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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 6 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2155 -



L'agréable soirée en compagnie de Juliette

Hier matin, mercredi, l'application "océan" nous tire de nos profonds sommeils. Comme le font ses illusions tous les matins. Il est presque six heures. Clémentine se serre contre moi. Gémissante et cherchant dans mes bras la volonté de se réveiller. C'est encore difficile aujourd'hui. << Ce sont nos folies de hier soir ! >> murmure t-elle en se lovant contre moi. Il faut se lever sous peine de se rendormir. Nous nous précipitons aux toilettes avant de passer à la salle de bain bien chauffée ou nous nous habillons de nos vêtements de sport.

Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Il ne fait pas chaud dans la cuisine. Aussi, pendant que Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis, j'allume la cuisinière à bois. Nous prenons un solide petit déjeuner en revenant sur nos folies de hier soir. La "baise sur bureau" dont nous raffolons de plus en plus depuis plusieurs mois. Nous mangeons de bon appétit en dissertant sur celles à venir. Au point de rire aux éclats quand Clémentine émet l'idée saugrenue : << Il faudra préciser dans nos locations, appartement avec bureau ! >>.

Il est 6 h25 quand nous remontons nous échauffer avec des mouvements aérobics, un bon jogging sur tapis roulants. Des exercices au sol très sympathiques où les abdos tiennent le meilleur rôle. Les charges additionnelles achèvent de faire de nous des guerriers pour la journée. Les étirements d'un stretching finalisent l'ensemble avant que nous nous précipitions dans la salle de bain pour une bonne douche. Je redescends le premier pour faire chauffer la voiture. Il fait encore un froid polaire dans ce jour qui achève de se lever. Et il va être 7 h45.

Clémentine me rejoint emmitouflée dans son anorak. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou avant de rentrer au chaud. Je fais la vaisselle, notre lit. J'allume un bon feu dans la cheminée de l'atelier. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette.J'attaque ce matin la onzième toile destinée à ma saison d'été. Une scène de genre à trois personnages. Je peins dans une sorte d'extase qui me fait baver de plaisir. Les heures défilent et je n'en ai plus réellement notion. C'est mon appétit qui m'avertit qu'il est midi.

Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe le gratin de pommes de terre. Je fais l'assaisonnement d'une laitue dont je lave les feuilles pour maintenant et pour ce soir. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans tous ses états, André Bercoff reçoit aujourd'hui une ancienne députée. Cette femme témoigne des exécrables pressions exercées par le gouvernement sur le parlement, l'Assemblée Nationale afin de faire adopter des lois liberticides, scandaleuses pour l'intérêt exclusif d'une infime minorité. Situation qui perdure tous les jours.

Pour ce soir je lave et je coupe un gros choux fleurs. Je le fais cuire dans la cocotte minute. Dix minutes sur la cuisinière à bois. Pendant ce temps je concocte une Béchamel dans laquelle je rajoute de l'émincé de saumon rissolé dans la poêle. Ail, oignon, persil, ciboulette. J'égoutte le choux fleurs avant de le verser dans le grand plat carré en terre cuite. Je verse la Béchamel. Je recouvre d'une couche de gruyère. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillé. Onze cerneaux de noix disposés en rond. Au four électrique. Cuisson 180°.

La vaisselle. Clémentine va se réjouir pour le repas de ce soir. << Un gratin de choux fleurs ! >> a t-elle prononcé plusieurs fois pendant l'entraînement matinal. Voilà son souhait exaucé. Je monte me laver les dents. C'est toujours en regardant par une des deux fenêtres de la salle de bain que me pénètre cette profonde envie de sortir. Comme un désir de liberté. Pressé de filer je dévale les escaliers pour mettre l'anorak. Le thermomètre extérieur indique six degrés. Je vais jusqu'à la rivière. Ma petite promenade presque quotidienne. C'est agréable.

Il est 13 h50 quand je suis installé confortablement devant mon chevalet.Je peins dans la plus profonde sérénité. L'après-midi passe aussi vite que la matinée. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Ce soir elle est toute fébrile d'être de retour. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Les travaux prennent une orientations plus personnelles depuis lundi. Ce qui procure un grand sentiment de liberté aux étudiants. Elle fait partie d'un groupe de huit. Et un prof.

Clémentine a encore des écritures à finaliser. La voilà assise devant son ordinateur. D'êtres tous les deux, concentrés sur nos activités respectives, reste un grand moment de plénitudes. << Ça devrait être comme ça toute la journée. Comme pendant le confinement, tu te souviens ? >> lance t-elle. Je me rappelle bien de ces journées ensemble, du télé travail et de ses plaisirs. Il est 18 h30 quand elle s'écrie : << Terminé ! >> en rangeant ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je retire ma blouse pour aller vers le petit lavabo de l'atelier.

Clémentine m'y rejoint. Pendant que je me lave les mains, elle tient ma bite pour en diriger les jets. Un de nos rituels pisseux presque quotidiens. Je me fais sucer un peu quand la porte de l'atelier s'ouvre. C'est Juliette. Elle nous surprend ainsi en lançant : << Oh pardon, je dérange ! >>. Nous rions alors que Clémentine se redresse. Juliette nous fait la bise. Elle sait très bien qu'elle ne nous dérange pas. Ayant laissé son manteau dans le hall, Juliette est vêtue ce soir encore de sa tenue d'écuyère. Sa tenue de travail. Ses cheveux noirs en natte.

Juliette s'installe devant mon chevalet. << J'aurai bientôt de quoi vous acheter une toile. Les affaires marchent plutôt bien ! >> dit elle. Clémentine reste contre moi lorsque Juliette se dirige vers la cheminée. << Je rêve d'avoir une maison avec une cheminée ! >> rajoute t-elle. J'ai la bite à l'air. Elle fait mine de ne pas s'en rendre compte. Un jeu terriblement excitant. Clémentine la saisit à sa base, entre le pouce et l'index. Elle l'agite en direction de Juliette qui se retourne pour découvrir la scène. Elle nous adresse un sourire, fait clin d'œil.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Sur la table il y a la tarte aux poires ramenée par Juliette. Clémentine noue mon tabler sur mes reins. Une protection qui permet de garder ma queue à l'air. Ce qui fait une grosse bosse sous le tissu. Je sors le gratin de choux fleurs du four électrique pour le mettre dans celui de la cuisinière à bois. Hyper chaud. Clémentine fait l'assaisonnement pour la laitue déjà lavée. Juliette met les assiettes et les couverts en nous racontant sa journée. Debout de l'autre côté de la table, elle pose sa main sur son sexe. Silence.

Clémentine demande : << De belles aventures en ce moment dans les écuries ? >>. Juliette, en se touchant, répond : << Oui, un nouvel employé de la société de nettoyage. Je me suis rarement fait draguer avec autant d'insistance ! >>. Je dis : << Je constate que ça ne vous laisse pas indifférente ! >>. Juliette contourne la table. Elle enfile les maniques avant de s'accroupir devant le four. De la voir ainsi de dos m'excite au plus haut point. Clémentine mime une masturbation masculine. Je soulève alors mon tablier pour me masturber avec fougue.

Je sais bien que ce n'est pas le gratin de choux fleurs que Juliette regarde. Mais mon activité dans le reflet de la vitre du four. Elle tourne la tête pour m'adresser un merveilleux sourire. Habituellement elle me lance un regard sévère. Elle sort le plat fumant du four. Superbement doré. Je retire mon tabler avant de passer à table. Secouant ma bite en direction de notre belle invitée. Nous mangeons de bon appétit. Très rapidement Juliette oriente la conversation sur la soirée masquée. << Même plus deux semaines ! >> précise t-elle. Ce sera le 18 février.

Je me lève à plusieurs reprises durant ce délicieux repas. Pour ponctuer les propos les plus "chauds" de la conversation, j'agite ma queue vers Juliette, puis vers Clémentine. Comme pour chacune des soirées qu'organise Juliette, chaque participant est tenu de fournir un certificat médical de moins de 48 heures. Nous le ferons établir pour vendredi à notre retour de vacances. C'est bien de rester irréprochable dans les soirées à thèmes sexuels. Ça limite les risques. Et cela permet de passer d'un partenaire à l'autre sans inquiétude. Préservatifs obligatoires.

Nous traînons à table. Clémentine, Estelle et moi n'avons pas encore choisi de costume. Nous le ferons durant nos vacances. << Tout le monde sera masqué. Tous les invités porteront le costume de leur choix ! >> précise Juliette. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Juliette plonge, Clémentine et moi essuyons. C'est au salon que nous savourons la tarte aux poires concoctée par Juliette. Ce sont toujours de petites tartes qui se coupent facilement en trois parts. Juliette installée dans le fauteuil qui nous fait face. Nous assis dans le canapé.

C'est un rituel devenu immuable. Tout en bavardant, Clémentine joue avec ma queue. Selon les moments je bande plus ou moins. Juliette joue de son index sur la couture centrale de son pantalon d'écuyère. Pantalon beige hyper moulant. Cette couture sépare en deux petites bosses les lèvres charnues de sa vulve. Quand elle vient passer la soirée avec nous, Juliette ne porte aucun sous-vêtement. Ce qui permet de voir cette auréole plus sombre se dessiner tout au long de la soirée. C'est terriblement excitant, passionnant. Nous adorons jouer ainsi.

Parfois je me lève pour venir me placer devant Juliette. Je présente mon sexe à une cinquantaine de centimètres de son visage. Le silence permet d'entendre nos respirations. Le souffle qui suit les apnées de l'excitation contenue. Il n'y a quasiment jamais de passage à un acte quelconque. Ce qui nous ravit c'est cette tension sexuelle induite par les différentes situations. Ce soir Juliette se lève à deux reprises. Cambrée sur ses genoux fléchis, elle se touche avec une merveilleuse indécence. Avec une vulgarité sidérante. Clémentine fait de même.

<< Il faut qu'on se refasse une soirée masturbation ! >> s'écrie Juliette en se rasseyant. Clémentine s'exclame : << De grands souvenirs ! >>. Je rajoute : << J'adore ! >>. Je reste debout. De la main gauche je tiens mes couilles, de la main droite je me branle comme un dément. Juliette et Clémentine se touchent. C'est ainsi que nous bavardons encore un peu. Juliette devra nous laisser pour 22 h. Il reste une vingtaine de minutes. Nous ne nous reverrons plus avant la soirée masquée. Aussi nous profitons bien de ces derniers instants ensemble.

Essoufflé je me laisse retomber lourdement dans le canapé. Immédiatement Clémentine m'attrape la queue. Elle est ruisselante de liquide séminal. << J'adore quand ça dégouline ! >> dit elle. << J'adore le goût. C'est le meilleur ! >> rajoute Juliette qui est vautrée, les cuisses écartées, posées sur les accoudoirs, entrain de se toucher. L'auréole sombre s'est considérablement agrandit. C'est impressionnant ce que cette belle bourgeoise de 48 ans peut mouiller. Merveilleuse salope qui nous fait délirer depuis plus de cinq ans. Il faut cesser. C'est l'heure.

Nous raccompagnons Juliette. Je l'aide à mettre son manteau noir. Elle ressemble à une vampire dans sa cape quand je relève son col. Nous prenons tous les trois la pose devant le grand miroir du hall d'entrée. Je glisse ma main entre ses cuisses en m'écriant : << Waouh ! Trempée ! >>. En effet, à travers le tissu de son pantalon, à l'endroit de son sexe, c'est mouillé. Je montre mes doigts à Clémentine. << Le club des salopes ! >> lance t-elle. Je dis : << C'est merveilleux; on s'emmerde tellement avec celles qui ne le sont pas ! >>. Dernier bisou.

Bonne nuit à toutes les coquines, terriblement excitées, qui se font encore un peu baiser et lécher sous les draps. Avant une pipe juteuse...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2156 -



La révision des quatre cent coups (de bite)

Hier matin, il est presque six heures. Ce jeudi doit être jour de marché dans le port de pêche. L'application "océan" nous réveille par toutes sortes de bruits. Notamment ces marins qui se hèlent sur les quais. Le cri des mouettes. Cette animation ne dure que quarante cinq secondes. Suffisamment pour nous tirer de nos profonds sommeils. Clémentine, en gémissant, se serre dans mes bras. Quelques bisous, quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Nous revêtons nos habits de sport dans une salle de bain encore bien chaude.

Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Par contre la cuisine est froide. Pas plus de 16°. J'allume immédiatement la cuisinière à bois. En me racontant son rêve Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Les radiateurs fonctionnent depuis cinq minutes. Ça va chauffer. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. La compagnie de Juliette. << C'est hyper torride avec elle. Même quand il ne se passe rien ! >> me dit Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en tentant d'analyser ce curieux paradoxe.

<< Et c'est tant mieux ! >> conclue Clémentine toujours un peu jalouse quand il est question de notre amie. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer corps et âmes à notre entraînement. L'aérobic qui nous échauffe. Le jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol et les abdos. Les charges additionnelles dans lesquelles il faut mettre toutes nos convictions tellement c'est dur ce matin. Le retour au calme avec des étirements spécifiques d'un stretching qui mériterait plus de concentration. Nous sommes pressés par le temps. Dommage. La douche.

Je redescends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Le jour achève de se lever sous un ciel lumineux. Le froid est glacial. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre chaudement vêtue. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter le chemin jusqu'au portail. Un dernier coucou avant de retourner au chaud. Je fais rapidement notre vaisselle, notre lit avant de passer dans l'atelier. Comme tout un chacun notre existence est faite de petits rituels. Celui d'allumer une belle flambée dans la cheminée en est encore un bel exemple.

Installé devant le chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette onzième toile destinée à ma saison d'été me plonge dans d'autres plaisirs. Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser des cris délirants eux aussi. Les heures qui défilent hors de ma perception du temps. Presque midi. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les restes du gratin de choux fleurs. De faire l'assaisonnement de la salade d'endives. J'imagine déjà notre repas de ce soir.

Ce seront des pizzas. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. L'émission d'André Bercoff est encore une source d'informations à nulle autre pareille. Il y est questions des noms d'oiseaux dont se traitent les députés dans l'hémicycle. Des individus élus par la nation, censés la représenter et qui s'empressent de la trahir une fois élus pour lui infliger ce dont elle ne veut pas. Pitoyables clowns qui ne sont animés que d'une ambition carriériste personnelle en oubliant les promesses mensongères faites pour êtres élus. Leurs natures profondes.

Pour ce soir, je prépare une pâte à pain. C'est toujours dans la farine complète que je rajoute la levure boulangère en cube dissoute dans de l'eau tiède. J'aime y incorporer le jus d'ail que je presse, le jus d'une échalote et aujourd'hui du Parmesan finement râpé. Je travaille la pâte en y versant une cuillère à soupe d'huile de noix. Une pâte onctueuse, magnifique, à la belle couleur de l'ambre clair. Je recouvre d'un linge. Je place le saladier dans l'endroit le plus chaud de la cuisine. Je lave et coupe de belles tomates, de l'ail, de l'oignons, des champignons.

Je prépare la garniture dans le wok. Ce qui évite de rajouter un corps gras. Je recouvre d'un couvercle pour laisser reposer hors feu. Il me reste à râper du gruyère de Comté. Dans un grand bol, au réfrigérateur. Voilà le nécessaire pour les pizzas de ce soir qui est réalisé. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Le ciel est lumineux mais voilé. Un climat hivernal. Le thermomètre extérieur indique 8°. Je dévale les escaliers pour mettre mon anorak, le bonnet. J'apprécie cette courte promenade quotidienne. Aujourd'hui elle m'emmène à la rivière.

En revenant j'emplis une brouette d'une vingtaine de bûches. Je les empile à côté de la cuisinière à bois, à côté de la cheminée de l'atelier. C'est dans cette grande pièce que la consommation est la plus importante. Normal. J'y passe le plus clair de mon temps. Il est 13 h50. Je suis installé devant mon chevalet. Je peins dans le même enthousiasme que ce matin. Les heures de l'après-midi défilent encore plus vite. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle se précipite vers moi en s'écriant : << Encore demain matin et après les vacances ! >>.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. Elle a encore du travail. Elle ne s'attarde pas, impatiente d'en finir avec cette première partie de son second trimestre. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, Clémentine commente ses écrits à voix haute. Encore un agréable moment d'émulation. Il est un peu plus de 18 h30 quand elle se lève d'un bond en s'écriant : << Là, j'arrête tout ! >>. Elle range ses documents en chantonnant. Je nettoie la palette, les pinceaux.

Debout devant le lavabo, je me lave les mains. La bite posée sur le rebord. Clémentine se précipite pour me rejoindre. Un autre rituel. Elle me tient la queue pour en diriger les jets. J'en lâche plein. Plus il y en a plus nous nous amusons. Surtout que Clémentine me l'essore entre chaque giclées. Du bruit. La porte s'ouvre sur Estelle qui se précipite. C'est ainsi qu'elle nous rejoint pour me faire plein de bises. Elles étaient ensemble toute la journée. Une fois encore j'ai l'impression qu'elles ont préparé le scénario de la soirée. Mes adorables coquines.

Je suis entre mes deux anges qui se refilent mon sexe pour en diriger les derniers jets dans le trou d'écoulement. Le filet d'eau chaude qui s'écoule du robinet ouvert permet de bien rincer. Mais fait également monter la vapeur de pisse. C'est écœurant mais fait partie du jeu. Clémentine s'accroupit la première pour récupérer la dernière goutte. Estelle fait de même. Je caresse leurs têtes avant de les aider à se redresser. Je les tire un peu par leurs cheveux noués en queues. Je les tiens fermement pour leurs faire faire le tour de la grande pièce.

<< Tu nous donnes un aperçu des vacances ? >> me demande Estelle, marchant courbée, penchée en avant. << De bien belles perspectives que tu nous offres là ! >> rajoute Clémentine qui avance de la même façon. Elles adorent quand j'ai ce comportement. J'ai tendance à trop souvent l'oublier. C'est ainsi que nous quittons l'atelier pour la cuisine. Estelle travaille la pâte. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de concombre. Je prépare les grands plats du four sortis préalablement à midi en les saupoudrant de farine.

Sous mon tablier j'ai la bite à l'air. Cette bosse qu'Estelle adore me tripoter en toutes circonstances. << Raconte ta baise de hier soir à Julien. Comme tu me l'as raconté au restaurant universitaire à midi ! >> lance Clémentine. Les mains pleines de la farine qu'elle vient de répandre sur la nappe, Estelle raconte. << Hier soir, c'était dans le bureau de la secrétaire. Je me suis fait défoncer la chatte comme sur le bureau du salon. Décidément, c'est ma position préférée. Tu n'as pas le contact du mec sur toi ! >> explique t-elle. Nous rions aux éclats.

<< Pendant une heure, le salaud ! >> rajoute t-elle. Estelle étale la pâte sur les trois plaques. Le reste dans un plat à tarte rond. Ce sera pour notre repas de midi demain. Je verse la garniture que Clémentine répand soigneusement jusqu'au bord. Estelle couvre le tout de gruyère déjà râpé. Dans le four hyper chaud de la cuisinière à bois. Estelle s'accroupit devant moi en disant : << Soulève ton tablier vieux cochon ! >>. Elle a les mains pleines de farine. Elle crache sur ma bite afin que la farine y colle partout. Nous rigolons comme des bossus.

<< Je te la nettoie après la bouffe ! >> lance t-elle. Je demande : << Avant le contrôle minou où après ? >>. Estelle se redresse, toute contente de voir ma bite ressembler à un nem. Elle répond : << Avant, bien évidemment ! >>. Clémentine, pliée de rire, se serre contre mon dos, ses bras autour de ma taille, pour dire : << Je ne sais pas si j'aurai la patience d'attendre jusqu'au dessert ! >>. Estelle se lave les mains avant de mettre les assiettes et les couverts. En séchant sur ma bite la farine commence à tirer. Il y a les premières craquelures.

Clémentine, accroupie devant moi, constate ce phénomène. Cela évoque un étang asséché qui craquelle de partout. Ça picote sur la peau du Zob. Surtout que la coquine en a mis sous le prépuce après m'avoir décalotté. La sensation est assez désagréable. Aussi, je lui dis : << Ma vengeance sera terrible ! Tu seras punie ! >>. Elle vient me rejoindre en sautillant : << Oh oui, j'adore être punie ! >>. Il faut surveiller la cuisson des pizzas car il n'y a que le visuel. Aucun signal sonore. Estelle enfonce sa langue dans ma bouche avant de se précipiter au four.

Elle enfile les maniques pour sortir les trois pizzas fumantes. La surface en ébullition comme un volcan. Quels parfums ! La faim nous donne soudain des vertiges. Nous mangeons de bon appétit en écoutant Estelle nous raconter quelques détails croustillants de la baise avec son parrain. Ce salaud de Jean-Marc qui vient la niquer tous les mercredis soirs depuis qu'elle a seize ans. << Ça va faire dix ans ! >> précise t-elle. Je dis : << Pour ton anniversaire on va fêter ces dix ans ! >>. Elle se lève pour mimer une masturbation masculine. On applaudit.

Pressés d'aller nous livrer aux folies de notre jeudi soir, nous ne traînons pas. La vaisselle. Mes deux anges m'entraînent par les mains jusqu'au salon. Elles retirent leurs bottines, leurs Levi's, leurs culottes. Estelle tombe à genoux devant moi. S'accrochant à mes hanches, d'un mouvement gracieux de la tête, elle gobe mon sexe pour sucer avec passion. Elle le lèche pour en faire disparaître toute trace de farine. C'est lorsqu'elle décalotte le gland que je vois toute la pâte qui s'est formée sous la peau du prépuce. Clémentine se précipite pour en avoir.

Toutes les deux, à genoux, à même le parquet, se refilent ma bite pour la nettoyer. Je les aide à se relever. Je m'accroupis à mon tour pour soulager leurs genoux en les massant. Nous passons au "contrôle qualité" du minou d'Estelle. Sous le fallacieux prétexte de s'être fait défoncer la chatte le mercredi soir, le jeudi soir est consacré à un contrôle des quatre cent coups. C'est le nombre de coups de bite qu'elle a un jour compté en se faisant troncher plus d'une heure. Jean-Marc étant un baiseur fou il ne lésine pas sur les efforts qu'il déploie. Salaud.

C'est à genoux sur les épais coussins que je lèche le minou d'Estelle qui se masturbe. Tous comme Clémentine que le spectacle pousse au zénith de l'excitation. Quand je suce son clitoris, Estelle cesse sa masturbation pour se contorsionner en poussant de petits cris d'animal blessé. C'est adorable. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il reste une heure quinze. Ce soir je me consacre exclusivement à elle. Un premier orgasme qui la fait hurler. Elle tente bien de me repousser mais je ne me laisse pas faire. Je garde la bouche collée sur le clitoris.

Quand Clémentine s'accroupit au-dessus de la bassine en plastique pour pisser en se masturbant, Estelle et moi cessons toute activité pour regarder. Elle s'offre un orgasme presque immédiatement après s'être vautrée dans le canapé. Je quitte l'entre cuisses d'Estelle pour aller me bouffer la chatte de Clémentine. J'adore récupérer tout ce que je peux. Les sucs de sa journée de fille me donne le vertige. Je suce son clitoris géant. Elle ne peut réfréner ce second orgasme qui la fait hurler. Je reviens entre les cuisses d'Estelle pour lui offrir un second opus.

Bonne nuit à toutes les coquines qui, même épuisées, sous les draps se régalent encore du jus de couilles d'une bite juteuse un peu molle...

Julien (contrôle qualité)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 8 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2157 -



Le début des vacances

C'est le cri strident des mouettes qui est pénible. Surtout lorsqu'il nous réveille. Il est presque six heures. Le vendredi matin est toujours particulier. Clémentine termine à midi. Ce qui la rend facétieuse. Mais aujourd'hui commencent les vacances. Elle se serre fort contre moi avant de me chevaucher. Les quarante cinq secondes des illusions de l'application "océan" suffisent à la rendre euphorique. J'adore entendre ses propos amphigouriques, incompréhensibles au réveil. C'est en riant que nous nous précipitons aux toilettes pour nos rituels pisseux.

La salle de bain conserve bien la chaleur. C'est là que nous préparons nos vêtements. Nous enfilons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra jaune avant de dévaler les escaliers. Les radiateurs viennent d'entrer en fonction. J'allume la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier. Le léchage de minou prodigué à Estelle. Clémentine la voit ce matin en cours. Elle revient samedi en début d'après-midi. Nous mangeons de bon appétit en riant beaucoup.

Il est 6 h25 quand nous remontons pour nous livrer à l'entraînement. Clémentine, très déconneuse, pratique l'aérobic en imitant une ballerine. En faisant son jogging sur son tapis roulant, tout en courant, elle se tourne, sautille en crabe. Je suis plié de rire. Les exercices au sol et les abdos obligent à davantage de sérieux. Avec les charges additionnelles, ça ne rigole plus du tout. Par contre, lors des étirements d'un stretching complètement loufoque et totalement précipité Clémentine s'amuse à faire la contorsionniste. Nous courons sous la douche.

Je descends le premier pour préparer la voiture. Les jours rallongent. C'est de plus en plus perceptible. Par contre le froid reste polaire avec seulement deux degrés à presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre dans son anorak à capuche. << Je suis pressée d'être déjà midi ! >> dit elle en sautillant pour se réchauffer. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou quand elle est en haut. Je me dépêche de rentrer au chaud. Il y a vingt trois degrés dans la maison.

Je fais la vaisselle, notre lit avant de redescendre dans l'atelier. J'y allume une belle flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette onzième toile destinée à ma saison d'été m'accapare rapidement. Je peins animé de cette euphorie laissée par Clémentine. La matinée passe encore tellement vite. Sur un plan purement philosophique ce temps qui m'échappe m'inquiète. Sur un plan plus hédoniste, ça me réjouit. Je vais bientôt revoir la fille que j'aime. La fille qui partage mon existence.

Midi. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il y a la quatrième et grosse pizza préparée hier soir à réchauffer. Je préfère la réchauffer dans le four électrique. Je contrôle la cuisson. Ce qui est quasi impossible dans le four à bois. Je fais l'assaisonnement de la salade d'endives. J'en lave quatre. Deux pour midi, deux pour ce soir. Il est 12 h40 quand Clémentine rentre de cours. En sautillant elle vient me rejoindre. Je la soulève. Ses jambes enserrent ma taille. Elle me couvre le visage de bisous. En mitraille.

Je l'emmène aux toilettes pour le rituel pisseux. << J'ai fait le plein d'essence. Je me suis fait draguer par un vieux cochon ! >> dit elle en se lavant les mains. Je réponds : << Viens, tu me racontes devant une bonne pizza ! >>. Nous nous précipitons dans la cuisine. Je sors la pizza du four. Clémentine la coupe en quatre parts avec la molette. Accompagnée d'une salade d'endives, c'est un délicieux repas. Clémentine me raconte sa matinée, le vicelard qui engage la conversation à la station, en se touchant carrément, sans gêne ni complexe.

Nous rions de bon cœur quand elle décrit la scène, son attitude. << J'entre toujours dans leurs jeux. Je suis souriante. Je fais immédiatement comprendre que j'apprécie. Ce qui décuple leurs audaces à ces vicelards. Ils m'amusent ! >> lance t-elle. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, les bras autour de mon cou, Clémentine conclue : << Alors je me suis encore touchée durant toute la route du retour ! >>. Nous faisons le très vague programme de la journée. C'est le début des vacances de février. Elles vont durer deux semaines.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Durant les pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain, Clémentine me confie à quel point elle est heureuse de trouver le repos après ce mois et demi de travail acharné. << Cet après-midi, pendant le cours de peinture à Julie, je vais terminer mes préparations pour la rentrée. Comme ça je n'ai plus à y penser pendant quinze jours ! >> précise t-elle en imitant l'accent Corse de Juliette. Je suis plié de rire. Pressés d'aller faire quelques pas à l'extérieur, nous dévalons les escaliers. Passer les anoraks.

Le thermomètre indique 8°. Nous descendons jusqu'à la rivière. Clémentine reste à mon bras en faisant l'inventaire des vêtements à emmener pour cinq jours. Mais elle ne révèle pas encore notre destination. << Je nous ai concocté un petit séjour des plus coquets. Tu verras ! >> dit elle. Je sais pouvoir faire confiance à ses talents d'organisatrice. Elle n'omet jamais le moindre détail. Lors de nos séjours je n'ai qu'à me laisser entraîner dans le tourbillon du bonheur et de l'insouciance. C'est en remontant le chemin qu'arrive la Clio rouge. Julie.

Elle se précipite à notre rencontre. Saute dans les bras de Clémentine toujours un peu embarrassée par ces élans amoureux. Puis elle saute dans les miens. Julie est tellement contente. Pour elle aussi c'est le début des vacances. Même si elle va faire la serveuse dans le restaurant de sa tante les soirs de la première semaine. Elle est à mon bras. Nous rentrons au chaud. Nous allons directement dans l'atelier. Je mets deux bûches dans l'âtre. Julie s'installe invariablement, comme à chaque fois, devant mon chevalet pour scruter ma peinture. Concentrée.

Clémentine me chuchote à l'oreille : << Ça fait dix minutes qu'elle est là et tu n'as pas encore sorti ta bite ! >>. Elle écarte bien le tissu de la braguette bouton de mon 501. Je fais comme elle dit. Cette fois, je la sors avec les couilles. Garrotées par l'étroitesse de la braguette de mon Levi's elles sont magnifiquement dodues. Clémentine me lâche pour aller s'assoir devant son ordinateur. Elle me fait un clin d'œil. Je suis debout en face de Julie, à la droite du chevalet. Je dis : << Je réponds à toutes vos questions techniques ainsi qu'à toutes les autres ! >>.

Les yeux de Julie se portent sur mes "outils". Je bande mou et mon Zob repose sur mes roubignoles. C'est du plus bel effet car Julie observe avec autant d'attention qu'elle le fait avec ma peinture. Elle n'ose pas soutenir mon regard. Elle se contente de m'adresser quelques furtifs sourires. Je reste ainsi à écouter les considérations d'ordres picturales de Julie qui me pose quelques questions sur le choix des couleurs, les mélanges et les pinceaux utilisés pour leurs applications. Julie est une excellente artiste peintre. Tout cela n'est qu'un jeu. Un jeu superbe.

Je m'approche pour me pencher sur sa droite. Je montre des zones précises de la toile. Ce mur de briques rouges que je peins en arrière plan des trois personnages. Je vais leurs donner nos traits, Estelle, Clémentine et moi. Comme sur la plupart des scènes de genre que je réalise. Julie louche bien davantage sur ce qui est présenté hors de ma braguette que sur le tableau. Je surprends parfois Clémentine loucher vers nous. Elle me sourit. Fait une bosse à l'intérieur de sa joue. Julie devra nous laisser pour dix huit heures. Il n'est que quinze heures. Parfait.

Je me tourne vers la desserte sur laquelle je pose mes pinceaux, mes tubes, mes accessoires. Il y a là quelques élastiques dont je me sers pour réunir les pinceaux, les crayons. J'en prends un que je passe délicatement autour de mes attributs virils. Julie, bouché bée, observe avec une concentration décuplée. En apnée. Elle est toujours très intéressée par ce qui a trait aux organes génitaux masculins. Voyeuse invétérée et passionnée depuis toute jeune, elle n'en rate pas une. << Pourquoi faites-vous ça ? >> me demande t-elle. Je ne sais quoi dire.

C'est Clémentine qui répond depuis la table où elle est assise : << C'est pour susciter chez toi de belles émotions ! >>. Julie cache son visage dans ses mains, soudain toute gênée. Elle dit : << C'est réussi ! >>. Je passe délicatement ma main sous ses cheveux pour la poser sur sa nuque. Je me tourne franchement pour présenter mon sexe à une cinquantaine de centimètres de son visage. Depuis longtemps j'ai remarqué une constante chez les suceuses passionnées par la fellation. Elles hument toujours discrètement les effluves parfumées du Zob.

Avec l'excitation, ma bite commence à se dresser. Par petites contractions des muscles fessiers, je la fais bouger. Julie, comme subjuguée, hypnotisée, regarde les sursauts réguliers de ma queue. Je m'approche un peu plus. Julie a ce réflexe légitime. Elle recule légèrement. Elle aussi se tourne sur sa chaise. Bien en face de moi. Elle lève les yeux pour m'adresser un sourire timide. Elle porte ses lunettes d'étudiante. C'est hyper excitant. Pour elle comme pour moi. Aussi, en hédonistes complices, nous faisons durer longuement cette situation jouissive.

Je tourne parfois la tête pour regarder Clémentine. Elle me fixe, rêveuse et souriante. Elle me fait un clin d'œil en mimant une pipe. Je m'approche encore un peu. Ça fait probablement mal au yeux de devoir scruter d'aussi près. Aussi, en ouvrant la bouche, Julie approche son visage. Elle prend juste la peau fripée du prépuce en bouche. Je me penche pour demander d'une voix basse : << Pipe ou baise ? Les deux ? >>. Julie rit en gloussant. Sans répondre elle glisse un bon tiers de ma queue dans sa couche. Je contrains mon érection vers le bas.

J'appuie de l'index. Ce n'est pas très agréable d'avoir la bite et les couilles enserrées dans l'étroitesse de la braguette. Mais je sais que c'est la présentation préférée pour Julie. Comme pour Clémentine qui se lève pour venir voir de plus près. Comme pour Estelle qui prétend qu'une bite qui pend d'une braguette reste l'élément essentiel pour stimuler sa libido. Julie pose ses mains sur mes hanches. À présent c'est une fellation passionnée à laquelle elle se livre. Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche. C'est hyper excitant. Il y a des montées de jus.

Nous percevons distinctement les premiers gargouillis. Pour pouvoir avaler, Julie cesse de pomper. Elle déglutit avec un mouvement de tête appuyée. Toute les deux trois minutes. Parfois elle pose sa main sur sa gorge en faisant une légère grimace. Clémentine, penchée en avant, son visage à proximité de celui de Julie, pose tout un tas de questions : << C'est bon ? >>. Julie cesse de sucer pour répondre dans un souffle et d'une voix timide : << Oui ! >>. C'est quand je saisis ses oreilles pour enfoncer davantage de queue en bougeant qu'elle gémit.

Clémentine se redresse pour m'embrasser. Puis elle se penche à nouveau pour mâter. Julie cesse alors de pomper pour tourner sa tête et faire une bise sur sa joue. << J'ai du travail. Je vous laisse. Je reviens tout à l'heure ! >> dit Clémentine. Cette situation se reproduit trois fois. J'éjacule en sournois. Sans bouger. Sans prévenir. Comme toutes les passionnées de fellations, Julie ne lâche pas le "morceau". Après avoir dégluti avec peine, elle reprend sa pipe avec une concentration décuplée. Appréciant les jus vicelards et tout aussi sournois de mes "mélanges".

Il est dix sept heures quand j'éjacule pour la seconde fois, noyant la bouche de Julie qui tente d'avaler en toussant. Des larmes coulent sur ses joues. Elle a un peu de foutre sur le verre droit de ses lunettes. Un peu sur la pointe de ses cheveux. Nous prenons le thé en échangeant nos impressions. Julie reviendra demain matin pour faire le ménage. Lorsque nous la raccompagnons dans le froid glacial jusqu'à sa voiture, Clémentine lui dit : << Un avant goût de ce qui t'attend aux vacances ! >>. Assise au volant, vitre baissée, Julie s'écrie : << Génial ! >>.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui, après un bon repas, vont se faire lécher le minou, bouffer la chatte, avant un bon dodo...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 9 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2158 -



Les petites habitudes du samedi

Hier matin, samedi, il est presque sept heures trente. Clémentine me tire de mon sommeil en me chuchotant des douceurs. Elle ne supporte pas d'être réveillée toute seule. Dès que mon ange me sait réveillé elle se couche sur moi. << Deux semaines ensemble sans se quitter ! >> répète t-elle une fois encore. Il est impossible de lutter plus longtemps. Nous nous précipitons aux toilettes. Il fait bien chaud partout dans la maison. Les radiateurs fonctionnent depuis plus d'une heure. C'est à la salle bain que nous revêtons nos tenues de gym. Lycra noir et rouge.

Morts de faim nous dévalons les escaliers. Pendant que Clémentine fait le café, je vais ouvrir le portail depuis l'interphone du hall d'entrée. Je la rejoins pour presser les oranges. Elle pèle les kiwis. J'allume la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur l'après-midi avec Julie et sur notre soirée en amoureux. Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre départ lundi en début d'après-midi. << Il n'y a qu'une petite centaine de kilomètres. Inutile de se presser ! >> précise Clémentine qui garde la destination prévue secrète.

Elle adore me concocter des surprises. Il est huit heures quinze quand arrive Julie. Toute contente elle se précipite d'abord vers Clémentine. Trois bises. Elle contourne la table pour venir m'en offrir trois. Dont une sur la bouche. Venir faire le ménage est en grande partie un prétexte pour être en notre compagnie. Dans cette maison qu'elle aime tant. Elle se met d'ailleurs à débarrasser alors que nous finissons à peine. Nous rions de ce besoin de s'activer. Nous quittons la cuisine en déposant chacun une bise sur son front. Nous remontons à l'étage.

Le thermomètre extérieur indique 4°. Nous préférons nous entraîner à l'intérieur. Les échauffements de l'aérobic avant le jogging sur tapis roulants. Le samedi matin nous pouvons pratiquer toutes les étapes en y consacrant le temps nécessaire. Pas de contraintes horaires. Les exercices au sol et les abdos, plaisirs intenses avant les charges additionnelles. Les étirements d'un retour au calme avant la douche. C'est tellement agréable de ne pas être pressé par le temps. Nous revêtons nos Levis, nos épaisses chemises à carreaux. Nous redescendons.

Il y a le bruit de l'aspirateur. Comme en haut, il est impossible de le localiser en bas. On peut entendre Julie chantonner. C'est merveilleux. Nous enfilons les anoraks pour sortir. Le ciel est gris mais nullement menaçant. Le sol est sec. Encore dur par les probables gelées de la nuit. Clémentine m'entraîne dans la dépendance. La maison d'amis où aucun ami n'a encore passé le moindre séjour. Il y a vraiment beaucoup de poussière. Ce sera une occupation pour un après-midi de la seconde semaine de vacances. Clémentine me prend dans ses bras. Très fort.

Un bruit de moteur. Nous ressortons pour voir descendre la camionnette blanche. Danièle au volant, souriante. Elle saute de son véhicule emmitouflée dans un épais gilet de camionneur. Son bonnet de la même couleur. Elle aussi est toute contente de nous voir. << J'ai mes clients préférés ! >> lance t-elle en contournant le Mercedes. De l'arrière elle tire les deux cageots qui nous sont destinés. L'un contient les fruits et les légumes. Le plus lourd. Je le prends pour le poser sur le banc en pierre contre le mur. Clémentine se saisit du second cageot.

Celui-ci contient les yaourts, les œufs, les pots de crème fraîche, la petite motte de beurre jaune et surtout nos fromages préférés. Danièle tend le terminal dans lequel j'introduis ma carte bancaire. Une fois encore je surprends le regard ostentatoire qu'elle porte sur le bas de mon anorak. Elle se penche même légèrement comme si elle voulait voir en-dessous. Je comprends évidemment l'intention, le "message". Surtout que Danièle précise : << Peut-être quelques premiers beaux jours en mars ! >>. Elle me lance un curieux regard par en-dessous.

C'est quand elle remonte dans sa camionnette qu'elle nous adresse un clin d'œil. Même commande pour samedi prochain. Comme d'habitude, arrivée en haut du chemin, juste après avoir franchi le portail, Danièle sort son bras pour nous faire un coucou. << Vivement les premiers beaux jours. Je crois bien qu'elle s'impatiente ! >> me confie Clémentine en passant sa main sous mon anorak. En palpant ma bosse elle rajoute : << Moi aussi je suis impatiente que tu lui montres les érections qu'elle te procure ! >>. Nous rigolons comme des fous.

Voilà le tube Citroën rénové de notre amie boulangère. Madame Marthe, hilare au volant, comme à son habitude, elle saute avec une étonnante vitalité de sa camionnette. C'est en nous racontant quelques rapides et amusantes anecdotes villageoises qu'elle nous donne notre cagette. Les deux miches de pain complet et bio. Les deux pâtes feuilletées, l'énorme brioche au pudding et à la pâte d'amandes. Les deux gros croissants aux amandes également. Carte bancaire dans le terminal que madame Marthe me tend. Avec elle pas d'allusions sexuelles.

Nous la saluons en saisissant chacun un cageot. Nous contournons la maison pour descendre à la cave par derrière. Sur les étagères du cellier, nous disposons soigneusement les fruits, les légumes. Comme nous serons absents cinq jours, nous en avons commandé moins. Du congélateur où je place une des miches de pain, je tire le paquet de moules, les sachets de petits pois et de haricots verts. Clémentine, derrière moi, passe ses bras autour de ma taille. J'ai l'anorak ouvert. Elle glisse sa main dans ma braguette toujours béante. C'est chaud.

<< Sors ta bite. J'ai envie de l'avoir tout le temps à portée de main et à portée de bouche ! >> dit elle à voix basse, contre mon oreille. Nous remontons par l'escalier intérieur. Julie est en plein récurage de la cuisine. Nous voulons attendre qu'elle termine. << Non, venez, je repasse la serpillère derrière vous ! >> lance t-elle. Nous faisons vite pour ranger les produits frais dans le réfrigérateur. Julie découvre ce qui pend de ma braguette. Ses yeux s'illuminent soudain d'un éclat différent. Je lui dis : << Merci pour hier après-midi. C'était génial ! >>.

<< C'est moi qui vous remercie. J'adore ça avec vous ! >> s'écrie t-elle en baissant les yeux, comme honteuse d'avoir lâché ces mots. Nous quittons la cuisine en déposant chacun une bise sur son front. Au salon, assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Un message rassurant de ma famille d'Édimbourg. Un courriel de Juliette qui nous invite à passer au haras demain dimanche. Elle y organise une animation pour carnaval. Juliette nous souhaite de belles vacances en nous rappelant la soirée masquée de samedi prochain. On n'oublie pas.

Le mail d'Estelle impatiente de nous retrouver dans un peu plus de deux heures. Pendant que Clémentine répond, surfe sur le site universitaire, je glisse deux billets dans une petite enveloppe jaune. L'un de 50 euros, l'autre de 20 euros. Clémentine rajoute un petit mot que je signe du dessin très réaliste d'une bite avec ses couilles. << Tu me feras un beau dessin comme ça sur le ventre ? >> me fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus quand elle suggère de se faire tatouer une petite bite par un tatoueur. Vieux fantasme d'ado.

Julie vient nous rejoindre. Comme une écolière devant le bureau de sa maîtresse elle reste à jouer avec ses doigts. Toute timide elle dit : << Voilà une maison bien propre. Vous allez me manquer la semaine prochaine ! >>. Clémentine se lève la première. Elle contourne le bureau pour prendre les bras de Julie. Elle fait : << Mais il y a juste le lundi soir qui "saute". On se revoit vendredi prochain. Comme d'habitude. Et en plus il y aura Estelle ! >>. Julie est soudain comme illuminée d'une grâce divine. << Je me réjouis ! >> lance t-elle. Je viens la rejoindre.

Je tends l'enveloppe jaune en précisant : << Et la semaine d'après, vous restez avec nous cinq jours. On vous prépare le lit en haut ! >>. Dans un élan Julie quitte les bras de Clémentine pour se jeter dans les miens. C'est toujours affolant d'émotions et de tendresse. Ces attitudes nous embarrassent un peu Clémentine et moi. Comme si tout cela nous dépassait. Sans pouvoir répondre à cette demande. C'est sa personnalité. Sa façon d'être. Une sensibilité à fleur de peau. Une sensualité émotionnelle. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture.

Malgré le froid, Clémentine tient ma bite dans sa main chaude. Assise au volant, la vitre baissée, avec une expression de grande tristesse, Julie lance : << Bonne vacances. Je vous aime ! ><. Clémentine répond : << On garde le contact par téléphone tous les jours. On te raconte et tu nous racontes ! >>. Je rajoute : << Je vous ferai une surprise visuelle à chaque fois ! >>. Clémentine change la position de sa main pour saisir ma queue à sa base. Elle l'agite en direction de Julie qui me fait le plus merveilleux des sourires. Un dernier bisou. 11 h40.

Un dernier coucou. Arrivée au portail, Julie nous fait un gros bisou qu'elle souffle dans sa main. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue dont elle lave les feuilles. Je prépare le bouillon sur la cuisinière à bois. Dans le wok je vide les sachets de haricots verts et de petits pois. Dans le bouillon en ébullition je vide le paquet de moules. Pour faire la cuisine, nous mettons toujours nos tabliers. Sous le mien il y a cette bosse qu'adore palper Clémentine à chaque fois qu'elle enfonce sa langue dans ma bouche.

Nous mangeons de bon appétit en évaluant le programme très vague de l'après-midi. La météo idéale pour une randonnée. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine propose une balade depuis le bourg du port de plaisance. << Au retour nous pourrons assister aux fêtes du carnaval sur les quais ! >> précise t-elle. Je trouve cette suggestion formidable. Je propose de réserver une table dans un restaurant en disant : << Que la fête soit totale c'est les vacances pardi ! >>. C'est légèrement euphoriques que nous faisons la vaisselle.

Clémentine s'empare de son téléphone. Elle consulte la liste des restaurants à l'entour. Il y en a deux dans le bourg. Un autre à l'extérieur et un dernier qui donne sur le port. Avec des gestes sûrs et rapides, Clémentine fait ce numéro en premier. << Plus de places ! >> dit elle en composant celui du restaurant derrière la salle polyvalente. Il reste des tables. Parfait. Elle en réserve une en donnant nos identités. Pour confirmer la réservation Clémentine propose un paiement de dix euros. De plus en plus d'établissements exigent ce procédé. Une certitude.

C'est rassurés, sereins, que nous montons nous laver les dents. Nous faisons les pitres devant le miroir de la salle de bain quand la porte s'ouvre soudain. C'est Estelle. Elle pose son sac de sport sur le support qui recouvre la baignoire. Nous avons les bouches pleines de crème dentifrice qu'elle se précipite pour nous faire des bises. Elle saisit ma queue toute molle en disant : << Mon doudou ! >>. Tête contre tête nous nous rinçons la bouche au-dessus du lavabo. Pendant qu'Estelle tire des chaussettes, une culotte et son pyjama de son sac de sport.

Elle nous raconte son vendredi avec ses parents. Son samedi matin avec sa maman à l'hypermarché. Nous lui présentons le programme de l'après-midi et de la soirée. << Mais c'est génial ! >> s'écrie t-elle alors que nous nous serrons tous les trois. C'est tellement bien de se retrouver. << Je rentre demain soir comme tous les dimanches soirs. Je reviens lundi pour treize heures avec ma valise. On ne se quitte plus pendant deux semaines. J'ai prévenu à la maison ! Aussi, nous sommes invités dimanche prochain, 19 février, à manger pour le midi ! >>.

Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Estelle tient ses grosses godasses dans la main. Dans le petit sac à dos, des barres de céréales, la thermos avec du thé bouillant. Trois pommes. C'est parti. Nous prenons la Mercedes. Je roule doucement. Estelle, assise à l'arrière, caresse mon cou, mes joues en nous racontant sa soirée de hier. Elle adore faire la cuisine. Ses parents se régalent. Clémentine joue avec ma queue. Il y a environs trente cinq kilomètres par les petites routes que nous affectionnons. Estelle veut absolument passer devant.

Il est 14 h45 quand je gare la voiture sur le parking du restaurant où nous avons réservé une table. Ce sera notre point de départ et notre point d'arrivée. Il y a le chemin qui contourne le bourg, qui longe une partie du canal et qui passe au sommet de la colline qui surplombe le port de plaisance. Une boucle d'environs quatre heures. Nous adorons marcher. Nos Levis, nos épaisses chemises à carreaux, nos pulls, nos anoraks, nos bonnets, nos gants. Le petit sac à dos que je porte. Nous voilà en chemin. C'est la première fois que nous pratiquons ici.

Les filles me tiennent les mains. Il n'y a pas un brin de vent. En marchant d'un bon pas, le froid devient simple fraîcheur. Nous ouvrons même nos anoraks. Surtout sur les portions ascendantes du parcours. De nombreux arrêts bisous. Deux arrêts pipis où il est impossible de s'amuser vraiment à cause du froid. Nous croisons de nombreux marcheurs. Le plus souvent des groupes. Nous devinons les interrogations. Suis-je le papa, l'ami, l'amant de ces deux sublimes jeunes filles accrochées à moi ? Les bises que me font mes deux anges sont la réponse.

Nous arrivons au vieux cimetière par l'arrière. Ça fait plus de cinquante ans que personne n'est plus enterré au sommet de la colline. C'est devenu un haut lieu touristique. Un point de vue remarquable sur toute la région. Et sur les quais du port de plaisance. Il y a du monde malgré la fraîcheur. La nuit s'annonce avec le crépuscule de la mi février. Il sera impossible d'arriver au parking avant la nuit. Nous descendons la colline. La supérette est ouverte. Il y a déjà plein de voitures partout. La cavalcade viendra du bourg jusque sur les quais.

Nous prenons le chemin qui longe le canal. En passant devant la salle polyvalente nous entendons la musique. Certainement les essais de sonorisation de l'orchestre qui animera la soirée de carnaval. Il fait nuit. Le froid est de plus en plus intense. Un froid sec qui pique le bout du nez et les oreilles malgré les bonnets. Il est dix neuf heures. Nous voilà installés à la table réservée. Les deux salles sont pleines de monde. Beaucoup de familles de Simpsons dont les "petits génies" font quelquefois un véritable vacarme. C'est le personnel qui le gère.

N'hésitant pas à rappeler à l'ordre les parents qui laissent ce joyeux bordel s'étendre. Nous assistons à des scènes cocasses. Des pères de familles, aux fronts bas, parfois aux nuques épaisses, vexés par les appels au calme des serveurs et des serveuses. Nous n'avons jamais vécu de telles scènes. Carnaval est une fête populaire. L'étymologie du terme "populaire" est "peuple". Nous sommes confrontés ce soir aux spécimens les plus basiques. Le restaurant n'est pas étoilé et les prix pratiqués permettent à cette population de s'offrir de bons moments.

N'allons pas blâmer ces braves gens de "tous les jours". Pour moi c'est un peu une découverte. Ça m'amuse beaucoup. Pas questions de nous livrer à nos rituels dans les toilettes. Elles sont aussi fréquentées qu'un quai de gare avant l'arrivée du train. Nous y allons donc sagement l'un après l'autre. Nous ne traînons pas. Le bruit devient insupportable. Ce gosse qui vient de se casser la gueule contre une chaise, poussé par un autre. Non. On n'en peut plus. Nous payons et nous quittons. Même bordel sur le parking. Nous allons vers le port.

<< On va voir dans la salle ? >> propose Estelle quand nous passons devant le parking bondé de la salle polyvalente. C'est hallucinant. C'est bourré de monde. Des familles qui bouffent aux tables. Une odeur de saucisse, de friture, c'est épouvantable. Un orchestre qui reprend des standards. Une piste de danse où des danseurs peinent à danser. Nous ne restons pas. Nous arrivons sur les quais du port. Là aussi, malgré le froid devenu glacial, une véritable foule. Des gens déguisés. Des confettis colorés qui volent, qui jonchent le sol comme la neige.

Nous restons sur le bord de la route. Nous adorons cet endroit en toute saison. Surtout aux beaux jours quand nous y venons à bicyclettes. Mais nous ne l'avons jamais vu ainsi. Voilà les premiers chars. Des musiciens de fanfare déguisés en clowns. Ils doivent êtres morts de froid les pauvres. Les chars à thèmes. Évidemment selon les tendances de l'actualité. Un char avec des gens portant les masques des politiciens. Un char avec des gens déguisés en militaire. Un char avec des infirmiers. Bref l'ambiance est à la liesse populaire et aux applaudissements.

<< Ça me gonfle ! >> s'écrie Clémentine pour tenter de se faire entendre. << Moi aussi ! >> crie Estelle. Sans même nous concerter, nous longeons la route à contre sens des chars pour retourner à la voiture. Ce sont les gendarmes qui dirigent les automobilistes. Nous sommes parmi les premiers à partir. Il n'est que 21 h30. Une fois sur la route du retour, je m'arrête. Estelle s'assoit devant avec Clémentine. Nous croisons très peu d'autos. Il est 22 h15 quand nous sommes de retour. << Plus jamais ! >> lance Clémentine. << Jamais ! >> dit Estelle.

Au salon, vautrés dans le canapé, nous savourons un thé bouillant. Des petits gâteaux secs. Clémentine à ma gauche. Estelle à ma droite qui ne lâche pas mon sexe. Nous faisons le bilan de cette soirée. Autant la randonnée était plaisante. Autant la soirée était épouvantable. Nous nous promettons de ne plus jamais nous mêler à ce genre d'évènements populaires. << L'horreur absolue ! >> lance Estelle en tordant ma bite comme si mon Zob en était responsable. Comme je bande c'est assez douloureux. La coquine le sait. Aussi elle insiste. Aïe, ouille !

Clémentine se laisse tomber sur sa droite. Elle s'installe pour poser sa tête sur ma cuisse. Elle regarde la main d'Estelle torturer mon Zob. Estelle me le tord complètement pour le placer juste devant la bouche de Clémentine. Se faire sucer dans ces conditions n'est pas agréable. Estelle le lâche enfin. Clémentine se redresse sur son coude pour le sucer à la verticale. Ouf, ça soulage. Estelle enfonce sa langue dans ma bouche. Je passe ma main droite entre ses cuisses. Elle s'avance en les écartant pour me permettre le meilleur accès. Elle se déboutonne.

Pendant que Clémentine suce en poussant de petits râles de plaisirs, les yeux ouverts pour voir ce qui se passe, Estelle se lève pour retirer ses baskets, son Levis, sa culotte. Elle se rassoit. Je peux la doigter, titiller son clitoris, peigner sa touffe, démêler ses poils. Je me fais tailler une pipe des familles. Estelle ne cesse de m'embrasser passionnément. De la salive suinte de nos bouches. Nous en avons plein les mentons. Ça glisse. Ça m'excite terriblement. Ce qui provoque d'abondantes montées de jute. Clémentine s'en régale tout en gémissant.

Elle cesse. Elle se lève d'un bond pour se déshabiller. Juste en chaussettes et en chemise à carreaux, comme Estelle, Clémentine m'entraîne vers le bureau. Estelle nous suit en sautillant et en disant : << Oh oui, le bureau ! >>. Voilà mes deux anges, une fois encore en appui sur leurs coudes, se masturbant, couchées sur le bureau. Je retourne au canapé récupérer deux des épais coussins. Je les place sous leurs têtes. Une fois encore c'est une soirée "baise sur bureau". C'est un bonheur de passer de l'une à l'autre. De les pénétrer pendant qu'elles se branlent.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui adorent se faire baiser, se faire lécher, se faire sucer le clitoris, vautrées et couchées sur le bureau. Avant un bon dodo...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

Classe
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Dimanche, tous trois réservés...

Hier matin, dimanche, notre grasse matinée nous entraîne aux environs de neuf heures. Je suis entre mes deux anges, serrées contre moi. C'est Estelle qui me réveille. Elle pose sa main sur mes abdominaux avant de descendre doucement jusqu'à saisir mon érection naturelle. En même temps elle pose ses lèvres dans mon cou. En se frottant contre ma hanche. Tout cela réveille Clémentine qui fait pareil. Sans se concerter, dans ce réflexe commun, elles exercent ce doux mouvement masturbatoire contre le haut de mes cuisses tout en gémissant.

Je passe mes bras autour de leurs épaules pour les serrer contre moi. Distribution de bisous. Nos bouches pâteuses sont le seul écueil à cet enchantement paradisiaque. Il faut faire des efforts pour nous empêcher de nous embrasser. << Un avant goût de tous les réveils des deux prochaines semaines ! >> chuchote Estelle avant de se lever d'un bond pour courir vers la porte. Clémentine peut enfin saisir ma turgescence à pleine main. En continuant à se frotter d'un mouvement régulier contre ma hanche. Je caresse son visage de l'extrémité de mes doigts.

C'est à notre tour de nous précipiter aux toilettes. Il fait bien chaud dans la maison. Les radiateurs fonctionnent depuis plus de trois heures. Nous nous habillons dans la salle de bain. Levis, sweats, baskets avant de dévaler les escaliers. Il y a les odeurs suaves du café, du pain grillé qui flottent dans la cuisine. Estelle, encore en pyjama est entrain d'allumer la cuisinière à bois. J'adore le contact de la soie. Aussi je passe mes bras autour de sa taille pour me serrer contre son dos. << Le monsieur à les mains baladeuses ce matin ! >> lance t-elle.

Je caresse ses tous petits seins. Je descends sur son sexe. La touffe d'Estelle est presque aussi dense que celle de Clémentine. Je la sens bien sous la soie du pyjama et le coton de la culotte. Clémentine presse les oranges, pèle les kiwis. Je viens me placer derrière elle pour faire pareil. << C'est un aperçu de ce qui nous attend tous les matins ? >> demande t-elle. Nous rions de bon cœur. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée carnaval de hier soir. << J'ai préféré la randonnée. Sans déconner ! >> s'exclame Estelle.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de ce dimanche. Dehors le ciel est gris mais lumineux. Le thermomètre extérieur indique 8°. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges font l'inventaire de ce qu'il ne faut pas oublier. Nous partons demain en début d'après-midi. Clémentine nous révèlera la destination ce soir. Estelle demande innocemment : << Avant ou après le léchage de minous ? >>. Nous rions aux éclats quand Clémentine répond : << Non, pendant ! >>.

La vaisselle. Nous remontons pour nous laver les dents. C'est en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain que nous élaborons le repas de midi, celui de ce soir. La suggestion de Clémentine est retenue. Ce sera un gratin de pommes de terre. Estelle propose des pavés de saumon en accompagnement. Ce soir, il n'y aura qu'à réchauffer. Nous faisons notre lit après avoir refermé les fenêtres. Je monte sur la chaise pour descendre la grande valise du haut de l'armoire. La bâche est poussiéreuse. Estelle la secoue sur le petit balcon dans le froid.

Elle s'est habillée comme nous. Levis et sweat brun. Clémentine sort les vêtements prévus de l'armoire. << Je dois me raisonner. Nous ne partons que du lundi après-midi au vendredi matin ! >> dit elle en dépliant deux Levis. Deux pulls. Deux chemises à carreaux. Estelle les replie soigneusement en les disposant dans la valise. Des chaussettes, des culottes, des slips. Nos affaires bien rangées. Il y a même de la place pour la trousse de toilette, les gants et les serviettes. Pas la peine de s'assoir sur le couvercle pour refermer. Nos affaires sont prêtes.

<< Moi, je prépare ma valise demain matin ! Je vais faire pareil. Le strict minimum ! >> lance Estelle. Elle nous quittera comme tous les dimanches soir à 22 h. Pour revenir à treize heures demain. Nous ne nous quitterons plus pendant les deux semaines à venir. Dans le sac de sport, nous mettons quatre paires de chaussures. Baskets, godasses de marche. Deux vieux anoraks de rechange. Je porte la valise et le sac. Ce n'est pas lourd. Je félicite Clémentine pour s'être fait violence. De n'emmener que le strict nécessaire. Nous redescendons en riant.

La valise et le sac restent dans le hall d'entrée. Nous mettons nos anoraks pour aller faire quelques pas dehors. La fraîcheur est limite. C'est mieux avec les bonnets et les gants. Nous allons jusqu'à la rivière. Estelle n'arrête pas de palper ma bosse en disant : << Entraînement ! >>. Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche dès qu'Estelle cesse d'y fourrer la sienne. << Je vais être salope ces vacances. Méfie toi ! >> me dit elle. << Comme moi tu crois ? >> surenchérit Clémentine. J'ai mes mains entre leurs cuisses pour palper leurs entrejambes.

Nous observons les canards, les poules d'eau et les colverts. Parfois c'est Estelle qui se cambre sur ses genoux fléchis. Parfois c'est Clémentine. J'ai la braguette béante. Aussi, c'est à tour de rôle qu'elle y glissent leurs mains. Tout cela est tellement habituel que nous ne prenons plus la moindre mesure de précaution. Après tout nous sommes sur notre propriété. C'est comme ça que nous nous faisons surprendre par monsieur Bertrand venu nourrir nos amis à plumes. << Bonjour ! >> s'écrie t-il pour nous laisser le temps de bien réagir.

Nous nous retournons pour saluer notre voisin. Nul doute qu'il sait très bien ce que nous étions occupés à faire en observant les emplumés. Il ne montre aucun étonnement. Combien de fois ne nous a t-il pas surpris dans des situations bien plus suggestives. Nous bavardons un peu. J'annonce notre absence pour cinq jours. La grande demeure est équipée d'une domotique de pointe. Mais le principe des voisins vigilants s'impose dans les campagnes également. En discutant j'observe l'éclat libidineux de son regard quand il s'adresse aux deux filles.

Nous le laissons à ses occupations pour remonter le chemin. << Je me suce ce vieux salaud dès les premiers beaux jours. Et dans le jardin ! >> lance Clémentine. Nous rions quand Estelle rajoute : << Beurk ! Comment tu fais ? Mais je viens voir avec Julien. On reste planqués ! >>. Nous épluchons les pommes de terre. Les gousses d'ail, les échalotes et les oignons. De gros champignons de Paris. Le tout sous l'eau dans l'évier. Nous coupons en tranches plus ou moins fines. C'est Estelle qui s'occupe des pavés de saumon qu'elle fait dorer dans la poêle.

Clémentine fait l'assaisonnement de la salade d'endives. Je recouvre les patates de tranches de Morbier, de Saint Nectaire. De la chapelure, des graines de sésame grillé. J'enfourne dans la cuisinière à bois hyper chaude. Les filles parlent de leurs études. Quand l'une passe près de moi c'est pour me palper les couilles en glissant sa main par derrière. Estelle est une grande spécialiste de la palpation de couilles par l'arrière. Moi aussi j'adore glisser mes mains entre leurs cuisses par l'arrière. J'apprécie ce petit spasme typiquement féminin à chaque fois.

Nous mangeons de bon appétit en définissant l'itinéraire de la randonnée de l'après-midi. Il y a du soleil. Une véritable invitation à l'évasion. Nous traînons toutefois à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges font mille projets pour la seconde semaine de vacances. Julie sera avec nous cinq jours. Elles ont en prévision de réaliser un film porno. << Ça fait longtemps depuis le dernier ! >> précise Estelle avec qui nous en avons déjà tourné quatorze. Des films totalement privés soigneusement conservés sur deux disques externes bien dissimulés.

<< On perd les bonnes vieilles habitudes des soirées cinéma ! >> lance Estelle. << C'est parce qu'on vieillit ! >> dit Clémentine. Nous rions de bon cœur. Estelle et Clémentine vont fêter leurs anniversaires d'ici un mois pour l'une, et deux mois pour l'autre. 26 ans. Ça se fête. Et je leurs promets des cadeaux exceptionnels. Pour Clémentine j'ai déjà ma petite idée. Une surprise qui saura l'étonner autant que la réjouir. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Pressés de filer nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos, des barres de céréales.

Des pommes, la thermos de thé bouillant. C'est avec la voiture que nous allons jusqu'à la chapelle désacralisée après le bourg voisin. Ça fait longtemps que nous ne sommes plus montés aux anciennes tuileries en passant par la carrière abandonnée. Je roule doucement en me faisant tripoter la queue par Clémentine. Estelle assise à l'arrière caresse mon cou en parlant de l'Écosse. Il n'y a que quatre kilomètres. Je gare l'auto le long du muret du vieux cimetière. Il y a d'autres voitures garées là. Très certainement d'autres randonneurs. Des marcheurs.

C'est parti. Après avoir traversé la route nous nous engageons dans le chemin. Il est large, il monte en pente douce. Mes deux anges me tiennent par les mains. En montant, avec l'effort, nous pouvons marcher avec les anoraks ouverts. Ce qui permet à mes deux coquines un accès parfait à ma braguette béante. Il faut juste anticiper. Quand nous croisons des groupes de marcheurs, nous les entendons venir. Il suffit de rabattre le sweat pour cacher l'ouverture. Lorsque l'instant est critique, Estelle ou Clémentine se serrent contre moi. La combine.

Deux arrêts pipis. Sans pouvoir en profiter comme nous aimerions. Le pantalon et la culotte descendus sur le bord du chemin, par 12° ne donnent pas envie de s'attarder. Je les torche très vite. Par contre mes deux anges peuvent tenir ma queue pour en diriger les jets. Notamment au-dessus des parois vertigineuses des anciennes carrières. Je ferme les yeux car j'ai le vertige. Le risque de nous faire surprendre ne rend pas l'instant vraiment excitant. Le chemin est devenu sentier. Il y a deux heures de marche jusqu'à la vieille usine.

L'endroit ne changera plus beaucoup. Les bâtiments de briques rouges des anciennes tuileries. Nous y avons tourné un film porno il y a trois ans, avec Julie attachée à des chaînes. Dans la salle des fours. De grands souvenirs. C'était sa première prestation d'actrice. Un grand moment. Il y a des promeneurs. Plein de gens qui prennent des photos. L'endroit est tellement insolite. De découvrir ces vieux bâtiments en pleine cambrousse, entre des collines, est surprenant. Ils sont désaffectés depuis plus de soixante ans. C'est aussi une ambiance étrange.

Nous prenons le sentier du retour. Pour la descente c'est plus rapide. J'ai allumé la lampe frontale que je tiens dans la main. Pas question d'éblouir Estelle ou Clémentine lorsqu'elles se précipitent pour m'embrasser. Il est 18 h30 quand nous revenons à la voiture. La nuit est claire. Le croissant de lune se devine derrière le voile de nuages. << Une nuit à vampire ! >> lance Estelle qui s'installe sur le siège passager à côté de Clémentine. Elles me tripotent la queue durant les quelques kilomètres du retour. Morts de faim, nous arrivons pour 19 h50.

Estelle nous prépare l'omelette des dimanches soirs. Avec trois fromages différents. Clémentine fait l'assaisonnement des deux endives restantes. Je surveille le gratin de pommes de terre dans le four de la cuisinière à bois. Elle a une autonomie de chauffe de cinq heures avec du bois de chêne. Il suffit de rajouter une bûche sur les braises pour que ça reparte dans un souffle sourd. Nous mangeons de bon appétit. Nous ne traînons pas. Nos caresses de l'après-midi nous ont follement excité. Pressés daller au salon pour la soirée "léchage de minous".

La vaisselle. Les coquines retirent leurs Levis, leurs culottes pour les jeter sur le fauteuil. Vautrées dans le canapé, tenant leurs jambes relevées, largement écartées, elles m'offrent leurs chattes. Je suis à genoux sur les épais coussins posés au sol. Je ne connais pas de plat plus succulent que la chatte d'une fille pas lavée de la journée, ayant marché et transpiré tout un après-midi. Je commence par Estelle. C'est fromageux. L'odeur forte. Les goûts forts. Je passe à Clémentine pour déguster sa "fondue". Leurs orgasmes sont évidemment fabuleux.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui adorent se faire nettoyer le minou le dimanche soir après une bonne randonnée pédestre...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 11 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2160 -



Le départ et la destination "surprise"

Hier matin, lundi, il est huit heures quand Clémentine me caresse les cheveux. Dès qu'elle me sait conscient elle saisit ma tumescence. Une cuisse sous mes fesses, l'autre posée sur la main qui tient mon sexe, elle se frotte contre ma hanche. C'est absolument délicieux. Ça vous réveille un dormeur de façon imparable. << J'ai fait un rêve cochon ! >> murmure t-elle à mon oreille. Je glisse ma main dans sa culotte en disant : << Tu me le racontes devant un café et de la brioche ! >>. Nous nous levons d'un bond pour nous précipiter aux toilettes. Pipis.

Nous revêtons nos tenues de sport dans la salle bain. Ce sont les vacances. Clémentine est très facétieuse. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Il fait bien chaud partout dans la maison car les radiateurs fonctionnent depuis plus de deux heures. J'allume tout de même la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, pèle les kiwis, presse les oranges. Je mets les deux dernières parts de brioche dans le four à micros ondes. Ça rend le moelleux originel. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre randonnée de hier. La soirée cunnilingus.

Nous mangeons de bon appétit en passant en revue tous les détails. Il ne faut rien oublier avant notre départ prévu pour treize heures. Clémentine n'a toujours pas révélé notre destination. J'adore quand elle est cachotière. << La surprise sera totale. Pour vous comme pour moi ! On part à l'aventure. Vraiment ! >> confie t-elle. Cette idée est très excitante. Il est neuf heures. Nous remontons nous laver les dents. La température extérieure est de 12°. << On tente le jogging ? >> propose Clémentine. Avec les K-ways, échauffés, c'est jouable.

Vêtus de nos leggings de lycra noir, de nos sweats de lycra rouge, nous dévalons les escaliers pour enfiler, bonnets, gants et K-ways. C'est très limite. Aussi, une fois dehors, nous pratiquons immédiatement les exercices aérobics habituels. Très efficaces pour s'échauffer correctement. Un peu de courage. C'est parti. C'est sur le sentier qui longe la rivière que nous courons. Le sol est principalement pierreux. Rares sont les endroits boueux. Une heure d'un running très agréable. De courir en extérieur nous manquait vraiment depuis plusieurs mois.

La douche. Il est dix heures trente. Vêtus de nos Levis, de nos sweats nous voilà au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Deux courriels. Celui de Juliette qui nous souhaite de belles vacances. Nous rappelant une nouvelle fois que nous sommes attendus à la soirée masquée de samedi prochain. << J'ai la trouille ! >> fait Clémentine. Il y a un message de Julie. Elle aussi nous souhaite de bonnes vacances. Elle nous raconte son week-end. Avec ses parents, son papy et sa mamie, son job de serveuse en soirée.

C'est Clémentine qui répond. Assise sur mes genoux, me tournant le dos, je peux caresser ses seins minuscules. Passer sous le sweat pour en prendre délicatement les extrémités entre les pouces et les index. << Mmhh, c'est bon ce que tu me fais ! >> dit elle tout en écrivant. Je murmure à son oreille : << J'emmène ma "Soumise" en vacances. Emmèneras-tu ton "Maître" ? >>. Elle cesse d'écrire, se lève pour se placer à califourchon, ses bras autour de mon cou. En se frottant elle dit : << Mais je n'allais pas oublier nos accessoires savez-vous ! >>

Nous rions de bon cœur. Je sais à quel point Clémentine apprécie les jeux de rôles. Étant d'une nature "soumise" elle n'a aucune difficulté à endosser le personnage. Alors que moi, n'ayant absolument pas la nature d'un "Maître" j'interprète le rôle de mon mieux. Et aux dire de la fille que j'aime, je me débrouille plutôt bien. Clémentine termine ses réponses. Un petit tour sur le site universitaire. Aucune information. Clémentine se lève, s'accroupit pour ouvrir le dernier tiroir du bureau. Elle en tire le collier canin crème avec la boucle en forme de cœur.

La laisse, la paire de menottes. << Je n'allais pas omettre de les emmener avec nous ! >> précise t-elle en me donnant le collier. Redressant ses cheveux, me présentant son cou, elle rajoute : << Mon doux "Maître", seriez-vous gentil de me donner un aperçu des sévices que vous me réservez ? >>. Je passe le collier . Sa face interne est faire de nubuck, ce cuir retourné qui n'irrite pas. J'y fixe la laisse. Je donne quelques à coups en ordonnant : << À quatre pattes ! >>. Clémentine, gloussant de plaisir, s'exécute immédiatement.

Je me lève pour la promener dans toute la grande pièce. À chaque meuble que nous contournons elle lève la patte contre l'angle. J'ordonne : << À genoux, mains sur la tête, bien droite ! >>. Clémentine se met immédiatement en position. Elle ne joue plus. Moi je joue. Je sors mon sexe. Je bande mou parce que ce jeu m'excite considérablement. Je dois toujours me surpasser pour répondre aux attentes véritables et sincères de Clémentine. Je me refuse toutefois à toute brutalité, à toute violence. Pour moi ce sont des actes intolérables. Je reste doux.

Je frotte mon sexe sur son visage. En pâmoison, gémissant de bonheur, Clémentine tourne gracieusement la tête afin que je puisse bien passer ma bite partout. Je fais le tour de sa bouche, comme un lipstick sur ses lèvres. Je saisis son menton de la main libre, la laisse fixée à mon poignet. Elle refuse d'ouvrir la bouche, gardant les lèvres serrées. Je pince son nez. Pour pouvoir respirer, Clémentine sera obligée d'ouvrir la bouche. C'est là qu'en sournois, pervers et vicieux, j'enfonce ma queue. J'attrape ses oreilles en me masturbant lentement.

Elle ne bouge pas. Je me retire. Elle a du foutre qui s'écoule du coin gauche de sa bouche. Je la vois déglutir avec peine. Je prends du recul pour la regarder. Droite, fière, le port de tête altier, cette sublime jeune fille me fixe de ses yeux incroyablement bleus. Cette fille avec qui je partage mon existence depuis six ans. Cette fille qui sait m'étonner, m'enchanter, m'émerveiller chaque jour. J'en suis amoureux fou. Je me rapproche. Elle ouvre ses lèvres. Je m'accroupis. Je passe ma main entre ses cuisses en enfonçant ma langue dans sa bouche pour fouiller.

Je me redresse. Je l'aide à se redresser. Je m'accroupis à nouveau pour masser ses genoux probablement douloureux. << Vous êtes tellement attentionné avec moi bon bon "Maître" ! >> dit elle en caressant ma tête. Je me relève. Clémentine tombe dans mes bras pour se serrer. Pleine de reconnaissance, frissonnante, elle me dit : << Un magnifique aperçu que vous m'avez donné là ! Je suis impatiente de découvrir la suite ! >>. Je retire la laisse et le collier. Clémentine s'en saisit. Elle m'entraîne par la main jusque dans le hall d'entrée.

Elle dépose les accessoires sur le guéridon afin de ne surtout pas les oublier. Il est onze heures trente. Toutes nos affaires sont déjà prêtes. Il commence à faire faim. Dans la cuisine Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade de carottes. Je réchauffe les restes de gratin de pommes de terres. Deux filets de colin poêlés avec des champignons. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous descendons à la cave pour récupérer des oranges, des kiwis, des tomates, des carottes, des concombres et de beaux avocats.

Nous prendrons nos repas de midi dans notre location. Nous mangerons au restaurant en soirée. Comme nous le faisons toujours. << Je nous ai réservé une table dans un restaurant gastronomique pour ce soir ! >> précise Clémentine quand nous montons dans la salle de bain. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres. C'est ainsi qu'Estelle nous surprend. Depuis quelques temps elle arrive dans le plus grand silence pour nous surprendre. À peine avons-nous essuyé nos bouches qu'elle se serre contre nous. Nous sommes tellement contents.

<< Les trois mousquetaires sont réunis pour de nouvelles aventures ! >> dit elle en fourrant sa main dans ma braguette béante. Avec nos petits jeux de fin de matinée, ma queue est encore gluante de tout le liquide séminal que Clémentine n'a pas avalé. << Salaud, t'es déjà trempé ! Vieux pervers ! >> lance t-elle en nous montrant ses doigts luisants. Elle les porte à sa bouche alors que Clémentine lance : << Ça commence fort ! >>. Nous dévalons les escaliers à toute vitesse. Dans le hall d'entrée, j'enclenche les alarmes de la domotique. Parfait.

C'est exceptionnel. Clémentine accepte de conduire la Mercedes. Elle voulait que nous prenions sa Golf. Elle veut absolument ménager la surprise de la destination. Entretenir le suspens. Je mets la valise et le sac de sport d'Estelle dans le coffre. Cette fois, je suis sur le siège passager. Clémentine manœuvre plutôt bien. C'est un peu déroutant les vitesses automatiques. Mais il y a l'option manuelle. Estelle, assise à l'arrière, caresse mon cou en nous racontant sa matinée. La conduite de Clémentine est sécurisante. J'évite toutefois les attouchements.

C'est elle qui saisit ma main pour la placer entre ses cuisses en disant : << Sa place est là ! >>. Nous rions de bon cœur. Nous montons vers le Nord. C'est l'itinéraire que nous prenons pour aller vers Boulogne-sur-Mer, quand nous partons pour l'Écosse. Le ciel est gris mais lumineux. << J'appréhende toujours de rouler dans cette grosse voiture. Pourtant elle se conduit plus facilement encore que ma Golf ! >> lance Clémentine. Estelle s'amuse à poser des questions totalement saugrenues à la "dame du GPS". Nous rigolons comme des bossus.

Premier arrêt pipi. Nous avons parcouru une centaine de kilomètres. C'est la règle. Nous nous arrêtons toujours toutes les heures quelques minutes. Cela permet de rester frais et dispos. La circulation est fluide. Les pipis derrière la voiture. Je torche soigneusement mes deux anges qui me tendent les mouchoirs en papier. Clémentine me tient les couilles. Estelle me tient la bite pour en diriger les jets. C'est beaucoup moins discret quand je pisse, serré de près par mes deux coquines. Aussi, quelques coups de klaxons nous rappellent la réalité.

Quand Clémentine tourne à gauche, direction du Mont Saint-Michel, c'est l'inconnu. Quand nous y sommes venus à Pâques de l'année dernière, ce n'était pas par cette route. Avranches. Nous ne connaissons pas. << Là, j'utilise le GPS ! >> lance Clémentine. Nous passons dans les rues de cette petite ville absolument charmante. Les maisons de pierres de taille. Il y a un profond sentiment de sérénité qui règne dans cette petite cité de caractère. Nous aurons de bien belles choses à visiter jusqu'à jeudi soir. Clémentine conduit d'une main sûre.

Sans la moindre hésitation elle suit l'itinéraire dictée par la "dame du GPS". Nous quittons la ville pour sa banlieue proche. Nous pourrons visiter à pieds. Ce n'est pas une ville très étendue. Voilà une haute grille dont l'un des montants est ouvert. Clémentine y passe pour s'engager dans le chemin qui mène à la propriété. C'est une belle maison de maître probablement du début du vingtième siècle. Lorsque Clémentine gare l'auto derrière une grosse Jeep de type "Humer", il y a un homme qui sort de la dépendance pour venir à notre rencontre.

Nous nous présentons. Clémentine a eu quelques entretiens téléphoniques avec monsieur Karl. Le propriétaire du domaine. C'est un homme souriant, affable et plein d'humour. Il nous invite à le suivre. Nous contournons la demeure pour monter un escalier métallique. C'est là, au premier étage que nous disposons d'un petit appartement. Une chambre, une cuisine, une salle de bain et des toilettes. C'est fonctionnel, lumineux, moderne et parfaitement équipé. Monsieur Karl me regarde d'une curieuse façon. Non, je ne suis pas le papa des deux filles.

Nous devinons même un éclat libidineux dans son regard quand il s'adresse à Clémentine. La seule interlocutrice avec laquelle il a traité "l'affaire". J'insiste pour nous acquitter immédiatement du solde de la somme restant à payer. Lorsque je sors l'argent en espèce, je vois le regard de monsieur Karl changer. C'est comme s'il était soudain devant une belle pâtisserie. Tout est OK. La remise des clefs. Nous serons là dans la plus totale indépendance. Nous redescendons pour récupérer nos bagages avant de les remonter, de les ranger dans l'armoire.

Il est presque dix sept heures. Je prends Clémentine dans mes bras. Estelle vient se serrer contre nous. Je murmure : << Merci Clémentine pour cette belle surprise ! >>. Estelle rajoute : << C'est génial ! >>. Nous mettons nos anoraks pour redescendre. C'est à pieds que nous parcourons les trois kilomètres qui nous ramènent au centre ville. Nous nous promettons d'en visiter chaque recoin. De plus, à quelques minutes de voiture ou de bus, il y a la pointe du Grouinsud, la baie du Mont Saint-Michel. Bref, de quoi occuper ces trois journées à venir.

Nous flânons dans les rues. L'endroit respire le calme, la joie de vivre. C'est appréciable. Estelle, comme à son habitude, profite de chaque opportunité pour palper ma braguette. << Mais ouvre là, on ne la voit pas ouverte sous ton anorak ! >> dit elle à chaque fois. Quand aucune occasion ne se présente, c'est elle qui la créé en se collant contre moi. Ça cache ses mains baladeuses. Ce qui amuse beaucoup Clémentine. En soirée, morts de faim, nous découvrons "La Croix d'Or". Ce restaurant gastronomique où Clémentine a réservé notre table.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui vont encore se faire pénétrer, lécher, sucer, sous les draps d'un lit inconnu. Vacances...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 12 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2161 -



Première journée à Avranches

Hier matin, mardi, il est presque neuf heures. Je suis entre mes deux anges. Elles sont restées serrées contre moi toute la nuit. Ce sont les mouvements réguliers des pieds d'Estelle qui me réveillent. Ce sont ses "impatiences" comme elle les appelle. Sa main qui glisse de ma poitrine jusque sur mes abdominaux que je contracte par réflexe. Elle se frotte contre ma hanche en saisissant mon érection matinale et totalement naturelle. Ce qui tire Clémentine de son profond sommeil. Elle aussi se frotte sur ma hanche. Je glisse mes mains en culottes.

Cette grasse matinée était bien nécessaire après nos folies de hier soir. << C'était une très agréable Saint Valentouze ! >> lance Estelle avant de se lever d'un bond pour courir aux toilettes. En riant Clémentine me chevauche, continuant à frotter son sexe mais sur le mien. << Et aujourd'hui, c'est la Saint Claude. Tu sais ce village dans le Jura, capitale de la pipe ! >> dit elle. Nous rions de bon cœur en nous levant à notre tour pour aller pisser. Nous rejoignons Estelle dans la petite cuisine. Tout est petit dans ce charmant appartement. L'odeur du café.

Le grille pain éjecte ses premières tranches. Je presse les oranges, Clémentine pèle les kiwis alors qu'Estelle met les bols et beurre les tartines. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur l'agréable accueil que nous a offert Avranches. C'est une petite ville très attractive. Après le restaurant, hier soir, nous avons flâné dans les rues. Nous avons encore attiré bien des attentions au restaurant. Pour la Saint Valentin il n'y avait quasiment que des couples. << Notre couple à trois attire toujours les regards. On a fait fort ! >> lance Estelle.

Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en envisageant le programme de la journée. << On est avant tout venu là pour nous reposer. Oublier le stress des études ! >> rappelle Clémentine. Nous traînons à table. En interrogeant la météo sur son téléphone Estelle nous apprend qu'il y a 5° dehors. Le ciel est voilé mais lumineux. Assises sur mes genoux mes deux anges consultent les sites touristiques concernant Avranches et ses environs. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Quelques exercices aérobic mais en riant.

Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine consulte nos boîtes mails. Il y a juste le message de Julie. Elle joint deux photos. Dans son jardin, avec son chat dans les bras. Rendez-vous à 10 h45 pour un contact caméra. C'est à notre tour d'aller sous la douche. Vêtus comme Estelle, de nos Levis, de nos chemises à carreaux, nous la rejoignons dans l'unique chambre qui fait aussi séjour. Elle est déjà entrain de bavarder avec Julie. Elle nous montre l'écran. Nous nous faisons de grands coucous. << Sors ta bite ! >> fait Estelle.

Je déboutonne ma braguette pour en extraire le locataire. Estelle tient le téléphone juste devant mon sexe que j'agite en direction de l'écran. On entend Julie pousser un << Wouah ! >>. Clémentine s'accroupit à ma gauche, tenant mes jambes, sa tête posée sur ma cuisse tout près du Zob. Estelle se lève, cale le téléphone, pour imiter Clémentine. Je pose les mains sur leurs têtes. Nous regardons les expressions de Julie. Ravie, elle lève les pouces de ses deux mains. Estelle et Clémentine soufflent des bisous dans leurs mains pour les lui envoyer. Julie fait pareil.

Julie adore préparer le repas pour ses parents qui travaillent. Qui ne sont pas en vacances. Nous la laissons à ses occupations. Rendez-vous demain à la même heure. Il est presque onze heures quinze. << Ne la remballe surtout pas, malheureux ! >> lance Estelle quand je m'apprête à ranger mon "outil". Pour m'en dissuader elle le saisit pour préciser : << Après la Saint valentin, il y a toujours la Saint Claude ! >>. Nous rions aux éclats. Estelle rajoute : << Et avec ce que tu nous as fait hier soir au lit, tu mérites quelques égards. >>. Clémentine m'embrasse.

Estelle s'accroupit à nouveau juste devant moi. Elle prend mon prépuce entre ses lèvres. C'est lorsque sa langue tente de s'immiscer entre la peau et le gland que je prends toute la mesure de ce câlin. Quand Clémentine fouille ma bouche de sa langue exploratrice, mon érection est souvent immédiate. Estelle en profite. Tombant à genoux, ses mains sur mes fesses, pour me tailler une pipe des familles. Pour Clémentine, penchée en avant, la position est beaucoup moins confortable. Aussi, elle s'accroupit à côté d'Estelle pour attendre que cette dernière partage.

C'est beau une fille qui suce. Elles sont tellement belles quand elles font ça. Mais lorsque qu'elles sont à deux à se la partager, c'est merveilleux. Leurs joues creusées par l'effort. L'une, impatiente d'y retourner, regardant l'autre pomper. Il y a une gradation dans l'enchantement quand elles se donnent leurs impressions. Pendant que l'une pompe, l'autre confie son ressenti. Évoquant l'onctuosité, la densité et le goût du liquide séminal montant du plus profond des couilles. Les genoux d'Estelle devenus douloureux, elle se redresse.

Clémentine fait de même. Mes deux anges, me tenant par le cou, par la taille, me montrent l'intérieur de leurs bouches. Des filaments gluants qu'elles laissent se mélanger à leurs salives avant de déglutir. Je me masturbe encore un peu parce que c'est terriblement excitant. Pour faire diversion je propose de préparer notre repas. << Put-Hein comme c'est bon ! >> lance Estelle. << Quand je commence, c'est dur d'arrêter ! >> surenchérit Clémentine. Je glisse mes mains entre leurs cuisses qu'elles resserrent pour m'empêcher de les retirer. Nous rions.

Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade de concombre. Estelle fait gonfler du riz complet. Je fais rissoler des ronds de calmars avec des champignons. Je concocte une sauce au Roquefort. La préparation est rapide car chacun connaît sa fonction. Méthode et réflexions. Nous mangeons de bon appétit alors qu'il n'est que midi quinze. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns. Il n'y a qu'un seul miroir dans la petite salle de bain. J'ai toujours eu horreur que quoi que ce soit dans ma vie soit petit. Vraiment.

Mais là, quand nous sommes ensemble, peu importe l'éxiguité du lieu. Pressés de filer, nous passons nos anoraks. La température extérieure est de 10°. Il y a des séquences d'ensoleillement. C'est sympathique. Nous descendons l'escalier métallique. Il n'y a même pas trois kilomètres jusqu'en ville. C'est à pieds que nous nous y rendons. Les points de repères sont les deux clochers. Celui de la basilique Saint-Gervais et celui de la cathédrale Notre Dame des Champs. Nous marchons d'un bon pas. En attirant bien évidemment quelques regards.

Quand mes deux anges ne sont pas accrochées à mes bras, elle me tiennent par les mains. Non,messieurs dames, je ne suis pas le papa. Et pour bien le faire savoir, les deux coquines ont des attitudes qui n'ont rien de filiales. Nous nous amusons toujours beaucoup de ces situations. Première priorité le musée des archives du Mont Saint-Michel. Le scriptorial. C'est surtout Clémentine que cela passionne. En cette saison, il n'y a pas trop de touristes. Nous ne sommes qu'une dizaine de personnes devant le seul et unique guichet. Voilà nos tickets.

L'intérieur n'a rien de la salle de moines copistes. C'est ultra moderne. Ce sont des vitrines horizontale dans lesquelles sont présentés des parchemins, des palimpsestes. Indéchiffrables quand on ignore le latin. Ce qui est notre cas. Estelle, moins passionnée par les écrit anciens et leurs enluminures, ne cesse de palper ma braguette. << J'ai envie de faire ma salope ! >> murmure t-elle. Nous rions. Clémentine nous entraîne à sa suite. Ce qui est très intéressant c'est le matériel employé par les moines copiste au fil des siècles jusqu'au moyen-âge.

Il y a un film qui retrace une journée de travail de ces moines laborieux au sommet du Mont Saint-Michel. Une reconstitution d'époque avec des acteurs et des figurants. C'est très bien fait sur grand écran. Estelle me procure plusieurs érections. Pour rester discrète, à chaque fois elle se serre contre moi. Clémentine, amusée, palpe parfois pour constater le résultat. << Génial ! >> murmure t-elle. Nous quittons le musée vers quinze heures trente. La fraîcheur extérieur nous rappelle que nous sommes encore en hiver. Il faut refermer les anoraks.

Pour assurer notre repas de ce soir, nous lisons les menus proposés devant les restaurants où nous passons. Notre choix se porte sur "La cuisine de Mélia". C'est dans cet établissement gastronomique que nous réservons notre table. Nous continuons nos découvertes. Cette fois, dans la basilique Saint-Gervais. C'est un bâtiment d'architecture romane. Les impressionnantes colonnades intérieures sont déroutantes. Tout ici est massif, gigantesque et lumineux. Il y a quelques recoins où je me fait tripoter "sévère". Nous manquons de nous faire surprendre.

Il y a des touristes. Il y a même un groupe de prêtres ou de séminaristes. Leurs regards en dit long quand ils nous croisent, nous observent. Nous quittons pour découvrir la cathédrale Notre Dame des Champs. La tradition gothique. Nous préférons l'architecture gothique. La cathédrale propose un gothique tardif mais absolument magnifique. Les intérieurs de ces monuments historiques ne sont pas chauffés. Excellent prétexte pour rester serrés. Ce qui attire évidement quelques regards de visiteurs présents. Nous nous amusons encore beaucoup.

Je ne compte plus le nombre d'érections que m'impose Estelle. Parfois Clémentine. Mais c'est dans un salon de thé, vers dix sept heures, que nous pouvons calmer nos ardeurs devant un bon chocolat chaud et un éclair à la vanille. Première visite dans les toilettes hommes. Enfermés dans un des deux cabinets. Je tiens l'équilibre d'Estelle par la nuque car elle ne s'assoit jamais dans les WC publics pour faire pipi. J'adore la lécher juste après. Elle aussi est excitée car j'ai même droit à de la cyprine. Elle me tient la queue pour en diriger les multiples jets.

