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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Le petit monde de Clémentine et de Julien
Thursday 15 September 2022 07:40

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - 6 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2008 -



Nous retrouvons Juliette avec plaisir

Hier matin, mercredi, il est un peu plus de huit heures trente. Clémentine qui est restée tout contre moi toute la nuit, se serre encore davantage. Je suis toujours pétri d'émotion quand elle réagit ainsi. Et cela a commencé avec une telle intensité au mois de juillet, en Écosse. Elle pose ses lèvres dans mon cou pour saisir mon érection naturelle et matinale. C'est d'une telle douceur que j'en ai déjà le vertige. Quelques bisous, quelques papouilles et c'est en me tenant par la queue que Clémentine m'entraîne aux toilettes. Nos rituels pisseux.

Il fait sombre dans la maison. Le ciel est gris et bas. Il pleut. Pourtant la chaleur accumulée dans la grande demeure depuis le début de l'été est toujours présente. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gymnastique, nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café. Le grille pain éjecte ses premières tranches. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Clémentine vient se lover contre moi en murmurant : << Je vous aime gentil monsieur ! >>. C'est adorable. Je dépose une bise sur le bout de son nez en répondant : << Je vous aime mademoiselle ! >>.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée cinéma de hier. La présence d'Estelle. Le montage qu'elle a réalisé avec les différents petits films faits en Écosse. Excitants et excentriques tant nos déviances sexuelles nous ont encore charmé. Nous rions de bon cœur à l'évocation de nos penchants pour les trucs vicieux. << Truculents ! >> précise Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en faisant le menu du repas de ce soir pour la venue de Juliette. De la retrouver sous entend de belles réjouissances. Trois mois sans la voir.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle, monter nous laver les dents et nous entraîner. Avec cette météo déplorable il n'y a pas de jogging. Ce sera l'entraînement en salle. Clémentine, toute heureuse de retrouver cette activité m'y entraîne en sautillant. Il faut ouvrir les fenêtres afin de créer un peu de courant d'air. Dans cette grande pièce la chaleur aussi reste accablante. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos et exercices au sol, charges additionnelles. Nous terminons par un stretching bâclé et en riant des facéties de Clémentine. Une heure sympa.

La douche. Clémentine met une de ses robes d'été. Brune à motifs floraux. Je suis en bermuda et chemisette. Nous faisons notre lit. Pressés d'aller vaquer à nos activités de la matinée nous descendons à toute vitesse. Dans l'atelier il fait bien meilleur. Nous avons laissé une des deux fenêtres ouverte et bloquée. Clémentine virevolte en soulevant sa robe. Elle m'entraîne dans une farandole. Elle saute à mon cou en s'écriant : << Je t'aime ! >>. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille, Clémentine m'embrasse passionnément. Avec fougue.

Nos mentons sont rapidement trempés de salive. Le constat est accablant. Nous sommes totalement incapables de nous embrasser "proprement". Selon l'expression de Clémentine qui se frotte. Je la dépose sur la table. Je sors ma bite dure comme le bois. Debout entre ses cuisses, je frotte mon sexe contre le sien. L'absence de culotte facilité l'intromission délicate. En même temps que je m'introduis avec précautions, doucement, je saisis son clitoris géant. C'est dans un râle de bonheur que Clémentine s'enfonce toute la longueur du Zob.

Nous restons immobiles à nous fixer. Je ne connais pas de principe plus aphrodisiaque. C'est à la fois excitant, émouvant et profond. Aussi profond que la pénétration que j'offre à la fille que j'aime. Je lâche son clitoris pour la soulever. La promener pénétrée jusqu'à la garde dans toute la grande pièce. Nous recommençons à nous embrasser comme des déments. En gémissant. J'adore les petits cris d'animal blessé qu'émet Clémentine à chaque fois que je reviens la déposer sur la table pour la bercer d'un mouvement métronomique. Noyée de plaisir.

Je me retire délicatement. Clémentine reste suspendue à mon cou, le visage en sueur, reprenant son souffle. Nous aimons rester excités pour le restant de la journée. Nous savons adroitement éviter l'orgasme. Clémentine reprend très vite ses esprits. Cette capacité toute féminine de passer d'un état à l'autre avec une facilité qui m'impressionne. Alors que moi je reste encore avec la queue palpitante. Une queue dégoulinante de nos mélanges. Clémentine s'accroupit pour en savourer les épanchements. J'adore l'entendre gémir en dégustant.

Je caresse ses cheveux. Lorsqu'elle tombe à genoux prise de passion par la fellation gourmande qu'elle me prodigue, je la tiens par ses oreilles pour me masturber dans sa bouche. Je me penche pour murmurer des douceurs, des cochonneries. Pour la remercier d'être la fille la plus merveilleuse de la terre. Je l'aide à se redresser. C'est moi qui m'accroupis pour masser ses genoux douloureux. Les tomettes en terre cuite du sol ne sont pas tendres avec ses articulations. Je suis prié de rester avec la bite à l'air. Clémentine s'installe à sa table de travail.

Elle allume l'ordinateur. Je suis debout derrière elle à caresser sa nuque. Je me penche pour caresser ses tous petits seins. Nous avons un courriel de Julie qui nous prie de l'excuser pour la distance qu'elle prend. Mais la reprise de ses études doit rester une priorité absolue. La notion d'échec lui étant étrangère elle veut absolument commencer sa troisième année dans les toutes meilleures dispositions. Dans sa réponse Clémentine la rassure. Nous sommes disponibles. Et quand les choses reprendront leur vitesse de croisière nous aviserons à trois.

<< On fait un gratin de pommes de terre et dos de cabillaud blanc en sauce ! >> s'écrie soudain Clémentine. Ce sera le repas de ce soir. Juliette emmène le dessert. Je trouve la suggestion parfaite. Nous éclatons de rire. Cette idée est apparue comme ça. Je pose mes mains sur les épaules de Clémentine. Elle saisit mes poignets pour dire : << Tu seras hyper vicieux ce soir. Tu veux bien ? >>. Je promets de faire de mon mieux. Je réponds : << Tu as toujours de l'imagination pour deux, si tu as une nouvelle idée pour ce soir, tu m'en fais part ! >>.

Clémentine se lève, se tourne. Saisissant mon sexe de sa main droite, caressant ma joue de sa main gauche, elle fait : << J'ai déjà une vague idée ! Viens, on va préparer la bouffe ! >>. Elle m'entraîne par la queue jusqu'à la cuisine. Il y a le reste de la tourte aux poireaux de hier soir à réchauffer. Avec du millet doré que je fais gonfler. Clémentine prépare une salade de carottes. C'est rapide, simple et tellement délicieux. Nous mangeons de bon appétit en organisant les tâches pour la préparation du repas de ce soir. C'est dans un sentiment festif.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Assis tous les deux nous épluchons les pommes de terre. Il suffit de les laver, de les couper en tranches. De les ébouillanter pendant cinq minutes avant de les mettre dans un grand plat rectangulaire. Nous en faisons suffisamment pour n'avoir qu'à réchauffer demain à midi. Je verse le "flan" à base d'œuf, de lait de soja et de moutarde à l'ancienne. Clémentine recouvre d'une grosse couche de gruyère de Comté grossièrement râpé. De la chapelure recouvre le tout. Au four pour une cuisson lente à 180°. Ça va mijoter.

Sur les dos de cabillaud blanc que je fais rissoler dans la poêle, Clémentine verse un mélange de crème fraîche, de Parmesan et de fromage blanc. Je coupe le feu. Un couvercle. Tout est prêt pour ce soir. Nous montons nous laver les dents dans un état de satisfaction intense. C'est bien d'anticiper. Nous avons tout l'après-midi rien que pour nous. Clémentine m'entraîne dans la chambre. Elle me fait tomber sur le lit. Elle s'allonge à côté de moi. Serrée, elle caresse mon cou en me murmurant des douceurs. J'aime quand elle évoque quelques souvenirs.

Il n'y a aucune nostalgie dans ces évocations. Ce sont plutôt des bases pour de futurs réalisations dans le cadre des fantasmes de Clémentine. J'écoute amusé. Elle pose sa tête sur mon ventre. Jouant avec mon érection elle me confie : << J'aime la bite. J'ai développé une véritable addiction aux spermes ! >>. Clémentine précise encore : << Je mets "spermes" au pluriel parce que j'adore la "diversité" ! >>. Nous rions de bon cœur. Sa bouche se referme comme une ventouse sur l'extrémité de la peau fripée de mon prépuce dégoulinant.

Je me fais tailler une pipe des familles. Je garde les yeux ouverts pour admirer les moulures de plâtre du plafond. Toutes les deux trois minutes Clémentine cesse de pomper. Elle me raconte ses pensées. Les films qu'elle adore se faire en suçant. Accessoirement elle peut également laisser reposer sa mâchoire. Moi aussi je raconte les films que je me fais. Ça tourne toujours autour des mêmes fantasmes. Être caché et regarder Clémentine sucer un inconnu. Je crois lui avoir exposer toutes les déclinaisons possibles. << Il faut toutes les essayer ! >> dit elle.

Je reste à la limite de l'éjaculation. C'est difficile de résister tellement c'est doux, c'est chaud, c'est bon. Clémentine adore se voir sucer dans le grand miroir de l'armoire. Je la regarde. Lorsqu'elle ouvre les yeux elle m'adresse un clin d'œil. Se met à lécher avec un regard par en-dessous terriblement vicieux. Je ne peux pas bander plus fort. Nous restons ainsi un long moment. Clémentine vient parfois me montrer ce qu'elle a en bouche. Ça aussi ça me rend dingue. Ces quantités de foutre qu'elle fait tourner avec sa langue avant de déglutir en gémissant.

Sa tête posée sur mon épaule, sans lâcher ma bite qui dégonfle doucement, nous nous endormons. Peut-on s'endormir dans un état de béatitude plus profond ? Ce n'est pas humainement possible. Toujours est-il qu'il est 17 h quand nous nous réveillons. Nous nous étirons longuement en gémissant jusqu'à l'absurde. Pendant mon sommeil, ma queue toute molle a continué à dégorger du jus de couilles. Clémentine, à quatre pattes sur le lit le découvre. << Miam ! >> s'écrie t-elle avant de recommencer à pomper. Je la force à cesser.

Nous courons aux toilettes. À la salle de bain nous nous mettons de l'eau fraîche sur le visage. On se donne apparence humaine en riant. << J'ai le gout de tes substances. C'est miam ! >> lance Clémentine avant de me sauter au cou. Je la soulève pour une nouvelle étreinte buccale. Nous redescendons pour mettre la table au salon. Sur le chemin de table en lin écru nous disposons les assiettes de grès, les couverts en laitons. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bises, de nous toucher les sexes. De rire de nos douces et tendres étreintes.

Du tiroir du bas du bureau je sors le foulard en soie, le collier canin de cuir brun, la laisse. En me voyant déposer ces accessoires sur le bureau Clémentine glousse de joie. Je passe le foulard de soie autour de son cou. Ainsi le cuir du collier canin n'irritera pas sa peau délicate. À l'anneau je fixe la laisse. Je donne quelques à coups en ordonnant : << À quatre pattes ma délicieuse "Soumise ! >>. Clémentine pousse un petit cri de ravissement. Je la promène ainsi dans toute la grande pièce. À chaque coin de meuble elle s'arrête pour lever une cuisse.

Il fait sombre. Il faut allumer les deux grosses bougies et deux appliques muraux. Un éclairage discret, douillet qui offre un sentiment de profonde intimité. Trois coups de sonnette. Clémentine s'assure que ma bite pend de la braguette avant de m'entraîner dans le hall d'entrée. Sur l'écran de l'interphone, la silhouette de Juliette. Nous avons complètement oublié d'ouvrir le portail. La voiture descend le chemin. Sous le grand parapluie nous courrons accueillir Juliette. Elle est tellement contente de nous revoir qu'elle excuse très facilement notre oubli.

Quand je la débarrasse de son imper nous la découvrons vêtue d'une jupe semblable à celles de clémentine. Évasée au-dessus du genoux. Un chemisier crème. Sa silhouette athlétique en est encore sublimée. Elle aussi à le teint naturellement mate des filles du sud. Elle est absolument magnifique. Terriblement sexy. Elle porte ses 48 ans avec une élégance et une classe folle. Clémentine la prend par le bras pour l'emmener au salon. Je vais à la cuisine pour réchauffer le repas. Je rejoins les filles au salon. Juliette tient Clémentine par sa laisse.

Toutes les deux, assises dans le canapé, rient en se racontant des anecdotes de vacances. Juliette a cette attitude féminine qui me rend admiratif. Pas un seul instant elle ne regarde mon sexe qui pend de ma braguette. Elle occulte tout cela avec une désinvolture sidérante. Bien plus attirée par Clémentine dont elle aussi est amoureuse, elle ne prête aucune attention à mon érection naissante. J'écoute en restant vautré dans le fauteuil qui fait face au canapé. C'est très excitant de les voir toutes les deux. Clémentine, cuisses écartées me sourit.

Juliette ne tarde pas à écarter les siennes. J'hallucine. Elle ne porte pas de culotte. Les deux coquines s'amusent de mon air halluciné. Nous rions quand Juliette dit : << J'ai été très sage en Corse. Trop sage ! Alors il faut que je me rattrape ! >>. La sonnerie du four. Je propose aux filles de m'occuper de tout. Qu'elles prennent place. J'arrive de suite. Quand je reviens avec le plateau bien lourd. Juliette tient toujours encore Clémentine par la laisse. Elles bavardent en riant. Nous mangeons de bon appétit. Les filles échangent leurs souvenirs de vacances.

Quand Clémentine raconte les deux pipes qu'elle a fait à des inconnus, Juliette siffle d'admiration. Cette attitude vulgaire nous amuse. << Mûre pour le prochain Gloryhole alors ! >> s'écrie Juliette. << Mûre et impatiente ! >> répond Clémentine en m'adressant un clin d'œil. Je me lève. Je bande. Les mains posées sur les hanches je fais bouger ma queue par contractions des muscles fessiers. Enfin Juliette fait semblant de découvrir mon sexe. Elle a passé la poignée de la laisse autour de son poignet. Tenant ainsi Clémentine durant tout le repas.

Juliette a ramené une tarte aux poires faite "maison". Nous la savourons après la vaisselle. Juliette reste aux côtés de Clémentine. La poignée de la laisse toujours passée à son poignet. Elles sont toutes les deux vautrées, cuisses largement écartées à se toucher. Je me masturbe. Nous bavardons. Juliette propose un Gloryhole pour le début octobre. C'est la date du vendredi 7 octobre qui est arrêtée. La soirée se déroule ainsi, dans une ambiance torride. Juliette me lance de nombreux clins d'œil. Il est 22 h. Nous la raccompagnons à l'auto.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui adorent les soirée torrides aux ambiances feutrées toutes emplies d'une excitante retenue...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2009 -



Estelle vient passer la soirée avec nous

Hier matin, jeudi, il est presque neuf heures. Clémentine vient se blottir contre moi en gémissant. C'est très agréable de faire des grasses matinées. C'est encore un peu les vacances. << Je vous aime gentil monsieur ! >> murmure t-elle comme les autres jours en se réveillant. Saisissant mon érection naturelle, elle me dépose des bisous en mitrailles sur le visage. J'adore l'halène de ses nuits. En se frottant contre ma cuisse elle rajoute : << C'était génial hier soir avec Juliette ! >>. Elle m'entraîne par la queue jusqu'aux toilettes. "La tête dans le cul".

Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers. Il fait sombre dans la maison car dehors il pleut. C'est carrément sinistre. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la présence et l'attitude de Juliette hier soir. << Je préfère quand elle vient manger à la maison que le contraire ! >> affirme Clémentine. Ce qui était d'ailleurs initialement prévu. Mais c'est vrai que c'est bien plus sympathique de pouvoir rester chez nous. "Cool" !

Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de la journée. Avec cette pluie les options sont peu nombreuses. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie à quel point elle adore être traitée en "Soumise". Ce n'est pas vraiment un jeu. Clémentine est une authentique "Soumise". << Tu as vu comme elle était contente Juliette de me tenir toute la soirée par la laisse ? >> s'écrie Clémentine en changeant de position pour s'installer à califourchon. Pour se frotter doucement.

Un mouvement masturbatoire qui la fait rapidement gémir. << Viens, on fait la vaisselle et on monte s'entraîner. Sinon je vais me laisser aller à mes pulsions ! >> dit elle. Nous rions de bon cœur en débarrassant pour faire la vaisselle. Nous montons en courant jusqu'à la salle de bain pour nous laver les dents. Nous passons dans notre salle d'entraînement. Aérobic, joggings sur tapis roulant. Exercices au sol, abdos. Charges additionnelles en privilégiant ce matin les machines. Le retour au calme avec un stretching. Nous courons sous la douche.

Il fait encore bien chaud dans la maison. Les murs épais des vieilles maisons ont la particularité d'êtres de parfaits isolants thermique. Les changements de température se font sur plusieurs jours. Clémentine porte une jupette "tennis", un sweat de fin coton, ses espadrilles aux semelles de cordes. Je suis en bermuda et T-shirt à manches longues. Nous faisons notre lit. Clémentine récupère le foulard en soie, le collier canin et la laisse posés sur la table de nuit. Elle me les tend avec un regard implorant. Je fixe ces accessoires autour de son cou.

<< Je vous aime mon doux "Maître" ! >> fait elle en se serrant dans mes bras. Cambrée, son sexe contre le mien. Nous redescendons pour aller dans l'atelier. Je tiens la fille que j'aime par sa laisse. À peine sommes-nous dans la grande pièce que Clémentine se met à quatre pattes. Elle m'implore du regard. Je donne un à coup sur la laisse pour l'emmener ainsi. Nous faisons le tour de l'atelier. À chaque coin de meubles, elle lève la patte. Je glisse ma main entre ses cuisses. L'absence de culotte me permet une inspection détaillée. Elle en gémit.

Je l'aide à se relever. Je m'accroupis pour masser ses genoux douloureux. Nous possédons des genouillères. Elles sont dans le tiroir du bas du bureau dans le salon. Il faudrait y penser et les mettre avant nos jeux. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Pas de message. Nous avons décidé de ne pas retourner en Angleterre. Tant pis pour les cérémonies et les funéraille d'Élisabeth II. << On est si bien tous les deux à la maison ! >> précise une fois encore Clémentine en changeant de position pour se remettre à califourchon. Bisous.

Elle adore se frotter en enfonçant sa langue dans ma bouche. Mon érection est presque instantanée. J'en suis moi-même aussi étonné que Clémentine qui se cambre pour se masturber en haletant. Il est onze heures trente. À l'extérieur la pluie ne cesse pas de tomber avec une régularité morose. << On est bien là, tous les deux ! >> chuchote t-elle entre deux baisers fougueux qui trempent nos mentons de salive. Clémentine se lève. Elle se dirige vers l'étagère où elle range ses classeurs. Elle en saisit un pour venir le poser sur la table en soupirant.

Je consulte la messagerie privée du forum. Il y a toujours de petits mots de lecteurs qui suivent nos aventures. Je lis à voix haute. Clémentine se place sur un coin de la table. Cambrée en avant, se frottant doucement d'un mouvement régulier, penchée en avant, les mains en appui, elle écoute. Je me lève pour venir me coller contre elle. Je passe ma main sur son ventre pour descendre sous sa jupette. Accès instantané à son clitoris géant que je saisis entre le pouce et l'index en murmurant : << Cet après-midi je vous baise jeune fille ! >>.

<< Oh oui, faites de moi votre esclave. Je suis totalement offerte à tous vos désirs cher monsieur ! >> dit elle en tournant la tête pour m'offrir sa bouche. Elle se tourne pour fourrer sa main dans ma braguette béante. Quand je bande aussi fort, il est beaucoup plus facile d'en extraire la bite. Ce que fait Clémentine en se retournant pour s'accroupir. Ses cuisses serrant mes jambes, elle gobe ma turgescence pour se mettre à sucer en gémissant de bonheur. Je caresse ses cheveux, sa tête. Je l'aide à se redresser avant l'ankylose. Avant la crampe.

Il fait faim. C'est en me tenant par la queue que Clémentine m'entraîne. Avant de quitter l'atelier pour la cuisine elle me tend la poignée de la laisse. Je donne quelques à coups avant de la laisser pendre entre ses tous petits seins aux extrémités durs comme mon sexe. Clémentine fait la salade. Je réchauffe le reste du gratin de pommes de terre. Je fais une poêlée de champignons avec de la crème en fin de cuisson. Clémentine prépare une pâte à crêpe. Je fais rissoler des crevettes encore légèrement congelées car tirées du haut du réfrigérateur.

Ce sera pour les beignets de crevettes de ce soir. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le programme des prochains jours. Les préparations de Clémentine pour la reprise de ses cours. << Si fait ce temps-là demain la "surprise party" dans le jardin de monsieur Bertrand est compromise. Dommage, sa double surprise sans doute aussi ! >> lance Clémentine. Elle prend un air dépité tout à fait de circonstance avant que nous éclations de rire. Je dis : << Il reste toujours des possibilités de replis dans notre maison d'amis ! >>.

Nous épluchons des pommes de terre que nous coupons en fines tranches. Dans la poêle je les transforme en chips pendant que Clémentine commence la vaisselle. Nous essuyons tous les deux en nous faisant plein de bisous. J'adore passer ma main entre les cuisses chaudes de Clémentine. Que ce soit par derrière ou par devant. Elle se cambre toujours en écartant ses jambes afin de me permettre le meilleurs accès. Elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes enserrent ma taille. << J'ai envie d'être votre "chose" tout le temps ! >> chuchote t-elle.

Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Clémentine, de la mousse dentifrice autour des lèvres, mime une fellation en m'observant par en-dessous. Ce regard hyper vicelard qui m'allume à chaque fois. Tête contre tête nous nous rinçons la bouche au-dessus du lavabo. Après nous êtres essuyés je demande : << Vous avez sucé qui à l'instant, chère demoiselle ? >>. Clémentine passe ses mains autour de mon cou pour répondre : << Oh, certainement encore un inconnu qui me présentait sa bite ! >>.

Nous rions en redescendant à toute vitesse. Pressés d'aller faire quelques pas au dehors sous le grand parapluie. Quelle surprise. La température a baissé pour avoisiner les 20°. Pas le moindre souffle de vent. Une pluie fine et régulière. Nous chaussons nos bottes en caoutchouc. Super look en jupette et en bermuda. Nous montons jusqu'au portail pour traverser la route. De marcher sur le sol rocailleux du chemin qui se couvre de feuilles mortes reste un plaisir malgré la météo. Je saisis la poignée de la laisse. Je la passe autour du parapluie.

Clémentine, accrochée à mon bras revient sur quelques souvenirs de vacances. << C'était dense cette année. J'ai l'impression que nous avons fait mille choses chaque jour de cet été ! >> confie t-elle. Parfois elle s'arrête pour passer devant moi. Elle dépose un bisou sur ma bouche. J'ai la bite à l'air. Toute molle elle pend de ma braguette ouverte. Clémentine s'accroupit souvent quelques secondes pour y déposer des bises. << J'aime sucer votre queue mon doux "Maître" ! >> dit elle à chaque fois avant de se redresser pour m'embrasser avec passion.

Notre promenade nous emmène jusqu'aux prés ou paissent les vaches. La pluie ne semble pas les empêcher de brouter. Il y a bien un abri au fond du pré. Aucune d'entre elles ne s'y réfugie. Nous faisons la boucle pour revenir sur nos pas. Je suis très excité par le look de Clémentine. Il faut imaginer cette grande et sublime jeune fille vêtue d'une simple jupette plissée, d'un sweat et chaussée de bottes en caoutchouc. Moi, ça me fait bouillir les sangs. Je lui confie à quel point elle me fait tourner la tête. Elle rit aux éclats de mes préférences.

<< Tu veux que je garde mes bottes une fois à la maison ? >> demande t-elle, espiègle et mutine en saisissant mon sexe qui a tendance à durcir. Nous rions de bon cœur de mes curieuses préférences. Il est 16 h30 quand nous revenons. L'humidité nous pénètre et devient désagréable. Clémentine essuie ses bottes en me tenant par la main. Je tiens la poignée de la laisse. Elle m'entraîne dans le salon. Me fait tomber dans le canapé. Prenant la chaise elle s'y assoit à l'envers. Le dossier entre ses cuisses largement écartées. Elle me tend la laisse.

Je bande comme le dernier des salauds. De vivre avec une authentique exhibitionniste est un plaisir de chaque instant. C'est un peu sa "nourriture" intellectuelle de créer des situations insolites et souvent surprenantes. Clémentine reste ainsi à me regarder me masturber. Elle se cambre pour imprimer un langoureux mouvement masturbatoire sur sa chaise. Elle ouvre la bouche. La referme. Me fait des clins d'œil. Me confie à quel point elle adore ces moments. Elle me fait signe de l'index. Je me lève. Je me place devant elle. Je lui présente le Zob.

Clémentine adore quand je frotte mon sexe sur son visage. Et plus je le fais vulgairement et plus elle en raffole. À chaque fois qu'elle tente de le prendre en bouche, j'esquive au dernier instant. Nous en rions. Je la tiens sous le menton. Par la nuque. Je la laisse enfin sucer. Les yeux ouverts, me fixant avec un air de défi, elle pompe ma queue en suçotant. Ses joues creusées par la succion elle observe mes expressions. Je caresse ses joues. Je murmure : << J'adore vous voir sucer mademoiselle. Et la bite que vous sucez m'importe peu ! >>.

Je me fais tailler une pipe des familles. Parfois je retire ma queue de la bouche de Clémentine dans de longs filaments gluants. Ils viennent s'écraser sur le haut de son sweat. Je m'accroupis. Elle se lève pour tourner la chaise et s'y rassoir en m'offrant sa chatte toute aussi gluante. Je me pourlèche de cet extraordinaire abondance de jus de fille. J'en suis couvert de frissons. Je me branle de ma main libre alors que l'autre j'écarte les poils pour me régaler de tout ce qui coule. Clémentine pousse de petits cris d'animal blessé tout en se masturbant.

Je me lève. Je saisis Clémentine par sa laisse pour ordonner : << À quatre pattes ! >>. Elle s'exécute immédiatement. Je l'emmène en "promenade" dans toute la grande pièce. Du bruit. Estelle, largement en avance, tombe sur ce spectacle. Comme affolée elle se précipite pour m'embrasser. Elle saisit ma queue avant de se mettre à quatre pattes devant Clémentine pour l'imiter et lui faire des bises. << C'est génial ! >> s'écrie t-elle en se redressant. Il n'est que 18 h30 et il commence à faire faim. Clémentine se redresse. Je masse ses genoux.

En découvrant ce que nous avons préparé pour le repas de ce soir Estelle s'écrie : << Mais c'est génial. En arrivant ici je retrouve toujours tout ce que j'aime ! >>. Elle me saute au cou pendant que Clémentine s'accroupit entre nous deux pour récupérer tout ce qui dégouline de ma queue à nouveau molle. Nous mettons les assiettes et les couverts. Clémentine fait la salade. Estelle fait chauffer le récipient d'huile. J'y mets les crevettes préalablement trempées dans la pâte à crêpe. Les pommes de terre chips réchauffent dans la poêle. C'est rapide.

Nous mangeons de bon appétit. Estelle nous raconte ses journées en compagnie de ses parents. Hier soir elle s'est encore fait baiser par Jean-Marc, son parrain. Cette fois dans la cave. Clémentine relate notre soirée en compagnie de Juliette. Son invitation à une nouvelle séance Gloryhole le vendredi 7 octobre. << Tu suces avec moi ? >> demande Clémentine. << Oui, mais exclusivement Julien ! >> répond Estelle. Nous rions aux éclats. Estelle devra nous laisser pour 22 h. D'ici là elle veux s'amuser avec nous. Nous traînons un peu à table.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se faire lécher la chatte en "soins thérapeutiques" et bouffer du foutre bien gluant...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Le petit monde de Clémentine et de Julien
Saturday 17 September 2022 07:34

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - 8 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2010 -



La météo bouleverse quelque peu nos "plans"

Hier matin, vendredi, il est presque neuf heures. Clémentine est restée contre moi toute une grande partie de la nuit. Aussi, elle n'a qu'à se blottir encore plus fort pour m'arracher de mon profond sommeil. C'est tellement émouvant quand elle met sa tête dans le creux de mon épaule comme pour y chercher un réconfort. En gémissant de bonheur. Je passe mon bras autour de ses épaules. Sa main descend lentement jusqu'à s'emparer de mon érection naturelle. Des bisous que je dépose sur son front, ses joues et sur le bout de son nez.

L'impérieux besoin organique ne nous offre plus aucun répit. Me tenant fermement par le sexe, Clémentine m'entraîne aux toilettes. Morts de faim, habillés de ne tenues de sport, nous dévalons les escaliers. La maison reste obstinément sombre car dehors c'est un peu la même météo que hier. Clémentine fait le café en me racontant sa nuit agitée par des rêves récurrent. L'université, les cours. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. J'aime ce geste gracieux avec le quel Clémentine récupère à la volée les quatre tranches éjectées par le grille pain.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos petits jeux de hier. Ceux avec Estelle. J'ai passé une grande partie de la soirée à lui lécher le minou. Le prétexte des jeudis soirs est toujours le même. Comme elle a passé la soirée du mercredi à baiser avec son parrain, elle aime recevoir un traitement "thérapeutique" pour décongestionner sa chatte. Ce n'est évidemment qu'une sorte de plaisanterie, de rituel qui lui permet d'autres jouissances. La coquine. Nous mangeons de bon appétit en évoquant l'invitation de notre voisin, monsieur Bertrand.

Avec cette météo il n'y aura certainement pas de "surprises" pour Clémentine dans son jardin. << Tant pis, ce n'est que partie remise. Et puis je peux le rencontrer à 13 h30 dans la maison d'amis ! >> lance Clémentine en posant sa main sur la mienne. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. En remontant pour nous laver les dents, Clémentine me fait encore : << Je peux le sucer un peu cet après-midi ? >>. Nous rions de bon cœur avant d'entrer dans la salle bain. Avec ce temps médiocre, pas de running. Ce sera l'entraînement en salle.

Aérobic, joggings sur tapis roulant. Un peu de vélo d'intérieur. Exercices au sol avec abdos. Charges additionnelles. Nous essayons d'y mettre une intensité maximale. Le retour au calme par des étirements méthodiques achève de nous mettre en forme pour la journée. La douche. Clémentine porte la même jupette que hier. Le même sweat de fin coton. << Tu veux que je remette les bottes en caoutchouc ? >> demande t-elle. Nous rions aux éclats. Je porte mon bermuda et un sweat. Nous faisons notre lit sans cesser de nous faire des bises.

Pressés d'aller prendre la température au dehors, nous redescendons à toute vitesse. Le choc thermique est vif. Il ne fait que 18°. Il faut se changer si nous voulons faire quelques pas sous le grand parapluie. << Viens, ça dissuade. On reste au chaud ! >> lance Clémentine qui m'entraîne par la main jusque dans l'atelier. Assise sur mes genoux elle allume l'ordinateur. Un mail de Julie qui s'excuse de ne pouvoir venir nous rejoindre cet après-midi. Ses cours ont repris en faculté de Lettres Modernes. Elle se consacre en priorité à tout ce qui les concerne.

Par contre elle viendra demain matin samedi pour le ménage. Un message de Juliette qui nous invite à manger chez elle mercredi prochain. Et surtout à passer au haras ce week-end. Clémentine répond. Elle change de position pour se tourner, s'installer à califourchon sur mes genoux. Inexorablement, chaque jour, la maison se rafraichit à l'intérieur. Nous n'allons pas rester vêtus de façon aussi légère. L'entraînement nous avait donné quelques illusions. Nous nous précipitons dans les escaliers pour monter changer de vêtements.

Clémentine enfile un de ses leggings de coton noir, des jambières de danseuse dans ses baskets noires. Un sweat noir un peu plus épais. << Ah, il fait soudain meilleur ! >> s'écrie t-elle. Je suis en jeans, sweat épais. Nous prenons des poses amusantes devant le miroir de l'armoire. Rien n'est plus attractif et sexy qu'une grande jeune fille mince, svelte et athlétique vêtue ainsi. Clémentine est terriblement sexy dans ses habits qui moulent toutes ses formes. Elle s'accroupit à ma droite pour poser sa tête contre ma cuisse qu'elle tient des deux mains.

Je caresse sa tête. << Je vous aime mon doux "Maître". Vous m'autorisez tous les jeux les plus cérébraux et les plus physiques ! >> dit elle en se plaçant entre le miroir et moi. Elle déboutonne la braguette de mon vieux 501 pour en extraire une queue à l'érection naissante. Elle y frotte son visage en gémissant, en murmurant des choses incompréhensibles. Je l'aide à se redresser avant l'inéluctable crampe. Elle se love dans mes bras en frottant son sexe contre le mien. Je la soulève comme une jeune mariée. C'est ainsi que nous redescendons prudemment.

Il est onze heures quarante cinq et il fait faim. Clémentine s'occupe de la salade de concombre. Je réchauffe le reste des beignets de crevettes. Je fais gonfler du riz complet en accompagnement. Nous mangeons de bon appétit. Dehors il ne pleut que par alternances avec des moments tout aussi gris mais plus calmes. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine expose sa stratégie du début d'après-midi. J'écoute amusé. Fine stratège, vicieuse et rusée, elle a plusieurs possibilités pour attirer notre voisin.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de monter nous laver les dents. << Je suis toute excitée, regarde ! >> fait Clémentine en saisissant mon poignet pour glisser ma main entre ses cuisses. C'est chaud bouillant au travers du fin coton noir. J'ai la bite à l'air. Mon érection est presque instantanée quand elle enfonce sa langue dans ma bouche. Elle saisit ma queue pour la tenir d'une poigne ferme. Pressés d'aller réaliser son souhait, nous dévalons les escaliers. J'entraîne Clémentine dans le salon. Elle me saute au cou. Des bises.

Du tiroir du bas du bureau, je tire le second collier canin que je lui ai offert avant les vacances. En fin cuir rouge doublé d'un tissu de coton doux, il se ferme comme un ceinturon. Ce collier a la particularité de présenter une boucle de laiton doré en forme de cœur. Inutile de protéger la peau de son cou. Tout est prévu. Je passe l'accessoire au cou de Clémentine qui en glousse de plaisir. << J'aime vos initiatives mon doux "Maître" ! >> murmure t-elle en se mettant à genoux avec les mains sur la tête. Je lui frotte la bite sur la gueule. Gémissements.

Je l'aide à se redresser car elle se relève en gardant les mains derrière le dos. Pas de laisse. Nous quittons le salon avec la petite paire de jumelles que je passe autour du cou. Nous enfilons nos K-ways. Il ne pleut pas. Par contre la température n'est que de 20°. Une sensation de désagréable fraîcheur humide. Il est treize heures. Nous traversons le jardin en prenant soin de marcher sur les dalles de grès. Nous entrons dans la maison d'amis. Il y fait encore bien agréable. Clémentine m'entraîne par la main pour monter à l'étage. La salle de bain.

C'est de la fenêtre de la salle de bain que la vue sur une partie de la propriété du voisin est la meilleure. Surtout avec des jumelles qui grossissent huit fois. Un peu plus de trois cent mètres en contrebas. Il y a une camionnette garée devant le garage. Clémentine observe avec les jumelles. << C'est une entreprise de menuiserie. Il y a un black qui range du matériel. Regarde ! >> fait Clémentine en me passant l'appareil oculaire. J'observe à mon tour. C'est un black, la probable quarantaine, un peu enveloppé. Il discute avec monsieur Bertrand.

Clémentine se place derrière moi. Elle tient mon Zob en murmurant : << Je vais descendre avec le parapluie, comme une promeneuse. Tu restes là, tu mâtes ! >>. Je trouve le plan excellent. Elle me quitte pour dévaler l'escalier. Depuis l'étage, par la fenêtre, je la vois sortir de notre propriété par le portillon. Prendre le chemin qui longue la haie de lauriers et les cyprès. Parfois je la perd de vue derrière les épais feuillages. Maintenant je la distingue parfaitement. Elle marche doucement. Elle arrive à la hauteur du portillon de la propriété voisine.

Monsieur Bertrand l'aperçoit. Il lui adresse un signe de la main en l'invitant à entrer. Clémentine ouvre le portillon avant d'ouvrir le parapluie. Il commence à pleuvoir. Je la vois bavarder avec Louis. Parfois elle rit. Le vieux salaud se palpe la braguette de son épais pantalon de velours. Clémentine mime de discrets mais visibles mouvements de masturbation masculine. Voilà le black qui se pointe en portant une échelle double. Monsieur Bertrand fait probablement les présentations car l'artisan pose son échelle au sol pour saluer la jeune fille.

Il fait plusieurs allées et venues avec du matériel divers. Pendant ses absences monsieur Bertrand se fait beaucoup plus pressant. Je le vois passer sa main entre les cuisses de Clémentine. Il ne lui arrive qu'à l'épaule mais elle s'accroche à lui, cambrée sur ses genoux fléchis, pieds écartés pour lui permettre de la tripoter plus facilement. Quand l'artisan revient ils se lâchent. Cette complicité de ma compagne avec un vieux pervers m'envahit d'une très curieuse impression. Je bande. Je tiens pourtant la paire de jumelles à deux mains pour mieux voir.

Le black a terminé ses chargements. Il se met à bavarder avec Louis et Clémentine. Je la vois sourire. Pas de doute, elle est dans le jeu de la séduction. Tout dans son attitude n'est plus que séduction. Elle s'amuse toujours énormément à ce jeu. L'artisan doit avoir remarqué le collier de cuir rouge que porte Clémentine. Seule note de couleur sur ses vêtements noirs. Sa silhouette hyper sexy me rend fou amoureux. Si je me masturbe, je tiens moins bien la paire de jumelles. Je vois donc moins bien. Ça me frustre de ne pouvoir me masturber en mâtant.

Monsieur Bertrand s'éloigne pour une raison qui m'échappe. L'artisan discute avec Clémentine qui reste bras croisés à l'écouter. Parfois elle sourit, parfois elle hoche la tête. Ses longs cheveux noirs flottent sur ses épaules. J'imagine facilement l'état d'esprit de cet homme qui se retrouve à bavarder avec cette belle inconnue. Le type ne manque pas non plus d'un certain esprit d'initiative. Je le vois mettre son poignet devant sa braguette pour mimer une masturbation masculine. De son autre main il montre la forêt de l'autre côté du chemin. Il se marre.

Monsieur Bertrand revient avec un classeur qu'il tend à l'artisan. Je le scrute. Il est un peu plus grand que Louis mais n'arrive qu'à l'oreille de Clémentine. Cette grande jeune fille exerce toujours un attrait certain sur ses interlocuteurs mâles. Ce qui est visiblement le cas une fois encore. Le monsieur black monte dans sa camionnette. Il y a la femme de monsieur Bertrand qui arrive. Elle est toute étonnée de trouver Clémentine dans son jardin. Elles se saluent. La camionnette démarre doucement pour avancer entre les haies. Louis la contourne.

Il guide le conducteur qui louvoie entre les bosquets. Clémentine, seule, dans l'angle de vue du chauffeur, met sa main gauche entre ses cuisses. J'adore quand elle fait sa salope. C'est tellement naturel chez elle. De sa main droite elle adresse un dernier signe à l'homme qui accélère pour descendre vers le portail. Clémentine cesse juste quand Louis et sa femme viennent la rejoindre. Je pense que la pipe de ce début d'après-midi est bien compromise. Clémentine salue nos voisins avant de remonter le chemin pour me rejoindre. Je me branle.

Clémentine entre dans la salle de bain. Elle se précipite en me découvrant en pleine branle. Je dis : << Put-Hein comme tu es géniale ! >>. Clémentine se blottit contre moi pour frotter son sexe contre le mien. << C'est trop génial nous deux ! Il n'y a pas que moi ! >> s'écrie t-elle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Elle m'entraîne dans la chambre à coucher. Elle retire la protection en plastique poussiéreuse qui recouvre le matelas du lit à baldaquins. Elle m'y fait tomber avant de se coucher sur moi sans cesser de se frotter.

Elle descend son leggings. Je l'aide à le retirer complètement. C'est à moi de me positionner sur elle. Je reste en appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids. Clémentine me tient la queue pour se l'enfiler lentement. Nous restons immobiles. Nous adorons baiser comme ça. Clémentine adore se confier dans ces moments de profondes intimités. Je l'écoute me raconter les sujets de discussions avec l'artisan. << Un vicelard, tu n'imagines pas. Il m'a félicité pour mon collier de cuir. Il m'a dit qu'il aimerait en savoir davantage sur ma personne ! >>.

Parfois je bouge doucement. Ça m'excite terriblement d'entendre les confessions de Clémentine. Surtout lorsqu'elle exprime le souhait de gouter à la bite de ce mec. << Il revient la semaine prochaine. Il m'a même proposé de faire un tour dans sa camionnette ! >> rajoute Clémentine qui se masturbe toujours en étant pénétrée. Je l'encourage. << Il m'a filé sa carte. Il y a le numéro de téléphone ! >> fait elle encore en haletant, entre deux gémissements. Il faut éviter l'orgasme. Nous adorons rester excités pour tout le restant de la journée.

Bonne fin de journée à toutes les coquines qui peuvent vivre tous leurs fantasmes dans la plus parfaite complicité avec leur vicelard...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 9 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2011 -



Les rassurants petits rituels de nos samedis

Hier matin, samedi, il est presque huit heures. Clémentine tout contre moi pose sa tête sur ma poitrine en saisissant ma tumescence. Je suis tiré de mon sommeil dans une sorte de prolongement d'un rêve dont je ne me souviens plus. Doucement Clémentine passe sa tête sous les draps pour venir prendre mon érection naturelle dans la bouche. C'est toujours une très étrange sensation. Ni excitante ni agréable. Je la saisis par ses cheveux noués en queue pour la forcer à revenir poser sa tête contre la mienne. << Je vous aime "Maître" ! >> dit elle.

Je me retourne pour me mettre sur elle. Gardant mon appui sur mes bras. En lui déposant de délicates bises sur le front je fais : << Je vous aime ma "Soumise" ! >>. L'envie de pisser devient intolérable. M'attrapant par le sexe Clémentine nous entraîne aux toilettes. Morts de faim, en tenues de jogging, nous dévalons les escaliers. Clémentine prépare le café, mets les bols et les couverts sur la table. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la "rencontre" de hier chez notre voisin, monsieur Bertrand.

Cet artisan menuisier dragueur qui invite Clémentine à faire un tour dans sa camionnette. << Il veut surtout me sauter l'enfoiré ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. C'est fort probable. Je réponds : << Et toi tu as surtout envie de le sucer ! >>. C'est en riant aux éclats que nous mangeons d'excellente tartines de pain grillé beurrées et au miel. Je vais ouvrir le portail depuis l'interphone dans le hall d'entrée. En regardant l'écran je vois arriver la Clio rouge. C'est Julie. << Déjà ! Mais il n'est que 8 h20 ! >> s'exclame Clémentine.

Julie nous rejoint dans la cuisine. L'intérieur est bien plus lumineux car le ciel est dégagé. << Bonjour ! Comme vous m'avez manqué depuis samedi dernier ! >> lance Julie en venant nous faire trois bises à chacun. << Tu as déjà mangé ? >> demande Clémentine. << Oui ! Je suis debout depuis sept heures ! >> répond notre amie. Julie porte un jeans, un pull sous son blouson, ses bottines. Ses longs cheveux presque noirs attachés comme ceux de Clémentine. << Allez vous entraîner, je m'occupe de tout ! >> rajoute encore Julie en retirant son blouson.

Avant de quitter la cuisine, nous déposons tous les deux une bise sur son front. Nous enfilons les K-ways car le thermomètre extérieur indique 14°. << Put-Hein mais c'est carrément l'automne ! >> s'écrie Clémentine en se blottissant dans mes bras. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti pour notre running. En restant au bord de l'étroite route communale déserte. Seul endroit où le sol n'est pas détrempé. Il n'est pas tout à fait neuf heures trente quand nous revenons. On entend l'aspirateur quelque part à l'étage. C'est agréable.

La douche. Nous portons tous les deux des jeans et des sweats. Inexorablement l'atmosphère ambiant de la maison fraîchit. Je n'exclue pas d'allumer les radiateurs si la plongée des températures devait se poursuivre. Nous avons de quoi nous chauffer pour les cinq hivers à venir. Point de récessions à craindre. Pas de problèmes de budget à l'horizon de cette vie. Comme le conseille Clémentine, nous envisageons même d'installer des panneaux photovoltaïques sur le toit de la demeure. Comme nous l'avons fait réaliser il y a deux ans sur la maison d'amis.

Clémentine a d'ailleurs déjà pris quelques contacts dans ce sens. Nous attendons les premiers devis. En priorité ce sera l'entreprise allemande qui a déjà installé les précédents. Ils font de l'excellent travail, proposent un service et un matériel de pointe. C'est sur ces considérations que nous dévalons les escaliers pour enfiler nos K-ways. Il va bientôt être 10 h et nos livraisons ne vont pas tarder. On entend Julie passer l'aspirateur dans la salle d'entraînement. Nous sortons. La température est à présent de 18°. Un léger mieux mais pas "top".

Voilà Danièle au volant de son nouvel utilitaire Mercedes. Elle affiche son sourire habituel en sautant du véhicule qu'elle gare devant le garage. Du hayon arrière elle tire les deux cageots qui nous sont destinés. L'un contient nos fruits, nos légumes pour la semaine. L'autre nos fromages, nos œufs, le beurre, les petits pots de crème fraîche et les yaourts dont nous faisons grande consommation dès l'automne. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Nous saluons le jeune femme qui s'en retourne vers d'autres livraisons.

Voilà le tube Citroën de notre boulangère. Hilare au volant de sa "pièce de collection" comme elle appelle sa camionnette entièrement rénovée. Madame Marthe malgré sa corpulence est très agile. Elle en saute au sol. De la porte coulissante latérale elle tire le cageot qui contient nos deux grosses miches de pain complet et bio. Deux pâtes feuilletées, la grande brioche ronde et au pudding. Les deux énormes croissants aux amandes qu'elle nous offre chaque semaine. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Salutations.

Nous contournons la maison pour descendre à la cave par derrière. Dans le cellier nous disposons nos fruits et nos légumes sur les étagères en bois. Du congélateur où je mets une des deux miches, les pâtes feuilletées, je sors les habituels sachets. Celui des moules, ceux des haricots verts et des petits pois. C'est par l'escalier intérieur que nous remontons les bras chargés. Julie s'apprête à passer la serpillère dans la cuisine. Nous déposons une nouvelle bise sur son front avant de ranger nos produits frais dans le réfrigérateur. Nous quittons la pièce.

Au salon, assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Juste le courriel d'Estelle qui nous confie son impatience de nous rejoindre. Elle nous rappelle que demain, dimanche, il y a le second vide grenier de l'année sur les quais du port de plaisance. On n'y pensait plus. On adore faire les vides greniers. Dans une petite enveloppe jaune je glisse un billet de 50 euros. Clémentine y rajoute un petit mot que je signe d'une fleur stylisée. Un petit tour sur le site de l'université. Clémentine y découvre le programme des cours qui commencent lundi.

Ce sont des cours destinés à préparer les candidats aux concours des Doctorats. Des cours qui dureront trois semaines avant le début des épreuves tant redoutées. Clémentine lit à haute voix en m'expliquant les graphiques qui s'affichent dans les différentes rubriques. Elle se lève pour changer de position. Assise sur mes cuisses, me tournant le dos, j'ai un accès facile à ses tous petits seins que je caresse délicatement. Je passe mes mains sous son sweat. Elle a un petit sursaut en disant : << Brrr, tu as les mains froides ! >>. Je cesse.

Je descends entre ses cuisses. Tout en continuant ses lectures Clémentine attrape un de mes poignets de sa main libre. Afin que ne m'arrête surtout pas. << Mmhhh, comme ça j'aime ! >> lance t-elle entre deux explications. Julie entre soudain dans le salon. << Vous voilà avec une maison bien propre ! >> dit elle en restant timidement devant le bureau. Clémentine se lève pour la rejoindre, la prendre pas les épaules pour lui déposer une bise sur le front. Julie se serre dans ses bras. Cette perpétuelle recherche de tendresse féminine est touchante.

Julie ne s'en cache plus depuis de longs mois. Elle est amoureuse de Clémentine. Je me lève pour venir lui tendre la petite enveloppe jaune. Elle s'en saisit pour venir se serrer contre moi. Je la prends tendrement dans mes bras. << Je peux revenir lundi soir ? >> demande t-elle. << Évidemment ! >> répond Clémentine. << J'emmène le dessert ! >> rajoute Julie. Il est onze heures trente cinq. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Assise au volant, la vitre baissée Julie m'observe comme si je faisais cela pour la toute première fois. Consternée.

Je déboutonne ma braguette pour en extraire mon sexe. Je bande mou. Clémentine s'en saisit à sa base. L'agitant avec le pouce et l'index, elle dit : << Tu sais qu'à elle tu manques beaucoup aussi ! >>. Nous éclatons de rires. Julie perd de son sérieux en rajoutant : << À moi aussi elle me manque ! >>. Comme pour fuir cet aveux Julie démarre soudain. Elle penche la tête sur sa droite. Je m'approche afin de lui permettre de déposer un bisou sur l'extrémité de ma queue dure comme le bois. Nous la regardons monter le chemin jusqu'au portail.

Un dernier coucou. Morts de faim nous rentrons. Il y a des séquences ensoleillées qui réchauffent un peu. La température est de 20°. Clémentine prépare une belle laitue dont elle lave chaque feuille pour maintenant et pour ce soir. Je jette les moules encore congelées dans le bouillon en ébullition. Dans le wok je vide les sachets de haricots verts et de petits pois. Le repas rituel du samedi midi. Rapide, facile, peu nourrissant d'un point de vue diététique mais tellement bon. Nous mangeons de bon appétit en évoquant les adorables attitudes de Julie.

<< Je me la fais ! >> lance Clémentine. Nous rions de bon cœur. Je dis : << Tu ne m'as encore jamais offert de spectacles lesbiens ! Je n'attends que ça ! >>. Clémentine tempère toutefois rapidement mon enthousiasme en corrigeant : << Il n'y aura pas de spectacle d'une telle nature. Je vais simplement lui imposer un léchage de chatte dans les règles de l'art. Sa petite frimousse m'excite autant que toi et comme je n'ai pas de bite à mettre dans sa bouche, j'y mettrais mon clito ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Clémentine grimace.

<< Beurk, je ne suis pas gouine mais juste hyper vicieuse ! >> dit t-elle en se levant pour venir s'assoir sur mes genoux. Nous traînons à table en envisageant différents scénarios. Julie est de nature très "soumise". Une adorable petite vicieuse. Elle entretient une relation amoureuse avec sa tante depuis l'âge de 15 ans. Elle aura 21 ans le 6 octobre. << On fêtera son anniversaire et ce sera une excellente occasion de lui offrir un somptueux "cadeau". Mon minou ! >> lance Clémentine en se mettant à califourchon sur mes cuisses. Se frotter.

J'écoute le "plan" que propose Clémentine. << Jouable non ? >> dit elle en se cambrant pour frotter son sexe contre le mien. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. << Où sont les gens que j'aime ! >>. C'est la voix d'Estelle qui entre dans la salle de bain en posant son sac de sport. Elle se précipite alors que nous nous essuyons la bouche. Nous nous serrons tous les trois très fort. Distribution de bisous. Comme c'est merveilleux de nous retrouver tous les trois. Encore un week-end "Trois Mousquetaires".

Dans la chambre Estelle pose son sac de sport sur la chaise. Ça aussi c'est un rituel. Clémentine et moi, assis sur le lit, nous la regardons en tirer son pyjama, des chaussettes, une culotte et des vêtements de change. Estelle nous raconte ses journées à aider ses parents dans l'entreprise familiale. Clémentine évoque l'anniversaire de Julie, le jeudi 6 octobre. Le "plan" qu'elle projette pour marquer le "coup". << Tu vas te faire lécher la chatte par Julie ? Sans déconner ! Tu vires ta cuti ? >>. Nous rions aux éclats. Clémentine rassure Estelle en riant.

<< Je te rappelle que toi-même tu t'es fais bouffer la chatte par Julie il n'y a pas plus de quatre mois ! Pour son film ! Si ! Rappelle-toi ! >> lance Clémentine. << Oh mais je m'en souviens très bien ! C'est la première fois qu'une fille me procurait un orgasme ! >> s'écrie Estelle. Elle s'assoit sur mes genoux à califourchon pour me faire tomber en arrière en disant : << Mais je préfère les mecs ! Ils ont une queue ! >>. Estelle ne me laisse ni le temps de réagir, ni celui de répondre. Elle enfonce sa langue dans ma bouche en se frottant sur moi.

Je suis couché sur le dos entre mes deux anges. Estelle me sort la bite en disant : << Bite à l'air ! Et tout l'après-midi ! >>. Clémentine ouvre mon ceinturon pour descendre mon jeans. Estelle me le retire complètement. Il fait un peu frais. Toutes les deux retirent les leurs en riant. Serrant chacune une de mes cuisses entre les leurs, Estelle et Clémentine se frottent en échangeant leurs impressions. Elles reviennent sur l'anniversaire de Julie. << On l'attache sur sa chaise, à table, et on la fait manger ! >> propose Estelle bien vicelarde.

<< Julien fait son salopard pendant qu'elle bouffe ! >> suggère Clémentine qui empoigne mes couilles. Estelle saisit ma queue qu'elle tord dans tous les sens tout en exprimant quelques idées saugrenues. Clémentine raconte sa "rencontre" avec l'artisan black, hier après-midi chez le voisin. << Moi je me suce le vieux salaud et toi tu goutes la bite du menuisier ! >> lance Estelle. Nous rigolons comme des fous. Je glisse mes mains dans les culottes. << Mmhhh ! >> gémit Estelle. << Mmhhh ! >> gémit Clémentine qui se redresse légèrement.

Elle pose sa tête sur mon ventre alors que je la doigte. Estelle lui fourre ma bite dans la bouche. Clémentine maintient sa poigne de fer en tenant mes couilles. Estelle serre la base de ma queue en formant un anneau avec son pouce et son index. Je la doigte aussi. Les premières phalanges de mes index fouillent leurs intimités. Je remonte pour les enfoncer dans les culs. << Salaud ! Enculeur de filles ! >> lance Estelle à qui Clémentine offre ma queue. Pendant que l'une me taille une pipe l'autre peut laisser reposer sa mâchoire. Un bon principe.

Je cesse de les fouiller de mes index pour les saisir toutes les deux par leurs nuques. J'appuie légèrement sur celle de la suceuse. Alors que je caresse celle de l'autre. J'adore les entendre bavarder de choses et d'autres, avec un naturel désarmant, tout en se goinfrant de foutre. << Là, tu en as ? >> demande Estelle en observant et en écoutant Clémentine pomper. Moi aussi j'entends les gargouillis. Le bruit bulleux d'une pipe juteuse. Je reste silencieux. C'est tellement divin. Je me laisse faire dans une oisiveté jouissive, lascive et tellement délicieuse.

Je commence à sentir bouillir mes couilles. << Je les sens bouger dans ma main ! >> précise Clémentine qui vient me montrer l'intérieur de sa bouche. Elle a beaucoup de mal à articuler car elle ne veut pas qu'il en coule. Impressionnante quantité de foutre épais, gluant et visqueux qu'elle tente de déglutir avec peine. En faisant une horrible grimace elle y parvient avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Tout cela pendant qu'Estelle se goinfre de liquide séminal en gémissant du plaisir de n'avoir plus à partager. Il faut absolument que je me contrôle.

Ce serait trop con d'éjaculer maintenant. Nous avons en projet d'aller en ville. Gardons-nous pour ce soir, après le repas. Nous voilà assis tous les trois en tailleurs sur le lit. Estelle s'essuie les yeux larmoyants. De sucer de la bonne bite juteuse la fait pleurer de bonheur. Clémentine s'essuie la commissure des lèvres. Je me branle un peu comme pour soulager ma bite légèrement congestionnée par les succions répétées et souvent passionnées. Estelle soupèse mes couilles. << Elles bougent toutes seules sur ma main ! >> s'écrie t-elle.

Nous nous habillons. Debout devant le grand miroir de l'armoire, nous prenons tous les trois des poses. Parfois ridicules. C'est l'habituel concours de grimaces. Tous les trois en jeans, en sweats, en bottines, nous passons une écharpe de soie autour de nos cous. Nous enfilons nos blousons. Nous dévalons les escaliers. Il est tout de même déjà 15 h30. Il y a une quinzaines de bornes jusqu'en ville. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Elle montre sa main pleine de jute à Estelle assise à l'arrière. Elle lui fait lécher ses doigts.

Estelle me fait des grimaces à chaque fois que je la regarde dans le rétroviseur. Je gare la voiture dans la petite ruelle habituelle à dix minutes du centre. Il y a du soleil. Mes deux anges restent accrochées à mon bras. Nous attirons encore bien des regards en arrivant dans les rues piétonnes et pavées. Nous montons à la FNAC. Au second étage de chez Darty. C'est samedi. Il y a un monde fou. Estelle et Clémentine peuvent récupérer les livres commandés. Dans le cadre de leurs études c'est chaque année le même fonctionnement.

Nous flânons dans les différents rayons. Clémentine, encore très excitée, aimerait beaucoup s'offrir un petit plan exhibe. Il y a bien trop de gens. Pourtant elle parvient à attirer l'attention d'un des vendeurs en se touchant discrètement. Estelle reste auprès de moi. Nous faisons semblant de feuilleter des bouquins de cuisine. Mais nous observons surtout les réactions du jeune homme. Les expressions de Clémentine. Ça nous excite considérablement. Estelle chuchote : << C'est la seule fille qui me fait mouiller ! Elle m'excite à chaque fois ! Salope ! >>.

<< Et elle a commencé ce genre de trucs quand elle n'avait pas 14 ans ! >> rajoute Estelle. Même si je connais tous les détails, toutes les anecdotes, c'est toujours un plaisir de les entendre à nouveau. Là-bas, à une dizaine de mètres, Clémentine s'approche du jeune vendeur avec un livre à la main. Nous ressentons toujours ce même choc Estelle et moi. De voir Clémentine s'adresser à un mec avec une main entre ses cuisses. Et pourtant, c'est tellement flagrant que ça passe totalement inaperçu dans le flot incessant de la clientèle. Une "virtuose" !

Le jeune homme reste très professionnel. Même s'il se rend bien compte de ce que fait la fille qui pose des questions, il répond d'une façon calme et méthodique. Allant même jusqu'à inviter Clémentine à le suivre à un autre rayon. Il prend un livre pour le montrer à Clémentine. Mais là, cette fois, il y a un couple qui vient de s'apercevoir de l'attitude insolite de la main de Clémentine. Elle cesse immédiatement. Se sachant découverte, Clémentine remercie le vendeur pour venir nous rejoindre. Nous la félicitons pour cette extraordinaire prestation.

Curieusement, le couple nous observe. << Ils nous suivent les enfoirés ! >> lance Estelle. << Peut-être des gens de la surveillance du magasin ! >> dit Clémentine. À l'accueil nous récupérons les sachets contenant les bouquins. C'est moi qui les porte. Et ce n'est pas léger. Les filles me tiennent par les bras. Nous descendons l'escalator sans êtres inquiétés. Nos suppositions quand au couple qui semblait nous surveiller étaient totalement infondées. Délirantes et surréalistes. Quoi de plus sympa que d'aller prendre un chocolat chaud dans un salon ?

Nous voilà attablés à l'étage d'un salon de thé. C'est cosy. Confortable et élégant. Une clientèle de choix est dirigée vers les étages. C'est feutré. Les grandes tasses de chocolat fument devant nous. Nous bavardons. Les filles reviennent sur les cours qui recommencent lundi. La fin des vacances cette fois. C'est Estelle qui m'entraîne la première aux toilettes. Enfermés dans un des cabinets des WC hommes, nous nous livrons à nos déviances. Nous avons pris l'habitude de baiser quelques minutes dans les chiottes. Je prends Estelle en levrette. Sympa.

C'est amusant de baiser en entendant des mecs pisser de l'autre côté de la porte fermée à double tour. Aucun n'imagine un seul instant ce qui se passe. Même si je dois parfois mettre la main sur la bouche d'Estelle. Elle se tient contre le mur. Nous rejoignons Clémentine à qui nous racontons nos "exploits". C'est Clémentine qui m'entraîne par la main quelques minutes plus tard. Sous le regards interrogateurs de quelques clients. Nous avons remarqué que ce sont le plus souvent les femmes qui nous observent depuis notre table jusqu'à la porte des WC.

Mêmes rituels si ce n'est que Clémentine préfère sucer. Accroupie elle me bouffe la bite en écoutant ce qui se passe derrière la porte. Elle me fait des clins d'œil. Je pourrais une fois encore éjaculer tellement c'est bon et excitant. Je l'aide à se redresser. Nous rejoignons Estelle. Il est 18 h30 quand nous revenons à la voiture. Cette fois c'est Estelle qui est assise côté passager. Elle joue avec ma bite alors que je roule prudemment sur la petite route communale et déserte. Clémentine, à l'arrière, une main dans son jeans, me caresse la nuque de l'autre.

Assis tous les trois à la table de la cuisine, nous épluchons les pommes de terre, les carottes, les navets, le céleri, l'ail et les échalotes. Ce sera pour la potée de légumes qui accompagnera les trois repas à venir. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la laitue. Estelle remue les légumes dans la cocotte en fonte. Dans une poêle je fais rissoler trois filets de colin avec des champignons. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges reviennent sur nos "jeux" dans les cabinets des toilettes hommes.

Après la vaisselle, les filles m'entraînent au salon. Je suis prié de patienter seul. << Branle-toi, on revient dans cinq minutes ! >> me fait Estelle. Je les entends monter les escaliers en courant et en riant. Je retire mon jeans et mon slip. Je garde mon sweat pour me convaincre que j'ai chaud. Je me masturbe debout derrière le bureau. J'entends mes deux coquines descendre. Quelle belle surprise. Vêtues comme deux sœurs jumelles. Jupe kilt à carreaux, chemisiers blancs, escarpins noirs à talons hauts avec la petite sangle autour de la cheville.

Je suis pétri d'émotion. D'excitation également. Estelle et Clémentine s'accroupissent toutes les deux en même temps. Je m'approche. Elles me saisissent par les cuisses en m'offrant leurs visages. J'y frotte ma turgescence dans un concert de gémissements. Queue du bonheur. Une fois encore je trempe ma nouille dans chaque bouche. Une petite minute dans celle d'Estelle. Une petite minute dans celle de Clémentine. Je les force à se redresser. C'est moi qui m'accroupis pour masser leurs genoux endoloris. Je les entraîne par la main jusqu'au bureau.

Je soulève d'abord Estelle que j'assois sur la surface du meuble. Je soulève Clémentine pour l'installer à un mètre d'Estelle. Toutes les deux s'appuient sur leurs coudes en écartant leurs cuisses. Pas de culottes. Que ces impressionnantes touffes indescriptibles. Je commence toujours par Estelle. Je frotte mon sexe sur le sien avant de m'y introduire avec une facilité déconcertante. C'est qu'avec le temps, ça s'élargit probablement. Clémentine se couche sur le dos en se masturbant. Elle attend son tour. Je baise Estelle comme elle aime. À la hussarde.

Elles se touchent toujours toutes les deux en se faisant tringler. Je passe à Clémentine. Estelle ne peut s'empêcher de se lever pour se placer derrière moi. De sa main libre elle tient mes couilles. Elle revient s'installer dès que je me retire de Clémentine. Nous avons les sexes qui dégoulinent de baves. La fatigue se fait sentir. Il est tout de même déjà 23 h. Clémentine s'offre un orgasme en se masturbant debout, se tenant au bureau d'une main, ses cuisses l'une sur l'autre qui enserrent son autre main. Une série de spasmes qui la font hurler de plaisir.

Estelle me repousse délicatement. Elle n'a que le temps de s'allonger sur le dos en se touchant. C'est en criant qu'elle s'offre un orgasme fou. Toutes les deux, reprenant leurs souffles, leurs esprits, me regardent comme si c'était la première fois. Clémentine se précipite pour se mettre à genoux. Ma bite dans la bouche elle recommence à se toucher. Estelle vient se placer à ma droite pour enfoncer sa langue dans ma bouche. J'éjacule en hurlant. Tout au fond de la gorge de Clémentine qui manque de s'étouffer en toussant. Je pisse. Elle a un haut le cœur.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui raffolent de se faire prendre sur un bureau ou une table et d'y connaître diverses "émotions"...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 10 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2012 -



Déviances habituelles au port de plaisance

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par cette main baladeuse qui saisit mon érection naturelle. Il est un peu plus de neuf heures. Je suis entre Clémentine à ma gauche et Estelle à ma droite. Ce n'est pourtant pas la main d'Estelle mais celle de clémentine qui explore mon slip. Clémentine vient une fois encore de précéder Estelle. Toutes les deux se serrent contre moi. Un concert de gémissements qui n'est pas sans rappeler celui de hier soir lors de notre partouze à trois. Je fourre mes mains dans les culottes. Mes deux anges se lovent en gloussant.

De nous arracher ainsi à nos profonds sommeils reste l'enchantement paradisiaque le plus divin qu'il soit donné de vivre. Hélas, pour Estelle il est de courte durée. Elle se lève d'un bond pour courir vers la porte en s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine passe une cuisse sous les miennes. Pose l'autre sur mon sexe. Elle se frotte contre ma hanche en chuchotant : << Comme c'est bon d'être dans l'ivresse des sens dès le réveil ! >>. Nous ne sommes pas du matin mais depuis quelques temps ces douces situations d'excitations se répètent. Un vrai bonheur.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. L'atmosphère de la maison s'est rapidement rafraîchit. Nous enfilons nos jeans et nos sweats avant de dévaler les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Déjà ces délicates odeurs de café et de pain grillé. La brioche trône au milieu de la table. Clémentine presse les oranges, je pèle les kiwis. Estelle se cale contre mon dos en palpant ma braguette. << Tu étais comme j'aime hier soir ! >> dit elle. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos "exactions" sexuelles de la journée de hier. C'était trop bien.

Nous mangeons de bon appétit en nous promettant quelques récidives aujourd'hui. Le dimanche pas d'entraînement. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux mes deux anges parlent de leurs rentrées universitaires de demain. Les cours commencent à huit heures pour terminer à 17 h. Cette année il n'y aura pas de mardis après-midi de libres. La semaine terminera le vendredi à midi. << Ça va drôlement changer nos petites habitudes ! >> lance Estelle qui est encore en pyjama de soie mauve. J'aime son contact doux, lisse comme sa peau.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de monter nous laver les dents. Seule toilette du dimanche où nous aimons rester à macérer dans nos jus. C'est bon d'en apprécier les saveurs lors de nos jeux du soir. L'intérieur de la demeure est lumineux car dehors il fait beau. Par contre le thermomètre extérieur n'indique que 14°. Estelle passe un jeans et un sweat. Pressés d'aller prendre toute la mesure de cette fraîcheur nous dévalons les escaliers. Il faut mettre les anoraks. << Quelle horreur alors qu'on est à la mi septembre ! >> s'écrie Estelle.

Par contre le sol est sec. Les filles restent à mon bras pour descendre jusqu'à la rivière. Elles parlent de leurs études. Elles ont toutes deux méticuleusement préparé cette rentrée. Elles se réjouissent pour ce nouveau challenge. Impatiente de retourner dans l'arène pour se battre. J'écoute en silence car c'est passionnant. Nous regardons les canards, les poules d'eau et les colverts qui s'adonnent à leurs ballets aquatiques. Les deux cygnes indifférents qui flottent sur l'eau un peu plus loin. Nous prenons le sentier facile qui part sur la gauche.

Il faut marcher l'un derrière l'autre. Ce qui impose de fréquents arrêts pour nous serrer tous les trois, nous faire des bisous qui ponctuent les phrases de mes deux anges. De l'autre côté de la rivière passent deux jeunes cavalières. Elles viennent probablement du haras de Juliette. Elles nous font un petit signe de la main. Un sourire tout en continuant leur route. Au vieux lavoir nous revenons sur nos pas. Il est presque midi quand nous sommes de retour. Clémentine fait la salade de tomates et de concombre. Estelle veut s'occuper des pavés de saumon.

C'est en papillotes qu'elle les fait cuire sur le barbecue électrique de la véranda. Il y fait bien plus frais que dans la cuisine. Aussi c'est en gardant son anorak qu'elle officie. Elle me tire la langue lorsque je lui montre mon sexe. Je bande mou. Je réchauffe la potée de légumes. Il faut remuer sans arrêt dans la vieille cocotte en fonte noire. Pour que ça n'accroche pas. Je ne fais donc "l'hélicoptère" que quelques secondes avant de retourner touiller. Clémentine met les assiettes et les couverts en venant me faire des bises. Me toucher le Zob.

Nous mangeons de bon appétit. Même si la conversation n'a pas toujours un caractère sexuel, Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. Elle fait ça depuis au moins cinq ans. Mais nous rions toujours autant. Par contre quand je me lève c'est pour leurs montrer une vraie bite. Je bande mou. "L'hélicoptère" fait toujours beaucoup rire mes deux coquines. Nous ne traînons pas. La vaisselle. On monte se laver les dents. Sur la demande de Clémentine je porte un pantalon clair à pinces et à plis. Une chemise crème.

Des mocassins bruns clairs. Un fin pull de coton blanc. << Tu fais dilettante écossais en vacances ! >> me dit Estelle. Elles sont toutes les deux en jupes kilts à carreaux, un chemisier blanc sous un fin pull bleu nuit au col en "V". Des collants pour Estelle, des bas tenues par un porte-jarretelles pour Clémentine. Nous mettons de fines vestes de coton. Noires pour les filles. Beige nuit pour moi. Nous prenons des poses amusantes, plutôt suggestives devant le grand miroir de l'armoire. Les filles s'accroupissent en même temps pour tenir mes jambes.

Leurs têtes en appui contre mes hanches elles écartent largement leurs cuisses. Pas de culotte pour Clémentine. Culotte pour Estelle qui ne supporte pas le contact du porte-jarretelles. << Ça me gratte et ça me rend dingue ! >> précise t-elle une fois encore. Pressés de filer nous redescendons à toute vitesse. Je roule doucement. La température avoisine à peine les 18°. Malgré le soleil. C'est ce détestable vent de Nord Est qui refroidit tellement. Par la route il y a 35 km jusqu'au port de plaisance. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue.

Assise à l'arrière Estelle caresse mes joues, mon cou. La circulation est fluide. Il faut garer la voiture le long de la route qui mène au bourg. Il y a plein de monde. Le vide-grenier connaît encore un véritable succès. Comme toutes les manifestations organisées par la municipalité voisine. Accrochées à mon bras les filles m'entraînent d'un bon pas. Inutile de préciser que nous attirons encore bien des regards. Nos hautes tailles, notre élégance, ces deux sublimes jeunes filles qui restent serrées contre moi. Regards libidineux chez certains messieurs.

Il y a monde fou sur les quais. Des gens du village mais aussi d'ailleurs proposent ici toutes sortes de choses. Des vieilleries mais aussi des objets modernes, souvent insolites. Ça va du grille pain au petit réfrigérateur en passant par les aspirateurs et des vêtements. Ce qui nous intéresse surtout ce sont les meubles anciens. Mais ne nous faisons aucune illusion, les choses les plus intéressantes sont achetées aux aurores par des professionnels de l'antiquité et de la brocante. Il y a les disques vinyles aussi. Certaines collections sont incroyables.

Ce sont les stands préférés de Clémentine. Elle peut contourner les caisses posées au sol. Fouiller, regarder les pochettes. Accroupie elle peut ainsi donner toute la mesure à sa passion. S'exhiber discrètement devant des solitaires. Ce qu'elle ne manque pas d'appliquer deux à trois fois. Estelle et moi restons à l'écart. Serrés l'un contre l'autre en faisant semblant de feuilleter de vieux bouquins nous adorons voir les expressions des visages. Celui de Clémentine, certes, mais aussi celui du quidam qui repère la belle exhibitionniste. Et il y a de quoi mâter.

Clémentine a atteint un tel degré de virtuosité dans la pratique de ce "sport" qu'elle nous étonne par sa maîtrise des situations qu'elle crée. C'est absolument sans risque car elle tourne le dos aux badauds pour ne s'adresser qu'à la "victime" qu'elle s'est choisie. Cette fois c'est un type en jogging. Tellement excité par ce qu'il voit qu'il tente de se toucher à plusieurs reprises. Beaucoup moins agile que Clémentine. Dans ses prestations Clémentine sait ne rien risquer. D'abord à cause du monde autour de nous, mais aussi par la configuration des stands.

Nous félicitons Clémentine pour ses "performances" étonnantes. << Tu pousses le bouchon à fond, c'est génial ! >> lui rétorque Estelle qui a développé une autre forme de virtuosité. Celle de me palper la braguette en pleine foule. Pour le faire en toute discrétion elle se serre contre moi. Ça me gêne terriblement car je sais qu'il y a toujours quelqu'un qui distingue. Ça m'excite aussi. Surtout quand je surprends un regard féminin. Car ce sont les femmes à qui ce genre de plan échappe difficilement. Certaines sont des voyeuses qui ne s'ignorent pas.

Nous nous offrons un chocolat chaud en gobelet au stand voisin de celui des secouristes. Trois pompiers en uniformes de parade et une jeune femme en blouse d'infirmière pour faire "rassurante". Un des pompiers, le plus âgé, a probablement aperçu l'exhibe de Clémentine au stand d'en face. Clémentine accroupie entrant de découvrir des boîtes de puzzles. Un couple de collectionneurs sans doute car il y a là des dizaines et des dizaines de puzzles. Des jeux de sociétés, une table de billard et même un vieux flipper. Notre bougre est un sans gêne.

Le pompier s'approche de Clémentine. Estelle m'entraîne un peu plus loin. Nous regardons la dame tourner des barbes à papa dans la cuve. Nous entendons distinctement le pompier dire : << Vous êtes absolument sublime mademoiselle. C'est votre papa et votre sœur ? >>. Clémentine s'empresse de répondre : << Non c'est mon compagnon et mon amie ! >>. S'en suit une véritable drague. Le salaud doit avoir mon âge. Ce qu'il a vu entre les cuisses de Clémentine l'a certainement galvanisé autant que "bouleversé". Avec Estelle nous rions en douce.

<< J'aime les pompiers ! >> lance Soudain Clémentine. << Ah bon ! J'en suis flatté. Mais je ne suis que bénévole. Je suis artisan ébéniste ! >> dit l'homme. << J'adore vraiment ça les pompiers ! >> répète une nouvelle fois Clémentine. Le bougre vient probablement de comprendre l'allusion insistante de la sublime jeune fille qui fixe sa braguette. Le voilà même déstabilisé. Il se met à rire un peu bêtement. Clémentine enfonce le clou en rajoutant : << J'aime les pompiers et en pleine action ! >>. Le quidam reste à sourire bêtement.

<< Venez donc me rendre visite à l'atelier ! >> s'écrie soudain notre pompier de service. << Avec plaisir ! >> répond Clémentine qui prend la petite carte que lui tend le quidam. << Merci ! >> fait elle encore avant de nous rejoindre. << T'es salope ! On a tout entendu ! >> lance Estelle quand nous quittons pour nous diriger vers l'escalier qui remonte sur la route. << Ça m'excite d'allumer des types en uniformes ! >> dit Clémentine qui me fait un clin d'œil. Nous nous promenons encore un peu afin d'en voir le maximum. C'est qu'il y a de nombreux stands.

La fraîcheur se fait plus vive au fur et à mesure que l'après-midi s'écoule. << Tu n'as pas froid à la chatte ? >> demande Estelle quand Clémentine se redresse après une nouvelle petite exhibe devant un stand de godasses. << Si, il est temps de mettre ma culotte ! >> répond t-elle en la sortant de son minuscule sac à main sac à dos. Il faut juste trouver l'endroit pour l'enfiler. << Venez, on retourne chez les pompiers ! >>. Le type est tout sourire de revoir Clémentine. << Je peux m'isoler pour mettre ma culotte ? >> demande t-elle, espiègle.

Estomaqué le mec l'invite à entrer dans la camionnette rouge des urgences. La jeune femme ne comprend pas. Le pompier lui explique. Elle rit aux éclats. Clémentine entre seule dans l'ambulance. Elle revient rapidement en levant le pouce de la main droite. Elle descend, impériale, les trois marches du véhicule en disant : << Merci ! Peut-être à bientôt ! >>. Malgré notre présence le coquin s'écrie : << J'espère bien ! >>. Nous retournons à la voiture. Il est déjà plus de 18 h. Pour repartir la circulation est dense. Ça roule au pas sur des km.

Je roule doucement même une fois la route libre. Après de nombreuses insistances Estelle s'est installée devant. Assise au sol entre les jambes de Clémentine. Ainsi, elle peut tenir ma bite pendant que Clémentine me la suce par intermittences. Il faut être prudent car en cas de contrôle routier cette situation serait délictueuse. La prune assurée et certainement des points en moins si pas exhibition sexuelle sur la voie publique. Il est un peu plus de dix neuf heures quand nous arrivons à la maison. Morts de faim nous préparons le repas. Excités aussi.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se faire nettoyer la chatte baveuse à grands coups de langues avant de rentrer vers 22 h...

Julien



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Classe - 11 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2013 -



Ça y est, cette fois c'est la rentrée universitaire

Hier matin, lundi, il est presque six heures. C'est l'application "océan" qui nous arrache cruellement de nos profonds sommeils. Le cri strident des mouettes. Le bruit des moteurs de ce chalutier. Nul doute, c'est bien l'illusion de nous réveiller dans un port en Écosse. Clémentine vient se blottir tout contre moi. Quelques bisous. Quelques papouilles. Il fait encore nuit noire. Il faut se lever. Et ce matin cela semble extraordinairement difficile. Reprendre le rythme. Heureusement que l'impérieux besoin naturel vient en quelque sorte à notre secours.

Après les toilettes, morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers. Il fait frais dans la cuisine. Clémentine fait le café en me confiant l'immense joie qui commence à la gagner. L'idée de se retrouver en cours la galvanise. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Il reste de la brioche. Je la mets au four à micros ondes afin de lui rendre son moelleux, ses saveurs. Clémentine récupère les tranches qu'éjecte le grille pain. L'odeur du café est extrêmement stimulante à cette heure matinale. Les bols, les couverts, la confiture.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de hier. Notre soirée de folies avec Estelle avant qu'elle ne nous quitte pour 22 h. Clémentine la revoit ce matin à l'université. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la venue de Julie ce soir. Je propose à Clémentine de l'emmener en cours ce matin, de la rechercher pour 17 h. << Je sais que tu ferais ça. Mais il faut que je me retrouve toute seule confrontée à cette nouvelle échéance. Le début du premier trimestre ! >> répond t-elle en venant s'assoir sur mes genoux.

Je n'insiste pas. Je connais le caractère combatif de ma compagne. Je sais qu'il est très important pour elle d'être une battante. Et cela ne peut concerner qu'elle. Nous ne traînons pas. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Aérobic, joggings sur tapis roulants. Un peu de vélo d'intérieur. Exercices au sol, abdos. Charges additionnelles avec une intensité maximale. Un retour au calme bâclé et bien trop pressé par le timing. Nous voilà tous deux transformés en guerriers pour la journée qui nous attend. Nous prenons la douche.

Je descends le premier pour aller préparer la voiture. Il est presque 7 h45. Le jour vient de se lever sous un ciel voilé. Clémentine me rejoint vêtue d'un jeans, d'un pull à col roulé sous sa veste de cuir noir cintrée à la taille, ses bottines. Ses longs cheveux noirs qui flottent sur ses épaules. Comme elle est belle. Un dernier bisou. << À ce soir mon amour ! >> dit elle en se serrant rapidement et très fort dans mes bras. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer. 8°.

Je fais la vaisselle avant de monter faire le lit. Je descends à la cave afin d'allumer la chaudière. Tout fonctionne parfaitement. Le mec de l'entretien viendra tout contrôler à la fin septembre comme tous les ans. C'est dans le contrat de maintenance. Je vérifie les aiguilles des quatre cadrans. La pression, la température, le niveau de fioul et la tension. Tout est OK. Je n'attends que quelques minutes pour entendre les deux signaux sonores. Je remonte. Je peux ouvrir les radiateurs. Je vais dans l'atelier. L'impression de fraîcheur est assez désagréable.

Ça me fait une impression étrange de recommencer mon travail. Même si je sais que je vais me livrer à ma passion, la sensation d'avoir tout oublié, tout perdu me gagne comme chaque début de saison. J'ai reproduis les photos agrandies à l'imprimante. C'est un portrait de famille comme je les déteste tant. Un couple entourant leur fille. Des Allemands. J'en ai six en commande. Et deux paysages où sont représentées les maisons des commanditaires. Il me suffit de calquer le portrait sur une toile de lin préalablement enduite de sa couche d'impression.

Une heure d'un labeur minutieux et je pose la toile sur le chevalet. Confortablement installé je prépare les couleurs sur la palette. Je prends soudain conscience que ça y est, je suis dans le bain. Comme si je n'avais jamais cessé de peindre. Je peins animé d'un sentiment d'enthousiasme qui me fait pousser des cris surréalistes. Il fait à présent bien chaud dans l'atelier. J'ai un petit pincement au cœur quand je regarde la table, la chaise vide, la place qu'occupe Clémentine quand elle travaille avec moi. La place qu'occupe Clémentine dans mon cœur.

La matinée passe tellement vite. Il est midi quand je quitte mon chevalet pour la cuisine. Il reste de la potée de légumes que je réchauffe. Je me sens soudain seul. Aucun bruit dans la vaste demeure. Pas de rires. Juste le silence qui m'est pesant. J'allume Sud Radio pour entendre Jean-Jacques Bourdin bavarder avec ses invités. Ils ont encore changé la grille des programmes. J'attends André Bercoff avec impatience. Dans la poêle je fais rissoler un dos de cabillaud blanc. Je prépare une salade de carottes. Je mange de bon appétit. André Bercoff arrive enfin.

Je ne traîne pas. La pâte feuilletée a décongelé. Je l'étale dans un grand plat à tarte aux bords hauts. Je lave et je coupe en tranches une grosse aubergine et une belle courgette. J'aligne les rondelles en spirale sur la pâte. Je concocte une Béchamel dans laquelle je rajoute du gruyère de Comté grossièrement râpé. Je recouvre les légumes de cette préparation. J'y rajoute de fines tranches de Morbier en lamelles croisées. De la chapelure, des graines de sésame grillé. Onze cerneaux de noix. Au four pour une cuisson lente à 180°. Ça doit mijoter.

Ce sera pour notre repas de ce soir. Je lave les feuilles d'une belle scarole. Je fais un assaisonnement. Huile d'olive, huile de noix, ail, échalote. Couvert d'un torchon je met le saladier dans la véranda pas chauffée. Il me suffit de faire la vaisselle, de monter me laver les dents et me voilà de retour dans l'atelier. Il n'est que 13 h15. Je peins dans le même état d'esprit que ce matin. Je me livre corps et âme à ma passion en occultant tout le reste. De me retrouver seul me permet quelques introspections positives et gratifiantes. Il y a du bruit.

Je n'ai même pas conscience des heures qui défilent. Il est déjà 17 h30 car Clémentine entre dans l'atelier comme un ouragan. Elle jette son cartable dans le fauteuil à bascule pour se précipiter vers moi. << Je t'aime ! Tu m'as tellement manqué ! >> s'écrie t-elle en s'asseyant sur mes genoux. Ses bras autour de mon cou elle ma raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. << Estelle me charge de t'embrasser partout où tu aimes ! >> dit elle en passant sa main sous ma blouse. J'ai toujours la braguette ouverte lorsque je peins.

Il est donc très facile, en fouillant un peu dans le slip, de s'emparer de mon chibre. Clémentine a du travail. Assise à la table, devant son ordinateur, elle met au propre les notes prises en cours. Je nettoie mes pinceaux, ma palette avant de la rejoindre. << On a froid en salles de cours ! >> lance t-elle quand je viens me mettre debout derrière elle. Je pose mes mains sur ses épaules. Mon visage tout près du sien, je regarde. Clémentine m'explique ce que je vois à l'écran. << Je vous aime gentil monsieur ! >> murmure t-elle entre deux phrases.

Du bruit. Trois petits coups contre la porte. << Entre ! >> fait Clémentine à voix haute. Julie apparaît dans l'encadrement de la porte. Toute souriante elle irradie de bonheur. C'est vers moi qu'elle se précipite. Elle se jette à mon cou. Je la soulève. Elle est tellement légère. Je l'emmène ainsi auprès de Clémentine. Je la dépose au sol. Des bises. << Comme je suis heureuse d'être de retour ! >> s'écrie t-elle. << Viens ! >> dit Clémentine en l'invitant à s'assoir sur ses genoux. Je vais au petit lavabo de l'atelier. J'écarte les pans de ma blouse beige.

Mon sexe reposant sur le bord de la faïence, je me soulage d'un long jet de pisse jaune et odorante. Dans le minuscule miroir je vois Julie se précipiter. Debout à ma droite, son bras autour de ma taille, penchée en avant elle me regarde pisser. Toutes ses initiatives nouvelles nous ravissent. Quand je tourne la tête dans la direction de Clémentine, elle m'adresse un clin d'œil. Je dis : << Julie, et si vous me guidiez ? N'hésitez pas, vous savez que ça ne mord pas ! >>. Après une légère hésitation de la main, Julie saisit mon sexe entre le pouce et l'index.

Juste à sa base. Je bande mou. Les derniers jets sont puissants. Par contractions j'en éjecte encore plusieurs. Clémentine nous rejoint. Debout à ma gauche, penchée en avant, elle observe. Les filles se regardent en riant. << C'est comme dans le tuyau d'arrosage de mon papa quand j'arrose le jardin. Je sens quand ça arrive et quand ça passe ! >> s'exclame Julie ravie de ce qu'elle fait. Je passe mes bras autour des épaules de Julie et de Clémentine. Voilà les toutes dernières giclées. L'odeur est forte et nous monte aux narines. Puanteur.

Julie ouvre le robinet côté eau froide. Elle se redresse en lâchant ma queue. Clémentine se penche un peu plus pour gober mon sexe. Julie ouvre de grands yeux. Elle n'ose pas soutenir mes regards. Aussi elle se penche elle aussi davantage pour observer la pipe de Clémentine. Clémentine cesse pour présenter ma queue à Julie en disant : << Goute, c'est très spécial ! >>. Julie se redresse. Elle répond : << Je connais ! Julien m'a initié lors de quelques "leçons" inoubliables ! >>. Clémentine se redresse à son tour. Nous rions. Il est 18 h30. Il fait faim.

Julie s'assoit devant le chevalet pour scruter mon travail de la journée. Clémentine range ses affaires. Je reste auprès d'elle en murmurant : << Je t'aime, tu m'as terriblement manqué aujourd'hui ! >>. Clémentine me prend dans ses bras avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Je garde les yeux ouverts un instant pour observer Julie qui nous regarde. Je lui adresse un clin d'œil avant de m'abandonner à ce baiser passionné. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. << Il fait bien chaud partout dans la maison et c'est si bon ! >> lance Clémentine.

Quand les filles découvrent ce que je réchauffe au four elles s'exclament en même temps : << Génial ! >>. Julie rajoute : << C'est trop bien avec vous ! >>. Clémentine lui prend la main en disant : << On met les assiettes. Comme ça on aura fait quelque chose ! >>. Je remue la salade en écoutant Julie et Clémentine parler de leurs journées de cours. Pour Julie c'est la seconde semaine. J'ai la bite à l'air. Comme toujours Julie fait mine de ne pas s'en rendre compte. Je quitte la cuisine pour me rendre au salon. J'ai soudain une petite idée.

Je reviens avec le foulard en soie, le collier canin et la laisse. Clémentine me fait le plus adorable des sourires. Julie ouvre de grands yeux étonnés. C'est à elle que je passe le foulard autour du cou. Tremblante elle me regarde faire. Je mets le collier par dessus avant d'y fixer la laisse. Je dis : << Julie, je vous propose de reprendre les choses où nous les avons laissé en juin ! >>. Julie, toute timide, murmure en baissant les yeux : << Quelle bonne idée ! >>. Clémentine vient se coller derrière elle pour chuchoter : << Tu y as pensé cet été ? >>.

Comme honteuse, toute gênée, Julie répond : << Souvent. Si pas tout le temps ! >>. Je demande : << Tu veux bien devenir notre petite "chose exquise" ? >>. Julie se contente d'un gloussement en cachant son visage dans ses mains. La sonnerie du four. << Je m'en occupe ! >> lance Clémentine qui lâche les épaules de Julie. Je donne un léger à coup sur la laisse. J'entraîne Julie dans toute la grande pièce. Elle marche légèrement penchée en avant. Elle ne peut cacher son ravissement. Nous faisons deux tour de la table. Julie se montre très docile.

Nous mangeons de bon appétit. Comme pour retrouver ses esprits, Julie revient sur ses études de Lettres Modernes. La préparation de sa Licence de Lettres en juin de l'année prochaine. J'écoute les filles parler de leurs chères études. J'ai passé la poignée de la laisse à mon poignet. Je me lève à plusieurs reprises pour agiter mon sexe dans la direction de Julie. Ce n'est pas la première fois et pourtant ce soir encore elle en devient toute rouge. Elle n'ose pas soutenir mes regards. Elle répond à mes questions en regardant dans son assiette.

C'est un repas délicieux. Julie se lève pour débarrasser. Elle oublie que je la tiens par la laisse. Elle se met à rire lorsqu'elle s'en rend compte. Je la libère car elle veut faire la plonge. Clémentine et moi nous essuyons. Je suis enchanté quand Julie me tend la laisse avant que nous ne suivions Clémentine au salon. Nous voilà installés dans le canapé. Julie reste à gauche de Clémentine assise à côté de moi. Je lâche la laisse pour la confier à Clémentine qui dit : << La prochaine fois tu es toute nue avec ton plug dans le cul et c'est moi qui te balade ! >>.

Julie, amoureuse de Clémentine, se serre contre elle en s'écriant : << Oh oui ! C'est génial ! >>. Je me lève pour agiter ma queue. Clémentine mime une pipe en rajoutant : << Julie, à chaque fois que tu auras été docile, obéissante et sage, tu auras la friandise de Julien ! La mienne aussi ! >>. Julie ne peut cacher sa joie. Elle s'exclame : << C'est merveilleux ! >>. Clémentine rajoute : << Il y aura parfois Estelle ! >>. Julie ouvre de grands yeux pétillants de joie. Je me masturbe doucement, debout, en regardant et en écoutant les filles.

Julie doit nous laisser pour 22 h. Elle revient vendredi après-midi. Je détache la laisse, le collier canin de son cou que Clémentine masse délicatement. Julie saisit ses poignets pour que surtout elle ne s'arrête pas. Ces élans amoureux dérangent quelque peu Clémentine qui n'en laisse rien paraître mais elle me l'avoue souvent quand nous sommes à nouveau seuls. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Il fait un froid surprenant pour un 19 septembre. Je pisse contre la portière de l'auto, la bite tenue par Clémentine. Un dernier bisou. Il faut y aller.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se réjouissent d'avoir une amie intime qui se transforme sur demande en "mascotte sexuelle"...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Le petit monde de Clémentine et de Julien
Wednesday 21 September 2022 07:38

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - 12 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2014 -



Seconde journée universitaire

Hier matin, mardi, c'est l'application "océan" qui nous tire du sommeil. Il est presque six heures quand le bruit du ressac, le cri des oiseaux de mer semblent résonner dans la chambre même. Clémentine se blottit encore plus fort en gémissant. Je la serre contre moi. Quelques bisous, quelques papouilles. Tous les deux, la tête encore dans le cul, nous nous levons péniblement pour nous rendre aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de lycra, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Les radiateurs fonctionnent déjà sur thermostat.

Clémentine fait le café en me donnant ses impressions. J'écoute amusé en pressant les oranges, en pelant les kiwis. Je mets les deux gros croissants aux amandes dans le four à micros ondes. << Il faut qu'on se couche plus tôt et qu'on se calme. C'est trop dur le matin ! >> lance Clémentine en récupérant les quatre tranches qu'éjecte le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en émergeant doucement. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur l'attitude de Julie hier soir. << Elle a adoré ton initiative. Sûre ! >> précise Clémentine.

Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. C'est un choc de rentrer dans la salle non chauffée. Aérobic, joggings sur tapis roulants, exercices au sol et abdos. Tout cela nous réchauffe rapidement avant de passer aux charges additionnelles. Retour au calme avec quelques étirements avant d'aller sous la douche. Je descends le premier pour sortir la voiture. Il fait vraiment froid là dehors. Il est presque 7 h45. Clémentine me rejoint emmitouflée dans son anoraks dont elle remonte la capuche. Entourant son visage de fourrure synthétique.

Un dernier bisou. Je dis : << Je vous aime ma belle esquimau ! >>. Clémentine me palpe la braguette en faisant : << Vous allez encore cruellement me manquer mon bel inuit ! >>. Elle s'installe au volant. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou et je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais la vaisselle, je monte faire notre lit avant de me rendre dans l'atelier. Les deux radiateurs qui fonctionnent parfaitement m'offrent une douce chaleur. Confortablement installé devant mon chevalet je prépare ma palette en chantonnant du Georges Brassens.

Je peins dans un enthousiasme qui me fait pousser des cris d'animaux qui n'existent pas. C'est ma seconde journée de peinture. Seconde journée où je libère ma passion dans une sorte d'extase qui me fait baver de plaisir. Il est dix heures quand la musique imbécile de mon téléphone le fait vibrer au fond de la poche de ma blouse. C'est Clémentine. << Je t'aime, tu me manques. Je suis aux toilettes avec Estelle, c'est l'interclasse. J'ai mes "petits machins" ! >>. Je ris en écoutant. Clémentine n'a que très peu de temps entre deux cours. Elle raccroche.

La matinée passe encore à une vitesse folle. Il est presque midi quand je quitte l'atelier pour la cuisine. Pendant que réchauffe la dernière part de tarte à la courgette et à l'aubergine, je prépare une salade de concombre. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Les diatribes de Jean-Jacques Bourdin alors que j'attends André Bercoff. La station lui a confisqué une demi heure d'antenne au profit de l'autre teigneux. Je la vaisselle avant de monter me laver les dents. En regardant par la fenêtre je vois monsieur Bertrand dans sa propriété.

Il y a la même camionnette garée devant son garage. C'est à un peu plus de trois cent mètres en contrebas. C'est probablement le même artisan que vendredi dernier. Je redescends pressé de retourner dans l'atelier. Je peins dans le même état d'esprit que ce matin. Les heures de l'après-midi s'écoulent aussi vite. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle se précipite en sautillant pour venir s'assoir sur mes genoux. Ses bras autour de mon cou elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. L'arrivée de ses petits machins.

