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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 6 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1812 -



Quand Juliette vient passer la soirée à la maison

Hier matin, mercredi, nous sommes arrachés de nos sommeils par l'application "océan". Il est presque six heures. L'illusion de nous réveiller en bord de mer. Le cri des oiseaux de mer. La sirène d'un cargo. Les clapotis de l'eau. Clémentine vient se blottir contre moi en murmurant des choses incompréhensibles. Déjà amusé, je la serre fort avec plein de bisous. Quelques papouilles. Il faut se lever. C'est dur. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, habillés de nos leggings de lycra noir, de nos sweats en lycra jaune, nous dévalons les escaliers.

La cuisine est encore froide car le thermostat des radiateurs vient de s'enclencher. J'allume un feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Je récupère les quatre premières tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos délicieuses folies à trois de hier soir. Je dis : << Ce soir, je te fais la même chose devant Juliette ! >>. Clémentine saisit ma main pour répondre : << J'en frissonne. Ce mélange de honte et d'excitation devant cette vieille pouffe ! >>. Rires.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant la présence d'Estelle. Clémentine la verra aujourd'hui en cours. Il est 6 h25. Nous montons nous livrer à notre heure de gymnastique. Nous tentons bien d'y mettre le maximum de conviction. L'aérobic, le jogging sur les tapis roulants, les exercices au sol, les abdos, tout cela est assez poussif. C'est lorsque vient la séquence consacrée aux charges additionnelles que le réveil est brutal. Intensité maximale car il n'y a pas d'autre choix. Le retour au calme d'un stretching concis. C'est enfin le moment de la douche.

Je descends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Le ciel est gris et menaçant. La fraîcheur humide est désagréable. Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak. Il est presque 7 h45. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je rentre vers la douce chaleur qui règne dans la maison. Je fais la vaisselle, le lit avant de passer dans l'atelier. J'allume le feu de la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. Je vais terminer cette toile en fin de matinée. Sûr !

Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser des cris totalement surréalistes. Je ponctue chacun des coups de pinceaux les plus sublimes d'un << Olé ! >>. Il est 11 h45 quand je dépose la dernière touche de terre de Sienne sur la surface du tableau achevé. Cette sixième scène de genre destinée à ma saison d'été va pouvoir sécher tranquillement sur un second support. Je pose la nouvelle toile dont le dessin préparatoire et la couche d'impression sont déjà réalisés depuis l'automne dernier. Je mets deux bûches dans la cheminée.

Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer le reste de coquillettes en cassant un œuf dessus. De préparer une salade de carottes. De faire revenir un filet de lieu noir avec des champignons. C'est rapide. J'écoute Sud Radio. André Bercoff est encore dans tous ses états avec son invité. Une autre vision des évènements. Sud Radio étant une station n'appartenant à aucun groupe financier la liberté d'expression y est véritable et totale. De quoi s'inquiéter des mensonges "officiels" imposés par les autres médias. Je mange de bon appétit.

La pâte feuilletée a décongelé. J'en étale les deux tiers dans un grand plat à tarte aux bords hauts. Je lave et coupe en fines tranches deux grosses courgettes, deux gros bolets, une belle aubergine. Je dépose les tranches en spirales sur la pâte feuilletée. Je concocte une Béchamel à laquelle je rajoute du gruyère de Comté finement râpé. Persil, ciboulette, ail, échalote. Je verse la garniture sur les légumes. Je recouvre le tout du dernier tiers de pâte feuilletée. Je jointe soigneusement les bords. Je badigeonne du mélange œuf, moutarde, lait.

Au four électrique pour une cuisson lente à 180°. Plus longtemps ça mijote, meilleur c'est. Ce sera notre repas du soir. La vaisselle. Je monte me laver les dents. La préparation culinaire me rend toujours optimiste et serein. C'est une authentique thérapie de calme et de repos. Je descends à toute vitesse pour enfiler mon anoraks. C'est sous le parapluie que je traverse la pelouse en restant sur les dalles de grès. Deux voyages avec la brouette emplie d'une vingtaine de bûches. De quoi renouveler le stock des deux cheminées, de la cuisinière à bois.

Il est 13 h45 quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. La peinture de cette septième scène de genre m'accapare rapidement et totalement. Je peins avec le même enthousiasme que ce matin. L'après-midi passe à une vitesse stupéfiante. Il est 17 h30 quand Clémentine revient de cours. Elle se précipite pour sautiller tout autour de moi. << Je t'aime ! >> s'écrie t-elle en s'asseyant sur mes genoux. Comme il est bon de vivre avec un être optimiste, plein d'énergie et d'entrain. J'en savoure une fois encore le doux privilège.

Clémentine, ses bras autour de mon cou, me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Elle a encore du travail. Aussi la voilà assise devant son ordinateur entourée des notes prises en cours. J'aime l'écouter chantonner. Ce soir encore elle commente ses écrits en imitant les prononciations théâtrales d'une actrice. Surtout lorsqu'elle tourne autour de moi, une feuille à la main, pour me faire une lecture. Les premières moutures d'un écrit qu'elle devra rendre vendredi matin. Je suis admiratif. Je peins dans un enchantement paradisiaque.

Il est 18 h15. Je nettoie la palette, les pinceaux pendant que Clémentine range ses affaires. Serrée dans mes bras, vautrés dans le vieux canapé en velours carmin de l'atelier, nous regardons la danse des dernières flammes. Dehors le crépuscule fait place à la nuit qui tombe de plus en plus tard. Soudain, au-dessus de nos têtes ce bruit sourd et caverneux que nous connaissons bien. Il marque l'arrivé du fantôme de ma compagne disparue. Nous écoutons silencieusement les errances de l'entité qui hante l'étage. Tout cela ne dure que quelques minutes.

La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine se lève d'un bon pour s'en saisir. << Juliette est arrivée ! >> lance t-elle en saisissant ma main pour m'entraîner. Juste avant de sortir de l'atelier, elle pose sa main sur ma braguette en murmurant : << Sors-là, elle adore ça autant que moi ! >>. Clémentine glisse sa main entre les boutons de mon Lévi's pour en extraire le locataire avec une dextérité qui suscite mon admiration. Nous allons dans le hall d'entrée pour accueillir notre amie. Sous son parapluie, Juliette porte son épais manteau noir.

Lorsqu'elle s'en débarrasse une fois encore nous pouvons admirer sa silhouette d'athlète. Son étonnante taille de guêpe, sa cambrure de reins. Cette bourgeois de 48 ans a un physique extraordinaire que pourraient lui envier des femmes bien plus jeunes. C'est une grande sportive depuis toujours. Vêtue de son pantalon de cavalière, de ses bottes d'écuyère, elle est tout simplement renversante. Nous nous touchons le poing. Nous l'invitons à nous suivre à la cuisine. Ses longs cheveux d'un noir de jais pendent jusqu'au milieu de son dos.

Juliette pose le grand Tupperware contenant la tarte aux poires qu'elle a préparé. Comme à chaque fois, elle fait semblant de ne pas s'être aperçue de ce qui pend de ma braguette. J'adore cette attitude toute féminine. Et Juliette est terriblement féminine. Clémentine prépare la salade d'endives. Je fais réchauffer la Flamiche Picarde dans le four à bois et sa chaleur infernale. Juliette, tout en mettant les assiettes et les couverts nous raconte ses journées de chef d'entreprise. Le haras connaît chaque jour de nouveaux imprévus qu'il faut gérer au mieux.

C'est passionnant. Enfin, avec l'œil lubrique, Juliette fixe mon sexe. Son regard sévère reste braqué. Le silence. Clémentine se retourne pour voir. Elle m'adresse un clin d'œil complice. Juliette dit : << Vos attitudes sont récréatives. Que c'est bon d'être ici. J'apprécie ces soirées ! >>. Elle rajoute : << N'allez pas risquer de vous brûler, laissez-moi m'occuper de la tourte ! >>. Tout en enfilant les maniques Juliette s'accroupit devant le four. C'est hyper excitant de voir une femme sexy, accroupie, de dos. C'est mon image favorite. Un déclencheur.

Nous mangeons de bon appétit. Rapidement la conversation s'axe sur nos préoccupations habituelles. Le sexe. Et surtout ses déviances qui ont toutes nos préférences. Clémentine pose d'adroites questions. Juliette se fait un plaisir d'entrer dans les détails les plus "croustillants". Elle nous raconte son samedi soir en compagnie de Pierre, Bernadette et du vieux Léon. Cette narration nous excite considérablement. Je pose régulièrement ma fourchette pour me toucher sous la table. Le regard insistant de Juliette qui sait ce que je "bricole" d'une main.

Je bande comme le dernier des salauds en écoutant les frasques de Juliette. << Vous avez le bonjour de Pierre. Vous savez qu'il renouvelle sa proposition. Il me charge d'ailleurs de vous la transmettre. Il aimerait beaucoup faire une promenade en voiture avec vous ! >> dit elle à Clémentine. Elle ne répond pas mais me consulte plusieurs fois du regard. Nous sommes télépathes. Je comprends parfaitement la nature de ses interrogations. Je me lève pour agiter mon sexe en direction de Clémentine. Je dis : << C'est la proposition d'un gentleman ! >>.

Nous rions tous les trois de bon cœur. C'est le fantasme de Pierre de se faire tailler une pipe en conduisant sa voiture. Un fantasme en parfaite adéquation avec celui de Clémentine qui adore ça. Tout en me masturbant, debout devant les deux voyeuses je l'encourage à répondre à cette chaleureuse invitation. Clémentine en raffole, certes, mais le summum de son plaisir est de me savoir présent ou au moins dans les environs immédiats. Juliette s'amuse de cette particularité. << Je m'occupe de Julien ! >> lance t-elle en lui faisant un clin d'œil.

<< Je vais y réfléchir intensément ! >> répond Clémentine. Je contourne la table. En frottant mon sexe sur son visage je dis : << Cela va aider ta réflexion ! >>. Clémentine regarde Juliette, un peu gênée par mon initiative. Juliette lève le pouce en lançant : << Si ça peut aider ! >>. Nous rions de bon cœur. Comme je l'ai promis ce matin à Clémentine, je la fais sucer devant Juliette. J'ai la bite dans sa bouche. Je la tiens par sa natte pour guider ses mouvements. Juliette, les bras croisés, en appui sur ses coudes, fixe la scène avec grand intérêt.

Je sors ma queue pour la tendre à Juliette. Elle a alors ce regard sévère, lourd de reproche. Ce n'est évidemment qu'un jeu. Avec son accent méridional elle lance : << Espèce de vicelard ! >>. Je réponds en imitant son accent : << Pour vous servir chère madame, pour vous servir ! >>. Clémentine tente de reprendre mon sexe en bouche. J'esquive au dernier moment pour le faire glisser sur sa joue. Je mouille. Je ne tarde donc pas à barbouiller son visage de liquide séminal épais et visqueux. Avec la chaleur qui règne dans la cuisine, la crème sèche vite.

Juliette se lève en disant : << Je m'occupe de la vaisselle ! >>. Je sors ma bite de la bouche à Clémentine qui se lève. Il est préférable et plus rapide de tout faire ensemble. C'est agréable aussi. Juliette plonge, Clémentine et moi nous essuyons. À chaque fois que nous nous croisons nous nous faisons un bisou. Un sourire ou encore un clin d'œil. Nous passons au salon pour y prendre le dessert. Juliette, vautrée dans le fauteuil qui nous fait face, se touche. Longeant de l'index la couture de son pantalon qui sépare les lèvres pulpeuses de sa vulve.

Ces deux bosses qui donnent envie d'y toucher. Je suis vautré dans le canapé. Clémentine couchée sur le côté à ma gauche. Sa tête contre mon ventre elle joue avec ma queue tout en bavardant. Je la tiens par la nuque. Je peux ainsi lui enfoncer la bite de temps en temps. À chaque fois le silence est lourd. Juliette a beau être la femme la plus vicelarde que je connaisse, elle reste toujours comme stupéfaite par mes initiatives. J'appuie sur la tête à Clémentine pour lui enfoncer un maximum de queue. Ça dégorge de foutre. Je suis hyper excité.

Juliette se lève soudain. Sans cesser de se toucher, elle vient s'accroupir en face de moi. Son visage à quelques centimètres de celui de Clémentine elle observe cette pipe avec attention. C'est le troisième soir de suite que Clémentine me taille une pipe sous le regard d'une autre. Lundi soir c'était devant Julie. Mardi soir c'était devant Estelle. Ce soir c'est devant Juliette. C'est passionnant. Cette excitation me fait pousser des petits cris de plaisirs. Je me trémousse. Je me tortille. Juliette lève les yeux pour me fixer de son air dominateur, accusateur.

J'éjacule au fond de la gorge de Clémentine. Elle en tousse. Il en coule de ses narines. Je la maintiens fermement afin qu'elle ne puisse se soustraire à mon étreinte. << Espèce de vicelard va ! >> murmure Juliette assise en tailleur devant moi. Je passe ma main libre sous ses cheveux. Elle a un mouvement de recul pour m'en empêcher. Clémentine pousse des râles. La difficulté d'avaler l'abondance des décharges de sperme. Je jute toujours des quantités qui me surprennent moi-même. Je lâche enfin Clémentine qui déglutit avec peine en soufflant.

Je dis à Juliette : << C'est quand vous voulez ! >>. Juliette me lance un regard noir en répondant : << Tu peux toujours te brosser espèce de salopard ! >>. Je fais : << Et les salopards tu t'y connais, tu sais t'en entourer, hein, salope ! >>. Ces mots agissent comme un "sésame ouvre toi" car le visage de Juliette s'illumine soudain. Rire. Clémentine se redresse en s'essuyant la bouche avec un mouchoir en papier. Il est déjà 22 h. Nous raccompagnons Juliette jusqu'à sa voiture. Au lit, blottie dans mes bras, Clémentine me confie à quel point elle aime ça.

Bonne nuit à toutes les coquines exhibitionnistes qui adorent êtres regardées dans les situations les plus excitantes, les plus intimes...

Julien (Vicelard patenté)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1813 -



Quand Estelle vient nous rejoindre en soirée

Il est presque six heures, hier matin, jeudi, lorsque résonnent les sirènes de ces gros bateaux. C'est là-bas dans le lointain. S'y rajoute le cris stridents des mouettes. L'application "océan" nous bluffe une fois encore. Clémentine vient se blottir contre moi. << C'est trop dur, je reste au lit ! >> gémit-elle. Je la serre fort en déposant plein de bisous sur ses joues, sur son front, le bout de son nez. Il est impératif de se lever car elle se rendort véritablement. C'est en la soulevant comme une jeune mariée que je l'emmène aux toilettes. Rituels pisseux.

Morts de faim, habillés de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. J'y allume immédiatement le feu de la cuisinière à bois. Clémentine bâille encore à s'en décrocher la mâchoire en faisant le café, pressant les oranges et pelant les kiwis. Je lui fais plein de bises en chuchotant : << On se réveille ! >>. Elle tombe dans mes bras en s'écriant : << Mais tu me fais tellement de bonnes choses tous les soirs. Mes nuits ne sont plus assez longues ! >>. Nous rions de bon cœur en savourant notre excellent petit déjeuner.

C'est vrai que hier soir encore j'ai offert à Clémentine un intense moment de plaisir. Elle qui aime être regardée, s'est retrouvée lundi, mardi et mercredi soir avec ma bite dans la bouche. Sous les yeux de Julie, d'Estelle puis de Juliette. Nous mangeons de bon appétit en riant beaucoup de toutes nos frasques. Je rassure Clémentine. Pour moi aussi les nuits sont trop courtes. Il est 6 h25. Nous montons pour aller achever ce réveil plutôt pénible. Nous gravissons les escaliers bras dessus, bras dessous. C'est la parabole de l'aveugle et du paralytique.

Aérobic, jogging sur les tapis roulants, exercices au sol et abdos dont nous raffolons. Enfin, nous voilà avec les yeux en face des trous. Ce sont les charges additionnelles qui parachèvent cette fin de nuit. Avec ces exercices il est impossible de ne pas se retrouver d'une lucidité extrême en quelques instants. Le retour au calme d'un bon stretching. La douche. Je descends le premier pour aller préparer l'auto. Il est presque 7 h45. Le ciel est gris et bas. Menaçant. Mais il ne pleut pas. Clémentine me rejoint dans la désagréable fraîcheur humide.

Un dernier bisou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. Le portail se referme. Je me précipite pour rentrer au chaud, faire la vaisselle, le lit. Dans l'atelier j'allume une belle flambée dans la cheminée. Me voilà confortablement installé devant le chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant "L'orage" de Georges Brassens. Rapidement la peinture de cette septième scène de genre à trois personnages destinée à ma saison d'été, m'absorbe complètement. Je peins dans une sorte de douce euphorie.

Comme le temps passe vite quand on se livre à sa passion ! Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe la dernière part de Flamiche Picarde. Cette tourte aux légumes qui a fait les délices de notre repas de hier soir. Je pense à la compagnie de Juliette tout en préparant une laitue. J'écoute Sud Radio. Les invités d'André Bercoff revisitent les actualités à leurs manières. Dans une totale liberté d'expression devenue si rare. Ça aussi ça se savoure. Je mange de bon appétit car c'est tellement miam.

Dans une poêle je fais rissoler les crevettes, les ronds de calmars. J'épluche, je lave et je coupe en très fines tranches de grosses pommes de terre. Je les fais frire dans une autre poêle sans cesser de les retourner. Bien dorées je les dépose sur des feuilles de papier absorbant. Ces chips qu'il suffira de réchauffer. Je prépare une pâte à crêpe que je laisse reposer dans le saladier, sous un linge. Un couvercle sur les crevettes, les ronds de calmars. Le nécessaire pour nos beignets de ce soir est prêt. Je fais la vaisselle avant de monter me laver les dents.

Je dévale les escaliers pour mettre mon anorak. Il pleut. C'est sous le parapluie que je fais quelques pas dans la propriété. J'attends un colis. Le 11 mars ce sera l'anniversaire d'Estelle. Je veux lui faire une surprise. 25 ans vendredi prochain. Bientôt cette sublime jeune fille se métamorphosera en sublime jeune femme. Peut-être aurais-je le privilège de voir la chrysalide devenir papillon. Je monte jusqu'au portail. Je n'ouvre toujours la boîte aux lettres que le lundi. Le paquet est là ! Me voilà rassuré, je pourrais surprendre et étonner ma belle Estelle.

Il est 13 h30. Je suis confortablement installé devant le chevalet. Je peins animé de cette étrange et si douce euphorie. Les après-midi défilent aussi vite que les matinées quand je m'offre sans restriction à ma passion. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table. Elle se précipite vers moi en s'écriant : << Tu m'as manqué ! >>. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le repas du restaurant universitaire. Ses impressions quand à mes attitudes ces trois derniers soirs.

<< Je t'aime Julien. J'adore quand tu me jutes dans la bouche par surprise. J'ai beau me préparer, anticiper l'instant, je suis toujours totalement surprise ! >> me confie t-elle en mitraillant mon visage de bisous. Je murmure un peu honteusement : << C'est parce que juste avant d'éjaculer, je te l'enfonce au fond de la bouche. Je suis tellement salaud. Veux-tu bien pardonner mes douces turpitudes ? >>. Clémentine s'installe à califourchon pour frotter son sexe contre la bosse qui déforme ma blouse depuis quelques minutes. Je bande dur.

Clémentine a encore du travail. Assise devant son ordinateur, entourée de ses notes, elle réunit l'ensemble dans un texte qu'il lui faudra rendre demain matin. Je peins en l'écoutant se relire à haute voix. Pour moi, il n'y a pas de plus belle chanson que de l'entendre réciter. Je ne prête strictement aucune attention au sens des mots. Si elle savait ! Ce qui m'importe c'est l'ensorcellement qu'exerce cette mélodie sur ma psyché émerveillée. Je ponctue chacune de ses phrases par un << Je vous aime mademoiselle ! >>. Elle a du mal à garder son sérieux.

Il est 18 h10 quand Estelle arrive à son tour. En sautillant autour de moi elle chante : << Hier soir, devine ce qui m'est arrivée ! >>. Sur la même mélodie je réponds : << Tu t'es fait niquer ! Tu t'es fait baiser ! >>. Elle s'assoit comme Clémentine, à califourchon sur moi. Ses bras autour de mon cou elle demande : << Comment tu as deviné ? >>. Je dis : << C'est ma bite qui me raconte toujours tout ! >>. Nous rions aux éclats. Clémentine tourne autour de nous, une feuille à la main. << C'est le texte définitif, vous êtes priés d'écouter! >> dit elle.

Estelle se frotte sur ma bosse. Nous restons toutefois concentrés. Nous nous levons pour applaudir. Je félicite Clémentine pour cet écrit remarquable. Je m'écrie : << Ce ne sont pas des études scientifiques qu'il fallait entreprendre mais des études littéraires. Comme tu es douée pour l'écriture ! >>. Clémentine vient tout contre moi. Elle me sait sincère. Je ne mens jamais. << C'est à mon tour ! >> lance Estelle. Clémentine à califourchon sur mes cuisses, nous écoutons le texte d'Estelle en nous embrassant. C'est tout aussi remarquable.

Estelle et Clémentine suivent le même cursus scolaire depuis qu'elles ont douze ans. Amies intimes au point d'en devenir comme deux sœurs jumelles, elles partagent tout. Même ma personne. Dans le domaine de leurs études universitaires depuis cinq ans, ce qui manque à l'une est compensé par l'autre. Clémentine est extrêmement balaise en littérature, en culture générale. Estelle est extrêmement forte en mathématiques. J'admire leurs stratégies communes. Il reste deux ans et demi avant le Doctorat. Elles bossent très dur pour le décrocher.

Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine range ses affaires. Estelle n'arrête pas de rester collée à moi. Ma bite dans sa main. Nous sommes vautrés dans le vieux canapé en velours carmin de l'atelier. Clémentine vient nous rejoindre. Je suis entre mes deux anges. Nous admirons la danse des dernières flammes dans l'obscurité. La nuit est presque totale vers 18 h30. Nous nous attendons à chaque instant aux manifestations du fantôme de mon ancienne compagne. C'est l'heure de son passage. Pourtant, ce soir, il ne se passe absolument rien.

Tout en tordant ma queue dans tous les sens, Estelle évoque la matinée de demain. Elles terminent toutes les deux à midi. Clémentine, sa tête contre mon épaule, parle de la remise de leurs écrits. J'écoute religieusement. Cela m'évite de bander trop fort. Car quand Estelle me sent dur dans sa poigne elle adore me la tordre vers le bas. La coquine sait que c'est presque douloureux. Combien de fois ne m'a t-elle pas dit : << Je te casse la queue espèce de bandeur fou ! >>. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier sans qu'Estelle ne lâche le Zob.

Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue lavée à midi. Estelle chauffe l'huile du caquelon pour la monter en ébullition. Je réchauffe les pommes de terre chips. << Mmhh, miam, comme ça va être bon ! >> lance Estelle. Je lui fais plein de bises dans la nuque. Ça la fait frissonner. Je fais pareil à Clémentine qui tourne à chaque fois la tête pour me fourrer sa langue dans la bouche. Elle verse les crevettes, les ronds de calmars dans la pâte à crêpe. Avec une cuillère à soupe je les retire pour les mettre dans l'huile bouillante. Une petite minute.

Estelle récupère chaque beignet avec un écumoire avant de le déposer sur une feuille de papier absorbant. Dans un bol j'ai préservé de la pâte à crêpe. Nous en ferons notre dessert avec du miel. Nous mangeons de bon appétit. Les filles parlent de leurs écrits. Elles font l'inventaire des mots du sujet abordé. Elle aiment en "mettre plein la vue" à leurs professeurs. C'est un bonheur de les écouter. Surtout que, totalement hors sujet, Estelle se lève plusieurs fois pour mimer une masturbation masculine. Les filles passent à un sujet plus "léger".

<< Raconte-nous ta baise de hier soir ! >> lance Clémentine. << Sur les cartons, au dépôt. On a failli se faire surprendre par maman. Je suis certaine que depuis neuf ans, elle se doute de ce que je fais avec parrain ! >>. Nous rions. << Et quelles sont tes indices ? >> demande Clémentine. << Maman a de curieux regards lorsque Jean-Marc s'en va avec ses cartons. Et la baise ça a une odeur ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Estelle a commencé à baiser avec son parrain alors qu'elle n'était qu'une adolescente. La grande coquine.

Grande car son mètre quatre vingt deux est impressionnant. Même pour mon mètre quatre vingt huit. Assises sur mes genoux, mes deux anges font mille projets pour le week-end. Je propose un bon léchage de minous après la vaisselle. Inutile de le répéter une seconde fois. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Les filles m'entraînent au salon en me tirant par le Zob et les mains. En riant elles arrachent mes vêtements. Me renversent dans le canapé. Elles retirent les leurs. << Pas de baise ! >> fait Estelle.

Elle rajoute : << J'ai la chatte complètement congestionnée par la baise de hier soir. Ce salaud me tringle comme un lapin à chaque fois. L'enfoiré ! >>. Nous rions de bon cœur alors qu'elle me présente son sexe. Je suis à genoux sur un des épais coussins, mon visage entre ses cuisses. Clémentine, accroupie derrière moi me tient la bite et les couilles en se frottant contre mes fesses. Je fouille la fente d'Estelle. Les fines lèvres de sa vulve jaillissent. C'est un véritable enchantement. Un peu comme les pétales d'une tulipe qui s'écartent. Je me régale.

Le jus d'Estelle est de plus en plus abondant depuis deux ans. Un goût légèrement amer. Il précède l'onctuosité de ce "yaourt" dont je me régale. Estelle pousse de petits cris entrecoupés de gémissement. Sa féminité l'emplie de cette ivresse qui précède l'orgasme. Clémentine, couchée sur le dos, sa tête sous mes couilles, se touche. Je peux sentir sa langue fouiller mes intimités. C'est absolument génial. Je suce le clitoris d'Estelle quand elle cesse de se masturber. Elle commence à se tortiller. Cherchant le meilleur angle. J'enfonce parfois ma langue.

Victime d'un nouvel orgasme, Estelle se couche sur le côté, les mains entre les cuisses pour haleter en gémissant. Je me tourne moi aussi sur le côté pour permettre à Clémentine d'enfin pouvoir gober mon sexe. Je lui enfonce un doigt. Elle tient son clitoris géant entre le pouce et l'index pour le masturber à la manière d'une bite. Estelle vient se blottir contre mon dos. Elle me fait plein de bises dans la nuque. M'enserrant la taille de ses bras elle regarde la méga pipe de Clémentine. Une fois encore, pour le quatrième soir consécutif, je lui balance toute la purée au fond de la gorge. Elle tousse, les yeux larmoyants, elle tente d'avaler au rythme de mes giclées de foutre. Je hurle.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui adorent s'endormir tout contre leur éjaculateur buccale pour lui chuchoter des secrets...

Julien (Éjaculateur récidiviste)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 8 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1814 -



C'est à midi que Clémentine termine le vendredi

Hier matin, vendredi, l'application "océan" nous tire de nos profonds sommeils. Il est presque six heures quand Clémentine vient se blottir contre moi. Ensemble nous écoutons le cri des mouettes, les sirènes de ces gros bateaux qui se croisent dans le lointain. L'illusion est extraordinaire. Nous ne traînons pas. Dans une sorte d'effervescence Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Le vendredi elle termine à midi. Ce qui est la cause de cette exubérance soudaine. J'adore lorsqu'elle me fait rire depuis le matin par quelques facéties.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers. Le thermostat des radiateurs vient de se mettre à fonctionner. Il fait donc encore bien froid dans la cuisine. Pendant que Clémentine fait le café en me racontant ses rêves, j'allume le feu dans la cuisinière à bois. Je l'aide à la préparation. Je pèle les kiwis, Clémentine presse les oranges en chantonnant. Nous prenons notre copieux petit déjeuner en revenant sur les folies de notre soirée de hier en compagnie d'Estelle. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme du jour.

Il est 6 h25. Nous remontons pour parfaire la lucidité de nos levés. Rien de tel qu'une bonne heure d'entraînement. En commençant par l'échauffement de l'aérobic. Suivi d'un jogging sur tapis roulants. Les exercices au sol, les abdos. S'en suivent les haltères et les barres des charges additionnelles. Pour terminer par un stretching ce matin totalement surréaliste et déconnant. Clémentine m'entraîne par la main dans la salle de bain pour y prendre notre douche. Nous rions déjà comme des fous en nous savonnant, en nous embrassant sous l'eau.

Je descends le premier pour faire chauffer l'auto. Il est presque 7 h45. Le ciel est gris et bas. Il ne pleut pas mais la fraîcheur est désagréable car humide. Clémentine me rejoint en sautillant, chaudement vêtue. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou avant de rentrer au chaud. Je fais la vaisselle, notre lit avant de passer dans l'atelier. J'y allume un beau feu dans la cheminée. Confortablement installé devant le chevalet je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans cette euphorie laissée par Clémentine.

La peinture de cette septième scène de genre destinée à ma saison d'été est un plaisir supplémentaire qui me fait pousser des cris délirants. La matinée passe très vite. J'aimerais pouvoir arrêter l'horloge car cette impression de rapidité ne concerne plus seulement mes séances de travail. Je mets deux bûches dans l'âtre. Il est 11 h55 quand je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe les pommes de terre chips et les beignets de crevettes de hier soir. Il me suffit de faire une salade d'endives. Il est 12 h30 quand Clémentine rentre de cours en chantant.

Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me couvrir le visage de bisous. << Tu as le bonjour d'Estelle qui te remercie pour les douceurs de hier soir ! >> susurre t-elle à mon oreille avant de la mordiller. Ça me couvre de frissons. Nous mangeons de bon appétit. Nous avons une préférence pour les plats réchauffés. C'est vrai que c'est souvent meilleur même si sur un plan purement diététique c'est une hérésie d'ingérer des aliments qui s'oxydent. On s'en fout. C'est notre plaisir immédiat qui en découle.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux Clémentine me raconte sa matinée. La remise de sa dissertation. La présentation orale qui ne devait pas excéder deux minutes. << J'aurai les résultats lundi ! >> précise t-elle. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Pressés d'aller faire quelques pas au dehors nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks. Le thermomètre extérieur indique 14°. Il fait moche. Malgré tout le gazouillis des oiseaux est réjouissant.

Accrochée à mon bras, Clémentine me confie à quel point elle est heureuse de passer la soirée seule avec moi. << Il faut qu'on se débrouille pour s'en offrir une supplémentaire. C'est trop bon. Et puis ce soir je te réserve une surprise ! >> dit elle. Nous descendons jusqu'à la rivière. Le sentier est à nouveau praticable. Nous restons au bas du chemin pour nous embrasser, échanger nos émotions. Nos joies d'être ensemble pour ce nouveau week-end. Il est 14 h30. Clémentine est assise devant son ordinateur. Je suis installé devant mon chevalet.

Trois petits coups timides contre la porte. Sans attendre une réponse, Julie entre dans la grande pièce. C'est comme si une aura lumineuse pénétrait là avec elle. Elle est radieuse, souriante. Habillée d'un jeans, d'un sweat bleu nuit, chaussée de ses bottines à légers talons. Ses lunettes d'étudiante sur le nez. Ses cheveux en liberté qui flottent sur ses épaules. Elle fait trois bises à Clémentine qui l'attrape par la taille pour l'assoir sur ses genoux. Je trouve cette marque d'affection tellement attendrissante. Comme si Clémentine était sa grande sœur.

C'est moi qui me lève pour les rejoindre. Julie m'attrape par les épaules pour me faire trois bises. Julie n'est pas seulement une membre de notre "Club", c'est comme si elle était une composante de notre "famille". Clémentine et moi sommes télépathes. À sa façon de me regarder je comprends que Clémentine ressent exactement la même impression. Julie se lève pour aller prendre ma place devant le chevalet. Avec la loupe elle scrute méticuleusement ma peinture. Je reste avec Clémentine qui déboutonne ma braguette pour en extraire le locataire.

Elle dépose des bises dessus en me montrant Julie qui nous tourne le dos. La vision d'une fille, de dos, quelque soit la situation agit toujours sur ma libido d'une étrange façon. Je laisse Clémentine à ses écrits pour rejoindre Julie. Debout derrière elle, mes mains sur ses épaules j'écoute ses ressentis. Je réponds à ses questions. Aux prochaines vacances nous allons tenter une nouvelle expérience. Nous passerons toute une journée à peindre côte à côte. Beaucoup de douces émotions en perspective. Je me penche pour placer mon visage à côté du sien.

Il y a toujours une chimie particulière qui s'opère quand je fais ça. Cette fois Julie saisit mon poignet comme pour me garder au près d'elle. Clémentine vient nous rejoindre. Elle est serrée contre mon dos, ses bras autour de ma taille. Elle veut vivre cet instant. Elle saisit ma queue. Je bande mou dans sa main. Le sixième sens féminin avertit probablement Julie qui se retourne sur la chaise. Elle découvre ce que tient Clémentine. Elle met sa main devant sa bouche comme consternée. Nous savons que ce n'est jamais un jeu. C'est une vraie réaction.

Clémentine lui tend ma bite qui n'est qu'à une cinquantaine de centimètres de son visage soudain tout rouge. Clémentine me masturbe. Cesse. Agite mon sexe en direction de Julie. Recommence. Le regard comme effaré de Julie me gêne toujours un peu. Ce qui ne m'empêche pas de bander comme un taureau en rut. En se mettant soudain à rire, c'est avec la loupe qu'elle scrute mon Zob. Pour se donner de la contenance sans doute. Ou alors pour surmonter une probable tentation. Ce n'est jamais le diable qui provoque ces tentations. C'est le Zob.

Clémentine m'entraîne par la queue pour me promener ainsi dans toute la grande pièce. Silencieuse, Julie tourne la tête dans toutes les directions pour suivre notre balade. Clémentine nous arrête à plusieurs reprises pour agiter mon sexe vers Julie. Son air grave, sa profonde concentration, tout cela participe d'un moment de vice intense. Un de ces moments que nous aimons partager tous les trois. Julie glisse une main entre ses cuisses. Elle aussi adore se toucher. Une authentique voyeuse qui vit là des instants d'une intensité rare et émouvante.

Clémentine m'entraîne tout près de Julie qui n'ose pas soutenir mes regards. Par contre elle ne quitte pas ma queue des yeux. Clémentine s'accroupit soudain. Elle frotte mon sexe sur son visage en le tendant régulièrement à Julie. Nous pouvons la sentir hésiter. Ce qu'elle vit encore là doit être d'une grande cruauté. Partagée entre son désir et sa raison. Ça c'est un jeu qu'elle avoue partager avec bonheur. Je me fais une nouvelle fois sucer sous le regard de Julie. Clémentine se redresse pour se préserver de la crampe. Elle présent ma queue à Julie.

Pourtant, une fois encore, avec cette volonté toute féminine de ne pas céder à ses pulsions bien naturelles, Julie se contente de se toucher. D'une main qu'elle passe dans ses cheveux, le regard par en-dessous. Ces situations agissent sur ma libido d'une manière insidieuse. Je pourrais éjaculer tellement c'est excitant. Clémentine m'entraine à nouveau pour faire le tour de la grande pièce. Cette fois pour poser toutes sortes de questions à Julie. Sur ses cours, sur son job de serveuse ce soir, sur ses parents, sur la préparation de son DEUG de Lettres.

Nous sommes assis dans le vieux canapé en velours carmin de l'atelier. Clémentine ne lâche pas ma bite. Julie vient s'assoir dans le fauteuil qui nous fait face. Les filles bavardent, font mille projets pour les vacances de Pâques. Julie évoque son désir de mettre un nouveau fantasme en image. Réaliser un de nos petits films privés. << J'ai le scénario, dans ma tête tout est clair, net et précis ! >> dit elle. Clémentine rajoute : << La caméra est prête, je filmerai avec beaucoup d'attention ! >>. Julie ne cesse de fixer ma grosse bite bien raide.

Il va être l'heure du cours de peinture. Ce cours n'est pas seulement un prétexte pour venir passer du temps avec nous, c'est véritablement une séance de travail. Julie est assise devant son chevalet de table. Je suis installé à sa gauche. Clémentine en face de nous devant son ordinateur. Je ne conseille jamais Julie. Je me contente de souligner un détail technique, une façon d'appliquer un glacis ou encore de diluer le médium à l'ambre dissous sur des teintes précises. Il est 18 h. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. La séparation est difficile.

Julie reviendra demain matin pour faire le ménage. Ça c'est un véritable prétexte. Malgré le froid Clémentine tient ma queue qu'elle agite dans l'habitacle de l'auto. À quelques centimètres du visage de Julie. Un dernier bisou. Nous la regardons partir. Un dernier coucou avant de rentrer en vitesse. Clémentine me saute au cou. Je la soulève. Elle se frotte sur ma turgescence. << J'adore faire ma vicieuse avec toi. Je t'adore mon complice ! >> s'écrie t-elle à plusieurs reprises entre des myriades de bises. Nous passons à la cuisine en revenant sur Julie.

Clémentine prépare une salade de carottes. Je fais gonfler du riz complet. Je fais rissoler deux dos de cabillaud blanc. Je concocte une sauce au Roquefort. C'est une préparation rapide. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos jeux de l'après-midi. Nous ne traînons pas car Clémentine me réserve une surprise. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Clémentine m'entraîne au salon pour me faire tomber dans le canapé. << Attends-moi là, branle-toi, je suis de retour dans cinq minutes ! >>. Estomaqué je la regarde quitter la pièce très vite.

Je fais comme elle a dit. Il me suffit de penser à ce que nous avons fait cet après-midi pour bander comme le dernier des salauds. Je me masturbe lorsque Clémentine revient. Quelle merveilleuse surprise. Vêtue d'une de ses jupes noires, droites, d'un chemisier blanc sous une veste blaser. Ses bas noirs, ses escarpins à talons. Elle reste dans l'encadrement de la porte. Je cesse de me branler, admiratif en suffoquant de plaisir. << Je ne te fais pas assez de surprises ces derniers temps. Je vais renouer avec la tradition ! >> dit-elle en entrant dans le salon.

Je me branle en la regardant marcher. Comme le ferait un mannequin dans un défilé de mode. Comme elle est belle. Cette silhouette féminine m'ensorcelle. Je suis véritable sous le charme fou de cette image. C'est vrai que Clémentine, athlétique, grande et svelte est soudainement là comme une inconnue. Je suis fou de désir. C'est immense quand une femme sait entretenir la libido de son homme. Et Clémentine est une virtuose dans ce domaine. Au bout de quelques minutes, elle s'accroupit face à moi, les cuisses largement écartées.

Mon sang ne fait qu'un tour. Mais quel tour ! Elle ne porte pas de culotte. Son porte-jarretelles noir se confond avec l'invraisemblable touffe de sa chatte. Elle reste ainsi, bien droite, les mains posées sur ses genoux. Rien, absolument rien, pour moi, n'est plus excitant. Clémentine se redresse pour laisser tomber sa robe. Une jeune fille sublime, en porte-jarretelles, bas noirs, talons hauts qui fait le tour de la pièce sans cesser de me fixer de son regard terriblement suggestif. Voilà ma récompense de la soirée. C'est sur le bureau que je la baise en seigneur.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui savent comment entretenir la flamme d'un couple. Et accessoirement de se faire niquer...

Julien (Victime consentante d'une merveilleuse exhibitionniste)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 9 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1815 -



Un bien agréable samedi

Hier matin, samedi, il est presque huit heures quand nous nous réveillons quasiment en même temps. Clémentine me chevauche en frottant son sexe sur mon érection matinale. Je bouge un peu. << Mmhh ! Il faudra qu'on essaie un matin ! >> murmure t-elle avant de mitrailler mon visage de bisous. Pressés par l'impérieux besoin naturel nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos leggings de lycra noir, de nos sweats de lycra jaune, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Les radiateurs fonctionnent depuis deux heures.

Clémentine fait le café, presse nos dernières oranges, pèle nos derniers kiwis pendant que j'allume le feu dans la cuisinière à bois. Je vais dans le hall d'entrée pour ouvrir le portail depuis l'interphone. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. << Tu as aimé ma "surprise" ? >> me demande Clémentine. Je réponds : << J'ai adoré ! >>. Nous mangeons de bon appétit en nous promettant de douces récidives. Il est 8 h25. Julie qui revient. Depuis quelques semaines elle entre enfin naturellement sans prévenir. C'est super !

Nous sommes encore assis à bavarder quand elle vient nous faire la bise. << Bonjour ! C'est la femme de ménage ! >> lance t-elle toute heureuse d'être de retour. Nous rions de bon cœur en nous levant. Clémentine prend affectueusement Julie par ses épaules pour dire : << D'avance merci. La maison est toujours si propre quand tu t'en occupes ! >>. Je me lève pour débarrasser la table quand Julie me fait : << Laissez. Aller courir, je m'occupe de tout. Je viens pour ça ! >>. Je lui dépose un bisou sur le front. Nous montons nous laver les dents.

Pressés de profiter de ce temps sec, nous descendons les escaliers à toute vitesse pour enfiler nos K-ways. Le thermomètre extérieur indique à peine 8°. Il faut un peu de courage. Nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti pour notre heure de running. Nous courons sur le bord de l'étroite route communale sans croiser le moindre véhicule. Ni sur les 4 km de l'aller, ni sur les 4 km du retour. Il est 9 h40 quand nous sommes de retour pour prendre notre douche. On entend Julie passer l'aspirateur quelque part à l'étage. En chantonnant.

Habillés de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux, nous dévalons les escaliers pour mettre nos anoraks. Juste au moment où la camionnette des fruits et légumes descend la propriété. Danièle nous fait un grand sourie en sautant du véhicule qu'elle contourne. Elle en sort nos deux cageots. L'un contient nos fruits, nos légumes, l'autre contient les fromages, les œufs, le beurre, les yaourts, les petits pots de crème fraîche. Paiement par carte. Même commande pour la semaine prochaine. Danièle ne s'attarde jamais. Elle a bien d'autres livraisons.

Voilà le tube Citroën entièrement rénové qui descend le chemin. Madame Marthe, notre boulangère adorée en sort avec un grand sourire. Elle a toujours ses bons mots qui nous amusent beaucoup. Elle nous tend le cageot qui contient les deux grosses miches de pain complet et Bio. Les deux pâtes feuilletées, la brioche au pudding. Comme tous les samedis nous avons droit à notre cadeau de fidélité. Deux gros croissants aux amandes. Paiement par carte. Même commande pour la semaine prochaine. Nous contournons la maison par derrière.

Le lecteur qui suit nos histoires connait bien tous nos rituels. Comme tout un chacun nous avons nos habitudes de vie. À la cave, dans le cellier, nous disposons les fruits et les légumes sur des étagères. Je mets une des deux miches et les deux pâtes feuilletées dans le congélateur. J'en retire le paquet de moules, le sachet de haricots verts, le sachet de petits pois. Nous montons par l'escalier intérieur. Nous rangeons les produits frais dans le réfrigérateur. Juste à temps car Julie s'apprête à passer la serpillère sur le carrelage de la cuisine.

En sortant de la pièce nous lui déposons chacun un bisou sur le front. Au salon, assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Trois messages. Celui de Juliette qui réitère son invitation pour une soirée au haras. Celui de mon oncle Alan d'Édimbourg. Celui d'Estelle qui nous annonce son retour pour 13 h45. C'est Clémentine qui répond. Nous nous consultons quand à l'invitation de Juliette. << Plus de partouzes pour moi, ça a fini par me lasser ! >> me murmure t-elle. En effet, depuis quelques temps ce genre de plans ne nous attire plus.

C'est d'ailleurs très étrange car ça concerne également Estelle que cela n'a jamais réellement passionné. Clémentine préfère décliner l'offre. C'est elle qui fait la réponse. Par contre nous promettons de faire une petite visite demain, dimanche, en fin d'après-midi. Inutile de répondre au courriel d'Estelle qui n'en demande aucune. Nous répondons à mon oncle qui nous attend avec impatience pour la fin du mois de juin. Nous aussi nous attendons ces dates pour retourner deux mois dans mon Écosse natale. Il est déjà 11 h30. Julie nous rejoint.

Je lui tends la petite enveloppe jaune qui contient nos commandes pour lundi soir, le billet de 50 € et un petit mot gentil. << Merci ! Vous savez que je garde toutes les enveloppes. Soigneusement rangées dans un petit carton à chaussures ! >> lance t-elle alors que je pose mes mains sur ses épaules. Je dis : << Nous vous remercions pour chacune de vos présences, pour le ménage et pour la joie que vous apportez dans cette maison ! >>. Je dépose une bise sur son front. C'est au tour de Clémentine de faire de même. Julie fixe soudain ma braguette.

Ce matin, rien n'en dépasse. Clémentine s'aperçoit de se regard insistant. Elle pose sa main sur mon sexe pour dire : << Lundi soir, on s'offre quelques frissons. Tu veux ? >>. Julie s'écrie : << Oh oui ! Et comment ! >>. Elle met soudain sa main sur sa bouche comme si elle venait de prononcer une énormité. Nous éclatons de rire en la raccompagnant jusqu'à sa voiture. La séparation n'est pas trop difficile puisqu'il n'y avait rien de passionnel ce matin. Clémentine enserre ma braguette d'une poigne de fer. Sous le regard intrigué de Julie.

Un dernier bisou. Nous la regardons partir sous un ciel couvert, gris et lumineux. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer car il fait faim. Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je porte à ébullition l'eau du bouillon après y avoir rajouté du persil, de l'ail, de l'oignon, de la ciboulette. << On se le garde en soupe pour ce soir ! >> propose Clémentine qui vient me palper la braguette. Un bisou. Dans le wok je vide les deux sachets. Je remue les haricots verts et les petits pois. Je verse les moules congelées dans le bouillon.

Préparation rapide et appétissante. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la présence de Julie ce matin. Sa personnalité. Ce que nous avons encore perçu de son attitude. << Elle aurait bien aimé voir ta bite ce matin, j'en suis certaine. Tu as vu comme elle regardait ta braguette avec insistance ? >> dit Clémentine en posant sa main sur la mienne. C'est vrai que je ne me rends pas toujours bien compte de certains comportements féminins. Clémentine me révèle souvent des choses que je n'ai pas perçu. Cela nous amuse toujours beaucoup.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine propose une bonne randonnée pour cet après-midi. Je trouve cette suggestion fort plaisante. Nous aimons tant profiter de nos temps libres. << Je me sens hyper salope aussi ! >> chuchote t-elle à mon oreille en changeant de position. À califourchon sur mes cuisses elle se frotte en m'embrassant passionnément. Elle cesse pour dire : << Le gout des moules. Ça ne te rappelle rien ? >>. Nous éclatons de rire lorsque je réponds : << Ce soir je goute la tienne ! >>.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons pour nous laver les dents. L'odeur de propre partout. Les diffuseurs d'arômes qui fonctionnent à plein régime. Nous faisons les pitres devant le miroir de la salle de bain. Clémentine adore faire des imitations. Elle invente un monologue farfelu en imitant l'accent méridional de Juliette. Je suis plié de rire. Je ne cesse de ponctuer chacune de ses phrases surréalistes d'un : << Je t'aime ! >>. Je reste assis sur le rebord de la baignoire à la voir tourner sur elle-même dans une chorégraphie désarticulée.

<< Qu'ils sont où les gens que j'aime ! >>. C'est la voix d'Estelle qui entre dans la salle de bain. Trois bises à Clémentine avant de se précipiter dans mes bras. Estelle emmène toujours son sac de sport le week-end. Il contient ses affaires de changes. C'est un rituel de la voir en tirer son pyjama de soie mauve, son petit lapin fétiche "Bunny Boy" toujours plus sale plus gris. Elle le fourre dans son jeans qu'elle déboutonne en disant : << Il m'a fait l'amour deux fois cette semaine ! >>. Nous rigolons comme des bossus de voir dépasser le lapin !

La suggestion de Clémentine fait également la joie d'Estelle. Pressés d'aller marcher, nous dévalons les escaliers avec nos grosses godasses à la main. Estelle est très câline encore aujourd'hui. Elle a d'ailleurs la même exclamation que Clémentine en affirmant : << Qu'est-ce que je me sens salope cet après-midi ! C'est à cause de quoi ? >>. Nous rions de bon cœur en mettant nos anoraks. Dans le petit sac à dos la thermos contenant le thé chaud. Des barres de céréales, des pommes. Le thermomètre affiche 14°. Il est 14 h. C'est une invitation.

Tenu par les bras, les filles m'entraînent en sautillant. Nous montons jusqu'au portail pour traverser la route. Nous nous engageons dans le chemin forestier. Il y a de toutes petites fleurs blanches qui on fait leur apparition. << C'est génial ! >> fait Estelle en s'accroupissant pour les caresser. Clémentine nous montre une branche sur laquelle sont les premiers bourgeons. Pas de doute, la nature donne le signal des festivités à venir. Le chemin pierreux est large. Nous pouvons marcher d'un bon pas en nous tenant par la main. Je suis entre mes anges.

Les filles évoquent leurs études. Le sujet du prochain rédactionnel qu'il faudra remettre vendredi prochain. En marchant ainsi il fait presque doux. Il n'y a pas de soleil mais le ciel reste lumineux. C'est un réel bonheur. De nombreux arrêts bisous. Comme si nous avions besoin de recharger des batteries. Quand Estelle m'embrasse, Clémentine se serre derrière moi pour caresser ma braguette. Quand c'est Clémentine qui m'embrasse, c'est au tour d'Estelle. << J'ai envie de voir ta queue ! >> me dit elle à chaque fois. << Moi aussi ! >> fait Clémentine.

Bon. Là, lorsque nous longeons la clôture des prés, je sors ma bite. C'est un peu limite avec cette température. Mais "queue" ne ferais-je pas pour faire plaisir. Le premier arrêt pipi. Je tiens Estelle par la nuque pour parfaire son équilibre. Je la torche soigneusement. C'est au tour de Clémentine. Je suis un peu frustré parce que j'adore leurs lécher le minou après les pissous. Je sors également mes couilles. Clémentine me les tient fermement. Estelle me tient la bite pour en diriger les jets. Je m'amuse à en lâcher tout plein. Elles adorent jouer.

Durant la randonnée nous croisons quelques promeneurs. Deux jeunes cavalières également. À chaque fois j'ai juste le temps de me tourner pour planquer ma bite. Clémentine raconte la "surprise" qu'elle m'a faite hier soir. << Oh mais ça me donne des idées tout ça ! >> lance Estelle. Il est 18 h30 quand nous sommes de retour. Assis tous les trois à table nous épluchons les pommes de terre, les carottes, les navets, le céleri. Nous en faisons en grande quantité. Cette potée de légumes sera le parfait accompagnement de nos repas du week-end.

Il en restera même pour lundi à midi. Les filles reviennent sur leurs études. Clémentine prépare la salade. Estelle remue la potée dans la vieille cocotte en fonte noire. Il faut détacher sans arrêt. Mais c'est le meilleur qui colle. Je réchauffe le bouillon des moules en rajoutant un peu de farine, des vermicelles. Dans une poêle je fais revenir trois beaux filets de flétan. Je concocte une sauce au Roquefort. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant les prochaines vacances de Pâques. Mes deux anges comptent les jours qui nous en séparent.

Clémentine nous prépare un séjour d'une semaine mais elle en garde jalousement le secret. Nous partirons tous les trois car depuis deux ans il n'est plus question de partir sans Estelle. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges reviennent sur notre dernier séjour en Écosse aux vacances de fin d'année. Nous avons tant de souvenirs communs qu'ils ont tendance à se mélanger quelque peu dans nos mémoires. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Les filles m'entraînent au salon.

<< La surprise ! >> fait Estelle qui se précipite vers la porte. Elle s'arrête dans l'encadrement pour rajouter : << Je suis là dans cinq minutes. Ne commencez rien sans moi ! >>. Clémentine me fait tomber dans le canapé pour se mettre à genoux, à califourchon sur mes cuisses. << On se fait une soirée de dingues. Juste nous trois. Au diable les partouzes. On se suffit amplement ! >>. J'adhère totalement à ce principe. Avec l'âge, elles vont avoir 25 ans, Estelle et Clémentine ont tendance depuis quelques temps à recadrer leurs passions.

Nous nous embrassons encore avec tant de fougue amoureuse que nos mentons sont trempés de salive. Voilà Estelle qui revient. Elle porte sa jupe kilt à carreaux rouges. Son chemisier crème, une lavallière de cuir noir. Des bas noirs, ses escarpins noirs à talons hauts. Ceux avec la petites sangle qui enserre délicatement la cheville. Je bande déjà comme un taureau en rut mais cette vision me donne des palpitations. << À moi ! >> s'écrie Clémentine qui se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte. Estelle s'assoit sur la chaise à quelques mètres.

Ses cuisses largement écartées, ses coudes en appui sur le dossier, elle me fixe silencieusement. Comme toutes les belles jeunes filles elle adore découvrir l'effet que sa plastique exerce sur le mâle. Je sors ma queue pour me branler. Ce spectacle me rend dingue. De me voir ainsi ne laisse évidemment pas Estelle insensible. Elle imprime un mouvement régulier de son bassin sur la chaise. Il fait trop sombre avec les deux grosses bougies allumées pour apercevoir ce qu'elle porte sous sa jupe. Culotte noire ou sont-ce les poils ? Le porte-jarretelles noir.

Clémentine revient à son tour. Habillée exactement comme Estelle. Deux sœurs jumelles. Clémentine prend l'autre chaise de la table monastère pour s'installer de la même manière. Toutes les deux, les cuisses écartées par le dossier sur lequel elles ont posé leurs coudes, m'observent en silence. L'instant n'est pas seulement intense, il est solennel. Nous renouons avec nos passions. Nous prenons conscience de nous suffire à nous-même. Nous en avons encore discuté durant la randonnée. Estelle est comme soulagée par la décision de Clémentine.

Elle nous a avoué la difficulté de plus en plus grande à se retrouver dans ces soirées à plusieurs. De toutes façon depuis longtemps Estelle ne se consacrait qu'à moi. Je me masturbe doucement en regardant ce spectacle absolument divin. Les filles scrutent chacune de mes expressions. C'est un enchantement paradisiaque pour elles autant que pour moi. De faire durer ce moment est un plaisir partagé. Nous sommes tous les trois des cérébraux. Nous n'éprouvons jamais le besoin de nous livrer à des pulsions animales. Pas davantage ce soir.

C'est merveilleux de les voir se frotter toutes les deux sur leurs chaises. Clémentine cherche déjà le meilleur angle de frottement en se tortillant. De son index qu'elle agite doucement, elle me fait signe de les rejoindre. Je me lève. Je tiens ma queue à pleine main. Sans même se consulter elles ouvrent la bouche en même temps. C'est Estelle qui m'adresse le premier clin d'œil. C'est donc vers elle que je me dirige d'abords. Clémentine passe une main sous sa jupe. À peine touche t-elle son sexe qu'un spasme parcourt tout son corps. C'est sublime.

Je suis debout devant Estelle qui pose ses mains sur mes hanches. Je m'approche encore jusqu'à coller mes cuisses contre le dossier de la chaise. Je passe ma main libre sous son menton. De l'autre je frotte ma queue sur son visage. Elle se trémousse elle aussi. Je donne de petits coups de bite sur chacune de ses joues. Ce qui la fait glousser en riant de bonheur. Je passe à Clémentine. Je fais exactement la même chose. À chaque fois que l'une tente de gober mon sexe je passe à l'autre. Une délicieuse frustration s'installe. Un jeu merveilleux.

Je suis tellement excité. Du liquide séminale s'écoule de mon méat. Les premiers épanchements de jute dont je macule les visages de mes anges. Sans leurs laisser le loisir de sucer. Elles m'attrapent toutes les deux par les hanches, les fesses pour m'empêcher de me sauver. C'est émouvant de les voir 'batailler" pour enfin pouvoir se régaler. Le jus est de plus en plus abondant. Je désire les libérer toutes les deux de cette douce contrainte en disant : << J'ai l'envie folle de vous bouffer les minous ! >>. Elles éclatent toutes les deux de rires.

Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. << Où ? >> s'écrie Estelle en désignant le bureau puis le canapé. << Là ! >> lance Clémentine en se levant pour se précipiter vers le canapé. Des filles qui ont marché quatre heures, qui ont eut plusieurs arrêts pipis, qui sont excitées comme des puces. Je laisse à chacune et à chacun le soin d'imaginer de quoi je vais encore me régaler. Nom d'une pipe ! Que c'est bon. Je suis comme souvent, à genoux sur les épais coussins. Mes deux anges m'offrent la dégustation de leurs minous juteux. Yaourts onctueux.

Je ne sais plus où donner de la bouche. J'en oublie ma queue. Je suis bien plus excité par ce que je fais que par ma bite. Nous adorons les rapports génitaux buccaux. Même si Estelle ne rechigne jamais à l'idée d'une bonne pénétration. Mais là, ce soir encore, le traitement que je lui administre la propulse dans des sphères d'une jouissance extrême. La fatigue se fait sentir mais elle participe à ces moment de lascivité totale. J'adore me bouffer de la chatte avec la musique stéréophonique de leurs gémissements. De leurs petits râles, de leurs petits cris.

Quand je fouille leurs intimités de ma langue exploratrice mes deux anges se masturbent en gloussant de plaisirs. Lorsque je suce leurs clitoris elles se tortillent de bonheur en cherchant le meilleur angle. Elles me tiennent par les oreilles pour se frotter sur mon visage. Parfois elles se donnent leurs impressions, me chuchotent des douceurs, des cochonneries. Dans un cri Estelle est saisit d'un orgasme qui la surprend autant que nous. Elle se tourne sur le côté, les mains entre les cuisses comme en proie à une douleur insoutenable. J'ai peur.

Clémentine se frotte sur mon visage. Je suce, je lèche, je pompe. J'anticipe. Je cesse pour récupérer la cuvette en plastique toujours sous le guéridon à côté du canapé. Je la positionne juste à temps. L'orgasme pisseux de Clémentine la fait hurler, tressaillir, comme en proie à une torture. Estelle vient se mettre à genoux contre moi pour observer une fois encore ce phénomène. Elle tient ma queue toute molle. Lorsque je pratique l'art du cunnilingus mon plaisir n'est plus physique. C'est le plaisir du gourmet, du gastronome, de l'esthète. C'est succulent.

Clémentine reprend ses esprits en haletant. << Je vais devenir folle, je vous jure ! >> chuchote t-elle. Je me relève en gardant Estelle contre moi. Elle tend ma bite toute molle à Clémentine en disant : << Tu as besoin d'un petit remontant ! >>. Sans même répondre, un mouchoir en papier qu'elle tient dans sa main entre ses cuisses, Clémentine se met à sucer comme si sa vie en dépendait. Estelle m'embrasse passionnément. Nous regardons Clémentine s'offrir une fellation savoureuse et juteuse. Des gargouillis, des bruits bulleux.

Estelle se penche pour observer de tout près. Elle me montre le trop plein de jute qui ruisselle déjà de la bouche de Clémentine. J'explose dans sa bouche avec un spasme, un hurlement. Estelle passe derrière moi. Ses bras autour de ma taille elle maintient mon équilibre. Mon orgasme est vertigineux. Je vacille. Sans l'aide d'Estelle je pourrais basculer. Clémentine pompe, suce, pompe encore en me vidant les couilles. C'est presque douloureux. À tel point que j'arrache mon sexe dégoulinant de sa bouche. C'est Estelle qui me contourne pour sucer.

Nous sommes tous les trois totalement épuisés. Tous les trois vautrés dans le canapé. Je suis entre mes deux anges que je tiens contre moi par leurs épaules. Elles me couvrent les joues de bisous en mitraille. Nous jetons nos dernières forces dans une ultime tendresse avant de monter péniblement les escaliers. Lavage des dents. Derniers pipis. Je nettoie les minou avec ma langue ankylosée. Je n'en peux plus de lécher, de sucer mais je me régale encore. Au lit, Estelle s'endort la première blottie contre moi. Clémentine me confie des secrets.

Bonne nuit à toutes les coquines qui aiment à se faire nettoyer les minous par une bouche gourmande. Qui aiment à en crier de plaisir...

Julien (Docteur Honoris Causa es Cunnilingus)



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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 10 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1816 -



Tous trois réservés - Estelle, Clémentine et moi...

Hier matin, dimanche, il est neuf heures et demi lorsque Estelle se frotte contre ma hanche. C'est mécanique car elle le fait en gémissant. Dormant probablement encore elle se serre fort. Clémentine vient se blottir contre moi. Estelle a relevé une cuisse posée sur mon érection matinale. Clémentine imprime le même mouvement masturbatoire. Je suis entre mes deux anges. C'est ainsi que nous sortons tous trois du sommeil. Distribution de bisous. Papouilles. Lutter contre l'impérieuse envie de pisser. À ce jeu c'est toujours Estelle qui perd la première.

Elle se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte. Clémentine se couche sur moi. << Mmhh, comme c'était bon hier soir ! >> murmure t-elle. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Vêtus de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine déjà bien chaude. L'odeur du café, du pain grillé. Elle me saute au cou. Je la soulève. Enserrant ses jambes autour de ma taille, je la porte ainsi dans toute la grande pièce. C'est au tour de Clémentine. J'allume un bon feu dans la cuisinière à bois.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos folies de hier soir. << On se suffit amplement à nous-même tous les trois ! >> lance Estelle. << Oui et il n'y a pas cet étrange malaise comme les lendemains de partouzes ! >> rajoute Clémentine. Elle fait évidemment allusion à l'invitation de Juliette. Nous rions de bon cœur en imaginant ce qui s'est encore certainement passé au haras hier soir. C'est dimanche. Pas d'entraînement, pas de jogging. Nous prenons tout notre temps. Mes deux anges s'assoient lascivement sur mes genoux.

Une fois encore le sujet de conversation est autocentré sur notre relation à trois. J'écoute les filles disserter sur ces souvenirs de soirées à plusieurs. << C'est curieux, depuis quelques mois je n'éprouve plus aucune attirance pour ce genre de "plans". Au contraire ! >> dit Clémentine. << Moi, ça fait longtemps. Je t'en parlais souvent aux interclasses ou au restaurant universitaire ! >> rajoute Estelle. Ces échanges d'impressions sont passionnants. Les filles finissent par me demander mon avis. En fait, elles le connaissent bien toutes les deux.

Ma position est restée invariable depuis près de cinq ans. Estelle et Clémentine sont des jeunes filles. Il est tout à fait normal, à 20 ans, de vouloir faire quantité d'expériences de toutes sortes. Une fois qu'elles en auront fait le tour elles prendront les mesures qui les concernent personnellement. Ce qui semble être le cas puisqu'elles en tirent les premières conclusions depuis quelques mois. Je savais dès le début qu'un jour elles passeraient toutes les deux à autre chose. << Mais je n'exclue pas de petits impondérables sympas ! >> lance Clémentine.

Elle rajoute : << J'ai toujours ce fantasme tout au fond de moi. Sucer un inconnu quand une circonstance spéciale se présente ! >>. Estelle dit : << Moi, il faut qu'elle soit vraiment très spéciale cette circonstance ! J'ai Jean-Marc mon parrain pour me baiser comme j'aime. J'ai Julien pour tout le reste ! >>. Nous rions. Je fais : << Comme c'est l'heure des bilans, Estelle, il faudra quand même finir par te trouver un mec. Un garçon rien qu'à toi ! >>. Elle met sa main sur ma bouche pour conclure : << Ne dis rien. Après mon Doctorat, j'aviserai ! >>.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Pour dissiper ce sentiment de gravité qui s'est installé, Estelle nous entraîne dans une farandole. Nous retrouvons très rapidement nos émotions habituelles. Estelle improvise des paroles sur un air de comptines : << Et on s'en fout ! Et de tout ! >>. Nous reprenons en cœur sur la même mélodie. Jusqu'à nous serrer tous les trois très fort. << Notre couple à trois. Il faut que ça dure encore longtemps. J'en ai trop besoin ! >> dit elle. << Moi aussi, ça m'est nécessaire ! >> rajoute Clémentine. Plein de bisous.

Nous montons à la salle de bain pour y faire les pitres en nous lavant les dents. Estelle quitte son pyjama pour les mêmes vêtements que Clémentine et moi. Nous faisons le lit. Nous dévalons les escaliers pour mettre nos anoraks. Le thermomètre extérieur indique 12°. Le ciel est bleu. Un léger vent de Nord Est donne cette impression de froid glacial. Il est 11 h. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par le bras. Nous descendons jusqu'à la rivière. Nous restons serrés tous les trois à regarder ce paysage encore hivernal. Les canards approchent.

Ils attendent la venue de notre voisin. Louis vient les nourrir tous les jours. << Tiens, par exemple, monsieur Bertrand, celui-là je me le suce de temps en temps ! >> lance Clémentine. Nous éclatons de rire. Estelle s'écrie : << Et moi, je me le goûte un de ces jours ! >>. Quand on parle du loup, il sort de bois. En effet, quand nous remontons le chemin, nous tombons sur monsieur Bertrand. Son grand sachet à la main. L'œil vif, facétieux, Louis est tout content de nous rencontrer. Ça fait bien deux semaines que nous ne nous sommes pas vus.

Le retraité nous donne quelques nouvelles. La santé de sa belle-mère. Les travaux qui l'attendent au printemps. La construction de ce petit muret en haut de sa propriété côté route. << On se prend un bon café un de ces vendredis ? >> lui demande Clémentine. << Volontiers mais vous savez que je n'ai jamais plus d'une demi heure à vous consacrer ! >> répond Louis réellement embarrassé. Le vieux salaud joue à la perfection. Il ne se doute pas un seul instant que nous sommes dans la "combine". Nous le laissons à ses canards pour rentrer.

Clémentine fait la salade. Estelle remue sans cesse la potée de légumes pour détacher ce qui colle. Ce qui attache au fond de la vieille cocotte en fonte noire est tellement bon. Dans une poêle je fais dorer trois gros pavés de saumon. Ils réduisent toujours à la cuisson. J'y rajoute des champignons, de l'ail, de l'échalote, du persil, de la ciboulette. En fin de cuisson je procède à un "déglaçage" en rajoutant un petit pot de crème fraîche. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bisous. Estelle palpe ma braguette. Nous mangeons de bon appétit.

Tout en se levant à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine, Estelle revient sur quelques projets. Ces vacances de Pâques où nous passerons deux semaines ensemble, tous les trois. Une semaine que nous prépare Clémentine avec une destination encore secrète. C'est à la fois passionnant et excitant. Je sors ma bite sous la table. Les filles gardent toujours le silence en regardant bouger mes bras. Elles savent bien ce que je prépare. Leurs attentes son satisfaites lorsque je me lève à mon tour pour faire tournoyer ma queue très rapidement.

<< L'hélicoptère ! >> s'écrie Estelle. << Emmène-nous faire un tour ! >> lance Clémentine. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges font le programme de l'après-midi. Ce sera notre seconde randonnée du week-end. Comme le sol est sec, nous pourrons changer d'itinéraire. Une seule certitude, nous désirons passer au haras pour faire un coucou à Juliette. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés de filer nous descendons à toute vitesse.

Dans le petit sac à dos la thermos contenant le thé bouillant, les barres de céréales, trois pommes. Nous enfilons les anoraks. Ce maudit vent de Nord Est semble redoubler. Le thermomètre extérieur indique 12°. Bonnets, gants. C'est un peu dommage avec ce soleil et ce ciel entièrement bleu. Nous montons jusqu'au portail. Là-bas, devant le sien, monsieur Bertrand est entrain de charger une remorque de branchages. Nous lui faisons coucou de la main en traversant la route. << Je me suce ce vieux salaud vendredi ! >> dit Clémentine. Rires.

Nous nous engageons dans le chemin forestier. Il est large. Nous marchons de front en nous tenant par la main. La conversation s'axe à nouveau sur le bilan que font mes deux anges quand à notre sexualité débridée. Nous rions souvent aux éclats. << Tous trois réservés et nous détenons le Copyright ! >> lance Clémentine. Estelle surenchérit : << Toutes reproductions interdites ! >>. Mes deux anges me tiennent par le bras. Comme nous portons nos gants, c'est mieux. Parfois le chemin devient sentier en longeant les clôtures. Arrêt bisous.

C'est sensiblement le même itinéraire que hier. Les arrêts pipis aux même endroits. De préférence à l'abri du vent. Nos rituels pisseux sont très excitants. Ils nous mettent en condition pour ce soir. Je promets aux filles un nettoyage de minous dans les règles de l'art. Le dimanche, pas de toilettes intimes. Nous restons tous les trois à macérer dans nos jus. Je laisse imaginer aux lecteurs de quoi je vais encore me régaler pour le dessert. Les filles sont évidemment enchantées de ce qui les attend. Nous marchons d'un bon pas en croisant des randonneurs.

Des cavalières aussi. Le haras étant à quelques kilomètres c'est de là-bas que viennent ces belles jeunes filles fières sur leurs montures. Parfois, avec la volonté délibérée de s'amuser, Clémentine pose sa main sur ma braguette. Estelle se serre contre moi. C'est dans cette situation que nous saluons la cavalière. De découvrir les expressions amusées, parfois complices de ces jeunes filles est un véritable must. D'autres détournent la tête pudiquement. Tout cela n'est évidemment possible qu'entre Estelle et Clémentine. Rassurant pour des inconnues.

Il est 17 h45 quand nous entrons dans la cour du haras. Il y a plein de voitures. Probablement celles des cavalières rencontrées en chemin. D'ailleurs nous en reconnaissons une qui tient son cheval par sa longe en bavardant avec un couple. Très certainement ses parents. La jeune fille nous reconnaît également. Elle nous adresse un petit signe discret de sa main libre. Adorable complicité qui n'est possible que par la proximité d'Estelle et de Clémentine. J'en savoure les sensations. Sensations divines. Voilà Juliette et Bernadette qui viennent vers nous.

Madame Walter et Juliette portent d'épais anoraks noirs, leurs pantalons de cavalières, leurs hautes bottes noires. Curieusement ressemblantes jusque dans la natte qui dépasse du bonnet. Nous sommes contents de nous revoir. Juliette nous raconte ce dimanche chargé. Nous entrons dans l'ancienne écurie ou deux autres jeunes filles brossent leurs chevaux. Je suis sûr que nous avons croisé l'une d'elles cet après-midi. Juliette nous raconte la soirée de hier. << Partie carrée ! >> lance Bernadette en me faisant un curieux sourire.

Nous ne nous attardons pas. Juliette viendra passer le mercredi soir à la maison. C'est à son tour d'apporter le repas. Bernadette ne cesse de me lancer de discrets regards par en-dessous. La vicieuse. Rien n'échappe à Clémentine. À Estelle non plus d'ailleurs. Nous prenons congé. Il y a encore trois kilomètres jusqu'à chez nous. Nous prenons par le sentier qui longe la rivière. << Tu as vu comme elle te mâte madame Walter ? >> me lance Estelle qui marche devant. Clémentine qui marche derrière moi répond : << Elle veut de la queue ! >>.

Nous rions de bon cœur à l'évocation de toutes les péripéties vécues au haras. Avec Bernadette et Juliette. Il est presque 19 h quand nous arrivons. J'ai la lampe frontale allumée. La nuit est sans lune. Morts de faim nous nous mettons à la préparation du repas. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle nous concocte son omelette aux trois fromages du dimanche soir. Je remue la potée de légumes. Je vais de l'une à l'autre pour déposer des bises dans les nuques, passer mes mains par derrière entre les cuisses, caresser des seins. Douceurs.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos aventures passées. Les soirées partouzes dans les écuries. Le Gloryhole dont Clémentine veut revivre les sensations. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. << Tu n'aurais pas parlé de nettoyage de minous, toi ? >> me fait Estelle en glissant sa main dans ma braguette ouverte. << Il me semble bien ! >> rajoute Clémentine qui pose ses lèvres ventouses dans mon cou. Mes anges m'entraînent au salon. En riant, elles arrachent leurs vêtements. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il est 20 h30.

Vautrées toutes les deux dans le canapé, une fois encore Estelle et Clémentine m'offrent les saveurs exquises de leur journée de filles. À genoux sur les épais coussins, je passe de l'une à l'autre. Ce soir, je me régale de véritables "fondues". Ça sent fort, comme j'aime. Ce que je lèche, ce que je suce, ce qui s'écoule de ces moules gluantes m'enivrent une fois encore jusqu'aux vertiges. L'orgasme d'Estelle la fait crier. Celui de Clémentine la fait hurler en pissant dans la cuvette. J'ai le bas du visage trempé de jus de fille. Nous sommes épuisés.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se font bouffer le sexe. Blotties contre leur lécheur, sous les draps à conter leurs secrets...

Julien (Lécheur fou - Karcher à minous)



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NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 11 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1817 -



Une bien agréable soirée en compagnie de Julie

Hier matin, lundi, il est presque six heures. Ce sont les cris des mouettes qui nous arrachent de nos profonds sommeils. La sirène de ce gros bateau dans le lointain. S'y rajoute le clapotis de l'eau qui semble toute proche. L'illusion de cette application "océan" est encore parfaite. Clémentine vient se blottir tout contre moi. << Je reste au lit ! >> murmure t-elle d'une voix à peine compréhensible. Je lui dépose plein de bisous. C'est vrai que c'est dur de se lever. C'est en la portant comme une jeune mariée que je l'emmène aux toilettes. Rituels pisseux.

Morts de faim, habillés de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Pendant que Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis, j'allume une belle flambée dans la cuisinière à bois. Je récupère les quatre tranches éjectées par le grille pain. Comme le lundi matin il reste toujours encore de la brioche ce petit déjeuner est excellent. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les moments clefs de ce week-end passé. Deux soirs de cunnilingus qui nous font beaucoup rire. << Trop bon ! >> lance Clémentine.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre nécessaire heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants. Tout va mieux que prévu. << C'est la brioche ! >> fait Clémentine déjà facétieuse. Exercices au sol, abdos. Charges additionnelles. Ce matin sur machines. Retour au calme avec un stretching bâclé. On le fait toujours trop vite. La douche. Je descends pour sortir la voiture, la faire chauffer. Il est presque 7 h45. Le ciel est d'un bleu pâle. Le froid est glacial. Ce maudit hiver qui n'en finit pas. Clémentine me rejoint dans son anorak.

Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer pour faire la vaisselle, notre lit. J'allume un bon feu dans la cheminée dans l'atelier. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette septième scène de genre destinée à ma saison d'été me plonge dans les délices de la passion. Je peins dans un enthousiasme exubérant. La matinée passe si vite. Il est 11 h55 quand je mets deux bûches dans la cheminée. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il reste de la potée.

Pendant que réchauffent les légumes, je fais une salade de tomates. Dans une poêle je fais rissoler un filet de lieu noir préalablement panné. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff dans tous ses états expose la tragédie ukrainienne avec ses invités. Il y a de quoi s'inquiéter avec un "va t-en guerre" qui ne cesse de provoquer la Russie. Nous exposant au feu nucléaire en livrant des armes à l'un des belligérants. Une ambition électoraliste qui risque d'enflammer l'Europe. J'éteins. Je fais la vaisselle avant de monter me laver les dents.

Pressé d'aller marcher un peu, je dévale les escaliers pour enfiler mon anorak. C'est ce vent du Nord Est qui impose ce froid polaire. C'est détestable. Je vais jusqu'à la rivière en pensant au drame qui se joue pour des millions de gens à quelques 3 000 km d'ici. C'est surréaliste, impensable. Et pourtant c'est une tranche crue de vérité sanglante. Il est 13 h30 quand je suis à nouveau installé devant mon chevalet. Je peins animé des mêmes émotions que ce matin. La peinture a des vertu qui permettent de s'abstraire dans de toutes autres considérations.

L'après-midi passe à une vitesse folle. 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle se précipite pour s'assoir sur mes genoux, me couvrir les joues de bises. Ses bras autour de mon cou elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. << Tu as le bonjour d'Estelle. En mangeant à midi nous avons encore fait le bilan de toutes nos folies. C'est bien d'avoir pris la décision de sélectionner les sources de nos plaisirs ! >> dit elle. Clémentine a encore tu travail. La voilà assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches. Elle chantonne.

Il est 18 h quand je nettoie la palette, les pinceaux. Je me lave les mains au-dessus du petit lavabo de l'atelier. Je rejoins Clémentine. Debout derrière elle, je lisse ses cheveux. Elle adore quand je fais ça. Elle m'explique ce qu'elle fait. Ce nouveau texte qu'il faut composer pour le rendre vendredi prochain. Je me penche pour murmurer à son oreille : << Si tu montes te mettre en jupe ou en robe, je te réserve une belle surprise devant Julie ce soir ! >>. Clémentine saisit mon poignet. Dans un gloussement elle s'écrie : << J'arrête, je monte ! >>.

Elle range ses affaires, éteint l'ordinateur. Un bisou et elle quitte l'atelier en coup de vent. À présent la nuit tombe vers 19 h. Comme tous les ans, les manifestations paranormales cessent avec le rallongement des journées. Je range mes tubes de peintures que j'aligne sur la desserte. Mes pinceaux et ma palette bien ordonnés. Tout est prêt pour demain matin. Clémentine revient. Elle porte sa jupe carmin, légèrement évasée qu descend juste sous les genoux. Un sweat brun. Elle sautille tout autour de moi. Je remarque ce détail qui tue.

Elle porte des chaussettes noires qui enserrent ses mollets. Chaussée de converses. Je trouve ça absolument exquis. Clémentine me saute au cou. Ses jambes autour de ma taille. Je l'emmène dans toute la grande pièce. Mon visage mitraillé de bisous. << Je t'aime. Tu as toujours de bonnes idées ! >> s'écrie t-elle quand trois petits coups timides sont frappés contre la porte qui s'ouvre. Julie tombe sur ce spectacle. Amusée, elle entre dans l'atelier. Je dépose Clémentine qui se précipite vers Julie pour lui faire des bises. J'y vais également.

Ce soir Julie est habillée d'un pantalon noir, un pull mauve, une écharpe de soie fuchsia. Ses bottines. Ses lunettes d'étudiante. Ses longs cheveux presque noirs en natte. Elle semble toute menue, si fragile que par instinct de protection on a envie de la protéger. Mais la protéger de quoi ? Elle est toute contente, radieuse. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Sur la table la grosse boîte isotherme contenant nos commandes. Le sachet contenant les bacs de salades. Je dépose une bise sur le front de Julie en la remerciant. Elle tient mes poignets.

Clémentine retire les opercules qui scellent les salades. Julie met les assiettes et les couverts. Je tire les trois feuillantines au saumon de la boîte. Ainsi que les deux quiches aux fruits de mer pour demain. Tout est encore hyper chaud. << Tu es belle habillée comme ça ! >> lance Julie à l'attention de Clémentine qui saisit sa jupe pour la faire tournoyer comme une danseuse des folies bergères. Clémentine qui lui demande : << Tu as vécu des trucs sympas au restau ? >>. Julie éclate de rire avant de s'écrier : << Deux ! Et des très bons ! >>.

Nous mangeons de bon appétit. Julie nous raconte son samedi soir de serveuse au restaurant de sa tante. Un client régulier qui la drague effrontément lorsqu'il vient manger seul. Le plus souvent accompagné de sa femme, samedi soir elle n'était pas là. << Le salaud m'a montré son "engin" deux fois aux toilettes. Il m'a même fait des propositions ! >>. Nous rions beaucoup. Clémentine pose plein de questions. Julie répond avec un luxe de détails. C'est hyper excitant. Sous la table, bien évidemment, comme toujours, je sors la bite.

Aux narrations les plus torrides je me lève. J'agite mon sexe vers les filles. Julie qui n'ose pas soutenir mon regard fixe le sien sur ma queue. Il y a toujours un silence quand je fais ça. Clémentine qui m'adresse un clin d'œil. Julie qui me fait un sourire timide. Nous nous amusons beaucoup. C'est au tour de Julie de poser des questions quand à notre week-end. Clémentine confie nos décisions de nous recentrer sur nous-même. Son souhait de ne plus participer à des partouzes. Julie s'écrie : << C'est mieux. Moi je ne pourrais pas non plus ! >>.

Par contre Clémentine explique son choix de ne profiter que des opportunités de sucer des inconnus. Son fantasme ultime. J'en suis d'ailleurs le seul et unique responsable. C'est moi, au début de notre vie commune il y a cinq ans qui ai créé ce fantasme avec mes demandes. Tout comme je vivais ces formidables moments avec Christine mon ancienne compagne disparue. Être planqué pour voir la fille que j'aime s'exhiber, parfois sucer un mec. Rien ne m'excite davantage. Clémentine s'est très rapidement révélée la complice idéale.

Julie écoute en ouvrant de grands yeux. Elle connaît très bien nos fantasmes mais c'est toujours un réel plaisir de nous entendre en parler. Julie est voyeuse extrême. Elle aussi aime à exposer ses déviances, ce travers en contant d'amusantes anecdotes. Je suis souvent debout en face des filles pour me branler en les écoutant échanger leurs aventures. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Je dis : << Julie, vous féliciterez le Chef de cuisine pour ce délicieux repas ! >>. Clémentine rajoute : << Il t'a enculé avant que tu viennes nous rejoindre ? >>.

Julie s'écrie : << Non, pas le temps. Il ne m'encule qu'aux vacances. Parfois le samedi en vitesse quand j'arrive plus tôt en fin d'après-midi ! >>. Nous rions en passant au salon. De voir Clémentine dans sa jupette, son accoutrement d'adolescente, me procure de douces émotions. Julie, installée dans le fauteuil qui nous fait face, nous observe en bavardant. Clémentine joue avec ma queue. Les filles parlent de leurs études. Je bande comme le dernier des salauds. Je prends un des épais coussins que je jette aux pieds de Clémentine. Je me lève.

Clémentine qui vient de comprendre de quelle surprise il s'agit, écarte ses jambes lorsque je me mets à genoux. Julie pousse un petit cri d'étonnement. Elle se lève d'un bond pour venir s'assoir à côté de Clémentine qui écarte ses cuisses pour me permettre d'y glisser ma tête. Mes mains posées sur ses genoux, je hume avec passion les délices de ses parfums intimes. Elle ne porte évidemment pas de culotte. J'en oublie tout. Du bout de ma langue je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de sa vulve. La conversation l'a bien excité elle aussi.

Son sexe suinte de jus de fille. Le goût acidulé que je savoure en fouillant son sexe. Les pipis de la journée y ont laissé cette délicatesse vinaigrée. Julie, penchée en avant, les coudes en appui sur ses genoux, m'observe. Son visage tout près du mien. Clémentine se laisse tomber en arrière. << C'est le troisième soir ! >> dit elle dans un souffle. Je cesse pour regarder les épanchements de "yaourt" qui s'écoule dans la raie culière. Je retourne lécher en lui écartant les fesses. Je ne veux pas perdre la moindre goutte de mon "dessert". C'est miam.

Julie assiste à cette scène en poussant de profonds soupirs d'excitation. En apnée dans les instants où je fouille, mon visage collé contre le sexe de Clémentine. Quand je cesse pour avaler, Julie me regarde comme un objet de désir. Je cesse pour lui murmurer : << J'aimerais beaucoup vous infliger les mêmes tourments Julie ! >>. Elle semble soudain toute paniquée. << Pas ce soir. Ce n'est pas propre ! >> lance t-elle comme pour s'excuser. Julie devra nous laisser pour 22 h. Il n'est que 21 h15. Clémentine lui répond : << Julien aime nettoyer ! >>.

Julie est toute déstabilisée. Partagée entre son désir et son inhibition. Je cesse de sucer le clitoris géant de Clémentine pour lui dire : << J'adore les minous du soir, après une journée de fille ! >>. Elle cache son visage dans ses mains. Clémentine rajoute : << Tu devrais te faire nettoyer la chatte, c'est un bonheur indescriptible ! >>. Julie ne répond pas. Elle semble effarée par ce qui se passe. Je découvre toutefois qu'elle a glissé une main dans son pantalon ouvert. Clémentine se tortille. Julie, bisexuelle, amoureuse de Clémentine, tente une approche.

Mon vieux fantasme d'homme des cavernes va t-il enfin trouver son aboutissement ? Je regarde en bouffant la chatte. Julie tente d'embrasser Clémentine en se serrant contre elle. À chaque tentative Clémentine esquive en détournant la tête. Je glisse ma main entre les cuisses de Julie qui pousse un petit cri dans un sursaut. Elle saisit mon poignet pour que surtout je ne me sauve pas. Je n'ai jamais vu une fille jouir aussi vite. Julie connaît un orgasme qui la fait gémir d'aise. Clémentine connaît elle aussi un orgasme titanesque. Une merveille.

Je me choppe une éjaculation de cyprine qui me surprend par son ampleur. Va t-elle pisser ? Je crois que c'est au prix d'un effort insensé que Clémentine évite l'orgasme habituel de la "femme fontaine". Julie reprend ses esprits. Toute gênée, elle se lève pour refermer son pantalon. Je m'assois à côté de Clémentine. Nous restons silencieux. Julie est toute timide. Je dis : << Félicitations ! Vous vous laissez enfin aller ! >>. Elle me fait un sourire. Elle reviendra vendredi après-midi. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture dans la nuit glaciale.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se sont fait déguster le minou une fois encore. Sous le regard d'une amie intime et vicieuse...

Julien (Monsieur Cunni)



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NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Le mardi Clémentine termine à midi

Hier matin, mardi, ce sont les cris des oiseaux de mer qui nous réveillent. C'est comme si nous étions au bord de la mer. Le bruit du ressac. Le clapotis de l'eau tout près. L'application "océan" nous arrache de nos profonds sommeils avec ses illusions parfaites. Clémentine vient se blottir quelques instants. C'est encore bien difficile d'émerger. Il faut pourtant se lever après quelques bisous, quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues sports nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine bien froide.

Pendant que Clémentine fait le café, j'allume le feu dans la cuisinière à bois. J'aide Clémentine à peler les kiwis quand elle presse les oranges. << J'ai la tête dans le cul ! >> lance t-elle en m'enlaçant par la taille. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier en compagnie de Julie. << C'est génial ce que tu fais ! >> dit encore Clémentine en faisant allusion aux cunnilingus. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de l'après-midi. Clémentine termine à midi. Il est 6 h25. Nous remontons très vite.

