
- 36 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2038 -
Encore une soirée de dégustations inoubliables
Hier matin, vendredi, l'application "océan" nous arrache de nos profonds sommeils. C'est violent et il n'est que cinq heures cinquante cinq. Le bruit des moteurs de ce chalutier qui rentre au port. Des choses que nous avons vécu tant de fois dans la réalité. Clémentine vient se blottir contre moi en gémissant. Elle saisit ma tumescence pour me murmurer à l'oreille des propos totalement incompréhensibles qui nous font éclater de rire. << Je trébuche sur les mots ! >> bafouille t-elle. Quelques bisous, quelques papouilles et nous nous précipitons aux WC.
Vêtus de nos tenues sport, morts de faim, la tête encore dans le cul, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Clémentine, tout en faisant le café, me raconte ses rêves. Je presse les oranges, je pèle les kiwis en écoutant, amusé, ses aventures oniriques. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. << J'aime comme tu m'aimes tu sais ! >> dit Clémentine en se levant pour venir s'assoir sur mes genoux. J'étale du miel sur sa tartine beurrée. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la visite de Julie cet après-midi.
Nous ne traînons pas. C'est la dernière matinée des épreuves du concours à l'admission du Doctorat. Clémentine est pressée d'en découdre. De se retrouver en situation. De livrer son combat. << Encore lundi matin et je suis peinarde jusqu'au lundi 7 novembre ! >> lance Clémentine qui m'entraîne par la main pour remonter. Notre heure d'entraînement est intense. Clémentine veut se transformer en "guerrière". Aérobic, joggings sur tapis roulants. Exercices au sol, abdos. Charges additionnelles. Retour au calme avec un bon stretching.
La douche. Je dévale les escaliers pour aller préparer la voiture. Il est presque 7 h45. Il pleut. Il fait moche. Il fait un peu plus froid que hier. Clémentine vient me rejoindre sous son parapluie. Jeans, pull sous son blouson, bottines. Ses lunettes d'étudiante sur le nez, ses cheveux qui flottent sur ses épaules. Silhouette fantomatique dans la brume matinale. Un dernier bisou. << Je reviens vite. Je t'aime ! >> dit elle en s'asseyant au volant. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je m'empresse de retourner au sec et surtout au chaud. Notre vaisselle, le lit.
Dans l'atelier, j'allume un bon feu dans la cheminée. Je place quelques marrons ramenés par Clémentine hier. Il y a des marronniers dans les jardins de l'université. Il vont parfumer toute la grande pièce. Ambiance d'automne. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je termine ce cinquième portrait avant midi, c'est certain. Je peins en pensant à Clémentine. Étonnante jeune fille qui partage ma vie depuis plus de cinq ans. Sans cesser de me passionner de sa présence, de ses initiatives, de sa personnalité.
Notre grande différence d'âge me permet un recul phénoménal sur cette situation amoureuse qui fait de moi l'homme le plus heureux. Il est 11 h30 quand je dépose le dernier trait de bleu de cobalt sur la surface de la toile. Je nettoie la palette, les pinceaux. Julie viendra nous rejoindre en tout début d'après-midi pour prendre son cours de peinture. Aussi, je prépare son chevalet de table et sa boîte de peintures BLOCKX. Ses pinceaux, sa palette. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les derniers beignets et les pommes de terre chips.
Je prépare une salade d'endives avec des cerneaux de noix. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Les faire en gratin pour le repas du soir. Ce plat a fait partie du rêve de Clémentine cette nuit. Il est donc amusant de lui réserver cette surprise. Elle raffole des gratins de toute nature. Il est midi trente quand Clémentine revient. Elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes enserrent ma taille. Je la promène dans la cuisine. Elle me couvre le visage de bisous entre deux phrases courtes. << Fastoche ce matin ! >>. Des bises. << J'ai tout bon ! >>. Bises.
<< Emmène-moi faire pipi ! >> conclue t-elle. Je la porte jusqu'aux toilettes pour notre rituel pisseux. C'est avec une faim de loup que nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Une épreuve qu'elle apprécie énormément. Comme une dissertation d'après un sujet imposé. Un sujet où il fallait placer quatre locutions de façon intelligible et devant s'insérer en toute logique dans l'écrit. Clémentine excelle dans ce genre d'exercice. C'est d'ailleurs elle qui met toujours la dernière main aux récits que nous publions quotidiennement.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine en vient à parler de ce qui nous attend ce soir. << Je suis morte de trouille. Mais après ces trois jours passés dans une concentration extrême et un stress permanent, je n'imagine pas un meilleur exutoire ! >> dit elle. Nous rions de bon cœur. Je fais : << Des quantités de spermes inconnus, rien que pour toi ! >>. En riant aux éclats, elle répond : << Et tout ce qui va avec ! >>. Nous sommes pliés de rire. << J'ai envie de te sucer ! >> rajoute t-elle avant de m'embrasser.