Elle se régale du "mélange". Et avec mes excitations de l'après-midi, elle a de quoi se sustenter. Nous rejoignons Estelle qui lit une brochure touristique récupérée dans la cathédrale. C'est elle qui m'entraîne aux toilettes pour la seconde visite. Sous le regard intrigué de quelques clients. Je maintiens l'équilibre de Clémentine de la même manière. Comme j'ai déjà pissé elle peut savourer les reliquats de la pipe d'Estelle. Nous voilà assis tous les trois dans cet endroit charmant. Estelle prend quelques photos. << T'es pas chiche ! >> me lance t-elle.

Elle appui sa phrase par un geste masturbatoire. Je me lève. Je contourne la table pour m'assoir de l'autre côté. Je tourne le dos à la salle. Je déboutonne discrètement mon Levis. J'en extrait ma queue. Je prends une profonde respiration. Je me lève. Estelle filme la scène. Tout cela ne dure que quelques secondes. J'ai une peur bleu. Je suis soudain en sueur. << Personne n'a rien vu ! >> me rassure Clémentine. << J'ai envie que tu me la mettes ! >> dit Estelle en nous montrant ce film qui ne dure que trois secondes. Nous flânons encore un peu en ville.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui vont partager un repas gastronomique dans un restaurant charmant. Avant de nouvelles folies...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

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Homme, 53 ans, France
Classe - 13 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2162 -



Seconde journée à Avranches

Hier matin, mercredi, il est une fois encore pas loin de neuf heures. Je suis tiré de mon sommeil par les mouvements des pieds d'Estelle contre les miens. Ce phénomène est récurrent durant les vacances. Certainement avertie par son sixième sens, elle se réveille également. En même temps que Clémentine. Je suis entre mes deux anges qui se serrent très fort contre moi. Frottant leurs sexes contre mes hanches. Je glisse mes mains dans les culottes. J'adore passer mes doigts dans ces deux invraisemblables touffes. Clémentine saisit ma tumescence.

Distribution de bisous alors qu'Estelle doit se contenter de jouer avec mes couilles. Elle le fait beaucoup plus délicatement que lorsqu'elle empoigne mon érection matinale. Quelques papouilles et voilà qu'elle saute du lit d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine passe sa tête sous les draps pour gober mon sexe. Mon érection est physiologique. Elle n'est la conséquence d'aucun stimuli libidineux. C'est donc toujours une étrange sensation. Je tire légèrement sur ses cheveux pour la ramener à la surface. << Saint-Claude aujourd'hui ! >> dit elle.

C'est en riant que nous nous précipitons aux toilettes. Elles sont petites. On y tient tout juste à deux. L'odeur du café nous parvient déjà. Morts de faim nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me faire plein de bisous. Clémentine presse les oranges. Elle attend son tour alors qu'Estelle pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos visites de hier après-midi, la qualité du restaurant dans la soirée, avant nos folies une fois de retour dans l'appartement.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de la journée. Avranches est une petite ville extrêmement attractive. Il y règne une ambiance très positive. C'est avec joie que nous flânerons une nouvelle fois dans ses rues. Il y a le musée d'arts et d'Histoires que nous voulons absolument visiter. Mais il y a également ce circuit de randonnée qui part de la ville jusqu'à la baie du mont Saint-Michel. Dehors, c'est exactement la même météo que hier. Il ne fait encore que 10°. Le ciel est voilé mais lumineux. Nous hésitons longuement.

Ce sera le tirage au sort par pièce de monnaie. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine parlent de leurs études. J'aime les entendre en venir à d'amusantes anecdotes concernant des étudiants, des professeurs. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. En faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain, nous nous lavons les dents. Nous revêtons nos tenues de sport. Ce matin, il est convenu de pratiquer un bon running. K-ways, bonnets, gants. Nous descendons l'escalier métallique extérieur. Il faut un peu de courage.

Quelques mouvements d'échauffement. Sauts sur place. Exercices aérobics. Nous voilà chauds. Nous restons sur le bord de l'étroite route communale. Nous avons repéré un chemin qui s'engage dans les prés, derrière les maisons. Nous aimons beaucoup découvrir de nouveaux itinéraires en faisant nos joggings. Celui-ci est un peu déconcertant. Nous passons derrière un charmant lotissement. Il est dix heures trente quand nous revenons à notre location. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume son MacBook Pro.

La connexion Wifi est parfaite. Comme à la maison. Deux courriels. Un message de Juliette qui nous raconte le quotidien de son entreprise. Les préparations de la soirée masquée. L'invité surprise. Un mail de ma famille d'Édimbourg. L'état de santé de mon oncle s'est amélioré. Il sort, va se promener, visite ses amis. Je suis rassuré. C'est que le bonhomme doit porter ses 90 ans. C'est à notre tour de prendre notre douche. Vêtus comme Estelle, de nos Levis, de nos épaisses chemises à carreaux et de nos baskets, nous la rejoignons dans la chambre.

Elle est au téléphone avec Julie. Nous posons nos mentons sur chacune de ses épaules pour adresser un grand sourire à Julie. Elle est toute contente. Radieuse. J'adore quand elle porte ses lunettes d'étudiante. Clémentine fourre sa main dans ma braguette pour en extraire le Zob. Je suis debout, le sexe à hauteur du visage d'Estelle assise. Clémentine, de l'autre côté lève le pouce de sa main droite. Julie fait de même alors qu'Estelle découvre ce qui pend de ma braguette à sa droite. << On va promener notre vicieux cet après-midi ! >> dit elle à Julie.

Elle s'empare de ma queue pour l'agiter vers l'écran du téléphone. << Génial ! >> lance Julie pliée de rire. Je me penche pour tirer la langue. Elle mime un bisou qu'elle souffle vers nous dans sa main. Estelle tourne la tête pour attraper la peau de mon prépuce entre ses lèvres. << J'en veux aussi ! >> s'écrie Julie. Clémentine qui dit : << On revient vendredi. Après demain ! >>. Nous bavardons un peu. Estelle et Clémentine, chacune avec une fesse sur la chaise. Moi debout derrière elle à glisser ma bite entre leurs têtes. Julie pliée de rire.

Nous la laissons à la préparation de son repas. Ses parents rentrent pour midi quinze. Il est onze heures trente. Un dernier coucou et nous allons à la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de tomates. Avec de l'avocat coupé en dés. Estelle fait bouillir l'eau des spaghettis. Je poêle trois filets de colin. Ail, échalote. Estelle m'aide à faire une sauce à partir d'un "roux". On y rajoute les champignons, l'oignon, la ciboulette, le persil. Je râpe une bonne quantité de Parmesan, de gruyère de Comté. Nous adorons les deux avec les spaghettis.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la conversation avec Julie. Nous nous réjouissons pour la retrouver vendredi après-midi. C'est Estelle qui lance la pièce de un euro en l'air en disant : << Pile c'est la rando, face c'est le musée ! >>. La pièce retombe côté pile. << Super ! >> lance Clémentine. La météo est avenante. La température extérieure est de 14°. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Il est à peine midi trente. Nous nous lavons les dents. C'est une randonnée de six heures qui nous attend. Je propose de faire une partie en auto.

La nuit tombe vers dix huit heures trente. Pour éviter de rentrer dans la nuit, la formule est parfaite. Nous mettons les barres de céréales, les pommes et la thermos dans le petit sac à dos. Nous dévalons les escaliers avec nos chaussures de marches à la main. Je propose à Clémentine de conduire. << Ah non, je suis en vacances ! >>. Estelle rajoute : << On a notre chauffeur ! Je vais d'ailleurs le "chauffer" ! >>. Nous rions de bon cœur. C'est parti. Je roule doucement. Estelle, assise à l'arrière, caresse mes joues, mon cou en racontant des trucs.

<< C'est la saint Claude. Ceux qui ont raté leur coup à la saint Valentin peuvent tenter leur chance le lendemain ! >> lance t-elle. Nous rions. Clémentine joue avec ma queue. Nous longeons la mer. Il y a une hanse avec des bancs, un point de vue panoramique. Là-bas, sur son îlot, le Mont saint-Michel. Majestueux, magnifique. Pyramide insolite au milieu de la mer. Je gare l'auto sur le parking. Il y a pas mal de voitures garées là. Des groupes de gens. Nous mettons nos grosses godasses. Je porte le petit sac à dos. Nous prenons le chemin côtier.

C'est le sentier de grande randonnée GR22. C'est absolument magnifique. Il n'y a pas un souffle de vent. Les apparitions du soleil sont une bénédiction supplémentaire. Nous croisons quelques marcheurs. Il n'y a qu'une dizaine de kilomètres jusqu'au Mont. Estelle peut en profiter pour fouiller dans ma braguette. Quelquefois en extraire le locataire. Le présenter à Clémentine qui s'en saisit en enfonçant sa langue dans ma bouche. Moi aussi je passe souvent mes mains entre leurs cuisses bien chaudes pour palper leurs sexes à travers le tissu. Nos rituels.

Pour les arrêts pipi c'est un peu plus compliqué car il n'y a aucun bosquet, aucun arbre. Il faut ruser. Quand l'une est accroupie, nous faisons écran de nos corps. Nous marchons d'un bon pas. Il est presque seize heures quand nous arrivons au grand parking. Là, en face de nous, l'extraordinaire merveille. Nous reviennent à l'esprit les vacances que nous avons passé au mont Saint-Michel l'année dernière, à Pâques. << On refait ? Je réserve une chambre dans le même hôtel ! >> demande Clémentine. Je réponds : << C'est certainement trop tard ! >>.

En effet, il faut réserver au moins six mois à l'avance pour être certain d'avoir une chance de location. Il y a une légère frustration. Nous aimerions bien prendre un de ces bus navettes. Retourner flâner dans le village au bas de la Merveille. Estelle prend quelques photos. Clémentine aussi. Je pose avec l'une, nous tournons le dos au Mont. Personne ne peut voir que j'ai la bite à l'air. Je pose avec l'autre de la même manière. De très beaux souvenirs. Pour ne pas nous exposer plus longtemps à cette frustration, nous prenons le chemin du retour.

Il est presque dix sept heures. Nous nous rapprochons du point de départ qu'on voit là-bas. Soudain la musique du téléphone de Clémentine. Elle le tire de la poche de son anorak. C'est le laboratoire d'analyse médicale qu'elle a contacté pour un éventuel rendez-vous. Ça marche pour demain en début d'après-midi. Les résultats seront envoyés directement à notre médecin traitant. Monsieur Joncourt nous fera parvenir ces résultats en pièces jointes par courriel. Il suffira de les imprimer depuis l'ordinateur. Nous pourrons les remettre à Juliette.

<< Génial ! La petite prise de sang avant de flâner en ville ! >> lance Clémentine. Moi j'ai une peur bleue des piqûres. Ni Clémentine, ni Estelle. Mais, comme pour toutes les soirées organisées par Juliette, c'est la règle, un contrôle et un certificat médical. Vieille habitude du temps où elle était actrice porno. Durant deux ans. Pour de grosses productions payantes. Jamais pour des amateurs médiocres et dans des conditions pitoyables. Un fantasme que Clémentine a bien failli réaliser avant de me rencontrer. Alors qu'elle n'avait que dix neuf ans.

Nous arrivons à la voiture. Fourbus. << Maintenant, on se trouve un bon restaurant ! >> lance Clémentine. Se garer dans les rues excentrées d'Avranches n'est pas une difficulté. C'est le restaurant "Le Gué du Holme" dans l'hôtel du même nom qui nous régale. Il y a du monde pour savourer cette cuisine d'exception. C'est hautement gastronomique et le personnel est d'une gentillesse exquise. Nos habituels rituels pisseux dans les toilettes hommes, totalement discrets, passent inaperçus. Nous traînons longuement à table. L'endroit est superbe.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui, après une dernière flânerie dans les rues d'Avranches, vont retrouver les folies sous les draps. Cunnilingus, pénétrations, fellations et autre joyeusetés habituelles.

Julien



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Classe - 14 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2163 -



Troisième journée à Avranches

Une nouvelle grasse matinée qui nous mène aux environs de neuf heures. Estelle à ma droite, dont les pieds bougent en rythme régulier contre les miens. Clémentine à ma gauche qui s'étire en gémissant avant de se blottir contre moi. Se frottant contre ma hanche. Estelle qui se réveille à son tour pour faire pareil. Elles jouent déjà toutes les deux avec ma "boîte à outils". Je passe mes bras autour de leurs épaules pour les serrer fort. Nous avons fait l'amour jusqu'à tard dans la nuit. Ces matinées de vacances permettent de récupérer parfaitement.

Estelle se lève la première en se précipitant aux toilettes. Clémentine se couche sur moi en continuant à se frotter. << Mais qu'est-ce que c'était bon hier soir encore ! >> lance t-elle. Estelle en repassant dans la chambre avant d'aller à la cuisine vient nous faire un rapide bisou en rajoutant : << Trop bien ! >>. C'est à notre tour d'aller pisser. Morts de faim nous rejoignons Estelle dans les suaves odeurs du café, du pain grillé. Elle me saute au cou en disant : << Il faudra que tu m'expliques comment tu fais avec ta langue pour que ce soit si bon ! >>.

Nous rions de bon cœur. Je presse les oranges, Clémentine pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la randonnée de hier après-midi. La soirée au restaurant. Le repas absolument délicieux. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de l'après-midi. Nous avons rendez-vous à quatorze heures au laboratoire d'analyses médicales. Une prise de sang qui ne prendra tout au plus qu'une petite demi-heure pour tous les trois. Ce matin, il pleut sur Avranches. La température extérieure est toutefois déjà de 12°.

Pas de jogging aujourd'hui. Il faudra se contenter d'un peu de gymnastique. D'aérobic et de nos exercices abdominaux. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges rient de mes peurs de la piqûre. << Je reste avec toi, je te tiens la main ! >> fait Clémentine. << L'autre main évidemment ! >> dit Estelle. Je suis d'une lâcheté absolue devant tout acte médical impliquant une intervention. Alors que quand c'est terminé je tourne mes peurs en dérision. C'est si peu de chose. Nous rions.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle, nous laver les dents. Il y a juste Estelle en pyjama. Clémentine et moi sommes en T-shirts et slips de nuit. Nous pratiquons l'aérobic consciencieusement. Sérieusement. Jusqu'à ce que Clémentine commente la situation en prenant l'accent Corse de Juliette. C'est dur de se concentrer sur le déroulement de nos exercices au sol en étant pliés de rire. << Je peux faire mes pompes sur toi ? >> demande Estelle en parodiant mon accent écossais. C'est dans cette euphorie naissante que se poursuit cet entraînement.

Elle prend sa douche la première. Je me rase. Clémentine consulte nos mails sur le téléphone. Le message de Juliette et celui du laboratoire médical. Elle adore me voir me raser. Elle trouve ça très érotique un homme qui se rase. Estelle chante dans sa cabine. J'ai une pilosité anormalement pauvre. Tant mieux. Je n'ai qu'à m'en réjouir. Je ne suis obligé de me raser que tous les trois jours. À peine du duvet sur le torse, les jambes. << Une peau de bébé ! >> lance Estelle en sortant pour s'essuyer en chantant. C'est à notre tour d'aller sous la douche.

Mes deux anges adorent êtres assises l'une à côté de l'autre alors que, debout derrière elles, je les coiffe. Notre salle de bain de location est minuscule comparée à celle de la maison. << C'est très agréable de partager le même homme. Je ne conçois plus une vie de couple autrement qu'à trois ! >> dit Estelle alors que je tresse sa longue natte. << Les trois mousquetaires ! >> fait Clémentine. << L'étroit moustiquaire ! >> lance Estelle. Nous rigolons comme des bossus quand elle rajoute : << Et pour toi Julien, c'est comment à trois ? >>.

C'est vraiment très agréable de pouvoir prendre son temps pour toute chose. Vêtus de nos Levis, de nos épaisses chemises à carreaux, nous revenons dans l'unique chambre de notre appartement. Il est presque onze heures quand la musique du téléphone de Clémentine retentit. C'est Julie qui apparaît sur l'écran. Estelle pose son menton sur l'épaule droite de Clémentine. Je fais pareil sur son épaule gauche. C'est en même temps que nous disons : << Bonjour Julie ! >>. Elle éclate de rire. Je me redresse. Estelle fourre sa main dans ma braguette.

Me voilà avec la bite à l'air. Nous bavardons. Julie nous raconte ses journées à la maison. Les révisions pour sa Licence de Lettres en mai et juin. Ses soirées de serveuse dans le restaurant de sa tante. La salle était pleine pour la saint Valentin. Il a fallu refuser des réservations. Il y a une forte clientèle tous les soirs. Julie n'a que peu d'occasions de pratiquer le voyeurisme. << Mais il y a toujours un ou deux clients coquins. Des habitués qui descendent aux toilettes du sous-sol en me fixant avec insistance. Je n'y vais pas toujours ! >> précise t-elle.

<< Tu en vois des comme ça ? >> demande Estelle en agitant mon sexe vers l'écran du téléphone. << Oui, parfois des plus grosses encore. En action quelquefois ! >> répond Julie. Nous rions aux éclats. Nous passons ainsi un bon quart d'heure à discuter. Je bande comme le dernier des salauds dans la main d'Estelle. Estelle qui me branle, qui agite ma queue, tout en bavardant le plus normalement du monde. << On se revoit demain après-midi ? >> lance Clémentine. << Je me réjouis >> fait Julie en soufflant des bisous dans sa main. Au revoir.

Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade d'avocat et de tomates. Estelle prépare une pâte à crêpes. Dans la poêle je fais rissoler des crevettes tirées d'une grosse boîte. J'y rajoute persil, ciboulette, ail, échalote et les deux dernières grosses carottes râpées. Je mélange. Il n'y a pas de billig. C'est donc dans la même poêle vidée qu'Estelle fait les crêpes. Elle les met sur un plat large. Sur chacune je dépose de la garniture. Clémentine les roule comme des nems. C'est un délice. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table, il n'est que 12 h30.

Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, Estelle et Clémentine font mille projets pour la semaine prochaine. Elles évoquent la soirée masquée qui nous attend samedi soir. Elles décident de leurs costumes. Estelle a toujours encore ces robes "ancien régime" façon "Marie-Antoinette" qu'elles portaient toutes les deux quand elles étaient adolescente. Pour les fêtes ou pour les soirées d'anniversaires entre lycéens. Ce sont les déguisements qu'elles porteront samedi soir. << Je suis morte de trouille ! >> lance Clémentine.

<< Moi je reste avec Julien. Je ne m'occupe que de lui ! >> précise Estelle en se serrant plus fort contre moi. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. C'est avec nos pitreries habituelles que nous nous lavons les dents. Les filles miment des fellations avec leurs brosses à dents. Têtes contre têtes, penchés au-dessus du lavabo nous nous rinçons la bouche en rigolant comme des bossus. Il faut se préparer. C'est en voiture que nous allons en ville. Le laboratoire d'analyses médicales est situé à la sortie. Nous y arrivons pour 14 h pile. La salle d'attente.

C'est Clémentine qui passe la première. D'autres gens sont dans la grande pièce à attendre. Certains portent un masque. Alors qu'aujourd'hui tout le monde ou presque sait que les masques ne sont strictement d'aucune utilité. C'est à mon tour. Je tremble comme une feuille. Je tiens mon petit morceau de bois fétiche qui ne me quitte jamais dans la main. Me voilà dans le fauteuil incliné. La belle infirmière qui frotte le creux de mon coude avec un coton. Je ferme les yeux. Tout cela ne dure que quelques secondes. J'ai pourtant une brusque chute de tension.

Tout se brouille l'espace d'un instant devant mes yeux. Comme avant de m'évanouir. La belle jeune femme me tend un verre d'eau en disant : << Buvez, c'est terminé ! >>. Elle me colle un petit pansement. Je la salue avant de rejoindre mes deux anges dans la salle d'attente. C'est au tour d'Estelle. Il y a un rapide entretien avec le médecin de garde qui précise que nos résultats seront envoyés au plus tard demain après-midi à nos médecins traitants. Cartes Vitales. Nous voilà dehors, sous le grand parapluie, pour rejoindre la voiture. Je me sens mieux.

Les filles rient de mes craintes. << T'étais tout rouge et en sueur quand tu es revenu ! >> me fait Estelle assise à l'arrière dans l'auto. Clémentine déboutonne ma braguette pour en extraire le Zob. << J'ai une excellente thérapie pour faire passer le stress ! >> dit elle en se penchant pour le prendre en bouche. << Put-Hein mais tu suces pour de vrai ! >> lance Estelle debout, penchée par dessus le siège passager. Je réponds : << Oui, pour de vrai ! >>. Clémentine se redresse. Je la remercie pour cet acte médical remarquable. Rigolades.

Je démarre. Je roule doucement. Nous détestons circuler en ville. Heureusement la plupart d'entre elles on un centre interdit aux véhicules à moteurs. Le musée d'Art et d'histoires est situé dans l'enceinte fortifiée d'une partie d'Avranches. La surprise est frustrante. Le musée n'est pas ouvert. C'est sous le parapluie que nous longeons les remparts. Vestiges de la période médiévale. Nous parcourons les rues déjà visitées avant hier. Il y a des boutiques, des magasins. Estelle et Clémentine restent accrochées à mes bras. Sous le grand parapluie que je tiens.

En passant devant le restaurant "La Croix d'Or", nous regardons les menus proposés. << Wouah, regardez, des gratins de toutes sortes ! >>. Décisions est prise de manger là ce soir. Je recommande cet établissement. La nourriture des plus grands restaurants. Une décoration stylée. Un personnel aux petits soins. Un service impeccable. Nous y réservons une table pour dix neuf heures. À dix sept heures nous avons pour habitude de prendre notre collation. Nous avisons ce "Très joli salon de thé", (c'est son nom), pour y investir une belle petite table.

C'est devant un bon chocolat chaud et des tranches de tarte aux pommes que nous faisons le bilan de ces trois jours à Avranches. Nous repartons demain en début de matinée pour être de retour avant midi. Bilan positif. Reposant. Deux visites aux toilettes hommes. Une fois avec Estelle que je baise quelques minutes dans l'unique cabinet. La seconde fois avec Clémentine. Quelques client intrigués nous regardent revenir. L'attitude de mes deux anges, volontairement suggestive ne laisse aucun doute quand à la nature de nos relations. C'est amusant.

Il ne cesse de pleuvoir. C'est sous le parapluie qu'il faut rôder encore un peu. Nous faisons quelques boutiques. La maison de la presse. La librairie "Mille et une pages". Il y a là de quoi passer du bon temps. Estelle qui n'arrête pas de me mettre dans l'embarras devant quelques clients. Devant une cliente surtout. Une jeune femme qui semble médusée par ce qu'elle voit. La main d'Estelle qui palpe ma braguette. C'est toujours discret mais là, c'est volontairement "orienté". Juste ce qu'il faut. Estelle palpe ma bosse avec ostentation. Clémentine qui rit.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui vont s'offrir un bon repas dans un superbe restaurant. Avant de rejoindre d'autres plaisirs sous la couette...

Julien



Classe

NOTE
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Classe - 15 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2164 -



Retour à la maison

Hier matin, vendredi, il est presque huit heures trente. C'est Clémentine qui, tout en se serrant encore plus fort contre moi, saisit mon érection naturelle. Je suis suis tiré de mon sommeil. Ce qui réveille également Estelle. Elle aussi se blottit très fort mais sa main est obligée de se contenter de mes couilles. Couilles qu'elle empoigne en gémissant. Nous nous étirons longuement. Estelle se précipite aux toilettes. Clémentine me chevauche en frottant son sexe sur le mien. << C'était bien hier soir ! >> murmure t-elle en me mitraillant de bisous.

C'est à notre tour d'aller pisser. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. L'odeur du café qu'elle prépare. Le grille pain éjecte ses premières tranches alors que Clémentine presse les oranges, que je pèle les kiwis. Estelle, derrière moi, glisse sa main dans mon slip. << C'est trop tentant ! >> dit elle. Je passe ma main derrière moi pour la passer dans sa culotte. Morts de faim, nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan de ces quelques jours loin de chez nous. << Il n'y a rien de mieux pour déstresser ! >> lance Clémentine. Et c'est vrai.

Même si moi je n'ai aucune raison d'être stressé, pour Estelle et Clémentine, quelques jours loin de leurs études est salvateur. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la matinée. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Estelle prend sa douche la première alors que Clémentine et moi défaisons le lit pour plier les draps sales. Comme convenus les poser sur la chaise. C'est à notre tour d'aller sous la douche. Nous rejoignons Estelle déjà entrain de faire sa valise. Nous faisons de même. Un coup de balai.

Un petit passage partout pour voir si tout est propre, si nous n'oublions rien. Parfait. Vêtus de nos Levis, de nos sweats, de nos anoraks, nous descendons l'escalier métallique extérieur avec nos bagages. Tout dans le coffre de l'auto. C'est sous le parapluie que nous retournons sonner à la porte du propriétaire. C'est probablement sa femme qui vient ouvrir. << Mon mari est au travail ! Bon retour ! >> fait la dame peu bavarde mais souriante. Nous la remercions pour l'appartement. Comme prévu nous remontons avec elle pour l'état des lieux. Parfait.

Je roule doucement. Il y a deux cent kilomètres à faire. Il est dix heures. Estelle, assise à l'arrière, caresse mon cou en donnant ses impressions sur ce court séjour. Clémentine joue avec ma queue en exposants les siennes. << Ça fait super du bien de se changer les idées. Et il reste neuf jours de vacances ! >> lance Clémentine. << Le meilleur restant à venir ! >> rajoute Estelle. Premier arrêt pipi. Nous venons de parcourir les premiers cent kilomètres dans une circulation fluide. Tout se passe bien. Estelle me tient la bite pour en diriger le jet.

Il est exactement midi quand nous franchissons le portail de notre propriété. Les volets sont restés ouverts en bas. Une volonté délibérée. C'est moins tristounet quand on entre dans la maison. Avec toutes nos affaires. Estelle met ses bagages dans sa voiture. Nous sommes invités à manger chez ses parents dimanche pour midi. Elle pourra y défaire sa valise. Nous défaisons immédiatement les nôtres. Il fait bien chaud partout dans la maison. Les radiateurs fonctionnent tous les jours dès six heures du matin. Midi et demi. Tout est rangé. C'est OK.

J'allume la cuisinière à bois. Quand il pleut, le tirage est moins bon. Le ramonage du printemps ne sera pas un luxe. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de carottes. Estelle fait bouillir l'eau des coquillettes. Je fais dorer trois filets de colin. Une sauce au beurre avec des champignons, de l'ail, de l'échalote. Persil, ciboulette. J'y rajoute des dés de Roquefort en fin de cuisson. Estelle râpe du gruyère de Comté. Je propose de faire une surprise à Julie ce soir. De ne rien dire lorsqu'elle arrivera d'ici une heure. Une stratégie des plus agréables.

Manger au restaurant de l'étang. Elle aura la surprise vers 19 h30. << Génial ! Je réserve une table ! >> lance Clémentine qui se saisit immédiatement de son téléphone. Nous l'entendons demander à Anne-Marie, la patronne et tante de Julie, de garder le secret. << C'est une surprise ! >> précise encore Clémentine. << Excellente idée ! >> me fait Estelle en fourrant sa main dans ma braguette ouverte. Nous mangeons de bon appétit en parlant des vacances à venir. Pour Pâques, il est question de retourner une semaine dans le Jura. Tous les trois.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges font des "plans" sur ce séjour encore hypothétique. << C'était nos premières vacances il y a six ans avec Julien ! >> dit Clémentine. << Jura suck parc ! >> s'écrie Estelle qui avait lu nos premières aventures, ici, sur ce même forum, il y a presque six ans. Aventures toujours disponibles pour le lecteur intéressé. Nous rions de bon cœur à l'évocation de ce premier séjour loin de chez nous. Clémentine n'habitait avec moi que depuis trois mois.

Du bruit depuis le hall d'entrée. Julie fait son apparition. Radieuse, ne pouvant cacher son bonheur, elle se précipite vers nous. Trois bises à Estelle, trois bises à Clémentine. Deux bises sur mes joues. Une bise sur ma bouche. Estelle et Clémentine se lèvent. << Raconte-nous ta semaine ! >> fait Clémentine en commençant à débarrasser la table. Avec Estelle nous faisons pareil. << Je plonge ! >> lance Julie qui fait couler les robinets pour remplir les deux bacs de l'évier. C'est en faisant la vaisselle que nous nous racontons les jours passés. En détails.

Nous montons nous laver les dents. Julie nous accompagne partout. Elle est tellement contente de revoir Estelle. Nous faisons les clowns devant le miroir de la salle de bain. Julie est assise sur le tabouret à rire de nos facéties. Estelle, en s'essuyant la bouche, se tourne vers elle pour dire : << Et la semaine prochaine, tu fais partie de ce club de fous ! >>. Julie s'exclame : << Oh oui, je me réjouis d'en être membre ! >>. Nous rions aux éclats. Clémentine fourre sa main dans ma braguette en rajoutant : << Tu es intronisée. Tu as le droit de toucher ! >>

Julie se lève d'un bond pour nous rejoindre. Dès que Clémentine retire sa main, c'est elle qui y glisse la sienne. Je bande mou. Estelle qui vient se placer contre mon dos en disant : << Tu fais fort ! >>. Je passe mes bras en arrière pour les passer autour de sa taille. Je propose de redescendre. << Dans l'atelier ! >> lance Julie. << Bonne idée ! J'allume la cheminée ! >> s'écrie Estelle. Nous dévalons les escaliers pour aller dans l'atelier. Après quelques jours d'absence on y retrouve avec plaisir les odeurs de peintures, d'huile de lin, d'œillette, d'ambre.

Estelle allume la cheminée. Julie reste près d'elle pour l'aider à froisser du papier journal. C'est monsieur Bertrand, notre voisin le plus proche, qui dépose toutes les semaines quelques vieux journaux sur la dernière marche de l'escalier. Bien à l'abri sous l'auvent. Clémentine, assise sur mes genoux, allume l'ordinateur. Un message de ma famille d'Édimbourg. Tout va bien. Un courriel de Juliette impatiente de nous revoir demain soir. Cette fameuse soirée masquée à laquelle nous sommes conviés. Julie reste constamment au près d'Estelle. Heureuse.

Amoureuse peut-être aussi. Julie donne toujours cette impression d'être amoureuse de la personne à sa proximité. Elles viennent nous rejoindre pour surfer un peu sur le site de l'université. Aucune information nouvelle. Julie fait un tour sur le site de son université. Nous découvrons la page d'accueil. << Wouah, sympa ! >> lance Estelle. C'est vrai qu'elle est plus gaie que celle de l'université d'Estelle et de Clémentine. Il y a un fond de neige très fine qui ne cesse de tomber sur l'écran en parcourant le site. C'est vraiment très bien présenté.

Estelle est penchée sur ma droite. Julie est penchée sur ma gauche. Clémentine me tourne le dos assise sur mes genoux. Je caresse ses seins minuscules sous son sweat. << Je veux aussi ! >> lance Estelle qui s'en rend rapidement compte. Clémentine se lève pour céder sa place à Estelle. Je lui administre le même traitement. Quelques minutes ou elle se pâme de plaisir. Clémentine que cela excite toujours de me voir faire des trucs à Estelle se touche. Estelle se lève, s'adresse à Julie en disant : << À ton tour ! >>. Julie, reste hésitante. Gênée.

Je dis : << Venez ! >>. Elle s'assoit en me tournant le dos. Des trois coquines elle est la seule à avoir une poitrine conséquente. Je caresse ses seins. Estelle garde ses mains sur mon cou qu'elle fait mine de serrer. << Je suis très jalouse ! >> murmure t-elle à l'oreille de Julie en se penchant. Julie se laisse caresser avec jubilation. Je passe mes mains sous son pull. Elle est la seule à avoir besoin d'un soutien gorge. Pour moi, c'est une étrange sensation. Je n'en ai plus l'habitude. C'est merveilleux de sentir les tétons durcir. De vrais seins dans mes mains.

Comme pour fuir le trouble qui la gagne, Julie se redresse d'un bond. << Je cède ma place ! À qui le tour ! >> lance t-elle. Estelle vient immédiatement s'installer. Mais a califourchon cette fois. Ses bras autour de mon cou, elle se frotte. Elle s'adresse à Julie : << Et ça, tu veux essayer après ? >>. Julie ouvre de grands yeux. Clémentine a glissé une main dans son Levis déboutonné. Julie la regarde se masturber. Elle regarde Estelle se masturber sur moi. Le trouble la gagne de plus en plus. Elle sais qu'ici, avec nous, elle peut complètement se lâcher.

<< Tu connais la baise sur bureau ? >> demande encore Estelle. << Vaguement ! >> répond Julie. << Et bien c'est une des grandes spécialités de Julien ! >> lance Estelle. Clémentine précise : << Une spécialité à découvrir ! >>. Julie place sa main entre ses cuisses en restant silencieuse. Son regard va de Clémentine à Estelle. Je bande comme le dernier des salauds. Impossible de sortir ma bite tant qu'Estelle restera assise sur mes cuisses à se frotter. << Mais la semaine prochaine. Parce que ce soir je bosse ! >> lance soudain Julie.

Je me lève. Estelle s'accroupit devant moi pour fouiller dans ma braguette. Ce n'est pas simple d'en sortir l'érection que je finis par présenter à mes trois spectatrices. Estelle, posant sa tête contre ma cuisse, ses bras autour de ma jambe, s'adressant à Julie, dit : << Tu vois un peu le jouet qui t'attend la semaine prochaine ! >>. Clémentine vient s'accroupir pour appuyer sa tête sur ma cuisse gauche. Elle rajoute : << On partage notre doudou ! >>. Julie, comme complètement hallucinée, est obligée de prendre appui de sa main libre contre la table.

J'ai les mains posées sur mes hanches. Par contractions des muscles fessiers, je fais bouger ma queue raide et dure comme le bois. Estelle et Clémentine, leurs visages tout proches, observent en louchant. Cette fois Julie déboutonne son jeans pour glisser sa main dans sa culotte. << C'est bon hein ! >> lance Estelle qui se redresse pour passer son bras autour de ma taille. Clémentine se redresse à son tour pour passer son bras autour de mon épaule. Tous les trois nous regardons Julie se masturber. Yeux et tête baissés comme honteuse. Toute gênée.

Estelle, à ma droite, Clémentine à ma gauche, ont toutes les deux leurs mains au fond de leurs culottes. Je me masturbe. Julie lève les yeux, toute rouge, honteuse. Elle ne peut soutenir nos regards. Par contre elle redouble d'activité. << Tu as fait ça combien de fois cette semaine ? >> demande Estelle. << Tout le temps ! >> répond Julie en se cambrant davantage sur ses genoux fléchis. Elle rajoute : << Plusieurs fois par jour. Mais c'est par périodes ! >>. Elle tombe soudain à genoux en poussant un véritable hurlement. La coquine s'offre un orgasme.

Estelle, Clémentine et moi, tout en nous masturbant comme des déments, nous la regardons se coucher à même les tomettes en terre cuite du sol, pour tenter de retrouver ses esprits. << La semaine prochaine on se fait un film branlette, ça te dit ? >> lui demande Estelle en venant s'accroupir au près d'elle. Les yeux en larmes, couverte de sueur, Julie ne sait que répondre. Elle se contente de hocher la tête d'un mouvement positif. Elle retire enfin sa main de sa culotte pour se lécher les doigts. Clémentine et moi, nous applaudissons. Julie se relève.

C'est devant un thé au jasmin fumant, des petits gâteaux, que nous faisons mille projets pour la semaine prochaine. Julie viendra nous rejoindre lundi en début d'après-midi, jusqu'au vendredi en fin d'après-midi. De quoi se mettre plein d'idées en tête. Il est dix huit heures quand nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Sous une pluie battante. Elle ne sait pas que nous la revoyons d'ici une heure trente. Ce sera une belle surprise. Et Julie revient demain matin pour faire le ménage. La séparation n'est pas aussi difficile que les fois précédentes.

Bonne "Faim" de soirée à toutes les coquines qui s'apprêtent à faire une belle surprise à une des membres de leur "Club"...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 16 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2165 -



Au bal masqué ohé ohé

Hier matin, samedi, il est sept heures trente. Je suis entre Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche. Les mouvements réguliers des pieds d'Estelle contre les miens ont raison de mon sommeil. Probablement encore à moitié endormie, elle se serre contre moi, son visage dans mon cou. En se frottant contre ma hanche, elle saisit mon érection matinale. Tout cela réveille Clémentine qui vient épouser la forme de mon corps exactement comme Estelle. Elle aussi se frotte mais en empoignant mes couilles. Nous nous étirons en gémissants.

Estelle tente bien de lutter encore un peu contre l'envie de pisser qui l'étreint. À bout de force elle se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte. << Je vous attend en bas ! >> lance t-elle dans son pyjama de soie mauve. Clémentine se couche sur moi. << Tu as vu comme elle était contente Julie hier soir. C'était encore une sacré surprise de nous voir débarquer au restaurant ! >>. Je rajoute : << J'ai adoré ses talents d'actrice quand elle est venue me rejoindre les deux fois aux chiottes ! >>. La seconde fois j'y étais avec Estelle. C'était amusant.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Vêtus de nos leggings de lycra noir, de nos sweats de lycra jaune, morts de faim, nous dévalons les escaliers. Les suaves parfums du café et du pain grillé flottent dans la cuisine. Estelle aussi est déjà vêtue sport. Elle me saute au cou. << Vous êtes un savant baiseur de cabinets ! >> lance t-elle alors que je la soulève. Estelle fait allusion à notre petite baise de quelques minutes dans les toilettes hommes du restaurant, hier soir. Julie est venue nous rejoindre un instant pour s'y enfermer avec nous. Mâter.

Pour une authentique voyeuse quelle plus grande joie que de regarder un couple s'envoyer en l'air dans un cabinet. Nous en rions de bon cœur. Je soulève Clémentine à son tour. << Cette semaine était encore géniale ! >> dit elle. << Et ce n'est pas terminé. Il reste deux jours ! >> précise Estelle qui presse les oranges. Je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur l'agréable soirée que nous avons passé hier, au restaurant de l'étang. Un gigantesque plat de fruits de mer. Des légumes de saisons. Des coupes glacées en dessert.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant ce qui nous attend ce soir. La soirée masquée donnée par Juliette dans le salon de la nouvelle écurie. << On essaie nos fringues ce matin ? >> propose Estelle. << Il faut voir si ces robes "ancien régime" nous vont encore. On a quand même pris quelques centimètres depuis la dernière fois qu'on les a porté ! >> fait Clémentine. C'est qu'elles mesurent toutes les deux un mètre quatre vingt deux. Alors quand elles portent des bottines, des talons de quatre centimètres en moyenne, c'est un bon mètre quatre vingt six.

Je vais ouvrir le portail depuis l'interphone du hall d'entrée. Estelle vient me rejoindre en sautillant : << Tu fais quoi ? >> demande t-elle. Je l'entraîne par la main jusqu'à la cuisine. Nous bavardons lorsque Julie, silencieuse, surgit soudain. Radieuse, souriante, elle entre dans la grande pièce pour se précipiter vers Estelle, vers Clémentine avant de me déposer trois bisous en mitraille sur la bouche. Je suis aussi étonné qu'Estelle et Clémentine à qui Julie vient de faire la même chose. << Merci pour la surprise de hier soir. C'était génial ! >> dit elle.

Julie, comme à son habitude, les samedis matins, se met à débarrasser la table. Nous voulons l'aider lorsqu'elle s'écrie : << Non, allez faire votre gymnastique, je m'occupe de tout ! >>. Il ne pleut pas, mais le ciel est gris, bas et menaçant. Inutile de prendre le moindre risque. Nous remontons pour nous entraîner en haut. Aérobic. Jogging sur tapis roulants. Estelle fait du vélo d'intérieur. Quand elle s'entraîne avec nous c'est toujours beaucoup plus drôle. Exercices au sol, abdos. Charges additionnelles. Retour au calme avec des étirements. Stretching.

Le samedi matin nous pouvons prendre tout notre temps pour faire tous les exercices correctement. Même si Estelle a souvent les mains baladeuses, j'arrive à me concentrer de façon satisfaisante. Elle prend sa douche la première pendant que je me rase et que Clémentine décroche le linge sec. C'est à notre tour. Tous les trois, habillés de nos Levis, de nos chemises à carreaux, nous dévalons les escaliers. Il va être dix heures. Nous mettons nos anoraks pour sortir. Le thermomètre extérieur indique 12°. Nous chaussons les bottes en caoutchouc.

Avec les pluies de ces deux derniers jours, tout est trempé. << Il ne fait pas trop froid. Tu pourrais ouvrir ton anorak, montrer ta braguette béante ! >> me fait Estelle en descendant la tirette de mon anorak. Voilà la camionnette blanche qui descend lentement le chemin. Danièle au volant nous fait un beau sourire. Elle est un peu surprise de nous voir à trois. Elle a déjà vu Estelle. Danièle saute de sa camionnette pour nous tendre son poing que nous touchons des nôtres. Comme j'ai mon anorak ouvert elle jette un coup d'œil en direction de ma braguette.

Elle contourne son véhicule pour en ouvrir les portes arrières. Elle en tire nos deux cageots. L'un contient les fruits, les légumes, c'est moi qui le saisit. L'autre contient les fromages, la motte de beurre, les œufs, les yaourts, les petits pots de crème fraîche. C'est Clémentine qui le prend. Nous posons les cageots sur le banc en pierre contre le mur du garage. Danièle me tend le terminal en fixant ma braguette. J'introduis ma carte bancaire. Elle me jette un regard suggestif. Je fais un sourire entendu. Elle baisse à nouveau les yeux sur la braguette.

<< Bientôt les beaux jours ! >> lance Danièle en me tendant le ticket qui sort du terminal de paiement. Même commande pour samedi prochain. Nous saluons Danièle qui s'en retourne vers ses livraisons. Nous la regardons manœuvrer habilement pour remonter. Arrivée au portail elle nous fait un grand signe de la main. << Clémentine m'a tout raconté. Espèce de vieux vicieux. À combien de femmes tu montres ta bite de pervers ? >> s'exclame Estelle en fourrant sa main dans ma braguette. Voilà le tube Citroën rénové de notre boulangère adorée.

Clémentine se met devant nous le temps qu'Estelle retire sa main en disant : << Et à madame Marthe ? Tu ne lui montres pas ta queue de vieux satyre ? >>. Madame Marthe se gare derrière la Clio rouge de Julie. J'ai refermé mon anorak. Notre boulangère connait bien Estelle puisqu'elle livre ses parents. Elle est toujours enchantée de voir Estelle avec nous. Elle saute de sa camionnette avec une étonnante agilité malgré sa corpulence. Elle ouvre la porte latérale qui fait toujours cet épouvantable bruit de ferraille. Tout en nous racontant des truc rigolos.

Nous récupérons le troisième cageot qui contient les deux grosses miches de pain complet, les deux pâtes feuilletées, les huit bouchées à la reine vides, l'énorme brioche au pudding, les deux gros croissants à la pâte d'amandes. Paiement par carte. Le même terminal que celui de Danièle. Nous saluons madame Marthe qui elle aussi a encore bien d'autres clients à livrer. Chacun avec un cageot dans les bras nous contournons la maison pour descendre à la cave par derrière. Sur les étagères du cellier nous disposons les fruits, les légumes. Avec soin.

Estelle fourre sa main dans ma braguette alors que je suis penché au-dessus du congélateur. << Vieux salaud. Ça m'excite quand tu fais ton vicelard ! >> lance t-elle. << Moi aussi, j'adore ça ! >> rajoute Clémentine qui m'aide à récupérer le paquet de moules, les sachets de petits pois et de haricots verts. Nous remontons par l'escalier intérieur. Évidemment au moment où Julie est entrain de passer la serpillère dans la cuisine. << Allez-y, passez, je donne un petit coup après ! >> fait elle. Nous rangeons les produits frais dans le réfrigérateur.

Nous déposons chacun une bise sur le front de Julie avant de quitter la cuisine. Au salon, assises sur mes genoux, mes deux anges allument l'ordinateur. Nous avons trois messages. Celui de ma famille d'Édimbourg. Oncle Alan a bien récupéré puisqu'il retourne jouer aux échecs dans son club. Nous sommes rassurés. Il y le courriel de notre médecin traitant et de celui d'Estelle. Nos certificats médicaux en pièces jointes. Il n'y a qu'à les sortir sur l'imprimante. << Comme des nouveaux nés ! >> lance Clémentine. Car nous sommes en parfaite santé.

Il y le mail de Juliette qui nous rappelle que nous sommes invités ce soir. Les festivités débutent à vingt heures. Costumes et masques obligatoires. Tout comme les certificats médicaux. Elle précise : "pas de certificat, pas de soirée". Nous apprécions beaucoup les exigences de Juliette. Elle s'entoure toujours de toutes les précautions. Sans certificats de bonne santé, pas de partouze. Dans l'enveloppe jaune je glisse un billet de 50 euros et un billet de 20 euros. Clémentine et Estelle y rajoutent un petit mot que je signe du dessin d'une belle bite.

Il est un peu plus de onze heures trente. Julie vient nous rejoindre. Toujours cette attitude d'écolière timide devant ses professeurs. Estelle se lève d'un bond pour contourner le bureau. Elle prend Julie par la taille en disant : << Ça te dit de venir faire le ménage à la maison ? >>. Julie répond : << Je n'ai pas le temps mais ça me plairait bien ! >>. Clémentine se lève pour les rejoindre. Elles entourent Julie en la tenant par les bras. << Prête pour la semaine prochaine ? >> demande Estelle. << Prête ! >> répond Julie. Je me lève pour aller les rejoindre.

Je tends l'enveloppe jaune à Julie qui me remercie. Elle n'a jamais semblé aussi heureuse. Elle dit : << Je viens lundi pour 14 h. Faites-moi un grand plaisir. Acceptez que je prépare tous les repas de midi jusqu'à vendredi. J'adore cuisiner ! >>. Nous la regardons avec de grands yeux. << D'accord ! >> lance Clémentine. << Tu ne seras pas seulement notre mascotte sexuelle mais aussi notre cuisinière alors ! >> rajoute Estelle. Nous rions aux éclats quand Julie conclue : << J'aime être les deux ! J'adore ! >>. Nous la raccompagnons à sa voiture.

Assise au volant, la vitre baissée, elle nous confie son impatience d'être déjà à lundi. J'ai la bite à l'air. Entre Estelle et Clémentine qui l'agitent à tour de rôle vers Julie. Nous nous penchons pour lui faire un dernier bisou. Quand c'est à mon tour elle me tend sa bouche. J'y enfonce ma langue. Toute surprise, elle ouvre de grands yeux avant de démarrer. Un dernier coucou. Nous regardons la voiture monter jusqu'au portail. Julie souffle un bisou dans sa main pour nous l'envoyer. Morts de faim, nous nous dépêchons de rentrer. Il fait chaud. Ça sent si bon.

Quand elle termine son ménage, Julie a pour habitude d'allumer les diffuseurs d'arômes. Magnolia à l'étage. Jasmin en bas. Clémentine fait l'assaisonnement de la belle laitue. Estelle s'occupe de la cuisson des petits pois et des haricots verts. Je prépare le bouillon pour les moules. C'est sur la cuisinière électrique car nous n'avons pas allumé la cuisinière à bois. Ce que s'empresse de faire Estelle, "préposée" aux feux durant les vacances. Ma bite fait une bosse sous mon tablier de cuistot. C'est Clémentine qui me la palpe vicieusement. En m'embrassant.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la personnalité de Julie. Nous allons tourner un de nos films pornos privés la semaine prochaine. Estelle propose quelques scénarios sympathiques. Clémentine précise que Julie a quelques préférences pour les situations "humiliantes". << Pourquoi ne pas organiser un "plan surprise" dans la maison d'amis ? Avec le voisin ? Sans lui dire que c'est filmé ? >> suggère Estelle. Je précise que de filmer quelqu'un à son insu peut coûter cinq ans de prison et trente mille euros d'amande. Cher payé.

<< Mais ce film ne sera jamais diffusé nulle part. C'est complètement privé ! >> lance Estelle. << Non, on ne déconne pas avec ça ! >> conclue Clémentine. Je suis rassuré. Je trouve abjecte de voler l'image de quelqu'un. Surtout dans des situations de ce genre. Par contre l'idée de la maison d'amis est à retenir. << Si on fait un film "bondage" je veux être la Maîtresse ! >> dit Estelle. << Moi, je filme ! Je m'occupe de la caméra ! >> conclue Clémentine. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges font mille scénarios.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Prétexte pour faire les clowns devant le miroir de la salle de bain. Estelle et Clémentine ont préparé leurs costumes sur des cintres. Ils sont accrochés aux crochets, à côté des peignoirs. << Il faut faire de l'essayage avant de filer ! >> dit Clémentine. Estelle lâche ma bite pour se déshabiller. Toutes les deux, juste en culottes et en chaussettes revêtent leurs robes "Marie-Antoinette". Des robes un peu courtes qui leurs arrivent aux chevilles. Il faudra mettre des bottines.

Elles tournent devant le grand miroir ovale. << Génial ! Elles nous vont encore ! >> lance Clémentine. << Heureusement que nous n'avons pas de seins. Sinon on serait serrées ! >> fait Estelle. Elles se tournent vers moi. Je suis assis sur le bord de la baignoire. Elles font toutes les deux des courbettes comme les belles courtisanes de jadis. << Je me présente Madame de Pompadour ! >> fait Estelle. << Je me présente Madame de Pompabite ! >> dit Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Je suis plié de rire. Estelle vient s'accroupir devant moi.

Ses mains posées sur mes cuisses, elle hume ma queue en disant : << Ce soir, pendant que Madame de Pompafoutre sera occupée à ses dégustations, je ne m'occuperai que de celle-là ! >>. Je dépose une bise sur son front. Clémentine rajoute : << Oui, propriété exclusive de Madame ma surveillante ! >>. Estelle et Clémentine se déshabillent pour se revêtir normalement. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Même si la météo est menaçante, il est décidé d'une bonne randonnée. Nous aimons trop marcher dans la nature. Êtres dehors.

Dans le petit sac à dos que je porte, les barres de céréales, les pommes, la thermos de thé bouillant. Nous montons jusqu'au portail, traversons la route pour nous engager dans le chemin forestier. Le sol est pierreux et il suffit d'éviter les endroits boueux. La température indiquée par le téléphone d'Estelle est de 14°. Parfait pour marcher avec les anoraks ouverts. Ma braguette ouverte aussi. Mes deux anges retirent leurs gants juste avant de fourrer leurs mains dans mon slip. Nous croisons quelques marcheurs sur la boucle des quatre heures.

Il est dix huit heures trente quand nous revenons. Fourbus, morts de faim. Juste quand la nuit commence à tomber. Clémentine fait l'assaisonnement pour le reste de la laitue. Estelle fait gonfler du riz complet et râpe du gruyère de Comté. J'émince un gros pavé de saumon que je poêle avant de le rajouter à la sauce au Roquefort. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine, me demande de tenir sa main pour me faire sentir son anxiété. C'est vrai qu'elle a la tremblotte. << Comme avant chaque partouze ! >> s'exclame Estelle. Rires.

La soirée masquée

Nous arrivons dans la cour du haras pour vingt heures. Il y a plusieurs voitures garées là. Lorsque je sors de la notre Estelle et Clémentine se collent contre moi. << J'ai la trouille ! >> me fait Clémentine. << Je suis morte de trouille moi aussi ! >> rajoute Estelle. Elles saisissent mes mains pour partager les tremblements qui les agitent. Je les prends par la taille pour dire : << C'est rien. Juste Parkinson ! >>. Elles éclatent de rires. C'est ainsi que nous traversons la cour pour entrer dans la nouvelle écurie. Nous entendons des rires. Des conversations animées.

<< Je suis comment ? >> me demande une fois encore Clémentine. Je réponds : << Tu es sublime ! >>. Estelle se place devant nous pour nous stopper. Elle demande elle aussi : << Et moi ? >>. Je réponds pareil : << Tu es sublime ! >>. Les chevaux dont les encolures dépassent de leurs box nous observent. Il fait presque agréable et bien moins froid en compagnie des équidés. J'ajuste le masque de Clémentine. Elles portent toutes les deux leurs loups à dentelles noires avec une prestance toute aristocratique. Estelle ajuste le mien.

Nous restons un peu dans l'allée centrale. La porte s'ouvre soudain. On entend la fête. C'est probablement Juliette qui vient à notre rencontre. Oui, c'est bien elle. Son accent Corse trahit sa personnalité même déguisée en Zorro. Un Zorro hyper sexy. Ce costume noir semble avoir été créer pour sublimer sa silhouette d'athlète féminine. << Vous êtes superbes ! >> lance t-elle en découvrant nos costumes. Estelle et Clémentine en longue robes de l'ancien régime. << Très "Marie-Antoinette" ! >> s'écrie Juliette en tournant autour de nous. Admirative.

<< Julien vous devriez être vêtu ainsi à longueur de temps ! >> me dit elle en me prenant par les épaules. Ma veste de cuir noir, cintrée à la taille. Mon pantalon de cuir noir, moulant comme un legging dans mes hautes bottes de cuir noir également. Mon masque noir très similaire à celui de Zorro que porte Juliette. Mes longs cheveux retenus par un nœud de velours noir que Juliette, sur la pointe des pieds, hume en s'accrochant à mes épaules. Clémentine, dans ce réflexe qui nous amuse, s'interpose. La trop proche proximité de Juliette la rend toujours très jalouse.

<< Venez ! >> fait cette dernière en nous invitant à la suivre. Elle pointe son index vers mon sexe en précisant : << Comme convenu cher Julien ! >>. C'est Clémentine qui déboutonne le rabat de cuir. Délivrant ainsi mes organes génitaux. Je me sens soudain ridicule. Nous entrons dans le salon aménagé au fond des écuries. C'est également le bureau où Juliette reçoit les propriétaires de chevaux, fête les anniversaires de son personnel et autre occasions notoires. Estelle empoigne mes organes en disant : << Moi, ce soir, je ne vais m'occuper que de ça ! >>.

Il y a là les convives de la soirée masquée. Il est difficile de mettre une identité derrière les costumes et les masques. Mais il y a une constante. Les quatre hommes présents ont tous leurs attributs virils parfaitement visibles. Les quatre femmes présentent sont superbement costumées. "Romantiques". Il y a Alice aux pays de merveilles. Impossible de savoir qui c'est. Il y a Blanche neige. Adorable. Il y a une femme prodigieusement vêtue de la robe que portait Juliette. Laissant visible une poitrine généreuse, des seins fièrement dressés et bien soutenus.

Il y a une femme en tailleur stricte. Noir. Je crois reconnaître Valentine. L'employée de Juliette qui a récemment acheté l'ancienne auto de Clémentine. Chez les hommes il y a un gentleman très dix neuvième siècle, en redingote. Portant un chapeau haut de forme. Un loup noir. Est-ce Robert, le vétérinaire ? Le rabat de son pantalon est très similaire au mien. Ouvert il laisse pendre ses attributs virils. Il y a un "bourreau" portant cagoule. Gilet brun, chemise blanche aux manches bouffantes. Je suis presque certain que c'est Pierre. Sa grosse bite.

Il y a un gentilhomme habillé façon second empire, rappelant les tenues de l'empereur. Les hommes, nous avons tous les quatre la bite et les couilles bien visibles. Juliette, en maîtresse de cérémonie, lance à la cantonade : << Je déclare les festivités ouvertes ! >>. Elle m'entraîne par le bras jusqu'à la table où sont les victuailles. Estelle et Clémentine restent près de moi. << Ne me lâche pas d'une semelle ! >> me chuchote Estelle. Juliette tend sa main en demandant : << Les certificats s'il vous plaît ! >>. Je tire les trois feuilles de ma poche. Elle s'en empare.

Autour de nous ça rigole, ça discute. Juliette se tourne vers nous pour préciser : << Tous les gens présents m'ont remis un certificat médical de moins de 48 h. Voilà le mien ! >>. Nous savons que notre amie est intraitable sur l'hygiène et qu'elle veut éviter tous risques. Le "bourreau" s'approche de Clémentine entrain de se servir en jus de pommes. Chez Juliette, pas d'alcool. Pas de fumée. Pas de drogues. Et nous la remercions d'être intransigeante sur ces points précis. Les soirées ne dégénèrent donc jamais. Tout le monde reste lucide ce qui est bien plus excitant.

Je suis convaincu que le "bourreau" qui bavarde avec Clémentine n'est autre que Pierre. Estelle qui reste près de moi me murmure à l'oreille : << Moi aussi je suis sûre que c'est lui ! >>. Par contre le "gentilhomme" qui se masturbe déjà en bavardant avec "Blanche Neige" est probablement Armand. Il n'est pas en "clodo" ce soir. Estelle empoigne mes couilles tout en bavardant avec Juliette qui reste elle aussi près de nous. << Je peux ? >> demande t-elle. Estelle retire sa main. C'est Juliette qui saisit mes roubignoles en disant : << Bien dodues. Comme je les aime ! >>.

Estelle reste ce soir la femme la plus excitante pour moi. Je regarde les expressions de sa bouche lorsqu'elle parle. Elle va avoir 26 ans. Je devine déjà la femme en devenir. D'adorables petites fossettes se dessinent autour de sa bouche. Je les regarde discuter. Il y a le gentleman au chapeau haut de forme qui vient nous rejoindre. Juliette lâche mon sexe pour s'emparer de celui du mec. Lorsque je regarde en direction de Clémentine mon sang ne fait qu'un tour. Elle bavarde avec le "bourreau" en tenant son sexe. Il bande méchamment. C'est Pierre. Certain !

La femme portant la belle robe de velours rouge bordé de velours bleu, les seins bien dressés s'est accroupit devant "l'empereur". Je suis certain que c'est madame Walter, la femme de Pierre. À cet instant, Clémentine s'accroupit également devant son "bourreau". Juliette entraîne le gentleman par la queue jusqu'au milieu de la grande pièce. Il y a des tabourets empilés à côté du buffet. Elle les saisit les uns après les autres pour les aligner au milieu du salon. Elle tape dans ses mains. Toujours en parfaite maîtresse de cérémonie en lançant : << Musique ! >>.

Les femmes présentes comprennent immédiatement. Estelle tient ma queue en restant serrée contre moi. Blanche neige, la femme en tailleur strict, Alice aux pays des merveilles et Clémentine s'installent sur les tabourets. Chacune penchée devant les organes génitaux des mecs qui se placent devant elles. Juliette, une main entre ses cuisses, se touche en se dirigeant vers la porte arrière. Elle frappe trois coups. Il y a un "ouvrier de chantier", avec le casque, les bottes en caoutchouc qui entre. Il cache son visage derrière une fausse barbe ridicule. Des lunettes noires.

<< Mesdames, messieurs, je vous demande d'applaudir notre invité mystère ! >> lance Juliette. Nous applaudissons. Juliette s'empare de la bite de ce mec en rajoutant : << Un futur membre de notre "Club"! >>. Nous rions aux éclats quand "Blanche neige" s'écrie : << Y a t-il autres choses ici ce soir ? >>. Juliette tire "l'ouvrier de chantier" par sa queue pour lui présenter les invités en leur donnant d'amusants pseudonymes. J'hallucine parce que Clémentine est déjà entrain de sucer. La femme en tailleur, assise à sa gauche, fait de même. Toutes les deux bientôt suivies par les autres femmes.

Estelle est extrêmement voyeuse. Depuis petite elle prend un plaisir fou à mâter. Serrée contre moi, jouant avec ma queue, elle commente ce qui se passe. Elle me fait part de ses ressentis en chuchotant à mon oreille. Quand je vois Clémentine se livrer ainsi à des fellations sur des inconnus, il y a toujours une étrange émotion qui m'envahit. Ce soir encore. La situation perdure depuis une bonne dizaine de minutes. Soudain, les mecs se déplacent en se tapant la paume des mains. C'est la bite de "l'empereur" que suce Clémentine. Dommage que le loup de dentelles noires cache ses traits.

J'adore voir les expressions de son visage quand elle taille des pipes à des inconnus. Mon érection, tenue par la poigne ferme d'Estelle, est presque douloureuse. C'est surréaliste de voir les messieurs présents se déplacer devant les femmes qui les sucent les uns après les autres. Juliette tape dans ses mains en disant : << On change ! >>. Il y a deux tabourets vides. "L'ouvrier de chantier" se branle en tournant autour des femmes. Il leurs présente sa bite. Un truc impressionnant. Curieusement il semble rester à proximité immédiate de Clémentine.

Je regarde plus attentivement. Estelle le remarque. C'est par la queue qu'elle m'entraîne vers les tabourets. Je me penche pour observer Clémentine. Le tour de sa bouche est trempé des différents foutres. Il y en a carrément une grosse goutte quiperle au coin droit de sa bouche. Juliette s'assoit sur un des deux tabourets libres. "L'ouvrier de chantier" se place devant elle. J'aime aussi beaucoup voir Juliette tailler des pipes. Cette superbe bourgeoise à l'allure aristocratique. Merveilleuse salope qui me fait des déclarations d'amour en cachette.

À ma grande surprise, Estelle s'assoit sur le dernier tabouret. Elle me tient fermement par les fesses. Elle prend mon sexe en bouche. Je caresse ses joues creusées par l'effort de succion. Je caresse ses tempes. Je me penche pour lui chuchoter des douceurs. Juliette cesse de pomper pour crier : << On change ! >>. Les mecs bougent, changent de suceuses. Estelle m'empêche de faire pareil. Elle me tient comme si sa vie en dépendait. Elle me suce merveilleusement bien. Comme toujours. Aussi, je n'éprouve aucune envie d'aller me faire sucer ailleurs.

C'est si bon avec elle que je n'ai nulle envie de changer de pompeuse. Elle m'empêcherait d'ailleurs de même tenter de le faire. Les autres mecs qui veulent prendre ma place rient à chaque fois. Je n'ai toutefois de yeux que pour Clémentine que je vois pomper avec passion. Son masque me frustre. J'aimerais assister à chacune de ses expressions. Estelle lève la tête. Sans cesser de sucer elle me fixe. Me fait un clin d'œil. Je regarde le "Bourreau". Il a une attitude de parfait vicelard. Je me retire pour présenter ma queue à Clémentine. Elle la refuse.

Elle détourne sa tête à chaque tentative alors qu'Estelle m'attend. Le "bourreau" force chacune des femmes qui le suce à prendre toute sa bite. Jusqu'au fond de la gorge. Il les fait tousser. Elles en ont toutes des hauts le cœur. L'ouverture dans son pantalon de cuir noir, laisse dépasser les poils noirs et abondant de ses parties génitales. Il se branle dans les bouches des suceuses. Je découvre que Juliette refuse de le prendre en bouche. Se débrouillant à chaque fois pour l'éviter. Il est le premier à soulever Clémentine comme si elle ne pesait rien.

Il l'emmène comme un paquet pour la déposer sur la table, en poussant les assiettes en carton contenant les cacahuètes. Il y a des paquets de capotes multicolores sur une assiettes plate. Préservatifs obligatoires pour baiser chez Juliette. Tant mieux. Il enfile une capote bleue. Sur sa grosse bite qui en devient un Schtroumpf ridicule. Il chope Clémentine sous les genoux pour la basculer en arrière. Sans autre cérémonial, il la pénètre. Je la vois se mordre la lèvre inférieur. Elle pousse un cri. Le salaud se cale bien entre ses cuisses. La bloquant.

Quelques secondes plus tard, elle se fait sauter à la hussarde. Sans le moindre ménagement. Est-ce bien Pierre ? Je n'en sais plus rien. Ce qui donne des idées au gentilhomme qui soulève la jeune femme en tailleur noir. Elle se retrouve couchée sur la table, à côté de Clémentine, sa jupe droite retroussée sur les hanches. En porte-jarretelles noir. Elle aussi se fait tringler à la hussarde. Voilà notre gentleman en redingote qui soulève la femme aux seins nus. Pour l'emmener sur la table. C'est tout simplement surréalistes. Presque grotesque aussi.

Pas question de changer de partenaire sans changer de préservatif. Juliette y veille scrupuleusement. Je découvre encore ce soir à quel degré de perversité elle a élevé l'art de la partouze. Elle ne perd jamais le contrôle de la situation. Elle m'avoue parfois trouver dans cette hyper lucidité un plaisir immense. Je la regarde évoluer parmi les convives. Je me penche pour faire des bises sur le front d'Estelle qui glousse de plaisir. Elle tient mes mains comme une naufragée tient sa bouée. Pourtant je regarde Clémentine là-bas, qui se fait sauter.

Quand je tente de la soulever pour l'emmener sur le bout de table qui reste, elle se lève pour me dire : << J'ai pas envie de baiser devant tous ces gens. Tu m'en veux ? >>. Sans me laisser le temps de répondre, elle enfonce sa langue dans ma bouche. Elle m'envahit ainsi de vertiges. << Je t'aime Julien ! >> murmure t-elle à mon oreille. Je suce le lobe de son oreille en chuchotant : << Moi aussi je t'aime Estelle ! >>. Elle me serre dans ses bras. J'en oublie ce qui se passe autour de nous. C'est vrai que souvent je suis très amoureux d'Estelle.

Il faut imaginer les petits cris, les râles de plaisirs, les gémissements de trois femmes entrain de se faire baiser sur une table. Jambes relevées et tenues par les trois mecs qui les tringlent en poussant des cris d'hommes des bois en rut. Juliette suce "l'ouvrier de chantier". Non, ce n'est pas Valentine en tailleur noir. Son masque se décroche. C'est Denise, la femme du vétérinaire. Elle est hyper belle. Elle remet son masque. << Le carnaval de Venise pour Denise ! >> lance son baiseur fou. La scène est d'un surréalisme baroque. D'un autre temps.

C'est moi qui m'assoit sur le tabouret. Mon pantalon de cuir devient insupportable. Je suis en sueur, il colle. En retroussant sa robe, "Marie-Antoinette" s'enfile délicatement sur ma queue. << Je t'aime Julien ! >> murmure Estelle une nouvelle fois complètement empalée sur mon érection. Il est impossible de le savoir. De toute manière tout le monde s'en contrefiche. Trop occupé à ses petites affaires. Je tourne parfois la tête pour voir Clémentine couchée sur le dos s'agitant en criant. Elle prend visiblement un plaisir fou à se faire baiser par un cagoulé.

Les invités de Juliette, membres du "Club", sont tous des hommes performants et surtout endurants. Elle les a bien évidemment tous essayé avant de les introniser. Cette partouze dure donc pour le plus grand plaisir des femmes qui sont toutes de grandes "pratiquantes". Il y a de belles nymphomanes dans cette assemblée d'authentiques salopes. Le "bourreau" se retire en poussant un hurlement. Il tient Clémentine par sa tignasse. Il la force à s'accroupir. Je n'ai jamais vu un tel déluge de sperme ! Estelle arrête de faire du dada sur ma turgescence.

Clémentine a beau ouvrir la bouche pour tenter de tout attraper. Il s'en déverse jusque sur son masque car le salaud l'empêche de prendre son sexe en bouche. Il lui éjacule à la gueule agité de tremblements, en braillant : << Salope ! >>. C'est comme un signal. Le gentilhomme fait pareil. Ainsi que le gentleman. Estelle et moi nous observons en cessant de bouger. Juliette se fait certainement éjaculer dans la bouche car "l'ouvrier de chantier" se cambre en hurlant. Le salon sent la baise ! Le "bourreau" frotte sa bite sur le visage maculé de Clémentine.

Comme à chaque fois, une fois assouvie d'orgasmes et de spermes, Clémentine n'a qu'un désir. Celui de s'enfuir. Elle se redresse pour se soustraire à l'étreinte de son "bourreau". Avec force. Elle me regarde avec un air désespéré. Elle m'attrape sous le bras. Estelle se redresse. Ma queue s'échappe de sa chatte. Nous suivons Clémentine qui nous tient les mains. Dans l'allée centrale de l'écurie, nous nous mettons à courir. C'est amusant de s'enfuir comme des voleurs. Une fois dans la voiture, Clémentine s'essuie le visage avec un mouchoir en papier.

<< Put-Hein, j'ai la chatte en feu ! >> s'exclame t-elle. << Salope ! >> lui lance Estelle assise avec elle sur le siège passager. Clémentine prend une des pommes préparées dans la boîte à gants. Elle croque dedans. Je démarre. Estelle me fait des bisous. << Il y avait un pisseur dans la bande. C'est dégueulasse ! >> lance Clémentine. << Lequel ? >> demande Estelle. << Justement, je ne sais pas. Ils changeaient tellement vite ! >>. Nous rions de bon cœur. Il est vingt trois heures quand nous arrivons à la maison. Clémentine prend une douche.

Estelle et moi nous reprenons notre pénétration. Je suis assis sur le tabouret de la salle de bain. Estelle installée sur moi. Nous n'arrêtons plus de nous embrasser. Les mentons trempés de salive. Clémentine sort de la douche, cheveux relevés. Elle s'essuie. Elle dit à Estelle : << Merci de t'être occupée de Julien. J'étais rassurée toute la soirée. Aucune de ces salopes n'a eu sa queue ! >>. Nous rigolons comme des bossus quand Estelle répond : << Mais t'es gonflée comme salope toi ! >>. Clémentine me demande : << Tu ne m'en veux pas ? >>.

Tout en étant enfoncé dans Estelle jusqu'aux couilles, je réponds : << Tu as été merveilleuse. Si tu te voyais quand tu baises ! >>. Elle précise : << Tu sais quand je refuse de te sucer c'est parce que je me sens soudain honteuse de le faire à d'autres. Si je commence à te sucer, je ne me consacre plus qu'à la tienne ! >>. Je comprends cette attitude. Estelle accélère son rythme. Elle s'écrie : << Julien ! J'arrive ! >>. Elle se retire pour se redresser, se terminer aux doigts comme elle aime. Clémentine s'accroupit pour sucer. J'éjacule enfin en criant.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se blottissent contre leur "chaperon" pour trouver la meilleure position avant un profond dodo...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 17 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2166 -



Il nous faut un dimanche au calme

Hier matin, dimanche, il est aux environs de neuf heures. Je suis entre mes deux anges. Toute la nuit elles sont restées serrées contre moi. C'est sans doute comme un ballet nocturne qui nous échappe complètement. Mais chacun épouse le mouvement de l'autre. Estelle pose ses lèvres dans mon cou. Comme une douce ventouse. Clémentine met sa tête dans le creux de mon épaule. C'est ainsi que nous sortons du sommeil. << Merci Julien ! >> chuchote Clémentine. << Oui, merci Julien ! >> rajoute Estelle en saisissant mon érection naturelle.

Nous rions aux éclats avant de nous étirer. Nous modulons longuement nos gémissements. Jusqu'à l'absurde. Jusqu'à ce que poussée par l'irrépressible besoin naturel, Estelle se propulse hors du lit pour courir vers la porte. << Je t'aime Julien. Tu n'es pas fâché pour hier soir ? >> murmure Clémentine en se couchant sur moi. Je la rassure pendant qu'elle me mitraille le visage de bisou. << J'aime te regarder. Quoi que tu fasses. Tu me captives, tu me passionnes et tu m'excites ! >>. Je passe ma main dans sa culotte. Je dénoue quelques nœuds.

C'est à notre tour de courir aux toilettes. Il fait bien chaud partout dans la maison. Plus de trois heures que les radiateurs fonctionnent. Morts de faim, c'est en T-shirts et en slips de nuit que nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle dans son pyjama. Entrain d'allumer la cuisinière à bois. Dans l'odeur du café, du pain grillé. Je presse les oranges. Clémentine pèle les kiwis. Je passe mes bras autour de la taille d'Estelle. Je suis derrière elle pour la féliciter pour cette flambée. Je remonte doucement mes mains sur ses seins minuscules.

Le contact de la soie de son pyjama est électrisant. << Oh le coquin ! >> dit elle en saisissant mes poignets pour que surtout je ne cesse pas. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée masquée de hier. Impossible de mettre une identité sur chacun des invités présents. Les spéculations vont bon train. Ce sont des supputations à partir de comportements, d'attitudes ou encore d'accentuations des mots. Ce qui certain c'est que "Zorro" c'était Juliette. Denise la femme du vétérinaire qui a perdu son masque en se faisant tringler.

Nous mangeons de bon appétit en riant beaucoup de certaines séquences épiques. C'est également de plus en plus excitant de nous remémorer certaines scènes. << Moi, j'étais merveilleusement bien dans les bras de mon amant ! >> lance Estelle en se levant pour venir s'assoir sur mes genoux la première. << Ton amant qui est mon mec ! >> fait Clémentine qui se lève à son tour pour nous rejoindre. Mes deux anges, leurs bras autour de mon cou, de ma taille évoquent la seconde semaine de vacances qui nous attend. De belles réjouissances.

Nous traînons à table en faisant mille projets. Le dimanche, pas d'entraînement. Surtout qu'aujourd'hui il faudra du calme pour nous remettre des émotions de la veille. Surtout Clémentine qui se plaint d'avoir la chatte congestionnée. Elle s'est fait baiser par le "bourreau" près d'une heure trente. << Il m'a vraiment défoncé la chatte le salaud ! >> lance t-elle. Estelle demande : << Combien d'orgasmes ? >>. Clémentine hésite un instant avant de répondre : << Trois, sûre. Peut-être un petit pendant que je suçais ces mecs à la chaîne ! >>.

Nous rions de bon cœur. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous remontons pour nous laver les dents. En faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain avant de nous habiller. Les filles, assises l'une à côté de l'autre, reviennent sur les émotions vécues hier soir. Je suis debout derrière elles à les coiffer. Elles adorent quand je m'occupe de leurs cheveux. J'adore moi aussi. La brosse que je passe longuement. Parfois je pose mes lèvres dans leurs nuques. Les frissons que ça procure à mes deux anges me ravissent. Nous prenons tout notre temps.

Nous sommes attendus pour midi chez les parents d'Estelle. Il est onze heures trente. Nous dévalons les escaliers. Je mets immédiatement la tarte aux noix sortie du congélateur avant le petit déjeuner dans le Tupperware rond. Elle a bien décongelé au-dessus de la cuisinière à bois. Nous sommes vêtus tous les trois de nos Levis, de nos sweats bruns. Nos bottines brunes. La même fine écharpe de soie crème. << Si tu dragues maman, je t'arrache les couilles avec les dents ! >> lance Estelle en posant sa main sur ma braguette. << Je vérifie ! >> dit elle.

Ma braguette est parfaitement boutonnée. << C'est rare ! >> rajoute encore Estelle. Clémentine me fait un clin d'œil. Nous allons dans le hall d'entrée. Quelques facéties devant le grand miroir avant d'enfiler nos blousons de cuir brun. Nous portons exactement les mêmes, achetés dans une boutique il y a deux ans. << Regardez un peu comme on est beaux tous les trois ! >> lance Clémentine. Je suis entre mes deux anges serrées contre moi. Je récupère le Tupperware. C'est parti. Le thermomètre extérieur indique 14°. Le ciel est gris mais lumineux.

Je roule doucement. Il n'y a que quatre kilomètres jusqu'à la sortie du bourg. Clémentine palpe ma braguette. Estelle, assise à l'arrière, tient mon cou entre ses mains. Voilà les bâtiments de l'entreprise familiale. La maison des parents d'Estelle. Le portail est ouvert. Je descends lentement la pente pour stationner devant la porte du garage. C'est Yvan qui vient nous recevoir. Le papa d'Estelle est tout content. Nous nous serrons la main. Comme toujours, Estelle se jette dans ses bras pour ne plus le lâcher. Nous passons par le garage puis par la cave.

Michèle est absolument magnifique dans sa robe de velours mauve. Un tablier nouée autour de la taille. Chaussée de ballerines qui donnent aux mouvements de la maman d'Estelle une grâce étonnante. Nous nous serrons les mains. Elle nous invite à aller au salon, prendre place. Clémentine dit : << Je vous aide Michèle ! >>. Estelle me pince juste sous la fesse pour me faire comprendre d'aller au salon. J'ai plutôt intérêt à obtempérer car elle surveille chacun de mes mouvements. Yvan fait toujours mine de ne se rendre compte de rien. Alors qu'il sait.

Nous voilà installés tous les cinq autour de la table ovale. Il y a une belle flambée dans la cheminée. La conversation reste axée sur les affaires que réalise l'entreprise familiale. Son développement. La filiale que crée Yvan au Sud d'Inverness en Écosse. Ce qui impose de fréquents déplacements. << Je passe pas mal de temps dans l'avion ! >> précise t-il. Clémentine me fait du pied sous la table. Parfois sa main se pose sur la mienne. Le regard par en dessous, terriblement suggestif, que me lance quelquefois Michèle n'échappe pas à Estelle.

À chaque fois j'ai droit à un coup de pied sous la table. Nous mangeons de bon appétit. Des pavés de saumon en papillotes accompagnés de petits légumes confis et de pommes de terre sautées. Trois sauces différentes. << Je suis aux fourneaux depuis dix heures ce matin ! >> précise Michèle quand Clémentine la félicite. Nous traînons à table. Il faut digérer un peu avant le dessert. Des îles flottantes qui seront accompagnées de tranches de tarte aux noix. Tarte aux noix qui est encore dans la voiture. Je me lève en disant : << Je vais la chercher ! >>.

<< Je viens avec vous. J'ai un truc à descendre à la cave ! >> lance Michèle. C'est comme si Yvan était dans la combine. Estelle, ne voulant pas être ridiculement jalouse devant son papa, devant Clémentine et surtout sa maman, reste assise sur les genoux de son père. Michèle me précède dans l'escalier qui descend. Cette femme de 48 ans, merveilleusement sexy, qui évoque plutôt la grande sœur d'Estelle que sa maman, est souvent la cause de profonds tourments qui agitent ma psyché. Aussi, discrètement, je déboutonne la braguette de mon 501.

Je n'en suis pas à mon coup d'essai. J'ai déjà pratiqué l'exhibitionnisme devant Michèle à plusieurs reprises. Mais là, cette fois, l'occasion est vraiment excellente. Arrivés au bas de l'escalier nous passons dans la pièce de la chaufferie. Michèle se retourne. Elle découvre ce que je tiens entre le pouce et l'index. Elle tient une grande boîte en carton qu'elle pose à côté de la chaudière. Elle me dit : << Je te suce avant le printemps. Tu sais qu'avec Yvan nous ne nous cachons rien. Il m'encourage à te "goûter". Il faut juste ne pas en parler à Estelle ! OK ? >>.

J'agite ma bite bandante dans sa direction. Je reste silencieux. Ce que Michèle m'annonce là m'emplit d'une émotion rare. Je pourrais tellement facilement tomber amoureux fou de cette belle bourgeoise. << Tu ne dis rien ! Je te choque ? >> me demande t-elle. Cette soudaine familiarité, ce tutoiement, ces aveux me laissent tout simplement sans voix. Je me masturbe doucement en la regardant. Michèle, les mains posées sur ses hanches, me fixe. Je crois avoir été rarement aussi troublé par sa présence. Cette attitude me donne le vertige.

Je m'entends dire : << Michèle, je rêve de cette pipe depuis que je te connais ! >>. Elle m'adresse un merveilleux sourire. Me fait un clin d'œil avant de répondre : << Et moi donc. J'ai un sixième sens pour renifler les vicelards ! >>. Elle mime une pipe avant de rajouter : << Les mecs qui ont l'âge de mon mari et qui sortent avec des jeunes filles de l'âge de ma fille, qui la baise aussi, ne peuvent qu'êtres de vrais salopards ! >>. Ça me me gêne toujours énormément de savoir que Michèle sait tout de notre relation avec sa fille. Là, ça me pétrifie...

<< Viens, espèce de vieux pervers ! >> rajoute t-elle en se dirigeant vers la porte du garage. Nous récupérons la tarte aux noix posée sur le siège arrière. << Remballe, vite ! >> fait Michèle. Je ne cherche pas à comprendre. Je remballe. Juste à temps. Je n'avais pas entendu Estelle arriver. Ouf ! L'honneur est sauf. Le "déshonneur" peut attendre encore un peu. Estelle me jette un regard lourd de reproches. Se douterait-elle de quelque chose ? Elle me prend le Tupperware des mains. Michèle rit aux éclats. Elle sait pourquoi Estelle nous a rejoint.

<< C'est pas drôle ! >> dit Estelle alors que nous remontons. Clémentine aussi a une attitude équivoque avec le papa d'Estelle. Depuis qu'elle a douze ans, il s'est toujours comporté comme un père. Lorsque Clémentine venait passer ses week-end ici avec Estelle. Les parents d'Estelle ont même tenté une adoption avec de longues démarches administratives qui n'ont pas abouti. Mais à présent Clémentine est une jeune fille sublime de 25 ans. Terriblement attractive. Sexy. Captivante. Comment cet homme de cinquante ans pourrait-il rester indifférent ?

Nous prenons le dessert. Sous la table j'ai droit à quelques coups de pieds douloureux dans les tibias. À un moment précis, où je parle avec Michèle, Yvan m'adresse un clin d'œil. Me signifiant probablement ainsi sa parfaite complicité. Estelle nous raconte souvent que ses parents, jeunes, pratiquaient l'échangisme. Avec son parrain, sa marraine. Jean-Marc et Nathalie. Jean-Marc qui baise Estelle tous les mercredis soir depuis qu'elle a seize ans. Les secrets de famille sont toujours tellement étonnants. Surtout lorsque ces derniers concernent les déviances.

Nous traînons à table jusqu'aux environs de quinze heures. Nous faisons la vaisselle. Estelle me surveille comme elle ne l'a jamais fait. Impossible de faire des sourires, même discrets, à sa mère qui joue le jeu. Nous allons faire une promenade digestive. Ces gens adorables sont devenus des amis extrêmement proches. C'est un peu comme si nous étions de la même famille. De la même "lignée" comme le dit parfois Yvan. Estelle reste au bras de son papa adoré. Michèle reste au bras de Clémentine qui me tient par la main. Nous marchons derrière.

C'est une promenade digestive très agréable. Il fait presque doux. Le ciel est gris mais lumineux. Ce dimanche au calme est tout simplement sublime. Nous revenons pour la collation de dix sept heures. Un thé fumant avec de fines tranches de tarte aux noix. Michèle assise à côté d'Yvan sur le canapé. Estelle contre son papa. Clémentine dans le fauteuil à côté du mien. Deux fois que je surprends les cuisses écartées de Michèle. Je sais que cet instant furtif m'est destiné. Impossible toutefois de voir si elle porte une culotte sous ses collants. C'est trop rapide.

J'apprécie l'intention. Il est dix sept heures trente quand nous laissons les parents d'Estelle. Nous les invitons dimanche prochain. Ils nous raccompagnent jusqu'à la voiture. Sur le chemin du retour, Estelle ne cesse de m'étrangler alors que je roule doucement. << T'es le plus abjecte salaud que la terre ait porté ! >> rugit elle en me traitant de tout le vocabulaire que mérite mes attitudes de vicelards. Sous les fous rires de Clémentine qui joue avec ma queue. Il est presque dix huit heures quand nous revenons à la maison. J'ai droit à une engueulade.

<< Je vais me venger ce soir. Tu vas me bouffer la chatte et je vais te pisser à la gueule ! >> me fait Estelle à plusieurs reprises. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade d'endives. Estelle prépare une omelette. Je fais griller des tranches de pain avant de les beurrer et de déposer dessus des filets d'anchois. Au four quelques instants. Nous mangeons léger et de bon appétit. Assises sur mes genoux la première, Estelle me dit : << Raconte-moi tes horreurs avec ma mère à la cave ! >>. Je lui raconte. << Mais quel salaud ! >> s'écrie t-elle. Rires.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se faire nettoyer le minou pas lavé du dimanche. Dans l'extase qui précède l'orgasme...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 18 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2167 -



La seconde semaine de vacances qui commence

Hier matin, lundi, il est presque neuf heures. Nos grasses matinées nous procurent les plus divins moments. Je me réveille entre mes deux anges. Clémentine à ma gauche, blottie contre moi. Estelle à ma droite, serrée contre moi. J'ai sentis Clémentine se lever tôt ce matin. Elle me murmure : << J'ai mes "petits machins". Quelle merde ! >>. Estelle chuchote : << Moi c'est dans quatre jours ! >> en saisissant l'érection naturelle qui déforme mon slip. Je pose mes lèvres sur le T-shirt de Clémentine. Sur chacun de ses seins. Je souffle de l'air chaud.

<< Mmhh, docteur Julien, ça fait du bien ! >> lance t-elle. Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! Vite ! >>. Préventivement, en se levant vers six heures ce matin, Clémentine a pris son médicament homéopathique contre les règles douloureuses. << Efficace ! >> précise t-elle. Je caresse délicatement le bas de son ventre. Elle tient mon poignet pour que surtout je n'arrête pas. << C'est comme congestionné tout là ! >> fait elle. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets. Nous rions.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers. Il fait bien chaud partout dans la maison. Ça fait trois heures que les radiateurs fonctionnent. Estelle a déjà préparé le café, pressé les orange, pelé les kiwis. Elle est entrain d'allumer la cuisinière à bois. << Vous avez vu comme il fait beau dehors ! C'est carrément le printemps ! >> s'écrie t-elle en palpant la bosse de mon legging de lycra noir. << Je t'aime en collant toi, t'es sexy ! >> rajoute t-elle. Moi aussi je passe ma main entre ses cuisses. J'adore le contact du lycra chaud.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre dimanche. << T'arrête de faire ton satyre avec ma mère, tu te rends compte, c'est une femme mariée ! >> lance Estelle en sortant le reste de la brioche du four à micros ondes. Nous mangeons de bon appétit en envisageant le programme d'un après-midi qui s'annonce tout simplement printanier. Nous traînons un peu à table avant de faire la vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Nos habituelles pitreries devant le miroir de la salle de bain. Pressés d'aller courir nous redescendons.

Les K-ways. Quelques obligatoires mouvements d'échauffement car à neuf heures trente du matin le printemps n'est encore qu'illusion. La température extérieure n'est que de 14°. C'est le long de la rivière que nous nous offrons un superbe jogging. Une heure d'un extraordinaire running. La douche. Il est onze heures. Au salon, assises sur mes genoux, mes deux anges allument l'ordinateur. Trois messages. Celui de ma famille d'Édimbourg. Tout se passe très bien. Un courriel de Juliette qui nous raconte la fin de la soirée masquée de samedi. Fin de soirée épique.

Le mail de Julie qui est impatiente de nous retrouver en début d'après-midi. Clémentine répond en commentant ses écrits à voix haute. Nous rions car elle parle en imitant l'accent Corse de Juliette. Nous avons quelques courriers de lecteurs dans la messagerie privée des forums où nous publions. Estelle me conseille de mettre une nouvelle photo en avatar. Clémentine choisi celle prise durant notre dernière randonnée. Je filmais une séquence ensoleillée alors qu'elle me photographiait. Estelle y appose une moustache qu'elle récupère sur un site à moustaches.

Nous rigolons comme des bossus de me voir affublé ainsi de bacchantes ridicules. Clémentine y écrit "Oncle Julien" en lettres jaunes "Luminari". Par acquis de consciences elles surfent un peu sur le site universitaire. Aucune information. Estelle consulte sa boîte mail. Juste un courriel de Gauvain. Ce dernier lui donne le lien qui permet d'aller sur tous les sites interdits ou censurés en France. Rumble par exemple que notre ministre de l'intérieur a fait interdire d'accès car les révélations et les vérités qui dérangent en haut lieu sont taxées de "Complotisme".

Nous allons dans la cuisine. C'est qu'il commence à faire faim. Clémentine prépare l'assaisonnement de la belle scarole dont elle lave chaque feuille. Estelle fait bouillir l'eau des spaghettis complets et bio. Je poêle trois beaux filets de lieu noir. Je les passe préalablement dans l'œuf puis dans la chapelure afin de les panner. Dans le wok je concocte une belle sauce avec des tomates et du poivron rouge. Estelle râpe une grosse quantité de Parmesan. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la soirée masquée de samedi. Un bon souvenir.

<< Ça me rend toujours un peu nostalgique quand les impressions et les ressentis se transforment en souvenirs ! >> lance Estelle. << C'est vrai tout cela n'est déjà plus que souvenirs ! >> rajoute Clémentine. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges font l'itinéraire de la randonnée prévue cet après-midi. Nous souhaitons retrouver le château des collines au-dessus du lac. C'est à vingt cinq bornes. La température extérieure est de 20°. C'est tout simplement extraordinaire pour un 20 février. Nous faisons notre petite vaisselle.

Julie, arrivant sur la pointe des pieds, nous surprend par un : << Coucou ! >>. Nous nous retournons tous les trois vers la porte. Julie se précipite vers nous. Trois bises à Estelle. Trois bises à Clémentine. Trois bises sur mes lèvres. << Enfin ! J'attendais cet instant depuis si longtemps ! >> lance t-elle. Nous montons tous les quatre. Je porte le grand sac de sport de Julie. Il contient les affaires pour son séjour. Elle reste avec nous jusqu'à vendredi en fin d'après-midi. Nous nous lavons les dents pendant que Julie sort des vêtements de son sac.

Elle nous raconte son samedi soir et son dimanche soir. Serveuse dans le restaurant de sa tante. Un peu de voyeurisme pas très abouti dans les toilettes du sous sol. Nous allons dans la chambre. J'ouvre le canapé lit. Clémentine y installe les draps. Estelle les taies d'oreillers. Julie qui s'écrie : << Je vous aime ! Tout ce que vous faites pour moi. Votre accueil ! >>. Je la prends par ses épaules pour dire : << Et ce n'est que le tout début ! >>. Julie n'ose pas soutenir mon regard. Par contre elle me fait un bisou sur la bouche. Dressée sur la pointe des pieds.

Nous sommes tous les quatre en Levis. Julie en sweat. Estelle, Clémentine et moi en chemises à carreaux. Baskets. À l'idée de randonner Julie sautille avec Estelle. Elles montent sur le lit pour y sauter comme sur un trampoline. << Voilà un bon lit de préparé pour notre Julie adorée ! >> lance Clémentine. Nous nous y asseyons en regardant Julie et Estelle faire les clowns. Nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos, pommes, barres de céréales, petite paire de jumelles, thermos de thé bouillant. Nous revêtons nos blousons de coton en jeans.

Blousons qui se portent sans gêne sur les épaules durant la marche. Ils seront d'un grand secours en revenant dans la fraîcheur du soir. Je roule doucement. Julie et Estelle sont assises à l'arrière. Penchées en avant pour regarder Clémentine qui joue avec ma queue tout en discutant. << Ça commence fort ! >> lance Estelle. << J'adore quand ça commence comme ça ! >> fait Julie. Elle me fait un sourire dans le rétroviseur. Nous passons par le bourg. Je reste sur la départementale. Un tronçon de quelques kilomètres sur la nationale. Ça roule bien.

