
- 16 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2165 -
Au bal masqué ohé ohé
Hier matin, samedi, il est sept heures trente. Je suis entre Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche. Les mouvements réguliers des pieds d'Estelle contre les miens ont raison de mon sommeil. Probablement encore à moitié endormie, elle se serre contre moi, son visage dans mon cou. En se frottant contre ma hanche, elle saisit mon érection matinale. Tout cela réveille Clémentine qui vient épouser la forme de mon corps exactement comme Estelle. Elle aussi se frotte mais en empoignant mes couilles. Nous nous étirons en gémissants.
Estelle tente bien de lutter encore un peu contre l'envie de pisser qui l'étreint. À bout de force elle se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte. << Je vous attend en bas ! >> lance t-elle dans son pyjama de soie mauve. Clémentine se couche sur moi. << Tu as vu comme elle était contente Julie hier soir. C'était encore une sacré surprise de nous voir débarquer au restaurant ! >>. Je rajoute : << J'ai adoré ses talents d'actrice quand elle est venue me rejoindre les deux fois aux chiottes ! >>. La seconde fois j'y étais avec Estelle. C'était amusant.
C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Vêtus de nos leggings de lycra noir, de nos sweats de lycra jaune, morts de faim, nous dévalons les escaliers. Les suaves parfums du café et du pain grillé flottent dans la cuisine. Estelle aussi est déjà vêtue sport. Elle me saute au cou. << Vous êtes un savant baiseur de cabinets ! >> lance t-elle alors que je la soulève. Estelle fait allusion à notre petite baise de quelques minutes dans les toilettes hommes du restaurant, hier soir. Julie est venue nous rejoindre un instant pour s'y enfermer avec nous. Mâter.
Pour une authentique voyeuse quelle plus grande joie que de regarder un couple s'envoyer en l'air dans un cabinet. Nous en rions de bon cœur. Je soulève Clémentine à son tour. << Cette semaine était encore géniale ! >> dit elle. << Et ce n'est pas terminé. Il reste deux jours ! >> précise Estelle qui presse les oranges. Je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur l'agréable soirée que nous avons passé hier, au restaurant de l'étang. Un gigantesque plat de fruits de mer. Des légumes de saisons. Des coupes glacées en dessert.
Nous mangeons de bon appétit en évoquant ce qui nous attend ce soir. La soirée masquée donnée par Juliette dans le salon de la nouvelle écurie. << On essaie nos fringues ce matin ? >> propose Estelle. << Il faut voir si ces robes "ancien régime" nous vont encore. On a quand même pris quelques centimètres depuis la dernière fois qu'on les a porté ! >> fait Clémentine. C'est qu'elles mesurent toutes les deux un mètre quatre vingt deux. Alors quand elles portent des bottines, des talons de quatre centimètres en moyenne, c'est un bon mètre quatre vingt six.
Je vais ouvrir le portail depuis l'interphone du hall d'entrée. Estelle vient me rejoindre en sautillant : << Tu fais quoi ? >> demande t-elle. Je l'entraîne par la main jusqu'à la cuisine. Nous bavardons lorsque Julie, silencieuse, surgit soudain. Radieuse, souriante, elle entre dans la grande pièce pour se précipiter vers Estelle, vers Clémentine avant de me déposer trois bisous en mitraille sur la bouche. Je suis aussi étonné qu'Estelle et Clémentine à qui Julie vient de faire la même chose. << Merci pour la surprise de hier soir. C'était génial ! >> dit elle.
Julie, comme à son habitude, les samedis matins, se met à débarrasser la table. Nous voulons l'aider lorsqu'elle s'écrie : << Non, allez faire votre gymnastique, je m'occupe de tout ! >>. Il ne pleut pas, mais le ciel est gris, bas et menaçant. Inutile de prendre le moindre risque. Nous remontons pour nous entraîner en haut. Aérobic. Jogging sur tapis roulants. Estelle fait du vélo d'intérieur. Quand elle s'entraîne avec nous c'est toujours beaucoup plus drôle. Exercices au sol, abdos. Charges additionnelles. Retour au calme avec des étirements. Stretching.
Le samedi matin nous pouvons prendre tout notre temps pour faire tous les exercices correctement. Même si Estelle a souvent les mains baladeuses, j'arrive à me concentrer de façon satisfaisante. Elle prend sa douche la première pendant que je me rase et que Clémentine décroche le linge sec. C'est à notre tour. Tous les trois, habillés de nos Levis, de nos chemises à carreaux, nous dévalons les escaliers. Il va être dix heures. Nous mettons nos anoraks pour sortir. Le thermomètre extérieur indique 12°. Nous chaussons les bottes en caoutchouc.
