquant les attitudes, les invitations et les comportements de notre amie. << Elle veut absolument m'entraîner dans ses "plans" ! >> dit Clémentine.

C'est vrai que la proposition d'un nouveau Gloryhole avant les vacances de Noël revient à chaque fois que nous passons du temps avec Juliette. << Elle est aussi voyeuse qu'exhibitionniste ! >>rajoute Clémentine. Il est 6h25. Nous remontons. Pour achever de nous réveiller, rien ne vaut une bonne heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, un peu de vélo d'intérieur, exercices au sol, abdos. Les charges additionnelles qui paraissent bien lourdes ce matin. Le retour au calme avec la pratique du stretching et ses étirements bâclés.

La douche. Je redescends très vite. Il ne pleut pas. Il fait un peu moins froid. Il est presque 7 h45. Je sors la voiture du garage. Clémentine vient me rejoindre dans son anorak. Un dernier bisous. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je rentre au chaud pour faire la vaisselle et notre lit. Dans l'atelier, je fais une flambée dans la cheminée. Confortablement installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Me reviennent en mémoires les paroles de Clémentine quand aux propositions de Juliette. Cette invitation à un autre Gloryhole.

Je peins dans la sérénité la plus absolue. Je sais que je terminerai cette nature morte demain avant midi. Première toile destinée à ma saison prochaine. Les heures défilent. Il est déjà midi. Deux bûches dans la cheminée avant d'aller dans la cuisine. Je prépare une salade de concombre pendant que réchauffe les restes du gratin de purée. La sauce aux calmars. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Comme chacun d'entre nous, mes journées sont faites de ces petits rituels qui façonnent nos quotidiens. André Befcoff et son émission.

Des émissions qui sont toujours d'excellents moments de radio. Dans la poêle je fais revenir des crevettes. Je les verse dans le saladier. Je fais rissoler des champignons, de l'ail, de l'échalote. Je verse dans le saladier. Un petit pot de crème fraîche. De la chapelure. Je remue. Je farcis les tomates de ce mélange. Je replace délicatement les "couvercles". J'égoutte les coquillettes pour les verser dans le plat carré en terre cuite. Recouvertes d'une bonne couche de gruyère de Comté râpé, je mets au four avec les tomates. Cuisson lente et longue à 180°.

La vaisselle. Je remonte me laver les dents. Je chantonne, serein, sachant que le repas de ce soir est prêt. Pressé d'aller faire quelques pas, je dévale les escaliers à toute vitesse. J'enfile le K-way, les bottes en caoutchouc avant de sortir. Il y a du vent. Le ciel devient menaçant. Je vais jusqu'à la rivière. La fraîcheur humide et désagréable est encore accentuée par un vent de plus en plus fort. Il est temps de rentrer. Je rajoute deux bûches sur les braises. Il fait beaucoup plus sombre que ce matin dans l'atelier. Il faut allumer la lampe à halogène. 13 h45.

Je peins animé des mêmes pensées que ce matin. Il me suffit de me remémorer une des aventures vécues avec Juliette pour que me reviennent quantités de souvenirs. C'est sympathique de travailler en érection. Je sors ma queue pour lui permettre de s'épanouir sans être contrainte dans le slip. Lorsque mes pensées apportent des images du passé, je me masturbe un peu pour reprendre ma peinture en riant. L'après-midi passe très vite. Déjà 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle jette son cartable dans le fauteuil à bascule en se précipitant.

Assise à califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, en se frottant, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Je me suis touchée en rentrant. Mais tu sais que je roule prudemment ! >> me confie t-elle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Clémentine doit se consacrer à la lecture pour son prochain travail. Elle s'installe confortablement dans le canapé. Ayant retiré ses bottines, elle place ses pieds sous les coussins. J'aime l'entendre lire des passages entiers. J'écoute. Cela m'inspire et me berce.

Il est 18 h30. Clémentine referme son livre d'un claquement sec en s'écriant : << Terminé ! Alors là, ras-le-bol ! >>. Je nettoie la palette, les pinceaux. Nous restons assis sur l'épais tapis devant la cheminée. Juste la lueur des dernières braises. Estelle jaillit soudain, comme un ouragan. Elle se précipite. Des bises. Couchée sur le tapis, sa tête sur ma cuisse elle me raconte sa soirée de hier. Elle l'a déjà raconté à Clémentine durant le repas de midi. Comme tous les mercredis soirs Jean-Marc, son parrain lubrique, est venue la niquer dans la cave.

<< Maman me regarde avec un drôle d'air quand je remonte ! >> précise t-elle. << Elle connait sa fille ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Estelle fourre sa main dans ma braguette. << Mais tu mouilles ma parole ! >> s'écrie t-elle. Je dis : << Cet après-midi je me suis accordé quelques pauses branlettes ! >>. Clémentine s'exclame : << Fais voir ta bite ! >>. Estelle l'extrait de mon slip. Dans l'obscurité difficile de prendre l'exacte mesure des choses. << Attendez, j'allume. On va contrôler ça ! >> fait Clémentine en se levant.

Estelle m'entraîne devant le petit lavabo. L'éclairage sous la lampe permet d'apprécier. Estelle a du liquide séminal plein les doigts. Clémentine, accroupie, scrute avec attention. Je bande mou. Ça dégouline. Estelle tient mon Zob au-dessus de la faïence. Elle "essore" la peau fripée du prépuce pour faire couler du foutre. Un foutre épais, visqueux, qui refuse de tomber dans le lavabo. << Put-Hein, ça m'excite toujours de voir ça ! >> lance Clémentine qui se redresse. Toutes les deux, Estelle à ma gauche, Clémentine à ma droite observent la jute.

Penchées en avant, leurs visages au-dessus du lavabo, elles me tiennent par la taille. Je lâche un premier jet en ouvrant le robinet d'eau chaude. Un mince filet. Mes deux anges échangent leurs impressions. Je passe mes mains sous leurs cheveux pour saisir leurs nuques. L'odeur nauséabonde me monte au nez. Je pisse par petits jets réguliers. Comme je commence à bander, la pression se fait moindre mais se dirige vers le haut. Clémentine, prévenante, saisit ma queue entre le pouce et l'index pour la contraindre vers le bas. Quelques giclées.

Les dernières gouttes. Clémentine gobe mon sexe pour se régaler des derniers épanchements. Avec l'excitation le mélange semble la ravir. Partageuse, elle tend mon Zob à Estelle qui se met à sucer comme si sa vie en dépendait. Elles se redressent. Elles mitraillent mon visage de bisous. << Mon pisseur d'élite ! >> murmure Estelle. Nous rigolons comme des bossus en quittant l'atelier pour la cuisine. Quand les filles découvrent ce qu'il y a dans le four j'ai droit aux même élans passionnés. Clémentine s'occupe de la salade de carottes. Estelle met la table.

J'ai la bite qui dégouline. Je veux prendre une feuille de papier Sopalin quand Estelle se précipite en s'écriant : << Non, on ne gâche pas, on distribue généreusement ! >>. Accroupie devant moi, me tenant par les passants de mon jeans, elle se remet à sucer comme une véritable gourmande. Clémentine me fait un clin d'œil. Je dis : <<. Tu nous racontes quelques détails croustillants de ta baise de hier soir ! >>. Estelle cesse pour se redresser. Elle répond : << Pendant que tu procèdes au contrôle minutieux de mon minou, je te raconte tout ! >>.

La sonnerie du four. Estelle enfile les maniques. Elle aussi me procure les plus délicates émotions quand je la vois ainsi. Accroupie, de dos, devant la porte vitrée du four. Tout comme Juliette hier soir, elle m'y regarde me masturber. Nous mangeons de bon appétit. Estelle me demande plein de détails sur mon comportement avec Juliette. Même si Clémentine lui a déjà tout raconté au restaurant universitaire je me fais un plaisir de narrer mes comportements. Nous ne traînons pas. Estelle devra nous quitter pour 22 h. Il reste une heure trente de joies.

La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon en me tenant les mains. << Contrôle minou ! >> lance Estelle qui retire son jeans, sa culotte, pour les balancer n'importe où. Elle se jette dans le canapé. Tenant ses jambes relevées sous les genoux, cuisses largement écartées, elle me présente son invraisemblable touffe. Depuis plus de cinq ans qu'elle ne s'est plus épilée, il y a là de quoi satisfaire un esthète, un amoureux de la nature et un explorateur de mon espèce. Clémentine retire son jeans, sa culotte pour s'affaler dans le fauteuil en face.

Je suis à genoux sur l'épais coussin. Mes mains sur les cuisses d'Estelle qui me présente sa chatte. J'approche mon visage pour humer les odeurs fortes de sa journée de fille. C'est passionnant de les respirer. Elle m'observe avec une expression de curiosité. Toujours étonnée de me voir renifler ses parfums intimes avec tant de bonheur. << Ça sent comment ? >> demande t-elle. Je réponds : << Ça sent comme j'aime ! >>. Je pose ma bouche à l'endroit de sa vulve. De ses doigts Estelle écarte les poils qui me chatouillent les joues, le menton, le nez.

Du bout de la langue je fouille. Le gout légèrement vinaigré, conséquence de ses pipis de la journée. Le goût d'amandes amères de ses premières coulées de cyprine. Je dois retirer plein de poils de la bouche. J'entends les gémissements de Clémentine. Je suce le clitoris d'Estelle qui cesse alors de se masturber pour saisir mes oreilles. Elle aime me guider, me retenir ainsi. Profitant de cette ventouse qui lui procure les plus indicibles sensations. Elle se contorsionne. Cherchant le meilleur angle à sa jouissance grandissante. J'adore aspirer le jus.

Ce jus de fille qui m'enivre jusqu'aux vertiges. Je tente de passer ma langue sous la vulve, au début de la raie des fesses. Il s'y écoule de la foutrine. Je dis : << Retourne toi. Donne-moi ton cul ! >>. Je ne suis pas obligé de le répéter. Ses coudes en appui sur le dossier du canapé, Estelle me présente ses fesses. Je les écarte. J'y fourre mon visage. Mes amis ! Quel régal que de bouffer du cul tout de suite après de la moule. Les mélanges de sueur, de jus de muqueuses, offrent les plus divines surprises. Et je ne vous dis même pas les effluves parfumées !

Estelle se masturbe. Son plaisir est double. Elle s'installe à nouveau normalement. Je me bouffe de la chatte avec une rare délectation. Clémentine pousse des gémissements en se masturbant. Elle adore me voir dans mes activités de fin gourmet. Le "yaourt" d'Estelle est fluide. Il y a bien quelques épanchements plus crémeux mais cela se sirote agréablement. Dans un soudain hurlement, comme agité d'une crampe, Estelle se cambre. Elle me repusse délicatement pour se tourner sur le côté, les mains entre ses cuisses. C'est presque inquiétant.

Comme en proie à une intense douleur, Estelle pousse de petits râles. Je vais vers Clémentine à quatre pattes. Elle aussi m'offre son minou. Ce sont d'autres odeurs, d'autres saveurs. Le jus de Clémentine est beaucoup plus crémeux, beaucoup plus abondant. Je dois retirer plein de poils de ma bouche. Elle aussi me présente son cul. Je m'abandonne dans des extases "cul...inaires" absolument divines. Elle me repousse soudain. Elle a prévu le "coup". En hurlant de plaisir, tout en pissant, Clémentine s'offre un de ses orgasmes nucléaires. Délirant.

Je suis entre mes deux anges. Serrées contre moi. Tous les trois nous reprenons nos esprits. Estelle joue avec ma queue. Clémentine joue avec mes couilles. Je caresse leurs sexes. << Put-Hein ! Je ne connais rien de meilleur ! >> murmure Estelle dans un souffle avant de se relever. Nous la regardons remettre sa culotte, son jeans. Clémentine se lève pour faire pareil. Je bande mou. Comme toujours Estelle me demande : << Et toi ? Comment tu fais pour ne pas jouir ? >>. Je réponds : << Mais ça fait plus d'une heure que je ne fais que ça ! >>.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont se téter une queue dégoulinante de foutre. Sous les draps, sans en perdre une goutte, avant de plonger...

Julien



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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Classe - 22 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2073 -



Réaliser le film du fantasme de Julie

Hier matin, vendredi, le cri strident des mouettes nous arrache de nos profonds sommeils. Il est presque six heures. Cette fois c'est avec violence que l'application "océan" nous réveille. Clémentine se serre encore plus fort contre moi en murmurant << Je vais casser le téléphone ! Empêche-moi ! >>. Elle passe une cuisse sous mes fesses. Pose l'autre sur ma tumescence pour se frotter contre ma hanche. Juste le temps du vacarme que font les oiseaux de mer. Nous nous précipitons aux toilettes un peu comme des zombis. Zombis riants.

Morts de faim, dans nos vêtements de gymnastique, nous dévalons les escaliers. Comme les radiateurs ne s'enclenchent qu'à six heures, il fait frais dans la maison. Clémentine prépare le café en sautillant sur place. Je presse les oranges, je pèle les kiwis en écoutant la narration de ses rêves. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier. Une soirée "contrôle de minous" comme nous les apprécions tant. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la visite de Julie cet après-midi. << Elle vient se faire sauter ! >> lance Clémentine.

Elle fait allusion à ce projet de film que Julie veut réaliser. Un film la mettant en scène dans son fantasme de faire l'amour avec moi. << Je me réjouie pour filmer ! >> rajoute Clémentine qui se lève en s'asseyant sur mes genoux pour terminer sa tartine au miel. Nous ne traînons toutefois pas. Il est 6 h25 quand nous remontons. Notre heure de sport. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercice au sol, abdos. Les charges additionnelles avant les étirements d'un stretching encore bien farfelu. C'est en riant que nous nous précipitons sous la douche.

Je dévale les escaliers pour aller préparer l'auto. Il fait vraiment froid ce matin. Le thermomètre extérieur indique 6°. Le jour commence à se lever sous un ciel gris et bas. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre chaudement emmitouflée dans son anorak. Un dernier bisou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et qui se referme automatiquement. Un dernier coucou avant de me dépêcher de retourner au chaud. Je la vaisselle, notre lit puis je vais jusqu'à l'atelier pour y allumer une belle flambée dans la cheminée.

Confortablement installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant "Le grand café" de Charles Trenet. Une de mes chansons préférées. Je peins dans la plus totale sérénité car cette première toile destinée à ma saison 2023 sera achevée en fin de matinée. Une matinée qui passe excessivement vite. Il est 11 h30 quand je conclue. Je dépose la dernière touche de rouge de cadmium sur la surface du tableau. Une nature morte à la manière des maîtres hollandais du dix septième siècle. Je nettoie la palette et les pinceaux.

Deux bûches dans l'âtre avant de quitter la grande pièce pour me rendre dans la cuisine. Il reste deux tomates farcies et du gratin de coquillettes. Je n'ai qu'à réchauffer. Pendant ce temps je prépare l'assaisonnement d'une belle salade de carottes. Il est 12 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou en s'écriant : << Week-end avec mon chéri ! >>. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes en me couvrant le visage de bisous. << Viens, pipi ! >> rajoute t-elle en m'entraînant par la main jusqu'aux toilettes du bas.

Nos rituels pisseux avant de retourner à la cuisine pour y manger de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Toute la semaine prochaine sera consacrée à un travail personnel. À partir de recherches Internets. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me fait part de ses désirs secrets pour ce week-end. J'écoute attentivement car c'est amusant. Excitant aussi. Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de monter nous laver les dents. Nous faisons les clowns devant le miroir de la salle de bain.

Nous dévalons les escaliers pour nous rendre au salon. Du tiroir du haut du bureau, Clémentine sort la caméra. Elle s'assure que la batterie est correctement chargée. Le trépieds qu'elle déplie pour un dernier contrôle. Tout fonctionne parfaitement. << C'est con de filmer en qualité 4K puisque aucun écran ne peut restituer une telle perfection d'image ! >> précise t-elle en installant le trépieds à quelques mètres du canapé. << Viens, on fait une surprise à Julie. Elle ne le découvrira qu'en mâtant le film toute seule chez elle ! >> lance Clémentine.

Sur sa demande, je sors ma queue. Je bande mou. Les mains sur les hanches je fixe l'objectif en souriant. Je fais un clin d'œil à la caméra en pointant mon index vers mon sexe. Je pointe le pouce en l'air. << C'est bon ! >> fait Clémentine en éteignant la caméra. Une succession d'images qui ne durent que quarante secondes. C'est sur la carte SD 8 Go. Nous la remettrons à Julie à la fin des prises de vues. Il n'est que 13 h45 et voilà notre amie qui arrive. Julie, en jeans, en bottines, emmitouflée dans un anorak gris d'argent tenant son grand sac de sport.

Elle se précipite d'abord vers Clémentine pour lui faire trois bises. Puis vers moi en me serrant la main en même temps que les bises. Clémentine montre la caméra en demandant : << Prête ? >>. Julie, soudain toute timide, baisse la tête pour répondre : << Prête ! >>. Clémentine la prend par les épaules pour rajouter : << Après tout, ce n'est qu'un bon moment à passer ! >>. Julie se met à rire en disant : << Je vais aux toilettes me changer. Tu viens avec moi ? >>. Clémentine saisit son sac de sport avant de l'entraîner par la main en riant.

Je les entends rire toutes les deux. J'en profite pour enfiler le costume gris que nous avons descendu. Une chemise blanche, déboutonnée. Mes mocassins noirs. Je garde la braguette ouverte. Je ne porte pas de slip. Je bande mou. Je tente quelques mouvements. Comme un entraînement à faire jaillir ma queue toute seule. Les filles reviennent. Julie est dans sa tenue de serveuse. Jupette de velours noir, chemisier blanc, des souliers à légers talons. Ses longs cheveux noirs en liberté. Elle n'ose pas affronter mon regard admiratif. Toute gênée.

Julie paraît encore plus fragile, encore plus vulnérable dans la tenue qu'elle porte pour son job du week-end. Serveuse dans le restaurant de sa tante les vendredis et samedis soirs. Les dimanches quand l'affluence et les réservations sont fortes. Elle reste debout, jouant avec ses doigts, regardant le sol. Je m'approche, je pose mes mains sur ses frêles épaules pour demander : << Vous préférez qu'on aille dans l'atelier ? >>. Elle me lance un furtif regard, un timide sourire en répondant : << Non, c'est bien ici aussi. J'aime beaucoup cette pièce ! >>.

Clémentine sort la carte SD de la caméra. elle la tend à Julie en disant : << Tu prends celle-là ! >>. Julie tend la sienne à Clémentine en faisant : << On échange, c'est la même ! >>. Je demande à mon tour : << Vous avez un scénario ? >>. En disant cela j'empoigne mes parties génitales au travers du tissus de mon pantalon à plis et à pinces. Sans répondre Julie s'assoit sur la chaise. Le dossier entre ses cuisses largement écartées. Elle lance un regard à Clémentine qui dit : << On y go ? >>. En guise de réponse Julie lève son pouce.

<< Moteur ! >> s'écrie Clémentine juste avant d'allumer la caméra. La tenant elle tourne lentement autour de la chaise. Un tour complet. Je reste hors champs. Clémentine tourne une seconde fois mais en s'accroupissant devant Julie. Julie qui met ses lunettes d'étudiante. Des lunettes aux cerclages noires. Ce qui lui confère un air studieux, peut-être un peu sévère et éminemment sérieux. Clémentine, tout en filmant me fait signe. Je comprends. Je suis près de la porte. Elle me filme. Je fais mine d'entrer dans la pièce. Je marche lentement.

Je peux deviner le sentiment qui emplit Julie. Elle ouvre de grands yeux. Je me positionne devant la chaise. Sans la moindre hésitation je passe ma main sous les cheveux de Julie pour saisir sa nuque. J'attire fermement sa tête pour coller son visage sur ma braguette. Julie cesse de tenir le dossier de sa chaise pour s'agripper à mon pantalon. Me tenant par la taille. Je la repousse pour sortir mon sexe. Je bande mou. Julie n'ose pas lever les yeux. Par contre sans surjouer son personnage habituel elle observe ma queue avec de la concentration.

Une nouvelle fois j'approche sa tête mais cette fois en la tenant par les cheveux. Je frotte mon sexe sur son visage. Je procède avec vulgarité, sans le moindre scrupule. Clémentine filme sous tous les angles. Elle se touche car le spectacle l'excite peut-être bien davantage que les deux "acteurs" qu'elle immortalise sur les images. Je tente d'enfoncer ma bite dans la bouche de Julie. Elle garde ostensiblement les lèvres serrées pour m'en empêcher. Elle tente de se soustraire à ma poigne ferme. Je l'en empêche moi aussi. C'est une lutte. Mais un jeu.

Je pince son nez. Je tire dessus pour l'obliger à lever la tête, lever les yeux. Impossible de me fixer plus d'un instant, n'ayant plus d'oxygène, elle ouvre la bouche dans un petit cri à peine perceptible. C'est là que j'enfonce ma bite à moitié. Julie n'a d'autres choix que de sucer. Ce qu'elle fait rapidement avec une expression de profonde extase. Parfois je perçois même le petit gémissement que fait Clémentine. Elle filme consciencieusement mais se touche également de plus en plus souvent. Je me fais sucer une dizaine de minutes. Bien vicelard.

Toutes les deux trois minutes je permets à ma complice de reprendre une respiration normale. Lorsque je me retire un long filament de foutre épais et gluant relie sa bouche à mon prépuce luisant de jus de couilles. Je saisis Julie par ses cheveux pour la forcer à se lever. Petit bout de femme livré volontairement et amoureusement aux comportements pervers d'un homme qui pourrait être son père. Notre douce amie ne peut plus réfréner l'extrême excitation qui l'anime. Je l'entraîne ainsi, tenue fermement par la tignasse, pour faire le tour du salon.

Clémentine nous suit, tourne autour de nous, nous précède. Julie glousse de plaisir en marchant courbée, penchée en avant, tenue fermement derrière moi. Je bande comme le derniers des salauds. J'en ai d'ailleurs le plus parfait comportement. Je suis amusé par les expressions du visage de Clémentine. Elle réussit ce tour de force de rester concentrée sur la manipulation de la caméra tout en étant excitée. De la sueur perle sur le bout de son nez. Tout comme sur celui de Julie que j'entraîne vers le bureau. Je la soulève pour l'y installer assise.

Je saisis ses chevilles pour la faire basculer en arrière. En appui sur ses coudes elle me regarde la pénétrer doucement. Son visage est ruisselant de sueur. Des cheveux y collent sur sa joue gauche. Clémentine filme sous tous les angles. Ses gémissements seront perceptibles dans le film. Probablement autant que ceux de Julie que je burine à présent à la hussarde. Je la baise. Couchée sur le dos, totalement offerte, comme affolée, elle se fait sauter en hurlant. Je ne crois pas l'avoir déjà entendu exprimer son plaisir avec tant d'expressions orales.

Dans le reflet de la vitre du buffet, là-bas, à côté de la grande bibliothèque, je découvre ce type, en costard, entrain de besogner une jeune fille toute menue, toute fragile. Une jeune fille qui pourtant s'agite pour jouir de son mieux. Je cesse. Je me retire. En cœur Julie et Clémentine poussent le même cri. Je saisis Julie par sa tignasse. Ses cheveux sont trempés de sueur. Je l'emmène vers le canapé pour l'y faire tomber sur le dos. Je me mets à genoux, sa tête entre mes jambes pour la faire sucer. Je me comporte comme le dernier des pervers.

Je retire ma queue dont le filament de foutre s'étale sur le visage de ma complice. Je la pénètre, couchée sur elle. Sa tête sur un des accoudoirs, ses jambes relevées de chaque côté de mes hanches, je la baise en poussant des rugissements sauvages. C'est tellement bon que je ne suis pas obligé de jouer la comédie. Tout comme ma partenaire, je me donne, je m'offre, je me lâche dans la plus totale débauche des sens. On baise comme des cinglés. Je roule des pelles d'enfer à ma "collègue" de stupre. Elle m'embrasse avec une fougue passionnée.

Nous poussons tous les deux de véritables hurlements. Je cesse. Je recommence. Je veux faire durer le temps de la carte SD. Clémentine filme sous tous les angles possibles. Elle aussi pousse de petits cris en se touchant. Une main dans son jeans l'autre orientant la caméra. Le système anti secousses permet de filmer sans heurts. Heureusement. Lorsque la lumière clignote, passant du vert au rouge, nous savons qu'il reste exactement une minute. Le temps suffisant pour me retirer et éjaculer dans la bouche de Julie. Sur son visage également.

<< Coupez ! >> lance Clémentine. Julie et moi sommes ruisselants de sueur. C'est désagréable. Nous montons en courant dans la salle de bain. Julie prend sa douche pendant que Clémentine me suce en se masturbant. << C'était trop bien. Put-Hein tu me baises comme ça ce soir ! >> me fait elle. Je me change. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Assise au volant, la vitre baissée, les yeux cernés, l'air épuisé, elle nous fait : << C'était génial ! >>. Elle agite la carte SD en rajoutant : << Soirée cinéma lundi ! >>. La séparation est difficile.

Bonne fin d'après-midi à toutes les coquines qui doivent repartir pour dix huit heures afin d'aller faire la serveuse. Après un plaisir dément...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 23 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2074 -



Un samedi calme et reposant

Hier matin, samedi, il est huit heures. Nous nous réveillons en même temps. Clémentine se couche sur moi en murmurant des choses incompréhensibles. J'adore quand elle fait ça. Elle se frotte sur mon érection naturelle. Quelques bisous. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. L'envie est pressante et ne nous laisse aucun autre choix. Vêtus de nos tenues de jogging, morts de faim, nous dévalons les escaliers. Comme les radiateurs fonctionnent depuis deux heures, il fait bien chaud dans toute la maison. Même à la cuisine.

Pendant que Clémentine s'occupe du café, j'ouvre le portail depuis l'interphone du hall d'entrée. Je la rejoins pour presser les oranges, peler les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur l'après-midi de hier. Le film réalisé avec Julie. Un fantasme mis en images. La soirée qui s'en est suivie. Juste Clémentine et moi. J'avoue que je n'ai pas encore totalement récupérée. Après avoir baisé avec Julie, j'ai récidivé en soirée avec la fille que j'aime. Elle qui saurait rendre ses ardeurs à un mort. Nous mangeons de bon appétit en riant beaucoup.

Il n'est que huit heures vingt quant arrive Julie. Comme tous les samedis matins, pour venir faire le ménage, elle emmène des vêtements de changes dans un petit sac de sport. Elle se précipite d'abord vers Clémentine avant de venir me faire la bise. Habituellement timide et réservée, elle semble encore plus inhibée. Certainement les conséquences de ce qui s'est passé entre nous hier. << Comment c'était le boulot hier soir après la baise de l'après-midi ? >> demande Clémentine. Julie répond : << Un peu fatiguée mais j'ai super assuré ! >>.

Nous rions de bon cœur. << Allez courir, je m'occupe de tout ! >> dit elle en débarrassant les bols. Avant de quitter la cuisine nous déposons chacun une bise sur son front. Je glisse ma main entre ses cuisses. Elle me fait un furtif sourire en fuyant mon regard. Nous enfilons nos K-ways, nos bonnets, nos gants. Le thermomètre extérieur n'indique que 8°. << Put-Hein ça caille ! >> lance Clémentine une fois dehors. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Nous courons sur le bord de l'étroite route déserte. Une heure de running.

Il est 9 h30 quand nous revenons. C'est un petit bonheur de savoir la maison habitée. Le bruit que fait l'aspirateur depuis la chambre à coucher où nous entrons pour récupérer nos fringues. Les fenêtres ouvertes il y fait froid. Pourtant Julie, en tenue de soubrette, passe l'aspirateur. Elle nous adresse le plus merveilleux des sourires. Nous filons à la salle bain. Quelle sublime moment sous la douche ! Nous nous habillons de nos jeans, de nos chemises à carreaux, baskets. Nous dévalons les escaliers. Julie passe l'aspirateur dans le couloir.

C'est certain. Elle nous a entendu descendre. Elle guettait même probablement. Car nous la découvrons penchée en avant. Sa jupette de velours noir ne dissimule strictement rien de son anatomie. Elle porte un plug. L'éclat bleu du diamant synthétique. C'est le plug chromé qu'elle porte souvent en faisant le service au restaurant. Le modèle miniature qui risque de tomber si elle l'expulse d'une simple contraction. Ce qu'elle fait. J'ai une érection instantanée. Julie se redresse en s'écriant : << Oh pardon ! Excusez-moi ! >>. Nous rions aux éclats.

<< Nous ne pardonnons plus, nous donnons des gages ! >> lance Clémentine. Julie, accroupie, ramasse l'objet qu'elle se plante dans le cul en se redressant. Je dis : << Julie, j'adore vos stratégies, vos ruses et vos mises en scènes. Vous êtes divine ! >>. Elle se précipite vers moi pour me déposer une bise sur la joue. << J'adore ce que vous me faites ! >> répond t-elle en retournant à son aspirateur. Nous enfilons nos anoraks. Sur la demande de Clémentine, je ne porte pas de slip. Elle déboutonne ma braguette dans le hall d'entrée. Julie regarde amusée.

Clémentine ajuste ma queue. << Bouge ! >> fait elle. Je remue du bassin ce qui a pour effet de faire tomber ma bite à l'extérieur. Je remballe. << Encore une fois ! >> dit elle. Julie a éteint l'aspirateur pour mâter. Je lui fais un clin d'œil. << C'est pour les fruits et légumes ? >> demande t-elle. << Oui, une surprise pour la livreuse ! >> répond Clémentine. Nous rigolons comme des bossus en sortant. Il fait toujours aussi froid. Clémentine reste serrée contre moi. << Fais le vicelard. Je veux voir ses réactions ! S'il te plaît, un peu de courage ! >>

J'en ai la tremblotte. Avec ce froid en plus ! Voilà la camionnette blanche qui descend lentement. Les pavés auto bloquants sont humides. Danièle gare son véhicule derrière la Clio rouge de Julie. Elle en saute pour nous saluer avec un grand sourire. Clémentine descend la fermeture de mon anorak. Impossible de ne pas distinguer mon sexe dans la braguette béante. Je me sens à la fois con, stupide, hyper gêné et pourtant curieux de la suite. Danièle fait mine de ne pas voir. Sachant très bien que ce que vient de faire Clémentine lui est adressé.

De l'arrière de la camionnette, Danièle tire les deux cageots qui nous sont destinés. L'un contient nos fruits et nos légumes. L'autre les yaourts, les fromages, les petits pots de crème fraîche, le beurre et les œufs. Cette fois, quand je saisis le premier cageot, elle fixe ma braguette. Le regard par en-dessous, terriblement suggestif que savent lancer les femmes amusées et complices. C'est absolument dément. Malgré le froid une douce chaleur m'envahit. Clémentine prend l'autre cageot. Danièle regarde une seconde fois. Encore plus ostensiblement.

Pas de doute, la jeune femme est entrée totalement dans notre jeu. Elle me fait un sourire entendu. D'habitude si pressée de repartir elle semble prendre plus de temps. Je paie par carte. Je ne sais pas si c'est vrai mais Danièle prétexte un dysfonctionnement. J'entends le petit gloussement de Clémentine. Elle me fait un discret clin d'œil. Je bande comme le dernier des salauds. Au moindre mouvement je sais que ma queue peut jaillir. Je n'ai pas le courage de bouger. L'appareil fonctionne. Danièle le dirige vers moi. Le bras tendu pour mieux mâter.

On voit ma queue. J'en suis certain. La bite barre l'ouverture de la braguette. Par contractions des muscles fessiers je la fais bouger tout en collant la carte de crédit sur l'appareil. La situation est cocasse. Surtout que Danièle fait durer. Clémentine est très certainement encore plus excitée que moi. Elle adore quand j'ai des comportements de satyre avec d'autres femmes. Surtout celles qu'elle me choisit. Même commande pour samedi prochain. Danièle remonte dans son véhicule. Elle démarre. C'est à moi qu'elle adresse ce sourire hyper vicelard.

Nous la regardons partir. Arrivée au portail elle nous fait un grand signe de la main. Pas de doute, la jeune femme est à présent intronisée et membre du "Club". << C'est trop génial. Tu as vu comme elle appréciait ? Samedi prochain, tu peux tranquillement lui montrer ta queue ! >> me fait Clémentine. Il fait froid. Je referme l'anorak. Juste au moment où descend le tube Citroën rénové de notre boulangère. Hilare au volant, elle se gare au même endroit. Madame Marthe saute de son véhicule pour ouvrir la porte latérale. Dans un grand bruit de ferraille.

Pas question de jouer à nos jeux avec cette dame. Nous récupérons le cageot contenant nos deux grosses miches de pain complet et bio. Les deux pâtes feuilletées, le gigantesque "chinois", cette brioche au pudding que nous adorons. Les deux gros croissants aux amandes. Paiement par carte. Même commande pour la semaine prochaine. Nous saluons notre dame qui repart pour d'autres livraison. << Regarde ! >> s'écrie Clémentine. Elle montre le calepin qui dépasse de la petite pochette en cuir brun qui jonche le sol. Tombée de quel véhicule ?

<< C'est un acte délibéré. Une action pensée ! Tu vas voir ! >> fait Clémentine en se baissant pour ramasser l'objet. << Sors ta bite, vite ! >> rajoute t-elle alors que la camionnette blanche redescends. Danièle. J'ai la bite dans la main. Toute mollasse pour la réchauffer. Clémentine ouvre mon anorak. Danièle saute du véhicule. Clémentine lui tend la pochette. << Ouf ! J'ai cru l'avoir perdu. Il y toutes les commandes de mes clients à l'intérieur ! >> s'exclame Danièle. Elle me fait le même sourire entendu en découvrant ce que je tiens.

Clémentine avait raison. C'est un coup monté. Une stratégie. Danièle remonte très vite dans son Mercedes en s'écriant : << Il faut vraiment que je me sauve ! >>. Cette fois, après avoir fait demi tour, elle lève son pouce comme pour nous féliciter d'êtres entrés dans son jeu à elle. Comme elles sont merveilleuses ces femmes ayant de l'initiative, de l'audace et de l'imagination. Nous la regardons partir. Un nouveau signe de la main avant de prendre à droite et de disparaître. Cette jeune femme vient de voir ma bite. Clémentine sautille de joie autour de moi.

Sans la présence de Clémentine, rien de tout cela ne serait évidemment possible. Les conséquences de tels actes se terminent le plus souvent devant un tribunal. Une complicité ne peut s'établir qu'avec la connexion d'une autre présence féminine. Tout est alors beaucoup plus rassurant. Nous contournons la maison pour descendre à la cave par derrière. Sur les étagères dans le cellier, nous disposons les fruits, les légumes. Du congélateur où je range une miche, les deux pâtes feuilletées, je tire le paquet de moules, les haricots verts, les petits pois.

Clémentine me tient la queue presque tout le temps. Elle n'arrête pas de murmurer : << Put-hein génial ! J'adore quand tu t'exprimes par la queue ! >>. Nous rigolons comme des bossus en remontant par l'escalier intérieur. Julie est entrain de passer la serpillère dans la cuisine. Quand nous y pénétrons, elle s'accroupit. Le seau cache son sexe. << J'ai tout vu ! Julien, vous êtes génial ! >> lance t-elle. Je suis hyper gêné, presque honteux. << Venez, je repasse après vous ! >> rajoute Julie. Nous pouvons ranger les produits frais dans le réfrigérateur.

Julie, debout, le balai brosse à la verticale, fixe ma braguette. Clémentine s'en rend compte. Elle se précipite pour en extraire mon Zob. << J'aurais volontiers filmé ce qui s'est passé dehors avec la livreuse ! >> lance Julie. << Tu le fais samedi prochain parce qu'à mon avis c'est le début d'un nouveau "plan" ! >> dit Clémentine. << Vous êtes tellement vicieux tous les deux. Je ne veux plus vous quitter ! >> s'écrie Julie. Je m'approche pour prendre le balai brosse. Je soulève Julie pour l'assoir sur la table. Je saisis ses chevilles pour la basculer en arrière.

Je frotte mon sexe contre le sien. Son plug anal vient de tomber sur le carrelage. Clémentine se précipite pour le ramasser. Elle le passe sous mes narines. Je pénètre Julie doucement en découvrant que la voyeuse est trempée. Je la baise avec la même ferveur que hier. Je dois toutefois me raisonner. Julie devra absolument nous laisser pour 11 h30. Hors il est déjà presque onze heures. Je me retire. Comme surprise, déçue, Julie me regarde avec tristesse. Nous déposons une bise sur son front avant de la laisser à son ménage. Pour aller au salon.

Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur en chuchotant : << Tu lui fais découvrir la différence entre les pénétrations vaginales et les pénétrations anales ! >>. Nous rions de bon cœur quand je murmure : << Peut-être aussi les pénétrations buccales ! >>. Il y a deux messages. Celui d'Estelle qui est impatiente de nous rejoindre d'ici deux heures. Celui de Juliette qui nous invite à assister à l'animation qu'elle organise dans son haras demain dimanche. Dans l'enveloppe jaune, je glisse un billet de 50 euros. Un petit mot signé d'une bite.

Julie vient nous rejoindre. À nouveau habillée de son jeans, de son pull à col roulé. << Vous voilà avec une belle maison propre ! >> dit elle. Clémentine se lève, contourne le bureau pour poser ses mains sur ses épaules. << Tu es géniale toi aussi, tu sais ! >> lui dit elle. Julie se serre contre elle dans un élan amoureux. Je les rejoins pour tendre l'enveloppe à Julie. << Merci Julien. Merci pour tout ce que je vis avec vous deux ! >>. Elle vient se blottir dans mes bras. << On se regarde notre film lundi soir ! D'accord ? Je viens vers 18 h ! >> lance t-elle.

Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Clémentine glisse sa main dans ma braguette. << Tu sais qu'il fait bien chaud là dedans ! >> fait elle à Julie qui tend sa main par la vitre baissée. Clémentine retire la sienne pour saisir le poignet de Julie. C'est à son tour d'y fourrer sa poigne. Elle me tient la bite. Elle la malaxe. Je découvre avec joie que Julie devient de plus en plus courageuse. Ses initiatives sont extraordinairement délicates et discrètes. Clémentine reste serrée contre moi. J'écoute les filles discuter des modalités du lundi soir à venir.

Julie a beaucoup de mal à lâcher ma queue. Tristounette elle doit pourtant s'y résigner. Elle démarre. Nous déposons une bise sur son front. << À lundi soir, je vous aime ! >> lance t-elle en démarrant. Nous la regardons partir. Un dernier coucou avant de rentrer au chaud. Le ciel est bas, sinistre mais pas menaçant. Il y a un vent qui se lève. C'est très désagréable. Clémentine fait la salade et son assaisonnement. Je prépare le bouillon pour y verser les moules encore congelées. Dans le wok je chauffe les haricots verts, les petits pois. C'est très rapide.

Nous mangeons de bon appétit. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur ce qui s'est passé ce matin. Le comportement de Danièle qui nous a agréablement surpris. << Samedi prochain, c'est bite à l'air dès qu'elle se pointe ! >> lance Clémentine. Nous rions de bon cœur. Elle évoque également le voyeurisme de Julie qui a probablement mâté depuis la fenêtre de la cuisine. << Nous avons une existence extraordinaire, tu ne trouves pas ? >> demande Clémentine. Je réponds : << Nous attirons les coquines ! >>

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. C'est là que nous découvrons la feuille de papier pliée. Clémentine déplie. << Julie ! >> s'écrie t-elle avant de lire à haute voix. << Vous faites de moi la fille la plus heureuse. Cette période de ma vie est exaltante. Je vous en suis infiniment reconnaissante ! >>. Clémentine et moi nous nous regardons en silence. << Alors on fait des trucs sans moi ! >>. C'est Estelle qui entre dans la salle de bain avec son sac de sport.

Elle se précipite. Nous restons serrés longuement tous les trois. Nous épuisons tout notre sac de bisous. C'est tellement merveilleux de nous retrouver tous les trois. << En route pour de nouvelles aventures ! >> lance Estelle. Elle rajoute : << Il faut que j'achète un nouveau téléphone, le mien n'arrête plus de déconner ! >>. Clémentine s'écrie : << Le mien aussi, ça merde sans arrêt ! >>. Je dis : << Et bien voilà l'aventure de cet après-midi. On va à la FNAC pour acheter de nouveaux téléphones ! >>. Les filles m'entraînent dans une farandole.

Du sac de sport qu'elle pose sur le tabouret, Estelle tire des effets personnels, son pyjama de soie mauve soigneusement plié. Nous nous changeons dans la salle de bain après avoir récupéré nos fringues dans la chambre. Il fait bien meilleur dans la salle de bain. Tous les trois, dans des jeans propres, dans nos chemises blanches sous nos pulls bleus nuits aux cols en "V", nous prenons des poses devant le grand miroir. En l'orientant on peut se contempler de profil dans celui au-dessus du lavabo. Nous faisons évidemment nos clowneries habituelles.

Pressés de filer, nous dévalons les escaliers pour revêtir nos manteaux. Nos écharpes autour du cou. Il y a le grand miroir dans le hall d'entrée. Nous pouvons continuer nos singeries en rigolant comme des bossus. << Je vais faire ma salope tout le week-end, j'aime autant vous prévenir avant ! >> lance Estelle en palpant ma braguette. << Ah bon ! Toi aussi ! >> fait Clémentine qui se frotte contre ma hanche. C'est parti. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière, me caresse le cou, les joues. Des douceurs.

Elle nous raconte son vendredi après-midi, la soirée avec des amis venus manger à la maison. Clémentine raconte nos aventures de hier après-midi et celles de ce matin. Estelle me tire les deux oreilles en disant : << Mais tu es le pire salaud, doublé du pire vicelard que je connaisse ! À qui tu n'as pas encore montré ta bite vieux pervers ? >>. Nous rigolons comme des bossus. Il y a un peu plus d'une quinzaine de kilomètres. Je gare la voiture dans la petite ruelle habituelle. Il y a un monde fou dans les rues du centre ville. C'est le Black Friday.

Les préparatifs du marché de Noël vont bon train. Il y a des chalets en bois un peu partout. Les festivité débutent jeudi prochain, 24 novembre. Nous irons y faire un tour samedi prochain. << Bain de foule avec mains dans les culottes ! >> lance Estelle. Nous marchons d'un pas rapide. Nous attirons encore évidemment bien des regards. Ces deux sublimes jeunes filles accrochées aux bras d'un homme mûr. Les bisous qu'elles me font. Nos hautes tailles, notre élégance. De quoi beaucoup nous amuser. Voilà l'escalator pour monter à la FNAC.

Au premier étage c'est la partie informatique, téléphonie, électro-ménager Darty. Au second étage c'est la librairie. Il y a un monde fou. Inutile de vouloir solliciter un vendeur. Ils sont tous entourés d'une grappe humaine. Les filles regardent les différents modèles de téléphones. Les I-phone sont présentés à part. Je conseille vivement de choisir cette marque. D'abord parce qu'il y a moins de clients devant et puis nous sommes équipés d'ordinateurs de la même marque. << Put-hein le prix ! >> s'écrie Estelle. C'est vrai que ce n'est pas donné.

Je dis à Estelle : << J'offre. Prends le même que Clémentine ! >>. Estelle me serre dans ses bras en s'écriant : << Avec toi tout est toujours si facile ! >>. Clémentine lance : << Ça, c'est une réplique à moi ! >>. Nous rions de bon cœur. Clémentine soupèse, scrute et lit les informations du nouveau modèle 5G. Le fameux I-phone 14. 512 Go. << Put-Hein 1 400 euros. C'est du vol ! >> fait Estelle. Je dis : << Il faut bien que je dépense un peu d'argent. Et c'est selon les recommandations de mon comptable. Sinon c'est le fisc qui me le pique ! >>.

Il y a soudain une vendeuse qui rapplique. C'est une de ces intérimaires embauchées pour les deux mois qui précèdent Noël. Avenante, gentille, mignonne mais n'y connaissant pas grand chose elle se lance dans des explications surréalistes. Bien évidemment l'occasion est trop belle pour Estelle qui s'empresse de la tourner en bourrique. Clémentine pliée de rire contre moi. La jeune vendeuse entre rapidement dans le jeu en comprenant la dérision. Clémentine tire son vieux Samsung de sa poche pour l'allumer. Elle le manipule un court instant.

Elle montre l'écran à la jeune fille qui ouvre de grand yeux avant de mettre la main sur la bouche. << C'est du sperme ! >> dit Clémentine en montrant la photo de son visage maculé de foutre. Estelle rajoute : << Avec le nouveau téléphone on aimerait une meilleure qualité d'image ! >>. En disant cela elle montre à la jeune vendeuse l'écran de son Oppo. Elle aussi conserve quelques clichés de sa frimousse maculée de mon foutre. Je suis hyper gêné. La jeune vendeuse rit aux éclats. Elle n'a jamais eu affaire à de tels clients. Cela restera inoubliable.

La jeune vendeuse tente de se ressaisir en saisissant l'I-Phone relié à un câble de sécurité. Elle l'allume. Il y a des photos de paysages pré installées. Elle entre dans de nouvelles explications douteuses. Je dis : << On en prend trois ! >>. Elle ouvre plus grand encore ses yeux. Je rajoute : << Mais je paie ici, hors de question d'attendre aux caisses. Regardez un peu la queue qu'il y a ! >>. Estelle rajoute : << Et question queue, vous pouvez faire confiance au monsieur ! >>. Clémentine enfonce le clou en précisant : << C'est son sperme ! >>. Rires.

Tous les quatre, observés par les gens qui flânent, nous rigolons comme des bossus. << Suivez-moi, on va rejoindre un poste de vendeur ! >> lance la jeune fille en nous entraînant. Nous voilà devant un vendeur professionnel. << Je vais chercher les téléphones dans la réserve ! >> fait la vendeuse en nous laissant là. C'est sympathique car il n'y a que trois clients avant nous. La jeune fille revient avec les trois boîtes. Elle les pose à côté de la caisse. << Je vais chercher les chargeurs, je reviens ! >> dit elle encore. Nous patientons derrière une dame.

Le vendeur n'a probablement jamais vu une carte Gold car il ouvre de grands yeux. Avec les nouvelles directives gouvernementales françaises, pour l'achat d'un nouveau téléphone, il faut donner son identité, son adresse, son numéro de téléphone. Mesures humiliantes auxquelles sont habituées ce peuple. Je me félicite d'être Écossais. Alors qu'il est fort probable que ce soient les mêmes obligations au Royaume Unis. Les cartes nano sim sont identiques. Le fonctionnement est des plus simples. << Tutoriels sur Youtube ! >> dit le vendeur.

La jeune vendeuse nous accompagne jusqu'à l'escalator qui monte à la librairie. << Vous faites les bouquins aussi ? >> lui demande Estelle. << Oui, quand il y a moins de monde la semaine je suis en haut ! >> répond la jeune fille. Elle a visiblement beaucoup de plaisir à traîner avec nous car elle monte. Une complicité s'est sans doute déjà créée. Surtout avec ce qu'elle a vu sur les téléphones. Deux filles sublimes, dans la même tranche d'âge, qui montrent leurs visages maculés de sperme, ce n'est pas tous les jours. Ma présence qui doit la troubler.

Elle nous abandonne arrivés au second étage. Nous flânons. Là aussi il y a un monde fou. Les filles restent accrochées à mes bras. Elle échangent leurs impressions quand à l'attitude de la jeune vendeuse. << Une membre du "Club", c'est sûr ! >> lance Estelle. << Pas sûr. Mais très curieuse. Vous avez vu ses yeux quand elle a vu les photos ? >> précise Clémentine. Je suis de son avis. Cette jeune fille n'est membre d'aucun "Club" mais sa libido a certainement subi le premier véritable choc émotionnel de son existence. Nous rions de bon cœur.

Nous redescendons pour fuir la marée humaine qui semble s'accentuer encore davantage. Il est presque 17 h. Quelle n'est pas notre surprise. La jeune vendeuse. Aucun doute. Cette dernière devait guetter l'escalator. C'est trop énorme. Elle porte deux cartons contenant des ordinateurs. << Vous avez trouvé ce que vous cherchiez ? Si je peux vous renseigner ! >> nous fait elle. Je l'observe. Petit bout de femme aux cheveux auburns, aux yeux noisettes. J'admire le culot dont elle fait preuve. Pas de doute, notre trio ne la laisse pas indifférente.

Nous la remercions. Je demande : << Vous êtes là la semaine prochaine ? >>. Elle répond : << Oui, sauf le mardi, c'est mon jour de congé ! >>. Estelle rajoute : << S'il y a un problème avec les téléphones on revient vers vous ! >>. Clémentine conclue : << Et même s'il n'y a aucun problème. Vous nous êtes si sympathique ! >>. La jeune fille rougit. Elle baisse les yeux. Nous la saluons pour la laisser à son travail. Nous flânons dans les rues. La nuit est tombée. Je propose de nous trouver un bon restaurant pour la soirée. Les filles s'arrêtent. Silence.

<< Non, on rentre à la maison, j'ai envie de m'éclater ! >> lance Estelle. << Moi aussi ! Toutes ces émotions aujourd'hui m'ont allumé ! >> s'écrie Clémentine. Je n'insiste pas. Je roule doucement. Estelle est assise au sol, devant, entre les pieds de Clémentine qui me suce. Il est 19 h quand nous arrivons à la maison. Nous nous changeons. Installés autour de la table de la cuisine, nous épluchons les pommes de terre, les carottes, les navets et le céleri. Ce sera la potée de légumes qui accompagnera les trois repas du week-end. Nous rions de nos frasques.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont s'envoyer en l'air, grimper aux rideaux après un bon repas...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 24 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2075 -



Un dimanche tout aussi calme et reposant

Hier matin, dimanche, notre grasse matinée nous emmène jusqu'aux environs de neuf heures. Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche. Blotties contre moi, toutes les deux se frottent contre mes hanches en gémissant de plaisir. Des bisous, des papouilles jusqu'à l'extrême limite qu'impose l'impérieux besoin naturel. Estelle se lève la première pour courir vers la porte. Clémentine se couche sur moi en murmurant : << J'ai mes "petits machins" mais je n'ai pas encore mal ! >>. Je caresse son ventre. J'insuffle de l'air chaud sur ses seins.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. J'y laisse Clémentine seule avec ses "petites affaires. Elle me rejoint dans la salle de bain pour s'habiller à son tour. Il fait bien trop froid dans la chambre que nous ne chauffons pas. Morts de faim, dans nos jeans, nos chemises à carreaux, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine où règnent les suaves parfums du café, du pain grillé. La belle brioche au pudding trône au milieu de la table. Clémentine presse les oranges, je pèle les kiwis. Estelle en pyjama qui se serre contre moi.

<< Put-hein comme c'était bon hier soir ! Je veux jouir comme ça chaque jour de ma vie ! >> lance t-elle. Clémentine rajoute : << Pareille ! Et jusqu'à la fin de mes jours ! >>. Nous rions de bon cœur. Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur nos "hauts faits d'armes" de hier soir. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les différentes options de ce dimanche. Dehors il fait gris, le ciel est bas, la température n'excède pas 8°. L'idéal pour une randonnée de quelques heures. Nous traînons à table. Dimanche pas d'entraînement.

Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges parlent du travail personnel qui les attend demain. Les recherches sur internet que cela suppose. Les conseils avisés de certains professeurs de ne pas se braquer sur des détails mais d'au contraire avoir une vue plus globale. Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de remonter nous laver les dents. Estelle se change pour se vêtir comme nous. Nous faisons le lit avant de redescendre à toute vitesse. Nous voilà au salon à déballer nos téléphones neufs.

<< Merci Julien ! >> s'écrie Estelle en mitraillant mon visage de bisous. Clémentine fait pareil. Je dit : << Merci mes anges pour cette existence merveilleuse ! Je vous aime ! >>. Nous avons tous les trois les mêmes appareils. Celui d'Estelle est mauve. Celui de Clémentine est bleu, le mien "lumière stellaire". Par contre les chargeurs sont identiques. Clémentine experte en connexions diverses et en informatique initialise le sien et le mien. Estelle toute aussi férue de manipulation, initialise le sien. J'adore les petits bip sonores des diverses applications.

Il suffit maintenant de coller les vitres de protections en verre trempé, de placer les téléphones dans leurs coques aux mêmes teintes. Nous voilà parés pour quelques années. Nous faisons des essais. Tout fonctionne à la perfection. Assises sur mes genoux, les filles s'appellent. Nous essayons différentes sonneries. J'opte pour l'imitation des vieux téléphones gris des années quatre vingt. Clémentine télécharge l'application "océan". Estelle fait le même choix. Les appareils sont chargés entre 60 et 65 %. C'est parfait. Quittons le salon pour sortir.

Emmitouflés dans nos anoraks nous descendons jusqu'à la rivière. Le sentier de gauche est à nouveau praticable mais il subsiste de la boue qu'il faut contourner en marchant dans les ronces. Sur une vingtaine de mètres avant de retrouver la pierraille. Estelle ouvre la marche. Elle se retourne souvent pour me faire une bise, placer sa main entre mes cuisses. Je me retourne pour faire pareil à Clémentine. Il est onze heures. Nous préférons prendre le sens du retour. Il existe un autre sentier dans la forêt. Nous rentons l'aventure. Il est jonché de feuilles.

Ce sentier mène sur l'étroite route départementale, à quelques centaines de mètres de la maison. J'ai la clef du portail. Nous ne croisons aucun véhicule. Les filles me tiennent par les bras. Il commence à faire faim. Clémentine s'occupe de la salade. Une belle laitue dont elle lave les feuilles. Pour midi et pour ce soir. Estelle poêle les pavés de saumon. Je touille la potée de légumes avec la spatule en bois. Afin de détacher sans arrêt ce qui colle au fond. C'est le meilleur. Nous mangeons de bon appétit en évaluant les itinéraires de la randonnée.

Clémentine a ses règles. Avec cette régularité métronomique tous les 20 du mois. Cette fois, à son grand soulagement, elle n'éprouve aucune douleur. Juste l'extrémité de ses tous petits seins qui reste extrêmement sensible. J'applique la thérapie du docteur Julien. Je pose ma bouche sur chacun de ses seins. Au travers l'épais coton, je souffle de l'air chaud. << Mmhh ! Ça fait du bien ! >> dit à chaque fois Clémentine. << Moi tu peux me faire ça tout le temps ! >> lance Estelle qui se lève pour mimer une masturbation masculine. Nous rions.

Pas question de traîner. Les journées sont de plus en plus courtes. Le crépuscule précède la nuit dès 17 h30. La vaisselle avant de monter. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous restons vêtus ainsi. Il suffit d'enfiler un pull. Estelle récupère ses grosses godasses dans son sac de sport. Nous récupérons les nôtres. Pressés de filer nous redescendons à toute vitesse. Dans le petit sac à dos, la thermos avec du thé bouillant. Trois pommes, les barres de céréales. C'est parti. Dans nos anoraks.

Nous traversons la route pour prendre le chemin forestier. Il suffit d'éviter les endroits boueux. Le chemin est principalement pierreux. Nous pouvons marcher côte à côte. En nous tenant les mains non gantées. De nombreux arrêts bisous. Il fait bien trop froid pour que je me balade bite à l'air. Par contre, les mains exploratrices de mes deux anges savent très bien par où passer pour jouer avec ma queue. Les miennes descendent dans les culottes par les hauts des jeans. Par précaution je reste sur les doux cotons pour ne pas imposer la froidure.

Nous commençons à croiser des promeneurs venus du bourg en sortant de la forêt. Il y a là une croisée de chemins. Un totem indicateur. Quand Estelle se serre contre moi, pour enfoncer sa langue dans ma bouche, Clémentine attend son tour en me tripotant la bosse. C'est ainsi que nous nous faisons quelquefois surprendre par des marcheurs. Notamment ce groupe d'une dizaine d'individus qui pratiquent la marche "nordique". Le bruit des bâtons qu'ils manipulent nous avertit de leurs passages. Nous attirons évidemment tous les regards.

Ces deux sublimes jeunes filles au bras d'un homme d'âge mûr qu'elles bisouillent a de quoi intriguer. Autant que de susciter les plus folles interrogations. Nous nous amusons beaucoup de ces situations. Nous longeons les clôtures des prés. En cette saison, plus de vaches, plus de bœufs plus de veaux. Nous arrivons dans le labyrinthe naturel des roches. On peut s'y perdre volontairement. S'y cacher des regards également. Mais avec ce froid, nos velléités libidineuses restent très "tempérées". Par contre nos baisers savoureux nous excitent fortement.

Nous faisons la boucle des quatre heures en revenant par le haras. Nous avons promis à Juliette d'y faire un tour. Il est 16 h30 quand nous y arrivons. Il y a plein de voitures. Dans la cour, le long de l'étroite route communale. Une fois encore l'animation proposée remporte un vif succès. Il y a des groupes de gens qui bavardent. Des propriétaires de chevaux venus avec leurs familles. Nous allons dans le vaste bâtiment qui abrite le manège. Il faut monter sur les gradins. Malgré la fraîcheur, il y a là nombre de spectateurs. Nous découvrons les animations.

Ce sont principalement de jeunes cavalières qui montent leurs bêtes. Un haut parleur présente les participantes. Des sauts d'obstacles. Des figures de styles. Il y a des jeunes filles très expérimentées malgré leurs jeunes âges. Là-bas, près de la porte qui donne sur les écuries, nous reconnaissons madame Walter. Elle bavarde avec quelques dames. James, le palefrenier qui tient par sa longe une jument qui semble nerveuse. La cavalière à côté qui visiblement n'ose pas monter sur l'animal. << là-bas, Juliette ! >> lance Estelle en pointant son doigt.

Juliette est accompagnée d'un groupe d'une dizaine de personnes. Organisatrice, elle doit jouer sur tous les tableaux. C'est une lourde responsabilité dont elle s'acquitte toujours avec panache. Inutile d'aller la déranger. Nous nous contentons de lui adresser de grands signes. Elle nous aperçoit. Lève sa main pour nous saluer à son tour. Un pouce levé. << L'odeur des chevaux, ça m'excite tout le temps ! >> dit Estelle. << Moi aussi. Venez, on va faire un tour dans les écuries ! >> propose Clémentine. Nous redescendons l'escalier des gradins.

Nous traversons la cour pleine de monde pour entrer dans l'ancien bâtiment. Notre préféré. Il y a là des jeunes filles qui brossent leurs montures. Sans doute leurs parents qui bavardent dans l'allée centrale. Nous caressons quelques encolures. Les chevaux sont des animaux curieux quand ils sont dans leurs box respectifs. L'endroit qui nous intéresse est le dernier box. Vide. Le portillon est ouvert. Nous y entrons. Là, sur la droite, à environs quatre vingt centimètres au-dessus du sol, dans la cloison, ce trou noir parfaitement rond de six centimètres.

Personne ne se douterait un seul instant de l'utilité de cet orifice. Personne n'y apporte la moindre attention. Personne. Sauf les initiés. Car ce trou communique avec le petit local bureau. Un authentique Gloryhole aménagé avec soin par Juliette il y a une dizaine d'année quand elle a repris l'entreprise. Clémentine et Estelle s'accroupissent pour scruter les bords du trou. Estelle pointe son index pour montrer les coulures sous l'orifice. Nous savons ce que c'est. Une multitude de couche de spermes s'étant écoulées au fil des années de fortes pratiques.

Clémentine a passé là des moments fabuleux. << Ça m'excite ! >> lance t-elle. << Put-hein moi aussi ! >> rajoute Estelle. Je les laisse pour quitter le box. J'essaie d'ouvrir la porte du local voisin. Elle est fermée à clef. Dommage. Je rejoins mes deux anges toujours occupées à scruter la cloison. Estelle a retiré la paille sur le sol. Il y a de très nombreuses taches qui maculent le béton. Superposées. Seuls les initiés se doute de quoi il en retourne. Il y a des visiteurs. Certains sont surpris de nous voir dans ce box. Tiens, voilà Valentine la palefrenière.

Elle arrive en tenant un cheval par sa longe. Elle nous salue. C'est l'animal qui va habiter le box au trou. Nous nous saluons. Nous nous sommes vus à quelques reprises depuis deux ans qu'elle travaille ici. Ses longs cheveux attachés en tresse. Sa tenue d'écuyère. Ses lunettes rondes qui lui confèrent un air d'étudiante égarée. Estelle, espiègle, demande : << Il sert beaucoup le trou en ce moment ? >>. Valentine répond : << Je ne sais pas vraiment mais il remporte du succès auprès de certaines catégories du personnel et de quelques visiteurs ! >>.

Nous rions aux éclats car Valentine est parfaitement informée, depuis deux ans, de l'utilité de ce trou. Même si elle ne participe pas aux convivialités proposées en ce lieu. Nous la laissons à son labeur. La nuit est tombée. Nous sommes équipées de nos lampes frontales. Nous quittons le haras. << Bonsoir ! >>. Nous nous retournons pour apercevoir Pierre, le mari de madame Walter. << Je vous ramène ? >> demande t-il. Sans attendre notre réponse il rajoute : << J'ai la voiture garée dans la cour. J'arrive ! >>. Nous nous faisons ramener.

Il est 18 h30 quand nous sommes de retour. Clémentine prépare l'assaisonnement de la laitue. Estelle nous concocte son omelette aux quatre fromages, sa spécialité des dimanches soirs. Je touille la potée de légumes. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre visite au haras. Le Gloryhole et l'attrait qu'il exerce sur mes deux anges. << Tu en refais un avant Noël ? >> demande Estelle. << Je ne sais pas encore. Juliette m'en parle à chaque fois. Je suis toujours partagée entre la crainte, l'excitation et la curiosité ! >> répond Clémentine.

Nous gardons des souvenirs plutôt fous des moments intenses vécus là. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges reviennent sur les choses qui se sont passées au haras depuis cinq ans. Les partouzes, le Gloryhole et quelques autres joyeusetés. Je propose un léchage de minou à Estelle, un suçage de clitoris à Clémentine. Inutile de le suggérer deux fois. Nous faisons la vaisselle. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il est déjà 20 h30. Les filles vautrées dans le canapé. Moi, à genoux sur les coussins. Plaisirs intenses et fous.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui adorent se faire nettoyer la cramouille après une journée sans douche et une bonne rando...

Julien (lécheur émérite)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 25 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2076 -



Soirée cinéma en compagnie de Julie

Hier matin, lundi, l'application "océan" nous arrache de nos profonds sommeils. L'illusion de nous réveiller dans un port écossais. Clémentine se blottit contre moi en se frottant contre ma cuisse. Les siennes sont chaudes et douces. Quelques bisous en écoutant le cri des mouettes. Quelques papouilles avant de nous précipiter aux toilettes. Il est six heures. Morts de faim, dans nos habits de gymnastique, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Comme le thermostat vient d'enclencher le fonctionnement des radiateurs il fait froid dans la maison.