<< Gauvain est venu nous rejoindre au restau. Il ne vient toujours qu'en fin de repas pour ne pas s'imposer. Il mange avec son ami. Je crois bien qu'il en pince pour Estelle. Tout dans son attitude trahit ses sentiments ! >> raconte Clémentine. Elle rajoute : << Même si elle est flattée, cela embarrasse quelque peu Estelle qui veut se consacrer exclusivement à la préparation de son Doctorat ! >>. Je comprends. << Et puis notre relation à trois comble largement tout l'aspect sensuel, sexuelle et amoureux d'Estelle ! >> précise encore Clémentine.

Nous en rions de bon cœur. Quand elle a ses règles Clémentine éprouve toutes sortes de symptômes désagréables. Une douleur latente dans le bas ventre. L'extrémité de ses tout petits seins qui lui font mal en étant tout durs. J'applique alors la thérapie du docteur Julien. Posant mes lèvres sur chacun de ses seins j'insuffle de l'air chaud à travers le coton de son sweat. << Mmhhh, ça soulage ! >> murmure t-elle. Je glisse ma main sous son sweat pour déboutonner son jeans. Je place ma main sur sa touffe pour masser délicatement en petits cercles.

<< Docteur Julien vous êtes si attentionné avec vos patientes ! >> s'écrie Clémentine avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Elle a encore du travail. La voilà installée devant son ordinateur à mettre au propre les notes prises aujourd'hui. Nous adorons ces séances de travail en commun. Parfois Clémentine m'expose une idée, une réflexion ou encore une de ses fulgurances qui me ravissent. << On se fait des spaghettis avec une sauce au Roquefort et des filets de lieu noir, ça te dit ? >> lance soudain Clémentine. Je nettoie la palette.

J'essuie les pinceaux. Je rejoins Clémentine qui commence à ranger ses affaires. Derrière elle je pose mes mains sur ses épaules. Il est 18 h30 quand Estelle jaillit d'ans l'atelier. Comme un diable de sa boîte. Elle se précipite vers moi pour me sauter au cou. Je la soulève. Enserrant ma taille de ses jambes, elle dit : << Tu sais que tu me manques toi, quand tu n'es pas là ! >>. Sans me laisser le temps de répondre elle enfonce sa langue dans ma bouche. Clémentine vient nous rejoindre en lançant : << Je te signale que c'est mon mec ! >>.

Cette expression nous amuse toujours beaucoup. J'administre le même traitement à Clémentine alors qu'Estelle passe derrière moi. Ses bras autour de mes hanches pour tripoter ma braguette ouverte. Nous allons tous les trois au petit lavabo de l'atelier pour nous laver les mains. Estelle me sort le Zob pour le poser sur le bord de la faïence. << Il fait son pipi le monsieur ! >> dit elle en me le tenant à sa base. Je suis entre mes deux anges qui, penchées en avant, me regarde pisser. Je regarde leurs expressions dans le minuscule miroir accroché au mur.

Estelle me secoue les dernières gouttes en ouvrant le robinet d'eau froide. De pisser dans le lavabo est devenu un autre de nos rituels. Clémentine se penche pour sucer la queue que lui tend Estelle. Elle se penche à son tour lorsqu'elle tire ma bite de la bouche de Clémentine. Elle aussi adore récupérer les derniers reliquats. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier en riant. Conformément au souhait de Clémentine, je n'ai rien préparé à midi. Elle adore l'improvisation. Il fait bien chaud dans la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade.

Estelle fait bouillir l'eau des spaghettis. Je concocte une sauce au Roquefort. Estelle fait rissoler trois filets de lieu noir à peine décongelés. J'écoute les filles parler de leur journée universitaire. Ce sont des cours très particuliers. Des simulations d'examens. << Il faut être très réactive car les profs nous soumettent constamment à des trucs qui peuvent stresser ! >> lance Estelle. La préparation est rapide. Nous mangeons de bon appétit. Estelle nous raconte sa soirée de hier avec ses parents. Clémentine raconte la nôtre en compagnie de Julie.

Estelle se lève. Tout en mimant une masturbation masculine elle me dit : << Moi aussi j'aime être tenue en laisse ! Tu me fais ça quand ? >>. Nous rions de bon cœur. Je me lève à mon tour pour agiter mon sexe dans sa direction en répondant : << Mais après la vaisselle par exemple ! >>. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles reviennent sur quelques souvenirs de soirées "dressages". << Il faut absolument qu'on refasse ! >> s'exclame Estelle. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Impatientes les filles m'entraînent au salon.

Clémentine retire son jeans, sa culotte avant de s'affaler dans le fauteuil en disant : << Faites-moi du spectacle. Ça fait partie de la thérapie dont j'ai besoin ! >>. Estelle s'assoit sur la chaise, le dossier entre ses cuisses écartées, ses mains croisées sur la tête. Je comprends immédiatement. Je bande mou. Je m'approche en agitant ma queue. Estelle me fixe par en-dessous de son regard terriblement vicelard. Elle reste immobile en ouvrant lentement la bouche. Je passe mon index sur ses lèvres. Délicatement. Je me penche pour regarder l'intérieur.

Nous entendons les premiers soupirs d'excitation de Clémentine. Je tourne la tête pour l'observer. Chaque jambes posées sur un des accoudoirs du fauteuil elle stimule son clitoris géant. Entre deux doigts elle me le montre. Impressionnant. Il ressemble à une petite bite décalottée. Je me redresse. Je frotte mon sexe sur le visage d'Estelle qui gémit de plaisir en murmurant : << Salaud. Tu es le dernier des vicelards ! >>. Quand elle veut gober ma turgescence, j'esquive adroitement au dernier instant. Estelle descend ses bras endoloris.

Posant ses coudes sur le dossier de la chaise, penchée en avant elle me présente son visage afin que je m'adonne à mes vulgarités. Les gémissements de Clémentine se font de plus en plus sonores. Elle se masturbe en nous mâtant. Rien ne l'excite davantage que de me voir faire le pervers avec une autre fille. Rien ne m'excite davantage que de me livrer aux turpitudes en sa présence. J'offre enfin ma queue suintante des premières coulées de liquide séminale. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Aussi il est temps de la contenter d'une pipe.

J'enfonce doucement mon sexe dans la bouche chaude d'Estelle. C'est quand ses lèvres se referment telles des ventouses sur la peau fripée de mon prépuce que le vertige m'envahit. Si je la tiens par ses oreilles c'est aussi pour conserver mon équilibre. Sous les effets jouissifs de l'indicible caresse je dois m'accrocher à quelque chose. Cambré sur mes genoux fléchis, mes lombaires se rappellent à moi. Ça gâche un peu le plaisir. Aussi je me redresse pour imprimer un mouvement masturbatoire. Je me branle doucement dans la cavité buccale d'Estelle.

Elle me tient par les passants de mon jeans pour m'attirer à elle. Son nez quelquefois collé contre mes poils pubiens pour s'enfiler davantage de queue. Régulièrement elle se retire pour déglutir avec peine la jute qu'elle me tire des couilles. Elle a du foutre au coin droit de ses lèvres. Je le récupère de l'index avant de le lui faire lécher. Lorsqu'elle lève la tête, qu'elle ouvre les yeux pour me fixer d'un air interrogateur, je me penche pour déposer une bise sur son front. Les gémissements de Clémentine résonnent en fond sonore dans le salon.

Je me fais tailler une pipe des familles. Je me retire. Je saisis Estelle par ses cheveux d'une poigne ferme. Je l'entraîne sur le canapé où je la fais tomber. Je m'installe, vautré, tenant ma queue de la main droite et sa nuque de la main gauche. Couchée sur le côté Estelle s'offre une fellation qui la fait glousser de bonheur. Toutes les deux trois minutes, pour laisser reposer sa mâchoire, elle cesse pour tenter d'avaler les quantités de jute. Clémentine se tortille en face de nous. Le mouvement pendulaire de ses doigts sur son clitoris accélèrent, ralentissent.

C'est dans un cri que Clémentine s'empare de la cuvette en plastique toujours posée sous le guéridon. Elle a juste le temps de se positionner que dans un hurlement elle jouit en lâchant un jet pisseux. Comme elle porte un tampon, cette fois aucune coulure de cyprine ne vient flotter sur la surface de la pisse. Elle est secouée de spasmes. Elle en frissonne en haletant. L'orgasme d'une fille est souvent très impressionnant autant que merveilleux. Estelle qui a cessé de sucer, sa tête contre mon épaule, regarde avec moi cet étonnant spectacle.

Je me lève, la bite dégoulinante de foutre pour rejoindre Clémentine que je saisis fermement par les cheveux. Je la tire de son fauteuil. Surprise, étonnée et en même temps ravie de mon initiative, elle tombe à genoux. Elle n'a pas encore retrouvée ses esprits qu'elle se retrouve avec ma queue dans la bouche. Estelle se précipite pour se coller contre mon dos. Sa main entre mes cuisses, par derrière, à tenter de trouver mes couilles à travers le tissu de mon jeans. J'éjacule en poussant de véritables beuglements. Clémentine glousse de bonheur.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment les soirées pipe. Surtout lorsqu'elles ont leurs "petits machins"...

Docteur Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Le petit monde de Clémentine et de Julien
Thursday 22 September 2022 07:39

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - 13 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2015 -



Une soirée en compagnie de Juliette

Hier matin, mercredi, ce sont les cris stridents des mouettes qui nous réveillent. Il est presque six heures et l'application "océan" nous berce de l'illusion d'être en bord de mer. C'est réellement bluffant mais ne dure que quarante cinq secondes. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. Quelques papouilles, quelques bisous et nous allons aux toilettes comme des robots. Ce qui nous fait rire quand nous passons nos vêtements de gym. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Le thermostat fait fonctionner les radiateurs.

C'est beaucoup plus agréable dans la maison quand il fait chaud. Clémentine fait le café en me racontant sa nuit. Préventivement, à jeun, elle prend une gélule homéopathique au levé. Ce qui soulage rapidement ses douleurs menstruelles. C'est le second jour de ses règles. Et cette fois encore ça ne se passe pas trop bien. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée à trois. << J'adore te voir faire des saloperies avec Estelle. Avec Julie aussi. Ce soir avec Juliette peut-être ! >> dit Clémentine.

Nous rions de bon cœur lorsque je fais : << C'est dans ma nature. Mais dans les leurs sans doute également ! >>. Nous mangeons de bon appétit en dissertant sur la reprise de nos activités. C'est le troisième jour de cours pour Clémentine qui retrouve le rythme universitaire. Il est presque six heures trente. Nous remontons pour nous offrir notre entraînement. La salle n'est pas chauffé. Ce qui incite à une intensité maximale dès l'aérobic. Le jogging sur tapis roulants est un excellent échauffement avant les exercices au sol et les abdos. C'est parfait.

Les charges additionnelles viennent parfaire une séance qui nous transforme en guerriers pour la journée. Un petit stretching de principe avant de nous précipiter sous la douche. Le matin, chaque minute doit être employée à bon escient. Je descends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Il fait aussi froid qu'une fin d'automne. 7 h45. Le jour termine de se lever sous un ciel qui promet l'ensoleillement. Clémentine vient me rejoindre. Anorak, capuchon relevé. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je rentre en vitesse.

Je fais la vaisselle avant de passer dans l'atelier. Il y a fait bien chaud. Ce matin j'allume le petit poêle rond en fonte. Le "Godin" qui chauffe très rapidement. J'adore les craquements du bois qui s'enflamme. Son odeur aussi. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Tout en chantant "Le grand café" de Charles Trenet, je prépare les couleurs sur la palette. Je commence le premier visage d'un des trois personnages. Même si je maîtrise parfaitement le sujet, il y a toujours une petite pointe de crainte. Pourtant je sais que ce sera parfait.

Je peins dans une sorte d'extase pas du tout mystique. Je pense à hier soir, à nos jeux à trois. J'en ai soudain de délicieux frissons. Comme un choc électrique le long du dos. J'adore. La matinée passe ainsi, dans le plaisir absolu. Il est midi quand je quitte l'atelier pour la cuisine. Pendant que réchauffe le reste de spaghettis, je fais une salade d'endives. Les premières de la saison. Dans la poêle je fais revenir ail, oignon, champignons avant d'y rajouter un filet de colin. Un rapide déglaçage en fin de cuisson pour créer du jus. Tout ça est très rapide.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff y reçoit un éminent scientifique spécialiste en énergies fossiles et renouvelables. Ce dernier prétend, preuves à l'appui, que toutes les coupures d'électricité jusqu'en mars sont déjà programmées communément par tous les dirigeants européens. Une fois encore je bénis l'initiative de Clémentine. Faire installer des panneaux photo voltaïque nous permettra une totale autonomie. De ne pas êtres dépendants de la canaille qui organise sciemment les futures récessions.

Je fais la vaisselle. Je monte me laver les dents. Depuis quelques jours j'ai le réflexe de regarder dans la propriété du voisin, à trois cent mètres en contrebas. Personne. Pressé d'aller prendre un peu l'air je redescends à toute vitesse pour sortir. Il y a du soleil. Quelques nuages blancs dans les cieux bleus. Le thermomètre extérieur indique 22°. C'est plutôt sympathique de découvrir que les températures remontent. Je vais jusqu'à la rivière. Il y a les deux cygnes blancs qui évoluent majestueusement sur l'eau. Indifférents à ma présence. Ils sont beaux.

Mon travail recommence à envahir mon esprit. Me voilà de retour dans l'atelier. Je peins dans la même situation mentale que ce matin, c'est à dire dans la béatitude la plus totale. L'après-midi défile tout aussi vite. Il est dix sept heures trente quand Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table avant de me rejoindre en sautillant. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. L'attitude de Gauvain qui vient toujours saluer Estelle en fin de repas. Un si galant garçon.

Clémentine doit absolument mettre au propre les notes prises durant la journée. Installée devant son ordinateur elle me raconte quelques amusantes anecdotes universitaires. J'aime l'entendre parler. Je lui avoue souvent que je ne me concentre pas sur le sens des mots mais sur leurs musicalités. Ce qui la fait rire. Elle s'écrie alors : << Parle à mon cul ma tête est malade ! >>. Une fois encore je cesse de peindre pour aller la rejoindre. Debout derrière elle je lisse ses cheveux. << J'adore quand tu fais ça ! Ça me détend tellement ! >> lance t-elle.

Il est 18 h30 quand je nettoie la palette, les pinceaux. Le premier visage est terminé, identique à la photo. Une technique hyper réaliste que j'applique pour les portraits. Clémentine range ses affaires. Elle vient me rejoindre devant le petit lavabo de l'atelier. Ma bite posée sur le rebord de la faïence je me soulage en modulant mes jets de pisse. Clémentine aime saisir mon sexe à sa base pour diriger les choses. Serrée contre moi, sur ma gauche, son bras droit autour de ma taille, elle tient mon Zob de la main droite. Elle est penchée pour bien voir.

Les deux dernières giclées expédiées par une contraction des muscles fessiers et voilà les dernières gouttes. Clémentine me déplace légèrement pour s'accroupir devant moi. En gloussant elle récupère le jus. Je caresse ses joues creusées par l'effort de succion. Je l'aide à se redresser. Je m'accroupis à mon tour pour masser ses genoux endoloris. Il est presque dix neuf heures. Nous montons pour nous changer. Clémentine passe un pantalon à pinces et à plis. Un chemisier blanc sous un pull noir au col en "V". Des souliers de ville à légers talons.

Sur sa demande je suis vêtu de la même façon. << Regarde comme on est beaux tous les deux ! >> me dit elle en m'entraînant devant le grand miroir de l'armoire. << C'est dur de ressortir, je t'avoue être obligée de faire un effort surhumain ! >> rajoute encore Clémentine. Je partage totalement. Aussi, la prenant par la main, nous redescendons en tenant nos vestes. Il suffit de les enfiler dans le hall d'entrée. Je roule doucement. Il n'y a que trois kilomètres jusqu'au haras. Clémentine tient le tupperware rond sur ses cuisses. La tarte en dessert.

Il est 19 h30 quand je gare l'auto dans la cour. Il fait encore jour mais la fraîcheur est revenue. Juliette au balcon nous fait : << Coucou ! Je descends ! >>. Nous traversons le parking. Juliette, en jupe tailleur, chemisier blanc sous une veste blaser, bas noirs, escarpins à talons dans l'encadrement de la porte. Nous sommes contents de nous revoir. Nous la suivons dans l'escalier qui mène à ses appartements. La table du salon est mise. Maintenant que nous sommes là nous ne regrettons pas un seul instant d'êtres venus. Une soirée sympathique.

Juliette nous invite à prendre place. Mais nous insistons pour venir avec elle à la cuisine. L'odeur nous met l'eau à la bouche. Accroupie devant le four, Juliette en ouvre la porte. Une femme accroupie devant moi, en jupe, qui me tourne le dos. Je ne connais pas de vision plus aphrodisiaque que celle-là. Clémentine le sait. Aussi elle pose immédiatement ma main sur ma braguette. Juliette est une authentique vicieuse. Une bourgeoise de 48 ans dont la vie n'a plus grands secrets. C'est dans la vitre de la porte du four qu'elle observe Clémentine.

<< Mais mettez vous donc à votre aise. L'opération "porte ouverte" est selon vos convenances ! >> lance Juliette en ouvrant la porte du four. En même temps que Clémentine descend la tirette de ma braguette. Elle en extrait le locataire en même temps que Juliette sort une magnifique tarte à la tomate. Les rondelles d'avocat que l'on devine sous la couche dorée du gratin qui la recouvre. Juliette se redresse. Clémentine lâche mon Zob pour s'emparer du saladier. Je prends les écuelles contenant les sauces. Nous retournons au salon. Morts de faim.

<< Faites voir si tout est en ordre depuis la dernière fois ! >> lance Juliette en contournant la table. Elle me tient par le bras pour me faire tourner. Je lui présente ma queue. Je bande mou. << C'est parfait ! >> s'écrie t-elle. Nous rions de bon cœur en nous asseyant. Une tarte à la tomate n'a strictement rien à voir avec une pizza. C'est infiniment meilleur. Surtout que Juliette s'avère excellente cuisinière. Nous mangeons de bon appétit. Juliette nous raconte ce début de saison. Les premiers chevaux arrivent en pensions. Il y en a déjà une dizaine.

Clémentine raconte sa rentrée universitaire. J'évoque la reprise de ma saison de peinture. << Dès que je suis riche, je vous achète une toile Julien ! >> dit Juliette. Pour son anniversaire le 15 novembre, j'ai dans l'idée de lui faire cadeau d'une toute petite peinture. Mais je garde ce projet secret. Seule Clémentine en est informée. Cela marquera également une amitié et une complicité vieilles de cinq ans. Juliette aborde toutefois le sujet qui nous réunit autour des mêmes préoccupations. << Combien de bites inconnues cet été en Écosse ? >> demande t-elle.

<< Juste deux ! > répond Clémentine. Juliette me regarde par en-dessous. Elle mime une masturbation masculine pour me demander : << Et le spectacle était comment ? >>. Je me lève. Je bande comme le dernier des salauds je me masturbe en répondant : << C'était absolument divin ! >>. Juliette revient sur son invitation. << J'organise un Gloryhole pour le vendredi 14 octobre. Serez-vous des nôtres ? >> lance t-elle en s'adressant plus particulièrement à Clémentine. Clémentine me consulte du regard avant de répondre : << Oui ! >>.

Ce n'est pas la première soirée Gloryhole à laquelle nous convie Juliette. Nous en gardons d'ailleurs de bons souvenirs. Clémentine se targue d'avoir gouté cinq bites différentes la dernière fois, en avril. << Je m'occupe absolument de tous les aspects et tout spécialement celui de l'hygiène ! >> rajoute Juliette. Nous savons pouvoir lui accorder une confiance totale et absolue. Elle ne laisse jamais rien au hasard. Pourtant ce soir elle s'adresse à Clémentine en demandant : << Nous autorisez-vous, Julien et moi, à baiser enfin ? >>. Un long silence.

Clémentine pose sa main sur la mienne. Ses yeux vont des miens à ceux de Juliette. Plusieurs fois. Le silence est lourd et pesant. Clémentine finit par répondre : << Je vais y réfléchir. Je vous promets de répondre mercredi prochain quand vous viendrez manger ! >>. Je rajoute : << Quand Clémentine suce j'adore la regarder. Alors baiser en même temps me paraît impossible ! >>. Nous éclatons de rire. Juliette s'exclame : << On va trouver une solution ! >>. Quand je me lève une nouvelle fois pour me masturber, Clémentine se lève aussi.

C'est elle qui pointe mon sexe en direction de Juliette. Juliette passe une main sous la table. Elle aussi se masturbe en nous observant. Je dis : << Et si on s'offrait une soirée masturbation tous les trois, comme la dernière fois, un de ces prochains vendredis soirs ! >>. Juliette se lève d'un bond, une main entre ses cuisses qui relève son étroite jupe noire, elle s'écrie : << En voilà une bonne idée ! Pour moi ça marche ! >>. Clémentine tout en me branlant lance : << Vendredi de la semaine prochaine ? C'est OK ? >>. Juliette s'écrie : << Et comment ! >>.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se faire offrir un cunnilingus sous les draps avant de s'endormir heureuses et comblées...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 14 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2016 -



Une soirée "juteuse"

Hier matin, jeudi, il est presque six heures. L'application "océan" nous arrache de nos profonds sommeils avec ses illusions habituelles. Celles de nous réveiller dans un port de pêche quelque part en Écosse. Clémentine, tout en gémissant, se serre encore plus fort contre moi. Quelques papouilles, des bisous, il ne faut pas se rendormir. Nous allons aux toilettes en nous guidant car Clémentine ne veut pas encore allumer les lumières. Celles des toilettes sont bien plus tamisées. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers.

Le thermostat mais les radiateurs en fonctionnement. Il fait déjà bien chaud dans la cuisine. Clémentine fait le café. << Je n'ai plus mal. C'est le troisième jour ! >> dit elle en faisant allusion à ses "petits machins". Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée avec Juliette. Son projet d'organiser un nouveau Gloryhole ravit Clémentine qui pose sa main sur la mienne pour dire : << Tu resteras tout près de moi. Pas question de baiser avec Juliette ! >>. Je la rassure, je n'en n'ai nulle envie.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant la situation. L'ayant déjà vécu, Clémentine en éprouve toujours des frissons à sa simple évocation. Une fois encore elle m'explique ce mélange de dégoût et d'excitation à l'évocation de ce trou dans le mur au travers duquel jaillissent des bites. Je dis : << Je me réjouis pour te voir à l'œuvre ! >>. Clémentine répond : << J'adore savoir que tu me regardes ! >>. Authentique exhibitionniste Clémentine apprécie d'être vue, regardée, mâtée. Nous ne traînons pas car la discussion est très intéressante.

Nous remontons nous livrer à notre second plaisir de la journée. Une heure d'entraînement. Aérobic, joggings sur tapis roulants. Un peu de vélo. Exercices au sol, abdos. Clémentine me confie que l'idée du Gloryhole est parfois obsédante. Nous en rions de bon cœur avant de passer aux charges additionnelles. Suivies d'une bonne et rapide douche. Je descends le premier pour préparer la voiture. Il fait vraiment froid. Le jour vient d'achever de se lever sous un ciel uniformément gris. Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak.

Un dernier bisou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud pour faire la vaisselle, le lit. J'allume le petit poêle Godin dans l'atelier. Avec les deux radiateurs la chaleur y est des plus agréables. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Il est 8 h20. Je commence la peinture du second visage de ce portrait à trois personnages. Je peins dans la plus totale des sérénités en pensant à notre soirée de hier. Les attitudes et propositions de Juliette.

La matinée défile à une vitesse incontrôlable. Chaque jour j'ai cette pénible impression que ma passion pour la peinture confisque des pans entiers de ma conscience. Je quitte l'atelier pour la cuisine. La pâte feuilletée qui trône sur la table a décongelé. J'en étale les deux tiers dans un plat à tarte aux bords hauts. Je lave et je coupe deux gros poireaux. Je concocte une Béchamel dans laquelle je rajoute le poireau, du gruyère de Comté. Je verse sur la pâte. Je recouvre du dernier tiers de pâte. Je badigeonne le dessus du mélange œuf, lait, moutarde.

Ce sera pour notre repas du soir. J'enfourne la flamiche Picarde pour une cuisson lente à 180° de façon à ce qu'elle mijote longuement. Cette tourte aux poireaux fera les délices de ce soir avec Estelle. Je prépare une salade de carottes. J'ai gardé un peu de Béchamel comme accompagnement du riz complet que j'ai fait gonfler. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff dans tous ses états reçoit toujours des gens très intéressants. Des gens rarement invités sur les stations commerciales appartenant à de grands groupes.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller prendre un peu l'air je dévale les escaliers pour sortir. La température est bien plus clémente. 21°. Mais ce maudit vent de Nord Est persiste à imposer une désagréable impression de fraîcheur. Le ciel est voilé mais lumineux. Je descends jusqu'à la rivière. Le feuillage des arbres change inexorablement. Avec les grosses chaleurs de l'été, beaucoup de feuilles jonchent le sol. Celles suspendues aux branches paraissent racornies. Elles virent même au brun. Je remonte lentement en admirant.

Installé devant mon chevalet, je reprends ma peinture animé des mêmes impressions que ce matin. J'essaie de freiner la marche du temps en m'efforçant de prendre le plus souvent possible conscience de mon environnement. Hélas, malgré tous mes efforts il est rapidement 17 h30. Clémentine rentre de cours. Jetant son cartable dans le fauteuil à bascules elle se précipite pour s'assoir sur mes genoux. Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. L'ambiance très particulière de ce début de trimestre.

Elle a encore du travail. Un dernier bisou et Clémentine va s'installer à la table de travail, devant son ordinateur. Ces séances d'émulations communes nous sont toujours profitables. Tout semble plus facile. Ce soir Clémentine chantonne. << Vivement demain midi. Elle est longue cette semaine. Interminable ! >> lance t-elle. Il est 18 h15. << Put-hein, ras le bol ! >> s'écrie Clémentine qui commence à ranger ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Du bruit. Estelle entre dans l'atelier en sautillant. << Demain début du week-end ! >> dit elle.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle partage les impressions de cette nouvelle journée avec Clémentine. Elle se lève pour la rejoindre devant l'ordinateur. Toutes les deux consultent le programme de la semaine prochaine. Je retire ma blouse pour aller me laver les mains. Debout devant le petit lavabo de l'atelier, je pose mon sexe sur le bord. Tout en pissant je m'essuie les paluches. C'est Estelle qui accourt la première en s'écriant : << Fais voir ce que tu fais vieux salaud ! >>. Elle saisit immédiatement ma queue à sa base.

<< Hier soir j'ai tenu celle de mon parrain. J'adore tenir la bite des mecs quand ils pissent ! >> lance t-elle alors que Clémentine vient nous rejoindre. << Raconte à Julien ce qui s'est encore passé avec Jean-Marc hier soir ! >> demande t-elle à Estelle qui répond : << Une fois n'est pas coutume, on a baisé dans sa bagnole ! Ça change de la cave ou du dépôt. La banquette arrière de son Audi est plutôt accueillante ! >>. Nous rions de bon cœur. Je fais : << Et tu lui as tenu la bite une fois terminé ! >>. Estelle secoue les dernières gouttes de la mienne.

<< C'est exactement ça. Mais lui, contrairement à toi, n'aime pas se faire sucer. Ni avant ni après ! >>. Nous rigolons tous les trois comme des bossus. Clémentine me suce un peu alors qu'Estelle fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier en restant serrés tous les trois. Quand mes deux anges découvrent la surprise dans le four que j'allume elles me prennent dans leurs bras. Nous adorons êtres tous les trois ainsi blottis. Clémentine s'occupe de la salade de tomates. Estelle mets les assiettes.

J'ai la bite à l'air. Elles aiment quand je viens les toucher. Quand elles ont les mains occupées. Je lève leurs cheveux pour poser mes lèvres dans leurs nuques. << Tu m'allumes comme une folle ! Fais gaffe ! >> s'écrie Estelle. Elle rajoute : << Tu me fais un examen total ce soir ? >>. Nous rions quand je réponds : << Contrôle technique assuré ! >>. Clémentine rajoute : << Vous me faites du spectacle s'il vous plaît ! >>. Durant le repas de midi au restaurant universitaire, Clémentine a raconté la proposition de Juliette. Estelle veut absolument en être.

Mais comme d'habitude les deux coquines ont organisé soigneusement le déroulement des opérations. Estelle ne me quittera pas d'une semelle. Dissuadant ainsi toutes les ardeurs de la part de Juliette. Nous rions de cette stratégie. La sonnerie du four. Estelle se précipite pour sortir la flamiche Picarde. Magnifique, dorée et fumante. Nous mangeons de bon appétit. J'écoute les filles parler de leurs études. À plusieurs reprises Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine. Avec toute la vulgarité dont elle est coutumière. Clémentine applaudit.

Je me lève pour agiter ma queue toute molle. Les filles rient aux éclats quand je fais "l'hélicoptère". Nous ne traînons pas. La vaisselle. C'est Estelle qui m'entraîne au salon par le bras. Clémentine retire son jeans, sa culotte. Comme mardi soir elle s'installe dans le fauteuil. Cuisses gauche sur l'accoudoir de gauche, cuisse droite sur l'accoudoir de droite. Elle nous montre la petite ficelle blanche qui pend entre ses poils. << Demain, terminé ! >> lance t-elle en prenant son clitoris géant entre le pouce et l'index. Estelle retire son jeans, sa culotte qu'elle jette.

C'est un rituel du jeudi soir. Je suis à genoux sur un des épais coussins. Le visage entre les cuisses d'Estelle vautrée dans le canapé. Il fait agréablement chaud dans la grande pièce. Comme chaque lendemain de baise avec son parrain, Estelle prétend avoir la chatte "congestionnée". Nous n'y croyons pas vraiment. La coquine adore se faire lécher autant que de se faire tringler. Je suce son petit bouton de plaisir alors qu'elle se contorsionne déjà. J'entends les premiers gémissements de Clémentine derrière moi. Elles se mettent à bavarder.

Je suce la vulve d'Estelle qui s'ouvre un peu à la manière des pétales d'une tulipe. Du bout de la langue je fouille son intimité. Je les écoute parler de la soirée Gloryhole. Ce ne sont pas les références qui manquent puisqu'il y en a eu plusieurs. Ce n'est pas vraiment au gout d'Estelle qui préfère regarder. Authentique voyeuse qui adore mâter. Je bande à les entendre échanger leurs souvenirs. Je savoure les premières coulées de cyprine. L'odeur forte du sexe d'Estelle conjugué au gout légèrement amère de ses substances me donnent le vertige.

Elle saisit mes oreilles pour que surtout je ne cesse pas. Se tortillant pour chercher le meilleur angle, elle se pâme en gémissant. C'est un concerto pour gémissements qui résonne dans le salon. Estelle va doucement vers un orgasme qu'elle ne pourra pas réfréner. Elle bouge du bassin doucement. Quand j'aspire ses jus elle titille son clitoris. Lorsque je suce elle m'attrape par les oreilles. Elle se cambre soudain. Un orgasme foudroyant qui la fait hurler de plaisir. Elle me repousse délicatement en haletant. << Julien ! C'est trop bon ! >> s'exclame t-elle.

Je reste à genoux pour rejoindre Clémentine. Elle comprend immédiatement. Se rapprochant davantage du bord du fauteuil, elle m'offre son clitoris géant. De la taille de la première phalange d'un pouce d'homme. C'est réellement impressionnant de sucer cette petite bite de fille. Estelle, à quatre pattes, vient me rejoindre pour saisir ma queue par derrière. Je bande comme le dernier des salauds. Clémentine aussi me tient par les oreilles pour se contorsionner en rythme. Estelle se couche sur le dos. Sa tête entre mes cuisses pour lécher mes couilles.

Elle saisit ma bite sans ménagement pour tenter de la tordre vers le bas. J'ai une érection démentielle. Elle n'y parvient pas. Aussi elle se redresse, me contourne. À quatre pattes, sa tête entre le fauteuil et moi elle gobe ma turgescence pour se mettre à pomper comme une assoiffée. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il est déjà 21 h45. Aussi, c'est un véritable acharnement buccal auquel elle se livre. L'orgasme de Clémentine la fait hurler. Ce sont plusieurs saccades qui secouent tout son corps. La tête renversée en arrière elle crie.

J'ai juste le temps de me retirer en saisissant la cuvette en plastique toujours sous le guéridon. Ce spectacle est toujours tellement extraordinaire qu'Estelle arrête de sucer pour se redresser, se blottir contre moi. Nous regardons Clémentine pisser en hurlant. Il y en a forcément qui gicle à côté. Ses jets sont d'une telle violence. Elle s'affaisse lourdement dans le fauteuil. Ses fesses dans le creux du cuir noir qui trempent dans la pisse. Estelle reprend sa pipe. Je la force à cesser. Nous nous relevons tous les deux. Elle ouvre de grands yeux.

Clémentine se précipite aux toilettes le cul dégoulinant de pisse. Elle revient avec le seau et la serpillère pour tout nettoyer en disant : << C'est horrible. Je ne peux pas jouir sans pisser et c'est toujours pire ! >>. Nous rions de bon cœur. Estelle, assise sur l'accoudoir du canapé, ma bite en bouche, déguste mon éjaculation. Moi aussi j'ai un orgasme sonore. Si je ne l'empêche pas de repartir pour un second tour, Estelle passera la nuit ici. Nous nous rhabillons pour la raccompagner jusqu'à sa voiture. Elle revient samedi. La séparation est très difficile.

Bonne "nouille" à toutes les coquines qui se promettent un week-end de stupre, de luxure, de vice, de turpitudes et de jouissances diverses...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Le petit monde de Clémentine et de Julien
Saturday 24 September 2022 07:38

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - 15 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2017 -



Julie nous réserve une surprise insolite

Hier matin, vendredi, c'est le bruit des moteurs de ce chalutier rentant au port qui nous réveille. L'illusion bluffant d'êtres au bord de la mer. Il est presque six heures et l'application "océan" nous tire de nos profonds sommeils. Clémentine est restée contre moi toute la nuit. C'est en gémissant qu'elle se blottit encore plus fort. Quelques papouilles, quelques bisous et nous allons aux toilettes comme des zombies. Rapidement pourtant, à la perspective du week-end qui commence à midi, Clémentine retrouve sa propension aux facéties. À l'optimisme.

Morts de faim, dans nos vêtements de gym, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Il commence à y faire bien chaud. Clémentine fait le café en se réjouissant de cette journée qui s'annonce. Juste quatre heures de cours. Je presse les oranges, je pèle les kiwis en écoutant, plutôt amusé, les premières plaisanteries. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier avec Estelle. Les "petits machins" de Clémentine sont passés. << Ce soir, il faudra me "contrôler" moi aussi ! >> dit elle. Nous rions aux éclats.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant la venue de Julie cet après-midi. << Son cours de peinture ! Si tu pouvais être encore plus vicieux que les autres fois ! >> fait Clémentine en posant sa main sur la mienne. Nous ne nous attardons pas. Nous remontons. C'est le rituel nécessaire et "sacré" de notre heure d'entraînement. Aérobic, joggings sur tapis roulants, exercices au sol, abdos, charges additionnelles. Le retour au calme avec un stretching assez déconnant ou Clémentine nous fait tant rire. Impossible de se concentrer.

La douche. Je redescends le premier. Je fais chauffer l'auto. Il est presque 7 h45. Il pleut. Il fait froid. C'est sous son parapluie que Clémentine vient me rejoindre dans son anorak. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou avant de rentrer. De retourner au sec et au chaud. Je fais la vaisselle, le lit. Dans l'atelier, j'allume un bon feu dans la cheminée, le premier de l'automne. Même si les deux radiateurs offrent une agréable chaleur dans la grande pièce, une flambée sera la bienvenue. Pour l'esthétique c'est également sympathique.

Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je termine probablement ce matin cette première œuvre de commande. Le portrait d'une famille de trois personnes. J'ai traité l'ensemble de manière hyper réaliste. C'est bluffant. Impossible de faire le distinguo avec la photo accrochée au montant du chevalet. Je peins dans la sérénité d'être dans les clous question timing. Ces huit toiles de commandes devront être expédiées avant les vacances de la Toussaint. La matinée passe sans que je ne m'en aperçoive.

Il est presque midi lorsque je vais à la cuisine. Il suffit de réchauffer le reste de la tourte aux poireaux, avec une bonne salade verte. Dans la poêle je fais revenir deux dos de cabillaud blanc. Il est midi trente quand Clémentine rentre de cours. Elle se précipite pour me sauter au cou. << Terminé jusqu'à lundi matin ! Rien ne nous séparera plus tout le week-end ! >> s'écrie t-elle alors que je la soulève. << Emmène-moi faire pipi ! >> rajoute t-elle. Le rituel pisseux après le lavage de ses mains la met dans les toutes meilleures dispositions. Heureuse.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Sa semaine lui a semblé bien longue, dense et assez pénible. << La semaine prochaine je dois me taper tout un bouquin sur la chimie minérale. Il y aura un écrit à rendre lundi prochain ! >>. J'écoute avec intérêt. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine propose quelques options pour le week-end si la météo reste aussi déplorable. Il y a la fête de l'automne au port de plaisance et une braderie en ville. L'embarras d'un choix restreint.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous regardons par la fenêtre. Là-bas, en contrebas, à un peu plus de 300 mètres, nous distinguons la camionnette de l'artisan menuisier. Elle est garée dans la propriété du voisin. << Il y a la bite d'un black pas loin ! >> tente d'articuler avec difficulté Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Elle m'entraîne dans la chambre pour se changer. Elle passe une robe en velours carmin, cintrée à la taille qui arrive à mi mollets. Elle virevolte sur elle-même. Je la félicite pour son choix, pour son look. Si belle.

Clémentine a du travail. Nous ne nous attardons pas malgré ce baisé fougueux qui mouille nos mentons de nos salives. C'est en riant que nous descendons pour aller dans l'atelier. Il est à peine 13 h30 quand trois petits coups sont frappés contre la porte. Elle s'ouvre. Julie fait son apparition. Elle se précipite d'abord vers Clémentine qui est devant son ordinateur. Puis elle vient vers moi. Je suis installé devant mon chevalet. Je termine mon portrait. Julie me fait trois bises avant de prendre place sur le tabouret rond qu'elle met à côté de ma chaise.

Tout en restant concentrée sur son travail Clémentine demande : << Raconte-nous ta semaine Julie. C'était comment en cours ? >>. Julie répond : << Oh, cette affreuse routine et ma meilleure copine qui est malade et absente ! >>. Elle scrute la surface de la toile, penchée en avant. << On dirait une photo ! C'est bluffant ! >> murmure t-elle. Je nettoie la palette, les pinceaux. Julie observe chacun de mes gestes. Passionnée de peinture elle pose tout un tas de questions. C'est lorsque je vais au petit lavabo de l'atelier qu'elle se précipite derrière moi.

Je me lave les mains. Penchée en avant elle regarde avec la même attention que pour le tableau. Mais en direction de ma braguette ouverte. Je dis : << Je ne dois pas pisser mais je peux la sortir quand même ! >>. Julie ne répond pas. Elle me lance un furtif regard. C'est moi qui observe ses expressions dans le petit miroir. Elle s'en rend compte immédiatement. C'est une fille. C'est une voyeuse. Rien n'échappe à ses sagacités. Je sors mon sexe pour le poser sur le rebord de faïence. Un soupir excité s'échappe de la bouche de Julie. C'est merveilleux.

<< Je peux me changer, j'ai emmené des vêtements ! >> lance soudain Julie. Elle porte un jeans, un sweat, ses bottines. << Génial ! >> s'écrie Clémentine. Julie file à toute vitesse. Clémentine vient me rejoindre pour saisir mon Zob. Quand elle m'embrasse avec tant de fougue, j'ai une érection instantanée. C'est la formule magique. Julie rentre dans l'atelier. Elle est en tenue de serveuse. Comme elle le sera ce soir pour officier dans le restaurant de sa tante. Jupette noire, tablier blanc en demi lune de dentelles. Chemisier blanc. Souliers à talons.

Elle nous regarde pour voir l'effet qu'elle produit. Clémentine me lâche la queue pour se diriger vers elle. Poser ses mains sur sa taille. << Tu es magnifique tu sais ! >>. Julie baisse les yeux, toute gênée du compliment. Je me masturbe doucement. Je demande : << Il faudra passer une blouse pour peindre. Ne pas risquer de vous salir ! >>. Julie m'adresse un sourire. Elle se dirige vers sa boîte de couleurs posée sur l'étagère. Clémentine retourne à son poste de travail. Je ne fais pas vraiment attention. C'est Clémentine qui pointe son doigt. L'index.

Julie, penchée en avant, dévoile une superbe paire de fesses. Son porte-jarretelles et ses bas noirs forment le plus adorable des contrastes avec sa peau nacrée. Mais c'est surtout l'éclat du diamant synthétique qu'elle porte enfoncé dans le cul qui nous fascine. Julie adore la sodomie. Là, elle porte son plug anal et nous en fait profiter. Elle se redresse comme gênée. Son regard va de Clémentine à moi pendant qu'elle se réajuste. << Pardon ! >> lance t-elle, timide. Nous prenons conscience, une fois encore, que Julie adore également s'amuser.

Je demande : << C'est le gros ou le petit ? >>. Julie rit soudain aux éclats en cachant son visage dans ses mains. Elle répond : << Toujours le moyen ! >>. Clémentine lance : << Fais-nous voir, on n'a pas bien vu ! >>. Julie se met à genoux dans le fauteuil à bascule. Penchée par dessus le dossier, elle nous montre l'objet avant de le retirer doucement. C'est le plug en bois de palissandre que nous lui avons offert au printemps. Il est luisant, sans doute lubrifié avec une crème à la vaseline. << Tu le portes pour bosser ce soir ? >> demande Clémentine.

<< Oui, je le porte assez souvent ces temps-ci ! Et demain je me fais enculer par notre chef cuisinier ! Il m'a enculé dimanche dernier avant et après le service ! >> répond Julie soudainement très loquace. Je bande comme le dernier des salauds. Clémentine vient me rejoindre. Penchés en avant, nous tenant par la taille, nous scrutons le trou du cul de Julie qui s'enfonce à nouveau lentement l'objet oblong. Julie se redresse, se réajuste pour se tourner franchement vers nous. << Je viens faire le ménage comme ça demain matin, ça vous dit ? >> fait elle.

Mais nous ne sommes pas au bout de nos surprises. Julie se précipite vers son petit sac à main, sac à dos. Elle en tire son téléphone qu'elle allume. S'approchant de Clémentine elle montre l'écran en disant : << Regarde ce que j'ai trouvé pour toi ! >>. Je regarde les deux coquines en me masturbant. C'est prodigieux de savoir cet objet enfoncé dans son cul alors qu'elle se comporte le plus naturellement du monde. C'est ce paradoxe qui m'excite au plus haut point. << Viens voir, c'est génial ! >> me fait Clémentine en m'invitant de son index.

Sur l'écran du téléphone il y a la photo d'un clitoris géant, certainement de la taille de celui de Clémentine. Il est enserré dans un bijoux doré. Comme une bague fixée par des lanières de cuir. << Ça se porte sous la culotte. C'est invisible et très sympa ! >> explique Julie. Elle rajoute : << Anne-Marie, ma tante, en porte souvent un comme ça ! >> Julie s'adresse plus particulièrement à Clémentine en disant : << Tu veux que je t'en commande un ? C'est une boîte en Hollande, spécialisée dans les bijoux intimes ! >>. Clémentine est comme rêveuse.

Nous connaissions. Nous savions que cela existait. Mais là, sous nos yeux, avec les explications de Julie, il semble évident qu'il en faut un pour Clémentine. Je dis : << Tu te rends compte pour tes exhibes rapprochées ? >>. Clémentine s'écrie : << C'est même à un degré au-dessus ! >>. Julie demande : << Je le commande ? >>. Clémentine passe son bras autour de l'épaule de Julie pour répondre : << J'insiste pour le payer. Garde ton argent pour tes études ! D'accord ? >>. Julie éclate de rire avant de répondre : << Mais si tu veux ! D'accord ! >>.

<< Il faut vraiment que je termine avant ce soir ! >> s'exclame Clémentine en nous laissant pour retourner à son travail. Je donne une blouse à Julie. Au moins quatre fois trop grande pour son petit corps. Elle l'ajuste en riant, faisant d'énormes revers à ses manches. Je prépare son chevalet de table pour y poser une toute petite toile. Julie a ramené la photo d'un paysage qu'elle veut reproduire. La voilà installée devant la table. Je suis assis à sa gauche. Nous faisons face à Clémentine concentrée sur son ordinateur. J'ai la bite à l'air.

Je regarde Julie faire un rapide dessin préparatoire. J'admire cette capacité toute féminine de pouvoir faire deux choses en même temps. Tout en restant pleine d'attention pour son dessin préparatoire, Julie se penche souvent en arrière contre le dossier de sa chaise. Faisant mine d'observer son dessin elle louche sur mon activité. Je me branle doucement. Avec l'excitation il y a un filet de foutre qui coule sur ma main. << Vous allez vous en mettre partout ! >> fait soudain Julie. Tous les trois, nous éclatons de rire. << Génial ! >> dit Clémentine.

La séance de peinture est un moment délicat. Sensuel. Julie s'applique. Elle devra nous laisser pour dix huit heures et il est déjà dix sept heures trente. Clémentine quitte la table avec le bouquin qu'elle doit lire. Confortablement installée dans le vieux canapé de velours rouge, elle lit. Julie nettoie sa palette, ses pinceaux. Je suis debout à ses côtés à me branler. << J'adore quand vous faites ça près de moi ! >> me confie une fois encore Julie. Elle rajoute : << D'être déjà habillée pour le boulot me laisse un peu plus de temps ! >>. Elle retire son plug.

Je veux absolument le renifler. Je saisis le poignet de Julie. Elle comprend immédiatement en mettant l'objet sous mon nez. Curieusement il n'y a strictement aucune odeur. Julie a un sourire équivoque, étrange. Clémentine vient nous rejoindre pour renifler également. À l'idée que Julie a porté ce truc enfoncé dans le cul durant sa séance de peinture, je suis complètement excité. << Je me le remets avant le service ce soir ! >> précise encore Julie avant de l'essuyer avec un mouchoir en papier. De son sac à main elle sort un petit tube. Elle l'agite en riant.

<< Lubrifiant ! >> lance t-elle. Nous raccompagnons Julie jusqu'à son auto sous l'immense parapluie. Il fait froid. La pauvre frissonne sous son blouson de cuir noir. Assise au volant, la vitre baissée, elle regarde ma bite à présent toute molle. Avec ce froid, pas de performances érectiles. Clémentine me la tient dans sa main chaude. Un dernier bisou. Nous regardons la voiture monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer. << Mais comme elle est géniale Julie ! >> s'écrie Clémentine en me sautant au cou. 18 h30. Il fait faim.

Bonne soirée à toutes les coquines que d'insolites découvertes ont considérablement excité. Après le repas, cunnilingus, pénétrations fellations...

Julien



Classe

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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 16 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2018 -



Julie arrive en matinée, toujours aussi surprenante

Hier matin, samedi, il est presque huit heures. Clémentine vient se blottir en gémissant. << C'était bien hier soir ! >> murmure t-elle en passant une cuisse sous mes fesses, posant l'autre sur sa main qui tient mon érection naturelle. Se frottant ainsi contre ma hanche elle chuchote : << J'aime comme on s'aime ! >>. L'impérieux besoin met un terme à nos effusions de tendresse. Clémentine saisit ma main pour m'entraîner aux toilettes. Morts de faim, dans nos vêtements de sport, nous dévalons les escaliers pour aller dans la cuisine.

La grande pièce est déjà bien chaude. Clémentine fait le café en me confiant les immenses plaisirs vécus hier soir. Nous avons fait l'amour dans nos circonstances préférées. J'écoute en pressant les oranges, en pelant les kiwis. Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur les surprenantes attitudes de Julie hier après-midi. Le plug anal en bois de palissandre indien qui semble être le fidèle compagnon de son rectum. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les suites à donner à ce comportement qui nous ravit.

En parlant de Julie je me lève précipitamment pour aller ouvrir le portail depuis l'interphone dans le hall d'entrée. Un sixième sens qui m'a alerté à temps car justement voilà la Clio rouge qui arrive. Je suis en legging de lycra noir. J'en extrait mon sexe par le haut, coinçant l'élastique sous les couilles. Clémentine vient me rejoindre en demandant : << Qu'est-ce que tu fais ? >>. Elle découvre mon stratagème pour accueillir notre amie. << Génial ! >> lance t-elle en touchant. C'est ainsi que nous recevons Julie qui ouvre de grands yeux en riant.

Impossible de faire comme si elle ne voyait pas ma bite et mes couilles. << Bonjour ! >> dit elle en faisant la bise à Clémentine, se dressant sur la pointe des pieds pour m'en faire trois également. Nous retournons tous les trois dans la cuisine. << Tu as déjà mangé ? >> demande Clémentine. << Oui, je suis debout depuis 7 h ! >> répond Julie. Elle rajoute : << Allez faire votre sport, je m'occupe de tout ! >>. Avec cette météo automnale, ce ciel gris lourd et menaçant, nous hésitons. Jogging ou entraînement en salle ? Nous sortons. Il y a 8°.

<< Prenons notre courage à deux mains ! >> fait Clémentine en empoignant mes organes génitaux pour les ranger dans le slip. Il faut enfiler les K-ways, mettre les bonnets, les gants. Julie est déjà montée à l'étage. << J'aime quand elle porte un pantalon noir et un pull noir ! Ça lui va bien ! >> fait encore Clémentine avant que nous ne nous échauffions par quelques mouvements énergiques. Comme le sol est détrempé, nous montons jusqu'au portail à petites foulées. Sur le bord de l'étroite route communale absolument déserte nous courons.

Une heure d'un running des plus agréables mais dans une fraîcheur détestable. Il est 9 h30. En montant dans la salle de bain, nous entendons l'aspirateur. Notre douche. Nous nous habillons de la même façon. Jeans et chemises à carreaux en épais coton. Nos baskets. Nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks. Nos livraisons ne vont pas tarder. Nous traversons le jardin. Voilà la camionnette Mercedes toute neuve qui descend le chemin. Danièle, toute souriante qui en saute pour la contourner. Elle n'est jamais très bavarde.

Du hayon arrière elle tire les deux grands cageots qui nous sont destinés. L'un contient nos fruits et nos légumes pour la semaine. L'autre nos fromages, nos yaourts, nos œufs, le beurre et les petits pots de crème fraîche. << Tout cela est fabriqué en Ukraine, ce qui explique l'augmentation des prix ! >> lance Danièle. Nous rions tous les trois de cette plaisanterie. C'est la toute première fois que la jeune femme fait ainsi preuve d'humour. Paiement par carte bancaire, même commande pour samedi prochain. Nous saluons Danièle qui repart très vite.

C'est vrai que les prix ont pris 20 % en trois semaines. Même si cela ne change strictement rien à nos vies, c'est assez significatif pour être remarqué. Voilà notre boulangère adorée. Madame Marthe au volant de son tube Citroën rutilant. Elle est hilare. Malgré sa corpulence il est admirable de la voir sauter de sa camionnette avec tant d'agilité. Elle a toujours d'amusantes anecdotes du bourg voisin à nous raconter. Elle nous tend le cageot qui contient nos deux grosses miches de pain complet et bio, les deux pâtes feuilletées et la belle brioche au pudding.

<< Cadeau de la maison ! >> lance t-elle en nous offrant les deux énormes croissants aux amandes habituels. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Nous saluons la dame qui s'en retourne pour de nombreuses autres livraisons. << Put-Hein, le pain, la pâte feuilletée et la brioche sont fabriqués en Ukraine aussi ! >> s'écrie Clémentine. Nous rions de bon cœur en contournant la maison. Nous descendons à la cave par la porte de derrière. Nous rangeons les fruits, les légumes sur les étagères en bois du cellier. Frais et sec.

Du congélateur où je place une des deux grosses miches, les pâtes feuilletées, je tire le paquet de moules, les sachets de haricots verts et de petits pois. Nous remontons par l'escalier intérieur. Clémentine me fait un tas de bisous. Julie s'apprête à passer la serpillère dans la cuisine. Quelle surprise de la voir vêtue d'une jupette noire et d'un chemisier gris clair. Nous rangeons les produits frais dans le réfrigérateur. Clémentine me tape le coude. Je regarde dans la direction qu'elle m'indique. Julie, penchée en avant, nous présente ses fesses nues.

Nous restons silencieux. Julie porte son plug anal. Elle se retourne, se redresse en souriant de nos airs étonnés. << Je vous avais dit hier que je ferai le ménage avec le plug ce matin ! >> fait elle le plus naturellement du monde. Elle se cambre sur ses genoux fléchis. Pieds largement écartés. Elle retire l'objet. Cette fois il est en laiton. Doré. Elle le tient fièrement comme un trophée en rajoutant : << Petit modèle pour les matinées ! >>. Nous éclatons de rire. Julie s'approche pour nous le montrer de plus près. Elle le passe sous notre nez.

Aucune odeur. Je dépose une bise sur son front. << Tu le portes en cours ? >> demande Clémentine. << Non, jamais. C'est trop perturbant et pas toujours dans le sens le plus agréable ! >> répond t-elle. Julie tend l'objet oblong à Clémentine en disant : << Ça me ferait bien plaisir que tu me le remettes ! >>. Clémentine me jette un regard surpris. Julie se met à genoux sur une des chaises, coudes en appui sur le dossier. En attente. Clémentine s'approche. Elle écarte une des fesses de Julie pour enfoncer doucement le plug. Julie pousse un soupir.

<< Merci ! >> fait elle en se remettant debout et en réajustant sa jupette. << J'ai encore du travail ! >> rajoute t-elle en s'emparant du balai brosse. Avant de quitter la cuisine, nous lui déposons chacun une bise sur le front. Dans le salon, assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. << Ça pour une surprise, c'était une surprise ! >> murmure t-elle. Je chuchote : << Tu avais raison, cette petite coquine va nous surprendre dans les prochains temps ! >>. Nous découvrons le courriel de Juliette qui est impatiente de nous revoir.

Elle viendra manger à la maison mercredi prochain. Une invitation à passer au haras demain en fin d'après-midi. Le message d'Estelle pressée de nous rejoindre en début d'après-midi. Et surtout ce mail de l'entreprise allemande. << Génial ! >> s'écrie Clémentine qui lit à haute voix. << C'est vraiment super. Ils peuvent venir commencer les travaux lundi 3 octobre. Un branchement par câble aérien depuis la maison d'amis ! >>. Dans un premier temps, cette formule permet de nous mettre à l'abri de toutes coupures intempestives de courant.

Les panneaux photovoltaïques installés sur le toit de la dépendance fournissent une électricité en quantité suffisante pour assurer 40 % des besoins quotidiens. Si nous faisons installer la même configuration mais en plus grand, ce sera 100 % des besoins. Une autonomie totale qui nous mettra en autarcie parfaite. Dans une petite enveloppe jaune, je glisse un billet de 50 euros. Clémentine y rajoute un petit mot que je signe du dessin stylisé d'un plug. Un petit tour sur le site de l'université pour découvrir le programme des cours de la semaine prochaine.

Il est 11 h30. Julie vient nous rejoindre. À nouveau vêtue de son pantalon et de son pull noir. << Vous avez une belle maison propre jusqu'à la semaine prochaine ! >> dit elle. Debout devant le bureau, nous faisant face, Julie garde ses mains à hauteur de son sexe. C'est en regardant plus attentivement que nous découvrons qu'elle se touche discrètement. << Excitée ? >> demande Clémentine qui se lève, contourne le bureau pour poser ses mains sur les épaules de Julie. << Oui, très ! >> répond t-elle en baissant les yeux toute gênée. Timide.

Je suis en admiration devant cette adorable jeune fille. Je me lève pour les rejoindre toutes les deux. Julie se blottit dans les bras de Clémentine, éperdue d'amour. Ce qui gêne toujours un peu Clémentine qui n'a ni la fibre maternelle ni d'attirance pour les filles. Je tends la petite enveloppe jaune. << Merci Julien. Merci pour tout ce que je vis quand je suis avec vous deux ! >> lance t-elle en venant se blottir dans mes bras. Ses élans se font de plus en plus affirmés et réguliers. C'est certain, depuis presque cinq ans d'amitiés, il y a complicité.

Je la félicite pour ses initiatives. << Le plug ? >> demande t-elle sans oser affronter mon regard. << Aussi ! >> répond Clémentine. << Je m'occupe de votre bijoux cet après-midi ! >> dit encore Julie. Elle fait allusion à ce petit anneau doré destiné aux détentrices d'un clitoris géant. Comme celui de Clémentine. << Mais c'est moi qui paie ! >> s'écrie Clémentine. Je rajoute : << Il ne faut donc pas hésiter à prendre la qualité supérieure. En or massif par exemple ! >>. Julie nous rassure. Les commandes internet sécurisées sont sa spécialité.

Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Le thermomètre extérieur indique à présent 18°. Même si le ciel reste obstinément nuageux, c'est plus agréable que la journée pluvieuse de hier. Assise au volant, la vitre baissée, regardant la bite que Clémentine agite tout près de son visage, Julie dit : << Je suis impatiente de revenir lundi ! >>. Clémentine rapproche ma queue en faisant : << Et si tu nous réservais une de tes superbes surprises pour lundi soir ? >>. Julie hume l'odeur de ma queue juste tenue sous son nez. << Oui ! >> répond t-elle.

Elle dépose un rapide bisou sur la peau fripée de mon prépuce. Malgré le froid mon érection est conséquente. << Mmhh, c'est bien chaud sur les lèvres ! >> rajoute t-elle en démarrant. << Il t'encule Louis, ce soir avant le service ? >> demande encore Clémentine. << Non, c'est souvent le dimanche. Anne-Marie vient nous rejoindre pour participer ! >> lance Julie avant de partir. Nous regardons l'auto monter jusqu'au portail. Comme toujours Julie en sort pour nous souffler des bisous dans ses mains. Un dernier coucou et nous rentrons au chaud.

Clémentine, en préparant la laitue, me fait part de ses ressentis. << Délicieuse petite salope qui s'affirme enfin ! >> fait elle. Je concocte le bouillon pour y jeter les moules encore congelées. Je dis : << C'est qu'elle va avoir 21 ans bientôt. Le 6 octobre ! >>. Nous réfléchissons depuis quelques jours à un somptueux cadeau d'anniversaire. Nous ne pourrons marquer cet évènement que le vendredi 7 octobre lorsque Julie viendra pour son cours de peinture. << Il faut qu'elle se souvienne de ses 21 ans pour le restant de son existence ! >> dit Clémentine.

Je verse les sachets de haricots verts et de petits pois dans le wok. Encore congelés. Ça tire beaucoup d'eau à la cuisson. La préparation rapide du repas de midi de nos samedis reste un plaisir gustatif. Nous mangeons de bon appétit en envisageant différents "cadeaux" pour l'anniversaire de Julie. Nous rions de bon cœur à l'énoncé des options fantaisistes de Clémentine. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur le vague programme du week-end. Demain, il y a la braderie au bourg.

<< La fête de l'automne au port de plaisance ! >> précise Clémentine. Comme nous hésitons encore, ce sera peut-être l'avis d'Estelle qui nous décidera. La vaisselle avant de monter nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. << Ils sont où les gens que j'aime ! >>. C'est la voix d'Estelle qui prononce la phrase rituelle en venant nous rejoindre. Il est 13 h30. Serrés tous les trois à nous faire des papouilles, des bisous, nous savourons le bonheur de nous retrouver tous les trois. Les trois mousquetaires de la turpitude.

C'est ainsi qu'Estelle nomme notre trio déluré. Nous allons dans la chambre. Assis sur le lit, Clémentine et moi nous regardons Estelle et son sac de sport. Sac dont elle tire son pyjama de soie mauve, quelques vêtements de change, une petite culotte de coton blanc. En l'étirant entre ses mains elle dit : << Celle-là c'est pour mon premier jour. J'ai probablement mes "petits machins" demain ! >>. Nous rions de bon cœur. Il ne fait jamais très chaud dans la chambre à coucher. C'est une volonté délibérée. On dort beaucoup mieux. On redescend très vite.

Nous enfilons nos anoraks pour sortir. Mes deux anges me tiennent le bras. Nous allons jusqu'à la rivière. Elles ont toutes les deux du travail dans le cadre de leurs études. C'est donc un épisode récréatif dont elles veulent profiter. Estelle nous donne des nouvelles de ses parents, de sa mamie qui connaît quelques soucis de santé. Clémentine raconte le plug anal de Julie. << Sans déconner, elle prend ses cours de peinture et fait le ménage avec son truc dans le cul ? >> s'écrie Estelle. << Tu sais bien qu'elle adore se faire enculer ! >> dit Clémentine.

Nous rions des plaisanteries que font mes deux anges. << Pour son anniversaire, tu pourrais l'enculer par exemple ! >> lance Estelle en palpant la bosse qui déforme ma braguette. << Superbe idée ! >> s'écrie Clémentine. Je dis : << Mais je déteste la sodomie autant que vous deux, sinon davantage encore ! >>. Elles éclatent de rire. Estelle rajoute : << Pour l'anniversaire d'une jeune fille, tu pourrais faire un effort tout de même ! >>. C'est dans cette ambiance que nous remontons vers la maison. J'allume un bon feu dans la cheminée de l'atelier.

Estelle et Clémentine sont installées devant leurs ordinateurs à la table de travail. Je procède au calque du second portrait de commande. Cette fois c'est juste un couple. Des hollandais ayant passé commande en juillet. Ils désirent êtres tous deux vêtus dans un costume du XVIII ème. De la région de Delft. Je possède une encyclopédie des costumes. Ce sera d'une facilité déconcertante de les habiller ainsi sur ce tableau. J'écoute mes deux anges. Les conversations n'ont plus rien de graveleux. Elles restent axées sur la chimie des minéraux.

Je peins dans une ambiance de travail. C'est très agréable. Parfois je me lève pour aller rejoindre mes étudiantes. Debout derrière elles, je caresse leurs cheveux. Je caresse leurs nuques. Elles ont toutes les deux le même réflexe. Quand je veux retourner à mon chevalet, elles saisissent mon poignet pour me retenir. << C'est trop bien ! >> dit Estelle. << C'est trop bon ! >> rajoute Clémentine. Un dernier bisou et je file. Parfois c'est Estelle qui vient caresser ma nuque. Me faire une bise. Parfois c'est Clémentine. L'après-midi se passe dans l'émulation.

Il est 18 h30. << Put-hein, ras-le bol ! >> lance Clémentine. << J'en ai marre ! >> rajoute Estelle. Elles se lèvent ensemble pour ranger leurs affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Nous voilà assis tous les trois devant la cheminée. L'odeur et les craquements des dernières braises participent de ce spectacle remarquable. Je suis entre mes deux anges qui restent tout contre moi. Leurs têtes posées sur mes épaules. Je les tiens par la taille en écoutant leurs conclusions quand au travail fourni cet après-midi. << Dans les clous ! >> conclue Estelle.

Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Assis tous les trois autour de la table, nous épluchons les pommes de terre, le céleri, les carottes, les navets, l'ail, les oignons. Ce sera pour la potée de légumes. Cette potée qui constitue l'accompagnement idéal des trois repas du week-end. << Tu t'occupes de moi ce soir ? >> me fait Estelle qui se lève pour mimer une masturbation masculine. Clémentine lave les légumes coupés en petits morceaux grossiers. Estelle fait rissoler trois beaux filets de cabillaud préalablement panés.

C'est elle qui touille les légumes dans la vieille cocotte en fonte noire. Pour que ça n'attache pas. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade. Le reste de la laitue de midi. Je prépare une sauce au Roquefort. << Il faut qu'on arrête de causer études ! >> lance Estelle. << Oui, parlons cul ! >> s'écrie Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Je mets les assiettes et les couverts. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les attitudes et les comportements de Julie. Estelle, authentique voyeuse, s'exclame : << Je veux tout voir ! >>.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges reviennent sur le programme de demain dimanche. Si la météo reste clémente c'est à la fête de l'automne que nous irons. Si c'est plus mitigé ce sera la braderie du village. Je trouve la formule parfaitement adapté au climat. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Il y a fait bien chaud. Elles me font tomber dans le canapé. << Tu nous attends là ! >> dit Estelle en entraînant Clémentine par la main. Elles rigolent.

Je les entends rire en montant les escaliers. Je retire mon jeans, mon slip, pour rester en chemise à carreaux et en chaussettes. Je me marre car je ressemble à un de ces acteurs pornos des vieux films des années soixante dix. J'entends les rires des filles qui redescendent. Vêtues à l'identique. Jupes kilts à carreaux rouges, chemisiers blancs, escarpins noirs à talons hauts. À peine entrées dans le salons, elles s'accroupissent en se tenant par le bras. C'est à celle qui écartera ses cuisses le plus largement. Je me lève pour agiter ma queue molle.

<< Mais c'est qu'il s'est mis en tenue le monsieur ! >> fait Estelle en se redressant. Elle se précipite vers moi pour me saisir le sexe. Clémentine se redresse à son tour pour s'approcher du bureau. Estelle, tout contre moi, me masturbant doucement, nous regardons Clémentine monter sur le meuble. À quatre pattes, elle nous présente son cul. J'hallucine. Elle porte son plug anal. Celui que je lui ai offert au début de notre relation. En laiton doré et à la base en bois d'érable ondé qui enchâsse un faux diamant Swarovski. Quelle surprise.

Estelle est dans la combine. Elle dit : << Julie ! >>. Nous rions aux éclats. Clémentine s'empresse de rajouter : << Je déteste avoir un truc dans le cul ! >>. Elle le retire délicatement pour le poser à côté de l'ordinateur. Elle s'installe en appui sur ses coudes, me présentant son sexe. J'adore les poils qui envahissent l'intérieur du haut de ses cuisses, qui monte en pointe jusqu'à son nombril. C'est toujours pour moi le spectacle le plus divin. Estelle m'entraîne tout près. Elle me lâche le Zob pour s'installer à côté de Clémentine. Leurs cuisses bien écartées.

Une fois encore je tente de comparer laquelle est la plus poilue. La plus velue. C'est assez semblable. Je cherche le tabouret sur lequel je m'assois. Les filles me regardent amusées. Mon "inspection" les excitent autant que la situation. Elles se touchent. Clémentine tient son clitoris géant entre son pouce et son index. Estelle n'étant pas dotée d'un tel appendice se contente d'un léger mouvement pendulaire de ses doigts. Ce n'est pas très confortable de rester en appui sur un seul coude. Aussi, en même temps, poussant un soupir, elles se couchent.

Je me lève. Je frotte mon sexe contre celui d'Estelle. Je commence toujours par celui d'Estelle. Ce qui excite considérablement Clémentine qui se masturbe. Avec d'infinies précautions je m'enfonce dans Estelle qui pousse un gémissement tout se se mordillant la lèvre inférieure. D'un dernier coup de reins, Estelle s'enfile toute la longueur. Immédiatement elle se redresse pour se suspendre à mon cou. Je l'emmène ainsi pour la promener dans toute la grande pièce. Il y a juste les deux grosses bougies du chandelier pour éclairer la scène. C'est magique.

Je reviens la déposer sur le bureau en la baisant comme elle aime. À la hussarde. Estelle se masturbe. Je me retire pour m'introduire dans Clémentine. Je l'emmène également en promenade. Elle m'embrasse passionnément. Je reviens la déposer sur le bureau pour retourner dans Estelle qui pousse de petits cris d'animal blessé. Nouvelle promenade avec la langue d'Estelle qui fouille ma bouche. Nous avons tous les trois les mentons trempés de nos salives. Mes lombaires commencent à me rappeler mon âge. Trois tours de manège pour chacune.

L'orgasme de Clémentine la fait hurler. Elle est agitée de spasmes, accroupie sur le bureau en pissant dans la cuvette. Estelle et moi nous la tenons fermement. Dans l'état d'affolement des sens où elle se retrouve, il est préférable de maintenir son équilibre. Elle reprend ses esprits. Estelle se masturbe à nouveau en s'accroupissant devant moi. C'est avec ma bite en bouche qu'elle s'offre un orgasme délirant. Elle cesse de sucer pour tomber en arrière contre le bureau. J'ai juste le temps de protéger sa tête en m'accroupissant à ses côtés. C'est fou !

Clémentine redescend de son perchoir pour venir se frotter contre mon épaule. Estelle reprend ses esprits. Elle se précipite aux toilettes. Clémentine m'embrasse avant de dire : << C'est à chaque fois plus fou, plus fort, on va terminer à l'asile ! >>. Je la serre fort contre moi. Estelle qui ne revient pas. Nous ne nous inquiétons pas. Je suis vautré dans le fauteuil, Clémentine à genoux sur l'un des épais coussins. Je me fais tailler une pipe des familles. Estelle revient en disant : << Mes "petits machins". Nos exactions ont précipité leur arrivée ! >>.

Bonne nuit à toutes les coquines qui s'offrent de merveilleux week-end. Des samedis et dimanches de dépravations sublimes et affolantes...

Julien (victime consentante)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 17 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2019 -



La fête de l'automne

Hier matin, dimanche, je suis serré entre Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche. Toute la nuit toutes les deux m'ont serré de près. La recherche de la chaleur mais certainement aussi le besoin d'être rassurée. L'échéance du concours à la préparation au Doctorat reste une source d'inquiétude. Il est un peu plus de neuf heures. En même temps mes deux anges ont le réflexe de vouloir saisir mon érection naturelle. Une amusante confrontation qui ne dure qu'un très bref instant. Clémentine précède Estelle d'une petite fraction de seconde.

Estelle empoigne alors mes couilles. Nous rions tous les trois. Je glisse mes mains dans les culottes. J'adore passer mes doigts comme des peignes dans les épaisses touffes fournies. << Attention, ficelle ! >> murmure Estelle. Je la saisis pour donner quelques à coup. << Arrête, ça va sortir ! >> chuchote t-elle avant de se lever d'un bond pour se précipiter vers la porte. Clémentine m'entraîne sur elle. Même si nous ne sommes absolument pas du matin, elle veut revivre l'instant de la pénétration encore vécu hier soir. << Je t'aime Julien ! >>. Bisous.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes car ça urge. Morts de faim, encore en slips et en T-shirts de nuit, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. L'odeur du café se mêle à celle du pain grillé qu'éjecte l'appareil. Estelle me saute au cou. Je la soulève. Enserrant ma taille de ses jambes elle me couvre le visage de bisous. << Docteur Julien, j'aurai besoin de vos soins, bobo ! >> dit elle. Je pose mes lèvres sur la pointe de son minuscule sein droit. Tout dur. À travers la soie mauve de son pyjama j'insuffle un souffle d'air chaud.

Je fais pareil sur son sein gauche en glissant ma main dans sa culotte. Par cercles concentriques, du bout de mes doigts, je caresse son bas ventre. Clémentine, derrière moi, tient mon sexe, sa main dans mon slip. << Mmhh ! Ça soulage docteur ! >> lance Estelle. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos folies sexuelles de hier soir. << J'adore quand tu nous baises sur le bureau. C'est trop génial ! >> dit encore Estelle. Clémentine, tout en mangeant sa tartine vient s'assoir sur mes cuisses en précisant : << Je partage totalement ! >>.

Nous mangeons de bon appétit en évaluant les deux options de l'après-midi. La braderie du bourg ou la fête de l'automne au port de plaisance. Dehors le ciel reste bas, gris et sinistre. Pourtant il ne présente aucune menace. Nous traînons à table. Estelle vient s'installer sur ma jambe libre. Toutes les deux, les bras autour de mon cou, de ma taille échangent leurs avis. Finalement, ce sera la fête au port de plaisance. Le dimanche, pas d'entraînement. Les filles passent en revue ce qu'il ne faut surtout pas oublier en cours demain matin, lundi.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de monter nous laver les dents, refermer le lit et la fenêtre. La chambre est glaciale. Aussi nous nous habillons dans la salle de bain. Pressés d'aller prendre la température, nous redescendons à toute vitesse. Estelle a pris sa gélule contre ses règles douloureuses. Nos anoraks. Le thermomètre extérieur indique 17°. Il est 10 h30. L'absence de vent rend l'atmosphère plutôt sympathique. Les filles restent accrochées à mon bras pour aller jusqu'à la rivière. Avec les pluies le niveau des eaux a bien monté.

Toute la faune à plumes nous fait un accueil sonore. Les canards, les colverts, les poules d'eau. Un peu plus loin les deux cygnes blancs. Il y a maintenant deux couples de hérons cendrés. << L'an prochain, tu peux ouvrir un zoo ! >> lance Estelle en glissant sa main dans ma braguette ouverte. Clémentine se serre contre moi. Enserrant ma cuisse droite entre les siennes, cambrée sur ses genoux fléchis, elle se frotte. Ses lèvres sur ma joue. << Je prends celle qui reste libre ! >> dit encore Estelle en prenant la même position. Mes deux frotteuses.

Si monsieur Bertrand descend nourrir les canards, il ne manquera pas de tomber sur cette singulière situation. J'en fais part à mes deux anges qui s'écrient en même temps : << On s'en fout ! >>. Elles redoublent d'activités. Estelle extrait même mon sexe qu'elle tient fermement dans sa main. Ce n'est pas très confortable. Ça ne dure pas. Nous longeons la rivière sur quelques centaines de mètres. De nombreux arrêts pour nous toucher, nous embrasser. Nous sommes très certainement encore sous les effets aphrodisiaques de hier soir.

<< C'était trop bon ! >> s'écrie Estelle qui sautille autour de nous. Clémentine qui se frotte à nouveau en répondant : << C'est meilleur à chaque fois ! >>. Nous rions de bon cœur quand Estelle vient s'accroupir devant moi. Elle frotte son visage sur mon sexe. Je bande mou. Clémentine s'en saisit pour le lui enfoncer dans la bouche. Elle m'embrasse alors qu'Estelle suce passionnément. Cette position là non plus ne peut pas durer longtemps. Pour éviter la crampe Estelle se redresse. Clémentine prend sa place. Je bande comme le dernier des salauds.

Nous revenons sur nos pas. << Quand je commence à sucer le matin, je pourrais faire ça le reste de la journée ! >> s'exclame Estelle en me tirant par la queue. << Idem pour moi ! >> s'écrie Clémentine qui marche derrière moi. Nous remontons vers la maison. Par mesure de précaution, je remballe ma queue dure comme du bois. Clémentine s'occupe de la salade de concombre. Estelle réchauffe la potée de légumes en remuant sans arrêt. Dans la poêle je fais rissoler trois beaux pavés de saumon. J'administre le traitement du docteur à Estelle.

J'insuffle de l'air chaud sur chacun de ses seins tout en massant son bas ventre. << Mmhh docteur, que vos thérapies sont efficaces. Pourrais-je avoir encore un peu de votre délicieux sirop ! >> dit elle en palpant ma bosse. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit. << On s'habille comment ? >> demande Estelle. << Il ne fait pas froid, on se met en jupes. Cette météo ne durera pas, profitons-en encore quelquefois ! >> répond Clémentine. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous remontons pour nous laver les dents.

Les filles portent toutes les deux la même jupe kilt, le même chemisier crème sous un pull bleu nuit au col en "V". Collants pour Estelle. Bas pour Clémentine. Leurs souliers de ville à légers talons. Sur leurs demandes je porte un pantalon à plis et à pinces, bleu nuit, une chemise blanche sous un pull bleu nuit également. Au col en "V". Des mocassins de même couleur. Nos vestes. Nos écharpes de soie. Nous prenons des poses devant le grand miroir de l'armoire. Touts les deux, accroupies, leurs têtes contre mes hanches, me tiennent par les jambes.

Cuisses largement écartées elles s'admirent. Mes mains sur leurs têtes je les regarde. Clémentine ne porte pas de culotte mais en emmène une dans son petit sac à main qui fait aussi sac à dos. En cuir noir. Nous redescendons. Je roule doucement. Il y a 35 km par la route. Clémentine joue avec ma queue. J'ai ma main droite entre ses cuisses. Estelle, assise à l'arrière, caresse mes joues, ma nuque. Parfois, quand je regarde dans le rétroviseur elle s'affale sur la banquette, cuisses largement écartées pour mimer des masturbations masculines.

La fête de l'automne, malgré ce temps tristounet, connaît encore un franc succès. Il faut garer la voiture le long de la route à plus d'un kilomètre. La gendarmerie régule le flot des arrivants. Il y a beaucoup de monde. La supérette est évidemment ouverte. Mais plutôt qu'une glace, avec cette météo, nous préférons prendre une gaufre chaude en flânant entre les différents stands. << C'est comme une braderie aussi ! >> précise Estelle. C'est vrai. Il faut louvoyer entre les promeneurs. Les landaus qui bloquent les allées. C'est souvent très pénible.

Sans parler des inconscients qui baladent d'énormes clébards tenus en laisse. << Vous avez vu ? Tous les blaireaux adoptent des chiens. C'est carrément à la mode ! >> lance Estelle. << Ça va faire du travail pour la SPA quand il faudra recueillir tous les chiens abandonnés ! >> rajoute Clémentine. << C'est dur de vivre dans un monde de cons, de crétins et d'idiots ! >> fait encore Estelle en palpant discrètement ma bosse. Nous rions de bon cœur. C'est beaucoup plus simple, ça passe inaperçu de se toucher dans la foule. Et mes deux anges le savent.

Clémentine, en serrant contre moi, murmure : << Je suis devenue ta frotteuse. Tu aimes ? >>. En riant, je dépose une bise sur sa bouche. Elle en profite pour y enfoncer sa langue. Bien évidement Estelle en veut aussi. Nous attirons encore bien des regards. Nos hautes tailles, nos attitudes ambiguës. Non, je ne suis pas le papa des deux sublimes jeunes filles pendues à mon bras. Je dis : << C'est quand même beaucoup plus agréable d'adopter deux coquines que des clébards ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Une seconde gaufre chaude.

Inutile d'espérer une petite exhibe dans cette foule. Ce qui frustre toujours un peu Clémentine. Surtout que je la touche discrètement, de plus en plus souvent. Je murmure : << Tu es ma frotteuse, je suis ton palpeur ! >>. Estelle rajoute : << Et mon docteur ! >>. Elle saisit mon poignet pour coller ma main à l'endroit de son sexe. J'exerce quelques palpations au travers le tweed de sa jupe kilt. << Mmhh, docteur, j'aime quand vous m'administrez votre traitement dans la foule ! >>. Il est impossible de ne pas les voir se frotter contre moi.

Il y a toutes sortes de regards qui se posent de temps en temps sur notre trio. Des regards libidineux, des regards scandalisés, des regards étonnés. Des regards amusés. Des regards lourds de reproches parfois. Surtout chez les dames d'âge mûr. << Frustrées que rien ne leurs arrive plus ! >> conclue Estelle. Nous faisons le tour des quais. Il y a un grand chapiteau avec un orchestre qui reprend les standards. << Rien n'est plus sinistre que ce genre d'endroits. Ça me rappelle certains samedis soirs quand nous étions adolescentes ! >> fait Clémentine.

<< Oui, tu te rappelles ! Comme on se faisait chier. Ça puait la bière, la clope, les rots des gros cons bourrés. Les dragueurs lourdingues qui nous invitaient à danser ! Put-Hein l'angoisse ! >> s'écrie Estelle. Aussi, nous ne nous attardons pas. Par pure provocation nous faisons un dernier tour. Restant collés tous les trois à nous faire plein de bisous. Nous faisons également beaucoup d'envieux. D'envieuses peut-être à voir les jeunes filles qui admirent Estelle et Clémentine. Nous sommes très élégants. Ce qui rajoute encore à quelques émois. Amusant.

Il est presque dix huit heures quand nous revenons à la voiture. Juste à temps car il y a les premières gouttes de pluie. La circulation est évidemment dense et extrêmement lente. Estelle voudrait bien passer devant. S'assoir au sol entre les jambes de Clémentine. Une grosse berline allemande permet ce genre de situation. Mais j'ai peur d'un contrôle. Il y a de nombreux gendarmes un peu partout. Un contrôle au carrefour. J'ai juste le temps de remballer ma queue. Il faut faire preuve d'agilité car une érection ne se dissimule pas aussi vite. Rires.

C'est une belle gendarme qui s'approche : << Bonsoir, gendarmerie nationale, vous pouvez présenter les papiers du véhicule s'il vous plaît ! >>. Je m'exécute. Contrôle d'alcoolémie. Je ne bois jamais la moindre goutte d'alcool. Parfaitement en règle la jeune femme me dit : << C'est bon, vous pouvez y aller. Bonne soirée ! >>. À peine deux cent mètres plus loin, Clémentine m'extrait la queue. << Je viens devant ! >> lance Estelle. Je refuse. Il peut y avoir un second contrôle. << Tu aurais dû montrer ta bite aussi. Elle était belle ! >> dit elle encore.

Il est 19 h15 quand nous arrivons enfin à la maison. Clémentine fait la salade. Estelle nous concocte une belle omelette aux champignons et aux fromages. Je réchauffe la potée de légumes. C'est rapide. Nous portons tous les trois des tabliers pour ne pas salir nos beaux habits. Aussi, avant de manger, nous montons à toute vitesse nous changer. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos frasques de l'après-midi. << C'est excitant dans la foule ! >> fait Estelle.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Estelle m'entraîne par le bras. Nous passons au salon. Clémentine allume les deux grosses bougies. Seul lumière dans la grande pièce. << Docteur, j'ai mon petit bouton sur lequel je n'ai pas cessé d'appuyer. Vous voulez bien l'ausculter un peu ! >> lance Estelle en retirant son jeans, sa culotte. Vautrées dans le canapé, toutes les deux m'offrent la dégustation de leurs chattes. Les parfums du dimanche soir, leurs sexes pas lavés, affolent rapidement mes sens. Je lèche, je suce, je m'étourdis du jus de Clémentine.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui adorent se faire nettoyer la moule à grand coups de langues. Qui adorent la toilette "intime"...

Docteur Julien (Honoris Causa es Cunnilingus)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
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Les adorables petites surprises que nous fait Julie

Hier matin, lundi, l'application "océan" nous réveille avec ses illusions habituelles. Il est presque six heures quand le cri strident des oiseaux de mer envahit la chambre. Clémentine, tout contre moi, se serre encore davantage. Quelques papouilles, quelques bisous plus tard et nous allons pratiquer nos rituels pisseux. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers. Il fait bien chaud partout dans la maison. Le thermostat des radiateurs fait son job à la perfection. Clémentine fait le café en me racontant les souvenirs de ses rêves.

Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Le lundi matin, je mets le reste de la brioche dans le four à micros ondes. Le grille pain éjecte les premières tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les aventures de notre week-end. La promenade de hier après-midi à la fête de l'automne. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la venue de Julie ce soir. Je suis prié d'être vicieux et d'interpréter le rôle du pervers. Je promets de me comporter avec Julie comme le fait monsieur Bertrand, notre voisin, avec Clémentine. Nous rions de bon cœur.

Nous remontons pour pratiquer un autre rituel. L'heure d'entraînement qui fait de nous des "guerriers" pour le reste de la journée. Aérobic, joggings sur tapis roulants. Exercices au sol, abdos. Charges additionnelles. Le retour au calme avec un bon stretching. La douche. Je redescends pour aller préparer la voiture. Il pleut. Il fait froid. Le jour achève de se lever. Il est presque 7 h45. Clémentine me rejoint sous son parapluie, emmitouflée dans son anorak à capuche. Un dernier bisous. Je la regarde monter jusqu'au portail. Un dernier coucou.

Qu'il est agréable de se retrouver au sec et au chaud. Je fais la vaisselle, notre lit. Dans l'atelier j'allume un beau feu dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. Je reprends la peinture de ce second portrait de commande. Je peins dans un enthousiasme qui me fait pousser de singuliers cris d'animaux n'existant pas. La matinée passe ainsi. Il est presque midi. Je quitte pour me rendre à la cuisine. Je réchauffe le reste de potée de légumes. Je concocte une rapide salade de tomates.

Un filet de flétan dans la poêle auquel je rajoute un petit pot de crème fraîche en fin de cuisson. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff, dans tous ses états, y reçoit une jeune journaliste d'investigation. Ni l'une ni l'autre n'ont leurs langues dans leurs poches. C'est rassurant de savoir qu'il existe encore de véritables journalistes alors que l'immense majorité de la profession n'est plus composée que d'animateurs d'informations. Des Michel Drucker payés pour répéter les phrases préparées par leurs comités de rédaction.

La pâte feuilletée a décongelé. Je l'étale dans un plat à tarte. Je coupe et je lave une grosse aubergine, une grosse courgette. Coupées en lamelles j'en dépose les tranches en spirale sur la pâte. Je verse le mélange, œuf, moutarde, lait de soja sur le tout. Je recouvre d'une copieuse couche de gruyère de Comté. Quelques fines tranches de Morbier entrecroisées. Au four pour une cuisson lente qui permet de faire mijoter. À 180°. Le repas pour ce soir est prêt. La vaisselle avant de monter me laver les dents. Dehors, la météo est épouvantable. Pluie.

Le vent jette des trombes d'eau contre les vitres du côté Ouest. L'atelier étant situé Nord, Nord Est, je peins dans un calme relatif. Juste le craquement du hêtre sous l'assaut des flammes. Les heures de l'après-midi défilent sans que je puisse m'en apercevoir. C'est le bruit que fait Clémentine en arrivant qui m'indique qu'il est déjà 17 h30. Elle pose son cartable sur la table avant de se précipiter vers moi. Assise sur mes genoux elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. << C'est intense la masse de travail ! >> explique t-elle.

Et du travail elle en a encore. Installée devant son ordinateur, entourée de ses fiches, elle chantonne en prenant d'autres notes. Nous adorons ces séances de travail ensemble. Il est 18 h15 quand Clémentine se lève en s'écriant : << Là, pour aujourd'hui, ça suffit ! J'ai ma dose ! >>. Elle range ses affaires. Je nettoie les pinceaux et la palette. Trois petits coups timides contre la porte qui s'ouvre. Nous ne l'avons pas entendu venir. Julie entre dans l'atelier pour courir vers Clémentine. Lui faire trois bises. Elle vient vers moi toute souriante. Trois bises.

J'écoute les filles parler de leur journée d'étude. Je retire mon tablier. Au-dessus du lavabo, la bite posée sur le rebord, je me lave les mains. Dans le petit miroir, je vois le regard furtif de Julie qui m'observe du coin de l'œil. Trop curieuse de voir ce que je fais, elle se lève d'un bond pour venir me rejoindre. Debout à ma droite, penchée en avant, elle me regarde pisser. Clémentine arrive rapidement. Debout à ma gauche. Également penchée en avant pour observer. Je passe mes bras autour de leurs épaules. Elles se serrent tendrement. Julie saisit mon sexe.

Depuis notre retour d'Écosse il y a trois semaines, Julie fait preuve d'initiatives étonnantes. Il a fallu plus de quatre ans avant qu'elle n'y parvienne avec autant de courage. Je pisse par petits jets. Julie prend pour cible la petite ouverture rectangulaire sous le robinet. Un mince filet d'eau chaude s'écoule. Les vapeurs nous montent aux narines. Je suis un peu gêné d'imposer cette puanteur. Les dernières giclées alors que je commence à bander. Julie tente de maintenir mon sexe vers l'intérieur du lavabo. Clémentine, dans un élan, prend le Zob en bouche.

Julie pousse un soupir d'excitation. Je lui dis : << Félicitation pour la surprise du lundi soir Julie ! >>. Elle se redresse pour me faire un sourire. Sans toutefois oser soutenir mon regard. Clémentine se redresse. Julie ne me lâche pas le sexe. Au contraire, comme le fait Estelle, elle le garde dans sa poigne ferme. Que de courage faut-il à cette jeune fille timide et réservée pour agir ainsi ! Julie me lâche enfin pour dire : << Je vais me changer. Je reviens ! >>. Étonnés nous la regardons filer vers la porte. Clémentine prend ma queue et me masturbe.

<< Je t'aime Julien. T'es tellement vicieux ! >> chuchote Clémentine. Sans cesser de me branler elle fourre sa langue dans ma bouche. Lorsqu'elle l'ouvre il y a une odeur de pissotière. J'ai un haut le cœur. Elle se met à rire car elle comprend pourquoi. Julie revient. Quelle surprise. Elle porte une jupette bleue nuit, plissée à fins carreaux. Un pull en laine à col roulé. Des Doc Martens sur ses soquettes blanches. Comme la jeune lycéenne qu'elle était il n'y a pas très longtemps. Clémentine prend ses mains pour la faire tourner sur elle-même.

<< Tu es remarquable ! C'est parfait. Tu as toujours encore tes seize ans ! >> dit elle à Julie qui glousse de ravissement. Je m'appuie contre la table. Tout en me masturbant, je fais : << C'est vrai Julie. Le temps ne semble pas avoir de prise sur vous. Vous êtes la même jeune fille de seize ans qui venait m'espionner dans les toilettes du restaurant ! C'est magique. Vous avez un secret ! >>. Julie nous lance : << La compagnie de gens adorables ! C'est le secret ! >>. Clémentine vient se blottir contre moi. Nous regardons Julie qui reste debout. Timide.

Immobile, les mains croisées à hauteur de son sexe, elle nous observe. Elle croise une cuisse sur l'autre. Une légère cambrure. << C'est bon, hein ! >> dit Clémentine qui prend la même position. << C'est génial ! >> répond Julie qui frotte ses cuisses l'une sur l'autre. Elle nous contourne. Monte d'abord sur la chaise, puis sur la table. Totalement subjugués par ses élans étonnants, nous sommes au spectacle. Julie s'accroupit face à nous. Cuisses largement écartées. Fabuleux, elle porte un plug "queue de renard". C'est seulement là qu'on s'en aperçoit.

Je dis : << C'est fameux ! Bravo ! >>. Clémentine surenchérit : << C'est fabuleux ! >>. Julie se tourne pour se mettre à quatre pattes. Elle relève sa jupette pour nous présenter son tout petit cul. Il y a cette queue de renard qui pend. Clémentine s'en saisit pour la caresser. Julie se redresse pour redescendre de la table. Nous la félicitons. Nous lui déposons chacun une bise sur le front. << Avec tout ça il est déjà 19 h ! On va manger ? >> lance Clémentine. Julie fixe mon sexe. Je n'arrête pas de me branler. Elle m'adresse un curieux sourire. Malicieux.

Clémentine prépare une rapide salade de carottes. Julie met les assiettes et les couverts. Je réchauffe la tarte aux cucurbitacées. En observant attentivement, on distingue la queue de renard qui dépasse à l'arrière de la jupette. Je demande : << C'est un cadeau ou vous l'avez acheté ? >>. Julie se retourne. Sans oser affronter mon regard, elle répond : << C'est Jean-Louis, le chef cuisinier qui me l'a offert l'année dernière à mon anniversaire pour mes 20 ans ! >>. Clémentine demande : << Et il t'a enculé hier soir après le service ? >>.

Julie se met à rire en répondant : << Before and after ! >>. Nous rions tous les trois. Julie rajoute : << Et pendant qu'il m'encule je suce la chatte à ma tante. C'est presque tous les dimanches soirs ! >>. Même si nous le savons, c'est toujours sympathique d'écouter les narrations pleines d'esprit de Julie. La sonnerie du four. Elle rajoute : << Mais pour m'assoir, ce truc n'est pas vraiment pratique ! >>. Elle s'accroupit. C'est dans cette position qu'elle retire doucement l'objet de son fondement. C'est un petit plug chromé. Elle me le tend avec un sourire.

Je m'approche pour le renifler. Clémentine saisit le poignet de Julie pour rapprocher sa main. Nous humons tous les deux. Absolument aucune odeur. Je demande : << C'est quoi la mouille ? >>. Julie, éclatant de rire, répond : << De la salive ! >>. Clémentine demande à son tour : << Montre-nous ce que ça fait à ta chatte ! >>. Julie, sans hésiter, s'assoit sur la chaise en relevant ses jambes. Elle les tient sous ses genoux dans un équilibre instable. Clémentine et moi, accroupis, nous scrutons de près. C'est comme de la bave qui s'écoule de la vulve.

Des coulures de cyprine. Le petit clitoris est brillant, comme décalotté. Julie y passe l'extrémité de son index. << Tu te branles devant nous un de ces soirs ? >> fait Clémentine. Julie se met à rire en disant : << Vous aimez ça ? >>. Je réponds : << J'aimerais surtout beaucoup vous lécher la chatte Julie. Vraiment ! >>. C'est la sonnerie du four qui met un terme à cette inspection minutieuse. Julie s'enfonce un doigt en se levant. Elle garde ainsi sa main sous sa jupette en me regardant sortir la tarte fumante. Julie se touche. Nous restons pantois.

C'est la première fois que Julie agit aussi directement. Un peu comme si elle se libérait enfin de ses inhibitions en notre compagnie. Elle devra nous laisser pour 22 h. Nous mangeons de bon appétit. Les filles reviennent sur leurs études. Pourtant, très rapidement la conversation s'axe sur nos préoccupations. Julie nous confie posséder trois plugs différents. << Jamais rien dans la chatte ? >> demande Clémentine. << Juste la bite de Jean-Louis quand il ne me la plante pas dans le cul ! >> répond Julie. Nous rigolons comme des bossus.

La vue du sexe de Julie me laisse une merveilleuse impression. J'adore quand il y a de la crème qui colle aux poils pubiens. Quand il y en a qui colle dans les plis et les replis des lèvres. J'adore les chattes mouillées et maculées de cyprine. J'avoue à Julie ma passion pour le cunnilingus. << Je sais, je vois la passion que vous y mettez avec Clémentine ! >> précise t-elle. Authentique voyeuse depuis petite, rien ne lui échappe. << Tu as commencé quand à t'enfoncer des trucs dans le cul ? >> demande Clémentine. << À l'école ! >> répond Julie.

Je me lève à plusieurs reprises pour me masturber plus confortablement. À chaque fois les filles cessent de parler, de manger, pour regarder mes vulgarités. Je dis à Julie : << Faites-moi gouter à vos productions fromagères un de ses jours, s'il vous plaît ! >>. Sans cesser d'observer mes manipulations, n'osant affronter mes regards, Julie répond : << Si Clémentine est d'accord ! >>. Clémentine s'écrie : << Autorisation accordée ! Mais je te préviens, tu ne te seras jamais fait bouffer la chatte comme ça ! >>. Nous rigolons comme des bossus.

La soirée se passe ainsi. À table, à bavarder, à envisager une suite aux découvertes que nous offre Julie. Elle a de plus plus souvent une main sous la table. << J'adore ça ! >> confie t-elle. Ce soir, ce ne sont pas les aveux, les confessions qui font défauts. C'est comme si Julie avait besoin de se révéler entièrement. C'est magnifique. L'heure passe. Nous faisons la vaisselle. Julie reviendra vendredi après-midi. Julie se change. Nous la raccompagnons jusqu'à son auto. Sous le parapluie. La séparation est étrangement difficile. Nous la regardons partir.