Avec les pluies de ces deux derniers jours, tout est trempé. << Il ne fait pas trop froid. Tu pourrais ouvrir ton anorak, montrer ta braguette béante ! >> me fait Estelle en descendant la tirette de mon anorak. Voilà la camionnette blanche qui descend lentement le chemin. Danièle au volant nous fait un beau sourire. Elle est un peu surprise de nous voir à trois. Elle a déjà vu Estelle. Danièle saute de sa camionnette pour nous tendre son poing que nous touchons des nôtres. Comme j'ai mon anorak ouvert elle jette un coup d'œil en direction de ma braguette.
Elle contourne son véhicule pour en ouvrir les portes arrières. Elle en tire nos deux cageots. L'un contient les fruits, les légumes, c'est moi qui le saisit. L'autre contient les fromages, la motte de beurre, les œufs, les yaourts, les petits pots de crème fraîche. C'est Clémentine qui le prend. Nous posons les cageots sur le banc en pierre contre le mur du garage. Danièle me tend le terminal en fixant ma braguette. J'introduis ma carte bancaire. Elle me jette un regard suggestif. Je fais un sourire entendu. Elle baisse à nouveau les yeux sur la braguette.
<< Bientôt les beaux jours ! >> lance Danièle en me tendant le ticket qui sort du terminal de paiement. Même commande pour samedi prochain. Nous saluons Danièle qui s'en retourne vers ses livraisons. Nous la regardons manœuvrer habilement pour remonter. Arrivée au portail elle nous fait un grand signe de la main. << Clémentine m'a tout raconté. Espèce de vieux vicieux. À combien de femmes tu montres ta bite de pervers ? >> s'exclame Estelle en fourrant sa main dans ma braguette. Voilà le tube Citroën rénové de notre boulangère adorée.
Clémentine se met devant nous le temps qu'Estelle retire sa main en disant : << Et à madame Marthe ? Tu ne lui montres pas ta queue de vieux satyre ? >>. Madame Marthe se gare derrière la Clio rouge de Julie. J'ai refermé mon anorak. Notre boulangère connait bien Estelle puisqu'elle livre ses parents. Elle est toujours enchantée de voir Estelle avec nous. Elle saute de sa camionnette avec une étonnante agilité malgré sa corpulence. Elle ouvre la porte latérale qui fait toujours cet épouvantable bruit de ferraille. Tout en nous racontant des truc rigolos.
Nous récupérons le troisième cageot qui contient les deux grosses miches de pain complet, les deux pâtes feuilletées, les huit bouchées à la reine vides, l'énorme brioche au pudding, les deux gros croissants à la pâte d'amandes. Paiement par carte. Le même terminal que celui de Danièle. Nous saluons madame Marthe qui elle aussi a encore bien d'autres clients à livrer. Chacun avec un cageot dans les bras nous contournons la maison pour descendre à la cave par derrière. Sur les étagères du cellier nous disposons les fruits, les légumes. Avec soin.
Estelle fourre sa main dans ma braguette alors que je suis penché au-dessus du congélateur. << Vieux salaud. Ça m'excite quand tu fais ton vicelard ! >> lance t-elle. << Moi aussi, j'adore ça ! >> rajoute Clémentine qui m'aide à récupérer le paquet de moules, les sachets de petits pois et de haricots verts. Nous remontons par l'escalier intérieur. Évidemment au moment où Julie est entrain de passer la serpillère dans la cuisine. << Allez-y, passez, je donne un petit coup après ! >> fait elle. Nous rangeons les produits frais dans le réfrigérateur.
Nous déposons chacun une bise sur le front de Julie avant de quitter la cuisine. Au salon, assises sur mes genoux, mes deux anges allument l'ordinateur. Nous avons trois messages. Celui de ma famille d'Édimbourg. Oncle Alan a bien récupéré puisqu'il retourne jouer aux échecs dans son club. Nous sommes rassurés. Il y le courriel de notre médecin traitant et de celui d'Estelle. Nos certificats médicaux en pièces jointes. Il n'y a qu'à les sortir sur l'imprimante. << Comme des nouveaux nés ! >> lance Clémentine. Car nous sommes en parfaite santé.