Clémentine fait le café en racontant ses rêves. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Le lundi matin il reste de cette bonne brioche à la pâte d'amandes. Il suffit de la mettre dans le four à micros ondes quelques instants pour qu'elle retrouve son moelleux. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les points forts de notre week-end. Nos deux soirées de folies surtout. C'est le second jour des règles de Clémentine. Aujourd'hui, une légère contraction du bas ventre la contrarie quelque peu. Le bout de ses tous petits seins reste douloureux.

Aussi, j'applique ma méthode. Je pose mes lèvres sur le lycra de son sweat jaune. Je souffle de l'air chaud sur chacun d'eux. << Mmhh, ça soulage ! >> dit elle en posant ses lèvres collantes de miel sur les miennes. Il est 6 h25. Nous remontons à toute vitesse. Notre heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol ainsi que les abdos agissent comme une thérapie sur le bas ventre de Clémentine. Les charges additionnelles avant les étirements d'un stretching perturbé par nos fous rires. Puis c'est notre bonne douche.

Je descends à toute vitesse pour aller préparer la voiture. Le jour se lève. Il est 7 h45. Le ciel semble menaçant. Le thermomètre extérieur indique 6°. Pas de doute, l'hiver s'annonce. Clémentine vient me rejoindre encapuchonnée dans son anorak. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je rentre vite au chaud pour faire la vaisselle et notre lit. Dans l'atelier, j'allume une belle flambée dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque la seconde toile. Nature morte.

Une œuvre destinée à ma saison d'été 2023. Je peins dans l'enthousiasme de la passion dévorante. La matinée passe à une vitesse folle. Presque midi. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer le reste de potée de légume. De poêler un filet de colin, de préparer une salade verte. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff reçoit aujourd'hui un sociologue pour parler du wokisme et de cette cancel culture qui imposent leurs nouvelles règles malfaisantes et cyniques.

Je fais bouillir l'eau avant d'y plonger les coquillettes. Dans la poêle je fais rissoler des ronds de calmars décongelés depuis ce matin. En fin de cuisson j'y rajoute un petit pot de crème fraîche. Ce sera pour le repas du soir, selon le souhait exprimé au levé par Clémentine. À l'instant où j'y pense, la sonnerie à "l'ancienne" de mon nouveau téléphone se met à résonner. Je m'en empare. C'est Clémentine. << Je t'aime. Je fais un essai avec mon Iphone. Comment ça fonctionne avec le tien ? >> me demande t-elle. Je la rassure, tout est parfait.

Elle n'a que peu de temps. Estelle encore en pleine conversation avec Gauvain, Clémentine m'appelle depuis les toilettes de l'université. Les cours reprennent dans quelques minutes. Un bisou virtuel et elle raccroche. J'égoutte les coquillettes que je verse dans le grand plat carré en terre cuite. Je rajoute le mélange œuf, lait de soja et moutarde à l'ancienne. Je recouvre d'une bonne couche de gruyère de Comté, de chapelure et de graines de sésame grillé. Au four pour une cuisson modérée à 160°. Le reste de la laitue sous un linge au réfrigérateur.

Je monte me laver les dents. Dehors, il se met à pleuvoir. Le paysage depuis la fenêtre est infiniment triste. Des deux cheminées de la maison du voisin, trois cent mètres en contrebas, montent des volutes de fumée. Lui aussi préfère le bon vieux chauffage au bois. En emmerdant profondément les écologistes de salon parisiens qui polluent les esprits de leurs chimères empoisonnées. À cette pensée je ris. Pressé d'aller faire quelques pas, je dévales les escaliers pour enfiler l'anorak. C'est sous le parapluie que je fais le tour de la propriété.

Les bottes en caoutchouc permettent de marcher partout. Il est presque 13 h30. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je viens de rajouter deux bûches dans la cheminée qui crépite. Je peins animé du même enthousiasme. Les heures de l'après-midi défilent. J'aimerais pouvoir ralentir ce maudit temps qui s'accélère avec les années. C'est sur ces considérations que Clémentine rentre de cours. Il est déjà 17 h30. Elle se précipite pour s'installer à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou pour me raconter sa journée.

Le menu du restaurant universitaire. << Demain soir, on est juste toi et moi. Estelle est invitée chez les parents de Gauvain. J'adore être seule avec toi ! >> s'écrie t-elle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Clémentine doit se consacrer à la lecture d'un livre ayant trait à ses études. En chaussettes, les pieds sous les coussins, installée dans le vieux canapé de velours carmin, elle se plonge dans l'ouvrage. J'aime quand elle lit à voix haute les passages à mémoriser. Je ne cherche pas à saisir le sens des phrases. Seule compte leurs musiques.

Trois petits coups contre la porte qui s'ouvre. Julie se précipite vers Clémentine. Des bisous. << J'attends nos retrouvailles depuis samedi ! >> s'écrie t-elle en venant me faire la bise. Je lui cède ma place car Julie adore scruter mon travail. J'en profite pour nettoyer les pinceaux, la palette. << J'ai tendance à négliger la peinture ces derniers jours. Mais j'ai tant de boulot à la faculté ! >> dit elle, penchée en avant. Debout devant le petit lavabo de l'atelier, la bite posée sur le rebord de faïence, je pisse en me lavant les mains. Julie se précipite pour voir.

Penchée en avant, les mains en appui sur ses genoux, elle observe avec attention les multiples jets. C'est un jeu. Tout spécialement à son attention. Bien évidemment, Clémentine qui comprend ce qui se passe, nous rejoint à toute vitesse. Elle saisit ma queue mollasse pour en diriger les dernières giclées. Nous sommes coutumiers du fait et nous adorons nous amuser ainsi. Julie se redresse en agitant sa main sous son nez. En effet, avec le mince filet d'eau chaude du robinet, l'odeur nauséabonde nous monte aux narines. Clémentine qui s'accroupit.

Elle adore se régaler des derniers reliquats. Sous les yeux effarés de Julie à nouveau penchée pour voir de plus près. Je passe ma main sous ses cheveux pour caresser sa nuque. J'aide Clémentine à se redresser. Il est 18 h20. Nous quittons l'atelier pour le salon. J'aide Clémentine à installer l'écran géant du téléviseur en face du canapé. Je laisse les filles un instant pour aller allumer le four dans la cuisine. Je reviens. Julie est assise dans le canapé. Clémentine fait des essais d'images. Nous ne regardons jamais la télévision. Elle fonctionne pourtant bien.

Julie tire de sa poche la petite boîte contenant la carte SD. << J'ai déjà regardé un peu, c'est génial Clémentine. Tu filmes super bien ! >> lance t-elle. Clémentine qui répond : << Dès la vaisselle terminée on revient. On se fait une soirée cinéma ! >>. Je demande : << Du cinéma d'Art et d'Essais si cher aux "branchés" de la gauchiasse "bobo" ? >>. Nous rigolons comme des bossus. << Ah non ! >> s'exclame Julie que je n'ai jamais vu rire avec tant de spontanéité. Julie n'ose pas soutenir mes regards. Elle se contente de fixer ma bite molle.

Mon sexe pend de la braguette avec cette nonchalance habituelle. << Une nonchalance académique ! >> précise parfois Clémentine. Debout devant Julie, à côté de "questions pour un champion" , j'agite mon sexe dans sa direction. De petits sourires furtifs sur son visage aux expressions d'admirations non feintes. Le bonheur d'être avec nous se lit sur ses traits. Il y a nous, il y a cette maison qu'elle adore. Il y a la séance cinéma qui nous attend. Clémentine passe son bras autour de ma taille, sa tête contre mon épaule. Elle dit : << Julie, on t'aime ! >>.

À ces mots Julie glousse de plaisir. Ses mains jointes entre ses cuisses, comme la lycéenne qu'elle était il n'y a pas si longtemps, son visage reflète l'extase. << Je croyais que ces états de profonde sérénité, de grâce, ne pouvaient exister qu'au sein de sa famille. Avec vous, c'est aussi fort ! >> lance Julie. Clémentine saisit ma queue entre son pouce et son index. En l'agitant à son tour en direction de notre amie, elle précise : << Mais ça, ce truc, dans les familles, y a pas ! >>. Nous rions aux éclats quand Julie s'écrie : << C'est bien dommage ! >>. Rire.

La sonnerie du four. Morts de faim, nous nous précipitons vers la cuisine. Quand les filles découvrent ce qui mijote elles me déposent toutes les deux des bises sur les joues. << Mmhh ! J'adore ! >> lance Clémentine. << Moi aussi, c'est trop bon ! Depuis que je suis petite, les pâtes et les frites ! >> s'écrie Julie. Clémentine et moi faisons l'assaisonnement de la laitue. Julie met les assiettes et les couverts. Le gratin de coquillettes est merveilleusement doré. Les ronds de calmars à la crème parfument toute la cuisine. Nous mangeons d'excellent appétit.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous nous précipitons au salon. Julie est à la gauche de Clémentine assise à ma gauche qui manipule la télécommande. L'écran s'allume. << Je ne sais pas trop me débrouiller avec le nouveau logiciel de montage. C'est donc du brut de décoffrage ! >> précise Julie alors qu'à l'écran apparait l'atelier. Pour bien comprendre la teneur des images que nous découvrons, j'invite le lecteur à relire l'épisode de samedi. Il pourra y saisir toute le substantifique moelle de la teneur de ce film mis en image par Clémentine.

Julie, les mains menottées dans le dos, assise à califourchon sur une chaise, le dossier entre ses cuisses écartées. Moi, debout devant cette jeune fille en apparence innocente qui fixe l'objectif comme suppliant que quelqu'un vienne à son secours. Quelle grande actrice. Faire l'actrice dans des films pornos privés et secrets est le fantasme de nombreuses jeunes filles "éveillées" aux choses du sexe. J'ai découvert ce phénomène il y a quelques années. Au début de nos relations avec Clémentine et Estelle. Nouvelle génération de filles émancipées et libres.

Clémentine tient la télécommande dans sa main gauche. Mon sexe dur comme le bois dans sa main droite. Nous restons bouches bées devant tant de vices filmés en qualité 4K. C'est époustouflant. Sur grand écran, c'est plus vrai que la réalité. << Tu filmes superbement ! >> lance Julie comme pour dissiper la gêne, la honte qui l'envahit une fois encore en se voyant à l'écran. Elle se penche souvent pour regarder ce que fait Clémentine de sa main. Je lui adresse un clin d'œil. Ce que nous regardons ce soir est encore terriblement excitant. C'est fou.

Je recommande à tous les amateurs de cinéma d'Art et d'Essais de vivre cette situation particulière. Sans doute un des plus grands moments de stupre qu'il est donné de vivre. Être assis à côté de la fille qui fait l'actrice dans le film que l'on regarde. Je ne connais pas d'émotions plus intense. Il en va de même pour la fille d'être installée aux côtés de "l'acteur" du film. Je tends ma main devant Clémentine. Julie ne comprend pas immédiatement. Je dis : << Votre main Julie ! >>. Après un instant d'hésitation elle me la tend. Chaude, tremblotante.

Je l'attire. Julie n'a d'autres choix que de se lever. Je la fais mettre à genoux entre mes jambes. Elle ouvre de grand yeux. Comme effrayée. Je la saisis par la nuque. Clémentine a compris. C'est elle qui frotte mon sexe sur le visage de Julie. C'est dans des gémissements lascifs que Julie prend mon sexe en bouche. Clémentine, que cela excite bien davantage encore que le film, glisse sa main droite dans son jeans qu'elle vient de déboutonner. Je suis confortablement installé, vautré dans le canapé, entrain de me faire tailler une pipe devant un porno "maison".

C'est absolument divin. Surtout que Julie, une expression d'extase sur son visage d'ange, suce passionnément. Je l'observe. Je lève les yeux pour regarder un peu du film. Mes sens me projettent aux extrêmes limites. Juste avant la folie. Nous sommes trois jouisseurs. Avides de jouissances immodérées. À nous adonner aux passions de nos déviances. Je pourrais éjaculer tellement c'est fort, puissant. Toutes les deux trois minutes Julie cesse de pomper pour reprendre une respiration normale. Pour pouvoir déglutir avec facilité aussi. Clémentine se branle.

Julie, dans un élan d'altruisme, tend quelquefois ma queue vers Clémentine qui dit : << Non, régale-toi, moi je l'ai quand je veux ! >>. À l'écran, la même jeune fille qui me prodigue la plus indicible caresse se fait baiser dans un concerto de cris. Parfois, lorsqu'elle s'entend hurler dans le film, Julie cesse de piper pour tourner la tête. Elle me lance un regard plein de honte, toute rouge avant de se remettre à sucer avec une avidité décuplée. Clémentine pousse des gémissements en faisant des arrêts sur images. << Regardez ! >> s'écrie t-elle.

Julie devra nous laisser pour 22 h. Il reste une dizaine de minutes. Nous avons visionné les 42 minutes que dure le film. En revenant sur des scènes "cultes". Notamment celles où je tringle Julie sur la table. Où je suis vautré sur elle à la besogner comme le dernier des pervers. Moi aussi j'éprouve une certaine honte à voir cet homme, au début de sa cinquantaine, avachit sur cette jeune fille qui bouge en rythme en poussant de petits cris d'animal blessé entre deux gémissements. Le plaisir, le vice, la turpitude transpirent des images de ce film. J'éjacule.

Bonne nuit à toutes les coquines qui raffolent de moments intenses, originaux, où elles peuvent se livrer au stupre et la luxure sans inhibitions inutiles...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 26 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2077 -



Juste Clémentine et moi

Hier matin, mardi, ce sont les marins qui se hèlent en anglais sur les quais du port qui nous réveillent. L'illusion bluffante de l'application "océan". Le cris des oiseaux de mer. Clémentine est restée contre moi toute la nuit. Épousant chacun de mes mouvements comme je le fais des siens. Blottie tout contre moi, se frottant lascivement, elle murmure des choses incompréhensibles qui se mêlent à ses gémissements. C'est adorable. Des bisous. Des papouilles. Il faut se lever il est presque six heures. Nous nous précipitons aux toilettes, la tête dans le cul.

Morts de faim, vêtus de nos ensemble de sports en lycra noir et jaune, nous dévalons les escaliers. Il fait encore froid dans la maison puisque le thermomètre intérieur n'indique que 16°. Ce matin, j'allume la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Les deux gros croissants dans le four à micros ondes pour rendre leurs saveurs. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la "soirée cinéma" de hier. La compagnie de Julie. Ses attitudes, mes comportements. Le tout dans la parfaite symbiose de nos déviances.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant l'absence d'Estelle ce soir. Invitée à prendre le repas chez les parents de Gauvain. << Elle est à la fois confuse, frustrée et très gênée ! >> précise Clémentine qui la voit d'ici une heure quarante cinq en cours. << Tu lui as offert un I-phone samedi et elle a déjà l'impression de te trahir ! >> rajoute Clémentine alors que j'éclate de rire. Je conclue : << Dis-lui qu'elle n'a aucun compte à me rendre, qu'elle n'a pas à se justifier, que je l'aime et qu'elle est un être libre ! >>. Clémentine s'installe sur mes genoux.

<< Et moi, tu m'aimes aussi ! >> fait elle sans me laisser le temps de répondre. Ses lèvres collantes de confiture scellant nos bouches. Il est 6 h25. Il faut remonter, mettre à profit chaque instant avec méthode. L'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol, abdos. Les charges additionnelles avant un stretching surréaliste prétexte à des fous rires. La douche. Je m'empresse de dévaler les escaliers en premier pour aller préparer la voiture. Il fait vraiment froid dans le jour naissant, à presque 7 h45 sous un ciel gris et bas. 6°.

Clémentine, emmitouflée dans son anorak, sous son capuchon, me rejoint en sautillant. << Juste toi et moi ce soir ! Je t'aime ! >> s'écrie t-elle avant de me faire une dernière bise. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud pour faire la vaisselle, notre lit. Même si les radiateurs fonctionnent depuis deux heures, je préfère allumer un feu dans la cheminée. La température idéale étant tout de même de 22°. De rester immobile, concentré, n'est pas très agréable en-dessous de cette température. N'en déplaise aux wokistes.

Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette seconde nature morte destinée à ma saison 2023, m'accapare immédiatement. Je peins dans une sorte d'extase pas du tout mystique mais jouissive. En poussant ces cris surréalistes que j'affectionne à chaque prouesse de mon pinceau. Les heures de la matinée défilent encore à une vitesse vertigineuse. Il est presque midi. Je mets deux bûches dans l'âtre qui crépite. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Tous ces petits rituels qui nous concernent tous.

Je réchauffe le reste du gratin de coquillettes. Une salade de concombre. Un filet de flétan rissolé à la poêle et voilà un simple mais excellent repas. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission, André Bercoff reçoit un journaliste d'investigation. Il y est question des énormes fortunes générées par l'escroquerie du réchauffement climatique, de la pandémie et de la guerre en Ukraine. J'écoute amusé mais très intéressé. Ce sont les plus grandes escroqueries de l'Histoire. Des coups de maîtres. C'est prodigieusement mené et conçu.

Pour le repas de ce soir il me vient une inspiration soudaine. Une tarte à l'aubergine avec un coulis de courgette. Une salade de tomates. Impatient de me mettre à la préparation je tire la pâte feuilletée du réfrigérateur. Je la fais chauffer au-dessus de la cuisinière à bois. Pendant la première vaisselle elle se met à température. Je lave et coupe en fines tranches une belle et grosse aubergine. J'en dispose les rondelles en spirale sur la pâte feuilletée étalée dans le grand plat rond. Je verse le "flan". Ce liant à base d'œuf, de lait de soja, moutarde.

Je recouvre d'une grosse couche de gruyère de Comté grossièrement râpé. De la chapelure. Des graines de sésame grillé. Au four pour une lente cuisson à 180°. Je lave et je coupe deux belles courgettes que j'ébouillante cinq minutes avant de les piler pour en faire une purée. Il suffit d'y rajouter un peu de lait de soja. De l'ail, de l'échalote, du persil, de la ciboulette. Voilà un parfait coulis. Les deux grosses tomates déjà lavées, il me reste à préparer l'assaisonnement de la salade. Tout est prêt. Serein, je monte me laver les dents. Mon téléphone sonne.

Quelle surprise. C'est Estelle. << Elle se confond en excuses. Elle confirme son absence ce soir. Je la rassure. Je l'encourage à bien préparer le terrain. Gauvain est un garçon charmant, brillant, grand et athlétique comme elle les aime. << Je ménage la chèvre et le choux ! >> dit elle à plusieurs reprises. Elle me passe Clémentine. << On est en cours mais c'est un peu le bordel alors on t'appelle ! >> fait elle. Pressé d'aller faire quelques pas je redescends à toute vitesse pour enfiler mon anorak. Les bottes en caoutchouc pour parcourir la propriété.

Il est 13 h45 quand je suis confortablement installé devant le chevalet. Je peins dans la même extase que ce matin. En chantonnant. Là encore je n'ai aucun contrôle sur les heures qui passent. Je sais qu'il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle se précipite pour s'installer à califourchon sur mes cuisses. En se frottant elle me raconte sa journée, la cause du "bordel", conséquence du retard d'un professeur. Le menu du restaurant universitaire. << Tu l'aimes ta frotteuse ? >> me dit elle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche.

Clémentine se plonge toutefois rapidement dans la lecture. En chaussettes, les pieds sous les coussins, installée dans le vieux canapé de l'atelier. Je prends une fois encore conscience de cet immense bonheur. Peindre en écoutant la fille que j'aime lire à voix haute les passages les plus signifiants. Il est 18 h20 quand je nettoie la palette, les pinceaux. Je me lave les mains au-dessus du petit lavabo de l'atelier. La bite posée sur le rebord de faïence à pisser par petits jets odorants. Clémentine qui lève les yeux, ferme son bouquin, se lève pour se précipiter.

<< Pas sans moi ! Interdit ! C'est moi qui la tient ! >> fait elle en saisissant le Zob entre le pouce et l'index pour en diriger les dernières giclées. C'est à cet instant qu'au-dessus de nos têtes résonne un bruit sourd et caverneux. Ce soir il dure. << Christine ! Elle est jalouse ! >> lance Clémentine. Le fantôme de mon ancienne compagne nous rend visite. Ce n'est plus tous les soirs mais quand il se manifeste c'est bruyant et sonore. Des pas, une errance. Une porte qui claque. Un lourd meuble qui semble ripper sur le parquet. Tout cesse brutalement.

Je bande mou dans la main de Clémentine. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. C'est un baiser passionné qui conjure le malaise provoqué par le phénomène. Nous l'oublions rapidement. Même s'il est impossible de s'habituer à de telles manifestations surnaturelles, nous vivons avec sans trop nous en inquiéter. Après tout, comme le précise Clémentine : << Les vivants sont bien plus à craindre que les morts ! >>. C'est avec la bite à la main que Clémentine me tire. Nous faisons trois tours de la grande pièce. Je suis comme baladé à la laisse.

Nous nous embrassons comme des déments. Les mentons qui glissent, trempés de nos salives. << Un jour il nous faudra apprendre à nous embrasser proprement ! >> lance Clémentine en s'accroupissant pour humer les parfums de ma journée d'homme. << Mmhh, j'adore quand ça sent fort le soir ! >> murmure t-elle avant de prendre mon sexe en bouche. Comme souvent, elle en tombe à genoux à même les tomettes en terre cuite, maintenant son équilibre en passant ses doigts dans les passants de mon jeans. Je me fais encore tailler une pipe.

J'aide Clémentine à se redresser. C'est moi qui m'accroupis pour masser ses genoux. Morts de faim, en riant, nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand elle découvre ce que je place dans le four de la cuisinière à bois, elle se jette à mon cou en s'écriant : << Mmhh, tout ce que j'aime. Tout ce que j'aime je l'ai avec toi ! >>. Elle m'embrasse en fourrant sa main dans ma braguette. Par mesure de précaution, j'ai remballé le chibre. Tout est prêt. Il n'y a qu'à mettre le caquelon contenant le coulis de courgette sur la cuisinière hyper chaude. Rapide.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le projet de nos vacances de fin d'année. Elles commencent le samedi 17 décembre. La rentrée 2023 se fera le mardi 3 janvier. C'est le lundi 19 décembre que nous avons notre avion pour Édimbourg à 14 h. Cette perspective enchante Clémentine si impatiente de retrouver mon pays. Nous y passerons le réveillon de Noël et le réveillon du jour de l'an. Il y a à Édimbourg une des plus grandes fêtes d'hiver. Un des plus beaux marchés de Noël. Toutes ces réjouissances qui nous attendent bientôt.

<< Cette année ce sera juste toi et moi. Je t'aime ! >> lance Clémentine en s'asseyant sur mes cuisses. Estelle passera les deux réveillons dans la famille de Gauvain, à Santa Monica, Los Angeles. Nous avons beaucoup insisté pour qu'elle découvre la Californie. C'est bien pour elle. Il faut qu'elle prépare son avenir affectif et sentimental. Elle aura 26 ans le 11 mars prochain. C'est sur ces considérations que nous débarrassons pour faire la vaisselle. C'est le troisième et dernier jour des "petits machins" de Clémentine. Nous nous précipitons au salon.

Même si la "place" est occupée, il y a le splendide clitoris géant de Clémentine. Cette petite bite de la taille de la première phalange d'un pouce d'homme. Aussi, lorsqu'elle a retiré son jeans et sa culotte, qu'elle se soit bien installée dans le canapé, je peux sucer cet exceptionnel bouton de plaisir. Il jaillit de l'impressionnante broussaille avec un certain panache, une certaine majesté. Surtout que Clémentine me le présente en le tenant à sa base entre le pouce et l'index. Elle le décalotte délicatement. Vision merveilleuse. Un bonheur.

À genoux sur un des épais coussins, mon visage entre ses cuisses, je suce. Je fouille du bout de la langue. C'est comme un prépuce. Il y a surtout ce goût suave qui me procure les plus fous vertiges. Sous les gémissements de plaisir de Clémentine qui se tortille pour trouver l'angle le plus favorable. Quand je cesse de sucer c'est pour aller lécher le trou à pipi. Mes amis ! Ce goût ! Légèrement acidulé. Il y a là quelques miasmes indéfinissables. Accumulations de sueur, de pipi et de sécrétions de muqueuses. Je suis un grand bouffeur de chattes.

J'anticipe. Quand je sens Clémentine s'affoler, lutter contre cet orgasme qui guette, je cesse. Je lèche ses cuisses. Je retire plein de poils de ma bouche avant de retourner téter du clito. J'ai préparé la cuvette en plastique. Les orgasmes de la fille que j'aime sont le plus souvent excessivement pisseux. Elle n'y peut rien et en a longtemps été incommodée. Je connais chacune de ses réactions. Je sais quand les "choses" se précisent. Ses petits spasmes qui secouent son ventre. Les légers tremblements de ses cuisses qui se collent sur mes joues.

Mes caresses buccales sont sources des plus grands émois sexuels de Clémentine. Les rapports génitaux-buccaux restent nos préférences à tous deux. Clémentine gémit. Murmure des bribes de phrases qu'elle ne termine pas. Complètement enivrée de mes caresses linguales. J'adore. C'est soudain. Elle me repousse délicatement. Elle se termine aux doigts, hurlant, en se lâchant dans un invraisemblable jet qui m'éclabousse. Même en tenant correctement la cuvette les jets de pisse de Clémentine son anarchiques et imprévisibles. Ça gicle partout.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se sont fait lécher, sucer, plus d'une heure avant de sucer un peu à leur tour sous la douceur des draps...

Julien (maître lécheur)



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C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Homme, 53 ans, France
Classe - 27 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2078 -



Soirée magique en compagnie de Juliette

Hier matin, mercredi, il est presque six heures. Le cri des oiseaux de mer. Le bruit du ressac, les moteurs de ce chalutier qui rentre au port. Nous sommes tirés de nos profonds sommeils par l'illusion parfaite. La bluffante application "océan" semble encore plus réelle avec les nouveaux téléphones. Celui de Clémentine sur sa table de nuit, le mien de mon côté. C'est de la stéréophonie. Clémentine se love contre moi en gémissant. Je la serre fort pour déposer des bisous en mitrailles sur son front, ses joues. Quelques douces papouilles également.

Il faut se lever. Dur. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos habits "sports", nous dévalons les escaliers. Il fait froid dans la maison car les radiateurs viennent de se mettre en mode fonctionnement. Pendant que Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis, j'allume la cuisinière à bois. Le grille pain éjecte ses premières tranches. Nous prenons le petit déjeuner en revenant sur notre adorable soirée de hier. << J'adore quand tu me fais des léchouilles ! Tu sais, mes "petits machins" sont terminés ! >> confie Clémentine.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant la visite de Juliette en soirée. Nous passons rapidement en revue les différentes options de repas. Clémentine propose un gratin de pommes de terre avec des calmars en sauce. Une laitue. Je trouve la suggestion parfaite. Il est 6 h25. Nous nous dépêchons de remonter pour nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, un peu de vélo avant les exercices au sol et les abdos. Charges additionnelles. Très lourdes ce matin avant les étirements bénéfiques d'un bon stretching.

La douche. Je redescends le premier pour faire chauffer la voiture. Il est presque 7 h45. Tout est trempé des pluies de la nuit. Le jour se lève péniblement dans un froid vif. Une température de 6°. Clémentine vient me rejoindre. J'aime la voir encapuchonnée telle une inuit sur sa banquise. Un dernier bisou. Un dernier coucou quand elle s'en va. Je me dépêche de rentrer, fuir ce froid humide et désagréable. La vaisselle, le lit avant d'aller dans l'atelier. J'y allume une magnifique flambée dans la cheminée. L'excellent tirage permet un bon démarrage.

Confortablement installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant. La peinture de cette seconde nature morte destinée à la saison d'été de l'an prochain est un plaisir. Je peins dans une véritable exubérance qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. La matinée passe ainsi jusqu'aux environs de midi. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer le reste de la tarte à l'aubergine et du coulis de courgette. Avec une salade de tomates. Un filet de lieu noir poêlé.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans tous ses états, André Bercoff reçoit aujourd'hui deux scientifiques et un économiste. Il y est question des mesures de restrictions annoncées pour l'hiver. C'est passionnant d'écouter les avis d'authentiques experts n'étant pas invités dans les "merdias" mainstream. Ces éminents personnages ne sont pas aux ordres d'une pensée unique et imposée. Il leurs importe très peu de partager des opinions dissidentes. Au risque de se faire traiter de complotistes par tous les crétins habituels de plateaux de télé.

J'épluche, je lave et je coupe en grossiers petits morceaux de belles pommes de terre. Je les ébouillante quelques minutes à l'autocuiseur. Je poêle les ronds de calmars décongelés depuis ce matin. En fin de cuisson j'y rajoute, ail, échalote, persil, ciboulette et surtout deux petits pots de crème fraîche délayés au lait de soja. J'égoutte les patates pour des disposer dans le grand plat carré en terre cuite. Je verse le "flan", mélange d'œuf, de moutarde à l'ancienne et lait de soja. Je recouvre d'une copieuse couche de gruyère de Comté. De la chapelure.

Au four pour mijoter longuement à 180°. Le lave les feuilles de la laitue. Je prépare son assaisonnement. Tout est prêt pour ce soir. La vaisselle avant de monter me laver les dents. Pressé d'aller faire quelques pas sous la pluie, je dévale les escaliers pour enfiler l'anorak, chausser les bottes en caoutchouc. C'est sous le parapluie que je fais le tour de la propriété. Il est 13 h45 quand je suis installé devant mon chevalet. Le crépitement de la flambée, l'odeur des essences du bois de hêtre qui brûle. Je peins dans la plus totale sérénité extatique.

Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. C'est en sautillant qu'elle vient s'assoir à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou, en déposant un bisou sur mes lèvres entre chaque phrases, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Il lui faut se plonger dans la lecture de son livre. Un compte rendu ainsi qu'un résumé devra en résulter pour vendredi matin. La voilà dans le canapé, les pieds sous les coussins, à lire. Les passages les plus notoires qu'elle me narre à voix haute. C'est un bonheur supplémentaire.

Il est presque dix huit heures trente. Le bruit sourd et caverneux au-dessus de nos têtes annonce le début des phénomènes paranormaux. Vivre dans une maison hantée, implique d'avoir les nerfs solides. Il est impossible de s'y habituer vraiment. Nous nous regardons en écoutant les errances du fantôme de ma compagne disparue. Tout cela ne dure que deux petites minutes pour cesser aussi brusquement dans un claquement de porte. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je rejoins Clémentine qui referme son livre pour se blottir dans mes bras.

<< Sors ta bite, Juliette ne va pas tarder. Je veux mon vicieux ce soir ! >> dit elle en fourrant sa main dans ma braguette ouverte. Elle en tire le locataire. C'est par la queue qu'elle m'entraîne au petit lavabo de l'atelier. Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets. Parfois dans le trou rond d'écoulement. Parfois en visant l'ouverture rectangulaire du trop plein. Le filet d'eau chaude qui s'écoule du robinet fait monter à nos narines l'odeur nauséeuse. Clémentine adore jouer avec mon sexe. Trois coups contre la porte. Juliette vient nous rejoindre.

Nos intimes ont pour consigne de ne pas se gêner pour entrer dans l'atelier. Seuls les privilégiés peuvent y pénétrer. Elle découvre ce "tableau" surréaliste, se précipitant pour mâter. Trois bises à Clémentine qu'elle contourne pour m'en faire trois aussi. Ce soir encore, sous son manteau noir ou perlent des gouttes de pluie, notre amie porte sa tenue d'équitation. Sa tenue de travail. Ses cheveux d'un noir de jais noués en une longue natte qui pend jusqu'au milieu de son dos. << En plein jeux, je vois ! >> lance t-elle en se penchant pour mieux voir.

<< Vous voulez terminer ? >> demande Clémentine en lui tendant mon sexe. << Volontiers, c'est la deuxième fois aujourd'hui ! >> répond Juliette. Clémentine s'écrie : << Racontez-nous, on veut tout savoir ! >>. Juliette, tout en éclatant de rire s'exclame : << Devant le repas ! >>. L'effet de son rire me fait balancer les dernières giclées un peu n'importe comment. Mon érection naissante ne permet plus à ma "teneuse" de contrôler les dernières gouttes. Je passe mes bras autour de la taille de Clémentine, de la taille de Juliette. Serrées contre moi.

Il est presque dix neuf heures. Nous en profitons tous les trois pour nous laver les mains. C'est en riant que nous les essuyons en nous passant la serviette. Morts de faim nous quittons l'atelier pour la cuisine. Je sors le gratin de pommes de terre du four électrique pour le placer dans le four hyper chaud de la cuisinière à bois. Juliette met les assiettes et les couverts. Clémentine rajoute les feuilles de laitue lavées dans l'assaisonnement. Tout est rapide. Nous mangeons de bon appétit. Juliette nous raconte sa journée. C'est toujours prenant.

Son accent méridional, ses narrations pleines d'humour, nous enchantent. C'est la bite de Robert, son vétérinaire dévoué, qu'elle a tenu dans les toilettes des écuries. Nous en rions de bon cœur. Je me lève à plusieurs reprises pour agiter mon sexe mou dans sa direction. Parfois Clémentine se lève, se place derrière moi pour me masturber en direction de Juliette. Son regard sévère nous passionne. << On se fait un "plan" avant les fêtes ? >> lance t-elle soudain en se levant à son tour. Caressant la couture de son pantalon qui sépare sa vulve en deux.

J'adore les deux petites boules que forment les lèvres charnues de son sexe, séparées par la couture centrale. Elle y passe son index en appuyant pour rajouter : << Pierre, Bernadette, Clémentine, Julien, Robert en moi ! >>. Clémentine s'écrie : << Une partouze quoi ! >>. Nous rions de bon cœur. Clémentine me consulte du regard. C'est le silence. Juliette reste suspendue aux lèvres de Clémentine qui rajoute : << On met tout ça au point par mail, j'y réfléchis ! >>. Elle pose sa main sur la mienne comme pour avoir mon approbation. Que dire ?

J'encourage toujours ce genre de choses. Nous avons tant de souvenirs communs de ces partouzes au haras. << Capotes pour les mâles ! >> lance Juliette avant de rajouter, sauf quand on les suce ! >>. Nous rions aux éclats. Nous savons pouvoir compter sur les précautions que prend Juliette avant chacune de nos soirées. La vaisselle. C'est au salon que nous dégustons les tranches de la tarte aux pommes confectionnée et apportée par Juliette. Elle est vautrée dans le fauteuil qui nous fait place. La cuisse droite posée sur l'accoudoir de droite.

J'adore admirer les deux petites bosses. Elle sont bien plus visibles quand leur propriétaire est assise. Tout en bavardant Clémentine joue avec ma queue. Elle change de main pour me branler. Juliette passe son index sur la couture centrale de son pantalon d'équitation aussi moulant qu'un legging. J'ai envie d'aller la tripoter. Elle m'y invite d'ailleurs en posant sa cuisse gauche sur l'accoudoir de gauche. De son index elle me montre la tache qui se forme à la jointures des quatre coutures. N'en pouvant plus je me lève. Clémentine lâche ma queue.

Je me penche pour déposer une bise sur le front de Juliette. Entre mes doigts, je malaxe les deux petites bosses. Elles roulent entre mon pouce et mon index. Clémentine se lève pour recommencer à me branler. << Je peux baiser avec Julien lors de la prochaine soirée ? >> demande Juliette. Comme à chaque fois que Clémentine entend cette question elle cesse toute activité, se redresse bien droite, respire un grand coup avant de répondre : << Je ne le souhaite pas ! >>. Cette fois Juliette rajoute : << Promis, je ne vous le volerai pas ! >>.

Clémentine sait les sentiments de Juliette pour moi. Cette sublime bourgeoise de 48 ans exerce sur moi un envoûtement certain. Comme elle me l'a déjà répété à de multiples reprises : << Toi et moi, on terminera ensemble. Ta gamine ne restera pas avec toi toute sa vie ! >>. Ces mots, entendus tant de fois, résonnent dans ma tête alors que Clémentine recommence à me branler. Elle tend ma queue à Juliette en me tirant vers elle pour dire : << La pipe, pas d'interdiction. La baise, interdiction formelle ! >>. Juliette se touche à présent franchement.

Clémentine aussi. Ce n'est pas notre première soirée de masturbation. Mais elles paraissent uniques à chaque fois. Juliette devra nous laisser pour 22 h. Nous sommes invités à passer au haras dimanche. Elle organise son animation hebdomadaire. Nous ne promettons rien. Clémentine tient ma bite à une cinquantaine de centimètres du visage de Juliette. La situation est torride. Impossible de s'habituer même si elles se reproduisent fréquemment. Au moins une fois par semaine. Clémentine agite ma queue sous le nez de Juliette qui reste stoïque.

Je dis : << Une deuxième pipe aujourd'hui, ça ne vous tente pas ? >>. Juliette lève les yeux pour me fixer avec sa sévérité habituelle. Elle ne répond pas. << Ce serait peut-être la troisième, connaissant l'appétit de la dame ! >> lance Clémentine. << Vous ne croyez pas si bien dire mais je resterai muette ! >> dit Juliette. Éclat de rire. J'ai de la jute qui pend du prépuce. De mon foutre épais, gluant et visqueux qui refuse de tomber au sol. Juliette cesse de se toucher. Pose ses coudes sur ses cuisses qu'elle vient de retirer des accoudoirs. Elle se penche.

Elle aussi scrute longuement la stalactite de jute qui pend. Elle rapproche encore davantage son nez pour humer. Mais comme elle le fait très souvent, Juliette ne va pas plus loin. Clémentine a beau secouer ma queue pour tenter de détacher la coulure, rien n'y fait. C'est elle qui s'accroupit, passant sa tête devant le visage de Juliette, pour me bouffer la coulée visqueuse. Juliette, évidemment attirée par Clémentine depuis près de cinq ans, dépose des bises sur sa joue. Situation très embarrassante pour Clémentine nullement attirée par les femmes.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont sucer de la bite sous les draps après s'être offerte une petite baise et fait lécher le minou...

Julien (vicelard pour dames)



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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 28 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2079 -



"Contrôles qualités" du jeudi soir

Hier matin, jeudi, il est presque six heures. Nous sommes arrachés de nos profonds sommeils par les illusions de l'application "océan". Ce sont nos deux téléphones qui s'allument en même temps. Nous offrant une stéréophonie de cris de mouettes. Clémentine se serre contre moi en gémissant. Des bisous, des papouilles sans hélas pouvoir apprécier cette douceur plus de quelques instants. Il faut se lever. Et c'est particulièrement difficile aujourd'hui. << On baise trop tard le soir ! >> lance Clémentine alors que je la porte jusqu'aux toilettes en riant.

Morts de faim, dans nos habits de gym, nous dévalons les escaliers. J'allume immédiatement le feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. J'aime l'entendre me raconter ses rêves. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier avec Juliette. Sa proposition d'organiser une partouze. << Ça faisait longtemps ! >> fait Clémentine en venant terminer sa tartine de confiture assise sur mes genoux. Nous mangeons de bon appétit en envisageant la possibilité d'y participer avant les vacances.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à l'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol, abdos. Les charges additionnelles sur machine pour changer un peu. Les étirements salvateurs d'un bon stretching. La douche. Je descends le premier pour aller sortir l'auto du garage. Il est presque 7 h45. Il pleut. Il fait froid. Le jour se lève sous un ciel sinistre, uniformément gris et bas. C'est sous le parapluie que Clémentine vient me rejoindre. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou avant de rentrer au chaud, au sec.

Je fais notre vaisselle, notre lit. Dans l'atelier j'allume le feu dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je termine probablement cette seconde toile destinée à ma saison 2023 en fin de journée. Je peins dans l'exaltation des bienheureux. La matinée passe à une vitesse folle. Il est midi quand je mets deux bûches dans la cheminée avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Comme pour chacun d'entre nous les évènements basiques de mon existence sont répétitifs. Une suite d'actes quotidiens.

Il suffit de réchauffer le reste du gratin de pommes de terre. De la sauce aux calmars. Je prépare une rapide salade de carottes. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff, dans son émission, reçoit un scientifique et une ancienne député. Il est question des mensonges d'État concernant la gestion de la crise sanitaire. Toutes ces vérités, toutes ces révélations qui apparaissent de plus en plus au grand jour. Ce n'est pas seulement révoltant, mais écœurant. Pour ce soir, ce seront des beignets de crevettes avec des pommes chips.

Je poêle les crevettes avec de petits champignons. Pendant ce temps, je prépare une pâte à crêpe. J'épluche, je lave et je coupe en très fines tranches des pommes de terre. Il suffit de retirer les crevettes et les champignons cuits à point pour utiliser la poêle. J'y transforme les fines rondelles de patates en chips biens dorés. Je les tourne et le retourne sans arrêt. C'est sur la cuisinière à bois que je concocte notre repas de ce soir. Il y aura Estelle qui adore les beignets de crevettes avec des chips. Autant que Clémentine et moi d'ailleurs. Trois endives.

Des endives que je passe rapidement sous l'eau en les laissant s'égoutter sur le bord de l'évier. La vaisselle. Tout est prêt. C'est serein, en chatonnant, que je monte laver mes dents. C'est toujours sympathique d'aller faire quelques pas au dehors avant de reprendre la peinture. C'est sous le parapluie, chaussé de mes bottes en caoutchouc que je fais le tour de la propriété. C'est certain, il va pleuvoir toute la journée. Je vais jusqu'à la rivière trois cent mètres plus bas. L'étang qui se forme à cause du niveau des eaux. Le sentier de gauche est condamné.

Treize heures quarante cinq. Je suis devant ma nature morte. Je peins dans la même exaltation que ce matin. Je rajoute les derniers éclats de lumière sur les bijoux posés à côté du petit coffre de bois. Ces derniers détails sont toujours extrêmement passionnants à réaliser. Il fait tellement sombre que les lampes à halogène fonctionnent pour éclairer la grande pièce. L'après-midi passe aussi vite que la matinée. Je dépose la dernière pointe de jaune de cadmium quand Clémentine rentre de cours. 17 h30. Elle se précipite pour s'assoir sur mes cuisses.

À califourchon, en se frottant, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Elle a sa lecture à terminer. La voilà dans le canapé, en chaussettes, les pieds sous les coussins, plongée dans son livre. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je dépose la toile terminée sur un second chevalet. Je la remplace par une autre déjà préparée. Dessin et couche d'impression. Je peux m'y atteler dès demain matin. << Viens ! >> fait Clémentine en me faisant une place. Je la rejoins. Elle se couche sur le dos, tête sur mes cuisses, pour continuer à lire.

Les yeux fermés, je ne savoure pas seulement le moment mais également la lecture des passages les plus marquants. C'est un livre qui concerne ses études. La chimie des minéraux. Ce n'est pas vraiment mon centre d'intérêt mais la musique des phrases lues me berce. Je caresse sa tête, ses cheveux. Il est 18 h30. << Elle ne vient pas ce soir ! >> murmure Clémentine. C'est du fantôme de Christique dont elle fait allusion. Elle rajoute : << Par contre, c'est Estelle qui arrive, écoute ! >>. Un léger bruit, la porte qui s'ouvre. Estelle qui se précipite.

Elle se jette dans le canapé, tout contre moi. Plein de bisous alors que Clémentine ferme son livre en se redressant. Je dis : << Raconte-moi ton mardi soir avec Gauvain, ton mercredi soir avec Jean-Marc. Estelle s'écrie : << Mardi soir c'était protocolaire. Mercredi soir c'était sexuel ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Estelle me raconte sa baise avec son parrain. Une fois encore dans le dépôt, sur les piles de cartons protégés par un plaid qu'elle prépare en cachette. Cela fait depuis ses seize ans que ça dure. << Dix ans l'année prochaine ! >> dit elle.

Nous rions des détails qu'elle raconte. Estelle rajoute : << Ça va être difficile de déterminer mon choix pour les vacances de fin d'année. J'ai envie d'être avec vous en Écosse. J'ai envie de découvrir Los Angeles. Je n'arrive pas à me décider. Pourtant j'ai déjà mon visa depuis plus d'un mois ! >> lance Estelle en s'installant à genoux sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou. << Et puis tu vas me manquer durant deux semaines ! >> dit elle encore. Clémentine se veut convaincante : << Tu vas passer du bon temps sous le soleil de Californie ! >>.

Estelle se frotte en poussant un profond soupir. Il commence à faire faim. Déjà 18 h45. Estelle m'entraîne devant le lavabo. << Il fait son pipi le monsieur avant de passer à table ? >> fait elle en fourrant sa main dans ma braguette ouverte. Je suis entre Clémentine à ma gauche et Estelle sur ma droite. Elle tient ma bite pour en diriger les jets sous le mince filet d'eau chaude. << Ça va beaucoup me manquer aussi ça ! >> lance t-elle. Je dis : << Mais il a une bite aussi Gauvain ! >>. Estelle s'écrie : << T'es fou, pas de ça entre lui et moi ! >>.

Clémentine s'exclame : << Pas encore. Mais c'est à toi de le faire entrer doucement dans ton univers. C'est lui que tu as choisi ! >>. Estelle secoue les dernières giclées en précisant : << Mon Doctorat d'abord. Et vous deux encore deux ans ! >>. Clémentine se penche en avant. Malgré l'odeur de pisse qui nous monte aux narines. Estelle lui tend ma queue ruisselante. Je commence à bander mou. Clémentine gobe mon sexe pour se régaler des derniers reliquats. Estelle enfonce sa langue dans ma bouche. Je ne tarde pas à bander comme un vrai salaud.

Estelle ne lâche pas ma queue. C'est en la tirant qu'elle m'entraîne. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. << Comment pourrais-je imaginer un seul instant quitter nos complicités pour me mettre avec un mec à qui il faudrait tout apprendre ! >> lance t-elle en me sautant au cou. Je la soulève. Enserrant ma taille de ses jambes elle ne me laisse pas répondre. Elle m'embrasse à nouveau avec tant de fougue. Quand les filles découvrent ce que j'ai préparé pour le repas. Elles m'entraînent dans une farandole folle tout autour de la table de la grande pièce.

Clémentine s'occupe de l'assaisonnement des endives. Je fais bouillir l'huile de friture dans le caquelon électrique. Une montée en ébullition hyper rapide. Estelle met le plat contenant les chips dans le four chaud de la cuisinière à bois. J'ai remballé ma bite pour ne pas risquer de la brûler. Ce qui n'empêche pas Estelle de me tripoter la braguette sans arrêt. Je jette les crevettes et les champignons dans la pâte à crêpe. Je remue. Je mets l'amalgame dans l'huile bouillante. Le tout remonte rapidement à la surface, transformé en beignets. Bien dorés et beaux.

Clémentine les récupère avec l'écumoire pour les déposer sur des feuilles de papier absorbant. Papier que change plusieurs fois Estelle. Je retire les chips du four. Nous retirons nos tabliers noués derrière le dos pour nous installer. C'est encore particulièrement délicieux ce soir. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le dilemme des vacances de Noël. Nous sentons bien qu'Estelle est partagée entre son envie de découverte californienne et ses petites habitudes à Édimbourg. << Mais on retourne en Écosse l'été prochain ! >> lance Clémentine.

Je surenchéris : << Mais oui ! Pas de soucis. Deux mois en Écosse, tous les trois, pour de nouvelles aventures. Toi aussi tu vas nous manquer aux vacances de fin d'année. Parfois cruellement ! >>. Estelle vient s'assoir sur mes genoux en demandant : << C'est vrai, je vais vous manquer ? >>. C'est Clémentine qui répond : << Mais qu'est-ce que tu crois, Ça fait cinq ans qu'on fait tout ensemble tous les trois. Et treize ans qu'on fait pareil toutes les deux ! >>. Nous traînons à table. Mes deux anges assises sur mes genoux, m'entourant de leurs bras.

Je les écoute faire mille projets. Le dix neuvième film porno qu'Estelle aimerait bien réaliser. Elle les compte. Nous rions de bon cœur à l'évocation de ses fantasmes. Clémentine parle de l'invitation de Juliette. Une nouvelle partouze au haras avant les fêtes. << Génial ! Ça fait longtemps ! >> s'écrie Estelle. << Il reste quatre vendredis avant les vacances. Je propose le dernier ! >> lance Clémentine. << Excellente mise en conditions ! >> s'exclame Estelle. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Pressés de nous retrouver en "situation" dans le salon.

Comme tous les jeudis soirs, après sa baise du mercredi soir, Estelle exige un contrôle de sa chatte. Je m'y plie avec beaucoup de plaisir. Clémentine, vautrée dans le fauteuil, sans jeans et sans culotte adore me regarder procéder au contrôle. Estelle, sans jeans et sans culotte non plus, vautrée dans le canapé, m'offre sa chatte. Je suis à genoux sur un des épais coussins. Mon visage entre ses cuisses écartées. L'odeur forte de sa journée de fille m'enivre avant même que je n'y goûte. Il faut plonger dans cette profonde touffe de poils. Un bonheur !

Comme chez Clémentine il en pousse sur l'intérieur des cuisses. C'est vraiment touffu. J'adore y fourrer mon nez. Je hume longuement son intimité en luttant contre le vertige. Je suce un peu le clitoris minuscule de ma coquine. J'enfonce la langue dans sa fente qui s'écarte pour laisser jaillir ses lèvres. Chez Estelle tout ce processus est très particulier. Un véritable enchantement. Le trou à pipi m'offre ce goût vinaigré, alors qu'elle se masturbe en gémissant. Mêlant les siens à ceux de Clémentine qui se masturbe en observant. J'aime la voir déjà en sueur.

Il y a là de quoi délecter n'importe quel fin gourmet ce soir encore. Ces petites sécrétions non identifiables qui fondent sur la langue. C'est vertigineux d'enivrements extatiques. << C'est comment ? >> murmure Estelle dans un souffle entre deux petits râles de jouissance. Elle ne me laisse pas répondre, saisissant mes oreilles pour coller ma gueule sur sa chatte. Mon contrôle qualité s'avère efficace et fort concluant. L'orgasme d'Estelle est nucléaire. J'adore la voir se coucher sur le côté, à se tordre de plaisir, les mains entre les cuisses. Criant.

Je me tourne. C'est à quatre pattes que je vais m'occuper du sexe de Clémentine. Là aussi, je m'abstrais totalement dans les odeurs de sa journée de fille. Je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de sa vulve. Je récupère la crème qui en coule. Elle cesse de se masturber quand je remonte sucer son clitoris. Ce soir il est encore plus gros que la première phalange d'un pouce d'homme. Décalotté, il offre dans ses peaux les plus délicieuses surprises. Des petites choses fondantes qui ne sont pas sans rappeler le gouda hollandais que j'apprécie tant.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui adorent se faire nettoyer les intimités après une dure journée universitaire...

Julien (diplômé en cunnilingus supérieurs)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 29 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2080 -



De belles surprises pour Julie

Il est presque six heures hier matin, vendredi. L'application "océan" nous réveille de ses illusions habituelles. Clémentine vient se blottir dans mes bras dès le premier cris des oiseaux de mer. L'impression que le clapotis du ressac s'opère aux pieds de notre lit. C'est bluffant. Quelques bisous, quelques papouilles avant de nous précipiter aux toilettes. Les rituels pisseux. Encore dans un demi sommeil nous enfilons nos habits de sports. Morts de faim, nous tenant par la main, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Il fait froid dans la maison.

Pendant que Clémentine fait le café en racontant ses rêves, j'allume le feu dans la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée "contrôle minous" de hier soir. L'orgasme d'Estelle qui prétexte une chatte congestionnée pour se faire "contrôler". Comme elle se fait sauter par son parrain le mercredi soir, le jeudi soir est consacré aux léchouilles. Je m'y plie de bonne grâce depuis près de cinq ans. J'adore pratiquer le cunnilingus. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la venue de Julie en début d'après-midi. Joie.

Il est 6 h25. Il faut remonter pour l'heure d'entraînement. Comme elle termine à midi, Clémentine est très déconneuse. J'adore. L'aérobic en échauffement. Un peu de jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol, les abdos. Les charges additionnelles avant les étirements d'un stretching surréaliste où nous rions aux éclats. La douche. Je redescends à toute vitesse pour aller préparer la voiture. Il est presque 7 h45. Le jour achève de se lever sous un ciel gris et morose. Il ne pleut pas mais tout est trempé. Clémentine vient me rejoindre dans son anorak.

C'est qu'il fait froid. Un dernier bisou. Je la regarde monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou avant de rentrer au chaud. Je fais la vaisselle, notre lit. J'allume un bon feu dans la cheminée de l'atelier. Confortablement installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque ce matin la troisième toile destinée à ma saison 2023. Une nature morte. Il m'en faudra six. Sur les quatre tableaux invendus de la saison passée il reste deux natures mortes. Une scène de genre et un paysage.

Je peins dans la plus parfaite des sérénités. Les heures défilent pour me projeter aux environs de midi. Je nettoie la palette, les pinceaux. Il n'y aura pas de peinture cet après-midi. Je mets deux bûches dans la cheminée avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les beignets de crevettes et de champignons. Les chips en grande quantité préparés hier. Il est 12 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. << Avec mon chéri tout le week-end ! >> s'écrie t-elle alors que je la soulève pour la faire tournoyer.

Ses jambes enserrant ma taille, couvrant mon visage de bisous, je l'emmène faire le tour de la grande pièce. J'ai préparé une salade de concombre qui fait le délice supplémentaire de ce repas simple mais savoureux. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Deux heures à rédiger le résumé du livre lu. Deux heures à composer la mise en page très particulière d'une présentation de thèse. << Il y a tout un protocole. On ne peut pas personnaliser la rédaction. Il faut suivre un schéma stricte ! >> m'explique t-elle. Passionnant.

Nous traînons un peu à table. Assise sur mes genoux, Clémentine me fait voir les photos du rédactionnel. << Put-Hein, il fait de superbes photos l'Iphone14. Regarde un peu ! >> dit elle. Je n'en ai pas encore prise avec le mien. << Le film maintenant ! >> rajoute t-elle. C'est un film de quelques secondes. On y voit l'amphithéâtre. Le prof en contrebas. C'est de la qualité 4K. Images de 12 mégapixels. Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de monter nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Poilade.

Pressés d'aller faire quelques pas nous dévalons les escaliers pour enfiler les anoraks. La température extérieure est de 12°. Le ciel s'est éclaircit et offre quelques séquences d'ensoleillement. En remontant de la rivière nous découvrons la Clio rouge de Julie garée devant la dépendance. Nous nous dépêchons de rentrer. Il n'est que 13 h45 et voilà notre douce amie assise dans l'atelier, seule, devant la toile commencée ce matin. Elle se précipite pour faire trois bises à Clémentine. Pour me serrer la main en déposant deux bisous sur mes joues.

Un troisième sur mes lèvres. C'est la toute première fois qu'elle a cette réaction. Ça m'émeut. Ça me touche. Julie est vêtue d'un pantalon noir, d'un pull noir, ses bottines noires. Son blouson de cuir noir jeté négligemment sur le canapé. << Vous m'avez manqué depuis lundi. Heureusement que j'ai les films que nous avons réalisé ensemble ! >> lance t-elle. Julie est censée venir pour prendre son cours de peinture. Est-ce devenu un simple prétexte ou est-ce sincère ? Nous nous posons la question. La réponse en la voyant préparer ses affaires.

Une nouvelle toile posée sur le chevalet de table. Cette fois c'est la photo d'objets posés sur un support recouvert d'une nappe froissée qui sera le modèle. C'est un petit format 24 x 19 cm. Clémentine s'installe devant son ordinateur. Julie devant son chevalet de table. Je suis debout derrière elle, mes mains sur ses épaules. Je me penche pour glisser à son oreille : << C'était superbe vendredi dernier ! >>. Julie glousse avant de répondre : << On peut refaire un autre film, j'ai déjà quelques idées ! >>. Clémentine s'écrie : << Raconte-nous ! >>.

Tout en préparant les couleurs sur sa palette, Julie nous expose quelques ébauches de scénarios. Des trucs franchement sympathiques. Ce qui est original c'est cette vision d'un cours de peinture où Julie serait nue. Nous rions de bon cœur tellement cette image paraît surréaliste. << Quand tu veux ! >> lance Clémentine. Julie tourne la tête pour fixer ostensiblement ma braguette béante. Mon slip blanc en éclaire l'intérieur en suscitant bien des interrogations. Je sors mon sexe alors que Julie se concentre sur les premiers coups de pinceaux. Silence.

Je vais rejoindre Clémentine assise en face. Elle saisit mon sexe de sa main gauche tout en continuant à manier la souris. Julie nous observe. La vue de mon sexe exerce sur notre amie une sorte de fascination. Julie est extrêmement voyeuse. Depuis toute petite où elle aimait se cacher pour regarder les évènements dans le plus grand secret. Elle partage quelquefois d'amusantes anecdotes. Quand Clémentine lâche ma queue, je l'agite en direction de Julie. Je bande mou et ma "lance à incendie" remue mollement. Julie qui mâte.

Je contourne la table pour venir la rejoindre. Cette fois je m'assois à sa droite. Il y a de longs moments de silence. Il y a les questions que pose Julie quand à certaines techniques. L'hyper réalisme est la discipline qu'elle veut aborder. Je réponds le plus précisément possible. L'hyper réalisme est un genre à part. Lorsque j'explique qu'il faut peindre une toile hyper réaliste sans y projeter le moindre sentiment, la moindre émotion, Julie ouvre de grand yeux. Elle s'écrie : << Mais où sont les passions et les plaisirs alors ? >>. Elle regarde mon sexe.

Je réponds : << C'est une toute autre approche. Si le peintre met de l'émotion et du sentiment dans la représentation du réel, il faussera inévitablement cette réalité. Car il n'y a aucune émotion, aucun sentiment dans la réalité des objets qui nous entourent ! >>. Tout en bavardant ainsi, j'agite ma queue. Julie m'écoute en observant mon sexe. Faire "l'hélicoptère" assis est une de mes spécialités. Ma bite a d'excellentes dimensions. Julie devra nous laisser pour dix huit heures. Clémentine met à profit ce temps pour travailler sur sa thèse.

Ce ne sont encore que des ébauches. Mettre une théorie nouvelle en écrit demande beaucoup de talents, d'abnégations et surtout de concentrations. Je vais parfois la rejoindre. Elle joue avec ma queue. Julie cesse de peindre pour mâter. Elle n'ose pas soutenir mon regard. Par contre ma queue suscite tout son intérêt. << Tu veux jouer avec ? >> demande Clémentine. << Je peux ? >> répond Julie. Nous rions de bon cœur. Je reviens vers Julie pour rester debout à sa droite, les mains sur les hanches. Elle se tourne vers moi. Elle scrute ma bite.

Son visage à une cinquantaine de centimètres de mon sexe à présent en érection. Les contractions répétées de mes muscles fessiers ont pour effet immédiat de faire bouger ma queue. Ce qui semble fasciner une fois encore notre jeune voyeuse. Elle nettoie sa palette, ses pinceaux. Elle range le tout dans son coffret à peinture. C'est fascinant pour moi aussi. Sans cesser de mâter ma bite que je fais bouger, Julie met ses affaires en ordre. Clémentine observe cette scène avec grand intérêt. Rien ne l'excite plus que de me voir faire le vicelard.

Julie, à présent tournée vers moi, n'ose pas bouger. Je me penche pour saisir ses poignets. Elle pose ses mains sur mes hanches. Elle avance son visage comme pour recevoir une onction. Je frotte ma turgescence sur ses joues. Je la passe sur ses lèvres. Avec l'excitation les premières montées de liquide séminal mouillent le bout de son nez. Julie semble prendre un plaisir immense à ce jeu. Elle me présente chaque partie de son visage. Je retire délicatement ses lunettes d'étudiante. Les yeux fermés elle gémit de plaisir sous les caresses de bite.

Cela ne va pas plus loin. Pas aujourd'hui. Comme si nous nous comprenions sans parler, c'est une entente tacite. Clémentine se touche sous la table. Ce spectacle la projette dans de doux tourments. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. La nuit est tombée. La fraîcheur humide est vive. Un dernier bisou. << Je viens demain matin pour le ménage ! >> fait Julie assise au volant, la vitre baissée. Clémentine agite mon sexe sous son nez. Elle y dépose une bise. Nous la regardons partir. Un dernier coucou. On se dépêche de rentrer au chaud.

Clémentine me saute au cou. << J'aime quand tu as ces comportements de pervers. Je t'aime comme une folle. Fais-moi pareil ! >> lance t-elle en s'asseyant à califourchon sur une des chaises de la cuisine. Je me positionne devant elle. Clémentine passe ses index sous les passants de mon jeans. Les yeux fermés elle avance son visage. Je fais comme avec Julie. Avec la différence qu'à présent ma queue dégouline de jute. L'excitation provoque toujours chez moi des montées de jus. En abondantes quantités. J'en dépose toutes les coulures.

Je me penche pour déposer des bises sur le front de Clémentine. Je murmure : << On fait une surprise à Julie. On la retrouve au restaurant. Viens, on monte se changer ! >>. Clémentine se lève d'un bond. << Oh oui ! Attends, je téléphone, il faut savoir s'il reste une table ! >>. Elle prend l'appareil. L'appel est anonyme. C'est Anne-Marie au bout du fil. La patronne et tante de Julie. Son amante aussi. << Génial, il y a de la place ! >> lance Clémentine qui m'entraîne par la main. Nous montons les escaliers en colimaçon à toute vitesse. On se change.

Jeans propres, chemises blanches, pulls bleus nuits pour tous les deux. La même écharpe aux motifs cachemires. Nos souliers de ville. Habillés à l'identique nous enfilons les mêmes blousons de cuir noir. C'est très chic d'être jumeaux dans la vêture. Nous ne nous attardons pas. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Une quinzaine de kilomètres. Je gare l'auto dans le parking à côté de l'étang. Quelle n'est pas la surprise de Julie quand elle nous voit entrer. C'est Camille, l'autre jeune serveuse qui nous accueille. C'est superbe.

Comme Clémentine n'a pas révélé nos identités aux téléphone, afin de ménager l'effet de surprise, notre table habituelle est occupée. Anne-Marie vient nous saluer. Nous sommes vraiment heureux de nous revoir. Julie porte sa tenue de serveuse. Comme Camille. Deux adorables jeunes filles qui paraissent à peine pubères, habillées de jupettes de velours noir, d'un chemisier blanc, de bas noirs et de souliers à légers talons. Nous voilà installés à une des tables sous les toiles accrochées aux murs de pierre. Anne-Marie bavarde un peu avec nous. Belle.