Cette heure d'entraînement avec une intensité maximale va nous réveiller complètement. Quand elle termine à midi Clémentine est dans une sorte d'euphorie. L'aérobic, le jogging sur les tapis roulants sont autant de prétextes à ses facéties. Les exercices au sol et les abdos obligent à une certaine concentration. Les charges additionnelles ne permettent plus le moindre écart. Le retour au calme avec un stretching hilarant où Clémentine nous faire rire. La douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Le ciel est d'un bleu pâle.

Il est presque 7 h45. Il fait un froid polaire. Emmitouflée dans son anorak telle une esquimau Clémentine vient me rejoindre. Sautillant sur place elle me fait les derniers bisous. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou avant de rentrer au chaud. Je fais la vaisselle, le lit avant de passer dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée avant de m'installer confortablement devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette en riant encore des déconnades de Clémentine.

Je peins dans cette exubérance qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. Je souligne chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent d'un << Yeah ! >>. Le temps passe inexorablement. De plus en plus vite. La peinture de cette septième scène de genre destinée à ma saison d'été occulte toute perception des heures qui défilent. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans le feu. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe les deux quiches aux fruits de mer pendant que je lave les feuilles d'une belle et grasse laitue. Préparation rapide.

Il est 12 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle se précipite pour me sauter au cou. Je la soulève. Elle enserre ses jambes autour de ma taille. Je l'emmène ainsi dans toute la grande pièce. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Cet après-midi elle n'aura que peu de temps à consacrer à notre promenade. Il y a ses écrits et ce texte à concevoir pour vendredi matin. Nous ne traînons pas. Pour ce soir je prépare une pâte à pain. Clémentine coupe les tomates, les champignons, l'ail, l'oignon. Le tout dans la poêle dix minutes.

La pâte à pain dans le saladier repose sous un linge. La garniture dans sa poêle repose sous un couvercle. Le nécessaire pour les pizzas est prêt. Nous faisons la vaisselle sans cesser de nous faire des papouilles. Nous montons nous laver les dents. Pressés de filer nous redescendons à toute vitesse pour mettre nos anoraks. Le thermomètre extérieur indique 12°. C'est ce maudit vent de Nord Est qui persiste à tout refroidir. Nous descendons jusqu'à la rivière pour la longer sur l'étroit sentier. Il faut marcher l'un derrière l'autre. Le sol est sec.

Clémentine se retourne tous les cent mètres pour me faire un bisou. Elle marche devant en me tenant la main. Nous parlons des anniversaires à venir. Celui d'Estelle qui aura 25 ans vendredi 11 mars. << Comme ça passe ! >> lance Clémentine dont l'anniversaire sera le 2 avril. Ses 25 ans aussi. Je dis : << Tu feras un beau paquet cadeau pour samedi ! J'ai déjà son cadeau ! >>. Clémentine s'arrête, me prend les mains : << Cachotier ! C'est quoi ? >>. Je réponds : << Je te le montre après ! >>. Les 3 km et nous voilà au vieux lavoir.

Le soleil est haut dans le ciel d'un bleu d'azur. Pourtant il fait froid. Les arbres encore nus n'offrent aucune ombre. Le paysage reste hivernal. << C'est d'un triste ce froid. J'en ai marre ! >> lance Clémentine qui se frotte contre ma cuisse en me tenant par le cou. Je suis en appui contre le muret du bassin vide. Nous prenons le chemin du retour. Il est 16 h quand nous revenons. Nous allons directement dans l'atelier. Clémentine insiste pour voir le cadeau. L'emballage Chronopost est sur l'étagère du haut entre ses classeurs. << J'avais pas vu ! >> dit elle.

Fébrile, impatiente de voir, elle déballe la boîte. C'est une bague en argent ciselé. D'une exquise finesse. Estelle adore l'argent. Tout comme Clémentine. Je fais toujours graver les prénoms et les dates dans l'intérieur de l'anneau. << Elle est belle ! >> s'écrie Clémentine en la tenant comme une relique. Elle l'insert délicatement dans le velours noir de la petite boîte. Il y a des rouleaux de papier cadeau de différents styles sur l'armoire de l'atelier. Elle m'en montre plusieurs. Je suis toujours incapable de choisir. Faire un choix est la chose la plus difficile.

Clémentine prépare le paquet cadeau avec un soin consciencieux. << Comme elle va être contente. Grâce à toi elle se constitue une belle collection de bijoux ! >> dit elle en me montrant le paquet terminé. Avec le petit nœud de satin rouge. C'est magnifique. Elle le cache entre ses classeurs car Estelle arrive d'ici une heure trente. Clémentine est assise devant son ordinateur, entourée de ses brouillons. Je suis devant mon chevalet. J'aime peindre en écoutant Clémentine chantonner ou commenter ce qu'elle fait. C'est pour moi le plus merveilleux moment.

Il est 18 h tapante quand Estelle jaillit dans l'atelier comme une tornade. Elle se précipite pour s'assoir à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou elle nous raconte son après-midi. Elle ne tarde pas à rejoindre Clémentine car elle a emmené une petite musette contenant ses écrits. Assises l'une à côté de l'autre elles comparent leurs textes. Je nettoie la palette, les pinceaux en les écoutant lire à voix hautes. << Dis-nous ! >> me demande Estelle. << Oui ! >> rajoute Clémentine. Je trouve ça excellent mais suis-je réellement objectif ?

Elles sautillent autour de moi en attendant mes conclusions. Je les félicite. Estelle palpe ma braguette de son bras tendu. << Tu auras droit à une pipe ! >>. Nous rions de bon cœur. Il est 18 h35. << Christine ne reviendra plus avant l'automne ! >> lance Estelle en faisant allusion au fantôme de ma compagne disparue. C'est vrai que depuis quelques jours il ne se passe plus rien d'étrange. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine prépare l'assaisonnement de la laitue déjà lavée. Estelle travaille la pâte à pain pour la rendre onctueuse et filante.

Je réchauffe la garniture. Les filles ne cessent d'évoquer leurs travaux à rendre vendredi matin. Je vais de l'une à l'autre pour déposer des bisous dans les nuques. << Ce soir, toi, je te fais ta fête ! >> me lance Estelle. << C'est bientôt la tienne ! >> s'écrie Clémentine. << Arrête, je vais devenir vieille. Je ne veux pas avancer en âge ! Vingt cinq ans, vous vous rendez compte ! >> rajoute Estelle. Nous rions de bon cœur. Estelle étale la pâte sur la nappe enfarinée. Elle les partage en deux parties qu'elle place sur les deux plaques du four à bois.

J'étale la garniture sur chacune. Estelle répand consciencieusement avec une spatule. Clémentine recouvre d'une épaisse couche de gruyère de Comté qu'elle vient de râper. Je mets dans le four hyper chaud de la cuisinière à bois. Il faut surveiller la cuisson car la chaleur d'un four à bois ne se contrôle pas vraiment. Nous mettons les assiettes, les couverts. Estelle est assise en tailleur devant la vitre du four. Clémentine est dans mes bras. Les filles parlent de leurs cours de demain. << Regardez, c'est déjà des volcans en ébullitions ! >> lance Estelle.

Il faut sortir les pizzas du four sous peine de les voir brûler. Estelle enfile ses maniques et s'en occupe. C'est un repas succulent. << Vous savez que des imbéciles prétendent que chaque pizza ingérée c'est 30 minutes de moins à vivre ? >> lance Estelle en se levant pour mimer une masturbation masculine. << C'est encore une de ces conneries culpabilisantes de la "cancel culture" ? Non ? >> s'écrie Clémentine. Nous rigolons comme des bossus de toutes ces sornettes actuelles désignant d'un doigt accusateur tout et n'importe quoi. C'est trop con !

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges font mille projets pour le prochain week-end. Estelle me mordille l'oreille, me souffle dans le cou, y dépose ses lèvres ventouses en chuchotant : << Tu sais que ça fait longtemps que je ne t'ai pas taillé une pipe ? >>. Clémentine répond : << Oui, au moins deux jours ! >>. Nous rions aux éclats. Les filles veulent m'offrir une soirée pipe. << À notre tour de te gâter, c'est tout le temps toi ! >> rajoute Estelle en glissant sa main dans ma braguette béante. Nous faisons notre vaisselle.

Les filles m'entraînent par les mains. Estelle me sort la bite dès que nous sommes au salon. << Sois salaud sel te pli ! >> dit elle en cherchant les couilles dans le slip. Clémentine se frotte contre ma hanche ses bras autour de ma taille. Estelle accroupit qui arrive à extraire mes roubignoles. Elles adorent toutes les deux lorsqu'il y a juste la bite et les couilles qui dépassent. Garrotées par la braguette boutons de mon vieux Levi's 501. Estelle hume à pleines narines. << Je préfère l'odeur des dimanches soirs car ça sent encore plus fort ! >> dit elle.

Clémentine, accrochée à moi, penchée en avant, sa tête sur ma poitrine tient mes couilles dans sa poigne. Estelle saisit ma bite bien dure entre son pouce et son index. Elle décalotte juste l'extrémité du prépuce. << Mmmhhh ! Là ça fouette, ça schlingue ! >> fait elle tout en se mettant à lécher le méat. C'est l'orifice qu'elle tente de pénétrer du bout de sa langue. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il n'est que 20 h30. Je suis bien décidé à lui offrir mon attitude habituelle. Elle me demande si gentiment une fois encore d'être : << Un vrai salaud ! >>.

Clémentine garde mes couilles dans sa main. Elle tourne sa tête pour enfoncer sa langue dans ma bouche. Estelle enfonce mon Zob dans la sienne. Je me fais tailler une pipe des familles. Cette indicible caresse qui me procure des vertiges. Heureusement que Clémentine me tient bien. Je peux m'accrocher à elle. Ce soir, Estelle n'est pas partageuse. Lorsque Clémentine s'accroupit à ses côtés, Estelle refuse de lui passer la queue. Je caresse leurs têtes en les regardant batailler pour téter avec fougue et passion. Mes lombaires sont douloureuses.

Même en suçant, quand Estelle lui offre enfin de la queue, Clémentine ne lâche pas mes couilles. Je suis obligé de les forcer à se redresser. Elles sont à genoux. Je les entraîne par les cheveux jusqu'au canapé où je m'effondre lourdement. Les voilà à nouveau à genoux sur les épais coussins à se refiler ma bite dans un concerto de gémissements, de rires de gloussements de dégustation. Je caresse leurs nuques, je tiens sous son menton celle qui me pompe. Je contracte mes muscles fessiers afin de faire dégorger un maximum de liquide séminal.

La tête renversée en arrière, je me fais pomper comme un bienheureux. Je tente de comparer les bouches. Laquelle est la plus gourmande. Je chuchote : << Salopes ! >>. Clémentine, quand elle cesse, murmure : << C'est succulent ! >>. Estelle chuchote : << C'est miam ! >>. Dans un souffle je dis : << Salopes, je vous aime. Vous me rendez dingue ! >>. En riant elles se partagent cette queue turgescente et juteuse. Le bruit bulleux. Les gargouillis. Tout cela se mêle aux râles de plaisir de mes deux anges. Le contrôle devient vraiment critique.

Je maîtrise toujours parfaitement mes éjaculations, mes orgasmes. Je regarde la pendule Westminster dont le cadran irradie dans l'obscurité. Je murmure : << Il est 21 h50 ! >>. Je précise cela à l'intention d'Estelle. Elle pompe avec davantage de passion encore quand c'est à son tour. Clémentine cesse. Elle s'assoit à ma droite pour me montrer l'intérieur de sa bouche, m'embrasser en poussant un cri. Elle se touche. Je n'avais pas vu. C'est au fond de la gorge d'Estelle que je balance l'intégralité du contenu de mes couilles. En hurlant. Fort !

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment pomper de la queue, bouffer de la bite, déguster des litres de jus de couilles...

Julien (Juteur fou)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 13 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1819 -



Juliette vient passer la soirée avec nous

Hier matin, mercredi, il est presque six heures. L'illusion de l'application "océan" nous arrache une fois encore de nos profonds sommeils. Le cri des mouettes, les sirènes des gros bateaux dans le lointain et jusqu'au bruit du ressac sont bluffant. Nous avons vraiment l'impression de nous réveiller dans un port de pêche. Peut-être même quelque part en Écosse. Clémentine vient se serrer fort en gémissant. Le levé est difficile. C'est comme une jeune mariée que je soulève pour l'emmener aux toilettes. Morts de faim, nous revêtons nos tenues de gym.

Nous dévalons les escaliers. La cuisine est encore bien froide car les deux radiateurs viennent de s'enclencher. Clémentine fait le café. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. Tout en pressant nos oranges, en pelant nos kiwis, Clémentine me raconte ses rêves. Je ne me souviens jamais des miens. Je récupère les quatre tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos folies de hier soir, avec Estelle. Une pipe mémorable à laquelle j'ai eu droit pour me remercier de mes égards, de mes cunnilingus.

Nous rions de bon cœur en mangeant de bon appétit. << Ce soir j'avoue ma décision à Juliette ! >> lance Clémentine. Il est 6 h25. Nous montons. Notre heure d'entrainement. Aérobic, jogging sur tapis roulants. Exercices au sol, abdos. Charges additionnelles. Le retour au calme d'un bon stretching. << J'ai l'impression de faire du yoga ! >> lance Clémentine qui m'emmène par la main à la salle de bain. La douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer l'auto. C'est le même ciel bleu pâle que hier. Le même froid polaire également.

Elle ressemble à un esquimau avec son capuchon bordé de fourrure. Clémentine vient me rejoindre pour se blottir. << Garde-moi, j'ai envie de rester avec toi ! >> dit elle en mitraillant mes lèvres de bisous. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer au chaud pour faire la vaisselle et notre lit. J'allume une flambée dans la cheminée de l'atelier. Installé confortablement devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. J'enserre ma tête de la loupe frontale. Ce qui va me permettre de réaliser les plus infimes détails.

Je peins dans cet enthousiasme serein tout en réalisant le premier visage d'un des trois personnages. Il aura les traits de Clémentine. Le second aura ceux d'Estelle. Le troisième les miens. Cette septième scène de genre destinée à ma saison d'été sera terminée en fin d'après-midi. Lorsque je me concentre ainsi les heures passent encore plus vite. Il est 11 h55 quand je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer la grosse part de pizza qui reste. Je fais une salade de carottes. C'est hyper rapide.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Cette station indépendante qui n'appartient à aucun groupe financier offre une information non formatée. André Bercoff reçoit un invité très intéressant. Il est évidemment question des évènements dramatiques en Ukraine. Notre "va t-en guerre" qui organise de l'envoi d'armement faisant ainsi entrer notre pays, voire l'Europe, de facto dans une guerre qui n'est pas la sienne. Je fais la vaisselle. Je lave trois belles et grosses endives pour la salade de ce soir. Il n'y aura qu'à faire l'assaisonnement. Parfait.

Je monte me laver les dents. Pressé d'aller faire quelques pas au dehors, je dévale les escaliers à toutes vitesse. J'enfile mon anorak. Le thermomètre extérieur indique 14°. Le ciel est d'un bleu d'azur. Le soleil en est le maître absolu. Je vais jusqu'à la rivière. De petites fleurs blanches ont fait leurs apparitions un peu partout. De gros bourgeons suintants sont prêt à exploser. La nature prépare un printemps qui pourrait s'annoncer éclatant. Je me dépêche de rentrer animé du désir d'achever ma toile. De me livrer sans retenue à ma passion.

Installé devant mon chevalet je peins habité des mêmes sentiments que ce matin. Je dépose la dernière touche de brun sur la chevelure du dernier personnage. Voilà mon tableau achevé. Il est 17 h15. Je nettoie la palette, les pinceaux. Le dessin préparatoire ainsi que la couche d'impression sont déjà faits sur la prochaine réalisation. Je suis dans un timing parfait. Peut-être même légèrement en avance. J'aurai mes 24 toiles pour ma saison d'été. Julie qui tiendra ma galerie d'Art aura de quoi s'occuper durant les deux mois d'ouverture. Elle se réjouit.

Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. << Viens, on va marcher un peu ! >> lance t-elle en m'entraînant par la main. Il fait moins chaud qu'à 13 h. Elle a encore du travail donc ce ne sont que quelques pas dans le jardin. Clémentine me raconte sa journée, le repas de midi au restaurant universitaire. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, Clémentine compose son prochain texte. Cet écrit qu'il faudra rendre vendredi matin. Elle m'en fait une première lecture.

Je suis debout derrière elle à lisser ses cheveux. J'écoute la mélodie de sa voix. J'avoue. << Vous êtes dissipé monsieur ! >> dit elle avant de recommencer. Je la félicite en rajoutant : << Vous me perturbez mademoiselle ! >>. Clémentine se lève d'un bond pour me prendre dans ses bras : << Je t'aime ! >> murmure t-elle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Nous nous embrassons passionnément. Elle sait que ces baisers fougueux me mettent en érection. Aussi, c'est en frottant sa braguette contre la mienne que nous mouillons nos mentons.

Cette salive qui fait glisser nos bouches, le bas de nos visages. Clémentine chuchote : << Je ne saurai jamais embrasser proprement ! >>. Je la soulève. Elle passe ses jambes autour de ma taille. << J'ai envie de baiser quand tu me prends comme ça ! >> lance t-elle. Je réponds : << Moi aussi ! >>. Clémentine range ses affaires en parlant de ses cours. Je remue les dernières braises afin de les réunir. Clémentine vient me rejoindre. Elle glisse sa main dans ma braguette ouvert pour en sortir mon sexe. Je bande mou. Avec l'excitation, il y a une goutte.

<< J'adore les suintements de bites. C'est salé ! C'est une friandise ! >> murmure Clémentine en s'accroupissant devant moi. << Viens, je te fais bander comme un taureau. Juliette aime ça. Et moi aussi ! >> rajoute t-elle en gobant mon chibre pour le sucer passionnément. La musique absurde de mon téléphone. Clémentine se redresse pour se précipiter vers la desserte à côté du chevalet. Elle s'en empare : << Juliette est là ! >> lance t-elle en revenant pour prendre ma main. Nous quittons l'atelier pour aller accueillir Juliette. J'ai la bite à l'air.

Il n'est que 18 h45. Juliette tient le grand Tupperware rond qui contient la tarte à l'aubergine qu'elle a concocté. Clémentine l'en débarrasse. Je prends son manteau noir pour l'accrocher. Ce soir encore Juliette a ses longs cheveux noirs en liberté sur ses épaules. Un pull de coton brun. Son pantalon d'écuyère beige hyper moulant. Ses bottes noirs de cavalière. Nous nous touchons les poings. Comme toujours cette sublime bourgeoise de 48 ans fait mine de ne pas voir ce qui pend de ma braguette. Cette attitude féminine participe de mon excitation.

Nous passons dans la cuisine. Avec son accent méridional Juliette nous raconte son quotidien de chef d'entreprise. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade d'endive. Juliette met les assiettes et les couverts. Je réchauffe la superbe tarte à l'aubergine. Elle est dorée à souhait. Sous la couche de gruyère on devine les rondelles de champignons, d'avocat. Je bande mou. Enfin Juliette fait semblant de découvrir mon tuyau d'arrosage. << C'est moi qui vous mets dans ces états ? >> lance Juliette en désignant du doigt ma grosse queue.

Clémentine m'adresse un clin d'œil. Je réponds : << Racontez-nous donc votre samedi soir ! >>. Juliette ne se fait évidement pas prier. Ce qui rend cette femme magnifique encore plus passionnante ce sont les expressions de son visage. J'adore voir son nez fin s'animer. Ses narines bouger. Les fossettes autour de sa bouche qui se plissent. Je trouve ça prodigieusement érotique. Sa taille de guêpe. L'incroyable cambrure de sa taille étroite. Son superbe cul. Ses petits seins moulés dans son pull. Nous écoutons les frasques de son samedi soir.

<< Pierre, Léon, Bernadette et moi. Une "partie carrée". Bernadette attachée dans un des box de l'ancienne écurie. Bref, que du très fréquent au haras ! >> lance Juliette avant d'éclater de rire. Je sors la tarte du four à bois. Elle est fumante lorsque je la dépose au milieu de la table. Juliette, avant de s'assoir, me regarde par en-dessous. Terriblement vicelarde, elle passe son index le long de la couture de son pantalon. Cette couture qui sépare sa vulve en deux petites protubérances fort appétissantes. Clémentine mime une branlette masculine.

J'agite ma queue en direction de Juliette. << Vous me faites une démonstration ? Ça met en appétit ! >> demande t-elle en me faisant un clin d'œil. Je tiens mon Zob à sa base entre le pouce et l'index. Je le fais tournoyer de plus en plus vite. << L'hélicoptère ! Une spécialité de Julien ! >> lance Clémentine qui contourne la table pour venir me rejoindre. Son bras autour de ma taille elle dit : << Et j'adore les spécialités de mon homme ! >>. Je bande comme le dernier des salauds. Nous nous asseyons. Ce repas est bien plus attractif qu'un Zob.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine pose tout un tas de questions sur la "partie carrée". Juliette y répond avec un luxe de détails. Elle précise à plusieurs reprises : << Avec l'âge, je ne me calme pas. Je suis de plus en plus dépravée. Est-ce bien normal à la ménopause ! >>. Nous rions aux éclats. Juliette rajoute encore : << Et contrairement à Bernadette, tout se passe vraiment très bien pour moi. Pas de coups de fatigue, pas de déprime, pas de mauvaises nuits. Rien de chez rien. Tant mieux ! Pas de bouffées de chaleur ! >>.

C'est le moment que choisit Clémentine. << Moi, avec l'âge, les choses se calment. Je ne désire plus du tout être mêlée à des soirées à plusieurs, des "parties carrées" ou encore à des partouzes. Je désire passer à autre chose ! >>. Juliette écoute religieusement tout en savourant sa tranche de tarte. Clémentine continue : << Par contre, j'aime trop les bites. Alors de temps en temps, juste pour situer les choses, un petit gloryhole ! >>. Juliette s'écrie : << Mais si ce n'est que ça je vous arrange tous les "plans" que vous voulez ! >>. Rires.

<< Et vous Julien ? >> me demande Juliette. Je me lève. Je me masturbe doucement. Je réponds : << Vous savez Juliette, avec Clémentine j'ai tout ce qu'il me faut et même encore davantage. Lorsque Estelle vient nous rejoindre c'est au-delà de ce qu'un homme normalement conçu peut espérer ! >>. Juliette regarde ma branlette en disant : << Je comprends parfaitement. Surtout un quinquagénaire avec deux jeunes filles ! >>. Clémentine fait encore : << Il y a toujours un moment dans l'existence où il faut orienter ses choix, les suivre ! >>.

Juliette pourrait être la maman de Clémentine. Je regarde ces deux femmes bavarder. J'écoute cette conversation surréaliste et hautement excitante. Juliette propose d'organiser un gloryhole pour l'anniversaire de Clémentine. Un anniversaire qui tombe pile poil un samedi. Le 2 avril. << Génial l >> s'écrie Clémentine. Juliette, facétieuse, s'écrie : << Mais il n'y aura pas 25 queues à souffler ! >>. Clémentine éclate de rire avant de lancer : << Oh, je me contenterais de 24 ! >>. Nous sommes pliés de rire. Je suis à nouveau debout à me masturber.

J'écoute Juliette décrire l'organisation de cette soirée d'anniversaire. Elle propose même de préparer un repas. Un bon gâteau. << Un vacherin glacé avec vos parfums préférés ! >> dit elle en mimant une fellation. Juliette devra nous laisser pour 22 h. Il est 21 h quand nous faisons la vaisselle. Installés au salon nous prenons le dessert. Juliette dans le fauteuil qui nous fait face se touche la couture du bout de l'index. Clémentine assise avec moi dans le canapé joue avec ma queue. J'écoute les femmes disserter sur leurs expériences gloryhole.

Nous raccompagnons Juliette jusqu'à sa voiture dans le froid polaire. Il y a juste un fin croissant de lune dans un ciel noir. << Je suis un peu déçue par votre décision Clémentine. On s'amusait beaucoup avec vous et Estelle ! >> dit Juliette en démarrant. << Il faudra trouver deux autres "jeunettes" pour amuser ces messieurs ! >> répond Clémentine. Elle vient là de résumer le fond de sa pensée. Juliette un peu décontenancée nous fait : << Passez dimanche, j'organise une animation au haras ! >>. Nous la regardons partir. Un dernier coucou.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se faire brouter le minou sous les draps, faire l'amour et s'endormir après une pipe...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 14 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1820 -



Estelle vient nous rejoindre en soirée

Hier matin, jeudi, il est presque six heures. Clémentine vient se blottir contre moi au premier cri des mouettes. L'illusion qu'elles tournent au-dessus de nos têtes. La sirène d'un gros bateau au loin. Alors que tout cela n'est que l'application "océan". C'est bluffant. Quelques papouilles. Des bisous. Nous nous précipitons aux toilettes. C'est difficile encore de se réveiller complètement. Comme des zombis, morts de faim, nous dévalons les escaliers vêtus de nos habits de sports. La cuisine est froide car les deux radiateurs viennent de s'enclencher.

J'allume le feu dans la cuisinière à bois pendant que Clémentine fait le café. Nous pressons les oranges, pelons les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la présence de Juliette hier soir. La conversation, les aveux de Clémentine. << Nous ne tarderons pas à avoir des nouvelles ! >> précise d'ailleurs Clémentine à ce propos. Nous mangeons de bon appétit en envisageant toutes sortes de réactions de Juliette. << On s'en fout, c'est dit ! >> conclue Clémentine d'un air satisfait. Moi aussi je trouve qu'il était très bien de parler de tout ça.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure de gym. Aérobic, jogging sur tapis roulants. Exercices au sol, abdos. Charges additionnelles avant le stretching qui marque le retour au calme. La douche. Je dévale les escaliers pour aller faire chauffer la voiture. Aujourd'hui le ciel est voilé mais lumineux. Il est presque 7 h45. Clémentine me rejoint dans le froid. Un dernier bisou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et ce referme automatiquement. Je me dépêche de rentrer pour faire notre vaisselle, notre lit.

Dans l'atelier j'allume le feu dans la cheminée. Installé confortablement devant le chevalet je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque ce matin la huitième scène de genre destinée à ma saison d'été. J'ai déjà quinze toiles. Il m'en faudra encore neuf. Je peins animé d'une joie intense. C'est toujours passionnant de commencer un nouveau tableau. Les heures passent au-delà de la perception que j'en ai. Il est déjà 11 h55 quand je mets deux bûches dans le feu. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer le reste de la tarte à l'aubergine.

Je fais une salade de tomates. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Aujourd'hui encore André Bercoff est dans tous ses états. Il reçoit deux invités. Le sujet reste évidemment axé sur les évènements dramatiques en Ukraine. J'ai soudain à l'esprit ces images en noir et blanc de véhicules blindés, de soldats qui marchent avec leurs fusils. Dans un environnement de ruines, de rues défoncées. Des images tournées il y plus de 70 ans. J'ai du mal à réaliser que tout cela est soudain d'actualité. Que ces réalités sont de retour. C'est inquiétant.

Je débarrasse la table. La pâte feuilletée a décongelé. J'en étale les deux tiers dans un plat à tarte aux bords hauts. Le dernier tiers servira de "couvercle". Je coupe et je lave deux gros poireaux. Je les ébouillante quelques minutes pendant que je prépare une Béchamel. Je coupe de l'ail, de l'oignon, quelques bolets lavés. Je râpe grossièrement du gruyère de Comté. J'égoutte les poireaux. Je verse le tout dans la Béchamel pour remuer afin de rendre l'ensemble homogène. J'étale cette garniture sur la pâte. Je recouvre du "couvercle". Je jointe.

Sur la pâte feuilletée qui fait "couvercle" je fais des stries croisées avec une fourchette. Je badigeonne du mélange œuf, moutarde et lait de soja. Je saupoudre de graines de sésame grillées. Je mets la Flamiche Picarde dans le four électrique pour une cuisson à 180°. Cette tourte aux poireaux qui fera les délices de notre repas du soir va mijoter longuement. Je fais la vaisselle avant de monter me laver les dents. Durant toute la préparation, j'ai pensé à Juliette, ses réactions étonnées lorsque Clémentine lui révélait son désir de cesser les partouzes.

Pressé d'aller faire quelques pas au dehors je dévale les escaliers pour enfiler mon blouson en jeans. Le thermomètre extérieur indique 16°. Nul doute que la météo va changer. Le ciel est gris mais lumineux. Peut-être un peu plus sombre à l'Ouest, sur l'horizon. Il fait doux si je compare avec les jours précédents. Je remplis la brouette d'une vingtaine de bûches que j'empile à côté de la cuisinière à bois et de la cheminée du salon. Un second voyage pour empiler les bûches à côté de la cheminée de l'atelier. Il est 13 h30. Je suis devant mon chevalet.

Je peins animé de différents sentiments. Je ne réalise pas encore vraiment ce qui se passe à quelques 3 000 km d'ici. C'est surréaliste. Toutes ces monstruosités qui surgissent du passé et qu'au vingt et unième siècle nous pensions impossibles. L'après-midi passe encore tellement vite. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle se précipite pour venir s'assoir à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. << Put-Hein, l'essence est à 2 € ! >> s'écrie t-elle.

Ce sont les premières conséquences de l'inimaginable. Je suis citoyen écossais. Tous mes avoirs sont en Écosse de façon parfaitement légale. Si l'odeur de mort devait gagner l'Europe, je n'hésiterais pas une seconde à prendre les devants. Deux billets d'avion pour les états-unis. Je ne suis pas du tout du genre "va t-en guerre". Je n'ai pas l'âme du héros. Et je n'ai absolument pas la fibre "patriote". Clémentine est d'ailleurs d'excellents conseils. Elle a encore du travail. La voilà assise devant son ordinateur. J'aime peindre en l'écoutant chantonner.

Il est 18 h quand Estelle entre dans l'atelier comme un ouragan. Elle se précipite vers moi. J'ai juste le temps d'anticiper. Assise sur mes genoux, elle nous raconte ce qui se passe dans l'entreprise familiale. Avec les évènements ses parents sont débordés de commandes. Estelle rejoint Clémentine pour comparer leurs récits. Ce texte à rendre demain matin. Avec une présentation orale de deux minutes maxi. Je les écoute répéter leurs argumentaires. Je nettoie la palette, les pinceaux en écoutant la lecture. Estelle une phrase, Clémentine une autre.

Quand elles me demandent mon avis j'avoue : << Je vous ai écouté sans chercher à comprendre le sens de vos phrases. J'étais émerveillé par la chanson de vos voix. Pourriez-vous recommencer. Cela vous fait une seconde lecture ! >>. En tournant autour de moi une feuille de papier à la main, elle reprennent leurs narrations. Cette fois je me concentre sur le sens des mots. J'applaudis en m'écriant : << Bravo ! Ce n'est pas "Sciences" que vous auriez dû faire mais "Lettres" ! >>. Elles me font plein de bisous en sautillant autour de moi. Merveilleux.

Dehors le crépuscule annonce la nuit qui ne va pas tarder. Il est 18 h45. Il fait faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand mes deux anges découvrent ce que j'ai préparé, j'ai droit à des câlins. Des bises dans le cou, dans la nuque, sur les joues. Estelle glisse sa main dans ma braguette pour fouiller dans mon slip. Clémentine s'occupe de la salade de carottes. Estelle met les assiettes, les couverts. Je surveille la cuisson car elle ne se contrôle pas vraiment dans le four à bois. Il y règne une chaleur infernale. Estelle vient s'accroupir derrière moi.

Ses bras autour de ma taille, elle se serre contre mon dos. << Si vous partez en Amérique, vous m'emmenez ? >> murmure t-elle à mon oreille. << Bien sûr, on ne va t'abandonner ! >> dit Clémentine en remuant l'assaisonnement. Je sors la Flamiche Picarde du four. Elle est magnifiquement dorée. Fumante au milieu de la table. << Je coupe les parts ! >> lance Estelle armée de la pelle à tarte. Clémentine me sort le Zob en disant : << Je suis morte de faim. Je me demande toujours ce que tu nous as préparé pour le repas du soir ! >>. Surprises.

Nous mangeons de bon appétit. Estelle nous raconte la visite de Jean-Marc hier soir. Son parrain vient chercher des cartons. Ce n'est qu'un prétexte depuis neuf ans pour baiser avec elle. << Ce salaud m'a baisé dans le dépôt ! >> dit elle en éclatant de rire. Clémentine demande : << Raconte-nous ! >>. Estelle répond : << Je t'ai déjà raconté à midi au restaurant universitaire. Je recommence pour Julien ! >>. C'est dans un luxe de détails qu'Estelle décrit sa copulation sur les piles de cartons pliés. Elle se lève pour mimer une masturbation masculine.

Nous rions de bon cœur à l'énoncé des "performances" du parrain. Comme souvent Estelle conclue : << Je me demande ce qu'il peut bien faire des cartons qu'il vient chercher. Je sais qu'il en ramène discrètement tous les mercredis soirs ce niqueur fou ! >>. Nous sommes pliés de rire. La tourte aux poireaux est un délice. Il en reste pour demain midi. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. << Comme tous les jeudis soirs je viens consulter le docteur Julien afin qu'il m'examine. J'ai le minou en feu ! >> dit Estelle.

Après avoir retiré son jeans, sa culotte, Estelle se vautre dans le canapé. Tenant ses jambes relevées, ses mains sous les genoux, écartant ses cuisses, Estelle me présente sa chatte. << Elle est comme congestionnée la pauvre. Que dois-je faire docteur ? >> dit elle d'une voix coquine. Clémentine me tient la queue, serrée contre moi. Nous regardons ce spectacle. L'invraisemblable touffe d'Estelle n'a plus rien à envier à celle de Clémentine. Je me mets à genoux sur un des épais coussins. Clémentine s'accroupit derrière moi sans lâcher ma bite.

J'adore inspecter les sexes de mes deux anges. Il faut fouiller la broussaille. Elle me regarde avec un sourire espiègle. Clémentine me branle un peu. J'avance mon visage pour bien scruter la touffe épaisse. Elle est dense. Les poils garnissent la raie du cul. Le haut de l'intérieur des cuisses, montent en triangle jusqu'au nombril. C'est prodigieux d'aller se promener là. Estelle titille son clitoris. Je passe mon index le long de la fente d'où jaillissent délicatement ses lèvres. Un peu comme les pétales d'une tulipe. Clémentine approche son visage du mien.

Estelle gémit déjà de plaisir. Du bout de la langue je fouille. Le nectar suinte déjà. Je suce. Du jus de fille qui précède le "yaourt". Clémentine se met à genoux pour rester contre moi. Je suce le clitoris d'Estelle avec mon index qui caresse l'entrée de sa "grotte". Avec sa baise de hier soir, je sais que l'endroit est très sensible. Surtout que Jean-Marc possède un bel engin et qu'il s'en sert en maestro. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Je m'occupe donc d'elle dans une consultation "médicale" qui la propulse vers un orgasme titanesque. C'est superbe.

Clémentine se lève. Moi aussi. Tout en me tenant la bite. Nous regardons Estelle reprendre ses esprits. Tournée sur le côté, ses mains entre ses cuisses comme en proie à une intense douleur. Je dis : << Il faut bien te préparer pour samedi soir. Je te réserve une belle surprise pour ton anniversaire ! >>. Estelle m'attire sur elle. Hors de question de la pénétrer. Non, c'est juste affectueux. Clémentine rajoute : << Ce sera même une surprise pour moi ! >>. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. Séparation difficile dans la nuit glaciale. Derniers bisous.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se serrer fort contre leur homme, sous les draps, pour faire l'amour avant de dormir...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 15 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1821 -



Un vendredi plein de belles réalisations et de surprises

Hier matin, vendredi, ce sont les sirènes de ces gros cargos dans le lointain qui nous réveillent. S'en suivent les cris des oiseaux de mer. Il est presque six heures et l'illusion de se réveiller à proximité d'un port est encore parfaite. Clémentine vient se serrer contre moi en gémissant. L'application "océan" vient de nous bluffer. Quelques bisous, quelques papouilles et nous nous levons précipitamment pour aller aux toilettes. Le vendredi Clémentine termine à midi. Sa nature profonde prend le dessus. La voilà déjà facétieuse. Nous rions beaucoup.

Morts de faim, la tête dans le cul, vêtus de nos leggings de lycra noir, nos sweats de lycra jaune nous dévalons les escaliers. J'allume immédiatement une belle flambée dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse nos oranges, pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la compagnie d'Estelle hier soir. << C'était génial. Tu lui as fait un contrôle en profondeur. Je la vois tout à l'heure. Elle va me raconter ! >> fait Clémentine. Nous rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en évoquant son anniversaire.

C'est aujourd'hui 11 mars qu'Estelle a 25 ans. Nous fêterons cet anniversaire demain soir, tous les trois, dans l'intimité. Je lui réserve une petite surprise. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Vraiment nécessaire ce matin pour émerger complètement. Clémentine très déconneuse m'entraîne par la main. << Je t'aime dans ton legging, tu es hyper sexy ! >> dit elle. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol, charges additionnelles. Le retour au calme avec un stretching hallucinant de déconnades.

La douche. Je descends le premier pour faire chauffer la voiture. Le ciel est gris, bas. Il y a eut de la pluie cette nuit car tout est trempé. Par contre il fait moins froid. Clémentine vient me rejoindre. Un dernier bisou en sautillant. Un dernier << Je t'aime ! >> avant de s'installer au volant. Je la regarde s'en aller. Il y a quelques gouttes. Je m'empresse de rentrer pour faire la vaisselle, le lit. J'allume un beau feu dans la cheminée de l'atelier. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Le craquement puissant des premières braises.

La peinture de cette huitième scène de genre destinée à ma saison d'été m'accapare rapidement. Je peins dans cet esprit déconneur laissé par Clémentine. Il est neuf heures. Je téléphone à mon ami notaire. Maître Robert est tout heureux de m'entendre. Nous nous sommes appelés en début de semaine. Tous les documents nécessaires à nous pacser, Clémentine et moi, seront disponibles la semaine prochaine. Il ne manquait que la fiche d'état civil de ma compagne. Je propose de passer les chercher vendredi 18 mars pour 14 h30. Nos signatures.

C'est rassuré que je raccroche pour téléphoner à mon bijoutier. Je fais faire une bague en or blanc pour Clémentine. Une création personnelle que j'ai dessiné au début février. Une bague finement ciselé en une belle dentelle de métal précieux. Son nom et la date du 2 avril 2022 gravée dans l'anneau intérieur. Ce sera pour son cadeau d'anniversaire. Je pourrais récupérer la bague à partir du lundi 28 mars. Je préfère me déplacer car vu le prix de l'objet et son caractère unique, je ne veux pas prendre un risque Chronopost. Conseil de bijoutier.

Doublement rassuré c'est serein que je retourne à ma peinture. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je fais gonfler du riz complet, je réchauffe la dernière part de tourte aux poireaux. Dans une poêle je fais revenir deux filets de flétan avec des champignons, de l'ail, de l'oignon, persil, ciboulette. Je prépare une salade de concombre avec des rondelles d'avocat. Il est 12 h35 quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille, elle me couvre de bisous.

Nous mangeons de bon appétit. << J'ai pris de l'essence avant de rentrer. Tiens-toi bien, 2,13 € le litre ! À partir de lundi je prends le bus ! >> lance Clémentine. Je dis : << On s'en fout. Nous ne connaissons pas les problèmes de budget ! >>. Clémentine s'écrie : << Mais c'est ton argent ! >>. Je corrige : << À partir de la semaine prochaine ce sera aussi le tient ! Je t'apprends que les documents pour notre pacs nous attendent vendredi prochain ! >>. Clémentine ne se sent pas de joie. Elle se lève. Debout sur sa chaise elle pousse des cris tribaux.

Je me lève pour l'attraper. Je la fais tourner dans les airs. << C'est merveilleux Julien. Je serai donc en quelque sorte "madame Oncle" ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine fait le menu du repas d'anniversaire d'Estelle demain soir. Soudain, la musique imbécile de mon téléphone. Clémentine se précipite pour l'attraper sur le buffet. << Julie ! >> s'écrie t-elle. Elle met sur "haut-parleur". Julie nous apprend qu'elle ne pourra pas venir avant 16 h45. Tristounette.

Après avoir raccroché Clémentine s'écrie : << Tu vois, la fatalité est à notre service. Nous allons mettre à profit cet après-midi pour préparer le gâteau, la tarte au saumon et le gratin de choux fleurs. Fébriles, tout heureux de cette opportunité, nous débarrassons pour faire une première vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Clémentine est triplement heureuse. C'est le début du week-end, nous serons enfin pacsés la semaine prochaine et nous allons préparer un bon repas d'anniversaire.

<< Obligation de se faire des bisous, des câlins et de se tripoter les sexes ! >> lance t-elle lorsque nous dévalons les escaliers. Clémentine, le livre de recettes de pâtisserie grand ouvert, prépare une crème à la vanille. Je descends à la cave, au cellier pour récupérer deux pâtes feuilletées. Je les dispose sur l'étagère juste sous la hotte au-dessus de la cuisinière à bois. À cet endroit elles vont décongeler très vite. Imparable car c'est là où il fait le plus chaud dans la cuisine. Je coupe et fais tremper un beau et gros choux-fleurs. Dans l'eau vinaigrée.

Je le verse dans l'autocuiseur pour en porter le bouillon à ébullition. Je rejoins Clémentine pour lui faire des bises dans la nuque. Mes lèvres comme une ventouse. J'adore la sentir frissonner de surprise. Je caresse ses tous petits seins. Je descends pour glisser ma main dans son jeans. Comme elle contracte ses abdominaux, j'entre dans la culotte avec une facilité déconcertante. Comme c'est bon de fouiller un fond d'une culotte. Il y a plein de trucs sympas qui roulent sous les doigts. J'égoutte le choux-fleurs pour le verser dans un saladier. Il est prêt.

J'émince trois beaux pavés de saumon avec de l'ail, de l'échalote, du persil, de la ciboulette. C'est Clémentine qui vient me caresser par derrière. Les mains occupées je ne peux me défendre de ses assauts. Elle glisse une main dans ma braguette. Le batteur électrique vibre dans un saladier sur le plan de travail. La crème meringuée prend forme. J'adore quand Clémentine fouille mon slip. Elle aussi à de quoi faire. Elle me sort le Zob. Comme je suis contre la table elle me le tape doucement sur la nappe. En rythme et en chantant. Nous rions.

Je poêle le saumon émincé avec son accompagnement de légumes. Sans cesser de remuer afin d'en parfaire une cuisson homogène. Clémentine aime lorsque mes mains sont occupées. Elle peut venir me tripoter, m'imposer de délicieux sévisses. Je fais la même chose lorsqu'elle coupe de fines rondelles de pommes. Des rondelles qu'elle caramélise dans une casserole. Contrairement à la cuisine où l'improvisation est souvent étonnante, la pâtisserie exige de suivre scrupuleusement la recette indiquée. Clémentine sait s'y employer.

Les pâtes feuilletées ont décongelé. Même pas une heure et les voilà molles, onctueuses, prêtes à servir. Clémentine en prend une. Je prends l'autre pour l'étaler délicatement dans le grand plat à tarte. Le truc avec la pâte feuilletée c'est de ne surtout pas la "travailler". J'y étale la garniture. L'émincé de saumon, de persil, de champignons, de ciboulette, de persil, d'échalote. Je verse le mélange œufs, moutarde, lait de soja et crème fraîche. Ce "pudding" sera le liant de cette tarte au saumon. Je recouvre d'une grosse couche de gruyère de Comté.

Je verse le choux-fleurs dans un grand plat rectangulaire. Même mélange sur le tout avant de recouvrir de fines tranches de Morbier, de Parmesan finement râpé. Ce gratin de choux-fleurs met en appétit. Je mets la tarte au saumon et le gratin au four. Cuisson à feu très doux. 180°. Il faut que ça mijote longtemps car c'est tellement meilleur. Je rejoins Clémentine pour lui imposer plein de douceur. Tout en terminant le gâteau "bavarois" qui est magnifique, elle gémit de plaisir, totalement impuissante puisque les mains occupées, mouillées, de la crème.

J'ouvre le réfrigérateur pour faire une place en haut, dans le friser. Clémentine y glisse son chef-d'œuvre. Nous nous embrassons comme des fous. Les mentons rapidement trempés de nos salives. On adore quand ça mouille, quand ça glisse. Nous sommes évidemment pleinement satisfait de cet après-midi "cuisine-pâtisserie". De savoir qu'une des surprises est déjà prête nous comble de joie. Quand je suis content j'aime bouffer de la chatte. Je propose à Clémentine de me l'offrir car il reste une petite demi heure. Je ne suis pas obligé de me répéter.

Nous sommes dans l'atelier. Clémentine juste en chemise à carreaux, en chaussettes. Vautrée dans le vieux canapé de velours carmin. Je suis à genoux sur un des épais coussins. Je savoure l'intimité de Clémentine en me régalant comme un gourmet. C'est rare. Clémentine m'attire sur elle. Je n'ai qu'à la pénétrer délicatement. Nous adorons rester l'un dans l'autre sans bouger. Trois petits coups timides contre la porte qui s'ouvre. C'est Julie. Elle tombe sur ce spectacle complètement consternée. Comme hallucinée. << Viens ! >> lui fait Clémentine.

Julie se précipite. Elle fait trois bises à Clémentine. Trois sur mes joues. Je me retire, la bite gluante. << Si j'avais pensé à ça je ne serais pas venue. Je dérange hein ? >> lance t-elle. << Mais pas du tout ! On adore quand tu nous surprends, quand tu nous regardes. C'est trop bien ! >> s'écrie Clémentine en s'essuyant le sexe avec un mouchoir en papier. Je prends Julie par ses épaules en disant : << Nous, nous allons nous consacrer à votre cours de peinture ! >>. Je reste avec la bite à l'air. Clémentine remet sa culotte, son jeans. Nous rions.

Assise à ma droite Julie manie les pinceaux avec sa dextérité habituelle. Clémentine, installée devant son ordinateur, est déjà plongée dans ses écrits de la semaine prochaine. J'adore me branler discrètement sous la table. Julie qui sait parfaitement ce que je "bricole" fait souvent semblant de prendre du recul pour loucher sur mes activités. L'heure de peinture passe trop vite. Il est déjà 18 h. Nous raccompagnons Julie jusqu'à son auto. Sous le parapluie. Elle revient demain matin pour le ménage. Nous nous dépêchons de rentrer au sec et au chaud.

Clémentine me saute au cou. Je la soulève. Ça nous a mis en appétit de préparer pour demain soir, de baiser un peu, d'être surpris par Julie. Nous allons à la cuisine. Le thermostat du four électrique a bien réglé les cuissons. Pour le repas de ce soir on va faire simple. Spaghettis. Sauce au Roquefort. Salade de tomates en entrée. Je suis pressé de savourer le sexe à Clémentine qui se réjouit pour faire pareil. << Si ça barde en Europe, quand on sera pacsés, on peut filer en Écosse puis s'envoler pour les états-unis ! >> lance Clémentine. C'est notre projet.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se faire lécher le minou, sucer de la queue, baiser un peu. Enfin seules avec leur mec...

Julien



Classe

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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 16 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1822 -



Nous aimons les rituels du samedi

Hier matin, samedi, il est presque huit heures. Clémentine me réveille avec cette façon qui lui est si particulière. Elle passe une cuisse sous mes fesses. Pose l'autre sur mon érection matinale. C'est ainsi qu'elle frotte son sexe contre ma cuisse en murmurant des douceurs à mon oreille. J'émerge dans cet enchantement paradisiaque serré contre mon ange. Des bisous. Des papouilles. L'envie de pisser est telle que nous n'avons d'autre choix que de nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, habillés de nos tenues de sport nous dévalons les escaliers.

Les radiateurs fonctionnent depuis deux heures. La cuisine est bien chaude. Pendant que Clémentine fait le café, pèle les derniers kiwis, presse les dernières oranges, j'allume le feu dans la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée en amoureux, hier. << Si tu savais comme j'apprécie ce seul et unique soir de la semaine où nous sommes seuls tous les deux ! >> me dit Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de la journée. Dehors il fait à nouveau si moche.

J'ouvre le portail depuis l'interphone du hall d'entrée. Je fais bien car sur l'écran je vois la Clio rouge descendre doucement. C'est Julie qui vient pour faire le ménage. Clémentine vient me rejoindre. Nous accueillons notre amie qui nous fait plein de bisous. << Je m'occupe de tout. Allez vous entraîner ! >> lance t-elle en prenant immédiatement les initiatives habituelles. Nous laissons même la vaisselle pour remonter à toute vitesse. C'est beaucoup plus facile de s'offrir notre heure de gymnastique le samedi matin que les autres jours. Reposés.

Aérobic, jogging sur tapis roulants. La pluie frappe contre la grande baie vitrée. Elle rythme nos exercices au sol, nos abdos. Les charges additionnelles, ce matin guidées par les machines. Un retour au calme enfin consciencieux avec les étirements d'un bon stretching. La douche. Nous pouvons entendre Julie chantonner en passant l'aspirateur. Impossible de localiser l'endroit. Vêtus de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux nous descendons pour mettre nos anoraks, prendre le grand parapluie. La météo de ce samedi est pourrie.

Nous n'attendons pas longtemps. Il est dix heures pile quand la camionnette des fruits et légumes descend pour se garer derrière la Clio rouge de Julie. Danièle, avec son grand sourire habituel, décharge les deux cageots. L'un contient nos fruits, nos légumes. L'autre contient nos fromages, les œufs, les yaourts, le beurre et les petits pots de crème fraîche. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Nous saluons Danièle qui repart pour d'autres livraisons. Voilà le tube Citroën rénové de madame Marthe notre boulangère adorée.

Nous récupérons les deux grosses miches de pain complet, la grosse brioche ronde au pudding. Les deux pâtes feuilletées. << Cadeau aux clients fidèles ! >> lance Mme Marthe en nous offrant deux énormes croissants aux amandes. Paiement par carte. Même commande pour la semaine prochaine. Nous nous saluons. Notre boulangère a bien d'autres clients à livrer. Il ne fait pas froid mais la pluie redouble. Nous contournons la maison pour descendre avec nos cageots à la cave. Par derrière. Nous mettons les fruits et légumes dans le cellier.

Bien rangés sur les étagères. Du congélateur où je mets une des miches et les pâtes feuilletées , je tire le paquet de moules, les sachets de haricots verts et de petits pois. Nous remontons. Julie vient de passer la serpillère partout. Par chance le carrelage de la cuisine est déjà sec. Nous pouvons ranger les produits frais dans le réfrigérateur. Nous passons au salon. Les diffuseurs d'arômes fonctionnent à plein rendement car dans toutes les pièces il y a les douces effluves parfumées du jasmin que nous adorons. Merci Julie. Tout est également déjà si propre.

Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Je glisse un billet de 50 € dans la petite enveloppe jaune ainsi que nos commandes pour lundi soir. Nous avons trois courriels. Celui de Juliette qui nous rappelle qu'elle organise une animation demain dimanche dans son haras. Le message hebdomadaire de ma famille d'Édimbourg. Si la situation l'exige oncle Alan nous accueille pour la durée qu'il faudra. La Grande Bretagne n'en faisant plus partie, nous y serions loin du tumulte guerrier qui plane sur l'Europe. C'est rassurant à plus d'un titre.

Un message d'Estelle qui nous annonce sa venue en tout début d'après-midi. Il est 11 h20. Julie vient nous rejoindre. << J'adore faire le ménage. Cet après-midi je le fais avec maman dans notre maison ! >> dit elle. Nous nous levons pour contourner le bureau. Je pose mes mains sur les frêles épaules de Julie pour lui faire une bise sur le front en disant : << Merci. C'est tellement bon de vous savoir quelque part dans la maison les samedis matins ! >>. Clémentine rajoute : << Ça devrait d'ailleurs être samedi tous les jours ! >>. Julie nous remercie.

Je lui remets la petite enveloppe jaune en demandant : << Prête pour assurer la direction de la galerie d'Art cet été ? >>. Julie s'écrie avec des étoiles plein les yeux : << Je ne pense plus qu'à ça ! Je me réjouis si vous saviez ! >>. Nous la raccompagnons sous le grand parapluie jusqu'à sa voiture. Julie reviendra lundi soir. Assise au volant de son auto, l'air un peu tristounette, Julie démarre en nous faisant le plus adorable des sourires. Comme toujours Clémentine, au dernier moment, empoigne ma braguette en faisant un clin d'œil entendu à Julie.

Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer au sec. Clémentine fait la salade. Je prépare le bouillon que je porte à ébullition. J'y jette les deux kilos de moules encore congelées. Dans le wok les haricots verts et les petits pois décongèlent très vite en dégorgeant leur flotte. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur l'étonnante personnalité de Julie. << J'espère qu'aucun malheur n'empêchera une saison d'été normale ! >> lance Clémentine. Ça fait longtemps que l'exploitation de ma galerie d'Art n'est plus qu'une sorte de jeu.

Mais ce qui m'importe c'est que cela permette à Julie de se faire un excellent salaire en juillet et en aout. Sans le pourcentage sur les ventes. Et puis, à vingt ans, de tenir une galerie d'Art durant deux mois favorise bien des qualités. Le contact clientèle. La confiance en soi. Le relationnel. L'interprétation d'un rôle. Le développement de la personnalité sans parler de la maîtrise parfaite d'un argumentaire. Ce sera la troisième année que Julie s'occupera de cet espace. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine revient sur ses inquiétudes.

Je la rassure. Dans l'état actuel des évènements rien ne pronostique un envahissement de l'Europe. Par contre des provocations pourraient conduire à des ripostes puis à des représailles. << Pourquoi faut-il que ce soient toujours des psychopathes qui dirigent les nations ? >> lance Clémentine dans un profond soupir, d'un ton fataliste. Elle répond à sa propre question : << Parce que seuls des psychopathes sont dévorés de l'ambition de gouverner, de s'affirmer par la toute puissance ! >>. Nous rions quant elle conclue : << Bande de sales cons ! >>.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons pour nous laver les dents en déconnant. << Mais qu'ils sont où les gens que j'aime ? >>. C'est la voix d'Estelle qui entre dans la salle de bain. Trois bises à Clémentine avant de me sauter au cou. Encore la bouche pleine de crème dentifrice je la soulève. En riant elle mordille le bout de mon nez. Ses jambes enserre ma taille. Je la dépose sur la desserte avant de rejoindre Clémentine pour nous rincer la bouche. << Ça y est je suis vieille. J'ai 25 ans depuis hier ! >> s'écrie Estelle en faisant la clown.

Elle imite une petite vielle qui marcherait dans toute la pièce en boitant. Elle est adorable même en faisant ses pitreries. Si belle aussi. Clémentine dit : << Moi, ce sera le 2 avril ! Bienvenue dans l'Ehpad de Julien ! >>. nous rigolons comme des bossus. Nous passons dans la chambre. Estelle emmène toujours son grand sac de sport pour passer le week-end avec nous. En en tire d'abord son pyjama de soie mauve. Puis sa jupe kilt, son chemisier crème, ses escarpins noirs à talons avec la petite sangle de cuir qui enserre délicatement la cheville.

Je suis entre mes deux anges devant le grand miroir de l'armoire. << On est beau tous les trois ! >> lance Clémentine. Je les tiens toutes les deux par la taille pour dire : << Vous les portez superbement bien vos 25 ans ! >>. Elles se serrent contre moi. Estelle glisse sa main dans ma braguette. << C'est excitant comme position devant le miroir ! >> lance t-elle en fouillant dans mon slip. Elle en extrait une bite bien molle qu'elle déroule entre ses doigts. Elle tient mon sexe à sa base entre son pouce et son index pour l'agiter devant la glace.

<< C'est mon "Doudou' préféré des deux ! >> s'écrie Estelle en montrant "Bunny Boy" son petit lapin tout gris, tout sale, posé sur le lit. Elle rajoute : << Je vais d'ailleurs définitivement laisser "Bunny Boy" sur son étagère dans ma chambre. Je suis grande maintenant et ce "Doudou" là est diantrement plus affriolant ! >>. Nous sommes pliés de rire. Clémentine rajoute : << Un "Doudou" que je partage avec toi depuis presque cinq ans ! >>. Estelle s'empresse de dire : << On partage tout depuis l'âge de 12 ans. C'est notre pacte rappelle-toi ! >>.

Je suis merveilleusement bien entre mes deux anges. Elles s'accroupissent en même temps pour appuyer leurs têtes contre mes jambes. Maintenant leurs équilibres en entourant mes cuisses de leurs bras. Je caresse leurs cheveux. Je sais que cela ne durera plus aussi longtemps que cela ne dure déjà. Comme si elles devinaient mes pensées Estelle et Clémentine se redressent en même temps pour se blottir contre moi. << Il faut qu'on s'aime fort pour affronter l'avenir ! >> murmure Estelle. << Et nos vies ! >> rajoute Clémentine.

Il n'est absolument pas question de sombrer dans de moroses introspections. Aussi, pour apporter sa fraîcheur habituelle Estelle monte sur le lit. Comme sur un trampoline elle se met à sauter en s'écriant : << Je suis folle, folle, folle de vous ! >>. Clémentine monte la rejoindre. Je suis pétri d'émotion en les regardant sauter en se tenant par les bras, en riant aux éclats. Sans doute les dernières manifestations d'une adolescence définitivement disparue. Nous dévalons les escaliers pour aller dans l'atelier. Avec cette météo pas de randonnée possible.

Estelle allume un bon feu dans la cheminée. Nous restons longuement vautrés dans le vieux canapé de velours carmin. Estelle à ma droite qui joue avec ma queue. Clémentine à ma gauche qui garde mes couilles dans sa main. J'écoute les filles parler de leurs études. Quelques amusantes anecdotes concernant certains professeurs. Certains élèves. Notamment Gauvain, le collègue étudiant secrètement amoureux d'Estelle depuis quatre ans. << Il rame. Il me fait de la peine le pauvre garçon ! Je vais finir par l'adopter un jour ! >> lance t-elle.

J'en profite pour répéter une fois encore : << Ce serait bien que tu te trouves enfin un compagnon. Un mec à toi ! >>. Comme à chaque fois que j'aborde le sujet Estelle s'écrie : << Après mon Doctorat, j'aviserai. Je suis tellement heureuse avec vous deux, dans notre couple à trois. Quel garçon de mon âge pourrait m'offrir tout ça ! >>. Tout en parlant Estelle me tord la bite dans tous les sens. Heureusement que je bande mou. Je lance : << Au moins, ce pauvre garçon comme tu dis, ne se fait pas maltraiter la queue, lui ! >>. Nous rions aux éclats.

Que faire de plus judicieux que de se consacrer à un peu de travail avec cette météo foireuse et médiocre ? Estelle et Clémentine sont assises devant l'ordinateur. Elles sont rapidement plongées dans le prochain texte à remettre vendredi prochain. J'aime les entendre échanger. J'en profite pour sortir quelques vieux calques de réalisations anciennes. J'ai encore quatre paysages à dessiner. Huit paysages qui finaliseront le stock nécessaire à ma saison d'été. Je ne m'emmerde plus. C'est à partir d'anciens calques que je dessine d'un trait élaboré.

Il me suffit de changer quelques détails, de rajouter un personnage ou des animaux dans le lointain pour en faire des œuvres originales. Les paysages sont très prisés par mes collectionneurs. Par des touristes fortunés également. Des valeurs sûres en quelque sorte. Je me lève parfois pour aller rejoindre mes deux anges. Debout derrière elles, je lisse leurs cheveux en écoutant leurs explications. Leurs ruses et leurs stratégies pour préparer les futurs écrits. C'est passionnant. Elles adorent quand je me penche pour mettre mon visage entre les leurs.

L'imprimante fonctionne à plein régime car elles gardent une trace "papier" des premières versions. Il est 18 h30 quand nous mettons un point final à nos activités de l'après-midi. La faim commence à se faire sentir. Estelle ne sait pas les délicieuses surprises que nous avons préparé pour elle. Nous quittons l'atelier. Pour l'anniversaire d'Estelle il est décidé de manger au salon. J'étale le chemin de table. Clémentine et moi le tirons à chaque extrémité. Nous y posons les assiettes en grès, les couverts laitonnés, les verres ballons, le petit chandelier.

<< C'est mignon comme tout ! >> lance Estelle en prenant une photo. << Et tu n'as encore rien vu ! >> fait Clémentine. Estelle allume une belle flambée dans la grande cheminée du salon. Avec ce temps pourrit il fait sombre partout. Seules les deux grosses bougies éclairent cette partie de la pièce. Nous allumerons celles du petit chandelier pour le repas. Il suffit de réchauffer la tarte au saumon, le gratin de choux fleurs. Je m'en charge pendant que Clémentine et Estelle montent se changer. Ça sent rapidement très bon dans la cuisine. Miam.

Je réchauffe dans le four à bois. Il faut donc surveiller tout ça de très près. J'entends les filles rire au salon. Défense de venir dans la cuisine. Le repas doit encore rester secret. Lorsque je suis ainsi dans une pièce voisine, que j'entends mes deux anges rire, mon émotion pourrait me faire fondre en larmes. Depuis presque cinq ans c'est une période extrêmement heureuse de ma vie. Leur jeune âge ne leurs permet pas encore d'englober dans sa totalité les sentiments que je peux ressentir. Mon vécu est différent. Long. J'ai presque 30 ans de plus !

Je vais rejoindre les coquines au salon. Merveille. Elles sont toutes les deux vêtues exactement de la même manière. Elles avaient préparé leur coup en fac, aux repas du restaurant universitaire, durant la semaine. Deux sœurs jumelles. Estelle touille les braises avec le tisonnier. Clémentine, les bras croisés est appuyé contre le bureau. Elles me regardent. Amusées par ma surprise, mon étonnement. Je ne suis qu'un homme. Je laisse le lecteur imaginer toutes les émotions qui m'étreignent. De l'excitation la plus triviale aux sentiments les plus amoureux.

Je dis : << Je monte me changer ! >>. Estelle s'écrie : << Mais on ne peut pas te laisser seul là-haut, il y a un fantôme ! >>. Elles se précipitent toutes les deux pour m'entraîner dans les escaliers. En riant elle m'entraînent par les bras. Sur la demande d'Estelle je porte mon pantalon de cuir noir. Moulant. Les cuissardes noires, ma chemise aux manches bouffantes. Clémentine passe une lavallière sous l'encolure. Elles m'entraînent devant le miroir. C'est extraordinaire de nous voir ainsi. << Les trois mousquetaires ! >> lance Estelle. Alexandre Dumas.

Estelle passe sa main sur ma braguette, entre mes cuisses. << J'adore les sensations que procure le cuir ! >> dit elle. D'être ainsi engoncé dans cet étroit futal de cuir n'est pas spécialement agréable. << Un moule burnes ! >> lance Clémentine qui passe sa main sur mes fesses. Il fait bien trop faim. Nous descendons prudemment. Estelle et Clémentine sont chaussées de leurs escarpins à talons hauts. Je dis : << C'est d'Artagnan qui fait le service. Les mousquetaires sont priées de prendre place ! >>. Elles s'installent toutes les deux sur les bancs.

Je reviens avec la tarte au saumon. J'ai placé dessus vingt cinq tous petits champignons. << Comme c'est mignon ! >> s'écrie Estelle qui se lève pour me faire une bise. Les coquines viennent de s'apercevoir que j'ai la bite et les couilles garrotées par la braguette hyper étroite. Ça serre. Ça fait presque mal. Impossible de m'assoir sans remballer au moins les roubignoles sous les rires de mes coquines. Nous savourons cette délicieuses tarte au saumon. L'onctuosité du liant de courgettes fondues rajoute à la délicatesse de ce plat exquis. C'est un régal.

Je me lève à plusieurs reprises pour agiter ma queue vers Estelle en disant à chaque fois : << Bon anniversaire mademoiselle ! >>. À chaque fois Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine. Elle se penche en avant pour répondre : << Merci monsieur ! >>. Je ramène la dernière part de tarte à la cuisine. Je reviens avec le gratin de choux-fleurs. J'y ai disposé vingt cinq petits brins de persil cru. Estelle prend une photo de chaque plat en s'écriant : << Comme c'est mignon! >>. Nous savourons ce nouveau délice en nous régalant.



L'anniversaire d'Estelle

C'est Clémentine qui a fait le gâteau. Elle m'accompagne à la cuisine lorsque je ramène le reste de gratin. Ces restes feront notre repas de midi demain dimanche. J'ai sorti le gâteau du friser il y a une demi heure. Clémentine me fait plein de bisous en murmurant : << Tu as vu comme elle est contente. Je t'aime ! >>. Je chuchote : << Et elle ne sait pas ce qui l'attend ! >>. Je récupère le petit paquet cadeau qu'a réalisé Clémentine. C'est elle qui prend le gâteau pour l'emmener au salon. En découvrant le dessert Estelle se lève toute contente.

Je dis : << Ferme les yeux ! Tends ta main droite ! >>. J'y dépose le petit paquet. Estelle ouvre les yeux. << Qu'est-ce que c'est ? >> s'écrie t-elle. << Ouvre ! >> lance Clémentine qui coupe les parts du gâteau. Estelle, fébrile mais consciencieuse ouvre son paquet cadeau. Elle en tire son bijoux. << Comme c'est beau ! Vous êtes fous ! >>. Ce n'est pas la première bague que j'offre à Estelle. Je connais parfaitement les mesures de ses doigts. Elle glisse la bague en argent ciselé à son annulaire. Elle fait miroiter l'objet sous les bougies.

Estelle adore l'argent. Lorsqu'elle découvre son nom ainsi que la date gravés à l'intérieur de l'anneau elle se précipite pour me prendre dans ses bras. Elle mitraille mon visage de bisous. << Je t'aime Julien. Comment veux-tu que je me trouve un autre mec ! >> s'écrie t-elle les yeux soudain humides. Clémentine, pétrie d'émotions elle aussi vient se serrer contre nous. Nous restons ainsi un long moment à nous bercer. Je dis : << Le gâteau ! La crème pâtissière va couler partout ! >>. Nous nous précipitons à table pour déguster ce chef-d'œuvre.

Pendant que les filles terminent le dessert, je me lève. Je me dirige vers le bureau que je contourne. Du tiroir du bas je tire la paire de menottes, les genouillères de cuir, les cordelettes de fin coton blanc. J'agite le tout depuis le bureau. Cette partie de la grande pièce est en partie dans l'obscurité. Lorsque les filles discernent enfin de quoi il s'agit elles s'écrient en même temps : << Génial ! >>. Je rejoins mes anges. Je pose les accessoires sur le bout de la table en disant : << Si nous débarrassons la table, ce sera un support parfait. Idéal ! >>.

Les filles comprennent immédiatement. Elles se lèvent en même temps. << On fait la vaisselle comme ça rien ne traîne ! >> lance Estelle. << Oui parce qu'après ton second cadeau d'anniversaire nous n'en n'aurons plus la force ! >>. C'est en riant que nous ramenons tout à la cuisine, que nous passons nos tabliers. Estelle plonge. Clémentine et moi nous essuyons. Nous nous faisons une bise à chaque fois que nous nous croisons. Des bisous dans la nuque d'Estelle qui chantonne. Que de joies, que de bonheurs encore ce soir dans cette grande demeure !

Nous retournons au salon. Je sors une nouvelle fois ma queue. Je saisis Estelle par sa tignasse. Elle ne s'y attendait pas du tout. Je glisse ma main libre sous sa jupe kilt. Je m'écrie : << Salope, toi qui portes toujours une culotte, ce soir tu n'en as pas ! >>. Elle me répond : << Ça mérite une punition ! >>. Je tente de garder mon sérieux car je viens d'endosser le rôle du "Maître". J'ordonne : << À poil ! >>. Estelle ouvre de grands yeux. Elle déboutonne son chemisier lentement tout en me fixant de ses yeux d'un bleu encore plus clair. Comme délavé.

Clémentine s'installe dans le fauteuil. La cuisse droite posée sur l'accoudoir de droite. La cuisse gauche posée sur l'accoudoir de gauche. Dans cette tenue Clémentine ne porte jamais de culotte. Elle se touche. Estelle, toute nue, juste chaussée de ses escarpins est debout, bien droite, le port de tête altier. Très fière. Sans cesser de me fixer elle me tend ses poignets. Je les passe derrière son dos pour les attacher avec la paire de menottes. J'entends les gloussements de plaisirs qu'émet déjà ma "Soumise". Il fait bien chaud avec la cheminée allumée.

Je saisis Estelle par la nuque. Je l'entraîne ainsi pour faire le tour de la grande pièce. Clémentine nous observe en se masturbant. Estelle marche à mes côtés, penchée en avant, les mains attachées derrière le dos. Je l'emmène vers la table. Je fixe les genouillères afin de protéger ses genoux. J'ordonne : << À genoux, salope ! >>. Estelle s'exécute immédiatement. Je la tiens pour qu'elle ne perde pas l'équilibre. La voilà à genoux, droite et fière. Je me penche pour passer ma main entre ses cuisses, lui faire un doigt. Elle a un soubresaut.

Je passe ma main entre ses fesses. J'enfonce un doigt dans le cul. Un nouveau soubresaut. Cette sublime jeune fille, toute nue, s'offrant ainsi à mes explorations. Je ne pourrai jamais m'y habituer. Pourtant cela s'est déjà passé tant de fois depuis presque cinq ans. C'est à chaque fois une grande première. J'ordonne : << Couchée sur le ventre ! >> Je l'aide. Estelle s'allonge. Je la soulève comme un paquet pour la déposer sur la table monastère. Elle me regarde comme apeurée. Je plie sa jambe droite pour l'attacher à ses menottes.

Je fais pareil avec la jambe gauche. J'entends Clémentine gémir de plaisir, là-bas, dans son fauteuil. Tout en se masturbant elle se lève pour venir voir de près. Estelle, couchée sur le ventre est ficelée. Ses jambes pliées et attachées par les cordelettes à ses poignets. J'ai la bite à l'air. Mon pantalon de cuir moulant me gêne. C'est difficilement supportable. Avec l'excitation je sue. Je retire mes cuissardes, mon pantalon, ma chemise. le "Mousquetaire" est à poil. Juste ses chaussettes. Comme ces acteurs pornos des années 70. Je me trouve d'un ridicule !

Je les retire. Je monte sur le banc. De voir Estelle dans cette position me fait bander comme un taureau. Je me mets à genoux entre ses jambes que j'écarte sans ménagement. Je la soulève par les hanches. J'ai mon sexe contre le sien mais par derrière. Clémentine comprend la difficulté de l'instant. Aussi c'est elle qui enfonce ma queue dans le sexe d'Estelle. Son corps est secoué de soubresauts. Un frisson le fait tressaillir. Car c'est bien d'une "saillie" dont il est question sur l'instant. Je tiens Estelle contre moi. Mes mains posées sur ses petits seins.

Je l'ai rarement niqué comme ça. Mais je la baise avec la délicatesse d'un catcheur. J'ai la bite complètement enfoncée dans la fille. Estelle pousse de petits cris d'animal blessé. Au rythme de mes assauts répétés. Estelle adore être niquée à la hussarde, sans ménagement. Un peu comme la baise Jean-Marc, son parrain, depuis ses seize ans. Ce saligaud ! C'est avec ses pensées que je la tringle comme un sauvage. Je dis : << Tu vas t'en souvenir de ton anniversaire, de tes 25 ans, ma belle salope ! >>. Clémentine tourne autour de la table pour mâter.

Estelle, ligotée comme elle l'est n'a pas une grande amplitude de mouvements. Elle est obligée de subir mes assauts de bête en rut en se contentant de gémir, de se contorsionner. Le bois de chêne de la table n'offrant pas le moindre confort. Pauvre "Soumise" volontaire qui se fait ramoner en hurlant de plus en plus fort. Clémentine se masturbe, en sueur, toute rouge, elle me fait des sourires qui se transforment en rictus. Elle aussi jouit comme une folle mais d'une autre manière. Je dois me contrôler. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. Put-hein !

Ça fait bien une demi heure que je martyrise mes genoux sur cette table. Ça fait un mal de chien. Je me retire. Je descends de la table. Comme si elle savait ma douleur, Clémentine s'accroupit pour masser mes genoux. Est-ce bien pour soulager mes articulations ou pour me bouffer la bite ruisselante de "mélange" ? À genoux elle aussi, entre la table et moi, elle me taille une pipe des familles. Je suis penché en avant pour rouler une pelle d'enfer à Estelle que je tiens fermement par sa tignasse. Soulevée ainsi elle peut se faire fouiller la bouche.

Je retire ma queue de la bouche de Clémentine qui se relève en se masturbant. Elle ne veut surtout rien perdre de la suite. J'enfonce ma queue dans la bouche d'Estelle qui tente de se soustraire à mon étreinte. Je murmure : << Bon anniversaire mademoiselle ! >>. Elle rit en gloussant. Je me penche davantage pour la doigter. J'ai très rarement vu Estelle dégouliner autant de la chatte. Elle est dans une véritable flaque. Sa cyprine, mon foutre. Ça fait des "flappes", des "floppes" et d'autres bruits de ventouses. Clémentine pousse un cri soudain.

Elle est la victime d'un orgasme qu'elle ne contrôle pas. C'est très rare. Il faut préciser qu'elle assiste là à un spectacle très particulier. Je retire mon Zob de la bouche de ma "Soumise". Je contourne la table. Je lui bouffe la chatte par derrière. Je lui fais le cul. Je crache quantité de poils. Ça sent le minou, l'odeur de jouissance, le parfum du plaisir le plus intime. Put-Hein comme je me régale. Clémentine me choppe les couilles par derrière. Je contourne la table avec la gueule pleine de foutrine. Je bande mou. Je dois pisser depuis au moins trois heures.

Estelle ne s'y attendait pas. En victime tout à fait consentante et trop heureuse de ce qu'elle vit ce soir, elle ouvre la bouche. Je l'a saisis par ses cheveux pour l'empêcher de bouger la tête. Je lui pisse à la gueule. Un cri de dégoût. Elle tente de se dégager. Trop tard. Elle vient de s'en prendre une lampée. Ça lui coule même des narines. Estelle pousse un râle de dégoût en faisant une horrible grimace. Ça m'excite à blinde. Je me branle. Je la tiens toujours fermement. J'ordonne : << Ouvre la bouche, salope ! >>. Ma "Soumise" ouvre grand le bec.

J'y éjacule en poussant un cri de sauvage. Clémentine a repris sa branle de fille. Ce mouvement pendulaire du bout de ses doigts. Elle admire cette éjaculation. J'enfonce ma queue dans la bouche d'Estelle. C'est un jet de pisse que je lui envoie au fond de la gorge. Elle manque de s'étouffer, d'être noyée. Il en coule de ses narines. Un mélange de foutre et de pisse qui lui pique les muqueuses nasales. Je suis un vrai salaud ce soir. Pour son plus grand bonheur. Elle tente de déglutir en poussant des râles de dégoûts. Un dernier petit jet. Salaud.

Je me retire. Clémentine se précipite immédiatement pour sucer. Récupérer tout ce qu'elle peut. Je pisse par petits jets pour lui permettre d'avaler en rythme. Cette fois c'est Estelle qui mâte. Elle se doute bien de ce que je suis encore entrain de faire. Je retire soudain ma queue pour arroser la tête d'Estelle du dernier jet en disant : << Bon anniversaire mademoiselle ! >>. Je la détache. Je masse ses poignets, ses chevilles. Il n'y a aucune traces des nœuds. Je l'aide à se redresser, à s'assoir sur le bord de la table. Ses cheveux ruissellent de pisse.

Clémentine revient avec son téléphone pour prendre des photos du visage d'Estelle. Quelques gros plans de sa face maculée de sperme, ruisselante de pisse, des cheveux qui collent sur ses joues, les yeux cernés. Le visage d'une fille qui vient de s'envoyer dans la stratosphère du plaisir le plus intense. Ses photos resteront bien évidemment privées. << Fais gaffe que ta mère ne les trouve pas une fois de plus ! >> lance Clémentine. Estelle me regarde amoureusement avant de murmurer plusieurs fois : << Je t'aime Julien ! Comme tu es salaud ! >>.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines obligées de faire un shampoing, de se sécher les cheveux à 23 heures avant d'aller au lit...

"Maître" Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 17 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1823 -



Un dimanche de retour au calme

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par les incessants mouvements des pieds d'Estelle contre les miens. Ce qu'elle appelle ses "impatiences". Toute la nuit elle est restée accrochée à moi. Épousant chacun de mes mouvements. C'est devenue une vieille habitude et c'est tellement adorable. Encore à demie endormie elle se serre encore plus fort avant de glisser sa main dans mon slip en gémissant. Mon érection matinale dans la main elle colle ses lèvres dans mon cou comme une ventouse. Un pur instant de bonheur que je savoure déjà.

Il est presque dix heures. Clémentine se réveille à son tour pour venir se blottir. Je suis entre mes deux anges. Ce qui s'est encore passé hier soir nous laisse un peu épuisés. Même après plus de dix heures de sommeil. Il est extrêmement rare que nous dormions aussi tard. Estelle, n'en pouvant plus, se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte. << Venez vite, je vais préparer le petit déjeuner ! >> lance t-elle avant d'aller pisser. Clémentine se couche sur moi, chuchotant : << C'était génial hier soir. Je veux pareil pour mon anniversaire >>.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Encore en slips et en T-shirts de nuit nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Elle me saute au cou en s'écriant : << Mon salaud merveilleux ! >>. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille, elle se frotte contre moi alors que je la promène dans toute la grande pièce. Il y a déjà l'odeur du café, du pain grillé. Surtout les parfums de la brioche posée au milieu de la table. Clémentine presse les oranges. Je lui inflige le même traitement pendant qu'Estelle pèle nos kiwi. Plein de bisous.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée. << Je veux avoir affaire au même "salaud merveilleux" pour mon anniversaire ! >> lance une fois encore Clémentine. << Il est divin tu vas voir ! >> s'écrie Estelle. Nous rions de bon cœur. Nous mangeons d'un appétit d'ogre en faisant le très vague programme de se dimanche. << Il faut se reposer un max. Demain on a école ! >> fait Estelle. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges parlent justement de l'école qui les attend.

Cet écrit qu'il faut réaliser chaque semaine pour le rendre tous les vendredis matin. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. C'est un peu un réflexe car les deux radiateurs fonctionnent depuis six heures ce matin. Nous montons pour passer à la salle de bain. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns. Nous nous vêtons de nos jeans, de nos chemises à carreaux avant d'aller faire le lit, fermer les fenêtres. Le thermomètre extérieur indique 14°. Il ne pleut pas mais le ciel reste gris, bas et plutôt mouvementé.

Pressés d'aller faire quelques pas nous redescendons à toute vitesse pour enfiler nos anoraks. Le sol est détrempé. Les filles sont accrochées à mes bras. Nous allons jusqu'à la rivière. Avec la relative douceur de ces derniers jours les bourgeons sont gras et prêts à exploser. Il y a les premières primevères, les premières pâquerettes. Estelle s'accroupit pour les caresser. << Ça fait tellement de bien aux regards toutes ces couleurs ! >> lance t-elle. << Oh ! Regardez, les petites fleurs bleues. On dirait des myosotis ! >> rajoute Clémentine accroupie aussi.

Estelle tout en restant accroupie se tourne vers moi. Posant sa main sur ma braguette elle dit : << Et il y a même un gros champignon là ! Ne serait-ce pas ce fameux "phallus impudicus" ? Communément appelé le "satyre puant" ? >>. Nous éclatons de rire. Clémentine se redresse pour déboutonner ma braguette. Estelle se relève également pour y glisser sa main. Elle en ressort ce gros "champignon". Elles s'accroupissent à nouveau toutes les deux en se tenant à ma taille pour renifler ma queue. << Oui, c'est le satyre puant ! >> dit Estelle.

Nous rigolons comme des bossus sans faire attention. << Hum ! Bonjour ! >>. Je me retourne. Merde, c'est notre voisin. Les filles se redressent immédiatement. Comme je lui tourne le dos monsieur Bertrand ne sait pas que j'ai la bite à l'air. Clémentine et Estelle, judicieuses, se précipitent pour saluer Louis. Ce qui me permet de remballer rapidement. Monsieur Bertrand, son sachet à la main, vient nourrir ses amis à plumes. Les canards semblent d'ailleurs l'attendre en cancanant de plus belle. Je rejoins le trio. Nous bavardons un peu.

Comme souvent Clémentine conclue en précisant : << Vous venez prendre le café un de ces vendredis ? >>. Louis s'empresse de répondre : << Avec plaisir. Vendredi prochain par exemple ! >>. Nous nous saluons avant de remonter le chemin. Nous remplissons la brouette d'une vingtaine de bûches. Nous rions beaucoup de ce qui vient de se passer. << On a failli se faire "avoir" ! >> lance Estelle. Deux voyages pour reconstituer le stock à côté de la cheminée du salon, la cheminée de l'atelier, la cuisinière à bois. Il est midi trente. Le ciel s'éclaircit.

Nous n'avons pas encore vraiment faim. Mais si nous voulons aller randonner un peu cet après-midi, il faut le faire avec le ventre plein. Clémentine fait une rapide salade verte. Estelle réchauffe le reste du gratin de choux-fleurs et de la tarte au saumon. Cela fera un excellent repas car il y en a beaucoup. Nous mangeons de bon appétit en riant de mon "champignon". << C'est celui de Louis que je me déguste un de ces jours ! >> dit Clémentine en mimant une fellation. << Au fait. Tu as des nouvelles de l'exhibitionniste du parking ? >> fait Estelle.

<< Non ! Tiens, je vais l'appeler tout à l'heure en promenant ! >> répond Clémentine. Nous ne traînons pas. Nous débarrassons pour faire la vaisselle, monter nous laver les dents. C'est avec les chaussures de marche à la main que nous dévalons les escaliers. Il est 13 h30. Dans le petit sac à dos que je porte, la thermos contenant le thé, quelques barres de céréales, des pommes. C'est parti. Nous montons jusqu'au portail pour traverser la route, nous engager dans la forêt. L'odeur d'humus est puissante. Il y a comme des effluves printanière aussi.

Je suis entre mes deux anges. Elles me tiennent par la main. Nous marchons d'un bon pas. << Je téléphone ! >> lance Clémentine. Elle met sur "haut-parleur" en nous disant : << Chut ! >>. Elle compose le numéro de Tristan. Estelle, serrée contre moi, glisse sa main dans ma braguette ouverte. Nous écoutons. Une conversation surréaliste. Clémentine pose d'adroites questions auxquelles Tristan répond. Il semble quelquefois très gêné. Surtout lorsqu'il évoque sa condamnation à un mois de prison avec sursit pour exhibition sexuelle en lieux publics.

Estelle me sort la bite pour jouer avec. Il ne fait pas froid. C'est très agréable. Clémentine propose un rendez-vous ce mardi, vers 15 h30 au même endroit que la dernière fois. La friche industrielle abandonnée en périphérie de la ville. Tristan semble enchanté. Il se réjouit même. Je le comprends. Clémentine raccroche pour nous dire : << Mardi, la pipe ! >>. Nous éclatons de rire. C'est parfait. Je félicite Clémentine pour cette initiative. Il y a deux rendez-vous mardi. Le premier à la mairie pour signer les documents du pacs et celui de la pipe à Tristan.

C'est notre boucle des quatre heures que nous réalisons cet après-midi. C'est revigorant. Clémentine culpabilise toujours un peu lors de ce genre de "plans pipe". Cette vieille crainte de me tromper, de trahir quelque chose. Je ne cesse de la rassurer en disant à chaque fois : << Je vais m'éclater comme un salaud. Planqué à te voir sucer un mec ! >>. Estelle s'écrie soudain : << Je veux venir avec ! Je peux ? >>. Le mardi après-midi comme elle n'a pas cours non plus, Estelle donne toujours un coup de main dans l'entreprise familiale. Il faut s'organiser.

<< Je te dirai le matin ! >> conclue Estelle. << Oui, tiens-moi au jus ! >> répond Clémentine. Je serre les filles contre moi pour rajouter : << Au jus de couilles ! >>. Estelle me tord la queue pour dire : << Moi, uniquement le jus des tiennes ! >>. Nous rigolons comme des bossus. L'ambiance de cette randonnée est ludique autant que lubrique. Nous avons promis à Juliette de passer faire un coucou. Il est 17 h30 quand nous arrivons au haras. Il y a plein de voitures dans la cour. Autant garées à l'extérieur au bord de la route. Plein de gens.

Chacune des animations qu'organise Juliette connait le succès. Nous arrivons en fin de saison. Beaucoup de chevaux en pension vont bientôt êtres récupérés par leurs propriétaires. Il y a de jeunes cavalières qui sortent du manège. Nous y entrons à notre tour. Il y a un monde fou sur les gradin. Des cavalières font du saut d'obstacle. Quelques cavaliers aussi. Là-bas, Juliette, en pleine conversation avec une dizaine de personnes. Ce n'est certainement pas le moment de déranger. Comme toujours nous nous débrouillons pour êtres vus, échanger un signe.

Juliette est toujours tellement contente de nous voir. Elle nous adresse un grand sourire, un grand coucou. Le personnel est occupé. Nous ne saluons pas James, le palefrenier qui tient deux chevaux par leurs longes. Ni Valentine sa collègue affairée avec deux cavalières. Nous admirons le spectacle. Lors de nos randonnées nous croisons régulièrement des jeunes filles à cheval. Des cavalières qui viennent d'ici. Combien de fois n'avons-nous pas manqué de nous faire surprendre dans nos "jeux". J'adore planquer ma queue au tout dernier moment.

Nous ne nous attardons pas. Il commence à faire très faim. Nous reprenons notre marche. C'est en longeant la rivière à partir du vieux lavoir que nous prenons le sentier du retour. Il est presque dix neuf heures quand nous revenons à la maison. Fourbus mais tellement heureux. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Clémentine prépare une salade de tomates. Estelle nous concocte son omelette du dimanche soir pendant que je fais rissoler des patates coupées en petits morceaux très grossiers. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles reviennent sur le rendez-vous de mardi. << Je voudrais tellement être là ! Maman compte sur moi. Il faut que je me démerde ! >> dit à plusieurs reprises Estelle. Elle rajoute à l'attention de Clémentine : << Et puis je ne peux pas laisser Julien se branler tout seul pendant que tu suces ce mec ! >>. Nous éclatons de rire. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Je propose aux filles un bon léchage de minous. Car le dimanche soir, après la randonnée, les minous sont très appétissants.