Bonne nuit à toutes les coquines, totalement conquises par les attitudes de l'amie de plus en plus intime qui vient se toucher à la maison...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Le petit monde de Clémentine et de Julien
Wednesday 28 September 2022 07:36

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - 19 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2021 -



Juste Clémentine et moi

Hier matin, mardi, c'est la sirène d'un gros bateau dans le lointain qui nous réveille. Il n'est pas tout à fait six heures. L'application "océan" nous tire de nos profonds sommeils. Clémentine tout en se serrant fort contre moi, saisit mon érection naturelle. Quelques papouilles. Des bisous. Ma main dans sa culotte. Je passe mes doigts dans ses poils. L'envie de pisser nous oblige à nous lever. Morts de faim, habillés de nos vêtements en lycra, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Clémentine fait le café en essayant de se souvenir de ses rêves.

Je presse les oranges, je pèle les kiwis. L'odeur des croissants dans le four à micros ondes est délicate. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la visite de Julie hier soir. << Petite enculée ! >> lance Clémentine. Nous rions de bon cœur car ce n'est nullement une insulte. C'est une allusion aux plugs qu'elle aime à porter dans le cul. Clémentine propose d'en commander un pour le lui offrir la semaine prochaine. Ce sera son anniversaire. 21 ans. << Elle avait seize ans quand elle venait te regarder pisser aux chiottes ! >> rajoute encore Clémentine.

Les nombreux souvenirs associés au voyeurisme de Julie me font sourire. << Dis-moi ce que tu penses pour sourire ainsi ! >> demande Clémentine. Je lui donne mes impressions. L'idée du plug en cadeau me semble excellente. << Je m'occupe de la commande ! >> conclue Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en envisageant la venue de Juliette demain soir. Quel repas préparer. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Aérobic, joggings sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles, retour au calme avec un stretching.

La douche. Je me dépêche de redescendre pour préparer la voiture. Il pleut. Il est presque 7 h45. Il fait froid. Clémentine vient me rejoindre. Ce matin elle porte son bonnet en laine. J'adore son look. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou avant de rentrer au chaud et au sec. La vaisselle avant de faire le lit. Dans l'atelier j'allume une belle flambée dans la cheminée. Le tirage est excellent, les crépitements très agréables. Confortablement installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette en chantant.

Je peins dans une sorte d'exubérance qui me fait chantonner mon répertoire des chansons de Georges Brassens dont je me rappelle. Je commence le premier visage du portrait de ce couple de hollandais. La jeune femme d'abord. Elle est belle. La matinée passe encore à une vitesse folle. Je quitte l'atelier pour la cuisine lorsque la cloche résonne dehors. Je vais voir. Quelle surprise. C'est monsieur Bertrand le voisin. Sous son parapluie il tient deux gros potirons. << Cette année il y en a trop ! Je vous offre ces deux-là ! >> explique Louis.

Je le remercie. C'est une excellente idée. << Ce n'est pas grand chose comparé à tous les fruits que j'ai cueillis chez vous cet été durant votre absence ! >> rajoute t-il. << Le bonjour à Clémentine ! >> dit il encore avant de repartir sous son large parapluie. Deux potirons énormes. Bien jaunes, bien mûrs. Ce qui me donne une idée pour le repas de demain soir. Une tarte au potiron ! Je fais bouillir l'eau des coquillettes. En grande quantité car je prévois un gratin pour ce soir. Dans la poêle je fais rissoler un filet de lieu noir préalablement panné.

Une laitue dont je lave les feuilles. Il y en aura pour ce soir. Je réchauffe le reste de la tarte à l'aubergine et à la courgette de hier soir. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff et ses invités proposent une fois encore une information de qualité, sans détours. Dans un grand plat carré en terre cuite je verse les coquillettes égouttées. Je recouvre d'une copieuse couche de gruyère de Comté, de chapelure. Au four. Cuisson à feu doux. Je concocte une sauce au Roquefort. La vaisselle avant de monter pour me laver les dents.

Me voilà devant mon chevalet. Il fait bien chaud dans l'atelier. La cheminée suffit à rendre l'atmosphère des plus agréables. J'ai fermé les radiateurs vers 10 h. Je peins animé du même état d'esprit que ce matin. Évidemment, l'après-midi passe encore plus vite. Il fait sombre. Je travaille sous l'éclairage de la lampe à halogène. Du bruit. Il est déjà 17 h30. Clémentine entre dans l'atelier. Comme un ouragan. Elle se précipite vers moi en jetant son cartable dans le fauteuil à bascules. J'anticipe en posant ma palette sur la petite desserte à ma droite.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. << Estelle ne vient pas ce soir. Sa maman n'est pas très bien ! >> m'apprend t-elle. Je dis : << Juste toi et moi ! >>. Clémentine se lève pour changer de position. Installée à califourchon sur mes cuisses, tout en se frottant lascivement, elle rajoute : << J'adore quand on est seuls tous les deux ! >>. Clémentine a du travail. Assise dans le canapé, ses pieds sous les coussins, elle se met à la lecture d'un livre destiné à ses études.

J'aime l'entendre lire des passages. J'avoue ne pas écouter le sens des mots. Ce qui me transcende c'est la musique de ses phrases. Les intonations. Il est 18 h45. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je retire ma blouse avant de rejoindre Clémentine qui baille à s'en décrocher la mâchoire. Elle referme son bouquin. Lorsque je me laisse tomber à ses côtés, elle change de position pour se coucher, poser sa tête sur ma cuisse. Je caresse ses cheveux. Les yeux fermés, elle apprécie ce passage au calme et au repos. Elle tient mon poignet. C'est le silence.

Le crépitement des dernières braises. Il fait sombre. Nous admirons le spectacle. Une cheminée reste une attraction passionnante en fin de journée. Il fait faim. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'au lavabo. Elle extrait mon sexe de ma braguette toujours ouverte. Le tenant à sa base avec la main gauche, elle passe son bras droit autour de ma taille. Elle dirige les jets. Je pisse. Le robinet d'eau chaude laisse couler un mince filet. Ça rince. Clémentine fait comme Julie hier soir. Elle vise la petite ouverture rectangulaire. Ça émet une vapeur odorante.

Les dernières giclées. << Je t'aime Julien ! On fait ça devant Juliette demain soir ! >> dit Clémentine en se penchant pour gober mon sexe dès la goutte solitaire tombée. Je me tourne vers elle. Tout en s'accroupissant elle suce passionnément en poussant un gloussement de contentement. Je me penche pour dire : << Monsieur Bertrand te passe le bonjour ! >>. Un peu surprise Clémentine se redresse. Je lui raconte l'arrivée des potirons qu'il nous a offert. << Sympa ! Je vais le remercier à ma façon un de ces prochains jours ! >> lance t-elle.

C'est en riant que nous allons dans la cuisine. J'allume immédiatement le four pour réchauffer le gratin. Lorsque Clémentine découvre ce que j'ai préparé elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes enserrent ma taille. Elle mitraille mon visage de bises. << J'ai envie de baiser avec Louis. Tu m'en veux ? >> fait elle soudain quand je la dépose au sol. Je réponds : << C'est nouveau ! Tu ne te contentes plus de lui faire des pipes ! >>. Clémentine rajoute : << Sa toute petite queue. Son haleine de vieux pervers, tout ça m'excite tu sais ! >>. Rires.

Il n'y a qu'à mettre les assiettes, les couverts. Nous faisons l'assaisonnement pour la laitue déjà lavée. Depuis quelques jours Clémentine vient se frotter contre ma cuisse. Elle se tient à ma taille, cambrée sur ses genoux fléchis, elle imprime un mouvement masturbatoire à ses hanches. << Je me masturbe pour de bon, toujours ! >> précise t-elle devant mon étonnement. Je me tourne pour la prendre dans mes bras. J'enfonce ma langue dans sa bouche. Je la sens se lâcher totalement contre moi. Je suis presque obligé de la tenir pour ne pas qu'elle tombe.

La sonnerie du four. Clémentine se précipite pour sortir le gratin fumant. Rien ne m'excite davantage qu'une fille accroupie, qui me tourne le dos, ses longs cheveux qui pendent dans son dos. Clémentine le sait. Aussi, elle procède doucement afin de me faire profiter de l'instant. Je m'écrie : << Je t'aime. Je t'aime comme un fou ! >>. Elle se redresse, pose le plat sur la table avant de se jeter dans mes bras. << C'est merveilleux nous deux ! >> lance t-elle avant de m'embrasser passionnément. Nous mangeons tout de même de bon appétit en bavardant.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, mon ange me confie ses appréhensions, ses craintes et ses doutes. Les épreuves du concours d'admission au Doctorat se rapprochent. Ce qui la rend anxieuse. Je l'assure de mon soutient pour affronter ce nouveau challenge. Il reste deux semaines avant le concours. Mercredi 12 octobre. Aussi, je propose le programme suivant : << Tous les matins je t'emmène à l'université. On mange ensemble à midi, je te cherche en fin d'après-midi ! >>. Clémentine m'écoute.

<< Je t'aime, c'est génial. Mais tu as ton travail toi aussi ! >> s'exclame t-elle. Je la rassure, je serai dans les clous. Mes toiles de commandes seront expédiées avant les vacances de la Toussaint. Je rajoute : << Et je t'emmène une semaine pour quelques jours de détentes ! >>. Clémentine change de position. À califourchon sur mes cuisses, mitraillant mon visage de bisous elle dit : << Vous serez parfois sévère avec moi, mon doux "Maître ? >>. Je la rassure : << Je serai à la hauteur de vos attentes ma délicieuse "Soumise" ! >>.

La vaisselle. Nous passons au salon. Debout l'un en face de l'autre, nous tenant les mains, nous nous observons longuement. Comme elle est belle. Il y a juste la lumière des deux grosses bougies qui éclaire cette partie de la pièce. Les yeux bleus de Clémentine paraissent encore plus clairs, plus lumineux. Ses cheveux noirs forment un écrin à son visage d'ange. Je déboutonne son jeans. Elle m'aide à le retirer complètement. Elle jette sa culotte en disant : << Prends-moi ! >>. Je la soulève pour l'entraîner jusqu'au bureau où je la dépose.

En appui sur ses coudes, Clémentine m'observe. Parfois amusée, parfois grave. Je frotte mon sexe contre le sien. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Clémentine saisit son clitoris géant entre le pouce et l'index. Comme une petite bite qu'elle me montre sans cesser de me fixer. Elle se masturbe toujours en faisant l'amour. Nous restons parfaitement immobiles. Juste le léger mouvement de ses doigts pour se branler. C'est dans ces moments d'intime communion que nous aimons échanger nos impressions, élaborer des projets, parler de nos désirs.

Je chuchote : << Je me réjouis pour la soirée Gloryhole dans les écuries chez Juliette. Ce sera le vendredi 14 octobre. Ça va te remettre les idées en place après les tourments de ton concours d'admission ! >>. Clémentine se met à bouger doucement en répondant : << Ça me fait autant peur que ça m'excite ! >>. Je rajoute : << Juliette organise si bien les choses. Tu vas avoir de la bite, du foutre et de grandes émotions ! >>. Clémentine se redresse pour s'accrocher à mon cou. Je la soulève pour la promener dans l'obscurité de la grande pièce.

Nous nous embrassons comme fous. Nos mentons trempés de salives. Je reviens la déposer sur le bureau. À nouveau nous alternons les séquences d'immobilité et les instants plus fougueux. Clémentine me confie à quel point l'idée de la soirée Gloryhole l'excite. << Tu n'imagines pas ! J'ai des envies folles de queues. Parfois j'y pense déjà le matin en allant aux cours. Je me masturbe en conduisant. Je fais souvent pareil en rentrant. Je pensais qu'avec l'âge tout ça se calmerait ! Penses-tu, ça empire ! >> s'écrie t-elle en accélérant. En sueur.

Je la soulève mais cette fois pour l'emmener aux toilettes. Clémentine pourra y vivre son orgasme pisseux en toute quiétude. << Tu es génial. Tu es si attentionné avec moi ! >> lance t-elle alors que je la baise assise sur la table sous les étagères à serviettes. Ça va venir. Clémentine accélère le mouvement pendulaire de ses doigts lorsqu'elle lâche son clitoris turgescent. J'accélère. Elle me repousse soudain. C'est dans un hurlement qu'elle jouit en lançant un jet de pisse extraordinaire. Nous rions toujours lorsqu'elle passe la serpillère après.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui ont le privilège de vivre dans une totale complicité avec leur compagnon. De tout partager...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Le petit monde de Clémentine et de Julien
Thursday 29 September 2022 07:38

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - 20 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2022 -



Juliette vient passer la soirée à la maison

Hier matin, mercredi, ce sont les cris stridents des oiseaux de mer qui nous réveillent. Il est cinq heures cinquante cinq. Clémentine vient se lover contre moi. L'application "océan" achève de nous tirer ne nos sommeils. Quelques papouilles, quelques bisous. C'est comme des zombies que nous allons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos leggings de lycra noir, de nos sweats de lycra rouge, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Clémentine, tout en racontant ses rêves, prépare le café. Je presse les oranges, je pèle les deux kiwis.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre merveilleuse soirée de hier. << C'est ça qui rend nos levés si pénibles ! >> lance Clémentine qui vient s'assoir sur mes genoux. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la visite de Juliette en soirée. << Tu seras mon vicieux préféré ce soir, hein ! >> dit elle encore alors que je beurre sa dernière tranche de pain grillé. Je la rassure : << Je vais avoir le comportement habituel. Celui du satyre et de sa flûte de pan ! >>. C'est en riant de bon cœur que nous remontons pour notre heure d'entraînement.

Aérobic, joggings sur tapis roulants, exercices au sol, abdos. Viennent ensuite les charges additionnelles suivies d'un stretching de retour au calme. Une bonne douche un peu trop rapide et je descends le premier. Je fais chauffer la voiture que je sors du garage. Il pleut. Il fait froid. Clémentine me rejoint sous son parapluie. Chaudement vêtue elle se serre contre moi. Un dernier bisou. Une étreinte qui ne dure qu'un instant et je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Je m'empresse de rentrer au chaud, au sec.

Après avoir fait la vaisselle, notre lit, je vais dans l'atelier. J'allume le feu dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je m'attelle ce matin à la peinture du second visage de ce deuxième portrait de commande. Le visage de l'homme. Traits fins et réguliers. Une certaine autorité naturelle. Je peins dans la joie de la passion retrouvée. Normalement je devrait terminer cette toile en fin d'après-midi. La matinée passe une fois encore à une vitesse imperceptible à mes sens. Il est rapidement midi.

Je mets deux bûches dans la cheminée avant d'aller dans la cuisine. Il me suffit de réchauffer le reste du gratin de coquillettes que je mets dans le four. Il sera chaud pour la suite. Dans la poêle je fais revenir un dos de cabillaud blanc avec des champignons. Je prépare la salade. Une belle scarole. Pour midi et pour ce soir. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff, dans son émission, reçoit aujourd'hui un spécialiste des questions sociales. Je ne traîne pas. Je coupe un des deux potirons offerts hier par monsieur Bertrand.

Notre voisin fait de son potager une petite merveille. Avec Clémentine nous avons abandonné le nôtre il y a deux ans. Je mets les morceaux dans une grande casserole d'eau bouillante. C'est une cuisson rapide. Je râpe une grande quantité de gruyère de Comté. Je fais blondir deux gros oignons. Je rajoute persil, ciboulette, ail. J'égoutte les morceaux de potiron qui ont légèrement diminué. J'y rajoute le contenu de la poêle. Dans le grand plat carré en terre cuite je verse le potiron réduit en purée mélangé au gruyère. Je recouvre de tranches de Morbier.

De la chapelure. Des graines de sésame grillé. Onze cerneaux de noix. Au four pour une lente cuisson à 160°. Ce qui permet au gratin de mijoter tranquillement. Notre repas de ce soir est prêt. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Il ne cesse de pleuvoir. Je retourne dans l'atelier. Je reprends mon travail en chantonnant. Les heures de l'après-midi défilent encore plus vite. Il est déjà dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours. Jetant son cartable dans le fauteuil, elle me rejoint en sautillant. J'anticipe en posant la palette, les pinceaux.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Gauvain qui est venu s'installer quelques minutes à la table en fin de repas. << Il est fort probable qu'Estelle ne vienne pas avec nous en Écosse aux vacances de Noël. Gauvain l'invite à passer dix jours dans la famille de sa mère à Los Angeles ! >> raconte Clémentine. Je trouve ce projet plein de bon sens. Gauvain est grand, fort, athlétique, beau blond aux yeux bleus d'acier. Gentil, prévenant. Vingt cinq ans tout comme Estelle. Parfait.

Je dis : << Ce sera peut-être le début d'une belle histoire ! >>. Clémentine en se levant, répond : << Et la fin d'une autre ! >>. Je comprends l'allusion. S'installant dans le canapé avec son livre qu'elle doit avoir lu pour vendredi, elle rajoute : << Estelle est comme ma sœur depuis que nous avons douze ans. J'aurai du mal à vivre sans elle dans mon environnement ! >>. J'écoute le développement avec beaucoup d'intérêt car pour moi aussi Estelle est devenu presque essentielle. Il est 18 h15. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je retire ma blouse.

<< Ne va pas au lavabo tout de suite, fais ça quand Juliette arrive ! >> lance Clémentine en fermant son livre. Elle vient se blottir contre moi. << Je t'aime Julien. Tu as fais de ma vie un enchantement ! >> murmure t-elle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche pour un baiser fougueux. Juliette a pour consigne, en arrivant, d'entrer sans sonner. C'est une amie intime. Elle connait les lieux. Aussi, c'est en rangeant nos affaires qu'elle frappe trois coups contre la porte. Elle n'attend pas de réponse et entre dans l'atelier. Comme elle est belle !

Splendide bourgeoise de 48 ans, d'une élégance naturelle, ses origines Corses lui confèrent cet air de mystère qui la rend encore plus attractive. Ce soir elle porte sa tenue d'écuyère. Son vêtement de travail en quelque sorte. Elle retire son manteau noir. Elle porte un chemisier aux manches bouffantes sous un gilet beige. Un pantalon de cavalière aussi moulant qu'un legging. Ses hautes bottes noires d'équitation. Parfait rappel de ses longs cheveux noirs attachés en catogan. Elle pourrait être la maman de Clémentine. Yeux noisettes.

Depuis quelques mois, nous nous faisons la bise tout en nous serrant la main. Comme tous les rares privilégiés qui entrent dans la cette grande pièce, l'atelier exerce un attrait particulier. C'est l'atelier d'un peintre. Pas du tout bohème mais parfaitement et soigneusement ordonné. Juliette s'assoit devant ma toile achevée. << C'est une photo ! Ce n'est pas de la peinture ! >> s'exclame t-elle en se penchant en avant pour scruter la surface du tableau. Clémentine, discrètement imite un mec entrain de pisser en me montrant le lavabo. Un clin d'œil.

Je laisse Juliette à ses dissertations pour aller me positionner devant le petit lavabo. Je sors ma bite pour la déposer sur le rebord de la faïence. Je regarde dans le minuscule miroir accroché au carrelage. Juliette jette quelques rapides regards. Cessant de se concentrer sur le portrait, c'est sur ma présence devant ce lavabo qu'elle fixe son attention. Clémentine, déjà bien excitée par ce qui se passe, reste devant la cheminée en remuant les dernières braises. Juliette se lève. Elle rejoint Clémentine. Elle voit ma queue. Mes mains posées sur mes hanches.

Tout comme Julie, tout comme Estelle lorsqu'elles ont assisté à la scène pour la première fois, Juliette s'approche doucement. Une expression de profonde consternation. << Me dites pas que vous allez pisser dans le lavabo tout de même ! >> s'écrie t-elle en s'approchant. Debout à ma gauche, à peine à un mètre, Juliette regarde comme hallucinée. C'est Clémentine en rejoignant Juliette qui répond : << Il fait ça tous les soirs. Amusant non ? >>. Juliette reste silencieuse. Elle se penche en avant, les mains sur ses genoux.

Je lâche un premier jet fumant sous le mince filet d'eau chaude. Il y a un silence de plomb. Seul les bruits répétés des multiples jets que je vise vers la petite ouverture rectangulaire. Juliette passe son bras autour de la taille de Clémentine. Toutes les deux m'observent comme si elles assistaient à ce curieux spectacle pour la toute première fois. Clémentine exerce un attrait sur toutes les femmes ayant des penchants homosexuels. C'est une occasion rêvée pour Juliette qui profite de cette passivité momentanée. Je commence à bander très sérieusement.

Pour pouvoir continuer de pisser, je contraint mon sexe durcissant vers le bas. Le filet de pisse devient plus fin. << C'est là que ça devient intéressant ! >> lance Clémentine qui se retire de l'étreinte de Juliette pour venir se placer sur ma droite. Saisissant ma queue à sa base, entre le pouce et l'index, elle dit à l'attention de Juliette : << C'est mon apéritif avant le repas du soir ! >>. Juliette se rapproche. Toujours penchée en avant, les mains en appui sur ses cuisses, elle regarde Clémentine s'accroupir pour se régaler des dernières gouttes dorées.

Par petites contractions de mes muscles fessiers j'éjecte les toutes dernières giclées. Sous le regard halluciné de Juliette. Je passe mon bras gauche autour de ses épaules pour dire : << Vous prendrez bien un petit apéritif avant le repas ! >>. Juliette se redresse en s'écriant : << Non merci ! Mais ça donne envie ! >>. Son accent méridional rajoute cette touche supplémentaire d'attractivité. Clémentine se redresse en s'essuyant la bouche. Juliette fait une horrible grimace en saisissant mon érection à pleine main. << Belle bite de pervers ! >> lance t-elle.

Il commence à faire faim. Nous nous lavons tous les trois les mains au-dessus de ce même lavabo. << C'est donc votre urinoir ! >> fait encore Juliette en s'essuyant les mains. Je réponds : << J'y ai déjà éjaculé à quelques reprises ! >>. Elle me lance un regard sévère et plein de mépris. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Juliette à ramené le dessert. Une tarte aux poires de sa réalisation. Quand Juliette et Clémentine découvrent ce qu'il y a au four, j'ai droit à des bises. Juliette ne cesse de lorgner sur ce qui pend mollement de ma braguette.

Il n'y a qu'à préparer l'assaisonnement de la salade déjà lavée. De mettre les assiettes et les couverts. Clémentine, collée derrière moi, agite mon sexe mou en direction de Juliette. << Pour la soirée Gloryhole, je vous la prête. Mais uniquement pour une pipe. Et à côté de moi ! >> dit elle. Juliette rit aux éclats avant de répondre : << C'est trop gentil. Mais j'aimerais bien qu'il me la mette dans tous les trous ! >>. À l'écoute de tant de vulgarités, je recommence à bander. << Votre avis Julien ? >> me demande Juliette en mimant une masturbation.

Je réponds : << Je reste toujours obéissant aux souhaits et aux désirs de la fille que j'aime ! >>. Juliette se place devant le coin de table. Ses mains en appui elle chevauche le coin pour s'y frotter en rajoutant : << Soirée masturbation vendredi soir ? >>. Clémentine me masturbe doucement en disant : << Excellente idée. Nous serons là pour 20 h. Nous aurons déjà mangé. Nous viendrons pour le thé ! >>. La sonnerie du four. Juliette cesse de se frotter le sexe contre le coin de la table. Elle se précipite, passe les maniques et s'accroupit.

Rien ne m'excite davantage que de voir une femme accroupie, me tournant le dos. Clémentine qui le sait me masturbe un peu plus fort. Dans le reflet de la vitre du four, Juliette profite de cet autre spectacle. Elle sort le gratin de potiron, doré et fumant. Son odeur achève d'ouvrir nos appétits de loups. Nous mangeons de bon appétit. Juliette devra nous laisser pour 22 h. La conversation reste axée sur la soirée Gloryhole qu'elle organise. Ce sera le vendredi 14 octobre. << Je m'occupe tout particulièrement des question d'hygiènes ! >> fait elle.

Ce qui signifie qu'elle exige de chaque participant un certificat médical de moins de 48 h. C'est rassurant. << Mais il y aura quelques surprises ! >> précise encore Juliette grande prêtresse du vice. Je me lève plusieurs fois pour me masturber. À chaque fois Clémentine et Juliette cessent de parler, de manger, pour observer mes branlettes d'une vulgarité inouïe. J'en rajoute. C'est tellement bon que je pourrais éjaculer. Nous passons le reste de la soirée au salon à savourer le dessert. Juliette se touche dans son fauteuil. Nous parlons Gloryhole.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se réjouissent d'avoir une amie intime, organisatrice de soirées plus vicelardes les unes que les autres. En suçant sous les draps...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 21 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2023 -



Estelle nous rejoint en soirée

Hier matin, jeudi, il est presque six heures. L'application "océan" nous arrache de nos profonds sommeils. Nous bluffant une fois encore de ses douces illusions. L'impression de nous réveiller dans quelques petits ports de pêche si typiques de l'Écosse. En gémissant, Clémentine se serre plus fort. Se frottant contre ma hanche elle murmure d'incompréhensibles incantations. L'impérieux besoin de pisser nous propulse aux toilettes. Habillés de nos vêtements de sport, morts de faim, la tête encore dans le cul, nous dévalons les escaliers en poussant des cris.

Pliés de rires nous apprécions la douce chaleur qui règne déjà dans la cuisine. Clémentine fait le café en tentant de réunir les souvenirs de ses rêves. J'écoute en pressant les oranges, en pelant les kiwis. Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur la visite de Juliette hier soir. << On va se branler chez elle demain soir ! >> lance Clémentine en mimant une masturbation masculine. Nous mangeons de bon appétit en évoquant nos souvenirs de la précédente soirée masturbation. << Tu te souviens, les quatre coins de la table ? >> dit elle.

Je réponds : << Il y avait Estelle ! On va lui proposer de venir avec nous vendredi soir ! >>. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Un peu perturbés par les pensées érotiques qui nous assaillent déjà à 6 h30 du matin. Aérobic, joggings sur tapis roulants. Exercices au sol et abdos. Ce qui constitue le plus excellent échauffement avant les charges additionnelles. Le retour au calme avec un stretching déconnant. La douche. Je dévale les escaliers pour aller sortir l'auto, la faire chauffer elle aussi. Il est presque 7 h45. La pluie.

Le froid semble plus vif que hier. Clémentine vient me rejoindre dans son anorak, sous sous parapluie. J'adore lorsqu'elle porte son bonnet de laine. Ses lunettes d'étudiante sur le nez. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer pour faire la vaisselle, notre lit. Pressé de me retrouver confronté à ma passion. Dans l'atelier j'allume un beau feu dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur ma palette. J'attaque ce matin le troisième portrait de commande. Une femme.

C'est un couple qui désire faire réaliser le portrait de la mère de madame. La photo est nette et précise. Je la fixe sur le montant du chevalet. Je l'ai calqué sur la toile il y a quelques jours. Je n'ai plus qu'à laisser aller mes pinceaux. Il n'y a guère plus de trois jours de peinture pour exécuter ce tableau. Je peins dans un enthousiasme assez débridé. Je reprends les cris poussés ce matin avec Clémentine. Des cris d'animaux qui n'existent pas. Secoué par des éclats de rires, je pense à tout sauf à ce que je fais. Tout en restant concentré.

Il est presque midi. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier. Dans la cuisine je n'ai qu'à réchauffer le reste du gratin de potiron. Dans la poêle je fais revenir des crevettes décongelées. J'épluche les carottes pour la salade. Je récupère quelques crevettes. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff et son invité débattent des rodéos urbains qui pourrissent la vie de certains quartiers. Je ne traîne pas. Je couvre les crevettes d'un couvercle. Dans le saladier je concocte une pâte à crêpe. Lait de soja, farine, œufs.

Je couvre le tout d'un linge. Je n'ai plus qu'à faire la vaisselle. Cette préparation pour les beignets de crevettes du repas du soir m'emplit de sérénité. Je monte me laver les dents. Dehors, la pluie ne cesse de tomber. Avec une monotone régularité. Pressé de me retrouver en situation, je dévale les escaliers pour retourner dans l'atelier. Je rajoute deux bûches dans la cheminée crépitante. Je peins dans le même enthousiasme. L'après-midi passe tellement vite. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle se précipite vers moi. Euphorique.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. Le bouquin qu'elle est obligée de lire pour en faire un résumé succin demain matin. << Demain à midi, week-end ! >> conclue t-elle en changeant de position. << Ta frotteuse ! >> fait elle, à califourchon sur mes cuisses. Imprimant un régulier mouvement de son bassin contre le mien. Cela ne dure pas. Vautrée dans le canapé, ses pieds sous les coussins, la voilà plongée dans la lecture de son livre. J'adore ces moments de concentration.

Il est 18 h30. << Put-hein comme j'en ai marre ! >> s'écrie Clémentine en se relevant. Je nettoie les pinceaux, la palette. Serrés l'un contre l'autre, nous admirons la danse des dernières flammes. Du bruit. Estelle jaillit dans l'atelier comme un diable de sa boîte. Elle se précipite vers nous. Elle saute à mon cou. Je la soulève. Elle enserre ses jambes autour de ma taille pour mitrailler mon visage de bises. Clémentine, accroupie derrière moi, extrait mon sexe de ma braguette béante. << Je ne peux pas venir me branler avec vous demain ! >> lance Estelle.

Nous rions aux éclats. Je la dépose au sol. Clémentine, debout derrière moi, agite ma queue pour dire : << On te racontera ! >>. Estelle s'accroupit pour offrir son visage. Clémentine y frotte ma bite. Je caresse sa tête. À chaque fois qu'elle ouvre la bouche pour gober ma queue, Clémentine esquive au dernier instant. J'aide Estelle à se redresser. Elle nous entraîne dans une farandole folle. C'est ainsi que tous les trois nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand mes deux anges découvrent les préparations du repas, elles m'attrapent par le cou.

Clémentine ne lâche pas ma queue. Toutes les deux, dans un même réflexe, se frottent contre mes hanches. << Le club des frotteuses ! >> fait Clémentine. << Tu sais que j'ai tendance à faire ça n'importe où ! Il faut que je fasse gaffe ! >> rajoute Estelle. Nous en rions de bon cœur. Clémentine prépare la salade de concombre. Estelle fait chauffer le caquelon de fonte contenant l'huile de friture. Je réchauffe les crevettes avant de les verser dans la pâte à crêpe. Les filles parlent de leurs études. De l'écrit qu'il faudra faire et rendre demain en cours.

Estelle met les crevettes enrobées de pâte dans l'huile bouillante. Elles remontent en surface pour y flotter une petite minute. Avec l'écumoire Clémentine les récupère pour les déposer sur un plat. Sur le papier absorbant. Avec du riz complet gonflé à l'eau, c'est un repas simple mais tellement délicieux. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les souvenirs communs de la dernière soirée branlette chez Juliette. << Je suis frustrée de ne pas pouvoir venir avec vous demain soir ! J'aurais bien voulu me branler à quatre ! >> s'écrie Estelle.

Je demande : << C'était comment la visite de ton parrain hier soir ? >>. Estelle se lève. En mimant une masturbation masculine, elle répond : << On a baisé dans sa camionnette. Derrière, sur les cartons. Il était hyper encore mort de faim le salaud. J'en ai encore la chatte toute congestionnée ! >>. Nous éclatons de rire quand Clémentine rajoute : << Julien va donc être obligé de procéder à un contrôle tout à l'heure ! >>. Je me lève. Je tiens mon sexe à sa base pour le faire tournoyer. Estelle s'exclame : << Jean-Marc déteste les pipes, pas toi ! >>.

Clémentine confirme en mettant le poing devant sa bouche pour le faire tourner. Sa langue faisant une bosse à l'intérieur de ma joue. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, les filles reviennent sur la soirée Gloryhole organisée par Juliette. << C'est exactement dans deux semaines ! >> dit Estelle. << Tu t'occupes de Julien pour empêcher Juliette de s'en approcher de trop près ! >> précise Clémentine. J'ai mis deux ans avant de comprendre les stratégies de mes deux anges. Nous faisons la vaisselle.

Estelle, impatiente de se faire "contrôler", m'entraîne au salon par le bras. Clémentine me tient le sexe. Estelle retire son jeans, sa culotte en riant. Clémentine ne lâche pas ma queue pendant que j'allume les deux grosses bougies du chandelier. Elle aussi retire son jeans et sa culotte. Leurs vêtements jetés pêle-mêle sur l'épais tapis elles me font tomber dans le canapé. Toutes les deux, à genoux sur les épais coussins, se partagent une queue gluante et suintante de liquide séminal. Ce qui n'est pas sans évoquer les filaments d'une fondue savoyarde.

Je caresse leurs cheveux, leurs têtes, leurs nuques. C'est dans un concerto de gémissements que je me fais pomper le dard dans une indicible volupté. Estelle cesse. Elle se redresse pour s'installer à côté de moi. Clémentine est seule à sucer gloutonnement. Je la tiens fermement par la nuque. J'appuie pour enfoncer un maximum de queue pendant qu'Estelle fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Toutes les deux se masturbent. Je force Clémentine à cesser, à venir s'installer à ma droite. Je me lève. Je me mets à genoux à mon tour.

Entre les jambes d'Estelle qui m'offre les effluves odorantes de sa journée de fille. C'est moite, humide. Il y a de la crème qui suinte. Il en colle dans les poils. Clémentine se lève pour venir s'accroupir derrière moi. Elle se frotte tout en tenant mon érection. Je passe le bout de ma langue sur la fente d'Estelle. Pour y avoir un meilleur accès, j'écarte les poils avec les doigts. Il y en a tellement qu'il faut les retenir, les repousser. La fente d'Estelle s'ouvre un peu à la manière d'un coquillage pour dévoiler des lèvres fines et trempées. Merveilleux spectacle.

Je fouille du bout de la langue. Ses doigts qui titillent son clitoris chatouille mon nez. De sa main libre elle caresse ma tête, passe ses doigts sur mes joues. Lorsque je cesse de lécher, de sucer, d'aspirer le sirop de fille, je pose mes lèvres sur son clitoris. Dans de petits cris de ravissement, Estelle se laisse complètement aller à ses plaisirs. Clémentine, à quatre pattes, sa tête entre le canapé et mon bassin tente de sucer dans une inconfortable position. Elle se touche. Estelle se penche pour murmurer des aveux. Son immense bonheur d'être léchée.

Elle me repousse délicatement en se cambrant. Je la regarde. Tête renversée en arrière, se masturbant des deux mains, elle s'offre un orgasme nucléaire. Clémentine, à genoux à côté de moi, un bras autour de ma taille, tenant ma queue, admire elle aussi ce merveilleux spectacle. Je me redresse en entraînant Clémentine dans mon élan. Je l'entraîne vers le bureau. Je la soulève pour l'y assoir. Je n'ai qu'à enfoncer mon sexe dans le sien. Couchée sur le dos, totalement ivre de plaisir, Clémentine pousse de petits râles de bonheur. Je la baise.

Estelle vient nous rejoindre. Les mains entre ses cuisses comme si elle avait mal. Elle se place sur le coin du meuble. Penchée en avant, les mains en appui sur le bureau, elle se frotte en nous regardant faire l'amour. Nous alternons les séquences immobiles avec celles plus mouvementées. Estelle devra nous laisser d'ici un quart d'heure. Elle cesse de se frotter sur le coin du bureau pour aller chercher la cuvette en plastique sous le guéridon à côté du canapé. Elle revient en la tenant à deux mains. Comme affolées, Clémentine me repousse soudain.

Le corps secoué de spasmes, elle jouit en pissant dans la cuvette. Je la tiens fermement pour qu'elle ne s'écroule pas. C'est un orgasme cataclysmique et terriblement pisseux. Des jets tellement puissants qu'ils nous éclaboussent malgré les précautions d'Estelle. Je suis rouge, en sueur, les palpitations de mon cœur vont faire exploser ma poitrine. Clémentine, le corps agité de tremblements incontrôlables, tombe à genoux. Puis, les mains entre ses cuisses, elle s'effondre sur le côté, à même le sol, en hurlant. Estelle me montre la cuvette. Pleine à moitié.

Je me penche pour soulever Clémentine. Comme une jeune mariée que je viens déposer délicatement dans le canapé. << Je vais devenir folle ! >> lance t-elle dans un souffle. << Je le suis déjà ! >> surenchérit Estelle qui saisit ma bite molle. << Merci pour le contrôle. Rien à signaler ? >> me demande t-elle. Clémentine qui reprend ses esprits, se lève pour venir se mettre à genoux devant moi. Estelle lui présente ma bite. Je bande mou lorsque Clémentine la prend en bouche. Estelle m'embrasse avec tant de passion que j'éjacule comme un dément.

Je suis moi aussi agité de spasmes, de frissons. Estelle s'accroche à moi pour se frotter contre ma cuisse, cambrée sur ses genoux fléchis. Sa tête contre ma poitrine. Clémentine déglutit avec peine l'abondance de mes spermes. Elle émet de petits râles graves. Si je ne la force pas à se redresser, elle va recommencer. Je la saisis par ses cheveux pour la relever. Elle nous montre l'intérieur de sa bouche. Estelle se penche pour me sucer. Récupérer tout ce qu'elle peut. Les filles se rhabillent. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. Il pleut.

Bonne nuit à toutes les coquines qui ont encore le goût du sperme dans la bouche, blottie contre leur éjaculateur, sous la douceur des draps avant de s'endormir...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 22 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2024 -



Julie l'après-midi, Juliette en soirée

Hier matin, vendredi, il est cinq heures cinquante cinq. L'application "océan" nous tire de nos profonds sommeils. Clémentine se serre très fort contre moi en murmurant : << On est dans le port de pêche à Ullappol ! >>. Ce port écossais où nous nous rendons chaque été pour un agréable "pèlerinage" souvent ludique. Quelques papouilles. Des bisous et nous courons aux toilettes. Vêtus de nos habits de sport, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine déjà bien chaude. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je presse les oranges.

Je pèle les kiwis en écoutant. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée délirante de hier. Le "contrôle" qualité opéré sur Estelle dont le minou s'est avéré en parfait état de fonctionner. À cette idée nous rigolons comme des bossus. << J'adore quand tu m'éjacules dans la bouche quand tu es tout excité ! >> me confie une fois encore Clémentine dont la fellation reste la préférence. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme du week-end qui commence à midi. Ce qui rend Clémentine euphorique.

Nous remontons. Notre heure de gymnastique. Aérobic, joggings sur tapis roulants, exercices au sol avec abdos. Charges additionnelles. Stretching pour revenir au calme avant la douche. Je descends rapidement pour aller sortir l'auto du garage. Le jour achève de se lever. Il pleut. Il fait froid. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre sous son parapluie. Un dernier bisou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Je me dépêche de retourner au sec et au chaud. Faire la vaisselle, notre lit.

Dans l'atelier j'allume une flambée dans la cheminée. Tout s'embrase rapidement dans d'agréables crépitements. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je termine probablement en fin de matinée ce troisième portrait de commande. Je peins dans la douce euphorie du plaisir et de la passion. Il est 11 h45 quand je dépose la dernière touche de bleu de cobalt. La toile est achevée. Je lave la palette, les pinceaux. Je mets deux bûches dans la cheminée avant de quitter l'atelier pour la cuisine. La pluie a cessé.

Il suffit de réchauffer les restes de beignets de crevettes et de riz complet. Accompagnés d'une salade de tomates ce sera un repas simple mais excellent. Il est midi vingt cinq quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me couvrir le visage de bises. << Emmène-moi faire pipi ! >> lance t-elle. Je l'emmène ainsi jusqu'aux toilettes. << À chaque fois que je vais prendre de l'essence à l'éléphant bleu, j'ai affaire à un exhibitionniste. Jamais le même ! >> dit elle. Nous rions aux éclats.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte son aventure dans le détail. Le mec "gonflé" qui tient le pistolet fourré dans l'ouverture du réservoir et se tient le "robinet" de l'autre. << Avec un sourire de crétin lorsque je lève les yeux pour regarder avec insistance ! >> précise Clémentine en mimant une masturbation masculine. Nous traînons à table. Un coup de sonnette. Clémentine se précipite dans le hall d'entrée. << Chronopost ! >> s'écrie t-elle. Je vais la rejoindre. Nous voyons le véhicule jaune descendre depuis le portail ouvert.

C'est un jeune livreur. << Reste planqué, je m'amuse un peu ! >> fait Clémentine en déboutonnant son jeans. Je reste dissimulé à côté de la porte. Le jeune homme tient un petit paquet dans la main. Clémentine ouvre lorsqu'il arrive en haut de l'escalier du perron. Une main dans sa culotte elle salue le livreur qui a un grand sourire. Cela ne semble pas le choquer outre mesure. << Une signature ! >> dit il simplement avant de dévaler les marches pour retourner à la camionnette. << Le Plug anal pour l'anniversaire de Julie ! >> fait Clémentine.

Nous retournons à la cuisine pour déballer. Nous laissons l'objet dans son blister. Mais il est bien visible. << De l'ivoire fossilisé ! Regarde les petites sculptures japonaises à la base ! >> lance Clémentine. Le Plug mesure trois centimètres dans sa plus grande largeur, sur cinq dans sa longueur. << Petit modèle pour petite fille ! >> fait encore Clémentine en éclatant de rire. Elle rajoute : << Je vais faire un bel emballage cadeau ! >>. Nous faisons la vaisselle avant de monter nous laver les dents. Pressés d'aller faire quelques pas au dehors nous descendons.

Le sol est détrempé. Le chemin qui va jusqu'à la rivière est pierreux. Accrochée à mon bras, Clémentine évoque la soirée Gloryhole que va organiser Juliette. << Ça me fout une trouille bleue mais ça m'excite comme une folle. Je n'arrête pas d'y penser en partant le matin et en rentrant le soir ! >>. Nous rions de bon cœur. << Je me touche tout le temps ! Mais je te promets, je roule prudemment ! >> rajoute t-elle. Nous remontons car Clémentine a du travail. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, Clémentine se plonge dans son labeur.

Je calque le dessin préparatoire du quatrième portrait de commande. Un couple de séniors dont la femme tient un caniche. Il va me falloir peindre un clébard. Si ça ne me ramenait pas un pognon dingue, jamais je ne ferais une chose pareille. Je suis concentré sur cette activité quand trois coups timides résonnent contre la porte. Julie n'attend pas la réponse avant d'entrer. Quelle surprise. Elle est vêtue d'une jupe brune évasée aux genoux, d'un pull gris sous son blouson de cuir noir. Des bottes noires à légers talons. Elle se précipite vers Clémentine.

Julie vient me rejoindre en retirant son blouson. Elle me fait trois bises. << Comme vous m'avez manqué tous les deux depuis lundi ! >> dit elle en s'installant devant le chevalet. Elle scrute le portrait de la dame que je viens d'achever en fin de matinée. L'atelier est silencieux. Clémentine, concentrée sur l'écran de son ordinateur, me fait un clin d'œil. Je comprends. Je me lève pour rejoindre Julie. Je pose mes mains sur ses épaules. Je me penche pour dire : << Un jour, je ferai votre portrait Julie ! >>. Elle tourne la tête pour fixer ma braguette.

Ma braguette est toujours ouverte. << Je l'accrocherai toujours près de mon lit ! >> s'écrie t-elle en se levant. Nous la regardons se diriger vers le vieux canapé de velours carmin. Elle s'y met à genoux, nous tournant le dos, les coudes en appui sur le dossier. Son visage presque contre le mur. Clémentine me fait signe d'aller la rejoindre. Je m'approche. Je soulève la jupe. Julie porte le Plug que nous lui avons offert au printemps. En palissandre indien massif. Elle reste silencieuse. Je me penche pour regarder son profil. Toute heureuse de mon initiative.

Je dis : << La semaine prochaine, pour fêter vos 21 ans, nous vous réservons quelques belles surprises ! >>. Julie se retourne, se met debout, réajuste sa jupe. Elle s'écrie : << Je me réjouie ! Je sais que ce sera inoubliable ! >>. Je pose mes mains sur ses épaules. Comme toujours sa timidité l'empêche d'affronter mon regard. Les yeux baissés elle rajoute : << Je suis tellement heureuse quand je suis avec vous deux. Il y a mes parents, il y a ma mamie, il y a vous deux ! >>. Clémentine depuis la table de travail, lance : << Tu nous en voit flattés ! >>.

Julie vient prendre son cours de peinture du vendredi. Je pose le chevalet de table en face de Clémentine. Je place le tabouret à côté de la chaise où s'assoit Julie. Elle prépare les couleurs sur sa palette. Elle reprend le petit paysage qu'elle a commencé la semaine dernière. Je la regarde peindre. Elle me pose toujours tout un tas de questions techniques. Je me refuse à donner autre choses que des conseils de cet ordre. Julie est extrêmement douée. Les cours de peintures ne sont qu'autant de prétextes pour être avec nous, pour s'encanailler en nos compagnies.

Je sors mon sexe. Je bande mou. Julie prend du recul pour apprécier son travail. Ça aussi ce n'est qu'un prétexte pour loucher sur ma queue. Je tiens ma bite à sa base entre le pouce et l'index. Je l'agite. Parfois je me lève pour en faire profiter Clémentine. Elle m'adresse un clin d'œil. Julie nous observe alors en faisant des sourires complices à Clémentine. L'après-midi passe ainsi. Julie termine sa toile qui restera à sécher jusqu'à vendredi prochain. Elle nettoie sa palette, ses pinceaux. Il est presque dix huit heures. Nous la raccompagnons à son auto.

<< Je reviens demain matin ! >> lance t-elle, assise au volant la vitre baissée. << Avec ton Plug dans le cul ? >> s'écrie Clémentine qui agite mon sexe. << Ça vous ferait plaisir ? >> répond Julie. << Surtout à toi ! >> fait Clémentine qui m'attire au plus près de la portière. Je pisse contre la voiture. Julie, comme consternée, penche la tête à l'extérieur pour regarder. Clémentine lui présente la bite. En démarrant Julie y dépose un rapide bisou avant de partir. Un dernier coucou lorsqu'elle est en haut. Nous nous dépêchons de rentrer. Il fait faim.

Nous sommes attendus chez Juliette pour 20 h. Nous avons donc un peu de temps. Je fais gonfler du millet doré. Clémentine prépare une salade d'endives en me donnant ses impressions. << Tu te rends compte, elle est restée avec nous trois heures. Et elle a gardé son truc dans le cul tout l'après-midi ! >>. Nous rions de bon cœur. Je fais rissoler deux filets de colin avec des champignons noirs réhydratés. Clémentine rajoute : << Et ce soir peut-être avant ou après le service, elle va se prendre la bite du cuistot dans le fondement ! >>. Rires.

Nous mangeons de bon appétit sans cesser d'évoquer Julie. Pour son anniversaire, vendredi prochain, nous préparons un super "plan". Comme le souhaite Julie, un truc inoubliable. << Tu l'encules ! >> lance Clémentine avant de rajouter : << Je t'en donne l'autorisation ! >>. Je m'écrie : << Mais tu sais que comme toi je déteste ça ! >>. Clémentine rajoute : << Fais un effort. Je me branle en te regardant faire ton pervers ! >>. Nous éclatons de rire. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents, nous changer. On se met en "élégants".

Clémentine porte une de ses jupes kilts à carreaux rouges et verts. Un chemisier beige sous un pull bleu nuit au col en "V". << Mes bottes de putes ! >> dit elle en les chaussant. Sur sa demande je porte un costume bleu nuit, chemise blanche au col déboutonné. Nous mettons nos manteaux. Devant le grand miroir de l'armoire nous prenons une dernière pose. Je tiens Clémentine par le menton, par la nuque. Mon visage à côté du sien, je murmure : << Regarde un peu la gueule se salope que tu te trimballes. Je suis pressé de te voir au Gloryhole ! >>.

Clémentine se tourne, empoigne ma braguette pour chuchoter : << Et moi je suis pressée de sucer des queues devant toi ! >>. Nous nous embrassons comme des fous. Il faut y aller. Nous dévalons les escaliers. C'est avec la voiture de Clémentine que nous parcourons les trois kilomètres qui nous séparent du haras. Je suis prié de rouler. Clémentine joue avec ma queue qu'elle suçote quelques instants. Je gare l'auto dans le parking désert. Juliette vient nous accueillir devant la porte du bureau. Nous la suivons pour monter dans ses appartements.

Juliette est vêtue d'une jupe carmin évasée aux genoux, un chemisier blanc, des escarpins noirs à talons hauts. Ses longs cheveux noirs flottent en libertés sur ses épaules. Elle est hyper bandante ce soir encore. Elle pend les mains de Clémentine pour dire : << Vous êtes magnifique Clémentine ! >>. Clémentine, toujours un peu gênée par les élans homosexuels de Juliette se dégage pour venir se serrer contre moi. Elle répond : << Vous aussi Juliette, vous êtes splendide. Vous êtes toujours splendide ! >>. Elles éclatent toutes les deux de rires.

<< Venez ! >> fait Juliette en nous invitant à la suivre au salon. Il y a des bols sur la table. Des petits gâteaux. Nous nous installons. Juliette nous laisse pour aller chercher la théière dans la cuisine. << Sors ta queue ! >> murmure Clémentine. Je m'exécute immédiatement. << Lève toi et branle toi ! >> rajoute t-elle. Complètement étonné par ses demandes qui ressemblent à des ordres, je me lève. Je bande mou. Je me masturbe doucement. Juliette revient et tombe sur la scène. Elle émet un sifflement avant de dire : << Wouah ! Notre branleur ! >>.

Juliette sert le thé. À peine a t-elle posé la théière qu'elle se positionne sur un des coins de la table. Penchée en avant, les bras en appui, elle s'y frotte lascivement. << Le club des frotteuses ! >> dit Clémentine en se positionnant en face. Se frottant sur le coin. Je regarde ces deux salopes se masturber sincèrement, en s'observant avec le plus grand sérieux. Je me branle comme un dément. Ce n'est pas notre première soirée masturbation. Mais c'est à chaque fois comme si ça l'était. Il faut les voir se cambrer, chercher le meilleur angle, se contorsionner.

C'est un spectacle que tout homme normalement constitué, désireux d'en savoir davantage sur le genre féminin, devrait s'imposer une fois dans sa vie. Ne serait-ce que sur un plan pédagogique. Il verrait le plaisir féminin sous un autre angle. Il cesserait de s'imaginer qu'il est indispensable. J'admire. Je regarde. J'observe. Je tourne autour de la table pour les contempler de partout. Juliette est une grande masturbatrice. Certainement autant que Clémentine. Je pourrais éjaculer tellement tout ça m'excite. Elles gémissent, se mettent à rire.

Cette admirable capacité qu'ont les femmes de passer instantanément d'un état à l'autre avec la même intensité. J'en serais bien incapable avec ma queue dégoulinante dans la main. C'est une soirée branlette absolument extraordinaire. Aucun contact physique entre les participants. Juliette pose des questions intimes à Clémentine qui se fait un plaisir de répondre avec le maximum de détails. Non, elle n'acceptera jamais de coucher avec Juliette. Elle le précise une fois encore. Je reste silencieux toute l'heure que dure nos divins égarements.

Bonne fin de soirée à toutes les masturbatrices qui adorent pratiquer à plusieurs. Avant un second orgasme par cunnilingus sous les draps...

Julien (masturbateur fou)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 23 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2025 -



Les rassurants rituels du samedi

Hier matin, il est huit heures. Nulles applications pour nous tirer de nos sommeils. Clémentine me réveille de la plus singulière des manières. Sachant que c'est celle que je préfère. Elle passe sa main dans mon slip pour saisir ma tumescence. Cette érection naturelle qui l'enchante lorsqu'elle la découvre. Passant une cuisse sous mes fesses, posant l'autre sur la main qui tient mon sexe, elle se frotte lascivement contre ma hanche en chuchotant : << J'ai déjà plein d'envies et d'idées ! >>. Je mitraille son visage de bisous. L'envie de pisser devient trop forte.

C'est en riant que nous courons aux toilettes. Vêtus de nos habits de jogging, morts de faim, nous dévalons les escaliers. Il fait presque trop chaud dans la cuisine. Dehors, le ciel est couvert. La pluie a cessé. Clémentine fait le café en me confiant qu'elle est déjà excitée. << Je n'arrête pas de penser à hier soir ! >>. Nous rions de bon cœur. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée masturbation de hier chez Juliette. Ce souvenir et les impressions qu'en gardent Clémentine m'excitent aussi.

Nous mangeons de bon appétit. Soudain, par association d'idée, je me me lève pour aller ouvrir le portail depuis l'interphone dans le hall d'entrée. << Sois hyper vicelard ce matin avec Julie. Qu'on reste dans le prolongement de nos préoccupations ! >> me fait Clémentine en venant s'assoir sur mes genoux. Je beurre la tranche de pain qu'elle me tend avant d'y tartiner du miel crémeux. << Même ce mouvement et l'apparence du miel m'excitent ! >> fait encore Clémentine. Nous rions aux éclats quand Julie fait son apparition dans l'encadrement de la porte.

Elle reste ainsi dans le cadre de la porte en disant : << Bonjour. Je vous dérange ? >>. De nous voir ainsi, dans l'intimité de notre petit déjeuner n'est pas une première mais Julie est réservée et respectueuse. << Bonjour ! Viens, tu as déjà mangé ? >> lui lance Clémentine. << Oui tôt ce matin ! mais allez courir, je m'occupe de tout ! >> répond Julie. Nous terminons. Avant de quitter la cuisine, nous déposons chacun une bise sur son front. Nous enfilons nos K-ways, nos bonnets et nos gants pour sortir. Quelques mouvements d'échauffement.

C'est le long de l'étroite route communale déserte que nous nous offrons enfin le premier jogging de la semaine. Il fait frais mais moins que les jours précédents. Précisons qu'il est tout de même huit heures trente. Une heure d'un running gratifiant. C'est agréable d'entendre l'aspirateur quelque part à l'étage quand nous montons prendre notre douche. Vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux, de nos baskets, nous redescendons à toute vitesse. Nos livraisons ne vont pas tarder. Nous sortons ainsi, bravant la fraîcheur humide. Il est 10h.

Voilà la camionnette et Danièle à son volant. << Un de ces samedis, oublie de fermer ta braguette, qu'on découvre sa réaction ! >> fait Clémentine à voix basse. La jeune femme saute de son véhicule pour le contourner. Du hayon arrière elle tire nos deux cageots. Je ne crois pas que Danièle soit une membre du "Club". Je ne la sens pas réceptive à d'éventuelles déviances à caractère sexuel. Dans un cageot nos fruits, nos légumes. Dans l'autre les fromages, les yaourts, les œufs, les petits pots de crème fraîche. Danièle a encore d'autres livraisons.

Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Nous la saluons. Clémentine vient se blottir dans mes bras en disant : << On tente le "plan" samedi prochain. Tu garde ta braguette ouverte et bien béante ! >>. Elle ne me laisse pas le temps de répondre car elle enfonce sa langue dans ma bouche. Le bruit du moteur du tube Citroën rénové. Voilà madame Marthe, notre boulangère. Elle saute du marche pied pour ouvrir la porte coulissante. Ce qui produit toujours un amusant bruit de ferraille. Un cageot avec toutes nos commandes.

Les deux grosses miches de pain complet et bio, l'énorme brioche ronde au pudding, les deux pâtes feuilletées. << Cadeau ! >> s'écrie la dame en y rajoutant deux gros croissants aux amandes. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Nous la regardons partir. Je dis : << Et pour elle, une braguette ouverte également samedi prochain ? >>. Clémentine éclate de rire en glissant sa main dans mon jeans. << Non, pas Marthe, on aura plus les croissants en cadeau ! >> dit elle. Nous rigolons comme des bossus. Des gouttes de pluie.

Nous contournons la maison avec nos lourds cageots pour descendre à la cave par derrière. C'est très intéressant de conserver les fruits et les légumes sur les étagères dans le cellier. Le taux d'humidité relativement bas et la température constante permettent une conservation parfaite. Clémentine ne cesse de me palper la bosse. Du congélateur où je place une des deux grosses miches, les pâtes feuilletées, je tire l'habituel paquet de moules, les sachets de haricots verts, de petits pois. Nous remontons par l'escalier intérieur avec le second cageot.

Quelle surprise. Julie, vêtue en soubrette. Elle semble guetter notre arrivée car elle s'apprête à passer la serpillère dans la cuisine. Nous rangeons les produits frais dans le réfrigérateur. Nouvelle surprise. Julie, à quatre pattes nous offre vue sur ses fesses. Le plug "diamant" planté dans son cul. << Ce matin, ce n'est que pour vous ! >> dit elle en se cambrant. Elle nous observe dans le reflet de la vitre du four. Clémentine passe sa main dans ma braguette pour en extraire le locataire. Je bande mou. Mais cela se transforme rapidement en érection.

Julie se redresse en se réajustant. Elle fixe mon sexe comme si c'était la première fois. Comme pour s'excuser, avec une confusion sincère, elle fait : << J'ai encore du ménage à faire. Je vous rejoins tout à l'heure au salon ! >>. Avant de la laisser, nous déposons chacun une bise sur son front. Je dis : << Adorable Julie. Vous êtes l'enchantement de nos samedis matins ! >>. Je me retourne pour agiter ma queue dans sa direction. Au salon, assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Je glisse un billet de 50 euros dans la petite enveloppe jaune.

Il y a trois messages. Celui d'Estelle qui est impatiente de nous rejoindre en début d'après-midi. Celui de Juliette qui nous remercie pour la soiré de hier. En précisant qu'il faut absolument refaire avant la soirée Gloryhole. Le courriel de l'entreprise allemande. Les ouvriers seront là lundi à huit heures pour commencer l'installation des panneaux photovoltaïques. Une installation complexe qui nécessitera des branchements depuis la maison d'amis. Puis un prolongement à l'arrière. Les panneaux ne seront pas fixés sur le toit mais au sol.

Il y aura trois jours de travaux. C'est judicieux car avec les coupures de courant annoncées par nos dirigeants il est préférable de prévoir. Nous serons ainsi en totale autarcie. Indépendants de toutes restrictions. << Avec les irresponsables il vaut mieux prévoir et envisager toutes les parades ! >> précise Clémentine. Il est presque onze heures trente. Julie vient nous rejoindre. Elle est à nouveau vêtue de son pantalon noir, de son sweat gris, de ses bottines. << Vous voilà avec une belle maison bien propre ! >> lance t-elle devant le bureau.

Clémentine se lève pour le contourner et la rejoindre. Posant ses mains sur épaules, elle dépose une bise sur son front en disant : << Merci Julie. Mais ce qui nous fait vraiment plaisir c'est de te savoir là, quelque part dans la maison ! >>. Julie ne peut réfréner son habituel élan amoureux. Elle se jette dans les bras de Clémentine toujours très embarrassée. Je me lève pour contourner le bureau, la tirer de cette situation en tendant la petite enveloppe jaune à Julie. << Merci ! J'ai un petit cadeau pour toi, Clémentine ! >> murmure encore Julie.

De son petit sac à dos de cuir noir elle tire un paquet. De la taille d'une grande boîte d'allumettes. Clémentine le pose sur le bureau. J'ai la bite à l'air. Julie la fixe avec beaucoup d'intérêt. Nous regardons Clémentine ouvrir l'emballage. Elle en tire un bijoux doré. Du moins, ça en a l'apparence. Un tube court, comme une bague de style "chevalière". Attaché par une chaînette. << C'est de l'or à 18 carras ! >> précise Julie. << Mais c'est quoi ! >> s'exclame Clémentine. << L'anneau pour ton clitoris. J'espère qu'il a les bonnes dimensions ! >> dit Julie.

Clémentine déboutonne son jeans, le descend en même temps que sa culotte. << Je peux te le mettre ? >> lance Julie d'une voix suppliante en s'accroupissant devant Clémentine qui lui tend le bijoux. Ça m'excite considérablement de voir Julie fouiller et écarter les poils de Clémentine. Elle tient le bijoux de sa main droite et le clitoris géant de Clémentine entre le pouce et l'index de sa main gauche. Délicatement elle enfile la bague sur la turgescence de Clémentine. Elle aussi est terriblement excitée. Dès que l'on touche à son bouton de plaisir.

Julie tombe à genoux pour faire passer la chaînette autour de la taille de Clémentine. L'ensemble évoque un string métallique. C'est de toute beauté. Clémentine, les mains sur les hanches, regarde son clitoris dépasser d'au moins trois centimètres. Son clitoris fait 4,5 cm. C'est impressionnant. Surtout qu'elle bande à cause de son excitation. << C'est génial ! Il faut juste que le métal se mette à température ! >> s'écrie Clémentine. Julie me fait un rapide et délicieux sourire. Elle saisit à nouveau l'organe de Clémentine entre ses doigts. Coquine.

Clémentine s'assoit avec précaution. C'est beau, c'est excitant mais ça peut aussi faire mal ou pire blesser. Julie reste à genoux, ses mains sur les genoux de Clémentine. Elle demande : << Je peux gouter ? >>. Clémentine me regarde soudain avec interrogation. Je fais oui de la tête. Elle saisit Julie par ses cheveux pour attirer son visage. Je bande comme le dernier des salauds. Je me masturbe avec frénésie. Ça fait plus de cinq ans que j'attends ça. D'admirer Clémentine dans une situation saphique. Elle se fait sucer le clitoris par une autre fille. Enfin !

Elle semble y prendre un plaisir certain. Elle ne tarde pas à se trémousser sur son tabouret. Je viens me placer derrière elle afin qu'elle puisse s'appuyer contre moi. Je regarde Julie sucer passionnément. Elle peut enfin gouter au fruit défendu. Gouter à Clémentine dont elle est amoureuse depuis si longtemps. J'ai la bite contre la joue de Clémentine qui s'y frotte en gémissant. Dans la même tonalité que Julie. C'est un spectacle merveilleux. Soudain, repoussant délicatement Julie, Clémentine se lève. Comme pour échapper à l'orgasme latent.

Julie ouvre de grand yeux étonnés. Elle se redresse. Clémentine retire le bijoux. Elle dépose une bise sur le front de Julie qui en glousse de bonheur. Mais elle contourne rapidement le bureau pour en ouvrir le tiroir du haut. << Comme convenu, je te rembourse ! Dis-moi combien tu as payé ? >>. Ces bijoux sont des "spécialités". Produits en petites quantités. Souvent fabriqués en Hollande. En or massif ils sont onéreux. Clémentine ouvre la boîte en fer avec la clef. En tire une liasse de billets de 50 euros. Qu'elle compte au chiffre énoncé par Julie.

<< C'est un investissement "or" ! >> lance Clémentine. Nous rions tous les trois de bon cœur. Je demande à Julie : << Il y a des trucs pour mecs aussi dans ce catalogue ? >>. Sans hésiter, Julie répond : << Oui, bien sûr ! Vous voulez que je me documente ? >>. Nous rions tous les trois aux éclats. Je possède déjà un anneau à sexe qui enserre la bite et les couilles pour faire garrot. << Vous me le montrez lundi soir quand je reviens ? >> s'écrie Julie soudain toute curieuse. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Il est presque midi. Du retard.

Un dernier coucou. En haut du chemin, au portail, Julie nous adresse des bises qu'elle souffle dans sa main. Il y a quelques gouttes de pluie. Nous nous dépêchons de rentrer. Clémentine fait la salade. Une belle laitue dont elle lave chaque feuille en me donnant ses impressions. << Je ne suis pas lesbienne mais cette petite salope me donne des idées ! >> s'exclame t-elle. Je dis : << Pour mon plus grand plaisir. Depuis le temps que je te fantasme en gouine ! >>. Nous rions aux éclats. Je verse les moules encore congelées dans le bouillon en ébullition.

Dans le wok je fais chauffer les haricots verts et les petits pois. Le rite du repas simple mais délicieux du samedi. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine évoque tout un tas de déclinaisons possibles. << Avec cette bague à clito, je vais m'offrir des exhibes très particulières. Il faudra trouver des "plans" très spéciaux ! >> explique t-elle. Je précise : << Des "plans" gros plan ! >>. Elle rajoute : << Forcément ! Un tel bijoux ne s'apprécie que vu de près ! >>. Clémentine parle de cabines d'essayages, d'arrêts de bus, de salles d'attentes, de parkings.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, jouant avec le bijoux elle dit : << Il est magnifique. Regarde, on peut le porter en pendentif ! >>. C'est vrai. Et peu de gens pourraient soupçonner son usage et sa destination. Je le ferme autour de son cou. Il pend sur ses seins. << Trop bas, il faut trouver une façon de l'accrocher ! >> lance Clémentine. Je regarde attentivement cette bague en or. Une bague destinée exclusivement aux clitoris géants des femmes qui en sont pourvues. Je peux y passer le petit doigt. C'est réellement très impressionnant.

Je précise : << C'est là que ça donne une idée très exacte de ce cadeau dont la nature t'a doté ! >>. Clémentine s'écrie : << Je t'ai raconté ! Jusqu'à l'âge de 16 ans la bosse que faisait mon clito dans mon maillot de bain me complexait énormément ! C'est Estelle qui m'a réconcilié avec cet appendice gênant ! >>. Nous rions. Clémentine rajoute : << Et elle en aurait tant voulu un comme ça ! >>. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Aujourd'hui les horaires sont décalés. Il est déjà 13 h30 et voilà Estelle qui arrive. Sautillante de joie.

Elle fait trois bises à Clémentine avant de me sauter au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes en enfonçant sa langue dans ma bouche. Je la pose au sol. Je prends la poignée du sac de sport qu'elle emmène quand elle vient passer le week-end avec nous. Nous montons nous laver les dents pendant qu'Estelle prépare son pyjama de soie mauve. << Regarde bien. Je vais te montrer quelque chose. Reste avec Julien, je reviens ! >> lui fait Clémentine qui file à toute vitesse. Estelle glisse sa main dans ma braguette pour en sortir le Zob.

Elle m'entraîne devant le grand miroir de l'armoire. Elle se colle contre moi. Tout en se cambrant sur ses genoux fléchis Estelle se frotte contre ma cuisse. Elle agite ma queue que nous regardons bouger. << Je vais faire ma salope tout le week-end. Attends toi à du sévère ! >> murmure t-elle. Clémentine revient dans la chambre. Juste en T-shirt et en baskets. Elle porte le bijoux. << Wouah ! Trop bien ! >> s'écrie Estelle qui s'accroupit pour regarder de tout près. Je m'accroupis à ses côtés pour mâter. C'est vraiment très impressionnant.

<< Ça me frustre ! Avec mon petit truc je ne pourrais pas en porte un ! >> lance Estelle d'un ton dépité. Clémentine se cambre sur ses genoux fléchis. Les pieds largement écartés. Elle écarte les lèvres charnues de son sexe. On distingue parfaitement la goutte de cyprine qui s'apprête à couler. À tomber peut-être. Nous ne savons qu'admirer. La bague à clito ou la cyprine de plus en plus abondante. Clémentine est évidemment très excitée. Nous restons silencieux. Il va y avoir un évènement. Cet évènement a soudain lieu. Vraiment extraordinaire.

Une coulée de cyprine, épaisse et visqueuse s'écoule soudain. Sur une dizaine de centimètres avant de tomber sur le parquet. En arrive une seconde. Clémentine se cambre un peu plus. << Tu ne vas nous pisser dessus ! >> s'exclame Estelle. Nous restons tous deux hallucinés par la vision du clitoris géant de Clémentine enserré à sa base par la bague. C'est fantastique. Je croyais avoir tout vu. << Venez ! >> lance Clémentine qui nous force à nous relever. Elle nous entraîne aux toilettes. Nous quittons la chambre avec plaisir car il y règne la fraîcheur.

Là, devant la cuvette, Clémentine reprend la même position. De la cyprine qui s'écoule pour pendre un long moment avant de tomber au sol, entraînée par son propre poids. Je bande comme le dernier des salauds dans la main d'Estelle qui dit : << Demain, à midi, nous sommes invités à manger chez mes parents. Papa veut parler de l'achat de la Mercedes de Julien ! >>. Ce propos totalement surréaliste en ces instants nous fait éclater de rire. Ce qui provoque le pipi de Clémentine. Il lui est impossible de pisser proprement en restant debout.

Nous évitons de justesse de nous faire éclabousser. C'est un spectacle toujours très étonnant. De voir les coulées de cyprine derrière le jet de pisse, sans s'y mélanger. Ça aussi c'est impressionnant. Clémentine, gémissant de plaisir, lâche d'innombrables petits jets. Entre chacun d'eux, par contractions des muscles fessiers, elle fait bouger son clitoris. Elle le fait bouger exactement comme je fais bouger ma bite quand je bande. Sans la toucher, juste par contractions répétées. Clémentine, consciente de nous offrir un show de qualité supérieur, en glousse.

Estelle me branle d'un geste lent et régulier. Moi aussi j'ai d'abondantes coulées de liquide séminal. Je passe ma main entre les cuisses d'Estelle en demandant : << Et chez toi, là-dedans, c'est comment ? >>. Estelle se redresse en répondant : << Venez, on descend au salon, on s'éclate comme des fous ! >>. J'essuie soigneusement le croupion dégoulinant de Clémentine avant de me redresser. Nous dévalons les escaliers. Il fait bien chaud dans la grande pièce. Clémentine se vautre dans le canapé. Elle me lance un regard suppliant. Clin d'œil.

Je jette un des épais coussins au sol pour m'y mettre à genoux. Estelle retire son jeans et sa culotte. Elle s'installe à côté de Clémentine. Elle en veut aussi. Mais cette fois, je commence par Clémentine. C'est un peu étrange de sucer son clitoris enchâssé à sa base dans la bague. Clémentine pousse de petits cris, des râles de plaisir en se contorsionnant. Estelle se masturbe. Elle aussi adore me regarder bouffer de la chatte. Je ne la néglige pas. Aussi je viens bouffer la sienne. Je passe de l'une à l'autre dans un concerto de gémissements délirants.

Clémentine s'offre un orgasme foudroyant qui la fait hurler. Estelle est la proie d'un orgasme de huit sur l'échelle de Richter. Tous les trois, haletants, reprenant nos esprits, nous sommes couchés sur l'épais tapis. Je suis entre mes deux anges qui se blottissent en caressant ma poitrine. Je n'ai pas éjaculé. Je veux absolument me garder, me préserver pour ce soir. Nous piquons du nez pour un roupillon d'une heure. << Ça me gratte, ça démange ! >> lance Clémentine qui nous réveille ainsi. Elle détache la chaînette en or et retire la bague de son clito.

Il est dix sept heures. Les filles ont du travail. Un travail que les évènements très particuliers de l'après-midi ont perturbé. Nous remettons nos vêtements. Mes deux anges m'entraînent par les mains. Nous voilà dans l'atelier. Il y fait sombre. Avec le ciel sinistre du dehors, il faut allumer les lampes à halogène. Estelle et Clémentine sont installées devant leurs ordinateurs. Comme à l'école, avec leurs classeurs ouverts. Cette capacité toute féminine de pouvoir passer d'un état à l'autre le plus naturellement du monde. Je prépare le calque du portrait No 5.

Il est dix neuf heures. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Assis tous les trois nous épluchons les pommes de terre, les carottes, les navets, le céleri, l'ai et l'oignon. Ce sera pour la potée de légumes. L'accompagnement de deux à trois repas. La préparation est rapide. Je fais rissoler trois beaux dos de cabillaud blanc. Clémentine prépare l'assaisonnement de la laitue déjà lavée. Estelle touille les légumes dans la vieille cocote en fonte noire pour éviter qu'ils n'attachent. Les filles évoquent les cours de la semaine à venir.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur l'invitation des parents d'Estelle. C'est toujours une réjouissance de manger ensemble le dimanche à midi. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges reviennent sur nos folies de l'après-midi. Nous rions beaucoup quand Estelle demande : << Vous croyez qu'il existe des asiles pour des fous de notre espèce ? >>. Clémentine réplique : << Non, il faudrait des asiles pour jouisseurs déviants ! >>. Nous débarrassons pour faire la vaisselle.

C'est dans l'atelier que nous retournons. Nos exactions sexuelles de l'après-midi ont bouleversé l'emploi du temps des filles. Aussi, elles veulent terminer leurs préparations pour lundi. Leurs études étant prioritaires et d'une importance capitale. Ce qui me permet également d'avancer dans mon travail. Je fais les dessins préparatoires des deux portraits de commandes restant. Il restera à faire les deux paysages. De commandes également. Je pourrai tout expédier avant les vacances de la Toussaint. Il est 22 h30. Morts de fatigues, nous remontons.

Bonne nuit à toutes les coquines que les orgasmes par cunnilingus épuisent. Qui se blottissent contre celui qui leurs prodigue de merveilleux moments de bonheur par léchages de minous compulsifs...

Julien



Classe

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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Le repas de midi chez les parents d'Estelle

Hier matin, dimanche, il est aux environs de neuf heures. Nous nous réveillons tous les trois quasiment en même temps. Je suis entre mes deux anges. Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche. Aussi serrées contre moi que hier soir lorsque nous nous sommes endormis. Toutes les deux, en gémissant, se tournent sur le côté. Passant leurs cuisses sous les miennes, elles se mettent à se frotter contre mes hanches. Estelle saisit mon érection naturelle, Clémentine empoigne mes couilles. Distribution de bisous, de papouilles et de câlins.

Estelle se lève la première pour filer vers la porte. Clémentine, tout en se frottant avec plus de conviction encore, me chuchote : << Comme c'était bon hier soir ! Ce truc me fait bander ! >>. Nous rions car elle fait allusion à la bague à clitoris offerte par Julie hier matin. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, en slips et T-shirts de nuit, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Sur la table trône la brioche au pudding. Les suaves parfums du café auxquelles se mêlent celles du pain grillé. C'est délicieux.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée cunnilingus. << On ne s'est même pas occupée de toi ! On n'est décidément de vraies salopes ! >> lance Estelle. Je dis : << Comment cela ! Mais pas du tout. Bien au contraire, j'ai eu un plaisir fou à m'occuper de vos minous à toutes les deux. Vous n'imaginez pas ! >>. Elles se lèvent toutes les deux pour venir terminer leurs tartines assises sur mes genoux. Estelle manque même de renverser son jus d'orange dans la fébrilité d'un de ses gestes. La brioche n'a jamais été aussi bonne.

Nous mangeons de bon appétit. Il faudra êtres chez les parents d'Estelle un peu avant midi. Mais nous pouvons traîner à table car le dimanche matin, pas de jogging, pas d'entraînement. Il est très important de marquer un jour d'arrêt. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous remontons nous laver les dents, nous habiller et faire notre lit. Pressés d'aller faire quelques pas au dehors, nous redescendons à toute vitesse en nous tenant par la main. Il ne pleut pas mais le ciel reste menaçant. Le sol est détrempé. Il fait doux.

C'est avec les K-ways ouverts que nous montons jusqu'au portail. Nous traversons la route pour nous engager sur le chemin forestier. Les feuilles sont de plus en plus nombreuses à joncher la caillasse. Leurs couleurs virent inexorablement vers le roux. Les filles restent accrochées à mon bras tout en évoquant leurs études. Le programme de la semaine prochaine qui commence demain lundi. Quelques arrêts pour nous faire des bises. Estelle glisse sa main dans ma braguette pour en extraire le locataire. Un locataire qui en pend mollement.

<< Tu fais une photo ! >> lance Estelle en tendant son téléphone à Clémentine. Se plaçant sur ma droite, penchée en avant, son bras gauche autour de ma taille, elle tient mon sexe pour le présenter à l'objectif. Clémentine prend deux clichés. Nous les regardons sur l'écran. Sur la première image, le merveilleux sourire d'Estelle, le visage à une trentaine de centimètres de ma queue encore molle. Sur la seconde, pareil mais avec une queue déjà bandante. Nous rions de bon cœur quand Estelle précise : << Pour ma collection. Pour les souvenirs ! >>.

Nous revenons pour onze heures trente. Nous restons vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux. Il fait étrangement doux. Ce qui contraste tout aussi bizarrement avec les fraîcheurs des jours précédents. Nous changeons simplement de chaussures pour enfiler des bottines, mettre un blouson de cuir. Nous dévalons les escaliers pour traverser le jardin. La tarte aux noix que je porte a décongelé depuis hier soir. Ce sera le dessert. Je roule doucement. Il y a quelques gouttes de pluie. Trois petits kilomètres jusqu'au bourg qui est voisin.

Un petit kilomètre jusqu'au lotissement à la sortie du village. << Si tu dragues ma mère, je t'arrache les couilles avec les dents ! >>. Cette formule habituelle que lance Estelle nous fait toujours beaucoup rire. Voilà les bâtiments de l'entreprise familiale. Je gare l'auto dans la descente du garage. C'est Yvan qui vient nous accueillir. Le papa d'Estelle tout content de nous revoir. Estelle qui se serre contre lui. Nous le suivons pour monter par la cave. Michèle aussi est toute souriante. Nous nous serrons les mains avant de nous les laver au lavabo.

Michèle porte une robe d'été. Yvan est en bermuda. Avec cette douceur nous regrettons de n'avoir pas fait de même. J'admire la plastique avantageuse de Michèle. Une fois encore elle donne cette étrange impression d'être la grande sœur d'Estelle plutôt que sa maman. Nous sommes tous les cinq confortablement installés autour de la table du salon. Estelle à côté de son papa. Michèle qui me fait face. Clémentine à ma gauche. << C'est pratique pour te toucher sous la table ! >> murmure t-elle une fois encore à mon oreille. C'est un repas délicat.

Des tomates et des pommes de terre farcies au pâté de saumon. Les tomates sont farcies au saumon à la crème. Alors que les pommes de terre sont farcies de saumon à l'oignon et aux champignons. Un véritable régal avec un gratin de brocolis. Nous évoquons nos vacances en Écosse. La décision des parents d'Estelle d'acheter une petite maison dans la région d'Inverness. Ils ont d'ailleurs commencé les recherches auprès de différents propriétaires. Désireux d'éviter les agences immobilières afin de ne pas se faire détrousser par d'odieux gangsters.

Nous en rions de bon cœur. Yvan a acheté mon ancienne voiture il y a quatre ans. À l'époque il est était conclu qu'il achèterait la prochaine. Le jour est venu. Depuis plus de vingt ans je ne roule qu'en Mercedes de classe E. À mon avis d'excellents véhicules. << Les Allemands fabriquent les meilleures voitures au monde ! >> lance Yvan. Je vends la mienne qui n'a que 25 700 kilomètres en quatre ans. Nous traînons à table. Je surprends le regard insistant et discret de Michèle à plusieurs reprises. Estelle nous surveille du coin de l'œil. Inquisitrice.

C'est comme si Michèle tentait de m'adresser un message. Pour faire diversion elle parle de Gauvain. Le collègue étudiant qui est venu manger à la maison deux fois. Évidemment ce garçon de 25 ans, futur Docteur en Sciences, d'un mètre quatre vingt treize, blond aux yeux bleus d'acier, athlétique ne peut pas laisser indifférent. Le gendre idéal pour toute famille d'un certain standing. Nous rions beaucoup de la gêne qu'éprouve Estelle à en parler. << Mais il est amoureux de toi Estelle, tu as 25 ans. C'est un bon parti ! >> insiste Michèle. Sérieuse.

Nous laissons les femmes pour sortir. Yvan désire voir sa future voiture. Je l'invite à s'installer au volant. Je m'assois sur le siège passager. Je lui fais découvrir toutes les options qui n'existent pas sur l'ancien modèle. L'écran GPS qui permet également de se connecter sur Internet. Les passagers arrières ainsi que celui à l'avant peuvent regarder des films, Youtube ou n'importe quoi. Un clavier virtuel permet d'écrire. Yvan reste comme un gamin découvrant son nouveau jouet. Nous roulons un peu dans les rues du lotissement. Yvan est ravi.

<< 340 chevaux sous le capot, ça le fait grave comme dirait Estelle ! >> lance Yvan une fois que nous prenons la nationale. Il pleut. Yvan a une conduite rassurante. Tout comme moi il apprécie de conduire les grosses berlines allemandes comme elles le méritent. Avec douceur, calme et réflexion malgré leurs invraisemblables puissances. << Marché conclu ! >> me dit il tout émerveillé par cette expérience unique. À l'annonce du prix "d'ami" Yvan est encore plus enchanté. Dès demain je passe commande de mon nouveau modèle chez le concessionnaire.

Nous rejoignons Clémentine, Estelle et Michèle qui bavardent au salon. << Alors ? >> demande Michèle. << Absolument divin ! >> répond Yvan. Nous prenons place pour goûter à la tarte aux noix. Clémentine vient s'assoir tout contre moi en chuchotant : << Interdiction de m'abandonner une seconde fois aujourd'hui ! >>. Je rejoins Michèle à la cuisine. Estelle étant assise sur les genoux de son papa, ses bras autour de son cou. J'essuie les assiettes et les tasses que lave Michèle. Nous entendons rire au salon. L'occasion fait le larron. Parfait.

Et là, sur l'instant, l'occasion est bien trop bonne. Je sors mon sexe. Je bande mou. Je le tiens à sa base entre le pouce et l'index pour l'agiter. Ce n'est pas la première fois que je montre ma bite à la maman d'Estelle. C'est même devenu un rituel à chaque fois que c'est possible. << Vous êtes un exhibitionniste exquis. J'en raffole Julien ! >> me dit elle à voix douce. Je fais "l"hélicoptère". Michèle, tout en passant l'éponge sur les bords de l'évier, rajoute en observant amusée : << Il faut trouver une façon particulière afin que j'y goutte ! >>.

Cette fellation hautement désirée ne demande qu'une opportunité pour exister. Nos n'avons pas encore trouvé la formule idéale. Aussi je murmure : << C'est à vous Michèle de trouver le bon "plan" ! >>. Michèle pousse ce soupir des femmes mûres qui évitent toute réponse. Je remballe à toute vitesse une queue dure et raide. Juste à temps car Estelle entre dans la cuisine. Une fois encore elle voulait surprendre mes initiatives. Elle sait ce que je fais parfois devant sa mère. Elle m'adresse un regard sévère, inquisiteur et rapidement lourd de reproches.

Nous rejoignons Clémentine et Yvan au salon. Estelle me chuchote à l'oreille : << Tu es le dernier des salauds. Tu ne perds rien pour attendre. Vieux pervers immonde ! >>. Elle empoigne discrètement mes couilles au travers le tissu de mon jeans pour appuyer jusqu'à la douleur. Malgré la pluie nous allons faire quelques pas sous les parapluies. Clémentine reste accrochée à mon bras. Michèle à ma droite. Marchant devant Yvan tenu au bras par Estelle. Nous échangeons des souvenirs écossais. Nous quittons les parents d'Estelle vers 17 h.

Dans la voiture, assise à l'arrière, Estelle enserre mon cou de ses deux mains. << Je devrais t'étrangler vieux vicieux ! >> dit elle à chaque fois. Clémentine qui joue avec ma queue, demande : << Tu as montré ta queue ? >>. J'hésite à répondre. Estelle m'étranglant déjà. Je roule un peu. Nous faisons un large détour avant de rentrer. La circulation sur la nationale est fluide. Il est 18 h30 quand nous arrivons à la maison. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Clémentine prépare la salade. Estelle concocte une de ses belles omelettes du dimanche soir.

Je réchauffe la potée de légumes. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur ce très agréable week-end de calme, de repos et de coquineries. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges évoquent le programme universitaire de la journée de demain. La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon par la main. Elles me font tomber dans le canapé. Toutes les deux, à genoux sur les épais coussins, me descendent le pantalon et le slip. Avec l'excitation il y a des filaments de jute épaisse, visqueuse et gluante. De la mouille.

Clémentine dit : << Ce soir, c'est à ton tour d'être gouté et savouré ! >>. Estelle rajoute : << Tu as encore fait ton vicieux avec ma mère. Ça exige une punition ! >>. Alors qu'elle se met à sucer la première, je lui avoue mon forfait. Clémentine m'observe amusée. Elle écoute en me faisant des clins d'œil. Je raconte mon exhibition dans la cuisine en précisant : << Estelle, tu sais, tu as de qui tenir ! >>. Elle cesse se sucer pour rétorquer : << Tu sous entends que ma mère serait une salope ? >>. Clémentine suce. Je réponds à Estelle : << Exactement ! >>.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment régler leurs comptes avec une bonne bite juteuse, sale et pas lavée de la journée dans la bouche...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 25 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2027 -



Une semaine qui commence fort

Hier matin, lundi, il est sept heures quand nous nous réveillons quasiment en même temps. Comme affolée, Clémentine se lève immédiatement. << Putain mon téléphone déconne ! >> s'écrie t-elle. Force est de constater qu'il n'a pas fonctionné. Pas d'application "océan" pour nous tirer du sommeil à 5 h55. Nous filons aux toilettes. Comme catastrophée Clémentine, fébrile, m'entraîne alors par la main. Nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Il y fait presque trop chaud. Nous préparons notre petit déjeuner en vitesse.

Nous mangeons toutefois de bon appétit en essayant de comprendre ce qui s'est passé. << Je comprends tout. La batterie s'est déboîtée. Regarde ! Saloperie d'appareil ! >> lance Clémentine. Nous remontons prendre une rapide douche. << Put-Hein quand je ne m'entraîne pas le matin, je suis une fiotte toute la journée ! >> s'écrie encore Clémentine. Je descends le premier pour préparer sa voiture. Il est 7 h40. Il fait étrangement doux, le jour achève péniblement de se lever. Clémentine me rejoint en courant, dans son blouson de cuir. Un dernier bisou.

Je m'empresse de rentrer pour faire la vaisselle, notre lit. À peine suis-je redescendu que deux camionnettes se garent devant la maison d'amis. Je sors pour aller à la rencontre des ouvriers qui viennent installer les panneaux photovoltaïques. Je reconnais la jeune femme. C'est la chef de Chantier. C'est elle qui avait déjà dirigé les opérations il y a deux ans et demi. Son léger accent allemand est fort plaisant. Il y a deux hommes avec elle. J'emmène les employés à l'endroit où seront disposés les panneaux. C'est entre la réserve à bois et le chemin.

L'endroit est ensoleillé toute la journée, dégagé et à l'abri des intempéries. Le lieu idéal. Les branchements seront aériens. Ce qui sera un gain de temps et une substantielle économie. L'entreprise est spécialisée dans ce genre d'installation. Hautement performante. Ces gens connaissent leur boulot. Je les laisse. La jeune femme m'accompagne. Nous venons au salon. Nous voyons ensemble le devis, les conditions, l'acompte déjà versé. C'est Clémentine qui a tout organisé. Sa redoutable efficacité fait encore toute mon admiration. Tout est dans les clous

La jeune femme retourne à ses occupations. Je vais dans l'atelier. Avec la douceur extérieur, il y fait presque trop chaud. Il y a même du soleil dehors. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque ce matin mon quatrième portrait. Un couple de trentenaire qui posent devant une de ces balustrades factices dans un studio de photographe. En tenues de mariage. Ils sont magnifiques tous les deux. Cette variété va me distraire durant quelques jours. Je peins animé d'un enthousiasme plutôt délirant.

Je ressens également ce manque d'exercice. Maudite batterie qui s'est déboîtée suite à un choc. Je me souviens maintenant. Lorsque nous avons marché hier en compagnie des parents d'Estelle, le téléphone de Clémentine est tombé dans l'herbe. Ce qui a certainement provoqué cet incident. La matinée passe très vite. Il est presque midi quand je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe le reste de potée de légumes pendant que je prépare l'assaisonnement d'une belle et grasse scarole. Il y en aura également pour le repas de ce soir avec Julie.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. L'invité d'André Bercoff, un certain Laurent Jacobelli, développe toutes sortes de thèmes sur les conséquences de certaines décisions gouvernementales. Je ne traîne pas. La pâte feuilletée a décongelé depuis ce matin. Je l'étale dans un grand plat à tarte aux bords hauts. Je coupe le second potiron offert par le voisin la semaine dernière. Des petits morceaux que je fais bouillir quelques minutes avant de les réduire en purée. Je verse sur la pâte. Je recouvre d'une grosse couche de gruyère de Comté râpé.

Je mélange à même le plat. Je recouvre de fines rondelles d'avocats bien mûrs. De très fines tranches croisées de Morbier recouvrent le tout. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillé. Onze cerneaux de noix en cercle. Je mets au four pour une cuisson lente à 180°. Quand ça mijote longuement c'est toujours tellement meilleur. La vaisselle. Sachant que notre repas du soir est déjà préparé, c'est serein que je retourne dans l'atelier. Je peins dans les conditions identiques. Un enthousiasme délirant qui me fait pousser des cris surréalistes.

L'après-midi passe encore plus vite que la matinée. Il est dix sept heures trente quand Clémentine rentre de cours. Elle jette son cartable dans le fauteuil pour se précipiter vers moi. Assise à califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Journée de merde ! Tu sais quoi, il est arrivé exactement la même chose à Estelle. Son réveil n'a pas sonné ! >>. Nous rions de bon cœur de cette curieuse coïncidence. Clémentine a encore du travail. La lecture d'un second livre.

J'aime l'entendre lire des passages à haute voix. Elle est installée dans le vieux canapé de velours carmin de l'atelier. Ses pieds sous les coussins. Il est dix huit heures trente. Trois coups timides contre la porte avant qu'elle ne s'ouvre. Julie, radieuse, souriant, entre dans l'atelier. Elle se précipite vers Clémentine pour s'assoir à ses côtés, lui faire des bises. Son attitude de fille amoureuse est tellement émouvante. Clémentine, une fois encore terriblement embarrassée se redresse, ferme son livre et m'observe. Je nettoie mes pinceaux.

Julie vient me faire trois bises. Elle s'assoit sur le tabouret à mes côtés pour scruter la toile. Je nettoie la palette. Julie nous raconte son week-end. Sa mamie, son papy. Son job de serveuse en soirée dans le restaurant de sa tante. << Le chef cuisinier t'a enculé ? >> demande Clémentine qui vient se serrer contre moi. << Oui, hier avant le service. Il veut me voir mercredi car il a des choses à me dire ! >> répond Julie. C'est à moi de demander : << Et rien dans le cul ce soir pour venir manger ? >>. Julie éclate de rire avant de répondre : << Non ! >>.

Nous rions aux éclats. Je retire mon tablier. Julie fixe ma braguette béante. Je vais au petit lavabo de l'atelier pour m'y laver les mains. Je pose mon sexe sur le rebord de faïence. Dans le minuscule miroir fixé sur le carrelage, je vois Julie se lever précipitamment pour venir me rejoindre. Debout à ma gauche, penchée en avant, elle regarde la multitude de petits jets que je lâche. Clémentine debout à ma droite, passe sa main autour de ma taille. Sa tête contre ma poitrine, je la tiens par les épaules. Un plaisir de l'instant indubitable et partagé à trois.

J'adore me sentir envahi de ce sentiment particulier. Un sentiment où se mêle la gêne, la honte, l'envie de pisser et l'excitation grandissante. Cette excitation qui procure comme de petites décharges électriques le long du dos. Qui font frissonner. Je propose à Julie de s'emparer de mon "tuyau d'arrosage". Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. En poussant un petit gloussement elle saisit mon sexe à sa base, entre le pouce et l'index. C'est toujours très amusant de pisser avec une érection naissante puis grandissante. Les jets de pisses sont plus fins.

Je demande : << Julie, avez-vous sacrifié à vos passions pour le voyeurisme ce week-end, dans les toilettes du restaurant ? >>. Julie, en tentant de contraindre mon érection vers le bas, à deux mains, répond : << Oui, j'ai vu des choses très intéressantes samedi soir. Un vicieux qui m'a dragué devant l'urinoir où il se branlait. Je n'ai hélas que quelques instants à consacrer à ma passion. Il y a toujours tellement de clients. Et nous ne sommes que deux à servir ! >>. Ces aveux achèvent de me faire bander comme le dernier des salauds.

Une dernière giclée totalement incontrôlable avant que Clémentine ne se penche pour gober ma turgescence. Quelques contractions des muscles fessiers pour évacuer les reliquats. Julie, comme hallucinée, observe cette pipe improvisée. Elle se penche pour avoir le visage tout près de celui de Clémentine. Ce n'est pas la première fois que nous vivons tous les trois cette situation. Mais c'est toujours comme une grande première. Clémentine cesse de sucer pour tendre ma queue dure comme le bois à Julie qui se redresse soudain comme effrayée.

Ce réflexe tout aussi adorable qu'elle, Julie en meure pourtant d'envie. Elle lâche enfin mon sexe pour dire : << Vous devez me trouver conne, hein ? >>. Nous éclatons de rire. Clémentine répond : << Oui, un peu, parce que c'est un excellent apéritif ! >>. Julie nous rejoint dans une douce rigolade. Il fait faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand les filles découvrent ce qu'il y a dans le four, elles sont enchantées. << Génial ! >> s'exclame Clémentine qui m'attrape par la bite. J'allume le four. Julie se propose de faire l'assaisonnement.

La scarole est déjà lavée. Je la tire du bas du réfrigérateur. Clémentine met les assiettes et les couverts. Elle mime une masturbation masculine. Ce qui n'échappe pas au regard de Julie qui louche vers mon sexe. Il pend mollement de ma braguette. Avec l'excitation vécue au lavabo, il y a une stalactite de foutre épais, visqueux à son extrémité. Une goutte de quelques centimètres qui ne s'écoulera pas. Je saisis ma bite à la base pour la présenter à Julie. Elle contourne la table pour venir s'accroupir devant moi. Il est rare qu'elle ait cette initiative.

Elle observe de près, avec l'attention d'une entomologiste découvrant une nouvelle espèce. Clémentine me fait un clin d'œil avant de mimer une fellation. Je ne sais pas pour quelle attitude opter. Saisir Julie par ses cheveux pour lui enfoncer la bite dans la bouche ? Je préfère la laisser dans son observation et me comporter un gentleman. Clémentine, alléchée par la vue de cette coulure qui pend obstinément de la peau fripée de mon prépuce, contourne la table pour venir s'accroupir à côté de Julie. Clémentine ouvre la bouche, approche son visage.

Julie, une fois encore comme totalement déstabilisée regarde Clémentine récupérer le foutre. La sonnerie du four. Toutes les deux se redressent en même temps. Je m'écrie : << Passons aux choses sérieuses ! >>. Phrase à laquelle rétorque Julie en nous surprenant : << Mais c'est très sérieux ce qui se passe entre nous ! >>. Nous restons immobiles Clémentine et moi, les bras ballants. Décidément, Julie sait nous étonner à chaque instant. Nous mangeons de bon appétit. La tarte au potiron est un authentique délice. Savoureuse. Un met exquis.

Julie nous raconte ce qui s'est encore passé dans les cuisines du restaurant. Jean-Louis, le Chef cuisinier l'encule devant Anne-Marie qui attend souvent son tour. Julie entretient une relation amoureuse avec sa tante depuis l'adolescence. Anne-Marie est une véritable vicieuse. Voyeuse discrète, bisexuelle, la tante à Julie est devenue une bonne amie. Même si hélas elle reste distante. N'ayant que peu de temps, occupée à faire tourner son restaurant, Anne-Marie s'offre toutefois quelques bons moments. << C'est une suceuse ! >> précise Julie.

