
- 37 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1843 -
Un samedi des plus agréables
Hier matin, samedi, il est sept heures trente quand nous nous réveillons quasiment en même temps. Clémentine vient se blottir contre moi. Passant une cuisse sous mes reins, l'autre posée sur mon érection naturelle, elle se frotte doucement contre ma hanche. Je murmure à son oreille tout en passant ma main sous ses cheveux. << Bon anniversaire Clémentine ! >>. Dans un gémissement elle serre sa joue contre la mienne. Je chuchote : << Je vous aime ! >>. Elle me chevauche en me couvrant le visage de bisous. Tendresse, papouilles et douceurs.
Hélas, l'impérieux besoin naturel ne nous laisse qu'une seule alternative. Nous nous précipitons jusqu'aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers. En constatant la météo de ce 2 avril, il n'y aura pas de jogging. De la neige se mêle à la pluie qui tombe. C'est dégueulasse ! Même si les radiateurs fonctionnent déjà depuis plus d'une heure, j'allume le feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse nos dernières oranges, pèle nos derniers kiwis. Nous nous faisons livrer ce matin. Fruits et légumes.
Depuis l'interphone, dans le hall d'entrée, j'ouvre le portail. Julie arrive pour 8 h30. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée en amoureux. Sous le tableau de ma bite peint à l'acrylique par Julie. << J'aime quand on est seuls tous les deux ! >> me confie Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de la journée. Avec ce temps lamentable les possibilités sont forcément restreintes. Il est pile 8 h30 quand Julie arrive. Elle nous fait trois bises à chacun. Toute heureuse d'être de retour.
<< Des coquineries hier soir au restaurant ? >> demande Clémentine. << Seulement aux toilettes ! >> répond Julie en riant. << Raconte ! >> lance Clémentine. << Oh juste un client assez régulier que j'aime à surprendre devant les urinoirs. Je vous ai déjà raconté. Le mec rigolo avec la moustache ! >> fait Julie. << Clark Gable ? >> demande Clémentine. << Oui ! C'est lui. Bien vicieux encore hier soir. Il y avait plein de monde ! >> explique Julie qui rajoute : << Montez vous entraîner, je m'occupe de tout ! >>. Julie vient pour le ménage.
Nous lui déposons chacun une bise sur le front en quittant la cuisine. Clémentine m'entraîne par la main. Dans la salle d'entraînement elle glisse ses mains partout entre mes cuisses, mes fesses. << Je t'adore en legging. Tu m'excites. Avec les histoires à Julie, je suis encore dans tous mes états ! >> me dit elle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche en appuyant son sexe contre le mien. C'est en érection que je commence par l'aérobic. Nous rions de ma bosse. Le jogging sur les tapis roulants calme mes ardeurs viriles. Puis les exercices au sol.
Les abdos que nous adorons pratiquer. Ce sont toujours d'agréables sensations de massages internes. Même si Clémentine adore nous faire rire durant les groupés en poussant de petits cris, en faisant d'épouvantables grimaces. Ce matin ce sont avec les machines que nous soulevons nos charges additionnelles. Un stretching surréaliste pour revenir au calme avant une bonne douche. Un des spectacles les plus érotiques pour Clémentine est de me regarder me raser. Puis de glisser la peau de sa joue contre la mienne en faisant : << Mmhhh! >>.
Nous entendons Julie chantonner en passant l'aspirateur quelque part à l'étage. Habillés de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux, nous dévalons les escaliers. Il est presque dix heures. Le temps d'enfiler nos anoraks, de prendre le grand parapluie et nous voilà dans un froid hivernal. << Mais quelle horreur ! C'est quoi cette météo ! >> lance Clémentine. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès pour attendre sous l'auvent du garage. Voilà Danièle au volant de sa camionnette. Elle se gare derrière la Clio rouge de Julie.
Du hayon arrière Danièle sort nos deux cageots. L'un contient nos fruits, nos légumes. Dans l'autre nos fromages, nos petits pots de crème fraîche, nos yaourts, les œufs, le beurre. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Danièle ne s'attarde pas. Elle a nombre d'autres clients à livrer. À peine est-elle repartie que descend le tube Citroën rénové de notre boulangère adorée. Madame Marthe a encore d'amusantes anecdotes. Surtout en ces périodes électorales. << Il faut le dégager ! >> dit -elle, concluant chacune de ses phrases.
Nous rions aux éclats en récupérant nos deux miches de pain complet et Bio. Les deux pâtes feuilletées, la grande brioche ronde au pudding. Les deux énormes croissants aux amandes que nous offre la dame. Paiement par carte bancaire, même commande pour samedi prochain. Madame Marthe aussi a bien d'autres clients qui l'attendent. Par la vitre baissée de son véhicule, en partant, elle nous lance : << Il faut le dégager ! >>. Nous nous dépêchons de rentrer en passant par derrière pour descendre directement à la cave. Mme Marthe est si drôle.