Je ne suis évidemment pas obligé de le suggérer une seconde fois. Elles m'entraînent au salon pour enlever leurs jeans, leurs culottes. Vautrées dans le canapé, comme presque tous les dimanches soirs, Estelle et Clémentine m'offrent leurs chattes. Pas de toilettes intimes le dimanche. Les croupions macèrent dans leurs jus. À genoux sur les épais coussins, je passe de l'une à l'autre. La tête entre leurs cuisses, le visage enfuit dans les touffes, je me régale de toutes ces substances étonnantes que délivrent des cramouilles odorantes et un peu dégueux.

Estelle connait un orgasme foudroyant. Couchée sur le côté, ses mains entre ses cuisses, haletante, elle tente de reprendre ses esprits. Clémentine s'offre un orgasme pisseux alors que je tiens la cuvette du mieux que je peux. J'adore savourer les derniers mélanges. Ça m'enivre comme le ferait un bon vin. J'en ai des vertiges. Ce jus de fille qu'il faut aller lécher dans la raie des fesses, la bouche emplit de poils qu'il faut recracher. Parfois chercher au fond de la bouche. Mes deux anges nagent dans encore dans un indicible bonheur. Total.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui sucent encore un peu leur mec sous les draps avant de plonger dans un profond sommeil...

Julien



Classe

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Classe - 18 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1824 -



C'est reparti pour un tour

Hier matin, lundi, l'application "océan" nous bluffe de ses illusions habituelles. Il n'est pas tout à fait six heures. Le cri strident des oiseaux de mer. La sirène d'un cargo dans le lointain. Jusqu'au clapotis de l'eau tout près du lit. Clémentine se tourne pour venir se blottir dans mes bras. << C'est si bon le soir quand tu t'occupes de moi ! >> murmure t-elle d'un chuintement à peine audible. Des bises, des papouilles. Nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Habillés de nos leggings de lycra noir, de nos sweats de lycra jaune nous descendons.

Il fait moins froid depuis quelques jours. Pendant que j'allume la cuisinière à bois, Clémentine fait le café. J'aime l'entendre me raconter ses rêves. Je presse les oranges, elle pèle les kiwis. Les quatre tranches sont éjectées du grille pain. Il reste un beau morceau de brioche plein de pudding. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre randonnée de hier après-midi. Nous mangeons de bon appétit en évoquant l'anniversaire d'Estelle samedi soir. << Je veux que tu me fasses pareil ! >> lance Clémentine, posant sa main sur la mienne.

Il est 6 h25. Nous remontons pour procéder à l'entraînement. Séance d'aérobic, jogging sur tapis roulants. Ce matin c'est un peu dur mais ça réveille bien. Exercices au sol, abdos avant de manipuler nos haltères, nos barres. Le retour au calme avec un stretching pour une fois bien réalisé. La douche. Je descends le premier pour aller préparer l'auto. Le ciel est gris et menaçant. Le sol est trempé et tout est luisant. Clémentine vient me rejoindre. Sur la pointe des pieds elle me fait plein de bisous en disant : << Garde-moi ! >>. Je la regarde partir.

Un dernier coucou. Il y a quelques gouttes. Je me dépêche de rentrer pour faire la vaisselle, le lit, passer dans l'atelier. J'y allume une belle flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette huitième et dernière scène de genre m'absorbe rapidement. Je peins cette toile destinée à ma saison d'été dans la douce quiétude d'un lundi matin. Je le fais en faisant le bilan de ce week-end. La matinée passe tellement vite. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans le feu avant de quitter l'atelier.

La cuisine est bien chaude. Je prépare une salade de carottes. Je fais gonfler du riz complet. Dans la poêle je fais cuire un dos de cabillaud blanc avec de l'ail, de l'échalote, persil et ciboulette. En fin de cuisson un petit pot de crème. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff, dans tous ses états reçoit encore deux invités. Toutes les spéculations sur les évènements en Ukraine vont bon train. Chacun y va de sa théorie toute aussi fumeuse que l'autre. Toujours est-il que les premiers mensonges d'états font leurs apparitions.

Je débarrasse pour faire la vaisselle. Je mets l'anorak. C'est sous le parapluie que je vais jusqu'à la rivière. Les colverts, les poules d'eau et les canards ne se soucient pas de cette pluie incessante. Bien au contraire, ils semblent à la fête. Bien des arbres sont en fleurs. Des bosquets, des fourrés, des buissons sont parsemés de petites fleurs blanches. C'est magnifique. Je remonte en respirant cette délicieuse odeur de terre mouillée, d'humus. Il est à peine 13 h15. Me voilà à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Je peins.

Je ne suis pas assis depuis cinq minutes. La musique imbécile de mon téléphone. Il vibre au fond de la poche de ma blouse. J'avais complètement oublié. C'est le bois. En effet, mon fournisseur habituel depuis plus de 18 ans vient me livrer vingt stères cet après-midi. Je vais ouvrir le portail depuis l'interphone dans le hall d'entrée. Ils viendront à deux. Ils connaissent bien les lieux et sauront où et comment empiler. Du bois de hêtre, de chêne déjà coupé en bûches de 33 cm. Je retourne à ma peinture. Nous avons beaucoup consommé cet hiver.

Avec cette livraison nous avons pour trois ans de bois au minimum. L'après-midi passe aussi vite que la matinée. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle se précipite pour se mettre à califourchon sur mes cuisses. << Je t'aime. Comme tu me manques les lundis ! >> dit-elle en mitraillant mes joues de bisous. Ses bras autour de mon cou elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. << Tu as le bonjour d'Estelle qui aimerait fêter son anniversaire tous les samedis ! >> rajoute Clémentine. Nous rigolons.

Clémentine a encore du travail. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, elle chantonne, commente ce qu'elle fait. J'adore. Il est 18 h15 quand elle se lève pour tourner autour de moi, une feuille de papier à la main. << Écoute, c'est la première mouture de mon texte ! >> dit elle avant de le déclamer un peu à la manière d'une actrice de théâtre. Je nettoie la palette, les pinceaux en essayant de me concentrer sur le sens des mots. Moi qui aime tant leurs musiques, j'ai bien du mal à comprendre le sens des phrases. Clémentine en rit.

Seconde lecture. Cette fois je la tiens par la taille, debout derrière elle. J'écoute. Je la félicite sincèrement. C'est encore tellement concis, précis. C'est en imitant l'accent méridional de Juliette qu'elle se tourne, pose sa main sur ma braguette en demandant : << Vos impressions s'il vous plaît monsieur ! >>. Je n'ai pas le temps de répondre qu'elle plonge sa langue dans ma bouche pour une longue exploration en profondeur. Ces baisers fougueux trempent nos mentons de salives. Ça picote, sa glisse. Clémentine glisse sa main dans ma braguette.

Me voilà avec la queue molle dans sa main. Elle me contourne pour passer derrière moi. Me masturber d'un geste lent. Mon érection est évidemment rapide. Je bande même comme un patient atteint de priapisme au stade terminal. << Mon bandeur fou, je vous aime ! >> lance t-elle en venant s'accroupir devant moi. Elle rajoute : << Savez-vous bon bon "Maître" que j'ai besoin d'être sévèrement recadrée. Je me suis encore branlée dans la voiture en rentrant. Je me suis même touchée un peu dans les toilettes de la fac ! >>. Je caresse sa tête.

Je réponds : << Ma douce "Soumise", je vous promets une bonne "reprise en main" très prochainement. Je serai sévère, intransigeant ! >>. Clémentine, tout en humant mes odeurs d'homme, rajoute : << Vous serez vicieux surtout mon bon "Maître" ! >>. Trois coups contre la porte qui s'ouvre. C'est dans cette situation que Julie nous surprend. C'est la seconde fois. Vendredi dernier nous étions entrain de faire l'amour. Elle est radieuse ce soir. Vêtue d'un jeans, d'un sweat mauve, de ses bottines. Ses cheveux en natte, ses lunettes d'étudiante.

Julie, toujours avec cette crainte de déranger reste hésitante. Elle s'approche de la cheminée. Clémentine se redresse pour dire : << Bonsoir ! >>. Julie se précipite pour lui faire la bise. Puis, un peu craintive elle s'approche de moi en regardant mon érection. Sur la pointe des pieds, s'accrochant à mes bras pour ne surtout pas se retrouver en contact avec la queue elle me fait trois bises. Il est 18 h45. Il fait faim. Julie s'assoit quelques instants devant le chevalet. Elle scrute mon travail de la journée. Silencieuse, concentrée. Clémentine contre moi.

Elle tient ma bite en main. << J'adore les palpitations. Je sens ton cœur battre ! >> dit elle. Julie se retourne pour regarder. << Tu veux sentir ? >> demande Clémentine à Julie. Cette dernière, hésitante, n'ose pas tendre le bras. Clémentine me rapproche en disant : << Touche, ça ne mord pas ! >>. Julie, soudainement, saisit mon sexe. Elle le tient fermement. << C'est vrai. Chaque fois que je vous la tiens je sens les battements. J'ai même déjà senti votre cœur accélérer ! >> lance Julie comme émerveillée avec un nouveau jouet. Un sextoy.

Elle me lâche toutefois rapidement comme si elle venait de faire une bêtise. Elle se lève. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Julie a ramené nos commandes. La grosse boîte isotherme trône sur la desserte. Le sachet contenant les bacs à salades déposé à côté. Je pose mes mains sur les épaules à Julie pour la remercier. Je tire les trois feuillantines au saumon de la boîte. Encore hyper chaudes. Les deux quiches aux fruits de mer pour demain midi. Clémentine retire les opercules qui scellent les trois bacs à salades. Julie met les assiettes, les couverts.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine sait dévier la conversation de façon très adroite. Rapidement Julie nous raconte son samedi soir de serveuse dans le restaurant de sa tante. Ses petites séquences de voyeurismes dans les toilettes du sous-sol. << Depuis quelques temps, quand je veux assister à des "trucs" je suis obligée de les provoquer ! >> lance t-elle en riant. << Raconte ! >> s'écrie Clémentine. Je pose souvent ma fourchette pour me lever. Agiter ma queue toute molle en direction des filles. Surtout de Julie toute consternée. Jeux.

Clémentine évoque notre samedi soir. L'anniversaire d'Estelle. C'est à son tour de poser des questions. Presque gênée d'être aussi précise dans ses requêtes Julie fuit mes regards. << J'aurai 21 ans le 6 juin ! >> lance t-elle soudain mais cette fois en essayant de soutenir mon regard. Juste un instant mais avec une intensité qui témoigne d'une volonté. << Tu veux fêter ton anniversaire avec nous ? >> demande Clémentine. << Oui ! >> murmure timidement Julie. Je rajoute : << Un peu dans le même esprit ? >>. Sans hésiter elle dit : << Oui ! >>.

Je suis debout. Je me masturbe. Julie assise à table, devant moi, regarde ce que je fais avec beaucoup d'intérêt. Clémentine me fait un clin d'œil. Je dis à l'attention de Julie : << Je vous promets de vous offrir un anniversaire qui restera un des plus beaux souvenirs ! >>. Julie lève les yeux pour me faire un merveilleux sourire. Baissant à nouveau la tête elle répond : << J'en ai déjà plein Julien ! >>. Clémentine se lève pour passer derrière Julie. Ses mains posées sur ses épaules, elle se penche. Son visage contre celui de Julie, elles me regardent.

Julie saisit les poignets de Clémentine pour dire : << Si vous saviez comme je suis folle de joie quand je viens vous rejoindre. Vous êtes comme ma seconde famille ! >>. Clémentine lui fait un bisou sur la joue avant de se redresser. Elle dit : << Une famille incestueuse alors ! >>. Nous éclatons tous les trois de rire. Je contourne la table pour présenter mon érection à Julie. Debout, à une cinquantaine de centimètres de son visage je l'invite à reprendre ma queue dans la main. C'est rare qu'elle le fasse aussi spontanément. C'est sublime.

Clémentine commence à débarrasser la table. Julie s'est tournée sur sa chaise. Bien face à moi. Elle tient ma bite. Je dis : << Attendez, cadeau ! >>. J'extrais mes couilles. Mon appareil génital garroté par la braguette bouton de mon 501 offre la vision la plus vulgaire dont puisse rêver une jeune fille vicieuse de 20 ans. À peine mes couilles à l'air que Julie les empoigne de sa main libre. Elle me tient la bite de la main droite, les couilles de la main gauche. Clémentine dépose les couverts dans l'évier en disant : << Voilà, il n'y a plus qu'à sucer ! >>.

À ces mots, Julie a un mouvement de recul. Je murmure : << Pas d'inquiétude. Il faut que ça vienne de vous ! Toujours ! >>. Julie, toute rouge, comme honteuse, mais sans lâcher les "outils" chuchote : << Je n'ai pas le courage ! >>. Je passe l'extrémité de mes doigts sur sa joue en rajoutant : << Tout vient à point à qui sait être tendre ! >>. Julie se met à rire. Elle garde mes attributs dans ses mains. Comme ne sachant pas quoi en faire. Je sens qu'elle apprécie ce moment avec délectation. Voyeuse comme elle l'est et ce soir bien "toucheuse" aussi.

Julie devra nous laisser pour 22 h. Elle reviendra vendredi après-midi. Clémentine propose de prendre l'infusion au salon. Je suis réellement sous le charme car lorsqu'elle se lève, Julie ne lâche ni la bite, ni les couilles. Nous faisons la vaisselle. À distante, toujours un peu craintive, Julie est installée dans le fauteuil qui nous fait face. Clémentine à ma gauche dans le canapé qui joue avec ma queue. Les filles parlent de leurs études. J'apprécie la capacité toute féminine de passer d'un sujet à l'autre avec une déconcertante désinvolture. Des petits gâteaux.

Je me lève. Clémentine lâche ma queue. Je contourne la table basse pour venir présenter ma bite et mes couilles à Julie. Les mains sur les hanches, à une cinquantaine de centimètres de son visage, je contracte mes muscles fessiers. Mon sexe bouge dans tous les sens sous le regard émerveillé de Julie. Cette fois pourtant elle n'ose pas s'en saisir. Il y a de la jute qui perle à l'extrémité de la peau fripée de mon prépuce. Cette goutte opalescente, gluante et visqueuse suscite un incroyable intérêt de la part de notre adorable voyeuse. La goutte coule.

Julie a ce petit mouvement de recul. Un peu comme si elle avait peur d'être éclaboussée. Elle sait que je suis un pisseur. Elle m'a déjà vu à l'œuvre plusieurs fois. C'est probablement ça qu'elle redoute dans ces instants vicelards. Clémentine vient s'accroupir à ma droite, m'enserrant la jambe de ses bras, sa tête contre ma cuisse. << J'aime voir les voyeuses ! >> dit elle. Je me branle un peu. Il est temps de raccompagner Julie jusqu'à sa voiture. Sous le parapluie, dans la nuit noire. Assise au volant, elle me regarde me branler. Dernier coucou.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment sucer la bite de leur vicelard sous les draps pendant qu'il donne ses impressions...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 19 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1825 -



Le mardi, Clémentine termine à midi

Hier matin, mardi, c'est surtout cette obsédante sirène de bateau qui nous réveille. Le cri des mouettes vient encore parfaire l'illusion d'être dans un port de pêche. Il est presque six heures. Clémentine vient se blottir en gémissant. L'application "océan" nous arrache à nos profonds sommeils. Quelques bisous. Des papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, habillés de nos vêtements de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves.

Le mardi, Clémentine termine à midi. Ce qui la rend bien déconneuse. J'en ai encore l'exemple quand elle presse nos oranges, qu'elle pèle nos kiwis. C'est pliés de rire malgré la tête encore dans le cul que nous prenons notre petit déjeuner. En prenant l'accent méridional de Juliette Clémentine évoque son rendez-vous de cet après-midi. Tristan, l'exhibitionniste du parking qu'elle doit voir à 15 h30. << Je n'y vais pas. Je lui téléphone à midi pour m'excuser ! >> dit elle. Nous mangeons de bon appétit. Je comprends les explications de Clémentine.

<< Si je veux sucer, j'ai la tienne ! Je vais me calmer jusqu'à mon anniversaire ! >> rajoute -t-elle. Je dis : << Et la mienne est toujours disponible ! >>. Nous rions de bon cœur. Il est 6 h25. Nous remontons pour achever d'émerger complètement. Et pour ça rien de tel qu'un bon entraînement d'une heure. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol. Dans une certaine euphorie délirante. Avec les manipulations des charges additionnelles, fini de rire. Le retour au calme avec les étirements d'un stretching tout à fait surréaliste.

La douche. Je descends pour aller préparer la voiture. Le ciel est curieusement jaune. Il fait nettement moins froid que les jours précédents. Presque 7 h45 quand Clémentine vient me rejoindre en sautillant. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou avant de rentrer pour faire la vaisselle, le lit. Dans l'atelier j'allume une belle flambée. Le tirage de la cheminée fonctionne encore très bien ce matin. Je suis confortablement installé devant mon chevalet en chantonnant.

Je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette huitième scène de genre destinée à ma saison d'été m'absorbe complètement. Je peins dans la douce euphorie laissée par Clémentine. Je pense à sa décision d'annuler son rendez-vous. Ma séance de travail passe encore si vite. Il est déjà 11 h50. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Pendant que réchauffe les deux quiches aux fruits de mer, je fais une salade verte. Assez pour le repas de ce soir également. Préparation rapide.

Par association d'idées je pense à Julie hier soir. Ses attitudes, sa gentillesse. Mon comportement de satyre qui la ravie. Une agréable érection accompagne ces souvenirs si récents. Il est 12 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève pour l'emmener dans toute la cuisine. Ses jambes autour de ma taille elle me fait plein de bisous. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine aussi évoque la présence de Julie. C'est à cause de ces délicieuses quiches qu'elle nous a emmené hier soir. Elles sont tellement bonnes.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa matinée. Toujours ensemble avec Estelle il y a quelques amusantes anecdotes de fac. << Je téléphone au mec ! Tu sais qu'Estelle ne serait pas venu cet après-midi. Elle a trop de boulot avec sa mère ! >>. Clémentine se lève pour prendre son téléphone. Elle met en position "haut-parleur". Je reconnais la voix de Tristan. Il semble passablement déçu quand il apprend l'annulation du rendez-vous. Clémentine conclue : << À une prochaine ! >>.

C'est un appel court, bref et précis. Clémentine ne s'égare jamais dans des explications. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Je me change. Je mets un jeans propre, une chemise crème sous un pull bleu nuit au col en "V". Mes mocassins noirs. Clémentine reste habillée pareil. Elle m'entraîne devant le miroir de l'armoire. << Regarde l'homme avec qui je partage ma vie. Et il a une superbe queue ! >> dit elle en se serrant contre moi pour glisser sa main dans ma braguette. Elle s'accroupit doucement.

Enserrant ma jambe de ses bras elle pose sa tête contre ma cuisse. << J'ai besoin d'une bonne séance de "dressage" mon bon "Maître" ! >> murmure t-elle alors que je caresse ses cheveux. Je chuchote : << Je vous promets une "prise en main" exemplaire ma douce "Soumise". Et très bientôt ! >>. Je sors ma queue. Clémentine tout en restant accroupie se place entre le miroir et moi. Elle frotte son visage contre mon sexe. J'adore la voir de dos. Mon imaginaire se nourrit de cette image. J'en frissonne de plaisir. Pour la voir faire je n'ai qu'à baisser la tête.

C'est donc un double stimuli. Clémentine gobe ma queue en poussant un râle de plaisir. Je saisis ses oreilles pour imprimer un léger mouvement de bassin. Je me masturbe doucement dans sa bouche. J'en ai le vertige tellement c'est enivrant. Je l'aide à se relever. Elle me montre l'intérieur de sa bouche. Déjà un peu de foutre qu'elle déglutit avec un mouvement de tête. << Je vais me consacrer à la tienne plutôt qu'à celle d'un autre ! Je t'aime Julien ! >> dit elle en m'entraînant par la main. Nous dévalons les escaliers en riant de nos folies.

Le thermomètre extérieur indique 17°. Nous comprenons pourquoi ce ciel est resté curieusement jaunâtre depuis ce matin. C'est le siroco. Ce vent du désert qui ramène le sable au-dessus de la Méditerranée. Il y a plein de particules partout. Comme des gouttes s'étant déposées sur toute chose. Aux premières pluie tout cela aura disparu. Nous enfilons nos blousons de cuir noir. Clémentine propose de prendre son auto. Mais hélas je dois conduire. << Je veux m'occuper de ta bite. J'ai trop envie ! >> me susurre t-elle à l'oreille une fois installés.

Les documents sont dans l'attaché-case que Clémentine garde précieusement posé sur ses cuisses. Je roule doucement. De sa main gauche Clémentine joue avec ma queue. Il y a une quinzaine de kilomètres jusqu'en ville. L'étude de Maître Robert mon ami notaire est en périphérie. Son frère étant expert comptable, c'est devant le petit immeuble très moderne que je gare l'auto. Le personnel féminin est très accueillant. Robert s'occupe de mes affaires depuis 25 ans. Dans son bureau il y a une mes toiles peinte il y a vingt ans. Un grand paysage.

Assis en face de son bureau nous bavardons un peu avant d'en arriver au sujet de notre visite. En nous pacsant, Clémentine et moi deviendrons comme mari et femme. Il y a quelques différences mineurs. C'est sous le régime de la séparation de biens que l'accord est conclu. Par contre en cas de décès Clémentine hérite de la totalité. Nous en arrivons à l'éventualité d'un départ précipité vers l'Écosse en cas de guerre. C'est assez surréaliste d'évoquer de tels évènements. Maître Robert me conseille de vendre les deux immeubles qu'il gère.

Vingt quatre appartements. Il me fait un rapide calcul avant et après impôts. Parce que le fisc français est le plus gourmand au monde. Même si Clémentine est parfaitement informée de mon patrimoine elle est toujours impressionnée par les chiffres. Les coûts que cela implique. Le syndic aussi se sert copieusement. Bref un patrimoine fait toujours vivre quantité de personnes. Je donne mon feu vert. Je n'ai nul besoin d'argent. La plupart de mes avoirs sont en Écosse de façon tout à fait légale puisque je suis citoyen de sa gracieuse majesté.

Ayant la double nationalité, en nous pacsant Clémentine pourra devenir citoyenne britannique après cinq années. Ce qu'elle désire ardemment. Il n'y aura donc aucun problème de frontières. Pas de problème professionnelle pour Clémentine une fois installée avec moi en Écosse. Nous réglons les dernières formalités. Il faudra revenir vendredi en début d'après-midi pour conclure définitivement et récupérer les documents. Nous prenons congé. Il faut aller à la Mairie afin de finaliser les formalités administratives françaises. Un vrai merdier quoi !

Dans la voiture Clémentine m'embrasse à nous en donner le vertige. Je roule doucement. Il faut traverser la ville pour rejoindre la Mairie. Nous y déposons les documents qu'il faudra récupérer vendredi afin de les ramener chez Maître Robert. << Put-Hein comme c'est chiant ces conneries ! >> lance Clémentine. Nous prenons la direction de la zone commerciale. Autant en profiter pour faire nos courses. << Tu m'aimes tellement Julien ? >> me demande Clémentine même dans les allées de l'hypermarché. C'est un plaisir d'y être sans masque.

<< Tu verras, dès les élections présidentielles passées, ils vont nous inventer un nouveau variant et nous imposer un retour au masque sanitaire ! On contrôle beaucoup mieux un peuple de paranoïaques terrifiés ! >> me dit Clémentine. Je réponds en riant : << Complotiste ! >>. Nous faisons nos achats en nous amusant beaucoup. Il est 18 h15 quand nous revenons à la maison. La voiture d'entreprise d'Estelle est garée devant la maison d'amis. Pressés de la retrouver nous rentrons vite. Elle me saute au cou. Elle nous prépare une surprise.

Un gratin de courgette et d'aubergine qu'elle achève de terminer. Nous aidons à mettre la table. Clémentine raconte nos aventures de l'après-midi. << Si vous quittez l'Europe, je ne pourrais pas abandonner mes parents ! >> lance Estelle en se pendant à mon cou. Je dis : << Vous n'avez qu'à nous rejoindre ! >>. Estelle s'écrie : << Mes parents n'ont pas tes moyens et puis ce n'est pas simple d'obtenir la citoyenneté britannique. Je suis allée voir sur le Net ! >>. Clémentine rajoute : << Surtout que depuis le Brexit c'est bien plus difficile ! >>.

Le gratin est au four. Nous sommes tous les trois au salon. Je suis entre mes deux anges dans le canapé. C'est Estelle qui joue avec ma queue tout en bavardant. << Ne soyons pas alarmistes. Les choses vont certainement s'arranger entre la Russie et l'Ukraine. Restons optimistes et positifs ! >> lance Clémentine à chaque fois qu'Estelle envisage le pire. Tout en me tordant la queue dans tous les sens. << Tu me "fêtes" mon anniversaire une seconde fois samedi soir ? >> me dit elle avant de se pencher pour prendre mon sexe en bouche. Miam.

La sonnerie du four. Morts de faim nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine évoque son désir de vivre une séance du "Maître" et de sa "Soumise". Estelle corrige : << Et de ses deux "soumises" sel vous pli ! >>. Nous rions de bon cœur. << Tu me fais des trucs ce soir ? >> dit elle encore en se levant pour mimer une masturbation masculine. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Au salon, vautrées toutes les deux sans jeans, sans culottes, elles m'offrent mon dessert. À genoux sur les coussins je savoure.

C'est Estelle qui m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Presque immédiatement elle se met à bouger. Comme elle aime. Je baise Estelle avec la délicatesse d'un lutteur slave survitaminé. Je passe à Clémentine pour rester immobile comme nous aimons. Une fois encore, dans un concerto pour gémissements en baise majeur, je passe de l'une à l'autre. Elles se masturbent toujours en se faisant pénétrer. L'orgasme d'Estelle est impérial. Celui de Clémentine majestueux. Estelle devra nous laisser pour 22. Nous retrouvons nos esprits.

Bonne nuit à toutes les coquines qui aiment ces soirées de baises où s'alternent les mouvement précipités, les moments de calme. Folies...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 20 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1826 -



L'agréable soirée avec Juliette

Hier matin, mercredi, il est presque six heures. Une fois encore l'illusion de se réveiller dans quelques ports de pêche en Écosse est bluffante. Le cri strident, obsédant, des oiseaux de mer qui semblent virevolter au-dessus de nos têtes. Le clapotis de l'eau tout contre notre lit. Clémentine vient se blottir en gémissant. << J'aime quand tu m'aimes ! >> murmure t-elle. Nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos habits de gymnastique nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. J'allume la cuisinière à bois.

Clémentine fait le café, presse nos oranges, pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier, en compagnie d'Estelle. << Tu m'as encore merveilleusement fait l'amour ! >> dit elle en posant sa main sur la mienne. Je réponds : << J'aime t'aimer ! >>. Nous rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la visite de Juliette ce soir. Je propose de préparer un gratin de pommes de terre avec une sauce au Roquefort et des pavés de saumon aux champignons. << Excellent ! >> dit Clémentine.

Il est 6 h25. Nous remontons. C'est notre heure d'entraînement. Ce matin encore ça commence de façon "pathétique". L'aérobic qui a du mal à démarrer. Ça va mieux avec le jogging sur les tapis roulants. Les ciseaux avants, les ciseaux arrières des exercices au sol qui précèdent les abdos. Les charges additionnelles suivies du retour au calme d'un stretching bâclé. Nous courons sous la douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer l'auto. Le ciel est gris, bas, dense et menaçant. Il fait à nouveau ce froid glacial. L'hiver qui n'en finit pas.

Clémentine vient me rejoindre. Son capuchon bordé de fourrure évoque quelques banquises. Elle me fait des bisous en disant : << Vivement ce soir. Miam, j'adore les gratins dauphinois ! >>. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou avant de rentrer très vite. Je fais la vaisselle, le lit avant de passer dans l'atelier. J'y allume une bonne flambée dans la cheminée. Pressé de me donner corps et âme à ma passion, je prépare les couleurs sur la palette. Installé devant mon chevalet j'attaque cette huitième scène de genre à trois personnages.

Destinée à ma saison d'été cette toile sera probablement terminée vendredi matin. Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser des cris surréalistes. Je pense à notre visite hier après-midi chez mon ami notaire. Maître Robert conseille de vendre chacun des appartements séparément plutôt que les deux immeubles entiers. La plus value sera au moins du triple. Beaucoup des locataires désirent d'ailleurs acheter. Maître Robert et son frère expert comptable gèrent mes affaires depuis plus de 25 ans. Je peux leurs faire confiance .

C'est sur ces considérations que passe la matinée. Il est 11 h55 quand je mets deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine. En écoutant Sud Radio, André Bercoff dans tous ces états, je prépare la salade. Toujours ces drames de la guerre en Ukraine. Il semble que les premières magouilles apparaissent dans les informations selon que le média est indépendant ou non. Je réchauffe le reste de gratin de courgettes et d'aubergines préparé par Estelle. Avec un filet de limande, c'est un repas rapide et délicieux. Je savoure. C'est tellement bon.

J'épluche les pommes de terre, je les lave et les coupe en tranches régulières. Je les ébouillante quelques minutes avant de les disposer dans un plat rectangulaire en terre cuite. Je verse le mélange œufs, crème fraîche, lait de soja et moutarde à l'ancienne sur le tout. Une sorte de pudding qui sera le liant. Je recouvre de quelques fines tranches de Morbier puis d'une bonne couche de gruyère de Comté finement râpé. De la chapelure, onze cerneaux de noix. Au four électrique pour une cuisson longue et lente à 180°. Il faut que le tout mijote bien.

Dans une poêle je fais rissoler trois pavés de saumon décongelé depuis ce matin. J'y rajoute ail, oignon, persil, ciboulette et champignons. Je laisse reposer sous le couvercle. Dans la casserole je concocte une belle sauce au Roquefort. Curcuma, ail pressé, échalote pressée, noix de muscade, avocats pressés. Je laisse reposer sous un couvercle. Pour ce soir, tout est prêt. Je fais la vaisselle avant de monter me laver les dents. Je dévale les escaliers pour enfiler mon anorak. Le ciel reste sinistre. Contrairement à hier où il était jaune, là il est d'un gris métal.

Je fais quelques pas. La fraîcheur est marquée par une humidité latente. C'est un climat désagréable. Les genêts ont de belles fleurs jaunes. Les bourgeons éclatent un peu partout. Je rentre. Je rajoute deux bûches dans le feu avant de m'installer devant mon chevalet. Je peins animé des mêmes pensées que ce matin. Clémentine et moi serons bientôt pacsés. C'est rassurant car s'il nous faut fuir l'Europe, il n'y aura aucun obstacle à l'entrée de Clémentine en Grande Bretagne. Il faut juste espérer qu'une telle extrémité ne se produise pas. Juste prévoir.

Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle se précipite pour s'assoir à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Les impressions partagées avec Estelle quand à notre baise de hier soir. Clémentine a ses travaux d'écritures. Installée devant son ordinateur, entourée de ses fiches, elle chantonne. C'est mon bonheur absolue de l'entendre tout en peignant. Parfois il y a un long silence. Puis elle commente ce qu'elle fait. J'adore l'écouter. Quelle merveilleuse musique.

Tournant autour de moi, une feuille de papier à la main, Clémentine me fait la lecture d'un texte tellement parfait qu'il pourrait être définitif. J'écoute en nettoyant la palette, les pinceaux. Je me lève, je retire ma blouse. Je me lave les mains au-dessus du petit lavabo de l'atelier. Je pose mes mains sur les hanches de Clémentine pour dire : << Mademoiselle, vous êtes reçue ! >>. Elle éclate de rire pour lancer : << Merci cher "Maître" ! >>. Elle enfonce soudain sa langue dans ma bouche, se serre contre moi en laissant tomber sa feuille au sol.

Sa main dans ma braguette béante, elle fouille le slip pour en extraire le locataire. Avec ce baiser fougueux, passionné, c'est une érection qu'elle sort de mon jeans. Je bande comme le dernier des salauds. Clémentine s'accroupit devant moi pour frotter son visage contre mon sexe qu'elle tient à sa base entre le pouce et l'index. Elle me décalotte légèrement pour se coller l'extrémité du méat sous le nez. Respirant ma virilité de chacune de ses narines. C'est toujours un peu gênant de se faire sniffer la queue. Mais c'est également terriblement excitant.

Je caresse ses joues. Ses lèvres se referment sur la peau fripée de mon prépuce. Il y a plein de plis contre sa bouche. Je sens sa langue chercher à se glisser sous la peau. Fouiller autour du gland. J'ai des vertiges. C'est toujours surprenant quand on ne s'y attend pas. Il est 18 h45 quand la musique imbécile de mon téléphone le fait vibrer sur la desserte. Clémentine se redresse pour le récupérer. << Juliette, elle est devant la porte ! >> lance Clémentine en m'entraînant par la bite comme par une laisse. Nous quittons l'atelier pour aller faire l'accueil.

Juliette, ce soir, est habillée d'un jeans, d'un simple pull noir. Des bottines. Ses longs cheveux noirs flottent sur ses épaules. C'est rare de voir ainsi. Je la débarrasse de son blouson de cuir brun, de son écharpe noire. Clémentine la débarrasse du Tupperware qui contient la tarte du dessert. Nous nous touchons les poignets. Comme toujours notre belle bourgeoise fait mine de ne pas s'être aperçue de ce qui pend de ma braguette. Ce comportement féminin m'émeut autant qu'il me charme. Nous allons dans la cuisine. Il suffit de réchauffer les plats.

Réchauffé c'est toujours bien meilleur. << Mmhhh ! Un gratin de patates ! >> lance Juliette en me voyant le mettre dans le four à bois. La chaleur y est infernale. Je mets la poêle contenant les pavés de saumon ainsi que la casserole contenant la sauce au Roquefort sur la cuisinière à bois. Il faut être vigilant et surveiller consciencieusement. Clémentine et Juliette font l'assaisonnement de la laitue déjà lavée. Juliette nous raconte sa journée de chef d'entreprise. Bientôt les propriétaires viendront récupérer leurs chevaux. Ce sera moins de travail.

Clémentine, en riant, demande : << Des pipes au véto ? >>. Juliette se met à rire également. Elle répond : << Oh juste une petite, pour entretenir les bonnes relations ! >>. Nous rigolons tous les trois comme des bossus. Juliette me fait enfin comprendre qu'elle a vu ma bite. Je bande mou. Je reste penché en avant pour ne pas risquer de me la brûler en retournant les pavés de saumon. Ce soir l'œil pétillant de Juliette se fixe à plusieurs reprises sur cette queue qui l'impressionne même molle. Mon "tuyau d'arrosage" comme elle l'appelle parfois.

Elle ne croit pas si bien dire quand Clémentine raconte la soirée d'anniversaire d'Estelle samedi. << Vous êtes un incorrigible vicelard Julien ! Un pisseur d'élite ! >> me fait elle en mimant une pisse masculine, debout. Elle rajoute : << Mon anniversaire c'est le 15 novembre. Je vais devoir m'armer de patience ! >>. Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine lance : << On peut fêter n'importe quel date du calendrier. Si c'est juste pour vous faire pisser à la gueule ! >>. C'est plié de rire que nous mettons les assiettes et les couverts. Sacré ambiance ce soir.

<< Je vais y penser. Il y a plein de saints et de saintes qui méritent une "célébration" ! >> s'écrie encore Juliette décidément bien allumée. Je pose mes mains sur ses épaules pour dire : << Un personnage Corse dont nous pourrions fêter l'anniversaire ou le décès par exemple ! >>. Juliette apprécie toujours mes élans d'affection. Elle saisit mes poignets pour dire : << D'accord mais pas Napoléon ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Clémentine, qui vient marquer son territoire, se place entre Juliette et moi en proposant : << La Sainte Lucie ? >>.

Nous mangeons de bon appétit. C'est Juliette qui nous raconte son samedi soir. La "partie carrée" hebdomadaire en compagnie de Bernadette, Pierre et le vieux Léon. Elle rappelle à Clémentine : << N'oubliez pas. Pierre vous propose toujours encore une ballade en voiture. Il me charge d'ailleurs de vous le rappeler ! >>. Clémentine s'empresse de répondre : << J'y pense, j'y réfléchis ! >>. Juliette rajoute : << Pour votre anniversaire, chère Clémentine, le samedi 2 avril, je vous prépare un magnifique cadeau. Un super gloryhole ! >>.

<< Mmhh, miam ! >> s'écrie Clémentine. Je me lève pour agiter ma queue vers les filles. Juliette me lance ce regard sévère habituel. Comme si je commettais là un délit d'exhibitionnisme. C'est évidemment son attitude habituelle. Elle adore mes initiatives. Et plus ces initiatives sont vicelardes, plus elle les apprécie. Je tiens ma bite à sa base pour l'agiter vulgairement. << Salopard ! >> me fait-elle à chaque fois. Je réponds : << Pour vous servir madame ! >>. Juliette me lance un clin d'œil avant de reprendre une bouchée de gratin.

Ce soir, nous traînons à table. Juliette devra nous laisser pour 22 h. Mais nos bavardages vicieux nous ensorcellent tellement que nous prenons même le dessert à la cuisine. Cette délicieuse tarte aux poires préparée par Juliette. À présent quand je me lève c'est pour me branler dans sa direction avec toute la vulgarité que je peux y mettre. Juliette ouvre sa bouche dans une invitation lascive qu'elle appuie volontairement. Elle dit à Clémentine : << À votre anniversaire, je peux me taper Julien ? >>. Clémentine répond : << Juste la pipe ! >>.

C'est en riant beaucoup de nos conversations libidineuses que nous terminons la soirée par une vaisselle épique. Deux fois Juliette prend ma queue dans la main. << Vous avez le même calibre que Pierre. Et j'adore ces "pointures" viriles ! >> dit elle. Clémentine qui rajoute : << Dans la bouche mais jamais dans la chatte ! >>. Juliette lance : << Toujours aussi jalouse mademoiselle ! >>. Clémentine s'écrie : << Toujours ! >>. Juliette me dépose une bise sur la bouche pour narguer Clémentine. Rires. Nous raccompagnons Juliette à son auto. Froid.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines, bien allumées par les attitudes de leur vicelard. Elle peuvent lui tailler une bonne pipe au lit...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 21 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1827 -



Tous les trois, Estelle, Clémentine et moi

Hier matin, jeudi, il est presque six heures. Ce sont les cris des mouettes qui nous arrachent du sommeil. Des cris stridents. L'application "océan" offre chaque jour une variante extraordinairement réaliste. Clémentine vient se blottir en gémissant. Quelques bisous, quelques papouilles plus tard nous nous précipitons aux toilettes. C'est dur encore ce matin. Morts de faim, vêtus de ne habits de sport nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis en me racontant ses rêves. Elle s'en souvient.

J'allume un feu dans la cuisinière à bois avant de la rejoindre à table avec les quatre tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier avec Juliette. << Elle est méchamment amoureuse de toi. Mais elle coucherait bien avec moi ! >> lance Clémentine pour résumer une situation qui dure depuis près de quatre ans. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la tendresse avec laquelle nous avons fait l'amour après le départ de Juliette. Raison de nos difficultés à garder les yeux grands ouverts. Rire.

Il est 6 h25. Nous remontons pour y remédier. Rien ne vaut une bonne heure d'entraînement pour émerger complètement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol et abdos. Charges additionnelles. Retour au calme avec un bon stretching. Ça baigne. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'à la salle de bain en sautillant. La douche. Je descends le premier pour faire chauffer la voiture. Le ciel est gris mais pas menaçant. Par contre il fait plutôt froid. Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak. Un tout dernier bisou.

Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer pour faire la vaisselle, le lit, allumer une belle flambée dans la cheminée de l'atelier. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. C'est éminemment sympathique de me plonger dans ma passion avec dévotion. La peinture de cette huitième et dernière scène de genre destinée à ma saison d'été m'accapare complètement. Même si je pense à Juliette à cause de notre conversation au petit déjeuner, je peins avec enthousiasme.

Lorsque je travaille ainsi, abstrait dans mes réflexions, le temps passe si vite. Il est déjà 11 h55. Je mets deux bûches dans la cheminée avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il me suffit de réchauffer les restes du gratin de pommes de terre, de la sauce au Roquefort. Je fais une salade de carottes. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff et son invité du jour. Insidieusement, fatalement, les évènements dramatiques en Ukraine s'incrustent dans une effroyable "normalité". Cette guerre entre dans la litanie de l'actualité. Terrible.

Je fais rissoler des crevettes, des ronds de calmar. Dans le saladier je concocte une pâte à crêpe. Ce sera pour les beignets de crevettes de ce soir. Je fais cuire des coquillettes. Je râpe du gruyère de Comté. Je les égoutte pour les mettre dans le plat en terre cuite. Je recouvre du mélange œuf, lait de soja, moutarde à l'ancienne. Je termine en déposant une grosse couche de gruyère, de la chapelure. Au four électrique. Ce sera l'accompagnement des beignets. Cuissons lente à 180°. Je n'ai plus qu'à faire la vaisselle. La pâte à crêpe repose sous un linge.

Les crevettes et les ronds de calmar reposent sous un couvercle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller faire quelques pas je dévale les escaliers pour enfiler mon anorak. Il est bien étrange ce ciel de novembre en plein mois de mars. Je vais jusqu'à la rivière. C'est ce maudit vent de Nord Est qui refroidit l'atmosphère. Je remplis la brouette d'une vingtaine de bûches afin de reconstituer le stock à côté de la cuisinière à bois et de la cheminée. J'ai oublié que nous avons été livré lundi après-midi. Vingt stères correctement empilées. Superbe.

Me voilà de retour dans l'atelier. Je peins animé des mêmes pensées que ce matin. Juliette y revient souvent. Cette belle bourgeoise de 48 ans m'obsède quelquefois. J'aime les vicieuses. Même si, comme elle, ce sont parfois des perverses. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle se précipite pour s'installer à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou elle me raconte sa matinée en se frottant. Le menu du restaurant universitaire. Cet écrit qu'elle doit finaliser ce soir pour le rendre demain matin. Elle a encore du travail.

J'aime l'entendre commenter, lire à haute voix, se mettre à chantonner, pousser des exclamations. Tenant une feuille de papier à la main, Clémentine tourne autour de moi en me faisant la lecture de son texte. Je nettoie la palette et les pinceaux en écoutant. Estelle entre soudain dans l'atelier. Elle se précipite pour s'assoir sur mes genoux. Ses bras autour de mon cou nous écoutons Clémentine. Il est 18 h15. << C'est à moi ! >> lance Estelle en se levant d'un bond pour déplier la feuille de papier qu'elle tire de la poche arrière de son Levi's.

Les filles comparent leurs écrits. Elles se débrouillent toujours avec ruse pour dissimuler les similitudes. Elles font ça depuis l'âge de 12 ans. La stratégie hautement élaborée a constamment échappé à leurs professeurs. J'applaudis en m'écriant : << Bravo ! Félicitations ! >>. Elles m'entraînent dans une farandole folle tout autour de la grande pièce. Estelle improvise des paroles sur un air de comptine. Nous reprenons en cœur avant de terminer, tous les trois, en sautillant. En poussant des cris d'animaux qui n'existent pas. Demain commence le week-end.

Morts de faim, nous quittons l'atelier pour la cuisine. Les filles découvrent ce que j'ai préparé. Elles me sautent au cou. Me couvrent de bisous. Clémentine s'occupe de la salade de tomates. Estelle porte à ébullition l'huile de friture sur la cuisinière à bois. Je remue la pâte à crêpe. Il suffit de réchauffer les crevettes, les ronds de calmar avant de les rajouter à la pâte. Avec une louche Estelle les récupère pour les jeter dans l'huile bouillante. Clémentine les récupère au bout d'une minutes avec un écumoire. De beaux beignets dorés et croustillants.

Nous mangeons de bon appétit. << Raconte à Julien ta baise avec Jean-Marc hier soir ! >> lance Clémentine. Estelle lui a déjà raconté à midi, au restaurant universitaire. << Il m'a niqué pendant plus d'une heure. Nous étions dans le dépôt. Sur les cartons comme sur un matelas. Un vrai lapin encore. J'en ai la chatte toute congestionnée ! >> s'écrie Estelle en se levant pour mimer une masturbation masculine. Elle rajoute : << Faut que je me calme. J'aime trop ça ! >>. Nous rions de bon cœur. Estelle revient sur notre soirée Juliette.

Elle aussi connait les sentiments de Juliette. << Si cette salope pouvait te piquer à Clémentine elle n'hésiterait pas une seconde ! >> lance Estelle. Clémentine rajoute : << Pour le gloryhole de mon anniversaire, tu ne quittes pas Julien d'un pouce. Je ne veux pas que cette salope profite de la situation ! >>. J'ai mis deux ans avant de comprendre qu'Estelle était missionnée pour me surveiller et surtout pour me "protéger" des autres femmes lors de nos partouzes. Je les félicite toutes les deux pour cette stratégie d'une redoutable efficacité. Poilade.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux mes deux anges échangent leurs impressions quand à tous ces souvenirs communs. La décision de Clémentine d'en rester aux rencontres avec des inconnus lors de nos "expéditions". Estelle qui trouve qu'elle a mis du temps pour prendre cette mesure. J'encourage une fois encore Clémentine à s'offrir sa préférence quand l'occasion se présente. Tailler une pipe à un mec alors que je reste planqué pour sécuriser sa "prestation". Je déplore qu'elle ait annulé le rendez-vous de mardi avec l'exhibitionniste.

<< Ce n'est que partie remise ! J'ai quelques "plans" qui me viennent à l'esprit quand je rentre de cours le soir ! >> me fait Clémentine. << Tu veux baiser avec lui hein ? Comme tu m'as raconté au restaurant universitaire ? >> s'écrie Estelle. Avant que Clémentine ne réponde, je dis : << Mais qu'en voilà une bonne idée ! >>. Clémentine me fait des bises en mitraille sur la joue en s'écriant : << Je peux ? >>. Je réponds : << C'est même obligatoire ! >>. Clémentine adore les vicelards. Le genre de mecs à montrer leurs queues aux jeunes filles.

Elle s'en est déjà sucée quelques uns alors que je restais dissimulé pour sécuriser. Rien ne m'excite davantage que de la voir prodiguer une fellation à un inconnu. C'est moi qui ai installé ce fantasme dans sa psyché. Je culpabilise parfois. Je suis un de ces vicelards. Estelle s'écrie : << Si vous faites ce "plan", je veux en être ! Pas sans moi sel vous pli ! >>. Nous rions de bon cœur. Estelle, voyeuse ultime adore regarder elle aussi. Alors quand nous pouvons le faire ensemble, le plaisir est indescriptible. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Impatients.

Les filles m'entraînent au salon. C'est devenu une habitude. Quand Estelle baise avec son parrain le mercredi soir, elle me charge de "contrôler" sa chatte le jeudi soir. C'est évidement un jeu. Le prétexte pour se faire lécher et sucer. Car elle aime ça autant que la baise. Elles enlèvent leurs jeans, leurs culottes pour les jeter n'importe où en riant. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il n'est que 20 h30. Clémentine, vautrée dans le fauteuil, veut du spectacle. Je suis à genoux sur un des épais coussins entre les jambes d'Estelle. Le dessert.

Je me savoure sa chatte rapidement baveuse. C'est comme du foutre qui dégouline des fines lèvres de sa vulve. J'en ai plein le menton. Lorsque je la lèche, que je fouille son intimité de la pointe de ma langue, elle se masturbe. Cette excitation constante produit un "yaourt" qui coule par intermittences. Ce soir, ce sont comme de petites éjaculations. Des giclées. Des épanchements que je vais récupérer dans les poils de sa raie culière. Je la bascule en arrière, mes mains maintenant ses jambes relevées pour lui faire le cul. Je recrache quantité de poils.

J'entends les gémissements de Clémentine qui se masturbe dans son fauteuil. Elle adore nous voir ainsi. Je suce le clitoris d'Estelle qui se tortille en gémissant. J'enfonce délicatement la première phalange de mon index que je fais tourner. << Julien, mmhh, Julien ! >> murmure t-elle en saisissant mon poignet pour que surtout je n'arrête pas. Après sa baise effrénée de hier soir avec Jean-Marc, l'endroit est très sensible. Il mérite donc toute mon attention. Estelle baise avec lui depuis l'âge de 16 ans. C'est lui qui l'a dépucelé. Et jamais de capote.

Nous sommes les deux seuls à la baiser "à crue". Il faut préciser que son parrain n'a qu'une seule opportunité car sa marraine surveille son mari. Même si Estelle reste son seul écart de conduite, ce sont des amoureux. J'aime lorsqu'elle entre dans les descriptions familiales de cet ordre. Clémentine aussi a baisé avec Jean-Marc, elle sait les "performances" du gaillard. Elle aimerait d'ailleurs bien y repasser une nouvelle fois. Le "plans" est en chantier. Mais ce n'est pas simple. Je propose de le faire ici, dans la maison d'amis par exemple. Il faut un prétexte.

Jean-Marc est chauffagiste. Il possède sa propre entreprise. Il serait simple de trouver un argument. Nous y réfléchissons. Quand Estelle a des moments de lucidité je l'entends en parler avec Clémentine qui se trémousse dans son fauteuil. Elle se lève soudain pour saisir la cuvette. Elle s'accroupit au-dessus pour y pisser. Ce soir Clémentine est prévoyante. Son orgasme ne sera pas pisseux. C'est elle qui se l'offre la première en hurlant. Je me précipite pour la sucer. Récupérer l'abondant jus de fille. Je reviens terminer Estelle qui crie de plaisir.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment échafauder les stratégies des "bons coups" à venir. Des "plans" de vicieuses...

Julien



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Classe - 22 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1828 -



Le vendredi, Clémentine termine à midi

Hier matin, vendredi, c'est la sirène de ce gros bateau dans le lointain qui nous réveille. Le cri strident des oiseaux de mer. Il est presque six heures et l'application "océan" nous arrache de nos profonds sommeils. C'est cruel ce matin. Clémentine vient se blottir contre moi. Si je ne la câline pas elle va se rendormir. Quelques papouilles, quelques bisous. C'est comme une jeune mariée que je la soulève pour l'emmener aux toilettes. << Mmhh, j'aime quand tu t'occupes de moi ! >> gémit elle en lâchant ses jets alors que je maintiens son équilibre.

C'est à mon tour. << Ça me réveille ! >> fait elle en tenant ma bite pour en diriger les jets. Morts de faim, riant déjà comme des fous, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers. J'allume immédiatement un feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis en me racontant ses rêves. Comme elle termine à midi, elle est plutôt déconneuse. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de folies avec Estelle, hier. << Ce soir je suis seule avec toi. Enfin ! >> >> lance Clémentine.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Il est 6 h25. Nous remontons nous livrer à notre heure d'entraînement. Une certaine euphorie s'installe. Surtout quand Clémentine prend l'accent méridional de Juliette. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol, abdominaux. Avec les charges additionnelles, concentration maximale. Fini de rire. Le stretching complètement surréaliste permet le retour au calme. La douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Le même ciel gris que hier.

Clémentine vient me rejoindre dans la désagréable fraîcheur humide. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je rentre pour faire la vaisselle, le lit. Dans l'atelier j'allume une bonne flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. D'humeur déconneuse, à cause de la fille que j'aime, je me plonge dans ma passion. Cette huitième scène de genre à trois personnages et destinée à ma saison d'été sera terminée avant midi. Je peins dans une exubérance. J'en pousse des cris de singe.

Il est 11 h45 quand je dépose la dernière touche de jaune de cadmium sur la surface de la toile achevée. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je mets deux bûches dans la cheminée avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer le reste du gratin de coquillettes, les beignets de crevettes. Je fais une salade d'endives en écoutant Sud Radio. André Bercoff lui aussi est d'humeur déconnante le vendredi. Il est midi trente quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour se frotter.

<< Je t'aime ! >> dit elle plein de fois en me mitraillant de bisous. Lorsque nous passons près de la radio elle l'éteint en s'écriant << Vos gueules les mouettes ! >>. Je la dépose au sol. Clémentine ne me lâche pas tout de suite pour murmurer : << Je me réjouis pour être seule avec toi ce soir. Si tu savais ! >>. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. La remise de son écrit présenté avec un oral de deux minutes. << Encore un succès à voir la tronche des profs. Pareil pour le texte et la présentation d'Estelle ! >> s'écrie t-elle.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Clémentine reste vêtue de son jeans, de son sweat carmin, de ses bottines brunes à légers talons. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns. Sur sa demande, je porte un pantalon beige, une chemise grège, mes mocassins bruns. Clémentine m'entraîne devant le miroir. << Regarde comme on est beaux tous les deux ! L'homme que j'aime tout près de moi ! >> dit-elle. Nous nous embrassons avec fougue. Ce qui me donne toujours une trique contre laquelle adore se frotter la fille que j'aime. C'est jouissif.

Nous dévalons les escaliers. Dans le mail que nous lui avons envoyé, nous avons prévenu Julie. Nous ne serons de retour que vers 16 h45. Juste pour que je lui donne son cours de peinture. Nous enfilons nos blousons en cuirs marrons. Chacun une écharpe de soie. Celle de Clémentine rouge profond. Noire pour la mienne. Clémentine propose de prendre sa voiture encore dehors. Mais je suis prié de conduire. << Je veux jouer avec mon "Doudou" ! >> lance t-elle. Nous voilà partis. Il y a une quinzaine de kilomètres jusqu'à l'étude de Maître Robert.

Nous avons rendez-vous pour 14 h15. Je gare l'auto un peu en avance sur le parking. De l'autre côté ce sont nos docteurs et le bâtiments des cabinets médicaux. En face c'est le bâtiment de Maître Robert mon ami notaire et de son frère expert comptable. Tous les deux s'occupent de mes affaires depuis 25 ans. Ils gèrent mon patrimoine avec une redoutable efficacité car ils y trouvent évidemment leurs comptes. Je vérifie que la tirette de ma braguette soit bien relevée. Clémentine adore jouer avec ma queue pendant que je roule.

Nous voilà installés dans le bureau de mon ami notaire. Derrière lui, accroché au mur, un de mes paysages de l'époque où je peignais de grandes toiles façon école de Barbizon. En gardant à l'esprit cette amusante maxime "Camille Corot a peint mille toiles dont plus de dix milles sont en Amérique". Les derniers documents à parapher nous sont présentés. Une griffe de Clémentine au bas de chaque page, ma griffe à côté. Je remets les contrats signés de la Mairie arrivés hier matin. Nous voilà enfin, Clémentine et moi, unis par un PACS.

Nous bavardons. Maître Robert se réjouit pour le vernissage de ma galerie d'Art le samedi 25 juin. Il viendra avec sa compagne comme tous les ans. Nous prenons congé pour descendre à l'étage en-dessous. Maître Gilbert, expert comptable, son frère, nous attend pour la suite des opérations. C'est lui qui s'occupe de l'aspect financier de mes affaires. Avec la même redoutable efficacité. J'ai décidé de mettre en vente mon patrimoine immobilier. Appartement par appartement afin de faire une triple plus value en comparaison de la vente des immeubles.

Nous signons les papiers. << Pour éviter de vous faire racketter par le fisc le plus gourmand de la planète, achetez Julien. N'importe quoi. Une nouvelle Mercedes, une petite villa quelque part. N'importe quoi mais achetez ! >> me dit-il. Combien de fois n'ai-je pas entendu ces mots depuis tant d'années. L'aspect financier m'a toujours paru rébarbatif et pénible. Mais pour éviter de me faire piller par les impôts je n'ai pas d'autres alternatives. Clémentine s'amuse toujours beaucoup de ma condition de "victime". Elle a des idées pour dépenser l'argent.

Il est presque 16 h quand nous sommes de retour sur le parking. Clémentine me saute au cou en s'écriant : << Je suis votre compagne officielle cher monsieur ! >>. Je la soulève pour répondre : << Je suis votre compagnon officiel cher mademoiselle ! >>. Notre contrat d'union spécifie une séparation des biens. Par contre s'il devait m'arriver quoi que ce soit, Clémentine en serait la seule bénéficiaire. La séparation de biens la met à l'abri de tous revers financiers et de tout alinéa désagréable. Nous voilà unis par des liens pas du tout sacrés.

Nous rigolons comme des fous dans la voiture. Sur le chemin du retour Clémentine me suce. Je caresse sa nuque sur laquelle j'appuie quelquefois. Nous faisons un détour par l'université. Clémentine aime me montrer l'endroit où elle gare sa voiture, les grands bâtiments où elle passe ses journées. << Là, c'est l'amphi, là, c'est la salle de documentation. Là, c'est la bibliothèque, là c'est le restaurant ! >> indique t-elle du doigt tout en jouant avec ma bite. Nous passons devant le garage Porche Mercedes. Nous viendrons y choisir notre prochaine auto.

Je demande à Clémentine : << Tu aimerais aller à l'université en Porche ? >>. Elle éclate de rire. << Non. Je ne suis pas exhibitionniste "automobile" ! >> répond t-elle dans un fou rire. Sur les conseils de Maître Gilbert, mon expert comptable, je dois pourtant dépenser. C'est certain, je change de Mercedes dans les prochaines semaines. Saloperie de fisc ! Nous rions de bon cœur. Je rajoute : << Si ce n'était pas contraire à ma morale, je pourrais faire des dons à des associations caritatives ! >>. Clémentine s'écrie : << C'est plafonné ! >>. Rires !

Il est 16 h35 quand nous revenons à la maison. Julie est dans sa Clio rouge. Elle nous attend. Julie arrive toujours en avance. Il y a quelques gouttes de pluie. Lorsqu'elle nous voit descendre le chemin, elle sort de sa voiture comme un diable de sa boîte. Souriante, radieuse, elle semble illuminée d'un halo lumineux. << Une vision mariale ! >> dit Clémentine en secouant ma queue. Je gare la mini Cooper à côté de la Clio. Cette fois Julie découvre ma bite sans faire semblant de ne pas la voir. Trois bises à Clémentine avant de m'en offrir trois aussi.

Nous nous dépêchons de rentrer. Il faut rajouter deux bûches sur les braises de la cheminée. Clémentine est assise devant son ordinateur. Julie est assise devant son chevalet de table. Je suis installé sur sa gauche. Je la regarde préparer les couleurs sur sa palette. Julie vient prendre son cours de peinture. Animée d'une passion dévorante, elle applique les touches de pigments. Je refuse de donner des conseils. Par contre je reste dans un domaine purement technique. Je me tiens la queue sous la table. Julie prend souvent du recul pour l'observer.

Faisant mine de constater son travail, elle louche sur mon activité "manuelle". C'est adorable. Je ne peux m'empêcher de caresser la main qui tient la palette. Clémentine, installée en face, me fait des clins d'œil complices. Julie adore être en notre compagnie. Il reste trois semaines avant les vacances de Pâques. Clémentine lui propose de nous accompagner. Nous partons huit jours avec Estelle. << Pourquoi ne viendrais-tu pas avec nous ? Quand il y a du plaisir pour trois, il y en a pour quatre ! >>. Julie reste silencieuse. Clémentine insiste.

<< Il faut que j'en parle à mes parents, que je m'organise. Pendant les vacances il y a toujours mes papys et mes mamies qui viennent comme les week-end ! >> explique Julie. Le 6 juin Julie aura 21 ans. Je vais lui offrir le plus beau coffret de peinture qui existe. Le plus chevalet. Tout est déjà commandé. Elle ne le sait pas. L'heure de cours passe bien trop vite. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. La séparation est difficile. Elle revient demain matin pour le ménage. J'agite ma bite sous le parapluie que tient Clémentine. Julie me sourit.

Nous la regardons partir. Un dernier coucou. << Enfin seuls ! >> lance Clémentine qui m'entraîne par la queue comme par une laisse. Il est 18 h15. Il commence à faire faim. << Que vont donc préparer madame et monsieur "Oncle" ? >> lance Clémentine. Nous rions de bon cœur. Je suggère du riz avec des dos de cabillaud blanc. Clémentine fait une bonne salade de carottes. Je fais gonfler le riz. Je poêle les deux dos de cabillaud avec ail, champignons, persil, ciboulette, quelques gouttes d'un citron dont je récupère le reste pour l'eau de la carafe.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les évènements de l'après-midi. Clémentine expose quelques idées, quelques projets. Toujours est-il que je lui promets une soirée d'anthologie après la vaisselle. << Mais elles le sont toutes ! >> lance Clémentine en s'asseyant à califourchon sur mes cuisses. << Je suis devenue une vraie frotteuse. Je vais te raconter ce soir les fantasmes que ça me procure ! >> rajoute t-elle. La vaisselle. Nous voilà au salon. Juste en chaussettes et en chemises à nous offrir un "69" d'échauffement. Pas pratique.

Lorsque je pénètre la fille que j'aime, devenue aujourd'hui ma compagne "officielle" après cinq ans de vie commune, elle me chuchote ses fantasmes. Nous adorons faire l'amour en restant immobiles. Juste en contractant nos muscles fessiers pour faire bouger nos sexes l'un dans l'autre. Ça nous "allume" un max. J'écoute Clémentine murmurer ses désirs de se frotter. Contre des inconnus. D'être vue entrain de se frotter. Sur la barre de la bicyclette, le dossier des bancs dans les parcs. Tout un tas de nouvelles choses à expérimenter aux beaux jours.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment faire l'amour avec leur compagnon. Lui confesser à l'oreille leurs secrets de fille...

Julien



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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Tous les petits rituels du week-end

Hier matin, samedi, il est 7 h30. Clémentine me réveille par des douceurs. Des murmures à mon oreille. Elle passe une cuisse sous mes reins, l'autre sur mon érection matinale qu'elle saisit à pleine main. C'est ainsi qu'elle se frotte contre ma hanche. Une masturbation qui la fait gémir d'aise. << Mmhh, comme c'était bon de faire l'amour hier soir ! >> chuchote t-elle. Nous ne sommes pas du matin. Mais là c'est déjà bien torride. Impossible de se soustraire à l'impérieux besoin naturel. Nous nous levons d'un bond pour nous précipiter aux toilettes.

Morts de faim, habillés de nos leggings de lycra noir, de nos sweats de lycra jaune, nous dévalons les escaliers. J'allume immédiatement le feu dans la cuisinière à bois. Clémentine faite le café, presse les oranges, pèle les kiwis. J'adore quand elle me raconte ses rêves. Nous prenons un copieux petit déjeuner en évaluant les possibilités d'aller courir. Un bon running, ça nous manque. Le ciel est gris, bas et menaçant. << Allez, on tente le coup ! >> me fait Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en prenant tout notre temps. C'est samedi.

Il est huit heures. Nous faisons la vaisselle avant d'enfiler nos K-ways. Nous laissons un mot à l'attention de Julie sur la porte côté extérieur. Elle sait où sont cachés les clefs spécialement pour elle. Quelques mouvements d'échauffement dans la désagréable fraîcheur humide. C'est parti. Nous montons à petites foulées jusqu'au portail que nous laissons ouvert. C'est sur le bord de la route que nous courons d'un rythme soutenu. Quatre bornes dans un sens. Nos exercices sur les bancs de la clairière. Quatre bornes pour revenir. Il est neuf heures. Parfait.

Nous entendons Julie passer l'aspirateur dans la salle d'entraînement. Nous la rejoignons pour la saluer, lui faire la bise. Elle est tellement contente d'être là. Nous lui souhaitons << Bon ménage >> avant d'aller à la salle de bain. Une bonne douche. Vêtus de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux nous descendons pour aller au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Un courriel de mon oncle Alan qui nous donne de ses nouvelles. La météo qu'il fait à Édimbourg. Un message de Juliette qui nous invite à passer demain.

Le mail d'Estelle qui nous annonce sa venue pour 14 h. Clémentine répond. Nous joignons souvent un selfie à nos réponses. Il faut être vigilant car nos livraisons ne vont pas tarder. Nous quittons le salon pour mettre nos anoraks. Il ne pleut pas mais c'est très menaçant. Les arbres sont couverts de petites fleurs blanches. Les genêts sont en fleurs jaunes. Pas de doute, le printemps c'est pour demain dimanche. Voilà la camionnette des fruits et légumes. Danièle nous fait un grand sourire en déchargeant nos deux cageots. Nous bavardons un peu.

Dans le premier cageot nos fruits, nos légumes. Dans le second cageot nos fromages, les œufs, les yaourts, les petits pots de crème fraîche et le beurre. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Danièle s'en va pour d'autres livraisons. Voilà le tube Citroën rénové de madame Marthe. Notre boulangère dont les amusantes anecdotes du bourg nous font beaucoup rire. Nous récupérons nos deux miches de pain complet, nos deux pâtes feuilletées, la grande brioche au pudding. << Vladimir Pudding ! >> lance Mme Marthe facétieuse.

<< Cadeau ! >> fait elle encore en nous offrant les deux habituels gros croissants aux amandes. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Nous nous dépêchons de passer par derrière pour descendre à la cave. Dans le cellier, sur les étagères, nous disposons consciencieusement les fruits, les légumes. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bisous, de nous donner des coups de langues. Du congélateur où je mets une miche, les deux pâtes feuilletées, je tire le paquet de moules, les sachets de haricots verts et de petits pois.

Nous remontons par l'escalier intérieur. Julie s'apprête à passer la serpillère dans la cuisine. Nous lui déposons un bisou sur le front avant de ranger les produits laitiers dans le réfrigérateur. Nous retournons au salon. << Je me sens hypra salope. Quand je suis avec toi à la cave, ça m'excite ! >> me murmure Clémentine en déboutonnant ma braguette. << Montre ta bite à Julie ! >> chuchote t-elle encore. Nous rions quand elle extrait mon sexe mou de mon slip. Il pend mollement entre les boutons de ma braguette. Clémentine m'embrasse par surprise.

Évidemment je bande rapidement comme un vrai salaud. Dans la petite enveloppe jaune, je glisse le billet de 50 €, la liste de nos commandes pour lundi soir. Clémentine y rajoute un petit mot. Elle dessine une fleur en signature. Je dessine une belle bite sur de belles couilles. << Génial ! >> lance Clémentine qui m'attrape par le Zob. Ce matin, nous sommes un peu en avance car nous nous sommes levés une demi heure plus tôt. Clémentine s'assoit sur la chaise mais avec le dossier entre ses cuisses écartées. Elle me tient par les fesses.

Je suis debout. Mon sexe sur lequel elle frotte son visage. Elle suçote un peu. Cesse. Me murmure une cochonnerie. Recommence. Clémentine me bloque en me tenant par les passants de mon Levi's. C'est dans cette situation que Julie nous surprend. << Oh pardon ! Excusez-moi ! >> lance t-elle. J'ai juste le temps de dire : << Venez ! >> avant que Julie ne veuille quitter précipitamment la grande pièce. Clémentine cesse sa pipe pour dire : << Je suis à l'apéro. Tu manges avec nous ? >>. Julie ne peut pas rester. Nous le savons bien. Hélas.

Avec la bite fièrement dressée, je me dirige vers le bureau pour y prendre l'enveloppe jaune. Je la tends à Julie qui, comme sur ses gardes, se contente de tendre le bras sans approcher. Cette attitude est fréquente chez la jeune fille malgré la complicité qui s'est installée entre nous depuis plus de trois ans. << Merci ! >> dit elle en mettant l'enveloppe dans la poche arrière de son jeans. Il est 11 h30. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture en la remerciant pour le ménage. << Cet après-midi je le fais avec maman à la maison ! >> dit elle.

Malgré la désagréable fraîcheur, j'ai la bite toute molle qui pend de ma braguette. En démarrant, Julie ne cesse de la fixer avec ostentation. C'est certain. Dans ce regard insistant, il y a un message. Nous la regardons partir. Clémentine tient mon sexe à sa base entre le pouce et l'index pour l'agiter en direction de Julie qui s'en va. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer. Clémentine fait la salade. Je prépare le bouillon pour y jeter les moules encore congelées. << J'adore quand tu es vicieux déjà le matin ! >> s'écrie Clémentine.

Dans le wok, je verse les haricots verts et les petits pois. C'est toujours rapide le samedi à midi. C'est du congelé. Même si les valeurs nutritionnelles sont quasi nulles, c'est bon dans la bouche. Nous mangeons de bon appétit tout en revenant sur mon attitude devant Julie. << Ça m'excite quand je te vois faire le salaud avec d'autres filles ! >> lance Clémentine à deux reprises. Sa main posée sur la mienne. Je réponds : << Je vais faire mon vicieux avec toi. Tout l'après-midi ! >>. Clémentine se lève, contourne la table pour me faire des bisous.

Nous ne traînons pas. Nous voulons encore rentrer du bois. On fait la vaisselle. On monte se laver les dents. On se dépêche de redescendre. Derrière la maison d'amis, sous l'abri à bois, nous remplissons la brouette d'une vingtaine de bûches. Il y a un monologue lointain. << C'est le voisin au téléphone ! >> chuchote Clémentine. Elle m'entraîne par la main pour nous planquer derrière le coin. En effet c'est monsieur Bertrand. Il monte le chemin en s'arrêtant plusieurs fois pour discuter au téléphone. Il est l'autre côté de la clôture. En plein bavardage.

<< Je peux ? >> me murmure Clémentine à l'oreille tout en mimant une fellation. Je la regarde tout étonné. Je suis surpris par cette demande soudaine. Je chuchote : << Comment tu veux faire ? >>. Elle dit tout doucement : << Reste planqué ! >>. Elle s'éloigne pour retourner vers la brouette. Là, se cambrant sur ses genoux fléchis, elle frotte son sexe sur une des poignées de la brouette. C'est ainsi que Louis la surprend. Il reste un instant immobile. Il est visiblement surprit de ce qu'il voit. Il reste silencieux, son téléphone contre son oreille.

Il doit probablement raccrocher sans donner d'explication. Clémentine lui tourne le dos. Je sais qu'elle ne fait pas semblant de se masturber. L'occasion est trop belle à être vue entrain de le faire véritablement. Je sors ma queue en même temps que monsieur Bertrand sort la sienne. Je suis caché à une vingtaine de mètres. Derrière le coin et l'empilement des bûches. Je l'entends dire : << Bonjour Clémentine ! >>. Il agite son tout petit sexe devant la jeune fille qui tourne la tête sans cesser tout de suite de se frotter sur la poignée de la brouette.

<< Bonjour Louis ! >> répond t-elle en se redressant. Sa main entre ses cuisses. Elle rajoute : << Je profite de ce petit moment de solitude. Julien est encore occupé à sa peinture ! >>. Louis s'approche de la clôture. Il dit : << J'aime beaucoup lorsqu'il est à sa peinture. Il fait de si belles choses ! >>. Le cynisme de ce vieux salaud ne m'étonne plus depuis très longtemps. Clémentine se dirige vers le portillon qu'elle ouvre. Sans cesser d'agiter sa toute petite queue, Louis entre dans notre propriété. << Ça te tente ? >> lui demande le retraité.

Sans même répondre, Clémentine s'accroupit. Elle tient Louis par son pantalon de velours à hauteur de son bassin. Il a prit du ventre le bougre. Elle enfuit son visage contre le tissu de la braguette. Je la vois de dos. Vision sublime d'une jeune fille entrain de sucer un vieux saligaud. Il la saisis par les cheveux pour bien lui enfoncer toute la queue. Vieux salopard. Il se secoue. À sa façon de se tortiller ce vieux dégueulasse est entrain de se masturber dans la bouche de la fille. Vicelard. Soudain il retire sa bite en repoussant la tête de Clémentine.

Ce salopard se met à pisser. Clémentine tente de s'approcher. Il la maintient à distance en s'écriant : << Attends ma grande. Je vais t'en donner ! >>. Il se retourne avec la queue encore dégoulinante pour la fourrer dans la bouche de Clémentine. Elle est à présent tombée à genoux. Suçant passionnément cette queue pisseuse. Louis la retire plusieurs fois pour se soulager dans l'herbe. À chaque fois il empêche Clémentine d'approcher son visage. << Mais attends salope ! >> lance t-il à chaque interruption. Je connais les passions de Clémentine.

Louis se retire soudain. La queue dégoulinante de foutre. Il lâche un jet de pisse. Clémentine tente bien un ultime pompage mais Louis semble préférer s'épancher dans l'herbe. J'ai rarement vu s'écouler une telle quantité de foutre. Je suis pourtant extrêmement juteux mais ce vieux salopard me surpasse. Clémentine se redresse. Le tissus de son jeans trempé aux niveau de ses genoux. << J'adore tes pipes Clémentine. Tu fais vraiment ça comme une déesse. J'ai un copain retraité qui vient la semaine prochaine ! Ça t'intéresse ? >> dit il.

Clémentine s'essuie la bouche avec un mouchoir en papier. Louis insiste : << C'est un copain du club de tir. On a bossé ensemble pendant 30 ans. Ça te dit de le gouter ? Lui il bande encore bien et peux te baiser ! >>. Clémentine ne dit rien. Elle écoute comme consternée la proposition de monsieur Bertrand. Ce dernier en rajoute une louche en disant : << Le coup du téléphone ? Tu connais ? Une bite dans la chatte une autre dans la gueule ! >>. Clémentine, toujours silencieuse se met à rire. Elle répond enfin : << Un petit coup de fil alors ! >>.

Louis éclate de rire avant de s'écrier : << Je vois que tu piges très vite ! Alors, ça te dit ? >>. Clémentine se contente de répondre : << Je vais voir. Je vous tiens informé ! Au revoir Louis ! >>. Elle ouvre le portillon pour faire comprendre au vieux satyre que la fête est finie. Monsieur Bertrand, ramassant le sachet qui contient le vieux pain pour les canards retourne sur le chemin. Avant de descendre vers la rivière, il se retourne à vingt mètres pour demander : << Au fait. C'était bon ? Tu t'es régalée ? . Clémentine se contente de lever le pouce.

Tout cela n'a duré qu'une vingtaine de minutes. Clémentine vient me rejoindre pour me montrer l'intérieur de sa bouche. << Merci Julien ! >> murmure t-elle. Elle rajoute : << Ça ne te dégoûte pas ? >>. Je la rassure : << Si tu te laves bien les dents, que tu te rinces bien la gueule, je t'embrasse de nouveau en fin d'après-midi. Parce que là, tu vois ! ! ! >>. Nous éclatons de rire. Nous poussons la brouette quand la Kangoo d'entreprise descend lentement le chemin. Estelle sort de sa voiture pour se précipiter vers nous. Plein de bisous. Toute contente.

Elle récupère son grand sac de sport et nous accompagne. Estelle nous aide à empiler les bûches. Nous ferons un second voyage demain. << J'ai sucé le voisin. Il y a même pas dix minutes ! >> lance Clémentine. << Et toi t'étais planqué pour mâter, c'est ça ! >> me fait Estelle en glissant sa main dans ma braguette. Je la saisis par la nuque pour l'attirer vers moi en disant : << Exactement. Et en me branlant aussi ! >>. Estelle s'accroupit pour me sortir la queue en s'écriant : << Put-Hein, elle doit être bien juteuse alors ! >>. Effectivement ça dégouline.

Estelle se met à pomper comme si sa vie en dépendait. << Tu n'es pas là depuis cinq minutes que tu as une bite dans la gueule ! >> lui lance Clémentine. En se redressant, tout en déglutissant ce qu'elle vient de me tirer des couilles, Estelle répond : << Oui, mais moi c'est celle de Julien ! >>. Nous rions de bon cœur. Cette météo est idéale pour nous offrir une bonne randonnée. Pas de vent. Pas de pluie. Le ciel reste gris mais n'est plus du tout menaçant. Nous remettons nos anoraks. Dans le petit sac à dos que je porte, la thermos, les pommes.

C'est un de nos itinéraires habituels. Il y a différentes possibilités de varier les circuits. Je suis entre mes deux anges qui parlent de leurs études. J'écoute les stratégies. Elles préparent le Master 2 pour le mois de juin. Puis ce seront les deux dernières années avant le Doctorat. Depuis l'âge de 12 ans, Estelle et Clémentine ont fait toutes leurs études ensemble. Partagées toutes leurs expériences. Toutes leurs passions. Il y a six ans, quand je suis arrivé dans la vie de Clémentine, elles ont également partagé ma queue, leurs sentiments pour moi.

Nous en parlons une nouvelle fois tout en marchant d'un bon pas. Nous avons tant de souvenirs en commun. Estelle et Clémentine aiment me raconter leurs aventures d'adolescentes. Clémentine déjà très exhibitionniste qui s'initiait à son art. Estelle déjà très voyeuse qui s'initiait au sien. J'adore écouter cette période "d'apprentissage" aux vices. C'est terriblement excitant. Même si je connais toutes les aventures, il y a toujours de nouveaux détails. À chaque fois je m'écrie : << Put-Hein comme vous étiez déjà vicieuses toutes les deux ! J'aurais aimé ! >>.

Nous rions de bon cœur. Nous faisons la boucle des quatre heures. Nous revenons en passant derrière le haras. Là aussi, en voyant la vieille caravane abandonnée, il nous revient bien des souvenirs. << Tu te souviens quand tu taillais des pipes à ce vieux salaud de Gérard, dans sa bagnole ? >> demande Estelle. Clémentine répond : << Je n'ai pas taillé que la sienne ici. Tu te souviens de ces deux salopard ? Pierre et Léon ? >>. J'écoute cette conversation surréaliste en bandant jusqu'à la douleur, ma bite contrariée et tordue au fond de mon slip.

Nous longeons la rivière par le sentier. Estelle marche devant. Elle se retourne souvent pour me faire une bise, empoigner ma braguette. Clémentine marche derrière moi. Je me retourne à chaque fois pour lui déposer un bisou. Je la félicite pour ce qui s'est passé aujourd'hui avec le voisin. Je l'encourage vivement à faire la connaissance de son "copain" de boulot. Les yeux brillants de contentement, Clémentine me fait à chaque fois un clin d'œil. << Put-Hein mais comment tu fais pour sucer d'autres mecs. Ça me dégoute ! >> lui lance Estelle.

Il est 19 h quand nous arrivons à la maison. Assis tous les trois à la cuisine nous épluchons les pommes de terre, les carottes, les navets et le gros céleri. Nous en faisons en grande quantité. Cette potée aux légumes sera l'accompagnement de nos repas du week-end. Les filles évoquent leurs études. Clémentine fait la salade et son assaisonnement. Une belle et grasse laitue. Estelle remue la potée de légumes dans la vieille cocotte en fonte. Je fais dorer trois beaux filets de flétan avec des champignons. J'y rajoute crème fraîche et gruyère de Comté.

Nous mangeons de bon appétit. La fatigue se fait sentir. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Je veux absolument me bouffer la chatte de Clémentine. L'excitation qu'elle a vécu en suçant notre voisin qui s'ajoute à nos quatre heures de marche. Il doit y en avoir de bonnes choses à déguster là ! Lorsque je le lui dis, Clémentine m'entraîne au salon pour retirer son jeans, sa culotte. Estelle, surprise par cet enthousiasme regarde en ouvrant de grands yeux. J'ai la bite dans sa main lorsque je me mets à genoux entre les jambes de Clémentine.

Je fouilles les plis et les replis des lèvres charnues de sa vulve. Il y a là non seulement d'exquises saveurs mais également tous les miasmes de sa journée de fille. Estelle, couchée sur le côté, en appui sur son coude, dans une situation bien inconfortable me suce passionnément. Moi aussi, avec les excitations vécues, j'ai de quoi la régaler. Lorsque j'enfonce ma langue, que je pompe, que je suce, Clémentine joue avec son clitoris géant. J'assiste encore ce soir à de véritables éjaculations de cyprine. C'est impressionnant. C'est plus abondant que les miennes.

Clémentine se crispe soudain. Elle pousse d'abord un râle avant hurler. Elle m'éjacule à la gueule avant de me pisser dessus. Estelle a juste le temps de se retirer. La tête ruisselante de pisse, de jus de fille, je retourne sucer cette chatte qui me donne le vertige. J'ai des poils coincés entre toutes les dents. Je suce, je lèche, je pompe. Je me régale de toutes les substances que je peux encore tirer du sexe de Clémentine qui est en proie à des spasmes, des tremblements. Elle pousse de petits cris tout en cherchant à reprendre sa respiration.

<< Baise-moi ! >> lance Estelle qui se frotte derrière moi sans cesser de me branler. Je me retourne, laissant Clémentine retrouver ses esprits. Là, sur l'épais tapis, je pénètre Estelle. Elle se met presque immédiatement à bouger de plus en plus vite. Baisée jusqu'aux couilles elle se masturbe en poussant de petits cris. Je la baise. Clémentine nous observe. Elle se lève. Elle revient avec le seau, la serpillère. Elle me mets une serviette sur la tête. Estelle me repousse soudain délicatement. Elle s'offre un orgasme nucléaire en hurlant comme une damnée.

Bonne nuit à toutes les coquines qui viennent encore de s'offrir des orgasmes orgiaques, pisseux, en véritables assoiffées de sperme...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 24 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1830 -



Un dimanche plutôt peinard

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par Estelle qui se blottit encore plus fort contre moi. En gémissant. Elle reste toujours tout contre moi les nuits où nous dormons ensemble. Clémentine vient se serrer également. Je suis entre mes deux anges, dans une béatitude enchanteresse. Il est 9 h30. Si nous dormons aussi tard c'est pour rattraper du sommeil à crédit. Surtout que hier encore ce fut une soirée de douces folies. Distribution de bisous. À nouveau Clémentine se frotte doucement. << Frotteuse ! >> murmure Estelle.

Estelle qui lâche la queue qu'elle tient fermement pour se lever d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine me chevauche pour frotter son sexe sur le mien. << Cette fois je pourrais m'emmener au bout tellement c'est bon ! >> chuchote t-elle. Je l'encourage en tenant sa nuque. Elle se met à gémir, à accélérer le mouvement. Je dis : << Tu as encore sucé un vieux salaud hier. Ça te plait hein, salope ! >>. À peine ai-je prononcé ces mots que Clémentine se cambre de tout son corps. Un long râle, suivit d'un gémissement plaintif, puis jouissif.

La fille que j'aime vient déjà de s'offrir un mini orgasme. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. << Merde ! J'ai mes petits machins ! >> s'écrie t-elle soudain. Je comprends toutes ses excitations de ces dernières vingt quatre heures. C'est comme ça tous les 28 jours. Je la laisse pour descendre le premier, rejoindre Estelle dans la cuisine. Dans l'odeur de café, de pain grillé et de la brioche au pudding qui trône au milieu de la table. Estelle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. Je l'emmène ainsi dans toute la pièce.

<< J'aime comme tu me baises Julien. J'adore ! >> murmure t-elle à plusieurs reprises entre chaque bisou. Je la dépose sur la desserte. Je reste avec mon érection contre son pyjama à me frotter doucement. << Je pourrais baiser, là, tout de suite tellement c'est bon ! >> lance t-elle. Décidément, ce dimanche matin, mes deux anges sont bien excitées. C'est dans cette position que Clémentine nous découvre en arrivant dans la cuisine. << Eh ben ! >> s'écrie t-elle. Nous cessons pour venir nous assoir à table. C'est un dimanche plutôt peinard !

Nous prenons notre copieux petit déjeuner en revenant sur nos folies de hier soir. Chacun garde toujours un souvenir particulier d'un moment particulier. Clémentine évoque la pipe qu'elle a fait au voisin hier, en début d'après-midi. Nous mangeons de bon appétit en riant beaucoup de nos exactions sexuelles. C'est dimanche. Pas de sport. Nous prenons tout notre temps. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, Estelle et Clémentine font le programme de cette journée. Dehors il fait lumineux.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de monter nous laver les dents, nous changer. Vêtus tous les trois à l'identique, nos jeans, nos sweats, nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks. Le thermomètre extérieur indique 17°. Il n'est que 10 h30. Les filles me tiennent par la main. Nous allons jusqu'à la rivière. Clémentine se plaint d'une congestion du ventre qui s'amplifie. Elle a pris son médicament préventif. Il faut juste souhaiter que cette fois encore ses règles ne soient pas trop douloureuses. Le ciel est voilé mais clair.

Nous restons sur le sentier facile de gauche. Estelle marche devant. Elle se retourne pour palper ma braguette, me déposer un bisou sur la bouche. Je me retourne pour déposer un baiser sur les lèvres de Clémentine qui marche derrière moi. Il y a de nombreux arrêts douceurs, d'arrêts bisous. Avec cette douceur toute relative nous retirons nos anoraks. Cet après-midi nous pourrons nous offrir une belle randonnée. << Si ça continue à s'améliorer, samedi prochain j'emmène le vélo ! >> lance Estelle. C'est vrai ça nous manque cruellement la bicyclette.

Nous prenons le sens du retour. Les anoraks nous encombrent. Surtout qu'à présent le soleil ne va pas tarder à percer le voile lumineux du ciel. Nous remplissons une brouette d'une vingtaine de bûches. C'est devenu un réflexe en revenant de balade. << C'est là que tu as sucé le vieux ? >> demande Estelle en s'accroupissant à côté du portillon. << Exactement là ! Comment t'as deviné ? >> répond Clémentine. << Parce que c'est là que je l'aurais fait ! >> rajoute Estelle que je rejoins en sortant la queue. << Génial ! >> s'écrie t-elle. Nous rions.

Je frotte mon sexe sur le visage d'Estelle. Elle m'attrape par les passants de mon jeans. Entre le cuir de la ceinture pour m'attirer plus près. Lorsqu'elle veut gober mon sexe j'esquive toujours au dernier instant. << Salaud ! Mais donne la moi ! >> dit elle à chaque tentative. Clémentine vient se caler derrière moi. Elle saisit mon sexe pour l'enfoncer dans la bouche d'Estelle. Penchée en avant, sous mon aisselle, Clémentine observe la pipe que me prodigue Estelle. << C'est bon une queue, hein ? >> lance t-elle en appuyant sur la nuque d'Estelle.