La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant nos pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Clémentine me confie à quel point ce week-end constituera un repos bien mérité. Il y aura encore toute la journée du lundi et des épreuves de mathématiques. Clémentine y excelle également. Elle m'entraîne par la main dans la chambre sans chauffage. On ressent bien la différence. Ce qui situe parfaitement les choses quand à la température extérieure. À peine 16°. Clémentine ouvre l'armoire pour en tirer les vêtements de ce soir.
En les déposant sur le lit, elle dit : << Estelle vient nous rejoindre après le repas du soir. On s'habille toutes les deux pareilles ! >>. Pour moi ce sera un jeans, chemise blanche sous le pull. Clémentine prépare le tout. Je suis assis sur le lit à l'écouter, à la regarder. Ce n'est pas très agréable de rester dans la fraîcheur de la chambre quand on y dort pas. Aussi, pressés de retourner au chaud, nous dévalons les escaliers. À peine sommes-nous au salon qu'arrive Julie. Avec une bonne demi heure d'avance. Jeans, pull sous son blouson, bottines.
Elle se précipite vers Clémentine qui la serre contre elle quelques instants avant de la repousser. Julie vient vers moi pour me serrer la main, me faire trois bises. J'adore quand elle porte ses lunettes d'étudiante. Cela lui confère un air sévère qui incite à la réserve. Elle fait semblant de ne pas apercevoir le trou blanc de ma braguette béante. Pourtant le slip de coton blanc que je porte se voit à des kilomètres. Nous quittons le salon pour l'atelier. Il y règne une douce chaleur, l'odeur des marrons chauds. << Comme c'est bien ! >> s'écrie Julie.
Ayant retiré son blouson, elle s'installe sur la chaise devant le chevalet. Elle scrute longuement la toile achevée. Clémentine vient se blottir contre moi. Glissant sa main dans ma braguette pour en extraire le Zob. Je bande mou. Elle tient mon sexe à sa base entre le pouce et l'index pour l'agiter en direction de Julie. Julie qui s'écrie : << C'est génial. On dirait une photo ! >>. Penchée en avant, elle scrute le portrait. Un couple de quadragénaires confortablement installés sur un canapé entouré de coussins de soie aux fines broderies cachemires.
C'est vrai que le traitement hyper réaliste que je donne à mes portraits leurs confère une dimension photographique. Même si je n'aime pas trop cette technique très particulière, j'y excelle. Elle fait d'ailleurs le succès des portraits qui me sont commandés chaque année. Je bande mou. Clémentine m'entraîne par la queue. Nous voilà à la droite de Julie qui tourne enfin la tête pour faire semblant de découvrir "l'hélicoptère". Elle n'ose jamais soutenir mon regard. Aussi c'est un furtif sourire qu'elle ma lance avant de fixer son attention sur mon sexe.
<< Un bon souvenir de ton anniversaire la semaine dernière ? >> demande Clémentine. << Oh oui, et comment ! >> répond Julie. Je demande à mon tour : << Il t'a enculé Jean-Louis dimanche dernier ? >>. Julie baisse les yeux, devient toute rouge avant de répondre : << Et hier soir aussi, chez Anne-Marie ! Mais juste cinq minutes ! >>. Je passe ma main sous les cheveux de Julie pour caresser sa nuque en disant : << Félicitations Julie ! >>. Elle m'adresse un nouveau furtif sourire. Clémentine me masturbe à quelques centimètres de son visage.
Julie a un mouvement de recul. Pour mieux voir mais peut-être aussi par crainte. Elle se lève comme pour fuir la situation. Elle se dirige vers la cheminée. << C'est beau un feu de bois ! Mes parents rêvent d'avoir un jour une cheminée ! >> fait Julie, un peu rêveuse. Clémentine cesse de me branler pour rejoindre Julie. Elle passe son bras autour de ses épaules. Je les observe de dos. Julie qui paraît toute petite avec son mètre soixante dix à côté de Clémentine et son mètre quatre vingt deux. Cette vision insolite est passionnante. Elles sont silencieuses.
Lorsqu'elles se retournent toutes les deux en même temps c'est pour me regarder me masturber avec entrain. Clémentine lâche Julie pour venir me rejoindre en disant : << Ce soir je me bouffe de la queue ! >>. Julie s'exclame : << Une partouze chez la salope ? >>. Clémentine corrige : << Non un Gloryhole c'est bien meilleur quand on raffole de bites ! >>. Julie rajoute : << Quand je fréquentais Juliette elle a voulu m'initier à ça, mais je n'ai jamais voulu ! >>. Clémentine demande : << Des mecs t'ont enculé au haras, dans les écuries ? >>.
<< Ils m'ont tous fait le cul. Il y avait ce vieux dégueulasse de Gérard. Il voulait absolument me la mettre en bouche quand un des mecs m'enculait. Je n'ai jamais connu un vieux pervers comme ce type ! >> s'écrie Julie. Clémentine saisit ma bite pour continuer ma branlette. Nous écoutons Julie nous raconter en détails certaines soirées. Elle a entretenu une relation amoureuse avec Juliette il y a un presque quatre ans. Juste quelques mois. << Cette femme était parfois odieuse avec moi. Exigeante et sévère ! Perverse ! >> confie Julie en fois encore.