Nous disposons les fruits et les légumes sur les étagères dans le cellier. Du congélateur où je sors un paquet de moules, les sachets de petits pois et de haricots verts, je mets une miche, les deux pâtes feuilletées. Nous remontons par l'escalier intérieur. Julie s'apprête à passer la serpillère dans la cuisine. Nous nous dépêchons de ranger les produits frais dans le réfrigérateur. Clémentine ne cesse d'imiter madame Marthe en répétant : << Il faut le dégager ! >>. Nous n'arrêtons pas de rire. Clémentine explique à Julie pourquoi. Elle rit avec nous.
<< C'est bien ce que tous les gens que je connais souhaitent ! >> dit Julie. Nous lui déposons une bise sur le front en la laissant à son ménage. Au salon, assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Nous découvrons les trois courriels. Celui de mon oncle qui nous donne des nouvelles d'Édimbourg. Le message de Juliette qui nous rappelle que nous sommes attendus pour 19 h. Le repas d'anniversaire de Clémentine. Le mail d'Estelle qui confirme son impatience de nous rejoindre dès 13 h45. C'est toujours Clémentine qui fait les réponses.
Dans la petite enveloppe jaune habituelle je glisse un billet de 50 €. << C'est pour le cabinet McKinsey ? >> lance Clémentine. Je réponds : << Oui, une magouille parmi toutes les autres ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Je rajoute la liste de nos commandes pour lundi soir. Il est 11 h20. Julie vient nous rejoindre. Je lui tends la petite enveloppe jaune. Je glisse le portrait de ma bite dans l'emballage en disant : << Vous êtes une grande artiste Julie. Je me réjouis. Je suis heureux de poser pour vous ! >. Julie baisse les yeux, toute timide. Gênée.
Clémentine la prend par les épaules pour préciser : << Moi aussi je me réjouis pour ces séances de poses. Tu n'imagines pas une seconde ! >>. Julie se serre contre Clémentine. Fille amoureuse toujours heureuse de manifester ses élans. C'est adorable. Clémentine, en mimant une masturbation masculine me fait : << Le petit cadeau pour Julie. Avant qu'elle ne parte ! >>. Je déboutonne ma braguette. J'en sors un Zob mou que j'agite vulgairement vers les filles. << Je suis impatiente d'en faire un portait à l'huile ! >> s'écrie soudain Julie. Rires.
Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Les séparations sont toujours douloureuses pour notre amie. Assise au volant, la vitre baissée, elle regarde mon sexe dans la main de Clémentine. Nous sommes sous le grand parapluie. Il fait froid. Je bande très mou. << Je suis avec vous huit jours, loin, en vacances. Cette idée me rend folle de joie ! >> dit elle en démarrant. Julie revient lundi soir. Nous la regardons partir. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud, au sec. << Mais quelle météo de merde ! >> lance Clémentine.
Clémentine s'occupe de la salade. Une petite laitue dont elle lave chaque feuille en me donnant ses impressions. Je prépare le bouillon avant d'y jeter les moules encore congelées. Dans le wok je verse les haricots verts, les petits pois. C'est la tambouille surgelée du samedi. Une habitude. Un rituel. C'est une préparation rapide. Nous mangeons de bon appétit tout en revenant sur la personnalité de Julie. Toutes ces curieuses étrangetés qui font de cette jeune fille de 20 ans une personnalité unique. C'est un privilège pour nous tout comme pour elle.
Ça me fait bander d'écouter les ressentis de Clémentine. << Je sens que nous allons vivre de grands moments tous les quatre durant ces vacances. C'est dans une semaine Julien ! >> dit elle en se levant pour venir s'assoir sur mes genoux. << Tu seras mon vicelard adoré ? >> murmure t-elle en glissant sa main dans ma braguette. Je chuchote : << Je te promets d'être à la hauteur de toutes tes attentes ! >>. Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche après avoir conclue : << Moi aussi ! >>. Ce baiser passionné me fait bander très dur. Aïe.
Nous traînons à table. Il est temps d'offrir à Clémentine son cadeau d'anniversaire. Je l'ai caché sur le haut du buffet. Elle fait couler l'eau pour la vaisselle quand je m'approche silencieusement. Derrière elle. Je passe mes bras sous ses aisselles. Elle découvre le paquet. Elle se tourne. Essuie ses mains. << Julien ! >> s'écrie t-elle en saisissant le bel emballage. Je m'éloigne pour l'observer. Scruter les traits de son visage. Pour moi, c'est une des choses les plus passionnante, observer ses expressions. Quelles qu'en soient les circonstances. L'émotion.