Julie devra nous laisser pour 22 h. Elle reviendra vendredi pour le cours de peinture. << Je vous réserve une petite surprise ! >> dit elle timidement en baissant les yeux. Yeux qui fixent mon activité masturbatoire à chaque fois que je me lève pour me branler devant les filles. C'est soudain le silence. Clémentine et Julie m'observent avec le plus grand sérieux. Le même sentiment que devant le lavabo m'envahit alors. C'est tellement bon et intense que je pourrais éjaculer. Nous traînons à table avant de faire la vaisselle. Nous passons au salon. Le dessert.

J'emmène les coupes glacées sur un plateau. Julie et Clémentine sont assises dans le canapé. J'ai la bite à l'air. Avec une nouvelle coulure. Julie n'a d'ailleurs de yeux que pour cette stalactite laiteuse virant sur le jaunâtre. Pour éviter de maculer le tissu de mon jeans, je reste debout. Bien en face des filles. Clémentine se lève, contourne la table basse. Sa petite cuillère à la main elle récupère la coulure. Soigneusement. Elle revient pour la montrer à Julie qui regarde hallucinée. Clémentine lui tend la cuillère. Julie a un mouvement de recul.

C'est Clémentine qui déguste le contenu de la petite cuillère à dessert. Je demande : << Julie, il vous arrive de sucer le Chef de cuisine ? >>. Ce n'est pas la première fois que je pose cette question. Julie répond : << Il n'aime pas. C'est la sodomie son truc ! >>. Clémentine s'écrie : << Dommage ! >>. Julie rajoute : << Je l'ai déjà sucé mais il ne participe pas vraiment ! >>. Je me branle. Je cesse, nous bavardons. Clémentine a une main dans son jeans déboutonné. Julie se touche parfois. Déjà 22 h. Nous raccompagnons Julie à sa voiture.

Bonne nuit à toutes les coquines que les attitudes de leur coquin excitent. Que les attitudes de la visiteuse excitent. Avant une baise sous les draps avant de dormir...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 26 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2028 -



Juste Clémentine et moi

Hier matin, mardi, il est presque six heures. Cette fois tout fonctionne. L'application "océan" nous arrache à nos profonds sommeils. Les cris stridents des oiseaux de mer qui semblent virevolter au-dessus de nos têtes. Clémentine se blottit tout contre moi en gémissant. Avec nos folies de la soirée, c'est encore la galère pour se réveiller. Se lever. Quelques bisous, des papouilles avant d'aller aux toilettes. Morts de faim, dans nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers. Il fait déjà bien chaud dans la cuisine. Clémentine fait le café en racontant ses rêves.

Je presse les oranges, je pèle les kiwis. C'est dans un mouvement gracieux que Clémentine attrape au vol les quatre premières tranches qu'éjecte le grille pain. Je mets les deux gros croissants aux amandes dans le four à micros ondes. Ce qui leurs rend un doux moelleux et parfume la grande pièce. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la présence de Julie hier soir. Ses attitudes de plus en plus affirmées. Elle revient vendredi après-midi. Nous fêterons tous les trois son anniversaire. Clémentine veut marquer le coup. Ses 21 ans.

Nous mangeons de bon appétit en passant en revue les différentes options de "cadeaux" que nous pourrions réserver à Julie. Clémentine a préparé un bel emballage pour le plug en ivoire fossilisé que nous remettrons à Julie. Nous rions beaucoup des idées plus folles les unes que les autres qui viennent se bousculer à l'aulne de nos libidos déjà bien débridées à presque 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre entraînement. Aérobic, joggings sur tapis roulants, exercices au sol, abdos, charges additionnelles, retour au calme avec un bon stretching.

La douche. Je descends le premier pour préparer l'auto. Il est presque 7 h45. Il fait froid, le ciel est parfaitement dégagé. Le jour achève de se lever. Clémentine vient me rejoindre dans son anorak. Son bonnet, ses gants. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller avant de me dépêcher de rentrer au chaud. La vaisselle, le lit. J'entends le bruit des moteurs. Je regarde par la fenêtre, c'est l'entreprise de pause des panneaux photovoltaïques. Je sors pour aller à la rencontre de la chef de chantier. La jeune femme est toute souriante. Elle m'explique.

Ils ont déjà fait de l'excellent travail hier. Les panneaux recouvrent une superficie notoire. En plan incliné il y a là vingt panneaux sur une surface de trente six mètres carrés. Six mètres sur six. À hauteur d'homme. La dame préfère faire enterrer les lignes. Elle me rassure, ce sera un sillon creusé dans le sol d'une profondeur de 50 cm. Dès le printemps prochain la cicatrice aura disparu. Je la laisse en saluant les deux ouvriers qui sont déjà occupés. Il est 8 h30. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. L'atelier est fort lumineux.

Je prépare les couleurs sur la palette en pensant aux travaux. C'est sur l'initiative de Clémentine que nous faisons installer cette électricité. Nullement dans un but écologiste ou philosophique. Mais pour êtres autonomes et ne pas dépendre du caprice de quelques décideurs irresponsables. Je peins dans une sérénité qui me fait chantonner. Ce quatrième portrait sera terminé demain soir. En même temps que les travaux dans la propriété. Il est rapidement midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer le reste de la tarte au potiron.

Avec une salade de concombre. Un filet de flétan poêlé et des champignons. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff, dans tous ses états, reçoit aujourd'hui deux authentiques journalistes d'investigation. C'est à dire de ces type un peu baroudeurs qui enquêtent en amont. Rien à voir avec ces animateurs d'informations en costume cravate que nous imposent les médias. Une fois encore les révélations ne sont pas en faveur d'une démocratie moderne et occidentale. Mais dignes d'une république bananière. De gangsters mafieux.

Je ne traîne pas. J'étale les deux tiers de la pâte feuilletée dans le plat rond au bord haut. Je lave, je coupe et fais cuire deux gros poireaux. Pendant leurs cuisson je concocte une Béchamel. Je râpe du gruyère de Comté. J'égoutte le poireaux avant de le rajouter à la Béchamel avec le gruyère. Je recouvre du dernier tiers de pâtes que je jointe soigneusement. Je badigeonne le dessus du mélange œuf, lait de soja et moutarde à l'ancienne. Je ris en pensant au stock de moutarde que nous avons à la cave, dans le cellier. Nous sommes très prévoyants.

Je dépose la Flamiche Picarde au four. Une cuisson lente à 180°. La tourte aux poireaux gagne en saveur en mijotant longuement. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Dehors il fait beau, il y a du soleil. Ce serait trop bête de ne pas aller faire quelques pas. Le thermomètre extérieur indique 22°. C'est en bras de chemise que je descends jusqu'à la rivière. Avec les pluies des derniers jours, son niveau est à son maximum. Il commence même déjà à se former ce petit étang qui empêche l'accès aux sentiers de gauche et de droite.

Il y a l'obsédant bruit de la petite tractopelle qui creuse le sillon qui recevra le câblage. Je remonte en flânant. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet quand la musique imbécile de mon téléphone le fait vibrer au fond de la poche de ma blouse. Maugréant je décroche. C'est le concessionnaire Mercedes. Il m'informe des délais pour la livraison de ma prochaine voiture. Le modèle de Classe E que j'ai commandé est parfaitement disponible. Mais il y a un délai de deux semaines. Le monsieur très charmant s'excuse de ce contre temps.

Je le rassure. Je ne suis pas pressé. Nous discutons des modalités. Comme tous les trois quatre ans, le paiement se fera par virement bancaire. Je suis invité à passer à la concession pour essayer quelques nouveaux modèles. Je ne me prononce pas. Nous verrons avec Clémentine. Je peins en pensant aux travaux, à la nouvelle voiture, à l'anniversaire de Julie. Les heures de l'après-midi défilent sans que je puisse les percevoir réellement. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle se précipite pour venir s'installer à califourchon.

Se frottant doucement, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Estelle ne vient pas ce soir. Elle est invité à manger chez Gauvain ! Elle t'embrasse et te demande de ne pas te faire d'idée préconçue ! >> dit Clémentine avant de m'enfoncer la langue dans la bouche. Redoublant de ce mouvement masturbatoire et régulier, elle m'embrasse passionnément. Quand elle cesse, en se levant, elle rajoute : << C'est tellement bien d'êtres tous les deux. Juste toi et moi ! >>. Elle a encore du travail.

Installée dans le canapé, ses pieds sous les coussins, Clémentine se plonge dans la lecture de son livre. Il faudra en faire un résumé écrit et oral. J'aime peindre en l'écoutant lire quelques passages à voix haute. Je ne comprends absolument rien puisque seule compte la "musique" de ses prononciations. Il est 18 h45 quand je nettoie la palette, les pinceaux. Je me précipite à la cuisine afin d'allumer le four. Je reviens précipitamment pour me vautrer aux côtés de Clémentine. Couchée sur le dos, les yeux fermés, sa tête sur ma cuisse elle revient au calme.

Je caresse son front. Je passe mes doigts sur ses sourcils. << Mmhhh ! Comme vous êtes doux monsieur ! >> murmure t-elle en frottant sa nuque contre ma bosse. Elle se redresse pour glisser sa main dans ma braguette. << C'est comment dans ta chambre ? >> fait elle en sortant mon sexe tout mou. << Je les aime molles. Elles sont bien plus juteuses ! >> s'écrie Clémentine en frottant sa joue sur ma bite. Nous rions de bon cœur. << Tu me fais du jus après le repas ? Un bon jus de couilles ! >> lance t-elle en se levant pour me prendre la main.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Les effluves parfumées de la Flamiche Picarde trahissent la surprise. << Mmhh, miam ! C'est trop bien ! >> s'écrie Clémentine en me sautant au cou. Tenant fermement mon Zob elle m'embrasse une nouvelle fois. Je l'aide à préparer l'assaisonnement de la salade d'endives. Je mets les assiettes, les couverts. La sonnerie du four. << Ne vas pas de brûler la queue, je sors la tourte ! >> lance Clémentine en enfilant les maniques. Elle sait que rien ne m'excite davantage qu'une fille accroupie que je vois de dos.

Amusée, elle m'observe dans la vitre de la porte du four. Prenant la pose la plus vicieuse possible. J'admire ce merveilleux spectacle en me masturbant doucement. C'est hyper excitant. Ça me fait bander comme le dernier des salauds. Clémentine ouvre enfin la porte pour extraire la tourte aux poireaux. Dorée à souhait. Fumante. Achevant de nous meurtrir les sens d'un appétit d'ogres. Nous mangeons en revenant sur l'anniversaire de Julie. << Je te donne l'autorisation de la pénétrer. Sois hyper vicelard. Elle adore ça ! >> dit Clémentine mimant une pipe.

J'écoute le scénario et sa mise en scène. Nous savons que Julie est une authentique "Soumise" qui ignore encore tout son potentiel. Aussi, il serait judicieux que j'endosse le rôle du "Maître". Clémentine hésite encore entre le rôle de la seconde "Soumise" ou celui de la "collaboratrice". << Je fais "Samantha" vêtue de cuir où je me laisse aller à ma véritable nature ? Qu'est-ce qui vous ferait plaisir mon doux "Maître" ? >> demande t-elle. Je reste dubitatif. Les deux personnages hauts en couleurs sont attractifs, intéressants et hyper excitants.

Je propose de laisser fermenter cette idée. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque la soirée Gloryhole organisée par Juliette. << C'est le vendredi de la semaine prochaine ! Je suis morte de trouille ! >> lance t-elle à plusieurs reprises. Je la rassure. Une fois en situation ce sera une succession de bites, une succession de plaisirs. Gloussant de bonheur, elle change de position pour s'installer à califourchon. Elle recommence à se frotter en me confiant ses craintes, ses appréhensions, ses impatiences.

Je murmure : << Après la vaisselle, je te prends sur le bureau. Comme on aime ! >>. À ces mots Clémentine se lève d'un bond. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. C'est par la queue qu'elle m'entraîne au salon. Elle m'arrache mon jeans, mon slip avant de me faire tomber dans le canapé. Elle retire ses vêtements pour ne garder que son chemisier de coton mauve. Ses chaussettes. Elle s'installe sur le bureau. Nous restons un moment à nous observer en nous masturbant. << Je n'arrête pas de me branler quand je rentre de cours ! >> dit elle.

Je réponds : << Ce qui explique probablement les cernes que tu as sous les yeux ! >>. Clémentine s'écrie : << Viens ! Prends-moi ! >>. Je me lève. Je me précipite vers le bureau. Mon érection est fièrement dressée vers les poutres apparentes du plafond. Seule la lumière des deux grosses bougies. Debout entre les cuisses largement écartées de Clémentine qui reste en appui sur ses coudes, je frotte mon sexe contre le sien. Je saisis son clitoris géant entre le pouce et l'index. Cet acte plonge toujours Clémentine dans d'indicibles tourments de joie.

Elle se couche sur le dos. Avec d'infinies précautions, je la pénètre. Je fais durer en marquant plusieurs arrêts. Je la tiens à présent par ses chevilles pour terminer ma pénétration. Clémentine joue avec son clitoris. Nous adorons rester immobiles. C'est l'instant des aveux. C'est dans cette configuration que Clémentine me confie ses plus intimes secrets de filles. J'écoute, totalement subjugué. Il m'est impossible de bander plus fort. Je ne connais rien de plus stimulant que d'écouter les confessions de la fille que j'aime. Elle m'avoue plein de choses.

Son impérieuse envie de tailler une pipe à un inconnu. C'est devenu un de ses fantasmes par ma faute. C'est le mien depuis ma jeunesse. Au début de notre relation, il y a six ans, je lui racontais souvent ce qui se passait avec Christine ma compagne disparue. Elle avait elle aussi ce goût pour l'inconnu. Je relate d'ailleurs la plupart de nos aventures sur ce même forum. Ce fut un enchantement paradisiaque il y a cinq ans quand, caché, j'ai admiré Clémentine tailler sa première pipe à un mec. À l'évocation de ces souvenirs, nous nous mettons à bouger.

Nous alternons les moments d'immobilité avec ceux beaucoup plus mouvementés d'une baise effrénée. C'est une excitation permanente que de partager nos souvenirs. Clémentine ne compte plus les bites qu'elle a sucé. Moi non plus. La gradation du plaisir gagne en intensité. Femme fontaine, Clémentine s'apprête à subir un nouvel orgasme pisseux. Cette fois, nous essayons d'anticiper. Pour elle, ce n'est pas très drôle. C'est un peu comme un handicap de pisser sans pouvoir contrôler sa jouissance. Pour moi c'est tout simplement divin. Fabuleux.

Bonne nuit à toutes les coquines qui peuvent vivre le bonheur absolu dans la plus totale et la plus parfaite complicité. Bite en bouche sous les draps, ce soir encore...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 27 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2029 -



La compagnie de Juliette en soirée

Hier matin, mercredi, c'est le bruit des moteurs de ce chalutier qui nous réveille. Il semble se rapprocher. Il va rentrer au port. Il est presque six heures et cette surprenant illusion de l'application "océan" nous arrache du sommeil. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. << Je reste au lit ! >> murmure t-elle alors que je dépose des bisous sur son front. Quelques papouilles et nous nous levons dans un effort surhumain pour aller aux toilettes. Habillés de nos vêtements de sport, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.

Clémentine fait le café. J'aime l'entendre me raconter ses rêves. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos folies à deux, hier soir. << J'apprécie quand nous sommes seuls, juste toi et moi ! >> me confiee une fois encore Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la visite de Juliette ce soir. Que faire à manger ? Je propose de réserver la surprise. Nous remontons. Notre heure d'entraînement. Aérobic, joggings sur tapis roulants, exercices au sol, abdos, charges additionnelles, stretching.

Une intensité maximale qui achève de nous réveiller complètement. La douche est rapide mais tellement agréable. Je redescends le premier pour sortir la voiture du garage. Il est presque 7 h45. Le jour achève de se lever sous un ciel qui s'annonce clair, bleu et dégagé. la fraicheur est vive. Clémentine me rejoint. Elle est belle et attractive dans son jeans, son blouson de cuir noir, ses bottines, son bonnet et ses gants. << Je t'aime, j'ai envie de rester avec toi ! >> dit elle en se serrant contre moi. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou.

Je fais la vaisselle, notre lit. De la fenêtre je vois arriver la camionnette de l'entreprise. Les ouvriers terminent aujourd'hui la pause des panneaux photovoltaïques. Je sors pour aller m'entretenir avec la jeune femme responsable du chantier. Je salue les deux ouvriers qui l'accompagnent. Elle m'entraîne à sa suite. Je découvre l'installation. Elle m'explique la suite et la fin des travaux pour la fin d'après-midi. Tout sera fonctionnel dès demain. Les batteries assez impressionnantes sont à l'intérieur du garage. Une autonomie de douze heures.

Une autonomie de douze heures en fonctionnement continu. La charge totale se fait en six heures. Peu importe l'ensoleillement. Ce sont les ultra violets de la lumière du jour qui rechargent les batteries. Je laisse la dame pour rentrer. Le soleil s'est levé dans un ciel entièrement bleu. Je rentre. Dans l'atelier orienté Nord Nord-Est, la luminosité est neutre et semblable toute la journée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je termine probablement ce quatrième portrait de commande avant midi. Il est 8 h30.

Je peins dans une sorte d'exubérance qui me fait pousser des cris surréalistes. Comme toujours je travaille en pensant à tout sauf à ce que je fais. Tout en restant parfaitement concentré. Il est 11 h40 quand je dépose la dernière touche de rouge de cadmium sur la surface de la toile achevée. Je la pose sur le second chevalet afin qu'elle y sèche. Cet après-midi je commence le cinquième portrait de commande. Une dame d'âge mûr qui se fait représenter dans un coin de son salon. Encore une commande épique et étrange. Mais c'est une commande.

Au prix indécent demandé, j'évite les considérations d'ordre éthique. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les restes de la tourte aux poireaux. Et il y en a beaucoup. Je lave les feuilles d'une belle laitue. Pour midi et pour ce soir. L'assaisonnement habituel. Je mange de bon appétit en écoutant André Bercoff sur Sud Radio. Il reçoit aujourd'hui deux spécialistes en droits pénaux. Dans son émission il est questions de ces incivilités qui pourrissent la vie de certaines villes, de certains quartiers. Incivilités causées par des individus certains.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Depuis la fenêtre de la salle de bain j'ai une vue d'ensemble sur le chantier. Un des ouvriers referme le sillon creusé pour y déposer les câbles. Il est un virtuose de la tractopelle. Il fait littéralement virevolter son engin qui semble animé de mouvements surnaturels. Pressé d'aller prendre l'air je dévale les escaliers. La température extérieure est de 24°. Un plaisir. Je descends jusqu'à la rivière. Le bruit lancinant du tractopelle gâche un peu la joie. Aussi, je ne m'attarde pas. Je retourne dans l'atelier.

Je commence ce cinquième portrait animé de la même exubérance que ce matin. L'après-midi passe à une vitesse folle. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table avant de venir vers moi en sautillant. Assise à califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. En se frottant d'un mouvement lent et régulier, elle me dit : << Tu fais ton vicieux ce soir. Fais-moi du spectacle. Juliette ne vient pas seulement pour manger ! >>. Nous rions.

Clémentine m'avoue avoir déjà faim. Elle me supplie d'avouer ce que j'ai prévu pour le repas du soir. J'avoue. J'ai préparé un gratin dauphinois. Du moins à ma manière. Avec une sauce au Roquefort et de petites tomates farcies aux anchois. Elle dépose plein de bisous en mitraille sur mon visage avant de se lever. Elle a encore du travail. La lecture de son livre dont elle devra présenter le résumé écrit et oral pour vendredi matin. Installée dans le vieux canapé, elle me lit des passages à voix hautes ponctuées de propos surréalistes. Nous rions.

Il est 18 h30. Depuis quelques temps il est convenu que Juliette entre dans la maison sans prévenir. La voilà qui toque contre la porte de l'atelier avant d'y entrer. Vision enchanteresse que de voir cette sublime bourgeoise de 48 ans marcher d'un pas gracieux. Ce soir encore elle porte ses vêtements de travail. C'est à dire son pantalon d'écuyère beige, hyper moulant. Ses bottes de cavalière. Une veste brun clair cintrée à la taille sur un chemisier blanc. Ses longs cheveux noirs en liberté sur ses épaules. Elle fait la bise à Clémentine. Toute contente.

Elle vient m'en faire trois. Je nettoie la palette les pinceaux. Juliette aussi aime s'assoir quelques instants devant la toile. L'atelier exerce un attrait tout particulier sur les rares privilégiés qui peuvent y pénétrer. Clémentine ferme son livre et se dirige vers le lavabo. Elle se lave les mains. Je vais la rejoindre. De sa main droite elle fait comme si elle tenait une bite. Je comprends immédiatement. Conformément à sa demande de tout à l'heure, je sors mon sexe pour le poser sur le rebord de faïence. J'observe les réactions de Juliette dans le petit miroir.

Je lui tourne le dos de trois quart. Pour pouvoir apprécier ce que je fais, elle doit se lever et nous rejoindre. Clémentine, tout contre moi, sur ma droite, tient ma bite pour en diriger les premiers jets. Juliette, voyeuse et curieuse, vient nous rejoindre. Sur ma gauche, comme le font Estelle et Julie, Juliette observe la scène. Je lâche de multiples petits jets vifs et nerveux. Clémentine les dirige vers la petite ouverture rectangulaire du trop plein. Avec le robinet d'eau chaude qui coule, l'odeur nous monte aux narines. << J'adore, bien dégueu ! >> lance Juliette.

Clémentine l'invite à tenir ma queue. Sans hésiter Juliette la saisit. Remplaçant les doigts de Clémentine par les siens. Je commence à bander. Ce qui rend les jets moins puissants. Pour éviter que je ne pisse en l'air Juliette n'a d'autres choix que de contraindre ma bite vers le bas. C'est presque douloureux. Lorsque les dernières giclées sont expulsés par contractions de mes muscles fessiers, Juliette change de position pour saisir mon sexe à pleine main. Elle me masturbe en disant : << Espèce de vicelard ! >>. Clémentine se touche en mâtant.

Juliette me lâche brusquement pour se laver les mains à son tour. Je bande comme le dernier des salauds. C'est Clémentine qui m'attrape par la queue en disant : << J'aime mon vicelard ! >>. C'est un cri du cœur quand Juliette s'écrie : << Moi aussi ! >>. Nous rions tous les trois aux éclats. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. J'allume le four pour réchauffer le gratin, les tomates farcies. Clémentine prépare l'assaisonnement de la laitue déjà lavée. Tout en nous racontant sa journée, Juliette met les assiettes et les couverts. Des gestes précis.

Régulièrement, tenant mon sexe encore bien raide entre le pouce et l'index, je l'agite en direction de Juliette ou de Clémentine. << Génial la compagnie d'un vicelard. Vous ne devez pas vous ennuyer Clémentine ! >> lance Julie à deux reprises. Je contourne la table. Je suis debout devant Juliette qui tient un torchon vaisselle. L'air étonné elle me fixe de ses yeux noisettes. Sans hésiter, je glisse ma main entre ses cuisses. Ce réflexe féminin est adorable. Comme un choc électrique qui secoue tout son corps. Je palpe son sexe d'une main ferme. Direct.

Juliette ne porte pas de culotte sous son pantalon moulant quand elle vient nous voir. Jamais. Nous le savons. Je peux donc sentir les lèvres charnues de sa vulve. Les faire rouler sous mes doigts. Elles sont séparées en deux "boules" par la couture centrale de son legging d'équitation. Son regard change soudain. D'étonné il devient sévère. << Espèce de salaud ! >> s'écrie t-elle en se cambrant sur ses genoux fléchis. Pour me permettre de mieux la tripoter. Rien n'excite davantage Clémentine que de me voir faire le vicieux avec une autre femme.

Juliette saisit mon poignet pour que surtout je ne cesse pas. Elle pose le torchon pour saisir ma queue de son autre main. Nous nous masturbons en nous fixant dans les yeux. J'adore ce regard sévère, ce visage à l'expression fière. Lourd de reproche alors que paradoxalement elle guide ma main. Je dis : << Espèce de vicelarde ! >>. Juliette me fait un clin d'œil avant de répondre : << Pour vous servir mon cher pervers ! >>. La sonnerie du four. Juliette me lâche pour contourner la table. Elle enfile les gants de protection. Les maniques.

Accroupie devant la porte du four, dans la vitre, elle reste un petit moment à observer ma masturbation. Juliette aussi sait que rien ne m'excite davantage qu'une femme accroupie vue de dos. Clémentine cesse de remuer la salade pour se toucher. Juliette sort le gratin du four pour le poser, fumant et doré, sur la table. Elle fait de même avec les tomates farcies aux anchois. Nous mangeons de bon appétit en écoutant Juliette nous raconter le quotidien de son entreprise. Le haras recommence à fonctionner à plein. La pension pour chevaux.

Toutefois, la conversation s'axe rapidement sur nos préoccupations. Cette soirée Gloryhole qu'organise Juliette. Vendredi de la semaine prochaine. << Ce 14 octobre devra rester dans les mémoires ! >> lance t-elle. Clémentine pose sa main sur la mienne pour dire : << Je suis morte de trouille ! >>. Juliette se met à rire avant de répondre : << Comme à chaque fois ! >>. Je rajoute : << Une trouille qui disparaît toujours très vite avec les premiers jus de couilles ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Je me lève pour me masturber.

À chaque fois Juliette et Clémentine cesse de parler, de manger, pour observer mes activités. << Jeux de mains jeux de vilains ! >> lance Juliette. << Et vous les appréciez ! >> dit Clémentine. Nous traînons à table. Juliette devra nous laisser pour 22 h. Après la vaisselle nous passons au salon pour y déguster la tarte aux poires ramenée par Juliette. Une de ses spécialités. Un régal. Juliette, vautrée dans le fauteuil qui nous fait face, se touche en regardant Clémentine jouer avec ma queue. Clémentine qui revient sur quelques souvenirs de partouzes.

Juliette nous donne des nouvelles de monsieur Gérard, son ancien palefrenier à la retraite. << Il ne va pas très bien. Il passe de temps en temps ! >> précise Juliette. Je demande : << Et il a droit à sa pipe ? >>. Juliette me lance un regard vicelard, par en-dessous avant de répondre : << Devinez ! >>. Clémentine rajoute : << Je me le sucerais volontiers. Ce vieux cochon me laisse de ces souvenirs ! >>. Nous rions de bon cœur. << Je vais arranger ça ! >> fait Juliette. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Je n'arrête pas d'agiter ma queue.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui adorent les attitudes vicelardes de leur compagnon. Qui se régalent de ses épanchements sous les draps avant de s'endormir tout contre lui...

Julien



Classe

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Classe - 28 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2030 -



Avec Estelle en soirée

Hier matin, jeudi, c'est le cri des oiseaux de mer qui nous tire du sommeil. Il n'est pas tout à fait six heures. Clémentine se serre encore plus fort contre moi en gémissant. Quelques bisous, quelques papouilles. L'application "océan" nous gratifie de l'illusion de nous réveiller dans un petit port quelque part en Écosse. Tout cela ne dure que quarante cinq secondes. Il faut se lever. Nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos habits d'entraînement, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Il y fait presque trop chaud. Radiateurs.

Clémentine, tout en essayant de réunir le souvenir de ses rêves, fait le café. J'écoute amusée en pressant les oranges, en pelant les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier. La présence et les attitudes de Juliette. << Elle est toujours cool dans ses démesures ! >> lance Clémentine. Je rajoute : << Toutefois très mesurée dans sa démesure ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la soirée Gloryhole qu'organise Juliette. C'est vendredi prochain. << La trouille ! >> fait Clémentine.

Nous remontons pour nous offrir le second plaisir de cette nouvelle journée. Aérobic, joggings sur tapis roulants, exercices au sol, abdos, charges additionnelles avant le retour au calme d'un stretching toujours aussi bâclé. La douche. Je me précipite dans les escaliers pour aller préparer la voiture. Il est presque 7 h45. Il fait bien frais. Le jour achève de se lever sous un ciel voilé. Clémentine vient me rejoindre dans les mêmes vêtements que hier. Jeans, foulard de soie mauve, blouson de cuir brun, ses bottines. Je l'adore ainsi vêtue. Très attractive.

Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de retourner au chaud. Faire la vaisselle, faire notre lit. Je redescends lorsque résonnent trois coups de sonnette. Je regarde dans l'écran de l'interphone depuis le hall d'entrée. C'est la responsable du chantier. J'ouvre. La voiture descend le chemin. Je ressors pour venir à sa rencontre. Nous nous saluons. Elle est ce matin en tenue ville. Bien plus sexy qu'en tenue de chantier. La jeune femme est venue pour me donner les consignes, m'expliquer tous les fonctionnements.

Elle m'invite à la suivre. Nous allons d'abord dans la maison d'amis. De là part un câble qui va vers la demeure. Il est souterrain. La cicatrice du creusement est bien visible mais aura disparu d'ici le printemps prochain, avec les repousses. Les batteries des panneaux photovoltaïques de la dépendance alimenteront notre demeure avec 40 % des besoins quotidiens en électricité. Les batteries des panneaux photovoltaïques extérieurs installés hier fourniront les autres 60 %. La jeune femme précise que je pourrai même revendre de l'électricité à l'opérateur EDF.

Nous allons au fond du garage où ont été installées les batteries. Ce sont de gros caissons accessibles dans des armoires en plastique gris. C'est très moche, mais le fond du garage l'est tout autant. Je me fais expliquer le fonctionnement et les indications des écrans lumineux. Ce n'est pas compliqué. Il y a un système d'auto régulation de la température dans les armoires. Ce qui va offrir quelques degrés d'une chaleur supplémentaire en hiver. Plutôt sympa. Je propose à la jeune femme de prendre un café pour la signature des derniers documents. Bien.

Nous voilà au salon. Je suis assis derrière le bureau. La jeune femme assise en face de moi, sort les contrats de son attaché case. Elle regarde la grande pièce, admirative et étonnée. C'est un salon victorien très dix neuvième siècle. De quoi surprendre. Le solde restant à payer sera effectué par virement bancaire. Je téléphone à monsieur Bertoldi le directeur de ma banque. Le virement sera effectif dès le début de la semaine prochaine. Ce qui convient parfaitement à la trésorerie de cette petite entreprise allemande dont le siège est en France.

La jeune femme est souriante. Nous bavardons un peu. Je l'observe. Une dame d'environ trente cinq ans, d'une élégance naturelle. Les cheveux châtains, mi longs, des yeux noisettes, de taille moyenne. Je ne suis qu'un homme et j'ai bien évidemment quelques pensées libidineuses sinon lubriques. Je souri en imaginant Clémentine me chuchoter : << Montre-lui ta queue ! >>. Cela ne me déplairait pas, mais je suis un parfait gentleman. Nous prenons le café. La jeune femme assise sur le bord du fauteuil dans sa jupe tailleur et sa veste blaser.

Ses bas noirs rajoutent encore au charme vestimentaire de cette agréable personne. Une femme sait quand il est temps de mettre un terme à un entretien. Surtout quand ce dernier est d'ordre professionnel. Je la raccompagne jusqu'à sa voiture. Une berline Allemande Audi. C'est quand la jeune femme s'installe au volant que j'ai une vue fugace sur son porte-jarretelles. Magnifique vision. Bien trop rapide. L'entreprise reste à disposition pour tous soucis et s'engage à intervenir dans la journée. L'entretien sera assuré deux fois par an durant la garantie.

Une garantie de cinq ans. C'est avec la jeune femme que nous garderons le contact. Un contact hélas purement professionnel. Je regarde une fois encore l'alliance en or qu'elle porte à l'annulaire. Nous nous saluons. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail. Portail que je referme depuis l'interphone pour me rendre enfin dans l'atelier. Je commence ce matin le cinquième portrait de commande. Un sénior au port de tête altier qui tient un cheval dont on ne voit que la tête et l'encolure. Le commanditaire se veut vêtu en capitaine de la garde.

Je prépare les couleurs sur la palette en pensant à la jeune femme. Je suis serein quand aux coupures électriques que nous imposeront une élite totalement déconnectée des réalités mais tellement méprisante. Grace à notre installation, il peut y avoir toutes les coupures on s'en contre-fout. Nous sommes à présent indépendants. Je peins dans ce profond sentiment de sérénité qui me fait pousser des cris surréalistes. Il est presque midi quand je quitte l'atelier pour la cuisine. Il me suffit de réchauffer les restes du gratin Dauphinois, la dernière tomate farcie.

Accompagnés d'une salade de concombre c'est un repas délicieux. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff reçoit aujourd'hui une journaliste d'investigation qui a enquêté sur les fameux "conseils" que met en place le gouvernement. Comme le "conseil scientifique" durant la Covid par exemple. Ces conseils permettent de contourner habilement et sournoisement la voix parlementaire et d'imposer des mesures scélérates. D'une redoutable efficacité ces conseils sont de véritables dénis de démocratie. C'est proprement scandaleux.

Pour le repas de ce soir, ce seront des beignets de crevettes avec des pommes de terre chips. J'épluche les patates avant de les laver et de les couper en fines tranches. Fines lamelles que je fais frire dans la poêle. Dans le wok je fais rissoler des crevettes décongelées dans leurs jus. Il faut être au fourneaux et parfaitement vigilant. Je concocte une belle pâte à crêpe que je laisse reposer dans le saladier recouvert d'un linge. Tout est prêt pour ce soir. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Dehors, le ciel reste voilé d'un gris uniforme. Il fait plutôt doux.

Je sors pour aller revoir l'installation. Un ensemble de panneaux photovoltaïques totalisant six mètres sur six est impressionnant. Je fais le tour du propriétaire satisfait de ses travaux. Je retourne à ma peinture. Je peins dans le même sentiment rassurant que ce matin. L'après-midi passe vite. Il est déjà 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table avant de se précipiter vers moi. Assise à califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle se frotte en me racontant sa journée. Le menu du restaurant universitaire.

Clémentine ne s'attarde pas. Il lui faut rédiger le résumé des lectures des soirs précédents. Demain matin il faudra le présenter. Chaque étudiant aura exactement deux minutes pour le parfaire d'un oral. Installée devant son ordinateur la voilà plongée dans la rédaction de son opus. Il est 18 h30 quand elle s'écrie : << Terminé ! Ras-le-bol ! >>. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Clémentine, son écrit à la main, tourne autour de moi en en faisant la lecture. Je trouve l'ensemble excellent. Elle déclame son texte comme le ferait une actrice de théâtre.

Assise sur mes genoux elle en refait une seconde lecture. Il commence à faire faim. Il est presque dix neuf heures quand Estelle arrive. Elle aussi à terminé son résumé. Je propose d'aller à la cuisine. Je m'occupe de la préparation du repas pendant que les filles échangent leurs travaux d'écritures. Discutant certains points précis et la manière de le présenter demain matin. J'écoute religieusement. Je jette les crevettes dans la pâte à crêpe. Je récupère chacune pour les mettre dans l'huile bouillante. Au bout d'une minute je les récupère avec l'écumoire.

Je réchauffe les pommes de terre chips dans un plat au four. Je concocte une salade de carottes. Tout est prêt. La table est mise. << Merci Julien ! >> s'écrie Estelle qui se lève la première pour me sauter au cou. Nous mangeons de bon appétit. Les filles restent axées sur la dernière matinée de cours demain matin. Le week-end commence à midi. J'écoute silencieusement. Nous rions de bon cœur quand Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. Totalement hors sujet des propos universitaires échangés et développés.

La vaisselle. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il est déjà 20 h30. << Après l'effort, le réconfort ! >> lance Estelle en retirant son jeans et sa culotte. Je reste pantois. Elle s'installe dans le canapé en disant : << Hier soir, je me suis faite tirer par Jean-Marc. Il faut donc procéder au contrôle du jeudi ! >>. Clémentine s'installe à ses côtés. Toutes les deux en sweats juste et avec leurs chaussettes. Je suis à genoux sur un des épais coussins. Je commence toujours par Estelle qui m'offre la dégustation de son sexe moite et odorant. Elle se masturbe en gloussant.

Je lèche sa fente qui s'ouvre délicatement. Comme les pétales d'une tulipe ses lèvres remontent à la surface. Quand je fouille avec ma langue, Estelle se masturbe. Quand je suce son clitoris elle se contorsionne de plaisir. Je passe à Clémentine dont je fouille les plis et les replis de ses lèvres charnues. Le jus de fille dont le croupion a macéré toute la journée au fond d'une culotte reste le dessert le plus exquis. Et il y a ce gout légèrement acidulé, vinaigré des pipis de la journée. J'en ai des vertiges. Je me régale dans un concerto de gémissements.

<< Mon parrain m'a encore niqué jusqu'à me dézinguer la chatte le salaud ! >> lance Estelle quand je revient la fouiller de ma langue exploratrice. Avant de revenir à Clémentine, je demande : << Et Gauvain, mardi soir , c'était comment ? >>. Estelle me raconte sa soirée au restaurant avec son collègue étudiant. Tout en suçant le clitoris géant de Clémentine j'écoute. << Gauvain n'évoque jamais la sexualité. Je suis certaine qu'à 25 ans c'est encore un puceau. Il me croit probablement vertueuse ! S'il savait la salope que je suis ! >> dit Estelle.

Elle continue : << Je respecte totalement en n'abordant jamais la sexualité. Je ne sais pas s'il est véritablement amoureux de moi mais en tout cas il manifeste un intérêt certain pour ma personne. Il m'invite à passer les vacances d'hiver dans la famille de sa maman à Los Angeles ! >>. Avant de revenir lui bouffer la chatte je m'écrie : << Il faut absolument accepter. Santa Monica vaut vraiment la peine d'y passer deux semaines ! >>. Je la lèche et la suce depuis deux minutes qu'un orgasme nucléaire la tétanise soudain. Elle en hurle de plaisir.

Elle se tourne sur le côté, les mains entre les cuisses, sans cesser de geindre, comme si elle avait mal. Je reviens lécher et sucer Clémentine qui n'a pas cesser de se masturber. J'anticipe. Je saisis la cuvette en plastique sous le guéridon. Prêt à la placer entre ses cuisses dès qu'elle se redressera. Sa respiration s'accélère. Ses petits cris d'animal blessé redoublent d'intensité. Elle s'agite, me repousse délicatement pour jouir de son habituel orgasme pisseux. Je tiens la cuvette pour éviter que ça ne gicle partout. Estelle contre moi contemple ce spectacle.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se font contrôler la chatte le lendemain d'une baise effrénée. Un contrôle concluant et juteux...

Julien (contrôleur technique)



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Classe - 29 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2031 -



L'anniversaire de Julie

Ce sont les cris stridents des mouettes qui nous réveillent hier matin, vendredi. Il est presque six heures. L'application "océan" nous tire une fois encore de nos profonds sommeils. Clémentine, en gémissant, vient se blottir contre moi. Quelques papouilles, quelques bisous plus tard, nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, revêtus de nos tenues de gymnastique, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Clémentine aime me raconter ses rêves en faisant le café. J'écoute amusé car c'est souvent très farfelu. Surtout vers la fin.

Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée avec Estelle. Une soirée cunnilingus qui pourrait rester mémorable s'ils n'y en avaient pas tant d'autres depuis cinq ans. Nous mangeons de bon appétit en évoquant l'anniversaire de Julie qui vient nous rejoindre en début d'après-midi. Nous remontons. C'est l'heure de notre entraînement. Aérobic, joggings sur tapis roulants, exercices au sol, abdos, charges additionnelles. Un retour au calme avec un stretching surréaliste qui nous fait beaucoup rire.

La douche. Je descends le premier. Je sors l'auto du garage. Il est presque 7 h45. Le ciel est voilé de gris. La fraîcheur matinale d'un début d'automne. Avec ses odeurs d'humus. Clémentine vient me rejoindre. Habillée comme les jours précédents. Jeans, sweat, blouson, bottines, son foulard de soie mauve. Un dernier bisou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Je rentre pour faire la vaisselle, le lit. Une fois dans l'atelier, confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette.

Je peins dans un souci du détail qui m'entraîne dans des introspections gratifiantes. Le visage de ce sénior demande beaucoup d'attention car il est ridé comme une vieille pomme. Je veux absolument rendre son portrait plus réel que la plus parfaite des photographies. La matinée passe tellement vite. Il est onze heures quarante cinq. Je nettoie la palette, les pinceaux avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe les restes de beignets de crevettes et de pommes de terre chips. Je n'ai qu'à préparer une belle salade d'endives avec des champignons crus.

Il est midi trente quand Clémentine rentre de cours. << Week-end et peinarde jusqu'à mercredi prochain ! >> lance Clémentine en me sautant au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me couvrir le visages de bises. << Tu m'emmènes comme ça faire pipi ! >> dit elle. Je l'emmène ainsi jusqu'aux toilettes. Elle me raconte sa matinée. La remise de son écrit et son oral qui n'a duré que deux minutes. << Tout s'est super bien passé ! >> conclue t-elle en secouant ma bite pour en faire tomber les dernières gouttes. Il fait très faim.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me fait part de la grande sérénité qui l'a gagné depuis la rentrée. Mercredi prochain commencent les épreuves du concours d'admission au Doctorat. << Beaucoup d'appelés, peu d'élus ! >> fait elle d'un ton fataliste. Je pose ma main sur la sienne pour dire : << Rassure-toi ! C'est comme si ce concours était déjà derrière toi ! >>. Elle me regarde avec un air tristounet avant de répondre : << Puisses-tu dire vrai ! >>. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine confie ses craintes.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents avant de dévaler les escaliers à toute vitesse. Clémentine m'entraîne au salon. Du tiroir du bas du bureau elle tire les cordelettes de coton blanc, la paire de menottes, le collier canin, la laisse et les genouillères. Je la regarde faire en riant car elle décrit la fonction de chacun des objets. Un peu à la façon d'un inventaire. Sur le bureau il y a le paquet cadeau. En papier kraft, enroulé d'un ruban de satin rouge. << Viens ! >> me fait elle en me donnant le paquet et juste les cordelettes. Je reste surpris, étonné.

Nous voilà dans l'atelier. Clémentine monte sur l'escabeau. Aux poutres apparentes il y a plusieurs crochets auxquels je suspends les toiles terminées afin qu'elles sèchent de manière régulière. À deux de ces crochets, Clémentine fixe les cordelettes. Elle redescend pour s'y suspendre en précisant : << Parfait, ça tient ! >>. Je la regarde, admiratif. Ses initiatives suscitent toujours mon admiration. Je reste silencieux. Sans poser de questions. J'ai ma petite idée. Clémentine procède à une mise en scène. << Sors ta bite ! >> me lance t-elle.

Je l'extrais de ma braguette ouverte pour la lui présenter. << Parfait. Il est 13 h30. Julie ne va tarder. Elle est toujours en avance ! >> dit elle. Elle m'entraîne par la main. Nous remontons à l'étage en courant. << Mets-toi en mousquetaire ! >> demande t-elle. Je me déshabille pour enfiler mon pantalon de cuir noir, mon chemisier blanc aux manches bouffantes, mes cuissardes. Je ne suis jamais à l'aise dans cette tenue. C'est contraignant et fort désagréable. Clémentine se vêt d'une de ses jupes kilt, un chemisier blanc, ses escarpins à talons hauts.

Nous prenons des poses devant le miroir. << Mike et Samantha ! >> lance Clémentine en s'accroupissant. Ses cuisses largement écartées, ne portant pas de culotte, Clémentine me fixe d'un regard par en-dessous. Terriblement vicieuse. Sa tête posée sur ma hanche, enserrant ma jambe de ses bras, elle dit : << Mon doux "Maître", offrez-moi de grands moments cet après-midi. Vous aurez deux "Soumises" sous vos ordres ! >>. Je passe ma main sur sa tête pour répondre : << Ma douce "Soumise", je vous promets d'être à la hauteur de vos désirs ! >>.

Je la saisis par ses cheveux pour la forcer à passer entre le miroir et moi. Je frotte son visage sur ma bosse. Je l'aide à se redresser. La tenant par ses cheveux c'est moi qui l'entraîne dans les escaliers. C'est ainsi que nous redescendons. Nous ne l'avons pas entendu arriver. Julie est dans le couloir. << Bonjour ! Comme je suis contente d'être de retour ! >> fait elle en se précipitant vers Clémentine que je lâche. Julie s'approche de moi pour me faire la bise. Elle écarte les pans de son imperméable. Dessous, elle porte sa tenue de soubrette. Sexy.

Clémentine la débarrasse de son imperméable. Nous allons dans l'atelier. << Vous êtes beau habillé comme ça ! >> me fait Julie. Je vais à la table. Je prends le paquet pour le lui tendre en disant : << Bon anniversaire Julie ! >>. Elle est soudain toute gênée. C'est comme si Julie se mettait à fondre. << Bon anniversaire petit ange ! >> lui fait Clémentine. Julie se jette à son cou. Folle amoureuse. Clémentine la repousse délicatement en lançant : << Ouvre ! >>. Julie pose son paquet sur la table pour le déballer. Nous observons, silencieux.

Quand Julie découvre son cadeau elle s'écrie : << Wouah ! Comme il est beau ! C'est la dimension idéale ! >>. Elle tourne l'objet pour l'admirer longuement. << C'est de l'ivoire fossilisé. Sculpté dans une pièce massive ! >> précise Clémentine. Je saisis soudain Julie par ses cheveux. Tout comme je l'ai fait avec Clémentine. J'ordonne : << Nous voulons le voir à la place qui lui est destiné ! >>. Julie, totalement surprise par mon initiative regarde Clémentine avec interrogation. << Oui, ce serait bien. Tu veux que je te le mette ? >> demande Clémentine.

J'entraîne Julie vers le canapé. J'ordonne : << À quatre pattes ! >>. Julie obéit avec célérité. Visiblement toute contente de se retrouver dans cette situation. Je retrousse sa jupette de velours noir. Julie ne porte pas de culotte. Par contre elle porte son plug en palissandre bien enfoncé dans le fondement. << Il faut d'abord retirer celui-là ! >> dit elle. Je saisis la base pour faire tourner doucement l'objet tout en tirant délicatement. Une petite résistance. Je crois percevoir un petit "blop" quand je retire complètement le plug. Il est humide, lubrifié.

Je saisis le nouveau plug que me tend Clémentine qui observe la scène en se touchant. Je présente l'objet devant le visage de Julie en disant : << On crache ! >>. Julie crache, m'en mettant un peu sur les doigts. J'enduis soigneusement l'ivoire lisse. << Il y a déjà de la crème il n'y a qu'à l'enfoncer ! >> précise t-elle. Ce plug ne mesure que 3,5 cm dans sa plus grande largeur sur 5 cm à introduire. Je l'introduis avec d'infinies précautions. En le faisant tourner. Clémentine se penche pour cracher dessus. Le voilà complètement introduit. Julie gémit d'aise.

Elle se redresse. Comme si elle faisait des exercices de gymnastique elle fait des flexions de genoux. Accroupie, debout, accroupie, debout. << Génial ! >> s'écrie t-elle. Je la saisis par sa tignasse pour l'entraîner sous les deux cordelettes qui pendent du plafond. Je prends son poignet droit pour lever son bras. Elle me regarde comme hallucinée. Je l'attache. Je fais de même avec l'autre poignet. Ainsi attachée, les bras relevés, Julie nous lance des regards craintifs. << Bon anniversaire ! >> lance Clémentine que je découvre en "Maîtresse". Sublime.

J'ouvre ma braguette. Ce pantalon de cuir noir est moulant, désagréable et tient trop chaud. Je sors ma bite toute molle. Je la fais tournoyer en contournant Julie. Je passe plusieurs fois autour d'elle. Elle n'ose pas soutenir mon regard. Hyper gênée, honteuse, elle fixe le sol. Clémentine se touche. Elle s'avance. De sa main libre qu'elle glisse sous la jupette de Julie elle la masturbe. << T'es déjà mouillée ! >> lui fait elle en plaçant son visage tout près du sien. Clémentine m'offre là un grand moment. Mon fantasme de la voir faire la gouine revient très fort.

Je présente mon érection à Julie. Je l'agite. Je m'approche. Clémentine passe derrière Julie pour retrousser sa jupette. À l'oreille de Julie je dis : << Je vais vous baiser mademoiselle. Vous enfoncer ma bite dans la chatte en laissant le plug dans votre cul ! >>. J'entends le léger gloussement que tente de dissimuler ma "Soumise". Je passe derrière Julie. Je la soulève. Elle ne pèse rien, petite jeune fille offerte à ses fantasmes les plus inavouables. Clémentine saisit ma queue. Elle guide ma pénétration en chuchotant : << Baisez-la doux "Maître" ! >>.

Julie ne touche plus le sol. Je la tiens soulevée, pénétrée jusqu'à mes couilles. Clémentine m'aide à la tenir relevée en passant devant elle. Je suis au paradis. Ça fait plus de cinq ans que j'attends ce moment. Clémentine en profite pour enfoncer sa langue dans la bouche de Julie. Je m'agite dans notre jeune "Soumise" comme un dément, en poussant des cris d'ours en rut. Je la baise comme le dernier des salauds. Julie pousse de petits cris d'animal blessé. C'est absolument merveilleux. Je dois me contrôler. Je pourrais éjaculer tellement c'est formidable.

Clémentine, accroupie, stimule le clitoris de Julie pénétrée par le plug et par ma bite. Je dis : << Bon anniversaire Julie ! >>. Elle pousse des cris de ravissements. Je demande : << Il te baise comme ça le chef cuisinier ? >>. Julie, trop excitée pour répondre se contente de lancer des : << Mmhh , mmhh ! >>. Je traduis facilement. Cette adorable petite salope adore être traitée ainsi. Je rajoute : << Vous êtes très loin de nous avoir tout raconter. Il serait temps de nous avouer tout ce que vous aimeriez vivre avec nous ! >>. Julie pousse un cri.

Elle se cambre. Pas l'ombre d'un doute, mes questions ont précipité l'orgasme. Je n'en reviens pas. Quand je me retire, Julie se lâche dans une coulure de pisse. Clémentine, en appui contre le lavabo, se masturbe en nous regardant. J'enfonce mes doigts pendant qu'elle pisse. Elle pousse de petits gémissements. Je dis : << Vous nous étonnez Julie. Nous étions loin d'imaginer l'étendue de votre potentiel ! >>. Clémentine lance : << Bienvenue au "Club" ! >>. Je m'enfonce une nouvelle fois. Ma bite jusqu'aux couilles pour la baiser à la hussarde.

J'alterne les mouvements rythmés avec des séquences d'immobilité. Ce qui me permet de chuchoter de belles saloperies à l'oreille de notre "Soumise". Clémentine, à genoux, se masturbe avec frénésie. En se contorsionnant. Rien ne l'excite davantage que de me voir faire le pervers. Je me retire avec la bite dégoulinante. Julie a d'abondantes sécrétions. Il en coule à l'intérieur de ses cuisses. Il en tombe même sur les tommettes dans la flaque de pisse. Je détache Julie. Elle m'adresse un regard éperdu de reconnaissance. Pour baisser les yeux.

J'ordonne : << À quatre pattes ! >>. Julie s'exécute immédiatement. Elle lève la tête en attendant le prochain ordre. Je la tiens par ses cheveux pour l'entraîner vers Clémentine. Clémentine qui s'installe sur ma chaise de travail. Les cuisses largement écartées, elle montre sa chatte à Julie. Je comprends de suite. J'entraîne Julie entre les jambes de Clémentine. Je la tiens par sa nuque pour placer son visage sur le sexe de Clémentine. En poussant un gémissement de ravissement, Julie se met à bouffer. À lécher. Et chez Clémentine, il y a de quoi bouffer, de quoi lécher.

Je me mets à genoux pour pénétrer Julie une nouvelle fois. Clémentine se penche, saisit les oreilles de Julie pour la guider, pour se frotter contre son visage. Elle dit : << Julie, je crois que nous ouvrons un nouveau chapitre de notre histoire ! Nous allons faire de toi notre jouet sexuel, tu veux ? >>. Julie cesse de sucer, le visage trempé du jus de Clémentine, elle répond : << Oh oui ! Oh oui ! S'il vous plaît ! >>. Je n'en peux plus, j'éjacule. J'envahis le vagin de Julie d'une abondante quantité de foutre. Clémentine me regarde jouir avec un air étonné.

Elle me rejoint rapidement en s'offrant un orgasme saphique. Le premier que je lui connaisse. Julie, totalement offerte à nos pulsions, se montre d'une docilité invraisemblable. Elle nous a souvent confié être le jouet de Jean-Louis, le chef cuisinier, le jouet d'Anne-Marie, sa tante. Mais aujourd'hui nous prenons toute la mesure de cette facette de sa personnalité. Les yeux cernés, larmoyants, Julie se redresse. Nous nous levons. Je dis : << Julie, j'adore fouiller votre intimité de ma queue ! >>. Elle s'écrie : << J'adore quand vous le faites ! >>.

Nous reprenons nos esprits. Julie devra nous laisser pour 18 h. Elle retire délicatement le nouveau "cadeau" de son cul. Je saisis son poignet pour humer le plug. Aucune odeur. Julie est une fille d'une hygiène irréprochable. Clémentine saisit Julie par ses cheveux pour la forcer à se pencher. J'enfonce ma bite dans sa bouche en répétant : << Bon anniversaire Julie ! >>. Je me fais tailler une pipe de vrai pervers. J'éjacule une nouvelle fois en disant : << Je vous fais sucer à chacune de vos visites petite salope ! >>. Julie avale avec peine. Comme exaltée.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se révéler dans l'intimité d'un atelier de peintre, en compagnie d'un couple de dépravés...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 30 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2032 -



Un bien agréable samedi

Hier matin, samedi, il n'est pas tout à fait huit heures. Clémentine est restée serrée contre moi toute la nuit. C'est en gémissant qu'elle se blottit encore plus fort. Saisissant mon érection naturelle, se frottant contre ma cuisse, elle murmure : << Un après-midi étonnant suivi d'une soirée merveilleuse ! >>. Je passe ma main entre ses cuisses pour palper son sexe à travers le doux coton blanc de sa culotte. << Je vous aime mon doux "Maître" ! >> chuchote t-elle avant de m'entraîner en me tenant le sexe jusqu'aux toilettes. Nos rituels pisseux.

Morts de faim, dans nos tenues de joggings, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Malgré que les thermostats régulent le fonctionnement des radiateurs il y fait un peu trop chaud. Comme la température extérieure flirte avec les 14° c'est un peu confus pour la technologie. Clémentine fait le café en me racontant les souvenirs de ses rêves. Je presse les oranges, je pèle les derniers kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos "exploits" de hier. Nous avons fait l'amour comme des fous en soirée. Excités par l'après-midi.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant mes trois éjaculations. Par associations d'idées je vais dans le hall d'entrée pour ouvrir le portail depuis l'interphone. Quand je reviens à la cuisine Clémentine s'assoit sur mes genoux pour terminer sa tartine au miel. Nous aimons souder nos lèvres collantes au gout de miel. Le bout de nos langues se faisant de petits câlins sucrés. Du bruit. Il n'est pas 8 h25 que Julie entre dans la cuisine. En lançant un discret << Bonjour ! >> elle paraît toute gênée. Trois bises à Clémentine. Avant de me faire la même chose.

Julie est vêtue d'un jeans, d'un sweat sous son blouson, ses bottines. Ses cheveux presque noirs attachés en une longue natte. << Allez vous entraîner, je m'occupe de tout ! >> dit elle encore. Julie qui vient chaque samedi matin faire le ménage dans la maison a bien du mal à dissimuler sa joie d'être de retour. Avant de quitter la cuisine, nous déposons chacun une bise sur son front. Clémentine lui dit : << Tu était parfaite hier ! >>. Je rajoute : << Nous aurons peut-être l'occasion de fêter vos 22 ans d'ici l'année prochaine ! >>. Elle dit : << J'espère ! >>. Un frisson.

Nous enfilons nos K-ways pour sortir. Le iel est lumineux mais voilé. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Nous descendons jusqu'à la rivière pour courir le long du sentier qui la borde. C'est une véritable réjouissance de pouvoir courir. C'est un plaisir incomparable par rapport à l'entraînement en salle. Il est neuf heures trente quand nous revenons. Ça aussi c'est un vrai plaisir d'entendre l'aspirateur quelque part à l'étage. Nous prenons notre douche avant de nous habiller. Jeans, chemises à carreaux, baskets. Nous redescendons très vite.

Quelle surprise de croiser Julie tenant l'aspirateur vêtue comme hier après-midi, en soubrette. << Fais voir ! >> lance Clémentine. Julie se retourne, se penche en avant. Elle porte enfoncé dans le cul le plug que nous lui avons offert en cadeau. Je dis : << Félicitations Julie, nous adorons vos surprises ! >>. Julie me fait un timide sourire sans oser affronter mon regard. Elle s'adresse à Clémentine : << J'adore vous faire plaisir ! >>. Nous la laissons pour ressortir. Juste à temps. Voilà la camionnette des fruits et légumes qui descend doucement le chemin.

Danièle a pour nous un beau sourire. Sautant de son véhicule qu'elle contourne, elle en ouvre les portes arrières. C'est plein de cageots comme les deux nôtres qu'elle sort. L'un contient nos fruits, nos légumes, l'autre nos fromages, nos yaourts, nos petits pots de crème fraîche, les œufs et la motte de beurre bien jaune. Paiement par carte. Même commande pour la semaine prochaine. Danièle, en même temps que Clémentine, découvre ma braguette béante. Ce trou sombre décoré des boutons brillants de mon 501. C'est du plus bel effet.

Danièle me lance un rapide regard inquisiteur. C'est avec un étrange sourire qu'elle s'installe au volant. Nous nous saluons. En regardant monter la camionnette vers le portail, Clémentine me dit : << Génial le coup de la braguette, je ne l'avais pas vu. Tu ne m'as rien dit ! >>. Nous rions de bon cœur quand je réponds : << Je te promets, j'avais complètement oublié qu'elle était ouverte ! >>. Voilà le tube Citroën rénové de notre boulangère. Discrètement je reboutonne ma braguette en me tournant pour faire semblant d'inventorier les cageots.

Madame Marthe, joviale, avec une amusante anecdote villageoise, nous tend le cageot. Il contient nos grosses miches de pain complet "Bio", les deux pâtes feuilletées, l'immense brioche au pudding ronde, style "chinois". Les deux énormes croissants aux amandes qu'elle nous offre toutes les semaines. Paiement par carte, même commande pour samedi prochain. Nous saluons la dame qui repart pour d'autres livraisons. Nous contournons la maison pour descendre à la cave par derrière. Nous rangeons les fruits et les légumes dans le cellier. Il y fait bien frais.

Se serrant contre moi, Clémentine empoigne ma braguette fermement. << Tu me refais le coup de la braguette devant Danièle tous les samedis matins ! Tu as vu son expression ? >> dit elle. Je suis un peu gêné car justement cette expression n'est pas celle d'un membre du "Club". << C'est bien de varier les plaisirs ! >> lance Clémentine en s'accroupissant pour déboutonner ma braguette. Du congélateur où je dépose une des miches et les deux pâtes feuilletées, je tire un paquet de moules, deux sachets, petits pois et haricots verts. Ce sont les derniers.

<< On ira faire les courses lundi après-midi ! >> propose Clémentine. Nous remontons par l'escalier intérieur. Julie vient de passer la serpillère sur le carrelage de la cuisine. << Allez-y, je repasse après vous ! >> fait elle. Nous rangeons rapidement les produits frais dans le réfrigérateur. Quelle délicieuse personne que Julie. Penchée en avant, essorant la serpillère au-dessus du seau, elle nous offre la vue de son cul. Enculée par le plug en ivoire fossilisé, elle joue parfaitement l'innocente jeune fille. Je passe ma main entre ses fesses. Elle glousse.

Je la caresse délicatement avant de faire tourner doucement le plug. Julie se penche davantage encore pour me permettre une bonne manipulation. Clémentine me sort la queue. Je bande mou. Je saisis Julie par sa natte. Comme par une laisse. Je viens me positionner devant elle, devant le seau. Julie veut se redresser. Je l'en empêche. Je frotte ma queue sur sa petite gueule d'ange. Sans opposer la moindre résistance elle se fait enfoncer la bite dans la bouche. Clémentine se place derrière Julie. Elle passe sa main entre ses cuisses.

Julie, gémissant de plaisir, le clitoris stimulé par les doigts virtuoses de Clémentine, la bouche emplit de mon sexe qu'elle suce passionnément, Julie se comporte selon nos convenances. Je retire mon sexe. Julie se redresse. Clémentine cesse. Nous déposons chacun une bise sur son front avant de la laisser seule à son ménage. Nous passons au salon. Assise sur mes genoux, avant d'allumer l'ordinateur, Clémentine me fait renifler ses doigts. Je reconnais immédiatement l'odeur. Certains sexes féminins sont plus odorants que d'autres.

Celui d'Estelle par exemple. Il me restera en mémoire pour le restant de ma vie. Celui de Julie est assez quelconque. Nous découvrons trois courriels. Celui de l'entreprise allemande qui a procédé à l'installation des panneaux photovoltaïques. Sur l'imprimante il suffit de récupérer les documents de garantie, la facture finale. << Cela rajoutera encore une plus value à la propriété ! >> précise Clémentine qui s'est occupé de tout. Le virement bancaire sera effectué lundi ou mardi. Il y a le message de Juliette qui nous invite à manger mercredi prochain. Rituel.

Le mail d'Estelle qui nous rejoint en début d'après-midi. Clémentine surfe sur le site universitaire. C'est à voix haute qu'elle lit le programme. Les épreuves du concours d'admission au Doctorat auront bien lieu le mercredi 12 octobre, le jeudi 13, le vendredi 14 au matin, et lundi 17 octobre. Les résultats seront envoyés par courrier "papier" à partir du lundi 24 octobre. << Ce qui annonce des vacances jusqu'après les congés de la Toussaint ! >> précise Clémentine. Je propose : << On se barre ! On se fait un petit voyage ! Tu veux ? >>.

Clémentine murmure : << Génial. J'ai déjà une idée ! >>. Dans la petite enveloppe jaune, je glisse un billet de 50 euros. Clémentine y rajoute quelques mots que je signe d'un dessin ambiguë. Une fleur stylisée pouvant être interprétée comme un sexe masculin. Il est onze heures trente cinq. Julie vient nous rejoindre. À nouveau vêtue de son jeans, de son sweat. << Vous avez une maison bien propre ! >> dit elle. Timidement debout devant le bureau, les mains croisées à hauteur de sa braguette. Clémentine se lève pour contourner le bureau.

Elle pose ses mains sur les épaules de Julie. << Merci Julie. Pour tout. Surtout pour ta présence ! >>. Je me lève pour les rejoindre. Je tends son enveloppe à Julie qui dit : << Merci. Ce matin j'ai même été payée en "nature" ! >>. Nous rions aux éclats de ce trait d'humour. Même si elle n'ose pas affronter mes regards, gardant les yeux fixés sur ma braguette ouverte, Julie reste pleine d'une reconnaissance sincère. Je demande : << Vous appréciez mes initiatives ou préférez-vous que je vous demande avant ? >>. Julie lève la tête, étonnée.

<< Oh non, j'aime les surprises ! >> lance t-elle en m'adressant un merveilleux sourire. Je dépose une bise sur son front. Me voilà parfaitement rassuré. Je sors ma bite. Je bande mou et une coulure de liquide séminal, épaisse et visqueuse, apparaît immédiatement. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Elle revient lundi soir pour partager un bon repas. Assise au volant de sa Clio rouge, la vitre baissée, Julie regarde mon sexe tenu fermement par Clémentine. Nous lui souhaitons un excellent week-end et du courage pour son job de serveuse.

Julie démarre. Je m'approche. Mon sexe dans l'habitacle, à quelques centimètres de son visage. Elle y dépose une bise. Hésite, et la prend en bouche. Une légère succion de quelques secondes, je me retire. Nous la regardons partir un peu tristounette. Arrivée au portail, Julie sort de son auto pour nous envoyer plein de baisers qu'elle souffle dans sa main. J'agite ma queue dans sa direction pendant que Clémentine souffle des bises dans la sienne. << Une nouvelle page se tourne ! >> dit elle en m'entraînant par la bite. Nous sommes morts de faim.

Clémentine fait la salade et son assaisonnement. Je prépare le bouillon pour y plonger les moules encore congelées. Dans le wok je réchauffe les petits pois, les haricots verts. J'écoute Clémentine me donner ses impressions. Elle adore mes comportements de satyre avec d'autres filles. Elle n'est jamais déçue car j'entre très facilement dans la peau du personnage. Nous préparons notre repas en nous faisant plein de bisous. C'est rapide de cuisiner du surgelé. Pas très nutritif mais bien bourratif. Bon dans la bouche, moins bon pour l'organisme.

Nous mangeons toutefois de bon appétit en revenant sur l'invitation de Juliette mercredi prochain. Ce sera le premier jour des épreuves du concours. Clémentine ne sait pas dans quel état d'esprit elle sera mercredi soir. Aussi, nous nous réservons la possibilité de rester à la maison. Traîner à table est tellement agréable. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie à quel point l'idée du Gloryhole de vendredi prochain l'émeut. << Je suis doublement excitée. Après trois jours de concours ce sera assez déroutant ! >> dit elle.

Nous en rions de bon cœur. << Tu ne baises pas avec Juliette, hein, promis ! >> lance Clémentine. Je la rassure : << Il y aura Estelle pour s'occuper de moi. Nous prendrons un plaisir fou à te tenir compagnie et surtout à te regarder ! >>. Clémentine change de position pour s'installer à califourchon sur mes cuisses. C'est en se frottant qu'elle me raconte quelques souvenirs des Gloryhole passés. J'écoute. J'offre une bosse conséquente contre laquelle elle peut se contorsionner. C'est ainsi qu'Estelle nous retrouve. Avec au mois une demi heure d'avance

Elle se précipite pour nous faire plein de bises. Clémentine se lève pour lui faire de la place. Mes deux anges sont installées sur mes cuisses. C'est merveilleux de se retrouver tous les trois. Nous avons éprouvé ces joies des centaines de fois. Impossible de s'en lasser. Clémentine raconte l'anniversaire de Julie fêté hier après-midi. << Tu as encore donné libre cours à tes penchants de vieux pervers, n'est-ce pas, vieux salaud ! >> me fait Estelle en couvrant mes joues de bises. Je dis : << Comme je vais les laisser s'exprimer ce week-end avec toi ! >>.

C'est dans cette ambiance d'enchantement que nous faisons la vaisselle. Je prends le grand sac de sport qu'emmène toujours Estelle quand elle vient passer le week-end. Nous montons pour nous laver les dents. Estelle déballe son pyjama de soie mauve en nous racontant son après-midi et sa soirée de hier. En compagnie de ses parents. << Papa se réjouit d'acheter ta voiture. Il n'arrête pas d'en parler ! >> précise t-elle. Je dis : << J'aurai la nouvelle d'ici deux semaines. On va s'occuper des formalités. On invite tes parents le dimanche 23 ! >>.

Pressés de sortir nous dévalons les escaliers. Les filles restent accrochées à mon bras. Nous descendons jusqu'à la rivière. Le ciel reste voilé d'un gris uniforme. Un véritable après-midi d'automne. Il fait doux. Le thermomètre extérieur indique 22°. << On se fait une virée à vélo ? >> propose Clémentine. << Chouette ! >> lance Estelle. Nous remontons à toute vitesse. Leggings, sweats, baskets. Dans le petit sac à dos les K-ways. Estelle devra se contenter de mon vieux vélo de course toujours parfaitement entretenu. Je vérifie le gonflage des pneus.

C'est parti. 300 m jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle de bois dont j'ouvre le cadenas du haut portillon. 500 m jusqu'à la piste cyclable. Il n'y a pas un souffle de vent. Nous croisons quelques cyclistes. Nous pouvons pédaler côte à côte. Les filles parlent des épreuves du concours. Préoccupées par les matières qui seront imposées. Même si elles sont toutes les deux parfaitement "affutées", il y a toujours un côté "sournois" dans un concours. Ce n'est pas un examen. C'est un peu une loterie où seuls les meilleurs gagnent. J'écoute silencieusement.

C'est agréable de rouler le long du canal. Les eaux y sont à leur maximum. La saison de la plaisance est terminée. Plus aucun bateau. Un arrêt au cabanon de l'écluse. Le premier pipi des filles. Il n'y a personne. Accroupies, leurs leggings aux genoux, tenus relevés par l'index, Estelle et Clémentine pissent au milieu de la route. Je tiens les mouchoirs en papier tout en faisant le guet. Je les tiens par leurs nuques. C'est amusant de voir la pisse couler sur toute la largeur de la piste cyclable. Celle d'Estelle vers la gauche. Celle de Clémentine à droite.

Je les torche toutes les deux. Nous rions aux éclats quand je leurs montre l'aspect des mouchoirs. Estelle palpe ma bosse. << Tu es sexy dans ton collant noir et on a un bon accès à ta bite ! >> lance t-elle en me tripotant. Clémentine empoigne mes couilles. Distribution de bises. C'est ainsi que nous nous faisons surprendre par un couple de cyclistes. On ne les avait pas vu venir. << Bonjour, excusez-nous ! >> fait la jeune femme avec un sourire coquin. Nous remontons sur nos vélos. Il y a encore 15 kilomètres jusqu'au petit port de plaisance.

Des feuilles jonchent déjà le bord de la route. Celles qui sont aux arbres virent à l'ocre, vers le roux. Avec la luminosité particulière de l'après-midi, c'est magique. Il est 15 h30 quand nous arrivons au port. Il y a des gens. Les joueurs de boules, fidèles à leurs activités. Des groupes de cyclistes. Nous fermons les bicyclettes à cadenas derrière le cabanon de la capitainerie fermée. On traverse la route pour aller dans la supérette. Ce sera juste un cône glacé. Nous bavardons un peu avec la gérante. Demain, ce sera la dernière festivité de l'année sur le port.

La fête des marrons chauds. Une manifestation festive organisée par la municipalité du bourg voisin. Nous flânons sur les quais en savourant nos glaces. Il y a un type qui gare sa moto. Il retire son casque. Il consulte probablement le GPS sur l'écran de son téléphone. << Restez là, je vais m'amuser un peu ! >> fait Clémentine. Estelle m'entraîne par la main. Nous passons derrière le kiosque rond. Il est déformé par les centaines d'affiches qui le recouvrent depuis des dizaines d'années. Nous regardons Clémentine marcher lentement, les bras croisés.

Elle passe derrière les bancs, entre le mur et les platanes. L'homme à la moto la remarque à son second passage. Cette grande jeune fille à la silhouette athlétique, sublimée par un collant noir, un sweat moulant noir, ses longs cheveux noirs comme une crinière qui flotte dans son dos. Il n'en faut pas davantage pour éveiller la libido de n'importe quel mâle normalement constitué. Surtout que le port de tête altier de Clémentine lui confère une allure fière et conquérante. On n'aborde pas ce genre de femme avec de quelconques attitudes. Il faut de la classe.

Clémentine fait semblant de consulter son téléphone. L'inconnu est penché derrière sa moto. Il fouille dans une des sacoches. On le voit loucher vers la fille debout à une vingtaine de mètres. Estelle me palpe la bosse. Quand j'assiste aux approches de Clémentine, je suis victime d'érections presque douloureuses. De quoi remplir la main d'Estelle qui me tripote tout en regardant partout autour de nous. Juste les joueurs de boules, là-bas, qui ne nous prêtent aucune attention. Mon sang ne fait qu'un tour. Clémentine se touche de sa main gauche.

Tenant le téléphone de sa main droite elle joue à la perfection la découverte d'un message. Le type se redresse. Il contemple ce spectacle comme halluciné. Clémentine, discrète mais "active" se touche. Je sais qu'elle ne fait jamais semblant de se masturber. Elle se masturbe toujours pour de bon dans ces situations qu'elle adore créer et mettre en scène. On devine le sentiment qui anime le motard. Partagé entre le désir d'aller draguer, l'embarras et l'excitation, il reste perplexe. Il regarde partout autour de lui. Personne dans les environs immédiats. Parfait.

Estelle se touche de sa main gauche tout en gardant la droite sur ma bosse. Cette bosse qui risque de crever le lycra de mon legging. Je tripote son sexe. Clémentine avance de quelques pas. Reprend sa position. Se touche à nouveau. S'en est trop pour le quidam qui va à sa rencontre. La distance nous empêche d'entendre la nature des propos échangés. Ce qui achève de nous exciter comme des dingues c'est de voir Clémentine bavarder avec l'étranger tout en se tripotant. En tant qu'homme je devine tout à fait ce qui se passe dans la psyché du mec.

Le motard pointe son index en direction du restaurant bar au bout de la jetée. Il invite probablement Clémentine. Nous la voyons faire non de la tête. Le type n'insiste pas. Pour mettre un terme à l'embarras du quidam, détestant être draguée et abordée, Clémentine tourne les talons et s'éloigne rapidement. L'homme reste là, un peu décontenancé. Il hausse les épaules en retournant à sa moto. Nous rejoignons Clémentine aux bicyclettes. Effectivement l'inconnu voulait l'inviter à boire un verre. Nous reprenons la piste cyclable en sens contraire.

Il faut enfiler les K-ways. La fraîcheur de la fin de l'après-midi s'affirme. L'absence de vent nous permet de rouler d'un bon rythme. Il est 18 h45 quand nous arrivons à la maison. Assis tous les trois à la table de la cuisine, nous épluchons les pommes de terre, les carottes, les navets, le céleri. Ce sera pour la potée de légumes qui accompagnera nos trois repas du week-end. Clémentine fait la salade. Estelle touille les légumes. Dans une poêle je fais rissoler trois beaux dos de cabillaud blanc. Une préparation rapide et sympa. Les fille parlent études.

Nous mangeons de bon appétit. La conversation s'axe sur le Gloryhole organisé par Juliette vendredi prochain. Estelle prévient : << Je ne suce que la bite de Julien ! >>. Nous rions aux éclats quand Clémentine rajoute : << Et moi toutes les autres ! >>. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. Tous les trois, encore en leggings, nous pouvons nous toucher facilement. Je propose à mes deux anges une soirée léchage de minous après la vaisselle. << Tu me fais comme à Julie hier ! >> s'écrie Estelle. Sévère.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se faire nettoyer le minou après un après-midi vélo. À grands coups de langue, de bite...

Julien (nettoyeur)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 31 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2033 -



Doux dimanche de douceurs

Hier matin, dimanche, il est un peu plus de neuf heures quand nous nous réveillons. Tous les trois. Quasiment en même temps. Je suis entre mes deux anges. Elles sont restées contre moi toute la nuit. Comment est-ce possible que nous épousions chacun les mouvements de l'autre tout en continuant à dormir aussi profondément ? Un autre mystère que nous refusons de continuer à percer. Inutile. Estelle me saisit l'érection naturelle la première. Devançant Clémentine d'une fraction de seconde. Elle empoigne mes couilles. Leurs lèvres sur mes joues.

Je passe mes mains dans les culottes pour de pileuses explorations. Je démêle quelques nœuds avec les doigts en peigne. Qu'il est bon de se réveiller au paradis. Estelle à ma droite qui se frotte contre ma hanche. Clémentine à ma gauche qui fait de même. Distribution de bisous, de papouilles. C'est extraordinairement voluptueux ce matin encore. L'impérieux besoin naturel d'Estelle met un terme à ses effusions de tendresses. Elle se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine se couche sur moi. Nous regardons Estelle filer vers la porte.

<< J'ai adoré me faire nettoyer le minou hier soir mon amour ! >> murmure Clémentine qui frotte son sexe sur ma turgescence. Même si nous ne sommes pas du matin, c'est un bonheur supplémentaire. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Amoureux fous nous n'arrêtons plus de nous faire des câlins. Morts de faim, vêtus de nos slips et T-shirts de nuit, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Déjà l'odeur du café, du pain grillé. Ce magnifique "chinois" trône au milieu de la table. Cette brioche au pudding nous fait de l'œil.

Estelle me saute au cou. Je la soulève. Enserrant ma taille de ses jambes elle s'exclame : << Mais comme c'était bon hier soir ! J'ai le minou tout propre mon "nettoyeur" ! >>. Cette coïncidence dans le propos nous fait éclater de rire. Je pose Estelle au sol pour soulever Clémentine qui attend son tour. Je suis l'homme le plus heureux du monde. Estelle et Clémentine sont les filles les plus aimées au monde. Nous prenons notre petit déjeuner en envisageant quelques options pour l'après-midi. La fête des marrons chauds, randonnée pédestre ou bicyclette ?

Nous mangeons de bon appétit en pesant le pour et le contre de chaque possibilité. << Laissons l'inspiration nous envahir il n'est que dix heures ! >> lance sagement Clémentine. Je dis : << De toute manière, quelque soit notre activité, ce soir je procède à un nettoyage de minous ! >>. Les filles s'assoient sur mes genoux tout en continuant à savourer leurs tartines au miel. Les morceaux de cette délicieuse brioche qu'elles adorent tremper dans leurs cafés. Estelle, en pyjama, se penche, se cambre et se frotte ainsi sur ma cuisse en gloussant.

Nous traînons à table. L'appréhension bien normale avant une échéance aussi importante, revient vite au galop. Estelle et Clémentine évoquent le début des épreuves du concours d'admission au Doctorat. C'est mercredi, à huit heures, à l'université. J'ai beau les rassurer du mieux que je peux avec les meilleurs arguments, il subsiste une pointe d'angoisse. Je dis : << Mais vous avez tellement bossé toutes les deux, depuis toutes ces années. Comment voulez-vous rater cette épreuve ? >>. Elles me font des tas de bisous. Je suis noyé de douceurs.

La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Tout en faisant les clowns devant le miroir de la salle de la salle de bain, je ressens une lointaine crainte présente. Mes deux anges n'en montrent rien, luttant pour chasser les idées noires. Nous faisons le lit. Il faut refermer les fenêtres car il fait froid. Nous nous habillons dans la salle de bain avant de dévaler les escaliers. Pressées de se changer les idées les filles m'entraînent par la main. Il fait plutôt moche là dehors. Un ciel voilé, obstinément gris et bas. << Ciel d'automne ! >> lance Clémentine.

Nous enfilons les blousons pour descendre jusqu'à la rivière. Les canards, les poules d'eau, les colverts nous accueillent par des cris sonores. Quand ils voient un humain, ils s'attendent à un peu de nourriture. C'est notre voisin, Louis Bertrand, qui les a habitué à ça. Estelle glisse sa main dans ma braguette toujours déboutonnée. Elle fouille dans mon slip en disant : << C'est le bordel dans ta chambre ! Elle est où ? >>. Totalement mou, mon sexe est enroulé sur lui-même au fond du slibard. Elle s'en saisit. << Il est moite et il colle au fond ! >> lance t-elle.

Me voilà bite à l'air sur le sentier qui longe la rivière. Estelle qui marche devant se retourne à plusieurs reprises. Marquant un arrêt pour poser sa bouche sur la mienne. Pour saisir ma queue. Clémentine qui est derrière moi vient se serrer, ses mains autour de ma taille. Ainsi, il nous faut une bonne demi heure pour arriver au vieux lavoir. Je suis entre mes deux anges. Assis sur le muret du bassin vide, nous conversons. Estelle, tout en bavardant, tord ma bite dans tous les sens. Heureusement je bande mou. J'écoute les filles parler de mercredi.

Nous prenons le sens du retour en observant scrupuleusement les mêmes rituels. Mais cette fois c'est moi qui glisse mes mains dans les jeans. Dans les culottes. Pour me permettre un meilleur accès, Clémentine déboutonne son 501. Elle peut tout à fait marcher sans qu'il ne tombe. La morphologie féminine de mes deux coquines offre cette possibilité. Même si parfois elle doivent se réajuster, le remonter un peu. Comme c'est bon d'explorer les intimités des anges. Je n'arrête pas de renifler mes doigts. Estelle attrape mon poignet pour les sentir aussi.

Il est presque midi quand nous revenons. Clémentine s'occupe de la salade. Concombre, tomates et avocat. Estelle prépare les pavés de saumon en papillotes. Gardant son blouson car la véranda n'est pas chauffée, elle procède à la cuisson sur le barbecue électrique. Je remue la potée de légumes que je réchauffe. Parfois, je vais devant la vitre légèrement fumée pour agiter ma queue. Clémentine vient se coller derrière moi pour prendre le relai. En imitant des masturbations masculines bien vulgos, Estelle nous fait à chaque fois d'horribles grimaces.

Nous mangeons de bon appétit tout en revenant sur cette inspiration qui ne vient pas. Je propose le port de plaisance. La fête des marrons chauds. De nous y rendre avec la voiture. << Tu aimes les marrons chauds toi ? >> demande Estelle. << Au point de faire 35 bornes en bagnole ? >> demande Clémentine. Je demande à mon tour : << Pour aller nous faire chier avec du monde autour ? >>. Nous rions aux éclats. Nous optons finalement pour une randonnée. << Ça fait longtemps qu'on est pas monté au vieux monastère ! >> lance Estelle.

<< Judicieuse affirmation ! >> précise Clémentine. Avec cette météo n'est-ce pas la plus censée des options ? Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous remontons pour nous laver les dents. Pressés de filer, nous descendons à toute vitesse. Dans le petit sac à dos que je porte, des fruits, des barres de céréales, la minuscule paire de jumelles, une thermos avec du thé chaud. Les anoraks. Les grosses godasses. C'est parti. Je roule doucement. Clémentine me sort la queue. Assise à l'arrière Estelle caresse mon cou. Mes joues. Il n'y a que cinq kilomètres.

Nous traversons le bourg. Il y a là une manifestation culturelle. La visite d'une exposition sous un grand chapiteau. << On se casse ! >> suggère Clémentine qui m'a sorti la queue. << Oui, on s'en bat les ovaires ! >> fait Estelle. Je gare l'auto le long du muret de la vieille chapelle désacralisée. Là aussi il y a une exposition. C'est une dame, peintre amatrice, qui présente ses abstractions. << Si on aime les nouillonades, c'est parfait ! >> lance Estelle. << On n'aime pas ! >> s'écrie Clémentine. Nous chaussons nos godasses de randonnées.

Celles que nous avons acheté à Fort William l'an dernier. Je porte le petit sac à dos. Nous traversons la route pour nous engager dans le chemin qui monte. Le paysage devient de plus en plus automnale. Le feuillage des arbres qui vire aux roux les plus variés. Nous croisons nombre de marcheurs. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par les mains. Évidemment nous attirons encore bien des regards. Nous nous en amusons beaucoup. Surtout que pour bien signifier la nature de notre trio, les filles me font des bisous. Non, je ne suis pas leurs papa.

Il y a une demi heure de marche jusqu'aux ruines de l'ancienne tuilerie. Nous connaissons bien les lieux. Nous y avons même tourné un film porno avec Julie il y a trois ans. << Tu te souviens quand elle était attachée aux chaînes qui pendent près du grand four ? >> lance Estelle. Tous les détails nous reviennent en mémoire. Ce qui nous excitent considérablement. Il y a des familles qui explorent l'endroit. Nous évitons pour continuer en prenant le sentier qui contourne les bâtiments. Une autre demi heure. Nous voilà au-dessus de l'ancienne carrière.

Sujets au vertige, Clémentine et moi nous restons à l'écart du précipice sur notre droite. Estelle s'en amuse. J'ai la bite à l'air. Quand nous croisons des promeneurs Estelle ou Clémentine me prennent dans leurs bras. Ce qui cache mes attributs virils à la vue des passants. Non, je ne suis pas le papa des deux adorables jeunes filles qui se frottent à moi, mesdames. C'est ma pensée lorsque ce groupe de femmes nous croisent, nous saluent. Certaines ont un sourire amusé, d'autres nous observent comme si nous étions des extra terrestres du type Aliens.

Le ciel est bas. Ne deviendrait-il pas menaçant ? La sagesse nous incite à prendre le sentier qui descend sur la droite. Il fait une boucle qui nous ramène aux anciennes tuileries. Deuxième arrêt pipi. En contrebas du sentier, sur une plateforme rocheuse, cachés par des bosquets, nous pouvons nous adonner à nos rituels pisseux. Les filles, jeans et culottes aux genoux s'amusent à un concours de jets. C'est toujours Clémentine qui gagne. Je peux me régaler en léchant les sexes de chacune avant de les essuyer. Une position pénible. Je suis devenu contorsionniste.

Estelle me tient la bite pour en diriger les jets. Clémentine, accroupie, attend la fin de chacun pour sucer un court instant. Les filles permutent à deux reprises. C'est au tour d'Estelle. C'est bien plus facile pour mes deux anges que pour moi. Je ne suis pas obligé de descendre mon jeans et mon slip. C'est doublement amusant car nous entendons des voix de randonneurs à quelque mètres au-dessus de nous. Nous continuons notre périple. Il y a quelques gouttes de pluie. Pas de parapluie. << Comme des cons ! >> lance Estelle. Rires.

Heureusement ce ne sont que quelques gouttes. Nous revenons à la voiture sans êtres véritablement mouillés. Il est 18 h45 quand nous sommes de retour à la maison. Clémentine s'occupe de la salade d'endives. Estelle nous concocte sa spécialité des dimanches soirs. Une belle omelette aux trois fromages. Onctueuse et bien épaisse. Je touille la potée de légumes afin qu'elle ne colle pas au fond de la cocotte. Nous mangeons de bon appétit. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Je lui propose de rester avec nous jusqu'à demain matin. Pas école !

<< Il faut que j'aide maman et la secrétaire au bureau. L'entreprise familiale connaît un tel essor ! >> répond Estelle. Je n'insiste pas. << Oh et puis merde ! J'y vais quand on se réveille, après le petit déj ! >> s'écrie t-elle, changeant d'avis. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges mettent au point la stratégie du levé demain matin. Estelle préfère téléphoner à ses parents pour les prévenir qu'elle ne rentrera que demain matin. << Avec ce qui nous attend mercredi ! >> précise t-elle.

La vaisselle. << Notre nettoyeur est-il opérationnel ? >> lance Estelle en me sortant la queue. C'est en me la tenant qu'elle m'entraîne au salon. << Ce soir, c'est moi qui te la nettoie ! >> lance Clémentine qui la saisit quand Estelle la lâche pour retirer son jeans, sa culotte. Mes amis ! Existe t-il en met plus succulent qu'une chatte ayant macéré dans son jus depuis 24 h ? Après les efforts d'une randonnée ? Les multiples petites excitations d'une journée de câlins ? Non ! Et je m'en régale en ce dimanche soir en me faisant sucer par la fille que j'aime.

Le minou d'Estelle reste une énigme. Je lèche la fente avant qu'elle ne s'écarte doucement. Les lèvres jaillissent un peu à la manières des pétales d'une tulipe. Il s'écoule de la crème. Je l'aspire. Pour en fabriquer il me suffit de sucer son clitoris. Estelle se masturbe dès que je cesse pour aller recueillir ses coulées de cyprine. Ses gémissements sont la plus belle des musiques. Pour Clémentine c'est bien plus inconfortable. Couchée sur le côté, en appui sur son coude, sa tête entre mon bassin et le canapé, elle tête en gloussant en pompant mon jus.

Bonne fin de soirée et bonne nouille à toutes les coquines éperdues de bonheur, qui se sont épanchées en hurlant de plaisir, avant le lit...

Julien (nettoyeur)



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Classe - 32 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2034 -



Un lundi de calme et de repos

Hier matin, lundi, il n'est pas tout à fait huit heures. Estelle, tout contre moi, glisse sa main sur ma poitrine, mon ventre, s'introduit dans mon slip. Elle saisit mon érection naturelle. Ses lèvres dans mon cou qui se referment en ventouse. Ce qui réveille Clémentine qui se blottit encore plus fort. Ma tumescence déjà dans la main d'Estelle elle empoigne mes couilles. Je glisse mes mains dans les culottes. Nous nous mettons à rire tous les trois de ces automatismes. Estelle, saisie par un impérieux besoin de pisser, se lève pour se précipiter vers la porte.

Clémentine tient à présent mon sexe à pleine main en murmurant : << Aujourd'hui c'est mon jouet à moi. Exclusif et privé ! >>. Des bisous, des papouilles. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, dans nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers. Estelle, dans l'odeur du café qu'elle prépare, nous dit : << Ça me fait tout drôle d'être là un lundi matin. C'est comme pendant les vacances ! >>. L'odeur de brioche qui réchauffe dans le four à micros ondes devient prépondérante. Je presse les oranges. Clémentine pèle les kiwis.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les meilleurs moments de ce week-end. Estelle nous laissera immédiatement après le petit déjeuner. << Je fais mon jogging ce soir après le boulot ! >>. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le programme chargé de cette nouvelle semaine. Il le sera surtout pour mes deux anges qui préfèrent occulter l'échéance fatidique du mercredi qui s'annonce. Personne n'a le droit d'en parler. Elles éclatent de rire en venant s'assoir sur mes genoux. Elles me tendent les tranches de pain grillé que je tartine de beurre.

Il est 8 h30. Pendant que nous faisons la vaisselle, Estelle monte se changer, récupérer son sac de sport. Nous enfilons nos K-ways pour la raccompagner jusqu'à sa voiture. Assise au volant, un peu tristounette, Estelle mime une pipe en disant : << Vous pensez à moi hein ! >>. Nous déposons chacun un dernier bisou sur son front. Elle démarre, nous la regardons partir. Un dernier coucou. Il est 8 H45. Le ciel est voilé d'un gris persistant. Le sol est humide des pluies de la nuit. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti pour un bon running.

Nous courons sur le bord de l'étroite route communale. Seule possibilité de jogger sur du dur. Une heure d'un gratifiant jogging. La douche. Nous faisons le lit. Vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux, de nos baskets, nous dévalons les escaliers pour nous rendre dans l'atelier. Même si Clémentine refuse de prononcer le mot "concours" elle s'installe à la table de travail en ouvrant un classeur, en allumant l'ordinateur. J'en profite pour réaliser les deux dessins préparatoires des paysages de commandes. Nous adorons ces séances communes.

Parfois je me lève afin de rejoindre Clémentine. Debout derrière elle, je lisse ses cheveux. Elle reste concentrée sur ses lectures, sur ses révisions. À chaque fois que je veux retourner à mes dessins, elle saisit mon poignet pour m'empêcher de partir. Ce n'est qu'après une bise dans la nuque qu'elle me lâche. La matinée passe ainsi. Il est presque midi et il commence à faire faim. Clémentine range ses affaires en disant : << Basta jusqu'à mercredi ! >>. Elle vient me rejoindre pour glisser sa main dans ma braguette ouverte. Elle m'embrasse.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade de tomates et de l'assaisonnement. Je réchauffe le reste de potée de légumes. Dans la poêle, avec des champignons, je fais rissoler deux filets de lotte. C'est tout ce qui reste au congélateur. Nous allons faire des courses cet après-midi. Je vérifie l'état de charge de la batterie de la glacière. Déjà à moins deux degrés. Il faut atteindre l'idéal des moins dix degrés avant de partir. Cette température sera maintenue en branchant la glacière sur l'allume cigare de la voiture. C'est parfait.

Nous mangeons de bon appétit tout en faisant la liste des achats. La logistique des prochains jours impose de ne rien omettre. Il faut reconstituer le stock des produits de la mer que nous affectionnons tout particulièrement. Assise sur mes genoux, Clémentine fait l'inventaire de tout ce qu'elle a noté. Nous traînons à table en relisant, en réfléchissant à haute voix. << J'ai besoin de m'extérioriser cet après-midi. Sans doute le stress ! >> lance t-elle en se levant pour changer de position. Elle s'installe à califourchon pour pouvoir se frotter.

Entre chaque phrase, nous touchons nos lèvres. Clémentine se masturbe doucement tout en me confiant ses désirs de l'après-midi. << Il me faut au moins une bonne exhibe. Un truc bien vicelard. Tu m'aides ? >> lance t-elle. Je promets de faire de mon mieux. Ce qui consistera à faire le garde du corps, le vigile, le gardien du temple. Nous rions de bon cœur. La vaisselle. On remonte pour se laver les dents sans se lâcher les mains. On se change aussi. Sur la demande de Clémentine je porte un jeans, une chemise blanche sous une veste noire.

Clémentine porte une de ses jupes kilts à carreaux rouges et verts. Un chemisier blanc sous une veste bleue nuit. Ses mocassins à légers talons. Nous prenons des poses devant le miroir de l'armoire. Accroupie, sa tête contre ma hanche, enserrant ma jambe de ses bras, elle écarte les cuisses. << Pas de culotte pour une salope exhibe ! >> lance t-elle. Elle remonte sa main entre mes jambes jusqu'aux couilles qu'elle fait bouger. Je caresse sa tête en disant : << Je suis impatient de vous voir dans vos œuvres chère demoiselle ! >>. Elle se relève.

Tout en palpant ma bosse elle chuchote : << J'espère pouvoir satisfaire votre voyeurisme cher monsieur ! >>. Pressés de filer, nous redescendons à toute vitesse. Je prends la glacière. Il fait étrangement doux avec une température de 22°. Il faut traverser le jardin en restant sur les dalles de grès. Je sors la voiture. Je roule doucement. Clémentine me sort la queue pour jouer avec. Il y a une quinzaine de kilomètres jusqu'au centre commercial. Quand Clémentine se penche sur sa gauche pour sucer un peu, j'appuie sur sa nuque. Bien vicelard.

Il n'y a pas beaucoup de véhicules garés sur l'immense parking de l'hypermarché. Je remballe la bite. Je nettoie la poignée du caddie avec du gel hydroalcoolique. Clémentine me passe une paire de gants Mappa. Protection indispensable pour se préserver. Il n'y a pas grand monde dans le hall de la galerie commerciale. Je pousse le chariot. Nous flânons un peu en regardant les vitrines. Surtout celles du petit salon de thé. Il y a là parfois de belles opportunités d'exhibitions. Et il y en a une belle. C'est un monsieur seul, attablé devant un journal.

Il doit avoir la quarantaine. Les tempes grisonnantes, plutôt élégant, il est venu boire son café. << Certainement un homme d'affaires entre deux rendez-vous ! >> murmure Clémentine. Elle me propose le "plan". Je rentre le premier. Je m'installe à la table du fond. Je commande un café. Je prends un des magazines. Clémentine entre à son tour quelques minutes plus tard pour s'installer à un des tables faisant face à celle où est installé le quidam. Je trouve ça excellent. Discrètement, se mettant tout contre moi, elle palpe ma bosse en me faisant une bise.

Je fais selon le scénario. Rien de plus simple. La jeune serveuse paraît adolescente. Elle me gratifie d'un beau sourire poli lorsque j'entre dans le salon de thé. L'homme reste plongé dans la lecture de son journal. En fait, il y a un carnet posé et il semble prendre des notes. Il ne prête aucune attention à ma présence. Je feuillette distraitement un des magazines. Clémentine arrive à son tour. Elle demande à la jeune serveuse si elle peut laisser le chariot à gauche de l'entrée. Pas de souci. Elle s'installe à une des tables faisant face à celle de l'inconnu.