Je suis bien enfoncé. Estelle, surprise par l'attitude de Clémentine, pousse un petit cri d'étonnement et de ravissement. Elle rit en gloussant. Je me retire. J'aide Estelle à se redresser. Nous poussons la brouette en restant sur les dalles de grès car le sol est encore bien humide. Nous empilons le bois à côté de la cuisinière, de la cheminée du salon et de celle de l'atelier. Une fois dans l'atelier on a toujours envie d'y rester. Il commence toutefois à faire faim. Nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine prépare une belle laitue et son assaisonnement.

Estelle prépare les pavés de saumon à peine décongelés en papillotes. Sur le barbecue électrique dans la véranda. Je réchauffe la potée de légumes dans sa vieille cocotte en fonte. Sur la plaque électrique car je n'ai pas allumé la cuisinière à bois. Il fait bien chaud avec les deux radiateurs. J'ai la bite à l'air sous mon tablier. J'insuffle préventivement mon souffle chaud à travers le tissu du sweat de Clémentine. Sur chacun de ses petits seins. Ils commencent à êtres douloureux. Je relève mon tablier pour aller montrer ma queue derrière la porte vitrée.

Estelle regarde en mimant différentes expressions. La fille choquée. La fille offusquée. La fille importunée. La fille ravie. Et enfin la fille voyeuse en interprétant son propre personnage. Je mets les assiettes, les couverts. Nous mangeons de bon appétit. Nous rions beaucoup de nos interprétations. Nous ne traînons pas car à présent le soleil est une véritable invitation. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous restons vêtus comme nous le sommes. Nous laissons Clémentine changer son tampon. Il est 13 h15.

Clémentine dévale les escaliers pour nous rejoindre. Je la réceptionne pour la soulever. La faire tournoyer. Il suffit de mettre nos grosses godasses. Dans le petit sac à dos que je porte, la thermos avec le thé, des barres de céréales, les pommes et nos K-ways. Le thermomètre extérieur indique 20°. Nous voilà au soleil. Nous montons jusqu'au portail pour traverser la route, nous engager dans la forêt. C'est le 20 mars. La première journée du printemps. Certains arbres, buissons, fourrés sont déjà en fleurs. Il y en a plein dans l'herbe déjà verte.

Nous marchons d'un bon pas. Les filles me tiennent par la main. Nous croisons nombre de promeneurs. Des gens qui viennent du bourg voisin à trois kilomètres. De nombreux arrêts bisous. J'applique la thérapie du docteur Julien. Je caresse doucement le bas ventre de Clémentine tout en soufflant de l'air chaud sur la pointe de ses seins. Clémentine ne porte un soutien gorge que lorsqu'elle a ses "petits machins". Ce qui la démange au milieu du dos et qui la gratte sur les épaules. Le docteur Julien a donc fort à faire. Masser les bobos.

C'est sensiblement le même parcours que hier. Il suffit de prendre un autre chemin, de revenir par un autre sentier. Estelle applique sa thérapie habituelle. C'est à dire que j'ai sa main dans ma braguette qui fouille dans mon slip. Je suis obligé de la gronder quand il y a du monde. Combien de fois ne frôlons nous pas la catastrophe. Surtout quand ce sont de jeunes cavalières qui passent à proximité. Le haras de Juliette n'est qu'à quelques kilomètres. Elles viennent toutes de là. Droites et fières écuyères chevauchant leurs montures. Ma bite à l'air.

À chaque fois j'ai le réflexe de me tourner au dernier moment. Estelle adore me faire frôler tous les risques. << Tu es avec deux filles, les cavalières sont donc rassurées. N'aie pas peur ! >> lance à chaque fois Estelle. Nous rions de bon cœur. Je n'ai absolument pas envie de montrer ma bite à toutes les cavalières que nous croisons. Elles sont plutôt nombreuses à profiter de cette superbe première journée de printemps. Pour me venger je glisse souvent ma main entre les cuisses d'Estelle qui s'écrie : << Salaud. Entre donc par le haut ! >>.

Je passe alors ma main sous son sweat. Elle contracte ses abdos pour me permettre de descendre dans sa culotte avec une déconcertante facilité. Que c'est bon d'explorer une touffe, un fond de culotte. Une fente délicieusement moite qui s'écarte sous mon doigt. C'est la boucle des quatre heures. Trois arrêts pipi. Je les tiens toutes les deux par la nuque, vicieusement, comme elles aiment. Je me penche pour introduire un doigt dans les culs. << Salaud, enculeur de filles ! >> s'écrie à chaque fois Estelle. Je lui fais renifler celui qui l'a pénétré.

Elle détourne la tête en disant : << Attends toi, ce soir, ma vengeance sera terrible ! >>. Je les torche. Nous rions beaucoup. Clémentine en oublie ses tourments. Comme convenu nous revenons toujours par le haras. Il est 17 h30. Il y a du monde car Juliette organise chaque dimanche une animation à thèmes. Nous la saluons de loin car elle encore très sollicitée. Pareil pour madame Walter qui nous fait un grand coucou. Nous regardons les chevaux évoluer dans le grand bâtiment du manège. Les gradins sont plein de gens. C'est encore un succès.

Il est 19 h quand nous sommes de retour à la maison. Le soir, la fraîcheur humide nous rappelle que nous ne sommes encore qu'au tout début du printemps. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle nous concocte son omelette du dimanche soir. Aux trois fromages, aux champignons et aux rondelles d'avocat. Je remue la potée de légumes pour éviter qu'elle n'attache. C'est le meilleur qu'il faut décoller sans cesse. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les moments clefs de notre randonnée. Nous adorons ces longues promenades.

Estelle se lève plusieurs fois pour mimer une masturbation masculine. Même lorsque la conversation n'a rien de sexuelle. Elle y met toujours cette incroyable vulgarité. C'est surréaliste de voir une sublime jeune fille se mettre dans de telles situations. Avec des positions outrancières et terriblement suggestives. Je me lève à chaque fois pour agiter ma queue toute molle dans sa direction. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges parlent de leurs études. J'écoute car c'est tout aussi passionnant. Nous débarrassons pour faire la vaisselle.

Estelle me chope soudain fermement par la queue. C'est ainsi qu'elle m'entraîne au salon. Elle retire son jeans et sa culotte en disant : << Toi, je vais te faire bouffer de la chatte sale pour punir tes enculades de l'après-midi ! >>. Je ris en répondant : << C'est ma merveilleuse punition des dimanches soirs il me semble ! >>. Estelle se vautre dans le canapé en tenant ses jambes relevées sous les genoux. Je suis à genoux sur un des épais coussins. Ma "punition" est une enivrante dégustation. Bouffer une chatte négligée d'une journée sans toilette.

Clémentine est installée dans le fauteuil. Sa cuisse droite sur l'accoudoir de droite. Sa cuisse gauche sur l'accoudoir de gauche. Elle se masturbe doucement. C'est une thérapie aussi pour oublier les inconvénients pénibles du premier jour de son cycle. Nous l'entendons gémir. Quand je fouille sa vulve crémeuse du bout de la langue, Estelle joue avec son clitoris. Lorsque je suce son bouton de plaisir, elle se tortille de plaisir. Elle m'attire soudain sur elle. Je la pénètre délicatement. C'est d'ailleurs le seul instant de délicatesse. Estelle adore bouger.

J'alterne donc la "machine à coudre" avec les moments plus récréatifs où c'est Estelle qui se tortille pour trouver le meilleur angle. Elle est pénétrée jusqu'aux couilles. Je me comporte encore en véritable homme des bois en la niquant comme elle aime. À la hussarde. Je suis mort de fatigue et pourtant cette diablesse saurait réveiller un mort. Soudain, derrière moi, le cri de Clémentine qui s'offre le second orgasme de son dimanche. Estelle me repousse doucement pour s'offrir le sien. Elle devra nous laisser pour 22 h. Il est déjà 21 h45. Un peu de calme.

Je m'occupe immédiatement de Clémentine. Les thérapies du docteur Julien sont toujours très efficaces. C'est un véritable soulagement. Estelle reprend doucement ses esprits. << Mais comment tu me baises toi, espèce de salaud ! >> lance t-elle en remettant sa culotte, son jeans. Clémentine enfile les siens. Je remballe ma bite. << Après, au lit, donne-moi ton sirop ! >> dit elle. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à son auto. La séparation est difficile dans le froid d'une nuit claire. La lune est encore toute ronde. Un dernier coucou. Vite au chaud.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se sucer une bonne queue encore super juteuse. Sous les draps. Avant une bonne nuit...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 25 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1831 -



La semaine reprend dans le train-train rassurant

Hier matin, lundi, l'application "océan" nous arrache du sommeil. C'est toujours très difficile le lundi matin. Il est presque six heures. Clémentine vient se blottir contre moi. << Bobo ! >> murmure t-elle. Le cris des mouettes. Le clapotis de l'eau. C'est dans cette illusion parfaite que nous nous précipitons aux toilettes. Il faut vraiment se faire violence car nous pourrions rester au lit. J'offre la thérapie du docteur Julien à clémentine que je laisse seule afin qu'elle puisse changer son tampon. Une seconde journée de règles douloureuses.

Vêtus de nos habits de sport nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Je presse nos oranges, je pèle les kiwis. Le lundi matin il reste toujours un dernier quart de brioche que nous partageons. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan du week-end écoulé. La pipe qu'à prodigué Clémentine à monsieur Bertrand. Notre voisin retraité et vicelard. << Après coup, ça me dégoute ! Beurk ! >> lance Clémentine. Nous rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en évoquant nos randonnées, nos folies sexuelles.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure de gym. Aérobic, jogging sur tapis roulants. Exercices au sol. Les abdos sont des exercices qui soulagent considérablement les congestions ventrales de Clémentine. Ces exercices agissent comme un véritable massage interne. Nous en raffolons. Les charges additionnelles. Le retour au calme d'un bon stretching avant la douche. Je descends le premier pour aller sortir l'auto. Le ciel est lumineux. La fraîcheur est vive. Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak. Ses gants.

Un dernier bisou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer pour faire la vaisselle, le lit. J'allume une belle flambée dans la cheminée de l'atelier. Installé confortablement devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. Ce matin le plaisir est double car je commence le premier paysage sur les huit à faire. Le dessin préparatoire ainsi que la couche d'impression sont réalisés depuis octobre. Je n'ai plus qu'à peindre dans la plus totale sérénité.

Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser d'étonnants cris surréalistes. Destinée à ma saison d'été cette toile représente un coin des environs immédiats. On y voit la rivière, le vieux lavoir. J'y rajoute un personnage féminin vêtu façon dix huitième siècle tenant une ombrelle. Elle aura les traits de Clémentine. Plongée dans la passion d'appliquer les couleurs je ne vois pas les heures passer. Il est rapidement 11 h55. Je mets deux bûches dans la cheminée avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe la potée de légumes.

Je fais une salade de tomates. Dans la poêle je fais dorer un filet flétan. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff, dans tous ses états revient évidemment sur ce qu'il est admit d'appeler maintenant "le conflit ukrainien". Vocable imbécile pour décrire une agression mortelle, des bombes sur des femmes, des vieillards et des @#$%&. Comme toujours les médias aux ordres banalisent des évènements terrifiants qui vont s'inscrire dans la durée. Ce qu'on nomme les "conséquences" va permettre à des ordures de s'enrichir.

Je débarrasse pour faire la vaisselle avant de monter me laver les dents. Pressé d'aller faire quelques pas au dehors, je dévale les escaliers. Le thermomètre extérieur indique 20°. C'est donc en sweat que je sors. Le ciel est d'un bleu d'azur. Le soleil règne en maître. Le gazouillis des oiseaux. Bientôt je vais ouvrir les vannes qui permettront de remplir le bassin. C'est plein de fleurs partout. Pas l'ombre d'un doute cette seconde journée de printemps est un véritable enchantement. Il serait d'ailleurs tout à fait possible de partir en balade à bicyclette.

C'est sur ces considérations que je descends jusqu'à la rivière. C'est la fête chez nos amis à plumes. Les colverts, les poules d'eau et les canards s'amusent à la surface d'une eau profonde, claire et limpide. Il y a peu de courant sur le tronçon de la rivière que tout ce petit monde a colonisé. Je distingue des poissons dont les écailles argentées luisent au soleil. Mon travail m'attend. Je remonte. Il est 13 h15 quand je suis installé devant mon chevalet. Je peins animé du même enthousiasme que ce matin. Bien sûr le temps passe si vite.

Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle se précipite pour s'assoir sur mes genoux. Ses bras autour de mon cou elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Les résultats de l'écrit rendu vendredi dernier. Tout en l'écoutant je pose ma bouche sur le tissus de son sweat. Sur chacun de ses petits seins afin d'y insuffler de l'air chaud. << Mmhh, comme c'est bon. Ça soulage instantanément ! >> dit elle. Je masse son bas ventre, une main dans son jeans qu'elle déboutonne. << Je vous aime docteur Julien ! >> lance t-elle.

Clémentine a encore du travail. Réunir ses notes, les mettre au propre. La voilà assise devant l'ordinateur entourée de ses fiches. J'aime l'entendre chantonner, relire à haute voix. Commenter sa lecture. Il est 18 h15. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je rejoins Clémentine. Elle m'explique ce que je vois sur l'écran. Je lisse ses cheveux. Elle range ses affaires. Elle me fait une rapide lecture de la première version du prochain texte. Je suis penché en avant, mes bras autour de son cou, mon visage tout près du sien. J'écoute. J'aime l'entendre.

Trois coups timides contre la porte qui s'ouvre. Julie entre dans l'atelier. Toute souriante, toute radieuse, elle se précipite. Trois bises à Clémentine avant de m'en faire trois également. Julie s'installe devant mon chevalet. Elle observe ma nouvelle toile. Clémentine m'entraîne par la main pour rejoindre Julie. Je pose mes mains sur ses frêles épaules. Elle porte ses lunettes d'étudiante. Ses cheveux noués en natte. Une chemise carmin, un pantalon noir, ses bottines brunes. Clémentine reste derrière moi en passant ses mains sur ma braguette.

Une braguette que je garde ouverte toute la journée. Une vieille habitude que j'ai prise avec Christine, mon ancienne compagne disparue. Elle exigeait d'avoir accès à mon sexe à n'importe quel moment. Clémentine profite évidemment de ce principe. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Sur une des chaises est posée la grande boîte isotherme. Il y a le grand sachet papier contenant les bacs à salades. Il n'est que 18 h40. Nous sortons pour profiter du crépuscule qui s'annonce. La fraîcheur du soir n'a plus rien de commun avec la douceur du jour.

Je surprends le regard de Julie sur ma braguette béante. Elle louche tout en bavardant avec Clémentine. Ça me fait bander. J'ai la bite contrariée et enroulée au fond de mon slip. Je ne connais pas de situation plus inconfortable. Sous le regard consterné de Julie j'introduis une main dans ma braguette pour aller libérer mon sexe. Je le sors comme s'il était monté sur ressort. Julie pose sa main sur sa bouche comme si elle venait de voir le diable. Ce pauvre diable qui n'a jamais fait de mal à personne. L'humain n'a pas besoin de lui pour en faire.

Clémentine me fait un clin d'œil avant de saisir ma queue. En la tenant elle dit à Julie : << Si on allait manger ? >>. Julie ne répond pas. Elle se penche légèrement pour voir de plus près. Nous rentrons. De la boîte isotherme je tire les habituelles feuillantines au saumon. Elles sont hyper chaudes, dorées à souhait. Je tire les deux tourtes aux fruits de mer pour demain midi. Je dépose une bise sur le front de Julie en disant : << Tu remercies le Chef de notre part ! >>. Clémentine rajoute : << Il te montre sa bite quand tu passes aux cuisines ? >>.

Julie éclate de rire avant de répondre : << Non ! C'est un sodomite mais pas un exhibitionniste. Dommage ! Par contre un des apprentis en est un ! Un petit vicieux que je surprends parfois à se toucher ! >>. Nous rions de bon cœur. Clémentine veut avoir tous les détails. Tout en mettant les assiettes et les couverts Julie s'écrie à l'attention de Clémentine : << Si tu veux, je te le présente lorsque vous reviendrez manger au restaurant ! >>. Clémentine, les yeux brillants de malice, lance : << Oh mais avec plaisir. Un D'jeune, ça change un peu ! >>.

Nous mangeons de bon appétit. Les filles parlent de leurs études. C'est toujours d'une façon subtile et adroite que Clémentine revient sur les sujets qui nous passionnent. Elle raconte la fellation qu'elle a fait à notre voisin samedi en début d'après-midi. << Vous étiez caché pour voir ? >> me demande Julie. Je lui raconte ma vision des choses. Elle est forcément différente de celle de Clémentine. J'écoute ces échanges en me touchant sous la table. La conversation revient sur Jean-Louis le chef cuisinier. << Je t'organise un plan ? >> fait Julie à Clémentine.

<< Je déteste la sodomie, tu le sais ! >> répond Clémentine. << Dommage parce que lui il te ferait aimer ça ! >> dit encore Julie. Je suis debout. Je tiens ma queue raide et droite à sa base entre le pouce et l'index. Je l'agite en direction de Julie. Elle cesse alors souvent de parler, de manger, pour fixer mon sexe comme si c'était la toute première fois qu'elle le voyait. Clémentine me fait à chaque fois un clin d'œil. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous passons au salon. Julie dans le fauteuil qui nous fait face, nous deux dans le canapé.

Julie observe toujours comme fascinée. Tout en bavardant Clémentine joue avec ma queue. La conversation va d'un sujet à l'autre en revenant constamment sur le sexe. Clémentine invite Julie pour nos prochaines expéditions. << Une voyeuse et une exhibitionniste ! >> lance t-elle à l'attention de Julie qui me montre du doigt en précisant : << Deux exhibitionnistes ! >>. Nous rions de bon cœur lorsque je réponds : << Deux voyeurs aussi parce que j'aime être caché avec vous pour mâter ! >>. Julie me fait le plus adorable des sourires.

Même si elle n'ose pas soutenir mes regards, préférant fixer mon sexe, Julie aime converser avec moi. C'est d'ailleurs extrêmement troublant de parler avec quelqu'un qui ne vous regarde jamais dans les yeux mais qui fixe votre sexe. Je dis : << Vous m'accompagnez aux toilettes Julie ? Ça fait longtemps que je n'ai plus pissé en votre délicieuse compagnie ! >>. Sans répondre Julie se lève d'un bond. Je ne suis pas obligé de réitérer ma demande. Clémentine se lève pour m'entraîner par la bite. Nous voilà tous les trois dans les toilettes.

Clémentine, les bras croisés, en appui contre le lavabo. Julie sur ma gauche, penchée en avant, les mains sur ses genoux. Son visage à environ une cinquantaine de centimètres de mon sexe. Je suis debout au-dessus de la cuvette de faïence. Je bande mou. Je me concentre. Je m'imagine avec les pieds dans l'eau froide. Je suis à la fois hyper gêné, hyper excité et habité d'une délicieuse honte. C'est trop bien d'être là, devant deux filles, à tenter de pisser. Clémentine aussi fixe la scène comme si c'était la toute première fois. Le silence est total.

Malgré tous mes efforts de concentration, je n'y arrive pas. Par contre, avec l'excitation, une goute de liquide séminal vient perler à l'extrémité de mon méat. Ces quelques millimètres que je décalotte consciencieusement. << C'est comme une perle ! >> murmure Clémentine. Julie rapproche encore son visage pour observer de plus près. Impossible de pisser car voilà que je bande comme un taureau. Clémentine s'accroupit. D'un coup de langue elle récupère la goutte. Julie lance un profond soupir. Elle est évidemment très excitée.

Clémentine gobe mon érection du bout des lèvres pour sucer. Je passe mes deux index dans le creux de ses joues. J'entends la respiration de Julie entre deux apnées. Clémentine suce avec passion tout en fixant Julie. Elle cesse pour lui tendre ma queue. Julie a ce mouvement de recul que nous lui connaissons bien. Elle se redresse. Je passe ma main sous sa natte pour saisir sa nuque. Elle en frissonne toujours quand je fais ça. Adorable jeune fille de 20 ans qui adore faire sa voyeuse en compagnie d'homme qui ont l'âge de son père. C'est hyper bandant.

Julie devra nous laisser pour 22 h. Elle reviendra vendredi pour son cours de peinture. Il est déjà 21 h40. Je n'ai pas réussi à pisser. Clémentine s'est ramassée de la jute. Elle ouvrait régulièrement sa bouche pour en montrer le contenu à Julie. Cette dernière, pétrie de désirs, poussait à chaque fois un petit cri de ravissement. Je répète souvent : << Il faudra gouter Julie ! >>. Nous quittons les toilettes. Je me branle dans le salon. Clémentine, les bras croisés m'observe. Julie, comme consternée reste assise sur l'accoudoir de son fauteuil.

Nous enfilons nos anoraks pour raccompagner Julie jusqu'à sa voiture. C'est qu'il fait froid. Assise au volant, la vitre baissée, Julie observe ma bite tenue chaudement dans la main de Clémentine. Nous adorons jouer à ce dernier jeu. Ma bite à quelques centimètres du visage de Julie. La séparation est difficile. Julie démarre. Je me recule. C'est là, grâce au froid, que je peux enfin pisser. Je pisse contre la portière de la voiture. Avec le froid un nuage de vapeur se dégage. Julie penche la tête pour en humer l'odeur. Un dernier bisou. Un dernier coucou.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui adorent voir leur mec faire le vicieux avec l'amie intime du couple. Avant de le sucer au lit...

Julien



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Classe - 26 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1832 -



Première escapade à bicyclette

Hier matin, mardi, il est presque huit heures. Ce sont les cris stridents des oiseaux de mer qui nous tirent de nos profonds sommeils. La sirène de ce gros bateau vient parfaire l'illusion de se réveiller dans un port de pêche. On distingue même dans le lointain des voix. L'application "océan" est bluffante. Clémentine vient se serrer dans mes bras. << Je termine à midi ! >> murmure t-elle. Je chuchote : << Je sais, on est mardi ! >>. C'est en riant que nous nous précipitons aux toilettes. Je laisse Clémentine changer son tampon. Je fais le lit.

Morts de faim, vêtus des tenues d'entraînement, nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Clémentine réchauffe les deux croissants à la pâte d'amande dans le four à micro ondes. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée, hier. Le comportement de Julie. Ses attitudes lorsqu'elle nous a accompagné aux toilettes. Me regarder pisser reste un de ses jeux préférés. Pour la voyeuse qu'elle est de voir Clémentine me sucer constitue le summum. Nous mangeons de bon appétit en riant.

C'est le troisième jour des "petits machins" à Clémentine. << Même plus mal ! >> lance t-elle en m'entraînant par la main. Quand elle termine à midi Clémentine est toujours assez déconneuse. Dans notre salle d'entraînement du premier étage, elle me saute au cou entre chaque station de travail. L'aérobic, le jogging sur tapis roulants, les exercices au sol, les abdos. Entre chacun d'eux, j'ai droit à plein de bisous. Avec les charges additionnelles il faut bien se concentrer. Retour au calme avec un stretching carrément surréaliste. La douche.

Je descends pour aller faire chauffer la voiture. Le ciel est d'un bleu encore pâle. Il est presque 7 h45. La fraîcheur est vive. Clémentine vient me rejoindre chaudement vêtue. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je rentre faire la vaisselle avant d'aller dans l'atelier. J'y allume un bon feu dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ce premier paysage de l'année, destiné à ma saison d'été, me plonge dans les délices de la passion. Je chantonne de joie.

Je peins dans cette euphorie que m'a laissé Clémentine. La matinée passe si vite. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les deux tourtes aux fruits de mer ramenées par Julie hier soir. Avec une belle laitue que j'assaisonne de citron, d'huile d'olive, d'ail, d'échalote, d'huile de noix, de persil et de ciboulette. Il est 12 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. << On se fait un peu de vélo cet après-midi ? >> me dit elle en me mitraillant de bisous.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Nous ne traînons pas. La pâte feuilletée a décongelé. J'en étale les deux tiers dans le grand plat à tarte aux bords hauts. Clémentine lave et coupe deux gros poireaux pendant que je concocte une Béchamel. Les poireaux ébouillantés quelques minutes sont égouttés. Rajoutés à la Béchamel avec le gruyère de Comté que je viens de finement râper. Clémentine verse le tout sur la pâte en étalant bien. Je recouvre du dernier tiers de pâte feuilleté. Je badigeonne du mélange œuf et lait.

Au four électrique pour une cuisson à feu doux. 180° afin que la Flamiche Picarde mijote longuement. La tourte aux poireaux est bien meilleure ainsi. Notre repas de ce soir est assuré. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents, nous changer. Nos leggings de lycra noir. Nos sweats de lycra jaune. Nos baskets. Nous dévalons les escaliers, pressés de filer. Dans le petit sac à dos que je porte nos K-ways, deux maillots de coton à col roulé. Nous traversons le jardin en courant. Clémentine est toute euphorique. La parfaite continuité de ce matin.

Je décroche nos deux VTC, (Vélo Tous Chemins) en retirant la bâche qui les recouvre. << Comme neufs ! >> lance Clémentine qui prépare la pompe à manomètre. Il suffit de gonfler les pneus. 5,5 bars à l'arrière. 5,5 bars à l'avant. C'est hyper dur. << Un tape cul ! >> s'écrie Clémentine. Nous aimons quand c'est dur car ça roule tellement plus facilement. Quelques gouttes d'huile "3 en 1" sur les chaînes. C'est parti. Il y a du soleil. La température extérieure est de 21°. Nous descendons le chemin jusqu'à la rivière pour traverser la passerelle.

J'ouvre le cadenas à quatre chiffres du haut portillon de fer. Il y a 500 mètres sur le sentier entre le champs et la forêt. C'est la piste cyclable. Nous pédalons d'un bon rythme. Le fond de l'air est frais. << Le fond de l'air effraie ! >> lance Clémentine, toujours espiègle pour manifester sa joie. Un léger vent de Nord Est nous pousse. Nous l'aurons de face en revenant. Nous croisons quantité de cyclistes. << Tu sais à quoi on reconnait un cycliste heureux ? >> demande Clémentine avant de répondre : << Il a des mouches collées sur les dents ! >>.

C'est dans cette ambiance que nous avançons le plus souvent côte à côte. << J'ai envie de t'embrasser ! >> lance Clémentine de temps en temps. Je réponds : << Dès qu'on arrive au cabanon de l'écluse ! >>. Le niveau des eaux du canal est à son maximum. Il n'y a pas encore de bateaux de plaisance. Par contre les employés VNF circulent d'une écluse à l'autre. Il y a des travaux. Les voies navigables de France se prépare à la saison. Une quinzaine de kilomètres. Nous arrivons au cabanon de l'écluse. Endroit stratégique que nous connaissons bien.

Le lecteur qui suit nos aventures depuis le début se souvient de tous ces épisodes où je relate nos petits jeux en cet endroit. Combien de fois ne suis-je pas resté dissimulé derrière les fourrés au bas de la cabane en bois pour sécuriser une exhibition de Clémentine. Clémentine qui met pieds à terre pour m'attirer contre elle. Le contact de nos corps, vêtus de cette matière extrêmement lisse qu'est le lycra nous procure des frissons. Nous nous embrassons comme des fous. Clémentine qui frotte son sexe contre le mien. Sur la pointe des pieds.

<< On se fait le premier "plan" de l'année ? >> me lance t-elle, mutine. Je regarde dans toutes les directions. Personne. Sans me laisser répondre, Clémentine traverse la passerelle métallique de l'écluse. Je descends le long du cabanon pour aller me planquer. De ma cachette je vois Clémentine se mettre en position entre deux bosquets de genêt recouverts de fleurs jaunes. Penchée en avant, prête à descendre son legging et sa culotte, elle guette l'arrivée d'un cycliste solitaire. J'ai assisté à ce spectacle tant de fois. Pourtant mon cœur bat la chamade.

Je sors ma queue pour me masturber. Là-bas, un cycliste solitaire. Vêtu façon "Tour de France", il pédale sur son vélo de course. Clémentine s'accroupit tout en descendant ses vêtements à mi-cuisse. Notre Laurent Jalabert tombe sur le spectacle. Il freine comme un malade. Pauvre gomme de ce pneu arrière qui voulait encore durer toute la saison. Le type s'arrête. Il y a l'écluse qui le sépare de la jeune fille qu'il voit à quelques dix mètres. Clémentine, portant ses lunettes noires, les cheveux défaits, s'offre là sa première véritable exhibition du printemps.

Le cycliste regarde dans toutes les directions. Il évalue la situation. Va t-il tenter de rejoindre la sublime pisseuse qu'il admire dans ses "œuvres" ? Je reste prêt à intervenir. La situation perdure quelques minutes. Le type se touche. Il me tourne le dos mais c'est ainsi que j'interprète le mouvement mécanique de son bras droit. Il tient sa bicyclette de la main gauche. La barre du vélo entre ses jambes. Je l'entends prononcer des paroles incompréhensibles depuis l'endroit où je me trouve. Bien évidemment Clémentine ne répond pas.

La tête penchée en avant, ses cheveux masquant son visage, elle préserve son anonymat dans une exhibition absolument sublime et de très haute qualité. C'est une de ses spécialités et ses nombreuses années de pratique lui confère une virtuosité sans équivalent. Je suis certain que le cycliste lui montre sa queue. Clémentine relève enfin la tête pour fixer son voyeur. Quel instant fabuleux. Je me mets à la place de ce type. Cette fois, pas de doute notre Raymond Poulidor se paluche. Clémentine peut tranquillement s'offrir un pur moment de bonheur.

Elle sait que c'est l'attitude du type qui la préviendra de l'arrivée de quelqu'un d'autre. Tout cela dure depuis une bonne dizaine de minutes. Un groupe de cyclistes arrive. Le mec remballe. Clémentine comprend, se redresse en remontant ses vêtements. Le type reste. Il s'apprête à recommencer dès que les cyclistes l'ont dépassé. La situation devient critique car il pose son vélo contre un des poteaux. Pas de doute, il s'apprête à monter l'escalier de la passerelle. Il faut que j'intervienne. C'est en m'écriant : << Lucie, t'es où ? >> que j'apparais. Surprise !

Le cycliste se retourne pour me voir arriver en poussant ma bicyclette. Il me dit : << Bonjour ! >> avant de redescendre, de se précipiter vers sa machine, de monter dessus pour filer à grands coups de pédales. Clémentine, écroulée de rire, serrée dans mes bras, me dit : << Tu imagines un peu, seule, avec ce genre de con ! >>. Nous rions de bon cœur. Clémentine a encore du travail. Nous prenons la piste cyclable dans l'autre sens. Une autre histoire aussi car il faut pédaler contre le vent. Un vent assez froid. Le plaisir a disparu. Il faut souffrir un peu.

Il est 16 h15 quand nous sommes de retour. Nous nous changeons. << Ça ma excité ! Si tu savais ! Je retrouve ce plaisir intact. Je suis la plus exhibitionniste de toutes les exhibitionnistes ! >> lance t-elle en m'entraînant par la main. Dans l'atelier, elle rajoute : << Merci Julien. Sans toi, rien de tout ceci ne serait possible ! >>. Clémentine glisse sa main dans ma braguette. << Oh, mais tu bandes ! >> s'écrie t-elle. Elle sait à quel point nos petites aventures m'excite autant qu'elle. Assise devant son ordinateur, entourée de se fiches elle se concentre.

Je suis installé devant mon chevalet. Je peins comme un bienheureux. Nous poussons des cris surréalistes. Chacun répondant à l'autre. Je me lève quelquefois pour aller la rejoindre. Lisser ses cheveux, déposer des bises dans sa nuque. << Je t'aime ! >> murmure t-elle. Il est 18 h15 quand Estelle arrive. Elle se précipite pour s'assoir sur mes genoux. Estelle nous raconte son après-midi dans le bureau de l'entreprise familiale, avec sa maman. Clémentine, tout en rangeant ses affaires raconte notre aventure de l'après-midi. Estelle se touche.

<< Comme toujours, quand je ne suis pas là, que j'ai le dos tourné ! >> lance Estelle en me sortant le Zob. elle rajoute : << Et toi, tu t'es branlé sans moi en mâtant ! Salaud ! >>. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Clémentine vient nous rejoindre. C'est elle que j'embrasse pendant qu'Estelle, passant derrière moi, me branle doucement. Elle me murmure : << Vicieux. Branleur. Voyeur ! >>. Je cesse d'embrasser Clémentine pour répondre : << Exactement comme vous mademoiselle ! >> Clémentine rajoute : << Mais en moins pire ! >>.

Nous rigolons comme des bossus. Les filles comparent encore leurs travaux pendant que je nettoie la palette, les pinceaux. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand Estelle découvre ce qu'il y a au four, elle me couvre le visage de bisous. La tourte aux poireaux qui réchauffe. Elle met les assiettes, les couverts avant d'aider Clémentine à râper les carottes. Je fais l'assaisonnement de la salade. Estelle exige tous les détails de notre aventure de l'après-midi. Bien évidemment Clémentine prend un plaisir divin à tout raconter.

Il est décidé de se faire des sorties vélos ce week-end si la météo reste clémente. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur quantité de souvenirs. Toutes ces "expéditions" où Clémentine se faisait surprendre par des cyclistes. Au même endroit. Le cabanon de l'écluse. Estelle se lève nombre de fois pour mimer une masturbation masculine. Je me lève pour agiter ma queue vers mes deux anges. Après le repas, ce sera léchage du minou d'Estelle et une bonne baise sous le regard de Clémentine hyper excitée qui veut sa masturbation du soir.

La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Estelle par la bite, Clémentine par la main. C'est cette situation habituelle. Clémentine sans jeans, sans culotte, qui se masturbe vautrée dans le fauteuil. Moi, à genoux sur un des épais coussins, entrain de bouffer le minou d'Estelle. Estelle qui ne tarde pas à m'attirer sur elle. Je la baise comme elle aime, à la hussarde. Elle devra nous laisser à 22 h. Ce qui la motive dans une baise effrénée. L'orgasme de Clémentine. L'orgasme d'Estelle. Dans un concerto de petits cris. Clémentine me sucera une fois au lit.

Bonne nuit à toutes les coquines exhibitionnistes, voyeuses excitées par des situations qu'elles savent créer comme des chef -d'œuvres...

Julien



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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 27 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1833 -



La présence troublante de Juliette

Hier matin, mercredi, il est presque six heures. C'est la sirène de ce gros bateau dans le lointain qui nous réveille. C'est profond, sonore. L'application "océan" en rajoute une louche avec les cris des mouettes, le clapotis de l'eau. Clémentine vient se blottir contre moi en gémissant. Avec ce que nous avons encore vécu de douces folies hier soir, le levé est encore bien difficile. Aussi, je soulève Clémentine comme une jeune mariée pour l'emmener ainsi jusqu'aux toilettes. << Je vais prendre cette habitude aussi ! >> murmure t-elle.

Nous rions de bon cœur, morts de faim, vêtus de nos tenues de gym en dévalant les escaliers. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous prenons notre copieux petit déjeuner en revenant sur la présence d'Estelle hier soir. Je dis : << Tu lui fais un gros bisou tout à l'heure, en cours ! >>. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la venue de Juliette ce soir. C'est à son tour d'emmener le repas. C'est toujours une très agréable surprise car entre autres qualités, Juliette est aussi excellente cuisinière.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol avec abdos. Charges additionnelles avec le retour au calme d'un stretching bâclé. Pressés d'aller prendre notre douche. Je descends le premier pour aller préparer la voiture. Il est presque 7 h45. Le ciel est d'un bleu pâle. La fraîcheur reste vive. Clémentine vient me rejoindre chaudement vêtue. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer pour faire notre vaisselle et notre lit.

Dans l'atelier, j'allume un bon feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ce premier paysage destiné à ma saison d'été me plonge dans de suaves plaisirs. Je peins en poussant des cris plus surréalistes les uns que les autres. Il est rapidement 11 h55. Je mets deux bûches dans la cheminée avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il me suffit de réchauffer la dernière part de tourte aux poireaux. Je me fais une belle laitue. En grande quantité afin d'en avoir pour le repas de ce soir avec Juliette.

Dans une poêle je fais dorer un filet de cabillaud avec des champignons. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. La conversation entre André Bercoff et son invité est animée. Sur cette station il peut s'échanger tous les propos le plus librement. Ce qui serait impossible sur toutes autres radios. Les "quatre vérités" y sont donc la règle du genre. Et aucun des intervenants ne s'en prive. C'est ainsi qu'il est surprenant de constater que les évènements dramatiques en Ukraine peuvent êtres examinés sous d'autres angles. Très intéressant !

Je débarrasse pour faire la vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller faire quelques pas au dehors je dévale les escaliers. Je suis en jeans et en sweat. Le thermomètre extérieur indique 21°. Qu'il est bon de descendre jusqu'à la rivière. Ce ciel d'un bleu d'azur, ce soleil, toutes ces choses tant attendues me donnent l'irrépressible envie de partir à bicyclette. D'un jour l'autre la nature réserve de magnifiques surprises. Les fleurs, les arbres qui se couvrent de blanc, l'incessant gazouillis des oiseaux. Il était temps. Je savoure ces instants.

Il est 13 h15 quand je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé des mêmes plaisirs que ce matin. Cette toile sera probablement achevée vendredi dans la matinée. Le timing parfait. Cette année encore j'aurai le minimum des 24 toiles requises. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle se précipite. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa matinée, le repas du restaurant universitaire. << Estelle me charge de te faire des bisous partout où tu aimes ! >> murmure Clémentine.

Elle enfonce sa langue dans ma bouche pour la fouiller de sa langue exploratrice. Clémentine a encore du travail. Cet écrit à remettre vendredi matin. La voilà assise devant son ordinateur entourée des notes prises aujourd'hui. Un autre plaisir est de l'écouter chantonner. Ce soir elle commente ces notes avec beaucoup d'humour. À chaque fois je dis : << Je t'aime ! >>. À chaque fois elle répond : << C'est vrai ? Autant que moi ? >>. Sa feuille à la main, Clémentine tourne autour de moi pour me faire une première lecture. C'est impressionnant.

En nettoyant la palette, les pinceaux, j'écoute en me concentrant sur le sens des phrases. << Alors ? Dis moi ! >> conclue t-elle en venant se frotter contre moi alors que je me lave les mains au-dessus du petit lavabo de l'atelier. Je dis : << Tu écris tellement bien. Tu pourrais faire comprendre l'algèbre à un sourd ! >>. Elle éclate de rire. Je me retourne. Je la prends dans mes bras. Elle m'entraîne dans une sorte de tango. Des pas de danse. Nous rions aux éclats. La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine se précipite pour le prendre en main.

Pendant que je caresse ses tous petits seins à nouveau sans soutien gorge, debout derrière elle, je lui fais des bises dans la nuque. << Juliette, elle arrive ! >> dit elle en raccrochant. << Sors ton Zob, j'ai envie de te voir hyper vicelard ce soir. Tout comme cette salope ! >> rajoute encore Clémentine. C'est en riant comme des fous, que nous quittons l'atelier. Je bande mou et ma queue pend lamentablement de ma braguette ouverte. Nous accueillons Juliette. Je la débarrasse du grand Tupperware contenant la surprise. Clémentine prend son blouson.

Ce soir Juliette est vêtue d'un jeans, d'un chemisier blanc sous un pull bleu nuit. Des bottines. Ses longs cheveux noirs en natte. Quels que soient les vêtements qu'elle porte cette bourgeoise de 48 ans est hyper sexy. Femme athlétique, hyper sportive, son physique époustouflant n'a rien à envier à celui de Clémentine. Même si Juliette est plus petite avec son mètre soixante quatorze. Nous nous touchons les poings. Comme toujours Juliette ignore complètement ma queue qu'elle fait mine de ne pas voir. J'adore cette attitude féminine. C'est ingénieux !

À la cuisine nous découvrons une magnifique tarte aux champignons. Dorée à point. Appétissante. << Je l'ai préparé à midi ! Il faut la réchauffer un peu ! >> lance Juliette qui pose sa main sur sa braguette. Je suis toujours surpris par les attitudes de cette femme. Son accent méridional rajoute à son charisme naturel. Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue déjà lavée. Juliette met les assiettes et le couverts. Je place la tarte dans le four électrique. Juliette raconte sa journée de chef d'entreprise. C'est passionnant et très intéressant.

Entre les visites du vétérinaire, de la commission sanitaire départementale et les livraisons de fourrages qui posent les éternels mêmes problèmes, Juliette a de quoi faire. Lorsqu'elle en vient à un des sujets qui nous passionnent tout autant, sinon davantage, Juliette fait mine d'enfin découvrir ce qui pend de ma braguette. Elle me fixe soudain de son regard sévère. Comme si je commettais là un crime plutôt qu'un délit. J'adore. En martelant chacune de ses syllabes Juliette s'adresse à Clémentine sans cesser de me fixer. Je soutiens son regard. Dur.

<< La soirée gloryhole que j'organise pour votre anniversaire, sera précédée d'un bon repas. Êtes-vous tentée ? >>. Clémentine répond : << Quelle bonne idée. J'emmène le dessert et mon homme ! >>. Nous rions aux éclats. Je rajoute : << Et nous emmenons Estelle ! >>. Juliette qui n'a pas cessé de me fixer baisse les yeux en mimant une masturbation masculine. C'est mon sexe fièrement dressé qu'elle observe en disant : << Estelle, votre "garde du corps" n'est-ce pas ! >>. Nous rions de bon cœur car c'est très exactement la vérité.

Pour éviter qu'il ne se passe quoi que ce soit entre Juliette et moi, Clémentine a toujours pris soin de placer Estelle dans le jeu. Interdiction absolue de baiser avec Juliette. C'est d'ailleurs la seule femme dont Clémentine est réellement jalouse. Elle me le confie régulièrement. Il y a d'abord l'âge en rapport avec le mien. Le fait que Juliette a de profonds sentiments pour moi. En terminant par son physique qui pourrait faire pâlir d'envie nombre de jeunes filles. Lorsqu'elle mime une masturbation masculine en me fixant dans les yeux, Juliette reste sérieuse.

Toute la fierté Corse dans ce visage sans émotion jusque dans les situations les plus équivoques. Ce qui m'excite comme un fou. Je tiens mon Zob à sa base entre le pouce et l'index. Je l'agite vers Juliette. Vulgaire. Elle glisse sa main entre ses cuisses pour se toucher. Se palper tellement le mouvement de sa poigne est éloquent. Tout cela n'échappe évidemment pas à Clémentine qui remue la salade. << N'allez pas vous brûler ! >> lance Juliette quand je m'apprête à sortir la tarte du four. C'est elle qui enfile les maniques pour s'accroupir devant le four.

Dans ma psyché, voir une femme accroupie, de dos, agit comme le plus grand des aphrodisiaques. C'est l'image la plus troublante que je connaisse. Un jour il me faudra l'avouer à Juliette. Mais ? Ne s'en doute t-elle pas cette redoutable vicelarde ? La perversité à fleur de peau de cette femme étonnante n'est pas sans interpeler. Je me masturbe doucement en observant ce spectacle. C'est encore plus excitant en découvrant que Juliette observe ce que je fais dans la vitre du four. Put-Hein la vicieuse ! Clémentine qui voit tout me fait un clin d'œil.

Nous mangeons de bon appétit. Juliette nous raconte la pipe qu'elle à fait à Robert, son vétérinaire. << Il vient pour les pipes ou pour les chevaux ? >> demande Clémentine. Juliette éclate de rire. Elle continue en narrant son samedi soir avec Pierre et Bernadette. Madame Walter n'est pas seulement sa collaboratrice mais sa complice. C'est avec un luxe de détails que Juliette nous confie les "évènements" de cette soirée habituelle. << Vous vous gouinez avec Berbadette parfois ? Sans mec ? >> demande Clémentine. << Oui ! >> fait Juliette.

Nous savons que depuis plus de quatre ans l'un des fantasmes les plus récurrents de Juliette est de coucher avec Clémentine. Hélas pour elle cette simple idée révulse Clémentine jusqu'au dégout. Hélas pour moi aussi dont le fantasme d'homme des cavernes de les voir reste profondément ancré dans ma psyché. Clémentine raconte sa pipe à notre voisin samedi. << Je vous le recommande. Toute petite bite, abondamment juteuse, pleine de surprises sous le ventre d'un véritable pervers, dégueulasse et vicelard ! >> précise Clémentine.

Juliette ouvre de grands yeux. Pétillante d'envie, de curiosité et de désir. Clémentine rajoute : << Si ça vous dit, on se fait un "plan" avec ce vieux salopard ! >>. Juliette reste silencieuse un moment. Elle me consulte du regard. Je lui fais un clin d'œil. Elle finit par répondre : << Préparez-nous ça Clémentine. Je raffole des vieux saligauds. Quand ils sont pervers de surcroît, ça me fait mouiller comme une ado ! >>. Nous rions de bon cœur. Nous traînons à table. Je me lève plusieurs fois pour me masturber avec vulgarité devant notre invitée. Le salaud !

La vaisselle. Nous passons au salon. Clémentine, assise à ma gauche dans le canapé, joue avec ma queue. Juliette vautrée dans le fauteuil qui nous fait face, se touche, se palpe avec une folle indécence. Sans ouvrir son jeans pour y glisser la main. Contrairement à Clémentine qui se masturbe déjà. J'écoute la conversation des deux femmes. C'est hallucinant d'écouter les stratégies que peuvent prévoir deux authentiques vicieuses. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. Surtout que Clémentine me branle par intermittences. Adroite et habile.

Juliette me fixe dans les yeux. Regarde ma bite dans la main de Clémentine. Enfin elle glisse sa main dans son jeans qu'elle déboutonne. Je dis : << Il était temps ! >>. Juliette répond : << Comme vous dites ! >>. Contrairement à Clémentine qui se masturbe dans une succession d'apnées, de soupirs, Juliette se branle dans un calme étonnant. On sent la "pratiquante" assidue. Juliette devra nous laisser pour 22 h. Nous la raccompagnons jusqu'à la voiture. << Je vous prépare une soirée gloryhole aux petits oignons ! >> dit elle en démarrant.

Bonne fin de soirée à touts les coquines, excitées par une autre vicelarde, qui se font lécher, baiser au lit. Avant de s'endormir comblée...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 28 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1834 -



Estelle, Clémentine, moi et les beignets

Hier matin, jeudi, l'application "océan" nous arrache de nos doux et profonds sommeils. Il est presque six heures. L'illusion de nous réveiller au bord de la mer est tellement parfaite. C'est comme si les clapotis de l'eau léchaient les pieds de notre lit. Comme si les mouettes criaient au-dessus de nos têtes. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. Quelques bisous, quelques papouilles avant de nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, habillés de nos leggings de lycra noir, de nos sweats de lycra jaune, nous dévalons les escaliers. La cuisine.

Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Le grille pain éjecte ses premières tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la présence de Juliette hier soir. << Elle te ferait bien le "grand jeu" si je n'étais pas à surveiller ses agissements ! >> lance Clémentine. Nous rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en évoquant ce fameux "grand jeu". Les sentiments de Juliette pour moi. << Ton patrimoine aussi ! Et surtout ! >> rajoute encore Clémentine soudain très sérieuse.

Il est 6 h25. Nous remontons. C'est l'heure de notre entraînement. Ce matin il faudra y mettre du cœur et un maximum d'intensité. Aérobics, jogging sur tapis roulants. Exercices au sol, abdos. Charges additionnelles avant le retour au calme d'un stretching très quelconque. La douche. Je descends pour aller préparer la voiture. Depuis quelques jours le ciel est bleu. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre dans la fraîcheur matinale. Un dernier bisou. << Je retournerais bien au lit ! >> dit elle. Je la regarde partir. Un coucou.

Je m'empresse de rentrer pour faire la vaisselle, notre lit. Dans l'atelier j'allume un bon feu dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, comme presque tous les matins, je prépare les couleurs sur la palette. Je chantonne en m'apprêtant à poser les premières touches de pigment. Je peins dans un enthousiasme serein. Ce premier paysage destiné à ma saison d'été sera terminé demain. Par association d'idées lorsque j'évoque à ma saison d'été je pense à Julie qui tiendra ma galerie d'Art de fin juin à début septembre.

Adorable Julie qui n'a probablement pas fini de nous étonner. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe la dernière part de la tarte aux champignons préparée par Juliette. C'est toujours tellement meilleur quand c'est réchauffé. Je fais une salade de tomates. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Avec les élections présidentielles qui s'annoncent il est amusant d'entendre la surenchère des promesses de chacun des candidats. Promesses qui n'engagent que ceux qui les écoutent.

André Bercoff, dans tous ses états, a toujours de belles formules tout au long de son émission. Cette citation de Coluche par exemple : << Si voter servait à quelque chose ça ferait longtemps que ce serait interdit ! >>. Je débarrasse. Dans le saladier je prépare une pâte à crêpe. Dans une poêle je fais rissoler des crevettes et des ronds de calmar. Je coupe des pommes de terre en fines lamelles pour les faire frire en chips. C'est une préparation rapide. Ce sera notre repas de ce soir. Je fais la vaisselle avant de monter me laver les dents. Il est 13 h15.

La pâte à crêpe repose sous un linge. Les crevettes et les ronds de calmar reposent sous un couvercle. Les pommes de terre chips sont au four éteint. Il suffira de les réchauffer. Je sors. La température extérieure est de 21°. Encore une belle journée de printemps. C'est un peu frustrant de ne pouvoir aller faire de la bicyclette. Je vais jusqu'à la rivière. J'ai presque trop chaud avec ma chemise à carreaux. Il y a toujours ce léger vent de Nord Est. Cet anticyclone qui permet cette météo remarquable. Je retourne à mes pinceaux, mes couleurs.

Je peins animé de cette même sérénité. Le temps passe tellement vite. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle se précipite pour se mettre à califourchon sur mes cuisses. J'aime quand elle se frotte en me couvrant le visage de bisous. Clémentine a encore du travail mais elle me raconte sa journée, le repas du restaurant universitaire. La voilà assise devant son ordinateur à finaliser le texte à rendre demain matin. C'est quand elle m'en fait la lecture, en tournant autour de moi que je prends conscience de l'exemplarité de son écrit.

Je nettoie la palette, les pinceaux en écoutant une seconde fois. Je la félicite pour la qualité de l'ensemble. Je dis : << Tes professeurs vont encore êtres enchantés ! >>. Clémentine n'a pas le temps de répondre. Estelle arrive en sautillant. Elle se précipite pour s'assoir sur mes genoux. Ses bras autour de mon cou elle écoute la troisième lecture. En sortant le papier de sa poche qu'elle déplie, Estelle lance : << Bon. Maintenant le mien ! >>. Les rusées coquines font tout ensemble depuis l'âge de 12 ans. Elles savent comment changer les tournures.

Les filles comparent. Il n'y a pas trop de ressemblances. << Ça dépend de la façon de placer le complément d'objet direct. De changer le mode de conjugaison. Et le tour est joué. Les profs n'y voient que du feu ! >> fait encore Estelle en glissant sa main dans ma braguette ouverte. Il est 18 h30. << Venez, on va profiter du crépuscule qui ne va pas tarder ! >> lance Clémentine. Il faut mettre les anoraks. La fraîcheur du soir reste vive. Entre mes deux anges nous redescendons jusqu'à la rivière. Je les écoute parler de leurs études. De leurs écrits.

Il fait un peu froid lorsque tombe la nuit. Trop froid pour garder ma queue à l'air. Nous rentrons. Il fait faim. Lorsqu'elles découvrent ce que j'ai préparé pour le repas du soir, les filles m'entraînent dans une farandole. Estelle improvise toujours des paroles absurdes sur un thème donné. Nous répétons en imitant un air de comptine. Clémentine prépare une salade d'endives. Estelle monte l'huile de friture à ébullition. J'ai remballé ma bite pour réchauffer les pommes de terre chips. Durant toute la préparation, Estelle ne cesse de me tripoter en bavardant.

Je vais de l'une à l'autre pour déposer des bises dans les nuques. Glisser mes mains par derrière entre des cuisses chaudes. Ça nous "allume" bien. Estelle plonge les crevettes et les ronds de calmar dans la pâte à crêpe. Avec une cuillère elle les récupère pour les mettre dans l'huile bouillante. Au bout d'une minute, lorsque les beignets remontent à la surface, qu'ils flottent rapidement dorés, Clémentine les sort avec l'écumoire. Je dispose les pommes de terre chips sur du papier absorbant. Estelle fait la même chose pour les beignets. Miam.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine raconte notre soirée de hier avec Juliette. Estelle nous raconte la sienne en compagnie de Jean-Marc, son parrain. << Il m'a niqué toute la soirée. Une fois encore on a failli se faire toper par ma mère. Je suis sûre qu'elle se doute de quelque chose ! >>. Clémentine rajoute : << Depuis le temps que vous baisez ! Il reste des tâches sur les cartons pliés ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine. Avec toute la vulgarité dont elle est coutumière. La coquine.

Estelle adore entrer dans les détails. Elle narre le déroulement de l'heure de baise. << Il me chuchote de ces trucs à l'oreille. Le salaud ! >>. Nous rions aux éclats en écoutant. Estelle rajoute : << Il m'a proposé un après-midi à l'hôtel pendant les vacances de Pâques ! On baise rarement dans un plumard ! >>. Clémentine dit : << Tu te souviens, quand on avait 16 ans, je me cachait dans l'armoire pendant qu'il te tringlait dans ta chambre ? >>. Estelle s'écrie : << Et comment ! Ça fait 9 ans ! Put-Hein ça fait 9 ans qu'il me tire le salaud ! >>.

Je dis à Clémentine : << Et si tu allais avec Estelle pour cette baise à l'hôtel ? >>. Elle me regarde avec des yeux pétillants d'envie. Les filles se consultent du regard. << Ah non ! Je préfère te savoir caché quelque part pour mâter ! On trouve un autre plan ! >> s'écrie Clémentine. Un silence. En mimant une branlette, debout, Estelle suggère : << Je trouve un prétexte et on fait venir parrain dans la maison d'amis. Julien pourra se planquer dans le placard. On se fait Jean-Marc. On se l'épuise ! >>. Mes deux anges se regardent longuement.

Clémentine s'est fait sauter par le parrain d'Estelle il y a environ trois ans. Elle sait de quoi ce baiseur fou est capable. Je l'encourage à bien envisager la proposition d'Estelle. << Il faut juste trouver un prétexte plausible pour le faire venir ici ! >> dit elle. Clémentine a soudain une idée parfaite : << Le parrain d'Estelle est chauffagiste. Pourquoi ne pas prétexter une découverte de notre chauffage scandinave ? >>. Un silence. << Je lui ai déjà parlé de ce système de chaudron emplit d'eau bouillante qui chauffe les radiateurs ! >> s'écrie Estelle. Bon plan !

Il ne reste plus qu'à organiser ce "plan" à trois. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Bien excitées les filles m'entraînent au salon. Comme tous les jeudis soir Estelle retire son jeans, sa culotte la première. Vautrée dans le canapé, les jambes relevées, tenues sous ses genoux, elle écarte ses cuisses pour me dire : << J'aime quand tu fais le contrôle de ma chatte après ma baise du mercredi ! >>. Nous rions aux éclats. Je suis à genoux sur un des épais coussins. Mon visage enfuit dans cette invraisemblable touffe. J'adore prendre le dessert.

Clémentine, sans jeans, sans culotte, vautrée dans le fauteuil, se masturbe en nous observant. Quand je fouille l'intimité juteuse d'Estelle de ma langue exploratrice, elle stimule son clitoris en gémissant de plaisir. Après notre conversation "culinaire" son excitation en est la suite logique. Lorsque je suce son clitoris, elle se tortille, se trémousse, frotte son sexe sur mon visage en me tenant par les oreilles. J'étouffe. Je déglutis. Je suce, je pompe. Je lèche. Ça me donne le tournis, le vertige. Estelle s'abandonne tout à fait. Son corps secoué de spasmes.

Son orgasme la fait hurler de plaisir. Elle devra nous laisser pour 22 h. Il nous reste encore un peu de temps. Depuis quelques mois, tout comme Clémentine, Estelle jouit avec d'authentiques petites éjaculations. Un yaourt dont j'arrive plus ou moins à anticiper les giclées en guettant les mouvements de son bassin. En écoutant la gradation de ses petits cris, de ses gémissements. Quoi de plus merveilleux qu'une fille qui jouit ? Je suis à la fois hyper excité et pétri d'émotion. Je laisse Estelle reprendre ses esprits pour aller lécher et sucer Clémentine.

Toute ravie de mon initiative, Clémentine me saisit par les oreilles pour se frotter sur mon visage. Mon visage trempé de jus de fille. Miam. J'anticipe toujours beaucoup plus facilement les éjaculations de Clémentine. Il faut préciser que je lui fais ça presque tous les soirs, sous les draps. Les giclées de yaourt sont beaucoup plus abondantes. Ce soir, j'ai de la chance. L'orgasme de Clémentine n'est pas pisseux. Elle se contrôle parfois. Estelle, accroupie derrière moi, me tient par la queue en se frottant contre mes reins, mes fesses, tout en me branlant.

Clémentine, tout comme Estelle, me repousse toujours délicatement pour pouvoir stimuler son clitoris en jouissant. C'est en hurlant de plaisir qu'elle se tortille dans son fauteuil. Je me redresse. Estelle ne me lâche pas la queue. Je demande : << Tu as sucé ton parrain quand pour la dernière fois ? >>. Elle me répond : << Je sais plus, il aime pas ça ! >>. Je rajoute : << Moi si ! >> avant de la lui frotter sur la gueule. Estelle gobe mon sexe. Clémentine se penche pour regarder Estelle tailler une pipe. Je lui éjacule au fond de la gorge. Elle tousse.

C'est toujours inquiétant de voir Estelle manquer de s'étouffer. De se noyer. J'avoue que je la tiens souvent fermement par la nuque pour l'empêcher de se soustraire à ma pénétration buccale. À chaque fois elle m'insulte avant de me prier de recommencer dès que j'en ai envie. << T'es tellement salaud, tellement juteux ! >> arrive t-elle enfin à murmurer en réussissant à avaler toute la quantité de foutre que je lui balance. Je la tiens par ses cheveux. Mon visage près du sien, je fais : << Adorable petite salope ! >>. Elle dit : << Pourquoi petite ? >>.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines dont la préférence va aux rapports génitaux buccaux. Surtout un lendemain de baise effrénée...

Julien (Juteur fou)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 29 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1835 -



C'est le vendredi à midi que commence le week-end

Hier matin, vendredi, il est presque six heures. Le cri des oiseaux de mer qui semble virevolter quelque part dans la chambre. L'application "océan". Comme tous les jours nous sommes bluffés par son extraordinaire réalisme. Clémentine vient se serrer contre moi en gémissant. << C'est qui Anahmyel ? >>. Je reste interloqué. Je n'ai jamais évoqué cette entité à personne. Devant mon silence, Clémentine rajoute : << Tu me raconteras hein ? >>. Quelques papouilles, quelques bisous. Pressés par l'impérieux besoin nous nous précipitons aux toilettes.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café en me racontant son rêve : << Anahmyel est venue me voir cette nuit ! >>. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Devant l'insistance de Clémentine je dis : << Je t'en parlerai un jour, promis ! >>. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos folies de hier soir. La présence d'Estelle que Clémentine verra en cours ce matin. Nous mangeons de bon appétit en découvrant que le jour commence déjà à se lever. C'est comme un soulagement.

C'est la certitude de sortir enfin de cet interminable hiver. << Bientôt nous pourrons aller jogger après le petit déjeuner ! >> lance encore Clémentine. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol. Le vendredi Clémentine termine à midi. Ce qui a tendance à la rendre légèrement déconneuse. Les charges additionnelles imposent de la rigueur. Ce qui les rend ce matin assez difficiles. Le retour au calme avec un stretching surréaliste. Pliés de rire nous voilà sous la douche.

Je descends le premier pour préparer la voiture. Le ciel est d'un bleu pâle. La fraîcheur reste marquée. Clémentine vient me rejoindre dans son blouson de cuir noir, une écharpe au tour du cou. Un dernier bisou. Il est presque 7 h45. Je la regarde partir. Un dernier coucou avant de rentrer pour faire la vaisselle, notre lit. Dans l'atelier j'allume une belle flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ce premier paysage destiné à ma saison d'été est une vertigineuse plongée dans ma passion.

Je peins animé de cette déconnade laissée par Clémentine. Je pense à ce rêve qu'elle a fait. Clémentine est profondément médium. Je trouve absolument fou qu'Anahmyel soit venue la visiter durant son sommeil. Je n'ai jamais parlé de cette entité à personne. Jamais. Il est 11 h30 quand je dépose la dernière touche de peinture sur la toile achevée. Je nettoie la palette, les pinceaux. Dès lundi je pourrai attaquer la seconde nature morte. Cette année je suis vraiment en avance sur le timing. Je m'en félicite. Cela ne peut que me rendre serein.

Il est 11 h45. Je mets deux bûches dans la cheminée. Bientôt je n'allumerai plus que le petit poêle rond de fonte noire. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe les beignets restants, les pommes de terre chips. Je prépare une salade de carottes. Je suis entrain de mettre les assiettes et les couverts quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Enserrant ma taille de ses jambes elle me couvre le visage de bisous. Je la promène ainsi dans toute la grande pièce. Nous mangeons de bon appétit. Le réchauffé est succulent.

Clémentine me raconte sa matinée. Elle revient une fois encore sur son étrange rêve. << Anahmyel paraissait tellement réelle ! >> précise t-elle. Nous ne traînons pas. Avec cette météo nous n'avons qu'une envie, partir à bicyclette. Rien ne procure un plus grand sentiment de liberté. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents, nous changer. Il n'est pas encore possible d'être en jupette. Aussi Clémentine préfère garder son legging. Moi aussi. Nous voilà en tenue. Nous dévalons les escaliers vraiment pressés de filer.

Dans le petit sac à dos que je porte, les K-ways, les barres de céréales, les pommes. Je fixe la bouteille d'eau sur le cadre de la bicyclette. Un rapide contrôle de la pression des pneus. Ça n'a pas bougé depuis mardi. C'est parti. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Le léger vent de Nord Est nous pousse. Nous l'aurons de face au retour. C'est lui le responsable de la fraîcheur du fond de l'air. Nous pédalons d'un bon rythme. Nous croisons quantité de cyclistes. Des filles en rollers.

Julie est prévenue. Elle viendra nous rejoindre à partir de 17 h50 pour prendre son cours de peinture. Qu'il est agréable de découvrir la campagne en fleurs. Chaque jour apporte son changement. Les verts des prés s'affirment pour offrir quantité de déclinaisons. Le printemps tant attendu se manifeste enfin dans toute sa splendeur. << Comme je suis contente. On est seuls tous les deux ce soir ! >> me confie Clémentine à plusieurs reprises. Nous aimons bavarder en roulant côte à côte. Même s'il faut parfois se mettre l'un derrière l'autre.

<< J'ai envie de te rouler une pelle ! >> lance Clémentine pour finaliser chacune de ses phrases. Nous rions de bon cœur. 15 km. Arrivés au cabanon de l'écluse nous mettons pieds à terre. Sans qu'elle ne s'y attende, je saisis Clémentine par la nuque pour la serrer contre moi. Elle manque de lâcher son vélo. J'enfonce ma langue dans sa bouche. De sa main libre qu'elle glisse entre mes cuisses elle me palpe. C'est la méthode la plus radicale pour provoquer chez moi la plus rapide des érections. Ce qui a pour effet de former une énorme bosse.

Clémentine s'y frotte tout en m'embrassant avec passion. Nous n'avons que faire des cyclistes qui passent. << J'aime quand tu bandes dans ton legging ! Ça m'excite ! >> lance Clémentine qui empoigne ma bosse. Nous tenons nos bicyclettes. Je dis : << Viens ! >>. Nous descendons l'étroit sentier qui contourne le cabanon. Il y a une ouverture par derrière. L'intérieur est vide. Un plancher poussiéreux. Quelques bouteilles vides en plastique jonchent le sol. Il faut grimper pour y entrer. Je monte le premier. J'aide Clémentine à me rejoindre.

Sur les planches je pose nos deux K-ways ouverts. << Si je m'attendais à ça ! Julien, je t'aime, quelle belle surprise ! >> lance Clémentine en descendant son legging et sa culotte. Je dis : << J'improvise totalement. J'ai trop envie de faire l'amour avec toi ! >>. Clémentine me descend le legging et le slip en murmurant : << Là, maintenant je préfère que tu me baises ! >>. Elle se couche sur les K-ways. Je reste en appui sur mes bras au-dessus d'elle pour ne pas peser de tout mon poids. Les leggings et les slips gênent un peu. Tant pis on fait avec !

Clémentine guide mon sexe pour le frotter sur le sien. Nous nous fixons en silence. Qu'il est bon de se retrouver là dans cette situation. << On ne fait pas ça assez souvent n'importe où ! >> chuchote Clémentine en s'introduisant délicatement l'extrémité de ma queue. C'est la peau de mon prépuce, serrée entre les parois de la vulve de Clémentine qui rend les choses plus faciles. La peau du prépuce peut coulisser. Clémentine ferme les yeux, se mordille la lèvre inférieure. D'un coup de reins la voilà avec toute la longueur de ma bite enfoncée en elle.

Nous adorons rester immobiles pour nous chuchoter nos impressions comme autant de secrets. Des bruits de voix nous parviennent souvent. Ce sont des groupes de cyclistes qui passent devant le cabanon. Nous entendons l'un d'entre eux s'écrier : << Attendez les mecs, je pisse un coup ! >>. C'est amusant de rigoler l'un dans l'autre. Ça créé des sensations différentes. Je fais comme Clémentine m'en prie. Je la baise à la hussarde. Comme je le fais avec Estelle. Ce n'est pas vraiment notre truc mais nous voulons d'autres émotions. C'est si bon.

Nous nous aimons là malgré l'inconfort. Malgré la rudesse des planches. La poussière et la vétusté. Il suffira de secouer les K-ways. << Dis-moi qui est Anahmyel ? >> murmure Clémentine à mon oreille. Je chuchote : << Pas maintenant ! >>. Clémentine revient à la charge : << Tu me fais des secrets maintenant ! >>. Nous éclatons de rire car dans cette situation c'est assez surréaliste d'entrer dans des considérations oniriques. Il faut cesser. Ce sont des voix de gens qui viennent de s'arrêter. Il y a des voix de femmes. Ça parle "pipi".

Les femmes viennent pisser derrière le cabanon. Nous risquons donc d'êtres découverts. Je me retire. J'aide Clémentine à se redresser. Nous remontons nos leggings et nos slips juste à temps car deux femmes arrivent. L'une s'écrie : << Merde, du monde ! >> alors qu'elle s'apprêtait à descendre son short. Nous plions nos K-ways avant de sauter dans l'herbe. Nous récupérons nos vélos en saluant le groupe d'une vingtaine de cyclistes. Nous prenons la direction du retour. << Comme c'est bon de baiser n'importe où ! >> lance Clémentine.

Il est pile 17 h50 quand nous revenons. La Clio rouge de Julie est garée devant la porte du garage. Elle sait où nous cachons la clef à son intention. Tout est toujours convenu. Clémentine ne cesse de me faire des bises, de se serrer contre moi en répétant : << J'aime comme tu m'aimes. Je suis folle amoureuse de toi. On refait ça ce soir ! >>. C'est en riant que nous entrons dans la maison. Nous allons directement dans l'atelier. Julie, assise devant son chevalet de table est en pleine peinture. Nous nous précipitons pour lui faire chacun trois bises.

Julie nous apprend qu'elle est arrivée depuis une heure. Qu'elle avait trop envie d'être là. Trop envie de peindre. Je suis debout derrière elle, les mains posées sur ses épaules. C'est le début de sa seconde nature morte. D'après une photo prise chez elle. Un vase bleu contenant une rose. Un petit coffret d'où dépasse un collier de perle. Un livre ouvert. C'est magnifique. Je m'installe à ses côtés. Clémentine est assise devant son ordinateur. Elle met à profit ce moment pour se plonger dans le sujet de son prochain écrit. Nous ne perdons jamais de temps.

Tout en peignant Julie nous raconte sa semaine. Les cours de la faculté de Lettres Modernes. Julie prépare son DEUG. Elle nous confie à quel point l'approche de l'été l'enchante. L'idée de tenir ma galerie d'Art durant deux mois la comble de joie. << Si ces cons-là ne nous imposent pas le port du masque sanitaire dès les élections passées, ce sera tout simplement génial ! >> lance Clémentine. Julie répond : << On les connait. Menteurs, manipulateurs, escrocs et affabulateurs ! >> s'écrie Julie. Je regarde ses coups de pinceaux. C'est fin, lumineux, précis.

L'heure de cours passe évidemment bien trop vite. Julie a son job de serveuse ce soir. La mise en place dès 18 h45. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. << Je suis là demain matin à 8 h30 pour le ménage ! >> dit elle en démarrant. Clémentine tient ma "bosse" molle dans sa main. Julie garde son regard braqué. Clémentine sort rapidement ma bite et mes couilles qu'elle coince au-dessus de l'élastique de mon legging. << Wouah ! >> s'écrie Julie. << C'est ton cadeau ! Tu y goutes un de ces jours ? >> demande Clémentine. Nous rions aux éclats.

Nous regardons Julie s'en aller. Nous restons encore un peu au soleil. La fraicheur s'accentue. Il est 18 h15. Nous descendons jusqu'à la rivière comme des amoureux, serrés l'un contre l'autre. Il fait faim. Nous remontons. Ce soir on fait très simple. Des spaghettis avec une sauce au Roquefort. Clémentine s'occupe de la salade d'avocat. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine fait l'inventaire des endroits de la maison où nous n'avons pas encore fait l'amour. Rire.

Après la vaisselle, Clémentine m'entraîne dans la réserve. Cette petite pièce ou nous stockons toute sorte de choses. << Là ! >> dit elle en descendant mon legging. Avec la baise de l'après-midi, j'ai la bite qui colle au fond du slip. Accroupie, Clémentine me suce. Je bande hyper vite. Elle retire son legging et sa culotte pendant que je me masturbe. C'est debout, en la soulevant, que je la pénètre. Baiser debout c'est bien aussi. Je la coince contre la porte du placard. Elle reste accrochée à moi comme une naufragée à sa branche. Je la baise comme un fou.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment à se retrouver seules avec leur amoureux. Qui aiment improviser de bonnes baises...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 30 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1836 -



Enfin le week-end - Enfin tous les trois

Hier matin, samedi, il est presque sept heures trente quand Clémentine se serre contre moi en gémissant. Passant une cuisse sous mes reins, l'autre sur mon érection naturelle, elle se frotte en chuchotant : << Dis-moi qui est Anahmyel ! >>. Je sors de mon sommeil encore complètement vaseux. Je me contente de lui déposer des bisous. << Cachotier ! >> murmure t-elle en accélérant son mouvement masturbatoire. L'envie de pisser remporte évidemment sa victoire matinale et quotidienne. Nous nous précipitons aux toilettes.

Morts de faim, habillés de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Une nouvelle fois Anahmyel est venue la visiter dans son sommeil. << C'est tellement réel, elle est belle ! >> dit elle pendant que je presse nos oranges, que je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée en amoureux hier. Je dis : << Je n'ai aucun secret pour toi. J'ai simplement omis de t'en parler. Je te promets de tout te raconter ! >>. Nous mangeons de bon appétit en riant de mon "secret".

Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de monter nous laver les dents. Pressés d'aller courir nous descendons à toute vitesse pour enfiler nos K-ways. << Regarde, ils sont tout sales à cause de la baise hier après-midi ! >> lance Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Avant de sortir j'ouvre le portail. Julie doit arriver pour 8 h30 et il est déjà huit heures. Quelques mouvements d'échauffement car la fraîcheur est vive. Le thermomètre extérieur n'indique que 8°. Le ciel est bleu d'azur. Le soleil est déjà haut sur l'horizon. C'est parti.

Nous descendons jusqu'à la rivière. Le sol est sec et permet de courir dans les toutes meilleures conditions. C'est un de nos circuits que nous retrouvons avec plaisir. Nous traversons l'étroite route communale à la hauteur du haras pour courir sur l'asphalte jusqu'à la clairière. Là, les bancs permettent de faire les abdos et différents exercices. Nous revenons par le même itinéraire. Une heure d'un superbe jogging. La Clio rouge de Julie est garée devant la porte du garage. Nous rentrons. Nous montons pour prendre notre douche. Il y a le bruit de l'aspirateur.

Il est neuf heures. Julie fait notre chambre. Nous voilà dans la salle de bain. Clémentine adore me voir me raser. Pour elle, c'est un spectacle "érotique". Elle glisse la peau de sa joue contre la mienne en faisant : << Mmhh ! >>. Je ne suis pas très pileux. Ma barbe est des plus douces et je peux très bien rester deux jours sans que ça ne pique. Clémentine trouve d'ailleurs que je suis très "sexy" avec une barbe de trois jours. Nous voilà vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux. Nous sortons de la salle de bain au moment où Julie veut y entrer.

Toute contente de nous voir elle nous fait des bises. Elle est belle ce matin. En jeans, en sweat, ses baskets, sans ses lunettes d'étudiante sur le nez. Sans ses bottines elle est encore plus petite. Nous la laissons à son ménage pour descendre au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Nous répondons aux courriels. Celui de mon oncle d'Édimbourg qui attend notre venue avec impatience. Celui de Juliette qui nous invite à passer demain au haras. Celui d'Estelle qui arrive pour 13 h45 cet après-midi. Clémentine s'en charge.

Dans la petite enveloppe jaune je glisse un billet de 50 € et la liste de nos commandes pour lundi soir. Nos livraisons ne vont pas tarder. Nous quittons le salon pour mettre nos anoraks avant de sortir. Il fait meilleur. C'est ce maudit vent de Nord Est qui impose cette fraîcheur. Mais sans lui il ne ferait sans doute pas aussi beau. Nous traversons le jardin en montant sur le pont de bois qui enjambe le bassin encore vide. Voilà Danièle au volant de sa camionnette. Son grand sourire. Du hayon arrière elle tire les deux cageots contenant nos commandes.

Les fruits, les légumes, les fromages, les yaourts, les petits pots de crème fraîche, les œufs, le beurre. Danièle n'est jamais très bavarde. Elle a bien d'autres clients à livrer. Même commande pour samedi prochain, paiement par carte. Nous nous saluons. Clémentine, accroupie, fait l'inventaire des contenus. << Regarde un peu la grosseur de ces œufs ! >> dit elle en me montrant les phénomènes. Voilà le tube Citroën rénové de la boulangère. Madame Marthe est facétieuse. Elle a le don de condenser ses amusantes anecdotes en quelques phrases.

Nous récupérons nos deux grosses miches de pain complet et bio. La belle brioche au pudding. Les deux pâtes feuilletées. Les deux gros croissants aux amandes. << Offert par la maison ! >> précise madame Marthe. Même commande pour samedi prochain. Paiement par carte. Notre boulangère a bien d'autres clients à livrer. Nous nous saluons. Avec nos cageots nous contournons la maison pour descendre à la cave par derrière. Dans le cellier nous disposons les légumes et les fruits sur les étagères. Ce qui permet une parfaite conservation.

Dans le congélateur d'où je tire un paquet de moules, les sachets de haricots verts et de petits pois, je mets une des deux miches. Les pâtes feuilletées. Nous remontons par l'escalier intérieur. Julie termine de passer la serpillère sur les carrelages. C'est sur la pointe des pieds, de peur de salir, que nous passons dans la cuisine. Ranger les produits laitiers dans le réfrigérateur. Julie revient pour un second coup de serpillère. Nous lui déposons chacun un bisou sur le front en nous excusant. Clémentine m'entraîne au salon. Elle ouvre ma braguette.

<< Montre lui ta queue au moins ce matin. Tu ne l'as pas fait hier ! >> me dit Clémentine en fouillant dans mon slip. Elle déroule mon Zob pour l'extraire. Me voilà avec le sexe qui pend. << Je t'aime Julien ! >> dit elle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Nous nous embrassons comme des fous. Il n'existe pas de formule plus rapide pour me faire bander. Je bande comme un taureau en rut. Clémentine saisit ma bite d'une poigne ferme pour me faire : << Tu as un secret à me révéler. N'oublie pas. Je veux savoir qui est Anahmyel ! >>.

Assise à califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, Clémentine fait le programme de la journée. Virée vélo cet après-midi. Nous avons tant attendu ces premiers beaux jours. La bicyclette nous a tant manqué. Demain, avec le changement d'heure, il fera jour plus longtemps. Ce sera notre première expédition jusqu'au port de plaisance. D'autres réjouissances. Il est presque 11 h30. Julie vient nous rejoindre au salon. Clémentine se lève en l'invitant à essayer cette position. Julie, comme effrayée, décline. Elle en meurt pourtant d'envie.

Je me lève. Julie découvre ma bite. Je bande mou. Son regard fixe, comme sous hypnose, elle n'arrive plus à détacher ses yeux de mon sexe. Clémentine rajoute : << Il faut absolument que tu y goutes ! >>. Julie met sa main devant sa bouche en riant. Timide, réservée et pourtant si vicieuse cette jeune fille de 20 ans est adorable dans ses attitudes, dans ses réactions. << Regarde un peu comme c'est appétissant ! >> rajoute encore Clémentine en tenant mon sexe entre le pouce et l'index à sa base pour l'agiter mollement devant Julie.

Je lui tends la petite enveloppe jaune en disant : << Pour les vacances de Pâques, j'insiste, venez passer quelques jours ici, avec nous ! >>. Julie s'écrie : << Je ne pense plus qu'à ça ! >>. Clémentine rajoute : << Viens donc passer une semaine avec nous. Je réserve une bonne surprise. Un séjour à quelques centaines de bornes ! Viens ! >>. Julie ouvre de grands yeux. Je précise : << Nous serons quatre si vous venez. Et il y aura Estelle ! >>. Julie ne sait quoi répondre. Toutes nos sollicitations, toute notre affection. Elle semble comme dépassée.

Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture en la tenant par les bras. Assise au volant, Julie observe mon sexe. Je suis appuyé contre la portière, ma bite à une vingtaine de centimètres de son visage. Julie adore ces situations troublantes. Elle nous a souvent confié à quel point c'est devenu une véritable addiction. En démarrant, Julie nous dit : << Je vais faire tout le nécessaire pour ces vacances. J'ai trop envie de vivre plein de choses avec vous. C'est trop bon ! >>. Nous lui déposons un dernier bisou sur le front. Nous la regardons partir. Un coucou.

Morts de faim, nous nous dépêchons de rentrer. Comme ça sent bon partout dans la maison. Il y a un diffuseur d'arômes dans chaque pièce. En bas ce sont des huiles essentielles de jasmin. À l'étage ce sont des huiles essentielles de magnolia. Clémentine fait la salade en me donnant ses impressions : << Tu vas voir, Julie va faire tout son possible pour passer un maximum de temps avec nous durant les vacances. C'est dans deux semaines ! >>. J'écoute en préparant le bouillon pour les moules encore congelées. Je sais que Clémentine est intuitive.

Elle sait comment se déroule les choses. Son sixième sens est infaillible. Elle a des dons médiumniques. Je me fie complètement à ses conjectures. Tout s'avère toujours si exacte. Dans le wok je fais revenir les haricots verts, les petits pois. Le surgelé du samedi permet une préparation rapide. Nous mangeons de bon appétit en parlant de Julie. Des sentiments de la jeune étudiante pour Clémentine. << Ça me fait de la peine de ne pouvoir satisfaire ses pulsions homosexuelles. Je ne peux pas. C'est au dessus de mes possibilités ! >> dit elle.

Hélas pour moi et mes fantasmes d'homme des cavernes, il n'y aura jamais de relations saphiques entre Clémentine et une autre fille. Avec Estelle, lorsqu'elles étaient adolescentes, il s'est bien passé des "trucs". Mais ni l'une ni l'autre n'y ont trouvé un quelconque plaisir véritable. Tant pis pour mes fantasmes primitifs et prosaïques. Ce qui fait toujours beaucoup rire Clémentine qui situe toujours les choses en demandant : << Et toi ? Tu pourrais avec un autre mec ? >>. Cette simple idée me révulse autant qu'elle. Ce n'est pas du tout possible.

Ce sont des choses qui ne sont pas dans nos natures. Même si nous respectons les penchants de chacun, l'homosexualité reste totalement étrangère à nos natures profondes. Ces conversations terminent toujours en fous rires. << Tu imagines un peu les scènes ! >> conclue Clémentine en faisant tourner ses mains autour de sa tête comme si elle agitait des marionnettes. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. << Qu'ils sont où le gens que j'aime ! >>. C'est la voix d'Estelle avant d'entrer dans la salle de bain.

Elle se précipite pour nous faire des bisous. Nous nous essuyons la bouche avant de nous serrer tous les trois. C'est encore si fort. Le moment intense de nos retrouvailles va s'étendre sur tout le week-end. Estelle emmène son sac de sport quand elle vient. Il contient ses affaires de change. Posé sur la chaise dans la chambre, elle en tire son pyjama, ses vêtements de sport. Nous nous vêtons tous les trois de nos tenues cyclistes. Leggings de lycra noir. Sweats en lycra jaune. Je suis entre mes deux anges devant le grand miroir de l'armoire.

Nous prenons des poses loufoques. << On est hyper sexy tous les trois ! >> lance Clémentine. C'est vrai que nos physiques athlétiques sont encore sublimées par nos vêtements de sport. Estelle et Clémentine font des déhanchements surréalistes. << Star ! >> lance Estelle. << Hollywood ! >> ponctue Clémentine. Mes deux anges pourraient parfaitement tourner dans ces séries américaines. Elles en ont le physique ultime. Lorsqu'elle était adolescente, pauvre et sans le sous, Clémentine a envisagé un moment de se présenter à des castings. L'argent.

J'ai été plusieurs fois à Los Angeles avec Christine, mon ancienne compagne disparue. Je connais bien les collines d'Hollywood dans le sud de Los Angeles. J'ai promis à Clémentine de l'emmener pour un séjour en précisant qu'il faut y rester un bon mois pour voir cette ville. Une métropole qui s'étend sur une centaine de kilomètres. La démesure américaine. Ce sera la récompense à l'obtention de son Doctorat. Bien évidemment il est exclu de nous y rendre sans Estelle. Nous cessons de déconner devant le miroir. De nous tripoter comme on aime.

Nous dévalons les escaliers. Le thermomètre extérieur indique 22°. C'est compter sans ce maudit vent de Nord Est. Sans lui, c'est en shorts que nous pourrions partir. Je sors le vélo d'Estelle du Kangoo. << Papa a tout vérifié ! >> dit elle. Nous voilà tous les trois entrain de descendre jusqu'à la rivière. Les premiers jours de bicyclette infligent toujours un mal aux fesses. Ce qui est notre cas à Clémentine et à moi. C'est la première fois de l'année pour Estelle. Nous traversons l'étroite passerelle en bois. Il y a 500 mètres jusqu'à la piste cyclable.

Nous ne sommes pas seuls à vouloir profiter de cette exceptionnelle journée. Nous croisons quantité de cyclistes, de filles en rollers. De ces crétins à trottinettes électriques qui circulent à des vitesses folles de plus en plus nombreux. Nous pédalons d'un bon rythme. Je suis entre mes deux anges à chaque fois que c'est possible car il y a vraiment du monde. Le vent du Nord Est nous pousse. Nous l'aurons de face au retour. Nous avons tout prévu. Dans le petit sac à dos que je porte, nos K-ways. 15 km. Le premier arrêt au cabanon de l'écluse.

C'est un endroit très particulier. La configuration des lieux exerce sur Clémentine un sentiment profondément érotique. C'est propice à se livrer à ses fantasmes exhibitionnistes. Combien de fois ne s'est elle pas amusée ici ! Estelle dont c'est le second jour de ses "petits machins" ne peut vivre à son tour ce que nous avons fait dans le cabanon hier. Par contre elle veut y entrer pour voir. << Curiosité féminine ! >> lance t-elle en grimpant la première dans le cabanon. << Ça sent la baise ! >> dit elle en humant. C'est évidement une plaisanterie.

Par contre, une fois l'avoir rejoint, je sors ma queue toute molle pour l'agiter en disant : << Là, pour sûr, ça sent la bite ! >>. Estelle s'accroupit pour renifler en me tenant par les fesses. << Put-hein mais comme tu m'excites dans ton legging ! >> s'écrie t-elle. Clémentine, à l'extérieur, tient nos vélos, la tête à la hauteur du plancher. Elle rit en nous observant. << Wouah ! Ça sent la queue ! >> lance Estelle avant de frotter son visage sur mon sexe. Je bande mou. Nous entendons régulièrement les voix des cyclistes qui passent de l'autre côté.

En nous tenant par la main, Estelle et moi nous sautons dans l'herbe pour nous recevoir sur les jambes fléchies. Comme un ressort nous nous redressons. Je remballe mon sexe. Il y a à présent cette énorme bosse qui déforme mon legging. << Put-hein la bite ! >> lance encore Estelle en l'empoignant pour la serrer fortement. Nous remontons sur nos machines pour continuer. << Les crétins sont de sorties ! >> lance Estelle à chaque fois que nous croisons un de ces inconscients qui baladent leurs chiens sans laisse sur une piste cyclable. Des cons !

Nous arrivons au port de plaisance. Nous retrouvons l'endroit avec un ravissement. Ici aussi nous avons passé tant de bons moments depuis presque cinq ans. Il y a un nouveau bâtiment en construction à côté de la supérette. Une haute grue, un chantier. << Toi qui aime pisser devant des ouvriers, il faut que tu viennes en semaine ! >> dit Estelle à Clémentine. Nous rions aux éclats quand Clémentine répond : << Ça me manque. Surtout que là, j'ai une méchante envie de pisser. Pas d'ouvriers de chantier les samedis ! >>. Il y a pas mal de monde.

Les joueurs de boules sont là, disputant des parties animées. Des cyclistes qui se baladent en poussant leur vélo. Les bateaux pour la plupart encore bâchés. La capitainerie du port est encore fermée. Les volets du cabanon sont clos. Nous fermons les vélos à cadenas. Ce ne sont pas les endroits discrets qui manquent. Clémentine nous entraînent. Nous descendons vers les bâtiments des sanitaires. Les toilettes publiques ainsi que celles réservées aux plaisanciers sont fermées. << Merde ! Ça m'oblige à pisser là ! >> s'écrie Clémentine en riant.