Clémentine découvre le bijou. Je dis : << Bon anniversaire Clémentine ! >>. Elle passe la bague à son annulaire en s'écriant : << Je t'aime ! Tu es fou ! >>. Elle pose sa main dans la mienne. J'explique : << C'est de l'or blanc, les fines ciselures d'inspirations Celtes ont causé bien des tourments à Mr Charlier, notre bijoutier. La pierre rouge aux milles reflets est un spinelle birman de quatre carats. Ton nom et la date sont gravés à l'intérieur de l'anneau. Tu as 25 ans aujourd'hui ! >>. Clémentine ne sait quoi dire. Le souffle coupé elle fait tourner sa main.
Je murmure : << Rien n'est trop beau pour toi mon amour. Rien ! Tu fais de moi l'homme le plus heureux depuis presque six ans ! >>. C'est comme si Clémentine se mettait à fondre dans mes bras. Ce gémissement lascif tout près de mon oreille me donne le vertige. Je ne cesse de murmurer : << Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime ! >>. Je sens bien que Clémentine est pétrie d'émotions. Beaucoup plus que ce cadeau la met dans cette situation émotionnelle. Elle dit : << Tu as fait de moi la femme la plus heureuse. Depuis toi j'ai appris le bonheur, la joie ! >>.
Nous restons ainsi longuement à nous bercer. Debout près de la table. Serrés dans nos bras à tenter d'arrêter ce maudit temps qui passe. C'est ainsi que nous surprend Estelle qui arrive, son grand sac de sport à la main. << Et alors ! >> lance t-elle en découvrant nos yeux humides de larmes. Nous avons tous les deux le même réflexe d'ouvrir nos bras. Estelle vient se blottir. Ça aussi, c'est un merveilleux cadeau. << Bon anniversaire mon amour ! >> murmure Estelle. Nous nous berçons tous les trois inondés de ce bonheur immense.
<< Allez, on se remet. Je plonge, vous essuyez ! >> s'écrie Estelle. Nous essuyons d'abords nos yeux avec les torchons. Clémentine retire sa bague pour la remettre dans son écrin. Elle la montre à Estelle qui dit : << Je n'ai jamais rien vu d'aussi beau ! Je veux un Julien moi aussi ! >>. Tout en se mettant à débarrasser la table Clémentine répond : << Celui-là il est pris ! >>. Nous rions de bon cœur. La gravité des émotions nous a quitté pour faire place à notre joie de vivre et à nos optimismes naturels. C'est en déconnant que nous remontons.
Pendant que Clémentine et moi nous nous lavons les dents Estelle sort des vêtements de son sac de sport. Son pyjama de soie mauve. Ses habits pour ce soir. << J'espère que Juliette aura chauffé le box ce soir ! >> lance t-elle. << Pas d'inquiétude, cette salope organise toujours si bien les soirées "cul" ! >> répond Clémentine en s'essuyant la bouche. Estelle précise : << C'est une soirée "queue" ! >>. Nous rions aux éclats. Estelle glisse sa main dans ma braguette pour m'en extraire le Zob. << Dis donc, tu mouilles mon salaud ! >> s'écrie t-elle. Rires.
C'est vrai qu'en décalottant l'extrémité, apparait un méat bien gluant. Estelle, constatant la mouille, s'accroupit pour lécher du bout de la langue. Clémentine m'embrasse avec fougue. Je caresse son visage, je passe mes mains sous ses cheveux. Je suis encore fou amoureux aujourd'hui. Pour changer ! Après avoir suçoté quelques instants Estelle se redresse en disant : << Il faut que j'arrête. Si je commence je n'arrête plus ! >>. Je la serre contre nous. À nouveau nous nous berçons tous les trois dans cette douceur qui nous enivre. La tendresse.
Nous allons dans la chambre. Mes deux anges se changent. Habillées une fois encore comme des sœurs jumelles. Une jupe noire qui va jusqu'aux genoux. Un chemisier crème sous un pull noir au col en "V". Leurs bottes de cuir noir à talons. Leurs cheveux en liberté. Je suis assis sur le lit. Je regarde ces deux sublimes jeunes filles. Je dois une fois encore me pincer. Elles font partie de mon environnement physique et mental depuis cinq ans. Je les observe prendre des poses devant le miroir de l'armoire. Elles sont magnifiques. Sculpturales.
Elles viennent toutes les deux m'attraper par les mains pour m'entraîner devant le miroir. Je suis entre mes deux anges. Elles se serrent contre moi, leurs têtes sur mes épaules. Nous restons silencieux à nous scruter. J'en ai des frissons. Impossible de s'habituer à de tels instants. Même si nous les avons vécu peut-être des centaines de fois. Estelle me sort la queue. << Le plus important ! >> dit elle. << Ne jamais oublier le plus important ! >> rajoute Clémentine. Elles s'accroupissent toutes les deux en même temps, accrochées à mes jambes.