Il y le mail de Juliette qui nous rappelle que nous sommes invités ce soir. Les festivités débutent à vingt heures. Costumes et masques obligatoires. Tout comme les certificats médicaux. Elle précise : "pas de certificat, pas de soirée". Nous apprécions beaucoup les exigences de Juliette. Elle s'entoure toujours de toutes les précautions. Sans certificats de bonne santé, pas de partouze. Dans l'enveloppe jaune je glisse un billet de 50 euros et un billet de 20 euros. Clémentine et Estelle y rajoutent un petit mot que je signe du dessin d'une belle bite.
Il est un peu plus de onze heures trente. Julie vient nous rejoindre. Toujours cette attitude d'écolière timide devant ses professeurs. Estelle se lève d'un bond pour contourner le bureau. Elle prend Julie par la taille en disant : << Ça te dit de venir faire le ménage à la maison ? >>. Julie répond : << Je n'ai pas le temps mais ça me plairait bien ! >>. Clémentine se lève pour les rejoindre. Elles entourent Julie en la tenant par les bras. << Prête pour la semaine prochaine ? >> demande Estelle. << Prête ! >> répond Julie. Je me lève pour aller les rejoindre.
Je tends l'enveloppe jaune à Julie qui me remercie. Elle n'a jamais semblé aussi heureuse. Elle dit : << Je viens lundi pour 14 h. Faites-moi un grand plaisir. Acceptez que je prépare tous les repas de midi jusqu'à vendredi. J'adore cuisiner ! >>. Nous la regardons avec de grands yeux. << D'accord ! >> lance Clémentine. << Tu ne seras pas seulement notre mascotte sexuelle mais aussi notre cuisinière alors ! >> rajoute Estelle. Nous rions aux éclats quand Julie conclue : << J'aime être les deux ! J'adore ! >>. Nous la raccompagnons à sa voiture.
Assise au volant, la vitre baissée, elle nous confie son impatience d'être déjà à lundi. J'ai la bite à l'air. Entre Estelle et Clémentine qui l'agitent à tour de rôle vers Julie. Nous nous penchons pour lui faire un dernier bisou. Quand c'est à mon tour elle me tend sa bouche. J'y enfonce ma langue. Toute surprise, elle ouvre de grands yeux avant de démarrer. Un dernier coucou. Nous regardons la voiture monter jusqu'au portail. Julie souffle un bisou dans sa main pour nous l'envoyer. Morts de faim, nous nous dépêchons de rentrer. Il fait chaud. Ça sent si bon.
Quand elle termine son ménage, Julie a pour habitude d'allumer les diffuseurs d'arômes. Magnolia à l'étage. Jasmin en bas. Clémentine fait l'assaisonnement de la belle laitue. Estelle s'occupe de la cuisson des petits pois et des haricots verts. Je prépare le bouillon pour les moules. C'est sur la cuisinière électrique car nous n'avons pas allumé la cuisinière à bois. Ce que s'empresse de faire Estelle, "préposée" aux feux durant les vacances. Ma bite fait une bosse sous mon tablier de cuistot. C'est Clémentine qui me la palpe vicieusement. En m'embrassant.
Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la personnalité de Julie. Nous allons tourner un de nos films pornos privés la semaine prochaine. Estelle propose quelques scénarios sympathiques. Clémentine précise que Julie a quelques préférences pour les situations "humiliantes". << Pourquoi ne pas organiser un "plan surprise" dans la maison d'amis ? Avec le voisin ? Sans lui dire que c'est filmé ? >> suggère Estelle. Je précise que de filmer quelqu'un à son insu peut coûter cinq ans de prison et trente mille euros d'amande. Cher payé.
<< Mais ce film ne sera jamais diffusé nulle part. C'est complètement privé ! >> lance Estelle. << Non, on ne déconne pas avec ça ! >> conclue Clémentine. Je suis rassuré. Je trouve abjecte de voler l'image de quelqu'un. Surtout dans des situations de ce genre. Par contre l'idée de la maison d'amis est à retenir. << Si on fait un film "bondage" je veux être la Maîtresse ! >> dit Estelle. << Moi, je filme ! Je m'occupe de la caméra ! >> conclue Clémentine. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges font mille scénarios.
Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Prétexte pour faire les clowns devant le miroir de la salle de bain. Estelle et Clémentine ont préparé leurs costumes sur des cintres. Ils sont accrochés aux crochets, à côté des peignoirs. << Il faut faire de l'essayage avant de filer ! >> dit Clémentine. Estelle lâche ma bite pour se déshabiller. Toutes les deux, juste en culottes et en chaussettes revêtent leurs robes "Marie-Antoinette". Des robes un peu courtes qui leurs arrivent aux chevilles. Il faudra mettre des bottines.
Elles tournent devant le grand miroir ovale. << Génial ! Elles nous vont encore ! >> lance Clémentine. << Heureusement que nous n'avons pas de seins. Sinon on serait serrées ! >> fait Estelle. Elles se tournent vers moi. Je suis assis sur le bord de la baignoire. Elles font toutes les deux des courbettes comme les belles courtisanes de jadis. << Je me présente Madame de Pompadour ! >> fait Estelle. << Je me présente Madame de Pompabite ! >> dit Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Je suis plié de rire. Estelle vient s'accroupir devant moi.
Ses mains posées sur mes cuisses, elle hume ma queue en disant : << Ce soir, pendant que Madame de Pompafoutre sera occupée à ses dégustations, je ne m'occuperai que de celle-là ! >>. Je dépose une bise sur son front. Clémentine rajoute : << Oui, propriété exclusive de Madame ma surveillante ! >>. Estelle et Clémentine se déshabillent pour se revêtir normalement. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Même si la météo est menaçante, il est décidé d'une bonne randonnée. Nous aimons trop marcher dans la nature. Êtres dehors.
Dans le petit sac à dos que je porte, les barres de céréales, les pommes, la thermos de thé bouillant. Nous montons jusqu'au portail, traversons la route pour nous engager dans le chemin forestier. Le sol est pierreux et il suffit d'éviter les endroits boueux. La température indiquée par le téléphone d'Estelle est de 14°. Parfait pour marcher avec les anoraks ouverts. Ma braguette ouverte aussi. Mes deux anges retirent leurs gants juste avant de fourrer leurs mains dans mon slip. Nous croisons quelques marcheurs sur la boucle des quatre heures.
Il est dix huit heures trente quand nous revenons. Fourbus, morts de faim. Juste quand la nuit commence à tomber. Clémentine fait l'assaisonnement pour le reste de la laitue. Estelle fait gonfler du riz complet et râpe du gruyère de Comté. J'émince un gros pavé de saumon que je poêle avant de le rajouter à la sauce au Roquefort. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine, me demande de tenir sa main pour me faire sentir son anxiété. C'est vrai qu'elle a la tremblotte. << Comme avant chaque partouze ! >> s'exclame Estelle. Rires.
La soirée masquée
Nous arrivons dans la cour du haras pour vingt heures. Il y a plusieurs voitures garées là. Lorsque je sors de la notre Estelle et Clémentine se collent contre moi. << J'ai la trouille ! >> me fait Clémentine. << Je suis morte de trouille moi aussi ! >> rajoute Estelle. Elles saisissent mes mains pour partager les tremblements qui les agitent. Je les prends par la taille pour dire : << C'est rien. Juste Parkinson ! >>. Elles éclatent de rires. C'est ainsi que nous traversons la cour pour entrer dans la nouvelle écurie. Nous entendons des rires. Des conversations animées.
<< Je suis comment ? >> me demande une fois encore Clémentine. Je réponds : << Tu es sublime ! >>. Estelle se place devant nous pour nous stopper. Elle demande elle aussi : << Et moi ? >>. Je réponds pareil : << Tu es sublime ! >>. Les chevaux dont les encolures dépassent de leurs box nous observent. Il fait presque agréable et bien moins froid en compagnie des équidés. J'ajuste le masque de Clémentine. Elles portent toutes les deux leurs loups à dentelles noires avec une prestance toute aristocratique. Estelle ajuste le mien.
Nous restons un peu dans l'allée centrale. La porte s'ouvre soudain. On entend la fête. C'est probablement Juliette qui vient à notre rencontre. Oui, c'est bien elle. Son accent Corse trahit sa personnalité même déguisée en Zorro. Un Zorro hyper sexy. Ce costume noir semble avoir été créer pour sublimer sa silhouette d'athlète féminine. << Vous êtes superbes ! >> lance t-elle en découvrant nos costumes. Estelle et Clémentine en longue robes de l'ancien régime. << Très "Marie-Antoinette" ! >> s'écrie Juliette en tournant autour de nous. Admirative.