Nous savons que cette relation s'est mal terminée. Aussi nous n'insistons pas. Julie n'en garde pas un très bon souvenir. << Il y avait un mec avec une vraie bite de cheval. Il m'a fait mal ce salaud ! >> lance encore Julie en s'accroupissant à côté du chevalet. Nous ne savons pas de qui elle parle. Il faut préciser que Juliette connaît pas mal de monde. Tenir une pension pour chevaux établit un tissu social conséquent. << Tu n'avais que 18 ans à l'époque ! >> lance Clémentine qui m'entraîne pas le Zob. Je suis debout devant Julie accroupie.
Elle regarde la main de Clémentine qui lui tend ma queue. Je demande une fois encore : << Racontez-nous votre première sodomie ! >>. Nous connaissons parfaitement l'histoire. Mais c'est un plaisir d'entre Julie nous en parler une nouvelle fois. Ma bite n'est qu'à environ 50 cm de son visage. << C'est Jean-Louis, le chef cuisinier. Je rentrais du lycée. J'en avais trop envie mais c'était surprenant et très douloureux ! >>. Clémentine lance : << Une petite enculée de quinze ans ! Et avec un mec marié qui pourrait être son père. Tu n'as pas honte ? >>.
<< Si, mais j'aime avoir honte de ce que je fais ! >> s'écrie Julie. Je m'approche. Clémentine frotte mon sexe sur son visage. Je la saisis par ses cheveux pour la maintenir. Julie tente de se dégager sans réelle conviction. C'est un jeu et nous savons qu'elle aime jouer. Clémentine n'insiste pas. Je lâche Julie qui se redresse. Clémentine propose un thé. Nous voilà vautrés dans le vieux canapé en velours carmin de l'atelier. Les filles parlent de leurs études. J'écoute. Julie est assise tout contre Clémentine qui lui caresse les cheveux. C'est adorable. Beau.
Nous voilà assis côte à côte. Julie achève son petit tableau. D'après photo. Un paysage tout près de chez elle. Je me masturbe doucement sous la table. À chaque fois qu'elle fait semblant de prendre du recul pour regarder son travail c'est pour loucher sur mon activité. Clémentine, installée devant son ordinateur, nous écoute. Nous fait des sourires. Il est presque dix huit heures. Julie doit nous laisser. Nous la raccompagnons sous le parapluie jusqu'à sa voiture. Elle revient demain matin pour faire notre ménage. << Avec le plug ! >> lance Clémentine.
Nous la regardons partir un peu tristounette. Nous nous dépêchons de rentrer. << Je t'aime. J'aime quand tu es vicieux comme ça avec d'autres filles ! >> lance Clémentine en me sautant au cou. Elle enfonce sa langue dans ma bouche pour m'embrasser jusqu'au vertige. Je bande à nouveau comme le dernier des salauds. Accroupie, Clémentine récupère l'abondance de mes épanchements. Je murmure : << Tu te mets en appétit pour ce soir ? >>. Clémentine cesse, se redresse et répond : << J'ai un appétit d'ogresse dès qu'il est question de sperme ! >>.
Nous rions de bon cœur. Dans la cuisine, quand Clémentine découvre ce que j'ai préparé dans le four, elle revient se jeter dans mes bras. Je réchauffe. Elle prépare une salade de tomates. Dans la poêle je fais rissoler deux dos de cabillaud blanc. Nous mangeons de bon appétit. Sans traîner. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents, nous changer dans la salle de bain bien chaude. Clémentine porte une de ses jupes kilt à carreaux rouges et verts. Chemisier crème sous un pull bleu nuit. Son blouson. À peine redescendus, voilà Estelle qui arrive.
Gloryhole
Nous arrivons sur le parking du haras pour vingt heures très précises. Il y a de la lumière dans l'ancienne écurie. C'est un endroit que nous apprécions beaucoup. C'est un vieux bâtiment du dix neuvième siècle. Une dépendance du corps de ferme qu'il y avant jadis en ce lieu. Lorsque Juliette a acheté cette propriété il y a plus de dix ans, c'était pour en faire une pension pour chevaux. L'équitation étant sa passion elle voulait créer un pôle économique dans ce domaine particulier en créant son entreprise. Il y a maintenant deux autres écuries modernes.
Clémentine reste serrée contre moi pour traverser la cour. Estelle me tient la main. À peine sommes nous dans le bâtiment que résonnent des bruits divers, des voix, des rires. C'est au fond. Dans la petite salle aménagée. Juste à côté du local bureau. Nous caressons quelques encolures car des chevaux, depuis leurs box, nous regardent avec curiosité. Estelle et Clémentine ont pratiqué l'équitation dans leurs adolescences. Clémentine en garde le souvenir d'une mauvaise chute. Toutes les deux ont alors cessé vers l'âge de dix sept ans. Il y a 8 ans.