Les cuisses largement écartées, leurs têtes appuyées contre mes hanches, elles se fixent. Je pose mes mains sur leurs têtes. Estelle se place entre le miroir et moi. Elle frotte son visage sur mon sexe. Quel vision intense. Je peux la voir de dos. Si je penche la tête je peux la voir de haut. Clémentine se place à ses côtés. Toutes les deux hument, reniflent, se délectent des effluves parfumées de ma virilité fièrement dressée. Juste à l'instant ou Estelle veut gober la première, j'esquive en disant : << Gardons-nous pour ce soir ! Sachons contrôler ! >>.
Clémentine se redresse la première en faisant : << Oui, excellent idée. Je suis déjà tellement excitée ! >>. Estelle se redresse en lançant : << C'est vrai, put-hein mais c'est si bon ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Les filles se changent. Elles remettent leurs jeans, leurs chemises à carreaux. Nous dévalons les escaliers pour aller dans l'atelier. Il est déjà 15 h30. Estelle y allume un bon feu dans la cheminée en nous racontant son vendredi. << J'étais en ville avec maman. Nous nous sommes bien amusée. Le soir c'est moi qui ai fait le repas ! >>.
Assises devant l'ordinateur, mes deux anges ont le réflexe de toutes étudiantes sérieuses. Les voilà à surfer sur le site de l'université. Elles commencent même à noter les thèmes de leurs prochains sujets. Cet écrit qu'il faudra remettre vendredi prochain. J'en profite pour réaliser le dessin préparatoire des deux derniers paysages sur les cinq qu'il me reste à peindre. Nous adorons ces séquences de travail. Parfois l'un se lève pour rejoindre l'autre. Lui déposer une bise dans le cou, lui chuchoter une cochonnerie. Je suis souvent debout derrière les filles.
Je lisse leurs cheveux. Elles adorent toutes les deux quand je fais ça. Je me penche, mon visage entre celui d'Estelle et celui de Clémentine j'écoute leurs explications. Cette capacité toute féminine de pouvoir passer d'une situation à une autre avec une facilité déconcertante. Il est 18 h. Nous quittons l'atelier pour remonter à l'étage. Les filles se changent pour remettre les vêtements essayés en début d'après-midi. Sur leurs demandes je mets un jeans propre, une chemise blanche sous un pull bleu nuit au col en "V". Mes bottines noires. Écharpe de soie.
Nous descendons prudemment. C'est sous le grand parapluie, recouverts de nos manteaux, que nous allons jusqu'au garage. Je sors la voiture. Je roule doucement. Tout en tripotant la bosse dans ma braguette, Clémentine nous fait part de son appréhension. De ses peurs. Mais aussi de cette étrange excitation qui se mêle à ses trouilles. Assise à l'arrière, me caressant le cou, Estelle dit : << Arrête ! Tu vas t'éclater comme une folle ! >>. Je rajoute : << Tu vas t'éclater comme tu aimes. Un anniversaire inoubliable Clémentine ! >>. Il est 19 h.
Je gare l'auto dans la cour du haras. Il pleut à verse. C'est détestable. Juliette vient nous accueillir. Vêtue d'un jeans, d'un sweat. C'est extrêmement rare de la voir ainsi. "Relax". Elle nous invite à la suivre dans l'escalier. Quelle belle surprise. La table est garnie de rubans de satin rouge. << Bon anniversaire Clémentine ! >> fait Juliette en posant les mains sur ses épaules. Juliette qui pourrait être la mère de Clémentine l'admire silencieusement. Estelle se serre contre moi en posant sa main sur ma braguette. C'est encore un instant d'émotions.
Nous mangeons de bon appétit. Juliette découvre la bague que porte Clémentine. Elle est admirative. Regarde de près, scrute pendant que Clémentine en fait découvrir tous les reflets sous la lueur des grosses bougies. << Un homme capable d'offrir une telle chose à une femme est forcément amoureux fou ! >> lance Juliette. Je réponds : << Encore plus que ça. Fou comme un dément ! >>. Nous rions aux éclats. Ce soir, pas de vaisselle en commun. << Il y a un autre cadeau qui vous attend Clémentine ! >> lance Juliette, espiègle, vicelarde, se levant.
Nous remettons nos manteaux. Juliette met son anorak. << Ce soir, je suis relax ! >> dit elle. C'est vrai que nous ne l'avons peut-être jamais vu aussi "sporstwear" que ce soir. Il faut traverser la cour sous l'immense parapluie qui nous offre un abri à tous les quatre. Il y a de la lumière dans les anciennes écuries. C'est le plus vieux bâtiment du haras. Nous pouvons y entendre hennir quelques chevaux. Il fait curieusement beaucoup plus chaud qu'à l'extérieur. << C'est l'effet cheval ! >> lance Juliette étrangement coquine et mutine ce soir. Rires.