<< Julien vous devriez être vêtu ainsi à longueur de temps ! >> me dit elle en me prenant par les épaules. Ma veste de cuir noir, cintrée à la taille. Mon pantalon de cuir noir, moulant comme un legging dans mes hautes bottes de cuir noir également. Mon masque noir très similaire à celui de Zorro que porte Juliette. Mes longs cheveux retenus par un nœud de velours noir que Juliette, sur la pointe des pieds, hume en s'accrochant à mes épaules. Clémentine, dans ce réflexe qui nous amuse, s'interpose. La trop proche proximité de Juliette la rend toujours très jalouse.
<< Venez ! >> fait cette dernière en nous invitant à la suivre. Elle pointe son index vers mon sexe en précisant : << Comme convenu cher Julien ! >>. C'est Clémentine qui déboutonne le rabat de cuir. Délivrant ainsi mes organes génitaux. Je me sens soudain ridicule. Nous entrons dans le salon aménagé au fond des écuries. C'est également le bureau où Juliette reçoit les propriétaires de chevaux, fête les anniversaires de son personnel et autre occasions notoires. Estelle empoigne mes organes en disant : << Moi, ce soir, je ne vais m'occuper que de ça ! >>.
Il y a là les convives de la soirée masquée. Il est difficile de mettre une identité derrière les costumes et les masques. Mais il y a une constante. Les quatre hommes présents ont tous leurs attributs virils parfaitement visibles. Les quatre femmes présentent sont superbement costumées. "Romantiques". Il y a Alice aux pays de merveilles. Impossible de savoir qui c'est. Il y a Blanche neige. Adorable. Il y a une femme prodigieusement vêtue de la robe que portait Juliette. Laissant visible une poitrine généreuse, des seins fièrement dressés et bien soutenus.
Il y a une femme en tailleur stricte. Noir. Je crois reconnaître Valentine. L'employée de Juliette qui a récemment acheté l'ancienne auto de Clémentine. Chez les hommes il y a un gentleman très dix neuvième siècle, en redingote. Portant un chapeau haut de forme. Un loup noir. Est-ce Robert, le vétérinaire ? Le rabat de son pantalon est très similaire au mien. Ouvert il laisse pendre ses attributs virils. Il y a un "bourreau" portant cagoule. Gilet brun, chemise blanche aux manches bouffantes. Je suis presque certain que c'est Pierre. Sa grosse bite.
Il y a un gentilhomme habillé façon second empire, rappelant les tenues de l'empereur. Les hommes, nous avons tous les quatre la bite et les couilles bien visibles. Juliette, en maîtresse de cérémonie, lance à la cantonade : << Je déclare les festivités ouvertes ! >>. Elle m'entraîne par le bras jusqu'à la table où sont les victuailles. Estelle et Clémentine restent près de moi. << Ne me lâche pas d'une semelle ! >> me chuchote Estelle. Juliette tend sa main en demandant : << Les certificats s'il vous plaît ! >>. Je tire les trois feuilles de ma poche. Elle s'en empare.
Autour de nous ça rigole, ça discute. Juliette se tourne vers nous pour préciser : << Tous les gens présents m'ont remis un certificat médical de moins de 48 h. Voilà le mien ! >>. Nous savons que notre amie est intraitable sur l'hygiène et qu'elle veut éviter tous risques. Le "bourreau" s'approche de Clémentine entrain de se servir en jus de pommes. Chez Juliette, pas d'alcool. Pas de fumée. Pas de drogues. Et nous la remercions d'être intransigeante sur ces points précis. Les soirées ne dégénèrent donc jamais. Tout le monde reste lucide ce qui est bien plus excitant.
Je suis convaincu que le "bourreau" qui bavarde avec Clémentine n'est autre que Pierre. Estelle qui reste près de moi me murmure à l'oreille : << Moi aussi je suis sûre que c'est lui ! >>. Par contre le "gentilhomme" qui se masturbe déjà en bavardant avec "Blanche Neige" est probablement Armand. Il n'est pas en "clodo" ce soir. Estelle empoigne mes couilles tout en bavardant avec Juliette qui reste elle aussi près de nous. << Je peux ? >> demande t-elle. Estelle retire sa main. C'est Juliette qui saisit mes roubignoles en disant : << Bien dodues. Comme je les aime ! >>.