Juliette vient à notre rencontre. Souriante. Vêtue de sa tenue de travail, c'est à dire en cavalière. Des bottes noires, un pantalon beige aussi moulant qu'un legging, un chemiser blanc sous un pull brun clair au col en "V". Elle prend les mains de Clémentine : << Alors ? Ces appréhensions universitaires ? Sont-elles derrière vous ? >> demande t-elle. Elle fait de même avec Estelle pour dire : << Et vous Estelle ? >>. Les filles sont évidemment soulagées. << Il reste les épreuves de lundi ! >> répond Estelle. << Ce n'est pas fini ! >> dit Clémentine.
Juliette me serre la main, se met sur la pointe des pieds pour me faire trois bises. Elle me fait : << Vous avez de quoi vous occupez pour faire oublier leurs soucis à ces deux jeunes filles ! >>. Nous rions de bon cœur. Juliette nous invite à la suivre. Pour Estelle et pour Clémentine il est tout à fait hors de question d'aller saluer les gens que l'on entend dans la salle du fond. << Alors venez, je vais vous montrer quelque chose ! >> nous fait Juliette en nous entraînant vers les toilettes. Nous y pénétrons tous les quatre. Une odeur de chlore.
Juliette est une spécialiste des choses dissimulées. Elle ouvre un petit boîtier électrique à côté du lavabo. Il y a une ouverture ronde d'environs deux centimètres. Juste un trou dans l'épaisseur du mur. << Regardez ! >> fait elle à Clémentine. L'orifice est juste à la hauteur de ses yeux. Elle observe quelques instants. << Fais voir ! >> murmure Estelle qui regarde à son tour. C'est à moi. Le trou permet de voir l'intérieur de la petite salle. Environ six mètres sur six. Il y a madame Walter, son mari Pierre, Robert, le vétérinaire, James, le palefrenier.
Il y a deux types que nous n'avons jamais vu. Dont un black qui rit beaucoup. Ces gens sont assis dans les deux canapés, les fauteuils. Sur la table des jus de fruits, des toasts, des cacahuètes. Juliette organise toujours bien les choses. Elle chuchote : << Toutes ces personnes ont été en mesure de me présenter un certificat médical de moins de 48 heures. C'est toujours mon exigence quand il se passe des trucs chez moi ! >>. Nous savons pouvoir faire confiance à Juliette. À cheval sur l'hygiène comme sur les principes. D'origine Corse c'est sa nature.
Nous quittons les toilettes pour retourner dans l'allée centrale de l'écurie. Nous entrons dans le box réservé à la soirée. Là aussi Juliette a très bien fait les choses. Pas de cheval ce soir. Pas de paille. Tout est nickel. Deux fauteuils dans l'ombre car l'endroit est très peu éclairé. Juliette me dit : << Je suppose que votre garde du corps de la soirée est Estelle, n'est-ce pas ? >>. C'est Estelle qui répond d'un ton péremptoire : << Exactement. Et je surveille notre homme de très près ! >>. Nous rions de bon cœur. Clémentine regarde le trou du mur.
Combien d'émotions n'a t-elle pas vécu là ! Elle s'accroupit pour coller son œil à l'orifice. << Il n'y a encore personne. Je reste avec mes invités. Chaque homme viendra seul, avec moi. N'ayez aucune crainte, je surveille tout cela avec vigilance ! >> lance Juliette en posant discrètement sa main sur ma braguette. Elle me fait un rapide clin d'œil avant de me dire : << Bonne branle espèce de vieux cochon ! >>. Estelle répond : << Je m'occupe du cas Julien avec célérité ! >>. Juliette fait encore à l'attention de Clémentine : << Bon appétit ! >>.
Clémentine se blottit dans mes bras. Je la sens trembler comme si elle avait froid. Alors qu'il fait bien agréable dans une écurie emplie de chevaux. Estelle vient se serrer contre nous. << La trouille ? Pourtant ce n'est pas la première fois ! >> murmure t-elle. << Non mais c'est tout comme. J'ai envie de m'enfuir ! >> chuchote Clémentine. Je passe ma main sous sa jupe pour la glisser entre ses cuisses. Clémentine a cet adorable réflexe féminin. Comme un spasme qui secoue son corps. Je joue de mon doigt sur les lèvres charnues de son sexe déjà moite.
Je saisis son clitoris géant entre le pouce et l'index. << Mmhh ! >> gémit Clémentine en s'effondrant dans mes bras. Conséquence de ce plaisir si soudain. Elle me dit à voix basse : << Tu me fais ça pendant que je suce ! >>. Je promets de l'assister à chaque sollicitation. Estelle me palpe la braguette pour rajouter : << Et moi je m'occupe de "ça" ! >>. Il y a un matelas de plage, étroit et confortable au sol, sous le trou dans le mur. Mais il y a également une chaise. Ainsi, en fonction de ses envies, Clémentine peut s'assoir ou être à genoux.