L'anniversaire de Clémentine
Nous suivons Juliette dans l'allée centrale. Les chevaux nous regardent passer. Seuls leurs poitrails ou leurs têtes dépassent de leurs box respectifs. Nous caressons quelques encolures. Du fond de l'écurie nous parviennent des voix, des rires. Impossible d'y mettre une identité. Clémentine reste serrée contre moi, son bras autour de ma taille. Estelle me tient par le bras. Juliette se retourne pour murmurer : << Je vous précise encore une fois que mes exigences sanitaires ont été respectées. Je ne suis pas du genre à prendre le moindre risque ! >>.
Nous savons pouvoir lui faire confiance. Elle agit exactement de la même façon pour elle. Et comme elle partage les mêmes goûts que Clémentine, la sécurité est maximale. Même si bien évidemment le risque zéro n'existe pas. Mais, comme le dit elle-même Clémentine si on veut vivre sans risque autant se suicider immédiatement. Juliette met l'index sur sa bouche pour nous inviter à la suivre dans le dernier box. Nous le connaissons bien pour y avoir vécu tant de moments d'ivresses. Immédiatement Estelle sort son téléphone de sa poche.
Il y a des couvertures pliées au sol. Juste sous le trou à environs 80 cm de hauteur. Ce trou parfaitement rond de quelques 6 cm creusé dans la cloison qui sépare le box du local bureau voisin. Les rires gras, les plaisanteries douteuses fusent. Nous reconnaissons la voix de Pierre, celle de sa femme Bernadette. Les autres ne sont pas identifiables. Peut-être les intonations de Léon avec son accent créole. Estelle passe son téléphone dans tous les recoins. << La confiance règne je vois ! >> lance Juliette. L'application d'Estelle ne décèle rien.
Si une caméra devait être dissimulée quelque part, l'application l'aurait décelé. Je passe le bout de mes doigts sur quelques reliefs. Clémentine scrute en redoublant d'attention. Juliette murmure : << Je vous rappelle que de filmer quelqu'un à son insu relève du pénal et de la correctionnelle. D'en diffuser les images n'est plus seulement un délit mais un acte potentiellement criminel ! >>. Estelle tance vertement Juliette avant de chuchoter : << Argument sans document n'est que boniment ! >>. Légèrement vexée, Juliette soupire.
Il n'y a pas de cheval dans le box. Tout est nettoyé. Il y a un vieux fauteuil contre le mur du fond ainsi qu'une table basse. Une bouteille d'eau en plastique neuve, au bouchon encore scellé. Clémentine et Estelle se montrent d'une extrême prudence. Malgré la confiance totale que nous accordons à Juliette, mes deux anges préfèrent s'entourer de toutes les précautions. Clémentine rajoute : << Je ne veux voir personne ici. À part Julien, Estelle et vous ! >>. Juliette toujours aussi surprise ne dissimule pas son étonnement. << Bien sûr ! >> dit elle.
Elle s'apprête à nous laisser lorsqu'elle se retourne avant de refermer la porte du box : << Je viendrai voir de temps en temps si tout va bien ! Si vous n'avez besoin de rien ! >>. Estelle la suit pour fermer la porte derrière elle en murmurant : << OK ! >>. Elle revient pour nous chuchoter : << Cette vieille pouffe ! >>. Nous rions de bon cœur. Il y a un tabouret carré dans le coin le plus sombre. Clémentine s'en empare pour l'installer sur les couvertures. Elle vérifie la stabilité une fois assise dessus. Estelle me déboutonne la braguette. Impatiente.
Je glisse le fauteuil tout près du tabouret où s'est installée Clémentine. Elle regarde par l'orifice. Ce qui éclaire son visage. Dans notre box nous nous sommes habitués à l'obscurité. Nous nous voyons bien. Je m'assois dans le fauteuil. Estelle s'assoit sur l'accoudoir, en appui contre la cloison. Elle me tient par le cou de sa main libre. J'ai la bite à l'air. Penché en avant, les bras croisés en appui sur les genoux j'attends. Mon visage à une cinquantaine de centimètres de celui de Clémentine. Je m'apprête à assister au plus fabuleux spectacle qui soit.
Clémentine, penchée en avant, l'œil à quelques dix centimètres du trou regarde. Ses mains en appui sur la cloison de chaque côté de sa tête. J'entends son souffle changer. Impossible de savoir ce qu'elle regarde ainsi. Toujours est-il que de l'autre côté tout est silencieux. Nous avons entendu les voix s'éloigner. Juliette a emmené les "invités" ailleurs. J'entends la respiration d'Estelle à ma gauche. Elle aussi est penchée pour regarder le visage de Clémentine. Soudain, de l'orifice, doucement, avec lenteur, apparaît un sexe masculin. Cylindre de chair.