Estelle reste ce soir la femme la plus excitante pour moi. Je regarde les expressions de sa bouche lorsqu'elle parle. Elle va avoir 26 ans. Je devine déjà la femme en devenir. D'adorables petites fossettes se dessinent autour de sa bouche. Je les regarde discuter. Il y a le gentleman au chapeau haut de forme qui vient nous rejoindre. Juliette lâche mon sexe pour s'emparer de celui du mec. Lorsque je regarde en direction de Clémentine mon sang ne fait qu'un tour. Elle bavarde avec le "bourreau" en tenant son sexe. Il bande méchamment. C'est Pierre. Certain !
La femme portant la belle robe de velours rouge bordé de velours bleu, les seins bien dressés s'est accroupit devant "l'empereur". Je suis certain que c'est madame Walter, la femme de Pierre. À cet instant, Clémentine s'accroupit également devant son "bourreau". Juliette entraîne le gentleman par la queue jusqu'au milieu de la grande pièce. Il y a des tabourets empilés à côté du buffet. Elle les saisit les uns après les autres pour les aligner au milieu du salon. Elle tape dans ses mains. Toujours en parfaite maîtresse de cérémonie en lançant : << Musique ! >>.
Les femmes présentes comprennent immédiatement. Estelle tient ma queue en restant serrée contre moi. Blanche neige, la femme en tailleur strict, Alice aux pays des merveilles et Clémentine s'installent sur les tabourets. Chacune penchée devant les organes génitaux des mecs qui se placent devant elles. Juliette, une main entre ses cuisses, se touche en se dirigeant vers la porte arrière. Elle frappe trois coups. Il y a un "ouvrier de chantier", avec le casque, les bottes en caoutchouc qui entre. Il cache son visage derrière une fausse barbe ridicule. Des lunettes noires.
<< Mesdames, messieurs, je vous demande d'applaudir notre invité mystère ! >> lance Juliette. Nous applaudissons. Juliette s'empare de la bite de ce mec en rajoutant : << Un futur membre de notre "Club"! >>. Nous rions aux éclats quand "Blanche neige" s'écrie : << Y a t-il autres choses ici ce soir ? >>. Juliette tire "l'ouvrier de chantier" par sa queue pour lui présenter les invités en leur donnant d'amusants pseudonymes. J'hallucine parce que Clémentine est déjà entrain de sucer. La femme en tailleur, assise à sa gauche, fait de même. Toutes les deux bientôt suivies par les autres femmes.
Estelle est extrêmement voyeuse. Depuis petite elle prend un plaisir fou à mâter. Serrée contre moi, jouant avec ma queue, elle commente ce qui se passe. Elle me fait part de ses ressentis en chuchotant à mon oreille. Quand je vois Clémentine se livrer ainsi à des fellations sur des inconnus, il y a toujours une étrange émotion qui m'envahit. Ce soir encore. La situation perdure depuis une bonne dizaine de minutes. Soudain, les mecs se déplacent en se tapant la paume des mains. C'est la bite de "l'empereur" que suce Clémentine. Dommage que le loup de dentelles noires cache ses traits.
J'adore voir les expressions de son visage quand elle taille des pipes à des inconnus. Mon érection, tenue par la poigne ferme d'Estelle, est presque douloureuse. C'est surréaliste de voir les messieurs présents se déplacer devant les femmes qui les sucent les uns après les autres. Juliette tape dans ses mains en disant : << On change ! >>. Il y a deux tabourets vides. "L'ouvrier de chantier" se branle en tournant autour des femmes. Il leurs présente sa bite. Un truc impressionnant. Curieusement il semble rester à proximité immédiate de Clémentine.
Je regarde plus attentivement. Estelle le remarque. C'est par la queue qu'elle m'entraîne vers les tabourets. Je me penche pour observer Clémentine. Le tour de sa bouche est trempé des différents foutres. Il y en a carrément une grosse goutte quiperle au coin droit de sa bouche. Juliette s'assoit sur un des deux tabourets libres. "L'ouvrier de chantier" se place devant elle. J'aime aussi beaucoup voir Juliette tailler des pipes. Cette superbe bourgeoise à l'allure aristocratique. Merveilleuse salope qui me fait des déclarations d'amour en cachette.
À ma grande surprise, Estelle s'assoit sur le dernier tabouret. Elle me tient fermement par les fesses. Elle prend mon sexe en bouche. Je caresse ses joues creusées par l'effort de succion. Je caresse ses tempes. Je me penche pour lui chuchoter des douceurs. Juliette cesse de pomper pour crier : << On change ! >>. Les mecs bougent, changent de suceuses. Estelle m'empêche de faire pareil. Elle me tient comme si sa vie en dépendait. Elle me suce merveilleusement bien. Comme toujours. Aussi, je n'éprouve aucune envie d'aller me faire sucer ailleurs.