Je gare l'auto sur le parking du restaurant. Il fait incroyablement doux. Nous chaussons nos godasses de marche. Je porte le petit sac à dos. C'est parti. Estelle et Julie se tiennent par la main. Clémentine tient la mienne. Nous prenons le sentier qui monte à droite de la terrasse en pierre du restaurant. Il y a plein de gens assis en plein soleil. Il faut souvent marcher les uns derrière les autres. Nous croisons de nombreux promeneurs. Il faut donc rester vigilants. J'ai parfois la bite à l'air. Julie, complètement abasourdie, observe nos manœuvres de diversions.

Quand arrivent des marcheurs, Clémentine se serre contre moi. Impossible de voir mes attributs virils. Estelle m'a mis au défi d'avoir les couilles à l'air. Je relève donc le défi avec panache. Sous les rires de Julie qui cache son visage dans ses mains à chaque nouvelle initiative. Par exemple quand Estelle s'accroupit pour frotter ma bite sur son visage. Quand Clémentine fait pareil. Juste avant de risquer de nous faire surprendre. Jouant avec le feu jusqu'au dernier instant. Bien évidemment nous nous faisons quelquefois surprendre malgré nos précautions.

Mes coquines donnent alors le change en renouant leurs chaussures. Je me tourne pour cacher mes "outils". Julie comme hallucinée, assiste à nos rituels. Je l'invite quelquefois à prendre mon sexe en main. À empoigner mes couilles dodues. << Comme ça ! Julien préfère ! >> dit Estelle en montrant sa façon de procéder. Cette randonnée est véritablement "épique". Nous contournons cette partie du lac pour prendre le chemin qui mène au château. Un chemin large sur lequel nous pouvons évoluer en nous tenant les mains. Julie et Estelle ouvrent la marche.

Les travaux du château, entrepris par le Conseil Général il y a cinq ans, sont totalement achevés. Il y a du monde avec ce beau temps. Le château médiéval est extraordinairement bien restauré. Un grand panneau explique la rénovation et le coût de l'opération. Cette forteresse n'est pas seulement un endroit de visite. Une partie de sa cour est une salle de spectacles en plein air. Il y a une boutique de souvenirs, un restaurant et un petit musée. Tout est encore fermé. Nous nous promettons de venir visiter dès l'ouverture le premier mai. Impatients.

Bien sûr, avec les gens qui se baladent, j'ai remballé mes organes génitaux. Je découvre que Julie est une grande tripoteuse. Elle imite Estelle qui l'invite à me palper la bosse qui déforme ma braguette fermée. Nous montons sur le chemin de ronde au sommet des remparts. Tout est comme neuf. C'est surprenant de visiter un château médiéval qui semble avoir été construit hier. Julie et Clémentine prennent des photos. Julie et moi nous posons. Julie, sa main sur ma braguette qui tente d'avoir l'air détendue. On se fait surprendre par un jeune couple.

La jeune fille qui doit avoir les 20 ans de Julie m'adresse un très étrange regard. Alors que le jeune garçon s'empresse de nous contourner en entraînant sa "copine". << Tu as vu comme elle mâtait ! >> lance Clémentine. << Elle aurait volontiers joué avec nous ! >> rajoute Estelle. Il est seize heures trente. Il y a deux heures jusqu'au parking si nous descendons par le chemin du lac. Le chemin le plus court. Il y a deux lampes frontales dans le sac à dos. Pas de soucis. Je propose de manger au restaurant du lac. Les filles sautillent autour de moi.

<< Minutes. Pas de réjouissances hâtives. Je téléphone ! >> s'exclame Clémentine en sortant son I-phone. << Super ! >> dit elle plusieurs fois à son interlocutrice dont nous entendons la voix. Une table nous attend pour 19 h. C'est donc rassurés et détendus que nous redescendons. Parfois en flânant. Il faut rester vigilant avec la bite à l'air. C'est Estelle qui suce le plus souvent. Cette fois elle se met même à genoux en disant : << J'adore jouer avec le risque d'être surprise. C'est Clémentine qui m'a appris ! >>. Julie, son visage dans ses mains.

Clémentine donne évidemment dans la surenchère. Deux fois nous passons à côté d'une situation réellement critique. Il y a des gens qu'on entend pas venir. Julie, désireuse de s'y essayer, s'accroupit à son tour. Estelle et Clémentine, pour lui permettre de sucer sans trop de craintes, font écran de leurs corps. Mais est-ce suffisant devant ce couple de randonneurs qui arrive soudain, découvrant une scène surréaliste ? Julie se redresse. J'ai le réflexe de la prendre dans mes bras. Pour cacher mon Zob. Une bite dégoulinant qui tâche son Levis.

C'est dans cette ambiance délirante que nous arrivons sur le parking du restaurant. << Je crois que c'était une bonne idée de réserver. Vous avez vu le nombre de bagnoles ! >> lance Clémentine. Nous changeons de chaussures. Depuis une heure nous portons nos blousons en jeans car la fraîcheur du soir s'accentue. L'intérieur du restaurant est dans l'esprit médiéval. Nous voilà installés. Julie en face de moi. Estelle à ma gauche, Clémentine à ma droite. Non, je ne suis pas le papa. Et pour que cela soit bien évident aux yeux des curieux, Estelle m'embrasse.

Nous dégustons de délicieuses tourtes aux légumes. Farcies de brocolis et de champignons. En accompagnement de filets de limande en sauce au curry. Un régal. Bien évidemment, Julie assiste à nos rituels. Quand Estelle m'entraîne par la main pour aller aux toilettes. Quand Clémentine fait de même. << À ton tour. Julien adore se faire sucer dans les cabinets ! >> fait Clémentine. Julie reste perplexe. Hésitante. Toute rouge. Toute gênée. De m'entraîner par la main devant les clients, jusqu'aux toilettes, lui est tout simplement impossible. Nous rions.

Il est 21 h45 quand nous revenons à la maison. Épuisés. Fourbus mais repus. Le lavage des dents. Julie qui baille à s'en décrocher la mâchoire. Une fois dans son canapé lit, elle nous donne ses impressions. Estelle lui montre ma queue fièrement dressée. Clémentine qui a ses "petits machins" se plaint de quelques congestions sourdes. Elle se masturbe. Très efficace selon elle. Je pénètre Estelle. Julie, couchée sur le côté, observe et écoute notre trio de débauchés. Je baise Estelle dont les cris s'accentuent jusqu'au hurlement final. Clémentine me suce.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vivent des moments merveilleux dans la plus parfaite complicité d'un quatuor d'hédonistes délurés...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 19 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2168 -



Robinson échange Vendredi maigre contre Mardi gras

Hier matin, à presque neuf heures, c'est Estelle qui me tire du sommeil. Saisissant mon érection naturelle, elle chuchote : << J'ai fait un rêve très cochon ! >>. Elle passe sa tête sous la couette pour gober ma turgescence naturelle. Ce n'est pas l'excitation qui en est la cause. Alors de se faire pomper le Zob dès le réveil créé une curieuse et désagréable sensation. Clémentine se réveille pour découvrir ce qui se passe. Elle passe sa tête sous la couette pour dire : << Déjà ? >>. Elles remontent toutes les deux à la surface en riant. Je serre mes deux anges.

Nous constatons que le canapé lit est vide, ordonné. Julie est partie. << Je crois que j'ai très vaguement entendu quelque chose ! >> précise Clémentine. J'insuffle de l'air chaud sur chacun de ses seins à travers son T-shirt de nuit. Elle éprouve une légère congestion dans le bas ventre. Pourtant cette fois ci encore ses règles ne sont fort heureusement pas douloureuses. Estelle s'extirpe du lit pour se projeter vers la porte. Animée d'une forte envie de pisser. << Elle n'a aucun goût ta bite le matin ! >> lance t-elle avant de disparaître. Nous rions.

<< Il faut que je vérifie ! >> dit Clémentine qui se met à sucer. Ma queue est redevenue molle. C'est bien meilleur une fois bien réveillé. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Vêtus de nos tenues de sport, morts de faim, nous dévalons les escaliers. Estelle est avec Julie dans la cuisine où règnent les odeurs du café, du pain grillé. Les oranges déjà pressées, les kiwis déjà pelés. Je dépose une bise sur le front de Julie en la remerciant pour cette charmante attention. << Quand je n'arrive plus à dormir, je me lève ! >> explique t-elle toute heureuse.

Nous prenons ce petit déjeuner préparé avec amour en revenant sur notre randonnée de hier. De la soirée au restaurant du lac. << Ça me fait toujours très drôle de manger dans un autre restaurant ! >> confie Julie. Dehors il fait beau. << C'est un remake de hier ! >> lance Estelle. << On se refait une sortie ? >> suggère Clémentine. << Oh oui ! >> s'écrient en même temps Julie et Estelle. Nous mangeons de bon appétit en envisageant quelques options de balades. << Ce sera très spécial si vous le voulez bien. On se fait un film ! >> dit Estelle.

<< Génial ! Une improvisation totale sur les thèmes qui nous sont chers ! >> s'exclame Clémentine. Je recommence à bander en écoutant les trois coquines parler voyeurisme, exhibitionnisme et situations à risques. Nous traînons à table. Estelle et Clémentine assises sur mes genoux, Julie débarrasse la table. Interdiction de l'aider. Julie exige de tout faire. Pour midi elle précise qu'elle nous prépare une surprise culinaire. Nous la laissons à la vaisselle pour remonter nous laver les dents. Pressés d'aller courir au grand air nous dévalons les escaliers.

La température extérieure est de 16° alors qu'il n'est pas encore tout à fait dix heures. K-ways tout de même. Quelques mouvements d'échauffement avant notre jogging. C'est ce circuit que nous adorons. Le long de la rivière. Dans les deux sens. Une heure d'un très agréable running plus tard nous revenons. Estelle prend sa douche la première pendant que Clémentine et moi suspendons le linge au-dessus de la baignoire. C'est à notre tour. Tous les trois, vêtus de nos Levis, de nos sweats, nous redescendons à toute vitesse.

Sur la porte de la cuisine, un papier où est écrit "Défense d'entrer". Nous rions de bon cœur en devinant Julie aux fourneaux. Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine allument l'ordinateur. Pas de messages. Elles surfent un peu sur le site de l'université. Il y a juste les horaires des cours de la semaine prochaine. Un programme personnel les attend pour les neuf semaines qui les séparent des vacances de Pâques. Elles vont pouvoir se consacrer exclusivement à la première mouture de leurs thèses. Un groupe de huit étudiants avec un prof.

Il commence à faire faim. Julie vient nous rejoindre. << Nous pouvons passer à table ! >> dit elle en restant devant le bureau comme une écolière timide. Estelle et Clémentine se lèvent d'un bond. Elles m'attrapent les mains pour m'entraîner. Nous suivons Julie. L'odeur qui flotte dans la cuisine ouvre nos appétits d'ogres. Julie a concocté un gratin Dauphinois selon la recette originale. Accompagné d'une sauce aux champignons et au fromage. Une belle salade de concombre. Nous la serrons dans nos bras pour couvrir son visage de bisous. Merci Julie.

Il est midi quinze et nous mangeons de bon appétit en envisageant différentes options pour le film porno que nous désirons réaliser cet après-midi. C'est très excitant de savourer un bon repas en parlant de nos déviances sexuelles. Sur un grand plateau, une bonne vingtaine de beignets en pyramides. << Mais tu as fais ça quand ? >> s'écrie Clémentine. << Pendant que le gratin était au four ! >> répond Julie. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. Je me lève pour agiter ma bite toute molle. "L'hélicoptère".

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Julie assiste une fois encore à nos pitreries devant le miroir de la salle de bain. Julie est beaucoup moins extravertie qu'Estelle et que Clémentine. Mais tout cela l'amuse énormément. C'est encore un peu risqué d'aller se promener en jupettes et en bermuda. La fraîcheur de la fin d'après-midi nous le ferait regretter. Aussi, nous restons tous les quatre en Levis et en sweats. Dans le petit sac à dos, les pommes, la thermos de thé bouillant, la caméra numérique, les barres de céréales.

C'est en voiture que nous prenons la direction de la chapelle désacralisée à la sortie du bourg. Il fait beau. Un ciel entièrement bleu. Le téléphone d'Estelle indique 20°. Je porte le sac à dos. Nous traversons la route pour prendre le chemin qui mène aux anciennes tuileries. Estelle et Julie ouvrent la marche en se tenant par la main. Clémentine et moi marchons derrière en nous tenant la main. Nous croisons quelques promeneurs. Un monsieur seul qui nous montre les premières feuilles vertes qu'il tient en main. Il prétend en faire de la salade.

Nous arrivons dans l'ancienne carrière. Là où était extraite la terre servant à la fabrication des tuiles. Estelle propose de prendre quelques images. Nous sommes sur le sentier qui surplombe les parois vertigineuses de la carrière. Il suffit d'entrer dans les bois. Clémentine sort la caméra du sac à dos. Estelle m'entraîne par la main en disant : << On a élaboré un premier scénario, viens ! >>. Nous laissons Clémentine et Julie dans la clairière. Il n'y a personne. Estelle me fait le topo : << Tu es là, à pisser contre cet arbre et tu te fais surprendre ! >>.

J'ai la braguette ouverte. Estelle y fourre sa main une fois encore. Ce qu'elle a fait plusieurs fois depuis la voiture. Elle me sort la queue. Je bande mou. Je n'ai pas spécialement envie de pisser. Je prends la position. Estelle me laisse pour aller se dissimuler derrière les troncs d'arbres coupés empilés les uns sur les autres. Je reste ainsi. L'attente n'est pas longue. << Bonjour monsieur ! >>. C'est la voix de Julie qui marche lentement. Qui me contourne en observant. À une dizaine de mètres clémentine qui tient la caméra pour filmer cette scène.

Julie ne joue pas vraiment un personnage. Elle est très voyeuse de nature. Depuis petite. Autant qu'Estelle qui mâte en restant cachée. Je vois sa tête là-bas, à une trentaine de mètres. Hors champs de la caméra elle se montre entièrement, sa main dans son jeans déboutonné. Julie tourne plusieurs fois autour de l'arbre contre lequel je reste immobile, bite en main. Elle reste silencieuse. Julie est une fille vicieuse. La situation, même si elle est "artificielle", correspond tellement aux réalités qu'elle adore. Elle en est aussi excitée que moi. Sans un mot.

Elle repart pour disparaître. Filmée par Clémentine qui éteint la caméra en disant : << C'est dans la boîte ! >>. Estelle vient me rejoindre en sautillant. << Put-hein, j'adore ! >> fait elle en me faisant plein de bises. Elle saisit mon érection pour m'entraîner comme par une laisse. Nous rejoignons Julie sur le sentier. << On refait, c'est trop bien ! >> fait Julie en m'adressant un merveilleux sourire. Nous reprenons la marche en direction des bâtiments abandonnés de l'ancienne tuilerie. Ça fait deux heures que nous profitons de cette météo exceptionnelle.

Il y a un couple qui quitte les ruines au moment où nous y arrivons. << On se refait une déclinaison filmée ? >> propose Estelle. << Oh oui ! >> s'écrie Julie. Clémentine tient la caméra. Une fois encore, dans la plus totale improvisation nous tournons une seconde séquence. Je suis debout contre le mur de briques rouges. Immobile, la queue dans la main. Julie qui arrive comme une promeneuse. Sans avoir besoin de jouer à la jeune fille qui tombe sur un pisseur. << Bonjour monsieur ! >> fait elle une nouvelle fois. Suivie de Clémentine qui filme.

Estelle, là-bas, près de la porte du hangar, se masturbe debout en nous observant. Julie passe une première fois. S'arrête. Se penche sur sa gauche puis sur sa droite. Pour tenter de mieux voir ce que je fais. Elle s'en va, fait une dizaine de mètres et revient. Je pisse en dessinant un personnage contre le mur de briques rouges. Cette fois, debout sur ma droite, en restant à environs deux mètres, penchée en avant, une main en appui contre le mur, Julie me regarde pisser. Silencieuse. Comme elle le fait dans la réalité des toilettes du restaurant de sa tante.

C'est hyper excitant. Il y ce sentiment de gêne, de honte et de plaisir qui se mêlent dans ma psyché. C'est extraordinairement bon. Julie dit : << Au revoir monsieur ! >> avant de repartir. Clémentine qui coupe la caméra en disant : << C'est dans boîte ! >>. Estelle revient nous rejoindre, sa main dans sa culotte. Julie fait de même. Elle n'ose pas soutenir mon regard. Elle s'adresse à Clémentine : << J'adore ce qu'on fait ! >>. Estelle s'écrie : << Moi aussi, c'est trop bien ! >>. Clémentine lance : << Deux voyeuses pour un exhibitionniste ! >>. Rires.

Nous faisons le tour des ruines. C'est ici que nous avons réalisé le premier film avec Julie il y a trois ans. Sur le thème "Bondage". Julie retrouve l'endroit avec une certaine émotion. Elle dit : << Je me regarde parfois le film. On a fait fort ! >>. Nous en rions de bon cœur. Il ne faut pas trop s'attarder. La nuit tombe pour dix huit heures trente et il est déjà 16 h30. Deux heures de marche pour revenir à la voiture. Surtout que nous voulons tourner une troisième séquence. Ce sont toujours de courtes scènes qui ne durent qu'une dizaine de minutes.

Mais c'est la mise en situation qui prend un peu de temps. Nous tournons le troisième opus sur le chemin après la carrière. Estelle se cache derrière un des nombreux troncs de la forêt. Je reste près d'elle. Cette fois, debout au milieu du chemin, mon Levis et mon slip sur les genoux, je me fais surprendre par la même jeune promeneuse. Julie n'a pas besoin de surjouer. Il suffit qu'elle reste elle-même. Elle interprète ce rôle à la perfection. Je suis mort de honte. Clémentine tient la caméra. Elle marche derrière Julie. Julie s'arrête à une dizaine de mètres.

<< Bonsoir monsieur. Je peux passer sans vous déranger ? >> demande t-elle. Clémentine tourne autour de nous en filmant. Je réponds : << Bien sûr mademoiselle. Excusez-moi ! >>. Je fais mine de remonter mes fringues lorsqu'elle se retourne pour lancer : << C'est moi qui m'excuse ! >>. Julie reprend sa marche. S'arrête à nouveau. Se retourne. Je me masturbe dans sa direction en demandant : << Ça vous tente ? >>. Julie répond : << Quoi donc ? >>. Je dis : << Une petite pipe ! >>. Il y a un long silence. Quelqu'un pourrait arriver. C'est fou.

<< Non merci ! >> finit elle par répondre en me tournant le dos pour reprendre sa promenade. << C'est dans la boîte ! >> lance Clémentine. Estelle, la main dans sa culotte vient nous rejoindre : << Put-Hein c'est génial ! On se regarde ça ce soir ! >>. Il faut mettre les K-ways car la fraîcheur s'accentue. Julie nous confie à quel point elle adore ces situations dans la réalité. << Alors de les mettre en images ! >> précise t-elle. Nous revenons à la voiture alors qu'il fait presque nuit. De retour à la maison pour dix neuf heures. Dévorés par la faim.

<< Ce sont des beignets "Mardi gras" ! >> lance Julie en mettant les premiers dans le four à micros ondes. Clémentine et Estelle font une rapide salade de tomates. Je mets les assiettes, les couverts. Nous mangeons de bonne appétit. Les beignets de ce Mardi gras sont absolument succulents. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous sommes trop impatients d'aller au salon pour regarder les films tournés cet après-midi. Clémentine tient la télécommande d'une main, se masturbe de l'autre. Tout en faisant des arrêts sur images. Le pisseur et la voyeuse.

Julie est assise à côté d'Estelle qui se masturbe de la main gauche en tenant ma queue de la main droite. Julie se touche également. Haletants, nous branlant tous les trois devant ses images exaltantes de vice, nous visionnons notre "travail" de l'après-midi. Julie en fera le montage pour sa collection privée. C'est son quatrième film. << Je peux le montrer à ma tante ? Elle raffole de ces trucs ! >> me demande Julie. Je réponds : << Bien évidemment ! >>. On me voit principalement de dos à l'écran. Julie qui tourne autour de moi. La fille vicieuse.

Cette randonnée nous a épuisé. Mais l'heure passée à nous masturber tous les quatre devant les trois films nous a achevé. Nous montons pour nous laver les dents. Julie ne cesse de me regarder en coin. Évitant que je ne la surprenne à me dévisager. Je devine ce que peut ressentir une jeune fille de vingt ans en vivant de telles situations. Je suis entre Clémentine et Estelle sous la couette. Julie dans son canapé lit. Elle ne veut pas venir dormir avec nous. Nous bavardons encore un peu. J'ai mes mains dans les culottes. Estelle joue avec ma bite.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont s'offrir des orgasmes sous la couette. L'une d'entre elles seule dans son canapé lit...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

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Homme, 53 ans, France
Classe - 20 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2169 -



Julie révèle un peu de sa nature profonde

Hier matin, mercredi, il est presque neuf heures. Julie est déjà levée car le canapé lit est vide. Ordonné. Les coussins soigneusement disposés. Nous ne l'entendons pas se lever. Estelle à ma droite, qui saisit mon érection naturelle en se serrant contre moi. Clémentine à ma gauche qui empoigne mes couilles en se blottissant. Toutes les deux ont cet agréable mouvement masturbatoire contre mes hanches. Les grasses matinées de cette seconde semaine de vacances nous offrent des réveils en douceurs. Je glisse mes mains dans les culottes.

Estelle se lève d'un bond. Elle n'en peut plus de lutter contre le besoin irrépressible qui la contraint à se précipiter aux toilettes. Couchée sur moi, frottant doucement son sexe sur le mien, Clémentine mitraille mon visage de bisous. C'est à notre tour d'aller pisser. Je laisse Clémentine à ses petites affaires. C'est le troisième jour de ses règles et tout se passe sans trop de bobos. Elle me rejoint à la salle de bain pour nous revêtir de nos leggings de lycra noir, de nos sweats de lycra rouge. Ceux d'Estelle ont déjà disparu et son pyjama est sur le tabouret.

Morts de faim nous dévalons les escaliers. L'odeur de café et de pain grillé. Estelle et Julie dans la cuisine entrain de rire. Tout est préparé, nous n'avons qu'à nous assoir. Quand elle ne dort plus, Julie se lève. Ce matin il était huit heures. Elle aime à se rendre utile. Aussi nous prenons le petit déjeuner qu'elle nous a concocté en revenant sur la journée de hier. La randonnée, les petits films exhibitionnistes, la soirée devant la télé pour les visionner. Les extraordinaires moments d'extases de nos masturbations communes. Par contre, ce matin le ciel est pluvieux.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant les options possibles de cette nouvelle journée. Estelle propose de tourner un autre film comme prévu. << Dans la maison d'amis par exemple ! >> suggère t-elle. << Il faudrait faire la poussière avant parce que je te dis pas ! >> précise Clémentine. << Je m'en charge ! >> lance Julie. Nous étudions la question. Faire le ménage là-bas demande d'y consacrer une demi heure si nous nous y mettons tous les quatre. Option retenue immédiatement après le repas de midi. Julie veut s'y mettre de suite.

Nous traînons un peu à table. Julie débarrasse. La vaisselle. Nous remontons tous les quatre nous laver les dents. Julie redescend en disant : << Je vais au ménage ! >>. Nous déposons chacun une bise sur son front. Avec cette pluie qui tombe, nous nous entraînons dans notre salle. L'échauffement de l'aérobic et du jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol, les abdos et les pitreries d'Estelle. Les charges additionnelles en étant difficilement sérieux. Les étirements d'un stretching consciencieux. Estelle prend sa douche la première. Le rituel.

Clémentine et moi décrochons le linge sec. Il est suspendu sur l'étendoir au-dessus de la baignoire. Notre salle de bain est grande mais nous rationalisons l'espace au mieux. C'est à notre tour d'aller sous l'eau. Tous les trois vêtus de nos Levis, de nos sweats, nous redescendons à toute vitesse. Nous mettons les anoraks. C'est sous le parapluie que nous rejoignons Julie dans la maison d'amis. Elle est entrain de passer l'aspirateur. La poussière a complètement disparu. Félicitations. Il est onze heures. Julie fixe ma braguette ouverte avec grande insistance.

Ce qui n'échappe ni à Clémentine, ni à Estelle. << C'est déjà propre en haut aussi ! >> dit Julie. Nous savons pouvoir lui faire confiance. Cet après-midi, c'est ici que nous viendrons tourner le cinquième film pour Julie. Julie qui nous laisse précipitamment en lançant : << Je vais préparer le repas. Interdiction d'entrer dans la cuisine. Estelle allume le feu dans la cheminée. Ce sont les convecteurs électriques qui chauffent l'air ambiant. Mais seulement l'air. Une bonne flambée chauffera les murs et le mobilier. D'ici deux heures il fera très agréable dans la pièce.

Clémentine me sort le Zob pendant que j'insuffle mon souffle chaud à travers le coton de son sweat sur chacun de ses seins. << Mmmhh docteur Julien, vos soins sont appréciables ! >> dit elle en jouant avec ma bite. Les flammes lèchent déjà les bûches de hêtre qu'Estelle a déposé sur le petit bois. Le tirage de cette cheminée est extraordinaire. L'eau des tubulures de cuivre dans le chaudron en fonte va bouillir rapidement pour alimenter les deux radiateurs du bas, les trois du haut. Chambre, cuisine et salle de bain. Estelle me tripote la queue.

Clémentine fouille ma bouche de sa langue. Je bande presque immédiatement quand elle fait ça. Estelle s'accroupit pour suçoter la peau fripée de mon prépuce. Elle se redresse pour m'embrasser à son tour. Elle me dit : << Tu seras le dernier des vicelards dans le film ! >>. Je promets de faire au mieux. << Je veux filmer du "croustillant" ! >> rajoute Clémentine qui ne lâche pas mon érection. Nous quittons la dépendance pour traverser le jardin sous le parapluie. Il pleut. Le ciel est gris, bas et sinistre. La température extérieure est de 16°. Bien.

Nous rentrons. Au salon, assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine allument l'ordinateur. Nous avons deux mails. Un message de ma famille d'Édimbourg. Tout va bien. Oncle Alan joint des photos du jardin. On y voit tante Amy avec un balai à la main. Grand sourire. Un courriel de Juliette qui est impatiente de nous revoir mercredi prochain. Elle nous invite pour le repas du soir en précisant qu'elle aura un tas de choses à nous raconter. Estelle consulte sa boîte mails. Un message de Gauvain, le collègue étudiant et secrètement un peu amoureux.

Il est un peu plus de midi. Julie entre dans le salon. Comme une écolière timide devant ses professeurs, elle nous invite à la suivre. << On mange ! >> dit elle. Estelle la prend par le bras. Ces élans d'affections procurent à Julie de douces émotions qu'elle ne peut dissimuler. Sa sensibilité à fleur de peau. Quelle surprise. Tout est prêt dans la cuisine où flotte l'odeur des bouchées à la reine présentées dans le plat. Une laitue qu'il suffit de remuer dans le saladier. Le reste du gratin Dauphinois de hier. Je prends Julie dans mes bras pour la remercier. Bises.

Estelle et Clémentine font de même. Julie adore passer dans nos bras. Elle rit de bonheur. Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre projet de l'après-midi. Estelle propose un thème "Bondage". Julie, les yeux grands ouverts, écoute. Je la vois frissonner quand Estelle parle de collier canin, de laisse et de menottes. Julie nous regarde comme effarée. Estelle se lève à plusieurs reprises pour imiter une masturbation masculine. Je me lève pour agiter mon sexe. "L'hélicoptère" capte toujours toute l'attention des filles. Surtout celle de Julie.

Nous traînons un peu à table. Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine définissent les rôles de chacun d'entre nous. Clémentine à la caméra. Estelle en "Maîtresse de cérémonie". Moi en "Maître" queutard. Julie assise en face de nous écoute. Quand Estelle lui demande si elle a un souhait particulier, Julie répond : << Non, tout ça me ravit. Et puis laissons un large espace à l'improvisation ! >>. Nous applaudissons cette idée. La vaisselle. Nous découvrons qu'au four il y a des coquillettes. Le gratin pour ce soir. Julie est très prévoyante.

Nous montons nous laver les dents. Pour les besoin du film nous choisissons nos vêtements. Clémentine ne prend que son loup à dentelles noires. << Au cas où je fais une rapide apparition dans le film ! >> précise t-elle. Julie prend une jupette de coton brun. Un fin sweat de coton brun. Estelle prépare une jupe kilt à carreaux rouges. Un chemisier blanc, ses escarpins noirs à talons hauts. Ceux avec la fine sangle de cuir qui enserre la cheville. Idéale pour baiser sans les perdre. Je prépare mon pantalon de cuir noir, ma chemise à manches bouffantes.

Nous dévalons les escaliers avec nos affaire dans un sac de sport. Un rapide passage au salon pour y récupérer la caméra, le trépieds, les colliers canin, les laisses et la paire de menottes. C'est sous le parapluie que nous traversons le jardin. Estelle frisonne contre moi. Pas à cause de la pluie mais à l'idée de ce qui l'attend. Il fait presque trop chaud dans la maison d'amis. Pendant que nous montons à l'étage pour nous changer, Julie dans la salle de bain, Estelle et moi dans la chambre à coucher, Clémentine prépare le matériel, fait des essais caméra.

Nous voilà en tenues. Estelle est évidemment sublime. Julie ne l'est pas moins. Pourtant sa tenue évoque un peu une lycéenne de l'ancien temps, timide et réservée. Je suis en tenue de "mousquetaire" comme aime à le dire Estelle. Nous dévalons l'escalier en angle qui descend dans l'unique grande pièce du bas. Clémentine a rajouté du bois dans la cheminée. Ce sera un élément décoratif du film. Estelle passe le collier canin crème avec l'anneau de laiton en forme de cœur autour du cou de Julie. Elle y fixe la laisse. Je fais de même autour de son cou.

D'abord le fin foulard de soie pour protéger la peau. Puis l'ancien collier canin en cuir brun. J'y fixe la vieille laisse. Je sors ma bite et mes couilles. Avec l'étroitesse de l'ouverture une fois le rabat de cuir descendu, mes organes génitaux sont comme garrottés. << J'adore ! >> lance Clémentine. Nous attendons son signal. Julie est toute rouge, morte de honte. Elle ne joue pas. Elle révèle sa véritable nature introvertie de jeune fille timide et réservée. Ce qui ne l'empêche nullement d'être la plus excitante des vicieuses. Voyeuse et exhibitionniste.

<< Moteur ! >> fait Clémentine qui scrute l'écran de la caméra. Je suis debout devant la cheminée. Il y a juste les crépitements du feu. Estelle entraîne Julie par la laisse. Elle fait deux fois le tour des deux canapés. J'ai les mains sur les hanches. Par contractions des muscles fessiers, je fais bouger ma queue. Elle se redresse peu à peu pour devenir raide comme un piquet. Fièrement dressée sur mes couilles. Julie ne cesse de les regarder. Clémentine filme consciencieusement la scène. Elle a déboutonné son Levis. Tout cela l'excite déjà terriblement.

Estelle emmène Julie devant moi. Petit bout de femme qui m'arrive à la poitrine et aux épaules d'Estelle. Les mains attachées dans le dos, elle n'ose pas soutenir mon regard. Estelle la contourne sans lâcher la laisse qu'elle tient de la main gauche. De sa main droite elle empoigne mes couilles. En s'adressant à Julie elle dit : << Regarde un peu. Tu imagines tout le foutre qu'il y a là dedans ? >>. Julie ne répond pas. Elle est comme craintive. Toute rouge. De la sueur commence à perler sur son visage. << À genoux ! >> ordonne Estelle. Julie s'exécute.

Clémentine soulève le trépieds pour rapprocher la caméra. Julie, à genoux, bien droite, paraît encore plus petite. Son visage presque nubile exprime une profonde inquiétude. Clémentine filme sous tous les angles en tournant autour de nous. Je saisis soudain Julie pas ses cheveux attachés en queue. Surprise. C'est ma queue que je lui frotte sur la gueule. J'adore les petites plaintes qu'elle émet. Je me montre à la hauteur des espérances d'Estelle. Bien vicelard. Le dernier des pervers. Cambré sur mes genoux fléchis, je frotte ma queue sur son visage.

J'enfonce ma bite dans sa bouche. Estelle, penchée en avant, tient la tête de Julie fermement. Trop heureuse de pouvoir donner libre cours à sa nature dominatrice. Je me fais sucer comme un véritable salopard. Julie suce. D'abord sous la contrainte puis avec un air d'extase sur ses traits. La voilà partie elle aussi dans sa nature profonde. Aussi "Soumise" que Clémentine qui filme avec soin. Parfois couchée sur le dos pour une prise de vue par en dessous. Ainsi les gouttes de salives et de foutre que Julie ne peut déglutir seront visibles dans le film. Bien dégueu.

Julie est à genoux sur un des épais coussins. Estelle tire sur ses cheveux pour la faire cesser de pomper. Elle se penche pour lui cracher au visage. Tout en murmurant des propos salaces, vulgaires et grossiers. Elle force Julie à se redresser en me repoussant sans égard. << Sur le canapé, couchée, cuisses écartées petite salope ! >> ordonne Estelle en faisant tomber Julie dans le canapé. Elle défait ses menottes. Clémentine filme en se touchant. Estelle a une main sous sa jupe kilt. Je me couche sur Julie pour la pénétrer. Elle est trempée. Ça rentre.

Je la baise alors qu'habituellement je lui fais l'amour. Elle pousse des cris de ravissements. Estelle accroupit près du visage de Julie enfonce quelquefois sa langue dans sa bouche. Julie se pâme, se contorsionne de plaisir. Elle connaît là son premier orgasme de l'après-midi. Je dois méchamment me contrôler car je pourrais éjaculer tellement c'est bon. Clémentine filme. Il reste environs quinze minutes de film. Je baise Julie une bonne dizaine de minutes. Je me retire. Elle se touche. Tout comme Estelle qui se mordille la lèvre inférieure. Clémentine aussi.

Les trois filles connaissent probablement un orgasme en même temps. Le second pour Julie. Je la saisis fermement par les cheveux pour la traîner sur le tapis. Je lui enfonce la bite ruisselante dans la bouche. Il reste une minute d'image. J'éjacule sur le visage de Julie. Je le barbouille d'une abondance délirante. C'est des coulures blanchâtres, épaisses, visqueuses, gluantes. Je force Julie à regarder la caméra. Je la rince d'un jet de pisse. Elle se se précipite pour sucer encore. Estelle se masturbe en criant. << Terminé ! >> lance Clémentine. Nous sommes en sueur, épuisés. Vautrés dans les canapés.

Bonne fin d'après-midi à toutes les coquines qui vont pouvoir disserter sur les séances d'humiliations, de soumissions et de déviances diverses...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 21 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2170 -



Encore une belle journée

Hier matin, jeudi, notre grasse matinée nous emmène aux environs de neuf heures. Je suis entre mes deux anges. Estelle à ma gauche qui se serre contre moi en gémissant. Sa main glissant vers mon érection naturelle. Clémentine sur ma droite qui se blottit. Nous ouvrons les yeux pour constater une fois encore la disparition de Julie. Son canapé lit ordonné, les coussins soigneusement disposés. << Génial hier soir, le visionnage du film d'un après-midi tout aussi génial ! >> dit Clémentine. Estelle lutte depuis quelques minutes contre l'envie de pisser.

C'est en se levant d'un bond qu'elle fait : << Ça va être génial aujourd'hui aussi. Regardez comme il fait déjà clair et lumineux dehors ! >>. Clémentine me chevauche, bloquant mes poignets de ses mains pour frotter son sexe sur le mien. << J'adore quand tu as le comportement d'un pervers avec Julie ou Estelle ! >> murmure t-elle avant de rajouter : << Tu ne l'as pas assez souvent avec moi ! >>. Nous rions. Je promets d'y remédier. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous nous habillons de nos tenues sport. Morts de faim nous dévalons les escaliers.

Estelle et Julie dans la cuisine à rire. Il y a cette délicieuse odeur de café. S'y mêle celle du pain grillé. Julie me regarde soudain avec tant de reconnaissance dans le regard. Je la prends contre moi pour dire : << Que c'est bon quand vous venez passer quelques jours avec nous ! >>. Elle se hisse sur la pointe des pieds, s'accroche à mes épaules pour me déposer une bise sur les lèvres. Estelle vient immédiatement se mettre dans la même situation. Ainsi que Clémentine. Estelle et Julie se font pareil. Nous rions de bon cœur en pressant les oranges à jus.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les extraordinaires moments de la journée de hier. Julie est toute contente de posséder un cinquième film tourné ensemble. Nous avons passé la soirée de hier à visionner ces images d'une durée d'une heure. << Il n'y aura pas besoin de faire un montage quelconque. Tout est parfait ! >> précise Clémentine. << On se fait une suite cet après-midi ? >> propose Estelle. Julie pose sa main sur celle d'Estelle en disant : << J'aime quand tu es avec moi comme "actrice" ! >>. Je dis : << Moi aussi ! >>.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant différentes suites possibles. << Il ne faut surtout pas tenter de reproduire. Il faut innover ! >> lance Clémentine. Le thermomètre extérieur indique 14°. Le ciel est voilé mais très lumineux. Nous ne traînons pas. Pressés d'aller courir dehors. Julie débarrasse. Nous faisons la vaisselle. Nous montons tous les quatre nous laver les dents. Nous dévalons les escaliers. Il arrive parfois à Julie de faire des joggings. Mais elle préfère s'abstenir car elle a beaucoup de mal à prendre les quelques kilos nécessaires.

Elle nous accompagne sur le perron. Quelques mouvements d'échauffement vêtus de nos K-ways. C'est parti. Nous courons le long de la rivière. Malgré les pluies de hier, tout est sec. Une heure d'un agréable running plus tard nous revenons. Où est Julie ? Nous n'entendons rien. C'est Estelle qui la découvre au salon, dans le canapé, entrain de lire. Nous déposons chacun une bise sur son front avant de monter dans la salle de bain. Estelle prend sa douche la première. C'est le quatrième jour, Clémentine est libérée de ses "petits machins" de fille.

C'est à notre tour d'aller sous l'eau. Je coiffe mes deux anges assises devant le miroir. Nous passons en revue les différentes options de randonnée pour cet après-midi. Nous aimons tant aller marcher quand la météo le permet. Les voilà toutes les deux avec de longues tresses. Vêtus de nos Levis, de nos chemises à carreaux nous redescendons. Il est presque onze heures. Nous rejoignons Julie dans le salon. Elle consulte sa boîte mail sur son téléphone. Elle dit : << Défense d'entrer dans la cuisine. Je prépare la surprise de midi ! >>. Elle se lève.

Chacun une nouvelle bise sur son front. Julie fixe ma braguette ouverte. Les boutons métalliques du 501 qui brillent attirent toujours le regard. Assises sur mes genoux Estelle et Clémentine allument l'ordinateur. Pas de messages aujourd'hui. Les filles surfent sur le site de l'université. Une sorte de livre d'or où les étudiant déposent des questions ou des réponses. C'est un peu comme un forum. C'est amusant. Sur le bureau sont encore posés les colliers canins, les laisses et la paire de menottes. Estelle passe le collier crème autour de son cou.

J'y fixe la laisse. Je donne quelques à coups. Elle mitraille mon visage de bisous. << Tu as été formidable hier dans le film ! >> lui dit Clémentine. Je rajoute : << C'est vrai tu es parfaite en Miss Domina ! >>. Estelle s'écrie : << C'est dans ma nature ! >>. Elle se lève. Je l'emmène par la laisse. Malgré sa nature dominatrice, Estelle apprécie beaucoup d'interpréter la "Soumise". Elle fourre sa main dans ma braguette pour en sortir une bite molle. Clémentine se lève pour nous rejoindre devant l'une des portes fenêtres donnant sur le perron.

<< Moi aussi ! >> dit elle en me tendant l'autre collier et l'autre laisse. Elle le passe autour de son cou. Estelle y fixe la laisse. Je les tiens toutes les deux. Sans dire un mot, Clémentine s'accroupit la première, mains croisées sur la tête. Jouant avec un équilibre précaire. Estelle agite ma queue devant son visage. J'adore les expressions du visage de Clémentine. Selon l'angle avec lequel la lumière les éclaire ses yeux bleus semblent encore plus clairs, plus délavés. Comme elle est belle. Les yeux d'Estelle, tout aussi clairs sont noisettes. C'est magnifique.

Je tire sur la laisse pour que Clémentine se redresse. Elle reste avec les mains croisées sur la tête. Quand elles ont toutes les deux leurs cheveux en nattes, les laisses sont bien inutiles. Aussi, je les décroche. Je les saisis toutes les deux par les tresses pour leurs faire faire le tour de la grande pièce. Julie nous surprend ainsi. << Sans moi ! Vous êtes salauds ! >> s'écrie t-elle en se précipitant vers nous. Elle fixe ma bite. Je bande mou. << Nous pouvons passer à table ! >> dit elle de sa voix chevrotante de fille excitée. Nous la suivons à la cuisine.

C'est un gratin de choux fleurs qui nous attend. Avec une salade de concombre. Une sauce à l'émincé de saumon et champignons. Chacun nous prenons Julie dans nos bras pour la remercier de nous régaler ainsi tous les jours. << J'adore faire à manger ! >> précise t-elle. Je saisis son poignet pour diriger sa main vers mon sexe qu'elle attrape. Adroite elle me le tient fermement en essayant de soutenir mon regard. Impossible plus d'un instant. Julie lâche mon érection naissante. Nous mangeons de bon appétit en envisageant le programme.

Estelle se lève à plusieurs reprises. Tout en mimant une masturbation masculine elle propose différents scénarios de film pendant la randonnée de cet après-midi. Julie aimerait beaucoup être promenée à la laisse. Tenter cette expérience en extérieur. << En compagnie d'un pervers ? >> demande Estelle qui montre ma queue lorsque je me lève à mon tour. << Et d'une perverse ! >> répond Julie en posant sa main sur celle d'Estelle. << Je filme ! >> précise Clémentine. Pressés d'aller vivre cette nouvelle expérience dehors, nous ne traînons pas.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Estelle ne me lâche pas souvent la queue. Julie ne cesse d'observer. Ce qui amuse beaucoup Clémentine qui dit : << J'ai déjà envie de me branler. Pas vous ? >>. Estelle et Julie s'écrient en cœur : << Nous aussi ! >>. Je passe à l'acte puisque j'ai la bite à l'air. Les filles me regardent, silencieuses, comme fascinées. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. Julie dit : << Je n'aurai jamais imaginé qu'il existe sur terre des gens qui partagent mes passions, mes pulsions, mes fantasmes les plus fous ! >>

Nous dévalons les escaliers. Nous chaussons nos godasses de marche. Les vestes en jeans suffisent car la température est de 20°. C'est la randonnée à partir de la maison que nous allons faire découvrir à Julie. Estelle passe le collier canin autour de son cou. C'est le collier crème que j'ai offert à Clémentine. Sa face intérieur est en cuir retourné. Extrêmement doux sur la peau la plus fragile. Clémentine y fixe la laisse dont elle passe la poignée autour du poignet d'Estelle. Je porte le petit sac à dos. Nous prenons le parcours de notre jogging de ce matin.

Le soleil est de la partie. Il faut marcher l'un derrière l'autre sur le sentier. Estelle ouvre le "cortège" en tenant Julie par la laisse. Clémentine est derrière moi avec la caméra. Estelle se retourne parfois pour donner un à coup en demandant : << Ça va ? >>. Julie s'empresse de répondre : << C'est génial ! >>. Je me retourne pour passer ma main entre les cuisses de Clémentine. Je t'aime ! >> murmure t-elle. Estelle qui entend se retourne pour lancer : << Moi aussi ! >>. Julie, en riant, rajoute : << Je vous aime tous les trois. Comme une folle ! >>

Nous arrivons au vieux lavoir. Il fait très agréable sous le soleil. Estelle tout en déboutonnant son Levis, ordonne : << À genoux ! >>. Julie s'exécute immédiatement. Je n'ai jamais vu Estelle aussi vicelarde. Elle qui est encore moins gouine que Clémentine tient la tête de Julie pour frotter son minou poilu sur son visage. Trop heureuse Julie pousse des gémissements lascifs et enchantés. Estelle se penche pour lui demander : << Et si on se faisait un film où je te ferais bouffer ma chatte ? >> Julie toute émue, ravie lève la tête pour dire : << Oh oui ! >>

Clémentine filme tout cela alors que je la touche. Je peux sentir les frissons qui animent son corps. Je chuchote des douceurs à son oreille pour tenter de la perturber un peu. Aussi, pour se soustraire à mes tentatives de la déstabiliser, elle s'accroupit pour filmer la scène. Estelle se montre réellement perverse. Se prenant totalement au jeu. La scène dure environ cinq minutes. J'ai la bite à l'air. Je m'approche. Estelle se retire pour me laisser la place. À mon tour de frotter ma queue sur le visage de Julie. Elle est rouge de plaisir. Je l'aide à se redresser.

Je m'accroupis pour masser ses pauvres genoux cagneux. Nous reprenons notre promenade. Nous traversons la route sur le pont pour longer le ruisseau. Là-bas, à trois cent mètres, l'arrière des bâtiments du haras. Nous n'évoquons jamais Juliette. Julie a entretenu il y a quatre ans une liaison amoureuse avec elle. Cela ne s'est pas bien terminé. Julie refusait d'avoir des rapports sexuels avec les hommes qu'elle lui présentait. Elle avait dix sept ans. Nous marchons donc silencieusement. Nous pouvons évoluer de front car le chemin devient large. Julie toujours à la laisse.

Nous arrivons aux dolmens. Clémentine filme plusieurs petites séquences. Quand Estelle donne des à coups sur la laisse. Ordonnant à Julie de s'accroupir. De sautiller sur place avec les mains sur la tête. Julie se révèle être une "Soumise" incroyablement docile. Ce qui lui arrive cet après-midi est une grande première. Le ravissement se lit sur son visage radieux. Je la fais sucer. Estelle me tient la queue. Nous manquons de nous faire surprendre par des jeunes filles sur leurs montures. C'est les vacances scolaires et elles viennent monter les chevaux du haras.

Nous faisons ainsi la boucle des quatre heures en temps normal. Mais avec les nombreux arrêts "films", il est dix neuf heures quand nous arrivons dans la nuit et dans la désagréable fraîcheur revenue. Je tiens la lampe pour nous éclairer. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade de carottes. Il suffit de réchauffer les restes du gratin de choux fleur et de sauce. Je m'en occupe. Estelle masse la peau du cou de Julie avec de l'homéoplasmine. Un peu irritée tout de même. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les moments clefs de la balade.

Nous ne traînons pas. Dès la vaisselle terminée nous nous précipitons au salon. Nous avons pris goût à nos soirées cinéma. À nous masturber en découvrant les images filmées l'après-midi. << C'est passionnant ensemble ! >> n'arrête pas de dire Julie. Nous découvrons les images tournées cet après-midi. Julie reste aux côtés d'Estelle qu'elle tient par le bras tout en se touchant. Estelle me tient la queue qu'elle tord dans tous les sens. Clémentine fait des arrêts sur images avec la télécommandes. En se masturbant frénétiquement devant chaque scène.

<< On se fait le film "léchage de minou" demain après-midi ? >> s'écrie soudain Julie en se redressant. Toutes les émotions vécues cet après-midi, conjuguées aux excitations de la soirée, déclenchent son orgasme. C'est étonnant de la voir ainsi. Animée de spasmes. Se tenant à l'épaule d'Estelle qui dit : << Demain je te fais bouffer ma chatte petite salope ! >>. Julie, haletante, retombe dans le canapé. Je me lève pour me positionner. La queue devant son visage. Elle m'a sucé à de multiples reprises devant l'objectif de la caméra durant la randonnée.

Elle ouvre les yeux pour découvrir ce que je lui présente. Toutes aussi haletantes, Estelle et Clémentine rapprochent leurs visages pour regarder de prêt. J'enfonce immédiatement ma bite dans la bouche de Julie. Estelle pose sa main sur sa nuque pour la forcer à en prendre davantage. Clémentine se lève pour enfoncer sa langue dans ma bouche. Elle se masturbe. J'éjacule dans la bouche de Julie. En sournois. Sans prévenir. Avec les nombreuses excitations de cette folle journée, Julie a énormément de mal à avaler mes trois énormes giclées.

Bonne nuit à toutes les coquines qui ont encore vécu toutes les déclinaisons possibles d'un de leurs fantasmes avant de s'endormir...

Julien



Classe

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Classe - 22 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2171 -



Toutes les bonnes choses ont une "faim"

Hier matin, vendredi, il est presque neuf heures. C'est Estelle qui me tire du sommeil. Se frottant contre ma hanche, accrochée à mon cou, elle colle ses lèvres sur ma joue. C'est adorable. Clémentine se réveille presque aussitôt. Se frottant contre ma hanche elle saisit ma tumescence avec sa douceur habituelle. C'est ainsi que nous émergeons en constatant une fois encore que Julie est déjà levée. Probablement à nous attendre dans la cuisine. Estelle se lève la première pour se précipiter vers la porte. Clémentine joue avec ma queue.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Dans la salle de bain nous enfilons nos tenues de sport. Celle d'Estelle a disparu. Seul reste son pyjama de soie mauve. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Les suaves parfums du café et du pain grillé nous accueillent. Estelle me saute au cou en s'écriant : << One more time ! >> faisant allusion à la soirée de hier. Julie regarde la bosse qui déforme mon legging de lycra noir. Clémentine fait de même. Ce matin, plus timide, Julie attend son tour. J'ai l'impression d'être une sorte de patriarche biblique.

Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan de ces dernières journées. Julie est à présent détentrice de six films. << Moi j'en ai dix huit ! >> lance Estelle en se levant pour mimer une masturbation masculine. << J'en veux autant ! >> s'exclame Julie. Nous rions de bon cœur. Les tartines de pain grillé, beurrée, recouvertes de miel son absolument exquises. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de cette dernière journée avec Julie. Julie qui précise alors : << Je ne suis pas encore triste parce que tout est si intense ! >>

Nous traînons un peu. Il est question d'un nouveau film. Mais il s'avère très rapidement que ce genre de réalisation ne doit pas devenir machinale, répétitif et fait dans une sorte de précipitation fébrile. Dehors le ciel est voilé mais lumineux. Pas du tout menaçant. << Idéal pour une bonne randonnée ! >> dit Clémentine. La vaisselle avant de remonter dans la salle de bain. Lavage des dents. Julie nous accompagne jusqu'au dehors. Vêtus de nos K-ways, nous pratiquons des mouvements aérobics pour nous échauffer avant un bon Jogging.

Une heure d'un running des plus agréables dans une fraîcheur redevenue plus vive que ces derniers jours. Au retour nous redécouvrons Julie dans le canapé du salon, plongée dans la lecture d'un des livres qu'elle emporte toujours avec elle. Nous remontons. Estelle prend sa douche la première. Clémentine et moi plions des serviettes et des gants de toilettes pour les ranger dans l'armoire à linge. C'est à notre tour d'aller sous l'eau. C'est devenu un rituel. Estelle et Clémentine, assises côte à côte devant le miroir. Je suis debout derrière elles à défaire les nattes.

Mes deux anges adorent se laisser peigner, brosser et coiffer. Pour moi aussi c'est un moment de plaisir. J'aime les entende rire en échangeant des anecdotes concernant l'université, les professeurs. Nous redescendons. Sur la porte fermée de la cuisine, le panneau "Entrée interdite". Les oreilles collées contre la porte nous entendons Julie s'affairer. Elle chantonne. C'est merveilleux. Au salon, assises sur mes genoux, les filles allument l'ordinateur. Un mail rassurant de ma famille d'Édimbourg. Notre appartement nous y attend pour cet été.

Estelle consulte sa messagerie. Juste un courriel de sa maman qui confirme que ses parents viendront manger dimanche pour midi. En allant sur un des forums où nous publions, Estelle nous fait remarquer deux commentaires désobligeants. Il suffit de contacter le webmaster afin qu'il supprime ces deux déjections canines. << Put-Hein si on aime pas une histoire on cesse tout simplement de la lire ! Imbécile ! >> lance Estelle. Clémentine rajoute : << On attend toujours de ces individus qu'ils proposent une histoire au lieu d'une méchanceté gratuite ! >>

Je ne sais jamais quoi penser de ces gens là. Estelle dit encore : << C'est comme les eunuques, ils voudraient mais ne peuvent pas ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Les filles surfent un peu sur le site universitaire. Aucune information importante si ce n'est que les horaires de la salle de documentation changent. La salle sera ouverte tous les jours jusqu'à dix sept heures trente. Il est un peu plus de midi quand Julie vient nous rejoindre. << C'est prêt. On peut manger ! >> dit elle de sa voix douce. Elle porte ses lunettes d'étudiante. J'aime.

Nous la suivons jusque dans la cuisine. Quelle belle surprise nous y attend. Julie nous explique ce que nous voyons dans le plat. << Des filets de colin que j'ai coupé en deux en leur milieu. Sans les séparer. J'y ai cassé deux œufs. Dans la poêle. À la cuisson ils se sont figés. Je les ai retourné pour les cuire sur l'autre face. Saupoudrés de persil, de ciboulette, de sel de Guérande et d'un peu de Parmesan. Là, ce sont des galettes de pommes de terre gratiné avec du gruyère, de la chapelure ! >>. Nous écoutons cette démonstration magistrale avec admiration.

Le tout est présenté comme au restaurant. Julie rajoute : << Parfois je vais lorgner ce que mijote Jean-Louis aux fourneaux. Après tout, il est chef cuisinier ! >>. Estelle lance : << Alors il ne t'encule pas seulement ! >>. Julie se jette à son cou en s'écriant : << Comme tu es bête ! >>. Ces trois derniers jours, entre Julie et Estelle s'est créée une complicité. Elles se voient moins souvent. Là, elles ont passé quatre jours ensemble. Nous savourons cet extraordinaire repas en définissant l'itinéraire de la randonnée prévue cet après-midi. Ciel gris et voilé.

Nous mangeons de bon appétit. Julie commence à évoquer la fin de son séjour avec nous. Elle devra nous quitter pour dix huit heures au plus tard. Ce qui encadre toute activité d'un horaire contraignant. Elle reviendra demain matin pour faire le ménage. Assise sur les genoux d'Estelle, Julie nous confie à quel point elle est heureuse à l'idée de ce que nous avons encore vécu ensemble. Clémentine, assise sur mes genoux propose : << Aux vacances de Pâques, tu viens passer une semaine avec nous. Nous avons prévu un séjour dans le Jura ! >>

Julie ouvre de grands yeux. Il reste neuf semaines pour organiser ce projet. << Je vais tout faire pour venir avec vous ! Tout ! >> s'exclame t-elle. << Jura suck park ! >> lance Estelle. Nous n'avons jamais vu Julie rire autant. En se tenant le ventre. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Lavage des dents dans la salle de bain. Pressés de filer nous dévalons les escaliers. Le thermomètre extérieur n'indique que 18°. Deux de moins à la même heure que hier. Dans le petit sac à dos que je porte, pommes, barres de céréales, thermos de thé bouillant.

<< Tu sais qu'il est presque quatorze heures et que tu ne nous as pas encore montré ta bite ! >> fait Estelle en fourrant sa main dans ma braguette ouverte. Julie, au bras de Clémentine ouvre de grands yeux. Estelle me sort la queue pour l'agiter en rajoutant : << Ouf ! Elle se porte bien ! >>. C'est en riant que nous montons vers le portail. Nous traversons la route pour nous engager dans le chemin forestier. Il est large. Ce qui nous permet de marcher côte à côte tous les quatre. J'ai la bite à l'air. Julie, au bras d'Estelle qui se penche pour regarder.

Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par les mains. Quand nous nous promenons ainsi, je suis toujours très vigilant. Ce sont les vacances scolaires. Le haras n'est qu'à quelques kilomètres. Nombreuses sont les jeunes cavalières à chevaucher dans les environs. Certes, je suis accompagné de filles à peine plus âgées que ces jeunes écuyères, ce qui rassure forcément. J'évite toutefois d'imposer à la vue d'inconnues, souvent mineures, ce qu'elles ne souhaitent peut-être pas voir. Cette inquiétude légitime amuse beaucoup Estelle et Julie.

Elles sont toutes les deux d'éminentes voyeuses patentées, depuis leurs jeunes années. Mais j'aime à préciser, que toutes les filles ne partagent pas les mêmes "passions". Clémentine rajoute : << Non ! C'est vrai ! Certaines sont plutôt exhibitionnistes ! >>. Nous rigolons comme des bossus. La bite à l'air, ça ballote durant la marche en terrains accidentés. Les arrêts pipis consternent Julie qui n'ose pas pisser comme Estelle et Clémentine. Elle me regarde les tenir par leurs nuques pour maintenir leurs l'équilibres. Les torcher consciencieusement.

Par contre Julie prend plaisir à me tenir la bite pour en diriger les jets. Estelle filme la scène avec son téléphone. J'appuie sur les épaules à Julie pour la forcer à s'accroupir. Son visage tout près de ma queue elle sourit à l'objectif. << Je t'envoie le tout en pdf ! >> lance Estelle. Julie se redresse en disant : << Génial ! >>. Nous ne faisons que la boucle des trois heures. Il est dix sept heures quand nous revenons. Un thé fumant avec de légères et fines crêpes dentelles. Julie nous avoue la tristesse qui commence à la gagner. Elle est tellement émotive.

Estelle, son bras autour de ses épaules, la console. Clémentine agite mon sexe dans sa direction en disant : << On se revoit demain matin, puis lundi soir ! >>. Julie fixe ma queue comme hypnotisée. Je me lève pour venir me positionner devant elle. Elles sont toutes les trois assises dans le canapé. J'agite ma biroute devant le visage de Julie. C'est ma tentative un peu maladroite de la consoler. Elle n'ose pas soutenir mon regard. Quand elle lève la tête c'est pour m'adresser un sourire timide. << Tu veux baiser un peu ? >> lui demande Estelle.

Julie a le même fonctionnement que nous. Elle déteste la précipitation. Nous aimons prendre tout notre temps. Elle répond : << Non, ce serait trop frustrant avant de partir ! >>. Estelle rajoute : << Nous, ce soir, c'est "baise sur bureau" après le repas ! >>. Julie pose sa tête sur l'épaule d'Estelle. Tout en prenant la main de Clémentine, elle dit : << Comme j'aimerais voir et faire avec ! >>. Je bande mou. J'offre cet étrange spectacle de "l'hélicoptère". Un peu déplacé en ces instants "solennels. Je me penche pour déposer une bise sur le front de Julie.

<< Pourquoi me donner ce pseudonyme de Julie dans vos récits ? >> demande Julie. Nous restons dubitatifs devant cette question. Clémentine répond : << Pour préserver nos anonymats, nous avons tous des pseudos ! >>. Estelle rajoute : << Des pseudos qui nous correspondent bien ! >>. Julie se met à rire. << C'est vrai ! Mais vous auriez laisser mon vrai prénom, Lise, que ça ne m'aurait pas dérangé ! Il y a des milliers de Lise en France ! >> dit elle. Estelle attrape ma bite en demandant : << Lise, quel nom donnes-tu à ce truc ? >>.

Nous rigolons tous les quatre comme des bossus quand Julie répond : << La "chose" ! >>. Estelle se lève, passe derrière moi. Elle me masturbe. En direction de Julie. En direction de Clémentine. Elle lance : << Ce soir, quand la "chose" sera bien enfoncée, j'aurai une pensée pour Lise ! >>. Je porte le sac de sport de Julie que nous raccompagnons jusqu'à sa voiture. Assise au volant, la vitre baissée, vraiment tristounette, elle nous raconte ce qui l'attend au restaurant ce soir. Son job de serveuse. << Ça va me changer les idées ! >> lance t-elle.

Un dernier bisou. Nous la regardons partir. Un dernier coucou. Curieusement, une fois de retour au salon, Julie nous manque. << Notre délicieuse mascotte sexuelle ! >> dit Estelle. << Elle est adorable. Elle aurait été une petite sœur parfaite ! >> fait Clémentine. Il reste des galettes de pommes de terre. Avec une salade de tomates, des ronds de calmars poêlés, c'est notre délicieux repas du soir. La vaisselle. Quand Estelle revient des toilettes elle ne porte que son sweat, ses chaussettes. Nous rions aux éclats. << Je suis prête ! >> lance t-elle.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment à pratiquer la "baise sur bureau". Assises l'une à côté de l'autre pour s'offrir des gâteries...

Julien



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Classe - 23 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2172 -



L'agréable petit train-train du samedi

Hier matin, samedi, il est sept heures trente. Estelle et Clémentine sont restées serrées contre moi toute la nuit. Le retour du froid. La chambre à coucher qui n'est pas chauffée au-delà de 12°. Je sors du sommeil entre mes deux anges qui caressent mes pectoraux, mes abdominaux avant de s'en prendre à mes attributs virils. Mon érection matinale et naturelle les amuse toujours beaucoup. Surtout quand leurs mains se disputent ma turgescence. C'est à celle qui l'empoignera la première. Moi, je passe mes bras autour de leurs épaules.

<< J'ai mes "petits machins. Je me suis déjà levée une fois vers cinq heures ! >> nous apprend Estelle. Je caresse délicatement son bas ventre. Je pose ma bouche sur chacun de ses seins minuscules. À travers la soie de son pyjama j'insuffle de l'air chaud. << Mmhh, docteur Julien il va falloir m'administrer vos thérapies aujourd'hui ! >> rajoute t-elle. << T'administrer son sirop ? >> demande Clémentine. Nous rions de bon cœur. Estelle se lève la première : << Je vais changer mon tampon ! >> conclue t-elle. Clémentine joue un peu avec mon Zob.

C'est en me tirant par la queue ramollie qu'elle m'entraîne aux toilettes. Les radiateurs fonctionnent depuis plus d'une heure et demi. Il fait bien chaud partout dans la maison. Nous nous vêtons de nos tenues de sport avant de dévaler les escaliers. Estelle allume la cuisinière à bois. Clémentine fait le café. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Je vais ouvrir le portail depuis l'interphone du hall d'entrée. Dehors le ciel est gris, bas et menaçant. Le thermomètre extérieur indique 4°. Une nouvelle offensive du froid. Il n'y aura pas de jogging aujourd'hui.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de folies que nous nous sommes offerte hier soir. La "baise sur bureau" dont raffolent mes deux anges. Quand je passe de l'une à l'autre pour les pénétrer, les lécher, sucer leurs clitoris. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de l'après-midi. S'il ne pleut pas, ce sera une nouvelle randonnée. Nous en sommes aussi friands que de notre sexualité débridée, parfois déviante. Il est à peine huit heures dix et voilà Julie qui arrive. << Coucou ! >> fait elle depuis le hall.

Elle se précipite vers Estelle pour lui faire trois bises. Puis c'est à Clémentine avant de m'en faire trois. Assise sur les genoux d'Estelle elle mord dans sa tartine de miel. << C'était comment hier soir le boulot ? >> demande Estelle. << Il y avait un vilain monsieur qui est descendu aux toilettes trois fois. Quand je suis descendu avec le seau et la serpillère, il m'attendait au bas de l'escalier. Il tenait sa "chose" dans la main ! >> répond Julie qui s'empresse de rajouter : << J'aime la "chose" des vilains messieurs ! >>. Nous en rions aux éclats.

C'est à Julie de nous demander : << Et votre soirée tous les trois ? >>. Estelle répond : << Baise sur bureau ! Ce qui a précipité la venue de mes "petits machins" ! >>. Nous essayons de nous convaincre. De réunir tout notre courage. Mais il fait vraiment trop froid pour aller courir. << Allez-vous entraîner. Je débarrasse ! >> lance Julie en commençant à mettre les bols dans l'évier. Nous déposons chacun une bise sur son front avant de quitter la cuisine. Nous montons nous laver les dents avant de passer dans notre salle d'entraînement. Fraîcheur.

Les échauffements de l'aérobic. C'est samedi. Nous prenons le temps de tout faire correctement. Les joggings sur les tapis roulants. Estelle fait du vélo ergométrique en attendant qu'un des tapis roulants se libère. Les exercices au sol où nous pratiquons différents mouvements d'abdominaux. De gainages. Les charges additionnelles. Ce matin sur machines. Les étirements d'un stretching pour conclure. Estelle prend sa douche la première pendant que Clémentine et moi rejoignons Julie qui passe l'aspirateur dans la chambre. Nous récupérons les draps.

C'est à notre tour d'apprécier une bonne douche. Estelle est déjà habillée. Nous passons nos Levis, nos chemises à carreaux comme elle. Baskets avant de dévaler les escaliers avec les draps sales jusqu'à la cave. Dans la buanderie. La machine tourne. Estelle m'implore : << Docteur Julien, pourriez-vous m'administrer votre thérapie sel vous pli ! >>. Je pose ma bouche sur chacun de ses seins. Elle empoigne ma braguette ouverte. Clémentine passe derrière moi en disant : << Viol du docteur Julien dans une buanderie ! >>. Elle me sort la queue.

<< Un peu de votre remède miracle docteur ! >> lance Estelle en s'accroupissant. Clémentine lui fourre ma bite dans la bouche en disant : << Respecte bien la posologie. Pas plus de deux gouttes ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Estelle se redresse. Je passe ma main dans son Levis pour caresser délicatement sa toison pubienne. << J'ai pris mes médocs. J'ai pas vraiment bobo ! >> précise t-elle. Nous remontons pour enfiler nos anoraks. Les livraisons ne vont pas tarder. Il n'est pas loin de dix heures. Julie passe l'aspirateur dans le hall.

Elle me lance un curieux regard en découvrant une fois encore ce qui pend de ma braguette béante. Je remballe avant de fermer mon anorak. << Vous allez la montrer à Danièle ? >> me demande t-elle. Clémentine répond : << Non, il est convenu avec Danièle d'attendre les premiers beaux jours ! >>. Nous déposons chacun une bise sur le front de Julie avant de sortir. Il y a un léger vent glacial. C'est désagréable. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. L'humidité de la nuit entretenu par un léger brouillard diffus.

Voilà Danièle au volant de sa camionnette. Elle descend doucement pour se garer derrière l'auto de Julie. Toute souriante, emmitouflée dans un gros gilet de camionneur, sous son bonnet à pompon. Nous nous touchons les poings. Danièle fixe ostensiblement le bas de mon anorak en disant : << On les attend ces premiers beaux jours ! Il me tarde qu'ils arrivent enfin ! >>. Nous n'avons pas le temps de réagir que Danièle contourne son véhicule pour en ouvrir les portes arrières. Estelle se met la main sur la bouche pour ne pas pouffer de rire. Coquine.

Danièle a déjà vu Estelle. Inutile de la lui présenter. Elle livre quelquefois ses parents. Clémentine récupère le cageot contenant les œufs, les fromages, les yaourts, la motte de beurre et les petits pots de crème fraîche. Il y a des avocats avec. Je récupère le cageot contenant les fruits et les légumes. Ce sont surtout les pommes de terre qui le rendent si lourd. Danièle tend le terminal en fixant une nouvelle fois le bas de mon anorak. J'y introduis la carte bancaire. Le regard de cette jeune femme est terriblement troublant. Même commande pour samedi.

Nous regardons Danièle manœuvrer pour remonter. Arrivée au portail elle nous fait un grand signe de la main. << Tu as compris le message ! >> lance Clémentine. << Sans déconner, celle-là aussi ? Tu lui montres la bite ? >> demande Estelle. Clémentine répond : << Déjà fait. Rapidement, l'automne dernier ! >>. Estelle continue : << Et alors, elle a réagi comment ? >>. Clémentine rajoute : << Tu as vu comme elle mâte vers la braguette de Julien. Tu as entendu ses allusions aux premiers beaux jours ! >>. Je conclue : << Elle est impatiente ! >>.

Sur ces mots et dans nos rires, voilà le tube Citroën de notre boulangère. Madame Marthe, hilare au volant, qui se gare au même endroit. << Je viens de déposer le pain chez vous. Vos parents n'étaient pas là ! >> dit elle à Estelle qui répond : << Maman est entrain de faire les courses. Papa est probablement dans un bureau de l'entreprise ! >>. Madame Marthe nous tend le cageot contenant les deux grosses miches, l'énorme brioche à la pâte d'amandes, les deux pâtes feuilletées et les deux gros croissants. Même commande pour samedi. Parfait.

Paiement par carte. Jamais d'allusions ni d'attitudes "déviantes" avec madame Marthe qui repart vers d'autres livraisons. Portant chacun un cageot, nous contournons la maison. C'est par derrière que nous redescendons à la cave. Dans le cellier où nous rangeons les fruits, les légumes. << Moules, petits pois et haricots verts je suppose ? >> demande Estelle en ouvrant le congélateur pour y glisser une des miches de pain. << Oh oui ! Le rituel du samedi ne serait pas ce qu'il est sans les moules ! >> répond Clémentine qui sort ma bite toute molle.

<< C'est pour moi ou pour Julie ? >> demande Estelle. Clémentine dit : << Prends tes gouttes ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Estelle pose le paquet de moules, les sachets de petits pois et de haricots verts dans le cageot avant de s'accroupir. J'adore l'effet ventouse de ses lèvres quand ma queue est toute molle. Elle la prend presque entièrement en bouche. Quand Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche mon érection est presque immédiate. << Mmhh, mmhh ! >> gémit Estelle qui suce la bite du docteur comme si sa vie en dépendait.

Je l'aide à se redresser. Clémentine s'accroupit à son tour. Juste avant de m'embrasser Estelle lui dit : << Respecte la posologie ! >>. Je me fais sucer comme un bienheureux. Je bande encore comme le dernier des salauds. J'aide Clémentine à se redresser. C'est en riant que nous remontons par l'escalier intérieur. Julie qui fait la poussière au salon vient de passer la serpillère dans la cuisine. C'est sur la pointe des pieds que nous la traversons pour ranger les produits frais dans le réfrigérateur. Julie apparaît soudain avec le seau et la serpillère. Souriante.

Je me tourne pour lui montrer ma queue à nouveau mollasse. Je dis : << Le vilain monsieur de la cuisine ! >>. J'aime voir Julie rire aux éclats en cachant son visage dans ses mains. << Nous aussi on les aime les vilains messieurs qui montrent leur "chose" aux filles ! >> lance Estelle. C'est en riant aux éclats que nous déposons une bise sur le front de Julie avant de quitter la cuisine pour le salon. Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine allument l'ordinateur. Aucun message dans notre boîte mail. Un courriel de Gauvain dans celle d'Estelle.

Gauvain a pour habitude d'envoyer des liens à Estelle. Cette fois c'est le lien d'un site qui permet de récupérer tous les mots de passe oubliés ou perdus. Elles surfent sur le site universitaire. Dans la petite enveloppe jaune je glisse un billet de 100 euros. Après tout Julie a également fait le ménage dans la maison d'amis mercredi dernier. Toute peine mérite salaire. Clémentine y rajoute un petit mot. Estelle dessine une étrange fleur. Je dessine le personnage de Marcel Gotlib, "Bitonio". Il est presque onze heures trente quand Julie nous rejoint.

<< Voilà, tout est propre et nos vacances ensemble s'achèvent ! >> dit elle d'une voix tellement triste. Pleine de cette fatalité qui nous émeut. Estelle et Clémentine se lèvent, contournent le bureau pour prendre Julie contre elles. Je les rejoins. Je passe derrière Julie en l'entourant de mes bras. À son oreille je dis : << À Pâques, une semaine ensemble, dans le Jura ! >>. Étouffant un sanglot, Julie s'écrie : << Je vais tout faire pour me libérer et venir avec vous ! >>. Je lui tends l'enveloppe jaune. << Merci. Je reviens lundi soir ! >> dit elle.

Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Il fait un peu moins froid. Nous déposons un dernier bisou sur son front. << Tu vas me manquer encore davantage Estelle, je te vois tellement rarement ! >> lance t-elle assise au volant, la vitre baissée. Estelle ne sait quoi dire devant l'air bouleversé de Julie. Elle finit par lâcher : << On s'organise un plan ! >>. Nous la regardons partir les yeux humides. Arrivée au portail elle souffle des bisous dans sa main pour nous les envoyer. Morts de faim, nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Il est presque midi.

Clémentine prépare l'assaisonnement de la laitue. Estelle réchauffe les petits pois et les haricots verts dans le wok. Je fait le bouillon pour y verser les moules. Tout a bien décongelé au-dessus de la cuisinière à bois. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la personnalité de Julie. Bisexuelle et amoureuse d'Estelle autant que de Clémentine. Éprise de moi dans une moindre mesure mais pleine d'affection et de tendresse. << De nous trois, quelle est ta salope préférée ? >> demande Estelle en se levant pour mimer une masturbation masculine.

Nous sommes pliés de rire. Je réponds : << J'aime la compagnie des salopes. Je m'ennuie tellement avec celles qui ne le sont pas ! >>. Estelle continue : << Et ta suceuse préférée ? >>. Là, je suis bluffé. Je n'ai pas de réelle préférence. Aussi je réponds : << Ma suceuse préférée est toujours celle qui est entrain de le faire ! >>. Estelle rajoute : << Bon, on va tester ça ce week-end ! >>. Nous rions. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille mes deux anges font l'itinéraire de la randonnée.

Quand elles ont leurs règles, Estelle et Clémentine adorent encore davantage marcher au grand air. En effet, la marche est une véritable thérapie. Préventive contre toutes sortes de maladies. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nos clowneries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Pressés de filer, nous redescendons à toute vitesse. La randonnée de cet après-midi va nous mener vers l'abbaye abandonnée. Ses bâtiments sont devenus des annexes agricoles pour des cultivateurs. Y sont entreposés des tracteurs et autres remorques.

Il y a quatre kilomètres jusqu'à la chapelle désacralisée où nous garons la voiture. Je roule doucement. Impossible d'interdire à Estelle de ne pas s'assoir sur le siège passager avec Clémentine. C'est donc ainsi que nous traversons le bourg. Ma queue dans la main de l'une ou de l'autre. Il y a d'autres voitures garées là. Nous chaussons les grosses godasses. Je porte le petit sac à dos. Il fait trop froid pour garder la bite à l'air. Nous prenons le chemin qui monte les collines. << On voit ma maison là-bas, les bâtiments de l'entreprise ! >> lance Estelle.

Il y a environ deux heures de marche sur le chemin. Il reste large sur sa plus grande partie. Parfois il n'est que sentier. Nous croisons d'autres marcheurs. Le plus souvent des groupes de quatre à six personnes. Des couples aussi. Voilà les bâtiments de l'ancienne abbaye. Seul le prieuré est resté vide. C'est une grande cour carrée entourée de hauts murs. Il n'y a personne. Il fait bien trop froid pour s'amuser comme nous aimons à le faire. Dans le hangar il y a des tracteurs. Une énorme moissonneuse batteuse. Des remorques. Du matériel divers.

<< S'il faisait chaud on pourrait baiser là, regardez ! >> lance Estelle en montrant les palettes empilées. << En prendre deux et en faire un lit ! >> rajoute t-elle. L'idée est plaisante. Hélas la météo l'est beaucoup moins. Il y a un groupe de marcheurs qui arrive. Eux aussi explorent les lieux. Nous buvons notre thé bouillant. Ça réchauffe bien. Chacun sa pomme, sa barre de céréales et nous repartons. Les arrêts pipis sont rapides. Impossible de donner libre cours à nos déviances. Par contre chacune peut me tenir la bite pour en diriger les jets.

Il est dix huit heures trente cinq quand nous arrivons à la voiture. Changement de godasses. Je me fais tripoter la queue durant le retour. Estelle étant une fois encore assise à côté de Clémentine. Je passe ma main droite entre les cuisses bouillantes de mes deux coquines. << Docteur Julien s'occupera t-il de mon cas ce soir ? >> demande Estelle, espiègle et mutine. << Tu pourras regarder ! >> répond Clémentine. Estelle est aussi voyeuse que Julie. Le programme des festivités de la soirée est donc convenu. Nous voilà enfin à la maison.

Tous les trois, assis à la table de la cuisine, nous épluchons les pommes de terre, les navets, les carottes, le céleri pour la potée de légumes. Nous en faisons en grande quantité. Demain à midi, les parents d'Estelle viennent manger. Ce sera un gratin de légumes. << Si tu montres ta queue de vieux cochon à ma mère, je te l'arrache avec les dents ! >> précise Estelle comme à chaque fois. Nous rions aux éclats quand Clémentine rajoute : << Mais où vas-tu chercher tout ça ! Julien ne montre pas sa bite aux femmes mariées. À moins qu'elle demandent ! >>

Nous rigolons comme des bossus. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la laitue. Estelle remue les légumes pour éviter qu'ils ne collent au fond de la vieille cocote en fonte. Je poêle trois magnifiques dos de cabillaud blanc. En fin de cuisson je rajoute un pot de crème fraîche. Des dés de Roquefort. Nous savourons ce repas en faisant le programme de la soirée. Clémentine et moi allons baiser comme des fous sous le regard d'Estelle qui va pouvoir s'adonner à son vice en se masturbant. Estelle a d'excellentes idées de scénarios bien salaces.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont s'offrir de grands moments d'extases. Renouveler leurs extravagances. Jouir peinards...

Docteur Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 24 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2173 -



Les parents d'Estelle viennent manger

Hier matin, dimanche, c'est Estelle qui me réveille. Il est aux environs de neuf heures. La dernière grasse matinée de ces vacances de février. << Bobo docteur ! >> murmure t-elle à mon oreille. Tout en saisissant mon érection naturelle. Je glisse instinctivement ma main dans sa culotte. Délicatement je caresse son pubis. Je pose ma bouche sur chacun de ses seins. À travers la soie de son pyjama je souffle de l'air chaud. Clémentine se réveille à son tour pour se frotter contre mes fesses alors que je suis couché sur le côté. Thérapie du docteur.

<< Mmhh, docteur, comme c'est bon ! >> fait Estelle. Clémentine passe sa main entre mes fesses pour attraper mes couilles par derrière. Elle me fait plein de bisous dans la nuque. Estelle se redresse pour s'assoir dans le lit. << Ah ! Je vais déjà mieux ! >> dit elle. Je suis entre mes deux anges. Tous les trois assis. Mes mains entre leurs cuisses bouillantes. Nous nous levons pour assouvir l'impérieux besoin de pisser qui nous torture. D'abord Estelle qui doit changer son tampon. Clémentine et moi nous nous habillons dans la chaleur de la salle de bain.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Estelle y fait le café en chantonnant. Clémentine presse les oranges, pèle les kiwis. J'allume la cuisinière à bois. Tous ces petits rituels de la vie quotidienne. Ces choses à faire et que nous faisons tous. Tous les jours. Sans pouvoir nous y soustraire. Nous prenons notre petit déjeuner en philosophant sur cet aspect de la condition humaine. Sans nous y attarder toutefois car nous trouvons préférable de revenir sur nos folies de hier soir. Baise sur bureau.

Estelle nous a regardé baiser. En se masturbant elle a assouvi son vice. Voyeuse incorrigible. Clémentine couchée sur le bureau, la tête sur un coussin, qui se branlait en étant pénétrée. Mes couilles battant ses fesses. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le programme de la matinée. Les parents d'Estelle viennent manger à la maison pour midi. Gratin de légumes avec pavés de saumon et sauce aux champignons. Chacun a une tâche précise. Nous traînons à table. C'est dimanche. Pas de stress. Assises sur mes genoux, mes deux anges mettent tout au point.

La vaisselle. Nous remontons pour nous laver les dents. Estelle quitte son pyjama pour se vêtir comme nous. Levis, chemises à carreaux, baskets. Nous prenons des poses ridicules devant le grand miroir ovale de la salle de bain. Je tiens mes deux anges par la taille. Elles aussi. Nous faisons des pas de danse en synchronisant nos mouvements. << On mettra sur Tiktok ! >> lance Estelle. Nous rions de bon cœur. Car nous n'avons ni Facebook, ni Tiktok, ni Instagram. Ce n'est qu'une boutade. Tout cela nous paraît tellement dérisoire, inutile et ridicule.

Nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks. Le thermomètre extérieur indique 2°. Il y a un vent glacial. Les gants, les bonnets. Nous allons jusqu'à la rivière sous un ciel menaçant. Il y a même de fins flocons de neige tourbillonnant dans les bourrasques. Nous faisons quelques pas le long du sentier. Les canards, les poules d'eau et les colverts semblent totalement indifférents aux conditions polaires. Nous remontons pour remplir la brouette d'une vingtaine de bûches. Deux voyages pour empiler le bois dans l'atelier, dans le salon, la cuisine.

Il est onze heures. Clémentine prépare l'assaisonnement d'une belle salade d'endives. Estelle s'occupe des pavés de saumon qu'elle poêle délicatement. Sans cesser de les retourner. Sur la partie la moins chaude de la cuisinière à bois. Je remplis le grand plat carré en terre cuite de légumes. Pommes de terre, carottes, navets, céleri. J'y verse le mélange œuf, lait de soja, moutarde à l'ancienne. Je recouvre d'une bonne couche de gruyère suisse proposé par Danièle lors de sa livraison hier matin. Je place dans le four électrique. Cuisson douce à 180°.

Il me reste à concocter une sauce aux champignons à partir de farine dorée dans du beurre et délayée avec du lait de soja. Tout est prêt. Il est presque onze heures quarante. << Sors ta bite sel te pli ! >> me fait Estelle qui vient se pendre à mon cou. Je dis : << Je peux la laisser dehors pour l'arrivée de madame votre mère alors ! >>. Elle m'empoigne la braguette ouverte avec force en s'écriant : << Si tu fais ça aujourd'hui, je t'émascule ! >> Nous rions de bon cœur. Nous portons tous les trois de ces tabliers noués sur les reins. Ça cache le Zob.

Nous nous serrons tous les trois comme nous le faisons souvent. C'est tellement bien ensemble. Notre "couple à trois" comme le précise Estelle qui dénoue mon tablier. Nous nous couvrons les visages de bisous en restant serrés. C'est le dernier jour des vacances. Le dernier enchantement paradisiaque avant le prochain. Estelle devra nous laisser ce soir. Nous voulons savourer chaque instant d'ici cette échéance. Nous quittons nos tabliers pour aller dresser la table au salon. Le chemin de table en lin écru. Les assiettes en grès, les couverts en laiton.

Deux grandes bougies naturelles au milieu. Estelle fait de savants nœuds dans les serviettes qu'elle dépose comme des fleurs dans les verres ballons. Les carafes de jus de mangue, de jus de kiwis. Dans le cercle de nos relations personne ne consomme d'alcool. Ne fume ou ne se Pierre Palmadise. Par contre il y a de gros consommateurs de jus de fruits rares. J'ouvre le portail depuis l'interphone du hall d'entrée. Estelle vérifie une dernière fois. Oui, ma braguette est correctement boutonnée. Je passe ma main entre ses cuisses en disant : << Toi alors ! >>

Voilà mon ancienne Mercedes qui descend lentement sur les pavés autobloquants du chemin. Nous accueillons Michèle et Yvan en haut de l'escalier. Nous les débarrassons du grand Tupperware rond qui contient la tarte du dessert, de leurs anoraks. Les parents d'Estelle sont habillés exactement de la même manière. Tout comme nous ils aiment à se ressembler. Levis, chemises blanches sous des pulls noirs aux cols en "V". Je surprend le furtif regard de Michèle. Elle aussi vérifie le parfait boutonnage de ma braguette. Ce qui n'échappe pas à Estelle.

Je propose de faire le service en invitant tout le monde à prendre place. << Je fais une belle flambée dans la cheminée ! >> lance Estelle en prenant son papa par le bras pour l'entraîner. << Je viens avec vous ! >> me fait Michèle. Clémentine me fait un clin d'œil en rajoutant : << Je vous rejoins ! >> Je sais qu'elle ment effrontément pour rassurer Estelle. Parce que dès que nous quittons le salon elle se précipite vers les toilettes. Me voilà seul avec la maman d'Estelle sublime bourgeoise de presque cinquante ans. Elle me fait un sourire par en-dessous.

J'ai envie de la prendre dans mes bras. Elle ressemble tellement à Estelle. Ses yeux noisettes claires sont exactement les mêmes. Michèle fixe ma braguette avec ostentation. Tout en demandant : << C'était bien ces vacances ? Vous aviez de la compagnie à ce que m'a dit Estelle. >> . Je me contente de sourire. Elle m'adresse un clin d'œil. Michèle pointe son index en direction de ma braguette pour rajouter : << Quelle ruse vas-tu mettre en œuvre pour me la montrer aujourd'hui ? >>. Je demande : << Tu veux la voir ? >>. Elle répond : << J'aime ! >>.

J'écoute. Je regarde l'encadrement de la porte. Nous percevons des voix depuis le salon. Je déboutonne rapidement ma braguette. Mon cœur bat la chamade. Je sors ma queue avec difficulté car je bande déjà comme le dernier des salauds. Clémentine surgit. Elle se lèche les babines en découvrant mon exhibition. Michèle se tourne vers Clémentine pour murmurer : << Mon mari a les mêmes passions. Nous sommes des veinardes et des chanceuses ! >>. Je remballe immédiatement. Juste à temps car Estelle jaillit soudain dans la cuisine. Diable.

Elle nous regarde tous les trois avec son air suspicieux. << Et alors, cette bouffe ? >> lance t-elle en me jetant un regard lourd de reproches. Se douterait-elle de quelque chose ? Yvan nous rejoint à son tour. << J'adore votre immense cuisine ! >> dit il. << C'est vrai, on aime bien y manger aussi ! >> fait Michèle. Je propose de dresser la table dans la cuisine. << On s'en fout ! >> rajoute Michèle. Je sors le gratin de légumes du four. Michèle se saisit du saladier. Clémentine de la sauce. Avec cruauté Estelle me pince discrètement les fesses.

Nous mangeons de bon appétit. Yvan évoque son prochain déplacement en Écosse. L'ouverture de la filiale de son entreprise est prévue pour septembre. Les parents d'Estelle passeront leurs vacances d'aout dans le petit cottage qu'ils souhaitent acquérir à quelques miles d'Inverness. Il faudra recruter un cadre, des employés qualifiés. Ce qui implique de fréquents voyages en avion. Estelle et Clémentine évoquent leurs rentrées demain matin. Michèle me jette de discrets regards. Un petit jeu de séduction sous l'étroite surveillance d'Estelle.

Je me prends quelques coups de pieds sous la table. Un véritable dragon. Nous traînons longuement après le repas. Je débarrasse. Estelle ne me lâche pas la semelle une seule seconde. Nous possédons un lave vaisselle. Mais quel plaisir convivial de faire la vaisselle ensemble. Nous rions de quelques plaisanteries concernant les voyages aériens d'Yvan. Il y a toujours d'amusantes anecdotes avec des passagers inconnus. << Il y a de très belles hôtesses de l'air ! >> précise Michèle. << En avion elles ont les fesses en l'air ! >> précise Yvan. Nous rions de bon cœur.

Nous enfilons nos anoraks pour aller faire une balade digestive. Estelle reste au bras de son papa chéri. Ils ouvrent la marche. Michèle reste au bras de Clémentine qui reste accrochée au mien. Il est quinze heures trente quand nous sommes de retour. Confortablement vautrés dans le canapé, les fauteuils, nous dégustons la tarte aux pommes confectionnée par Michèle. Un thé au jasmin dans les tasses fumantes. Estelle entretient soigneusement le feu dans la cheminée. Nous philosophons sur cet hiver qui n'en finit pas. Des anecdotes existentielles.

Michèle, comme toutes les vicieuses rusées et discrètes, sait profiter de chaque instant d'inattention pour me lancer un regard suggestif. Je bande à plusieurs reprises. C'est contraignant et désagréable car ma bite est tordue au fond de mon slip. Je donnerais cher pour l'ajuster. Par contre, pour faire bouger ces érections sauvages, il me suffit de contracter les muscles fessiers. Ça fait bouger la bosse. Je dois redoubler de prudence car je suis sous étroite surveillance. Même si c'est devenu un jeu, Estelle reste intraitable au sujet de sa maman.

Il est dix sept heures quand nous raccompagnons Michèle et Yvan jusqu'à leur voiture Dans le froid glacial. Un vent à décorner les bœufs. Un dernier coucou et nous nous dépêchons de rentrer au chaud. À peine dans le hall qu'Estelle m'empoigne la braguette avec force. C'est douloureux. << Raconte tes saloperies, dis-moi tout avant que je ne te la coupe ! >>. Clémentine, pliée de rire, s'écrie : << J'ai tout vu. C'était très correcte tu sais ! Julien n'a pas montré sa bite à ta mère plus de trente secondes ! >>. Estelle feint la colère et serre sa main.

<< Vieux déchet ! >> me fait elle en serrant ses deux mains qui tiennent ma braguette. Elle fourre sa langue dans ma bouche. C'est une méthode imparable pour procurer chez moi une érection instantanée. Ce baiser vengeur devient rapidement fougueux avant d'être excitant. Estelle cesse, s'accroupit, me déboutonne. Quand je bande, avec l'étroitesse d'une braguette boutons de 501, la difficulté est grande. Pourtant Estelle me sort une bite dure, dégoulinante de liquide séminal. << Regarde-moi ce salaud. Il a mouillé tout le temps ! >> dit elle.

Clémentine s'accroupit à ses côtés pour observer de plus près. Il y a une coulure de jute qui pend sur une bonne dizaine de centimètres. D'un mouvement de tête gracieux, en lâchant ma queue qu'elle prend en bouche, Estelle se met à sucer passionnément. Ces petits mouvements de mâchoires qui creusent ses joues. C'est magnifique. Elles se refilent toutes les deux ma bite. Je les aide à se redresser pour les entraîner par la taille au salon. L'ambiance créées par les flammes dans la cheminée. Seule lumière dans le crépuscule qui s'installe.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont s'offrir de la bite avant la potée de légumes. Recommencer après un bon repas...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 25 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2174 -



La rentrée

Hier matin, lundi, l'application "océan" nous arrache de nos profonds sommeils. Avec cruauté. Le cri des mouettes. Le bruit du ressac. La sirène d'un gros bateau dans le lointain. Tout le toutim pour nous bercer de l'illusion de nous réveiller dans un port. Clémentine se serre contre moi en murmurant : << Je ne peux pas, je reste au lit ! >>. Il est presque six heures. Quelques bisous, quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Les radiateurs viennent d'entrer en fonction. Il fait froid. C'est dans la salle de bain que nous nous habillons.

Morts de faim, dans nos vêtements de sport, nous dévalons les escaliers. Dans la cuisine, j'allume immédiatement la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis en me parlant de ses rêves. Elle n'est pas encore vraiment réveillée. Alors quand elle trébuche sur des mots, nous rions. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. Quelques folies habituelles qui nous laissent épuisés ce matin encore. Nous mangeons de bon appétit en envisageant toutes celles à venir. Ce soir par exemple. Julie.