Estelle et Clémentine descendent leurs leggings et leurs culottes en même temps. Touts les deux, dans une position identique, côte à côte, lâchent de magnifiques jets qui scintillent sous la lumière du soleil. Je surveille les environs. Personne. Je passe derrière elles en tenant dans chaque main un mouchoir en papier. Je m'apprête à les torcher comme je le fais toujours en promenade lorsqu'une voix féminine lance un << Bonjour ! >>. Une voix masculine qui rajoute : << Belle journée pour pisser dehors ! >>. Là-haut, sur le muret deux couples.

Ce sont des promeneurs. Peut-être les premiers touristes. Toujours est-il que nous ne les avions pas vu. Estelle et Clémentine on le même réflexe. Serrer leurs cuisses. Ce qui perturbe quelque peu le bon déroulement des choses. Les deux couples ne s'arrêtent pas, ils continuent leur promenade. Nous les entendons rire en s'éloignant. Je peux torcher soigneusement mes deux anges. Je donne quelques à coups sur la petite ficelle blanche que j'attrape. << Arrête ! Tu vas le faire sortir ! >> me fait Estelle en se redressant prestement. Nous rions.

Nous nous baladons sur la jetée. Nous hésitons. Serais-ce judicieux de nous offrir des glaces ? Il est déjà 16 h30 et les premières fraîcheurs se font sentir. Nous retournons aux vélos sans céder à la tentation. Le retour impose des efforts permanents. Selon les tronçons de la piste cyclable nous sommes exposés à un vent parfois violent. Heureusement nous avons nos K-ways. Pour le retour, c'est vraiment du sport. Il y a 25 bornes pour rentrer. Dur ! Il est 18 h45 quand nous sommes à la maison. Transis de froid. << Saloperie de vent ! >> lance Estelle.

Assis tous les trois autour de la table de la cuisine, encore vêtus de nos tenues de cyclistes, nous épluchons les pommes de terre, les carottes, les navets et le céleri. Nous en faisons en grande quantité. Une potée de légumes qui assurera les trois repas du week-end. Clémentine prépare une belle laitue. Estelle remue les légumes dans la cocotte en fonte noire. Je panne trois beaux dos de cabillaud blanc avent de les faire frire dans la poêle. Morts de faim, en nous faisant des bisous, nous terminons ces préparations. Réellement affamés.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre virée vélo de l'après-midi. La fatigue se fait sentir. Cette fois, les règles d'Estelle ne sont pas douloureuses. Tout juste une légère congestion du bas ventre. Provoquée pas quatre heures de bicyclette. << J'ai un bon truc pour me soigner ! >> lance Estelle. << Dis-nous ! >> s'écrie Clémentine. << Vous baisez, je vous regarde en me branlant ! >> répond Estelle. Nous rions de bon cœur. Cette suggestion est très sympathique. Aussi, nous nous empressons de faire la vaisselle. De passer au salon.

Clémentine m'arrache littéralement mon legging, mon slip. Je suis juste en chaussettes et en sweat. Clémentine empoigne mes organes génitaux en enfonçant sa langue dans ma bouche. Nous sommes tous les trois épuisés. Ce soir, c'est Estelle qui est vautrée dans le fauteuil. La cuisse droite sur l'accoudoir de droite. La cuisse gauche sur l'accoudoir de gauche. Elle se masturbe d'un mouvement pendulaire et régulier. Titillant son clitoris. Clémentine m'entraîne vers le bureau. Elle s'y couche après avoir retiré ses fringues. Je tiens ses chevilles.

Je frotte mon sexe contre le sien. En appui sur ses coudes, Clémentine me fixe. C'est elle qui introduit mon sexe dans le sien. Elle se couche complètement en s'abandonnant au plaisir. Nous adorons rester immobiles. Nous entendons les gémissements d'Estelle. Je tourne la tête pour le regarder se branler. Courbée en avant, comme saisit d'une crampe, elle se touche. Des tressautements, des spasmes qui secouent son corps. Elle se tortille, se cambre, se relâche. Elle aussi aime tant se masturber. Clémentine titille son clitoris géant pendant la baise.

L'orgasme d'Estelle la fait pousser de petits cris d'animal blessé. Entrecoupés de gémissements. L'orgasme de Clémentine est démentiel malgré la fatigue. Elle me repousse juste à temps. Un incroyable jet de pisse manque d'éclabousser jusqu'au canapé. En hurlant de plaisir elle se lâche complètement. Je rejoins Estelle. Un câlin. Nous regardons Clémentine passer la serpillère. Elle vient nous tendre ses mains en disant : << Venez, on monte ! Je vais au lit direct sans douche ! >>. Nous n'avons pas transpiré. C'est sans douche que nous allons au lit.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui s'apprêtent à se glisser sous les draps après des orgasmes foudroyants. Sans douche...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 31 - Tous droits réservés - © - Épisode 1837 -



Un dimanche véritablement printanier

Hier matin, dimanche, il est 9 h30 quand je suis tiré de mon sommeil par les caresses d'Estelle. Son index qui tourne autour de mon téton droit. Qui descend dans mon nombril avant de venir titiller la base de mon érection. Ses lèvres qui se posent comme une ventouse dans mon cou. << Bonjour baiseur fou ! >> murmure t-elle à mon oreille en passant une cuisse sous mes reins pour se frotter contre ma hanche. Ce qui réveille aussi Clémentine. Elle se blottit contre moi pour découvrir ce qui se passe. Elle aussi imprime un mouvement masturbatoire.

Je suis entre mes deux anges dans une soudaine béatitude extatique. Peut-on rêver meilleure sortie d'un profond sommeil ! Je glisse mes mains dans les culottes. Je démêle quelques poils avant de passer l'index entre les lèvres charnues et pulpeuses de Clémentine. << Tu aimes mes "steaks" ? >> chuchote t-elle à mon oreille. Chez Estelle c'est le long de la fente que je passe mon doigt. Je joue avec la petite ficelle blanche. Estelle se lève d'un bond. << Pipi ! >> s'écrie t-elle en se précipitant vers la porte. Clémentine me chevauche en riant.

Nous ne sommes pas du matin mais nous ne négligeons pas les douces sensations d'un frottement. << On baise tout le temps depuis quelques jours. J'aime tu sais ! >> me fait Clémentine en m'entraînant par la queue jusqu'aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos jeans, de nos sweats, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Il y a déjà l'odeur du café. Estelle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille elle me mitraille le visage de bisous. Clémentine presse les oranges. C'est à son tour d'être promenée dans la pièce.

Estelle pèle les kiwis. Au milieu de la table trône la brioche au pudding. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre virée vélo. Sur notre soirée de plaisirs divers. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le vague programme de la journée. Dehors il fait beau, le ciel est bleu. Ce sera une randonnée à bicyclette. Nous les avons tant attendu ces promenades. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, les filles font mille projets pour les vacances à venir. Il n'y a plus que deux semaines.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de monter nous laver les dents. C'est une surenchère de clowneries devant le miroir de la salle de bain. Hier soir, sauf Estelle qui a ses "petits machins", Clémentine et moi n'avons pas fait le moindre brin de toilette. << Bande de grands sales ! >> nous lance Estelle qui glisse sa main dans ma braguette ouverte. Elle malaxe un peu la peau fripée de mon prépuce, enfonce son pouce dans l'ouverture. Elle ressort sa main pour humer son pouce. << Pouah ! Sens ! >> fait elle à Clémentine. Les grimaces.

Elle me fait sentir aussi. << Sandwich au thon hein ? >> dit elle en suçant son pouce. C'est vrai que ça "fouette" un max. Nous rions de bon cœur quand Clémentine lance : << Et il reste un dimanche entier ! Ce soir, je m'offre de la fondue aux fromage ! >>. Je réponds : << Et moi donc ! >>. Nous échangeons nos haleines pour nous faire partager les effluves de la crème dentifrice "verveine". Estelle se change. Nous faisons notre lit. << Quand je goute de la queue le matin, je pourrais le faire tout le reste de la journée ! >> s'écrie Estelle. Rires.

Nous dévalons les escaliers. Le thermomètre extérieur indique 18°. Il n'est que 11 h. Nous marchons jusqu'à la rivière. Je suis entre mes deux anges qui tiennent mes bras. Serrées contre moi. Comme c'est agréable de découvrir de nouveaux changements printaniers. Dans un véritable concerto de gazouillis d'oiseaux. Les jonquilles partout. Des pâquerettes, des petites fleurs blanches qui couvrent les arbres. Une merveille. << Ça m'excite le "beau" ! >> lance Estelle qui glisse sa main dans ma braguette. << Mardi soir, je nique avec toi ! >> dit elle.

Nous restons au bord de l'eau pour admirer les poules d'eau, les canards, les colverts. Ils sont à présent trois couples de hérons cendrés. Le couple de cygnes blancs a fait son retour. Ce tronçon de la rivière, aux eaux calmes et profondes, est un véritable parc de gallinacés, d'anatidés et autres animaux à plumes. Les filles restent serrées contre moi. J'ai la bite à l'air. Distribution de bisous. << J'ai aimé vous voir baiser hier soir. Tu me prends sur le bureau moi aussi mardi soir ? >> me fait Estelle en s'accroupissant pour renifler l'odeur de mon Zob.

Une véritable puanteur qui nous monte aux narines. << Pouah ! Monsieur Schlingo ! >> s'écrie Estelle en se redressant. Elle se pince le nez en faisant une horrible grimace. << Mais une fois à déguster tu te régales ! >> lui lance Clémentine qui s'accroupit à son tour pour humer. Ça me gêne toujours terriblement. C'est que ça pue vraiment très fort. << Je me garde tout ça pour ce soir ! >> dit Clémentine en se redressant. << On partage ! >> rajoute Estelle. Nous remontons le chemin. Je suis prêt à remballer s'il y avait Mr Bertrand notre voisin.

Clémentine s'occupe de la salade. Estelle insiste pour préparer les pavés de saumon à peine décongelés en papillotes. Sur le barbecue électrique de la véranda. Je remue la potée de légume qui réchauffe sur la plaque électrique. Lorsque je regarde à travers la porte vitrée et fumée qui sépare la cuisine de la véranda, Estelle mime une masturbation masculine en me faisant des grimaces salaces. Je viens coller ma bite contre la vitre. Clémentine passe ma main entre mes cuisses pour l'attraper par derrière. Nous parvenons à préparer un bon repas.

Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant notre relation depuis cinq ans. << L'asile psychiatrique et ses pensionnaires vous saluent ! >> lance Estelle, debout, mimant une branlette avant de s'assoir pour continuer à déguster nos délicieuses papillotes. Accompagnées de la potée de légumes et d'une belle laitue. Clémentine y a rajouté de fines tranches de champignons crus. Nous ne traînons pas. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous nous changeons pour mettre nos habits de cyclistes. Lycra.

Pressés de filer nous dévalons les escaliers. Nous attrapons le petit sac à dos pour y mettre les K-ways, les pommes, les barres de céréales. Nous voilà dehors. Il est à peine 13 h. La température est de 23°. C'est parti. Sur nos VTC nous descendons jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Il y a rarement tant de monde. Des cyclistes bien sûr, des filles en rollers mais également quantité de promeneurs, des couples, des familles. Il est rare de pouvoir pédaler côte à côte car il faut très souvent louvoyer.

Avec le changement d'heure nous disposons d'un après-midi plus long. Moins de contraintes. Il y a 25 km jusqu'au petit port de plaisance. Un léger vent de Nord Est nous pousse. Il fait presque trop chaud en leggings, en sweats. << La prochaine fois je suis en jupette ! >> lance Clémentine. Nous longeons le canal. Il n'y a pas encore de bateau. La saison de la plaisance commence en général début mai. Il est 14 h30 quand nous arrivons au port. Que de monde ! Les joueurs de boules car il y a la première manifestation de l'année. Un concours de boules.

Des promeneurs. Principalement des familles. Des attroupements de cyclistes. Nous fermons les vélos à cadenas derrière la capitainerie. << On se prend une glace ! >> lance Clémentine. << Et comment ! >> s'écrie Estelle. Je dis : << Et une grosse ! >>. Nous traversons la route pour aller dans la supérette. Il y a du monde aussi. La gérante nous reconnaît. Brave dame qui aime à bavarder avec ses fidèles clients. << Il faut en profiter. Dès les élections passées ces enflures vont nous imposer le port du masque. Leur connerie habituelles ! >> dit elle.

Un des clients rajoute : << Surtout si nous n'avons pas réussi à nous débarrasser de Foutriquet et de sa bande de clowns ! >>. Il agite le livre de Michel Onfray dont le titre est "Foutriquet". Nous rions aux éclats de ces bons mots. Estelle nous attend dans la file, à la caisse. Clémentine m'entraîne. Dans l'armoire congélateur au fond du magasin nous prenons trois pots de nos glaces préférées. Haagen Dazs. Pistache, amande, nougat. Nous rejoignons Estelle. Cette stratégie permet de payer rapidement sans avoir à trop attendre. Sans la fonte.

Assis sur le muret, les pieds dans le vide, chacun plonge sa petite cuillère à moka dans son pot. On se fait gouter l'un l'autre. C'est un enchantement paradisiaque d'êtres là, à déguster nos premières glaces de l'année. Dans la douceur d'un dimanche de printemps ensoleillé. Nous observons l'animation. C'est le lundi 18 avril, jour de Pâques qu'il y aura le premier vide grenier de l'année. Pourvu qu'il fasse beau. Nous adorons venir aux manifestations organisées sur le port. Clémentine nous entraîne vers le chemin de l'autre côté du canal.

C'est l'endroit idéal pour des exhibitions de hautes qualités. Les filles me tiennent par la main. Nous attirons encore bien des regards. Nos hautes tailles. Ces deux sublimes jeune filles qui restent près de moi. Qui me font des bises en riant. Suis-je le papa ? L'ami ? Un parent ? L'amant ? Autant de questions que nous devinons à chacune de nos sorties depuis cinq ans. Nous nous en amusons toujours beaucoup. Estelle adore jouer les provocations. Parfois libidineuses si pas franchement tendancieuses. Des occasions de le faire se présentent là !

De l'autre côté de canal, il y a les cyclistes mais aussi des promeneurs. Le bourg voisin n'est qu'à deux kilomètres. Clémentine aimerait beaucoup s'offrir les suaves frissons d'une belle exhibition. Hélas, les promeneurs solitaires sont rares. Les cyclistes seuls ne regardent pas forcément dans notre direction. Quand il y a trop de gens c'est souvent difficile de trouver un bon plan. Il faut se faire une raison. Il n'y aura aucune bonne opportunité. Inutile de brusquer les évènements. Inutile de prendre des risques. Nous nous contentons de nous balader.

Les mains sont également baladeuses. Surtout celles d'Estelle. Je passe souvent les miennes sous son sweat par derrière pour caresser ses tous petits seins. << Salaud ! Comme c'est bon ! >> dit elle à chaque fois. Dans les fourrés, j'ai la bite à l'air. Mes deux anges adorent jouer avec. << Ce soir on te nettoie la queue ! >> lance Clémentine. Je réponds : << Moi je vous nettoie les minous ! >>. Estelle s'empresse de préciser : << Le mien tu ne peux pas, la place est encore occupée ! >>. C'est vrai, j'oublie que c'est le dernier jour de ses "petits machins".

Il est 17 h45 quand nous reprenons le chemin du retour. Ce soir le vent est retombé. La difficulté est moindre. Nous pouvons pédaler d'un bon rythme tout en bavardant. Il y a également moins de cyclistes et la plupart vont dans le même sens. Il est 19 h15 quand nous sommes de retour. Morts de faim. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle nous concocte son omelette du dimanche soir, aux trois fromages et aux rondelles d'avocat. Je réchauffe la potée de légumes sans cesser de détacher ce qui colle au fond de la cocotte. C'est le meilleur. Miam.

Nous mangeons de bon appétit sans traîner. Trop pressés d'aller nous livrer à nos "dégustations". À genoux sur les épais coussins, mes deux anges se disputent presque le fromage en se refilant mon sexe. Décalotté la puanteur pestilentielle nous monte aux narines. Il y a de véritable grumeaux de frome collés sous le gland. En tirant la peau on dirait des filaments de fondue savoyarde. C'est dans un concert de gémissements que les filles savourent ce dessert tant attendu. Moi, je n'attends qu'une chose, c'est de pouvoir déguster Clémentine.

C'est pendant qu'Estelle me suce avec passion, gourmandise et fougue que je nettoie le minou de Clémentine. Il faut imaginer deux jours sans toilettes, deux après-midi de vélo. Il y a là d'étonnantes substances. C'est visqueux. En fouillant du bout de la langue je savoure le gout vinaigré des pipis. Le musc suave des particules fondantes. Le coulant des substances non identifiables qui me donnent le vertige. Clémentine connait un orgasme fulgurant qui la fait hurler. Je me ramasse des giclées d'une véritable éjaculation de cyprine abondante.

J'éjacule dans la bouche d'Estelle qui ne cesse de se masturber. Trois saccades magistrales qu'elle déguste en poussant de profonds râles de plaisir. Elle ne cesse de sucer. Elle serait bien partie pour un second tour. Hélas elle devra nous laisser pour 22 h. Et il est déjà 21 h45. Nous sommes étourdis de bonheur. Le minou de Clémentine est d'une propreté exemplaire. Tout comme ma queue au gland luisant de la salive d'Estelle. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Séparation difficile. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines dont le minou est clean, le clitoris légèrement congestionné et qui vont se blottir contre leur mec...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 32 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1838 -



Une douce et agréable soirée avec Julie

Hier matin, lundi, il est presque six heures. Les illusions sonores de l'application "océan" nous arrachent de nos profonds sommeils. Ce sont les sirènes de ces gros bateaux qui résonnent dans le lointain. Tout cela semble si réel. Le cri des oiseaux de mer. Clémentine vient se blottir contre moi en se frottant lascivement. Je la serre fort en lui chuchotant les premières douceurs. Quelques papouilles, quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. L'odeur du reste de la brioche au pudding.

Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Une nouvelle fois Anahmyel est venue se mêler aux personnages oniriques. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan amusé de ce week-end. Nos randonnées à bicyclettes qui laissent quelques souvenirs douloureux dans nos fesses. Il faut reprendre l'habitude. << Se tanner le cuir ! >> lance Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos deux soirées. Celle de samedi, celle de dimanche. Les folies sexuelles qui les agrémentent.

Il est 6 h25. Nous remontons pour achever de nous réveiller complètement. Rien de mieux qu'une heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, exercices au sol. Ce sont les charges additionnelles qui nous remettent les idées bien en place. Le retour au calme d'un stretching bâclé avant la douche. Je descends le premier pour préparer la voiture. Le ciel est lumineux. Pas encore bleu. Le changement d'horaire de ce week-end retarde le levé du soleil. Il est 7 h45. Clémentine vient me rejoindre dans la fraîcheur matinale. Avec son anorak.

Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter vers le portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud pour faire la vaisselle et le lit. Dans l'atelier, j'allume un beau feu dans la cheminée. Installé confortablement devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant. Je commence ce matin le second paysage destiné à ma saison d'été. D'après une photo prise aux environs du vieux moulin. Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser les cris les plus surréalistes.

La matinée passe vite. Je mets deux bûches dans la cheminée avant de quitter l'atelier pour la cuisine. J'écoute Sud Radio en préparant une salade de tomates. Je réchauffe le reste de la potée de légumes. André Bercoff, dans tous ses états revient évidement sur le premier tour des élections présidentielles. Sud Radio étant une station financièrement indépendante les informations y sont souvent de véritables tranches crues de vérités sanglantes. Dans la poêle je fais rissoler un filet de colin avec de petits champignons noirs réhydratés et poivrés.

Je mange de bon appétit en écoutant les même arguments, les même litanies que presque tous les candidats servent depuis certainement plus de 50 ans. C'est d'un sinistre. Les promesses n'engagent toujours que ceux qui peuvent y croire. Et visiblement il y a encore beaucoup d'imbéciles. Je débarrasse pour faire la vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller faire quelques pas au dehors. Le thermomètre extérieur indique 24°. En chemises, manches relevées, je descends jusqu'à la rivière. Cette chaleur n'est pas encore dans la maison.

En remontant, je tombe sur notre voisin. Monsieur Bertrand vient nourrir ses amis les canards avec du vieux pain. Nous bavardons un peu. Louis semble attacher beaucoup plus d'importance à ces échéances électorales que moi. Je suis citoyen britannique. Bien qu'ayant la double nationalité, je n'ai jamais apporté ma caution à un politicien, quel qu'il soit. Je m'apprête d'ailleurs dans les deux ans à retourner vivre chez moi, en Écosse. Mais je prête une oreille bienveillante à l'opinion de monsieur Bertrand. Je la partage. << Un ramassis de parasites ! >>.

Nous rions beaucoup avant de nous saluer. Il est 13 h30 quand je suis devant mon chevalet. Je peins dans le même état d'esprit que ce matin. L'après-midi passe encore si vite. Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table avant de se précipiter vers moi. Assise à califourchon sur mes cuisses, en se frottant, elle me couvre le visage de bisous. Elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Tu sais pourquoi je me suis encore touchée au volant en rentrant ? Je t'en prie, devine ! >> me lance t-elle.

Devant mon silence amusé elle continue : << Parce que j'ai fait l'amour avec toi quatre soirs de suites et j'adore de plus en plus ! >>. Elle enfonce sa langue dans ma bouche pour la fouiller avec avidité. De sa main Clémentine contrôle l'érection qui déforme ma blouse. Blouse qu'elle déboutonne pour extraire mon sexe de la braguette toujours ouverte. << Wouah ! Je te fais toujours tellement d'effets ! >> s'écrie t-elle en se frottant d'un mouvement masturbatoire. Clémentine a encore ses notes à mettre au propre, l'écrit de vendredi à concevoir.

J'aime l'entendre chantonner, devant son ordinateur. J'aime l'entendre commenter ses notes prises en cours : << Put-Hein, je n'arrive pas à me relire ! J'ai une écriture sténographique illisible ! >>. Il est 18 h15. Clémentine range ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Elle me rejoint devant le petit lavabo de l'atelier où je lave mes mains. Serrée contre mon dos, ses bras autour de ma taille elle me chuchote des cochonneries. Trois coups timides contre la porte qui s'ouvre. Julie entre dans l'atelier. << Bonsoir ! >> dit elle en venant nous rejoindre.

Pendant que je m'essuie les mains Julie se serre dans les bras de Clémentine en disant : << J'ai pensé à vous tout le week-end. Pourtant avec mes parents, mes pays et mes mamies c'est la fête permanente. Rien à faire, vous me manquez ! >>. Elle vient vers moi. Je prends ses mains, Je dépose une bise sur chaque joue, une sur le front. Je dis : << Venez faire de la bicyclette avec nous, comme l'année dernière ! >>. Julie s'écrie : << Mais je vais venir ! Mon vélo est prêt. Papa me l'entretient, gonfle les pneus. Il a changé les câbles des freins ! >>.

Julie s'assoit devant mon chevalet. Je retire ma blouse. Clémentine m'entraîne par la main. J'ai oublié que j'avais la bite à l'air. Debout entre Clémentine et le chevalet. Julie découvre ce qui pend de ma braguette. Cette fois elle ne peut faire semblant de l'ignorer. Elle me fait un rapide mais délicieux sourire. Elle scrute ma toile. Clémentine saisit ma queue à sa base entre le pouce et l'index. Elle l'agite en direction de Julie en disant : << Et si le sujet de ta prochaine peinture c'était "ça" ? >>. Julie, interloquée, comme consternée observe en silence.

Elle répond : << Il faudrait que Julien accepte de poser ! >>. Je m'empresse de préciser : << Mais avec le plus grand plaisir. Ce serait un honneur. C'est quand vous voulez ! >>. Julie n'ose jamais soutenir mon regard. Aussi, c'est comme si elle s'adressait à mon sexe. Elle dit : << Pendant les vacances de Pâques ! Ça vous tente ? >>. Clémentine s'écrie : << Tu viens avec nous une semaine au Mont Saint-Michel ? >>. En prononçant ces mots, Clémentine vient de se rendre compte que le séjour qu'elle nous prépare n'est plus une surprise. Éclat de rire.

Je la prends dans mes bras pour m'écrier : << Je t'aime. Je t'aime comme un fou. Mais je n'ai rien entendu. Je ne sais pas que tu nous prépares un séjour à Carcassonne ! >>. Julie aussi éclate de rire. Nous rigolons tous les trois comme des bossus. J'ai la bite toute molle dans la main de Clémentine. Julie la fixe comme si c'était la toute première fois. Clémentine fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Évidemment je bande comme le dernier des salaud. Julie, penchée en avant, les coudes en appui sur ses genoux regarde avec intérêt.

Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. << Il ne vient plus le fantôme ? >> demande Julie. << Non, c'est toujours fini vers la fin de l'hiver. Christine revient à l'automne ! >> répond Clémentine. De la grande boîte isotherme je tire les trois feuillantines au saumon. Elles sont encore hyper chaudes. Les deux quiches aux fruits de mer pour demain midi. Clémentine retire les opercules des bacs à salades. Julie met les assiettes et les couverts. Nous mangeons de bon appétit en évoquant les vacances de Pâques. Le portrait du Zob.

Nous rigolons comme des bossus en imaginant ce tableau très spécial. Bien sûr Julie ne pourra pas l'accrocher aux murs de sa chambre. << J'ai un endroit secret au grenier. C'est fermé à clef. La clef est cachée dans ma chambre. Et la clef de ma chambre est là ! >> lance Julie en agitant la chaînette qu'elle tire de dessous son sweat. Nous écoutons. Elle rajoute : << Depuis petite je cache tous mes secrets dans cette cachette au grenier. Je vous montrerais un jour ! >>. C'est adorable de l'écouter nous confier ces confidences. C'est même merveilleux.

Les feuillantines au saumon sont exquises. Je dis : << Julie, une fois encore il faudra féliciter Jean-Louis pour la qualité de ses créations. C'est réellement fameux ! >>. Julie s'empresse de préciser : << Je n'y manque pas. Chaque fois que je viens chercher vos commandes il a droit à vos remerciements ! >>. Clémentine revient sur cette "œuvre" en gestation. Je vais donc poser pour Julie. Nous rions beaucoup de ce projet saugrenu qui s'affirme tout au long du repas. Ce sera un de ces petits formats qu'affectionne tout particulièrement notre amie.

Julie ouvre de grands yeux en écoutant les différentes suggestions de Clémentine. Y aura t-il du paysage en arrière fond ? Ou au contraire un de ces clairs obscurs si cher à la peinture du dix septième siècle hollandais ? Julie propose la seconde option. << Le sujet se détachera beaucoup mieux sur un tel fond. Les effets de lumière permettront un réalisme plus pertinent ! >> dit elle en riant. Je me lève. Les mains sur les hanches. Ma bite qui pend de la braguette. Je demande : << Avec ou sans les couilles ! >>. Nous éclatons de rire. C'est si drôle.

<< Fais voir avec les couilles ! >> lance Clémentine. Je déboutonne mon jeans pour aller plus vite. J'extrais mes roubignoles. Je referme mon pantalon. Avec l'étroitesse de la braguette boutons, les couilles paraissent dodues à souhait. La queue pend dessus. << Comme ça j'aime beaucoup ! >> s'écrie Julie. Clémentine se lève pour prendre le téléphone posé sur le buffet. Elle s'accroupit devant moi pour prendre une photo. Elle dit : << Une autre mais sans les roupettes ! >>. Je remballe les joyeuses pour ne laisser pendre que mon sexe mollasse.

<< Je peux prendre une série de clichés, après, au salon ? >> demande Julie. << Julien se fera un plaisir de poser ! >>. Nous terminons ce succulent repas en riant beaucoup des frasques qui se préparent. << Vivement les vacances ! >> font les filles à plusieurs reprises pour ponctuer leurs phrases. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Tout en essuyant, Julie ne cesse de loucher sur mon sexe lorsque nous nous croisons, torchon à la main. Clémentine plonge. Je lui dépose des bisous dans la nuque. Impatients, nous quittons la cuisine.

Clémentine m'entraîne vers la bibliothèque. Elle allume une des lampes de chevets posée sur un des guéridons. Julie, tenant son téléphone paraît bien impatiente. Je sors à nouveau mes couilles. Clémentine, accroupie devant moi, ajuste l'ensemble. Elle tire sur la peau fripée du prépuce. Tire sur le sexe. << Essaie de rester mou ! >> me dit elle. C'est difficile car toute cette préparation est plutôt excitante. Je tente de vivre l'instant sous son aspect ludique. Je garde les mains derrière le dos. Clémentine me place selon la lumière. Quelques essais.

Elle se retire. << Tu prends bien la lumière ! >> dit elle. Nous rions de bon cœur. Julie s'accroupit à son tour. Elle se concentre. Un premier cliché. Elle en contrôle la qualité, nous montre. << Parfait ! >> s'écrie Clémentine en me faisant me tourner vers la gauche. Julie prend un nouveau cliché, nous montre. << C'est super ! >> lance Clémentine qui adore diriger les prises de vue. Julie, toute gênée, essaie de se concentrer sur l'aspect "travail". Je l'y encourage en précisant : << Prenez plusieurs photos sous différents angles. En documentation ! >>.

À chaque nouveau cliché Julie me fait le plus adorable des sourires en me lançant un regard furtif. Une dizaine de clichés plus tard, lorsque je bande comme un taureau en rut, Julie dit : << Comme ça c'est bien aussi mais beaucoup trop convenu. Je préfère "au repos" ! >>. Clémentine s'écrie : << Moi aussi, je trouve que les bites mollasses sont beaucoup plus représentatives, suggestives. Et en ce qui me concerne beaucoup plus excitantes ! >>. Julie s'empresse de répondre : << Molle, ça traduit davantage du caractère de son proprio ! >>.

Avec l'excitation, une goutte de liquide séminal vient perler à l'extrémité de la peau du prépuce. << Ah oui, sublime ! >> s'écrie Julie qui prend une nouvelle photo. Je débande. << Regardez ! >> nous fait elle en nous montrant le cliché. << C'est plus expressif avec la goutte ! >> s'écrie Clémentine. << Je crois que ça va être mon modèle d'inspiration. Je fais une première version à la gouache. Je vous montrerai vendredi ! >> lance Julie. Nous rions comme des fous. Nous voilà installés tous les trois dans le canapé. Clémentine entre Julie et moi.

Nous regardons les photos. C'est hyper excitant des doigts de fille qui tiennent un téléphone sur l'écran duquel défilent des photos de queue, de couilles. Bien vicelard aussi. Je remballe mes couilles. Avec la position assise, la braguette exerce un effet "garrot" presque douloureux. Je ne laisse que ma bite à l'air. Julie se penche parfois pour la regarder tout en scrutant celle des photos. Elle nous explique la suite des opérations. Une première version à la gouache ou à l'acrylique d'après photo. La seconde version définitive d'après le modèle original.

Nous rigolons comme des bossus. Julie devra nous laisser pour 22 h. Nous avons encore un peu de temps. Clémentine joue avec ma queue. Pour mieux voir Julie s'installe dans le fauteuil en face de nous. Seule la petite table basse nous sépare. Clémentine se tourne vers moi pour dire : << Je me suis trahie tout à l'heure. Maintenant tu connais la destination de nos vacances ! >>. Je réponds : << Moi ? Pas du tout. Je n'ai rien entendu ! Carcassonne, non, je crois ? >>. Clémentine se met à rire en posant sa tête sur mon épaule. << Je t'aime ! >> dit elle.

Je demande : << Julie. Ce serait merveilleux de vous emmener avec nous une semaine. Nous serions quatre membres du même "Club" à faire les quatre cent coups ensemble. Tous les jours ! >>. Julie n'ose pas soutenir mon regard. Aussi, c'est à Clémentine qu'elle s'adresse quand elle ne fixe pas mon sexe : << Je vous promets de faire tout mon possible. J'en rêve moi aussi. Mais j'adore mes parents. Ils sont tellement contents quand je suis avec eux. Je suis souvent déchirée par ce sentiment. Depuis petite ! >>. Nous écoutons en silence.

<< Tu fais comme tu peux. Nous somme un peu ta seconde famille ! >> lance Clémentine. << Si je viens je participe financièrement ! >> fait encore Julie. Je m'empresse de préciser : << Vous êtes notre invitée. Pas de ça entre nous ! >>. Julie s'effondre de plaisir au fond de son fauteuil. << Ça me gêne ! >>. Clémentine rajoute : << C'est interdit. On jouit et on se tait ! >>. Nous rions aux éclats. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Elle revient vendredi. Je pisse contre la portière de sa voiture avant le dernier bisou du départ.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines que tous ces projets émoustillent. Qui se font brouter le minou sous les draps avant le dodo...

Julien (Modèle académique pour filles peintres)



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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 33 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode1839 -



Estelle nous rejoint en soirée

Hier matin, mardi, il est presque six heures. Le cri des mouettes est particulièrement strident. Le clapotis de l'eau semble venir jusqu'aux pieds de notre lit. L'application "océan" nous tire du sommeil avec son illusion quotidienne. Clémentine se blottit contre moi. Quelques papouilles. des bisous. Nous nous précipitons aux toilettes. Quand elle termine à midi Clémentine est souvent espiègle et joueuse dès le réveil. Morts de faim, vêtus de nos leggings de lycra noir, de nos sweats de lycra jaune, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.

Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Ce matin elle le fait en imitant l'accent méridional de Juliette. Je suis déjà plié de rire en pressant nos oranges, en pelant nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner. Il y a les deux gros croissants aux amandes que je passe au four à micro ondes. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le projet de Julie. Faire un portrait à l'huile de mon sexe. Nous rions de bon cœur de cette idée tout à fait farfelue qui n'est qu'un prétexte aux situations vicieuses dont raffole Julie. Des réjouissances à venir.

Il est 6 h25. Nous remontons pour achever de nous réveiller. Une heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, exercices au sol. Charges additionnelles. Le retour au calme avec un stretching complètement déconnant. La douche. Je descends le premier pour sortir la voiture. Ce matin le ciel est gris, voilé mais pas du tout menaçant. Il fait presque doux. 7 h45. Clémentine vient me rejoindre. Elle porte sa veste en cuir cintrée à la taille, une écharpe de soie. Si belle. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je rentre.

Je fais la vaisselle, le lit avant de passer dans l'atelier. Ce matin je n'allume que le Godin. Le petit poêle rond de fonte noire. Avec les deux radiateurs sa puissance calorique sera amplement suffisante. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. Je suis d'esprit déconneur. Cadeau de Clémentine avant de s'en aller. Je ris de ses facéties matinales. La peinture de ce second paysage destiné à ma saison d'été m'accapare toutefois rapidement. Je peins dans une sorte d'euphorie qui me fait pousser des cris totalement surréalistes.

Il est 11 h55. Je mets une bûche dans le poêle avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Pendant que réchauffent les deux quiches aux fruits de mer, je lave les feuilles d'une grosses laitue. Pour ce soir également. J'écoute Sud Radio tout en préparant mon repas. Aujourd'hui encore André Bercoff mène son émission avec sa verve habituelle. Il est évidement question des candidats à l'élection présidentielle. Des magouilles du cabinet Mckinsey de Foutriquet premier. Je mange de bon appétit. Je fais la vaisselle avant de monter me laver les dents. J'ai à faire.

De retour à la cuisine, je lave le gros choux fleurs dans de l'eau vinaigré. Je l'ébouillante quelques minutes dans l'autocuiseur. J'étale les deux tiers de la pâte feuilletée bien décongelée dans un plat à tarte aux bords hauts. Je concocte une Béchamel. J'y rajoute du gruyère de Comté finement râpé, le choux fleurs égoutté. Je verse le mélange sur la pâte étalée. Je recouvre du dernier tiers de pâte feuilletée. Je badigeonne de l'amalgame d'œuf, lait de soja et moutarde à l'ancienne. Au four électrique pour une cuisson très lente à juste 180°.

La dernière vaisselle. Il est 13 h30 quand Clémentine rentre de cours. Exceptionnellement aujourd'hui elle est restée en salle de documentation avec Estelle et d'autres étudiants. Avec l'arrivée prochaine des vacances elle préfère finaliser ses écrits. Et cela lui permet de rester libre cet après-midi. Je reste assis avec elle lorsqu'elle savoure sa quiche et la salade. Clémentine mange de bon appétit en me racontant sa matinée. J'écoute car c'est passionnant. Surtout qu'elle parsème son récit d'amusantes anecdotes. Estelle nous rejoint ce soir.

Nous faisons le peu de vaisselle ensemble. J'accompagne Clémentine à la salle de bain. Elle adore quand je la caresse, debout derrière elle à lui déposer des myriades de bises dans le cou. Pressés de filer, nous descendons les escaliers à toute vitesse. Le thermomètre extérieur indique 20°. Avec ce ciel gris, devenu menaçant, nous préférons nous offrir une courte randonnée. Dans le petit sac à dos que je porte, nos K-ways, les minis parapluies, barres de céréales, pommes, une gourde d'eau. Nous allons jusqu'à la rivière en nous tenant par la main.

Nous restons sur le sentier. Clémentine me parle de ses cours, de ses études. L'échéance du Master II qu'elle prépare pour juin est la dernière épreuve avant le Doctorat d'ici deux ans. Ces deux années d'études à venir seront beaucoup plus sereines car exclusivement consacrées à sa thèse. Tout cela réjouit clémentine qui sautille, s'arrête, me fait un bisou, m'entraîne par la main. Nous nous embrassons comme des fous à plusieurs arrêt. Glissant sa main dans ma braguette ouverte, Clémentine en tire le locataire. Je bande plutôt mou.

<< J'aime ta bite. Pendant les vacances je vais faire ma salope ! Tu n'as pas idée ! >> dit elle à chaque fois qu'elle se penche pour déposer un bisou sur mon sexe. Nous passons le vieux lavoir avant de traverser l'étroite route communale. Il y a plein de voitures dans la cour du haras. Nous longeons le ruisseau qui coule à trois cent mètres des écuries. Nous arrivons aux Dolmens. Nous croisons quelques jeunes cavalières qui nous saluent. À chaque fois j'ai juste le temps de dissimuler ma queue. Clémentine aussi aime me mettre dans l'embarras.

C'est la boucle des quatre heures en revenant par la forêt. Il est presque dix huit heures quand nous sommes de retour. Nous remplissons la brouette d'une vingtaine de bûches. Voilà la voiture d'entreprise qui descend lentement. Estelle dans son Kangoo. Elle se précipite pour me faire des bises. Je pousse la brouette alors qu'elle me touche déjà la braguette. Nous empilons les bûches à côté de la cheminée du salon, de la cuisinière à bois et de la cheminée de l'atelier. Estelle, toute contente, sautille dans toute la pièce. Elle aussi se réjouit pour les vacances.

<< Ce soir, tu me niques. Je suis trop contente ! >> lance Estelle en me sortant la bite. << Et moi j'ai du spectacle ! >> rajoute Clémentine. Estelle enfonce sa langue pour fouiller ma bouche avec fougue. Je bande dans sa main. Clémentine, penchée en avant, observe la poigne de fer d'Estelle qui enserre mon sexe dur comme du bois. Clémentine a raconté à Estelle le projet de Julie. Peindre ma bite. << Je veux être là. Je veux assister à l'élaboration de cette œuvre unique ! >> lance t-elle. << Semaine No 2 des vacances ! >> dit Clémentine.

<< Tu n'as pas honte ? Servir de modèle à une jeune fille de 20 ans qui se lance dans une carrière de peintre ! >> s'écrie Estelle en s'accroupissant pour humer mon Zob. << Une carrière en amatrice ! >> rajoute Clémentine qui se serre contre mon dos, ses bras autour de ma taille. Sa tête sous mon aisselle elle regarde ce que fait Estelle. À chaque fois qu'elle tente de gober mon sexe j'esquive juste au dernier instant. << Salaud ! Tu ne perds rien pour attendre ! >> s'écrie t-elle en se redressant pour m'embrasser à nouveau. Il fait faim. 18 h40.

Clémentine fait l'assaisonnement de la salade. Estelle met les assiettes et les couverts, la tourte au choux-fleurs réchauffe dans le four électrique. Quand les filles découvrent ce que j'ai préparé elles me couvrent les joues de bises. Je suis prié de garder la bite à l'air. << Elle va servir ce soir ! >> s'écrie Estelle qui se positionne sur un des coins de la table pour se frotter vulgairement. Immédiatement Clémentine l'imite. Je sais bien qu'elles ne font jamais semblant. Elles se masturbent toutes les deux réellement. Je contemple ce merveilleux spectacle.

La sonnerie du four. Estelle et Clémentine se redresse. << Wouah ! Ça fait du bien ! >> lance Estelle. << Je pourrais passer la soirée à ça ! >> rajoute Clémentine. Je dis : << Mais tu vas passer ta soirée à "ça" ! >>. Nous éclatons de rire. Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent leurs études. Ce Master II qu'il faut préparer dès le début du troisième trimestre. Elles aiment les challenges et ont pour habitude de réussir tout ce qu'elles entreprennent. Nous ne traînons pas. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Les filles m'entraînent au salon.

Estelle m'arrache carrément mes vêtements. Me voilà juste en sweat et en chaussettes. Mes deux anges jettent leurs jeans et leurs culottes n'importe où en riant. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Nous avons presque deux heures devant nous. Je prends les initiatives qui enchantent mes deux anges. Je soulève Estelle qui enserre ma taille de ses jambes. Accrochée à moi je l'emmène faire le tour de toute la grande pièce. Clémentine, vautrée dans le fauteuil, se masturbe déjà en observant le "show". C'est rudement bon de se frotter les sexes.

Je bande comme le dernier des salauds. Ma queue à l'orifice de la vulve d'Estelle. J'en oublie la fatigue qui nous gagne Clémentine et moi. Je dépose Estelle sur le bureau. C'est la bonne hauteur. En appui sur ses coudes elle me fixe de son regard profondément troublant. Je frotte mon sexe contre le sien afin d'écarter la fente. Faire jaillir les lèvres comme les pétales d'une tulipe. J'ai envie de lui bouffer la chatte. Je me raisonne. C'est la baise qu'elle veut ma coquine. Je saisis ses chevilles pour la faire basculer en arrière. Elle se couche en gémissant.

Je la pénètre avec d'infinies précautions. J'aime la voir se mordiller la lèvre inférieure. Elle se touche, stimule son clitoris. D'un coup de reins elle s'enfile soudain mes 20 cm. Je la baise jusqu'aux couilles. Comme elle aime. Sans le moindre ménagement. Alternant l'homme de Néandertal avec celui de Cromagnon pour passer à l'homme des bois puis à l'homme des cavernes. Dans un concert de hurlements. Clémentine, tout en se masturbant, vient nous rejoindre. Elle se penche pour regarder ma queue faire la "machine à coudre". Je nique.

Estelle me repousse soudain délicatement. Sans cesser de se masturber, elle est la victime d'un orgasme fulgurant. Depuis quelques temps elle a de véritables éjaculations de cyprine. Dès que je me suis retiré, la queue pleine de mélange juteux, Clémentine tombe à genoux pour la sucer. Sans cesser de se branler. Je me penche pour sucer Estelle, aspirer tout ce que je peux. Elle en pousse des cris de plaisirs. J'éjacule dans la bouche de Clémentine. Estelle reprend ses esprits. << Tu es fou ! C'est monstrueusement bon ! >> me dit elle. Je jouis en criant.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se voir offrir un cunnilingus sous les draps avant de s'endormir contre leur lécheur...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 34 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1840 -



Juliette a du mal à cacher ses sentiments

Hier matin, mercredi, il est presque six heures. Nous sommes arrachés de nos profonds sommeils par les illusions parfaites de l'application "océan". Le cri des oiseaux de mer semble exister dans la chambre. Le bruit du ressac tout proche. La sonorité grave de la sirène d'un gros bateau. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. Elle se frotte un peu pour se réveiller davantage. Quelques papouilles. Des bisous. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, dans nos tenues de gymnastique, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine.

Clémentine fait le café. J'aime l'entendre raconter ses rêves pendant que je presse les oranges, que je pèle les kiwis. Le grille pain qui éjecte ses premières tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée, hier. La baise délirante avec Estelle sous le regard de Clémentine. Les orgasmes sidérants qui en ont découlé. Nous mangeons de bon appétit en évoquant Juliette. Elle vient passer la soirée avec nous. Nous passons en revue les différentes options de repas. C'est Clémentine qui suggère une tarte à la courgette et à l'aubergine.

Il est 6 h25. Nous remontons pour pratiquer notre heure d'entraînement. Il faut y mettre l'intensité maximale. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, exercices au sol. Les charges additionnelles qui précèdent le retour au calme d'un stretching bâclé. Bâclé parce que nous faisons nos étirements trop vite. Peur de nous retrouver en retard. Mais parce que c'est barbant aussi. La douche. Je descends pour aller préparer la voiture. Il est 7 h45. Le sol est trempé. Le ciel est un maelstrom d'épais nuages gris. Clémentine me rejoint dans la fraîcheur.

Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer pour faire la vaisselle, le lit. Dans l'atelier j'allume une belle flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. Je suis rapidement absorbé par la peinture de ce second paysage destiné à ma saison d'été. Par association d'idée je pense à Julie. À son projet de peindre mon sexe d'après une des photos prises en gros plan. Je peins dans une sorte de joie facétieuse à l'idée de ce "portrait" intime. La matinée passe très vite.

Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine. La pâte feuilletée a décongelé. Je réchauffe la dernière part de tourte au choux fleurs de hier soir. Je lave les feuilles d'une belle scarole. Pour maintenant et pour ce soir. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff reçoit un invité remarquable. Le sujet des élections présidentielles qui s'annoncent est un sujet qui mérite d'être vu sous différents angles. Mais pourquoi ne pas voter directement le cabinet McKinsey ? Cela éviterait de payer d'inutiles ministres !

Je débarrasse. Je déroule la pâte pour bien l'étaler dans le grand plat à tarte. Je coupe et je lave une grosse courgette et une énorme aubergine. Je les coupe en fines tranches pour les disposer sur la pâte. Je verse sur le tout le "flan" à base d'œufs, de fromage blanc, de lait de soja. Je recouvre d'une bonne couche de gruyère de Comté. Je saupoudre de chapelure. Au four électrique pour une cuisson lente à 180°. Il faut que la tarte mijote longuement. Je débarrasse pour faire la vaisselle. Je monte me laver les dents. Je me change rapidement. 13 h10.

C'est en secret que je vais me rendre en ville chez mon ami bijoutier. Je vais y récupérer la bague pour l'anniversaire de Clémentine samedi. Il pleut à verse. De véritables giboulées de mars. Je roule doucement. Il y a une quinzaine de kilomètres. Je gare l'auto dans le parking souterrain à proximité du centre ville. C'est un bijoux magnifique que j'ai créé. Une bague en or blanc finement ciselée de motifs Celtes. Un sublime spinelle Birman aux éclats rouges discrètement incrusté dans la partie large. Monsieur Charlier a du mérite. C'est un beau travail.

À l'intérieur de l'anneau sont gravés le prénom et la date. Cet objet unique marquera les 25 ans de Clémentine. Paiement par chèque. Je me dépêche de retourner à la voiture. Je rentre en roulant prudemment. Je suis doublement serein. Le repas de ce soir est prêt. Le cadeau pour l'anniversaire de Clémentine est dans son écrin de velours noir. Il est 15 h30 quand je suis de retour. Je me change. Personne ne pourra se douter de mon escapade en ville. J'avoue tout à Clémentine samedi. Me voilà dans l'atelier, confortablement installé devant mon chevalet.

Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle se précipite pour s'assoir à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou, se frottant parfois, elle me raconte sa journée. Le repas du restaurant universitaire. << Estelle me charge de te faire un million de bisous ! >> murmure t-elle à mon oreille avant de rajouter, mutine : << Sur la bite ! >>. Nous rions de bon cœur. Clémentine a encore du travail. Son écrit à rendre vendredi matin. Encore une dissertation qu'il faudra présenter avec un oral de deux minutes. Comme des minis thèses.

Elle est assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches. J'aime l'entendre commenter ce qu'elle fait. Maugréer quand elle n'arrive pas à relire les notes prises en cours. Je nettoie la palette, les pinceaux en écoutant sa prose. Tenant sa feuille à la main elle me fait une première lecture. J'applaudis en disant : << C'est vraiment parfait. Je n'y comprends pas grand chose sur la chimie des métaux, mais c'est vraiment très "littéraire" ! >>. Clémentine s'assoit sur mes genoux pour m'en faire une seconde lecture. Je la félicite en lui déposant plein de bises.

Je pense au cadeau qui est caché. Je chuchote à son oreille : << Je t'aime. Mais méfie toi, je suis également très amoureux ! >>. Elle enfonce soudain sa langue dans ma bouche pour m'embrasser passionnément. Nous nous levons sans cesser de fouiller nos bouches de nos langues. Je bande comme fou. Clémentine me sort la bite. Je me lave les mains au-dessus du petit lavabo de l'atelier. Clémentine range ses papiers. << Garde bien ta bite à l'air. Pour moi d'abord. Pour Juliette qui aime beaucoup ça ! >> lance Clémentine en venant me rejoindre.

Accroupie elle dépose plein de bises en mitraille sur mon sexe. << De la part d'Estelle ! >> dit elle. << De ma part ! >> rajoute t-elle avant de la gober pour la sucer avec amour. Je caresse son visage. J'aime passer mes doigts le long de ses joues creusées par l'effort de succion. La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine se redresse pour se précipiter vers la desserte. << Juliette. Elle arrive ! >> lance t-elle. Elle m'entraîne par la main. Nous quittons l'atelier. Nous accueillons notre amie dans le hall d'entrée. Son parapluie qui dégouline d'eau.

Ce soir Juliette est vêtue d'un blouson de cuir noir. D'un pantalon noir à pinces et à plis. De souliers de ville style mocassins mais à légers talons. Une écharpe de soie mauve. Ses longs cheveux noirs flottent sur ses épaules jusqu'au milieu de son dos. Nous nous touchons les poings. Nous sommes contents de nous revoir. Juliette prend les deux mains de Clémentine en disant : << Samedi soir, votre anniversaire. Je prépare un repas de fêtes. Vingt cinq ans, ça se marque d'un souvenir inoubliable ! >>. Juliette fait mine de ne pas voir mon Zob.

Attitude féminine que j'apprécie beaucoup. C'est encore plus excitant. Je débarrasse Juliette de son blouson, de son sac à main que je pose sur le guéridon. Elle nous prend par le bras. Nous sommes tous les trois devant le grand miroir du hall d'entrée. Entre Clémentine et moi. Avec son mètre soixante quatorze Juliette nous semble toute petite. Avec son accent méridional elle nous fait : << Bande de "grands" ! >>. Nous rions de bon cœur. Nous allons à la cuisine. Il est 18 h40. J'allume immédiatement le four électrique pour réchauffer la tarte.

Clémentine fait l'assaisonnement de la salade déjà lavée. Juliette met les assiettes et les couverts en nous racontant sa journée. Dès le mois prochain des propriétaires viendront récupérer leurs chevaux. Juliette attend cette fin de saison avec impatience. Ça y est. Elle fait semblant de remarquer ce qui pend de ma braguette. Elle a soudain ce regard sévère. Un réflexe habituel qui n'est qu'un jeu. << Samedi soir, il y en aura plusieurs ! >> lance t-elle à l'attention de Clémentine. Elle rajoute : << Je vous concocte un superbe Gloryhole d'anniversaire ! >>.

Clémentine, les yeux pétillants de malice, demande : << Rien que pour moi ? Vous ne participez pas un peu ? >>. Juliette fixe mon sexe en répondant : << Avec votre permission j'aurais fort à faire ! >>. Clémentine cesse de remuer la salade pour fixer mon sexe. Les deux femmes observent en silence. Je bande mou. Je tiens mon Zob à sa base entre le pouce et l'index pour l'agiter vers elles. Clémentine mime une fellation en disant : << Juste ça ! >>. Juliette fait pareil en répétant : << Juste ça ! >>. Je me masturbe en faisant : << Juste ça ! >>.

Nous rions de bon cœur. C'est Juliette qui retire la tarte du four dès la fin de la sonnerie. Pour que je ne risque pas de me brûler. J'adore voir une femme accroupie, de dos. Rien ne m'excite davantage. Surtout quand c'est une sublime bourgeoise de 48 ans, éminemment salope et entreprenante. Clémentine me fait un clin d'œil en la montrant du doigt. Elle dit : << Je ne sais pas si j'ai envie de gouter ta queue avant la tarte ou après ! >>. Juliette, en se redressant pour poser la tarte fumante et dorée sur la table, répond pour moi : << Avant et après ! >>.

Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Juliette nous raconte la pipe de lundi après-midi à son vétérinaire. Sa soirée "Partie carrée" de samedi. << Avec la ménopause je pensais me calmer ! C'est tout le contraire. Surtout que j'ai aucun effet désagréable. Peut-être parfois une légère fatigue ! >> rajoute t-elle en posant sa main sur la mienne. C'est un geste délicat, affectueux qui traduit les sentiments que cette femme éprouve pour moi. Clémentine toussote avant de dire : << Je vous en prie Juliette. Attendez au moins samedi soir ! >>. Nous rions.

Durant tout le repas, tout en discutant, Juliette me lance de nombreux regards. Elle ne peut dissimuler les sentiments qui l'animent. Comme nous nous voyons très peu depuis cet hiver, c'est flagrant. Clémentine qui voit tout calme le jeu en précisant à plusieurs reprises : << Chasse gardée ! >>. Ce à quoi Juliette répond invariablement : << J'attendrai l'ouverture de la chasse ! >>. Nous rions beaucoup. Quand Juliette raconte ses frasques, je me masturbe sous la table. Son regard sévère quand elle fait semblant de s'en rendre compte. Je bande dur.

Nous traînons à table. Je me lève souvent pour me branler vulgairement. Ce soir davantage vers Clémentine dont je suis encore épris de désir, fou amoureux. Notre complicité est telle que c'est elle qui focalise toute mon attention. La vaisselle. Juliette devra nous laisser pour 22 h. Nous passons au salon pour y prendre le dessert. Assise dans le fauteuil qui nous fait face, Juliette se touche tout en bavardant. Clémentine joue avec ma queue. Nous sommes installés dans le canapé. Juliette nous donne les horaires pour la fête de samedi soir.

Nous sommes attendu pour le repas du soir à 19 h. Les festivités du Gloryhole commenceront à 20 h30. << Je vous réserve quelques belles surprises ! >> précise Juliette à Clémentine qui ne peut cacher sa joie, son excitation. Elle lance soudain : << Je suce mais je ne baise plus avec des inconnus ! >>. Juliette éclate de rire avant de répondre : << Mais c'est une soirée pipe. Pas une soirée baise. Celles-là sont pour moi ! >>. Je me lève le premier. Clémentine pose sa tête contre ma hanche en agitant ma queue en direction de Juliette qui observe.

<< Le jour où je pourrai baiser avec Julien sera à marquer d'une pierre blanche ! >> lance Juliette en se levant. << Il faudra vous contenter de Pierre encore quelques temps ! >> dit Clémentine en se levant à son tour. Nous raccompagnons Juliette jusqu'à sa voiture. Sous le parapluie. Juliette me prend discrètement la main pour la serrer fort plusieurs fois. Clémentine me prend le bras pour que ça cesse. Assise au volant, la vitre baissée, Juliette nous fait : << Je vous attends samedi. Il y aura plein de délicieuses surprise ! >>. Un dernier coucou.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines émoustillées à l'idée de ce qui les attend pour leur anniversaire. Un bon cunnilingus avant dodo...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 35 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1841 -



Estelle et Clémentine évoquent la soirée de samedi

Hier matin, jeudi, le cri strident des mouettes nous arrache du sommeil avec une telle violence. Il est presque 6 h . Les sirènes de quelques chalutiers qui rentrent de pêche. L'illusion de nous réveiller dans un port quelque part en Écosse. C'est notre référence immédiate car nous l'avons tant vécu. L'application "océan" achève de nous réveiller en moins de 45 secondes. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. Ce matin encore c'est tellement difficile qu'à peine debout, je soulève Clémentine pour l'emmener comme une jeune mariée aux toilettes.

Morts de faim, habillés de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Une fois encore Anahmyel est le seul personnage dont elle se souvient. Je presse nos oranges, je pèle les kiwis en écoutant. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la présence de Juliette hier soir. << Je suis encore morte de trouille à l'idée de ce qui va se passer samedi soir ! >> me confie Clémentine. Je la rassure en précisant : << Un Gloryhole rien que pour toi. Pour toi toute seule ! >>.

<< Beurk, toutes ces bites ! >> rajoute encore Clémentine. Nous rions de bon cœur. Une fois en situation Clémentine vivra d'indescriptibles instants. Nous mangeons de bon appétit en envisageant ce qui va se passer. << Tu ne baises pas avec Juliette, hein, promis ! >> s'écrie Clémentine. Je réponds : << Ne t'inquiète pas. Je resterai avec Estelle. Nous aurons fort à faire ! >>. C'est sur ces propos qui la rendent sereine que nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Il est 6 h25. Aérobic, jogging sur tapis roulants. C'est poussif.

Les exercices au sol, les abdos avant les charges additionnelles. Le retour au calme d'un stretching approximatif. La douche. Je descends le premier pour sortir la voiture du garage. Il pleut. La fraîcheur est à nouveau beaucoup plus marquée. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre dans son anorak. Sous le parapluie. Un dernier bisou. << J'ai la trouille. Je ne sais pas si c'est ça qui m'excite ou les souvenirs ! >> murmure t-elle avant de monter dans l'auto. Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer au sec et au chaud. L'hiver est de retour.

Je fais la vaisselle, le lit avant d'aller dans l'atelier. J'allume une belle flambée dans la cheminée. Installé confortablement devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ce second paysage destiné à ma saison d'été me plonge dans les profondeurs de ma passion. Je peins en pensant aux mots de Clémentine. En pensant à Juliette. Par association d'idée au Gloryhole qui marquera l'anniversaire de Clémentine. C'est très excitant de savoir que c'est un des cadeaux pour ses 25 ans. Des souvenirs vraiment inoubliables.

Il est 11 h50 quand je dépose la dernière touche de pigments sur la surface de la toile achevée. Dès cet après-midi je pourrais m'atteler au troisième paysage. Toujours d'après une photo des environs prise durant nos randonnées. Je mets deux bûches dans la cheminée avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer la dernière part de tarte à la courgette et à l'aubergine. Je prépare une salade de carottes. C'est rapide. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff y reçoit deux journalistes de Médiapart. Intéressant.

Les élections présidentielles à venir accaparent les attentions au point de reléguer les évènements dramatiques de l'Ukraine au rang de simples actualités. Mais sur cette station les informations ne sont ni formatées, ni calibrées et restent d'une totale transparence. C'est édifiant d'assister aux "trucages" qui se mettent en place. Je débarrasse. Dans le saladier je prépare la pâte à crêpe. Dans la poêle je fais rissoler des crevettes et des ronds de calmars décongelés. Je coupe et je lave de fines tranches de pommes de terre. Ce sera pour ce soir.

Je fais revenir les tranches de pommes de terre dans l'huile sans cesser de les retourner avec une spatule en bois. Je les retire pour les déposer sur des feuilles de papier absorbant. Je fais de même avec les crevettes et les ronds de calmars. Les feuilles disposées sur les plaques du four électrique. Le nécessaire pour les beignets du repas de ce soir est prêt. Je fais la vaisselle. Je monte me laver les dents. Dehors la pluie ne cesse de tomber avec une sinistre régularité. Je dévale les escaliers pour retourner dans l'atelier. L'odeur du feu de bois.

Je commence cette nouvelle toile avec l'enthousiasme du débutant. À nouveau je pense à samedi soir. Ce n'est pas le premier Gloryhole pour Clémentine. Malgré ses appréhensions bien légitimes je sais qu'une fois dans l'action elle vivra là d'extraordinaires moments d'extases. Je me réjouis pour assister à tout cela en tant que spectateur. J'adore la voir sucer de l'inconnu. Avec le principe du trou dans le mur, c'est le summum. Estelle, grande voyeuse, va encore trouver là matière à ses penchants. Nous serons tous les deux aux toutes premières loges.

Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table avant de se précipiter vers moi. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le repas du restaurant universitaire. Elle me confie avoir pensé souvent à ce qui l'attend samedi soir. << Je n'arrête pas de me toucher en roulant. Que ce soit en allant en cours le matin ou en revenant le soir ! >>. Elle s'empresse de rajouter pour me rassurer : << Je roule prudemment. De toute façon je ne croise quasiment jamais aucune auto ! >>.

Clémentine a encore du travail. La finalisation de l'écrit à rendre demain matin, vendredi. Assise devant son ordinateur, entourée des notes prises aujourd'hui, elle commente à haute voix. J'adore. Il est 18 h15. Estelle arrive à son tour pour se précipiter vers moi. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, nous écoutons Clémentine déclamer son texte. Nous rions comme des fous car elle imite l'accent méridional de Juliette pour certaines phrases. << À moi ! >> lance Estelle qui déplie la feuille qu'elle tire de la poche arrière de son jeans.

C'est Clémentine qui est assise sur mes genoux. Nous écoutons. Nous applaudissons. Comme pour presque toute leur scolarité mes deux anges ont toujours préparé leurs travaux dans une étroite connivence. Rusées et stratèges elles savent masquer les similitudes en changeant l'expression écrite. C'est encore très fort. Je nettoie la palette, les pinceaux pendant que les filles font les derniers ajustements des oraux qui accompagneront la remise de leurs textes. Je dis : << Vos profs seront encore bluffés ! >>. Estelle rajoute : << Dupés ! >>.

Dès que je me lave les mains au-dessus du petit lavabo de l'atelier, Estelle se précipite. Quand je retire ma blouse avant de le faire, elle découvre ma braguette toujours ouverte. Elle y fourre sa main debout derrière moi. Je m'essuie avec la serviette. Ma bite dans sa poigne de fer. << Hier soir, Jean-Marc m'a niqué ! Si tu savais ! J'en ai le minou tout congestionné. Tu me feras un contrôle après le repas ? >> chuchote t-elle . Clémentine vient nous rejoindre. << La deuxième semaine des vacances ton parrain viendra voir le chauffage ! >> dit elle.

Jean-Marc, le parrain d'Estelle, en sa qualité de chauffagiste viendra découvrir l'installation particulière dans notre maison d'amis. Elle a déjà baisé avec lui. Une récidive serait très sympathique. A l'idée d'être caché dans le placard pour assister à ce spectacle, je bande comme le dernier des salauds, dans la main d'Estelle. Je découvre que les deux coquines ont déjà tout manigancé. Elles préparent leurs petites combines durant le repas au restaurant universitaire. Elles ne dispose que de 40 minutes. De quoi échafauder bien des stratégies. J'adore.

Estelle me masturbe doucement tout en bavardant. << Les programmes vont encore êtres chargés dans les prochains temps ! >> fait Clémentine qui se frotte contre ma hanche, ses bras autour de ma taille. Estelle fourre sa langue dans ma bouche. Clémentine se frotte d'un mouvement régulier. C'est à son tour de m'enfoncer sa langue. Nous restons serrés fort tous les trois. Je touche l'entrejambe d'Estelle qui elle aussi se frotte doucement. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Mes deux anges découvrent la surprise.

<< Mmhh, miam ! Des beignets de crevettes avec des chips ! >> lance Estelle en sautillant tout autour de la table. Clémentine me tient la bite. << Le plaisir est encore total ! >> dit elle. Estelle met les pommes de terre chips dans le four à micro ondes. Clémentine prépare la salade d'endives. Je fais bouillir l'huile de friture. Estelle verse les crevettes et les ronds de calmar dans la pâte à crêpes. Elle remue. Avec une cuillère elle récupère chaque crevette, chaque rond de calmar pour les mettre dans l'huile en ébullition. On laisse flotter une minute.

Avec l'écumoire Clémentine récupère chaque beignets pour le déposer sur du papier absorbant. Nous mangeons de bon appétit tout en revenant sur l'anniversaire de Clémentine samedi soir. << Tu vas encore être dans ton élément ! Plein de bites pour toi toute seule ! >> lance Estelle. Clémentine répond : << Rien que d'y penser là, maintenant, ça me dégoute tu n'imagines même pas ! >>. J'écoute cette conversation surréaliste en me tripotant sous la table. Estelle se lève plusieurs fois pour mimer une masturbation masculine. Vulgaire.

<< Moi, je suis la garde du corps. Je reste avec Julien pour éviter qu'il ne se fasse violer par Juliette ! >> dit elle à chaque imitation de branlette. Nous rions de bon cœur. J'ai mis deux ans avant de comprendre cette tactique élaborée par les deux coquines. Estelle a toujours été chargée d'éloigner tous "risques". C'est adorable. Je me lève pour agiter ma queue. Une fois vers Clémentine. Une fois vers Estelle. Estelle qui revient sur sa baise de hier soir. Comme tous les mercredis à 20 h son parrain vient récupérer des cartons. C'est un prétexte.

<< Je suis certaine que maman est informée. J'ai un instinct infaillible. Je me demande souvent si ce n'est pas avec mon parrain et ma marraine que papa et maman faisaient des parties carrées. Je me souviens quand j'étais petite. Ils venaient souvent à la maison le samedi soir ! >> fait Estelle avec un air soudain sérieux et dubitatif. << Sûre ! On en a déjà parlé souvent. Tu te souviens quand on avait douze treize ans toutes les deux ? Quand je venais dormir avec toi ? On entendait de drôles de trucs ! >> lance Clémentine. Elles se regardent.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Estelle m'entraîne au salon par la bite. << Viens faire le "contrôle" ! >> dit elle en me faisant tomber dans le fauteuil. Estelle et Clémentine retirent leurs jeans, leurs culottes. Vautrées toutes les deux dans le canapé, tenant leurs jambes relevées sous les genoux, elles me présentent leurs minous. Combien de fois n'ai-je pas assisté à ce spectacle merveilleux. Ces deux croupions poilus dont il faut fouiller la broussaille. Seul le clitoris géant de Clémentine est parfaitement accessible. Je suis à genoux.

C'est toujours par le sexe d'Estelle que je commence mes dégustations. Ce soir encore c'est hyper sensible. À peine ai-je fourré ma langue le long de sa fente qu'elle se trémousse. Je dois recracher quantité de poils. C'est toujours un spectacle grandiose auquel j'assiste. Les fines lèvres de la vulve d'Estelle jaillissent comme par miracles. Ce n'est pas sans évoquer les pétales d'une tulipe. Sans être le moins du monde poète je ne peux m'empêcher de voir les choses ainsi. Estelle mouille considérablement. Depuis plusieurs moi, c'est un peu Niagara falls.

Je cesse pour passer à la cramouille de Clémentine. Je me ramasse du "yaourt". Elle aussi, considérablement excitée par la pensée du Gloryhole, a mouillé plusieurs fois aujourd'hui. Surtout en se masturbant au volant de sa voiture. Quand je ne fouille pas les plis et les replis de leurs intimités du bout de la langue, les deux coquines se masturbent d'un geste pendulaire. Clémentine tient son clitoris géant entre le pouce et l'index pour me l'offrir décalotté. Je suce sous ses gémissements lascifs. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il est déjà 21 h45.

Elle se paie un orgasme qui la fait hurler de plaisir. C'est extrêmement rare mais elle tient mon poignet afin que je ne retire pas le doigt que j'ai enfoncé dans le cul. Il y a deux véritables giclées de cyprine. Je la récupère en la léchant jusqu'entre la raie de ses fesses. Je doit recracher un nombre incroyable de poils. J'adore. Je passe à Clémentine qui m'offre de véritables coulées de jus de fille avec une éjaculation invraisemblable. J'ai de quoi me régaler. Nous reprenons nos esprits. Je dis à Estelle : << Samedi soir je te fais bouffer ma queue ! >>.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui adorent se faire lécher le minou. Surtout après s'être masturbée plusieurs fois aujourd'hui...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Classe - 36 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1842 -



Le vendredi Clémentine termine à midi

Il est presque six heures. L'illusion de nous réveiller dans quelques ports de pêche est encore totale. L'application "océan" nous bluffe de ses cris de mouettes. De ses sirènes de gros bateaux dans le lointain. Il y a même les clapotis du ressac. Comme tous les vendredis, Clémentine se blottit contre moi déjà facétieuse. De savoir que le week-end commence aujourd'hui à midi la tire de son sommeil dans une certaine euphorie. Des papouilles, des bisous. Je murmure : << Je suis fou amoureux de toi ! >>. Elle me chevauche en se frottant, en riant.

Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, habillés de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers. Il fait à nouveau froid car les radiateurs viennent à peine de s'enclencher. Pendant que Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis, j'allume un bon feu dans la cuisinière à bois. Nous prenons notre copieux petit déjeuner en revenant sur nos folies de hier soir. << C'est à cause de ces dingueries qu'on a tellement de mal à nous lever le matin ! >> lance Clémentine en venant terminer de manger assise sur mes genoux. Avec appétit.

<< J'aime quand tu me fais des déclaration dès le réveil. Ça me rend toute "chose" pour la journée ! >> rajoute t-elle. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Clémentine est encore hyper déconneuse ce matin. C'est donc avec un grain de folie que nous pratiquons l'aérobic, le jogging sur les tapis roulants. Les exercices au sol sont autant de prétextes à de nouvelles facéties de Clémentine. Les abdos en essayant de garder notre sérieux. Avec les charges additionnelles, ça ne déconne plus. Stretching. La douche.

Je descends le premier pour faire chauffer l'auto. Il pleut. Il fait un froid hivernale. Clémentine vient me rejoindre en sautillant. Emmitouflée dans son anorak dont la capuche bordée de fourrures synthétique la fait ressembler à une esquimau. Il est presque 7 h45. << Tu sais pourquoi les esquimaux à la vanille aiment aller au cinéma ? >> me demande t-elle accrochée à mon cou. Sans me laisser le temps de dire une ânerie elle répond : << Parce qu'ils adorent se faire sucer à l'entracte ! >>. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou.

Je me dépêche de rentrer au chaud. Au sec aussi. Je fais la vaisselle, notre lit avant d'aller dans l'atelier. J'y allume une belle flambée dans la cheminée. Le retour de l'hiver est un "poisson d'avril" dont nous nous serions bien passé. Quelle horreur. C'est sur ces considérations et habité de l'euphorie laissée par Clémentine que je prépare les couleurs sur la palette. Confortablement installé devant mon chevalet je peins dans une joie extatique. La peinture de ce troisième paysage destiné à ma saison d'été me plonge dans les profondeurs de ma passion.

Il est 11 h55 quand je mets deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les beignets de crevettes, de ronds de calmars dans le four à bois sur l'étage du bas. Sur l'étage du haut je réchauffe les pommes de terre chips. Je prépare une salade de tomates. J'écoute Sud Radio. André Bercoff consacre son émission aux élections présidentielles. Sur cette station on en apprend de "belles", des vertes et des pas mûres. Comment l'ensemble des politiciens peuvent-ils avoir atteint le fond de l'ignoble et du méprisable ?

Il est midi trente. Clémentine rentre de cours au moment où je mets les assiettes et les couverts. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. Je la promène dans toute la cuisine alors qu'elle mitraille mon visage de bisous. Répétant inlassablement des milliers de << Je t'aime ! >>. Elle éteint la radio en s'écriant : << Si c'est pour nous inciter à voter qu'ils ferment vos sales gueules ! >>. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. La remise de son écrit. Son oral qui a duré pile poil deux minutes.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine fait le programme de la journée. Du week-end. << Ce soir nous sommes seuls toi et moi. J'attends cette soirée toute la semaine. J'en ai de plus en plus besoin. Ça doit être l'âge ! >> dit elle. Nous rions de bon cœur. Elle change de position pour se mettre à califourchon. Elle murmure : << Ce soir, c'est moi qui te fait l'amour ! >>. Elle se frotte. J'adore quand elle fait ça. C'est tellement "profond". Elle cherche le meilleur angle en se contorsionnant, en se tortillant.

Bien évidement cela me procure l'érection d'un priapisme en phase terminale. On s'embrasse comme des fous. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Avec sa brosse elle fait une bosse à l'intérieur de sa joue. De la crème dentifrice autour de la bouche Clémentine mime une fellation en me regardant par en-dessous. Ce regard suggestif qui me rend fou amoureux. Tête contre tête nous nous rinçons la bouche au-dessus du lavabo avant de nous essuyer en dansant.

Je demande : << Tu as sucé qui ? >>. Clémentine me prend par la main en disant : << Oh, c'est juste un entraînement pour demain soir ! >>. En prononçant ces mots elle s'accroche soudain à mon cou comme une désespérée. << Demain soir ! Mais je suis morte de trouille ! >> s'écrie t-elle. Je la soulève en la rassurant : << Pas d'inquiétude, je serai là, tout près, à t'encourager, à te protéger et à te regarder ! >>. Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche pour m'embrasser passionnément. Nous dévalons les escaliers pour aller dans l'atelier.

Je mets deux bûches dans la cheminée. Dehors la pluie tombe sous un ciel uniformément gris et morose. Sinistre. Clémentine, assise devant l'ordinateur consulte nos boîtes mail. Aucun message. Je la rejoins. Debout derrière elle je lisse ses longs cheveux presque noirs. Clémentine adore ces séances de lissages. Elle surfe sur le site de l'université. Elle m'explique ce que nous voyons sur l'écran. Des courbes, des graphiques. Des statistiques. Clémentine saisit mes poignets pour guider mes mains qu'elle pose sur ses tous petits seins. Les bouts tendus.

Je caresse avec d'infinies douceurs. Je passe mon doigts sur les extrémités qui durcissent. C'est merveilleux. Je déboutonne sa chemise à carreaux. Leurs petites tailles ne nécessitent aucun soutien gorge. J'y accède sous les frissons soudain de Clémentine. << Je vous aime monsieur. Vous êtes toujours tellement attentionné avec moi ! >> murmure t-elle à mon oreille. Elle se lève. Elle m'entraîne par la main jusqu'au vieux canapé de velours carmin de l'atelier. Elle m'y fait tomber. Je la regarde enlever son jeans, sa culotte. Ses baskets.

Clémentine, en chaussettes, sa chemise à carreaux déboutonnée, virevolte dans toute la grande pièce. Comme elle est sexy. Comme elle est attractive. Une fille grande, athlétique, au longs cheveux qui flottent autour de sa tête. Il y a quelque chose "d'équestre" dans cette image. Je sors mon sexe. Je me masturbe en admirant sa danse. Comme une ballerine qui ferait ses pointes, elle prend des poses gracieuses. Une maîtrise totale de son corps. Merci la gym du matin. Elle se précipite pour se mettre à califourchon sur mes cuisses. Pour se frotter. Lascive.

C'est ainsi que je la pénètre en ce début d'après-midi. Nous sommes étourdis de passions. Le vertige ne se contrôle qu'en restant agrippé l'un à l'autre. Nous nous embrassons avec tant de fougue que nous bavons. Les mentons trempés de salive. Je murmure à son oreille : << Tu es aussi nécessaire à mon existence que l'air que je respire. Je t'aime au-delà de la raison ! >>. Clémentine bouge doucement. Nous changeons de position en restant emboités. << Je t'aime. Comme c'est bon tout ce que tu me dis, ce que tu me fais ! >> chuchote t-elle.

En appui sur mes bras afin de ne pas peser de tout mon poids, je fais l'amour à la fille que j'aime comme si c'était la première fois. << On se garde pour ce soir, tu veux, ce sont juste des préliminaires ! >> murmure t-elle à mon oreille en se berçant doucement d'un mouvement régulier. Je me retire délicatement. Tous les deux à genoux, l'un face à l'autre, nous nous fixons longuement en nous tenant par la taille. Comme si nous voulions sonder au plus profond de nos âmes. Trois petits coups timides contre la porte qui s'ouvre. Nous avions oublié !

Julie reste pantoise, consternée. Elle tombe sur cette scène en disant : << Oh pardon ! Excusez-moi ! >>. Elle veut quitter et refermer derrière elle quand Clémentine s'écrie : << Viens ! Bonjour Julie ! >>. Nous rions aux éclats. Je remonte mon jeans en gardant ma braguette ouverte. Clémentine remet ses vêtements. Il est déjà 15 h30. Julie termine ses cours à 15 h certains vendredis. Nous l'accueillons avec des bisous. Julie a ramené son cartable qu'elle tient à la main. Elle est radieuse. Jeans, bottines, pull, ses lunettes d'étudiante.



Le "portrait"

Julie, impatiente, pose son cartable sur la table. Fébrile, elle l'ouvre pour en tirer un emballage de papier kraft. Elle reste hésitante. Soudain, comme tétanisée, saisit d'une terreur, elle le tend à Clémentine. Clémentine qui me regarde en ouvrant de grands yeux. Je reste sans voix. Julie s'éloigne précipitamment. Un peu comme si après avoir ouvert la boîte elle ne voulait pas en voir surgir le diable. Cette attitude nous amuse. Clémentine garde l'emballage contre elle, dans ses mains, comme si elle tenait un objet précieux. Pour Julie c'est un objet précieux.

Doucement, d'un geste lent, avec soin, Clémentine met l'emballage à plat. Consciencieusement, elle le défait pour l'ouvrir. Doucement elle en sort un carton entoilé. De format 2 F, (24 x19cm). Ces petits formats se prêtent bien aux études. Aux préalables à des supports de dimensions plus importantes. Nous reconnaissons une des photos de mon sexe prises lundi dernier. Mais ce n'est pas une photo. C'est une peinture. << Acrylique ! >> lance Julie depuis la fenêtre où elle est debout. Je prends le carton pour le regarder. D'abord de très près.

Je le tiens ensuite à bout de bras. Je suis sidéré par le rendu. Mon œil de peintre ne voit évidement pas le sujet mais la technique employée. Clémentine vient se serrer contre moi. Nous observons en silence. Julie saisit le tisonnier pour réunir les braises sous les bûches. Une bonne dizaine de minutes parfaitement silencieuses. Clémentine, tout comme Julie, attendent mon verdict. Je m'approche de Julie avec la toile à la main. Je dis : << Vous avez de l'or dans les doigts Julie. Sans même le savoir, en voulant faire de votre mieux sans doute, c'est beau ! >>.

Julie n'ose pas soutenir mon regard. Elle reste suspendue à mes lèvres. Je rajoute : << C'est un exemple d'hyper réalisme ! Je reste pantois d'admiration. Mais dites-moi la vérité. Vous saviez déjà peindre bien avant de me connaître, n'est-ce pas ? >>. Julie se tourne vers moi en s'écriant : << Non, je vous jure. C'est venu comme ça, tout seul. Avec le désir d'apprendre ! >>. Clémentine s'écrie : << Ce n'est pas seulement un don, c'est un miracle. Ou alors toi aussi tu as fais un pacte avec le diable ! >>. Julie éclate de rire. Terriblement gênée.

Terriblement gênée d'être soudain le centre d'intérêt. Pour faire baisser cette tension qui tourmente visiblement Julie, je lance : << Mais, à bien y regarder, c'est une bite ! >>. Nous rions aux éclats. Julie s'écrie : << La vôtre ! >>. C'est pliés de rire que nous nous écroulons dans le vieux canapé de l'atelier. Je félicite Julie pour la qualité de ce travail. Je m'empresse de préciser : << Le sujet représenté n'est pas à la hauteur de la technique, ni de l'œuvre en général. En scrutant plus attentivement, l'effet de surprise passée, il y a des imperfections.

<< Dites-moi tout avec sincérité ! >> me fait Julie soudain sérieuse en s'asseyant devant mon chevalet. J'évoque des aspects techniques. Les glacis permettent souvent de donner une densité à la matière. Surtout pour représenter la carnation des chairs. Mais en observant attentivement la réalisation de Julie, l'effet est bluffant. Avec une peinture acrylique, j'imagine la difficulté. << Je viens avec vous au Mont Saint-Michel. Une semaine. Je veux réaliser ce "portrait" avec des peintures à l'huile ! >> s'écrie soudain Julie. Nous restons admiratifs.

<< Génial ! Tu viens avec nous en vacances ! >> lance Clémentine qui se lève pour se précipiter vers Julie qui se lève à son tour. Toutes les deux, dans les bras l'une de l'autre se font plein de bisous. C'est beau. Julie se tourne vers moi pour me dire : << Vous poserez pour moi. Je préfère peindre d'après nature, sur le motif, que d'après une photo ! >>. Je me lève. Je sors ma bite. Les mains sur les hanches, je réponds : << Comme ça ? Façon Monarque ? Roi de France ? >>. Julie et Clémentine éclatent de rire. << De façon impériale ! >> répond Julie.

Clémentine contourne la table pour allumer l'ordinateur. Elle invite Julie à venir voir. << Regarde, on a un super modèle. On l'avait oublié ! >>. Je viens regarder. C'est une photo de ma bite que nous avons réalisé au début de notre vie commune avec Clémentine. << Oh oui, mets-la moi sur l'imprimante ! >> s'écrie Estelle. << Non, je te l'envoie sur ton téléphone ! >> répond Clémentine. C'est rapide. Précis et voilà Julie en possession d'une superbe photo de ma queue. << Wouah ! Elle est belle. Plus belle que celle de Jean-Louis ! >> s'écrie t-elle.

Nous rions de bon cœur. Jean-Louis, le Chef Cuisinier encule régulièrement Julie. Elle sait donc très justement de quoi elle parle. Elle se penche, son téléphone à la main, pour comparer la photo de mon Zob et la queue réelle. Clémentine la saisit à sa base entre le pouce et l'index pour l'agiter sous le nez de Julie. << Tu aimes quand ça sent fort ? >> lui demande t-elle. << Comme dans les toilettes hommes du restaurant quand il y a des pervers ? >> répond Julie. Nous éclatons de rire. C'est superbe de savoir que Julie viendra avec nous.

Julie est venue pour son heure de peinture. Il est grand temps de s'y mettre. Elle commence son job de serveuse ce soir à 18 h30. La mise en place. La voilà assise devant son chevalet de table. Elle termine cet après-midi ce premier paysage d'après une photo des environs. Je me contente de donner quelques recommandations techniques. Clémentine, assise devant l'ordinateur, travaille déjà à l'écrit qu'elle devra remettre la semaine prochaine. Il est 18 h. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Elle revient demain matin pour le ménage.

Clémentine m'entraîne par la main tout en sautillant autour de moi. Je la soulève pour la faire tourner. Je dis : << Tu fais de moi l'homme le plus heureux de la création ! >>. Elle me couvre le visage de bisous en disant : << Bien ! En tant que scientifique je préfère le darwinisme au créationnisme ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Nous retournons dans l'atelier. C'est curieux, il y a encore le discret parfum de Julie. Est-ce une illusion ou est-ce la réalité ? Clémentine à exactement le même ressenti. Nous rangeons nos affaires en chantonnant.

Il est 18 h30. Clémentine propose de faire simple. Des spaghettis, une sauce au Roquefort avec deux filets de cabillaud finement émincés. Un peu à la façon "carbonara". Elle s'occupe de la salade de carottes pendant que je prépare la sauce. Préparation rapide pour un repas succulent. Nous mangeons de bon appétit tout en revenant sur la présence de Julie. << C'est génial qu'elle vienne avec nous toute une semaine. Je te promets bien des étonnements, bien des surprises. Surtout que j'ai envie de faire ma salope des vacances ! >> dit elle.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Cette fois, c'est au salon que nous reprenons nos petites "affaires". Je pénètre une nouvelle fois Clémentine. Mais sur le bureau. Nous apprécions énormément cette position. Surtout que nous avons disposé les coussins sous le dos de Clémentine. Nous faisons l'amour comme nous aimons. Sans bouger. En contractant nos muscles fessiers. En nous confiant toutes sortes de secrets. J'adore entendre ceux de Clémentine. Étonnante jeune fille pleine de fantasmes qui fête demain ses 25 ans. Dans un Gloryhole !

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se font offrir un second orgasme, sous les draps, avec un cunnilingus fougueux et passionné...

Julien



Classe

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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Classe - 37 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1843 -



Un samedi des plus agréables

Hier matin, samedi, il est sept heures trente quand nous nous réveillons quasiment en même temps. Clémentine vient se blottir contre moi. Passant une cuisse sous mes reins, l'autre posée sur mon érection naturelle, elle se frotte doucement contre ma hanche. Je murmure à son oreille tout en passant ma main sous ses cheveux. << Bon anniversaire Clémentine ! >>. Dans un gémissement elle serre sa joue contre la mienne. Je chuchote : << Je vous aime ! >>. Elle me chevauche en me couvrant le visage de bisous. Tendresse, papouilles et douceurs.

Hélas, l'impérieux besoin naturel ne nous laisse qu'une seule alternative. Nous nous précipitons jusqu'aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers. En constatant la météo de ce 2 avril, il n'y aura pas de jogging. De la neige se mêle à la pluie qui tombe. C'est dégueulasse ! Même si les radiateurs fonctionnent déjà depuis plus d'une heure, j'allume le feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse nos dernières oranges, pèle nos derniers kiwis. Nous nous faisons livrer ce matin. Fruits et légumes.

Depuis l'interphone, dans le hall d'entrée, j'ouvre le portail. Julie arrive pour 8 h30. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée en amoureux. Sous le tableau de ma bite peint à l'acrylique par Julie. << J'aime quand on est seuls tous les deux ! >> me confie Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de la journée. Avec ce temps lamentable les possibilités sont forcément restreintes. Il est pile 8 h30 quand Julie arrive. Elle nous fait trois bises à chacun. Toute heureuse d'être de retour.

<< Des coquineries hier soir au restaurant ? >> demande Clémentine. << Seulement aux toilettes ! >> répond Julie en riant. << Raconte ! >> lance Clémentine. << Oh juste un client assez régulier que j'aime à surprendre devant les urinoirs. Je vous ai déjà raconté. Le mec rigolo avec la moustache ! >> fait Julie. << Clark Gable ? >> demande Clémentine. << Oui ! C'est lui. Bien vicieux encore hier soir. Il y avait plein de monde ! >> explique Julie qui rajoute : << Montez vous entraîner, je m'occupe de tout ! >>. Julie vient pour le ménage.