Une bite d'une quinzaine de centimètres, d'environ quatre centimètres de diamètre. Un sexe circoncis. Nul doute, elle appartient à un homme de couleur. Ce n'est pas celle de Léon car il n'est pas circoncis. Clémentine déteste les sexe circoncis. Elle trouve que ça retire beaucoup de magie. Elle a un léger mouvement de recul. La bite est immobile. Elle pend sur le rebord du trou. Il n'y a aucune odeur. Clémentine, du bout de la langue, lèche le méat. Estelle et moi nous retenons nos respirations. En apnées nous restons silencieux à mâter.
Clémentine approche sa tête. Ouvrant la bouche elle gobe ce sexe totalement inconnu. Nous la voyons frissonner comme si elle avait soudain froid. Hors, le petit radiateur électrique disposé là par Juliette chauffe agréablement le box. Les joues de Clémentine se creusent doucement. Elle suce délicatement. Parfois elle ouvre les yeux. C'est une touffe de poils crépus qui bouche l'horizon. Elle s'enfonce la queue dans la bouche jusqu'à moitié. Sa respiration change pour devenir celle d'une fille très excitée. Estelle lui caresse la joue de son index.
Il doit y avoir les premières montées de jus car Clémentine cesse de respirer. Elle suce, les yeux fermés, profondément concentrée, une expression d'extase sur ses traits. Elle revient un peu en arrière pour ne garder que le gland en bouche. Un premier gémissement de surprise. Un second gémissement jouissif. Nul doute, Clémentine commence à se régaler. Elle reprend à nouveau plus de longueur en bouche. Elle bouge doucement la tête dans un léger mouvement masturbatoire. C'est extrêmement rare car elle préfère rester immobile.
Elle déglutit. Elle ne garde que l'extrémité du gland en bouche. Toute la bite est trempée. Il y a une coulée. Du liquide séminal. Une goutte de foutre tombe sur sa jupe noire. Immédiatement elle gobe un maximum de longueur en gloussant de surprise. Il y a plein de jute qui dégouline aux commissures de ses lèvres. C'est là qu'Estelle se penche pour glisser à mon oreille : << Un pisseur ! >>. Au moment où elle me dit ça je réalise que c'est du mélange qui dégouline. Il y en a probablement davantage que ne peut avaler Clémentine. Elle se retire.
C'est vrai. C'est une giclé laiteuse qui jaillit, éclaboussant le visage de Clémentine. Elle regarde en s'essuyant la bouche, le menton. Elle secoue la tête comme pour se convaincre de la réalité de ce qu'elle vit encore là. Elle reprend la bite en bouche pour se remettre à pomper comme une assoiffée. Je me penche davantage pour murmurer à son oreille : << Bon anniversaire Clémentine ! >>. Elle se contente de rire en gloussant. Il y a du mélange qui dégouline de partout. Il lui en coule dans le cou, sur le pull. Nous entendons le mec crier soudain.
Pas l'ombre d'un doute, le type éjacule. Clémentine, littéralement collée à la cloison, suce comme si sa vie en dépendait. Dommage. Le vicelard vient de dégager sa queue. Clémentine, la tête penchée vers le bas, comme si elle cherchait à reprendre ses esprits, récupère le foutre qui a dégouliné sur ses doigts. Nous entendons des rires de l'autre côté. Une voix de mâle qui dit : << Put-Hein la salope tu vas t'éclater ! >>. Clémentine nous jette un coup d'œil. Je chuchote : << Je ne t'embrasse pas jusqu'à demain, c'est trop dégueulasse ! >>.
À peine ai-je prononcé ces mots qu'une autre queue apparaît. Cette fois il y a la peau. C'est à peut près quinze centimètres aussi. Mais pas plus de trois centimètres de diamètre. Violacée aux veines apparentes cette bite est réellement repoussante. Nous n'en avons jamais vu de telles. Qui sont donc les "invités" de Juliette ce soir. Clémentine termine d'avaler avec peine. Estelle se penche pour chuchoter : << Put-hein comment tu fais ! C'est dégueu ! >>. Clémentine ne répond pas. Elle ouvre la bouche pour gober cette seconde queue. Une vraie chipolata.
Elle s'en prend la bonne moitié en bouche. Elle suce. À nouveau en gémissant. C'est toujours au bout de deux trois minutes, quand monte le jus des couilles. Cette bite reste bien sèche. Toute la différence avec celle d'un pervers pisseur. Je saurai les reconnaître à l'avenir. Les yeux fermés, suçant passionnément, en poussant de petits cris de surprises, Clémentine savoure en frissonnant. Une nouvelle fois je me penche pour murmurer : << Bon anniversaire mon ange. Je t'aime comme un fou ! >>. Clémentine se retire. De la jute s'écoule de sa bouche.