Julie qui vient passer la soirée avec nous. Je suggère un gratin de choux fleurs. Le retour des grands fois est propice à la dégustation de bons gratins. Clémentine trouve la suggestion parfaite. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. On en a bien besoin pour émerger complètement. Clémentine me confie que si elle s'allonge, elle se rendort aussi sec. Les échauffements de l'aérobic. Excellente mise en condition pour attaquer les joggings sur tapis roulants. Les exercices au sol avec abdominaux et les gainages.

Viennent les charges additionnelles. Là, on ne dort plus. Les étirements d'un stretching bâclé achèvent de nous réveiller complètement. La douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Le froid est glacial. Un vent polaire. Le thermomètre extérieur indique 2°. Il fait bien jour puisque les journées rallongent considérablement. Clémentine vient me rejoindre dans son anorak, sous son bonnet, sa capuche. Un dernier bisou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou.

Je m'empresse de retourner au chaud pour faire notre vaisselle, notre lit. J'allume un beau feu dans la cheminée de l'atelier. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je reprends la peinture de cette dernière scène de genre destinée à ma saison d'été. Déjà seize toiles alors qu'il m'en faut vingt quatre. Je suis dans le timing habituel. Je peins en retrouvant ma passion. M'y plongeant corps et âme. Des pensées précises me reviennent. Ces vacances de février ont été denses. Intenses. Mais elles le sont toutes. De grands souvenirs.

Il est presque midi. Je mets deux bûches de hêtre dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Là aussi je rajoute une bûche de chêne dans la cuisinière à bois. Il reste de la potée de légumes. Je réchauffe. Avec une rapide salade de carottes et un filet de colin poêlé, ça va le faire. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff reçoit aujourd'hui un journaliste d'investigation. Il est question de l'OMS qui depuis Genève, en Suisse, non membre de l'UE, va imposer de nouvelles mesures sanitaires. Ils reviennent avec cette saloperie.

Je décortique et je lave un magnifique choux fleur. Pendant que je le laisse tremper dans de l'eau vinaigré, je concocte une Béchamel. Je passe le choux fleur à l'autocuiseur cinq minutes. Je le mets dans le grand plat carré en terre cuite. Je verse la Béchamel avant de recouvrir d'une copieuse couche de cet authentique et délicieux gruyère Suisse recommandé par Danièle samedi dernier. La Suisse ! Par association d'idées avec l'émission d'André Bercoff je pense aux propos du journaliste quand à l'OMS. Une des plus grandes organisations criminelles.

Je saupoudre le tout de chapelure, de graines de sésame grillé. Onze cerneaux de noix posés en carré. Je place au four électrique pour une cuisson longue et lente à 180°. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller faire quelque pas au dehors, je dévale les escaliers. J'enfile mon anorak. Le thermomètre extérieur reste bloqué à 5°. Le froid est vif. Il pique les oreilles malgré la laine du bonnet. Je vais jusqu'à la rivière. Le ciel est nuageux, bas, gris et suggère la neige. Un hiver long. Surtout après les beaux jours de la semaine dernière.

Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans le même état d'esprit que ce matin. Hanté des images de ces vacances. L'après-midi passe si vite qu'il est déjà 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table avant de me rejoindre. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, en inondant mon visage de bisous, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Je vais passer mes après-midi en salle de documentation, sympa ! J'adore y être ! >> explique t-elle.

Elle a encore du travail. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, elle commente à voix haute ce qu'elle fait. Parfois elle chantonne. J'adore peindre en l'écoutant. Il est dix huit heures trente quand Clémentine s'écrie : << Et là, j'arrête ! Si ! Carrément ! >>. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine range ses affaires. À peine sommes-nous devant le petit lavabo de l'atelier que Julie fait son apparition. Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets. Julie fait trois bises sur ses joues. Trois bises sur les miennes. Je pisse.

<< Tu veux secouer les dernières gouttes ? >> demande Clémentine. << Oh oui je veux bien ! >> répond Julie. Elle se saisit de ma bite mollasse pour la secouer, la vider en essorant la peau du prépuce qu'elle tire de sa seconde main. Cette scène surréaliste est également très excitante. C'est quand je bande mou que Julie se penche pour mieux observer. Ce n'est pas la première fois qu'elle fait ça. Et certainement pas la dernière. << J'adore trop faire ça ! >> précise t-elle. Nous en rions de bon cœur. Clémentine, accroupit, qui se régale des reliquats.

J'aide Clémentine à se redresser. Julie ouvre de grand yeux. Comme si elle assistait à ce rituel pour la première fois. Clémentine lui présente ma queue en disant : << T'en veux ! >>. Julie se penche en avant pour suçoter un peu. Timidement. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Lorsqu'elles découvrent toutes les deux ce que je tire du four électrique pour le mettre dans le four à bois hyper chaud. Elles s'écrient : << Génial ! >>. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de concombre. Julie met les assiettes et les couverts. Je surveille la cuisson.

Je sors le gratin de choux fleur. Doré, fumant, parfumant soudain toute la grande pièce. Clémentine se serre contre mon dos. Ses bras autour de ma taille. Julie nous fait le plus merveilleux sourire. Elle regarde la bosse sous mon tablier de cuistot. Clémentine lui demande : << Des petites aventures au restaurant ces deux derniers jours ? >>. Julie répond : << Non, rien de remarquable ! Par contre Jean-Louis s'occupe beaucoup plus de ma tante que de moi ! Elle aussi adore se faire sodomiser ! Salope ! >>. Nous en rigolons comme des bossus.

<< Vous vous disputez la queue du Chef cuisinier alors ! >> s'écrie Clémentine. << Parfois oui ! >> lance Julie. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les moments clefs de nos vacances communes. << Estelle m'a fait un gentil mail ! >> précise Julie. Dans le flot de la conversation, comme je le fais habituellement lorsque la conversation est axée sur le sexe, je me lève pour agiter ma queue. Julie cesse même de mastiquer pour observer. Clémentine me fait des clins d'œil. Je dis : << Julie, à Pâques, une semaine avec nous dans le Jura ! >>

Elle répond : << Oh oui, je vais organiser ça ! Je veux absolument en être ! >>. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur les vacances dans le Jura. C'était nos premières vacances ensemble il y a six ans. Julie écoute, pose parfois une question. Je les écoute discuter. Julie est assise sur sa chaise. elle n'ose pas soutenir mes regards. C'est amusant. Nous faisons la vaisselle avant de passer au salon. Il y a juste la lueur des deux grosses bougies du chandelier. Julie assise dans le fauteuil.

Clémentine et moi dans le canapé. Tout en bavardant, Clémentine joue avec ma queue. Julie est toujours terriblement excitée dans ces moments. On la remarque quelquefois agitée. Essayant de ne pas montrer son trouble. C'est adorable. Nous savourons le thé au jasmin et les petits gâteaux. Pour amplifier encore un peu plus l'ambiance torride, je me lève. Je m'approche de Julie pour me positionner devant elle. Je reste à environ un mètre. Cambré sur mes jambes fléchies, je me branle comme un dément. J'accélère. Je ralentis. Je cesse. Je reprends.

Comme affolée Julie, hypnotisée, remonte ses mains entre ses cuisses serrées. C'est comme si elle consultait Clémentine du regard. Clémentine qui se lève pour venir s'accroupir à ma droite. Ses bras autour de ma jambe, sa tête posée sur ma cuisse. Je peux discerner la respiration haletante de Julie qui reprend son souffle après ses apnées. Je me tourne vers Clémentine qui se met à genoux. Ses mains sur mes fesses. Je frotte ma bite sur son visage. Julie, n'en pouvant plus, déboutonne son pantalon pour y fourrer sa main droite. Trop excitée.

Clémentine saisit ma bite. Je bande comme le dernier des salauds. Elle l'agite en direction de Julie. De l'index de son autre main elle lui fait signe de la rejoindre en passant sa langue sur ses lèvres. Julie se masturbe. Elle est toute rouge. Des gouttes de sueur perlent sur ses joues. C'est beau de les voir briller. Elle hésite. Esquisse un mouvement. Il est déjà neuf heures quinze. Julie devra nous laisser pour 22 h. Nous comprenons son hésitation. C'est frustrant de devoir quitter un moment intense sans arriver au bout d'un plaisir volontairement long.

Julie est comme nous. Plus longtemps ça dure, meilleur c'est. Elle finit tout de même pas se lever. Elle contourne la table basse pour venir s'accroupir à côté de Clémentine qui cesse de sucer. Julie me fait un furtif sourire avant de fermer les yeux en m'offrant son visage. J'y frotte ma queue. Clémentine, à genoux sur un des coussins, bien droite, observe. Je caresse sa tête, ses cheveux. Tout comme je le fais à Julie. Elle ouvre soudain la bouche. J'y enfonce ma turgescence. Julie se met à sucer. Elle tousse. Sans doute une forte giclée de liquide séminal.

Clémentine chuchote à son oreille : << C'est délicieux, hein ? >>. Sans cesser de sucer Julie répond par un gémissement affirmatif. J'aime voir ses joues creusées par l'effort de succion. Ses yeux fermés. Une expression de profonde concentration. Clémentine se redresse car Julie ne semble pas très partageuse ce soir. Totalement consacrée à cette fellation de plus en plus juteuse. On discerne bien les premiers gargouillis. Souvent suivis des toussotements de Julie qui a du mal à déglutir l'abondance de mes montées de jute. Je reste immobile.

Clémentine, contre moi, sa tête sur mon épaule, son bras autour de ma taille, observe cette superbe pipe. Je regarde l'horloge Westminster entre le les deux bibliothèques. Il reste une dizaine de minutes. Vais-je balancer la purée ou la garder pour Clémentine une fois que nous serons couchés ? Je pose la question à l'oreille de Clémentine. Pour toute réponse elle enfonce sa langue dans ma bouche. Ce qui me propulse au zénith de mon excitation. Je me concentre. Je maîtrise toujours parfaitement mes pulsions. Je saisis les oreilles de ma suceuse.

Elle ouvre de grands yeux quand j'enfonce davantage de Zob. Il y a de la jute qui dégouline de sa bouche. Je suis tellement juteux. De son index Clémentine récupère ce qui suinte des lèvres de Julie. Elle porte son doigt à sa bouche pour ne rien perdre. En sournois, immobile, en contractant mes muscles fessiers pour que les derniers instants soient meilleurs, j'éjacule. Trois saccades. Julie, comme affolée, tente d'avaler. Surtout que je bloque sa tête sans lui laisser d'autres alternatives. Elle tousse, a des hauts le cœur. Pousse des râles. C'est intense.

Bonne nuit à toutes les coquines qui adorent assister aux extravagances juteuses de leurs coquins. Surtout lorsque l'invitée est gourmande...

Julien (juteur fou)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 26 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2175 -



Le retour d'Estelle en soirée

Il est presque six heures hier matin, mardi. Les illusions de l'application "océan" voudraient nous faire croire que nous nous réveillons dans un port de pêche. Le cri strident des mouettes. Clémentine se serre encore plus fort contre moi en gémissant. << C'était bien hier soir ! >> murmure t-elle en se frottant contre ma hanche. Saisissant mon érection naturelle. Il faut se lever. Quelques rapides papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain nous enfilons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra jaune. Nous dévalons l'escalier.

J'allume immédiatement la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier. La présence de Julie qui nous a extraordinairement excité. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le retour d'Estelle ce soir. Clémentine la voit ce matin en cours. Elle lui fera des bisous de ma part. Il est 6 h25. Nous remontons. L'entraînement est vital si nous voulons émerger complètement. Car avec nos folies avant de dormir, nous avons encore la tête dans le sac le matin.

Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol et abdos. Cette routine nous met en condition pour nous réveiller complètement en manipulant les charges additionnelles. Les étirements d'un stretching assez surréaliste pour conclure. La douche. Je dévale les escaliers en premier pour aller faire chauffer la voiture. Il fait le même froid polaire que hier. Par contre le vent est moins fort. Il est presque 7 h45. Le jour est levé sous un ciel gris. Clémentine vient me rejoindre déguisée en esquimau. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Dernier coucou.

Je me dépêche de rentrer au chaud pour faire la vaisselle, le lit. Dans l'atelier j'allume la cheminée d'une belle flambée. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant. La peinture de cette huitième et dernière scène de genre m'accapare complètement. Je peins dans une extase délirante. Poussant des cris surréalistes à chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent. Je ne vois pas les heures défiler. Il est presque midi quand je quitte l'atelier pour la cuisine. Il reste du gratin de choux fleur à réchauffer.

Avec une laitue dont je lave les feuilles. Il y en aura pour ce soir. Je n'ai que l'assaisonnement à faire. C'est rapide. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff reçoit un journaliste et un scientifique. Il est question du mensonge Covid. De tous ces lanceurs d'alertes qui ont été traités de complotistes, de tous ces médecins qui ont été réduit au silence et traités de charlatans. Une commission d'enquête confiée au sénat américain ouvre des investigations prouvant les mensonges d'État et les manipulations de l'opinion.

Dans le saladier je prépare une pâte à pain. Farine complète. Levure boulangère. Huile d'olive, gousse d'ail pressé, sel. J'aime y rajouter du Parmesan finement râpé. Là, je l'ai réduit en poudre. Je la travaille longuement jusqu'à rendre la pâte onctueuse, à la fois ferme et élastique. Dans la poêle je fais revenir ail, oignon. J'y rajoute des champignons noirs que je viens de réhydrater. Enfin les rondelles de tomates. Il n'est pas question de les réduire en bouillie. Mais juste de les saisir. Elles gardent leur apparence et leur saveur. Je râpe du Parmesan. Moins fin.

La vaisselle. Je remonte me laver les dents. Pressé d'aller prendre la température, je redescends à toute vitesse. J'enfile mon anorak. Bonnet, gants. J'affronte les six degrés avec bravoure pour aller jusqu'à la rivière. Le niveau de ses eaux est étrangement bas. Comme en plein été caniculaire. Nous aurons certainement droit aux contraintes restrictives et préfectorales sous peu. En remontant je tombe sur notre voisin le plus proche. Monsieur Bertrand vêtu comme un trappeur qui descend à la rivière pour emmener du vieux pain à ses amis canards.

Nous bavardons un peu. << Vous avez vu ! Cette salope de Ursula Van der Leyden qui a magouillé avec les laboratoires pharmaceutiques ! On nous a vraiment roulé dans la farine avec cette pandémie pipeau ! >> lance Louis. J'écoute avec intérêt car l'ancien syndicaliste à la retraite reste attentif aux informations. Informations qu'il va chercher hors des médias mainstream. Il fait bien trop froid pour s'attarder plus longtemps. << Bonjour à Clémentine ! >> dit il en me saluant de la main. Je me dépêche de rentrer au chaud. Installé dans l'atelier.

Je peins animé de la même extase que ce matin. Même si quelquefois les pensées se fixent sur les évènements à venir. Les duplicités des gouvernants. Rapidement toutefois mon esprit retourne à des préoccupations beaucoup plus jouissives. Je suis abimé dans ces réflexions lorsque la musique imbécile de mon téléphone m'en tire avec violence. En maugréant je le saisis. Quelle surprise, c'est Juliette. << Bonjour ! Je t'appelle pour te rappeler que vous êtes invités demain soir ! >> dit elle. Je la rassure. Nous n'avons pas oublié. Nous bavardons.

Il est assez rare que Juliette m'appelle en journée. Le plus souvent elle nous adresse des courriels. Il y a une circonstance un peu particulière qui la motive. Madame Walter, sa collaboratrice, aimerait passer commande d'un portrait d'elle et de son mari. Pour les dix sept ans de leur mariage. Pierre et Bernadette se sont connus à la faculté et ont attendu longtemps avant de s'unir. << Donne-moi un ordre de prix que je puisse la mettre au parfum ! >> me fait Juliette. Cette étrange façon de me tutoyer est toute récente. J'apprécie. C'est insolite.

J'informe Juliette. Mes prix sont dissuasifs. Madame Walter aimerait me passer commande pour le mois de septembre. Je suis dans les clous avec mon timing. Si Bernadette accepte mon prix le portrait sera disponible à la mi juin. << Je m'en occupe. On traite l'affaire ensemble ! Je suis pressée de vous voir demain soir ! >> conclue Juliette. Nous nous saluons. Je peins en pensant à Juliette. Cette sublime bourgeoise de quarante huit ans. Moi aussi je suis impatient de la revoir demain soir. Avec les vacances ça fait trois semaines sans nous voir. Sympathique.

Les heures défilent. Échappant complètement à mes sens. Si tout se passe normalement j'aurai terminé cette toile demain en fin d'après-midi. Je fignole le visage du second personnage féminin. Je travaille avec une loupe frontale. Ce sont la plupart du temps les visages de Clémentine et d'Estelle que je donne aux protagonistes de mes créations. Depuis une année, c'est parfois le visage de Julie qui me sert de modèle. Leurs photos sont punaisées aux montants de mon grand chevalet d'atelier. Je pense au visage de Juliette pour les prochains.

Il est 17 h30. Je le sais car j'entends du bruit. J'entends même chantonner. Clémentine entre dans l'atelier. Elle jette son cartable dans le fauteuil à bascule. Elle se précipite vers moi pour s'installer à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << C'est hyper cool. Avec Estelle on passe nos après-midi en salle de documentation ! >> me confie Clémentine en ayant un mouvement rythmé avec son bassin. << Je t'aime ! >> rajoute ma délicieuse masturbatrice. Des bisous.

Comme elle a encore ses notes à mettre au propre, Clémentine s'installe devant son ordinateur. Je peins en l'écoutant chantonner. Ce sont les moments les plus exaltants de mes séances de peintures. Il est 18 h30 lorsqu'elle range ses affaires. << Tu sais que je fais du super boulot en salle de documentation. On est peut-être une vingtaine. Nous avons chacun un petit bureau. Estelle à côté de moi ! >> m'explique t-elle alors que je nettoie la palette, les pinceaux. Je retire ma blouse pour me diriger vers le lavabo. Clémentine se lève en regardant ma bite.

<< J'aime quand tu prépares ton coup ! Tu l'avais dehors depuis quand ? >> me demande ma douce voyeuse. Je réponds : << Quand tu as allumé ton ordinateur ! >>. Elle dit : << Cachotier ! >>. Clémentine vient me rejoindre alors que je me lave les mains. Elle tient ma queue pour en diriger les jets. Elle chuchote à mon oreille : << Parfois dans l'après-midi, je pense à ça. Ça me fait sourire ! >>. C'est quand elle secoue les dernières gouttes que je pose mes lèvres sur sa joue. C'est doux, c'est chaud. Clémentine me la tient de plus en plus fermement.

Lorsqu'elle enfonce sa langue dans ma bouche, mon érection est quasi immédiate. Imparable. Quand elle roule pour rentrer, Clémentine aime à croquer une pomme. Aussi, dans son baiser il en subsiste le goût. C'est un délice. Elle me masturbe doucement. Je murmure : << J'ai envie de te faire l'amour ! >>. Elle chuchote : << Quelle bonne idée ! >>. Du bruit. La porte s'ouvre sur Estelle qui entre dans l'atelier comme une bourrasque de vent. Elle se précipite vers nous. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Estelle cherche à attraper mon sexe.

Clémentine n'est pas partageuse. Ce qui les fait rire. Il commence à faire faim. Je suis entre mes deux anges. Nous regardons les dernières flammes danser dans l'obscurité. Elles me tiennent par les hanches. Ma bite pend langoureusement. En stéréo, en même temps, elles posent leurs lèvres sur mes joues. Cette fois c'est Estelle qui s'empare de mon chibre. << Mon doudou ! >> lance t-elle en s'accroupissant devant moi. Elle hume longuement avant de dire : << J'aime quand ça sent fort ! >>. Clémentine demande : << Comme un dimanche soir ? >>.

J'aide Estelle à se relever en disant : << Ce soir, après le repas, que diriez-vous d'une baise sur bureau ? >>. Nous rions aux éclats quand Clémentine s'écrie : << Oh ! Comme c'est original ! Voilà une excellente idée ! >>. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine prépare l'assaisonnement du reste de la laitue déjà lavée. Estelle travaille la pâte. Je réchauffe la garniture pour la rendre fluide. Je râpe de ce délicieux gruyère Suisse ramené par Danièle. << On va arrêter le gruyère de Comté pour le bon gruyère d'Alpage ! >> lance Clémentine.

<< C'est vrai qu'il est infiniment meilleur. Il picote délicatement la langue ! >> rajoute Estelle. Estelle étale chacune des quatre boules sur les plaques du four à bois. J'y verse la garniture que Clémentine étend avec la spatule. Virtuose, en la ramenant tout au bord sans en renverser. Estelle couvre de gruyère. Au four à bois. La quatrième pizza sera mon repas de midi demain. << Petit veinard ! >> fait Estelle en passant sa main sous mon tablier pour saisir mon sexe tout mou. Il faut surveiller la cuisson car le four à bois délivre une chaleur d'enfer.

Clémentine enfile les maniques pour sortir les pizzas. Je mets les assiettes. Estelle serrée contre mon dos qui ne lâche pas ma queue. << Tu me la mets ce soir ! Hein ! >> s'exclame t-elle alors que je me tourne en saisissant ses poignets. Je réponds : << Promis ! >>. Les pizzas, dorées, fumantes sur la table parfument toute la cuisine. Nous mangeons de bon appétit. Comme des affamés. Estelle ne manque jamais de nous gratifier de son imitation préférée. Debout, entre deux bouchées, elle mime une masturbation masculine avec sa vulgarité habituelle.

De voir une jeune fille, belle comme un matin d'été, avoir des attitudes vulgaires reste une de mes préférences. Je me lève pour faire "l'hélicoptère". Nous ne mettons jamais de câpres ou d'olives sur nos pizzas. On n'aime pas. Estelle nous fait remarquer que celles qui sont servies au restaurant universitaire sont garnies d'olives noires. << C'est dégueu ! Tu vois tout le monde cracher son noyau pour le poser sous l'assiette ! >> lance Estelle. << Beurk ! >> fait Clémentine. Nos pizzas n'ont rien de traditionnelle. Nous préférons nos recettes.

Nous ne trainons pas. Estelle devra nous laisser à 22 h. Il reste deux heures. La vaisselle. Mes coquines m'entraînent par les bras jusqu'au salon. Elles me font tomber dans le canapé. Je tiens ma queue toute molle. Toutes les deux, debout sur le bureau, m'offrent un strip-tease très particulier. Elles restent en chemises à carreaux et en chaussettes. Je suis plié de rire en les voyant faire les clowns. Estelle descend du bureau la première. Elle vient récupérer deux des épais coussins. Elle retourne au bureau pour les disposer au milieu. Bureau victorien.

Toutes les deux, debout devant le bureau, se touchent. Clémentine relève les pans de sa chemise pour me montrer son invraisemblable touffe. Celle d'Estelle n'a rien à lui envier si ce n'est qu'elle est moins dense à l'intérieur des cuisses. Je me paluche. Nous adorons tous les trois faire durer ces instants intenses. Clémentine tient son clitoris géant entre le pouce et l'index. Elle écarte bien ses poils pour que je puisse mieux voir. Estelle saute la première pour s'assoir sur la surface du bureau. Clémentine la rejoint. Un mètre les sépare. Je regarde.

Toutes les deux, avec une expression coquine, agitent l'index de leur main droite. Elles m'invitent à les rejoindre. Je me lève. Je tiens mon érection à pleine poigne. Je dois garder mon Levis. C'est juste avec la braguette ouverte que mes deux anges aiment me voir approcher. Elles se couchent sur le dos, têtes posées sur les coussins. Toutes les deux se masturbent. Je me positionne entre les cuisses d'Estelle. Je frotte mon sexe contre le sien. Je passe à Clémentine pour faire de même. Je reproduis plusieurs fois. Comme pour créer une impatience.

Je pénètre Estelle. Doucement, centimètre par centimètre. Elle en gémit déjà de plaisir. Ça coulisse car la coquine est mouillée. Je me retire pour pénétrer Clémentine. Même traitement. Ça glisse car elle est trempée. Quand je quitte l'une pour m'enfoncer dans l'autre, il y a de la mouille qui dégouline. Ce n'est pas la mienne. Mes deux anges sont tellement excitées. Parfois, lorsque je me retire, c'est pour sucer le clitoris de ma "victime". Elles cessent alors de se masturber pour se laisser sucer. C'est là que les gémissements atteignent leur paroxysme.

Je baise Estelle comme elle aime. À la hussarde. En haletant, en sueur, elle s'écrie juste avant l'orgasme : << Tu me prépares pour demain soir ! >>. Elle me repousse en se tournant sur le côté, les mains entre ses cuisses serrées en poussant de petits cris. Clémentine, accroupit au-dessus de la cuvette, se masturbe en pissant. C'est trop bon. Elle n'a pas le temps de se rallonger sur le dos. Un orgasme qui la fait hurler la surprend soudain. Je l'attrape par les épaules pour qu'elle ne tombe pas. Elle éjacule de la cyprine laiteuse dans sa pisse jaune.

Nous reprenons nos esprits. Je tiens ma queue dégoulinante de nos jus. Je suis en sueur. Clémentine saute du bureau pour se serrer contre moi. Estelle s'habille la première. Clémentine fait pareil. << Je t'aime ! >> lance t-elle. << Moi aussi ! >> s'écrie Estelle. Nous restons serrés tous les trois. << Et toi ? >> me demande Estelle. Je réponds : << Ce sera dans la bouche de Clémentine sous la couette ! >>. Estelle s'exclame : << Veinarde ! >>. Clémentine dit : << Demain soir tu te fais sauter par ton parrain ! Veinarde aussi ! >>? Nous rions.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont se régaler d'une queue juteuse. Vider des couilles pleines de jus avant un bon dodo et des rêves...

Julien



Classe

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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 27 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2176 -



Une soirée chez Juliette

Hier matin, mercredi, il est presque six heures. C'est l'adverbe "presque" qui fait toute la différence. Car cela nous laisse le temps d'émerger. L'application "océan" nous infligeant un réveil cruel. Le cri des oiseaux de mer. Tout cela ne dure que quarante cinq secondes. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. Je la serre par ses épaules. Des bisous, des papouilles avant de nous précipiter aux toilettes. Et là il est vraiment six heures. Nous enfilons nos tenues de sport dans la salle de bain. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.

Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis pendant que j'allume la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre folle soirée de hier. Cette "baise sur bureau" dont nous raffolons. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la soirée que nous allons passer chez Juliette. 6 h25. Nous remontons pour nous offrir les joies de l'entraînement. Rien de mieux qu'une heure d'intensité physique. Aérobic, exercices au sol, abdos, charges additionnelles. Retour au calme avec un stretching.

La douche. C'est toujours un peu précipité car l'horaire est inflexible. Je redescends le premier. Avec le froid glacial de ces dernier jours, il est préférable de faire chauffer la voiture. Bientôt 7 h45. Le jour s'est levé sous un ciel sinistre. Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer pour faire notre vaisselle, notre lit. Quel plaisir que d'aller dans l'atelier. J'y allume le feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette.

La peinture de cette seizième toile destinée à ma saison d'été me plonge dans ma passion. Je peins en poussant des cris surréalistes, animé d'un enthousiasme délirant. La matinée passe alors très vite. Déjà midi quand je remets deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine. J'ai ma pizza à réchauffer. Je la mets dans le four à bois hyper chaud. Je prépare l'assaisonnement d'une salade de concombre. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff consacre son émission aux rapports tendus entre les états membres de l'union.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller prendre l'air, je redescends à toute vitesse pour mettre mon anorak. Les gants, le bonnet. Ce mercredi premier mars est encore d'un froid polaire. Le thermomètre extérieur indique à peine six degrés. Je vais jusqu'à la rivière. En revenant je remplis la brouette d'une vingtaine de bûches de bois. De quoi réajuster le stock à côté de la cuisinière à bois, de la cheminée du salon et de celle de l'atelier. Atelier où je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans la même ambiance.

Il est rapidement 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table avant de courir vers moi. Assise à califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. En riant elle me dit : << Tu sais quoi, on avait de la pizza ! >>. Clémentine a encore du travail. Elle passe ses après-midi en salle de documentation afin de compiler toutes les informations dont elle a besoin. Le soir il suffit de lister et d'ordonner l'ensemble. Elle s'y applique maintenant devant son ordinateur.

J'aime peindre en l'écoutant commenter ses travaux. À chantonner. Il est 18 h30. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine range ses affaires. Elle me rejoint devant le petit lavabo de l'atelier où je me lave les mains. La bite posée sur le rebord de faïence. Ça aussi j'aime. Quand elle me la tient pour en diriger les jets. C'est davantage qu'un rituel, c'est une habitude. Penchée en avant, visant soigneusement le trou. Parfois l'ouverture rectangulaire du trop plein. Sous le filet d'eau chaude qui coule. Quand elle se penche un peu plus pour suçoter un peu.

Serrée dans mes bras, Clémentine me confie ses impressions. C'est difficile une fois qu'on est au chaud, à la maison, de devoir ressortir dans la nuit froide. Il faut vraiment se faire violence. Juliette nous attend pour 19 h30. Il reste quarante cinq minutes. Je dois me changer. Nous montons à la salle de bain. Un Levis propre, un sweat propre. Nous prenons des poses devant le miroir ovale. Je suis prié de garder ma braguette boutons bien béante. Clémentine en écarte d'ailleurs les pans. Mon slip blanc se voit parfaitement. Nous dévalons les escaliers.

C'est avec la voiture de Clémentine que nous parcourons les trois kilomètres. Je roule doucement. Sa main dans ma braguette Clémentine tient sur ses genoux le Tupperware rond contenant la tarte aux noix. Le dessert. Je gare l'auto dans la cour du haras. << Oh regarde mon ancienne auto ! >> lance Clémentine. Je m'aligne à côté. Il est presque 19 h30. Nous sommes dans les temps. Nous traversons la cour. Juliette nous attend sur le pas de la porte. Trois bises. Nous la suivons pour monter les escaliers jusqu'à ses appartements. Il fait chaud.

Ce soir Juliette porte un legging noir, un pull brun à col roulé mais large. Des ballerines noires. Elle nous débarrasse de nos anoraks, du Tupperware. Trois semaines sans nous voir. C'est un peu la fête. En attendant de passer à table, nous bavardons confortablement installés. Juliette dans le fauteuil qui nous fait face. Clémentine à ma gauche dans le canapé. Nous racontons nos vacances. Sans évoquer Julie. Ce n'est pas la peine de remuer de vieilles histoires. Juliette nous raconte le quotidien de son entreprise. Les impondérables. L'administratif.

C'est quand elle parle des travaux d'entretiens à réaliser ce printemps que Juliette change de position. Elle décroise ses jambes. Tout en bavardant elle ne cesse de fixer ma braguette ouverte. La voilà vautrée, cuisses largement écartées. La gauche posée sur l'accoudoir de gauche. Stupeur. Nous découvrons cette ouverture parfaitement découpée à l'entre jambes de son legging. Tout comme celui que porte quelquefois Clémentine lorsque nous allons faire des courses à l'hypermarché. Celles qui aiment les émotions savent ce que cela procure.

C'est discret. Invisible tant qu'il n'y a pas la volonté délibérée d'en faire profiter un voyeur. C'est magnifique. Clémentine fourre sa main dans ma braguette. Les lèvres pulpeuses de la vulve de Juliette sont parfaitement visibles. L'ouverture très bien étudiée. Son clitoris de bonne taille est apparent. C'est épatant. Surtout que Juliette nous raconte des anecdotes comme si tout cela était normal. Entre nous, avec notre complicité, d'une certaine manière, c'est "normal". Je bande. Avec quelques difficultés je sors ma bite. Bien raide. Bien droite. Bien dure.

Clémentine, une main dans son jeans déboutonné. C'est d'autant plus surréaliste que la conversation n'a strictement rien de sexuel. Jusqu'à ce que Juliette aborde le sujet. Tout en posant sa jambe droite sur l'accoudoir de droite elle dit : << Il faut que je vous montre une photo. Je l'ai prise la semaine dernière ! >>. Elle s'adresse plus particulièrement à Clémentine. Ce soir, Juliette me vouvoie. Tout comme elle vouvoie Clémentine. Elle se lève d'un bond pour attraper le téléphone sur le guéridon. Elle l'allume en s'approchant de Clémentine et s'accroupit.

Sur l'écran, la photo d'une bite. Une bite bandante mais dont l'extrémité est courbée vers l'avant. Ce qui n'est pas sans évoquer le robinet d'un évier de cuisine. << C'est qui ? >> demande Clémentine. << Secret ! >> répond Juliette qui écarte ses cuisses pour me faire profiter de l'ouverture de son legging. Je peux admirer de plus près. Juliette agrandit la photo pour montrer les détails. Un prépuce sans plis. Rose. Parfaitement lisse. C'est cette étrange courbure qui rend l'ensemble encore plus insolite. << Vous aimeriez en savoir plus ? >> lance t-elle.

<< Quand il est question de bite, j'aime bien tout savoir ! >> répond Clémentine. Juliette avec le doigt fait glisser la photo suivante en disant ; << C'est le propriétaire ! >>. C'est un type moustachu. La cinquantaine. << Il vient régulièrement chercher du fumier de cheval pour son exploitation maraîchère. Il cultive à l'ancienne. Tomates, carottes. Depuis peu des gombos ! >> explique Juliette. Clémentine demande : << Et lui aussi a droit à sa pipe ? >>. Juliette éclate de rire. << Non j'ai juste goûté une fois. Beurk ! >>. Nous rions aux éclats.

Juliette se redresse en disant : << Installez-vous, je vais chercher les plats ! >>. Pas question de la laisser aller seule en cuisine. Nous nous levons pour l'accompagner. Du four qui vient de sonner, Juliette tire un gratin de pommes de terre au choux. << Une recette de chez moi, en Corse ! J'ai juste remplacé le porc par du saumon ! >> précise t-elle. C'est doré, fumant, terriblement appétissant. Je prend le saladier. Clémentine prend le panier à pain. Nous mangeons de bon appétit. Juliette revient sur le maraîcher. Avec 80 chevaux en pension, il y en a du fumier !

Dans le flot de la conversation, Juliette invite Clémentine à une soirée "dégustation" de maraîcher. << Ça mérite d'être goûté ! >> précise t-elle. Clémentine pose sa main libre sur la mienne. Me consulte du regard. Nous écoutons Juliette nous raconter comment tout ça s'est encore déroulé. Le maraîcher vient récupérer des quintaux de crottes de cheval deux fois par semaine. C'est James et Évelyne, les deux palefreniers qui préparent. Avec sa remorque Philippe fait le plein de crottin. Depuis près de dix ans. Il ne s'est jamais rien passé jusque là.

<< C'est la semaine dernière. Voyeuse comme je suis que je suis allé l'observer pisser depuis l'étage de la vieille écurie. Je me suis dépêchée de sortir pour le surprendre. En m'excusant. Faisant mine de découvrir ce qui se passait. C'est là que j'ai constaté que ce type n'est pas seulement sympathique, plein d'humour mais qu'il prenait plaisir à être vu ! >> raconte Juliette. Nous écoutons avec attention. Juliette est une des femmes les plus vicieuses, les plus perverses que j'ai connu. C'est un réel plaisir d'écouter ses aventures. Nous sommes intimes.

Ce gratin de pommes de terre est un délice. Nous faisons la vaisselle ensemble. Même si elle possède également un lave vaisselle, c'est tellement plus convivial, plus chaleureux de la faire ensemble. Au salon, ayant repris nos places, nous savourons la tarte aux noix avec des infusions de verveine. << Je vous prépare un "plan maraîcher" ? >> demande Juliette. Clémentine répond : << Vous m'avez mis l'eau à la bouche ! >>. Clémentine me tord la queue dans tous les sens tout en bavardant. Juliette se caresse le clitoris juste du bout de l'index.

Clémentine me regarde. Comme si elle attendait ma réaction. Juliette aussi reste pendue à mon silence. Je me tourne vers Clémentine pour dire : << On se fait un plan pipe avec ce mec. Je reste planqué avec Juliette. Qu'en dis-tu ? >>. Ce n'est pas la première expérience de ce genre. Nous sommes coutumiers du fait. Il n'y a pas si longtemps avec un certain Armand. << Je peux ? >> me demande Clémentine. Je la rassure en disant : << Non ! Tu dois ! >>. Nous rions aux éclats. Juliette s'écrie : << C'est génial votre complicité. Un rêve pour moi ! >>.

Il est un peu plus de vingt deux heures. Juliette met son manteau. Elle nous raccompagne jusqu'à la voiture. La nuit est glaciale. Il fait moins deux degrés. << J'organise le "plan maraîcher" pour la semaine prochaine OK ? >> lance Juliette. Clémentine répond : << Pour nous, le vendredi soir est parfait ! >>. Juliette précise : << Ça marche. J'informe le mec ou vous préférez improviser ? >>. Clémentine s'empresse de répondre : << Non, informez-le. Je préfère que le mec sache à qui il a affaire ! >>. Nous saluons Juliette pour rentrer.

Bonne nuit à toutes les coquines excitées à l'idée d'un nouveau "plan" et qui vont baiser, se faire lécher sous les draps avant un bon dodo...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 28 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2177 -



Agréable, jouissif et délicieux

Il est presque six heures hier martin, jeudi. C'est la sirène de ce gros bateau dans le lointain qui nous arrache de nos profonds sommeils. Bien sûr ce n'est qu'une des illusions bluffantes de l'application "océan". Qui gagnerait à s'appeler l'application "port de pêche. Car le cri des mouettes, les marins qui se hèlent sur les quais, le bruit des moteurs de ce chalutier, participent de ce bluffe. Clémentine se blottit contre moi en gémissant : << Mmhh, je reste au lit ! >>. Quelques papouilles, quelques bisous plus tard, nous nous précipitons aux toilettes.

Dans la salle de bain où il fait bien plus chaud, nous revêtons nos tenues de gymnastique. Morts de faim, nous descendons les escaliers à toute vitesse. Les radiateurs viennent de s'allumer. Je fais le feu dans la cuisinière à bois. Clémentine prépare le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Je récupère les tranches que vient d'éjecter le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier. La nouvelle proposition de Juliette. La bite tordue de ce Philippe dont elle nous a montré les photos. Le trou entre ses cuisses. Vision sympa.

Nous rions de bon cœur car Clémentine aussi s'est confectionnée un legging du même genre. Un trou parfaitement cousu sur ses bords qui encadre à la perfection les lèvres charnues de sa vulve. << Il faut que je me balade avec lors de nos prochaines courses à l'hypermarché ! >> lance t-elle. Elle rajoute : << En ce moment je néglige quelque peu mes tendances exhibitionnistes ! >>. Nous mangeons de bon appétit en évoquant cette prochaine possibilité. << Pourquoi pas samedi après-midi. Il nous faut des trucs pour le congélateur ! >> fait elle encore.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure de sport. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol, abdos. Charges additionnelles. Retour au calme avec un stretching bien trop rapide. La douche. Il fait à présent bien chaud partout dans la maison. Je dévale les escaliers pour aller faire chauffer la voiture. Le jour est levé sous un ciel uniformément gris. Le thermomètre extérieur indique moins deux degrés. L'absence de vent rend ce froid polaire moins pénible. Clémentine me rejoint chaudement vêtue. Bonnet, capuche, les gants.

Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer pour faire la vaisselle, le lit avant de passer dans l'atelier. J'allume une belle flambée dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. J'ai terminé hier soir ma huitième et dernière scène de genre. La seizième toile destinée à ma saison d'été. J'attaque ce matin le premier paysage. D'après une photo prise l'année dernière en Écosse, près d'Ullapool. Cette petite ferme typique, blottie, dans un écrin de verdure.

Je peins dans l'enthousiasme de la nouveauté. La musique imbécile de mon téléphone m'arrache de ma passion contemplative. Il est posé sur la desserte à ma droite. Parmi les tubes de couleurs. Je le saisis en râlant. C'est Juliette. Quel surprise et quel plaisir. Juliette m'annonce la réponse de madame Walter quand au portrait. Le prix n'a pas de réelle importance. Le mien sera le sien. Surtout que je pratique là un tarif de faveur. Pour amitié, partouzes communes et nombreuses pipes en écuries. Nous bavardons un peu. Je félicite Juliette pour son legging.

<< C'est un tel privilège que de pouvoir passer du fantasme à la réalité. Tout cela n'est possible qu'avec les plus intimes d'entre les intimes ! >> précise Juliette. Elle me demande les réactions de Clémentine quand à sa proposition de hier soir. Une pipe au maraîcher. Je réponds qu'elle est enchanté par l'idée mais qu'elle se prononcera certainement après réflexion ce week-end. Juliette est dans son bureau. Seule. Elle aime bavarder. << Je n'ose par toujours t'appeler de peur de déranger ! >> lance t-elle avant de raccrocher. Je la rassure. Tout va très bien.

Il est rapidement midi. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je prépare l'assaisonnement d'une salade de tomates. Dans la poêle je fais rissoler des ronds de calmars. Champignons, ail, échalote. Un petit pot de crème fraîche en fin de cuisson. Je râpe une tonne de ce délicieux gruyère suisse. "Alpestre" et légèrement piquant. Il suffit d'égoutter les coquillettes avant de savourer un bon repas. J'organise mentalement les préparatifs du repas de ce soir. Une Flamiche Picarde.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans tous ses états André Bercoff reçoit aujourd'hui un journaliste d'investigations. C'est à dire un vrai journaliste et non pas un animateur d'informations comme on les entend et voit dans les médias mainstreams. Les "merdias" habituels. Il est question de ce fameux humoriste au nez enfariné, perclus de dettes, ayant causé la destruction d'une famille et la mort d'un bébé. S'adonnant à d'illicites plaisirs avec des petits. Sont évoquées les "protections" dont bénéficie ce sinistre individu en très haut lieu.

C'est toujours la même histoire. Toute cette élite, showbiz, politicienne, industriels font partie d'une sorte de fraternité du mal et de la débauche. Se tenant tous par les couilles. << Si tu me balances je te balance ! >> précise le journaliste pour décrire cette confrérie d'ordures cyniques. C'est dégouté, écœuré que j'étale les deux tiers de la pâte feuilletée dans le grand plat à tarte. Aux bords hauts. Je lave et je coupe deux beaux et gros poireaux. Je les fais cuire à l'auto cuiseur sur la cuisinière à bois très chaude. Je prépare une belle Béchamel.

J'y rajoute le poireau égoutté. La grosse quantité de gruyère alpestre. Je verse le tout sur la pâte étalée. Je recouvre du dernier tiers de pâte. Je jointe soigneusement les bords avant de badigeonner le dessus du mélange œuf, moutarde à l'ancienne, crème fraîche et lait de soja. Je fais des stries avec la fourchette. Je saupoudre de graines de sésame grillé. Au four électrique pour laisser mijoter longuement à 180°. Voilà notre Flamiche Picarde prête. Cette tourte aux poireaux qui fera le régal de notre repas de ce soir. Superbe. Je fais la vaisselle.

Je monte me laver les dents. J'aime aller faire quelques pas dehors avant de retourner travailler. Le thermomètre extérieur indique 6°. Le ciel reste gris et sinistre. Je vais jusqu'à la rivière avant de remonter. Je prends toujours quelques bûches de bois au retour. Il est 13 h45. Me voilà installé devant mon chevalet. Je peins avec la même joie passionnée que ce matin. L'après-midi passe encore si vite qu'il est déjà 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table en disant : << Cool mes après-midi en salle de documentations ! >>

À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Je raconte le coup de téléphone de Juliette. Sa propension à me tutoyer lorsque je suis son seul interlocuteur. << C'est nouveau ! Elle a évoqué le maraîcher ? >> lance Clémentine. Je réponds : << Oui. Tu donneras ta réponse dimanche ! >>. Clémentine s'exclame : << Oh c'est oui. Tu penses bien ! Tu as vu la bite de ce mec sur la photo ! >>. Nous rions de bon cœur alors qu'elle se lève pour aller allumer son ordinateur.

Clémentine met au propre les notes prises dans la salle de documentations. Il est dix huit heures quand elle se lève d'un bond : << Ras-le-bol ! >>. Elle range ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Le rituel du pipi dans le lavabo. Pendant que je me lave les mains, Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets. Le lecteur peut parfois se dire que tout cela tourne en rond, que c'est répétitif. Mais comme la sienne, notre existence est faite de petites habitudes. Pisser dans le lavabo, sous un filet d'eau chaude est une des nôtres. Sympa.

Accroupie devant moi, Clémentine se régale des derniers reliquats. Je caresse sa tête en murmurant des douceurs. J'aime bien me faire suçoter la peau du prépuce que Clémentine tire au maximum en la gardant serrée entre ses lèvres. C'est dans cette situation épique qu'Estelle nous surprend. Elle se précipite pour me faire des bises. Enfoncer sa langue dans ma bouche après s'être écriée : << Et moi ! >>. Quand on m'embrasse, je bande instantanément. Présentement dans la bouche de Clémentine à genoux à même les tommettes du sol.

Je l'aide à se redresser. Je m'accroupis à mon tour pour masser ses pauvres genoux. Estelle saisit ma queue en disant : << Ce soir, tu me contrôles le minou ? >>. Je demande : << Jean-Marc t'a encore défoncé la chatte hier soir ! >> Estelle répond : << Et comment. Dans le dépôt, sur la pile de cartons. Mais quel salaud ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Je conclue : << Ce n'est encore que le prétexte du jeudi soir pour te faire lécher le minou ! >>. Elle me saute au cou en s'exclamant : << Woui ! >>. Je la soulève pour la faire tourner en l'air.

Elle me couvre le visage de bisous. J'administre le même traitement à Clémentine. Morts de faim, ma queue à l'air, nous nous précipitons à la cuisine. << Mmhh ! Super ! >> lance Estelle en découvrant la tourte aux poireaux. << Génial ! >> s'écrie Clémentine. Je sors la Flamiche Picarde du four électrique pour la mettre dans le four à bois. Hyper chaud. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade d'endives. Estelle met les assiettes, les couverts. Je la tripote un peu. Derrière elle, ma main entre ses cuisses. Elle en gémit de plaisir. Me fait des bisous.

Saisissant un des élastiques dans la corbeille sur le buffet, Estelle s'accroupit devant moi. << Tiens ton tablier relevé, sel te pli ! >> lance t-elle. Clémentine s'approche en disant : << Qu'est-ce tu fais ? >>. Nous regardons Estelle passer l'élastique d'abord autour de mon sexe. Puis autour de mes couilles. Ça tire un peu les poils qui repoussent. Ça garrotte l'ensemble. Les couilles sont soudainement bien dodues. Estelle suçote quelques secondes et se redresse. Je pose mes mains sur ses deux seins minuscules. Puis j'en glisse une entre ses cuisses.

<< Comme j'aime ! >> lance t-elle. << Régime minceur ! >> fait Clémentine. Nous rions de bon cœur. << Nos seuls régimes étant le sperme et la cyprine ! >> rajoute encore Estelle en passant sa main sous mon tablier. Je bande mou. Elle me la tord dans tous les sens. Clémentine tire la tourte aux poireaux du four. Magnifique. Nous mangeons de bon appétit en racontant notre soirée chez Juliette hier soir. Sa proposition "maraîchère". << Tu verrais cette bite. Droite, raide et blanche. Tordue vers l'avant. Un robinet d'évier ! >> dit Clémentine.

<< Intéressant ! Et je suppose que comme tu me la dis à midi, au restau universitaire, tu vas y goûter ! >> lance Estelle qui se lève. Elle mime une masturbation masculine en rajoutant : << Salope ! >>. Nous rions de bon cœur. Moi aussi je me lève à chaque fois pour agiter ma bite, faire "l'hélicoptère". Nous ne traînons pas. La vaisselle. Pressées de se faire brouter la chatte, mes deux anges m'entraînent au salon. J'ai droit à cet effeuillage rapide et rigolo où toutes les deux retirent, bottines, Levis, culottes pour les balancer n'importe où en riant.

Vautrées dans le canapé, tenant leurs jambes relevées, écartées, elles m'offrent leurs minous. À genoux sur les épais coussins, je passe de l'une à l'autre en sirotant leurs sécrétions. Les jus d'une journée de filles. C'est passionnant. C'est sirupeux. C'est goûteux. J'adore les lécher, les sucer, en les écoutant échanger leurs impressions, évoquer quelques unes de nos aventures. Entre deux gémissements lascifs quand je suce leurs clitoris. Elles cessent alors de se masturber, de bavarder pour s'offrir d'intenses moments de jouissances. Je me bouffe du minou.

L'orgasme d'Estelle la fait hurler. Elle me repousse alors pour ce coucher sur le côté. Serrant ses mains entre ses cuisses. Clémentine n'a pas le temps de prendre la bonne position. C'est moi qui tente de tenir au mieux la cuvette en plastique où elle peut se lâcher en hurlant de plaisir. Depuis quelques temps, Clémentine a de véritables éjaculations de cyprine durant ses orgasmes. J'adore quand ça gicle dans la pisse. Quelle quantité ! C'est prodigieux. Autant que mes éjaculations sinon davantage encore. Nous reprenons nos esprits. Serrés tous les trois.

Les filles se rhabillent. Il va être l'heure. << Et toi ? >> s'inquiète une fois encore Estelle en s'emparant de ma queue toute molle mais dégoulinante de foutre. Je me masturbe toujours en léchant. Je réponds : << Ce sera pour la bouche de Clémentine, sous les draps ! >>. Clémentine rajoute : << Un régal ! >>. Nous rions de bon cœur quand Estelle s'écrie : << Veinarde ! Vivement ce week-end ! >>. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. Dans le froid glacial. Dans la nuit noire. La séparation n'est pas simple. Un dernier gros bisou.

Bonne nuit à toutes les coquines qui aiment offrir une nonne pipe sous la couette à leur coquin, après s'être fait brouter le minou...

Julien (brouteur patenté)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 29 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2178 -



Le vendredi à midi, commence le week-end

Hier matin, vendredi, il est presque six heures. Le cri strident des oiseaux de mer. Les illusions de l'application "océan". Clémentine se serre contre moi en gémissant. Nous nous étirons. Nos folies de hier soir en compagnie d'Estelle nous laissent encore bien des séquelles ce lendemain. Quelques papouilles, quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain nous nous habillons de nos vêtements de sport. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine où il fait encore froid. J'allume immédiatement la cuisinière à bois.

Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis en me racontant ses rêves. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée. << Je ne connais rien de meilleur que le léchage de minou ! >> lance Clémentine en venant terminer sa tartine de miel sur mes genoux. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les folies de l'après-midi. Le vendredi Clémentine termine à midi. Ce qui la rend facétieuse. C'est en imitant l'accent Corse de Juliette qu'elle fait quelques projets pour samedi et dimanche. Je l'écoute en étant plié de rire.

Il est 6 h25. Nous remontons nous livrer à notre second plaisir de cette nouvelle journée. Aérobic, jogging sur tapis roulants. Exercices au sol, abdos, charges additionnelles et stretching. La douche. Je redescends le premier pour aller préparer la voiture. Il y a toujours ce maudit froid glacial. 2°. Il est presque 7 h45. Le ciel est gris mais lumineux. Clémentine vient me rejoindre dans son anorak, sous son bonnet, sa capuche, avec ses gants. << Put-Hein j'en ai marre de cet hiver de merde ! >> lance t-elle. Moi aussi. Un dernier bisou. Un dernier coucou.

Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais la vaisselle, le lit avant de passer dans l'atelier. J'y allume un beau feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ce premier paysage destiné à ma saison d'été me plonge dans mon troisième plaisir de cette nouvelle journée. Je peins animé de ce sentiment euphorique laissé par Clémentine. La matinée passe extrêmement vite. Trop vite. Il est midi. Je mets deux bûches sur les braises ardentes avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il fait faim.

Il suffit de réchauffer les restes de la tourte aux poireaux de hier soir. Avec une salade d'endives. Il est midi trente cinq quand Clémentine rentre de cours. Sautillante et guillerette. Elle se pend à mon cou. Je la soulève. C'est en mitraillant mon visage de bisous qu'elle se fait emmener aux toilettes. Le rituel pisseux, le lavage des mains. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. << La semaine prochaine même programme. Matinées en cours, après-midi en salle de documentation. Et c'est hyper cool ! >> m'explique t'elle.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine fait le programme de l'après-midi. Elle a des travaux d'écritures. Elle a commencé la rédaction de sa thèse. << C'est toujours l'entrée en matière qui reste le point critique d'un rédactionnel ! >> dit elle. Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de monter nous laver les dents. Elle m'entraîne dans la chambre. Nous ne chauffons qu'à 12°. On y dort beaucoup mieux. De l'armoire Clémentine tire le fameux legging noir qu'elle s'est confectionnée il y a quatre années.

Nous retournons à la salle de bain où il fait chaud. Elle retire son Levis, sa culotte pour enfiler le legging. Assise sur le bord de la baignoire, cuisses écartées, elle me montre l'ouverture qu'elle ajuste. Une ouverture d'environ six centimètres. Sur le lycra noir se détachent les lèvres pulpeuses et charnues de sa vulve. C'est une vue extraordinaire. Son clitoris géant est magnifié. Elle écarte les poils. La couture des bords est fine. Comme si c'était fait d'usine. Elle se lève. Lorsqu'elle est debout c'est quasiment invisible. À moins de bien observer ce qui pend.

Elle m'entraîne devant le miroir ovale. << Dès qu'il fait meilleur, on ira faire les courses ou se balader en ville avec "ça" ! >> dit elle. Je la félicite. Clémentine rajoute : << On fait un test cet après-midi. On va voir si Julie s'en rend compte. Combien de temps elle va mettre avant de s'en apercevoir ! >>. Nous rions de bon cœur. Quand je vois le sexe de Clémentine, son clitoris phénoménal, je n'ai qu'une envie, d'y poser ma bouche. Je le lui suggère. << Viens ! >> fait elle en me prenant par la main. Elle a chaussé ses ballerines pour être en souplesse.

Il fait bien chaud partout dans la maison. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine se jette dans le vieux canapé de velours carmin. Elle écarte ses cuisses en relevant ses jambes. Je suis à genoux sur un des épais coussins. Ma bouche collée sur ce sexe qui m'enivre déjà de ses saveurs, de ses effluves de fille. Clémentine déteste utiliser des subterfuges parfumés du commerce. Rien ne nous enchante davantage que nos odeurs corporelles naturelles. Elles agissent sur nos sens comme de véritables phéromones. Je suce son clitoris en fouillant les peaux.

C'est dans cette situation que Julie nous surprend. Il n'est pas tout à fait quatorze heures. << Bonjour. Je dérange ! >> lance t-elle. Nous cessons. Clémentine se redresse. Moi aussi. L'effet de surprise passé, Julie se précipite. Trois bises à Clémentine. Deux bises sur mes joues, une bise sur mes lèvres qui doivent sentir la chatte. << Mmhh ! >> fait Julie en découvrant l'odeur. Julie regarde avec attention avant de s'accroupir. Clémentine se jette dans le canapé pour lui montrer son legging très particulier. << Génial ! Vraiment génial ! >> lance Julie.

Nous rions de l'effet produit sur notre jeune amie émerveillée. << Je vais m'en faire un comme ça ! >> rajoute t-elle en se mettant à genoux. Pas l'ombre d'un doute, dans la position où elle se retrouve, la tentation est trop grande. Autant pour Clémentine que pour moi. Je saisis Julie par ses cheveux attachés en queue. Je n'ai qu'à esquisser le mouvement que la voilà avec le visage entre les cuisses de Clémentine. Elle me fait un clin d'œil en avançant légèrement. Julie colle sa bouche sur cette moule appétissante et déjà dégoulinante.

Mon vieux fantasme d'homme préhistorique prend forme dans la réalité. Pourtant Clémentine n'a strictement aucun penchant pour ses congénères féminines. L'occasion faisant le larron elle profite toutefois de l'aubaine. Après tout, Julie n'est-elle pas notre mascotte sexuelle ? C'est ce qui a été conclu avec elle il y a presque une année. Je sors mon sexe. Je me masturbe en observant cette scène saphique. Clémentine n'étant pas du tout homosexuelle garde les yeux ouverts. Il y a comme une expression de sadisme sur son visage. Excitant.

Julie, à genoux, s'adonne à sa passion pour les filles. Bisexuelle elle peut se régaler d'une chatte extraordinaire. Les lèvres charnues de la vulve de Clémentine sont à fouiller longuement. Clémentine la tient par la tête. Elle donne quelques à coups à son bassin. Julie, la tête complètement bloquée, n'a d'autres choix que de "bouffer". Et elle bouffe ! En poussant de petits cris de ravissement. Je me branle, penché en avant, pour tenter de voir les expressions de son visage. Je ne vois que ses yeux fermés aux paupières plissées. C'est formidable.

Clémentine repousse Julie en disant : << Ça suffit. Regarde un peu ce qui t'attend ! >>. Julie se redresse. Toujours à genoux, bien droite, les mains en appui sur les genoux de Clémentine elle tourne la tête. Je lui présente une érection magnifique. Julie hésite. Nul doute qu'elle aurait préféré de la moule juteuse. Clémentine la saisit par la nuque. Elle appui. Je frotte ma bite sur la petite gueule de Julie. Je pince son nez. Pour pouvoir respirer elle n'a d'autre alternative que d'ouvrir la bouche. Sournoisement, en parfait salopard, j'y enfonce ma biroute.

Clémentine se masturbe. De la cyprine crémeuse s'échappe de son sexe. Il en coule sur son legging. Il y en a qui macule les bords du trou à l'intérieur de ses cuisses. Quand elle s'en rend compte elle s'écrie : << C'est le problème avec le noir, tout se voit. Mais le lycra se lave tellement facilement ! >>. Elle lâche Julie qui cesse de sucer. Julie m'adresse un furtif sourire. Clémentine se lève en disant : << Je vous laisse, j'ai du boulot ! >>. Julie ne sait quoi faire. Pour la libérer de ses hésitations je l'aide à se redresser. Je dépose une bise sur son front.

Je dis : << Vous êtes venue pour votre cours de peinture n'est-ce pas ! >>. Julie se met à rire. Je rajoute deux bûches dans le feu de la cheminée. Julie est assise devant mon chevalet à scruter ma peinture. Je suis debout derrière Clémentine. Assise devant son ordinateur elle adore quand je lisse ses cheveux. Elle m'explique ce qu'elle s'apprête à faire. Il y a un texte qui fait deux pages. Elle lit à haute voix. Julie écoute. Elle prépare sa Licence en Lettres Modernes pour le mois de juin. Son savoir peut s'avérer d'un grand secours pour le rédactionnel.

Elle vient nous rejoindre. Debout, penchée au-dessus de l'épaule de Clémentine elle relit avec elle. << Tu écris bien. Tout est clair, immédiatement intelligible et compréhensible ! >> dit elle. Je passe ma main entre les cuisses de Julie. Par derrière. Elle se cambre pour bien s'offrir à mon exploration. Je la tripote de plus en plus vulgairement à travers le tissus de son pantalon noir. Cette capacité toute féminine de pouvoir se consacrer à deux choses différentes et simultanées. Se faire toucher et se concentrer sur un écrit. En dissertant.

Quand Clémentine s'en rend compte, à voir les contorsions du bassin de Julie, elle éclate de rire. Je me serre derrière Julie pour passer mes bras sous ses aisselles. Je caresse délicatement ses seins. Je frotte mon érection contre la couture de son pantalon, entre ses fesses. Je me tiens à présent carrément à elle pour me branler contre ses fesses. Comme un clébard. Elle reste penchée en avant, les reins cambrés, à pointer son index sur l'écran. Relisant des phrases, proposant une autre tournure de mots. Ça m'excite. J'ai là un comportement très animal.

Julie se redresse enfin. Elle tourne la tête pour me faire un adorable sourire. << Vous n'avez pas envie de vous envoyer en l'air tous les deux ? >> demande Clémentine le plus sérieusement du monde. Julie s'écarte. Observe la queue bandante qui dégouline. J'ai maculé le cul de son pantalon noir de liquide séminal. Je m'en excuse. << C'est génial ! De toute façon je me change pour bosser ce soir ! >> lance t-elle. Je prends sa main pour l'entraîner vers le canapé. Elle ne cache pas sa joie d'être une fois encore le sujet de toutes nos attentions. Elle adore.

Lorsque je veux ouvrir son pantalon noir à plis et à pinces, elle devance mon geste pour le faire. Elle retire ses bottines pour tout enlever. Juste en sweat noir Julie s'allonge de tout son long sur le canapé. Elle aussi me demande de ne pas retirer mon Levis. Elle aussi a une préférence pour l'aspect visuel de la bite à l'air. Je me couche sur elle mais en gardant l'appui sur mes bras afin de ne pas peser de tout mon poids. Je la pénètre doucement. Pas besoin d'efforts car Julie est trempée. Mais j'aime ce rituel de la pénétration lascive, lente et douce.

Je tourne la tête. Là-bas, avec un sourire complice, devant son ordinateur, Clémentine m'observe. Elle adore me voir baiser avec Estelle comme avec Julie. Julie s'accroche à mon cou. Je pose ma bouche sur la sienne. Une fois encore nous ne baisons pas. Nous faisons l'amour. C'est magique. Julie ne fait pas ses 21 ans. Ça me gêne parfois. Son visage de fille nubile. À peine pubère. Je n'ai aucune attirance pour les "petites". Je dois donc me raisonner. Clémentine qui sait tout, qui lit dans mes pensées, qui voit tout, m'adresse un clin d'œil. Un second.

Je reste longuement dans Julie. Nous nous embrassons jusqu'aux limites de l'étouffement. Le bas des visages mouillés de salives. Je me retire parfois. Je reviens à nouveau. Tout est tellement trempé que ça glisse. Julie, souvent immobile pousse de petits râles de bonheur quand je bouge doucement, en rythme. Je maîtrise parfaitement la situation. Quand je sens que ça devient critique, je cesse de bouger pour me retirer. Julie est également une de ses filles qui apprécient de se toucher en étant pénétrée. Elle s'offre son troisième orgasme en criant.

Il est dix sept heures. Clémentine fait bouillir l'eau du thé sur la petite plaque électrique de l'atelier. Elle vient nous rejoindre avec les gâteaux. Nous prenons notre collation de dix sept heures. Julie devra nous laisser pour dix huit heures. Elle est adorable. Fille qui a joui, les yeux cernés. De petites mèches de cheveux collés dans la sueur de son front. Elle fixe mon sexe à présent mou. Il en dégouline du liquide séminal et de ses substances de filles. Je veux prendre une des serviettes en papier pour l'essuyer. Julie se lève d'un bond pour me rejoindre.

À genoux entre mes jambes écartées, elle se met à sucer. À "nettoyer" en gémissant. Clémentine me fait un clin d'œil avec un mouvement des doigts elle me dit : << Jute ! >>. J'éjacule à la seconde même. Je déverse un véritable flot de sperme dans la bouche de ma pompeuse. Surprise par l'abondance, elle tousse. C'est une explosion de foutre qui jaillit de sa bouche. Mon Levis aura besoin de passer en machine. Julie, en toussant tente d'avaler. Il y a même du foutre qui coule de ses narines. Et toujours son expression innocente de jeune fille nubile.

Bonne fin d'après-midi à toutes les coquines qui aiment voir leur coquin se livrer à de sublimes turpitudes avec l'invitée habituelle...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 30 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2179 -



Et pourquoi en serait-il autrement ?

Hier matin, samedi, il est aux environs de sept heures trente. C'est le réveil biologique de Clémentine qui nous tire du sommeil. Elle passe une cuisse sous mes fesses. Pose l'autre sur mon érection matinale. En se frottant conte ma hanche, avec un mouvement masturbatoire, elle chuchote : << C'était génial hier. J'aime quand tu fais ton vicieux avec Julie et avec moi après ! >>. Je couvre son visage de bisous. L'impérieux besoin naturel ne nous laisse pas d'autres alternatives. Nous nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Rituel pisseux.

Morts de faim, dans nos vêtements de sport nous dévalons les escaliers. Il fait bien chaud partout dans la maison car les radiateurs fonctionnent depuis plus d'une heure et demi. Pendant que Clémentine fait le café, presse les dernières oranges, pèle les derniers kiwis, j'allume la cuisinière à bois. Dehors le ciel est gris mais lumineux. Le thermomètre extérieur indique 4°. Ce froid devient lassant et pénible. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. Nous nous sommes offert une séance de masturbation commune.

L'un face à l'autre. C'est une agréable façon de faire le point sur nos existences. Tout en nous faisant du bien nous débattons de sujets précis, nous passons en revue nos projets. Avant de faire l'amour sous la couette. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de ce samedi. Il est huit heures. Je vais dans le hall d'entrée pour ouvrir le portail depuis l'interphone. Clémentine vient m'y rejoindre sur la pointe des pieds. Dans le silence. Derrière moi, elle glisse sa main entre mes cuisses. << Je t'adore en legging ! >> dit elle.

Moi aussi je l'adore dans son legging. Nous nous touchons en nous embrassant. Nous revenons dans la cuisine pour terminer nos tartines de miel. Il est huit heures quinze. Du bruit depuis le hall. Julie entre dans la cuisine. Ses lunettes d'étudiante sur le nez. Ses cheveux noués en queue. Un pull brun à col roulé, son jeans, ses bottines. Trois bises à Clémentine dont une sur la bouche, par surprise. Pareil pour moi. << Tu as déjà mangé ? >> demande Clémentine. << Oui ! Je suis debout depuis sept heures ! >>. fait Julie qui nous raconte sa soirée de serveuse.

Pas d'évènement remarquable. << Pas de quoi me précipiter dans les toilettes du sous-sol ! >> précise t-elle en débarrassant nos bols. Nous rions de bon cœur. << Allez vous entraîner, je m'occupe de tout ! >> dit elle. Avant de quitter la cuisine nous déposons une bises sur son front. Elle rajoute : << C'était génial hier après-midi. J'ai gardé le souvenir de vos goûts durant tout le service ! >>. Je glisse ma main entre ses cuisses. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Le samedi nous pouvons y consacrer le temps nécessaire.

Aérobic, jogging sur tapis roulant. C'est frustrant de ne pas pouvoir courir en extérieur. Avec ce froid nous n'en avons pas le courage. Les exercices au sol, gainages et abdos. Les charges additionnelles dont une partie sur les machines, une partie avec les barres et les haltères. Les étirements d'un bon stretching permettent le retour au calme avant la douche. Nous prenons tout notre temps. Je fais une tresse avec les cheveux de Clémentine. Je m'applique. Une longue natte qui flotte jusqu'au milieu de son dos. Assise devant le miroir elle adore se faire coiffer.

Nous entendons Julie passer l'aspirateur en chantonnant. Certainement dans le couloir avant la salle d'entraînement. Vêtus de nos Levis, de nos sweats, de nos baskets, nous dévalons les escaliers pour enfiler les anoraks. Bonnets, gants avant de d'affronter le froid désagréable. << J'en ai marre de ce put-hein de froid ! >> me dit Clémentine accrochée à mon bras alors que nous traversons le jardin. Nous n'attendons pas longtemps. Voilà la camionnette blanche qui descend lentement le chemin pour se garer derrière la voiture rouge de Julie.

Danièle, toute souriante, en saute. Vêtue de son gros gilet de camionneur en laine grise. Son bonnet. Nous nous touchons les poings en nous saluant. << Vous n'en avez pas marre de cet hiver ? >> nous lance la jeune femme en contournant son véhicule. Les portes arrières ouvertes elle nous tend le cageot de fruits et de légumes que j'attrape. Le cageot contenant les fromages, les yaourts, les petits pots de crème fraîche, les œufs et le beurre que saisit Clémentine. Je pose le mien sur le banc en pierre pour sortir mon portefeuille, carte de crédit.

Une fois encore, lorsque Danièle me tend le terminal dans lequel j'introduis ma carte, elle se penche comme pour regarder sous mon anorak. C'est devenu une sorte de rituel. Surtout quand elle rajoute : << Vivement les beaux jours ! >>. Le message est très clair. Même commande pour samedi prochain. Nous nous saluons. Arrivée au portail, Danièle nous fait un coucou avant de disparaître vers d'autres livraisons. Voilà le tube Citroën rénové de notre boulangère bien aimée. Madame Marthe, hilare au volant elle se gare comme le fait Danièle.

Avec quelques bons mots concernant quelques anecdotes villageoises, la dame nous tend le cageot contenant les deux grosses miches, les deux pâtes feuilletées, l'énorme brioche au pudding, les deux gros croissants aux amandes. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Nous nous saluons. C'est plus rapide et plus simple de contourner la maison. Descendre à la cave par l'arrière. Sur les étagères du cellier nous disposons soigneusement les légumes, les fruits. Poireaux, choux fleurs, carottes, tomates, patates, oranges, kiwis.

Nous avons nos anoraks ouverts. Clémentine déboutonne ma braguette en disant : << Tu as vu l'attitude de Danièle quand tu payais ? Pas de doute, tu as le feu vert. Dès ces fameux premiers beaux jours qu'elle attend avec la même impatience que nous, tu peux tranquillement lui montrer ta bite ! >>. Tout en parlant, Clémentine me sort le sexe. Je bande mou. Elle évite de le garder trop longtemps dans sa main froide. Mais c'est ainsi que nous remontons par l'escalier intérieur. Julie est à la cuisine entrain de passer la serpillère. Je tiens le cageot.

<< Allez-y, je repasse derrière vous ! >> lance t-elle. Elle observe ma bite avec attention alors que je marche vers le frigo. Nous rangeons les produits frais dans le réfrigérateur. Je pose le paquet de moules, les sachets de haricots verts, de petits pois sur l'étagère, devant la hotte, au-dessus de la cuisinière à bois. Ils pourront y décongeler rapidement. Je bande mou. L'expression de Julie est toujours étonnante. C'est comme si elle voyait mon sexe pour la première fois. Alors que hier après-midi il était enfoncé en elle, que j'éjaculais dans sa bouche.

Nous quittons la cuisine en déposant une nouvelle bise sur son front. Au salon, assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Nous avons trois courriels. Le message de ma famille d'Édimbourg. Tout va très bien. La vie a repris son cours normal. Un mail de Juliette qui propose une soirée "maraîchère" vendredi prochain. Nous pourrons en débattre mercredi soir quand elle viendra manger. Elle joint la même photo qu'elle nous a montré sur son téléphone. La bite du maraîcher. Blanche, raide jusqu'à son extrémité puis courbée en avant. Un vrai robinet d'évier.

<< La salope ! Tu as déjà vu une bite comme ça ? >> me demande Clémentine. Je dois admettre que ce sexe est très particulier. << Comment il fait pour baiser le mec ? >> demande encore Clémentine. Je réponds : << Ce sera à toi de nous apporter la réponse ! >>. Nous rions aux éclats quand elle dit : << Mais je ne veux pas baiser avec ce type, juste goûter sa bite ! >>. Il y a un petit mot d'Estelle qui est impatiente de nous retrouver d'ici deux heures trente. Dans la petite enveloppe jaune, je glisse deux billets. Un de 50 € et un billet de 20 €.

Clémentine y rajoute un petit mot sympa que je signe du personnage de Marcel Gotlib. Bitonio. Ce bonhomme fait d'une paire de couilles sur pieds, dont le cou est la bite et le visage le gland. Il est onze heures trente. Julie vient de terminer le ménage. Elle vient nous rejoindre. << Une belle maison propre pour les gens que j'aime ! >> dit elle, debout comme une écolière devant ses professeurs. Clémentine se lève, contourne le bureau pour poser ses mains sur ses épaules. << Tu es délicieuse. Tu me feras goûter à nouveau ? >> lui demande Julie.

<< Dès que je porte mon legging spécial, tu pourras te régaler ! >> répond Clémentine. Je me lève pour les rejoindre. Je tends l'enveloppe jaune à Julie qui me dit : << Merci. J'adore le personnage que vous dessinez. Bitonio ! >>. Nous rions de bon cœur. Je l'invite à me suivre jusqu'à l'une des bibliothèques victoriennes du salon. De l'étagère consacrée aux bandes dessinées, je tire des albums de Marcel Gotlib. "La rubrique à brac", les "Dingodossiers" et surtout "Pervers pépère". Il y a Hamster Jovial". << Génial ! >> s'écrie Julie. Je lui montre "Bitonio".

J'invite Julie à prendre ces albums pour les découvrir. Sa génération ne connait pas le merveilleux travail de Marcel Gotlib. Clémentine met les albums dans un grand sachet résistant. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Elle revient lundi soir. Assise au volant, la vitre baissée malgré le froid, elle nous confie son impatience de nous revoir. << Pense à cette semaine de vacances ensemble, à Pâques, dans le Jura ! >> lui rappelle Clémentine. << J'y pense tous les jours. J'organise le truc ! >> répond Julie en démarrant. Quelques derniers bisous.

Nous la regardons monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. Nous nous empressons de rentrer au chaud, la faim au ventre. Clémentine prépare l'assaisonnement de la laitue. Je porte à ébullition le bouillon. Dans le wok je verse le contenu des sachets. Haricots verts, petits pois. Dans le bouillon je mets les moules. Tout a parfaitement décongelé en une heure et demi. Avantage de la cuisinière à bois. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les personnalités rencontrées ce matin. Danièle, Julie. Madame Marthe c'est : << Pas de cul ! >>.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie son impatience. Ces premiers beaux jours que nous attendons de plus en plus fébriles. << J'ai envie de donner libre cours à toutes mes tendances exhibitionnistes. Je fais de ces rêves, si tu savais. Ça me frustre de ne pouvoir les réaliser ! >> m'explique t-elle. J'écoute amusé. Moi aussi je suis pressé de retrouver nos fantasmes en extérieurs. Être dissimulé pour sécuriser les situations folles où Clémentine se met en scène, se fait surprendre par de parfaits inconnus.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Ces conversations nous excitent toujours considérablement. Une fois encore nous avons conscience d'avoir le privilège de posséder des libidos exacerbées. De partager exactement les mêmes fantasmes. Et le plus extraordinaire est de pouvoir les vivre avec la complicité de quelques intimes. Estelle, Julie, Juliette. C'est prodigieux. Toute mon existence n'est qu'une suite de privilèges. << Ta bonne fée ne s'est pas seulement penchée sur ton berceau, mais elle a carrément passé la nuit avec toi ! >> me lance Clémentine.

Nous montons nous laver les dents. Devant le miroir de la salle de bain nous faisons nos pitreries habituelles. << Qu'ils sont là les gens que j'aime ? >>. C'est Estelle qui entre dans la salle de bain. Elle se précipite vers moi pour me faire trois bises sur la bouche. Puis trois bises sur la bouche de Clémentine. Nous nous serrons tous les trois. Follement heureux de nous retrouver. << L'étroit moustiquaire ! Athos, Porthos, Aramis ! Merci Alexandre Dumas ! >> lance Estelle en fourrant sa main dans ma braguette ouverte. Nous rigolons comme des bossus.

De son grand sac de sport, Estelle tire son pyjama de soie mauve, une culotte et des chaussettes. Elle nous raconte son vendredi après-midi avec son papa dans l'entreprise familiale. Le repas qu'elle a préparé pour ses parents hier soir. Les courses à l'hypermarché avec sa maman ce matin. Clémentine raconte nos aventures. La baise avec Julie. Notre soirée masturbation et notre matinée. << On se fait un "plan" cet aprême, j'ai une méchante envie de faire ma salope ! >> s'écrie Estelle. << Moi aussi ! >> lance Clémentine. J'évoque son legging spécial.

<< Ton legging avec le trou ? >> demande Estelle. << Oui, venez, on va se mettre en tenues. On va réaliser nos "plans" en ville ! >> répond Clémentine. Quel immense bonheur que de partager les mêmes penchants. Il ne fait que 14° dans la chambre à coucher. C'est volontaire. On y dort mieux. Aussi, nous prenons nos vêtements dans l'armoire pour les ramener dans la salle de bain. << Put-Hein, il faut que je m'en confectionne un aussi ! >> lance Estelle en découvrant le legging à trou que porte Clémentine. Elle s'assoit sur le tabouret.

Les cuisses écartées, elle ajuste les lèvres pulpeuses et charnues de sa vulve. Les coutures du trou épousent parfaitement leurs contours. Clémentine lisse ses poils pour les maintenir sous le lycra noir. Son clitoris géant ressemble à une petite bite. De la taille de la première phalange de mon pouce. C'est fantastique. Surtout qu'elle le tient entre deux doigts en disant : << Julie me la sucé hier ! >>. Estelle répond : << Tu vires ta cuti ? Tu te lances dans le "transgenre" ? Tu vires gouinasse ? >> lance Estelle. << T'es folle ! Pas du trou ! >> s'écrie Clémentine.

Estelle garde son Levis et sa chemise à carreaux. Je passe un Levis propre, une chemise à carreaux. Seule Clémentine reste avec son legging spécial. Elle enfile un pull brun à col roulé. Avec des bottines elle est d'une élégance raffinée. Hyper sexy. << La bombe ! >> lance Estelle. C'est vrai que Clémentine est incroyablement attractive et captivante dans cette tenue. Ses longues jambes. Avec ses bottines la voilà qui mesure un mètre quatre vingt six. J'adore les filles à hautes tailles. Pour mon mètre quatre vingt huit c'est tout simplement parfait.

Estelle et Clémentine mesurent chacune un mètre quatre vingt deux. Avec des talons ce sont des géantes. C'est fabuleux. Elles en imposent. Nous descendons les escaliers prudemment à cause des talons de Clémentine. Dans le hall d'entrée, elle s'accroupit devant le grand miroir de la penderie. << Wouah ! Il faut que je fasse très attention. Ça se voit super bien dans cette position ! >> dit elle. Debout, c'est moins flagrant. Il existe un espace entre ses cuisses. C'est donc le point vulnérable. Mais l'écharpe de fin coton crème dissimule les lèvres et le clito.

Ce fameux thigh gap. Cet espace entre les cuisses qu'ont certaines femmes même avec les jambes serrées. Une particularité qui touche également Estelle. Nous enfilons nos manteaux noirs. Estelle, Clémentine et moi portons les mêmes écharpes couleur crème. La température extérieure est de 14°. Je roule doucement. Direction la ville. Estelle, assise à l'arrière, caresse mon cou en nous racontant sa baise de mercredi dernier, avec son parrain. J'ai ma main droite entre les cuisses de Clémentine. C'est génial d'avoir accès à son clitoris, à ses lèvres.

Elle joue avec ma queue. Il y a une vingtaine de kilomètres. Je gare la voiture dans la petite ruelle habituelle. À une dizaine de minutes de la FNAC. Premier grand magasin où Clémentine espère s'offrir quelques frissons. C'est samedi. Il y a évidemment du monde partout. Elle ouvre son manteau en se mordillant la lèvre inférieure. Mes caresses dans la bagnole l'ont excité. Elle ajuste convenablement l'écharpe pour masquer son entrejambes. Elle donne plus de longueur à la courroie de son minuscule sac à main de cuir noir. Clémentine est ainsi "prête".

Nos hautes tailles attirent bien évidemment les regards. Ces deux sublimes jeunes filles accrochées aux bras d'un homme d'âge mûr. Non messieurs dames, je ne suis pas le papa. Je bande à la simple idée des opportunités qui pourraient se présenter. Estelle, lorsqu'elle palpe ma braguette, se place devant moi. Discrètement elle me touche. << Put-Hein la bosse ! >> murmure t-elle. Je chuchote : << Je m'excuse de bander comme ça entre deux salopes ! >>. Nous rions. Nous parcourons les rayons. Livres de cuisine, livres d'Arts, les derniers romans.

<< Celui-là, là-bas, la "victime" idéale ! >> nous fait Clémentine. Nous regardons dans la direction indiquée. C'est un type seul. Élégant. La quarantaine. Les tempes grisonnantes. Il feuillette un ouvrage dans le rayon "Ésotérisme". Clémentine nous laisse. Discrètement elle s'ajuste. Vérifie son look. Estelle reste contre moi. Nous la regardons s'éloigner. Elle marche doucement. Sa silhouette et son manteau lui donne un caractère exceptionnel. Un peu comme une apparition surnaturelle. Autant de regards de femmes que d'hommes se tournent vers elle. Un "personnage".

Clémentine le sait. Elle en joue. Elle maîtrise toujours parfaitement les situations. Avec une confiance en elle totale et dominatrice. Elle s'approche du type au manteau. J'ai assisté à ses approches d'innombrables fois. Mais c'est toujours comme une première. Estelle me touche discrètement. << Tu bandes comme un salaud ! >> murmure t-elle. Je chuchote : << C'est trop génial tous les trois ! >>. Estelle me dit : << On fait "ça" toutes les deux depuis l'adolescence. Mais avec toi, c'est beaucoup plus excitant ! >>. Nous regardons. Discrets.

Clémentine vient de s'accroupir pour saisir un des ouvrages sur l'étagère du bas. Son "numéro" est parfaitement rôdé. Accroupie de trois quart, contre les étagères, seule sa "victime" peut découvrir ce qu'elle dévoile. Estelle m'entraîne pour nous rapprocher. On contourne le présentoir des livres politiques. De là, on a une vue parfaite. Nous faisons semblant d'êtres absorbés dans les pages que nous feuilletons. Alors que nous louchons à nous en déboîter les globes oculaires. Clémentine écarte un peu plus ses cuisses à chaque nouveau livre qu'elle tire ou qu'elle pose.

L'inconnu a bien sûr remarqué cette sublime exhibitionniste. Juste à un mètre cinquante de lui. Il s'accroupit à son tour. Le bougre ne veut rien perdre de ce somptueux spectacle. Il n'y a qu'une merveilleuse salope pour se livrer à de tels jeux. Mais il ne sait pas que la scène est sous notre étroite surveillance. Rares sont les femmes qui se livrent à ces petits jeux sans la proximité de leur complice. Et ces genres de situations ne se produisent qu'à de très rares occasions. Pas pour nous qui sommes des coutumiers du fait. Le type comprend son privilège.

Va t-il engager une conversation ? Clémentine déteste être draguée. Ce qui importe pour elle, ce sont les sensations que cela procure. Elle se moque éperdument des sensations qu'elle provoque chez ses "victimes". L'exhibitionniste ne pense qu'à son propre tourment. Pour Clémentine ce délicieux tourment est le fruit de l'immense honte que ses exhibitions lui procurent. C'est tellement intense que quand cela est possible, elle se masturbe. Parfois devant sa "victime". J'ai assisté à ces scènes de très nombreuses fois puisque je les ai sécurisé par ma présence cachée

Ça y est. Le mec engage la conversation. Clémentine joue la fille qui ne se doute de rien. Ce qui est évidemment un comble. Elle ne lève les yeux du livre qu'elle feuillette que pour observer son interlocuteur avec une sorte de sévérité. Je devine l'excitation folle qui la gagne. Pourtant Clémentine, grande simulatrice, ne montre rien de son trouble. << Je ne pourrais pas ! >> me murmure Estelle. Estelle, aussi excitée que moi qui chuchote : << Put-Hein je mouille. Je pourrais me branler ! >>. Je réponds : << Moi aussi. C'est tellement génial ! >>

Clémentine, aux limites de l'ankylose, se relève. Elle dépasse l'inconnu d'une demi tête. Ce qui semble l'impressionner. Le ravir. Nous voyons Clémentine secouer légèrement la tête de façon négative et à plusieurs reprises. Le gaillard doit en être aux propositions. Nous le comprenons. Quel plus grand sentiment de frustration et de découragement devant les attitudes d'une si sublime salope ? C'est qu'il insiste le bougre. C'est souvent le cas. Ce qui met un terme définitif à l'entretien. Clémentine, sans saluer le mec, tourne les talons pour s'éloigner.

Nous la rejoignons aux rayons "étudiants". << Il m'a invité à boire un café. Six fois de suite. En insistant. Le véritable casse-pieds ! >> nous raconte Clémentine. Nous quittons la FNAC pour Darty, situé l'étage plus bas. Clémentine, terriblement excitée, me fait toucher sa chatte discrètement. Là, entre les réfrigérateurs et les cuisinières électriques je découvre à quel point elle mouille. En regardant mieux, Estelle précise : << Tu as de la mouille qui coule. Je te jure ça se voit ! >>. Avec un mouchoir en papier, Clémentine s'essuie en se dissimulant derrière un congélateur vertical.

Elle nous montre l'état du mouchoir. << Salope ! >> murmure Estelle avant de rajouter : << Tu me donnes envie ! >>. Nous flânons dans les rayons à la recherche d'une nouvelle "victime". Hélas, chez Darty, le samedi, ce sont le plus souvent des couples ou des familles. Pas la moindre présence solitaire d'un mâle en goguette. Il faut se résoudre à cette évidence. << On se fait Monoprix ? >> propose alors Estelle. Clémentine s'écrie : << Un salon de thé c'est mieux ! >>. Nous trouvons l'idée bien plus pertinente. Nous voilà à flâner dans les rues.

C'est un de nos salons de thé préférés. Situé à l'étage. La configuration des lieux semble faite pour les activités qui nous préoccupent. La salle est en escaliers. Ce sont une succession de plateformes sur lesquelles il y a deux tables de part et d'autre. Quatre plateformes. En s'asseyant à une table en hauteur, en soulevant légèrement la nappe, il est tout à fait possible de faire profiter n'importe quel voyeur installé aux étages inférieurs. C'est parfait. Il y a du monde mais pas mal de tables libres. Nous voilà installés au niveau supérieur. C'est superbe.

Clémentine, face à la salle. Estelle à sa droite, en face de moi qui suit à sa gauche. Les chocolats chauds, les éclairs au caramel fleur de sel sont absolument délicieux. Il y a ce type là-bas, accompagné de deux dames d'un certain âge. Il a probablement une vue exquise sous notre table. Clémentine, une main sous cette table, nous raconte ce qui se passe. << Je me touche. Regardez comme il mâte ! >>. Nous louchons le plus discrètement possible. L'idéal étant de sortir nos téléphones pour se servir de l'écran éteint comme d'un rétroviseur. Ainsi c'est parfait.

Tout cela dure depuis une vingtaine de minutes. Il y a un autre mec avec deux autres dames. Lui aussi semble très intéressé par le dessous de notre table. << Mais comme tu es salope ! >> murmure Estelle. << Tu n'imagines pas les émotions ! >> chuchote Clémentine. Elle se lève pour descendre les marches de l'escalier centrale. Elle le descend de façon "impérial". Son écharpe qu'elle tient devant elle pour dissimuler le "trou" et ce qui en pend. << C'est lequel qui va se lever pour aller aux chiottes ? >> demande Estelle. Je dis : << Mâte ! >>.

Ils se lèvent tous les deux quasiment en même temps. Nous allumons nos téléphones. Clémentine a allumé le sien. Nous pouvons voir ce qui se passe sur nos écrans. Elle est dans les toilettes hommes à se laver les mains au-dessus du lavabo double. Les deux mecs, comme des cons, ne savent quoi faire. L'un empêchant l'autre d'entreprendre quoi que ce soit. << Regarde-moi ces deux cons ! Trop drôle ! >> lance Estelle. En effet, c'est kafkaïen. Les deux s'enferment chacun dans un des cabinets. C'est évidemment foutu. Clémentine vient nous rejoindre en riant.

Elle nous raconte. Nous sommes pliés de rire. Nous quittons pour aller chez Monoprix. Inutile espérer créer une situation avec le monde fou qu'il y a là. C'est samedi. Nous flânons encore un peu dans les rues. << J'ai froid à la chatte ! >> lance Clémentine. << Excellent pour une chaudasse ! >> s'exclame Estelle. Nous rions. Nous retournons à la voiture avec l'arrivée du crépuscule. Je roule doucement en masturbant Clémentine qui tient mon poignet. Elle est trempée. Il en coule sur le cuir du siège. Il y a des coulures de cyprine sur l'intérieur des cuisses de son legging.

Estelle est assise au sol, entre ses jambes à jouer avec mes couilles. Il est dix neuf heures quand nous sommes de retour. Nous nous changeons. << Bon à laver ! >> fait Clémentine en nous montrant le lycra noir de son legging maculé de foutrine. Assis à la table de la cuisine nous épluchons les pommes de terre, les carottes, les navets, le céleri pour notre potée de légumes du week-end. En revenant sur nos folles aventures de l'après-midi. Nous sommes terriblement excités. Mais c'est encore plus excitant de nous maîtriser, de nous contrôler.

Nous mangeons de bon appétit. J'ai l'envie délirant de bouffer la chatte de Clémentine. C'est tellement appétissant d'assister à tout ce que j'ai encore vu. Estelle me fait toucher son sexe. Son Levis déboutonné. C'est complètement trempé au fond de sa culotte. Je m'écrie : << Ce soir mes amours, c'est léchage de minous, pénétrations graveleuses, et folies en tous genres ! >>. Pressés de nous rendre au salon pour nous livrer à toutes sortes d'exactions à caractère sexuel, nous débarrassons pour faire la vaisselle. En nous faisant pleins de promesses.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont s'offrir des plaisirs raffinés, exquis, délirants, parfois surréalistes, mais vertigineux...

Julien (maître de cérémonie)



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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

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Homme, 53 ans, France
Classe - 31 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2180 -



Le calme d'un dimanche reposant

Hier matin, dimanche, notre grasse matinée nous emmène jusqu'aux environs de neuf heures. Je suis entre mes deux anges. Encore profondément endormi lorsque Clémentine s'empare de ma tumescence. Un geste précis qui me surprend autant qu'il me réveille. Elle se frotte contre moi en murmurant : << J'ai fait un rêve cochon ! >>. Estelle, réveillée toute aussi soudainement se frotte en chuchotant : << Tu nous le racontes devant de la brioche ! >>. Elle empoigne mes couilles en posant sa tête dans le creux de mon épaule. Plein de bisous.

Estelle se lève d'un bond pour se précipiter aux toilettes. Clémentine m'attire sur elle. Pour ne pas peser de tout mon poids je reste en appui sur mes bras. Comme si je faisais des pompes. << Je t'aime. Tu es encore plus coquin dans mes rêves que dans la réalité ! >> dit elle. C'est à notre tour d'aller pisser. Vêtus de nos Levis, de nos sweats, morts de faim, nous dévalons les escaliers. Il y a déjà l'odeur du café. Les oranges sont déjà pressées, les kiwis déjà pelés. Estelle se bat avec la grosse bûche qu'elle pose sur les flammes de la cuisinière à bois.