Nous lui déposons chacun une bise sur le front en quittant la cuisine. Clémentine m'entraîne par la main. Dans la salle d'entraînement elle glisse ses mains partout entre mes cuisses, mes fesses. << Je t'adore en legging. Tu m'excites. Avec les histoires à Julie, je suis encore dans tous mes états ! >> me dit elle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche en appuyant son sexe contre le mien. C'est en érection que je commence par l'aérobic. Nous rions de ma bosse. Le jogging sur les tapis roulants calme mes ardeurs viriles. Puis les exercices au sol.

Les abdos que nous adorons pratiquer. Ce sont toujours d'agréables sensations de massages internes. Même si Clémentine adore nous faire rire durant les groupés en poussant de petits cris, en faisant d'épouvantables grimaces. Ce matin ce sont avec les machines que nous soulevons nos charges additionnelles. Un stretching surréaliste pour revenir au calme avant une bonne douche. Un des spectacles les plus érotiques pour Clémentine est de me regarder me raser. Puis de glisser la peau de sa joue contre la mienne en faisant : << Mmhhh! >>.

Nous entendons Julie chantonner en passant l'aspirateur quelque part à l'étage. Habillés de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux, nous dévalons les escaliers. Il est presque dix heures. Le temps d'enfiler nos anoraks, de prendre le grand parapluie et nous voilà dans un froid hivernal. << Mais quelle horreur ! C'est quoi cette météo ! >> lance Clémentine. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès pour attendre sous l'auvent du garage. Voilà Danièle au volant de sa camionnette. Elle se gare derrière la Clio rouge de Julie.

Du hayon arrière Danièle sort nos deux cageots. L'un contient nos fruits, nos légumes. Dans l'autre nos fromages, nos petits pots de crème fraîche, nos yaourts, les œufs, le beurre. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Danièle ne s'attarde pas. Elle a nombre d'autres clients à livrer. À peine est-elle repartie que descend le tube Citroën rénové de notre boulangère adorée. Madame Marthe a encore d'amusantes anecdotes. Surtout en ces périodes électorales. << Il faut le dégager ! >> dit -elle, concluant chacune de ses phrases.

Nous rions aux éclats en récupérant nos deux miches de pain complet et Bio. Les deux pâtes feuilletées, la grande brioche ronde au pudding. Les deux énormes croissants aux amandes que nous offre la dame. Paiement par carte bancaire, même commande pour samedi prochain. Madame Marthe aussi a bien d'autres clients qui l'attendent. Par la vitre baissée de son véhicule, en partant, elle nous lance : << Il faut le dégager ! >>. Nous nous dépêchons de rentrer en passant par derrière pour descendre directement à la cave. Mme Marthe est si drôle.

Nous disposons les fruits et les légumes sur les étagères dans le cellier. Du congélateur où je sors un paquet de moules, les sachets de petits pois et de haricots verts, je mets une miche, les deux pâtes feuilletées. Nous remontons par l'escalier intérieur. Julie s'apprête à passer la serpillère dans la cuisine. Nous nous dépêchons de ranger les produits frais dans le réfrigérateur. Clémentine ne cesse d'imiter madame Marthe en répétant : << Il faut le dégager ! >>. Nous n'arrêtons pas de rire. Clémentine explique à Julie pourquoi. Elle rit avec nous.

<< C'est bien ce que tous les gens que je connais souhaitent ! >> dit Julie. Nous lui déposons une bise sur le front en la laissant à son ménage. Au salon, assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Nous découvrons les trois courriels. Celui de mon oncle qui nous donne des nouvelles d'Édimbourg. Le message de Juliette qui nous rappelle que nous sommes attendus pour 19 h. Le repas d'anniversaire de Clémentine. Le mail d'Estelle qui confirme son impatience de nous rejoindre dès 13 h45. C'est toujours Clémentine qui fait les réponses.

Dans la petite enveloppe jaune habituelle je glisse un billet de 50 €. << C'est pour le cabinet McKinsey ? >> lance Clémentine. Je réponds : << Oui, une magouille parmi toutes les autres ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Je rajoute la liste de nos commandes pour lundi soir. Il est 11 h20. Julie vient nous rejoindre. Je lui tends la petite enveloppe jaune. Je glisse le portrait de ma bite dans l'emballage en disant : << Vous êtes une grande artiste Julie. Je me réjouis. Je suis heureux de poser pour vous ! >. Julie baisse les yeux, toute timide. Gênée.

Clémentine la prend par les épaules pour préciser : << Moi aussi je me réjouis pour ces séances de poses. Tu n'imagines pas une seconde ! >>. Julie se serre contre Clémentine. Fille amoureuse toujours heureuse de manifester ses élans. C'est adorable. Clémentine, en mimant une masturbation masculine me fait : << Le petit cadeau pour Julie. Avant qu'elle ne parte ! >>. Je déboutonne ma braguette. J'en sors un Zob mou que j'agite vulgairement vers les filles. << Je suis impatiente d'en faire un portait à l'huile ! >> s'écrie soudain Julie. Rires.

Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Les séparations sont toujours douloureuses pour notre amie. Assise au volant, la vitre baissée, elle regarde mon sexe dans la main de Clémentine. Nous sommes sous le grand parapluie. Il fait froid. Je bande très mou. << Je suis avec vous huit jours, loin, en vacances. Cette idée me rend folle de joie ! >> dit elle en démarrant. Julie revient lundi soir. Nous la regardons partir. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud, au sec. << Mais quelle météo de merde ! >> lance Clémentine.

Clémentine s'occupe de la salade. Une petite laitue dont elle lave chaque feuille en me donnant ses impressions. Je prépare le bouillon avant d'y jeter les moules encore congelées. Dans le wok je verse les haricots verts, les petits pois. C'est la tambouille surgelée du samedi. Une habitude. Un rituel. C'est une préparation rapide. Nous mangeons de bon appétit tout en revenant sur la personnalité de Julie. Toutes ces curieuses étrangetés qui font de cette jeune fille de 20 ans une personnalité unique. C'est un privilège pour nous tout comme pour elle.

Ça me fait bander d'écouter les ressentis de Clémentine. << Je sens que nous allons vivre de grands moments tous les quatre durant ces vacances. C'est dans une semaine Julien ! >> dit elle en se levant pour venir s'assoir sur mes genoux. << Tu seras mon vicelard adoré ? >> murmure t-elle en glissant sa main dans ma braguette. Je chuchote : << Je te promets d'être à la hauteur de toutes tes attentes ! >>. Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche après avoir conclue : << Moi aussi ! >>. Ce baiser passionné me fait bander très dur. Aïe.

Nous traînons à table. Il est temps d'offrir à Clémentine son cadeau d'anniversaire. Je l'ai caché sur le haut du buffet. Elle fait couler l'eau pour la vaisselle quand je m'approche silencieusement. Derrière elle. Je passe mes bras sous ses aisselles. Elle découvre le paquet. Elle se tourne. Essuie ses mains. << Julien ! >> s'écrie t-elle en saisissant le bel emballage. Je m'éloigne pour l'observer. Scruter les traits de son visage. Pour moi, c'est une des choses les plus passionnante, observer ses expressions. Quelles qu'en soient les circonstances. L'émotion.

Clémentine découvre le bijou. Je dis : << Bon anniversaire Clémentine ! >>. Elle passe la bague à son annulaire en s'écriant : << Je t'aime ! Tu es fou ! >>. Elle pose sa main dans la mienne. J'explique : << C'est de l'or blanc, les fines ciselures d'inspirations Celtes ont causé bien des tourments à Mr Charlier, notre bijoutier. La pierre rouge aux milles reflets est un spinelle birman de quatre carats. Ton nom et la date sont gravés à l'intérieur de l'anneau. Tu as 25 ans aujourd'hui ! >>. Clémentine ne sait quoi dire. Le souffle coupé elle fait tourner sa main.

Je murmure : << Rien n'est trop beau pour toi mon amour. Rien ! Tu fais de moi l'homme le plus heureux depuis presque six ans ! >>. C'est comme si Clémentine se mettait à fondre dans mes bras. Ce gémissement lascif tout près de mon oreille me donne le vertige. Je ne cesse de murmurer : << Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime ! >>. Je sens bien que Clémentine est pétrie d'émotions. Beaucoup plus que ce cadeau la met dans cette situation émotionnelle. Elle dit : << Tu as fait de moi la femme la plus heureuse. Depuis toi j'ai appris le bonheur, la joie ! >>.

Nous restons ainsi longuement à nous bercer. Debout près de la table. Serrés dans nos bras à tenter d'arrêter ce maudit temps qui passe. C'est ainsi que nous surprend Estelle qui arrive, son grand sac de sport à la main. << Et alors ! >> lance t-elle en découvrant nos yeux humides de larmes. Nous avons tous les deux le même réflexe d'ouvrir nos bras. Estelle vient se blottir. Ça aussi, c'est un merveilleux cadeau. << Bon anniversaire mon amour ! >> murmure Estelle. Nous nous berçons tous les trois inondés de ce bonheur immense.

<< Allez, on se remet. Je plonge, vous essuyez ! >> s'écrie Estelle. Nous essuyons d'abords nos yeux avec les torchons. Clémentine retire sa bague pour la remettre dans son écrin. Elle la montre à Estelle qui dit : << Je n'ai jamais rien vu d'aussi beau ! Je veux un Julien moi aussi ! >>. Tout en se mettant à débarrasser la table Clémentine répond : << Celui-là il est pris ! >>. Nous rions de bon cœur. La gravité des émotions nous a quitté pour faire place à notre joie de vivre et à nos optimismes naturels. C'est en déconnant que nous remontons.

Pendant que Clémentine et moi nous nous lavons les dents Estelle sort des vêtements de son sac de sport. Son pyjama de soie mauve. Ses habits pour ce soir. << J'espère que Juliette aura chauffé le box ce soir ! >> lance t-elle. << Pas d'inquiétude, cette salope organise toujours si bien les soirées "cul" ! >> répond Clémentine en s'essuyant la bouche. Estelle précise : << C'est une soirée "queue" ! >>. Nous rions aux éclats. Estelle glisse sa main dans ma braguette pour m'en extraire le Zob. << Dis donc, tu mouilles mon salaud ! >> s'écrie t-elle. Rires.

C'est vrai qu'en décalottant l'extrémité, apparait un méat bien gluant. Estelle, constatant la mouille, s'accroupit pour lécher du bout de la langue. Clémentine m'embrasse avec fougue. Je caresse son visage, je passe mes mains sous ses cheveux. Je suis encore fou amoureux aujourd'hui. Pour changer ! Après avoir suçoté quelques instants Estelle se redresse en disant : << Il faut que j'arrête. Si je commence je n'arrête plus ! >>. Je la serre contre nous. À nouveau nous nous berçons tous les trois dans cette douceur qui nous enivre. La tendresse.

Nous allons dans la chambre. Mes deux anges se changent. Habillées une fois encore comme des sœurs jumelles. Une jupe noire qui va jusqu'aux genoux. Un chemisier crème sous un pull noir au col en "V". Leurs bottes de cuir noir à talons. Leurs cheveux en liberté. Je suis assis sur le lit. Je regarde ces deux sublimes jeunes filles. Je dois une fois encore me pincer. Elles font partie de mon environnement physique et mental depuis cinq ans. Je les observe prendre des poses devant le miroir de l'armoire. Elles sont magnifiques. Sculpturales.

Elles viennent toutes les deux m'attraper par les mains pour m'entraîner devant le miroir. Je suis entre mes deux anges. Elles se serrent contre moi, leurs têtes sur mes épaules. Nous restons silencieux à nous scruter. J'en ai des frissons. Impossible de s'habituer à de tels instants. Même si nous les avons vécu peut-être des centaines de fois. Estelle me sort la queue. << Le plus important ! >> dit elle. << Ne jamais oublier le plus important ! >> rajoute Clémentine. Elles s'accroupissent toutes les deux en même temps, accrochées à mes jambes.

Les cuisses largement écartées, leurs têtes appuyées contre mes hanches, elles se fixent. Je pose mes mains sur leurs têtes. Estelle se place entre le miroir et moi. Elle frotte son visage sur mon sexe. Quel vision intense. Je peux la voir de dos. Si je penche la tête je peux la voir de haut. Clémentine se place à ses côtés. Toutes les deux hument, reniflent, se délectent des effluves parfumées de ma virilité fièrement dressée. Juste à l'instant ou Estelle veut gober la première, j'esquive en disant : << Gardons-nous pour ce soir ! Sachons contrôler ! >>.

Clémentine se redresse la première en faisant : << Oui, excellent idée. Je suis déjà tellement excitée ! >>. Estelle se redresse en lançant : << C'est vrai, put-hein mais c'est si bon ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Les filles se changent. Elles remettent leurs jeans, leurs chemises à carreaux. Nous dévalons les escaliers pour aller dans l'atelier. Il est déjà 15 h30. Estelle y allume un bon feu dans la cheminée en nous racontant son vendredi. << J'étais en ville avec maman. Nous nous sommes bien amusée. Le soir c'est moi qui ai fait le repas ! >>.

Assises devant l'ordinateur, mes deux anges ont le réflexe de toutes étudiantes sérieuses. Les voilà à surfer sur le site de l'université. Elles commencent même à noter les thèmes de leurs prochains sujets. Cet écrit qu'il faudra remettre vendredi prochain. J'en profite pour réaliser le dessin préparatoire des deux derniers paysages sur les cinq qu'il me reste à peindre. Nous adorons ces séquences de travail. Parfois l'un se lève pour rejoindre l'autre. Lui déposer une bise dans le cou, lui chuchoter une cochonnerie. Je suis souvent debout derrière les filles.

Je lisse leurs cheveux. Elles adorent toutes les deux quand je fais ça. Je me penche, mon visage entre celui d'Estelle et celui de Clémentine j'écoute leurs explications. Cette capacité toute féminine de pouvoir passer d'une situation à une autre avec une facilité déconcertante. Il est 18 h. Nous quittons l'atelier pour remonter à l'étage. Les filles se changent pour remettre les vêtements essayés en début d'après-midi. Sur leurs demandes je mets un jeans propre, une chemise blanche sous un pull bleu nuit au col en "V". Mes bottines noires. Écharpe de soie.

Nous descendons prudemment. C'est sous le grand parapluie, recouverts de nos manteaux, que nous allons jusqu'au garage. Je sors la voiture. Je roule doucement. Tout en tripotant la bosse dans ma braguette, Clémentine nous fait part de son appréhension. De ses peurs. Mais aussi de cette étrange excitation qui se mêle à ses trouilles. Assise à l'arrière, me caressant le cou, Estelle dit : << Arrête ! Tu vas t'éclater comme une folle ! >>. Je rajoute : << Tu vas t'éclater comme tu aimes. Un anniversaire inoubliable Clémentine ! >>. Il est 19 h.

Je gare l'auto dans la cour du haras. Il pleut à verse. C'est détestable. Juliette vient nous accueillir. Vêtue d'un jeans, d'un sweat. C'est extrêmement rare de la voir ainsi. "Relax". Elle nous invite à la suivre dans l'escalier. Quelle belle surprise. La table est garnie de rubans de satin rouge. << Bon anniversaire Clémentine ! >> fait Juliette en posant les mains sur ses épaules. Juliette qui pourrait être la mère de Clémentine l'admire silencieusement. Estelle se serre contre moi en posant sa main sur ma braguette. C'est encore un instant d'émotions.

Nous mangeons de bon appétit. Juliette découvre la bague que porte Clémentine. Elle est admirative. Regarde de près, scrute pendant que Clémentine en fait découvrir tous les reflets sous la lueur des grosses bougies. << Un homme capable d'offrir une telle chose à une femme est forcément amoureux fou ! >> lance Juliette. Je réponds : << Encore plus que ça. Fou comme un dément ! >>. Nous rions aux éclats. Ce soir, pas de vaisselle en commun. << Il y a un autre cadeau qui vous attend Clémentine ! >> lance Juliette, espiègle, vicelarde, se levant.

Nous remettons nos manteaux. Juliette met son anorak. << Ce soir, je suis relax ! >> dit elle. C'est vrai que nous ne l'avons peut-être jamais vu aussi "sporstwear" que ce soir. Il faut traverser la cour sous l'immense parapluie qui nous offre un abri à tous les quatre. Il y a de la lumière dans les anciennes écuries. C'est le plus vieux bâtiment du haras. Nous pouvons y entendre hennir quelques chevaux. Il fait curieusement beaucoup plus chaud qu'à l'extérieur. << C'est l'effet cheval ! >> lance Juliette étrangement coquine et mutine ce soir. Rires.




L'anniversaire de Clémentine

Nous suivons Juliette dans l'allée centrale. Les chevaux nous regardent passer. Seuls leurs poitrails ou leurs têtes dépassent de leurs box respectifs. Nous caressons quelques encolures. Du fond de l'écurie nous parviennent des voix, des rires. Impossible d'y mettre une identité. Clémentine reste serrée contre moi, son bras autour de ma taille. Estelle me tient par le bras. Juliette se retourne pour murmurer : << Je vous précise encore une fois que mes exigences sanitaires ont été respectées. Je ne suis pas du genre à prendre le moindre risque ! >>.

Nous savons pouvoir lui faire confiance. Elle agit exactement de la même façon pour elle. Et comme elle partage les mêmes goûts que Clémentine, la sécurité est maximale. Même si bien évidemment le risque zéro n'existe pas. Mais, comme le dit elle-même Clémentine si on veut vivre sans risque autant se suicider immédiatement. Juliette met l'index sur sa bouche pour nous inviter à la suivre dans le dernier box. Nous le connaissons bien pour y avoir vécu tant de moments d'ivresses. Immédiatement Estelle sort son téléphone de sa poche.

Il y a des couvertures pliées au sol. Juste sous le trou à environs 80 cm de hauteur. Ce trou parfaitement rond de quelques 6 cm creusé dans la cloison qui sépare le box du local bureau voisin. Les rires gras, les plaisanteries douteuses fusent. Nous reconnaissons la voix de Pierre, celle de sa femme Bernadette. Les autres ne sont pas identifiables. Peut-être les intonations de Léon avec son accent créole. Estelle passe son téléphone dans tous les recoins. << La confiance règne je vois ! >> lance Juliette. L'application d'Estelle ne décèle rien.

Si une caméra devait être dissimulée quelque part, l'application l'aurait décelé. Je passe le bout de mes doigts sur quelques reliefs. Clémentine scrute en redoublant d'attention. Juliette murmure : << Je vous rappelle que de filmer quelqu'un à son insu relève du pénal et de la correctionnelle. D'en diffuser les images n'est plus seulement un délit mais un acte potentiellement criminel ! >>. Estelle tance vertement Juliette avant de chuchoter : << Argument sans document n'est que boniment ! >>. Légèrement vexée, Juliette soupire.

Il n'y a pas de cheval dans le box. Tout est nettoyé. Il y a un vieux fauteuil contre le mur du fond ainsi qu'une table basse. Une bouteille d'eau en plastique neuve, au bouchon encore scellé. Clémentine et Estelle se montrent d'une extrême prudence. Malgré la confiance totale que nous accordons à Juliette, mes deux anges préfèrent s'entourer de toutes les précautions. Clémentine rajoute : << Je ne veux voir personne ici. À part Julien, Estelle et vous ! >>. Juliette toujours aussi surprise ne dissimule pas son étonnement. << Bien sûr ! >> dit elle.

Elle s'apprête à nous laisser lorsqu'elle se retourne avant de refermer la porte du box : << Je viendrai voir de temps en temps si tout va bien ! Si vous n'avez besoin de rien ! >>. Estelle la suit pour fermer la porte derrière elle en murmurant : << OK ! >>. Elle revient pour nous chuchoter : << Cette vieille pouffe ! >>. Nous rions de bon cœur. Il y a un tabouret carré dans le coin le plus sombre. Clémentine s'en empare pour l'installer sur les couvertures. Elle vérifie la stabilité une fois assise dessus. Estelle me déboutonne la braguette. Impatiente.

Je glisse le fauteuil tout près du tabouret où s'est installée Clémentine. Elle regarde par l'orifice. Ce qui éclaire son visage. Dans notre box nous nous sommes habitués à l'obscurité. Nous nous voyons bien. Je m'assois dans le fauteuil. Estelle s'assoit sur l'accoudoir, en appui contre la cloison. Elle me tient par le cou de sa main libre. J'ai la bite à l'air. Penché en avant, les bras croisés en appui sur les genoux j'attends. Mon visage à une cinquantaine de centimètres de celui de Clémentine. Je m'apprête à assister au plus fabuleux spectacle qui soit.

Clémentine, penchée en avant, l'œil à quelques dix centimètres du trou regarde. Ses mains en appui sur la cloison de chaque côté de sa tête. J'entends son souffle changer. Impossible de savoir ce qu'elle regarde ainsi. Toujours est-il que de l'autre côté tout est silencieux. Nous avons entendu les voix s'éloigner. Juliette a emmené les "invités" ailleurs. J'entends la respiration d'Estelle à ma gauche. Elle aussi est penchée pour regarder le visage de Clémentine. Soudain, de l'orifice, doucement, avec lenteur, apparaît un sexe masculin. Cylindre de chair.

Une bite d'une quinzaine de centimètres, d'environ quatre centimètres de diamètre. Un sexe circoncis. Nul doute, elle appartient à un homme de couleur. Ce n'est pas celle de Léon car il n'est pas circoncis. Clémentine déteste les sexe circoncis. Elle trouve que ça retire beaucoup de magie. Elle a un léger mouvement de recul. La bite est immobile. Elle pend sur le rebord du trou. Il n'y a aucune odeur. Clémentine, du bout de la langue, lèche le méat. Estelle et moi nous retenons nos respirations. En apnées nous restons silencieux à mâter.

Clémentine approche sa tête. Ouvrant la bouche elle gobe ce sexe totalement inconnu. Nous la voyons frissonner comme si elle avait soudain froid. Hors, le petit radiateur électrique disposé là par Juliette chauffe agréablement le box. Les joues de Clémentine se creusent doucement. Elle suce délicatement. Parfois elle ouvre les yeux. C'est une touffe de poils crépus qui bouche l'horizon. Elle s'enfonce la queue dans la bouche jusqu'à moitié. Sa respiration change pour devenir celle d'une fille très excitée. Estelle lui caresse la joue de son index.

Il doit y avoir les premières montées de jus car Clémentine cesse de respirer. Elle suce, les yeux fermés, profondément concentrée, une expression d'extase sur ses traits. Elle revient un peu en arrière pour ne garder que le gland en bouche. Un premier gémissement de surprise. Un second gémissement jouissif. Nul doute, Clémentine commence à se régaler. Elle reprend à nouveau plus de longueur en bouche. Elle bouge doucement la tête dans un léger mouvement masturbatoire. C'est extrêmement rare car elle préfère rester immobile.

Elle déglutit. Elle ne garde que l'extrémité du gland en bouche. Toute la bite est trempée. Il y a une coulée. Du liquide séminal. Une goutte de foutre tombe sur sa jupe noire. Immédiatement elle gobe un maximum de longueur en gloussant de surprise. Il y a plein de jute qui dégouline aux commissures de ses lèvres. C'est là qu'Estelle se penche pour glisser à mon oreille : << Un pisseur ! >>. Au moment où elle me dit ça je réalise que c'est du mélange qui dégouline. Il y en a probablement davantage que ne peut avaler Clémentine. Elle se retire.

C'est vrai. C'est une giclé laiteuse qui jaillit, éclaboussant le visage de Clémentine. Elle regarde en s'essuyant la bouche, le menton. Elle secoue la tête comme pour se convaincre de la réalité de ce qu'elle vit encore là. Elle reprend la bite en bouche pour se remettre à pomper comme une assoiffée. Je me penche davantage pour murmurer à son oreille : << Bon anniversaire Clémentine ! >>. Elle se contente de rire en gloussant. Il y a du mélange qui dégouline de partout. Il lui en coule dans le cou, sur le pull. Nous entendons le mec crier soudain.

Pas l'ombre d'un doute, le type éjacule. Clémentine, littéralement collée à la cloison, suce comme si sa vie en dépendait. Dommage. Le vicelard vient de dégager sa queue. Clémentine, la tête penchée vers le bas, comme si elle cherchait à reprendre ses esprits, récupère le foutre qui a dégouliné sur ses doigts. Nous entendons des rires de l'autre côté. Une voix de mâle qui dit : << Put-Hein la salope tu vas t'éclater ! >>. Clémentine nous jette un coup d'œil. Je chuchote : << Je ne t'embrasse pas jusqu'à demain, c'est trop dégueulasse ! >>.

À peine ai-je prononcé ces mots qu'une autre queue apparaît. Cette fois il y a la peau. C'est à peut près quinze centimètres aussi. Mais pas plus de trois centimètres de diamètre. Violacée aux veines apparentes cette bite est réellement repoussante. Nous n'en avons jamais vu de telles. Qui sont donc les "invités" de Juliette ce soir. Clémentine termine d'avaler avec peine. Estelle se penche pour chuchoter : << Put-hein comment tu fais ! C'est dégueu ! >>. Clémentine ne répond pas. Elle ouvre la bouche pour gober cette seconde queue. Une vraie chipolata.

Elle s'en prend la bonne moitié en bouche. Elle suce. À nouveau en gémissant. C'est toujours au bout de deux trois minutes, quand monte le jus des couilles. Cette bite reste bien sèche. Toute la différence avec celle d'un pervers pisseur. Je saurai les reconnaître à l'avenir. Les yeux fermés, suçant passionnément, en poussant de petits cris de surprises, Clémentine savoure en frissonnant. Une nouvelle fois je me penche pour murmurer : << Bon anniversaire mon ange. Je t'aime comme un fou ! >>. Clémentine se retire. De la jute s'écoule de sa bouche.

Il en tombe une nouvelle fois sur sa jupe. Je glisse ma main entre ses cuisses. C'est trempé. Clémentine saisit mon poignet pour que surtout je n'arrête pas. Elle pompe en gémissant de bonheur. Cette queue doit être hyper juteuse car le bruit bulleux s'amplifie de minute en minute. Nous entendons le mec pousser un cri. C'est certain, il connaît un orgasme qui emplit soudain la bouche de Clémentine. Estelle me chuchote à l'oreille : << Beurk ! J'ai envie de vomir ! >>. Clémentine, pour déglutir les abondantes giclées, est obligé de se retirer.

La bite ruisselle de foutre. Soudain, Estelle se précipite. Elle saute littéralement de l'accoudoir du fauteuil pour s'intercaler entre moi et Clémentine. Elle gobe la bite pour se mettre à sucer. Je me penche pour chuchoter : << Tu va dégueuler ! >>. Estelle rit en gloussant. Elle cesse. Elle revient s'installer. Clémentine se tourne vers nous pour murmurer : << S'il ne se retire pas je lui offre un second tour ! >>. Le mec ne se retire pas. Il a effectivement droit à une seconde pipe. Et quelle pipe ! J'ai glissé ma main entre les cuisses d'Estelle. Trempée.

Elle me tient le poignet comme le faisait Clémentine. Comme pour m'empêcher de la retirer. Comme pour la guider. Clémentine suce en gémissant. Elle doit probablement aller de surprises en surprises car ce sont de véritables petits cris de ravissements. Le mec éjacule certainement une seconde fois. Son cri est sonore et se termine par plusieurs râles. Clémentine n'avale plus seulement, elle bouffe. Je me masturbe depuis cinq minutes. Comme un fou. Moi qui m'était promis d'essayer d'aller au-delà de mes limites. Estelle en rit doucement.

La bite vient de disparaître. << Elle était bonne celle-là, hein ! >> murmure Estelle. Clémentine chuchote : << Un régal. Hyper crémeux le foutre de ce type ! >>. À nouveau nous entendons des rires sarcastiques. Presque instantanément une autre bite fait son apparition. Je n'ai jamais vu la queue d'un noir devant la bouche de Clémentine. Celui-là aussi est circoncis. Elle la saisit entre le pouce et l'index. De la même taille que la mienne c'est une queue plutôt "nerveuse". Après quelques instants d'hésitations, Clémentine en gobe juste le gland mate.

Elle se met à suçoter tout en observant par le trou. Le type se retire. Clémentine ouvre de grands yeux, nous consulte du regard, dubitative. Ce sont les couilles que ce salaud fait passer dans l'orifice. En même temps que sa queue molle. Clémentine se précipite, tirant la langue pour lécher les roubignoles du type. De grosses couilles dodues. Probablement pleines de foutre bouillant. Clémentine reprend la queue entre le pouce et l'index pour la contrarier vers le bas. Elle se la prend dans la bouche en poussant un cri de bonheur. Elle tient les couilles.

J'ai vu sucer Clémentine des inconnus d'innombrables fois. Mais comme elle suce là, cette bite noire, je ne l'ai jamais vu le faire avec tant de passion. Ce fantasme de l'homme noir, de sa grosse queue, doit probablement surgir du plus profond de sa psyché. Je me branle. Estelle se branle. Elle se penche pour murmurer à l'oreille de Clémentine : << Laisse-moi gouter ! >>. Je tiens Estelle par la nuque pour chuchoter : << Attends ton tour ! >>. Il y a une soudaine explosion qui nous surprend tous les trois. Du foutre gicle même des narines de Clémentine.

De l'autre côté le type pousse un véritable rugissement. Clémentine n'a d'autre choix que de se retirer pour avaler avec peine. Tout en secouant la tête pour faire passer, elle pousse un râle profond et longuement modulé. Elle a les yeux larmoyants. Des larmes coulent sur ses joues. Ses yeux sont cernés. Cette fille qui partage ma vie depuis plus de cinq ans est soudain méconnaissable. Le visage trempé de toute sortes de substances. La bite disparaît en laissant une trainée de foutre qui s'écoule le long de la cloison. Estelle se précipite pour la lécher.

Une fois encore, de l'autre côté des rires graveleux. Deux mecs qui se marrent en se tapant la paume de leurs mains. Sûr. Une autre queue fait son apparition. Petite, molle. On dirait celle de ce vieux pervers de Gérard. Mais est-il encore en mesure de venir se faire tailler une pipe ici ? Cette bite reste un mystère mais ouvre l'appétit de Clémentine. Les tous petits sexes mous et flasques ont toute sa préférence. Surtout s'ils appartiennent à de vieux pervers. Elle approche la bouche ouverte pour la gober dans sa totalité. Facile. Une bite de cinq centimètres.

Je m'approche pour chuchoter : << Succulente n'est-ce pas ! >> Clémentine, sans cesser de sucer lance un : << Mmmhhh ! >>. Les yeux fermés, passionnée par ce qu'elle savoure, Clémentine glousse de plaisir. Pousse de petits cris de ravissements. << Un pisseur ! >> me chuchote Estelle qui se masturbe en haletant. Certainement car je vois Clémentine déglutir en rythme. Tout en poussant de petits grognements. Je me masturbe comme un fou. Je me penche souvent pour murmurer : << Je t'aime Clémentine. Bon anniversaire ! >>.

C'est une de ces queues "mystères". Incontinentes à n'en point douter. Juteuses à souhait. Une de ses queues dont on ne comprend pas le fonctionnement. Seule la suceuse peut en saisir le "principe actif". Il n'y a qu'à regarder Clémentine se régaler pour comprendre. Lorsqu'elle retire sa bouche pour déglutir elle a du foutre gluant plein la bouche. Dès ce jus avalé elle reprend sa pipe avec une fougue rare. On entend marmonner le propriétaire de la queue. Clémentine lève une main et montre trois doigts. Ce pervers éjacule donc une troisième fois.

En poussant un râle de dégout, Clémentine se retire. La bouche ruisselante d'un probable mélange. Sur ses genoux, sa jupe noire est maculée de tâches. Il y en a dans ses cheveux, au-dessus de l'oreille. Dans son cou. Il en coule d'une de ses narines. Son menton est gluant de tous les spermes goutés ce soir. La petite bite disparaît. << J'en peux plus ! >> murmure Clémentine dans un souffle. Il est 22 h30. Ça va faire plus de deux heures que Clémentine tête de la queue. Une double pipe à un black. Une triple pipe à un probable vieux pervers.

Juliette arrive. Une serviette à la main qu'elle tend à Clémentine. En regardant le visage de Juliette nous découvrons que son menton est aussi trempé et gluant que celui de Clémentine. Nous devinons ce qu'elle a fait durant tout ce temps. Elle s'adresse à Estelle pour murmurer : << J'ai baisé beaucoup plus que je n'ai sucé ! >>. Estelle chuchote :<< Pour les préparer ? Pour les "chauffer" ? >>. Juliette s'empresse de répondre : << Non, le seul qui n'avait plus assez dans ses couilles pour venir se les vider ici ! >>. Clémentine s'essuie la bouche.

Elle crache plusieurs fois dans la serviette. Se mouche dedans. << Ça me brûle à l'intérieur du nez ! C'est dégueu ! >> dit elle. Debout, elle tient sa jupe pour nous montrer les tâches. << Tout ce gâchis ! Il faut avaler Clémentine ! >> lui lance Juliette. << Je voudrais vous y voir avec des pisseurs ! >> répond Clémentine. << Oh mais je les connais bien tous les quatre. Je les ai sélectionné pour votre anniversaire ! >>. Estelle me tient la queue qu'elle présente à Juliette en disant : << Vous en voulez du pisseur ? Celui-là il saura vous étonner ! >>.

<< Non merci. J'en suis pleine ! >> s'écrie Juliette en se frottant l'estomac puis le bas ventre. << Venez, je vous présente nos joyeux drilles ! >> lance Juliette en nous invitant à la suivre. << Non ! Je préfère que ça reste un mystère ! >> lance Clémentine qui me prend par la taille. J'essaie de rester distant. Elle sent le foutre et la pisse. De plus ses fringues en sont maculés. Comme toujours, quand Clémentine a terminé, elle n'a qu'une envie, celle de se sauver à toutes jambes. Juliette éclate de rire en nous voyant nous diriger vers la grande porte.

Nous lui faisons un signe. Je dis : << On passera peut-être demain soir pour faire un coucou. Merci pour la soirée ! >>. Juliette nous fait un signe. Nous traversons la cour sous le parapluie. Il pleut à verse. Clémentine, assise à ma droite, me dit : << Merci Julien. Il me faudra quelques jours avant de pouvoir apprécier ce cadeau à sa juste valeur ! >>. Je démarre. Là, dans l'encadrement de la grande porte de l'écurie, six silhouettes. Juliette, un black, un mec avec un casquette, un vieux et un jeune type. Quatre parfaits inconnus. Une banderole.

Une banderole noire sur laquelle est écrit "Happy Birthday, happy Gloryhole" en fluo. Nous éclatons de rire. << Viens, on dégage ! >> lance Clémentine qui dissimule son visage derrière ses mains. Estelle, assise à l'arrière, pliée de rire, caresse mes joues, mon cou. Nous arrivons à la maison. Clémentine prend une douche pendant qu'Estelle se lave les dents. Je sèche les cheveux de Clémentine pendant qu'Estelle me taille une pipe tout en nous donnant ses impressions. Je lui éjacule dans la bouche. Elle en glousse de plaisir. Morts de fatigue. Vite, au lit !

Bonne nuit à toutes les coquines qui ont l'estomac plein de mélanges qui leurs donnent quelques hauts le cœur avant de s'endormir...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 38 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1843 -



Après le Gloryhole un dimanche de repos

Hier matin, dimanche, il est presque 9 h30 quand je suis tiré de mon sommeil par les douceurs d'Estelle. J'ai mis du temps avant de comprendre qu'une fois réveillée elle ne supporte pas d'être seule. Aussi, depuis près de cinq ans Estelle a développé quantité de ruses pour éviter la solitude du levé. Ce matin par exemple elle pose ses lèvres dans mon cou, passe sa main sur mon ventre pour descendre lentement. Estelle fait tout cela avec une extraordinaire douceur. Impossible d'y résister. Et quand elle se frotte délicatement c'est si doux.

Mon érection matinale dans la main, elle suçote la peau de mon cou et du bout de la langue fait de petites léchouilles. Tout cela réveille évidemment Clémentine qui vient se blottir contre moi. Je suis entre mes deux anges dans un enchantement paradisiaque. Distribution de bisous. Distribution de câlins. Papouilles à tous les étages puisque moi aussi je glisse mes doigts dans les culottes. Il y a là tant de poils à démêler. N'en pouvant plus Estelle se lève d'un bond pour se précipiter aux toilettes. Clémentine me chevauche pour se frotter sur moi.

<< Merci Julien. Sans toi tout cela serait difficile et sans doute le plus souvent impossible ! >> murmure t-elle à mon oreille. Je chuchote : << C'est moi qui te remercie d'exister dans mon environnement physique et mentale. Je t'aime ! >>. C'est à notre tour d'aller pisser. Habillés de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux nous dévalons les escaliers. Dans la cuisine règne déjà l'odeur délicate du café, du pain grillé. La brioche au pudding trône au milieu de la table. J'aide Estelle à allumer le feu dans la cuisinière à bois. Clémentine se serre.

Nous prenons notre petit déjeuner en riant de nos exactions sexuelles. C'est Estelle qui revient la première sur le Gloryhole au haras hier soir. Je sens bien que ça gêne un peu Clémentine. L'évènement est sans doute encore trop récent et elle n'a pas pris le recul nécessaire pour l'évaluer. Estelle la félicite la première. J'y rajoute mes congratulations. Clémentine que je vois rarement aussi embarrassée nous sourit timidement. Je dis à Estelle : << Je t'ai vu gouter le Black ! >>. Elle s'écrie : << Je n'ai pas résister. Un jour dans la vie faut gouter ! >>.

Nous rions de bon cœur. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux mes deux anges échangent leurs points de vues. Et dans ce cas précis l'expression prend tout son sens. Estelle est une authentique voyeuse. Ce qu'elle a vu hier soir l'a enchanté. Même si ce n'est pas la première fois que nous admirons Clémentine au Gloryhole. J'ai un réflexe naturel à chaque fois que Clémentine pose ses lèvres sur les miennes. << Je te dégoute à cause de hier soir ? >> me fait elle à chaque fois. C'est Estelle qui répond : << Essaie de comprendre ! >>.

Je me justifie. C'est vrai que j'adore voir Clémentine sucer de la queue inconnue. Mais il me serait totalement impossible de l'embrasser après. Beurk. C'est vrai, ça me fout la gerbe. << Moi ce serait pareil ! >> lance Estelle. Par contre je dépose des bises en mitrailles sur leurs joues. Avec le lavage des dents hier soir avant le coucher, la nuit de sommeil, le petit déjeuner et le lavage des dents ce matin, << Ça devrait le faire ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous faisons la vaisselle avant de monter à la salle de bain. Estelle quitte son pyjama.

Dehors, il ne pleut plus mais il fait un froid polaire. Le thermomètre indique 2°. << C'est abjecte ! >> lance Clémentine lorsque nous sortons. Vêtus de nos anoraks, coiffés de nos bonnets, avec nos gants. << Mais quelle horreur ! Il ne manque plus que la neige ! C'est quoi cette météo de merde ! >> s'écrie Estelle. Accrochées à mon bras, les filles m'entraînent vers la rivière. Cette fois c'est Clémentine qui revient sur la soirée Gloryhole. << Je n'ai eu envie de vomir qu'une seule fois ! >> confie t-elle en riant. Tout en se blottissant contre moi.

<< Et tu n'as pas vomi ! Tu vois, la troisième ou quatrième fois tu t'habitues ! >> lance Estelle. Nous sommes pliés de rire. Je demande : << Raconte-nous quelle était la meilleure ! >>. Clémentine baisse les yeux, terriblement embarrassée elle chuchote : << La queue du Black ! >>. Estelle s'écrie : << Pourquoi ? >>. Clémentine, dans une gêne qui la fait bégayer répond : << Je ne suis pas objective. C'est parce que je n'avais jamais sucé une bite noire au paravent ! >>. Je dis : << On peut arranger ça avec Juliette, tu veux ? C'est son pote ! >>.

Clémentine et Estelle se consultent du regard. Estelle rajoute : << Va au bout de ton expérience, baise avec ! >>. Clémentine me regarde, silencieuse et dubitative. Nous remontons le chemin. C'est ce maudit vent de Nord Est qui impose ce froid détestable. Nous rentrons au chaud. Nous allons au salon. Assises sur mes genoux mes deux anges consultent nos boîtes mails. Deux courriels. Celui de Julie. Celui de Juliette. << Déjà ! >> s'écrie Estelle. Juliette nous remercie pour notre visite de hier soir et félicite Clémentine pour sa "prestation".

Nous posons pour un selfie. Nous joignons le plus souvent une photo à nos réponses. Les filles ont le réflexe de toutes les étudiantes. Elles font une visite sur le site universitaire. Le programme de leur section. La date des vacances de Pâques s'affiche à plusieurs reprises. Ça aussi c'est un projet auquel nous tenons tout particulièrement. Nous offrir une semaine de vacances. Inutile de continuer à faire semblant de ne pas connaître la destination. C'est Clémentine qui a tout organisé. Pour ce séjour au Mont Saint-Michel, nous aurons la compagnie de Julie.

<< C'est génial qu'elle vienne ! >> lance Estelle. << On va en faire notre mascotte sexuelle ! >> rajoute Clémentine. Nous rions de bon cœur en nous réjouissant de sa présence. Il commence à faire faim. Il est presque midi. << On fait simple ! >> lance Clémentine. Les filles m'entraînent par les mains. Clémentine prépare une salade d'endives. Estelle fait bouillir l'eau des coquillettes. Je mets trois pavés de saumon à la poêle. J'y rajoute ail, oignon, persil, ciboulette. Après avoir égoutté les coquillettes, Estelle y rajoute un pot de crème fraîche.

Clémentine râpe du Parmesan. C'est rapide, facile et surtout délicieux. Nous mangeons de bon appétit. Une fois encore la conversation dérive sur la soirée Gloryhole. << Dans un couple, tout homme avisé devrait offrir un Gloryhole à sa femme pour son anniversaire ! >> lance Estelle. Je rajoute : << J'abonde dans ce sens car les filles passionnées de queues ne connaîtrons pas plus exaltantes extases ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Clémentine pose sa main sur la mienne en s'écriant : << J'ai le privilège d'avoir un homme avisé ! >>.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges reviennent sur nos souvenirs. Elles comparent avec les deux autres soirées Gloryhole. << Plus j'avance en âge et plus je saisis facilement dans sa globalité ces situations extraordinaires ! >> lance Clémentine. << Il faut plusieurs expériences pour en saisir la substantifique moelle ! >> fait Estelle. Nous éclatons de rire quand je précise : << La substance moelle ! >>. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés de filer nous dévalons les escaliers.

Dans le petit sac à dos, la thermos avec du thé chaud, les barres de céréales. Nous enfilons nos anoraks. Nous chaussons nos grosses godasses. Nous voilà dans le froid. Nous montons jusqu'au portail pour prendre le chemin rocailleux de la forêt. Il suffit d'éviter les endroits ou subsiste la boue. Je suis entre mes deux anges. Nous marchons d'un bon pas sous un ciel gris, bas, hivernal mais pas menaçant. C'est la boucle des quatre heures. Nous revenons en passant par le haras. Une fois encore il y a plein de gens pour assister aux animations.

Comme tous les dimanches Juliette a organisé une manifestation équestre. Comme toujours elle est entourée de propriétaires de chevaux, parents des jeunes écuyères que nous voyons évoluer sur la piste du manège. Juliette nous voit. Toute contente elle nous adresse un grand signe de la main. Nous lui faisons des coucous. Clémentine lève le pouce de sa main droite. Juliette fait de même. Nous ne voulons pas déranger. Nous ne restons qu'une dizaine de minutes. Il y a encore trois kilomètres jusqu'à la maison. La faim commence à se faire sentir.

Il est 19 h quand nous sommes de retour. Clémentine prépare une salade de tomates. Estelle concocte une belle omelette au quatre fromages et aux champignons. Je réchauffe le reste de coquillettes dans une poêle en y rajoutant des épices, des petits dés de Roquefort. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit en évoquant Juliette, le haras et pas association d'idées toutes les partouzes que nous avons vécu là-bas depuis plus de quatre ans. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux mes deux anges parlent des vacances. Bientôt.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Je propose un bon léchage de minous en dessert. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Nous avons une heure trente devant nous. Le dimanche jamais de toilettes intimes. Nous macérons dans nos jus. Je laisse au lecteur le plaisir d'imaginer ce qui m'attend au fond des culottes de mes deux randonneuses. Vautrées dans le canapés, sans autres vêtements que leurs chaussettes, leurs chemises à carreaux mes deux anges m'offrent leurs gouteux croupions. Je suis à genoux sur les épais coussins. Un festin de roi.

Je commence toujours par le sexe d'Estelle. Lorsque je ne fouille pas son intimité du bout de ma langue Estelle titille son clitoris en gémissant. Lorsque je suce son clitoris Estelle se tortille, cherchant l'angle idéal pour jouir dans sa totalité. Son "yaourt" est légèrement amer ce soir. Mais abondant et plutôt fluide. J'ai le bas du visage trempé de son jus quand je passe au sexe de Clémentine qui se masturbe en respirant de plus en plus fort. Là, je suce ce clitoris géant qu'elle tient à sa base entre le pouce et l'index. Je fouille ses intimités.

Je n'arrête pas de recracher des poils, de tenter de les saisir quelque part dans ma bouche. Je les saisis chacune à son tour par les chevilles. Basculées ainsi en arrière j'ai un accès parfait dans les raies culières. Car là aussi il y a de quoi se régaler. Surtout que les écoulements de cyprine viennent jusque dans le trou de balle. C'est à la fois écœurant et profondément excitant. Je déguste de la chatte et du cul dans un concerto de gémissements. C'est un enchantement. L'orgasme d'Estelle la fait pousser de petits cris comme dans les films pornos japonais.

L'orgasme de Clémentine la fait hurler. J'ai prévu. J'anticipe toujours. La cuvette en plastique est prête. J'esquive le prodigieux jet de pisse qui m'éclabousse quand même en se brisant au fond de la cuvette bleue. Je me précipite pour sucer, encore et encore. J'ai tout nettoyé. J'ai la gueule trempé de jus de filles. Nous reprenons nos esprits. Estelle me suce doucement en se touchant à nouveau. Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche. Elle cesse de m'embrasser pour me demander : << Ça ne te dégoute plus ? >>. Elle ne me laisse pas répondre.

J'éjacule en sournois, sans prévenir. Estelle manque de s'étouffer. Elle en tousse, les yeux larmoyants. Je lui caresse la tête. Clémentine est tout contre moi, accrochée comme une naufragée à sa bouée. Il faut reprendre nos esprits. C'est dur. S'habiller. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. La nuit est glaciale. La séparation est difficile. Estelle revient mardi soir mais Clémentine la voit en cours demain matin. Un dernier coucou. Nous rentrons vite au chaud. Aux toilettes, Clémentine me suce un peu. Nous sommes morts de fatigue. Un bon dodo.

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 39 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1845 -



Julie est toujours tellement contente de venir

Hier matin, lundi, il est presque six heures. L'application "océan" nous réveille de ses illusions. L'impression d'être tiré du sommeil dans un port de pêche quelque part en Écosse. Le cri des oiseaux de mer presque localisable. La sirène d'un chalutier. Le ressac. Clémentine vient se blottir contre moi. C'est vraiment difficile de se lever. Des papouilles. Malgré les bisous il faut se faire violence en nous précipitant aux toilettes. Morts de faim, habillés de nos leggings en lycra noir, de nos sweats en lycra jaune nous dévalons les escaliers la tête dans le sac.

Clémentine fait le café en me racontant son rêve. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. Nous pressons nos oranges, je pèle les kiwis. Le lundi matin il reste toujours de la brioche. Nous prenons notre petit déjeuner en émergeant doucement. En faisant le bilan de notre week-end. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les cunnilingus de hier soir. De la fellation que m'a prodigué Estelle. << Ce qui explique qu'on soit si crevés ! >> lance Clémentine. Nous rions de bon cœur en remontant pour nous offrir notre heure d'entraînement. Il est 6 h25.

Aérobic, jogging sur tapis roulants. Ce matin ça nous met étrangement en forme dès les premières dix minutes. Les exercices au sol, les abdos avant les charges additionnelles. Un stretching bâclé parce trop rapide et sans concentration. Il faudra s'appliquer car les étirements sont très importants. La douche. Je descends le premier pour faire chauffer la voiture. Il est presque 7 h45. Le froid est glacial sous un ciel plutôt clair. Clémentine vient me rejoindre chaudement vêtue. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail. Dernier coucou.

Je m'empresse de retourner au chaud pour faire la vaisselle, notre lit. Dans l'atelier j'allume une belle flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ce troisième paysage destiné à ma saison d'été m'accapare rapidement. Je peins dans un enthousiasme qui me fait fredonner. La matinée passe encore tellement vite. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans la cheminée avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Là aussi il faut remettre une bûche sur les braises de la cuisinière.

Je réchauffe le reste de coquillettes de hier soir en préparant une salade de carottes. Dans la poêle je fais dorer un filet de colin. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Aujourd'hui André Bercoff, dans tous ses états, nous offre un amusant florilège des promesses des candidats à la présidence. Il compare avec toutes celles des campagnes électorales des quinze dernières années. On nous prend cette fois encore pour de vrais cons. Les mêmes mots. Les mêmes formules. Les mêmes affirmations. Je débarrasse pour faire la vaisselle. 12 h45.

Je monte me laver les dents. Pressé d'aller prendre un peu l'air je redescends à toute vitesse pour mettre mon anorak. C'est ce maudit vent de Nord Est qui est responsable de ce climat polaire. Je vais jusqu'à la rivière. Heureusement qu'il n'y a pas de gelées nocturnes par ici. Ce serait désastreux pour la végétation. C'est sur ces considérations que je reviens au chaud. Confortablement installé devant mon chevalet, je peins dans le même enthousiasme que ce matin. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle se précipite vers moi en sautillant.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Je dois te faire des bisous de la part d'Estelle ! >> me fait Clémentine soudain très grave et sérieuse. Elle rajoute : << Devine où ! >>. Nous rions de bon cœur. Clémentine a ses notes prises en cours à mettre au propre. La voilà assise devant l'ordinateur, entourée de ses fiches. Nous adorons ces moments d'émulations communes. C'est une réelle source d'inspirations. << Ras-le-bol ! >> s'écrie soudain Clémentine. Il est 18 h15.

Je nettoie la palette, les pinceaux. Je lave mes mains au-dessus du petit lavabo de l'atelier quand Clémentine, derrière moi, passe ses bras autour de ma taille. << Je t'aime. Tu m'as fait de merveilleux cadeaux pour mon anniversaire ! >>murmure t-elle en descendant ses doigts sur ma braguette ouverte. Elle y glisse une main. Je me retourne pour la prendre par les épaules. Je dis : << C'est mon anniversaire tous les jours avec toi ! >>. Clémentine tout en enfonçant sa langue dans ma bouche me sort la bite. Je ne tarde pas à bander comme un fou.

Nous nous embrassons passionnément. Clémentine s'accroupit soudain pour déposer des bises en mitraille sur mon sexe. << De la part d'Estelle ! >> dit elle avant de rajouter : << De la mienne ! >> en gobant l'extrémité de ma queue. Cette succion immédiate et passionnée est délicieuse. Trois coups timides contre la porte. C'est dans cette situation que nous surprend Julie. Avant qu'elle n'ait le temps d'hésiter, Clémentine lui fait : << Viens ! >>. Elle se redresse. Je suis toujours un peu gêné d'avoir la bite à l'air. Julie se précipite toute souriante.

Trois bises à Clémentine. Penchée en avant, sur pointe des pieds, la tête relevée, comme pour éviter de frôler mon sexe, Julie me fait trois bises. Je pose mes mains sur ses épaules pour lui déposer une bise sur le front. Elle nous laisse pour s'assoir devant le chevalet. Silencieuse elle observe mon travail de la journée. Clémentine vient se serrer contre moi en saisissant ma queue. Je bande mou. Nous sommes derrière Julie. Elle est penchée en avant, des bras en appui sur ses genoux. Clémentine se penche pour murmurer : << On attend le portrait ! >>.

Julie se retourne pour répondre, en fixant mon sexe : << Je suis impatiente de m'y mettre ! >>. Je dis : << Le modèle est tout aussi impatient de poser pour vous ! >>. Clémentine agite ma bite vers Julie pour rajouter : << C'est comme un fruit, il se déguste après la séance ! >>. Nous rions tous les trois. Julie se lève. Elle reste avec les mains croisées devant sa braguette à regarder mon sexe. Clémentine le tient à sa base. Le trouble qui gagne une nouvelle fois Julie se lit sur son visage comme dans un livre ouvert. Elle ajuste ses lunettes.

Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Sur la desserte est posée la grosse boîte isotherme qui contient nos commandes. Je dépose une bise sur le front de Julie en disant : << Merci ! >>. Elle répond : << J'ai transmis vos remerciement à Jean-Louis ! >>. Clémentine rajoute : << Il t'encule en ce moment le Chef de cuisine ? >>. Julie s'empresse de répondre : << Non, nous n'avons pas le temps ! >>. Nous rions aux éclats. Clémentine retire les opercules sur les bacs à salades. Julie met les assiettes et les couverts.

Les feuillantines au saumon sont encore hyper chaudes. Je tire également les deux quiches de la boîte. Notre repas de demain midi. Avant de nous installer, je me tourne franchement vers Julie, le sexe à la main. Je me décalotte légèrement à plusieurs reprises d'un mouvement régulier. En me masturbant ainsi mon érection se présente sous son meilleur aspect. << Tu les aimes dures ou molles ? >> demande Clémentine. Julie répond : << J'aime voir les deux ! >>. Nous mangeons de bon appétit. Julie nous raconte ses soirées de serveuse.

Ce week-end encore il ne s'est rien passé d'extraordinaire. Il n'arrive pas toujours des situations cocasses. Clémentine raconte sa soirée d'anniversaire. << Un Gloryhole à quatre queues ! >> précise t-elle. Julie, tous les sens aux aguets, écoute, pose un tas de questions auxquelles Clémentine répond avec quantité de détails. << Ça ne te dégoute pas ? >> demande Julie. << Si, mais c'est ça qui rend le truc intéressant ! >> lance Clémentine. Julie me regarde avec de grands yeux avant de me demander : << Ça ne vous rend pas jaloux ? >>.

Je la rassure. Je lui explique une fois encore à quel point j'aime voir ma compagne sucer une autre bite. Julie ne comprend pas bien ce fonctionnement mental. << Par contre Julien ne m'embrasse plus pendant le reste de la journée. Lui, ça le dégoute ! >> confie Clémentine. Je me lève pour me branler en direction de Julie. Elle me dit : << Ça je peux le comprendre. Beurk ! >>. Nous rions aux éclats. Julie n'a jamais vécu cette expérience. Elle n'y tient pas spécialement. << J'ai déjà beaucoup de mal à le faire normalement ! >> lance t-elle.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Julie insiste pour faire la plonge. Clémentine et moi nous essuyons. Elle me fait des clins d'œil. Une bosse à l'intérieur de sa joue avec sa langue. Nous passons au salon. Julie devra nous laisser pour 22 h. Elle est installée dans le fauteuil qui nous fait face. Clémentine assise à ma droite dans le canapé qui joue avec mon sexe. Nous parlons du programme des vacances à venir. Clémentine explique le déroulement des opérations. Nous partons dimanche immédiatement après le repas. Il y a 5 h de route.

Clémentine qui a tout organisé dans le plus grand secret depuis début janvier nous a réservé une chambre dans un des hôtels du Mont Saint-Michel. Une chambre avec salle de bain WC. << Venez voir ! >> nous dit elle. En entraînant Julie devant l'écran de l'ordinateur. Nous découvrons l'endroit. C'est absolument superbe. La chambre est spacieuse, meublée avec luxe. Il y a un lit, un canapé, une armoire, une table, deux chaises. Un fauteuil, un guéridon, un téléviseur. << C'est génial ! >> murmure Julie. Je félicite Clémentine pour son choix.

Les cuisses en appui sur le rebord du bureau, devant les filles, j'agite mon sexe. Alternant "l'hélicoptère" avec la masturbation. Julie ouvre de grands yeux. Pourtant, même si j'ai fait ça tant de fois c'est toujours comme si c'était la première fois. Elle me fait de timides sourires en évitant de me regarder dans les yeux. Clémentine aussi adore scruter les expressions du visage de Julie. Elle lui dit : << Au Mont Saint-Michel, tu sais, tu seras avec deux authentiques vicieuses et un authentique vicelard ! >>. Julie s'exclame : << Et une vraie complice ! >>.

Je demande : << Tu es disposée à de nouvelles aventures et à de nouvelles expériences ? >>. Julie n'ose pas soutenir mon regard. Elle détourne la tête pour répondre à Clémentine : << Et comment ! Je me réjouis tellement pour ces vacances ! >>. Je rajoute : << Ce seront les premières vacances ensemble ! >>. Julie baisse les yeux avec un sourire énigmatique. Je me branle avec vulgarité. Clémentine me fait un clin d'œil. Elle se lève. Julie reste assise sur le tabouret. Clémentine contourne le bureau pour venir s'accroupir à ma droite. Julie mâte.

Je tourne légèrement le bassin pour offrir mon sexe à Clémentine. Julie, la bouche ouverte, comme consternée, observe. J'attends le regard furtif qu'elle va forcément me lancer pour lui adresser un clin d'œil. Clémentine, tout en fixant Julie dans les yeux lèche la peau fripée de mon prépuce. La respiration de Julie devient perceptible depuis l'autre côté du bureau. Elle observe avec attention, passionnée par ce qu'elle regarde. Pour la vraie voyeuse qu'elle est, ce spectacle est évidemment un véritable plaisir. Je me masturbe dans la bouche de Clémentine.

C'est une pipe. Là, sous les yeux de Julie. Elle se lève soudainement pour se pencher, ses coudes en appui sur le bureau pour observer de plus près. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. À quelques reprises je sors mon sexe gluant, juteux, de la bouche de Clémentine pour la présenter à Julie. Des filament épais et visqueux relient mon sexe à la bouche de Clémentine. Julie lâche de profonds soupirs. Elle ne peut cacher son excitation. Je dis : << Tu vas assister à des choses comme ça tous les jours ! >>. Clémentine rajoute : << Plusieurs fois ! >>.

Il faut cesser. Il va être l'heure. Julie prépare son DEUG de Lettres Modernes. Elle a cours demain matin. Il faut être sérieux. Clémentine se redresse. Elle montre le contenu de sa bouche à Julie qui contourne le bureau pour venir voir de près. Prête à embrasser Clémentine. J'essuie ma bite avec mes doigts pour les présenter à Julie. Je lui demande : << Tu te touches en voiture quand tu rentres ? >>. Toute gênée, Julie murmure d'une voix à peine audible : << Oui. Toujours ! >>. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Séparation difficile.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se sucer de la queue avant de s'endormir dans les bras de leur masturbateur fou...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 40 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1846 -



Estelle aussi est toute contente de revenir

Hier matin, mardi, L'application "océan" nous arrache de nos profonds sommeils en nous bluffant. Le cri des mouettes que l'on jurerait quelque part au-dessus de nos têtes. La sirène de ce gros bateau dans le lointain. Pour parfaire cette illusion il y a même les clapotis du ressac. Clémentine se blottit contre moi en murmurant : << Je reste au lit ! >>. Je la serre fort en distribuant des bisous. Il est presque six heures. Il faut se lever. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos habits de sport, nous dévalons les escaliers.

Comme tous les mardis, comme tous les vendredis, Clémentine termine à midi. Ce qui a tendance à la rendre déconneuse dès le levé. Elle fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis en racontant ses rêves. J'allume un bon feu dans la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la présence de Julie hier soir. C'est déjà très excitant d'évoquer nos attitudes lorsque Julie est là. << C'est génial qu'elle vienne avec nous huit jours ! >> lance Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en parlant de ces vacances qui se rapprochent.

Il est 6 h25. Nous remontons. Notre heure de gymnastique va nous réveiller complètement. Clémentine, facétieuse, nous fait rire dès l'aérobic. Le jogging sur les tapis roulants est un vrai plaisir. Les exercices au sol et les abdos où j'ai droit à d'hilarantes grimaces. Avec les charges additionnelles, fini de plaisanter. Le retour au calme d'un stretching surréaliste qui n'est que prétexte à d'autres déconnades. La douche. Je descends le premier pour préparer la voiture. Presque 7 h45. Il pleut, il fait légèrement moins froid. Le ciel est gris et sinistre.

C'est sous le parapluie, dans son anorak que Clémentine vient me rejoindre. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Je me dépêche de rentrer pour faire la vaisselle, le lit. Dans l'atelier j'allume le feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. Dans cette douce euphorie dont ma gratifié Clémentine. La peinture de ce troisième paysage destiné à ma saison d'été m'envahit d'un autre plaisir. Je peins en chantonnant, improvisant des paroles.

Livré ainsi corps et âme à ma passion, je ne vois pas défiler les heures. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe les deux quiches aux fruits de mer. Je prépare une salade de tomates. La pâte feuilletée a décongelé depuis ce matin. J'en étale les deux tiers dans un plat à bords hauts. Je fais une Béchamel. Je lave et coupe deux beaux poireaux. Direct dans l'auto cuiseur. Il est midi trente. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes.

<< Viens, je t'aide ! >> s'écrie t-elle en se lavant les mains au-dessus de l'évier. Clémentine me raconte sa matinée de cours tout en râpant du gruyère de Comté. J'égoutte les poireaux que je rajoute à la Béchamel. Clémentine y verse le gruyère. Je remue avant d'étaler le tout sur la pâte feuilletée. Je recouvre du dernier tiers de pâte. Clémentine y badigeonne le mélange œuf, lait de soja et moutarde à l'ancienne. Quelques graines de sésame grillé. Au four pour une cuisson douce à 180°. La Flamiche Picarde doit mijoter longuement. C'est meilleur.

Nous mangeons de bon appétit tout en revenant sur certaines séquences de ce week-end. Le Gloryhole évidemment. Trois jours se sont passés depuis samedi. Clémentine a donc suffisamment de recul pour me donner des impressions objectives. J'écoute ses considérations. << C'est le seul truc que je veux encore pratiquer à plusieurs ! >> lance t-elle en concluant chacune de ses explications. << C'est à la fois tellement dégueulasse et tellement excitant. C'est étrange et troublant ! >> rajoute t-elle avant de conclure : << J'aime trop la bite ! >>.

Nous rions de bon cœur aux anecdotes de Clémentine. Elle tourne en dérision les moments les plus répugnants. Les "pisseurs" comme elle les appelle : << The pee cock ! >> dit elle en éclatant de rire. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine parle des vacances qui approchent. << J'ai envie d'être salope au Mont Saint-Michel, tu n'imagines pas ! >> s'écrie t-elle entre deux baisers. Nous étions au Mont Saint-Michel toute une journée il y a deux ans. Nous nous sommes promis d'y retourner. C'est bientôt !

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Clémentine m'entraîne par la main. Nous dévalons les escaliers. Il pleut des hallebardes. Mettons à profit cette météo désastreuse pour travailler un peu. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine, assise à califourchon sur mes cuisses se frotte lascivement en murmurant : << Je n'arrête pas de me masturber. En allant en cours ce matin, en revenant à midi ! >>. Nous rions. Je l'encourage à continuer. À préserver cette attitude. << Mes penchants vicieux ! >> dit elle.

Elle se lève soudain pour s'accroupir entre le chevalet et la chaise, entre mes jambes écartées. << Parler pipe donne envie d'en faire une ! >> chuchote Clémentine en fourrant sa main dans ma braguette ouverte. << Oh, mais tu mouilles ! >> s'écrie t-elle en sortant mon sexe. Je dis : << C'est l'excitation de la conversation pendant le repas. Ces histoires de Gloryhole ! >>. Clémentine joue avec le liquide séminal qu'il s'écoule de la peau fripée de mon prépuce. Elle fait des filaments qui relient son pouce et son index en portant ses doigts à la bouche.

<< Mmhh ! >> dit elle avant de prendre l'extrémité de la peau entre ses lèvres. Je sens sa langue fouiller l'intérieur. Juste sur le méat. Clémentine suçote en poussant des << Mmhh ! >>. Je caresse ses cheveux. Je la regarde se régaler. Parfois elle ouvre les yeux pour me fixer. Un regard amusé puis terriblement suggestif. Je murmure : << Je vous aime mademoiselle. Je vous aime ! >>. Clémentine cesse pour demander, espiègle et mutine : << Parce que je suis une suceuse ? >>. Nous éclatons tous deux de rire quand je réponds : << Aussi ! >>.

En regardant ma toile, je me fais tailler une pipe d'une douceur infinie. C'est à haute voix que je pense. Ce qui excite considérablement Clémentine. Je reviens sur le Gloryhole : << À l'idée que ces mecs ont ressenti la même chose que moi, samedi soir, ça me fait juter encore davantage ! >>. Clémentine, sans cesser de sucer, rit en gloussant. Je lui raconte mes impressions, mes ressentis. Elle écoute en pompant, en gloussant. Lorsqu'elle cesse quelques instants c'est pour me montrer l'intérieur de sa bouche. Elle déglutit avec un mouvement de tête.

Clément est à genoux depuis un petit moment. Je l'aide à se redresser en retirant ma queue gluante de sa bouche. << Non ! > s'écrie t-elle. Je la soulève pour l'emmener promener dans toute la grande pièce. Enserrant ma taille de ses jambes elle me couvre le visage de bisous. Je l'emmène à la table. Je l'assois dessus. Elle garde ses bras autour de ma taille pour me dire des douceurs. Je ponctue chacune de ses phrases par un << Je vous aime ! >>. Nous décidons de nous garder pour ce soir. Avec Estelle. Clémentine s'installe devant son ordinateur.

Je retourne à mon chevalet. Nous adorons ces moments d'émulation tout autant que le sexe. Parfois, l'un vient rejoindre l'autre. Lui déposer un bisou dans le cou, lui chuchoter une douceur ou une cochonnerie à l'oreille. L'après-midi se déroule ainsi. Clémentine a bien avancé pour son dernier texte. Elle m'en fait une première lecture. Je nettoie la palette, les pinceaux en écoutant. Il est presque 18 h. Clémentine tourne autour de moi, son manuscrit à la main en déclamant telle une actrice de théâtre. Du bruit. Estelle entre dans l'atelier comme un ouragan.

Elle se précipite pour s'assoir sur mes genoux. << Clémentine m'a tout raconté. Julie hier soir. Je veux ta version ! >> s'écrie t-elle en me mitraillant les joues de bisous. Clémentine dit : << Et mon texte ! Je suis entrain de lire mon texte ! >>. Nous éclatons de rire. Je réponds : << Raconte-moi d'abord ton lundi soir ! >>. Estelle dit : << Je bosse dans ma chambre. Maman monte me raconter des trucs. Papa fait pareil quand je descends les rejoindre au salon. Et vous me manquez ! >>. Elle rajoute : << Et cet après-midi j'ai bossé mon texte ! >>.

Estelle rejoint Clémentine devant l'ordinateur. Elles comparent leurs écrits. Cette mini thèse qu'il faudra présenter et remettre vendredi matin. Je suis debout derrière elle à lisser leurs cheveux en écoutant leurs échanges, leurs stratégies. C'est passionnant d'écouter les filles échafauder des ruses pour parvenir à leurs fins. Je sors discrètement ma bite. Il y a du foutre qui suinte. Estelle, comme avertie par un sixième sens, se retourne soudain. << Le salaud, il se branle ! >> lance t-elle. Clémentine se retourne. << Non il se touche ! >> dit elle.

Estelle se lève, saisit mon sexe pour me tirer tout autour de la table. << Toi, au Mont, tu vas prier Saint-Michel de faire cesser les tourments que je vais t'infliger ! >> s'écrie t-elle. Clémentine nous observe en riant. Estelle rajoute : << Car tu vas vivre un enfer ! >>. Je la prends dans mes bras pour la soulever. Elle se frotte sur ma bite. Je dis : << C'est moi ton diablotin ! >>. Je la repose au sol. Clémentine montre les taches de sperme qui macule à présent la braguette d'Estelle. << Oh le vilain spermeur ! >> lance t-elle en s'accroupissant devant moi.

Sous les yeux amusés de Clémentine je me fais tailler une pipe. J'aide Estelle à se redresser. Il commence à faire faim. Les filles m'entraînent par les mains. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand Estelle découvre la tourte aux poireaux dans le four, elle s'exclame : << Miam de chez miam ! >>. Elle me saute au cou. Clémentine prépare la salade d'endives. Estelle met les assiettes, les couverts. Je mets la Flamiche Picarde dans le four à bois dont la chaleur est infernale. C'est très rapide. Nous mangeons de bon appétit en bavardant.

Mes deux anges font mille projets pour ces vacances. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, elles évoquent la présence de Julie. << On va la pousser à ses dernières extrémités ! >> lance Estelle. << Nous allons procéder à quelques expériences ! >> rajoute Clémentine. J'écoute dans un silence amusé. Ça m'excite. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Me font tomber dans le canapé. À genoux sur les épais coussins, elles continuent de raconter des trucs tout en jouant avec mon érection.

Je caresse leurs cheveux. Je passe mes doigts sur la douceur de leurs joues. C'est Estelle qui se met à me sucer la première. Clémentine se redresse, toujours à genoux et bien droite, elle enfonce sa langue dans ma bouche. Nous pouvons entendre le bruit bulleux et les gargouillis de la pipe que me prodigue Estelle. Pour laisser reposer sa mâchoire elle cesse. Elle se redresse à son tour pour m'embrasser pendant que Clémentine me bouffe la queue. Je passe mes mains entre les cuisses. Elles ont déboutonné leurs braguettes afin que je puisse m'y égarer.

Ce soir, elles sont branchées pipe toutes les deux. Il y a juste nos gémissements de plaisirs. Le gloussement des filles que cela amuse autant que cela excite. Je suis enivré de plaisir. Tout ce bonheur me donne des vertiges. Il en va de même pour mes deux anges qui passent là un autre moment d'exception. Lorsque je précise que moi aussi j'aimerais me bouffer du minou elles se contentent de rire. Estelle devra nous laisser à 22 h. C'est dans sa bouche que j'éjacule en gémissant car la mienne est occupée par celle de Clémentine. Comme c'est bon !

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se voient récompensées par un cunnilingus délicat une fois sous les draps avant le dodo...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 41 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1847 -



Juliette aussi est toute contente d'être avec nous

Hier matin, mercredi, il est presque six heures. C'est bluffant d'avoir l'impression de se réveiller dans un port de pêche. Les sirènes des chalutiers. Des voix au loin. Le cri des oiseaux de mer. Le ressac. L'illusion parfaite de l'application "océan" nous tire une fois encore de nos profonds sommeils. Clémentine vient se blottir dans mes bras pour murmurer des mots encore incompréhensibles. Je la soulève pour l'emmener comme une jeune mariée jusqu'aux toilettes. << Vous vous occupez tellement bien de moi monsieur ! >> chuchote t-elle.

Morts de faim, habillés de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers. Il fait froid dans la cuisine car le thermostat des radiateurs vient seulement de s'enclencher. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis en racontant ses rêves. Une nouvelle fois le seul personnage onirique dont elle se souvient est Anahmyel. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier. Cette merveilleuse fellation que m'ont offert Estelle et Clémentine. Le cunni que j'ai prodigué à Clémentine.

Nous mangeons de bon appétit en développant la théorie du manque de sommeil et de son corolaire, nos activités sexuelles débridées. Nous rions de bon cœur même avec encore la tête dans le sac. Il est 6 h25. Nous ne connaissons pas de meilleure formule pour émerger complètement qu'une heure d'entraînement. C'est en courant que nous remontons pour mous livrer à notre gymnastique. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol. Les charges additionnelles sont de redoutables stimulants. Retour au calme avec un stretching bâclé.

La douche. Je me dépêche de redescendre pour aller faire chauffer l'auto. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak. Il fait un froid glacial, le ciel est gris, bas et sinistre. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer au chaud pour faire notre vaisselle, notre lit. Dans l'atelier j'allume un bon feu dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. Les premiers craquements du petit bois, son odeur, c'est comme en hiver.

La peinture de ce troisième paysage destiné à ma saison d'été me passionne. Cette toile sera terminée vendredi en fin de matinée. Je peins dans la sérénité des certitudes. J'aurai mes 24 créations pour la fin du mois de juin. La matinée s'écoule dans la concentration. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans la cheminée avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer la dernière part de la Flamiche Picarde. Cette tourte aux poireaux qui a fait les délices de notre soirée de hier. Je prépare une salade d'endives. C'est rapide. Je suis méthodique.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Bien évidemment, une fois encore André Bercoff consacre son émission aux élections présidentielles. Depuis toutes ces années on connait tous la "chanson". Au soir du premier tour, dimanche prochain, les plateaux télés seront envahit de tous les vieux chevaux de retour trop heureux de retrouver une heure de gloire pour "analyser" en compagnie des animateurs d'informations. La fameuse formule : << Les grands perdants de ces élections sont les instituts de sondages >>. On connait la chanson.

Je débarrasse pour faire la vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé de prendre l'air, je dévale les escaliers pour mettre mon anorak. Le thermomètre extérieur indique 12°. Les petites fleurs blanches ayant recouvert les arbres, les buissons, se sont transformées en feuilles vertes. Le vert prédomine d'ailleurs partout. C'est magique. Je vais jusqu'à la rivière en flânant. Plongé dans l'introspection quand aux vacances qui nous attendent. Nous partons dimanche. Nos départs sont toujours d'intenses moments d'un indicible bonheur. Souvenirs.

Je remonte pour retourner à ma passion. Une passion bien dévorante cet après-midi encore car mon enthousiasme me fait pousser les cris les plus surréalistes. À chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle se précipite pour s'assoir sur mes genoux. Ses bras autour de mon cou elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Je dois te faire plein de bises de la part d'Estelle ! >> me dit elle en se levant car elle a encore du travail. La voilà assise devant son ordinateur.

Il est 18 h15. << Mais là, carrément, ça me gonfle ! >> s'écrie Clémentine. Elle se lève pour venir me faire la lecture de son écrit. Ce dernier texte qu'elle devra rendre vendredi matin. Tout en nettoyant la palette, les pinceaux j'écoute. Je la félicite pour la qualité littéraire de son travail. Assise à califourchon sur mes cuisses, Clémentine se frotte en me couvrant le visage de bisous. Du bout de ses lèvres elle pince légèrement mon nez. J'adore l'entendre gémir de contentement lorsque je suis ainsi offert à sa tendresse. Je caresse son dos, ses reins.

Clémentine se lève. Elle s'accroupit entre moi et le chevalet pour écarter les pans de ma blouse. Sa main dans ma braguette qu'elle fouille pour extirper mon sexe. Elle y dépose des bises en mitraille. << Ça, c'est de la part d'Estelle. Mais ça, c'est de la mienne ! >> dit elle avant de gober l'extrémité de ma queue. Je bande mou. Je passe mes doigts sous ses cheveux, je fais le tour de ses oreilles, je m'attarde dans sa nuque. Je me fais tailler une pipe. Je l'aide à redresser en la forçant à cesser. Juliette ne va pas tarder à arriver avec notre repas du soir.

Un mercredi sur deux c'est Juliette qui prépare la surprise. Clémentine m'entraîne par la main. Nous faisons les bonobos en sautant et en poussant des cris d'animaux qui n'existent pas. Avant de tomber dans nos bras pour nous embrasser comme des amoureux transis. La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine se précipite pour le saisir. << Juliette ! >> s'écrie t-elle. << Garde ta bite à l'air ! >> rajoute t-elle en m'entraînant par la main. J'ai juste le temps d'enlever ma blouse. Nous quittons l'atelier pour accueillir notre amie intime.

Ce soir Juliette est vêtue de sa tenue de cavalière. Sous son manteau dont Clémentine la débarrasse. Je prends le grand Tupperware qui contient la surprise. Nous nous touchons les poings. << C'est trop dur ! >> s'écrie Juliette qui nous fait la bise. Juliette porte sa longue tresse qui bat sur ses reins. Sur cette cambrure impressionnante que lui confère son corps sculptural d'athlète. Son pantalon d'écuyère hyper moulant dessine ses formes sublimes. Juliette malgré ses 48 ans n'a strictement rien à envier à Clémentine. C'est phénoménal.

Clémentine prépare une salade de carottes avec de l'avocat, des champignons. Juliette met les assiettes, les couverts en nous racontant sa journée. Je réchauffe la tarte à l'aubergine et aux brocolis confectionnée par notre amie. Pas une seule fois encore Juliette n'a regardé ce qui pend de ma braguette. J'adore ce jeu typiquement féminin. Faire semblant de ne se rendre compte de rien. Ça m'excite. Et bien évidemment ça me fait bander. << N'allez pas risquer de vous brûler cher ami ! >> lance t-elle soudain quand je m'approche de la cuisinière à bois.

Bien évidemment qu'elle a vu. Elle montre mon sexe de son index pointé en rajoutant : << Je sors la tarte du four ! >>. Rien ne me trouble davantage que de voir une femme accroupie, de dos. Clémentine le sait. Elle me fait un clin d'œil en remuant la salade. Je me branle. En se relevant pour déposer la tarte sur la table Juliette découvre mon "activité". << Alors, on "bricole" derrière mon dos ! >> dit elle en me regardant par en dessous. Sévère. J'adore ses attitudes. Cette femme me procure d'indicibles sensations. Ce qui rend Clémentine jalouse.

Une jalousie raisonnée qu'elle surmonte avec la plus parfaite sérénité. Nous sommes tous deux suffisamment complices pour transformer toutes les ambiguïtés en moments de plaisirs. Nous mangeons de bon appétit. Juliette se réjouit pour cette fin de saison. Les propriétaires de chevaux commencent à récupérer leurs bêtes. << Combien de pipes depuis dimanche ? >> demande Clémentine. << Une seule. À mon vétérinaire. Mon vétérinaire qui au passage vous félicite pour samedi soir ! >>. Cette allusion au Gloryhole nous fait rire aux éclats.

<< Alors Clémentine, vos impressions depuis samedi ? >> demande Juliette. << Un grand moment et un cadeau d'anniversaire dont je vous remercie ! >>. Juliette nous explique sa façon de "recruter" les bites. << Le grand black est directeur de la clinique vétérinaire. Il y avait Robert. Il y avait Gotama son collaborateur indien et un ami de Robert mon vétérinaire. Que du "beau monde" soyez rassurée ! >>. Nous rions aux éclats à l'énumération des "sucés" de samedi soir. Juliette rajoute : << Mahdi aimerait d'ailleurs une récidive ! >>.

Mahdi est le directeur de la clinique vétérinaire. Un grand camerounais dont la bite a fait les délices du Gloryhole offert à Clémentine. Elle me regarde. Je dis : << On ne peut refuser une invitation à savourer des "spécialités" ! >>. Nous rigolons comme des bossus. << Je me le suce rarement mais à chaque fois c'est un régal. Et je ne vous dis pas les "performances" de cet ancien athlète ! >> fait encore Juliette. Clémentine ne cesse de me consulter du regard. Comme si elle désirait un encouragement. Une approbation peut-être. Je fais un clin d'œil.

<< Je vais étudier la question ! >> se contente de répondre Clémentine aux allusions répétées de Juliette. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Durant le repas je me suis levé plusieurs fois pour agiter ma queue. Une fois vers Clémentine. Une fois vers Juliette. Nous passons au salon pour y prendre une verveine. Juliette est installée dans le fauteuil qui nous fait face. Une cuisse posée sur l'accoudoir. Une position fréquente chez Juliette quand nous sommes dans l'intimité. Cette femme sait être vicieuse mais avec tant de classe et de raffinements.

Clémentine joue avec ma queue tout en bavardant. Je n'ai de yeux que pour ces deux bosses que sépare la couture centrale du pantalon d'écuyère de Juliette. Ce sont ses lèvres. C'est magnifique. Deux petites bosses qu'elle fait rouler entre ses doigts tout en parlant. Le jour où je pourrais enfin bouffer cette chatte reste un mystère. Bien évidemment, sachant les sentiments qu'éprouve Juliette pour moi, il n'en n'est pas question. Clémentine ne veut même pas en entendre parler. C'est Estelle et personne d'autre. Nous en rions souvent en évoquant "ça".

Par contre je peux toucher. Je ne m'en prive pas. Je me lève. Je fixe alors Juliette dans ses yeux interrogateurs. En fixant alors Clémentine je m'accroupis à côté du fauteuil. Juliette retire ses doigts pour permettre aux miens de malaxer délicatement ses bosses. Le tissu est fin. Ça roule bien entre mon pouce et mon index. J'adore ce réflexe féminin. Ce petit sursaut de tout le corps lorsque je touche. Juliette saisit même mon poignet pour que surtout je ne cesse pas. Juliette qui devra nous laisser pour 22 h elle aussi. Je cesse pour me redresser. C'est si bon.

Dans un soupir Juliette dit à Clémentine : << Cet homme a des doigts de prestidigitateur ! Vous ne devez pas vous ennuyer durant ses tours de magie ! >>. Clémentine m'attrape par la queue pour répondre : << J'ai une préférence pour la baguette du magicien, voyez-vous ! >>. Nous rigolons tous les trois comme des bossus. << Harry Ploteur et sa braguette magique ! >> lance Juliette avec son accent méridional. Je bande comme le dernier des salauds. Clémentine me masturbe doucement. Juliette recommence à se toucher en parlant de ses projets.

Cet été elle partira un mois dans sa Corse natale. À Sartène chez sa sœur. Nous écoutons toujours avec attention les histoires de Juliette. Je me lève une nouvelle fois. Clémentine me lâche la bite en s'écriant : << Non ! >>. Je reviens m'accroupir à côté du fauteuil pour toucher Juliette. Cette fois je le fais avec toute la vulgarité possible. Je constate une fois encore que c'est ce qu'elle préfère. Elle nous dit : << J'adore les hommes ayant le sens des initiatives ! >>. Je me lève, je passe derrière le fauteuil pour caresser ses seins à pleine mains.

Juliette se vautre en poussant un gloussement de contentement. Je tiens un de ses seins dans chaque main. Son pull d'épais coton est doux. Je peux sentir le soutien gorge. Juliette s'adresse à Clémentine : << Un jour il faudra permettre à Julien de s'occuper très sérieusement de moi ! >>. Clémentine répond : << Un jour ! >>. Je viens la rejoindre. Elle m'attrape la queue pour se blottir contre moi. Il est 21 h50. Nous raccompagnons Juliette jusqu'à sa voiture. Au lit, je fais l'amour à Clémentine comme une première fois. Je suis fou amoureux ce soir.

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Homme, 53 ans, France
Classe - 42 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1848 -



Estelle vient nous rejoindre en soirée

Hier matin, jeudi, nous sommes complètement bluffés par l'application "océan". Il est presque six heures quand résonnent les sirènes des gros bateaux. Le cri strident des oiseaux de mer. Clémentine vient se blottir dans mes bras en gémissant. Quelques papouilles, des bisous, avant de nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, la tête dans le cul, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse nos oranges, pèle les kiwis, me racontant ses rêves.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée en compagnie de Juliette. << C'est une femme amoureuse ! Un jour elle va craquer et te sauter dessus ! >> lance Clémentine en posant sa main sur la mienne. Je la rassure en précisant : << Tu seras là pour me défendre ! >>. Nous rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en évoquant les vacances qui nous attendent. Clémentine commence déjà à faire l'inventaire de ce qu'il ne faudra pas oublier. Ça nous amuse beaucoup car nous n'oublions jamais rien. Il est 6 h25.

Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Commencer par un peu d'aérobic permet d'émerger. Le jogging sur tapis roulants nous réveille davantage. << J'ai les yeux qui me piquent ! >> fait Clémentine. Les exercices au sol ainsi que les abdos ne font que parfaire notre échauffement avant les charges additionnelles. Là, c'est une autre histoire. Ça situe bien les choses car il n'existe pas d'entraînement physique plus difficile. Un stretching assez déconnant pour revenir au calme avant la douche. Je descends le premier.

Il pleut sous un ciel uniformément gris. Il fait moins froid. Je sors la voiture. Clémentine vient me rejoindre sous son parapluie. Il est presque 7 h45. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je rentre me mettre au sec pour faire la vaisselle, le lit avant de passer dans l'atelier. J'y allume une belle flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant. Ce troisième paysage destiné à ma saison d'été polarise rapidement toutes mes facultés. Je peins dans l'enthousiasme.

La matinée passe encore à une vitesse vertigineuse. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans le feu avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il reste la dernière part de tarte aux brocolis concoctée par Juliette. Je la réchauffe en préparant une salade de carottes. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff, dans tous ses états, reçoit un invité fort intéressant. Il est question d'écologie de salons parisiens et des stratégies utilisées pour inquiéter l'humanité. C'est évidemment encore une question d'argent. Peu de choses sont vraies.

Je débarrasse pour préparer une pâte à pain. J'incorpore à la farine du parmesan finement râpé. Je la laisse reposer dans un saladier, sous un linge. Je prépare la garniture pour les pizzas de ce soir. Tomates, champignons, ail, échalotes, persil ciboulette. C'est rapide. La sauce repose dans la poêle sous un couvercle. Il me reste à laver les feuilles d'une belle laitue et à préparer l'assaisonnement. Ainsi, tout est prêt pour le prochain repas. Je fais la vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller faire quelque pas, je dévale l'escalier. Mon anorak.

C'est sous le parapluie que je descends jusqu'à la rivière. Les canards, les poules d'eau, les colverts font de véritables ballets à la surface de l'eau. Il y a maintenant trois couples de hérons cendrés. Le couple de cygnes blancs. C'est un spectacle magnifique. Ce tronçon de la rivière est calme sur environs trois cent mètres. Les emplumés l'ont donc colonisé au fil des années. C'est sur ces considérations que je remonte le chemin. Je tombe sur monsieur Bertrand, notre plus proche voisin. Il va nourrir ses amis les canards. Nous bavardons un peu. C'est sympa.

Une coïncidence car Louis vient à parler conditions climatiques. << Le réchauffement ! Ils ne savent plus comment nous embobiner pour faire du pognon ! Et toutes leurs conneries se décident à Paris. C'est en jets privés qu'ils se rendent aux colloques écolos internationaux. Chacun sait qu'un jet privé ça pollue infiniment moins que les avions de lignes ! >> lancent notre facétieux retraité. Un point de vue que je partage complètement. Je l'informe de notre absence huit jours à partir de dimanche prochain. << "Voisins vigilants" >> lance t-il encore.