Un énorme plateau de fruits de mer. Bien évidemment nous éveillons quelques curiosités auprès de la clientèle. Non, je ne suis pas le papa de la sublime jeune fille assise devant moi. Pour le prouver Clémentine croise souvent ses doigts entre les miens. Julie est enchantée par notre présence. Une belle surprise. Quand je descends aux toilettes du sous-sol, à peine ai-je pris ma position devant un des urinoirs muraux, qu'elle me rejoint. << Merci Julien. Comme c'est bien quand vous venez tous les deux ! >> dit elle sans s'attarder. Je me branle.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment surprendre les pisseurs dans les toilettes du restaurant où elles officient...

Julien



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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 30 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2081 -



Les adorables petites routines du samedi matin

Hier matin, il est presque huit heures quand Clémentine se serre encore plus fort contre moi. Malgré le pressant besoin naturel qui nous réveille, nous résistons par quelques bisous, par quelques papouilles. Il faut se résoudre à nous précipiter aux toilettes. << Je me sens toujours un peu vaseuse après une soirée au restaurant ! >> fait Clémentine en me tenant la bite pour en diriger les jets. Même si nous ne buvons jamais la moindre goutte d'alcool, de prendre un copieux repas en soirée laisse inévitablement quelques désagréables séquelles.

Vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Les radiateurs chauffent la maison depuis deux heures. Il fait bien chaud partout. Pendant que Clémentine prépare le café, je vais ouvrir le portail depuis l'interphone dans le hall d'entrée. Je la rejoins pour l'aider à presser les dernières oranges, peler les derniers kiwis. Nous prenons un bon petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. Ça faisait longtemps que nous n'étions plus allés manger au restaurant de l'étang. Nous rions de nos aventures vicelardes aux toilettes.

C'est devenu une habitude d'y aller ensemble deux, voire trois fois dans tous les établissements où nous prenons nos repas. << Trop bien. Trop drôle ! >> lance Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Celui de la matinée est déjà rôdé depuis des années. << On se fait le marché de Noël. Il est ouvert depuis jeudi ! >> propose Clémentine. Je trouve la suggestion sympathique. Un petit bain de foule n'est pas pour nous déplaire. Il est 8 h20. Voilà Julie qui arrive. Trois bises à chacun. Toute radieuse.

<< Bonjour. Comme j'étais contente de vous revoir hier soir ! >> dit elle. Comme chaque samedi matin elle emmène le sac de sport qui contient ses affaires de change. << Je m'occupe de tout. Vous pouvez aller courir tranquillement. Je vous fais une belle maison bien propre ! >> rajoute t-elle. Nous déposons une bise sur son front avant de quitter la cuisine. Je passe rapidement ma main entre ses cuisses, sur le tissu de son jeans. Elle n'ose pas soutenir mon regard et se contente d'un sourire furtif. Je dis : << Bien la visite dans les WC hier soir ! >>

Nous enfilons nos K-ways, nos bonnets, nos gants. C'est qu'il fait vraiment froid. Il y a un épais brouillard. La température est de 4°. Il faudra courir sur le bord de l'étroite route communale car le sol est détrempé. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti pour un running d'une heure. Il est 9 h30 quand nous revenons. Toujours cette rassurante sensation d'entendre l'aspirateur quelque part à l'étage. La douche. Habillés de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux, nous dévalons les escaliers. Juliette est dans le couloir. L'aspirateur.

C'est une délicieuse surprise de la voir vêtue comme hier soir en faisant le ménage. Terriblement sexy dans sa jupette de velours noir, son chemisier blanc, ses bas noirs, ses souliers noirs à légers talons. Ce matin elle a attaché ses cheveux en catogan. En la frôlant, une fois encore je passe ma main sous sa jupe. Pas de culotte. Je vérifie. Il y a le plug anal. Je dis : << Félicitations Julie. Vous le portiez hier soir pour faire le service ? >>. Julie baisse les yeux, toute gênée, sincère, un peu honteuse pour répondre : << Oui ! >>. Un bisou sur son front.

Nous chaussons nos bottes en caoutchouc avant d'enfiler nos anoraks. Julie vient nous rejoindre dans le hall d'entrée en passant l'aspirateur. Penchée en avant elle nous dévoile ses intimités. Nous devinons le plaisir de l'instant qui envahit notre "soubrette". On distingue parfaitement le bleu turquoise scintillant de la base de l'objet chromé enfoncé dans son cul. Ses deux sublimes petites fesses décorées par le porte jarretelles noir. Je me lève le premier. Clémentine me fait un clin d'œil en mimant une pipe. Je m'approche de Julie. Deux bisous.

Je la saisis par son catogan. Fermement. Elle ouvre de grands yeux. Clémentine ouvre ma braguette pour en sortir ma queue en disant : << Ce matin, tu la montres à Danièle ! >>. Je force Julie à se pencher. Elle s'accroupit devant moi en me tenant par les poches. Je lui enfonce la bite dans la bouche. Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche. Je ne tarde pas à bander comme le dernier des vicelards. Je me retire. Avec la succion soudain interrompue cela émet un "blop" sonore. Julie se redresse en s'essuyant les coins de la bouche. Tout en me souriant.

Nous sortons pour traverser le jardin. Le brouillard semble s'épaissir encore davantage. On ne distingue pas à plus de quelques mètres. Tout a un aspect fantastique. C'est au bruit du moteur que nous entendons l'arrivée de Danièle. J'ai la braguette ouverte malgré le froid. La bite molle en barre l'intérieur, prête à en être expulsée au moindre mouvement un peu brusque. Emmitouflée elle aussi dans une doudoune, portant bonnet, Danièle saute de sa camionnette avec un grand sourire. Elle jette un regard furtif sur ma braguette béante malgré le froid.

Pour la circonstance, une fois encore, Clémentine a ouvert mon anorak à l'instant du saut de notre livreuse. Elle contourne le véhicule pour en ouvrir les portes arrières. Elle en tire les deux cageots habituels. Le premier contient les fruits et les légumes. Le second les fromages, les yaourts, les œufs, les petits pots de crème fraîche, le beurre et quatre gros avocats. C'est en saisissant le second que je sens que ma bite jaillit de ma braguette. Je suis comme un con, les mains occupées à tenir le lourd cageot. Danièle a vu mais détourne pudiquement la tête.

S'en est trop. Pourtant, nous savons depuis trois samedis qu'elle est entrée dans le jeu. Danièle retourne à la porte conductrice pour tirer l'appareil. Je pose le cageot au sol pour prendre la carte de crédit dans la poche intérieure de mon anorak. Put-hein comme ça caille avec la bite à l'air. Cette fois Danièle me fait vraiment comprendre. Elle prend un léger recul pendant que je fais le code. Je suis terriblement gêné. Clémentine fait diversion. Danièle tient l'appareil tout en regardant mon sexe. Une lance à incendie, couleur chair qu'elle semble admirer.

L'excitation prend rapidement le relai de l'embarras. J'ai envie de me branler. << Même commande pour la semaine prochaine ? >> demande Danièle. Je range ma carte. C'est Clémentine qui saisit ma queue en disant : << Rentre ça, tu vas prendre froid ! >>. Danièle se met à rire franchement. Je réponds : << Même commande ! >>. Clémentine rajoute : << Même plaisir ! >>. En remontant dans son Mercedes blanc, notre livreuse fait : << Si tous les clients pouvaient avoir l'obligeance de m'amuser ainsi. Merci ! À samedi prochain ! >>.

Je referme mon anorak. Le froid humide est vraiment désagréable. << Tu as vu ? Ça y est, c'est parti ! >> me fait Clémentine avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche en empoignant fermement ma bosse. Voilà le second bruit de moteur. Madame Marthe, la boulangère, au volant de son tube Citroën rénové. Hilare elle saute avec une agilité déconcertante de sa camionnette. Pas question avec cette dame de nous comporter comme avec Danièle. Ça ne passerait certainement pas. Nous pouvons sentir les complicités éventuelles. Là, pas question !

Madame Marthe ouvre la porte latérale du tube dans un effroyable vacarme métallique. Elle en tire le cageot contenant les deux grosses miches de pain complet et bio, les deux pâtes feuilletées, l'énorme brioche au pudding. Les deux gros croissants aux amandes. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Nous saluons la dame avant de contourner la maison. Nous descendons à la cave par l'escalier extérieur. Dans le cellier, sur les étagères, nous disposons soigneusement les fruits, les légumes. Clémentine me palpe la bosse.

<< Félicitations monsieur. Vous êtes mon pervers adoré. Vous venez de m'offrir un moment aussi intense que celui de Danièle ! >> me dit elle avant d'enfoncer une nouvelle fois sa langue dans ma bouche. Ces baisers à répétition provoquent les plus impitoyables érections. Impitoyables car presque douloureuses. Ma bite étant enroulée au fond de mon slip ne peut pas déployer sa splendeur. Ce qui amuse beaucoup ma coquine qui la libère de ses tourments. Du congélateur où je range une miche, je tire les moules, les haricots verts, petits pois.

C'est avec la bite à l'air, et en l'air, que je remonte l'escalier intérieur. Julie est entrain de passer la serpillère dans la cuisine. Nous restons dans l'encadrement de la porte. Je porte le cageot contenant ce qu'il faut mettre au réfrigérateur. << Venez, je repasse derrière vous ! >> lance t-elle en s'accroupissant. J'adore. Elle fait ça tous les samedis matins. Le seau cache son sexe entre ses cuisses écartées. Nous mettons les produits frais au frigo. << Vous avez montré votre queue à la livreuse ? >> me demande soudain Julie. Je reste estomaqué.

C'est Clémentine qui répond : << Il la montre à toutes celles qui entrent dans nos jeux ! >>. Julie se redresse. Je me tourne vers elle pour agiter mon sexe dans sa direction. Je dis : << Uniquement à celles que nous devinons curieuses, coquines et désireuses de s'amuser ! >>. Julie rit en gloussant. Elle lance : << Je me sens privilégiée d'en faire partie ! >>. Je me dirige vers elle pour la saisir une fois encore sans ménagement. La tenant par ses cheveux en catogan, je la force à se pencher. Elle reprend sa position accroupie pour se mettre à pomper.

Je retire ma queue dans une nouveau "blop" sonore. C'est amusant. Il faut dire que Julie suce comme si sa vie en dépendait. Je la tire vers le haut afin qu'elle se redresse. Nous déposons chacun une bise sur son front avant de la laisser à sa serpillère. Au salon, assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Un rapide passage sur le site de l'université avant d'ouvrir les boîtes mails. Trois messages. Celui de Juliette qui nous rappelle que nous sommes invités à passer pour son animation au haras dimanche. Celui d'Estelle qui arrive pour 13 h45.

Mais c'est le troisième courriel qui est surprenant. Juste un mot de Danièle : ""Extra". Écrit en majuscules gothiques depuis son smartphone. Nous nous regardons longuement, en silence. << Put-Hein, génial la meuf ! Elle a pourtant un mari et deux gosses ! >>. Je ne sais quoi dire. Dans une petite enveloppe jaune je glisse un billet de 50 euros. Clémentine y rajoute un petit mot gentil que je signe du dessin vulgaire d'une bite entrain d'éjaculer. Il est presque onze heures trente. Julie, vêtue de son jeans, de son pull, bottines, vient nous rejoindre.

<< C'était bien ce matin encore. C'est toujours bien avec vous ! >> dit elle en jouant avec ses doigts, le regard baissé, faisant face au bureau. Clémentine se lève, le contourne pour prendre Julie par les épaules. << Merci de nous faire un bel intérieur tous les samedis matins ! >>. Julie la regarde avant de se serrer amoureusement contre elle. Je sais l'embarras de Clémentine dans ces situations. Aussi je me lève à mon tour pour tendre l'enveloppe jaune à Julie. << J'aime les petits dessins que vous rajoutez ! >> me dit elle après m'avoir remercié.

Julie reviendra lundi soir pour partager et la soirée et le repas. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Assise au volant, la vitre baissée malgré le froid, Julie démarre en disant : << Julien, j'adore vos initiatives ! >>. Je comprends ce qu'elle sous entend. Je sors ma queue une nouvelle fois malgré le froid. Clémentine passe son bras autour de ma taille. J'agite ma bite en direction de Julie pour répondre : << Rien que pour votre plaisir, j'aurai beaucoup d'autres initiatives. Je vous le promets ! >>. Un dernier bisou. Je rajoute : << Soyez prudente ! >>

Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. << Je t'aime. J'aime comme tu es vicieux ! Tu te rappelles la première fois que tu m'as montré ta queue ? >>. Je m'en souviens très bien. En préparant la laitue et son assaisonnement Clémentine revient sur ce souvenir des "premières fois". La première exhibe où je lui ai montré mon Zob. C'était dans le sous sol de la salle polyvalente. Le second soir où on se connaissait. En début septembre 2016. Je venais de rentrer d'Écosse. Je plonge les moules encore congelées dans le bouillon. J'écoute Clémentine en riant.

Dans le wok je verse les haricots verts et les petits pois tout aussi congelé. << Et la première pipe ? Tu t'en souviens ? >> rajoute t-elle en remuant la salade. Je m'en souviens très bien. Dans la bagnole. Je roulais à 10 km/h sur les petites routes des environs avant de l'emmener ici, chez moi pour la première fois. << Tu étais déjà le vicieux de mes rêves. Tu m'as fait sucer toute la soirée. Tu te rappelles ? >>. Je suis un peu gêné quand Clémentine dit : << Tu reprenais les mêmes routes pour faire des détours. Tu croyais que je ne m'en doutais pas ! >>.

Nous rions de bon cœur tout en mangeant de bon appétit. Clémentine adore quand je lui raconte des anecdotes du passé. Les autres filles que j'ai connu, dévergondé parfois. J'invite le lecteurs à découvrir ces récits sur les différentes rubriques de ce forum où je les publie. Des récits qui valent leurs pesants de sperme. Surtout ceux concernant ma belle histoire avec Estelle, la jeune fille de l'école de musique. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte quelques souvenirs la concernant. J'adore.

Même si je connais toutes ses aventures dans le moindre détails, c'est un bonheur sans pareil "queue" de les entendre à nouveau. Quand adolescente elle cherchait les meilleurs plans exhibes après le lycée. À cette époque c'est Estelle qui sécurisait les situations. Elles avaient toutes les deux leurs petites habitudes à bicyclettes, sur les chemins forestiers aux alentours du bourg. Je ne m'en lasse pas. Clémentine me propose même de consacrer quelques textes aux aventures de son adolescence. << De les raconter c'est aussi une exhibe ! >> fait elle.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous sommes tous deux considérablement excités. Nous rions aux éclats du moindre mot. << Que je les entends rire sans moi ! >> lance Estelle en entrant dans la salle de bain. Elle se précipite. C'est un merveilleux rituel que de rester serrés tous les trois à nous faire plein de bisous. De son grand sac de sport, Estelle tire son pyjama de soie mauve. Des paires de chaussettes. << J'ai mes "petits machins, c'est chiant ! >> s'écrie t-elle.

Elle saute à mon cou pour rajouter : << Docteur Julien la fille a bobo. Elle a besoin de soins ! >>. Elle ne me laisse pas répondre. Elle enfonce sa langue dans ma bouche alors que Clémentine, derrière moi, me sort la queue. Estelle s'y frotte. Je dis : << Fais gaffe, il y a plein de mouille ! >>. Elle prend du recul, se penche pour regarder en s'écriant : << Vous avez baisé ? >>. Clémentine raconte nos frasques de la matinée. L'exhibition devant la livreuse des fruits et légumes. Les petites pipes imposées à Julie. << Mais quel salaud ! >> lance Estelle.

Nous rigolons comme des bossus quand elle rajoute : << J'en veux aussi. Et plein. Tu as intérêt à être bien salaud avec moi. La thérapie du docteur Julien sel te pli ! >>. Je la soulève pour la faire tournoyer dans les airs. Elle enserre ma taille de ses jambes en mitraillant mon visage de bisous. J'administre le même traitement à Clémentine. Pressés de filer nous dévalons les escaliers. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Assise à l'arrière, caressant mon cou, Estelle nous raconte son vendredi. Les courses avec sa maman.

Il n'y a que trois kilomètres jusqu'au bourg. Je gare l'auto à la sortie du village. C'est à pieds, en nous tenant le bras, serrés pour rester au chaud que nous arrivons au marché de Noël. C'est samedi. Il y a un monde fou. Estelle a fixé rendez-vous à ses parents devant l'écran à neige. Ce système à double vitrage qui permet de se faire photographier en donnant l'illusion d'être sous la neige. Michèle et Yvan sont déjà là. Un gobelet de jus de pomme chaud à la main. Nous avons plaisir à nous revoir. Nous sommes de vieux amis maintenant. C'est superbe.

Michèle, sous son bonnet en laine, belle bourgeoise de 50 ans. Yvan, sous un identique bonnet, les yeux pétillants de malices. Nous bavardons en flânant. Il y a une quinzaine de chalets en bois tout autour de la place. Il faut louvoyer entre les promeneurs. L'odeur du pain d'épice, du vin chaud, de la cannelle. L'ambiance de Noël quatre semaines avant la date. Le brouillard est dense. Les ampoules forment autant de halos lumineux. Estelle reste au bras de son papa. Je suis entre Michèle et Clémentine. Nous passons l'après-midi à flâner là.

<< Dimanche prochain vous venez manger à la maison ! >> lance Michèle avant de nous séparer. << Avec plaisir. Et le dimanche d'après c'est vous ! >> fait Clémentine. Yvan et Michèle nous raccompagnent jusqu'à la voiture. Ils n'ont qu'un petit kilomètre à faire pour retourner chez eux. Ils préfèrent rentrer à pieds malgré nos insistances. Il fait nuit. Je roule à très faible allure. << La vitesse idéale de la pipe au conducteur ! >> lance Estelle à côté de Clémentine sur le siège passager. Malgré mon interdiction formelle. Ce qui ne sert à rien. Pipe...

Il est dix huit heures quand nous revenons à la maison. Transis de froid. Il fait bien chaud. << 23° partout. Et on les emmerde avec leurs 19° ! >> lance Estelle en sautillant autour de moi. Clémentine fait pareil. Elles m'entraînent toutes les deux dans une farandole folle. Ça nous réchauffe très vite. Assis à la table de la cuisine, nous épluchons les pommes de terre, les carottes, les navets et le céleri. Les filles parlent du programme universitaire qui les attend la semaine prochaine. La potée de légumes sera l'accompagnement de nos trois repas.

Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la laitue. Estelle touille les légumes dans la vieille cocotte en fonte noire. Cuisson sur la cuisinière à bois hyper chaude. Je poêle trois filets de colin avec des champignons, ail, échalote. En fin de cuisson, un pot de crème fraîche, du persil et de la ciboulette. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur l'invitation des parents d'Estelle. Nous envisageons les cadeaux que nous allons leurs emmener pour Noël. Estelle connait parfaitement les goûts de ses parents. Ce sera donc facile de trouver une idée.

Nous traînons à table. Assises sur mes cuisses, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges font mille projets pour demain. Nous irons faire le marché de Noël sur les quais du port de plaisance. << Génial ! >> lance Estelle. Par la route, c'est dix bornes de plus qu'à bicyclettes sur la piste cyclable. Les festivités organisées par la municipalité du bourg voisin sont toujours de surprenantes réussites. Il faudra s'habiller chaudement car la météo prévoie une baisse des températures. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. C'est sympa.

Au salon, Estelle se blottit contre moi. << Docteur Julien votre thérapie de soin me permettrait une bonne nuit de sommeil, savez-vous ? >> dit elle. Clémentine qui se serre elle aussi contre moi rajoute : << Une bonne "nouille" de sommeil ! >>. Je sais ce qu'elles attendent de mes compétences "médicales". Surtout que Clémentine m'a déjà sorti la queue. Estelle me l'attrape en s'écriant : << La potion du docteur, vite ! >>. Tous les trois, nous arrachons nos fringues pour rester en chemises à carreaux, en chaussettes. Estelle veut allumer la cheminée.

C'est un spectacle que de la voir placer les feuilles de papier journal froissées. Les brindilles des branchages. Elle craque une allumette en s'écriant : << Que le feu soit et le feu fut ! >>. Elle se précipite vers Clémentine et moi déjà entrain de nous tripoter, de nous embrasser. La soirée s'annonce dans la parfaite logique de cette journée très excitante. Estelle a ses règles. Ce sera donc des jeux de langues, de bouches qui l'emmèneront au plaisir. Je suis à genoux sur un des épais coussins à sucer son clitoris sous ses gémissements, ses contorsions de joie.

Clémentine qui adore nous regarder, se masturbe. Nous revivons un peu la même chose que jeudi soir. Avec la différence qu'Estelle, après un orgasme cataclysmique, nous observe à son tour. Je baise Clémentine à la hussarde. Je cesse pour ces moments d'immobilités dont nous raffolons. Moments où Estelle vient me faire le cul, jouer avec mes couilles, me murmurer des cochonneries aux oreilles. Nous cherchons la meilleure position. J'aime bouffer de la chatte en même temps que je baise. Ce n'est hélas jamais très confortable. Il faut souvent ruser.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui suivent le traitement du docteur Julien en respectant la posologie et les recommandations...

Julien (Docteur Honoris Causa es "Bite à l'air")



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NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 31 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2082 -



Douceurs et tendresses du dimanche

Hier matin, dimanche, il est presque neuf heures. Je suis entre Clémentine qui se serre contre moi. Estelle qui saisit ma tumescence. Toutes les deux se réveillent en même temps pour se frotter lascivement contre mes cuisses. << Merci docteur Julien pour vos soins ! >> murmure Estelle qui me masturbe doucement en posant ses lèvres sur ma joue. << Vous êtes un thérapeute de tout premier ordre ! >> rajoute Clémentine qui empoigne ma paire de couilles. Je ne suis pas encore complètement réveillé que mon enchantement est déjà paradisiaque.

Je glisse mes mains dans les culottes. Estelle, n'en pouvant plus de lutter contre l'impérieux besoin naturel, se lève d'un bond. << Pipi ! >> s'écrie t-elle en se précipitant vers la porte. << Mmhh, comme c'était bien et bon hier soir encore ! >> fait Clémentine en se couchant sur moi. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine où flottent déjà les suave effluves du café, du pain grillé. Elle me saute au cou. Je la soulève dans son pyjama de soie.

Ses jambes autour de ma taille elle mitraille mon visage de bisous. << C'était génial encore hier soir ! >> lance t-elle quand je la repose au sol après un tour de la table. Même traitement à Clémentine. Sur la nappe trône le "chinois". L'énorme brioche au pudding dont le sucre blanc qui la recouvre semble encore couler. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les cunnilingus de hier soir. La préférence de mes deux anges qui ne tarissent pas d'éloges quand à mes aptitudes. Nous préférons tous les trois les délicats rapports génitaux buccaux.

<< Toi, il faut que je t'épile les couilles et la base de la queue ! T'as vu ce que tu laisses pousser. Et puis ça chatouille le nez des filles ! >> lance Estelle qui vient s'assoir sur mes cuisses la première. Nous rions de bon cœur de cette curieuse envie de me tondre. Elle l'a déjà fait quelquefois depuis cinq ans. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la journée. Dehors, il fait froid, il y a un brouillard à couper à la tronçonneuse. Clémentine vient s'installer à son tour sur mes genoux. Mes deux anges me tiennent par le cou, par la taille.

Nous traînons à table. Le dimanche aucun entraînement. Nous avons tout notre temps et comptons bien le prendre dans son entièreté. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les pitres. Estelle est très sérieuse quand au désir de m'épiler les couilles. Elle se change. << Assis et on ne pipe mot ! >> fait elle en me descendant le jeans et le slip. Clémentine me les retire complètement. Je suis assis sur le tabouret de la salle de bain. Il fait bien chaud partout dans la maison. Estelle me présente la paire de ciseaux à ongles, le rasoir.

<< Ah mais c'est qu'il va avoir de belles couilles glabres le docteur ! >> lance Estelle qui se met à genoux sur une épaisse serviette pliée. Clémentine, pliée de rire, s'assoit à côté de moi sur la plaque blanche qui recouvre la baignoire. << On écarte. On permet à sa coiffeuse de pratiquer dans les toutes meilleures conditions ! >> fait encore Estelle qui commence à couper soigneusement. Elle me tient les couilles comme si c'étaient des objets précieux. Avec un soin minutieux elle coupe les poils. Au plus près. On dirait maintenant de la peau de poulet.

Clémentine joue avec ma queue. Elle tient mon érection afin de permettre à Estelle d'en faire le tour avec la paire de ciseaux. C'est avec le petit rasoir électrique qui sert aux épilations féminines qu'Estelle parachève son œuvre. << Mais c'est qu'il a de belles couilles le docteur ! >> dit Estelle qui commente chacune de ses actions de tonte. Elle les soupèse en rajoutant : << Regardez-moi ça. Ce n'est pas plus beau que des couilles de vieux sanglier ! >>. Nous rions aux éclats. C'est de la crème dont elle m'enduit les roubignoles. Elle fait bien pénétrer.

Je dis : << Quand ça va repousser, ça va être l'enfer. Ça va me piquer, me démanger ! >>. Estelle, pliée de rire, tenant fermement mes couilles, répond : << Il faut souffrir pour être beau ! >>. Clémentine me tient la bite. Je bande mou dans sa main. Elle tire sur le prépuce. On devine bien la forme du gland sous la peau. Sous le nez d'Estelle Clémentine me décalotte légèrement. Immédiatement l'odeur de vieux sandwich au thon nous monte aux narines. << Docteur pue de la bite ! >> s'écrie t-elle en se pinçant le bout du nez et en agitant sa main.

Clémentine se penche, se lève, s'accroupit. Elle se met à téter le bout du gland qui dépasse. << Le grand chauve au col roulé ! >> lance Estelle qui se contorsionne pour voir Clémentine sucer. Juste le méat dont elle aspire l'orifice. En chaussettes sur le carrelage, je commence à sentir le froid du sol. Ce qui me donne envie de pisser. C'est au tour d'Estelle de suçoter l'extrémité. C'est là, en sournois, que je contrôle parfaitement la petite giclée de pisse. Elle se détourne dans un réflexe en poussant un râle de dégoût. Je dis : << Traitement de faveur ! >>

<< Put-hein, salaud ! Ça faisait longtemps que tu ne m'avais plus pisser dans la gueule ! >> dit elle en s'essuyant avec un mouchoir en papier. Clémentine, trop heureuse de la surprise, me suce à présent comme une assoiffée. Je ne bande pas encore suffisamment. Ce qui me permet de lui offrir une seconde giclée. Estelle empoigne mes couilles en me fixant d'un regard sévère. Je caresse sa tête, ses cheveux. << Tu as de la chance que j'ai mes "petits machins" toi ! >> lance t-elle alors que Clémentine cesse de sucer pour déguster ce qu'elle a pompé.

Il est presque midi. Il commence à faire faim. Nous redescendons à toute vitesse et en rigolant comme des bossus. Clémentine fait la salade de tomates avec de l'avocat. Je touille la potée de légumes sur la cuisinière à bois. Estelle poêle trois pavés de saumon qu'elle assaisonne aux champignons, à l'ail, à l'échalote, au persil et à la ciboulette. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos activités de la matinée. Nous traînons à table. Mes deux anges, assises sur mes genoux, parlent de leurs études. De la journée de demain, du travail qui les attend.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de remonter nous laver les dents. Je fais part aux filles des premiers désagréments de mes organes génitaux fraîchement épilés. << Le pauvre. On va t'administrer des douceurs tous l'après-midi ! >> s'écrie Estelle en fourrant sa main dans ma braguette. Nous adorons nous embrasser avec le goût et la fraîcheur de la crème dentifrice. Nous nous changeons. Jeans propres, chemises crèmes sous nos pulls bleus nuits aux col en "V". Nos bottines. Pressés de filer nous dévalons les escaliers. Il est 13 h15.

Je roule doucement dans un épais brouillard. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière, caresse mes joues, mon cou. << Aux vacances, quand je serai à Los Angeles, on garde le contact par mails tous les jours ! >> dit elle. << Ah oui, on veut tout savoir ! >> fait Clémentine. Je rajoute : << Tous les détails de tes coquineries avec Gauvain ! >>. Estelle me serre le cou comme si elle voulait soudain m'étrangler. Elle s'écrie : << Il ne se passera aucune coquineries. C'est juste des vacances "test". Je sais très bien ce que je fais ! >>.

Il y a trente cinq kilomètres jusqu'au port de plaisance. Avec ce brouillard toute chose prend un aspect fantomatique. On ne voit pas à plus de quelques mètres. Le marché de Noël est encore un succès. Il faut garer la voiture à plus d'un kilomètre du port. Emmitouflés dans nos anoraks, en restant serrés, nous marchons sur le bord de la route. La circulation ne se fait que dans un sens. Ce qui permet d'anticiper tout danger et d'éviter de marcher dans l'herbe trempé. Nous arrivons. La vision de l'endroit contraste fortement avec celle de la belle saison.

Il y a un véritable village de chalets en bois sur les quais. Évidemment un monde fou. Il faut louvoyer. Nous maudissons ces landaus que les plus inconscients imposent à la foule. Nos hautes tailles, les filles serrées contre moi, entre mes deux anges, nous attirons encore bien des regards. Inutile même d'envisager un "plan" quelconque. Il faut patienter longuement dans la file. Nous nous offrons de bonnes gaufres chaudes au sucre. Elles sont succulentes. C'est délicieux de s'embrasser avec les bouches toutes sucrées. Ce qui attire encore des regards.

Nous flânons entre les chalets. Il faut deviner les choses qui nous entourent au-delà d'une dizaine de mètres. C'est une ambiance magique. << C'est comme dans un film d'Harry Ploteur ! >> lance Estelle. << Et sa braguette magique ? >> s'écrie Clémentine qui empoigne mon "paquet". Elle rajoute : << Tu sais que j'ai envie de l'avoir dans la bouche ? >>. Estelle qui dit : << C'est à cause des "surprises" de Julien ce matin, dans la salle de bain ? >>. Clémentine qui répond : << J'adore les surprises ! >>. Une excitation nous gagne inexorablement.

On se déguste un gobelet de jus de pomme chaud. À priori, comme ça, le jus de pomme chaud, ça peut interroger. Mais assaisonné avec du miel, une pointe de sirop d'érable, c'est la boisson idéale pour affronter le froid. Estelle et Clémentine sont chaussées de leurs bottines à fourrures. Leurs jeans slim qui moulent leurs jambes comme des leggings. Nous croisons quelques libidineux dont les yeux manquent de tomber de leurs orbites. Lorsque nous sommes dans le chalet à bijoux, Clémentine ouvre son anorak. Devant un voyeur elle se touche.

Le type, comme affolé, ne sachant plus que faire face aux sens qui le tourmentent, regarde partout autour de lui. Il y a des visiteurs. Il ne peut absolument rien n'entreprendre. Alors que là, lui faisant face de l'autre côté de la table de présentation, il y a cette fille sublime, grande, qui se touche discrètement, mais effrontément en le fixant. De quoi affoler les sens de tout homme normalement constitué. Estelle qui reste serrée contre moi murmure à mon oreille : << Regarde. Mais quelle salope. Elle faisait déjà ça au lycée. Mâte un peu le mec ! >>

Oui, je compatis au malheur de cet homme. Pauvre "victime" des exactions exhibitionnistes de cette fille debout devant lui. Mais ça me fait bander comme le dernier des salauds. Il y a une femme là-bas, au bras de son compagnon, qui semble avoir vu le "jeu" de Clémentine. Elle me lance un regard interrogateur et amusé. Son homme, lui, ne paraît pas se rendre compte de quoi que ce soit. Nous savons que par la loi des séries d'autres visiteurs vont avoir des soupçons. Aussi, intelligente et stratège, Clémentine cesse pour revenir tout contre moi. Fini.

Nous faisons le tour de ce village de chalets. On demande même à des promeneurs de nous prendre en photo. << Le coup de la photo. Toujours excellent ! >> lance Estelle. Cette autre malheureuse "victime". Cet homme qui nous photographie alors que mes deux coquines ont ouvert leurs anoraks pour caler leurs mains entre leurs cuisses. Il faut voir pour le croire. << À toi ! >> me fait Estelle qui s'avance pour demander à une jeune fille de nous prendre en photo. Mes deux anges, juste avant le déclic, posent leurs mains sur ma braguette en riant.

La jeune fille, beaucoup moins décontenancée que les mecs, s'amuse bien. << Une autre ? >> demande t-elle alors qu'elle s'est bien aperçue de notre "jeu". << Une autre ! >> lance Clémentine. Je suis entre mes deux anges. Nous sommes un peu à l'écart. Juste le temps du cliché elles s'accroupissent rapidement toutes les deux. Les visage près de la braguette, leurs mains serrant mes cuisses au niveau des couilles. C'est tellement rapide que personne ne peut s'imaginer un instant la nature de cette photo. La jeune fille semble ravie. Elle sourit.

Elle nous tend l'appareil photo en riant, pas du tout gênée. Ces situations sont tellement faciles et rassurantes quand elles se déroulent entre filles. << Merci ! >> dit Clémentine. << C'était génial ! >> lance la jeune fille en retournant dans la foule. Le crépuscule s'annonce. Notre trio de coquins dépravés s'en retourne lentement vers la voiture. Nous marchons en compagnie de plein de gens qui s'en vont également. Je roule doucement. Malgré mon interdiction formelle, Estelle est évidemment assise dans le fauteuil passager à côté de Clémentine. 30 km.

Il est 18 h45 quand nous sommes de retour. Nous nous changeons avant de préparer le repas. Nous n'arrêtons pas de nous toucher, de passer nos mains entre nos cuisses. Clémentine s'occupe de la salade de concombre. Je touille la potée de légumes. Il en restera pour demain midi. Estelle, qui devra nous laisser pour 22 h, concocte sa spécialité du dimanche soir. Une belle omelette au fromage. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos aventures de l'après-midi. Le "coup" des photos avec des inconnus. << Fort ! >> dit Estelle.

La vaisselle. Les filles m'entrainent au salon. Nous y sommes rapidement juste en chemises à carreaux et en chaussettes. Léchages de minous. Ce soir, c'est Estelle qui fait sa voyeuse en se masturbant. Clémentine et moi nous baisons. Couchée sur le bureau, besognée par mes soins, Clémentine gémit de plaisir. Alors qu'Estelle qui se touche d'une main me tient les couilles par derrière. Elle se refilent ma queue dégoulinantes avant que je la refourre dans Clémentine. Les orgasmes de mes deux anges sont proportionnels au plaisir offert. C'est géant.

Bonne nuit à toutes les coquines ayant une fois encore jouit d'une belle virée au marché de Noël. Clémentine s'offre de grosses quantités de sperme sous les draps.

Julien



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La soirée en compagnie de Julie

Hier matin, lundi, il est presque six heures. Nous sommes tirés de nos profonds sommeils par le cri des oiseaux de mer. Cette fois particulièrement bruyants. Clémentine se blottit encore plus fort en gémissant d'incompréhensibles mots. Cela nous fait rire durant les trente secondes où l'application "océan" achève de nous réveiller. Quelques bisous, quelques papouilles. Il faut se lever. À cause de l'heure mais également pour pisser. Nous nous précipitons aux toilettes en riant. Vêtus de nos habits de sport nous dévalons les escaliers. Il fait froid.

Les radiateurs viennent de s'enclencher. J'allume le feu dans la cuisinière à bois pendant que Clémentine fait le café. Je l'aide à presser les oranges, à peler les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les faits marquants de ce week-end passé. Nos soirées de folies habituelles. Nous mangeons de bon appétit en nous en promettant beaucoup d'autres. Notamment celles de ce soir avec la venue de Julie. Il est 6 h25 quand nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Ce matin c'est encore difficile de s'y mettre. Ferveur.

Aérobic, jogging sur tapis roulants. Ça démarre péniblement. Les exercices au sol ainsi que les abdos. Puis viennent les charges additionnelles. Quand nous les faisons à la machine c'est un peu plus simple en apparence. Puis les étirements nécessaires d'un retour au calme avant une bonne douche. Je descends le premier. Il fait froid. Je sors l'auto du garage. Il est est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre chaudement vêtue. Les cheveux qui dépassent de son bonnet. << Tu seras bien salaud ce soir, hein ! >> me fait elle. Un bisou.

Je la regarde partir. Je m'empresse de rentrer au chaud pour faire notre vaisselle, notre lit. Dans l'atelier j'allume également le feu dans la cheminée. Installé confortablement devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette troisième toile destinée à ma saison 2023 m'accapare totalement. Je peins dans cet enthousiasme délirant qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. Les heures passent vite. Il est presque midi quand je mets deux bûches sur les braises. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il y fait bien chaud.

La pâte feuilletée sortie du réfrigérateur ce matin est à température ambiante. Parfait. Je réchauffe le reste de potée de légumes. Je poêle un filet de colin pendant que j'assaisonne une grosse endive. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans tous ses états, André Bercoff reçoit un économiste. Comme toujours, dans son émission, sur cette station, les révélations non censurées sont de véritables tranches de vérités crues et souvent "sanglantes". J'élabore mentalement l'ordre des préparations pour notre repas de ce soir. Surprise.

Je lave, je coupe en tranches deux belles et grosses courgettes. Un avocat en fines tranches. Je dispose le tout sur la pâte feuilletée préalablement étalée dans le grand plat à tarte. Ses bords hauts permettent d'empiler les couches. D'abord la courgette puis l'avocat. Je verse le mélange œuf, crème fraîche et moutarde à l'ancienne. Je recouvre de gruyère de Comté, de chapelure, de graines de sésame grillé. Au four électrique pour une cuisson lente et longue à 180°. Tout est tellement meilleur quand on laisse mijoter. Il reste à faire la vaisselle.

Je monte en chantonnant pour me laver les dents. Le repas de ce soir est prêt. C'est serein que je dévale les escaliers pour enfiler mon anorak. Il fait légèrement moins froid puisque le thermomètre extérieur indique 10°. C'est sous la capuche que je fais le tour de la propriété car il y a les premières gouttes de pluie. Installé devant mon chevalet, je reprends la peinture de ma nature morte. Tout comme en matinée, les heures défilent hors de toute perception réelle. Trop absorbé par ma passion je ne les vois pas passer. Je sais qu'il est soudain 17 h30.

Clémentine rentre de cours. Elle se précipite pour s'assoir à califourchon sur mes cuisses. Se frottant doucement elle me raconte sa journée. Le repas du restaurant universitaire. Entrecoupant ses phrases d'une multitude de bises qu'elle dépose sur mon visage. Il lui faut mettre au propre les notes prises aujourd'hui. La voilà devant son ordinateur. Ces moments de travail commun sont un enchantement. Je peux l'entendre commenter ce qu'elle fait. Je peux l'entendre chantonner. Je peux l'entendre raconter des anecdotes quand aux professeurs.

Il est 18 h15 quand je nettoie la palette, les pinceaux. Je retire ma blouse pour me laver les mains au petit lavabo de l'atelier. << Je te la tiens ! >> lance Clémentine alors qu'elle me voit de dos entrain de sortir ma queue. Je la pose sur le rebord de faïence. Dans le minuscule miroir je la vois se lever, contourner la table pour se précipiter. Elle me rejoint. Sur ma droite, son bras gauche autour de ma taille, de sa main droite elle dirige les jets. Clémentine vise le trou d'écoulement. Parfois le fin rectangle du trop plein. Sous le mince filet d'eau chaude.

C'est dans cette situation cocasse et plutôt épique que nous surprend Julie qui arrive à l'instant. Occupés à nos jeux nous n'avons entendu aucun bruit. << Bonsoir ! >> lance t-elle en courant pour nous rejoindre. Trois bises à Clémentine. Elle nous contourne pour venir m'en faire trois. Sur la pointe des pieds Julie est obligée de s'accrocher à moi. Je l'attrape par la taille pour la rapprocher encore davantage. Elle se serre en gloussant de plaisir. << Tiens, termine-le ! >> fait Clémentine en offrant ma bite à Julie. Elle s'en saisit sans aucune hésitation.

C'est peut-être la toute première fois que Julie est aussi spontanée. Même si Julie est droitière, sa main gauche excelle dans le maniement de Zob pisseux. Penchée en avant pour bien voir, pour bien viser, elle s'amuse des dernières giclées. Clémentine s'accroupit à ma droite. Je me tourne légèrement. Sans me lâcher Julie offre mon sexe à Clémentine. Elle déguste les derniers reliquats en pompant. Sous les yeux de Julie qui me contourne pour s'accroupir à ses côtés. Clémentine, généreuse, altruiste partage avec notre visiteuse. Sublimes suceuses.

Elles se redressent en même temps en riant. Je dis : << Bonsoir Julie. Voilà une arrivée triomphante ! Félicitations ! >>. Elle n'ose pas soutenir mon regard. Toujours ce sourire furtif sans cesser de contempler ce sexe qu'elle vient d'épancher une fois encore après la pisse. Les vraies suceuses, passionnées de pipes, apprécient tout ce qu'elles en tirent. Je veux remballer mon sexe quand Julie s'écrie : << Non, pas tout de suite ! >>. Nous rions tous les trois aux éclats. Clémentine retourne à la table de travail pour ranger ses affaires. Avec un clin d'œil.

Julie s'installe devant le chevalet. Penchée en avant, ses mains entre ses genoux, elle scrute ma peinture. En silence. Avec concentration comme elle le fait toujours. Je viens me mettre à sa droite. Je m'accroupis à côté de la chaise. Je pose ma main gauche sur son genoux. Je réponds aux quelques questions techniques que me pose notre amie. Clémentine vient nous rejoindre. Elle s'accroupit derrière moi. Elle passe sa main autour de ma taille pour saisir mon Zob. Il commence à faire faim. Subitement, au-dessus de nos têtes, un bruit caverneux.

Il semble résonner sans fin. << Bonsoir Christine ! >> lance Clémentine pour saluer l'arrivée du fantôme de mon ancienne compagne. Nous nous redressons. Julie, apeurée, pose sa tête contre ma hanche, m'enserrant la taille de ses bras. Je passe ma main sous ses cheveux pour caresser sa nuque. Clémentine serrée contre moi. Nous écoutons. Les errances de l'entité sont ponctuées de bruits étranges. Tout cela ne dure qu'une ou deux minutes. Julie se lève en disant : << Ça fait vraiment peur ! >>. Clémentine dit : << Impossible de s'y habituer ! >>

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand les filles me voient sortir la tarte aux courgettes du four électrique pour la mettre dans le four à bois, elles me rejoignent. À peine la porte refermée qu'elles me font plein de bisous. Depuis quelques temps l'attitude de Julie nous étonne. C'est devenu une véritable complice des moindres faits et gestes. Clémentine prépare la salade de carottes. Julie met les assiettes et les couverts. Devant la cuisinière à bois ou je viens de rajouter une bûche, je sors à nouveau ma queue. Je l'agite dans la direction de Julie.

Cette situation se reproduit des dizaines et des dizaines de fois depuis quelques années. Pourtant le regard de Julie se porte toujours avec attention. Comme pour une première. Clémentine lui demande : << Tu as vu des bites dans les chiottes du restau ? >>. Julie répond tout en observant mon sexe que j'agite langoureusement : << Oui, juste une. Un client que j'aime à surprendre en entrant dans les toilettes hommes avec le seau et le balai ! >>. Nous rions quand elle rajoute : << Et celle du Chef bien sûr. Il m'a enculé avant le service ! >>.

Avec ce naturel dont elle est coutumière, Julie nous raconte dans le détail. Elle arrive vers 18 h pour la mise en place des tables du restaurant. Anne-Marie, sa tante et patronne est en cuisine avec le Chef. Jean-Louis fait les dernières mises au point des repas proposés ce soir. C'est là, comme une habitude prise lorsqu'elle était encore adolescente, que Julie rejoint le couple en cuisine. Sous les yeux de sa tante, elle se fait sodomiser quelques minutes. Camille, l'autre jeune serveuse prend le relai depuis quelques mois. Nous rigolons comme des fous.

<< Ce n'est plus un restaurant, c'est un lupanar ! >> s'écrie Clémentine entre deux fous rires. Moi, les historiettes coquines de Julie me font bander comme le dernier des salauds. Il n'y a pas de sonnerie dans un four à bois. Je me dois de garder un œil sur la cuisson. Accroupis devant la vitre du four, je sens les mains de Julie se poser sur mes épaules. J'ouvre le four pour en sortir une tarte dorée à souhait, au fumet délicat. Quelle n'est pas ma surprise quand Julie garde mon sexe dans ses mains. C'est comme pour le protéger. Une attention charmante.

Nous mangeons de bon appétit. Julie répond aux questions coquines de Clémentine. J'écoute avec une main souvent sous la table. Parfois, la bite dans la main, je me lève pour me branler. Julie et Clémentine m'observent avec intérêt. Une fois encore Julie recommande les enculades du Chef de cuisine. << Je te jure, ce mec t'encule avec douceur ! Essaie ! >> lance Julie. Clémentine répond : << Si je viens un soir ce sera une pipe. J'adore sucer les pervers ! >>. Nous rigolons comme des bossus quand Julie précise : << Les pipes ce n'est pas son "truc" ! >>.

Julie devra nous laisser pour 22 h. Aussi, c'est au salon, après la vaisselle que nous savourons nos coupes glacées. Julie est assise dans le fauteuil qui nous fait face. Elle regarde la main de Clémentine qui joue avec ma queue. << On se fait un film un de ces jours ? >> demande t-elle à Julie qui s'écrie : << Oh oui, j'ai quelques idées ! >>. Clémentine rajoute : << Raconte ! >>. Julie me lance un regard très gêné avant de baisser les yeux. Elle murmure : << Dans la voiture ! >>. Clémentine me masturbe en demandant : << Baise ou pipe ? >>.

<< Tu es derrière et tu filmes ce qui se passe devant ! >> répond timidement Julie. Je dis : << Je roule. Une fellation. C'est ça ? >>. Julie, comme honteuse, dans un souffle, fait : << Oui ! >>. Clémentine s'exclame : << Excellent. En Clio rouge ou en Mercedes métal ? >>. Julie fait : << Mercedes ! >>. Nous rions aux éclats quand Clémentine rajoute : << Tu as des goûts de luxe, c'est parfait ! >>. Je me lève. C'est trop contraignant d'être assis avec une telle érection. Clémentine, toujours assise, continue à me masturber d'un geste lent et rythmé.

Julie garde ses deux mains jointes entre ses cuisses. Elles me semblent toujours plus haute à fur et à mesure que le temps passe. Je demande : << Julie, combien de masturbations depuis samedi matin ? >>. Instantanément notre complice répond : << Plusieurs ! >>. Clémentine dit : << Tu te touches au volant quand tu vas à la Fac ? >>. Julie, en riant, fait : << Et en revenant ! >>. Je m'avance, je contourne la table basse en présentant mon sexe. Julie me dit : << Je préfère sucer sans être pressée par l'horaire ! >>. Je n'insiste pas.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se touchent au volant, en rentrant. À toutes celles qui vont baiser et sucer sous les draps...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 33 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2084 -



C'est bien quand Estelle vient nous rejoindre

Hier matin, mardi, le cris des mouettes est particulièrement strident. Il est presque six heures et cette impression de nous réveiller dans un port de pêche. Illusion parfaite proposée par l'application "océan". Clémentine vient se blottir encore plus fort contre moi. Tout cela ne dure que quarante cinq secondes. Quelques bisous, quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Avec nos folies de hier soir le levé est difficile. Morts de faim, vêtus de nos vêtements de sports, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Il fait froid dans la maison.

Le thermostat contrôle les radiateurs qui ne s'enclenchent qu'à six heures. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. C'est moi qui récupère les quatre premières tranches éjectées par le grille pain. Les deux gros croissants aux amandes dans le four à micros ondes. Nous prenons notre petit déjeuner. J'écoute Clémentine me raconter le souvenir du rêve de sa nuit. Je suis plié de rire car c'est encore totalement surréaliste. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la présence de Julie hier soir.

Il est 6 h25 quand nous remontons à toute vitesse. L'entraînement nous attend. Aérobic pour nous réveiller complètement. Jogging sur tapis roulants pour accélérer le rythme cardiovasculaire. Les exercices au sol avec les abdos que nous aimons tout spécialement avant les charges additionnelles. Le retour au calme très déconnant avec les étirements du stretching. La douche. Je redescends le premier pour aller préparer la voiture. Il pleut. Il fait froid. À peine 4°. Le jour achève de se lever. Presque 7 h45. Clémentine qui me rejoint sous son grand parapluie.

Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter le chemin jusqu'au portail. Un dernier coucou avant de rentrer m'abriter de la pluie. Je fais la vaisselle et notre lit avant d'aller dans l'atelier. J'y allume une magnifique flambée dans la cheminée. Confortablement installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La troisième nature morte que j'achève probablement ce soir concentre rapidement toute mon attention. Je peins dans une sorte de béatitude qui me fait baver. Ça me chatouille aux commissures des lèvres. C'est extraordinaire.

La matinée se déroule ainsi. Il est presque midi quand je rajoute deux bûches dans la cheminée. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Là aussi je rajoute une bûche dans la cuisinière à bois. Il suffit de réchauffer le reste de la tarte aux courgettes. Accompagnée d'une laitue dont je lave les feuilles. Pour midi et pour ce soir. Un dos de cabillaud blanc à la poêle. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Aujourd'hui André Bercoff reçoit un commissaire de police. Cet homme peut s'exprimer librement sur cette antenne. Aborder des problèmes sociétaux.

Je concocte une belle Béchamel. J'y rajoute du thon émincé et poêlé. De petits bolets, du gruyère de Comté. J'emplis les six bouchées à la reine de ce mélange onctueux. Je les dispose dans le grand plat carré en terre cuite. J'égoutte les coquillettes que je verse autour des bouchées afin de bien les caler. Une copieuse couche de gruyère de Comté sur le tout. Chapelure, graines de sésame grillé. Au four pour laisser mijoter longuement à 180°. Notre repas de ce soir est prêt. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Je regarde par la fenêtre.

La pluie tombe sans arrêt. Pressé d'aller faire quelque pas malgré tout je dévale les escaliers. Dans mon anorak, chaussé de mes bottes en caoutchouc, sous le parapluie, je fais le tour de la propriété. L'amas des dernières feuilles qui s'étalent au sol. Elles servirons de compost et d'engrais pour l'herbe du printemps prochain. Il est 13 h45. Je reprends ma peinture après avoir rajouter deux bûches dans le feu. Je peins dans l'identique béatitude que ce matin. Sans pouvoir contrôler l'inexorable marche de temps. Il est rapidement 17 h30. Clémentine qui rentre.

Assise à califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. J'écoute car c'est passionnant. Dans le cadre de ses études elle devra proposer un projet. Chaque étudiant est invité à faire de même. Les projets serviront à la base d'un travail commun durant trois jours. Ce qui permet à Clémentine d'expérimenter le premier jet de sa thèse. Elle a encore du travail. La voilà assise à la table devant son ordinateur. J'adore peindre en l'écoutant chantonner. Commenter ce qu'elle fait.

Il est 18 h15. Je nettoie la palette, les pinceaux. Cette troisième toile destinée à ma saison 2023 verra sa finalisation demain en fin de matinée. Je retire ma blouse. Je me lave les mains au-dessus du petit lavabo de l'atelier avant de rejoindre Clémentine. << Pas de pipo dans le lavabi ? >> demande t-elle alors que je soulève ses cheveux pour faire des bisous dans sa nuque. Je réponds : << J'attends l'arrivée d'Estelle ! >>. Clémentine m'explique ce que je vois sur l'écran du MacBook Pro. Elle a créé deux dossiers personnalisés. Photos d'Écosse.

L'un s'intitule "Thèse", l'autre "Projets". Elle peut ainsi archiver ses travaux, y revenir. Le tout en double sur le disque dur externe. Trois coups contre la porte qui s'ouvre. Estelle jaillit comme un ouragan pour me sauter au cou. << Raconte-moi tes cochonneries hier soir avec Julie. Clémentine m'a déjà dit des trucs à midi au restau U. N'oublie rien sinon je te colle la bite avec de la super glue ! >> dit elle en mitraillant mon visages de bises. Elle glisse sa main dans ma braguette béante pour rajouter : << Et ce soir, je veux la totale ! Si ! >>

Estelle rejoint Clémentine pour comparer leurs travaux. Je vais au lavabo pour poser ma queue sur le rebord de faïence. J'extrais mes couilles avec quelques difficultés. << Pas sans nous ! >> s'exclame Estelle qui me rejoint en courant. Suivie de Clémentine. Je suis entre mes deux anges. C'est Estelle qui me tient la bite pour en diriger les jets. Clémentine me tient les couilles. J'ai mes bras autour de leurs épaules. Nous rions de bon cœur de cet amusant rituel. Je contrôle la multitude de petits jets que je distribue généreusement. À profusion.

Je bande toujours lentement jusqu'aux dernières giclées. Estelle contraint alors mon sexe vers le bas. C'est presque douloureux. Surtout que la coquine le maintient fermement et à pleine poigne. Un vrai démonte pneu qu'elle présente alors à Clémentine qui se penche pour en gober l'extrémité. C'est à son tour. L'odeur de pisse nous monte aux narines exaltée par le mince filet d'eau chaude qui coule du robinet. Il est 18 h45 quand nous quittons l'atelier pour la cuisine. Je sors les Bouchées à la reine du four électrique pour les mettre dans le four à bois.

Quand les filles découvrent ce que j'ai préparé j'ai droit à un exubérant mitraillage de bisous sur le visage. La bite également. Elle pend à nouveau mollasse de ma braguette. Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue déjà lavée. Estelle met les assiettes et les couverts. La cuisson est extrêmement rapide dans le four à bois. Il faut surveiller tout ça de très près. Difficile avec une coquine qui m'attrape le Zob pour le tordre dans tous les sens. << Attends, ne va pas te brûler la bite, je sors le tout du four ! >> s'exclame Estelle en s'accroupissant.

Elle m'excite ainsi positionnée, me tournant le dos, devant la porte du four. Je me branle un peu parce que j'adore cette image. Estelle a enfilé les maniques. Elle se lève en tenant le plat fumant et superbement doré. << Wouah ! >> s'écrie Clémentine qui remue la salade. Nous mangeons de bon appétit en évoquant nos petites aventures du week-end passé. Je réponds aux questions d'Estelle qui veut tout savoir de mon comportement de hier soir, en compagnie de Julie. << Fais gaffe, je suis hyper jalouse. Tu es mon salaud à moi ! >> dit elle.

<< Je te rappelle que tu t'adresses à mon mec à moi ! >> fait Clémentine. Cette plaisanterie nous amuse toujours beaucoup. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Aussi, ce soir, nous ne traînons pas. Dès la vaisselle terminée, les filles m'entraînent au salon. Estelle me descend le jeans et le slip sur les chevilles. Debout, comme un con, je les regarde retirer leurs bottines, leurs jeans et leurs culottes. Vêtements qu'elle font tournoyer en riant pour les jeter n'importe où. Je finis par retirer complètement les miens. Estelle s'installe sur le bureau, se touchant.

Clémentine me tire par la queue pour m'emmener entre les cuisses d'Estelle en appui sur ses coudes. Elle frotte mon sexe contre celui d'Estelle qui se couche sur le dos. Une main par derrière pour tenir mes couilles, Clémentine introduit ma queue dans Estelle. Doucement. << Salaud ! >> murmure Estelle qui garde les yeux fermés en se mordillant la lèvre inférieur. Clémentine me lâche pour venir s'assoir à côté d'Estelle. Elle se masturbe en me présentant son sexe. Elle tient son clitoris géant à sa base pour le décalotter telle une petite bite.

Je besogne Estelle comme elle aime. Un peu à la façon d'un homme des bois qui n'aurait pas vu une femme depuis des mois. Autant dire que le concert de hurlements est en parfaite harmonie avec mes cris d'animal en rut. Sous le regard de Clémentine qui adore nous voir. Je me retire pour venir frotter mon sexe contre le sien. Elle aussi s'étale de tout son long sur le bureau. Je n'ai plus qu'à m'y enfoncer avec douceurs et précautions. Avec Clémentine ce sont des bercements entrecoupés d'immobilités. C'est Estelle qui nous mâte en se touchant.

Parfois, lorsque je quitte l'une pour fourrer l'autre, je me penche pour récupérer la mouille. Ce yaourt que j'aspire goulument avant de m'introduire. Clémentine, dans ces moments de plaisirs fous, est rapidement couverte de sueur. C'est un bonheur de la voir s'adonner avec tant de fougue aux trépidants assauts que je leurs livre. Estelle ne contrôle déjà plus grand chose. << Put-Hein mais c'est trop bon. Je deviens folle ! >> s'écrie t-elle avant de se cambrer en avant. Son visage près des genoux, victime d'un orgasme dévastateur. Elle en hurle.

Clémentine et moi cessons de bouger pour regarder cet étonnant spectacle. Estelle qui se renverse sur le côté, les mains entre ses cuisses, comme en proie à une intense douleur. En gémissant. Je dis : << Ça te fait une répétition pour demain soir avec Jean-Marc ! >>. Clémentine rajoute : << Ton parrain te nique à quelle heure demain ? >>. Estelle ne répond pas tout de suite. Elle reprend ses esprits en s'asseyant. << Il arrive vers 20 h et repart vers 21 h ! >>. Clémentine me repousse délicatement en poussant un véritable rugissement.

J'ai juste le temps de me retirer. C'est dans un prodigieux jet de pisse que Clémentine est victime d'un orgasme qui la tétanise. Nous n'avions pas prévu la cuvette en plastique bleu. Il y a de la pisse sur le parquet sur au moins six mètres. Estelle saute du bureau pour venir s'accroupir devant moi. Elle me suce comme si sa vie en dépendait. Clémentine reprend ses esprits. C'est en courant qu'elle quitte le salon. Elle revient avec le seau, le balai brosse et la serpillère. Estelle cesse de pomper. Nous mâtons en riant. Pauvre Clémentine, femme fontaine.

Je saisis Estelle par ses oreilles. Elle tombe à genoux en s'accrochant aux pans de ma chemise à carreaux. Je me masturbe dans sa bouche. Clémentine qui revient des toilettes où elle a vidé le seau, nous rejoint. Elle s'accroupit à côté d'Estelle. Je lui offre ma bite dégoulinante. Une bite mouillée jusqu'aux couilles ruisselantes de foutre et de nos mélanges. Elles se partagent un jus de couilles abondant qu'elles déglutissent avec difficulté. J'éjacule n'importe comment en poussant des cris d'homme préhistorique. Elles en ont plein la gueule. Ça coule.

Estelle se lève d'un bond, récupère son téléphone dans la poche de son jeans jeté derrière le fauteuil. Elle revient pour me le tendre. Je comprends immédiatement. Toutes les deux, le regard implorant, fixent l'objectif. Une seconde photo où elles ont un air de défi. Avec le doigt elles récupèrent le sperme épais pour le bouffer. Surtout ne rien perdre de ce "dessert" dont elles raffolent. Nous nous rhabillons. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture, sous le parapluie. La séparation est difficile. Comme à chaque fois. Impossible de s'y habituer.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont s'endormir dans les bras de leur "homme de Néandertal". En se faisant câliner encore un peu...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 34 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2085 -



Juliette, Clémentine, moi et la débauche

Hier matin, mercredi, il est presque six heures. Réveillés par les quarante cinq secondes que durent les illusions de l'application "océan", nous nous serrons fort. Comme tous les jours à cette heure indue nous rions d'avoir tant de mal à nous extraire de nos profonds sommeils. << Il faut qu'on calme nos ardeurs le soir. Ça nous crève ! >> me dit Clémentine. Quelques bisous plus tard, nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, habillés de nos leggings noirs, de nos sweats jaunes en lycra, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine.

J'allume immédiatement le feu dans la cuisinière à bois. Il fait froid et les radiateurs viennent de s'enclencher. En sautillant sur place, Clémentine fait le café, presse les oranges. Je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos folies de hier soir en compagnie d'Estelle. Nous mangeons de bon appétit en évoquant celles qui nous attendent ce soir en compagnie de Juliette. << Sois le dernier des salauds, elle aime ça et moi j'adore t'observer ! >> lance Clémentine en venant terminer sa tartine assise sur mes genoux.

Il est 6 h25. C'est notre heure d'entraînement qui nous attend à l'étage. Dans notre petite salle de sport. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol, abdos. Charges additionnelles avant le retour au calme de quelques étirements. La douche. Je dévale les escaliers pour aller sortir la voiture. Il est presque 7 h45. Il pleut. La température n'est que de 4°. C'est emmitouflée dans son anorak, sous son parapluie, que Clémentine vient me rejoindre. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Je me dépêche de rentrer au chaud, faire la vaisselle, notre lit.

J'allume le feu dans la cheminée de l'atelier. Installé confortablement, en chantonnant, je prépare les couleurs sur la palette. Cette troisième nature morte destinée à ma saison prochaine verra son achèvement avant midi. Je peins dans l'enchantement d'une ambiance feutrée. Juste le craquement du bois, le crépitement des flammes et la délicieuse odeur de l'ensemble. Il est exactement 11 h45 quand je dépose la dernière touche de bleu de cobalt sur la surface de la toile. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je mets deux bûches dans la cheminée.

Il fait bien chaud dans la cuisine. Là aussi je rajoute une bûche sur les braises. Je fais gonfler du riz complet pendant que je coupe une endive. Dans la poêle je fais rissoler un filet de colin avec des champignons. Préparation rapide. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff avec son invitée parlent du trafic d'êtres humains organisé par les ONG et autres associations humanitaires. Dans mon esprit se met en place l'ordonnancement de l'enchaînement des préparations du repas de ce soir. Je veux surprendre.

Un gratin Dauphinois à ma façon semble une excellente idée. J'épluche, je lave et je coupe de belles pommes de terre en tranches égales. J'ébouillante le tout quelques minutes afin que cela ne se délite pas. Il faut juste ramollir la patate. Je dispose le tout dans le grand plat carré en terre cuite. Je rajoute le mélange œuf, lait de soja, crème fraîche et moutarde à l'ancienne. C'est le liant. Je dépose de fines tranches de Morbier, de Saint Nectaire avant de recouvrir d'une couche de gruyère de Comté. Au four électrique pour que ça mijote à 180°.

Je prépare une sauce au Roquefort dans laquelle je rajoute de l'émincé de saumon préalablement poêlé. Je recouvre d'un couvercle hors feu. De cuisiner sur la cuisinière à bois impose une vigilance de chaque instant. Ce n'est pas pareil que sur les plaques électriques. Je termine par l'assaisonnement de la salade de carottes que je n'éplucherai qu'au dernier moment, avant la bouffe. La vaisselle. C'est serein, sachant que notre repas de ce soir est prêt, que je monte me laver les dents. Pressé d'aller faire quelques pas, je chausse les bottes en caoutchouc.