C'est toujours terriblement excitant autant qu'amusant de nous retrouver à jouer à ces jeux. Clémentine m'ignore totalement. Elle interprète son rôle à la perfection. Ce serait une inconnue, je serais bouillonnant du désir de "jouer". De lui montrer ma bite sous la table. Ce que je fais discrètement. Il n'y a pas de nappe, il faut donc redoubler de prudence. Je mâte en louchant vers le mec. Il vient enfin de remarquer la sublime jeune fille assise à quelques mètres. Plongée dans la contemplation de l'écran de son téléphone. J'ai une superbe vue sous sa table.

Le type relève la tête à plusieurs reprises. Clémentine, tout en remuant le sucre dans son café n'a pas le moindre regard vers l'homme. Il vient probablement de remarquer l'absence de culotte. Clémentine croise et décroise ses jambes. Exagérant à chaque fois le mouvement pour dévoiler un peu plus de son intimité. Je bande certainement autant que le type. Il commence à regarder partout autour de lui. J'ai le nez dans ma lecture. Mon téléphone filme discrètement la scène. Le mec enlève sa veste pour la poser sur le dossier de la chaise à droite.

Il m'est alors impossible de constater s'il a réellement déjà sorti sa queue. À présent Clémentine reste de longs moments avec les cuisses écartées. Impossible de ne pas voir que ce n'est pas une culotte noire qu'elle porte, mais sa crinière de chatte. Hyper poilue. Il y a du poil à l'intérieur des cuisses sur une bonne dizaine de centimètres. Son clitoris géant est apparent. De ma table j'admire autant ce spectacle que le quidam. Je fais tout mon possible pour me branler le plus discrètement possible. Il y a de rares clients qui entrent acheter des pâtisseries.

Clémentine vient certainement de remarquer que j'ai sorti ma bite, que je me touche. Je la vois regarder avec attention sous la table du mec. Nul doute, il fait comme moi. À cause de la veste je ne peux pas l'affirmer avec certitude. Sa main sous la table laisse à penser que lui aussi montre sa bite à la fille. Clémentine n'osait espérer vivre une telle situation. Je connais les plus secrètes de ses expressions. Je devine son état d'excitation. À chaque fois que l'inconnu tente de croiser le regard de la jeune fille, celle-ci l'évite et fixe l'écran de son téléphone.

Le type a certainement compris à quel genre de salope il a affaire. Un genre tout particulier qui ne se rencontre qu'excessivement rarement. Je suis dans le même état que lui. Surtout que depuis quelques minutes, Clémentine se touche. Je me branle. J'essaie de le faire avec la plus grande discrétion possible. Je cesse souvent pour ne pas me faire surprendre par la serveuse. Curieusement elle regarde souvent par là. A t-elle remarqué quelque chose ? C'est une fille. Les filles voient toujours tout. C'est dans leur nature. Je suis mort de trouille. Alors j'arrête.

La situation dure depuis une bonne demi heure. Clémentine regarde autant sous ma table que sous celle du type. Elle est dans son élément. Elle se touche quelques secondes pour cesser. Recommence. S'arrête. Il faut féliciter cet homme pour son sang froid extraordinaire. Il reste distant. Je me pose d'ailleurs des questions quand à cette attitude. Clémentine certainement aussi. Nous avons la réponse. Un couple très élégant vient rejoindre notre homme. Ils s'installent à sa table en y déposant des attachés cases. Sans doute des collègues de travail. Sûr !

Cette arrivée inopinée met un terme définitif à ce jeu passionnant. Clémentine se lève pour se diriger vers la sortie. Elle salue la jeune serveuse qui paraît très amusée. Elle récupère le caddie pour s'éloigner. J'attends un petite minute. Je me lève pour me diriger vers la sortie. Je salue la jeune serveuse qui me dit : << Génial ! >>. Elle me fait le plus merveilleux des sourires. Cette coquine a tout compris. Je rejoins Clémentine devant le magasin Armand Thierry. Elle se serre contre moi en murmurant : << Trop bien ! Trop bon ! >>. Elle palpe ma bosse.

Il y a des caméras de surveillance. Mais il est tout à fait impossible de voir ce qu'elle fait sur ma braguette puisque serrée contre moi. Je lui raconte le coup de la serveuse. << Je ne te l'ai pas dit, mais elle nous a vu discuter avant d'entrer dans le salon de thé. Vous les hommes vous ne faites jamais attention à ces petits détails ! >> chuchote t-elle. Éperdu d'amour, je dis : << Tu es merveilleuse Clémentine. Tu m'offres les instants les plus merveilleux. Tu n'imagines pas le choc que me procure ta révélation. La serveuse était au courant ! Génial ! >>.

Nous parcourons les rayons qui concernent nos achats. Je pousse le chariot. Clémentine me précède en tenant la liste des courses. Moi, je suis encore totalement "bouleversé" par ce que je viens de vivre. Alors que Clémentine, avec cette capacité toute féminine de s'adapter instantanément, me guide dans le magasin. Elle vérifie les promotions, compare les prix. << C'est un réflexe du temps où j'étais pauvre ! >> se justifie t-elle. Nous rions aux éclats. Elle rajoute : << Quelques mois avant de te rencontrer j'envisageais même de faire du porno ! >>.

Clémentine m'a confié très souvent que d'envisager de faire du porno n'était pas seulement une nécessité pour manger, payer ses études mais également le fruit d'une longue réflexion. Sa passion pour le sexe, ses penchants exhibitionnistes, sa plastique et son physique auraient permis une carrière à succès. Nous en rions de bon cœur. Je propose qu'en fin d'après-midi, nous prenions notre repas à la cafétéria. << Surtout qu'il y a de bonnes choses au menu, tu as vu ? >> répond Clémentine. Hélas plus aucune autre opportunité exhibe.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se sont bien "allumées" dans de passionnantes situations créées de toutes pièces par vice et pour le plaisir indicible qui en découle...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
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Quand Clémentine s'offre une belle exhibe "littéraire"

Hier matin, mardi, il est neuf heures quand nous nous réveillons. Quasiment en même temps. Se blottissant tout contre moi, elle passe une cuisse sous mes fesses. Saisit ma tumescence. Pose son autre cuisse sur sa main. J'aime quand elle achève de me tirer du sommeil en se frottant ainsi contre ma hanche. Quelques bisous. Quelques papouilles. Impossible de lutter plus longtemps contre l'impérieux besoin naturel. C'est en nous tenant la main que nous nous précipitons aux toilettes. Nous nous vêtons de nos tenues de jogging. Lycra noir et jaune.

Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Dehors il fait exactement la même météo que hier. Toujours cette étrange douceur puisque le thermomètre extérieur indique déjà 18°. Clémentine prépare le café en me confiant à quel point il est dommage que Julie ait annulé sa visite hier soir. Un souci familiale dont nous ne savons encore rien. Je place les deux gros croissants aux amandes dans le four à micros ondes. Je presse les oranges. Moi aussi je déplore l'absence de Julie. Je pèle les kiwis. Le grille pain expulse ses tranches.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre aventure de hier après-midi dans le salon de thé de la galerie commerciale. Quand Clémentine a vécu une exhibe de qualité, elle n'a qu'une envie, en vivre une autre dès que possible. << Ça me galvanise et agit un peu comme une catharsis à l'idée de ce qui m'attend demain ! >> lance t-elle en venant s'installer sur mes genoux. J'écoute le développement de sa théorie en étalant du miel sur la tranche de pain qu'elle me tend. Nous mangeons de bon appétit en riant aux éclats de cette théorie.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Nous redescendons à toute vitesse pour enfiler les K-ways. Quelques mouvements d'échauffement sous un ciel qui devient un peu plus menaçant. C'est parti pour un running d'une heure. Nous restons sur le bord de l'étroite route communale déserte. Il est dix heures trente quand nous revenons prendre notre douche. Vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux et de nos baskets nous passons dans l'atelier. Clémentine allume son ordinateur.

Elle surfe sur le site universitaire. Aucune nouvelle information si ce n'est les horaires des épreuves du concours. Demain, mercredi 12 octobre, il faut être là pour 8 h. Jusqu'à midi puis de 13 h à 17 h. Idem pour jeudi. Vendredi matin de 8 h à midi. Il y aura les mêmes horaires pour lundi prochain, 17 octobre. Il y aura une longue attente d'une semaine pour avoir les résultats. << Ce sera un enfer d'angoisses ! >> précise Clémentine. Je suis debout derrière elle à lisser ses cheveux. Je dis : << Tu t'inquiètes inutilement tu sais ! >>.

<< Il me faut un "plan" pour cet après-midi ! >> s'écrie t-elle en saisissant mon poignet. Elle se retourne, le dossier de la chaise entre ses jambes écartées. Je suggère de retourner au salon de thé de hier. D'aller faire quelques parcs en ville. La bibliothèque municipale est un excellent champs d'action à qui sait "chasser". Tout en parlant j'ouvre la braguette boutons de mon 501. Je sors mon sexe d'un geste lent et calculé, ménageant mon petit effet. Comme catapulté de mon slip, il jaillit mollement. << Mmmhhh ! J'adore cette vision ! >> fait Clémentine.

Je frotte mon sexe sur son visage. Avec une vulgarité qui la fait gémir de bonheur. À chaque fois qu'elle tente de le gober, j'esquive au dernier instant. Clémentine en glousse. Ça l'amuse toujours beaucoup. La peau fripée de mon prépuce colle contre sa joue gauche un peu à la manière d'une ventouse. Rien n'est plus excitant que de voir ce morceau de chair contre le visage d''un ange à la beauté sublime. Je suis pris d'un soudain vertige. Je m'accroche aux oreilles de Clémentine que je tiens en lui offrant une bite qui durcit lentement. Une fellation.

Il n'est pas question de faire durer. Ce n'est qu'un jeu. Je me retire d'ailleurs à plusieurs reprises. Ma queue liée aux lèvres de Clémentine par d'épais et visqueux filaments de liquide séminal. << Je t'aime ! >> murmure t-elle plusieurs fois avant chaque reprise en bouche. Cette fois, pour lui permettre de retourner à l'ordinateur, je me retire définitivement. << Vous êtes tellement attentionné avec moi monsieur ! >> dit elle en saisissant mes deux poignets alors que je caresse à nouveau ses cheveux. En les relevant je dépose des bises dans sa nuque.

Il est onze heures trente. Je profite de ce moment pour recouvrir les deux dessins préparatoires réalisés hier matin d'une couche d'impression. À cet effet je prépare de la couleur acrylique "terre de Sienne" dans un petit bol rond en métal chromé. Je dilue avec la quantité d'eau désirée. << Attends, j'adore faire ça ! >> s'écrie Clémentine qui vient me rejoindre. À l'aide d'un pinceau large, elle applique deux couches croisées sur chacune des toiles. Passant le sèche-cheveux pour en fixer chacune d'elles. J'admire son coup de main précis.

Il est presque midi. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine me saute au cou en disant : << J'ai besoin d'être rassurée pour demain ! >>. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. Je fais : << Je t'emmène demain matin et je te recherche en fin d'après-midi ! >>. Clémentine mitraille mon visage de bisous. << Tu es gentil mais j'ai besoin de me retrouver seule avant d'affronter ce challenge ! >>. Je comprends. Je n'insiste pas. C'est une façon de procéder très guerrière que j'applique moi aussi. Clémentine prépare la salade.

Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Dans une poêle je fais rissoler deux beaux filets de flétan. Ail, échalote, champignons. Je rajoute un petit pot de crème fraîche en fin de cuisson. J'égoutte les coquillettes. J'en ai fait en grande quantité. Pour ce soir elle seront préparées en gratin. Estelle ne vient pas non plus ce soir. Préférant se mettre en condition pour demain. << J'aime être seule avec toi ! >> dit Clémentine en se serrant contre mon dos, ses mains autour de ma taille. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les différents plans possibles.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie son souhait d'exercer ses talents d'exhibitionniste en commençant par la bibliothèque municipale. << Il y a là parfois de sérieux pervers en quête d'étudiantes ! >> précise t-elle. Je trouve cette idée excellente. << Puis on se fait une descente de parking. Là aussi il y a parfois de drôles de mecs ! >>. rajoute t-elle. Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de monter nous laver les dents, nous changer. Clémentine revient sur ses craintes.

C'est une réaction intellectuelle tout à fait normal. À chaque fois je la tranquillise un peu. Sur sa demande je porte un jeans propre, une chemise crème sous un pull bleu nuit au col en "V". Mes souliers de ville marrons. Mon blouson d'aviateur en cuir brun. Clémentine est vêtue exactement comme hier. Elle me montre les traces de cyprine sèche qui macule le tissus à l'intérieur de sa jupe kilt. Les conséquences de ses multiples excitations de hier après-midi. Ses masturbations dans le salon de thé. Nous en rions de bon cœur. Il est treize heures trente.

Pressés d'aller nous encanailler, nous dévalons une nouvelle fois les escaliers. Je roule doucement. Clémentine, penchée sur sa gauche, me suce. Toutes les deux trois minutes elle cesse pour laisser reposer sa mâchoire. << Le gout du foutre, ça m'excite. Tu n'imagines pas ! Un véritable aphrodisiaque à salope ! >> me dit elle en riant. Quand elle retourne à sa pipe, j'appuie sur sa nuque de ma main libre. Il y a une quinzaine de bornes. Je gare la voiture dans la ruelle habituelle. C'est à dix minutes de la bibliothèque. Il y a quelques gouttes de pluie.

Sous le parapluie nous marchons vite, impatients de nous retrouver sur le lieu de nos jeux. Il faut monter le large escalier pour arriver dans la grande salle. Les deux jeunes femmes de l'accueil sont occupées avec des abonnés. Il y a quelques étudiants dans les fauteuils autour des tables basses. Nous nous séparons. Clémentine se dirige vers les rayonnages du fond. Je les contourne afin de rester toujours dans le rayon parallèle. Entre les bouquins sur les étagères, je peux admirer ses prestations en toute sérénité. Je suis déjà terriblement excité à cette idée.

J'observe Clémentine. Tout en regardant les titres des ouvrages elle guette attentivement. La situation perdure une bonne dizaine de minutes. Parfois nous nous rejoignons pour nous toucher. Il n'y a pas de caméras de surveillance dans toutes les allées. Nous restons d'une extrême vigilance. Là-bas, un type se pointe. Il est en imperméable. La soixantaine sportive. Il se dirige par ici. Je quitte Clémentine pour passer dans l'allée parallèle. Le type remarque Clémentine. Il est un peu dégarni et son profil évoque celui de quelques rapaces. Un aigle.

Je m'accroupis à la hauteur de Clémentine. Entre les livres posés sur l'étagère du bas, j'ai une vue parfaite. Elle aussi s'est accroupie. Je vois son entrejambes. L'absence de culotte offre une vision extraordinaire sur cette invraisemblable toison pubienne. Il y a du poil partout. Sur l'intérieur des cuisses. Je me redresse pour aller me positionner devant l'endroit où se trouve le type. Il mâte discrètement la jeune fille accroupie à cinq ou si mètres sur sa droite. Je retourne à la hauteur de Clémentine. Accroupie, cuisses écartées, elle feuillette un ouvrage.

Tournée un peu plus vers le quidam à chaque fois qu'elle tire un nouveau livre, remettant l'ancien en place. Je suis excité au point de me toucher la braguette. Ce n'est pas la première fois que j'assiste à ce merveilleux spectacle. Je me redresse en même temps que Clémentine. Juste avant la crampe. Je retourne voir ce que fait l'inconnu. J'hallucine. Clémentine voulait avoir affaire à un pervers. Elle vient de gagner au loto. Le mec est carrément bite à l'air. Les pans de son imperméable écartés, cambré contre les bouquins, il se masturbe entre les livres.

Je retourne à la hauteur de Clémentine. À nouveau accroupie. Cette fois je la vois de profil puisqu'elle est positionnée face au pervers. Tout en faisant mine de lire les pages qu'elle feuillette machinalement. Ce type a bien compris à quel genre de salope il avait affaire. Une de ces charmantes jeunes étudiantes espiègles et mutines qui viennent s'amuser dans les bibliothèques municipales. Certaines d'y trouver un vieux cochon pour s'amuser un peu. Entre filles, le lendemain en cours, elles aiment se raconter leurs aventures. Clémentine me raconte parfois.

Quand je retourne à la hauteur du vicelard, je découvre que lui aussi, franchement tourné vers Clémentine, montre sa queue. Une superbe queue. Bien raide. Légèrement courbée vers la gauche. Il se décalotte d'un mouvement lent et régulier. Deux exhibitionnistes se font face. Savourant l'extase que procure l'instant. Je me positionne entre les deux protagonistes. Penché en avant, glissant ma tête entre les livres, je peux voir ce que fait chacun. J'hallucine. Je comprends pourquoi Clémentine ne voulait pas faire pipi avant de partir. Malgré l'envie forte.

Elle lâche de petits jets de pisse. Ici, dans l'allée des ouvrages consacrés à l'Histoire de France, entre deux rayonnages, Clémentine pisse devant un inconnu. Il faut un sacré courage. Je sais que c'est pour chasser l'angoisse de son concours. Il faut une émotion plus forte encore. Une situation grisante, procurant les plus indicibles frissons de plaisirs. Je la vois secouée de quelques spasmes. Le mec n'a probablement jamais assisté à un tel prodige. Clémentine se relève prestement. Debout dans une véritable flaque de pisse. Elle en a plein les souliers.

Le type se rapproche. Sans hésiter. Je l'entends dire : << Vous êtes sublime mademoiselle. Félicitations. Accepteriez-vous de boire quelque chose avec moi ? Je vous invite ! >>. Clémentine déteste être accostée, être draguée. Le type remballe soudain très vite le "machin" qu'il continue à montrer à Clémentine. Ce sont des voix féminines. Deux jeunes filles entrent dans l'allée. Sans se douter un seul instant de ce qui s'y passe. Clémentine ne répond pas. Elle tourne les talons pour quitter l'allée d'un pas rapide. Le type reste à observer la flaque de pisse.

Nous nous rejoignons en haut de l'escalier. Je félicite moi aussi Clémentine pour cette témérité folle dont elle a une fois encore fait preuve. << Je suis excitée comme une folle ! Put-hein si ces deux filles n'étaient pas venues, je suçais ce vieux salaud. Tu as vu comme il était gonflé. Un vrai pervers ! >> me dit elle alors que nous descendons l'escalier. Je propose qu'elle l'attende dans le hall du bas pour accepter son invitation. Clémentine reste silencieuse. Dubitative. Elle pose sa main à la hauteur de son sexe pour appuyer par petits mouvements.

<< Non, viens, on va se balader un peu sous la pluie. Il faut que je me calme. Et puis j'ai une super bite à porté de main ! >> lance Clémentine en m'entraînant par la main. Il pleut. C'est sous le parapluie que nous flânons dans les rues piétonnes. En recherche d'un nouveau "plan". << Je monte la barre d'un cran si on tombe sur un autre vicieux ! >> dit elle à plusieurs reprises. Nous passons pourtant une grande partie de l'après-midi sans une nouvelle opportunité. Les parcs sont déserts. Ainsi que les descentes de parking. Salon de thé.

C'est enfermés dans un des cabinets de toilettes hommes que nous nous offrons un moment de détente. Je fais le contorsionniste pour bouffer la chatte de Clémentine. Pour elle il est beaucoup plus facile de me sucer. Je me fais tailler une pipe en essayant d'être le plus vulgaire possible. Nous entendons un mec pisser de l'autre côté. Je suis obligé de mettre ma main sur la bouche de Clémentine qui gémit de bonheur. J'essuie le foutre qui coule au coin droit de sa bouche. Deux visites aux chiottes sous les regards interrogateurs de quelques clients.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont s'offrir une torride soirée de baise, de léchage divers, de foutre en compagnie de leur dépravé...

Julien



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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Classe - 34 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2036 -



Les épreuve du concours d'admission au Doctorat

Hier matin, mercredi, l'application "océan" nous arrache de nos profonds sommeils. Ce sont surtout les cris stridents des oiseaux de mer. Illusion bluffante qui donne l'impression d'être en Écosse. Il est presque six heures. Clémentine se blottit contre moi en murmurant : << J'y vais pas ! >>. Je dépose des bises sur son visage. Je l'emmène aux toilettes en la portant comme une jeune mariée. Ce qui la fait rire. Je dis : << Tu vois, tout va bien quand tu ris ! >>. Morts de faim, dans nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine.

Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. << Même plus peur ! >> s'écrie soudain Clémentine. J'aime la voir récupérer d'un geste gracieux les tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de hier. L'exhibitionniste rencontré à la bibliothèque municipale. << Tu as vu sa bite ? >> demande Clémentine. Je réponds : << Oui, impressionnante ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme du jour.

Clémentine préfère aller à l'université seule afin d'affronter mentalement ce stress qui la gagne à nouveau. Je l'entraîne par la main pour remonter. Notre heure d'entraînement va permettre de tempérer ses craintes naissantes. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol, abdos. Clémentine retrouve sa bonne humeur. Son optimisme naturel revient au galop. Les charges additionnelles situent très vite les choses. C'est l'entrainement le plus difficile qui soit. Un retour au calme avec un stretching où Clémentine, déconneuse, me fait bien rire.

La douche. Je descends le premier pour préparer l'auto. Il est presque 7 h45. Le jour achève de se lever sous un ciel uniformément gris. Il fait doux. Clémentine vient me rejoindre. Jupe en velours carmin légèrement évasée au-dessus du genoux. Un chemisier de soie mauve sous sa veste cintrée à la taille. Des mocassins à légers talons. Elle relève sa jupe pour me montrer le porte-jarretelles qui retient ses bas. Pas de culotte. << Elle est dans mon cartable ! >> précise t-elle. Nous rions. Elle saisit mon poignet pour placer ma main entre ses cuisses. Doux.

<< Je t'aime ! À ce soir ! >> lance t-elle en démarrant. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer pour faire la vaisselle, le lit. Me voilà dans l'atelier. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je suis très serein quand à l'épreuve qui attend Clémentine. Je sais qu'elle se fait du mouron pour rien. C'est en véritable "guerrière", en "conquérante" qu'elle est partie ce matin. Étonnante jeune fille de 25 ans.

J'attaque ce matin le sixième et dernier portrait de commande. Un couple assis dans un canapé moelleux, entouré de coussins. Ce sont des Anglais de Birmingham. Quadragénaires et éminemment British. Je peins dans une sorte d'effervescence qui me fait pousser des cris surréalistes. Je retrouve ma passion en y plongeant ravi. Il est dix heures quand la musique imbécile de mon téléphone le fait vibrer sur la desserte où il est posé. En maugréant je m'en saisis. C'est Clémentine. << Je n'ai que deux minutes, c'est la pause ! >> me fait elle.

<< Je suis avec Estelle ! >> dit elle encore. J'entends Estelle : << Bonjour monsieur. Bisous partout ! >>. Clémentine rajoute : << J'ai fait un texto à Juliette pour annuler la soirée. J'ai besoin d'être seule avec toi ce soir. Si tu pouvais nous excuser. Je n'ai pas le temps ! Ici, tout se passe bien ! >>. J'écoute amusé. Je promets de contacter Juliette immédiatement. Juste avant qu'elle ne raccroche, Clémentine précise : << Ce soir, je serai dans un état de délire avancé. Attends-toi à du sévère ! >>. Un dernier bisous sonore et elle suspend la conversation.

Je téléphone à Juliette. << Je sais, j'ai lu le message de Clémentine ! Je comprends. Je crois que j'agirais de la même façon. Ce qu'elle vit aujourd'hui est trop important ! >> me fait elle. Juliette rajoute : << Vendredi soir elle saura donner son plein potentiel. Comme pour se libérer de tous les aspects négatifs induits par ses craintes ! >>. Je rejoins tout à fait ce regard sur les évènements. Nous bavardons un petit moment. Le haras retrouve sa pleine activité. Déjà plus de trente chevaux en pension jusqu'au printemps prochain. Il y en aura quatre vingt.

Je retourne à ma peinture en pensant au Gloryhole organisé par Juliette vendredi soir. Elle m'a confirmé qu'il y aurait au moins une "surprise". La matinée passe ainsi et très vite. Il est midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. C'est une Flamiche Picarde que je vais préparer pour ce soir. Clémentine adore la tourte aux poireaux. Pour le repas de midi je fais gonfler du riz complet pendant que je prépare une belle et grosse laitue. Il y en aura pour ce soir également. Dans la poêle je fais revenir un filet de lieu noir préalablement panné. Ail, échalote.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff reçoit un analyste politique. L'émission est consacré à ce fameux article de loi 49-3. Mesure scélérate qui permet à un gouvernement de passer en force et d'imposer une loi dont personne ne veut. Belle démocratie que celle-là. Vivement que je retourne vivre dans mon pays, en Écosse où ce genre de comportement n'existe pas. La pâte feuilletée a décongelé depuis ce matin. J'en étale les deux tiers dans le plat à tarte aux bords hauts. Je lave et je coupe deux beaux poireaux. Je les mets dans l'autocuiseur.

Je concocte une Béchamel à laquelle je rajoute du gruyère râpé, le poireau égoutté. Je verse le tout dans le plat à tarte en recouvrant du dernier tiers de pâte que je jointe. Je badigeonne le dessus du mélange œuf, moutarde à l'ancienne et lait de soja. Au four pour une cuisson lente à 180°. C'est bien meilleur quand ça mijote. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller prendre l'air, je redescends à toute vitesse. Même si le ciel est gris et bas, il règne une étrange douceur. Le thermomètre extérieur indique 22°. Je vais jusqu'à la rivière.

Je pense à Clémentine. Je pense à la surprise que je lui réserve. Rien ne l'enchantera davantage qu'une bonne séance de "soumission". Je reviens pour aller dans le salon. Du tiroir du bas du bureau, je tire le foulard de soie, le collier canin, la laisse. Je retourne dans l'atelier pour déposer ces accessoires bien en vue sur la table. À côté de l'ordinateur de Clémentine. Me voilà installé devant mon chevalet. Je reprends ma peinture en chantonnant. L'après-midi passe encore plus vite que la matinée. Il est dix sept heures trente quand Clémentine revient.

Elle se précipite pour s'assoir à califourchon sur mes cuisses. En se frottant elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Je n'ai pas fait la moindre erreur. Malgré le côté sournois de tous les concours. Il faut d'abord décrypter la façon scélérate et hypocrite de la question posée. Mais, je n'ai trébuché devant aucune duperie ! >> me raconte t-elle. Ses bras autour de mon cou, elle ponctue chacune de ses phrases d'un bisou sur ma bouche. Elle murmure : << Je me suis touchée tout le long de la route en revenant. C'est si bon ! >>.

Elle se lève, saisit mon poignet pour glisser ma main sous sa jupe. Effectivement, son sexe est trempé. Elle rajoute : << Ça rentrerait tout seul ! S'il y avait eu un mec au bord de la route je me serais arrêtée pour le supplier de me baiser ! >>. Nous rions aux éclats. Clémentine serre ses cuisses sur ma main. Elle reste ainsi, debout à ma droite à contracter ses muscles fessiers. Elle s'éloigne pour s'assoir sur la table. Elle découvre le collier canin et la laisse. << Génial ! Tu m'emmènes comme ça au haras vendredi soir. Je n'arrête pas d'y penser ! >>.

<< Viens voir ! >> me fait elle encore en agitant son index. Je me lève pour la rejoindre. Je sors ma bite bien raide. << Regarde ! >> dit elle en montrant son sexe de son doigt pointé. Je me penche. Par contractions des muscles fessiers, elle fait bouger son clitoris géant. J'adore quand elle fait ça. Elle le fait tout le temps quand je le suce. C'est impressionnant de voir cette petite bite dont le gland violacé bouge tout seul. << Je t'aime. Tu me comprends si bien. Je suis tellement heureuse avec toi ! >> lance t-elle en sautant au sol pour se blottir.

Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. << Toute la journée sans culotte. J'ai adoré. Je ne le fais jamais en cours ni au restaurant universitaire. Mais j'avais besoin de cette excitation permanente pour rester combative. Et ça a parfaitement fonctionné ! >> dit elle. Nous rions. Je dépose Clémentine sur la table. Elle se met en appui sur ses coudes, relève ses jambes que je saisis par les chevilles. En maintenant ses cuisses largement écartées je m'enfonce doucement dans Clémentine qui se mordille la lèvre inférieure en gémissant.

Sur ses traits se lit l'extase qui l'envahit. Je la pénètre doucement. Même si ça rentre comme dans du beurre. Sa masturbation sur la route du retour l'a bien mouillé. L'intérieur de ses cuisses est luisant de ses jus. Il y a même de ces petites coulures blanchâtres un peu plus épaisses qui barbouillent ses poils. Nous restons immobile. Clémentine se couche sur le dos. C'est dans ces moments qu'elle confie ses secrets de filles. J'écoute, enivré par ses confessions. Ses réjouissances pour le Gloryhole de vendredi soir. Sucer de la bite sans savoir à qui elle appartient.

Je bouge doucement pour la bercer. Je cesse. Je recommence. Clémentine se masturbe toujours en étant pénétrée. << Ce week-end j'ai envie de me surpasser. D'être salope tout le temps. Si je manque d'idée impose moi les tiennes ! >> me dit elle sur un ton de supplication. Je promets de ne pas en manquer. Je tiens Clémentine par ses chevilles en la baisant. J'alterne les mouvements rythmés avec les bercements plus calmes. Entre deux gémissements Clémentine revient sur le Gloryhole qui se prépare pour vendredi. Avec des détails.

Reviennent en tête les souvenirs des précédentes expériences. Je suis responsable de ce fantasme récurrent. C'est moi qui l'ai installé dans sa psyché. Sucer un inconnu. Cela s'est produit une bonne dizaine de fois depuis plus de cinq ans que nous vivons ensemble. Je sais quand Clémentine approche de l'instant où elle ne contrôle plus rien. Elle me repousse doucement. Sans cesser de se masturber, en hurlant de plaisir, elle jouit en pissant. J'ai une fois encore le réflexe de me retirer juste à temps. C'est un jet d'une puissance incroyable. Démentiel.

Il y a de la pisse sur six mètres. Jusque devant l'armoire où je range mes tubes, des pinceaux et autres accessoires. << Je t'aime comme une folle ! >> s'écrie t-elle en se redressant pour me saisir les mains. Debout, il dégouline encore de la pisse de sous sa jupe. Elle s'accroupit. Gobant mon sexe qu'elle suce avec délectation. Je caresse ses joues creusées par l'effort de succion. Les yeux ouverts Clémentine me fixe. Une expression d'extase. Ses yeux larmoyants de plaisir. Poussant de petits râles de ravissement. J'observe mon ange.

Il n'est pas question d'éjaculer car je veux me garder pour le "dessert". Mais je sens mes couilles en ébullition s'épancher dans la bouche de Clémentine. Une vraie ventouse. Je regarde la flaque de pisse qui macule les tomettes en terre cuite. C'est réellement impressionnant. C'est sur au moins six mètres. Je me penche pour chuchoter : << Ce week-end je t'emmène pisser dans les coins les plus glauques. De préférence devant des inconnus que nous transformerons en voyeurs ! >>. À ces mots Clémentine tombe à genoux pour pomper encore davantage.

Je la tiens par les oreilles pour me branler dans sa bouche. Je saisis ses cheveux pour la forcer à se relever. Je m'accroupis à mon tour pour masser ses genoux douloureux. Elle caresse ma tête en disant : << Vous êtes tellement attentionné avec moi monsieur ! >>. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand Clémentine découvre ce que j'ai préparé, elle me saute au cou. << Je t'aime ! >> s'écrie t-elle entre chaque baiser qu'elle dépose sur mes lèvres. Nous mangeons de bon appétit en faisant mille projets pour le week-end à venir. J'écoute beaucoup.

Il y aura bien sûr les réjouissances du Gloryhole de vendredi soir, mais il y aura celles que je suis prié de préparer pour samedi, pour dimanche. Lundi sera encore un jour d'épreuves pour le concours. N'est-ce pas la meilleure façon de chasser chacune de ses craintes en emmenant une jeune fille dans des aventures graveleuses ? Je ne connais pas de meilleures catharsis. Clémentine non plus. Je lui promets un nouvel orgasme pour le dessert. La vaisselle. Nous passons au salon. Nous adorons baiser comme ça, Clémentine assise sur le bureau.

À nouveau je la pénètre. L'intérieur de ses cuisses est trempé de mouille, de nos mélanges probablement. Clémentine est une grande "mouilleuse". Elle en met partout. J'adore lorsque ses poils sont barbouillés de mouille. Je la baise à la hussarde. Entre deux gémissements lascifs, elle me confie ses aveux les plus fous. Un jour elle désire être offerte à toute une bande de mâles. Un de ces fameux Gang Bang qui font fantasmer certaines salopes. Je promets de l'y aider. Juliette pourra certainement nous organiser un tel "plan". Clémentine jouit encore.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines obligées de passer la serpillère pour nettoyer les conséquences de leurs orgasmes démentiels et incontrôlés

Julien



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NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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D'avance MERCI...

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Le second jour des épreuves du concours au Doctorat

Hier matin, jeudi, une fois encore c'est l'application "océan" qui nous tire du sommeil. Cette bluffante illusion de se retrouver dans quelques port de pêche en Écosse. Il est presque six heures. Clémentine est restée serrée contre moi toute la nuit. Aussi, là, en se réveillant, elle se blottit en gémissant, sa tête dans mon cou. Je caresse doucement son dos. Je remonte dans sa nuque pour chuchoter à son oreille : << Je vous aime mademoiselle ! >>. Gloussant de bonheur, Clémentine glisse sa main dans mon slip pour saisir mon érection naturelle. L'impérieux besoin naturel met fin à tout cela.

Nous nous précipitons aux toilettes sans nous lâcher la main. Morts de faim, vêtus de nos leggings en lycra noir, de nos sweats en lycra jaune nous dévalons les escaliers. Il fait bien chaud dans la cuisine. Le thermostat régule le fonctionnement des radiateurs en fonction de la température extérieure. Clémentine fait le café en me confiant à quel point elle se sent sereine. Toutes les craintes concernant les épreuves d'aujourd'hui l'ont quitté. Je presse les oranges, je pèle les kiwis en écoutant, rassuré et amusé. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos douces folies de hier .

Nous mangeons de bon appétit en évoquant le Gloryhole organisé par Juliette. Ce sera demain, vendredi. Nous sommes attendus pour 20 h. << Après ces trois jours d'épreuves, ce trou dans le mur agira sur moi comme une thérapie ! >> lance Clémentine en venant s'assoir sur mes genoux. Je beurre la tranche de pain grillé qu'elle me tend avant d'y étaler du miel crémeux. Elle rajoute : << Je veux absolument surmonter mes appréhensions dans tous les domaines de mon existence ! >>. Nous rions aux éclats. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entrainement. Qui est nécessaire.

Nécessaire surtout pour Clémentine car c'est un besoin matinal qui la transforme en "guerrière" pour le reste de la journée. Aérobic, jogging sur tapis roulant. Un peu de vélo d'intérieur. Exercices au sol et abdos. Charges additionnelles avec intensité maximale. Le retour au calme où Clémentine nous fait rigoler comme des bossus. J'aime quand elle reprend l'ascendant sur elle-même. La douche. Je redescends le premier pour sortir la voiture du garage. Il n'est pas tout à fait 7 h45. Le jour achève de se lever sous une pluie fine et régulière. Morose, sinistre. La désagréable fraîcheur humide.

Clémentine me rejoint sous son parapluie. Vêtue comme hier malgré la météo. Elle se serre contre moi, saisit mon poignet pour glisser sa main sous sa jupe kilt. Je passe entre ses cuisses. L'absence de culotte me permet une rapide exploration. << Culotte dans mon cartable ! Réserve-moi de délicieuses surprises pour ce soir ! >> dit elle en s'asseyant au volant. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud et au sec pour faire vaisselle, faire notre lit. Me voilà dans l'atelier, confortablement installé devant mon chevalet. Plongé dans ma passion.

Je prépare les couleurs sur la palette en pensant à la fille que j'aime. Je l'imagine déjà arrivée en salle d'examen. L'idée qu'elle passe cette nouvelle journée probablement sans culotte m'amuse beaucoup. M'excite également. Je m'attelle à l'achèvement de ce cinquième portrait de commande. Ce couple de quadragénaires très British assis dans son canapé, entouré de coussins de soie moirée. Je peins dans une sorte d'euphorie laissée par Clémentine. La matinée passe encore sans que je ne puisse en appréhender la durée. Il est presque midi quand je quitte l'atelier pour la cuisine.

Je réchauffe le reste de la tourte aux poireaux. Accompagnée d'une salade de carottes. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission, André Bercoff reçoit un parlementaire qui expose ses sentiments quand aux ambiances de l'Assemblée Nationale. Ça aussi c'est édifiant autant qu'amusant. Pour le repas de ce soir je fais rissoler des crevettes dans la poêle. Je prépare une pâte à crêpes. Ce sera pour les beignets dont raffole Clémentine. J'épluche et lave des pommes de terre. Je les coupe en fines tranches pour les faire dorer dans l'huile. Il faut les tourner souvent.

J'étale du papier absorbant avant de déposer les chips. Ce qui éliminera le surplus de graisse inutile. Tout est prêt. La pâte à crêpe repose dans le saladier, sous un linge. Les crevettes reposent dans la poêle sous un couvercle. Les pommes de terre chips dans le four qu'il suffira d'allumer pour les réchauffer. La vaisselle avant de monter me laver les dents. Pressé d'aller faire quelques pas au dehors, je redescends à toute vitesse. C'est sous le parapluie que je vais jusqu'à la rivière. C'est véritablement un climat d'automne. Ça y est, nous y sommes plongés pour de bon. Ambiance morose.

Une fois de retour dans l'atelier, j'allume une belle flambée dans la cheminée. Avec cette météo, c'est sympathique. Installé devant mon chevalet, je peins animés des mêmes pensées que ce matin. L'après-midi se déroule ainsi. Le crépitement du bois de hêtre léché par les flammes est à la fois l'accompagnement sonore et l'animation visuelle de ma séance de travail. Il est 17 h30 quand Clémentine revient. Elle jette son cartable dans le fauteuil à bascule pour se précipiter vers moi. J'anticipe toujours. Je pose la palette et les pinceaux sur la desserte. Clémentine s'assoit sur mes genoux.

Elle saisit mon poignet pour glisser ma main sous sa jupe, entre ses cuisses chaudes et lisses. Clémentine me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. << J'ai affronté toutes les situations avec une égale certitude. Tu sais, la différence entre en examen et un concours consiste à l'hypocrisie avec laquelle les questions sont posées. J'ai appris à observer les évènements et les situations sous différents angles. Ce qui me permet de déjouer les pièges. Mais là, c'est très sournois ! De vrais salauds ceux qui préparent ce genre de concours ! >> me confie Clémentine. Très malicieuse.

J'écoute. Je la connais si bien. Je sais parfaitement ce qu'elle sous entend. << Maintenant ce sera entre les mains des correcteurs et des décideurs. Sans parler du numérus clausus. Beaucoup d'appelés, peu d'élus ! >> fait elle encore, fataliste. J'enfonce mon doigt dans une vulve trempé. Je dis : << Toi, tu t'es encore masturbée sur le retour tout au long de la route ! >>. Clémentine me couvre le visage de bisous en s'écriant : << Bien sûr ! mais c'était purement thérapeutique cette fois ! >>. Nous rions aux éclats. << Encore demain matin et c'est le week-end ! Ras le bol ! >> lance Clémentine.

Tout en gardant mon poignet dans sa main pour que surtout je n'arrête pas, Clémentine se lève. Cambrée sur ses genoux fléchis, les pieds largement écartés, juste devant le chevalet, elle bouge doucement. Au rythme de mon doigté délicat. Quelques chose chatouille ma main. Ce ne sont pas seulement les poils mais la mouille qui dégouline. Le sexe de Clémentine offre quelques particularités étonnantes. Son clitoris géant, les lèvres charnues de sa vulve, l'invraisemblable système pileux, volontaire et voulu, les abondants écoulements de cyprine. Je ne m'en lasse pas, c'est phénoménal.

Quand Clémentine me lâche c'est pour se diriger vers la cheminée. Accroupie, de dos, elle admire la danse des dernières flammes. Elle sait aussi que rien ne m'excite davantage que la voir ainsi, de dos, cuisses largement écartées, ses longs cheveux noirs pendant jusqu'au milieu de son dos. Fébrile, je nettoie la palette, les pinceaux. Juste avant l'ankylose, Clémentine se redresse. Elle se retourne, une main sous sa jupe pour m'adresser le plus merveilleux des sourires. << Estelle ne vient pas ce soir. Elle préfère se préparer à affronter les épreuves de demain matin seule ! >> précise t-elle.

Clémentine rajoute en riant : << C'est plus difficile pour elle que pour moi. À tel point qu'elle n'a même pas baisé avec son parrain hier soir. Jean-Marc n'est d'ailleurs pas venu ! >>. Je ris aux éclats alors que Clémentine s'accroupit à nouveau mais en me faisant face. Je suis assis. J'admire. Sa position me fait bouillir les sangs. J'ouvre ma blouse. Je sors mon sexe de ma braguette béante. Je me masturbe doucement en regardant. C'est le plus merveilleux des spectacles auquel j'assiste encore là. Mon émerveillement se transforme en enchantement quand Clémentine se met à pisser. Délirant !

Juste un petit jet sonore en se brisant sur les tomettes en terre cuite. L'ocre des tomettes est mate. La flaque est brillante. Je ne m'en rends pas compte tout de suite. Avec la pénombre les deux lampes à halogène sont allumées, recréant la lumière du jour. Un second jet. Tout en me fixant de son regard par en-dessous, terriblement suggestif. La jeune fille qui partage ma vie est une authentique exhibitionniste, vicieuse et cérébrale. Un enchantement paradisiaque dont je savoure chaque instant. Nous vivons un immense bonheur depuis plus de cinq ans. Cinq années d'intenses folies.

En voilà une autre de ces folies. Je me masturbe en observant le show que m'offre la fille que j'aime. Une troisième giclée parfaitement contrôlée. << Quand on étaient adolescentes, Estelle et moi, c'est elle qui faisait le guet quand je pissais dans des endroits publics ! >> me dit Clémentine. Elle me la souvent raconté mais j'adore l'entendre, encore et encore. Surtout que lui reviennent à chaque fois des détails inédits. J'en raffole. Je pose des questions précises auxquelles j'ai des réponses précises. Clémentine se redresse. Gardant les pieds écartés. Il en coule de sous sa jupe. Extraordinaire.

<< Un jour, dans une des dernières cabines téléphoniques du village, je faisais ça comme ça alors qu'un type attendait pour téléphoner ! >> dit elle en martelant chaque syllabe comme le faisait Estelle ma jeune élève de l'école de musique il y a sept ans. J'écoute et je regarde, totalement fasciné. De partager ma vie avec une telle jeune fille n'est pas seulement un privilège mais également une émanation magique. Il est tout à fait impossible de s'habituer. Il faut sans cesse s'adapter aux découvertes incessantes d'un esprit imaginatif. J'accélère ma masturbation. Clémentine se touche en mâtant.

Nous nous masturbons l'un en face de l'autre. << Put-hein comme c'est bon. Surtout après les épreuves de la journée. Merci Julien. Tu es mon âme sœur ! >> s'écrie t-elle en venant s'accroupir entre le chevalet et moi. Posant ses mains sur mes cuisses, elle frotte son visage sur ma bite. Remonte avec sa langue de la base jusqu'au prépuce. Tout en me fixant de son regard tétanisant. Je suis couvert de frissons, je subis des décharges électriques. C'est grisant. Comme de rouler à moto à grande vitesse ou de descendre une piste de ski au mépris de la plus élémentaire des prudences.

Clémentine décalotte juste l'extrémité de la peau fripée. Elle hume le méat en disant : << Je m'entraîne pour demain soir ! >>. Elle fait allusion au Gloryhole. Je caresse sa tête quand elle pose ses lèvres sur le bout de gland qui dépasse. << Le grand chauve au col roulé ! >> comme elle aime à dire. Telle une ventouse, elle se met à pomper. Je peux sentir le bout de sa langue qui récupère les coulées de liquide séminal pour les goutter à leur source. Je chuchote : << Viens, on va manger. Et après le repas on s'enivre de nos corps. Moi aussi je veux te goutter ! >>. Clémentine se redresse péniblement.

Je l'aide. Je m'accroupis à mon tour pour masser ses genoux endoloris. Je l'attrape par ses cheveux pour l'entraîner. C'est ainsi que nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand Clémentine découvre ce que j'ai préparé, elle me saute au cou. << Tu es merveilleux ! Tout ce que j'aime ! Et tout le temps ! >> s'écrie t-elle. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. J'enfonce ma bite avec une facilité déconcertante. Clémentine en pousse un cri de ravissement. << Je t'aime ! >> hurle t-elle en se trémoussant sur ma queue. Je me retire en disant : << C'est un avant goût de ce qui t'attend ! >>.

Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade d'endives. J'allume le four pour réchauffer les pommes de terre chips. Je fais bouillir l'huile. Je verse les crevettes dans la pâte à crêpes. J'attrape chacune pour les précipiter dans l'huile en ébullition. C'est rapide. Je laisse aux lecteurs d'imaginer à quel point ce repas simple sera délicieux. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine revient sur quelques souvenirs de son adolescence. << À cet âge on ressent les pulsions à la puissance 100. Je pissais dans les lieux les plus insolites. Et quand on me voyait faire, j'étais folle d'excitation ! >> dit elle.

J'écoute avec passion. À nouveau je pose des questions. À nouveau Clémentine se fait un plaisir de me confier une multitude de détails. Ce chauffeur poids lourd qui depuis sa cabine regardait cette adolescente venir pisser deux fois à côté de son camion. Ce type qui attendait le bus et qui voit arriver une jeune adolescente derrière la vitre fumée. Accroupie, à pisser dans une indécence folle. Estelle toujours cachée pas loin pour sécuriser les exhibes très calculées de Clémentine. Aujourd'hui et depuis plus de cinq ans, c'est moi qui sécurise les prestations de Clémentine. De grands moments.

La vaisselle. Clémentine impatiente de se livrer à nos folies, m'entraîne par la queue. Nous voilà au salon. Juste la lueur des deux grosses bougies. Assise sur le bureau, comme elle aime, Clémentine m'offre les délices de sa chatte baveuse. Je suis installé sur la chaise, le visage entre ses cuisses à me régaler de mon dessert préféré. Dans un concert de petits cris, de hurlements parfois. Je me redresse pour m'introduire. Nous adorons rester immobile. Ces instants où Clémentine adore me confier ses plus intimes secrets de filles. Je m'entends dire : << Raconte-moi encore ! Encore ! >>.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment oublier leurs journées dans les plus indicibles plaisirs des plus folles déviances...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 36 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2038 -



Encore une soirée de dégustations inoubliables

Hier matin, vendredi, l'application "océan" nous arrache de nos profonds sommeils. C'est violent et il n'est que cinq heures cinquante cinq. Le bruit des moteurs de ce chalutier qui rentre au port. Des choses que nous avons vécu tant de fois dans la réalité. Clémentine vient se blottir contre moi en gémissant. Elle saisit ma tumescence pour me murmurer à l'oreille des propos totalement incompréhensibles qui nous font éclater de rire. << Je trébuche sur les mots ! >> bafouille t-elle. Quelques bisous, quelques papouilles et nous nous précipitons aux WC.

Vêtus de nos tenues sport, morts de faim, la tête encore dans le cul, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Clémentine, tout en faisant le café, me raconte ses rêves. Je presse les oranges, je pèle les kiwis en écoutant, amusé, ses aventures oniriques. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. << J'aime comme tu m'aimes tu sais ! >> dit Clémentine en se levant pour venir s'assoir sur mes genoux. J'étale du miel sur sa tartine beurrée. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la visite de Julie cet après-midi.

Nous ne traînons pas. C'est la dernière matinée des épreuves du concours à l'admission du Doctorat. Clémentine est pressée d'en découdre. De se retrouver en situation. De livrer son combat. << Encore lundi matin et je suis peinarde jusqu'au lundi 7 novembre ! >> lance Clémentine qui m'entraîne par la main pour remonter. Notre heure d'entraînement est intense. Clémentine veut se transformer en "guerrière". Aérobic, joggings sur tapis roulants. Exercices au sol, abdos. Charges additionnelles. Retour au calme avec un bon stretching.

La douche. Je dévale les escaliers pour aller préparer la voiture. Il est presque 7 h45. Il pleut. Il fait moche. Il fait un peu plus froid que hier. Clémentine vient me rejoindre sous son parapluie. Jeans, pull sous son blouson, bottines. Ses lunettes d'étudiante sur le nez, ses cheveux qui flottent sur ses épaules. Silhouette fantomatique dans la brume matinale. Un dernier bisou. << Je reviens vite. Je t'aime ! >> dit elle en s'asseyant au volant. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je m'empresse de retourner au sec et surtout au chaud. Notre vaisselle, le lit.

Dans l'atelier, j'allume un bon feu dans la cheminée. Je place quelques marrons ramenés par Clémentine hier. Il y a des marronniers dans les jardins de l'université. Il vont parfumer toute la grande pièce. Ambiance d'automne. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je termine ce cinquième portrait avant midi, c'est certain. Je peins en pensant à Clémentine. Étonnante jeune fille qui partage ma vie depuis plus de cinq ans. Sans cesser de me passionner de sa présence, de ses initiatives, de sa personnalité.

Notre grande différence d'âge me permet un recul phénoménal sur cette situation amoureuse qui fait de moi l'homme le plus heureux. Il est 11 h30 quand je dépose le dernier trait de bleu de cobalt sur la surface de la toile. Je nettoie la palette, les pinceaux. Julie viendra nous rejoindre en tout début d'après-midi pour prendre son cours de peinture. Aussi, je prépare son chevalet de table et sa boîte de peintures BLOCKX. Ses pinceaux, sa palette. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les derniers beignets et les pommes de terre chips.

Je prépare une salade d'endives avec des cerneaux de noix. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Les faire en gratin pour le repas du soir. Ce plat a fait partie du rêve de Clémentine cette nuit. Il est donc amusant de lui réserver cette surprise. Elle raffole des gratins de toute nature. Il est midi trente quand Clémentine revient. Elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes enserrent ma taille. Je la promène dans la cuisine. Elle me couvre le visage de bisous entre deux phrases courtes. << Fastoche ce matin ! >>. Des bises. << J'ai tout bon ! >>. Bises.

<< Emmène-moi faire pipi ! >> conclue t-elle. Je la porte jusqu'aux toilettes pour notre rituel pisseux. C'est avec une faim de loup que nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Une épreuve qu'elle apprécie énormément. Comme une dissertation d'après un sujet imposé. Un sujet où il fallait placer quatre locutions de façon intelligible et devant s'insérer en toute logique dans l'écrit. Clémentine excelle dans ce genre d'exercice. C'est d'ailleurs elle qui met toujours la dernière main aux récits que nous publions quotidiennement.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine en vient à parler de ce qui nous attend ce soir. << Je suis morte de trouille. Mais après ces trois jours passés dans une concentration extrême et un stress permanent, je n'imagine pas un meilleur exutoire ! >> dit elle. Nous rions de bon cœur. Je fais : << Des quantités de spermes inconnus, rien que pour toi ! >>. En riant aux éclats, elle répond : << Et tout ce qui va avec ! >>. Nous sommes pliés de rire. << J'ai envie de te sucer ! >> rajoute t-elle avant de m'embrasser.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant nos pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Clémentine me confie à quel point ce week-end constituera un repos bien mérité. Il y aura encore toute la journée du lundi et des épreuves de mathématiques. Clémentine y excelle également. Elle m'entraîne par la main dans la chambre sans chauffage. On ressent bien la différence. Ce qui situe parfaitement les choses quand à la température extérieure. À peine 16°. Clémentine ouvre l'armoire pour en tirer les vêtements de ce soir.

En les déposant sur le lit, elle dit : << Estelle vient nous rejoindre après le repas du soir. On s'habille toutes les deux pareilles ! >>. Pour moi ce sera un jeans, chemise blanche sous le pull. Clémentine prépare le tout. Je suis assis sur le lit à l'écouter, à la regarder. Ce n'est pas très agréable de rester dans la fraîcheur de la chambre quand on y dort pas. Aussi, pressés de retourner au chaud, nous dévalons les escaliers. À peine sommes-nous au salon qu'arrive Julie. Avec une bonne demi heure d'avance. Jeans, pull sous son blouson, bottines.

Elle se précipite vers Clémentine qui la serre contre elle quelques instants avant de la repousser. Julie vient vers moi pour me serrer la main, me faire trois bises. J'adore quand elle porte ses lunettes d'étudiante. Cela lui confère un air sévère qui incite à la réserve. Elle fait semblant de ne pas apercevoir le trou blanc de ma braguette béante. Pourtant le slip de coton blanc que je porte se voit à des kilomètres. Nous quittons le salon pour l'atelier. Il y règne une douce chaleur, l'odeur des marrons chauds. << Comme c'est bien ! >> s'écrie Julie.

Ayant retiré son blouson, elle s'installe sur la chaise devant le chevalet. Elle scrute longuement la toile achevée. Clémentine vient se blottir contre moi. Glissant sa main dans ma braguette pour en extraire le Zob. Je bande mou. Elle tient mon sexe à sa base entre le pouce et l'index pour l'agiter en direction de Julie. Julie qui s'écrie : << C'est génial. On dirait une photo ! >>. Penchée en avant, elle scrute le portrait. Un couple de quadragénaires confortablement installés sur un canapé entouré de coussins de soie aux fines broderies cachemires.

C'est vrai que le traitement hyper réaliste que je donne à mes portraits leurs confère une dimension photographique. Même si je n'aime pas trop cette technique très particulière, j'y excelle. Elle fait d'ailleurs le succès des portraits qui me sont commandés chaque année. Je bande mou. Clémentine m'entraîne par la queue. Nous voilà à la droite de Julie qui tourne enfin la tête pour faire semblant de découvrir "l'hélicoptère". Elle n'ose jamais soutenir mon regard. Aussi c'est un furtif sourire qu'elle ma lance avant de fixer son attention sur mon sexe.

<< Un bon souvenir de ton anniversaire la semaine dernière ? >> demande Clémentine. << Oh oui, et comment ! >> répond Julie. Je demande à mon tour : << Il t'a enculé Jean-Louis dimanche dernier ? >>. Julie baisse les yeux, devient toute rouge avant de répondre : << Et hier soir aussi, chez Anne-Marie ! Mais juste cinq minutes ! >>. Je passe ma main sous les cheveux de Julie pour caresser sa nuque en disant : << Félicitations Julie ! >>. Elle m'adresse un nouveau furtif sourire. Clémentine me masturbe à quelques centimètres de son visage.

Julie a un mouvement de recul. Pour mieux voir mais peut-être aussi par crainte. Elle se lève comme pour fuir la situation. Elle se dirige vers la cheminée. << C'est beau un feu de bois ! Mes parents rêvent d'avoir un jour une cheminée ! >> fait Julie, un peu rêveuse. Clémentine cesse de me branler pour rejoindre Julie. Elle passe son bras autour de ses épaules. Je les observe de dos. Julie qui paraît toute petite avec son mètre soixante dix à côté de Clémentine et son mètre quatre vingt deux. Cette vision insolite est passionnante. Elles sont silencieuses.

Lorsqu'elles se retournent toutes les deux en même temps c'est pour me regarder me masturber avec entrain. Clémentine lâche Julie pour venir me rejoindre en disant : << Ce soir je me bouffe de la queue ! >>. Julie s'exclame : << Une partouze chez la salope ? >>. Clémentine corrige : << Non un Gloryhole c'est bien meilleur quand on raffole de bites ! >>. Julie rajoute : << Quand je fréquentais Juliette elle a voulu m'initier à ça, mais je n'ai jamais voulu ! >>. Clémentine demande : << Des mecs t'ont enculé au haras, dans les écuries ? >>.

<< Ils m'ont tous fait le cul. Il y avait ce vieux dégueulasse de Gérard. Il voulait absolument me la mettre en bouche quand un des mecs m'enculait. Je n'ai jamais connu un vieux pervers comme ce type ! >> s'écrie Julie. Clémentine saisit ma bite pour continuer ma branlette. Nous écoutons Julie nous raconter en détails certaines soirées. Elle a entretenu une relation amoureuse avec Juliette il y a un presque quatre ans. Juste quelques mois. << Cette femme était parfois odieuse avec moi. Exigeante et sévère ! Perverse ! >> confie Julie en fois encore.

Nous savons que cette relation s'est mal terminée. Aussi nous n'insistons pas. Julie n'en garde pas un très bon souvenir. << Il y avait un mec avec une vraie bite de cheval. Il m'a fait mal ce salaud ! >> lance encore Julie en s'accroupissant à côté du chevalet. Nous ne savons pas de qui elle parle. Il faut préciser que Juliette connaît pas mal de monde. Tenir une pension pour chevaux établit un tissu social conséquent. << Tu n'avais que 18 ans à l'époque ! >> lance Clémentine qui m'entraîne pas le Zob. Je suis debout devant Julie accroupie.

Elle regarde la main de Clémentine qui lui tend ma queue. Je demande une fois encore : << Racontez-nous votre première sodomie ! >>. Nous connaissons parfaitement l'histoire. Mais c'est un plaisir d'entre Julie nous en parler une nouvelle fois. Ma bite n'est qu'à environ 50 cm de son visage. << C'est Jean-Louis, le chef cuisinier. Je rentrais du lycée. J'en avais trop envie mais c'était surprenant et très douloureux ! >>. Clémentine lance : << Une petite enculée de quinze ans ! Et avec un mec marié qui pourrait être son père. Tu n'as pas honte ? >>.

<< Si, mais j'aime avoir honte de ce que je fais ! >> s'écrie Julie. Je m'approche. Clémentine frotte mon sexe sur son visage. Je la saisis par ses cheveux pour la maintenir. Julie tente de se dégager sans réelle conviction. C'est un jeu et nous savons qu'elle aime jouer. Clémentine n'insiste pas. Je lâche Julie qui se redresse. Clémentine propose un thé. Nous voilà vautrés dans le vieux canapé en velours carmin de l'atelier. Les filles parlent de leurs études. J'écoute. Julie est assise tout contre Clémentine qui lui caresse les cheveux. C'est adorable. Beau.

Nous voilà assis côte à côte. Julie achève son petit tableau. D'après photo. Un paysage tout près de chez elle. Je me masturbe doucement sous la table. À chaque fois qu'elle fait semblant de prendre du recul pour regarder son travail c'est pour loucher sur mon activité. Clémentine, installée devant son ordinateur, nous écoute. Nous fait des sourires. Il est presque dix huit heures. Julie doit nous laisser. Nous la raccompagnons sous le parapluie jusqu'à sa voiture. Elle revient demain matin pour faire notre ménage. << Avec le plug ! >> lance Clémentine.

Nous la regardons partir un peu tristounette. Nous nous dépêchons de rentrer. << Je t'aime. J'aime quand tu es vicieux comme ça avec d'autres filles ! >> lance Clémentine en me sautant au cou. Elle enfonce sa langue dans ma bouche pour m'embrasser jusqu'au vertige. Je bande à nouveau comme le dernier des salauds. Accroupie, Clémentine récupère l'abondance de mes épanchements. Je murmure : << Tu te mets en appétit pour ce soir ? >>. Clémentine cesse, se redresse et répond : << J'ai un appétit d'ogresse dès qu'il est question de sperme ! >>.

Nous rions de bon cœur. Dans la cuisine, quand Clémentine découvre ce que j'ai préparé dans le four, elle revient se jeter dans mes bras. Je réchauffe. Elle prépare une salade de tomates. Dans la poêle je fais rissoler deux dos de cabillaud blanc. Nous mangeons de bon appétit. Sans traîner. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents, nous changer dans la salle de bain bien chaude. Clémentine porte une de ses jupes kilt à carreaux rouges et verts. Chemisier crème sous un pull bleu nuit. Son blouson. À peine redescendus, voilà Estelle qui arrive.

Gloryhole

Nous arrivons sur le parking du haras pour vingt heures très précises. Il y a de la lumière dans l'ancienne écurie. C'est un endroit que nous apprécions beaucoup. C'est un vieux bâtiment du dix neuvième siècle. Une dépendance du corps de ferme qu'il y avant jadis en ce lieu. Lorsque Juliette a acheté cette propriété il y a plus de dix ans, c'était pour en faire une pension pour chevaux. L'équitation étant sa passion elle voulait créer un pôle économique dans ce domaine particulier en créant son entreprise. Il y a maintenant deux autres écuries modernes.

Clémentine reste serrée contre moi pour traverser la cour. Estelle me tient la main. À peine sommes nous dans le bâtiment que résonnent des bruits divers, des voix, des rires. C'est au fond. Dans la petite salle aménagée. Juste à côté du local bureau. Nous caressons quelques encolures car des chevaux, depuis leurs box, nous regardent avec curiosité. Estelle et Clémentine ont pratiqué l'équitation dans leurs adolescences. Clémentine en garde le souvenir d'une mauvaise chute. Toutes les deux ont alors cessé vers l'âge de dix sept ans. Il y a 8 ans.

Juliette vient à notre rencontre. Souriante. Vêtue de sa tenue de travail, c'est à dire en cavalière. Des bottes noires, un pantalon beige aussi moulant qu'un legging, un chemiser blanc sous un pull brun clair au col en "V". Elle prend les mains de Clémentine : << Alors ? Ces appréhensions universitaires ? Sont-elles derrière vous ? >> demande t-elle. Elle fait de même avec Estelle pour dire : << Et vous Estelle ? >>. Les filles sont évidemment soulagées. << Il reste les épreuves de lundi ! >> répond Estelle. << Ce n'est pas fini ! >> dit Clémentine.

Juliette me serre la main, se met sur la pointe des pieds pour me faire trois bises. Elle me fait : << Vous avez de quoi vous occupez pour faire oublier leurs soucis à ces deux jeunes filles ! >>. Nous rions de bon cœur. Juliette nous invite à la suivre. Pour Estelle et pour Clémentine il est tout à fait hors de question d'aller saluer les gens que l'on entend dans la salle du fond. << Alors venez, je vais vous montrer quelque chose ! >> nous fait Juliette en nous entraînant vers les toilettes. Nous y pénétrons tous les quatre. Une odeur de chlore.

Juliette est une spécialiste des choses dissimulées. Elle ouvre un petit boîtier électrique à côté du lavabo. Il y a une ouverture ronde d'environs deux centimètres. Juste un trou dans l'épaisseur du mur. << Regardez ! >> fait elle à Clémentine. L'orifice est juste à la hauteur de ses yeux. Elle observe quelques instants. << Fais voir ! >> murmure Estelle qui regarde à son tour. C'est à moi. Le trou permet de voir l'intérieur de la petite salle. Environ six mètres sur six. Il y a madame Walter, son mari Pierre, Robert, le vétérinaire, James, le palefrenier.

Il y a deux types que nous n'avons jamais vu. Dont un black qui rit beaucoup. Ces gens sont assis dans les deux canapés, les fauteuils. Sur la table des jus de fruits, des toasts, des cacahuètes. Juliette organise toujours bien les choses. Elle chuchote : << Toutes ces personnes ont été en mesure de me présenter un certificat médical de moins de 48 heures. C'est toujours mon exigence quand il se passe des trucs chez moi ! >>. Nous savons pouvoir faire confiance à Juliette. À cheval sur l'hygiène comme sur les principes. D'origine Corse c'est sa nature.

Nous quittons les toilettes pour retourner dans l'allée centrale de l'écurie. Nous entrons dans le box réservé à la soirée. Là aussi Juliette a très bien fait les choses. Pas de cheval ce soir. Pas de paille. Tout est nickel. Deux fauteuils dans l'ombre car l'endroit est très peu éclairé. Juliette me dit : << Je suppose que votre garde du corps de la soirée est Estelle, n'est-ce pas ? >>. C'est Estelle qui répond d'un ton péremptoire : << Exactement. Et je surveille notre homme de très près ! >>. Nous rions de bon cœur. Clémentine regarde le trou du mur.

Combien d'émotions n'a t-elle pas vécu là ! Elle s'accroupit pour coller son œil à l'orifice. << Il n'y a encore personne. Je reste avec mes invités. Chaque homme viendra seul, avec moi. N'ayez aucune crainte, je surveille tout cela avec vigilance ! >> lance Juliette en posant discrètement sa main sur ma braguette. Elle me fait un rapide clin d'œil avant de me dire : << Bonne branle espèce de vieux cochon ! >>. Estelle répond : << Je m'occupe du cas Julien avec célérité ! >>. Juliette fait encore à l'attention de Clémentine : << Bon appétit ! >>.

Clémentine se blottit dans mes bras. Je la sens trembler comme si elle avait froid. Alors qu'il fait bien agréable dans une écurie emplie de chevaux. Estelle vient se serrer contre nous. << La trouille ? Pourtant ce n'est pas la première fois ! >> murmure t-elle. << Non mais c'est tout comme. J'ai envie de m'enfuir ! >> chuchote Clémentine. Je passe ma main sous sa jupe pour la glisser entre ses cuisses. Clémentine a cet adorable réflexe féminin. Comme un spasme qui secoue son corps. Je joue de mon doigt sur les lèvres charnues de son sexe déjà moite.

Je saisis son clitoris géant entre le pouce et l'index. << Mmhh ! >> gémit Clémentine en s'effondrant dans mes bras. Conséquence de ce plaisir si soudain. Elle me dit à voix basse : << Tu me fais ça pendant que je suce ! >>. Je promets de l'assister à chaque sollicitation. Estelle me palpe la braguette pour rajouter : << Et moi je m'occupe de "ça" ! >>. Il y a un matelas de plage, étroit et confortable au sol, sous le trou dans le mur. Mais il y a également une chaise. Ainsi, en fonction de ses envies, Clémentine peut s'assoir ou être à genoux.

Elle préfère la chaise. Estelle et moi nous glissons le matelas vers la porte. Ce qui permet également de la bloquer. Clémentine place la chaise devant le mur. Elle s'y installe. Elle approche son visage du trou qui s'éclaire soudain. Quelqu'un a allumé une lumière dans le local bureau. Ce qui illumine le haut du visage de Clémentine. Estelle se penche à gauche de Clémentine. Son visage tout près du sien. Je fais pareil à droite. Clémentine a un réflexe de recul. Elle cache son visage. Certainement pour le dissimuler car un œil apparaît de l'autre côté.

Estelle contourne Clémentine pour venir me rejoindre. << Viens ! >> murmure t-elle d'une voix à peine audible. Elle m'entraîne vers un des deux fauteuils. Elle m'y fait assoir pour s'installer sur mes cuisses. Je passe mes mains autour de sa taille. Nous restons tous les trois en apnée. Clémentine qui mâte par le trou, se tourne vers nous. Elle pointe l'index de sa main gauche vers le trou en mimant une masturbation masculine de l'autre. Elle nous fait une grimace, tire la langue et nous fait un clin d'œil. Une bite jaillit soudain par l'orifice. Une grosse bite.

Clémentine approche son visage. Ses mains en appui sur le mur des deux côtés du trou, elle hume. Renifle longuement. Estelle se lève, s'approche pour sentir aussi. Elle revient s'assoir en faisant une horrible grimace tout en se pinçant le nez. C'est lorsque Clémentine, avec son pouce et son index, décalotte légèrement le gland que je sent à mon tour. Une odeur qui n'est pas sans évoquer un vieux sandwich au thon. C'est dégueulasse. J'ai un haut le cœur quand je vois Clémentine le prendre en bouche. Estelle se serre contre moi encore plus fort.

Clémentine suçote avec délectation. Toutes ses appréhensions se sont envolées. Les yeux fermés, comme en extase, elle suce cette bite inconnue. Les joues creusées par l'effort elle en prend davantage en bouche. Elle cesse. Du bout de la langue elle tente de passer entre la peau du prépuce et le gland. Comme elle le fait avec moi. Trop impatiente elle décalotte complètement ce sexe dur comme du bois. Avec la langue elle procède à un nettoyage dans les règles de l'Art. Estelle cesse de regarder. Comme écœurée, elle fourre son visage dans mon cou.

Ce mec a du frome à la base du gland. Clémentine s'en pourlèche en poussant de petits cris de ravissement. Elle reprend sa succion. Sur les traits de son visage se lit la béatitude la plus totale. Je bande comme le dernier des salauds. Estelle qui sent ma bosse grandir, se lève. À genoux entre mes jambes écartées, elle déboutonne mon 501. C'est avec difficulté qu'elle en extrait ma turgescence presque douloureuse. Elle retire sa culotte pour s'assoir en calant mon sexe entre ses fesses. Je caresse son clitoris avant de descendre mon doigt pour l'enfoncer.

Nous regardons cet étonnant spectacle. Clémentine entrain de sucer une queue inconnue qui dépasse d'un trou dans le mur. C'est tellement fou, tellement surréaliste que cela dépasse l'entendement. Même en ouvrant grands les yeux, en se concentrant sur ce qui se passe il est impossible de l'appréhender dans sa globalité. L'ensemble des sens humains semble ne pas suffire à comprendre. Mais c'est terriblement excitant. Estelle se lève. Saisit mon sexe pour se l'enfoncer, pour s'assoir dessus. Elle tourne la tête pour murmurer : << Vieux vicieux ! >>.

Estelle reste toutefois immobile. Je suis obligé de me pencher pour regarder Clémentine. Il y a de la jute qui coule aux commissures de ses lèvres. Le mec doit être très juteux. Nous pouvons l'entendre haleter comme un animal de l'autre côté. Parfois il bouge car on voit son chibre s'enfoncer puis coulisser dans la bouche de Clémentine. Elle se tortille sur sa chaise car de sa main droite elle se touche en gémissant. Ça fait bien dix minutes qu'elle pompe. En s'arrêtant de temps en temps pour tenter d'avaler, pour laisser reposer sa mâchoire.

Clémentine reste parfaitement immobile. Elle suce avec délectation. Cela ne fait pas l'ombre d'un doute. Il va se passer quelque chose, c'est certain. Estelle cesse son mouvement vertical. Assise sur mon sexe elle se tient aux accoudoirs du fauteuil pour se retirer doucement. Tous les deux, les sens aux aguets, retenant nos respirations, nous observons. Le mec pousse un râle sonore. Il éjacule probablement. Clémentine s'enfonce un peu plus de queue dans la bouche. Elle se fait juter au fond de la gorge. Nous la voyons déglutir au fur et à mesure en gémissant

Elle se retire en toussant, manquant de s'étouffer. Dans sa hâte de pouvoir reprendre sa respiration elle perd une bonne moitié du foutre qui coule sur sa jupe. Avec une horrible grimace, déglutissant avec difficulté, elle secoue la tête. Elle tient sa gorge en avalant avec peine. Estelle se lève pour se précipiter. Le visage contre celui de Clémentine qu'elle bouscule presque, elle suce à son tour. Vidant la totalité des couilles du mec. Il se retire brusquement. Estelle avale ce qu'elle a réussi à pomper. Clémentine essuie ses yeux larmoyants et le foutre sur son menton.

Je me lève pour rejoindre les filles. De mes mains je palpe leurs chattes trempées. Clémentine saisit mon poignet pour que surtout je n'arrête pas. Il y a une soudaine obscurité dans le trou. Juliette a trouvé là un moyen d'avertir la venue du second protagoniste. Clémentine se tourne vers moi pour dire : << Le foutre de ce mec me brûle la gorge ! >>. Elle ouvre sa bouche pour m'en montrer l'intérieur. Instant que choisit Estelle pour lui cracher dedans. Clémentine se remet à tousser. << Fausse route ! >> fait elle avec peine. Je tapote son dos.

La lumière s'allume aussi soudainement qu'elle s'est éteinte. Presque aussitôt c'est une bite noire qui apparaît par le trou. Ce mec s'est certainement branlé depuis un moment car du liquide séminal perle à l'extrémité de son gland circoncis. Clémentine déteste les bites "coupées". Je reprends ma place dans le fauteuil. Clémentine boit un coup de flotte de la petite bouteille en plastique posée au sol. Elle approche son visage pour humer ce sexe. Estelle s'assoit sur ma queue. Elle recommence son mouvement vertical tout en se masturbant.

Clémentine prend la totalité du gland en bouche. Il semble épouser parfaitement sa cavité buccale. Ses joues se creusent à nouveau. << Mmhhh ! >> fait elle à plusieurs reprises. Elle lève les pouces de ses deux mains tout en suçant avec gourmandise. Estelle se penche en avant pour chuchoter à l'oreille de Clémentine. Je n'entends pas ce qu'elle lui dit. Je regarde l'expression d'extase sur le visage de Clémentine. Le type doit être extrêmement juteux car elle ne cesse de se retirer pour avaler. Il coule du foutre du méat. Elle retourne très vite le récupérer.

Je me penche. Le dos d'Estelle m'oblige à des contorsions pour pouvoir voir correctement. Il y a des gouttes gluantes qui dégoulinent. Clémentine ne peut avaler l'abondance de ce jus visqueux. Cela fait penser à un robinet qui aurait une fuite. Les gouttes tombent une à une. Estelle tourne sa tête pour me murmurer : << De la pisse ! >>. Complètement halluciné je regarde. C'est probablement vrai. << Mmhh ! Mmhh ! >> n'arrête pas de gémir Clémentine. Une fois encore elle tente de prendre le maximum de queue dans la bouche. Une belle queue.

Une queue noire dont la moitié est luisante, dégoulinante de "mélange". Seize bons centimètres à bien observer. Sur environs quatre centimètres d'épaisseur. C'est lorsque Clémentine se retire pour avaler, que nous avons la preuve indubitable de ce qui se passe. Un petit jet de pisse vient se briser dans ses cheveux. Une autre giclée. Elle se précipite pour sucer, pour surtout ne pas en gâcher de trop. C'est à cet instant que le mec éjacule. << Mmhh ! Mmhh ! >> gémit Clémentine, le visage immobile, les joues se gonflant au rythme des décharges.

Pour pouvoir déglutir Clémentine n'a d'autre choix que de se retirer. Une fois encore Estelle se lève pour s'approcher. Elle aussi veut gouter. Elle tombe à genoux à même le béton du sol. Elle aussi semble se régaler. Elle n'arrête plus. La queue reste bandante. C'est Estelle qui part pour une pipe. Clémentine se trémousse sur sa chaise en se masturbant. Je me lève. Je m'approche. Je la saisis par sa tignasse. Je tente de lui enfoncer la bite dans la bouche. Elle tente d'esquiver. << Non, pas la tienne ! Non ! >> murmure t-elle en essayant de se dégager.

Estelle cesse de sucer en disant : << Put-hein comme elle est bonne ! >>. Clémentine en profite pour se tourner vers le mur, reprendre cette queue en bouche. << Mmhh ! Mmhh ! >> recommence t-elle à gémir. Je retourne me vautrer dans le fauteuil. Le refus de Clémentine m'excite à un point jamais atteint. << Elle est sucrée ! >> m'explique Estelle avant de rajouter : << Meilleure que toutes celles que j'ai gouté. Y compris ta bite dégueulasse de vieux pervers ! >>. Juste après avoir chuchoté ces mots, Estelle s'assoit sur mon sexe qu'elle s'enfile.

Je regarde Clémentine repartir pour un second tour. Le salaud est certainement entrain de pisser car je vois à nouveau des gouttes s'écouler. Clémentine ne pouvant tout "boire". Je comprends maintenant ce qui est "sucré". C'est la pisse de ce vicelard. Elle suce comme si sa vie en dépendait. Les joues creusées par l'effort. << Mmhh ! Mmhh ! >> ne cesse t-elle de gémir. On entend le mec de l'autre côté rugir de plaisir. Il éjacule. Certain. À voir la réaction de Clémentine qui ne cesse de déglutir. Je vois les contractions régulières des muscles de sa gorge.

Cette fois, la queue disparaît. La lumière s'éteint. Clémentine, avec une expression d'extase tourne la tête pour nous dire : << Je n'en n'ai jamais bouffé une aussi délicieuse ! >>. Estelle demande : << Tu aimes quand elles sont sucrées ? >>. Clémentine répond : << Put-Hein mais c'est bon ! >>. La lumière se rallume. Quelques instants avant que n'apparaisse une petite queue toute molle. << C'est celle de Robert, le vétérinaire ! Je la reconnais ! >> chuchote Estelle. Clémentine se tourne prestement vers le mur pour la prendre en bouche. Elle goutte.

Parfaitement immobile, savourant du bout des lèvres, les yeux ouverts, elle reste silencieuse. << Fais gaffe, c'est une bite de pisseur ! >> lui chuchote Estelle en se penchant en avant. Clémentine cesse de sucer pour lui tendre la queue. Estelle se lève pour venir s'accroupir devant le trou. Elle goutte à son tour. Je me lève. Je contourne Clémentine. Je la saisis par ses cheveux. À nouveau elle m'empêche de lui fourrer ma queue dans la bouche : << Je t'ai dis non ! >> me fait Clémentine en me repoussant. Ça m'excite terriblement. C'est génial !

Estelle et Clémentine se refilent cette petite bite qui reste molle. Molle mais juteuse à les voir se disputer le nectar qui en coule. C'est un sperme laiteux, coulant, dont certaines gouttes s'échappent de la bouche des filles pour tomber sur leurs jupes. Je suis certain que ce salopard pisse également. Le bruit bulleux d'une pipe juteuse. << Mmhh ! Mmhh ! >> ne cessent de gémir les filles à chaque fois que c'est leur tour de pomper. J'ai l'impression de voir la bite minuscule de monsieur Bertrand, notre voisin. Mais la sienne n'a pas de verrues.

Car celle-ci présente comme trois verrues le long de la veine bleue. C'est comme si une explosion envahissait soudain la bouche de Clémentine. Ses joues se gonflent, se dégonflent, pour se regonfler encore. Au rythme où elle avale. Trop c'est trop. Elle se retire quand une coulée de sperme s'écoule. Estelle, d'un gracieux mouvement de tête tente d'en récupérer tout ce qu'elle peut. Je me branle comme un fou. Je dois lutter contre le besoin impérieux d'éjaculer. La bite disparaît soudain. Les impuissants ont souvent d'énormes éjaculations. C'est curieux.

La lumière s'éteint. Clémentine se tourne vers moi pour me dire : << Toi, tu es l'homme que j'aime. Ta bite mérite un traitement de faveur. Je ne veux pas mêler les jus de ces salopards avec le tient ! Tu comprends ? >>. Je la rassure. Je comprends parfaitement. Estelle me dit : << Pour moi c'est pareil. Ne t'en fais pas ! >>. Je réponds : << Mais je ne m'en fais pas du tout ! Vous m'excitez comme jamais ! >>. La lumière se rallume. Une quatrième bite fait son apparition. << J'adore ça, c'est trop bien ! >> ne peut s'empêcher de murmurer Clémentine.

C'est certainement la bite de Pierre. Très ressemblante à la mienne. Vingt bons centimètres sur à peine trois centimètres cinq de diamètre. Une peau de prépuce fripée. Clémentine décalotte légèrement. Juste l'extrémité du gland. Elle hume. Les yeux ouverts, avec une expression de ravissement, elle l'a tend à Estelle qui s'accroupit à nouveau. Elle reniflent toutes les deux cette queue bien droite. Clémentine la prend en bouche. Estelle revient s'assoir sur mon sexe. Elle se masturbe sans cesser son léger mouvement vertical. << Génial ! >> murmure t-elle.

D'être enfoncé jusqu'aux couilles dans ce doux fourreau, je jouis de chaque instant. Nous admirons la pipe que prodigue Clémentine qui semble animée d'une passion dévorante. La bite reste sèche. Il n'en coule pas de la bouche de Clémentine. << Ce n'est pas un pisseur ! >> me chuchote Estelle qui redouble d'activité sur mon sexe. C'est parfois douloureux car dans ses mouvements elle me la tord méchamment. La bite disparaît soudain. Clémentine regarde par le trou avant d'y coller son oreille. Elle écoute avant de chuchoter : << Oui, d'accord ! >>.

La queue réapparaît. Clémentine la saisit d'une poigne ferme pour la masturber. Elle nous murmure : << C'est Pierre, il me propose une fois encore de me chercher à l'université pour me baiser dans sa voiture ! >>. Je me penche. C'est la tête sous l'aisselle d'Estelle que je chuchote : << Cette fois tu acceptes ! >>. Sans répondre Clémentine retourne à sa pipe. C'est Estelle qui soudain se cambre. Elle pousse un cri. L'orgasme qui la tétanise à l'instant est sans doute le plus puissant de son existence. Elle me regarde en pleurant. C'est délirant.

Elle se lève pour se mettre à genoux entre mes jambes écartées. J'ai la bite qui ruisselle sur mon jeans. Je n'ai jamais vu une telle quantité de foutre maculer le tour de ma braguette. Sans hésiter un seul instant Estelle se met à me sucer comme une assoiffée. Une affamée. Je pourrais éjaculer. Pierre éjacule car je vois Clémentine s'enfoncer toute sa bite dans la bouche. Quand elle cesse de se masturber pour poser ses mains sur le mur, de chaque côté du trou, c'est pour savourer les giclées de foutre. Je vois la queue s'agiter de trois formidables saccades. Un spasme agite ce membre veineux.

Le hurlement que pousse Pierre permet de l'identifier avec certitude. Son sexe s'arrache de la bouche de Clémentine pour disparaître. Dans l'action, Clémentine en laisse s'échapper. Il en coule une fois encore sur sa jupe. La lumière s'éteint. Clémentine regarde Estelle me tailler une superbe pipe. Elle me fait un clin d'œil. Elle veut me dire quelque chose quand la lumière se rallume. Quelle surprise. C'est la queue du black. Il n'y a qu'une seule bite noire dans la bande. Nul doute que c'est le "retour". << Ill be back ! >> murmure Clémentine en gloussant.

Sans attendre, elle se tourne contre le mur. Elle approche son visage en ouvrant la bouche. Elle se met à biberonner avec délectation. Comme un véritable biberon dont elle sirote déjà le jus. << Mmhh ! Mmhh ! >> gémit elle à nouveau. Elle donne trois petits coups contre la cloison. Aussitôt trois coups résonnent en réponse. Des gouttes recommencent à couler le long de la queue, dégoulinantes de la bouche de Clémentine. Pourtant ses lèvres forment une vraie ventouse sur le sexe noir. Estelle cesse de me sucer en entendant les gouttes tomber au sol.

Je caresse son visage. Elle me fait le plus merveilleux des sourires. Elle se met droite sur ses genoux pour se tourner vers Clémentine qu'elle rejoint. Toutes les deux se refilent cette queue qu'elles savourent comme un cône glacé. Je me lève. Je les tient toutes les deux par la nuque. Je me penche. Mon visage entre les leurs, je murmure : << Su sucre les filles ? >>. Clémentine gémit en gloussant : << Mmhh, mmhh ! >> fait elle sans cesser de siroter. Estelle qui en veut aussi colle sa joue contre celle de Clémentine. La queue se met à coulisser.

Clémentine veut absolument se faire éjaculer dans la bouche. C'est presque à un combat d'épaules que se livrent mes deux anges. Estelle qui ne voulait pas sucer une autre bite que la mienne a goutté toutes les autres ce soir. Je murmure à son oreille : << Félicitations ! >>. Elle saisit mon poignet, tente de m'embrasser pendant que Clémentine avale en poussant des cris de ravissement. J'esquive. Rien ne m'écœure davantage que de savoir que leurs bouches ont sucé d'autres mecs. Ça schlingue la queue, le sperme, le thon mayonnaise et l'urinoir à pisse.

Cette fois, les couilles totalement vides, la bite probablement congestionnée, le type se retire. Le silence. La lumière s'éteint. Plus rien. Nous attendons quelques minutes en fixant le trou noir. Du bruit. Juliette vient nous rejoindre. << Alors ? >> lance t-elle à Clémentine. Juliette aussi a les cheveux du côté droit dégoulinant de pisse et de foutre. On se doute bien qu'elle s'est bouffé de la queue elle aussi. Comme toujours, quand la fête est finie, de peur de croiser les propriétaires des bites sucées, Clémentine m'entraîne par la main pour nous sauver.

Nous ne saluons même pas Juliette qui connait bien ce réflexe de Clémentine. Les serviettes posées sur le siège arrière trouvent rapidement leurs utilités. Estelle et Clémentine s'en couvrent la tête. Les cheveux mouillés, afin de ne pas prendre froid, elles se protègent ainsi. Je roule doucement. Clémentine mord dans la pomme avant de la passer à Estelle. << Il y a des mecs qui ont des bites dégueulasses ! >> lance t-elle. Estelle répond : << C'est ça qui les rend excitantes et savoureuses ! >>. Nous rions de bon cœur. Il est 23 h quand nous arrivons.

Estelle et Clémentine, sous la douche se font un shampoing. Je les entends rire. J'attends avec le sèche cheveux. Une fois encore je joue au coiffeur. Dans le miroir, assises côte à côte, mes deux anges me font des grimaces. << Je t'ai fait de la peine au trou ? >> me demande Clémentine. Je dépose un bisou dans sa nuque en répondant : << Pas du tout. Bien au contraire. Tu n'imagines pas comme ton attitude de refus m'a excité ! Je n'ai pas éjaculé par contre ! >> Estelle s'écrie : << Félicitations. Mais demain je te jure que je te fais exploser ! >>.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont se blottir contre leur coquin dans la complicité d'un profond sommeil. Leurs pieds contre les siens.

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 37 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2039 -



Un samedi à se remettre de nos émotions

Hier matin, samedi, Estelle contre moi toute la nuit, me réveille en posant sa main sur ma bosse. Cette érection naturelle qu'elle saisit en posant ses lèvres dans mon cou. Clémentine vient se blottir encore plus fort. Je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous, ma queue qui va de main en main. Des papouilles. Clémentine s'est levée dans la nuit pour aller vomir. << C'est le foutre et la pisse que tu t'es ramassée hier soir au Gloryhole ! >> lance Estelle. Nous rions de bon cœur. << Arrêtez, ce n'est pas drôle ! >> s'écrie Clémentine.

Estelle saute du lit comme montée sur ressorts. Elle se précipite vers la porte. Clémentine se couche sur moi en murmurant : << Merci Julien. Merci pour hier soir et tout le reste ! >> fait t-elle en couvrant mon visage de bises en mitraille. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging nous dévalons les escaliers. Dans la cuisine flottent déjà les odeurs du café et du pain grillé. Estelle me saute au cou. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me dire : << C'était génial hier soir. Tu étais en moi tout le temps

Je la promène dans toute la grande pièce. J'administre le même traitement à Clémentine qui nous avoue : << Ça me brûle encore au fond de la gorge et dans le nez ! >>. Estelle précise : << Tu manges quelque chose et ça ira mieux ! >>. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Clémentine préfère passer directement aux tartine beurrées recouvertes d'un bon miel crémeux. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur ce qui s'est passé hier soir. << Rien ne vaut un bon Gloryhole pour situer les choses après les épreuves d'un concours ! >> dit Estelle.

Je me précipite dans le hall d'entrée pour ouvrir le portail depuis l'interphone. Nous rions aux éclats de sa facétieuse façon de voir les choses. Estelle ne vient pas courir avec nous ce matin car elle rejoint ses parents. Elle revient en début d'après-midi. << Le rituel de l'hypermarché le samedi matin ! Trop bien avec maman ! >> lance t-elle. Il n'est que 8 h20 et voilà Julie. Toute contente de revoir Estelle elle se jette à son cou. C'est au tour de Clémentine puis du mien. Julie est étonnement délicate avec moi ce matin. Déjà très sensuelle.

<< Allez courir, je m'occupe de tout ! >> lance t-elle. Nous quittons la cuisine en lui déposant chacun une bise sur le front. Nous remontons nous laver les dents. Estelle se change. Son grand sac de sport contenant ses vêtements de change reste sur le tabouret de la salle de bain. Elle redescends avec nous. Le ciel est bas, menaçant. Le sol est humide des pluies de la nuit. Un dernier bisou à Estelle avant qu'elle ne se précipite vers sa voiture. Quelques mouvements d'échauffement et nous montons jusqu'au portail au petit trot. Jogging le long de la route.

Il est 9 h30 quand nous revenons pour prendre notre douche. Une fois encore nous ressentons cette étrange sensation rassurante en entendant l'aspirateur. Julie chantonne également. C'est merveilleux quand il y a toute cette vie dans la maison. Vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux, nous dévalons les escaliers. Quelle surprise. Julie, dans sa tenue de soubrette s'apprête à passer l'aspirateur dans le hall. Comme elle est belle et sexy dans ses vêtements de serveuse. Jupette de velours noir jusqu'à mi-cuisses. Chemisier blanc, escarpins noirs à talons.

Des bas noirs retenus par un porte-jarretelles qu'on aperçoit parfaitement. Surtout qu'elle se fait surprendre penchée en avant. Lorsqu'elle nous entend derrière elle, Julie se courbe encore davantage. Nous découvrons le plug qu'elle porte enfoncé dans le cul. C'est celui que nous lui avons offert pour son anniversaire. Julie se redresse en faisant mine d'être surprise. Alors qu'il est fort probable qu'elle avait préparé la scène. Nous lui déposons chacun une bise sur le front. Je passe ma main sous sa jupette pour lui palper vulgairement la chatte. Humide.

Julie me lance un regard éperdu de reconnaissance. J'enfonce délicatement la première phalange de mon index pour le faire bouger en disant : << Félicitations Julie. Vous savez nous surprendre avec tant de classe ! >>. Julie, soudain toute rouge, baisse les yeux en répondant : << Vous aussi ! >>. Nous sortons car la camionnette de Danièle arrive déjà. Nous avons juste le temps de l'accueillir. Danièle est souriante mais peu bavarde. En sautant de son véhicule elle fixe ma braguette. Cette fois elle est fermée. Clémentine s'en aperçoit aussi.

Du hayon arrière de son utilitaire Mercedes tout neuf, la jeune femme tire nos deux cageots. Celui qui contient nos fruits et nos légumes. Lourds et grands. Celui qui contient nos fromages, le beurre, les œufs, les petits pots de crème fraîche et les yaourts. Il y a plein de Kiwis également. Nous en faisons grande consommation. Les vitamines C pour la journée dès le petit déjeuner. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Danièle ne s'attarde pas. Elle a bien d'autres clients à livrer jusqu'aux environs de quatorze heures.

Nous la saluons. Voilà le tube Citroën rénové de notre boulangère. Elle attend au portail que Danièle passe. C'est hilare, au volant de sa camionnette, qu'elle descend doucement pour se garer derrière la Clio rouge de Julie. Malgré sa corpulence, madame Marthe saute avec agilité de son véhicule. Elle ouvre la porte coulissante dans un vacarme de ferraille. Elle en tire le cageot en plastique bleu qui contient les deux grosses miches de pain complet "Bio". L'énorme "chinois" au pudding, les deux pâtes feuilletées. Les deux croissants en cadeau.

Paiement par carte. Même commande pour la semaine prochaine. Notre boulangère aussi a bien d'autres livraisons. Elle ne s'attarde pas. Nous la saluons avant de contourner la maison en portant nos cageots. Nous descendons à la cave par derrière. C'est sympathique de disposer soigneusement les fruits et les légumes sur les étagères du cellier. Clémentine me serre contre elle en disant : << Tu as vu la manière qu'avait Danièle de fixer ta braguette. Je l'ai vu regarder deux fois et une troisième fois avant de partir ! >>. J'écoute amusé.

Clémentine rajoute : << Pour samedi prochain, tu as ta braguette béante. Tu mets un slip blanc pour que ça se remarque ! >>. Nous rions aux éclats. Du congélateur je tire un paquet de moules, deux sachets, haricots verts et petits pois. J'y dépose une des deux grosses miches et les deux pâtes feuilletées. Avec les courses faites lundi dernier, le congélateur est plein à craquer. Surtout des produits de la mer dont nous raffolons et dont nous faisons grande consommation. Clémentine, légèrement excitée par sa révélation, me touche la braguette.

Nous remontons par l'escalier intérieur. Julie s'apprête à passer la serpillère à la cuisine. Elle attend dans l'encadrement de la porte. Le temps que nous rangions les produits frais dans le réfrigérateur. Quelle surprise. Accroupie, les cuisses largement écartées, les fesses presque au sol, Julie étale la serpillère sur le carrelage. Ce n'est évidemment qu'un prétexte. Car son plug anal est superbement apparent. Surtout que la position risque de l'expulser. Ce qui se passe soudain dans un "plop" sonore suivit du bruit de l'objet tombant sur le sol.

Elle nous adresse le plus merveilleux des sourires avant de se redresser prestement. << Chez vous, avec vous, je deviens exhibitionniste ! >> lance t-elle en baissant les yeux comme honteuse. << Ça te fait de l'entraînement pour ton job au restau le soir ! >> lance Clémentine. Nous rions. En quittant la cuisine nous déposons chacun une nouvelle bise sur son front. Nous passons au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Il y a un message de Juliette. Accompagné d'une photo du Gloryhole. Ce trou dans le mur avec ses coulures.

Clémentine se penche pour scruter l'écran avec attention. << Put-hein, mais c'est de la jute toute fraîche, regarde ! >> me dit elle en me montrant le sperme sur le bord droit. Pointant son index elle en suit les contours. Je dis : << C'est une photo aussi fraîche que le foutre. C'est peut-être le reliquat de ce que tu n'as pas bouffé hier soir ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Juliette, dans son petit mot, nous confirme sa venue mercredi prochain. Elle viendra manger avec nous et apportera le dessert. Clémentine surfe sur le site de l'université.

Dans l'enveloppe jaune habituelle, je glisse un billet de 50 euros. Clémentine comme elle le fait toujours, rajoute une petite phrase gentille que je signe d'une bite qui dépasse d'un trou. Un dessin très stylisé mais précis et évocateur. Clémentine me lit à voix haute les informations universitaires. Les dernières épreuves du concours d'admission au Doctorat auront lieu lundi. Exclusivement consacrées aux mathématiques. Les résultats du concours seront signifiés aux postulants à partir du lundi 24 octobre. Les admis commenceront les cours le 7 novembre.

Je propose une fois encore à Clémentine de nous offrir un voyage. Une semaine à se ressaisir de toutes ses émotions. << J'organise tout ! >> répond t-elle. Je sais pouvoir lui faire confiance. Chacune de ses organisations est une agréable surprise. Julie vient nous rejoindre. À nouveau vêtue de son jeans, de son pull à col roulé, de ses bottines. << Vous avez une belle maison propre ! >> dit elle, debout devant le bureau. Toute timide, les doigts croisés à hauteur de sa braguette. Clémentine se lève, contourne le bureau pour rejoindre notre amie.