C'est si bon avec elle que je n'ai nulle envie de changer de pompeuse. Elle m'empêcherait d'ailleurs de même tenter de le faire. Les autres mecs qui veulent prendre ma place rient à chaque fois. Je n'ai toutefois de yeux que pour Clémentine que je vois pomper avec passion. Son masque me frustre. J'aimerais assister à chacune de ses expressions. Estelle lève la tête. Sans cesser de sucer elle me fixe. Me fait un clin d'œil. Je regarde le "Bourreau". Il a une attitude de parfait vicelard. Je me retire pour présenter ma queue à Clémentine. Elle la refuse.
Elle détourne sa tête à chaque tentative alors qu'Estelle m'attend. Le "bourreau" force chacune des femmes qui le suce à prendre toute sa bite. Jusqu'au fond de la gorge. Il les fait tousser. Elles en ont toutes des hauts le cœur. L'ouverture dans son pantalon de cuir noir, laisse dépasser les poils noirs et abondant de ses parties génitales. Il se branle dans les bouches des suceuses. Je découvre que Juliette refuse de le prendre en bouche. Se débrouillant à chaque fois pour l'éviter. Il est le premier à soulever Clémentine comme si elle ne pesait rien.
Il l'emmène comme un paquet pour la déposer sur la table, en poussant les assiettes en carton contenant les cacahuètes. Il y a des paquets de capotes multicolores sur une assiettes plate. Préservatifs obligatoires pour baiser chez Juliette. Tant mieux. Il enfile une capote bleue. Sur sa grosse bite qui en devient un Schtroumpf ridicule. Il chope Clémentine sous les genoux pour la basculer en arrière. Sans autre cérémonial, il la pénètre. Je la vois se mordre la lèvre inférieur. Elle pousse un cri. Le salaud se cale bien entre ses cuisses. La bloquant.
Quelques secondes plus tard, elle se fait sauter à la hussarde. Sans le moindre ménagement. Est-ce bien Pierre ? Je n'en sais plus rien. Ce qui donne des idées au gentilhomme qui soulève la jeune femme en tailleur noir. Elle se retrouve couchée sur la table, à côté de Clémentine, sa jupe droite retroussée sur les hanches. En porte-jarretelles noir. Elle aussi se fait tringler à la hussarde. Voilà notre gentleman en redingote qui soulève la femme aux seins nus. Pour l'emmener sur la table. C'est tout simplement surréalistes. Presque grotesque aussi.
Pas question de changer de partenaire sans changer de préservatif. Juliette y veille scrupuleusement. Je découvre encore ce soir à quel degré de perversité elle a élevé l'art de la partouze. Elle ne perd jamais le contrôle de la situation. Elle m'avoue parfois trouver dans cette hyper lucidité un plaisir immense. Je la regarde évoluer parmi les convives. Je me penche pour faire des bises sur le front d'Estelle qui glousse de plaisir. Elle tient mes mains comme une naufragée tient sa bouée. Pourtant je regarde Clémentine là-bas, qui se fait sauter.
Quand je tente de la soulever pour l'emmener sur le bout de table qui reste, elle se lève pour me dire : << J'ai pas envie de baiser devant tous ces gens. Tu m'en veux ? >>. Sans me laisser le temps de répondre, elle enfonce sa langue dans ma bouche. Elle m'envahit ainsi de vertiges. << Je t'aime Julien ! >> murmure t-elle à mon oreille. Je suce le lobe de son oreille en chuchotant : << Moi aussi je t'aime Estelle ! >>. Elle me serre dans ses bras. J'en oublie ce qui se passe autour de nous. C'est vrai que souvent je suis très amoureux d'Estelle.
Il faut imaginer les petits cris, les râles de plaisirs, les gémissements de trois femmes entrain de se faire baiser sur une table. Jambes relevées et tenues par les trois mecs qui les tringlent en poussant des cris d'hommes des bois en rut. Juliette suce "l'ouvrier de chantier". Non, ce n'est pas Valentine en tailleur noir. Son masque se décroche. C'est Denise, la femme du vétérinaire. Elle est hyper belle. Elle remet son masque. << Le carnaval de Venise pour Denise ! >> lance son baiseur fou. La scène est d'un surréalisme baroque. D'un autre temps.