Dans mon anorak, sous le parapluie, je fais le tour de la propriété. L'odeur des feuilles humides qui commencent à pourrir pour devenir de l'humus, est caractéristique de l'automne. Il est 13 h45. De retour dans l'atelier, je mets deux bûches sur les braises. Je commence cet après-midi la quatrième nature morte. Je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant. Les heures défilent, m'entraînant inexorablement jusqu'à 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle jette son cartable dans le fauteuil à bascule pour se précipiter vers moi.

Assise à califourchon sur mes cuisses, se frottant doucement, elle me raconte sa journée. Le repas du restaurant universitaire. Clémentine a encore du travail. La préparation de son projet. Un sujet qui devra occuper un groupe de huit étudiants. Chacun devra faire pareil avant les vacances de Noël. Assise à la table, devant son ordinateur, Elle commente à haute voix. J'adore peindre en écoutant la musique de ses phrases. Il est 18 h20. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine range ses affaires. Nous restons devant la cheminée à admirer.

Clémentine, assise contre moi sur l'épais tapis, développe le sujet de son projet. C'est un élément important pour la préparation de son Doctorat. Suivi par un professeur qui est un peu le maître de thèse provisoire avant la désignation du guide définitif en juin de l'année prochaine. À cet effet, les doctorants devront présenter l'esquisse de leurs thèses dans un fascicule de vingt pages. Encore un défi que Clémentine est impatiente de relever. Trois coups contre la porte. Nos invités ont consigne d'entrer dans la maison sans s'annoncer.

Juliette entre dans l'atelier. Son manteau noir largement ouvert sur sa tenue d'équitation. Ses longs cheveux noirs en liberté sur ses épaules. À chaque apparition de cette sublime bourgeoise de 48 ans c'est une véritable attractivité qui est proposée aux regards. Trois bises à Clémentine avant de m'en faire trois. Juliette s'installe en tailleur devant nous. Elle tourne le dos à la cheminée. Il faut presque deviner les expressions de son visage lorsqu'elle nous raconte sa journée. Les derniers évènements passés au haras depuis mercredi soir dernier.

Clémentine, tout en écoutant, serrée contre moi, glisse sa main dans ma braguette. À contre jour, impossible de voir si Juliette regarde. Je bande mou. C'est donc des deux mains que Clémentine m'extrait le Zob. Il commence à faire faim. Nous nous levons. Quand elle découvre ce que Clémentine tient dans sa main Juliette me fixe de son habituel regard sévère. Plein de défis. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Je débarrasse Juliette de son manteau que je vais suspendre dans le hall. Clémentine et Juliette découvrent ce qu'il y a dans le four électrique.

J'ai droit à des bisous, à des éloges. Sur la table la tarte aux poires "maison" préparée par notre invitée. Clémentine râpe les carottes. Juliette tire le gratin du four électrique pour le mettre dans celui hyper chaud de la cuisinière à bois. De la voir ainsi, de dos, accroupie, m'envahit d'un érotisme d'une puissance inouïe. C'est une de mes images préférées. Elle le sait puisqu'elle m'observe dans le reflet de la vitre fumée. Elle me laisse savourer l'instant. Je me masturbe lentement. Je commence à bander méchamment. Un véritable démonte pneu.

Clémentine me fait un clin d'œil. Juliette se redresse et se tourne vers moi. Avec son accent méridional elle dit : << J'adore ce que vous faites Julien ! Venez donc faire ça un de ces soirs au haras ! >>. Nous rions aux éclats. Juliette pose sa main sur le triangle que forme son bas ventre. Son pantalon d'équitation beige étant aussi moulant qu'un legging toutes les formes sont parfaitement apparentes. Son pull kaki moule d'ailleurs ses seins avec la même définition. Juliette est une grande sportive. Sa silhouette d'athlète en en sublimée. Magnifique.

Malgré ses 48 ans cette femme splendide n'a strictement rien à envier à Clémentine. Juliette étant la seule femme à la rendre jalouse. Ce qui m'amuse beaucoup. Autant que Juliette qui aime en rajouter. Il faut surveiller le four à bois. La simple minute en trop et c'est la catastrophe. Aussi, cessant de me masturber, je contourne la table pour m'accroupir devant la porte vitrée du four. J'enfile les maniques pour préserver mes mains. Dans le reflet de la vitre je vois Clémentine mimer une pipe et Juliette mimer une masturbation masculine. Complices.

Je sors le gratin fumant, doré à souhait. << Une autre de vos œuvres d'Art ! >> lance Juliette, une main qu'elle glisse entre ses cuisses. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le projet de partouze avant les vacances de fin d'année. Nous arrêtons la date du vendredi 16 décembre. << En comité restreint ! >> précise Juliette en fixant le mouvement de mon bras gauche. Ma main étant occupée à de délicieuses palpations sous la table. Juliette rajoute : << Pierre, Bernadette, Robert, Clémentine, Julien et moi ! Une petite soirée peinarde ! >>

<< Estelle serait éventuellement intéressée ! >> lance Clémentine en posant sa main sur la mienne. << Qu'à cela ne tienne, elle pourra tourner dans le sens des aiguilles du sapin de Noël ! >>. Nous rions aux éclats. Je me lève à plusieurs reprises pour présenter mon érection. Le regard d'une profonde sévérité de Juliette me propulse dans de divines sensations. Le regard ravit de Clémentine rajoute à la démesure du plaisir qui m'envahit. C'est beau d'agiter sa queue devant des spectatrices assidues. Clémentine qui tend son bras pour me l'attraper.

Je contourne le coin de la table car elle m'attire à elle. Elle fixe Juliette dans les yeux en serrant la peau fripée de mon prépuce entre ses lèvres. Peau qu'elle tire. Juliette ne cesse de plonger ses yeux dans les miens. Elle me fascine. Je pourrais tomber fou amoureux de cette femme. Au fond de moi, il a déjà une étincelle de ce feu. Elle le sait. Elle qui me confie parfois : << Nous terminerons ensemble ! >>. Je retourne m'assoir pour terminer le contenu de mon assiette. La date du 16 décembre est arrêtée. Juliette va organiser tout cela avec soin.

Notamment les résultats des analyses médicales qu'elle exige 48 heures avant la date. << Ils sont entrain de nous inventer une neuvième vague les enfoirés. Maintenir le climat anxiogène sur une nation de pleutres et de naïfs. Nous sommes heureusement quelques uns à ne pas entrer dans leurs combines ! >> s'écrie Juliette. << On les emmerde, chez nous on fait comme on veut ! >> rajoute Clémentine. Je suis amusé de les entendre échanger ces propos. << La dissidence et la transgression ont toujours sauvé les courageux ! >> conclue Juliette.

Ses origines Corses lui confèrent cet esprit guerrier. Le peuple Corse est un peuple fier, fort, courageux et qui ne s'en laisse pas compter. La vaisselle. Ce soir, dans chacun de ses mouvements, Juliette introduit un comportement très suggestif. J'adore la contempler. Ses déhanchements quand elle range les assiettes essuyées dans le buffet. Sa main qui passe entre ses cuisses comme si elle se grattait. C'est absolument gigantesque de voir une femme d'une élégance naturelle avoir des gestes d'une vulgarité inouïe. Je bande comme un dingue.

Nous passons au salon pour y déguster la tarte aux poires. C'est devenu un rituel. Juliette vautrée dans le fauteuil face au canapé où Clémentine et moi sommes installés. Clémentine qui joue avec mon sexe pendant que Juliette se palpe le sien. Et toujours les deux petites boules qui se devinent de chaque côté de la couture centrale de son pantalon. Les lèvres charnues de sa vulve qu'elle fait rouler sous ses doigts. Juliette devra nous laisser pour 22 h. Nous passons la dernière demi heure à nous remémorer les souvenirs des partouzes passées.

Je demande : << Juliette, je peux toucher un peu ? >>. Juliette se lève, contourne la table basse pour venir se positionner devant moi. Les pieds écartés. Ce qui permet un accès facile à son sexe. J'adore palper du bout de mes doigts ses deux petites sphères molles. Juliette reste toujours stoïque dans ces moments. Elle retourne s'assoir. Clémentine me masturbe. Juliette plonge son regard dans le mien en se touchant. Ii est rapidement 22 h. Nous la raccompagnons sous le parapluie jusqu'à sa voiture. Nous passerons peut-être au haras dimanche en soirée.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines excitée par les attitudes, les comportements et les propos échangés. Qui vont niquer un peu avant un bon dodo.

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 35 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2086 -



Clémentine, Estelle et moi, tous trois pas réservés...

Hier matin, jeudi, il est presque six heures. Le "presque" à toute son importance car c'est là que l'application "océan" entre en jeu. Le cri strident des mouettes qui nous arrache de nos profonds sommeils. Quarante cinq cinq secondes d'un florilège de tous les bruits d'un port de pêche quelque part en Écosse. Clémentine se blottit contre moi en gémissants d'incompréhensibles propos. Comme elle en prend rapidement conscience elle éclate de rire. Quelques bisous, quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Nos rituels pisseux.

Morts de faim, dans nos habits de gymnastique, nous dévalons les escaliers. Il fait encore froid dans toute la maison car les radiateurs viennent d'entrer en fonction. Pendant que Clémentine fait le café en racontant son rêve, j'allume le feu dans la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier. La présence de Juliette. La date du vendredi 16 décembre. << Ça faisait longtemps ! >> lance Clémentine. Nous éclatons de rire lorsqu'elle rajoute : << Une bonne partouze ça situe les choses avant Noël ! >>.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant les différentes options du repas de ce soir. Tout comme Estelle qui vient nous rejoindre, nous adorons les beignets de crevettes. << Des pizzas aux crevettes, ce serait bien aussi ! >> fait Clémentine qui reste partagée. << On tire au sort ! >> dit elle. Il est 6 h25 quand nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol avec abdos. Toujours dans le même ordre les charges additionnelles avant les étirements d'un retour au calme. Stretching.

La douche. Je dévale les escaliers pour aller faire chauffer l'auto. Le jour se lève péniblement sous un ciel uniformément gris. Sinistre. Presque 7 h45 quand Clémentine emmitouflée dans son anorak vient me rejoindre. Il fait tellement froid que de la vapeur sort de nos bouches quand nous parlons. 2°. Un dernier bisou. Un dernier coucou et je m'empresse de rentrer pour faire notre vaisselle, notre lit. Dans l'atelier j'allume une magnifique flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. 8 h15.

La peinture de cette quatrième nature morte destinée à ma saison prochaine concentre toute mon attention. C'est animé d'une sorte d'exaltation de chaque instant que je peins dans la plus parfaite béatitude. Impossible d'avoir une perception réelle du temps car il est très vite midi. Je rajoute deux bûches dans la cheminée avant de quitter l'atelier pour la cuisine. C'est là que je découvre le petit billet fixé avec un aimant sur la porte du frigo "Pizzas sans crevettes". Cela me fait rire. Je n'ai pas vu Clémentine l'y fixer ce matin. Je réchauffe le reste du gratin.

Je n'ai qu'à me faire une salade de concombre. Il reste également de la sauce au Roquefort. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff reçoit deux sociologues. Il y est question du wokisme, de la cancel culture et de toutes les aberrations que nous imposent les adeptes de ces nouvelles philosophies absurdes. Si cela n'avait pas de dramatiques conséquences sur la vie quotidienne on pourrait en rire. Hélas, ce poison se distille chaque jour davantage dans les fondements même de notre civilisation.

Je prépare une belle pâte à pain. J'en fais en grande quantité. J'introduis du Parmesan que je râpe préalablement en poudre dans la farine complète et bio. C'est une grosse boule dans le saladier que je recouvre d'un linge. Dans la poêle je chauffe les rondelles de tomates lavées et coupées. Avec de l'ail, de l'échalote, de petits champignons émincés. En fin de cuisson, je recouvre d'un couvercle. Dans un grand bol je râpe finement du gruyère de Comté. Il me reste à laver trois belles endives, de faire un assaisonnement que je place au réfrigérateur.

La vaisselle. Le nécessaire pour nos pizzas de ce soir est prêt. C'est serein, en chantonnant, que je monte me laver les dents. Pressé d'aller marcher un peu, je redescends à toute vitesse pour chausser mes bottes en caoutchouc, enfiler mon anorak. La température reste très basse car le thermomètre extérieur n'indique que 4°. Je fais le tour de la propriété avant d'aller à l'abri à bois. Je remplis deux brouettes de bûches. Du hêtre pour les cheminées de l'atelier. Du chêne pour la cuisinière à bois. Le chêne se consumant beaucoup plus lentement.

Il est 13 h50. Installé devant mon chevalet, je me replonge dans ma passion. Je peins dans les mêmes dispositions d'esprit que ce matin. Sans avoir conscience de l'inexorable marche du temps. C'est quand Clémentine rentre de cours qu'il est 17 h30. Elle se précipite vers moi en sautillant. Assise à califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Elle doit encore fournir un effort en terminant la rédaction de son projet. Ce sujet qu'elle devra soumettre lundi prochain.

Ce moment d'un plaisir très particulier où nous travaillons ensemble. J'aime l'entendre maugréer, râler un peu contre les phrases qu'elle n'arrive pas à tisser avec les mots idoines. Puis, une fois le bon choix fait, elle chantonne devant son ordinateur. Le bonheur intense. << Put-Hein ras-le-bol ! >> s'écrie t-elle. Il est déjà 18 h30. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine range ses affaires quand soudain, au-dessus de nos têtes, le bruit sourd et caverneux. Ce bruit qui annonce la visite du fantôme de mon ancienne compagne disparue.

Serrés l'un contre l'autre, devant la cheminée, nous écoutons ce qui semble se passer à l'étage. Des pas, un meuble qui ripe sur le parquet. Le grincement d'une porte qui claque. Un peu plus d'une minute et tout cesse. Le silence est tout aussi brutal. Nous voilà assis en tailleurs sur l'épais tapis à admirer la danse des dernières flammes quand Estelle arrive. Elle se précipite pour se mettre à quatre pattes devant moi. Me faire plein de bisous. Elle aussi adore ce spectacle. Je suis entre mes deux anges qui parlent de leurs écrits. Du sujet de leurs projets.

Il fait faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Estelle travaille un peu la pâte pain. C'est devenu une boule énorme qui déborde du saladier. Elle saupoudre la nappe de farine afin de malaxer la pâte à pleine poigne avant de l'étaler. Clémentine coupe les endives. Je réchauffe la garniture sur la cuisinière à bois. Estelle dispose la pâte sur les trois grandes plaques. Il en reste pour le plat à tarte. Je verse la garniture. Estelle recouvre du gruyère de Comté déjà râpé. Les trois plaques dans le four hyper chaud de la cuisinière à bois. Il faut être vigilant.

La dernière pizza qui sera mon repas de demain midi, dans le four électrique. Clémentine fourre sa main dans ma braguette. Estelle, les mains encore pleine de farine s'approche en faisant bouger ses doigts. Clémentine sort mon sexe tout mou. Estelle me l'enduit de farine en riant. << Ça fait longtemps que je ne me suis pas préparée un nem pour le dessert ! >> lance t-elle. Nous rions aux éclats. Estelle m'a épilé les couilles et la base de la bite dimanche. Ça commence à piquer en repoussant. C'est la phase la plus désagréable. La farine colle très bien.

Les filles m'entraînent au salon. Je demande à Estelle qui me pousse dans le canapé : << Raconte-nous ta soirée de hier avec ton parrain ! >>. Estelle répond : << Je l'ai déjà raconté à Clémentine à midi au restaurant universitaire, elle ne t'a pas raconté ? >>. Elle jette un des épais coussins sur le sol avant de s'y mettre à genoux. Ses mains posées sur mes cuisses, elle lèche le zob que lui présente Clémentine. Zob dont elle présente toute les facettes en le faisant tourner. Elle se redresse pour se précipiter à la cuisine. Il vaut mieux surveiller les pizzas.

Tout en me léchant la queue, récupérant la farine qui y colle, Estelle me dit : << Jean-Marc m'a défoncé la chatte hier soir, tu peux faire un contrôle après le repas ? >>. Je caresse sa tête en murmurant : << Léchage de minou pour ma lécheuse de Zob ! >>. Elle me fait le plus merveilleux des sourires. << On mange ! >> s'écrie Clémentine qui revient nous chercher. J'aide Estelle à se redresser. Nous nous précipitons à la cuisine. J'ai la bite à l'air. Pas question de prendre le moindre risque. C'est Estelle qui sort les trois pizzas du four à bois.

Nous mangeons de bon appétit. Estelle raconte quelques détails aussi délicieux que les pizzas. Son parrain est venu la niquer comme tous les mercredis soirs. Ponctuant ses révélations en mimant des masturbations masculines, Estelle se lève à plusieurs reprises. Clémentine qui a déjà baisé avec Jean-Marc donne ses impressions. Nous rions de bon cœur de quelques amusants souvenirs. Comme toujours, j'étais planqué pour mâter. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux mes deux anges reviennent sur les projets à présenter lundi prochain.

La vaisselle. Estelle qui n'arrête pas de jouer avec mon sexe qu'elle aime à tordre dans tous les sens, m'entraîne au salon. << Le contrôle qualité ! >> s'écrie t-elle en retirant ses bottines, son jeans et sa culotte. Clémentine fait de même. J'adore les voir rire en jetant leurs vêtements pèle mêle sur un tas. Toutes les deux, vautrées dans le canapé, les jambes relevées, tenues sous les genoux, me présentent mon dessert. Je suis à genoux sur les épais coussins. Le lecteur qui suit nos aventures sait que je commence toujours par le minou d'Estelle.

Je m'enivre tout d'abord des odeurs fortes de sa journée de fille. Lorsque je commence par sucer son clitoris, en poussant son premier râle de plaisir, Estelle me saisit par les oreilles. Clémentine, qui se masturbe, se penche parfois pour regarder ce que je fais. Je passe le bout de ma langue dans la fente d'Estelle. Comme par cet étonnant miracle habituel ses lèvres en jaillissent comme les pétales d'une fleur. Le trou à pipi ou je goute les saveurs vinaigrées. Quand je fouille son intimité, Estelle se touche le clitoris d'un léger mouvement pendulaire. Miam.

Je passe à Clémentine. Je suce ce clitoris géant que Clémentine décalotte pour m'en faire savourer les miasmes. J'adore découvrir ce qui colle dans les peaux. Je fouille les plis des lèvres charnues qu'elle écarte. Les saveurs acidulées de son trou à pipi. J'en ai des vertiges. Je pratique une fois encore le "contrôle qualité" dans un concerto de gémissements stéréophoniques. J'adore quand mes deux léchées se contorsionnent. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il ne reste qu'une vingtaine de minutes. Je fais durer son plaisir du mieux que je peux.

Je sais quand elles "arrivent". Aussi, je cesse mes caresses buccales juste au bon moment. Comme elles ne cessent de se masturber, il faut redoubler d'attention. C'est dans un véritable hurlement qui déchire le soudain silence qu'Estelle est victime d'un orgasme cataclysmique. Elle me repousse délicatement pour se tourner sur le côté, mains entre les cuisses en poussant de petits râles. Je passe à Clémentine qui se penche pour saisir la cuvette en plastique bleu posée sous le guéridon. Elle me la tend en la tenant de sa main libre. Se masturbe de l'autre.

Son orgasme pisseux remplit la moitié du récipient. Secouée de spasmes elle s'offre un de ses orgasmes délirants qui la font hurler de plaisir. Évidemment, malgré tous mes efforts, ça gicle à côté. J'ai beau orienter la cuvette, la tenir au plus près, avec la puissance du jet c'est peine perdue. Je m'écarte quand même à temps. Même si ma chemise en prend quelques gouttes. J'adore y retourner dès qu'elle a terminé. Je suce, je lèche, jusqu'à en être étourdie. Il faut nous rhabiller, raccompagner Estelle jusqu'à sa voiture. Séparation difficile. Froid glacial.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont s'offrir une petite délicatesse buccale sous les draps avant un bon dodo...

Julien(lécheur fou)



Classe

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Classe - 36 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2087 -



Le cours de peinture

Il est presque six heures hier matin, vendredi. L'application "océan" nous réveille de ses illusions. Sommes-nous dans quelques petits ports de pêches écossais ? Nous serions tout enclin à le croire tant l'ensemble est bluffant. Tout y est. Le cri des mouettes, le bruit des moteurs d'un chalutier quittant le quai. Le ressac. Clémentine reste serrée contre moi toute la nuit. Mais là, arrachée à son sommeil, elle se blottit encore plus fort. Quelques papouilles, quelques bisous. L'impérieux besoin naturel nous pousse aux toilettes pour nos doux rituels pisseux.

Morts de faim, dans nos leggings de lycra noir, dans nos sweats de lycra jaune, nous dévalons les escaliers. Comme les radiateurs viennent de s'enclencher il fait encore froid dans la cuisine. J'allume la cuisinière à bois d'une belle flambée. Clémentine, tout en me racontant son rêve, fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Je récupère les quatre premières tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier. Le "contrôle" du minou d'Estelle après sa baise du mercredi soir avec son parrain.

Ce prétexte m'amuse toujours beaucoup. Autant qu'il me régale d'une bonne chatte poilue et rapidement pleine de mouille. Nous mangeons de bon appétit en nous projetant dans l'après-midi qui annonce le début du week-end. Julie vient nous rejoindre pour 14 h. Elle aussi a parfois le prétexte d'un cours de peinture pour venir s'offrir du plaisir. Il est 6 h25. Nous remontons sans perdre de temps pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Est-il vraiment nécessaire d'en rappeler le déroulement ? Oui. Bien sûr. En tenant compte du nouveau lectorat.

Aérobic pour s'échauffer. Jogging sur tapis roulants. Excellent pour le système cardiovasculaire. Les abdos et le gainage pour la bonne tenue de la ceinture abdominale. Les charges additionnelles qui permettent les exercices de résistance, nécessaires après ceux de l'endurance. Nous concluons par un retour au calme. Les étirements restant la meilleure formule. À condition bien évidemment de bien les faire. Alors que nous avons une sacrée tendance à les faire trop vite. Clémentine, légèrement euphorique en début de week-end, nous fait rigoler.

La douche. Je me dépêche de redescendre pour aller préparer sa voiture. Le jour se lève à peine. Il fait un froid accentué par un vent glacial. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre déguisée en esquimau. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou et je me dépêche de rentrer pour faire la vaisselle, le lit. Dans l'atelier j'allume une belle flambée dans la cheminée. Même s'il fait maintenant bien chaud dans la maison, c'est très sympathique une cheminée allumée.

Chez nous, les 19° resteront une douce illusion dont pourront se bercer celles et ceux qui imposent ce genre de mesures humiliantes. Le thermomètre intérieur indique 23°. Alors qu'à l'extérieur il indique 2°. Confortablement installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette quatrième nature morte me berce elle aussi mais de plaisir et de passion. Je peins dans la douce euphorie des bienheureux. Les heures passent alors à une vitesse folle. Il est presque midi quand je rajoute deux bûches dans l'âtre.

Dans la cuisine il fait certainement encore plus chaud. Les deux radiateurs contrôlés par le thermostat conjugués à la puissance de chauffe de la cuisinière à bois. Je lave les feuilles de la dernière laitue. Pendant que réchauffe la quatrième et grande pizza de hier soir. Je fais l'assaisonnement. Il est midi trente. Clémentine rentre de cours en se précipitant pour me sauter au cou. Je la soulève. Enserrant ma taille de ses jambes, elle mitraille mon visage de bisous en s'écriant : << Week-end ! >>. C'est en la portant que je l'emmène aux toilettes.

<< Le premier pipi du week-end ! >> dit elle alors que je la tiens par la nuque comme elle aime. Tenant ma bite pour en diriger les jets, Clémentine me raconte sa matinée. Nous nous lavons les mains en faisant mille projets pour les trois jours à venir. Nous mangeons de bon appétit. Une pizza réchauffée au feu de bois reste un des plus fins délices que je recommande. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte : << J'ai fait le plein à la station. Y avait un drôle de mec qui regardait ! >>

Je dis : << Tu es abonnée aux drôles de mecs ! >>. Nous en rions de bon cœur. Parfois ce sont même des exhibitionnistes. << Non, mais là c'était un type vêtu comme un skieur avec une camionnette. Il mâtait sans arrêt. Quand je suis partie il m'a fait un clin d'œil ! >> rajoute Clémentine. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Pressés d'aller faire quelques pas au dehors, nous redescendons à vive allure. Dans nos anoraks, sous nos bonnets, avec nos gants, nous voilà dans le froid.

Accrochée à mon bras Clémentine me confie à quel point elle se réjouie pour proposer son projet lundi. Ce sera un sujet soumis à huit étudiants durant trois jours. Ensuite ce sera au tour d'un autre des huit étudiants. J'écoute avec attention car les joies de Clémentine sont sources des miennes. Et c'est passionnant. Nous remontons de la rivière à l'instant où la Clio rouge se gare devant la maison d'amis. Julie en sort pour courir vers nous. Elle saute d'abord au cou de Clémentine. Elle aussi emmitouflée dans son anorak gris. Puis elle saute au mien.

Nous rentrons au chaud. Dans l'atelier, confortablement installés dans le vieux canapé de velours carmin, nous prenons un thé chaud avec de petites crêpes dentelles sèches et hyper légères. Julie, assise dans le fauteuil qui nous fait face, nous raconte sa semaine. Ses études de Lettres Modernes sont toutes aussi passionnantes. Elle prépare sa licence pour juin de l'année prochaine. Julie se réjouie déjà à la perspective de tenir ma galerie d'Art durant les deux mois d'été. Cette fois le fonctionnement sera différent. Plus question de vendre.

Les toiles suspendues aux cimaises ne seront que les modèles. Les collectionneurs et amateurs d'Arts devront passer commande de la toile qui les intéresse. Ils pourront faire personnaliser leurs choix. Avec le paiement de la moitié du coût à la commande. Le solde étant réglé avant la livraison dans un délai se déroulant sur neuf mois. Je veux lever le pied et m'accorder davantage de temps. Après tout, je ne peins que pour m'occuper et par plaisir. Julie écoute tout cela avec beaucoup d'intérêt. Elle devra adapter son argumentaire à ce fonctionnement.

Tout en bavardant, Clémentine m'ouvre la braguette. L'éclat du regard de Julie change soudain. Elle n'ose pas soutenir le mien. Par contre elle fixe la queue molle qu'extrait Clémentine de quelques gestes adroits. L'agitant en la tenant à sa base, elle dit : << Un petit en cas avant ton cours de peinture ? >>. Julie cache son rire gêné derrière ses mains qu'elle porte à la bouche. Je me lève. Clémentine reste assise en continuant d'agiter ma bite en direction de Julie. Elle ouvre toujours de grands yeux comme c'était la première fois. C'est ça qui m'excite.

Je bande de moins en moins mou. Lorsque mon sexe présente la rigidité d'une branche de bois de chêne, Clémentine, posant sa tête contre ma hanche, me masturbe. Toujours vers Julie qui pose ses mains sur ses cuisses. Bien droite, comme hypnotisée, elle observe. Il y a juste le crépitement du bois qui flambe dans la cheminée. Dehors le ciel est uniformément gris. Clémentine me masturbe en imprimant une légère accélération. Julie lui adresse d'adorables sourires amoureux. Je bande évidemment comme le dernier des salauds. De la jute qui monte.

Avec son doigt qu'elle passe sous ma queue, d'un geste précis, Clémentine tire les couilles. Avec l'étroitesse de la braguette boutons de mon Levi's, c'est un exercice ardu dont elle s'acquitte fort bien. << J'aime quand il y a les couilles ! >> lance Julie en reprenant sa respiration. Lorsque Julie est excitée elle reste souvent dans de longues apnées silencieuses. Quand elle reprend son souffle c'est avec un léger cri de soulagement. Ce qui est encore le cas à quelques reprises depuis une demi heure. Pour se soustraire à ses émotions, Julie se lève soudain.

Elle s'assoit devant le chevalet pour scruter ma toile. Elle devra nous laisser pour dix huit heures. Ce soir elle est serveuse dans le restaurant de sa tante. Julie veut donc savourer chaque instant qui la sépare de cette échéance horaire. Clémentine se lève. En me tirant par la queue elle m'entraîne près de Julie. Penchée en avant, les mains jointes entre ses genoux, notre amie observe ma peinture. Clémentine agite mon sexe à une cinquantaine de centimètres de son visage. Nous sommes debout sur sa droite. Julie tourne la tête pour scruter avec attention.

Clémentine lui tend mon sexe. Julie approche son visage. Je peux sentir son souffle chaud. Surtout juste avant qu'elle n'ouvre la bouche pour le gober. Il y a toujours quelque chose de profondément "animal" dans cet instant précis. Quand la bouche se referme. Julie adore suçoter la peau du prépuce qu'elle tire en la serrant entre ses lèvres serrées. J'ai une décharge électrique qui parcourt mon dos. Clémentine peut elle aussi ressentir ce frisson. Julie enfonce davantage de queue dans sa bouche. Cette fois c'est pour un début de pipe passionnée.

Clémentine s'accroupit pour admirer. Je me penche sur le côté pour mieux voir les expressions du visage de Julie. Les yeux fermés, elle déguste avec ravissement. Il y a de quoi sucer avec mon excitation qui dure depuis presque une heure. Julie cesse. Un long filament de foutre épais, visqueux, tirant sur le jaunâtre, relie sa bouche à mon prépuce trempé. Elle a son menton mouillé de jus de couilles. Je passe mon index pour le récupérer. Julie ouvre la bouche pour le sucer. Je fais tourner mon doigts en fouillant sa cavité buccale. Elle en glousse.

Julie est venue pour son cours de peinture. Je l'aide à préparer les accessoires. Pendant que j'installe son chevalet de table avec la toile commencée vendredi dernier, Julie prépare les couleurs sur sa palette. Clémentine, assise en face, devant son ordinateur me fait des clins d'œil. Je suis installé à droite de Julie qui se met à peindre. Je regarde ses expressions. Son profil. Les mouvements de ses lèvres quand elle se concentre. Mon visage à une cinquantaine de centimètres du sien. C'est un plaisir d'esthète que de pratiquer ce voyeurisme de qualité.

Julie apprécie d'être ainsi "étudiée". Elle a vingt et un an depuis le 6 octobre et pourtant elle n'en fait pas quinze. C'est émouvant. Un extraordinaire moment d'un indicible plaisir que de la scruter ainsi. Je me masturbe doucement. Parfois, faisant semblant de prendre du recul pour voir son travail, c'est sur mon "activité" qu'elle louche. Clémentine, que tout cela excite considérablement, se lève souvent pour nous rejoindre. Mais c'est pour m'observer moi, dans mes délicieuses turpitudes. Le visage de Clémentine est lui aussi un plaisir à mâter.

Le petit paysage que réalise Julie est d'après une photo prise près de chez elle. Elle est extrêmement douée. Malgré la situation, capacités féminines extraordinaires, elle réalise là un véritable chef d'œuvre. J'en reste pantois. Je débande tellement j'admire. Clémentine qui travaille à peaufiner son projet, assise devant son ordinateur, nous adresse les plus merveilleux des sourires. Il est dix sept heures trente. Julie nettoie sa palette, ses pinceaux, la nuit est tombée. Nous prenons un dernier thé, installés comme en début d'après-midi. Gâteaux.

Julie revient demain matin pour endosser un tout autre rôle. Le prétexte de faire notre ménage lui permet de se retrouver avec nous, dans cette grande demeure qu'elle adore. Qu'elle trouve pleine de mystère. Je bande mou dans la main de Clémentine. De la jute a maculé les bords de ma braguette. Avec un après-midi d'excitation, il y a quantité de coulures, de tâches crémeuses. Je me lève le premier. Sans que je m'y attende un seul instant, Julie se redresse, s'accroupit devant moi, s'agrippe à mon jeans. Elle prend mon sexe en bouche en gémissant.

Je me fais tailler une véritable pipe des familles. Sous le regard de Clémentine accroupie à droite de Julie qu'elle tient affectueusement par les épaules. Julie cesse pour offrir sa bouche à Clémentine. Mon vieux fantasme d'homme des cavernes trouve là de quoi satisfaire son prosaïsme. Clémentine qui n'est pourtant pas gouine pour un sous embrasse goulument Julie. Je sais que c'est pour récupérer le maximum de foutre que lui garde ma suceuse. C'est émouvant. C'est beau. Les filles se redressent en même temps. Clémentine s'éloigne de Julie.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines s'étant régalées de crêpes dentelles, de sperme, de peintures de paysage avant d'aller au boulot...

Julien (spécialiste de la peinture au foutre)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 37 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2088 -



Nous apprécions nos samedis

Hier matin, samedi, il est presque huit heures. Clémentine me réveille avec ses douceurs habituelles. Toujours réinventées et si délicates. Elle ouvre et referme les paupières pour me caresser la joue de ses cils en murmurant : << Papillon ! >>. Elle passe son nez sur le mien en chuchotant : << Esquimau ! >>. Tout en saisissant ma tumescence en disant : << Julien ! >>. Nous rions aux éclats. L'impérieux besoin ne nous laisse aucune autre alternative. Nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Clémentine m'y emmène en tenant ma queue.

Morts de faim, vêtus de nos habits de sport, nous dévalons les escaliers. Il fait bien chaud partout dans la maison. Ça fait deux heures que les radiateurs chauffent. Clémentine fait le café. J'allume tout de même le feu dans la cuisinière à bois pendant que Clémentine presse les dernières oranges, pèle les derniers kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée. << J'aime tellement quand nous sommes seuls tous les deux. Tu sais, ça me manque de plus en plus ! >> me confie Clémentine en terminant sa tartine sur mes genoux.

Par association d'idées elle file dans le hall d'entrée pour ouvrir le portail depuis l'interphone. Nous mangeons de bon appétit. Comme pour bien souligner l'aveu de Clémentine il n'est pas 8 h20 que Julie arrive avec son sac de sport. Elle est chaudement habillée. Elle est belle avec son bonnet, les cheveux qui en dépassent de partout. Trois bises à Clémentine avant de m'en faire trois également. Notre repas du matin finissant Julie prononce ces mots devenus habituels : << Allez donc courir, je m'occupe de tout. Je vais vous faire une belle maison ! >>.

Nous quittons la cuisine en déposant chacun une bise sur son front. Il faut mettre les bonnets. Un second sweat sous le K-way. Les gants avant de sortir dans le froid glacial. Un froid sec qui picote rapidement le bout du nez. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Nous montons jusqu'au portail pour traverser la route à petites foulées. C'est en nous engageant dans le chemin forestier que nous nous offrons cette heure de jogging. Le sol est humide, boueux par endroits, il faut donc rester vigilant. De la vapeur sort de nos bouches.

Il est 9 h25 quand nous revenons. On entend l'aspirateur en montant à l'étage. Nous prenons une douche bien chaude des plus salvatrices dans une salle de bain où le thermomètre indique 23°. Clémentine suggère d'utiliser les batteries des panneaux photovoltaïques jusqu'à ce soir. Pour contrôler si tout fonctionne au mieux. La charge des batteries permet une autonomie de 24 heures. Nous avons déjà fait deux essais fort concluants. En cas de coupures de courant nous restons parfaitement indépendants du réseau EDF. Ce qui est plutôt rassurant.

Nous voilà habillés de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux. Arrivés en bas de l'escalier on voit Julie, penchée en avant, passant l'aspirateur. Vêtue en soubrette, comme lorsqu'elle fait la serveuse dans le restaurant de sa tante. Cette vêture et la position ne cache rien de l'anatomie de ses petites fesses admirablement dessinées. On y aperçoit la base en palissandre du plug anal qu'elle porte. C'est celui que nous lui avons offert pour ses 21 ans. Une fois encore, Julie a soigneusement préparé sa surprise. << Adorable ! >> s'écrie Clémentine.

Julie se redresse, simulant l'étonnement. Je dépose une bise sur son front. Je glisse ma main sous sa jupette de velours noir. Entre ses cuisses à la peau si douce et chaude. << Vous allez montrer votre sexe à la dame des fruits et légumes ? >> me demande t-elle alors que Clémentine est entrain de me l'extraire de la braguette ouverte. C'est elle qui répond : << Oui, Danièle semble beaucoup apprécier alors ce matin on met la barre à Julien un peu plus haut ! >>. Nous rions tous les trois aux éclats. Avec ce froid je n'ai pas envie d'avoir la bite à l'air.

Nous enfilons nos anoraks. Capuche. Nous ressortons dans le froid vif. Pas question de jouer avec 3° et un vent glacial. Voilà la camionnette blanche qui descend lentement pour se garer derrière l'auto à Julie. Danièle, chaudement vêtue, avec un grand sourire saute de son véhicule qu'elle contourne en nous saluant. De l'arrière elle tire les deux cageots. L'un contient nos fruits et nos légumes. L'autre les fromages, les pots de crème fraîche, les œufs, le beurre et les yaourts. Avec cette météo Danièle n'a pas envie de jouer non plus. Tout est plutôt rapide.

Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Nous la regardons partir. Voilà le tube Citroën rénové de notre boulangère. Madame Marthe, hilare au volant, se gare au même endroit. Elle est habillée à l'ancienne. Un épais gilet de laine sur un pull à col roulé, un pantalon d'épais velours. Malgré sa corpulence, quand elle saute de son véhicule nous sommes impressionnés. Elle nous tend le cageot qui contient les deux grosses miches de pain complet bio, les deux pâtes feuilletées, l'énorme brioche au pudding, les deux gros croissants.

Cette fois il y a six bouchées à la reine. Même commande pour la semaine prochaine. Paiement par carte. Nous saluons la brave dame qui s'en va pour d'autres livraisons. Nous contournons la maison pour descendre à la cave par l'escalier extérieur. Dans le cellier, sur les étagères en bois, nous disposons soigneusement les fruits, les légumes. Du congélateur où je range une des miches, les pâtes feuilletées, je tire un paquet de moules, un sachet de haricots verts, un sachet de petits pois et trois dos de cabillaud blanc. Pour le repas de ce soir.

Nous remontons par l'escalier intérieur. Julie vient de passer la serpillère dans la cuisine. << Venez, je repasse après vous ! >> dit elle en nous voyant avec le second cageot. Nous rangeons les produits frais dans le réfrigérateur. En me retournant je découvre la seconde mise en scène de Julie. Elle est dans cette position tous les samedis matins, dans la cuisine, au même endroit. Accroupie devant le seau qui cache son sexe. Cette fois c'est moi qui dit : << Adorable ! >>. Julie, sans oser soutenir mon regard m'adresse un merveilleux sourire. Coquine.

Nous quittons la grande pièce en déposant une nouvelle bise sur son front. Au salon, assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Trois messages. Le premier confirme notre avion pour Édimbourg, les réservations en première classe. Il n'y a aucun mouvement de grève prévu. << Put-Hein de grévistes à prendre les gens en otages tous les ans aux vacances ! >> lance Clémentine qui s'est occupée des réservations en lignes. Le second message de Juliette qui nous invite à passer demain dimanche. Elle organise une animation au haras.

Et enfin le troisième mail d'Estelle qui confirme sa venue pour 13 h45. Elle joint quelquefois une photo loufoque à ses courriels. Cette fois elle est en tenue d'Arlequin entrain de faire le poirier dans sa chambre. Estelle aussi est adorable. Ne suis-je pas entouré à longueur de temps d'êtres adorables ? Pour mon plus grand bonheur, il en va ainsi. Dans une petite enveloppe jaune je glisse le billet de 50 euros. Clémentine y rajoute une phrase gentille. Je signe d'une bite stylisée en forme de fleur. Il est presque onze heures. Julie vient nous rejoindre au salon.

Elle s'est changée pour affronter le froid. << Vous avez une belle maison que je suis impatiente de retrouver lundi soir ! >> dit elle. Clémentine se lève, contourne le bureau pour la prendre par les épaules. << Merci Julie. Tu es une personne qui apporte et qui donne ! >> lance t-elle. Je me lève pour contourner le bureau. Je tends l'enveloppe en précisant : << Et à une telle personne nous témoignons notre reconnaissance ! >>. Julie, une fois encore pétrie d'émotions, se serre dans les bras de Clémentine avant de se blottir dans les miens.

Petit bout de femme que nous avons envie de dorloter, de couvrir d'affections. Il n'y a absolument rien de sexuel dans ce désir. J'ai la braguette ouverte. Clémentine y glisse sa main sous le regard concentré de Julie. Elle en extrait un Zob tout mou. Julie s'accroupit soudain pour y déposer un bisou avant de se redresser tout aussi rapidement. Je dis : << Elle aussi est impatiente de vous revoir lundi soir ! >>. Nous mettons nos anoraks, nos bonnets pour raccompagner Julie jusqu'à son auto. Avec cette froidure les adieux sont brefs. Pas de bite à l'air.

Un dernier bisou. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Clémentine lave les feuilles d'une belle laitue. Je prépare le bouillon qui monte en ébullition pendant que je fais chauffer les haricots verts et les petits pois encore congelés dans le wok. Ça tire un maximum de flotte qu'il faut évacuer avec une louche. Dans le bouillon je verse les moules elles aussi encore congelées. Préparations rapides du samedi midi. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la présence de Julie. Cette délicate jeune fille qui nous fait vibrer.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine fait le programme de l'après-midi. Son projet impose une préparation sans failles. Un sujet devant captiver l'attention de huit autres étudiants. Il en résultera un travail commun développé sur trois jours. Clémentine devra y consacrer plusieurs heures. L'emploi du temps de l'après-midi est donc établi. Une occupation que partagera Estelle qui a la même préparation. Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de monter nous laver les dents. Ça sent bon partout.

Julie, une fois le ménage terminé, a pour habitude d'allumer les diffuseurs d'huiles essentielles. À l'étage c'est magnolia. En bas c'est jasmin. << Les gens que j'aime ! >> s'écrie Estelle en entrant dans la salle de bain sans avoir fait le moindre bruit. Clémentine et moi, tête contre tête, sommes entrain de nous rincer la bouche au-dessus du lavabo. Estelle passe sa main entre mes cuisses, par derrière en disant : << Bonjour monsieur ! >>. Nous nous essuyons avant de nous serrer tous les trois très fort. Plein de bisous. C'est tellement bien ensemble.

De son sac de sport qu'elle apporte toujours avec elle durant les week-end, Estelle tire son pyjama de soie mauve, une paire de grosses chaussettes, une culotte de change. Elle nous raconte son vendredi, les courses avec sa maman à l'hypermarché ce matin. Nous racontons ce qui s'est passé hier et ce matin avec Julie. << Faites très attention monsieur car je suis d'une jalousie maladive è >> lance Estelle en glissant sa main dans ma braguette. Elle rajoute : << Et ce week-end une redoutable salope ! >>. Nous rions aux éclats. J'ai la bite à l'air.

C'est en me tenant fermement la queue qu'elle tord dans tous les sens qu'elle enfonce sa langue dans ma bouche. Clémentine se colle à moi par derrière, ses bras autour de ma taille. Ces baisers passionnés et fougueux me procurent des érections démentielles. À peine cesse t-elle pour reprendre son souffle que c'est Clémentine qui m'enfonce la sienne. Ma turgescence toujours dans la poigne d'acier d'Estelle. Quand je passe mes mains entre leurs cuisses, Estelle s'écrie : << Max l'explorateur ! >>. Nous rigolons comme des bossus en dévalant les escaliers.

Notre week-end à trois vient de commencer. Dans l'atelier, c'est Estelle qui allume la flambée dans la cheminée. << À la maison, c'est toujours moi qui allume les feux ! >> précise t-elle alors que Clémentine reste tout contre moi à jouer avec ma queue. Je bande mou. Un soulagement car l'excitation retombe un peu. Estelle demande : << Mes parents viennent manger demain. Qu'est-ce qu'on leurs prépare ? >>. Clémentine répond : << Un gratin de choux fleur. On s'est fait livrer ce matin et on en a un gros ! >>. Estelle s'écrie : << Génial ! >>.

Nous admirons les flammes qui s'élèvent. Le papier journal se consume très vite avec les branchages puis les petits bouts de bois. Nous sommes tous les trois accroupis devant le spectacle. Serrés pour maintenir nos équilibres. Estelle et Clémentine posent leurs têtes en même temps sur mes épaules. Je les tiens par la taille. Estelle se redresse pour saisir une bûche qu'elle jette dans les flammes. Elle fait pareil avec la deuxième. Les craquements indiquent le parfait départ de la combustion. Les filles s'installent à la table de travail. Chacune à son ordi.

Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Il fait sombre. Aussi nous allumons les lampes à halogène. Ce sont les panneaux photovoltaïques qui fournissent le courant depuis ce matin. Aucune différence n'est perceptible. Tous les appareils de la maison sont sous tension avec exactement le même apport d'électricité. Je peins en écoutant mes deux anges commenter ce qu'elles font. L'une lit à l'autre une nouvelle phrase. Développe une nouvelle façon de présenter un concept. Pour moi, c'est passionnant. De la musique.

Parfois je me lève pour aller les rejoindre. Debout derrière elles, je passe mes doigts comme un peigne dans leurs cheveux. Cheveux que je soulève pour déposer de doux bisous dans les nuques. Soit Clémentine, soit Estelle m'attrape le poignet pour que surtout je ne reparte pas. Une fois encore j'admire cette capacité toute féminine de ne jamais perdre le fil des choses. Même si elles adorent que je vienne les "perturber" un peu, elles ne se déconcentrent pas un seul instant. Parfois, c'est l'une des deux qui vient me faire un bisou dans le cou.

La collation de 17 h. Dehors il fait déjà presque nuit. Nous savourons le thé et les gâteaux secs ramenés par Estelle et confectionnés par sa maman. << Des gâteaux de Noël qu'elle fait tous les ans ! >> précise t-elle. << Ils sont délicieux ! >> s'écrie Clémentine. C'est vrai qu'ils sont succulents. << Si tu dragues ma mère demain ou si tu lui montres ta bite, je t'arrache les couilles avec les dents ! >> me fait Estelle en saisissant ma bite toute molle. Heureusement car elle me la tord dans tous les sens. Nous retournons à nos travaux respectifs. Concentrés.

<< Put-Hein mais là, j'en ai plein le cul ! >> s'écrie soudain Estelle. Il est 18 h45. << Jamais dans le cul ! Dans le cul c'est à chier ! >> lance Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Les filles rangent leurs affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. << On vient s'envoyer en l'air dans l'atelier après la bouffe ? >> suggère Estelle. << Excellente idée ! >> rajoute Clémentine. Morts de faim, nous quittons l'atelier pour la cuisine. Je rajoute une bûche de chêne sur les braises de la cuisinière à bois. Nous épluchons les pommes de terre.

Les carottes, les navets, le céleri. Pour cette potée de légumes qui sera l'accompagnement parfait de nos trois repas à venir. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la laitue déjà lavée. Estelle touille les légumes dans la vieille cocotte en fonte. Je poêle les trois dos de cabillaud blanc. De fines tranches de Morbier fondent sur les légumes chauds dans nos assiettes. Mes deux anges, encore dans leurs études, parlent de leurs travaux. Elles font toutes les deux parties du même groupe de huit étudiants. Parfois Estelle se lève pour mimer une branle.

Elle fait ça souvent. Mimer une masturbation masculine en étant totalement hors sujet. Ce qui nous amuse beaucoup. Par contre, quand je me lève, c'est ma bite que j'agite dans leurs directions. << L'hélicoptère ! L'hélicoptère ! >> font elles en même temps en tapant les fourchettes sur le bord de l'assiette. Je fais alors tournoyer ma queue en la tenant à sa base. Sous les rires admiratifs de mes spectatrices. Nous ne traînons pas. La vaisselle. << Tu me baises sur la table de l'atelier ? >> lance Estelle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche.

<< Oh oui, sur la table ! >> fait Clémentine qui se frotte contre ma hanche en saisissant mon chibre qui durcit sévère. Les filles me prennent les mains pour m'entraîner dans l'atelier. Toutes les deux me lâchent pour débarrasser les feuilles de papier, les classeurs. Estelle tourne son ordinateur qu'elle rallume. << Regardez ! C'est le film tourné dans les Alpes il y a deux ans ! >> lance t-elle. Elle rajoute : << Je le garde dans un de mes dossiers. Rassurez-vous, il n'est accessible qu'avec un mot de passe ! >>. Elle ouvre le dossier en question.

Je me souviens. C'est un montage de quarante cinq minutes. Ce sont des petites séquences très cochonnes mises bout à bout. C'était l'été 2020. À cause des mesures scélérates des confinements il nous était impossible de nous rendre en Écosse. Clémentine et Estelle retirent leurs baskets, leurs jeans, leurs culottes. Il fait bien chaud dans la grande pièce. C'est parfait. << Garde tes fringues, j'adore quand il y a juste ta queue qui pointe ! >> s'écrie Estelle en jetant ses vêtements sur le canapé. << Oui, j'adore, ça fait satyre ! >> rajoute Clémentine.

Personnellement je préfère être à l'aise, à poil, mais que ne ferais-je pas pour satisfaire mes deux anges. Comme elles sont belles encore ce soir, juste à la lueur des flammes de la cheminée. Toutes les deux, en même temps, prennent un élan pour s'assoir sur la table. Estelle, de son index gauche me fait signe de venir. De son index droit elle montre sa chatte. Clémentine se met en appui sur son coude gauche pour se masturber de sa main droite. Sur l'ordinateur les paysages alpestres où on voit Estelle pisser. Clémentine me branler. Des pipes sauvages.

Je frotte mon sexe contre celui d'Estelle. Elle se laisse glisser pour s'allonger sur la table. Toutes les deux se masturbent toujours quand je les pénètre. Je m'introduis avec d'infinies précautions malgré tout. Je bouge doucement dans Estelle qui gémit déjà. Clémentine se redresse, saute de la table, passe derrière moi pour me chopper les roupettes. Je besogne Estelle avec toute la douceur d'un lutteur ukrainien survitaminé. Clémentine, se masturbant d'une main, me palpe les couilles en murmurant : << Je t'aime Julien. Je t'aime à la folie ! >>.

<< Moi aussi ! >> lance Estelle en se redressant sur ses coudes. Je la tiens par ses chevilles pour maintenir ses jambes levées. Je la baise à la hussarde. À grands coups de reins sous ses petits cris d'animal blessé. Je demande à Clémentine : << Et toi, tu ne veux pas ? >>. Elle se rassoit sur la table en répondant : << Viens ! >>. Je sors d'Estelle pour entrer dans Clémentine. Avec Clémentine c'est l'immobilité. C'est Estelle qui saute de la table sans cesser de se masturber. C'est elle qui empoigne mes couilles. Avec davantage de de force que Clémentine.

Je passe de l'une à l'autre. En baisant je mâte le film. Estelle l'a mis en boucle. Nous pouvons donc nous stimuler en contemplant des scènes étonnantes. Des scènes que nous avions oublié. Nous en sommes les acteurs. C'est merveilleux de voir les deux "actrices" du film, dans des situations parfois d'une invraisemblable vulgarité, entrain de se faire baiser là, ce soir, dans une réalité terriblement excitante. Je ne connais pas de sources d'excitations plus grandes que d'être en compagnie des filles que je vois à l'écran. En même temps. Ça vous vide les burnes !

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui sont victimes d'orgasmes qui les font hurler, pisser, mouiller et jouir jusqu'aux limites de la folie...

Julien (baiseur fou)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 28 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2089 -



Les parents d'Estelle viennent manger à la maison

Hier matin, dimanche, il est aux environs de neuf heures. Je suis entre Estelle à ma droite et Clémentine à ma gauche. Toutes les deux ont pour habitude de rester serrées contre moi pour dormir. Là, juste avant le réveil, encore dans un demi sommeil, sans se concerter, elles se blottissent encore plus fort. Cette fois c'est Clémentine qui est la plus rapide. Elle saisit mon érection naturelle d'une poigne ferme. Juste avant qu'Estelle n'empoigne mes couilles avec la même force. Je n'ai plus qu'à glisser mes mains dans les culottes pour peigner les touffes.

En gémissant, sans cesser nos petites activités du réveil, nous nous étirons en modulant nos gémissements jusqu'à l'absurde avant de rire de nos facéties. Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Yé n'en pé plou ! >>. Elle se précipite vers la porte alors que Clémentine me chevauche. Frottant son sexe sur mon érection elle dit : << C'était sublime hier soir. Si tu n'étais pas déjà mon homme, quel bon amant tu ferais ! >>. C'est en riant que nous allons aux toilettes. On s'habille en vitesse de nos jeans, nos épaisses chemises à carreaux, les baskets.

Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle. Les odeurs du café, du pain grillé parfument déjà la grande pièce où il fait bien chaud. Ça fait trois heures que les radiateurs fonctionnent. Estelle saute à mon cou en s'écriant : << Tu m'as rendu délicieusement folle hier soir ! >>. Je la soulève pour la promener autour de la table. Elle enserre ma taille de ses jambes encore dans son pyjama de soie mauve. Même traitement à Clémentine qui presse les oranges. Estelle pèle les kiwis. Nous prenons place devant nos bols de café fumant.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée. Nous baisons rarement dans l'atelier. << À refaire ! C'est trop bien ! >> lance Estelle. << J'adore ! >> s'écrie Clémentine. Nous mangeons de bon appétit. La brioche au pudding est délicieuse. Le sucre glace blanc semble couler de partout sur la pâte onctueuse. Nous traînons à table car le dimanche aucune contraintes sportives. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges font le programme de ce dimanche. La venue des parents d'Estelle.

La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les pitres. Les filles imitent des fellations avec leurs brosses à dents. Estelle fait couler de la mousse en la récupérant avec sa main libre. Elles se regardent dans le miroir. Nous rions. Têtes contre têtes, serrés au-dessus du lavabo, nous rinçons nos bouches. Pressés de préparer le repas, nous redescendons à toute vitesse. C'est un gros choux fleurs que Clémentine remonte de la cave. Ce sont deux gros pavés de saumon que sort Estelle du frigo. Pendant que je prépare une belle Béchamel.

Clémentine sépare les branches du choux pour les couper avant de les tremper dans de l'eau vinaigrée. Estelle émince le saumon en fines lamelles qu'elle fait revenir dans le wok, sans beurre. Je râpe une grosse quantité de gruyère de Comté. Un peu dans la Béchamel avec le saumon. Le choux fleurs est ébouillanté dans l'auto cuiseur. J'allume un bon feu dans la cheminée pendant que Clémentine égoutte le choux. Notre organisation est sans faille. De la méthode. Chacun connaît son rôle. Nous nous activons en nous faisant des bisous. Des caresses.

Les filles parlent de leurs études. Des projets en suspends jusqu'à demain lundi. Dans le grand plat carré en terre cuit Clémentine dépose le choux fleurs. J'y verse un peu de Béchamel avec le mélange œufs, lait de soja, fromage blanc. Estelle recouvre d'une copieuse couche de gruyère, de chapelure. Des graines de sésame grillé et onze cerneaux de noix judicieusement disposés. Au four pour une cuisson à 180°. Il est bien meilleur de laisser mijoter longuement les gratins et les tartes. Clémentine lave les feuilles d'une magnifique scarole verte et jaune.

J'aide Estelle à faire l'assaisonnement. Au salon, j'étale le chemin de table en lin écru. Estelle y dépose les belles assiettes en grès, les couverts en laiton. La grande table "monastère" est dressée. Estelle allume une belle flambée dans la cheminée. Je ramène une carafe d'eau, Clémentine les bouteilles de jus de mangue. Tout est prêt pour accueillir nos invités qui ne vont pas tarder puisqu'il est déjà 11 h30. Je suis entre mes deux anges devant une des portes fenêtres du salon. Cette partie en cercle qui donne sur une vue bien dégagée du parc.

Elles me tiennent par la taille. Je les tiens par les épaules. Nous regardons le ciel gris, bas et sinistre de ce début décembre. << On reste habillés comme ça, pas de chichis, mes parents n'en font pas non plus ! >> lance Estelle. << Mais on est bien habillés en plus ! >> s'écrie Clémentine. Toutes les deux, comme des ballerines, se mettent à virevolter autour de la grande table. Je les regarde. Tout au fond de moi j'aimerais figer le temps pour que cet enchantement paradisiaque ne cesse jamais. Je suis pétri d'émotions. J'essaie de cacher ce sentiment.

Mes deux anges me connaissent peut-être mieux que moi-même car c'est comme si elles devinaient soudain. << Tu es tout triste ! >> s'exclame Estelle qui se précipite. << Qu'est-ce qu'il y a ? >> rajoute Clémentine. Elles ne me laissent pas le temps de répondre. Elles m'entraînent dans une folle farandole. Comme à son habitude Estelle invente des paroles sur un air de comptine. Paroles que nous reprenons en cœur. Nous vivons là un moment magique. On s'arrête d'un coup pour se serrer fort. << Je nous aime ! >> lance Estelle.

Nous nous précipitons dans le hall d'entrée pour ouvrir le portail depuis l'interphone. Il est 11 h50 quand la Mercedes descend lentement sur les pavés autobloquants du chemin. Nous sortons sur le perron pour accueillir nos invités. Effectivement, aucun chichi. Yvan et Michèle emmitouflés dans leurs anoraks sont en jeans, bottines. Nous nous touchons les poings avant de nous serrer les mains. << Comme il fait bien chaud ! Comment faites-vous pour chauffer cette grande maison ? >> lance Michèle que je débarrasse de son anorak. Du tupperware.

Il contient la tarte aux poires du dessert. Estelle reste accrochée à son papa. Michèle admire la danse des flammes dans la cheminée en compagnie de Clémentine. Je vais à la cuisine pour vérifier si tout se passe bien. Par la vitre du four électrique je peux voir le gratin de choux fleurs doré à souhait. Il reste deux minutes avant la sonnerie. Je mets la casserole contenant la Béchamel sur la cuisinière à bois. Je mets les feuilles de salade à présent sèches dans le saladier. Sans remuer. C'est Michèle qui vient me rejoindre. On dirait la sœur d'Estelle.

Une grande sœur. Cette belle bourgeoise de 50 ans est absolument magnifique. Ses longs cheveux presque noirs qui encadre un visage à peine marqué des premières rides. Ses yeux d'un bleu clair et aussi intense que celui de sa fille. Légèrement moins grande. Elle vient s'accroupir devant la porte du four. Je murmure : << Attention, vous vous rapprochez dangereusement ! >>. Elle tourne la tête pour me fixer en disant : << Du four ou du cuisiner ? >>. Je chuchote : << Surtout de l'homme qui est près de vous ! >>. Elle se redresse en riant.

C'est étrange qu'Estelle ne soit pas encore dans la cuisine pour me surveiller. Michèle fixe ma braguette avec insistance. Je me touche en murmurant : << Je te propose une pipe comme cadeau pour Noël ! >>. Je tutoie très rarement Michèle. J'ai commencé à le faire cet été en Écosse. Mais juste pour des propositions honteuses. Michèle chuchote : << Une pipe sous le sapin ou dans la crèche pour me montrer ton "petit Jésus" ? >>. Nous rions de bon cœur. Nous n'avons pas le temps d'en rajouter car voilà notre redoutable cerbère qui arrive. Estelle.

Elle me regarde avec son air sévère. Ses yeux se portent tour à tour sur sa mère et sur moi. Comme si elle jaugeait ce qui se passe. Yvan et Clémentine arrivent également. Je sors le gratin du four. Superbement doré et parfumé. Je lance : << À table ! >>. Chacun prend un plat. Clémentine le saladier, Yvan la corbeille de pain, Estelle la sauce et Michèle nous suit avec le plateau de fromages. C'est bien quand les différents fromages se mettent à température. Roquefort, Morbier, Saint Nectaire, Bleu d'Auvergne et un vrai camembert de Camembert.

Nous mangeons de bon appétit en parlant de l'Écosse. Les parents d'Estelle désireux eux aussi de s'installer dans mon pays y ont acheté une petite maison. Ils sont entrain de créer une filiale de leur entreprise. Dès le printemps prochain, Yvan devra y faire de fréquents déplacements pour s'occuper de la logistique. Mise en route pour début septembre 2023. << Il faut quitter la France pendant qu'il est encore temps parce que l'environnement devient d'une médiocrité absolue ! >> précise Michèle. << Et un vrai racket ! >> rajoute Yvan.

Michèle me lance de discrets regards par en-dessous. Ce qui n'échappe pas à Clémentine qui me fait du pied. C'est à chaque fois qu'Estelle s'adresse à son papa chéri. Nous traînons à table. C'est Michèle qui insiste pour débarrasser. Je guette le moment où Estelle se consacrera entièrement à son papa adoré sur les genoux duquel elle s'assoit enfin. Clémentine se lève avec moi en disant : << On fait la vaisselle ! >>. Je dis : << Non reste, je m'occupe de tout ! >>. Clémentine, parfaitement informée de mes intentions qu'elle connait par cœur, se rassoit vite.

Elle poursuit la conversation pour monopoliser les attentions d'Estelle et d'Yvan. Je rejoins Michèle à la cuisine qui commence à plonger. Je sors immédiatement ma bite. Cette femme me fait bander instantanément. Je reste aux aguets. Depuis le salon nous parviennent des rires et des paroles incompréhensibles depuis la grande pièce. Michèle, les mains dans l'eau, tourne la tête pour regarder mon sexe dur comme le bois. Je le tiens à sa base pour l'agiter. << Magnifique engin ! >> murmure t-elle sans cesser de mâter. L'air à la fois amusé et intéressé.

Il faut que je reste extrêmement vigilant. Je ne veux pas susciter le courroux d'Estelle. Elle ne supporte même pas l'idée que je puisse faire le satyre avec sa mère. Je me branle en chuchotant : << Michèle, une pipe ! J'en rêve avec toi ! >>. Michèle n'a pas le temps de répondre. On entend les pas dans le couloir. J'enfile le tablier que je noue à toute vitesse dans le dos. J'ai juste le temps de saisir un torchon en m'emparant de la première assiette. Estelle, Yvan et Clémentine entrent dans la cuisine. Je dois me tourner vers le buffet. Cacher la bosse.

Cette énorme bosse qui déforme le tablier par en-dessous. Je fais peut-être illusion à Yvan et à Clémentine mais certainement pas à Estelle. Elle me fixe avec une incroyable sévérité en faisant tout pour me contourner. Je débande enfin. Clémentine m'adresse un clin d'œil amusé. Nous essuyons la vaisselle en parlant des fêtes de fin d'années. Yvan et Michèle passent huit jours dans les Alpes. Ils y ont loué un petit chalet. Ils adorent les sports d'hiver. Le ski. Discrètement, Estelle s'approche. Me coince contre le buffet. Palpe ma bosse. Un air courroucé.

<< Salopard ! >> murmure t-elle. C'est à peine audible dans le flot de la conversation. Elle se rend à l'évidence. J'ai la bite à l'air sous mon tablier. Juste à l'endroit ou est imprimé le bol. Nous prenons le dessert au salon. Cet après-midi nous retournons faire une balade au marché de Noël du bourg voisin. << Tous les blaireaux seront devant la télé dès 16 h pour voir le match de football de la Coupe du Monde. Ce sera cool ! >> lance Yvan. << Onze crétins incultes qui courent après un ballon pour amuser plus nazes qu'eux ! >> rajoute Michèle. Nous rions.