Je passe mes bras sous ses aisselles. Je caresse ses seins minuscules sous la douceur de la soie de son pyjama. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos extraordinaires aventures de hier après-midi. De la soirée de folies qui s'en est suivie. << C'est pour ça qu'on est toujours crevés le matin ! >> lance Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en envisageant le très vague programme de la journée. Dehors le ciel reste désespérément gris. Ce sera une randonnée. Ce qui nous réjouis. La brioche est un véritable délice. Un vrai "chinois" au pudding nappé de sucre glace.

Nous traînons à table. Le dimanche pas de sport. Assises sur mes genoux, les bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges évoquent leurs études. Ces après-midi de la semaine qu'elles passent en salle de documentation. Ces milliers d'ouvrages à disposition. Ces dizaines de millions d'ouvrages virtuels consultables sur ordinateurs. Elles ont commencé la rédaction de leurs thèses. Depuis bientôt quatorze ans qu'elles font leurs études ensemble, Estelle et clémentine doivent réaliser deux travaux bien distincts. Une sorte de challenge. Elles s'en acquittent plutôt bien.

J'écoute avec attention car tout ceci est très intéressant. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous remontons. Nous faisons les clowns devant le miroir de la salle de bain en nous lavant les dents. Estelle quitte son pyjama pour se vêtir pareille que nous. Pressés d'aller voir comment c'est dehors, nous dévalons les escaliers. Nos anoraks. Bonnets. Gants. Il fait froid. << Put-Hein mais ça suffit quoi ! Merde ! >> s'écrie Estelle. Clémentine précise : << C'est l'hiver jusqu'au 21 mars ! >>. Les filles restent serrées contre moi. Nous descendons vers la rivière.

Les canards, les poules d'eau, les colverts semblent totalement indifférents aux conditions météorologiques. Ils virevoltent, cancanent, nous observent. Nous prenons le sentier de gauche. Estelle ouvre la marche en s'arrêtant souvent pour me faire une bise. Passer sa main entre mes cuisses pour palper. Je me retourne pour faire de même à Clémentine. Il n'y a pas de vent. Le ciel est bas mais plus lumineux que les jours précédents. Nous allons jusqu'au vieux lavoir. << Regardez ! >> chuchote Estelle en nous montrant du doigt les deux chevreuils qui gambadent.

Ils sont de l'autre coté de la rivière. Ils nous observent. Attentifs aux moindre bruit. Le silence est total. Parfois un gazouillis d'oiseaux. C'est un spectacle magnifique. Ils évoluent avec grâce. Estelle prend quelques photos. Nous prenons le sens du retour. Il est onze heures quarante cinq quand nous revenons. Nous rentrons deux brouettes d'une vingtaine de bûches chacune. De quoi renouveler les stocks de la cuisinière à bois et des deux cheminées. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade d'endives. Estelle fait dorer les pavés de saumon dans la poêle.

Je remue la potée de légumes. La cuisson sur la cuisinière à bois est rapide. Il est impossible de modérer la chaleur. Il faut ruser sur différents endroits de sa surface. Nous échangeons plein de bises. Parfois c'est Clémentine qui se serre contre mon dos pour poser ses mains sur ma braguette ouverte. Parfois c'est Estelle. Je fais comme elles mais en posant mes mains sur leurs seins. C'est très agréable de poser mes lèvres dans leurs cous. De leurs chuchoter des douceurs, des cochonneries. Séance de douceur, de bonheur. Nous mangeons de bon appétit tout en riant beaucoup.

Il est question du legging spécial de Clémentine. Estelle va se confectionner le même. De vagues projets exhibitionnistes pour les premiers beaux jours. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges font mille projets coquins pour nos prochaines vacances. C'est Clémentine qui veut absolument tout organiser. Nous savons lui faire confiance. C'est toujours impeccable. Un principe est établi. Nous serons loin de chez nous dans ce Jura que nous voulons revoir. << Je vais me surpasser ! Je vais être hyper salope ! >> lance Clémentine. << Idem ! >> dit Estelle.

<< Nous irons visiter les ateliers dans le petit village de Saint Claude. On y taille les meilleures pipes ! >> fait Estelle. Nous en rions aux éclats. << On va beaucoup s'amuser. Je le sens ! >> dit Clémentine. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos, pommes, barres de céréales, lampes frontales, la paire de jumelles, la thermos de thé bouillant. C'est avec la voiture que nous faisons les quatre kilomètres jusqu'à la chapelle désacralisée. Il y a d'autres bagnoles garées là.

Nous chaussons nos grosses godasses. C'est parti. Nous prenons le large chemin qui longe la forêt. La température extérieure est de 14°. Nous pouvons marcher en nous tenant les mains dégantées. La conversation reste axées sur les études. Dans un réflexe de tendresse, c'est Estelle qui se jette dans mes bras, Clémentine me prend dans les siens. << Là-bas, on voit les toits de ma maison et ceux de l'entreprise ! >> fait Estelle alors que nous sommes à flanc de colline. Le bourg sous nos yeux, à quelques kilomètres. Nous croisons pas mal d'autres marcheurs.

Il fait bien trop froid pour se balader avec la bite à l'air. Par contre, il est simple à l'une de mes deux coquines de fourrer sa main dans ma braguette béante. Chacune reste sur le slip pour bien se chauffer avant d'y pénétrer pour me faire des << Gazou gazou ! >> comme le dit Estelle à chaque fois. Notre randonnée nous même aux bâtiments de l'ancienne abbaye. Il y a pas mal de marcheurs qui parcourent l'endroit. Nous ne ne nous attardons que pour boire du thé bouillant et grignoter nos barres de céréales. Nous adorons goûter nos bouches pour en savourer le goût.

"Fruits de bois " pour Estelle. "Cassis" pour Clémentine. "Pommes" pour moi. C'est exquis. Nous prenons le sentier opposé pour redescendre. C'est un peu plus long mais les lieux sont très agréables. Même en hiver. Il est dix huit heures quand nous revenons à la voiture. Après quatre d'heures de randonnée, c'est un autre plaisir. Estelle reste obstinément assise devant, à côté de Clémentine. << Il n'y a jamais de gendarmes. Il fait bien trop froid ! >> prétexte t-elle en tripotant ma queue, sa main dans mon slip. Je roule toutefois avec prudence. Lentement.

Il est est dix huit heures trente quand nous revenons. Morts de faim. << Le cul et la bouffe ! >> lance Estelle qui concocte sa spécialité du dimanche soir. Une omelette aux quatre fromages. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de tomates. Je réchauffe la potée de légumes. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les moments forts de cette randonnée. Estelle devra nous laisser pour 22 h. C'est dimanche soir. Un autre de nos rituels nous attend après le repas. Ce léchage de minous dominical que je promets une fois encore à mes deux coquines.

Le dimanche pas de douche. Mes réjouissances vont grandissantes. J'adore me bouffer de la chatte ayant macéré toute une journée dans son jus. Nous faisons la vaisselle. Par derrière je déboutonne le Lévis d'Estelle que je descends avec la culotte jusque sur ses genoux. << Mais quel salaud. Il n'attend même pas d'être au salon ! >> s'écrie t-elle, les mains dans l'eau de l'évier. Je passe ma main entre ses fesses. Mon doigt qui s'attarde sur le trou du cul. C'est aussi poilu derrière que devant. Clémentine, pliée de rire devant ce spectacle, me touche en murmurant : << Le salaud du salon ! >>.

La vaisselle terminée, nous quittons la cuisine. Comme Estelle a du mal à avancer avec ses fringues descendus, je la soulève comme une jeune mariée. Trop heureuse de mon initiative elle blottit sa tête dans le creux de mon épaule en gloussant. Je la dépose au sol devant le canapé. Toutes les deux retirent baskets, jeans et culottes pour ne rester qu'en sweats et en chaussettes. Elles s'installent dans le canapé. Je jette les épais coussins sur le tapis. Tenant leurs jambes relevées, écartées, mes deux anges me présentent mon dessert. Je suis à genoux devant Estelle. Affamé, langue pendante.

C'est par elle que je commence ma dégustation. L'odeur ! Mais quels parfums mes amis ! C'est enivrant. Vertigineux. Cela suscite d'abord un certain dégoût. Estelle titille son clitoris. Petit bouton rose et brillant. Alors que je fouille sa fente du bout de ma langue pour en faire jaillir les lèvres. Chez Estelle elles surgissent comme les pétales d'une tulipe. Cette métaphore est la description la plus précise. Il y a des miasmes, des substances crémeuses que j'aspire en collant fortement ma bouche sur sa vulve. Un goût légèrement âcre qui n'est pas sans rappeler celui de l'amande.

Je suce son clitoris pour entendre ses premiers gémissements. Je la laisse se masturber pour passer à Clémentine. Là, les lèvres charnues de sa vulve n'attendent plus que d'êtres explorées par ma langue baladeuse. Clémentine tient son clitoris géant entre le pouce et l'index pendant que je fouille les plis et les replis de ses peaux fripées. Là aussi je savoure le goût onctueux de son "yaourt". Les chattes pas lavées, offrent d'étonnants mélanges de saveurs. Le vinaigré du trou à pipi que j'apprécie pour ce petit côté acidulé. Une friandise. Je suce le clito de Clémentine. Géant !

Je vais de l'une à l'autre dans un concert de gémissements, de petits cris de ravissements, de petits râles de satisfactions. Soudain Estelle m'attire sur elle en tirant sur mes bras. Je me lève rapidement pour la pénétrer. Elle adore se faire pistonner à la hussarde. Je m'agite donc comme un forcené en l'écoutant pousser des cris de plaisirs. Clémentine sans cesser de se masturber, se met à genoux sur le canapé pour enfoncer sa langue dans ma bouche. Je baise Estelle avec la délicatesse d'un lutteur ukrainien aux jeux "Olympipes". Je pistonne comme un dément. Une bête en rut.

Son orgasme la fait hurler. Elle se termine en branlette après m'avoir repoussé. << Viens ! >> me fait Clémentine en se vautrant, cuisses écartées. Je la pénètre à son tour pour lui infliger le même traitement. Piston à coups répétés. La machine. Il est extrêmement rare que j'ai ce comportement de baiseur fou avec Clémentine. Nous avons une préférence pour le côté "zen" de l'amour immobile. Pas ce soir. D'abord parce que je suis bien trop excité, puis parce que Clémentine semble beaucoup apprécier de s'agiter à mon rythme. Estelle qui a repris ses esprits enfonce sa langue dans ma bouche.

Elle me repousse. Ce soir, Clémentine n'a pas anticipé. Dans les spasmes qui agitent son corps, elle n'a pas le temps de saisir la cuvette sous le guéridon. Elle jouit en pissant. Un jet d'une puissance inouïe. Projeté loin. Devant le bureau. En hurlant de plaisir elle n'a d'autres choix que de se laisser totalement aller. Estelle me tient la queue dégoulinante en restant contre moi. Nous regardons cet spectacle surréaliste. Clémentine, les deux mains entre ses cuisses serrées, semble en proie à une souffrance insurmontable. Elle ouvre soudain les yeux, nous découvre en spectateurs avant de rire aux éclats.

C'est amusant de la voir courir aux toilettes pour en revenir avec le seau, la serpillère et le balai brosse. Estelle est entrain de me tailler une pipe hyper juteuse. Les yeux ouverts. Poussant de petits gloussements ravis. Car elle non plus ne veut pas rater ce divertissement. Clémentine qui passe la serpillère afin de nettoyer sa pisse. L'éponge sur le canapé. Tout en commentant l'orgasme qui l'a "bouleversé". J'éjacule dans la bouche d'Estelle. En sournois. Elle tousse. Elle éprouve les plus grandes difficultés a déglutir l'abondance de des trois saccades qui secouent tout mon corps. J'en hurle de plaisir.

Bonne nuit à toutes les coquines qui ont conclu ce dimanche soir de la façon habituelle. Ce rite du léchage de minous et de l'orgasme pisseux...

Julien (éjaculateur sournois)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 32 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2181 -



La petite routine du lundi

Hier matin, lundi, ce sont les cris des mouettes qui nous arrachent de nos profonds sommeils. Il est est presque six heures. Des mouettes qui n'existent que dans l'application "océan" de nos téléphones. L'illusion est d'autant plus bluffante que, posés sur nos tables de nuit, ils s'allument en même temps. Clémentine se blottit tout contre moi en se frottant contre ma hanche. Saisissant mon érection naturelle elle murmure : << Je reste au lit. Trop dur ! >>. Quelques papouilles, quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes. Raison fait loi.

Vêtus de nos vêtements de gym, morts de faim, nous dévalons les escaliers. Comme pour chacun d'entre nous, c'est tous les matins les mêmes réflexes. Les mêmes rituels. J'allume la cuisinière à bois. Tout en faisant le café, Clémentine me raconte ses rêves. Elle presse les oranges, pèle les kiwis en riant de ses propres hésitations. Elle n'est pas encore bien réveillée. Il reste toujours de la brioche le lundi matin. Je la mets dans le four à micros ondes pour lui rendre son moelleux. Le grille pain éjecte ses premières tranches. Il commence à faire chaud.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos folies de hier soir. Responsables selon Clémentine de nos difficultés à émerger le matin. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en évoquant cette nouvelle journée d'études qui attend Clémentine. Elle a commencé la rédaction de sa thèse. Elle devra être terminée pour le début mai afin que l'imprimeur puisse en tirer une vingtaine d'exemplaires. Ça fera beaucoup plus sérieux, beaucoup plus professionnel pour sa présentation devant le jury à la mi juin de cette année.

Six heures vingt cinq. Nous remontons pour achever ce levé homérique. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol, abdos, charges additionnelles avant le stretching final. La douche. Je redescends le premier pour aller préparer l'auto. Presque 7 h45. Le jour s'est levé sous un ciel gris mais qui s'annonce lumineux. Et toujours ce froid glacial. Moins 2°. Clémentine vient me rejoindre chaudement vêtue. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer pour faire la vaisselle, notre lit. Il fait chaud dans la maison.

J'allume un bon feu dans la cheminée, une fois dans l'atelier. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette dix septième toile destinée à ma saison d'été me plonge dans ma passion. J'aime peindre des paysages un peu à la manière de l'école de Barbizon. Je peins dans un enthousiasme serein. Quand je travaille ainsi, je pense à tout sauf à ce que je fais. Tout en restant concentré sur les choses essentielles. Les heures défilent. Il est midi. Je mets deux bûches sur les braises. Je quitte l'atelier pour la cuisine.

Avec ce froid, la consommation de bois est conséquente. J'arrive à temps pour mettre une bûche sur les braises de la cuisinière. Je réchauffe le reste de la potée de légumes. Avec une salade de concombre, un filet de colin poêlé, c'est une délicieuse préparation. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission, André Bercoff reçoit deux médecins. Il est question de cette nouvelle hérésie de vacciner les collégiens, filles, garçons, contre le cancer du col de l'utérus. Nous apprenons au passage que les garçons aussi sont dotés d'un utérus.

Des fous quoi ! Les mêmes dangereux psychopathes veulent contraindre cette jeune population par une obligation. Les consortiums pharmaceutiques se frottent déjà les mains à l'idée des milliards de dollars que cette nouvelle démence va engendrer. Tout en écoutant de plus en plus distraitement j'élabore le menu de ce soir. J'opte pour un gratin de courgettes et d'aubergines. Je les lave et coupe en tranches régulières. Je dispose en spirale dans le grand plat à tarte. J'y verse un flan à base d'œufs, de fromage blanc, de lait de soja et de moutarde.

Je recouvre d'une épaisse couche de gruyère suisse. Chapelure. Graines de sésame grillé. Onze cerneaux de noix disposés en cercle. Au four électrique pour une cuisson lente et douce à 160°. C'est bien meilleur en laissant mijoter longuement. La vaisselle avant de monter me laver les dents. Pressé d'aller faire quelques pas au dehors, je dévale les escaliers pour enfiler mon anorak. La température extérieur ne dépasse pas 10°. C'est rageant. Mais comme le précise parfois Clémentine, l'hiver c'est jusqu'au 21 mars. Il faut donc s'y résoudre et faire profil bas.

Je vais jusqu'à la rivière avant de faire le tour de la propriété. Il est 13 h50 quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans les mêmes égarements de la pensée que ce matin. Sans avoir la moindre perception du temps qui passe. La seule indication est le bruit que j'entends. Je sais qu'il est 17 h30 quand Clémentine entre dans l'atelier pour se précipiter vers moi. Elle jette son cartable dans le fauteuil à bascule avant de s'assoir à califourchon sur mes cuisses. En se frottant pour me couvrir le visage de bisous. M'embrasser.

Clémentine me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Son après-midi avec Estelle en salle de documentation. Pour elles aussi les heures passent vite. Clémentine a encore du travail. Les notes qu'elle consigne doivent être ordonnées avant de servir à ses écrits. La voilà assise devant son ordinateur. C'est en chantonnant qu'elle s'attelle à sa tâche. J'adore l'écouter en peignant. Une heure de pur plaisir. Il est dix huit heures trente. Elle s'écrie : << Là, j'arrête tout jusqu'à demain ! >>. Moi aussi. Je nettoie la palette, les pinceaux.

Elle vient me rejoindre devant le petit lavabo de l'atelier. Je me lave les mains avec la bite posée sur le bord. Ça aussi c'est un rituel fort plaisant. Clémentine s'en saisit pour en diriger les multiples petits jets. Ce n'est amusant qu'au début pour devenir rapidement très excitant. Le plaisir est double. Quand elle secoue les dernières gouttes, penchée au-dessus du lavabo, je passe ma main sous ses cheveux pour saisir sa nuque. Je ne suis pas obligé d'appuyer. Clémentine se régale déjà des derniers reliquats. Je caresse sa nuque en appréciant cette pipe.

Oh, juste une toute petite pipe de quelques instants. Clémentine se redresse pour se blottir dans mes bras. C'est dans ces effusions de tendresse que nous entendons un léger bruit. La porte s'ouvre sur Julie qui se précipite vers nous. Trois bises à Clémentine. Dont une sur la bouche. Deux bises sur mes joues, la troisième sur mes lèvres. Comme je m'écarte de Clémentine, Julie découvre ce qui pend de ma braguette béante. Je bande mou. Cette magnifique lance à incendie qui ravit autant Julie que Clémentine. Julie qui s'assoit devant la toile.

Elle aime à scruter mon travail. Clémentine me tient la queue devant la cheminée. Nous regardons danser les dernières flammes. Julie vient nous rejoindre. Serrée contre Clémentine elle nous raconte ses trois soirées de serveuse. Le restaurant fait le plein tous les soirs des week-end. Anne-Marie, la patronne et tante de Julie est sans arrêt sollicitée par des guides gastronomiques. Hors elle refuse obstinément d'être étoilée. Son établissement connait le succès, est réputé, alors à quoi bon se mettre dans une situation de paranoïa ? Risquer de la perdre ?

<< Tu as fait ta voyeuse ? >> demande Clémentine. << Oui ! Il y avait un vicieux hier soir. Un de ces types qui viennent manger seul. Je suis certaine qu'il se paluchait sous la table. Mais quand je suis descendue aux toilettes c'est après Camille qu'il en avait. Ma collègue aussi aime les situations un peu glauque. Ça ne fait pas longtemps que je le sais ! >> répond Julie. Nous rions de bon cœur. J'écoute car les questions que j'ai envie de poser sont demandées par Clémentine. Clémentine qui raconte ses exhibes de samedi après-midi à la FNAC.

Julie adore écouter nos aventures. << Viens, on se raconte devant un bon repas ! >> lui fait Clémentine en l'entraînant par le bras sans me lâcher la queue. Je bande comme le dernier des salauds. Ces histoires aussi me galvanisent. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Une bûche sur les braises de la cuisinière à bois. Quand les filles découvrent la tarte gratin, elles me font des bises sonores. En stéréophonie. Je les attrape par la taille pour les serrer contre moi. Je tire le plat du four électrique éteint pour le glisser dans le four de la cuisinière à bois.

Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de tomates. Julie met les assiettes, les couverts. Je me branle en les écoutant évoquer les exhibitionnistes que Julie adorent aller admirer dans les toilettes du restaurant. Elle revient souvent sur les mêmes anecdotes vécues depuis cinq ans. Nous rions car elle note les meilleures "performances". Les mecs les plus vicelards. Le champion toute catégorie reste ce chauffeur routier qui se branlait sous la table. Posant régulièrement sa fourchette pour se manipuler de la main droite. Avant de descendre aux WC.

Nous rions comme des fous. << Ça vous fait cet effet là Julien ? >> me demande Julie en fixant le mouvement mécanique de ma branlette. Clémentine répond : << Julien est un émotif ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Julie enfile les maniques. Elle s'accroupit devant le four pour en ouvrir la porte. Elle en sort une tarte gratinée, dorée, fumante, merveilleusement parfumée. Nous mangeons de bon appétit tout en continuant à évoquer nos aventures. Julie pose tout un tas de questions à Clémentine. Clémentine aussi a eu affaire à quelques "champions" !

Je me souviens de ce type rencontré lors de la visite de Dunnottar Castle en Écosse. Ce jeune employé municipal que Clémentine à sucé dans des toilettes souterraines à Édimbourg. Julie écoute avec attention. Sa main gauche sous la table. Elle dit : << Je n'aurais pas ton courage Clémentine. Je ne pourrais pas aller jusque là. Je me contente de regarder. J'adore me retrouver dans ces situations ! >>. Je me lève pour me masturber. C'est mieux debout. Je le fais plusieurs fois durant le repas. Suscitant un vif intérêt chez Julie qui cesse de manger.

Clémentine me fait à chaque fois un clin d'œil. Elle s'adresse à Julie : << Si tu viens passer une semaine avec nous dans le Jura à Pâques, on se fait des "plans" d'enfer. Je vais t'apprendre d'autres trucs. J'ai envie de mettre la barre très haut ! >>. Julie, les yeux grands ouverts, boit les paroles de Clémentine. Je regarde les expressions de son visage de fille nubile. J'adore ses narines qui bougent toutes seules quand elle est concentrée sur les paroles de Clémentine. Sa bouche qui s'entrouvre, sa lèvre inférieure qu'elle mordille en écoutant. Très excitée.

La vaisselle. Julie devra nous laisser pour 22 h. Il nous reste près d'une heure et demi. C'est au salon que nous prenons une infusion. Julie assise dans le fauteuil qui nous fait face. Clémentine à ma gauche dans le canapé, tenant mon sexe de sa main droite. La conversation va de leurs études, aux projets de vacances, pour revenir sur nos déviances sexuelles. Julie n'ose jamais soutenir mes regards. Ce sont toujours de furtifs coups d'œil. Par contre elle observe souvent mon sexe comme hypnotisée. Les coulures de liquide séminal mouillent le prépuce.

Il en coule sur la main de Clémentine. Régulièrement elle porte ses doigts à sa bouche pour les lécher. Julie reste comme consternée. Pourtant ce n'est pas la première fois qu'elle assiste à ces scènes. J'alterne des érections délirantes avec des moments de relâchements beaucoup plus softs. Une fois encore, je me lève pour venir me positionner devant Julie. Clémentine debout derrière moi qui agite mon Zob à une cinquantaine de centimètres du visage de Julie. Sa gêne est palpable. Et pourtant elle surmonte avec panache. Comme dans les WC.

Il serait frustrant de commencer quelque chose. Nous en sommes conscients et nous nous entendons parfaitement à ce sujet. Aussi, nous nous contentons de cette situation. << J'adore quand on est tous les trois comme ça, à nous amuser ! >> lance Julie. << C'est génial ! >> fait Clémentine. Accroupie derrière moi, me tenant la queue entre mes cuisses, sa tête contre ma hanche, Clémentine revient sur le projet des vacances de Pâques. Julie se promet de faire tout son possible pour passer ces dix jours avec nous. Clémentine évoque le voyage.

Clémentine adore s'occuper de l'organisation. C'est en avion que nous traverserons la France. Nous louons une voiture une fois sur place. Nous louons un appartement chez l'habitant. Je précise que cela est offert. Que c'est une invitation. Julie s'exclame : << Mais j'aimerais participer ! >>. Je dis : << Mais votre participation sera émotionnelle et sensuelle. C'est déjà beaucoup et nous saurons nous en contenter ! >>. Clémentine se redresse, me masturbe en rajoutant : << Ce serait génial de t'avoir avec nous. Tu es notre mascotte sexuelle ! >>.

Nous raccompagnons Julie dans le froid polaire. Demain c'est la pleine lune. On peut la deviner derrière le voile de nuages. La nuit est claire. Nous nous asseyons tous les trois dans la voiture de Julie. Clémentine sur le siège passager. Moi à l'arrière. Le moteur tourne. Le chauffage se fait sentir rapidement. Julie reviendra vendredi. Je caresse son cou, sa nuque. Je passe l'extrémité de mes doigts sur ses joues. Elle saisit mes poignets afin que surtout je ne cesse pas. Pourtant il va falloir se séparer. Un dernier bisou. Nous sortons de l'auto. Un dernier coucou.

Bonne nuit à toutes les coquines qui, une fois sous la couette, vont pouvoir se régaler de la bite juteuse de leur vicelard. Une bonne dose...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 33 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2182 -



La petite routine du mardi

Il est presque six heures hier matin, mardi. La sirène de ce gros bateau dans le lointain. Les moteurs de ce chalutier quittant le port. Ce sont les illusions délivrées par l'application "océan" qui nous tirent du sommeil. En gémissant Clémentine cherche le réconfort de mes bras. C'est encore une dure lutte pour s'extraire de ce lit si douillet. Quelques bisous, quelques papouilles pour nous aider à y parvenir. Nous quittons la chaleur de la couette pour nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, habillés de nos tenues de gymnastique, nous dévalons les escaliers.

Pendant que j'allume la cuisinière à bois, Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Je mets les deux gros croissants aux amandes dans le four à micros ondes. Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur notre soirée avec Julie. << J'aime tellement te voir faire ton numéro de vieux pervers ! >> me dit Clémentine en venant s'assoir sur mes genoux pour savourer son croissant. Elle le coupe toujours en deux dans le sens de la longueur pour y mettre du miel crémeux. Quand elle pose ses lèvres sur mes miennes. Sucrées.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant la grève probable de certains professeurs de l'université. Clémentine est bien trop soucieuse de l'obtention de son Doctorat pour aller participer à une manifestation organisée par l'UNEF, l'un des principaux syndicats étudiants de France. << Je suis solidaire de tous ces gens. Je vais rentrer sur le marché du travail à 27 ans. Je vais donc probablement bosser jusqu'à 70 ans ! >> lance t-elle. Je réponds : << Moi, la retraite je ne pourrai jamais la prendre. Condamné à peindre, à créer, jusqu'à la fin des temps ! >>

Il est 6 h25 quand nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Les échauffements de l'aérobic juste avant ceux du jogging sur tapis roulants. Bien chauds nous adorons les exercices au sol et surtout les abdos. Pour attaquer les barres et les haltères, nous voilà prêts. Les étirements d'un stretching bien trop précipité par manque de temps. La douche. Je dévale les escaliers pour aller faire chauffer la voiture. Il est presque 7 h45. Il fait froid. Le ciel est gris, bas et menaçant. Clémentine me rejoint dans son anorak à capuche.

Un dernier bisou. << S'il y a quelque chose d'important qui se passe, je t'appelle ! >> me rassure t-elle. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou avant de me dépêcher de rentrer au chaud. La vaisselle, le lit avant de passer dans l'atelier. J'allume une flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je termine cet après-midi ce premier paysage destiné à ma saison d'été. Ce qui me fera un stock de dix sept tableaux. Plus que sept à faire.

Je peins dans l'allégresse des certitudes. Je suis dans le timing habituel. Peut-être même en avance de quelques semaines. La matinée passe sans que j'en perçoive la durée. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe la dernière part de la tarte à la courgette et aux aubergines. Une rapide salade de carottes. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff consacre son émission aux manifestations concernant la réforme des retraites. Sud Radio n'est pas une station inféodée aux groupes financiers.

Aucun groupe de pression n'exerce la moindre dictature. La parole y est donc libre. Les actualités y sont présentées sous un tout autre angle. Ce qui déplaît évidemment dans les hautes sphères du pouvoir qui aimerait bien museler ces aires de "complotistes". Puisque c'est ainsi que sont traités toutes celles et tous ceux qui refusent la pensée unique. Qui réfléchissent par eux-même. En écoutant, j'envisage le repas de ce soir. Je vais sacrifier aux douceurs d'une bonne Flamiche Picarde. Cette tourte aux poireaux qu'Estelle et Clémentine adorent.

J'étale les deux tiers de la pâte feuilletée dans le grand plat rond à bords hauts. Pendant que je concocte la Béchamel, je fais cuire le poireau que je lave et coupe préalablement. Je râpe une bonne quantité de ce gruyère alpestre suisse que nous a fait découvrir Danièle. J'égoutte le poireau pour le rajouter à la Béchamel avec le gruyère, de la noix de muscade, l'ail, l'échalote, le persil et la ciboulette. Je recouvre du dernier tiers de pâte que je jointe soigneusement. Je badigeonne le dessus du mélange œuf, lait de soja, moutarde à l'ancienne et à grains.

Au four électrique pour une lente cuisson à 180°. La vaisselle. Je monte me laver les dents avant d'aller faire quelques pas au dehors. Il fait légèrement moins froid avec les 14° degrés extérieur. L'absence de vent est appréciable. Il est 13 h45 quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans la même allégresse que ce matin. Il est seize heures quand je dépose la dernière touche de jaune de cadmium sur la toile. Voilà le tableau achevé. Je le dépose sur un second support où il pourra sécher. C'est toujours rassurant de terminer.

Je suis déjà à la peinture du second paysage quand Clémentine rentre de cours. Il est dix sept heures trente. Elle se précipite pour venir s'assoir à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou pour me raconter sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Ce n'était aujourd'hui qu'un sandwich et une pomme. Le personnel de cuisine étant en grève. Clémentine a passé une partie de la matinée et de l'après-midi en salle de documentation. La grève n'a nullement perturbé l'avancée de ses travaux. Elle a encore à ordonner toutes ses notes.

Assise devant son ordinateur elle commente ce qu'elle fait. << Vendredi je te fais la lecture du prologue de ma thèse. Tu devras me donner ton avis. Il compte beaucoup ! >> me dit elle. Je me réjouis. Si Clémentine n'était pas passionnée de sciences et de mathématiques, elle aurait fait une étudiante en Lettre Moderne de haut rang. Elle écrit si bien. C'est un bonheur de l'écouter lire ses textes. << Mais là, j'en ai marre pour aujourd'hui ! >> s'écrie t-elle en se levant pour ranger ses affaires. Il est 18 h30. Je nettoie la palette, les pinceaux. Terminé.

La bite posée sur le bord du petit lavabo de l'atelier, je me lave les mains. Clémentine vient me rejoindre pour s'en saisir. Penchée en avant, pour voir de plus près, elle dirige les multiples jets dans le trou d'écoulement. Sous le filet d'eau chaude. Prudemment, pour pas que ça gicle, elle vise l'étroit rectangle du trou d'écoulement. << Raté ! >> lance t-elle. Nous rions de bon cœur. Et lorsque je ris en pissant, elle doit maintenir le Zob fermement pour ne pas que ça éclabousse partout. Debout, mais penchée en avant, Clémentine savoure la dernière goutte.

Nous voilà serrés l'un contre l'autre devant la cheminée. C'est un beau spectacle dans le crépuscule. Juste la lueur des dernières flammes. Du bruit. C'est Estelle qui jaillit dans l'atelier comme une bourrasque de vent. Elle se précipite. J'ai la bite à l'air qu'elle saisit en enfonçant sa langue dans ma bouche. Ce qui me fait immédiatement bander comme le dernier des salauds. Estelle et Clémentine ont passé leur journée ensemble. Aussi elles évoquent les différentes étapes de leurs préparations. Estelle, tout en parlant, me tord la bite dans tous les sens.

En érection c'est presque douloureux. Fort heureusement ça me fait également débander très vite. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. J'ai droit à un véritable mitraillage de bisous quand mes deux anges découvrent la tourte aux poireaux. J'ai déjà lavé les endives. Clémentine n'a plus qu'à faire l'assaisonnement. Estelle m'aide à mettre les assiettes, les couverts. En saisissant mon Zob à la moindre occasion. << Je me sens salope ce soir. Et vous ? >> lance t-elle. << Pareille ! >> répond Clémentine. Je dis : << Idem ! >>. Nous sommes morts de faim.

La Flamiche Picarde s'avère délicieuse. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, Estelle et Clémentine font déjà des projets pour le week-end à venir. Cette projection dans le futur permet d'occulter les préoccupations universitaires. La vaisselle. Pour soulager les tracas, je propose une bonne baise sur bureau. Pas la peine de le répéter. Les deux coquines m'entraînent au salon. Combien de fois n'ai-je assisté à ce divin spectacle. Quand elles retirent leurs bottines, leurs Levis pour rester en sweats, chaussettes.

Je prends deux épais coussins du canapé pour les poser au milieu du bureau. << Vous êtes un thérapeute de tout premier ordre cher monsieur ! >> me fait Estelle en se frottant contre ma hanche droite. << Vos méthodes sont les plus efficaces du milieu de la psychologie cher monsieur ! >> me dit Clémentine en se frottant contre ma hanche gauche. Elles se serrent contre moi. Je les tiens par la taille. Estelle saute sur le bureau la première. En appui sur ses coudes, elle me fixe de son regard par en-dessous. Terriblement suggestif. Hyper belle.

Elle écarte ses cuisses en posant les pieds sur le bord du meuble. Clémentine la rejoint pour s'installer de la même façon. J'aime m'éloigner, prendre du recul en admirant le spectacle. Je me masturbe doucement. Cette expression sérieuse avec laquelle elles m'observent me fascine, m'excite. Estelle se touche la première. Suivie de Clémentine qui tient son clitoris géant entre le pouce et l'index. Son regard soudain implorant. Comme une supplication de venir soulager sa "peine". C'est en me branlant que je les rejoins. D'abord Clémentine ce soir.

Debout entre ses cuisses, je frotte mon sexe sur le sien. Elle se couche sur le dos, la tête sur le coussin. Je saisis ses chevilles pour maintenir ses jambes relevées. Estelle pousse un gémissement d'excitation. Elle se masturbe, impatiente. Désireuse de subir le même traitement. Je pénètre Clémentine. Centimètre par centimètre. Je me retire pour revenir un peu plus profondément. C'est sa préférence. Elle gémit déjà de plaisir. Estelle saute du bureau pour se coller derrière moi. Se frotter en se masturbant d'une main. L'autre autour de ma taille.

Quand elle s'installe à nouveau sur le bureau, de la supplication dans les yeux, elle se couche sur le dos. La tête sur le coussin. Mon épée quitte le doux fourreau de Clémentine pour s'introduire dans celui d'Estelle. Contrairement à Clémentine qui adore l'immobilisme du coït zen, Estelle s'agite immédiatement. Je m'adapte rapidement à la demande. C'est à la hussarde que je la baise. Sous mes coups de butoirs, elle pousse de petits cris d'animal blessé. Clémentine se masturbe. Mon comportement de catcheur olympique ne tarde pas à produire son effet.

Pendant que Clémentine pisse dans la cuvette sans cesser de se branler, Estelle est la victime d'un orgasme qui la fait hurler. Juste avant elle me repousse pour se terminer aux doigts. Je ne connais pas d'instant aussi émouvant que de la voir se coucher sur le côté, mains entre ses cuisses, comme en proie à une terrible douleur. C'est sa façon de surmonter cet orgasme "dévastateur". Clémentine repousse la cuvette pleine de pisse pour se rallonger. Elle se masturbe de plus en plus frénétiquement en poussant des halètements. Je veux revenir la pénétrer.

Je n'en ai pas le temps. Dans un hurlement elle aussi est victime d'une secousse sismique. J'adore voir son corps s'agiter de spasmes incontrôlables. Ce qui l'anime là, sous nos yeux, pourrait être inquiétant si on ne savait pas que c'est sa façon de jouir. Estelle saute du bureau la première pour s'habiller promptement. Il est déjà 21 h45. Elle devra nous laisser pour 22 h. Les nuits de sommeils sont bien trop courtes quand on consacre ses journées et son énergie à la préparation d'un doctorat. Clémentine reprend ses esprits. Elle s'habille aussi.

J'ai la bite dégoulinante de nos substances. Clémentine se penche la première pour sucer. Estelle s'accroupit en attendant que Clémentine veuille bien partager un peu. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. Dans la nuit glaciale. Impossible de discerner les lueurs de la pleine lune. La séparation est difficile. Je dis : << Bonne baise avec ton parrain demain soir ! >>. Estelle me répond : << Tu m'y as bien préparé ! >>. Un dernier bisou. Estelle revient jeudi soir. Nous nous dépêchons de rentrer. Clémentine reste accrochée à moi. Des bises.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont se régaler d'un jus de bite consistant, abondant, sous la couette. Juste avant un dodo réparateur...

Julien (psychologue sexuel)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 34 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2183 -



La petite routine du mercredi

Hier matin, mercredi, l'application "océan" nous tire de nos profonds sommeils. Il est presque six heures lorsque le bruit du ressac semble exister contre les pieds du lit. Les vociférations des mouettes au-dessus de nos têtes. L'illusion est parfaite et ne dure que quarante cinq secondes. Clémentine, comme une naufragée accrochée à sa branche, se blottit contre moi. C'est violent encore aujourd'hui. Quelques papouilles une fois le silence revenu. Quelques bisous. Il faut se lever. Nous nous précipitons aux toilettes en nous tenant par la main.

Vêtus de nos leggings en lycra noir, de nos sweats en lycra rouge, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. J'y allume la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos "exactions" sexuelles de hier soir. La baise sur bureau en compagnie d'Estelle. << C'est ça qui nous crève. C'est pour ça qu'on a du mal à se lever le matin ! >> fait Clémentine. Je dis : << Oh, je crois bien que même quand on ne baise pas, c'est dur de se réveiller à 5 h55 ! >>

Nous mangeons de bon appétit en évoquant Juliette. Elle vient manger à la maison ce soir. << Elle voudra sa réponse pour la soirée maraîchère ! >> lance Clémentine. Je demande : << Et quelle réponse donneras-tu ? >>. Nous en rions aux éclats. Il est 6 h25. Nous remontons. Rien de plus radical qu'une heure d'entraînement physique pour transformer les mollusques que nous sommes en vertébrés capables d'affronter la journée. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol, abdos, charges additionnelles pour finir par un stretching.

La douche. Je dévale les escaliers pour aller préparer la voiture. Il est presque 7 h45. Le froid glacial des jours précédents a fait place à une désagréable fraîcheur humide. C'est sous son parapluie que Clémentine vient me rejoindre. Il pleut à verse. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer au sec pour faire notre vaisselle et notre lit. Me voilà dans l'atelier à allumer un beau feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. En chantonnant "Le parapluie" de Georges Brassens.

J'attaque le second paysage destiné à ma saison d'été. Saison qui se rapproche inexorablement. C'est à partir d'une photo prise pas très loin de chez nous. Le vieux moulin dans son vallon. Je peins dans une sorte d'exaltation qui me fait baver de plaisir. Comme toujours, livré corps et âme à ma passion, je ne vois pas défiler les heures. C'est la faim qui reste mon horloge biologique. Il est presque midi. Je mets deux bûches dans les flammes avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il me suffit de réchauffer la dernière part de la tourte aux poireaux de hier.

Avec une laitue dont je lave les feuilles. Pour maintenant et pour le repas de ce soir. Ce soir ! Je n'ai pas encore clairement défini ce que je vais concocter. Je veux surtout que ce soit une surprise. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff reçoit un sociologue. Le sujet du jour est évidemment passionnant. André Bercoff n'a pas son semblable pour rendre ses émissions captivantes et passionnantes. Avec sa verve, ses bons mots et ses fulgurances d'esprit. Il est question aujourd'hui encore des réformes.

Leurs conséquences sur la vie de la nation. Sur l'existence de la population. Je compose mentalement mes préparations culinaires. Ce seront des bouchées à la reine. Accompagnées d'un gratin de riz. Je me mets immédiatement au travail. J'émince un gros pavé de saumon que je fais dorer dans la poêle avec des champignons, de l'ail, de l'échalote. Je râpe du gruyère suisse. Je fais gonfler du riz complet dans un bouillon persillé. Je prépare une Béchamel dans laquelle je rajoute le contenu de la poêle et une partie du gruyère alpestre. Je mélange.

Je rempli les sept bouchées à la reine. Je dépose sur chacune le petit couvercle de pâte feuilletée. Je les dépose dans le plat carré en terre cuite. Je les cale avec le riz. Je recouvre le tout du reste de gruyère. Entre chacune je mets des dés de Roquefort. Sur le tout de la chapelure, des graines de sésame grillé. Au four électrique pour une longue et lente cuisson à 160°. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller mouiller mes bottes en caoutchouc, je dévale les escalier pour enfiler mon anoraks. Chausser les bottes. La pluie ne cesse de tomber.

C'est sous le parapluie que je descends jusqu'à la rivière. Grâce à la digue de terre que notre voisin à dressé, les eaux n'inondent plus cette partie de la propriété. Brave homme. Vieux salaud retraité qui s'est fait sucer à plusieurs reprises par Clémentine. Croyant que je ne le sais pas. Clémentine pressée de récidiver dès le retour des beaux jours. J'en ris. Il est 13 h50 quand je suis de retour dans l'atelier. Installé devant mon chevalet à peindre dans l'humeur du bienheureux. Sans voir passer les heures. Il est déjà 17 h30. Clémentine rentre de cours.

Assise à califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, en se frottant doucement dans un rythme lent, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Le personnel de cuisine ayant repris le travail tout est revenu à la normale. Ses après-midi en salle de documentation permettent une avancée considérable de son rédactionnel. Un professeur à disposition pour un groupe de seize étudiants. Clémentine a encore ses notes à mettre au propre. Des finitions de texte à réaliser. La voilà installée devant son ordinateur.

Cette petite heure d'émulation commune est une réelle source d'inspirations pour ma peinture. J'aime tant l'entendre chantonner, commenter ce qu'elle fait. Lire à voix haute la phrase qu'elle vient de composer. Jusqu'au fatidique : << Ras-le-bol ! >> qu'elle lance. Il est 18 h40. Je nettoie la palette, les pinceaux. Ma bite posée sur le rebord du petit lavabo de l'atelier, je me lave les mains. Clémentine termine de ranger ses classeurs avant de me rejoindre en s'écriant : << Attends-moi ! >>. Bien sûr j'attends. Avec une grande et fébrile impatience.

Clémentine tient ma queue pour en diriger les jets. Ce rituel pisseux nous enchante. C'est une véritable habitude. << Descends ton pantalon et ton slip ! >> me fait Clémentine en secouant les dernières gouttes. J'obéis immédiatement car j'adore ses initiatives. Elles sont souvent surprenantes. Me voilà avec mes fringues sur les genoux. Clémentine s'accroupit. Elle suçote juste la peau du prépuce qu'elle tire entre ses lèvres. Elle se redresse en disant : << Branle-toi. Je regarde ! >>. Étonné, surpris, je m'exécute. Légèrement cambré, mes genoux fléchis.

D'un mouvement lent et régulier je me masturbe alors que Clémentine tourne autour de moi. Parfois elle se rapproche pour mieux voir. Parfois elle reste à distance. << Ça m'allume toujours ce spectacle ! >> dit elle. Du bruit. Nos intimes ont pour consignes de nous rejoindre sans s'annoncer. La porte de l'atelier s'ouvre. Juliette y entre. Le spectacle la sidère. << J'arrive au bon moment ! Bonsoir ! >> dit elle avant d'éclater de rire. Elle fait trois bises sur les joues de Clémentine. Deux bises sur les miennes, la troisième sur mes lèvres. Nouveau rituel.

Je cesse ma branlette pour me redresser. Je veux remonter mon slip et mon pantalon quand Juliette m'en empêche. Ses mains saisissant mes bras, elle dit : << Ah non ! Vous n'allez pas me priver de cette joie ! Je suis très bon public ! >>. Nous rions de bon cœur. J'ai une trique dure comme un morceau de bois. Le véritable "démonte pneu" de camion. << J'ai vu ça cet après-midi. Mon vétérinaire adore me surprendre dans les écuries ! >> rajoute Juliette. << Pour une bonne pipe ? >> demande Clémentine qui vient se blottir contre mon dos.

Elle saisit mon sexe des deux mains. Comme pour éviter que ce ne soit Juliette qui s'en empare. Clémentine me fait tourner. Elle m'entraîne par la queue jusqu'à la cheminée. Je marche en canard avec mes vêtements à présent tombés sur les chevilles. Je dois avoir l'air d'un con. Juliette, pliée de rire observe la scène. Ce soir encore elle porte sa tenue d'écuyère. Ce pantalon d'équitation beige, aussi moulant qu'un legging. Un gilet brun sur un chemisier crème. Ses hautes bottes noire de cavalière. Ce qui magnifie sa silhouette d'athlète. Tellement sexy.

<< J'ai surpris mon palefrenier dans cette situation burlesque il y a quelques temps. Il était en compagnie d'Évelyne ma palefrenière ! >> dit elle. Nous rions. Je remonte enfin mes fringues pour me réajuster. << S'il vous plaît, garder votre "chose" apparente, merci ! >> lance encore Juliette. Braguette ouverte, bite à l'air je reste avec les mains sur les hanches pour demander : << Satisfaite madame ? >>. Elle répond : << Parfait monsieur ! >>. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand les deux coquines découvrent les bouchées à la reine, c'est la joie.

Sur la table il y a le tupperware contenant la tarte qu'a ramené Juliette. Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue déjà lavée. Juliette surveille le plat qui réchauffe dans le four à bois. Je mets les assiettes, les couverts. Juliette le sait. Rien ne m'excite davantage qu'une femme accroupie, vue de dos. Clémentine mime une masturbation masculine pour m'encourager. Juliette me surveille dans la vitre fumée du four. Comme dans un rétroviseur. Je me branle. Juliette tourne juste la tête pour me lancer son étrange regard habituel. Teinté de sévérité.

Elle sort le plat du four. C'est comme le dessus en ébullition d'un volcan. Nous savourons ce délicieux repas en bavardant. Juliette a toujours d'étonnantes anecdotes concernant son entreprise. Elle en vient toutefois assez rapidement au sujet qui unis nos passions communes pour le trivial, le stupre et la luxure. << Je fais venir Philippe vendredi ? Pour la soirée maraîchère ? >> demande Juliette en s'adressant à Clémentine. Je me lève pour agiter mon sexe dans sa direction. Nous restons suspendus à ses lèvres pour attendre la réponse que je connais déjà.

<< Nous serons là pour vingt heures, ça marche ! >> lance Clémentine. << À la bonne heure ! >> s'écrie Juliette qui cesse de manger pour observer "l'hélicoptère". Ce mouvement circulaire qui fait tourbillonner ma queue. Quand je bande mou comme maintenant, c'est assez remarquable. J'accélère. Je ralentis avant de me rassoir. Nous traînons un peu à table. Juliette devra nous laisser pour 22 h. Il reste deux heures. J'écoute Clémentine et Juliette mettre au point les dernières modalités de cette nouvelle soirée de débauches au fond des écuries.

<< Essayez de ne pas vous enfuir quand c'est fini comme vous le faites habituellement ! >> lance Juliette. Clémentine précise une fois encore : << C'est un réflexe. Quand c'est terminé j'ai besoin de me sauver. Pour ne pas être confrontée à ce qui suit ! >>. Nous rions de bon cœur quand Juliette rajoute : << Vous savez, c'est très excitant après aussi ! Tout le monde se retrouve un peu gêné ! >>. J'ai assisté à de nombreuses soirées au haras. C'est vrai que nous nous sommes toujours enfuis avant la fin des festivités. Clémentine m'entraînant par la main. Précipitamment.

La vaisselle. C'est au salon que nous prenons le dessert. Juliette, vautrée dans le fauteuil qui nous fait face. Clémentine à ma gauche dans le canapé. Elle joue avec ma queue tout en bavardant. Juliette joue avec la couture centrale qui divise son "triangle" en deux petites bosses. Les lèvres pulpeuses et charnues de sa vulve se devinent. Elle les palpe entre son pouce et son index tout en évoquant les spécialités maraîchères qu'elle a savouré deux fois. Philippe étant un nouveau membre du "Club". << Vous verrez, c'est surprenant ! >> lance t-elle.

Elle nous montre une nouvelle fois l'écran de son téléphone. Cette étonnante bite crochue. Droite, blanche, dont l'extrémité est courbée vers l'avant. Ce qui évoque le robinet d'un évier. Presque en angle droit. Comme tordue. Accroupie devant nous Juliette nous fait voir. Elle revient sur cette surprise que sera la suite. Clémentine ne peut cacher sa joie à l'idée de cette nouvelle découverte. Même si, comme à chaque fois, elle dit : << Je suis morte de trouille ! >>. Juliette fait : << Moi aussi. Mais c'est cette trouille qui rajoute du piment. Ce que nous aimons toutes les deux ! >>

Je bande comme le dernier des salauds. Juliette à présent à genoux devant Clémentine, observe sa main qui tord ma bite dans tous les sens. Elle brise ce moment de silence en demandant : << Clémentine, soyez gentille vendredi soir. Je peux m'amuser avec Julien ? >>. Clémentine s'écrie immédiatement : << Juste une pipe ! >>. Juliette me fixe dans les yeux. Elle passe sa langue sur ses lèvres. Ses yeux sont soudain pétillants de malice. Elle rajoute : << Nous allons beaucoup nous amuser ! >>. Clémentine dit : << Vivement vendredi ! >>.

Nous raccompagnons Juliette jusqu'à sa voiture. Sous les parapluies. La nuit est noire et fraîche. Assise au volant de sa Mercedes, la vitre baissée, Juliette donne quelques dernières consignes : << N'emmenez rien. J'ai tout prévu. Ce sera une soirée simple et sympa. Il n'y aura que nous quatre ! >>. Clémentine tient le grand parapluie. J'ouvre mon anorak. J'agite mon sexe tout près du visage de Juliette en disant : << Je me réjouis ! >>. Elle lève la tête pour m'adresser un regard sévère. Comme offusquée, Juliette s'écrie : << Espèce de vicelard ! >>

Bonne nuit à toutes les coquines tellement excitées par le projet d'une soirée maraîchère qu'elles se font sauter sous la couette en hurlant...

Julien (vicelard pour dames)



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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

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Classe - 35 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2184 -



La petite routine du jeudi

Ce sont les cris des oiseaux de mer qui nous arrachent de nos profonds sommeils. Il est presque six heures ce jeudi matin. La sirène de ce gros bateau dans le lointain. L'application "océan" nous réveille de ses illusions. À défaut de nous bercer. En gémissant Clémentine vient se blottir contre moi. Aujourd'hui encore le levé va être difficile. Pourtant pas d'autres choix. Quelques papouilles, quelques bisous. Nous nous précipitons aux toilettes. << Aux prochaines vacances on fait la grasse matinée jusque dans l'après-midi ! >> lance clémentine. Nous rions.

Habillés de nos habits de gym, morts de faim, nous dévalons les escaliers. Pendant que j'allume la cuisinière à bois, Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Elle me raconte ses rêves. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier en compagnie de Juliette. Par association d'idées, Clémentine évoque la "soirée maraîchère" qui nous attend vendredi soir. << Mais dans quoi suis-je encore allée me fourrer ! >> dit elle en venant terminer sa tartine de confiture sur mes genoux. Je dis : << On peut se désister ! >>

Nous mangeons de bon appétit en évoquant Estelle qui a certainement passée son mercredi soir à baiser avec son parrain. << Ça fait plus de dix ans que ça dure ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. 6 h25. Nous remontons très vite pour nous offrir notre heure d'entraînement. Second plaisir de cette nouvelle journée. Aérobic en échauffement. Jogging sur tapis roulants. Exercices au sol, abdos avant l'épreuve des charges additionnelles. Le retour au calme d'un stretching bien trop hâtif. La douche salvatrice. Je redescends le premier.

Je sors l'auto du garage. Il fait bien moins froid ce jeudi matin. Il y a eu de la pluie toute la nuit car le sol est détrempé. Presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre en appréciant elle aussi le redoux. Elle porte son blouson de cuir brun, une écharpe. Son Levis, ses bottines. Je dis : << Comme tu es belle ! >>. Une dernier bisou ou elle reste un instant accrochée à mon cou. Je la regarde s'en aller. Un dernier signe de la main avant de rentrer pour faire notre vaisselle, notre lit. Dans l'atelier j'allume une belle flambée. Un bon tirage de la cheminée.

Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ce second paysage destiné à ma saison d'été me plonge dans les méandres mentales de l'introspection. Je pense à ce qui nous attend vendredi soir. Je peins dans une alternance d'érections et de mollesses. Ma braguette ouverte. Mon sexe à l'air sous la blouse. Les heures passent alors si vite. Il est presque midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à réchauffer la dernière bouchée à la reine et le reste de riz. Avec une salade de concombre. Préparations rapides.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Une fois encore André Bercoff consacre sa passionnante émission à l'escroquerie planétaire de la pandémie. Sans nier qu'il y avait réellement quelque chose qui circulait. Ce virus qui n'a jamais été identifié, qu'aucun laboratoire n'a vu, ni découvert. Ce vaccin resté au stade expérimental. Les conséquences dramatiques sur un pourcentage de vaccinés et dont les chiffres sont insidieusement dissimulés. La scientifique invitée précise que l'insulte "complotiste" est devenu ringarde. Peu de gens restent dupes.

Pour le repas de ce soir, j'envisage un gratin de pommes de terre avec une sauce aux champignons et au Roquefort. J'épluche et je lave de belles patates. Je les coupe en tranches régulières. Pas trop fines. Je les ébouillante quelques minutes dans l'auto cuiseur avant de les égoutter et de les disposer dans le plat carré en terre cuite. J'y verse le mélange œuf, fromage blanc, lait de soja, moutarde à graines. Je recouvre d'une grosse couche de gruyère suisse. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillé. Sans omettre les cerneaux de noix.

Au four électrique afin que le gratin mijote longuement à 160°. Dans la poêle je fais blondir des bolets, de l'ail, de l'oignon avant d'y rajouter de la crème fraîche, du lait de soja en déglaçage. Je rajoute des dés de Roquefort qui vont fondre dans cette sauce, hors du feu. Voilà. Nos délices du soir sont prêts. La vaisselle avant de monter me laver les dents. Pressé d'aller faire quelques pas, je redescends à toute allure pour enfiler mon anorak. Que c'est agréable ces 18°. Même si l'humidité est prégnante, il y a ces premières odeurs d'humus. De printemps peut-être.

Je vais jusqu'à la rivière sous le gazouillis surprenant des oiseaux. Il y a des promesses climatiques à l'horizon. Aux mois de mars de chaque année je fais ce constat. L'hiver n'en finit pas. Il est 13 h50. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans une sorte d'euphorie en chantonnant. Sans voir passer les heures. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle jette son cartable dans le fauteuil à bascule pour se précipiter vers moi. À califourchon sur mes cuisses, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire.

Les après-midis en salle de documentation où elle peut se livrer à ses travaux d'écritures. << Demain, je te fais la lecture du premier paragraphe. Tu devras bien écouter ! >> lance t-elle en se levant. Je promets d'être très attentif. Assise devant son ordinateur Clémentine parachève quelques notes importantes prises en cours ce matin. Ces moments de travaux nous enchantent. Il est 18 h30. Je le sais car Clémentine est une véritable horloge. << Put-Hein, là, j'en ai plus que marre ! >> s'écrie t-elle en commençant à ranger ses affaires.

Moi aussi. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je retire ma blouse. Clémentine place ses classeurs sur l'étagère. La bite posée sur le rebord de faïence du petit lavabo de l'atelier, je me lave les mains. En sautillant Clémentine vient me rejoindre. << Mon pisseur ! >> lance t-elle en saisissant mon Zob pour en diriger les multiples jets. << J'aime quand tu bloques. Je sens quand ça passe. C'est comme un à coup quand ça s'arrête ! >> s'exclame t-elle toute admirative. Nous rions de bon cœur car c'est tous les soirs pareils du lundi au jeudi. Pipo dans le lavabi.

Accroupie devant moi, alors que je caresse ses joues creusées par la succion, Clémentine se régale des derniers épanchements. Je l'aide à se redresser. Elle m'entraîne par la queue jusque devant la cheminée. La nuit va tomber. La danse des dernières flammes projette ses ombres chinoises sur les murs. Un bras autour de ma taille, l'autre main tenant mon sexe, Clémentine revient sur la "soirée maraîchère" de demain. << J'ai honte. Mais ce sont ces immenses hontes qui me procurent les plus fous plaisirs tu sais ! >> précise t-elle une fois encore.

Je me contente de murmurer à son oreille : << Je sais ! >>. Du bruit. La porte s'ouvre sur l'arrivée d'Estelle. Elle se précipite pour venir me déposer des bises en mitrailles. Sur la joue, sur la bouche. Estelle et Clémentine ont passé la journée ensemble. << C'est parfois comme un manque quand tu n'es pas avec nous ! >> me dit Estelle en s'emparant de ma queue que lui laisse Clémentine. Une queue qu'elle tord déjà dans tous les sens. Heureusement je bande mou. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand elles découvrent le gratin, explosion de joie.

Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de carottes. Estelle met les assiettes, les couverts. Je reste derrière elle, mes bras autour de sa taille, sous ses aisselles, mes mains sur ses seins minuscules. << Tu ne t'en occupes jamais assez ! >> lance t-elle. J'adore quand elle tourne la tête pour me surprendre d'un bisou sur la bouche. Je passe derrière Clémentine pour faire la même chose. Estelle surveille le gratin qui réchauffe dans le four à bois. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit en écoutant Estelle nous raconter sa baise de hier soir.

Comme tous les mercredis, vers 20 h15, Jean-Marc, son parrain passe à la maison. Elle n'avait pas seize ans quand tout cela a commencé. Nous connaissons l'histoire par cœur. Mais sa façon de la narrer est toujours différente. Son parrain est un baiseur fou. Il n'aime rien d'autre que de la pénétrer longuement, s'agiter en elle, la baiser comme un dément. << On a encore failli se faire attraper hier soir. Maman rôde curieusement dans la cave. C'est certain, elle s'en doute ! >> explique Estelle. << Bien évidemment qu'elle sait ! >> s'exclame Clémentine.

Nous rions de bon cœur. Surtout qu'Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine. Une manière de ponctuer les moments forts de son récit. Debout moi aussi, faisant tournoyer mon sexe, je dis : << Donc ce soir, nous allons "contrôler" si tout est en ordre ! >>. Estelle vient passer ses bras autour de mon cou, derrière moi, pour répondre : << Le "contrôle" du jeudi soir. Avec mon "contrôleur" agréé ! >>. Nous rions aux éclats. Je rajoute : << Un "contrôleur" qui adore "contrôler" ! >>. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon.

Le lecteur qui suit nos aventures, rédigées à la façon d'un journal quotidien, connaît bien les "contrôles qualités" des jeudis soirs. Estelle et Clémentine, vautrées dans le canapé, juste en chaussettes, en sweats, qui m'offrent leurs minous. Moi, à genoux sur les épais coussins disposés au sol qui procède au "contrôle". Mon visage fourré entre les cuisses d'Estelle, je fouille ses secrets du bout de ma langue. Sa fente qui s'écarte pour laisser s'épanouir les lèvres de sa vulve. J'adore sentir ce qui se passe, ma bouche collée contre son sexe. Un phénomène.

Sous les effluves odorantes de sa journée de fille. Mes amis ! Quel festin de roi. Cette cyprine qui s'écoule. Que je tente de récupérer avant qu'elle ne s'écoule dans la raie culière. Le goût vinaigré du trou à pipi. Ce clitoris que je suce. Petit bouton tout lisse. Ce qui fait gémir de plaisir sa propriétaire. Je passe à Clémentine qui se masturbe en haletant. Les peaux qui décalottent son clitoris géant offrent de délicieuses spécialités fromagères. Sa cyprine que je savoure en gémissant moi aussi. << "Contrôleur", je vous aime ! >> murmure Estelle en extase.

Quand je ne fouille pas leurs vulves de ma langue, je suce les clitoris. Elles cessent alors de se masturber en haletant, pour gémir en se tortillant. Clémentine anticipe les conséquences de l'orgasme à venir. Accroupie au-dessus de la cuvette, sans cesser de se branler, elle lâche plusieurs jets de pisse. C'est toujours impressionnant. De la cyprine qui s'écoule derrière les jets pour tomber dans la pisse. Là, durant ce merveilleux spectacle, Estelle et moi cessons le "contrôle" pour admirer. Une fois encore, mon exhibitionniste adorée connait un orgasme.

Impossible de résister à ce plaisir fou qui l'habite soudain. C'est en hurlant de plaisir qu'elle s'offre une jouissance délirante. Estelle se termine aux doigts pour s'offrir un orgasme qui la fait hurler. Des cris de filles en rut. Aigus, stridents. Incapables de maîtriser la puissance du flot de plaisir qui les envahit. En les léchant, en les suçant, mon plaisir est au-delà de tout. Mon érection est surtout cérébrale. Estelle doit nous laisser dans une dizaine de minutes. Il va être vingt deux heures. C'est avec les yeux cernés que toutes les deux remettent leurs vêtements.

Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. Dans la nuit noire, fraîche et humide. Assise au volant, la vitre baissée elle regarde Clémentine guider mes jets de pisse contre la portière de son Kangoo d'entreprise. Elle revient samedi en début d'après-midi. Je dis : << Tu sais, demain soir, j'aurais aimé me faire sucer par toi plutôt que par Juliette ! >>. Elle s'écrie : << Tu m'aurais niqué aussi un peu ? >>. Je confirme : << Comme tu aimes, en imitant ton parrain ! >>. Nous rions de bon cœur. Un dernier bisou. Un peu tristounette Estelle s'en va.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont s'offrir une bonne pipe sous la couette avant un bon dodo. Vider une bonne paire de couilles...

Julien (contrôleur)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 36 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2185 -



La petite routine du vendredi

Hier matin, vendredi, l'application "océan" est une fois encore sans pitié. Surtout avec ses cris de mouettes assourdissants. Il est presque six heures. Clémentine se serre très fort contre moi. Comme pour chercher l'énergie nécessaire pour affronter la réalité. La volonté qu'il faut pour s'extraire de ce bon lit bien chaud. Ces draps qui sentent l'amour. Quelques papouilles, quelques bisous. C'est vendredi. Clémentine termine à midi. Début du week-end. Aussi, son tempérament optimiste et facétieux prend le dessus. Nous nous précipitons aux toilettes.

Morts de faim, vêtus de nos habits sports, nous dévalons les escaliers. J'allume la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée "contrôle" de hier. Nos folies. Clémentine imite l'accent corse de Juliette pour me raconter ses rêves. << Dans les écuries ! >> précise t-elle. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la "soirée maraîchère" qui nous attend dans les écuries. Clémentine vient terminer sa tartine assise sur mes genoux. << J'ai la trouille ! >> dit elle.

Je la rassure. Je serai là. Il est 6 h25. Nous remontons pour achever de nous réveiller complètement. Et pour ça rien ne vaut une heure d'entraînement intensif. Les échauffements de l'aérobic juste avant ceux des joggings sur tapis roulants. Les exercices au sol avec abdos . Nous voilà bien chauds pour manipuler nos barres et nos haltères. Les étirements d'un stretching viennent parfaire ce début de journée. La douche. Je redescends toujours le premier pour aller préparer la voiture. Il est presque 7 h45. Il pleut. Il fait beaucoup plus froid que hier.

Clémentine vient me rejoindre chaudement habillée. Un dernier bisou sous la parapluie. Je la regarde partir. Un denier coucou avant de rentrer très vite pour me mettre au sec, au chaud. Je fais la vaisselle, notre lit avant de passer dans l'atelier. J'y allume la cheminée. Une belle flambée. Installé devant mon chevalet, en chantant "Le parapluie" de Georges Brassens, je prépare les couleurs sur la palette. Quel plaisir encore ce matin que de me plonger dans la peinture de ce second paysage destiné à ma saison d'été. Je m'y plonge avec bonheur.

Je peins dans cette légère euphorie laissée par Clémentine. Je n'ai aucune réelle perception du temps qui passe. Il est midi quand je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les restes du gratin de hier soir. La sauce. Je fais l'assaisonnement de la salade de tomates. Avec un peu d'avocat. Il est midi trente cinq quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille elle me couvre le visage de bisous. C'est ainsi que je l'emmène aux toilettes. Le rituel.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant Julie qui vient nous rejoindre pour le début de l'après-midi. << On va trouver un "plan surprise" pour sortir un peu de la routine ! >> lance Clémentine. Elle rajoute : << Un jeu de cache cache très coquin ! >>. Elle m'explique le "plan". Je trouve ça très amusant. Clémentine me raconte sa matinée. Cet après-midi elle doit conclure le premier paragraphe de son rédactionnel. Elle m'en fera la lecture. Je suis prié d'écouter "religieusement". De donner un avis franc et sérieux car l'enjeu est des plus importants.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie son désir de retourner en ville demain après-midi. << Au moins deux petites exhibes. J'en ai trop besoin pour décompresser. Je bosse dur tous les jours pour ce put-hein de doctorat "blanc" ! >> précise t-elle. Je trouve cette proposition formidable. << Je t'aime. C'est merveilleux d'être comprise et soutenue par l'homme que j'aime ! >> s'écrie t-elle en changeant de position pour se mettre à califourchon sur mes cuisses. En se frottant lascivement.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. C'est le début du week-end et l'ambiance est loufoque. J'adore quand la nature enjouée de Clémentine reprend le dessus. << Viens, on te prépare pour le "plan" ! >> lance t-elle en m'entraînant par la main. Il y a deux placards dans le hall d'entrée. Deux penderies spacieuses. Nous pouvons y tenir à deux sans peine. Il reste de la place pour deux autres personnes dans chacun d'entre eux. Il y a là nos manteaux, nos blousons, nos anoraks.

Clémentine déboutonne mon Levis pour me le descendre sur les genoux. Avec mon slip. Elle me tend son téléphone qu'elle allume. Je le saisis. Je commence à comprendre. Elle me laisse seul dans la penderie. Celle avec les deux grands miroirs sur les portes. Je me masturbe. Elle ouvre soudain. << Génial ! Vraiment génial ! Le vicelard planqué pour mâter son site de cul ! >> s'écrie t-elle. Elle rajoute : << Voilà Julie. Amuse-toi bien ! >>. Me voilà dans le noir. Il y a juste la lumière de l'écran du téléphone. J'entends Clémentine accueillir Julie.

Je me branle. Je bande car je trouve l'idée de Clémentine excitante et passionnante. Elles vont probablement dans l'atelier car je n'entends plus rien. Ou alors dans la cuisine ou encore au salon. << Julien ! >>. C'est la voix de Julie. Elle me cherche. Le jeu de cache-cache vient de commencer. C'est hyper bandant. Je me pignole comme un dément. C'est trop bon. Je guette l'instant de la découverte en frissonnant d'excitation. Merci Clémentine pour ton imagination débordante. << Julien ! >> lance plusieurs fois Julie en se rapprochant inexorablement.

Soudain, la porte s'ouvre. Je suis cambré sur mes jambes fléchies, mes fringues tombées sur le chevilles. Je tiens le téléphone d'une main. Mon érection de l'autre. Julie reste consternée en découvrant la scène. Clémentine, derrière elle, lève son pouce, me fait un clin d'œil et reste toute aussi silencieuse. Je me tourne pour agiter mon sexe en direction de Julie. Je dis : << Un avant goût de ce que je vous réserve pour les vacances de Pâques ! >>. Julie se précipite soudain pour m'enlacer. Les élans de Julie sont beaucoup plus émotionnels que sexuels.

Je la prends dans mes bras. Petit bout de femme sur la pointe des pieds qui tente de déposer un baiser sur mes lèvres. << J'adore ! >> lance t-elle. Je la soulève. Avec son mètre soixante dix, ses cinquante cinq kilos, elle ne pèse pas beaucoup plus lourd que mes haltères. J'ai ma queue dure comme le bois bloquée entre ses cuisses. Je la repose pour remonter mes vêtements. Je laisse soigneusement la bite et les couilles garrottées par la braguette boutons de mon 501. Quand Clémentine referme la porte du placard, je prends la pose devant le miroir.

Julie qui me tient par la taille sur ma gauche. Clémentine son bras autour de mes épaules sur ma droite. Elles fixent toutes les deux cette superbe queue bien raide qui pointe vers les moulures du plafond. Un long moment de silence "biblique". On peut entendre la pluie jetée contre la porte par des rafales tempétueuses. << J'aime jouer à cache-cache ! >> finie par dire Julie. Je fais : << Et si vous vous cachiez à votre tour Julie ? >>. Elle s'écrie : << J'ai mes "petits machins". Ça me perturbe. C'est chiant ! >>. Je monte ma main pour caresser sa nuque.

Clémentine nous entraîne dans l'atelier. Elle doit absolument se mettre à son rédactionnel. Dès lundi elle veut attaquer le second paragraphe. Elle développe sa thèse sur huit parties distinctes. L'avis de Julie sera d'une grande importance. Ses études de Lettres Modernes vont lui permettre un jugement de très haute qualité. Nous voilà dans l'atelier. Julie est installée devant mon chevalet. Elle scrute ma toile avec attention. Silencieuse. Je suis debout derrière Clémentine. Elle est assise devant son ordinateur. Je lisse ses longs cheveux. Silence.

<< Il y a des phrases où j'hésite. Complément d'objet direct devant le verbe ou après. Je veux que toute mes démonstrations soient claires et objectives. Surtout pour cette partie là ! >> explique Clémentine. << Lis à voix haute ! >> lance Julie. Nous écoutons. Clémentine adore quand je passe mes doigts comme des peignes dans ses cheveux. << Mais c'est parfait. On comprend très bien. Tu es hyper douée ! >> s'exclame Julie qui vient nous rejoindre. Ma bite toute molle est soutenue par ma paire de couilles dodues par l'étroitesse de la braguette.

Tout en posant ses mains sur les épaules de Clémentine, légèrement penchée en avant, pour regarder l'écran, Julie louche sur mes parties génitales. Comme toujours, quand elle découvre que je m'en rend compte elle détourne les yeux en devenant toute rouge. Je les laisse pour aller m'installer devant mon chevalet. Pas pour y peindre mais pour nettoyer la palette et les pinceaux utilisés ce matin. J'écoute les recommandations que fait Julie. Clémentine qui corrige certaines tournures de phrases. << C'est génial d'avoir une prof ! >> lance t-elle.

Me voilà vautré dans le canapé avec un livre. C'est avec plaisir que je le feuillette. Johannes Vermeer de Delft est à nouveau d'actualité. C'est cyclique. Avec Gérard Dou, il reste mon peintre préféré. Tous deux phares de ce dix septième siècle hollandais riche en maîtres de l'Art pictural. C'est très inconfortable d'être vautré dans le canapé avec la bite et les couilles sorties. Aussi, je remballe juste les roubignoles. Les filles, depuis la table, m'observent. Voilà ! Je n'ai plus que le "tuyau d'arrosage" qui pend de la braguette. Je m'installe à nouveau. Vautré.

Comme l'une ou l'autre regardent fréquemment par ici, je ne tiens plus mon livre que de la main gauche. Agitant doucement mon Zob de la main droite pour jouer avec. Quand je lève les yeux c'est pour surprendre le regard de Julie. Un regard qui devient insistant. Je lui adresse un clin d'œil. Une bonne heure passe ainsi. Julie devra nous laisser pour dix huit heures. Il n'est que seize heures. << Je vous fais le topo ! >> lance soudain Clémentine qui se lève. Elle attrape les feuilles dans l'imprimante. Julie vient s'assoir à côté de moi. Nous écoutons.

Clémentine, telle une actrice de théâtre qui déclame son texte, tenant ses feuilles à la main, parcourt la grande pièce en lisant. J'ai posé mon livre. Je surprends plusieurs fois le regard de Julie braqué sur mon sexe. Je le tiens à sa base pour l'agiter mollement. Nous écoutons religieusement Clémentine. Je saisis le poignet de Julie pour diriger sa main sur mon sexe. Elle s'en saisit. Elle peut le sentir grossir dans sa poigne. Son épaule contre mon bras, je la sens frissonner de joie. Quelle n'est pas ma surprise. Elle se laisse glisser sur le côté. Lascive.

Elle change de position pour s'allonger, sa tête contre mon ventre, pour prendre mon érection en bouche. Clémentine marque une pause. Elle contemple la scène avant de dire : << On écoute là-bas ! >>. Julie cesse pour répondre : << Promis ! >>. Je rajoute : << Nous sommes tout ouïe ! >>. Je me fais tailler une pipe des familles. C'est surréaliste. Clémentine interrompt souvent sa lecture pour nous observer. Sans toutefois en perdre le fil. Ni l'élan. Je tiens Julie par la nuque pour appuyer sournoisement. Elle pousse de petits râles.

Il y a six pages de lectures. Il faut féliciter Clémentine. Elle parvient à rester stoïque, concentrée. Alors qu'en temps normal, elle serait à se masturber en nous regardant. Je devine les efforts qu'elle doit fournir. Je tire les cheveux de Julie toutes les deux trois minutes afin de retirer ma queue. Cela lui permet de laisser reposer un peu sa mâchoire. Je ne sais pas si c'est de la morve qui coule de son nez ou du foutre. C'est son regard qui m'interpelle. Une fille délicieusement vicieuse qui n'ose pas soutenir le mien. Toute rouge. Comme honteuse.

Il n'est pas question d'éjaculer. Je veux garder mon sperme pour la bouche de Juliette ce soir. Rester excité jusqu'aux festivités qui débutent à vingt heures. Il est dix sept heures quinze. Nous prenons le thé avec des petits gâteaux secs. Clémentine est rassurée. Surtout par l'avis de Julie. << Tu as raté une vocation de professeur de littérature ! >> lance Julie. Je rajoute : << Tu sais rendre captivants des sujets qui nous sont inconnus ! >>. Julie, timide, se saisit parfois de mon sexe tout mou. J'apprécie ces courageuses initiatives. Clémentine aussi.

Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Sous les parapluies. Elle revient demain matin pour faire le ménage. Prétexte pour passer un autre moment avec nous. Un dernier bisou. Nous la regardons s'en aller. Nous nous dépêchons de rentrer. Coquillettes en repas du soir. La vaisselle. Nous montons nous changer. << Je suis morte de trouille ! >> m'avoue une fois encore Clémentine. Je porte un jeans propre. Pull col en "V" sur chemise blanche. Clémentine en jupe kilt. Chemisier blanc sous un pull bleu nuit. Nous voilà prêts. Le cœur bat la chamade.

La soirée maraîchère

Nous sommes installés dans le ravissant salon aménagé par Juliette il y a trois ans. Lors de la construction de cette nouvelle écurie ultra moderne. Une écurie où peuvent résider quarante des quatre vingt chevaux en pension dans le haras. Juliette est assise dans le fauteuil qui nous fait face. Clémentine et moi installés dans le confortable canapé. Sur la petite table nos infusions et des petits gâteaux secs. Nous bavardons. Il est presque vingt heures. La musique du téléphone de Juliette. Elle s'en saisit pour décrocher. << Philippe ! >> lance t-elle.

Tout en parlant avec son interlocuteur elle se lève pour se diriger vers la porte. << C'est notre invité. Je vais aller l'accueillir. À tout de suite ! >> dit elle avant de sortir. Clémentine, un peu tremblante, me prend la main. Elle frissonne. << J'ai toujours la trouille avant un nouveau truc ! >> chuchote t-elle. Je la rassure. Je suis là. Je murmure : << Il ne peut rien t'arriver d'autre que le plaisir ! >>. Je pose mes lèvres sur les siennes. Nous sirotons notre verveine quand la porte s'ouvre. C'est le moustachu de la photo qui suit Juliette. Un peu enrobé.

Une moustache à l'ancienne et un peu ridicule. << Philippe, mon maraîcher ! >> dit Juliette en faisant les présentations. Clémentine se lève pour serrer la main de Philippe. Je reste vautré dans le canapé pour tendre la mienne. Philippe s'installe dans le second fauteuil à gauche de celui de Juliette. Philippe est un artisan maraîcher. Depuis plus de dix ans il vient chercher deux fois par semaine le crottin de cheval. Il y a quatre vingt chevaux. Chacun produit une trentaine de kilos de déjections par jour. Ce qui représente 2 tonnes et demi de crottin quotidien.

Juliette vend la tonne à 20 euros. C'est avec une grosse remorque que Philippe vient faire ses achats. C'est l'engrais naturel le plus performant selon le maraîcher. L'exploitation de Philippe couvre douze hectares de cultures. Nous écoutons cet homme jovial nous parler d'agricultures raisonnées à l'ancienne. C'est une filière dont on ignore souvent le fonctionnement. Des agriculteurs livrent Juliette en fourrage de qualité. Ce qui créé des déjections naturelles. Déjections qui retournent dans le circuit sous forme d'engrais. C'est intéressant.

Juliette, adroite tacticienne, en arrive rapidement à la raison de nos présences ici. Elle n'a pas organisé cette rencontre pour parler de fumier. << Quand Philippe m'a fait découvrir sa particularité je me suis promise de vous en faire profiter Clémentine ! >> lance t-elle soudain. << C'est notre curieuse ? >> demande Philippe en fixant les jambes de Clémentine pour essayer de voir entre ses cuisses. Clémentine serre sa main sur la mienne. Un frisson la parcourt. << Vous avez beaucoup de goûts pour les belles femmes ! >> me fait le bougre en se touchant.

Il se cale un peu plus confortablement dans son fauteuil. Il tente de capter le regard de Clémentine. Il la fixe ostensiblement. C'est extrêmement troublant. Juliette m'observe par en-dessous pour scruter mes réactions, mes expressions. L'ambiance est soudain lourde. D'un geste lent, mesuré, Philippe descend la tirette de son pantalon beige, à pinces et à plis. Il est en chemise. Il porte des mocassins à glands. Bruns, moches. Ridicules. En observant mieux ce type, ses mimiques, ses attitudes, je lui découvre une totale absence de classe.

Il fouille dans son slip. Dans le reflet de la vitre du buffet, je vois Clémentine soutenir son regard. Le fixer. Ce qui doit troubler notre moustachu. Car il cille des paupières à plusieurs reprises. Curieusement, Clémentine Juliette et moi, sommes en apnées. Sans nous en rendre compte avant de devoir reprendre nos souffles. Souffles que nous reprenons quand le maraîcher extrait son sexe. Une érection. Son sexe doit mesurer une vingtaine de centimètres. Curieusement fin. Certainement pas plus de trois centimètres de diamètre. Peau blanche.

Mais ce qui suscite immédiatement l'interrogation c'est cette étrange courbure des cinq ou six derniers centimètres. Philippe tient son sexe à la base. Cette courbure en avant doit présenter un authentique angle droit. Les 90° réglementaires. C'est encore plus étonnant que sur la photo que nous a montré Juliette. Cette particularité en fait un sexe unique. En tous cas nous n'en avons jamais vu de similaire. Et nous en avons vu ! Surtout Clémentine qui en a vu de très près. Qui en a goûté de nombreux. Et de tous les calibres. Mais un comme ça, jamais !

Philippe reste immobile. Tout fier d'exhiber son chibre d'exception. Souriant, bonhomme, jovial, il regarde tour à tour Juliette sur sa gauche et Clémentine en face. << Incroyable, non ? >> lance Juliette à Clémentine qui garde sa main devant sa bouche. Dubitative et étonnée. Philippe reste silencieux, tout content de susciter un tel intérêt. << Ma femme n'a jamais réussi à s'y faire ! >> finit il pas lâcher. Nous rions un peu bêtement. << Avec ce machin, ça marche mieux en levrette. Et elle déteste ! >> rajoute t-il en guettant nos réactions. Nous rions.

Notre "courbé" continue : << Quand j'étais plus jeune, apprenti dans une exploitation agricole dans l'Oise, j'avais des tendances exhibitionnistes. Je montrais ma bite aux femmes. Les filles qui assistaient à mes prestations étaient doublement troublées ! Je me suis fais toper par les gendarmes derrière la salle polyvalente. J'avais 18 ans, l'année de mon CAP. J'ai arrêté après ! Mais je me suis bien marré ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Philippe a une manière particulière de raconter ses histoires. Tout en agitant doucement sa queue.

<< Tu en as déjà vu des comme ça ma grande ? >> demande t-il à Clémentine. C'est très gênant un type impoli qui tutoie une inconnue. Certes, Clémentine pourrait être sa fille car cet homme est dans ma tranche d'âge. Clémentine répond : << Pour être franche, non, jamais ! >>. Juliette rajoute : << Moi non plus. La première fois que tu me l'as montré c'était il y a deux semaines ! >>. Le mec s'écrie : << Et tu t'es empressée d'y goûter. Deux fois ! >>. Je regarde Juliette. Elle m'adresse alors un étrange sourire. Je bande comme le dernier des salauds.

Philippe demande : << Clémentine, j'adore les pipes. Ma femme déteste ça et toi ? >>. Clémentine tourne sa tête vers moi pour me consulter du regard. Il est rare qu'elle ait l'air aussi embarrassée. C'est Juliette qui répond : << J'en raffole mais je dois admettre que ce qu'il y a dans tes couilles est aussi bizarre que ta bite ! >>. Clémentine soudain curieuse s'exclame : << Pourquoi ? C'est comment ? >>. Juliette rajoute : << Mais il faut aller y goûter ma chère demoiselle ! >>. Clémentine me regarde à nouveau. Elle serre ma main avec force.

Je dis : << Juliette est dans le vrai. Si tu ne goûtes pas tu ne sauras pas ! >>. Notre maraîcher lance : << Voilà une vérité de la palisse ! >>. Clémentine respire profondément. S'emplit les poumons en se tenant très droite. Je viens de m'apercevoir que ses cuisses sont largement écartées. Philippe y plonge les yeux depuis un moment. Cela m'a échappé dans le flot des échanges. Le moustachu tord son érection vers l'avant. Comme une invitation. Juliette se lève en même temps que Clémentine en disant : << Je m'occupe de Julien ! >>

C'était entendu entre nous. Si Clémentine suce la bite de ce type, Juliette aura l'autorisation de sucer la mienne. Je me lève. Le seul a rester vautré dans son fauteuil est notre exhibitionniste. Je vais m'installer dans le fauteuil qu'occupait Juliette qui place tous les coussins au sol. Clémentine s'y met à genoux, toute rouge, sans cesser de me fixer, comme si elle voulait la certitude de mon approbation. Elle pose les mains sur les cuisses de Philippe. Juliette se met à genoux. Position identique. Cette belle bourgeoise est tellement captivante. Attractive.

Clémentine doit provoquer les mêmes émotions chez le maraîcher. Elle observe maintenant cette queue. Penchant sa tête pour la regarder sous tous les angles. La peau du prépuce termine en pointe fripée. Une peau lisse et tendue. Le sexe de cet homme évoque un de ses godes en plastiques que l'on peut voir dans les sex-shops. Irréel. Surnaturel. Juliette aussi observe les expressions de Clémentine en tenant ma queue dans sa main droite. Clémentine approche encore son visage. Je sais qu'elle adore humer de la queue. Le plaisir de renifler la bite d'un inconnu.

Juliette cesse de regarder pour prendre l'extrémité de mon sexe entre ses lèvres. J'adore la voir mâchouiller la peau fripée de mon prépuce qu'elle tire comme un chewing-gum. Clémentine fixe effrontément Philippe dans les yeux en refermant ses lèvres sur la courbure de son sexe. Une courbure qui paraît soudain faite pour permettre la pipe dans les toutes meilleures conditions. Il est difficile, sinon impossible pour une bouche d'enfourner plus des cinq centimètres accessibles. Clémentine, comme dégoûtée, ferme les yeux. Ses joues se creusent.

J'adore la voir tailler des pipes. Que ce soit sur ma personne où à un autre. C'est exaltant, terriblement excitant. De plus ces sensations se mêlent intimement à une étrange émotion. Une émotion faite d'étonnement, de tristesse et de découvertes. Je me fais sucer par Juliette. Elle aussi adore me fixer en sirotant le jus qu'elle pompe. Je pourrais éjaculer. Je regarde Clémentine. L'extase se lit sur son visage. Soudain, elle lâche un petit cri. Elle se retire. C'est comme un filament de gruyère qui relie sa bouche à la peau du prépuce. De la fondue savoyarde ?

La consistance semble la même. Ainsi que la couleur. Elle ouvre les yeux pour constater ce fait. Elle déglutit ce qu'elle a déjà en bouche avant d'y retourner précipitamment. Juliette cesse de pomper pour lui demander : << Alors ? Surprise non ? >>. Clémentine arrête de pomper. Un filament de "gruyère" à la bouche, elle répond : << Goûteux ! >> Elle me lance un rapide regard avant de se remettre à sa dégustation. Philippe reste mutique. Immobile. Les mains posées sur les accoudoirs de son fauteuil. Il a le plus souvent les yeux fermés.

Clémentine, pour pouvoir avaler, se retire assez souvent. À chaque fois il y a un ou deux filaments de fondue savoyarde qui relie sa bouche au sexe du "courbé". Ce type est probablement encore plus juteux que moi. Plus "pâteux" serait plus exacte à voir la consistance des substances qu'en tire Clémentine. Je la vois rarement pomper avec tant d'appétit. Elle se régale. Les yeux fermés. Concentrée sur ce qu'elle savoure en poussant de petits cris d'étonnement. De ravissement. Juliette suce silencieusement. Nous nous fixons avec des yeux amoureux.

Je caresse son front. Je passe l'extrémité de mes doigts le long de ses oreilles, dans le creux de ses joues. Je lisse ses sourcils. À chaque fois que je regarde Clémentine c'est pour la voir déglutir avec difficultés. Cette fois elle a entortillé un de ces filaments de "gruyère" autour de son index. Elle ouvre soudain les yeux pour me lancer un regard de défi. Comme elle le fait à chaque fois qu'elle me surprend à l'observer, quand elle a une autre queue que la mienne en bouche. Je n'ai pas d'autres définitions pour décrire cette situation. C'est exaltant. Sublime.

J'éjacule en sournois dans la bouche de Juliette. Elle connait bien. Les suceuses savent quand ça vient. Les premières salves avant les décharges en saccades. Elle avale en me fixant avec son air sévère. Lourd de reproches. Je sais que c'est son jeu préféré. Nous communiquons par regards. Je fais le désolé. Alors qu'elle continue en refermant les yeux. Je mâte Clémentine qui se régale. Je n'ai jamais vu un foutre aussi épais. Bien davantage que le mien. À voir ses expressions, cette fondue savoyarde doit être succulente. Elle la déguste.

Juliette qui repart pour un second tour de manège. Sous les caresses délicates de mes doigts. Clémentine, avec cette bite coudée en bouche qui pompe silencieusement. Ce qui n'est pas son habitude. Elle suce même "religieusement". Philippe n'a pas prononcé la moindre parole depuis une heure. Moi non plus. Parfois Juliette pose une question à Clémentine. Sur le goût, sur la quantité. Clémentine répond entre deux tentatives d'avaler. J'imagine ce gruyère qui monte des couilles, épais, qui passe dans sa bouche. Elle adore garder en bouche longtemps.

Ce n'est que lorsque le liquide séminal est parfaitement mélangé à sa salive que Clémentine déglutit. Pas seulement parce que c'est plus facile mais parce qu'elle adore les saveurs du foutre. Philippe se vautre encore davantage. Ses mains se crispent sur les accoudoirs. C'est certain, il connaît un orgasme. Un orgasme fou qui le fait soudain hurler. Qui le tire de son mutisme. Clémentine tente bien de contourner le handicap du coude mais il lui est impossible de prendre davantage de queue en bouche. Elle tousse. Des larmes coulent sur ses joues.

Soudain, dans un cri, Clémentine se retire pour nous montrer l'intérieur de sa bouche. Elle est rempli de jute jaunâtre mordorée de traînées plus blanchâtres. Du sperme. Elle avale en secouant la tête. En faisant une horrible grimace. Elle reprend immédiatement la bite en bouche car la queue continue de dégorger de la substance. Je n'ai jamais vu Clémentine déguster avec autant de passion. Philippe la repousse délicatement. Visiblement, un second tour de manège n'est pas dans ses préférences. Comme frustrée, Clémentine regarde Juliette sucer.

Elle se rapproche pour poser sa tête sur ma cuisse. Juliette cesse de pomper pour lui offrir ma queue. Philippe se lève pour remballer et fermer sa braguette. J'éjacule une seconde fois mais dans la bouche de Clémentine. Ses expressions d'extase, ses petits râles de plaisir. Je suis exténué, en sueur, épuisé. Vidé. Juliette passe sa main sur ma joue pour la caresser. Elle me fait le plus adorable des sourires. Clémentine avale en toussant. Je saisis ses cheveux pour regarder son visage d'ange aux yeux cernés, aux joues mouillées de larmes.

<< Il faut que j'y aille ! On m'attend à la maison ! >> lance Philippe. Juliette et Clémentine se redressent en même temps. << Alors chère Clémentine, vos impressions ? >> demande Philippe en la vouvoyant respectueusement. Clémentine, toute gênée, baisse les yeux, la tête. Je passe mes doigts sous son menton pour qu'elle présente son visage. << Délicieux ! Mais je préfère ce qui vient avant ! >> dit elle dans un souffle. << Tu veux refaire ? Je te promets, la prochaine fois j'arrête avant l'éjaculation ! >> demande Philippe. Il y a un long silence.

Juliette, Philippe et moi restons suspendus aux lèvres de Clémentine. Je la tiens par le menton afin qu'elle ne baisse pas la tête. Elle est toute rouge. Comme honteuse. Je sais que la honte est cette sensation qu'elle recherche. Elle me confie souvent être passionnée d'exhibitionnisme pour l'immense honte que ça lui procure. Dans des situations comme ce soir, ce sentiment est encore décuplé. Elle finit enfin par dire : << Ça m'a plu. OK. Juste ce qui vient avant ! >>. Juliette rajoute : << Je te recommande aussi ce qui vient après ! >>.

Philippe nous tend son poing que nous touchons des nôtres. Il nous quitte précipitamment. << Avant que je ne le suce il y a une dizaine de jours, ça faisait plus de quinze ans qu'il ne s'était plus fait tailler une pipe ! Là, en dix jours, deux salopes qui le font ! Le pauvre ! >> dit Juliette. Elle nous raccompagne jusqu'à la voiture. Nous saluons Juliette en la remerciant pour cette soirée très intime. << À refaire ! >> lance t-elle. Je roule doucement. << Je n'ai jamais savouré un foutre aussi succulent. Vraiment ! Tu m'en veux ? >> me confie Clémentine.