Elle préfère la chaise. Estelle et moi nous glissons le matelas vers la porte. Ce qui permet également de la bloquer. Clémentine place la chaise devant le mur. Elle s'y installe. Elle approche son visage du trou qui s'éclaire soudain. Quelqu'un a allumé une lumière dans le local bureau. Ce qui illumine le haut du visage de Clémentine. Estelle se penche à gauche de Clémentine. Son visage tout près du sien. Je fais pareil à droite. Clémentine a un réflexe de recul. Elle cache son visage. Certainement pour le dissimuler car un œil apparaît de l'autre côté.
Estelle contourne Clémentine pour venir me rejoindre. << Viens ! >> murmure t-elle d'une voix à peine audible. Elle m'entraîne vers un des deux fauteuils. Elle m'y fait assoir pour s'installer sur mes cuisses. Je passe mes mains autour de sa taille. Nous restons tous les trois en apnée. Clémentine qui mâte par le trou, se tourne vers nous. Elle pointe l'index de sa main gauche vers le trou en mimant une masturbation masculine de l'autre. Elle nous fait une grimace, tire la langue et nous fait un clin d'œil. Une bite jaillit soudain par l'orifice. Une grosse bite.
Clémentine approche son visage. Ses mains en appui sur le mur des deux côtés du trou, elle hume. Renifle longuement. Estelle se lève, s'approche pour sentir aussi. Elle revient s'assoir en faisant une horrible grimace tout en se pinçant le nez. C'est lorsque Clémentine, avec son pouce et son index, décalotte légèrement le gland que je sent à mon tour. Une odeur qui n'est pas sans évoquer un vieux sandwich au thon. C'est dégueulasse. J'ai un haut le cœur quand je vois Clémentine le prendre en bouche. Estelle se serre contre moi encore plus fort.
Clémentine suçote avec délectation. Toutes ses appréhensions se sont envolées. Les yeux fermés, comme en extase, elle suce cette bite inconnue. Les joues creusées par l'effort elle en prend davantage en bouche. Elle cesse. Du bout de la langue elle tente de passer entre la peau du prépuce et le gland. Comme elle le fait avec moi. Trop impatiente elle décalotte complètement ce sexe dur comme du bois. Avec la langue elle procède à un nettoyage dans les règles de l'Art. Estelle cesse de regarder. Comme écœurée, elle fourre son visage dans mon cou.
Ce mec a du frome à la base du gland. Clémentine s'en pourlèche en poussant de petits cris de ravissement. Elle reprend sa succion. Sur les traits de son visage se lit la béatitude la plus totale. Je bande comme le dernier des salauds. Estelle qui sent ma bosse grandir, se lève. À genoux entre mes jambes écartées, elle déboutonne mon 501. C'est avec difficulté qu'elle en extrait ma turgescence presque douloureuse. Elle retire sa culotte pour s'assoir en calant mon sexe entre ses fesses. Je caresse son clitoris avant de descendre mon doigt pour l'enfoncer.
Nous regardons cet étonnant spectacle. Clémentine entrain de sucer une queue inconnue qui dépasse d'un trou dans le mur. C'est tellement fou, tellement surréaliste que cela dépasse l'entendement. Même en ouvrant grands les yeux, en se concentrant sur ce qui se passe il est impossible de l'appréhender dans sa globalité. L'ensemble des sens humains semble ne pas suffire à comprendre. Mais c'est terriblement excitant. Estelle se lève. Saisit mon sexe pour se l'enfoncer, pour s'assoir dessus. Elle tourne la tête pour murmurer : << Vieux vicieux ! >>.
Estelle reste toutefois immobile. Je suis obligé de me pencher pour regarder Clémentine. Il y a de la jute qui coule aux commissures de ses lèvres. Le mec doit être très juteux. Nous pouvons l'entendre haleter comme un animal de l'autre côté. Parfois il bouge car on voit son chibre s'enfoncer puis coulisser dans la bouche de Clémentine. Elle se tortille sur sa chaise car de sa main droite elle se touche en gémissant. Ça fait bien dix minutes qu'elle pompe. En s'arrêtant de temps en temps pour tenter d'avaler, pour laisser reposer sa mâchoire.
Clémentine reste parfaitement immobile. Elle suce avec délectation. Cela ne fait pas l'ombre d'un doute. Il va se passer quelque chose, c'est certain. Estelle cesse son mouvement vertical. Assise sur mon sexe elle se tient aux accoudoirs du fauteuil pour se retirer doucement. Tous les deux, les sens aux aguets, retenant nos respirations, nous observons. Le mec pousse un râle sonore. Il éjacule probablement. Clémentine s'enfonce un peu plus de queue dans la bouche. Elle se fait juter au fond de la gorge. Nous la voyons déglutir au fur et à mesure en gémissant
Elle se retire en toussant, manquant de s'étouffer. Dans sa hâte de pouvoir reprendre sa respiration elle perd une bonne moitié du foutre qui coule sur sa jupe. Avec une horrible grimace, déglutissant avec difficulté, elle secoue la tête. Elle tient sa gorge en avalant avec peine. Estelle se lève pour se précipiter. Le visage contre celui de Clémentine qu'elle bouscule presque, elle suce à son tour. Vidant la totalité des couilles du mec. Il se retire brusquement. Estelle avale ce qu'elle a réussi à pomper. Clémentine essuie ses yeux larmoyants et le foutre sur son menton.