Nous nous saluons. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans le même enthousiasme que ce matin. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table avant de se précipiter. En sautillant tout autour de moi elle chante : << Demain week-end, dimanche départ ! >>. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Clémentine termine ce soir l'écrit à remettre demain matin. La voilà installée devant son ordinateur. Ses notes.

Il est dix huit heures quand arrive Estelle. Elle aussi se précipite pour s'assoir sur mes genoux. << Parrain m'a niqué hier soir. J'ai le minou tout congestionné car il y a mis davantage de zèle que d'habitude. Comme il ne me verra plus durant deux semaines le salaud s'est donné à blinde ! >> dit elle. Nous éclatons de rire. Estelle va rejoindre Clémentine. Je nettoie la palette, les pinceaux. Estelle et Clémentine, leurs écrits à la main, m'en font la lecture. Clémentine fait une imitation parfaite de l'accent méridional de Juliette. J'écoute en me concentrant.

À tour de rôle elle déclament leurs textes. Un peu à la façon d'actrices de théâtre répétant leurs dialogues. Estelle, une main dans son jeans, cambrée sur ses jambes fléchies, récite avec le plus grand sérieux tout en se touchant. << C'est comment ? >> me demande t-elle la première après avoir terminé sa lecture. Je réponds : << Bandant ! >>. Elle éclate de rire. Je rajoute : << Non, c'est vraiment superbe. Vous allez bluffer vos profs demain matin ! >>. Assises sur mes genoux, mes deux anges peaufinent quelques détails. Inversent des mots.

Il est 18 h30. Nous sommes debout devant la cheminée. Je suis entre mes deux anges que je tiens par la taille. Leurs têtes contre ma poitrine, accrochées à moi. Nous restons silencieux à observer les dernières braises. Il commence à faire faim. Estelle glisse sa main dans ma braguette ouverte. << Elle était délicieuse la pipe de mardi, tu sais ! >> me dit elle en sortant mon Zob. Clémentine en saisit l'extrémité en s'accroupissant. << Ce soir c'est mon dessert ! >> lance t-elle. Je la force doucement à se redresser. Nous quittons l'atelier. La cuisine.

Lorsqu'elles découvrent ce que j'ai concocté pour ce soir, Estelle et Clémentine m'entraînent dans une farandole dans toute la grande pièce. << Mmhh ! Des pizzas ! Ça faisait longtemps. Miam ! >> s'écrie Estelle en lâchant ma queue pour travailler la pâte à pain. Clémentine réchauffe la garniture. Il n'y a plus grand chose à faire qu'à l'étendre sur les feuilles de pâte qu'étale Estelle. Je mets une bûche dans la cuisinière à bois. Sur chaque étage une grande pizza rectangulaire. Trois d'un coup. Avec la chaleur infernale du four, cuisson ultra rapide.

Nous mettons les assiettes, les couverts. Estelle mime des masturbations masculines en évoquant les vacances à venir. C'est vrai que les huit jours qui nous attendent au Mont Saint-Michel nous rendent fébriles. << Trop bien ! Merci Clémentine ! >> lance Estelle en déposant des bises sur les joues de Clémentine. C'est Clémentine qui a préparé ce séjour. En secret, depuis janvier. << Tu fais des cachotteries. À Julien et à moi, vilaine ! >> rajoute encore Estelle. Il faut surveiller les pizzas. Elles ressemblent déjà à la surface d'un volcan en ébullition.

Estelle enfile les maniques. C'est elle qui tire les pizzas du four. Nous mangeons de bon appétit sans cesser d'évoquer les vacances. << Il y aura Julie. Je crois que nous aurons des surprises tous les jours ! >> dit Estelle en mimant une fellation. << Elle n'aura d'autre choix que de se révéler encore un peu plus ! >> rajoute Clémentine. J'écoute les différentes options que programment mes deux anges en fonction de la météo. << C'est sans doute à cause du réchauffement climatique qu'il fait aussi froid ! >> lance Estelle. Nous rigolons comme des bossus.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges reviennent sur l'écrit qu'il faudra remettre demain matin. Un oral de deux minutes afin de présenter l'ensemble. J'écoute leurs stratégies. C'est imparable. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. << J'ai une superbe idée ! >> s'écrie Clémentine. Elle nous emmène derrière le bureau. Elle explique : << Estelle s'installe confortablement sur le bureau. Moi je suis à genoux en-dessous. Et Julien là ! >>. Formidable !

Nous comprenons immédiatement la configuration proposée. Estelle met des coussins sur le bureau. Clémentine met des coussins sur le parquet, sous le bureau. Il y a là un espace qui peut évoquer une grande niche. C'est un meuble victorien du dix neuvième siècle. Ils savaient faire grand à l'époque. Estelle me roule une pelle d'enfer. C'est au tour de Clémentine. Estelle retire son jeans, sa culotte. C'est juste en chemise et en chaussettes qu'elle s'allonge sur les coussins, en appui sur ses coudes pour me regarder m'installer sur ma chaise.

Une chaise à haut dossier sculptée et capitonnée de cuir. Très confortable. Une chaise de style "ministre". Clémentine, à genoux sous le bureau me montre sa bouche grande ouverte. Je bande rien que de penser à la formule "trio" qui nous attend. Je descends mon jeans, mon slips sur les chevilles. Je me sens un peu con. Estelle me présente son minou velu en titillant son clitoris. Elle dit : << C'est là docteur, juste là ! >> en montrant l'ouverture que je devine entre la fente. Je me penche, mon visage entre ses cuisses. Je sens la langue de Clémentine.

D'une main que je passe sous le bureau je caresse la tête de Clémentine en la félicitant pour cette superbe idée. La configuration idéale. Lorsque je suce le clitoris d'Estelle elle se trémousse d'aise. Lorsque je lèche sa fente elle se touche. Les lèvres de son sexe apparaissent comme le feraient les pétales d'une fleurs. C'est magnifique. Avec les pouces j'écarte délicatement. J'adore la mouille. C'est un peu comme des filaments de crème épaisse. Il en coule de l'orifice de son vagin. Je lèche délicatement, la langue en cuillère pour tout bien récupérer.

Estelle gémit de passion. Clémentine suce avec tant de fougue. C'est divin. C'est comme si j'avais la bite dans un bol de purée tiède. Lorsqu'elle cesse pour laisser reposer sa mâchoire, elle lèche mes couilles en les relevant de ses doigts habiles. J'entends gémir sous le bureau. J'entends gémir sur le bureau. Tout en gémissant moi aussi de plaisir. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il reste une bonne heure de festivités. Depuis l'automne dernier Estelle a des éjaculations de cyprine presque aussi conséquentes que Clémentine. Très abondantes.

Un yaourt légèrement plus amer qu'au fil des ans j'ai appris à apprécier. J'adore fouiller chaque plis, chaque recoin du bout de ma langue. Le gout légèrement acidulé, "vinaigré" autour du petit trou est la conséquence des pipis de la journée. Je le suce. Chaque millimètre carré de cet endroit est d'une sensibilité extrême. Surtout lorsqu'il est stimulé du bout d'une langue exploratrice. Les gémissements de plaisir d'Estelle sont autant d'encouragements. Clémentine qui pompe divinement sous le bureau. Une configuration qui participe à mon inspiration.

Estelle se contorsionne. Cherchant le meilleur angle à son plaisir. Soudain, elle cesse de bouger, me repousse délicatement sans cesser de titiller son clitoris. Son orgasme est de toute beauté. Je saisis ses chevilles pour remonter ses jambes une fois encore. Je lui fais le cul. Il y a de la mouille qui a coulé jusqu'au trou de balle. J'ai des poils plein la bouche. J'éjacule dans celle de Clémentine avec une puissance rare. Trois saccades qu'elle pompe en poussant de profonds râles. Je l'aide à émerger de sous le bureau. << Génial ! >> dit elle en déglutissant.

L'abondance de mon sperme la contraint à faire plusieurs tentatives pour avaler. C'est du sperme épais, visqueux et gluant. Ça m'a souvent gêné d'avoir un foutre aussi "pâteux". Mais mes nombreuses suceuses ont toujours apprécié. Nous reprenons nos esprits. << On se refait ce "plan" pendant les vacances ! >> s'écrie Estelle. << Trop bien ! >> lance Clémentine. << Mais on permute je veux du foutre moi aussi ! >> rajoute Estelle. C'est en riant que nous nous rhabillons. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à son auto. Sous le parapluie. Derniers bisous.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se faire offrir un léchage de minou sous les draps avant de faire un bon dodo...

Julien (Docteur Honoris Causa es Cunnilingus)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 43 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1849 -



Midi, le début du week-end et des vacances

Hier matin, vendredi, il est presque six heures. Ce sont les cris des mouettes qui nous arrachent de nos profonds sommeils. L'illusion de nous réveiller dans un port de pêche quelque part en Écosse. Clémentine vient se serrer contre moi en gémissant. La sirène de ce gros bateau dans le lointain. C'est troublant de réalisme. L'application "océan" vient de nous bluffer une fois encore. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, habillés de nos vêtements de gym nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Froide. Clémentine fait le café.

J'allume un bon feu dans la cuisinière à bois. Je pèle les kiwis pendant que Clémentine presse nos oranges en me racontant son rêve. Elle le fait en imitant l'accent méridional de Juliette. Quand elle termine à midi Clémentine est très facétieuse. Ce vendredi est particulier car dès midi c'est le début des vacances. Deux semaines tant attendues. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée avec Estelle. << Excellent le coup du bureau, n'est-ce pas ? >> lance Clémentine mais cette fois en imitant parfaitement mon accent écossais.

Je suis plié de rire. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le très vague programme de la journée. Il est 6 h25. Nous remontons pour notre séance d'entraînement. Déconneuse Clémentine n'arrête pas de nous faire rire. L'aérobic, les joggings sur tapis roulants. Les exercices au sol, les abdos. Ce n'est qu'en pratiquant nos charges additionnelles que le sérieux nous accompagne. Le retour au calme d'un stretching surréaliste n'est que prétexte aux attitudes les plus farfelues. Nous rions tant. Clémentine me saute dans les bras. La douche.

Je descends le premier pour faire chauffer la voiture. C'est l'horreur. Il pleut. Des bourrasques de vent. Presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre sous le parapluie. << Je t'aime. Dès midi nous sommes inséparables pour deux semaines ! >> dit elle en s'installant au volant. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Je m'empresse de rentrer pour me mettre à l'abri. Je fais notre vaisselle, le lit. L'atelier. J'y allume une bonne flambée dans la cheminée. Clémentine m'a laissé de son euphorie.

Je prépare les couleurs sur la palette en chantant "Le parapluie" de Georges Brassens. Je ris de la pertinence de cette chanson bien de circonstance avec cette météo pitoyable. La peinture de ce troisième paysage destiné à ma saison d'été me plonge dans un décors beaucoup plus calme. Je peins dans un enthousiasme extatique. En poussant parfois des cris surréalistes pour marquer les coups de pinceaux les plus virtuoses. Il est 11 h50 quand je dépose la toute dernière touche de vert d'émeraude sur la surface de cette toile achevée. Terminée.

Je nettoie la palette, les pinceaux. Je mets deux bûches dans l'âtre. Sur la table de travail j'installe le petit chevalet à Julie. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer la quatrième pizza de hier soir. Je prépare une salade d'endives. J'écoute Sud Radio. André Bercoff, dans tous ses états, reçoit une économiste de renom international. Les scandaleuses pratiques du cabinet McKinsey ne sont que la partie émergée d'un iceberg fou. Sans parler de toutes les informations concernant nos vies privées, nos santés, maintenant aux états-unis

Il est 12 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille elle me couvre le visage de bisous. Je la promène ainsi dans toute la grande pièce. Au passage elle éteint la radio en s'écriant : << On s'en fout des saloperies politiciennes françaises, dans deux ans on vit en Écosse ! >>. Je la dépose au sol. << Je t'aime. Ça y est c'est les vacances ! >> fait encore Clémentine en se lavant les mains au-dessus de l'évier. Je tire la pizza du four. C'est encore meilleur réchauffé. Avec une bonne salade.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. La remise de sa mini thèse, l'oral de deux minutes pour la présenter. L'attitude des deux professeurs. << Encore gagné ! >> lance t-elle. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, mon ange me confie à quel point elle se réjouit pour les deux semaines qui nous attendent. Le repos bien mérité. Les découvertes. Nous deux. Nous trois. Nous quatre puisque Julie s'est débrouillée pour être avec nous une grande partie de ces vacances. Réjouissances.

<< D'un point de vue étymologique dans le mot "réjouissance", il y a "jouissance" ! Tu vois où je veux en venir ? >> chuchote Clémentine à mon oreille. Elle glisse sa main dans ma braguette ouverte. Je murmure : << J'ai comme une soudaine envie de te faire l'amour, toi ! >>. Clémentine se lève d'un bond en s'écriant : << Mais pourquoi s'en priver ! >>. Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de monter à toute vitesse. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous dévalons les escaliers en riant.

Dans l'atelier, Clémentine touille les braises avec le tisonnier après y avoir déposé deux bûches. Debout derrière elle, mes bras autour de sa taille, je lui murmure des douceurs. Des cochonneries. Elle place le tisonnier sur son support, se retourne, enfonce sa langue dans ma bouche. Ce baiser fougueux mouille nos mentons de salive. Clémentine déboutonne nos jeans. Nous n'avons plus qu'à les retirer avec nos sous vêtements. Je la soulève pour l'assoir sur la table, à côté du chevalet à Julie. En appui sur ses coudes Clémentine m'observe. Scrute.

Je frotte mon sexe contre le sien. Des paquets d'eau son jetés contre les baies vitrées par un vent tempétueux. Clémentine titille son clitoris géant en disant : << Je me suis touchée tout le long de la route en rentrant de cours. Je crois bien que je le fais tout le temps ! >>. Je la félicite en précisant : << Durant mes journées solitaires, il n'est pas rare que je pose ma palette et mes pinceaux pour me pignoler en contemplant mon travail. Et sais-tu à qui je pense mademoiselle ? >>. Clémentine s'écrie : << Langue au chat ! >>. Je dis : << À toi ! >>.

Je la pénètre avec d'infinies précautions. Centimètre par centimètre. C'est la peau de mon prépuce qui permet de coulisser. La nature fait si bien les choses. Clémentine se masturbe en mordillant sa lèvre inférieur. Elle me fixe de son regard suggestif, terriblement troublant. Je suis enfoncé dans la fille que j'aime. Mes couilles contre ses fesses. Clémentine se couche sur le dos. Je reste immobile. Nous adorons faire l'amour ainsi. Juste en contractant nos muscles fessiers. Clémentine se redresse pour me confier quelques secrets de filles. Ses stimuli.

Il y a un nouveau couple de concierges à l'université. L'homme est une sorte de caricature rigolote. Ventru, portant moustache. << À l'ancienne ! >> précise Clémentine que j'aide à se redresser pour la promener dans tout l'atelier. Ses jambes enserrant ma taille, pénétrée jusqu'à mes roubignoles, elle me confie à quel point ces mecs quelconques la font gamberger. Elle cherche constamment un bon "plan" pour se faire surprendre dans les toilettes de la fac. << Je veux qu'il me voit pisser, me toucher ! >> s'écrie Clémentine en se mettant à bouger.

Je la ramène sur la table. C'est la bonne hauteur. Cette fois je la baise à couilles rabattues. Comme je le fais avec Estelle. Sans le moindre égard. Je dis : << Et si le concierge te baise comme ça, dans les chiottes de la fac ? Hein ? Salope ! >>. Clémentine pousse de petits cris. Elle se masturbe toujours en même temps que je la saute. Elle ne dit rien mais s'agite en se tortillant. Je cesse de faire la "machine à coudre". Je demande : << Tu veux grimper aux rideaux tout de suite ou on se garde pour ce soir ? >>. Clémentine reprend ses esprits.

<< Mais vous êtes plein de sagesse monsieur. Nous allons nous garder pour ce soir. Ce sera encore meilleur dans un bon lit ! >> dit elle. Je me retire avec autant de précaution. J'ai la queue trempée de nos mélanges. Clémentine saute de la table pour s'accroupir. Elle s'agrippe aux pans de ma chemise à carreaux pour sucer. J'ai un vertige. Mes mains en appui sur le bord de la table derrière moi, je suis obligé de me tenir pour ne pas vaciller. De se faire pomper ainsi après une bonne heure de baise effrénée est la sensation la plus divine que je connaisse.

J'aide Clémentine à se redresser. Elle me montre l'intérieur de sa bouche. Je n'en reviens pas. Pourtant je n'ai pas éjaculé. Tout ce qu'elle tire du fond de mes couilles m'impressionne. Avec plusieurs mouvements de tête Clémentine tente de déglutir. Mon foutre est épais, juteux, visqueux. Cela se vérifie encore une fois. Elle arrive à avaler avant de se jeter dans mes bras en criant : << Je t'aime ! >>. Je la soulève pour l'assoir une nouvelle fois sur la table mais cette fois devant la chaise. Je m'y assois pour bouffer cette chatte trempée et gluante.

Si nous ne cessons pas immédiatement Clémentine ne pourra éviter l'orgasme qui guette. Surtout que pendant que je fouille son intimité, que je suce, elle ne cesse de se masturber. De titiller son clitoris géant. J'arrête mes explorations linguales. Clémentine se redresse. Elle saute de la table. << J'aime quand on est tous les deux. C'est divin ! >> lance t-elle. Nous allons devant la cheminée pour remettre nos vêtements. C'est fabuleux de rester excités sans aller jusqu'au bout. Nous avons en commun d'apprécier cette faculté et cette particularité.

Il est 15 h45. Trois coups timides contre la porte qui s'ouvre. Julie, toute souriante, se précipite. Trois bises à Clémentine. Trois bises sur mes joues. Vêtue d'un jeans, d'un sweat, de ses bottines, Julie porte ses lunettes d'étudiante. Ses cheveux noués en une natte posée sur son épaule droite. Comme elle est belle et charmante ! Clémentine prépare un thé. Je mets des petits gâteaux sur le plateau avec les bols, le sucrier. Installée devant le fauteuil qui nous fait face, Julie nous raconte sa semaine. Son impatience d'être avec nous. Elle est contente.

Clémentine et moi nous sommes vautrés dans le canapé. Même si Julie ne soutient jamais mes regards, je surprends souvent ses yeux fixer ma braguette béante. Clémentine s'en aperçoit également. Tout en bavardant elle glisse sa main dans mon jeans pour en extraire un Zob trempé et luisant. Les épanchements de liquide séminal perdurent toujours longtemps après la baise. Julie ouvre de grands yeux quand Clémentine fait jaillir mon sexe. Comme un diable de sa boîte. Comme monté sur un ressort. De la jute en gicle. Nous restons silencieux.

Clémentine s'adresse à Julie : << Le modèle de ton futur portrait de Julien ! >>. Julie avec un rire gêné qu'elle dissimule derrière sa main, observe. Lorsqu'elle me lance un regard furtif, je lui fais un clin d'œil. Julie devra nous laisser pour 18 h. Elle à son service au restaurant de l'étang qui reprend à 19 h. Il est temps de nous mettre à son cours de peinture. Clémentine reste dans le canapé avec un livre. Je suis assis à côté de Julie qui prépare ses couleurs sur la palette. Elle termine ce soir ce troisième petit tableaux. Un paysage absolument ravissant.

J'admire son talent. L'ensemble n'est pas sans évoquer l'école de Barbizon. Je ne donne jamais aucun conseil. Je me contente de rester dans un domaine purement technique. Julie cesse souvent de peindre pour prendre du recul sur sa réalisation. C'est là qu'elle en profite pour loucher sur ma masturbation. D'un geste lent, sans cesser de la regarder peindre je joue avec ma queue. J'adore le frisson qui parcourt son corps lorsqu'elle surmonte l'émotion qui la submerge. Merveilleuse jeune fille de 20 ans encore toute émoustillée à la vue d'une belle bite.

Il est presque dix huit heures. Julie nettoie sa palette, ses pinceaux. La toile va sécher. Julie pourra la récupérer dès notre retour de vacances. Nous la raccompagnons sous le grand parapluie jusqu'à sa voiture. Le vent s'est un peu calmé. Julie reviendra demain matin pour faire le ménage. Assise au volant, en démarrant elle regarde mon sexe dans la main de Clémentine. Avec la désagréable fraîcheur humide, je bande mou. Un dernier bisou. Nous la regardons s'en aller. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer au sec. Bien au chaud.

Bonne soirée aux coquines qui auront une bonne queue pour elles toutes seules après un bon plat de spaghettis avec sauce au Roquefort...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 44 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1850 -



Une cavalière voyeuse durant notre promenade

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par la main de Clémentine dans mon cou. Elle est serrée contre moi. Dès qu'elle me sait réveillé elle glisse une de ses cuisses sous mes fesses. L'autre posée sur mon érection matinale. Il n'est pas 7 h30 que la fille que j'aime se frotte contre ma hanche en murmurant des douceurs. Des allusions aux vacances, aux surprises qu'elle me réserve. Je la serre contre moi pour déposer plein de bisous sur son front, ses joues, le bout de son nez que j'attrape entre mes lèvres. << Je t'aime ! >> chuchote t-elle.

L'impérieux besoin naturel met rapidement fin à nos effusions de tendresse. Nous nous précipitons aux toilettes. Le lecteur qui suit nos aventures depuis longtemps connait bien nos rituels du samedi. Aujourd'hui encore ils ne vont pas beaucoup varier. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers. Il fait bien chaud car les radiateurs fonctionnent depuis plus d'une heure trente. J'allume tout de même la cuisinière à bois. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Elle presse les oranges, pèle les kiwis en chantonnant.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. << J'adore être seule avec toi. Juste toi et moi. Plus j'avance en âge plus ce besoin se fait sentir ! >> m'explique t-elle. J'écoute toujours avec beaucoup d'attention ses requêtes. Son ressenti est pour moi d'une extrême importance. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la présence de Julie hier après-midi. << Tu as vu comme elle observe ta bite ? Ce n'est plus seulement de la curiosité. Il y a également de l'envie, du désir, de la tentation ! >> m'explique Clémentine.

Ma délicieuse compagne voit toujours tout. Rien ne lui échappe. En parlant de Julie je me lève pour aller dans le hall d'entrée. Depuis l'interphone j'ouvre le portail car elle arrive pour 8 h30. Il ne pleut pas. Le thermomètre extérieur indique 5°. Nous évaluons la qualité d'un running avec ce froid. Il est huit heures. << Viens, on monte s'entraîner en haut ! >> décide Clémentine. Nous faisons la vaisselle avant de gravir les escaliers à toute vitesse. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol. Trois coups timides contre la porte qui s'ouvre.

<< Bonjour ! >> fait Julie en restant dans l'encadrement. Nous sommes ensuqués. En plein effort. Ce n'est peut-être pas le bon moment pour nous faire la bise. Julie vient pour le ménage. Elle nous fait un grand sourire avant de nous laisser en refermant la porte. Ce matin c'est avec les machines que nous travaillons nos charges additionnelles. Au niveau de la synchronisation c'est meilleur. Mais il est toujours préférable de les manipuler sans être guidé. Cela force le muscle à travailler sous d'autres angles. Cela favorise l'équilibre naturel du corps.

Nous terminons par un stretching trop rapide et bâclé. Nous sommes toujours pressés d'en finir avant la douche qui nous attend. On peut entendre Julie passer l'aspirateur quelque part à l'étage. Clémentine adore me regarder me raser. Frotter sa joue contre la mienne en gémissant de contentement. Vêtus de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux nous dévalons les escaliers. Les escaliers sont en colimaçon dans la tourelle. C'est le seul endroit de la demeure qui n'est pas chauffé. Nous les montons et les descendons à toute vitesse.

Nous enfilons nos anoraks pour sortir. Le ciel est couvert. De lourds nuages d'un gris sombre et menaçant. Nous traversons la pelouse en restant sur les dalles de grès pour contourner la maison d'amis. Remplir la brouette d'une vingtaine de bûches. Deux fois. Bûches que nous empilons à côté de la cuisinière à bois, de la cheminée du salon et de la cheminée de l'atelier. Nos livraisons ne vont pas tarder. Il est dix heures pile. Voilà d'ailleurs Danièle au volant de son fourgon. Du hayon arrière elle sort un cageot et récupère ceux de la semaine passée.

Danièle est souriante ce matin. Nous n'avons commandé que des oranges, des kiwis, nos fromages préférés. Comme nous partons une semaine il faut prévoir. Il n'y a pas de commandes pour samedi prochain. Nous nous saluons. À peine Danièle est-elle repartie vers d'autres livraisons qu'arrive le tube Citroën rénové de notre boulangère. Elle a encore de bons mots qui nous font beaucoup rire. << Il faut le dégager ! >> dit-elle en revenant sur le premier tour des élections présidentielles. Elle a de ses mimiques qui nous amusent tellement.

Nous avons commandé trois miches. Deux pâtes feuilletées, la grosse brioche au pudding. Madame Marthe nous offre nos deux gros croissants aux amandes. << Bonne vacances ! >> nous fait-elle en démarrant. Lorsqu'elle s'en va notre boulangère ouvre la portière pour lancer : << Il faut le dégager ! >>. Pliés de rire nous lui adressons un dernier coucou. Nous rentrons au chaud. Julie est entrain de passer la serpillère dans la cuisine. Nous descendons à la cave. Une machine tourne. Ce sont nos draps. Brave Julie. Nous n'en demandons pas tant.

Du congélateur où je dépose une des trois miches de pain complet et bio, les deux pâtes feuilletées, je tire un paquet de moules, les sachets de haricots verts, de petits pois. Nous remontons pour passer au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Nous avons trois messages. Le courriel de Juliette qui nous souhaitent de bonnes vacances. Le mail de mon oncle d'Édimbourg qui nous donne quelques nouvelles. Le mot d'Estelle qui nous fait part de son impatience de nous rejoindre. Nous sommes invités chez ses parents demain, à midi.

Dans la petite enveloppe jaune, je glisse un billet de 50 €. Clémentine y rajoute un mot gentil. Je signe d'une fleur que je dessine avec soin. Clémentine surfe sur le site universitaire. Aucune information si ce n'est la date de la rentrée. Le troisième trimestre commence dans notre région le lundi 25 avril. Un rapide tour des forums sur lesquels nous publions nos aventures. C'est Clémentine qui répond aux messages privés. Quelques phrases polies en copié/collé. Ces lecteurs qui nous témoignent leurs affections. Leurs addictions à nos histoires. Succès.

Il est 11 h20. Julie vient nous rejoindre. Toujours hésitante elle avance lentement. Comme de peur de nous déranger. << La maison est bien propre. J'aimerais rester avec vous dès maintenant ! >> dit elle. Clémentine se lève pour la prendre par le bras. << On va vivre de belles aventures, tu vas voir ! >> lui fait elle. Je me lève pour lui remettre la petite enveloppe jaune. Je dépose une bise sur son front en la remerciant. Les diffuseurs d'arômes du bas de la maison libèrent les parfums de jasmin. Ceux de l'étage diffusent les effluves de magnolia.

Comme convenu, nous passerons récupérer Julie chez elle à 13 h30 demain dimanche. << J'ai juste une valise ! >> précise t-elle. << Nous aussi ! >> lance Clémentine avant de rajouter : << Pour huit jours on prend le minimum ! >>. Je ris en disant : << Impossible. Tu prends toujours de quoi tenir deux mois ! >>. Clémentine me saute au cou, amusée. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. La séparation est difficile. Clémentine palpe ma braguette avec vulgarité. Julie, assise au volant lui fait un sourire. Julie n'ose pas soutenir mon regard.

Nous regardons la Clio rouge monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. Julie sort de l'auto pour nous adresser des bisous. C'est la première fois qu'elle agit ainsi. Elle est tellement heureuse à l'idée de rester avec nous dès demain. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Comme ça sent bon partout dans la maison ! Merci Julie. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare le bouillon pour les moules. Dans le wok je verse les petits pois, les haricots verts. C'est rapide le samedi. On ne s'emmerde pas. Nous mangeons de bon appétit.

Nous revenons sur la personnalité si attachante de Julie. Cette douce jeune fille de 20 ans à la fois si timide, si réservée et si vicieuse. Ces paradoxes qui participent de son charisme nous émerveillent toujours. << Si j'étais lesbienne elle serait passée dans mon lit des dizaines de fois ! >> lance Clémentine. Une fois encore je dis : << Dommage pour ma libido d'homme des cavernes que tu ne le soit pas ! Je le déplore ! >>. Clémentine se lève pour s'assoir sur mes genoux, ses bras autour de mon cou elle fait : << Je suis hétéro comme toi. À 150 % ! >>.

Nous rions de bon cœur. Nous traînons à table en faisant le programme de l'après-midi. Clémentine déboutonne ma braguette pour y glisser sa main. << Comme je vais être salope durant ces vacances. Mon pauvre Julien, tu n'imagines pas ! >> dit elle avant de me mordiller l'oreille. Je murmure : << Je vais être salaud durant ces vacances. Pauvre Clémentine, tu n'imagines pas ! >>. Nous rions aux éclats avant de débarrasser pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Les diffuseurs d'arômes y ont laissé les effluves de magnolia.

<< Qu'ils sont où les gens que j'aime ! >>. C'est la voix d'Estelle qui ouvre la porte de la salle de bain. Elle se précipite. Trois bises à Clémentine entrain de s'essuyer la bouche. Estelle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. Je la repose au sol. Nous restons serrés tous les trois à savourer cet instant magique. << On mange chez mes parents demain à midi. Nous sommes attendus pour midi tapante ! >> lance Estelle. Elle rajoute en voyant nos yeux grands ouverts. << C'est bien on a rien à préparer. Super non ? >>.

Nous emmènerons le dessert. Une des tartes aux noix qui sont dans le congélateur. << Il faudra penser à la sortir dès qu'on se lève ! >> lance Clémentine. Notre salle de bain est une grande pièce. Estelle nous entraîne dans une farandole en inventant des paroles. Sur un air de comptines nous répétons chaque phrase. Pliés de rire car les improvisations d'Estelle deviennent rapidement grivoises avant de devenir franchement pornographiques. << Mais où tu vas chercher tout ça ! >> s'écrie Clémentine écroulée de rire dans mes bras. Une rigolade !

Clémentine nous entraîne dans la chambre. Je monte sur le tabouret pour récupérer deux des valises posées sur l'armoire. Il faut d'abord retirer la bâche délicatement à cause de la poussière. Estelle qui a déjà préparé sa valise secoue la bâche à la fenêtre. << Ma valise est en bas dans le hall ! >> précise t-elle. Clémentine sort nos affaires de l'armoire. Je les plie soigneusement pour les poser délicatement . Estelle, derrière moi, me palpe la braguette. Un de ses plus grands plaisirs est de me distraire de ma tâche, de tenter de me perturber. Virtuose !

La coquine me sort le Zob tout en évoquant les vêtements qu'elle emmène en vacances. Je rappelle à chaque habit que me tend Clémentine que nous ne partons que huit jours. Que deux jeans pourraient éventuellement suffire. Deux chemises, deux sweats. << Tu as raison ! >> fait elle en remettant les affaires sur les étagères. Nous rions de bon cœur. Estelle, debout derrière moi, joue avec ma queue, me masturbe. Voilà nos valises prêtes. Dans le sac de sport, nos chaussures. Deux paires de baskets. Balades et joggings. Une paire de souliers de ville.

Nous descendons le tout. Nous plaçons nos valises et le sac à côté de ceux d'Estelle. Je demande : << Où est Bunny Boy ? >>. Estelle s'écrie : << Avec les godasses, dans le sac de sport ! Mais j'ai mon "Doudou" préféré ! >>. Elle s'empare de mon sexe pour le serrer très fort en rajoutant : << Je vais l'emmener partout avec moi ! >>. Nous rions de bon cœur. << Comme nous partageons le même doudou, on sera tout le temps ensemble ! >> lance Clémentine. Je dis timidement : << Il faudra peut-être parfois le partager avec Julie ! >>. Rires.

Il est 15 h. Nos affaires sont prêtes. C'est sereins que nous mettons nos anoraks pour aller nous promener un peu. Nous montons jusqu'au portail pour traverser la route. Le chemin pierreux de la forêt permet de marcher au sec. Je suis entre mes deux anges. Je les écoute faire mille projets pour ces vacances. Les huit jours au Mont Saint-Michel puis la seconde semaine. << Je veux voir Julie faire le portrait de ta bite ! >> me fait Estelle en nous stoppant. Debout devant moi elle glisse sa main dans ma braguette en disant : << Je passe commande ! >>.

Nous faisons la boucle des trois heures. Nous croisons des groupes de promeneurs. De jeunes cavalières qui nous saluent. Estelle qui adore me mettre dans l'embarras tente à chaque fois de m'empêcher de cacher ma queue. Car malgré la désagréable fraîcheur humide, j'ai souvent la bite à l'air. Durant les arrêts pipi je me venge. Je m'accroupis derrière les deux coquines pour enfoncer mes index dans les anus. << Salaud ! Enculeur de filles ! >> s'écrie à chaque fois Estelle. D'enfoncer un doigt décuple la puissance du jet des coquines. Grandiose.

Je les torches soigneusement avec des mouchoirs en papiers. Tel le petit Poucet, nous jalonnons notre route. Au lieu d'y déposer des cailloux blancs, ce sont des mouchoirs. Papiers qui se diluent évidemment très rapidement aux premières pluies sans polluer. Clémentine empoigne mes couilles dodues à cause de l'étroitesse de la braguette boutons de mon 501. Estelle tient ma bite pour en diriger le jet contre le muret du pont. Nous ne l'avions pas entendu venir. Cette belle et jeune cavalière si fière et droite sur sa monture. Nous voilà faits comme des rats.

La jeune fille, avec cette pudeur qui l'honore, attend avant de franchir le pont de pierres. Elle nous adresse un merveilleux sourire. Je suis mort de honte. Ce qui réjouit évidemment mes deux coquines. Lorsqu'un homme, la bite à l'air, en compagnie de deux jeunes filles se fait surprendre par une troisième, tout passe comme une lettre à la poste. Aucune inquiétude, aucune crainte inutiles. C'est rassurant pour l'involontaire voyeuse. Estelle en profite pour agiter mon sexe. La cavalière est toute souriante. Complice soudaine de cette situation.

<< Bonjour ! >> nous dit elle en s'avançant tout de même sur l'étroit pont en dos d'âne. C'est en même temps que nous répondons : << Bonjour ! >>. Estelle et Clémentine ne lâchent pas mes organes génitaux. Heureusement que je suis dos tourné. La cavalière s'arrête à l'autre extrémité du pont. Elle se retourne pour regarder. Ce n'est certainement pas tous les jours qu'elle assiste à un tel "évènement". << C'est une vicieuse ! >> murmure Clémentine. << Sûre ! >> chuchote Estelle qui me force à me tourner vers la jeune cavalière. Silence.

La jeune inconnue éclate de rire en cachant sa bouche derrière sa main. Nul doute. Ce qu'elle vit là doit la ravir. Je bande en lâchant un dernier jet de pisse. La jeune cavalière nous adresse un signe de la main en nous lançant : << Bonne balade ! >>. Nous la regardons s'éloigner. Clémentine s'accroupit entre le muret et moi pour me sucer avec gourmandise. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Je regarde là-bas, au loin, la jeune cavalière s'est arrêtée. Elle nous observe. Elle fait un grand coucou avant de disparaitre sous les arbres.

Estelle s'accroupit à son tour. Clémentine se redresse. Je bande comme le dernier des salauds. Je pourrais éjaculer tellement l'excitation est grande. Nous reprenons notre promenade. Je glisse moi aussi mes mains dans les culottes. C'est humide, moite. Ce soir j'aurai de quoi me régaler. Lorsque j'en fais part à mes deux anges, elles sautillent autour de moi en me faisant plein de bisous. Il est 18 h30 quand nous sommes de retour. Un vent froid s'est levé. C'est désagréable. Il fait faim. Clémentine prépare une salade avec les toutes dernières carottes.

Estelle fait bouillir l'eau des coquillettes. Je fais rissoler du saumon décongelé, finement émincé. J'y rajoute un petit pot de crème fraîche en fin de cuisson. Estelle râpe du gruyère de Comté. Nous n'arrêtons pas d'évoquer notre rencontre insolite de l'après-midi. Cette jeune cavalière curieuse et très intéressée. << Elles sont rarement aussi voyeuses ! Nous avons certainement eu affaire à une membre du "Club" ! >> lance Estelle. << Il faut dire qu'on ne la pas entendu venir. Elle nous mâtait peut-être depuis un moment ! >> suggère Clémentine.

Je ne suis pas loin de penser pareil. Nous mangeons de bon appétit. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges reviennent sur nos projets de vacances. Le plan "B" si la météo s'obstine à rester médiocre. Il y a beaucoup de choses à voir dans l'enceinte du Mont Saint-Michel. Les environs proposent également des curiosités. Nous laisserons la voiture sur le parking pour nous rendre au Mont avec la navette. La fréquence des navettes est d'environ vingt minutes. Ce qui permet une grande autonomie.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Nous ressentons une légère fatigue. << Tu as promis ! >> lance Estelle en retirant son jeans et sa culotte. Clémentine fait pareil. J'adore les voir jeter leurs vêtements n'importe où après les avoir fait tourner en l'air. << Olé ! >> s'écrie Estelle. Toutes les deux, vautrées dans le canapé, tenant leurs jambes relevées sous les genoux, m'offrent leurs appétissants croupions. Je suis à genoux sur les épais coussins. Je commence toujours par Estelle. Odeur de fille négligée.

J'en raffole. Je fouille sa fente du bout de ma langue pour la faire s'ouvrir. Elle titille son clitoris. Doucement les lèvres de son sexe apparaissent comme les pétales d'une tulipe. Quel magnifique spectacle. En même temps suintent les premières coulures. Je suce son clitoris en l'écoutant soupirer, puis gémir. Je passe à Clémentine. Son "yaourt" est onctueux. Je suce son clitoris géant qu'elle m'offre en le tenant entre le pouce et l'index. C'est le bas du visage trempé de foutrine que je passe de l'une à l'autre. J'en ai des crampes de la langue.

L'orgasme d'Estelle fait tressaillir l'intérieur de ses cuisses avant qu'elle ne me repousse doucement. Je la laisse pour rejoindre Clémentine. J'anticipe. Je tiens la cuvette en plastique. Je fais bien car son orgasme est prodigieusement pisseux. Je me régale en retournant savourer les mélanges. Estelle, couchée sur le côté, en appui sur son coude entre le canapé et moi, me suce en gémissant de plaisir. Je lui dis : << Viens, on monte. Je te jute dans la bouche sous les draps ! >>. Nous nous dépêchons de monter. Je la lèche encore un peu aux toilettes.

Bonne nuit à toutes les coquines qui s'endorment contre leur lécheur. Estelle à ma droite. Clémentine à ma gauche. Je plonge aussi...

Julien



Classe

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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 45 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1851 -



Le départ

Hier matin, dimanche, il est presque neuf heures quand je suis réveillé par des murmures, des rires étouffés. En même temps, sur chacune de mes joues, se collent les lèvres de mes deux anges. Nul doute, les coquines ont synchronisé leur surprise. Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche. C'est la main d'Estelle qui descend la première pour saisir mon érection naturelle. La main de Clémentine qui empoigne mes couilles. En stéréo elles chuchotent : << Bonjour Julien ! >>. C'est adorable. C'est merveilleux d'être tiré du sommeil de cette manière.

Mes mains glissent également dans les culottes. Mais elles se tournent toutes les deux sur le côté. Elles se frottent toutes les deux contre mes cuisses qu'elles enserrent des leurs. Tout en se masturbant doucement elles me font des bisous en mitrailles. Nous resterions bien volontiers dans cette volupté. Hélas, l'impérieux besoin naturel a raison de nos effusions de tendresse. Estelle nous quitte la première en se levant d'un bond. Nous la regardant courir vers la porte dans son pyjama de soie mauve. << Pipi ! >> s'écrie t-elle avant de disparaître.

Clémentine me chevauche en continuant de frotter son sexe contre le mien. << Je t'aime ! >> dit elle entre chaque bises. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, en slips et en T-shirts de nuit nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle. Il fait bien chaud dans la cuisine. Les radiateur fonctionnent depuis plus de trois heures. L'odeur du café, du pain grillé. La brioche qui trône au milieu de la table. Estelle me saute au cou, enserre ma taille de ses jambes pour recommencer à se frotter. Je l'emmène ainsi faire le tour de la grande pièce.

Même traitement à Clémentine. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée cunnilingus de hier. << Mais comme c'est bon Julien ! >> lance Estelle. << J'en suis devenue accro ! >> rajoute Clémentine. Je m'écrie : << Mais vous n'imaginez pas le plaisir que je prends à m'occuper de vos minous ! >>. Elles se lèvent toutes les deux pour me faire plein de bisous dans le cou, sur le front, sur les joues. Estelle mordille le lobe de mon oreille. Nous mangeons de bon appétit en établissant le programme de la journée. Tout est prêt.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux mes eux anges font l'inventaire de tout ce qu'il ne faut pas oublier. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Clémentine se précipite à la cave en m'entraînant par la main. Nous récupérons une tarte aux noix dans le congélateur. Nous la disposons au dessus de la cuisinière à bois, juste sur l'étagère sous la hotte. En même pas une heure elle aura décongelé. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Les filles imitent des fellations avec les brosses.

Tête contre tête, au-dessus du lavabo nous nous rinçons les bouches en riant. En nous essuyant je demande à chacune : << Tu as sucé qui ? >>. Estelle s'écrie la première : << Un certain Julien qui m'offre des vacances ! >>. Nous rions. << Un inconnu dans un recoin durant ces vacances ! >>. C'est en riant que nous allons dans la chambre pour nous changer. Tous les trois vêtus pareils, nous faisons notre lit. Jeans, chemises à carreaux, nous dévalons les escaliers pour aller au salon. Assises sur mes genoux, les filles allument l'ordinateur. Un courriel.

C'est Julie qui nous informe qu'au retour, dimanche prochain, 17 avril, nous sommes invités à manger chez ses parents. Nous nous consultons. En général, en revenant d'un séjour, nous apprécions de revoir la maison. De nous y prélasser quelques heures pour y retrouver nos repères. << Peut-on réellement refuser ? Nous les privons de leur fille unique toute une semaine ! >> demande Clémentine. << C'est pareil pour mes parents. C'est pour ça qu'ils nous invitent aujourd'hui à midi ! >> répond Estelle. << OK ! C'est oui ! >> dit Clémentine.

<< Si tu fais ton vicieux avec maman, je t'arrache les couilles avec les dents ! >> me fait Estelle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Clémentine clique sur "envoi". Julie aura notre mail d'ici quelques minutes. Nous faisons le tour de toute la maison. Tout est en ordre. La demeure est équipée d'une domotique de pointe. Monsieur Bertrand, notre plus proche voisin dont la maison est à un peu plus de trois cent mètres est informé de notre absence. Il est 11 h30. Nous mettons nos bagages dans le coffre arrière de la voiture. C'est parfait.

Le ciel est dégagé, bleu par endroit. La fraîcheur reste vive. Un dernier tour dans la maison d'amis. Tout y est en ordre. Idem pour le garage, l'abri à bois. Nous retournons chercher la tarte aux noix. Dans un grand Tupperware rond. << On a rien oublié ! >> lance Clémentine. << Rien ! >> rajoute Estelle. Nous voilà partis. Il y a trois kilomètres jusqu'au bourg. C'est à la sortie du lotissement que les parents d'Estelle possèdent leur maison. Devant les bâtiments modernes et blancs de leur entreprise. Il est 11 h50. Je gare l'auto devant le portail ouvert.

C'est Yvan qui vient nous accueillir. Nous sommes contents de nous revoir. Le papa d'Estelle nous invite à le suivre. Je porte le Tupperware. Michèle m'en débarrasse. La maman d'Estelle aussi est heureuse de nous revoir. Ce dimanche encore elle serait plutôt la grande sœur d'Estelle que sa mère. Je suis toujours bluffé par son apparence. Nous passons immédiatement à table car notre temps est compté. Nous n'avons qu'une heure. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Je surprends le regard suggestif de Michèle à plusieurs reprises.

Estelle me donne des coups de pieds sous la table car elle me surveille. Nous ne traînons pas. Le dessert nous apporte les félicitations des parents d'Estelle qui nous raccompagnent jusqu'à la voiture. << Si vous vendez, j'achète ! >> me lance Yvan. Allusion à ma Mercedes de Classe E. Ils ont déjà acheté l'ancienne il y a quatre ans. Je propose que nous en parlions lorsque les parents d'Estelle viendront manger à la maison le dimanche 24 avril. << Ça roule ! >> me fait le papa d'Estelle. Nous nous saluons. C'est parti. En route. Un départ optimiste.

Clémentine, assise à ma droite, glisse sa main dans ma braguette ouverte. Estelle, assise à l'arrière, caresse mon cou, mes joues en disant : << Tu crois que je n'ai pas vu les regards que tu lançais à ma mère, espèce de vieux pervers ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Il est 13 h30 quand je gare la voiture devant la petite maison modeste des parents de Julie. Ce sont des gens simples et généreux qui nous accueillent. Jean-Jacques et Martine sont tous sourires en nous invitant à les suivre. Ces gens sont plus jeunes que moi. Ça me gêne un peu.

La présence de Clémentine et d'Estelle est toutefois rassurante. Ils savent qu'ils confient leur fille majeure à de bonnes personnes. Julie vient nous rejoindre dans le salon. Avec sa valise. Toute contente. Sa maman ajuste affectueusement le col de son blouson. Nous retournons tous les six devant la voiture. Jean-Jacques en fait le tour, admiratif. Il scrute l'intérieur pendant que je place la valise à Julie dans le coffre de la grosse berline allemande. Je dis à son papa. Lorsque nous viendrons manger, je vous invite à faire un tour avec. Jean-jacques est tout ému.

Nous nous saluons. << Tu écris tous les jours, hein, tu n'oublies pas ! >> lance Martine à Julie qui répond : << Promis maman ! >>. Elle est assise à l'arrière derrière Clémentine et à côté d'Estelle. Un dernier coucou. C'est parti. Nous avons environ six heures de route. Nous prenons toujours les voies secondaires. Nous privilégions les départementales. J'adore rouler doucement et nous apprécions de découvrir les paysages. À quoi bon être pressé en voiture quand on a tout son temps ! Clémentine joue avec ma queue. Julie et Estelle mâtent en riant.

Dans le rétroviseur je les vois pouffer de rire. Souvent, toutes les deux, se lèvent, se tenant aux dossiers des sièges pour regarder. Je bande dans ma main de Clémentine. Les filles se racontent des histoires de filles. Les anecdotes sexuelles qui parsèment leurs vies depuis l'adolescence. C'est émouvant de les entendre en parler avec tant de détails. Car elles y mêlent leurs ressentis, leurs impressions. Le premier arrêt pipi vers 16 h. En rase campagne. Je me gare contre le muret d'une maison abandonnée. Nous passons entre l'auto et le mur.

Julie reste en retrait. Elle nous observe. Complètement consternée de découvrir un de nos rituels. Je tiens Estelle et Clémentine par leurs nuques pour parfaire leur équilibre. Toutes les deux pissent en visant le mur, cambrées, les mains en appui contre la voiture. Je m'accroupis difficilement, le dos contre la portière. J'enfonce mes index dans les anus. Cela décuple évidemment la puissance des jets. Je regarde Julie complètement effarée. << Salaud. Enculeur de filles ! >> lance Estelle. Je torche mes deux anges avec le plus grand soin. Sous les rires.

Julie, pudique, attend que nous soyons remontés dans la voiture pour faire son pipi discret. C'est reparti. << Et tu n'as encore rien vue ! >> lui lance Estelle quand Julie demande : << Vous faites ça souvent ? >>. Clémentine répond : << Tu es en compagnie de trois complices vicieux et légèrement pervers ! >>. Estelle rajoute : << Bienvenue dans le "Club" ! >>. Le second arrêt pipi se déroule exactement dans les même circonstances. Il est 19 h quand je gare l'auto sur le parking. Là-bas, majestueux, le Mont Saint-Michel dans sa baie. Magnifique.

Nous sortons nos bagages pour nous rendre au point de levé de la navette. La dernière passe à 20 h. Certains sont des cars à propulsions électriques. Du moins celui qui nous emmène vers le Mont. C'est extraordinaire. Nous aurons même droit à un coucher de soleil. Dix minutes et l'autocar nous dépose au point d'arrivée. D'autres gens l'attendent pour repartir. Nous portons nos bagages. Nous entrons par la porte médiévale. Voilà le village et ses maisons. C'est un saut dans le temps. Ici rien n'a vraiment changé depuis le XVIème siècle. Sublime.

Nous arrivons à notre hôtel. La jeune femme de l'accueil est d'une gentillesse exquise. Nous ne sommes pas encore vraiment dans la saison touristique. Les contacts sont donc beaucoup plus chaleureux. Lorsque Clémentine a réservé en janvier, elle ne savait pas encore que nous serions quatre. Je m'acquitte donc du supplément. En laissant un pourboire magistral. Je précise : << Pour le fonctionnement de la maison ! >>. Notre chambre est au second étage. Spacieuse. Un grand lit, un canapé, une table, deux chaises, une armoire. Salle de bain, WC.

Nous défaisons nos valises absolument enchantés de l'endroit. Julie reste cette jeune fille gênée mais nous devinons la joie qui bouillonne en elle. Je félicite Clémentine pour cette réservation. Pour son bon goût. << Et ce n'est pas terminé. J'ai réservé une table au restaurant de l'hôtel ! >> lance t-elle. D'être trois ou d'être quatre n'a évidemment strictement aucune incidence sur la réservation. Nos affaires soigneusement rangées dans l'armoire, Estelle monte sur le lit pour y faire du trampoline. << Confortable ! >> s'écrie t-elle. Nous rions.

Morts de faim nous redescendons. La grande salle du restaurant est presque pleine. Notre table nous attend près de la fenêtre qui donne sur la rue. Nous pouvons y voir défiler les visiteurs déjà bien nombreux. En face, c'est une boutique de souvenirs. C'est plein de monde. Nous mangeons de bon appétit. La fatigue nous gagne. Nous traînons à table. Nous réservons la journée de demain à redécouvrir le village. Il y a de quoi visiter. Passages obligés aux toilettes. Julie découvre un autre de nos rituels. J'y vais une fois avec Estelle, une fois avec Clémentine.

Nous attirons bien des regards. Suis-je le père de ces trois jeunes filles ? Mais pourquoi donc deux d'entre elles m'entraînent pour la seconde fois, et chacune séparément aux toilettes ? Julie est une fois encore complètement sidérée. Il est 22 h30. Nous remontons, repus et fatigués. Julie s'installe dans le canapé lit dont elle met les draps tout propres de l'armoire. Entre Estelle et Clémentine, dans notre lit, nous la regardons s'installer. Nous bavardons encore un peu. Estelle joue avec ma queue. Clémentine avec mes couilles. Nous plongeons très vite.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se font encore un peu démêler les poils et doigter les sexes avant de plonger dans un bon dodo...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 46 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1521 -



La première journée au Mont Saint-Michel

Hier matin, lundi, il n'est pas tout à fait huit heures. C'est Estelle qui est restée serrée contre moi toute la nuit qui me tire de mon sommeil. La coquine a toujours une autre façon de procéder. Là, sa tête contre la mienne, elle fait juste bouger ses cils contre ma joue en murmurant : << Papillon ! >>. Ce qui réveille également Clémentine qui vient se blottir. Je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous. Là-bas, dans son canapé lit, comme à la maison, Julie qui s'étire. << Bonjour ! >> nous dit elle en faisant un petit signe de la main. Timide.

Nous répondons d'un << Bonjour ! >> en même temps. Estelle, qui tient mon érection matinale, repousse la couette et les draps. Tel un trophée elle montre à Julie ce qu'elle tient à pleine main. Clémentine pose sa tête sur mon ventre, sa bouche à quelques centimètres. Julie, toute gênée, détourne la tête en disant : << Il faut que j'aille faire pipi ! >>. Elle se lève dans son pyjama bleu pour se précipiter vers la porte des toilettes. Clémentine gobe soudain mon sexe à pleine bouche. Estelle empoigne les couilles. C'est une curieuse impression.

Pas vraiment jouissive car mon érection est naturelle. Je caresse la nuque à Clémentine. Elle cesse pour revenir se coucher contre moi. Nous nous couvrons de la couette et des draps. Il fait frais. Julie passe à la salle de bain. Estelle se lève à son tour pour courir vers la porte. Nous nous habillons de nos tenues de jogging. Dehors le ciel est couvert mais plutôt lumineux. C'est à nous d'aller aux WC. Nous rejoignons Estelle et Julie qui préparent le pain et le miel dans un sachet. Il reste de la brioche. Julie en jeans, sweat, Estelle vêtue comme nous.

Nous dévalons les escaliers. Notre chambre est au second étage. La vue sur la baie et les paysages est splendide. Il y a déjà quelques touristes dans le réfectoire de l'hôtel. Nous avisons la même table que hier soir. Nous emmenons toujours notre pain et notre miel lorsque nous prenons nos petits déjeuners à l'hôtel. Nous détestons le pain blanc et les petits pots de confitures. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de la journée. En cette saison l'hôtel n'est pas encore plein. Ce sont principalement des séniors.

Il y a des américains à la table voisine. Je reconnais l'accent. Clémentine les imite en chuchotant. Nous rions de bon cœur. Nous traînons à table en envisageant un bon jogging. Il faut rester sur la route pour ne courir aucun risque. Ici la marée est rapide et surprenante. Il y a d'ailleurs des mises en garde placardées un peu partout. La prudence est de mise. Ne pas s'éloigner de la jetée. << Le café est dégueu ! >> chuchote Estelle. C'est vrai. Mais ce n'est peut-être pas objectif. Il est toujours meilleur à la maison. Nous quittons pour remonter.

Julie ne pratique que rarement le running. Elle préfère un peu de gymnastique d'entretien. Il faut dire qu'avec son physique il vaut mieux qu'elle ne fasse pas trop d'aérobic. Elle est tellement mince. Osseuse en pyjama. Nous la laissons. << Je fais les lits et je bouquine un peu ! >> dit elle. Nous dévalons les escaliers en ayant revêtu nos K-ways. La fraîcheur est vive. Nous courrons d'un bon pas pour passer sous la porte du Roy. Son Pont-Levis. Il y a déjà pas mal de gens à flâner dans la rue principale. Nous voilà sur la jetée. Sur l'étroite route.

Nous courrons sur l'allée réservée aux piétons. Une allée recouverte de poutres de Chêne. Nous laissons le pont passerelle derrière nous. Le vent souffle, gonflant nos K-ways. Ce n'est pas très agréable de faire quelques mouvements d'échauffement. Il y a d'autres joggeurs. Il y a certainement un peu plus d'un kilomètre jusqu'au continent. La mer doit probablement descendre car elle laisse plein de coquilles vides et luisantes sur le sable. Nous prenons la route de droite qui mène vers Beauvoir à 5 km. Ce jogging n'est pas vraiment très sympathique.

Le vent souffle en continu. Nous l'avons de face pour revenir. C'est l'horreur. Estelle impulse un rythme rapide et soutenu. Il est 9 h30 quand nous revenons. Julie a laissé un mot sur la porte de la salle de bain. Elle se promène et fait quelques "repérages" photos. Estelle prend sa douche la première pendant que je me rase. Clémentine prépare nos vêtements. C'est à notre tour. Nous voilà habillés tous les trois pareils. Jeans, baskets, nos sweats sous nos anoraks. La femme de chambre arrive. Elle n'a pas grand chose à faire, notre chambre est bien rangée.

Nous descendons. Nous attirons encore bien des regards. Nos hautes tailles. Ces deux sublimes jeune filles qui me tiennent par la main. Suis-je le père, l'amant, l'ami ? Autant de questions que nous devinons sur les visages. Nous flânons dans la rue principale. Ici, chaque centimètre carré doit trouver sa rentabilité. Mercantile. Il n'y a que des commerces. Aucun véhicule pour perturber la promenade. Les rues sont pavées. Il règne là une ambiance médiévale. C'est une plongée dans le moyen-âge. Nous croisons quelques moines en pèlerinages.

Des bonne sœurs aussi. Les ecclésiastes sont ici plus nombreux qu'ailleurs et se repèrent très vite. Bien évidemment Estelle et Clémentine en profitent pour me déposer des bises sur les joues, s'accrochant à moi. C'est amusant de voir les réactions. Il y a le Musée de la Bataille. Ce sera une visite pour demain. Les maisons de pierres de granit, les tuiles d'ardoises donnent au lieu une teinte uniforme. Pour midi, nous prévoyons de manger sur le pouce. C'est sympathique d'improviser des repas de sandwichs au hasard de la découverte. Le vent se calme.

Il y a de nombreuses venelles qui quittent la rue principale. Le village est beaucoup plus grand qu'il n'y paraît. Un dédale passionnant. Des recoins où Estelle me palpe la braguette pendant que Clémentine fait écran. Personne ne peut se douter de ce qui se pratique au sein de notre trio. Du moins le croit-on. Car c'est depuis la fenêtre d'un salon de thé du premier étage que nous entendons des rires étouffés. En regardant nous découvrons deux filles qui nous font un coucou de la main. Coquines qui mâtent. C'est un restaurant au ré de chaussée.

Un salon de thé au premier étage. << On ira prendre un chocolat chaud ici un de ces jours ! >> propose Clémentine. Nous descendons les marches d'une venelle interminable. Un escalier en arrondi qui contourne une sorte de donjon. Quelle surprise. Nous tombons sur Julie. << J'aime l'indépendance. Ne m'en voulez pas mais je me sauve souvent ! >> dit elle. << Tu n'as pas à te justifier. Tu fais comme tu veux ! >> fait Estelle. Nous revoilà dans la rue principale. Le ciel se dégage légèrement. Il y a même parfois un timide rayon de soleil. Il fait frais.

Nous passons devant un des escaliers qui montent aux remparts. Nous nous en réservons la découverte cet après-midi. Julie nous montre les photos qu'elle a prise depuis ce matin. De superbe clichés. Estelle nous entraîne vers la porte du Roy. Il y a là nombre de choses insolites à voir. Les énormes chaînes du pont levis. Le fossé que l'on devine profond est angoissant. Julie insiste pour nous prendre en photos. Nous demandons à un jeune couple de nous photographier tous les quatre. Nous prenons des poses. Tout sourire. En nous serrant bien fort.

Il est presque midi. Il commence à faire faim. Nous avisons ce fastfood local où se vendent crêpes à emporter, beignets de fruits de mer, sandwichs et même des salades. Dans le petit sac à dos que je porte nous avons des pommes. Excellente entrée. Nous prenons un assortiment de beignets. Ce ne sont pas les bancs qui manquent en arrivant sous les remparts de la citadelle. C'est vertigineux. Une construction de pierres qui doit s'élever à plus d'une centaine de mètres. Premier contrefort des constructions supérieures en étages.

C'est un endroit charmant. Il y a des bancs de pierres. Des tables en granit. Il y a du monde. Nous voilà tous les quatre assis à savourer nos pommes. Le ciel s'est à nouveau couvert. Il y a une alternance de séquences ensoleillées qui ne réchauffent nullement l'atmosphère. Tout à l'heure en passant devant la pharmacie, un écran indiquait à peine 14°. Je suis entre Estelle à ma gauche, Clémentine à ma droite. Julie tout contre Clémentine. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le climat n'invite pas à traîner. Nous retournons dans le village.

Je suggère un bon chocolat chaud dans un des salons de thé. << Celui des deux filles ! >> lance Estelle. Nous reprenons la venelle en escaliers. Les marches sont larges. Julie les compte. << 67 ! >> lance t-elle quand nous arrivons dans la ruelle parallèle. Deux boutiques de souvenirs. Estelle adore envoyer des cartes postales. Nous entrons dans la plus grande. Il y a plein de choses à voir. Je suis entre Estelle et Clémentine derrière un des tourniquets. Elle choisi des cartes. Elle en a trois. Des belles. De sa main libre elle palpe ma braguette. Discrète.

C'est invisible. Elle dit à Julie qui est de l'autre côté : << Nous avons un petit jeu très amusant. Je mets Julien au défi de sortir sa queue dans les endroits les plus improbables ! >>. Julie nous regarde, comme consternée. << Rassure-toi, c'est toujours discret ! >> rajoute Clémentine. Julie n'ose pas soutenir mon regard. Par contre elle fixe ma braguette d'un air interrogatif. Je précise : << Mais ici, c'est hors de question. Trop risqué ! >>. Nous regardons bien partout autour de nous. << Des caméras de surveillance ! >> lance Clémentine. C'est vrai.

Nous en avons repéré quelques unes à l'angle de certaines maisons. << Big Brother est partout ! >> rajoute Estelle. Nous payons. Des enveloppes pré timbrées facilitent les choses. Nous voilà attablés devant de bons chocolats chaud et fumants. Estelle rédige ses cartes. Nous traînons longuement là car l'endroit est charmant. Situé au premier étage d'une haute maison de pierres de granit. Il y a du monde. Clémentine m'emmène aux toilettes. Julie nous lance un regard ahuri. Estelle, tout en écrivant précise : << Après c'est avec moi ! >>.

Les toilettes sont propres, spacieuses. Nous pouvons y pratiquer nos rituels pisseux dans un des deux cabinets. Odeurs de chlore, de javel. Nous revenons. Une dizaine de minutes. C'est Estelle qui se lève pour m'emmener. Quelques client nous regardent passer avec un air étrange. Parfois amusé. Que va donc faire cet homme d'âge mûr avec ces jeunes filles aux toilettes ? Enfermés dans le même cabinet qu'avec Clémentine, nous éclatons de rire en nous amusant. J'ai appris à faire le contorsionniste dans les endroits les plus étroits.

Je propose à Julie de m'accompagner à son tour. << Demain. Mes "petits machins" seront terminés ! >> nous dit elle toute gênée. Elle rajoute : << Mais je veux jouer aussi ! >>. L'après-midi se déroule de découvertes en découvertes. Impossible de se lasser. Même en passant plusieurs fois dans les mêmes ruelles. Il y a des recoins où je relève les défis fixés par Estelle. Quelques secondes avec la bite à l'air. Toute molle avec le froid. Julie nous observe complétement hallucinée. Estelle agite mon sexe dans sa direction, disant : << Défi relevé ! >>.

Cela se passe à plusieurs reprises après nous êtres assurés qu'ils y aient pas de caméras. Il est 18 h45 quand nous revenons à notre hôtel. Notre table nous attend dans le restaurant pour 19 h30. Dans la chambre, je suis allongé sur le lit, entre Clémentine et Estelle qui se refilent mon sexe. Julie reste debout. Elle tourne autour de nous, se penche, observe. Une main dans son jeans elle regarde cette fellation partagée qui n'est qu'un "hors d'œuvre". << Tu en veux un peu ? >> demande Estelle en présentant ma turgescence à Julie. Elle reste sidérée.

Il est l'heure. Je remballe. Nous descendons l'escalier en riant. Clémentine, son bras autour de ma taille, lance : << Rien de mieux qu'un apéritif avant un bon repas ! >>. Estelle rajoute : << Un nectar de queue ! Et après, on se prend le digestif ! >>. Nous voilà installés à la même table. Des plateaux de fruits de mer. Nous traînons longuement. La fatigue nous gagne. Julie baille à s'en décrocher la mâchoire. Visites aux toilettes. Il est 22 h quand nous sommes couchés. Julie s'endort la première. Je me bouffe les minous de mes deux anges.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se font lécher et nettoyer le minou avant de se blottir contre leur lécheur pour un bon dodo...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 47 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1853 -



Seconde journée au Mont Saint-Michel

Hier matin, mardi, il est huit heures quand Estelle passe sa main sur mon ventre. Une main toujours si douce qui explore avec tendresse. Toute la nuit elle est restée serrée contre moi. Là, sa main s'empare de mon érection naturelle. Cette tumescence qui la ravi. Clémentine se réveille à son tour pour se blottir. Je suis entre mes deux anges. J'ouvre l'œil pour découvrir qu'il fait bien sombre dans la chambre. << Il pleut ! >> murmure Clémentine. Des papouilles, des bisous, mes couilles dans la main de Clémentine. C'est tellement bon tous les trois.

Nous regardons Julie, là-bas, dans son canapé lit, qui dort encore. Une boule sous ses draps. Estelle, n'en pouvant plus, se lève la première pour aller pisser. Sur la pointe des pieds. Clémentine se couche sur moi pour frotter son sexe contre le mien. << Comme c'était bon ce que tu m'as encore fait au lit hier soir ! >> chuchote t-elle à mon oreille. Estelle revient pour se changer. Nous faisons le plus silencieusement possible pour aller aux toilettes à notre tour. Quand nous revenons Estelle est assise à côté de Julie qui se réveille doucement en s'étirant.

Nous lui déposons une bise sur le front avant de nous habiller. Julie se lève pour aller au WC. Nous voilà vêtus à l'identique. Jeans, sweats bleus, baskets. Estelle tient le sachet contenant notre pain, le miel et les deux croissants offerts par la boulangère. Nous descendons. Il y a déjà des gens dans le réfectoire de l'hôtel. C'est la même table depuis deux jours. C'est bien car nous aimons les habitudes et les rituels. Ce matin nous tentons le thé car le café est assez dégueu. Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de la première journée de hier.

Par la fenêtre nous voyons la pluie tomber. Il n'y aura pas de jogging aujourd'hui. << C'était délicieux avant de dormir hier soir ! >> me fait Estelle. Julie a un sursaut sur sa chaise. Clémentine pose sa main sur la sienne pour rajouter : << Quand il y en a pour deux, il y en a pour trois ! >>. Estelle insiste : << Tu n'as qu'à nous rejoindre sous la couette et puis retourner dans ton lit après ! >>. Julie a un petit rire nerveux. Silence. Elle se contente d'observer tour à tour Clémentine et Estelle en évitant de soutenir mon regard. Le thé est dégueu aussi.

Nous traînons à table en faisant le vague programme de la journée. Nous avons nos parapluies. Il y a un plan B. Nous remontons avec notre sachet. Julie prend le livre qu'elle trimballe partout dans son petit sac à dos. Elle s'installe sur son canapé. Estelle, Clémentine et moi vêtons nos tenues de sport. Nous remplaçons le running prévu par une séance de gym. Aérobic, exercices au sol, abdos. Nous redoublons d'intensité pour effectuer l'entraînement. Estelle prend sa douche la première. Pendant que nous faisons notre lit. Il est bien aéré. Parfait.

C'est à notre tour d'investir la salle de bain. On peut prendre tout son temps. Estelle reste avec nous en se coiffant devant le miroir et en bavardant. À nouveau vêtus de nos jeans et sweats, nous rejoignons Julie. << Une littéraire, qui fait des études de littérature moderne et qui lit ! Quoi de plus naturel ! >> lance Estelle. Julie répond : << J'adore la lecture. Si je ne lis pas tous les jours je ressens un manque ! >>. Nous préparons les anoraks. Julie rajoute encore. << Je reste là, je déteste la pluie. Ne vous inquiétez pas, je suis avec mon livre ! >>.

Nous la laissons pour redescendre. La pluie régulière rajoute une touche de romantisme à l'ensemble. Tout comme nous les gens flânent sous leurs parapluies. Je suis entre mes deux anges serrées à mon bras. Nous restons dans la rue principale. En réservant notre séjour ici dès janvier, Clémentine s'est occupée de nos passes touristiques. Ils donnent accès à toutes les visites dans l'enceinte du Mont. Nous avons repéré hier les musées que nous souhaitons visiter. Le Musée Historique en particulier car il retrace plus de 1 300 années d'existence.

Nous y viendrons cet après-midi. Il y aura également la visite des trois autres musées de l'île. Nous flânons en remontons les différentes venelles. Des ruelles étroites. L'ingéniosité des propriétaires successifs n'a pas eu de limite. Ce qui était impossible en surface a été fait en hauteur. C'est sympathique de visiter une boutique mercière au ré de chaussée, une cordonnerie au premier étage avant de découvrir un brocanteur au second. L'insolite côtoie ici l'extraordinaire. Estelle, bien évidemment, avec sa discrétion habituelle, palpe ma braguette.

Il n'y a pas de caméras de surveillance dans ces échoppes artisanales. En cette saison on circule plutôt facilement dans ces endroits. Nous découvrons un salon de thé situé au fond d'une courette. << Cet après-midi, on viendra goûter leur chocolat ! >> lance Clémentine. Estelle rajoute : << Je te fixe quelques défis cet après-midi ! >>. Je réponds : << Je m'attends au pire ! >>. Nous rions de bon cœur. Là, dans un recoin de la cour il y a un vieux chariot à deux roues dont les bras sont posés au sol. Purement décoratif. C'est le recoin que choisi Estelle.

Elle nous y entraîne. À peine avons-nous la place de nous faufiler entre le chariot et le mur en pierres de taille. Estelle déboutonne ma braguette pour y glisser sa main. Clémentine fait le guet en nous abritant du parapluie. Me voilà avec la bite à l'air pour la première fois de la journée. << Gagné ! >> lance Estelle en la montrant à Clémentine. Il fait plutôt froid. L'écran lumineux de la pharmacie indiquait tout à l'heure 8°. Je remballe précipitamment car un groupe de quatre personnes entre dans la cour. Ils nous regardent sortir de la cachette.

Nous reprenons notre balade. Il y a dans la rue parallèle deux boulangeries artisanales. L'une propose des biscuits traditionnelles. Les fameux gâteaux de la mère Poularde proposés dans une infinité de variété. Un salon de thé à l'étage. << À visiter ! >> lance Clémentine. Nous attirons encore bien des regards à rester ainsi serrés tous les trois. Il est midi quand nous revenons à l'hôtel. Notre table habituelle, réservée avant la promenade, nous attend dans le restaurant. Nous remontons dans la chambre. Julie toujours plongée dans sa lecture.

Toute contente de nous revoir, elle saute au cou de Clémentine, à celui d'Estelle et me fait un bisou sur la joue. Nos rituels pisseux avec Clémentine juste après le pipi d'Estelle et nous dévalons les escaliers. La salle n'est pas pleine. Nous voilà confortablement installés à savourer le plat du jour. Du homard grillé accompagné de petits légumes confis et "crêpes" de pommes de terre. Nous racontons notre balade à Julie qui dit à plusieurs reprises : << Je suis très indépendante, très solitaire aussi, ne m'en voulez pas. J'en ai grand besoin ! >>.

Nous la rassurons. Chacun fait comme il veut. Nous traînons à table. Nous remontons pour nous laver les dents. Julie est toujours seule dans la salle de bain. Et aux toilettes évidemment. C'est toujours d'un air amusé qu'elle découvre nos petites habitudes. Estelle déboutonne ma braguette pour en sortir mon sexe. Le tenant à sa base elle l'agite vers Julie en disant : << Un digestif ? >>. Julie se cache le visage de ces mains en riant. Nous redescendons. C'est certain, il va pleuvoir toute la journée. Nous gardons notre rythme de touristes en goguette.

Je suis entre Estelle et Clémentine. Julie accrochée au bras de Clémentine. Estelle nous entraîne dans tous les recoins possibles pour palper ma braguette. Julie a pris le réflexe de Clémentine. Nous sommes tous les quatre comme pour un conciliabule secret. C'est pour cacher ma bite au yeux d'éventuels passants. Nous nous amusons beaucoup. Pour Julie qui n'a pas son passe touristique il faut attendre dans la file à la caisse du musée historique. Julie tient son téléphone en s'apprêtant à faire quantité de photos. La visite est libre. C'est ce que nous aimons.

Ce musée historique présente les différentes étapes de l'histoire du Mont Saint-Michel. Appelé "La Merveille". Différentes époques, différentes tenues de moines, de chevaliers en armures. Des pièces de monnaie présentées dans des vitrines. Nous entrons dans des chambres faussement vétustes. Tout est reproduit ici dans une chronologie parfaite. Estelle, toujours discrètement, me palpe la braguette. C'est comme si elle attendait cet instant car à chaque fois Julie se penche pour regarder. Clémentine me dépose plein de bisous sur la joue.

La visite dure un peu plus d'une heure trente. L'exiguïté des pièces oblige à se faire des politesses entre touristes. Nous attirons bien des regards. Julie découvre ce phénomène avec étonnement. Nous voilà dehors. Il pleut. Le ciel est gris. Les toits d'ardoises et les pierres de granit se confondent en parfaite harmonie. Nous avisons le salon de thé découvert de matin. Estelle montre le chariot en disant : << C'est là derrière. Mais à quatre, ça va être dur ! >>. Elle nous y entraîne. Julie, de petite taille, reste blottie contre nous. Estelle me sort la queue.

<< Prends là ! >> lance Estelle. Julie, après une hésitation, la prend dans sa main. Juste un instant. Nous rions de bon cœur. Je remballe. Nous voilà confortablement installés à une table. Devant de grands chocolats chauds et fumants. Avec de petits gâteaux secs absolument délicieux. La salle est presque pleine. Première visite aux toilettes avec Estelle. Des WC tous petits. << Êtes-vous pour la mixité des toilettes publiques en ville ? >> lance Estelle en me tenant la bite pour en diriger les jets. Quand elle me fait rire je pisse en hoquetant. Et ça gicle.

Seconde visite avec Clémentine. Évidemment nous devinons les interrogations des clients qui me voit passer entraîné par cette sublime jeune fille qui me tient par la main. Quand nous revenons Estelle propose à Julie de faire pareil. Julie me lance un furtif regard, consulte Estelle et Clémentine. À la fois hésitante, comme craintive. Elle finit toujours par décliner ce genre de proposition. Même si elle est extrêmement voyeuse, Julie n'aime pas se donner en spectacle devant des gens. Nous rions de bon cœur. Nous traînons là longuement.

Nous nous offrons un second musée. C'est la demeure historique du Chevalier Du Guesclin. Un personnage historique qui a participé à l'histoire de la France. C'est une grande maison. Les poutres apparentes. Les murs de pierres. Il y a là les différentes armures portées par le chevaler durant ses différentes batailles. Évidemment Estelle profite de toutes les occasions. Sous le regard quelquefois effaré de Julie. << Tu n'a jamais la trouille ? >> lui demande t-elle. Estelle répond : << Non, mais j'adore mettre Julien dans l'embarras le plus terrible ! >>.

Je confirme en riant. La visite dure un peu plus de deux heures. Ce qui nous ouvre un appétit féroce. Nous revenons à l'hôtel. Notre table nous y attend. Nous nous sommes entendus avec la direction. Ce sera notre table réservée. Ce soir, ce sont des langoustes avec un assortiment de petits légumes. Différentes sauces à base de mayonnaise. Un délice. Nous traînons à table. Une petite balade digestive sous le parapluie. Il est 22 h. Julie dans son lit, qui baille à s'en décrocher la mâchoire. Je baise avec Clémentine et avec Estelle. Un bon dodo.

Bonne nuit à toutes les coquines qui baisent encore un peu avant de se serrer contre leur complice de délits divers avant un bon dodo...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Classe - 48 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1854 -



Troisième journée au Mont Saint-Michel

Hier matin, il est presque huit heures. Estelle qui est restée contre moi toute la nuit, se serre encore plus fort en poussant un gémissement. Sa main descend de mon épaule jusqu'à mon slip où elle s'arrête un instant. Ses lèvres se posent dans mon cou. Elle s'empare de mon érection matinale. Clémentine qui se réveille à son tour vient se blottir. Les deux coquines se frottent contre mes cuisses en essayant d'êtres les plus discrètes possible. Là-bas, dans son canapé lit, Julie dort encore. Une boule sous ses draps. Estelle se lève doucement la première.

Sur la pointe des pieds, dans son pyjama de soie mauve elle file aux toilettes. Clémentine, qui se couche sur moi, continue à se frotter. << J'aime comme tu m'aimes. Surtout avant de dormir ! >> chuchote t-elle à mon oreille. C'est à notre tour d'aller au WC. Estelle prépare le sachet contenant le pain, le miel. Nous revenons en restant silencieux. << Laissons-la dormir ! >> murmure Clémentine. Vêtus de nos jeans, de nos sweats, nous quittons la chambre pour descendre au réfectoire. Il y a déjà des touristes. En pension tout comme nous.

Ce matin nous reprenons du thé, il est moins dégueu que le café. Attablés à la même table nous faisons le bilan de ces deux premiers jours passés. Malgré la météo plutôt médiocre de hier c'est positif. Dehors il y a du soleil. De hauts nuages blancs défilent assez vite. Nous discutons, Julie vient nous rejoindre : << Bonjour ! >>. Elle s'installe en faisant part de ses impressions. Julie passe du bon temps. Elle est rarement partie en vacances. À chaque fois ce sont de belles découvertes. << N'ayant pas vu grand chose, je suis émerveillée ! >> dit elle.

Clémentine propose un jogging. Excellente initiative qui nous ravit. Nous remontons en laissant Julie qui veut encore traîner un peu à table avec un journal. Nous remontons pour nous mettre en tenue. Quelle surprise Julie a fait les lits. Vêtus de nos tenues de jogging nous dévalons les escaliers. Il faut courir dans la rue principale avant de passer le pont levis de la porte du Roy. Il ne fait pas très chaud. Quelques mouvements d'échauffement sous le regard de quelques badauds. Nous courons sur les poutres de chêne réservées aux piétons.

La route étant surélevée sur pilotis nous découvrons que la mer est haute. La jetée fait un peu plus d'un kilomètre. Nous arrivons sur le continent. Direction Beauvoir. Ce village que nous nous promettons de visiter en partant dimanche. C'est le vent du large qui souffle contre nous au retour. Il faut vraiment lutter. Il est frais et désagréable. Il est 9 h45 quand nous sommes de retour. Julie est installée dans son canapé avec un livre. Nous allons direct à la salle de bain avec nos fringues. Estelle prend sa douche la première. Je me rase tranquille.

Clémentine adore me voir de la mousse plein le visage. Elle se coiffe avant de se faire une longue natte. C'est à notre tour. Quand nous sortons de la douche, Estelle est coiffée pareille. Une natte. Nous voilà rhabillées de nos jeans, nos sweats. Pressés de filer nous laissons Julie à sa lecture. Chaudement emmitouflés dans nos anoraks, nous faisons les repérages des découvertes de cet après-midi. Nous flânons dans la rue principale. Impossible de se lasser de son ambiance. Le soleil n'est pas encore assez haut pour passer au-dessus des remparts.

Parcourir les ruelles de cet étonnant village reste un plaisir rare. Il y a encore des boutiques que nous n'avons pas visité. Mes deux anges me tiennent par le bras. Estelle me chuchote des cochonneries qui font rire Clémentine. << Vous me baisez bien monsieur Julien ! >> fait elle juste avant de se placer devant moi. Faisant ainsi écran à ces tripotages de braguette. Elle rajoute en sortant sa langue de ma bouche : << Il va nous la sortir où ce matin, monsieur Julien ? >>. Nous rigolons comme des bossus. L'anorak fermé cache ma braguette ouverte.

Nous avisons le grand et large escalier qui mène aux étages du Mont. Vers l'abbaye. Cette fameuse "Merveille" que nous visiterons demain. Nous aimons réserver nos surprises, faire durer le suspens. Cet escalier permet également de monter sur les remparts. Un chemin de ronde qui fait tout le tour de l'île. Il y a là des recoins pour les activités "tendancieuses" les plus farfelues. Surtout sous ce grand porche muré. Il nous met à l'abri du regards de ceux qui montent les escaliers. Par contre, il y a des visiteurs qui aiment bien fouiner tout comme nous.

C'est là qu'Estelle ouvre mon anorak, glisse sa main dans ma braguette pour en tirer le locataire. Il ne fait pas chaud. L'écran lumineux au-dessus de la pharmacie indiquait à peine 12°. Clémentine fait le guet tout en faisant écran de son corps. Estelle s'accroupit. Elle passe ma queue sur son visage en marmonnant des trucs incompréhensibles. << Un voyeur ! >> lance soudain Clémentine. Estelle se redresse. << Nous avons été remarqués par le mec là-bas. Il s'est planqué derrière l'angle de la maison ! >> fait encore Clémentine. On ne le voit pas.

<< Sans doute un lecteur d'un des forums où nous publions. Un mec des environs qui est venu au Mont Saint-Michel dans l'espoir de rencontrer ses "héros" ! >> rajoute Clémentine. Estelle me tient la bite. Elle dit : << On est déjà si célèbres ? >>. Nous rions de bon cœur en découvrant soudain la tête du bonhomme. Il se sait repéré. Tranquillement, son appareil photo en main, il traverse la ruelle pour prendre les escaliers. << Drôle de zèbre celui-là ! Regarde, il a un télé objectif sur son appareil ! >> lance Estelle. Je remballe et ferme l'anorak.

Nous continuons nos repérages pour cet après-midi. Estelle reste très vigilante. Si cet individu est un de ces tordus que suppose Clémentine il va faire son paparazzi. Nous avons beau surveiller, l'individu reste totalement invisible. Il est midi quand nous revenons à l'hôtel. J'ai totalement oublié que j'avais la braguette béante. Julie la découvre. Clémentine s'empresse de dire : << C'est pour nos jeux. Julien l'a sorti plusieurs fois ce matin ! >>. Julie, soudain toute gênée, détourne le regard. Morts de faim, nous descendons après le rituel des pipis à deux.

Attablés devant le plat du jour, entourés de clients, nous savourons des pommes de terre farcies à la crème d'huitres. Accompagnées de petits légumes en fricassés. Un véritable délice. Estelle raconte notre aventure de la matinée. Julie nous confie à quel point elle adore ses matinées de lectures solitaires : << Ça fait partie de mes vacances. À la maison comme ailleurs ! >>. Nous traînons à table. Estelle propose à Julie de me lancer un défi cet après-midi. Julie ouvre de grands yeux avant de répondre : << Je n'ai pas votre imagination ! >>. Rires.

Je dis : << Soyez inventive Julie. Laissez parler la vicieuse qui sommeille en vous. Vous vous ferez plaisir autant qu'à nous ! >>. Julie n'ose pas soutenir mon regard. Nous traînons à table. Dehors il y a des alternances de séquences ensoleillées. Aucune menace toutefois. Par la fenêtre nous regardons les touristes. Chaque jour ils paraissent plus nombreux. Beaucoup de gens que nous croisons parfois lors de nos escapades. Nous montons nous laver les dents. Estelle m'ouvre la braguette avant que je ne ferme mon anorak. Julie regarde effarée.

Nous voilà dans la rue principale. Je suis entre mes deux anges. Julie au bras de Clémentine. Nous avons tous les quatre nos lunettes de soleil. Sur une suggestion de Clémentine qui précise : << À cause des paparazzis ! >>. Nous rions aux éclats. Sous le même porche que ce matin, mais cette fois en compagnie de Julie, Estelle ouvre mon anorak pour me sortir la bite. << Tu es prié de la garder à l'air durant toute la promenade sur les remparts ! >> précise t-elle. À chaque fois que Julie découvre ma bite elle a comme un sursaut d'étonnement. Timide.

Pourtant, ça fait presque quatre ans qu'elle l'a vu dans différentes occasions. Je lui dis : << Julie, il y a quatre ans, quand vous êtes venue faire la voyeuse dans les toilettes du restaurant, vous n'aviez que 16 ans ! >>. Elle s'empresse de répondre, toute confuse : << Oui, parfois je pratique l'art du mensonge. Mais rassurez-vous, j'étais majeure pénale ! >>. Nous rions aux éclats. << Prends la ! >> lance Estelle en la tendant à Julie. Un moment d'hésitation. Clémentine surveille en regardant partout. Les visiteurs ne se doutent évidemment de rien.

Je regarde tous ces gens qui passent à une cinquante de mètres sans se douter un seul instant que le petit groupe que nous formons se livre aux vices. Julie saisit mon sexe d'une main maladroite. Je bande mou. << Tu sens comme le grand cœur à Julien bat fort ? >> demande Estelle. Julie n'ose pas répondre. Je dis : << C'est moi qui vous lance un défi. Toutes les dix minutes, quelle que soit la situation, vous devrez la prendre dans la main ! >>. Estelle et Clémentine s'écrient en même temps : << Génial ! >>. Julie reste toute gênée, confuse.

Je referme mon anorak. Il fait frais, tant pis. Nous montons les larges marches de l'escalier. Doucement, le village se déroule en bas. C'est étonnant. De loin le Mont semble un microcosme. Pourtant sa surface habitée est beaucoup plus vaste qu'on ne l'imagine. La marche semble interminable. Ça monte et ça monte encore. Les marches sont par endroits très profondes. Ce qui oblige à y faire deux pas avant de prendre la suivante. Je m'arrête. Je dis : << Julie, le défi ! >>. Immédiatement Estelle et Clémentine se mettent devant moi pour faire écran.

Julie se met entre nous. Cette fois, d'une main agile qu'elle passe sous mon anorak, elle saisit mon sexe. Je murmure : << Défi relevé. Félicitation Julie ! >>. Estelle et Clémentine lui dépose une bise sur chaque joue. Nous continuons notre montée. Voilà enfin le chemin de ronde. Il est de la largeur des remparts. Par endroit ce sont des murs de quarte à cinq mètres d'épaisseur. Tout ici est conçu pour servir de soutient aux étages supérieurs. Colossale création humaine défiant l'espace et le temps. Un nouvel arrêt dans l'angle d'une tourelle carrée.

À nouveau Estelle, Clémentine et moi nous nous regroupons. Julie peut s'emparer de ma queue. Cette fois elle la garde longuement en main. Elle n'ose pas affronter mon regard, garde les yeux baissés. Nous attirons quelques regards intrigués de visiteurs. Loin de se douter de notre "jeux" ils continuent leurs balades. Nous aussi. Nous découvrons ces remparts. La vue sur le village est splendide. La vue sur l'immensité de la mer est sublime. Il y a comme une légère brume sur l'horizon. Le vent souffle, c'est le seul désagrément. Tant pis.