Je la rassure. Je la félicite pour son courage et pour le spectacle qu'elle nous a offert. Je l'encourage évidemment à récidiver avec ce mec. << Tu es d'accord ? >> me demande t-elle en posant sa tête dans le creux de mon épaule. Sa main sur ma braguette. Je murmure : << Je t'aime ! >>. Elle veut m'embrasser. Elle découvre une fois encore mon réflexe de dégoût avant d'éclater de rire. Il y a une pomme dans la boîte à gants. Elle y croque avant de de gémir : << Mmmhhh ! Le jus d'une pomme après le jus de couilles ! >>. Nous rions comme des fous.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se font lécher et sucer sous la couette. Ayant bien méritées les indicibles plaisirs d'un cunnilingus...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 37 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2186 -



La petite routine du samedi

Il est 7 h30 hier matin, samedi. C'est Clémentine qui me réveille de ses douceurs. Passant une cuisse sous les miennes, posant l'autre sur mon érection naturelle au réveil, elle se frotte lascivement contre ma hanche. << Je t'aime. Merci pour la "soirée maraîchère" ! >> murmure t-elle à mon oreille. Ses lèvres qui se posent dans mon cou. Je chuchote : << Tu as aimé les productions maraîchères ? >>. Nous rions en nous couvrant de bisous. Il est impossible de nous soustraire plus longtemps à l'impérieux besoin. Nous nous précipitons aux toilettes en riant.

Vêtus de nos ensembles de jogging, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Les radiateurs fonctionnent depuis une heure trente. Il fait bien chaud partout dans la maison. Pendant que Clémentine pèle les derniers kiwis, presse les dernières oranges et fait le café, j'allume la cuisinière à bois. Le grille pain éjecte ses quatre premières tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre "soirée maraîchère". J'évite de poser la moindre question. Je laisse Clémentine me donner ses impressions. Partager ses ressentis.

J'adore la voir rougir ou baisser les yeux après quelques aveux. Et toujours cette amusante question : << Tu ne m'en veux pas d'aimer faire ça à d'autres ? >>. Je la rassure en posant ma main sur la sienne. Je réponds : << Tu n'imagines pas les émotions que tu me procures dans ces moments fous ! >>. Je me lève précipitamment pour aller ouvrir le portail depuis l'interphone dans le hall d'entrée. Clémentine vient finir sa tartine au miel assise sur mes genoux. Nous mangeons de bon appétit en faisant l'inventaire des choses à réaliser aujourd'hui.

Clémentine aimerait beaucoup aller en ville cet après-midi. L'hiver se fait long. Il faut sortir. Un bruit de pas. Julie fait son apparition dans l'encadrement de la porte. Ravie d'être de retour. << Bonjour ! >> lance t-elle avant de se précipiter vers nous. Deux bises sur les joues de Clémentine. Une sur ses lèvres sucrées et au goût de miel. Deux bises sur mes joues. Une bises sur mes lèvres toutes aussi mielleuses. Julie nous raconte sa soirée de serveuse en commençant à débarrasser la table. << Allez vous entraîner. Je m'occupe de tout ! >> dit elle encore.

La température extérieure est de 6°. Nous hésitons. Courir dehors nous manque de plus en plus cruellement. Nous manquons du courage nécessaire. Aussi nous remontons pour nous entraîner en salle. Les échauffements de l'aérobic en entendant l'aspirateur que passe Julie dans le couloir. Le jogging sur les tapis roulants. Les exercices au sol, les abdos avant l'épreuve des charges additionnelles. Ce n'est que le samedi ou pendant les vacances que nous prenons le temps de faire tout cela correctement. Y compris les étirements d'un bon stretching.

La douche. Habillés de nos Levis, de nos épaisses chemises à carreaux, chaussés de nos baskets, nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks. Il est presque dix heures et nos livraisons ne vont pas tarder. Il fait froid et les bourrasques de vent sont éprouvantes. Le ciel est couvert mais pas menaçant. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès car le sol est humide. Voilà la camionnette blanche qui descend lentement pour se garer derrière la Clio rouge de Julie. Danièle, toute souriante, saute de son véhicule pour tendre son poing.

Nous le touchons des nôtres. Danièle contourne sa camionnette pour ouvrir les portes arrières. Elle en tire le premier cageot qui contient les fruits et les légumes. En regardant attentivement sa main droite je découvre une anomalie qui me stupéfie. Clémentine doit s'en rendre compte en même temps que moi. Habituellement, même aux beaux jours, la jeune femme porte des gants de protections. Là, elle n'en porte pas. Danièle est polydactyle. Il y a un sixième doigt. C'est étrange. Je saisis le cageot qu'elle me tend. Il est lourd. C'est les patates.

Je le dépose sur le banc de pierre. Clémentine se saisit du second cageot qui contient les fromages, le beurre, les œufs, les yaourts, les pots de crème fraîche et quelques avocats. Elle aussi semble fascinée par la vision de cette main pleine de doigts. Danièle nous montre sa main droite en disant : << Dans les anciennes traditions la polydactylie était bénie des dieux ! >>. Elle éclate de rire avant de rajouter : << J'attends toujours encore d'être bénie ! Peu importe par qui ! >>. Nous rions aux éclats avec elle. Danièle me tend le terminal de paiement.

J'y introduis ma carte. Ça m'excite quand elle se penche pour tenter de voir sous mon anorak. Toujours cette même phrase qu'elle prononce quand je fais les quatre chiffres de mon code : << On les attend ces beaux jours ! >>. Danièle a bien d'autres clients à livrer. Nous la saluons. Elle fait une manœuvre pour le demi tour en nous adressant son sourire magnifique. Agitant sa main différente. Voilà le tube Citroën rénové de notre chère boulangère. Madame Marthe, toujours hilare au volant, se gare derrière la voiture de Julie. Elle saute d'un bond.

Dans le grand sachet en papier kraft, les deux grosses miches de pain complet. Les deux pâtes feuilletées, les deux énormes croissants et la non moins grosse brioche à la pâte d'amande. Même commande pour samedi prochain. Nous saluons la dame qui s'en retourne vers d'autres clients. Nous contournons la maison lourdement chargés. Nous descendons à la cave par l'escalier extérieur. Sur les étagères en bois du cellier nous disposons les fruits et les légumes. Du congélateur où je mets une des deux grosses miches je tire le paquet de moules.

Le sachet de haricots verts et le sachet de petits pois. C'est par l'escalier intérieur que nous remontons avec le cageot contenant les produits laitiers. Julie s'apprête à passer la serpillère dans la cuisine. Nous arrivons juste au bon moment pour ranger les produits frais dans le réfrigérateur. Avant de quitter la grande pièce, nous déposons chacun une bise sur le front de Julie. Elle me dit : << C'était délicieux hier. Merci Julien ! >>. Je passe l'extrémité de mes doigts sur sa joue droite en répondant : << Oui, c'était délicieux Julie. On refait bientôt ! >>

Au salon, assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Trois messages. Celui de ma famille d'Édimbourg. Tout va bien pour eux. Ils attendent avec impatience de nous retrouver cet été. Un mail de Juliette qui nous remercie pour la "soirée maraîchère" de hier. Un courriel d'Estelle qui précise qu'elle emmène son legging spécial. Elle nous rejoint pour 14 h. Elle fait ses courses avec sa maman ce matin. Dans la petite enveloppe jaune je glisse deux billets. Un de 50 €, un de 20 €. Clémentine y rajoute un petit mot que je signe d'une bite.

Quand Clémentine est assise sur mes cuisses, elle me tourne le dos. Je caresse ses seins minuscules. Pas besoin de soutien gorge. L'accès est simple. Elle se pâme sans pourtant perdre le contrôle des réponses qu'elle écrit aux messages. Je passe ma main entre ses cuisses pour palper son entrejambes. Pareil. Même si elle se trémousse un peu de plaisir, elle reste stoïque. Facultés féminines que j'admire. Il est onze heures trente. Julie entre dans le salon. À la façon d'une écolière, debout devant le bureau, elle dit : << Voilà une maison bien propre ! >>

Clémentine se lève, contourne le bureau pour poser ses mains sur les épaules de Julie. La remercier. Je sors rapidement mon Zob. Je bande mou. La présentation est donc majestueuse. Je me lève pour contourner. Je tends son enveloppe à Julie qui n'a de yeux que pour ce sexe qui l'hypnotise. << Merci ! >> me dit elle. Je demande : << Avez-vous eu l'opportunité d'en apercevoir une autre hier soir, dans les toilettes du restaurant ? >>. Julie n'ose pas soutenir mon regard. Elle s'adresse à Clémentine pour répondre : << Non, aucune ! Dommage ! >>.

Pour une authentique voyeuse cela pourrait être frustrant mais elle s'écrie : << Je vois la vôtre et c'est génial ! >>. Nous rions de bon cœur. Je dépose une bise sur son front. Clémentine s'empare de mon Zob. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Nous y entrons tous les trois. C'est plus agréable de nous dire au revoir à l'intérieur. Je suis assis sur le siège passager. Clémentine à l'arrière. Je vois Julie hésiter en regardant mon sexe. L'envie. Je passe ma main gauche sous ses cheveux. Je saisis sa nuque. Elle se penche immédiatement sur sa droite.

Clémentine se redresse pour regarder cette pipe. Elle caresse ma tête. Je me fais sucer une bonne minute. Julie se redresse. Elle doit partir. << Merci Julien. C'est tellement bien ! >> s'écrie t-elle en démarrant. Un dernier bisou. Nous sortons de la voiture. << Non, ne la remballe pas ! >> lance Clémentine quand je m'apprête à la ranger. Julie m'adresse le plus merveilleux des sourires. Il est rare qu'elle me fasse un clin d'œil. Elle revient lundi soir. Nous la regardons partir. Ma bite dans la main de Clémentine, sous mon anorak fermé. Un dernier coucou.

Clémentine prépare l'assaisonnement de la laitue dont elle lave chaque feuille. En parlant de hier soir. Pendant que l'eau du bouillon monte à l'ébullition sur la cuisinière à bois, je verse les haricots verts et les petits pois dans le wok. Je remue. Au-dessus de la cuisinière à bois, tout décongèle en même pas une demi heure. Je verse les moules dans le bouillon. Elles s'ouvrent instantanément. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine me confie ces fantasmes fous.

Il fait encore bien trop froid pour flâner en jupe. Aussi, ce sera vêtue de son legging spécial que nous irons réaliser ses souhaits. Pour Clémentine, l'exhibitionnisme n'est pas seulement un plaisir raffiné, un besoin viscéral, mais également une manière de décompresser. Ses semaines sont chargées, intenses et parfois stressantes. Elle se réjouit à l'idée qu'Estelle va porter un legging semblable. << Ce sera à qui sera la plus salope. La surenchère de la débauche ! >> lance Clémentine. Ma queue aussi se réjouit. Je bande comme un véritable salaud.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Clémentine imite l'accent corse de Juliette avec la bouche pleine de crème dentifrice. C'est incompréhensible et ce gargouillis nous fait rigoler comme des bossus. Tête contre tête nous rinçons nos bouches. C'est ainsi qu'Estelle nous découvre en arrivant. << Interdiction de déconner sans moi le week-end ! >> s'écrie t-elle en se précipitant. Tous les trois, serrés, nous savourons nos retrouvailles. Quel bonheur.

De son sac de sport, Estelle tire son pyjama, une culotte et des chaussettes qu'elle prépare pour ce soir et demain. Mais également ce fameux legging spécial. << Vous allez voir ce que vous allez voir ! >> dit elle en retirant ses bottines, son Levis et sa culotte. Elle enfile le legging de lycra noir. Elle s'assoit sur le tabouret pour ajuster le trou. Ce trou de cinq ou six centimètres qui dévoile son sexe. Elle écarte bien les poils afin de les coincer sous la couture. Clémentine s'accroupit, ses mains posées sur les cuisses d'Estelle pour scruter la couture.

<< Super bien cousu ! >> lance t-elle. Estelle répond : << Réalisé à la machine à coudre sel te pli ! >>. Clémentine se redresse pour me céder la place et se changer à son tour. Je suis à genoux sur le carrelage. Mon visage fourré entre les cuisses d'Estelle qui me tient la tête. L'occasion est bien trop belle. Ma bouche collée contre le minou de ma coquine, j'enfonce ma langue. << Mmhh. Petit profiteur ! >> dit elle. Voilà Clémentine vêtue de son legging. Les lèvres charnues de son sexe dépassent du trou. Elles doivent bien pendre de deux centimètres.

Je me redresse. Estelle se lève. Pendant que je passe un jeans propre, une chemise blanche sous un pull bleu nuit, Estelle et Clémentine comparent l'aspect de ce qui dépasse des trous. Pour Estelle aucune inquiétude quand à la discrétion. Surtout sous un manteau. Par contre pour Clémentine il est plus difficile de cacher le "lippu" comme elle l'appelle. Elle tire sur ses lèvres en disant : << Le dindon ! >>. Nous rions. << Moi, je n'en ai pas ! >> fait Estelle en faisant une moue de dépit. Clémentine tient son clitoris géant entre le pouce et l'index.

<< Comment voulez-vous que je cache un truc pareil ! >> lance t-elle. Estelle et Clémentine ont toutes les deux un espace entre les cuisses. Mêmes serrées. Le trou dans le legging de Clémentine accentue encore cette vision surréaliste. Hautement excitante. Nous prenons des poses farfelues devant le grand miroir ovale. Estelle et Clémentine portent un pull noir aux vastes cols roulés. Leurs leggings de lycra noir, des bottines noires à talons. Ce qui les fait culminer toutes les deux à plus d'un mètre quatre vingt sept. Deux merveilleuses géantes.

Avec mes bottines je culmine à plus d'un mètre quatre vingt dix. Nos hautes tailles attirent autant l'attention que ces deux sublimes jeunes filles accrochées aux bras d'un homme qui pourrait être leur père. Ce qui nous amuse beaucoup et dont nous jouons avec espiègleries. Pressés d'aller appliquer nos projets libidineux, nous dévalons les escaliers pour enfiler nos manteaux noirs. Clémentine propose de mettre nos élégants chapeaux de ville. Nous reprenons la pose devant un des deux miroirs de la penderie dans le hall d'entrée. Élégance superbe.

Il est quatorze heures trente quand nous quittons enfin la maison. Je roule doucement. Il y a un vingtaine de kilomètres jusqu'en ville. Clémentine joue avec ma queue. J'ai ma main droite entre ses cuisses. Avec le trou, l'accessibilité à son sexe est d'une facilité déconcertante. Je regarde dans le rétroviseur intérieur. Estelle, installée à l'arrière, cuisses écartées, jambes relevées se masturbe. << Tu m'a bien allumé dans la salle de bain. Je me sens salope vous n'imaginez pas ! >> dit elle. Je bande comme le tout dernier des salauds.

À tel point que Clémentine se penche quelquefois sur sa gauche pour suçoter. Je gare l'auto dans la petite ruelle habituelle. << On fait nos salopes à la FNAC ou on commence par les Galeries ? >> demande Clémentine. << Et si on se faisait d'abord le musée des Beaux-Arts ? Juste pour situer les choses ! >> répond Estelle. Je remballe ma bite mais j'ai ordre de garder la braguette ouverte. Nos manteaux cachent parfaitement nos déviances vestimentaires. Nous marchons d'un bon pas. Les talons de nos bottines claquent sur le bitume et les pavés.

Bien évidemment notre trio attire les regards. Nos hautes tailles. Ces deux sublimes et élégantes jeunes filles accrochées à mes bras. Quand un regard se fait plus inquisiteur, Estelle ou Clémentine déposent une bise sur mes lèvres. Ainsi, pas d'interrogations inutiles sur la nature de nos relations. Le musée des Beaux-Arts est au centre. Une ancienne grande demeure réaménagée. Ses jardins, en été, proposent des expositions d'artistes contemporains. Mais là, en hiver, c'est à l'intérieur que ça se passe. Il y a pas mal de visiteurs. Nous connaissons bien.

Comme lors de chacune de nos visites en ces lieux, nous privilégions la galerie du siècle d'or. Ce dix septième siècle qui a offert au monde quelques uns des plus grands Maîtres de la peinture. Mais nous ne sommes pas vraiment venus là pour admirer les œuvres de Hyacinthe Rigaud ou encore de Nicolas Poussin. Clémentine, rusée et stratège, n'a pas sa pareille pour repérer les bons "plans". Ce n'est pas la première fois que nous venons nous amuser ici. Il y a deux gardiennes bien plus préoccupées par leurs conversations chuchotées que par les gens.

Il y a ce type, élégant, la cinquantaine, qui prend des photos avec son téléphone. Cadrant les tableaux qui l'intéresse. Clémentine murmure : << Attendez là. Je vais le perturber ! >>. Nous la regardons traverser la salle. Les talons résonnent sur le parquet ciré qui craque par endroit. D'autres admirateurs mais personne ne fait véritablement attention à nous. Le "photographe" se dirige lentement vers le socle de la statue, là-bas, dans le coin. Clémentine en fait le tour avant de se placer derrière. Elle aussi son téléphone à la main. Le manteau ouvert.

Quand le quidam arrive à sa hauteur, Clémentine s'accroupit. Nous faisons semblant de regarder les toiles. Estelle filme discrètement la scène. Je pourrais me branler tellement c'est excitant. Quand je le lui chuchote à l'oreille, Estelle murmure : << Vas-y, je te cache ! >>. Il est évidemment hors de question de le faire. L'inconnu vient d'apercevoir l'exhibitionniste. Le bougre fait probablement une rapide photo. Clémentine et Estelle ont les cheveux qui flottent librement sur leurs épaules. Pratique pour dissimuler le visage d'un mouvement de tête.

Ce que fait Clémentine à l'instant du cliché. Elle me confie parfois, quand nous faisons l'amour : << Tu imagines un peu le nombre de sites pornos où on doit me voir entrain de pisser ! Les salauds qui ont fait des photos durant nos vacances ! >>. C'est très probable. Mais nous ne fréquentons pas les sites pornos. Nous avons très largement de quoi satisfaire nos libidos dans le réel. Le type veut certainement récidiver. Clémentine se redresse. Cette vision fugace a très certainement émoustillé le visiteur. Nous le devinons à chercher un moyen de contact.

Ce que déteste Clémentine. Se faire draguer. Se faire accoster. Rien ne l'importune davantage. Nous avons remarqué au fil des années que les mecs qui assistaient aux exhibitions de Clémentine étaient souvent victimes d'une fausse idée. Non. Clémentine n'est ni en manque, ni en désir de rencontres. Elle s'exhibe pour son seul plaisir. Le mien quand je reste caché pour sécuriser ses "prestations". Comme elle l'explique : << Je fais ça pour ressentir l'immense honte que cela me procure. Une honte qui se transforme en indicibles plaisirs masturbatoires ! >>

Aussi, pour se soustraire à une éventuelle approche, Clémentine se dépêche de nous rejoindre. Nous passons dans une des salles consacrées à la peinture du dix huitième siècle. Même si les toiles de Siméon Chardin ou encore de Louis David sont époustouflantes de beauté, ce n'est pas le but de notre visite. Cette fois c'est un jeune homme. D'allure sportive, il scrute la surface des tableaux. << Celui-là. Il fait la "victime" idéale ! >> chuchote Clémentine. Elle nous laisse pour longer le mur. Elle regarde nonchalamment les toiles suspendues à leurs cimaises.

À quelques mètres du jeune homme, Clémentine écarte les pans de son manteau. Bien droite devant le gaillard elle tourne la tête en tenant son téléphone. Une fois encore Estelle filme la scène avec le sien. Discrètement. Notre jeune visiteur vient probablement de découvrir ce qui pend entre les cuisses de la visiteuse. Il braque carrément son regard sur cet hallucinant détail. Il répond par un sourire à celui que lui adresse Clémentine. Lui aussi semble complètement déstabilisé. << Les mecs ont une bite à la place du cerveau ! >> murmure Estelle.

Clémentine contourne le jeune homme pour prendre exactement la même position de l'autre côté. Pour cette innocente "victime" il ne fait pas l'ombre d'un doute. Il est en présence d'une authentique exhibitionniste. Ce n'est pas possible autrement. Le voilà soudain téméraire. Il sort un téléphone de la poche de son anorak pour s'approcher de la sublime jeune fille qui tourmente sa psyché. Que lui dit il ? Nous voyons Clémentine sourire. Elle fait un signe de tête positif. Elle cache son visage avec ses cheveux en baissant la tête. Elle s'accroupit soudain.

Il y a deux couples qui observent la scène. Sans de douter de ce qui se passe réellement. Clémentine, cuisses écartées, offre à l'objectif ce sexe si particulier. Elle se redresse, prend une pose, toujours en cachant son visage. Le jeune type s'approche pour montrer les trois clichés. Clémentine lève le pouce de sa main droite comme pour le féliciter. C'est un gentleman. Il ne tente rien. Il se contente de saluer cette merveilleuse salope avant de quitter la salle sans se retourner. Clémentine vient nous rejoindre. << Génial ! Cool ! Pas dragueur ! >> dit elle.

Il est presque seize heures. Estelle aimerait avoir le courage de Clémentine. << Put-Hein, je n'ai pas froid à la chatte pour des prunes. Il faut que je tente un "plan" ! >> lance t-elle alors que nous nous dirigeons vers les Galeries. Un des grands magasins du centre. Nous montons l'escalator. Le troisième étage est consacré aux vêtements. Les cabines d'essayages. C'est toujours un endroit sensible. Elles sont mixtes. Parfaites pour créer des situations troublantes. Spécialités de Clémentine. Il y a de nombreux présentoirs à chemises juste devant.

Il y a un homme qui tire quelques cintres pour choisir une chemise. C'est Estelle qui se place à l'extrémité opposée. Nous sommes obligés de nous déplacer vers les vestes pour regarder. Le type vient de voir la sublime jeune fille accroupie là. Que peut-elle bien observer ainsi, avec tant d'attention ? Il n'y a que le vide sous les chemises. Il comprend soudain. Une exhibitionniste. Clémentine murmure : << J'adore quand elle m'imite. On faisait ça au Lycée toutes les deux ! Je créais une situation. Elle faisait pareil ! >>. Je chuchote : << Une élève douée ! >>.

Le mec avale de travers. On le voit bien. Il est serein, calme, mais s'approche subrepticement. Pas de doute, il veut en savoir davantage. C'est à ce moment là que nous découvrons cet autre type accroupit dans le rayon voisin. Beaucoup plus malin que l'autre. Et c'est à celui-là qu'Estelle adresse le sourire de son minou. << Tu as vu comme elle sait s'y prendre ? Superbe salope non ? >> chuchote Clémentine. Je bande comme un salaud. Clémentine qui se serre contre moi pour masser ma braguette. << J'adore ! >> murmure t-elle en me palpant.

Comment Estelle va t-elle se sortir de plan double ? Elle reste accroupie. Certainement plus de quelques minutes. Le mec de l'autre côté reluque comme un authentique pervers. Lui aussi comprend à quelle genre de fille il a affaire. À la limite de l'ankylose, Estelle se redresse. Avec des mouvements de jambes pour éviter la crampe. L'autre mec, un cintre à la main, montre la chemise à Estelle. Nous ne pouvons pas entendre ce qu'il dit. L'autre type se redresse. Il contourne le rayon. Ils sont à deux sur le coup. << Pauvres types ! >> lance Clémentine.

Estelle, droite et fière, plus grande que les deux inconnus, sans répondre, quitte le rayon d'un pas rapide. Sous les regards hallucinés des deux protagonistes abandonnés là à leurs frustrations. Estelle nous rejoint. Nous quittons rapidement les lieux. Les deux types nous observent d'une étrange manière. Il n'y a pas de récidives possibles. Ni à l'étage des accessoires de vaisselle, de quincailleries ou encore de linge de maison. Pas davantage aux chaussures. Trop de monde. Trop de familles. C'est samedi. Je suggère un bon restaurant pour ce soir.

Bonne fin de journée à toutes les coquines qui se sont bien "allumées" pour les festivités du retour à la maison. Bonne baise les louloutes...

Julien



Classe

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D'avance MERCI.

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Classe - 38 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2187 -



La petite routine du dimanche

Hier matin, dimanche, c'est la grasse matinée. Il est aux environs de neuf heures quand Estelle saisit ma tumescence. Érection naturelle qu'elle tient fermement en posant ses lèvres dans mon cou. Elle se frotte contre ma cuisse en murmurant : << C'était génial hier soir ! >>. C'est ainsi que je suis tiré du sommeil. Ce qui réveille Clémentine. Elle se frotte toute aussi lascivement contre ma hanche. Une cuisse sous mes fesses, l'autre posée sur la main d'Estelle. Je passe mes bras autour des épaules de mes deux anges pour les serrer fort contre moi.

D'un bond, pressée par le besoin urgent, Estelle se lève pour se précipiter vers la porte. Clémentine m'attire sur elle. Je reste en appui sur mes bras afin de ne pas peser de tout mon poids. << J'adore quand tu me pénètres avec mon legging spécial ! >> lance t-elle en s'accrochant à mon cou avec ses bras, à ma taille avec ses jambes. Clémentine fait allusion à ce qui s'est passé hier soir. Nous mimons l'acte d'amour. Nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos Levis, de nos sweats, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine.

L'odeur du café, du pain grillé ouvre nos appétits d'ogre. Estelle, encore en pyjama est entrain de presser les oranges, de peler les kiwis. Je me place derrière elle pour caresser ses seins minuscules. << Tu es le coquin que j'aime ! >> dit elle. Je fais pareil à Clémentine qui coupe des parts de l'énorme brioche à la pâte d'amandes. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de hier après-midi. Les exhibes d'Estelle et de Clémentine. Je félicite une fois encore Estelle pour ses audaces. Elle qui est plutôt voyeuse s'est surpassée. Bravo.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant la soirée qui s'en est suivie. Mes deux coquines sont restées vêtues de ces fameux leggings à "trou". Couchées toutes les deux sur le bureau, je n'avais qu'à passer ma bite par ces trous vestimentaires, pour m'enfiler dans ceux de leurs sexes. << C'était super génial ! >> lance Estelle. << C'était dans le prolongement des excitations de l'après-midi ! >> rajoute Clémentine. J'invite le lecteur à relire le récit de hier, samedi, l'épisode 2186, pour se replonger dans une ambiance d'exhibitionnisme fin.

C'est dimanche. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges émettent quelques hypothétiques manières de passer l'après-midi. Elles aimeraient toutes les deux rester dans le cadre de l'exhibe de qualité. Je suggère de remettre ces leggings pour aller rôder sur les quais du port de plaisance. << Pourquoi ne pas se faire l'exposition d'animaux de la ferme au bourg ? >> propose Estelle. << Tu as vu l'état de nos leggings ! >> s'exclame Clémentine. Nous rigolons comme des bossus.

Hier, en retirant les leggings dans la salle de nain, avant de nous mettre au lit, Estelle et Clémentine ont comparé les coulures de cyprine et de sperme qui maculaient l'intérieur de leurs cuisses. Il faut les mettre à la machine, au sèche linge avant de pouvoir les remettre. << On ne va pas se faire chier quand même ! Pas un dimanche ! >> s'écrie Estelle. Nous en rions de bon cœur. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous remontons pour nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Estelle se change pour se vêtir comme nous.

Impatient d'aller voir comment c'est dehors, nous dévalons les escaliers en nous tenant les mains. Les anoraks. Le ciel est voilé. Lumineux. La température extérieure est de 14°. Il n'est que 10 h. Nous allons jusqu'à la rivière. Un léger vent. Mes deux anges restent accrochées à mes bras. Nous regardons les canards, les poules d'eau et les colverts s'ébattre sur l'eau. Estelle nous entraîne sur le sentier de gauche. Il faut marcher l'un derrière l'autre. Elle ouvre la voie. Se retournant souvent pour poser ses lèvres sur les miennes. En palpant ma bosse.

Je me retourne pour faire la même chose à Clémentine. Nous arrivons au vieux lavoir. Notre balade récréative des dimanches matins. << La petite routine du dimanche ! >> précise Clémentine. << Avec cette météo, on peut ! >> fait Estelle en fourrant sa main dans ma braguette béante. Elle fouille un peu dans mon slip pour en extraire le locataire. Je bande mou dans sa main chaude alors qu'elle enfonce sa langue dans ma bouche. Ce qui provoque une érection instantanée. Clémentine profite de l'instant où Estelle cesse son baiser pour faire de même.

Nos anoraks sont ouverts. Je glisse mes mains sous les sweats pour les glisser dans les jeans de mes deux anges. << Mmhh ! >> gémit Estelle. << C'est bon ! >> gémit Clémentine. Nous nous tripotons. Ma bouche est systématiquement envahit des langues de mes deux "exploratrices". Malgré la crème dentifrice il subsiste les parfums de la brioche. C'est un délice. Toutes les deux déboutonnent leurs Levis pour me permettre le meilleur accès. Je les doigte en bandant comme le dernier des salauds. Dans la main d'Estelle puis dans celle de Clémentine.

Il faut prendre le sens du retour. << Put-Hein on se fait un "plan" cet aprême ! >> lance Estelle. << Obligatoire ! >> s'écrie Clémentine. Il est onze heures quarante cinq quand nous revenons. Morts de faim. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la laitue lavée hier. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Aujourd'hui on fait simple et rapide. Je fais rissoler trois dos de cabillaud blanc dans la poêle. Ail, échalote, champignons. Estelle concocte une sauce au pistou dans laquelle elle rajoute une tonne de Roquefort. Je râpe finement du gruyère suisse.

Préparé en grosse quantité il y en aura pour ce soir. Et même pour moi demain à midi. Nous mangeons de bon appétit. Nous n'avons toujours pas décidé du programme de l'après-midi. Mais une chose est certaine. Quoi que nous fassions le sexe sera le vecteur principal autour duquel s'articuleront nos activités. La météo, bien plus clémente que les jours précédents, permettra quelques facéties. Les filles ne manquent pas d'imaginations. Il est rapidement décidé d'aller au port de plaisance. Estelle consulte son téléphone et dit : << Un truc ! >>

Elle explique : << Regardez, il y a une vente aux enchères de matériel de pêche aujourd'hui. C'est sur les quais ! >>. Clémentine s'assoit sur mes genoux la première. Estelle vient la rejoindre. Nous lisons le programme. << On y va ! Les pêcheurs sont souvent de gentils coquins ! >> lance Clémentine. << De superbes voyeurs aussi ! >> rajoute Estelle. Nous ne traînons pas. La vaisselle avant de remonter nous laver les dents, nous changer. Bas noirs et porte-jarretelle pour Clémentine. Collants noirs pour Estelle. Toutes les deux en jupes kilts.

Chemisiers blancs sous les pulls bleu nuit au col en "V". Escarpins à talons. Sur la demande des filles je porte un pantalon noir à plis et à pinces. Une chemise blanche sous un pull noir au col en "V". Tous les trois une écharpe de fin coton crème. Nous prenons la pose devant le grand miroir de la penderie du hall d'entrée. Une fois encore, d'une élégance folle, nous nous apprêtons à aller commettre quelques "forfaits" sexuels en plein air. Clémentine prête sa veste de cuir noir cintrée à la taille à Estelle. Nous portons tous les deux nos blouson de cuir noir.

Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Comme elle ne porte pas de culotte, ma main droite ne cesse de caresser son entrejambes. Je la doigte alors qu'elle s'avance au bord du siège passager en gloussant de plaisir. Je regarde dans le rétroviseur intérieur. Estelle, vautrée à l'arrière, cuisses largement écartées, se touche. L'ambiance qui règne dans cette grosse berline allemande est terriblement torride. Il y a trente cinq kilomètres par la route. Je gare l'auto sur le parking de la supérette. Il y a même des séquences d'ensoleillement.

Le téléphone d'Estelle indique 19°. Pas un souffle de vent. Les filles restent accrochées à mes bras. Nous descendons le large escalier qui mène sur les quais. Il n'y a pas grand monde. La vente aux enchères de matériel de pêche n'attire pas les foules. Les amateurs sont sans doute venus faire leurs affaires ce matin. Il y a donc pas mal de familles en goguette. La sortie dominicale. Nous attirons évidemment les regards. Nos hautes tailles. Ces deux sublimes jeunes filles accrochées à mes bras qui me font des bises. Le plus souvent sur la bouche.

Clémentine, à l'affut d'un "plan" exhibe, scrute les alentours. Il y a quelques messieurs solitaires. Mais aucun qui ne vient flâner près des bâtiments sanitaires. Presque tous les bateaux sont bâchés. C'est un peu tristounet. Clémentine n'a d'autres choix que d'attirer un quidam si elle veut s'offrir quelques émotions. Ce qu'elle fait. Estelle et moi restons en retrait. Cachés derrière les haies de lauriers. J'ai la bite dans sa main. La mienne sous sa jupe kilt. Nous regardons Clémentine faire les cent pas un peu plus haut afin d'être aperçue depuis les quais.

<< Une pute qui tapine ! >> murmure Estelle qui se tortille sur ma main. Je la doigte. J'ai percé son collant sans le faire exprès. Pour éviter qu'il ne risque de filer, elle prend un chewing-gum qu'elle mâche un moment avant de le coller sur les mailles de son collant. Jupe relevée, comme lorsqu'elle se tripote. Il y a un mec qui descend lentement. Il porte un anorak beige, un pantalon brun, des baskets. La quarantaine avec une casquette. Il a bien évidemment repéré la jeune fille hyper sexy qui marche lentement en tournant autour des toilettes publiques.

Elles sont ouvertes. Estelle m'y entraîne par la main. Nous avons tous les deux des mouchoirs en papier entre les doigts. Pour n'avoir aucun contact avec des poignées ou la robinetterie. Nous restons derrière la porte entre baillée. Clémentine ne va pas tarder à nous rejoindre. Elle vient d'attirer ce type. Elle s'approche de la porte, nous voit, me fait un rapide bisou en disant : << J'ai levé un poisson ! On va s'amuser ! >>. Estelle et moi nous nous enfermons dans un des cabinets. Debout sur le couvercle rabattu, par dessus le mur, on a vu sur les chiottes.

Clémentine, accroupie entre deux urinoirs, fouille dans son minuscule sac à main. Les cuisses largement écartées vers la porte qui s'ouvre soudain. C'est ainsi qu'elle se fait surprendre par cet inconnu. Il y a un instant de stupeur bien légitime. Le type hésite. Il dit : << Bonjour, excusez-moi ! >>. Clémentine reste effrontément dans sa position. Elle resserre juste un peu ses cuisses. Il y a quatre urinoirs. Le mec choisi le dernier. Il se met en position. De notre cachette nous ne voyons pas ce qu'il tient en main. Il ne peut pas nous apercevoir non plus.

Clémentine, toujours accroupie tourne plusieurs fois sa tête pour sourire à l'inconnu. Cette situation perdure. Le mec n'arrive probablement pas à pisser. Pour éviter l'ankylose, la crampe, Clémentine se redresse. Il y a juste le bruit de ses talons sur le carrelage. C'est surréaliste. En passant derrière le mec, elle le dépasse pour se pencher. Pour mieux voir ce que nous ne voyons pas. Épatante vicieuse. Le type a de quoi être déstabilisé. Clémentine se lave les mains devant le lavabo. Sans cesser de mâter le mec dans le miroir. Lui aussi la regarde.

Étrange ballet entre deux inconnus. J'imagine ce qui peut se passer dans la psyché d'un mâle qui fait une telle rencontre dans des toilettes publiques. De surcroît dans la partie réservée aux hommes. Pourtant son comportement reste très pondéré. "Classique". Il ne tente rien. Il se tourne enfin vers Clémentine pour demander : << Ça vous dit ? >>. Nous voyons l'engin qu'il tient en main dans le miroir. Une bite très moyenne. Une érection qu'il agite vers cette sublime jeune fille. << Non merci ! >> répond Clémentine en séchant ses mains. Le silence.

Le quidam n'insiste pas. Il quitte les lieux en disant : << Au revoir ! >>. Clémentine ne répond pas. Nous sortons de notre cabinet pour la féliciter. Nous sommes pliés de rire. Merde ! Le mec revient. Il doit probablement comprendre car c'est en s'écriant : << Enculés ! >> qu'il quitte définitivement l'endroit. Nous flânons encore un peu sur les quais. Clémentine aimerait beaucoup revivre d'autres frissons. Il est toujours stupide de vouloir provoquer des choses qui ne se font pas naturellement. Nous ne prenons aucun risque. Pas d'autre opportunité.

Il est dix huit heures quand nous revenons à la maison. Je promets aux filles un léchage de minou après le repas. Nous nous changeons en faisant les pitres. Clémentine est très excitée. Ses exhibes la plongent toujours dans des états de tensions sexuelles. Elle se touche même en faisant l'assaisonnement de la salade d'endives. Estelle concocte une de ses omelettes aux fromages dont elle a le secret. Je réchauffe les coquillettes dans le wok. En y rajoutant du persil, de la ciboulette. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur l'aventure de l'après-midi.

C'est souvent frustrant. Surtout en hiver. Cela débouche très rarement sur quelque chose de consistant. << Je préfère montrer ma chatte sous le soleil. Quand il fait bien chaud ! >> lance Clémentine. Assises sur mes genoux, mes deux anges évoquent quelques situations passées. Il est déjà arrivé que Clémentine suce un voyeur. J'adore alors rester planqué pour admirer. Nous avons déjà assisté à ce spectacle avec Estelle. << J'adore sucer du vicelard ! >> s'écrie Clémentine. Nous rions aux éclats car elle prend l'accent corse de Juliette pour le dire.

La vaisselle. Pressées de se faire lécher les minous, mes deux anges m'entraînent au salon. Juste en chaussettes, en sweats, vautrées dans le canapé, elles m'offrent mon dessert. Je suis à genoux à savourer les sexes de mes deux jouisseuses. Des sexes ayant macéré dans les jus de leurs excitations. Chattes aux fromages. Aux exquises effluves de filles négligées. Minous pas lavés de nos dimanches soirs lubriques et hautement libidineux. J'en aurai les goûts et les saveurs en bouche jusque dans mon sommeil. Leurs orgasmes sont un feu d'arti fesses...

Bonne nuit à toutes les coquines qui adorent se faire nettoyer le minou en gémissant de bonheur. Avant de sucer sous la couette...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 39 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2188 -



L'agréable présence de Julie

Hier matin, lundi, il est presque six heures. L'application "océan" nous impose les illusions de nous réveiller en bord de mer. Tout y est. Les mouettes, la sirène d'un gros bateau au loin. Le bruit du ressac. Clémentine se blottit tout contre moi en gémissant. Se frottant contre ma hanche dans un mouvement régulier. Douce masturbation lascive qui précède le levé. Quelques papouilles. Quelques bisous avant de nous précipiter aux toilettes. Les rituels. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gymnastique, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine.

Clémentine fait le café, je presse les oranges, je pèle les kiwis. Pendant qu'elle met les bols, les couverts, j'allume la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos folies de hier soir. Ces léchages de minous qui concluent nos dimanches. << C'est tellement bon ! >> me dit Clémentine. Je rajoute : << Délicieux même ! >>. Nous mangeons de bon appétit en évoquant les magnifiques exhibitions de Clémentine. Celles de samedi après-midi. << De très hautes qualités ! >> lance Clémentine en venant s'assoir sur mes genoux.

Il est 6 h25. Nous remontons. L'appel de notre heure d'entraînement se fait trop fort. Seul façon d'émerger complètement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol avec abdos. Charges additionnelles avant les étirements d'un stretching bien trop rapide. La douche. Je redescends le premier pour aller préparer la voiture. Quelle surprise. Il fait beaucoup plus doux. Le jour s'est levé sous un ciel voilé mais très lumineux. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre. Levis, sweat fin sous sa veste de cuir noir, bottines. Comme elle est belle !

J'adore quand elle porte ses lunettes d'étudiante pour conduire. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je rentre pour faire la vaisselle et le lit avant de passer dans l'atelier. Avec cette douceur, il fait presque trop chaud. Inutile d'allumer la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je termine probablement ce soir ce second paysage destiné à ma saison d'été. Je l'ai remis sur l'ouvrage pour en fignoler certains détails. Je peins dans un enthousiasme qui me fait pousser des cris tout à fait surréalistes.

Il est midi quand je quitte l'atelier pour la cuisine. Je fais gonfler du riz complet. Dans la poêle je fais rissoler des ronds de calmars. Je prépare l'assaisonnement d'une salade de carottes. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff reçoit deux journalistes d'investigations. C'est à dire de vrais journalistes. Il est question des turpitudes, des magouilles et des mensonges d'État mis en applications pour duper la nation. J'écoute en préparant mentalement le repas de ce soir. J'aime faire des surprises très agréables.

Ce sera une tarte aux champignons. Danièle nous a livré samedi d'une grande quantité d'agaricus. J'étale la pâte feuilletée dans le grand plat. Je lave et je coupe en lamelles les gros champignons de Paris. Je fais saisir quelques instants dans la poêle. Avec le reste des ronds de calmars. Je dépose le tout sur la pâte. J'y verse le mélange œuf, fromage blanc, lait de soja, moutarde à l'ancienne. Je dispose les tranches de deux beaux avocats mûrs sur le tout. Je recouvre d'une bonne couche de gruyère suisse. Ce délicat gruyère alpestre si délicatement parfumé.

De la chapelure. Des graines de sésame grillé. Je place l'ensemble dans le four électrique. Pour une cuisson lente et longue à 160°. Je lave trois endives pour la salade. Voilà notre repas du soir déjà préparé. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé de profiter de ce redoux surprenant, je dévale les escaliers. Le thermomètre extérieur indique 21°. Il y a même des séquences ensoleillées. De plus en plus nombreuses. C'est en chemise que je vais jusqu'à la rivière. C'est une douceur printanière. Un réel bonheur. Serait-ce la fin de l'hiver ?

Pourtant là-bas, au-dessus de l'horizon, s'accumulent de lourds nuages sombres et menaçants. Il est 13 h45 quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans une sorte d'euphorie causée par la douceur, le soleil. Il y a même une légère frustration d'être là, à l'intérieur, au lieu de gambader comme un cabri dans les prés. Cette idée me fait sourire. Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table avant de venir me rejoindre en sautillant. J'anticipe. Je pose les pinceaux, la palette sur la desserte à ma droite.

À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Son après-midi en salle de documentation. Elle a commencé la rédaction du second paragraphe de sa thèse. C'est passionnant. D'après ses dires, le plus difficile reste toujours l'entrée en matière. La manière de présenter le concept assure 80 % de l'intérêt qu'il peut susciter. Clémentine a encore ses notes à mettre aux propres. Elles seront rajoutées à la suite de son texte de demain. La voilà installée devant son ordinateur.

Cette petite heure d'émulation commune me permet de terminer mon paysage. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine range ses affaires avant de me rejoindre devant le petit lavabo de l'atelier. Le sexe posé sur le rebord, je me lave les mains. Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets. Nous adorons nous amuser ainsi. << J'ai le fantasme de tenir la bite d'un inconnu pour le faire pisser ! >> lance Clémentine. Nous rions de bon cœur. Quand je me marre en pissant, Clémentine doit redoubler d'attention car ça gicle n'importe comment.

Je dis : << Je crois que c'est un des fantasmes les plus difficiles à réaliser ! >>. Clémentine rajoute : << À moins de le réaliser après avoir demandé poliment ! >>. Nous rigolons comme des bossus. C'est noté. Nous tenterons ce "plan" aux prochaines vacances. Accroupie devant moi, me tenant par les hanches, Clémentine se régale du reliquat. Je passe l'extrémité de mes doigts sur ses joues creusées par la succion. Je l'aide à se redresser. Elle me tient la queue. Fermement. Je glisse ma main dans son Levis. Elle contracte ses abdominaux. J'ai un bon accès.

Dans sa culotte j'adore explorer. Passer mes doigts entre ses lèvres charnues. C'est moite, chaud, doux. Son clitoris géant que je titille alors qu'elle se met à gémir. Du bruit. La porte s'ouvre. Julie. << Bonsoir ! Je dérange ! >> lance t-elle, hésitante. << Bonsoir, non viens vite ! >> s'écrie Clémentine. Julie se précipite. Les talons de ses bottines qui résonnent dans le silence. Trois bises à Clémentine. Trois bises sur mes lèvres. Elle regarde immédiatement ce que Clémentine tient dans sa main. La mienne encore dans le jeans, tout au fond de la culotte.

Il est 18 h45. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine lâche ma queue pour se mettre à la préparation de l'assaisonnement. Julie dispose les assiettes, les couverts en nous racontant son week-end. Quand les filles découvrent ce que je réchauffe dans le four, elles mitraillent mes joues de bisous. << Des occasions de satisfaire tes vices ce week-end ? >> demande Clémentine. Julie répond : << Non, rien de remarquable. Par contre hier après-midi notre voisin dans le jardin qui a fait son vicelard. Aux beaux jours il ne se sent plus ! >>.

<< Raconte ! >> s'écrie Clémentine. << Quand il fait meilleur, il est dans son jardin. Il y a toujours des trucs à faire. Quand il me sait dehors, il en profite. Il vient pisser contre la clôture. Agiter son sexe contre la haie qui sépare nos jardins. Il fait ça depuis que je suis ado. C'est un vrai pervers ! Il me guette ! >> explique Julie en riant. Elle fixe mon mouvement masturbatoire. Je demande : << Il fait comme ça ? >>. Julie n'ose pas soutenir mon regard, elle répond à voix basse : << Oui ! Pareil ! >>. Clémentine rajoute : << Comme tu aimes ! >>.

La sonnerie du four. Julie enfile les maniques. Elle s'accroupit devant la porte vitrée pour l'ouvrir. Elle en sort la tarte aux champignons. Dorée. Dont le fumet parfume toute la cuisine. << Mmhhh ! C'est divin ! >> s'exclame Clémentine en contournant la table. Elle saisit mon érection pour me masturber de plus en plus vite. Me déposant des bisous sur les lèvres. Julie se touche, admirative, toute timide, baissant les yeux dès que je la surprends à mâter. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine raconte nos aventures du week-end. Ses exhibes.

<< Tu m'apprendras les meilleurs trucs aux vacances ? >> demande Julie. << Je vais faire de toi une virtuose ! >> répond Clémentine. Nous rions aux éclats. Julie est très voyeuse. << Du voyeurisme à l'exhibitionnisme il n'y a souvent que la longueur d'une grosse queue ! >> rajoute Clémentine. Je vois rarement Julie rire d'aussi bon cœur. Je m'adresse à Julie : << Si seulement vous pouviez passer ces dix jours avec nous dans le Jura. Vous seriez à la bonne école. Il y aurait là de quoi satisfaire votre voyeurisme ! >>. Je me lève. J'agite mon sexe.

<< Je fais le nécessaire. J'en parle déjà à mes parents pour les préparer. Les dates tombent bien. Je peux passer les fêtes de Pâques avec eux, en famille avec mes grands parents ! >> explique Julie. Clémentine donne le programme. C'est elle qui organise le voyage. Nous avons notre avion le dimanche 16 avril. Nous revenons le mardi 25 avril. << Je dois avoir ta confirmation pour la réservation des billets ! >> précise t-elle. << Lundi prochain. Je pourrais te le confirmer ! >> répond Julie. Nous traînons à table en faisant des plans sur la comète.

Clémentine, assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou revient sur quelques unes de nos aventures en Écosse. Julie, se mettant à débarrasser la table écoute, pose des questions. Clémentine y répond avec un luxe de détails extrêmement excitants. À mon tour je narre notre aventure avec Lennie, la jeune hollandaise que nous avons rencontré sur son bateau, il y a cinq ans. Nous sommes même allés à Amsterdam aux vacances de la Toussaint pour la revoir. Je raconte cette superbe histoire ici même sur ce forum. Au début de nos aventures.

La vaisselle. Nous prenons l'infusion au salon. Julie devra nous laisser pour 22 h. Il reste une heure quinze. Il serait stupide et frustrant d'entamer quelque chose avec si peu de temps à disposition. En vrais jouisseurs nous préférons rester dans la création du désir et de ces situations équivoques dont nous raffolons. Clémentine qui joue avec ma queue tout en bavardant. Julie qui ne cesse d'observer en discutant. Parfois elle se touche. Réajuste probablement l'élastique de sa culotte. Je me lève pour me masturber vulgairement. Debout devant elle.

Ce sont des plaisirs rares, raffinés, dont nous sommes friands. Julie évoque ses études. Elle passe les épreuves de sa licence de Lettres Modernes en juin. Elle travaille énormément car il est hors de question de connaître un échec. Julie se prépare à une carrière de professeur de littérature. Tout comme Clémentine, elle vise le Doctorat. Je les écoute échanger leurs expériences d'étudiantes. C'est passionnant. Je débande. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Elle revient vendredi. Il pleut. Elle est un peu tristounette. Un tout dernier bisou.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont se faire lécher, sucer et pénétrer sous la couette. Avant de se régaler d'un onctueux jus de couilles...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 40 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2189 -



L'agréable présence d'Estelle

Il est presque six heures, hier matin, mardi. L'application "océan" nous réveille de ses illusions. C'est encore difficile aujourd'hui. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. Quelques papouilles, quelques bisous et nous arrivons à nous extraire de sous la couette. En nous tenant par la main nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, dans nos tenues sports, nous dévalons les escaliers. Nous faisons alors tout à la manière de robots. J'allume la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis en me racontant ses rêves.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée avec Julie. Sa présence agrémente nos lundis soirs. Nous mangeons de bon appétit en évoquant nos prochaines vacances. Il ne reste même plus cinq semaines. Il est 6 h25 quand nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Les échauffements de l'aérobic commencent à nous réveiller vraiment. Le jogging sur les tapis roulants. Les exercices au sol, les abdos nous mettent en disposition pour attaquer les charges additionnelles. Avant les étirements d'un stretching trop rapide.

La douche. Je descends le premier dans le froid revenu. Il est presque 7 h45. Il pleut. Le jour est levé sous un ciel morose. Clémentine vient me rejoindre sous son parapluie. Un dernier bisou. Un dernier coucou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail dont les portes s'ouvrent et se referment automatiquement. Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer au sec et au chaud. La vaisselle. Notre lit avant de passer dans l'atelier. J'y allume la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant du Brassens.

Je m'attelle ce matin à la peinture du troisième paysage destiné à ma saison d'été. Saison qui débute dans un peu moins de quatre mois. Il me faut au moins vingt quatre toiles. Il m'en reste quatre de l'année dernière. J'en ai déjà réalisé dix huit. Je suis dans le plus parfait timing. Je peins dans la plus parfaite sérénité. Toujours en chantonnant. Sans voir le défilé des heures qui m'emmène aux alentours de midi. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe la dernière part de tarte aux champignons. Un délice.

Une rapide salade de tomates. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff reçoit un député "sans étiquette". Les confidences de cet élu sur les magouilles gouvernementales sont inquiétantes pour la démocratie. Ce pays n'est pas seulement une république bananière mais également un terrain d'expérimentation pour toutes sortes de petites dictatures administratives, législatives qui ne disent pas leurs noms. Il est également question de la nouvelle chaîne Youtube créée par André et son équipe. "Omerta".

J'écoute en préparant mentalement le repas de ce soir. Ce seront des bouchées à la reine. Je prépare une Béchamel. Dans la poêle je fais revenir de l'émincé de saumon. J'y rajoute de petits bouts de brocolis ébouillantés. Ail, oignons. Je rajoute à la béchamel avec du gruyère râpé. Il suffit de remplir les quatre énormes bouchées, de les recouvrir de leurs couvercles de pâte feuilletée. Je les cale avec du riz complet qui vient de gonfler. Quelques fines tranches de Morbier pour couvrir le tout. Je saupoudre de chapelure. Graines de sésame grillé. Des noix.

Au four électrique pour une cuisson lente et douce à 160°. La vaisselle. Je monte me laver les dents. C'est rassurant de savoir que le repas du soir est déjà prêt. Ce sera encore une belle surprise pour Clémentine et Estelle. Je redescends à toute vitesse pour chausser mes bottes en caoutchouc, enfiler mon anorak. C'est sous le parapluie que je vais jusqu'à la rivière. Ce froid est pénible. Il est 13 h45 quand je suis de retour dans l'atelier. Confortablement installé devant mon chevalet, je peins dans cette douce sérénité qui m'étreint depuis tôt ce matin.

Les heures défilent hors de toute perception. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable dans le fauteuil à bascule pour se précipiter vers moi. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Son après-midi en salle de documentation pour ses travaux d'écritures, de prises de notes. Il faut encore les mettre au propre pour s'y retrouver. Aussi, la voilà rapidement installée devant son ordinateur. C'est en chantonnant qu'elle travaille. J'adore l'entendre.

<< Tu sais que là, je décroche ! >> s'écrie t-elle soudain. Il est 18 h30. Pendant qu'elle range ses affaires, qu'elle tire sur l'imprimante ses écrits, je nettoie la palette, les pinceaux. C'est devant le lavabo de l'atelier que nous nous retrouvons. Pendant que je savonne mes mains, Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets. Ce rituel pisseux qui nous fait changer d'univers. D'ambiance également. Je m'essuie les mains en regardant Clémentine, accroupie, à se régaler des derniers épanchements. Quel bonheur de partager sa vie avec une belle vicieuse.

Quand je chuchote cette considération, Clémentine se redresse pour dire : << Quel bonheur de partager ma vie avec un beau vicieux ! >>. Nous rions de bon cœur. Clémentine m'entraîne dans une sorte de Tango pas du tout Argentin mais totalement loufoque. Nous virevoltons dans toute la grande pièce. Je la soulève pour la bloquer contre le pilier central. Ses bras autour de mon cou, ses jambes autour de ma taille, elle fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Mon érection instantanée est presque douloureuse contre le Levis de Clémentine.

Surtout qu'elle se frotte dessus avec autant de passion que son baiser fougueux. Du bruit. La porte s'ouvre sur Estelle qui se précipite. Je pose Clémentine au sol. Estelle prend sa place. Je la soulève. Clémentine saisit ma queue. Ce qui la protège des frottements que m'impose Estelle dans son baiser passionné. Mes deux anges ont passé la journée ensemble. Quand nos effusions de tendresse cessent, elles se montrent leurs textes. Je remue les braises avec le tisonnier en écoutant leurs échanges. Elles viennent me rejoindre. Je bande tout mou.

Estelle saisit mon Zob mollasse en disant : << Tu sais que cette nuit j'ai fait un rêve érotique ? >>. Je réponds : << Oui, Clémentine me l'a vaguement raconté en rentrant ! >>. Elle continue : << Tu es aussi vicelard dans l'onirisme que dans le réel. Je me suis réveillé un petit moment pour me masturber ! >>. Nous rigolons comme des bossus quand Clémentine rajoute : << Fais-nous voir comment tu fais ! >>. Estelle déboutonne son Levis pour fourrer sa main dans sa culotte. << Comme ça ! >> lance t-elle avec un air de fille innocente, ingénue.

Il fait soudain très faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. << Quand je commence, je ne m'arrête plus ! >> dit Estelle avec sa main toujours au fond de sa culotte. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade de carottes. Je sors les bouchées à la reine du four électrique pour les mettre dans le four à bois. << Wouah ! Elles sont énormes ! >> lance Estelle qui met les assiettes les couverts. Je passe derrière Clémentine pour caresser ses seins minuscules. Estelle se touche en nous observant. << Tu me fais pareil sel te pli ! >> dit elle.

Un bisou dans la nuque de Clémentine avant de contourner la table, de me placer derrière Estelle. J'adore sentir les tétons durcir sous le coton de la chemise à carreaux. Surtout qu'elle ne cesse de se toucher. Soudain cambrée sur ses genoux fléchis, se tenant au dossier de la chaise de sa main libre. << On se fait des trucs ce soir ! >> lance Clémentine. Je réponds : << Baise sur bureau ! Soyons originaux ! >>. Nous rions aux éclats car nous pratiquons la baise sur bureau deux à trois soirs par semaine. Estelle s'accroupit devant la porte du four.

Elle enfile les maniques pour ne pas se brûler. La vue d'une fille, accroupie, de dos, me fascine, m'excite au plus haut point. Estelle, Clémentine ainsi que nos amies intimes le savent bien. Aussi elles aiment en jouer. M'exposer aux affres de l'excitation. Estelle sort les bouchées à la reine. C'est vrai qu'elles sont énormes. Le grand modèle. Nous mangeons de bon appétit en faisant mille projets pour ce soir. La "baise sur bureau" qui nous passionne. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Elle se lève souvent pour mimer une masturbation masculine.

À chaque fois je fais pareil mais sans mimer. Nous ne traînons pas trop. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges échanges quelques anecdotes de leur journée d'étudiante. Le programme de demain. La vaisselle. Estelle qui a remis sa main dans sa culotte n'arrête pas de se contorsionner. << Je ne connais rien de plus aphrodisiaque qu'une journée de cours. Une fois terminée on a qu'une envie. Décompresser ! >> lance t-elle en retirant ses bottines, son Levis, sa culotte. Clémentine qui fait de même.

Assises toutes les deux sur le bureau elles me regardent. Moi aussi je les observe en me masturbant. Nous adorons ces instants de méditations pas du tout transcendantales. Elles ont les mains entre les cuisses. << Tu commences par laquelle ? >> lance soudain Estelle en relevant ses jambes largement écartées. Clémentine fait immédiatement de même. Ce spectacle est magnifique. Il est impossible de s'y habituer. J'y assiste tellement de fois mais c'est comme une première. Je bande comme le dernier des salauds. << Salaud ! >> lance d'ailleurs Estelle.

Elle dit cela car elle bout d'impatience et que j'aime faire durer. Le plaisir des yeux avant celui des autres sens. Je saisis deux des épais coussins du canapé pour me diriger vers le bureau. << Vous avez de charmantes attentions à nos égards ! >> dit Estelle alors que je les mets au milieu du bureau. Elle est la première à y poser sa tête sans cesser de se masturber. Clémentine l'imite. Je dépose une bise sur leurs fronts avant de contourner le bureau. Penché en avant, je fourre mon visage contre le sexe d'Estelle. J'y enfonce la langue. L'odeur !

J'adore humer les effluves parfumées d'un sexe de fille après sa journée. Les odeurs fortes de celui d'Estelle me révulsent toujours un peu. C'est rapidement excitant. Le goût piquant de son trou à pipi. Elle se masturbe en même temps. Elle cesse quand ma bouche prend la place de ses doigts. Quand je suce son clitoris elle se tortille en gémissant. J'enfonce mon doigt pendant que je passe à Clémentine. L'odeur est forte mais différente. Le goût est différent lui aussi. Tout en doigtant Estelle qui se masturbe, je lèche et je suce Clémentine qui gémit.

Son clitoris géant dont les peaux une fois décalottées offrent de délicieuses particules fromagères. Je m'enivre au point d'en avoir le vertige. Je me redresse. Une doigt dans chaque vulve. Je les doigte toutes les deux. C'est merveilleux de les voir s'agiter, couchées sur le dos. Parfois l'une ou l'autre relève la tête pour me regarder. << Salaud ! >> lance Estelle. << Je t'aime ! >> lance Clémentine. << Moi aussi ! >> rajoute Estelle. Je frotte mon sexe contre le sien. Il entre comme dans du beurre tellement elle mouille. J'y vais précautionneusement.

Je la baise à la hussarde alors qu'elle pousse des cris de plaisirs. Je quitte sa vulve pour pénétrer celle de Clémentine. Sa cyprine est tellement abondante qu'il y à une petite flaque sur le bureau. Ça commence même à couler le long du meuble. Je la baise à la hussarde. Ses petits cris d'animal blessé entrecoupent ses halètements. Je dois m'arrêter à plusieurs reprises, totalement essoufflé. Je la baisse rarement de cette façon. L'orgasme d'Estelle est un morceau symphonique d'anthologie. Pendant que Clémentine pisse dans la cuvette en se touchant.

Son orgasme est ponctué de soubresauts. De spasmes. De frissons. Je me masturbe en les regardant toutes les deux. Couchées sur le côtés, les mains entre leurs cuisses serrées, à gémir en reprenant doucement leurs esprits. << Je monte d'un cran à chaque fois ! >> lance Estelle en remettant ses vêtements. << Je vais terminer dans un asile tellement ça me rend folle ! >> s'écrie Clémentine en s'habillant. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. Il ne pleut plus. Elle revient jeudi soir. << Bonne baise demain ! >> lui fait Clémentine.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont encore se faire nettoyer la cramouille à coups de langue sous la couette, avant de sucer la queue qui les a ramoné toute la soirée...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 41 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2190 -



L'agréable présence de Juliette

Il est presque six heures hier matin. Ce mercredi encore, nous sommes tirés de nos profonds sommeils par les illusions portuaires de l'application "océan". Les cris des oiseaux de mer surtout. C'est bruyant. Clémentine se blottit contre moi comme pour se protéger d'un monde devenu réel. Loin de l'onirisme protecteur de ses rêves. Car elle se souvient de chaque détail de ses rêves. Alors que moi je n'en garde aucune souvenance au réveil. Quelques papouilles, quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes. Nos rituels pisseux.

Morts de faim, en leggings de lycra noir, nos sweats de lycra jaune, nous dévalons les escaliers. J'allume immédiatement la cuisinière à bois. Tout en me racontant ses rêves, Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. Nos triolismes amoureux, sensuels et sexuels avec Estelle. << Ce soir elle remet ça avec son parrain. Je la vois ce matin en cours. Nous allons encore en rire ! >> lance Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en évoquant Jean-Marc, le fameux parrain.

Clémentine a déjà baisé avec lui, il y a plus de trois ans. Une expérience inoubliable car c'est réellement un baiseur fou. Capable d'une endurance folle dépassant une heure de pénétrations agitée. Nous en rions de bon cœur. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir le second plaisir de cette nouvelle journée. Les échauffements de l'aérobic qui précèdent ceux du jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol et les abdos qui mettent en conditions pour les charges additionnelles. La finalité d'un entraînement intense avec un stretching bâclé.

La douche. Je dévale les escaliers pour aller faire chauffer la voiture. Il pleut. Il fait un froid glacial. Presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre sous son parapluie. Un dernier bisou. << Sois le plus salaud des salauds ce soir chez Juliette ! >> me dit elle en s'asseyant au volant. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou et je m'empresse de retourner au sec, au chaud. Je fais notre vaisselle, notre lit avant de passer dans l'atelier. J'y allume une belle flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette.

La peinture de ce troisième paysage, d'après une photo prise près du port de plaisance, m'accapare complètement. Je peins dans une sorte d'extase pas du tout mystique. Sans voir le déroulement des heures. Il est midi quand je mets deux bûches dans le feu. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Une buche sur les braises de la cuisinière à bois. Il suffit de réchauffer la quatrième énorme bouchée à la reine. De faire l'assaisonnement d'une salade de tomates. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. L'émission passionnante animée par Bercoff.

La vaisselle. Il n'y a rien à préparer pour ce soir puisque nous mangeons chez Juliette. Je pense aux paroles de Clémentine ce matin : << Soit le plus salaud des salauds ! >>. Je ris à l'évocation de cette demande. La vaisselle. Je monte me laver les dents avant de dévaler les escaliers. Je chausse les bottes en caoutchouc. J'enfile l'anorak. Il ne pleut plus mais ce n'est qu'une accalmie. Tout est détrempé. Le ciel reste sinistre. Mais que fait donc le printemps cette année ? Nous sommes déjà le 15 mars. Je vais jusqu'à la rivière. Elle reste très agitée.

Il est 13 h30. Me voilà installé devant mon chevalet. Je peins en pensant à Juliette. Notre amie intime. Cette belle bourgeoise qui fêtera ses 49 ans en novembre. Cette délicieuse salope qui nous offre de mémorables moments d'anthologies. C'est dans ses écuries que nous avons vécu les choses les plus intenses. Les partouzes, les gloryholes, les rencontres pour des expériences délirantes. Et ce n'est pas terminé. Une fois encore je ne vois pas l'horloge tourner. Il est déjà 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table en sautillant.

<< Je t'aime ! >> s'écrie t-elle en courant me rejoindre. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, se frottant, elle me raconte sa journée de cours. Le menu du restaurant universitaire. Les confidences d'Estelle quand aux plaisirs de hier soir. Cette fameuse "baise sur bureau" que nous pratiquons comme un sport. Nous en rions de bon cœur. Clémentine a encore à finaliser ses travaux d'écritures. La rédaction du second paragraphe de sa thèse. Ce n'est qu'une première mouture. Un canevas. La définitive sera rédigée l'année prochaine.

Nous apprécions cette heure d'émulation commune. Chacun devenant la source d'inspiration de l'autre. Clémentine me lit à voix haute les extraits les plus pertinents. C'est fameux. << Stop ! >> s'écrie t-elle. Il est 18 h45. Elle range ses affaires, éteint son ordinateur. Je nettoie la palette, les pinceaux avant de retirer ma blouse. Le sexe posé sur le rebord du petit lavabo de l'atelier, je me lave les mains. Clémentine s'empresse d'accourir. Tenant ma bite pour en diriger les jets, elle pose sa tête contre ma poitrine. Puis, penchée en avant sur mon ventre.

Elle adore se régaler des dernières gouttes. Dernières gouttes qu'elle essore et qu'elle pompe avec passion. Je caresse sa nuque. Ses cheveux noués en catogan permettent d'enserrer délicatement son cou. Elle se redresse pour se blottir dans mes bras. Nous regardons la danses des toutes dernières flammes sur les braises de la cheminée. Dans l'obscurité. Nous quittons l'atelier pour monter. Clémentine reste vêtue de son Levis, de son sweat, de ses bottines. Je mets un Levis propre, une chemise blanche sous un pull de coton noir au col en "V".

Nous prenons la pose devant le miroir. Clémentine adore quand ma braguette est déboutonnée. Lorsque mon sexe pend un peu à la manière d'un tuyau d'arrosage. Elle est accroupie. Sa tête contre ma hanche, ses bras entourant ma cuisse. << Tu sais que j'ai besoin d'une sérieuse reprise en main. D'être livrée à mon bon "Maître" afin qu'il me dresse un peu ! >> dit elle. Je pose ma main sur ses cheveux en précisant : << Délicieuse "Soumise", je vous promets une remise sur le droit chemin dans les tous prochains jours ! >>. Clémentine passe devant moi.

Accroupie entre le miroir et moi elle frotte son visage sur ma queue. Me tenant par les fesses, elle maintient ainsi son équilibre. Elle avance pour se caler contre mon tibia gauche. Elle s'y frotte dans un mouvement masturbatoire. Ma bite dans la bouche à gémir de contentement. Je l'aide à se relever. Elle me montre l'intérieur de sa bouche. Les premières coulures de liquide séminal qu'elle laisse fondre dans sa salive. Nous redescendons pour mettre nos manteaux. C'est avec la voiture de Clémentine que nous partons sous la pluie, dans la nuit glaciale.

Je roule doucement. Clémentine suce. Il n'y a que trois kilomètres jusqu'au haras. Je gare l'auto dans la cour déserte. Juliette nous guette depuis sa fenêtre du premier étage. Au-dessus des bureaux de son entreprise. Elle doit dévaler l'escalier à toute vitesse car à peine avons nous traversé la cour qu'elle nous accueille sur le haut des marches du perron. Trois bises affectueuses. Nous sommes toujours contents de nous retrouver. Ce soir encore Juliette nous reçoit dans sa tenue de travail. En écuyère. Ses longs cheveux noirs qui sont noués en natte.

Nous la suivons. Vautrés dans le canapé, Clémentine et moi écoutons Juliette nous raconter sa journée. Elle est installée bien droite dans le fauteuil qui nous fait face. Son pantalon de cavalière est aussi moulant qu'un legging. Ne cachant rien de ses formes les plus intimes. Elle ne porte pas de culotte. Ce qui permet de distinguer parfaitement les deux bosses que font ses lèvres charnues. Séparées par la couture centrale. C'est affolant. J'adore cette vison. Clémentine, la main sur ma bosse, qui pose quelques questions quand à Philippe, le maraîcher.

<< Tu veux te le sucer un de ces jours ? >> demande Juliette. << Oui, ça ne me déplairait pas ! >> répond Clémentine. Juliette rajoute : << Appréciable fondue savoyarde, non ? >>. Clémentine s'écrie : << Exquise ! >>. Nous rions de bon cœur. Je demande : << Chère Juliette, et si vous nous organisiez une autre soirée à quatre, avec Philippe ? >>. En se levant, Juliette répond : << C'est quand vous voulez ! >>. J'interroge Clémentine du regard. Elle saisit mon poignet avant de lancer : << Un vendredi soir, forcément. Moi ça marche ! OK ! >>

Nous nous levons pour suivre Juliette jusque dans sa cuisine. Du four elle tire une tarte au potiron. Dorée, fumante, qui parfume immédiatement toute la pièce. Clémentine s'empare du saladier, je prend la carafe de jus de fruit et la corbeille de pain. Nous retournons au salon où la table est mise. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la "soirée maraîchère" de vendredi dernier. Clémentine confie à Juliette les mêmes considérations dont elle m'a fait part à plusieurs reprises. La bite tordue du maraîcher est une des plus goûteuses.

<< Je n'ai jamais sucé un sperme avec une telle consistance. C'est épais. Même celui de Julien est plus fluide. Et le goût ! Beurk ! >> précise Clémentine. J'écoute Clémentine et Juliette échanger leurs impressions quand à la particularité physique du sexe de Philippe. << Tu ne peux le sucer correctement qu'en étant à genoux devant lui. Sinon c'est tout simplement impossible ! >> précise à son tour Juliette. C'est vrai que cette bite, dont le gland est coudé vers l'avant dans un angle de 90° doit être parfois un handicap. Juliette n'a pas baisé avec lui.

<< Deux pipes c'est tout. Mais il faut que je l'essaie à la baise ! >> lance t-elle. Nous rions de bon cœur des détails des deux pipes qu'elle a prodigué à ce Philippe. << Ça fait douze ans qu'il vient deux fois par semaine pour récupérer le crottin des chevaux. Si j'avais su plus tôt, je n'aurais pas attendu aussi longtemps ! >> dit Juliette en riant. Nous traînons à table. La conversation reste axée sur le goût des différentes bites sucée dans les écuries. Clémentine a goûté à toutes celles présentées et recommandées par Juliette. Elles ont des souvenirs communs.

Clémentine se souvient de celle de monsieur Gérard l'ancien palefrenier à la retraite. << Je les adore toutes petites et mollasses ! >> précise t-elle. Juliette répond : << Pour la fellation les petites molles restent mes préférées. Mais pour la baise j'apprécie les gros calibres comme celui de Pierre ou de Julien ! >>. Elle m'adresse un clin d'œil. Je me lève pour agiter mon "gros calibre" dans sa direction. Elles cessent de manger pour m'observer. Clémentine passe sa langue sur ses lèvres de façon très suggestive. Elle aussi me fait un clin d'œil.

La vaisselle. Nous voilà installés comme avant dans le canapé. Juliette dans le fauteuil. Ces conversations nous excitent toujours considérablement. Je remarque à nouveau ce détail troublant. Juliette, sa cuisse gauche posée sur l'accoudoir gauche, sa cuisse droite posée sur l'accoudoir de droite caresse la couture centrale de son pantalon d'écuyère. C'est un pantalon beige clair. Il y a cette tâche plus sombre. Une auréole ovale. Ce sont ses sécrétions vaginales. Certainement des éjaculations de cyprine. Cette fois je pose vraiment la question.

Clémentine tient mon érection à pleine poigne. Je demande : << Juliette, vous mouillez toujours de la sorte ? >>. Elle se met à rire en se penchant pour regarder son entre jambes. << Dès qu'il est question de sexe, je mouille. C'est parfois très gênant. Mais j'adore qu'un de mes visiteurs s'en aperçoive. Ce qui ne fait que décupler mon plaisir, donc en secréter davantage ! >> dit elle. Clémentine précise : << C'est pareil pour moi. Je mouille terriblement et la à moindre pensée sexuelle ! >>. Nous rions. << On se fait un concours ? >> s'exclame Juliette.

<< C'est un truc à tenter. Pourquoi pas ! >> lance Clémentine. Je bande dans sa main comme le dernier des salauds. Juliette fixe mon sexe tout en parlant. << On se fait cette "soirée maraîchère" la semaine prochaine ? >> demande t-elle. << Pourquoi pas ! Une soirée fondue aux fromages ! >> répond Clémentine. << Juste nous quatre alors ! >> rajoute Clémentine. Nous mettons les dernières modalités au point. Ce sera un remake de vendredi dernier. << Ce type adore se faire pomper la verge ! >> précise Juliette. << J'adore pomper ! >>lance Clémentine.

L'auréole qui assombrit le beige clair du pantalon d'écuyère s'agrandit encore. Juliette malaxe les deux bosses séparées par la couture centrale. Se faisant elle essore le tissu. Il y a comme de la mousse qui suinte. Je me lève pour venir m'accroupir devant son fauteuil. Juliette retire ses doigts pour que je puisse bien voir. Elle avance son bassin jusqu'au bord du fauteuil. C'est étonnant. C'est comme la mousse du produit vaisselle sur l'éponge. C'est sa cyprine que le tissu trempé ne peut contenir plus longtemps. Clémentine se lève alors d'un bond.

Elle sait à quel point j'adore sucer de la moule, me régaler du jus d'une chatte trempée. Aussi, elle me force à me redresser. Juliette est la seule femme de notre cercle de relations capable de susciter sa jalousie. Elle se serre contre moi en disant : << Bon, on va y aller, il est déjà presque 22 h ! >>. Juliette se lève, éclate de rire en faisant : << On se voit dimanche ? J'organise une animation au haras ! >>. Nous ne promettons rien. Juliette nous raccompagne jusqu'à la voiture. Elle palpe ma braguette bossue d'un geste précis en me faisant trois bises.

Bonne nuit à toutes les coquines que les soirées à "thèmes" excitent au plus haut point. Se faire lécher, sucer et baiser sous la couette...

Julien



Classe

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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
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Homme, 53 ans, France
Classe - 42 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2191 -



L'agréable compagnie d'Estelle

Hier matin, jeudi, il est presque six heures. Réveillés par les illusions bluffantes de l'application "océan", nous sommes arrachées de nos sommeils avec violence. Clémentine qui se blottit contre moi, cherche l'énergie pour affronter le réel. En gémissant. Quelque papouilles, quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes comme des zombies. Morts de faim, dans nos habits de sport, nous dévalons les escaliers en nous tenant l'un à l'autre. Quand notre état commence ainsi à nous faire rire, c'est bon signe. J'allume la cuisinière à bois.

Clémentine me raconte ses rêves en faisant le café, en pressant les oranges, en pelant les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier, chez Juliette. Sa proposition d'organiser une seconde "soirée maraîchère" avec "monsieur bite coudée". << Tu es toujours partant ? >> me demande Clémentine. Je réponds : << Si tu es d'accord que Juliette profite de ma queue ! >>. Nous rions aux éclats. Nous mangeons de bon appétit en évoquant cette seconde rencontre vendredi de la semaine prochaine. Là, il est bientôt 6 h25.

Nous remontons pour nous réveiller complètement. Et pour cela rien de plus efficace qu'un bon entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol avec abdos. Charges additionnelles. Stretching avant la douche. Je redescends à toute vitesse pour aller faire chauffer la voiture. Il ne pleut plus. Tout reste humide. Y compris ce froid glacial. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre déguisée en esquimau. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou et je me dépêche de rentrer au chaud. Faire notre vaisselle.

Faire notre lit avant de passer dans l'atelier. J'allume une belle flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, en chantonnant, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ce troisième paysage destiné à ma saison d'été me plonge dans l'extase. Je peins en pensant à la "soirée maraîchère". À la bite tordue de ce Philippe. Ce sexe coudé qui semble fasciner autant Juliette que Clémentine. Je me réjouis car j'adore voir Clémentine sucer des mecs. Accessoirement en me faisant sucer par Juliette. Ce qui est parfois le cas au haras.

Il est déjà midi. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Dans la poêle je fais dorer un dos de cabillaud blanc. J'y rajoute un pot de crème fraîche en fin de cuisson. Je prépare l'assaisonnement d'une salade de concombre. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff aborde le sujet de la réforme des retraites. En soulignant que pour les dirigeants qui prétendent mettre tout le monde à la même enseigne restent leurs privilèges insensés et scandaleux.

Tout en écoutant je conçois mentalement le repas de ce soir. Ce seront des beignets de crevettes avec des pommes de terre chips. Ça fait longtemps que je n'ai pas réservé cette surprise à Estelle et à Clémentine. Je concocte une pâte à crêpe. Dans le wok je fais décongeler des crevettes. Sur la cuisinière à bois la chaleur est intense. Je suis rapidement en sueur. J'épluche, je lave et coupe les pommes de terre. En fines lamelles que je fais dorer dans la poêle. Il faut les retourner sans arrêt. Les déposer sur une feuille de papier absorbant la graisse.

Je recouvre la pâte à crêpe d'un linge. Les crevettes et les pommes de terre chips d'un couvercle. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller prendre la température, je dévale les escaliers. Cette température ne dépasse pas 14°. C'est emmitouflé dans mon anorak que je descends jusqu'à la rivière. Le ciel est voilé mais lumineux. Je rendre deux brouettes de bois. Dont je stocke les bûches à côté de la cuisinière à bois, de la cheminée du salon et de celle de l'atelier. Il est 13 h50 quand je suis confortablement installé devant mon chevalet.

Je peins dans la plus totale décontraction. Pour le repas de ce soir, ce sera la fête. Tout est prêt. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. J'adore quand elle balance son cartable dans le fauteuil à bascule, qu'elle prend son élan pour me rejoindre en sautillant. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte ses cours. Le menu du restaurant universitaire. Son après-midi en salle de documentation. Il faut encore mettre ses notes au propre. Elle ne s'attarde pas. Assise devant son ordinateur la voilà au travail.

Cette petite heure de labeur en commun est un véritable bonheur. << Là, je pète un plomb ! >> lance t-elle soudain à 18 h35. Elle range ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Nous nous rejoignons devant le petit lavabo de l'atelier. Clémentine tient ma bite pour en diriger les jets. Je me lave les mains. Cet amusant rituel pisseux agit sur nos psychés comme le passage d'un monde à l'autre. Nous plongeons là dans le nôtre. Quand Clémentine, penchée en avant, ma queue dans la bouche, suce, je chuchote : << Je vous aime ! >>.

Quand elle se redresse, elle murmure : << Je vous aime ! >>. De nous vouvoyer ainsi nous fait rire. Clémentine se serre dans mes bras. Je la soulève. Accrochée à mon cou, ses jambes autour de ma taille, elle se fait promener dans toute la grande pièce. J'adore la bloquer contre le pilier central pour lui rouler une pelle d'enfer. Je la sens fondre dans mes bras, se frottant sur mon érection. Son poids, ainsi que la friction du tissu sont douloureux. C'est ainsi qu'Estelle nous surprend. Pour la deuxième fois de la semaine. Dans l'exacte même configuration.

Elle se précipite pour me faire des bises. Je dépose Clémentine au sol pour soulever Estelle. Mon pauvre sexe est mis à rude épreuve avec le tissus des Levis. Estelle, comprenant mon bobo, saisit mon érection à pleine main. Elle s'accroupit pour me la suçoter un peu. Clémentine fouille ma bouche de sa langue exploratrice. J'aide Estelle à se redresser. Les filles me saisissent les bras pour m'entraîner. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand elles découvrent ce que j'ai préparé, j'ai droit à un mitraillage de bisous. << Génial ! >> s'écrient Estelle.

Clémentine fait l'assaisonnement de la salade d'endives. Je fais bouillir l'huile de friture. Estelle trempe les crevettes dans la pâte à crêpe. En mélangeant consciencieusement. Toutes les deux parlent de leurs cours. De leurs écrits. Elles en sont au second paragraphe de leurs thèses. Avec une cuillère Estelle dépose une crevette enrobée de pâte dans l'huile. Au bout d'une petite minute le beignet remonte à la surface. Récupéré avec l'écumoire par Clémentine qui dépose chacun d'eux sur une feuille de papier absorbant. Je réchauffe les chips au four à bois.

C'est la fête quand nous préparons ensemble. Nous mangeons de bon appétit. Estelle raconte sa soirée de baise avec son parrain. Elle l'a déjà raconté à Clémentine à midi, au restaurant universitaire. Une fois encore Jean-Marc l'a baisé à la hussarde dans le dépôt, sur une des piles de cartons. Nous rions de certains détails amusants. Estelle ponctue souvent ces détails en se levant pour mimer une masturbation masculine. Avec toute la vulgarité dont elle est coutumière. Je me lève à mon tour pour faire tournoyer ma queue. Je bande plutôt mou.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, Estelle et Clémentine font quelques projets pour le week-end qui commence demain à midi. Clémentine aimerait bien une séance de "dressage". Authentique "Soumise" qui adore être prise en main par un "Maître". Ce que je suis pas du tout. Mais j'endosse le rôle à la perfection. Après six ans de vie commune j'interprète le personnage avec une certaine maestria. Estelle, plutôt "dominatrice" apprécie beaucoup de jouer à la "Soumise". Ce sera pour samedi soir.

Tout cela nous a bien excité. Nous faisons la vaisselle. Pressés d'aller au salon pour nous livrer à nos rites triviaux, les filles m'entraînent par les mains. Toutes les deux, sans même se consulter, retirent leurs bottines, leurs jeans, leurs culottes. Vautré dans le canapé, en jouant avec ma queue, j'admire ce spectacle. Juste en chaussettes et en sweats, mes deux anges font une danse du ventre lascive et suggestive. Nous rions de bon cœur car cela devient rapidement une pantomime surréaliste. Estelle vient me rejoindre dans le canapé. Elle saisit mon sexe.

<< Tu me "contrôles" ? Il faut vérifier si tout est en ordre ! >> lance t-elle alors que Clémentine se met à genoux sur un des épais coussins. Ses mains posées sur mes cuisses. Je bande comme le dernier des salauds dans la main d'Estelle. Je me lève. Clémentine s'installe à côté d'Estelle. Me voilà à genoux entre ses jambes. Je fourre mon visage entre ses cuisses qu'elle relève. L'odeur est enivrante. Je hume à plein poumons sa journée de fille. Mes amis ! Quels parfums ! J'en ai des hauts le cœur suivis de vertiges. Il faut surmonter la répugnance.

Mais une fois surmontée, avec les premières exploration linguales, c'est un enchantement paradisiaque. Sa fente qui s'écarte doucement sur les lèvres fines de sa vulve. J'enfonce la langue. Estelle se masturbe jusqu'à l'instant ou je pose ma bouche sur son clitoris. Les premiers gémissements de plaisir. Le goût vinaigré de son trou à pipi. Je fais une inspection consciencieuse avant de récupérer les premières coulures de cyprine. Le "yaourt" d'Estelle est fluide. Crémeux. Une légère amertume au goût. Elle se tortille doucement. Cherchant le meilleur angle.

Je passe à Clémentine. Même si elle n'a besoin d'aucun "contrôle", elle adore se faire fouiller. L'odeur est différente. Le goût est moins amère. Quand je ne suce pas son clitoris géant, elle se masturbe en le tenant entre le pouce et l'index. Quand je fouille les plis et les replis de ses lèvres charnues, je peux ressentir les contractions de ses muscles fessiers. Je n'ai plus qu'à récupérer les premières coulées de cyprine. Bien plus abondantes. Plus onctueuses. En repassant au sexe d'Estelle je récupère les coulées de cyprine entre ses fesses. Miam.

Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il reste une bonne heure de "contrôle". Parfois, je prends du recul en me redressant. Bien droit, à genoux, mes mains sur leurs cuisses je les regarde se masturber. Leurs yeux devenus larmoyants, elles m'observent. Infiniment reconnaissantes de ce moment d'extase. Je passe l'extrémité de mes doigts sur leurs joues pour les caresser. Estelle se trémousse. Elle s'avance. Son sexe tout au bord du canapé. Comme une supplication à revenir. Clémentine rejette sa tête en arrière en gémissant d'aise.

Je me lève. Je prends appui de mes bras sur le haut du dossier du canapé. Estelle se cale contre moi. Je n'ai plus qu'à la pénétrer. Même si sa rentre comme dans du beurre, j'aime à m'y enfoncer doucement. En lâchant un profond râle de plaisir Estelle s'accroche à mon cou. Je la suis immédiatement dans le rythme qu'elle impose. Une fois encore nous baisons comme des déments. Sous le regard de Clémentine à présent à genoux dans le canapé. Elle se masturbe de sa main droite. Caresse ma nuque de sa main gauche. Estelle me repousse soudain.

Dans un hurlement, se terminant au doigt, elle est la victime d'un orgasme tellurique. Je m'enfonce dans Clémentine qui se met à pousser de petits cris. Elle s'agite de plus en plus vite, pénétrée jusqu'à la garde. Elle aussi se termine toujours aux doigts. Après m'avoir repoussé elle se lève d'un bond. Elle n'a que le temps d'attraper la cuvette pour y pisser en jouissant. Accroupie, se tenant à mon cou. Estelle à quatre pattes, sa tête contre ma hanche, nous admirons ce prodigieux orgasme pisseux. Clémentine, étourdie de plaisir pose sa tête sur le canapé.

Nous reprenons nos esprits. Estelle, à genoux entre mes jambes, cherche à choper ma queue de sa bouche gourmande. Nous avons fêté son anniversaire samedi dernier, le 11 mars. Elle m'a fait promettre de l'aimer toujours. Elle s'apprête à engouffrer mon sexe quand elle me dit : << Rappelle-toi, tu as promis ! >>. Clémentine se redresse. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. J'enfonce mon doigt dans sa chatte. C'est trempé. Je le porte à ma bouche pour le sucer. J'éjacule au fond de la gorge d'Estelle qui, presque noyée, se met à tousser. Le sperme.

Bonne nuit à toutes les coquines qui aiment se blottir contre leur coquin, sous la couette, pour lui raconter leurs émois. Avant un bon dodo...

Julien



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C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

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Homme, 53 ans, France
Classe - 43 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2192 -



Le vendredi, Clémentine termine à midi

Il est presque six heures quand la sirène de ce gros bateau résonne dans le lointain. Hier, vendredi matin, une fois encore l'application "océan" nous réveille de ses illusions. Clémentine, en gémissant s'accroche à moi comme une naufragée à sa branche. C'est dur. Quelques bisous, quelques papouilles. Quand elle termine à midi, ce qui est le cas des vendredis, l'humeur facétieuse de Clémentine prend rapidement le dessus. Aussi, m'entraînant par la main, nous nous précipitons aux toilettes. Dans la salle de bain nous passons nos fringues de sport.

Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. J'allume immédiatement la cuisinière à bois. Quand il fait moins froid dehors, ça se ressent dans la maison. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. L'apport nécessaire en vitamines C couvrant les besoins de la journée. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de folie, hier, avec Estelle. Il est très rare qu'elle se fasse baiser les jeudis soirs car son parrain la lime comme un malade les mercredis soirs. Nous en rions de bon cœur. C'est vraiment bien.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant la venue de Julie cet après-midi. Il est 6 h25 quand nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Dans cette euphorie dont Clémentine est coutumière les vendredis matins. Les échauffements de l'aérobic. Le jogging sur tapis roulant où Clémentine me fait rire. Elle parvient à courir, à maintenir le rythme en courant à l'envers, en se tournant plusieurs fois. Les exercices au sol avec les abdos. Difficile en pouffant souvent de rire. Avec les charges additionnelles, ça ne rigole plus du tout. Difficile.

Les étirements d'un stretching effectué bien trop rapidement avant la douche. Je redescends le premier pour sortit l'auto du garage. Le ciel est voilé mais lumineux. Il fait bien moins froid que les jours précédents. Il est presque 7 h45 quand Clémentine vient me rejoindre. Levis, bottines, blousons de cuir noir sur un pull au large col roulé. J'adore quand elle porte ses lunettes d'étudiante. Un dernier bisou. Il faut y aller. Je la regarde partir. Un dernier coucou avant de rentrer pour faire la vaisselle, notre lit. Je passe dans l'atelier. Troisième bonheur.

J'allume tout de même un bon feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ce troisième paysage destiné à ma saison me plonge dans le troisième plaisir de cette nouvelle journée. Je peins dans cette douce euphorie laissée par Clémentine. Il est rapidement midi. Trop rapidement car je suis la victme d'un temps qui passe de plus en plus vite. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer le reste des beignets de crevette avec le reste des pommes de terre chips. Salade de tomates.

Je termine à peine de dresser la table quand Clémentine rentre de cours. Il est midi trente cinq. Elle me saute au cou en s'écriant : << Je suis avec mon chéri jusqu'à lundi ! >>. Je la soulève. Elle s'accroche à mon cou, passe ses jambes autour de ma taille pour couvrir mon visage de bisous. C'est comme ça que je l'emmène aux toilettes pour nos rituels pisseux, nous laver les mains. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. La finalisation du second paragraphe de sa thèse qu'il faudra terminer cet après-midi. C'est important.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie un de ses souhaits les plus chers. Elle aimerait tant s'adonner à son plaisir ultime. Que je me comporte en "Maître" afin qu'elle puisse assouvir son besoin d'être la "Soumise" qui sommeille tout au fond de sa psyché. Ce qui est prévu pour demain soir. Avec Estelle en compagne de jeu. Nous ne savons pas encore si elle sera ma partenaire "Domina" ou si au contraire elle sera la seconde "Soumise". Cela varie selon ses envies. Nous en saurons plus demain.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Pressés d'aller faire quelques pas au dehors, nous dévalons les escaliers. Pas la peine d'enfiler les anoraks. Juste les blousons de cuir. Le ciel s'est couvert de nuages. Aucun d'entre eux ne présentant la moindre menace. Il fait doux. Le thermomètre extérieur indique 20°. Clémentine m'entraîne par la main. Nous descendons jusqu'à la rivière. Fourrant sa main dans ma braguette, Clémentine en tire le locataire en enfonçant sa langue dans ma bouche.

Érection immédiate. Je bande dans sa main. Nous nous embrassons avec tant de passion que nos mentons sont rapidement trempés de salive. Ça glisse. Nous adorons ça. Clémentine me tire par le Zob pour nous rapprocher des colverts, des poules d'eau et des canards. Tout ce petit monde à plumes cancane en restant indifférent à cette queue que masturbe doucement Clémentine. Nous remontons en flânant. Il n'est pas rare que monsieur Bertrand, notre voisin descende lui aussi à la rivière. Aussi, par mesure de précautions, je remballe ma bite.

Clémentine me l'extrait dès notre retour dans la maison. << Il faut que Julie en profite également. Il est 13 h30. Elle ne va pas tarder ! >> dit elle en s'accroupissant. Frottant son visage sur mon sexe à nouveau mou, elle me fixe de son regard implorant. Elle rajoute : << J'ai besoin d'être reprise en main mon bon "Maître" ! >>. Je caresse sa tête en répondant : << Ma délicieuse "Soumise", je vous promet un samedi de "dressage" qui commencera dès l'après-midi ! >>. Clémentine se redresse. Sans lâcher ma queue elle m'embrasse avec fougue.