Je me lève pour rejoindre les filles. De mes mains je palpe leurs chattes trempées. Clémentine saisit mon poignet pour que surtout je n'arrête pas. Il y a une soudaine obscurité dans le trou. Juliette a trouvé là un moyen d'avertir la venue du second protagoniste. Clémentine se tourne vers moi pour dire : << Le foutre de ce mec me brûle la gorge ! >>. Elle ouvre sa bouche pour m'en montrer l'intérieur. Instant que choisit Estelle pour lui cracher dedans. Clémentine se remet à tousser. << Fausse route ! >> fait elle avec peine. Je tapote son dos.
La lumière s'allume aussi soudainement qu'elle s'est éteinte. Presque aussitôt c'est une bite noire qui apparaît par le trou. Ce mec s'est certainement branlé depuis un moment car du liquide séminal perle à l'extrémité de son gland circoncis. Clémentine déteste les bites "coupées". Je reprends ma place dans le fauteuil. Clémentine boit un coup de flotte de la petite bouteille en plastique posée au sol. Elle approche son visage pour humer ce sexe. Estelle s'assoit sur ma queue. Elle recommence son mouvement vertical tout en se masturbant.
Clémentine prend la totalité du gland en bouche. Il semble épouser parfaitement sa cavité buccale. Ses joues se creusent à nouveau. << Mmhhh ! >> fait elle à plusieurs reprises. Elle lève les pouces de ses deux mains tout en suçant avec gourmandise. Estelle se penche en avant pour chuchoter à l'oreille de Clémentine. Je n'entends pas ce qu'elle lui dit. Je regarde l'expression d'extase sur le visage de Clémentine. Le type doit être extrêmement juteux car elle ne cesse de se retirer pour avaler. Il coule du foutre du méat. Elle retourne très vite le récupérer.
Je me penche. Le dos d'Estelle m'oblige à des contorsions pour pouvoir voir correctement. Il y a des gouttes gluantes qui dégoulinent. Clémentine ne peut avaler l'abondance de ce jus visqueux. Cela fait penser à un robinet qui aurait une fuite. Les gouttes tombent une à une. Estelle tourne sa tête pour me murmurer : << De la pisse ! >>. Complètement halluciné je regarde. C'est probablement vrai. << Mmhh ! Mmhh ! >> n'arrête pas de gémir Clémentine. Une fois encore elle tente de prendre le maximum de queue dans la bouche. Une belle queue.
Une queue noire dont la moitié est luisante, dégoulinante de "mélange". Seize bons centimètres à bien observer. Sur environs quatre centimètres d'épaisseur. C'est lorsque Clémentine se retire pour avaler, que nous avons la preuve indubitable de ce qui se passe. Un petit jet de pisse vient se briser dans ses cheveux. Une autre giclée. Elle se précipite pour sucer, pour surtout ne pas en gâcher de trop. C'est à cet instant que le mec éjacule. << Mmhh ! Mmhh ! >> gémit Clémentine, le visage immobile, les joues se gonflant au rythme des décharges.
Pour pouvoir déglutir Clémentine n'a d'autre choix que de se retirer. Une fois encore Estelle se lève pour s'approcher. Elle aussi veut gouter. Elle tombe à genoux à même le béton du sol. Elle aussi semble se régaler. Elle n'arrête plus. La queue reste bandante. C'est Estelle qui part pour une pipe. Clémentine se trémousse sur sa chaise en se masturbant. Je me lève. Je m'approche. Je la saisis par sa tignasse. Je tente de lui enfoncer la bite dans la bouche. Elle tente d'esquiver. << Non, pas la tienne ! Non ! >> murmure t-elle en essayant de se dégager.
Estelle cesse de sucer en disant : << Put-hein comme elle est bonne ! >>. Clémentine en profite pour se tourner vers le mur, reprendre cette queue en bouche. << Mmhh ! Mmhh ! >> recommence t-elle à gémir. Je retourne me vautrer dans le fauteuil. Le refus de Clémentine m'excite à un point jamais atteint. << Elle est sucrée ! >> m'explique Estelle avant de rajouter : << Meilleure que toutes celles que j'ai gouté. Y compris ta bite dégueulasse de vieux pervers ! >>. Juste après avoir chuchoté ces mots, Estelle s'assoit sur mon sexe qu'elle s'enfile.
Je regarde Clémentine repartir pour un second tour. Le salaud est certainement entrain de pisser car je vois à nouveau des gouttes s'écouler. Clémentine ne pouvant tout "boire". Je comprends maintenant ce qui est "sucré". C'est la pisse de ce vicelard. Elle suce comme si sa vie en dépendait. Les joues creusées par l'effort. << Mmhh ! Mmhh ! >> ne cesse t-elle de gémir. On entend le mec de l'autre côté rugir de plaisir. Il éjacule. Certain. À voir la réaction de Clémentine qui ne cesse de déglutir. Je vois les contractions régulières des muscles de sa gorge.