Il est quinze heures trente. Nous enfilons nos anoraks. C'est avec la Mercedes des parents d'Estelle, mon ancienne voiture, que nous parcourons les trois kilomètres. Coupe du Monde de football ou non, il y a un monde fou à déambuler entre les chalets. Le froid est vif. Nous nous offrons des jus de pommes chauds dans des gobelets. Il faut être prudents en louvoyant entre les promeneurs. Estelle reste accrochée au bras de son papa. Ils "ouvrent la route". Je suis entre Clémentine accrochée au mien et Michèle. C'est une redécouverte très agréable.

Il y a un des chalets qui est l'exacte réplique d'une maison d'un Hobbit. Porte et fenêtres rondes. C'est de toute beauté. Estelle et son papa tentent d'en faire le tour. Avec la foule c'est une véritable gageure. C'est là que Clémentine, s'adressant à Michèle, dit : << Si tu veux sucer Julien, je n'y vois strictement aucun problème ! >>. Michèle ouvre de grands yeux. Tout comme moi. Clémentine rajoute : << On s'organise un plan. Tu trouves un prétexte pour venir à la maison ! >>. Michèle reste dubitative. Elle connaît Clémentine depuis qu'elle a douze ans.

Elle n'a d'ailleurs pas le temps de répondre car Estelle et Yvan reviennent. << On peut voir dedans par la lucarne arrière ! >> lance Yvan. << Il y a des hobbits assis autour d'une table ! >> rajoute Estelle. Nous nous promenons jusqu'aux environs de 17 h30. Il fait nuit. Avec l'éclairage tout est féérique. Les parents d'Estelle nous ramènent. Estelle devra rentrer pour 22 h. Yvan et Michèle déclinent notre invitation à rentrer. Ils nous déposent devant le portail. Nous nous saluons. Nous sommes invités à manger chez eux le dimanche 18 décembre. Super.

<< T'es un salaud. Tu me racontes tout où je t'arrache la bite avec les dents ! >> s'écrie Estelle dans le hall. Elle empoigne ma braguette avec une telle force que s'en est douloureux. J'avoue mes péchés. << Mais t'es une vraie ordure ! C'est ma mère put-hein ! >> s'exclame t-elle. Clémentine rit aux éclats. Ce que fini par faire Estelle qui vient de me sortir la queue. << Toi, ce soir, tu vas voir ce que tu vas voir, espèce de vieux cochon ! >> lance t-elle en me tirant par le sexe comme par une laisse. Je marche donc d'une manière tout à fait ridicule.

Il est 18 h30. Nous rangeons ce qui reste sur la table. Clémentine m'attrape elle aussi par la queue. Elle se penche pour y déposer des bises. Estelle fait pareil en disant à chaque fois : << Tu as de la chance que j'aime les bites de vicelards ! >>. Ce qui n'est pas vrai. Du moins pas autant que ne les aime Clémentine qui finit par me tailler une pipe devant la cheminée. À genoux sur un des coussins alors qu'Estelle fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Je dis : << Ce soir les filles, ce sera léchage de minous. Les minous pas lavés du dimanche soir ! >>.

Il fait faim. Il reste du gratin de choux fleurs et de la sauce. Une rapide salade d'endives en accompagnement. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur mes frasques "désobligeantes" comme les appelle Estelle. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, avec plein de bisous, mes deux anges me confient ce qu'elles aimeraient bien vivre après la vaisselle. Au salon, pour une heure trente de nouvelles "exactions" sexuelles, nous nous livrons à nos jeux favoris. Nous raffolons des rapports buccaux.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines désireuses de venger "l'affront" fait à leur maman par un "vilain" monsieur qui montre sa bite et fait des propositions malhonnêtes...

Julien (expert satyre)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 39 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2090 -



Une soirée avec Julie

Hier matin, lundi, il est presque six heures. L'application "océan" nous réveille de l'illusion d'être en Écosse. Dans un port de pêche. Sans comprendre ce qu'ils se disent nous entendons se héler des pêcheurs. Des oiseaux de mer crier. Les moteurs des bateaux rentrant à quai. Clémentine, en gémissant se serre fort contre moi. Nous ne chauffons pas notre chambre au-delà de 12°. On dort beaucoup mieux. Mais pour sortir des draps chauds c'est une autre histoire. Un effort de volonté. Des bisous, des papouilles et l'impérieux besoin de pisser.

Vêtus de nos tenues de gym, morts de faim, nous dévalons les escaliers. Les radiateurs viennent de s'enclencher. Il fait 16° dans la cuisine. J'y allume immédiatement le feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. En sautillant sur place et en racontant son rêve. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les bons moments du week-end. << Elle a réagit comment Michèle ? >> demande Clémentine. Je raconte la séquence de quelques minutes où j'ai montré ma bite à la maman d'Estelle devant l'évier.

Ma proposition. << C'est certain qu'elle a envie de te faire une pipe depuis le temps que tu la lui montres. Mais va t-elle passer à l'acte ? >> lance Clémentine qui mime une fellation en suçant sa petite cuillère. Nous rions de bon cœur. Il est 6 h25, nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Aérobic pour s'échauffer. Jogging sur tapis roulants pour parfaire cet échauffement avant de passer aux exercices au sol, aux abdos. Puis les charges additionnelles qui viennent nous rappeler la réalité des choses. Stretching. Retour au calme.

La douche. Je redescends le premier pour affronter les 3° qu'il fait dans le jour naissant. Je fais chauffer l'auto. Il est presque 7 h45 quand Clémentine vient me rejoindre chaudement habillée. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou avant de me dépêcher de rentrer au chaud. Il fait à présent très agréable dans la maison. Je fais la vaisselle, notre lit avant de passer dans l'atelier. J'y allume une magnifique flambée dans la cheminée avant de m'installer confortablement devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette.

La peinture de cette quatrième nature morte exige toute mon attention car je peins les plus fins détails. Ces reflets multiples sur les bijoux qui dépassent d'une boîte ciselée dans une obscurité qui permet les jeux de lumière. La matinée passe sans que je n'ai conscience des heures qui s'égrènent. Il est presque midi quand je mets deux bûches sur les braises. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer la potée de légumes. Avec un filet de lieu noir que je panne préalablement. Je prépare l'assaisonnement d'une salade de tomates. Parfait.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans tous ses états André Bercoff reçoit un scientifique. Dans cette émission ou aucune censure n'interdit la parole, il est question des mensonges découlant de la guerre en Ukraine. Des profits démesurés que ces évènements permettent. De la reconstruction qui génèrera des sommes astronomiques et pour lesquelles les américains en échange de leurs "protections" seront les seuls et uniques bénéficiaires. Je pense au repas de ce soir et à la venue de Julie. Je prépare mes petites surprises.

La pâte feuilletée est à température. Je n'ai qu'à l'étaler dans un grand plat à tarte. Je lave et je coupe des oignons en grande quantité. Des champignons de Paris. Je fais revenir le tout dans le wok, sans corps gras rajouté. Je prépare le liant. Un flan composé de fromage blanc, de crème fraîche, d'œuf et de moutarde à l'ancienne. Je coupe finement du persil, de la ciboulette. Je verse le contenu du wok sur la pâte. J'y rajoute le liant. J'y dépose les fines tranches d'un avocat. Je recouvre d'une couche de gruyère de Comté. Chapelure, graines de sésame.

Au four électrique pour une cuisson à 180°. Une tarte à l'oignon, comme les préparaient nos grands mères, exige de mijoter longuement. Je lave un gros concombre. Je fais un assaisonnement. Notre repas du soir est prêt. C'est en chantonnant que je monte me laver les dents. Je ne sais pas quand elle a fait ça ni comment mais sur le pense bête accroché à côté du miroir est marqué "Je t'aime" avec un cœur. Clémentine laisse quelquefois un petit mot. Pressé d'aller faire quelques pas je dévale les escaliers pour enfiler l'anorak, chausser les bottes.

Il y a quelques gouttes de pluie. C'est sous le parapluie que je fais le tour de la propriété. Les dernières feuilles qui jonchent le sol entrent déjà en décomposition. L'engrais naturel pour la belle pelouse du printemps prochain. Il est 13 h50. Me voilà de retour dans l'atelier où je remets deux bûches dans la cheminée. Je peins dans une sorte d'exaltation qui me fait pousser des cris surréalistes. Bien évidement je n'ai aucune conscience des heures qui passent. La seule indication c'est quand Clémentine rentre de cours. Il est 17 h30. Elle me saute au cou.

Assise à califourchon sur mes cuisses, en se frottant lascivement, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. La présentation de son sujet à enchanté les huit étudiants de son groupe. Un projet sur lequel ils vont plancher jusqu'à mercredi soir. C'est Clémentine qui dirige et supervise. Un peu comme une professeur. Ensuite ce sera le tour d'un autre étudiant. Ainsi jusqu'aux vacances de Noël. Clémentine s'installe devant son ordinateur pour commencer quelques premières corrections d'écrits. Quelques premiers ajustements.

J'aime l'entendre commenter ce qu'elle fait. Parfois, elle se met à rire car certains collègues étudiants ne sont pas des "écrivains". Dans le cadre des études scientifiques il n'est pas demandé aux doctorants de quérir un prix Nobel de littérature. Il est 18 h30. Trois petits coups contre la porte qui s'ouvre. Julie. Radieuse, souriante, encore emmitouflée dans son anorak. Sous son bonnet dont pendent ses longs cheveux. Elle se précipite vers Clémentine pour lui faire des bises. << Comme j'ai pensé à vous tout le dimanche ! >> s'écrie t-elle en joie.

Julie vient me rejoindre. Des bises. Je la débarrasse de son anorak en l'invitant à prendre ma place. Julie adore s'assoir devant mon travail pour en scruter les détails. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je retire ma blouse. Dans le minuscule miroir au-dessus du lavabo de l'atelier, je l'observe. Elle aussi m'observe du coin de l'œil. Je sors ma bite pour la poser sur le rebord de faïence. Je tourne le dos à ma spectatrice. Je me lave les mains en lâchant la première salve. Ça ne rate jamais. Julie se lève d'un bond, se précipite et se tient debout sur ma gauche.

Clémentine arrive. Debout à ma droite. Elle saisit mon Zob à la base. Juste entre le pouce et l'index. Je cesse de pisser pour lui permettre d'ajuster le tir. Julie, penchée en avant, regarde au plus près. Nous pratiquons ce rituel très souvent. Je m'essuie les mains en savourant l'instant. Je lâche quantité de petits jets que je contrôle parfaitement. << Tiens, amuse-toi un peu ! >> dit Clémentine. Julie ne se fait pas prier. C'est elle qui prend le relai. Quand je passe mon bras autour de ses épaules, elle passe le sien autour de ma taille. Clémentine mâte.

Elle aussi, penchée en avant scrute avec attention. Julie vise à la perfection. Le trou d'écoulement. Elle profite du bref arrêt pour diriger la suite vers le trou rectangulaire du trop plein. Je pisse dans l'allégresse du bienheureux. Julie secoue adroitement les dernières gouttes. En contraignant fermement mon érection naissante vers le bas. Avec l'excitation il y a une petite goutte de cristal opalescent qui perle au méat. Comme Julie décalotte juste l'extrémité l'apparition du liquide séminal se fait en beauté. Clémentine se penche. Julie lui offre ma queue.

Une fois encore je me fais sucer. Clémentine adore ces instants de "bravoure" où elle peut déguster du "mélange". Je murmure à Julie : << Vous êtes belle encore ce soir petit ange ! >>. Elle n'ose pas affronter mon regard. En gloussant elle appuie sa tête sur ma poitrine. Je la serre contre moi. Petit bout de femme en proie à une joie immense qui semble la bouleverser. Clémentine cesse de sucer, se redresse et nous montre l'intérieur de sa bouche. En avalant elle demande à Julie : << Le Chef de cuisine ? Il t'a enculé ce week-end ? Raconte ! >>.

Dans un souffle, Julie répond : << Oui, hier soir avant le service ! >>. Nous rions de bon cœur. Je remballe ma bite. Il commence à faire faim. 18 h45. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand elles découvrent ce que je sors du four électrique pour le mettre dans le four à bois, les filles me sautent au cou. Clémentine me palpe la bosse en disant : << Julie, ce soir, elle n'est que pour toi ! >>. Julie éclate de rire quand je demande : << Et vous la voulez où ? >>. Elle montre sa bouche qu'elle ouvre en grand. Ça me fait bander comme un vrai salaud.

Julie met les assiettes et les couverts. Clémentine coupe le concombre qu'il suffit de mettre dans l'assaisonnement déjà préparé. C'est donc très rapide. Et dans le four hyper chaud de la cuisinière à bois, la cuisson est presque instantanée. Je sors ma bite une nouvelle fois. En direction de Julie. Je sais que c'est un instant magique pour elle. Juste ces quelques secondes ou je la tire de la braguette. Ce soir je lui offre également les couilles. La braguette boutons du 501 agit alors comme un garrot. C'est du plus bel effet sur une timide jeune fille de 21 ans.

Comme hypnotisée, elle fixe mes organes génitaux. Clémentine me fait un clin d'œil. Il n'y a pas de sonnerie pour le four à bois. Il faut donc surveiller tout ça de très près. Clémentine enfile les maniques avant d'ouvrir la porte du four. Elle en tire une odorante tarte dorée comme l'intérieur du coffre d'un trésor de pirates. C'est Julie qui a cette métaphore pour décrire la réussite de ce plat gouteux. Nous mangeons de bon appétit. Julie nous raconte son job de serveuse des trois soirs de son week-end. Un monde fou. Des réservations jusqu'à Nouvel An.

Jean-Louis, Chef cuisinier et accessoirement amant de la patronne, sous les yeux de celle-ci, a une fois encore sodomisé Julie de 18 h à 18 h15. << C'est son heure ! >> précise Julie alors que nous sommes pliés de rire. Anne-Marie, la tante de Julie est toujours présente. C'est elle qui récupère le sperme du compère quand il éjacule en retirant sa grosse queue du trou du cul de Julie. Julie qui se délecte du spectacle de cette pipe "express" en se masturbant. C'est rapide car il faut préparer les tables avant le rush du soir. Les premiers clients déjà à 19 h.

Nous ne traînons pas. La vaisselle avant de passer au salon. Julie devra nous laisser pour 22 h. Il nous reste une heure quinze. Comme le souhaite Clémentine qui adore le spectacle, je sors une nouvelle fois mes organes génitaux. << J'adore avec les couilles, c'est mignon ! >> lance Julie dans un souffle en restant contre Clémentine. Je dis : << Julie, ce soir je vous réserve une petite surprise ! >>. Julie qui s'écrie : << Mais ici, avec vous deux, je n'ai que des surprises ! >>. Clémentine la repousse délicatement en disant : << Va ouvrir ton cadeau ! >>.

Julie, soudain toute timide, comme effrayée, reste debout, jouant avec ses doigts en contemplant ce que ma braguette boutons enserre. Je dis : << Si vous retirez votre pantalon et votre culotte, je vous l'enfonce entièrement ! >>. Je ris de mes propres conneries en même temps que Clémentine qui se touche, vautrée dans le fauteuil. Julie, tout en riant, reste immobile. Elle finit par dire : << Vendredi après-midi, je préfère, on a plusieurs heures ! >>. Je trouve la réponse judicieuse et bien plus intéressante. << Vous baisez vendredi ! >> dit Clémentine.

Je jette un des épais coussins au sol entre mes pieds écartés. D'un geste de ma main libre, j'invite Julie à s'y mettre à genoux. Je tiens ma queue juste au niveau des couilles. Assis, dans cette situation, j'avoue aux filles que c'est très contraignant, désagréable. << Mais gardez la comme ça, j'adore vraiment ! >> dit Julie en se mettant à genoux, ses mains posées sur le haut de mes cuisses. Je barbouille son visage de coulées de liquide séminal. Clémentine se masturbe. Elle se penche en avant. Tombe à quatre pattes pour rejoindre Julie. Pour la regarder.

Je frotte mon sexe sur les joues de Julie. Je le passe autour de sa bouche. Ces caresses ont en tel effet sur Julie qu'elle en a des expressions d'extase. J'esquive à la seconde où elle veut gober ma queue. J'adore jouer à ça. Julie s'en amuse car à chaque esquive elle rit en gloussant. Je finis par la laisser se régaler. Après tout notre douce et tendre amie mérite un dessert de qualité. Un dessert juteux à entendre les gargouillis bulleux qu'émet cette fellation gloutonne. Clémentine, à genoux, une main dans sa culotte, caresse doucement la nuque de Julie.

Parfois elle appuie fortement en murmurant à son oreille : << C'est bon, hein ! De la queue de vicieux ! >>. Julie, cesse alors un instant, avec de la jute qui coule de sa bouche sur mes couilles, elle chuchote : << Mmhh ! Surtout celle-là ! >>. J'écoute à la fois les bruits de succions, les gémissements lascifs de Clémentine, les petits gloussements ravis de Julie. Je caresse le visage et le cou de Clémentine de ma main droite. De ma main gauche j'appuie sur la nuque de Julie. Il y a juste mes couilles qui dépassent. J'éjacule dans un hurlement.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines venues s'encanailler chez un couple de pervers pour y savourer un bon repas, du bon jus de couilles...

Julien (vicelard pour jeunes filles délurées)



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NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Classe - 40 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2091 -



Juste Clémentine et moi

Hier matin, mardi, il n'est pas tout à fait six heures. Comme tous les jours ouvrés de la semaine, les illusions sonores de l'application "océan" nous arrachent de nos profonds sommeils. Clémentine se blottit contre moi comme une désespérée. S'agrippant comme une naufragée à sa branche pour recevoir les câlins, les bisous et les papouilles dont je la couvre. Il faut d'abord courir aux toilettes. Morts de faim, dans nos leggings noirs et sweats jaunes, nous dévalons les escaliers. Comme les radiateurs viennent de s'enclencher, il fait froid.

Sautillant sur place pour se réchauffer, Clémentine fait le café. J'allume un bon feu dans la cuisinière à bois pendant qu'elle presse les oranges et pèle les kiwis. Les deux gros croissants dans le four à micros ondes embaument déjà la cuisine. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier en compagnie de Julie. Je me suis fais tailler une pipe. Une fellation qui a duré plus d'une heure. Entrecoupée de rires, d'aveux et des réponses aux questions qu'aime à poser Clémentine pendant qu'elle nous observe en se masturbant.

Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en évoquant déjà les prochaines soirées à venir. Notamment celle de demain en compagnie de Juliette. Nous sommes invités et attendus chez elle pour 19 h30. Presque six heures vingt cinq. Nous remontons car c'est l'entraînement qui va achever de nous réveiller vraiment. L'aérobic en est la première phase avant le plaisir du jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol et les abdos que nous affectionnons tout particulièrement. Les redoutables charges additionnelles. Puis le stretching.

La douche. Je dévale les escaliers pour aller faire chauffer la voiture. Le jour se lève avec peine. Le froid est intense. Un léger vent glacial. Presque 7 h45 quand Clémentine vient me rejoindre. Anorak, bonnet, gants, cartable serré contre sa poitrine. Son jeans enfilé dans ses bottines à fourrure. Un bisou sur le bout de son nez déjà tout froid. Je la regarde partir. Un dernier coucou avant de me précipiter au chaud. La vaisselle, le lit avant de passer dans l'atelier ou j'allume un beau feu dans la cheminée. Il faut laisser les lampes à halogène allumées.

Il fait tellement sombre sous ce sinistre ciel bas, couvert et menaçant. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette quatrième nature morte est un plaisir intense dès le premier coup de pinceau. Je peins même dans une certaine allégresse. Une ferveur qui me donne un sourire de crétin quand je vois mon reflet dans la porte vitrée de la petite desserte. Table à roulettes sur ma droite. C'est là je pose mes tubes de couleurs, les accessoires. Je n'ai plus aucun contrôle sur les heures qui passent.

Il est midi quand je dépose deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à réchauffer la dernière et grosse part de tarte à l'oignon. Elle a fait les délices de notre repas de hier soir. Je fais une rapide salade de tomates. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Aujourd'hui André Bercoff consacre son émissions aux délinquances juvéniles et aux laxismes de la justice. Ses invités sont deux anciens juges du parquet de Créteil. J'écoute tout cela en concoctant déjà le repas de ce soir. Clémentine qui adore les gratins.

J'opte pour un gratin de coquillettes avec une sauce au Roquefort à l'émincé de calmars. C'est une préparation rapide. Après les avoir fait cuire dans un bouillon assaisonné de persil, d'ail, d'échalote et de ciboulette, j'égoutte les coquillettes. Complètes et "bio". Je les verse dans le grand plat carré en terre cuite. J'y rajoute un liant fait d'œufs, de crème fraiche, de lait de soja et de moutarde à l'ancienne. Je recouvre d'une grosse couche de gruyère de Comté, de chapelure. Le lecteur découvre une fois encore que nous sommes des adeptes des gratins.

Au four électrique pour mijoter longuement à 180°. Il n'existe pas de thermostat pour le four à bois. Dommage car la cuisson y serait beaucoup plus traditionnelle, évidemment meilleure. Je prépare ma sauce au Roquefort. Le lecteur qui suit nos aventures connaît les secrets de ma recette. Je la verse dans la poêle ou rissole l'émincé de colin. Je retire de la cuisinière à bois. Je couvre d'un couvercle. Je termine en faisant l'assaisonnement des deux grosses endives que je lave. Voilà. Notre repas du soir est déjà prêt. Je n'ai plus qu'à me laver les dents.

Je monte aussi vite à la salle de bain que j'en redescends. J'enfile mon anorak, mon bonnet, mes gants. Le froid est vif. Le thermomètre extérieur indique 5°. Avec le vent glacial l'effet ressenti doit être bien en-dessous. Je fais le tour de la propriété chaussé de mes bottes en caoutchouc. J'en profite pour rentrer deux brouettes de bois. J'empile à côté de la cuisinière à bois, à côté de la cheminée du salon, à côté de celle de l'atelier où je rajoute deux bûches. Installé devant mon chevalet je reprends la peinture. Je manie le pinceau en chantonnant.

Il est rapidement 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle se précipite vers moi en sautillant. Dès que j'entends les premiers bruits qui annoncent son arrivée, j'anticipe. Je pose la palette et les pinceaux sur la desserte. Assise à califourchon sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Estelle ne vient pas ce soir. Elle est à nouveau invitée chez les parents de Gauvain ! >>. Je demande : << Les choses se préciseraient elle ? >>. Clémentine répond : << Le protocole ! >>.

Nous en rions de bon cœur. Clémentine a encore un travail de correction à faire. Elle gère les écrits de huit étudiants jusqu'à demain soir. J'aime l'entendre commenter certains passages qu'elle lit à voix haute. Je peins en riant car les expressions écrites de quelques étudiants en sciences valent leurs pesants de cacahuètes. << Écoute celui-là, une "pointure" le gars ! >> lance parfois Clémentine. Il est 18 h25 quand je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine range ses affaires en éteignant son ordinateur. Nous voilà assis en tailleurs à admirer le feu.

Curieusement, ce soir encore, aucune manifestations surnaturelle. Le fantôme de mon ancienne compagne reste étrangement silencieux depuis vendredi dernier. << Elle est partie aux sports d'hiver. Elle aimait skier je crois ! >> lance Clémentine en glissant sa main dans ma braguette béante. On y pénètre bien en position assise. Mais on en choppe moins facilement le locataire. << Elle ne veut pas venir. Elle est enroulée au fond de ton slip ! >> s'écrie Clémentine qui, au prix d'efforts acharnés, arrive enfin à l'en extraire. Une bite molle et flasque.

Tout en revenant sur Gauvain et Estelle, Clémentine me tord la bite dans tous les sens. << J'aime quand on est seuls toi et moi. Put-hein mais comme j'aime ! >> murmure t-elle en s'allongeant de tout son long sur l'épais tapis. Sa tête posée sur mes cuisses. Je caresse ses cheveux, sa tête. Elle me raconte quelques amusantes anecdotes universitaires. En mimant les tics verbaux de certains professeurs. Clémentine adore rester avec la joue contre ma queue. Parfois elle tourne la tête pour y donner un coup de langue, ou suçoter le prépuce.

Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand Clémentine découvre ce que je sors du four électrique pour le placer dans le four à bois, elle me saute au cou. Saisissant ma bite elle s'écrie : << Wouah ! C'est génial ! >>. Elle soulève le couvercle de la poêle que je pose sur la cuisinière à bois hyper chaude. << Trop fort le Roquefort ! Je t'aime fort ! >> lance t-elle en me sautant au cou. Je la soulève pour la promener autour de la table. Enserrant ma taille de ses jambes elle couvre mon visage de bisous. Nous coupons les endives.

Nous mangeons de bon appétit. << Tu me fais des trucs que la morale réprouve après le repas ? Parce que moi je ne les réprouve pas ! >> lance Clémentine en venant s'assoir sur mes genoux. Nous passons en revue les différentes options. << Attachée, livrée aux sévérités de mon "Maître" ! >> s'écrie t-elle. Je murmure : << Que ne ferais-je pas pour vous couvrir de plaisir et de bonheur ma délicieuse "Soumise" ! >>. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Clémentine m'entraîne au salon. Elle ne lâche pas ma queue en m'embrassant avec fougue.

Elle contourne le bureau pour s'accroupir devant le tiroir du bas qu'elle ouvre. Elle en tire la paire de menottes, les cordelettes de coton blanc. Le collier canin, le foulard en soie et la laisse. << J'ai besoin d'une reprise en main, cher "Maître". Remettez-moi donc les idées en place ! >> fait elle encore en me tendant les accessoires. Je passe le foulard en soie autour de son cou. Je peux y fermer le collier canin sans que le cuir n'irrite la peau de son cou. J'y fixe la laisse. Je donne un à coup pour vérifier l'ensemble. Clémentine en glousse de plaisir.

Je m'accroupis pour délacer ses baskets. Baskets qu'elle met toujours en rentrant de cours. Je les retire. Je me redresse alors qu'elle déboutonne son jeans. Je retire également sa culotte. J'ordonne : << À genoux ! >>. Clémentine s'exécute immédiatement. Trop contente d'être la "Soumise" qui sommeille au fond d'elle. C'est à quatre pattes que je l'emmène "promener". À chaque coin de meuble Clémentine lève une cuisse. Parfois je me penche pour enfoncer mon index dans son fondement. Je le tourne dans tous les sens, bien introduit au fond.

J'aime humer mon doigts. Clémentine est d'une hygiène irréprochable. Aucune odeur. Par contre, dans son sexe déjà trempé, j'enfonce le médius. Il est préférable, préventivement, de changer de doigt. Un doigt pour le trou du cul, un doigt pour l'autre. Clémentine, immobile, cambrée, à quatre pattes, le cul relevé, m'offre ses intimités en gémissant d'aise. Je me mets à genoux derrière elle. Je frotte mon sexe contre le sien. Je vois sa tête relevée. Sa crinière qui bouge. Je m'introduis. Jamais dans le cul car nous détestons tous deux la sodomie.

Mais quel joie de la besogner ainsi. Quand je la pénètre de cette manière, en levrette, Clémentine aime être "secouée" car les sensations ne sont pas tout à fait les mêmes. C'est beaucoup plus bestial certes, mais c'est également très frustrant. Nous aimons tant nous regarder en faisant l'amour. En restant sans bouger. Mais là, j'endosse le rôle du "Maître". Je n'en ai absolument pas l'âme ni le tempérament. Mais je l'interprète très bien. Je me retire. Je contourne Clémentine en ordonnant : << À genoux ! >>. Elle se redresse immédiatement, très vite.

Bien droite, à genoux, les mains croisées sur la tête, son regard plein de reconnaissance, elle ouvre grand la bouche. Je ne m'y introduis pas tout de suite. Je frotte ma queue sur son visage pour le maculer de nos mélanges. Clémentine, les yeux fermés, une expression d'extase, se laisse enduire de foutre en poussant de petits cris de ravissements. Je fini par lui mettre la bite dans la bouche. Clémentine suce comme si sa vie en dépendait. Bien droite, fière, les doigts croisés sur sa tête. Je me retire toutes les deux trois minutes pour la laisser souffler.

Elle peut aussi reposer sa mâchoire. Je la contourne en chuchotant : << Délicieuse salope, vous faites de ma vie en perpétuel enchantement ! Je vous aime au-delà de ce que vous pouvez imaginer ! >>. Je passe ma main entre ses cuisses où coule de sa cyprine. J'ai toujours l'envie folle de la sucer. Je suis un authentique bouffeur de chatte. J'ordonne : << À quatre pattes ! >>. Clémentine s'exécute. Je la promène à la laisse. Deux tours du salon. Je saisis la cuvette en plastique toujours prête sous le guéridon à côté du canapé. Je la pose.

Je tire sur la laisse pour forcer Clémentine à se redresser. J'ordonne : << Accroupie ! >>. Elle comprend immédiatement en prenant la pose pipi au-dessus de la cuvette. Je dis : << Pissez mademoiselle ! >>. Je me mets à quatre pattes pour examiner ce qui se passe. C'est un spectacle sensationnel. Les premières giclées que Clémentine lâche en tentant de les contrôler. Derrière les jets, s'écoule de la cyprine blanche. Deux coulées différentes de deux orifices différents. La cyprine gluante reste en grosses gouttes juste à l'orifice. C'est magnifique.

Elles finissent par tomber dans la pisse. Clémentine pousse de petits cris. Elle se touche. Son clitoris géant qu'elle tient entre le pouce et l'index. Pour ne pas perdre l'équilibre, étourdie de plaisirs, Clémentine se tient au canapé. Elle lâche plein de jets de pisse. La cyprine s'écoule par intermittences. Les petits cris se transforment en gémissements. Des soubresauts agitent tout son corps. Elle termine. Je la soulève pour l'installer dans le canapé. À genoux, mon visage fourré entre ses cuisses, je m'offre un second repas. C'est succulent.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui se font brouter le minou avant un orgasme qui les font hurler de jouissance extatique...

Julien ("Maître" pour rire)



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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 41 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2092 -



La soirée et le repas chez Juliette

Hier matin il est presque six heures. Il fait froid ce mercredi. La chambre à coucher n'est pas chauffée. C'est une volonté délibérée. On dort mieux. L'application "océan", délivrée par nos deux téléphones en même temps, nous tire du sommeil. Plus précisément le cri strident des oiseaux de mer. Clémentine, en gémissant, se love encore plus fort contre moi. Dans mes bras. Un doux câlin pour tenter de se réveiller. Quelques papouilles. Quelques bisous. Nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus "sport", nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.

J'y allume immédiatement le feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Je récupère les quatre tranches éjectées par le grille pain. C'est que la machine les expulse de plus en plus fort. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée. << Vous êtes mon "Maître" que j'aime ! >> lance Clémentine en venant terminer sa tartine au miel assise sur mes genoux. Je dis : << Vous êtes ma "Soumise" que j'aime ! >>. Nous mangeons de bon appétit en envisageant notre invitation ce soir chez Juliette.

Il est 6 h25. Il faut vite remonter pour nous livrer à notre entraînement. Un bon échauffement avec l'aérobic est toujours une excellente entrée en matière. Le jogging sur les tapis roulants est rapidement le prolongement d'un bon rythme soutenu. Les exercices au sol et les abdominaux sont un plaisir avant la rudesse des charges additionnelles pourtant si nécessaires. Le retour au calme avec les étirements d'un bon stretching sont encore prétextes à des rigolades. Clémentine me chatouille et me chuchote des cochonneries. La salle de bain. Douche.

Je descends le premier. Avec le froid glacial il est préférable de faire chauffer le moteur de la voiture. Le jour se lève avec peine lui aussi. La température extérieure n'est que de 2°. Il est presque 7 h45. Dans son anorak, capuche à fourrure relevée, Clémentine ressemble à un esquimau sur sa banquise. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller avant de me précipiter au chaud. Je fais la vaisselle, notre lit. Dans l'atelier j'allume une magnifique flambée dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette.

Absorbé par la peinture de ma quatrième nature morte, je peins dans une véritable extase. À chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent je pousse des cris surréalistes. Cette toile verra son achèvement en fin d'après-midi. Ce qui me rassure et participe de ma sérénité. Les heures défilent à une vitesse toute aussi surréaliste. Il est presque midi quand je mets deux bûches dans le feu. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Une bûche dans la cuisinière à bois qui chauffe de façon démentielle. Le tirage est excellent avec ces froidures.

Il me suffit de réchauffer le reste du gratin de coquillettes, la sauce au Roquefort, de me faire une rapide salade de carottes. Voilà un repas délicieux. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff reçoit un économiste et une sociologue. Il y est question des aberrantes décisions européennes interdisant l'importation du pétrole russe. Alors que cette même Europe achète ce même pétrole russe à l'Inde. Les dirigeants européens nous ont habitué aux décisions insensées, coûteuses, totalement improductives et ridicules.

Je fais la vaisselle avant de monter me laver les dents. Je descends à la cave, dans le cellier. Du congélateur je sors une tarte aux noix. Ce sera le dessert et d'ici ce soir, dans la cuisine bien chaude, elle aura décongelé. J'enfile mon anorak, je chausse mes bottes en caoutchouc avant de sortir. La température extérieure n'excède pas 5°. Serait-ce un vrai hiver qui montre le bout de son nez gelé ? Je vais jusqu'à la rivière. Indifférents au froid, les canards, les poules d'eau et les colvert s'amusent à de savantes danses aquatiques. Ça cancane à tout va.

Il est 13 h30. Je rentre quelques bûches car la consommation de bois est importante. Installé devant mon chevalet, je reprends ma peinture. L'après-midi passe aussi vite que la matinée. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle jette son cartable dans le fauteuil à bascules avant de venir s'assoir à califourchon sur mes genoux. En se frottant elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. C'était aujourd'hui la dernière journée consacrée à son sujet. Elle doit encore corriger les écrits de ses huit collègues étudiants.

Demain ce sera au tour de Nolan de présenter son projet. Assise devant son ordinateur, Clémentine commente à voix haute certains textes. C'est quelquefois consternant de découvrir l'expression écrite de certains étudiants préparant un Doctorat après avoir décroché un Master II. Il est 18 h15 quand je dépose la dernière pointe de bleu de céruléum sur la surface de la toile achevée. Je nettoie la palette, les pinceaux. Debout devant le petit lavabo de l'atelier, je me lave les mains. << Pas de pipi tout seul ! >> s'écrie Clémentine qui vient me rejoindre.

J'ai pour habitude, depuis de longues années, de poser ma bite sur le rebord de faïence et de pisser en me lavant les pognes. Debout sur ma droite, son bras gauche autour de ma taille, de sa main droite Clémentine dirige les multiples jets. Nous nous amusons toujours beaucoup. Elle vise le trou d'écoulement. Ce qui sous le filet d'eau chaude fais monter l'odeur nauséabonde. Nous en rions de bon cœur. << Tu seras bien vicelard ce soir avec Juliette, hein ! >> lance Clémentine en se penchant pour savourer les derniers reliquats après les petites gouttes.

Elle range ses affaires, je remue les braises dans la cheminée. Soudain, au-dessus de nos têtes, le bruit sourd qui résonne comme dans une cathédrale. << Elle est rentrée de vacances ! >> dit Clémentine en se blottissant dans mes bras. Cette allusion au fantôme de ma compagne disparue semble décupler les manifestations sonores. << Ce soir, elle en veut aux meubles de l'étage. Tu entends un peu ce bordel ! >> rajoute Clémentine. En effet, pendant plus d'une minute c'est comme si quelqu'un ripait une grosse commode sur le parquet.

Même pas deux minutes et tout s'arrête aussi brutalement. Il est exactement 18 h40. << Il faut noter l'heure cette fois. Je vais faire une statistiques horaires de ces phénomènes ! >> dit Clémentine qui saisit ma queue pour la tordre dans tous les sens. << Tu seras bien salaud ce soir, hein ! >> répète t-elle encore. Nous rions aux éclats en quittant l'atelier pour monter nous changer. Pas le moindre désordre à l'étage. Aucun meuble n'a bougé. Ces étranges manifestations surnaturelles restent inexplicables. Clémentine reste vêtue de la même façon.

Sur sa demande je porte un jeans en velours côtelé marron. Des bottines brunes. Une chemise blanche sous un pull brun au col en "V". << Tu es beau comme ça ! >> dit elle plusieurs fois. Nous sommes dans la salle de bain car la chambre n'est pas chauffée. Clémentine m'entraîne devant le grand miroir. << Regarde comme on est beaux tous les deux ! >> rajoute t-elle en se serrant contre moi. Elle pose une main sur ma bosse en répétant : << Juliette aime autant les vicieux que moi ! Fais-nous plaisir ce soir ! >>. Nous redescendons en riant.

Il n'est pas tout à fait 19 h15. C'est avec la voiture de Clémentine que nous parcourons les trois kilomètres qui nous séparent du haras. Il fait nuit noire. La Morris Cooper Countryman offre un bon système de chauffage. Cette voiture va vers ses six ans et fonctionne à la perfection. Je l'ai offerte à Clémentine quand elle est venue vivre avec moi. Elle s'y est attachée. Je gare l'auto dans la cour déserte. Clémentine a sur les genoux le grand Tupperware qui contient la tarte aux noix. Juliette nous guette probablement depuis son appartement du premier étage.

Au-dessus des bureaux de son entreprise il y a de la lumière qui s'allume partout. Nous traversons la cour. À peine sommes-nous devant la porte qu'elle s'ouvre. Juliette, nous accueille toute souriante. Toute contente en nous invitant à la suivre. Nous montons l'escalier. Il fait bien chaud chez elle. Chauffage au fioul. Il y a également un insert dans la cheminée où Juliette peut brûler des granulats de bois. Ces fameux "pellets" qui ont une puissance calorique importante. C'est surtout la délicieuse odeur qui nous ouvre des appétits d'ogres. Morts de faim.

Juliette porte ce soir un jeans, un sweat, des baskets. C'est très rare de la voir habillée ainsi. Ses longs cheveux noirs qui pendent noués en natte jusqu'au milieu de son dos. Nous retirons nos anoraks. Juliette débarrasse Clémentine de son Tupperware. Nous voilà confortablement installés dans le canapé. Juliette dans le fauteuil qui nous fait face. Elle nous raconte un peu de son quotidien de chef d'entreprise. Il y a 87 chevaux en pensions jusqu'au printemps. Ce qui demande un suivi et une logistique contraignante. Le fourrage étant devenu un vrai luxe.

Tout en bavardant, Juliette garde une main entre ses cuisses. L'autre posée sur l'accoudoir. Elle est encore belle et attractive ce soir. Elle se lève d'un bond. << Et si on passait à table ! >> lance t-elle. Elle sort du salon. Clémentine murmure : << Sors ta bite, on la rejoint à la cuisine ! >>. Je descends la tirette de ma braguette. Comme j'ai une vague érection, je suis obligé de me contorsionner un peu pour sortir mon sexe. << Les couilles aussi ce soir ! >> chuchote encore Clémentine en m'entraînant par la main. C'est comme ça que nous arrivons.

Juliette vient de sortir une tourte fumante du four. Elle découvre mon "attirail" viril. Elle lève les yeux pour me lancer un regard sévère. C'est un jeu. Mais c'est toujours très impressionnant. << Allez vous installer, je fais le service ! >> lance Juliette. Je dis : << Non, non, on va tout faire ensemble ! >>. Je saisis le saladier. Clémentine saisit ma queue, Juliette porte la tourte. Nous retournons au salon. Nous voilà assis à déguster une tourte au pâté de crabe avec des champignons et des brocolis. C'est absolument divin. Succulent. Je me lève, bite à l'air.

Je lève mon verre de jus de pomme en disant : << Juliette ! Trinquons à notre amitiés ! Triquons à nos jeux de fripons ! >>. Nous éclatons de rire. Juliette fixe mes organes génitaux. La braguette agit toujours comme un garrot. Mes couilles fraîchement épilées par Estelle il y a deux semaines, sont encore bien luisantes avec la peau étirée. Je bande mou. Ma queue pend lascivement sur les boules. << Oui, triquons surtout ! >> lance t-elle alors que nous sommes pliés de rire. Nous mangeons de bon appétit en écoutant Juliette évoquer la partouze.

C'est vendredi prochain que nous y sommes invités. Nous sommes attendus pour vingt heures. Il y aura Robert, le vétérinaire, Bernadette la collaboratrice et Pierre son mari. Un invité "surprise", Juliette et moi. << Il y aura peut-être Estelle. On ne sait pas encore ! >> lance Clémentine. Juliette tient toujours à nous rassurer. Elle exige des participants un certificat médical de 48 h. Cette certitude évite les inquiétudes. Les protagonistes mâles ont toutefois obligation de pratiquer avec préservatifs. Sauf pour les pipes. Ce serait un non sens.

<< Où serait le plaisir si on suçait avec capotes ! C'est complètement absurde ! >> précise Juliette. Nous rions de bon cœur. Juliette fixe le mouvement de mon bras gauche. Ma main gauche sous la table, je joue avec ma queue en mangeant, en écoutant, en parlant. Parfois je me lève pour lui montrer le résultat de mes attouchements. Une belle bite bien turgescente, pointée vers le plafond. << Vous mettez le sapin sur les boules je vois ! >> lance Juliette avec son accent méridional. Clémentine rajoute : << Et moi je décore avec des guirlandes ! >>.

Elle prend la serviette en papier pour la torsader. Elle se lève pour venir l'enrouler autour de ma queue. Juliette se lève. De la petite poche monnaie de son jeans elle tire un chouchou. Cet élastique qui sert à fixer les cheveux. Elle se lève, contourne la table. << Je peux ? >> demande t-elle à Clémentine. J'ai les mains sur les hanches. Par contractions des muscles fessiers, je fait bouger mon sexe en rythme. Juliette enroule doublement l'élastique sur mon érection. << Magnifique ! >> lance Clémentine qui me fait un clin d'œil. Pas jalouse ce soir.

Juliette en profite pour soupeser mes roubignoles. << Ça pique un peu quand les poils repoussent ! >> dit elle, espiègle. Rire. Elle retire l'élastique. Cette fois c'est autour des couilles qu'elle le passe. << Génial ! >> lance Clémentine. J'ouvre le ceinturon, je déboutonne mon pantalon que je descends avec le slip. Mes couilles, ainsi garrottées par l'élastique à cheveux présentent cette "grappe" qu'affectionne toute esthète féminine aimant décorer les boules sous le sapin. << Je prends une photo ! >> s'écrie Juliette en se précipitant vers le buffet.

Elle revient. Accroupie, elle fait quelques clichés. Clémentine se lève. Trop excitée, elle glisse sa main dans son jeans déboutonné. << On va beaucoup s'amuser vendredi prochain, je vous le promets ! Je viens d'avoir une idée ! >> lance Juliette. Elle refuse de nous dire de quoi il en retourne. Faisons-lui confiance, elle est suffisamment imaginative pour nous étonner une fois encore. La tarte aux noix en dessert est un délice. Surtout que je propose à la vue des deux coquines deux belles noix dont il faudrait extraire l'huile pour assaisonner le café corsé.

Il est presque 22 h. Juliette nous raccompagne jusqu'à la voiture. Nous sommes tous les trois emmitouflés dans nos anoraks. Sous nos bonnets, dans la nuit glaciale. Je fais mon effronté en allongeant mes bras. Mes mains entre les cuisses de Juliette et de Clémentine. Toutes les deux ont le même réflexe. Leurs mains s'entrechoquent sur ma braguette. << C'est génial d'êtres membres du même "Club" ! >> lance Clémentine. << Oui, c'est certainement la meilleure appartenance qui soit ! >> s'écrie Juliette. Un dernier bisou. Nous la laissons seule.

Bonne nuit à toutes les coquines que de telles soirées émoustillent. Au point de crier de plaisir sous les draps, en se faisant brouter le minou...

Julien



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Classe - 42 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2093 -



Estelle exige son "contrôle qualité" du jeudi soir

Hier matin, jeudi, il est presque six heures. L'application "océan", d'une fidélité absolue, nous arrache de nos profonds sommeils. C'est probablement pris sur le vif car chaque jour tout diffère légèrement. Clémentine reste contre moi toute la nuit. Certainement comme dans un ballet nocturne, nous épousons chacun les mouvements de l'autre. Nous nous étirons en modulant nos gémissements. Il fait plutôt frais dans une chambre à coucher chauffée volontairement à seulement 10°. Quelques papouilles, quelques bisous, nous filons aux toilettes.

Morts de faim, habillés "sport", nous dévalons les escaliers. Les radiateurs viennent d'entrer en fonction. Il ne fait que 16° dans la cuisine. Clémentine fait le café, pèle les kiwis, presse les oranges. J'allume la cuisinière à bois. La puissance de chauffe de cette chose est prodigieuse. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. La compagnie de Juliette. L'organisation de la partouze d'avant les fêtes. Comme toujours, avant de tels évènements, Clémentine est un peu inquiète mais fébrile d'impatience de s'y retrouver.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant la venue d'Estelle ce soir. Clémentine la voit tous les jours à l'université. En rentrant en fin d'après-midi elle me raconte toujours les derniers petits potins. Il est 6 h25. Nous remontons. Notre heure d'entraînement est le second plaisir de cette nouvelle journée. Aérobic, jogging sur tapis roulants. Exercices au sol avec abdos. Charges additionnelles. Aujourd'hui avec des poids libres. Un retour au calme avec les étirements d'un stretching assez surréaliste où Clémentine nous fait rire. Une bonne douche.

Je dévale les escaliers pour aller préparer la voiture. Une fois encore dans un froid qui s'accentue de jour en jour. Dans le jour naissant il fait exactement 0°. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre. Pour se réchauffer elle sautille sur place. Je dépose plein de bisous sur ses joues, le bout de son nez, seules parties de son corps à dépasser de ses vêtements chauds. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer pour faire la vaisselle, notre lit. Il fait à présent bien chaud partout dans la grande demeure. Thermostat sur 23°.

Dans l'atelier j'allume un bon feu dans la cheminée. C'est une grande pièce où fonctionnent deux radiateurs. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je commence ce matin la cinquième nature morte destinée à ma saison prochaine. Je peins dans l'immense quiétude que procure la plus totale sérénité. Je pense à Juliette, aux nombreuses soirées très particulières passées dans ses écuries. Je me retrouve très rapidement en érection car les souvenirs envahissent mon esprit. Je manipule mes pinceaux mécaniquement.

Il est déjà presque midi. Je mets deux bûches dans la cheminée avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je fais gonfler du riz complet. Pendant que rissole un filet de flétan avec des champignons, je lave les feuilles d'une belle et grande laitue. Il y en aura pour ce soir. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans tous ses états, (c'est l'intitulé de son émission quotidienne), André Bercoff reçoit aujourd'hui deux journalistes d'investigations. Il est questions des projets gouvernementaux imposés et de leurs nécessités fort douteuses.

Les crevettes, décongelées depuis ce matin, cuisent sans graisse dans le wok. Je fais une onctueuse pâte à crêpes. J'épluche, je lave et je coupe de grosses pommes de terre. De fines lamelles que je transforme en chips dans la poêle. Les retournant sans arrêt avant de les déposer sur des feuilles de papier absorbant. Il me reste à préparer l'assaisonnement de la salade et le nécessaire de notre repas du soir est assuré. La vaisselle avant de monter me laver les dents. Pressé d'aller faire quelques pas au dehors, je redescends à toute vitesse. Anorak.

La température extérieure reste à 2°. Il y a encore des endroits du jardin recouvert de givre. C'est un véritable paysage d'hiver. Le sol est sec et dur. Je vais jusqu'à la rivière pour saluer nos amis à plumes. Les colverts, les poules d'eau ainsi que les canards dansent sur la surface de l'eau. Une danse infiniment moins absurde que la chanson pour mariages de blaireaux en salles polyvalentes. Cette expression de Clémentine me fait rire aux éclats. Je suis impatient de la revoir ce soir. Je rentre au chaud. Dans l'atelier je rajoute deux bûches dans l'âtre.

Installé devant mon chevalet, je reprends mon labeur. Je peins en pensant à nouveau à nos exactions sexuelles vécues au haras. Il est rapidement 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table avant de me rejoindre en sautillant. << Demain, week-end ! J'en ai marre ! >> lance t-elle en s'asseyant à califourchon sur mes genoux. En se frottant elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. << Je n'ai pas cessé de penser à tout ce qui s'est déjà passé aux écuries ! >> me confie t-elle. Nous rions.

Je dis : << Moi aussi, toute la journée j'y ai pensé ! >>. Clémentine rajoute : << Et toi aussi tu t'es touché ? Parce que moi, sur toute la route du retour, dans la voiture, je n'ai pas arrêté ! >>. Je réponds : << Non, mais je bandais tout le temps. Et comme un salaud ! >>. Nous rions de bon cœur. Clémentine doit terminer son rapport écrit à remettre demain matin. La voilà assise devant son ordinateur. C'est assez difficile de rester concentrés sur nos activités. << J'ai envie de faire l'amour ! >> dit elle à plusieurs reprises. Je fais : << Idem ! >>

Il est 18 h15 quand Clémentine s'écrie : << Terminé. Écoute, je te lis, tu me dis ce que tu en penses ! >>. Je nettoie la palette, les pinceaux. Comme une actrice de théâtre déclamant son texte, Clémentine tourne autour de moi en faisant sa lecture. Que dire ? C'est parfait. Tout est clair, net et précis. Elle vient s'assoir à califourchon sur mes cuisses pour recommencer à se frotter. Ses bras autour de mon cou, couvrant mon visage de bisous. << Je t'aime ! >> murmure t-elle entre chacun d'eux. Le crépitement des braises en fond sonore.

Je bande. << Fais voir un peu ! >> s'écrie Clémentine qui se lève pour s'accroupir entre mes jambes. Elle écarte les pans de ma blouse. Ma braguette est toujours ouverte. Elle en extrait avec difficulté une queue bien raide. Le vrai démonte pneu qui jaillit comme un ressort sous son nez. << Wouah ! Put-hein elle dégouline de foutre. Comme ma chatte ! >> lance t-elle au moment où Estelle entre dans l'atelier. << La pipe ! Moi aussi j'en veux ! >> s'exclame t-elle en accourant à toute vitesse. Elle me fait des bises. Clémentine se délecte de jus de couilles.

Estelle enfonce sa langue dans ma bouche pour la fouiller en bavant. Le bruit bulleux d'une pipe de qualité. Quand elle cesse de m'embrasser, je demande à Estelle : << Raconte-moi ton mardi soir avec Gauvain, ton mercredi soir avec ton parrain ! >>. Elle répond : << Oh, mais notre poète fait des rimes ! >>. Clémentine cesse de sucer pour offrir ma bite trempée à Estelle qui prend sa place. Clémentine tente de déglutir en agitant sa main droite pour témoigner de la difficulté d'avaler mon foutre épais, gluant et visqueux. Je me fais pomper.

Il est 18 h45 quand je saisis Estelle par sa tignasse, fermement, pour la forcer à se relever. Mes pieds sont douloureux car elle était à genoux dessus. Nous rions en quittant l'atelier pour la cuisine. Morts de faim. Les filles découvrent les préparations en me sautant au cou. Clémentine rajoute les feuilles de laitue à l'assaisonnement. Estelle réchauffe les pommes chips sur la cuisinière à bois. J'y porte l'huile à ébullition. Je verse les crevettes dans la pâte à crêpes. Avec une cuillère à soupe je récupère chacune pour les mettre dans l'huile bouillante.

Avec l'écumoire Clémentine récupère les beignets qui flottent à la surface pour les déposer sur des feuilles de papier absorbant. Clémentine met les assiettes, les couverts. Elles parlent de leurs études. J'écoute en silence car c'est très intéressant. Nous mangeons de bon appétit. La conversation est toute autre. Estelle raconte son mardi soir chez Gauvain, reçue par les parents du garçon comme une princesse. << Je précise à l'attention de notre "maître queue", qu'il ne se passe strictement rien entre Gauvain et moi ! >> lance Estelle avec un clin d'œil.

Elle se lève pour mimer une masturbation masculine en rajoutant : << Par contre, hier soir, Jean-Marc m'a encore défoncé la chatte ! Ce qui impose le contrôle qualité du jeudi soir ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Son parrain l'a encore baisé comme elle aime. Comme le baiseur fou qu'il est. J'ai droit à un luxe de détails. Hier soir c'était sur la pile de cartons dans le dépôt. << Put-Hein, ça caillait à mort, les entrepôts ne sont pas chauffés ! >> rajoute Estelle alors que nous sommes pliés de rire. Le prétexte pour se faire brouter le minou après.

Estelle devra nous laisser pour 22 h. Nous ne traînons donc pas. La vaisselle. << Tu viens à la partouze vendredi prochain ? >> demande une fois encore Clémentine. << Je ne sais pas encore, je me tâte ! >> répond Estelle. Clémentine rajoute : << Tu te touches surtout ! >>. Nous n'arrêtons pas de rire en nous précipitant au salon. L'excitation folle qui nous habite, Clémentine et moi, gagne Estelle. Toutes les deux retirent leurs godasses, leurs jeans, leurs culottes qu'elle font tournoyer en riant avant de les jeter n'importe où. Je retire mes fringues.

Tous les trois, juste vêtus de nos hauts, en chaussettes nous entamons une sorte de danse tribale en poussant des cris d'animaux qui n'existent pas. Estelle saute à mon cou, saisit ma queue en disant : << Tu me contrôles ? >>. Sans me laisser le temps de répondre elle enfonce sa langue dans ma bouche. Je garde les yeux ouverts pour voir ce que fait Clémentine. Une main entre ses cuisses resserrées elle nous observe. Je soulève Estelle pour l'entraîner dans le canapé. Je jette un des épais coussins au sol. Entre les pieds écartés d'Estelle.

Elle écarte ses cuisses. Je suis à genoux. Impatiente de se faire lécher et sucer, Estelle me saisit par les oreilles. Clémentine qui vient s'accroupir derrière moi, contre mon dos, de sa main libre joue avec ma queue. Je peux sentir son souffle chaud dans ma nuque. C'est profondément et merveilleusement "animal". Je me pourlèche du sexe d'Estelle qui gémit de plus en plus fort. J'explore ses intimités du bout de ma langue. De sublimes découvertes. Des petites particules indéfinissables qui fondent dans ma bouche. Le gout vinaigré du trou à pipi.

Son "yaourt" au goût "bulgare" m'enivre. C'est délicieux. Clémentine, couchée sur le côté, dans l'étroitesse de l'espace entre le canapé et mes cuisses, me suce comme une affamée. La position n'est pas très confortable, surtout qu'elle se masturbe en même temps. Je me régale de jus de fille. Je suis adroit. Je tente d'anticiper. Je connais parfaitement le fonctionnement d'Estelle. Quand je sens qu'elle perd la maîtrise de ses plaisirs, je cesse. Quand je bouffe sa chatte, elle se masturbe en stimulant son clitoris. Quand je suce son clitoris, elle gémit si fort !

L'inévitable orgasme qui suit l'étreint dans une série de convulsions impressionnantes. En poussant de petits cris d'animal blessé elle me repousse délicatement. Clémentine a cessé sa pipe pour se mettre à genoux contre moi. Nous adorons regarder Estelle se coucher sur le côté, les mains entre ses cuisses, comme en proie aux affres d'une douleur intense. Clémentine me montre l'intérieur de sa bouche. Plein de foutre qu'elle aime à garder longuement afin qu'il se mélange à sa salive. Estelle reprend péniblement ses esprits en soufflant, en inspirant.

Elle se redresse pour regarder ce que fait Clémentine. Elle ouvre la bouche en grand en se couchant sur le dos. Clémentine me tient la queue en penchant son visage au-dessus de celui d'Estelle. J'hallucine. Elle laisse couler le contenu de sa bouche dans celle d'Estelle. C'est à la fois dégueulasse, écœurant et terriblement excitant. Je murmure : << Vous êtes les deux plus merveilleuses salopes in the world ! >>. Clémentine me masturbe en se redressant. Nous contemplons cet ahurissant spectacle. Estelle tentant d'avaler avec une horrible grimace.

Une main sur son cou, l'autre qu'elle agite avec une moue de dégoût. Je bande comme un dément. Je me redresse. Je saisis Estelle par sa tignasse. Elle sait ce que je veux faire. Elle tente de se dégager de mon étreinte. Je pince son nez. Pour pouvoir respirer elle n'a d'autres alternatives que d'ouvrir la bouche. C'est là, en sournois bien vicelard que j'y enfonce la queue. Je la maintiens fermement. Elle se débat. J'éjacule comme le dernier des salauds. En hurlant ! Là aussi, elle n'a d'autres choix que d'avaler. En poussant de petits râles de dégoût.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont se faire sucer, lécher et pénétrer un peu avant de s'endormir sous les draps dans les bras leur "tortionnaire"...

Julien



Classe

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Homme, 53 ans, France
Classe - 43 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2094 -



Julie vient nous rejoindre en début d'après-midi

Il est presque six heures hier matin, vendredi, quand l'application "océan" nous réveille. Clémentine se blottit contre moi en disant : << Vos gueules les mouettes ! >>. Je ris encore à moitié endormi. C'est vrai que leurs cris est souvent à la limite du supportable. Heureusement que tout cela ne dure que quarante cinq secondes. Quelques bisous, quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Il fait presque froid dans la maison. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine où les radiateurs viennent de s'enclencher.

Clémentine fait le café pendant que j'allume la cuisinière à bois. En me racontant son rêve elle presse les oranges, pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. Le fameux "contrôle qualité" du minou d'Estelle. Comme tous les jeudis, vers 20 h30, j'ai tout bien vérifié. Une analyse poussée des fonctionnement de son clitoris. Nous rigolons comme des bossus à l'évocation de ce rituel. << Tu me fais un contrôle ce soir ? On sera juste toi et moi ! >> lance Clémentine en terminant sa tartine assise sur mes genoux.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant déjà la venue de Julie. Son prétexte à elle n'est autre que le cours de peinture qu'elle vient chercher. << Tu mets une couche de vice supplémentaire. Elle adore autant que moi ! >> dit Clémentine en passant sa main sur ma bosse. Il est 6 h25. Nous remontons à toute vitesse pour nous offrir notre heure d'entraînement. Faut-il énumérer sa composante ? Oui ! Toujours ! Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol, abdos, charges additionnelles, les étirements qui s'en suivent pour revenir au calme.

La douche. Je dévale les escaliers en premier pour aller faire chauffer la bagnole. L'expression populaire "un froid de canard" prend une fois encore tout son sens. Le thermomètre extérieur indique moins quatre degrés. Et les canards de la rivière sont montés jusqu'à la propriété. Ils cancanent autour de moi. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre en disant : << Voila autre chose ! Nous avons une basse-cour maintenant ! >> Comme elle termine à midi, elle est toujours factieuse le vendredi matin. Un dernier bisou, je la regarde s'en aller.

Un dernier coucou et je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais la vaisselle, le lit avant de passer dans l'atelier. Depuis deux heures, les radiateurs chauffent toute la maison. Le thermomètre intérieur indique d'ailleurs les 23° habituels. J'allume une belle flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. Je m'attelle avec impatience à la peinture de cette cinquième nature morte destinée à ma saison 2023. Je peins dans une sorte d'allégresse qui me crétinise de ravissement. Ma passion me dévore déjà.

La matinée s'achève alors que je ne l'ai pas vu passer. Il est midi quand je mets deux bûches dans la cheminée. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Là aussi je mets une bûche sur les braises de la cuisinière à bois. Il suffit de réchauffer les pommes de terre chips et les beignets de crevettes de hier soir. Je prépare simplement l'assaisonnement des deux belles endives que je passe sous l'eau. Je profite de mon capital temps pour préparer la Béchamel et faire revenir des champignons dans la poêle. J'émince un gros pavé de cabillaud blanc. Je le poêle.

C'est la garniture des bouchées à la reine pour notre repas de ce soir. Il est midi trente. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou en s'exclamant : << Avec mon homme tout le week-end ! >>. Je la soulève. Elle passe ses jambes autour de ma taille pour me couvrir le visage de bisous. C'est comme ça que je l'emmène aux toilettes. Pipi, lavage des mains. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Le travail de groupe avec huit autres étudiants la passionne. Et puis elles sont toutes les deux ensemble avec Estelle.

Depuis plus de treize ans qu'elles font le collège, le lycée puis l'université ensemble. J'écoute avec intérêt car c'est réellement attrayant. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine propose quelques suggestions pour le week-end. Demain, samedi après-midi, il faudra aller en ville pour l'achat des cadeaux pour ma famille. Nous avons pour habitude de les gâter aux fêtes de fin d'année. Nous partons pour Édimbourg avec l'avion de 14 h45 dimanche 18 décembre. Ce sera avec les bras chargés. Comme tous les ans. Réjouissances.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. << Et si ces enfoirés jamais contents font la grève chez Air France ? >> lance Clémentine. Je dis calmement : << On prends la bagnole, on monte jusqu'à Bruxelles et le problème est réglé ! >>. Clémentine se jette à mon cou en s'écriant : << Avec toi tout est toujours si simple. En riant je rajoute : << Sinon il reste la solution d'un jet privé ! >>. C'est sur ces plaisanteries que la porte s'ouvre soudain. << Bonjour ! >>. C'est Julie. Il est 13 h30.

Elle se précipite pour se serrer contre nous. C'est merveilleux. Ces étreintes à trois ont quelque chose d'émouvant et de magique. Julie porte ses lunettes d'étudiante, ses cheveux tressés en une longue natte. Son anorak rouge, son jeans, ses bottines à fourrure. Elle est montée à toute vitesse sans retirer son écharpe, même pas son bonnet. Nous rions de bon cœur en dévalant les escaliers pour passer dans l'atelier. La grande pièce est agréablement chauffée. Les radiateurs réglés pour ne pas dépasser les 17°. Les 6° supplémentaires c'est la cheminée.

Comme à son habitude Julie s'assoit devant ma toile. Penchée en avant, les mains sur ses genoux, elle scrute attentivement. Clémentine m'entraîne à la table. Elle a du travail. Elle se plonge déjà dans les préparatifs de lundi. Un nouveau sujet proposé par un étudiant du groupe. Installée devant son ordinateur elle m'explique le topo. Je suis debout derrière elle à lisser ses cheveux. Parfois je les lève pour déposer des bises sur sa nuque, dans son cou. << Tu me fais frissonner. J'adore ! >> dit elle en saisissant mon poignet pour me "garder".