Il en tombe une nouvelle fois sur sa jupe. Je glisse ma main entre ses cuisses. C'est trempé. Clémentine saisit mon poignet pour que surtout je n'arrête pas. Elle pompe en gémissant de bonheur. Cette queue doit être hyper juteuse car le bruit bulleux s'amplifie de minute en minute. Nous entendons le mec pousser un cri. C'est certain, il connaît un orgasme qui emplit soudain la bouche de Clémentine. Estelle me chuchote à l'oreille : << Beurk ! J'ai envie de vomir ! >>. Clémentine, pour déglutir les abondantes giclées, est obligé de se retirer.
La bite ruisselle de foutre. Soudain, Estelle se précipite. Elle saute littéralement de l'accoudoir du fauteuil pour s'intercaler entre moi et Clémentine. Elle gobe la bite pour se mettre à sucer. Je me penche pour chuchoter : << Tu va dégueuler ! >>. Estelle rit en gloussant. Elle cesse. Elle revient s'installer. Clémentine se tourne vers nous pour murmurer : << S'il ne se retire pas je lui offre un second tour ! >>. Le mec ne se retire pas. Il a effectivement droit à une seconde pipe. Et quelle pipe ! J'ai glissé ma main entre les cuisses d'Estelle. Trempée.
Elle me tient le poignet comme le faisait Clémentine. Comme pour m'empêcher de la retirer. Comme pour la guider. Clémentine suce en gémissant. Elle doit probablement aller de surprises en surprises car ce sont de véritables petits cris de ravissements. Le mec éjacule certainement une seconde fois. Son cri est sonore et se termine par plusieurs râles. Clémentine n'avale plus seulement, elle bouffe. Je me masturbe depuis cinq minutes. Comme un fou. Moi qui m'était promis d'essayer d'aller au-delà de mes limites. Estelle en rit doucement.
La bite vient de disparaître. << Elle était bonne celle-là, hein ! >> murmure Estelle. Clémentine chuchote : << Un régal. Hyper crémeux le foutre de ce type ! >>. À nouveau nous entendons des rires sarcastiques. Presque instantanément une autre bite fait son apparition. Je n'ai jamais vu la queue d'un noir devant la bouche de Clémentine. Celui-là aussi est circoncis. Elle la saisit entre le pouce et l'index. De la même taille que la mienne c'est une queue plutôt "nerveuse". Après quelques instants d'hésitations, Clémentine en gobe juste le gland mate.
Elle se met à suçoter tout en observant par le trou. Le type se retire. Clémentine ouvre de grands yeux, nous consulte du regard, dubitative. Ce sont les couilles que ce salaud fait passer dans l'orifice. En même temps que sa queue molle. Clémentine se précipite, tirant la langue pour lécher les roubignoles du type. De grosses couilles dodues. Probablement pleines de foutre bouillant. Clémentine reprend la queue entre le pouce et l'index pour la contrarier vers le bas. Elle se la prend dans la bouche en poussant un cri de bonheur. Elle tient les couilles.
J'ai vu sucer Clémentine des inconnus d'innombrables fois. Mais comme elle suce là, cette bite noire, je ne l'ai jamais vu le faire avec tant de passion. Ce fantasme de l'homme noir, de sa grosse queue, doit probablement surgir du plus profond de sa psyché. Je me branle. Estelle se branle. Elle se penche pour murmurer à l'oreille de Clémentine : << Laisse-moi gouter ! >>. Je tiens Estelle par la nuque pour chuchoter : << Attends ton tour ! >>. Il y a une soudaine explosion qui nous surprend tous les trois. Du foutre gicle même des narines de Clémentine.
De l'autre côté le type pousse un véritable rugissement. Clémentine n'a d'autre choix que de se retirer pour avaler avec peine. Tout en secouant la tête pour faire passer, elle pousse un râle profond et longuement modulé. Elle a les yeux larmoyants. Des larmes coulent sur ses joues. Ses yeux sont cernés. Cette fille qui partage ma vie depuis plus de cinq ans est soudain méconnaissable. Le visage trempé de toute sortes de substances. La bite disparaît en laissant une trainée de foutre qui s'écoule le long de la cloison. Estelle se précipite pour la lécher.
Une fois encore, de l'autre côté des rires graveleux. Deux mecs qui se marrent en se tapant la paume de leurs mains. Sûr. Une autre queue fait son apparition. Petite, molle. On dirait celle de ce vieux pervers de Gérard. Mais est-il encore en mesure de venir se faire tailler une pipe ici ? Cette bite reste un mystère mais ouvre l'appétit de Clémentine. Les tous petits sexes mous et flasques ont toute sa préférence. Surtout s'ils appartiennent à de vieux pervers. Elle approche la bouche ouverte pour la gober dans sa totalité. Facile. Une bite de cinq centimètres.