Cette fois, la queue disparaît. La lumière s'éteint. Clémentine, avec une expression d'extase tourne la tête pour nous dire : << Je n'en n'ai jamais bouffé une aussi délicieuse ! >>. Estelle demande : << Tu aimes quand elles sont sucrées ? >>. Clémentine répond : << Put-Hein mais c'est bon ! >>. La lumière se rallume. Quelques instants avant que n'apparaisse une petite queue toute molle. << C'est celle de Robert, le vétérinaire ! Je la reconnais ! >> chuchote Estelle. Clémentine se tourne prestement vers le mur pour la prendre en bouche. Elle goutte.
Parfaitement immobile, savourant du bout des lèvres, les yeux ouverts, elle reste silencieuse. << Fais gaffe, c'est une bite de pisseur ! >> lui chuchote Estelle en se penchant en avant. Clémentine cesse de sucer pour lui tendre la queue. Estelle se lève pour venir s'accroupir devant le trou. Elle goutte à son tour. Je me lève. Je contourne Clémentine. Je la saisis par ses cheveux. À nouveau elle m'empêche de lui fourrer ma queue dans la bouche : << Je t'ai dis non ! >> me fait Clémentine en me repoussant. Ça m'excite terriblement. C'est génial !
Estelle et Clémentine se refilent cette petite bite qui reste molle. Molle mais juteuse à les voir se disputer le nectar qui en coule. C'est un sperme laiteux, coulant, dont certaines gouttes s'échappent de la bouche des filles pour tomber sur leurs jupes. Je suis certain que ce salopard pisse également. Le bruit bulleux d'une pipe juteuse. << Mmhh ! Mmhh ! >> ne cessent de gémir les filles à chaque fois que c'est leur tour de pomper. J'ai l'impression de voir la bite minuscule de monsieur Bertrand, notre voisin. Mais la sienne n'a pas de verrues.
Car celle-ci présente comme trois verrues le long de la veine bleue. C'est comme si une explosion envahissait soudain la bouche de Clémentine. Ses joues se gonflent, se dégonflent, pour se regonfler encore. Au rythme où elle avale. Trop c'est trop. Elle se retire quand une coulée de sperme s'écoule. Estelle, d'un gracieux mouvement de tête tente d'en récupérer tout ce qu'elle peut. Je me branle comme un fou. Je dois lutter contre le besoin impérieux d'éjaculer. La bite disparaît soudain. Les impuissants ont souvent d'énormes éjaculations. C'est curieux.
La lumière s'éteint. Clémentine se tourne vers moi pour me dire : << Toi, tu es l'homme que j'aime. Ta bite mérite un traitement de faveur. Je ne veux pas mêler les jus de ces salopards avec le tient ! Tu comprends ? >>. Je la rassure. Je comprends parfaitement. Estelle me dit : << Pour moi c'est pareil. Ne t'en fais pas ! >>. Je réponds : << Mais je ne m'en fais pas du tout ! Vous m'excitez comme jamais ! >>. La lumière se rallume. Une quatrième bite fait son apparition. << J'adore ça, c'est trop bien ! >> ne peut s'empêcher de murmurer Clémentine.
C'est certainement la bite de Pierre. Très ressemblante à la mienne. Vingt bons centimètres sur à peine trois centimètres cinq de diamètre. Une peau de prépuce fripée. Clémentine décalotte légèrement. Juste l'extrémité du gland. Elle hume. Les yeux ouverts, avec une expression de ravissement, elle l'a tend à Estelle qui s'accroupit à nouveau. Elle reniflent toutes les deux cette queue bien droite. Clémentine la prend en bouche. Estelle revient s'assoir sur mon sexe. Elle se masturbe sans cesser son léger mouvement vertical. << Génial ! >> murmure t-elle.
D'être enfoncé jusqu'aux couilles dans ce doux fourreau, je jouis de chaque instant. Nous admirons la pipe que prodigue Clémentine qui semble animée d'une passion dévorante. La bite reste sèche. Il n'en coule pas de la bouche de Clémentine. << Ce n'est pas un pisseur ! >> me chuchote Estelle qui redouble d'activité sur mon sexe. C'est parfois douloureux car dans ses mouvements elle me la tord méchamment. La bite disparaît soudain. Clémentine regarde par le trou avant d'y coller son oreille. Elle écoute avant de chuchoter : << Oui, d'accord ! >>.
La queue réapparaît. Clémentine la saisit d'une poigne ferme pour la masturber. Elle nous murmure : << C'est Pierre, il me propose une fois encore de me chercher à l'université pour me baiser dans sa voiture ! >>. Je me penche. C'est la tête sous l'aisselle d'Estelle que je chuchote : << Cette fois tu acceptes ! >>. Sans répondre Clémentine retourne à sa pipe. C'est Estelle qui soudain se cambre. Elle pousse un cri. L'orgasme qui la tétanise à l'instant est sans doute le plus puissant de son existence. Elle me regarde en pleurant. C'est délirant.