Les mains posées sur les épaules de Julie, elle dit : << Merci pour tout. Ta présence ici est un privilège pour nous, tu sais ! >>. Julie, dans un élan amoureux se dresse sur la pointe des pieds pour coller ses lèvres sur celles de Clémentine. Elle s'accroche à elle. Clémentine que ces situations embarrassent terriblement tente de se soustraire à tant de sollicitude. Mais cette fois Julie ne lâche pas. Je me lève. Je contourne le bureau. Je tends l'enveloppe jaune à Julie. Elle s'en saisit en disant : << Merci. Je suis tellement heureuse d'être là. Tout le temps ! >>.

Il est 11 h35. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Assise au volant elle regarde Clémentine s'accroupir pour déboutonner mon 501. Elle en extrait le locataire avant de se redresser. Tenant mon sexe à sa base, entre son pouce et son index, elle en dirige le jet. Je pisse contre la portière de la Clio rouge. Julie observe toujours ce qui devient un rituel avec le plus grand sérieux. Son regard me fait rapidement bander. Clémentine agite ma queue en direction de Julie en disant : << Elle est à ta disposition quand tu veux ! >>. Julie glousse de joie.

Je rajoute : << Je vous la prépare en dessert pour lundi soir. Ça vous tente ? >>. Julie ne répond pas. Elle m'adresse le plus délicieux des sourires avant de démarrer. Nous la regardons partir. En haut du chemin, au portail, comme elle le fait toujours, Julie sort de son auto. Elle souffle des bises dans ses mains pour nous les envoyer. Clémentine secoue ma bite dans sa direction alors que je lui fais un dernier coucou, bras levé. Nous nous dépêchons de rentrer. Morts de faim nous préparons notre repas de midi. Clémentine lave les feuilles d'une belle laitue.

Je prépare le bouillon. Dans le wok je vide les deux sachets. Les haricots verts et les petits pois sont encore congelés. Tout comme les moules que je verse dans le bouillon en ébullition. Préparations rapides du samedi. Repas simple mais délicieux. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la soirée Gloryhole de hier. << J'aime ça. Et de plus en plus. Ce qui m'excite c'est de ne pas savoir qui m'offre sa queue derrière le mur ! >> confie Clémentine. J'écoute en silence. C'est passionnant de l'entendre m'expliquer ses ressentis, ses sensations.

<< Aucun mec n'a le même goût et pourtant c'est toujours le goût du sperme ! >> fait encore Clémentine en mimant une pipe. Je demande : << Ta préférée hier soir ? >>. Clémentine, soudain comme gênée, honteuse, baisse les yeux. << La black ! >> murmure t-elle dans un souffle. Elle se pince les lèvres avant de rajouter : << La meilleure que je n'ai jamais goûté. Un sperme doux agrémenté par un jus sucré. La pisse probablement ! >>. Je dis : << C'est ce qui t'a fait vomir cette nuit tu crois ? >>. Clémentine précise : << Oui, certainement ! >>.

En riant aux éclats elle s'écrie : << Tu me connais, il faut toujours que j'abuse des bonnes choses ! >>. Nous traînons à table. Assise à califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, me faisant des bises, Clémentine se frotte doucement en me donnant ses impressions. Je lui raconte ma baise avec Estelle : << On t'a regardé en baisant ! >>. Clémentine s'exclame : << Oui, j'ai vu ! >>. Je rajoute : << J'ai adoré les fois où Estelle venait te rejoindre pour récupérer les dernières giclées ! >>. Rire. << Salope ! >> fait Clémentine.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Cette conversation nous a évidemment considérablement excité. Nous montons pour nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Clémentine mime une fellation avec sa brosse. De la mousse dentifrice aux coins des lèvres. Une bosse à l'intérieur de sa joue. De ma main libre que je passe entre ses cuisses par derrière, j'appuie à travers le tissu de son jeans. Tête contre tête nous nous rinçons la bouche au-dessus du lavabo. Nous nous embrassons passionnément. Avec fougue.

<< Alors, on en est aux préliminaires ? >>. C'est la voix d'Estelle qui entre dans la salle de bain. En sautillant elle vient nous rejoindre. Tous les trois, serrés dans nos habituelles effusions de tendresses, nous savourons nos retrouvailles. Nous dévalons les escaliers jusque dans le salon. Dehors, il pleut. Estelle glisse sa main dans ma braguette ouverte. << Mais tu mouilles mon salaud ! >> s'écrie t-elle en me montrant ses doigts luisants. Clémentine répond : << Moi aussi. On n'arrête pas de parler de ce qui s'est passé hier soir ! >>. Nous rions aux éclats.

Estelle adore allumer la grande cheminée du salon. Clémentine, tout en tenant ma bite, reste contre moi. C'est un spectacle de voir Estelle s'affairer. Elle dit : << À la maison c'est toujours moi qui allume la cheminée. Je suis une spécialiste depuis petite ! >>. Clémentine fait : << Oui, je me rappelle bien ! >>. Je bande mou. Il y a une coulure de foutre épais et visqueux qui pend de l'extrémité de ma queue. Elle ne tombe jamais car mes substances sont gluantes. Ce qui passionne Clémentine. Elle agite mon sexe pour la faire bouger. Penchée en avant.

Estelle, tout en disposant les bûches sur le petit bois qui flambe déjà, regarde avec attention. Elle dit : << La bite du black hier soir, put-hein, un délice. Une vraie friandise ! >>. Clémentine répond : << Mais c'est une exception pas une généralité ! >>. Nous rions de cette évidence. << Si tous les mecs étaient sucrés comme ça, je sucerais tout le temps ! >> lance encore Estelle en se redressant. Elle contemple sa réussite. Cette belle flambée qui débute dans d'agréables crépitements. Clémentine, accroupie, observe la coulure de foutre gluant.

Elle s'amuse à la faire bouger, à la faire trembler. Estelle vient nous rejoindre. En s'accroupissant à son tour elle dit : << Fascinant ! >>. Nous rions. Ce qui a pour effet de secouer la coulure qui pend un peu plus bas, un peu plus longue. D'un gracieux mouvement de la tête, Clémentine la récupère délicatement. Elle suce un peu. Fait tourner tout ça dans sa bouche avant de l'ouvrir pour nous montrer. << T'es une folle de foutre ! >> murmure Estelle. << J'aimerais être gouteuse comme dans une cave à vin, mais dans une cave à queues ! >> dit Clémentine.

Les filles se redressent. Nous allons devant l'une des deux grandes portes fenêtres. Quel triste spectacle. Il pleut. Le gravillons au bas de l'escalier en demi lune est luisant. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par la taille. Mes bras autour de leurs épaules. Nous restons silencieux. Estelle saisit ma queue molle. Je propose de prendre la voiture pour aller en ville. Nous mettre un peu d'animation dans la tête. << Tu ne préfères pas te faire sucer un peu cet aprême ? >> me fait Estelle en se mettant devant moi. Clémentine s'écarte pour regarder.

<< Vous me faites du spectacle tous les deux ! Avec cette pluie on reste à la maison. On a tant de choses à faire !>> lance Clémentine. Je passe ma main sous ses cheveux pour saisir sa nuque. Je dis : << Je t'attache les mains. Comme ça tu ne peux que regarder sans te branler ! >>. Clémentine ouvre de grands yeux avant de s'écrier : << Chiche ! >>. Estelle, en riant me tire par la queue comme par une laisse pour m'entraîner faire le tour de toute la grande pièce. Clémentine se précipite vers le bureau. Du tiroir du bas elle tire les cordelettes de coton.

Elle nous les tend. Je prends la chaise qui est toujours entre la grande bibliothèque et l'horloge Westminster. Estelle ne lâche pas mon sexe qu'elle tient d'une poigne de fer. Clémentine s'assoit sur la chaise. Le crépitement du feu dans la cheminée enchante l'ambiance. Avec cette météo pitoyable, il y a comme une pénombre. Il n'est pourtant que quinze heures trente. Estelle me lâche pour se précipiter vers la cheminée. De la grande corbeille en osier elle tire une branche courte. Environs trois centimètres d'épaisseur. Elle revient en l'agitant.

Clémentine qui comprend immédiatement se relève. Estelle pose la branche sur la chaise. Clémentine s'y installe. Le dossier entre ses cuisses largement écartées. Je fixe ses chevilles aux pieds de la chaise. Je noue ses mains derrière son dos. Assise sur la branche, Clémentine aura de quoi s'amuser. J'aide Estelle à tirer un des deux fauteuils. Nous le plaçons devant Clémentine, à environs deux mètres. Estelle me descend le pantalon et le slip avant de m'y faire tomber. À genoux sur un des épais coussins Estelle arrache mes vêtements.

Je regarde les expressions de Clémentine. Rien ne l'excite autant que ces situations auxquelles elle assiste avec délectation. Cette fois c'est un peu particulier car elle ne pourra pas se masturber. Ses mains entravées par les cordelettes de coton blanc. Estelle lui tourne le dos. Ses mains posées sur mes cuisses elle hume les parfums de ma virilité. En déposant ses lèvres sur la peau fripée de mon prépuce elle fait "ventouse". J'adore quand elle suçote comme ça. Le bout de sa langue qui fouille sous la peau. Je caresse sa tête en regardant Clémentine.

Estelle se met à sucer. Comme si sa vie en dépendait. Je pose la première question : << Clémentine, dis moi, quelle à été ta meilleure pipe ? >>. Elle reste silencieuse. Elle se met à bouger doucement, se frottant sur la branche sur laquelle elle est assise. En cas de gêne ou de douleur elle peut s'en débarrasser d'un simple coup de reins. << Tu sais, À Édimbourg, il y a deux ans, le mec que j'ai sucé dans les chiottes publiques, au sous-sol. Je crois bien que c'était la meilleure ! >> répond t-elle. Tout en suçant, Estelle glousse en riant. Elle écoute aussi.

Je demande : << Au goût ou à cause de la situation ? >>. Clémentine répond : << Non, au goût c'était la black de hier soir. Je veux d'ailleurs revoir ce type. J'en parle à Juliette mercredi prochain ! >>. Estelle cesse se sucer pour dire : << Pour baiser ou pour sucer ? >>. Clémentine précise : << Une bite aussi bonne ça se suce avant tout. Je ne veux pas le revoir pour baiser mais pour savourer sa queue ! >>. Estelle se remet à pomper en riant. Cette conversation, ce jeu des questions et des réponses est la chose la plus excitante que je connaisse.

Il en va de même pour mes deux anges qui passent là un moment fabuleux. Nous apprécions ces extraordinaires instants d'aveux. Je demande : << Dans l'ordre et au goût, tes meilleurs souvenirs ? >>. Clémentine se frotte sur la branche. Elle se tortille, se contorsionne, cherche l'angle le plus favorable avant de répondre : << La black de hier soir. Celle de Gérard le palefrenier à la retraite. Celle du voisin et peut-être celle de Wong ! >>. J'écoute. Je suis tellement excité que mes épanchements envahissent la bouche d'Estelle qui peine à avaler.

Estelle qui s'arrête de pomper, tourne la tête vers Clémentine pour rajouter : << Et celle de Julien ? >>. Clémentine baisse les yeux, honteuse, elle reste longuement silencieuse. Elle cesse même de se frotter quelques instants. Elle finit par préciser : << Celle de Julien est tellement dégueulasse qu'elle reste ma préférée. C'est celle du mec que j'aime ! Mais elle est vraiment dégueulasse ! >>. Elle lève les yeux pour me fixer. Nul doute, elle veut voir l'effet que produit cet aveux. Je coule littéralement dans la bouche d'Estelle qui se goinfre de jute.

Clémentine rajoute : << J'ai toujours aimé ce qui est dégueulasse ! >>. Estelle cesse de pomper pour dire : << Je sais. Je t'ai vu tellement souvent te régaler ! >>. Je repousse délicatement Estelle pour me lever. Je viens me mettre debout devant Clémentine que je saisis fermement par les cheveux. Je frotte ma queue sur son visage avant de la lui enfoncer dans la bouche. Je dis : << Tiens, de la bonne queue bien dégueulasse ! >>. Clémentine suce comme si sa vie en dépendait. Estelle, à quatre pattes vient me rejoindre pour regarder cette pipe.

J'ai probablement le foutre le plus épais et le plus gluant. Je le sais. Combien de fois n'ai-je pas vu mes suceuses tenter d'avaler avec difficulté cette substance qui leurs colle en bouche. Parfois, lors de situations extrême, j'ai même vu de mon sperme s'écouler des narines de mes pompeuses. Je retire mon sexe de la bouche de Clémentine qui n'arrête plus de gémir << Mmhh ! Mmhh ! >>. Je la tends à Estelle en disant : << Et toi, tu le trouves comment mon foutre depuis toutes ces années ? >>. Estelle cesse de pomper pour répondre : << Dégueu ! >>.

Elle s'empresse de rajouter : << Mais comme Clémentine j'ai une préférence pour ce qui est bien dégueu ! >>. Je l'entraîne par la tignasse, à quatre pattes. Je me vautre dans le fauteuil. Le jeu des questions et des réponses reprend. Clémentine, d'un mouvement du bassin, fait volontairement tomber la branche au sol. Pourtant, cambrée sur sa chaise, elle continue son mouvement de hanches. Elle est tellement excité qu'elle n'a nul besoin d'un artefact pour se masturber. Clémentine m'a déjà tout raconté tant de fois. Nous aimons jouer à ce jeu.

J'ai un contrôle total de mon plaisir. J'ai une maîtrise absolue de mon sexe. Mais là, une fois encore, je dois admettre que c'est une "dure lutte". J'ai envie d'éjaculer. Surtout qu'Estelle est une pompeuse virtuose. Suçotant pour nettoyer les coulures. Suçant pour tirer le foutre. Pompant pour faire fonctionner les couilles. Véritables usine à sperme qui produisent de quoi régaler n'importe quelle tailleuse. Je regarde l'horloge. Ça fait bien deux heures que nous nous amusons ainsi. << J'ai des crampes, au secours ! >> s'écrie soudain Clémentine.

Estelle cesse de sucer. Le bas de son visage, le haut de sa chemise à carreaux sont maculés de foutre. Je me lève pour aller détacher Clémentine. Urgence absolue car elle est victime d'une crampe dans la cuisse droite. Elle en tombe au sol. Je la masse vigoureusement. << Mais quelle horreur. C'est comme à la piscine ! >> s'exclame t-elle en s'asseyant en tailleur. Estelle et moi nous nous installons comme elle. Clémentine prend ma main en disant : << Je t'aime ! Rassure-toi, ta bite reste ma friandise préférée ! >>. Nous rigolons comme des bossus

Il commence à faire faim. J'ai la bite dégoulinante. Ruisselante de foutre. Quand je me lève le premier, mes deux anges, droites sur leurs genoux, se refilent ma queue en gémissant de plaisir. Je les aide à se relever. Nous quittons le salon pour la cuisine. Assis à la table, nous épluchons les pommes de terre, les carottes, les navets, le céleri, l'ail et les oignons. Ce sera pour la potée de légumes des trois repas du week-end. Trois filets de flétan à la poêle avec des champignons. Une sauce au Roquefort. Nous mangeons de bon appétit en causant cul.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se font enfiler après le dessert, vautrées sur le bureau, ruisselantes de foutre et de sueur...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 38 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2040 -



Un dimanche de calme, de repos et de douceurs

Hier matin, dimanche, il es neuf heures passées quand Estelle passe sa main entre mes cuisses. Tout comme Clémentine qui se réveille à l'instant, Estelle est restée contre moi toute la nuit. C'est un peu devenu comme un ballet nocturne. Nous épousons tous les trois les mêmes mouvements, aux mêmes moments. Quand elle dépose ses lèvres telle une ventouse dans mon cou, juste sous l'oreille, il y a une érotisation presque immédiate. Je suis entre mes deux anges. Distributions de bisous, de câlins. Douceurs. Mes mains dans les culottes. C'est si bien.

Ma tumescence qui va déjà de main en main dans les rires de mes deux coquines. Estelle se lève d'un bond. << Pipi ! >> s'écrie t-elle en courant vers la porte. Clémentine me chevauche en se frottant sur mon érection. Même si nous ne sommes absolument pas du matin, la situation est inspirante. << C'était génial notre jeu de hier après-midi. À refaire ! >> murmure Clémentine. Je chuchote : << Il faut d'abord se remplir la tête de nouveaux souvenirs ! >>. Clémentine éclate de rire en disant : << Alors on commence dès aujourd'hui ! >>. Bisous.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Encore en slips et en T-shirts de nuit, morts de faim, nous dévalons les escaliers. Estelle, dans son pyjama de soie mauve, vient de faire le café. Il y a les parfums de la brioche posée sur la table, les odeurs du pain grillé. Je presse les oranges, Clémentine pèle les kiwis. Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur nos jeux de hier après-midi.<< Moi j'ai beaucoup aimé ceux de hier soir aussi ! >> précise Estelle. Elle fait allusion à nos "activités" de bureau. Des activités ludiques et sympas.

Elles adorent toutes les deux êtres baisées sur le bureau. Quand je passe de l'une à l'autre pour les pénétrer selon leurs préférences. Agitées pour Estelle, plus calmes pour Clémentine. Nous en rions beaucoup. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le Gloyhole de vendredi soir. << Tu t'es laissée aller à quelques penchants pour les gourmandises ! >> lance Clémentine à l'attention d'Estelle qui répond : << Comment voulais-tu que je résiste. J'avais la bite à Julien enfoncée jusqu'à la garde. Ça me rend dingue ! >>. Nous éclatons de rires.

Le dimanche, pas de sport, pas de douche non plus. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux mes deux anges parlent de ce qui les attend demain lundi. La dernière journée des épreuves du concours d'admission au Doctorat. Il y a encore quelques années l'admission était automatique et suivait le cycle de l'enseignement supérieur. Mais comme chaque nouveau ministre veut toujours s'illustrer par de nouvelles réformes, les choses on pris un caractère plus aléatoire. << Plus inutiles surtout. Stupides ! >> lance Clémentine que ces choses révoltent.

La vaisselle avant de monter se laver les dents. Prétexte à la déconnade devant le miroir de la salle de bain. Dehors, le ciel est voilé mais lumineux. Une certaine douceur puisqu'à dix heures du matin la température est déjà de 19°. Nous faisons le lit. Vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux, pressés de prendre l'air, nous dévalons les escaliers. C'est un autre rituel que de descendre jusqu'à la rivière. Tenu aux bras par mes deux anges, nous observons nos amis à plumes virevolter sur les eaux. Colverts, poules d'eaux et les canards qui cancanent.

Estelle glisse sa main dans ma braguette béante en disant : << C'est comment là dedans depuis hier ? >>. Elle me sort la bite toute molle. << Wouah ! J'en raffole quand elles sont molles ! >> lance Clémentine qui s'accroupit devant moi. Estelle lui passe la queue sur le visage. << Wouah, l'odeur ! J'adore ! >> murmure Clémentine en gloussant de plaisir. Estelle s'accroupit à son tour. Son visage tout contre celui de Clémentine elle hume. << Monsieur schlingue de façon dégoutante encore en ce dimanche matin ! >> dit elle. Nous rions aux éclats.

C'est vrai que j'ai le sexe qui pue. Surtout lorsque Estelle le décalotte légèrement. Clémentine titille le méat du bout de la langue. Nous sommes juste au début du sentier qui part à gauche. On ne nous voit pas depuis le chemin. Par contre on nous voit très bien depuis le sentier qui longe la rivière sur l'autre côté. Nous ne l'avions pas vu venir. C'est une jeune cavalière qui vient probablement du haras. La jeune fille s'arrête à l'instant même où nous sommes surpris dans cette situation. Une vingtaine de mètres nous séparent. La rivière est large.

Clémentine se redresse en lui adressant un coucou de la main. La jeune fille sur son cheval nous fait un signe amicale en lançant un << Bonjour ! >> sonore. Je suis comme un couillon, la bite à moitié molle dans la main d'Estelle. Une décharge électrique parcourt mon échine. La jeune écuyère continue son chemin. Et comme toutes celles qui nous ont déjà surpris dans nos jeux elle se retourne une dernière fois cent mètres plus loin. C'est Estelle qui lui fait un coucou. La jeune fille lève le bras pour faire le même geste en agitant la main. Souriante.

Je bande comme le dernier des salauds. << Ça m'a donné la pêche pour le reste de la journée ! >> s'écrie Clémentine avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. << Moi ça m'a donné la patate ! >> lance Estelle qui se penche, glissant sa tête entre nous deux, pour téter mon Zob. << On fait quoi cet aprême ? >> demande Estelle en se redressant. Sa bouche ouverte en soufflant sur mon visage pour me faire sentir l'odeur de ma queue. << On se fait une virée vélo ? Il fait doux ! >>. répond Clémentine. Sa suggestion est applaudit. Superbe idée.

Nous remontons le chemin. Estelle veut voir les panneaux photovoltaïques. Cette nouvelle installation donne un côté futuriste à l'arrière de l'abri à bois. Dès le changement d'heures la semaine prochaine nous utiliserons principalement cette source d'énergie pour éclairer l'intérieur de la maison. << C'est génial ! >> lance Estelle en s'accroupissant pour regarder en dessous. << Tous ces câbles ! >> s'exclame t-elle. Clémentine saisit mon sexe à sa base entre son pouce et son index. Elle l'agite près du visage d'Estelle en disant : << Du câble ! >>. Rires.

Nous rentrons. Il commence à faire faim. Clémentine s'occupe de la salade de concombre. Estelle prépare les trois pavés de saumon en papillotes. Sur le barbecue électrique de la véranda. Je réchauffe la potée de légumes en touillant. Il faut remuer sans arrêt pour éviter que ça ne colle au fond de la cocotte. Les seuls arrêts ne durent que quelques secondes. Le temps d'aller devant la vitre fumée pour montrer ma queue à Estelle. Clémentine qui se précipite à chaque fois pour s'en saisir. << Mmhh, ta queue est toute chaude ! >> s'écrie t-elle. Bisou.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les différentes options possibles cet après-midi. Finalement le choix se porte sur une randonnée. Retourner à la vieille chapelle désacralisée et remonter par le sentier ou aller jusqu'au château restauré aux sommets des collines ? Nous ne traînons pas. La vaisselle avant de monter nous laver les dents. Nous nous changeons. Avec cette étonnante douceur, les filles se mettent en jupettes. Un simple sweat, des baskets. Je suis en bermuda sweat et baskets. Dans le petits sac à dos, fruits et K-ways.

Impatients de nous mettre en situation, nous redescendons à toute vitesse. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière caresse mes joues. À chaque fois que je regarde dans le rétroviseur, elle se vautre en écartant ses cuisses. Belle culotte de coton blanc qui est comme phosphorescente. Clémentine retire la sienne pour la glisser dans la pochette avant du sac à dos. Il y a environ 25 bornes. La route départementale permet une circulation fluide. << Je fais ma salope durant toute la rando ! >> s'écrie Estelle à l'arrière.

<< On fait un concours. La plus salope des deux se fera baiser la première ce soir ! >> lance Clémentine. << Arrête de parler de concours sel te pli ! >> s'exclame Estelle. Nous rigolons comme des bossus. Je gare la voiture sur le parking du restaurant. Il y a plein de gens installés sur la terrasse qui surplombe la rivière. Une ambiance d'été indien. Le sentier de droite. Il est rocailleux. Nous pourrions parfaitement y évoluer en gardant nos baskets. La sagesse de Clémentine. Il est préférable de chausser nos grosses godasses de marche.

Je porte le sac à dos. Nous marchons d'un bon pas. Avec cette splendide météo nous croisons quantité de randonneurs. Des familles mais aussi des groupes. Des promeneurs du dimanche. J'ai la braguette de mon bermuda kaki bien ouverte. Je dois sans arrêt tirer sur mon sweat pour la dissimuler. Ce qui amuse beaucoup Estelle qui me lance le premier défi. Je dois parcourir cent mètres avec la bite à l'air. Honnêtement, avec tout ce monde, je ne sais pas comment faire. Clémentine me dit : << T'inquiète. Je me serre dans tes bras ! >>.

Ce jeu aussi est passionnant. Nous l'avons beaucoup pratiqué cet été en Écosse. Combien de fois suis-je passé à côte du danger avec mes organes génitaux balançant au rythme de notre marche. Me voyant hésiter. Estelle s'approche pour fourrer sa main dans mon bermuda. << Ça va te faire mouiller et nous aurons de quoi nous régaler ! >> fait elle alors que Clémentine passe une main sous sa jupette "tennis". Il fait doux. Tellement agréable que nous avons trop chaud avec les sweats. Nous les retirons pour rester en T-shirts. Pour moi c'est pratique.

En nouant les manches du sweat autour de ma taille je peux les laisser pendre devant ma braguette béante. << Tu vois, quand tu veux ! >> lance Estelle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Nous attirons encore bien des regards. Cet homme d'âge mûr en compagnie de ces deux sublimes jeunes filles, hyper sexys dans leurs jupettes et T-shirts sur ce sentier. Nous marchons le plus souvent l'un derrière l'autre. Il faut parfois céder le passage. D'autres nous rendent la politesse. Mais toujours ces regards inquisiteurs. Parfois amusés. Plein de curiosités.

Évidemment, pour bien appuyer là où ça démange, Estelle et Clémentine se serrent contre moi à chaque arrêt, me font des bises. Non, messieurs dames, je ne suis pas le papa de ces deux adorables créatures. C'est certainement surréaliste pour beaucoup des marcheurs que nous croisons. Là, à la vue du château entièrement restauré, nous marquons un temps d'arrêt. Il y avait des échafaudages partout l'année dernière encore. Même au printemps. Alors que là les travaux sont terminés. C'est le Conseil Général qui a supervisé les opérations.

Cet endroit a maintenant une vocation culturel. Nous entrons par le pont-levis. Toute une partie de la cour intérieure a été aménagée en salle de spectacle. Des gradins avec des sièges de pierre reconstituée. C'est bien pensé. Bien agencé. Il y a évidemment un monde fou à visiter les lieux. Les aménagements définitifs verront le jour au printemps prochain. Restaurants, salons de thé, un petit musée, un bureau d'accueil, les commodités, toilettes publiques. C'est un peu comme un château de parc d'attraction. << Walt Disney ! >> lance Estelle.

Nous montons les escaliers à l'intérieur du donjon enfin accessible. Nous voilà sur le chemin de ronde. On peut faire tout le tour de la forteresse en restant en altitude. << Ton défi ! Là-bas, il y a moins de monde ! >> murmure Estelle qui se serre contre moi pour dissimuler sa main exploratrice. Palpations vicelardes qui me font bander. C'est troublant. Il faut faire preuve d'indulgence avec ces familles de Simpson, bruyantes et envahissantes. Certains parents adorent voir leurs petits "génies" emmerder tout le monde. Cris, agitations, bousculades parfois.

Je réalise mon troisième défi de l'après-midi. Dissimulé par Estelle et Clémentine tout contre moi, j'ai la bite à l'air contre le mur. Entre les créneaux du chemin de ronde. Avec des dizaines de promeneurs autour de nous. << Génial ! Tu as mérité ce qui t'attend ce soir, vieux pervers ! >> murmure Estelle. << Et doublement ! >> surenchérit Clémentine en saisissant mon poignet. Elle guide ainsi ma main sous sa jupette. Je chuchote : << T'es folle ! >>. Elle murmure : << Personne ne voit rien ! Et personne ne peut l'imaginer un seul instant ! >>.

C'est vrai. Nous savons par expérience qu'il est beaucoup plus facile de nous toucher avec la plus grande discrétion au milieu d'une foule. Des mains baladeuses, ça ne se remarque pas. Surtout pour des virtuoses comme nous. Nous redescendons par l'escalier en colimaçon du donjon. << Cent vingt huit marches ! >> lance Estelle quand nous arrivons en bas. Avec le tournis. Nous quittons l'enceinte du château pour fuir le peuple. Nous prenons le sentier qui descend vers le petit lac. Dans la descente, il faut remettre les sweats. Il est déjà 17 h15.

Je réalise mes deux derniers défis avec la peur au ventre et quelques sueurs d'angoisses. Pour le plus grand amusement de mes deux coquines souvent pliées de rire. C'est quand je suis obligé de me masturber une minute, montre en main, sur le pont en dos d'âne de la rivière que j'ai la trouille de ma vie. << Salopes ! >> ne puis-je m'empêcher de hurler en regardant mes deux coquines applaudir ma prestation depuis le parapet. J'ai failli me faire choper deux fois. Il est 18 h45 quand nous revenons à la maison. Morts de faim. Excités.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui vont offrir sa récompense à la bienheureuse victime de leurs exactions sexuelles et vicieuses...

Julien (victime consentante)



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C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Classe - 39 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2041 -



Il faut y retourner

Hier matin, lundi, il est presque six heures. L'illusion bluffante d'êtres réveillés par tous les bruits d'un petit port de pêche. << C'est quelque part en Écosse, j'en suis sûre ! >> murmure Clémentine encore dans un demi sommeil. L'application "océan" ne dure que quarante cinq secondes. Quelques bisous. Clémentine se serre contre moi en gémissant. C'est moi qui l'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Morts de faim, dans nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Il y fait presque trop chaud avec cette étonnante météo.

Clémentine fait le café en me confiant ses dernières appréhensions. C'est aujourd'hui la dernière journée des épreuves du concours à l'admission du Doctorat. Tout en pressant les oranges, en pelant les kiwis, j'écoute. Je la rassure. Le lundi matin il reste toujours de la brioche. Pour lui rendre son moelleux il suffit de la passer une minute dans le four à micros ondes. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les évènements de ce week-end. << C'était tellement intense, Julien, que j'ai l'impression d'avoir rêver ! >> dit Clémentine.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant la visite de Julie ce soir. << Sois le salaud que j'aime. Julie aime autant que moi ! >> lance Clémentine en venant s'assoir sur mes genoux pour tremper sa brioche dans son bol. Il est 6 h26. Nous remontons pour l'entraînement intense dont Clémentine a besoin pour affronter sa journée. Pour tenter de réduire ses dernières craintes. Aérobics, joggings sur tapis roulants, exercices au sol, abdos. Les charges additionnelles avant le retour au calme d'une stretching bien trop précipité pour être efficace.

La douche. Je redescends le premier pour aller préparer la voiture. Le jour achève de se lever dans une pénombre qui s'éclaircit très vite. Il fait étrangement doux. Pas un souffle de vent. Clémentine vient me rejoindre dans une de ses jupes en velours carmin. Très élégante dans son chemisier crème sous sa veste de velours noir cintrée à la taille. Des souliers de ville à légers talons. Elle saisit mon poignet pour glisser ma main sous sa jupe, entre ses cuisses. << La culotte est dans mon cartable ! >> fait elle en enfonçant sa langue dans ma bouche.

Assise au volant, la vitre baissée, elle mime une fellation en disant : << S'il y a une opportunité, je peux ? >>. Nous rions. Je réponds : << Bien sûr et tu me racontes ! >>. Elle démarre. Je la regarde partir. Un dernier coucou avant de rentrer faire la vaisselle et notre lit. Me voilà dans l'atelier. Je commence ce matin le dernier portrait de commande. Une jeune adolescente souriante que ses parents désirent représenter appuyée contre la balustre d'un balcon donnant sur une forêt. J'ai les deux photographies que je fixe sur les montants du chevalet. Parfait.

Je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant "Le pornographe" de Georges Brassens. Étant moi-même un authentique pornocrate je m'y retrouve un peu en riant. Je peins dans une sorte d'euphorie délurée. Mes pensées accaparées par tout ce qui s'est passé ce week-end. Le Gloryhole de vendredi soir qui fut un grand moment pour Clémentine. Autant pour Estelle que pour moi. J'adore voir la fille que j'aime tailler des pipes à des inconnus. Surtout lorsqu'on ne voit que leurs queues qui dépassent d'un trou dans le mur. Des raffinements exquis.

La matinée passe encore à une vitesse folle. Il est presque midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer le reste de potée de légumes. Je fais rissoler un filet de flétan avec des champignons. Je prépare une rapide salade de carottes. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff, dans tous ses états, reçoit dans son émission un journaliste d'investigation qui enquête sur les raffineries de pétroles en grèves. Sur les revendications salariales des employés et la fausse pénurie organisée sciemment par les instances financières.

Clémentine adore les gratins. Pour ce soir je veux lui réserver une agréable surprise culinaire. Je lave et je coupe en tranches une grosse aubergine et deux belles courgettes. Je les dispose dans un grand plat rectangulaire en terre cuite. Je rajoute un liant. Un flan composé d'œufs, de lait de soja de fromage blanc. Je recouvre le tout d'une montagne de gruyère de Comté grossièrement râpé. Quelques fines tranches de Morbier. Je saupoudre de graines de sésame grillé, de chapelure. Onze cerneaux de noix. Au four. Cuisson lente juste à 180°.

Je lave trois belles endives que je laisse égoutter sur l'évier. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Il fait beau. Il y a du soleil depuis une heure. Pressé d'en profiter, je dévale les escaliers. Le thermomètre extérieur indique 24°. C'est donc en chemise à carreaux que je vais jusqu'à la rivière. J'y rencontre notre voisin. Monsieur Bertrand qui vient nourrir ses amis les canards. Nous bavardons un peu. Il y aura les derniers travaux de menuiserie dans son grenier qu'il a fait aménager. Louis m'invite à passer voir ces aménagements un de ces jours.

Je promets de venir avec Clémentine. Il est 13 h30 quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins en pensant à notre voisin. Retraité pervers qui se fait parfois sucer par Clémentine. Il a même baisé avec elle. Sans capote. Il ne se doute pas un seul instant que je le sais. Que j'ai tout vu. Mais cette ignorance participe du plaisir de cette relation vicelarde. Il faut d'ailleurs que je rappelle à Clémentine qu'il y a la bite de ce vieux dépravé à un peu plus de 300 mètres en contrebas de chez nous. Cette pensée me fait beaucoup rire.

Les heures de l'après-midi passent encore plus vite. Ce sixième et dernier portrait sera achevé demain. Je pourrai envoyer les six à leurs commanditaires avant les vacances de la Toussaint. Comme convenu. Ensuite il me restera à peindre les deux derniers paysages de commandes. Déjà 17 h30. Clémentine entre dans l'atelier en sautillant. Elle jette son cartable dans le fauteuil à bascule avant de se précipiter vers moi. J'anticipe. Je pose la palette et les pinceaux sur la desserte. Clémentine s'assoit à califourchon sur mes cuisses.

Elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. Je suis heureux d'apprendre que tout s'est très bien passé. << Ces épreuves de mathématiques m'ont épuisé. Ces salauds ont mis la barre très haut. Mais il ne savent pas que je suis très forte en math ! >> confie Clémentine. Elle part dans des explications mathématiques qui sont pour moi autant d'abstractions qu'une écriture cunéiforme de l'époque étrusque. Je ne sais d'ailleurs pas si les anciens étrusques pratiquaient l'écriture cunéiforme. Mais cela fait bien rire Clémentine.

Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine range ses affaires. Elle tient sa culotte au-dessus de sa tête en la tirant des deux mains. << Je suis restée sans rien sous ma jupe toute la journée. Je peux la mettre toute propre demain matin ! >> lance t-elle. Nous en rions de bon cœur. Elle s'accroupit, cuisses largement écartées en rajoutant : << Je me suis touchée sur toute la route du retour. Tu veux venir voir et sentir ? >>. Je me lève pour la rejoindre alors qu'elle s'installe sur la table, en appui sur ses coudes. Je m'assois sur la chaise, devant.

Mon visage entre ses cuisses, je hume. C'est enivrant. Lorsque je glisse ma langue entre les lèvres charnues de sa vulve j'en récupère de la mouille. Clémentine me confie ses secrets de filles : << J'étais tellement excitée que s'il y avait eu un mec sur le bord de la route, je me serais arrêtée ! >>. Je suce son clitoris géant. Elle rajoute : << J'ai déjà vu des voitures garées. Un mec qui pisse à côté. Mais pas ce soir. Dommage ! >>. Trois coups timides contre la porte qui s'ouvre. Nous n'y pensions plus du tout. 18 h. C'est ainsi que Julie nous surprend.

Une demi heure d'avance sur l'heure prévue. J'arrête mes léchouilles. Clémentine se redresse pour sauter de la table. << Je dérange ? >> demande Julie. Ce soir elle porte ses lunettes d'étudiante tout comme Clémentine. En jeans, bottines brunes et simple sweat bleu sous son blouson de cuir brun. Elle se précipite vers Clémentine pour lui faire la bise. Puis vers moi. Je pose mes mains sur ses épaules. Clémentine debout derrière elle, pose les siennes sur les hanches de Julie. D'être ainsi le centre d'intérêt, procure à notre douce amie de petits frissons.

Je dépose une bise sur son front. Je glisse une main entre ses cuisses. Cet adorable réflexe féminin. Un léger recul avec un spasme. J'insiste. Elle n'ose pas soutenir mon regard. Elle baisse les yeux. Clémentine se penche pour murmurer à son oreille : << Tu nous a manqué ! >>. Julie se retourne pour se blottir tout contre Clémentine qui me regarde embarrassée. << Viens ! >> dit elle en entraînant Julie vers la table où elle s'installe à nouveau. Je comprends immédiatement. J'appuie sur les épaules de Julie pour la faire s'assoir sur la chaise.

Clémentine, écartant ses cuisses, lui offre sa chatte gluante. Les poils barbouillés de cyprine. Ça fait plus de cinq ans que j'espérais voir Clémentine se livrer un jour à des jeux saphiques avec une autre fille. Ce vieux fantasme d'homme préhistorique prend forme ce soir, une fois de plus. Je sors ma queue. Je prends un peu de distance pour contempler la scène. Julie, amoureuse de Clémentine, glisse sa tête entre ses cuisses pour lécher. En gémissant, s'abandonnant totalement à sa passion bisexuelle. Je suis au spectacle en me masturbant. Fameux.

Clémentine, parfaitement lucide, pas du tout en proie aux mêmes plaisirs avec une autre fille, me lance des clins d'œils, lève le pouce de sa main droite. Elle se penche pour demander : << Alors, tu te régales ? Fais gaffe quand je jouis je pisse partout ! >>. Julie glousse en riant en enfonçant encore davantage son visage contre le sexe de Clémentine. Clémentine qui me fait signe avec l'index de les rejoindre. Je saisis Julie par ses cheveux noués en queue. Je la force à cesser. Elle n'a pas le temps de réagir. La voilà avec ma bite dans la bouche. Elle suce.

Clémentine se redresse, saute de la table, approche son visage de celui de Julie pour dire : << On va faire de toi notre jouet, notre mascotte. Tu es toujours partante ? >>. Julie cesse de sucer, sa bouche ruisselant du jus de Clémentine et du mien. << Oh oui ! Je vous en prie, jouez avec moi ! >> s'écrie t-elle avec tant de supplications dans la voix. Clémentine et moi nous nous regardons. Elle me fait un nouveau clin d'œil en saisissant la tête de Julie. Je lui fourre ma bite en bouche. Clémentine appuie sur la nuque de Julie. Elle en glousse.

Je me fais tailler une pipe sous le regard attentif de Clémentine. Une main sous sa jupe, sans cesser de se masturber, elle chuchote de belles saloperies à Julie. Il est question de l'emmener avec nous quelques jours. De la mettre dans des situations particulières devant de parfaits inconnus. Tout en écoutant, en gémissant de plaisir à chaque nouvel aveux, Julie pompe de plus en plus fort. Je me penche pour demander : << Tu t'es fait enculer hier ? >>. Julie cesse de sucer. Son regard implorant, si heureuse de se retrouver avec nous, elle crie : << Oui ! >>.

<< Tu voudrais venir passer quelques jours avec nous pendant les vacances de la Toussaint ? >> demande Clémentine. Julie cesse de sucer. Elle a le menton trempé de foutre. Elle lève la tête, son regard amoureux vers Clémentine pour lui répondre : << Oh oui, et comment ! >>. Je frotte ma bite sur sa petite gueule en la passant sur les verres de ses lunettes. Elle en rit en posant sa tête contre l'épaule de Clémentine qui la maintient fermement. Ce qui se passe là, ce soir, dépasse mes rêves les plus fous. Le fantasme de l'homme de Cromagnon prend forme.

<< On va manger ? >> demande Clémentine en repoussant délicatement Julie que j'aide à se lever. Je prends son poignet en disant : << Vous m'entraînez à la cuisine en me tenant par là ! >>. Sans hésiter Julie s'empare de mon sexe dur. Elle me tire vers la porte en suivant Clémentine. Lorsque les filles découvrent ce qu'il y a au four, elles laissent éclater une joie supplémentaire. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade d'endives. Julie met les assiettes et les couverts. Je surveille le gratin qui réchauffe au four. Me masturbant lentement d'une main.

<< J'adore voir ça ! >> lance Julie qui glisse ses mains jointes entre ses cuisses. Pas pour se toucher mais pour se donner une contenance. << Tu es allée mâter des mecs aux chiottes du restau ce week-end ? >> demande Clémentine. Julie, sans cesser de m'observer, répond : << Je n'ai pas eu le temps, les deux salles du restaurant étaient pleines tout le temps. Nous ne sommes que deux serveuses. Je n'ai même pas le temps d'aller faire pipi ! >>. Je suis cambré sur mes genoux fléchis, à me branler avec une vulgarité frisant l'obscénité la plus triviale.

La sonnerie du four. C'est Clémentine qui se précipite vers le four en s'écriant : << Continue, je sors le gratin du four ! >>. Comme hypnotisée, Julie regarde ma masturbation de plus en plus effrénée. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. Nous mangeons de bon appétit. J'écoute les filles parler de leurs petites aventures d'adolescentes. Je me lève à plusieurs reprises pour me branler, agiter ma bite devant les filles. Julie devra nous laisser pour 22 h. La vaisselle. Au salon, vautrés dans le canapé, Julie dans le fauteuil, les filles continuent à parler.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui raffolent de se retrouver dans les situations de complicités les plus extrêmes et les plus vicieuses...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 40 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2042 -



Après les efforts, le réconfort...

Hier matin, mardi, il est un peu plus de huit heures. Clémentine reste serrée contre moi une bonne partie de la nuit. Depuis quelques mois elle se blottit encore plus fort lorsque nous nous réveillons. Elle passe sa cuisse sous mes fesses, pose l'autre sur sa main qui tient mon érection naturelle. Se frottant contre ma hanche elle chuchote des propos amphigouriques qui nous font beaucoup rire. << C'est parce que je ne suis pas encore complètement consciente ! >> murmure t-elle. Quelques papouilles, quelques bisous. L'impérieux besoin de pisser.

Nous nous précipitons aux toilettes en riant. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging nous dévalons les escaliers. Le jour s'est levé sous un ciel déjà bleu. Il ne manque plus que le soleil. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je presse les oranges, je pèle les kiwis en écoutant amusé. Je mets les deux gros croissants aux amandes dans le four à micros ondes. Le grille pain éjecte les premières tranches qu'attrape Clémentine. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les épreuves du concours d'admission au Doctorat. Souvenirs.

Pour Clémentine ce ne fut pas seulement les épreuves d'un concours mais de vraies épreuves éprouvantes de vie. J'écoute ses impressions car tout cela fait déjà partie du passé. Nous mangeons de bon appétit en spéculant sur les trois semaines que nous avons devant nous. La reprise des cours de la première année de la préparation au Doctorat débute le lundi 7 novembre. J'évoque une croisière en bateau sur la Méditerranée. Clémentine suggère la possibilité de retourner dans le Jura. J'émets l'idée de passer une semaine au Pays de Galles.

Les visas pour la Grande Bretagne sont valables jusqu'au 10 janvier de l'année prochaine. Assise sur mes genoux, Clémentine envisage les différentes options. Nous n'avons encore jamais fait de croisière en bateau. Et hors saison c'est tout à fait autre chose qu'en période touristique. Pas du tout mes mêmes gens, déjà. Nous nous promettons de faire fonctionner nos imaginations et de prendre notre décision avant dimanche. Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de remonter pour le lavage des dents. Pressés d'aller courir nous filons.

Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale. Il faut enfiler les K-ways. Il n'est que 8 h45. C'est sur le sentier qui longe la rivière que nous pratiquons une heure d'un gratifiant running. La douche au retour où nous nous amusons beaucoup. << Je suis si heureuse Julien. Je t'aime ! >> dit elle à plusieurs reprises quand nos corps mouillés s'étreignent. Vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux nous redescendons pour passer dans l'atelier. Clémentine veut mettre de l'ordre dans toutes ses affaires. Moi, j'ai un portrait à terminer.

Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. J'écoute Clémentine commenter à voix haute ce qu'elle fait. Les feuilles qu'elle classe dans ses classeurs. Il lui faudra encore préparer un texte de motivation. C'est un écrit où chaque étudiant expose ses doléances, évoque la thèse qu'il souhaite présenter. << Je vais beaucoup m'amuser et ce sera vite bouclé ! >> lance t-elle. Je peins dans la plus totale sérénité. Je dépose la dernière pointe de jaune de cadmium sur la surface de la toile terminée à onze heure trente.

Je nettoie la palette, les pinceaux avant de rejoindre Clémentine. Debout derrière elle, je lisse ses cheveux. J'écoute les ressentis qu'elle expose quand aux deux années à venir. Il est presque midi quand nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les restes du gratin d'aubergine et de courgette de hier soir. Clémentine fait une salade de tomates. Je panne deux beaux filets de colin avant de les passer à la poêle. Dehors il fait beau. Le thermomètre extérieur indique 23°. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les vacances.

La présence de Julie hier soir. Ses attitudes de plus en plus lascives. Les sentiments qu'elle éprouve pour Clémentine. Par ricochet pour moi également. << Elle n'attendait que ça depuis ces deux dernières années ! >> précise Clémentine qui rajoute : << Tu as l'autorisation de la baiser quand elle le souhaite ! >>. Nous en rions de bon cœur. Je dis : << Comme elle préfère être enculée, je crois que je me limiterai à la faire sucer. Elle semble également adorer ça ! >>. Assise sur mes genoux, Clémentine suggère une virée à bicyclette cet après-midi. Superbe.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de monter nous laver les dents, nous changer. Avec cette météo Clémentine porte une de ses jupettes "tennis". Un simple T-shirt. Je suis en short lycra, T-shirt coton. Dans le petit sac à dos, des fruits, des barres de céréales, les K-ways et deux leggings. Il vaut mieux anticiper les fraîcheurs de la fin d'après-midi. Je vérifie le gonflage des pneus. C'est parti. 300 mètres jusqu'à la rivière. Le portillon de l'étroite passerelle dont j'ouvre le cadenas. 500 mètres jusqu'à la piste cyclable. Pas un souffle de vent.

Nous croisons bien quelques cyclistes mais nous pouvons pédaler côte à côte en bavardant. C'est amusant de voir les réactions des types sur leurs vélos quand ils nous croisent. Bien évidemment de faire de la bicyclette en jupette, permet à Clémentine toutes les audaces exhibitionnistes dont elle raffole. Et à voir les expressions des mecs, ce sont autant de réussites à chaque fois. Nous rions de bon cœur. Il est 15 h30 quand nous achevons de parcourir les 25 km qui nous séparent du port de plaisance. Il y a pas mal de monde. Il fait si chaud.

Nous fermons nos bicyclettes à cadenas derrière le cabanon fermé de la capitainerie. Clémentine retire sa culotte pour la fourrer dans la pochette avant du petit sac à dos que je porte. Elle m'entraîne par la main, en sautillant, pour traverser la route. Avec cette étonnante chaleur, nous allons dans la supérette pour y choisir nos crèmes glacées. Nous bavardons un peu avec la gérante. Nous prenons deux bacs "Carte d'Or", car il n'y a pas nos marques préférées. Parfums nougat et noisette. Installés sur un des bancs sous les platanes, nous les savourons.

Le sol est jonché de feuilles jaunes. Devant nous, à une centaine de mètres, les joueurs de boules. C'est toujours le même sénior moustachu qui mâte vers ici. À chaque fois Clémentine écarte ses cuisses. Le type doit avoir l'impression d'halluciner. Non, non, pas du tout cher monsieur, c'est une authentique exhibitionniste dont vous n'êtes que je jouet. Inutile de faire des plans sur la comète, cela se limitera à un simple spectacle. Je fais semblant de ne me rendre compte de rien. Alors que Clémentine me chuchote ses sensations et ce qui se déroule.

Nous jetons les bacs de glaces vides dans une des poubelles. La sonnerie du téléphone de Clémentine. Elle le sort de sa banane. << Estelle ! >>. J'entends la conversation sur mode haut-parleur. Estelle ne viendra pas ce soir, elle se doit de rester la soirée avec ses parents et sa mamie venue passer quelques jours à la maison. En raccrochant, Clémentine se serre contre moi en disant : << J'adore quand on est seuls tous les deux ! Juste toi et moi ! >>. Du coup nous ne sommes plus tenus de respecter un horaire. Mais la nuit tombe vers dix neuf heures quinze.

Un peu par réflexe, nous descendons jusqu'aux bâtiments des sanitaires. Ceux réservés à la plaisance sont fermés. Les toilettes publiques sont ouvertes. Ça sent le propre. La javel, le chlore. Elles viennent d'êtres nettoyées. Nous en avons la confirmation en apercevant l'employé communal qui charge la remorque de son petit camion électrique de sacs poubelles pleins à craquer. C'est un quadragénaire un peu enveloppé, vêtu d'un gilet jaune, d'un pantalon gris et portant casquette. << Attends-moi là, reste planqué ! >> me chuchote Clémentine.

Je reste entre les fourrés et la palissade fraîchement repeinte de blanc. J'ai une vue parfaite sur les lieux. Clémentine descend en marchant lentement. Les bras croisés comme elle le fait toujours. Elle passe à proximité de l'employé qui la salue d'un grand signe de la main. Je suis à une cinquantaine de mètres. Je n'entends rien des propos échangés. Je tire la petite paire de jumelles du sac à dos. Elles grossissent huit fois. Parfait. J'ai l'impression d'être en compagnie des deux protagonistes. Clémentine s'est arrêtée. Elle bavarde avec l'homme en jaune.

Elle le dépasse d'une demi tête. Elle se touche soudain de la main droite passée sous sa jupette. De l'index de sa main gauche elle montre le coin entre la camionnette et le bâtiment. Je vois le bonhomme rire. Il montre l'endroit à Clémentine qui contourne la camionnette. C'est avec cette indécence folle qu'elle s'accroupit. Le type dépose le dernier sac poubelle dans la remorque qu'il contourne à son tour. Il veut se rincer l'œil. Une sublime jeune fille qui demande si elle peut pisser derrière son véhicule. Il tient la remorque d'une main, l'autre sur ses hanches.

Clémentine, cuisses écartées, le buste bien droit, fière, relève la tête. Je scrute avec les jumelles. J'ai le cœur qui bat la chamade. J'admire ce culot extraordinaire dont elle fait encore preuve devant cet inconnu. Bien évidemment, je reste prêt à intervenir. Clémentine abaisse son cul. Cambrée, elle peut en diriger ce jet invraisemblable qui jaillit soudain. Malgré la distance j'entends le mec s'écrier : << Wouah ! >>. Il n'a probablement jamais assisté à une telle situation. Cette sublime salope qui pisse en le fixant dans les yeux tout en souriant. Le paradis.

Notre voyeur involontaire fait preuve d'un sang froid tout aussi extraordinaire. Moi, j'ai sorti ma queue. Je me masturbe. Clémentine me confie toujours qu'elle ne fait pas ça que pour le mec qui a le privilège d'être là, mais surtout pour moi. J'avoue alors le degré d'excitation dans lequel elle me projette. D'une main tremblotante je tente de regarder avec les jumelles. De l'autre je me branle. Je suis toujours envahi d'une terrible excitation quand je vois ma complice faire ce genre de chose. Son plaisir est si évident. Je scrute ses expressions.

Enfin l'inconnu change de position. Il me tourne le dos mais je suis certain qu'il sort sa queue lui aussi. Il regarde partout autour de lui. J'ai le réflexe de me dissimuler davantage. Il ne se doute pas un seul instant d'une présence autre que celle de la pisseuse. Les jets de Clémentine sont phénoménaux. Ils viennent se briser au sol près de la camionnette. Le mouvement du bras droit du mec ne laisse aucun doute quand à son activité. Notre "gilet jaune" se branle avec ostentation. Il ne tente toutefois aucune approche. J'aimerais bien savoir ce qu'il dit.

Clémentine lâche les deux dernières giclées à plus d'un mètre devant elle. Des giclées qu'elle expulse avec un mouvement du bassin. Elle se touche. Impossible de discerner mais je suis certain qu'elle tient son clitoris géant entre son pouce et son index. Sans le lâcher en se redressant. Le type, cambré sur ses genoux fléchis lui présente très certainement le chibre qu'il secoue frénétiquement. Clémentine passe à quelques mètres pour le contourner, lui et sa camionnette. Elle lui adresse un merveilleux sourire. Tout en marchant, tout en se touchant.

Le gaillard se tourne. Je vois sa bite. Un beau calibre. Clémentine remonte le chemin. Elle se retourne car le mec semble la héler. Elle lève le pouce de sa main libre comme pour féliciter notre employé communal. Il redouble d'activité. Clémentine enfonce définitivement le clou en s'accroupissant une nouvelle fois. Elle me tourne le dos. J'adore voir une fille accroupie, de dos, avec les cuisses écartées. Notre voyeur involontaire éjacule en hurlant. Je pourrais faire pareil tellement je suis au sommet de l'excitation. Clémentine vient me rejoindre en sueur.

Elle aussi est considérablement excitée. Elle ne cesse pas de se toucher. Là, cachés dans les fourrés, nous nous masturbons l'un en face de l'autre. Il faut filer car nous entendons des voix. Ce sont deux autres employés qui arrivent. Nous les croisons en les saluant. Nous marchons très vite. Il est déjà 17 h45. Arrivés aux vélos nous mettons nos leggings, nos K-ways. La fraîcheur humide du soir s'annonce déjà. Il faut environ une heure quinze pour parcourir les 25 bornes jusqu'à la maison. Morts de faim, nous préparons un repas du soir archi simple.

Clémentine s'occupe de la salade d'endives en me donnant ses impressions. Quand elle réussit une exhibe de haute qualité, elle aime à m'en décrire les effets sur sa psyché. Je n'ai alors qu'un désir. Lécher son sexe, sucer son clitoris, me régaler de son jus de fille. Surtout que de la cyprine coule dans ce liquide opalescent qui me fait saliver. Je beurre quatre grosses tartines sur laquelle j'étale des filets d'anchois que je recouvre de gruyère. J'en prépare quatre autres. Dans le four à micros-ondes. Nous mangeons de bon appétit en faisant mille projets.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Clémentine n'arrête plus de se toucher. Elle me montre ses doigts trempés. Je les suce. Elle m'entraîne au salon pour arracher mon short. Je la fais tomber dans le canapé. À genoux sur un des épais coussins, mon visage entre ses cuisses je la fait hurler de plaisir. Mon cunnilingus ne dure pas plus de quelques minutes. Son orgasme est un déluge de pisse dans la cuvette que je tente de tenir le mieux possible. Je pénètre Clémentine qui pousse des cris de surprises, de ravissements. Je la baise comme un vrai salaud.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qu'une torride exhibition a projeté au pinacle de l'excitation. Qui vont se faire brouter, baiser, sucer et lécher...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 41 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2043 -



Qu'il est bon de ne rien foutre

Hier matin, mercredi, Clémentine se serre encore plus fort contre moi. En se frottant contre ma cuisse qu'elle enserre des siennes, elle murmure : << J'ai fait un rêve très cochon ! >>. J'émerge avec peine mais en riant déjà. Il est un peu plus de huit heures trente. Je réponds : << Viens, tu nous racontes tout ça devant de bonnes tartines de miel et de confiture ! >>. Clémentine se saisit de mon érection naturelle pour m'entraîner aux toilettes. Morts de faim, dans nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine.

Clémentine fait le café en narrant son histoire onirique. Tout en pressant les oranges, en pelant les kiwis j'écoute, amusé, ce récit totalement loufoque mais tellement drôle. Il y est question de monsieur Bertrand, notre voisin, tout nu au bord de la rivière venu nourrir les canards avec des yaourts. Je puis plié de rire quand le grille pain éjecte ses premières tranches. Clémentine dans un geste gracieux les attrape en faisant : << Et hop ! >>. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de hier. L'exhibe de Clémentine au port.

<< Au port devant un porc ! >> précise-elle. Nous en rions beaucoup. << C'était une exhibition de très haute qualité à défaut d'être une exhibition de standing ! >> rajoute encore Clémentine en venant s'installer sur mes genoux. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la visite de Juliette ce soir. << On fait une Flamiche Picarde, tu veux, c'est délicieux et si vite fait ! >> propose Clémentine. Je réponds : << On s'y met tout de suite après la douche comme ça on peut filer ! >>. Nous débarrassons pour faire la vaisselle, monter se laver les dents.

La fraîcheur est un peu plus vive que hier matin. À peine s'il fait 15° à huit heures quarante cinq. C'est sous un ciel gris que nous faisons quelques exercices d'échauffement. C'est parti pour un jogging. Il est 9 h45 quand nous prenons une bonne douche. Clémentine porte une jupe de velours brun, un sweat carmin. Je suis en jeans et chemise à carreaux. << Pas de culotte ! >> s'écrie t-elle en descendant l'escalier en gardant sa jupe relevée. Aujourd'hui encore Clémentine est très déconneuse. J'adore. Surtout qu'en bas de l'escalier elle m'embrasse.

Glissant sa main dans ma braguette ouverte elle me dit : << Bite à l'air, toute la journée. Y Compris et surtout ce soir devant Juliette ! >>. Nous rions de bon cœur en allant dans la cuisine. La pâte à pain sortie du réfrigérateur après le petit déjeuner est à température idéale. Clémentine en étale les deux tiers dans un plat à tarte aux bords hauts. Je concocte une Béchamel pendant que Clémentine lave et coupe deux beaux poireaux. << Poireau ! >> fait elle en l'agitant devant son sexe. Je dis : << J'adore quand tu es vicieuse dès le début de la journée ! >>.

<< Et tu n'as encore rien vu ! >> lance t-elle. Je râpe du gruyère de Comté. Clémentine ébouillante le poireau quelques minutes. Elle le rajoute à la Béchamel avec le gruyère pendant que je prépare le mélange œuf, moutarde à l'ancienne et lait de soja. Il suffit de verser le tout dans le plat à tarte, de recouvrir avec le dernier tiers de pâte feuilletée, de jointer soigneusement les bords, de badigeonner le mélange dessus. Je mets au four pour une cuisson lente à 180°. Plus longtemps ça mijote, meilleure est la tourte aux poireaux. Le repas de ce soir.

Il est onze heures quinze. Tout en préparant nous n'avons pas arrêter de nous faire des bisous, de nous palper. J'adore passer ma main sous la jupe de Clémentine. Le contact de la peau douce entre ses cuisses chaudes, lorsque je remonte jusqu'à la foufoune. Les lèvres charnues de son sexe qui frottent sur le tranchant de ma main. Quand elle sort ma queue pour la tenir fermement tout en fouillant ma bouche de sa langue exploratrice. << Je t'aime Julien. C'est tous les jours comme le premier jour ! >> murmure t-elle en s'accroupissant devant moi.

Je la regarde humer ma bite. Elle y frotte son visage en disant : << Je veux une récidive cet après-midi ! >>. Clémentine se redresse pour m'entraîner au dehors. Pour notre repas de midi du riz complet gonfle lentement dans une casserole. Le ciel est gris, bas mais pas menaçant. Nous descendons jusqu'à la rivière. Par précaution j'ai remballé mon sexe car monsieur Bertrand, notre voisin vient souvent par là. Nous regardons virevolter les poules d'eau rejointes par les colverts qui volent en escadrilles. Les canards qui cancanent en dansant.

<< On se fait un "plan" cet après-midi. Je meure d'envie de me donner des frayeurs ! >> lance Clémentine en se blottissant dans mes bras. Je passe ma main sous sa jupe pour la doigter délicatement. << Mmhh, défense d'arrêter ! >> chuchote t-elle en se cambrant sur ses genoux fléchis, les pieds largement écartés. Je murmure : << Vous mouillez mademoiselle, il en coule déjà sur mes doigts ! >>. Clémentine glisse à mon oreille : << Vous m'en voyez ravie cher monsieur ! >>. Notre baiser fougueux et passionné me procure une érection démente.

Morts de faim nous remontons. Clémentine prépare une salade de concombre. Le riz a bien gonflé. Je poêle deux dos de cabillaud blanc auxquels je rajoute des champignons. Une rapide sauce au Roquefort. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les options qui s'offrent à nous cet après-midi. Exhibe en ville, salon de thé, hall d'immeubles, parcs, descentes de parking, bibliothèque municipale. Exhibe en campagne. Sous bois, chemins creux, chantier de constructions ou encore au bord d'une petite route déserte. Nous en rions.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine s'écrie : << J'ai une idée. On va s'amuser au haras, chez Juliette ! >>. Je n'y avais pas pensé. C'est vrai que là-bas il y a de quoi se faire plaisir. Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de monter nous laver les dents. Clémentine reste en jupe mais passe un chemisier crème sous sa veste de velours noir. Ses mocassins noirs à légers talons. Sur sa demande je mets un jeans noir, une chemise blanche sous une veste noire. Mes mocassins noirs de ville. Parfait.

Pressés de filer nous dévalons les escaliers. Je sors la voiture. Il n'y a que trois kilomètres. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Je gare l'auto dans la cour. Il y en a plein d'autres. Le mercredi il n'y a pas école. Il y a donc quelques jeunes filles préparant leurs chevaux. Madame Walter, toute surprise de nous voir, vient nous saluer. Nous sommes venus en visiteurs. << Vous vous êtes bien amusée vendredi soir ? >> demande Bernadette. Clémentine répond : << Oh oui, c'était encore une soirée mémorable ! >>. Elles éclatent de rire.

Elles font évidemment toutes les deux allusion au Gloryhole. << Moi je "préparais" ces messieurs avec Juliette avant qu'ils ne viennent vous l'offrir par le trou ! >> fait madame Walter avec le regard terriblement vicelard. Je palpe ma braguette fermée pour la circonstance. Il y a des jeunes filles un peu partout qui s'apprêtent à partir en balade sur leurs montures. Je dis : << Bernadette, un de ces jours il faudra que je vous offre ma "friandise ! >>. Madame Walter me fixe par en-dessous avant de répondre : << Avec grand plaisir. Elle se fait trop rare ! >>.

<< Je vous laisse car nous avons une réunion du personnel dans deux minutes ! >> rajoute encore la collaboratrice de Juliette. Juliette qui sort de l'ancienne écurie. Elle aussi est surprise de nous voir là. Il n'est pas tout à fait 14 h30. Nous nous saluons. << Je suis obligé de vous laisser, on se voit ce soir ! >> dit elle en lâchant nos mains. Après quelques mètres Juliette se retourne pour lancer : << Il y a un mec de l'entreprise d'entretien dans la nouvelle écurie ! >>. Ce message est destiné à Clémentine qui m'y entraîne par la main. Serrée contre moi.

Nous entrons dans l'écurie juste à côté du bâtiment du manège à chevaux. Il y a une camionnette blanche. Là-bas, en haut de son échelle, un homme en tenue de chantier. << Reste là, tu te planques dans le box vide à gauche ! >> murmure Clémentine. J'y entre. Je la regarde s'éloigner, bras croisés, en marchant doucement. Le type ne tarde pas à l'apercevoir. Sublime jeune fille qui se promène là toute seule. Caressant quelques encolures de chevaux qui la regardent passer. Il y a des seaux en métal posés au sol devant les portes basse des box.

Clémentine fait mine de ne pas s'être aperçue de la présence de l'employé. Il culmine à quelques cinq mètres de hauteur. Je sors ma queue. Je suis au spectacle. L'intérieur d'une écurie reste un endroit insolite et excitant. Théâtre des fantasmes les plus amusants. J'hallucine. Tout autant que le mec sur son échelle. Clémentine, cambrée sur ses genoux fléchis, les pieds écartés, un seau entre ses jambes, retrousse sa jupe. Le bruit caractéristique d'un jet tombant dans l'eau. Je regarde le type. Il a cessé de manier le tournevis pour regarder vers le bas.

Clémentine, trop heureuse de pouvoir s'offrir une superbe exhibe, pisse par jets répétés, très sonores en visant le seau. Dans cette grande écurie cela résonne d'une étrange façon. L'employé observe, les yeux écarquillés. Il n'a probablement jamais assisté à une telle scène. Clémentine cesse. Elle reste dans cette position pourtant inconfortable. Se tenant à la porte basse du box d'où la contemple un cheval, elle se touche. L'homme descend de son échelle. << Bonjour mademoiselle. Tout va bien ? >> demande t-il en s'approchant. Clémentine cesse.

Elle joue à la perfection la jeune fille surprise. Elle en devient même toute rouge. Trop heureuse de vivre une fois encore une de ces situations dont elle raffole. Se faire surprendre par un inconnu. Même si elle a consciencieusement préparé son coup. Debout, se réajustant, Clémentine répond : << Tout va bien excusez-moi, je ne vous avais pas vu ! >>. L'homme fait encore : << Je me suis régalé ! >>. Clémentine joue à la perfection la fille soudain extrêmement gênée. Elle n'est pas obligée de forcer la réalité. C'est évident. Elle est gênée.

Je suis planqué dans mon box. Retenant ma respiration, je me branle. J'entends la conversation qui s'engage. << J'aime venir pisser dans les seaux ! >> s'explique Clémentine. Le type ricane un peu stupidement en écoutant les propos surréalistes de cette sublime jeune fille. Tout en parlant Clémentine se touche. Sa main qui froisse le velours de sa jupe à l'endroit de son sexe. Elle rajoute : << J'aime trop ça ! >>. L'employé demande : << Pisser ou vous branler ? >>. Clémentine répond : << Les deux. Les écuries ça m'excite tout le temps ! >>.

Un bruit de moteur. Des voix. Ce qui met un terme à l'entretien. Ce sont deux autres employés qui viennent rejoindre le voyeur involontaire. << Au revoir monsieur, au plaisir ! >> lance Clémentine en tournant les talons. Les trois hommes parlent des travaux. Quand Clémentine arrive à ma hauteur je sors du box pour la rejoindre. Nous sortons vite. << Génial ! >> me fait Clémentine en se serrant dans mes bras. << Merci Julien, sans toi tout cela ne serait pas possible ! >> dit elle encore avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche tout en se frottant.

Il n'y a personne entre les deux camionnettes. Je glisse ma main sous la jupe de Clémentine pour constater que l'intérieur de ses cuisses est trempé. De la pisse et de la mouille. J'enfonce la première phalange de mon index. << Mmhh, c'est bon ! >> s'exclame Clémentine. Nous ne pouvons pas rester là car les mecs reviennent. Nous filons vers la voiture. Je roule doucement. J'ai la main droite entre les cuisses de Clémentine. Je tiens son clitoris géant entre mon pouce et mon index. La tête rejetée en arrière Clémentine apprécie en gémissant.

Je fais une boucle en passant devant l'université. Quand Clémentine n'est pas entrain de sucer elle se redresse pour contempler le paysage. Me donner ses impressions. Quand elle est assise droite je la doigte à nouveau. Excités comme des fous nous nous arrêtons dans un chemin creux. Siège couchette. Je baise Clémentine qui me pose tout un tas de questions quand à mes impressions de voyeur, quand je la regarde s'exhiber. Cessant de la besogner, je lui raconte mes sensations, mes émotions. Soudain, c'est mon téléphone qui se met à vibrer. Le con.

Clémentine s'en saisit. << Juliette ! >>. En position haut parleur j'entends Juliette s'excuser d'un fâcheux contre temps. Elle ne pourra pas venir en soirée. Il y a eu un accident avec une des jeunes cavalières. Rien de grave mais sa présence en tant que propriétaire et directrice du haras est requise. Après avoir raccroché, Clémentine me fait : << Une soirée rien qu'à nous. Avec une Flamiche Picarde rien que pour nous ! >>. Elle sort de la voiture en m'entraînant par la queue. Je remonte mon slip et mon pantalon. Pour ne pas avoir l'air d'un con. Il fait frais.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui vont pouvoir vivre toutes leurs déviances sublimes dans le calme et la sérénité. Une bonne bite juteuse rien que pour elles...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI..

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 42 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2044 -



Comme il est bon d'être juste nous deux

Hier matin, jeudi, il est presque huit heures trente quand nous nous réveillons en même temps. Clémentine, tout contre moi, l'haleine de sa nuit qui parfume mon visage. J'ai déjà envie de fouiller sa bouche de ma langue avide. Elle se blottit contre moi en murmurant : << Bobo au ventre ! >>. C'était donc ça. Clémentine s'est levée dans la nuit. Nous sommes le 20 du mois d'octobre. Et tous les 20 du mois, avec une régularité métronomique, tombent ces "petits machins" de fille. Aussi, je redouble d'attention à son égard. Étant attentif et aux petits soins.

Saisissant mon érection matinale et naturelle, elle dit : << Il me faudra vos bons soins docteur ! >>. Allongeant son autre main jusqu'à sa table de nuit elle prend le flacon de Bromelaine. Une gélule sous la langue. Je l'emmène en la soulevant comme une jeune mariée jusqu'aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues sports nous dévalons les escaliers. Clémentine tout en faisant le café me raconte son rêve. La douleur sourde de son bas ventre qui l'a tiré de son sommeil vers trois heures du matin. Je presse les oranges, je pèle les kiwis en écoutant.

Pour se préserver encore davantage des inconvénients parfois douloureux, Clémentine a fait venir un petit appareil de soulagement "ShytoBuy". << On va voir si c'est aussi efficace que le prétendent certaines sur les forums ! >> lance t-elle en attrapant les tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre aventure de hier après-midi. Encore une exhibe de qualité qui bercera longtemps nos souvenirs. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les options de la journée. Dehors il fait moche. Il pleut.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine m'offre ses seins minuscules. Au travers le lycra jaune de son sweat j'insuffle sur chacun d'eux de l'air chaud. << Mmhh, comme ça fait du bien, ça soulage ! >> murmure t-elle en caressant mes cheveux. Je glisse ma main dans son legging de lycra noir pour caresser délicatement son bas ventre. << Docteur, vos thérapies font des miracles ! >> rajoute t-elle. Nous rions de bon cœur quand Clémentine rajoute : << Je viens en consultation toutes les heures ! >>.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. C'est paradoxale, mais les exercices au sol ainsi que les abdominaux sont des soulagements efficaces. Clémentine redouble même d'activité pendant que je fais du vélo d'intérieur. Merci Domyos. Marque Décathlon fiable et surtout durable. La douche. Vêtus de nos jeans et chemises à carreaux nous redescendons à toute vitesse jusqu'au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Il y a trois messages. Il est 10 h30.

Le concessionnaire Mercedes annonce que notre nouvelle voiture est arrivée, disponible et préparée. << On y va cet après-midi ! Voilà un programme sympa avec cette météo de merde ! >> s'écrie Clémentine. Il y a le message de Juliette qui s'excuse encore une fois pour son absence. Ce n'est pas son genre de faire faux bond. Nous le savons. Aussi, elle nous narre par le détail ce qui s'est passé en début de soirée. Une des jeunes cavalières, filles de propriétaires de chevaux, a fait une chute. Sans gravité. Tombée de son animal. Luxation de la clavicule.

Médecin, Samu et constat pour l'assurance, les services de santé, la CPAM. Bref tout le toutim habituel. Les parents de la jeune fille venus demander de plus amples explications. Par contre Juliette, pour se faire pardonner, nous invite à venir manger et passer la soirée avec elle demain, vendredi. << On va y réfléchir chère madame ! >> lance Clémentine. Il y a le mail d'Estelle qui nous annonce qu'avec la présence de sa mamie qui ne va pas très bien elle préfère rester en famille ce soir. Elle nous rejoindra samedi, en début d'après-midi. C'est parfait.

Clémentine, par réflexe, surfe sur le site universitaire. Pas de nouvelles informations si ce n'est un compte-rendu des épreuves du concours d'admission au Doctorat. Nous quittons le salon pour enfiler nos K-ways. C'est sous l'immense parapluie que nous allons faire quelques pas au dehors. C'est une pluie abondante qui a déjà détrempé le sol. Les feuilles mortes qui forment un tapis collent sur l'herbe. L'entreprise paysagère n'interviendra que le lundi 7 novembre. Début des cours pour Clémentine. Nous montons jusqu'au portail pour marcher sur la route.

La pluie est abondante et régulière. Le ciel est uniformément gris. L'ambiance sinistre d'un automne qui semble commencer vraiment. Lorsqu'elle s'arrête, pour fourrer sa main dans ma braguette, Clémentine me dit : << Je te réserve une belle surprise pour la semaine prochaine. Juste toi et moi, du lundi jusqu'au vendredi dans un bel endroit. J'ai tout préparé en cachette ! >>. C'est donc la raison des cachotteries qu'elle me fait. Moi qui m'imagine qu'elle est penchée sur ses études devant l'ordinateur. Je la serre contre moi. Nous rions.

Pas une voiture sur l'étroite route départementale si ce n'est le tracteur dans la cabine duquel un agriculteur nous adresse un signe de la main. Il commence à faire faim. Nous reprenons le sens inverse. Presque 11 h50 quand Clémentine s'occupe de la salade. Une belle scarole dont elle lave chaque feuille pour midi et pour ce soir. << L'appareil est efficace. Ce sont comme de petites vibrations qui se déclenchent par intermittences ! >> s'écrie t-elle en touchant son bas ventre. << C'est comme un massage qui soulage ! >> rajoute t-elle. Je touche.

Je ne ressens aucune vibration. Rien. << Je te le fais porter ce soir avant de dormir ! >> dit elle en riant. Je réchauffe la demi Flamiche picarde. Les restes de cette tourte aux poireaux qui a fait notre régal de hier soir. J'aide Clémentine à préparer l'assaisonnement de la salade. Nous mangeons de bon appétit. << Ce soir gratin de coquillettes avec sauce aux crevettes. Ça te dit ? >> s'exclame Clémentine en venant s'installer sur mes cuisses. Nos assiettes côte à côte, dans une situation assez inconfortable, nous savourons un excellent repas.

Nous traînons à table. J'applique une des thérapies du docteur Julien. Souffle chaud sur les tous petits seins de Clémentine. L'extrémité est dure et douloureuse. Il faut redoubler de douceur et de tendresse. Je suis un virtuose dans ce domaine car c'est dans ma nature profonde. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous remontons nous laver les dents, nous changer. Nous mettons au point la stratégie de l'après-midi. Plutôt que de nous rendre chez le concessionnaire avec la voiture de Clémentine et de devoir revenir à deux autos, ce sera en taxi.

C'est amusant de prendre un taxi depuis chez soi pour faire les quinze kilomètres qui nous séparent de la zone d'activités commerciales. C'est Clémentine qui appelle. Elle porte une de ses jupes de velours carmin, des bas noirs, Un pull crème à col roulé. Ses chaussures de villes à légers talons. Ses longs cheveux noirs en liberté qui encadre son visage d'ange. L'éclat de ses yeux bleus tous clairs, presque délavés sont encore la cause de mon trouble profond. << Toi, tu m'aimes, hein ! >> lance t-elle en se jetant dans mes bras. Je la soulève. Bisous.

Sur sa demande je porte un pantalon noir à pinces et à plis. Mes souliers noirs de ville. Une chemise blanche déboutonnée sous un pull noir au col en "V". Elle nous entraîne devant le grand miroir. << Regarde comme on est beaux tous les deux. J'aime l'élégance ! >> dit elle en s'accroupissant pour dévoiler son absence de culotte. De l'invraisemblable touffe de poils je discerne la petite ficelle blanche qui dépasse. Son tampon "mini". Son porte-jarretelles noir compose l'écrin de ce sexe terriblement attractif. << Sauvage ! >> comme elle aime à dire.

Il faut descendre car le téléphone de Clémentine annonce l'arrivée du taxi. Un simple SMS. Nous enfilons nos imperméables. C'est sous le parapluie que nous montons jusqu'au portail où nous attend le taxi. Une Mercedes également. C'est une jeune femme. Nous l'avons déjà vu au bourg puisque son mari conduit l'ambulance. C'est une agence qu'ils ont monté tous les deux. Installés à l'arrière nous regardons ce sinistre et pluvieux paysage. Vingt minutes et nous voilà déposés devant le grand bâtiment d'exposition. Paiement par application téléphone.

D'entrer chez un concessionnaire automobile procure toujours un étrange sentiment. C'est un peu comme d'aller visiter le Père Noël dans sa maison. C'est le directeur de l'agence qui nous reçoit. Il nous invite à le suivre dans son bureau. Nous nous connaissons depuis plus de vingt cinq ans car c'est la cinquième voiture que j'achète ici. Nous bavardons des modalités. Virements bancaires, carte grise, assurance. Bref les formalités et obligations administratives habituelles que nous connaissons tous. Monsieur Jacquelin n'a de yeux que pour Clémentine. Le bougre !

Il nous annonce qu'il est à deux ans de la retraite. Que tout cela va beaucoup lui manquer. Que cette concession a forgé son tissu social depuis trente ans. Monsieur Jacquelin, agitant les clefs qu'il me tend, nous invite à le suivre. Cette fois, j'ai choisi la couleur grise. Clémentine trouve que ça fait moins "mortuaire" et que le gris est plus "solennel". C'est une splendide voiture. Encore un "porte avion" comme aime à le préciser Estelle. Monsieur Jacquelin m'explique les différentes options qui équipent le véhicule. Nous sommes bluffés par l'agencement.

Hybride rechargeable. Une ligne aérodynamique qui ne sacrifie pourtant pas à ce qui fait le succès de la marque. Tout reste imposant, supérieur et terriblement attractif. Je m'installe au volant. C'est réellement bluffant. Les contrôles tactiles au volant. Il va me falloir un temps d'adaptation. Car depuis quatre ans, les nouveaux modèles ont beaucoup changé. Une autonomie essence de 600 kilomètres. 360 chevaux sous le capot. Une autonomie électrique équivalente. Même si je n'ai absolument pas envie d'utiliser la version électrique, c'est sympathique.

Clémentine s'installe à son tour au volant. << Elle fera l'Écosse l'année prochaine ! >> lance t-elle. Monsieur Jacquelin qui fixe ostensiblement les jambes de ma compagne. Cette sublime jeune fille ne le laisse évidement pas indifférent. Cela nous amuse beaucoup. Il y a une carte magnétique qui permet de verrouiller et déverrouiller les portes, les coffres. Une application à télécharger sur le téléphone qui permet les mêmes fonctions. << Génial ! >> s'écrie Clémentine. Lorsque monsieur Jacquelin ouvre le capot moteur, c'est de la science fiction.

Rien n'est accessible. Tout est sous protection grise de métal anodisé. Pas de fils, pas de durites, rien. On ne sait pas ce qui est caché la dessous. Nous prenons possession de notre nouvelle voiture. Un must. Nous prenons également congé de monsieur Jacquelin. Il faudra ramener le véhicule pour un contrôle de routine à cinq mille kilomètres pour faire jouer une garantie de cinq ans ou cent mille kilomètres. Je roule doucement. Je veux tout comprendre. Clémentine, sur l'écran de l'ordinateur de bord, lit les instructions. C'est un Mac comme le sien.

La voiture est lourde mais se conduit comme un vélo. << Pour plus de cent trente mille euros c'est quand même la moindre des choses ! >> me fait Clémentine en posant sa main sur ma braguette. Je l'invite à prendre le volant. Je m'arrête. Elle s'installe place conducteur. Elle démarre. Quel plaisir que de se faire conduire. Je sors ma bite. Je la tiens à sa base pour l'agiter. << Tu devrais avoir honte de perturber ainsi les jeunes filles qui conduisent ! >> me dit elle. Nous rions de bon cœur. Je bande mou. Je me masturbe pour bander bien dur.

Clémentine s'arrête devant le haras. Dans l'entrée de la cour. Malgré cette météo pitoyable il y des voitures. Dont un véhicule de la gendarmerie. Sans doute suite à l'incident de hier. La chute de cheval. Clémentine se penche sur sa droite. Elle lâche le volant pour prendre mon sexe en bouche. J'appuie un peu sur sa nuque pour en enfoncer davantage. << Mmhh ! >> gémit elle toujours ravie de mes initiatives. Elle cesse. Se relève pour dire : << Il me faut l'élixir du docteur Julien. Je promets de respecter la posologie ! >>. Clémentine démarre.

Nous revenons à la maison sous une pluie battante. Clémentine préfère que ce soit moi qui range la voiture dans le garage. Voilà deux Mercedes l'une à côté de l'autre garées près de sa Morris Cooper "Countey Gentleman". Nous courons sous le parapluie en restant sur les dalles de grès. Attention aux feuilles mortes extrêmement glissantes. À peine nos imperméables retirés, Clémentine m'entraîne au salon. Me fait tomber dans le canapé. Jetant un des épais coussins au sol, elle s'exclame en riant : << Mon traitement ! Et double dose ! >>.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont prendre le "sirop" de leur docteur avant de se voir appliquer la thérapie suçage de clito...

Docteur Julien (Honoris causa es cunnilingus)



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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
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Classe - 43 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2045 -



Un après-midi avec Julie. Une soirée avec Juliette...

Hier matin, vendredi, il est presque neuf heures quand nous nous réveillons. Quasiment en même temps. Clémentine se blottit contre moi. La nuit a été calme. Son médicament homéopathique contre les règles douloureuses s'avère efficace. Un sommeil de qualité. Quelques papouilles. Des bisous et nous nous précipitons aux toilettes. J'y laisse Clémentine toute seule pour aller me vêtir de ma tenue de gym. Elle me rejoint pour faire de même. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant.

Le rêve dont elle se souvient m'amuse beaucoup. Il est lié à notre nouvelle voiture. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. << Tu as vu le regard libidineux qu'avait pour moi le directeur du garage hier ? >> demande Clémentine. En effet, monsieur Jacquolin semblait plutôt perturbé par la présence de Clémentine. Nous en rions de bon cœur quand je réponds : << Tu en connais beaucoup qui ne le sont pas en ta présence ! >>. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. J'ai administré la thérapie du docteur à Clémentine.

Une thérapie rudement efficace contre les tourments menstruels. Un cunnilingus des familles auquel je rajoute un zeste de tendresse, un soupçon de douceur et une dose d'affection amoureuse. Cocktail qui fait des miracles. Surtout agrémenté de liquide séminal et de sperme par petites doses savamment distribuées. Nous rigolons comme des bossus. Dehors la météo est pitoyable. Il pleut. Le ciel est sinistre. Il fait sombre. Nous mangeons toutefois de bon appétit en évoquant la venue de Julie cet après-midi, l'éventualité d'aller chez Juliette en soirée.

La vaisselle. Nous remontons nous occuper à notre heure d'entraînement quotidienne. Sans réelle conviction ce matin. Plutôt comme une routine dont il faut s'acquitter. Aérobics, jogging sur tapis roulants, exercices au sol et abdos qui font un bien fou au ventre de Clémentine. Les charges additionnelles avant le retour au calme avec un stretching encore totalement surréaliste et déconneur. La douche. Vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux, nous redescendons à toute vitesse jusqu'au salon. Assise sur mes genoux, clémentine allume l'ordinateur.

Le message d'Estelle qui est impatiente de nous retrouver demain. Qui nous raconte ses journées avec ses parents et sa mamie. Le courriel de Julie qui elle aussi s'impatiente à l'idée de nous retrouver en début d'après-midi. Nous restons très hésitants quand à la soirée chez Juliette. C'est maintenant qu'il faut la prévenir si nous n'y allons pas. << Tu seras le vicieux que j'aime ? >> me demande Clémentine. Je réponds : << Pire encore ! >>. Clémentine me fait une bise. << Alors on y va ! >> lance t-elle. Elle confirme par mail notre présence.

Un petit tour sur le site de l'université. Les premiers résultats des épreuves du concours d'admission au Doctorat arriverons dès lundi. << C'est super, juste avant de partir pour nos cinq jours d'escapades ! >> s'exclame Clémentine. C'est sous le parapluie, chaussés de nos bottes en caoutchouc que nous descendons jusqu'à la rivière. Les eaux vont atteindre leur niveau critique. Un étang commence déjà à se former au bas du chemin. Interdisant l'accès au sentier. Il ne fait pas froid, pas un souffle de vent. Mais une pluie abondante et régulière.

J'administre le traitement du docteur Julien à Clémentine. Ma bouche collée sur chacun de ses petits seins, je souffle de l'air chaud à travers le tissus. << Mmhh, docteur, avec un peu de votre sirop et votre traitement sera une fois encore un véritable soulagement ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur en remontant vers la maison. Il reste du gratin de coquillettes de hier soir. Il suffit de le réchauffer. Clémentine prépare une salade d'endives. Dans la poêle je fais rissoler deux beaux filets de colin. J'y rajoute un petit pot de crème fraîche.

En fin de cuisson cela donne un goût exquis et compose une sauce très délicate. Nous mangeons de bon appétit tout en parlant de Julie. Les vacances de la Toussaint commence demain samedi. Ce qui rajoutera un côté festif à toute chose. << On lui propose de venir passer notre virée avec nous ! >> lance Clémentine. Je fais : << C'est toujours encore un secret, tu ne m'as pas dit où tu m'emmènes ! >>. Clémentine, s'asseyant sur mes genoux, répond : << Je garde le secret jusqu'à dimanche matin. C'est au réveil que je délivre le secret. Surprise ! >>.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de monter nous laver les dents. Pressés d'aller dans l'atelier nous redescendons à toute vitesse. Clémentine procède à quelques travaux de rangements. Des documents à classifier. Des écrits à revoir avant de les ranger définitivement. Il y a sur trois étagères les classeurs contenant cinq ans d'études. Sur un mètre de long et sur trois niveaux. Clémentine garde tout. Je vérifie le bon séchage des toiles à expédier à notre retour la semaine prochaine. Les six portraits de commandes. Parfait.

Trois coups discrets contre la porte qui s'ouvre. Il n'est que 13 h45. Julie se précipite vers Clémentine. Puis elle vient me serrer la main qu'elle tient en me faisant trois bises. Elle est habillée d'un jeans, d'un pull sous son blouson, de ses bottines. Ces cheveux attachés en catogan d'un nœud de velours noir. Ses lunettes d'étudiante sur le nez comme Clémentine. J'ai la braguette ouverte. Cette fois Julie l'observe ostensiblement. Je comprends immédiatement. Comme le précise Clémentine, Julie vient surtout pour nos égarements. Nos jeux.

Même si le prétexte du cours de peinture reste la bonne excuse, nous savons tous les trois que ce qui nous préoccupe véritablement, c'est le sexe. Nos déviances plus exactement. Comme à chaque fois Julie s'installe sur la chaise devant le chevalet. Y est posée la toile avec le dessin préparatoire d'un paysage. Une autre œuvre de commande à réaliser. Clémentine me fait un clin d'œil en mimant une masturbation masculine. Je sors ma queue. Je suis debout derrière Julie, mes mains sur ses épaules. Elle scrute le dessin avec attention, penchée en avant.

Je viens me positionner sur sa droite. Elle découvre ce qui pend de ma braguette. Elle ne fait pas semblant de ne pas s'en apercevoir aujourd'hui. Aussi, m'enhardissant, désireux de tenter une nouvelle expérience, je me tourne pour lui présenter mon sexe. Je bande mou. J'agite donc une queue mollasse. Julie tourne la tête avant de tourner son buste pour se retrouver face à moi. J'entends le gloussement pourtant discret de Clémentine qui nous observe depuis la table. Je me penche pour déposer une bise sur le front de ma regardeuse.

Je m'approche. Julie n'a pas ce mouvement de recul habituel. C'est étonnant. Soudain, sans que je ne puisse réagir, elle prend mon sexe en bouche. Immédiatement. Et la bonne moitié. En émettant un petit cri de ravissement, elle se met à pomper. Je me fais tailler une pipe des familles. Autant étonnée que moi Clémentine contourne la table pour venir nous rejoindre. Ce spectacle est émouvant. Cette délicate jeune étudiante de 21 ans, qui n'en paraît pas seize, suce comme si sa vie en dépendait. Clémentine saisit la tête de Julie pour l'appuyer fort.

Penchée, son visage tout près de celui de Julie, elle dit : << C'est bon une pipe, hein ? >>. Julie ne cesse pas de sucer pour émettre un gloussement affirmatif. Je bande comme un patient atteint d'un priapisme en phase terminale. Il y a de la jute qui commence à suinter aux commissures des lèvres de ma pompeuse. Mes sécrétions sont encore d'une abondance incontrôlable. Julie s'arrête de sucer toutes les deux trois minutes pour tenter de déglutir. Et il y a de quoi bouffer. Ses mouvements de tête, ses grimaces sont révélateurs de vraies difficultés.

Quand Julie est occupée à déglutir, c'est Clémentine qui se penche davantage pour pomper à son tour. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. Tellement c'est intense. C'est au tour de Julie de revenir savourer le jus de couilles. Je me masturbe d'un mouvement lent dans la bouche gourmande de ma tailleuse. Clémentine la tient par le menton et par la nuque. Elle dit : << Julie, et si vous veniez passer cinq jours avec nous, dans un gîte ? >>. Julie cesse de sucer. Elle reste silencieuse. Je me branle en attendant sa réponse. Julie essuie le tour de sa bouche.

<< Je ne pourrai pas. J'ai promis d'aider à la maison et il y a mes grands parents ! >> lance soudain Julie avec un air de dépit. Elle se lève. Mettant un terme à cette pipe délicate. Clémentine saisit ma queue pour m'entraîner. Elle me fait faire le tour de la grande pièce alors que Julie prépare les couleurs sur sa palette. Je viens m'assoir à sa droite. Elle commence cet après-midi un paysage marin à partir d'une de ses photos. Clémentine s'installe devant son ordinateur. Un calme et un silence monacal règne dans l'atelier. Je suis assis à gauche de Julie.

Je la regarde peindre. Parfois je réponds aux questions techniques qu'elle pose. Clémentine m'adresse de discrets et malicieux sourires. Me fait parfois un clin d'œil. << Quand je commence par la fellation, je prends encore davantage de plaisir à peindre ! >> lance soudain Julie avec le plus grand sérieux. Nous éclatons de rire. Clémentine demande : << Comme en soirée, au restaurant, avant de commencer ton service ? >>. Julie rit en répondant : << Non, pas de bite à sucer. Jean-Louis préfère m'enculer un peu devant Anne-Marie qui mâte ! >>.

Julie doit nous laisser pour 18 h. Justement pour aller rejoindre sa tante, reprendre son job de serveuse pour le week-end. Elle nettoie sa palette, ses pinceaux. Mon sang ne fait qu'un tour lorsqu'elle attrape mon sexe. Je ne m'y attendais absolument pas. Décidément l'attitude de notre jeune amie change de nature. Je la saisis par son catogan. Elle se tourne vers moi en gloussant. Julie reviendra demain matin pour le ménage. C'est sous le parapluie que nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Assise au volant elle observe ma bite tenue par Clémentine. Je pisse.

Nous la regardons partir. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer. Clémentine m'entraîne par la queue pour monter à l'étage. Nous changer pour aller rejoindre Juliette. Nous sommes attendus pour 19 h. Il est déjà 18 h30. Clémentine porte un pantalon noir à plis et à pinces. Tout comme moi. Ses souliers de villes à légers talons. Tout comme moi une chemise blanche sous une veste noire. Nous prenons la pose devant le miroir. << Comme on est beaux et élégants tous les deux ! >> lance Clémentine en palpant ma braguette et en se touchant.

Pressés de filer nous descendons tout de même avec précaution. C'est dans la nouvelle voiture que nous parcourons les trois kilomètres qui nous séparent du haras. Clémentine, tout en jouant avec ma queue, me dit : << Avec Juliette, tu fais ton vicieux ce soir. Tu dépasses les limites. Je veux voir ses réactions. Cette vieille salope adore les surprises ! >>. Il n'y a plus que trois autos garées dans la cour. Juliette nous attend dans l'encadrement de la porte. Vêtue d'une jupe de velours brun, d'un chemisier blanc. De ses escarpins à talons. Trois bises.

Nous la suivons pour monter l'escalier. Juliette est tellement contente de nous revoir. La tarte aux fruits de mer parfume toute la cuisine. J'ai la braguette ouverte. Juliette mâte avec attention tout en revenant sur le Gloryhole qu'elle a organisé vendredi dernier. << On s'en refait un quand vous voulez ! >> propose Juliette. Clémentine répond : << Pas dans les tous prochains temps. J'ai besoin de me remettre du précédent ! >>. Nous rions aux éclats en passant à table. Nous mangeons de bon appétit. Le repas est savoureux. Nous rions beaucoup.

Juliette revient sur l'incident de mercredi. Cette jeune fille tombée de son cheval. << Rien de grave. Une luxation de l'épaule. Juste une attelle à porter deux semaines ! À cet âge on se remet vite. La gamine à quatorze ans ! >>. À l'évocation du Gloryhole, je me branle sous la table. J'adore les regards sévères que me lance à chaque fois Juliette. Je me lève alors pour agiter mon érection vers elle. << Savez-vous que deux messieurs n'arrêtent pas de me parler de vous ? >> fait Juliette à l'adresse de Clémentine qui s'écrie : << Ah bon ! >>. Rires.

Elle rajoute : << Parmi ces deux sucés de la semaine dernière il y a probablement Pierre ! >>. Juliette en riant répond : << Comment avez-vous deviné ? Mais il y a aussi monsieur Barnabé, le black dont vous avez apprécié le goût "sucré" ! >>. Clémentine s'écrie : << Alors celui-là, c'est quand il veut. Pas pour la baise mais pour la pipe ! >>. Nous sommes pliés de rire. << J'organise une rencontre ? >> demande Juliette. Clémentine répond : << Pour après les vacances, un truc bien glauque, bien tordu comme vous savez si bien les organiser ! >>.

La soirée se déroule dans cette ambiance d'aveux et de confessions diverses. Je n'arrête pas de me masturber. Le dessert, cette tarte aux noix que nous avons ramené, conclue un repas délicieux. Clémentine et moi, vautrés dans le canapé, ne cessons de nous toucher. Juliette installée dans le fauteuil qui nous fait face, cuisses relevées, sans culotte, se doigte effrontément. Je ne crois pas l'avoir déjà vu aussi franche et direct. Parfois Clémentine qui me branle de sa main libre se penche sur sa droite pour me sucer. Juliette redouble d'activités.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui une fois de retour à la maison, sous les draps, se font sucer le clitoris avant de sucer de la queue trempée...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI..

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 44 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2046 -



D'exaltantes aventures en ce samedi

Hier matin, samedi, il est un peu avant huit heures. Clémentine se blottit encore plus fort contre moi pour me murmurer : << Je vous aime monsieur ! >>. Ce premier aveux de la journée m'émeut plus que de raison. Saisissant mon érection naturelle, elle rajoute : << Vous m'offrez les plus belles émotions de ma vie ! >>. S'en est trop. Je suis sur le dos quand elle me chevauche en frottant son sexe sur le mien. Me couvrant le visage de bisous. Nous ne sommes pas du matin et l'impérieux besoin naturel met un terme à nos effusions de tendresse.