Je la laisse à ses études pour rejoindre Julie. Je fais exactement la même chose. Avec ses cheveux en natte, l'accès à sa nuque, à son cou est facile. Elle aussi en frissonne. << J'aime tout ce que vous faites ! >> me dit elle. Je me penche pour passer mes mains sur ses seins. Elle se redresse pour me les offrir. Au travers de la laine de son pull, du coton de sa chemise, et de son soutien gorge, impossible de savoir si les tétons sont en érection. Je me penche davantage pour passer ma main entre ses cuisses qu'elle resserre instinctivement. Réflexe.

Je m'assois à ses côtés pour répondre aux questions qu'elle me pose. Julie a soif de savoir. Extrêmement douée pour la peinture elle n'a certainement plus besoin de mes recommandations. Ce qui se vérifie une fois encore lorsqu'elle se lève pour s'installer devant le petit chevalet posé sur la table. Nous sommes assis en face de Clémentine qui me fait des sourires complices. Parfois un clin d'œil. Je regarde Julie préparer les couleurs sur sa palette. Elle se remet à la peinture du paysage d'après photo qu'elle achèvera en fin de séance. Parfait.

Lorsque je veux me lever pour aller peindre moi aussi, Julie s'exclame : << Non, restez, j'ai plein de choses à vous demander ! >>. Je ris car ce ne sont que d'autres prétextes. Je me lève tout de même pour me mettre debout dans son dos. Je recommence mes attouchements. Julie se pâme du plaisir double de la peinture et de mes caresses. Lorsqu'elle tourne la tête pour m'adresser un furtif sourire, elle fixe ma braguette toujours ouverte. Même si elle connait chaque détail de la "bête" qui y vit, elle scrute attentivement. Je me place à sa droite.

Julie me regarde faire. Je sors mon sexe. << J'aime avec les couilles ! >> dit elle dans un souffle. Avec quelques difficultés car je commence à bander, j'extrais ma paire de roubignoles. Clémentine qui elle aussi à cessé son activité, m'observe. Le silence est ponctué par les crépitements dans la cheminée. Je bande mou. Ma queue repose lourdement sur les couilles. Le tout comme garrotté par la braguette bouton de mon 501. << Levi's conçoit bien ses braguettes ! >> lance Clémentine. Julie lui lance un sourire et dit : << C'est toujours super ! >>.

Julie pose son pinceau, sa palette. Elle se tourne franchement vers moi. Son visage à une cinquantaine de centimètres de ma biroute. J'ai les mains sur les hanches. Par contractions des muscles fessiers je fais bouger ma queue qui se dresse fièrement vers le plafond. Julie, souvent en apnée, concentrée sur ce qu'elle admire de si près, reprend à chaque fois son souffle dans une inspiration qu'elle ne maîtrise pas. Ne pouvant dissimuler la profonde excitation qui la gagne. << C'est génial ! >> murmure t-elle dans un de ses souffles. Je remue la queue.

J'aime regarder les expressions de Clémentine. Elle adore me voir faire le pervers devant d'autres filles. Je me penche pour dire à voix basse : << Julie, un de ces jours il faudra refaire l'amour ensemble ! >>. Julie n'ose jamais soutenir mon regard. Pourtant à ces mots elle lève les yeux pour répondre : << J'en ai beaucoup envie aussi. Surtout avec vous ! >>. Clémentine se lève, contourne la table pour nous rejoindre. Une main dans son 501 déboutonné. << Il y a le canapé qui vous attend. Et pourquoi donc ne pas passer aux actes ? >> demande t-elle.

<< J'ai mes règles ! >> s'écrie Julie avec un soudain air triste. Clémentine palpe mes couilles extraordinairement dodues sous l'effet "garrot" qu'exerce la braguette serrée. Julie avec les doigts, saisit la peau fripée de mon prépuce. Peau qu'elle adore tirer. La forme du gland est magnifiée par l'étirement. Julie tire. Il y a là l'aspect "chewing-gum" d'une peau tirée sur au moins trois centimètres. L'excitation grandissante fait apparaître la première goutte de liquide séminal. Julie serre bien l'extrémité. Elle approche sa bouche. Pour "m'essorer".

Juste entre ses lèvres serrées, elle récupère la coulée opalescente. Elle maintient bien la peau pour suçoter. Clémentine est penchée en avant. En se masturbant doucement elle observe. Je penche la tête moi aussi pour regarder ce que fait Julie. C'est un moment extraordinaire. Il se passe ainsi plusieurs dizaines de minutes où Julie déguste, savoure en poussant quelquefois des << Mmhh ! >>. Clémentine, en appui contre la table, se masturbe sans cesser de mâter. Parfois elle se penche pour fouiller ma bouche de sa langue. Elle aussi fait des << Mmhh ! >>.

Je bande comme le dernier des salauds quand Julie pompe comme une assoiffée. Je débande doucement lorsqu'elle se contente de suçoter la peau qu'elle aime tirer entre ses lèvres serrées. Ce qui a pour effet de tirer encore davantage de jute. Et elle s'en régale. Julie devra nous laisser pour 18 h. Pour assurer son service dans le restaurant de sa tante. Malgré la position qui devient de plus en plus désagréable pour mes lombaires, j'offre à ma suceuse tout le foutre qu'elle déguste avec passion. Toutes les deux trois minutes elle cesse pour léchouiller.

Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. Je saisis Julie par sa natte pour la forcer à se lever de sa chaise. Je l'entraîne ainsi vers le fauteuil à bascule. J'ouvre enfin mon jeans pour le descendre en même temps que le slip. Je me vautre dans le fauteuil. Clémentine jette deux épais coussins au sol. Sans même se concerter, en riant, les filles s'y mettent à genoux. Il reste une petite heure. Je me fais tailler une pipe des familles par une Julie que j'ai rarement vu aussi gourmande. Elle m'avoue souvent que je suis le seul mec qu'elle suce avec tant de plaisir.

Avant moi cela n'est d'ailleurs arrivé qu'avec son "ex" petit copain, il y a trois ans. Avec l'ancien commis de cuisine qui a démissionné et un chauffeur poids lourds dans la cabine de son camion. Un véritable pervers qui lui avait montré sa bite sous la table du restaurant pendant son service. Elle l'avait rejoint dans les toilettes du sous sol. En me faisant sucer, je reviens sur cette histoire. C'est avec un plaisir supplémentaire que Julie cesse de sucer pour nous raconter. Clémentine pose des questions. J'éjacule . Nous raccompagnons Julie à son auto.

Bonne soirée à toutes les coquines qui adorent ces jeux à trois avant de délicieuses bouchées à la reine garnies de Béchamel au gruyère...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Classe - 44 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2095 -



Le samedi matin est fait de petites habitudes

Hier matin, samedi, il est 7 h45. Nous nous réveillons quasiment en même temps. Clémentine me chevauche en riant. << Vous vous occupez bien de moi monsieur. C'était encore très bon hier soir ! >> dit elle en mitraillant mon visage de bisous. Il est impossible de rester sous la couette plus longtemps. L'impérieux besoin nous impose les pipis. Nous nous levons d'un bond pour nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers. Il fait bien chaud dans la maison. Surtout dans la cuisine.

Les radiateurs fonctionnent depuis presque deux heures. J'allume tout de même la cuisinière à bois pendant que Clémentine fait le café, presse les dernières oranges, pèle les derniers kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la visite de Julie hier après-midi. Sur notre soirée seuls tous les deux. Comme les aime de plus en plus Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la journée. Cet après-midi nous irons en ville pour acheter les derniers cadeaux. La plupart ont été commandés sur Internet. Facile.

Je vais dans le hall d'entrée pour ouvrir le portail depuis l'interphone. J'ai été bien inspiré car voilà la Clio rouge qui descend lentement sur la fine couche de neige qui recouvre les pavés autobloquants. Julie en sort pour traverser le jardin en courant. À l'instant où elle veut entrer j'ouvre la porte. Je la réceptionne ainsi. Elle me saute au cou en disant : << Bonjour. Comme c'était bon et bien hier après-midi ! >>. Je la débarrasse de son anorak, de ses gants, de son bonnet pour l'emmener à la cuisine. Clémentine se lève pour contourner la table. Bises.

Je tiens le sac de sport. << Tu as déjà mangé ? >> demande t-elle à Julie qui répond : << Oui, je suis debout depuis sept heures ! >>. Nous terminons de manger pendant que Julie va se changer avec son sac. Quand elle revient, dans sa tenue de soubrette, elle rajoute : << Vous allez courir avec ce froid ? >>. Nous hésitons. La température extérieure est tout de même de moins 5°. Il neige un peu et elle commence à tenir au sol. Par prudence nous préférons nous entraîner à l'étage, dans notre salle. << Je m'occupe de tout ! >> fait Julie.

Nous quittons la cuisine en déposant chacun une bise sur le front de Julie. Nous remontons à toute vitesse, pressés d'aller nous offrir le plaisir de l'exercice. Clémentine met un de nos films des vacances en Écosse. Nous en avons plusieurs des différentes années. Elle allume le grand écran du téléviseur. Il fonctionne rarement. Ce matin nous privilégions la course sur tapis roulants. En regardant les paysages de notre Écosse adorée. Nous programmons les vitesses sur les écrans de contrôles. C'est parti. Ce n'est pas aussi bien que de courir dehors.

Une heure de running "artificiel" comme le nomme Clémentine. Par contre ce fut un plaisir de visionner les images de Sterling, de Duncan Village ou encore des rues piétonnes d'Édimbourg. Édimbourg que nous retrouverons pour les fêtes de fin d'année à partir du dimanche 18 décembre. Jusqu'au lundi 2 janvier. Pour des raisons de sécurité routière, la rentrée universitaire ne se fera que le mardi 3 janvier. Nous passerons donc le Hogmanay en Écosse. C'est la plus grande fête d'hiver de toute l'Europe. Autant dire que les touristes s'y bousculent.

La douche. Nous nous habillons de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux, nos baskets. C'est très sympathique d'entendre l'aspirateur quelque part à l'étage. Nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks. Il fait effectivement très froid même si en dessous de deux degrés on ne perçoit plus les différences de températures. Il y a de fins flocons de neige qui tombent. Voilà la camionnette Mercedes blanche qui descend lentement le chemin. Danièle se gare derrière l'auto de Julie. Elle nous salue avec un grand sourire. Très chaleureux.

Depuis maintenant deux ans son attitude a bien changé. D'après Clémentine, les visions successives de ma braguette ouverte ne sont pas étrangères à ce comportement. Nous devisons un peu. De l'arrière du véhicule, Danièle tire les deux cageots qui nous sont destinés. Bien évidemment, avec ce froid intense, pas question d'avoir l'anorak et la braguette ouverte. Dommage. Malgré tout, Danièle regarde vers cet endroit lorsqu'elle m'adresse la parole. Avec chaque fois un grand sourire. Son regard est même insistant. Elle aussi doit déplorer ce froid.

Le premier cageot contient les fruits, les légumes. Le second contient les fromages, les yaourts, le beurre, les œufs, les petits pots de crème fraîche et les avocats. Danièle s'excuse des prix qui ont encore augmenté depuis la semaine dernière. Je la rassure en disant : << Il faut que vous retombiez sur vos jambes avec les livraisons à domicile. Les fournisseurs, le carburant, les frais divers. Pas de souci en ce qui nous concerne ! >>. Danièle plutôt contente de nos compréhensions me présente la machine. J'applique ma carte bleu dessus. Tout est parfait.

Je surprends une fois encore son regard insistant vers le bas de mon anorak. Je ne peux m'empêcher de conclure : << Vivement les jours meilleurs ! >>. Elle comprend parfaitement mon allusion. Surtout que Clémentine rajoute : << Qu'on puisse se vêtir plus léger, "déboutonné" ! >>. C'est en riant que Danièle remonte dans son véhicule. Même commande pour la semaine prochaine. Elle nous fait un signe de la main en démarrant. C'est en faisant demi tour qu'elle voit le discret geste masturbatoire que je fais, juste devant ma braguette.

Nous n'attendons que quelques minutes en faisant l'inventaire des denrées livrées. Juste sous l'auvent de la porte de la maison d'amis. Voilà le tube Citroën rénové de notre boulangère adorée. Clémentine me félicite pour mon initiative. Ce discret mouvement masturbatoire que j'ai adressé à Danièle. << Tu as vu son sourire ? >> demande t-elle alors que je regarde madame Marthe se garer au même endroit. Je réponds : << Un sourire énigmatique ! >>. Madame Marthe, malgré sa corpulence saute de son véhicule avec une agilité surprenante. Hilare.

De la porte coulissante qu'elle ouvre dans un vacarme infernal, notre boulangère tire un cageot. Il contient les deux grosses miches de pain complet et bio. La gigantesque brioche au pudding, les deux pâtes feuilletées et les deux énormes croissants aux amandes. Même commande pour samedi prochain. Paiement par carte en écoutant la boulangère nous raconter quelques amusantes anecdotes du village. Nous la saluons avant de prendre nos cageots. Bien lourds. Nous contournons la maison pour descendre dans la cave par l'escalier extérieur.

Dans le cellier nous disposons les fruits et les légumes sur les étagères en bois. Quelle que soit la saison, la température dans cet endroit de la cave reste stable à quelques degrés près. Une température qui oscille entre dix et douze degrés. C'est parfait. Il faut dire que dans le local voisin tourne la grande chaudière à mazout. On peut l'entendre "ronfler" lorsqu'elle s'enclenche, contrôlée par le thermostat. Du congélateur où je place les deux pâtes feuilletées et une miche de pain, je tire le paquet de moules, le sachet de haricots verts, le sachet de petits pois.

Nous remontons par l'escalier intérieur. Julie s'apprête à passer la serpillère sur le carrelage de la cuisine. Comme il fait bien chaud partout dans la maison ! Un drôle de contraste avec dehors. Appréciable. Nous rangeons les produits frais dans le réfrigérateur. Cette fois, afin que tout décongèle, je dispose le paquet et les sachets sur l'étagère au-dessus de la cuisinière à bois. Juste sous la hotte d'évacuation. Nous laissons Julie à son ménage. Une fois encore, juste avant de quitter la cuisine, nous déposons une bise sur son front. Elle est si contente.

Je passe ma main sous sa jupette de velours noir pour la glisser entre ses cuisses. Surprise, elle porte une culotte. Le doux contact du coton est inhabituel. Elle ne porte rien les autres samedis. << J'ai mes règles ! >> précise t-elle comme hier. En disant cela est prend une expression de tristesse. Je passe ma main sur sa joue en murmurant : << J'adore les surprises et vous êtes toujours si surprenante Julie ! >>. Depuis quelques temps Julie laisse ses réflexes s'exprimer. Elle se hisse sur la pointe des pieds pour me déposer une bise sur la bouche.

<< Adorable ! Et moi ? >> lance Clémentine. Julie fait pareil sur les lèvres de Clémentine. Nous la quittons pour passer au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Elle fait un petit tour sur le site de l'université. Dans la petite enveloppe jaune, je glisse un billet de 50 euros. Un peu comme le personnage de Gotlib je dessine un bonhomme fait de deux couilles et d'une bite en signature de la phrase que rajoute Clémentine. Nous avons quatre messages. Oncle Alan d'Édimbourg. L'appartement nous attend dans sa grande demeure.

Un mail officiel d'Air France qui nous rassure. Quelle que soit la situation, notre avion pour Édimbourg décolle à 14 h45 le dimanche 18 décembre. En cas de problème le remboursement des billets est garanti. Le courriel de Juliette qui nous invite au haras demain dimanche pour l'animation qu'elle y organise. Enfin le message d'Estelle impatiente de nous retrouver d'ici deux heures. Julie, à nouveau en jeans et pull, vient nous rejoindre. << Je viens lundi soir. Cette fois j'emmène le dessert ! >> dit elle, en jouant avec ses doigts, toute timide.

Clémentine se lève, contourne le bureau pour la prendre par ses frêles épaules. << On t'emmène avec nous en Écosse. Tu pourras faire le ménage dans l'appartement ! >> dit elle. Julie, tristounette, répond : << J'aimerais tellement. Mais je vais faire la serveuse presque tous les soirs. Toutes les tables sont réservées jusqu'au réveillon du 31 décembre ! >>. Je me lève à mon tour pour donner l'enveloppe jaune à Julie. Elle saisit mon bras en disant : << Vous allez me manquer pendant deux semaines ! >> rajoute t-elle, étouffant un sanglot dans sa voix.

Il est onze heures trente cinq. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Malgré le froid, assise au volant, la vitre est baissée. Avec cette température impossible de lui montrer la bite qui palpite pour elle. Clémentine se contente de m'empoigner la bosse. Julie me fait une moue de dépit. Elle aimerait tellement la voir comme à chaque fois qu'elle nous quitte. C'est rituel. Un dernier bisou. Elle démarre. Nous regardons l'auto monter doucement. Même équipée des obligatoires pneus neige, il faut rester prudent dans la pente sur les 150 m. Un dernier coucou.

Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Clémentine me saute au cou en mitraillant mon visage de bisous. << Je t'aime ! >> dit elle de plus en plus vite jusqu'à trébucher sur les mots. Nous rions de bon cœur en passant dans la cuisine. Clémentine lave les feuilles d'une belle et grasse laitue. Il y en aura pour le repas de ce soir. Je prépare le bouillon. Pendant qu'il monte à ébullition je verse les contenus des sachets dans le wok. Les haricots verts et les petits pois ont décongelé. Je remue. Je vide le paquet de moules décongelées dans le bouillon.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la personnalité de Julie. C'est vrai que nous l'emmènerions volontiers avec nous en Écosse. << Notre mascotte sexuelle ! >> comme la nomme Clémentine qui vient s'assoir sur mes genoux. << Dès les premiers beaux jours, tu montres ta bite à Danièle. Tu as compris le "message" qu'elle t'a adressé. Tu as le feu vert ! >> dit elle en évoquant la livreuse. Elle rajoute en riant : << Toi aussi tu as un fruit délicieux à lui faire goûter ! >>. Pliés de rire nous débarrassons pour faire la vaisselle. Plein de bisous.

Nous montons dans la salle de bain. Devant le miroir, à faire les clowns devant le miroir en nous lavant les dents. << Qu'ils sont cachés où les gens que j'aime ! >>. fait Estelle en entrant soudainement dans la pièce. Elle laisse tomber son sac de sport sur le carrelage en se précipitant vers nous. Quel bonheur de nous retrouver tous les trois. Nous nous serrons fort en nous faisant plein de bisous. C'est comme si une éternité s'était passée alors que nous étions ensemble avant hier. << C'est moi qui fait le contrôle qualité ce soir ! >> lance t-elle.

<< Mais c'est incroyable ! Tu es mal portant ? >> rajoute t-elle en constant que ma braguette est boutonnée. Estelle s'accroupit immédiatement pour me la déboutonner. Clémentine se serre contre moi. Nous rions aux éclats. Estelle fouille un peu pour bien attraper mon Zob qu'elle déroule pour l'extraire de ma braguette à présent béante. << J'aime pas l'odeur du propre ! C'est quel savon ? >> demande t-elle le plus sérieusement du monde en humant ma virilité molle. Clémentine répond : << Attends, ce soir ça va schlinguer ! >>.

Estelle dépose des bises sur ma queue. Elle pince la peau de mon prépuce pour la tirer sur trois bons centimètres. Quand je bande très mou il y a de quoi tirer. Tout comme Clémentine, Estelle adore voir la forme bien prononcée du gland sous la peau. << Put-hein, rien que pour ça j'aimerais être un mec ! >> lance Estelle en se redressant. Nous rigolons comme des bossus. De son sac de sport posé sur le tabouret, Estelle tire son pyjama de soie mauve, une petite culotte et des chaussettes. Son petit lapin en peluche de plus en plus sale depuis 24 ans.

Il fait trop froid pour s'habiller dans la chambre à coucher que nous ne chauffons pas au-delà de 12°. On y dort beaucoup mieux. Nous nous changeons dans la salle bain. Une grande pièce aménagée comme telle dans les années cinquante. On peut y danser tellement c'est spacieux. Par une des deux fenêtres on distingue les toits couverts de neige de la maison de monsieur Bertrand. Un peu plus de trois cent mètres en contrebas. Il y a une légère brume. << Je prends une photo, ça fait Édimbourg ! >> lance Estelle qui sort son téléphone. Clic.

Estelle est déjà habillée ville. Nous portons tous les trois les mêmes vêtements. Pantalons noirs, chemises blanches sous nos pulls noirs aux cols en "V". Nous souliers de villes noirs. Il ne reste qu'à passer nos écharpes crèmes, nos manteaux noirs, nos chapeaux. Clémentine prête un des siens à Estelle. Nous prenons des poses devant un des deux grands miroirs. Nous adorons l'élégance. Nous en sommes trois parfaites représentations. << Put-Hein la classe ! >> s'écrie Estelle. << Over the top ! >> lance Clémentine en posant sa main sur ma braguette.

<< Moi aussi ! >> fait Estelle en passant sa main entre mes cuisses pour tenter de palper mes couilles. << Ce soir, je t'inflige les tourments d'un contrôle qualité dont tu me diras des nouvelles ! >> dit elle. À mon tour, je pose mes mains sur leurs sexes. << Des pouet pouets sel te pli ! >> s'exclame Estelle. Je m'exécute en appuyant mes doigts à l'endroit de leurs sexes. << Mmhh ! Tu es prié de faire ça de manière inopinée tout l'après-midi ! >> précise Clémentine. << Oui, par surprise ! >> rajoute Estelle. Il est 14 h30 quand nous prenons la voiture.

Il y a une quinzaine de kilomètres jusqu'en ville. Je roule doucement. Pas seulement par prudence mais parce que nous aimons flâner tous les trois. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière, caresse mon cou en nous racontant sa matinée avec sa maman. Les courses à l'hypermarché. Je gare l'auto dans la petite ruelle habituelle, à dix minutes du centre. Les filles restent accrochées à mes bras. Il ne neige plus. Le sol est humide et glissant. Nous attirons encore bien des regards. Nos hautes tailles, notre élégance de catalogue de mode.

Rien n'est plus beau en hiver que des femmes en manteaux, coiffées d'un chapeau feutre. Alors qu'elles tiennent un homme tout aussi élégant par le bras, beaucoup de gens se retournent sur leur passage. Mais ? Cet homme d'âge mûr est-il le papa de ses deux sublimes jeunes filles ? Que nenni ! Et mes deux anges adorent le faire savoir par une attitude lascive, et des baisers qu'elles me font. Nous avons encore les opportunités de nous amuser à ces jeux à chaque coin des rues piétonnes que nous empruntons. Il y a un monde fou. La foule.

La proximité du marché de Noël, l'ambiance festive, les achats compulsifs à voir le nombre de femmes qui portent des sac aux marques prestigieuses. Nous croisons beaucoup de gens aussi élégants que nous. La priorité pour Clémentine, c'est les deux gros albums photos qu'elle veut acheter. Des photos en noir en blanc de notre région. Ma famille en Écosse en raffole. En ce qui concerne nos cadeaux, nous nous les ferons à Édimbourg. Estelle aussi en profite pour les cadeaux à offrir à ses parents. << À mon "papounet" adoré ! >> dit Estelle.

Il y a trois grandes librairies en ville. Hors celle de la FNAC. Nous entrons dans la première. C'est là, pendant qu'elles feuillettent des ouvrages que je passe aux actes. Nos manteaux ouverts car il faut chaud dans les magasins. Ce qui me permet, dans les plus parfaites discrétions de toucher les filles. D'abord Estelle dont les petits sursauts à chaque fois m'amusent. << Salaud ! >> murmure t-elle avant de rajouter : << Encore ! >>. Je fais pareil à Clémentine qui chuchote : << Mmhh ! >>. Je récidive quantité de fois en m'assurant du secret.

Là aussi nous attirons quelques regards plein de cette amusante curiosité. Nos hautes tailles bien sûr, mais aussi la complicité qui émane de nos trois personnes. Nous n'avons d'ailleurs pas toujours conscience de susciter tant d'intérêt. Nous avons tendance à nous témoigner de la douceur et de la tendresse un peu partout. Nous devons nous surveiller. Ce qui nous fait souvent rire aux éclats. Avec de la ruse, un minimum d'attention, je peux tripoter mes deux comparses entre les rayons. Nous quittons pour aller dans une autre librairie. Même topo.

Nous finissons par trouver. Nous portons nos paquets en flânant en ville. Je porte les plus lourds. La neige fine s'est remise à tomber. Elle tient au sol qu'elle rend glissant. Surtout les pavés des rues piétonnes et des deux marchés de Noël. Nous nous offrons malgré tout des gaufres "natures". Un gobelet de jus de pomme chaud au miel. Un délice. Il fait nuit. Les illuminations sont féériques. Dans les halos de lumière, le scintillement de la neige. Le froid est malgré tout sec. Nous revenons à la voiture. Estelle veut s'assoir devant avec Clémentine.

Toutes les deux peuvent jouer avec ma queue pendant que je roule avec une extrême lenteur. La peur du verglas. Certes, même si une grosse berline allemande pèse sa tonne et demi, il faut rester vigilant. Il est exactement 19 h quand nous sommes de retour. Nous nous changeons avant de nous mettre aux préparatifs du repas. Morts de faim. Pour nous amuser nous portons tous les trois des casquettes de baseball "New-York". Clémentine, Estelle et moi, sommes assis à la table de la cuisine. Nous épluchons les légumes pour notre potée.

Pommes de terre, carottes, navets, céleri, ail, échalote que nous coupons en petits morceaux grossiers avant de les passer sous l'eau. Puis dans la vieille cocotte en fonte dans laquelle Estelle les remue afin que ça n'attache pas trop. Clémentine prépare l'assaisonnement de la laitue déjà lavée. Je poêle trois magnifiques filets de flétan avec des champignons. Je concocte une sauce au Roquefort. J'écoute les filles parler de leurs études. Parfois, l'une d'entre elles vient me faire un bisou en glissant sa main dans ma braguette déboutonnée. Pas de slip.

Parfois c'est moi qui, subrepticement, pour rester dans l'esprit des tripotages de l'après-midi, vient me placer derrière elles. Je remonte ma main jusqu'aux sexes? Je bouge mes doigt. Ces "pouets pouets" qu'adore Estelle. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos achats de l'après-midi. Mes deux anges aiment faire les emballages cadeaux. Opération prévue pour demain matin. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, Estelle et Clémentine font le programme des réjouissances de ce soir. Elles sont hyper excitées.

La vaisselle. Nous passons au salon. C'est devenu un réflexe. Nous retirons nos jeans, nos baskets pour rester en chemises à carreaux et en grosses chaussettes. Estelle nous entraîne dans une farandole folle où elle invente des paroles sur un air de comptine. Nous répétons en cœur et en riant comme des fous aux improvisations d'Estelle. Estelle qui s'arrête soudain net pour me dire : << Prends moi ! Je veux te "subir" ! Et tu es prié à me faire la "totale" ! >>. Clémentine fait : << À moi aussi ! Tout ! >>. Nous restons soudain silencieux. On se mâte.

J'admire cette capacité toute féminine de passer d'un état d'esprit à l'autre instantanément. Pour bien appuyer son propos Estelle m'attrape le Zob tout mou pour le tordre dans tous les sens en disant : << Je vais m'occuper à te rendre opérationnel tripoteur de filles va ! >>. Clémentine se serre contre mon dos pour m'attraper les roubignoles par derrière. Estelle enfonce sa langue dans ma bouche. Avec un tel traitement ce n'est plus une érection c'est un démonte pneu qu'agite fièrement Estelle. Je suis donc prié de me comporter en homme !

Elles m'entraînent par les mains pour s'assoir sur le bureau. Comme d'habitude environ un mètre les sépare. En appui sur les coudes, elles me présentent leurs intimités. Ces prodigieuses touffes de poils "sauvages" qui poussent jusqu'à l'intérieur de leurs cuisses. Avec la mouille il y a de ravissantes boucles qui se forment déjà. << Moi ! >> lance Estelle qui stimule son clitoris. Combien de fois n'avons-nous pas fait "ça" sur le bureau. Pour mon mètre quatre vingt huit, la hauteur est parfaite. Je ne suis pas obligé de me cambrer ou de fléchir les genoux.

C'est donc dans les toutes meilleures conditions que je peux frotter mon sexe contre celui d'Estelle d'abord, puis de Clémentine qui tient son clitoris géant entre le pouce et l'index. Cette fois, malgré la demande d'Estelle, c'est dans Clémentine que je m'introduis. Avec d'infinies précautions. Sans cesser de se toucher elle se fait pénétrer en mordillant sa lèvre inférieure. Quelques passionnantes minutes plus tard je me retire pour m'immiscer dans Estelle. Elle aussi, sans cesser de se masturber, se mordille la lèvre inférieure. En elle je me secoue fort.

Le lecteur qui suit nos aventures sait le déroulement de nos "exactions" sexuelles. Je passe de l'une à l'autre dans un concerto de gémissements, de petits cris d'animal blessé et de râles de plaisirs. Je ne peux m'empêcher quelques rugissements sauvages en baisant Estelle avec la délicatesse d'un catcheur survitaminé. Estelle aime l'héroïsme du guerrier au combat. Alors que dans Clémentine c'est le calme, l'immobilisme et une certaine quiétude. L'orgasme d'Estelle la fait hurler. Je crois bien que c'est son deuxième. Elle est en sueur.

Avant de revenir me planter dans Clémentine qui se masturbe elle aussi couverte de sueur, je récupère la cuvette en plastique sous le guéridon, à côté du canapé. Je ne la besogne pas longtemps. Elle me repousse délicatement. Je positionne le récipient. Estelle qui a repris ses esprits, tout contre moi, me tenant la queue qui ramollit, observe l'orgasme pisseux de Clémentine. Il est rare que nous l'entendions crier aussi fort. De la sueur dégoulinant sur son visage, des cheveux qui collent sur son nez, ses joues. Elle pisse à pleins jets. C'est fou !

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont se serrer fort contre leur "bourreau" des chattes, sous les draps. C'est dans la bouche d'Estelle que j'éjacule avant de dormir...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 45 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2096 -



Dimanche peinard et reposant

Hier matin, dimanche, Estelle glisse sa main dans mon slip. Une sorte d'automatisme puisque lorsque je suis ainsi tiré de mon sommeil la coquine dort encore. Clémentine à ma gauche se blottit contre moi en s'étirant. C'est moi qui glisse mes mains dans les culottes. Je suis entre mes deux anges dont le souffle chaud dans mon cou m'extasie. C'est un véritable enchantement à presque neuf heures et une terrible envie de pisser. Estelle me lâche la queue, se lève d'un bond dans son pyjama de soie mauve. Elle se précipite vers la porte. << Pipi ! >>.

Nous ne chauffons pas la chambre à coucher. C'est une volonté délibérée afin de mieux dormir. C'est donc le premier défi de la journée que de sortir de sous la couette. De traverser la grande pièce en slips et T-shirts de nuit. Après tout, nous n'avons pas le choix. Surtout qu'en m'entraînant par la main, Clémentine fait un léger détour pour ouvrir une des deux fenêtres. C'est bien d'aérer. Mais c'est mieux de filer dans le couloir. Il fait bien chaud partout dans la maison. Nous nous habillons de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux. Baskets.

Nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Les suaves odeurs du café que vient de préparer Estelle se mêlent à celles du pain grillé. Elle me saute au cou. Je la soulève. Enserrant ma taille de ses jambes, elle me fait plein de bisous. Je la promène autour de la table sur laquelle trône la brioche au pudding. Même traitement pour Clémentine qui vient de presser les oranges. Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur notre soirée de folies hier. << J'adore baiser sur le bureau ! >> lance Estelle. << Moi pareil ! >> fait Clémentine.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de l'après-midi. << On se refait un marché de Noël ? >> propose Clémentine. << Lequel ? >> demande Estelle. Je propose de faire une vingtaine de kilomètres pour découvrir celui du village du château. Village qui est situé dans la vallée des collines où nous apprécions de randonner. << Et si on se faisait les deux ? >> suggère Clémentine. Nous applaudissons l'idée. Visiter le marché de Noël, faire une boucle de quelques kilomètres avant de revenir y déguster une gaufre.

Nous traînons à table. Le dimanche pas de sport. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges en viennent à parler de leurs études. Estelle est encore en pyjama. J'adore toucher ce tissu. La main y glisse. Caresser de tous petits seins dont l'extrémité durcit légèrement est un petit bonheur très subtil. << Mmhh, j'adore ! Jeux de main, jeux de coquin ! >> fait Estelle sans se laisser distraire du sujet universitaire qu'elle développe. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. << Braguette ouverte ! >> lance Estelle.

C'est donc avec la bite à l'air que j'essuie la vaisselle que lave Clémentine. J'aime tellement le contact soyeux et glissant du pyjama d'Estelle que je n'arrête plus de le toucher. << Mmhh, mais je vais porter de la soie tout le temps si ça te fait cet effet là ! >> s'écrie t-elle. Elle me prend dans ses bras alors que je réponds : << En fait, c'est ce qu'il y a dans la soie qui motive mes attouchements ! >>. Elle ne me laisse pas en dire davantage car elle enfonce sa langue dans ma bouche. Rien n'est plus délicieux qu'une bouche parfumée à la brioche pudding.

Pareil avec Clémentine. Je bande. Rien de tel que des baisers passionnés et passionnants pour me retrouver détenteur d'une érection exemplaire. Estelle ne me la lâche plus. C'est ainsi que nous remontons pour passer dans la salle de bain. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir. Estelle se change pour s'habiller comme nous. Nous affrontons le froid polaire de la chambre pour faire le lit, refermer la fenêtre. Sans nous attarder nous redescendons à toute vitesse pour enfiler nos anoraks. Dehors, tout est couvert de givre.

Le thermomètre extérieur indique moins quatre degrés alors qu'il est déjà 10 h30. Il y a quelques centimètres de neige par endroit. Estelle tente la boule de neige. << Savonnette sur la queue ? >> dit elle en s'approchant dangereusement. Nous rions en faisant chacun une boule. La neige est poudreuse donc les boules se délitent avant de nous atteindre. << La neige, ce n'est plus ce que c'était ! >> dit Estelle. << Sans doute le réchauffement climatique qui impose ce froid ! >> fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Nous rentrons au chaud.

Dans la cuisine Estelle allume la cuisinière à bois. << À la maison je suis préposée au bois ! >> dit elle. Estelle et Clémentine m'entraînent dans l'atelier. Estelle y allume une belle flambée dans la cheminée. Mes deux anges adorent faire les emballages cadeaux. Debout, les bras croisés, la bite qui pend à nouveau toute mollasse de ma braguette, je les observe. Toutes les deux, debout à la table de travail, font les paquets. Papier kraft, rubans de satin rouge. Estelle, d'une main habile, tenant la paire de ciseaux, lisse les rubans pour qu'ils s'entortillent.

<< Bonjour monsieur bite à l'air ! >> me fait elle à chaque fois qu'elle me regarde. << Et monsieur branlette, il n'est pas avec vous ? >> lance Clémentine. Je saisis ma queue à sa base pour l'agiter en direction des coquines. << Ah ! Voilà qui est beaucoup plus intéressant ! >> s'écrie Estelle. Elles font tourner les paquets. C'est beau avec le nœud des rubans. Clémentine soupèse les deux colis que nous allons envoyer par la poste en Écosse. Il n'est pas question de les emmener avec nous en avion. Nos bagages seront déjà bien assez encombrants.

Il est presque midi. Les paquets restent sur la table. Estelle nous entraîne dans une farandole pour faire le tour de la grande pièce. C'est ainsi que nous quittons l'atelier pour la cuisine. En saisissant ma queue Estelle m'embrasse goulument. Sans la lâcher pendant que Clémentine fait de même, elle me la tord dans tous les sens en disant : << Notre érectophile fou ! >>. Nous rions de bon cœur en préparant notre repas. Clémentine lave les deux grosses endives avant de préparer l'assaisonnement de la salade. Je remue la potée de légumes.

Estelle fait rissoler les trois gros pavés de saumon dans la poêle. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit en mettant au point l'organisation de l'après-midi. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous remontons à toute vitesse. Lavage des dents. Nous restons vêtus de nos jeans, de nos épaisses chemises de coton à carreaux. Il suffit d'enfiler un gros pull. Nous dévalons les escaliers. Estelle tient les siennes dans les mains, nous récupérons nos grosses godasses. Anoraks, bonnets, gants. Nous voilà parés. Je roule doucement sur la petite route.

Clémentine et Estelle jouent avec ma queue. À force d'insister pour s'assoir devant avec Clémentine Estelle peut s'amuser aussi. J'ai beau prévenir qu'en cas de contrôle de gendarmerie je risque des points supprimés sur mon permis de conduire, elle dit : << Je paie l'amande ! >>. Clémentine précise : << Tu en vois beaucoup toi, des gendarmes ? Avec ce froid ils restent au chaud. En été ils restent au frais ! >>. C'est sur ce constat et en riant que nous arrivons au village du château. On le distingue d'ailleurs bien là haut au sommet de sa colline.

Ses murailles rénovées se détachent parfaitement sur fond de ciel gris, sinistre et bas. Nous chaussons les grosses chaussures de marche. Il y a un monde fou ici aussi. Le marché de Noël n'est constitué que d'une vingtaine de chalets. Mais c'est agencé avec l'idée d'un village médiéval. Il y a même une mini église en bois. Le froid est intense et ne décourage pourtant personne. Nous nous offrons un verre de jus de pomme chaud au miel. Il faut prendre le chemin qui quitte le bourg en passant derrière la vraie église. Nous venons rarement jusqu'ici.

Rapidement le chemin monte à flanc de collines. Vue d'en haut le marché de Noël évoque le village des Hobbits du Seigneurs des Anneaux. Estelle et Clémentine prennent quelques photos. Avec cette température sous glace impossible de se promener bite à l'air. Mes deux coquines se contentent de me la palper. Leurs lèvres posées sur les miennes. Nous croisons nombre de promeneurs. Le plus souvent des groupes. Parfois des couples. La marche nordique est fort prisée dans la région. On entend le bruit des bâtons sur le sol de très loin.

Dans le froid, les sons paraissent plus clairs. On entend de beaucoup plus loin. C'est étrange. J'écoute les théories développées par les deux scientifiques qui me tiennent par les bras. Le chemin est assez large pour permettre de marcher de front. Il suffit de s'écarter quand nous croisons des randonneurs. C'est une boucle de deux heures. Même si nous n'avons pas le temps de monter jusqu'au château, ce dernier est assez proche pour de belles photos. << Ça fait vachement Écosse ! >> lance Estelle. C'est vrai. Il y a ce côté irréel accentué par la brume.

Nous revenons par l'arrière de l'Hôtel de ville. Le beau bâtiment de la Mairie. Un second tour au marché de Noël. Toujours autant de monde. Il y a un groupe de jeunes qui portent des masques de clowns et de personnalités politiques. Ils agitent des pancartes où sont écrits des phrases comme "si le masque redevient obligatoire, portez en un comme ça "". Tout cela est fort sympathique et ne reste que pochade d'étudiants facétieux. << Mais l'idée est excellente parce que ces enculés voudraient bien nous imposer cette saloperie ! >> dit Clémentine.

Nous nous offrons des délicieuses gaufres au sucre roux. Légèrement caramélisées, c'est une merveille bien chaude. La nuit est tombée. Estelle et Clémentine ont fait de belles photos en redescendant. Les lumières qui illuminent l'ensemble confèrent ce côté magique. << On est dans un film de Harry Potter ! >> lance Estelle en nous montrant l'écran de son téléphone. Il faut repartir. La circulation est dense sur cette portion de la nationale qu'il faut emprunter sur une dizaine de kilomètres. Assises devant, mes deux anges tripotent ma queue molle.

Je roule avec une extrême prudence. Il neige à nouveau. De fins flocons qui tiennent au sol et qui s'agglutinent sur le pare brise. Les essuies glaces fonctionnent à plein rendements. Voilà enfin l'étroite route communale. Nous ne croisons plus que quelques rares voitures. Il est 18 h30 quand nous sommes de retour. << C'était génial ! >> lance Estelle alors que nous sommes au chaud, dans le hall d'entrée, à retirer nos anoraks. << S'il neige comme ça toute la nuit, il y aura bien vingt centimètres demain matin ! >> précise Clémentine. Il fait bien chaud.

Je suis prié de sortir ma bite. << Avec les couilles sel te pli ! >> me fait Estelle qui, accroupie, déboutonne ma braguette. << Attends, laisse-moi les sortir ! >> s'écrie Clémentine qui s'accroupit à côté d'Estelle. Les coquines fouillent mon slip en riant. Me voilà rapidement avec les outils à l'air. << C'est mieux non ! Pense un peu à nous, pauvres filles, privées de queue tout un après-midi ! >> rajoute encore Estelle en prenant du recul pour admirer le "travail". Nous rions de bon cœur. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Elle a droit à sa gâterie.

Clémentine s'occupe de la salade d'avocat. Estelle concocte son omelette aux quatre fromages des dimanches soirs. Je remue la potée de légumes qui réchauffe sur la cuisinière à bois. C'est très rapide. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur quelques séquences de cette belle promenade. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux mes deux anges montrent les photos prises. Je propose le léchage de minous des dimanches soirs. Rien ne me régale davantage que des croupions de filles, pas lavés et qui on macérés toute une promenade.

Je ne suis évidemment pas obligé de le répéter. Comme sur un signal les deux coquines se lèvent d'un bond. La vaisselle. À l'idée de ce qui les attend elles sont impatientes de m'entraîner au salon. Une fois encore, tous les trois, juste en chemises et en chaussettes, nous nous offrons une soirée "génitale buccale". À genoux sur les épais coussins, je passe de l'une à l'autre. Vautrées dans le canapé, mes deux anges m'offrent leurs intimités. C'est un régal. Les goûts m'enivrent de leurs saveurs fortes. J'offre deux merveilleux orgasmes à mes amours.

Bonnes nouilles à toutes les coquines qui vont se régaler elles aussi de celle de leur lécheur fou. Se faire éjaculer en bouche sous les draps avant de se blottir dans des bras forts et rassurants pour un bon dodo...

Julien



Classe

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Classe - 46 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2097 -



Une agréable soirée en compagnie de Julie

Hier matin, lundi, l'application "océan" nous arrache de nos profonds sommeils. Cette fois encore avec une brusquerie plutôt brutale. Il est presque six heures et fort heureusement tout cela ne dure qu'exactement quarante cinq secondes. Le cri des oiseaux de mer, le ressac, les moteurs de ce chalutier dans le lointain. Tout y est. Clémentine se serre encore plus fort dans mes bras en gémissant. D'une voix plaintive elle dit : << Je reste sous la couette ! >>. Ce n'est évidemment qu'un premier réflexe bien naturel. Il fait tellement chaud dans notre lit.

Quelques bisous, quelques papouilles plus tard, pressés par l'impérieux besoin de pisser, nous nous précipitons aux toilettes. Nous avons soin tous les soirs de préparer nos vêtements dans la salle de bain. Volontairement nous ne chauffons pas la chambre à coucher. On y dort bien mieux. Par contre après l'avoir quitté en courant plus envie d'y remettre les pieds. Morts de faim, habillées de nos tenues sport, nous dévalons les escaliers. Les radiateurs viennent de se mettre à fonctionner, pilotés par le thermostat. J'allume la cuisinière à bois. Trop froid.

Clémentine fait le café, pèle les kiwis, presse les oranges en sautillant sur place. Il faut préciser que depuis trois jours, à cette heure matinale, les températures extérieures sont sous glace. Ce matin encore le thermomètre extérieur indique moins 5°. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les douceurs du week-end. Sur notre agréable soirée "léchages de minous". << Put-Hein j'adore ça ! >> fait Clémentine qui vient terminer sa tartine au miel, en s'asseyant sur mes genoux. Le besoin d'autres douceurs. Le besoin d'un peu de chaleur.

Il est 6 h25. Nous remontons à toute vitesse. Une heure d'entraînement va nous réchauffer. Aérobic, joggings sur tapis roulants. Exercices au sol, abdos avant les charges additionnelles. Sur les machines ce matin. Un retour au calme affreusement bâclé juste pour faire le stretching. Une bonne douche car à présent il fait bien chaud partout dans la maison. Je redescends le premier. La voiture de Clémentine aussi a besoin de chauffer. Il est presque 7 h45. Il fait encore nuit. Le froid est intense, polaire, glaciale. Clémentine vient me rejoindre. Esquimau.

Emmitouflée dans son anorak, bonnet sous la capuche à fourrure, gants. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Son mécanisme fonctionne à la perfection malgré la température. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud pour faire notre vaisselle, notre lit. Dans l'atelier, j'allume un bon feu dans la cheminée. Ça crépite rapidement. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette cinquième toile m'absorbe rapidement. Bonheur.

Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser des cris surréalistes. Les heures de la matinée défilent sans que je ne les vois passer. Il est midi quand je mets deux bûches sur les braises. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer le reste de la potée de légumes. Je lave les feuilles d'un belle "frisée". Il y en aura pour ce soir. Je poêle un filet de lieu noir panné préalablement. Rapide. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff s'offusque des nouveaux prétextes fallacieux pour imposer le port du masque.

Le constat est accablant. Si dans chaque ville de plus de 50 milles habitants existaient des unités Covid, il n'y aurait aucune inquiétude. Si cela avait été mis en place en 2020, ça aurait coûté infiniment moins d'argent à la nation que des confinements. Le constat du sociologue présent est tout aussi accablant. << Des peuples léthargiques et crétinisés n'ont que les dirigeants qu'ils méritent ! >>. J'envisage les préparations du repas de ce soir. J'opte pour une tarte à la courgette et à l'aubergine. La pâte feuilletée est à température depuis ce matin.

Je lave deux belles courgettes, une belle aubergine que je coupe en tranches régulières. Je les place en spirale sur la pâte étalée dans le grand plat à tarte. Sur ce bel alignement je verse le liant. Mélange d'œuf, de lait de soja, de fromage blanc et de moutarde à l'ancienne. Je recouvre d'une bonne couche de gruyère de Comté finement râpé. De la chapelure, des graines de sésame grillé. Onze cerneaux de noix judicieusement disposés. Au four électrique pour une cuisson lente à 180°. Je n'ai plus qu'à préparer l'assaisonnement de notre salade.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Par une des deux fenêtres de la salle de bain je regarde la fine couche blanche qui recouvre toute choses. Les fumées qui s'échappent des hautes cheminées en briques rouges de la maison de notre voisin. Il y a une légère brume. On distingue tout de même les toits en contrebas, à un peu plus de trois cent mètres. Pressé d'aller faire quelques pas je dévales les escaliers pour enfiler mon anorak. Le froid est intense. Il est 13 h20 et la température affichée est de moins deux degrés. Un ciel gris et sinistre.

De retour dans l'atelier, je m'installe confortablement devant mon chevalet. Je peins dans les mêmes dispositions d'esprit que ce matin. L'après-midi passe d'ailleurs tout aussi vite. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle se précipite pour s'assoir à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Demain, je termine à 15 h !. Je serai avec mon chéri une demi heure plus tard ! >> dit elle. Elle me couvre le visage de bisous avant d'aller s'assoir devant son ordinateur. Studieuse.

Clémentine prépare l'écrit qui sera la conclusion du sujet proposé par un des étudiants de son groupe. Elle m'en lit des extraits. J'écoute la musique des phrases, sans vraiment me concentrer sur le sens des mots. Ce qui fait rire Clémentine qui demande : << J'ai dis quoi à l'instant ? >>. Je bredouille, je bafouille. Elle répète pour redemander : << C'est comment ? >>. Je réponds : << C'est parfait, c'est clair, net et précis même si je ne comprends rien aux théories géomorphologiques ! >>. Rires. Il est 18 h15. Je nettoie la palette, les pinceaux.

Trois petits coups timides et la porte s'ouvre. C'est Julie. C'est vers moi qu'elle se précipite ce soir. Trois bises. << Bonsoir ! Je suis frigorifiée ! >> lance t-elle en allant faire trois bises à Clémentine qui termine de ranger ses affaires. Julie écoute la lecture de Clémentine. Toujours impressionnée par la qualité "littéraire" des écrits de Clémentine. << Tu aurais fait Lettres Modernes avec les mêmes succès ! >> dit elle à Clémentine. Il est presque 18 h30. J'enlève ma blouse avant de me laver les mains au-dessus du petit lavabo de l'atelier.

Dans le minuscule miroir accroché au carrelage, je vois les visages de Julie et de Clémentine qui m'observent. Je sors ma bite pour la poser sur le rebord de faïence. Elles se précipitent toutes les deux pour me rejoindre. C'est devenu un rituel depuis quelques mois. Clémentine à ma droite, son bras gauche autour de ma taille. Julie à ma gauche déjà penchée en avant. Je lâche de petits jets brefs et vifs. Le robinet d'eau chaude est ouvert. L'odeur de pisse nous monte aux narines. Ça me gêne considérablement. C'est Julie qui s'empare de mon sexe.

Cette coquine a des initiatives séduisantes qui sont de plus en plus fréquentes. Elle tient mon sexe à sa base entre le pouce et l'index pour en diriger les jets. Les filles rient de ce plaisir simple. La volupté habituelle me gagne. Le plaisir est double. Je soulage ma vessie pleine et je suis tenu par des doigts délicats et encore légèrement maladroits. << J'ai fait pareil à Jean-Louis hier avant le coup de feu de 19 h ! On avait encore un monde fou au restaurant hier soir ! >> dit Julie. << Il t'a enculé aussi ? >> demande Clémentine. << Oui ! >> fait Julie.

<< Il me la met tous les dimanches quand j'arrive pour le service. Nous quittons la cuisine pour aller dans la réserve. Anne-marie nous rejoint et elle regarde en se touchant ! >> rajoute Julie. Nous connaissons bien ce rituel du chef de cuisine. Les dernières giclées viennent éclabousser l'intérieur du lavabo. Clémentine se penche pour se régaler des dernières gouttes. Je demande à Julie : << Vous lui faites ça aussi à Jean-Louis ? >>. Julie s'écrie : << Non ! Il déteste les pipes ! >>. Nous rions de bon cœur. Clémentine se redresse et dit : << Pas nous ! >>.

Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand les filles découvrent ce que je tire du four électrique froid pour le mettre dans le four à bois, elles me couvrent les joues de bises. << Mmhh ! Trop bien trop bon ! >> lance Julie. Elle a ramené un cake. << J'en ai fait trois hier matin. Un pour vous ! >> rajoute t-elle en ouvrant l'emballage aluminium. C'est un cake marbré. << Il est aux amandes et aux noix. C'est une recette "Marmiton" pour les pâtisseries de Noël. Je ne fais que suivre les indications ! >> précise t-elle.

J'ai la bite à l'air. Julie, tout en nous expliquant le processus de confection des cakes "Marmiton", ne cesse de la fixer. Comme hypnotisée. Je demande : << Vous êtes allée faire la voyeuse aux chiottes du restau ce week-end ? >>. Julie me répond : << Oui, mais rien de vraiment passionnant. Beaucoup de clients qui vont aux toilettes ne comprennent pas. Je viens toujours avec mon seau et mon balai brosse. Rares sont ceux qui profitent de l'aubaine ! >>. Nous rions aux éclats quand elle rajoute : << Juste les habitués. Ils ne sont pas nombreux ! >>.

C'est Clémentine qui retire la tarte du four. Fumante, magnifiquement dorée. Il ne reste plus qu'à passer à table où Julie vient de poser les couverts à côté des assiettes. Nous mangeons de bon appétit en nous racontant nos week-ends. Clémentine aborde le sujet de la partouze de vendredi soir au haras. Julie fait la grimace à l'évocation du prénom de Juliette. Il y a quatre ans elles ont vécu toute les deux une brève liaison. Bien plus sexuelle pour Juliette trop heureuse de se faire une gamine de dix sept ans. Alors que Julie en était très amoureuse.

Alors quand il est question de ce qui se passe dans les écuries, Julie change rapidement de sujet. Elle conclue invariablement par la même phrase : << Cette femme est perverse et cruelle ! >>. Nous connaissons bien Juliette et nous pouvons imaginer de quelles genres de "cruautés" il est question ! >>. Nous en rions de bon cœur. Je me lève à plusieurs reprises pour agiter mon sexe en direction de Julie d'abord, puis de Clémentine en suite. Elles cessent toujours de mastiquer, les bouches pleines, immobiles, à regarder "l'hélicoptère". C'est charmant.

Nous traînons à table. Julie devra nous laisser à 22 h. Elle reviendra vendredi après-midi. La vaisselle. Clémentine nous entraîne au salon. La soudaine initiative de Julie qui saisit ma bite, m'enchante. Notre amie devient de plus en plus imprévisible. Depuis ces quelques années où elle nous fréquente elle commence enfin à laisser s'exprimer ses pulsions. Elle reste distante, le bras tendu, me tenant le sexe à pleine main. Cette petite main qu'elle coulisse doucement sur les vingt centimètres de mon érection quasi instantanée. Clémentine me fait un clin d'œil.

Je demande : << Julie, je vous fais l'amour vendredi ? >>. Elle n'ose pas soutenir mon regard. C'est à Clémentine qu'elle s'adresse en disant : << Je ne veux pas vous fatiguer avant votre partouze en soirée ! >>. Nous éclatons de rire. Clémentine précise : << C'est le dernier vendredi avant janvier. Nous partons pour l'Écosse dimanche. Julie me lâche subitement la bite. Elle a soudain l'air grave. << Ça va être dur sans vous ! C'est tous les ans ! >>. Je m'avance pour la prendre par les épaules. Je dis : << On vous fait un courriel tous les jours ! >>.

Clémentine rajoute : << On se fait même des webcams avec Instagram, tu veux ? >>. Julie s'écrie : << Oh oui ! Génial ! >>. Je rajoute : << Et je vous montre ma queue tous les jours ! >>. Julie se jette à mon cou en riant. Elle dit : << Trop bien ! >>. Je rajoute : << Et vous filmez en cachette une bonne enculade de Jean-Louis, en direct live ! Nous pourrions vous voir subir ses exactions culières ! >>. Julie s'écarte, reprend ma queue dans la main pour répondre : << C'est très compliqué. Tout ça se passe très vite, je ne peux pas préparer ! >>

Clémentine s'accroupit devant moi. Julie s'écarte légèrement, passe son bras gauche autour de ma taille. Elle présente mon érection à Clémentine en la contrariant vers le bas. Clémentine tombe à genoux en s'agrippant aux poches de mon jeans. Elle ouvre la bouche. Délicatement Julie y enfonce mon sexe sans le lâcher. Je passe ma main sous ses cheveux pour la saisir par la nuque. Julie émet un gloussement à peine audible. Je me penche. Elle ne mesure qu'un mètre soixante dix. Elle me tend sa bouche. J'y enfonce la langue.

C'est évidemment hyper excitant. Clémentine suce goulument le jus qu'elle pompe. Avec l'excitation elle a de quoi pomper. Nous distinguons parfaitement les gargouillis bulleux dans sa bouche. Sa bouche est encore une véritable pompe à foutre ce soir. Quand nous cessons de nous embrasser c'est pour regarder Clémentine sucer comme si sa vie en dépendait. C'est fabuleux. Julie n'éprouve peut-être pas l'envie de la rejoindre dans cette pipe. Préférant sans doute fouiller ma bouche de sa langue dans des baisers passionnés. Et terriblement passionnants.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui adorent se faire brouter un peu sous les draps, se goinfrer de foutre avant un bon dodo...

Julien (professeur de langue vivante)



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Homme, 53 ans, France
Classe - 47 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2098 -



La soirée avec Estelle

Hier matin, mardi, il est presque six heures. Le cri strident des mouettes est éprouvant. C'est tellement réel. L'application "océan" nous réveille avec ses illusions habituelles. Clémentine, en gémissant, se blottit contre moi. << Oh non ! Déjà ! >> gémit elle. Je la prends contre moi. Quelques papouilles. Le tout ne dure que quarante cinq secondes. Quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes. Il ne fait que 16° dans la maison. Les radiateurs viennent de se mettre en fonction. Vêtus de nos tenues de gym, morts de faim, nous dévalons les escaliers.

Pendant que Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis, j'allume une bonne flambée dans la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier. La compagnie de Julie. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Clémentine termine à 15 h. Elle sera de retour un peu avant 15 h30. Nous repartirons pour la ville car nous avons rendez-vous au cabinet d'analyses médicales. Nos tests avant la partouze de vendredi prochain et avant nos départs pour Édimbourg dimanche prochain.

Il est 6 h25. Il faut remonter. Notre heure si précieuse d'entraînement. L'aérobic est une excellente entrée en matière. Le jogging sur tapis roulants constitue l'échauffement idéal. Les exercices au sol et les abdominaux que nous affectionnons tout particulièrement. Puis viennent les redoutables charges additionnelles. Avant le stretching d'un retour au calme assez déconnant. La douche. Je dévale les escaliers pour aller préparer l'auto. Il fait toujours aussi froid. Moins 4°. Le jour commence à se lever. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre.

Déguisée en esquimau elle me fait un bisou, place sa main sur ma braguette en disant : << Bientôt l'Écosse ! >>. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je m'empresse de retourner au chaud pour faire la vaisselle, notre lit. Dans l'atelier j'allume un beau feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Cette cinquième nature morte m'accapare rapidement. Je peins dans une sorte d'euphorie laissée par Clémentine toujours très déconneuse quand elle est libre les après-midi.

La matinée passe si vite livré corps et âme à ma passion. Il est presque midi. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il me suffit de réchauffer le reste de tarte à la courgette. Accompagnée d'une salade de tomates. Un filet de colin rissole dans la poêle. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans tous ses états, André Bercoff reçoit un économiste et un journaliste. Il est question des pots de vins versés à certains députés européens pour nous faire accepter l'inacceptable au nom d'un humanisme de foire.

Pour ce soir ce sera une flamiche Picarde. La pâte feuilletée sortie du frigo ce matin est à température. Je lave et je coupe deux gros poireaux. Je les ébouillante dans l'auto cuiseur. Sur la cuisinière à bois tout cuit très rapidement. Trop rapidement parfois. J'ai juste le temps de concocter une belle Béchamel. Je fais rissoler de l'ail de l'oignon, des champignons. J'égoutte les poireaux pour les rajouter à la Béchamel avec la poêlée de champignons. J'étale deux tiers de la pâte feuilletée dans le plat à tarte. J'y verse le mélange avec du gruyère râpé.

Je recouvre du dernier tiers de pâte que je jointe soigneusement avec les doigts. Je badigeonne du mélange œuf, lait de soja et moutarde à l'ancienne sur le tout après y avoir dessiné des stries entrecroisées avec la fourchette. Je mets au four électrique pour une lente cuisson à 180°. Je lave deux grosses endives. Il reste à faire l'assaisonnement. Notre repas du soir est assuré. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller faire quelques pas je dévale une nouvelle fois les escaliers pour enfiler mon anorak, le bonnet, les gants. Il fait toujours aussi froid.

Tout est recouvert d'une fine couche blanche. Du givre mais aussi de la neige par endroit. Elle s'accumule dans les coins pour atteindre quelques centimètres de poudre glacée. Il est 13 h45. Dans l'atelier je rajoute deux bûches dans l'âtre. Je peins en pensant à la partouze organisée par Juliette. Nous y sommes attendus pour vingt heures. Ça fait longtemps que nous n'avons plus participé. La rareté rajoute au plaisir et nous n'en sommes plus réellement adeptes. Surtout qu'en prenant de l'âge, à presque 26 ans, Clémentine n'en est plus friande.

Il est 15 h. Je nettoie les pinceaux, la palette. Je quitte l'atelier pour monter me changer. Jeans propre, chemise crème sous un pull bleu nuit au col en "V". Mon écharpe crème, mes bottines noires. À peine suis-je redescendu que Clémentine arrive. << Waouh ! Tu es déjà prêt. Comme tu es beau ! >>. Elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille, toute froide, je l'emmène aux toilettes. Le rituel pisseux. Clémentine prend un biscuit sec pour le grignoter dans la voiture. C'est avec son auto que nous retournons en ville. Je roule.

En jouant avec ma queue, Clémentine me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. << Estelle ne vient pas vendredi soir. Elle t'expliquera ce soir. Ce n'est plus vraiment son truc ! >> m'explique t-elle. Elle rajoute : << Et pour moi ce sera probablement la dernière fois. Je suis morte de trouille. Et je n'ai plus trop envie de m'éparpiller en bande ! >>. Nous en rions de bon cœur. << Par contre, sucer de la bite inconnue reste une passion de plus en plus dévorante ! Je te promets de grands moments ! >> dit elle encore. Nous rions aux éclats.

Il est 15 h50 quand je gare l'auto sur le parking de la pharmacie. Au-dessus il y a les cabinets médicaux et le laboratoire d'analyses médicales. Le docteur Mahdi est un vieil ami. C'est toujours grâce à lui que les choses dans le domaine des analyses médicales vont aussi vite. D'origine indienne c'est un très bel homme. Sportif de haut niveau, c'est dans ce domaine qu'il exerce. Nous voilà dans la salle d'attente. Nous portons tous deux un masque sanitaire afin de ne pas susciter d'inquiétudes inutiles au près du personnel qui en porte aussi.

Nous n'attendons pas longtemps entre un couple de séniors et une maman avec son jeune fils. Je suis d'une lâcheté absolue à l'idée de la piqûre. Je ferme les yeux lorsque la praticienne plante l'aiguille dans la veine. Je tiens fermement le petit bout de bois fétiche toujours dans ma poche. C'est un petit morceau de bois récupéré dans la propriété de Salvador Dali en 1982. Lors de ma première visite à Port Lligat. La maison n'était pas encore le musée qu'elle est aujourd'hui. Avec Christine, ma compagne disparue, nous avions enjambé la clôture en cachette.

Tout se passe évidement très bien. C'est au tour de Clémentine. Nous voilà tous deux avec un petit sparadrap à l'intérieur de l'articulation du coude. Nous bavardons un peu avec Mahdi. Nous aurons les résultats des analyses dès demain soir, par courriels. La totale. Ainsi nous serons tranquilles pour quelques temps. Non. Pas de quatrième dose de rappel Covid 19. << Moi non plus ! Certainement pas ! >> s'écrie Mahdi en riant. Nous payons la consultation avant de prendre congé. << On en profite pour aller faire des courses ? >> suggère Clémentine.

Nous passons devant son université. L'hypermarché est à quelques kilomètres plus loin. Nous garons la voiture sur le parking. C'est que les pansements commencent à nous gratter. << Je l'enlève à la maison ! >> lance Clémentine. Nous flânons dans les rayons. Nous n'avons pas réellement besoin de quoi que ce soit. Peut-être juste une petite opportunité exhibe pour Clémentine. Il y a peu de monde en ce mardi après-midi. Donc peu d'opportunités. Nous prenons tout de même des rouleaux de papier cul car c'est l'opération "gros volume". Parfait.