C'est ainsi qu'entrant dans le hall d'entrée Julie nous découvre. << Bonjour. Je ne veux pas déranger, je vais faire un petit tour ! >> lâche t-elle. Nous cessons pour nous tourner vers notre amie. En me branlant Clémentine rétorque : << Tu ne nous déranges jamais ! Viens ! >>. Julie, d'un bond, se précipite vers nous. Trois bises sur les lèvres de Clémentine. Trois bises sur les miennes. Je retire délicatement ses lunettes d'étudiante pour rajouter : << J'ai toujours ma petite surprise pour vous ! >>. Elle baisse les yeux, timide, pour regarder le Zob.

<< La surprise en question ! >> lance Clémentine. Julie met son visage dans ses mains pour dire : << J'adore les surprises ! >>. Nous en rions de bon cœur. << Je ne pourrai pas rester tout l'après-midi, je dois rejoindre mes parents pour seize heures. On va voir ma mamie à l'hôpital. Rien de grave ! >> s'exclame soudain notre amie. Clémentine la débarrasse de son blouson. Elle prend son bras pour l'entraîner jusque dans l'atelier. Comme toujours, Julie se précipite, s'installe sur la chaise pour scruter ma peinture. Silencieuse, concentrée sur la toile.

Clémentine s'assoit devant son ordinateur qu'elle allume. Un classeur ouvert, des feuilles de papier éparses. Je suis debout derrière elle. Elle m'explique ce qu'elle s'apprête à faire. Elle adore quand je passe mes doigts comme des peignes dans ses cheveux. Je les lisse longuement. Je les sépare en trois pour tresser une natte. << Mmhh, comme c'est bon, ça me détend ! >> murmure Clémentine. Julie tourne sa tête pour nous observer. Un dernier bisou dans la nuque de Clémentine. Je la laisse à ses concentrations pour rejoindre Julie devant le chevalet.

Mes mains sur les hanches, la braguette bouton de mon Levis ouverte, ma "lance à incendie" qui en pend, je me place à côté du chevalet. Julie n'ose pas soutenir mon regard. Par contre elle n'observe plus du tout le tableau. Comme hypnotisée par mon sexe elle reste béate. Muette. De m'exhiber ainsi devant cette jeune fille de vingt et un an me procure des sensations folles. Je reste longuement debout, là, immobile. Parfois je tourne la tête pour regarder Clémentine. Elle m'adresse des clins d'œil, un sourire, sans cesser de taper sur son clavier.

Mon érection fait lever mon sexe. Par petites contractions des muscles fessiers je le fais bouger. En rythme. Comme fascinée Julie fixe ma prestation. Parfois elle m'adresse un regard et un sourire furtifs. C'est terriblement excitant. Je contourne la desserte sur laquelle sont les tubes de peintures, la palette, les pinceaux. Je suis à présent debout à sa droite. Je passe ma main sous ses cheveux pour saisir sa nuque. Je discerne un léger gémissement dans un souffle profond. Souvent en apnée, excitée par la situation, Julie reprend son souffle. Timide.

Mon sexe à une cinquantaine de centimètres de son visage. Que je continue à secouer par mes contractions. J'attrape ses cheveux en queue. Julie tourne sur sa chaise pour me faire face. Je m'approche encore un peu. De ma main libre je saisis ma bite pour la passer sur ses lèvres. Fermant les yeux, Julie avance encore un peu plus. Je frotte ma queue sur son visage. Je tourne la tête pour regarder Clémentine. Elle est penchée pour regarder à côté de l'ordinateur. Elle m'adresse un clin d'œil. Julie ouvre la bouche pour recevoir ma virilité turgescente.

Immédiatement, l'indicible sensation de ventouse me donne le vertige. Je tiens Julie par ses cheveux de la main gauche. De la main droite je la tiens sous le menton. Je baisse les yeux pour admirer ma pompeuse. Les paupières closes, avec une expression d'extase, Julie me taille une pipe des familles. Clémentine se lève pour nous rejoindre. Elle me voyait de dos depuis la table. Là, passant son bras autour de ma taille, elle observe cette sublime fellation. Elle saisit le lobe de l'oreille de Julie, se penche pour lui dire : << Tu t'entraînes pour Pâques ? >>.

Julie cesse de sucer pour répondre : << Je viens avec vous. J'ai tout organisé ! >>. Elle fixe Clémentine pour découvrir le sourire qui irradie son visage. << À la bonne heure ! C'est Génial. Je vais pouvoir réserver les billets d'avion ! >> lance Clémentine. Elle se penche pour déposer une bise sur le front de Julie. Il y a une goutte de liquide séminal qui perle au bout de mon prépuce. C'est Clémentine qui le récupère en suçant quelques instants. Son travail l'attend. Elle nous laisse. Julie se remet à sa fellation passionnée. En gémissant de plaisir.

Je ne vais pas jusqu'à l'éjaculation. Par contre mes épanchements de foutre, abondants et sans doute continus, inondent la bouche de ma suceuse. Il y a parfois un perle de jute entre la peau de mon Zob et le coin de ses lèvres. Je retire mon sexe. Deux longs filaments de jute épaisse, visqueuse et gluante, relient mon prépuce à sa bouche. Du doigt Julie les récupère avant qu'ils ne s'étalent sur le haut de son sweat. Juste à temps. Je la saisis sous le menton pour l'obliger à me fixer de ses yeux noisettes. Je demande : << Vous vous régalez ? >>.

Julie, toute gênée, comme honteuse, baisse les yeux en murmurant : << Oui ! >>. Clémentine, depuis son ordinateur, lance : << Dix jours ensemble à Pâques. Tu n'as pas fini de te régaler ! >>. Julie s'écrie : << Génial ! >>. Elle se lève d'un bond. Pas pour se soustraire à mon étreinte mais parce qu'elle va devoir nous laisser. Clémentine se lève pour venir lui déposer une bise sur le front. Elle dit : << C'est Julien qui te raccompagne jusqu'à la voiture. On se voit demain matin ! >>. Je prends Julie par la main pour l'entraîner. Nous quittons l'atelier.

Quand elle se retrouve seule avec moi, ce qui est extrêmement rare, Julie change d'attitude. Gênée, timide, réservée, un peu comme si nous étions deux inconnus. Je l'aide à enfiler son blouson. Je prends ses lunettes restées sur le guéridon pour les poser sur son nez. Une bise sur son front. Je reprends sa main pour traverser le jardin. Toute timide, comme impatiente de quitter ce moment trop intense, elle démarre immédiatement. J'agite mon sexe dégoulinant de foutre à une cinquantaine de centimètres de son visage. Elle remonte la vitre rapidement.

Quand Clémentine n'est pas là, le comportement de Julie est celui de toute jeune fille. Elle m'adresse un dernier sourire, un signe de la main avant de remonter jusqu'au portail. Je me dépêche de rentrer. Quelle surprise en revenant dans le hall d'entrée. Clémentine, accroupie, une main dans son levis déboutonnée qui me dit : << Je vous ai observé. J'adore l'attitude de Julie quand elle se retrouve seule avec toi. Nous allons développer cette particularité durant les vacances ! >>. Je m'approche pour lui enfoncer la queue dans la bouche. Pipe passionnée.

Je l'aide à se redresser. << Wouah toute cette jute ! >> s'écrie Clémentine en me montrant le contenu de sa bouche. Avant de déglutir avec une affreuse grimace. Nous voilà dans l'atelier. Je reprends ma peinture. Clémentine reprend ses écrits. Il est dix huit heures quand je nettoie la palette, les pinceaux. J'écoute Clémentine. Elle tourne autour de moi, ses feuilles en mains pour me faire la lecture. C'est passionnant. Même si je n'y connais rien en intrication quantique, que c'est du Chinois teinté d'hébreu, je reste tout ouïe. Musique des mots.

Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Tous les deux, terriblement excités, nous préparons le rapide dîner du soir. Une salade de concombre. Deux filets de colin. Des spaghettis avec une montagne de gruyère suisse. Nous adorons ces trop rares soirées. Juste nous deux. À l'idée de ce que nous allons nous offrir ce soir, nous ne traînons pas. La vaisselle. C'est au salon que nous faisons l'amour. En amoureux. Souvent immobiles, à partager nos secrets. À nous aimer dans de folles effusions de tendresses. Dans les vertiges.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment êtres aimées longuement, dans des séquences d'agitations puis de calme absolu...

Julien (Casanova du canapé)



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NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Classe - 44 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2193 -



La rassurante petite routine du samedi

Hier matin, samedi, il est sept heures trente. C'est Clémentine qui me réveille. De son cil qu'elle effleure sur ma joue elle murmure : << Papillon ! >>. Quand elle me sent devenir conscient, elle frotte son nez sur le mien en chuchotant : << Esquimau ! >>. C'est trop adorable d'être tiré de son sommeil ainsi. << Comme c'était bon hier soir. Tu es un amant merveilleux ! >> rajoute t-elle en me chevauchant. Elle frotte son sexe sur mon érection matinale et tout a fait naturelle. Nous ne sommes pas du matin. Elle me couvre le visage de bisous.

L'impérieux besoin de pisser ne nous laisse aucun autre choix. Nous nous précipitons aux toilettes avant de passer dans la salle de bain. Nos vêtements, toujours préparés la veille, nous y attendent. En l'occurrence nos tenues de sport. Morts de faim nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Comme il fait moins froid depuis quelques jours, que les radiateurs fonctionnent depuis une heure trente, il fait bien chaud partout dans la maison. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. J'allume tout de même la cuisinière à bois.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée en amoureux. La seule soirée de la semaine où nous sommes seuls tous les deux. En venant s'assoir sur mes genoux, tout en savourant sa tartine au miel, Clémentine me dit : << N'oublie pas, aujourd'hui je suis ta "Soumise" ! >>. Nous rions de bon cœur quand elle rajoute : << Fais de moi ta "chose", rien ne me comble davantage ! >>. Je promets de me donner de la peine. Tâcher d'être à la hauteur de ses espérances. << Tu te débrouilles très bien tu sais ! >> me confie t-elle en riant.

Clémentine se lève d'un bond pour se précipiter dans le hall d'entrée. Elle y ouvre le portail depuis l'interphone. Elle revient pour s'installer à califourchon sur mes cuisses. En se frottant elle déguste sa tartine de confiture d'églantine. Nous mangeons de bon appétit en passant en revue l'organisation de notre matinée. Du bruit. Nous entendons les talons des bottines de Julie qui arrive. Elle reste un instant dans l'encadrement de la porte pour nous adresser le plus merveilleux des sourires. << Bonjour ! >> lance t-elle avant de se précipiter vers nous.

Trois bises sur les lèvres de Clémentine. << Mmhh, le goût de la confiture ! >> s'écrie t-elle avant de me déposer trois bises sur les lèvres. Elle rajoute : << Mmhh, le goût du miel ! >>. Venir faire le ménage le samedi matin n'est qu'un prétexte pour être avec nous. Même si Julie s'en acquitte consciencieusement. C'est une fille active et dynamique. Habituée et encouragée depuis petite à prendre des initiatives. Quand elle se met à débarrasser la table elle dit : << Allez faire votre sport, je m'occupe de tout ! >>. Nous déposons une bise sur son front.

Dans le hall d'entrée, nous hésitons. Un jogging nous changerait agréablement de nos entraînements en salle. Le thermomètre extérieur indique 10°. Nous enfilons les K-ways, les bonnets. Quelques mouvements d'échauffement au bas de l'escalier. C'est parti. Le sol est humide. Nous courons sur l'étroit sentier le long de la rivière. Un véritable plaisir. Nous retirons même nos bonnets qui nous piquent pour les tenir dans les mains. Une heure d'un running des plus gratifiants avant une bonne douche. Le samedi nous pouvons prendre notre temps.

Je coiffe Clémentine. La brosse dans une main, le sèche cheveux dans l'autre. Assise devant le miroir elle adore ces instants de détente. Elle me confie ses inquiétudes quand à la rédaction du troisième paragraphe de sa thèse dès lundi. J'écoute en la rassurant. Ce qu'elle me lit à la fin de ses rédactionnels est plutôt encourageant. Nous nous habillons. Levis, chemises à carreaux, baskets. Clémentine se blottit dans mes bras en murmurant : << Merci d'exister ! >>. Je la serre fort en la berçant. Nous redescendons en enfilant un sweat sur notre chemise.

Le thermomètre extérieur indique 16°. Il est presque dix heures. Nous traversons le jardin. << Ouvre ta braguette ! >> me fait Clémentine en la palpant. J'hésite un instant en disant : << Et si c'est la boulangère qui arrive la première ! >>. Clémentine s'écrie : << Ce n'est encore jamais arrivé ! >>. C'est elle qui déboutonne mon 501. Elle m'en extrait le Zob de façon à ce qu'il ne dépasse pas. Je regarde l'effet dans une des vitres de la voiture de Julie. On devine la "chose" plutôt qu'on ne la voit réellement. << Parfait comme ça ! >> dit Clémentine.

Voilà la camionnette blanche qui descend lentement le chemin pour se garer derrière la Clio rouge de Julie. Danièle, avec un grand sourire en saute pour nous saluer. Nous nous touchons les poings. Elle ne porte pas de bonnet aujourd'hui. Aussi sa coupe "garçon" est parfaitement visible. Ces cheveux courts, bruns et lisses ajoutent à son charme. Impossible de ne pas voir ma braguette ouverte. Le regard par en-dessous, terriblement suggestif, elle m'adresse un sourire entendu. Danièle contourne son véhicule pour en ouvrir les portes arrières.

Elle me tend le cageot contenant les fruits et les légumes. Elle tend à Clémentine le cageot contenant les fromages, les yaourts, la motte de beurre, les pots de crème fraîche et les œufs. Nous posons le tout sur le banc en pierre. Dans l'effort ma bite vient de jaillir totalement de ma braguette. Je dois être tout rouge. Je n'ai pas le temps de la remballer que Danièle me dit : << Les beaux jours s'annoncent magnifiquement. Je me réjouis ! >>. Je me sens stupide, très con. Clémentine passe son bras autour de ma taille. J'ai la queue à l'air.

Une bite mollasse qui pend comme un tuyau d'arrosage. J'invite le lecteur à se rendre dans ma galerie photos pour comprendre. Danièle, pas du tout offusquée, entrée dans notre jeu depuis octobre de l'an dernier, rajoute : << J'apprécie ! >>. Elle me tend le terminal de paiement. J'y introduis ma carte bancaire. Elle ne cesse de fixer ostensiblement mon sexe. Je retire la carte. Elle m'adresse un clin d'œil. Clémentine ne peut s'empêcher de dire : << Bienvenue au "Club" ! >>. Danièle éclate de rire. Elle lance : << Merci pour l'admission ! >>

Danièle a bien d'autres clients à livrer. En remontant dans son Mercedes, elle rajoute : << Avec un peu de chance je vais en voir une autre ! À samedi prochain ! >>. Je répond : << Même commande pour la semaine prochaine ! >>. Tout en faisant sa manœuvre pour faire demi tour elle nous fait de grands sourires complices. Un autre clin d'œil. << Remballe ! >> s'écrie Clémentine car voilà le tube Citroën de notre boulangère. Avec elle pas de trucs de ce genre. Ce n'est pas du tout son style. Madame Marthe, hilare au volant, se gare au même endroit.

Elle saute du marche pied en nous saluant. Elle ouvre la porte latérale avec un épouvantable bruit de ferraille. Madame Marthe a toujours d'amusantes anecdotes concernant le bourg voisin. Elle nous tend le cageot contenant les deux grosses miches de pain complet, les deux pâtes feuilletées, les huit bouchées à la reine, l'énorme brioche au pudding, les deux croissants aux amandes. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Nous saluons notre boulangère. Avec nos cageots plutôt lourds nous contournons la maison par derrière.

À la cave, sur les étagères du cellier, nous disposons soigneusement les fruits, les légumes. Clémentine déboutonne ma braguette en murmurant : << J'adore quand tu fais ton satyre devant d'autres femmes. Surtout lorsqu'elles sont complices ! >>. Je réponds : << Je ne le fais pas devant celles qui ne sont pas nos complices ! >>. Nous rions de bon cœur alors que Clémentine me sort le Zob. Avec l'excitation vécue, il y a du liquide séminal qui s'épanche. Clémentine s'accroupit pour le récupérer. Suçotant passionnément pour que rien ne se perde.

Du congélateur où je range une des miches de pain, une pâte feuilletée, je tire le paquet de moules, les sachets de haricots verts et de petits pois. Clémentine tient mon sexe à pleine poigne. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Mon érection est presque immédiate. Je mets les sachets dans le cageot à monter. Je bande comme le dernier des salauds en gravissant l'escalier intérieur. Julie est entrain de passer la serpillère dans la cuisine. Je tiens le cageot. Elle fixe mon érection comme si c'était la première fois qu'elle l'apercevait. C'est émotionnel.

<< Venez, passez, je redonne un coup de serpillère après ! >> lance Julie. Nous rangeons les produits frais dans le réfrigérateur. Nous quittons la cuisine en déposant chacun une bise sur son front. C'est là qu'elle m'adresse un sourire. Sans oser soutenir mon regard, elle dit : << J'ai tout vu depuis la fenêtre de la cuisine. C'est génial. Elle réagit super bien la dame ! >>. Je suis mort de honte. J'ai débandé depuis quelques minutes. C'est Clémentine qui répond : << Nous adorons manifester nos profondes sympathies aux membres du "Club" ! >>

Julie éclate de rire. Nous la laissons pour passer au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Un message de ma famille d'Édimbourg. Tout va bien. Tout comme nous oncle Alan et tante Amy comptent les jours. Nous nous reverrons fin juin. Un courriel de Juliette qui nous informe que la prochaine "soirée maraîchère" aura bien lieu vendredi prochain. Un mail d'Estelle qui est impatiente de nous retrouver dès 14 h. Informée par Clémentine de son désir de "Soumise", Estelle précise qu'elles seront deux ! >>. Je sais ce qui m'attend.

Dans la petite enveloppe jaune, je glisse un billet de 50 euros, un billet de 20 euros. Clémentine aime y rajouter quelques petits mots. Je signe du personnage de Marcel Gotlib. "Bitonio". Ce petit bonhomme représenté par une paire de couilles sur pieds, dont le cou est la bite et la tête, le gland. Ce qui fait toujours beaucoup rire Clémentine qui lance : << Tu dessines super bien ! On dirait l'original ! >>. Dans ma jeunesse, lycéen, j'étais un fervent admirateur de Marcel Gotlib. Ses dessins précis. Surtout l'humour délirant de ses "Rubriques à Brac".

Il est onze heures trente quand Julie vient nous rejoindre au salon. Debout comme une écolière devant le bureau, elle dit : << Voilà une belle maison bien propre pour les gens que j'aime ! >>. Clémentine se lève pour contourner le bureau. Elle prend Julie par ses épaules. << Merci Julie. C'est un tel plaisir de te savoir près de nous ! >> lance t-elle. Je me lève à mon tour. Je tends l'enveloppe jaune à Julie avant de me placer derrière elle. Mes mains sur ses hanches, je murmure : << Nous nous réjouissons pour ces dix jours ensemble aux vacances ! >>

Julie se retourne. Sur la pointe de ses pieds, elle m'attrape par le cou en s'écriant : << Moi aussi. J'y pense tous les jours, tout le temps ! >>. Clémentine, facétieuse, s'exclame : << Pense à tes études. Si le sexe nuit à tes études, alors arrête tes études ! >>. Nous rigolons tous les trois comme des bossus. Il est bon que Clémentine dédramatise des situations qui deviennent assez rapidement graves pour Julie. Ses émotions à fleur de peau la plongent souvent dans de profonds désarrois. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Elle revient lundi soir.

Assise au volant, la vitre baissée, Julie regarde mon Zob qu'agite Clémentine. Ce qui évite que Julie ne soit tristounette. Clémentine tient ma bite pour en diriger les jets contre la portière de la voiture. Julie observe, comme effarée. Je me penche pour déposer un dernier bisou sur son front. Clémentine fait de même. << Tu nous raconteras ton week-end lundi soir, devant un bon repas ! >> fait Clémentine quand Julie démarre enfin. Un dernier coucou. Arrivée en haut du portail Julie sort de son auto pour souffler plein de bisous dans notre direction.

Il fait très agréable. 20° à présent. << On pourra bientôt manger dehors ! >> lance Clémentine qui m'entraîne par la queue comme par une laisse. Clémentine prépare l'assaisonnement de la laitue. Pendant que le bouillon monte en ébullition sur la cuisinière à bois, je réchauffe les petits pois et les haricots verts dans le wok. Tout à parfaitement décongelé depuis presque deux heures. Je vide le paquet de moules dans le bouillon. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur mes exhibes de la matinée. << Danièle, super réceptive ! >> précise Clémentine.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine propose une virée en ville cet après-midi. << J'ai besoin de me changer les idées ! >> dit elle. C'est vrai qu'elle fournit un travail acharné toute la semaine. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Autre prétexte aux facéties de Clémentine qui mime une fellation avec sa brosse. De la crème dentifrice aux commissures de ses lèvres. Tête contre tête, nous nous rinçons la bouche au-dessus du lavabo. Nous nous essuyons en riant.

<< Bonjour les gens ! >>. C'est Estelle. Comme toujours elle arrive silencieusement. Ouvre la porte de la salle de bain pour se précipiter vers nous. Nous sommes serrés tous les trois à nous faire plein de bisous. C'est tellement bien de nous retrouver. << Depuis le jeudi soir jusqu'au samedi, c'est une éternité ! >> s'écrie Estelle en fourrant sa main dans ma braguette ouverte. Clémentine raconte mes exhibes de la matinée. << Vieux dépravé va ! >> dit elle en extirpant ma queue qu'elle tord dans tous les sens. Heureusement que je ne bande pas.

De son sac de sport, Estelle tire son pyjama, une culotte, des chaussettes. Elle prépare ses vêtements de change. À l'idée d'aller faire nos extravagances habituelles en ville cet après-midi, Estelle saute de joie en s'écriant : << Ça tombe bien, j'ai envie de faire ma salope ! >>. Clémentine rajoute : << On fait un concours. Celle qui sera la plus salope sera rééduquée par notre "Maître" ce soir ! >>. Je me sens soudain concerné. Il va falloir être à la hauteur des attentes de mes deux anges. Je dois endosser le personnage pour jouer le rôle à fond.

Nous nous changeons. Avec cette météo favorable c'est le retour des jupes. Estelle et Clémentine, comme deux sœurs jumelles, portent les mêmes jupes kilts à carreaux rouges et verts. Un chemisier blanc sous un pull bleu nuit au col en "V". Collants pour Estelle. Bas et porte-jarretelles pour Clémentine. << Je ne peux pas, ça me gratte ! >> précise Estelle. Nous rions de bon cœur quand Clémentine répond : << Quand ça me gratte je me touche ! >>. Sur leurs demandes je garde mon Levis mais je porte une chemise blanche sous un pull bleu nuit.

Nous dévalons les escaliers pour enfiler nos plus légers blousons de cuir. Estelle porte un modèle Schott. Perfecto léger pour femme. Clémentine porte un Cesare Nori comme moi. Il faut pouvoir les enlever s'il fait trop chaud. Les remettre en soirée. Je dis aux filles : << Attendez-moi là ! >>. Elles me regardent avec interrogations. Je vais au salon. Du tiroir du bureau je tire les deux colliers canins. Les deux laisses. Je reviens en faisant : << Chères "Soumises", votre "Maître" vous emmène faire pipi dans les coins ! >>. Elles éclatent de rire.

Pas besoin de foulards en soie pour protéger la peau du cou. Les colliers sont doublés de nubuck. De couleurs crème. D'une largeur de deux centimètres. Ils se ferment par l'arrière. Ils sont constitués de deux bandes de cuir retenue à l'avant par une boucle d'acier laitonné en forme de cœur. C'est discret. Seuls les "connaisseurs" et les initiés peuvent comprendre leurs significations. Je les passe autour de leurs cous. D'abord Estelle puis Clémentine. Je suis entre mes deux anges que tiens par la taille. Nous prenons la pose devant le miroir de la penderie.

<< C'est génial ! >> s'écrie Estelle. << Superbe idée ! >> lance Clémentine. Je fixe les laisses aux colliers. J'enfile chaque poignée à mes poignets. Estelle et Clémentine s'accroupissent. Leurs bras autour de mes jambes, leurs têtes contre mes hanches, leurs cuisses largement écartées. C'est une image spectaculaire que nous renvoie le miroir. Estelle et Clémentine ont le même réflexe. Elles prennent leurs téléphones pour photographier la scène. Photographies qui resteront évidemment strictement privées et personnelles. Elle font plusieurs supers clichés.

Elles se redressent pour les regarder, les comparer. Je bande comme le dernier des salauds. Nous sortons dans la douceur de ce début d'après-midi. Vingt degrés. Certes, le ciel se voile de plus en plus. Nous traversons le jardin. Je tiens mes deux anges par leurs laisses. Je leurs fait faire le tour de la propriété. Nous restons sur les dalles de grès ou sur les pavés auto bloquants. C'est là, derrière la dépendance que nous nous faisons surprendre par monsieur Bertrand. Notre voisin qui va apporter du vieux pain à ses amis de la rivière. Les canards.

Je me sens soudain extrêmement stupide. Louis ne semble pas s'en rendre compte immédiatement. Je cache mes mains. Ce qui ne sert à rien puisqu'on voit les laisses accrochées aux colliers. Louis nous salue d'un grand : << Bonjour ! Hello ! Ça fait du bien cette douceur revenue ! >>. Nous bavardons un peu. Estelle reste un peu gênée. Alors que Clémentine, extravertie, semble prendre un grand plaisir à être vue ainsi. Nous ne nous attardons pas. Sous le regard médusé de notre voisin, je donne un à coup aux laisses avant d'entraîner mes deux "Soumises".

Arrivés devant le garage nous rions aux éclats de l'effet produit sur le vieux retraité. << Celui-là, il faut que je me suce à nouveau ! Vous avez vu les expressions de ses yeux. L'authentique vieux pervers ! >> lance Clémentine. Je roule doucement. Une poignée des laisses à chaque poignet. Clémentine joue avec ma queue. Parfois je passe ma main droite entre ses cuisses écartées pour la doigter. Estelle, assise à l'arrière, les cuisses largement écartées, se masturbe en me faisant des grimaces dans le rétroviseur intérieur. Elle voulait s'assoir devant.

Elle adore être installée avec Clémentine sur le siège passager. Je ne veux pas en entendre parler. Je crains les contrôles routiers. Il y a une vingtaine de kilomètres jusqu'à la ville. Je gare l'auto dans la petite ruelle habituelle. À une dizaine de minutes du centre. Ça évite de s'emmerder à trouver une place de parking. Je détache les laisses. Inutile d'imposer nos déviances à celles et ceux que cela pourrait incommoder, déranger ou scandaliser. Par contre les colliers canins restent bien visibles. Mais ils peuvent très bien se porter en "décoration".

Nous marchons d'un bon pas. Le ciel est à présent couvert mais il fait agréable. Les blousons se portent très bien. Protecteurs. Estelle et Clémentine accrochées à mes bras. Nos hautes tailles et notre trio élégant, ne passent pas inaperçu. Le regard libidineux de certains hommes qui découvrent les colliers canins que portent les filles. Certaines femmes observent également ces étranges attributs. Curieusement, certaines jeunes filles que nous croisons semblent bien comprendre la signification et l'usage de ces colliers canins. C'est assez étrange.

<< Tu sais, c'est un peu la mode ! >> m'explique Estelle. Elle rajoute : << Je connais des filles de la fac qui ont des tatouages très explicites à des endroits spécifiques ! >>. Clémentine demande : << Tu parles de la bande des "quatre" qui sont toujours ensemble en haut de l'amphi ? >>. Estelle répond : << Oui ! >>. Elles me racontent la nature des tatouages. Depuis quelques années des filles s'épilent le minou pour aller se faire tatouer des choses, des mots ou des images juste au-dessus du clitoris. Quand les poils repoussent c'est invisible.

<< Certaines portent même un piercing là ! >> précise Estelle. << Tu parles de Clarisse et de Nathalie ? >> demande Clémentine. << Exactement ! Et depuis la terminale au lycée ! >> répond Estelle. Nous arrivons aux Galeries. Un des grands magasins du centre. Évidemment le samedi après-midi n'est pas vraiment indiqué pour s'offrir les frissons de l'exhibitionnisme dans la plus parfaite des sérénités. Il y a un monde fou. Avec cette douceur pas étonnant. Il n'y a pas de réelles opportunités pour Clémentine qui aimerait s'amuser un peu.

Par contre, dans la descente du parking souterrain entre les Galeries et l'hôtel du Roi, il y a parfois de bonnes occasions. Il y a des anfractuosités dans les murs de béton qui mènent au sous-sol. On peut parfaitement s'y mettre à trois sans déranger les voitures qui descendent. Sans être vus aussi. Clémentine choisit l'avant dernier dans le coude du bas. Impossible d'être vue depuis la rue. Estelle et moi nous nous plaçons dans celui d'en face. Il suffit d'attendre qu'un automobiliste arrive. Hélas, il n'y a pas d'homme seul. Que des familles.

Nous n'allons pas rester là une demi heure. Aussi nous laissons tomber. Nous voilà à flâner dans les rues piétonnes. Il y a foule en ville. Un petit tour à la FNAC pour constater que là non plus ce n'est pas le jour. Nous avons nos petites habitudes dans notre salon de thé préféré. Au premier étage d'une grande pâtisserie renommée. La configuration des lieux semble avoir été conçue par un exhibitionniste. Car les gradins permettent des jeux de jambes insensés sous les tables quand on est installé en haut. << Les pervers sont en bas ! >> précise Estelle.

Par chance il y a une table libre sur le dernier gradin en haut. Clémentine ne porte pas de culotte. Son porte-jarretelles et ses bas offrent le plus merveilleux écrin à cette invraisemblable touffe. Elle se tripote. Elle nous raconte ce qu'elle fait. Son clitoris géant entre le pouce et l'index. Ce type là-bas en compagnie d'un couple âgé et de sa femme, installés sur le gradin inférieur, qui ne cesse de loucher vers nous. Quand Clémentine se lève pour aller aux toilettes, son téléphone allumé dans la main, elle dit : << On se fait un film. Mâtez bien ! >>.

Nous restons braqués sur l'écran de mon téléphone. Webcam. Nous voyons Clémentine entrer dans les toilettes hommes. Elle filme l'endroit que nous connaissons très bien. Un endroit qui semble avoir été conçu par le même exhibitionniste. Les urinoirs fixés à des murets en "U". Bien évidement, le voyeur de la table n'a pas attendu longtemps pour se rendre aux toilettes. Nous le voyons entrer. Découvrir Clémentine entre les murets en "U". Que peut bien faire cette sublime jeune fille là, dans la partie urinoir des WC hommes ? Le quidam reste pantois.

Il hésite. Clémentine en sort pour se diriger vers les lavabos. << Ça vous tente ? >> lance t-il soudain en montrant sa bite. Clémentine a posé son téléphone sur le support du sèche mains électrique. La vue sur toute la pièce carrelée de blanc est parfaite. Le mec présente une bite "standard". Rien de remarquable. De plus il est circoncis. Ce que déteste Clémentine. Elle trouve ça ridicule et moche ! Un autre type se lève d'une des tables. il se dirige vers les toilettes. Nous assistons alors à une scène cocasse. L'exhibitionniste se fait surprendre. Silence.

Clémentine quitte les toilettes laissant les deux mecs à leurs affaires. Nous rions de bon cœur quand nous voyons revenir le montreur de bite. Il n'ose plus regarder par ici. Pourtant Clémentine fait des efforts. Parfois des deux mains sous la table. La nappe relevée juste comme il se "doigt". Je propose à mes deux anges de nous offrir un bon restaurant ce soir. << Ah non on rentre ! Put-Hein j'ai une méchante envie de baiser ! >> murmure Estelle. << Moi aussi ! >> chuchote Clémentine. L'addition. Nous flânons encore un peu en ville. Dans la fraîcheur revenue.

C'est dans notre ruelle que Clémentine peu s'offrir un petit frisson. Accroupie entre deux voitures elle se fait "surprendre" entrain de pisser par un type. Estelle et moi dans la voiture à mâter. Le mec ne nous a pas vu. Il s'arrête pour admirer ce merveilleux spectacle. Il regarde partout autour de lui. Ce sont des hauts murs de briques rouges. De rares fenêtres occultées. Personne. L'occasion fait le larron. Encore un exhibitionniste. Rien que pour Clémentine. Le quidam reste totalement subjugué par les incroyables jets que "propulse" Clémentine.

La puissance de ses jets est phénoménale. Nous en savons quelque chose. Elle arrive tranquillement à les projeter sur cinq ou six mètres. Contre le mur qui ruisselle rapidement d'urine. L'inconnu montre sa bite à Clémentine. Nous ne comprenons pas ce qu'il dit. Probablement une proposition. Clémentine garde la tête penchée, ses cheveux masquant son visage. Le type devient insistant. À tel point qu'Estelle décide d'intervenir avant moi. Nous tirons Clémentine de cette situation en la rejoignant tous les deux. Le mec remballe, stupide, pour presque s'enfuir.

Il est dix huit heures trente quand nous arrivons à la maison. Nous passons nos tabliers pour préparer un rapide repas. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade d'endives. Estelle prépare une sauce au pistou. Je fais bouillir l'eau des spaghettis. Trois filets de flétan dans la poêle. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos aventures de l'après-midi. Cela nous excite encore davantage. << Put-Hein, nos vacances dans le jura ! Je vais me dépasser ! >> lance Clémentine. Je précise : << N'oublie pas, tu seras aussi l'instructrice de Julie ! >>

Impatients d'aller nous livrer à nos folies du samedi soir, nous faisons la vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Du tiroir du bas du bureau, je tire les cordelettes de coton blanc. Estelle et Clémentine, assises, leurs cuisses écartées par le dossier des chaises se font attacher les mains. Attacher les chevilles aux pieds des chaises. Le coton est doux. Je ne serre évidemment pas. Elles aiment avoir du mouvement. J'endosse le rôle tant attendu du "Maître". Debout devant Estelle je frotte ma bite sur son visage. Avec une grande vulgarité.

Je fais la même chose à Clémentine. Je les tiens tour à tour par la tignasse pour leurs faire bouffer ma bite. En prononçant toutes sortes d'insanités qui les font glousser. Je tourne autour d'elles pour les toucher, les doigter, les tripoter. Je m'attarde sur leurs seins minuscules. Mon index dans le cul de l'une ou de l'autre. Je me fais pomper le dard comme le dernier des pervers. Il y a de la jute qui dégouline sur leurs pulls. C'est à la gueule de Clémentine que je pisse d'abord. Avant de lui fourrer la bite ruisselante dans la bouche. En hurlant de plaisir.

Je fais pareil à Estelle que je suis obligé de maintenir fermement par les cheveux pour l'empêcher de détourner la tête. Ruisselante de pisse, les cheveux collants sur sa gueule, c'est elle que je détache la première. J'ordonne : << À quatre pattes ! >> Immédiatement je la prends par derrière, en levrette. Sous les yeux implorants de Clémentine qui assiste à la scène sans pouvoir se masturber comme elle aime tant. Je bourre Estelle en touchant son clitoris. Elle pousse des cris, halète, tente de reprendre son souffle. Je cesse pour détacher enfin Clémentine.

Même traitement. Le cul tendu, mes deux anges attendent leur tour en se masturbant. L'orgasme d'Estelle la fait hurler. C'est comme en proie à un délire qu'elle se couche sur le côté, les mains entre ses cuisses en haletant. L'orgasme de Clémentine la fait hurler. Comme une démente, en se pissant dessus. C'est d'ailleurs une véritable marre de pisse. Je me lève pour pisser sur mes deux anges. Je me branle comme un dément. Elles se mettent toutes les deux à genoux pour se partager une pipe d'anthologie. Je distribue généreusement le foutre.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui passent la serpillère, se lavent les cheveux sous la douche , séchées et coiffées par leurs "Maître" pour rire. Avant un bon dodo...

Julien ("Maître" pour de semblant. Mais vicelard pour de vrai)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 45 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2194 -



Dimanche de récupération

Il n'est pas loin de neuf heures hier matin, dimanche. Je suis entre mes deux anges. Estelle à ma droite dont le mouvement rythmé des pieds contre les miens me réveille. Elle s'accroche à moi comme une désespérée. Saisissant mon érection matinale elle se frotte contre ma hanche, ses lèvres dans mon cou. Clémentine ainsi tirée de son sommeil agit tout aussi mécaniquement. Passant une cuisse sous mes fesses, posant l'autre sur la main d'Estelle, elle se frotte contre ma hanche. Je passe mes mains autour de leurs épaules pour les serrer fort.

C'est ainsi que nous émergeons. << C'était génial hier ! >> murmure Clémentine. << Un avant goût de nos vacances ! >> chuchote Estelle. Nous restons ainsi à profiter de cette félicité extraordinaire. Je ne connais pas d'instant plus magique. Hélas, c'est sans compter avec les envies de pisser. Estelle, d'un bond, se lève pour se précipiter vers la porte. Clémentine m'attire sur elle. Je reste en appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids. << Tu as été parfait hier soir. Je t'aime Julien ! >> me dit elle tout en s'accrochant à mon cou.

Elle passe ses jambes autour de mes reins pour s'accrocher à moi. C'est un instant de bonheur intense. N'en pouvant plus, nous aussi nous nous précipitons aux toilettes. Je soulève Clémentine pour la porter comme une jeune mariée. C'est comme ça que nous descendons l'escalier. Il y a déjà l'odeur du café que prépare Estelle. Les parfums du pain grillé et du feu qu'allume Estelle dans la cuisinière à bois. Quand elle nous voit entrer dans la cuisine je dis : << Chère "Soumise", je vous présente la fille que j'aime ! >>. Estelle cesse soudain tout.

Elle se précipite pour lancer : << Et moi, tu ne m'aimes pas ? >>. Je pose Clémentine au sol pour soulever Estelle de la même manière. Rassurée elle se love à mon cou pendant que Clémentine met les bols et les couverts. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée. << Le "Maître" et ses deux "Soumises" ! >> dit Estelle en posant sa main sur la mienne. << C'était exaltant dès l'après-midi ! >> rajoute Clémentine en venant savourer sa tranche de brioche assise sur mes genoux. Estelle en pyjama. Nous sommes en slips, T-shirts.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant les différentes options de randonnées pour cet après-midi. Même si le ciel reste obstinément couvert, il n'y a pas de réelle menace de pluie. Nous traînons à table. Il fait bien chaud partout dans la maison. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges font le très vague programme de la journée. Comme le précise une fois encore Clémentine, ce qui s'est passé hier nous laisse une impression d'extase. Ça faisait trop longtemps que n'avions plus procédé à ce jeu de rôles

Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de monter nous laver les dents. Prétexte pour faire les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous nous habillons tous les trois des mêmes vêtements. Levis, chemises à carreaux, baskets. Nous faisons notre lit. Pressés d'aller voir comment est la météo dehors, nous dévalons les escaliers en nous tenant par la main. Le thermomètre extérieur indique 17°. Il n'est que dix heures trente. Juste les fines vestes de pluie. Tous les trois, serrés, enlacés, nous nous couvrons de bises. C'est vrai que c'était exaltant.

Je dis aux filles : << Attendez-moi là, je reviens ! >>. Estelle s'accroche à mon bras en s'écriant : << Pas question. On reste ensemble jusqu'à ce soir vingt deux heures ! >>. J'entraîne les filles dans le salon. Je saisis les deux colliers canins posés sur un des radiateurs. Ils ont séché depuis hier soir. Il n'y a même plus l'odeur de pisse. Je passe le premier autour du cou de Clémentine, le second autour du cou d'Estelle. J'y fixe les laisses. Elles gloussent de plaisir. Je donne un à coup en disant : << Je vous emmène faire pipi dans les coins ! >>.

Je garde les poignées des laisses autour de mes poignets. Mes deux anges restent accrochées à mes bras. Nous descendons jusqu'à la rivière. Nous prenons le sentier facile qui part sur la gauche. Estelle marche devant. Je la tiens par la laisse. Clémentine marche à l'arrière. Elle aussi tenue pas la laisse. Estelle s'arrête souvent. Se retourne pour me déposer un baiser sur la bouche. Parfois en empoignant ma braguette ouverte. << Sortez donc votre queue mon bon "Maître", il ne fait pas froid ! >> dit elle. Je me retourne pour faire une bise à Clémentine.

J'ai la bite à l'air. Je ne bande pas. C'est donc un beau "tuyau d'arrosage" qui pend de ma braguette. Nous ne l'avons pas vu venir. Sur l'autre rive de la rivière, une jeune cavalière. Elle vient probablement du haras distant d'un petit kilomètre. La jeune fille, fière et droite sur sa monture s'est arrêtée. Une quinzaine de mètres nous séparent. C'est comme hallucinée qu'elle nous observe. Estelle et Clémentine font un signe amical. D'une voix forte pour couvrir le tumulte des eaux à cet endroit, elle s'écrient en cœur : << Bonjour ! >>. Je veux remballer.

Trop tard. La jeune fille nous répond par un signe amical en criant : << Bonjour ! >>. La vision est tout simplement surréaliste. Tant pour cette jeune inconnue que pour nous. Estelle et Clémentine entourent ma taille de leurs bras. J'ai les miens autour de leurs épaules. Je bande mou. Il est tout à fait impossible de bavarder, de faire connaissance, aussi nous restons longuement à nous regarder, à nous sourire. Estelle et Clémentine ne sont pas beaucoup plus âgées que la jeune écuyère. Leurs présences rassurantes devient rapidement une sorte de complicité.

J'ai assisté à ce phénomène de nombreuses fois. Ma bite n'effraie jamais quand je suis en compagnie de Clémentine. Ou en compagnie de Clémentine et d'Estelle. Au contraire cela semble souvent susciter une véritable curiosité. Certainement le désir d'en savoir davantage ou encore de comprendre. C'est le cas. La jeune cavalière, pas du tout embarrassée, très probablement enchantée, donne une impulsion à son cheval. Il avance doucement. Elle nous adresse un dernier coucou en criant fort : << Bonne promenade ! >>. Elle disparaît rapidement.

Nous reprenons le sens inverse. << Put-Hein c'est génial quand on fait ce genre de rencontres ! >> lance Estelle. << Je crois l'avoir déjà vu. On l'a certainement croisé lors d'une de nos randonnées ! >> s'écrie Clémentine. << Ou alors on l'a vu au haras lors d'une animation organisée par Juliette ! >>. Nous n'en savons pas plus mais nous nous promettons de nous renseigner. << Elles se ressemblent toutes, les filles qu'on croise au hasard de nos périples ! >> conclue Clémentine. Il est onze heures quarante cinq quand nous sommes de retour.

Mes deux anges veulent absolument garder leurs colliers canins. Doublés de nubuck, doux et soyeux, aucun risque d'irriter la peau sensible de leurs cous. Nous enfilons nos tabliers noués sur les reins. Clémentine prépare l'assaisonnement de la laitue. Estelle fait rissoler les trois pavés de saumon. J'épluche, le lave des pommes de terre que je coupe en petits morceaux. Dans le wok la cuisson sans graisse est hyper rapide. Je saupoudre de persil, de ciboulette. Je rajoute de l'ail et de l'échalote finement coupés. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bises.

Estelle palpe la bosse sous mon tablier. Elle me dit : << J'adore quand tu te fais surprendre avec ta queue qui pend ! >>. Clémentine rajoute : << Moi ça m'excite quand je vois les comportements, les attitudes et les expressions que cela suscite ! >>. Nous en rions de bon cœur. Une fois encore le constat est simple. La présence d'une ou deux filles lors de ces exhibes rassure et suscite la curiosité plutôt que la crainte ou la méfiance. Nous mangeons de bon appétit. Les laisses posées autour de leurs épaules, Estelle et Clémentine évoquent nos futures vacances.

Elles se promettent de passer à la "vitesse supérieure" quand nous serons dans le Jura à Pâques. Clémentine a déjà établi quelques contacts avec des loueurs. Il nous faut un petit appartement chez l'habitant. Afin de pouvoir cuisiner et d'être totalement indépendants. << Je réserve les billets d'avion et la réservation d'une bagnole dès demain ! >> précise Clémentine passée maître dans l'art d'organiser nos séjours, nos déplacements et nos vacances. Le ciel reste désespérément gris, bas et sinistre. Mais la température est de 20°. Parfait pour une randonnée.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés de filer nous redescendons à toute vitesse. Dans le petit sac à dos, pommes, barres de céréales, la thermos de thé bouillant, nos trois minis parapluies. Nous chaussons nos grosses godasses. Une fois dehors, Clémentine me tend la poignée de sa laisse en disant : << Maître, s'il vous plaît ! >>. Je la passe autour de mon poignet. Estelle me tend la sienne en répétant : << Maître sel vous pli ! >>. Nous rions quand je la passe autour de mon poignet. Nous voilà sur le départ.

Nous montons jusqu'au portail pour traverser la route. Nous nous engageons dans la forêt. Quelle joie que de constater les premiers bourgeons à éclore. Certains arbres sont déjà à fleurir. Quelques jours de redoux et voilà la nature dans son exubérance. Nous marchons d'un bon pas. Parfois c'est Estelle qui me saute au cou, parfois c'est Clémentine. Quelquefois je marche devant en tenant mes deux anges par leurs laisses. Je donne des à coups. C'est en longeant les clôtures qui délimitent les prés que nous croisons les premiers marcheurs.

Les laisses sont invisibles quand les filles se serrent contre moi. Ces attitudes amusent ou suscitent les curiosités. Cet homme d'âge mûr, est-il le papa, l'ami, l'amant de ces deux sublimes jeunes filles accrochées à lui ? Toujours ce questionnement que nous devinons. Nous nous en jouons. Estelle et Clémentine aiment à situer les choses. Elle me font des bises. Se serrent encore davantage. Nos hautes tailles finissent par nous faire passer pour des Aliens en goguette. Nous en rions souvent aux éclats en décrivant certains regards des promeneurs croisés.

Par contre il arrive aussi que nous nous fassions surprendre. Ce groupe de marcheurs par exemple. Leurs bâtons à la main qui me découvre tirant les filles par leurs laisses. Je n'ai pas le temps de faire diversion. Là, ce sont des regards consternés, libidineux aussi. Nous en rigolons comme des bossus. Mais il y a aussi cette jeune cavalière. Ce n'est pas la même que ce matin. Droite et fière sur son cheval. << On la consterne ! >> lance Estelle. Je joue le jeu. Je donne des à coups pour tirer mes deux "Soumises" pour de rire. La cavalière nous aperçoit.

Elle aussi s'arrête. Elle nous regarde passer avec un sourire. D'abord hilare mais de plus en plus explicite. La scène semble la fasciner. Nous passons à quelques mètres. La jeune fille nous adresse le plus merveilleux sourire en disant : << Excusez-moi ! Bonjour ! >>. J'ai la braguette béante mais rien n'en dépasse. Clémentine est la première à dire : << Mais vous êtes toute excusée ! Bonjour ! >>. Estelle rajoute : << Notre bon "Maître" nous emmène en promenade ! >>. La cavalière fixe ma braguette. Puis mes mains qui tiennent les laisses.

Pas vraiment désemparée mais ne sachant comment entamer une conversation, la jeune fille reste silencieuse. Immobile. Sans faire mine de vouloir s'en aller. Ce qu'elle vient de découvrir là, pour la première fois de sa vie, la marquera sans doute à jamais. << Vous venez du haras ? >> demande Estelle qui s'accroupit à ma droite, entourant ma jambe de ses bras. Sa tête contre ma hanche. Éberluée, la jeune fille avale sa salive avant de répondre : << Oui ! >>. Clémentine s'accroupit à son tour. Même position. Je pose mes mains sur leurs têtes. Silence.

Pas l'ombre d'un doute la cavalière vit là un moment extraordinaire dont elle veut profiter. Elle pose une question un peu stupide, désireuse d'engager la conversation : << Vous allez loin ? >>. Estelle se redresse en répondant : << Le plus loin possible dans le plaisir ! >>. La jeune fille éclate de rire. Cette réponse achève de la mettre à l'aise. Clémentine se redresse également en disant : << Et c'est une promenade sans fin ! >>. L'atmosphère est détendue. La jeune fille se présente spontanément. << Je m'appelle Aurélie et je suis en terminale ! >>.

Nous nous présentons. Tout en tenant les laisses, Estelle et Clémentine contre moi, nous bavardons. Il y a des marcheurs mais personne ne se doute de quoi que ce soit. Je cache simplement ma braguette ouverte à chaque passage. En me tournant vers Estelle ou vers Clémentine. Ce jeu semble passionner Aurélie. C'est une jeune fille polie, élégante dans sa tenue d'écuyère. Une de ces filles de "bonne famille", courtoise et passionnée d'équitation. Soudain, comme sur un changement d'humeur imprévisible, Aurélie change d'attitude. Soudain sérieuse.

Elle donne une impulsion à son cheval pour avancer en disant : << Je vous souhaite bonne promenade. Au revoir ! >>. Nous la saluons. Nous la regardons s'en aller droite et fière. Elle se retourne plusieurs fois. S'arrêtant tous les dix mètres. Elle nous adresse un dernier coucou avant de disparaître. << Put-Hein, absolument génial ! Si j'étais gouine ce serait le moyen idéal pour draguer ! >> lance Estelle. << C'est vrai ! Vous avez vu ? Le même comportement que la fille de ce matin ! >> rajoute Clémentine. Nous faisons la boucle des quatre heures.

Il est dix huit heures quarante cinq quand nous arrivons dans la nuit qui tombe. Morts de faim, nous nous mettons immédiatement à la préparation du repas. Clémentine fais l'assaisonnement de la salade de carottes. Estelle nous prépare sa spécialité des dimanches soirs. Une omelette aux fromages. Je réchauffe les patates. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos aventures de la journée. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer des masturbations masculines. Je me lève à chaque fois pour agiter ma queue toute molle. "L'hélicoptère".

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se voir offrir des cunnilingus d'anthologie. Se faire nettoyer les minous à coups de langue par un faux "Maître" à présent devenu le "soumis" à leurs caprices...

Julien



Classe

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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Classe - 46 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2195 -



Quand Julie vient passer la soirée à la maison

Il est presque six heures hier matin, lundi. L'application "océan" nous réveille des cris stridents des oiseaux de mer. Du bruit des moteurs de ce chalutier rentrant au port. De ces marins qui se hèlent sur les quais. Clémentine se blottit contre moi en murmurant d'incompréhensibles onomatopées. Elle en rit. Il faut se lever. Quelques bisous, quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, dans nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra jaune, nous dévalons les escaliers. Les radiateurs viennent d'entrer en fonction. La fraîcheur.

Même dans la cuisine où j'allume la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Comme tous les lundis il reste de la brioche au pudding. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les moments forts de notre week-end. << C'était génial. J'en avais besoin ! >> me confie Clémentine en massant la peau de son cou. << Même pas irritée par le collier canin ! >> rajoute t-elle. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la venue de Julie ce soir. Je propose un gratin de pommes de terre.

<< Excellent ! >> s'écrie Clémentine qui vient terminer sa tartine de miel sur mes genoux. Il est 6 h25. Nous remontons parfaire nos réveils avec une bonne heure d'entraînement. C'est salutaire. Les échauffements de l'aérobic avant ceux du jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol, les abdos avant l'épreuve des charges additionnelles. Les étirements d'un stretching bien trop précipité avant la douche. Je redescends à toute vitesse pour aller préparer la voiture. Le jour s'est levé sous un ciel lumineux. Il fait agréable. Une température de 14°.

Presque sept heures quarante cinq. Clémentine vient me rejoindre. Son blouson de cuir brun, une écharpe en soie crème, son Levis, ses bottines. Ses lunettes d'étudiantes déjà sur le nez. Un dernier bisou où elle me demande : << Tu seras le satyre que j'aime ce soir ? >>. Je réponds : << Promis. Bien vicelard ! >>. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou et je me dépêche de rentrer pour faire la vaisselle, notre lit. Dans l'atelier j'allume une belle flambée dans la cheminée. Bon tirage.

Installé devant mon chevalet, en chantonnant, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ce troisième paysage destiné à ma saison d'été me plonge dans ma passion. Je peins en pensant aux recommandations de Clémentine concernant la venue de Julie ce soir. Je n'ai pas l'imagination de Clémentine. Je ne maîtrise pas les mises en scène comme elle sait le faire. Aussi, je préfère attendre son retour et ses idées. La matinée passe tellement vite. Cette dix neuvième toile sera probablement terminée ce soir. Je quitte l'atelier pour la cuisine.

Je fais gonfler du riz pendant que je lave les feuilles d'une belle laitue. Il en faudra pour ce soir. Je poêle un dos de cabillaud blanc. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff reçoit un sociologue et une politologue. Il est question de cette première ministre qui parle de démocratie parlementaire en utilisant l'article 49 alinéa 3 pour imposer à la nation la loi la plus scélérate qui puisse exister. Même si en tant qu'artiste peintre je n'ai nulle envie de prendre un jour une retraite quelconque, le procédé est indigne.

Tout en écoutant je forme déjà mentalement le processus du repas du soir. J'épluche, je lave et je coupe de grosses pommes de terre en fines tranches. Je les ébouillante dans l'auto cuiseur avant de les disposer dans le grand plat carré en terre cuite. Je concocte une Béchamel dans laquelle je rajoute des champignons, du gruyère Suisse grossièrement râpé. Je verse sur le tout. Je recouvre de fines lamelles de Morbier, de Saint-Nectaire que j'entrecroise. De la chapelure, des graines de sésame grillé, des cerneaux de noix. Au four électrique à 180°.

Une cuisson lente s'impose. Car un gratin de pommes de terre se doit de mijoter longuement. Je prépare une sauce au Roquefort avec du lait de soja. J'y rajoute un œuf et de petits morceaux d'un avocat bien mûr. Un couvercle sur la casserole. Il me reste à faire la vaisselle, à monter me laver les dents avant d'aller prendre l'air. Il y a du soleil. De beaux coins de ciel bleu. Je descends jusqu'à la rivière. Je découvre quelques arbres couverts de minuscules fleurs blanches. Les bourgeons commencent à éclore. Le printemps qui est de retour aujourd'hui.

Il est 13 h50. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans la plus totale sérénité. Sachant que notre repas du soir est assuré. L'après-midi passe encore plus vite. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Toute content elle pose son cartable sur la table. Elle se précipite pour s'installer à califourchon sur mes cuisses. << J'ai mes "petits machins". Mais j'ai pris mon médoc ! >> lance t-elle en se frottant lascivement. Elle me raconte sa journée. L'après-midi en salle de documentation. Le menu du restaurant universitaire.

<< Docteur Julien, bobo là ! >> dit elle en pointant ses seins minuscules. Elle se lève. Je me lève. Je pose ma bouche sur le fin coton de son sweat. Je souffle de l'air chaud sur chacun d'entre eux. Clémentine me tient la tête en disant : << Mmhh, comme c'est bon, docteur ! >>. Je l'accompagne jusqu'à la table. Assise devant son ordinateur elle met au propre quelques notes prises cet après-midi. Clémentine a commencé aujourd'hui le troisième paragraphe. Il faudra en produire deux cette semaine. Debout derrière elle je caresse ses cheveux qu'elle a défait pour cela.

Un dernier bisou dans la nuque et je retourne à ma peinture. Qu'il est bon de travailler à deux. Il est un peu plus de dix huit heures quand j'applique la dernière pointe de bleu de cobalt sur la surface de la toile achevée. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je pose la nouvelle toile dont le dessin préparatoire et la couche d'impression sont déjà effectués. J'attaquerai ça demain matin. Je fais un peu de rangement sur la desserte. J'aligne pinceaux, tubes de peinture et truelles à peindre. Je retire ma blouse. Je sors ma bite pour aller vers le lavabo de l'atelier.

La queue molle posée sur le rebord, je me lave les mains. Clémentine qui range ses affaires, s'écrie : << Ah non, tu m'attends ! >>. Elle arrive en courant alors que je serre les vannes. Elle saisit ma bite pour en diriger les jets. Son jeu favori après les cours. Elle vise le trou rond sous le filet d'eau chaude qui coule. Parfois le trou rectangulaire du trop plein. Ça monte en vapeur odorante. Je ris. Et quand je me marre Clémentine redouble de prudence pour que ça ne gicle pas n'importe comment. S'accroupissant, me faisant pivoter, elle suçote.

Je caresse sa tête avant de l'aider à se redresser. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. Je la promène dans la grande pièce. << Comme c'était bien ce week-end ! >> dit elle une nouvelle fois. Nos jeux de rôles la plonge dans de véritables extases. Elle me couvre le visage de bisous. << J'aurai le collier tous les jours dans le Jura. Tu veux bien ? >> lance t-elle alors que je la bloque contre le pilier central. Je réponds : << Délicieuse "Soumise", vos désirs sont des ordres ! >>. Je l'emmène pour l'assoir sur la table. Elle s'appuie sur les coudes.

Mon érection contre son entrejambes, frottant contre le tissu de son Levis. Du bruit. C'est Julie qui entre dans l'atelier. Elle est habituée à nous surprendre dans toutes sortes de configurations. << Bonsoir ! >> lance t-elle, hésitante. Clémentine agite son index pour l'inviter à nous rejoindre. Julie dépose trois bises sur les lèvres de Clémentine. Trois bises sur les miennes. Elle observe mon érection avec un éclat particulier dans le regard. Clémentine saute de la table pour poser ses mains sur les épaules de Julie en disant : << Raconte ton week-end ! >>

J'agite mon sexe dans sa direction en rajoutant : << On veut tout savoir ! >>. Julie éclate de rire. Elle répond : << Oh pas grand chose. Il y avait du monde au restaurant. La bourre. Et pas d'opportunités ! >>. Clémentine demande : << Et Jean-Louis, une enculade dans les cuisines ? >>. Baissant les yeux, rougissante, Julie murmure : << Oui, hier soir ! >>. Nous rions de bon cœur. Le Chef de cuisine n'est pas seulement un maître queue mais un enculeur de première. Il prétend que sa femme déteste la sodomie. Julie au contraire qui adore ça.

Anne-Marie sa tante, et propriétaire du restaurant, apprécie également beaucoup de se faire enculer. Tout comme pour Julie elle prétend que ses sensations sont décuplées. Nous rions aux éclats car Julie nous raconte souvent ça mais avec des phrases différentes. D'amusantes et drôles de métaphores. Il commence à faire faim. Même si je déteste enculer qui que ce soit, Clémentine qui déteste ça autant que moi, les explications de Julie nous excitent considérablement. Clémentine me saisit la queue en même temps que la main de Julie. Elle nous entraîne.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand les filles découvrent le gratin de pommes de terre que je sors du four électrique, elles mitraillent mes joues de bises. Je mets le plat dans le four à bois hyper chaud. Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue. Je réchauffe la sauce au Roquefort pendant que Julie met les assiettes, les couverts. Clémentine raconte nos aventures du week-end. Julie adore les jeux de rôles. Nous nous promettons d'expérimenter différentes expériences durant les vacances de Pâques. Je dis : << Julie, je vous achète un collier ? >>

Elle ouvre de grands yeux, fixe la bosse que fait mon sexe sous le tablier. Clémentine rajoute : << Tu viens avec nous. On va t'en choisir un beau. Avec une belle laisse assortie ! >>. Julie cache son visage dans ses mains. Je passe ma main sous ses cheveux pour saisir sa nuque. Je dis : << Vous ferez une merveilleuse "Soumise" Julie ! >>. Nous avons déjà bien évidemment jouer à ces jeux. Le premier film porno réalisé avec Julie dans les anciennes tuileries avait d'ailleurs pour thème le "Bondage". Elle nous avoue regarder ce film assez régulièrement. Seule.

Je sors le gratin du four. Doré, fumant, délicieusement parfumé. Je retire mon tablier. J'ajuste bien ma queue qui pend comme un tuyau d'arrosage. Julie, comme hypnotisée, me regarde faire. Je devine même son désir de m'aider. Elle n'ose pas affronter mon regard. Nous voilà installés. Nous mangeons de bon appétit en évoquant nos prochaines vacances. Clémentine s'est déjà occupée de la réservation des billets d'avion. En première classe il y a toujours des disponibilités. Nous arriverons à Dole pour 16 h le dimanche16 avril. Julie reste émerveillée.

Parfois, durant les explications de Clémentine, je me lève pour faire tournoyer ma bite. "L'hélicoptère" subjugue Julie qui cesse de manger pour observer. << Il reste à choisir parmi les adresses que j'ai déjà collecté. J'aimerais être à proximité des grottes d'Osselle, d'Ornan et des rives du Doubs ! J'en garde un beau souvenir. Mes premières vacances avec Julien ! >> précise Clémentine. Je rajoute : << Nous irons visiter le petit village de Saint-Claude ! >>. Julie demande : << C'est comment ? >>. C'est Clémentine qui éclate d'un rire communicatif.

Clémentine part alors dans une de ses démonstrations professorales qui me font plier de rire. << Longtemps, j'ai cru que les meilleures pipes se taillaient dans le bois de Boulogne. Et bien non. Les toutes meilleures pipes se taillent dans de la racine de bruyère et dans le petit village de Saint-Claude ! >>. Julie se met à rire. Je rajoute : << Et la Saint-Claude se fête le lendemain de la Saint-Valentin ! C'est dire ! >>. Nous rigolons tous les trois comme des bossus. Nous essuyons nos yeux larmoyants avant de débarrasser pour faire notre vaisselle.

Julie devra nous laisser pour 22 h. Il reste un peu plus d'une heure. Installée dans le fauteuil qui nous fait face, Julie évoque ses études. La préparation de sa Licence de Lettres Modernes. Clémentine parle de la première version de sa thèse. J'écoute. Tout en parlant, Clémentine joue avec ma queue. Julie, tout en discutant ne cesse d'observer. Parfois elle me lance un regard et un sourire furtifs. Elle passe quelquefois sa main entre ses cuisses. Comme pour arranger l'élastique de sa culotte sous son pantalon noir. Pour se toucher discrètement un instant.

Il est vingt deux heures. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. La nuit est noire et froide. Comme nous le faisons depuis quelques semaines, Clémentine et moi nous nous asseyons dans l'auto. Je suis installé à l'arrière cette fois. Clémentine sur le siège passager. Le moteur tourne afin de faire chauffer l'habitacle. Julie pose sa tête sur l'épaule de Clémentine. Je caresse leurs nuques. Julie reviendra vendredi après-midi. << J'ai tellement de boulot avec mes révisions, que ça passe si vite ! >> dit elle. Un dernier bisous. Nous ressortons.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont se faire dorloter par leur "docteur". La thérapie du suçage de clitoris étant excellente contre le bobo menstruel...

Docteur Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 47 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2196 -



Encore un mardi soir "torride"

Hier matin, mardi, il est presque six heures. Le cri des mouettes, le bruit des moteurs d'un chalutier, la sirène de ce gros bateau dans le lointain. Il n'en faut pas davantage pour parfaire l'illusion de nous réveiller dans un petit port. Quelque par en Écosse. Dans un réflexe de protection, Clémentine se blottit contre moi en gémissant. Nous sommes tirés de nos profonds sommeils par l'application "océan". C'est sympathique. Quelques bisous et quelques papouilles plus tard nous nous précipitons aux toilettes. Puis à la salle de bain pour nous vêtir.

Morts de faim, en tenues de sport nous dévalons les escaliers. J'allume la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Je place les deux gros croissants dans le four à micros ondes. Une minute pour leurs rendre leurs moelleux. Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur notre soirée en compagnie de Julie. << Une éminente membre de notre "Club" ! >> précise Clémentine qui voit en elle une authentique "Soumise" qui ignore encore son potentiel. Nous en rions de bon cœur car c'est tout à fait ça.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant la compagnie d'Estelle ce soir. Membre d'Honneur de notre "Club". Il est 6 h25. Nous remontons pour achever de nous réveiller complètement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol avec abdos. Charges additionnelles avant le stretching. Une bonne douche. Chaque matin de la semaine il faut tout faire de façon ponctuelle et mécanique car toutes les minutes comptent. Je redescends le premier pour aller faire chauffer l'auto. Le jour est levé sous un ciel toujours aussi sinistre.

Il ne fait plus vraiment froid. L'humidité dans l'air annonce probablement de nouvelles pluies. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre. J'aime quand elle porte un de ses blousons de cuir. Celui-ci est brun. Comme ses bottines. Une écharpe de soie bleue comme son Levis délavé. Ses lunettes d'étudiante sur le nez. Ses cheveux flottant sur ses épaules. Comme elle est belle ! Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou avant de rentrer. Je fais la vaisselle, notre lit avant de passer dans l'atelier. J'y allume un feu dans la cheminée.

Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque aujourd'hui le quatrième paysage destiné à ma saison d'été. Jusque là, tout est répétitif en ce mardi. Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser des cris surréalistes. La peinture de cette vingtième toile occulte les heures qui défilent. Déjà midi. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer le reste du gratin de pommes de terre. Avec une rapide salade de carottes. L'assaisonnement prend le plus de temps.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff reçoit un journaliste. Il est question du parc nucléaire et des hérésies de fonctionnement d'EDF. Nous ne sommes plus vraiment concernés car depuis l'automne dernier nous sommes équipés en panneaux photovoltaïques. Je vends même de l'excédent de courant à EDF. Le fonctionnement est parfait. Tout en tendant l'oreille je prépare mentalement les bouchées à la reine pour le repas de ce soir. Je commence par faire rissoler des ronds de calmars avec des champignons.

Je râpe de ce délicieux gruyère Suisse. Je jette les coquillettes dans l'eau bouillante. Je concocte une Béchamel. J'y rajoute une partie du gruyère, les calmars, les champignons, ail, échalote. Je dispose les quatre grosses bouchées à la reine dans le grand plat carré en terre cuite. Je les cale bien avec les coquillettes égouttées. Je les remplis du mélange remué. Je pose le couvercle en pâte feuilletée sur chacune. Je recouvre du reste de gruyère, de chapelure et de graines de sésame grillé. Au four pour une longue cuisson à 160°. Il faut que ça mijote.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé de sortir un peu, je dévale les escaliers. Il pleut. La température extérieure est de 19°. Je chausse les bottes en caoutchouc. Pas besoin d'enfiler l'anorak. Par contre c'est sous le parapluie que je descends jusqu'à la rivière. Tous les jours j'observe ce changement de la nature. Les bourgeons qui explosent pour laisser jaillir les pétales blanches. Parfois mauves. C'est divin.
J'apprécie ce début de printemps. Je rentre deux brouettes d'une vingtaine de bûches chacune. De quoi reconstituer le stock nécessaire.

Il est 13 h50 quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans le même enthousiasme que ce matin. Ne voyant pas défiler les heures de l'après-midi. Je sais qu'il est déjà 17 h30 en entendant du bruit. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table en s'écriant : << Super ! J'avance ! >>. Elle se précipite pour s'assoir sur mes genoux, ses bras autour de mon cou. Elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Les facilités avec lesquelles elle poursuit son rédactionnel en salle de documentation.

Devant son ordinateur, entourée de ses fiches, elle me confie : << Rien de mieux qu'un week-end de "Soumise" pour avoir l'inspiration nécessaire ! >>. Nous rions. Cette heure ensemble, plongés dans nos travaux respectifs, est certainement une des plus belles de cette journée. Celles de ce soir ne comptent pas car c'est à un autre niveau. << Là, j'en ai marre ! >> s'écrie soudain Clémentine en rangeant précipitamment ses affaires. Pendant que je nettoie la palette, les pinceaux, elle me fait la lecture de ces quatre derniers paragraphes.

Devant le petit lavabo de l'atelier, la bite posée sur le bord, je me lave les mains en écoutant. Machinalement, sans cesser sa lecture à voix haute, elle s'empare de ma queue pour en diriger les jets. C'est quand Clémentine se met à imiter l'accent corse de Juliette que je suis plié de rire. Je m'écrie : << Mais comment veux-tu que je comprenne si tu me fais rire ! >>. Elle répond : << On pisse et on écoute ! >>. Quand je rigole comme un bossu je ne contrôle plus rien. Clémentine ajuste le tir pour que ça ne gicle pas partout. Pas n'importe comment.

Elle laisse tomber ses feuilles sur le sol pour s'emparer de mon Zob à deux mains. Ouf ! Pas une goutte à côté. Penchée en avant elle se régale des derniers épanchements. Je caresse sa tête en murmurant des douceurs. Clémentine, tout en suçant, s'accroupit pour récupérer les feuilles. Elle se redresse pour achever sa lecture. Toujours avec l'accent méridional de Juliette. Nous rions aux éclats dès le denier mot. J'adore soulever Clémentine qui enserre ma taille de ses jambes. Je la promène dans toute la grande pièce. Puis je la dépose sur la table.

<< Cette fois-ci, mes "petits machins" se passent super bien. Tout juste une légère congestion dans le bas ventre. Le bout de mes seins qui me fait parfois mal ! >> me dit elle. Aussitôt je pose ma bouche sur chacun de ses seins minuscules. À travers le fin coton de son pull je souffle de l'air chaud. Ce qui a la propriété de soulager. Je recommande cette thérapie à tous mes congénères car c'est très efficace. Je suis occupé à cette fonction lorsque la porte s'ouvre brusquement. Estelle jaillit comme une diablesse de sa boîte en se précipitant vers nous.

Elles ont passé la journée ensemble. C'est donc moi qui suit l'objet de toute son attention. Elle saisit ma queue en mitraillant mon visage de bisous. << Clémentine m'a tout raconté au restaurant universitaire. Tu as encore fait ton pervers hier soir avec Julie ! >> s'écrie t-elle soudain en tordant mon érection dans tous les sens. Je raconte ma version. << Vieux salaud va ! >> lance t-elle à la fin de chaque phrase. Clémentine accroupie, entrain de téter passionnément. Je l'aide à se redresser. C'est Estelle qui s'accroupit. Clémentine qui m'embrasse.

Nous restons devant la cheminée à admirer la danse des dernières flammes. Tellement contents d'être ensemble tous les trois. Je tiens les filles par leurs épaules. Elles me tiennent par la taille. Je débande doucement. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. C'est le rituel habituel quand Estelle et Clémentine découvrent ce que j'ai préparé. J'ai droits à de nouveaux égards. << Tu n'es pas seulement un super queutard mais également un super maître queue ! >> lance Estelle en palpant la bosse sous mon tablier. Nous rions aux éclats. Elle me la tripote.

Dans le four à bois les bouchées à la reine réchauffent très vite. Il faut surveiller. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade de concombre. Estelle met les assiettes, les couverts. Tout en parlant de leurs études. Nous mangeons de bon appétit. J'écoute mes deux anges parler des stratégies qu'elles mettent en œuvre pour la rédaction des troisièmes et quatrièmes chapitres de leurs thèses. Il en faudra huit. Ce n'est sans aucun rapport avec la conversation mais comme à son habitude Estelle se lève pour mimer de vulgaires masturbations masculines

Nous traînons un peu à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges reviennent sur notre week-end. Toutes les deux restent sur ce constat. Nos jeux du "Maître" et de ses deux "Soumises" est une véritable source d'inspiration. Je propose une récidive pour le week-end prochain. << J'aurai mes "petits machins" ! >> lance Estelle. Je réponds : << C'est parfait. Je pourrai alterner les rôles. Celui du "docteur" et celui du "Maître". Quelle est ta préférence ? >>. Elle enfonce sa langue dans ma bouche.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il est 20 h30. Pressées de s'offrir des moments d'extases, mes deux anges m'entraînent au salon. Il ne faut pas plus de deux minutes pour que Clémentine et Estelle ne soient plus qu'en pull et chaussettes. Je les regarde faire des pas de danses. Avec une synchronisation parfaite elles font un moonwalk en agitant les mains. Toutes les deux, en riant, sautent sur le bureau. Pauvre vieux meuble victorien. Je suis vautré dans le canapé, plié de rire à admirer le spectacle.

Elles s'assoient toutes les deux sur le bureau. Les pieds qui pendent. << J'ai comme un vide à combler ! >> me lance Estelle qui agite son index gauche pour m'inviter à les rejoindre. Montrant son sexe de son index droit. Je me lève. Je prends deux des épais coussins. << J'ai un gros machin à sucer ! >> rajoute Clémentine. Elle me montre son clitoris géant entre son pouce et son index. Je bande mou. Je dépose les coussins au milieu du meuble. Clémentine est en appui sur ses coudes. Je me penche pour prendre son clitoris en bouche. Un gémissement.

C'est toujours instantané. Dès que je suce, l'effet est immédiat. Clémentine se couche sur le dos. La tête en appuie sur le coussin. Je la suce. Elle se pâme. Commence à se tortiller. Je cesse pour venir frotter mon sexe à présent dur contre celui d'Estelle qui se masturbe. Tout comme Clémentine que j'abandonne quelques minutes. Je pénètre doucement Estelle. Toutes les deux se masturbent toujours quand elles sont pénétrées. Je la baise comme elle aime. Une véritable "machine à coudre". J'adore les petits cris entrecoupés de halètements sauvages.

Quand je me retire c'est pour sucer le clitoris turgescent de Clémentine. La "place" est occupée par un tampon dont la petit ficelle blanche est ravissante dans l'incroyable touffe de poils. Estelle attend mon retour en se touchant. Je reviens la fourrer avec conviction. Je m'agite comme un dément sous des gémissements de démente. Clémentine anticipe. Elle se lève d'un bond pour se précipiter vers le canapé. Estelle et moi cessons nos activités pour regarder. Clémentine revient, pose la cuvette au milieu du bureau. S'accroupit au-dessus pour pisser.

Les jets sont toujours spectaculaires. << Les chutes du Niagara ! >> lance Estelle qui se redresse pour s'accrocher à mon cou. Je la soulève pour l'emmener faire le tour de la grande pièce. Ses jambes autour de ma taille, pénétrée jusqu'aux couilles, elle se fait trimballer dans tout le salon. Clémentine, excitée, se masturbe en nous observant. Rien ne la passionne davantage que mes initiatives. Je reviens pour poser Estelle sur le bord du bureau. Elle me repousse délicatement pour se terminer aux doigts. D'un mouvement pendulaire et rapide sur son clitoris.

Clémentine, m'attrape par les épaules. M'attire à elle en sautant du bureau. Elle m'entraîne vers le canapé où elle me pousse. À genoux entre mes jambes écartées, elle me taille une pipe des familles. Je n'ai que la bite à l'air. Je suis en sueur dans mes vêtements. Mais c'est ainsi que mes deux anges exigent nos déviances. Estelle se rhabille en venant s'assoir à côté de moi. Elle regarde. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Quand Clémentine lui tend ma queue elle se couche sur le côté pour la prendre en bouche. J'éjacule en poussant des cris.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont encore se faire sucer le clitoris sous les draps avant un bon dodo réparateur...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

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Classe - 48 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2197 -



L'agréable compagnie de Juliette

Il est presque six heures hier matin, mercredi. Presque six heures quand l'application "océan" nous réveille de ses illusions. Toutes les caractéristiques sonores d'un bord de mer. D'un port de pêche. Jusqu'au bruit du ressac contre les pieds de notre lit. Nos deux téléphones fonctionnent simultanément sur nos tables de nuit. Ce qui accentue encore l'impression. Clémentine se serre contre moi en gémissant. Les quarante cinq secondes que tout cela dure. Quelques papouilles, quelques bisous, il faut se lever. Se précipiter aux toilettes pour pisser.

Morts de faim, habillés de nos vêtements de gymnastique, nous dévalons les escaliers. Il fait moins froid dehors. Ça se ressent à l'intérieur. Pendant que Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis en me racontant ses rêves, j'allume la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée en compagnie d'Estelle. Nos exactions sexuelles habituelles. C'est le troisième jour des règles de Clémentine. Et cette fois encore tout s'est très bien passé. Pas de réelles douleurs. Nous mangeons de bon appétit en évoquant ce fait.

Il est 6 h25 quand nous remontons pour nous livrer à notre gymnastique quotidienne. Il y a toujours un petit effort de volonté mais une fois que nous sommes dans l'échauffement de l'aérobic, dans sa continuité avec le jogging sur tapis roulants, tout est parfait. Les exercices au sol, les abdos avant les manipulations des barres et des haltères. Le retour au calme des étirements d'un stretching trop hâtif. La douche. Je dévale les escaliers le premier pour aller préparer la voiture. Le ciel est bas, gris, tout est trempé mais il ne pleut pas. Il est presque 7 h45.

Clémentine vient me rejoindre. Aujourd'hui dans son blouson de cuir noir, ses bottines noires, son Levis. La température extérieure est de 17°. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou avant de rentrer pour faire la vaisselle, le lit. J'allume un beau feu dans la cheminée de l'atelier. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ce quatrième paysage destiné à ma saison d'été me plonge dans de suaves émotions. Je peins dans cette profonde quiétude que procurent les activités de l'esprit. La sérénité.

Il est rapidement midi. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Une bûche dans la cuisinière à bois. Je réchauffe la quatrième bouchée à la reine. Accompagnée d'une salade de tomates. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission, André Bercoff reçoit plusieurs personnalités. Notamment un commissaire de police chargé du maintien de l'ordre durant les manifestations. D'encadrer les débordements, d'éviter les violences, est d'après ses dires la seule véritable préoccupation de la hiérarchie.

Comme toujours j'écoute en confectionnant mentalement le repas de ce soir. Ce sera une tarte à l'aubergine et aux courgettes. C'est une belle surprise quand on rentre de cours. J'étale la pâte feuilletée dans le grand plat à tarte. J'y dépose de petits morceaux d'ail. Je lave et je coupe les courgettes et la grosse aubergine. Sans les éplucher. C'est inutile avec des légumes d'origine "biologique". Ce serait même dommage. Je dispose les tranches en spirale. Sur le tout je verse le mélange œufs, fromage blanc, lait de soja et moutarde à l'ancienne.

Je pose les tranches d'un avocat bien mûr sur l'ensemble avant de recouvrir d'une grosse couche de gruyère Suisse. De la chapelure, des graines de sésame grillé. En cercle je dépose des cerneaux de noix. Au four électrique pour laisser mijoter longuement à 160°. Je lave trois belles endives pour la salade. Voilà notre repas du soir déjà réalisé. La vaisselle. Je monte me laver les dents avant de me précipiter dans les escaliers. Il faut enfiler les bottes en caoutchouc. C'est sous le parapluie que je descends jusqu'à la rivière. Une température de vingt degrés.

Il est 13 h50 quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans les mêmes dispositions d'esprit que ce matin. L'après-midi passe encore tellement vite. Je sais qu'il est 17 h30 au retour de Clémentine qui se précipite vers moi. Jetant son cartable dans le fauteuil à bascule en s'installant à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Son après-midi en salle de documentation à commencer le quatrième chapitre de sa thèse. Ce sera fini vendredi.

Assise devant son ordinateur, Clémentine chantonne. J'aime l'entendre commenter ses activités. Ce n'est que vers 18 h35 qu'elle s'écrie : << Là, il faut que j'arrête. Sinon je pète un câble ! >>. Moi aussi. Je nettoie la palette, les pinceaux pendant qu'elle range ses affaires. Je suis debout devant le petit lavabo de l'atelier, la bite posée sur le rebord, entrain de me laver les mains. Clémentine me fait un résumé de ses écrits. << Attends-moi ! >> lance t-elle. Je me retiens. C'est difficile. Enfin Clémentine vient tenir ma queue pour en diriger les jets.

Elle sait que quand je ris ça a tendance à éclabousser partout. Aussi, en imitant l'accent corse de Juliette, elle me raconte une anecdote de sa journée. << J'adore sentir passer la pisse. Ta bite est comme animée d'une vie indépendante ! >> lance t-elle en secouant les dernières gouttes. Nous rions alors qu'elle s'accroupit pour se régaler quelques instants. << Viens voir ! >> fait elle en m'entraînant par le sexe comme par une laisse. Sur l'écran de l'ordinateur, elle fait défiler quelques photos d'appartements. << Choisis ! >> me demande t-elle.

Il y en a trois vraiment très sympathiques. Je m'écris : << Celui-là ! Avec le petit balcon ! >>. Clémentine me secoue la bite en disant : << C'est à l'étage, chez un particulier, dans le village de Saint-Claude ! >>. Je trouve l'endroit superbe. << J'ai déjà réservé. De justesse ! >> précise Clémentine. Je connais bien ses talents d'organisatrice. Je sais déjà que nous allons passer là dix jours de belles vacances. << 120 km de l'aéroport de Dole ! >> dit encore Clémentine. Elle rajoute : << On va encore faire beaucoup de bagnole. J'ai loué une Golf ! >>.

Je la prends dans mes bras. Comment ne pas être admiratif devant tant d'efficacité. Clémentine insiste toujours pour s'occuper de tout ce qui concerne nos vacances. Depuis plus de cinq ans. Avec une perfection redoutable. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Du bruit. La porte s'ouvre. Juliette entre dans l'atelier : << Oh pardon, je dérange ! >> lance t-elle. Clémentine cesse de m'embrasser pour s'écrier : << Mais pas du tout ! >>. Nous allons vers Juliette. Ce soir encore dans sa tenue d'écuyère elle a laissé son manteau dans le hall d'entrée.

Trois bises à Clémentine avant de m'en faire trois sur les joues, Juliette regarde l'écran de l'ordinateur. Clémentine explique que ce sera notre appartement de vacances. Une pièce, cuisine, salle de bain, WC. << Un jour j'organise une semaine de vacances juste nous trois ! >> lance Juliette. Elle s'empresse de rajouter : << Avec deux lits ! >>. Nous rions. Juliette fait semblant de découvrir ce qui pend de ma braguette. Le "tuyau d'arrosage". Elle reste un instant silencieuse pour l'observer avec attention. Puis lève les yeux. Le regard suggestif.

Ce regard par en-dessous comme lourd de reproches alors que ce n'est qu'un jeu. J'adore sa façon de jouer. Ce comportement d'actrice. Faussement outrée, faussement offusquée. C'est adorable. Ça m'excite d'ailleurs considérablement. Clémentine se place derrière moi, saisit mon sexe à sa base avec le pouce et l'index pour le secouer mollement. Elle dit : << Servez-vous ! >>. Juliette rit aux éclats. Impossible de garder plus longtemps ce faux sérieux. Cette belle bourgeoise qui va fêter ses 49 ans en novembre est encore plus attractive en riant.

Je passe ma main entre ses cuisses. La douceur du tissu de son pantalon d'écuyère, aussi moulant qu'un legging est un plaisir supplémentaire. J'adore ce réflexe féminin. Ce petit spasme de surprise lorsque j'arrive au sexe. << Vous devriez avoir ces initiatives plus souvent cher monsieur ! >> lance t-elle en s'éloignant subitement. Clémentine se serre contre moi. Nous regardons Juliette s'assoir devant le chevalet. Elle scrute ma toile. Après un long silence elle s'exclame : << Je pourrai vous acheter un tableau pour l'automne prochain ! >>.

Depuis quelques années c'est son désir artistique. S'offrir un de mes paysages. Surtout que sur certaines toiles je représente les toits de son haras dans l'horizon. Elle se lève. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Je tire la tarte du four électrique pour la mettre dans le four à bois. J'ai droit à des bises, à des félicitations. Clémentine fait l'assaisonnement pour les endives déjà lavées. Juliette met les assiettes, les couverts en nous racontant sa journée. << Philippe est venu chercher ses trois tonnes de crottin frais aujourd'hui ! >> explique t-elle.

Clémentine demande : << Il a eu droit à sa pipe ? >>. Juliette éclate de rire en se touchant l'entre jambes comme si elle réajustait l'élastique d'une culotte. Alors que lorsqu'elle vient passer la soirée avec nous, elle ne porte pas de culotte. J'adore les attitudes équivoques de cette femme. Juliette répond : << Non, pas d'extras. Je n'en ai pas le temps ! Et puis j'ai pipé mon vétérinaire hier. Robert vous donne le bonjour ! >>. Nous rions tous les trois aux éclats. Juliette enfile les maniques, s'accroupit devant la porte du four. Je saisis ma queue.

Clémentine m'observe en me faisant un clin d'œil. Elle le sait, tout comme Juliette. Rien ne m'excite davantage que la vision d'une femme accroupie, me tournant le dos. Juliette peut le constater une fois encore dans le reflet de la vitre fumée du four à bois. Je sais qu'elle observe ma masturbation. Je contourne la table. Je suis debout derrière elle. Je me penche. Je pose mes mains sur ses seins. Des seins bien fermes. Elle saisit mes poignets malgré ses gants de protection pour ôter mes mains en disant : << Nous n'avons que peu de temps ! >>

Juliette devra nous laisser pour 22 h. Elle aussi déteste la précipitation dans les choses du sexe. Elle aime pouvoir faire durer. C'est vrai que rien n'est plus frustrant dans ce domaine que de devoir se restreindre. Elle tire la tarte dorée, fumante et parfumée du four. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur quelques souvenirs communs. Les partouzes dans les écuries. Ces soirées Gloryhole à l'attention de Clémentine. << On s'en offre un petit avant les vacances de Pâques ? >> demande t-elle à brûle pourpoint. Clémentine me regarde. Silence.

Je dis : << Une petite soirée "miam" avant les vacances, c'est toujours sympa ! >>. Juliette rajoute : << Avec la surprise habituelle ! >>. Clémentine pose sa main sur la mienne avant de répondre : << C'est tentant. Laissez-moi une semaine de réflexion ! >>. Nous rions de bon cœur. Je me lève pour agiter ma queue mollasse dans sa direction en disant : << La surprise ! >>. Juliette s'écrie : << Ah non, pour moi celle-là ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Juliette redevient rapidement sérieuse pour demander : << Et pour la soirée maraîchère ? >>

<< Prête ! >> répond Clémentine. Je rajoute : << Et impatiente ! >>. Clémentine se lève pour venir terminer son assiette assise sur mes genoux. Juliette revient sur la précédente "soirée maraîchère". La bite coudée de Philippe le maraîcher. Un moustachu jovial dont le sexe est courbé vers l'avant. Dans un angle de 90° qui évoque un robinet d'évier. La peau claire, lisse, sans veines apparentes. << Je te rassure, Quand il ne bande pas, c'est une bite tout à fait normale. En croissant de lune ! >> lance Juliette alors que nous rions comme des fous.

<< Tu devrais baiser avec lui. Il t'enfile par derrière, en levrette et c'est qu'il sait s'y prendre l'@#$%& de salaud ! >> rajoute Juliette. Clémentine n'arrête pas de rire. Elle finit par dire : << J'en resterai à la "fondue" savoyarde ! >>. Nous traînons à table avec une conversation axée sur nos délires. La vaisselle. C'est au salon que nous savourons la petite tarte aux pommes ramenée par Juliette. Juliette vautrée dans le fauteuil, les jambes écartées et posées sur les accoudoirs. Jouant avec les bosses séparées par la couture centrale de son pantalon.

Clémentine, tout en bavardant, joue avec mon érection. Me la tordant parfois pour accentuer un mot. Juliette se touche. Une fois encore la tache que fait sa mouille. Cette auréole qui semble grandir au fur et à mesure de la discussion. Je voudrais me lever pour aller toucher. Clémentine me l'interdit en serrant ma queue plus fort dès que j'ai l'impulsion de prendre un élan pour me lever. Ce qui amuse Juliette. Nom d'un pipe, comme j'aimerais lécher cette tache de cyprine ! Il est 22 h quand nous raccompagnons Juliette jusqu'à son auto. Sous la pluie.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont se régaler d'un épais et sirupeux jus de couilles une fois sous les draps avant un bon dodo...

Julien (gentleman bandeur)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI.

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Homme, 53 ans, France
Classe - 49 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2198 -



Soirée "contrôle"

Hier matin, jeudi, nous sommes littéralement arrachés de nos profonds sommeils. Ce sont les cris des mouettes. Il est presque six heures. L'application "océan" nous réveille du florilège de ses illusions habituelles. En gémissant Clémentine se blottit contre moi. C'est difficile d'émerger. Quelques bisous. Quelques papouilles. Un effort de volonté. Nous nous levons un peu à la manière de l'aveugle et du paralytique de la parabole pour nous rendre aux toilettes. << On est minables ce matin encore ! >> murmure Clémentine. Nous en rions aux éclats.

Dans nos vêtements de sport, morts de faim, nous dévalons les escaliers. J'allume la cuisinière à bois. Nous faisons toute chose un peu à la manière de robots. Clémentine prépare le café, pèle les kiwis, presse les oranges. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la compagnie de Juliette mercredi soir. << Tu as vu son auréole ? En général les Saints la porte au-dessus de la tête. Juliette la porte entre ses cuisses ! >> lance Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. C'est vrai que cette auréole de mouille est spectaculaire. Surréaliste.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant Estelle. Clémentine la voit ce matin en cours. << Elle va me raconter sa baise, les performances de son parrain. Jean-Marc le baiseur fou ! >> dit Clémentine. Elle vient terminer sa tartine de miel assise sur mes genoux. Ses bises sont délicieusement collantes. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous imposer la seule méthode infaillible afin de nous réveiller complètement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol, abdos. Là, ça déjà mieux. Les charges additionnelles avant les étirements du stretching.

La douche. Je redescends très vite pour aller préparer la voiture. Il pleut. Il ne fait pas froid. C'est un véritable redoux. Clémentine me rejoint sous son parapluie. Aujourd'hui dans sa veste de cuir noire cintrée à la taille, son Levis, ses bottines noires. Un dernier bisou. Elle s'accroche à mon cou pour dire : << Soirée "contrôle" pour moi aussi parce que mes "petits machins" sont terminés ! >>. Je réponds : << Je t'aime. Tu es adorable ! >>. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou avant de rentrer au sec pour faire notre vaisselle et notre lit.

J'allume malgré tout une belle flambée dans la cheminée. Même avec cette pluie, l'humidité et un hiver de fonctionnement à plein rendement, le tirage reste excellent. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ce quatrième paysage destiné à ma saison d'été me plonge dans les méandres de l'introspection. Je peins en pensant aux vacances. À ce séjour dans le Jura, dans le petit village de Saint-Claude. Une parenthèse de dix jours. Cette fois nous serons quatre. Estelle, Clémentine, Julie et moi.

La matinée passe tellement rapidement. Il est déjà midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe la dernière part de tarte à la courgette et à l'aubergine. Avec une laitue dont je lave chaque feuille également pour ce soir. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Aujourd'hui André Bercoff reçoit un journaliste et une avocate. Il est question de la violence des dirigeants, des violences policières et des répressions acharnées. J'écoute en préparant mentalement le processus du nécessaire aux pizzas de ce soir. Je veux faire une surprise.