Elle se lève pour se mettre à genoux entre mes jambes écartées. J'ai la bite qui ruisselle sur mon jeans. Je n'ai jamais vu une telle quantité de foutre maculer le tour de ma braguette. Sans hésiter un seul instant Estelle se met à me sucer comme une assoiffée. Une affamée. Je pourrais éjaculer. Pierre éjacule car je vois Clémentine s'enfoncer toute sa bite dans la bouche. Quand elle cesse de se masturber pour poser ses mains sur le mur, de chaque côté du trou, c'est pour savourer les giclées de foutre. Je vois la queue s'agiter de trois formidables saccades. Un spasme agite ce membre veineux.
Le hurlement que pousse Pierre permet de l'identifier avec certitude. Son sexe s'arrache de la bouche de Clémentine pour disparaître. Dans l'action, Clémentine en laisse s'échapper. Il en coule une fois encore sur sa jupe. La lumière s'éteint. Clémentine regarde Estelle me tailler une superbe pipe. Elle me fait un clin d'œil. Elle veut me dire quelque chose quand la lumière se rallume. Quelle surprise. C'est la queue du black. Il n'y a qu'une seule bite noire dans la bande. Nul doute que c'est le "retour". << Ill be back ! >> murmure Clémentine en gloussant.
Sans attendre, elle se tourne contre le mur. Elle approche son visage en ouvrant la bouche. Elle se met à biberonner avec délectation. Comme un véritable biberon dont elle sirote déjà le jus. << Mmhh ! Mmhh ! >> gémit elle à nouveau. Elle donne trois petits coups contre la cloison. Aussitôt trois coups résonnent en réponse. Des gouttes recommencent à couler le long de la queue, dégoulinantes de la bouche de Clémentine. Pourtant ses lèvres forment une vraie ventouse sur le sexe noir. Estelle cesse de me sucer en entendant les gouttes tomber au sol.
Je caresse son visage. Elle me fait le plus merveilleux des sourires. Elle se met droite sur ses genoux pour se tourner vers Clémentine qu'elle rejoint. Toutes les deux se refilent cette queue qu'elles savourent comme un cône glacé. Je me lève. Je les tient toutes les deux par la nuque. Je me penche. Mon visage entre les leurs, je murmure : << Su sucre les filles ? >>. Clémentine gémit en gloussant : << Mmhh, mmhh ! >> fait elle sans cesser de siroter. Estelle qui en veut aussi colle sa joue contre celle de Clémentine. La queue se met à coulisser.
Clémentine veut absolument se faire éjaculer dans la bouche. C'est presque à un combat d'épaules que se livrent mes deux anges. Estelle qui ne voulait pas sucer une autre bite que la mienne a goutté toutes les autres ce soir. Je murmure à son oreille : << Félicitations ! >>. Elle saisit mon poignet, tente de m'embrasser pendant que Clémentine avale en poussant des cris de ravissement. J'esquive. Rien ne m'écœure davantage que de savoir que leurs bouches ont sucé d'autres mecs. Ça schlingue la queue, le sperme, le thon mayonnaise et l'urinoir à pisse.
Cette fois, les couilles totalement vides, la bite probablement congestionnée, le type se retire. Le silence. La lumière s'éteint. Plus rien. Nous attendons quelques minutes en fixant le trou noir. Du bruit. Juliette vient nous rejoindre. << Alors ? >> lance t-elle à Clémentine. Juliette aussi a les cheveux du côté droit dégoulinant de pisse et de foutre. On se doute bien qu'elle s'est bouffé de la queue elle aussi. Comme toujours, quand la fête est finie, de peur de croiser les propriétaires des bites sucées, Clémentine m'entraîne par la main pour nous sauver.
Nous ne saluons même pas Juliette qui connait bien ce réflexe de Clémentine. Les serviettes posées sur le siège arrière trouvent rapidement leurs utilités. Estelle et Clémentine s'en couvrent la tête. Les cheveux mouillés, afin de ne pas prendre froid, elles se protègent ainsi. Je roule doucement. Clémentine mord dans la pomme avant de la passer à Estelle. << Il y a des mecs qui ont des bites dégueulasses ! >> lance t-elle. Estelle répond : << C'est ça qui les rend excitantes et savoureuses ! >>. Nous rions de bon cœur. Il est 23 h quand nous arrivons.
Estelle et Clémentine, sous la douche se font un shampoing. Je les entends rire. J'attends avec le sèche cheveux. Une fois encore je joue au coiffeur. Dans le miroir, assises côte à côte, mes deux anges me font des grimaces. << Je t'ai fait de la peine au trou ? >> me demande Clémentine. Je dépose un bisou dans sa nuque en répondant : << Pas du tout. Bien au contraire. Tu n'imagines pas comme ton attitude de refus m'a excité ! Je n'ai pas éjaculé par contre ! >> Estelle s'écrie : << Félicitations. Mais demain je te jure que je te fais exploser ! >>.
Bonne nuit à toutes les coquines qui vont se blottir contre leur coquin dans la complicité d'un profond sommeil. Leurs pieds contre les siens.
Julien
NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...