<< Du P.Q. pour une année, sans compter le stock que nous avons à la maison ! >> fait Clémentine en me guidant. Je porte l'énorme paquet sans pouvoir regarder où je marche. Sur le siège arrière de l'auto. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue en évoquant notre départ pour Édimbourg dimanche. Il est 18 h quand nous arrivons. À peine sortis de la voiture voilà le Kangoo d'Estelle qui se gare derrière nous. Elle me saute au cou en s'écriant : << Raconte-moi tout. Je suis jalouse de Julie ! Vieux cochon ! >>. Nous éclatons de rire.

On se dépêche de rentrer au chaud. La température est de 23° dans la maison. Ce qui est un véritable bonheur. Lavage des mains. C'est Estelle qui retire nos sparadraps en disant : << Tout ça pour aller faire des saloperies à plusieurs au fond des écuries ! >>. Nous rions. Estelle fourre sa main dans ma braguette béante pour rajouter : << Je ne viens pas à la partouze vendredi soir ! À quoi bon ! De toute façon je ne resterais qu'avec toi. Et avec toi je peux baiser quand je veux ! >>. C'est donc la raison pour laquelle Estelle ne viendra pas vendredi.

Quand mes deux anges découvrent ce que je tire du four électrique froid, elles me sautent au cou. << Miam ! >> s'écrie Estelle en tenant la queue qu'elle vient d'extraire. << Génial ! Attends, c'est moi qui la met dans le four à bois. Ne va pas risquer de te bruler la bite ! >> lance Clémentine. Clémentine qui sait que rien ne m'excite davantage que de voir une fille accroupie, me tournant le dos. Elle reste un petit moment devant la porte du four. Estelle me masturbe doucement en murmurant : << Vieux cochon. Et je l'aime mon vieux cochon ! >>.

Clémentine se redresse, vient nous rejoindre en disant : << Un vieux cochon que je te prête ! >>. Nous rions. Estelle met les assiettes et les couverts. Clémentine coupe les endives déjà lavées pour les rajouter à l'assaisonnement déjà prêt. La chaleur d'un four d'une cuisinière à bois ne se contrôle pas. Aussi il faut être vigilant. Pas de sonnerie non plus. La tourte au poireaux doit simplement réchauffer. Elle est déjà cuite, dorée à point. C'est Estelle qui la sort du four. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le week-end à venir. Il sera chargé.

Estelle prend l'avion pour Los Angeles lundi matin. Elle ira passer quatorze jours à Santa Monica, dans la famille de la maman de Gauvain. Elle est à la fois tristounette de ne pas venir avec nous en Écosse, mais impatiente de découvrir la Californie. << Demain soir j'ai "partouze à deux" avec mon parrain ! >> lance t-elle. << Et ce soir tu as "partouze à trois avec nous deux ! >> dit Clémentine. Nous rions aux éclats. La vaisselle. Estelle devra nous laisser pour 22 h. C'est donc avec une impatience folle qu'elle nous entraîne au salon. Elle se déshabille.

Toutes les deux, juste en chemises à carreaux, en chaussettes, sont assises sur le bureau. C'est que ce bureau en a vu de toutes les couleurs. Estelle et Clémentine adorent baiser dessus. Je dois garder mon jeans. Rien ne les excite davantage que juste ma bite qui dépasse de ma braguette. Je me penche pour goûter au minou d'Estelle. Je passe à celui de Clémentine. Les coquines se masturbent en attendant mon intromission. Je pénètre d'abord Estelle que je baise à la hussarde. Sous les gémissements de mes deux anges qui se masturbent.

Je passe à Clémentine pour quelques instants d'immobilismes profonds. Je passe de l'une à l'autre. Le lecteur qui suit nos aventures sait à quel point nous aimons le "travail" de bureau. L'orgasme d'Estelle la fait hurler. L'orgasme de Clémentine la fait pisser en rugissant. Malgré mes précautions en tenant la cuvette, il en gicle toujours partout. Reprendre ses esprits est difficile. Estelle et Clémentine se refilent encore un peu ma bite qu'elles sucent en échangeant leurs impressions. J'éjacule n'importe comment mais elles récupèrent avec soins et agilités.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont encore se faire nettoyer le minou un peu, sous les draps. Sucer encore un peu, avant un bon dodo...

Julien



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Homme, 53 ans, France
Classe - 48 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2099 -



La soirée avec Juliette

Hier matin, mercredi, l'application "océan" nous inflige un réveil en beauté. Cris de mouettes, bruits de moteurs de chalutiers, marins qui se hèlent. Tout y est. Comme si nous étions dans un port en Écosse. Tout cela ne dure que quarante cinq secondes et il est presque six heures. Clémentine, serrée contre moi toute la nuit, se blottit encore plus fort. Dans un gémissement, en s'étirant, elle fait : << Je reste au lit. Je démissionne ! >>. Quelques papouilles. Quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes. Il fait encore bien frais dans la maison.

Dans nos habits de gym, morts de faim, nous dévalons les escaliers. Les radiateurs viennent de s'enclencher. J'allume immédiatement la cuisinière à bois. Clémentine, sautillant sur place, fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. La "baise partie" en compagnie d'Estelle. << C'est ça qui rend nos levés pénibles et difficiles ! >> dit Clémentine en posant sa main sur la mienne. Nous mangeons de bon appétit en riant déjà beaucoup. Il est rapidement 6 h25. On remonte.

L'entraînement, avec une intensité maximale. C'est la seule façon d'émerger complètement dans nos cas. Aérobic, joggings sur tapis roulants. Les exercices au sol composés dans leur grande partie d'abdos avant les charges additionnelles. Nous privilégions aujourd'hui les barres et les haltères libres. Le stretching, quand il est correctement effectué, permet par des étirements un parfait retour au calme. Nous avons toujours tendances à précipiter les choses avant la douche. Il fait à présent bien chaud partout dans la grande demeure. Déjà 7 h25.

Je redescends le premier car il est préférable de faire chauffer la voiture. Même si le thermomètre extérieur est légèrement remonté, il affiche tout de même moins 2°. Presque 7 h45 alors qu'il fait encore nuit. Clémentine me rejoint chaudement emmitouflée dans son anorak. Un dernier bisou en me disant : << Tu seras bien vicelard ce soir avec Juliette hein ! >>. Nous en rions. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud pour faire notre vaisselle, notre lit. Dans l'atelier j'allume la cheminée.

Une belle flambée dans de rapides crépitements. Installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je termine probablement ce soir cette cinquième nature morte destinée à ma saison de l'été prochain. Je peins dans la sérénité du travail accompli. Livré corps et âme à ma passion je n'ai aucune perception du temps qui passe. Il est midi. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je mets une bûche dans la cuisinière à bois. Il me suffit de réchauffer la dernière part de Flamiche Picarde. La tourte aux poireaux.

Une salade de carottes et voilà un délicieux repas. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. La gouaille d'André Bercoff est encore fort plaisante. Surtout qu'il reçoit deux journalistes qui enquêtent sur les véritables enjeux de la coupe du monde de football. Les dessous politiques, financiers et les incroyables corruptions qui sont les véritables dessous de cette gigantesque escroquerie planétaire. J'écoute. Passionné. Pour ce soir j'envisage un gratin de coquillettes avec des bouchées à la reine. Je fais immédiatement bouillir l'eau. Du gros sel.

Je concocte la Béchamel dans laquelle je rajoute de l'émincé de thon, des petits champignons. De l'ail, de l'échalote du gruyère de Comté. Préparations rapides. J'égoutte les coquillettes. Je remplis les quatre grosses bouchées à la reine. La quatrième sera pour mon repas de demain, midi. Je les place dans le grand plat carré en terre cuite. Je les cale avec les coquillettes qui les entourent de partout. Je recouvre de gruyère de Comté, de fines tranches de Morbier. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillé. Les onze cerneaux de noix.

Au four électrique. Pour être meilleur il faut que ça mijote longuement à 180°. Je lave le gros concombre, je prépare l'assaisonnement de la salade. Tout est prêt pour le repas de ce soir. La vaisselle avant de monter me laver les dents. Je redescends à toute vitesse. Pressé d'aller faire quelque pas au dehors. J'éteins la radio parce que je n'en ai strictement rien à foutre du football. Surtout que les spéculations des animateurs d'informations se faisant passer pour des journalistes sont aussi ridicules que cette absurdité sans nom. J'enfile mon anorak.

Le thermomètre extérieur indique 2°. Par contre, à cause de la bruine sur le sol gelé, il y a du verglas. Je pense à Clémentine. Je la sais extrêmement prudente. Mais comme elle m'avoue adorer se masturber sur la route du retour, après les cours, je m'inquiète tout de même un peu. Il est 13 h30. Je mets deux bûches dans la cheminée. Il fait bien chaud dans l'atelier comme dans le reste de la grande maison. Confortablement installé devant mon chevalet, je peins avec ce même profond sentiment de sérénité absolue. L'après-midi passe aussi vite.

Il est 17 h45 quand Clémentine rentre de cours. À cause de ce maudit verglas, elle a roulé doucement. Assise à califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Le nouveau sujet proposé par un troisième étudiant de son groupe. Elle a encore du travail. La voilà assise devant son ordinateur à rédiger son compte-rendu. Il est 18 h15 quand je dépose la dernière touche de blanc de titane sur la surface de ma toile achevée. Du bon boulot. Je nettoie la palette, les pinceaux.

<< On a les résultats du labo ! >> lance Clémentine qui les tire sur l'imprimante. Pendant que je me lave les mains, la bite posée sur le rebord de faïence, elle vient me rejoindre devant le petit lavabo de l'atelier. Tout en me tenant ma bite pour en diriger les multiples petits jets, Clémentine me fait la lecture de son écrit. << J'adore sentir passer la pisse dans le tuyau ! >> s'écrie t-elle entre deux phrases. Ce qui rend sa narration légèrement surréaliste. Nous retournons à l'imprimante. Les résultats complets de nos checkups. Concluants. Supers !

<< On est bons, on est sains, on peut partir tranquilles en Écosse. On peut partouzer peinards vendredi soir ! >> lance Clémentine en éteignant l'ordinateur et l'imprimante. Il est 18 h35 quand Juliette entre dans l'atelier. Nos intimes ont pour consigne d'entrer chez nous sans prévenir. Ce soir encore cette sublime bourgeoise de 48 ans est élégamment vêtue de sa tenue d'écuyère sous sa cape cintrée et très XIXème. Son pantalon beige aussi moulant qu'un legging, son gilet aux motifs "prince de Galles". Ses hautes bottes de cuir noir. Cavalière.

Elle fait trois bises à Clémentine. En faisant mine d'ignorer complètement la bite qui pend de ma braguette elle m'en fait également trois. Je la débarrasse de son manteau. Sa taille de guêpe, son physique d'athlète. Une merveille. Elle pourrait être la maman de Clémentine et n'a strictement rien à lui envier. Ses longs cheveux restent ce soir en libertés. Ils flottent sur ses épaules. Elle lit les résultats de nos analyses médicales. << C'est parfait. J'aurai celles des autres protagonistes demain. Pas de documents, pas de partouze ! >> s'exclame t-elle. Rires.

Juliette aussi adore l'ambiance très particulière qui règne dans l'atelier. Cette grande pièce. Elle admire les poutres apparentes, les moulures du plafond. Et surtout la grande cheminée où dansent les dernières flammes. S'installant devant ma toile achevée, elle me fait : << L'an prochain, j'aurai les moyens de m'en offrir une ! >>. Je la rejoins. Debout à sa droite, je demande : << Un paysage, une nature morte ou un portrait ? >>. Juliette tourne la tête. Elle fixe ostensiblement mon sexe en répondant : << Un mixe des trois ! C'est faisable ? >>.

Je trouve l'idée parfaite. Pourquoi ne pas réaliser une nature morte sur fond de paysage que le regardant verrait derrière les fruits, les objets ? En même temps qu'un portait dans un cadre ancien ? << Génial ! >> lance Juliette lorsque je fais une rapide esquisse de l'ensemble. Clémentine contre moi qui me regarde dessiner. J'ai la bite qui pend mollement. Juliette se lève à son tour. Toutes les deux serrées contre moi pour me regarder crayonner. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Juliette a ramené une tarte aux poires.

Quand elles découvrent ce que je sors du four électrique pour le placer dans le four à bois, Juliette et Clémentine me couvrent les joues de bises. << C'est magnifique ! >> s'écrie Juliette qui passe affectueusement sa main sur ma joue. << Comme ça va être bon ! >> lance Clémentine qui vient s'interposer. Attitude qui m'amuse toujours beaucoup. Juliette étant la seule femme suscitant la jalousie de ma compagne. La seule rivale potentielle. Dans ma tranche d'âge, cette femme exerce d'ensorcelants charmes sur ma psyché. Mais pas d'inquiétudes.

Clémentine coupe le concombre en fines tranches. Elle y rajoute de fines lamelles d'un avocat bien mûr. Le tout dans l'assaisonnement déjà prêt. Juliette met les assiettes, les couverts. Debout à côté de Clémentine, je lui fais des bisous en jouant avec ma queue. Sous le regard amusé de Juliette qui mâte, les mains sur les hanches. Il faut contrôler le plat dans le four à bois. Il n'y a pas de sonnerie. Aussi c'est Juliette qui s'accroupit devant la vitre fumée, derrière les barreaux. Elle sait elle aussi que j'adore regarder une femme accroupie de dos.

Elle écarte ses cuisses. Je me branle. Clémentine me fait un clin d'œil. Enfilant les maniques qu'elle tient, Juliette ouvre la porte du four pour en sortir le plat. Dorée, fumant, emplissant la grande pièce de ses effluves divines. Nous mangeons de bon appétit. Juliette nous raconte un peu de son quotidien de chef d'entreprise. La logistique inhérente au fonctionnement d'un grand haras accueillant 87 chevaux en pensions jusqu'au printemps. Il y a toujours d'amusantes anecdotes. Surtout concernant son personnel. Son vétérinaire. Toutes les maintenances.

C'est devenu un jeu, un rituel. Lorsque Juliette aborde le sujet que nous partageons, elle observe le mouvement de mon bras gauche. Je me branle sous la table. Clémentine adore quand je fais ça devant une autre femme. Les réactions de cette dernière l'excite terriblement. Quand je me lève pour me masturber dans leurs directions, Juliette et Clémentine posent les fourchettes comme pour admirer. Le regard sévère de Juliette fait partie de ce jeu. Ses yeux fixent mon activité avant de pénétrer les miens. Ça m'excite. Je bande comme le dernier des salauds.

Je contourne la table pour venir me positionner sur la droite de Juliette. Elle recommence à manger avec une certaine méfiance. Avec cette femme, autoritaire et dominatrice, je m'abstiens d'en rajouter. J'ai une folle envie de lui frotter la bite sur la joue. Clémentine, tout en mangeant m'observe avec attention. Juliette tourne la tête, lève les yeux pour dire, la bouche pleine : << J'aime les types dans votre genre ! >>. Nous éclatons de rire. Avant de retourner m'assoir je propose ma queue à Clémentine qui me l'attrape. Elle y dépose des bisous.

Après avoir avalé, elle gobe la peau fripée du prépuce. Juliette cesse de manger pour regarder cette scène surréaliste. Juliette répète : << J'aime les types dans votre genre ! Vivement vendredi soir ! >>. Me voilà de retour devant mon assiette. Clémentine précise qu'Estelle ne sera pas des nôtres vendredi soir. << Quel dommage de se priver ainsi ! >> lance Juliette. Clémentine rajoute : << Ce n'est plus son truc. Et pour moi aussi ça commence à me passer. Ce sera peut-être la dernière fois ! >>. Juliette demande : << Et un bon Gloryhole ? >>.

<< Ça, pas de problème. Un bon Gloryhole tous les trois quatre mois, j'adore l'idée ! >> précise Clémentine. << À la bonne heure ! >> s'exclame Juliette. Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Juliette devra nous laisser pour 22 h. Il nous reste une heure quinze. C'est au salon que nous dégustons la tarte aux poires. Considérablement excitée aussi, Juliette se touche. Son index caresse la couture centrale de son pantalon d'écuyère. Elle appuie. Ce qui a pour effet d'accentuer le relief que font les bosses de ses lèvres intimes sous le tissu beige.

J'adore me lever pour aller les caresser du bout des doigts. Juliette vautrée dans le fauteuil qui nous fait face. La cuisse gauche sur l'accoudoir gauche, la cuisse droite sur l'accoudoir de droite. Je m'accroupis devant elle. J'adore faire rouler ces deux petites boules entre mes doigts. Juliette, stoïque, maîtrisant parfaitement ses émotions, me fixe dans les yeux. Clémentine, une main dans son jeans déboutonnée, joue dans sa culotte. Les petits frissons qui agitent l'intérieur des cuisses de Juliette sont passionnants. Je pose mes mains sur ses seins.

Des seins fermes, merveilleusement moulés sous son gilet. Elle a un sursaut. Un réflexe qui agite tout son corps. << Alors là, vous dépassez les limites de la convenance la plus élémentaire cher vicelard ! >> lance Juliette en saisissant mes poignets afin que surtout je ne cesse pas. Je me redresse pour lui présenter mon érection. Les mains sur les hanches, par contractions des muscles fessiers, je fais bouger ma queue. << Fameux ! >> dit encore Juliette qui à présent se touche franchement. Je regarde attentivement. Il se forme une tache sur le tissu.

Juste entre les deux bosses que formes les lèvres charnues de son sexe. La coquine ne porte probablement pas de culotte. << Génial ! >> s'écrie Clémentine qui découvre le phénomène. Elle dit : << Ça me donne des idées pour mes exhibes ! >>. Je m'accroupis pour mieux voir. La tache devient de plus en plus apparente sur le tissu beige, juste à l'endroit de la vulve. Comme fière de la mouille qui macule son entrejambe, Juliette fait : << Ça émoustille toujours le regard de ceux qui s'en rendent compte ! >>. Clémentine dit : << Je comprends ! >>

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui après la visite d'une amie intime, se retrouvent toutes excitées sous les draps. À se faire tringler, lécher et enfoncer la bite dans la bouche avant un bon dodo...

Julien (vicieux pour dames vicieuses)



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Une belle soirée avec Estelle

Hier matin, jeudi, il est presque six heures. L'application "océan" nous arrache de nos profonds sommeils. Les illusions bluffantes de nous réveiller dans quelques ports écossais. Clémentine pousse un gémissement. Serrée contre moi elle s'étire en murmurant des propos totalement incompréhensibles. Trébuchant sur les mots qui commencent à prendre forme. Nous rions encore à moitié endormis. Quelques bisous, quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Il fait froid dans la maison car les radiateurs viennent de s'enclencher.

Morts de faim, vêtus sport, nous dévalons les escaliers. Nos rituels matinaux prennent vie. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. J'allume la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier. Les attitudes, les comportements et les propos de Juliette. Nous la revoyons demain soir, chez elle, au haras pour la "partouze de Noël". C'est ainsi que l'appelle Clémentine qui rajoute : << J'ai la trouille. C'est toujours comme une première fois. Et pourtant je suis excitée au-delà du raisonnable ! >>. Nous rions.

Nous mangeons de bon appétit en développant le programme qui nous attend ce week-end. Nous avons notre avion pour Édimbourg ce dimanche à 14 h45. La matinée sera consacrée à la préparation de nos bagages. Il est 6 h25. Nous remontons pour achever de nous réveiller complètement. Et pour ce faire la meilleure formule reste l'entraînement physique. L'échauffement de l'aérobic, le jogging sur les tapis roulants. Les exercices au sol, les abdos avant les charges additionnelles. Le retour au calme avec les étirements d'un bon stretching.

La douche. Je me précipite dans les escaliers pour aller faire chauffer la voiture. Il commence à faire bon dans la maison. Le froid est glacial. Il y a du givre, probablement du verglas. Presque 7 h45. Clémentine, emmitouflée dans son anorak, ressemblant à une esquimau, vient me rejoindre en sautillant pour se réchauffer. Un dernier bisou. << Je te promets de faire très attention sur la route ! >> dit elle. Je la regarde partir. Son auto est équipée des pneus idoines. Mais c'est préférable de redoubler de prudence alors que le jour se lève à peine. Un coucou.

Je me dépêche de rentrer au chaud pour faire la vaisselle, notre lit. Dans l'atelier j'allume un beau feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je commence ce matin la sixième nature morte destinée à ma saison 2023. Sachant que sa réalisation restera en suspend jusqu'à notre retour d'Écosse en janvier. Je peins dans une profonde sérénité. La matinée passe encore tellement vite qu'il est déjà presque midi. Je dépose deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il fait bien chaud.

Je mets également une bûche dans la cuisinière à bois. Depuis hier, l'électricité qui alimente la maison provient des batteries. Je teste le fonctionnement de l'ensemble par ces conditions extrêmes. Les panneaux photovoltaïques extérieurs se dégivrent et se gèrent par eux-même. Il est impossible de faire une différence entre le réseau électrique et notre installation. Tout fonctionne à l'identique. Il reste des coquillettes et une bouchée à la reine que je réchauffe dans le four à bois. Il suffit simplement de faire une petite salade de carottes.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff reçoit aujourd'hui un scientifique et un virologue. Il est question de la "neuvième vague Covid 19". Bien évidemment, sur une station indépendante, loin de toutes pressions des lobbys, les révélations sont d'une toute autre nature. Infiniment moins anxiogènes. Je mange de bon appétit en envisageant notre repas de ce soir. J'adore faire des surprises à mes deux anges. Comme Estelle viendra partager notre soirée, je veux que la fête soit totale. Comme la "fête totale" qu'elle va exiger.

Je prépare une belle pâte à pain. Farine complète et bio à laquelle j'incorpore de l'ail pressé, du Parmesan finement râpé en poudre. Sel, levure boulangère. Le jus d'un oignon. Je pétris longuement pour la rendre onctueuse. Je recouvre d'un linge afin qu'elle gonfle jusqu'à ce soir. Je coupe de belles tomates bien juteuses en morceaux. Je les fais cuire dans la poêle avec de l'ail et de l'échalote. J'y rajoute des crevettes rissolées, du persil, de la ciboulette. Je recouvre hors feu d'un couvercle. Je râpe une grande quantité de gruyère de Comté.

La vaisselle. Je monte me laver les dents en chantonnant. Notre repas de ce soir est prêt. Les filles adorent la pizza. Il faut juste souhaiter qu'elles n'en ont pas mangé à midi au restaurant universitaire. Pressé d'aller marcher un peu, je redescends à toute vitesse pour enfiler mon anorak. Bonnet et gants obligatoires. La température extérieure est de moins 2°. Un sacré contraste avec les 23° qui règnent dans la demeure. Dans l'abri à bois je remplis la brouette de bûches. Une vingtaine à chaque voyage. J'en fais deux. Je préfère toujours stocker.

Avec ce froid, la consommation de bois est conséquente. Du hêtre dans les cheminées de l'atelier et du salon. Du chêne pour la cuisinière à bois. Il est 13 h50 quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé des mêmes sérénités rassurantes que ce matin. La perspective de notre départ pour Édimbourg dimanche me fait pousser les cris les plus surréalistes. L'après-midi passe aussi vite que la matinée. Il est 17 h45 quand Clémentine rentre de cours. Elle jette son cartable dans le fauteuil à bascule en se précipitant vers moi.

Assise à califourchon sur mes cuisses, se frottant lascivement, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Ouf. Ce n'était pas de la pizza. Clémentine a encore du travail. La dernière mise au point de son écrit. Un résumé du sujet proposé par un étudiant de son groupe. << Je te promets, je roule hyper doucement. C'est pour ça que je mets un quart d'heure de plus pour rentrer ! >> me fait elle. Il est 18 h15. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine me fait la lecture. << Je termine en cours demain matin ! >> dit elle.

Nous sommes assis sur les pouffes devant la cheminée. Lumières éteintes. Les danses des dernières flammes sont un véritable spectacle. Il est 18 h30 quand Estelle jaillit dans l'atelier comme un ouragan. Elle se précipite pour s'assoir sur l'épais tapis, tout contre moi. Ses bras autour de ma taille. << Je n'arrête pas de penser à l'Écosse. Elle va me manquer autant que vous pour les fêtes ! >> lance t-elle. << Tu seras en bonne compagnie, sous le soleil californien alors que nous on va se cailler les miches ! >> dit Clémentine. Nous rions de bon cœur.

Je demande : << Il t'a niqué ton parrain hier soir ? Raconte-moi ! >>. Estelle glisse sa main dans ma braguette béante en répondant : << Tu penses bien ! Le froid exerce sur Jean-Marc un effet aphrodisiaque ! Une vraie machine encore hier soir ! >>. Nous rions aux éclats. Une fois encore c'était dans les locaux de l'entreprise familiale. Dans un des bureaux bien chauffés. Lumières éteintes pour une baise qui a duré une bonne heure. << Je suis certaine que maman s'en doute. Elle me regarde d'une étrange manière quand je reviens ! >> dit Estelle.

Elle rajoute : << Donc, ce soir, si tu veux bien, il va falloir contrôler tout ça ! >>. Je glisse ma main entre ses cuisses. Je m'attarde à l'endroit de son sexe pour dire : << Après le repas, "contrôle qualité" ! >>. Clémentine rajoute : << En parlant repas, vous n'avez pas faim ? >>. Nous nous levons tous les trois d'un bond. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand les filles découvrent les préparatifs elles me sautent au cou. << Je t'enduis la bite de farine ! >> s'écrie Estelle en saupoudrant de la farine sur la nappe. Elle travaille bien la pâte.

Clémentine réchauffe la garniture. << Mmmhh, ça sent bon ! >> s'exclame t-elle. Sur la cuisinière à bois, hyper chaude, il faut remuer sans arrêt. Estelle étale la pâte sur les quatre grandes plaques. Clémentine y verse la garniture que j'étale soigneusement jusque sur les bords. Estelle recouvre du gruyère de Comté déjà râpé. Trois plaques dans le four à bois. Une plaque dans le four électrique. Ce sera pour notre repas de demain midi. << Sors le Zob monsieur ! >> me lance Estelle avec ses mains pleines de farine. Elle m'en enduit la queue molle.

<< On dirait un nem ! >> lance Clémentine. Nous rions de bon cœur. Les filles me font tourner sur moi-même. Je suis une fois encore livré à leurs jeux. En faisant très attention de ne pas mettre de farine sur leurs jeans, sur la pointe des pieds, penchées en avant, se tenant à mes épaules, elles m'embrassent. Chacune à son tour fouille ma bouche de sa langue. Ce qui a pour effet de me faire bander comme le dernier des salauds. Ce qui a également pour effet de craqueler la farine qui a séché sur mon Zob. Je ne connais rien de plus désagréable.

Estelle en raffole. Accroupie devant moi, avec beaucoup de soins, elle lèche ma queue pour la nettoyer de toute sa farine. Clémentine, pliée de rire, penchée en avant, les mains sur ses genoux, assiste à ce spectacle surréaliste. Parfois, entre deux léchouilles, Estelle gobe mon sexe pour suçoter. J'ai les mains sur les hanches. Par contractions des muscles fessiers, je fais bouger ma queue. Elle rate souvent la cible de sa langue car le Zob lui échappe. << On bouffe, sinon ça crame ! >> lance Clémentine qui sort les pizzas du four. Trois pures merveilles.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos vacances de fin d'année. Estelle ne cache pas son trouble. Elle qui a une peur bleue de l'avion va passer plusieurs heures dans le ciel. D'ici à Paris. Paris New-York, New-York Los Angeles. Nous l'écoutons évoquer ses angoisses. << Et pareil pour revenir ! >> s'écrie t-elle en s'asseyant sur mes genoux. Elle me couvre les joues de bisous en précisant. << Non, il ne se passera rien avec Gauvain. J'aurai ma chambre à Santa Monica ! Je ne baise qu'avec toi et parrain ! Deux queutards ça me suffit ! >>. Rires.

La vaisselle. C'est Estelle qui m'entraîne par la queue. Clémentine me tient la main. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il nous reste une bonne heure. Mes deux anges retirent leurs bottines, leurs jeans et leurs culottes. Toutes les deux, une fois encore vautrées dans le canapé pour m'offrir leurs chattes. Je commence évidemment par le "contrôle" sur celle d'Estelle. Les odeurs de sa journée de fille m'enivrent avant que son jus me procure les plus suaves vertiges. Je me bouffe de son yaourt avec délice. Je passe à celle de Clémentine qui se masturbe.

Je me bouffe de la moule avec un appétit féroce. C'est trop bon. Même si je retire d'importantes quantités de poils de ma bouche, je savoure mon dessert préféré. Ce soir encore mes deux anges stimulent leurs clitoris avec une fougue qui les fait gémir de plaisir. Elles cessent quand ma bouche se pose dessus pour sucer. Dans un concert stéréophoniques de cris en plaisirs majeurs. La Coda s'annonce grandiose. Un final philharmonique digne des plus grands chefs d'orchestres. D'abord celui d'Estelle dans son interprétation de la Traviata. C'est du grandiose.

J'anticipe. Avant d'offrir le sien à Clémentine qui se contorsionne de plaisir, je saisis la cuvette en plastique toujours prête sous le guéridon. J'oriente convenablement le récipient au moment où Clémentine me repousse délicatement. Estelle, serrée contre moi, accroupie contre mon dos, se frottant sur mes fesses, observe cet étrange spectacle. L'orgasme pisseux de Clémentine qui hurle comme une démente. Je pose précautionneusement la cuvette emplie aux deux tiers de pisse moussue pour savourer les dernières giclées. Le mélange me fait délirer.

Clémentine, toute rouge, le visage couvert de sueur, des cheveux qui collent sur sa joue, caresse mon visage en murmurant : << Je vais devenir folle ! >>. Estelle, qui est à genoux derrière moi, ses bras autour de ma taille, me tenant le Zob, rajoute : << Moi je le suis déjà ! >>. Elle me contourne pour se mettre à quatre pattes contre le canapé. Elle se penche pour sucer. Avec l'excitation elle a vraiment de quoi se régaler elle aussi. Il va être l'heure. Je lui éjacule au fond de la gorge en maintenant fermement sa tête. Elle avale en toussotant. Dur !

Bonne nouille à toutes les coquines qui une fois sous les draps vont encore suçoter un peu. Se régaler de ce fond de cuve réservé aux "connaisseuses"...

Julien (pizzaiolo pour étudiantes)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe



Le petit monde de Clémentine et de Julien

Après plus de 2100 épisodes le plaisir de partager nos aventures reste intact. De sacrés moments.
C'est une véritable joie de publier nos récits quotidiennement. C'est même devenu une nécessité.

Bien évidement, les noms, les prénoms, les lieux ne sont qu'autant de pseudonymes sans réalités.
Il est préférable de préserver son anonymat. Sur Internet mais également sur les forums "sexes".

Je remercie nos lectrices, nos lecteurs pour leurs fidélités, pour l'intérêt qu'ils nous portent.
Tout particulièrement celles et ceux qui entretiennent avec nous un contact en messagerie privée.

Nous avons autant de joie à pratiquer les échanges en messagerie privée qu'à narrer nos aventures.
C'est très intéressant, souvent amusant et parfois passionnant. Certains "amis" depuis cinq ans.

Je vous souhaite d'excellentes lectures, de belles découvertes et de passer du bon temps avec nous.

Cordialement.

Clémentine et Julien

Classe

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Classe - 1 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2101 -



La partouze de Noël

Hier matin, vendredi, l'application "océan" accomplit son forfait quotidien sur nos profonds sommeils. Même si cela ne dure que quarante cinq secondes, la sentence est difficile. Il est presque six heures. Le cris stridents des mouettes est le plus pénible. Comme en gémissant de douleurs, Clémentine enfuit son visage dans mon cou, se blottissant encore plus fort. Quand elle termine à midi, elle est rapidement déconneuse dès le réveil. Quelques papouilles et quelques bisous plus tard, poussés par l'impérieuse envie, nous courons aux toilettes.

<< Put-Hein ! Ça caille tous les jours davantage ! >> lance t-elle alors que nous passons nos vêtements de sport. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. J'y allume immédiatement la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, pèle les kiwis, presse les oranges. En sautillant sur place car le thermomètre n'indique que 17°. Les radiateurs viennent de s'allumer eux aussi. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. La soirée "léchage de minous" du jeudi en compagnie d'Estelle. Nous en rions beaucoup.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant ce qui nous attend ce soir. La "partouze de Noël" chez Juliette. << Je suis morte de trouille. J'ai peur d'y aller ! >> lance Clémentine qui vient s'assoir sur mes genoux pour terminer sa tartine au miel. Je dis : << On peut annuler. Je téléphone ! >>. Clémentine s'écrie : << Non, je vais surmonter ! >>. Nous rigolons comme des bossus avant qu'elle ne rajoute : << Tu ne baises avec aucune des deux salopes, hein, promis ! >>. En riant je réponds : << Non, promis. Par contre je vais me faire sucer ! >>.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Très facétieuse, Clémentine nous emmène dans l'échauffement aérobic en virevoltant. Le jogging sur tapis roulants où elle se tourne pour courir à l'envers, manquant de perdre l'équilibre. Je suis plié de rire quand nous attaquons les exercices au sol et les abdominaux. Avec les charges additionnelles, c'est du sérieux. Impossible de déconner pendant les manipulations. Le retour au calme avec les étirements du stretching où Clémentine revisite toutes les mimiques de Benny Hill.

La douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Le thermomètre extérieur indique moins 6°. Le froid est polaire. Tout est recouvert d'une fine couche de givre ou de neige poudreuse. Le jour commence à se lever. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre chaudement vêtue. En sautillant sur place nous échangeons le dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou avant de me précipiter dans la maison. Il y fait bien chaud à présent. Déjà 22° partout sauf dans la chambre où je fais le lit après la vaisselle.

Dans l'atelier, j'allume une belle flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de la sixième nature morte destinée à l'été prochain m'absorbe rapidement. Je peins en pensant aux appréhensions de Clémentine quand à la partouze de ce soir. Nous en avons déjà vécu quelques unes depuis presque cinq ans. À chaque fois ses craintes et ses inhibitions naturelles de jeune fille la plongent dans les tourments de l'anxiété. Je n'ai jamais vu les heures d'une matinée passer aussi vite. Il est presque midi.

Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il y a la quatrième pizza à réchauffer. Elle est énorme. Je la place dans le four à bois. Il est hyper chaud. J'entretiens le feu en déposant une bûche de chêne dans la cuisinière. Pendant ce temps je prépare une belle salade d'endives. Je suis à la tâche en écoutant Sud Radio. André Bercoff reçoit un journaliste sportif en pleine enquête sur les dessous de la coupe du monde de football. Les enjeux économiques et les agissements secrets peu reluisants des dirigeants européens.

Il est midi quarante cinq quand Clémentine rentre de cours. J'éteins la radio. Elle me saute au cou. Je la soulève. Enserrant ma taille de ses jambes, me couvrant le visage de bisous en mitrailles, elle se fait emmener aux toilettes. Le rituel pisseux avant de nous laver les mains. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Les appréciations de son groupe d'étudiants. C'est le début des vacances scolaires. La rentrée est fixée au mardi 2 janvier. << Ils ont enfin salé la route. Il a fallu trois jours ! >> s'exclame Clémentine.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revisite le programme du week-end. Tout ce qu'il ne faut pas oublier avant notre départ. Les préparatifs. Nous ferons les valises demain après-midi. Il faut rationaliser. Il est exclu de se surcharger. Aussi, Clémentine fait l'inventaire des vêtements à emporter. << Le strict minimum ! >> précise t-elle le plus sérieusement du monde avant d'éclater de rire. Elle sait bien qu'elle emmène pour deux semaines des fringues pour un mois. << Aide-moi ! >> fait elle.

Je promets de superviser le remplissage des deux valises. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle bain. Une fois encore la surprise est grande. En redescendant Julie est au bas de l'escalier à se débarrasser de son anorak. Elle monte quelques marches avant que nous ne soyons en bas. Trois bises à Clémentine. Trois bises sur mes joues, ma bouche. C'est la seconde fois que notre douce amie a le réflexe de poser ses lèvres sur les miennes. Rapide comme l'éclair.

Nous la prenons par le bras pour l'entraîner dans l'atelier. Après tout, Julie vient pour son cours de peinture. Jolie prétexte pour être en nos compagnies. << Ça va être dur de ne pas vous voir jusqu'à la rentrée ! Je n'arrête pas d'y penser ! >> lance t-elle en se serrant contre Clémentine toujours un peu embarrassée de tant de sollicitudes. Julie s'assoit devant ma toile qu'elle scrute avec attention. Clémentine mime une masturbation masculine en me faisant un clin d'œil. Ce qui échappe complètement à Julie concentrée sur ma peinture. Je capte.

Je sors ma queue qui pend mollement de ma braguette. Je me place à droite de Julie qui tourne la tête pour s'en apercevoir. << Ça aussi ça va me manquer ! >> lance t-elle dans un soupir de dépit. Nous rions de bon cœur quand Clémentine dit : << Tu en auras plein à voir dans les chiottes du restau durant ces vacances ! >>. Julie répond : << Arrête, je vais bosser tous les soirs sauf le 25 décembre. Toutes les tables sont réservées jusqu'au premier janvier. Heureusement qu'on est à trois pour assurer le service ! >>. Je saisis mon sexe à sa base.

Je le secoue vers le visage de Julie qui est une fois encore comme hypnotisée par le "spectacle". Je murmure : << Le Chef de cuisine va pouvoir se vider les couilles ! >>. Clémentine rajoute : << Oui, Jean-Louis va pouvoir t'enculer tous les fins d'après-midi avant le service ! >>. Nous rions de bon cœur. Julie fait encore : << Durant les coups de feu des vacances de fin d'année, je préfère après le service de midi. Vers 14 h nous sommes tranquille dans la réserve à côté des cuisines. Juste Anne-Marie, Jean-Louis et moi ! >>. J'agite ma queue mollasse.

Julie se lève pour aller devant la cheminée. Clémentine est devant son ordinateur. Elle archive quelques documents virtuels. Je prépare le chevalet de table, la boîte de peinture, la palette et les pinceaux. Rêveuse, un peu tristounette, Julie s'accroupit devant l'âtre. Le spectacle des flammes subjugue. Je la rejoins. Une fois encore, debout à sa droite, je fais "l'hélicoptère". Elle tourne la tête pour regarder les rotations de plus en plus rapides. Je fais tournoyer mon sexe en disant : << Vous allez beaucoup nous manquer aussi Julie. On pensera à vous ! >>.

<< On garde le contact. On se fait un courriel tous les jours. On se fait des moments caméras par Instagram ! >> lance Clémentine. Julie s'écrie : << Ah oui, génial. On se voit en temps réel ! Wapchat si Instagram déconne ! >>. Dans un élan soudain joyeux, Julie se redresse pour me sauter au cou. Sur la pointe des pieds, elle me fait plusieurs bisous sur les lèvres. Je bande mou. Elle cesse pour regarder. << Je peux ? >> me demande t-elle. Je réponds : << Mais servez-vous chère demoiselle. C'est à votre bon vouloir ! >>. Julie saisit ma queue. Timide.

Immobile, ma bite entre ses doigts, comme ne sachant qu'en faire, elle me fait le plus merveilleux des sourires. Même si elle reste incapable de soutenir mon regard. Elle préfère fixer ce qu'elle tient dans sa main. Je dis : << Vous devriez venir en partouze avec nous ce soir, elle ne serait que pour vous ! >>. Julie rit, toute gênée, pour préciser : << Plus jamais rien avec Juliette et puis de toutes façons je travaille ! >>. Je la félicite en lançant : << Vous êtes admirable Julie. Vos études, la préparation de votre Licence de Lettres Modernes et le restau ! >>.

<< Oui, je ne sais pas comment tu fais ! >> dit Clémentine en fermant un des classeurs qui l'entourent. Julie répond : << Le temps que j'arrive à voler pour être avec vous est un des moteurs qui me motivent ! >>. Je la prends dans mes bras pour la bercer. Elle lâche mon Zob pour s'accrocher à mes épaules. Je rajoute : << À notre retour, en janvier, on se fait une partouze rien qu'à nous ! >>. Julie se blottit fort. Dans un profond soupir elle dit : << Oh oui ! Juste nous trois ! >>. Je la soulève pour la promener comme une jeune mariée dans l'atelier.

Je viens l'installer devant son chevalet. Elle termine cet après-midi ce petit paysage. Il faudra toutefois qu'il sèche une bonne semaine. Je précise : << Julie, vous êtes ici chez vous, vous le savez. C'est votre seconde résidence. Vous savez où est la clef. Je vous missionne. Venez vous y détendre quand vous le souhaitez ! >>. Julie, éperdue de reconnaissance, me dépose une nouvelle bise sur la joue en poussant un gémissement de satisfaction. Je suis assis à sa droite. Je la regarde peindre en jouant avec ma queue sous la table. Elle adore le savoir.

Parfois Clémentine m'adresse un clin d'œil. Je réponds aux questions techniques de Julie. Extrêmement douée en a t-elle vraiment besoin ? Je crois que c'est plutôt pour entretenir la conversation. Se donner de la contenance aussi, peut-être. Il faut dire que pour une jeune fille de vingt et un an qui se retrouve à proximité d'un homme de l'âge de son père qui se masturbe, de la contenance est nécessaire. Je l'admire également pour cette qualité là. Faisant semblant de prendre du recul pour examiner sa peinture, Julie louche sur mon activité manuelle.

<< L'atelier des Arts manuels ! >> lance d'ailleurs Clémentine. Nous éclatons tous les trois d'un fou rire. Julie devra nous laisser pour dix huit heures. Il est dix sept heures trente quand elle dépose la dernière touche de vert d'émeraude sur sa toile achevée. Elle nettoie sa palette, ses pinceaux. Clémentine termine ses classements. Elle a archivé tous les travaux de ce premier trimestre qui vient de s'achever. Nous prenons le thé et quelques petits gâteaux. Julie est entre Clémentine et moi. Nous la rassurons, nous la consolons de ses tristesses.

<< Je viens demain matin pour le ménage ! Ce sera notre dernière fois avant trois semaines. Je déteste les dernières fois ! >> lance Julie. Il est temps de la raccompagner dans la nuit glaciale jusqu'à sa voiture. Les adieux sont difficiles. Julie doit ajuster sa voix pour étrangler ses sanglots. Un dernier bisou. Nous la regardons partir. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Nous montons à l'étage. Clémentine a préparer nos vêtements de change dans la salle de bain. À la fois pleine d'appréhension et d'excitation elle me confie ses émotions.

Clémentine, moi, Bernadette, Juliette, Pierre et Robert

Nous arrivons dans la cour du haras. Il est presque vingt heures. Je gare la voiture. Sur les trois kilomètres qui nous séparent de la maison, Clémentine est restée contre moi. Je roule toujours avec quelques difficultés quand elle réagit comme ça. << Je suis morte de trouille ! >> me dit elle. Je la prends dans mes bras. Je murmure : << Tu préfères qu'on retourne à la maison ? >>. Clémentine m'embrasse passionnément. Je passe ma main entre ses cuisses. << Non, je déteste reculer ! >> chuchote t-elle. Elle rajoute : << On y va ! >>.

Elle sort de la voiture pour sautiller sur place. Telle une athlète, prenant de grandes bouffées d'air, elle me prend par la main. Nous traversons le parking pour entrer dans la nouvelle écurie. Il y a de la lumière. Même des guirlandes accrochées au-dessus des box. Bernadette, dans l'allée centrale, téléphone à la main, semble préoccupée. Elle nous voit entrer. Un grand sourire illumine son visage. Madame Walter est vêtue d'une jupe kilt. Un peu comme celle que porte Clémentine. Nous caressons quelques encolures des chevaux qui nous regardent passer.

Madame Walter raccroche pour nous serrer les mains. << Comme je suis contente de vous voir. Vous vous faites tellement rares ! >> lance t-elle. << Venez, tout le monde est déjà là ! >> rajoute t-elle en nous entraînant. C'est au fond de l'allée, la porte à gauche. Lors de la construction il y a trois ans, Juliette a fait aménagé ici un petit salon de courtoisie. Elle peut y recevoir des propriétaires de chevaux, négocier avec des fournisseurs. Clémentine me tient la main. Toute tremblante. Nous suivons Bernadette qui entre la première. Juliette arrive.

L'ambiance est à la bonne humeur. Pierre, un verre de jus de fruit à la main, bavarde avec Robert, le vétérinaire. Nous nous serrons les mains. Juliette, en parfaite maîtresse de maison, accorde son attention à chacun. Prévenante elle propose boissons, petits salés. Nous avons emmené des petits gâteaux aux noix. Les invités apportent toujours un petit quelque chose. Sur le principe de l'auberge Espagnole. On y trouve ce qu'on apporte. Juliette est également en jupe kilt. Les trois femmes portent bas noirs, bottes à talons. Et c'est le pur hasard ?

Un concours d'élégances féminines autant que masculines. Pierre, Robert et moi sommes en costumes stricts. Il fait bien chaud dans le petit salon superbement aménagé. Deux canapés se font face. Deux fauteuils au fond entre les deux. Il y a un matelas posé sur le parquet. Seul indice qui donne le ton quand à notre raison de nous retrouver là. Je bavarde avec Bernadette. Cette femme m'excite terriblement. Il émane de sa personne ce côté sensuel, discret, des femmes secrètement "disponibles". Nous savons qu'elle est une authentique "soumise".

En couple libertin avec Pierre, ils ont l'habitude de ce genre de réunions. Juliette est intransigeante. Elle exige de chacun des participants un certificat médical de moins de 48 heures. Nous présentons les nôtres. Les six feuilles sont posées sur la table à côté du canapé de droite. Chacun peut les consulter, en vérifier l'authenticité. C'est rassurant. Nous sommes entre esthètes, entre gens du monde, entre libertins. Pas question de transiger avec le règlement imposé par la "patronne". Juliette n'est pas seulement une chef d'entreprise, c'est une "meneuse".

Du coin de l'œil je regarde Pierre qui bavarde avec Clémentine. Depuis le temps qu'il désire la revoir. Il y a au fond de moi cette étrange sensation qui monte. Un mélange de curieuse tristesse, d'excitation et de curiosité. Je ne suis pas jaloux. Je ne connais d'ailleurs pas ce sentiment. Il y a toujours une émotion à voir sa compagne se faire draguer. Clémentine aussi surveille Juliette du coin de l'œil. J'ai interdiction absolue de baiser avec elle. Juliette est la seule femme à inquiéter Clémentine. Elle sait les sentiments de Juliette pour moi.

Bernadette bavarde avec Pierre. Il est le vétérinaire du haras depuis trois ans. Il ne vient pas que pour les chevaux. C'est un homme d'une quarantaine d'années. Plutôt chétif, le visage en lame de couteau, des petites lunettes rondes sur un nez droit. Quand Clémentine en parle, elle l'appelle le "rapace". Il en a le regard vif. Les cheveux noirs légèrement longs, raides coupés très élégamment. En regardant mieux, je découvre qu'il est le premier à avoir la bite à l'air. Le véto fait partie de ceux qui passent leurs queues dans le Gloryhole privé de Juliette.

Mon étonnement ne fait que grandir quand je vois Pierre passer sa main sous la jupe de Clémentine. Il l'attire à lui en la tenant par là. La doigte t-il pour l'attirer ainsi à lui ? Bernadette s'accroupit devant le vétérinaire. Elle offre son visage de femme "docile". Robert y frotte son sexe. Environ quinze centimètres d'une splendide érection. Juliette s'accroupit à son tour devant moi. Avec des gestes précis, elle descend la tirette de ma braguette. Je regarde Clémentine s'accroupir à son tour devant Pierre. C'est lui qui sort sa queue. Très semblable à la mienne.

Juliette s'empare d'une télécommande. La lumière baisse. Une lumière à présent tamisée. Juliette sait qu'elle a droit à la pipe sur autorisation de Clémentine que je vois sucer la première. C'est une émotion folle de voir la femme que l'on aime, qui partage notre vie, la complice de nos intimités, entrain de tailler une pipe à un autre. Je recommande à tout homme de découvrir et de ressentir ces émois. Il n'y a rien de plus déclencheur pour l'aimer encore plus fort. Les lèvres de Juliette se referment sur l'extrémité de mon sexe telles une ventouse.

Bernadette branle encore un peu Robert avant de se mettre à le téter à son tour. C'est surréaliste. Dans le miroir ovale je nous vois, les trois mecs, debout, entrain de mâter nos suceuses. Je pourrais déjà éjaculer dans la bouche de Juliette. Ce n'est pas souvent qu'elle me suce. Cela n'arrive d'ailleurs que lors de nos rares visites aux partouzes organisées au haras. Mais quelles merveilleuses pompeuses. Elles sont trois sublimes tailleuses de pipes réunies là ce soir. Avec trois véritables vicelards. Nous sommes six jouisseurs. Confrérie de la turpitude.

Pierre est le premier à se vautrer dans le canapé, son pantalon et son slip à mi cuisses. Il maintient fermement Clémentine à quatre pattes entre ses jambes écartées. Robert fait pareil en entraînant Bernadette. Bernadette, les yeux déjà cernés, excitée comme à chaque fois, présente les expressions de béatitudes célestes que nous lui connaissons. Stupre. Elle est à genoux entre les jambes du vétérinaire. Juliette ouvre les yeux, me fait un clin d'œil, ma bite enfoncée de moitié dans sa bouche. Elle me montre le canapé en le pointant de son index.

Je comprends. Je m'installe à mon tour en déboutonnant mon pantalon. L'élastique de mon slip sous les couilles. C'est désagréable mais c'est comme ça que Juliette apprécie. Je regarde Clémentine. Les yeux fermés, une expression d'extase sur le visage, la bite d'un autre mec dans la bouche. Cette étrange sensation m'envahit encore un peu plus. Pierre caresse sa tête, son visage. Parfois il appuie sur sa nuque pour enfoncer davantage de queue. Je contemple Bernadette. Elle aussi, dans une totale extase bouffe de la queue comme si sa vie en dépendait.

Juliette me suce sans cesser de me fixer. Dans ces instants d'intimité absolue elle ne peut masquer son regard amoureux. Je sais que pour elle le plaisir est double. La queue du mec qu'elle aime. Son jus qui envahit sa bouche. Je caresse sa tête. Elle saisit mes deux mains pour croiser nos doigts. Elle me fait des clins d'œil. De l'œil gauche. De l'œil droit. Hyper vicelarde. Les yeux pétillants de vice. J'adore cette femme. Chaude, autoritaire, une classe naturelle, l'allure aristocratique quelle que soit la situation. Ma sublime bourgeoise de 48 ans.

Clémentine ouvre les yeux pour fixer Pierre. Je la vois hyper gênée. Elle fait probablement des efforts surhumains pour soutenir son regard. Puis elle me regarde à mon tour. Je l'ai rarement vu aussi gênée. Presque honteuse de se livrer ainsi à sa gourmandise. Elle ferme les yeux pour continuer sa fellation goulue et certainement juteuse à la voir pomper, cesser, déglutir, recommencer. Pierre la tient sous le menton et par la nuque. Le salaud se fait piper comme un véritable pervers. Nous sommes trois pervers à offrir nos bites à trois authentiques salopes.

La porte s'ouvre soudain. Cessant de sucer, Juliette lance à la cantonade : << La "surprise" ! >>. Les femmes cessent de pomper pour regarder l'homme qui entre. Je ne l'ai jamais vu. Il ne paie pas de mine. Vêtu un peu "crade". Vieux futal en velours brun, élimé. Une chemise bleu sous une veste noire. Des mocassins de l'âge des cavernes. Il doit avoir la cinquantaine. Il s'avance rapidement en disant : << Salut tout le monde ! >>. Nous regardons ce curieux personnage se placer dans le coin. Juliette se lève pour le rejoindre. Elle s'accroupit.

C'est elle qui descend la tirette de sa braguette. Mais c'est lui qui en sort sa bite. Une petite chose qu'il agite vers nous. << Mesdames et messieurs, je vous présente le pervers de la soirée. Un clodo qui traîne parfois au haras pour donner un coup de main ! >>. Le type rit bêtement. Visiblement un peu simplet. De sa poche il tire un papier qu'il agite en disant : << J'ai mon passe ! >>. Je ne peux m'empêcher de rire. Juliette se redresse en lui disant : << Amuse toi bien et ne met pas du foutre partout ! >>. Elle vient s'accroupir entre mes jambes.

C'est un peu dérangeant ce type qui se branle en nous mâtant. Il se déplace. Se penche pour regarder chacune des pompeuses dans ses œuvres. Lorsqu'il est penché près de Clémentine, tout en suçant, elle louche sur la queue minuscule du branleur. Il se branle entre deux doigts. Juste au bout du prépuce. Il vient faire pareil près de Bernadette qui me lance un regard apeuré. Je lui fais un sourire. Pierre se lève soudain. Sans ménagement il saisit Clémentine par ses cheveux pour l'entraîner vers le matelas. À présent le branleur regarde Juliette.

Pierre se tourne vers Juliette en enfilant un préservatif. Il sait que la patronne a des exigences. Clémentine se couche sur le dos, écarte ses cuisses en repliant ses jambes. Elle attend la bite de Pierre. Il se couche sur elle, les bras en appui sur le matelas. Cette étrange émotion m'envahit complètement. Ce mélange d'une insondable tristesse teintée de dépit, d'excitation et de curiosité. Clémentine est pénétrée. Elle passe ses jambes autour du bassin de Pierre qui la baise à la hussarde. Bernadette cesse de sucer Robert pour s'allonger sur le dos au sol.

Elle aussi lui présente son sexe. Un triangle de poils noirs parfaitement taillé. Robert se redresse pour inviter madame Walter à s'installer dans le canapé. Elle y sera bien plus à l'aise pour se faire tirer. Juliette cesse de sucer, se redresse pour me chuchoter : << Tu n'imagines pas comme j'ai envie de baiser avec toi. Cette interdiction stupide me met en rage. Regarde là ta Clémentine. Elle s'envoie en l'air. Elle n'en a rien à foutre de ce que tu peux ressentir ! >>. Je mets ma main sur sa bouche en murmurant : << Ça suffit. Tais-toi. J'aime la voir ! >>.

Le branleur solitaire ne cherche à aucun moment le contact physique avec une des femmes. Il se contente d'aller de l'une à l'autre pour scruter leurs visages. Tout en se masturbant parfois frénétiquement. Un vrai pervers à n'en point douter. Comme il est moche avec ces cheveux gras pas coiffés. Clémentine pousse des petits cris de ravissements. Elle se fait sauter avec un bonheur évident. Depuis le temps que Pierre voulait à nouveau se la faire. Par contre, lorsqu'il veut l'embrasser elle détourne adroitement la tête. Le salaud la lime à blinde.

Robert n'est pas avare de coups de reins avec Bernadette. Elle aussi, les yeux fermés, dans une expression d'extase, pousse de petits cris de plaisir. Juliette me suce. Toutes les deux trois minutes elle cesse pour regarder ses consœurs se faire défoncer la chatte. Elle se lève pour aller tapoter sur l'épaule de Pierre en disant : << Laisses-en pour les autres et vient me la mettre ! >>. J'admire l'autorité de Juliette car Pierre se retire. Il enlève son préservatif pour en enfiler un autre. Ce faisant il y a du foutre qui s'écoule. Clémentine se redresse très vite.

Comme une assoiffée elle se met à téter la bite de Pierre. Lorsqu'il s'arrache de sa bouche pour enfiler son nouveau préservatif, Clémentine s'empare de l'autre pour le retourner et le sucer passionnément. Juliette se fait sauter debout, contre la table sur laquelle Pierre la couche. J'hallucine. Clémentine qui louche depuis un bon moment sur les activités du "clodo", ouvre la bouche en le fixant. L'enflure ! L'enfoiré ! C'est qu'il glisse sa queue dégoulinante dans la bouche de ma compagne. Robert se retire de Bernadette qui se masturbe en gémissant.

Robert aussi change de préservatif. Il fait tomber Clémentine sur le dos. Sur le matelas. Lui aussi reste en appui sur ses bras pour la sauter. J'ai le tournis. Bernadette pointe son index gauche sur sa poitrine. Son index droit vers mon sexe dégoulinant de jute. Je comprends. De mon index je lui fais signe de venir se mettre à genoux entre mes jambes. C'est avec un bonheur débordant qu'elle prend mon sexe en bouche. Elle aussi a une préférence pour les rapports génitaux buccaux. Surtout avec les vicelards de mon espèce. Le branleur s'approche.

Il se penche pour observer Juliette sucer. Là-bas, Clémentine, les jambes autour de l'étroit bassin de Robert, se fait baiser en gloussant de plaisir. C'est comme si elle cachait son visage pour que je puisse pas la voir. Bernadette est une grande, une très grande suceuse. Sa pipe me fait chavirer. Je ne veux pas éjaculer. Je veux le faire en fin de partouze dans la bouche de Clémentine. Lui offrir le fruit de ce qu'elle suscite de folies dans ma psyché. Je ne compte pas les orgasmes de Clémentine. Ni ceux de Juliette. Elles se font sauter bruyamment.

Le branleur va se mettre debout à la hauteur du visage de Juliette qui ouvre parfois des yeux humides de larmes de la jouissance. Il lui frotte le sexe sur le visage. Elle ouvre la bouche pour le gober. Les joues creusées par la succion gourmande, elle pompe comme une affamée. Il est étrange ce vieux dégueulasse qui passe d'une cochonne à l'autre pour faire goûter le fruit de ses branles sauvages et hystériques. Le voilà qui va se mettre à genoux à côté du matelas. Clémentine découvre cette petite bite inconnue pour la seconde fois.

Robert la saisit par sa nuque. Pour la forcer à approcher son visage. Le vieux dégoutant appuie sur sa tête. Il lui pince le nez puisqu'elle refuse d'ouvrir la bouche. Secouée par les coups de reins de Robert, Clémentine finit par ouvrir la bouche. Le salopard y introduit immédiatement sa queue. Robert redouble de coups de boutoirs. Ça fait longtemps que je n'ai plus vu Clémentine se faire sauter de la sorte. Le type la fait sucer en la forçant. Elle tente de se débattre mais à quoi bon chercher à lutter sous les coups de bite du vétérinaire.

Le vieux dégueulasse se retire enfin. Il se redresse pour aller faire subir les mêmes outrances à Juliette. Juliette beaucoup moins coriace, qui hurle sous les coups de queues de Pierre, ouvre généreusement la bouche. Je caresse la tête de ma suceuse. Bernadette me fixe de son regard plein de reconnaissance. Peu lui importe ce qu'on lui inflige, madame Walter a pour seul désir que l'on s'occupe d'elle. Et je le fais avec toute l'affection, toute la tendresse que cette femme émouvante m'inspire. Elle avale mes substances avec un étonnant appétit.

Robert cesse de bourrer Clémentine. Il se redresse. Il a l'air épuisé. Autant que Pierre couvert de sueur qui se retire également. Tous les deux retirent leurs capotes pour se laisser tomber dans le canapé. Le branleur se branle, debout dans le coin. Il mâte. Clémentine se redresse. Elle tient sa chatte à deux mains. Je ne l'ai jamais vu aussi épuisée. Les yeux cernés, les cheveux collants sur son visage dans la sueur. Le visage de Juliette porte lui aussi les stigmates de ce qu'elle a subi. Bernadette cesse de sucer pour dire : << C'est super ! >>.

Elle a de mon foutre qui macule le bas de son visage. Je regarde Clémentine se lever avec peine. Elle récupère les deux préservatifs emplis de foutre. Elle les porte à ses lèvres pour en faire couler le contenu dans sa bouche. Juliette qui dit : << Une connaisseuse qui sait ce qui est bon ! >>. Soudain Clémentine se précipite vers le branleur. Elle tombe à genoux devant lui. Elle nous tourne le dos. Je me lève le premier pour aller voir. Rapidement rejoint par les autres. Clémentine taille une pipe à ce véritable pervers. Il éjacule. Elle le tient par ses fesses.

Déglutissant tout en suçant, poussant de petits râles de ravissements Clémentine s'offre le jus des couilles d'un véritable salopard. Elle part même pour un second tour car elle empêche carrément le mec de se retirer. Je la sais affamée de foutre d'inconnus, mais là, ça dépasse tout ce que j'ai vu. Je ne suis pas objectif, je fais le même constat à chaque fois. Le type est obligé de se sauver pour fuir la bouche de cette "prédatrice". J'en profite pour tenter d'enfoncer ma queue. Comme souvent, dans ces situations, Clémentine oppose un refus catégorique.

Il est impossible de lui mettre mon sexe en bouche. D'un ton sévère elle dit : << Non ! >>. Je lui éjacule au visage. Pierre et Robert qui se branlent en regardant font de même. Je tiens Clémentine par sa tignasse. Fermement pour que les deux autres salauds la recouvre de leurs purées. Clémentine dans d'horribles grimaces pousse des cris d'écœurements. Bernadette vient me sucer pour récupérer les derniers reliquats de jus. Clémentine s'essuie le visage avec la serviette que lui tend Juliette. Ça coule. Mais où est passé le branleur ? Il a disparu !

Comme à chaque fois, à la fin des festivités, Clémentine n'a qu'un besoin. Celui de s'enfuir sans saluer personne. Elle se relève. Du foutre macule le haut de son pull. Elle en a plein les cheveux. Elle pose la serviette sur sa tête. C'est comme ça que nous filons. Sans un mot pour l'assistance médusée. Nous récupérons nos manteaux attachés aux cintres. Les chevaux nous observent. Là, le branleur. Il sort d'un box en se masturbant. Il rit bêtement. Clémentine s'approche de l'individu pour dire : << Merci ! J'aimerais bien vous revoir. C'est possible ? >>.

Je sors une petite carte de visite que je tends au quidam. Je précise : << Tu fais ce numéro. On prépare un rendez-vous ! >>. Clémentine rajoute : << Je veux passer une soirée à sucer votre queue. Si ça vous dit ! >>. Le mec, comme halluciné nous regarde avec de grands yeux. Il me fixe. Il fixe Clémentine. Nous entendons des rires depuis le salon. << Viens, on se casse j'ai envie de dégueuler ! >> me fait Clémentine. Nous laissons le "clodo" qui tourne la carte entre ses doigts. Je me retourne pour lancer : << Téléphone après les fêtes ! >>

Bonne nuit à toutes les coquines épuisées de plaisirs qui vont se blottir dans les bras de leur complice, de leur comparse pour un bon dodo

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 2 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2102 -



Un samedi de préparatifs et de douceurs

Hier matin, samedi, il est 7 h45 quand Clémentine se blottit encore plus fort contre moi. Passant une cuisse sous mes fesses, l'autre sur mon érection naturelle, elle se frotte en murmurant : << Merci Julien. Tu me comprends si bien ! >>. Encore dans un demi sommeil il me faut réunir mes esprits pour savoir à quoi la fille que j'aime fait allusion. En un éclair, l'évidence m'apparaît dans toute sa limpide réalité. La partouze de hier soir ! Cette nouvelle rencontre. Je murmure : << Je t'aime Clémentine. J'aime tout ce que tu fais. Tout ce que tu es ! >>.