Pipi. Je laisse Clémentine seule aux toilettes. C'est le troisième jour de ses "petits machins". Elle vient me rejoindre dans la salle de bain pour se vêtir comme moi. Morts de faim, dans nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers. Clémentine prépare le café en me racontant son rêve totalement loufoque et surréaliste. << Juliette qui conduisait une brouette ! >> lance t-elle en riant. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les bons moments de la journée de hier. Julie l'après-midi, Juliette en soirée.

En parlant de Julie et par association d'idées, je vais dans le hall pour ouvrir le portail depuis l'interphone. Nous mangeons d'excellent appétit en évoquant cette semaine passée. Le week-end qui nous attend. Il est à peine huit heures vingt en voilà justement Julie qui arrive. Vêtue comme hier. Ses cheveux noués du même nœud de velours noir. Trois bises à Clémentine dont elle caresse amoureusement les cheveux. Trois bises qu'elle me fait délicatement. Je l'attrape par son catogan pour dire : << J'ai beaucoup apprécié vos initiatives hier ! >>.

Elle n'ose pas soutenir mon regard. Elle regarde Clémentine pour répondre : << J'apprécie beaucoup les vôtres ! >>. Clémentine me fait un clin d'œil. Comme tous les samedis matins quand elle vient faire le ménage notre amie va se changer dans les toilettes du bas. Une pièce de la taille d'une petite salle de bain. Équipée d'un lavabo, d'étagère, d'un placard et de différents accessoires. Nous terminons nos dernières tartines quand Julie revient. Cette fois vêtue de la même manière que lorsqu'elle fait la serveuse dans le restaurant de sa tante. Soubrette.

Elle n'est pas seulement hyper sexy mais aussi adorable dans sa jupette de velours noirs. Jupe qui arrive à mi cuisse, un chemisier blanc, des bas noirs, son petit tablier de dentelles blanches en demi lune et ses souliers noirs à légers talons. << Ne vous occupez de rien, allez faire votre jogging, je prends le relai ! >> dit elle. Nous quittons la cuisine en déposant chacun une bise sur son front. Une inspiration soudaine. Je passe ma main sous sa jupe. Quelle belle surprise. Accès direct à son sexe. Julie a ce petit réflexe féminin. Je caresse sa vulve chaude.

Julie saisit mon poignet pour que surtout je ne cesse pas. J'ai une bosse soudaine qui déforme le lycra noir de mon legging. Clémentine en palpe les reliefs en disant à Julie : << Tu vois l'effet que tu as sur mon homme ! >>. Julie lâche mon poignet, je retire ma dextre. Nous laissons Julie à ses occupations pour sortir. Le ciel est voilé mais lumineux. Il fait encore étrangement doux en ce 22 octobre. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. C'est sur le bord de l'étroite route communale que nous pratiquons notre running. Route déserte.

Il est presque neuf heures trente quand nous revenons. D'entendre l'aspirateur quelque part à l'étage quand nous sommes à la salle de bain procure une sentiment rassurant. Il y a toujours quelque chose d'élégiaque dans ces bruits domestiques. Nous prenons notre douche. En nous habillant, Clémentine me dit : << J'adore quand tu es vicieux avec d'autres filles. Tu m'excites quand tu fais ton salaud. Sors ta bite devant Julie ! >>. Nous rions de bon cœur. Nous dévalons les escaliers car ça va être l'heure de nos livraisons. Julie passe l'aspirateur au salon.

Clémentine m'y entraîne par la main. Juste avant d'y pénétrer elle sort mon sexe de ma braguette béante. Nous restons dans l'encadrement de la porte. Julie nous tourne le dos, penchée en avant devant la cheminée. Nous sommes soudain convaincu qu'elle nous attendait. Elle porte notre "cadeau" enfoncé dans le cul. Ce plug anal en ivoire fossilisé. Adorable Julie qui sait ménager ses effets. Elle se redresse en se tournant vers nous. Clémentine agite ma queue en sa direction. Julie devient toute rouge. Elle baisse les yeux comme honteuse. C'est réel.

Notre amie ne joue pas la confusion. Elle est toujours réellement confuse. Comme elle nous l'explique parfois, ses attitudes dépassent souvent sa volonté et elle adore alors se retrouver dans des situations terriblement embarrassantes. Nous la laissons. Je remballe ma bite pour sortir. << Cette adorable petite enculée fait le ménage avec un plug dans le fondement ! >> me fait Clémentine. Je dis : << Adorable petite salope. Elle a soigneusement préparé sa mise en scène ! >>. Clémentine rajoute : << Certain ! >>. Nous nous dépêchons de sortir.

Voilà la camionnette des fruits et légumes. Danièle, au volant, descend lentement pour se garer derrière la Clio rouge de Julie. Sur l'insistance de Clémentine qui en écarté les bords au maximum, ma braguette est béante. Je porte un slip blanc. Je laisse aux lectrices le soin d'imaginer le décorum. Danièle, avec l'agilité d'une sportive, saute de son véhicule pour le contourner. Cette fois j'ai bien vu, en nous saluant son regard s'est posé sur le blanc de mon slip. Lorsqu'elle tire les deux cageots son regard se fait plus insistant encore. Elle mâte.

Ça fait le troisième samedi qu'elle assiste à cette exhibe discrète. La présence de Clémentine est évidemment rassurante et permet ce genre de jeux. La complicité d'une autre femme ouvre bien des déclinaisons. Le champs des possibilités est vaste. Le premier cageot contient nos fruits, nos légumes. Le second contient nos yaourts, les fromages, le beurre, les petits pots de crème fraîche, les œufs. Plein de kiwis les accompagnent. Paiement par carte, même commande pour la semaine prochaine. Danièle ne m'a jamais adressé un tel sourire. Jamais.

Nous la saluons. Assise au volant, le regard fixé sur ma braguette, elle démarre. C'est la première fois qu'elle nous fait un petit signe de la main en partant. << Réussite totale ! >> lance Clémentine. Elle glisse sa main dans ma braguette pour dire : << Mais tu bandes comme un salaud. Tu refais ce plan samedi prochain. Tu as vu comme y "participe" notre livreuse ! >>. Force est de constater que Clémentine avait vu juste depuis longtemps. Elle rajoute : << Si elle n'est pas membre du Club, je vais lui offrir une carte et une invitation ! >>. Nous rions.

Voilà madame Marthe, notre boulangère. Elle descend lentement au volant de son tube Citroën rénové. Son large sourire. Avec cette dame, pas question de jouer à nos petits jeux salaces. C'est certain que ce n'est absolument pas le genre de la maison. Aussi, ma braguette est soigneusement reboutonnée. La bosse à peine visible car je débande. Madame Marthe saute du marche pied de son véhicule de collection. Elle ouvre la porte coulissante dans un bruit de ferraille. Elle a toujours d'amusantes anecdotes rapportées du bourg. Nous rions avec elle.

Dans le cageot qu'elle nous tend, les deux grosses miches de pain complet et "Bio". Les deux pâtes feuilletées, l'énorme brioche ronde au pudding, comme dégoulinante de sucre blanc et brillant. Les deux grands croissants aux amandes qu'elle nous offre tous les samedis en cadeau. Paiement par carte, même commande pour la semaine prochaine. Nous saluons la dame qui s'en va pour d'autres livraisons. En contournant la maison pour descendre à la cave par derrière Clémentine me dit : << Put-Hein, j'ai envie de te sucer. Sors ta queue ! >>.

C'est avec la bite à l'air que je dépose les légumes et les fruits sur les étagères dans le cellier. Clémentine me passe les oranges et les kiwis que nous disposons à part. Du congélateur où je dépose une miche et les deux pâtes feuilletées, je tire un paquet de moules, deux sachets de haricots verts et de petits pois. Nous remontons par l'escalier intérieur. Julie, une fois encore, nous ayant entendu monter, se met en scène. Cette fois, accroupie devant le seau qui dissimule son sexe, Julie nous adresse le plus merveilleux des sourires. Elle baisse les yeux.

Ce regard terriblement vicieux qu'ont les filles "inspirées" et entreprenantes me procure toujours les plus folles émotions. Même si ce regard ne dure qu'une fraction de seconde. Je pose le cageot au sol devant le réfrigérateur. Clémentine commence à y ranger les yaourts. Je contourne la table pour rejoindre Julie. Elle n'a pas le temps de comprendre que je l'attrape par son catogan. Je lui frotte la bite sur la gueule. Julie glousse de ravissement. Avec cette expression d'extase habituelle elle gobe mon sexe. Une bite bien mollasse et déjà juteuse.

Clémentine vient nous rejoindre. Elle se penche. Son visage tout près de celui de Julie, elle dit : << Tu es géniale. Si tu viens passer quelques jours avec nous, je te fais lécher ma chatte matin et soir ! Ça te parle ? >>. Julie, sans cesser de sucer passionnément pousse des gloussements affirmatifs. Je retire ma queue qui reste reliée aux lèvres de Julie par un long filament tirant sur le jaune, épais gluant et visqueux. À cette vue Clémentine s'accroupit pour prendre mon sexe en bouche. Julie se touche. À la limite de la crampe elle se redresse.

Nous la laissons à son ménage car elle s'apprête à passer la serpillère dans la cuisine. Nous terminons de ranger les produits frais dans le frigo. Nous quittons la cuisine en déposant une bise sur le front de Julie. Une fois encore je passe ma main sous sa jupette. Je palpe vulgairement sa vulve trempée. Je vérifie si le plug est toujours enfoncé. Non. Le trou du cul est vide. J'y enfonce la première phalange de l'index. << Julien ! >> s'écrie Julie étonnée en prenant appui contre le chambranle de la porte. Je cesse. Nous la laissons à ses nettoyages.

Dans le salon, assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Deux messages. Celui d'Estelle qui vient nous rejoindre en début d'après-midi. En nous rappelant que ses parents viennent manger demain à midi et conclure l'achat de mon ancienne Mercedes. Un courriel de Juliette qui nous remercie pour la soirée de hier. Elle nous souhaite bonnes vacances. Nous ne la reverrons que dans deux semaines. Dans la petite enveloppe jaune, je glisse un billet de cinquante euros. Clémentine aime y rajouter un petit mot. Je signe d'une bite caricaturale.

Il est un peu plus de onze heures trente. Julie vient nous rejoindre. Elle s'est changée. Elle porte à nouveau son jeans, son sweat sous une veste jeans, ses baskets. Ses cheveux détachés qui flottent sur ses épaules. Ses lunettes d'étudiante sur le nez. Une toute autre jeune fille de 21 ans qui reste debout et timide, devant le bureau. Clémentine se lève pour la rejoindre. Elle pose ses mains sur ses épaules. << Je viens passer deux ou trois jours avec vous pour la seconde semaine de vacances ! >> lance Julie. << Lécher ma chatte ? >> fait Clémentine.

<< Aussi ! >> répond Julie. Nous rions tous les trois aux éclats. Je me lève à mon tour pour rejoindre les filles. Julie a la main entre les cuisses de Clémentine qui fait pareil. Elles se touchent la chatte à travers le tissu de leurs pantalons. Je tends la petite enveloppe jaune à Julie qui s'en saisit. << Merci. Les samedis matins avec vous sont merveilleux ! >> dit elle. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Julie est tristounette. Nous ne nous reverrons que samedi prochain. Elle observe la main de Clémentine qui agite ma queue. Premier jet de pisse.

C'est devenu un rituel. Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets contre la portière de la Clio rouge. Assise au volant, Julie observe avec attention. La dernière giclée. Je m'approche. Julie sort sa tête, me tend son visage. J'y frotte mon sexe. Il y a une dernière goutte qui s'écoule juste dans sa bouche quand elle l'ouvre en grand. J'y enfonce ma queue. Clémentine me tient les couilles par derrière. Julie suce en gémissant de bonheur. Un dernier bisou. Il faut vraiment qu'elle parte. Nous regardons la voiture monter jusqu'au portail. Dernier coucou.

Morts de faim, nous nous dépêchons de rentrer. En préparant une belle laitue, Clémentine me confie ses impressions. Mes attitudes de ce matin, mes initiatives, ont participé à cette excitation dont elle me fait part. Je vide le paquet de moules encore congelées dans le bouillon. Dans le wok je vide les sachets de haricots verts et de petits pois. Encore congelés également. J'agite ma bite en direction de Clémentine en disant : << Toute la semaine prochaine j'aurai ces attitudes avec toi. Je te promets de grands moments ! >>. Clémentine me saute au cou.

<< Tu seras hyper vicieux ? >> s'écrie t-elle alors que je la soulève. Elle enserre ses jambes autour de ma taille en rajoutant : << Vous serez mon doux "Maître" aussi ? Vous m'imposerez de doux tourments ? >>. Sans me laisser le temps de répondre Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche. Je bande comme le dernier des salauds en allant remuer les légumes. Nous mangeons de bon appétit en faisant mille projets pour les jours de vacances à venir. Clémentine en garde la destination secrète jusqu'à demain matin, en préparant les bagages.

Nous traînons à table. Assise à califourchon sur mes cuisses Clémentine se frotte en m'embrassant. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. C'est le dernier jour des règles de Clémentine. Ses douleurs ont fait place à une légère et permanente congestion de son bas ventre. << Quand je suis excitée comme ça je ne sens plus rien ! >> lance t-elle. << Que j'arrive ! >>. C'est la voix d'Estelle. Elle entre dans la salle de bain, pose son sac de sport sur le tabouret, se serre contre nous. Quel bonheur de se retrouver après cinq jours d'absence.

Estelle nous raconte ses journées. Aider ses parents dans l'entreprise familiale. S'occuper de sa mamie qu'elle emmène en voiture. Dehors, il fait beau. Le soleil règne en maitre dans un ciel presque entièrement bleu. << J'ai emmené mon vélo. Papa a tout vérifié ! >> lance Estelle. << Superbe ! On se casse ! >> s'écrie Clémentine. Nous nous changeons. Avec les 25° affichés à l'extérieur, les filles se mettent en jupettes. T-Shirts pour tous les trois. Short pour moi. Dans le petit sac à dos, des fruits, les leggings et K-ways pour le retour en soirée.

Je vérifie le gonflage des pneus de nos bicyclettes. Je sors le vélo d'Estelle de son Kangoo. Il fait presque aussi chaud qu'en plein été. C'est parti. 300 mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. 500 mètres jusqu'à la piste cyclable. Tous les amoureux de la petite reine se sont donnés rendez-vous pour profiter de cette journée exceptionnelle. Un véritable été indien. Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest. Il nous poussera au retour. Pas d'arrêts pipis au cabanon de l'écluse. Les filles veulent se garder pour le port de plaisance. Réjouissances.

Clémentine veut absolument s'offrir les délicieux frissons d'une exhibe de qualité. << Je suis prête à tout cet après-midi ! >> lance t-elle quand nous fermons nos vélos à cadenas derrière le cabanon de la capitainerie. Il est rare qu'Estelle retire elle aussi sa culotte. Elle rejoint celle de Clémentine dans la poche avant du sac à dos que je porte. Les filles me tiennent par la main en sautillant de joie. Nous traversons la route pour aller dans la supérette. Il y a pas mal de monde. C'est samedi. Il fait beau et chaud. Estelle nous attend à la caisse. Notre astuce.

Pendant ce temps, Clémentine et moi allons chercher les pots de glaces. Elles sont là nos crèmes glacées préférées. Ben & Jerry's. Un pot noisette, un pot nougat, un pot amande. << Attends ! >> fait Clémentine devant les armoires congélateurs. Elle me montre ce mec qui observe les produits surgelés. Je comprends immédiatement. Je passe dans l'allée voisine. Je reste en tête de gondole à faire semblant de lire les étiquettes des boîtes de thon. Clémentine s'accroupit. Cuisses largement écartées, carrément en face du type elle regarde les pots du bas.

Il n'y a personne d'autre. J'hallucine ! Cambrée, Clémentine lâche un jet de pisse. Là, devant les vitres des congélateurs. Le mec hallucine aussi. Cela ne dure que quelques secondes. Clémentine se redresse. De la pisse coule encore un peu. Le mec, un jeune homme, n'a même pas le temps de comprendre ce qui vient de se passer. Il regarde la fille ouvrir la porte du congélateur, s'emparer des trois pots qu'elle empile l'un sur l'autre. Elle referme, adresse un merveilleux sourire à cet inconnu complètement hébété. Doux frissons. Il regarde la flaque.

Nous rejoignons Estelle qui s'impatiente. Nous lui racontons. << Mais t'es tellement salope ! >> lance Estelle. En riant Clémentine répond : << Tellement ! >>. Nous rigolons comme des bossus en revenant sur les quais. Assis sur un des bancs, sous les branches des platanes presque nus, nous savourons nos glaces. Là-bas, à une cinquantaine de mètres, les joueurs de boules. << Melon et Melech jouent au boules. Melon lance le cochonnet et Melech les boules ! >> lance Estelle. Nous rions de bon cœur. C'est une blague éculée, ridicule mais drôle.

Mais à chaque fois que le sénior regarde par ici, Clémentine lui offre la vue de sa chatte en écartant les cuisses. C'est le même bonhomme que la dernière fois. Lui aussi doit halluciner en revivant cette scène épique. << J'ai envie de pisser ! >> s'écrie Clémentine. << Moi aussi, et comment ! >> s'exclame Estelle. Je dis : << Pareil pour moi ! >>. Clémentine se lève la première en rajoutant : << On s'offre un super "plan" pisse ! Venez ! >>. Nous jetons nos pots vides dans une des poubelles. Nous descendons jusqu'aux bâtiments des toilettes publiques.

L'endroit est le lieu de rendez-vous des jeunes du bourg. Plein de scooters garés. Des cris, ce bruit rythmé qu'ils croient être de la musique. Ce n'est certainement pas là que nous trouveront matière aux désirs de Clémentine. Les filles doivent tellement pisser qu'elle se tiennent la chatte des deux mains. La situation est critique. Ça urge ! Nous descendons le chemin qui mène au bord du canal. De l'autre côté, la piste cyclable. Du nôtre des pêcheurs. Il y a ce type derrière sa voiture, coffre ouvert qui tire du matériel de pêche. Il est tout seul. Concentré.

C'est là, à même pas cinq mètres, devant cet inconnu médusé que Clémentine, avant d'être complètement accroupie, lâche de véritables salves de pisse. Une pisse d'un jaune sombre qui brille de mille feux sous l'éclat du soleil. Estelle et moi, à l'écart, planqués derrière les fourrés nous assistons au "plan" pisse. << Elle est complètement nympho ! Elle faisait déjà ça en troisième au lycée. Salope ! >> murmure Estelle. Le type est un brave gars, pudiquement il regarde ailleurs. Il reste toutefois un homme "normal" et ne peut s'empêcher de loucher.

Clémentine, toute rouge, se redresse en se torchant d'un mouchoir en papier. Elle adresse un sourire et quelques mots au pêcheur qui la regarde s'éloigner complètement ahuri. Clémentine vient nous rejoindre. En sueur, se touchant : << Put-Hein comme c'est bon ! >> chuchote t-elle. << À moi ! >> lance Estelle qui nous laisse. Exactement au même endroit, accroupie, les cuisses écartées devant ce brave homme qui ne s'en remettra probablement plus jamais, Estelle pisse comme nous ne l'avons jamais vu faire. Estelle n'est pas exhibitionniste.

Pourtant là, elle se lâche. << Combien de fois n'a t-elle pas sécurisé mes exhibes depuis le lycée ! >> me chuchote Clémentine qui se masturbe serrée contre moi. Elle rajoute : << Elle ne voulait jamais pisser devant des mecs. Là, depuis quelques années, elle se rattrape. Regarde comme elle aime ça ! >>. Je me branle. Tous les deux, en retenant nos respirations, en apnées, nous admirons ce fabuleux spectacle. Nous ne sommes qu'à une cinquantaine de mètres. Nous ne pouvons pas entendre ce que dit notre pêcheur. Mais là, il mâte.

Deux salopes en l'espace de dix minutes, ça fait tout de même beaucoup. Aussi, animé d'une curiosité bien légitime, notre pauvre victime s'approche de la pisseuse. Je suis prêt à intervenir. Je cesse de me masturber. L'homme reste à quelques mètres. Il discute. Estelle, effrontément, qui a cessé de pisser, reste dans cette position en fixant le mec. Son air de défi nous étonne. << Elle fait des progrès ! >> murmure Clémentine. Estelle, sans doute à la limite de la crampe, se redresse. Elle se torche longuement. Je ne l'ai jamais vu aussi vicieuse pour un pipi.

Elle prononce quelques mots, avec un grand sourire, en passant tout près de cet honnête homme complètement éberlué. Estelle vient nous rejoindre. Elle se touche. << Put-hein comme c'est bon ! >> s'écrie t-elle. << Chut ! >> lance Clémentine quand le mec regarde par ici. Il vient probablement de comprendre avoir été le jouet de deux sublimes salopes. Nous quittons précipitamment les lieux. Comme j'ai cessé de me branler, l'envie de pisser devient une torture. Nous remontons. Près des bâtiments des sanitaires réservés aux plaisanciers une femme.

Elle semble affairée à retirer des branchages de la roue arrière de son vélo tous terrains. << À toi ! >> me fait Clémentine en posant sa main sur ma bosse. Je n'ai pas envie de pisser devant une inconnue. C'est une femme brune avec des mèches grises. Plutôt athlétique. La quarantaine. Elle n'inspire pas vraiment à la débauche. << Plutôt du genre professeur des écoles ou infirmière libérale ! >> murmure Clémentine. C'est Estelle qui m'entraîne en chuchotant : << Allez viens. Comme tu es accompagné d'une fille, pas de problèmes ! >>.

Là, au-dessus du chemin, entre deux bosquet, Estelle sort mon Zob par le haut du short en lycra noir. Devant le regard amusée de cette femme qui se redresse, Estelle me tient la bite pour en diriger le jet en disant : << Excusez-nous, le monsieur n'en pouvait plus et il allait pisser dans son short ! >>. La jeune femme éclate de rire en répondant : << Celle-là, on ne l'a jamais faites ! >>. Clémentine vient nous rejoindre en faisant : << Il faut un début à tout ! >>. Complètement sidérée par ce spectacle ahurissant, la jeune rit aux larmes. Sympa.

Moi, mort de honte, gêné comme jamais, je me vide la vessie d'un seul jet. Impossible de jouer. Impossible de faire le vicelard. La situation à elle seule suffit. << Un problème de vélo ? >> demande Clémentine. Nous sentons la jeune femme très complice. Ce qui est presque toujours le cas dans ces situations cocasses en compagnie de deux autres femmes. Elle sait bien qu'elle ne risque rien. La dérision de Clémentine et d'Estelle la met totalement en confiance. La jeune femme explique qu'elle s'est prise des branchages dans la roue arrière.

Je termine de pisser. Un peu plus rassuré moi aussi. Nous descendons tous les trois sur le chemin. Je m'accroupis pour constater que la chaîne a déraillé. Il faut démonter la roue. Je m'affaire à cela en écoutant les trois femmes bavarder. Les présentations. Laurence exerce en tant que docteur. Son cabinet est à quelques rues de l'université. Nous faisons connaissance avec une charmante dame pas du tout offusquée par nos jeux triviaux. Mariée, deux filles également, elle est passionnée de VTT au point de faire partie d'un Club. Intéressant.

Je remonte la roue. Tout est parfaitement fonctionnel. << Je rejoins mon mari, il est sur le port avec des amis. Merci pour tout ! >> lance t-elle en remontant sur sa machine. Nous la saluons. Lorsqu'elle se retourne pour nous adresser un dernier signe de la main, Estelle agite mon sexe dans sa direction. Je crie : << Mais t'es folle, arrête, c'est une femme mariée ! Tu vas nous attirer des emmerdes ! >>. Estelle s'accroupit devant moi. Juste avant de le prendre en bouche elle dit : << Avec deux anges gardiens comme nous tu ne risques rien ! >>.

Clémentine, tout en se masturbant, terriblement excitée par cette succession d'évènements farfelus mais torrides, s'accroupit à côté d'Estelle. Elles se refilent une bite que j'ai rarement vu aussi juteuse. Elles en ont sur le menton, sur le haut des T-shirts. Je les aide à se redresser car il y a des voix. Un groupe de promeneurs. Nous avons juste le temps de nous sauver. Une fois encore je me sens parfaitement ridicule de courir en remballant ma queue n'importe comment. << Queue d'émotions ! >> lance Estelle décidément déchaînée aujourd'hui.

Il est déjà 17 h45. Il y a 25 km à parcourir pour rentrer. Il serait peut-être temps d'y aller. Nous retournons aux vélos. Pour anticiper la fraîcheur qui s'annonce, nous enfilons nos leggings, nos K-ways. La nuit commence à tomber quand nous arrivons à la maison pour 19 h15. Morts de faim, nous nous mettons à la préparation du repas. Potée de légumes avec filets de flétan. Sauce aux champignons et fromage. Nous mangeons de bon appétit en passant en revue les différents plats que nous pourrions préparer pour le repas de demain dimanche.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se faire lécher les minous, sucer de la queue, leurs sens affolés par les évènements extraordinaires de l'après-midi.

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI..

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 45 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2047 -



Les parents d'Estelle viennent manger à midi

Hier matin, dimanche, il est un peu plus de neuf heures. Le dimanche, pas de sport, pas d'entraînement, pas de jogging. Je suis entre mes deux anges. Elles restent contre moi toute la nuit. Estelle à ma droite qui pose ses lèvres dans mon cou, sa tête sur mon épaule. Clémentine qui passe une cuisse sous mes fesses, pose l'autre sur la main d'Estelle qui vient de saisir ma tumescence. Toutes les deux, en se frottant contre mes hanches se mettent à échanger leurs impressions, à parler du rêve de leur nuit. Je glisse mes mains dans les culottes. Douceurs.

Estelle se lève la première pour courir vers la porte. Son absence laisse un froid de ce côté de mon corps. Clémentine cesse son mouvement masturbatoire pour me chevaucher. << Comme c'était bien hier. Tu sais où je t'emmène demain ? >> chuchote t-elle. Je dis : << Langue au chat ! >>. En riant elle rajoute : << Non, langue à ma chatte. Mes "petits machins" sont terminés ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Encore en slips et T-shirts de nuit, morts de faim, nous dévalons les escaliers. Dans la cuisine, l'odeur du café, du pain grillé.

Estelle, dans son pyjama de soie mauve me saute au cou en s'écriant : << Comme c'était bien hier ! >>. Je la soulève. Puis c'est au tour de Clémentine. La brioche trône au milieu de la table. Estelle a déjà tout préparé pour ce petit déjeuner magistrale. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les exhibes des filles hier après-midi, au port de plaisance. Sur notre soirée de folies. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux mes deux anges parlent de leurs études, des résultats des épreuves du concours d'admission au Doctorat. Impatientes.

Ces résultats censés tomber demain mais qui ne les perturbent plus vraiment. << L'essentiel étant de participer ! >> comme le précise Estelle. Nous débarrassons pour faire la vaisselle, monter se laver les dents et s'habiller. Nous sommes vêtus tous les trois pareils. Jeans, chemises à carreaux, baskets. Le lit étant fait, je monte sur le tabouret pour descendre une des valises du haut de l'armoire. Un peu de poussière sur la bâche qu'Estelle secoue à la fenêtre. Dehors le ciel est bas, sinistre mais il ne pleut pas. Par contre le sol est détrempé.

De l'armoire Clémentine tire deux jeans, deux sweats. C'est pour chacun. Soigneusement pliés c'est Estelle qui les place dans la valise. Je suis assis sur le lit à écouter les filles parler études. Estelle vient s'assoir à ma droite. Clémentine vient s'assoir à ma gauche. << Tiffauges, en Vendée, tu te souviens de nos vacances il y a deux ans ? >> me demande Clémentine. Je réponds par l'affirmative. << Et vous y étiez sans moi ! >> lance Estelle. << Et bien je nous ai réservé un gîte au village. Et de demain jusqu'à vendredi ! >> rajoute Clémentine.

J'ai mes bras autour des épaules de mes deux anges. Elles se serrent. << Et vous irez encore une fois sans moi ! Vous êtes salauds tous les deux ! >> dit Estelle. Nous rions. De toutes manières, Estelle ne peut pas nous accompagner. Elle va encore aider ses parents dans l'entreprise familiale et s'occuper de sa mamie. Je serre Clémentine très fort contre moi pour dire : << Merci pour cette surprise. Je garde de si bons souvenirs de ce séjour. C'est superbe ! >>. Toute contente de la surprise qu'elle me fait, elle me fait tomber sur le dos.

Mes deux coquines se mettent à me chatouiller. Très rapidement les chatouilles deviennent des caresses. Je me retrouve avec le sexe dans la main d'Estelle. Nous rions de bon cœur. Il est déjà 10 h45. Nous ne pouvons nous attarder car il faut descendre préparer le repas de midi. Nous avons décidé de faire simple en faisant hier soir une grande quantité de potée de légumes. << Avec cinq pavés de saumon et une belle laitue en salade, ça devrait le faire ! >> lance Clémentine. Nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Plein de bisous.

Chacun s'est fixé une tâche précise. Clémentine est préposée à la préparation de la salade et de son assaisonnement. Estelle à la confection des pavés de saumon en papillotes. Je m'occupe du gratin de légumes que je recouvre une épaisse couche de gruyère de Comté. C'est au four. Au salon il suffit de mettre les assiettes et les couverts sur le chemin de table en lin. Estelle allume une belle flambée dans la cheminée. << C'est juste pour le feeling ! >> dit elle. Clémentine m'entraîne dans le hall d'entrée. Nous y ouvrons le portail depuis l'interphone.

Il est 11 h50. Voilà la voiture des parents d'Estelle qui descend lentement le chemin. Michèle et Yvan sont vêtus à l'identique. Jeans, chemises blanches sous des vestes noires. Nous nous serrons la main. Une fois encore Michèle pourrait être la grande sœur d'Estelle plutôt que sa maman. Cela me trouble toujours autant. Nous passons au salon. Michèle, toujours ravie de se retrouver là, fait le tour de la grande pièce. Estelle tient son papa par le bras. Clémentine explique le fonctionnement de la grande horloge Westminster. Son beau carillon musical.

Je me précipite à la cuisine. Juste à l'instant où sonne le four. Estelle vient me rejoindre. Elle me saisit par les couilles au travers du tissu de mon jeans en murmurant : << Si tu dragues ma mère, je t'arrache les couilles avec les dents ! >>. Cette sentence nous fait toujours beaucoup rire. Estelle la prononce à chaque fois que sa maman est à proximité. Elle va dans la véranda pour récupérer les pavés de saumon sur le barbecue électrique éteint. Je sors le gratin du four. Nous retournons au salon en portant les plats. Clémentine se précipite pour aider.

Nous voilà confortablement installés à table. Ce repas simple fait la joie de nos convives. Nous mangeons de bon appétit en évoquant nos vacances en Écosse. Yvan et Michèle ont trouvé un petit cottage dans la région d'Inverness. L'achat se fera avant Noël. Ils connaissent bien la maison pour l'avoir visité cet été, rencontré les propriétaires. Le regard de Michel me fascine. À chaque fois qu'elle me le lance il est terriblement suggestif. Ce qui n'échappe ni à Clémentine ni à Estelle. Sous la table, j'ai même droit à quelques coups de pieds douloureux.

Estelle me surveille. Son regard sévère quand je m'adresse à sa maman. Yvan semble totalement étranger à tout cela. Nous en venons à l'achat de la voiture. Je change de Mercedes tous les trois ou quatre ans. Elles n'ont le plus souvent que trente à trente cinq mille kilomètres. Toujours des modèles de Classe E depuis près de vingt cinq ans. C'est la seconde auto que s'apprête à m'acheter le papa d'Estelle. C'est un de leurs amis qui achète la première. Je propose d'aller voir le véhicule au garage. Nous laissons les femmes à table pour quitter le salon.

Dans le garage, côte à côte, le modèle 2018 et le modèle 2022. Une Mercedes haut de gamme, ça ne se démode pas. Aussi Yvan, admiratif, tourne autour des voitures. Je l'invite à se mettre au volant. D'abord de l'ancienne, puis de la nouvelle. Clémentine vient nous rejoindre. Serrée contre moi elle regarde et écoute Yvan qui ne peut dissimuler sa joie. << Je suis comme un gosse devant un nouveau jouet ! >> lance t-il. Je l'invite à faire un tour. << Je viens avec ! >> s'écrie Clémentine en s'asseyant à l'arrière. Yvan fait tourner le moteur. Grand sourire.

Une fois en conduite, dans le véhicule le silence est total. Nous récupérons Estelle et sa maman qui nous rejoignent. J'invite Michèle à prendre ma place pour m'installer à l'arrière entre mes deux anges. Yvan a une conduite très similaire à la mienne. Le lecteurs qui connaît le plaisir qu'offre la conduite des grosses berlines allemandes comprend parfaitement ce qui se passe. Un sentiment de profonde sécurité. Des coups d'accélérateur rassurants. Les 340 chevaux sous le capot offrent des accélérations stupéfiantes. Une tonne propulsée à 220 km/h.

Yvan préfère utiliser la boîte manuelle alors que je n'utilise que la boîte automatique. Il suffit de choisir sa version en appuyant sur un bouton. Michèle est enchantée. Yvan est émerveillé. Nous trois, à l'arrière, nous nous touchons dans une discrétion totale. Quand nous revenons, Yvan est pressé de signer l'acte de vente. Pendant que Clémentine et Michèle préparent le dessert, Yvan, Estelle et moi sommes installés au bureau. Le plein d'essence est fait. La voiture est dans un état impeccable. N'ayant nul besoin d'argent je fais un prix d'ami.

Yvan ne cache pas sa joie. Ce qui fait celle de sa fille qui s'assoit sur ses genoux. Nous retournons nous installer à table. Cette fois la conversation reste axée sur les performances automobiles. J'ai montré ma vieille Harley-Davidson à Yvan. Un modèle "Electra glide" de 2002. Je la garde comme une relique, dans un état impeccable, sous une bâche au fond du garage. Je précise : << Elle n'est pas à vendre ! >>. Avec mon ancienne compagne disparue, Christine, nous avions tous les deux les mêmes motos. La sienne rouge, la mienne bleue.

Nous traînons à table. Je débarrasse. J'emmène le tout à la cuisine. Michèle vient m'y rejoindre avec les coupes à glace vides. Nous sommes tous les deux seuls. Des rires lointains nous parviennent du salon. J'ai l'intime conviction que la maman d'Estelle a profité de cet instant. Elle fixe ma braguette avec insistance. Je murmure : << J'aimerais vous la mettre en bouche ! >>. Elle me regarde amusée sans répondre. Comme les rires continuent au salon, je déboutonne mon 501. J'extrais ma queue. Je bande comme le dernier des salauds. La trique !

Michèle secoue doucement la tête de gauche à droite en soupirant. Comme le font la plupart des femmes devant ce spectacle. << Décidément, les hommes ! >> lance t-elle avant de me faire le plus merveilleux des sourires. Michèle me tutoie soudain : << Si tu me trouves une bonne opportunité, je te fais une pipe ! >>. Je reste pantois. C'est la toute première fois que la maman d'Estelle est aussi franche. Je remballe à toute vitesse. J'ai comme un pressentiment. Je fais bien car Estelle entre comme un ouragan dans la cuisine.

Elle me jette un regard sévère. Accablant et lourd de reproches. C'est une femme. Les femmes ont un sixième sens très développé. Surtout en ce qui concerne certains "agissements". Je fais mine de rien en réunissant les coupes vides, les petites cuillères et les tasses à laver. Je fais couler l'eau pour la vaisselle. << Vous êtes pareils. Nous avons un lave vaisselle que nous n'utilisons jamais ! C'est tellement plus convivial de faire la vaisselle en bavardant ! >> lance Michèle en s'emparant d'un torchon. Je plonge. Estelle et Michèle essuient. Sympa.

Clémentine et Yvan viennent nous rejoindre. C'est rapide. Le thermomètre extérieur indique 20°. Le ciel reste sinistre. Nous sortons en chemise pour descendre jusqu'à la rivière. Clémentine reste tout contre moi. Michèle à ma droite. Estelle reste au bras de son papa. Une promenade digestive s'impose. Nous remontons jusqu'au portail pour traverser la route. Nous nous engageons dans le chemin forestier recouvert de feuilles mortes. Nous causons vacances, Écosse, Mercedes, études, entreprise familiale. C'est un après-midi fort plaisant.

Nous revenons pour le thé. Il est dix sept heures. Les toutes premières gouttes de pluie accompagnent notre retour. Une nouvelle fois je réussi le tour de force d'être seul en compagnie de Michèle. La maman d'Estelle semble elle aussi avoir attendu ce moment car sa façon de fixer ma braguette est une véritable invitation à l'ouvrir. Attentif aux rires que j'entends au loin, je déboutonne mon Levi's. Je sors une queue molle que j'agite. Je murmure : << Vous aimeriez faire un tour en hélicoptère ? >>. Michèle répond : << J'adore les pilotes d'hélicoptère ! >>.

Nous rions. Je bande mou. Je suis à quelques deux mètres devant Michèle. Ça m'excite terriblement de montrer ma bite à cette femme. Ses yeux au bleu encore plus intense que ceux d'Estelle sont expressifs. Ses cheveux noirs laissent apparaître de ci de là quelques merveilleuses mèche argentées. Cette femme est magnifique. Je le sais depuis plus de cinq ans. Mais là, c'est le summum. Je dois remballer. Je n'entends plus rien. Bien évidemment c'est Estelle. Animée du désir fou de me surprendre pour "m'arracher les couilles avec les dents". Juste à temps.

Nous raccompagnons les parents d'Estelle sous les parapluies. Michèle va conduire l'ancienne voiture. Yvan va conduire la nouvelle. Ils sont tous les deux comme des gamins. Heureux, plein de vie, d'un optimisme radieux. Un dernier coucou. Une fois rentrés, Estelle me saisit fermement par la braguette en s'écriant : << Espèce de vieux salaud, je veux tout savoir ! Tu l'as fait hein ? >>. J'avoue ma turpitude sous les éclats de rire de Clémentine. << Vieux pervers décadent et vicieux. Tu devrais avoir honte ! >> rajoute encore Estelle en serrant fort.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont s'offrir un bon repas avant une bonne partie de jambes en l'air, de jus de bite, de cunni...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI..

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 46 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2048 -



Le départ dans la joie et la félicité

Hier matin, lundi, il est huit heures quand Estelle nous réveille. Je suis entre mes deux anges qui sont restées contre moi toute la nuit. Ce sont d'abord ses pieds qui bougent en rythme régulier contre les miens. Sa main qui glisse dans mon slip pour saisir mon érection naturelle. Ses lèvres qui se posent sur ma joue. Clémentine passe une cuisse sous mes fesses, pose l'autre sur la main d'Estelle. Dans un mouvement masturbatoire elle se frotte contre ma hanche. C'est merveilleux de distribuer des bisous ainsi, étant encore dans la torpeur d'un sommeil. finissant.

Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Ça urge ! >>. Clémentine me chevauche. Me couvrant le visage de bises elle murmure entre chacun d'eux : << Je t'aime ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Vêtus de nos tenues de gymnastique, morts de faim, nous dévalons les escaliers. Estelle termine de mettre les bols. La suave odeur du café ou se rajoutent celles du pain grillé et du reste de brioche dans le four à micros ondes. Toute la cuisine embaume de bonnes choses. Estelle déjà habillée pour filer, me saute au cou. Passionnée.

Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. << Vous allez m'abandonner toute une semaine ! Vilains ! >> fait elle. C'est au tour de Clémentine qui répond en se frottant : << Il y a une seconde semaine de vacances. Et tu es priée de la passer avec nous ! >>. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur l'après-midi de hier. La présence des parents d'Estelle. Nous mangeons de bon appétit en évoquant ce week-end très sympathique et fort reposant. Estelle doit nous quitter. Du travail à l'entreprise familiale l'attend pour neuf heures.

<< File, on s'occupe de la vaisselle ! >> lance Clémentine. Estelle, un peu tristounette nous fait des bises. Nous la raccompagnons sous l'immense parapluie et sous une pluie battante jusqu'à sa voiture. La séparation est difficile. Nous regardons l'auto monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. On se dépêche de rentrer au sec. Nous remontons pour nous laver les dents. Notre heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol et abdos. C'est sur les machines que nous pratiquons les charges additionnelles avant le stretching.

Une bonne douche. Il fait sombre à l'intérieur de la maison. Comme le ciel est gris, bas et sinistre il faut allumer quelques lumières. Habillés de nos jeans, de nos chemises à carreaux, nous redescendons avec la grosse valise à roulettes. Il faut sortir à nouveau pour aller la mettre dans le coffre de la voiture. << Elle est si belle en gris de métal anodisé la nouvelle voiture ! >> s'exclame Clémentine avant de se blottir dans mes bras. << Avec toi, tout est toujours si simple. Je t'aime Julien ! >> murmure t-elle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche.

Ça me fait toujours bander quand Clémentine explore ma bouche avec passion. Nos mentons sont rapidement trempés de salive. Clémentine, son bassin contre le mien, se frotte. Nous entendons la pluie tomber en abondance. Je sors l'auto du garage. Nous courons à toute vitesse sur les dalles de grès pour rentrer. Il est 10 h30. Clémentine m'entraîne au salon. Il est prévu de partir en début d'après-midi. Tiffauges en Vendée n'est qu'à trois cent kilomètres. Notre location nous attend aux environs de 19 h. Nous avons donc toute latitude pour traîner un peu.

De plus je veux inaugurer la nouvelle auto en roulant encore plus cool que d'habitude. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Un message de Julie qui nous souhaite bonne vacances. Un peu triste de ne pas pouvoir passer la soirée avec nous. Elle reviendra samedi prochain, en matinée, pour faire le ménage. Julie confirme sa présence avec nous durant trois jours la semaine prochaine. Il y a le mail de Juliette qui elle aussi nous souhaite de bonnes vacances. Un peu fébrile en disant : << J'ose pas ! >>, Clémentine va sur le site de la faculté.

La page d'accueil de l'université s'affiche. Il y a une lanterne sur le haut à droite, qui éclaire la pénombre. Une référence à Halloween sans doute. Clémentine surfe sur le site. << J'ai la trouille ! >> lance t-elle en cliquant sur la page fatidique. S'affichent les résultats tant attendus du concours d'admission au Doctorat de Sciences. Clémentine porte ses lunettes d'étudiantes. Je la sens trembler. Elle se lève, change de position. Assise sur mes cuisses, elle me tourne le dos. Penchée en avant elle scrute le grand écran incurvé du Mac. Silence.

J'ai les bras autour de sa taille. << Reçue ! >> s'écrie t-elle soudain. Elle rajoute : << Avec les félicitations du jury ! >>. Elle se lève d'un bond, se met à danser avec des mouvements tribaux. Je lis à mon tour. Il y a effectivement des propos élogieux. Et pourtant les correcteurs ne sont pas ses professeurs habituels. Je dis : << Tu vois, je le savais. Tu n'as jamais rien raté. Tu es la meilleure ! >>. Clémentine m'entraîne par la main. Je me lève. C'est dans une farandole folle que nous faisons le tour de la grande pièce. Poussant des cris de sauvages.

C'est à cet instant que le téléphone fixe se met à sonner. C'est un vieux téléphone de laiton cuivré sur un socle de bois d'ébène noir. Une relique des années trente mais qui fonctionne toujours. Sa sonnerie est assourdissante. Clémentine se précipite. Pas de haut parleur pour entendre. Je comprends très rapidement que c'est Estelle qui appelle. Reçue elle aussi elle annonce la bonne nouvelle. Clémentine reste serrée contre moi. Elle me tend l'écouteur. J'entends bien. Estelle aussi a une mention élogieuse. Je peux l'entendre pousser des cris de joie.

Clémentine me passe le combiné. Je dis : << Félicitations Estelle. Tu es la meilleure. Over the Top mademoiselle ! >>. Elle répond : << Je mérite encore plus de câlins. Tu ne m'oublies pas hein ! >>. Clémentine reprend la conversation. Je suis installé devant l'ordinateur quand elle me rejoint. Son euphorie se calme un peu quand elle s'assoit à califourchon sur mes cuisses. << Ta frotteuse qui revient se frotter. Je vais faire ma frotteuse toutes les vacances ! >> fait elle en exagérant ses mouvements masturbatoires. << J'ai envie de baiser ! >> dit elle.

Il commence à faire faim. Il suffit de réchauffer le reste de la potée de légumes. Clémentine fait une salade de tomates. Dans la poêle je fais rissoler deux dos de cabillaud blanc. En fin de cuisson je rajoute un petit pot de crème fraîche. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les résultats du concours. J'écoute Clémentine me confier son plan d'action universitaire pour les deux années à venir. La préparation de son Doctorat. Je lui conseille vivement de rajouter les deux ans nécessaires pour se spécialiser et acquérir ainsi un titre international.

<< Tu as payé toutes mes études. Tu m'as offert les toutes meilleures conditions. Tu t'es occupé de tout. Je t'aime Julien ! >> s'écrie t-elle éperdue de reconnaissance. Cela me gêne toujours beaucoup. Je m'empresse de préciser : << Avec ou sans moi, tu as toutes les capacités de te retourner. Tu y serais arrivée de toutes façons ! >>. Clémentine revient s'assoir à califourchon sur mes cuisses. << Viens on se lave les dents ! >> murmure t-elle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Je bande. Ce qui offre une bosse remarquable aux frottages.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Clémentine mime une fellation. De la mousse dentifrice autour de la bouche, une bosse à l'intérieur de sa joue, elle me regarde par en-dessous dans la glace. Ce regard terriblement suggestif qui "m'allume". Tête contre tête on se rince la bouche au-dessus du lavabo en riant. Je soulève Clémentine qui enserre ma taille de ses jambes. Je dis : << Je t'aime Clémentine. Tu fais de ma vie en enchantement permanent ! >>. Elle m'embrasse.

Je la dépose au sol. Elle s'accroupit devant moi en disant : << Mon doux "Maître", seriez-vous bien aimable de me traiter en "Soumise" durant ce séjour vendéen ? Vous savez, j'ai besoin d'être sérieusement reprise en main. Quelques séances de "dressage" œuvreraient dans ce sens ! >>. Elle ouvre ma braguette pour en extraire, non sans difficulté, une érection de tout premier ordre. Je passe mes mains sous ses cheveux pour saisir ses oreilles. Je me penche pour répondre : << Ma délicieuse "Soumise", je vous promets des moments intenses ! >>.

Tombant à genoux sur l'épais tapis devant la baignoire, en gobant mon sexe, Clémentine glousse de bonheur. Je la guide en la manipulant par les oreilles. Comme le dernier des pervers. C'est merveilleux de la voir pomper comme si sa vie en dépendait. Je dis : << Ma douce "Soumise", ce n'est qu'un exemple des turpitudes que je vous réserve ! >>. J'imprime un mouvement régulier du bassin. Je me masturbe dans la bouche de la fille que j'aime. Il y a du foutre crémeux et épais qui apparaît aux commissures de ses lèvres. Je retire ma queue.

Deux longs filaments épais et visqueux lient la bouche de Clémentine à ma turgescence trempée de liquide séminal. Ma bite luisante de jus que scrute avec attention Clémentine. Je m'accroupis pour poser mes mains sur ses épaules. Je fais : << Et je veux vous voir sucer un parfait inconnu au moins une fois durant ce séjour vendéen ! >>. Clémentine tente de déglutir une seconde fois avec un mouvement de tête. Mon foutre est tellement épais. Elle peut enfin répondre : << Je vous promets d'être hyper salope. J'ai le besoin de me dépasser ! >>.

Je me redresse en l'aidant à se relever. Clémentine ouvre la bouche pour m'en montrer l'intérieur. Notre salle de bain est une grande pièce aux murs et aux carrelages clairs. Meublée d'éléments blancs. C'est une ancienne chambre au plafond moulé. On s'y sent bien. Je déboutonne le jeans de Clémentine qui m'aide à le retirer. Elle arrache sa culotte. Je la soulève pour l'assoir sur la table. Je frotte mon sexe contre le sien avant de la pénétrer avec d'infinies précautions. Même si sa vulve est dégoulinante de ses sécrétions. Nous restons immobiles à nous fixer.

Ce sont des instants magiques. Des instants de communions intenses. Ces moments où Clémentine me révèle ses secrets de fille. J'écoute. Ses confidences maintiennent une érection sans faille. Parfois je me mets à bouger. À bercer la fille que j'aime qui arrête alors de murmurer pour gémir de plaisir. Clémentine tient son clitoris géant entre son pouce et son index. Elle se masturbe toujours en baisant. Parfois je prends le relai. C'est une sensation extraordinaire de tenir cette petite bite en faisant l'amour à la fille que j'aime. Cela dure. C'est si bon.

Clémentine, malgré tous nos efforts, ne peut réfréner l'orgasme qui l'assaille. Elle me repousse délicatement pour jouir en pissant. Un jet qui va se briser contre la vitre fumée de la grande cabine douche. C'est en poussant de vrais hurlements que Clémentine s'agite, se tortille. En proie à un de ses orgasmes telluriques qui m'impressionnent énormément. Elle saute de la table pour tomber à genoux sur le carrelage, dans sa pisse. Elle gobe ma queue dégoulinante de nos mélanges. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. Mais je veux me garder en l'état.

J'aide Clémentine. Pendant qu'elle passe la serpillère, je passe l'éponge sur la vitre fumée. Clémentine se lave les genoux. Je la soulève une nouvelle fois pour l'assoir sur la table. Comme éberluée elle se laisse faire. Je lui bouffe la chatte. Je pompe. Je récupère plein de jus. Clémentine recommence à s'agiter. Je suce son clitoris alors qu'elle recommence à gémir. Je pourrais très bien lui offrir un second tour mais il est déjà 14 h45. Il faut songer à y aller. Nous descendons. Les yeux cernés de Clémentine m'amusent beaucoup. Le visage d'une fille qui a joui.

Devant le miroir du hall d'entrée, je saisis Clémentine par sa nuque. La tenant également sous le menton je dis : << Regarde un peu cette gueule de salope ! >>. Clémentine en pousse un petit râle de ravissement. Nous fermons la maison. Estelle viendra y faire un tour. Monsieur Bertrand, notre voisin est vigilant. La demeure est équipée d'une domotique de pointe. Nous voilà en route. Je roule doucement. Nous nous amusons à essayer les différentes fonctionnalités du tableau de bord en palissandre indien. Les fauteuils en cuir sont d'un incroyable confort.

Clémentine joue avec ma queue. De ma main libre que je passe sous ses cheveux, sur sa nuque, j'emmène sa tête sur mon sexe. Quand elle suce, j'appuie sournoisement. J'adore l'entendre rire en gloussant. Les paysages d'automne sont affreusement tristes sous cette pluie incessante. Nous nous arrêtons tous les cent kilomètres. Le premier arrêt pipi dans un bar routier où nous savourons un excellent chocolat chaud. Un bar vide ou il n'y a que deux joueurs d'échecs à une table du fond. Second arrêt pipi sous l'auvent d'un porche d'immeuble.

Il est 18 h45 quand nous arrivons dans le magnifique petit village de Tiffauges. Nous reconnaissons les lieux. Notre location est à la sortie du bourg en direction de la Roche-sur-Yon. Capitale de la Vendée. Distante d'une soixantaine de kilomètres. Nous gardons de beaux souvenirs de notre précédent séjour. Malgré cette pluie incessante, notre plaisir est intact. Le propriétaire du gîte nous attend. Nous prenons possession des clefs. Il nous fait visiter la toute petite maison. Nous sommes ravis. Clémentine a organisé tout ça en secret. Ma surprise est grande.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui s'apprêtent à manger un repas prévu à l'avance. De se goinfrer d'une bonne bite au dessert...

Julien



Classe

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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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D'avance MERCI...

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Classe - 47 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2049 -



Le premier jour à Tiffauges

Hier matin, mardi, il est un peu plus de neuf heures quand nous nous réveillons en même temps. C'est toujours un peu surprenant d'ouvrir les yeux pour découvrir un endroit inconnu. C'est une petite chambre. À l'échelle de la maison qui nous abrite de la pluie qui tombe. Tout est miniature autour de nous. Clémentine se blottit contre moi. Une cuisse sous mes fesses. L'autre sur sa main qui vient de saisir mon érection. Elle se frotte lascivement en disant : << Comme c'était bien hier soir. J'aime comme tu m'aimes ! >>. Quelques papouilles. Des bisous.

L'impérieux besoin naturel met un terme à nos effusions de tendresse. Nous nous précipitons aux toilettes. Dehors le ciel est bas, uniformément gris. Il pleut. Le petit jardin est jonché de feuilles. L'automne fait son œuvre. << L'automne, c'est le printemps de l'hiver ! >> lance Clémentine qui fait le café. Je presse nos oranges, je pèle les kiwis. La petite cuisine est équipée. Le grille pain éjecte ses premières tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. Nous avons encore fait l'amour comme des déments.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme du jour. Avec cette pluie, pas de jogging. Ce sera notre entraînement intérieur. Peu nous importe le climat. Clémentine avait un besoin vital de changer d'environnement. Tout le stress, même inconscient, accumulé depuis des semaines, trouvera dans ce court séjour de quoi s'évacuer. Nous abordons donc la situation avec sérénité. Clémentine a remporté ce nouveau challenge avec brio. La voilà en piste pour affronter les deux années qui la séparent du Doctorat. Elle est sereine.

La vaisselle. << C'est mignon de vivre dans la maison d'un hobbit ! >> dit elle en me serrant dans ses bras. Il faut ruser pour faire nos exercices. Nous poussons la table du salon sous la fenêtre. Les chaises posées dessus. Voilà l'espace nécessaire pour pratiquer l'aérobic, les abdos. Un stretching totalement surréaliste où Clémentine nous fait plier de rire. Elle imite l'accent méridional de Juliette pour tenir des propos volontairement amphigouriques. La douche dans une cabine où tenir à deux relève de l'exploit. La salle de bain est miniature.

Vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux, en baskets et sous le parapluie, nous faisons quelques pas au dehors. Devant la maison, la parcelle de jardin doit mesurer quatre mètres. La clôture de planches blanches rajoute encore à l'image qu'on peut se faire d'un habitat minuscule. Nous restons sur le bord de la route. Les maisons voisines ne sont guère beaucoup plus grandes. Le château médiéval de Tiffauges sur notre droite là-bas, sur sa colline. La silhouette inquiétante de la forteresse est impressionnante. Hélas fermé en octobre.

Nous arrivons dans le village. C'est une commune accueillante que nous avons déjà visité. Les rues invitent à la découverte. Même sous la pluie. Il ne subsiste plus grand chose de l'époque médiévale. L'ombre de Gilles de Rais plane pourtant encore sur la commune si on connaît sa sinistre histoire. Clémentine me tient par la main. Parfois serrée contre moi quand nous admirons une maison, un monument, une vitrine. Il y a des commerces. Des supermarchés à proximité. Mais nous avons tout prévu. Il y a également quelques très bons restaurants.

Notamment le restaurant du presbytère. Un établissement gastronomique dont nous gardons un excellent souvenir. Je propose d'y réserver une table pour ce soir. Se serrant contre moi, autant dans un élan amoureux que pour cacher sa main qui palpe ma braguette, Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche. Nous attirons encore bien des regards. Nos hautes tailles. Cette jeune fille sublime au bras d'un homme d'âge mûr qu'elle embrasse passionnément. Non, je ne suis pas son père. Il n'y a pas grand monde dans les rues hors saison touristique.

Nous visitons l'église ouverte. Il n'y a là rien d'historique. Une forte odeur d'encens. La statuaire habituelle. La pluie cesse quelques minutes pour reprendre. Il y a un charme particulier à parcourir les ruelles. La Mairie. L'école maternelle. Tout cela respire la province. << La France des terroirs si chère à Jean-Pierre Porno ! >> lance Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Nous reprenons la direction de la maison en nous trompant deux fois. Il commence à faire faim. Clémentine s'occupe à concocter une belle salade de concombre. Champignons crus.

Je fais cuire les coquillettes. Dans la poêle je fais rissoler deux steaks de saumon. Ail, oignons, persil, ciboulette. Je râpe du gruyère de Comté. C'est un repas simple mais tellement bon. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque notre précédent séjour en Vendée. Nous sommes dans cette région appelée la "petite Suisse". Des pâturages, des collines, des lieux de randonnées. Certes, avec cette météo il faut s'équiper. Nous avons tout prévu. Cet après-midi ce sera balades et découvertes en voiture.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Quelle surprise. Elle ne me l'a pas dit. En défaisant la valise pour ranger nos vêtements dans l'armoire, Clémentine sort le foulard en soie, le collier canin et la laisse. Elle pose le tout sur le lit en disant : << Mon doux "Maître" aura t-il quelques égards particuliers pour sa "Soumise" cet après-midi ? >>. Je la prends dans mes bras en murmurant : << Vous êtes adorable ma douce "Soumise" ! >>. Clémentine jette un des oreillers au sol pour s'y mettre à genoux. Bien droite, les mains croisées sur la tête.

Elle a ce regard implorant que je lui connais si bien lorsqu'elle est en proie à son fantasme. Je tourne autour d'elle. J'admire ce comportement. Je sors mon sexe. Tout en me touchant je me penche pour scruter son visage de tout près. Je peux entendre sa respiration qui change. La respiration d'une jeune fille que l'excitation gagne. Clémentine adore quand je la scrute avec attention. Elle garde les yeux fixés sur le mur qui lui fait face. Je passe ma main entre ses cuisses. Par derrière, par devant. Ce réflexe féminin qui secoue son corps.

Je me place devant elle pour lui présenter ma queue. Je bande mou. Je l'agite vulgairement en disant : << Mon comportement aura de quoi vous étonner ma délicieuse "Soumise" ! >>. Dans un gloussement de contentement Clémentine se redresse encore plus fièrement. Je passe mon sexe sur son visage. Longuement, en ayant des propos grossiers. Les yeux ouverts, immobile, Clémentine reste offerte et lascive. Je frotte ma bite sur sa gueule. À chaque fois qu'elle veut la gober, j'esquive au dernier instant. Nous adorons tous les deux jouer à ces jeux.

Même si je n'ai pas l'âme d'un "Maitre", j'incarne le personnage à la perfection. Depuis plus de cinq ans j'ai eu le temps d'apprendre et de peaufiner mon art. Je passe le foulard en soie autour du cou de Clémentine avant d'y mettre le collier canin de cuir brun. Ainsi il n'irritera pas sa peau. J'y fixe la laisse. Je donne un à coup en ordonnant : << À quatre pattes ! >>. Je l'entraîne ainsi dans les trois seules pièces de la maison. À quatre reprises. Aux coins de chaque meuble, aux pieds de chaque chaise, Clémentine lève la patte. Je la touche vulgairement.

J'ordonne : << Debout ! Main sur la tête ! >>. Clémentine se relève. Je m'accroupis pour masser ses genoux. << Vous êtes si attentionné avec moi mon doux "Maître" ! >> murmure Clémentine. J'ai soudain l'envie folle de l'embrasser. Surprise par tant de passion, Clémentine fond dans mes bras. Nos mentons sont trempés de salive. Nous mettons nos vestes de pluie. Des cirés gris et bleu d'une laideur affligeante mais très efficaces. Nous voilà en voiture. Je roule doucement. Par mesure de précaution je vais faire le plein d'essence à l'Intermarché.

Aucun problème d'approvisionnement. Comme notre nouvelle auto est hybride, en cas de problèmes, il suffit de choisir l'option électrique. Une autonomie de 600 km. De quoi rester parfaitement serein. J'ai la braguette ouverte. Il y a une dame qui fait le plein à la pompe voisine. Je tiens le pistolet de la main droite et Clémentine par sa laisse de la main gauche. Je laisse aux lecteurs le soin d'imaginer la scène. La dame n'a évidemment de yeux que pour nous. Le plein fait nous repartons. La pluie a cessé et le ciel semble s'éclaircir un peu. Sympa.

Je roule doucement. Clémentine me tient la queue raide comme un piquet. Par la départementale 111 il y a un peu plus de vingt kilomètres jusqu'à Mortagne-sur-Sèvres. La commune à flanc de coteaux évoque un peu un village de Provence. Les toits peu pentus, les maisons blanches entourant une belle église. Il n'y a pas grand monde. Nous faisons quelques pas. Je tiens discrètement la laisse. Il faut bien regarder pour voir que je promène ainsi la sublime jeune fille qui reste à mon bras. Parfois je prends de la distance pour donner un à coup.

Le Grand Calvaire est un endroit charmant. Un personnage religieux, sans doute une vierge éplorée en position dévote, surmontée d'une croix. Nous en faisons le tour. Il y a même un rayon de soleil. Je marche en tenant Clémentine par sa laisse. Comme je donne de nombreux à coups elle avance penchée en avant. Il n'y a personne même si deux autos sont garées en contrebas. J'ordonne : << À genoux ! >> en indiquant la margelle de granit. Clémentine s'exécute immédiatement en croisant ses mains sur la tête. Je me place devant elle. Bite à l'air.

Une fois encore je frotte ma queue sur son visage. Je murmure : << Durant ce séjour, ma délicieuse "Soumise", j'exige de vous voir sucer un parfait inconnu ! >>. Sans laisser à Clémentine le temps de répondre, j'enfonce mon sexe dans sa bouche. De la voir ainsi, à genoux, bien droite, les mains sur la tête, à sucer passionnément, m'envahit d'une excitation folle. Des voix. C'est un couple. C'est dans cette situation qu'ils nous découvrent. La dame a un toussotement gêné. Le monsieur a une expression consterné. Trop tard. On s'est fait prendre.

Je remballe. Clémentine se redresse prestement. Sans un mot, nous disparaissons pour faire le tour du calvaire. Je tiens malgré tout Clémentine par sa laisse. << C'est trop génial ! >> dit elle alors que moi je suis dans un état de confusion. C'est con de se faire surprendre. << Mais non ! Pourquoi ? Ça va peut-être leurs donner des idées ! >> lance Clémentine. Nous croisons ces gens une nouvelle fois. Clémentine insiste pour que je la tienne de la façon la plus ostentatoire possible. Je suis aussi gêné que ce couple. Clémentine en glousse.

Nous retournons dans le village. Dans la voiture, alors que je roule doucement, Clémentine me taille une superbe pipe. J'appuie sur sa nuque pour en enfoncer davantage. Je la fais suffoquer. J'adore l'entendre gémir. Gémit-elle à cause de la contrainte imposée ou par le plaisir que procure la pipe dans ces conditions ? Je demanderai des explications ce soir, au restaurant, devant un bon repas gastronomique. Je parcours ainsi la région. Heureusement qu'il y a très peu de circulation. Ma vitesse excessivement lente gênerait. Je me fais sucer.

Bonne "Faim" de soirée à toutes les coquines. Dans un établissement de qualité, dans une décoration subtile, à donner leurs impressions quand à leurs conditions de "Soumises" volontaires...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 48 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2050 -



Seconde journée à Tiffauges

Hier matin, mercredi, une fois encore il est presque neuf heures quand nous sortons du sommeil. Clémentine a maintenant pour habitude de se caler contre ma hanche pour me souhaiter le bonjour en se frottant. C'est adorable. Ses cuisses contre les miennes ont un puissant effet aphrodisiaque. Plein de bisous entre des << Je t'aime ! >>. Plein de papouilles en palpant nos sexes. On n'en peut plus. Nous nous précipitons aux toilettes en riant. Vêtus de nos tenues de jogging, nous allons dans la cuisine. Cuisine minuscule dans une maison minuscule.

Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Encore des choses et des situations surréalistes qui nous font rire aux éclats. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Ce second jour à Tiffauges s'annonce déjà très sympathique. D'autant plus que le soleil est au rendez-vous dans un ciel parfaitement bleu. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de hier. De nous êtres fait surprendre par ce couple reste un autre amusant souvenir. Nous mangeons de bon appétit en envisageant quelques options d'activités pour la journée.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous sortons. Nous avons repéré les lieux hier. Quelques mouvements d'échauffement. Nous courons sur le bord de la route en direction du village. Nous prenons à droite pour nous engager sur un chemin pierreux. Même si le sol est encore humide des pluies de hier, nulle boue pour souiller nos chaussures. Juste quelques flaques à éviter. D'excellents prétextes pour les enjamber de quelques sauts athlétiques. Il est 10 h30 quand nous revenons pour prendre une bonne douche. Il fait très doux, presque chaud.

Clémentine peut revêtir sa jupette en velours brun. Juste un T-shirt carmin. Ses baskets. Je ne la trouve pas seulement hyper sexy dans cette tenue mais surtout épatante. Sur sa demande je porte un bermuda kaki, un T-shirt brun. Mes baskets. En me déboutonnant la braguette, elle me dit : << Je veux l'avoir sous la main à n'importe quel moment ! >>. Avant que je ne puisse répondre, Clémentine m'enfonce la langue dans la bouche. C'est tellement bon que j'en éprouve un frisson. Je passe ma main sous sa jupette. Douceurs.

Comme c'est sublime de glisser ma dextre entre ses cuisses. C'est carrément grandiose. Nous nous embrassons encore avec une telle fougue que nos mentons son trempés de salive. Je bande comme le dernier des salauds dans la poigne de Clémentine. Comme elle ne porte pas de culotte, mes doigts peuvent explorer son sexe dans les toutes meilleures conditions. Nous ressortons pour faire quelques pas au dehors. La journée s'annonce belle et chaude. L'application du téléphone précise que la température extérieure est déjà de 22°. Il est 11h15.

<< Bonjour ! >>. Nous nous retournons. C'est un monsieur dans son jardin. Deux maisons plus loin que notre location. La première présente des volets clos. Nous bavardons un peu avec cet homme jovial et plein d'humour. Il doit avoir mon âge. Une cinquantaine qu'il porte toutefois avec un embonpoint qui rend ses mouvements plutôt lents. Nous faisons connaissance de Jean-Jacques. Il vit ici depuis plus de trente ans. Veuf, il habite sa petite maison dont il ne cesse d'améliorer les agencements et de cultiver son beau jardin. Un vrai "bricoleur".

Jean-Jacques à de l'humour. Aussi, lorsqu'il apprend que Clémentine n'est pas ma fille mais ma compagne, il ouvre de grands yeux tous ronds. Nous devinons les pensées qui l'animent. Il dit : << Il y en a qui ont beaucoup de chances ! >>. Nous rions de bon cœur. Jean-Jacques, avec cette gentillesse toute vendéenne, nous invite à venir prendre un café après le repas. << Juste cinq minutes parce que nous partons en randonnée ! >> répond Clémentine en se serrant contre moi. Je viens de penser à ma braguette. On ne voit pas qu'elle est ouverte.

Nous saluons le brave homme pour continuer notre ballade. Nous reprenons le chemin pris durant le jogging mais pour faire une boucle. Il est 11 h45 quand nous revenons. Clémentine s'occupe à la salade de tomates et à son assaisonnement. Je fais gonfler du riz complet. Pendant la cuisson je cuisine deux filets de colin préalablement trempés dans de l'œuf, dans la chapelure. Ainsi pannés ils seront délicieux. Je concocte une sauce au Roquefort. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant Jean-Jacques, notre voisin débonnaire et sympa.

<< Ça doit être un vicelard. Tu as vu comme il me mâtait ? Quand il a appris que tu étais mon amant, ses yeux ont failli sortir de ses orbites ! >> lance Clémentine assise sur mes genoux. Nous en rions de bon cœur. Clémentine s'installe à califourchon sur mes cuisses pour se frotter en disant : << Ils m'excitent ces vieux cochons ! >>. Nous rigolons comme des bossus. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Dans le petit sac à dos des fruits, des barres de céréales. Le départ de notre randonnée se fait à partir de Gétigné, à quelques kilomètres du bourg.

Clémentine, dans une de ses inspirations ludiques se jette à mon cou en disant : << Tu sais quoi, j'y vais toute seule, la première. Tu me rejoins dans cinq minutes. Je veux absolument découvrir la réaction de ce type ! >>. Je trouve l'idée superbe. Avec cette douce chaleur, nous restons tous deux habillés pareils. Jupette. Short. Clémentine en relève le tissu en tournant sur elle-même. << Et pas de culotte pour la demoiselle ! >> rajoute t-elle. Elle s'arrête, lève la jambe pour poser le pied sur le petit guéridon à côté de la porte d'entrée. Gracieuse.

Telle une danseuse ou encore une gymnaste, Clémentine se penche pour toucher son genoux avec son front. Je passe ma main entre ses cuisses. En touchant délicatement sa vulve, je découvre une agréable humidité. Clémentine se redresse, se réajuste. Avant de sortir elle dépose une bise sur mes lèvres. << Cinq minutes ! >> dit elle encore. Je la regarde sortir du jardinet pour se diriger à droite. Environ deux centaines de mètres jusqu'à la porte du jardin de Jean-Jacques. Elle se retourne pour me faire un coucou puis un clin d'œil suggestif.

Le petit sac sur le dos, je consulte la boîte mail sur mon téléphone. Deux messages. L'un de Julie qui raconte ses journées de vacances universitaires. L'autre d'Estelle qui nous raconte les siennes. Je laisserai à Clémentine le soin de répondre. Cinq minutes doivent êtres passées. Je sors pour me rendre moi aussi chez le voisin. Il vient m'ouvrir, hilare. Il m'invite à le suivre. Clémentine est installée dans un confortable canapé. La maison de Jean-Jacques est à peine plus grande que notre location. Clémentine me fait un nouveau clin d'œil. Vicieux cette fois.

<< Jean-Jacques nous invite à manger avant la fin de notre séjour. Je lui ai dit que notre emploi du temps ne le permettait pas vraiment ! >> m'explique Clémentine. Je surprends le regard de Jean-Jacques. Il tente visiblement de percer les secrets cachés sous la jupette de Clémentine. Mais je surprends également cette dernière avec les cuisses légèrement écartées. Je viens de comprendre. Jean-Jacques aimerait beaucoup nous faire voir sa collection de portes clefs. Copocléphile depuis vingt ans, il expose dans une partie aménagée de son garage.

Clémentine suggère de revenir voir ça demain. Elle indique une montre imaginaire à son poignet en rajoutant : << Parce que là, il faut vraiment qu'on y aille. La nuit tombe dès 18 h45 ! >>. Jean-Jacques nous accompagne jusqu'à la porte du jardinet devant sa maison. Nous le saluons. C'est en voiture que nous allons jusqu'à Gétigné. Clémentine me raconte : << Avant que tu viennes nous rejoindre, il m'a demandé tout un tas de choses. C'est un vicieux. Peut-être même légèrement pervers. On prépare un plan pour demain ! >>. Nous rions.

Le départ du sentier se fait depuis la Grossière. Il franchit un pont sur la Sèvre. L'endroit est magnifique. Les feuilles jonchent le sol et il faut être vigilant pour ne pas s'égarer. Il y a un balisage. Du petit sac à dos Clémentine tire le foulard en soie, le collier canin et la laisse. << Mon doux "Maître", j'aime être promenée. Je mérite une punition. Je me suis encore comportée en véritable salope devant ce mec. Il a même entrevu ma chatte à quelques reprises ! >> dit elle alors que je fixe l'ensemble à son cou. Je réponds : << Merveilleuse "Soumise" ! >>.

Nous croisons quelques promeneurs. Il suffit alors de lâcher la laisse qui pend anonymement dans le dos de Clémentine. Par contre je dois remballer rapidement ma queue car mon T-shirt ne la cache pas. Nous marchons sur un chemin qui borde la Sèvre. Il fait chaud et la rivière coule dans une douce mélopée. Clémentine revient sur tous les détails qui ont attiré son attention. Seule une dizaine de minutes avec Jean-Jacques elle s'est beaucoup amusée. << Il a effleuré sa braguette deux fois ! Il a entrevu ma chatte deux fois ! >> me raconte t-elle. Rires.

Là, sous les ruines sinistres du château de Tiffauges, il y a un point de vue. C'est un paysage de collines qui évoquent plutôt le Jura Suisse. Même si nous entendons des voix nous ne voyons personne. Nous sommes hors saison touristique. À l'abri de tout regard éventuel, Clémentine s'accroupit. Mains sur la tête, elle ouvre la bouche. Prenant appui de son dos contre le poteau indicateur, elle écarte largement les cuisses. Je sors ma bite pour la frotter sur son visage en disant : << Délicieuse "Soumise", serriez vous prête à sucer du Jean-Jacques dès demain ? >>.

En tentant de gober mon sexe que j'escamote au dernier moment, elle répond : << Si tel est votre souhait mon doux "Maître", cela deviendra le mien ! >>. À ces mots, j'enfonce ma queue dans sa bouche. Je m'approche. Je place un de mes tibias contre sa chatte. Tout en suçant Clémentine peut s'y frotter. Je me penche pour rajouter : << Il faut trouver le bon plan pour que je puisse mâter ! >>. Clémentine cesse de sucer pour répondre : << Très simple. Je vais toute seule voir sa collection et je l'invite à boire un café. Tu restes planqué ! >>.

Devant tant d'ingéniosité, devant tant d'imagination, je reste admiratif. Cela m'excite terriblement également. De partager sa vie avec une jeune fille vicieuse et pleine de ressources, reste le plus beau privilège qu'un homme mûr et "partageur" puisse rêver. Je la félicite en saisissant ses oreilles pour me branler dans sa bouche. Il faut cesser. Et très vite. Un petit chien vient en courant. Un jeune couple apparaît au bas du sentier. J'ai juste le temps de me retirer, de me tourner pour cacher mon sexe. Clémentine a juste le temps de se redresser. Deux jeunes.

Ils se tiennent amoureusement par la main. Loin de se douter de ce qui vient de se passer ils nous dépassent en nous saluant. La jeune fille a un regard admiratif pour Clémentine. Non, ce n'est pas son père à qui elle prend la main. Cette constatation provoque toujours de curieuses réactions chez les jeunes filles. Nous nous embrassons avant de prendre le sentier qui monte. Les ruines de cette forteresse sont réellement impressionnantes. C'est dans ses souterrains que Gilles de Rais, alias "Barbe Bleue", se livrait aux pires méfaits sur des gosses.

J'invite le lecteur à découvrir la vie de ce Maréchal de France, compagnon de Jeanne d'Arc, qui est devenu le monstre que l'Histoire retiendra pour l'éternité. Premier serial killer. L'accès au château est interdit hors période touristique. Nous le contournons pour reprendre le sentier qui redescend. À nouveau je sors ma queue plusieurs fois. J'ai le comportement du "Maître" qu'apprécie tant Clémentine. Je la baise sur un banc en bois. C'est un endroit de repos aménagé au bord de la Sèvre. Il y en a plusieurs. Celui-là est un peu en hauteur au-dessus du chemin principal.

Je la prends en levrette. Je peux ainsi tripoter et jouer avec son clitoris géant. En véritable exhibitionniste, Clémentine m'avoue son désir fou de nous faire surprendre. Cela me gênerait terriblement. Heureusement il n'y a personne. Je la fais sucer à genoux dans l'humus. Je la pénètre à nouveau par derrière. Les petits cris d'animal blessé pourraient alerter n'importe quel promeneur. Il n'y a personne pour satisfaire le souhait de Clémentine. Ce qui ne l'empêche pas de frôler l'orgasme à quelques reprises. Il est 18 h30 quand nous revenons à la voiture.

C'est dans le même restaurant que hier soir que nous prenons un repas délicieux. Le restaurant du Presbytère mérite d'être connu pour sa cuisine exceptionnelle. Nous y passons une bonne partie de la soirée. Il y a du monde. Principalement des autochtones. L'endroit est réputé. Il est 21 h45 quand nous sommes de retour. Après nous êtres lavés les dents, Clémentine arrache mes vêtements pour me faire tomber sur le lit. << Baise-moi ! >> s'écrie t-elle en me chevauchant. Elle fouille ma bouche de sa langue en poussant des gémissements d'impatience.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines que la Vendée et ses charmes inspirent. De bonnes baises dans les sous bois. De belles rencontres un tantinet perverses.

Julien



Classe

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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Classe - 49 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2051 -



Troisième journée à Tiffauges

Hier matin, jeudi, il est un peu plus de neuf heures. Clémentine se serre encore plus fort contre moi. << J'ai fait un rêve très cochon ! >> murmure t-elle en saisissant mon poignet. Elle glisse ma main dans sa culotte. Je passe délicatement mon doigts entre les lèvres charnues de son sexe. Effectivement il y a là les séquelles de quelques épanchements nocturnes. Sans me laisser le temps de répondre elle prend sa position devenue habituelle lorsque nous faisons de belles grasses matinées. Une cuisse sous mes fesses, l'autre sur mon érection naturelle.

C'est en se frottant contre ma hanche qu'elle parachève sa nuit. L'envie de pisser vient mettre un terme provisoire à nos douceurs. Nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos de tenues de sport nous allons dans la cuisine. En préparant le café Clémentine me raconte le sujet de ses émois oniriques. Il y est question d'un inconnu qui repeint un mur. Qui se tourne pour monter sa bite double. << Oui, il a deux queues ! >> précise Clémentine en venant se plaquer derrière moi, me palpant la bosse Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Rires !

Nous prenons notre petit déjeuner en riant beaucoup de cette histoire "double". << Après toutes ces inquiétudes, ce stress accumulé avant les épreuves du concours d'admission au Doctorat ce petit séjour a tout nettoyé. Merci Julien tu es le meilleur accompagnateur d'existence qui soit. Je t'aime ! >> s'écrie Clémentine en se levant pour venir s'assoir sur mes genoux. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme du jour. Ce sont avant tout des vacances thérapeutiques comme le souligne une fois encore la fille que j'aime. Gratifiantes.

La vaisselle. On se lave les dents avant de sortir. C'est sensiblement la même météo que hier. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Nous pratiquons notre running sur le même circuit. Ce parcours est tellement charmant. Les couleurs de l'automne sont sublimes sous le soleil vendéen. Un jogging d'une heure avant de revenir prendre la douche. Il faut profiter de cette douceur. Aussi, nous nous habillons comme hier. Léger. Les mêmes vêtements. Jupette T-shirt pour Clémentine. Bermuda et T-shirt pour moi. Nous ressortons marcher un peu.

<< Bonjour ! >>. C'est Jean-Jacques dans son jardin. Nous ne l'avions pas vu. Une fois encore nous bavardons un peu. Nous déclinons sa proposition de venir manger avant notre départ. Nous prétextons d'autres obligations. Ce matin notre voisin est vêtu un peu "clodo". Une casquette dont la visière au ras des yeux lui confère une apparence comique. Clémentine doit d'ailleurs se mordre les lèvres pour ne pas rire. Lorsqu'il réitère sa proposition, c'est Clémentine qui l'invite : << Venez donc prendre le café après le repas de midi, dans le jardin ! >>.

<< Avec plaisir ! >> répond notre jardinier. Nous continuons cette promenade qui commence à ouvrir notre appétit. Il y a une cinquantaine de kilomètres jusqu'à la Roche-sur-Yon, capitale de la Vendée. Nous en gardons un bon souvenir. Cette ville aux architectures symétriques, créée et inventée par Napoléon Bonaparte. << Peut-être pour pardonner le génocide vendéen ! >> lance Clémentine qui me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour dire : << Je suis foutrement excitée. Tu as du foutre pour moi ? Du bon foutre ? >>.

Nous rions de bon cœur. Deux dames passent dans le chemin qui longe la clôture. Elles semblent charmées par ce spectacle. Tout en ouvrant de grands yeux quand elles découvrent que cette sublime jeune fille est dans les bras d'un homme mûr. << Bonjour ! Non, ce n'est pas mon papa ! Quoi que ! >> lance Clémentine à l'attention des deux promeneuses. << Bonjour ! >> font les deux femmes en même temps. Nous rions de ce genre de situation. Elles se retournent plusieurs fois. << À l'attention des curieuses ! >> fait Clémentine en me palpant la bosse.

Nous revenons pour midi. Clémentine prépare la salade de concombre. << Tu veux vraiment faire de la bagnole cet après-midi ? >> me demande t-elle. Je fais gonfler du pilpil de blé. Dans la poêle je retourne sans arrêt deux filets de lieu noir. J'y rajoute des champignons. En fin de cuisson j'y verse un petit pot de crème fraîche. Des dés de Morbier qui fondent dans la sauce. Clémentine me propose une autre randonnée. << Il y a tant de choses à voir, tant de choses à faire dans les alentours ! >> rajoute t-elle encore. J'adhère totalement.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant Jean-Jacques. Clémentine revient sur quelques attitudes de notre voisin : << Hier, quand tu nous as rejoint chez lui, il effleurait discrètement sa braguette ! >>. Je dis : << Et toi tu lui montrais discrètement ta chatte ! Comment veux-tu qu'un homme "normal" puisse rester indifférent ! >>. Nous rions de bon cœur quand Clémentine rajoute : << Il faudra qu'un jour on nous explique ce qu'est cette "normalité" ! >>. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine s'écrie : << Un plan ! >>.

J'écoute le développement de son idée : << Tu te planques, il faut juste trouver l'endroit idéal, et je réserve une surprise à notre voisin. Je suis encore toute excitée par mon rêve, par nos jeux et l'attitude de ce vieux cochon ! >>. Je trouve cette suggestion tout à fait à mon goût moi aussi. Je saisis la nuque de Clémentine pour murmurer : << Ma douce "Soumise" va t-elle obéir à mon injonction ? >>. Clémentine change de position pour s'installer à califourchon. Pour se frotter dans un mouvement masturbatoire et régulier. Elle m'embrasse soudain.

<< Mon doux "Maître", je vais obéir à vos injonctions. N'est-ce pas l'occasion rêvée de réaliser notre fantasme commun ? >> chuchote Clémentine. Mon érection est presque douloureuse. Mon sexe est tordu au fond de mon slip. Clémentine n'a pas cet inconvénient. Surtout qu'elle ne porte pas de culotte. Nous débarrassons pour faire la vaisselle, se laver les dents. << Viens, on étudie les lieux, on trouve la meilleure planque. J'ai une vague idée ! >> fait Clémentine qui m'entraîne par la queue. Nous sortons dans le jardin derrière la maison.

Il y a deux chaises et une table ronde en métal. Peintes en blanc. Le jardin est entretenu. Un tapis de feuilles jonche le sol. Il y a un cabanon de jardin. Nous allons voir. Il y là des outils, une brouette, des vieux pneus. Tout le décorum d'un endroit qui ne sert probablement pas beaucoup. Nous observons. Impossible d'avoir une bonne vue sur le mobilier de jardin. À moins de le déplacer. Hors il est à l'endroit le plus judicieux. Sur un cercle de pavés auto bloquant. << Pas bon ici ! >> lance Clémentine. << J'ai une idée ! >> s'écrie t-elle soudain.

Nous rentrons. Là, à gauche, il y a un réduit. Une sorte de placard où sont rangés les balais, les seaux, les serpillères. C'est un espace qui doit faire 60 sur 60 cm. Sur une hauteur de deux mètres. Clémentine retire tout ce qui s'y trouve. Une petite lucarne de verre fumé, permet de distinguer cette partie du jardin. Je dis : << Mais comment veux-tu que je tienne là-dedans ! >>. Clémentine m'y pousse en disant : << Comme ça ! >>. Elle se plaque contre moi. Se frottant sur mon sexe elle fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Je bande hyper dur.

Elle cesse, me laisse plaquer contre le mur. Sort du placard pour fermer la porte. Par la lucarne entrouverte la vue est parfaite. La table et les chaises ne sont qu'à une dizaine de mètres. Je vois Clémentine s'assoir sur une des chaises. Cuisses largement écartées, elle se touche en s'écriant : << Tu connais la différence entre une petite maison vendéenne et une chatte ? >>. Je reste perplexe. Elle répond : << La vue ! >>. Nous éclatons de rire. Je rejoins Clémentine qui me saute au cou en disant : << Je t'aime ! Merci pour tout ce bonheur ! >>.

Il va bientôt être l'heure. Nous faisons un dernier essai. Une ultime répétition. Clémentine se met dans le réduit. C'est moi qui m'installe à la table du jardin. À voix haute elle précise : << C'est parfait. La vue est totale ! >>. Elle passe son bras par la lucarne pour agiter sa main dans un mouvement de masturbation masculine. Je me lève pour me branler dans sa direction. << Génial ! Tu ne le fais pas assez souvent ! >> s'exclame t-elle encore. Elle vient me rejoindre en sautillant. La petite cloche de la porte d'entrée se met à carillonner. C'est notre voisin.

Jean-Jacques

Je regarde par l'étroite lucarne. L'endroit est si exigu que je dois déformer le haut de mon corps. Mes épaules sont trop larges. Clémentine, d'un pas décidé précède Jean-Jacques. Notre voisin est vêtu d'un pantalon de toile noire, délavée. Une blouse bleue qui fait office de chemise. De vieilles chaussures de sports élimées. Ses cheveux grisonnant sur un crâne dégarni sur le dessus. Quand il portait sa casquette nous n'avions pas remarqué sa calvitie galopante. Ventru, il trottine aux côtés de Clémentine avec peine. Clémentine entre dans le jardin.

Suivie de Jean-Jacques qui semble essoufflé d'avoir marcher si vite. Je suis vraiment peu à l'aise dans ce réduit. Je dois perpétuellement changer de position pour éviter l'ankylose. La table de jardin, de fer peint en blanc comme les deux chaises, accueille Clémentine et Jean-Jacques qui s'installent. Ils sont au soleil. J'ai une vue parfaite sur l'entre jambes de la fille que j'aime assise face à ma cachette. Jean-Jacques qui me tourne le dos profite également de cette vue remarquable. Surtout que Clémentine évite de croiser ses jambes. Je bande déjà dur.

Je dois dresser l'oreille pour percevoir les échanges. << Vous ne portez jamais de culotte ? >> demande notre voisin. << Jamais quand je suis en jupe et qu'il fait aussi beau. Si cela vous indispose, je peux aller en passer une ! >> répond Clémentine. << Surtout pas ! >> s'écrie le bougre en se penchant pour mieux regarder. Il lève le pouce de la main droite comme pour féliciter la jeune fille. Évidemment cet encouragement décuple les plaisirs de Clémentine qui écarte ses cuisses. << Vous êtes merveilleuse Clémentine. ! >> rajoute notre homme.

<< Il en a de la chance votre ami ! Au fait, à quelle heure doit-il revenir ? >> dit encore notre voyeur en se redressant. << D'une minute à l'autre. Mais je reste en contact téléphone ! >> lance Clémentine se saisissant de l'objet posé à côté de son bol fumant. Elle fait mine de consulter l'écran avant de s'écrier : << Ah, un texto. Julien aura un peu de retard ! >>. Elle pose sa cuisse gauche sur l'accoudoir de sa chaise. Cette indécence folle ravit Jean-Jacques qui se met à raconter ses souvenirs : << La dernière fois que j'ai baisé. Il y a dix ans ! >>.

Clémentine, en riant, posant sa cuisse droite sur l'accoudoir de droite, demande : << Vous n'allez pas aux putes ? >>. Jean-Jacques se met à toussoter, plutôt gêné par la question. Sans doute autant que par la situation. << Non, jamais, ce n'est pas le genre de la maison ! J'ai "ça" ! >> répond t-il en mimant une masturbation masculine. << Vous préférez que les putes viennent jusqu'à vous ? >> fait encore Clémentine en éclatant de rire. << On dirait une bite ! >> s'exclame Jean-Jacques, penché en avant, découvrant le clitoris géant de la fille.

Clémentine, mimant une masturbation masculine à son tour, lance : << Mais vous n'y êtes pas encore ? >>. Jean-Jacques, se mettant à rire, s'écrie : << Vous en êtes une autre ! Vous aimeriez que je ?.. >>. Clémentine redevenant sérieuse répond : << Oui, j'aime bien voir la queue des messieurs en action ! >>. Complètement estomaqué, tétanisé sur sa chaise, notre pauvre "victime" semble chercher tout son courage. Quelques forces aussi sans doute. Je voudrais bien me branler parce que l'attitude de Clémentine me rend complètement dingue.

Je dois bouger. Me mettre dans une autre position. J'ai l'impression de vivre une véritable torture. Une punition. Jean-Jacques se lève. Clémentine sachant que j'aime voir, lui fait signe de se placer sur sa gauche. Elle tend sa tasse pour la placer devant notre voisin. Il ouvre la tirette de sa braguette en disant : << Tu es une sacrée salope. Ton Julien il sait que tu fais ce genre de truc quand il n'est pas là ? >>. Clémentine, rusée, avec un air innocent, répond d'une petite voix : << Non, mais n'allez pas le lui raconter je compte sur votre silence ! >>.

Notre voisin pose l'index de sa main droite sur ses lèvres en disant : << Secret partagé, secret trahi ! >>. De sa main gauche il sort une queue toute molle mais d'une bonne quinzaine de centimètres. << Impuissant ? >> demande Clémentine. << Oui, un peu, j'ai honte ! >> répond notre exhibitionniste. << Mais il faut pas avoir honte, les filles qui aiment sucer les adorent bien molles ! >>. Éberlué, consterné, Jean-Jacques s'écrie : << Tu aimes sucer ? >>. Clémentine lève la tête pour fixer Jean-Jacques. Elle dit : << Que les vicelards de ton genre ! >>.

Jean-Jacques se tourne vers cette sublime jeune fille. Il tient sa bite comme un objet étranger. Il l'agite devant Clémentine qui se penche. << Tu permets ? >> demande t-elle en approchant ses narines. Elle rajoute : << J'adore quand elles sentent fort. Il t'arrive quand même de la laver parfois vieux dégoûtant ? >>. Jean-Jacques complètement interloqué ne sachant plus vraiment si c'est du lard ou du cochon, répond : << Je vais aller me la laver. Attends-moi là !>>. Clémentine attrape son sexe à pleine main pour s'exclamer : << Je les adore sales ! >>.

J'ai mal au dos. Mes épaules me font mal. Je suis comme une tranche jambon entre deux morceaux de pain. Je bande à m'en déchirer le slip. J'arrive avec peine à me la tripoter. Mais mes épaules se coincent dans les coins au bout de quelques minutes. J'enrage. Ce qui se passe là, à une dizaine de mètres, me rend dingue. Je n'ai jamais vu et entendu Clémentine allumer aussi franchement un mec. Elle hume à pleines narines. Elle décalotte la queue. C'est un prépuce "généreux". Une protection naturelle. Clémentine adore fouiller les prépuces.

Elle fait une horrible grimace en s'écriant : << Jean-Jacques tu es un cochon ! >>. Il se met à rire en disant : << Mais tout est bon dans le cochon ! >>. Clémentine rajoute : << Et surtout la queue ! >>. Elle fait volontairement durer ce moment fabuleux. Elle agite cette bite comme un hochet. Une bite qui remue, mollasse et flasque. Jean-Jacques garde ses mains sur ses hanches. Il reste immobile. Il observe ce que fait Clémentine. << Tu mouilles dis donc, vieux dépravé ! >> dit elle en essorant le prépuce qu'elle tire sur le gland dont on voit la forme.

Effectivement une goutte laiteuse fait son apparition. Du bout de l'index de sa main gauche, Clémentine la récupère. Elle porte le doigt à sa bouche pour gouter. << Monsieur est salé ! >> conclue t-elle. Jean-Jacques assiste au spectacle. Silencieux. Une expression d'admiration sur ses traits. << C'est quand la dernière fois que tu t'es fait tailler une pipe vieux dégoûtant ? >> demande Clémentine qui se touche de sa main libre. << Ma femme. Quand elle était encore là, il y a plus de dix ans ! >> répond Jean-Jacques. << Tu te branles ? >> demande t-il.

<< Oui, toujours. Que je suce que je baise ou que je conduise une voiture ! >> répond Clémentine. Mon sexe est douloureux. Une douleur proportionnelle à ma frustration. J'étouffe dans mon réduit. Il y a une araignée qui monte sur le mur. À une vingtaine de centimètres de mon visage. J'ai horreur des araignées. Clémentine lâche la queue du mec pour le saisir par les hanches. Le tenant par le tissu de son pantalon, elle gobe son sexe d'un gracieux mouvement de tête. Jean-Jacques ferme les yeux. Une expression d'extase mystique sur ses traits.

Tous les deux, parfaitement immobiles, sous les rayons du soleil généreux d'un été indien. Clémentine, assise sur la chaise, tenant notre homme par son pantalon, suce. Je la vois savourer. Les yeux fermés. Elle aussi avec une expression extatique. Un peu comme dans les scènes religieuses de certains retables du XVI ème siècle. Lorsqu'elle cesse de pomper c'est pour déglutir en émettant de discrets : << Mmhh ! >>. Jean-Jacques, quand il ouvre les yeux, la tête penchée en avant, pour regarder ce merveilleux spectacle se tient à la table.

C'est toujours étonnant. Clémentine me narre souvent cette curieuse sensation. Sucer une bite qui reste molle. Sentir le jus envahir sa bouche. Elle prétend que c'est une constante. Les mecs impuissants offrent deux fois plus de jus. C'est une pipe juteuse à n'en point douter. Clémentine cesse de pomper pour essorer le prépuce. À chaque fois une goutte de foutre fait son apparition. Soudain, se penchant en avant, prenant appui sur les épaules de Clémentine Jean-Jacques est animé de plusieurs spasmes. De véritables secousses. Pas de doute, il jouit.

Clémentine me confie à quel point c'est étrange de se faire éjaculer dans la bouche en suçant une bite molle. << C'est comme de sucer une saucisse viennoise pour en tirer de la mayonnaise ! >> m'explique t-elle quand nous baisons et que je pose des questions précises. Clémentine adore me raconter dans le détail. Je me promets de la baiser comme un pervers ce soir. Lui poser tout un tas de questions. Je veux tout savoir. Jean-Jacques veut se retirer. C'est bien mal connaitre Clémentine qui adore faire les fonds de cuve avant le second tour.

N'en pouvant plus, Jean-Jacques arrache carrément sa queue de la bouche de Clémentine. Elle lève la tête en ouvrant de grand yeux. Jean-Jacques remballe sa queue en s'éloignant. << Je viens de trahir la mémoire de ma femme ! >> s'écrie t-il. << Tu viens surtout de t'offrir un inoubliable moment espèce de con ! >> s'exclame Clémentine en s'essuyant la bouche. Le foutre qui colle sur le haut de son T-shirt. << C'est vrai mademoiselle ! >> lance notre voisin qui semble revenir à la raison. << Ah ! Un texto de Julien ! Il faut cesser ! >> fait Clémentine.

Une belle randonnée

Notre voisin se hâte. Il se réajuste. Il passe devant le petit réduit où je suis caché. Très loin de se douter de ma présence. Je peux enfin sortir de ma cachette. Clémentine vient me rejoindre. Nous nous précipitons à la fenêtre de la cuisine. Nous le voyons s'éloigner, la tête rentrée dans les épaules. Un peu comme un écolier qui aurait fait une bêtise. Clémentine saisit une pomme dans la corbeille. Elle croque dans le fruit. C'est sa façon de faire disparaître le gout du sperme. << Beurk ! Un goût d'amandes amères ! >> dit elle en mâchant.