Je m'approche pour chuchoter : << Succulente n'est-ce pas ! >> Clémentine, sans cesser de sucer lance un : << Mmmhhh ! >>. Les yeux fermés, passionnée par ce qu'elle savoure, Clémentine glousse de plaisir. Pousse de petits cris de ravissements. << Un pisseur ! >> me chuchote Estelle qui se masturbe en haletant. Certainement car je vois Clémentine déglutir en rythme. Tout en poussant de petits grognements. Je me masturbe comme un fou. Je me penche souvent pour murmurer : << Je t'aime Clémentine. Bon anniversaire ! >>.
C'est une de ces queues "mystères". Incontinentes à n'en point douter. Juteuses à souhait. Une de ses queues dont on ne comprend pas le fonctionnement. Seule la suceuse peut en saisir le "principe actif". Il n'y a qu'à regarder Clémentine se régaler pour comprendre. Lorsqu'elle retire sa bouche pour déglutir elle a du foutre gluant plein la bouche. Dès ce jus avalé elle reprend sa pipe avec une fougue rare. On entend marmonner le propriétaire de la queue. Clémentine lève une main et montre trois doigts. Ce pervers éjacule donc une troisième fois.
En poussant un râle de dégout, Clémentine se retire. La bouche ruisselante d'un probable mélange. Sur ses genoux, sa jupe noire est maculée de tâches. Il y en a dans ses cheveux, au-dessus de l'oreille. Dans son cou. Il en coule d'une de ses narines. Son menton est gluant de tous les spermes goutés ce soir. La petite bite disparaît. << J'en peux plus ! >> murmure Clémentine dans un souffle. Il est 22 h30. Ça va faire plus de deux heures que Clémentine tête de la queue. Une double pipe à un black. Une triple pipe à un probable vieux pervers.
Juliette arrive. Une serviette à la main qu'elle tend à Clémentine. En regardant le visage de Juliette nous découvrons que son menton est aussi trempé et gluant que celui de Clémentine. Nous devinons ce qu'elle a fait durant tout ce temps. Elle s'adresse à Estelle pour murmurer : << J'ai baisé beaucoup plus que je n'ai sucé ! >>. Estelle chuchote :<< Pour les préparer ? Pour les "chauffer" ? >>. Juliette s'empresse de répondre : << Non, le seul qui n'avait plus assez dans ses couilles pour venir se les vider ici ! >>. Clémentine s'essuie la bouche.
Elle crache plusieurs fois dans la serviette. Se mouche dedans. << Ça me brûle à l'intérieur du nez ! C'est dégueu ! >> dit elle. Debout, elle tient sa jupe pour nous montrer les tâches. << Tout ce gâchis ! Il faut avaler Clémentine ! >> lui lance Juliette. << Je voudrais vous y voir avec des pisseurs ! >> répond Clémentine. << Oh mais je les connais bien tous les quatre. Je les ai sélectionné pour votre anniversaire ! >>. Estelle me tient la queue qu'elle présente à Juliette en disant : << Vous en voulez du pisseur ? Celui-là il saura vous étonner ! >>.
<< Non merci. J'en suis pleine ! >> s'écrie Juliette en se frottant l'estomac puis le bas ventre. << Venez, je vous présente nos joyeux drilles ! >> lance Juliette en nous invitant à la suivre. << Non ! Je préfère que ça reste un mystère ! >> lance Clémentine qui me prend par la taille. J'essaie de rester distant. Elle sent le foutre et la pisse. De plus ses fringues en sont maculés. Comme toujours, quand Clémentine a terminé, elle n'a qu'une envie, celle de se sauver à toutes jambes. Juliette éclate de rire en nous voyant nous diriger vers la grande porte.
Nous lui faisons un signe. Je dis : << On passera peut-être demain soir pour faire un coucou. Merci pour la soirée ! >>. Juliette nous fait un signe. Nous traversons la cour sous le parapluie. Il pleut à verse. Clémentine, assise à ma droite, me dit : << Merci Julien. Il me faudra quelques jours avant de pouvoir apprécier ce cadeau à sa juste valeur ! >>. Je démarre. Là, dans l'encadrement de la grande porte de l'écurie, six silhouettes. Juliette, un black, un mec avec un casquette, un vieux et un jeune type. Quatre parfaits inconnus. Une banderole.
Une banderole noire sur laquelle est écrit "Happy Birthday, happy Gloryhole" en fluo. Nous éclatons de rire. << Viens, on dégage ! >> lance Clémentine qui dissimule son visage derrière ses mains. Estelle, assise à l'arrière, pliée de rire, caresse mes joues, mon cou. Nous arrivons à la maison. Clémentine prend une douche pendant qu'Estelle se lave les dents. Je sèche les cheveux de Clémentine pendant qu'Estelle me taille une pipe tout en nous donnant ses impressions. Je lui éjacule dans la bouche. Elle en glousse de plaisir. Morts de fatigue. Vite, au lit !
Bonne nuit à toutes les coquines qui ont l'estomac plein de mélanges qui leurs donnent quelques hauts le cœur avant de s'endormir...
Julien
NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...