L'impérieux besoin naturel met un terme à ces effusions de tendresse, à nos aveux. Nous nous précipitons aux toilettes. << J'ai la chatte toute congestionnée ! >> lance Clémentine en me tenant la bite pour en diriger les jets. Je passe le bras autour de ses épaules pour dire : << Je ferai comme pour Estelle, un "contrôle qualité" ce soir ! >>. Nous rions aux éclats en passant nos vêtements de sport dans la salle de bain. Nous y préparons toujours nos vêtements. La chambre à coucher n'est volontairement pas chauffée. On dort tellement mieux à 14°.

Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Les radiateurs chauffent toute la maison depuis presque deux heures. Il y a partout déjà 22°. Clémentine fait le café, pèle les kiwis, presse les oranges. J'allume la cuisinière à bois. Dehors, tout est recouvert d'une couche de givre. << C'est blanc comme neige ! >> lance Clémentine facétieuse. Nous prenons notre petit déjeuner sans revenir sur ce qui s'est passé hier soir. C'est la réaction habituelle de Clémentine le jour d'après. Il en va de même pour les soirées Gloryhole. Nous faisons le programme du jour.

Je me précipite dans le hall d'entrée pour ouvrir le portail depuis l'interphone. Je dois absolument aller à la poste afin d'expédier comme promis, par contrat, avant Noël les quatre toiles de commandes. Ces paysages bien secs depuis deux mois. Il faut le faire ce matin car la poste ferme à midi. << C'est génial, ça nous fait une sortie ! >> dit Clémentine en s'asseyant sur mes genoux. J'adore quand elle pose ses lèvres collantes de miel sur les miennes. Il est 8 h20 quand Julie entre dans la cuisine. Emmitouflée dans son anorak, sous son bonnet.

Elle évoque un petit lutin ou un personnage de Tolkien avec ses longs cheveux qui dépassent de son bonnet. Elle se précipite pour nous faire à chacun trois bises. Je dis : << Ce matin, le ménage attendra car on vous emmène avec nous en ville, à la poste ! >>. Julie ouvre de grands yeux. Clémentine rajoute : << Oui, pas d'inquiétude, tout est propre et comme on part demain, on fera le nécessaire ! >>. Julie rétorque : << Non, je reviens lundi. Je suis libre jusqu'à 18 h. J'aurai le temps de faire ce que je ne fais pas ce matin ! >>. La bonne idée.

Julie rajoute : << Allez vous entraîner, je m'occupe de la cuisine ! >>. Avant de quitter la grande pièce nous déposons une bise sur son front. C'est devenu un rite de sortie. Je passe ma main entre ses cuisses pour palper son sexe à travers le tissu de son jeans. J'adore le petit gloussement qu'elle émet. Clémentine m'entraîne par la main. Nous remontons à toute vitesse. Lorsqu'il fait moins quatre degrés au dehors, nous préférons l'entraînement en salle. Comme il n'y aura pas de livraisons ce matin, nous pouvons prendre tout notre temps. Tranquilles.

Aérobic pour s'échauffer. Le jogging sur les tapis roulants où Clémentine adore faire des pitreries. Courir à l'envers, se tourner pour courir normalement. Elle ne manque pas d'entraînement. C'est le cas de le dire. C'est dur de courir en étant plié de rire car elle prend d'incroyables mimiques. Je ne peux que m'écrier : << Je t'aime ! >>. Les exercices au sol comprenant les abdos dont nous raffolons. Puis avec les charges additionnelles, finies les déconnades. Le retour au calme avec les étirements d'un stretching prétexte à de nouvelles facéties.

La douche. Nous nous habillons de jeans propres, d'épaisses chemises à carreaux sous les sweats. Les bottines. Nous redescendons en riant de nos clowneries. Julie vient de passer la serpillère sur les carrelages du hall d'entrée déjà sec, de la cuisine et des toilettes du bas. C'est une ancienne pièce aménagée. La surface carrelée est importante. Julie ne porte pas sa tenue de soubrette ce matin. Comme elle nous accompagne en ville, elle reste en jeans. Clémentine m'entraîne dans l'atelier par la main. Les quatre toiles sont emballées depuis un mois.

Je récupère les colis. C'est le menuisier du bourg qui fait les cadres sur mes indications. Ces cadres protègent les tableaux de tous les chocs possibles. Clémentine en saisit deux, moi les deux autres. Nous rejoignons Julie dans le hall déjà en anorak. Elle est toute contente de nous accompagner en expédition. Nous enfilons nous aussi nos anoraks. Il fait un froid glacial. << On prend mon auto ? >> demande Julie. Je préfère prendre la Mercedes. Il faut qu'elle roule. Mes voitures successives étonnent toujours les acheteurs par leurs faibles kilométrages.

Julie s'installe à côté de Clémentine sur le siège passager. Ce qui cause toujours une certaine crainte du gendarme. C'est la "prune" assurée et certainement des points en moins sur le permis de conduire. Tant pis. On fait comme avec Estelle. On prend le risque. De toutes façons, je roule avec une extrême prudence. La voiture est équipée des pneus idoines et sa tonne et demi assure sa grande stabilité. Il y a une quinzaine de kilomètres jusqu'à la zone commerciale. C'est tout près de l'université, à deux pas de l'hypermarché. Il y a une légère brume.

<< Julien adore rouler avec la bite à l'air pendant qu'on joue avec sa queue ! >> lance Clémentine. Je dis : << Vous savez comment ça marche ! >>. Julie rit aux éclats. Elle comprend le message. Aussi, penchée sur sa gauche, elle déboutonne mon 501. Elle n'a pas la pratique de Clémentine ou d'Estelle. Aussi, je m'arrête sur le bord de la route pour l'aider. C'est en riant, toute gênée, qu'elle fouille dans mon slip. Elle déroule mon sexe mou. << Waouh ! J'adore quand il jaillit comme ça ! >> s'écrie Julie comme admirative. Nous rigolons.

Julie me tient la queue. Elle n'ose pas bouger. C'est agréable de l'avoir au chaud. Je commence à bander. Clémentine, penchée en avant, ne cesse de regarder comment se débrouille Julie. J'ajuste le rétroviseur intérieur pour observer ses expressions. Elle me fait le plus adorable des sourires. Je tiens le volant de la main gauche. Je passe la main droite sous ses cheveux, sous son bonnet. Je saisis fermement sa nuque pour la forcer à se pencher sur sa gauche. Elle se lève pour se glisser péniblement entre les pieds de Clémentine. Mon sexe dans la bouche.

Je ralentis encore un peu plus. Il n'a pas de véhicules sur l'étroite route départementale. Je roule à 20 km/h. Clémentine passe sa main dans ma nuque pour me caresser. Je me fais tailler une pipe d'une invraisemblable douceur. Malgré les conditions contraignantes. Clémentine se penche pour regarder. << Écoute ! >> me dit elle. En effet, le bruit bulleux d'une pipe de qualité se mêle aux gargouillis du foutre montant. C'est sublime. << C'est bon ? Tu te régales ? >> demande Clémentine. Sans cesser de sucer Julie pousse un gémissement affirmatif.

Clémentine caresse ma nuque, me fait des sourires, des clins d'œil. Elle me dit soudain : << J'ai envie de revoir le mec de hier soir. Tu sais le "clodo" qui n'arrêtait pas de se branler ! >>. Je réponds : << Et que tu as sucé ! >>. Julie écoute cette conversation surréaliste sans cesser de pomper. Clémentine fait encore : << J'adore ce genre de mecs. Ils sont plein de surprises ! >>. Je dis : << Il a ma carte. S'il veut te revoir, tu organises le "plan" ! >>. Clémentine, ravie, lance : << Je peux ? >>. Je rajoute : << Non ! Tu ne peux pas, tu dois ! >>. Rire.

Nous arrivons sur le parking de la poste. C'est samedi matin, il n'y a plus une seule place. Il faut se garer à huit cent mètres sur le parking de l'hypermarché. Nous marchons prudemment. Même si les trottoirs sont salés, il subsiste des endroits sournois et dangereux. C'est la première fois que nous nous retrouvons tous les trois dans des conditions toutes différentes. Julie à ma gauche qui me tient par le bras. Clémentine à ma droite qui tient les deux emballages comme je tiens les deux miens. Ce n'est pas lourd. Juste un peu encombrant.

Je dis à Julie : << C'est absolument divin les pipes avec vous ! >>. Elle s'écrie : << C'est vrai ? J'ai toujours l'impression d'être tellement nulle dans toutes ces choses là ! >>. Je la rassure. Clémentine précise : << Dans le domaine du sexe, il faut juste laisser s'exprimer ce qu'il y a au fond de nous. Si on se pose des questions, on merde à fond ! >>. Nous montons les marches du large escalier. Le bâtiment qui abrite la poste est moderne, bien conçu. Il y a six guichets. Devant chacun d'eux une file d'au moins dix personnes. Il faut donc de la patience.

Il faut attendre. Quelle douceur de sentir la main de Julie qui caresse mon coude. Elle s'enhardit à passer son bras autour de ma taille. Évidement nous attirons encore quelques regards curieux. Julie, avec son mètre soixante dix, est toute petite à côté de nous. Clémentine avec son mètre quatre vingt deux sans les talons de ses bottines. Moi avec mon mètre quatre vingt huit sans les talons des miennes. Nous avons de quoi susciter quelques curiosités bien normales. Nous avons l'habitude d'êtres regardés comme des extraterrestres. Nous en rions.

C'est enfin notre tour. L'enregistrement des colis se fait sans problème. L'un part pour le Canada. L'un part pour les Pays-Bas. L'un part pour l'Oise. Le dernier part pour l'Allemagne. Paiement par carte avec assurance et accusé réception. Nous voilà enfin dehors. Clémentine propose d'aller faire un tour dans l'hypermarché. << J'y vais avec maman cet après-midi ! >> s'écrie Julie toute amusée de la suggestion de Clémentine qui rajoute : << Alors on n'y va pas, on rentre ! >>. Julie, comme enchantée, se serre entre nous deux devant la voiture.

<< Tu t'y remets ? >> demande Clémentine à Julie qui s'installe la première. Assis au volant, j'ouvre ma braguette. Avec l'excitation de la pipe précédente, il y a du jus qui dégouline. Ce sirop épais, gluant et visqueux dont semble raffoler notre amie. Elle s'installe à nouveau au sol pour se mettre à sucer immédiatement. Clémentine lève les pouces de ses deux mains, me faisant un clin d'œil et en disant : << Génial ! >>. Je réponds : << Oui, génial ! >>. Julie qui gémit passionnément cesse de pomper pour lancer : << Génial ! >>. Nous rions en cœur.

Je me fais tailler une superbe pipe sur la route du retour. Nous passons devant le haras. Il y a plein de voitures dans la cour. Clémentine me dit : << J'espère que le mec de hier soir n'a pas perdu ta carte ! >>. Elle éclate de rire. Je pourrais éjaculer tellement cette pipe est passionnée. Et passionnante. Il est 11 h20 quand nous sommes de retour. Julie devra nous laisser d'ici dix minutes. La voilà soudain prise d'une tristesse infinie. << Vous allez me manquer tous les deux ! Presque trois semaines. Vous vous rendez compte ! >> s'exclame t-elle.

Sincèrement plaintive elle se blottit contre Clémentine. Clémentine, toujours très embarrassée par les élans d'affections de Julie m'appelle au secours de son regard. Je saisis Julie par ses épaules avant de la serrer contre moi. Je dis : << On s'écrit tous les jours par mails. On se fait des caméras Instagram. On garde le contact car vous aussi allez nous manquer ! >>. Rassurée, Julie nous fait plein de bises. Sa bouche a l'odeur de ma queue. << Tu sens le foutre ! >> lance Clémentine. Julie s'installe au volant de sa Clio rouge. Elle prend un chewing-gum.

Un dernier bisou. Les yeux humides, Julie remonte la vitre avant de démarrer. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Clémentine fait la salade. Je prépare le bouillon. Dans le wok, je vide les sachets de petits pois et de haricots verts décongelés depuis ce matin. Je verse les moules décongelées aussi dans le bouillon. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur l'attitude de Julie. << Tu as vu comme elle aime sucer ta queue ! J'en serais presque jalouse ! >> dit Clémentine en posant sa main sur la mienne quelques instants.

Par associations d'idées, Clémentine évoque enfin ce qui s'est passé hier soir : << En me baisant Pierre n'arrêtait pas de me proposer de me chercher à l'université un à deux soirs par semaine. Baiser dans sa bagnole. Il prétend adorer baiser avec moi ! >>. Je réponds : << Accepte. Sachant pourquoi tu auras du retard, je ne m'inquièterai pas ! Toi aussi tu adores baiser avec lui ! >>. Clémentine s'installe sur mes genoux. Elle reste silencieuse. << Je ne veux pas commencer ça ! Mais je veux bien baiser avec lui plus souvent ! >> rajoute t-elle.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle quand soudain la musique imbécile de mon téléphone le fait vibrer sur le buffet. Clémentine se précipite. << Allo ? Oui ! C'est moi ! Je suis vraiment très contente de vous entendre ! >>. En prononçant ces mots elle met sur "haut parleur". Je reconnais la voix du branleur de hier soir. Il n'a pas perdu de temps le bougre. J'écoute alors que Clémentine mime des masturbations masculines, me fait des clins d'œil. Notre homme se présente : << Moi, c'est Armand ! >> répond t-il à Clémentine.

<< Et bien Armand, c'est avec plaisir que je vous revois en janvier. Appelez-moi le 3 ou le 4. On s'organise un rendez-vous. OK ? >> termine Clémentine. J'entends le type conclure : << Je me réjouis pour vous revoir ! >>. Clémentine, avant de raccrocher, fait encore : << Moi aussi ! >>. Elle me regarde avant d'éclater de rire. Elle se jette à mon cou. Je la soulève. Enserrant ma taille de ses jambes, mitraillant mon visage de bisous, elle me dit des tonnes de : << Je t'aime ! >>. Je réponds : << Toi, il y a une queue qui t'attend à la rentrée ! >>.

<< De toutes façons, je les attire. Et comme j'adore goûter les vicelards ! >> s'écrie t-elle en m'entraînant par la main. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. << Ils sont où les gens que j'aime ! >> lance Estelle en jaillissant dans la pièce. Elle pose son sac de sport sur le tabouret avant de se précipiter dans nos bras. Comme c'est bon de se retrouver ensemble tous les trois. << Racontez-moi la partouze ! >> s'exclame t-elle. << Viens, on te raconte au salon devant un thé ! >> dit Clémentine.

Vautrés dans le canapé, devant des thés fumants et des petits gâteaux, nous échangeons les lieux communs habituels. Je suis entre mes deux anges. Estelle, tout en tordant ma queue dégoulinante dans tous les sens, nous raconte son vendredi après-midi, sa soirée avec Gauvain venu manger à la maison, et son samedi matin à l'hypermarché avec sa maman. C'est Clémentine qui relate notre soirée au haras. Estelle pose des centaines de questions. Elle se touche de sa main libre en exigeant quantité de détails. Clémentine décrit les situations.

<< Tu t'es encore levée un pervers ! Décidément ! Ils sont pour toi ! >> lance Estelle. Clémentine répond : << Quand il y en a un quelque part, il est pour moi. Tu le sais bien. Rappelle-toi ! Depuis qu'on est adolescentes toutes les deux ! >>. J'écoute. Même si je connais presque chaque aventure vécue par mes deux anges depuis qu'elles ont douze ans, c'est toujours un immense plaisir d'en découvrir de nouveaux souvenirs. Autant de révélations qui nous plongent dans les délices de l'excitation. Le parking des camions et les camionneurs par exemple.

Quand Clémentine se faisait surprendre entrain de pisser. Estelle qui tenait les bicyclettes pour qu'elles puissent se sauver. Les filles ont la mémoire des détails. Je bande comme le dernier des salauds dans la main d'Estelle. Elle me la tord, me masturbe un peu, la serre fort, recommence à la tordre. Du foutre qui coule sur ses doigts. Quand je raconte à mon tour ce qui s'est passé ce matin avec Julie, Estelle se lève. Se met à genoux sur un des épais coussins. << Je suis hyper jalouse, fais gaffe vieux cochon ! >> dit elle avant de gober mon sexe.

Clémentine se touche. Elle se rapproche pour m'embrasser. Pour la troisième fois de la journée je me fais tailler une pipe des familles. J'en éprouve des vertiges. Surtout que les baisers passionnés de Clémentine rendent mon érection presque douloureuse. Je ne peux pas bander davantage. Et sous l'effet de l'excitation délirante, Estelle se régale d'une arrivée constante de jus de couilles. Jus qu'elle déglutit avec difficultés, cessant toutes les deux trois minutes pour mieux respirer correctement et avaler. Le bruit bulleux et les gargouillis nous ravissent.

Il est 15 h. Je contrôle toujours parfaitement mon sexe. Mais je dois admettre que parfois il s'en faut de peu que je ne jute comme un puceau atteint d'éjaculation précoce. Je retire ma queue en forçant Estelle à cesser. Du foutre ruisselant de la commissure de ses lèvres, le menton maculé de jus, son regard implorant, elle me fait un sourire tout triste. << On ne se voit plus avant le mardi 3 janvier. J'ai droit à ma dose ! >> dit elle. Nous éclatons de rire. << Venez, on va préparer les bagages ! >> lance Clémentine qui se lève. Estelle se redresse.

Je me lève à mon tour en remballant ma queue. Ça gicle sur le jeans d'Estelle qui s'écrie : << Souvenir ! >>. Nous remontons. Debout sur le tabouret, je retire la bâche poussiéreuse qui recouvre les valises. J'en descends deux. Il fait frais dans la chambre à coucher malgré que nous avons laissé la porte grande ouverte. De l'armoire, Clémentine commence à tirer les vêtements qu'elle veut emmener. << Un jeans pour Julien. Un jeans pour Clémentine. Un pull pour Julien. Un pull pour Clémentine ! >> dit elle à chaque habit qu'elle sort de l'armoire.

Estelle les plie soigneusement. Je les place le plus judicieusement possible dans les valises. << Après on va chez moi, on fait pareil avec la mienne ! >> lance Estelle. C'est prévu depuis plusieurs jours. Elle rajoute : << Et on mange avec mes parents ! >>. Ce qui n'était pas dans le programme. Il est 17 h. Nous redescendons avec les deux valises et le sac contenant nos chaussures. Le tout dans le coffre de l'auto. C'est avec le Kangoo d'Estelle que nous prenons la direction du bourg. << J'ai envie de te sucer encore ! >> me dit elle tout en conduisant.

<< Quand je commence, je pourrais passer le reste de la journée à sucer ! >> précise t-elle. << Moi pareil ! >> rajoute Clémentine. Estelle en profite pour placer sa réplique traditionnelle : << Si tu montres ta queue à ma mère, je te l'arrache avec les dents ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Nous arrivons chez Estelle. C'est Yvan qui nous accueille. Tout content de nous revoir. Michèle est aux fourneaux. Nous nous saluons. Nous avons emmené une tarte aux noix encore congelée. Quelques minutes au four électrique déjà bien chaud. Ce sera parfait.

Estelle nous entraîne à l'étage. Dans sa chambre. J'adore cet endroit. Tout y est soigneusement ordonné. À l'image de sa résidente. Elle tire une de ses deux valises du placard mural. Ouverte sur le lit. Elle commence elle aussi à tirer des vêtements de son armoire. Clémentine les plie soigneusement. Je les dispose méthodiquement dans la valise. Les filles évoquent leurs études, la rentrée de janvier, l'organisation du suivi. En juin il y aura un Doctorat "blanc". Il faut établir un programme rigoureux. << Tu me baises dans ma chambre ! >> lance Estelle.

Devant mon étonnement, elle rajoute : << Je ne baise plus avant janvier. Je ne suce plus avant janvier ! Alors ! >>. Nous rions de bon cœur. Clémentine s'exclame : << Même pas en vacances pour la première fois avec Gauvain ? >>. Estelle s'écrie : << Même pas ! C'est hors sujet. J'aurai ma chambre à Santa Monica. Pour le moment Gauvain n'est qu'un ami. D'accord ? >>. Devant la fermeté de son propos, nous applaudissons. Elle retire ses bottines, son jeans et sa culotte. Couchée sur son lit elle me montre sa chatte. << Là ! >> lance t-elle.

Clémentine déboutonne mon jeans pour le descendre avec mon slip sur les chevilles. Je me sens très con. En appui sur mes bras, pour ne pas peser de tout mon poids je m'immisce dans Estelle qui se masturbe. << Je fais le guet ! >> murmure Clémentine en tenant mes couilles par derrière, assise sur le lit. << Pas besoin, mes parents ne montent jamais sans prévenir depuis le bas de l'escalier ! >> répond Estelle. Je la baise comme elle aime. À la hussarde. Son lit de jeune fille en prend encore un sacré coup. Mais elle baise parfois dessus avec son parrain.

Il est 18 h30. Il faut songer à cesser. Je suis épuisé. Il y a du foutre qui s'écoule sans que je n'en contrôle plus le flux. Ce qui fait le régal de Clémentine qui me suce durant les séquences de repos. << Comment veux-tu que je baise avec un jeune mec de 25 ans encore probablement puceau ? Alors que j'ai affaire à de véritables spécialistes de la chose ! >> chuchote Estelle en se rhabillant. Je fais de même. Nous nous regardons dans le miroir de l'armoire. << Put-Hein les gueules de jouisseurs ! >> lance Estelle. C'est vrai qu'on voit la baise.

Nous redescendons pour passer au salon. Il n'y a pas l'ombre d'un doute. La façon qu'a la maman d'Estelle de nous scruter est d'une évidence certaine. Ça se voit sur nos visages. Le papa fait toujours mine de ne se rendre compte de rien. Fairplay et d'une élégance dont il est coutumier. Michèle aime à faire remarquer ses impressions. Elle connaît sa fille. Elle me connaît. Nous passons à table. Nous mangeons de bon appétit en parlant vacances. Yvan et Michèle vont passer les fêtes dans un chalet à Chamonix. Une location d'une dizaine de jours.

Quand je bavarde plus précisément avec sa maman, Estelle me donne un gros coup de pied sous la table. Mais dans l'état de fatigue où je me trouve, je n'ai aucune velléités vicelardes ce soir. Nous traînons à table jusqu'aux environs de vingt et une heures. C'est un peu notre réveillon de fêtes. J'invite les parents d'Estelle à venir manger le second dimanche de janvier. << Tirer les rois ? >> demande Michèle un tantinet coquine. Yvan répond : << Julien est comme moi. Il préfère tirer les reines ! >>. Nous rions. En disant cela il regarde Estelle.

Il est presque vingt deux heures quand nous sommes de retour. La nuit est glaciale. Moins six degrés. Nous montons immédiatement pour nous laver les dents. << Je t'aime Julien. Tu vas me manquer cruellement jusqu'en janvier ! >> s'écrie soudain Estelle en enfilant la veste de son pyjama de soie mauve. Je dis : << Ne va pas te gâcher les vacances. On garde le contact ! >>. Nous voilà sous la couette. Je suis entre mes deux anges qui se frottent contre moi. Beaucoup plus pour se réchauffer. Estelle s'endort la première. Un cunni pour Clémentine.

Bonne nuit à toutes les coquines qui s'offrent de belles séquences de plaisirs durant la dernière journée avant le départ pour les vacances...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Classe - 3 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2103 -



C'est le jour du départ

Hier matin, dimanche, il est aux environs de neuf heures. Je suis entre mes deux anges qui sont restées blotties contre moi toute la nuit. C'est qu'à 14°, même sous la couette, il faut rester serrés pour avoir chaud. Estelle, mécaniquement, encore probablement endormie, saisit ma tumescence. En gémissant. Clémentine se frotte contre ma cuisse. Je glisse les poignes dans les culottes. Mes doigts agissant comme des peignes, j'entreprends un coiffage de touffe. << Mmhh, j'adore quand tu me défais les nœuds ! Tu fais ça si bien ! >> gémit Estelle.

<< Mon Jacques Dessange à moi ! >> rajoute Clémentine. Elles saisissent toutes les deux mes poignets afin que je continue. Hélas, Estelle, soudain en proie à l'irrépressible besoin de pisser, se lève d'un bond. En courant vers la porte elle dit : << Je descends préparer le petit déjeuner ! Venez vite ! >>. Clémentine se couche sur moi pour murmurer : << Le léchage de minou de hier soir m'a fait un bien fou après les "ramonages" de vendredi soir ! >>. Nous rigolons comme des bossus en nous précipitant aux toilettes. On s'habille à la salle de bain.

Morts de faim, dans nos jeans, nos épaisses chemises à carreaux, nous dévalons les escaliers. Il fait bien chaud partout dans la maison. << Vingt trois degrés et on les emmerde ! >> lance Clémentine lorsque nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Il y a déjà l'odeur du café, du pain grillé. << Un dimanche matin sans brioche ? Vous n'y pensez pas. Regardez, on a le cake confectionné par Julie ! >> s'écrie t-elle. Le cake marbré de Julie trône au milieu de la table. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le programme de la matinée. C'est compté.

C'est Estelle qui nous emmène à l'aéroport. << Prendre un taxi alors qu'il y a une belle "chauffeuse" qui vous conduit ! >> dit elle en s'asseyant sur mes genoux. Le cake de Julie est une merveille. Savoureux. De la poudre d'amande, de noix et de noisette en arrière goût d'un cacao racé. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre soirée de hier. << J'aime quand tu me baises dans ma chambre. Tu l'as déjà fait quelquefois ! Parfois, quand je couche je pense aux deux hommes qui m'ont niqué là. Toi et parrain ! >> s'exclame Estelle.

Nous en rions de bon cœur. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges évoquent les souvenirs coquins de leurs adolescences. Quand Estelle sécurisait les exhibes de Clémentine en s'offrant ses plaisirs de voyeuse. Voir des mecs excités par les impudeurs contrôlées de Clémentine lui montrer leurs sexes, parfois se palucher. C'est passionnant. << Tu te rappelles au bas du mirador, le type en VTT, sa grosse bite poilue ? >> demande Estelle. << Oh oui, monté comme un taureau ! >> répond Clémentine. Rires.

Soudain, la musique imbécile de mon téléphone qui le fait vibrer sur le buffet. Clémentine se lève d'un bond, s'en saisit : << Allo ? >>. Elle rajoute immédiatement : << Julie ! >> en mettant sur "haut parleur" et en revenant s'assoir. L'image de Julie sur l'écran. << Bonjour ! En plein petit déjeuner ? Il est comment le cake ? >>. Nous répondons en cœur : << Bonjour Julie. Tu veux dire il "était" comment ! Car il n'en reste pas la moindre miette ! >>. Nous rions en bavardant. << Je fais un test pour l'Écosse ! >> précise Julie en faisant des bises virtuelles.

<< Je vous appelle pour vous faire une proposition. C'est moi qui vient vous chercher à l'aéroport lundi 2 janvier. Vous me confirmerez l'heure ! >> dit Julie. << Génial ! Tu es notre plus délicieuse amie ! >> lance Clémentine. << Julien, veux-tu montrer ta bite à la jeune fille pour la remercier ! >> s'écrie Estelle en se levant. Clémentine se lève également, tout comme moi. Estelle s'accroupit devant moi pour me déboutonner la braguette. Quand je ne bande pas, elle a beaucoup de facilité pour en extraire le locataire. Clémentine cadre le téléphone.

Estelle tient mon sexe à la base, entre le pouce et l'index. Elle l'agite devant l'écran. On entend la voix de Julie qui appelle depuis sa chambre : << C'est super. Je veux voir ça tous les jours jusqu'à votre retour ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Estelle me lâche en chantant : << La branlette, la branlette ! >>. Clémentine reprend en cœur. Je fais "l'hélicoptère". Je bande mou mais de plus plus fort. Clémentine tient le téléphone qu'elle oriente avec précision en s'accroupissant. Toutes les deux leur tête contre mes hanches, je me branle.

<< C'est génial ! >> fait Julie. Elle rajoute : << Je vais descendre. On fait le sapin avec maman ce matin. Je vous enverrai des photos ! >>. Nous nous saluons. Plein de bisous virtuels avant de raccrocher. << Tu me fais ça aussi à moi. Ta bite va me manquer autant que vous deux quand je serai à Los Angeles ! >> me dit Estelle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche en tenant mon érection d'une poigne ferme. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous remontons pour nous laver les dents, faire le lit et fermer les fenêtres dans la chambre.

Estelle quitte son pyjama de soie mauve pour se vêtir comme nous. Nous fermons les volets à l'étage. Sauf ceux de la salle d'entraînement. Pressés d'aller faire quelques pas, nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks. Le froid est glacial. Moins trois degrés alors qu'il est déjà 10 h30. Bonnets, gants, en restant serrés, nous descendons jusqu'à la rivière. Les eaux forment une épaisse couche de glace sur les bords. Estelle prend des photos. Tout est recouvert d'une fine couche de neige transformée en givre. Il y a une légère brume. Romantique.

Nous admirons les colverts, les poules d'eau et les canards qui sont à la fête. Totalement insensibles au froid. Tout comme le couple de cygnes qui arrive nonchalamment. C'est magnifique. Le silence est total. << Le véritable hiver ne commence que mercredi 21 décembre ! >> précise Estelle. << Et toi, tu seras sous le soleil de Californie. Tu nous feras des photos ! >> s'écrie Clémentine. << C'est mes parents qui m'emmènent à l'aéroport où m'attendent Gauvain et les siens. Départ demain, 9 h pour Paris. Correspondance pour New-York midi ! >>

Estelle nous confie ses appréhensions. L'idée d'être dans les airs plusieurs heures. Plus de sept heures de Paris à New-York. Plus de cinq heures de New-York à Los Angeles. Pareil pour le retour prévu le lundi 2 janvier. Pour nous ce sera un vol de trois heures avec changement à Londres. C'est sur ces considérations que nous remontons. La chaleur qui règne dans la maison est appréciable. Pour le repas de midi nous ferons simple. << Spaghettis avec une sauce "maison". Façon "restes de frigo à la Toscane" ! >> lance Estelle. Nous applaudissons l'idée.

Clémentine fait une salade avec les deux dernières tomates. Le dernier avocat. Estelle lave et coupe un brocoli. Je fais bouillir l'eau avant d'y verser les spaghettis complets et bio. Le pavé de saumon sorti ce matin du réfrigérateur est à température. Je le coupe en fines lamelles. Nous le rajoutons au brocoli dans la poêle. Ail, échalote, persil, ciboulette. Estelle remue. J'égoutte les spaghettis pendant que Clémentine râpe du Parmesan et du Gruyère de Comté. C'est une improvisation totale. Surtout qu'en même temps nous parlons sexe et orgasmes.

Nous mangeons de bon appétit. Il n'est que midi. Nous mangeons rarement aussi tôt. << Heureusement que les canicules sont terminées. Parce que gratter la neige et la glace sur les pare-brise sous un soleil de plomb à 40° serait la galère ! >> lance Estelle. Nous rions aux éclats. En fait cet humour est surtout pour masquer la tristesse qui envahit Estelle. Je la console. Clémentine n'arrête pas de répéter : << Tu as la chance de découvrir la Californie. Tu dois te réjouir. On se revoit dans deux semaines. C'est rien ! >>. Estelle se blottit contre nous.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Un dernier tour dans toute la maison. Monsieur Bertrand, notre plus proche voisin, sait que nous partons. C'est un voisin vigilant. La maison est équipée d'une domotique de pointe. De plus, Julie viendra se "recueillir" presque tous les jours. Nous savons à quel point elle aime ce lieu. Nous voilà prêts. Il est 13 h15. Il y a quarante kilomètres jusqu'à l'aéroport. Les valises sont déjà dans le Kangoo d'Estelle. Par contre, comme c'est une voiture d'entreprise, il n'y a que les deux sièges avant. Pas de problèmes.

Je m'installe à l'arrière, en tailleur, assis sur une épaisse couverture pliée. << C'est quand parrain me baise dans la bagnole ! >> précise Estelle qui démarre. Clémentine sur le siège passager me tient le poignet car je caresse son cou de la main droite et le cou d'Estelle de ma main gauche. Ça ne chauffe pas très vite un Kangoo. Ça fait un bruit de ferraille quand on est à l'arrière. Nous arrivons à l'aéroport. La circulation est dense à ses abords. Des gens viennent attendre leurs familles, d'autres accompagnent les leurs. Nous sommes en avance.

Nous enregistrons nos bagages. Tout est en ordre question billets. J'ai la double nationalité. Je suis écossais. Clémentine et moi sommes pacsés. Les formalités douanières ne posent donc aucun souci. Nous voilà au bar dans le grand hall. Estelle ne nous lâche pas les mains. Comme si elle s'agrippait à une réalité qui allait lui échapper. Dans les hauts parleurs, les annonces. Départs, arrivées. Notre avion décolle à 14 h45. Il est 14 h30. Nous nous dirigeons vers la sortie. Un petit autobus nous attend sur le tarmac. Un dernier bisou à Estelle en larmes.

Il n'y a d'autres choix que de se faire violence. Je murmure à son oreille : << Promis, je te montre ma bite tous les jours sur l'écran de ton téléphone ! >>. Estelle s'écrie, un sanglot dans la voix : << Je vous aime ! >>. Clémentine qui elle aussi étouffe un sanglot répond : << Nous aussi. Nous montons dans le véhicule. Un dernier coucou. Nous sommes confortablement installés en première classe. Clémentine près du hublot. Ceinturés. Les réacteurs font vibrer la carcasse de l'appareil. Il démarre enfin. L'envol est une fois encore une grande émotion.

Le voyage se déroule sans encombre. Ce qui est normal puisque nous ne l'avons pas emmené avec nous. Le changement à l'aéroport international de Londres nous fait perdre une bonne demi heure. Il commence à faire nuit. Il est dix huit heures trente quand l'avion se pose à l'aéroport international. Situé à une quinzaine de kilomètres d'Édimbourg. C'est l'aéroport qui enregistre le plus fort trafic aérien de tout le Royaume Unis. Nous récupérons nos bagages. Il faut aller à l'agence de location afin d'y récupérer notre voiture. Une splendide golf noire.

Clémentine, fébrile, joyeuse, est serrée contre moi. Je roule doucement. Elle joue avec ma queue. << Ce soir je suce jusqu'à plus soif ! >> dit elle à plusieurs reprises. Nous adorons monter à Morningside en passant par Dean Village. Avec les lumières de Noël, les décorations et malgré le froid glacial, l'ambiance est féérique. Demain nous irons à un des marchés de Noël. Ce sont les plus beaux marchés de noël d'Europe. Édimbourg est primée chaque année pour ses plus belles décorations. Il est 19 h30 quand nous arrivons chez mon oncle. Enfin.

C'est Amy, sa compagne, qui nous accueille. Alan arrive pour nous prendre dans ses bras. Clémentine me fait remarquer à quel point il a encore changé depuis cet été. Mon oncle est âgé de 88 ans. Sa femme est âgée de 83 ans. Ils portent tous deux les années qui les accablent avec une difficulté grandissante. Le bonheur de nous revoir leurs fait tellement de bien. Il fait bien chaud dans la grande demeure victorienne. Notre repas nous attend dans le salon. Tante Amy a sollicité son traiteur habituel. Un monceau de fruits de mer et de légumes.

Nous mangeons de bon appétit en échangeant quelques anecdotes. Depuis notre départ au début septembre, il ne s'est pas passé grand chose. La routine. Nous traînons à table. Même si nous connaissons toutes les histoires, il est toujours agréable d'entendre oncle Alan en raconter des séquences. Il est presque 22 h. Nous sommes épuisés tous les quatre. La gouvernante s'occupera de tout dès demain matin. Nous prenons possession de notre appartement. Deux pièces, cuisine, salle de bain dans une partie de l'étage. Nous le connaissons si bien.

Clémentine, malgré la fatigue, veut absolument vider les valises et ranger nos vêtements dans l'armoire. Il fait chaud dans la chambre. Nous n'avons pas l'habitude de nous endormir par 22°. Une fois sous les draps, Clémentine me caresse en chuchotant : << Viens, on se berce un peu et on s'endort l'un dans l'autre ! >>. Je la lèche un peu d'abord. Elle ne bouge plus. J'entends sa respiration devenir régulière. Quand je remonte Clémentine dort déjà à poings fermés. Dans un dernier réflexe, elle se blottit contre moi. Qu'il est bon d'être de retour au pays.

Bonne nuit à toutes les coquines qui retrouvent l'endroit de leurs plus merveilleux souvenirs dans les bras de leur homme. En ronflant doucement...

Julien



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Classe - 4 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2104 -



La première journée à Édimbourg

Hier matin, lundi, il est huit heures quand Clémentine vient se blottir tout contre moi. << Je t'aime ! >> murmure t-elle en caressant mon torse. Nous nous réveillons lentement. Nous sommes attendus en bas pour le petit déjeuner. Il est prévu de le prendre avec oncle Alan et tante Amy. Quelques bisous, quelques papouilles. Nous observons l'environnement. Cette chambre que nous connaissons si bien. En même temps, nous disons : << C'est étrange sans Estelle ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous nous précipitons aux toilettes. Rituels pisseux.

Vêtus sports nous dévalons l'escalier de service pour rejoindre la famille. Un copieux petit déjeuner. Café, pain grillé, miel. Nous bavardons. Dehors, la météo est médiocre. Il fait moins froid. Le thermomètre extérieur indique 4°. Il pleut. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme du jour. La logistique impose les achats de nourriture. Tante Amy nous informe. Nous sommes invités au réveillon de Noël le samedi 24 décembre. Il y aura Tante Margaret et oncle Jack de Saint Andrews. Eux aussi se réjouissent de nous revoir. Autant que nous.

Il est 8 h45 quand nous prenons congé pour remonter. L'entraînement de ce matin est composé d'exercices aérobics, d'abdos, d'exercices au sol. Avec cette pluie, pas de jogging. En regardant par la fenêtre nous découvrons que le blanc manteau qui recouvrait la ville hier a quasiment disparu. La douche. Vêtus de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux, de nos pulls et de nos bottines, nous enfilons nos anoraks avant de redescendre. La parapluie étant l'arme absolue pour nous protéger de la pluie, nous n'oublions pas les nôtres. Parfait.

C'est à pieds que nous parcourons les deux bornes jusqu'à au carrefour de Christ Church. L'église gothique dont la façade se retrouve sous un échafaudage. Dommage, car elle est de toute beauté. Nous marchons vite, serrés l'un contre l'autre, sous nos petits parapluies qui nous protègent du mieux qu'il peuvent. Voilà la rue commerçante. Il y a tout de même du monde. Le grand magasin qui fait le coin. À la fois bazar, souvenirs, librairie, débit de tabac et bar, nous aimons y flâner. Nous y entrons. Nous aimons l'ambiance très particulière du lieu.

C'est ici qu'Estelle aime à choisir les cartes postales qu'elle envoie à sa famille. << Nous n'arrêtons pas de penser à elle ! >> lance Clémentine. Je dis : << À l'heure qu'il est elle est certainement déjà dans l'avion ! >>. Il est 10 h45. Nous feuilletons quelques albums photos, quelques parutions récentes. En Grande Bretagne, la lecture fait partie de la culture. Dans toutes les couches de la société. Il y a donc des livres à foison. Nous quittons pour descendre plus bas. Voilà le fastfood vietnamien de nos amis les Wong. Il y a une file de clients.

<< Ils ne donnent plus signe de vie ces gens-là ! Certainement que la naissance de Danh, leur fils, a changé leurs habitudes ! >> suggère Clémentine. C'est probable. Nous levons instinctivement les yeux pour regarder les étages supérieurs. C'est là, au premier qu'il y a encore trois ans, nous partouzions avec le couple. De bons souvenirs. Les pipes de Ly-Yang constituaient à elles seules le condensé de tous les charmes de l'Asie. Nous en rions de bon cœur. Nous entrons dans le petit supermarché. Il y a toujours du monde. Les gens du quartier.

Nous achetons des fruits. Pommes, kiwis, oranges. Quelques tomates, des carottes, du choux. Des pâtes, du riz, des fromages. Surtout du gruyère. En Écosse les fromages à pâtes crues sont rares. Il faut bien admettre que leurs fromages à pâtes cuites, n'ont pas la saveur des nôtres. C'est à la coupe que nous trouvons quelques équivalents au Saint Nectaire, au Morbier. En ville il est beaucoup plus facile de trouver. Mais là, un peu dans l'urgence, nous nous conterons de peu. Nous constatons qu'en Écosse également les prix ont fait un bond de 5 à 6 %.

C'est en portant nos sacs, biens lourds, que nous remontons. Je propose d'appeler un taxi. << Non, on en chie un peu. Les sacs sont les charges additionnelles ! >> fait Clémentine. Nous passons devant notre boulangerie préférée. Il y a là un choix de pains incroyable. Surtout ces grosses miches de pain complet. Aux noix, aux noisettes ou encore aux amandes grillées. Un délice. Il faut attendre dans la fille. La dame nous reconnaît. Nous sommes devenus de "vieux" clients depuis cinq ans. Nous prenons une miche et une brioche ronde au pudding.

En Écosse aussi ces brioches sont appelées "chinois". La pluie se calme. Impossible de tenir les parapluies en même temps que les sacs. C'est trempés jusqu'aux os que nous revenons pour midi. On passe des vêtements secs. << On prendra la bagnole. Finies les virées pédestres ! >> fait Clémentine avant de se serrer contre moi. Elle s'occupe de la salade de tomates. De notre précédent séjour il y a trois mois et demi, il reste de l'huile d'olive, de noix. Plein de condiments, d'épices et du sel. Je fais rissoler deux filets de saumon. Ail, oignon.

Le riz complet gonfle très vite. Cette préparation est rapide. Nous mangeons de bon appétit en préparant notre expédition de l'après-midi. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie à quel point elle est heureuse d'être seule avec moi. Même si évidemment l'absence d'Estelle se fait parfois cruelle. Soudain, la musique imbécile de mon téléphone. Clémentine se lève d'un bond pour s'en saisir. << Julie ! >> lance t-elle en me rejoignant. Sur mode "haut parleur" nous devisons tous les trois. Julie nous appelle de chez elle.

Nous connaissons bien l'intérieur de la maison de ses parents. C'est une visite guidée qu'elle nous propose. Nous nous voyons sur les écrans de nos appareils. Julie nous fait découvrir le sapin de Noël sobrement décoré qui trône au salon. Les paquets cadeaux déjà posés à ses pieds. Des décorations un peu partout. Nous entendons d'autres voix. << C'est ma mamie avec mes parents ! >> précise Julie. Elle est toute contente de nous voir. Autant que nous le sommes. << Je descends au sous sol ! >> dit elle. Nous la suivons sur l'écran du téléphone.

Arrivée devant la chaudière, Julie s'adresse plus particulièrement à moi. << Vous me la montrez ? >> demande t-elle. Je comprends immédiatement. Je me lève. Je pose le téléphone de manière à ce que Julie puisse assister à la suite. << C'est parfait, je vois super bien ! >> lance t-elle. Clémentine déboutonne mon Levi's. Je ne bande pas. Il est donc très facile d'en extraire une bite toute molle. Clémentine, un bras autour de ma taille, tenant mon sexe à sa base entre le pouce et l'index, l'agite en direction du téléphone. << Génial ! >> fait Julie.

Clémentine s'accroupit. Sa tête posée contre ma hanche, son visage tout près de la queue, elle s'adresse à Julie : << Tu vois bien ? >>. Julie qui répond : << Ah oui, c'est parfait ! >>. Je commence à bander doucement. Clémentine, tout en bavardant avec notre interlocutrice, fait plein de bises sur mon Zob qui se dresse à présent fièrement. << Ça me donne envie ! >> s'écrie Julie. Nous redécouvrons là les qualités multiples des I-phones 14. Nous les avons acquis récemment. Qualité du son, qualité de l'image. C'est tout simplement formidable.

Clémentine se redresse pour éviter l'ankylose. Je me branle doucement vers l'appareil. Je vois les expressions de Julie. Là, par technologie interposée, elle ose enfin, et avec une évidente excitation, soutenir mon regard. Elle porte ses lunettes d'étudiante. Ses cheveux attachés en catogan avec un nœud de velours noir. Clémentine glisse une main dans son Levi's déboutonné. << Tu te touches ? >> demande t-elle à Julie qui, pour seule réponse, oriente son téléphone. Elle a effectivement une main dans sa culotte. << Je me touche tout le temps ! >> dit elle.

<< Bienvenue au "Club" ! >> lance Clémentine. << Il faut que je remonte. J'aide à la vaisselle ! On refait demain ? >> s'écrie Julie. Je dis : << À demain, pour de nouvelles aventures ! >>. Clémentine rajoute : << Et bonnes branles ! On se raconte ! >>. L'écran s'éteint. Clémentine saisit mon sexe dur comme le bois pour m'entraîner devant l'évier. La vaisselle. << Ça m'excite ! >> me confie t-elle en me touchant pendant que j'ai les mains dans l'eau. << Avec cette météo ça va être dur de donner libre cours à nos libidos ! >> lance t-elle.

Nous en rions de bon cœur. Nous passons à la salle de bain pour nous laver les dents. Pressés de filer, nous mettons nos anoraks. Ils ont bien séché au dessus du radiateur. C'est avec la voiture que nous descendons jusqu'à Dean Village, puis à gauche, par Leith pour prendre la direction de la ville. Je roule doucement. La pluie a cessé. Clémentine joue avec ma queue. Cette golf de location, dernier modèle, se conduit avec une facilité et une aisance incroyables. Je la gare dans une des petites rues où nous avons nos habitudes. À quinze minutes du centre.

Je garde ma braguette ouverte. C'est invisible sous mon anorak fermé. Mais ainsi Clémentine peut y fourrer la main quand elle le désire. Nous marchons vite. C'est un tel bonheur de retrouver Édimbourg. Son centre historique, le dédale de ses ruelles. Le labyrinthe de ses venelles en escaliers. Il y a les décorations de Noël. Sous ces latitudes, en hiver, il ne fait jamais véritablement jour. C'est un peu comme un crépuscule permanent. Ce qui donne cette ambiance étrange, mystérieuse. Sur les rebords des fenêtres il y a de petits lumignons. Bougies.

Il y a une affluence touristique extraordinaire. Même en cette mi décembre. Principalement des asiatiques mais également beaucoup de néerlandais. Des américains dont l'accent est souvent à couper au couteau. Nous attirons quelques regards quand Clémentine, par surprise, me prend contre elle. Ainsi serrés l'un contre l'autre, sa main peut s'introduire sous mon anorak. << Je veux te faire bander tout l'après-midi ! >> me dit elle en cessant de fouiller ma bouche de sa langue exploratrice. Je passe ma main entre ses cuisses, mais discrètement.

Pas assez. Car le couple d'asiatique qui fait semblant de regarder la vitrine, vient de nous surprendre. Nous leurs faisons un sourire. Ils font de même. Cette complicité nous enchante. C'est comme une autorisation de continuer. Un blanc seing pour la suite. Nous flânons dans les ruelles animés de la joie de revoir cet endroit magique. Le centre historique d'Édimbourg est une plongée dans l'univers médiéval. Ici, depuis des siècles, peu de choses ont changé. Il n'y a pas eu de destructions guerrières. Les lieux n'ont connu que les vicissitudes du temps.

C'est que ma coquine arrive à me faire bander à plusieurs reprises. Ce ne sont pas seulement ses explorations tactiles, ses propos tendancieux et évocateurs ou encore ses baisers fougueux les responsables. C'est l'enchantement paradisiaque de nous retrouver dans un film de Harry Potter. Voilà un des marchés de Noël. Juste à l'angle de Princess Street et du parc devant la National Galerie. C'est féerique. Les chalets en bois sont ornés de lumignons qui en accentuent chaque angle, chaque profil. Les odeurs de gaufres, de vins chauds, d'anis.

Clémentine reste accrochée à mon bras. C'est un émerveillement de chaque instant. Pour en témoigner les beautés, nous nous serrons pour cacher nos mains baladeuses. Comme des amoureux d'un premier jour. << Je t'aime Julien ! >> s'écrie parfois Clémentine au détour d'une allée. Il y a un monde fou. Il faut vraiment se concentrer sur l'avancée. Des groupes sont statiques. Gobelet à la main, à rire, à bavarder. Il est rapidement 18 h. Je propose de nous trouver un bon restaurant afin d'y réserver une table. L'embarras du choix. Mais peu de places.

Il faut faire une bonne dizaine d'établissements avant de trouver. Même les endroits les plus classes sont pris d'assaut. C'est qu'on s'y prend un peu tard. Finalement c'est sur Hollyrood et son palais que nous trouvons notre bonheur. Là-haut, éclairé de façon spectrale, le château d'Édimbourg. Clémentine prend quelques photos. La nuit est complètement tombée. L'ambiance est magique. Les décorations lumineuses éclairent les rues. Notre table est située devant une des fenêtres. La vue sur l'avenue interdite à la circulation est superbe. Juste des bus.

Un somptueux plateau de fruits de mer. Une première visite des toilettes à deux. Les WC hommes. Enfermés dans un des cabinets, nous nous livrons à nos rituels. Clémentine, plaquée contre le mur, pénétrée par derrière, se mordille la lèvre inférieure pour ne pas hurler. C'est une situation totalement surréaliste. Surtout qu'on entend des mecs pisser. Parfois l'un parle tout seul. Un autre émet des miaulements de soulagement. L'un ou l'autre tentent d'entrer dans un des trois cabinets. Rester plus de dix minutes peu inquiéter. Aussi nous cessons vite.

Seconde visite aux chiottes juste avant la coupe glacée. Cette fois je me fais tailler une pipe des familles en tenant Clémentine par les oreilles. Je me comporte comme elle aime. En véritable vicelard. Je frotte ma bite sur son visage. Je murmure des cochonneries. Il faut êtres silencieux quand arrive un pisseur. L'addition. Nous flânons encore longuement dans le vieil Édimbourg avant de retourner à la voiture. Il fait à nouveau plus froid. Nos bonnets, nos gants. Tout cela est toujours dans le petit sac à dos que je porte. Il est 23 h30 quand nous revenons.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont se faire lécher, pénétrer, sucer sous les draps. Avant de se faire éjaculer dans la bouche. Dodo...

Julien



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Homme, 53 ans, France
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Notre seconde journée à Édimbourg

Hier matin, mardi, il est huit heures trente quand Clémentine me chuchote à l'oreille : << J'ai mes petits machins ! >>. Encore dans un demi sommeil lorsqu'elle se serre tout contre moi, je me souviens qu'elle s'est levée de très bonne heure. << J'ai un peu mal au ventre ! >> rajoute t-elle. Immédiatement je glisse ma main dans sa culotte pour le masser. Je pose mes lèvres sur chacun de ses seins dont l'extrémité est dure. À travers le coton de son T-shirt de nuit je souffle de l'air chaud. << Mmmhh ! >> gémit elle en se blottissant. J'insiste bien.

Nous nous précipitons aux toilettes. Clémentine a déjà pris une gélules de "Gummie confort". Ce qui atténue considérablement les douleurs menstruelles. Je la laisse seule pour aller à la cuisine. Je presse nos oranges, je pèle les kiwis. Je fais un bon café qui embaume la pièce. Le grille pain éjecte ses deux tranches. Je coupe de la brioche. Clémentine vient me rejoindre pour me sauter au cou. << Docteur Julien. Il me faudra votre traitement toute la journée ! >> dit elle alors que je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me faire des bisous.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre balade de hier. Les marchés de Noël, les décorations. Le restaurant où nous avons dégusté de délicieux fruits de mer. Les toilettes où nous avons baisé. Cette simple idée nous fait rire. << Tu seras le vicieux que j'aime aujourd'hui ? >> demande t-elle en venant s'assoir sur mes genoux. Ses lèvres collantes du miel et de la brioche sur les miennes. Je réponds : << Chère patiente, cela fait partie du traitement. Je vais vous prescrire une thérapie à base de coquineries et de sperme ! >>.

Nous rigolons comme des bossus. Je pose mes lèvres sur les seins minuscules de Clémentine. Au travers le lycra de son T-shirt de sport, j'insuffle de l'air chaud. << Mmhh, docteur. Il faut me faire ça tout le temps ! >>. Ce souffle chaud soulage considérablement cette partie qui sera hyper sensible pour les deux à trois jours qui viennent. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de l'après-midi. Ce sera notre pèlerinage habituel à la National Gallery of Scotland. Nous adorons ce musée. D'y flâner est toujours une grande joie.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Dehors il fait à nouveau froid car le thermomètre extérieur indique moins deux degrés. Pas question d'aller jogger avec le handicap de Clémentine. Aussi, c'est à l'intérieur que nous pratiquons l'aérobic. Un échauffement des plus agréables. Clémentine reste prudente et contrôle chacun de ses mouvements. Surtout durant les saut avec extensions des bras et des jambes. Ce sont dans les exercices au sol, et tout particulièrement avec les "abdos", qu'elle trouve un soulagement et un certain plaisir.

La douche. Nous nous habillons de nos jeans, chemises à carreaux, baskets. Clémentine s'allonge dans le canapé du salon. Elle pose son Macbook Pro sur son ventre pour l'allumer. La wifi fonctionne très bien. Le changement d'opérateur est automatique puisque Clémentine l'a installé dans son ordinateur depuis deux ans. Vodafone remplace donc Orange. Je m'assois à ses cotés. Nous découvrons trois mails. Celui d'Estelle qui est arrivée à Los Angeles. Elle nous raconte sa chambre dans la maison de la tante à Gauvain, à Santa Monica. Il y fait beau.

Elle nous envoie quelques premières photos en Pdf. Les palmiers, la mer, le ciel bleu habité de quelques nuages. À Los Angeles aussi c'est l'hiver. C'est à dire que la nuit les températures sont polaires et descendent jusqu'à 16°. La journée elles sont glaciales puisqu'il y a 22°. C'est avec ce trait d'humour que nous lui connaissons bien qu'Estelle nous raconte son voyage, son arrivée, l'extrême gentillesse de la famille de Gauvain, toute heureuse d'accueillir une française pour les fêtes de fin d'année. Elle raconte le jet set et le décalage horaire.

Il est 10 h du matin chez nous, il est déjà 19 h à Los Angeles. Le courriel date du début d'après-midi car Estelle nous annonce la balade prévue pour 14 h. Nous avons le courriel de Juliette. Juliette qui nous donne ses impressions sur la partouze de Noël de vendredi dernier. Son quotidien au haras. Elle nous souhaite un joyeux Noël. Elle nous enverra bien d'autres mails d'ici là en précisant qu'elle a plein de choses à nous raconter. Car il s'est déjà passé d'autres "trucs" sympa depuis. Il y a enfin le message de Julie qui nous raconte ses soirées.

Le restaurant de sa tante fait le plein tous les soirs. Il faut sans cesse refuser des réservations. Avec humour elle nous confie qu'il y a trop de travail en cuisine pour que les enculades du Chef puissent avoir lieu. Julie nous informe qu'elle nous appelle vers 11 h ce matin. Nous répondons. C'est Clémentine qui écrit les réponses en me demandant de caresser son ventre. << Plus bas, oui, là ! >> dit elle tout en restant concentrée sur le clavier. Je passe délicatement ma main entre ses cuisses. En insistant comme elle me le demande sur son sexe.

<< Sors ta bite. On fait une surprise à Julie. Elle va téléphoner d'ici une demi heure ! >> lance Clémentine en surfant sur le site de l'université. Je me lève. Je m'exécute. Je bande mou à l'idée de la surprise que veut réserver Clémentine. << Venez par là docteur, avec votre flacon de sirop ! >> dit Clémentine en éteignant l'ordinateur. Elle se redresse pour s'installer confortablement. Je m'approche. Elle m'attire davantage. Je suis debout entre ses jambes écartées. Elle approche son visage pour humer et scruter ma queue. Elle la renifle.

<< Défense d'utiliser du savon dans les prochains jours pour la laver. Je veux de la senteur "sauvage" ! >> fait Clémentine avant de prendre la peau du prépuce entre ses lèvres. Elle peut ainsi la tirer sur quelques centimètres. Le gland se devine bien sous cette peau tendue. Je caresse ses joues du bout de mes doigts. Elle lève la tête pour me fixer dans les yeux. Avant de se mettre à sucer avec douceur. Sous l'effet de l'indicible caresse mon érection est totale. Les joues creusées par l'effort de succion, Clémentine ne cesse de me fixer d'un air espiègle.

Elle me tient par les passants de mon Levi's sous lesquels sont ses index. Elle cesse de sucer. Avec un regard implorant elle dit : << Et si mon docteur était également le "Maître" dont j'aime être la "Soumise" ? >>. Je comprends immédiatement. Je frotte ma bite sur son visage. Je saisis ses oreilles. J'enfonce davantage de bite dans cette bouche gourmande. C'est chaud, c'est bon, c'est d'une douceur inouïe. J'alterne les contraintes qui n'en sont pas réellement puisque demandées, avec les coups de bites alternées car je me masturbe dans sa bouche.

La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine cesse de pomper pour se lever, se précipiter vers la table. En saisissant l'appareil elle s'écrie : << Julie ! >>. Sur mode haut parleur, l'image de Julie apparait à l'écran. Clémentine oriente bien le téléphone afin que Julie puisse me voir. Je la salue, mains sur les hanches. Par contractions des muscles fessiers, je fais bouger mon érection juteuse. Clémentine se rapproche afin de présenter la chose en gros plan. << Génial ! >> fait Julie dont je vois l'air ravi et enchanté. << J'adore ! >> s'écrie t-elle.

Je me branle vers le téléphone. Du doigt de sa main libre, Clémentine montre la goutte de liquide séminal qui perle au bout du méat. << Mmhh, ça fait envie ! >> lance Julie. Clémentine pose le téléphone en l'orientant convenablement. Elle peut le lâcher pour revenir sucer. Accroupie devant moi, me tenant par les cuisses, Clémentine me taille une pipe. Parfois elle ouvre les yeux, tourne légèrement sa tête pour regarder l'écran. J'observe Julie. Là, par images interposées, je découvre avec excitation qu'elle ose soutenir mon regard. Elle nous sourit.

C'est étrange. C'est surréaliste. Ce silence soudain. Julie concentrée sur la scène. Clémentine qui suce avec gourmandise. Je l'aide à se redresser. Juste avant la crampe. Elle retourne récupérer le téléphone. Nous conversons encore un peu. Julie nous raconte le programme de son après-midi avec sa mamie et ses parents. Nous racontons le nôtre. << Faites voir ! >> lance souvent Julie. Clémentine oriente le téléphone pour montrer ma branlette. Clémentine en récupère les coulures de l'index qu'elle montre à Julie avant de le porter en bouche.

Il est onze heures trente. Une conversation qui dure depuis une demi heure. Nous nous saluons. Je précise avant de raccrocher. << Julie, vous nous appelez quand vous voulez. Aux heures les plus indues. Nous aurons toujours une petite surprise pour vous ! >>. Clémentine rajoute : << Julien peut te la montrer n'importe où. Il suffit juste parfois de patienter. Le temps de trouver un coin ! >>. Julie s'exclame : << Oh oui, on se fait des expériences ! >>. L'écran s'éteint après un dernier bisou virtuel. Il commence à faire faim. Nous allons en cuisine.

Clémentine s'occupe de la salade de concombre. Ce sont de petits concombres écossais. Comme recouverts de verrues. << Je n'ai encore jamais sucé une bite comme ça. Ça me plairait bien ! >> lance Clémentine en le faisant tourner. Avant de l'enfoncer en bouche. Je réchauffe les pâtes précuites achetées hier. Quatre beaux nems dans la poêle. C'est du vite fait, pas diététique, mais on s'en moque en vacances. Nous mangeons de bon appétit en envisagent les "plans" vicelards que nous pourrions mettre en application cet après-midi. Faire des photos.

Clémentine aimerait bien que je sorte ma bite dans tous les coins où c'est possible. Prendre une photo à chaque fois. << Pour les montrer à Estelle et à Julie ! >> précise t-elle. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque les passes touristiques dont elle s'est occupée dès la fin octobre. Clémentine a d'étonnantes capacités d'organisatrice. Je suis toujours bluffé. Ça va de la réservation de la voiture, par les passes touristiques à la planification de nos itinéraires. Elle insiste d'ailleurs pour s'en occuper.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. J'administre le traitement du docteur Julien. À base de souffles chauds. Nous enfilons nos anoraks. Gants, bonnets. Nous dévalons les escaliers. Une sorte de bruine blanche tombe sans arrêt, recouvrant toute chose de givre. La voiture est équipée des pneus nécessaires. Je roule doucement. Clémentine palpe ma bosse. Comme toujours nous allons en ville en descendant Morningside puis en traversant Dean Village et Leith. La petite ruelle habituelle.

Il fait froid. Bien trop froid pour présenter une érection. Aussi, Clémentine fait une rapide photo lorsque j'appuie sur le boîtier du porte-clefs pour fermer l'auto. Anorak ouvert, braguette ouverte, bite à l'air pour la circonstance. Pas plus de quelques secondes car sur la queue le froid est "brûlant". Nous marchons d'un bon pas. Une quinzaine de minutes. Voilà Princess Street. Nous réservons une table dans un restaurant "classe". Voilà le bâtiment "néo grecque" de la National Gallery. Il y a du monde. C'est une destination touristique incontournable.

Sereins, sachant que pour ce soir nous n'aurons pas à galérer pour manger en ville, nous évitons la file d'attente. Il suffit de présenter le QR code devant la borne et nous entrons dans le musée. C'est surtout la galerie consacrée aux peintres hollandais et flamands du dix septième siècle qui nous intéresse. Les peintres écossais ne sont pas en reste non plus. Il y a la "dévotion" qu'impose cette petite huiles sur bois de Gérard Dou. Ce personnage assis devant une table où est posé un violon. Un tableau qui fait trente centimètres sur vingt. Il y a une loupe.

Accrochée à une chaînette, elle permet de découvrir les plus infimes et incroyables détails de cette peinture majestueuse. Gérard Dou, en son époque, était un des peintres hollandais les plus prisés des cours d'Europe. Les rois et les princes se réservaient l'acquisition de ses œuvres. Il y a des Rembrandt, des Pieter de Hook, des Gabriel Metsu et quelques autres maîtres du siècle d'or. C'est dans les toilettes hommes que Clémentine prend quelques photos à risques. On a faillit se faire surprendre deux fois. Que fait donc cette fille ici avec son téléphone ?

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui suivent la posologie des traitements de leur docteur en photographiant sa bites partout où c'est possible...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
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