À chaque nouvel arrêt Julie semble prendre davantage de plaisir à tenir mon sexe. Je surprend même quelques palpations. Parfois un léger mouvement masturbatoire. C'est exquis. << Raconte-nous, on ne peut pas voir ! >> lui demande Estelle. << Oui ! >> rajoute Clémentine. Julie reste silencieuse. Elle s'amuse véritablement. Nous faisons le tour de l'île. Une découverte extraordinaire. Une autre de ces découvertes nous excitent. C'est Julie qui se serre contre moi cette fois. Elle en prend l'initiative. Je suis surpris. Estelle et Clémentine nous cachent.

Julie me palpe, me masturbe. Elle me jette plusieurs regards furtifs. Elle surmonte visiblement son inhibition. Découvrant elle aussi de nouveaux plaisirs, de nouvelles sensations. Estelle et Clémentine, toutes aussi admiratives que moi, n'arrêtent pas de féliciter Julie pour ses audaces de plus en plus surprenantes. Sur le tour de ces remparts, cette situation s'est reproduite une bonne vingtaine de fois. Malgré la fraîcheur je bande comme le dernier des salauds. Deux heures de promenades. Nous redescendons par le même escalier. Moins de vent.

Devant un bon chocolat chaud, dans le même salon de thé que hier, au premier étage, nous faisons le bilan de cette découverte. Pas seulement celle des rempart mais celle qu' a fait Julie en participant de façon très active à nos jeux. Nous nous promenons jusqu'au soir dans les venelles que nous connaissons à présent parfaitement. Nous allons de surprise en surprise. Julie s'est prise de passion pour nos jeux. Aussi, elle multiplie les palpations de mon sexe. Je la surprends à glousser de joie lorsqu'elle se saisit de mon sexe dans les recoins.

Nous revenons à l'hôtel pour 19 h30. Notre table nous attend dans le restaurant bondé. Nous savourons des quiches aux saumon accompagnée de crudités. Salicornes et laitues. Julie, toute timide, nous donne ses impressions. Aux questions d'Estelle : << Tu aimes toucher de la queue ? >> Julie se contente d'un sourire gêné. Nous traînons à table. Clémentine suggère le défi de demain. Me sucer une ou deux secondes dans tous les endroits où nous pouvons nous dissimuler. Julie ne dit rien. Elle se contente d'un sourire énigmatique.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui font encore une promenade digestive avant d'aller se faire lécher et baiser sous les draps...

Julien



Classe

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Classe - 49 Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1855 -



Quatrième journée au Mont Saint-Michel

Hier matin, jeudi, comme presque tous les jours il est presque huit heures. Conformément à son habitude, c'est Estelle qui me tire de mon sommeil. Inventive, cette fois c'est en enlaçant mes jambes avec les siennes. Tout en posant ses lèvres sur la peau de mon cou. J'ai le réflexe de la serrer encore plus fort contre moi dans une sorte d'élan protecteur. Estelle a rapidement mon érection matinale dans main. C'est tellement adorable. Cela réveille bien évidemment Clémentine qui vient se blottir. Je suis entre mes deux anges. C'est sublime.

Là-bas, comme une boule sous ses draps, Julie dort encore dans son canapé lit. Clémentine descend sous la couette pour gober ma tumescence. C'est toujours une étrange impression que se faire sucer l'érection naturelle. Estelle me masturbe un peu dans la bouche de Clémentine en murmurant à mon oreille : << On vous met à la fête tous les jours. Ça vous plaît monsieur ? >>. Clémentine revient placer sa tête contre la mienne en chuchotant : << C'est pour te mettre au parfum quand aux défis de la journée ! >>. Estelle se lève.

Sur la pointe des pieds elle va jusqu'à la porte des toilettes. Clémentine tient mon sexe en se frottant contre ma cuisse. C'est à notre tour d'aller pisser. Estelle nous attend avec le sachet contenant le pain et le miel. Nous nous habillons de nos tenues de jogging comme elle. Nous faisons toute chose avec le plus grand silence pour ne pas réveiller Julie. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Le réfectoire de l'hôtel est animé ce matin. Une majorité de nonnes. Avec le week-end de Pâques, il y a au Mont Saint-Michel une recrudescence d'ecclésiastes.

Notre table nous est réservée. Fort heureusement la direction de l'établissement veille à soigner ses pensionnaires. Ce matin encore nous préférons le thé assez insipide au café franchement dégueu pour un hôtel étoilé. Il faudra songer à acheter du pain. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan de notre séjour. Positif bien évidemment. Dehors le ciel est lumineux. Il s'éclaircit encore. Nous nous amusons de toutes ces "bonnes sœurs" autour de nous. Certaines nous observent d'une étrange façon. Bienveillantes et plutôt amusées.

Surtout que mes deux anges aiment s'amuser de ces situations. Chacune me fait des bises sur les joues. Nous quittons la salle. Les filles leurs bras autour de ma taille. Effet garanti. Même sur la libido inavouée de ces religieuses qui se goinfrent voluptueusement. Nous laissons notre pot de miel à l'accueil pour sortir. Nous avons prévu nos K-ways car la fraîcheur est vive. Nous courons d'un bon rythme dès la rue principale jusqu'à la porte du Roy. Là, après le pont levis, il y a une porte cochère murée. On peut y faire nos mouvements d'échauffement.

Nous courons sur les poutres de chêne réservées aux piétons. Il y a les premières navettes. Voilà le continent. Il faut prendre à droite direction Beauvoir. Le parking est déjà plein. Nous apercevons notre voiture juste après le cabanon d'accueil. Il est neuf heures trente quand nous sommes de retour. Julie est installée dans son canapé à lire. Elle a fait les lits. Nous lui déposons chacun une bise sur le front avant d'aller dans la salle bain. Estelle prend sa douche la première. Clémentine se coiffe, je me rase alors que je n'en n'ai nul besoin. Peu pileux.

C'est à notre tour. Vêtus tous les trois de nos jeans, de nos sweats, de nos baskets, nous souhaitons bonne matinée à Julie qui préfère se plonger dans ses lectures. Nous redescendons. L'hôtel doit être emplit aux trois quart de religieuses. Et de différentes congrégations car leurs vêtements diffèrent. Il faut louvoyer entre les "bonnes sœurs" pour se frayer un chemin jusque dehors. Il fait bien plus agréable que hier car le soleil a fait son apparition. Nous avons repéré quelques boulangeries qui proposent des choses intéressantes. Du pain complet.

Avec la hauteur des remparts les rayons du soleil n'illuminent pas encore les rues du village. Nous croisons de véritables légions de moines, de prêtres en soutanes, de religieuses. Tous ces gens venus célébrer leur culte pour la Pâques. << Tu vas montrer ta bite à une bonne sœur comme à Saint-Malo il y a deux ans ? >> me demande Estelle. Nous rions. Clémentine répond : << C'était une novice si mes souvenirs ne me trahissent pas ! >>. Le lecteur qui suit nos aventures depuis des années se souvient lui aussi de ce jeu "bite à l'air". Un franc succès.

Les cloches provenant de l'abbaye au-dessus de nos têtes entament un terrible tintamarre. Certes, c'est mélodieux, mais quand même très violent. << Les parigots vont encore porter plainte pour nuisances sonores ! >> lance Estelle. Nous rigolons comme des bossus. Nous parcourons les venelles que nous connaissons à présent parfaitement. Aucun recoin du village nous reste inconnu. Estelle nous entraîne au bas du grand escalier. C'est là qu'il y a l'endroit le plus sûr pour me sortir la queue. Je reste vigilant. Clémentine dissimule nos activités.

Estelle me sort le sexe. Un rayon lumineux vient soudain frapper l'endroit. C'est une des vitres d'une fenêtre qui s'ouvre. Il y a une jeune femme. Elle nous observe. Estelle, accroupie, suçote ma bite toute molle. Je suis mort de trouille. Elle se redresse en disant à Clémentine : << Premier défi de la journée relevé ! À toi ! >>. Malgré la présence de la voyeuse Clémentine s'accroupit. Estelle la dissimule de son mieux. Impossible de ne pas comprendre ce qui se passe. Je suis carrément mort de honte. À une vingtaine de mètres la femme sourit.

Ce n'est certainement pas souvent que cette probable habitante du village assiste à ce genre de spectacle. Clémentine se redresse à temps car un groupe de religieuses déboule en riant. Je rabat les pans de mon anorak pour cacher ma queue. Je regarde la jeune femme à sa fenêtre alors que Clémentine et Estelle m'entraînent par la main. Elle me fait un sourire complice. Nous retournons dans la rue. La boulangerie qui nous intéresse est assaillit. Il faut attendre patiemment dans la file. Estelle en profite pour me palper discrètement. Bises.

Nous attirons bien sûr encore l'attention de la plupart des gens qui nous entourent. La nature réelle de nos relations n'échappe ce matin à personne. On s'en fout complètement. Nous hautes tailles parmi les gens participent encore à faire de nous des "extraterrestres". Clémentine et Estelle m'ont appris à s'amuser de ces situations. C'est enfin notre tour. Nous prenons l'avant dernière miche de pain complet bio aux noix. Énorme. Une belle brioche ronde aux amandes. Nous quittons. Estelle propose de retourner à l'endroit du défi de ce matin.

Nous nous remettons en situation. Mais cette fois il est impossible de se livrer à notre jeu de plein air. Il y a un véritable conciliabule au bas des escaliers. Une donne trentaine de religieuses avec deux prêtres qui font un historique. Ce qui nous intéresse c'est de découvrir que la jeune femme, toujours à sa fenêtre où sont suspendus des draps, regarde. Elle nous reconnaît. Je lui adresse un signe de la main. Elle fait de même. J'adore quand se créées ces complicités improvisées. Clémentine et Estelle en raffolent. Elles font toutes les deux un coucou.

Il est temps de rentrer car il commence à faire faim. Nous montons dans la chambre. Julie sort des toilettes toutes contente de nous revoir. Elle découvre la grosse miche de pain et la brioche. << Miam ! >> fait elle. Nous dévalons les escaliers pour nous rendre dans le restaurant. Note table réservée nous y attend. Fort heureusement car la salle est archi pleine. Nous savourons nos homards fumés accompagnés de pommes de terre rissolées. Nous racontons à Julie nos aventures de la matinée. Consternée, elle écoute nos récits avec de grands yeux.

Nous ne traînons pas car notre table est probablement convoitée pour le service suivant. Il est 13 h. Nous remontons pour nous laver les dents. La température extérieur avoisine les 22°. Nous ne prenons que nos vestes en jeans. Elles suffiront amplement en cas de fraîcheur. Nous les portons sur les épaules sans les enfiler. Direction le village. Il y a certainement autant de gens qu'en plein été. La fête de Pâques attire ici toutes sortes de pèlerins. << C'est là ! >> fait Estelle en montrant l'endroit ou elle a relevé son défi ce matin. Julie regarde.

<< Je reconnais, c'est le même endroit que hier ! >> s'exclame t-elle en fixant ma braguette bien fermée. La fenêtre est fermée. Plus de jeune femme complice. << On revient demain matin, tu lui montres ta queue ! >> me dit Estelle alors que nous gravissons l'escalier qui mène à la "Merveille". Il y a un monde fou. Avec ce soleil c'est une toute autre ambiance. Avec l'effort nous avons même trop chaud. Pénétrer dans l'abbaye reste un moment inoubliable. Sous les hautes voûtes de la salle des Chevaliers. C'est tout simplement extraordinaire.

Comment cette construction a t-elle été possible dans un lieu aussi vertigineux ? L'odeur des vieilles pierres ou se mêle l'air marin. Il y a un léger courant d'air. Nous sommes majoritairement entourés de religieux. Il y a même une chorale de religieuses qui chantent des cantiques. << Pas très bandant ! >> dit Estelle. Nous rions de bon cœur. Nous entrons dans le saint des saints pour poursuivre notre visite. Tout ici est fantastique. Tout ici défie la raison. Cette construction millénaire mérite son nom de "Merveille". Impossible d'y relever un de nos défis.

Ce qui n'empêche pas Estelle de me tripoter discrètement. À chaque fois elle dit : << Je touche ! >>. Julie regarde avec intérêt. Elle n'ose pas malgré les encouragements de Clémentine. Moi aussi, discrètement, surtout lorsque nous admirons les bas-reliefs sculptés dans le granit, je glisse mes mains entre les cuisses. Je le fais même à Julie qui devient toute rouge, apeurée. Clémentine la rassure : << Julien aussi est un virtuose de la discrétion ! >>. Nous nous gardons la visite de l'étage supérieur demain. Il faut réserver. Un guide obligatoire.

C'est la jeune fille du guichet d'accueil qui prend nos passes touristiques. Pour Julie il faut prendre un billet. Il y a encore le cloître aux étages supérieurs et l'église des moines bénédictins qui vivent ici à l'année. Ce sera pour demain. Ce sont des petits groupes de dix personnes précédés d'un guide. Nous flânons longuement dans l'abbaye. Dans cet endroit unique nous n'avons qu'une crainte. Que la montagne s'effondre soudain nous entraînant avec elle. C'est une visite inoubliable que je recommande. C'est réellement mystérieux.

Il est dix sept heures quand nous trouvons enfin une table à la terrasse d'un restaurant. Les places son convoitées. Nous avons l'impression qu'il y a encore plus de monde que ce matin. Nul doute que durant ce week-end Pascal nous serons "bousculés". Il faudra se frayer des passages dans la marée humaine. << Mais ils dorment où tous ces gens ? >> lance Estelle. << Dans les hôtels des villages à l'entour ! >> répond Clémentine. Les établissements dans un périmètre de vingt cinq kilomètres ont des réservations pour cette date particulière.

Il est évidemment impossible de relever nos défis. Même pour aller aux toilettes il faut se mettre dans une file. << C'est angoissant quand il y a tant de monde ! >> fait Julie. << C'est vrai, c'est chiant aussi ! On ne va pas se plaindre, on fait ça tellement rarement. Prenons-le comme un divertissement ! >> dit Clémentine. Estelle rajoute : << Et l'endroit est tellement beau et surprenant ! >>. Nous flânons jusqu'au soir où il faut enfiler nos vestes. Il a fait beau toute la journée. Des arbres sont encore en fleurs alors que d'autres sont déjà verts.

Estelle qui s'exclame toutes les deux trois minutes : << Touché ! >> nous fait rire. Nous repassons deux fois au bas du grand escalier. La fenêtre reste obstinément fermée. << On revient faire les vicelards demain matin ! >> lance Estelle. << Avec ce monde, ça va être difficile ! >> rajoute Clémentine. Il est 19 h30. Morts de faim nous revenons à l'hôtel. Dans un restaurant archi comble, plutôt bruyant nous savourons nos choux brocolis gratinés accompagnés de langoustines rissolées. C'est bruyant une cinquantaine de "bonnes sœurs" ! Sonore.

Certaines de celles assises aux tables voisines semblent bien curieuses en nous observant par en-dessous. Clémentine et Estelle en profitent pour bien signifier la nature de nos relations. Julie nous observe, amusée par nos jeux. Nous quittons pour laisser notre table à un second service. Sans doute même à un troisième. Il y a tant de gens. Nous nous promenons encore un peu. Clémentine propose de monter sur les remparts. Nous faisons le tour de l'île. Mais là encore, il est tout à fait impossible de faire autre chose que de nous toucher discrètement.

De retour à l'hôtel il faut se rendre à l'évidence. Certaines religieuses sont des fêtardes. Nous entendons des rires incessants dans les couloirs. << Ça c'est la congrégation des fous rires ! Là la congrégation des rigoleuses ! >> fait Estelle. Julie est couchée sous ses draps dans son canapé lit. Elle nous observe. Je suis entrain de brouter le minou d'Estelle pendant que Clémentine me suce. Estelle à la verticale, comme assise sur mon visage. C'est au tour de Clémentine. Julie se touche discrètement. Clémentine l'invite à venir nous rejoindre.

Julie n'ose pas. Pourtant, une fois encore, nous la sentons désireuse de le faire. Hésitante. Estelle rajoute : << Tu n'aimes pas te faire lécher le minou ? >>. Julie accélère son mouvement masturbatoire. Elle tente visiblement de se donner du courage en s'excitant davantage. C'est Estelle qui s'empale sur ma queue pendant que Clémentine m'embrasse. Je reste couché sur le dos. Nous baisons très rarement de cette façon. Julie est au spectacle. Elle regarde Estelle et Clémentine alterner leurs cavalcades. Nous sommes épuisés. Julie pousse un cri.

Elle s'offre certainement un orgasme en se tortillant, les mains entre ses cuisses. Estelle connait le sien sous mes coups de langues. Clémentine est victime du sien de la même façon. Julie dort déjà profondément quand nous restons tous les trois serrés à nous donner nos dernières impressions. Je suis entre mes deux anges. Je propose de remettre mon orgasme à demain. D'éjaculer d'une façon insolite dans un endroit qui le serait tout autant. << La nuit porte conseil ! >> souffle Estelle en se blottissant. Nous nous endormons en même temps.

Julien



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Le petit monde de Clémentine et de Julien

Après plus de 1855 épisodes le plaisir de partager nos aventures reste intact. De sacrés moments.
C'est une véritable joie de publier nos récits quotidiennement. C'est même devenu une nécessité.

Bien évidement, les noms, les prénoms, les lieux ne sont qu'autant de pseudonymes sans réalités.
Il est préférable de préserver son anonymat. Sur Internet mais également sur les forums "sexes".

Je remercie nos lectrices, nos lecteurs pour leurs fidélités, pour l'intérêt qu'ils nous portent.
Tout particulièrement celles et ceux qui entretiennent avec nous un contact en messagerie privée.

Nous avons autant de joie à pratiquer les échanges en messagerie privée qu'à narrer nos aventures.
C'est très intéressant, souvent amusant et parfois passionnant. Certains "amis" depuis quatre ans.

Je vous souhaite d'excellentes lectures, de belles découvertes et de passer du bon temps avec nous.

Cordialement.

Clémentine et Julien

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NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...





Modifié 1 fois. Dernière modification le 16/04/22 05:58 par Oncle-Julien.
Homme, 53 ans, France
Classe - 1 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode1856 -



Cinquième journée au Mont Saint-Michel

Hier matin vendredi, il est un peu plus de huit heures. Estelle qui est restée accrochée à moi toute la nuit colle ses lèvres sur la peau de mon cou. Exquise petite ventouse. Elle passe une cuisse sous mes reins, pose l'autre sur mon érection naturelle. C'est en se frottant contre ma hanche qu'elle murmure : << Tu étais tellement doux hier soir que j'en ai même rêvé ! >>. Clémentine se réveille pour venir se serrer. Ses cuisses trouvent leurs place contre celles d'Estelle. Clémentine aussi adore se frotter. Je suis entre mes deux anges. Plein de bisous.

Nous regardons la boule que fait Julie sous ses draps. Elle dort probablement encore profondément. Estelle se lève. Sur la pointe des pieds elle va vers la porte des toilettes. Juste avant d'y entrer elle se tourne vers nous pour mimer une masturbation masculine. Clémentine nous découvre pour montrer le trophée qu'elle tient à pleine main. Estelle mime une fellation avant de refermer la porte derrière elle. << Je t'aime. Ces vacances sont à la fois merveilleuses et quelconques. Tu ne trouves pas ? >> chuchote Clémentine sans cesser de se frotter.

C'est à notre tour d'aller au WC. Nous rejoignons Estelle qui prépare le sachet contenant le pain, le miel. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons l'escalier. Notre table réservée nous attend dans le brouhaha du réfectoire de l'hôtel. Principalement des religieuses qui nous regardent passer entre les chaises. C'est amusant d'être le centre d'intérêt d'une soixantaine de "bonnes sœurs". Pour bien signifier la nature de nos relations, Clémentine et Estelle me font des bises. Non, je ne suis pas le père de ces deux sublimes créatures.

Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan de ces vacances. Nous sommes tous les trois du même avis que Clémentine. Ce sont de belles vacances mais un peu quelconques. Nous mangeons de bon appétit tout en revenant sur le programme de l'après-midi. Ce matin encore le thé est insipide mais bien meilleur que le café que nous fait gouter Estelle. Nous ne traînons pas. Dehors c'est visiblement la même météo que hier. Estelle nous propose de l'attendre. Elle monte chercher nos K-ways, ranger le pain, le miel. Nous sommes dans le hall.

Estelle vient nous rejoindre en sautillant. Ce qui attire bien des regards sur nos attitudes complices. Nous sortons pour courir dès la rue principale. 8 h30 et déjà un monde dingue. Juste après le pont levis de la porte du Roy nous faisons quelques mouvements d'échauffement. Il y a du soleil mais la fraîcheur reste vive. L'écran lumineux au-dessus de la pharmacie indiquait à l'instant 12°. Nous courons sur les poutres de chêne réservées aux piétons. Sur le bord de la route où circulent les premières navettes. Elles emmènent encore plein de gens.

Il est neuf heures trente quand nous sommes de retour. Julie nous accueille dans la chambre. Elle a fait les lits. Nous lui déposons chacun une bise sur le front. Elle est déjà plongée dans sa lecture. Julie nous avoue prendre deux tartines avec du miel ici, sans aller au réfectoire. << J'aime la solitude. Je ne vous accompagne pas ce matin ! >> confie t-elle. Nous allons à la salle de bain. Estelle prend sa douche la première. Je coiffe Clémentine qui adore ça. C'est à notre tour. Nous voilà tous les trois vêtus à l'identique. Jeans, sweats et nos baskets.

Nous enfilons les vestes en jeans en souhaitant une bonne matinée à Julie. Nous descendons dans l'escalier. C'est presque un bain de foule. Avec l'approche du week-end de Pâques les touristes et les pèlerins continuent d'affluer. Il est certain que tous les hôtels de la région, dans un rayon de 50 km font le plein à craquer. Nous flânons tout de même un peu. Il faut se frayer un passage. Ce qui permet à Estelle de palper discrètement ma braguette à chaque fois qu'il faut se serrer pour esquiver des visiteurs. Ce matin, Clémentine fait exactement pareil.

Moi aussi, je glisse mes mains virtuoses entre les cuisses de mes deux anges. En fait, quand on est dans ce qui s'apparente à une foule, il est très simple de procéder à des tripotages. Les gens sont tellement loin de se douter que c'est si facile. Nous ne nous en privons pas. Par contre il est tout à fait impossible de pratiquer nos jeux de plein air de style "bite à l'air". << Put-hein, on va finir par trouver un coin ! >> lance Estelle qui aimerait bien relever le premier défi de la journée. Me sortir la queue. Nous allons au même endroit que hier. L'escalier.

Même là, sous le porche de la porte murée, il y a du monde. Des familles. Mais surtout infiniment d'ecclésiastes, de religieuses. Il y a de la cornette blanche absolument partout. Il faut se faire une raison. À part fouiller ma bouche de leurs langues exploratrices, Estelle et Clémentine doivent se résigner. Je propose de ne pas nous infliger ça demain, pour notre dernier jour. Visitons le village de Beauvoir. << On se fait le tout à pieds. Une bonne randonnée comme on les aime ! >> rajoute Clémentine. << Oh oui ! Excellent ! >> s'écrie Estelle.

Si la météo le permet c'est du Mont Saint-Michel que nous partirons sans récupérer l'auto sur le parking. C'est avec ce projet en tête que nous continuons à nous frayer un passage parmi la multitude. Estelle joue parfois avec le risque. Ça fait deux fois qu'elle se fait surprendre, sa main palpant ma braguette. Nous montons sur les remparts pour apprécier le soleil prometteur. Il y a déjà là autant de monde que dans les rues du village. Mais des recoins dans les angles des tourelles permettent de nous toucher avec davantage de discrétion. C'est excitant.

Il est midi lorsque nous revenons à l'hôtel. Julie nous a laissé un mot sur le lit. "Je vous attends en bas". Nous nous lavons les mains. << On a encore fait fort ce matin ! >> dit Estelle en me déboutonnant la braguette. Clémentine en sort le locataire. Elles s'accroupissent toutes les deux en même temps. Avec l'excitation il y a du liquide séminal. Mes deux anges se le partagent en gloussant. En riant. Elles se redressent en même temps. << Mmhh, délicieux l'apéro ! >> lance Estelle. << Parfum anis ! >> rajoute Clémentine. Morts de faim nous descendons.

Julie est assise à notre table. Le restaurant est bondé. Nous avons l'impression de déguster nos fruits de mer dans le réfectoire d'un couvent. Assises l'une à côté des autres, les cornettes blanches des bonnes sœur n'arrêtent pas de se heurter. Nous sommes pliés de rires. Estelle me dit : << Tu sors ta bite, tu te mets sur la table et tu imites Saint Michel ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Je crois que je n'ai jamais vu rire Julie d'aussi bon cœur. Nous lui racontons notre balade de la matinée. Par la fenêtre elle découvre la foule dans la rue.

Nous ne traînons pas. Nous préférons laisser notre table pour un second et probable troisième service. Des religieuses attendent leur tour jusque dans le couloir, devant l'accueil. << Très bon business la religion ! >> lance Estelle. << À tel point que c'est comme pour les banques. Il y a une église dans chaque village ! >> rajoute Clémentine. Julie s'écrie : << Tu fais un miracle puis tu vends la médaille ! >>. C'est en riant comme des fous que nous montons nous laver les dents. Il y a presque autant de monde dans les étages que dans les rues.

Nous voilà dehors. L'écran clignotant au-dessus de la pharmacie affiche 20°. Nous gardons nos vestes de jeans aux manches simplement nouées sur nos épaules. Il faut se frayer un passage dans la foule. Difficile d'avancer en se tenant par les mains. Il faut faire attention de ne pas perdre Julie. Sa petite taille oblige à rester attentif. Nous arrivons au grand escalier. Nous gravissons les larges marches en louvoyant entre les visiteurs qui redescendent. Quand il y a tant de monde, toute visite devient pénible, désagréable. Nous n'avions pas prévu Pâques.

Nous sommes munis de nos passes touristiques. Julie tient son billet. Notre visite est réservée depuis hier. Nous rejoignons le guide No 6. Une jeune femme qui va nous faire visiter le cloître et les habitats des moines Bénédictins qui vivent là toute l'année. Bien évidemment tout n'est pas accessible avec une telle affluence. Le vent souffle là-haut. Il faut remettre les vestes. Nous et une dizaine de personnes à suivre notre guide. L'argumentaire est intéressant. Nous avons droit à l'historique des lieux. Les différents incidents qui ont émaillés l'endroit.

Nous croisons nombre d'autres groupes de visiteurs. Même si la visite est sympa il est regrettable de ne pouvoir flâner seul ici. Estelle me palpe la braguette. Elle prend plusieurs fois le poignet de Julie pour poser sa main sur ma braguette. Au début timide et hésitante, Julie se prend rapidement au jeu. Avec Estelle et Clémentine, elle est à la bonne école. Elle aussi apprend très vite la discrétion. Je suis même surpris lorsque Julie prend seule l'initiative de le faire. Les murmures admiratifs d'Estelle et de Clémentine qui l'encouragent, la félicitent.

Clémentine chuchote : << Je suis sûre que la guide se doute de quelque chose. Regardez bien ! >>. Nous écoutons la jeune femme. À chaque arrêt devant des particularités médiévales ou religieuses, Estelle me palpe. Cette fois elle le fait de façon à ce que la guide s'en aperçoive. La jeune femme ne trahit aucune émotions. Par contre son regard se focalise sur l'activité de ma coquine. Ça me gêne terriblement. Personne ne se doute de quoi que ce soit. Nous avons fait ça d'innombrables fois durant des visites, en vacances. Les musées.

C'est rapidement hyper excitant. La visite dure une heure. Nous sommes priés de quitter les lieux. L'affluence ne permet pas de flâner seuls. Nous reprenons l'escalier. Il y a encore un étage. L'église des moines. Avec tant de monde les autorités monastiques en ont interdit l'accès. Dommage. Ce serait extraordinaire de dominer toute la baie. Nous descendons dans une foule de plus en plus dense. Il y a encore des gens qui portent des masques sanitaires. << Vous allez voir, si Foutriquet repart pour 5 ans, masque à nouveau obligatoire ! >> dit Clémentine.

Nous revenons sur les remparts. Refaire le tour de l'île nous enchante. Là, dans l'angle d'une tourelle carrée, entouré d'Estelle, de Clémentine et de Julie, je relève le défi. Je sors ma queue. Personne ne peut voir, ni même se douter que le petit groupe que nous formons, se livre à un jeu de plein air. Je suis sidéré. C'est Julie qui prend soudain mon sexe en main. << Wouah ! La classe ! >> fait Estelle. << Bravo Julie ! >> rajoute Clémentine. Je dépose un bisou sur son front en disant : << J'adore lorsque vous avez de telles initiatives ! >>.

Inutile de songer à trouver une table de libre dans un des salons de thé. Nous sommes condamnés à errer jusqu'au soir. Aussi, animés par le besoin de nous retrouver un peu moins entourés, nous quittons l'enceinte par la porte du Roy. Le vent du large. Nous parcourons la jetée. La marée est probablement descendante. Nous croisons plein de visiteurs qui viennent à pieds. Mais c'est beaucoup plus supportable que la promiscuité que nous venons de quitter. Il est 19 h30 quand nous revenons à l'hôtel. Notre table réservée nous attend dans le restaurant.

Une salle bondée, un véritable vacarme. C'est bruyant des "bonnes sœurs" en pèlerinage. Nous ne traînons pas. Nous savourons nos feuilletés de saumon aux petits légumes avant d'aller marcher encore un peu. Julie nous confie que tout ce monde devient angoissant. Nous partageons cette impression. Demain, nous quittons pour visiter l'arrière pays. Nous connaissons à présent chaque recoin du Mont Saint-Michel. Il est 22 h. Fatigués autant nerveusement que physiquement nous nous couchons. Julie plonge immédiatement. Nous un peu après.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se font encore un peu doigter sous les draps tout en jouant avec une queue avant un bon dodo...

Julien



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C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Classe - 2 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1857 -



Notre sixième journée au Mont Saint-Michel

Hier matin, samedi, il n'est pas tout à fait huit heures. Estelle est restée accrochée à moi toute la nuit. Comme une naufragée à sa branche. Ce sont ses "impatiences" qui me tirent de mon sommeil. C'est ainsi qu'elle appelle les mouvements de ses pieds contre les miens. Je dépose une bise sur son front. Elle passe une cuisse sous mes reins, pose l'autre sur ma tumescence. En se frottant contre ma hanche elle met sa bouche sur ma joue. Clémentine se réveille à son tour pour se blottir. Je suis entre mes deux anges qui se frottent lascivement.

Nous restons silencieux. Nous murmurons. Car là-bas, sous ses draps dans son canapé lit, Julie dort encore profondément. Estelle se lève la première pour filer aux toilettes sur la pointe des pieds. Clémentine tient mon érection naturelle à pleine poigne. Estelle revient. C'est à notre tour. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons l'escalier jusqu'au réfectoire de l'hôtel. Il y a déjà du monde. Des cornettes qui s'entrechoquent. Notre table porte la plaque métallique "réservée". Nous avons notre pain, le reste de la brioche, notre miel.

C'est sonore deux ou trois congrégations de "bonnes sœurs" déjà levées pour prendre le petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de ce séjour. Lorsqu'elle a préparé nos vacances, Clémentine n'avait pas prévu le week-end de Pâques. L'affluence y est telle qu'elle dépasse celle que nous avons connu ici en août il y a deux ans. La Pâques. Par la fenêtre nous voyons déjà plein de gens. La météo sera probablement la même que hier. Soleil, vent et fraîcheur. Nous ne traînons pas car d'autres clients de l'hôtel lorgnent les places.

Nous enfilons nos K-ways. Nous sortons. Ce matin il est préférable de mettre les capuches. Nous courrons dès la rue principale en direction de la porte du Roy. Quelques mouvements d'échauffement. Estelle impulse un rythme soutenu. Nous restons sur les poutres de chêne du chemin réservé aux piétons. Il faut louvoyer car il y a plein de touristes qui viennent vers le Mont. << Quelle horreur ! >> lance Estelle. << Demain on dégage ! >> rajoute Clémentine. Nous sommes de retour vers 9 h45. Julie a fait nos lits. Elle est entrain de lire dans le canapé.

Nous déposons chacun une bise sur son front. Julie, plutôt solitaire et indépendante préfère prendre ses tartines et la brioche seule dans la chambre. Nous donnons nos impressions quand à l'affluence touristique de ce week-end pascal. Elle nous fait remarquer que depuis deux jours il n'y a pas un seul son de cloches. << Elles partent toujours à Pâques ! >> dit elle. Nous passons à la salle de bain. Estelle prend sa douche la première. Clémentine se coiffe, fait une natte pendant que je me rase. C'est à notre tour. Nous nous habillons pareil tous les trois.

Nos jeans, nos sweats, nos baskets. Il est décidé de partir en randonnée dès la fin du repas. Assises sur mes genoux, mes deux anges allument l'ordinateur. La wifi a parfaitement fonctionné toute la semaine. Nous avons reçus et envoyé nos courriels. Nous avons publié nos récits sur les différents forums où nous partageons nos aventures. Sans rencontrer le moindre souci. Les filles consultent le plan de la région. Google Map permet une idée exacte de la topographie des lieux. Cet après-midi nous irons visiter le petit village de Beauvoir.

Julie ne vient pas avec nous. Elle préfère passer cette dernière journée au Mont toute seule. Elle s'excuse. Nous la rassurons. C'est parfaitement légitime de passer ses vacances comme bon lui semble. Nous n'avons aucun "contrat". Nous la laissons à sa lecture pour aller prendre notre bain de foule. << Put-hein mais c'est dingue ! >> s'écrie Estelle. En effet, au fur et à mesure que le temps passe il y a plus de monde. Il faut imaginer les rues du village comme un jour de marché. C'est ahurissant. Nous remontons sur les remparts. Plus calmes.

Estelle palpe ma braguette. Clémentine fait écran de son corps. Je glisse mes mains entre ses cuisses. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Nous sommes virtuoses de la discrétion. Pourtant nous attirons encore bien des regards. C'est certain, vu nos attitudes. Je ne suis pas le père des deux sublimes jeunes filles qui restent accrochées à mes bras. Me déposent des bises sur les joues. La température affichée sur l'écran lumineux de la pharmacie indiquait 12°. Le vent de la mer souffle comme hier. Des nuages d'altitudes, blancs, défilent. Rapides.

Clémentine prend encore plusieurs photos. Nous faisons le tour de l'île en restant sur le haut des murailles. Le spectacle est grandiose. De vrais clichés de cartes postales comme les affectionnent tant Estelle. Il est presque midi quand nous revenons à l'hôtel. Julie a laissé un mot sur le lit. Elle nous attend en bas. Nous préparons le petit sac à dos pour la randonnée de cet après-midi. Pommes, barres de céréales, la bouteille d'eau la paire de jumelles. Nous descendons rejoindre Julie au restaurant. Elle est attablée en nous faisant un signe de la main.

La salle est pleine. C'est le premier service. Nous apprenons qu'il y en aura trois. Nous savourons nos bouchées à la Reine absolument délicieuses. Garnies d'une Béchamel aux moules, aux champignons. Un généreux gruyère fondu et onctueux. Du riz. Julie nous donne son programme de l'après-midi. Elle ira faire des photos sur les remparts et achètera quelques souvenirs pour ses parents. Nous nous reverrons ce soir pour nous raconter nos aventures. Nous ne traînons pas. Nous remontons nous laver les dents. Julie adore nous voir déconner.

Nous l'abandonnons à ses projets. Je porte le petit sac à dos. Un dernier bisou sur le front de Julie. Estelle palpe ma braguette. C'est au tour de Clémentine. Comme si elle avait compris le "message", Julie fait pareil. D'une main d'abord hésitante puis beaucoup plus insistante. Elle dit : << La semaine prochaine, j'en fais le portrait ! Vous n'avez pas oublié n'est-ce pas ? >>. Je réponds : << Pas du tout Julie. J'y pense même tous les jours. >>. Clémentine rajoute : << Nous sommes d'ailleurs impatients de te voir à l'œuvre ! >>. Julie lâche ma braguette.

<< Waouh ! J'aime quand tu deviens "insistante" ! >> s'écrie Estelle en mimant une masturbation masculine. Julie ferme la porte derrière nous. Nous dévalons l'escalier, pressés d'aller vers le calme d'une bonne randonnée. Nous restons sur les poutres de chêne. Un monde fou se dirige vers le Mont. Un flot incessants de navettes apportant encore davantage de touristes. Estelle pose la question évidente : << Les autorités de l'île ont elles prévu un nombre maximum de visiteurs ? Parce que là c'est carrément délirant ! >>. Question sans réponse.

La route sur pilotis fait un peu plus d'un kilomètre. Nous voilà de retour sur le continent. Notre voiture, là-bas, sur le parking, juste à deux emplacements de la guérite de la surveillance. Il y a la gendarmerie. Plusieurs gendarmes flânent entre les véhicules. Nous prenons la direction de Beauvoir. Nous prenons le chemin qui quitte la route. Que c'est agréable de se retrouver presque seuls le longs des clôtures. Presque car il y a d'autres randonneurs. Nous n'avons jamais vu autant de moutons dans les prés.. Peut-être plus encore qu'en Écosse.

Le vent est beaucoup plus raisonnable ici. L'herbe est verdoyante et grasse, pas encore sèche. Nous marchons d'un bon pas. << Personne à moins de 500 mètres ! >> fait Estelle en s'arrêtant pour se placer devant moi. Elle déboutonne ma braguette. D'une main adroite et agile, elle en tire mon sexe. << Génial ! >> dit Clémentine qui se place contre ma hanche. Les marcheurs les plus proches sont à bonne distance. Rares sont ceux qui vont dans la direction opposée à celle du Mont qu'on voit là-bas, comme sur une image d'Épinal. L'odeur de l'herbe.

Nous ralentissons le pas. J'ai la bite à l'air. Quand ce n'est pas Clémentine qui s'arrête pour s'en emparer, c'est Estelle. Nous retrouvons avec tant de plaisir nos jeux de plein air. << J'ai envie de la sucer ! >> me dit Estelle en la tordant dans tous les sens. << On se lance des défis "pipe" au village ! >> propose Clémentine. Nous rions de bon cœur. Nous n'avons strictement aucune idée d'à quoi ressemble Beauvoir. Village dont les maisons apparaissent au loin. Toits d'ardoises scintillantes sous la lumière vive de ce généreux soleil. Nos anoraks ouverts.

Il y a peu d'arbres pour cacher la vue qui est splendide. Que c'est beau. Nous nous retournons souvent pour regarder le Mont. La lumière diaphane en donne une impression irréelle. Comme derrière un fin voile. Une brume légère. Je remballe plusieurs fois ma queue car nous croisons tout de même des randonneurs. Nous entrons dans Beauvoir. L'ambiance médiévale rappelle celle du Mont. C'est bien plus agréable et respirable. Il y a beaucoup moins de monde. Les maisons à colombages voisinent avec les maisons en pierre de granit. C'est magnifique.

Il n'est que quinze heures. Nous flânons dans les ruelles. Il y a là également une rue principale, plein de commerces aux vitrines alléchantes. Nous attirons évidemment les regards. Nos hautes tailles. Estelle et Clémentine qui me tiennent la main ou restent à mon bras. Les bises sur les joues. Il y a de nombreux recoins qui offrent la possibilité de nous tripoter. Là, une porte cochère dont les deux battants en bois de chêne sont ouverts. << Défi "pipe" ! >> lance Estelle qui nous y entraîne. C'est l'entrée d'une cour privée. Un van est garé là. Une Mercedes bleue.

Nous sommes entre le van et le mur de pierres grises. Personne ne peut nous voir. Estelle s'accroupit. Elle ouvre ma braguette, en sort le Zob pour le sucer immédiatement. Je suis évidemment mort de trouille. Clémentine fait le guet en allant d'un côté puis de l'autre. Je ne bande pas du tout, c'est trop inquiétant. Surtout que nous entendons des rires, des éclats de voix. Estelle cesse. Elle fait signe de l'index à Clémentine qui vient s'accroupir à son tour. Je me fais sucer une nouvelle fois. Estelle surveille. Un défi "pipe" qui dure 5 bonnes minutes.

L'angoisse ! Clémentine se redresse. Je remballe. Nous sortons de cet espace privé juste à temps. Il y a une dame qui sort d'une des portes avec un énorme chien en laisse. Ouf. Nous l'avons échappé belle. Nous rions de notre expérience en continuant la découverte. Beauvoir est un village absolument magnifique n'ayant rien à envier à celui du Mont. Les retombées économiques permettent d'entretenir un endroit prestigieux. Il y a des fleurs aux fenêtres. Des parfums suaves. Un sentiment de quiétude gagne rapidement le visiteur prenant son temps.

Au soleil, nous avons presque trop chaud dans nos anoraks pourtant ouverts. À l'ombre nous nous remercions de nous en êtres équipés. << Défi "pipe" ! >> lance Estelle en nous montrant l'escalier étroit qui monte entre deux hautes maisons de pierres grises. Elle nous y entraîne. En haut de la quarantaine de marches, il y a comme une terrasse. Un muret sur lequel prendre appui pour regarder l'autre ruelle depuis les hauteurs. De chaque côté une lourde porte en bois, fermées, donnant probablement accès aux propriétés privées. Le risque n'est pas grand.

Personne. On ne nous voit pas d'en bas. C'est Clémentine qui déboutonne ma braguette pour en sortir la queue. Estelle surveille en s'asseyant sur la première marche. Clémentine se met carrément à genoux pour me tailler une véritable pipe. Je reste toutefois aux aguets. Je ne cesse d'écouter en observant chaque porte. Pas un bruit sinon les conversations qui nous parviennent depuis en bas. Estelle se retourne plusieurs fois pour regarder la fellation de Clémentine. Je la tiens par ses oreilles en me masturbant dans sa bouche. Vulgaire.

J'adore l'entendre glousser lorsque j'ai ces attitudes vicelardes. Elle me tient par les passants de mon jeans, les doigts contre la ceinture. Je me fais sucer. Je commence enfin à bander comme le dernier des salauds. Il y a de la jute car Clémentine cesse plusieurs fois pour déglutir en murmurant des << Mmmhhh ! >>. Quand Estelle se retourne une nouvelle fois, Clémentine lui présente la queue en l'agitant comme une invitation. << À point ? >> demande Estelle. << À point ! >> répond Clémentine en se redressant. Je lui masse les genoux. Dur le granit !

Estelle prend sa place alors que Clémentine s'assoit sur la première marche. Nous avons de la chance. Les rayons bienfaisants du soleil nous offrent leurs douceurs. Estelle pompe comme si sa vie en dépendait. Je la saisis tout comme Clémentine. Par ses oreilles. Parfois une main sur sa nuque l'autre sous son menton. J'appuie sur sa nuque pour lui enfoncer un maximum de queue dans la bouche. Mes deux anges adorent ça. Elles en toussent lorsque je relâche mon étreinte. Parfois les yeux larmoyants, elles déglutissent toutefois avec difficulté. Salaud.

Là-haut, au sommet de cet escalier, je peux me comporter comme elles aiment. En véritable pervers. C'est Clémentine qui revient. Elles permutent ainsi à trois reprises. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. C'est une fellation authentiquement insolite. Trois véritables dépravés qui s'adonnent là à leurs passions pour des déviances inavouables. Des voix. Des rires. Certainement une famille. << Gaffe, des Simpson ! >> lance Estelle qui reste assise. Clémentine se redresse précipitamment. Je remballe très vite. En bandant c'est assez difficile.

En effet ce sont deux familles qui gravissent les escaliers. Nous les croisons en redescendant. << Put-Hein comme j'aime ta queue en balade ! >> me fait Estelle en se mettant devant moi pour me palper rapidement la bosse qui déforme encore ma braguette. << Ton foutre est délicieux à Beauvoir ! >> rajoute Clémentine avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. De nous embrasser ainsi, à tour de rôles, dans cette ruelle attire bien évidemment l'attention. Nous sommes certainement, à l'instant, l'attraction principale de ce petit coin de la ruelle.

Nous avisons ce restaurant dont la terrasse fleurie est attractive. Il y a quelques tables libres. Nous voilà attablée à celle qui est baignée de soleil. Trois énormes coupes glacées nous régalent des saveurs de vanille, du pralin et de la pistache. Nous rions de notre expérience au sommet de cet escalier. << On y retourne après, ça vous dit ? >> propose Estelle. << Moi, quand je commence à sucer, je pourrais passer le reste de la journée à le faire ! >> répond Clémentine. Je dis : << Ah si seulement vous étiez en jupe toutes les deux ! J'ai envie ! >>.

Nous traînons à table en devisant. << Dommage que Julie ne soit pas avec nous ! >> lance Estelle. << Oui, c'est vrai. Elle aurait aimé assister à ce défi "pipe" ! >> s'écrie Clémentine. Il est déjà 17 h. L'ombre de la maison d'en face rafraîchit rapidement la terrasse. Nous quittons. << On retourne à l'escalier ? J'ai trop envie ! >> dit Estelle. << Moi aussi ! >> fait Clémentine. Nous marchons d'un bon pas jusqu'à l'endroit. Hélas, il faut se faire une raison. La fraîcheur de l'ombre a fait place au doux rayons du soleil. Nous ne remontons pas.

Nous faisons un dernier tour de Beauvoir en prenant quelques photos. Nous reprenons la direction du Mont. J'ai bien évidement souvent la bite à l'air. Il faut toutefois rester vigilants. Les promeneurs sont nombreux. Il est 19 h30 quand nous revenons à l'hôtel. Julie nous attend à notre table réservée. Morts de faim, nous savourons ce plateau de fruits de mer en nous racontant nos après-midi. Julie ouvre de grands yeux à l'écoute de nos frasques. Le défi "pipe" réalisé à trois reprises dans le ravissant village de Beauvoir. Elle nous raconte ses flâneries.

<< J'ai pris mon bain de foule jusqu'à cet été ! >> dit elle en soupirant. Elle rajoute : << Quand je tiens la galerie en juillet et en août il y a parfois autant de monde ! >>. Nous ne traînons pas car ce soir encore il y a trois services. Autant libérer la table. Julie remonte chercher son anorak. Nous allons encore nous promener un peu. La fraîcheur du soir contraste avec la douceur de l'après-midi. Nous retournons sur les remparts. Dans l'angle de la tourelle où nous aimons cacher nos activités, Estelle me touche. Puis c'est au tour de Clémentine. Discrètes.

Les promeneurs sont très loin de se douter que le petit groupe que nous formons comme pour un conciliabule secret se livre à de doux attouchements. Je constate une fois encore que Julie prend énormément de plaisir à participer à nos jeux de plein air. Elle me fait bander en me palpant bien plus longuement qu'Estelle ou que Clémentine. << Tu ne lâches plus le morceau, toi ! >> lui dit Estelle qui aimerait bien recommencer. Clémentine fouille ma bouche de sa langue. On en est à point où on s'en fout qu'on nous remarque où non. C'est si bon.

Curieusement, ce sont les groupes de religieux qui semblent les plus intéressés. Ils nous mâtent avec amusement. Les bonnes sœurs se rincent l'œil. Je refuse toutefois qu'Estelle me sorte la queue. C'est trop risqué et il fait à présent froid. Nous retournons à l'hôtel. Nos rituels pisseux dans les toilettes de la chambre. L'endroit est exigu. C'est à quatre nous nous nous y tenons. Estelle me tient la bite pour en diriger les jets. C'est au tour de Clémentine dans la main de laquelle je bande en pissant. Elle me contraint la queue vers le bas, c'est douloureux.

Clémentine propose à Julie de la prendre un peu. Quelle surprise de voir Julie s'en emparer avec tant de fougue. Estelle se penche pour récupérer les derniers épanchements. Je sens Julie guider mon sexe. C'est au tour de Clémentine de se pencher. Julie offre mon sexe à chacune. C'est trop étroit pour s'accroupir à deux. Je tiens Julie par l'épaule avec quelques appuis de la main. Je saisis sa nuque. Un frisson parcourt son dos. Je lui demande : << Vous n'avez pas envie de sucer un peu vous aussi ? >>. Julie se serre tout simplement contre moi.

C'est Julie qui tire la chasse. Nous la laissons seule pour faire son dernier pipi. Nous nous déshabillons pour nous mettre sous les draps. Estelle et Clémentine se refilent mon sexe en pompant avec avidité. Je regarde Julie sortir de la salle de bain dans son pyjama bleu. Elle me fait un furtif sourire sans oser soutenir mon regard. Elle se couche. << On suce ! Ça te dis ? >> lui lance Estelle en sortant de sous les draps. Je rajoute : << Et après je me bouffe du minou. Ça vous tente ? >>. Julie ne répond pas. Elle se couche sur le côté pour regarder.

Je suis certain qu'elle se masturbe car je vois la couette bouger. Timide jeune fille de 20 ans une fois encore exposée à ses tentations. J'admire sa maîtrise. Depuis ces quelques années qu'elle affronte des situations hautement excitantes. J'éjacule un peu n'importe comment. Je sens mes deux suceuses se livrant à une amusante lutte. À celle qui pourra en avoir le plus. La couette tremble. Julie vient certainement de jouir. Je passe sous les draps pour me bouffer du minou. Estelle et Clémentine se masturbent. Leurs orgasmes doivent êtres sublimes.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se sont offert du sperme, qui ont sucé en s'amusant, et qui se font lécher jusqu'à l'orgasme. Dodo...

Julien



Classe

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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 3 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1858 -



Le septième et dernier jour au Mont Saint-Michel

Hier matin, dimanche, je suis arraché de mon sommeil par la bouche d'Estelle qui gobe le lobe de mon oreille. Estelle redouble d'initiatives et reste très inventive. C'est sa langue que je sens. Sa main glisse sur mon ventre jusqu'à mon érection naturelle qu'elle saisit. J'ai un spasme qui fait frissonner tout mon corps. << Mmmhhh ! J'aime ! >> me chuchote t-elle. Tout cela réveille Clémentine qui vient se blottir. Je suis entre mes deux anges qui se frottent doucement contre mes cuisses. Estelle qui suce mon lobe droit. Clémentine le lobe gauche.

Nous ne faisons aucun bruit pour ne pas réveiller Julie qui dort encore. Une boule sous ses draps, là-bas, dans son canapé lit. Mes mains s'égarent dans les culottes pour dénouer l'incroyable densité des poils. Mes doigts effleurent les lèvres pulpeuses du sexe de Clémentine, de la fente d'Estelle. Leurs minous sont à ce point différents que j'en apprécie cette millième découverte. Estelle chuchote : << Pipi ! >>. Elle se lève pour se diriger sur la pointe des pieds vers la porte des WC. Clémentine glisse la tête sous la couette pour gober ma tumescence.

Ce n'est pas très agréable, la pipe quand l'érection matinale est naturelle. Estelle revient. C'est à notre tour d'aller pisser. Vêtus tous les trois de nos jeans, de nos sweats, de nos baskets nous descendons avec le sachet contenant le pain, le miel. Le réfectoire de l'hôtel est bondé alors qu'il n'est que neuf heures. Différentes congrégations de religieuses attablées, riant, bavardant. On sait s'amuser chez les "bonnes sœurs". Il y a même un groupe de prêtres. Ça rigole bien aussi là-bas. Notre table réservée nous accueille. Il ne reste plus que du café.

<< Avec ce café dégueulasse tu m'étonnes que les gens prennent du thé. Même s'il est insipide ! >> lance Estelle. Nous prenons notre petit déjeuner en surprenant quelques regards pleins d'interrogations. Des religieuses qui nous observent en essayant de rester discrètes. En essayant surtout de savoir quelle est la nature exacte de notre relation. Cet homme d'âge mûr accompagné de ces deux sublimes jeunes filles qui ne cessent de lui déposer des bises sur les joues, de caresser le dos de ses mains. Bien évidemment nous nous amusons beaucoup.

Julie apparaît dans l'encadrement de la porte. Elle nous cherche du regard. Estelle lui fait un grand coucou. De quoi susciter un intérêt supplémentaire car notre trio est à présent quatuor. << Regarde le curé là-bas, certaine qu'il ira se branler aux chiottes tout à l'heure. Il n'arrête pas de mâter par ici ! >> lance Estelle. Nous rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le bilan de ce séjour au Mont Saint-Michel. Nous sommes tous les quatre sur la même longueur d'ondes. C'était juste sympathique. L'endroit est magnifique.

Il faut tout de même aimer les espaces clos, les activités restreintes et une certaine promiscuité permanente. Ce qui n'est pas vraiment nos tasses de thé. Nous ressentons même une certaine réjouissance à l'idée que tout cela se termine aujourd'hui. Nous prévoyons un dernier bain de foule ce matin. Départ immédiatement après le repas de midi. Initialement Clémentine avait réservé notre chambre jusqu'au lundi 18 avril. Mais le programme a changé bien avant de venir. Et ce soir nous sommes invités chez les parents à Julie. De belles réjouissances.

Nous ne traînons pas. Nous remontons nous laver les dents. Pour cette dernière matinée, Julie qui a déjà fait les lits, va nous accompagner. Le dimanche, pas de sport, pas de douches. Nous restons à macérer dans nos jus. << À la française ! >> lance Julie qui a pris sa douche avant de nous rejoindre. Nous rions de bon cœur. Je lui avoue que j'adore lécher des minous sales le dimanche soir. Elle ouvre de grand yeux en regardant tour à tour Estelle et Clémentine qui dit : << On adore se goinfrer d'une bite bien dégueu nous aussi le dimanche soir ! >>.

<< Avec vous, je vais d'étonnements en surprises et de surprises en étonnements ! >> fait Julie. Dehors, c'est la même météo. Il y a des séquences d'ensoleillement. Des séquences couvertes. Nous dévalons l'escalier en enfilant nos anoraks. La fraîcheur est vive. Il y a un monde fou dans la rue. Nous restons accrochés l'un à l'autre bien décidé à lutter contre la foule pour se frayer un passage. Je suis entre Clémentine et Estelle. Julie accrochée au bras de Clémentine. L'écran lumineux et clignotant de la pharmacie indique 12°. Il est 10 h15.

Instinctivement, comme pour nous hisser au-dessus de la mêlée, nous nous dirigeons vers le large escalier qui monte aux remparts. Avec tous ces gens, ça prend le double de temps pour parcourir les cinq cent mètres depuis l'hôtel. Estelle me palpe la braguette en s'en foutant complètement de qui regarde. << Au point où on en est ! >> lance t-elle. Julie rit nerveusement, probablement aussi gênée que moi. << On te sort la bite là-haut ! >> rajoute encore Estelle à voix haute. Des promeneurs qui ont entendu tournent la tête pour nous regarder.

Nos hautes tailles, notre groupe compacte, tout cela attire bien évidement encore l'attention. << Nous sommes une des attractions du Mont ! >> dit Estelle. Julie, toute petite avec son mètre soixante dix, s'accroche à Clémentine comme pour assurer sa survie. Nous arrivons sur le chemin de ronde. On respire un grand coup car il y a un peu moins de touristes. Le vent vient du large. Nous le prenons en pleine face en contournant le Mont par la gauche. Voilà l'angle de la tourelle où nous aimons nous agglutiner, à l'abri du vent et aussi un peu des regards.

Regroupés comme pour un conciliabule de conspirateurs personne ne peut se douter que nous nous nous livrons à un de nos jeux de plein air. Estelle me palpe la braguette. Elles tournent toutes les deux le dos aux promeneurs. Ce qui permet de nous amuser inaperçus. << Défi bite à l'air ! >> lance Estelle. Julie est serrée entre moi et le mur. Je déboutonne ma braguette. Je sors mon sexe. Je bande mou. << Le tuyau d'arrosage ! >> s'écrie Estelle. Julie est abasourdie. Consternée. Même si elle est voyeuse et vicieuse, nos culots l'étonnent toujours.

Clémentine me le prend entre le pouce et l'index comme pour le soupeser. C'est Estelle qui le saisit à pleine main avant d'inviter Julie à jouer un peu avec. Depuis quelques jours, Julie n'hésite plus un seul instant. Nous percevons le plaisir qu'elle éprouve à participer. Elle n'ose pas soutenir mon regard. Elle reste les yeux braqués sur ce qu'elle palpe. Julie prend la peau du prépuce qu'elle pince entre son pouce et son index. Elle la tire. Je regarde autour de nous. Personne ne se doute de ce qui se passe. Comme si on consultait là nos téléphones. L'illusion.

Il faut toutefois cesser car voilà une famille dont les deux progénitures sont du genre fouineuses et sans gênes. Je remballe à toute vitesse. Un couple sans tact qui vient prendre des photos de la mer tout près de nous. On continue notre balade. Il n'existe pas d'autres endroits sur les remparts permettant une aussi parfaite aisance. Par contre, un peu n'importe où, il est toujours possible de se regrouper pour jouer. Et nous jouons à plusieurs reprises. Nous découvrons encore ce matin que Julie prend un plaisir fou quand je glisse ma main entre ses cuisses.

Étonnante jeune fille de 20 ans qui a vécu avec nous une semaine qu'elle qualifie de "romantico-vicelarde". Nous redescendons par le large escalier. Il faut bien dix minutes pour parcourir les cent mètres. Ça en devient affolant. S'il devait y avoir ici un accident comment feraient les secours pour arriver ? C'est un mystère. Il est presque midi. Notre table réservée nous attend pour la dernière fois dans le restaurant de l'hôtel. Nos bagages sont prêts. Nous pourrons filer immédiatement après le repas. De succulentes araignées de mer aux trois mayonnaises.

Cette fois, nous traînons à table. Même si nous savons qu'il y a trois services. Le dernier jusqu'à 15 h. Il y a tant de clients potentiels. Bien évidemment notre quatuor est une attractivité supplémentaire. Estelle et Clémentine prennent tant de plaisir à bien situer la nature de notre relation. Julie, terriblement gênée, n'ose pas encore participer à ce jeu. << Tu sais que Julien est un grand spécialiste de la bite à l'air sous la table des restaus et salons de thé ? >> lui dit Estelle en mimant une masturbation masculine pas du tout discrète de sa main gauche.

Geste qui est aperçu par des clients de quelques tables voisines. Geste que reproduit immédiatement Clémentine pour rajouter : << Tu es prête à parier que Julien peut la sortir ici discrètement ? >>. Julie, comme affolée, éberluée, me jette un regard furtif avec un air d'une gravité extrême. Je dis : << Julie, lorsque vous êtes serveuse dans le restaurant de votre tante, vous devez remarquer des comportements parfois étranges. Non ? >>. Julie reste silencieuse. De la simple voyeuse la voilà également participante. Ce n'est pas pareil. Elle s'adapte.

Du moins tente t-elle de s'adapter. Ce n'est pas simple d'avoir la spontanéité d'Estelle et de Clémentine. La capacité d'anticiper les choses afin de bien gérer la situation. Discrètement, les mains sous la table, sous ma serviette, je déboutonne mon Levi's pour en extraire la queue. Je bande mou heureusement. Les filles savent ce que je suis entrain de faire. Elles me fixent silencieusement tout en jetant de rapides coups d'œil aux tables voisines. << Julien est virtuose ! >> précise Clémentine. << De toute première bourre ! >> rajoute Estelle. Julie éberluée.

Je dis : << Ça y est, défi restaurant relevé ! >>. Estelle s'écrie : << Comment peut-on en êtres sûres ? >>. Je réponds : << Là, vous ne pouvez faire confiance qu'à ma parole. Je suis un homme de parole ! >>. Julie se repousse. Elle aimerait bien voir. Quelle surprise. Elle fait tomber sa serviette. Elle se lève pour s'accroupir. La voyeuse regarde sous la table. J'ai un véritable choc quand je sens sa main saisir ma bite. Juste un instant avant qu'elle ne se relève pour s'assoir. << Je confirme. Julien est un homme de parole ! >> dit elle avec sérieux.

Je remballe. Nous quittons le restaurant. Nous remontons récupérer nos bagages. Julie a un grand sac supplémentaire. Les souvenirs pour ses parents, ses papys, ses mamies. Nous remettons la clef de la chambre à l'accueil. C'est un grand black. << Peut-être celui du Gloryhole au haras, il y a trois semaines ! >> lance Estelle. Clémentine se contente de faire : << Mmmmhhh ! >>. Nous prenons une des nombreuses navettes qui nous ramène sur le continent. Nous récupérons la voiture. Je roule doucement. Il y aura cinq heures de petites routes sympas.

Des arrêts pipis qui consternent Julie par tant d'initiatives vicieuses de la part de mes deux anges. Pourtant, sur l'invitation d'Estelle et de Clémentine, c'est Julie qui me tient à chaque fois la bite pour en diriger les jets. Je l'entends glousser, je la sens frissonner quand elle regarde Estelle et Clémentine se refiler mon sexe pour en sucer les derniers reliquats. Assise à l'arrière avec Estelle, Julie passe presque tout son temps contre le dossier du siège de Clémentine pour la regarder jouer avec ma queue. La sucer quelquefois. Il est 19 h. Nous arrivons.

C'est la toute première fois que les parents de Julie rencontrent Estelle. Les présentations sont sympathiques. Jean-Jacques et Martine sont tellement heureux de revoir leur fille. C'est un repas simple, offert par des gens simples mais généreux. Nous racontons notre séjour. Julie recommande à ses parents de visiter le Mont Saint-Michel. Surtout qu'ils sont des "pratiquants". Il est 21 h quand nous laissons Julie à ses parents. Elle vient nous rejoindre demain en début d'après-midi. Quelle joie de retrouver la maison, ses odeurs. Nous sommes épuisés.

Nous laissons les valises au bas de l'escalier pour nous vautrer dans le canapé. Je suis entre mes deux anges. Clémentine m'a tripoté et sucé la queue tout le long du retour. Aussi, c'est elle qui s'en empare une nouvelle fois. Je dis : << Mes anges, ce soir, je vais nettoyer vos minous avec passion. Je vais les rendre propres et clean ! >>. Je ne suis pas obligé de le suggérer deux fois. Juste en chaussettes et en sweats elles m'offrent les suaves odeurs de leurs moules pleines de fromages de filles. Ce sont des "fondues" que je déguste en gémissant.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui ne prennent pas de douche le dimanche, préférant se faire nettoyer à coups de langue...

Julien



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Classe - 4 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1859 -



De retour et contents d'êtres à la maison

Hier matin, lundi, il est neuf heures lorsque nous nous réveillons. Je suis entre mes deux anges qui se serrent tout contre moi. Estelle à ma droite qui se frotte. Sa bouche sur ma joue. À ma gauche Clémentine qui se frotte en suçotant le lobe de mon oreille. << Mmmhhh, c'est bon d'être à la maison ! >> murmure Clémentine dans un gémissement. << Oh oui, c'est bon aussi ! >> rajoute Estelle qui se lève d'un bond. Elle se précipite vers la porte en s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine se couche sur moi, son sexe tout contre mon érection.

Estelle revient : << Je vais préparer le petit déjeuner, venez vite ! >> dit elle alors que nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Il y a déjà l'odeur du café, celle du pain grillé. Estelle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. << Merci pour ces vacances. Je t'aime Julien ! >> fait elle entre chaque bisou qu'elle dépose sur mes joues. J'administre le même traitement à Clémentine. Nous voilà confortablement installés à la table.

Nous mangeons de bon appétit en appréciant enfin un bon et vrai café. C'est le bilan de cette semaine passée au Mont Saint-Michel. C'est bien d'y avoir séjourné plusieurs jours. Nous saurons de quoi nous parlerons en évoquant la "Merveille". Nous faisons le vague programme de la journée. Estelle ira la passer chez ses parents. << Le protocole l'exige ! >> précise t-elle. Nous savons bien qu'Estelle adore ses parents. Avant cela nous allons nous offrir un bon jogging. Les conditions météorologiques le permettent. Le ciel est bleu, il y a du soleil.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Le thermomètre extérieur indique 12°. Il faut enfiler les K-ways. Nous sortons avec les bagages d'Estelle pour les mettre dans son Kangoo. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Comme il est agréable de retrouver le parcourt qui longe la rivière. Le sol du sentier est sec. Estelle impulse un rythme rapide et soutenu. Nous courons l'un derrière l'autre. Il est 10 h45 quand nous sommes de retour. Estelle prend sa douche la première pendant que nous faisons le lit, défaisons les deux valises.

Vêtue de son jeans, de son épaisse chemise à carreaux, Estelle vient nous rejoindre pour nous faire des bises. << À ce soir, je suis de retour pour 18 h. Ne soyez surtout pas sages et racontez-moi ! >> dit elle avant de filer. Elle me palpe rapidement la bosse en rajoutant : << J'aime quand tu portes ton legging, tu es hyper sexy ! >>. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux, nous dévalons les escaliers. Clémentine me saute au cou en disant : << Comme c'est bon d'êtres là. Juste nous deux ! >>.

Il est 11 h20. Nous descendons à la cave. Les conditions de l'air dans le cellier permettent de conserver longuement les crudités. Il reste un choux fleur, des carottes, pommes de terre, tomates. Des pommes, des kiwis, des oranges. De quoi tenir jusqu'à samedi prochain. Un rapide inventaire du congélateur nous rassure. Nous en tirons une pâte feuilletée. La grosse miche de pain. Là aussi, aucun souci, on tient à quatre. Julie vient passer trois jours avec nous dès demain matin. Nous remontons pour préparer notre repas. C'est bon d'être tous les deux.

Clémentine s'occupe de la salade de carottes. Je mets la pâte feuilletée au réfrigérateur pour demain. Je fais gonfler du riz complet en grande quantité. Dans une poêle je fais revenir trois pavés de saumon finement émincé. De l'ail, de l'échalote. De la ciboulette, du persil. En fin de cuisson, juste avant de couper le feu, je rajoute un petit pot de crème fraîche. Clémentine verse la plus grande partie du riz dans un plat en terre cuite qu'elle recouvre de gruyère de Comté, qu'elle saupoudre de chapelure. Onze cerneaux de noix. Elle met au four. 180°.

Notre repas du soir est assuré. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur quelques séquences précises vécues au Mont Saint-Michel. << J'adore nos jeux, ces défis que nous nous lançons. Je t'aime Julien ! >> me confie Clémentine. Elle revient sur le comportement de Julie. Julie qui a été tellement discrète, tellement adorable. Nous ne traînons pas. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons pour nous laver les dents. Nous rangeons le contenu des valises que je mets sur le haut de l'armoire. Il faut faire une machine avec le linge sale.

Il est 13 h30. Assise sur mes genoux, au salon, Clémentine allume l'ordinateur. Nous avons deux messages. L'un de mon oncle d'Édimbourg, le second de Juliette. Elle nous invite samedi prochain à partager le repas du soir. Trois coups timides contre la porte. Julie est debout dans l'encadrement de la porte. Elle est radieuse. Elle se précipite. Trois bises à Clémentine avant les miennes. << J'étais tellement pressée d'être avec vous ! >> dit elle en passant son bras autour du cou de Clémentine. << Tu commences le portrait ? >> demande Clémentine. Rires.

<< Oh oui, avec plaisir ! >> lance Julie sans pouvoir retenir les expressions de sa joie. Malgré le beau soleil, le ciel bleu, il est décidé depuis hier de passer une journée entière à nous reposer. Ce projet pictural est donc dans la parfaite adéquation du programme. Clémentine se lève. Elle entraîne Julie par la main. Je les suis pour aller dans l'atelier. Quel bonheur supplémentaire de nous retrouver dans cette grande pièce. Bien avant notre départ, j'ai préparé un des chevalets à l'intention de Julie. La palette et les pinceaux que je lui ai offert. La toile.

Julie se précipite pour s'installer. Clémentine reste contre moi, son bras autour de ma taille. Nous regardons Julie préparer les couleurs. Elle est minutieuse, réfléchie. Vêtue de son jeans, d'un sweat bleu nuit, Julie est concentrée sur sa préparation. C'est un spectacle. Elle lève la tête pour nous adresser un magnifique sourire. Elle fixe ma braguette. Je demande : << Prête ? >>. Elle se met à rire avant de répondre : << Prête ! >>. Clémentine s'accroupit. Elle déboutonne délicatement ma braguette. Je regarde ses doigts fins et agiles ouvrir les boutons.

Je suis un peu gêné. Julie n'ose pas affronter mon regard. Clémentine tient mon sexe à sa base, entre le pouce et l'index pour le présenter à Julie. Elle propose de mettre la chaise afin que je puisse prendre appui sur le dossier. Je vais quand même poser assez longuement. Nous prenons soudain conscience tous les trois de la soudaine réalisation de ce projet. Jusqu'à maintenant c'était un sujet à dérision. Là il devient soudain réalité. C'est hyper excitant. Clémentine se redresse en disant : << C'est bien comme ça ? Tu veux que Julien se rapproche ? >>.

Je me rapproche avec la chaise. Je suis à environ un mètre de Julie. Elle scrute longuement. J'ai fait le dessin préparatoire et la couche d'impression terre de Sienne depuis un bon mois. Il n'y a plus qu'à appliquer les couches supérieures à l'huile. Clémentine s'installe à sa table de travail, devant son ordinateur. Elle va pouvoir faire quelques préparations pour le troisième trimestre qui l'attend dès lundi prochain. Je suis pétri d'émotions. Je suis debout là, en appui sur la chaise, le sexe qui pend lascivement de ma braguette tel un tuyau d'arrosage.

C'est amusant de regarder le peintre à sa peinture. C'est la première fois que je suis le modèle. C'est amusant. Parfois mon érection fait se dresser mon sexe. Julie me fait un sourire furtif sans oser soutenir mon regard. À ses expressions je devine l'intensité du moment qu'elle est entrain de vivre. Julie réalise là un fantasme né il y a quelques mois. Je regarde souvent en direction de Clémentine qui m'adresse des clins d'œil, des sourires coquins. Ça me fait bander. Ma bite retombe toutefois toujours très vite pour reprendre son rôle de modèle vivant.

Je demande : << Voulez-vous faire une pose ? >>. Julie s'empresse de répondre : << Non, mais si vous désirez en faire une ! >>. Je la rassure, ce n'est pas fatiguant, juste contraignant. Clémentine fait chauffer l'eau du thé sur la petite plaque électrique. Elle prépare les tasses, quelques gâteaux secs. Le tout sur la table basse devant le vieux canapé de velours carmin. Dans l'atelier la luminosité est idéale. Ça fait deux heures et demi que je pose. Je change quelquefois de position pour éviter l'ankylose mais j'essaie de présenter le même angle.

Nous cessons. Je viens me mettre debout derrière Julie, mes mains sur ses épaules. C'est absolument génial. Clémentine vient nous rejoindre. Elle tient ma queue en s'exclamant : << Mais tu peins vite ! >>. Julie est émue. Je me penche pour dire à son oreille : << On fera un second tableau mais avec les couilles ! >>. Julie tourne sa tête pour lancer : << Oh oui ! Trop bien ! >>. Nous voilà installés devant notre collation. Clémentine et moi dans le canapé. Julie en face de nous dans le fauteuil. Elle devra nous laisser pour 18 h. Il est 16 h45.

<< Je reviens demain matin vers onze heures. Je reste jusqu'à vendredi 18 h ! Je peux ? >> demande Julie. Nous éclatons de rire. Clémentine répond : << Non seulement tu peux mais tu dois ! >>. Julie ne peut jamais cacher ses émotions. Soudain comblée d'aise à cette affirmation, elle est comme soulagée. Elle s'installe encore plus confortablement pour rajouter : << Si tout va bien, je termine votre "portrait" demain en fin d'après-midi ! >>. Nous rions beaucoup. Je retourne poser. Clémentine retourne à ses préparations. Il est 17 h15.

Julie, à nouveau concentrée, peint avec bonheur. Je pose. J'ai envie de me branler tellement la situation est extatique. Sentiment partagé par tous les trois. Julie montre mon sexe de son index pointé en disant : << Ça va couler parterre ! >>. Clémentine se lève d'un bond pour me rejoindre. Je regarde le filament de foutre qui dégouline de l'extrémité de mon prépuce. Il est gluant visqueux mais ne risque pas de se détacher. Clémentine s'accroupit pour le récupérer d'un gracieux mouvement de tête. J'observe la réaction de Julie. Elle est hyper excitée.

La capacité féminine de ne jamais perdre le contrôle. Tout en regardant Clémentine me tailler une pipe, Julie nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine se redresse. Je masse un peu ses jambes. Elle était encore carrément à genoux pour s'adonner à sa passion. Je garde la bite à l'air. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. En même temps arrive Estelle. Toute contente elle nous rejoint en sautillant. Elle voit mon sexe. Elle s'accroupit immédiatement pour y déposer plein de bises. Un dernier coucou à Julie qui s'en va un peu tristounette. Difficile.

Estelle nous entraine par les mains en s'écriant : << Je veux voir ! >>. Nous retournons dans l'atelier. Comme en extase, assise devant le chevalet à la place qu'occupait il y a quelques minutes encore Julie, Estelle regarde en admiration. << Put-hein on dirait une photo ! >> lance t-elle totalement sous le charme. Clémentine agite ma bite dans sa direction en précisant : << Je te présente le "modèle". Et avec une telle "pièce", Julie a de quoi exprimer toute sa virtuosité naturelle ! >>. Nous rions aux éclats. Estelle se lève de la chaise pour s'accroupir.

Clémentine passe mon sexe sur son visage. Je dis : << Raconte-nous ta journée avec tes parents ! >>. Juste avant de se mettre à sucer, elle répond : << Ils sont hyper contents de venir manger dimanche ! >>. Clémentine m'embrasse avec autant de passion qu'Estelle me taille une pipe. Elle a de quoi se régaler avec tout ce que mes couilles ont produit de liquide séminal durant ma séance de pose. Mes deux anges ne tardent pas à partager. Je caresse leurs têtes en disant : << Ce soir léchage de minous ! >>. Elles se redressent en même temps.

Elles me montrent ce qu'elles aiment garder en bouche le plus longtemps possible. J'adore les voir appliquer la même gestuelle. D'un mouvement de tête, en faisant une légère grimace, elles déglutissent en même temps. Estelle me tient le Zob en disant : << Je veux baiser avec toi ce soir ! >>. Clémentine s'écrie : << Moi aussi ! >>. Morts de faim nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer le gratin de riz. Clémentine fait une salade d'endives. Estelle réchauffe le reste de sauce au saumon. Nous mangeons de bon appétit. Excités.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se faire lécher, se faire baiser, sucer de la bite juteuse et s'envoyer en l'air avant le dodo...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Classe - 5 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1860 -



Julie vient nous rejoindre pour trois jours

Hier matin, mardi, il est presque huit heures. Nous nous réveillons quasiment en même temps. Je suis entre mes deux anges qui restent serrées contre moi. Estelle tient mon érection. Clémentine tient mes couilles. Distribution de bisous avec mes mains dans les culottes. Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine me chevauche en se frottant sur ma tumescence. Estelle revient pour mettre sa tenue sport. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues jogging, nous dévalons les escaliers.

L'odeur de café, de pain grillé est un véritable bonheur. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le très vague programme du jour. Nous mangeons de bon appétit en évoquant Julie qui vient nous rejoindre vers 10 h. << Elle arrive toujours en avance ! >> précise Estelle. Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant d'enfiler nos K-ways. La fraîcheur est vive. Le ciel est bleu. Le soleil est déjà bien installé. Quelques mouvements d'échauffement avant de descendre d'un bon rythme jusqu'à la rivière que nous longeons. Même parcours que hier.

Il est 9 h30 quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première pendant que nous faisons le lit. Clémentine prépare le canapé lit dans lequel couchera Julie. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Quelle n'est pas notre agréable surprise lorsque nous redescendons. Julie et Estelle sont assises à la cuisine. Des bises. C'est un réel plaisir de nous retrouver tous les quatre. Julie est impatiente de retourner à sa peinture. Bien davantage encore que nous. Nous filons directement dans l'atelier. Julie prépare les couleurs sur la palette. Je sors mon Zob.

Estelle reste sur le tabouret aux côtés de Julie. Clémentine place le dossier d'une chaise. Comme hier je peux y prendre appui. Je prends la pose. Quelle merveilleuse sensation m'envahit soudain. La bite à l'air devant trois superbes jeunes filles. Clémentine s'installe sur la chaise, le dossier entre ses jambes. Elle regarde Julie. Je demande : << Prête ? >>. Julie répond : << Prête ! >>. La séance commence. Estelle tourne sa tête en même temps que Julie. Elles observent toutes les deux ma queue. Clémentine derrière moi me caresse les hanches.

J'alterne les érections démentielles. Estelle me dit : << Mais arrête de bander comme ça ! Julie a du mal à peindre ! >>. Nous rions de bon cœur. Je débande alors assez rapidement. Ma bite pend à nouveau lascivement de ma braguette. << Voilà la touche finale ! >> lance Julie passionnée et galvanisée par la présence d'Estelle tout près d'elle. Clémentine glisse sa main entre mes cuisses par derrière pour me chopper la queue tout en se redressant. C'est en me tenant par le sexe qu'elle m'entraîne. Nous sommes debout derrière Julie. C'est beau.

Nous avons sous les yeux un véritable chef-d'œuvre de réalisation technique. << C'est une photo ! >> lance Clémentine. << Met toi à côté ! >> fait Estelle. Je me place à côté du chevalet. Ma bite exactement à la hauteur et dans la même position que sur la toile. << Put-Hein, c'est génial ! >> s'écrie Estelle. << Tu es hyper douée ! >> rajoute Clémentine. Toute gênée, Julie nettoie la palette, les pinceaux. Il est 11 h15. Estelle se lève pour passer derrière moi. En me masturbant doucement elle dit à Julie : << Je te passe commande d'un portrait ! >>.

<< Tu vas le cacher où ce tableau chez toi ? Tu ne peux tout de même pas l'accrocher aux murs de ta chambre ! >> fait Clémentine. En riant aux éclats Julie précise une nouvelle fois : << Non j'ai ma cachette secrète au grenier ! >>. Julie nous montre la clef qui pend à la chaînette autour de son cou. Une petite clef bijoux. Estelle me branle. Nous admirons encore cette œuvre tout à fait digne des grandes années de l'hyper réalisme. Je dis : << Julie, je n'ai plus rien à vous apprendre. Vous avez un réel talent. Vous êtes vraiment douée ! >>.

Clémentine prend Julie par ses épaules en rajoutant : << Si tu rates ton doctorat en Lettres Modernes tu pourras toujours te tourner vers la peinture ! >>. Estelle dit : << Tu te spécialises dans le portrait de queues ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Il commence à faire faim. Nous laissons cette petite toile qui sèchera toute la semaine. Julie pourra la récupérer lundi prochain. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Julie a ramené des tomates, des endives, des carottes de beaux avocats. Elle précise : << Ce matin je suis passée au restaurant ! >>.

<< Il y avait Jean-Louis ? >> demande Clémentine. << Oui, tous les matins il réceptionne les commande en cuisine ! >> répond Julie. Le Chef cuisinier du restaurant de l'étang est un professionnel consciencieux. Clémentine prépare la salade. Estelle fait bouillir l'eau des coquillettes. Estelle râpe du gruyère de Comté. Je fais rissoler quatre beaux dos de cabillaud blanc. J'ai la bite à l'air sous mon tablier. Julie lance souvent de furtifs regards vers la bosse qu'il y a dessous. C'est une préparation rapide. Nous mangeons de bon appétit en bavardant.

Les filles parlent de leurs études. Du troisième trimestre qui les attend dès lundi prochain. J'écoute avec beaucoup d'intérêt. Je découvre une fois encore que Julie applique des ruses et des stratégies qui n'ont rien à envier à celles d'Estelle et de Clémentine. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, Estelle et Clémentine reviennent sur notre séjour au Mont Saint-Michel. Julie, assise en face de nous, me fait : << Merci Julien pour ces vacances. Elles ont été profitables pour mes études, vraiment ! >>.

Nous débarrassons. La pâte feuilletée est molle. Je concocte une Béchamel. Estelle coupe et lave le gros choux fleur. Clémentine râpe le gruyère de Comté. Nous préparons notre repas du soir. Une tourte au choux fleur. À quatre c'est rapide. Nous en préparons deux. Les voilà déjà au four électrique pour une cuisson lente à 180°. Nous faisons la vaisselle. Julie a ramené sa bicyclette. La roue avant démontée. Le tout dans le coffre de sa Clio rouge. Nous hésitons car le vent de Nord Est est assez soutenu. Nous montons nous laver les dents.

Julie adore nous voir déconner. Estelle et Clémentine qui miment des fellations lascives avec les brosses, le visage tout près du miroir. Nous rions comme des fous. De nous amuser ainsi nous inspire. Ce ne sera pas une virée vélo. Je propose de prendre la voiture et d'aller au port de plaisance. Passer l'après-midi à traîner et à flâner. Estelle et Clémentine sautillent autour de moi en poussant des << Génial ! >>, des << Super ! >>. Julie nous observe toute ravie de ce nouveau projet. Nous restons vêtus de nos jeans, sweats. Nous descendons très vite.

Je roule doucement. << C'est comme si on repartait en vacances ! >> lance Estelle installée à l'arrière qui caresse mon cou. Julie, tout contre le dossier du siège de Clémentine, la regarde jouer avec ma queue. Il y a 35 km par la petite route départementale. Nous croisons peu de voitures. Je gare l'auto sur le parking de la supérette. Il y a de l'animation sur les quais. La saison de la plaisance ne fait que commencer. Des plaisanciers essaient leurs bateaux en faisant des manœuvres dans le port. Il y a les badauds, des joueurs de boules.

Nous retrouvons cet endroit avec plaisir. Bien évidemment nous avons nos petites manies qui reprennent leurs droits. Estelle propose des défis "bite à l'air" dans les endroits les plus invraisemblables. Nous aimons jouer avec le risque. Un risque calculé toutefois. C'est donc sous le regard consterné de Julie que je me retrouve avec le sexe dans la main d'Estelle ou dans la main de Clémentine. Derrière le cabanon de la capitainerie. Entre le kiosque d'affichage et un banc. Sur le parking de la supérette où nous allons acheter nos glaces. Il y a du monde.

La gérante est toute contente de nous revoir. Dimanche 24 avril, il y a la première manifestation de l'année. Une brocante organisée par la municipalité du bourg voisin. Nous y viendrons probablement en compagnie des parents d'Estelle. Ils viennent manger à la maison dimanche. Nous savourons nos glaces assis sur un des bancs. Le vent reste le seul élément désagréable. Il est difficile de s'en abriter. Estelle revient sur le "plan" Jean-Marc. Son parrain est chauffagiste. Elle baise avec lui en cachette depuis ses 16 ans tous les mercredis soirs.

Clémentine a déjà baisé avec lui il y a trois ans. Elle aimerait beaucoup refaire. Le prétexte d'attirer Jean-Marc est le système de chauffage de notre maison d'amis. Il y a hélas un paramètre dont nous n'avons pas tenu compte. Clémentine aura ses "petits machins" de fille demain, le 20 avril. << On remet ! Tant pis ! >> dit elle. Julie n'arrête pas de rire de nos projets. Je dis : << On le fait venir quand même, tu lui fais une super pipe ! >>. Estelle s'empresse de préciser une fois encore : << Parrain n'est pas du tout "pipes" ! Lui, c'est que la baise ! >>.

Nous rigolons comme des bossus. Nous reprenons nos flâneries. Nous descendons jusqu'aux bâtiments des sanitaires. Les toilettes réservées aux plaisanciers ainsi que les toilettes publiques sont condamnés pour cause de travaux. Pas de chance. Nous aimons y improviser des situations glauques. Nous longeons le canal. Il y a deux bateaux qui attendent devant la dernière écluse avant le port. Trop de gens pour se livrer à quelques jeux vicelards. Nous reprenons doucement le chemin du parking de la supérette. Nous voilà dans la voiture.

Les filles proposent de passer devant leurs universités. Nous passons devant la Faculté de Lettres Modernes. Julie nous explique ce qu'il y a derrière les murs des bâtiments. L'amphi, la salle de documentation. Les toilettes. Nous faisons pareil devant la Faculté des Sciences ou Estelle et Clémentine expliquent la configuration des lieux à Julie. Clémentine joue avec ma queue. Julie observe avec attention. Et bien davantage ma bite que les bâtiments. Il est 19 h quand nous revenons à la maison. Clémentine et Julie font la salade. Tomates, avocats.

Estelle met les assiettes et les couverts. Je réchauffe une des deux tourtes au choux fleur. Pour la surprendre, voir ses grands yeux affolés, j'agite ma queue toute molle en direction de Julie. Estelle et Clémentine adorent voir ses réactions. Elles miment toutes les deux une masturbation masculine pour m'encourager. << Ce soir, on s'installent toutes les trois dans le canapé. Julien nous fera un show "branle" ! Ça vous tente ? >> lance Clémentine. Estelle se met à sautiller autour de la table en entraînant Julie et Clémentine. << Super ! >> dit elle.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre balade de l'après-midi. << C'est bien de traîner à ne rien foutre ! >> lance Estelle. << C'est vrai, à 25 ans, on y prend goût ! >> rajoute Clémentine. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Estelle et Clémentine m'entraînent par les bras. Nous voilà au salon. J'ai le cœur qui palpite. Estelle, Julie et Clémentine sont installées dans le canapé. Sur la petite table basse nos infusions de verveine et nos yaourts. Clémentine me fait un clin d'œil en mimant une masturbation masculine. Je sais ce qui m'attend.

Je reste à quelques mètres, entre le bureau et la table basse. Je sors mon sexe. Je suis à la fois hyper gêné et terriblement excité. Un zeste de honte vient agrémenter cet instant extraordinaire. Estelle m'encourage en mimant une branlette. Toutes les trois, silencieuses, concentrées, observent ma bite. Je suis debout. Les mains sur les hanches. Avec des contractions répétées de mes muscles fessiers, je fais bouger ma queue. Je bande comme le dernier des salauds. C'est trop bon. Je me branle. Dans toutes les positions d'un mec qui se branle.

Les filles observent dans un silence religieux. Clémentine se lève. Elle déboutonne son jeans pour glisser sa main dans sa culotte. Estelle fait la même chose. Elles se masturbent en assistant à mon "show". Julie, après quelques minutes d'hésitation fait pareil. C'est merveilleux de voir ces trois sublimes jeunes filles se toucher en gémissant. Je ne me suis jamais branlé dans un tel délire. Ce sera une soirée branlette. Il est presque 22 h. Julie vient de conclure son second orgasme. Estelle aussi. Clémentine sait se garder. Je viens lui juter dans la bouche.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont encore se faire lécher un peu sous les draps, sucer de la bite avant un bon dodo...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
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