C'est moi qui m'assoit sur le tabouret. Mon pantalon de cuir devient insupportable. Je suis en sueur, il colle. En retroussant sa robe, "Marie-Antoinette" s'enfile délicatement sur ma queue. << Je t'aime Julien ! >> murmure Estelle une nouvelle fois complètement empalée sur mon érection. Il est impossible de le savoir. De toute manière tout le monde s'en contrefiche. Trop occupé à ses petites affaires. Je tourne parfois la tête pour voir Clémentine couchée sur le dos s'agitant en criant. Elle prend visiblement un plaisir fou à se faire baiser par un cagoulé.
Les invités de Juliette, membres du "Club", sont tous des hommes performants et surtout endurants. Elle les a bien évidemment tous essayé avant de les introniser. Cette partouze dure donc pour le plus grand plaisir des femmes qui sont toutes de grandes "pratiquantes". Il y a de belles nymphomanes dans cette assemblée d'authentiques salopes. Le "bourreau" se retire en poussant un hurlement. Il tient Clémentine par sa tignasse. Il la force à s'accroupir. Je n'ai jamais vu un tel déluge de sperme ! Estelle arrête de faire du dada sur ma turgescence.
Clémentine a beau ouvrir la bouche pour tenter de tout attraper. Il s'en déverse jusque sur son masque car le salaud l'empêche de prendre son sexe en bouche. Il lui éjacule à la gueule agité de tremblements, en braillant : << Salope ! >>. C'est comme un signal. Le gentilhomme fait pareil. Ainsi que le gentleman. Estelle et moi nous observons en cessant de bouger. Juliette se fait certainement éjaculer dans la bouche car "l'ouvrier de chantier" se cambre en hurlant. Le salon sent la baise ! Le "bourreau" frotte sa bite sur le visage maculé de Clémentine.
Comme à chaque fois, une fois assouvie d'orgasmes et de spermes, Clémentine n'a qu'un désir. Celui de s'enfuir. Elle se redresse pour se soustraire à l'étreinte de son "bourreau". Avec force. Elle me regarde avec un air désespéré. Elle m'attrape sous le bras. Estelle se redresse. Ma queue s'échappe de sa chatte. Nous suivons Clémentine qui nous tient les mains. Dans l'allée centrale de l'écurie, nous nous mettons à courir. C'est amusant de s'enfuir comme des voleurs. Une fois dans la voiture, Clémentine s'essuie le visage avec un mouchoir en papier.
<< Put-Hein, j'ai la chatte en feu ! >> s'exclame t-elle. << Salope ! >> lui lance Estelle assise avec elle sur le siège passager. Clémentine prend une des pommes préparées dans la boîte à gants. Elle croque dedans. Je démarre. Estelle me fait des bisous. << Il y avait un pisseur dans la bande. C'est dégueulasse ! >> lance Clémentine. << Lequel ? >> demande Estelle. << Justement, je ne sais pas. Ils changeaient tellement vite ! >>. Nous rions de bon cœur. Il est vingt trois heures quand nous arrivons à la maison. Clémentine prend une douche.
Estelle et moi nous reprenons notre pénétration. Je suis assis sur le tabouret de la salle de bain. Estelle installée sur moi. Nous n'arrêtons plus de nous embrasser. Les mentons trempés de salive. Clémentine sort de la douche, cheveux relevés. Elle s'essuie. Elle dit à Estelle : << Merci de t'être occupée de Julien. J'étais rassurée toute la soirée. Aucune de ces salopes n'a eu sa queue ! >>. Nous rigolons comme des bossus quand Estelle répond : << Mais t'es gonflée comme salope toi ! >>. Clémentine me demande : << Tu ne m'en veux pas ? >>.
Tout en étant enfoncé dans Estelle jusqu'aux couilles, je réponds : << Tu as été merveilleuse. Si tu te voyais quand tu baises ! >>. Elle précise : << Tu sais quand je refuse de te sucer c'est parce que je me sens soudain honteuse de le faire à d'autres. Si je commence à te sucer, je ne me consacre plus qu'à la tienne ! >>. Je comprends cette attitude. Estelle accélère son rythme. Elle s'écrie : << Julien ! J'arrive ! >>. Elle se retire pour se redresser, se terminer aux doigts comme elle aime. Clémentine s'accroupit pour sucer. J'éjacule enfin en criant.
Bonne nuit à toutes les coquines qui se blottissent contre leur "chaperon" pour trouver la meilleure position avant un profond dodo...
Julien
NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.