Je regarde sa bouche. Il subsiste toujours encore un long moment après, un sentiment de dégoût. Ce qui amuse beaucoup Clémentine qui me raconte ses impressions : << Tout ce qui vient avant est souvent un peu salé, avec un goût persistant d'amertume. Ce mec est hyper salé. Par contre la fadeur de son sperme est étonnante ! Tu as vu il n'a pas bandé une seule fois ! >>. Nous rions de bon cœur quand Clémentine rajoute : << J'aurais volontiers goûté ce qui vient après ! >>. Notre petit sac contient des fruits, de l'eau, les barres de céréales.

Cet après-midi nous partons du village que nous traversons. Il y a un peu d'animation. Les rares touristes sont principalement des séniors. Nous en croisons quelques uns qui font des photos. Voilà le départ de notre randonnée. Rue de Foulon. Une rue qui devient rapidement un chemin. << On a oublié le collier et la laisse ! >> lance Clémentine qui me tient par la main. Nous croisons quelques promeneurs. À de nombreuses reprises Clémentine se serre dans mes bras. << Merci Julien. Notre complicité me comble. Tu me comprends si bien ! >> dit elle.

J'ai souvent la bite à l'air. Souvent ma main entre les cuisses de Clémentine. Avec l'excitation vécue durant sa fellation, il y a de la mouille plein mes doigts. Voilà le hameau de l'Élinière. Le sentier monte en épingles à cheveux. Les ruines du château de Couboureau. Les douves sont impressionnantes. Il y a surtout quantité de recoins qui invitent à la luxure. Entre deux pans de murs, j'entraîne Clémentine. Il n'y a strictement personne. Si quelqu'un devait venir nous le verrions les premiers. Je soulève Clémentine pour l'assoir sur une pierre écroulée.

Elle me regarde. Les yeux plein de reconnaissance. Je la tiens par ses chevilles. Je frotte mon sexe contre le sien. Il est gluant de ce jus de fille qui barbouille ses poils. Ça rentre comme dans du beurre. Malgré tout j'y pénètre avec précaution. Sous les gémissements de bonheur de Clémentine. Nous restons immobiles. Je pose les questions auxquelles Clémentine adore répondre. Tous les détails de sa pipe à Jean-Jacques. Ses émotions, ses ressentis, ses impressions. S'il subsiste le gout de son sperme. Rien n'est plus excitant que de baiser de cette façon.

Nous entendons bien quelques voix parfois. Mais personne ne vient par là. J'alterne les mouvements rythmés avec les moments plus calmes. Tout cela fait monter la tension. Je félicite Clémentine pour le spectacle qu'elle m'a offert. Cette superbe pipe à un inconnu. Je raffole de la voir à l'œuvre. << Je t'en promets d'autres ! >> murmure t-elle entre de petits cris de plaisir. Essoufflée par nos élans compulsifs. << Je vais venir Julien ! Attention ! >>. J'ai juste le temps de me retirer. Dans un hurlement, lâchant un jet de pisse prodigieux, Clémentine jouit.

Je crois ne l'avoir jamais vu pisser aussi loin. Au moins six mètres d'un jet abondant. J'attends la dernière giclée avant de me précipiter pour aller la lécher. Sucer son clitoris géant, pomper sa vulve. Me régaler de ses mélanges en me branlant. << Quelqu'un ! >> lance Clémentine en me repoussant. Je me redresse. Un mec est entrain de détaler à toute vitesse. << Cette fois, je n'avais pas remarqué ! >> lance Clémentine en sautant du rocher. Je l'essuie avec un mouchoir en papier. Elle s'accroupit devant moi pour s'offrir sa seconde pipe du jour.

Bonne fin de randonnée avant un bon restaurant à toutes les coquines nourries au sperme. Bonne fin de soirées à toutes les exaltées de la queue...

Julien



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Le petit monde de Clémentine et de Julien

Après plus de 2051 épisodes le plaisir de partager nos aventures reste intact. De sacrés moments.
C'est une véritable joie de publier nos récits quotidiennement. C'est même devenu une nécessité.

Bien évidement, les noms, les prénoms, les lieux ne sont qu'autant de pseudonymes sans réalités.
Il est préférable de préserver son anonymat. Sur Internet mais également sur les forums "sexes".

Je remercie nos lectrices, nos lecteurs pour leurs fidélités, pour l'intérêt qu'ils nous portent.
Tout particulièrement celles et ceux qui entretiennent avec nous un contact en messagerie privée.

Nous avons autant de joie à pratiquer les échanges en messagerie privée qu'à narrer nos aventures.
C'est très intéressant, souvent amusant et parfois passionnant. Certains "amis" depuis cinq ans.

Je vous souhaite d'excellentes lectures, de belles découvertes et de passer du bon temps avec nous.

Cordialement.

Clémentine et Julien

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Classe - 1 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2052 -



Nous quittons Tiffauges pour rentrer à la maison

Hier matin, vendredi, il est presque neuf heures. Clémentine qui vient se blottir tout contre moi, murmure : << Merci Julien. Ces quelques jours m'ont fait un bien fou ! >>. Tout en prononçant ces mots dans le creux de mon oreille elle glisse sa cuisse sous les miennes. Pose l'autre sur mon érection naturelle. Quand elle se frotte ainsi, dans un mouvement masturbatoire, je suis pétri d'émotion. C'est bien au-delà de l'excitation. Quelques papouilles. Quelques bisous. Pas le choix. Il faut nous précipiter aux toilettes. Nous nous vêtons de nos tenues gym.

Clémentine fait le café en racontant son rêve. Une surréaliste histoire de cheval qui refuse de rendre un téléphone quand deux avions à réaction tombent et explosent au sol alors qu'elle tient un chaton. << Tu imagines un peu ce qui se passe dans ma tête ! >> s'exclame t-elle en riant. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur l'aventure de hier. La pipe à Jean-Jacques avant la baise durant la randonnée. << Tu comprends pourquoi ce séjour relève de la thérapie ! >> lance encore Clémentine.

Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la journée. Nous quitterons Tiffauges en début d'après-midi. Aucun horaire précis ne nous met la pression. Nous aimerions simplement êtres de retour à la maison pour le repas du soir. Clémentine m'avoue rêver d'un gratin de coquillettes avec une sauce au Roquefort et du cabillaud. En riant, je précise : << Pendant que tu nous prépares une bonne salade de carottes ! >>. Elle se lève pour venir s'assoir sur mes genoux. << Il en sera fait ainsi ! >> dit elle.

Dehors, le ciel est gris mais lumineux. Il fait toujours aussi étrangement doux. Il n'est que neuf heures trente et la température est déjà de 18°. La vaisselle. On se lave les dents. Nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti pour notre heure de jogging. Nous sommes en shorts et T-shirts le long du même parcours que hier. À l'aller comme au retour nous passons devant la maison de Jean-Jacques. Il est dix heures trente quand nous prenons une bonne douche. Vêtus comme hier, jupette, bermuda et T-shirts, nous préparons la valise.

Clémentine sort nos affaires de l'armoire. Je plie soigneusement nos vêtements avant de les déposer dans la valise. Elle revient sur le week-end. Cette seconde semaine de vacances qui nous attend. Je vais à la voiture pour y déposer les sacs et la valise. J'entends soudain des éclats de voix. Je m'approche de la fenêtre de la chambre. Quelle surprise. C'est notre voisin. Jean-Jacques tient à la main un bouquet de fleurs. Je découvre une Clémentine embarrassée. À double titre. Elle est toujours très gêné de revoir un mec avec lequel il s'est passé un "truc".

Elle paraît extrêmement confuse par le cadeau que lui fait le voisin. Je décide de ne pas intervenir. La fenêtre est entrebâillée. J'entends donc tout. Le bougre est entrain de faire une véritable déclaration d'amour à ma compagne. Je ris en cape. Pour bien situer les choses, ayant retrouvé l'ascendant sur elle-même, Clémentine prend le bouquet qu'elle pose sur la table. Elle va dans la cuisine pour y remplir un vase d'eau. Revenant dans la chambre elle y met les fleurs. Jean-Jacques, amoureux transi, observe tout ça comme un spectateur ravi.

Il arrive à l'oreille de Clémentine. Il paraît encore plus petit devant cette grande et sublime jeune fille. Soudain, se tournant vers notre voisin de vacances, elle pose sa main sur sa braguette pour dire : << Je me suis régalée hier ! Ne gâchez pas tout en y mêlant du sentiment voyons ! >>. Notre lascar, ému, précise : << Mais je vous aime ! >>. Il est temps d'intervenir, de mettre un terme à cette situation ridicule. J'entre dans la maison en sifflotant. Je m'écrie : << Oh ! Bonjour monsieur Jean-Jacques. Tout va bien ? >>. Notre Roméo reprend ses esprits.

Je tends mon poing qu'il touche du sien. Il montre les fleurs pour dire : << Je suis venu vous dire au revoir ! >>. Il est confus notre homme. Il ne s'attarde pas. Nous le raccompagnons jusqu'à la porte. Clémentine me saute au cou en éclatant de rire. << Un fada parmi les fadas ! Non mais qu'est-ce qu'il croit ce mec. Je l'ai sucé et le voilà perclus de sentiments ! >>. Nous rigolons comme des bossus en faisant le ménage partout dans la maison. Nous hésitons entre prendre notre dernier repas ici ou repartir pour trouver un restaurant sur la route.

Nous laissons un endroit aussi propre qu'à notre arrivée. Finalement Clémentine propose de manger là. Elle prépare une salade avec le dernier concombre. Je coupe le reste de la grosse miche de pain complet en quatre tranches. Beurrées j'y dépose des filets d'anchois. Deux boîtes. Sur le tout de fines tranches de gruyère de Comté. Au four. C'est une préparation d'une simplicité déconcertante. Je la recommande car c'est réellement délicieux avec une bonne salade. Ça remplit, c'est gustatif, c'est nourrissant dans le sens diététique. Ça tient au ventre.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur l'attitude de notre voisin. << Brave homme. Sa solitude doit lui jouer de biens mauvais tours. Une pipe et le voilà redevenu un adolescent épris d'amour pour une salope ! >> lance Clémentine en s'asseyant à califourchon sur mes cuisses. Nous rigolons comme des bossus. Par pour se moquer. Non. Juste pour le côté décalé, surréaliste de la situation ubuesque. << Et toi, quand je te suces, tu tombes amoureux ? >> me demande Clémentine en se frottant dans un nouveau mouvement masturbatoire.

Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous ne laissons aucune trace de notre passage. Le propriétaire ne va pas tarder à venir récupérer ses clefs. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la minuscule salle de bain. Lorsqu'elle est déconneuse Clémentine adore imiter l'accent méridionale de Juliette. Nous sommes pliés de rire. La cloche de la porte d'entrée se met à carillonner. Clémentine se précipite. C'est le propriétaire. Il fait un rapide tour des lieux en nous félicitant pour la propreté. Il est quatorze heures pile.

Un couple prend le relai en arrivant cet après-midi jusqu'à dimanche prochain. Des vacanciers venus de Belgique. Le propriétaire est donc ravi de n'avoir pas à préparer la maison. Nous sortons dans le jardin à l'arrière de la maison. Il découvre notre voiture. Admiratif il en fait le tour. << C'est surprenant cette peinture mate. On dirait de l'acier galvanisé. Et avec ce gris en plus ! Mais c'est magnifique ! >> lance t-il. Sur sa demande, j'évoque le prix. << Ah oui, quand même ! >> s'exclame t-il avant de rajouter : << Qualité et prestations allemandes ! >>

Nous saluons notre homme avant de monter dans l'auto. Son moteur est à peine audible à l'extérieur. Totalement silencieux à l'intérieur. Je quitte le jardin en contournant la maison. Nous échangeons un dernier signe de la main avec le propriétaire. C'est parti. Direction "chez nous". Je roule doucement. Clémentine déboutonne ma braguette pour en sortir le locataire. << J'en profite, car quand tu bandes c'est plus difficile ! >> dit elle en me faisant plein de bises sur la joue. Me voilà bite à l'air sur les petites routes départementales que nous privilégions.

Avec ma conduite, les 360 chevaux sous le capot de cette "bombe" ne seront jamais sollicités. Mais c'est très rassurant de savoir qu'ils existent. Rouler dans une grosse berline allemande comme si c'était une limousine anglaise est un réel plaisir que certains lecteurs connaissent et partagent probablement. C'est une sensation unique. Une petite pression sur l'accélérateur et on pilote une fusée. Clémentine, qui joue avec ma queue, commente le paysage d'automne qui défile. Toutes les déclinaisons de la rousseur des feuillages.

Premier arrêt pipi. Nous passons devant un emplacement bus. Il y a un quidam qui semble attendre, assis sur le banc métallique. << C'est un routard ! Regarde l'énorme sac à dos posé à côté de lui ! >> dit Clémentine. Je demande : << Une victime potentielle ? >>. Elle me répond : << Oui, fait demi tour ! >>. Je m'exécute. Nous nous garons discrètement à une cinquantaine de mètres. Derrière la vitre fumée de l'arrêt du bus. C'est en pleine cambrousse. Il y a bien un hameau à quelques centaines de mètres. Mais l'endroit est totalement désert.

Nous sortons de la voiture. Je reste en retrait, caché derrière un pan de mur. Une ruine envahie de ronces et de lierre. L'endroit idéal pour mâter peinard. Je regarde Clémentine se diriger vers l'arrêt de bus qu'elle contourne d'un pas lent, les bras croisés. Le routard lève la tête pour regarder passer cette fille en jupette, T-shirt. Debout à ses côtés elle lit les horaires affichés. Ce n'est évidemment qu'un prétexte. Je bande. Je me touche. Quand Clémentine nous offre ce genre de spectacle, impossible de me soustraire à l'excitation qui me gagne. Forte.

Elle se touche d'une main. Le type s'en rend compte. De son autre main Clémentine pointe son index vers les horaires. Comme pour les assimiler. Elle reste ainsi une bonne dizaine de minutes. Soudain, se contenant difficilement, accablée par son réel besoin de pisser, elle se penche en avant. Se tortillant, les deux mains entre ses cuisses, elle contourne l'arrêt de bus pour s'accroupir derrière la vitre. Juste dans le dos de notre innocente victime qui se retourne pour regarder. Il contemple le show merveilleux que lui offre cette splendide pisseuse.

Bien évidemment, trop heureuse de s'offrir ce moment de plaisir intense, Clémentine en rajoute. Les cuisses largement écartées, dans une indécence folle, elle pisse en direction du mec. Il reste avec la tête tournée. Au risque de se choper un torticolis. Il y a là de quoi satisfaire la libido débridée de tout un régiment. Je me branle en contemplant. C'est comme une première fois. Le type n'a probablement jamais vu ça. Et s'il l'a déjà vu, ce n'était certainement jamais une "femme fontaine" capable de propulser ses jets à une telle distance. Petit privilégié va !

Car c'est contre la vitre fumée que Clémentine dirige le flot impressionnant. Le routard se lève. Il contourne l'arrêt de bus. Il reste à quelques mètres. Je le vois parler sans comprendre. C'est du néerlandais. Un peu guttural. Voyant que la fille accroupie devant lui ne comprend pas il s'exprime en anglais. Lui aussi manifeste sa profonde admiration. Va t-il lui aussi tomber amoureux de cette "image" ? Clémentine se redresse. Avec le mouchoir en papier qu'elle tient à la main elle se torche longuement. Cambrée sur ses genoux fléchis.

Lorsqu'elle veut le jeter dans la poubelle, je vois notre gaillard se précipiter. Suppliant Clémentine de le lui offrir. Ce qu'elle fait volontiers en glissant sa main libre sous sa jupette. C'est en se masturbant carrément devant cet inconnu qu'elle demande s'il en fait collection. Notre fétichiste précise que ce sera la première pièce de sa collection. Je les vois rire tous les deux. Clémentine le salue de la main à l'instant précis où arrive l'autocar. Ce qui met un terme à cette rencontre. Clémentine vient me rejoindre en sautillant. Elle se touche. Des bisous.

Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets. << Ça m'excite à chaque fois comme si c'était la première fois ! J'adore m'exhiber devant des mecs cools ! >> dit elle en s'accroupissant pour savourer le reliquat. Nous reprenons la route. Le voyage du retour se passe sans encombre. << Ce qui est normal puisque nous ne l'avons pas emmené avec nous ! >> précise Clémentine qui cesse de me sucer pour se redresser. Elle adore me tailler des pipes quand je suis au volant. Il est un peu plus de dix neuf heures quand nous arrivons enfin à la maison.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines. Après un bon gratin de coquillettes, elles se feront lécher, sucer, baiser, éjaculer dans la bouche...

Julien



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Classe - 2 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2053 -



Qu'il est agréable de retrouver ses repères, son repaire...

Il est presque huit heures. Hier samedi. Nous nous réveillons quasiment en même temps. Clémentine me chevauche en riant. << Comme c'était bien ces quatre jours à Tiffauges. Je suis toute "réparée ! >> me fait elle en frottant son sexe sur mon érection naturelle. Impossible de mimer l'acte d'amour plus longtemps. Le besoin est trop urgent. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, dans nos leggings noirs et dans nos sweats jaunes en lycra, nous dévalons les escaliers. Il flotte encore une odeur. Celle du gratin de coquillettes de hier soir.

Clémentine prépare le café en me donnant les impressions qui se bousculent en elle. Ce court séjour a agit à la façon d'une catharsis. << Libérateur ! >> conclue t-elle alors que je presse nos dernières oranges, que je pèle les derniers kiwis. Nous prenons notre copieux petit déjeuner en revenant sur nos aventures vendéennes. La fellation prodiguée à ce voisin de vacances. Clémentine en garde un souvenir amusé. << Très excitant de sucer de la queue toute molle. Je récidive avec celle de Louis la semaine prochaine ! >> lance Clémentine.

Nous en rions de bon cœur. Je vais ouvrir le portail depuis l'interphone dans le hall d'entrée. Nous mangeons de bon appétit en envisageant une sortie à bicyclette cet après-midi. Il fait tellement beau. Quelle chance d'avoir un si bel été indien. << Et ces cons des médias qui restent dans l'information anxiogène avec leurs histoires de records de chaleurs. Sinistres crétins ! >> s'exclame Clémentine. Il est à peine huit heures vingt. Du bruit. Julie jaillit dans la cuisine. Radieuse, lumineuse, souriante. Ses longs cheveux qui flottent sur ses épaules.

Elle se précipite vers Clémentine pour faire trois bises. Puis vers moi pour me faire pareil. Nous sommes restés en contact par mails quotidiens. Julie est donc parfaitement informée de toutes nos petites histoires. Après avoir publié sur le forum, il suffisait de faire un copié puis de le coller dans le courriel. << Tu as du cran. J'admire ton courage Clémentine ! >> s'écrie Julie. Julie qui vient pour le ménage apporte depuis quelques samedis matins son sac de sport. Il contient des vêtements qui permettent de plus amples mouvements. À l'aise.

<< Allez courir. Profitez de cette météo, je m'occupe de tout ! >> rajoute encore Julie. Avant de quitter la cuisine, nous lui déposons chacun une bise sur le front. Il fait presque trop chaud en leggings et en sweats. Même si ces vêtements ultra légers sont en lycra, nous supporterions bien mieux d'êtres en shorts, T-shirts. Tant pis. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Nous descendons d'une bonne foulée jusqu'à la rivière. Nous pratiquons notre jogging sur le sentier qui la longe. Une heure d'un running exceptionnel de douceurs.

Il est neuf heures trente. Il y a quelque chose d'élégiaque d'entendre l'aspirateur à l'étage. Nous montons prendre notre douche. Clémentine s'habille d'une robe d'été mauve à motifs floraux. Je suis en bermuda, T-shirt. Nous dévalons les escaliers pour tomber sur Julie. Elle s'apprête à passer l'aspirateur au salon. Vêtue de sa tenue de serveuse. Jupette de velours noir, chemisier blanc, souliers noirs à légers talons. Nouvelles bises sur son front. Je glisse ma main sous sa jupette. Pas de culotte. Julie me dis : << J'ai mes petits machins ! >>. Nous rions.

Je retire ma dextre pour la passer à nouveau mais par derrière. Enculée jusqu'à son socle par le plug anal que nous lui avons offert pour ses 21 ans. Je dis : << Les filles qui aiment l'enculade ont un avantage certain sur les autres ! >>. Nous éclatons tous les trois de rire. Clémentine m'ouvre la braguette. Elle en écarte soigneusement les revers. Je porte un slip blanc. << Pour Danièle ! >> déclare t-elle. Nous laissons Julie à ses occupations pour ressortir. Voilà la camionnette Mercedes flambant neuve qui descend lentement le chemin pavé.

Danièle, depuis notre retour d'Écosse, nous fait de grands sourires. Elle si réservée, si mutique les années précédentes nous a probablement "apprivoisé". Elle saute de son véhicule en nous faisant un grand : << Bonjour ! C'était bien les vacances ? >>. Cette fois, elle semble éviter de fixer ma braguette pourtant béante comme jamais. Elle contourne la camionnette pour en ouvrir les portières arrières. Elle en tire nos deux cageots. L'un contient nos fruits et nos légumes. L'autre les fromages, les œufs, les petits pots de crème fraîche, le beurre et les yaourts.

Sur un ton humoristique la jeune femme précise : << Comme nous apprenons tous les jours que tout est fabriqué en Ukraine, il faudra s'attendre à une nouvelle hausse des prix ! >>. Nous en rions de bon cœur. Danièle à encore bien d'autres clients à livrer. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Nous nous saluons. Cette fois, au volant de son véhicule la jeune femme fixe ostensiblement ma braguette. Je bande presque instantanément. Danièle démarre. Un dernier signe de la main. Je referme rapidement ma braguette.

Voilà le tube Citroën rénové de notre boulangère adorée. Madame Marthe, hilare, se gare derrière la Clio rouge de Julie. Malgré sa corpulence la souplesse de la dame nous laisse sans voix. Elle ouvre la porte latérale coulissante, dans un horrible bruit de ferraille. Elle en sort un cageot. Deux grosses miches de pain complet et "bio". Deux pâtes feuilletées. La brioche au pudding de plus en plus énorme. << Il faut bien justifier que tout est plus cher ! Avec mon mari on ne sait même pas si on va continuer la boulangerie ! >> rajoute Mme Marthe.

Elle nous offre malgré tout les deux gros croissants habituels. À la pâte d'amandes. J'insiste pour les payer en disant : << Madame Marthe, l'heure n'est plus aux cadeaux ! >>. Elle nous adresse un large sourire en remontant dans son tube. Elle démarre. Nous prenons les cageots pour contourner la maison. Nous descendons à la cave par derrière. Sur les étagères du cellier nous disposons soigneusement les fruits et les légumes. << Tu as vu la réaction de Danièle ? Elle n'a pas pu s'empêcher de mâter ta braguette ! Ça avance ! >> dit Clémentine.

Nous rions quand elle me l'ouvre à nouveau pour en extraire le locataire. Je bande mou. Du congélateur ou je range les pâtes feuilletées, une des grosses miches, je sors le paquet de moules. 2 kg. Les deux sachets de petits pois et de haricots verts. Rituel du samedi. Clémentine, serrée contre mon dos, mime une baise par à coups en me tenant la queue. << Sois bien vicelard avec Julie ! Elle ne vient pas que pour le ménage avec son plug dans le cul ! >> rajoute encore Clémentine en me branlant. Nous remontons par l'escalier intérieur.

Julie qui s'apprête à passer la serpillère nous a entendu monter. C'est certain. Elle est accroupie devant le seau qui cache son sexe. Ses cuisses largement écartées. Elle essore la serpillère en fixant ma bite. Je bande mou. Nous rangeons les produits frais dans le réfrigérateur. Je me tourne vers Julie en agitant mon sexe. Elle n'ose pas soutenir mon regard, me lance un rapide sourire en observant ce que je fais tourner. Juste avant de sortir de la cuisine, je m'approche soudain. L'effet de surprise est total. Julie a un mouvement de recul bien normal.

Je la saisis par l'élastique qui tient ses cheveux. Fermement. Je frotte ma bite sur son petit minois. Elle garde les lèvres serrées afin que je ne puisse pénétrer sa bouche. Elle a les mains mouillées, tenant la serpillère. Je pince son nez, fermant ses narines. Julie tente bien l'apnée quelques instants. Mais pour pouvoir reprendre sa respiration elle n'a d'autres alternatives que d'ouvrir la bouche. C'est là qu'en parfait vicelard, j'enfonce mon sexe. Je me penche pour dire : << Un avant goût de ce qui vous attend la semaine prochaine douce Julie ! >>.

Clémentine que la scène excite, se touche. Une main sous sa robe, l'autre en appui contre l'encadrement de la porte. Je retire mon sexe en laissant se briser sur le menton de Julie un filament de jute baveuse. Elle se redresse à la limite de l'ankylose. Un dernier bisou sur son front et nous quittons la cuisine pour le salon. Assise sur mes genoux, tenant ma queue d'une main, Clémentine la lâche pour allumer l'ordinateur. << Je suis entrain de maculer le clavier avec ton foutre ! >> lance t-elle en prenant une lingette pour essuyer les touches. Nous en rions !

Trois messages. Celui de l'entreprise paysagiste. Elle confirme sa dernière venue de l'année le lundi le 7 novembre. La propriété a besoin d'un grand nettoyage. Un courriel de Juliette qui nous invite à passer au haras. Elle y organise la première animation équestre de la saison. Le mail d'Estelle qui avoue son impatience de nous rejoindre d'ici deux heures. Dans la petite enveloppe jaune, je glisse un billet de 50 euros. Clémentine y rajoute un petit mot gentil. Je signe d'une fleur stylisée en forme de pénis. Il est 11 h30 quand Julie vient nous rejoindre.

À nouveau vêtue de son jeans, de son T-shirt, de ses baskets. << Je viens passer trois jours avec vous. De lundi après-midi à mercredi en fin de matinée. Je suis folle d'impatience. Vous m'avez tellement manqué ! >> dit elle d'une voix timide et tristounette. Clémentine se lève pour contourner le bureau. Elle prend Julie dans ses bras. Toute petite et menue contre Clémentine qui la dépasse d'une tête. Cet élan d'affection arrache un petit cri de ravissement à Julie. Clémentine la repousse doucement. Je me lève à mon tour en tendant l'enveloppe.

<< Merci ! Vous voilà avec une belle maison bien propre. Cet après-midi je fais pareil avec maman chez nous ! >> dit Julie en prenant l'enveloppe. Elle regarde mon sexe. Il pend tel un tuyau d'arrosage. C'est surprenant et émouvant quand Julie avance la main pour le saisir comme s'il s'agissait d'un objet précieux. Je murmure : << La semaine prochaine je vous promets de bien belle émotions ! >>. Elle me lance un regard furtif, fuyant, mais sans pouvoir dissimuler le profond trouble qui l'envahit soudain. Nous la raccompagnons jusqu'à son auto.

Assise au volant, la vitre baissée, Julie regarde Clémentine agiter mon sexe dans sa direction. << Je me réjouis ! >> lance notre amie. Clémentine dirige alors les jets contre la portière de la voiture. Je pisse par tous petits jets afin de faire durer. La dernière giclée avant que Clémentine ne se penche pour sucer les gouttes ultimes. Elle se redresse en disant à Julie complètement sidérée : << Tu vas te régaler dès lundi. On prépare une tourte aux poireaux. Mâte un peu ce poireau ! >>. Julie démarre. Nous la sentons accablées par l'obligation de partir.

Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer. << Je t'aime Julien. J'adore mon vicieux ! Tu le seras avec moi jusqu'à la rentrée ? >> lance Clémentine en me serrant dans ses bras. Je passe ma main entre ses cuisses. << Pas de culotte entre nous ! >> dit elle. Nous rigolons comme des bossus. Son sexe me dégouline sur les doigts. J'adore les porter à ma bouche pour sucer la mouille de la fille que j'aime. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare le bouillon avant d'y jeter les moules encore congelées. Les haricots verts dans le wok.

J'y rajoute les petits pois. Préparations du samedi. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les attitudes de Julie. << On va beaucoup s'amuser avec elle pendant trois jours ! Baise-là un maximum, je t'en donne l'autorisation. Et ça la changera de ses enculades ! >> lance Clémentine. Nous rions aux éclats. Je promets d'être à la hauteur de toutes ses attentes. Et probablement de celles de Julie. Nous traînons à table. Assise à califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, mitraillant mon visage de bises, se frottant, Clémentine se confie.

<< Je peux sucer monsieur Bertrand la semaine prochaine ? Sa bite minuscule me manque tu sais ! >> chuchote Clémentine. Je m'empresse de répondre : << Et comment ! Régale-toi ! >>. Clémentine rajoute : << Et baiser avec lui, je peux ? >>. Je la rassure en précisant : << Tout ce qui te passe par la tête. Et si tu élaborais une mise en situation bien tordue comme tu en as le secret ? >>. Rires. Clémentine s'écrie : << Tu me comprends si bien. Je t'aime. Je t'aime comme une folle ! >> hurle t-elle avant de m'embrasser avec fougue.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir. << Je vous entends rigoler sans moi ! >> lance Estelle en entrant dans la salle de bain. Elle se précipite vers nous. Nous n'avons même pas terminé de nous essuyer les bouches que nous voilà serrés tous les trois dans une étreinte passionnée. Que c'est bon de nous retrouver tous les trois. Même si Clémentine apprécie énormément de se retrouver seule avec moi, la présence de sa vieille amie, de sa "sœur" de cœur, de sa complice, finalise toujours un bonheur sans nom.

Nous allons dans la chambre. << Sors ta bite. Je veux l'avoir à portée de main tout le temps ! >> lance Estelle en sortant ses affaires du grand sac de sport qui l'accompagne tous les week-end. Nous nous changeons pour nous mettre en tenues vélo. Jupettes "tennis", T-shirts pour mes deux anges, short et T-shirt pour moi. Nous prenons des poses devant le grand miroir de l'armoire. Les filles, têtes en appui contre mes hanches, cuisses largement écartées, enserrant mes jambes de leurs bras, échangent leurs impressions dans ce moment tant attendu.

Pour faire de la bicyclette, elles portent toutes les deux une culotte qu'elles enfilent rapidement en riant. Pressés de filer nous dévalons les escaliers. Je sors le vélo d'Estelle de son Kangoo. << Papa a tout vérifié ! >> précise t-elle. C'est parti. Dans le petit sac à dos que je porte, les leggings, les K-ways, les pommes, les barres de céréales. 300 mètres jusqu'à la rivière. La passerelle. 500 mètres jusqu'à la piste cyclable. Nous pédalons dans une totale absence de vent. Il fait aussi chaud qu'en plein été. Nous croisons une foules de cyclistes. Superbe.

Il y a 25 km jusqu'au petit port de plaisance. Nous les faisons d'une traite. Pas d'arrêts pipis. Les filles se gardent pour quelques amusements au port. Il est 15 h30 quand nous fermons les vélos à cadenas derrière le cabanon de la capitainerie. Il y a un monde fou sur les quais. Estelle et Clémentine retirent discrètement leurs culottes pour les fourrer dans la poche avant du sac. Elles se serrent contre moi en tripotant mes organes génitaux. << On va le faire bander le monsieur ! >> chuchote Estelle. << Et mouiller aussi ! >> rajoute Clémentine.

Nous traversons la route en nous tenant par la main. Il y a autant de monde dans la supérette. Estelle nous attend à la caisse. Clémentine et moi allons chercher les crèmes glacées. Génial. Il y a notre marque préférée. Ben & Jerry's. << Put- hein, mais celles-ci aussi sont fabriquées en Ukraine ! >> s'écrie Clémentine en constatant que de 5,50 euros le pot, il est à présent passé à 6,70 euros. Nous rions de bon cœur quand je dis : << On s'en fout des prix ! >>. Nous rejoignons Estelle. C'est la gérante en caisse. Avec tous ces clients pas de bavardages.

Confortablement installés sur le banc habituel, nous savourons nos parfums en regardant les joueurs de boules. C'est le même type qui mâte à chaque fois vers ici. Lui aussi nous reconnait. Il sait qu'il va être gratifié d'un spectacle remarquable. C'est presque devenu une habitude. Bien évidemment, dans un généreux élan altruiste, Clémentine lui offre ce qu'il attend. Discrètement, lorsqu'il est le seul à regarder par là, elle écarte ses cuisses. << Salope ! >> chuchote Estelle qui fait pareil. Deux exhibitionnistes rien que pour lui. Chanceux.

Cette fois, par surprise, j'enfonce le clou. Sans prévenir, je place mes mains entre les cuisses pour palper vulgairement les chattes des deux coquines. Le joueur de boules reste complètement halluciné. Ainsi, il découvre que je sais parfaitement ce qui se passe, que j'en suis le complice et présentement un des acteurs. Il détourne la tête comme gêné. Il n'ose plus mâter par ici. << Dommage ! Sans doute un timide ! >> murmure Estelle qui pourtant prend tous les risques. Elle qui n'est pourtant pas du tout exhibitionnistes s'accroupit devant le banc.

<< T'es folle ! Arrête ! Regarde il y a des mecs en vélo là-bas ! >> lance Clémentine. Estelle se redresse en disant : << Qu'ils profitent un peu de la vue ça les changera ! >>. Nous jetons nos pots vides dans une poubelle. Nous flânons sur les quais. Clémentine à la recherche d'un plan exhibe. Estelle me palpant la bosse. Pour rester discrète elle se serre chaque fois contre moi. J'en profite pour glisser ma main entre ses cuisses. Je lui montre mes doigts luisants de sa foutrine. Elle hume en disant : << Ça sent rien ! >>. Je suce mes doigts. Miam.

Il faut se faire une raison. Il n'y a pas de réelles opportunités pour vivre une exhibe de qualité. Nous passons devant le bar restaurant en bout de jetée. La terrasse extérieure est noire de monde. Nous attirons encore évidemment bien des regards. Non, messieurs dames, je ne suis pas le papa des deux sublimes jeunes filles terriblement sexys accrochées à mes bras. Estelle et Clémentine aiment à le confirmer avec des attitudes équivoques. Nous nous en amusons à chaque fois. Même dans les toilettes extérieures au fond de la cour, il y a du monde.

C'est un peu la rançon du succès que connaît l'endroit. << Tu me baises ce soir ? >> me demande Estelle en fourrant sa main dans mon short. Je réponds : << Je vous baise toutes les deux. Comme vous aimez. Vautrées sur le bureau ! Ça vous tente ? >>. En sautillant autour de moi comme des écolières elles se mettent à pousser des cris : << Oh oui ! Oh oui ! >>. Ce qui attire évidement l'attention de ce groupe de cyclistes qui poussent leurs vélos. Nous retournons aux nôtres car il est déjà 17 h. << Cette nuit, changement d'heure ! >> fait Estelle.

<< Rassurons-nous, comme tous les ans, c'est la dernière fois ! >> dit Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Les filles remettent leurs culottes. << Ce n'est que dans les films pornos médiocres que les filles font du vélo sans culottes ! >> lance une fois encore Estelle quand je demande pourquoi. Nous voilà sur le retour. Avec autant de cyclistes qu'à l'allée. C'est sympa car un petit vent d'Ouest nous pousse. Il est 18 h45 quand nous revenons à la maison. Assis à la table de la cuisine nous épluchons les pommes de terre, les carottes, les navets, le céleri.

En grande quantité. Ce sera l'accompagnement des trois repas du week-end. Estelle nous raconte la soirée de mercredi en compagnie de Gauvain chez ses parents. Les visas touristiques pour les états unis sont arrivés. Estelle passera les vacances de fin d'année à Santa Monica. Dans la famille de Gauvain. << Vous allez me manquer. L'Écosse va me manquer ! >> lance t-elle d'une voix sincèrement dépitée. Je dis : << Mais c'est génial. Tu vas voir. Los Angeles c'est fou ! Tu n'auras plus envie de passer tes vacances ailleurs et puis à Noël il y a 22° ! >>.

Clémentine s'occupe de la salade. Estelle touille les légumes dans la vieille cocotte en fonte noire. Dans la poêle je fais rissoler trois magnifiques dos de cabillaud blanc. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos aventures de la semaine dernière. Estelle nous laissera lundi matin pour revenir en soirée. Il y a du travail dans l'entreprise familiale. Avec les crises successives ses activités connaissent un essor sans pareil. À tel point que les parents d'Estelle envisagent de créer une troisième filiale. Mais cette fois en Écosse. Excellente idée.

La vaisselle. Pressées de vérifier si mes promesses tiennent toujours, mes deux anges m'entraînent au salon. Elles m'arrachent mon short, mon T-shirt. Elle retirent leurs jupettes, leurs T-shirts. Tous les trois, juste en soquettes et en baskets, nous sommes les acteurs d'une passion dévorante. Estelle et Clémentine en appui sur leurs coudes, vautrées sur le bureau, m'offrent leurs sexes que je fouille de ma langue avant d'y enfoncer une queue dure comme le bois. Je passe de l'une à l'autre. Elles se masturbent toujours. Que je les pénètre ou pas.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines dont les orgasmes emplissent le grand salon victorien de cris, de gémissements, de pisse aussi...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 3 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2054 -



Un dimanche plein de sérénité et de douceurs

Hier matin, dimanche, il est aux environs de neuf heures. Ces grasses matinées successives nous font le plus grand bien. C'est Estelle qui saisit ma tumescence d'une poigne ferme. C'est surprenant d'être tiré du sommeil de cette façon. Elle pose ses lèvres sur ma joue pour se frotter contre ma hanche. Clémentine se réveille à son tour. Je suis entre mes deux anges. Clémentine aussi se frotte contre le haut de ma jambe. Il ne lui reste que les couilles à empoigner. Je glisse mes mains dans les culottes. Une décharge électrique tellement c'est bon.

Distribution de bisous, de papouilles avec des chuchotements et des murmures par toujours très compréhensibles. L'envie de pisser s'abat toujours d'abord sur Estelle qui se lève comme mue sur ressort. Nous la regardons se précipiter vers la porte. Clémentine me chevauche en riant. Elle me dit : << Voilà une façon bien cavalière de vous avouer mon amour, cher monsieur ! >>. Je caresse ses tous petits seins en riant moi aussi. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Encore en slips et en T-shirts de nuit, morts de faim, nous dévalons les escaliers.

Nous rejoignons Estelle vêtue de son pyjama de soie mauve. L'odeur du café qu'elle vient de préparer se mêle à celle du pain grillé. La brioche trône au milieu de la table. Estelle me saute au cou. C'est un rituel aussi. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. Mitraillant mon visage de bises elles dit : << Put-hein comme c'était bon hier soir. Tu es un spécialiste des baises sur bureau ! >>. Nous rigolons comme des bossus. J'administre le même traitement à Clémentine qui rajoute : << Cunnilingus sur bureau. Un vrai délice ! >>.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur le projet d'Estelle. Son visa pour les États Unis est arrivé jeudi dernier. << J'ai peur. Oui ! J'ai peur de casser cette merveilleuse histoire qui dure depuis cinq ans ! >> s'écrie t-elle. Je dis : << Estelle, tu as 25 ans. Un super mec comme tu les aimes te tourne autour depuis cinq ans. Il t'invite en Californie et toi tu as des considérations d'ordre métaphysiques ! >>. Estelle se lève. Elle vient s'assoir sur mes genoux pour répondre : << Tu ne comprends pas ! J'ai horreur de devoir faire des choix ! >>.

Nous mangeons de bon appétit en nous promettant de faire le tour de la question la semaine prochaine. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges évoquent leurs études, les résultats positifs obtenus depuis qu'elles sont petites. Les deux années qui s'annoncent seront consacrées à la préparation de leurs Doctorats. << J'aimerais beaucoup terminer mes études en continuant de vivre notre merveilleuse aventure à trois. Gauvain peut bien attendre encore deux ans. Après, c'est certain, il sera mon homme ! >> dit Estelle.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents, faire notre lit et nous habiller. Dehors il fait beau. Les fenêtres de la chambre grandes ouvertes permettent de se rassurer. Il fait toujours aussi chaud. Nous sommes vêtus comme hier. Jupettes et T-shirts pour les filles. Short et T-shirt pour moi. Pressés de profiter de cette météo exceptionnelle nous dévalons les escaliers à toute vitesse. Il n'est que 10 h30. Le thermomètre extérieur indique déjà 20°. Estelle qui tripote la bosse dans mon short dit : << Cet après-midi on se fait une virée vélo ! >>.

Clémentine rajoute : << Avec plans exhibes en ligne de mire ! >>. Nous rions de bon cœur en descendant vers la rivière. Les filles, accrochées à mes bras font le très vague programme de la semaine à venir. Dernières vacances avant la véritable rentrée de ce premier trimestre. << Tu sais que nous aurons un vrai "Maître ? >> me fait Estelle en glissant sa main dans mon short. Clémentine rajoute : << Un "Maître" de thèse, précisons ! Il sera chargé de nous guider. De mettre en forme nos travaux ! >>. J'écoute avec beaucoup d'intérêt. Super !

Je sais déjà que les deux prochaines années à venir seront aussi passionnantes pour mes deux anges que pour moi. Nous marchons sur le sentier qui longe la rivière. Estelle qui marche devant se retourne à plusieurs reprises pour poser ses lèvres sur les miennes, palper la bosse de mon short. Je me tourne alors pour faire la même chose à Clémentine. Elle saisit à chaque fois mon poignet pour que surtout je ne cesse de passer mon index entre les lèvres charnues de sa vulve humide. << Moi aussi ! >> lance Estelle en relevant sa jupette. Pas de culotte.

Nous nous amusons énormément de ce paradoxe. Évoquer les aspects les plus sérieux de nos existences tout en nous livrant aux actes les plus grivois. Combien de fois n'éclatons-nous pas de rire en prenant conscience de ce fait. J'ai la bite et les couilles qui dépassent par le haut de mon short. C'est désagréable car l'élastique agit comme un garrot par en-dessous. << C'est génial ça impose une bandaison molle. Et tu sais qu'on les préfère car plus juteuses ! >> fait Clémentine en se penchant pour mitrailler mes organes génitaux de bisous bien sonores.

Nous revenons sur nos pas animés par une faim grandissante. << La bouffe, la baise et la belle vie ! >> lance Estelle. << Sans déconner, tu connais mieux comme plan de carrière ? >> s'écrie Clémentine. Je remballe la bite et les couilles avant que nous prenions le chemin qui remonte vers la maison. Bien inspiré car nous rencontrons monsieur Bertrand. Notre voisin qui descend nourrir les canards. Nous bavardons. Louis louche sur les cuisses à l'air et les petits seins qui pointent sous les T-shirts. Quand il parle avec Estelle, Clémentine me fait un clin d'œil.

Estelle me fait pareil quand il cause avec Clémentine. Clémentine qui précise : << Je viens voir la finalisation de vos travaux de menuiserie un de ces tous prochains jours ! >>. Monsieur Bertrand précise : << Mardi, en début d'après-midi, ce serait parfait. Je serai dans le jardin ! >>. Je m'empresse de rajouter : << Louis, je vous demande de m'excuser mais j'ai un emploi du temps extrêmement chargé. Je ne pourrais pas accompagner Clémentine. Mais je vous promets de venir voir bientôt ! >>. Ce mensonge comble d'aise notre vieux pervers.

Même s'il n'en montre rien cette ruse arrange bien ses désirs de vieux cochon. Nous le saluons. << À mardi alors ! Je viens vers 14 h, c'est bon ? >>. Monsieur Bertrand s'écrie avec un enthousiasme qu'il ne contrôle pas : << Parfait Clémentine ! >>. Une fois rentrés nous éclatons une nouvelle fois de rire. << Vous avez vu ! Il était presque hystérique le bougre ! >> lance Clémentine. << Si j'étais là, je viendrais le sucer avec toi ! >> s'écrie Estelle. Elle s'accroupit pour mordiller la bosse qui déforme l'avant de mon short. C'est que je bande.

Clémentine prépare la salade de concombre. Estelle s'occupe des pavés de saumon qu'elle fait en papillotes sur le barbecue électrique dans la véranda. Nous hésitons. Il fait tellement chaud que nous pourrions manger dans le jardin. Je réchauffe la potée de légumes. Parfois je cesse pour aller coller ma bite contre la porte vitrée de la véranda. Elle tourne son poing droit devant sa bouche en mimant une pipe. De sa main gauche elle mime une masturbation masculine. J'adore la vulgarité dont fait preuve Estelle dans l'intimité de nos aventures folles.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le rendez-vous de mardi. Clémentine envisage quelques cas de figures. Je suggère qu'elle porte autour du cou le collier canin "décoratif". Il est un cuir blanc et présente une boucle laitonnée en forme de cœur. << Excellent ! >> s'écrie Clémentine. << Pourquoi tu ne porterais pas un plug dans le cul comme Julie ? >> demande Estelle. << Parce que je déteste avoir quelque chose dans le cul, ça me fait chier ! >> répond Clémentine. Nous sommes pliés de rire. La vaisselle. Nous montons laver nos dents.

Il serait stupide de perdre la moindre minute. Aussi nous redescendons en courant. Dans le petit sac à dos, des pommes, les K-ways, les barres de céréales. C'est parti. 300 m jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. 500 m jusqu'à la piste cyclable. << On se fait un arrêt baise au cabanon de l'écluse ? J'ai trop envie ! >> dit Estelle alors que nous pédalons contre un léger vent d'Ouest. Il nous poussera au retour. << Excellente idée ! >> fait Clémentine. Il fait aussi chaud qu'en plein été dans un paysage automnale. C'est vraiment surprenant.

Pas d'arrêt baise au cabanon de l'écluse car une bonne vingtaine de cyclistes cassent la croûte assis au bord du canal. << Merde ! >> s'exclame Estelle. << C'est dimanche ! >> fait Clémentine. Nous parcourons les 25 km jusqu'au port de plaisance d'une seule traite. Il y a encore plus de monde que hier. Nous adorons l'ambiance qui règne sur les quais. Comme hier nous fermons les bicyclettes à cadenas derrière le cabanon de la capitainerie. Mes deux anges retirent rapidement leurs culottes pour les glisser dans la poche avant du sac à dos.

C'est en montant le chemin de la colline que nous dégustons les cônes glacés. C'est tout ce qui restait dans le congélateur de la supérette. Nous arrivons au cimetière historique au sommet de la colline. D'ici, la vue sur la région est sublime. Tout en bas, les lumières étincelantes des parties métalliques des bateaux de plaisance. Il y a un peu moins de monde ici. Si mes deux anges veulent s'offrir quelques "frayeurs" exhibitionnistes, ce ne sera possible qu'entre les tombes. Ce fameux caveau de famille toujours ouvert où nous aimons nous "amuser".

Nous y sommes tous les trois. J'ai les mains entre les cuisses de mes deux anges. Elles me tiennent les bras. Gémissantes du plaisir que je leurs offre. Je passe mes index. Clémentine est trempée. Estelle est mouillée. J'enfonce la première phalange de mes doigts. Ça rentre comme dans du beurre. Je retire mes doigts pour les sucer. Je crois bien que rien n'excite davantage mes deux coquines que de me voir déguster leurs mouilles. Une fois encore je peux comparer la délicate différence, à peine perceptible, entre les deux "yaourts" crémeux.

Des visiteurs passent parfois tout près. Je cale la porte de mon pied. C'est un caveau familial. Deux cercueils de pierre qui nous servent de tables, de bancs. Nous avons déjà baisé souvent ici. Mais là, cet après-midi, avec la fréquentation, ce serait folie que de prendre un tel risque. Surtout que des gens essaient d'ouvrir la porte en bois. Je la bloque en restant appuyé contre. Sans cesser de caresser mes deux anges. << C'est si bon Julien ! >> murmure Estelle. << Put-Hein, c'est trop bien ! >> chuchote Clémentine. Je bande comme un vrai salaud.

Estelle et Clémentine me tiennent d'une main les poignets. De l'autre elles restent accrochées à mes épaules, ma taille. Cambrées sur leurs genoux fléchis en se frottant sur mes doigts. Parfois je saisis le clitoris géant de Clémentine entre le pouce et l'index. Elle se mordille les lèvres pour ne pas hurler de plaisir. Le clitoris tout à fait "normal" d'Estelle ne permet pas ce genre d"exercice. Clémentine fouille ma bouche de sa langue. Je redouble de pénétrations des index. Puis c'est au tour d'Estelle de m'embrasser. Nous avons les mentons trempés de nos salives.

Estelle ne peut éviter l'orgasme qui la tétanise. Elle s'accroupit, mains entre les cuisses, comme en proie à une douleur intolérable. J'ai peur. Clémentine glisse sa main dans mon short. J'ai la bite aussi dure que le bois. Elle colle dans mon slip par tout le liquide séminal qui ne cesse de s'épancher depuis une demi heure. Estelle s'assoit sur le cercueil de droite en reprenant ses esprits. Elle murmure : << C'est mon meilleur Halloween ! >>. Juste avant de jouir à son tour, agitée de tremblements, Clémentine rit. Elle pisse en s'accroupissant. En criant.

Il y a des gens pas loin. On les entend causer. Il est certain que le cri de jouissance de Clémentine ne leurs a pas échappé. Pauvre Clémentine qui ne peut réfréner l'abondance de ses jets de pisse lorsque l'orgasme la possède complètement. J'en ai plein les baskets. Clémentine aussi. La terre est complètement trempée. Clémentine, en frissonnant, se redresse pour s'accrocher à moi. Je reste appuyé contre la porte alors qu'elle se serre dans mes bras en chuchotant : << Je t'aime Julien ! >>. Estelle nous rejoint : << Moi aussi ! >> dit elle.

Bonne rentrée à bicyclettes à toutes les coquines ayant encore vécues de merveilleuses aventures. Avant celles qui les attendent ce soir...

Julien



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Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Julie vient passer quelques jours à la maison

Hier matin, lundi, il est un peu plus de huit heures trente. Je suis entre mes deux anges. Dans une sorte de ballet coordonné, mais totalement improvisé, Estelle et Clémentine se serrent encore plus fort. << Trop bon ! >> murmure Estelle en commençant à se frotter. << Trop bien ! >> chuchote Clémentine qui se frotte déjà. Distribution de bisous. Des papouilles. Estelle se lève la première. Poussée par l'impérieux besoin naturel, elle se précipite vers la porte. Clémentine passe sa tête sous les draps pour gober mon érection naturelle.

C'est toujours une sensation très étrange que de se faire pomper le dard sans excitation. Je la saisis par ses cheveux pour la forcer à revenir à la surface. << J'ai trop envie ! >> dit elle. Nous éclatons de rires en nous précipitant à notre tour aux toilettes. Morts de faim, dans nos tenues de gymnastique, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Il y règne déjà les suaves effluves du café, du pain grillé. Le lundi il reste de la brioche. Il suffit de la mettre deux minutes dans le four à à micros ondes pour qu'elle retrouve son moelleux.

Je presse les oranges. Clémentine pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les grands moments du week-end. Estelle devra nous laisser immédiatement après car elle a déjà une demi heure de retard sur l'horaire prévu. Aider ses parents à l'entreprise familiale impose quand même un minimum de ponctualité. Nous mangeons de bon appétit en évoquant les deux prochains soirs d'Estelle. Demain soir, jour de la Toussaint, elle est invité chez les parents de Gauvain. Mercredi soir elle revoit son parrain. Jean-Marc le baiseur fou.

Nous en rions de bon cœur quand elle dit : << Je vous raconterai ! >>. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents, nous habiller. Nous redescendons à toute vitesse. Je tiens le sac de sport d'Estelle qui reste accrochée à mon bras. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Il fait toujours aussi doux. Par contre le ciel est couvert. Rien de menaçant toutefois. La séparation est un peu difficile. Estelle reviendra jeudi en fin d'après-midi jusqu'à dimanche. << Montre moi ta bite avant que je parte ! >> m'implore t-elle assise au volant.

Je porte mon short noir en lycra, mon T-shirt jaune en lycra. C'est Clémentine qui plonge sa main par le haut dans mon slip. Elle en tire mon sexe. Il pend tout mou entre son pouce et son index. Elle l'agite vers Estelle. Je dis : << Jeudi, quand tu reviens, je te la mets ! >>. Estelle démarre en faisant : << Dans la bouche car j'aurai la chatte complètement explosée par parrain ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Un dernier bisou. Nous regardons le Kangoo monter jusqu'au portail ouvert. Un dernier coucou. Clémentine qui me masturbe vers la route.

Quelques mouvements d'échauffement. Avec mon érection et l'excitation qu'elle procure, j'avoue avoir un peu de mal à rester connecté "jogging". Ce qui fait beaucoup rire Clémentine. C'est parti. Nous courons sur le sentier qui longe la rivière. À l'allée comme au retour. Une heure d'un superbe running plus tard nous revenons pour prendre la douche. Clémentine porte une robe d'été. Carmin avec de petits papillons colorés partout. Je suis en bermuda kaki et T-shirt brun. Nous faisons notre lit avant de redescendre. Nous passons dans l'atelier.

Assise sur mes genoux, Clémentine allume son MacBooK Pro. Deux messages. Celui de Julie qui nous avoue son impatience. Elle viendra nous rejoindre en tout début d'après-midi. Le mail de Juliette qui se désole un peu de ne pas nous avoir vu au haras ce week-end. C'est Clémentine qui fait la réponse. Elle change de position pour me tourner le dos en allant surfer sur le site de l'université. Je caresse ses tous petits seins dont les extrémités durcissent lentement. Je passe la main entre ses cuisses pour peigner les poils de sa touffe. Dénouer un peu.

C'est quand je saisis son clitoris géant qu'un spasme secoue tout son corps. Elle saisit mon poignet en disant : << Interdiction absolue d'arrêter ! >>. Je soulève ses cheveux pour caresser sa nuque. << J'aime comme tu m'aime ! >> s'écrie t-elle sans se déconcentrer. Il y a de nouvelles informations concernant la rentrée du lundi 7 octobre. << Début des choses sérieuses ! >> dit elle d'un ton solennel avant d'inspirer longuement. Les horaires sont quasiment les mêmes. Pour certaines matières les doctorants ont le choix d'un travail personnel.

La faculté toute féminine de se faire caresser et, tout en gémissant de plaisir, de rester concentrer sur tout à fait autre chose. Je reste admiratif car je redouble d'audace. La première phalange de mon index enfoncée dans sa vulve. Même si ça la fait se tortiller sur mes cuisses, Clémentine lit à haute voix l'emploi du temps de chaque jour. Cours tous les jours de 8 h à Midi. Reprise à 13 h jusqu'à 17 h. Fin de la semaine le vendredi à midi. << Je regrette le bon vieux temps où j'étais libre le mardi après-midi ! >> lance t-elle en se retournant.

À présent installée à califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, en se frottant, Elle rajoute, sentencieuse : << Alors, monsieur le tripoteur, on perturbe les jeunes étudiantes dans leurs travaux ! >>. Avant que je ne puisse répondre Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche. Je bande évidemment comme un priapique en phase terminale. Il est déjà onze heures trente. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. La pâte feuilletés sortie du frigo ce matin est à température ambiante. J'en étale les deux tiers dans le plat à tarte.

Clémentine s'occupe de la salade. Une belle laitue dont elle lave les feuilles pour midi et pour ce soir. Je lave et je coupe deux beaux poireaux. Je les fais cuire. Pendant ce temps je prépare une belle Béchamel, je râpe du gruyère. Le reste de la potée de légume réchauffe au four. Ainsi ce dernier sera chaud pour y enfourner la Flamiche Picarde. Cette tourte aux poireaux qui fera les délices de la soirée. J'égoutte le poireaux avant de le rajouter à la Béchamel avec le gruyère. Je verse le tout sur la pâte feuilletée. Je recouvre du dernier tiers de pâte.

Clémentine badigeonne le dessus du mélange œuf, lait de soja, moutarde à l'ancienne. Je retire la potée de légumes du four pour la remplacer par la Flamiche. Cuisson à feu doux, 180° afin qu'elle mijote longuement. J'ai gardé un peu de Béchamel comme sauce avec la potée et les deux filets de colin rissolés dans la poêle. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de l'après-midi. << Sois le plus vicelard des pervers avec Julie cet après-midi. Fais moi mouiller comme une folle. Tu veux bien ? >> demande Clémentine.

Je promets de faire de mon mieux. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque son rendez-vous de demain, avec monsieur Bertrand, notre voisin. << Il m'attend dans son jardin pour me faire visiter ses nouvelles installations ! Je vais me sucer ce vieux cochon ! Tu restes planqué avec Julie. Prenez la paire de jumelles pour mieux voir ! >> lance Clémentine avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Du bruit. Julie arrive déjà. Elle entre dans la cuisine avec son grand sac de sport.

Vêtue d'une jupe beige évasée au-dessus du genoux, d'un simple T-shirt blanc. Elle se précipite pour faire la bise à Clémentine. Puis à moi. Elle s'assoit à la table en disant : << Ce week-end a été rude. Avec cette météo il y a encore la terrasse. Et avec la grande salle du restaurant, il faut courir sans arrêt. Un monde fou et nous ne sommes que trois à faire le service ! >>. Nous écoutons. << Alors là, de venir vous rejoindre dans le calme, vous n'imaginez pas le bien fou qui m'envahit ! >> rajoute Julie. Clémentine se lève. Nous débarrassons.

Julie insiste pour nous aider à la vaisselle. << Je veux rester au près de vous deux tout le temps jusqu'à mercredi midi ! >> s'écrie t-elle en prenant un torchon. Clémentine plonge. Je passe ma main, par derrière, entre les cuisses chaudes et douces de Julie. Je m'écrie : << Le plug ! Vous commencez très fort Julie ! >>. Elle répond : << Je sais que vous aimez ça autant que moi ! >>. Clémentine rectifie : << On aime simplement voir. On aime simplement savoir que tu portes notre cadeau bien enfoncé dans le cul ! >>. Tous les trois, nous éclatons de rire.

Le ciel se couvre encore un peu plus pour devenir franchement menaçant. Nous montons nous laver les dents. Pendant que Julie tire son pyjama et quelques vêtements de change de son sac, Clémentine prépare le canapé lit. Je l'aide à l'ouvrir. Julie intervient en s'écriant : << Je peux dormir avec vous dans votre lit ? >>. Nous restons interloqués. Julie rajoute : << Je serai sage tout contre toi Clémentine ! >>. Nous laissons le canapé fermé. Clémentine plonge sur le lit en lançant : << Toi tu seras sage mais pas nous ! >>. Nous rions aux éclats.

Julie plonge sur le lit en laissant éclater sa joie : << Mais comme je suis contente ! C'est merveilleux ! >>. Elle se blottit contre Clémentine. J'aime la voir terriblement embarrassée comme elle l'est sur l'instant. Clémentine qui n'a strictement aucun penchant homosexuel tente de se soustraire à cette étreinte qui la décontenance. Je m'approche du lit. Je glisse mes mains entre leurs cuisses. Le sexe de Julie est aussi humide que celui de Clémentine. Julie fixe ma braguette ouverte. Déformée par l'énorme bosse dans mon slip. J'appuie sur son plug anal.

Je cesse de les doigter pour sortir ma queue. Je me masturbe en les regardant toutes les deux, vautrées lascivement sur le grand lit. Mon vieux fantasme d'homme de Néandertal qui remonte au sommet de ma libido débridée. Comme j'aimerais les voir se gouiner toutes les deux. Hélas, Clémentine se lève d'un bond pour se soustraire aux élans amoureux de Julie. Julie couchée, en appui sur ses coudes, qui me regarde me branler. Clémentine se touche. Elle s'assoit dans le fauteuil à bascule à côté du meuble coiffeuse. Jambes sur les accoudoirs.

Je m'approche du lit. Je m'y couche à côté de Julie qui reste comme sur ses gardes. Je la saisis par surprise et par ses cheveux. Je tire fermement pour la forcer à rapprocher sa tête. Elle tente une opposition de principe car quand je la force à gober mon sexe, dans un râle de plaisir, elle se met à pomper comme si sa vie en dépendait. Les gémissements de Clémentine se conjuguent à ceux de Julie. Je retire ma queue de sa bouche. Je la couche sur le dos. Je reste en appui sur mes bras tendus en me positionnant sur elle. Elle me regarde affolée.

Je frotte mon sexe contre le sien. C'est comme si elle fondait dans un soupir. De voir un homme d'âge mûr, ainsi, au-dessus d'elle doit être soudain le summum de ses désirs de filles les plus secrètement enfuis tout au fond de sa psyché. Je murmure : << Accrochez-vous, Julie je vous emmène en promenade ! >>. Comme si elle anticipait, Julie s'accroche à mon cou dans un élan qui me pétri d'émotion. Elle se positionne, se cale afin que je puisse la pénétrer le plus facilement possible. Petite jeune fille de 21 ans, étroite et timide qui se fait mettre.

Je m'y enfonce avec une facilité qui me déconcerte. Les gémissements de plaisir de Clémentine résonnent dans toute la grande chambre. Rien ne l'excite davantage que de me regarder besogner une autre fille. À condition bien évidemment que cette fille soit une intime. C'est Julie qui, en poussant de petits cris, se met à bouger. Elle est accrochée à moi comme une naufragée à sa branche. Petit bout de femme qui ne doit pas peser plus de 45 kg toute mouillée. Et question mouille, je vais m'occuper d'en produire plus que de raison. Julie gémit de bonheur.

Elle a tant attendu ce moment. Pour la toute première fois, dans les toutes meilleures conditions, nous faisons l'amour. Sous les yeux de Clémentine, en sueur, toute rouge, qui se masturbe en se tortillant dans son fauteuil. Moi aussi je me mets à bouger. Je suis encore un peu gêné. Je n'ose pas encore donner mon plein potentiel. C'est dans un hurlement que je me mets à la besogner comme le dernier des dépravés. Je baise cette jeune fille à l'apparente innocence avec toute la fougue d'un catcheur albanais durant une compétition internationale de lutte.

Ses jambes parfois relevées qui s'enroulent autour de moi, en poussant de véritables cris de bonheur, la tête rejetée en arrière, les yeux clos Julie se fait tringler. Parfois, lorsqu'elle ouvre les yeux pour contempler l'abominable salopard qui la baise à la hussarde, s'écoulent des larmes de jouissance. Elle m'offre sa bouche comme tout le reste de son corps dans une étreinte qui ferait frissonner Rocco Siffredi en personne. J'adore baiser dans la position du missionnaire. Je la trouve parfaite. On peut bouger. On peut discuter. On peut s'embrasser.

Clémentine se précipite vers la porte. Je comprends pourquoi. Julie me chuchote des choses totalement incompréhensibles. Quand Clémentine revient avec la bassine en plastique Julie se cambre soudain dans un cri étonnamment sauvage et puissant. C'est un orgasme tellurique. D'au moins huit sur l'échelle de Richter. Brave Richter à qui personne n'avait rien demandé. Bien décidé à lui faire découvrir tous les recoins secrets de ma libidos dépravées, je recommence à la besogner. Moi, je contrôle parfaitement mon sexe. Une maîtrise totale.

En vieux briscard, j'en ai baisé bien d'autres. Nous cessons en entendant Clémentine pisser dans sa bassine en hurlant. Elle s'offre quelques suites d'orgasme nucléaires. Elle se lève parfois pour nous rejoindre. Elle tient mes couilles par derrière en murmurant à nos oreilles : << Vous êtes géniaux tous les deux ! >> Elle dépose une bise sur la joue de Julie qui profite de l'aubaine pour tenter de l'embrasser. Peine perdue, Clémentine esquive. Julie connaît là un second opus. Elle louche. Sans doute un strabisme corrigé depuis petite qui réapparait.

La pauvre. Elle n'a plus tous ses esprits. Moi, comme le denier des salopards, je continue à la limer. Mes reins commencent à me faire souffrir. C'est comme si Julie le devinait. Elle se laisse retomber. Mes bras sont ankylosés. Je me couche sur le dos en soufflant comme un bœuf. Julie pose sa tête sur mon ventre. Elle se regarde dans le grand miroir de l'armoire. Ses yeux cernés, mouillés de larmes, elle gobe mon sexe en s'observant. Clémentine redouble d'activité. C'est une véritable pipe des familles. Julie se révèle une petite vicieuse de rêve.

Les cheveux trempés de sueur qui collent sur son visage. Totalement décoiffée, les traits tirés, les yeux cernés, l'air épuisé, Julie suce en s'observant. Je découvre là une autre facette de cette étonnante étudiante en Lettres Modernes. Est-ce bien la jeune fille réservée et timide que nous connaissons jusque là ? Non, ce n'est pas possible. Ce n'est pas le même petit ange innocent qui vient prendre des cours de peinture, faire notre ménage. Impossible. J'éjacule dans un cri de sauvage. Clémentine se précipite pour m'embrasser. Julie continue.

Bonne fin d'après-midi à toutes les coquines, épuisées de plaisirs, martyrisées par les orgasmes successifs qui les ont mis en appétit...

Julien (pervers pas du tout narcissique)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 5 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 2056 -



Encore une journée qui restera dans l'anal

Hier matin,mardi, je suis réveillé par la main de Clémentine. Il est presque neuf heures quand elle caresse ma poitrine, mes aisselles. Elle se serre contre. Cette nuit elle a dormi entre Julie et moi. Julie bien trop inhibée, timide, pour dormir contre un homme. Cette idée m'amuse. Clémentine saisit mon érection en me chuchotant : << Comme c'était bien hier soir. Je suis au spectacle tout le temps ! >>. Elle se frotte contre moi. Je vois apparaître la main de Julie. Elle se serre contre Clémentine qui dit : << Je dois faire pipi, je n'en plus ! >>. Elle se lève.

Je comprends immédiatement que c'est exprès pour laisser Julie toute seule avec moi. Julie qui se couvre de la couette. Je roule jusqu'à ses côtés en disant : << Bonjour Julie. J'adore faire l'amour avec vous. Vous êtes comme un modèle réduit. C'est délicieusement bon ! >>. Toute gênée, Julie me répond par une question : << C'est vrai ? Je me sens tellement idiote parfois avec les hommes ! >>. Je me place sur elle, en appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids. Elle a le réflexe de s'accrocher à mon cou. Je dis : << Pas le matin ! >>.

Clémentine revient en s'écriant : << Déjà ! >>. Je la rassure en me couchant sur le dos. Je précise une fois encore : << Julie, nous ne sommes pas du matin. Par contre après le petit déjeuner, nous ne garantissons rien ! >>. Julie se précipite aux WC. Clémentine plonge sur moi en s'écriant : << Je t'aime Julien. Fais ton vicieux déjà ce matin, après le petit déjeuner ! S'il te plaît ! >>. Serrés l'un contre l'autre nous roulons sur toute la largeur du lit en riant. Je dois vraiment pisser. << Viens, je t'emmène ! >> lance Clémentine en m'entraînant par le Zob

Elle me tient la bite pour en diriger les jets. Nous retournons dans la chambre nous vêtir de nos tenues de sport. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. De la cuisine nous parviennent déjà les parfums subtils du café et du pain grillé. Julie encore en pyjama achève de mettre les bols. Nous déposons chacun une bise sur son front. << C'est trop bien ici, avec vous ! >> dit elle en se blottissant contre Clémentine qui fait : << Reste jusqu'à jeudi ! >>. Julie s'écarte. Elle garde les mains de Clémentine dans les siennes. Soudain silencieuse.

Je rajoute : << Vous téléphonez à vos parents pour leurs dire. C'est aussi simple que ça ! >>. Julie s'écrie : << Ça marche ! C'est décidé ! Je téléphone tout de suite après le petit déjeuner ! >>. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre soirée. Tout comme l'après-midi, j'ai baisé avec Julie sous le regard de Clémentine. Ce fut une succession de petites scènes épiques ou chacun interprétait un personnage. La finalité étant évidemment de nous amuser tout en jouissant de tous nos sens. Julie en est encore toute bouleversée. Rires.

<< Allez courir, je m'occupe de la vaisselle et de la chambre ! >> lance Julie en se mettant à débarrasser. Nous déposons une bise sur sa joue. Je glisse ma main entre ses cuisses. La soie est chaude et glissante. Je dis : << Je m'occupe de vous après la douche. À tout à l'heure jeune dépravée ! >>. Nous sortons. La douceur est celle d'un matin de printemps. Quelques mouvements d'échauffement. C'est sur le sentier qui longe la rivière que nous nous offrons un superbe jogging. Il est dix heures trente quand nous revenons. Tout est bien rangé.

Nous montons dans la salle de bain. Tout est propre. Il y a un silence total. La douche. Nous découvrons Julie dans la chambre, plongée dans la lecture d'un livre. Elle nous fait le plus adorable des sourires. Nous nous habillons. Clémentine porte une robe d'été. Je mets mon bermuda kaki, une chemisette hawaïenne. C'est là que nous découvrons les trois plugs alignés sur la commode. << Tu emmènes toujours ta collection partout ? >> s'écrie Clémentine. Nous rions de bon cœur. << Non, c'est pour que vous me disiez le quel mettre ! >> dit Julie.

<< Le nôtre ! >> fait Clémentine en saisissant l'objet. Julie porte la même jupe que hier. Un simple sweat de fin coton gris. Elle se lève du fauteuil, pose son livre pour se diriger vers la commode. Nous la regardons s'enfiler le plug dans le cul après l'avoir enduit de salive. << Voilà ! >> lance t-elle toute contente, un air espiègle que nous lui connaissons bien. Si on ne sait pas l'âge véritable de cette adorable jeune fille, on est certain d'avoir affaire à une adolescente de quinze ou seize ans. Alors qu'elle vient de fêter son anniversaire. Fêter ses 21 ans.

C'est une impression troublante. Les gamines n'entrent pas dans le cadre de mes fantasmes. Même si depuis la disparition de mon ancienne compagne il y a plus de dix ans, je ne suis entouré que de jeunes filles. << C'est ton karma de vieux vicelard ! >> précise souvent Estelle en riant. Elle a probablement raison. << Venez ! >> nous fait Julie qui nous devance. C'est une autre curieuse impression de la suivre dans les escaliers en sachant qu'elle marche avec cet objet oblong dans le fondement. Clémentine me prend la main en me faisant un clin d'œil.

Quelle surprise, durant notre absence, Julie a lavé trois endives posées sur l'évier. Elle en a préparé l'assaisonnement. Elle soulève le couvercle de la poêle. Trois steaks de saumon dans de la crème avec du gruyère. << Il n'y a qu'à réchauffer ! >> rajoute t-elle. << Tu es un trésor Julie. On te garde avec nous dans une cage ! >>. Julie s'exclame : << Oh oui, j'aimerais bien ! Dans une cage ! >>. Nous rions de bon cœur à cette idée saugrenue. Pourtant Clémentine approfondit le concept : << Ça te plairait quelques heures encagée ? >>. Silence.

Je sors ma queue. Julie l'observe longuement avant de répondre : << Je veux tenter toutes les expériences. Une fois vieille je n'aurai rien à regretter ! >>. Je contourne la table pour la saisir par ses hanches. Je la soulève. Ce modèle miniature ne pèse rien. Je la fais coulisser doucement sur ma queue raide comme un piquet. Une queue qui pointe fièrement vers le ciel. Quelle surprise, ça rentre doucement mais facilement. Clémentine passe une main sous sa robe. Julie est enfilée par le cul et par le fion. Par le fion jusqu'aux couilles. Je la tiens bien.

Julie pousse déjà des petits gémissements ravis en se calant contre moi, ses bras autour de mon cou. Je dis : << On joue comme hier soir. Vous êtes obligée de soutenir mon regard une minute. Sans ciller des paupières ! >>. Nous avons tenté de le faire à plusieurs reprises hier soir. << C'est la seule chose que je n'arrive pas à faire avec un homme ! >> lance une fois encore Julie que je maintiens sous ses cuisses. Ses jambes autour de mes hanches ou sur mes fesses. Clémentine, qui se masturbe dit : << Un peu d'entraînement, n'aie pas peur ! >>.

Il est 11 h50. Il commence à faire faim. D'autant plus que les préparations de notre douce amie sont une véritable invitation à la ripaille. Je soulève Julie pour retirer mon sexe du sien. Mon sexe encore légèrement congestionné par tous les excès de ces derniers jours. Comme hier, avec les nombreuses contractions, souvent involontaires, le plug est comme expulsé. Clémentine le rattrape à temps. Sur le carrelage de la cuisine, nul doute que l'ivoire fossilisé se casserait un mille morceaux. << Je fais le service ! >> s'écrie Julie. Nous nous asseyons à table.

Du four Julie tire la demi tourte aux poireaux. Le reste hier soir. Elle nous sert consciencieusement en disant : << Ça me fait toujours de l'entraînement pour le week-end ! >>. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le job du week-end de Julie. Le restaurant de l'étang est très prisé. Sa réputation n'est plus à faire auprès des gourmets. Pourtant, Anne-Marie, la patronne, refuse obstinément d'être étoilée. La tante à Julie justifie ce choix d'une façon rationnelle : << À quoi bon les honneurs quand on a déjà la gloire ! >>. Son restau est un succès.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine nous confie son appréhension. Elle a rendez-vous d'ici un peu plus d'une heure avec monsieur Bertrand. Notre voisin l'attend dans son jardin. Le vieux pervers a pour prétexte de lui faire visiter ses dernières installations. La menuiserie venue parfaire l'appartement aménagé au-dessus de son garage. Appartement qu'il déjà loué deux fois à des couples de touristes. << Tu as la trouille ? Tu veux que je vienne avec toi ? >> demande Julie qui débarrasse la table. Nous rions aux éclats.

<< Je fais tout. J'adore tout faire. Chez mes parents quand je suis à la maison je fais toujours le maximum ! >> précise encore Julie. Nous essuyons tout de même la vaisselle. À quelques reprises mon index remplace le plug. Je l'enfonce dans son cul pour le faire tourner. Je le hume. Aucune odeur. Julie est une fille à l'hygiène irréprochable. Nous montons nous laver les dents. << Attendez-moi dans l'atelier en bas, je vous réserve une surprise ! >> fait Clémentine. Nous descendons. Tout le long des marches de l'escalier j'ai l'index enfoncé dans le cul de Julie.

Nous sommes dans l'atelier. Julie adore s'assoir sur la chaise devant le chevalet. Y est déjà posée la toile dont je vais commencer la peinture lundi prochain. Un des deux paysages de commandes à envoyer avant Noël. Je sors mon sexe. À droite de Julie je réponds aux questions techniques qu'elle me pose. J'agite ma queue en la tenant à sa base. Je bande mou. La vue de "l'hélicoptère" est bien plus passionnante pour une jeune fille qu'un dessin préparatoire. Je dis : << Julie, j'ai tout le temps envie de vous la mettre ! Me pardonnerez-vous ? >>.

Elle se lève en riant pour répondre : << Moi j'aimerais faire l'amour pour de vrai avec vous ! >>. Je demande : << Expliquez-vous. C'est ce que nous faisons pourtant depuis quelques jours ! >>. Julie saisit mon sexe en murmurant : << Juste vous et moi, tout seuls. C'est ça qui me plairait ! >>. Je demande : << Mais pourquoi ? Clémentine vous dérange ? >>. Julie développe : << Oui. J'ai du mal à me laisser aller quand il y a une autre fille. Je ressens la même chose avec Anne-Marie quand Jean-Louis m'encule dans les cuisines du restaurant ! >>.

La petite fourberie vicelarde de notre voisin

<< Regarde ! >> me fait Clémentine en entrant dans l'atelier. Julie s'écrie : << Wouah ! Génial ! >>. Je me retourne. << C'était ma période "Gothique" quand j'avais 17 ans ! >> dit Clémentine en tournant sur elle-même. Elle est vêtue d'une jupe courte, en cuir noir. Des jambières d'épais coton rouge dans des Doc Martens noir montantes et délacées. Un chemisier pourpre avec des broderies médiévales. Je reste pantois. << Je suis quelques centimètres plus grande et je n'arrive plus à lacer mes pompes ! >> rajoute Clémentine en faisant des flexions.

Les mains bien à plat sur le sol, les jambes raides et droites. << Quelle souplesse ! >> s'écrie Julie qui lâche ma queue. << Qu'en penses-tu si je garde juste la jupe ? Je passe un sweat rouge et je mets mes baskets ! >>. me demande Clémentine. Je suis debout, les mains sur les hanches. Par petites contractions des muscles fessiers je fais bouger ma bite. C'est le silence dans la grande pièce. Les filles regardent. Julie rejoint Clémentine pour se mettre contre elle. Clémentine retrousse sa jupe. Pas de culotte. Elle s'appuie contre la table pour s'y assoir.

<< Je fais pareil ! >> dit elle. J'adore voir son clitoris géant bouger lui aussi au rythme de ses contractions fessières. << Wouah, comme c'est génial ! >> s'écrie Julie qui s'accroupit entre les jambes écartées de Clémentine. Je m'approche. Je saisis son clitoris que je décalotte entre mon pouce et mon index. C'est une sensation extraordinaire de le sentir bouger ainsi. Je saisis Julie par ses cheveux de mon autre main. J'attire sa tête entre les cuisses de Clémentine qui s'avance. Julie prend le clitoris entre ses lèvres pour se mettre à sucer en gloussant.

Immédiatement Clémentine a un soubresaut. C'est elle qui saisit Julie par ses oreilles. Elle se fait sucer en poussant des halètements sonores. Moi, bien sûr, voyant se concrétiser un peu de mon vieux fantasme d'homme préhistorique, je suis au paradis. Clémentine reprend ses esprits. Elle me fait un clin d'œil en me tendant sa bouche. Je me contorsionne car la présence de Julie accroupie ne me permet pas de me mettre devant la fille que j'aime. Je l'aime comme un fou en la voyant se faire bouffer le clito par Julie. Clémentine la repousse.

<< Mon rendez-vous ! >> lance t-elle en se redressant. Je maintiens Julie accroupie pour lui enfoncer ma queue dans la bouche. Pas vraiment surprise elle tousse, déglutit, prend une grande bouffée d'oxygène. Moi aussi je la tiens par les oreilles. Elle tombe à genoux en suçant comme une désespérée. << On y va ? >> lance Clémentine qui se touche. J'aide Julie à se redresser en disant : << Je vais vous donner de l'occupation tout à l'heure ! >>. Elle prend ma bite à pleine main pour répondre : << Vous vous occupez si bien de moi ! >>.

Nous suivons Clémentine. << Je reviens ! >> dit Clémentine en remontant les escaliers à toute vitesse. Je prends Julie dans mes bras pour l'embrasser goulument. Elle se serre, elle se love, comme un chaton ronronnant. Je chuchote à son oreille : << Je vais faire de vous la jeune fille la plus comblée ! >>. Elle n'ose pas affronter mon regard. Elle baisse et les yeux en murmurant : << Mais je la suis déjà cette jeune fille ! >>. Je glisse ma main sous sa jupe, entre ses cuisses. L'absence de culotte offre toutes les possibilités à des doigts explorateurs.

Clémentine redescend pour nous surprendre ainsi. Julie, cambrée sur ses genoux fléchis, dos contre le mur, soigneusement doigtée. Elle est toute rouge. Clémentine a gardé sa jupe de cuir noir. Un T-shirt noir. Des mocassins noirs sur des socquettes blanches. C'est du plus bel effet. Ses cheveux attachés avec un élastique de velours blanc. Elle est absolument exquise. << Wouah Clémentine ! >> s'écrie Julie en essuyant la sueur qui perle sur son nez. Nous sortons. Il va être 13 h30. Il reste à peine un quart d'heure. Nous traversons le jardin.

Le sol est humide. Il faut donc rester sur les dalles de grès. Nous contournons la maison d'amis, les panneaux photovoltaïques imposants. Nous sortons de la propriété par le portillon pour descendre le chemin qui longe les haies de lauriers et les cyprès. Clémentine s'arrête. Je tiens la petite paire de jumelle que je porte à mon cou. Julie, comme affolée, regarde partout. Personne. << Là, c'est la meilleure planque ! >> lance Clémentine en nous entraînant dans le sous bois. De cet endroit la vue sur le jardin de monsieur Bertrand est parfaite. Dégagée.
Julie, timidement, se blottit contre moi. Je passe mon bras autour de ses épaules pour bien la serrer. Je peux sentir battre son petit cœur. Ce petit cœur qui a encore subit quelques fortes émotions depuis hier. Nous regardons Clémentine descendre jusqu'au portillon du jardin de monsieur Bertrand. Notre voisin est entrain d'enrouler un long tuyau d'arrosage jaune. Il cesse de tourner la manivelle en voyant arriver sa sublime jeune voisine. Notre vue est parfaite. Par contre, avec la distance, il est impossible de comprendre les propos échangés. Dommage.

Nous entendons parler mais sans pouvoir donner le moindre sens aux sons des voix. Louis, se redresse. Il arrive aux oreilles de Clémentine. Il retire ses gants de protection en faisant bouger ses doigts gourds. Clémentine nous tourne le dos. Je sors mon sexe de ma braguette ouverte. Je saisis la paire de jumelles pour observer. Monsieur Bertrand, sans la moindre hésitation, sans doute pour saluer Clémentine, glisse sa main droite sous sa jupe. J'adore le spasme qui secoue tout son corps. Pas de doute, le bougre est déjà entrain de la doigter. Le vieux cochon !

J'entends la respiration de Julie tout contre moi. Je lui passe la paire de jumelles. << Non, regardez. Ce que je vois me suffit ! >> murmure t-elle en saisissant mon sexe de sa main droite. Passant son bras gauche autour de ma taille. Ma stimulation est double. Ce que j'observe dans la paire de jumelles. La main masseuse de Julie. J'en frissonne sur mes jambes soudain flageolantes. Clémentine se cambre sur ses genoux fléchis en calant son dos contre la camionnette bleue stationnée là. Que fait d'ailleurs là cette camionnette. On y voit le logo du menuisier.

Louis s'approche de Clémentine pour la tripoter vulgairement. Elle pose ses mains sur ses épaules, lascive, comme une fille amoureuse. Julie me masturbe doucement. Décalottant légèrement le gland. C'est "glandiose". Clémentine là-bas, se fait masturber. Je la vois bouger sur la main du retraité. De son autre main il caresse ses tous petits seins. Son visage, son cou. Il saisit sa nuque. Collée contre la camionnette, Clémentine se laisse faire. Je devine l'excitation qui l'habite. Soudain, se mettant sur la pointe des pieds, Louis pose sa bouche sur la sienne.

Il est extrêmement rare que Clémentine accepte de se faire embrasser. Mais comme elle me le confie quand nous faisons l'amour, elle adore les initiatives de ce vieux vicieux. Elle se fait embrasser, doigter et masturber en roulant une pelle d'enfer à ce mec. Ses bras autour de son cou. Totalement offerte à ce vieux pervers dégueulasse. J'ai l'impression de voir un authentique couple d'amoureux. Ce qui me procure un étrange sentiment. Julie me branle d'un geste lent et régulier. Elle exerce de petites pressions de ses doigts. Juste sur mon point G sous le gland.

Louis cesse de tripoter Clémentine. Il se recule pour ouvrir sa braguette. J'ai un frisson en voyant une fois de plus ce sexe minuscule. Semblant jaillir d'une touffe de poils aussi gris que le peu de cheveux qui subsistent sur le crâne de notre homme. Clémentine s'accroupit immédiatement. Elle se penche en avant pour se tenir au pantalon de monsieur Bertrand. C'est ainsi qu'elle garde son équilibre. Elle ouvre la bouche au moment même où Louis la lui frotte sur la gueule. Cette toute petite bite que Clémentine peut engloutir dans sa totalité.

Je chuchote : << Regardez Julie, Clémentine commence à sucer ! >>. Je veux lui passer la paire de jumelles. Elle murmure : << Non, j'aime beaucoup être obligée de deviner ce qui se passe. Ça fait fonctionner mon imagination ! >>. Elle me masturbe d'une main lente, d'une incroyable douceur. Elle bouge comme si elle avait peur de me faire mal. Je mâte. Clémentine, le visage collé contre la braguette de l'odieux salaud, reste immobile. Je devine ce qu'elle se goinfre lorsque sa tête se penche sur la gauche ou sur la droite pour bien pomper.

J'ai une décharge électrique. Un véritable choc. C'est comme si mon cœur cessait de battre. Monsieur Barnabé, le menuisier contourne sa camionnette. Je comprends subitement. C'est un coup monté. Le black n'a donc pas encore fini ses travaux. À moins qu'il ne soit venu spécialement que sur l'invitation de notre voisin. Julie cesse de me masturber. Elle aussi reste interloqué. << C'était prévu ça ? >> murmure t-elle. Je chuchote : << Pas du tout ! >>. Clémentine découvre elle aussi l'arrivée du menuisier. Ce salopard tient sa bite dans la main.

Cette bite qu'il a déjà montré à Clémentine il y a quelques semaines. Elle veut se redresser mais Louis la maintient fermement par les cheveux. C'est qu'il est très fort cet abject salaud. Monsieur Barnabé, riant de toutes ses dents blanches, s'approche en agitant sa bite. Clémentine veut absolument se dégager. Je retire la main de Julie. Je m'apprête à intervenir. << Non, laissez là Julien ! Vous la connaissez mieux que moi. N'allez pas gâcher sa joie ! >> murmure Julie en me retenant de toutes ses forces, accrochée à mon bras. Je la regarde.

Je regarde vers le jardin. Ces deux salopards sont entrain de frotter leurs sexes sur le visage de Clémentine qui est à genoux dans l'herbe. Ça fait longtemps que je ne l'ai plus vu dans cette situation. Depuis nos partouzes au haras, chez Juliette, il y a trois, quatre ans. Comme si elle m'adressait un message complice, les yeux grands ouverts, regardant dans notre direction, Clémentine suce la bite noire du menuisier black. Une bonne queue qui est luisante de jute quand elle cesse de la pomper pour se régaler de celle de Louis. Elle passe de l'une à l'autre.

Mon cœur bat la chamade. Julie recommence à me masturber doucement. << C'est comment ? >> chuchote t-elle. Je murmure : << Elle s'offre une "stéréophonie" ! Vous avez déjà fait ça Julie ? >>. Elle répond à voix basse, à peine perceptible : << Oui, deux camionneurs dans la remorque d'un camion sur le parking du restaurant ! >>. Ce que je vois dans la paire de jumelles, ce que j'entends à mon oreille, me font vaciller. Malgré sa taille menue, Julie m'offre un appui car elle me sent flageoler. Clémentine à cessé de sucer. Elle se redresse.

Le black la saisit par la nuque pour la forcer à se pencher en avant. Je suis près à courir pour descendre au secours de Clémentine. Si ce mec tente de l'enculer je lui laisserai un impérissable souvenir. Louis tient Clémentine par les bras. Il tente de lui fourrer sa bite dans la bouche. Je suis certain que le menuisier la pénètre. << Soyez rassuré Julien , il ne l'encule pas. Regardez sa réaction ! >> murmure Julie qui accélère légèrement son mouvement sur ma queue. Clémentine retrouve les joies du "Téléphone". Elle reste avec le corps tout tendu.

Une bite dans la chatte , une autre dans la bouche. Les deux mecs se tapent les mains en rigolant grassement. On dirait deux alcooliques à la sortie d'un bar. Nous les entendons s'esclaffer jusque là. Je n'arrive pas à voir les expressions du visage de Clémentine car les bras de louis le dissimule. Le black la baise comme le dernier des salauds. La "machine à coudre". De véritables coups de buttoir. Le mec lui administre un pilonnage dans les règles de l'Art. C'est à cet instant que Julie me lâche pour s'accroupir devant moi. Pour sucer mon sexe.

Je suis couvert de sueur. Mes émotions sont mises à rudes épreuves. Clémentine se laisse faire. Elle se redresse alors que le menuisier reste bien planté dans son intimité. Louis saisit les chevilles de Clémentine pour lui soulever les jambes. Il la garde ainsi en équilibre jusqu'à ce que monsieur Barnabé la tienne à son tour sous les cuisses. En rigolant il promène ainsi Clémentine baisée jusqu'aux couilles de ce salopard. Louis joue avec son clitoris géant. Julie cesse de me sucer pour se redresser. Elle murmure : << Vous coulez comme un robinet qui fuit ! >>.

Je ne sais quoi dire. Tous mes sens sont focalisés sur ce qui se déroule là-bas. Clémentine pousse de petits cris de plaisirs qui nous parviennent distinctement. Quand Louis, qui ne cesse pas de stimuler son clitoris, passe sa langue sur sa bouche elle pousse des cris d'extase. Julie s'accroupit à nouveau. Elle se régale des jus de mes excitations. Le black pose Clémentine au sol. Elle tombe à genoux entre ses deux "tortionnaires" en essayant de gober la première queue qui se présente. Je connais si bien le tempérament de feu de Clémentine.

Les deux saligauds se font sucer à tour de rôles en rigolant comme des pochetrons à la sortie d'un bistrot. Ils se tapent les mains en lançant des plaisanteries graveleuses que nous donnerions cher à comprendre depuis notre cachette. Soudain, comme sur un signal, une complicité totale, les deux comparses s'écartent. J'hallucine. Les deux salopards pissent sur la tête de Clémentine. Une expression d'extase sur ses traits, les yeux fermés, elle se laisse arroser en poussant des gémissements que nous percevons jusqu'ici. Julie cesse à nouveau de me sucer. Pour mâter.

Monsieur Barnabé s'approche. Il saisit Clémentine avec fermeté pour lui frotter le sexe sur la gueule. Il se branle. Clémentine tente maintenant de se soustraire de cette étreinte. La paire de jumelles grossit huit fois. Suffisamment pour qu'à environ cent mètres je distingue l'invraisemblable quantité de sperme qui gicle sur le visage de Clémentine. Ce type éjacule des quantités encore supérieures aux miennes. C'est la première fois que je découvre une paire de couilles plus abondantes que les miennes. Un véritable phénomène. Il se vide les bourses.

Clémentine se tourne pour recevoir les giclées de monsieur Bertrand. Lui non plus n'est pas avare de sperme. Clémentine suce comme une assoiffée. Comme elle me le confie souvent, le sexe de notre voisin reste son préféré. Peut-être bien avant le mien. Par contre quand le black revient à l'assaut elle se raidit, le repousse en faisant d'horribles grimaces. Pourtant le salaud arrive à la lui enfoncer dans la bouche. Il connaît le "truc" imparable. Il pince le nez de la fille en riant. Alors que Louis lui maintient les bras. À genoux dans l'herbe, Clémentine se débat.

Trempée de pisse, tremblante, elle se redresse avec une force insoupçonnée. Elle n'en peut plus. Si le menuisier revient à l'assaut, je descends. Julie se redresse. Elle aussi est plusieurs fois à genoux dans l'herbe. Clémentine se met à courir vers le portillon. Nous entendons le black crier : << Tu reviens quand tu veux ! Tu as mon numéro de téléphone ! >>. Louis rajoute : << Félicitations ma grande ! >>. Nous les entendons rigoler comme des poivraux à la sortie d'un bal populaire des fêtes d'octobre. Clémentine monte en courant. Nous la rejoignons.

Nous nous dépêchons de rentrer. Nous montons tous les trois jusqu'à la salle de bain. Clémentine se déshabille sans dire un mot. Les yeux en larmes, pleine de pisse et de foutre qui ruissellent de partout. Elle s'assoit sur le sol carrelé de la douche, écarte ses jambes pour nous montrer sa chatte. Il y a un véritable ruissellement de foutre crémeux qui s'en écoule. << Sans capote ! >>. Le black a donc éjaculé deux fois. << Tu n'a pas la trouille ? >> demande Julie qui se met à genoux pour regarder de tout près. Clémentine l'attrape par ses cheveux.

Elle colle le visage de Julie contre sa vulve en disant : << Tu vas me nettoyer tout ça ! >>. Julie tente de se soustraire de la contrainte que lui impose Clémentine. Rien à faire. Nous l'entendons laper, sucer, tousser avec des râles de dégoût. Clémentine demande : << Il est bon le sperme du monsieur ? Allez vide-moi la chatte et proprement ! >>. Julie n'a d'autres choix que de s'exécuter. Je me masturbe en regardant Clémentine, les yeux cernés, l'air épuisé d'une fille qui a jouit au-delà de la raison. Ses cheveux trempés de pisse qui collent sur sa gueule.

Julie a tout bouffé. Clémentine profite évidemment de l'occasion. En maintenant fermement la tête à Julie contre sa vulve, elle se lâche dans un jet de pisse qui inonde le sol, les cheveux de Julie. Julie tente de se débattre en suffoquant. Mais Clémentine ne lâche pas son étreinte. Elle me fait un clin d'œil en se vidant dans la bouche de Julie qu'elle lâche enfin. Julie, à quatre pattes, toussant, de la bave dégoulinant de la commissure de ses lèvres, reste immobile, comme hébétée. Je me masturbe comme un cinglé. Clémentine se redresse. Elle prend sa douche.

Julie se déshabille. Elle donne un petit coup contre la porte vitrée en demandant : << Je peux venir ? >>. Clémentine ouvre en répondant : << Viens ! >>. Je vois les silhouettes des deux filles qui se savonnent en riant. Je viens coller ma bite contre la vitre. << Viens ! >> lance Clémentine. Je me mets à poil. Je rejoins les coquines. Elles me savonnent. Nous rions. Mon excitation disparaît pour faire place à un bonheur sans nom. Avec le sèche cheveux je sèche les cheveux de Julie et de Clémentine assises l'une à côté de l'autre devant le miroir.

Retour à la normale.

Toutes ces aventures nous ont donné faim. À nouveau habillés nous dévalons les escaliers. Il est presque 17 h30. Un bon thé et des petits gâteaux que nous dégustons dans la véranda. Exposée au soleil toute la journée, il y fait bien chaud. Julie est assise devant moi. Clémentine à ma gauche. Avec sa main droite, elle joue avec mon sexe tout en revenant sur la surprise que lui a réservé monsieur Bertrand. << Vieux fourbe. Je le savais vicieux et pervers mais c'est encore au-delà. C'est un gredin doublé d'un voyou ! >> explique Clémentine. Nous rions.

Julie demande : << Il était comment le goût du menuisier ? >>. Clémentine fait une horrible grimace avant de répondre : << Beurk ! Maintenant que tu en parles j'ai le goût qui revient en bouche ! Salé avant, une amertume persistante. Un sperme fade qui assèche toute la bouche. Une pisse légèrement sucrée mais rapidement aussi fadasse que son foutre ! >>. Je dis à Julie : << Pourquoi ne pas organiser un plan afin que vous puissiez y goûter vous aussi ? >>. Julie s'écrie : << Beurk ! Je n'en n'ai jamais sucé de vraiment bonne ! >> Rire.

Nous étudions les différentes options du repas de ce soir. Clémentine, qui adore les coquillettes complètes et "bio" propose de les accompagner de bouchées à la reine. Il en reste six au congélateur. La garniture est vite préparée. C'est animés de cette suggestion que chacun s'affaire à sa tâche. Préparation rapide ou j'écoute les filles parler de leurs études. Julie prépare sa Licence de Lettres Modernes pour juin de l'année prochaine. Elle aussi veut aller jusqu'au Doctorat. Nous mangeons de bon appétit. Parfois je me lève pour agiter ma bite .

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se sont offertes de profondes émotions, allant quelquefois de surprises en étonnements...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
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