Dans le saladier je fais une belle pâte à pain. Onctueuse, homogène, que je pétris longuement. J'y rajoute le jus de deux grosses gousses d'ail que je presse. Le jus d'une échalote et du Parmesan très finement râpé. Je recouvre d'un linge. Je coupe un gros oignon, deux grosses gousses d'ail, de belles tomates bien rouges. Je fais revenir des ronds de calmars dans la poêle. J'y rajoute tomates, ail et oignon coupés. Du persil, de la ciboulette. Le secret que je dévoile pour la première fois. Une cuillère à café de pâte d'amandes. Non sucrée évidemment.

Je retire du feu pour recouvrir d'un couvercle. Il me reste à râper finement de ce délicieux et parfumé gruyère alpestre que nous a fait découvrir Danièle. Par association d'idées je pense à cette jeune femme qui vient nous livrer en fruits et en légumes tous les samedis matins. Danièle est une membre du "Club". Peut-être pas encore "intronisée" mais sympathisante. Avec Clémentine nous allons reprendre nos jeux exhibitionnistes dès les beaux jours. Danièle a déjà vu ma bite à quelques reprises. Pas une seule fois elle n'a semblé effarouchée.

La vaisselle. Je monte me laver les dents en sifflotant. Pressé d'aller faire quelques pas je dévale les escaliers pour chausser les bottes en caoutchouc. C'est sous le parapluie, en chemise à carreaux, que je descends jusqu'à la rivière. Il fait incroyablement doux. Le thermomètre extérieur indique 22°. Les premiers genêts offrent les premières pétales de fleurs jaunes. C'est magnifique. J'admire les danses des colverts, des poules d'eau et des canards, complètement indifférents à la pluie. Il est 14 h quand je suis confortablement installé devant le chevalet.

Je peins habité de cette sérénité rassurante. Pour le repas de ce soir, tout en OK. Ce sera encore une bien belle surprise pour mes deux anges. Là aussi, par association d'idées je pense à ce qui nous attend ce soir. Moi qui suis dingue de cunnilingus, je vais encore m'enivrer de jus de filles. Cette simple pensée me couvre de frissons. L'après-midi passe encore plus vite que la matinée. Je sais qu'il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Son cartable posé à côté de l'ordinateur qu'elle allume, elle se précipite vers moi en sautillant. Plein de bisous.

À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, en se frottant lascivement, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Son après-midi en salle de documentation. << Je me suis touchée tout le long de la route du retour. Je te promets, j'ai fait très attention ! >> lance t-elle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Clémentine doit parfaire son rédactionnel. Elle se lève en disant : << Tu me contrôles aussi ce soir, hein ! >>. C'est en riant que je réponds :<< Plutôt deux fois qu'une. Quand tu te touches c'est meilleur ! >>

J'aime peindre en écoutant les commentaires de Clémentine. Elle termine ce soir la rédaction du quatrième chapitre de la première version de sa thèse. Elle évoque le maître de thèse qui guide les seize étudiants de son groupe. Dont Estelle. C'est un jeune professeur de trente deux ans. Pas toujours très à l'aise et un peu timide. Aussi, certains thésards font leurs recherches personnelles à partir des travaux de thésards des années passées. << Put-Hein, là, si je n'arrête pas, je pète une durite ! >> s'écrie t-elle en se levant pour ranger ses feuilles.

Pendant que je nettoie la palette, les pinceaux, Clémentine me fait la lecture de ses écrits. Je ne comprends rien aux intrications quantiques. Même les explications pourtant précises de Clémentine ne parviennent pas à éclairer mes interrogations. Deux particules qui peuvent muter exactement de la même manière quelque soit la distance qui les sépare. Il en irait de même non pas seulement pour les atomes mais également pour la matière formée par les neutrons et les protons. Pour moi, c'est du Chinois. Surtout avec les équations mathématiques.

Avec un sourire de compassion, consciente de ma totale incompréhension, Clémentine vient me rejoindre devant le petit lavabo de l'atelier. Elle saisit ma queue posée sur le rebord. Pendant que je me lave les mains elle en dirige les jets. Penchée en avant pour viser soigneusement le trou rond du fond ou le trou rectangulaire du trop plein. Avec le mince filet d'eau chaude qui coule, ça monte en vapeur. S'accroupissant quelques instants pour en récupérer les dernières gouttes, Clémentine me fixe. Comme pour scruter mes réactions. J'en ai de doux frissons.

Je l'aide à se redresser. Elle se blottit dans mes bras. << Tu sais à quoi je pensais en me touchant dans la voiture ? >> me demande t-elle. Je réponds : << Non, mais je donne ma langue à la chatte ! >>. Elle se met à rire avant de rajouter : << À la "soirée maraîchère" de demain soir ! Tu sais, la bite coudée ! >>. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous en enserrant ma taille de ses jambes. Je demande : << Toi, tu vas encore te régaler ! Je peux me faire sucer par Juliette ? >>. Clémentine s'écrie : << Mais bien sûr ! Juste la pipe ! >>

Du bruit. C'est Estelle qui jaillit dans l'atelier pour se précipiter vers nous. Je pose Clémentine au sol pour soulever Estelle. C'est tellement bien d'être ensemble tous les trois. Une complicité à deux est une chose merveilleuse. Une complicité à trois a un caractère divin. Surnaturel. << Raconte ta soirée "parrain" à Julien ! >> lance Clémentine. Je l'assois sur la table. Elle tient mon érection en nous racontant.
On a baisé dans la cave, à côté de la chaudière. Sur l'ancien établi de papa. On a failli se faire surprendre par ma mère. C'était de justesse ! >>

J'écoute en riant. Estelle continue : << Quand il est parti, maman m'a demandé si c'était bon ? Maintenant je sais qu'elle sait. Et probablement depuis longtemps ! >>. Nous rions aux éclats quand Clémentine rajoute : << Il faisait pareil à ta mère quand tu étais petite ! >>. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand elles découvrent le menu du soir, elles mitraillent mon visage de bises. Clémentine s'accroupit pour faire pareil sur mon sexe. Puis c'est au tour d'Estelle. Estelle qui travaille encore un peu la pâte à pain.

Clémentine qui fait l'assaisonnement de la laitue déjà lavée. Mes deux anges parlent de ce quatrième chapitre qu'elles ont terminé aujourd'hui. << Deux la semaine prochaine puis encore deux la semaine d'après ! Ça roule ma poule ! >> s'exclame Estelle. Je verse le contenu de la poêle sur les quatre pâte étalées sur les plaques des fours. La plaque électrique pour celle de demain midi. Les plaques du four à bois pour ce soir. Avec la spatule Estelle répand soigneusement la garniture jusqu'au bord de la pâte. Puis dans le four à bois hyper chaud.

Palpant la bosse que fait mon sexe sous le tablier, Estelle revient sur sa baise de hier soir. Comme toujours, en riant, elle nous raconte cette heure de folie pure. Jean-Marc étant un baiseur fou. Clémentine a baisé avec lui il y a trois ans. Plus jeune, adolescente, cachée à la cave elle observait ses performances. Elle peut elle aussi témoigner de cette fougue avec laquelle Jean-Marc s'adonne à sa tâche. Il faut surveiller la cuisson des pizzas. Estelle les sort du four. Fumantes, coulantes, la surface en ébullition. Elles parfument toute la grande pièce. Miam.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine évoque la bite de Philippe, le maraîcher. Malgré son insistance Estelle ne viendra pas. Elle consacre ses vendredis à des soirées familiales. << Tu me raconteras ! >> lance t-elle. Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine. Elle me demande : << Et toi, planqué comme d'habitude ? >>. Je réponds : << Non. J'aurai la bite dans la bouche de Juliette ! >>. Estelle s'écrie : << Vieux pervers va ! Moi je te la suce samedi. Tu vas voir si ce n'est pas meilleur qu'avec une vieille pute ! >>. Rires.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Pressées d'en arriver aux "contrôles", mes deux anges se désapent. Juste en sweats et en chaussettes, vautrées dans le canapé, elles m'offrent la dégustation tant attendue. Je commence ce soir par Clémentine. Sachant qu'elle s'est touchée en rentrant, je veux en recueillir les sucs. Je suis à genoux sur les épais coussins. Je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de sa vulve. Il y a de quoi se régaler. Elle se masturbe jusqu'à ce que je suce son clitoris géant. Estelle se masturbe en attendant son tour. Gémissante.

Je passe de l'une à l'autre. C'est quand elles sont à genoux dans le canapé, me présentant leurs culs que je récupère la cyprine qui y a coulé. Je n'arrête pas de recracher des poils. Leurs raies culières sont aussi touffues que leurs chattes. Je m'enivre jusqu'à l'extase. Il faut surmonter une répulsion bien légitime parce que les odeurs sont fortes. Surtout chez Estelle. Mais une fois passée cette épreuve, ce n'est que plaisirs purs. Je me redresse. J'enfonce mes index en même temps dans les trous de balles. Elles se masturbent en poussant des cris.

Je tourne mes doigts en rythme. << Enculeur de filles ! >> murmure Estelle entre deux râles. Je cesse pour me remettre à lécher, sucer. Elles se retournent toutes les deux. Clémentine anticipe. Toute rouge, en sueur, accroupie au-dessus de la cuvette, en se masturbant, elle pisse. J'adore mâter. J'arrête de sucer le clitoris d'Estelle pour regarder. À quatre pattes. C'est splendide. Les petites déjections de cyprine qui s'écoulent derrière les jets pour venir se déposer sur la pisse. Comme des "îles flottantes". Clémentine adore être vue. Regardée.

Ce qui déclenche un orgasme qui la fait hurler. Tout son corps agité de spasme. Je me redresse pour saisir sa tignasse. Je frotte ma bite sur sa gueule. Elle ouvre la bouche. Je m'y enfonce. Estelle, voyeuse incorrigible, se lève pour tomber à genoux à ma gauche. Son visage à une vingtaine de centimètres de la pipe, elle se masturbe en scrutant. Je me retire pour lui fourrer la queue dans la bouche. Je passe de l'une à l'autre. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il reste un quart d'heure. C'est en rugissant de jouissance quelle s'offre un orgasme fou.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont enfin vider cette paire de couilles sous les draps. En savourant l'abondance d'une épaisse purée...

Julien (maître lécheur)



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Le petit monde de Clémentine et de Julien

Après presque 2200 épisodes le plaisir de partager nos aventures reste intact. De sacrés moments.
C'est une véritable joie de publier nos récits quotidiennement. C'est même devenu une nécessité.

Bien évidement, les noms, les prénoms, les lieux ne sont qu'autant de pseudonymes sans réalités.
Il est préférable de préserver son anonymat. Sur Internet mais également sur les forums "sexes".

Je remercie nos lectrices, nos lecteurs pour leurs fidélités, pour l'intérêt qu'ils nous portent.
Tout particulièrement celles et ceux qui entretiennent avec nous un contact en messagerie privée.

Nous avons autant de joie à pratiquer les échanges en messagerie privée qu'à narrer nos aventures.
C'est très intéressant, souvent amusant et parfois passionnant. Certains "amis" depuis cinq ans.

Je vous souhaite d'excellentes lectures, de belles découvertes et de passer du bon temps avec nous.

Cordialement.

Clémentine et Julien

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Classe - 1 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2199 -



J'ai la bite qui part en couilles

Hier matin, vendredi, il est presque six heures. Comme tous les vendredis, le réveil de Clémentine se passe dans une certaine euphorie. Le vendredi elle termine à midi. C'est le début du week-end. Aussi, lorsque l'application "océan" nous arrache de nos profonds sommeils elle se blottit contre moi en murmurant : << Aujourd'hui, c'est sans moi ! >>. En imitant mon accent écossais. D'êtres réveillés par les cris stridents des mouettes n'a plus grande importance car je suis déjà amusé par les facéties de la fille que j'aime. Quelques papouilles, bisous.

Nous nous précipitons aux toilettes avant de passer dans la salle de bain pour nous habiller. Morts de faim, vêtus de nos leggings de lycra noir, de nos sweats de lycra jaune, nous dévalons les escaliers. Dans la cuisine j'allume de suite la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, pèle les kiwis, presse les oranges. J'adore quand elle me raconte ses rêves. Toujours en imitant mon accent écossais. Je ne peux m'empêcher de la prendre dans mes bras. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée léchage de minous, hier. Fameux.

<< Les rapports génitaux buccaux resteront toujours ma préférence ! Un bouche fait davantage de biens qu'un sexe ! >> lance Clémentine dont je partage l'avis. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la visite de Julie cet après-midi. << Tu es prié de donner toute ta mesure ! >> s'écrie Clémentine. C'est en riant que je demande : << Les vingt centimètres ? >>. Nous rions aux éclats quand Clémentine rajoute : << N'exagère pas ! Juste les dix neuf virgule cinq ! >>. Elle vient s'assoir sur mes genoux pour me dire : << J'ai peur pour ce soir ! >>.

Je la rassure : << Je serai là, tout près de toi. Il ne peut t'arriver que du plaisir et encore du plaisir ! >>. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Clémentine, déjà très déconneuse, m'entraîne par la main. Les échauffements de l'aérobic, du jogging sur tapis roulants avant les exercices au sol avec abdos. Sous les facéties de Clémentine. Les charges additionnelles. Ce matin sur machines. Avant les étirements d'un bon stretching. La douche. Je dévale les escaliers pour redescendre le premier. Préparer la voiture.

La température a chuté. Le thermomètre extérieur indique 6°. Il pleut. Le jour est levé sous un ciel sinistre, encombré de lourds nuages menaçants. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak et sous le parapluie. << Tu seras mon satyre adoré cet après-midi ? >> lance t-elle, quelques instants accrochée à mon cou. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer au sec, au chaud. La vaisselle avant de faire notre lit. Dans l'atelier je procède au rituel du feu dans la cheminée.

Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. Ce quatrième paysage est également la vingtième toile destinée à ma saison d'été. Je peins habité de cette douce euphorie laissée par la fille que j'aime. Je pense à ce qui nous attend au haras. Cette seconde "soirée maraîchère" en compagnie de Juliette et de Philippe. Une fois encore l'insolite se mêlera intimement à nos vices. Aux déviances sexuelles qui font nos quotidiens. Quel bonheur d'êtres deux complices de vie, compagnons de débauches. Comparses de stupre, de luxure.

Il est rapidement midi. Je mets deux bûches dans la cheminée avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Avec mes pensées libidineuses de la matinée je me suis retrouvé plusieurs fois en érection. Les épanchements de liquide séminal ont maculé le tissu de ma braguette. Il suffit de réchauffer l'énorme pizza préparée hier soir. Avec une belle salade de concombre. Il est midi trente cinq quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes enserrent ma taille. C'est en me couvrant le visage de bisou que je l'emmène aux toilettes.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée, les impressions partagées avec Estelle quand aux cunnilingus de hier soir. << J'ai fait le plein d'essence à la station. C'est fou le nombre de dragueurs qui prennent de l'essence le vendredi à midi ! >> dit elle. Nous rions quand elle continue : << Celui d'aujourd'hui m'a dit que j'avais des yeux magnifiques, d'un bleu clair irréel ! Il voulait savoir si c'était naturel ou si je portais des lentilles ! >>. C'est vrai qu'il y a quelques chose de troublant. Des yeux si bleus avec des cheveux noirs.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me donne son programme de l'après-midi. Avec cette météo déplorable que reste t-il d'autre à faire qu'à travailler à l'élaboration du cinquième chapitre de sa thèse ? Prendre de l'avance sur ses travaux de la semaine prochaine. Je pourrai moi aussi avancer dans ma peinture. Il me reste quatre toiles de l'an dernier. Il me reste quatre toiles à faire pour constituer un stock de vingt huit tableaux. Après, je vais me livrer à des créations pures. La commande de Mme Walter.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nos pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Clémentine revient sur ses appréhensions bien légitimes quand à ce qui nous attend en soirée. << J'ai toujours la trouille. Et avec les années, c'est de plus en plus fort. De plus en plus excitant aussi. Comme si la prise de conscience de ce que je fais était plus prégnante ! >> m'explique t-elle. J'écoute. Je comprends parfaitement ce qui se passe. Clémentine va avoir 26 ans le 2 avril. D'ici quelques années la jeune femme remplacera la jeune fille.

Nous dévalons les escaliers pour descendre dans l'atelier. Dehors il fait un temps épouvantable. De véritables giboulées de mars. Des bourrasques de vent qui jettent des paquets de pluie contre les vitres. Contre la grande baie vitrée de l'atelier. Il est 13 h45. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, Clémentine m'explique ce que je vois sur l'écran. Je suis debout derrière elle. Elle a défait ses cheveux pour que je puisse y passer mes doigts. Comme des peignes. Pour Clémentine c'est un vrai plaisir. Une source de quiétude sereine.

J'écoute ses explications. Mon niveau de mathématiques reste figé à la Terminale du lycée. Mon cursus universitaire de cinq ans s'est axé sur l'École Nationale des Beaux-Arts de Paris. À l'époque où ce n'était pas encore l'École des "Arts Plastiques". Il y avait encore une certaine "noblesse" et un soupçon d'Art. Aussi, les équations que je vois s'afficher sur l'écran, malgré les explications de Clémentine, restent une succession de hiéroglyphes sino hébraïques matinées de chinois indouiste du premier millénaire avant Jean-Claude Van Damme. J'écoute.

Parfois je relève les cheveux de la fille que j'aime pour poser mes lèvres sur sa nuque. La pointe de ma langue s'ajoutant à la légère succion provoquent de petits gémissements d'aise. Du bruit. Voilà la porte qui s'ouvre sur Julie. Elle a laissé son anorak dans le hall d'entrée. Vêtue d'un épais pull à grand col roulé, d'un pantalon noir et de ses bottines noires. Elle se précipite vers nous tout en lançant un << Bonjour ! >>. Trois bises pour Clémentine. Trois bises pour moi. Julie ne peut pas cacher sa joie. C'est en sautillant qu'elle s'accroche à mes épaules.

<< Raconte-nous ta semaine ! >> demande Clémentine. << Oh, j'ai bossé tout le temps. Parfois jusqu'à vingt et une heures le soir. Il est hors de question de ne pas décrocher ma Licence en juin ! >> répond Julie. Nous savons l'opiniâtreté et la capacité de travail de notre amie. Je laisse les filles pour aller m'installer devant mon chevalet. Discrètement j'ajuste mon sexe. Que ce soit confortable une fois assis avec la bite à l'air. Je sais que ça se complique toujours un peu. Une fois en érection il n'y a rien de plus inconfortable avec une braguette à boutons.

Julie ne tarde pas à venir s'assoir à ma gauche, sur le tabouret. Elle adore me regarder peindre. Avec la préparation de sa Licence de Lettres Modernes, Julie préfère ne pas s'adonner à sa passion pour la peinture. << Je ne peux pas me dissocier sous peine de développer une schizophrénie ! >> précise t-elle souvent. Mais ce n'est pas seulement la surface de la toile qu'elle scrute aussi attentivement. Elle louche également sur mon sexe. Dressé non pas par l'érection mais par la position induite par la braguette de mon 501. Un bite molle, fripée et droite.

Quelle n'est pas ma surprise. Tout en me disant : << Julien, je me réjouis doublement pour tenir votre galerie d'Art cet été ! >> Julie saisit ma queue. Avec un geste si naturel qu'il en est désarmant. Je regarde Clémentine qui nous "surveille" du coin de l'œil. Elle me fait un sourire. Un clin d'œil. Julie rajoute : << Le plaisir de présenter vos œuvres aux visiteurs mais aussi le changement de rythme après ce dernier trimestre ! J'en ai grandement besoin parce que j'accumule du stress ! >>. Tout en conversant Julie joue avec ma queue mollasse.

<< Il y a d'abord nos vacances de Pâques. Dix jours qui vont te faire le plus grand bien. Je te promets de grands moments ! >> lance Clémentine sans cesser de taper sur son clavier. Julie répond : << Ça aussi je l'attends avec une impatience folle. Mais je veux participer aux frais ! >>. Je cesse de peindre pour préciser : << Julie, vous êtes notre invitée en toute chose. Votre participation se limitera à votre délicieuse présence. Je ne veux pas entendre parler d'argent ! >>. Clémentine rajoute : << Sinon pan-pan cul-cul ! >>. Julie rit aux éclats.

Elle ne lâche pas mon sexe qui durcit inexorablement dans sa main droite. Elle ne joue plus avec mais me masturbe doucement. Un geste lent et régulier. Je sais qu'elle ne regarde plus la toile. Elle reste braquée sur les expressions de mon profil. Je suis en sueur. J'adore peindre en érection. Mais là, c'est tout simplement fantastique. Surréaliste. Divin. À chaque fois que je regarde Clémentine elle m'adresse un sourire ou un clin d'œil. Elle finit par dire : << Saint-Claude, dans le Jura, on y taille les meilleures pipes dans de la racine de bruyère. Le must ! >>

Je rajoute : << Autant en avoir un aperçu maintenant ! >>. Julie pousse un gloussement en se penchant sur sa droite. Pour un meilleur équilibre, elle se lève pour s'accroupir entre les pieds du chevalet et les miens. Sans lâcher ma queue qu'elle prend immédiatement en bouche. Pour mieux voir, Clémentine, là-bas, se lève. Elle mime une pipe, son poing qu'elle fait tourner devant sa bouche. Sa langue faisant une bosse à l'intérieur de sa joue. Julie me prodigue une fellation passionnée. Je dis : << Excellente mise en condition pour notre soirée ! >>

Clémentine, une main dans son Levis déboutonné, vient nous rejoindre. Penchée pour voir ce que fait Julie elle raconte notre "soirée maraîchère" de la dernière fois et celle qui nous attend ce soir. Julie glousse de plaisir sans cesser de pomper avec fougue. Bien évidemment, même si j'en ai l'envie folle, je n'éjacule pas. J'adore faire durer. Les pipes de plus d'une heure sont de vieilles aptitudes dont je m'acquitte sans éjaculation. Il est dix sept heures. Nous prenons une collation de thé au jasmin et de petits gâteaux secs. Julie est comme amoureuse.

Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Sous une pluie torrentielle. Assis dans l'auto avec elle, à l'abri. Julie reviendra demain matin pour le ménage. La séparation n'est donc pas trop difficile. << Bonnes pipes ce soir ! >> lance t-elle en démarrant. Je suis installé à l'arrière. Dans le rétroviseur elle m'observe. J'agite ma queue le plus vulgairement possible. Julie doit partir. Il est un peu plus de dix huit heures. Ce soir elle endosse le rôle de serveuse dans le restaurant de sa tante. Un dernier bisou et nous sortons pour nous précipiter au chaud, au sec.

La bite coudée

Comme à chaque fois que nous arrivons dans la cour du haras, Clémentine lâche mon sexe pour saisir mon poignet. Je peux la sentir frissonner. << Je suis morte de trouille ! >> dit elle dans un souffle. Je gare la voiture en éteignant le moteur. Je passe mon bras autour de ses épaules pour la serrer contre moi. Je murmure : << Tout va bien se passer. Tu n'es là que pour ton plaisir ! >>. Clémentine pose sa tête dans mon cou comme pour y trouver le courage et la volonté qui semble soudain lui manquer. Je dépose un baiser sur son front. Délicatement.

Nous sortons de l'auto. C'est sous le parapluie que nous traversons l'espace qui nous sépare de l'écurie éclairée. Clémentine reste à mon bras. Nous marchons dans l'allée centrale. En nous arrêtant pour caresser l'encolure des chevaux qui nous observent. Il y a une raie de lumière sous la porte du fond. L'endroit aménagé en petit salon. C'est ici que Juliette aime à recevoir les familles de propriétaires de chevaux qui mettent leurs animaux en pension. Clémentine colle son oreille contre l'huis. << Écoute ! >> chuchote t-elle. Je regarde par le trou de la serrure.

Je murmure : << Regarde ! >>. Clémentine se penche. Juliette est en pleine conversation. Impossible de savoir avec qui. Probablement avec le maraîcher. Je vérifie. Ma braguette est bien boutonnée. Je passe ma main sous la jupe kilt de Clémentine. Entre ses cuisses. L'absence de culotte me permet un accès direct. J'approche ma bouche de son oreille pour chuchoter : << Tu mouilles déjà ! >>. Pour toute réponse Clémentine saisit mon poignet comme pour mieux me guider. J'enfonce la première phalange de mon médius. Elle se cambre.

C'est elle qui frappe trois coups. << Entrez ! >> lance Juliette depuis l'intérieur du petit salon. Clémentine entre la première. Elle me tire par la main qu'elle ne lâche pas. Philippe est vautré dans le fauteuil. Il me tend la main. Je refuse la politesse quand je découvre qu'il a son sexe en dehors de sa braguette. Par contre Clémentine serre la main du maraîcher. Juliette se lève. Elle nous fait trois bises. Me serre la main en m'invitant à prendre place dans le canapé. Je m'assois à l'extrémité. Clémentine s'assoit entre Philippe et moi. Juliette dans son fauteuil.

C'est en dégustant un verre de jus de mangue, à la paille, que nous bavardons. Juliette et Philippe parlaient crottin. Ce deux tonnes et demi de crottin de cheval que le maraîcher vient récupérer deux à trois fois par semaine depuis douze ans. Ce n'est que depuis quelques semaines qu'il se passe des choses entre Juliette et lui. Tout en parlant Philippe joue avec sa queue. Il bande mou. L'angle droit que fait l'extrémité de son sexe une fois en érection n'est pas encore apparent. Clémentine fixe le mouvement des doigts de Philippe. Il tripote la peau du prépuce.

<< Ça te tente de baiser ce soir ? >> demande t-il tout à coup à Clémentine. Avec un naturel désarmant. Même Juliette ouvre de grands yeux en me fixant. Clémentine répond : << Non, pas du tout. Pas ce soir ! >>. Philippe sans perdre son flegme d'homme de la terre rajoute : << Tu es venue pour une pipe ? >>. Clémentine se fait tutoyer et cela semble l'incommoder. C'est en vouvoyant Philippe qu'elle précise très simplement : << Oui ! >>. Le maraîcher continue : << Et bien ne perdons pas de temps, j'ai une famille qui m'attend à la maison ! >>

Juliette me regarde comme hallucinée. Clémentine tourne la tête pour me fixer. Comme pour me consulter. Je lui dis : << Bon appétit ! >>. Clémentine se lève en tenant l'épais coussin contre lequel elle était assise. Elle le jette au sol entre les pieds écartés du maraîcher. Juliette saisit le sien pour se lever et le jeter devant les miens en disant : << Clémentine, votre autorisation s'il vous plaît ! >>. Clémentine déjà à genoux, ses mains posées sur les cuisses écartées de Philippe, tourne la tête pour répondre : << Vous l'avez Juliette. Et bon appétit ! >>

Je sors difficilement ma queue molle. Je regarde Juliette s'agenouiller. Sa jupe droite, sa chemise blanche sous sa veste blaser n'est peut-être pas la tenue idéale pour une bonne mobilité. Je regarde Clémentine humer la queue du maraîcher. Il la tient en l'air alors que lui aussi bande mou. L'angle que fait la bosse du gland sous la peau du prépuce commence à se prononcer. Il tapote son sexe contre le nez de Clémentine. Elle le fixe d'un regard sévère. J'adore la voir sucer un autre mec. Ça m'excite au plus haut point. Même si ça me rend triste.

C'est une sorte de mélange entre l'excitation et la tristesse. Une émotion très étrange. Juliette aussi renifle ma queue. Elle y colle chacune de ses narines pour bien en sentir l'odeur. Mes yeux vont de Juliette à Clémentine. Deux merveilleuses et authentiques salopes, suceuses qui s'adonnent à leur passion pour la fellation. Je passe l'extrémité de mes doigts sur les sourcils de Juliette, je caresse ses joues avec une grande tendresse. Quand elle colle ses lèvres sur l'ouverture de mon prépuce c'est pour en fouiller l'intérieur de sa langue. J'en ai des frissons.

Philippe bande à présent fermement. Cet étrange bite coudée dont la partie courbée est dans la bouche de Clémentine. Ses yeux ouverts elle fixe le maraîcher. Comme la dernière fois il semble avoir beaucoup de difficulté à garder les paupières ouvertes. Les joues creusées par l'effort de succion, Clémentine suçote. Immobile. Je peux juste deviner les mouvements de sa langue. Elle aussi fouille probablement entre la peau du gland et celle du prépuce. Deux vicelards à nous faire deux tailler de véritables pipes des familles. Philippe a fermé les yeux.

La tête rejetée en arrière il se fait pomper comme un bienheureux. Moi je préfère regarder ce qui se passe. Juliette également a le plus souvent les yeux clos. Je n'arrête pas de la caresser. Passer mes doigts sur tous les reliefs de son visage. Quand elle ouvre les yeux ils sont éperdus de reconnaissance. Brillants, humides de ce plaisir raffiné qu'éprouvent les véritables amoureuses de la fellation. Elle m'adresse un clin d'œil avant de fermer les paupières. Avec cette expression extatique qui me fascine. Je regarde Clémentine. Elle aussi pipe passionnée.

Cette expression d'extase sur les traits de son visage. Elle cesse. Deux longs filaments de "fondue" épaisse et gluante relie ses lèvres à la bite courbée. C'est surréaliste. Jute qu'avec des mouvements de mâchoire elle tente de déglutir. Elle aspire ces coulures sans pouvoir les récupérer. Elles sont tellement visqueuses, tellement consistantes qu'elle doit les enrouler autour de ses doigts. Doigts qu'elle porte à sa bouche pour les sucer. Elle tient la bite coudée de son autre main. Elle me regarde soudain. Un sourire terriblement gêné. Merveilleuse.

Elle observe la concentration vicelarde de Juliette qui s'adonne à son pompier avec passion. Clémentine m'adresse un clin d'œil avant d'engouffrer la queue trempée et dégoulinante de "fondue". Ses yeux à nouveau fermés, elle se régale avec la même fougue que Juliette. Philippe ne bouge pas. Pas une seule fois ce type n'observe sa pipeuse. Il y a pourtant là un spectacle formidable. Juliette également tente de déglutir, la bouche pleine de mon jus. Mon liquide séminal est lui aussi très rapidement gluant, visqueux. Juliette doit faire des efforts.

Quand elles cessent de piper en même temps, c'est spectaculaire de les voir tenter d'avaler. Soudain Juliette demande : << On échange ? >>. Clémentine cesse de pomper, tourne la tête pour répondre : << Certainement pas ! >>. Elle me fait un clin d'œil. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. Juliette glisse son index sous mon érection pour le glisser dans ma braguette. Je demande : << Vous voulez les couilles chère madame ? >>. Elle ne répond pas, s'enfonçant une bonne moitié de ma queue en bouche. J'entends les gémissements de Clémentine.

Quand je vois la quantité de "fondue" qu'elle tire de cette queue blanche et lisse, je reste stupéfait. Ce mec a une capacité de production encore supérieure à la mienne. Je n'ai jamais assisté à de tels épanchements. Soudain, Philippe se cambre. Il doit éjaculer dans la bouche de Clémentine. Je la vois, immobile, déglutir ce que dégorge cette queue qui bouge dans sa bouche. Elle en pousse des râles de jouissances. Je comprends pourquoi. Je n'avais pas vu. Clémentine se masturbe. Certainement depuis un moment. Philippe ouvre les yeux, se redresse.

Assis bien droit dans le canapé il tente de repousser Clémentine. Je la connais. Elle adore repartir pour un second tour de manège. << Je dois vraiment y aller ! >> lance Philippe en arrivant enfin à se lever. << Tu viens me la tenir, je passe aux chiottes avant de rentrer ! >> lance t-il à Clémentine. Sans répondre elle se lève dans un seul élan. Toujours une main sous sa jupe, elle se laisse prendre par le bras. Elle suit Philippe. Je veux absolument aller voir. Je repousse Juliette dont la bouche ruisselle de mon jus de couilles. C'est elle qui m'entraîne.

Nous n'allons pas rejoindre le couple aux toilettes. Non, Juliette m'entraîne dans l'étroit local technique. Là, dans l'armoire électrique, il y a ce trou qui permet de voir ce qui se passe dans les chiottes. Clémentine, un bras autour de la taille du maraîcher, tient sa bite toute molle pour en diriger les jets. Juste au-dessus de l'unique urinoir. Philippe tente de l'embrasser. Elle détourne à chaque fois la tête avant de s'accroupir. Elle secoue les dernières gouttes avant de reprendre ce sexe ruisselant en bouche. << T'es une vraie salope toi ! >> lance Philippe.

Clémentine cesse de sucer, lève la tête, fixe le mec dans les yeux pour dire : << Et vous n'imaginez pas à quel point monsieur ! Surtout avec des salauds de votre genre ! >>. Elle se redresse pour mettre un terme à sa dégustation. << Je viens te chercher un soir à la fac et tu me suces en bagnole, ça te dit ? >> demande Philippe avant que Clémentine ne quitte la pièce. Elle se retourne pour répondre : << Il faut que j'en parle à Julien ! >>. Laissant le maraîcher avec cet espoir, Clémentine retourne dans le salon. Étonnée de nous voir entrer après elle.

Je l'attrape par les cheveux. Je la force à s'accroupir. Juliette saisit sa tête pour la maintenir. Je frotte mon sexe sur son visage. Cette fois elle garde les lèvres serrées. Refusant que j'y introduise mon érection. Elle tombe à genoux en essayant de se soustraire à l'étreinte de Juliette. << Salope ! >> lance plusieurs fois Juliette. Je pince le nez de Clémentine. Pour respirer elle n'aura d'autres alternatives que d'ouvrir la bouche. Dès qu'elle est acculée à cette extrémité j'y fourre ma queue. Elle se débat. J'éjacule au fond de sa gorge en hurlant.

Juliette l'empêche de se dégager en murmurant : << Mais bouffe salope, bouffe. C'est le foutre de ton mec ! >>. Clémentine comme abattue, épuisée, vient de déglutir avec d'horribles grimaces. << T'aimes pas sucer ton mec salope ? >> demande Juliette. << Sa bite est répugnante après certaines queues ! >> répond t-elle. Je l'aide à se redresser. Clémentine m'a déjà expliqué ce curieux phénomène de répulsion. Elle adore évidemment sucer ma queue mais en s'y consacrant totalement. << Et celle de Philippe semble être à ton goût ! >> s'exclame Juliette.

<< C'est un régal ! >> s'écrie Clémentine en s'essuyant la bouche avec un mouchoir en papier. Du foutre coule de sa narine droite. Ou alors c'est de la morve. Juliette nous raccompagne sous le parapluie jusqu'à la voiture. Il pleut mais la nuit est douce. Je roule doucement. Comme toujours, après des pipes successives, Clémentine croque dans la pomme préparée à cet effet. << Tu m'en veux ? >> me demande t-elle. Je la rassure : << Tu es adorable. Je te recommande d'accepter la proposition de ce type ! Si tu aimes sa bite pourquoi hésiter ? >>

Clémentine reste silencieuse jusqu'à la maison. Elle n'est pas plus bavarde alors que nous nous lavons les dents. Comme après chaque partie à plusieurs Clémentine a le regard fuyant. Ça m'excite au-delà du raisonnable. Une fois au lit, sous les draps, elle me confie enfin ses impressions. << Put-Hein, je suis folle amoureuse de la bite de ce mec ! >> murmure t-elle. En la pénétrant doucement je chuchote : << On se prépare un "plan". Un truc où le maraîcher ne se doutera pas un seul instant que je suis planqué ! >>. Clémentine dit : << Oh oui ! >>

Bonne nuit à toutes les coquines qui se font aimer sous la couette en pouvant enfin trouver les mots pour confesser leurs plus profonds secrets de filles...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 2 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2200 -



Un samedi parfaitement "normal"

Il est 7 h30 hier matin. C'est Clémentine qui me tire du sommeil. En se blottissant contre moi. Elle caresse ma poitrine en chuchotant : << Merci pour la "soirée maraîchère" ! >>. Elle saisit mon érection naturelle en rajoutant : << Sans toi tout cela n'existerait pas ! >>. Je reprends mes esprits. Comme souvent je réponds : << Si si, mais tout simplement d'une autre manière ! >>. Clémentine me chevauche, frottant son sexe sur le mien. << Je t'aime ! >> s'écrie t-elle. L'impérieux besoin de pisser met un terme à nos effusions de tendresse.

Ce samedi matin commence par les facéties de Clémentine dans la salle de bain où nous nous habillons. Morts de faim, dans nos tenues sport nous dévalons les escaliers. J'allume la cuisinière à bois. Surtout que le froid semble revenir en force. Clémentine fait le café, presse les dernières oranges, pèle les derniers kiwis. Nous serons livrés ce matin. Je vais dans le hall d'entrée pour y ouvrir le portail depuis l'interphone. Clémentine vient me rejoindre en disant : << On ne se quitte pas d'une semelle ! >>. Nous revenons vite dans la cuisine.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur ce vendredi soir au haras. Le petit salon au fond des écuries. Et bien évidemment sur le sexe particulier du maraîcher. Comme souvent, le lendemain, Clémentine aborde le sujet un peu gênée. << J'ai toujours honte. Je m'en veux de faire "ça" à d'autres ! >> précise t-elle. Je la rassure une fois encore : << Mais tu sais que j'adore te voir sucer un mec ! Ou est le blême ? >>. Clémentine vient terminer sa tartine au miel sur mes genoux. Du bruit depuis le hall d'entrée. Des talons qui résonnent.

Julie entre dans la cuisine. Pantalon noir, pull, bottines. Ses cheveux attachés en catogan. Elle se précipite en s'écriant : << Bonjour ! >> Trois bises sur chacune de nos lèvres. Julie nous raconte sa soirée de serveuse au restaurant. Clémentine narre la nôtre. << Beurk ! Ça me dégoûte. Je ne pourrais pas avec des inconnus ! >> s'exclame Julie. Je dis : << Philippe n'est plus vraiment un inconnu, c'est la seconde fois ! >>. Nous rions de bon cœur. Julie commence à débarrasser la table en rajoutant : << Allez faire votre gym, je m'occupe du reste ! >>.

Nous quittons la cuisine en déposant chacun une bise sur son front. Dehors il pleut. Le thermomètre extérieur indique 6°. C'est donc en salle que nous nous entraînons. Le samedi matin nous pouvons y consacrer tout notre temps en faisant bien les exercices. Les échauffements aérobic avant ceux du jogging sur tapis roulants. Les abdos avant les charges additionnelles sur machines. Les étirements du stretching avec un retour au calme effectué correctement. S'en suit cette bonne douche qui fait tellement de bien. Je sèche les cheveux de Clémentine.

Le sèche cheveux dans une main, la brosse dans l'autre, je coiffe Clémentine après le shampoing. C'est un moment qu'elle apprécie, assise devant le miroir, à me confier ses ressentis à propos d'évènements précis de la semaine. Nous entendons Julie passer l'aspirateur quelque part à l'étage. Nous nous habillons. Levis, épaisses chemises à carreaux. Baskets. En nous tenant par la main nous redescendons pour enfiler nos anoraks. << Ce n'est pas ce matin que Danièle verra ta bite. Dommage ! >> dit Clémentine en palpant ma braguette ouverte.

Il fait bien trop froid. Et avec cette pluie ce serait désagréable. C'est sous le parapluie que nous traversons la pelouse. En restant sur les dalles de grès. Il est presque dix heures. Voilà la camionnette blanche qui descend. Danièle, avec un grand sourire se gare derrière l'auto de Julie. Nous nous touchons les poings en nous saluant. Comme avec un soudain air de dépit, Danièle fixe le bas de mon anorak. De l'arrière du véhicule elle tire le premier cageot qui contient les fruits, les légumes. Je le prends. Il est lourd. Clémentine récupère le second cageot.

Celui qui contient les fromages, la motte de beurre, les yaourts, les œufs, les pots de crème fraîche et de fromage blanc. En glissant ma carte bancaire dans le terminal que tient Danièle, elle dit : << Mais qu'attend le soleil ! Je suis de plus en plus impatiente ! >>. En prononçant ces mots elle penche la tête pour fixer une nouvelle fois le bas de mon anorak. Clémentine qui voit tout précise : << Julien le déplore autant que vous. Soyez en certaine ! >>. Danièle m'adresse un clin d'œil complice. Nous sommes sur la même longueur d'ondes.

Même commande pour samedi prochain. En faisant la manœuvre de son demi tour, Danièle nous fait le plus merveilleux des sourires. Nous regardons la camionnette remonter jusqu'au portail. Le bras de Danièle qui s'agite à l'extérieur pour un dernier signe d'amitié. Voilà le tube Citroën rénové de notre boulangère. Il y a une constante chez madame Marthe. C'est ce sourire hilare qu'elle a en se garant au même endroit. Nous nous saluons. Dans un effroyable bruit de ferraille elle ouvre la porte latérale pour en extraire le cageot de nos commandes.

Les deux grosses miches de pain complet. Les deux pâtes feuilletées. Les huit bouchées à la reine, l'énorme brioche au pudding, les deux croissants aux amandes. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Nous nous saluons. Avec cette pluie il faudra faire trois voyages. Clémentine m'abrite du grand parapluie à chaque fois. Nous passons par l'escalier extérieur pour descendre à la cave. Nous disposons les fruits et les légumes sur les étagères en bois dans le cellier. Clémentine se colle plusieurs fois derrière moi pour me toucher.

Ses bras autour de ma taille, elle palpe ma braguette des deux mains en disant : << Tu m'excites ! >>. Je me retourne. Je la prends dans mes bras. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Nous nous embrassons comme des fous. Les mentons trempés de salive. Mon érection est presque douloureuse. Mon sexe étant contrarié et enroulé dans l'espace confiné de mon slip. Clémentine le libère en le sortant de la braguette. Accroupie, elle y frotte son visage. Je l'aide à se redresser. Du congélateur nous tirons les moules, haricots verts, petits pois.

C'est par l'escalier intérieur que nous remontons. Je tiens le cageot contenant les produits laitiers. Julie vient de passer la serpillère dans la cuisine. Nous l'entendons passer l'aspirateur dans le salon. C'est sur la pointe des pieds que nous traversons la grande pièce pour ranger les produits frais dans le réfrigérateur. << Je donne un second petit coup ! >> lance Julie venant nous rejoindre. Elle découvre mon sexe qui pend tel un tuyau d'arrosage. Elle m'adresse un furtif sourire sans oser soutenir mon regard. Elle n'a de yeux que pour ma bite toute molle.

Nous quittons la cuisine en déposant chacun une bise sur son front. << Je l'aime comme ça ! >> me dit elle en pointant son index vers mon Zob. << Moi aussi ! >> lance Clémentine qui le saisit pour l'agiter devant Julie qui rajoute : << Je dois terminer mon ménage ! >>. Nous la laissons pour aller au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Le message de Juliette qui nous remercie pour la "soirée maraîchère". Le mail d'Estelle qui est impatiente de nous retrouver en début d'après-midi. Le courriel de ma famille d'Édimbourg. Sympa.

Clémentine affiche les photos de notre location à Saint-Claude. Ce petit appartement très convivial où nous passerons dix jours de vacances dans le Jura. Dans l'enveloppe jaune je glisse un billet de 50 €, un billet de 20 €. Clémentine y rajoute l'habituelle petite phrase. Phrase que je signe du personnage de "Bitonio". J'aime caresser les seins minuscules de Clémentine pendant qu'elle répond à nos messages. Il est onze heures trente. Julie qui vient de terminer son ménage nous rejoint. << Viens voir ! >> lui propose Clémentine. Julie contourne le bureau.

Elle découvre les photos de l'appartement. << Wouah, génial ! >> s'écrie Julie. << Regarde, ça c'est le canapé lit pour toi. Notre lit, l'armoire, la table, le fauteuil ! >> explique Clémentine. Elle fait la même démonstration commentée pour la cuisine, la salle de bain et le cabinet WC. << Vous n'imaginez pas comme je suis impatiente, comme je me réjouis ! >> s'exclame Julie. Je lui tends la petite enveloppe jaune. << Merci ! >> fait Julie. Nous la raccompagnons dans le hall d'entrée. Nous enfilons nos anoraks. Il pleut à verse. Il fait froid.

Assis tous les trois dans la Clio rouge de Julie, nous évoquons le prochain lundi soir. Je suis installé à l'arrière. Clémentine sur le siège passager. J'écoute les différentes options de menus pour lundi soir. Julie, dans le rétroviseur m'observe. J'agite mon sexe. Il faut qu'elle parte. Un dernier bisou. Nous sortons de la voiture. Sous le grand parapluie. Nous regardons la voiture monter jusqu'au portail. Julie nous adresse des bises qu'elle souffle dans sa main. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud, au sec. Clémentine prépare l'assaisonnement.

Pour cette laitue dont elle lave chaque feuille. Je prépare le bouillon qui monte rapidement en ébullition sur la cuisinière à bois. Dans le wok je réchauffe les haricots verts et les petits pois. Je vide le contenu du paquet de moules dans le bouillon. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les attitudes de Danièle et de Julie. << Dans le Jura, je t'en prie, sois le pervers le plus odieux avec Julie. Estelle et moi on veut te voir à l'œuvre. On en parle souvent à midi, au restaurant universitaire ! >> fait Clémentine posant sa main sur la mienne.

Julie est notre mascotte sexuelle. C'est entendu depuis près de deux ans. Mais c'est toujours avec le plus profond respect pour elle que nous pratiquons nos jeux de rôles. Durant ces prochaines vacances dans le Jura Clémentine se promet de mettre Julie dans les plus inconfortables situations. L'initier à l'exhibition devant des inconnus. J'écoute Clémentine proposer différentes déclinaisons des multiples possibilités qui s'offrent à une authentique "spécialiste". À une véritable "virtuose". Je me branle. << Fais voir ! >> s'écrie Clémentine. Je me lève alors.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, tenant mon érection d'une main, son autre bras autour de mon cou, Clémentine revient sur sa dégustation fromagère de hier soir. Cette bite coudée dont elle adore savourer le contenu. << Je crois qu'avec celle de notre voisin, c'est la meilleure que j'ai goûté ! >> confie Clémentine. En riant je dis : << Je t'entends souvent affirmer ce constat. Pour différentes bites ! >>. Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche pour m'embrasser passionnément. Notre complicité en toute chose affole toujours nos sens.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. C'est en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain que nous nous faisons surprendre par Estelle. Silencieuse, soucieuse de nous faire la surprise elle fait soudain : << Coucou les gens ! >>. À peine avons nous essuyé nos bouches que nous nous serrons tous les trois. Ce furieux besoin de nous retrouver. Dans des effusions de tendresses, de bises. Évidemment dès qu'elle remarque ma bite qui pend, Estelle s'en saisit en disant : << Mon pervers adoré ! >>.

Du grand sac de sport qu'elle emmène quand elle vient passer le week-end avec nous, Estelle tire son pyjama. Une culotte, des chaussettes pour demain matin. Elle nous raconte son vendredi après-midi avec sa maman au bureau de l'entreprise familiale. Sa soirée avec ses parents. Sa matinée avec sa mère à faire les courses dans l'hypermarché. Je suis assis sur le tabouret. Clémentine assise au sol entre mes jambes écartées, jouant avec mon Zob. Clémentine raconte notre "soirée maraîchère". La "fondue" pas du tout savoyarde qu'elle a dégusté.

<< T'es tellement salope que tu boufferais toutes les queues ! >> lance Estelle. << Pas toutes. Juste les plus originales ! >> répond Clémentine. Je rajoute : << Les plus dégueux surtout ! >>. Nous rions de bon cœur. Estelle vient s'installer aux côtés de Clémentine. Elles tiennent ma bite. Estelle demande quantité de détails sur cette bite coudée. << Tu sais, les coquillettes coudées, et ben c'est pareil mais avec du jus dedans ! >> explique Clémentine. Je caresse leurs têtes, leurs nuques en riant de cette conversation surréaliste. Je bande.

Que faire par une météo épouvantable ? La meilleure option est de rester bien au chaud. Mes deux anges font le programme de l'après-midi. Judicieuses, sachant tourner les situations à leurs avantages, les filles décident de se consacrer à leurs rédactionnels. Je trouve l'idée excellente. Je vais pouvoir avancer moi aussi dans mes travaux de peintures. Nous dévalons les escaliers pour aller dans l'atelier. Estelle adore allumer les feux. Elle allume immédiatement celui de la cheminée. Clémentine allume son ordinateur. Elle veut me garder près d'elle.

Estelle aussi a ramené son ordinateur. Assises toutes les deux à la table, entourées de leurs fiches, elles se plongent instantanément dans leurs travaux. Je suis debout derrière elles à lisser leurs cheveux. Elles adorent ça. Rien ne détend davantage Clémentine. En relevant leurs cheveux, je me penche pour déposer des bises dans leurs nuques. << Mmhh, tu es tellement doux ! >> murmure Estelle. Je pose mes lèvres exactement au milieu de sa nuque, tenant ses cheveux relevés, je joue avec le bout de ma langue. << Comme c'est bon ! >> dit elle.

Même traitement à Clémentine qui gémit : << C'est trop bon ! >>. Je laisse mes deux anges à leurs travaux. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Le crépitement des flammes dans la cheminée. Les bourrasques de vent qui jettent des paquets de pluie contre la grande baie vitrée. Les filles qui échangent des informations. Quels plus grand bonheur pour peindre dans les plus merveilleux enchantements ! Parfois je me lève pour rejoindre mes anges. Recommencer mes douceurs. Sous leurs gémissements de contentements.

Il est rapidement dix sept heures. Je fais bouillir l'eau du thé sur la petite plaque électrique de l'atelier. Sur le plateau je dispose les crêpes dentelles sèches, légères, roulées en cigare. Je mets l'ensemble sur la table. << Mmhh, tu es un trésor ! >> lance Estelle. << Génial ! >> s'écrie Clémentine. Nous prenons la collation récréative en écoutant Clémentine lire l'entrée en matière du cinquième chapitre de sa thèse. Elle imite l'accent corse de Juliette. Nous sommes pliés de rire. Puis c'est au tour d'Estelle qui lit en imitant mon accent écossais. Rigolades.

Elles reprennent le travail. Je peins dans la plus totale des félicités. Presque dix neuf heures quand Clémentine s'exclame : << Put-hein stop, c'est samedi, merde ! >>. Estelle rajoute : << C'est vrai bordel ! >>. Elles rangent leurs affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Morts de faim nous quittons l'atelier pour la cuisine. On va faire simple. Des coquillettes. Des dos de cabillaud blanc à la poêle. Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la laitue. Préparation rapide où les filles parlent de leurs écrits. Nous mangeons de bon appétit en bavardant.

<< J'ai mes petits machins, je vous rappelle ! >> précise une fois encore Estelle quand Clémentine propose une soirée "baise sur bureau". Je dis : << Estelle, tu vas pouvoir t'adonner à ton plaisir ! >>. Clémentine rajoute : << Tu vas faire ta voyeuse en te tripotant ! >>. Estelle prend un air de dépit en concluant : << J'aime bien me faire baiser sur le bureau moi ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Je rassure Estelle : << Je vais sucer ton clito à chaque "pause" ! >>. Elle s'écrie : << Oh oui ! >>. Pressés, impatients, nous faisons la vaisselle.

Les filles m'entraînent au salon. Rapidement elles retirent leurs jeans, leurs culottes. C'est en chemises à carreaux et en chaussettes qu'elles m'emmènent dans une farandole folle. Estelle improvise des paroles que nous répétons sur une mélodie de comptine. Elles sont sereines après cet après-midi de boulot. Le besoin de se changer les idées aussi. Toutes les deux, assises sur le bureau, miment une masturbation masculine. << Fais-nous du spectacle ! >> lance Estelle. Je les rejoins avec deux épais coussins du canapé. Que je dépose sur le bureau.

Je viens me positionner à quelques mètres devant les coquines. Elles se touchent en m'observant avec le plus grand sérieux. Un peu gêné, confus peut-être, j'agite ma bite toute molle dans leurs directions. Je fais "l'hélicoptère". Je commence à bander sévère. Clémentine se trémousse déjà sur le bureau. Tenant son clitoris géant entre le pouce et l'index comme je le fais avec mon sexe. Nous nous masturbons tous les trois en nous observant. J'adore les entendre gémir. Se mette en apnées. Reprendre leurs souffles en émettant de petits râles.

<< Soirée branlette ? >> demande Estelle. << Put-hein comme c'est bon ! >> lance Clémentine toute rouge et en sueur. Je dois garder mon Levis. C'est juste la queue à l'air que je me branle. C'est la préférence de mes deux anges. Finalement Clémentine me fait signe de l'index. Je viens frotter mon sexe contre le sien. Elle s'allonge sur le dos, la tête posée sur le coussin. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Estelle se penche pour regarder, sans cesser de se toucher. Je reste immobile dans Clémentine parce que nous adorons ça.

Estelle enfonce sa langue dans ma bouche. Sans cesser de se masturber elle m'embrasse jusqu'à nous donner le vertige. Elle gémit autant que Clémentine. Je bande comme un dément. Je bouge avec un rythme lent et régulier. Clémentine se masturbe. Elle adore être pénétrée tout en se touchant. Estelle, couverte de frissons, cesse son baiser pour se coucher sur le dos, la tête sur le coussin. Je me retire. J'enfonce mon doigt dans Clémentine en suçant le clitoris d'Estelle. Toute vibrante, elle pousse de petits cris d'animal blessé. Je suce comme un fou.

Je cesse pour revenir dans Clémentine. J'alterne ces séquences. Nous apprécions tous les trois cette configuration idéale. Les filles couchées sur le bureau. Moi debout. Cela permet de me mouvoir facilement. De passer de l'une à l'autre. L'orgasme d'Estelle la fait hurler en se tournant sur le côté, ses mains entre ses cuisses. Comme souvent, la jouissance de Clémentine étant tellement intense, c'est en pissant dans la cuvette tout en se masturbant qu'elle est happée par un orgasme nucléaire. Elle en hurle de plaisir. Estelle se met à me pomper de joie.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont se partager le jus d'une paire de couilles dodues et pleines. Sous la couette, avant de s'endormir contre leur bienfaiteur...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Classe - 3 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2201 -



Un dimanche des plus "normaux"

Hier matin, dimanche il est un peu plus de neuf heures. Après nos soirées de folies, il est impératif de nous octroyer une grasse matinée. Je suis entre mes deux anges. C'est comme si elles synchronisaient leurs mouvements. Clémentine passe une cuisse sous mes fesses. Pose l'autre sur la main d'Estelle qui vient de saisir mon érection naturelle. Toutes les deux se frottent contre mes hanches. Elles posent leurs lèvres dans mon cou. Comme des ventouses. Jouant de la pointe de leurs langues comme je le faisais hier dans leurs nuques. Des frissons.

Estelle se lève d'un bond. Elle s'est déjà levée tôt il y a trois heures pour aller changer de tampon. C'est le second jour de ses "petits machins". Nous la regardons se précipiter vers la porte. Clémentine, sans cesser son mouvement masturbatoire, se couche sur moi. << Je t'aime. Comme c'était bon hier soir ! >> dit elle en mitraillant mon visage de bises. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Il fait bien chaud dans la maison car les radiateurs fonctionnent depuis six heures. Nous nous vêtons de nos Levis, sweats dans la salle de bain. C'est rapide.

Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Elle est encore en pyjama entrain d'allumer la cuisinière à bois. Les odeurs de café, de pain grillé, parfument la grande pièce. Je presse les oranges. Clémentine pèle les kiwis. Le "chinois" au pudding qui trône au milieu de la table. Estelle vient se frotter contre moi. Je la soulève. Elle passe ses jambes autour de ma taille. Je la promène. Même traitement à Clémentine avant de nous installer. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de plaisirs. De joie.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant quelques occupations pour l'après-midi. Le thermomètre extérieur indique 8°. Le ciel reste gris, bas et menaçant. Même s'il ne pleut plus, tout est humide. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges parlent de leurs études. Le dimanche, pas d'entraînement. Juste le farniente. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Estelle vérifie que ma braguette soit bien déboutonnée. Nous remontons pour nous laver les dents. Estelle se change.

Nous faisons le lit dans la chambre. C'est froid et humide. Il faut refermer les fenêtres. Pressés d'aller constater le climat nous dévalons les escaliers pour mettre nos anoraks. Chausser les bottes en caoutchouc. Nous descendons jusqu'à la rivière. Les filles accrochées à mes bras. Plein d'arbres sont déjà couverts de fleurs blanches. Plein de bosquets, de fourrés sont déjà emplit de fleurs jaunes. << Il manque juste le soleil ! >> lance Estelle qui fourre sa main dans ma braguette. Nous regardons virevolter les poules d'eau, les canards et les colverts.

Prendre le sentier facile de gauche c'est devoir marcher l'un derrière l'autre. Ce matin c'est trop dur. Mes deux anges éprouvent l'envie de rester contre moi. J'ai mes bras autour de leurs épaules. Elles posent leurs têtes sur les miennes. C'est encore un de ces moments de félicité suprême. Il y a de désagréables bourrasques de vents. Souvent violentes. Nous remontons pour remplir deux brouettes d'une vingtaine de bûches chacune. Nous les empilons à côté de la cuisinière à bois, des cheminées du salon et de l'atelier. Estelle adore y allumer de bons feux.

Nous l'assistons. De belles flambées. << Il fera jour une heure de plus ce soir ! >> lance Estelle en remuant les premières braises avec le tisonnier. Tous les trois, devant l'une des deux portes fenêtres du salon, donnant sur le perron en demi lune, nous regardons la campagne. Les filles me tiennent par la taille. Estelle passe devant, moi. Elle s'accroupit pour chercher le locataire de mon slip. Elle en tire un sexe mou qu'elle hume longuement. Elle dit : << Bonjour monsieur Schlinguo ! >>. Clémentine se penche en demandant : << Ça schlingue déjà ? >>

Toutes les deux, accroupies entre les vitres et moi, reniflent ma biroute. Nous rions aux éclats. Elles se redressent en se blottissant. Je les serre contre moi. Estelle saisit ma queue. C'est elle qui enfonce sa langue dans ma bouche. Mon érection est immédiate quand elle m'embrasse avec tant de fougue. Il subsiste le goût de la brioche. C'est pareil dans la bouche de Clémentine. Nous en avons rapidement les mentons trempés de salive. C'est excitant. << J'ai mes petits machins docteur, je peux avoir un peu de votre sirop ? >> demande Estelle.

Elle n'attend pas ma réponse pour s'accroupir à nouveau. Cette fois elle gobe l'extrémité de mon sexe pour mâchouiller la peau de mon prépuce. Clémentine, la tête contre ma poitrine, tenant mon sexe à sa base, le maintient dans la bouche d'Estelle. Je caresse ses cheveux. Je serre Clémentine contre moi. Cette léchouille devient rapidement fellation. Clémentine m'embrasse à nouveau. Estelle tombe à genoux, prise au jeu de sa passion. Elle me tient par les fesses. Je me fais tailler une pipe des familles. Clémentine se penche pour approcher sa tête.

Son visage tout près de celui d'Estelle pour lui chuchoter : << Il faut respecter la posologie. Pas plus de quelques gouttes avant le repas ! >>. Estelle glousse en riant. Elle cesse de sucer pour offrir ma turgescence à Clémentine. Pendant que Clémentine s'offre son plaisir Estelle se redresse pour me montrer l'intérieur de sa bouche. Des filaments de foutre qui se diluent avec sa salive. Tout comme Clémentine Estelle adore tout garder en bouche le plus longtemps possible. J'aide Clémentine à se relever. Elle aussi me montre ce qui fond dans sa bouche.

Nous restons serrés. C'est tellement bon de ne rien faire. De profiter de l'instant. J'ai mes mains dans les culottes. J'aime titiller leurs clitoris. Il est onze heures quarante cinq. Nous quittons le salon pour la cuisine. Nous épluchons les pommes de terre, les carottes, les navets et le céleri. Nous lavons avant de couper en petits morceaux. Ça cuit très vite dans la vieille cocotte en fonte. Clémentine prépare la salade de tomates. Estelle fait rissoler trois beaux pavés de saumon dans la poêle. Je remue les légumes afin de les décoller sans cesse.

Nous mangeons de bon appétit en décidant de l'après-midi. Je propose de prendre la voiture. De rouler doucement. De nous laisser gagner par l'inspiration. D'aller voir à quoi ressemble le port de plaisance sous un ciel aussi morose. Assises sur mes genoux, mes deux anges affinent la proposition. << Je veux être assise devant avec Clémentine ! >> précise Estelle. Je ne veux pas en entendre parler. Je dis : << On va finir par se faire gauler et je vais ramasser une prune ! >>. Estelle éclate de rire en répondant : << Les flics sont occupés à matraquer ! >>

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. C'est en faisant les clowns que nous nous lavons les dents devant le miroir de la salle de bain. Les rigolades. Impatients de partir, nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks. Chausser les bottines. Je sors la voiture. Je roule doucement. Clémentine assise sur le siège passager qui joue avec ma queue. Estelle à l'arrière qui caresse mes joues, mon cou. Il est entendu que pour le retour, Estelle sera devant. Il y a trente cinq kilomètres par les routes. Nous arrivons au port de plaisance pour 14 h30.

Je gare l'auto sur le parking de la supérette. Malgré la météo maussade, il y a du monde sur les quais. Principalement des familles. Quelques couples. Les bateaux sont encore bâchés. Accrochées à mes bras mes deux anges m'entraînent. Nous flânons. Comme sous mon anorak la braguette est ouverte Estelle y fourre souvent sa main. Pas toujours aussi discrètement qu'il serait souhaitable. Comme sa main est froide, elle se contente de palper la bosse dans mon slip. Je lui en suis reconnaissant car rien n'est plus désagréable que le contact du froid. Dans le slip.

Nous ne regrettons pas d'êtres venus jusque là. Nous adorons cet endroit. Les toilettes publiques sont fermées pour cause de rénovation. << On va pisser où alors ? >> lance Estelle. << Derrière les fourrés comme on aime ! >> s'écrie Clémentine. Avec cette météo, les culs nus ne le restent que le temps de pisser. Je suis debout entre mes deux anges à faire le guet. Avant de les torcher soigneusement toutes les deux. J'ai envie de les lécher mais c'est difficilement possible. Avec l'humidité, le froid, les gens qui passent à proximité. Nous flânons donc.

Dans le restaurant, au bout du quai, il fait bien chaud. Il reste quelques tables. C'est devant de bons chocolats chauds et fumants que nous faisons des plans sur la comète. D'ici quelques semaines nous espérons pouvoir venir jusqu'ici sur nos bicyclettes. Ça nous manque cruellement. C'est dimanche. C'est bruyant. Les familles et leurs progénitures. Nous ne traînons pas trop. Mauvaise surprise en sortant. Les premières gouttes de pluie. Nous accélérons le pas en nous couvrant des capuches de nos anoraks. C'est très moche. Nous rejoignons l'auto.

Comme promis, Estelle s'installe à l'avant. Clémentine à l'arrière. Je roule doucement. Le mouvement des essuies glaces. Estelle qui me taille une pipe. Se relevant par instants pour voir si on est encore loin de la maison. << C'est bon ? >> demande Clémentine à l'arrière, sa main dans sa culotte. << Je prends mon médoc ! >> répond Estelle en se redressant. J'adore me faire pomper en roulant. C'est divin. Par petites contractions des muscles fessiers je fais bouger mon sexe dans la bouche d'Estelle. Ce qui facilite les montées de liquide séminal.

Il est un peu plus de dix sept heures trente quand nous revenons à la maison. J'ai le bas ventre congestionné. La position assise sur le siège conducteur en est la cause. << Je vais soigner ça ! >> lance Estelle lorsque nous nous débarrassons de nos anoraks. Nous préparons un thé. Des crêpes dentelles sèches, légères, roulées en cigares sur le plateau. Nous voilà au salon. Vautrés dans le canapé. Un film de nos vacances dans les Alpes il y a trois ans. Je suis entre mes deux anges. Estelle joue avec ma queue. L'une ou l'autre se penche parfois. Sucette.

Les images sur l'écran géant du téléviseur nous rappellent des moments de découvertes. << Là je t'ai sucé ! >> lance Estelle. << Là on a fait un film de ton pissou ! >> lance Clémentine. Nous rions aux éclats. Le crépitement du feu dans la cheminée. C'est toujours étrange le premier jour du changement d'heure. Ça déphase un peu. Il est presque dix neuf heures. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il commence à faire faim. Nous quittons le salon pour la cuisine. Il suffit de réchauffer la potée de légumes. Clémentine prépare une salade d'endives.

Estelle nous concocte son omelette aux fromages des dimanches soirs. Nous mangeons de bon appétit. Je propose aux filles une soirée léchage de minou. Comme le dimanche nous ne prenons pas de douche, l'idée de ce qui macère dans les culottes de mes deux anges me perturbe déjà considérablement. Je ne suis d'ailleurs pas obligé de le proposer une seconde fois. Nous faisons la vaisselle à toute vitesse. Les filles m'entraînent au salon. Elles se désapent. Juste en sweats, en chaussettes, vautrées dans le canapé elles m'offrent mon dessert.

Je suce le clitoris d'Estelle. J'adore la taquiner en tirant légèrement sur la ficelle de son tampon. << Arrête ! >> murmure t-elle entre deux gémissements de plaisir. Je suis à genoux sur les épais coussins. Pas de tampon chez Clémentine. Je m'enivre de ses sucs. Ces jus de fille qui me donnent des frissons, des vertiges et des émotions indicibles. Quand je ne suce pas son clitoris géant, Clémentine se masturbe en se faisant fouiller de ma langue exploratrice. Comme presque à chaque fois, c'est en pissant, accroupie au-dessus de la cuvette, qu'elle jouit.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont s'offrir une bonne pipe, sous la couette, avant de plonger profondément dans le sommeil. Demain il y a "école"...

Julien.



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Classe - 4 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2202 -



Un extraordinaire lundi soir

Hier matin, lundi, l'application "océan" nous arrache du sommeil. Il est presque six heures quand l'assourdissant cri des oiseaux de mer résonne dans la chambre. Ce n'est bien évidemment que l'illusion distribuée par nos téléphones. Posés sur nos tables de nuit. Clémentine, en gémissant, vient se blottir contre moi. Cherchant la volonté nécessaire pour se réveiller. Je la serre fort. Moi aussi j'ai besoin de m'imprégner de cette force. L'impérieux besoin de pisser est alors une aide précieuse. Nous nous précipitons jusqu'aux toilettes. Très vite.

Dans la salle de bain nous revêtons nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra rouge. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. J'allume immédiatement la cuisinière à bois. Le froid étant revenue, les radiateurs venant de se mettre en fonction, c'est une nécessité. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis en me racontant son rêve. Le reste de brioche du lundi matin que je place quelques instants dans le four à micros ondes. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les moments forts de ce week-end déjà passé.

Nous mangeons de bon appétit en survolant différentes possibilités pour le repas de ce soir. Ce seront des bouchées à la reine. Julie en raffole. Nous aussi. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Nécessité absolue si nous voulons émerger complètement. Les échauffements de l'aérobic, du jogging sur tapis roulants sont parfaits. Les exercices au sol, les abdos viennent parfaire la condition obligatoire pour attaquer les charges additionnelles. S'en suivent les traditionnels étirements d'un bon stretching. Avant la douche.

Je dévale les escaliers le premier pour aller faire chauffer la voiture. Il est presque 7 h45. Il ne pleut pas. Hélas le froid est à nouveau glacial. Le ciel est sinistre. Clémentine vient me rejoindre déguisée en esquimau. Un dernier bisou. C'est dur de nous séparer encore ce lundi matin. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou et je m'empresse de rentrer au chaud. Ce hiver qui n'en finit pas est désespérant. Je fais la vaisselle, le lit avant d'allumer une belle flambée dans la cheminée de l'atelier.

Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. Je vais probablement terminer en fin de matinée ce quatrième paysage destiné à ma saison d'été. La vingtième toile pour le stock nécessaire. Je peins dans la sérénité d'une mission accomplie. En poussant des cris surréalistes à chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent. Il est aux environs de dix heures lorsque la musique imbécile de mon téléphone le fait vibrer parmi les tubes de peinture alignés sur la desserte à ma droite. Arraché à mes introspections je m'en saisis.

Quelle surprise. C'est Julie. Elle m'appelle depuis les toilettes de la faculté de Lettres. Entre deux cours. << Bonjour Julien. Je suis triste. Il m'est impossible de venir ce soir. Ma mamie vient en convalescence à la maison pour la semaine ! >> m'informe t-elle. Je la rassure. << On se voit vendredi après-midi ? >> demande t-elle. Je réponds : << Nous, on ne bouge pas. C'est quand ça va pour vous ! >>. Julie est très "famille". C'est très bien. Elle n'a que quelques minutes. Aussi, nous abrégeons. Nous nous saluons. << À vendredi ! >> dit elle encore. Tristounette.

Je peins en pensant à cette adorable jeune fille de vingt et un an. Une personnalité remarquable. Sans doute appelée à un avenir brillant et prometteur. Il est onze heures trente quand je dépose la dernière pointe de noir de mars sur la surface de ma toile achevée. Je la place sur le second chevalet afin qu'elle y sèche sous un linge la protégeant de la poussière. Je dépose une nouvelle toile sur son support. Le dessin préparatoire et la couche d'impression étant déjà effectués, dès cet après-midi je n'aurai plus qu'à commencer cette toute nouvelle œuvre.

Je mets deux bûches dans la cheminée avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer le reste de potée de légumes. Un filet de colin poêlé, une salade de concombre. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans son émission André Bercoff reçoit un économiste. Il est question des faillites répétées qui guettent les banques. Comme cela vient de se passer pour certaines d'entre elles aux États-unis. Je ne m'inquiète pas. Je n'ai pas mis tous mes œufs dans le même panier. Mon argent est à l'abri. Loin des magouilles françaises.

Pour accompagner les bouchées à la reine, je fais cuire de petites coquillettes à la farine complète. Je coupe en fines lamelles un beau pavé de saumon que je fais rissoler dans la poêle. J'y rajoute des champignons finement émincés. Ail, oignon, persil, ciboulette. Je verse l'ensemble dans une belle Béchamel. J'y rajoute du gruyère alpestre finement râpé. J'égoutte les coquillettes. Je remplis les trois grosses bouchées à la reine de la garniture. Je les pose dans le grand plat carré en terre cuite. Je les cale convenablement avec les coquillettes.

Je place les couvercles en pâte feuilletée. Je recouvre le tout d'une couche de gruyère suisse, de chapelure et de graines de sésame grillé. Quelques cerneaux de noix avant de mettre le tout au four électrique. Il faut que ça mijote longtemps à feux doux. Pas plus de 160°. Je fais la vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller faire le tour de la propriété, je dévale l'escalier pour enfiler mon anorak. Il pleut. C'est donc sous le parapluie, chaussé de mes bottes en caoutchouc que je descends jusqu'à la rivière. De désagréables bourrasques de vent.

Il est 13 h50 quand je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. J'attaque mon cinquième paysage. Je peins habité de la même sérénité que ce matin. Sans voir passer les heures. De toute manière, depuis quelques années, passée la cinquantaine, j'ai l'impression d'être monté dans un TGV. Je sais qu'il est aux environs de 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table avant de se précipiter vers moi. En sautillant. En s'écriant : << Je t'aime. Tu me manques encore davantage tous les lundis ! >>

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Son après-midi en salle de documentation avec Estelle et le groupe de seize étudiants dont elle fait partie. Je lui apprends que Julie ne viendra pas ce soir. << J'adore quand on est juste toi et moi. C'est à la fois triste et merveilleux ! >> lance t-elle en mitraillant mon visage de bisous. Clémentine a encore quelques notes à mettre au propre, à intégrer à son rédactionnel. Elle ne s'attarde pas. Assise devant son ordinateur elle s'y met.

Comme cette heure d'émulation est constructive ! C'est un peu comme si nous étions l'un pour l'autre une source d'inspiration. J'aime l'entendre chantonner. Redevenir sérieuse en relisant sa phrase. Il est dix huit heures quarante cinq quand elle se lève d'un bond en s'écriant : << Put-hein ras le bol ! >> Pendant qu'elle range ses affaires, je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine vient me rejoindre devant le petit lavabo de l'atelier où je me lave les mains. Elle saisit ma bite posée sur le rebord pour en diriger les multiples petits jet. Avec soin.

<< Je t'aime. Tu sais que je n'arrête pas de penser à ce qui s'est encore passé vendredi soir ! >> me confie t-elle. Je la félicite. Elle rajoute : << C'est con mais je culpabilise d'aimer autant ça avec d'autres mecs ! >>. Je la rassure. << Tu ne devrais pas. Imagine un peu le nombre de femmes qui ont des fantasmes inavouables et qui sont dans l'impossibilité intellectuelle de les mettre en application. Simplement parce que le degré de complicité avec leur compagnon de vie n'est pas au niveau requis. Tu as l'extraordinaire privilège de l'avoir établi ! >>

<< Je t'aime ! >> chuchote Clémentine rassurée, en s'accroupissant pour récupérer les derniers épanchements. Je la regarde sucer en la tenant par les oreilles. Elle maintient son équilibre en passant ses doigts dans ma ceinture. Je compare mentalement cette image à celles de vendredi soir. Quand elle avait la bite coudée du maraîcher en bouche. Je l'aide à se redresser en disant : << Je te promets une belle soirée ! >>. Elle se blottit dans mes bras en murmurant : << Toutes mes soirées sont belles avec toi. Je t'aime Julien ! >>. Nous quittons l'atelier.

Pendant que Clémentine prépare l'assaisonnement des endives, je sors les bouchées à la reine du four électrique pour les mettre dans le four de la cuisinière à bois. Il est hyper chaud. Il faut prudemment surveiller cette seconde cuisson. Je mets les assiettes, les couverts. Je passe derrière Clémentine. Je pose mes lèvres dans sa nuque. Ses cheveux noués en catogan permettent de jouer avec ma langue en caressant ses seins minuscules. << Mmmhh, c'est bon. Tu t'occupes si bien de moi ! >> lance t-elle dans un souffle en remuant la salade.

Je dis : << Et tu n'as pas tout vu ! >>. Elle se tourne pour enfoncer sa langue dans ma bouche. Nos baisers sont toujours passionnés. Je suis rapidement en érection. Une grosse bosse sous mon tablier. Je pose mes mains sur les épaules de Clémentine pour la faire s'accroupir. Je relève mon tablier pour frotter ma queue sur son visage. Elle est un peu surprise. Je lui enfonce la bite dans la bouche en la tenant par les oreilles. Je bouge doucement dans un lent mouvement masturbatoire. Clémentine glousse de plaisir. Mes initiatives qui la surprennent.

Je l'aide à se relever. Je la tiens par son catogan en disant : << C'est un avant goût de ce que je te réserve ce soir ! >>. Elle s'écrie : << Je t'aime ! >>. Je sors le plat du four. Nous mangeons de bon appétit en savourant ce repas délicieux. Clémentine revient sur la "fondue" pas du tout savoyarde de vendredi dernier. De la proposition du maraîcher. Philippe qui suggère de la chercher un soir, après les cours, à l'université pour l'emmener faire un tour en voiture. La faire sucer pendant qu'il conduit. Prétendant que c'est son truc préféré. Son fantasme ultime.

Quand j'encourage Clémentine à accepter elle répond invariablement : << Non. Je ne veux pas commencer ce genre de truc. C'est bien quand je sais que tu n'es pas loin. Sinon ça ne m'intéresse pas ! >>. Elle rajoute : << Par contre on peut s'organiser un "plan" où Philippe ne sait pas que tu es dans les environs ! >>. Nous avons appliqué cette formule d'innombrables fois. Elles nous conviennent à la perfection. De me savoir caché pas loin permet à Clémentine de s'adonner à sa passion pour la fellation à des inconnus en toute quiétude. Un bon truc.

Je me lève. Cette conversation entretient mon érection. Je frotte mon sexe contre la joue de Clémentine qui mâche. Elle avale pour prendre ma bite en bouche. Je la saisis à chaque fois par la nuque en murmurant : << Tu fais de ma vie un enchantement paradisiaque ! Même dans mes rêves libidineux les plus fous, jamais je n'aurais espéré vivre avec une si merveilleuse salope ! >>. Ce n'est pas tout à fait vrai. Avec Christine, ma compagne disparue, j'ai vécu dix huit années de délicieuses turpitudes. Je suis abonné aux vicieuses. Au délicieuses salopes.

La vaisselle. J'entraîne Clémentine en la tenant fermement par ses cheveux. Je lui fais faire le tour du salon à trois reprises. Elle marche derrière moi, penchée en avant, tenue d'une poigne de fer. Je jette un des épais coussins du canapé au sol. Je la fais mettre à genoux. Dans ce réflexe propre aux authentiques "Soumises", Clémentine croise ses doigts, mains sur la tête. Fière et droite. Je frotte ma bite sur son visage. Avec l'excitation il y a des coulures de liquide séminal qui le macule. Je la tiens à nouveau par ses oreilles, ma queue dans la bouche.

J'ai de légers mouvements du bassin en me masturbant dans sa bouche. Je me penche pour chuchoter des douceurs. J'y mêle quelques vulgarités qui la font glousser. Rire la bouche pleine. Je dis : << On va chacun de notre côté imaginer un "plan Philippe". Puis on met les détails au point. Je veux absolument te voir te régaler d'une bonne "fondue" ! >>. Clémentine redouble d'ardeur dans sa pipe. Elle ouvre les yeux, lève la tête. Sans cesser de sucer elle m'adresse un regard plein de reconnaissance. Je me retire pour frotter ma queue sur sa gueule.

Je demande : << Tu veux baiser tout de suite ou tu préfères au lit ? >>. Clémentine s'écrie : << Je veux sucer ! >>. La fellation restant la préférence de Clémentine, je la laisse s'adonner à son plaisir cérébral autant que gustatif. Je l'aide à se redresser pour la faire s'assoir sur la chaise. Le dossier entre ses cuisses écartées, les mains derrière le dos, Clémentine se régale de mes abondants épanchements de foutre. Je pourrais éjaculer au fond de sa gorge tellement c'est bon. Mais je le ferai au lit, après l'avoir pénétré et baisé comme elle aime. Nos passions.

Bonne nuit à toutes les coquines qui adorent les soirées en tête à tête avec leur coquin. Les soirées bouche à pipe, à se régaler de jus de couilles après une bonne baise...

Julien



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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 5 - Tous droits réservés - © - 2023 - Épisode 2203 -



La Flamiche Picarde du mardi soir

Hier matin, mardi, c'est la sirène de ce gros bateau dans le lointain qui nous réveille. Une des illusions de l'application "océan". Il est presque six heures quand suivent les cris stridents des mouettes. Clémentine se serre contre moi. Dans un mouvement masturbatoire elle chuchote : << Viens, fais-moi comme lundi soir ! >>. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Nous passons nos fringues de gym dans la salle de bain. Morts de faim nous dévalons les escaliers. J'allume immédiatement la cuisinière à bois dans la cuisine bien froide.

Clémentine fait le café. En pressant les oranges, en pelant les kiwis elle me raconte ses rêves. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de folies à deux. << J'adore être seule avec toi. C'est trop rare Julien ! >> dit elle en venant terminer sa tartine de confiture sur mes genoux. Des bisous qui collent sur nos lèvres au goût sucré. Nous mangeons de bon appétit en envisageant différentes options pour le repas de ce soir. Je propose que ce soit une surprise. << Oh oui ! J'adore découvrir ce que tu as préparé ! >> lance t-elle.

Il est 6 h25. Nous remontons. C'est l'heure de l'entraînement qui va nous permettre de nous réveiller complètement. Aérobic et jogging sur tapis roulants. Ça le fait. Exercices au sol, abdos. C'est mieux. Les charges additionnelles. Là, c'est bon. Nous terminons par de rapides étirements d'un stretching bâclé. La douche. Je redescends pour aller préparer l'auto. Il fait froid. Il ne pleut pas et le ciel est plutôt dégagé. C'est ce maudit vent de Nord Est qui impose cette désagréable sensation de fraîcheur hivernale. 7 h45. Clémentine vient me rejoindre.

Chaudement vêtue elle me fait un dernier bisou en posant sa main sur ma braguette. << Tu me refais ce soir ? >> lance t-elle en s'asseyant au volant. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud. Les radiateurs, pilotés par thermostat, s'enclenchent à six heures du matin. Il faut environ une demi heure pour que la maison soit bien chaude. Je fais la vaisselle, notre lit avant de passer dans l'atelier. J'y allume un beau feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. Tout en chantonnant.

Je m'attelle aujourd'hui au cinquième paysage destiné à ma saison d'été. Je peins en pensant à hier soir. Le bonheur qui nous unit depuis plus de six ans. C'est absorbé dans ces introspections que je m'abstrais dans une peinture figurative. Il est presque midi. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer la troisième bouchée à la reine. Avec une salade de carottes. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. L'émission hautement instructive, souvent passionnante de ce cher André Bercoff.

Je compose mentalement l'élaboration de la Flamiche Picarde. Cette tourte aux poireaux qui va faire notre régal de ce soir. J'étale les deux tiers de la pâte feuilletée dans le grand plat aux bords hauts. Je lave et coupe deux gros poireaux. Je les passe dans l'autocuiseur cinq minutes. Je les égoutte pour les rajouter à la Béchamel que je viens de faire. J'y mets du gruyère suisse râpé. Je recouvre du denier tiers de pâte feuilletée que je jointe consciencieusement. Je badigeonne du mélange œuf, moutarde, lait de soja. Au four électrique. Cuisson à 180°.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Il y a du soleil. Le ciel reste principalement bleu. Même s'il a tendance à se voiler de plus en plus. Je dévale les escaliers pour enfiler l'anorak. Le thermomètre extérieur indique 14°. Le vent est toujours aussi désagréable. Je descends jusqu'à la rivière. Il est 13 h50 quand je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé des pensées libidineuses concernant la soirée. Je me promets de réserver de coquines surprises à Estelle. Elle n'aura plus ses "petits machins" de fille.

L'après-midi passe aussi vite que la matinée. Clémentine rentre de cours. Il est 17 h30. Elle pose son cartable sur la table avant de se précipiter pour s'installer à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou, ponctuant chacune de ses phrases d'un bisou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Son après-midi en salle de documentation. La rédaction du cinquième chapitre de sa thèse. Elle attaquera le sixième dès demain après-midi, à condition de terminer ce soir. Aussi, elle ne s'attarde pas. Un dernier bisou.

Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, Clémentine se plonge dans ses écrits. Je peins animé d'une inspiration nouvelle. Il est dix huit heures quinze. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je rejoins Clémentine. Elle défait ses cheveux. Debout derrière elle, j'y passe mes doigts. Pour Clémentine c'est un véritable retour au calme. Tout en lisant ses derniers paragraphes, elle se laisse coiffer avec délectation. Il est dix huit heures trente. << Là, put-hein j'en ai marre ! >> s'écrie t-elle en commençant à ranger ses affaires. Je vais au petit lavabo.

La queue toute molle posée sur le rebord, je me lave les mains. Clémentine s'empresse de venir me rejoindre. Me tenant la bite pour en diriger les jets, elle me dit : << Si seulement Juliette pouvait avoir un empêchement demain soir. On serait juste toi et moi ! >>. Nous en rions de bon cœur. Et quand je ris Clémentine doit contrôler la puissance de mes jets car je risque d'éclabousser partout. Sous le mince filet d'eau chaude qui coule du robinet. Accroupie, savourant les dernières gouttes, Clémentine me fixe de son regard emplit de reconnaissance.

Je l'aide à se redresser. C'est devenu un rituel. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. Je la promène dans tout l'atelier. << Je t'aime ! >> dit elle entre chaque baiser, à chaque arrêt. Je murmure : << J'ai envie de te faire l'amour. J'ai pensé à toi toute la journée ! >>. Clémentine en glousse de bonheur en enfonçant sa langue dans ma bouche. Je l'assoie sur la table. Mon érection contre son Levis, entre ses cuisses. << Prends moi ! >> lance t-elle dans un souffle. C'est le moment que choisit Estelle pour faire son apparition. Sublime.

Elle se précipite : << Bonsoir ! Et moi, je sens le pâté ! >> s'écrie t-elle en saisissant ma queue dure comme le bois. Clémentine éclate de rire en disant : << Mais tu ne te fais plus chier toi ! >>. Estelle enfonce sa langue dans ma bouche. Je caresse les seins minuscules de Clémentine qui tient mes poignets pour que surtout je n'arrête pas. Nous sommes tellement heureux tous les trois. Estelle et Clémentine passent leurs journées ensemble à l'université. Depuis le collège, quand elles avaient douze ans, elles ont toujours tout partagé. Même moi.

<< On nique comme des fous ce soir, d'accord ? >> s'exclame Estelle. Il commence à faire faim. Clémentine dit : << Après la bouffe ! >>. Elle saute de la table, prend nos mains pour nous entraîner. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Nous enfilons nos tabliers. Je noue celui de Clémentine qui noue celui d'Estelle qui noue le mien. De beaux nœuds sur les reins. Quand mes deux anges découvrent ce que je tire du four électrique pour le placer dans le four à bois, c'est la fête. << Trop génial ! >> s'écrie Estelle. << Trop bien ! >> s'écrie Clémentine.

Clémentine qui fait l'assaisonnement de la salade de concombre. Estelle qui met les assiettes et les couverts. Je passe mes mains sous ses aisselles pour caresser ses seins minuscules. << Trop bon ! >> murmure t-elle. Je fais pareil à Clémentine qui chuchote : << Trop bien ! >>. Dans le four à bois hyper chaud, pas de thermostat. Il faut donc rester vigilant. Quand je m'accroupis devant la vitre pour surveiller, Estelle s'accroupit derrière moi pour palper la bosse sous mon tablier. Clémentine vient s'accroupir à côté de moi. Tous les trois accroupis.

Je mets les maniques pour ne pas me brûler. Je sors la Flamiche Picarde du four. Fumante, odorante, dorée. Estelle fait une photo. Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent les chapitres de leurs thèses. Il en faudra huit avant les vacances de Pâques. Il y en aura déjà six en fin de semaine. << L'épilogue est toujours plus simple que le prologue ! >> précise Clémentine. << J'ai toujours du mal à conclure ! >> réplique Estelle qui se lève pour mimer une masturbation masculine. Avec toute cette adorable vulgarité dont elle est si coutumière.

Clémentine mime une pipe, poing fermé qu'elle tourne devant sa bouche, faisant une bosse à l'intérieur de sa joue. Je me lève pour lever mon tablier, agiter ma queue vers l'une, puis vers l'autre. << Ça fait presque six ans que ça dure. Comment pourra t-on vivre autrement ! >> lance Estelle avec un regard interrogateur pour Clémentine qui répond : << Je ne veux même pas y penser ! >>. Je rajoute : << Pourtant il faudra y penser un jour. Oncle Julien deviendra papy Julien. Et vous n'êtes pas infirmières d'EHPAD ! >>. Elles éclatent d'un rire sonore.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Pressées de retourner à nos folies du mardi soir, mes deux anges m'entraînent par les mains. Elles me font tomber dans le canapé. << Branle-toi ! >> me fait Estelle avant de filer avec Clémentine pour monter sur le bureau. Pauvre bureau victorien, centenaire, n'as-tu donc vécu que pour tant d'infamie ? Je regarde, amusé, mes deux coquines entrain de retirer leurs bottines, leurs Levis, leurs culottes qu'elles balancent n'importe où en riant. Estelle fait tournoyer sa culotte en riant aux éclats. Je me masturbe.

Toutes les deux, synchrones, s'assoient sur le bord du bureau, les pieds dans le vide. Mains entre leurs cuisses, elles me fixent. Ce regard suggestif, féminin jusqu'au vertige, par en-dessous, avec un sourire énigmatique. Je prends deux épais coussins que j'emmène pour rejoindre mes deux anges. Elles pourront y poser leurs têtes une fois allongées sur la surface du bureau. Cette partie de vieux cuir gris et craquelé par les années est confortable. Toutes les deux se touchent. Je me place entre les cuisses de Clémentine. Elle m'attrape par le cou.

Je frotte mon sexe contre le sien. Elle ferme les yeux pour bouger. Synchronisant son rythme avec le mien. Je passe à Estelle pour faire pareil. Elle m'attrape fermement la queue pour se l'introduire. << Toi, tu es impatiente ! >> lance Clémentine. << J'ai pas baisé depuis six jours. Et il faut que je m'entraîne pour demain soir ! >> répond Estelle en prenant appui sur ses coudes quand je suis complètement enfoncé. Puis, elle se laisse tomber sur le dos. Se touchant d'une main. Je saisis ses chevilles pour la baiser à la hussarde. Comme elle aime.

Je passe à Clémentine. Avec elle c'est beaucoup plus calme. En quelque sorte c'est dans Clémentine que je reprends des forces. C'est dans Estelle que je les mets à profit. Je suis en sueur quand je quitte Estelle. Parfois je me penche pour sucer les clitoris. Les gémissements stéréophoniques redoublent alors d'intensité. Je fourre l'une en doigtant l'autre. Elles n'arrêtent pas de se toucher les clitoris. Je baise façon homme des bois, poussant des cris d'ours en rut. Je suis à la fois dans l'action et au spectacle. L'orgasme d'Estelle la fait hurler de plaisir.

Soudain propulsée à des hauteurs de jouissances folles, elle me repousse pour se coucher sur le côté, comme en proie à une souffrance insoutenable. Son corps frissonnant de spasmes. C'est merveilleux. Clémentine, accroupie au-dessus de la cuvette, se masturbe en pissant. C'est sa manière à elle de s'offrir un orgasme cataclysmique. J'adore passer ma main quand c'est fini, Elle est trempée. J'enfonce un doigt. Clémentine s'assoit pour m'offrir sa chatte. Elle sait à quel point j'aime me régaler de tous ses jus, de tous ses sucs et de ses substances.

Nous reprenons nos esprits. Comme toujours Estelle, en se rhabillant la première, me demande : << Et toi ? On ne pense toujours qu'à nous ! >>. Je la rassure : << Ce sera dans la bouche de Clémentine, tout à l'heure, sous la couette ! >>. Clémentine s'habille en répondant : << Tu n'imagines pas comme c'est bon sous les draps avant de dormir ! >>. Il est presque 22 h. Nous raccompagnons Estelle dans la nuit glaciale. Assise au volant de sa voiture elle me dit : << Tu penses à moi demain soir ! >>. Nous rions. Clémentine dit : << Bonne baise ! >>

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont se régaler d'une bite juteuse. Vider des couilles pleine à ras bord de foutre bouillonnant...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
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